34, quai des Bateliers


Quai des Bateliers n° 34 – IX 214 (Blondel), O 651 puis section 23 parcelle 7 (cadastre)

Maison dite zum Seiffenhoff (la Savonnerie)
Reconstruite en 1748, maître d’ouvrage Théophile Gentsché, chaudronnier


Façade de 1748, chaînage à refends à chaque extrémité et autour de la travée centrale (avril 2013) – Balcon, de part et d’autre de l’écu rajouté, oiseau et corne dont sortent des végétaux (novembre 2016)

La maison, inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du savonnier Jean Luck, a une avance de cinquante pieds et demi de long, ce qui doit correspondre à sa longueur. Jean Luck s’associe à son beau-fils Sebastian Jung qui finit par s’établir à Freudenstadt en 1603. La maison est encore appelée zum Seiffenhoff (la Savonnerie) en 1736. Elle semble toujours servir de fabrique de savon quand elle appartient à Jean Henri Kehrlin, aubergiste à la Carpe bridée. Elle appartient un temps (1675-1687) au gentilhomme Frédéric Magne de Berckheim et à Barbe Goll, femme du boutonnier Isaac Büry (1717-1747). D’après le billet d’estimation de 1727, la maison comprend un bâtiment latéral et un bâtiment arrière. Originaire de Lübeck, le chaudronnier Théophile Gentsché est autorisé en 1748 à construire sous une partie de son encorbellement endommagé un mur sur le communal et un mois plus tard à établir un balcon à sa nouvelle façade. Théophile Gentsché hypothèque en 1749 la maison construite à neuf que sa veuve vend en 1794 en s’y réservant un logement. D’après le billet d’estimation de 1774, la maison comprend un bâtiment avant, deux bâtiments latéraux et un bâtiment arrière.


Plan-relief de 1727, La maison est la deuxième à droite du bâtiment qui avance sur l’Ill, Musée historique, cliché Thierry Hatt

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 209 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve entre les repères (k’-l’) : deux fenêtres de part et d’autre de la porte cochère, deux étages à six fenêtres chacun, toiture à un étage mansardé et un niveau de lucarnes (remarquer que le nombre de fenêtres ne correspond pas à la réalité). La cour O montre l’arrière (2-3) du bâtiment avant, le bâtiment latéral ouest (1-2), les bâtiments arrière (8-9-10-1) et les deux bâtiments latéraux à l’est (3-4-5) et (6-7-8). La petite cour P dans l’angle sud-est représente l’arrière des bâtiments sur cour (1-2 et 2-3) et les propriétés voisines.
La maison porte d’abord le n° 10 (1784-1857) puis le n° 34.


Cours O et P – Plan

La maison est vendue en 1838 par les héritiers de la veuve du négociant Frédéric Charles Reckop à Frédéric Bergmann, professeur à la faculté des lettres. La veuve Bergmann charge en 1889 le maître maçon Emile Widmann de construire un atelier de sculpture. Les propriétaires sont ensuite (1894) le serrurier Charles Unselt puis (1904) son fils Charles Emile Unselt qui pourraient avoir ajouté sur le balcon les armes des Furstenberg, évêques de Strasbourg de 1663 à 1704, et les armoiries en grès des grands ducs de Bade et des princes de Nassau, d’après les informations erronées qui figurent dans l’ouvrage qu’Adolphe Seyboth a publié en 1890.
Charles Unselt fait construire en 1896 un atelier de serrurerie dans lequel il installe en 1900 un moteur électrique. Il fait agrandir l’atelier (bâtiment à la limite sud) en 1901 par les entrepreneurs Théodore et Edouard Wagner. Le bombardement du 25 septembre 1944 endommage fortement le bâtiment arrière et les galeries aux premier et deuxième étages du bâtiment avant. L’entreprise Heiss et Hesch reconstruit les ailes sur cour sous la direction de l’architecte Théo Berst en 1952.
La façade et la toiture sont inscrites à l’inventaire des monuments historiques par arrêté du 10 septembre 1937.



Atelier (1901, plan de situation, dessin), Vue en 1941 (dossier de la Police du Bâtiment))
Vue en novembre 2016 – Armes de Nassau sous la fenêtre du premier étage

juillet 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Luck, savonnier, et veuve Jung puis (1588) Elisabeth Bürckler, d’abord (1560) femme du batelier Léonard Kag puis (1565) du pilote Urbain Müller, remariée (1597) avec le diacre Gaspard Kretschmar – luthériens
1592 h Sébastien Jung, savonnier, et (1585) Cunégonde Dasypodius – luthériens
1603 adj Mathieu Schalck, cuisinier, et (1595) Susanne Wanner puis (1621) Anne Veltin, d’abord (v. 1594) femme du farinier Sixte Grünwald puis (1611) de l’aubergiste Henri Haas, remariée (1630) avec Jacques Isenheim – luthériens
1630* h Jean Henri Kehrlin, aubergiste, et (1616) Salomé Schalck – luthériens
1675 v Frédéric Magne de Berckheim et (v. 1658) Marie Cléophée de Franquemont puis Marie Chrétienne de Liebenstein – luthériens
1687 v François Christophe Barth, marchand de drap, et (v. 1674) Anne Catherine Müsser – catholiques
1689 adj Jacques Evrard Becht, bailli, et (1659) Salomé Commerell – luthériens
1694 v Laurent Barthel, tonnelier, et (1680) Anne Marie Schmutz – luthériens
1704 adj Jean Adam Müller, marchand, et (1704) Anne Elisabeth Carol – luthériens
1705 v Jean Frédéric Schæffer, marchand épicier, et (1673) Dorothée Kœnig – luthériens
1717 v Isaac Büry, boutonnier, et (1711) Barbe Goll, d’abord (1689) femme du boutonnier Jean Nicolas Karth – réformé et luthérienne
1747 v Théophile Gentsché, chaudronnier, et (1736) Marie Salomé Bameyer, d’abord (1727) femme du chaudronnier Jean Michel Schwartz, puis (1751) Anne Marie Anthoni – luthériens
1771 h Jean Léonard Rœderer , orfèvre, et (1771) Anne Marie Anthoni, veuve de Théophile Gentsché – luthériens
1794 v Jean Daniel Philippe Arend, négociant, et (1798) Marie Louise Dorothée Reckop
1819 h Frédéric Charles Reckop, négociant, et (1802) Régule Pœlsterli
1838 v Frédéric (Guillaume) Bergmann, professeur à la faculté des lettres, et (1841) Emilie Mathilde Bartholmé
1895 v Charles Unselt, serrurier, et (1864) Eugénie Berni
1904* v Charles Emile Unselt, serrurier, et (1901) Louise Elisabeth Michel

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1150 livres en 1727, 2500 livres en 1750, 1150 livres en 1774

(1765, Liste Blondel) IX 214, Gottlieb Geütsché
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Reiter, 7 toises, 4 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 651, Recopf, Frédéric Charles, veuve Vieux Marché aux Poissons 8 – maison, sol – 4,8 ares / Bergmann Frédéric

Locations

1723, Jean Jacques Braun, batelier
1728, Jean Diemer, aubergiste au Loup
1730, Jean Frédéric Fessenmeyer, cordonnier
1732, Philippe Karth, boutonnier (cohéritier)
1734, Philippe Melchior Auffhammer, marchand
1736, André Eckert le jeune, batelier
1751, Joseph Borel, marchand
1759, Nicolas Le Riche, chirurgien major à l’hôpital militaire

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 403-v
Le savonnier Jean Luck règle 6 sols 8 deniers pour la maison qu’il habite lui-même, à savoir une avance (50 pieds ½ de long, saillie de 9 pouces)

Aber vornen Am Staden.
Derselbige Hanß Luckh der Saiffensieder hatt auch an seinem Hauß Welches Er Selbs bewohnet ein Ausstoß L+ schu lang, ix Zoll herauß, Bessert für daß Niessen, vj ß. viij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1590, Préposés au bâtiment (VII 1306)
Les préposés demandent à Jean Luck de refaire la rigole près de sa maison sur le quai. Jean Luck répond que la rigole appartient à Jean Bapst.

(f° 8-v) Sambstag den 24.t Januarÿ – Hans Luck der sieffensieder, Ist das mangelhaften dolen halb. Am stad. bey seinem hauß beschickt vnd Im beuelch den weld. Zumachen, gibt Anth* nit wor sein thuen, wolt den sonst b*st gemacht hab., gehort hans bapsten Zo machen, soll beschickt werd.

1595, Préposés au bâtiment (VII 1310)
Les préposés demandent un loyer pour le terrain communal sur lequel Sébastien Jung entrepose des planches depuis quatre ans et avant lui Jean Luck depuis quarante ans.

(f° 193) Mont. den 8.ten X.br – Bastian Jung hab vff 400 dielen beim seid. fad. lig. dieselb. auch wol 4 Jahr lang, vnd hans luck sein Vorfahr vff 40 Jahr lang, da lig. gehapt, hördt Ihn vß beuelch d. hn. 3. die weggebott. word. vnd wie die Allmend h. die Allmend besucht word. hab man Ihn ein Allmend Zins daruff geschlag. denhalb. Er ferner geb.

1748, Préposés au bâtiment (VII 1403)
L’encorbellement du chaudronnier Théophile Gentsché est endommagé au point que les poutres risquent de céder. Il demande en juin 1748 l’autorisation de remplacer les poutres ou de construire un mur sous l’encorbellement. Les préposés l’autorisent à faire un mur qui dépasse de sa maison d’un pied en amont et d’un pied neuf pouces en aval, en supprimant la saillie supplémentaire, moyennant une somme de six livres à payer en une seule fois. Il est autorisé le 30 juillet à établir en outre un balcon (10 pieds de long, saillie de trois pieds)

(f° 43) Freÿtags den 14. Junÿ 1748. – Gottlieb Gentsche
An Gottlieb Gentsche des Kupfferschmidts Hauß am Schiffleuthe Stadten, deßen Überhang daran so schadhafft, daß Zu beförchten, es möchten die balcken entzweÿ brechen, und der Überhang einstürtzen, bittet dahero um erlaubnus frische balckhen in den Überhang Zueziehen, oder eine Maur darunter auffzuführen.
Erkannt, wird dem Imploranten erlaubt An dem Obern Eck seines Haußes einen schuhe, und am Untern Eck 1 sch. 9. Zoll Unter dem Überhang herauß Zuführen, und das Übrige davon abzukürtzen aufferlegt, Nebst erlag 6. lb. für ein und allemahl Zubezahlen. dt. 6. lb

(f° 49-v) Dienstags den 30. Ejusdem [Julÿ 1748] – Gottlieb Gentsche
Gottlieb Gentsche der Kupfferschmid, welchem Laut Erkantnus Mghh. Vom 14. Junÿ Letzthin erlaubt worden, den Überhang an seinem Hauß am Schiffleuth: Stadten, Zum theil Zu Unterbauen, bittet jhme auch Zuerlauben, einen 10. schuhe Lang und 3. schuhe tieffen Balcon ferner an das Hauß Zumachen. Erkannt, gegen erlag 6. lb für und allemahl Zubezahlen Willfahrt. dt. eodem.

1781, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Le maître maçon Nagel est autorisé au nom de l’orfèvre Jean Léonard Rœderer à repeindre la maison

(f° 252-v) Dienstags den 26. Junii 1781. – Hr. Johann Leonhard Röderer, Goldarbeiter
Hr. Nagel, der Maurer, nôe. Hrn. Johann Leonhard Röderer, des Goldarbeiters, bittet zu erlauben deßen behausung am Schiffleuth Staden gelegen ansteichen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1727 (billet d’estimation traduit) 1727 La maison comprend un bâtiment latéral et un bâtiment arrière, plusieurs poêles, chambres, cuisines, chambre pour officier, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, trois caves sous solives, passage latéral, écurie, bûcher, remise fermée de lattes, cour, portail et puits, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 2300 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) 1750 La maison comprend à droite et à gauche de l’entrée un poêle, cuisine et chambre à cheminée à la française, au premier étage chambre à cheminée à la française, deux autres chambres, cuisine et vestibule, le deuxième étage est pareil au premier, la toiture à la Mansard renfermant six chambres est couverte de tuiles plates. Le bâtiment latéral à double couvert de tuiles plates comprend plusieurs chambres, poêle et cuisine. Le bâtiment arrière à double couverture de tuiles plates comprend un magasin et un fenil, un poêle, une alcôve et un vestibule où se trouve la cuisine. Un puits, une petite cave et une écurie pour les logements militaires se trouvent dans la cour. Le tout est estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 5000 florins.
  • 1774 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, deux bâtiments latéraux et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, estimée avec la cour, le puits, l’atelier de chaudronnier et toutes appartenances et dépendances à la somme de 2300 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Bâteliers

nouveau N° / ancien N° : 106 / 10
Arend
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 195 case 2

Bergmann Frédéric à Strasbourg

O 651, maison, sol, quai des bateliers 10
Contenance : 4,80
Revenu total : 281,50 (279 et 2,50)
Folio de provenance : (195)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 53 / 42
fenêtres du 3° et au-dessus : 12 / 10

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 911 case 1

Bergmann Frédéric
1889/90 Bergmann Mathilde Eugenie Frl.
87/98 Unselt Karl Schlosser

O 651, Maison, sol, Quai des bateliers 34
Contenance : 4,80
Revenu total : 281,50 (279 et 2,50)
Folio de provenance : (195)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 53
fenêtres du 3° et au-dessus : 12

Cadastre allemand, registre 30 page 293 case 7

Parcelle, section 23, n° 7 – autrefois O 651
Canton : Schiffleutstaden Hs Nr. 34
Désignation : Hf, 2 Whs, Wst u. NG
Contenance : 5,22
Revenu : 2730 – 2900 – 3600
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1904), compte 1254
Unselt Karl
gelöscht 1920

(Propriétaire à partir de l’exercice 1904), compte 4153
Unselt Carl Emil Schlossermeister
1929 Unselt Charles Emile serrurier et son épouse
(4102)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 315 Quai des Bateliers, p. 499

10
loc. Roederer, Jean Léonard, orfèvre – Echasses
loc. Meyer, Jacques, au magasin du sel – Bateliers
loc. Euth, Louis, peintre – Privilegié
loc. Euth, Sophie et sa fille, veuve

Registres de population

1795, Registres de population (600 MW 11)

11° section, Quay des Bateliers N° 10
Louise Recop, 46, fille, Strasb:
Jean Arentz, 45, Commis Md. – Deux ponts 1756
Salomé Petersen, 33, servante – Bischwiler 1783
Léonard Roederer, 74, Rentier, id.
Anne Mie. Roederer, 64, epouse, id.
Geofroy Kayser, 26, Off. de santé, id.
Cath: Dor. Schmeltzer, 23, servante, id.
Louis Pelizeau, 19, garçon tailleur – Charente informatione 10 mois

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schiffleutstaden (Seite 146)

(Haus Nr.) 34
Gottsmann, Schneiderin. 0
Rautenhaus, Chemische Wäscherei. 0
Bergmann, Rentnerin. 1
Bremer, Steueramtsass. 2
Unselt, Rentner. E 2
Schneider, Rentner. 3
Unselt, Schlosserei. H 0

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 899 W 153)

Quai des Bateliers n° 34 (1889-1993)

La veuve Bergmann charge en 1889 le maître maçon Emile Widmann de construire un atelier de sculpture pourvu d’une terrasse. Charles Unselt fait construire en 1896 un atelier de serrurerie dans lequel il installe en 1900 un moteur électrique. Il fait agrandir l’atelier (bâtiment à la limite sud) en 1901 par les entrepreneurs Théodore et Edouard Wagner, ce qui donne lieu à des dissensions avec l’administration militaire, propriétaire de l’ancienne cour de Bade, au sujet dune fenêtre. La façade et la toiture sont inscrites à l’inventaire des monuments historiques par arrêté du 10 septembre 1937. Le bombardement du 25 septembre 1944 endommage fortement le bâtiment arrière et les galeries aux premier et deuxième étages du bâtiment avant. L’entreprise Heiss et Hesch reconstruit les ailes sur cour sous la direction de l’architecte Théo Berst en 1952.

Blanchisserie Rautenhaus (1904) puis Michel Hummel (1925, 1949)
Radio-électricien Gaston Schillinger (1941)
Décorateur Antoine Graff (1968, Publigraphis, agencement pour pharmaciens)
Encadreur Yves Le Guay (1980, enseigne Cadrature)

Sommaire
  • 1889 – Le maître maçon Emile Widmann (demeurant 1, rue Saint-Louis) demande au nom de la veuve Bergmann l’autorisation de construire un atelier avec terrasse – Autorisation de construire un atelier à simple rez-de-chaussée – Travaux terminés, la cheminée de deux mètres de haut est en tôle. Le bâtiment doit servir d’atelier de sculpture ou de bureau. Il n’y a pas de fourneau dans le bâtiment – Dessin (plan et coupe)
  • 1895 – L’architecte A. Brion demande au nom de la veuve Bergmann l’autorisation de réparer les murs et les planchers – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1895
  • 1896 – Le propriétaire Unselt demande l’autorisation de construire un atelier de serrurerie. – Autorisation
    Les murs extérieurs sont terminés, avril 1896. Le toit est posé, l’entrait est défectueux, fin avril. L’entrait a été consolidé, mai. L’atelier est terminé, juillet – Dessin (plan et coupe)
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant six volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, mars 1897
  • 1900 – Le maître serrurier Emile Unselt demande l’autorisation d’installer un moteur de trois chevaux-vapeur – Les machines sont installées, le dossier classé, février 1901. La direction impériale de l’industrie communique les conditions à respecter (dix pages) – Autorisation d’installer des machines, mars 1901 – Dessin – Travaux terminés, mars 1901.
  • 1901 – Le maire notifie Emile Unselt de faire ravaler la façade – Les murs sont repeints, octobre 1901.
  • 1901 (novembre) – Emile Unselt demande l’autorisation de construire et d’agrandir son atelier – La Police du Bâtiment demande des informations supplémentaires – Dix ouvriers au plus travailleront dans le bâtiment où il y aura un moteur électrique, deux perceuses et une ponceuse – Autorisation de transformer l’atelier et d’y installer des machines
    Les entrepreneurs Th. et Ed. Wagner transmettent les calculs statiques de l’ingénieur Züblin (Bureau technique pour les constructions en ciment et fer selon le système Hennebique, 12, rue Kuhn – neuf pages) – Avenant à l’autorisation, mars 1902
    Les murs du sous-sol et le plancher en ciment armé sont terminés, mars
    1902 (février) – L’administration militaire (garnison) demande quels sont les projets d’Emile Unselt qui démolit le bâtiment arrière dont le mur est commun. – Notes de la Police du Bâtiment sur le nouveau mur. Les niches du côté de l’administration ne sont plus autorisées. Unselt a pratiqué une fenêtre qui pourrait être fermée par une plaque de verre dormant quoique le propriétaire estime avoir un droit d’ouverture. – L’architecte municipal Nebelung estime que le règlement interdit les ouvertures dans un mur coupe-feu. Il reste à établir si l’ancien droit d’ouverture subsiste selon le droit privé – Copie d’un courrier de l’administration militaire à la veuve Frédéric Bergmann, daté du 2 avril 1889, d’après lequel la fenêtre contreviendrait aux articles 676 à 678 du Code civil. Antoine Schwab et Anastasie Kapferer témoignent que la fenêtre existait déjà en 1851, qu’elle remonte donc à plus de trente ans.
    1902 (juillet) – La fenêtre n’est toujours pas fermée par une plaque de verre dormant. L’atelier est en service. Il y a lieu de demander aux entrepreneurs Wagner de faire un essai de charge.
    1902 (août) – L’essai de charge ne semble plus nécessaire puisque l’atelier est en usage depuis le mois de mai. – La fenêtre a été murée.
    1902 (août) – Le tribunal a condamné Emile Unselt, demeurant 1, rue de l’Arc-en-Ciel, à 20 marks d’amende
    1902 (octobre) – Compte rendu de l’essai de charge. Croquis
  • 1904 – Dossier. Le commissaire de police demande de vérifier que la réserve d’essence de la blanchisseuse Rautenhaus est réglementaire. – La Police du Bâtiment répond que l’installation au sous-sol ne correspond pas aux prescriptions de 1893.
  • 1905 – L’installateur sanitaire Kesselring (35, quai des Bateliers, papier à lettres illustré) fait remarquer que d’épaisses fumées sortent de la cheminée d’Emile Unselt. – La Police du Bâtiment qui n’a pas vu de fumées constate que la cheminée est à une distance réglementaire des fenêtres du voisin.
  • 1909 – Emile Unselt demande l’autorisation d’aménager un cabinet d’aisance – Autorisation – Dessin – Dossier classé, août 1909
    1909 (mai) – Le service d’architecture demande si les deux nouveaux cabinets d’aisance dans le bâtiment avant ont été autorisés
  • Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Unselt. Locataire Theves, compositeur d’imprimerie (2 personnes, deux pièces et cuisine, loyer 50 marks)
    Locataire Rautenhaus, blanchisserie et repassage (3 personnes, trois pièces et cuisine, loyer 110 marks)
    Locataire Bergmann (3 personnes, sept pièces et cuisine, loyer 1000 marks)
    1906. Travaux à faire en six points
    Commission des logements militaires, 1915, remarques en 5 points – Travaux terminés, janvier 1916
  • 1912 – L’administration militaire a construit un bâtiment de télégraphie près de la propriété Unselt dont la cheminée de l’atelier est plus basse que le nouveau bâtiment. – La Police du Bâtiment demande de rehausser la cheminée. – Travaux terminés, janvier 1913.
  • 1913 – Le maire notifie Charles Unselt (demeurant 8, place Saint-Etienne) de ravaler la façade du 34, quai des Bateliers
    1914 (juillet) – Le peintre en bâtiment Max Vollmer (26, route de l’Hôpital au Neudorf) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire transmet au maire qui donne son accord
  • 1925 – Le blanchisseur Hummel qui a repris l’affaire de l’allemand Georges Rautenhaus déclare à la Police du Bâtiment son affaire qui remonte à plus de trente ans – La Police du Bâtiment ne voit pas d’objection à l’inscription posée sur la fenêtre.
  • 1928 – Récépissé de déclaration d’une teinturerie par Michel Hummel (34, quai des Bateliers et 181, route du Polygone) – Prescriptions à respecter
  • 1932 – F. Dœll, demeurant 35, quai des Bateliers, se plaint de l’atelier occupé par le fabricant de matelas Rahms. La fenêtre grillagée souvent ouverte dans le mur de séparation laisse échapper de la poussière. – La Police du Bâtiment ne constate pas de poussière, le matelassier promet de laisser la fenêtre fermée. La pièce servait auparavant de cuisine.
  • 1933 – L’entreprise de crépissage Zavagno, Oregaro et Compagnie est autorisée à occuper la voie publique devant le 34, quai des Bateliers
  • 1937 – Copie de l’arrêté du ministre de l’éducation nationale en date du 10 septembre 1937 qui inscrit sur l’inventaire des monuments historiques la façade et la toiture du 34, quai des Bateliers, propriété d’E. Unselt
  • 1941 – G. Schillinger demande l’autorisation de poser une enseigne sur la porte d’entrée – Photographie (enseigne G.S. Radio, G. Schillinger, Radio Reparatur und Neu-Bau-Werkstatt) – La Police du Bâtiment demande de remplacer l’enseigne projetée par une autre plus esthétique qui devra être autorisée par le conservateur des monuments historiques – Schillinger charge la société Siegel Frères du nouveau projet – Dessin
    1943 (mars) – L’enseigne a été retirée
    1942 (octobre) – Deux consoles du balcon sont brisées. Il faut les remplacer au plus vite – Dessin des étais
  • 1945 – Le bombardement du 25 septembre 1944 endommage fortement le bâtiment. Certificat de sinistre accordé à Charles Martin (troisième étage, colis)
  • 1948 – Le préfet demande au maire de faire enlever l’enseigne que le teinturier Hummel a posée sans autorisation sur la façade classée au titre des monuments historiques, en prévision des fêtes du tricentenaire (du rattachement de l’Alsace à la France) – L’enseigne est retirée, juin 1948.
  • 1948 (janvier) – Le peintre Jean Merkel (11, rue de Mulhouse au Neudorf) demande l’autorisation de faire une enseigne pour la maison G. S. Radio Schillinger (Gaston Schillinger, maître radio-électricien, Construction, réparation, transformation, vente) – L’architecte des Bâtiments de France F. Guri émet un avis défavorable
    1948 (septembre) – Nouvelle demande à laquelle l’architecte des Bâtiments de France donne un avis favorable (propriétaire, E. Unselt) – Autorisation
  • 1949 (février) – Le Police du Bâtiment constate que le teinturerie Hummel (181, route du Polygone au Neudorf) a posé sans autorisation une enseigne – Demande – Autorisation
  • 1949 (mars) – Emile Unselt (serrurier constructeur, ferronnerie d’art, 9, place Saint-Etienne) déclare qu’une dalle qui couvre le mur de son voisin (le génie militaire) est tombée sur le toit de son atelier. – La Police du Bâtiment se rend sur place et constate les faits, dus aux bombardements aériens qui ont endommagé les bâtiments sis 11, rue des Bateliers. – Le maire écrit à la chefferie du Génie – Travaux terminés, août 1949
  • 1949 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que la façade arrière endommagée menace ruine (galeries aux premier et deuxième étages) – Le maire écrit au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme qui répond que le sinistré a reçu une avance suffisante pour les travaux à faire
    1950 (mai) – Le maire prend un arrêté portant réparation d’une partie d’immeuble menaçant ruine, adressé à Emile Unselt
    1950 (juin) – L’architecte Théo Berst relève des erreurs dans les déclarations du M.R.U. (dossiers NV 1530 Z concernant la maison d’habitation sur quai, NV 2779 DS l’atelier de construction mécanique comprenant deux bâtiments) – Le maire adresse un nouveau courrier au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme.
  • 1950- L’architecte Théo Berst (16, rue Bœcklin à la Robertsau) transmet les plans du projet de reconstruction au titre des dommages de guerre – Le service municipal d’arpentage délivre un plan
    1951 (janvier) – La Police du Bâtiment déclare que le nouveau règlement limite la hauteur des constructions arrière à cinq mètres de hauteur. Théo Berst fait état de frais supplémentaires pour les nouvelles fondations.
    1951 (mars) – Théo Berst soumet un nouveau projet qui est accepté
    1951 (août) – Théo Berst transmet un devis descriptif pour la reconstruction des ailes sur cour (sept pages)
    1951 (juin) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme transmet au maire une demande de permis de construire – L’immeuble dépasse de 0,40 à 1,50 mètre de l’alignement légal du quai (15 m² tombent dans l’élargissement du quai), les travaux sont prévus à l’arrière de l’alignement légal. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à formuler.
    1951 (octobre) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre le permis de construire à Emile Unselt (dossier 1530 Z)
  • 1952 – Les anciens bâtiments sur cour sont démolis, mars 1952. L’entreprise Heiss et Hesch creuse les fondations du nouveau bâtiment arrière, mai 1952. Le gros œuvre se termine, août 1952.
    1953 (janvier) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre le permis de construire
    1954 (janvier) – Les deux ailes sur cour sont reconstruites
    1954 (juin) – Le M.R.U. délivre un avenant au permis de construire (la toiture de l’atelier ayant été modifiée)
    1954 (octobre) – L’atelier est en cours de construction – La toiture en charpente métallique est terminée
    1956 (décembre) – Le Ministère de la Reconstruction et du Logement délivre le certificat de conformité
  • 1966 – Le propriétaire Unselt est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour faire crépir la façade
  • 1968 – La Police du Bâtiment constate que la société Publigraphie a posé sans autorisation une enseigne plate – Le décorateur Antoine Graff (Publigraphis, Diffusion et création de décorations de vitrines et de mobilier d’étalage à l’usage exclusif des pharmaciens) dépose une demande. Autorisation du propriétaire Henri Unselt (1, rue de l’Arc-en-Ciel) – Photographie de l’enseigne sur la porte cochère – L’architecte des Bâtiments de France Fernand Guri émet un avis défavorable – L’enseigne n’est pas encore retirée, janvier 1969 – Le dossier est classé en février 1969 sans que l’enseigne ait été enlevée
  • 1980 – Yves Le Guay (17, boulevard de la Victoire, enseigne Cadrature) demande l’autorisation de poser une enseigne éclairée par deux lampes. L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis défavorable – Dessins, photographies – Autorisation du propriétaire Henri Unselt (1, rue de l’Arc-en-Ciel)
    1981 (mars) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable au nouveau projet, sans lampes – Autorisation
  • 1980 – Le maire demande au propriétaire Henri Unselt de faire ravaler la façade – Devis du peintre en bâtiment Jean Beyler (rue de Bussierre à la Robertsau), du couvreur Georges Schalck (rue de la Lune à Schiltigheim) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à condition de ne pas peindre les pierres de taille et de convenir des teintes
    1980 (septembre) – Henri Unselt est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
    1980 (octobre) – La ville accorde une subvention pour les travaux de façade – Facture de Jean Beyler
  • 1984 – Serge Dupoy (19, rue du Fossé communal à Illkirch-Graffenstaden) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer le balcon
  • 1986 – Yves Le Guay (Cadrature) retourne un avis de paiement en alléguant que l’enseigne a été supprimée en juin 1986. La Police du Bâtiment constate en novembre que l’objet est toujours en place
    1993 – Facture annulée, l’enseigne ayant été retirée deux ans auparavant

Autre dossiers
2010-2013, réhabilitation, création de deux logements, cote 1689 W 378


Relevé d’actes

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du savonnier Jean Luck.

Jean Luck épouse d’abord la veuve Jung qui a un fils Sébastien (voir plus bas l’acte de 1592). Il se remarie en 1588 avec Elisabeth Bürckler, veuve du pilote Urbain Müller : contrat de mariage par lequel le futur époux assure à la future épouse l’habitation dans une de ses maisons, célébration
1588 (7. Januarÿ), Chancellerie, vol. 254 (Registranda Meyger) f° 5-v
(P. fol. 9) Erschienen der Ersam Hanns Luck Seÿffensieder burg. Zu Straßburg, Ane eim,
So dann die tugendsame fr. Elizabeth Bürcklerin, Wÿland Urban Müllers des Steürmans selig. Witwe, Mit beÿstand des fürnemmen vnd Wÿsen herrn Sebastian Schoch Beÿsitzern des grossen Raths, Ires geschwornen vogts, Am Andern theil
Haben beÿde Parthen gegen einander bekandt vnd offentlich verÿeh. das heut dato als bemelt. hanns Luck vnd frouw Elizabeth einander ehel. vermehlt worden, Zwisch. Inen Inn beÿsein Irer beyderseits erbettenen herren vnd verwandte hernachbenant, vßtrucklich. abgeredt, bewilligt, Zugesagt und beschlossen worden sige (…)
(…) Vnd dan den Wydem belangend, So hatt vylgemelter hans Luck, mehrgedachter Elizabeth. sein vermehlte ehelich. haußfrau, Zu einem Rechten Wÿdem vermacht vnd geordnet, Sein unverändert hauß vnd hoffestatt, mit Iren gebewen & So Jetzig. Zeit Davids Andres des schiffmans hinderlaßene witwe lehnungs wiß besitzt, geleg. alhie Inn vnserer Statt, Nidewendig der Neuwen Brucken, Am Gestaden, Einseit neben Hans Lipß dem Schiffman, vnd Andersit neben Ime hans Lucken selbs. hinden auch vff denselbig stoßend, vnd wiewol disse jetz verordnete Behausung, hafft vnd vnderpfand Ist für 80 guldin Hauptgut, Gegen Ulrich Spachen burgern alhier, Mehr für 100 guldin schult herrn Heinrich Zornen, dem handelßmann, So hatt doch vilgemelter Hans Luck für sich vnd seine Erben verheißen vnd Zugesagt, dieselbig Behausung Mitler Zeit dauon ledig vnd looß Zumachen (…)

Mariage, cathédrale (luth. p. 140)
1588. Dominica II. post Epiphanias, 14 Januarÿ. Hanß Luck der Seifensieder, vnd Elisabeth Urban Müller des Steürmanß nachg: wittib. Eingesegnet Zinstags den 23.t Januarÿ i 73)

Urbain Müller épouse en 1565 Elisabeth, veuve de Léonard Kag
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 241 n° 834)
1565. Urban Müller, Elsbeth Kagen Lienharts nachgelaßene witwe Zum ersten mol. am Zinßtag vnd die 9 (i 248)

Le batelier Léonard Kag épouse en 1560 Elisabeth, fille de Sébastien Bürglin
Mariage, cathédrale (luth. p. 66)
1560. Den 3 Sontag. Leonhardt Kag, Schiffman von Strasb. Elizabeth, Sebastian Burglins nachgelasne dochter. Eingesegnet Montag den 13. Maÿ (im 37)

Mentions de Jean Luck dans les registres du Magistrat
1577 Conseillers et XXI (1 R 49) Wein verfüeren. Hans Luck Seifensieder. 254. – Niclaus Schertzheÿmer contra Hans Lucken. 767. 793. 798.
1579 Conseillers et XXI (1 R 52) Niclaus Schertzheimer contra Hans Lucken. 66. 133. 146.
1585 Conseillers et XXI (1 R 61) Heinrich Cogman, Hans Luck, Philipp Heuß die Seiffensieder contra Seiffensieder. 92.

Jean Luck hypothèque trois maisons contiguës quai des Bateliers et rue Neuve au profit des héritiers de Hermann Baumgarten et de Jonas Hammerer

1587 (vts [27 Januarÿ]), Chancellerie, vol. 248 (Registranda Kügler) f° 33
(Inchoat. fo. 26.) Erschienen Hanns Luck Seÿffensieder burg. Zu Straßburg
hatt bekandt inn gegensein des fürnemmen herrn Abraham Baumgarttners Innamen Gemeiner Erben Herrenn Herman Baumgarttners seines vatters selig vnd herren Jonas Hamerers selig. erben, das er (…) schuldig seÿ 728 guld.
Zum vnd.pfand ernant vnd Ingesetzt dreÿ vnderschiedliche neben einand. Am Staden gelegene Behausungen sampt einer neüwen hinden darauff stossend. Inn der Neüwen gassenn gelegenn Alle vier Zusammen In einen hoff gerichtet mit Iren In gebeüwen hindern Seÿffen hauß Stallung vnd Allen gerechtigkeitt. die vordern dreÿ neben hans lipssen dem Schiffman ein, vnd die And.seit neben Jacob (-) des kieffers selig. witwe vnnd erben Eck behausung stoßend hind. vff den Schuldtbekennern selber, die hinder Behausung neben Heinrich weber des Schiff Zimmermanns witwe vnd erben, Einseit vnd And.seit neben obgemelts kieffers witwe vnd Erben, hind. vff vorgeschribne dreÿ Behausung stoßend, dauonn gohndt (von nechstgemelt hindern Behaußung) Jerlich Neün guld. gelts losig mit 200 guld. Inn goldt herren Carle heüssen
Mehr gohnd von der vordern mittlern Behaußung fünff guld. gelts Johanni Agricolæ In hauptgut mit 100 guld. Abzulösenn desgleichen Ein pfund Pfenning gelts herren Sebastian Jungen selig erben mit 25 Pfund Pfenning Abzulößen vnd dann zwen guld. Jährlichs gelts losig mit 40 guld. St. w. hauptguts herren Heinrich Baumgarttners selig. erben, Item vonn der vndern vordern Behaußung gohndt 2 Pfund 10 schilling Pfenning Ablößig Inn hauptgut mit 50 pfund Pfenning herren Heinrich Zornen Alle Jar weÿth funff halben guld. gelts Inn hauptgut Ablößig mit 100 guld. St. w. dem Mehrern Spittal alhier, Item Zweÿ Pfund Pfenning gelts weÿland herren Ulrich Spachen selig witwe vnd Erben wid.losig mit 50 Pfund Pfenning So dann Zweÿ Pfund Pfenning gelts. Margarethen Clost. Zu St. stoßend In hauptgut mit 50 Pfund Pfenning Ab zulößen Alle Jar wie man sagt
Item hauß hoff hoffstatt Scheur Stall Trott, Trothauß sampt einem garten daran, mit Aller Zugehördt vnd gerechtigkeit Zu Berckbiettenheim beÿ dem Nidern thor geleg. (…)

Jean Luck et Elisabeth Bürckler hypothèquent la maison et sa savonnerie au profit de Charles Haas, fils du boucher Jérôme Haas

1589 (vts [8. April]), Chancellerie, vol. 264 (Registranda Kügler) f° 175-v
Erschienen hanns luck Seÿffensieder burger Zu Straßburg vnd Elizabeth Bücklerin sein eheliche hußfr. haben sich unverscheidenlich verschriben
gegen Carle haaß wÿland Jheronimi haaßen des Metzig.s selig. Suns waren gegenwertig Martin haas sein geschworner Vogt auch Zu Zinßen 20 guld. gelts losig mit 400 guld. SW
dafür Vnderpfand sein sollen huß hoffestatt Sampt dem Seÿffenhuß hinden daran auch all and. Iren gebeu geleg. Inn der SS am gestaden einseÿt neben hans lipßen anderseyt neben d. verkhouffer selbst stoßend hinden auch vff hans lipßen, dauon gnd Neün guld. gelts ablösig mit 200 guld. wolff grienwald wurtzhändlern Sunst ledig eÿg.

Jean Luck et Elisabeth Bürckler hypothèquent deux maisons contiguës, proches de celle dite zum Seidenfaden, au profit d’Elisabeth, femme de Martin Treuttel de Francfort

1590 (xxvij Septembris), Chancellerie, vol. 268 (Registranda Kügler) f° 320-v
Erschienen hanns Luck Seÿffensieder burger Zu Straßburg vnd Fr. Elizabeth Burcklerin sein eheliche gemahll
haben Inn gegensein des Frommen herrn Joost Moorren offnen Notarÿ burgers Zu Franckfurth alls Constituirter Anwaldt Frawen Elizabeth wÿland Martin Treÿttels burgers Zu Franckfurth selig. witwe – schuldig seyen 1450 guldin (…)
dafür u.pfand sein soll Zweÿ heüser neb.einand. mitsampt dem Seÿffenhus hind. daran auch deren hoffstatt hofflin all and. gebeu Zugehrd. vnd gerechtigkeyt geleg. In der S. S. and dem gestaden beÿ dem Syden faden einseyt neben Veltin Eler* seligen erben andersyt neb. d. Schuldgloubigern selbs stossen hind. vff hans Lipssen, Davon gnd Zuvor ix guld glts losig m. ij gold wolff grienwald, Mehr Funffzigk guld. glt losig m 300 guld. zu 15 batz Carle haßen, It. Zween guldin glt m. 40 guld abzulosen h Heinrich Bangert, Mehr Zwen* guld glt losig m 40 guldin herrn Diebold Jung selig. erb. Mehr 5 guld. glt losig m. 100 guld. wÿland Anthonig hirtzhorn des schreiners selig erb. Sunst ledig eig.

Jean Luck et Elisabeth Bürckler hypothèquent la maison et sa savonnerie au profit de Charles Haas, fils du boucher Jérôme Haas

1591 (6. Februarÿ), Chancellerie, vol. 276-I (Registranda Kügler) f° 60
Erschienen Hanns Luck Seyffensieder v. Elizabeth Burcklerin sein eheliche hußfr. gab. such vnver. v.schrib.
gegen Carle haßen dem Seyffensieder wÿland Jheronimi haßen des Metzig. selig. Suns war gegenwärtig H Martin haaß sein vogt vnd hanns Jacob Scholl all schwig. Zu Zins. iiij lb vij ß vj s gelts losig mit lxxxvij lb s ß
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt hofflin und Seyffenhuß m. all. Ir gebeu. geleg. In bemelter unser Statt am Staden vnderhalb am Sÿdenfaden einsyt hanns lipsen Schiffmanns selig. erb. and seyt d Verkheuffer selbst stossent hind. auch vff Im lipsen selig. erben dauon gnd Neun gold glt ablosig mit ij C g etwan Carle heußen Jetz Wolff grienwald, So dan xx g glt losig m iij X g SW ert. kheuffer, sunst ledig eÿg. v sind auch (…)

Le savonnier Jean Luck s’associe avec Sebastian Jung qui apporte un capital de mille florins

1591 (xxij Aprilis), Chancellerie, vol. 276-I (Registranda Kügler) f° 167
(Inchoat. fo. 220.) Erschienen der Ernhafft herr hanns Luckh Seÿffensieder Burg. Zu Straßburg Ane eim
So dan herr Bastian Jung Auch Burg. alhie andernseÿts
Haben beÿde Partheÿenn gegeneinand bekhannt, vnd offentlichen verÿehen das sie sich nachgemelter gewerbß gemeÿnschafft, freündtlich vnnd einhelliglich mit einander verglichen Inn dise weÿß (…)
Zu welcher gemeÿnschafft herr hanns Luckh geben will, das Seÿffenhauß, Kessell, woog, gewicht, Schiff vnd geschirr, deßgleÿchen auch die Gäden vnnd Behaußung darinn Er wohnet, Zugebrauchen, souil diser handel erfordert
dagegen herr Bastian Jung, Zu solchem handel Ein tausendt guldin ÿnschiesen, vnd Par erlegen und Nirgendts Zu, dann Inn diß. handel verwendet werd.

Jean Luck assure à Sébastien Luck un droit de préemption sur sa maison, la savonnerie et les objets servant au commerce du savon pour 3000 florins. Elisabeth Bürckler aura la jouissance viagère de la maison provenant de Jean Meussel.

1591 (xxj Octobris), Chancellerie, vol. 276-I (Registranda Kügler) f° 318-v
(Inchoat. fo. 433.) Erschienen ist vnser burger hanns Luck Seÿffensieder
Hatt Inn gegensein des Ehrenhafften Herrn Bastian Jungen frey guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen
Nach dem er h hanns luck bemelten Bastian Jungen vor der Zeyt Zu einem gemeyner Inn seinem handell vff vnnd angenommen weÿl dann neben andern puncten gedachter h hans luck einen Voorkhauff vff den heüßern hofestetten hofflin vnd. Seÿffenhuß mit allen Iren gebeuw. auch Schiff vnd geschirr waagen gewicht & war Zum Seÿfenhandel gehörig gelegen Inn der Statt Straßburg am gestaden nydwendig dem Sÿdenfaden einseÿt neben hans Lipsen selig erben, anderseyt neben hanns lucken selbs bewilligt mit dißer obred das Ein gewisse Summ Inn khunfftigem solte bestimpt vnd ernant werden (Alles v.mog besond. v.schreybung vff den xxi Aprilis des lauffenden 91. Jars darub. vffgericht) So were sein will vnd meynung wann er Inn Khunffigem vber Kurtz oder lang vsser disem Zergenglichen leben verscheyden vnd abgen sollte das seine erben hierin schuldig v. verbunden sein sollen vorgeschribne heüßer hofestetten hofflin v. Seÿffenhuß Sampt allen Schiff und geschirr waagen vnd gewicht ouch alles anders nichts vßgenommen war zum Seÿffenhandell gehörig gedachtem herrn Bastian Jungen für 3000 guldin Zu 15 batzen Zuübergeben (…) solche heuser verhafftet vnd vnderpfand Nemblich xj lb xvij ß vj d ablosig mit 237 pfund 10 schilling Carle heßen Jheronimi heßen Sun, Mehr 5 guldin gelt losig mit 100 guld. Straßburger Heinrich Zornen, Wyther vier guldin gelts losig mit 100 guldin Straßburger herrn Ulrich Spachen seligen erben, Item 5 guldin gelts ablosig mit 100 guld. SW Johann Buren Notario, Item Zwen guldin gelts mit 40 guldin Straßburger abzulosen H. Diebold Jungen Fünffzhenern selig erben, Wyther Zwen guldin glt ablosig mit 40 guldin Straßburger herr Heinrich Baumgarten, So dann 9 guldin gelts ablosig mit 200 guldin In gold Wolff Grienwalden So dann wyther verhafftet für 1200 guldin Zu 15 batzen Fr Elizabeth wÿland h Martin Treutels* burgers Zu franckfurth selig witwe zubezalen, Sunst ledig eÿgen
(…) weÿl. auch Jetzbemelter hans luck. Elizabethen Burcklerin seiner hußfrouwen Zu Zeyt seiner vermahlung derselben die Behausung vnder vorgeschriben heüsern die etwan hans Meüßele des Schiffmanns geweßen Zu einem wÿdem Ir lebenlang Zunüß. vermach. Wouern dann sie Ine Iren lieben hußwürth vberleben würde alls dann herr Bastian Jung gedachte Elizabethen die wonung Ir leben lang Inn obgedachte hans Müßle geweßenen Behausung gönnen vnd Zulassen soll one eynichen Zinß
(vide supra fo: 167)

Sébastien Jung qui a avancé 1200 florins à Jean Luck, assisté de son beau-père Conrad Dasypodius, demande aux Quinze le 5 février à être mis en possession de la maison. Les Quinze laissent le 28 février l’affaire entre Jean Luck et son beau-fils Sébastien Jung en suspens après qu’elle a été portée devant la Chancellerie.
1592, Protocole des Quinze (2 R 21)
(f° 22) Sambstag den v Februarÿ – Sebastian Jung Seyffensieder, Hanns Luck
Sebastian Jung mitt beÿstandt Magistri Conradi Dasipodÿ seines schwehers übergibt ein Splôn p. Leonhardt Seitzen, so verlesen. Dar Inn erzelt er weittleuffig wie er hinder Hans Lucken den Seÿffensieder gerhaten, das vff vorgehnde vertröstung der gemeinschafft er Inn die 1500 gld. bars geltts Inn seinem handel angelegt, auch für seinen Factor Zu Franckfortt geg. einem Juden sich vmb 1200 gld. verbürgt. Bitt der weg. Ime Zugestatten das gemelter Hanns Luck seiner vertröstung nach, Ime sein behausung nitt allein die Zeitt seines lebens gemeinschaffts weiß, sonder auch nach seinem tödtlichen abgang eigenthümlichen Inzuhaben vnd Zum Seÿffenhandel Zugebrauchen, übergeben vnd einraumen möge. Weittern Inhaltts. Sagt dabeÿ weitters das Hanns Luck In sein Seitzen hauß gewesen, diße splôn von wortt Zu wortt angehört vnd sich erclärt, das er wohl Zufriden das sÿ vor mein hn also fürpracht werde. Auch gebetten von seinet weg. eine anzustellen, die er selbs fürpring. wöllen Was Ihn vber neben sein hohen alter verhindert das er nich erschinnen, mög er Seitz nicht wißen. Dieweil aber diße eclärung die warheitt, so übergeb et auch dieselbig splôn, stells Zu meiner hn gelegenheitt, Jetzo od Zu andere Zeitt abzuhören. Ist velesen. Darin sucht er an, Ime Zugestatten vnd Zu Zulaßen, das wie er Sebastian Jung. vffrecht vnd wohlbedächtlich Zugesagt, deßelbig auch würcklich volln Ziehen vnd leisten möge & Erholt daruff Jung p. Seitzen den Inhaltt d. splôn, ist erpüttig wo es vonnöthen geacht würdt, Lucken selbs Zustellen bitt sambt seinem schweher vnd stieffvatter vmb gn. bescheidt.
Erkandt weg. d. beschwerden Inn d. Splô, gemeldet, So soll man willfahren Bede Mr Lucken selbst auch hören vnnd es sein meinung, soll est Inn das prothocoll kommen.

(f° 35) Montag den XXVIII Februarÿ – Sebastian Jung, Hanns Luck
Sebastian Jung p. Leonhard Seÿtzen, vnd vff Jüngst sein beschehen vnderthenig erpietten, auch meiner hn daruff gegebenen bescheidt, stellt er seinen gemeiner Hanns Lucken, mög leiden das demselben die erclärung so Inn seinem namen übergeben, sambt der angehenckten petition vorgelesen, od. Zu meiner hn gelegenheitt d. Inhaltt fürgehaltten werden, damitt sich Sebastian Jung sein Stieffsohn Im Seÿfenhandel ferner seiner gelegenheit nach wisse Zuhaltten. Ist ex prothocollo gelaßen, was von Lucken weg. fürpracht worden supra 5. Februarÿ. Seÿtz sagt das er die Splôn seither auß d. Cantzleÿ erhebt vnd Lucken fürgehaltten, Seindt die beide damalen einkommene splôns abgelesen, Seÿtz begert das Luck gehört werde, ob Ime nicht diße Zwoe Splôes sambt deren Inhaltt Zum Zweitten mal fürgelesen vnd er Ime die Vnderschiedlich gefallen laßen, vnd beÿ denselben deren Inhaltts nochmalen (.wie einem Ehrenmann gebürt.) bestendig pleiben wölle. Sonst stell mans Zu meiner Hn gefallen, ob er Inn Ihrer gegenwerttigkeitt od. Ihren abwesen Zugehören seÿ. Hanns Luck ist p. xv. Meistern gehört, vnd p. xv. schreibern wied. er Innert. Sagt er habs wohl gehört, vnnd seÿ dessen wohl Zufrieden. Sebastian Jung vnd Seÿtz bedencken sich nochmalen des Ime hieuor gegebenen Willfährig. bescheids, wöll sich haltten Wie einem ehrlichen burger Zu stehet, vnnd alles leisten was er Zuthun schuldig.
Erkandt dieweil Hanns Luck alles approbiert was Inn seinem abwesen seines halben fürgebracht, vnnd hieuor ein erkandtnuß darüber gang. so laßt mans dabeÿ pleiben. B. quasi Mr.

Jean Luck hypothèque les trois maisons au profit de son associé Sébastien Jung

1592 (6. tag Martÿ), Chancellerie, vol. 280-II (Registranda Meyger) f° 64-v
(Inchoat in proth. fol. 96.) Erschienen Herr Hannß Luck der Seÿffensieder Burger Zu Straßburg, Hatt mit beÿstandt Herren Michael Herrmann Alt Raths bewantten vnnd Wilhelm Bünckellman, weÿßbecken, Burgern Zu Straßburg bekhandt
Vnd Inn gegenwertigkeit Herrn Sebastian Jungen, Burgers Zu Straßburg, Als seines gemeiners des Seüffen gewerbs, Mit beÿstandt des fürnemmen Herrn Heinrich Küglers Auch Alt Raths bewanten der Statt Straßburg So dann Martin Breünen Apotheckers burgers daselbst, offentlich verÿehen – schuldig seÿe vnd gelten soll vff die 1500 guldin vneguorlich
Zum vnderpfandt Ingesetzt vnd verlegt, hienach geschribne Heüser vnnd gütter, Namlich Zum Ersten dreÿ Heüßer, sampt derselben Hoffestetten vnd Hoffe darzwüschen gelegen Inn d. Statt Straßburg, deren Zweÿ Aneinand. Ane dem gestaden, Nidewendig der Neuwen Brucken, Einseit neben Hanß Lÿpßen des Schiffmanns Erben, Anderseit neben Mathÿs Bethbier dem Biersieder, das dritte Inn der Nuwen gassen, gegen dem seidenfaden vber, Einseit neben Vorgemeltem Mathÿs Bethbier dem Biersieder, Anderseit neben Jeremias Ißen dem Goldtschmidt, stoßendt Alle deÿ Hinden vff deß Bekhenners vorgemelten hoffe,
Item Hoff, Hauß, Hoffestatt, scheür, ställ vnd gärtt. gelegen Zu Bergkbiethenheim beÿm vndern thor (…)

Jean Luck hypothèque la maison au profit de Jean Pithan, marchand de Francfort

1592 (6.t X.br), Chancellerie, vol. 282 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 88
Versicherung Jehan Pithan burg. vnd Handelßmans Zu Franckf.
Erschienen hans Luck der seiffensied. burg. alhie,
Vnd In gegensein h Jo. Pet: Bittelb. deß groß. Rhats Procuratoris Als beuelchhabern Jehan Pithan burg. vnd handelßmans Zu Franckf. – 300 guld. Zu 15 bz. (…) Zubezahlen schuldig
In best. form v.schrib. hab. sein eigenthümliche behausung geleg. alhie In d. Statt Straßburg Jenseit der Preusch. am Stad. Nidwendig dem Seidenfad. einseit neb. Seb: Jung. Anderseit neb. Mathis Bettbir dem biersied. hinden vff ein andere behausung Ihme dem schuldner auch Zustendig, dauon gohnd Zuuor Jährlich vff weÿhenachten 4 fl. St. w. dem Closter Zu S. Margreth alhie mit. 100 gld. St. w. hauptguts wie d. schuldner v.meint abzulösen sonst ledig vnd eig.

Elisabeth, veuve du savonnier Jean Luck, se remarie avec le diacre Gaspard Kretschmar : contrat de mariage, célébration
1597 (9. tag Julÿ), Chancellerie, vol. 309 (Registranda Meyger) scheda Ad fol. 204
(Inchoat. in Proth. fol: 146. [Eheberedung].) Erschienen der Ehrwürdig vnd Wolgelert Herr Caspar Kretschmar Alt diaconus der Pfarrkirchen Im Münster, Ane Eim
So dann Frauw Elizabeth, Wÿland Hanß Lucken des Seifensieders selig. witwe, Mit beÿstandt gutten wiß. willen vnd gehell, des Ehrengeachten Herrn Georg Leütterspergers Ires geschwornen Curatoris vnd vogt Am Andern theil
Haben beÿde Parth. gegen einand. bekhant vnd offentlich verÿehen, das verschinen Donnerstags den 30. tag Junÿ, als sie bede (…) einander ehelichen vermahlet (…)
Für das Ander den Wÿdem belangend, So hat Ehrengenanter herr Caspar Kretschmar, gedachter Elizabethen seiner Vermehlten ehel. haußfrawen Zu einem wÿdem vermacht vnd Zugesagt, Erstlich d. Hinderheüßlin, mit allen begriffen so sie bitzher Lehens weiß Inngehapt, In der Behausung alhie in der Statt Straßburg, Inn Kalpßgaß & gelegen

Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 18)
1597. Dominica 6 Trinitatis 3. Julii. Caspar Gretschmer elter helfer Im Münster, Elisabetha Hans Lucken des seÿfensieders nachgelaßene witwe. Eingesegnet 11 Julÿ (i 12)

La propriété des maisons revient à Sébastien Jung qui épouse en 1585 Cunégonde, fille de Conrad Dasypodius

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 20 n° 52)
1585. Dom. post festum Circumcisionis. Sebastian Jung vnd Königund H. Conradi Dasypodÿ dochter, eingesegnet i. Februarÿ (i 22)

Le savonnier Sébastien Jung vend à Georges Glaser une maison rue Neuve dont l’arrière donne sur la propriété du vendeur

1594 (25.t octob.), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 315-v
Erschÿnen Herr Bastian Jung Seÿffensieder vnd burger Zu Straßburg
Hatt Inn gegensein Herren Georg Glaser burger allhie vnd Rachell sein eheliche Hußfrau (…) verkaufft
Huß Hoffstatt vnd Hoff, mit Ihren gebeuwen & gelegen Inn bemelter vnserer St. St. Am gestaden, nidwendig der neüwen brucken Inn der Neüwen gassen beÿm Seÿdenfaden, ein seÿt neben Jheremias Iselin Goltschmdt, And.seyt neben Matthÿs Battbeÿr Biersied. stosend hind. vff die verkhouffer selbst [sic] dauon gehend Järlichen fünffthalben guldin Straßburg werung Alle Jar vff Mariæ verkhündung, Ablosig mit ein hund. guldin Straßburg werung, dem größern Spittall Allhier, Mehr xv lb d Järlichen (-) lößig mit 300 lb d Johann von d Bruckhen, Mehr x lb d gelts Alle Jar vff den ersten tag Maÿ Ablösig mit 200 lb d, Sunst ledig eÿgen Jacob Sterlen* Wittwe (…) Vnd Ist der Khouff vber die beschwer. gleich und gleich vff gehoben würd.

Sébastien Jung porte devant les Quinze une affaire de dettes contractées par feu Jean Luck pour du suif
1596, Protocole des Quinze (2 R 25)
(f° 111) Sambstag den XVI Octobris. – Sebastian Jung. Unschlitt Schulden
Sebastian Jung p. Bittelbron schreibern, vnd von wegen Hanns Lucken schuldt vmb vnschlit die an Ihren begert würdt, übergibt er ein splôn sambt Copeÿ der gemeinschafft vercschreibung Zwischen Ime vnd Hanns Lucken selig. vffgericht. Seind verlesen. Inhalts, das Inn d. gemeinschafft verschreibung so Inn A° & 91. Zwischen Lucken vnd Ime vffgericht vnd beÿ Jacob Küglern verschrieben worden, außtrucklich versehen, das er sich aller schulden vnd beschwerdenb, so Hanns Luck damaln Zuthun gewesen gantz vnd gar nichts Zubeladen vnd anzunehmen, dieweil dan die schuldt so er Hanns Luck dem vnschlitt verordneten Hanns Luschen für vnschlitt schuldig worden nemlich 183. lib 15 ß Zweÿ Jar Zuuor gemacht ehe dann er Jung Zu Ime Inn die gemeinschafft kommen, So will er nicht verhoffen, das er vmb dieselbig schuldt werde können angelegt vnd ersucht werden.
Erkandt man soll sich erkundig. ob Hans Lucken erben noch ettwas an den heußern oder dem handel haben, ob sich ettwas Zuerholen, ist der vnschlitt Hn beuohlen, geg. Sebastian Jung Zu bedacht Ziehen. – H. Scheürer H Moltzheim. q. Mr.

1597 XV (2 R 26) Sebastian Jung. Unschlitt Schuldt. 11.

Conrad Dasypodius, chanoine à Saint-Thomas, son gendre Sébastien Jung et Cunégonde, hypothèquent les trois maisons Jung au profit de l’ancien consul Sébastien Mueg. Deux des maisons donnent sur le quai, la troisième rue Neuve (auf dem Tauben Graben)

1598 (vts [xxij Maÿ]), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 141-v
(Inchoat. fo: 211.) Erschienen Herr Conradus Dasipodius Decan der Stifft Zu Sant Thoman, So dann Sebastian Jung vnd Frauw Künigund sein eheliche gemahell sein lieber dochterman vnd dochter
Haben Inn gegensein Herrn Martin Breün burgers Zu Straßburg frey guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen, demnach der Edell veste herr Sebastian Mug Altameyster der Statt Straßburg gedachtem Sebastian Jungen 500 pfund pfenning Inn baren gelt gelühen vnd fürgesetzt (…)
V Zu mehrer sicherheyt So hab. gedachte Ehegemechd Sebastian Jung vnd Fr. Kunigund ssein eheliche haußfr (…) Zum vnderpfand ernant vnd ÿngesetzt dreu heußen Zwo nebenvorder v eine hinden daran mit Iren hofestetten hofflin Zweÿen Seÿffen Keßeln So yngemeurt auch all andern Iren gebeuwen, die Zwo vordere gelegen Inn der SS ane dem gestaden Nidwendig der Neüwen brucken einseÿt hanns Ludwig Schnellen dem Würt Zum Schiff die anderseÿt neben Mathys Bettbur dem Bürsieder stoßend hinden vff hans Ludwig Schnellen, die hinder Behußung vff dem Thauen graben einseyt neben bemeltem Mathÿs Bettbur die anderseÿt H Wilhelm Binckelman dem Eltern, Davon gend 29 guldin Ein*rth zu 15 batzen ablosig mit 575 guldin derselb. werung Steffan Scherer Kuchenmeyster vff der herren Ammeyster Stuben, Mehr 9 guldin gelts ablosig mit 200 guld. SW herrn Wolffgang Grienwalden, Item Zweÿ Pfund Zehn schilling pfenning gls loßig mit 50 pfund pfenning herrn Heinrich Zornen, Item 2 pfund glts widerkhouffig mit 50 pfund pfenning herr hanns Jorg Kipßen, Wyther j lb glt losig xv lb d grossen gemeyn Almusen Item j lb d gelts losig mit xxv lb d herrn Heinrich Boumgarten, Item iiij lb d glts losig m j X lb d dem großen Spittal Inn Zweÿen posten, Item ij lb d glts ablosig m L lb d Sannt Margred Closter Zu Straßburg Vnd sind auch noch verhafftet für 600 guldin Zu 15 batzen, So dann 400 guldin Zu 15 batzen Johann von der Brucken mit geburende Interesse Zubezahlen, It. v lb d glt losig m j C lb d Jörig haßen, So dann ij lb x ß glts losig m L lb d herr Martin Breünen selbst Sunst ledig eÿg.
So hatt herr Conradus Dasipodius (ÿngestzt)

Sébastien Jung hypothèque la maison au profit du fils du farinier Balthasar Weld

1600 (6. tag Augusti), Chancellerie, vol. 328 (Registranda Kügler) f° 230-v
(Inchoat. fo: 263.) Erschienen Sebastian Jung Seÿffensied.
Hat Inn gegensein Herrn Samuel Erlers beÿsitzers der Herren des großen Raths als geschwornen vogts Niclaußen Wÿlandt Balthasar Welden Melmans seligen Sohns bekandt vnd offentlich v.ÿehen schuldig sein 160 guldin von Hanns Lucken sÿfensiedern herrührendt vnnd Sebastian Jungen rechtlich Zubezalen vor unsern h. deren dreÿ Zehen als Cammerrichtern Zuerkant (…)
dafür Vnd.pfand sein soll hauß vnd hoffstatt mit allen and. Iren gebewen gelegen In der St. Straßburg ane dem gestaden, obwendig dem guldin Thurn beÿ dem Sÿdinfaden, einseit neben (-) dem lÿninweber, anderseit dem Schudbekenner selbs, stoßend hinden auch vf den Schuldbekenner, Dauon gnd Zweÿ pfund pfenning gelts ablösig mit 50 pfund pfenning Wÿland Erhart dentners seligen erben, Vnd sindt auch neben noch Zweÿen Heüßern sampt etlichen Zinßen vnd Zweÿen Saÿfenkeßeln v.haft für v lib Hn Sebastian Müegen Altstettmeÿstern Zu bezalen sunst ledig eÿgen

Le commerce du savon rapportant peu par les temps de cherté, le savonnier Sébastien Jung demande l’autorisation d’exercer le métier de brasseur qu’il a appris.

1602, Protocole des Quinze (2 R 31)
(f° 204) Sambstag den XVIII. Decembris – Sebastian Jung. Biersieden
Sebastian Jung seÿffensieder übergibt selbs ein splôn, so verleste, darinn bitt er dieweil er mitt dem Seÿffenhandel beÿ Jetzigen schweren vnd theüren Zeitten nichts gewinnen könne, auch also ein armer gesell den handel auß mangel der nahrung Zuverleg. nicht vermöge, aber das Biersieden erfahren vnd gelernet, Zu dem auch ein Keßel vnd Zugehörde, vnd darzu eine nach notturfft gebawene behaußung Innhabe, Ime Zugestatten, das er bier sieden vnd auß Zepffen möge, auch wo meine Hn deßhalb bedencklens haben sollten, den augenschein einzunehmen. Erkandt, geg. Ime Zubedacht Ziehen, den augenschein einnehmen. Mr
(Augenschein) d. xv. fragt, wann mein herren gebieben will, die augenschein deren ettliche zuthun, für zunehmen, ob es bitz Zinstag mein Hn gefällig seÿn wollte, sonst werd es diß Jahr schwerlich geschehen, Soll Montag widerumb beÿ mein H. anmahnen.

Sébastien Jung et Cunégonde, fille de feu le chanoine Conrad Dasypodius, vendent au libraire Nicolas Wiriot une maison rue Neuve adjacente à la leur. Les parties s’accordent au sujet d’un mur qui séparera leurs propriétés.

1602 (xxj Xbris), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 496-v
Erschienen Herr Bastian Jung Saÿffensieder vnns Frauw Künigung sein ehegemechd Wÿland herrn Conrad Dasÿpodÿ dechant Zu S Thoman seligen dochter
Haben Inn gegensein Hn Nicolai Wÿriots Buchhändlers vnd Anna Maria Stettnerin sein haußfrauw mit beÿstand hn Marx Stettners Wapen steinschnÿds. Ires Schwehers vnd Vaters bekhandt vnnd offentlich verÿehen, das Sie ane statt vnnd für bezalung 500 pfund pfenning freÿ wolbedachts muths dafür nachgeschribene Behausung unverscheidenlich für sich bemelten Ehegemechden Niclaus Wÿriot vnd Annen Marien Iren erben vnd nachkomen vbergeben und Zugestelt
hauß, hoffstatt hofflin vnd nebens heußlin, mit einem halben dach, Iren hoffstätten, Ouch allen and.n gebeüwen gelegen Inn d Statt Straßburg am gestad. nid.wendig der neüwenbrucken vff den dauben graben einseit (-) dem Weber, and.seit Georg Riet schiffman stoßend hinden vff die Verkhouffere, davon gnd Fünffthalben guldin gelts St. W. vff Maria geburth fallend ablößig mit 100 guldin bemelter Werung dem mehrern Spittal alhie Vnd sindt auch Jetzverkhoufften sampt der Verkhouffern vier Heüßer hinden daran gelegen noch sammenthafft verhafftet für 300 pfund pfenning Hn Johann von der Bruck Gewerbßman, daran vff nechstkünfftigen Weÿhenacht tag j C lb, Item vff Johannis Baptistæ Anno 603. L lb d Item vff Wyhenachten bemelten Jars wid. L lb (…) Welche hievorgeschriben Zins hauptguth vnd beschwerden die Empfahere allein vber sich nemen, Mehr sollen auch die empfahere von d. überigen Wegen Zubezalen vber sich nemen 150 pfund Welche die H Absolon Simon Notario als geschwornem Vogt Gÿch* wÿland H Henningen Denderpÿ seligen dochter ane einer mehren Sum Nemblich v C lib d. (…)
Vnd Zu noch mehrer sicherheit, damit durch die übergebere diese übergebene Behausung desto sicherer Währschafft getragen werde dernhalben Ist erschinen herr Johann von der Bruck Gewerbßman hat sich für sich doch and. nicht, als wan sich eÿltere vff obgeschribener Behaußung als die geweßen befund. würden für solches was eylter sein würt mit sampt den übergeben unverscheÿdenlich Zu einem rechten Bürgen, und mit Währschafft träg. ernänt
+ Vnd Ist Inn dießer Übergab sonderlichen abgeredt weÿl Jetzverkhouffter vnd der verkhöuffere gemeiner Hoff dießer Zeit allein mit einer dielen wand vnd.scheÿden, das beÿde Partheÿen mit ehisten gelegenheit Zun gemeiner costen ein gantz steinen Mur vff führen laßen Ouch Inn gemeinen costen als ein gemeine Mur Im bauw erhalten solle, Es sol aber auch wid. die ein noch and. Partheÿ vnd alle d.selben nachkommende nicht macht haben, etwas vff solche Mur Zubauwen, Od. daran vff zu fhüren, Sond. Jed. Zeit ein freÿe ledige Mur sein vnd pleÿben damit keinem theÿl der tag genomen Werde, Weil auch Jetzverkhoufte vnd des Verkhouffers einer Behaußung Zwen Gäng, Welche beÿde Gäng an der Verkhöufere nocherd. Behaußung gebuwet vnd derselben damit vÿl tags nemme, Ist Zwischen beÿden theÿlen abgehandelt, das ein Jedes seinen Gang hinweg breche, Ouch Wid. Sie noch Ihre nachkommende keine and.e mehr dahin machen laßen. Alles vngevorlich

Sébastien Jung s’accorde avec Etienne Scheer, pour lequel agit Henri Baumgartner, au sujet de la savonnerie qu’il a prise à bail.
1603 (Vierten tag Maÿ), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 163
(Inchoat. in proth. fol: 123.) Erschienen Bastian Jung der Seÿffensieder, Burger Zu St.
Hatt bekhandt vnd Inn gegenwertigkheit H. Heinrich Baumgarters Burgers Zu Straßburg, so Zugeg. Inn Nammen Hn Steffan Scheerens, Offentlich verÿehen
demnach bemelter Bastian Jung Vonn Ime Steffan Scheeren, Lÿhenungs Weiß Inne hatt, das Seÿffenhauß, alhie Inn der Statt Straßburg, Nidewendig der Neuwen bruck. Am Gestaden & gelegen, das Er hieauff mit Handtgegebner treuwen zugesagt vnd Versprochen, angeregte Behausung hiezwüschen Johis Baptæ nechst Khünfftig Zuraumen, Vnd allerdings vß Zu Ziehen, Wie auch die Verfallen Hauß Zinß, Was sich ane gutter Rechnung befünden Würt, Vmb dieselbig Zeit anzurichten

Sébastien Jung demande l’autorisation de s’établir à Freudenstadt dans la Forêt-Noire en conservant pendant un an le droit de bourgeoisie.
1603, Conseillers et XXI (1 R 82
(f° 221) XXIX Junÿ. – Sebastian Jung vmb Erlaubnus nacher Freudenstatt Zu ziehen.
Sebastian Jung wolt gehn Freudenstatt im Schwartzwald Ziehen u sehen ob er sein glück d* Kont Bitt Ime Zuerlaub. j Jar d. Burgrecht vorzuhalten, will Stallgelt v Schatzung abrichten lassen wie auch andere burg.liche beschwerd. weg.
Erkant Man soll Ine erlauben doch. d. er deßweg. ein burg. stell den man besprecht. Kan
[in margine :] NB. Lux Krafftberg Kantengieser hatt versprochen für Stallgelt Schatzung u andere burg.liche beschwerd für Ime Jung gutt Zusein, Actum den 13. Julÿ A° 1603.
Lorentz Buttkammers creditores vmb fürschrifft. 150. Josua Buttkammer contra Sebastian Jungen vnd übrige creditores seines vettern. 139.

La maison provenant de Jean Luck revient en 1603 à Mathieu Schalck (voir plus loin l’inventaire dressé en 1629).

Originaire de Hattenheim dans le diocèse de Mayence, Mathieu Schalck épouse en 1595 Susanne, fille de l’aubergiste Albert Wanner.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 32 n° 3)
1595. Den 4. Febr. sind Ehelich eingesegnet word. Matthis Schalck von Hattenheim im Bistumb Mentz vnnd Jungfr. Susanna Wannerin, Albrecht Wanners deß Würtzs seligen Zur alten pfaltz nachgelaßene eheliche dochter (i 39)

Originaire de Hattenheim en Rheingau, le serviteur Mathieu Schalck devient sept mois après son mariage bourgeois par sa femme Susanne, fille de l’aubergiste au Palais Jean Albert Wanner.
1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 728
Mathes Schalckh vonn Hettenheim im Rinckhauw der haußknecht, hat vonn Susanna W. Hanß Albrecht Wanners deß würth Zur alten pfaltzen hinderlaßener dochter daß burgerrecht empf. vndt will Zun Freÿburgeren dienen. Actum vf supra [16. Sept: 95]

Cuisinier au poêle du consul, Mathieu Schalck, successeur de Sébastien Jung, s’accorde avec son voisin Nicolas Wiriot au sujet du mur qui sépare leurs propriétés. La séparation en lattes a été remplacée par un mur en pierre contre lequel Mathieu Schalck a appuyé un petit bâtiment à deux étages. Les parties font appel à des experts. Mathieu Schalck conserve le mur mitoyen et son bâtiment, Nicolas Wiriot pourra établir contre le mur un bâtiment sans qu’il puisse être plus haut que celui de son voisin.

1604 (xviij Februarÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 71
(Inchoat. fo: 68.) Erschienen Herr Mathÿs Schalck Kuchenmeyster vff der herren Ameysters Stub ane einem
So dann herr Niclaus Wÿriot Buchhändler am andern theÿl
haben beyde parteyen gegen einander bekhant v offentlich verÿehen, das sie nachburen Zweÿ heüßer vff einander stossen haben, Ouch Inn Verkhouffung sein Niclaus wyrioths behußung durch Bastian Jungen die Inne dieselbig Vbergeben sonderlichen bedingt vnd abgeredt das anestatt der dylen wandt, So beyde heußer vonn einander gescheÿden durch beÿde partheyen Ein Steinin Mur Vffüren lassen sollen Inn gemeÿnem Costen, weÿl dann nachends die Seÿffen huß So auch Bastian Jungen genossen ane herrn Mathÿs Schalcken khommen V ane statt der dÿlen wand durch beÿde parteÿen Ein Mur vffgefürt Nachmals H Matys Schalck seine seÿlen vff den halbenteÿl dißer Muren ein gang V ein cleins bewlin daruff gefuren* worden, So Zweyer gaden sich beÿ vnder [f° 71-v] der dach vnd wiewol* obangeregte gemeÿne Mur ane Wissend beyder partheÿen allein vff sein Herr Niclaus Wÿriot gerechtigkeÿt gesetzen* auch solche Mur Zubeyden Seyten freÿ hatt sein sollen V kein partheÿ doran noch daruff Zubawen macht gehapt Inn betrachtung aber das solche herrn Matys Schalck nit Zuwissen geweßen, damit dann Sie Inn guter nachburlicher freündschafft verpleÿben hetten beÿde partheÿen durch güttlich vnderhandlung der Ehrenvest Wyß fromm herr herr Jacob Schotterlins beÿsitzer der herren des grossen Raths V Friderich Reheln Sich freundlich mit einander verglichen Inn diße wÿß, Nemlich die obangeregter Steÿnen Mur fürbaß gemeÿn sein v. pleÿben, den buw So herr Mathys Schalck vff seiner seÿten daruff v. darÿn verfertigen vnd machen laßen also wie er dahin* gesetzt, Verplÿben, Vber Inn Khünfftigen werde er herr Mathys Schalck noch seine erben, vnd nachkommen solche buw hoher einzufüren auch habe
Dagegen aber wann herr Niclaus Wÿrioth Inn khünfftigen seine gelegenheÿt ane solche Mur buwen wolte, Soll sie disselbig Zuthun fug v. Macht haben. V hoher nit damit seine dann sein nechster nachbur herr Matys Schalck seine buw gefürt Sunst er mit dem vffgefurten Steÿnin mur Inn alle weg in beÿden parteÿen verhelte wie Inn und gemeyn geloben gebreuchlich Ouch Ime herr Niclaus Wÿrioth für die ansprach So er bitzher obgender Muren vmb bues helle ane herr Mathÿs Schalcken gehapt 45 gulden zu 15 batzen durch Matys Schalcken erleg. werden solle wie dann Niclaus Wÿrioth bekhante dieselbe empfangen haben. Vber die auch was Matys Schalcken vonn obgedacher gemeÿn Muren wegen vßgeben, wyther vßgeben dann Niclaus Wÿrioth Alls auch bitzhero das Wasser vonn Niclaus Wÿriot hofflin durch den newen Steynin gebell vßlauff durch herr Schalcken behausung es fürbaß verplyben doch mit einer syphon versehen werden das allein Waser dardurch hauß lauffen möge

Mathieu Schalck et Susanne Wanner font leur testament
1617 (5.11.), Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 62, A n° 365) f° 105-v
Codicill, Herren Matthäi Schalckhenn vnnd Susannen Wannerin beed. Eheleuth
1617, vff Mittwoch denn 5. Novembris Zwüschen Elff vnd Zwölff Uhren vormittag (…) Personlichen erschÿnen seind der Wol Achtbare vnd fürnehme herr Matheus Schalckh Jetziger Zeit Kuchenmeÿster vff deß herrn Ammeisters stubenn vnnd die Ehren: vnnd tugendreiche fraw Susanna wannerin beede ehegemechte vnd burgers Zu Straßburg, Er der mann Gesundeß gonndeß vnd stehendes, Sie die fraw Aber Kranckhen leibß vnnd Zu bette ligendt, Jedoch von der gnaden Gottes gitter Verstendiger sinnen, Vernunfft, gespräch vnd wissens (…)
Autre exemplaire, Not. Strintz (Daniel, 58 not 60) n° 222

Mathieu Schalck se remarie avec Anne Hans, veuve de Henri Haas, assesseur au Grand Sénat
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 127 n° 30)
1621. den 11 Decembris sind ehelich eingesegnet word. herrn Mattheus Schalck d. Kuchenmeister, auf des Hn Ammeisters stub, vnd fraw Anna Hanßin, weiland Hn Heinrich Hasen gewesenen Beÿsitzers des groß. Rhats alhie, seligen, nachgelaßene widtwe. (i 137)

Assesseur au Grand Sénat et aubergiste au Bœuf, Henri Haas épouse en 1611 Anne Hans, veuve du farinier Sixte Grünwald : contrat de mariage, célébration
1611 (15.8.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) n° (404)
Eheberedung – zwüschen dem wolachtbaren vnd fürnehmen herren heinrich haasen großen Raths bewanthen v. gasthalter In d. herberg Zum Ochsen Alhie Zu Straßburg, Ane einem
So dan d. ehren vnd tugtsamen fr. Anna Hansin, weÿlandt deß Ehrenhafften Sittich grünwaldts deß Meelmans vnd burg.s Alhier Zu Straßburg nachgelaßene wittwen Am Andn theÿl sich begeben
Beschehen v. verhandelt In des heilig. Reichs freÿen Statt Straßb. Montags d. 15. Augusti In dem Jar deß Hn alß man Zalte 1611 [unterzeichnet] heinrich haß der hochzeiter, Jacob Schilling Alß vogt, vf d. fr. Hochzeiterin Ich Johann Auenheim bekhann wie obsteth

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 91-v n° 34)
1611. den 2. Septembris seindt ehelich eingesegnet worden Herr Heinrich Haß, Gasthalter Zum Ochsen, vnndt Beÿsitzer des großen Rhatts allhier, vnndt Fraw Anna Hansin weÿland Sittich Grüenwaldts gewesenen Meelmanns vndt burgers seligen alhie nachgelaßene witwe (i 101 – Proclamation Saint-Pierre-le-Vieux f° 127 n° 93)

Sans doute marié à la Cathédrale dont les registres manquent, Sixte Grünwald de Pforzheim achète le droit de bourgeoisie le 19 février 1594.
1594, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 580
Sÿttich Grüenwaldt vonn Pfortzheim derr Weißbeckh, khaufft mit beÿstandt Lorentz Brechtenn deß Müllers daß burger recht vnndt will Zu denen Beckhenn dienen. Actum den 19.t Februarÿ 94.

Le farinier Sixte Grünwald et sa femme Anne, fille de Jean Veltin de Haguenau, se lèguent mutuellement l’usufruit de leurs biens.
1596 (28.t Octobris), Chancellerie, vol. 302 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 87
Codicill Sittich Grienwalts des Mehlmans vnd Anna Veltins Hansen gewesenen Burg. Zu Hagnaw selig. Tochter seiner haußfr.
(Ist Extendirt in Volumine Contractuum de hoc Anni folio 150.)
(…) das das letstlebende alle verlaßenschafft gepurlich Inventiren anschlag. vnd ein ordentlich Inventarium daruber auffrichten laßen, vnd alß dann alle solche des verstorbenen Verlaßenschafft sein lebenlang doch ohne abgang vnd schmelerung des hauptguts od. d. Erben Verfangenschaft Zunutzen vnd Zunießen haben vnd behalten

Mathieu Schalck hypothèque la savonnerie au profit du manant Jean Lebküchler, originaire de Wimpffen.

1622 (1. Junÿ), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 53-v
Schuldbekandtnus Johann Lebküechers von Wimpffen
Erschienen H Matheus Schalck Kuchenmeister vffs herren Ammeisters stuben
bekannte in gegensein H Johann Lebküechers von Wimpffen Schirmbs Verwanthen alhie – schuldig worden seÿe 1000 gulden zu 15. bz
in specie auch deßelben Seÿffhauß alhie am Staden Jenseit d. Breüschen vnd. halb der Newen brucken, j.seit neben dem Würths hauß Zum Schiff gnt. 2.seit neb. einer behausung darin anietzo Martin Metzger der Weinstich. Lehenungs weiß wohnet, hind. vff hannß Boschen s. erben, stoßend gelegen, dauon 2. lb 12 ß 6 d Jährlich vff Joh. Bapt: H Johann Bauren gefalen in hauptgut mit 52 lb 10 ß, Item 4 lb 14 ß 6 d Zinß vff Joh. Bapt: Hannß Adolff Grüenwald. 3.er in der Müntz in hauptgut mit 200 fl. St. wehr. Item 2. lb 2 ß Zinß in Spitahl alhie vff weÿhenachten in hauptg. mit 50 fl. wer. Item 1 lb 6 ß 3 d Zinß St Marx alhie vff Georgÿ Jarß gefallend in hauptgut mit 26. lb 5 ß d, Item 1 lb 6 ß 3 d Zinß Hannß Georg Kipsen see: Erben vff Johannis Baptistæ in Capital mit 26. lb 5 ß abzulößen sonst eÿgen

Mathieu Schalck fait un codicille par lequel il lègue à da femme Anne Veltin la maison à la Lanterne.
1628 (14.12.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 58, B)
(f° 149) Codicill vnnd letster Will deß Ehenuesten Fürnehmen vnnd weißen Herrn Matthie Schalckhen burgers vnd Großen Raths bewanthen Allhier Zu Straßburg
1628, Auff Sontag den 14. Decembris Zwüschen dreÿ vnd vier uhren nachmittag (…) erschÿnen Ist der Ehrenvest fürnehm vnd weiß herr Mathias Schalckh, Beÿsitzer Einres Ersamen wolweißen Großen Raths alhier Zu Straßburg Zwar leibß Zugestandener Kranckheit halbenn vff einem bett vffrecht sitzendt Jedoch von der gnaden Gottes gutter Verstendiger sinnen (…) vnd sein liebe haußfrauw Annam Veltin mitt einem Widem Zuuersehen (…)
hauß vnd hoffstatt mit Allen derselbigen begriffen Zugehördten vnnd gerechtigkeiten Zur lucernen genannt (…)
Minute Not. Strintz (Daniel, 58 not 60) n° 308

Mathieu Schalck meurt quelques jours plus tard. L’inventaire des biens est dressé début janvier 1629. Le défunt délaisse six enfants de sa première femme Susanne Wanner. Les différents actes passés par Jean Luck figurent parmi les titres de la maison quai des Bateliers en aval du pont Neuf près du Fil de Soie (zum Seidenfaden). La masse propre à la veuve est de 1 498 livres, celle des héritiers de 3 905 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 350 livres et le passif à 7 521 livres.

1629 (2. Januarÿ), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 23) n° (472)
Inventarium über Weÿlandt des Ehrenuesten, Fürsichtigen und weißen herren Matthiæ Schalcken Beÿsitzers eines Ersamen Wohlweisen grosen Raths alhie zu Straßburg seel. verlaßenschafft vffgericht 1629. – So vff erfordern vnd begehren frauwen Salome Schalckin herrn Johann Heinrich Kerlins burgers v. Gastgebers In d. herrberg Zum Gerttenfisch Alhie Zu Straßburg ehegemahlin Mit beÿstandt den selbigen, Mehr frauwen Susanna Schalckin mit beÿstand herrn Jeremiæ Silberads burgers Zu Straßburg Gastgebers In der herrberg Zum weinstockh Alhie In Straßburg Ihreß haußwürths, Ferner frawen Annen Marien Schalckin, herrn Johann Josten burgers Zu Straßburg ehegemahlin mit beÿstandt erstgemeltes Ihres haußwürths, So dann deß Ehrenuesten vnd hochgelehrten herrn Johann Georg Rosenbergs beeder Rechten doctoris Alß geschwornen Vogts Jungfrauen Elisabethen, Hestern vnd hanß Mathÿsen Schalcken Aller Sechs geschwüsterd. obehrengedachts herrn Mathias Schalcken seeligen In voriger ehe weÿland d. Ehren: v tugendsamen frauwen Susanne Wannerin seelig. ehelich erzeügt. döchter, sohns vnd Also seiner deß v.storbenen selig Vermög vor mir Nachgemelt. Notario vnd darzu erfordern gezeügen gethaner v darinn beschehenen Reservat Allein cum beneficio Inventarÿ hinderlaßener erben, durch die Ehren tugendsam Fraw Annen Veltin die Witib beÿständ. deß Ehrenvest v fürgeacht. herrn Johann Jacob Meÿers burgers v wol verordnet. dreÿers Ane Müntz Alhie Zu Straßburg – Actum v Angefang. In deß heÿl. Reichs freÿen Statt Straßburg Montags den Andern Januarÿ Inn dem Jahr deß hn. Alß man Zalt 1629.

Abzug In weÿlandt h Mathÿs Schackhenn seligen verlaßenschafft gehörig
Der Frawen wittib unverändert Gutt betreffend, Sa. haußraths 177, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 94, Sa. guldin kettlin Ring und geschmeids 107, Sa. baarschafft 22, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475, Sa. Ergäntzung (633, Abzuziehen 12) 620 Summa summarum 1498 lb
Der Erben Unverändert Gutt, Sa. haußraths 625, Sa. lehrer Vaß 43, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 90, Sa. guldiner ring 20, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 735, Sa. eÿgenthumb ane heüssern 3400, Sa. schulden 1433, Sa. Ergäntzung (2663, Abzuziehen 545) 2118, Summa summarum 8468 lb – Schulden 4563, Pleybt 3905
Theÿlbargutt, Sa. haußraths 81, Sa. silbergeschirrs 131, Sa. Baarschafft 212, Sa. Anschlags ligender gütter 162, Sa. schulden 763, Summa summarum 1350 lb – Schulden 7521 lb
Sa. d ungewissen vnd verlohren schulden 1756
Inn einer hernach. specifirt. In dise erbschafft gehörig. d In d. St. St. Ane der Lucern gaß gelegener behausung befund. word. wie volgt
Inn dem Vordern Stock, vff dem öberst. bod. nichts, Vff dem Anden bod. nichts, vff dem dritten bod. nichts, vff den vierdten bod., Vff den fünfft. bod. Vff dem Sechsten bod. Vff den Sübend. bod. In der Cammer B, vor dißer Cammer, In der Cammer C, vor dißer Cammer, In der Cammer D, In d. Mitlern groß. Stub Cammer, In d. Mitlern groß. Stuben, In der obern Kuchen, In dem Speÿß Cämmerlein, In dem obern haußöhrin, In der Kuchen
Auff dem andern stock, In der Cammer E, In der Cammer F, Vff dem gang, Inn dem vndern stublin, vndersten Stuben
Im dritten stock, In d. Stuben, Inn der andern nebens stuben, In der Cammer G, In der Cammer H
Im vierdten Stockh, vff dem großen gang, In der Cammer J, In der Cammer K, In der Kuchen, Im reiffen* gewölb
Inn dem Seÿffenhauß – Inn einer Scheüren Inn d. Crautenauw – Schiff und geschirr Zum Seÿffen handell gehörig
Eÿgenthumb Ane häußern. (E.) Item Zweÿ heüser sampt Ihrem hoff, nebens hauß d. Seÿffenhauß sampt kesseln, waagen gewicht schiffgeschirr, mit Allen Ihren gebeüwen begriffen weithen rechten Zugehörden v. gerechtigkeit. gelegen In d. St: St: Ane dem staden nidtwendig der Neuwen brucken nahe beÿ dem Seÿd. faden einseit neben der herberg Zum schiff, So Jacob Heinrich dem schiffmann Zustendig, Auff d. And. seitt. neben Martin Metzigers deß weinhändlers s: wittib v Erben, Item Zum theÿl hind. vff die herrberg Zum schiff vnd Zum theÿl vff herrn Johann schenckbechers seeligen behausung, daruon gondt fünff guld. St: werung vff Johannis Baptiste wid.lösig mit 100 fl. bemeltter werung herrn Johann Bauren groß Raths bewanth. Item 5 guld. St: w: vff sant gergen tag wid.lösig In hauptgut mit 52. lb 10 ß d Sant Marx Closter, Mehr 1 lb 1 ß d gelts vff den heilig. wÿhenacht tag wid.lösig mit 50 guld. St. w. herrn Heinrich Baumgartners Alt Ameysters selig. erben, Mehr j lb 6 ß 3 d gelts vff Johannis Baptiste wid.lösig mit 50 gul. St. wehr. Johann Georg Kipßen haußf. erben, Item 2 lb 2 ß gelts Jars vff d heÿlig. wÿhenacht tag fallend lösig In hauptgut mit 100 fl. St: w: dem Mehrern spittahl Alhie, So dan Neün guld. St: w: gelts vff Johannis Baptistæ fallend + herrn hans Adolff grüenwald. dreÿern Ane d. St: St: Müntz, sonsten ledig & eÿgen v. wrd dise beschwerd. Angeschlag. per 950. lb.d . Wie solche heüser v seÿffenhauß Ane herrn Schalcken seinen deß v.storben s. schweher s: kommen findet sich d. bericht daß beÿ h Jacobo Küglern dem Contractuum Notario ein haupt verschreibung ver*t word. In sein Protocollo d. 12. Januarÿ 1603. Zubefind. sein sollen Ferner ein Perg: Alte Zß verschreibung mit d. St. St. Contract Insigell versigelt deß. datum d. 8.t Aprilis Anno 1589. d. d. 9.ten Martÿ 1590. weiß wie hanß luckh seiffen sieder burger Zu St. sich geg. herrn Carle haaßen dem Metzig. vor 400 fl. 20. guld. Zinß Zugeb. verschriben, Mehr ein Alter Pergam. Zinßbrieff mit d. St. St. Contract Insigeln versigelt den datum d. 6. Februarÿ 1591. 87 lb 10 ß hauptgut besagend So dann ein parg. ganthbrieff, v. ettliche Papÿre bri*schafften Alleß mit N° 3 signirt v dabey gelaßen.
(E.) Item hauß hoffestatt vnd. Ane der lucernngaß (…)
(E.) Item hauß hoffstatt Scheür Ställ v gartt in d. Cruttenauw (…)
Summarischer Ohnuergreifflicher Extractus Inuentarÿ über weÿland Frawen Susannen Wannerin hern Matthei Schalcken hausfrawen Seligen verlaßenschafft den 25. tag. Martÿ Anno 1619. auffgerichtet
Einnehmen Geltt Wegen weÿland Matheÿ Schalcken seel: Erben vnd Creditoren – Hauß Zinß

Anne Veltin se remarie en 1630 avec Jacques Isenheim, assesseur au Grand Sénat : contrat de mariage, célébration
1630 (27.5.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56) n° 685
Eheberedung – Zwüschen dem Erenuesten fürnehmen vndt weißen herren Jacob Isenheim, eines Ehrsamen großen Raths Alhie Zue Straßburg Alten beÿsitzern, Als dem breütigamb Ane einem
So dann der ehren vndt tugendsammen frauwen Anna Veltin weÿlandt des Auch Erenuesten fürnehmmen vndt weißen herren Mathiæ Schalcken Auch Alten großen Raths bewanthen (Inn wohlbesagter Statt Straßburg nuhnmehr seeligen) hinderlaßenen wittib als der frauwenn hochzeiterin Am Andern theill
Zum dritten, So verspricht der herr breüttigamb Frawen Anna Veltin seiner Lieben hochzeiterin Zu einem wÿdems, Seine vordere oder hindere behaußung Inn der Statt Straßburg Ane dem Parfüeßer platz (…)
Beschehen vnd verhandelt Inn der heÿlig. Reichß freÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 27. Maÿ Inn dem Jahr des herrn Alß man Zahlte 1630
[unterzeichnet] Jacob Isenheim der hochzeiter bekenn wie vorstet

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 108)
1630. Dom. VII. Trinit. 11 Julÿ. Herr Jacob Isenheim alter groser Rhatsverwandter vnd Fr. Anna Hn Matthes Schalcken selig alten grosen Rhats verwanden nachgelasne wittwe. Cop. 23. Julÿ Zu J. St. Peter (i 56)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 6-v) 1630. Dominica VII post Trinit. Hr: Jacob Isenheim Alter großen Rathsv.wander, Frau Anna Weiland Matthis Schalcken gewesenen beisitzer deß grosen Raths nachgelaßene Wittib 27 Julÿ, Jung S. Peter (i 8)

La maison revient à la fille aînée de Mathieu Schalck, Salomé, qui épouse en 1616 Jean Henri Kehrlin, fils de l’aubergiste Simon Kehrlin de Willstätt.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 108 n° 5)
1616. den 5. Martÿ sind ehelich eingesegnet worden Hanns Heinrich Keerlin von willstedt weÿl. Herrn Simon Kerlins geweßenen Burgers vnd Gasthaltters seeligen Zum Rebstockh daselbst nachgelaßener Sohn vnd Jungfraw Salome Hn Matthes Schalcken Burgers vnd Kuchen meisters auff der Hn Ameister stub eheliche Tochter (i 118)

Jean Henri Kehrlin devient bourgeois par sa femme dix jours parès son mariage.
1617, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1011
Hanß heinrich Kärlin, Von Wülstett gebürttig Empfangt d. Burgrecht Von Salome herrn Mathis Schalckhen deß Küchenmeisters Auff des herren Ammeisters Stuben dochter vnd wüll Zu den freÿburgern dienen. Actum den 16. Martÿ Aô 1617.

Esther Schalck, femme du tailleur Nicolas Wagner, passe un accord avec les héritiers Kehrlen relatif au prix de la savonnerie

1647 (1. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 375-v
Erschienen Ester Schalckhin, hannß Niclauß Wagners deß Schneiders eheliche haußfrau mit beÿstand erstermeldts ihres Ehevogts, wie auch H Mathei Hellbeckhß genannt Behem und H Adam Burckhardts beÿs. alß vß E.E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
hatt in gegensein hannß Joachim Kammen deß Metzgers alß Ehevogt Susannæ Kährlerin hannß Jacob Haubenstrickhers deß Metzgers alß Ehevogts Salomeen Kährlerin und H Hannß Jacob Hasen alt. groß. Rhats Verwanth. alß Vogts Ester Kährlerin bekannt, daß Sie Esther Schalckhin, ahne denen ienig. 500. Pfund pfenning so Sie die Kährlische, wegen deß angenohmenen Saÿffenhaußes überwißener, acceptirter, und Sambst. den 18. Januarÿ a° 1645. von EE. groß. Rhat abgeurtheilter maß. Ihro Ester Schalckhin Zu thun wird. seind, die helffte benantlich. 250. Pfund
pfenning zu genügen empfangen habe (…)
dafür die obangegebene Saÿffen behaußung alhie ienseit am Stad. neb. dem Schiff geleg. vffs cräfftigts verhafftet bliben solle

L’aubergiste Jean Jacques Haubenstricker au nom de sa femme Salomé Kehrler, les enfants du marchand de draps Jean Philippe Lersé et d’Esther Kehrlin et Jean Joachim Kehrler (mari de Susanne Kehrler) vendent au gentilhomme Frédéric Magne de Berckheim deux maisons et la savonnerie (voisines de celle au Bateau)

1675 (14. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 475-v
herr hannß Jacob Haubenstrickher der Gastgeb Zum Ochßen und E.E. Kleinen Rhats alter beÿsitzer alß Ehevogt Salomeen Haubenstrickherin gebohrner Kährlerin, ferners Lorentz Hamm der Weißbeckh alß vogt hannß Philipp Lerse deß Weißleinwadhändlers mit weÿl. Ester Kährlerin deßen gewesenen und Verstorbenenn Eheweib nunmehr seel. ehelich erziehlter und nachgelaßener Kinder und dann hannß Joachim Kamm der Gerber und Lederbereiter für sich selbsten
in gegensein deß Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen Herren Friderich Magni Von Bergheim mit beÿstand deß auch Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen herrn Friderich Ludwigs Von Schmidburg – in maßen derselbe dann uff unserer Gnädigen Herrn Rhät und XXI. am – jüngsthien Obrigkeitlich ertheilten Consens
Zweÿ häußer sambt ihrem Hoff nebens hauß und Seÿffen hauß, mit allen deren Gebäwen begriffen weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier ahn dem Staden nidwendig der Newenbruckhen, nahe beÿ dem Seÿdenfaden einseit neben weÿl. Jacob Brions deß Schwartzferbers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben Johann Philipp Helckhen dem Jungen Schiffmann hinden uff die Brionische Erben stoßend gelegen, da welche häußer annoch umb 180. fl. Straßburger wehrung Carl Schmidts Kindern, Item 100. fl. gedachter werhung dem Mehrern Hospital, Item umb 100. fl. besagter Wehrung dem Waÿsen hauß, Item umb 97. fl. Susannæ Silberradin, Item umb 50. fl. wehrung hannß Peter Baÿner dem Weinhändler, Item umb 50. fl. Straßburger wehrung dem Großen Gemeinen allmosen Zu St Marx, sodann umb 50. fl. bedeuteter wehrung herrn Johann Georg Retzloben Notar. Verhafftet – umb 696. fl.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Frédéric Magne de Berckheim à acheter une maison. La demande du 17 mars a trait à une maison au Finckwiller, celle du 24 juillet à une maison près de la porte des Pêcheurs, celle du 26 juillet à la maison voisine de celle au Bateau
1675, Conseillers et XXI (1 R 158)
Jr. Friderich Magnus von Berckheim vmb erlaubnus ein hauß zu kauffen. 75. 82. 247. 252.
(p. 75) Mittwoch d. 17.ten Martÿ – Frid: Mag: v. Berckheim vmb p.mission ein hauß zu kauffen
Dr. Bitsch, noîe Jr Friderich Magnus von Berckheim weilen derselbe vorhabens von Hanß Friderich Roßner, dem Constabel eine behausung im Finckweiler gelegen vor sich Zuerkauffen, als bitt er vmb Oberkeitlich. Consens. Erkandt Jr Zorn er H Cumprecht deputirt daß hauß Zu besichtigen, und dessen beschaffenheit sich Zu erkundigen
(p. 82)

(p. 247) Sambstag d. 24. Julÿ 1675. – Jr. Friderich Magnus von Berckheim vmb erlaubnus eine behaußung allhier zu kauff.
B. noîe Jr Friderich Magni von Berckheim, weilen derselbige vorhabens von Hannß Jacob Haubenstricker et Cons. eine behausung an dem fischer thor Zu erkauffen, als bitt Er Jr Wolff Heinrich Zornen vnd H Gumprecht zu deputiren, eorumq. facta relatione Obrigkeitliche erlaubnus gedachts hauß Zu Erkauffen. Erk. den bericht ein Zu Ziehen deputirt H. XV. Joh: Daniel Würtz H. Mercklin.

(p. 252) Montags d. 26. Julÿ 1675. – Jr. Magnus von Berckheim will ein hauß allhier kauffen
Herr XV. Johann Daniel Würtz referirt, nach deme Er verschienenen Sambstag neben H. Mercklin deputirt worden, umb waß es eine beschaffenheit mit Jr Magni von Berckheim hauß kauff habe zu erkundigen, seÿe solches geschehen, vnd hatt sich befunden, daß der erste Kauff gäntzlich Zurück gegangen vnd derselbige anjetzo eine behaußung neben dem Schiff an Staden gelegen an sich Zu bringen vorhabens seÿe, das gebäw seÿe sehr alt vnd bedürffe aller orten beßerns. der kauffschilling belauffe sich auff 900 Rhtl. Erk. mit der condition willfahrt, daß der Kauffer ins Künfftige, newlichem Decreto gemäß, alle onera ordinaria et extraordinaria Zu leiden haben solle.

Frédéric Magne de Berckheim, né en 1633 de Jean Raoul de Berckheim et de Susanne Barbe de Nippenburg, épouse Marie Cléophée de Franquemont (dont une fille née en 1659) puis Marie Chrétienne de Liebenstein (Lehr, p. 53)

Baptême en 1674 d’une fille de Frédéric Magne de Berckheim et de Marie Chrétienne de Liebenstein
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f°170-v, n° 17) 1674. den 6. Martÿ begünstigung zu (haus) tauffen laßen Juncker Friderich Magnus Berckheimer und sein adeliche haußfr. Maria Christiana von Liebenstein ein junger Sohn welcher auch Friderich Magnus ist genandt worden und war (die) pfetter folgende Johann Görg von Zetlitz, Heinrich Ludwig Zorn und Johann Peter Wetzel von Marsilien, die Göttlin fr Margaretha Martha von Liebenstein gebohrne von Starschedel*, Philippina Jacobea Zornin Von Blopßheim gebohrne Böcklein von Böcklinsauw, Jfr Sophia * Voltzin von Altenaw. [in margine :] + an d. Roht Ruhr v. giht. in der 14. wochen seiner Alter (i 288)

Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 47-v, n° 43)
1674. den 12. Junÿ umb 8 uhr vor mittag ist gestorben an d. Roht Ruhr v guht ein junger Adelicher Söhnlein, Nahmens fridericus Magnus von Bergheim, Juncker friderici Magni von Bergheim, und der Adelich. frauen Maria Christiana von Liebenstein Adeliches Söhnlein, welcher den 14. Jun: nach St: Helena geführt und ehrlich bestattet worden (i 51)

Frédéric Magne de Berckheim et les héritiers de sa fille Frédérique Sibylle issue de Marie Cléophée de Franquemont hypothèquent un bien rentier sis à Wilwisheim et à Melsheim
1667 (30. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 666-v
Erschienen der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne H Friderich Magnus von Bergheim alß legitimus Tutor seiner mit weÿl. der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen Frauen Maria Cleopheen von Bergheim gebohrner von Franckhenheim nunmehr seel. ehelich erziehlter adelich. dochter Jungfr. Friderica Sÿbilla von Bergheim, wie auch alß deß Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen H Ernst Ludwigs von Renching, alß seiner mit weÿl. der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen Fr. Elisabethæ Lÿdiæ von Renching gebohrner von Franckhenheim nunmehr seel. ehelich erzeugter adelich und nach der Fr. Muter abgeleibte dochter Jfr. Annæ (Clen)mundæ von Renching seel. rechtlich. Erbens, vermög eines sub dato Bad. den 16/26. 7.br Jüngsthien (…) empfangenen Gewaltscheins constituirter Mandatarius
in gegensein der Edel- Fürsichtig- hochweÿse Herrn Nicolai Junten und. H. Caroli Egen beeder Alter Ammaÿster und Treÿ Zehner für sich selbsten und im nahmen deß Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen herrn Jacob Christoph Böckhle von Böckhlinsaw dißer Statt alten Stätt Maÿsters und Treÿ Zehners, alle treÿ alß wohlverordnete Herrn Pflegere der Pflegd Zur Roth. Kirch
(Schuld), über die mit hÿpothecirten Gültgut Zu Wilvißheim und Melßheim

Les Conseillers et les Vingt-et-Un accordent le droit de manance à Frédéric Magne de Berckheim moyennant une livre dix sols, somme confirmée le 4 octobre après que le bénéficiaire a sollicité une réduction.
1673, Conseillers et XXI (1 R 156)
(p. 404) Mittw. den 24. Sept. 1676 – Friderich Magnus Von Berckheim
D. B. noîe Jr Friderich Magnus Von Berckheim bitt, weilen derselbe willens sich häußlich allhie nider Zu laßen, vnd Zu solchem ende die Merckliche behaußung am Staden entlehnt, Ihne mit den seinigen in allhiesigem schirm auff und anzunehmen. H XXI. König et H. Spielman

1673, Protocole des Quinze (2 R 89)
(f° 209) Sambstag den 27. Septembr. – Friderich Magnus von Berckheim p. Dr. Bitschen, weilen Er am 29.ten hus. mit den Seinen in hießigem Schirm aufgenommen worden, so bitet Er um ein leidentliches Schirmgelt. Erkandt, Soll quartaliter 1 lb 10 ß erlegen.

(f° 219-v) Sambstag den 4.t Octobr. – H. Friderich Magnus von Bergheim p. Dr. Bitschen, weilen derselbe quartaliter mit 3 fl 4 ß belegt Vorden, als berichtet Er daß Er seines guts am wenigsten allhier habe vnd bittet umb moderation des gedachten Schirmgels. Erkant, bleibt beÿ Voriger Erkandtnuß.
1667 Conseillers et XXI (1 R 150) Jr. Friderich Magnus von Berckheim. (abloßung) 97.
1666 Conseillers et XXI (1 R 149) Jr. Friderich Magnus von Berckheim. (capital) 169.

Frédéric Magne de Berckheim hypothèque la maison au profit des enfants de Jean Baldner, secrétaire en chef de la Tour aux deniers.

1679 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 81-v
Erschienen der Freÿ Reichß hochwohl Edelgeborne Herr Friderich Magnus Von Bergheim
in gegensein herren Daniel Harnischters Alten Dreÿers der Statt Stalls alß Vogts Mariæ Magdalenæ und Mariæ Elisabethæ, weÿl. herrn Johann Baldners gewesenen Oberschreibers deß Pfenningthurns nunmehr seel. nachgelaßener Kinder – schuldig seÿen 150. lb
unterpfand, Zweÿ häußer sambt ihrem hoff, nebens hauß und Seÿffenhaus, mit allen deren Gebäwen begriffen, weithen und Zugehördten alhier ahne dem Staden nidwendig der Newen bruckhen nahe beÿ dem Seÿdenfaden, einseit neben der Brionischen Behaußung, anderseit neben Johann Philipp Helckhen dem Jüngern Schiffmann, hinden uff die Brionische stoßend gelegen, welche häußer annoch umb 180. fl. straßb. werung Carl Schmidts Kindern, Item umb 100. fl. gedachter wehrung dem mehrern Hospital, Item umb 100. fl. besagter Wehrung dem Waisenhauß, Item umb 97. fl. 5 ß Susannæ Silberadin, Item um 50 fl. wehrung hannß Peter Baÿren dem Weinhändler, Item im 50 fl. Straßburger wehrung dem Stifft St. Marx, so dann umb 50 fl. bedeuteter wehrung herrn Johann Georg Retzlob Notario verhafftet, sonsten gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen

Frédéric Magne de Berckheim hypothèque la maison au profit de Jacques Evrard Becht, bailli des bailliages de Wasselonne et de Marlenheim

1681 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 53-v
der freÿ Reichß hochwohl Edelgeborhne Herr Friderich Magnus Von Bergheim, für sich und alle seine adeliche Erben
in gegensein deß Edel-hochgelehrten Herrn Jacob Eberhardt Bechten U.I.Ddi und der Statt Straßburg Verordneten Amptmanns beÿder Ämpter Waßlen: und Marlenheim – schuldig seÿe 1100 fl. ieden deren zu 15. batzen oder 60. Xr. gerechnet
unterpfand, 300. fl. so der Herr Debitor uff dem Bergheimischen alhier beÿ der Kohlschewr gelegenen hoff stehen habe,
Weiters Zweÿ häußer sambt Ihrem hoff nebens hauß und seÿffen hauß auch allen deren Gebäwen begriffen, weithen, zugehördten rechten und gerechtigkeiten alhier ahn dem Staden nidwendig der Neuwen bruckhen nahe beÿ dem Seÿdenfaden einseit neben dem hauß Zum Schiff genannt, anderseit neben hannß Philipp Helckhen dem Schiffmann, hinden uff die Berionische Erben stoßend gelegen

Frédéric Magne de Berckheim, assesseur au Directoire de la noblesse de Basse-Alsace, devient bourgeois avec sa femme et ses deux enfants à titre gratuit
1689, 3° Livre de bourgeoisie p. 1049
Herr Friderich Magnus von Berckheim von Straßburg gebürtig, weÿl. H Rudolph von Berckheim geweßenen Rittmeisters vnd dem Außschutzers in Löbl. Ritterschafft des Vntern Elsaßes gewesten Assessoris hinterlaßener Sohn, empfangt das burgerrecht Vor sich, deßen fr: Eheliebste und 2. Kinder gratis. Jur. den 22. Xbris 1689.

Frédéric Magne de Berckheim vend les deux maisons au marchand de drap François Christophe Barth

1687 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 157
der Hoch Edelgebohrne Gestrenge H. Friderich Magnus Von Bergheim
in gegensein H. Frantz Christoph Barthen, deß Leinwadhändlers
Zweÿ haüßer, sambt ihren hoffstätten, hoff, Nebens hauß, und Seÿffenhauß, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten, allhier am Staden, underhalb der Neuenbrucken, nahe beÿ dem Seÿdenfad. einseit neben Hn Johann dreher dem handelßmann, anderseit neben H. Johann Philips Helcken, dem Schiffmann, hinden auff vorged. H. dreher stoßend gelegen, welche haüßer annoch umb 180 fl. Str. wehr. (Mehr umb 100 fl. Item umb 100 fl. Item umb 97 Gulden, Item umb 50 fl., Item umb 50 fl., Item umb 50 fl., Item umb 300 fl., So dann auch umb 300 fl. verhafftet) umb 375 Guld.

Originaire de Haguenau, François Christophe Barth acquiert le droit de bourgeoisie avec sa femme Anne Catherine Müsser, native de Villingen. Leurs deux enfants Jean et François Christophe suivent la coutume (ne deviennent pas bourgeois)
1680, 3° Livre de bourgeoisie, p. 1016
Frantz Christoph Barth der weißleinwad händler von Hagenaw, vndt Anna Catharina Müßerin von Füllingen erkauffen das burgerrecht pro 20. gold fl. welche Sie auff dem Pfenningthurn erlegt haben, bringen mit sich Zweÿ Kinder nammens Johann vnd Frantz Christoph, so beÿ Ordnung gelaßen, Jur. 2. Junÿ 1681.

François Christophe Barth et Catherine Messer font dresser un état de leur fortune qui s’élève à 604 livres
1681 (28.1.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 15) n° 3
Designation der Jenigen Mobilien undt Fahrnuß, So Herr Frantz Christoph Barth, weiß Leinwath händler, undt Fr. Catharina Meßerinin beede Ehegemächten, So Sie ane unterzeichnetem Notario, mit erstattater Handtrew ahne Eÿdesstatt ihr Eigenthum Zu sein angelobt haben (…) So beschehen Freÿtags den 28. Jan. 1681.
Abzug Zu dieser Designation gehörig, Sa. haußraths 198, Sa. Weins und Lährer vaßen 9, Sa. Wahren 327, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. Guldener Ringen 7, Sa. Schulden 50, Summa summarum 604 lb

Baptême de leur fille Catherine Dorothée dans la paroisse catholique Saint-Laurent
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 290)
1687. September, 9.no. fuit sacrâ undâ baptisata Catharina Dorothea Francisci Christophor. Barth mercatoris Lini & ciuis argentinensis et Annæ Catharinæ Meserin argentinensis conjug. filia legitima (i 151)

Parmi les titres de propriété mentionnés à l’inventaire de 1727 figure la vente par adjudication judiciaire (devant le Petit Sénat) du 20 juillet 1689 par laquelle Jacques Evrard Becht (créancier d’après l’obligation de 1681) acquiert la maison qu’il revend en 1693 au tonnelier Laurent Barthel et à sa femme Anne Marie Schmutz

1693 (17. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 630-v
H. Jacob Eberhard Becht, J. U. Ltus und E.E. Großen Raths beÿsitzer
Lorentz Barthel, deß Kieffers und Annæ Mariæ gebohrner Schmutzin
hauß, hoff, hind.hauß, sambt dero hoffstätt und allen dern Gebaüen, recht. und Zugehördt. allhier am Schiffleuth staden underhalb der Neuengaß, einseit neben H. Johann drehern dem handelßmann, and. seit neben Johann Philipß Helcken, dem Schiffmann Zum theil neben hans Martin Gießbrecht dem Schreiner, Zum theil auch neben hans Jacob Gießen dem Schiffmannn und dann auch neben David Stamm dem Schiffmannn und dann auff ged. H. Drehern stoßend geleg, – umb 100 pfund

Fils du tonnelier du même nom, Laurent Barthel épouse en 1680 Anne Marie Schmutz, fille du pêcheur Daniel Schmutz.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 11-v n° 34)
1680. Dom. XIII & XIV Trin. Lorentz Bartel der Jünger Burger vnd Kieffer alhie Lorentz Bartels deß Burgers vnd Kieffers alhie ehelicher Sohn vndt Jungfr. Anna Maria, Hr Daniel Schmutz deß Burgers und Fischers alhie nachgelaßene eheliche tochter. Copul. Zu St. Niclaus. Donnerst. 16. 7.bris (i 14, proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux f° 187-v)

Laurent Barthel et Anne Marie Schmutz hypothèquent la maison au profit de Jean Philippe Helck, batelier et assesseur au Grand Sénat

1694 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 87
Lorentz Barthel, der Kieffer und Anna Maria geb. Schmutzin und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Christoph Hermann deß handelßmanns und hans Michael Rimbach deß Kirßers Ihrer Vettern
H. Johann Philipp Helcken, deß Schiffmanns und E:E: Kleinen Raths alt. beÿsitzers, schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, hauß, hoff, hinderhauß, smbt dero hoffstätten, und allen deren gebaüen, recht. und zugehörd. allhier am Schiffleuth stad. underhalb der Neun Gaß, einseit neben H. Johann Drehern dem handelßmann, anderseit neb. d. H. Creditori, Zum theil auch neben hans Jacob Gießbrecht d. Schreiner, Zum theil auch hans Martin Greiß dem Schiffmann, und dann auch neb. David Stamm dem Schiffmann, hind. auff ged. Hn Drehern stoßend geleg.
Ferner hauß, höfflein und dero hoffstätten mit allen deren Gebaüen, recht und zugehördt. allhier am Stad. einseit neben dem bierhauß Zum Vogelgesang and. seit neben Sebastian Gast dem weißbecken, hind. auff ged. bierhauß zum Vogelgesang stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Joh: Jacob Häberlings, wollenwebers alß nunmahligen possessoris obmitversetzten haußes beÿm Vogelgesang (Quittung) den 26. jan. 1706

Laurent Barthel, sa femme Anne Marie Schmutz et leurs deux filles célibataires demandent à être entretenus à l’hôpital ou à l’orphelinat. Les Conseillers et les Vingt-et-Un émettent un avis favorable si l’enquête montre que leurs trois enfants mariés ne sont pas en état de subvenir à leurs besoins.
1726, Conseillers et XXI (1 R 209)
(f° 125) Sambstag d. 16.t Martÿ – Lorentz Barthel et uxor sambt Zweÿen Töchtern bitten umb Auffnahm resp.ue in den Spithal und das Wäÿßenhauß
Lt. Mosseder, Nomine Lorentz Barthels des burgers und Kieffers allhier und dessen Ehefrauen Annæ Mariæ Schmutzin Wie auch Zweÿer lediger Töchter Annæ Margarethæ und Catharinæ Salome, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten mit beÿlagen Sub Num.ris 1. bis 11 puncto deren gnädiger Auffnahm in den Spithal und das Wäÿßenhauß, handelt innhalts, ist Erkandt, Wird das geschäfft an die Hh Pflegere des Mehrern Hospitals verwießen, umb Zuforderst Zu examiniren Ob der Implorierenden Eheleuten dreÿ Verheurathete Kinder ihnen den nöthigen unterhalt Zu verschaffen außer stand seÿnd. Anbeÿ, Wann deme also wäre Wohlgedachten Hh. Pflegern die hand geöffnet die Supplicirende Eheleut in den Spithal Zu recipiren, und die Auffnahm dero Zweÿ ledigen Töchter in das Wäÿßenhauß denen Hh. Pflegers daselbst recommendirt.
Deputati H. XV. Güntzer und H. Rth. Städel.

Parmi les titres de propriété mentionnés à l’inventaire de 1727 figure aussi la vente par adjudication judiciaire (devant le Petit Sénat) du 31 mars 1704 par laquelle le marchand Jean Adam Müller devient propriétaire de la maison qu’il revend en 1705 au marchand épicier Jean Frédéric Schæffer

1705 (27.1), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 76-v
(925) Joh: Adam Müller sen. handelsmann
in gegensein Joh: frid: Schäfers specerirers
Hauß, Hoff, Hoffstatt Hinterhauß sambt allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhie ahm Schiffleuth Staden unterhalb der neuen gass einseit neben denen Dreherischen Erben anderseit neben Joh: Philipp Helcken schiffmann theils neben Joh: Jacob Gießen schiffmanns u. dann neben David Stamm schiffmann hinten auf erwehnte Dreherische Erben stoßend gelegen – um 500 und 175 pfund verhafftet, geschehen um 250 pfund

Fils de receveur de l’accise Jean Schæffer, Jean Frédéric Schæffer épouse en 1673 Dorothée, fille du diacre Daniel Kœnig.
Mariage, cathédrale (luth. f° 165, n° 22)
1673. Fest. Trinitatis. Zum 2 mahl hr Johann Friedrich Schäfer Specereyhändler hr Johann Schäfers Accis Schreibers Burgers alhie ehel. Sohn, Jfr. Dorothea Hr Daniel Königs gewesenen Diaconi beÿ dieser Münsterkirchen ehel. T. Donnerstags den 5.ten Junÿ Münster (im 167)

Jean Frédéric Schæffer et Dorothée Kœnig font dresser un état de leur fortune dans lequel figure la maison. La masse propre à la femme est de 1 588 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 842 livres, le passif n’est pas renseigné.

1707 (20.5.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 9)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, nahrung und güther, so herr Johann Friderich Schäffer, der Specierer und fraw Dorothea Königin, beede Eheleuthe und burgere zu Straßburg, Anjetzo tam active quam passive besitzen eÿgenthümblichen besitzen, welche auf ansuchen erfordern und begehren herrn Martin Jacob euthen deß handelßmanns und burgers allhier, der Frawen gezogenen und Crafft außweißung beÿ E. E. großen rath geschwornen herrn Curatoris Zuergreiffung deß beneficÿ cessionis et prælationis durch gedachte Fraw selbsten (…) Actum Straßburg den 20. Maÿ 1707.
Holtz und Schreinwerck. Auff der öbern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, vor der Cammer B, In der Wohnstub
Eigenthumb ane einer behaußung, so theilbar. Item hauß, hoff, hoffstatt hinderhauß, s. allen deren gebäüen begriffen weiten zugehörden rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg, aen dem Schiffleutstaden, underhalb der neuen gaß, 1.s neben denen träherischen Erben, anders. neben Johann Philipp Helcken dem Schiffmann theilß neben Johann Jacob gießen dem schiffmann u. dann neben David Stammen dem Schiffmann hinden auff erwehnte treherischen Erben stoßend. Davon gehen jahrs 10. lb d jährlichen Zinnßes herrn Joh: Frid. Reebhanen dem substituto hießigen Cantzleÿ Contract stuben vorhin modo E. E. Zunfft Zum Spiegel allhier termino Petri et Pauli ablösig in Capital mit 250. lb d. It. 12 lb 10 ß jährlichen Zinnßes frawen Mariä Koppin dero Mandatarius vor Ehren ernannter herr Rebhan ist auff weÿhnachten fällig, ablösig in Capital mit 250. lb. So dann 8. lb 15 ß jährlichen Zinnßes weÿl. herrn hanß Philipp helcken deß Schiffmanns seel. wittib Erben in specie termino nativitatis Christi ablößig in hauptgut mit 175. lb. Sonsten freÿ ledig und eygen und ist hiehero wie sie in anno 1705. erkaufft worden hiehero angeschlagen vor 925. lb. da von abgezogen obige darauff hafftende dreÿ Capitalia so machen 675. lb Restirt annoch hier außzuwerffen 250 lb. Hierüber besagt ein teutscher pergamentine Kauff verschreibung m der Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Innsiegel verwahrt deren datum den 27.ten Januarÿ 1705. m. No. 1. Notirt.
Norma hujus inventarÿ. 1. haußrath 98, 2. Lähre vaß vnd bütten 7, 3. Silbergeschmeid 44, 4. Guldener ring 17, 5. baarschafft 2, 6. Ergäntzung 1319, 7. Schulden 100, Summa summarum 1588 lb
Endlich wird die übrige nahrung unter einer Massa alß theilbar beschrieben, 1. haußrath 202, 2. vaß und bütten 1, 3. Specirers waaren wie auch 4. Schiff und geschirr 49, 5. Silbergeschirr vnd Geschmeid 15, 6. Guldener Ring 18, 7. baarschafft 12 ß, 8. Eÿgenthumb ane einer behaußung 250, 9. Gülth von liegenden güthern 59, 10. Schulden 245, Summa summarum 842 lb – Schulden
Ergäntzung der Frawen ohnveränderten ermanglenden Gut, Nach Inhalt deß über der Frawen in den Ehestand gebrachte auffgerichtete und durch herrn Notarium Johann Jacob Stichen außgefertigten Inventarÿ de anno 1673. ist in durchsuchung manglend befunden worden

Dorothée Kœnig veuve Schæffer vend la maison à Barbe Goll, assistée de son mari Isaac Büry, moyennant 1 000 livres.

1717 (15.10.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 561-v
(1000) Dorothea schäferin wittib geb. Königin beÿständlich Martin Jacob Euth handelsmanns ihres Curatoris
in gegensein Fraun Barb. geb. Gollin beÿständlich Isaac Buri handelsmanns ihres mariti
hauß hoff hoffstatt hinterhauß sambt allen deren mit allen Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ahm schiffleuthstaden unterhalb der Neuen gass, einseit neben denen Dreherischen EE anderseit neben Johann Philipp Helck theils Johann Jacob Gießen EE und dann neben David Stamm hinten auff ernante Dreherischen Erben – um 250, 250, 75 und 150 pfund verhafftet, geschehen um 275 pfund

Fils de l’aubergiste Pierre Büry, Isaac Büry fait son apprentissage chez le boutonnier David Anthoni de 1693 à 1699.
1693, Protocole des Passmentmacher (XI 288) 1693-1717
(f° 4) Isaac Büry, herren Peter Büry Gastgebers Zum Salmen und burgers alhier ehl. Sohn würd von David Anthoni umb daß Knöpffmacher handwerck beÿ ihme Zu erlernen, für einen Lehrjungen angenommen vff 4 Jahr lang, die Ihren anfang vff Michaelis Anno 1695 nehmen und auf gemelten Termin Anno 1699. sich wider enden sollen umb 80 Gulden Lehrgelt daran die helffte gleich baar, die übrige helffte aber nach endigung der lehrzeit erlegt werden solle und der frauen eine Ducat, Ferner Verspricht deß Jungen vatter dem Meister alle Jahr fünff ohmen Wein zu lüffern deßwegen Er aber schuldig sein solle dem Jungen alle tag einen alten Schoppen Wein Zureichen, Geschehen in beÿsein Gesampter Meisterschafft den 10.ten Octobris Anno 1695.
[in margine :] den i. 9.bris 1699 ist dießer Jung in beÿsein H. Peter Buirÿ deß Jung. vatter und H Wolffgang Philipp Vimppels des haußfeurers, deßen Vogts wie auch H Johann Paul Fancken deß Lehrmeisters, apud. Protocollum, ledig gesprochen und daß restirende Lehrgeltt erlegt worden.

Le boutonnier et marchand de soieries Isaac Büry épouse en 1711 Barbe Goll, veuve du boutonnier et marchand de soieries Jean Nicolas Karth. Le marié est assisté de son frère Pierre. Le mariage n’est pas célébré à Strasbourg ni dans les environs.
1711 (14.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 596
Eheberedung zwischen Isaac Bürÿ Seidenhändler vnd Knöpffmacher vnd frawen Barbaræ Karthin gebohrner Gollin, beeden Eheleuthen vnd Burgern allhier
Eheberedung zwischen Herrn Isaac Bürÿ leedigen Seidenhändler vnd Knöpffmacher auch burger allhier Zu Straßburg alß dem H Brautigamb, mit assistentz herrn Peter Bürÿ ledigem Handelsmann deßelben bruders, vnd herr, Johann Christoph Roßenzweigs hochmeritirten Actuarÿ allhießigen hochlöbl. vogteÿgerichts ane Einem
So dann Frawen Barbaræ gebohrner Gollin, Weÿl. herrn Johann Niclaus Karthen auch geweßenen Seidenhändler vnd Knöpffmacher burgers allhier seel. nachgelaßenen Fr. Wittib, als hochzeiterin, mit beÿstand herrn Johann Christoph Gambßen vornehmen Handelßmann deroselben geordneten Curatoris vnd herrn Johann Balthasar Sattler, ebenfalls vornehmen handelßmann, Ihrer beeder Kindern erster Ehe geschwornen Vogts andern theils (…)
Actum Mittwochs d. 14. Jan: A° 1711 [unterzeichnet] Isaac Burÿ als hochzeiter, Barbara Kardtin geborhne Gollin als hochzeiterin

Isaac Büry naît en 1680, fils des réformés Pierre Büry et Anne Dombasle
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 587 n° 1219)
1680. Dienstag den 19. oct. Inf. Isaac. par. peter Bürri Würth Zum Rindfuß Calvin. Anna Thumbelin. patr. Dyonisius Schöpff Specirer, Christian Mohr schneider, Jfr. Anna Catharina Langenreüterin, gebohr. den 17. oct. (i 241)

Jean Nicolas Karth épouse en 1689 Barbe, fille du marchand de futaine Georges Goll
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 167)
1689. Dom. 18. [post Trin.] Zum 2 mahl Joh: Niclauß Kart, Burger, Knöpffmacher u Seidenhändler Jfr. Barbara H Georg Gollen Burgers und Parchet händler alhie ehel. T. Mittw. den 19.ten 8.br N. Kirch (i 168)

Jean Nicolas Karth meurt en 1710 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison de Chrétien Mohr au Vieux-Marché-aux-Poissons. La masse propre à la veuve s’élève à 435 livres, celle des héritiers à 720 livres. L’actif de la communauté est de 3 754 livres, le passif de 1 901 livres.
1710 (27.7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 25) n° 926
Inventarium und Beschreibung Aller derjenigen Haab Nahrung vnd Güttere, Liegender vnd Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrenveste und wohlvorgeachte Herr Johann Niclaus Karth, geweßener Knöpffmacher vnd Seidenhändler auch burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 30. Aprilis instehenden 1710.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren, deß wohl Ehrenvest vnd Großachtbahren herrn Johann Balthasar Sattler, Vornehmen handelßmann und burgers allhier als geordnet v. geschwornen vogts Philippen vnd Jgfer Catharinæ, beder des abgeleibten herrn seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen fr. Wittib Ehelich erzeugter Kind. vnd ab intestato nachgelaßener Erben, fleißig inventirt vnd ersucht, durch die Viel Ehren vnd tugendreiche Fraw Barbaram Karthin, beÿständlich deß Wohl Ehrenvest vnd Großachtbahren hern Johann Christoph Gambßen, auch Vornehmen handelßmann Vnd burgers allhier derselben geordneten Curatoris (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen St. St. Montags den 22.sten 7.bris Anno 1710.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci

In einer allhier zu Straßburg, ane dem Undern Fischmarckh gelegen vnd S.T. Herrn Christian Mohren Schneidern vnd E. E. großen Raths alten beÿsitzern eÿgenthümblich Euständigen behaußung, sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießem Gemach, In der Magd Cammer, In der Cammer C, In der Wohnstub, Im Kleinen hindern Stübel, In der Kuchen, Vor dießen gemachen oder im Hinten haußöhren, In der Wahrenstub, Im undern hindern Stübel, Vor dießen Gemachen, Im Laden Stübel, Inn der Bauch Kuchen, Im Vorkeller, Im Keller
Werckzeug und anders Zum Knöpffmacher handwerck gehörig
Ergäntzung der Fraw Wittib abgangenen unveränderten Vermögen, Inhalt Inventarÿ vber beeder geweßenen Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen Anno 1689. durch weÿl. herrn Notarium Eliam Wincklern seel. gefertiget, hat mann der Fr. Wittib Zu ergäntzen
(f° 24) Wÿdumb, Welchen der abgeleibte herr seelig von Weÿl. Frawen Annæ Margarethæ gebohrner Dreutelin seiner Erstern Eheliebsten seel. ad dies vitæ genoßen, derselbige bestunde Vermög eines durch weÿl. herrn Notm. Eliam Wincklern seel. verfertigten den 11. Julÿ Anno 1691. datirten Special Theil registerleins, vber dasjenige was frauen Mariæ Cleophe Trabitzin gebohrner Dreuttelin, H Johann Michael Trabitzen des Rathsbotten vnd burgers allhier haußwürthin beÿ weÿl. frawen Mariæ Ursulä Holtzbergerin gebohrner Karrenführerin, Ihrer geliebten Mutter seel. Verlaßenschafft abtheilung Zu vnd angefallen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fr. Wittib unverändert Guth betr. Sa. haußraths 9, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring 3, Sa. baarschafft 13, Sa. Ergäntzung 311, Summa summarum 435 lb
Der Erben Nahrung belangend, 1. Sa. haußraths 81, Sa. Werckzeugs Zum Sippmachen 6, Sa. Leerer vaß 1, Sa. Silbergeschmeid 6, Sa. goldener Ring 3, Sa. Ergäntzungs rests 620, Summa summarum 720 lb
Theilbahr Guth betr. Sa. haußraths 88, Sa. Wahren Zum Seidenhandel gehörig 2378, Sa. der früchten 9, Sa. Wein vnd Leerer Vaß 22, Sa. Silbers 23, Sa. Goldener Ring 36, Sa. Baarschafft 368, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 400, Sa. Activ Schulden 427, Summa summarum 3754 lb – Schulden 1901, Nach deren Abzug 1842 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3188 lb – Ungewiß vnd verlohrene Schulden in der Erben unveränderte Nahrung zugeltend 65 lb

Isaac Büry porte devant les Quinze ses dissensions avec la maîtrise des boutonniers qui lui fait grief d’employer trop de compagnons (la suite de l’affaire sera présentée ultérieurement)
1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
Isaac Burÿ contra E. E. Meisterschafft der Knöpffmacher, 225, 231, 249-251
(f° 85) Freÿtags den 27.ten Martÿ 1711 – Isaac Buri Ca. E. E. Meisterschafft d. Knöpffmacher
Obere Handwercksherren laßen per H, Friden proponiren, es habe Isaac Büri burger vndt Knöpffmacher alhie Ca. E. E. Meisterschafft der Knöpffmacher, ein unterth. Memoriale p H Fridt abgelesen, übergeben vndt darinn remonstrirt, welcher gestalten ged. Meistersch. sich ohnlä,gst wieder Ihn beschwehrt, daß Er so viel gesell hielte, darauff Er den 23. febr. jüngst einem darvon, abscheidt gegeben, welcher folglichen beÿ andern Meister, umb arbeit umbschawen laßen, aber nirgends keine habe antreff. können. Vnd weilen Er sonsten viel außer den Landt gehende arbeit Zu machen habe /:wozu Er allein 3. gesellen brauche:/ die vor dießem, von denen zu Genff, Lyon, vndt Pariß an sich gezogen worden, darinn Er aber weder der Meisterschafft, noch übriger Burgerschafft, keinen schaden thue, Zu mahlen der Statt interesse an Zöllen vndt gefällen, vermehret werden, so habe doch besagte Meisterschafft, ohnlängst ein Handwerck gehalten, vndt verlangt, daß Er noch mehrere Gesellen abschaffen solte, anbeneben Ihme die unkosten Zuerkant, vnd Ihne noch umb 1. lb d. Straff angesetzen, weilen Er der damahligen Fr. Karthin, modo seiner haußfrawen, Gesellen, als Sie mitt außbutzung des haußes, auff die vorgeweßte Hochzeit beschäfftiget war, 10. tag beÿ sich gehabt habe, Item wolle ged. Meisterschafft Ihme noch einen Gesellen anrechnen, welcher der verstorbene Karth gelehrt, vndt der sich noch auff Zweÿ jahr lang, umb sich in den Laden, vndt nicht Zu dem Knöpffmachen gebrauchen Zu laßen, engagirt habe. Weilen Er um beÿ solches Bewandnus mehr gesellen, als der Articul Vermag, Zu halten benöthiget, Als wolte Er unterth. gebetten haben, Zu H, zu erkennen, daß Ihme, mehr gesindt, gleich wie vor dießem Hn Stephan Gretzinger, vndt Andres Meistern Gegönt worden,

Isaac Büry et Barbe Goll font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Nicolas Mamberger le jeune au Vieux-Marché-aux-Poissons. Ceux du mari s’élèvent à 738 livres, ceux de la femme à 6 036 livres.
1711 (2.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 27) n° 947
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab vnd Nahrung, so der Ehrenveste und Wohl vorgeachte Herr Isaac Bürri Seidenhändler vnd Knöpffmacher vndt die Ehren vnd Tugendreiche fraw Barbara gebohrne Gollin, beede Eheleuthe vnd burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht vnd vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, in fernerem gegensein der Wohl Ehrenvest großachtbahren, herrn Johann Christoph Gambßen vnd herrn Johann Balthasar Sattlern beeder vornehmer handelßleuth vnd burgere allhier der Ehefrauen vnd dero Kinder erster Ehe geordneter herren Vögte, Montags den 2. Martÿ Anno 1711.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischmarckt gelegenen herrn Niclaus Mambergern Jun. Schwerdtfeger vnd burgern allhier eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Wohnstub, Auff der obern Bühn, In der Gesellen Cammer, In der Magd Cammer, In der Schwartz tuch Cammer, In de Nebens Cammer, Im Hindern Stübel, In der Wohnstub, Im obern haußöhren, In der undern Stub
(f° 19) Wahren und Werckzeug Zum Seidenhandel vndt Knöpffmacher handwerck gehörig
Eÿgenthumb ane Einer behaußung (M.) It. ein Vorder: vnd Hind. hauß auff dem Fischmarckh gegen der Kuttelgaß (…)
(f° 32) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Nahrung belangendt, Sa. haußraths 137, Sa. Wahren 1031, Sa. frucht 5, Sa. Wein vnd vaß 5, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Ring 42, Sa. Baarschafft 17, Sa. Eÿgenthumb ane j. behaußung 2000, Sa. Activ Schulden 795, Summa summarum 4036 lb – Schulden 3335 lb, Nach deren Abzug 761 lb, Hierzu gelegt die haussteuren 36, des Eheherren völlig restirend Eÿgenthümblich Vermögen 738 lb
Der Frawen Vermögen belangendt, Sa. haußraths 912, Sa. Wahren 6055, Sa. frucht vnd Meel 32, Sa. Wein vnd vaß 98, Sa. Silbers 79, Sa. Goldener Ring 214, Sa. baarschafft 858, Sa. Pfenningzinß hauptguths 400, Sa. Activ Schulden 816, Summa summarum 9467 lb – Schulden 3469, Nach deren Abzug 5999 lb, Daezu Kombt ferner die haussteuren 36 der Ehefrauen gantze Nahrung 6036 lb

Reprise de l’inventaire précédent (servant d’inventaire de séparation, voir les actes ultérieurs)
1720 (26.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 47) n° 1552
Revision und respectivé Lüffer Registerlein der jenigen Nahrung welche die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Barbara Büriin gebohren Gollin Zu dem Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Isaac Bürrj Seidenhändler vnd burgern allhier zu Straßburg in den Ehestand Zugebracht, so den 20. et 21. Martÿ A° 1720 in præsentia beeder Ehepersohnen (…) nach dem darüber in Anno 1711 auffgerichteten Inventario, ersuch vnd außgelüfert word.

Barbe Goll, femme séparée quant aux biens d’Isaac Büry, loue une partie de la maison au batelier Jean Jacques Braun.

1723 (15.7.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 386-v
Fr: Barbara geb. Gollin H. Isaac Bury des handelsmanns quo ad bona separirte Ehefrau [unterzeichnet] Barbara Birÿen)
in gegensein Hannß Jacob Braun des Schiffmanns
In ihrer ahm Schiffleuth staden allhier einseit neben weÿl. Daniel helcken gewesten Schiffmanns Erben anderseit neben H. Wolff dem Banquier gelegene behausung In dem Nebens: gebäu im hoff eine stiege hoch Stub Stubkammer Kuchen, Ferner zweÿ stiegen hoch dreÿ Cammern und ein hauß öhren sambt darüber befindlichen Bühnen, einem keller in welchem sich jedoch die Fr: verlehnerin einen platz umb ihre Bütten zu stellen vorbehält – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkünfftigen Michaelis – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Barbe Goll fait dresser l’inventaire de ses biens après la mort de son mari Isaac Büry à Schwabach en juridiction de Brandenbourg-Ansbach. La succession comprend une maison rue des Tripiers et une autre quai des bateliers que les experts estiment à 1 125 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 054 livres, le passif à 700 livres.

1727 (10.3.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 14) n° 159
Inventarium über der Viel Ehren und Tugendgezierten Frauen Barbaræ Büriin, gebohrener Gollin weÿl. des Ehrenvest und Großachtbaren Herrn Isaac Bürÿ, gewesenen handelsmanns und burgers allhier seel. hinterbliebener Wittib anjetzo habend und bensitzende Nahrung, auffgerichtet Anno 1727. – (…) weÿl. des Ehren Vest und Großachtbahren herrn Jsaac Büry, gewesenen handelsmann und burgers allhier, so sich letsthin Zu Schwabach Brandenburg Onoltzbachischer herrschafft auffgehalten, und Mittwochs des nechsthien gelegter 1726.t Jahr aber daselbsten mit todt abgegangen hinderlaßene Frau Wittib nunmehro habet und& besitzet (…) mit beÿstand des hoch Edel Vest, hochachtbaren und hochgelehrten Herrn Johann Hertensteins J. U. Lti berühmten Practici und Vornehmen burgers allhier, Ihres hierzu adhibirten Herrn Assistenten, nicht weniger den Wohl Ehren und Großachtbaren herrn Philipp Karthen, Knöpffmachern und burgern allhier, deroselben H. Sohn erster Ehe (…) So beschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg auff Montag den 10.ten Martÿ A° 1727.

In einer allhier Zu Straßburg abe dem fischmarckt gelegenen in diese Nahrung gehöriger und hernach beschriebener behausung
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Im Haußohren vor der Wohnstuben, im Graben Stüblein, In der Wohnstuben, In der Mittlern Kuchen, In die underen Kuchen, Im Hoff, In dem Laden, In dem Laden Stüblein
Eigenthumb ane Häußern. Eine behaußung auff dem Fischmarckt gegen der Kuttelgaß (…)
It. eine behaußung bestehend in einem Vordern, Nebens und hindergebäu, hoff, hoffstatt, Stallung und bronnen, mit allen übrigen deroselben gebäuden begriffen, weithen, rechten, Zugehörd und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuthstaden underhalb der Neuen Gaß, einseit neben herrn Johann Michael Wolffen dem Banquier anderseit neben Daniel helcken seel. Wittib Zum theil theils neben Johann Jacob Gießel seel. Erben und theils neben H. David Stammen hinden auff obgemelter H. Wolffen wie auch den Badischen hoff stoßend, so freÿ ledig und eigen und durch vorbenahmbste dreÿ geschworne herrn Werckmeistere nach außweiß deroselben schrifftlichen Abschatzung gewürdiget umb 1150 lb. Wie mehr Wohlgemelte Fr. Barbara Büriin gebohrene Gollin diese behaußung, Zwar in wehender letsten Ehe aber für Ihro eigene Persohn allein, auch Jhre Erben vnd Nachkommende, von Frau Dorothea Schäfferin gebohrener Königin weÿl. Hn Johann Friderich Schäfers gewesenen Specierers und burgers allhier seel. nachgelaßener wittib ane sich erkaufft, weiset ein teutscher perg. Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contractstuben gefertiget und mit deroselben anhang. Contract Insiegel Verwah. dat. den 15. oct. aô 1717. Dabeÿ noch ein teutscher perg. Kaufbr. auch in gemelter Contractstuben gefert. und mit deroselben anhang. Contract Ins. corrob. de dato 27. Januarÿ aô 1705. Mehr ein Teutscher pergam. Ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhang. Insigel bekräfftiget, deßen datum der 31.t Martÿ A° 1704. Ferner ein alter teutsch. pergam. Kauffbrieff mit der St. Stßb. anh. Canc. Contract Insigel Verw. de dato 7. Sept. A° 1693. Weiter ein teutscher pergament Ganth Kauffbrieff, mit ob Ehrengemelten Kleinen Raths anhang. Insiegel bekräfftiget, dat. den 20. Julÿ A° 1689. Mehr j. teutsch. perg. Kauffbrieff in allhiesig. CC Stuben passiret und mit deroselben anhang. Insiegel Verwahret dedato 20. Maji A° 1687. Vnd dann ein teutscher pergam. Spruch brieff von denen geschworne Werckhleuthe, auff der Steinhütten allhier ertheilt und mit deroselben anhang. Insigel bekräfftiget dat. den 20. Octobris A° 1666. alle mit jetzigem N° 2 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. – Bericht wegen dießes Inventarÿ. Zuwißen seÿe Hiermit, demnach ich der Notarius beÿ gegenwärtigem Geschäfft nach der Eheberedung, so der Verstorbene Herr Bürÿ und die hinderbliebene frau Wittib Zur Zeit dero getroffenen heuraths mit einander auffgerichtet haben, gefraget, Sie die fraw Wittib Zur antwort ertheilt, daß solche der Verstorbene, als er Von hier gezogen mit sich genommen und Sie alßo nichts davon in handen habe, hiernechst, so seÿe Ihr Zugebrachtes Guth bereits in Anno 1720. ersucht und Von Ihres verblichenen Ehemanns Nahrung abgesondert worden (…)
Sa. haußraths 99, Sa. Waaren Zur handlung gehörig 574, Sa. der Gutsch 10, Sa.Wein und Vaß 17, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. goldenen Kett 30, Sa. der baarschafft 15, Sa. Eigenthums ane heüßern 2287, Summa summarum 3054 lb – Schulden 700, Nach deren Abgang 2254 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 2406 lb
Abschatzung (…) der 2.te begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg an dem untersten schiffleuth Staden gelegen, ein seits Neben herrn Daniel helcken seel. Wittib, anderseits neben herrn Johann Michael Wolff Banquier, hinden auf den badischen hoff stoßend, welche behausung Nebens hinder gebäw, Stuben, Kammern, Küchen, officier Stube, hauß Ehren worinnen herd vnd waßerstein, dreÿ gebälckte Kellerlein, Nebens gang* stallung, holtz Kammer, schopff mit latten Zu geschlagen, hoff, einfahrt und bronne sambt aller gerechtig Keit wie solches durch die Statt Straßburg geschworene Werckhleuthe sich in die besichtigung befunden und jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor vnd umb Zweÿ Tausend und dreÿhundert guldin Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Barbe Goll loue une partie de la maison à Jean Diemer, aubergiste au Loup

1728 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 312-v
Fr. Barbara geb. Gollin weÿl. H. Bury handelsmanns wittib so ohnbevögtigt beÿständlich ihres Sohns erster ehe H. Philipp Karth Seidenhändlers
in gegensein Johann Diemer gastgebers zum wolff
In ihrer allhier ahm Schiffleuthstaden einseit neben einer zum schiff genannte H. Johann Michael Wolff dem Banquier gehörigen behausung, anderseit neben weÿl. Philipp Helcken wittib und erben gelegenen behausung den grösten geträmten keller, samt 10 faßen zusammen 310 Ohmen haltend – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend den 21. Aprilis fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 gulden

Barbe Goll assistée de son fils Philippe Karth loue une partie de la maison au cordonnier Jean Frédéric Fessenmeyer.

1730 (18.4.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 186-v
Fr. Barbara geb. Gollin weÿl. H. Isaac Bury gewesten handelsmanns wittib beÿständlich ihres Sohns Philipp Karth des knopffmachers und seÿdenhändlers
in gegensein Johann Friedrich Feßenmeÿer des Schuemachers und Annæ Mariæ geb. Vixin
In einer der Fr: verlehnerin eigenthümlich zuständig allhier am Schiffleuthstaden einseit neben H. Johann Michael Wolff dem Banquier und EE. kleinen Raths alten beÿsitzer anderseit neben Jung dem Fischer gelegene behausung vornen auff dem Staden unten im hinderhauß einen kleinen Keller, Ferner eine stiege hoch vornen aus, Eine Stub Kuchen und haußöhren zwo stiegen hoch zwo kammern und alle darüber befindliche Bühnen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von Joh. Baptistæ fürwährenden jahr – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Barbe Goll loue ses deux maisons à son fils Philippe Karth

1732 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 119
Fr: Barbara geb. Golin weÿl. H. Isaac Bury wittib Seidenhändler beÿständlich H. Licentiati Johannes Herttenbein procuratoris und Advocati ordinarÿ beÿ Löbl. Ritter Directorio
in gegensein ihres sohns erster ehe H. Philipp Karth hießigen knopffmachers und Seidenhändlers
entlehnt, Eine Behausung hinder gebäu höfflein und hoffstatt mit allen derselben zugehörden und begriffen, nichts davon als zwo stiegen hoch eine stueb vornen auff die straß eine Kammer in das höffel und eine Kammer auff den ullwer graben sehend, so die Fr Verlehenrein zu ihrer Wohnung und gebrauch vorbehaltet ausgenommen, welches hauß allhier am Undern Fischmarckt, einseit neben H. Christoph Engelhard huetstraffierer anderseit neben Fr. Susanna Catharina Kempfferin der Wittib hinten auff den Ullwergraben stoßend gelegen
Ferner verlehnte Sie gedm. ihrem Sohn in ihrer am Schiffleuth staden einseit neben H. Friedrich Wolff anderseit neben Jung dem Fischer hinten auff den Baadischen hoff gelegenen, zum Saiffen: hoff genannten Behausung, Eine im hoff stehende Scheuer umb holtz dahin zu legen – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von Michaelis fürwahrenden jahrs (gegen ihrer unterhaltung)

Barbe Goll loue une partie de la maison au marchand Philippe Melchior Auffhammer

1734 (4.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 161-v
Fr. Barbara geb. Gollin weÿl. H. Isaac Bury des Seidenhändtlers hinterlassene ohnbevögtigte wittib mit beÿstand ihres sohns H. Philipp Kartt des Knopffmachers und Seidenhändtlers
in gegensein H. Philipp Melchior Uffhammer des handelsmanns [unterzeichnet] auffhammer
In einer der verlehnerin eigenthümlich zuständigen allhier am Schiffleuth: staden einseit neben dem hauß zum Schiff so H. Wolff zugehört anderseit neben hannß Jacob Helck dem Schiffmann gelegenen behausung, Im vorder: hauß unten auff dem Boden Eine Stueb, ein kleines gewölb an der stueb, eine Kuchen gegen der stueb über am eingang in das hauß, eine große kammer, unter dem vordern hauß einen keller Im hindern hoff unter dem hinderhauß einen keller, so dann auff dem hinderhauß die zweÿ unterste übereinander liegende bühnen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst kommenden Joh. Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund

Barbe Goll loue une partie de la maison au batelier André Eckert le jeune

1736 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 126-v
Fr. Barbara geb. Gollin weÿl. H. Isac Bury des Seidenhändlers wittib mit beÿstand ihres assisteten H. Mathias Koch Notarÿ Publicÿ und Practici
in gegensein Andreas Eckert des Jüngern schiffers
entlehnt, In ihrer am Schiffeleuth: staden einseit neben weÿl. H. Johann Michael Wolff gewesten Banquier erben anderseit neben Johann Jung dem Fischer hinten auff dem Badischen hoff gelegenen zum Seÿffenhoff genannten Behausung Im mittleren hauß im vorderen hoff Eine Stueb, Stuebkammer, kuchen alles eine stiege hoch, Ferner zwo stiegen hoch ein haußöhren und zweÿ kammern und dreÿ stiegen hoch zweÿ bühnen, platz im hoff umb holtz zu legen und einen keller – welche lehnung getroffen worden auff 6 nacheinander folgenden jahren von nächststehenden Annunciationis Mariæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 19 pfund

La minute de l’inventaire dressé en 1746 après la mort de Barbe Goll n’est pas conservée.

1746, Not. Lichtenberger (Jean Philippe, rép. 65 not 21) f° 67 n° 834
Inventarium samt Verkauff und abtheilungs Register über weÿl. frauen Barbaræ Büriin gebohrner Gollin, auch Weÿl. Herrn Isaac Bürÿ gewesenen Knöpffmachers und Seidenhändlers allhier nachgelaßener Frau wittib seel. Verlassenschafft

L’héritier Philippe Jacques Karth qui a racheté les parts de la maison la revend au chaudronnier Théophile Gentsché pour 2 250 livres.

1747 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 468
H. Philipp Jacob Kart der ledige und mehrjährige handelsmann
in gegensein Gottlieb Gentschl des kupfferschmidts
eine behausung bestehend in vorder, nebens: und hindergebäu, hoff, stallung, bronen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, und rechten ane dem Schiffleuthstaden, einseit neben H. Johann Dietrich dem banquier uxorio noe., anderseit neben Johann Jung dem fischer käuffer, hinten auff ged. H Dietrich und den baadischen hoff – theils als ein groß Mütterlichen erb theils von seinen miterben cedirtes guth – um 2250 pfund

Théophile Gentsché et Marie Salomé Bameyer hypothèquent la maison nouvellement reconstruite au profit du marchand Georges Geoffroi Gambs

1749 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 393
Gottlob Gentschl der kupfferschmidt und Maria Salome geb. Bameÿerin mit beÿstand Jacob Friedrich Bapst ihres tochtermanns und Johannes Schwartz ihres vettern
in gegensein H. Georg Gottfried Gambs des handelsmanns in fernern gegenwart Johann Georg Fügner – schuldig seÿen 1250 pfund
unterpfand, eine neu erbaute behausung, hoff, stallung, bronnen und hoffstatt cum appertinentis am schiffleuth: staden, einseit neben Johannes Jung dem fischkäuffer, anderseit neben H. Johannes Dietrich banquier uxorio nôe, hinten auff den Baadischen hoff
ferner eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der viehgaß, einseit neben der gastbehaußung zum Ochßen, anderseit neben Friedrich Teutsch dem weinhändler, hinten auff erstgedachte gastbehausung

Théophile Gentsché et Marie Salomé Bameyer hypothèquent la maison nouvellement reconstruite au profit de Jean Frédéric Borst, maître d’école à la Robertsau

1750 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 6
Gottlieb Gentschl der kupfferschmidt und Maria Salome geb. Bameÿerin mit beÿstand Jacob Friedrich Pabst und Johann Schwartz beede kupfferscmhidte als ihrer nächsten
in gegensein H. Johann Friedrich Borst des schulmeisters in der Ruprechtsau – schuldig seÿen 275 pfund
unterpfand, eine neu erbaute behausung cum appertinentis am schiffleuthstaden einseit neben Johannes Jung dem fischkäuffer, anderseit neben H. Johann Dietrich dem banquier uxorio nôe, hinten auff denselben und auf den baadischen hoff
feners hypotecirt sie eine behausung cum appertinentis ane der Viehgaß, einseit neben der gastbehausung zum Ochßen, anderseit neben Friedrich Teutsch dem weinhändler, hinten auff gedachte herberg

Théophile Gentsché loue une partie de la maison au marchand Joseph Borel

1751 (15.7.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 349-v
Gottlieb Gentschl der kupfferschmidt
in gegensein H. Joseph Borel des handelsmanns
entlehnt, in einer dem verlehner eigenthümlich gehörig am Schiffleuthstaden einseit neben H. Johann Dietrich dem banquier ehevögtl. weiß, anderseit neben Johann Jung dem fischkäuffer gelegenen behausung, den gantzen ersten stock im vorderhauß samt der gemahlten tapetereÿ von wachs tuch, vier täfflein über den thüren und einer tapezereÿ von gehackten woll in einer kammer, so dann in der camin kammer einem spiegel und taffel an dem camin, ferner in der mansarde zweÿ kammeren, in dem hoff platz zum holtz so dann den hindersten keller – auff 5 nacheinander folgenden jahren von erst abgewichenen Johannis Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 138 gulden

Théophile Gentsché loue une partie de la maison à Nicolas Le Riche, chirurgien major à l’hôpital militaire

1759 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 103
H. Gottlieb Gentschel der kupffer schmidt
in gegensein H. Nicolas Le Riche des chirurgien major im königlichen Hospital
entlehnt, in seiner alhier am Schiffleuthstaden gelegenen behausung unten auf dem boden im eingang lincker hand eine cammer mit einem frantzösischen Camin und offen versehen im hoff platz vor 10 biß 12 futter holtz zu legen, den gemeinschafftlichen gebrauch der bauchküchen, ein unterschlageen keller von ongefehr 100 ohmen wein zu legen, den gantzen ersten stock vom vorder und nebens hauß samt den cammern auf dem zweiten stock des nebens hauß so in den hoff gehet, in der mansarde 2 cammern und einer kleinen knechts cammer – auff 8 nacheinander folgenden jahren auff instehenden Johannis Baptistæ tag anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 96 pfund

Anne Marie Antoni se remarie avec l’orfèvre Jean Léonard Rœderer.
Elle vend la maison en 1794 à Marie Louise Dorothée Reckop en s’y réservant un logement

1794 (21 pluviose 2), Chambre des Contrats, vol. 671 n° 1360
cit. Anna Maria Antoni épouse de cit. Jean Léonard Roederer
à la cit. Marie Louise Dorothée Reckop fille majeure assitée de cit. Frédéric Jacques Reckop négociant son frère
une maison à elle appartenante quai des bateliers, marquée du n° 10 d’un côté le cit. Dürr marchand de poissons, de l’autre le cit. Ignace Fessler négociant, derrière une maison nationale (…) que la venderesse jouira pendant deux années consécutives à compter du 5 germinal du logement qu’elle occupe actuellement dans la maison savoir du premier et sans exception d’une petite cave et d’un bucher – moyennant 40.000 livres
Enregistrement acp 20 f° du 21 pluviôse 2

Originaire de Deux-Ponts, le négociant Jean Daniel Philippe Arend épouse en 1798 Marie Louise Dorothée Reckop, fille du marchand Jean Jacques Reckop
1798 (3 germinal 6), Strasbourg 9 (anc. cote 4), Not. Dinckel n° 1755
Eheberedung – b. Johann Daniel Philipp Arend, lediger handelsmann, Weÿl. Christoph Wilhelm Arend, Commissarii und Waisenscheibers zu Zweÿbrucken mit weÿl. Fr. Eva Wilhelmina Sophia Phlippina Aulenbachin großjähriger Sohn
und b. Maria Luisa Dorothea Reckop Weÿl. des b. Johann Jaco Reckop, handelsmanns mit weÿl. Fr. Maria Dorothea Bäerin großjährige Tochte
Enregistrement, acp 59 F° 82-v du 3 germ. 6

Le négociant Frédéric Charles Reckop est légataire universel de sa sœur par testament olographe en date du 29 mars 1818 (voir plus loin les titres de propriété). Il épouse en 1802 Régule Pœlsterli, native d’Aussersihl dans le canton de Zurich : mariage et contrat passé un an plus tard.
Mariage, Strasbourg (n° 308)
Du 8° jour du mois de Prairial l’an onze de la République française. Acte de mariage de Frédéric Charles Reckop âgé de 48 ans, négociant, né en cette ville le 19 août 1754, y domicilié, fils légitime de feu Jean Jacques Reckop, négociant, et de feue Marie Dorothée Baer, Et de Régule Poelsterli, âgée de 37 ans, domiciliée à Montmirail, Comté de Neufchatel, née à Usersihl, Canton de Zuric en Helvétie le 10 mai 1766, fille légitime de Jacques Poelsterli, maître d’école audit lieu et de feüe Dorothée Trüb (signé) frederic Charles Reckop, Regule Poelsterly (i 9)

1803 (17 mess. 11), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 300, 1645
Eheberedung – bürger Friedrich Carl Reckop handelsmann allhier und Fr. Regula geb. Poelsterlÿ, daß sie vor ihrer den 8. Prairial jüngst miteinander angetrettenen Ehe keinen Ehecontract errichtet hatten
in burgers Reckop behausung am Fischmarckt N° 80
Enregistrement, acp 88 f° 91 du 18 messidor 11

Régule Pœlsterli, veuve de Frédéric Charles Reckop, meurt en 1838 en délaissant des héritiers collatéraux.

1838 (29.8.), Strasbourg 10 (94), M° Zimmer n° 2938
Inventaire de la succession de Régule Poelsterli veuve de Frédéric Charles Reckop, propriétaire, décédée le 13 août dernier – dressé à la requête de 1) Hartmann Schwartzenbach, fabricant de soie à Ruschlikon canton de Zurich, mandataire de 1. Jean Jacques Poelsterli, cultivateur au Haard commune d’Aussensiehl, 2. Conrad Hotz de Rüschlikon au nom sa femme Elisabeth Poelsterli, 3. Mathieu Künzli d’Afoltern près Hoügg au nom de sa femme Dorothée Poelsterli, imprimeur d’indiennes, 4. Jacques Poelsterli, au Haardt commune d’Aussersihl, 5 Jean Studer, fabricant à Wippkinger, au nom de sa femme Catherine Poelsterli, 6. Henri Poelsterli, faiseur de moules à Ausensihl demeurant à Hoügg, 7. Henri Hotz, mercier à Rüschlikon, au nom de sa femme Anne Poelsterli, 8. André Kölla, boulanger à Staefa, 9. Henri Leuthy, tonnelier à Staefa, et Anne Kölla, seuls héritiers de la défunte, Jean Jacques Poelsterli son frère pour un quart, Elisabeth Poelsterli sa sœur, Dorothée, Jacques, Catherine, Henri et Anne représentant Salomon Poelsterli d’Aussensihl demeurant à Hoügg, frère de la défunte, ensemble pour un quart, André Kölla et Anna Kölla représentant Anne Poelsterli épouse de Kölla de Staefa
une maison à Strasbourg rue du Vieux Marché aux Poissons n° 80 entre M. Karth et M Weguelin
une maison rue de l’Hopital n° 25 entre M. Karth et la maison ci après
plus une maison sise à côté de la précédente dans la même rue n° 25 de l’autre côté la veuve Mathys – Titres de propriété, Chambre des Contrats 28 juin 1742, Chambre des Contrats 23 décembre 1745, Chambre des Contrats 27 août 1765 et 28 octobre 1773
plus une maison quai des Bateliers n° 10 entre M. Straub et la veuve Meyer, derrière sur le ci devant hôtel de Bade – Titres de propriété, inventaire dressé par M° Ubersaal le 12 mars 1804 (21 ventôse 12) et vente passée à la Chambre des Contrats le 9 février 1794 (21 pluviôse 2)
plus un jardin sis à la Robertsau derrière le ci devant jardin des Jésuites il ne s’est pas trouvé de titre à l’appui de la propriété
Enregistrement, acp 262 f° 25-v du 4.9.

Lors de la vente des immeubles dépendant de la succession de Régule Pœlsterli, Frédéric Bergmann, professeur à la faculté des lettres, se rend propriétaire de la maison quai des Bateliers.

1838 (26.11.), Strasbourg 10 (94), Me Zimmer n° 2983
Cahier des Charges du 13 octobre – Adjudication – Jean Auguste Koehler, rentier à Strasbourg, mandataire de 1. Jean Jacques Poelsterli, cultivateur au Haard commune d’Aussensiehl, 2. Conrad Hotz de Rüschlikon au nom sa femme Elisabeth Poelsterli, 3. Mathieu Künzli d’Afoltern près Hoügg au nom de sa femme Dorothée Poelsterli, imprimeur d’indiennes, 4. Jacques Poelsterli, au Haardt commune d’Aussersihl, 5. Jean Studer, fabricant à Wippkinger, au nom de sa femme Catherine Poelsterli, 6. Henri Poelsterli, faiseur de moules à Ausensihl demeurant à Hoügg, 7. Henri Hotz, mercier à Rüschlikon, au nom de sa femme Anne Poelsterli, 8. André Kölla, boulanger à Staefa, 9. Henri Leuthy, tonnelier à Staefa, et Anne Kölla seuls héritiers de Régule Poelsterli veuve de Frédéric Charles Reckop décédée, le 16 août dernier

Désignation et mise à prix, Lot 1. art. 1 une maison avec puits mitoyen, petite cour et autres accessoires et dépendances rue du Vieux Marché aux Poissons n° 80 d’un côté le n° 79, maison de la veuve Karth, de l’autre la maison 80 bis maison de M. Weguelin, derrière le fossé communal dit Ulmergraben
lot 1. art. 2. une maison avec puits derrière, immeuble n° 80 bis rue de l’Hôpital n° 25, d’un côté la maison de la veuve Matthys, de l’autre l’immeuble du second lot, derrière le fossé appelé Ulmergraben, mise à prix 28.000 francs
Lot 2, une maison derrière l’immeuble n° 80 avec communauté de la fosse d’aisances sise rue de l’Hôpital n° 25 entre l’art. 2 du premier lot et la propriété de la veuve Karth, derrière le fossé dit Ulmergraben, mise à prix 1500 francs
lot 3, une maison avec cour, dépendances quai des Bateliers n° 10, d’un côté la propriété du Sr Straub, de l’autre celle de la veuve Meyer, derrière la maison connue sous la dénomination de cour de Bade, mise à prix 18.000 francs
A. Etablissement de la propriété, 1. tous les immeubles à vendre appartenaient à la succession de la veuve Reckop, dont les vendeurs sont seuls héritiers suivant testament olographe du 24 septembre 1836 enreg. le 4 septembre 1838 f° 45 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 5 septembre 1838, Mme Reckop légataire universelle suivant testament olographe du 26 novembre 1819 enreg. 27 octobre 1828 f° 81 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 10 octobre 1828
B. Etablissement de la propriété antérieure spéciale aux lots 1 et 2. M Reckop propriétaire des lots 1 et 2 légués par Jean Jacques Reckop, négociant, son père dont il était héritier pour un tiers par testament mystique du 22 novembre 1783 déposé chez M° Schweighauser le 7 avril 1784, M. Reckop a acquis art. 1 du lot 1 sur Jean Paul Gambs, négociant, à la chambre des contrats 28 juillet 1742, art. 2 du l lot en partie sur Catherine Marguerite Debus veuve de Frédéric Bänder, à la Chambre des Contrats le 27 août 1765 le surplus Jean Philippe Taubert, peignier, et Madeleine Salomé Ganser à la Chambre des contrats 28 octobre 1773, lot 2 sur Jean Léonard Finck, serrurier, et Anne Catherine Boeschelt la veuve 23 décembre 1755, par acte reçu M° Zimmer le 29 décembre 1825 Frédéric Charles Reckop a racheté des hospices civils de Strasbourg la rente foncière dont l’art 1. du lot 1 était grevée en faveur desdits hospices
C. Etablissement de la propriété spéciale au 3 lot, de la succession de sa sœur Marie Louise Dorothée Reckop veuve de Jean Daniel Philippe Arend, instituteur, son frère dont il est légataire universel par testament olographe en date 29 mars 1818 enreg. le 14 avril 1819 f° 23. Mme Arend a acquis avant son mariage sur Marie Anne Antoni épouse de Jean Léonard Roederer à la chambre des contrats le 9 février 1794 (21 pluviôse, 2), Anne Marie Antoni légataire universelle de Théophile Gentschi, chaudronnier, son premier mari suivant Testament mystique du 4 décembre 1771 déposé le lendemain chez M° Euth
III. Enoncé des servitudes, par acte reçu M° Hickel le 24 avril 1833 la veuve Reckop a vendu à David Geoffroi Théodore Wéguelin, négociant, et Christine Henriette Cramer une maison attenant à celle de la venderesse marquée n° 80.bis. Dans cette vente a été comprise la moitié tant des pignons et murs qui se trouvent entre cette dernière maison et l’immeuble n° 8 que du puits situé sur ladite propriété n° 80, en même temps il a été convenu que des deux parties contribueront chacune par moitié à l’entretien du puits et que toutes les portes, croisées et autres ouvertures pratiquées dans les pignons mitoyens dans le mur séparatifs seraient murés à frais communs, le tout à première réquisition de l’une ou l’autre des parties
M. Koehler déclare que du vivant de la veuve Reckop il a été fait verbalement entre elle et le Sr Weguelin les conventions suivantes. Quoique dans la vente précitée du 24 avril 1833 il soit dit que les époux Weguelin n’auroient que jusqu’au décès de la veuve Reckop le droit de puiser l’eau au puits qui dépend de la maison désignée à l’art. 2 du premier lot, ce droit devra même après la mort de Mme veuve Reckop etre continué tant aux époux Weguelin qu’à leurs enfants (ce qui par conséquent en s’étend pas aux petits enfants), les mêmes auront de même et sous pareille restriction 1. le libre passage pour eux et leurs gens par la maison art. 2 du premier lot dans leur propriété 80.bis, 2. la permission de faire entrer dans leurs dites propriétés et par ledit passage leurs ballots et marchandises ainsi que tous matériaux de construction nécessaires à l’entretien et aux réparations de cette propriété, 3. et la permission d’user dudit passage pour la vidange de la fosse d’aisances de leur dite propriété. Les concessions verbales n’ont été faites qu’à la condition que le propriétaire de l’immeuble de l’art. 2 du premier lot aurait par une porte pratiquée dans la propriété de M Weguelin n° 80.bis du côté du fossé le libre passage à travers cette même propriété pour arriver à l’immeuble n° 80 au moyen d’une porte de communication existante dans le mur qui sépare la cour de l’immeuble 80.bis d’avec ladite maison n° 80. De plus l’acquéreur du premier lot aura le droit de passage pour les siens et les locataires par le magasin de M. Weguelin jusqu’au 28 décembre 1838 seulement (…) Le bâtiment couvert renfermant des commodités qui se trouvent en partie sur la propriété 2 en partie sur le fossé dit Ulmergraben et qui est adossé au parement du mur de la propriété n° 80 appartient exclusivement à la maison du 2° lot. La fosse desdites commodités est et sera commune aux propriétaires des premier et deuxième lot /: le propriétaire du deuxième lot sera tenu de fermer et tenir complètement clos toutes les ouvertures pratiquées dans ledit bâtiment et donnant du côté de la cour du premier lot attendu que le propriétaire du second lot ne doit avoir ni vue ni issue de ce côté:/
Quant au conduit de bois qui se trouve entre ledit bâtiment et la maison du deuxième lot qui sert à décharger les ordures dans le fossé dit Ulmergraben il appartient à la maison n° 80 restera par droit de destination de père de famille en l’état actuel à titre de servitude. L’adjudicataire du lot 1 sera tenu de fermer et murer à ses frais la porte qui communique de sa propriété n° 80 avec lesdites commodités renfermées dans le bâtiment couvert mentionné ci-dessus. L’adjudicataire du premietr lot et celui du second lot feront fermer et murer à frais communs les portes et ouvertures de communication existantes entre le deux maisons rue de l’Hôpital n° 25. L’ouverture pratiquée dans le mur séparant les caves qui se trouvent sous lesdites deux maisons seront également fermées et murées à frais communs
2. Droits qui se rattachent au troisième lot suivant convention verbale entre M. Arend et Evrard Koch propriétaire de l’immeuble rue Neuve n° 2, il a été accordé à ce dernier la permission 1. d’abaisser de 65 cm ou 2 pieds le mur qui fait partie du troisième lot et qui sépare ce lot d’avec l’immeuble appartenant à M Koch. 2. de mettre sur le mur ainsi abaissé une balustrade en bois le tant aux frais du propriétaire de cette dernière maison, lequel est tenu de remettre à ses frais ledit mur dans son état primitif à première demande, cette concession a été faite à titre de simple tolérance et sans que jamais aucun droit puisse en être inféré en faveur de l’immeuble n° 2
Adjudication, à Augustin François Clément Conturat, ingénieur en chef des Travaux du Rhin demeurant à Strasbourg
lot 1. de l’art. 1, une maison du Vieux Marché aux Poissons n° 80
lot 1 de l’art.2, une maison 80 bis rue de l’Hôpital n° 25
lot 2 une maison derrière immeuble n° 8
moins une portion acquise par M. Legrand ci après nommé pour 35.900 fr
à Frédéric Legrand, manufacturier à Fouday, une portion d’une maison derrière le n° 80 bis rue de l’Hôpital n° 25 pour 2000 fr
M. Legrand aura la partie dudit immeuble adossé à la maison Mathys et allant jusqu’au au tirant en fer qui traversent la charpente et qui servent à soutenir les deux façades de manière que les deux croisées de la façade du côté du fossé dit Ulmergraben sont comprises dans la partie appartenant à M Legrand & que le mur sépararatif sera élevé verticalement depuis le sol jusqu’à faire dans la direction dudit tirant en fer de manière que celui ci formera le milieu du mur séparatif. L’espace intérieur entre la maison donnant sur la rue de l’Hôpital présentement partagée et les maisons 80 et 80.bis sera également clos sur la ligne séparative qui partira du pignon mitoyen entre les maisons 80 et 80.bis pour joindre la ligne tracée par le tirant en fer susmentionné, Les parties conviennent que tout ce qui sera la propriété particulière dans les espaces sera clos par un mur et la partie communale de l’Ulmergraben sera fermée par une porte en bois fermée des deux côtés par serrure et clefs différentes, les frais seront supportés par moitié. Le mur séparatif sera par le rez de chaussée de la largeur d’une bique entière pour le premier & le second étage et pour le faite du pignon de la largeur d’une demi brique. La cave de la maison de l’art. 2 du lot 1 fera exclusivement partie de la propriété de cet immeuble appartenant à M Couturat. Le puits dans la maison de l’art. 2 du lot 1 sera mitoyen entre les deux parties de maison actuellement séparées, de manière que tant que les choses resteront dans l’état actuel, M Couturat ou ses successeurs auront le droit de puiser l’eau à la pompe se trouvant dans la partie de maison appartenant actuellement à M. Legrand mais seulement par la pompe donnant dans la rue de l’Hôpital et sans pouvoir entrer dans la propriété de M. Legrand. M. Couturat aura en outre le droit de faire placer dans ce puits mitoyen un autre corps de pompe à son usage exclusif et donnant sur sa propriété, frais d’entretien en commun
Deuxième lot, à Théodore Wéguelin, négociant pour le compte de M. Couturat
Lot 3, une maison quai des Bateliers n° 10 pour 27.100 francs à Frédéric Bergmann, professeur à la faculté de lettres
Enregistrement, acp 264 f° 13-v du 3.12.
M° Zimmer, 15 novembre 1838 (acp 263 F° 76-v du 19.11.) surmises
enchère de 400 fr sur une maison à Strasbourg quai des bateliers n° 10 précédemment 25.700 fr par Alexis Simonis
de 400 fr sur une maison rue du Vieux Marché aux Vins n° 80 précédemment 37.500 fr, par Frédéric Baldener, menuisier
400 fr sur la maison quai des Bateliers précédemment 21.100 fr par Frédéric Bergmann, professeur à la faculté des lettres
de 200 fr sur une maison rue de l’Hôpital n° 25 précédemment 2700 fr par Théodore Weguelin, négociant

Fils du potier d’étain Antoine Joseph Bergmann, Frédéric Guillaume Bergmann épouse en 1841 Emilie Mathilde Bartholmé, fille du marchand de vins Chrétien Jacques Barthelmé : contrat de mariage, célébration
1841 (17.8.), M° Grimmer (minutes en déficit, voir la copie jointe à l’inventaire dressé en 1888)
Contrat de mariage – Frédéric Guillaume Bergmann, professeur à la faculté des lettres à Strasbourg
et Emilie Mathilde Bartholmé, fille majeure de Chrétien Jacques Barthelmé, marchand de vins à Strasbourg et Marguerite Elisabeth Knoderer
acp 290 (3 Q 30 005) f° 40-v du 25.8. – régime de communauté de biens réduite aux acquêts.
Les apports du futur consistent 1° en objets mobiliers d’une valeur de 2500 francs, 2° en créances montant à 2500, 3° en la nue propriété d’une somme de 36.600 francs, 4° et en une maison quai des bateliers n° 10.
La future apporte quelques bijoux détaillés dans l’acte mais non évalués et une somme de 220 francs, le tout provenant de ses épargnes.
Donation à la future par ses père et mère d’objets mobiliers d’une valeur de 6000 francs et d’une somme de 6000 francs payables le jour de la célébration du mariage, total 12000 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de tous les biens délaissés par le prémourant

Mariage, Strasbourg (n° 316)
Du 21° jour du mois d’Aout l’an 1841 à onze heures du matin, Acte de mariage de Frédéric Guillaume Bergmann, majeur d’ans, né en légitime mariage le 9 février 1812 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, professeur à la faculté des lettres, fils de feu Antoine Joseph Bergmann, potier d’étain décédé el cette ville me 15 mai 1839, et de Sophie Chrétienne Roessel, domiciliée en cette ville ci présente et consentante
et Emilie Mathilde Bartholmé, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 avril 1818 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Chrétien Jacques Bartholmé, Marchand de vins et de Marguerite Elisabeth Knoderer, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants

Propriétaire de la maison sise 3, rue des Bateliers, Marie Madeleine Leinberger, veuve de Michel Huck, confirme les termes de l’accord passé en l’an VIII entre Evrard Koch et Daniel Philippe Arend

1867, Enregistrement de Strasbourg, ssp 146 (3 Q 31 645) f° 2-v du 17.1.
2 novembre 1866. Convention – Je soussignée Marie Madeleine Leinberger, veuve de Michel Huck, domiciliée à Strasbourg, propriétaire maison sise en cette ville rue neuve quai des bateliers n° 3 (ancien n° 2)
laquelle maison touche par derrière à celle de M. Frédéric Guillaume Bergmann doyen à la faculté des lettres, sise quai des bateliers N° 34, Ancien N° 10, reconnaît et déclare que la partie supérieure du mur séparatif entre ces deux maisons est la propriété exclusive du sieur Bergman, qu’en l’an VIII de la République mon prédécesseur le sieur Eberhard Koch avait du consentement du sieur Daniel Philippe Arend, alors propriétaire de la maison Bergmann, consentement donné à titre précaire, fait enlever environ 66 centimètres (deux pieds) de la hauteur de ce mur, pour y assurer une clôture en bois à claire voie, ou balustrade, mais à la condition expresse à laquelle [il] s’engageoit tant pour lui que pour ses héritiers et successeurs, de l’enlever et de rétablir à ses frais la partie du mur ainsi enlevée de manière à remettre la chose dans leur ancien état, et ce à première demande et sans que le consentement donné à son entreprise pût en aucun temps constituer un droit acquis par cette maison Koch aujourd’hui la mienne, ni occasionner aucun préjudice et aucun inconvénient pour la maison Arend, aujourd’hui propriété Bergmann.
En conséquence je confirme et ratifie purement et simplement les susdits engagements et déclarations reconnaissant que c’est à titre purement précaire et de tolérance que l’état actuel des choses subsiste et que Mr Bergmann et ses héritiers ou successions dans la propriété de la maison susdésignée conserveront toujours la faculté de faire rétablir le mur dont s’agit à mes frais ou à ceux de mes successeurs, dans l’état antérieur au changement susrelaté, en faisant enlever la clôture à claire voie ou balustrade et rendant au mur son élévation primitive et à première demande. Je m’engage du reste à supporter tous les frais des présentes, de leur Enregistrement et de la transcription au bureau des hypothèques de cette ville

Chevalier de la Légion d’Honneur, Frédéric Guillaume Bergmann meurt en novembre 1887 en délaissant une fille.
1887 (24.12.), Strasbourg 10 (221). Frédéric Pierron
Notorietät – (…) daß sie Herrn Friedrich Wilhelm Bergmann im Leben geweßenen Professor an der Universität von Straßburg, Ritter der Ehrenlegion und Gatte von Frau Emilie Mathilde Bartholmé gekannt haben und wissen 1) deß Herr Bergmann mit seiner genannten Wittwe uner dem Rechtverhältniß der Gütergemeinschaft verheurathet war, welche auf die Errungenschaft beschränkt war auf Grund ihres Ehevertrags durch den damaligen Notar Grimmer in Straßburg den 15. August 1841 errichtet,
2) daß Herr Bergmann in Straßburg wo derselbe seinen Wohnsitz hatte den 13. November 1887 gestorben ist, ohne eine letztwillige Verfügung getroffen zu haben,
3) daß nach dessen ableben kein Inventar ist errichtet worden
4) und daß derselbe als einzige Erbin hinterlaßen hat seine volljährige tochter Fräulein Mathilde Eugenie Bergmann in Straßburg wohnhaft aus der Ehe entsproßen der genannten Ehegatten Bergmann Bartholme
acp 795 (3 Q 30 510) f° 55 du 28.12.

La maison revient pour moitié en usufruit à la veuve lors de la liquidation des biens de Frédéric Guillaume Bergmann.

1888 (7.5.), Strasbourg 10 (223). Frédéric Pierron n° 9288
Liquidation und Theilung des Nachlasses des am 13. November 1887 hier verstorbenen Friderich Wilhelm Bergmann, Professor an der Universität, Ehemann von Emilie Mathilde Bartholmé, hier wohnend.
sind erschienen 1) Frau Emilie Mathilde Bartholmé, wohnhaft in Straßburg, Wittwe des Herren Friderich Wilhelm Bergmann, im Leben geweßenen Professor an der Universität in letzteren Stadt, Ritter der Ehrenlegion, handelnd in ihrme persönlichen Namen a) wegen der Gütergemeinschaft, welche auf die Errungenschaft beschränkt war und theilbar zur Hälfte ist auf Grund ihres Ehevertrags durch den damaligen Notar Georg Ludwig Friedrich Grimmer in Straßburg den 17. August 1841 errichtet, wovon eine gehörige Ausfertigung hier beigebogen bleibt, nach dem dasselbe darauf vermerlt worden, b) wegen der Ersatzforderungen in Geld, welche dieselbe auf besagte Gütergemeinschaft zu erhaben hat (…) c) als lebenslängliche Nutznießerin der Hälfte des Nachlasses ihres Ehegatten auf Grund des Artikel fünf der erwähnten Ehevertrags
2) Fräulein Mathilde Eugenie Bergmann, volljährig, ledig ohne Stand in Straßburg wohnhaft, handellnd in ihrer Eigenschaft als seine einziges Kind und Erbin ihres den 13. November 1887 verstorbenen Vaters, obengenannten Herrn Friderich Wilhelm Bergmann, aus dessen Ehe dieselbe entsprossen ist mit frauen Comparenttn Wittwe, sowie deises bestätigt ist durch einen Notorietäts act durch den unterzeichneten Notar in Unterschrift den 28. Dezember 1887 errichtet.

Nachlass desHerrn Bergmann. Activ Masse, dieselbe bestehet 1) in einem zweistöckigen Wohnhaus mit Hof, Rechten und Zugehörden in Straßburg gelegen Schiffleutstaden N° 34 (früher quai des bateliers N° 10) zwischen Eigenthum Laugel und Hessleohl, hinten an Eigenthum der Garnisonsverwaltung stoßend. Dieses Haus ist durch Hern Bergmann vor seiner Ehe erworben worden von den Erben der Frau Regula Poelsterli als Wittwe des Herrn Friedrich Karl Reckop in Straßburg den 13. August 1838 gestorben auf Grund eines Steigprotokolls durch des damaligen Notar Zimmer in Straßburg den 26. November 1838 errichtet, im Hypothekenamt von Straßburg den 29. darnach folgenden Dezember Band 342 N° 12 überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 291 N° 30. Der Steigpreis der sich auf 27.100 Franken belief ist bezahlt worden (…) Das frühere Eigenthumsrecht ist noch bestätigt durch eine Urkunde auf der ehemaligen Contractstuben von Straßburg den 9. Februar 1794 errichtet
Anweisungen. I) Frau Wittwe Bergmann (…) b) ferner bespricht Frau Wittwe Bergmann in lebenslänglichen Nutznießung, wovon das bloße Eigenthum ihrer tochter gehört 1) die Hälfte des oben beschriebenen Hauses Schiffleutstaden N° 34 gelegen
II) Fräulein Bergmann bespricht (…) und in bloßem Eigenthum wovon die lebenslängliche Nutznießung ihrer Mutter weiter oben überwiesen worden ist 1) die Hälfte des oben beschriebenen Hauses Schiffleutstaden N° 34 gelegen, wovon die andere Hälfte derselben schon in vollem Eigenthum gehört
Contrat de mariage. 17 août 1841. Sont comparus Monsieur Frédéric Guillaume Bergmann, professeur à la faculté des lettres à Strasbourg, y demeurant et domicilié, fils de feu M. Joseph Antoine Bergmann, propriétaire à Strasbourg et de D° Chrétienne Sophie née Roessel conjoints, futur époux, d’une part, Et Dlle Emilie Mathilde Bartholmé, majeure d’ans demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille de Mr Chrétien Jacques Barthelmé, Marchand de vins et D° Marguerite Elisabeth Knoderer demeurant et domiciliés audit Strasbourg assistée de ses père et mère, d’autre part (…) Collationné, Grimmer
acp 801 (3 Q 30 516) f° 85 n° 670 du 11.5. (Nachlass Erkl. vom 11.5.88 Bd. 155 N° 69) Gütergemeinschaft 1) Geschuldet durch Michael Fischbach Gasthofbesitzer und Katharina Salome Emilie Küss zu Buchsweiler 9600, Zins 131, 2) Geschuldet durch Ludwig Emil Paul Dürr Bauunternehmer und Kulie Emma Arnold 4000, Zins 66, 3) Geschuldet durch Leo Dacheux, Vorsitzer des großen Seminars und Eheleute Dacheux Nagel Baumeister 4000, Zins 26, 4) Geschuldet durch Elise Sophie Weber Wittwe des Bäckermeisters Karl Georg Weber 4800, Zins 15, 5) Geschuldet durch Eheleute Sigrist Koln Kaufmann hier 4000, Zins 117 (6. 3000, 7. 4400, 8. 4000, 9. 8000, 10. 6000, 11. 4800, 12. 2400, 13. 1552, 14. 2400) 15) Baar Geld 9600, 16) Reichbank Antheilsschein 4008, 17) frantzösische Staatsrente 7433, 18) Staatsrente 1508, 19) 10 Obligationen des Grundcredits von Frankreich 3840, 20) 11 Obligationen derselben Gesellschaft 537, 21) 10 Aktien des Boden und Kummunalcredits 22520, 22) Staatsrenten 13.770, 23) 50 Aktien der Bank Staehling hier 52.500, 24) 9 Aktien der frantzösischen Ostbahn 5571, 25) 32 Obligationen Guillaume Luxembourg 10.800, 25-bis) Obligationien 1960, 26) Obligationen 15.399, 27 Obligationen 3069, 28) Obligationen 626, 29) Obligationen 980, 30) Pfandbriefe 37.434, 31) Zinsesn an Forderungen, Total der Aktivmasse 237.383
Passiv der Gütergemeinschaft a) Ersatzforderungen der Wittwe für eingebrachtes Vermögen 4976, für ererbtes Vermögen 23.800, b) Ersatzforderung des Verstorbenen 27.680 – Bleibt Aktivüberschuß 180.937, davon kommt der Wittwe und der Erbin je ½ mit 90.463
Nachlass 1) Ein zweistöckiges Wohnhaus mif Hot, Rechten und Zugehörden hier, Schiffleutstaden N° 34 früher Quai des bateliers N° 10, 2) Bibliothek 2000, 3) Geschuldet durch Anton Jakob Keller und Salome Bentz in Oberhausbergen 4800, 4) Ersatzforderung 27.680, 3) Antheil an der Gemeinschaft 90.463, Total 124.943
Hievon fällt die hälfte der Fräulein Bergmann in vollem Eigenthum
Anweisungen (…)

Emilie Mathilde Bartholomé institue sa fille pour sa légataire universelle
1889 (5.10.), M° Gachot
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments
acp 820 (3 Q 30 535) f° 28-v n° 2264 du 9.10. – Aufschriftsakt, n° 2265
n° 2266. Testament der hier am 18. September 1889 verstorbenen Emilie Mathilde Bartholomé Wittwe des Universitätsprofessors Friderich Wilhelm Bergmann, wonach sie ihre Tochter Mathilde Eugenie zu ihrer Erbin und Universalvermächtnisnehmerin zu vollem Eigenthum einsetzt. Privaturkunde vom 22. Januar 1888 (Nachlass Erkl. 1/3 90 Bd. 164 N° 101)

Emilie Mathilde Bartholmé meurt en septembre 1889
1890 (28.2.), M° Gachot
Offenkunde über das dahier am 18. September 1889 erfolgte Absterben der Emilie Mathilde Bartholmé, Wittwe von Friderich Wilhelm Bergmann, beerbt von ihrer Tochter Mathilde Eugenie Bergmann, hier ledig.
acp 823 (3 Q 30 538) f° 93 n° 3982 du 1.3. (Sterbf. Erkl. 3/3 90, Bd 164 N° 101)

Mathilde Eugénie Bergmann vend la maison au serrurier Charles Unselt moyennant 52 000 marks

1895 (2.11.), M° Mossler
Mathilde Eugenie Bergmann, ledig, ohne Gewerbe hier
an Carl Unselt, Schlosser hier
Stadt Strassburg, ein Wohnhaus mit Erdgeschoß, zwei Stockwerken, Hof, Rechten und Zubehör am Schiffleutstaden N° 34, section O 651, 651 mit 4,80 Fläche
Besitz und Genuß vom 29. September 1895, Steuren vom 1. April 1896. Erworben aus dem Nachlass ihrer Eltern Friedrich Wilhelm Bergmann, gestorben am 13. November 1887 und Emilie Mathilde Bartholmé, gestorben am 18. September 1889. Kaufpreis 52.000 M. hievon sind baar bezahlt 40.000
Carl Unselt verspricht an Fräulein Bergmann den ersten Stockwerk obigen hauses, ein Zimmer im dritten Stock, eine holzremise im hofe auf eine dauer von drei, sechs, neun Jahre vom 29. September 1895, nach Ablauf dieser Frist kann die Bergmann eine Verlängerung der Pacht auf unbestimmte Zeit verlangen. Pachtzins jährlich tausend Mark
acp 905 (3 Q 30 620) f° 9 n° 3310 du 12.11.

Fils du vitrier Daniel Unselt, Charles Unselt épouse en 1864 Eugénie Berni, fille du batelier Thiébaut Berni.
Mariage, Strasbourg (n° 119)
Du 20 jour du mois d’avril l’an 1864 à neuf heures du matin Acte de mariage de Charles Unselt, majeur d’ans, né en légitime mariage le 8 juillet 1832 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Serrurier, fils de Daniel Unselt, vitrier domicilié à Strasbourg ci présent et consentant et de feu Caroline Madeleine Porst, décédée à Strasbourg le 5 novembre 1854
et de Eugénie Berni, majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 janvier 1839 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de feu Thiébaud Berni, batelier décédé à Strasbourg le 13 novembre 1856 et de Marie Salomé Zabern, sans profession, domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (…) qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 15)

La maison est inscrite au cadastre à partir de 1904 au nom du serrurier Charles Emile Unselt qui épouse en 1901 Louise Elisabeth Michel, fille du marchand Philippe Jacques Michel.

Mariage, Strasbourg (n° 725)
Strassburg am 23. Juli 1901. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schlossermeister Karl Emil Unselt, evangelischer Religion, geboren am 7. Mai des Jahres 1868 zu Strassburg, wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Rentners Karl Unselt und seiner Ehefrau Eugenie geborenen Berni, beide wohnhaft in Strassburg
2. die Luise Elisabeth Michel, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 25. August des Jahres 1868 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg, Tochter des verstorbenen Kaufmanns Philipp Jakob Michel, zuletzt wohnhaft in Strassburg und seiner Ehefrau Margaretha Salome geb. Widerhirn wohnhaft in Strassburg (i 93)



27, place Kleber


Place Kleber n° 27 – IV 450 (Blondel), N 739 puis section 61 parcelle 11 (cadastre)

Maison dite zum Danneck (au coin du sapin)
Maître d’ouvrage, Jean Philippe Fibich, orfèvre – maître maçon Jean Lingenhœlin, 1779
Maison rue du Coin Brûlé démolie en 1942 pour éviter l’écoulement – Maison avant démolie en 1957, sol réuni à la voie publique


Façade du n° 27 à corbeaux sous les fenêtres des deux étages supérieurs, alors que les nouveaux bâtiments sont en construction (AMS cote 1 Fi 16, légende : « démolie en octobre 1957 ») – Face aveugle vers l’est vers 1953 (ADBR, fonds Stoskopf cote 60 J 57, Archi-wiki)
Façade nord (inscription Change, vers 1911, AMS cote 1 Fi 21, 30)
Façades rue du Coin Brûlé vers place Kleber (vers 1911, AMS cote 1 Fi 24 n° 39)
La partie centrale du bâtiment arrondi est construite sur l’arrière de la parcelle de l’ancien n° 27, voir plus loin le plan (mars 2024)

Le vitrier Jacques Hemmerlin achète en 1594 la maison dite zum Danneck (au coin du sapin), à l’angle de la place des Cordeliers et de la rue du Coin Brûlé. Il est autorisé la même année à y placer un auvent pour lequel il paie un loyer communal. La maison appartient ensuite au marchand Samuel Ferber (1623-1646) puis à l’organiste Henri Wid et (1671) au facteur d’instruments Georges Vetter. Dorothée Welper, veuve du juriste Jean Chrétien Geilfuss, l’achète en 1685 après son remariage avec le traiteur catholique Ignace Barbier. Ses héritiers la vendent en 1689 au fabricant de pâtés catholique Jean Streit qui sert du vin à des Français et à des bourgeois sans régler les taxes habituelles d’après la visite générale des auberges en 1696. Jean Streit fait établir en 1715 une porte de cave sur le communal. Le maçon Samuel Zanger est autorisé en 1721 à étayer pendant les travaux le mur de la maison qui appartient alors au marchand Louis Beguin. Le tailleur Pierre Pugein supprime l’auvent en 1757, la porte de cave en 1764, passe en 1769 avec son voisin Michael Gœrgen un accord relatif à l’entretien de leurs latrines communes puis vend la maison à l’orfèvre Jean Philippe Fibich après avoir demandé les alignements à suivre d’après les plans de l’urbaniste Blondel. Comme à l’autre extrémité de la place (voir le 29, rue des Grandes Arcades), le futur bâtiment en saillie créera un étranglement par lequel le voyageur découvrira subitement la place. Jean Philippe Fibich acquiert en novembre 1778 un terrain communal sur lequel il est autorisé à construire un bâtiment suivant les dessins de l’inspecteur du bâtiment Boudhors. Il essaie en vain d’obtenir un subside de la Ville pour construire une façade entièrement en pierre en arguant qu’elle embellira la Ville ; les préposés lui laissent le choix d’édifier les étages en pierre ou en bois. Le maître maçon Jean Lingenhœlin construit le nouveau bâtiment en 1779. Il s’ensuit qu’une partie de l’ancienne maison est démolie, en conservant une partie qui donne dans la rue du Coin Brûlé. Les éléments caractéristiques de l’époque se limitent aux arcades du rez-de-chaussée remaniées par la suite, aux chaînages qui atteignent le deuxième étage, au bandeau qui surmonte le premier étage et aux lucarnes du dernier niveau. Ancien peintre en miniature, le cafetier Jean Jacques Büchel déclare en 1802 que les quatre fenêtres qui donnent sur la propriété de son voisin sont une pure tolérance depuis que la maison a été reconstruite ; le facteur d’instruments Joseph Dobner fait en 1822 la même déclaration. Adolphe Seyboth (édition en allemand) mentionne le café Büchel en 1795, Lévêque en 1812, Klein en 1814, Hauswald (à la Réunion) en 1819 et Moiret en 1821.


La maison se trouve à l’angle droit de l’alignement, Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 139 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et premier étage en pierre de taille et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (h-i) vers la place a deux portes centrales flanquées chacune d’une fenêtre en arcade, trois étages à quatre fenêtres chacun, trois fenêtres aux mansardes. La façade (g-h) vers l’est est en grande partie aveugle. La façade (i-j) à trois fenêtres à chacun des niveaux dépasse sur la place vers l’ouest. Le mur après (j) donne dans la cour, la façade en grande partie aveugle forme la partie ouest du bâtiment arrière à droite de (K) qui s’ouvre dans la rue du Coin Brûlé : petite fenêtre et porte au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres, troisième étage à trois fenêtres et toiture à un niveau de lucarnes. La cour I montre l’arrière (2-3) de la façade vers la place, celle (3-4) au fond de la cour et la façade arrière (4-1) rue du Coin Brûlé.
La maison porte d’abord le n° 31 (1784-1857) puis le n° 27.


Cour I – Plan

Plan Blondel (1765). En rose les aménagements proposés (AMS cote 1 PL 675)
Alignements de 1856 sur un plan de 1838 (dossier de la Police du Bâtiment)
Elévations en 1920 (dessins de l’architecte Emile Wolf, dosser de la Police du Bâtiment)

La plus grande partie du bâtiment dépasse des alignements arrêtés le 6 mai 1856, ce qui interdit les travaux qui auraient pour effet de le consolider. L’entrepreneur Klein est autorisé en 1865 à agrandir la porte d’entrée et percer deux fenêtres au premier étage du bâtiment rue du Coin Brûlé et à surélever d’un étage le mur de clôture entre le bâtiment avant et le bâtiment arrière. Fernand Schwartz charge en 1920 l’architecte Emile Wolf de faire des travaux intérieurs, de modifier les portes et les fenêtres extérieures. La porte en façade est déplacée sur la droite. La Police du Bâtiment constate en février 1941 que le bâtiment arrière rue du Coin Brûlé risque de s’écrouler et demande sa démolition immédiate à l’administration du séquestre qui renvoie l’affaire à la Ville de Strasbourg. La démolition a lieu en avril 1942, les étages du bâtiment avant ne sont plus accessibles puisque la cage d’escalier se trouvait dans le bâtiment démoli.
Comme l’immeuble se trouve sur le tracé de la voie projetée entre la place de Haguenau et la place de l’Etoile, la Ville convient en 1948 avec le propriétaire de limiter les travaux au strict nécessaire, c’est-à-dire de rendre les locaux habitables. Le bâtiment construit en 1779 est démoli à l’automne 1957.


Plan des bâtiments dus à l’architecte Charles-Gustave Stoskopf, les bâtiments à démolir sont hachurés
Les actuels numéros 22, 26 et 28 (mars 2024)

mars 2024

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1589 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Loup de Bubenhoffen
1594 v Jacques Hemmerlin, vitrier, et (1592) Marguerite Keller – luthériens
1622 v Georges Ziegler, marchand de chevaux, et (1609) Susanne Gutbub – luthériens
1622 v Jean Jacques Scheer, charretier, et (1610) Anne Redler – luthériens
1623* v Samuel Ferber, marchand, et (1616) Esther Schmidt – luthériens
1646* adj Henri Wid, organiste, et (1629) Marthe Ulner puis (1634) Marthe Hemmerlin, d’abord (1630) femme de l’apprêteur de chapeaux Eric Buntz – luthériens
1667 v Michel Kæs, cordonnier, et (1648) Salomé Seidel – luthériens
1671 v Georges Vetter, facteur d’instruments, et (1670) Susanne Marie Lombart, d’abord (1666) femme du pasteur Balthasar Wintergerst, puis (1687) Susanne Kolb – luthériens
1683 v Dorothée Welper et (1660) Jean Chrétien Geilfuss, juriste, puis (1682) Ignace Barbier, traiteur – luthérienne convertie
1689 v Jean Streit, pâtissier, et (v. 1684) Ursule Scheibel – catholiques
1720 v Louis Beguin, marchand, et (1706) Catherine Beurez – catholiques
1722 v Jean Philippe Tag, pâtissier, et (1722) Susanne Madeleine Roser – luthériens
1736 v Georges Frédéric Tag, pâtissier, et (1736) Anne Marie Müller – luthériens
1738 v Jean Daniel Mannberger, fourbisseur, et (1734) Marie Barbe List – luthériens
1746 v Jean Régnard Theurer, orfèvre, et (1743) Marie Madeleine Stœsser – luthériens
1753 v Pierre Pugens, tailleur, et (1745) Marie Marguerite Bidot – catholiques
1778 v Jean Philippe Fibich, orfèvre, et (1749) Catherine Sebisch – luthériens
1793 adj Jean Jacques Büchel, peintre en miniature puis cafetier, et (1780) Marie Madeleine Pfæhler puis (1797) Dorothée Freydel – luthériens
1811 v Joseph Dobner, marchand, et (1776) Marie Anne Desfontaines, veuve du marchand Jean Michel Dimier, puis (1809) Marie Thérèse Müller
1823 v Salomon Schwartz, marchand quincaillier, et (1794) Reiss Levy ensuite Claire Levy (copropriétaire avec le suivant)
1855 h Jacques Schwartz, raffineur d’or, et (1818) Jeanne Offenbach
1863 h Léon Schwartz, joaillier, et (1848) Babette dite Jeannette Altschul
1886 h Oscar Fernand Schwartz, banquier, et (1886) Berthe Weill
1937* h Léon Schwartz, F. & P. Schwartz société en nom collectif
1947* h Banque Léon Schwartz société anonyme
1949* h Banque Schwartz et Cie société en commandite simple

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1350 livres en 1750 (ancienne maison), 4000 livres en 1780 (nouvelle construction)

(1765, Liste Blondel) IV 450, Etienne Pugein
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bouchon, 11 toises, 2 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 738, Schwartz Salomon et Schwartz Jacques – maison, sol – 1,2 are

Locations

1688, Etienne de Combe, vivandier, et Marthe Didier
1743, Jean Michel Ohlmann, cordonnier
1755, Frédéric Huder, perruquier
1801, Nicolas Rosenstiehl, de Bouxwiller
1822, Léon Rehns, bijoutier
1859, Léon Schwartz, bijoutier (ensuite propriétaire)

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 145) f° 171-v
La maison à l’angle du Coin Brûlé appartient au fondeur de pichets Jacques Eisenheim qui règle 11 sols, à savoir pour une avance (28 pieds ½ de long, saillie de 2 pieds 9 pouces), une plate-forme dallée (9 pieds ½ de long, saillie de 4 pieds), une porte de cave (8 pieds de large, saillie de 4 pieds), une tablette d’exposition (9 pieds de long, saillie de 3 pieds), une marche en pierre (2 pieds ½ de long, 15 pouces de large)

Barfüesser Platz
Jacob Eisenheim der Kandtengiesser beÿ dem gebrandten Ende Vff dem Blatz Am Eckh der Brandten Ende gassen hatt oben ein Vsstoß xxix= schu lang, Vnd ii schu ix Zoll herauß, Ein besetzter Tritt x= schu lang, vnd iiij schu herauß, Item ein offene Kellerthüer viij schu breit vnd iiij schu herauß, Ein Vssatz Laden ix schu lang, vnd iij schu herauß, Mehr ein steinen staffel iii+ schu lang, vnd xv Zoll breÿt, Bessert &, xj ß x d

1562, Livre des loyers communaux VII 1446 (Zinßbuch D) f° 169-v
Le vitrier Jacques Hemmerlin doit 2 sols 6 deniers pour être autorisé à mettre un auvent (22 pieds de long, saillie de 4 pieds) à sa maison à l’angle de la place des Cordeliers et de la rue du Coin Brûlé, le premier loyer écherra à la Saint-Michel 1595. Fait le jeudi 15 août 1594. Le loyer porté à 6 sols est dû par Samuel Ferber en 1627.

Item ij ß vj d gibt Jacob Hemerlin der glaser Ist Ihme bewilligt an seinem eckhauß am Barfüsserplatz beim gebrandten Ende, ein Wetterdächlin Zumachen 22 schuh lang, vnd vier schuh breit herauß, vnd da er oder sein nachkhomen solches wider hinweeg thun, soll er diß Zinß ledig sein, Actum donstag 15.ten Augusti Ao. 94. gefallt der erste Zinß vff Michaelis 1595.
(rub.) Jetz Samuel Ferber 6 ß. 2. Martÿ 1627
Neü 249.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 249
Même loyer reporté au Livre des loyers communaux. Les contribuables sont successivement Henri Wid, Michel Kæs et Georges Vetter

jetzt Michael Käeß
Jetzt Geörg Vetter
Heinrich Widt, Soll gemeiner Statt, Vom wetterdach des Eckhaußes ahn dem Brennten endt, Jahrs vf Michaelis 6 ß d
Alt. d. f. 169
New fol. 216
(Quittungen 1653-1664)
1667 von hanß Beüchels alß vogten empf.
1671 Zalt Vetter

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 216
Même loyer reporté au registre suivant. Les contribuables sont ensuite la veuve de Jean Chrétien Geilfuss, Jean Streit, Louis Beguin, Jean Philippe Tag et Daniel Mamberger. Un nouveau loyer s’ajoute en 1716 pour une porte de cave, voir plus loin les Préposés au bâtiment

Michael Käeß und Georg Vetter, sollen vom Wetterdach des Eckhaußes am branden End, vff Michaelis, 6 ß
St. Zinnßb. p. 249
ietz Georg Vetter allein
jetzt Johann Christian Geilfußen W.
jetzt Johann Streit Pastetenbeck
Jetzt Louis Beguin A. 1721. i.mo
Jetzt Joh: Philipp Tag
jetzt Daniel Mamberger
(Quittungen 1673-1715)
Er soll ferner von einer vor dieser behaußung, 7 schuh. 10. Zoll breit und Vier schuh Vom hauß herauß liegenden Kellerthür l. Protocolli de 1716. folio 5. p. Mich: 1716. allein 7 ß 6 d. im übrig. aber Jährlichen 10 ß
(Quittungen 1716-1741)
Neuzb fol 247-b

1741, Livre des loyers communaux VII 1470 (1741-1802) f° 247-b
Mêmes loyers reportés au registre suivant. Les contribuables sont ensuite Jean Régnard Teurer et Pierre Buchin (Pugein). Le loyer pour l’auvent devient caduc en 1757 par la suppression de l’objet, celui pour la porte de cave en 1764.

alzb. 216
Daniel Mamberger soll vom Wetterdach des Eckhaußes am branden End auf Michaelis, 6 ß – ist hinweg
Ferner von einer vor dießer behaußung, 7 schuh 10. Zoll breit und 4 schuh vom hauß herauß liegenden Kellerthür auf Michaelis 10 ß
(quittungen 1740-1756, 16 ß – 1757-1764 10 ß)
Joh: Reinhard Teürer
Peter Buchin

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1598, Préposés au bâtiment (VII 1313)
Jacques Hemmerlin demande le 26 avril 1598 l’autorisation de faire une porte de cave sur le communal. Il est autorisé le 20 mai suivant à monter la charpente de ses combles sur la place des Cordeliers

(f° 103-v) Mittwoch den 26.ten Aprilis 98. – Jacob Hemmerlin wolt gern vffm barfüßerplatz ein Kellerthür vff d. Almend mach. bitt vmb erlaub. Ist vff ein Augenschein

(f° 121) Sambstags 20. Maÿ 98. – Jacob Hemmerlin wegen bittet sein Zimmerman platz vffm Barfüßerplatz Zu eim dachstul vff ij C sl* holtz, Ist Ihm bewilligt solls geschmeidig* zusammen leg.

1715, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Les préposés autorisent le pâtissier Jean Georges Streit à faire une porte de cave de 7 pieds 10 pouces qui empiète sur le communal de 4 pieds. Le cens sera déterminé une fois les travaux terminés.

(f° 210) Dienstags den 1. 8.bris 1715 – Herr Joh: Georg Streit p° einer Kellerthür
Haben die Obere Bawherren und die Herren dreÿ einen augenschein vor Herrn Johann Georg Streiten des Pastetenbecks auff dem Baarfüßer: platz gegen dem Brendten Endt gelegenen Eckbehausung eingenommen, Vor deren Er eine lehnende Kellerthür 7. schuhe und 10. Zoll breit und 4 schuhe lang auff das allmend bawen Zulaßen gesinnet ist undt umb deßen permission angesuchet hatt. Erk. Bedacht.

(f° 215-v) Dienstags den 22. 8.bris 1715 – Herr Joh: Georg Streit p° Kellerthür
Wegen des am 1. hujus an Herrn Johann Georg Streiten, des Pastetenbeckers, auff dem Baarfüßerplatz am Brendten endt gelegenen Eckbehausung eingenommenen augenschein ist Erk. Würdt demselben erlaubt eine Kellerthür 7. schuhe und 10. Zoll breit und Vier schuhe Vom Haus heraus machen Zulaßen und soll der Zinß wann selbige fertig sein würdt regulirt werden.

1721, Préposés au bâtiment (VII 1389)
Le maçon Samuel Zanger est autorisé à étayer le mur de la maison de Louis Beguin pendant qu’il la répare à condition de remettre le terrain en état.

(f° 190) Dienstags den 15.t Ejusd. [Julÿ] 1721. – An Louis Beguins hauß soll gesprießt werden
Meister Samuel Zanger, der Maurer, sucht beÿ Mghhn umb erlaubnus an, daß Er an Louis Beguins hauß beÿ dem brendenend gelegen umb eine reparation vorzunehmen, sprießen dörffe, welches Ihm mit der Condition erlaubt worden, daß Er die löcher im gepflästerten wieder außbeßern laße.

1778, Préposés au bâtiment (VII 1418)
L’orfèvre Jean Philippe Fibich acquiert un terrain communal (18 toises, 5 pieds et 8 pouces carrés) d’après le nouvel alignement

(f° 177-v) Dienstags den 17. Novembris 1778 – H. Bau Inspector Boudhors referirte, Er habe die in diesem Jahr von verschiedenen Particuliers überbauene Allmend Plätz ausgemeßen und den angesetzten Preißen den Cantons nach ausgerechnet, was jeedes zu bezalen, als :
Hr. Rathh. Johann Philipp Fibich (V. Prot. de 1784, f. 141 b) – Herr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Gold Arbeiter ist mit seiner an dem Place d’Armes gelegenen behausung dem Alignement nach heraus gefahren, und hat das Allmend um 18 Klafter 5 Schuh 8 Zoll Quadrat Maß überbauen, ligt im IV. Canton, davor hat derselbe à 40. livres das Quadrat Klafter zu bezalen 757 lb 15 ß 4 d

1778, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Le tailleur Pierre Pugens demande le 7 avril l’alignement à suivre pour savoir si la maison pourra être reconstruite une fois vendue. L’ancien sénateur Fibich demande le 14 juillet l’alignement à suivre pour la maison qu’il a acquise de Pierre Pugens.
Jean Philippe Fibich demande à la Ville de contribuer aux frais du mur coupe-feu avec son voisin Sellier François Ried. Les préposés éconduisent le pétitionnaire et renvoient le voisin le cas échéant au Petit Sénat.
Jean Philippe Fibich qui a reçu de l’inspecteur du bâtiment Boudhors le dessin qu’il devra suivre strictement en construisant la façade fait observer le 17 novembre 1778 que la pierre massive est prévue jusqu’au deuxième étage ainsi que pour la corniche des mansardes et de nombreux ornements. Il a demandé à son maître maçon un devis d’après lequel seules les arcades sont en pierre massive, le reste hormis les croisées étant en maçonnerie, les mansardes et la corniche en bois. Comme les frais outrepassent de beaucoup la somme qu’il prévoyait y mettre et que le bâtiment est destiné à embellir la ville, il demande un subside pour le chenal, les ornements et la corniche en pierre. Les préposés demandent à l’inspecteur Boudhors de chiffrer les frais.

(f° 57) Dienstags den 7. Aprilis 1778. – Mr Pugens Schneider
Idem [Mr Georg Friedrich Walter der Maurer] nôe. Mr Pugens, des Schneiders, bittet um ertheilung des Plans, wie sich deßen an dem barfüßer Platz gelegene Behausung dem Alignement nach befinde, damit solcher vorgewiesen werden könte, wann diese behausung verkauft und gebauen werden solte. Erkannt, Bedacht.

(f° 112-v) Dienstags den 14. Julii 1778 – Hr. Rathh. Fiebig Gold: Arbeiter
Herr Exsenator Fiebig, der Goldarbeiter bittet um Anzeig des Alignements seiner von Mr Pugens dem Schneider erkauffen ane dem Place d’armes gelegenen behausung. Erkannt, Seÿe dem Herrn Imploranten von Herrn Bau Inspector dem anheute approbirten Plan nach anzuzeigen.

(f° 140-v) Donnerstags den 15. Septembris 1778 – Hr Rathh. Joh. Philipp Fibich
Herr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Gold Arbeiter præsentirt unterthäniges Memoriale mit bitten, Weilen Er genöthiget mit seiner an dem Place d’armes gelegenen Behausung dem Alignement nach vorzurucken, sein Nachbar François Ried, der Sattler aber sich weigert die nöthige Feurmaur Zugleich mit aufzuführen dahero Er eine Maur von einem ganzen Stein aufführen muß, welches Ihn in grösere Kösten setzet, Meine Gnädige Herren geruhen möchten die Helfte der Unkösten seiner aufzurichtenden Feuermaur zu übernehmen, und den Betrag deßen an dem von Ihme zu zalen schuldigen Terrain zu verguthen, so als dann François Ried, wann er bauen wird gemeiner Stadt vor die Helfte solcher Feuer Maur wieder zu restituiren haben solle. Erkannt, Seÿe der Herr Implorant ln seinem Begehren an Gemeine Stadt ab: in Ansehung seines Nachbars François Ried aber allenfalls an Einem Ehrsamen Kleinen Rath zu verweisen.

(f° 175-v) Dienstags den 17. Novembris 1778. – Hr Exsenat. Joh. Philipp Fibich
Hr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Goldarbeiter præsentirt unterthäniges Memoriale, vorstellend, wie daß Ihme von Herrn Bau Inspector Boudhors die Zeichnung der façade, wornach Er in Bauung seiner ane dem Place d’armes neu erbauenden Behausung stricté zu richten haben solle, welchen Er auch in allen Stücken nach Geschmack findet vorgeleget und behändiget worden, Weilen aber in diesem Plan die façade bis in den Zweiten stock, ja sogar annoch das Gesimbs der mançard nebst vielen Zieraden massiv von Stein angemerckt, da hingegen des unterthänigen Supplicanten mit seinem Maur Meister accordite Riß nur bis über die Bögen von massiv: Stein, der Rest aber vollends hinauf von Maur Stein bis auf die Kreutzstöck, so dann eine Mançard warunter das Gesimbs von Holtz ist. Da nun diese Zweÿ Articul die destinirt gehabte Kösten weit übertreffen würden solches Gebäu auch mehrentheils ein Zierat der Stadt seÿn und mit dem langen Gebäu eine Ähnlichkeit haben solle, als gehet seine bitt dahin, die Kösten, welche in Bauung des Nachs, der Zieraten und des Gesimbs von Stein müßen verwendet werden, an dem zu bezalenden Allmend Platz abgehen zu laßen. Erkannt, Seÿe anvorderist durch Herrn Bau Inspector zu examiniren, wie hoch diese Kösten zu stehen kommen können.

1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Jean Philippe Fibich présente deux devis pour la corniche, l’un du charpentier Léonard Haas qui demande 19 florins pour la faire en bois, l’autre du maçon Jean Lingenhœl qui demande 466 livres pour la faire en pierre. L’inspecteur du bâtiment estime que ce dernier devis est trop élevé, les frais ne devraient pas dépasser 350 livres. Les préposés décident de laisser au pétitionnaire le choix de faire faire la corniche en pierre comme le prévoit le plan ou en bois mais que la Ville ne contribuera pas aux frais.

(f° 242) Dienstags den 16. Martii 1779. – Hr Rathh. Johann Philipp Fibich
Herrr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Goldarbeiter producirt in gefolg Erkanntnus vom 17. Novembris 1778. wegen dem, an seiner ane dem Place d’armes aufbauenden Behausung zu machenden Haupt Gesimbs Zween Überschäg, den Einen von Mr Leonhard Haas, den Zimmermann, welcher vor daselbe von Holtz Zu verfertigen 19. fl 2 ß fordert, den andern von Hrn. Johannes Lingenhölin, den Maurer, so vor daselbe dem vorgewiesenen Plan nach von Stein Zu verfertigen 466 lb 4 s fordert, Mit bitt, Meine Gnädige Herren geruhen möchten Zu erkennen, daß, wann Er gehalten seÿn solle, das Hauptgesimbs dem Ihme gegebenen Plan nach von Stein Zu verfertigen, das jenige so es höher, als von Holtz verfertiget, Zu stehen komme, von seiten Gemeiner Stadt bonificirt werden solle. Herr Bau Inspector trägt vor daß Hrn Lingenhölin Forderung Zu hoch seÿe, indeme das Haupt Gesimbs gar füglich vor 350. livres Von Stein gemacht werden könne. Nach der Sachen reifer Überlegung wurde Erkannt, Seÿe Hrn Rathh. Fibich in seine freÿe Willkuhr Zu stellen das Haupt Gesimbs an besagter seiner neu aufbauenden Behausung von Holtz oder dem Plan nach von Stein verfertigen Zu laßen, ohne einige Vergüthung an Löbl. Stadt fordern Zu Können.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1779. Le maître maçon Jean Lingenhœl expose les travaux à faire dans la maison Fibich place d’Armes : un creuset dans l’atelier au rez-de-chaussée, un chaudron dans la buanderie, un âtre dans la boutique du bâtiment avant, au premier étage du bâtiment avant une cuisine sur la droite et un poêle à l’avant, le deuxième et le troisième étage étant pareils au premier, le tout présentant toutes les granties contre les risques d’incendie.

(p. 510) Dienstags den 23.sten Novembris 1779
H. Fibich will in seiner ane der Place d’armes gelegenen Behaußung Rechter Hand des hoffs auf dem rez de chaussée eine schmeltz Eß und bauch kuchen machen den bauchofen mit Caminschoß wohl versehen gleich der Eß auf den gewölbten Keller setzen das Rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt, vornen daran gegen der gass im vordergebäud ein vor Camin aus dem in den Laden eingefeurt wird, das Rohr an steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im ersten stock im vordergebäud an der steeg lincker hand des eingangs eine Kuche mit Heerd und Camischoß wohl versehen, das Rohr mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt vornen daran eine stube in die aus der Kuch eingefeurt wird, der 2.te und 3.te stock so dem ersten gleich. Erkannt Willfahrt – Mstr Linckenhölin

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes

nouveau N° / ancien N° : 59 / 31
Dobner
Rez de chaussée et 1° étage en pierre de taille et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 209 case 3

Schwartz Jacques à Strasbourg

N 738 ⅓, maison, sol, place d’armes 31
Contenance : 0,40
Revenu total : 114,20 (114 et 0,20)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 ⅓
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 ⅓

N 738, maison, sol, place d’armes 31
Contenance : 0,80
Revenu total : 228,40 (228 et 0,42) , total 342,62
Folio de provenance : 209
Année d’entrée :
Année de sortie : 1857
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 3

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 209 case 4

Schwartz, Salomon, ordinaire à Strasbourg
(1855) Schwartz Salomon et Consorts place Kleber N° 31

N 738 2/3, maison, sol, place d’armes 31
Contenance : 0,80
Revenu total : 228,42 (228 et 0,42)
Folio de destination : 209
Année de sortie : 1857
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26 2/3 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 2/3 / 5

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1060 case 2

Schwartz Jacques
1865 Schwartz Léon, bijoutier, changeur, banquier
1887/88 Schwartz Oscar Ferdinand, Banquier
(ancien folio 808)

N 738.p, maison, sol et N 738.p, maison, sol, Place Kleber 27
Contenance : 0,40 et 0,80 total 1,20
Revenu total : 114 et 228 (maisons), 0,20 et 0,42 (sol), total 342,62
Folio de provenance : (209)
Folio de destination : 808, Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1867
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 ⅓, 26 2/3 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 ⅓, 6 2/3 / 8

N 738, maison
Revenu total : 417,62 (417 et 0,62)
Folio de provenance : 808, agrand.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1867
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 43 / 34
fenêtres du 3° et au-dessus : 24 / 19
1867, Augmentations – Schwartz Léon f° 808, N 738, maison, revenu 417, addition de construction, achevée en 1864, imposable en 1867, imposée en 1867
Diminutions – Schwartz Léon f° 808, N 738.p, maison, revenu 114, addition de construction de 1864, supp. en 1867, voir les augmentations
id., N 738.p, maison, revenu 228, addition de construction de 1864, supp. en 1867, voir les augmentations

Cadastre allemand, registre 32 p. 417 case 1

Parcelle, section 61, n° 11 – autrefois N 768, 2418
Canton : Kleberplatz Hs. N° 27 / Place Kléber / Karl-Roos-Platz / Place Kléber
Désignation : Hf, Whs u. N.G. / Hf Whs
Contenance : 1,29
Revenu : 4000 / 6000
Remarques

(Propriétaire), compte 3438
Schwartz Oskar Ferdinand
1937 Schwartz Léon propr. F. & P. Schwartz société en nom collectif
1947 Banque Léon Schwartz société anonyme
1949 Banque Schwartz et Cie société en commandite simple
(99)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton Canton IV, Rue 98 Place d’Armes

31
Prop. Fibich, Jouaillier, au bas de la place d’armes
Loc. Revilliod, Catherine veuve – Miroir
Loc. Ott, Joseph, Jouaillier – Echasses
Loc. Pichler, Philippe Jacques – Echasses
Loc. Wittersheim, Seligmann – Juif

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kleberplatz (Seite 80)

(Haus Nr.) 27
Schwartz, Bankier, E 0
Schwartz, L. Bankier, E 1
Moschenrosch, Wwe. Musiklehrerin. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 727 W 56)

Place Kléber n° 27 (volume 1, 1865-1947)

L’entrepreneur Klein est autorisé en 1865 à agrandir la porte d’entrée et percer deux fenêtres au premier étage du bâtiment rue du Coin Brûlé et à surélever d’un étage le mur de clôture entre le bâtiment avant et le bâtiment arrière. Léon Schwartz n’est pas autorisé en 1885 à crépir le rez-de-chaussée du pignon pour remédier aux infiltrations puisque les travaux seraient faits dans la partie qui dépasse de l’alignement arrêté le 6 mai 1856. Léon Schwartz déclare en 1901 que les travaux de canalisation ont provoqué des fissures dans la maison arrière. Les fissures sont surveillées pendant cinq ans. La Banque Léon Schwartz n’est pas autorisée à agrandir les ouvertures vers l’est dans la partie en avant de l’alignement (1912). Le propriétaire charge en 1920 l’architecte Emile Wolf de faire des travaux intérieurs, de modifier les portes et les fenêtres extérieures et de ravaler les façades à l’arrière de l’alignement légal. Paul Schwartz charge en 1938 au nom de la banque Léon Schwartz l’architecte Emile Wolf d’aménager une chambre ignifuge servant de dépôt d’archives au sous-sol du bâtiment avant après s’être engagé à déduire le montant des travaux du prix d’une éventuelle acquisition par la Ville.
La Société Immobilière de la Place Kleber demande en 1940 de vérifier l’état des étais posés sur le sol des anciens bâtiments n° 23 et 27. La Police du Bâtiment constate en février 1941 que le bâtiment arrière rue du Coin Brûlé risque de s’écrouler, les étais étant pourris. Elle demande la démolition immédiate du bâtiment arrière à l’administration du séquestre (Mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire -General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) qui renvoie l’affaire à la Ville de Strasbourg. L’architecte municipal Beblo conclut que le bâtiment arrière peut être démoli sans porter préjudice au bâtiment avant mais que l’escalier qui dessert les étages du bâtiment avant se trouve dans le bâtiment à démolir. La démolition a lieu en avril 1942. Revenu à Strasbourg la guerre terminée, Paul Schwartz demande en 1945 à la Ville de remettre les lieux en état, en particulier un escalier qui desserve les étages. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise les mesures conservatoires au profit de la banque Léon Schwartz, la Police du Bâtiment fait remarquer que les travaux de renforcement sont interdits dans la partie devant l’alignement légal et que les démolitions ne sont pas dues à des faits de guerre. Les travaux n’ont pas lieu.

Salon de coiffure Seiler au premier étage (1911)
Tailleurs Buisson et Delorme (tailleurs, 138, avenue des Champs-Elysées) au deuxième étage (1919)
Guichet de la Loterie nationale (1938)

Sommaire
  • 1865 – L’entrepreneur J. Klein demande au nom du propriétaire Schwartz l’autorisation de faire des travaux au 27, place Kléber, bâtiment sans numéro rue du Coin Brûlé (1) agrandir la porte d’entrée, (2) percer deux fenêtres au premier étage du bâtiment arrière, (3) surélever d’un étage le mur de clôture entre les deux bâtiments suivant la coupe en marge – L’agent voyer note que la façade sans avance suit l’alignement, la clôture à simple rez-de-chaussée est en maçonnerie
  • 1885 – Les entrepreneurs J. & E. Klein (9, rue Fritz) demandent au nom de Léon Schwartz l’autorisation d’étayer et de crépir le rez-de-chaussée du pignon (7,50 mètres de long, 2 mètres de haut) pour remédier aux infiltrations – L’architecte municipal Nebelung répond que les travaux ne peuvent être autorisés puisqu’ils seraient faits dans la partie qui dépasse de l’alignement arrêté le 6 mai 1856. Réponse correspondante du maire aux entrepreneurs – Nebelung suggère au propriétaire de poser une légère plaque en zinc pour remédier à l’humidité.
  • 1886 – Le maire notifie le banquier Léon Schwartz de faire ravaler le 27, place Kleber – Léon Schwartz (papier à lettres Léon Schwartz banquier changeur) demande de reporter les travaux à l’année suivante parce que le voisin démolit sa maison et que lui-même a l’intention de faire des changements dans la maison arrière – Travaux terminés, juin 1887.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, février 1896
  • 1902 – Une visite des lieux à la demande de l’architecte des Postes Bœttcker établit que la voûte qui donnait sur un escalier de cave à l’angle du Coin Brûlé n’est séparée de la voie publique que par des pierres de taille. Le maire demande au propriétaire de faire des travaux pour éviter tout accident. – Travaux terminés, août 1902.
  • 1903 – Le maître ramoneur Anselme Geiser (16, rue des Charpentiers) rapporte au commissaire de police qu’une cheminée se détache du mur pignon – Croquis – Le propriétaire a remédié à la situation avant la visite de vérification.
  • 1905 – L’entrepreneur E. Klein (5, rue des Bestiaux) demande l’autorisation de poser un échafaudage contre le pignon. – Autorisation – L’entrepreneur ne pose pas d’échafaudage – Dissensions à propos des droits à régler
  • 1901 – Léon Schwartz rappelle au maire qu’il a envoyé quelques jours auparavant au maire une lettre par laquelle il l’informait que les travaux de canalisation ont provoqué des fissures dans la maison. – Une visite des lieux constate que la maison arrière, plus ancienne que celle de devant, s’affaisse légèrement suite aux travaux à cause de fondations défectueuses. On pose des témoins sur les fissures. Il n’y a pas risque d’écroulement. – L’affaissement ne continue pas
    Dossier à l’intention du maire – Suivi de la situation, croquis – Les fissures ne s’aggravent pas, 1905. L’architecte municipal Nebelung dresse un état des frais – Certains témoins posés quatre mois plus tôt se sont détachés, mars 1906.
    1906 – Dossiers sur les dommages de la maison Schwartz – Dossier classé, février 1908.
  • 1907 – Le maire notifie L. Schwartz de faire ravaler le 27, place Kleber – Fernand Schwartz demande de reporter les travaux interdits par sa religion pendant l’année de deuil. – Le maire réitère sa demande en arguant que la maison a mauvais aspect. – Travaux terminés, mai 1909.
    1909 (avril) – Le peintre A. Bœgelmann (29, rue du Fossé des Treize) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Prorogation – Dossier classé, septembre 1909
  • 1911 – La coiffeuse Seiler demande l’autorisation de poser des enseignes (façade latérale entre les n° 27 et 29) – Plan de situation – Inscription Mme A. Seiler I. Etage. Spezial Damen Frisier & Haarpflege Salon. Institut für Moderne Schoenheitspflege, dessin des inscriptions en façade (un mot à chaque fenêtre du premier étage, Ondulation, Manicuren Postiche, Massage) et dans la ruelle – Autorisation
  • 1913 – A. Wittersheim demande l’autorisation de refaire les inscriptions sur cinq enseignes – Autorisation
  • 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1916 – A. Meyer (deuxième étage) transmet à la Police du Bâtiment l’autorisation accordée par le commissaire de police de poser deux enseignes plates. La Police du Bâtiment note qu’il s’agit de quatre petites inscriptions non saillantes posées dans l’embrasure des fenêtres au deuxième étage.
  • 1919 – Le vice-président de l’administration municipale demande à Buisson et Delorme (tailleurs, 138, avenue des Champs-Elysées) de faire une demande à la Police du Bâtiment pour poser une enseigne plate.
    Demande de poser une enseigne plate et quatre autres sur les fenêtres du deuxième étage – Autorisation
  • 1919 – Note. Le pignon porte une publicité que la maison Lévy Frères (140, Grand rue) vient de peindre en noir sur fond blanc. Le fond blanc devrait être remplacé par une teinte plus adaptée au mur. – Le maire écrit au peintre en fondant sa demande sur le règlement du 23 novembre 1910 relatif à la préservation de l’aspect local. – Remarque, février 1920. Les intempéries ont beaucoup atténué le contraste. L’affaire ne sera pas poursuivie.
  • 1921 – L. Schieb (ravalement, travaux en ciment, 11, route d’Altenheim au Neuhof) demande l’autorisation de poser un échafaudage pour ravaler le bâtiment – Le commissaire de police donne son accord – Dessin – Décompte des droits
    1920 – L’architecte Emile Wolf transmet le dessin de la façade latérale pour compléter sa demande pour ravaler les façades (parement en plâtre sur le pignon gauche, inscription Banque Léon Schwartz). La porte d’entrée est nouvelle, la fenêtre centrale servait jusqu’à présent d’entrée. – Travaux terminés, juin 1921.
  • 1920 – L’architecte Emile Wolf demande l’autorisation de faire des travaux intérieurs (déplacer l’escalier de la cave et des cloisons), de modifier les portes et les fenêtres extérieures et de ravaler les façades. Les travaux sont prévus à l’arrière de l’alignement légal. – Autorisation (avec interdiction de percer la fenêtre de gauche vers la place, en conformité avec l’article 17 du règlement)
  • 1922 (mars) – L’entrepreneur L. Schieb demande l’autorisation de poser un échafaudage devant la banque Schwartz pour ravaler la façade – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Décompte des droits
    1921 (mai) – Les entrepreneurs de peinture Lévy Frères (1140, Grand rue) demandent l’autorisation de poser un échafaudage devant la banque Schwartz pour repeindre les volets et la façade – Décompte des droits – Travaux terminés, juin
    1923 – La Police du Bâtiment ne poursuit pas sa demande de ravalement rue du Coin Brûlé
  • 1923 – La maison Meyer et Fichter (3, quai de l’Abattoir) demande l’autorisation de poser une forge sur la voie publique pour modifier le chauffage central. – Le commissaire de police transmet la demande au maire avec avis favorable – Décompte des droits
  • 1938 – La banque Léon Schwartz demande l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Autorisation – Les enseignes sont posées – Dessins sur calque (Change – Loterie nationale)
    1938 – La banque Schwartz est autorisée à poser du matériel sur la voie publique pour réaliser des travaux intérieurs
    1938 – La Police du Bâtiment constate que la banque Schwartz fait des travaux intérieurs sans autorisation dans la partie du bâtiment devant l’alignement légal – La banque Léon Schwartz demande l’autorisation d’aménager une chambre ignifuge (dépôt d’archives) au sous-sol en ajoutant un deuxième plafond.
    Rapport de la Police du Bâtiment, illustré d’un croquis. Paul Schwartz s’engage au nom de la banque Schwartz à déduire le montant des travaux (7300 francs d’après le devis de l’architecte Emile Wolf) du prix d’une éventuelle acquisition par la Ville. – Autorisation d’aménager une chambre ignifuge, 6 août 1938. – Plan de situation portant les alignements légaux – Dessin – Travaux terminés, août 1938
    1938 (avril) – Paul Schwartz demande l’autorisation de poser un guichet de vente muni d’un store en saillie – Autorisation
  • 1940 – La Société Immobilière de la Place Kleber demande de vérifier que les étais posés sur le sol du 23, place Kleber sont solides. – Constat. Les étais aux n° 23 et 27 sont en partie pourris. La clôture vers la rue du Coin Brûlé est endommagée. – La Police du Bâtiment demande à la société de faire faire les travaux nécessaires. – La société immobilière déclare que les travaux sont exécutés, janvier 1941.
  • 1941 (février) – Le directeur de la Maison Rouge écrit à la Police du Bâtiment (M. Nester) que les étais posés aux numéros 22 et 27 sont en mauvais état. Les occupants du n° 27 ont entendu la nuit précédente des craquements qui font craindre un écroulement – La Police du Bâtiment se rend sur place et conclut à un risque d’écroulement
    La Police du Bâtiment fait un courrier à l’administration du séquestre (Mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire – General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) dans lequel elle demande la démolition immédiate du bâtiment arrière
    1941 (avril) – Les habitants ont quitté leur logement – L’administration du séquestre renvoie à la Ville de Strasbourg pour ce qui est de la démolition
    1941 (août) – Courrier de la Police du Bâtiment au Service d’arpentage – Courrier de l’adjoint au maire à la Police du Bâtiment, demandant une enquête. – Le Service d’arpentage écrit à la Division I que la Police du Bâtiment a demandé d’évacuer les logements.
    1941 (octobre) – Le commissaire faisant fonction de maire écrit à l’administration du séquestre que les frais de démolition seront portés au budget de la Ville dès que l’administration aura arrêté le prix d’achat de l’immeuble.
    L’architecte municipal Beblo fait un rapport sur l’immeuble. Le bâtiment avant a été construit au XVIII° siècle suivant les alignements de Blondel. Le bâtiment arrière peut être démoli sans porter préjudice au bâtiment avant. L’escalier qui dessert les étages du bâtiment avant se trouve cependant dans le bâtiment à démolir.
    1941 (novembre) – Lors d’une descente sur les lieux, il a été convenu 1) de conserver le bâtiment avant qui ne sera pas habité tant qu’il n’y aura pas de nouvel escalier, 2) de conserver le bâtiment intermédiaire en terrasse et d’aménager une terrasse provisoire à la place du bâtiment arrière, 3) de démolir le bâtiment arrière jusqu’à la hauteur de la terrasse, 4) d’éliminer les gravats et de remplacer la clôture en lattes par une nouvelle.
    1942 – La Police du Bâtiment déclare ne pas avoir d’objection contre la démolition du bâtiment arrière sis 27, place Kleber
    1942 (mars et avril) – La démolition est en cours
    1942 (juin) – Le bâtiment est démoli. Des enfants pourraient tomber dans une ouverture qui donne dans la cave.
    1942 (juillet) – L’administration du séquestre demande une attestation écrite que le bâtiment démoli ne présente pas de danger et si la Ville a l’intention d’en faire un garage à vélos.
  • 1941 (août) – Le peintre en bâtiment Georges Hambach (19, quai des Pêcheurs) est autorisé à occuper la voie publique pour repeindre la façade
  • 1942 (novembre) – Henri Greiner (22, rue du Fossé des Tanneurs) demande que le peintre Jean Barthelmé (28, rue du Barrage à Schiltigheim) soit autorisé à faire des inscriptions – Travaux terminés, décembre. – Dessin sur calque
  • 1945 (avril) – L’avocat L. Baumann (30, place Kléber) demande au nom de son client Paul Schwartz à la Ville de remettre les lieux en état, en particulier un escalier qui desserve les étages et de lui restituer l’immeuble que la Ville aurait acheté le 12 octobre 1943 sans que la mutation ait été portée au livre foncier.
    1945 (mai) – Le maire déclare qu’il n’y a pas eu de vente à la Ville qui a administré l’immeuble en lieu du propriétaire (in eigentumsweise Verwaltung) comme 177 autres rendus en février 1945 à l’administration du séquestre (Office des Biens et Intérêts privés), chargée de les restituer au propriétaire spolié.
    1945 (juin) – Compte rendu de l’entrevue avec l’avocat Weiller.
    1945 (juillet) – La Police du Bâtiment constitue un dossier sur la démolition du bâtiment arrière par l’entreprise E. Moritz.
  • 1946 (décembre) – L’entrepreneur Santesso (430, route de Strasbourg à Illkirch- Graffenstaden) est autorisé à occuper la voie publique pour réparer le crépi – Prorogation, janvier 1947
  • 1946 (avril) – L’architecte Edmond Picard transmet les plans pour construire une cage d’escalier
  • 1946 (octobre) – Le délégué départemental du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme demande à la Police du Bâtiment une pièce nécessaire au dossier de sinistré
    (sans date) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise les mesures conservatoires au profit de la banque Léon Schwartz (dossier NV 4351 DS) sinistré en août et septembre 1944, boucher les brèches et les fissures, refaire la toiture et l’escalier. – La Police du Bâtiment note (juillet 1946) que les travaux de renforcement sont interdits dans la partie devant l’alignement légal et que les démolitions ne sont pas dues à des faits de guerre. – Pas de travaux. Le dossier est classé, octobre 1947.

Dossier place Kléber n° 26 (cote 727 W 58)

1912 – La Banque Léon Schwartz demande l’autorisation d’agrandir une petite fenêtre au rez-de-chaussée dans le mur du côté de la Maison Rouge – Les travaux sont interdits puisque la fenêtre se trouve en avant de l’alignement légal – croquis – Dossier classén juin 1913

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 727 W 57)

Place Kléber n° 27 (volume 2, 1948-1963)

Le délégué du M.R.U. demande en 1948 s’il y a lieu de réparer le bâtiment frappé d’alignement, ce qui procurerait trois logements. Le maire émet un avis défavorable comme le bâtiment se trouve sur le tracé de la voie projetée entre la place de Haguenau et la place de l’Etoile. La Ville convient avec le propriétaire Schwartz de limiter les travaux au strict nécessaire, c’est-à-dire de rendre les locaux habitables. L’architecte Edmond Picard fait les dessins. Les travaux sont interrompus en 1949 par le service d’urbanisme de Paris. L’entreprise Ernest Jockers est autorisée en août 1957 à occuper la voie publique pendant la démolition du bâtiment.

Sommaire
  • 1948 (janvier) – Compte rendu de l’entrevue entre l’avocat Weiller et le Service du contentieux. L’architecte Wolf a vérifié pendant la guerre la solidité du bâtiment démoli, auparavant étayé par les soins du gestionnaire des terrains voisins. L’avocat déclare que la banque Schwartz renoncerait à poursuivre la Ville si elle obtient satisfaction auprès du M.R.U. – La Division VI-E fait remarquer que le bâtiment qui subsiste se trouve sur le tracé de la voie projetée entre la place de Haguenau et la place de l’Etoile
    1948 (février) – Le délégué du M.R.U. demande s’il y a lieu de réparer le bâtiment frappé d’alignement, ce qui procurerait trois logements. – Le maire émet un avis défavorable (mars)
    1948 (juillet) – La Division V déclare qu’il a été convenu avec le propriétaire Schwartz de limiter les travaux au strict nécessaire (rendre les locaux habitables).
    1948 (novembre) – Paul Schwartz accepte les conditions et renonce à toute indemnité pour plus-value résultant des travaux
    1948 (décembre) – L’architecte Edmond Picard transmet les dessins – Plan de situation où figure l’alignement légal – Devis estimatif (terrassement, maçonnerie, charpente, menuiserie, couverture, plâtrerie, installations sanitaires, peinture, vitrerie, serrurerie, installation électrique)
    1949 (janvier) – La Police du Bâtiment émet un avis favorable à la reconstruction prévue par le M.R.U.
    1949 (juin) – Les travaux interrompus en avril continuent
    1949 (juillet) – Le délégué du M.R.U. déclare que les travaux de réfection ne nécessitent pas de permis de construire – Les travaux sont interrompus par le service d’urbanisme de Paris. Le dossier est classé.
  • 1948 (décembre) – La banque Schwartz demande l’autorisation de poser une enseigne sous verre (or sur fond noir, Banque Schwartz & Cie) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
  • 1953 (juin) – Un bloc de pierre détaché de la corniche tombe sur la voie publique. – La Police du Bâtiment demande à Paul Schwartz de faire vérifier l’état de tout le pignon sud. – Paul Schwartz répond que les travaux sont terminés mais que la chute n’est pas due à la vétusté mais à des faits de guerre.
  • 1957 (juin) – Paul Schwartz demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques sur le balcon du premier étage. – Dessin sur calque -L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
    1957 (août) – L’entreprise Ernest Jockers (3, rue des Capucins à Kœnigshoffen) est autorisée à occuper la voie publique pendant la démolition du bâtiment
    1957 (novembre) – Paul Schwartz demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques sur la façade vers l’Homme de Fer – Dessin sur calque – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
  • 1958 (janvier) – L’association syndicale de Reconstruction, propriétaire, est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour poser des seuils de fenêtre.
    1963 – La Société d’Achat et de Vente d’Appareils Ménagers (S.A.V.A.M., à Lipsheim) retourne un avis de paiement pour une publicité dénoncée en cours d’année

Relevé d’actes

La veuve et les héritiers de Loup de Bubenhoffen vendent la maison dite zum Danneck au vitrier Jacques Hemmerlin, assisté de son frère docteur en médecine et en chirurgie Abraham Hemmerlin

1594 (30. Martÿ), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 44-v
Kauff Meyster Jacob Hemmerlin des Glasers vber sein behausung auff dem Barfuesser Platz
Erschienen Michael Bering. d. Notarius als befelchhaber weÿland des Edlen & Hanß Wolffen von Bubenhofen selig. hind.laßner wittib vnd Erben Fraw Wandelbar Lemlerin d. wittib vnd N. deßelben Schwag. N desselben Brud. seligen Kind. vnd hat (verkaufft)
Meyster Jacob Hemmerlin dem Glaser vnd burg. alhie d. Ime vnd seinen erben mit beÿstand des hochgelehrten H Abrahami Hammerlins d. Artzeneÿ vnd Chyrurgy doctoris seines fr. lieben Brud., kauffen
hauß hoffstatt mit aller d.selben Zugehördt begriffen recht vnd gerechtigkeit alhie ane dem Baarfüeßer Platz einseÿt neben Peter Ermelhauß dem Kueffer and.seyts ein Eck hauß hinden auf das geprendts end stoßend geleg. vnd Zum Denneck genant, davon gehnd Jarlichs ein pfund vier schilling Zehn Pfenning ewigs erschetzigs gelts auf Johannis vnd weÿhenachten Jedes mal der halbe theyl gefallend dem Edlen vhesten Hanß Christoph von Hagenbach deßen Schaffner Balthasar Junius dem Zinß Jarlichs empfahet, Item 10 guldin Straßb. wehrung auf Mariæ Verkhüdung dem Closter S Margarethen vnd Agnetis gefallend In hauptgut mit 200 g. Wehrung lösig, Item achthalben gld. Jährlichs gelts auf Mariæ Liechtmeß Kreßen von *h. In hauptgut mit 150 g. wehr. wid.kheuffig, It. Siebenthalb guld. gelts auf Adolphi Sÿmon Kellern In hauptgut mit 130. g wehr. loßig, Item fünff guld. glts vff den erst Januarÿ Fr. Abbtissin Zu S Steffan alhie In hauptgut mit 100 g. wid.losig vnd dan ein Pfund d. gelts auff Medardy des Edlen vhest. Adamen von Berstet selig Erben In hauptgut abzulosen mit 20 lib sonst eÿg. Vnd were d. khauff für ledig eig. beschehen für vnd vmb 9 guld. straßb. wher.

Jacques Hemmerlé épouse en 1592 Marguerite, fille du charron municipal Simon Keller
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 21 n° 3)
1592. Jacob hemmerle der glaser, vnd Margaretha Simon Kellers des alten Stattwagners hinterlaßene tochter. Eingesegnet Zinstag den 25. Januarÿ Ausgangen in der Mang (i 13)

Jacques Hemmerlin est nommé vitrier municipal en 1610. Il est remplacé dans ses fonctions en 1621 après sa mort.
1610 Conseillers et XXI (1 R 89)
[Jacob Hemmerlin contra Kappen Lorentz, Gutt Jacob und Georg Lorentz wegen Hauptgutt. 375. Landvogt zu Hagenau schreiben]
1610 VII 1325 Bauherren – Jacob Hemmerlin zum Stattglaser ernannt. 50. (Donnerstag 22.t Martÿ)
1619 VII 1333 Bauherren – Jacob Hemmmerlin Stattglasers rechnung. 120.
1621 VII 1336 Bauherren – Stattglasers Wittib Jacob Hemmerlein (194-v), angenommen Hanß Gastelius

Jacques Hemmerlin hypothèque la maison zum Danneck au profit des créanciers Braun

1599 (ij.t Augusti), Chancellerie, vol. 321 (Registranda Meyger) f° 220
(Inchoat. In Proth. fol. 247.) Erschienen Jacob Hemmerling d. Glasser burger Zu St.
Hatt bekhandt, vnndt Inn gegenwertigkheit herrn Gergen Knörers, Als Schaffner der Braunischen Creditoren – schuldig sige 50 pfund Straßburger
Zum vnderpfand inngesetzt vnd verlegt Hauß vnd hoffestatt, mit Iren gebeu. begriffen, Weithen, Rechten vnnd Zugehörden geleg. alhie Inn der Statt St. vff dem barrfüsser blatz, Zum dann eck genant, Einsit ein Eckhauß, vnnd Andersit nebent Peter Ermellhauß den Küffer, hinden vffs Brendt endt stoßend, dauor ght xxiiij fl.* boden Zinß Balthazar Junio In Schaffners weiß, Item x guldin gets St. w. ablösig mit ij C guldin Straßburg werung sant Margred Closter Alhie, Item v guld. gelts widerkhöuffig mit j C guld. gemelter wehrung dem Closter Zu Sant Stephan, Item Achthalben guldin gelts widerlößig mit Anderthalb hundert guldin St. werung hanns von Auwenheim seligen Erben, It. j lb d gelts Ablößig mit 20 pfund pfenning der Edlen von Bersteth seligen Erbenn, So dann Sübenthalben guldin gelt lösig mit 130 guldin Straßburg. wherung dieboldt Lingolßheim dem Passamentmacher, Sonst eÿg.

Jacques Hemmerlin et sa femme Marguerite hypothèquent la maison au profit des enfants de Jean Daniel Jobin et de Marie Brat et de ceux d’Absalon Simon et de Marguerite Brat

1604 (vt spâ [xxviij Julÿ]), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 227-v
(Inchoat. fo: 239.) Erschienen Jacob Hemmerlin der glaser vnd Margred sein eheliche haußfr.
haben in gegensein herrn Laurentzen Schauwmans als geschwornen vogts hannß Daniels Jobin und Fr. Marien Bratin seiner ehegamehlen ehelichen erziehlter Kinder V Melchior Engelhart alls Vogt herrn Absalon Simeons des Notarÿ mit Fr. Margreden Bratin seiner hußfrauwen ehelich erzielter Kinder denselben Kindern schuldig 200 pfund pfenning S. gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt mit all Ir gebeu geleg. Inn der SS vff dem Barfüßer blatz einseyt ein eck am Branten end and.seyt neben Peter Ermelhuß dem Khuffer, stosst hinden Inns allmend gaß, davon gnd Zuuor Zehen gold glt losig m ij C guld SW der Closter Fr. Zu S Margred, Mehr fünff guld gelts losig mit i C S Steffans Closter, Item j lb iiij ß ehrschetzigks Zinß Inn S Anthonien hoff, Mehr j lb d bod. Zinß dem Junckherr von Berstett So dann Achthab guld gelts widerkheuffig mit 150 guld. SW H Diebold Lingolßheim dem Jungen
Mehr soll vff sein (…)

Jacques Hemmerlé et sa femme Marguerite Keller hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Marbach, receveur des lods et ventes

1607 (xx tag octobris), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 425-v
(Inchoat. in Proth. fol: 330.) Erschienen Jacob Hämmerle der glaser burger Zu Straßburg vnnd Margred Kellerin sein eheliche haußfraw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn hannß Geörg Marbach Pfund Zollers burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen – schuldig sigen 50 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg, vff dem Barfüsser platz einsit Ist ein eckhauß Am Brendten end vnd And.sit neben Peter Ermellhauß dem Küeffer, hind. Ins Brandendt stoßend, dauon gond j lb iiij ß s d Boden Zinß empfahen h Balthasar Junius Inn schaffners wÿß, Item Zehen guldin gelts Ablösig mit ij C guldin Sant Margred. Closter, Item viij gl gelts Lösig mit j C L gl Geörg Obrecht, Item vj gl v ß gelts wid.khoüffig mit ij C xxx guldin Dieboldt Lingolßh. Item Ein Pfund pfenning gelts stond Inn hauptgutt xx lb d Johann Budler Inn schaffners wÿß, So dann ij lb x ß gelts stond Inn hauptgutt L lb d Geörg Knören Alhie

Jacques Hemmerlein hypothèque la maison au profit des enfants du vitrier Samuel Steg

1612 (xvj Maÿ), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 143
(Inchoat. fo: 158.) Erschienen Jacob Hemerlein der Statt glaßer
hatt in gegensein Michel Scherbaums auch glaßers Allß geschwornen Vogts frÿderich vnd Regÿnen geschwüsterd. wÿland Samuel Stegs des glaßer seeligen kind. – schuldig zusein 50 guldin Zu xv batzen gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnd Hoffestatt & geleg. In der St. Straß. vfm Barfüßer blatz einseÿt neben Peter Ermel dem Khüffer anderseit ein eckhauß stost hinden vffs brenden end geßlin, Dauon gonth j lb 4 ß 10 s Bodenzinß Junckher hanß Christoph von hagenbach, Mehr Zehen gld. gelts Straßburg werung Vff Marien verkhündung ablesig mit j C v lb d dem Closter zu Sant Margred. Item viij gld H Georg Obrecht Ablesig mit j C L guld. Straßburg. werung Item vij gls gelts Ablesig mit 130 fl werung diebold Lingelßheims wittwe, Item 5 fl gelts St werung ablesig mit 100 fl bemelter werung der Frauw Aptisin zu Sanct Steffan, Vnd dan j lb gelts Junckher Adam von Berstett seligen erben, widerkheuffig mit xx lb So dan 5 guld. gelts H Georg Knorren Ablesig mit L m Straßburg.

Jacques Hemmerlen hypothèque la maison au profit du vitrier Michel Scherbaum. En marge, quittance remise en 1630 à Samuel Ferber puis en 1641 à l’organiste Henri Wid.

1613 (xxv Octobris), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 294-v
(Inchoat. fol: 301.) Erschienen der Ersam Jacob Hemmerlen der Statt glaßer
hatt In gegensein M Michael Scherbaumen auch glaßers – schuldig sein 50 guldin Zu xv batzen
dafür Vnderpfand sein sollen huß V hoffestatt mit all anderen Iren gebeu gelegen In der S.S. vff dem Barfüsser blatz einseÿt neben Peter Ermelhuß dem Khüffer, anderseÿt ein eck stoßend hinden vff den Brand end gaßlin, Dauon gnd j lb iiij ß x d Bodenzinß Junckher hannß Christophel von Hagenbach, Mehr 10 guldin gelts SW abloßig mit 200 guldin derselben werung S Margred Closer, Item Achthalben guld gelt Straßburger widerkheüffig mit 170 guld derselb werung hn Georg Obrechten, wyther Siebendhalben guldin loßig mit 130 guldin Straßburger h. Diebold lingolßheÿmer selig witwe, Item 5 guldin gelts abloßig mit 100 guldin Straßburger S Steffans Closter, Item j lb d gelt loßig mit xx lb d Junckher Adam Von Berstett seligen erben vnd dann 5 gulden gelts widerkheüffig mit 100 guld SW Georg Küner*
[in margine :] Erschienen Samuel Ferb. alß Inhaber der hierinn specificirten behausung an eim, So dann deß creditoris nunzumahl see: Nachgelaßener Kinder vogt Lorentzen Linck Glaßmaler am 2. theil (nachtrag) Act. den 22. Julÿ 1630.
[in margine :] Erschienen David Scherbaum deß Creditoris Sohn, alß welche seiner Anzeig nach der halbe theil ahne dißem Nachtrag gehörig in gegensein H Heinrich Widen deß Organisten im Münster als ehevögtlich weise Innhalbers deß Vnderpfands (…) act. d. 17. April. a° 1641.

Jacques Hemmerlé hypothèque la maison au profit de Georges Jean Altgeyer, pasteur à Sulz dans le bailliage de Lahr

1616 (ut spâ. [xxix. Junÿ]), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 309-v
(Inchoat. in Prot. fol. 339.) Erschienen herr Jacob Hemmerle der Statt glaser burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn M. Geörg Johannis Altgeÿern Pfarrers Zu Sultz Lohrischen hannß – schuldig sige 100 pfund pfenning
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebewen & gelegen, Inn der St. St. vff dem Parfüßer platz, einseit neben Peter Ermelhauß dem Küffer anderseit neben einer Eck behausung hinden vff das brand end genant das taneck, dauon gend j lb 4 ß 10 s bodenzinß Jr. hannß Christoff vonn hagenbach, Mehr x guldin gelts Ablößig mit ij lb guldin wehrung dem Closter Zu Sanct Margreden, Weÿther viij guldin gelts widerkheüffig mit j C L guldin berürter wehrung herrn hansen von Auwenheim, Item vij guldin gelts widerlößig mit j C 30 guldin Sebastian Koler dem Mangmeister, Item v guldin gelts stend Inn hauptgutt j C guldin dem Closter Zu Sanct Steffan Vnd dann j lb gelts Ablößig mit xx lb d Juncker Adam von Bersteths seligen erben
Vnd Zu noch mehrer Assecuration So ist Auch persönlich erschienen hannß haaß der Küffer burger Alhie hat sich für sich & mit sampt Ihme Bekhenner Zu einem rechten bürgen mit Vnd und selbst schuldner und selbst Zahlern vnver: gesetzt vndt gemacht

Le tonnelier Jean Haas, tuteur de Marguerite Keller veuve de Jacques Hemmerlin place un capital à la Tour aux deniers
1623, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1338)
(f° 30-v) Zinstag den 28. Januar. 1623 – Hanß Haaß der Küeffer, als vogt Margret Kellerin weÿland Jacob Hemmerlins des Stattglasers seel: Wittib hat ins vogteÿgelt angelegt 150 h
Haben Ihro darumb Zukauffen geben 7 h 10 ß vff Conversion Puli fallens

La veuve et les enfants de Jacques Hemmerlin vendent la maison zum Danneck au marchand de chevaux Georges Ziegler et à sa femme Susanne Gutbub

1622 (14. Septembris), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 105-v
Kauffverschreybung Georg Zieglers Ross thauschers vnd Burgers alhie
(Extendirt wie in dem Contractbuch de hoc Anno folio 176.) NB dises hauß ist anderwehrts verkaufft word.
Erschienen weÿland Jacob Hammerlin gewesenen d. Statt Glasers selig. wittwen vnd Erben vogt h. hanß Haaß d. Kieffer vnd h. Israel Hammerlin der Goldarbeytter vnd
haben in gegensein Georg Ziegler Burg. vnd Roßthausch. vnd Susanna Gutbubin bed. ehegemecht (verkaufft)
Ein Behausung d.selben hoffstatt mit allen Zugehörd. geleg. alhie ane dem Barfüß. Platz, einseyt ein eck ane dem gebranden end, and.seyt neben Peter Ermelhuß dem Kieffer hinden auff ein gaßlin das gebrandte end genant stoßend geleg. vnd Zum Danneck genant, davon gend ein pfund vier schilling zehn pfenning ewigs erschetzig vnd fürbiettig Zinß auff Johannis Baptistæ Jungker Hanß Christoff von Hagenbach deßen Schaffner Peter Knorren, Item 10 g losig auf Mariæ Verkundung dem Closter S Margareth alhie in hauptgut mit 200 gl. Item achthalb. gl wehrung auff Liechtmeß Georg Obrecht. In Hauptgutt mit 150. gl. w. Item Sibenhalben gl. wehr. auff Adolphi H Friderich Rieheln xv. Hn In hauptgut mit 130. gl w. Item 5 gl w. auff den ersten Januarÿ dem Almoß. Zu S Steffan In Hauptgut mit 200 gl. Item 1 lb auff Medardi Junckh. Joachim von Berstett In hauptgut mit 20. lb. It 2 lb 10 ß d auff den 3. Augusti dem Braunischen falliment empfahet Georg Knörer In haupguth mit 50 lb, Item 1 lb 10 ß auff den auffart tag Mathis Scherbaum dem Glaßer In hauptgut mit 25 lb. vnd 2 ß 6 d d. Statt Zinßmeister von dem wetter tächlin sonst eÿg. vnd were dißer Kauff geschehen für vnd vmb 2800 gl. Str.
[in margine :] Erschienen Herr Hans Haaß vnd Israel Hammerlin innamen weÿland Jacob Hammerlin selig witwe vnd kinder haben in gegensein ([biffé] Georg Zieglers des Kieffers) bekant das sie ane dem Kauffschilling von Samuel Ferbern dem Inhaber des hauses empfangen 100 lb sampt deb Zinß 1623 (…) quitirt den 14. 8.br 1624.
[in margine, quittung Berstett, 27. Maÿ 1623]

Originaire de « Schonberg », le marchand de chevaux Georges Ziegler épouse en 1609 Susanne, fille de l’horloger Charles Guttbub.
Mariage, cathédrale (luth. p. 231)
1609. Dominica 11 Trinitatis den 27 Aprilis. Mehr Jorg Ziegler von schonberg der Roß kam, Susanna Caroli Gutbub des vhrmachers dochter (i 119)

Le marchand de chevaux Georges Ziegler achète le 16 septembre 1613 le droit de bourgeoisie, assisté de de son beau-père Charles Guttbub
1613, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 772
Georg Züegler, der Roßtauscher khaufft daß Burgerrecht mit beÿstandt seines Schwehers Carlen Guttbuben wüll Zu den Schmidt. dienen Actum den 16. 7.bris Aô 1613.

Georges Ziegler et Susanne Gutbub revendent deux mois plus tard la maison à Jean Jacques Scheer et à sa femme Anne

1622 (13. Novembris), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 138
Kauffverschreybung Hans Jacob Scherern vber sein Behausung
(Extendirt wie in dem Contractbuch de hoc Anno folio 236.) Erschienen Georg Ziegler vnd Susanna Guthbuben beede Ehegemechdt
bekannte in gegensein Hannß Jacob Scherer vnd Annæ seiner ehelichen haußfr. (verkaufft)
Ein behausung sampt deren hofstat vnd Allen Zugehörd. & alhie am Parfüeß. blatz einseit ein Eckh am gebranden End, 2.seyt neben Peter Ermelhausen dem Küeffer gelegen, hinden vf ein gaßlin, das gebrandte Endt gnt. stoßend, vnd Zum Danneck genant, welche behaußung Er Ziegler vnd sein haußfr. erst newlich von weÿl. Jacob Hämmerlings deß Stattglaßers see: witin vnd erben erkaufft hat, wie solcher kauff hievornen fol. 105. fac. 2. Zubefind. Von der ietzberkaufften behaußung Jahrß gehen j lb 4 ß 10 d ewigs, erschätzigs vnd fürbiettigs Zinß auff Joh. Bapt: Jrn. Hannß Christoff von Hagenbach, deß. Schaffner Peter Knörer, Item 10 gld. wehrung vff Mariæ Verkundung dem Closter S Margrethen alhie in hauptgut mit 200 fl. Item achthalben gulden vff Liechtmeß Georg Obrechten, in Hauptg. mit 150. gl. wehrung, Item Sÿbenhalben gld. wer. vff Adolphi H Friderich Rüehlen xv. In hauptg. mit 130. fl wehr. Item 5 gld wehr.vff den ersten Jan. dem Closter Zu S Steffan In hauptg. mit 100 fl. wehr. Item 1 lb vff Medardi Jr. Joachim von Berstet In hauptg. mit 20. lb. Item 2 lb 10 ß d vff den 3. Augusti dem Braunischen falliment empfahet Georg Knörer In haupguth mit 50 lb, Item 1 lb 10 ß auff den Auffahrtstag Mathis Scherbaum dem Glaßer In hauptgut mit 25 lb. So dann 2 ß 6 d. der Statt Zinßmeister vom wetterdächlin, sonst ledig vnd eÿgen, vnd were dißer Kauff für freÿ,ledig vnd eÿgen Zugangen per 1670 pfund

Jean Jacques Scheer et sa femme Anne Redler hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit du constructeur de bateaux Gabriel Meyer

1622 (ut spâ. [xv. Novembris]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 491
(Inchoat. in Prot. fol. 355.) Erschienen Hannß Jacob Scheer burger Zu Straßburg vnd Anna Redlerin sein haußfr. Vndt
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Gabriel Meÿer Schiff Zimmermann burgers Zue Straßburg – schuldig seÿen 300 pfund pfenning
Zu vnderpfand verlegt Hauß Vndt hoffstatt mit Allen Ihren gebeüwen & gelehen Inn d. St: St: Vff dem parfüesser platz, einseit ein Eck Am brendtenendt ands: Peter Ermelhauß, hinden Vff ein geßlin, Welche Zuuor noch Verhafftet ist vmb j M. lb Weÿland hannß Jacob Hemmerlin stattglaßers s. Erben

Le charretier Jean Jacques Scheer épouse en 1610 Anne, fille de l’arbalétrier Gaspard Redler d’Augsbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 228, n° 90)
1610. Hans Jacob scher der Karcher, Anna, Caspar Redlers des Armbrusters Zu Augspurg tochter, Eingesegnet Zinst. d. 4. Decemb (i 119, im 118)

Samuel Ferber est propriétaire de la maison un an plus tard. Il l’hypothèque en novembre 1623 au profit de Daniel Ringler, assesseur des Quinze

1623 (ut spâ [vj. Novembris]), Chancellerie, vol. 450 (Registranda Meyger) f° 816
(Inchoat. in Prot. fol. 407.) Erschienen H. Samuel Ferber burger Zue Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit des Ehr. fr. Vndt W. Herrn Daniel Ringlers fünff Zeheners deß bestendigen Regiments der Statt Straßburg – schuldig seÿn 500 pfund
zu vnderpfand verlegt, Hauß Vnd Hoffstatt mit Alen Ihren gebeuwen gelegen Inn d. St: St. Vff dem Parfüsser platz, eins. ein eckh Ane dem Brandtenendt, Ands. Peter Emmelheuß dem Küeffern Hinden vff das Brendten endt stoßend, dauon gnd 4 ß 6 d Allmendt gelt d. St. St. So dann Ist sie noch verhafftet vmb iij. C. lb. Weÿlandt Jacob hemmerlin Stattglaßers s: Wittwen, Sonst eÿgen
Zu noch mehrer Assecuration So ist Auch persönlich erschienen h. Bernhard Schmid burger Zue Straßburg sein des Bekenners Schwehr hat sich für sich & mit sampt Ihme Bekhenner seinem dochtermann & Zu einem rechten bürgen mit Vnd und selbst schuldner und selbst Zahler vnverscheidentlich gesagt vndt gemacht

Fils de Samuel Ferber de Kaysersberg, le marchand Samuel Ferber épouse en 1616 Esther, fille de Bernard Schmidt
Mariage, cathédrale (luth. p. 46)
1616. Dominica 20. Trin: d. 13. 8.bris. Samuel Färber der Handelsmann von Keÿsersburgk, H. Samuel Färbers n. sohn, vnd J. Esther H. Bernhard Schmiden Alten grosen raths verwandten tochter. Eingesegnet montag d. 28. 8.bris. (i 28)

Samuel Ferber devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1616, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1007
Samuel Ferber, d. handelßman Von Keÿßersburg Empfahet d. Burgrecht von Eten* Bernhardt Schmiden Großen Rhatts beysitzers dochter vnd wüll Zum Spüegel Zünfftig sein den 10. 10.bris Aô 616

1627 Conseillers et XXI (1 R 109) Magnus Rolandi contra Samuel Ferber. 225. (pt° schuld)

Samuel Ferber hypothèque la maison au profit du marchand Daniel Weitz

1626 (ut spâ. [8. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 530-v
Erschienen h Samuel Ferber burg. alhie
hatt in gegensein H Daniel Weitzen deß handelßmanns auch burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 312. Reichßthaler in spê für aberkaufft Zinn (…) und in franckhforth 112. Reichßthaler, vnd dann die vberigen 200 Reichßthaler vff Straßburger Weÿhenachten Meß
vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstatt mit allen Zugehörd. alhie vffm Parfüeßer platz, einseit ein Eck, 2. seit neben Peter Ermelhausen dem Küeffer gelegen, hinden vffs Brandtenend gäßlin stoßend, vnd ist solch hauß zuuor hafft vmb 700. fl. Jacob Hämmerlins deß geweßenen Statglasers s: wittib, Mehr vmb 100. fl. H Daniel Ringlern Jetz regirendem H Ammeister vnd dann vmb 300. fl. Gabriel Meÿer dem schiff zimmermann, Item vmb 65. lb d H Friderich Rüehlen, xv.ers see: vogtlich weiß sonst eÿgen

Samuel Ferber hypothèque la maison au profit de Jacques Kircher. Sa femme Esther Schmidt se porte garante

1626 (xvj. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 702-v
Erschienen h. Samuel Ferber burger Zu Straßburg
hatt in gegensein h. Jacob Kürcher burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 250 Reichs daler
vnderpfand hauß, hoffstatt, mit Allen Ihren geb. geleg. Ann d. St. St. vff den parfüsser platz einseit ein Eck Ane Brandt end gäßlin and.seit n. Peter Ermellhauß dem kieffer hind. vffs gäßlin stoßend, welche behaußung Zuuor noch verhafftet Ist vmb 250. lb gl Jacob Hämmerle des glasers witwe, Mehr vmb 500. lb h Daniel Ringler Jetzo Regrd Ammeister, It. vmb 150. lb Gabriel Meÿer schiff zimmermann
[in margine :] (…) ferner erscheint auch sein Debitoris eheliche haußfr. Ester Schmidin mit beÿstand herrn D. Johann Friderich Schmid., comitis palatini vnd der St. St. Raths vnd Aduocaten, wie auch Johann Rincken deß organisten ihrer beed. nechster verwanthen, die hat in dise nebens stehende obligation dergestalt v.willigt (…) act. 24. Maÿ 1627.

Les administrateurs de l’Orphelinat rapportent aux Conseillers et aux Vingt-et-Un que le fils de Samuel Ferber a été admis trois ans plus tôt à l’Orphelinat par recommandation du docteur en droit (Jean Frédéric) Schmidt qui vient de mourir.
1639, Conseillers et XXI (1 R 122)
(f° 69) Montag den 6. Maÿ – Pfleger des Weisenhaus wegen Samuel Ferbers Söhnlein
die herren Pfleger des Weisenhaus bringen an, daß vor dreÿen Jahren Samuel Ferbers Söhnlein auf ansuchen H Dr Schmiden JL seelig. in d. weisenhaus were aufgenommen worden, vndt habe herr Dr. seel so schrifftl. so mündlich gedachtes Almusen dergestalt in seinem letsten willen Zubedenck. versproch. daß es seiner Kein schaden haben soll, wie solches durch herren Stattschr. herren Frantzen vndt andere auf allen fall genugsam erweisen werden kann. Nur seÿe wie bekant H. Dr Schmidt ohne Testament verstorben, der leib blöd vndt Zu keinem handtwerck tauglich vndt hette mann Ihn nimmermehr in daß weisenhauß genommen, wann nit d. versprech. von herren Dr Schmiden bescheh. were, weilen er damahls seine Eltern noch gehabt, Seÿe deroweg. von den Erben ein Freÿwilliges Zu beßerer unerhalt dises Knabens, Angemuthet worden, welche aber nichts geben wollen, Dannenhero sie veranlaßen worden die sach beÿ Mghh. den XIII. anzubring. und in betrachtung derselben sonderbahren bewandnus Zu bitten, daß sie authorität dem Almusen Zum besten interponiren wolten, darauf wohl ermelte MGh. die XIII herren auß Ihrem mittel deputirt welche den Erben Zegesproch. vnd von denselben 50. frt. früchten begehrt, weilen aber keine frücht. vorhanden gewesen, habe der wittibin vogt 500 fl. darvor angeboten, der Organist Johann Rinck aber sich darwid. gesezt, vndt dem Schaffner vor den Kleinen Rhat Ex lege diffamari gebieten laßen. Welches alles Sie die herrn Pfleger wohlermelten Mghh. den XIII geclagt, vnndt beÿ Ihnen gestrig. tages vmb raht vndt assitentz angesucht, de hetten sich aber vor Mgh. alls die Oberpflegere gewiesen & (…)

La maison revient par vente judiciaire à Henri Wid, gendre de Jacques Hemmerlé. Fils d’Henri Wid, il épouse en 1629 Marthe, fille du maître des rentes Jean Georges Ulner

Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 91)
1629. Dom Invocavit 22. Febr. Heinrich Widt Hern Heinrich Widten seelig nachgelaßener Sohn, vnndt Marthan herrn Georg Ulners der Statt Straßburg Rentmeisters eheliche Tochter. Cop. 20. Feb. Zu Illkirch (i 49)
Mariage, Illkirch (luth.) Montag den 2. martÿ 1629. Sind alhie Zu Illkirch eingesegnet worden Herr Heinrich Widt, H. Heinrich Widten seligen nachgelaßener Sohn vnd Martha Herr Georg Ulners des Rentmeisters auff den Pfennig thurn tochter. Als sie Zuuor à R. D. M. Samueli Schallesio pastor ad Juniorem Petrum einen Schein gebracht das sie zum andern mal daselbsten ausgeruffen vnd ohne hindernuß befunden worden (i 14)

Il se remarie en 1634 avec Marthe, veuve de l’apprêteur de chapeaux Eric Buntz
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 168)
1634. Eadem [Dom. Pentecost. 25. Maÿ] H. Heinrich Wid burger alhie und F. Marthan, Erici Buntzen des hutstaffierers vnnd burgers alhie nachgelaßene Wittwe. Cop. 3. Junÿ Zu J. S. Peter (i 86)

Eric Buntz épouse en 1630 Marthe, fille du vitrier municipal Jacques Hemmerlé
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 104)
1630. Dom. Sexages. 31. Jan. Ericus Buntz j. Huttstaffirer vnd burger alhie vnd J. Marthan, Jacob Hemmerlin gewesnen Stattglasers vnd burgers alhie nachgelaßene Tochter. Cop. 8. Feb. Zu St. Clauß (i 54)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 158 n° 3) 1630. Domin: Sexagesimæ. Ericus Buntz, der Huttstaffirer, vnd Jungfrau Marthan, Weiland Jacob Hemmerlein, des Stattglasers f. hinderl. ehel. tochter (i 171)

Originaire d’Oppenheim, Eric Buntz épouse en 1625 Marthe, fille du marchand Georges Hammerer
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 141-v n° 25)
1625. Dominica Vocem jucunditatis i. Vice. Erich Buntz der Huttstaffirer, Peter Buntzen deß würdts Zu Oppenheim hinderlaßener ehelicher Sohn, vndt Jungfr. Marian Herrn Görg Hammerers deß handelßmanns vnd Burgers alhie hind.lasene eheliche tochter. Zinst. post Exaudi zu S. Claus (i 155)

Mention d’Henri Wid dans les registres du Magistrat
1648 XV (2 R 67) Heinrich Widt. 30. 136. 250. (frücht, wein)
1649 XV (2 R 68) Heinrich Widt. (umb frucht) 35. (umb frucht) 91.
1650 XV (2 R 69) Heinrich Widten 2 Kinder vogt (umb Zinß). 161. Heinrich Widt (frücht, wein). 182.
1652 XV (2 R 70) Heinrich Widt. (umb frucht) 67.
1653 XV (2 R 71) Heinrich Wid. (umb Zinß) 96. der Jung (Pfenningthurn Capital). 148.
1654 XV (2 R 72) Heinrich Widt. 39. (um wein)
1655 XV (2 R 73) Heinrich Widt. 49. (um wein)
etc
1671 Conseillers et XXI (1 R 154)
Heinrich Widen des geweßenen Organisten Zum Jungen St Peter Kinder. 171. 197.

Le musicien Henri Wid et Marthe Hemmerlé hypothèquent la maison zum Danneck au profit de Daniel Wencker. L’acte justifie l’absence de titre parce qu’elle a été vendue par adjudication judiciaire pour défaut de paiement contre Samuel Ferber

1646 (Michaelis), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 470-v
Erschienen Henrich Wid der Instrumentist und Burger Zu Straßburg und Martha Hämmerlerin sein eheliche haußfrau und Sie Fraw Martha insonderheit mit beÿstand Anthoni Walthers deß Glasers und hannß Bräuchelß deß Schneiders beed. alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
haben in gegensein H Daniel Wenckhers Burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 350. Pfund pfenning vff den fuß des Reichßthalers Zue 15. ß
dafür in specie Vnderpfand sein soll (…) Item hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie am Parfüßer Platz neben H Johann Kelterern Kleinen Rhats Verwanth. ein: und anderseit ist ein Eckh, hind. vffs brendte End stoßend gelegen, und Zum dann Eckh genannt, davon gehnd iahrs vff Margarethæ 5 fl. wehr. lößig mit 100 fl. wehr dem Stifft St. Margarethæ, 2. fl. 5 ß wehr. vff Michaelis wid.käuffig mit 50. fl. Wehr. dem Stifft St. Stephan, It 6. fl. 8 ß 6 d à 15 batz. vff Adolphi lößig mit 136. fl. 5 ß Jungfrawen Christinæ Lingolßheimin, It. 3. fl. 9. ß 4 d. vff Michaelis lößig mit 78 fl. 7 ß 6 d H. Nicolao Philippo Scheid. Med. Doct., So ist solche Behaußung auch noch verhafftet umb 100. lib. Frawen Mariæ Hämmerlerin obgemeldts Anthoni Walthers ehelich haußfrauwen, und gibt mann iahrs vff ostern von dem dächlin über der thüren alß über daß Allmend gebawen 6 ß gemeiner Statt Allmend Zinnß sonst. ledig eig., Über Welche Behaußung Kein Brieff vorhanden, weilen solche Behaußung hiebevor ahne Samuel Ferbern verkaufft geweßenen, und weg. ermangelter Zahlung wid. erganthet word. ist

Henri Wid, organiste à Saint-Pierre-le-Jeune, fait vendre des effets mobiliers qui appartenaient à feue sa femme Marthe Hemmerlé. L’acte énumère plusieurs actes parmi lesquels la vente par adjudication judiciaire de la maison Place des Cordeliers, l’inventaire dressé en 1632 après la mort d’Eric Buntz, celui de 1622 après la mort de Jacques Hemmerlé et celui de 1634 après la mort de Marguerite Keller.
1666 (15.11.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 2) f° 78
Verkauff: vndt Lohß Register, Innhaltendt alles d. Jenige, waß abe die Jenigen Haußrath, Silber und guldinen Ringen, so herrn Henrich Widten, Organisten Zum Jungen St. Peter alhie vndt seiner verstorbenen ehelichen haußfrauwen Fr. Marthæ Hemmerlerin eÿgenthümblich Zuständig war, erlöst worden
das darauß erlößte gelt Herrn Niclaus Hemmerlin, Procuratorem beÿ Einem Ehrsammen Sübner Gericht alhie, alß der beeden Kinder vndt Erben geschwornen vogt, Zuhanden empfangen
Actum (…) den 15. 16. 22. et 23.ten 9.bris Anno & 1666.
An briefflichen documentis (…) 1. Pergamenten Ganth Kauffbrieff über die behaußung uffm Paarfueßer Platz (…)
Frawen Marthä hemmerlin, H. Heinrich Widden haußfr. seel. Inventarium vnd lohßregister & de A° 1666.
Inventarium über H. Erich Buntzen deß huottaffierers alhie seel. verlaßenschafft in A° 1632. auffgerichtet
Inventarium über Jacob Hemmerlins v.lschafftt de Anno & 1622
Inventarium über Fr. Margaretha Kellerin v.lschafft de A° 1634.
Special Theilregister Fr. Barbaræ Leübrandtin seel. Erbschafftt betr. de A° & 1636.
Inventariumüber Fr Marthæ Hemmerlin Zugebrachten Nahrung in Anno & 1634. et 1653. auffgerichtet

Marie femme du vitrier Antoine Walter et Marthe femme de l’organiste de Sainte-Aurélie Henri Wid se partagent les maisons qu’elles ont hérité de leur père le vitrier municipal Jacques Hemmerlé. Celle au jardin aux Roses revient à la première, celle place des Cordeliers à la deuxième

1666 (10. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 649-v
Erschienen H. Emanuel Waldeckh der Goltarbeiter alß Vogt Fr. Mariä Hämerlein weÿl. H. Antoni Walters gewesenen Glasers nunmehr seel. hinderlaßener wittibin unter assistentz Hannß Jacob Stammen deß Schiffmanns und Johann Heilÿ deß Sigristen zu St Thoman ihrer anweßend dochtermänner an einem,
So dann H. Nicolaus hämmerlin Sibner Gerichts Procurator alß Vogt Henrich wid. deß organisten mit weÿl. Martha Hämmerlerin eingangß genannter Mariæ eheleiblich. Schwester nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind. am andern, Und beÿde theil mit beÿstand H. Johann Peter Schmid und H Johann Philipß Zeißolffs beed. alß aus E.E. Groß. Rhats mittel Zu beed. Parten gütlich Verheißung insonderheit Deputirter, haben Zuvorderist eunen sub dato Straßburg Mont. den 25. Juni a° 1658. Zwischen obgemelten beed. Schwestern vffgerichteten und von dero Ehevögten eigenhändig unterschriebenenen Abtheilungs, und Vergleichs: schein welch. de verbo ad verbum also lautet.
Zuwißen daß Vff heüt Zu und bemeltem dato, Vor mir unterschriebenen Notario persönlich erschienen seind, fraw Maria Hämmerlin, herrn Anthoni Walters deß Glasers, so dann fraw Martha Hämmerlin herrn Heinrich Weidten deß Organisten Zu St: Aureliæ eheliche haußfrau, beede leibliche Schwesteren, und iede mit beÿstand Ihres Ehevogts bekannten freÿ offentlich, Demnach Sie eine Zeitlang, wegen Zweÿer, Von ihren geliebten Eltern weÿl. H. Jacob Hämmerlin geweßenen Statt glaser alhier und fraw Margaretha Kellerin beeden Eheleüthen seeligen ererbten Behaußungen, deren eine alhie un d. Statt Straßburg Vff dem Barfüßer platz, und ein Eckh hauß Zum danneneckh genannt, die andere aber in dem Rosengarten geleg. und Zur Rosen genannt, wie solche in dem über gedachtem H Jacob Hämmerlins seel. Verlassenschafft in Anno 1622. den 23. Januarÿ vffgerichteten Inventario fol. 54. & seqq. beschrieben, in unvertheilter Gemeinschafft gestanden, daß Sie sich bereits vor etlichen Jahren einer freündschwesterlichen separation und abtheilung, dahien wohlbedächtlich mit einander Vereinbahret und Verglichen hetten, daß nemblichen fr. Mariæ Hämmerlin der Eltern Schwester die im Rosengarten gelegene und Zur Rosen genannte, der Jüngern Schwester fr. Marthæ aber die Zum dann Eckh genannte Vff dem Barfüßer platz gelegene Behaußung mit aller deren gebäwen, weithen, Zugehördten und Gerechtigkeiten eigenthümlich verbleiben, ein iede die darauff hafftende und hernach specificirte beschwärten (…), und weilen die uff dem Barfüßer platz gelegenen tempore separationis umb 400. fl. beßer und höher, alß die im Rosengarten æstimirt, und geschatzt worden, fr. Margaretha ihrer Schwester fr. Mariæ deßwegen 200. fl. für ihre helffte hienauß Zugeben (…)
seind diß die beschwärten, so uff der Behaußung im Rosengarten stehen und Fr. Martha übernohmen Erstlichen 2. lib 10. ß d Jahres vff Joh. Baptä ablößig mit 50. lib weÿl. H Lorentz Weÿer deß weinhändlers seel. Erben allhier, Item 3. lib. Jährliches Vff weÿhenachten Gottfried Hütwohl dem Barbierer ablösig mit 50. lib. (…), Item j. lib 6 ß 3 d Jahrs Vff Mich: der Zunfft Zur Steltzen alhier mit 26. lib. 5. ß d Nachtrags Capital abzulößen, Item j. lib. 13 ß d bodenzinß und Allmend gelt d. Statt Straßburg Jährlich Vff den 24. Aug: fällig
Vff der Behaußung Vff dem Barfüßer Platz aber stehen außerhalb hievorstehender treÿ Posten, so beede Schwesteren Vff den unverhofften fall ins gesampt Zuvertretten nachfolgende beschwärdten so Fr. Martha übernohmen, Erstlichen 5. ß Straßburg. wehrung dem Stifft Margrethen alhier in Straßburg Vff Annunciationis Mariæ mit 100. fl. Straßb. whehr. ablößig,
Item j. lb 19 ß d Vff Mariæ Liechtmeß, weÿl. H Dr. Niclaus Philipß Schedienn wittib und Erben so mit 39. lib. Capital abzulößen
Item 3. lib. 8 ß 3 d. Vff Adolphi Christinæ Lingelsheimerin alhier ablößig mit 68. lib. 5 ß,
Item j: lib 6 ß 3 s Jahrs Vff Mich: dem Closter St. Stephan alhier, mit 26. lib. 5 ß widerkäuffig
Item 12 ß 6 d Jahrs Vff Mich: weÿl. Michael Scherbaums deß Glasers Erben so mit 12. lib 10. ß d abzulösen geweßen (…)
So beschehen in des heÿl. Reichß freÿen Statt Straßburg Montags den 25.ten Jan: Anno 1658., Johann Jacob Redwitz Notarius Cæs. Juratus Civis Argent:
(f° 653 – quittungen) Angefang. den 10. und absolvirt d. 11. Xbr. A° 1666
[in margine, f° 650 :] Erschienen Hannß Jacob Stamm der Schiffmann alß Ehevogt Margarethæ Hockkin und im Nahmen und alß hierzu constituirter Mandatarius Adrian Hockhen deß Trähers zu Heÿdeßheim Würtenb. Herrschafft seines Schwagers, Ferners Johann Knilius der Sigrist zu St. Thoman alß Ehevogt Barbarä Hockhin, So dann Michael Ammel der Wagner alß Vogt Catharinæ, Anthoni, Mariæ Elisabethæ und Emanuels Wolffgang Röslers deß Zimmermanns mit Weÿl. Maria Magdalena Hockhin ehelich erziehlter Kinder und Er der Vogt mit beÿstand sein Röslers ihres Vatters aller hierinn benambster Mariæ Hämmerlerin nunmehr seel. nachgelaßene Kinder und Erben, haben in gegensein Georg Vettern deß Lautenmachers alß ietzigen Possessoris hierinn bedeüteter Behaußung mit assistentz hannß Caspar Wolffen auch Lautenmachers seines geweßenen Curatoris, bekannt, daß Sie Von demselben die in gegenwärtiger Verschreibung benambster und vff der Behausung Zum dann Eckh gestandene 100. lb (quittung) Actum d. 13. Julÿ A° 1671.

Vente de meubles qui appartenaient aux deux enfants de feu Henri Wid qui en avait la jouissance viagère
1669 (14.5.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 3) f° 153
Verkauff vndt Looß Register, Inhaltendt, waß abe dem Jenigen mobilien, welche weÿlandt herrn Heinrich Widten, hiebeuor geweßenem Organisten Zum Jungen St. Peter alhie, von seinen beÿden Kindern, hernach benannt, in A° 1666. Zue seinem gebrauch überlaßen, daran aber das eÿgenthumb Ihnen selbsten verfangen war, ist erlößt worden (…) das darauß erhbene gelt meister hanß Brüechel Schneidern deroselben vogt, Zu handen empfangen (…)
Actum I fernerem beÿsein Jungfr. Susannæ Ester vndt hanß Philippßen beeder geschwüsterdt, oberwehnts H Heinrich Widten seel. mit auch weÿland Fr. Martha Hemmerlerin Ehelich erzeügter Kinder, deßgleichen frawen Mariæ Hemmerlerin, weÿland herrn Anthoni Walthers, deß glaßers seel. Wittiben vndt Frauwen Barbaræ Ihrer dochter, Johann Knilÿ, burg. vnd glaßers alhie ehelicher haußfrauwen beeder Ihrer der Vogts Persohnen baaßen, Donnerstags vndt Freÿtags d. 13. et 14. Maÿ Anno & 1669.

Le tuteur des deux enfants d’Henri Wid vend la maison zum Danneck au cordonnier Michel Kæs le jeune, assisté de son père Michel Kæs le vieux

1667 (12. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 636
(Prot. fol. 44 – 430 lb) Erschienen hannß Brüchel der Schneider alß Vogt Henrich Wÿden deß Organisten Kind. mit assistentz H. Johann Philipß Zeißolffs und H Francisci Reißeißens, beed. alß aus EE groß. Rhats mittel ad contractus Minorum insonderheit Deputirter
in gegensein Michael Käsen deß Jüngern schuhmachers, mit assistentz H Michael Käsen deß ältern wohlgedachten Rhats Beÿsitzern seines eheleiblich. Vatters
Hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhier am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh am brannten End, anderseit neben der horbisch. Behaußung, hind. vff ein Gäßlin d. Brand End genannt stoßend geleg. und Zum dann Eckh genannt, davon geht iährlich termino Annunciationis Mariæ 5. fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl. besagter wehr. dem Closter St. Margareth. und Agneß. alhier, Item j lib 19. ß 6 d termino Mich: wid.käuffig mit 39. lib. Nachtragß Capital Fr. Susannæ Mariæ Aggerin wittibin, Item 3 lib. 8 ß 3 d termino Adolphi lößig mit 68. lib. 5 ß H Abraham Daulphin dem Golt arbeitern, Item 1 lib 6 ß 3 d termino Mich. wid.käuffig mit 26. lib. 5 ß dem Closter St. Stephan, Item 4 lib. termino Annunciationis Mariæ lößig mit 100. lib. Mariæ Walterin, wittibin, Item 6 ß termino Mich. Allmend gelts vom wetterdächlin gemeiner Statt (übernohmen) – umb 137. lib.

Michel Kæs épouse en 1648 Salomé, fille du garde-bois Georges Seidel
Mariage, cathédrale (luth. p. 517)
1648. domin: 12. Trinitatis. Michael Käß der Jünger vnd Schuhmacher, Herrn Michael Käßen, deß Schuhmachers vndt Burgers allhie Ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Salome, Georg Seidels, deß Hagmeistes vndt Burgers alhier eheliche tochter. Im Münster, Zinst. (i 265)

1668, Protocole des Quinze (2 R 85) Michel Käß. 215. [der Jünger Schuemacher, abloßung]

Michel Kæs le jeune hypothèque la maison au profit de Jean Pierre Stock, assesseur au Grand Sénat

1670 (23. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 524-v
Erschienen Michael Käß der Jung. Schuhmach.
in gegensein deß Ehrenvest, Fürsichtig, weise H Johann Peter Storckh E.E. Groß. Rhats Beÿsitzers – schuldig seÿe 12. lib.
Unterpfand sein soll, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, alhie am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh am brannten End, anderseit neben hannß Georg Berneggern dem Schuhmachern hind. vff ein Gäßlin, d brannt End genannt, stoßend gelegen, darvon geh. iährlichen. Term° Annunc. Mariæ 5 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. R (…), item 6 ß term° Mich. Allmendgeltd vom wetterdächlin

Michel Kæs vend la maison zum Danneck au facteur d’instruments Georges Vetter

1671 (19. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 439
(Prot. fol. 22.) Erschienen Michael Käß der Schuehmacher
in gegensein Georg Vetters deß Lautenmachers mit beÿstand herrn Mathis Seupels des Kieffers und sÿbener Gerichts beÿsitzers und hannß Caspar Wolffen deß Lautenmachers seines geweßenen vogts
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh am branten End, anderseit neben der Horbischen behaußung, hinden uff ein Gäßlin daß Brand end genannt, stoßend gelegen und Zum Danneckh genannt, davon gehen iährlichen term. Annunciationis Mariæ 5. fl. Straßburger wehrung lößig mit 100. fl. besagter Wehrung dem Closter St. Margarethæ und Agneßen alhie, Item 1. lb. 19. ß, 6. d term. Michael. widerkäuffig mit 39. lb Nachtrags Capital frawen Susannæ Mariæ Aggerin Wittibin, Item 3. lb 8 ß 3. d termino Adolphi lößig mit 68. lb 5 ß Abraham Daulphin dem Goldarbeiter, Item 1. lb. 6. ß 3 d. termino Michael. widerkäuffig mit 26. lb 5. ß dem Closter St. Stephan, Item 4. lb termino Annunciationis Mariæ lößig mit 100. lb Mariæ Walterin wittibin, Item 6. ß termino Michael. Allmendt Gelts Vom Wetter dächlin gemeiner statt, so seÿe soclhe behaußung auch noch umb 50. lb Herren Johann Peter Storckhen E.E. Großen Rhats altem beÿsitzern Verhafftet (übernohmen) – umb 376. fl.

Georges Vetter hypothèque un mois plus tard des parts de maisons qui lui appartiennent au profit des enfants de Paul Wolff. Un avenant de 1678 hypothèque la maison place des Cordeliers. Une quittance est remise en 1699 à Jean Streit.

1671 (12. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 500-v
Erschienen Georg Vetter der Lautenmacher mit beÿstand hannß Caspar Wolffen auch Lautenmachers seines geweßenen Vogts
in gegensein Johann Funckhen deß Schneiders alß Vogts Mariæ Elisabethæ, weÿl. Paul Wolffen deß Schneiders nunmehr seel: nachgelaßener ehelicher dochter mit assistentz Johann Herren schneiders des Schuhmachers ihres Stieff Vatters – schuldig seÿe 100. lb
Unterpfand sein solle, der Vierte theil, Ihme dem Debitori für ohnvertheilt gebührend ahne Zweÿen Häußern einem Vordern und hindern mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhie beÿ dem Prediger Closter, neben weÿl. herrn Theophili Gollen Saltzverwalters nunmehr seel. nachgelaßenen Erben gelegen
[in margine :] Erschienen Herr Johann Funckh der Schneider hierinngemelt, alß Vogt hierinn gedachter Mariæ Elisabethæ wolffin der Creditricis, in gegensein deß Edel- fürsichtig und hochweÿsen herrn Johann Philipps Zeißolffs deß geheimen Regiments der Herren dreÿ Zehn alß Curatoris frawen Cleophe, weÿl. herren Johann Christmann Mercklings E.E. großen Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin (…) Zu Unterpfand exprimirt sein solle hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier uff dem Barfüßerplatz, einseit ist ein Eckh am branden End, anderseit neben Hannß Georg Bernegger dem Schuhmacher hinden uff ein Gäßlein stoßend gelegen – Actum 15. Jan: a° 1678
[in margine :] Erschienen H Abraham Büchel der Handelßmann alß Ehevogt Fr. Catharinæ gebohrener Mercklinin, So dann H Johann Carl Kellermann, auch Handelßmann, alß Ehevogt Fr. Barbaræ auch gebohrene Mercklinin, Haben in gegensein hrn Johann Streits, Exsenat. alhie, Besitzer des hievor beschriebenen am Barfüßerplatz gelegenen Haußes (…) Act. d. 28.t Aprilis 1699.

Fils du tailleur Georges Vetter, Georges Vetter épouse en 1670 Susanne, veuve de Balthasar Wintergerst, pasteur à Ingenheim.
Mariage, cathédrale (luth. f° 133-v n° 50)
1670. Dom. XXXI post T. Zul 2. mahl Georg Vetter, der ledige Lautenmacher Weiland Georg Vetters, geweßenen Schneiders v. Burgers alhie nachgelaß: ehel. Sohn, Fr. Susanna Weiland hn. M. Balthasar Wintergersts geweßenen Pfarrers Zu Ingenheim, hoch Gräffl. Hanaw. Herrschafft nachgelaßene Wittib. Donnerstags den 3. 9.br. Münster (i 136)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 212 n° 50) 1670. Eâdem Dominica [xix Trinitatis 23. Octob.]. Georg Vetter der Lautenmacher Weÿl. Geörg Vetter deß Schneÿders Vndt Burgers allhie nachgelas. ehelicher Sohn, Vnd Fr. Susanna Maria, Weÿl. hn. Balthasari Wintergerst, gew. Pfarrer Zu Ingenheim, Hochgräfflich Hanawischer Herrschafft nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Eod. Die im Summo Templo (i 225)

Alors diacre à Brumath, Balthasar Wintergerst épouse en 1666 Susanne Marie, fille du marchand Jacques Lombart
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 165 n° 46)
1666. Eâdem Dominica [xxiv Trinitatis 25. Novemb.] H. M. Balthasar Wintergerst, Helffer Zu Brumath, Hn M. Balthasari Wintergerst wol Verdienten Helffers beÿ diser Kirchen ehl. Sohn, Vnd Jfr. Susanna Maria Weÿl. Hn Jacob Lombart, deß Handelßmanns Vndt Burgers allhie nachgel. ehl. Tochter. Copulavi Donnerst. 6. 10.br. (i 180)

Le facteur d’instruments Georges Vetter est par ailleurs peseur de farine à la Porte des Juifs
1686 Conseillers et XXI (1 R 171) Georg Vetter der Lautenmacher wird Mehlwäger. 104. 106.
1687 XV (2 R 91) Georg Vetter der Meelwäger pt° Holtz Besoldung, 264, 270
1694 XV (2 R 98) Georg Vetter der Meelwäger pt° addition seiner Besoldung, 47, 49
1698 XV (2 R 102) Georg Vetter der Meelwäg. 274. 287. (pt° Pfenningthurns Capital)
1703 XV (2 R 107) Georg Vetter Meelwägers am Judenthor pt° additionis. 164. 214.

Marie, femme de l’orfèvre Abraham Dauphin qui habite maintenant à Weingarten cède à Elie Brackhenhoffer un capital garanti sur la maison. En marge, quittance remise en 1695 à Jean Streit.

1672 (25. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 45
ut supra [fraw Maria, Herrn Abraham Daulphins deß Golt Arbeiters burgers Zu Straßburg anietzo in der Chur Pfaltz Zue Wingarten wohnhaft Eheweib, mit beÿstand erstermelt ihres Ehevogts]
in gegensein deß Edel- from und Wohlweÿsen Herren Eliæ Brackhenhoffers deß beständigen Regiments der Herren Fünff Zehen
cedirt und übergeben habe 130. fl. Capital straßburger wehrung, so uff Georg Vetters deß Lautenmachers alhier am Barfüßerpklatz einseit ist ein Eckh am branten End, anderseit neben (-) Horben gelegenen und Zum Danneckh genannten behaußung nach besag einer deutschen pergamentinen Sub dato 27. Aug. 1578. und 27. Febr: Anno 1579. durch weÿl. herrn Adam Mechlern alß deß bischofflichen Hoffs damahlig geweßenen Contractuum Notarium nun längst seel. uffgerichteten Zinnß Verschreibung hafften
[in margine :] (…) in gegensein Hn Johann Streits ged. E.E. großen Raths beÿsitzers als jetzmahligen eÿgenthumbs herren hierinn allegirten am Baarfüßerplatz gelegenen behaußung (quittung) Act. den 14. Februarÿ A° 1695.

Georges Vetter et sa femme Susanne Marie hypothèquent la maison au profit de la veuve Catherine Meyer

1681 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 89-v
Georg Vetter der Lautenmacher undt Susanna Maria, beÿde Eheleuthe, undt zwar dieselbe insonderheit mit beÿstandt herrn Mathis Sippels E.E. großen Rhats alten beÿsitzers, undt Jetzigen Rhein Zollers, undt hannß Jacob Sippels des Goltarbeiters, Ihrer Mutter brüder
in gegensein Herren Abraham kochen deß Specerirers alß Curatoris Frawen Catharinæ Meÿerin, wittibin – schuldig seÿen 25. lb
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebawen und zugehördten alhier am baarfüßerplatz, einseit ist ein Eckh am brandten Endt, anderseit neben Johann Georg Berneggern dem Schuhmacher, hinden uff ein gäßlein das brandenendt genannt, stoßend gelegen, undt zum Dann Eckh genannt, Davon gehen Jährlichen 6 ß Allmendgeldt Von seinem Wetterdächlein gemeiner statt, Item term° Annunciat: Mariæ 5. fl. Straßb. Wehr. lößig mit 100. fl. besagter Wehr. dem Closter St: Margarethæ und Agneßen alhier

Georges Vetter se remarie avec Susanne, fille du passementier Lazare Kolb : contrat de mariage, célébration
1687 (30.8.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 605
(Eheberedung) H. Georg Vetter, der Lautenmacher alß hochzeiter, mit beÿstand H. Johann Caspar Wolffen deß Lautenmachers und E.E. Kl. Raths alten Beÿsitzers an einem,
So dann Jfr. Susanna weÿl. Lazari Kolben gewesenen Paßmentirers sel. hind.laßene eheliche tochter mit beÿstand H. Abraham Kolben deß Seÿdnhändlers Ihres Vettern und vogts am andern theÿl

Mariage, cathédrale (luth. f° 4)
1687. Eod. die [Dom: 22 post Trinit.] sind Zum ersten mahl ausgeruffen worden herr Georg Vetter Burger und Lautenmacher, Jfr. Susanna Weiland Lazari Kolben gewesenen Burgers u. Paßmentmachers nachgelß. ehel. T. Sollen Copulirt Werden Mittw. den 5.t 9.br. N Kirch. Ist auf fürhergangenen Zweÿmahl. proclamation geschehen (unterzeichnet) Georg Vetter Alß hochzeiter Lautenmacher, + Ist das Zeichen Susanna Koerin Alß Hochzeitterin (i 4 – autre non signé p 154)

Georges Vetter et sa femme Susanne Marie hypothèquent la maison au profit du receveur de l’orphelinat Jean Hartmann Wœrtz. En marge, quittance remise en 1690 à Jean Streit.

1683 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 162
Georg Vetter der Lautenmacher und Susanna Maria sein eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der ehrenvest fürsichtig und weÿsen herrn Mathiæ Seupels und herren Mathæi Schmidts E.E. großen Raths resp. alten und ietzigen Beÿsitzers
in gegensein herren Johann Friderich Sachßen im nahmen herrn Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß waisen hauß
unterpfand, hauß, hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier am Barfüßer platz, einseit neben hannß Georg Bernegger dem Schuhmacher, andeseit ist ein eckh, hinden uff deß branden End stoßend gelegen und zum dannen Eckh genannt
[in margine :] (…) Johann Streiten deß Pastetenbecks alß ietzig possessoris d. zu und.pfand verlegt. beh. (quittung) den 7. 8.br. 1690

Georges Vetter et sa femme Susanne échangent leur maison avec Dorothée, femme d’Ignace Barbier

1683 (11. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 443-v
Dorothea, Ignatÿ Barbieres Eheweib mit beÿstandt erstged. Ihres Ehevogts, mit beÿstandt Herrn Caroli de Longjean Procureur du Roÿ, Herrn Johann Welpers des buchhändlers, Ihrer Kinder Vogts undt Herren Johann Koppen des barbieres Ihres Vetters an einem,
so dann Georg Vetter der Lautenmacher undt Susannæ beÿdte Eheleuthe, mit beÿstand Herrn Johann Caspar Wolffen auch Lautenmachers, undt Herrn Mathis Sippels E.E. großen Rhats beÿsitzers beÿder Ihrer Vettern am andern theÿl,
Nemblichen es habe Sie Dorothea mit consens dero Ehevogts, Ihme Vettern undt deßen Ehweib tauschweiß eÿgenthümblich überlaßen, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebäwen undt Zugehördten, rechten undt gerechtigkeiten alhier auf dem Roßmarckh, einseit ist ein Eckh an der Schiltsgaßen, anderseit neben Albrecht Gÿßen dem Leinenweber, hinden uff (-) stoßend gelegen, welche ietz beschriebene behausung umb 450 fl. dem großen gemeinen allmosen Zu St Marx verhafftet
hiengegen so haben Sie beÿdte Eheleuth obbemelt Ihro Dorotheæ Barbieres tauschweiß eigenthümlich cedirt undt übergeben, hauß und hoffstatt mit allen deren gebäwen, rechten undt gerechtigkeiten, alhier am baarfüßerplatz, einseit ist ein Eckh am brandenendt, anderseit neben Johann Jacob Bernegger dem schuhmacher, hinden uff ein gäßlein das brandenendt genannt, stoßend gelegen dar von gehendt Jährlichen term° Annunciat: Mariæ 5. fl. Straßb. Wehr. lößig mit 100 fl. besagter Wehr. dem Closter St: Margarethæ und Agneßen, item 1 lb. 10 ß 6. d term° Michael: widerkäuffig mit 39. lb Nachtrags Capital Susannæ Mariæ Ackherin Wittibin, Item 3. lb 8 ß 3 d term° Adolphi lößig mit 68. lb d. 5. ß d Abraham Daulphin dem Goltarbeÿtern, Item 1. lb 6 ß 3 d term° Michael: Widerkäuffig mit 26. lb 5 ß dem Closter St: Stephan, Item 4 lb. d term° Annunctiat: Mar: lößig mit 100 lb frawen Cleophe Merckhlin, Item 1 lb 5 ß lößig mit 25. lb dem Weißenhauß allhier, Item 6. ß term° Michael: Allmendtgeldts von einem Wetterdächlein gemeiner Statt, so seÿe solche behaußung auch umb 50 lb herrn H. Peter Storckhen XV. verhafftet – Sie Barbierin (…) auch annoch 60 Rchtlr. in bahrem gelt nachgeben solle

Fille du professeur de mathématiques Evrard Welper, Dorothée Welper épouse en 1660 le juriste Jean Chrétien Geilfuss, fils de Jean Geilfuss, professeur de philosophie à l’université de Tubingue.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 41)
1660. Dncâ XX. Trinit.d. 4. Novembris. H Johann Christian Geilfuß J U Candidatus, Weiland H Johann Geilfußen Professoris Philosophiæ in d. Vniversität Tübing. hinterlaßener Ehelicher Sohn vnd J. Dorothea H. M. Eberhardi Welperi Mathematic. v. burger alhie Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 13. Zu den Freÿ Predigern (i 44)

La Strasbourgeoise Dorothée, veuve et fille d’Evrard « Wildbrett », épouse en 1682 Ignace Barbier, originaire de La Flèche en Anjou
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 72)
d. 24. 7.bris 1682. Ignatius Barbier de La paroisse de S. Thome (Patria) De La flesche en Enjous, Dorothea Wildbrettin uidua et filia Ebehardi Wildbrett ciuis (Patria) Argentinensis (i 43)

Le préteur royal Güntzer rapporte aux Treize que la veuve de Jean Chrétien Geilfuss qui a épousé le traiteur catholique au Lys d’or est en infraction avec l’arrêt royal qui interdit aux catholiques de se marier avec des réformés.
1682, Protocole des XIII (3 R 39) f° 327
Montags den 7. Septembris 1682. – Johann Christian Geilfußen wittib soll weilen Sie Zur un Ehe sitzet, abgestrafft werden
Herr Syndicus Güntzer sagt, es seÿe jüngsthien ein Arrest vom Königl. Parlament Zu Paris publicirt worden, krafft deßen allen Catholischen verbotten wird, sich an reformirte Zu verheürathen, weilen nun Johann Christian Geilfußen, des verstorbenen Pedellen Wittib sich an einem Cathol. Traitteur Zur Guldenen Gilgen allhier verlobt und sich beÿ Ihme mit großen ärgernuß auffhalte, solches aber wider hiesiger Statt Ordnung, daß mann nicht Zue unnehe sitzen solle, alß stellt Er Zu Mghh., weilen dieser Verlobnuß null und nicht gültig ob Sie diese Wittib deßwegen beÿ E. E. Raht abstraffen und damit mann von des Parlaments je Zu Zeiten publicirenden ordonnances wißenschafft haben möge, herrn Agent Becken die überschickung derselben comittiren laßen wollen. Erk. Fiat.

Dorothée Welper se convertit le 29 septembre 1686.
Conversions par les Jésuites (1 AST 305, p. 360) Dame Dorothée Welper 1686 Septem 29

Les enfants Geilfuss louent la maison au vivandier Etienne de Combe et à sa femme Marthe Didier

1688 (18. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 656-v
Erschienen H. Johann Drillinger, E:E: Kleinen Raths beÿsitzer und auß deßen Mittel an statt Mariæ Salome Geilfußin, Frantz Hochsteins Cammerdieners am Stuttgardisch. hoff haußfrau, Ferner H. Johannes Welper, der Buchtrucker, alß Vogt Justi Christiani Geilfußen, So dann H. Johann Philipp Kugler, Ober Pedell beÿ hiesig löbl. Universitæt, alß Ehevogt Johannæ Christianæ Geilfußin
haben in gegensein Estienne de Combe, deß Marketenders, und Marc Didier deßen Ehelicher haußfrau
entlehnt; Eine behaußung mit allen deren Gebäuen und Zugehördt, allhier am Baarfüßer platz, einseit ist ein Eck am Brenten End, anderseit neben Johann Georg Bernegger dem Schuhmacher geleg., auff ein Viertel jahr lang von heut dato anzurechnen, umb 20 guld. Zinß
und ist darbeÿ insond.heit verglich. daß under solcher lehnung auch zweÿ biliard sambt Vier helffenbeinen Kugeln und soviel Stocken, mit begriff. sein soll.

Requête de l’aubergiste manant Ignace Barbier
1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
(f° 15-v) Sambstags den 24. Januarÿ 1699. – Ignatius Barbier pt° Ungeltd
Ignatius Barbier der Schirms Verwanthe und Aubergiste p. G. prod. Frantzösische Requeste bittet wie inhalts. Erk. an die Ober Ungelts herren gewießen

Marie Salomé Geilfuss, femme de François Hochstein, vend un tiers de la maison à l’imprimeur Jean Welper (tuteur de Juste Chrétien Geilfuss d’après l’acte précédent)

1689 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 220-v
Maria Salome, gebohrne Geÿlfußin, Frantz Hochstein beÿ Hn General de Montclar in diensten eheliche haußfrau (unterzeichnet) +, Frantz Hochstein
in gegensein H. Johann Welper deß Buchtruckers
Einen dritten theÿl am Hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriff. Rechten und Zugehördten allhier am Baarfüßer Platz, einseit ist ein Eck am Branden end, anderseit neben H. Johann Georg Bernegger dem Schuhmacher, hind. auff ein Gäßel d. Brenten end genandt, stoßend geleg., welche gantz behaußung 6 ß d Allmend geld weg. eines wetterdächleins gemeiner statt Pfenningthurn, so seÿe dieselbe auch noch umb 100 gul. Straßb. wehr. in Capital und 18 fl. 7 ß 6 s Zinß und Marzal dem Closer St. Margarethen und Agneßen allhier, Ferner umb 39 pfund Nachtrags Capital und 4 pfund 18 ß 9 d Zinß und Marzal (Item umb 68 pfund 5 ß Capital, Mehr umb 26 pfund 5 ß Capital, Item umb 100 Pfund Capital, So dann umb 25 pfund Capital, Mehr 25 Pfund Capital) verhafftet, und ist dießer Verkauff und Kauff /:darund. auch die darinn befindliche zweÿ biliard pro rato mit begriff. sein sollen:/ über die angegebene beschwerde welche d. Kaüffer pro rato vbernomm., umb 12 pfund

Jean Welper, Jeanne Chrétienne Geilfuss femme de Philippe Kugler et Juste Chrétien Geilfuss, étudiant à Paris, vendent la maison au fabricant de patés (pâtissier) Jean Streit et à sa femme Ursule Scheibler

1689 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 353-v
H. Johannes Welper, der Buchtruckern für sich selbsten, Mehr Johanna Christiana gebohrne Geÿlfußin, H. Philipp Kuglers, Ministri Academici beÿ hiesig. Universitæt eheliche haußfrau, auch für sich selbsten, und Sie beede Welper und Kuglerische haußfrau auch im nahmen Justi Christiani Geÿlfußen Studiosi Zu Paris anietzo sich auffhaltend, Ihres respect. Schwagers und leiblich bruders
in gegensein Johannis Streiten deß pastetenbecks, und Ursulæ Scheublerin, deßen eheliche haußfrauen, mit beÿstand H. Caspar Saxen, deß Schuhmachers
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Rechten und Zugehördten allhier am Baarfüßer Platz einseit ist ein Eck am Brenten End, anderseit neben H. Johann Georg Bernegger dem Schuhmacher hind. auff ein Gäßel d. brenten End genandt, stoßend gelegen Von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 6 schilling Allmend geld weg. eines wetterdächleins, Gemeiner Statt Pfenningthurn, so seÿe dieselbe auch noch umb 39 Pfund Nachtrags Capital (Item umb 68 pfund Capital, Mehr umb 26 pfund Capital, Item umb 100 pfund Capital, Item um 25 Pfund, So dann umb 50 Pfund Capital verhafftet), geschehen, alßo und dergestalt daß die im hauß befindliche Zweÿ bilard under dem Kauff mit begriffen sein sollen, umb 166 Pfund

Jean Streit et Ursule Scheibler contractent une dette la veille de l’achat ci-dessus. Un avenant ajoute la maison à l’hypothèque quelques jours plus tard

1689 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 348-v
Erschienen Johannes Streit, der Pastetenbeck, und Ursula Scheiblerin, deßen eheliche Haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Michael Gilgen und H. Johann David Traners, beed. E.E. Großen Raths beÿsitzer vnd hierzu insonderheit deputierter
haben in gegensein Hn Johann Friderich Sachßen, Schaffners deß waisenhaußes – schuldig seÿen 150 pfund Ihnen Zu erkauffung einer am baarfüßerplatz gelegenen behaußung, so morgen tags, geliebts Gott ! verschrieben werd. solle
unterpfand, Neun viertel 3 Sester halb Korn und Gersten jährlicher Gült so hans Lerbß Zu Uttenheim Von Eÿgenthümblich. Gütherns alle jahr Zu lüffern schuldig (…) der correæ von weÿl. Frantz Scheübel gewesen. burger zu andlau Ihrem Vatter sel. Vermög deß ao. 1680. beÿ d Stattschreibereÿ daelbst auffgerichte. theil Regiters zugetheilt word. (…)
[in margine :] (…) zu einem fernern special unterpfand verloost haben wolle, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen allhier am baarfüeßer Platz einseit ist ein Eck am brenden End, anderseit neben H. Johann Georg Bernegger dem Schuhmach. hind. auff ein Gäßel stoßend gelegen (den) 7. Julÿ 1689

Jean Streit et Ursule Scheibler font baptiser leur premier enfant à Strasbourg en juin 1686. Le baptême de 1690 mentionne que le mari est originaire de Bergheim (Oberbergheim) et la femme d’Andlau.
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 32)
23.a Junÿ 1686. Baptizatus fuit Johannes Wolfgangus Cuius pater Est Joannes Streit et Ursula scheblerin Coponarÿs, patrini fuerunt Joannes wolfgangus Contz syndicus S. Petri Junioris et Anna Catharina Beckein in palatio neovillaria (i 20)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 116)
1690. 20. Januarii Baptizata est Catharina Ursula Joannis Streit ex Oberberken in Superiori Alsatiâ et Ursulæ Scheplerin ex Andlau conjugum hic commorantium filia quam susceperiunt Dominus Wolffgangus Contz Notarius Apostolicus et Regius et Domina Catharina Beckerin (i 66)

Natif de Bergheim et fils du prévôt de Rorschwihr Jacques Streit, Jean Streit et sa femme Ursule Scheibel, fille de François Scheibel d’Andlau, achètent le droit de bourgeoisie en apportant deux enfants qui suivent la coutume (ne deviennent pas bourgeois).
1689, 3° Livre de bourgeoisie p. 1044
Johannes Streit der Pastetenbeck Von Oberbergheim gebürtig weÿl. Jacob Streiten geweßenen Schultheisen Zu Rohrsweÿer hinterlaß. sohn, erkaufft das burgerrecht vor sich und Vrsulam Scheibelin Von Andtlaw gebürtig weÿl. Frantz Scheibell geweßenen Bawmeisters daselbsten Ehel. tochter deßen Haußfraw pro 6. gold fl. und 16 ß so sie bereits uff allhiesigen Pfenningthurn erlegt haben, wegen der beeden Kinder bleibt es beÿ der Ordnung seind Zuuor ledig standes geweßenn vnd werden beÿ E E Zunfft der Becken diennen. Jur. den 9. Julÿ 1689.

Mentions de Jean Streit dans les registres des Quinze
1691 Conseillers et XXI (1 R 174) Hr. Johann Streith wird Schöff. 213.
1693 XV (2 R 97) Johann Streit d. Pastetenbeck pt° Leÿr Verungeltung (Wein von Andlau herein geführt), 32, 35
1697 Conseillers et XXI (1 R 180) H. Johann Streith vmb Recommendation ahne hern Prætorem. 168. (als hoch Meritirten Subdelegué von dem Herrn Intendanten, wegen Befreÿung Von der Impositionen, so die Gemeind Roschweÿer auff sein Reben Zu Legen prætendirt)

Visite des auberges. Le pâtissier Jean Streit sert du vin à des Français et à des bourgeois en ne réglant que 9 sols de taxe. Il devra se conformer à l’avenir aux règles qui s’appliquent aux débitants de vin.
1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
(f° 83) Mittwochs den 11. Aprilis. Visitation der Würthshäußer
Obere Umgeldts Herren laßen her Herren Schragen referiren, daß es jnn Vorigem jahr die meinung gehabt, daß, weilen jnn den Würthshäußern einige desordre vorgegangen, vnd gemeiner Statt wegen des umbgeldts erführt worden, mann eine visitation vernehmen und sehen sollte, Ob nicht einige davon abzuschaffen weren ? deme Zufolg mann nicht ermangelt, die Häußer Zu durchgehen, sie zu besichtigen, und in Formation ein Zu Ziehen 1) Wegen des Nahmens, 2) Wegen der religion, 3° ob die Leuth verheurathet ? 4) Wegen der Kinder, 5) weg. des gesindts, 6° weg. d. hanthierung, 7) Weg. des Schildts, 8) Wegen d. gelegenheit, 9) Wie Viel Zinß d. Würth geben müße, 10) Wem d. hauß zuständig, 11) Wer mehr jm hauß wohne, 12) Wie Viel wein d. Würth habe, 13) wie er ihn Ver Umgelde ? 14) Ob er den Schild Zahle und 15° Ob er burger und jm Schirm seÿe.
41. Herr Rathh. Johann Streit
der Wohne auff dem Baar Füßerplatz, ist Nicht geld Zünfftig, seiner Profession ein pastetenbeck, setzt burger Und Frantzosen und gibt Nur 9 ß. Umbgeld, allein, weilen es ohnlängsten die meinung gehabt, daß die pastetenbeck, so warein* speißen geben, Und wein außschencken, d. große Umbgeld geben sollen, so stündte Zu Mghhn Ob er nicht dero Erkandtnuß gemäß sich verhalten sollte. Erk. Quod Sic.

Le prévôt de la tribu des Boulangers rapporte aux Quinze que Jean Streit ne participe pas aux réunions ou qu’il contrevient au règlement, notamment en divulguant les décisions.
1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
E. E. Zunfft der Becken Ca H Johann Streiten alt. Rathherrn
H. Rath. Streit C. und H Dr Hammerer pt° Vorsitzes
(f° 13) Freÿtags den 23. Januarÿ 1699. – Herren Ober: vndt Rathh. E. E. Zunfft der Becken Ca H Johann Streiten alt. Rathherrn
Herr Secretarius Frid Proponirt, es habe Herr Ammeister Johann Reinbold Friderici Oberherr beÿ E. E. Zunfft der Becken, so wohl vor sich als nahmen der Hh. Rhatherrn vnd übrigen Schöffen ged. Zunfft, ein unterthäniges Memoriale, so derselbe abgelesen, wider H. Johann Streiten E. E. Großen Rhats alten beÿsitzer übergeben, darinnen dießelbe sich höchstens beklagen, welcher gestalten derselbe nicht allein beÿ allen gerichtlichen Zusammenkunfften allerhand Confusiones vnd Zerrüttungen anzuspannen vndt Ihnen Chagrin Zu erwecken gesucht, sondern auch seinen obliegenden Pflichten Zuwider gehandlet habe, allermaßen derselbe (1) dem in Ihrem alten articulbuch fol. 23. der Churen und Wahlen halben, befindlichen articul, welcher vor denen Contravenienten ohnnachläßig 10. lb d str. fordert, sich mit sonderbahrer Gefehrde vmb ein vnd anderen dadurch in Fallstrick Zu bringen, entzogen, alßo daß man in nechst verwichener Churnacht seiner, ohngeachtet Er auff der Stub war, mit der wahl eines Zumans bis gegen 6. uhr wartten müssen (2.) den darauff folgenden Schwörtag als den 13. hujus, ohngeachtet Ihme beÿm Eÿdt vnd 5 ß gebotten war, der, in obangezognem articulbuch fol. 39. enthaltenem §° zuwider gar nicht erschienen, noch sich entschuldihen laßen (3.) des andern tags, alß nach der gewohnlichen Rhats Predigt, beÿ der Zunfft nachmitags das geding gehalten wurde, dem Zunfftschreiber, beÿ ablesung des Schöffen vndt Gerichts büchleins vor der gantzen Gemeind Zu Confundiren gesucht, und prætendirt, daß derselbe die nahmen, nach seiner opiniastren meinung anderst ablesen solte, vmb dadurch Sie in höchste Verachtung zu setzen. Wie Er dann (4.) beÿ der meister bißhero vorgegangenen Churen undt wahlen, die doch /.wann Sie König. Ordonnance Conform.) freÿ seÿn sollen, sich so Meisterloß erwießen, daß Sie sambtlichen schon längstens vnd öffters an Ihme sich Zu ärgern ursach gehabt hetten. (5.) der verschwiegenheit in denen abgehandelten Gerechtlichen Sachen, sich gantz nicht befließen, sondern gleich nach abgefaßten Concluse solches anderwertlichen eröffnet, und Endlichen (6.) im letst verwichenem 1698.sten Jahr, Zu denen meistern Gerichtlichen versamblungen seinem schworen* Eÿd entgegen, nicht gekommen, sondern muthwilliger weiß außgeblieben seÿe, welches deßen tragenden Ambt gäntzlichen Zuwid. lauffe & mit angehengter bitt, daß weilen mehrged. H. Rathh. Streit auff vorerzählte weiß denen ordnungen sich widersetzet, vndt dergestaten unfreudlich mit Ihnen umbgegangen, Mghherren Sie in gnädige Prosection auffnehmen, Ihro Ehre conserviren, undt berührten H. Streit als einen übetretter vnd verächter so vieler heilsamnen Ordnungen andrem Zum Exempel, Züchtigen vnd weilen Sie imploranten alle vor der gantzen Zunfft beschimpfft word; Ihnen billicher Satisfaction gedeÿen laßen Wolten. Erkandt, Soll durch die Herren XV. Meister der beklagte beschickt, vnd Ihme die Klag communcinirt werden.

(f° 24) Freÿtag den 6. Februarÿ 1699. Hh. Ober und Rathh. und Schöffen E E Zunfft der Becken Ca. Herrn Johann Streiten alten Rathh.
Beede Herren Fünff Zehenmeister Laßen p. Herrn Friden das Jenige reassumiren was herrn Ober vnd Rathherren auch Schöffen E E Zunfft der Becken wider H. Johann Streiten E. E. Gr. Raths Alten beÿsitzern den 23. Januarÿ jüngsthin klagendt anbring. laßen, und weilen es damahlen die meinung gehabt daß ermelte Klag demeselben Communicirt vndt Er darüber Klag demselben Communicirt, undt Er darüber gehört werden solten so seÿe es auch gebührendtt geschehen, damit aber deßen verantwortung desto beßer vernommen werden möge, alß werde nöthig seÿn die wider Ihn eingeführte Sechs Puncten Zuvorderist nochmalen Abzulesen (…)

(f° 35-v) Freÿtags den 13. Februarÿ 1699 – H. Rath. streit C. und H Dr Hammerer pt° Vorsitzes

Jean Streit ne règle pas les taxes comme il le devrait à la tribu des Fribourgeois depuis six ou sept ans qu’il sert du vin. Les Quinze lui donnent le choix entre cesser de débiter le vin ou régler son dû à la tribu. Ils n’exigent pas qu’il paie les arriérés en estimant que la tribu aurait dû se manifester plus tôt.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112), 1709 (2 R 113)
E.E. Zunfft der Freÿburger contra Johann Streit
(f° 263-v) Sambstags den 24. Novemb. 1708) – G. noîne E.E. Zunfft der Freÿburger Hn Joh: Friderich Bahlen Gastgebers Zum Thiergartten Cit. per sched. H. Joh. Streiten Exsenatorem prod. unterth. memoriale und bitten wie inhalts. S. Citatus præs. bittet dießer einlag cop. vndt Term. Ord. G. bittet deputationem. Erk. gebettene copia vnd Zeit zugelaßen

(f° 298-v) Sambstags den 22. Decembris 1708) – H. noîne E.E. Zunfft der Freÿburger Herrn Zunfftmeister Johann Friderich Bahlen gtra. Herrn Rhatherrn Johann Streit vom 24.t 9.bris will Erklärung vernehmen. Saltzm. Citatus ist bettlägerig bittet Zu seiner Verantwortung Deputation. Saltzm. mags leiden. Erk. ahne die Ober Ungeltsherren gewießen.

1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 35) Sambstags den 23. Febr. 1709 – E.E. Zunfft der Freÿburger C. H. Joh. Streit
Obere Ungelts Herren Laßen per H. Friden proponiren es habe E.E. Zunfft der Freÿburger Ca. H. Rathh. Streiten geklagt daß Er sich der Ordnung wie andere Pastetenbeck nicht Submittiren, vndt wann andere beschickt werd. nicht erscheinen wolle, anbeÿ gebetten, Ihne dazu Obrigkeitl. anzuhalten. Auff beschehene Remission habe man die Parthen angehört, da dann im nahmen der Zunfft erschienen H. Rathh. Vix, Claude Capitaine vndt Joh: Friderich Bahl, welche beditten daß der articul dahin gehe, daß alle Jahr die Pastetenbeckh beschickt vndt gefragt werden sollen, Ob Sie angeloben können, daß Sie keinen wein auff die gaß verkaufft haben, es seÿe auch die meiste erschienen. H. Streit aber nicht vndt wie es verlautet wegen seiner unpäßlichkeit. Bey der 2.ten Conferenz, were H. Bahl allein erschienen vndt habe berichtet das H Streit den Weinschanck schon 6. bis 7. jahr genoßen vndt doch beÿ der Zunfft sich nicht habe Submittiren noch die gebühr davon erlegen wollen, anbeÿ gebetten denselben Zum nachtrag anzuhalten. Worauff H. Streiten hausfr. beditten, daß ihr Mann nicht gewußt warumb er Zu thun geweßen, vndt weilen man nur vom Weinschanck gesagt, so habe Er darvor gehalten, daß es nicht nöthig were, weilen er solche schon lang erhalten anbeÿ gebetten wegen der gebühr solang nach Zu wartten, biß ihr Man wieder gesundt seÿn werde.
Auff seithen der Herren Deputirten habe man darvor gehalten, daß dem hern Streiten die Alternativ gegeben werden könte, entweder den weinschanck Zu quittiren oder sich mit der Zunfft der Freÿburger Zu vergleich. vnd jährlichen die gebühr Zu entrichten, was aber das præteritum belange, halte man darvor daß Er davon Zu absoluiren were, weilen die Zunfft es nicht mit ernst getrieben habe. Erkandt, Bedacht gefolgt.

Jean Streit et Ursule Scheibler hypothèquent la maison au profit de Pierre Albert, employé au Chapitre Saint-Pierre-le-Jeune

1717 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 281
hr Johann Streith Exs: und Ursula geb. Scheibelin beÿständlich Jacob Quelet zollers und François Maisseult marchand de vin
in gegensein Pierre Albert bedienten beÿm Stift jungen St Peter – schuldig seÿen 50 pfund
ihr hauß c. appert: ahm baarfüeser platz, einseit ist ein eck ahm brendten endt anderseit neben Joh: Friedrich Zeÿsolff hinten aufs gäsel

Jean Streit et Ursule Scheibler hypothèquent la maison au profit de leur gendre François Moissemet, marchand de vin

1718 (4.8.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 407
H. Johann Streitt exsenator und Ursula geb. Scheübelen mit beÿstand H. Johann Georg Daniel Dürrn weinstichers und Jacob Quellet zollers
in gegensein François Moissemet weinhändlers ihres Tochtermanns – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, rechten und zugehörden ahm baarfüßerplatz, einseit ist ein Eck anderseit neben Joh: Friedrich Zeÿßolff kupfferschmidt hinten auff das brend. End

Jean Streit demande un subside annuel. La commission rapporte qu’il est pauvre, que la goutte dont il souffre depuis plus de vingt ans lui a fait perdre des clients ; sa femme et ses cinq enfants ne sont pas en mesure de pourvoir à son entretien. Les Conseillers et les Vingt-et-Un estiment que lui attribuer une pension consitituerait un précédent fâcheux et le renvoient à l’aumône Saint-Marc.
1718, Conseillers et XXI (1 R 201)
H. Johannes Streit halt an umb eine iährliche beÿsteür. 89. Relation der Hh. Deputirten. 108. Wird an die Hh. Pflegere Zu St. Marx Verwiesen. 112.
(p. 89) Sambstag d. 30. Julÿ – H. Johannes Streit halt an umb eine iährliche beÿsteür
Lt. Mosseder, Nomine H Johannes Streiten Exsenatoris, producirt unterthänig und flehentliches Memoriale und Bitten umb eine gnädige iährliche Beÿsteür handelt innhalts. ist Erkandt, Werden H. xv. Elwert und H Rathherr Bruder umb die contenta Producti und darinnen allgirte umbständ grundlichen Zu untersuchen, Wie auch den Bescheid anzuzeigen abgeordnet.

(p. 108) Sambstag d. 3.ten Septembris 1718. Relation wegen H. Johann Streiten Exsenatoris – H. Johann Streit Wird an die Herren Pflegere Zu St. Marx Verwiesen, umb in beÿsteur Zu erhalten
H. xv. Elwert und H Rhh. Bruder referiren, daß Sie, zu folg der ihnen d. 30.ten Julÿ iüngst auffgetragene Commission, Wegen H. Johann Streiten Exsenatoris und burgers allhier unpäßlichkeit und Armuth Von unterschiedlichen deßen Mitzünfftigen einen sattsamen bericht eingezogen, und befunden, daß gedachter H. Streit durch unglück und Kranckheiten absonderlich aber das Podagram, damit er schon beÿ Zwantzig iahren behafftet, und aus Welcher ursach er als Pastetenbeck seine meiste Kundten, so ein abscheuen daran gehabt, Verlohren, in einen elenden und sehr dürfftigen Zustand gerathen, auch Keines Von seinen Kindern obschon er deren fünff beneben seiner haußfrauen annoch im leben hat, mit mittlen also Versehen daß Es ihme mit kräfftiger hülff unter die Ärm greifen könte.
Herr Aduocat Scheffmacher opinirte, daß der Implorant abzuweißen seÿe.
Herr Prætor Regius votirte, Es wäre bekandt, daß der Jetzmahlige Implorant durch seine d. 30.ten Julÿ iüngst übergebene Bittschrifft ein iährliches gnadengeld begehrt, Nun könte, seiner meinung nach, derselbe aus Zweÿen ursachen gleich anfangs Simpliciter abgewießen Werden, Erstlichen Wegen der aus der Willfahrt entspringenden bösen Consequentien, Wohl erwogen andere Verbürgerte arme handweercksleüth ein gleiches begehren Würden, so mann ihnen nachgehends abzuschlagen nicht fug hätte, Weilen in pari Causa par Jus Statuendum, dieses aber denen Stifftern, und dem Allmoßen in unerträgliches onus wären und Zweitens des Imploranten merita und Persönliche Qualitäten nicht also beschaffen, daß sie eine sonderbahre Consideration meritirten, Zu geschwigen, daß, Wann Meine Herren auch schon dispensando dem Imploranten iährlichen etwas als eine Pension Wolten Zukommen lassen, die Sambtliche Stiffter und Fundationes sich in einem solches schlechten stand befänden, Wie ratione des Corporis Pensionum aus dem im nahmen der Lutherischen Hh Geistlichen in der Neuen Kirche und Zum Alten St. Peter d. 27.ten Augusti iüngst übergebenen Memoriali mit mehrerem erhellet, nicht Zu sehen, Wo solches könte hergenommen Werden, Jedannoch aber, in ansehung das Stifft Zu St. Marx denen armen burgern mit hülfflicher hand beÿzuspringen gewidmet, und der Implorant sich unter deren Zahl befindet, Wolte Er sein votum dahin gegeben haben, daß er mit seinem gesuch an die wohl verordnete Herren Pflegere erstged. Stiffts Verwießen werden solte ist Erkandt, Wird Herrn Prætoris Regÿ voto gefolgt, mithin d. Implorant mit seinem petito an die Wohlverordnete Herren Pflegere des Stiffts Zu St Marx gewießen.

Les Tonneliers n’accordent pas à Jean Streit la permission de servir de l’eau-de-vie, la requête contrevenant au règlement
1718, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 394) Montags den 7. 9.bris A° 1718
H. Johannes Streitt Pastetenbeck und E. E. großen Raths alten beÿsitzer stehet vor, bittet Wan Er Könnt umb Ein weniges die Erlaubnuß erhalten brandenwein auß Zuschencken in deme Er arm und sonsten nichts Zu verdienen weiß so wolte er es für eine sonderbahren guthat auffnehmen.
Erkandt weilen sein petitum Wieder ordnung und Articul, daß ob man schon gern wolte Ihme nicht favorisiren Könnte.

Jean Streit et Ursule Scheibel vendent la maison au marchand Louis Beguin et à sa femme Catherine Beurez moyennant 1 650 livres

1720 (4.6.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 269-v
(1650) Sr Jean Streit Ancien Senateur d’icy et Delle Ursule Scheibel
à Sr Louis Beguin marchand et Delle Catherine Burez
une maison et place avec tous ses droits appartenances et dépendances scituée icy sur La Grande place faisant d’un côté un coin d’autre Jean frederic Zeilsolph aboutissant derrière à une ruelle – doit 3 livres 4 sols à cause d’un toit qui avance sur le public et de la porte de la cave a notre Pfenningthurn – grevée de 400, 600, 400, 600, 200, 200, 200 et 700 livres de capital, pour 3300 livres

Le marchand Louis Beguin et Catherine Beurez hypothèquent la maison au profit du marchand Daniel Bœhler

1722 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 41
H. Loüis Beguin handelsmann und Catharina geb. Beurez beÿständlich H. höllbeck und H. Klein beeder EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Daniel Böhlers handelsmanns – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, Eine behausung und hoffstatt mit allen derselben zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahm Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck anderseit neben Joh: Friedrich Zeißolff hinten auf das Brenden End einen außgang habend, so über 16 ß jährlich allmend zinß geldts freÿ ledig und eigen seÿe

Louis Beguin et Catherine Beurez vendent la maison au pâtissier célibataire Jean Philippe Tag moyennant 1 600 livres

1722 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 280-v
(1600) H. Ludwig Beguin der handelsmann und Catherine geb. Burez
in gegensein Johann Philipp Tagen ledigen Pastetenbecks beÿständlich seines vaters Georg Friedrich Tagen auch Pastetenbecks und in gegenwart Jfr. Susannæ Magdalenæ Roßerin sein Tagen verlobter mit beÿstand ihres vatters Heinrich Roßers des Bierbrauers
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Baarfüßerplatz, einseit ist ein Eck ahm gebrannten End anderseit neben weÿl. Johann Friedrich Zeÿßolff gewesenen kupfferschmidts wittib und Erben hinten auff gedachtes gebrannte end stoßend und einen außgang in deßelben habend gelegen, davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächeleins und einer kellerthür 16 schilling allmendgeld – um 750 pfund verhafftet, geschehen um 850 pfund

Jean Philippe Tag et sa fiancée Susanne Madeleine Roser, assistée de son père brasseur Henri Roser, hypothèquent le même jour la maison au profit d’Anne Marie Kamm,veuve du maréchal ferrant David Klein

1722 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 282
vorbemeldte käuffere Johann Philipp Tag der ledige Pastetenbeck und deßen verlobte Jfr. Susanna Magdalena Roßerin beÿständlich ihres vatters Heinrich Roßers des Bierbrauers und Johann Reinhard Roßer des Scribenten ihres bruders
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Kammin weÿl. David Kleinen gewesenen huffschmidts und E.E. kleinen Raths beÿsitzers wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Frantz Wolffgang Eberhard E.E. kleinen Raths beÿsitzers – schuldig seÿen 500 pfund zu erkauff und bezalung hieunten beschriebener behausung
unterpfand, die aus dießen Vorschuß zum theil bezahlteBehausung und hoffstatt allhier ahm Baarfüßerplatz, einseit ist ein Eck ahm gebrannten End anderseit neben weÿl. Johann Friedrich Zeÿsolff gewesten kupfferschmidts wittib und Erben hinten auff das gebrannte end stoßend – davon soll man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 16 schilling ane allmend zinß

Jean Philippe Tag épouse Susanne Madeleine Roser en juin 1722
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 179 n° 1024)
Anno 1722 den 10. Junÿ seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Philipp Tag der ledige Pasteten beck Georg Friderich Tag deß burgers und Pasteten becks alhie ehel. Sohn und Jungfr. Susanna Magdalena Heinrich Roser deß burgers und biersieders alhie ehel. tochter (unterzeichnet) Johann Philipp Tag Alß hochzeiter, susanna magdalena Roserin als hochzeiterin (i 182)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports en partie dans une maison qui appartient au père du marié près des Petites Boucheries en partie dans celle qu’ils viennent d’acheter. Les apports du mari s’élèvent à 443 livres, ceux de la femme à 485 livres.
1722 (7.7.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 31) n° 805
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, so der Ehrenhaffte und achtbare Johann Philipp Tag der Pastetenbecker und die Ehren und tugendhaffte Fraw Susanna Magdalena gebohrene Roßerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihren ohnlängst mit einander angetrettenen Ehestand zugebracht, und sich deren jeedes nach Innhalts Ihrer mit einander auffgerichteten Heuraths abrede für eigenthümlich unverändert Vorbehalten hat (…) Actum in der Königlichen Stadt Straßburg in fernerem gegen seÿn herrn Geörg Friderich Tagen des Pastetenbecks seines leibl. vatters und Fr. Annæ Salomeæ gebohrener Oberlein seiner Stieffmutter auff sein deß Ehemanns, Sodann auff der Ehefr. seithen Fr. Susannä Magdalenä Roßein gebohrener Beinen Ihrer leibl. Mutter, Mittwochß den 7. Julÿ Anno 1722.

In einer allhier in der Königlichen Stadt Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegenen deß dißorths Ehemanns Vattern eigenthümlich zuständigen vnd bewohnenden Behaußung theils aber in einer ane dem Barfüser Platz gelegenen von beeden Jungen Eheleuthen eigenthümlich bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Es haben die beede Jung Eheleuth nach Inhalt Kauffbrieffs in allh. C: C: Stub gefert. sub dato den 2.ten Maÿ Anno 1722. eine behaußung allh. In Straßb. ane dem Barfüßer Platz, so 1. s. ein Eck an dem gebrannden Endt, 2. s. neben Weÿl. Johann Friderich Zeÿßolffs deß gewesenen Kupferschmids hinterlaßene Wittib vnd Erben gelegen, Von Ludwig Becking dem handelßmann v. Fr: Catharina gebohrener Beirez noch Vor der Verehelichung alß beede Ehe Verlobte mit einander auff solche Condition erkaufft, daß dem jetzmahligen Marito darahn zween dritte Theil die übrige tertz der uxori eigenthümlich Zustehen sollen, drauff aber ist nich Zur Zeith anderst nicht auß eigenen mittelen bezahlt worden alß die jenige 200 fl. welche die Ehefr. von Ihren geliebten Eltern, Zur Ehesteur baar erhalten hat, so hiehero Zum bericht dienet.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 259, Sa. Weins 58, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 57, Sa. Goldenen ring 22, Sa. baarschafft 47, Summa summarum des Ehemanns Vermögen 443 lb
Der Ehefrau Nahrung, Sa. haußraths 302, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 39, Sa. Goldenen Ring 19, Sa. baarschafft 123, Summa summarum 485 lb

Jean Philippe Tag devient tributaire chez les Boulangers en septembre 1722 en obtenant le droit que détenait son père
1722, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 383) Dinstags den 15.ten Septembris 1722
Neu Zünfftiger – Johann Philipp Tag der Pastetenbeck undt Burger allhier prod. Stallschein Vom 4.ten Julÿ 1722. bittet Ihne alß Einen Leibzünfftigen anzunehmen undt seines vatters Recht vergönnen, ist Erk. seÿe ihme in seinem petito gegen der gebühr Zuwillfahren (1 lb 5 ß)

Jean Philippe Tag et Susanne Madeleine Roser vendent la maison à leur frère et beau-frère respectif Georges Frédéric Tag moyennant 1 650 livres

1736 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 633
Johann Philipp Tag der Pastetenbeck und Susanna Magdalena geb. Roßerin
in gegensein ihres respective bruders und schwagers Georg Friedrich Tag Pastetenbecks
Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Baarfüßer platz einseit ist ein eck an dem sogenannten Brandt ein End anderseit neben weÿl. Simon Rolle des Altgewanthers Erben hinten auff den Brandt ein End gelegen – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 ß allmendgeldt – als ein am 2. Maÿ 1722 erkaufftes guth – um 800 Pfund verhafftet, geschehen um 850 pfund

Fils du pâtissier du même nom, Georges Frédéric Tag épouse en 1736 Anne Marie Müller, fille du tonnelier Emmanuel Müller : contrat de mariage, célébration
1736 (6.6.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 76) n° 866
Eheberedung Zwischen dem Ehrenachtbaren H. Georg Friderich Tag, dem ledigen Pastetenbeck weÿl. H. Georg Friderich Tags des gewesenen Pastetenbecks und burgers allhier Zu Straßburg verlaßenem ehel. Sohn alß Hochzeiter ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrau Anna Maria Müllerin H. Emanuel Müllers des Kieffers und burgers alhier mit Fr. Anna Maria Müllerin gebohrene Eiggnoßin ehelich erziehlter dochter alß der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
Actum Straßb. Mittwochß den 6.t Junÿ A° 1736. (unterzeichnet) Georg Friderich tag als Hochzeiter, x der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 138, XXII)
1736. Dominica IX et W Trinitat. proclamati sunt Georg Friederich Taag der ledige Pasteten Beck v. burger alhier, Weÿl. H. Georg Friederich Taag, geweßenen Pasteten Beckers v. burgers alhie hinterlassener ehel. Sohn v. Jungfr. Anna Maria Johann Daniel Müller, des Küeffers v. burgers allhier ehe. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 8. August (unterzeichnet) Georg Friederich Tag als hochzeiter, + der hochzeiterin handzeichen (i 142)

Georges Frédéric Tag hypothèque la maison au profit de Marie Dorothée Strohl, veuve du marchand Jean Georges Gimmich

1736 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 713
Georg Friedrich Tag der ledige mehrjährig und ohnbevögtigter Pastetenbeck
in gegensein Fr. Mariæ Dorotheæ geb. Strohlin weÿl. H. M. Johann Georg Gimmich des handelsmanns ohnbevögtigten wittib mit beÿstand Christoph Christianus des kupfferschmidts – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Baarfüßer platz einseit ist ein eck an dem sogenannten Brand ein End anderseit neben weÿl. Simon Rolle des Altgewanthers erben hinten auff besagten Brand ein End – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 ß ane allmend zinß – seith den 30. junÿ jüngst da er selbige käufflich an sich gebracht

Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller font un testament réciproque
1736 (7.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 59) n° 305
Testamentum nuncupativum reciprocum H. Georg Friderich Tagen ledigen Pastetenbecks und Jgfr Annæ Mariæ Müllerin beeder hochzeitelichen Persohnen und burgeren alhier
1736. (…) auff Dienstag den 7. Augusti Nachmittag zwischen fünff und Sechs Uhr in einer alhier Zu Straßburg ane dem altenweinmarckt gegen dem Speÿer über gelegenen von mir dem Notario lehnungsweis bewohnenden behausung meiner ordinarj schreib stuben (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrengeachte Herr Georg Friderich Tag, lediger Pastetenbeck und burger alhier Zu Straßburg und beneben ihme die Ehren und tugendsahme Jungfer Annæ Mariæ Müllerin H Emanuel Müllers des Kieffers und burgers alhier eheliche dochter seine geliebte Jungfer brauth (…)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison zum Tannenbaum. Les apports du mari s’élèvent à 712 livres, ceux de la femme à 114 livres.

1736 (21. 7.bris), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 22) n° 570
Inventarium über diejenige Nahrung so H: Johann Friderich Tag, der Pastetenbeckh undt Fr. Anna Maria gebohrne Millerin beede Eheleuthe undt burgere allhier Zue Straßburg Einandter für unverändert in den Ehestandt gebracht, auffgerichtet anno 1736. (…) So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 21.ten 7.bris anno: 1736.
Inn Einer allhier Zue Straßburg auff dem Baarfüeßer Platz geg. den bierhauß Zum weißen bären gelegenen Zum dannen baum genannten Pasteten Behaußung hat sich befund. alß volgt
Eigenthumb ane Einer behausung so des Ehemanns unverändert. (M.) Eine behaußung undt hoffstatt mit aller Zugehört, Rechten undt gerechtig Keit gelegen allhier Zue Straßburg auff dem Baarfüeßer platz 1.s. ein Eckh ane dem sogenantten Bränden Endt, 2. s. neben weÿl. Simon Rollé geweßenen altgewendters Erben, hinden auffs Brendten Endt stoßend, davon gibt mann Jahrs dem allhießig. pfenning von Einem wetter Tächlen undt der Kellerthür ane allmendt Zinß 16. ß. undt hat Er der Ehemann sothane behaußung Käufflich übernommen umb 3300 fl.. Davon gehen ane Capital absowie noch auff berührter Behaußung stehen Erstl. der Schenckbecherischen Stifftung 1600 fl. It. Fr. pfarrer Gimmichin 300 fl. vndt NN 200 fl. abgang ist 2100 fl. Nach abzug deren verbleibt ane dem Kauffschilling annoch übrig und im Vorstand 1200 fl. machen 600 lb. Über sothane Behaußung Meldet i teutsch. perg. Kbr. auß allhies. Cancelleÿ Contractstub vom 30. Junÿ 1736. mit dero anhagendem Innsigell.
Deß Ehemanns Nahr. Sa. haußraths 73 Sa. Schiff und geschirrs Zum Pastet. 36, Sa. Silbers 1, Sa. Eÿg. ane Einer behaußung 600, Summa summarum 712. lb
der Fr. Nahr. Sa. haußraths 81, Sa. Silbers 15, Sa. gl. ring 17, Summa summarum 114 lb
Sa. haussteuren 14 – Conclusio finalis Inventarÿ 841 lb

Le conseil des Fribourgeois fait grief à Georges Frédéric Tag de tenir des pensionnaires. Il répond qu’il s’agit d’étudiants immatriculés à l’université
1732, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 134-v) Dienstags den 16.ten Sept: 1732
Joh: Philipp Tag, der Pastetenbeck, hatt dato die Ordnung angehöret und Herrn Zunfftmeister angelobet.
Idem wurde vorgestellet, daß er Kostgänger halte. Ille ist die Anklage geständig sagt wären dere 4. so aber Studiosi so immatriculiret, handelt derwegen nicht wieder Ordnung. Warauffhin derselbe gewarnet worden hierinnen Kein Gefährden Zu gebrauchen, wiedrigenfalls und in Entstehung deßen nach der Schärffe deß Articuls wieder ihne verfahret werden solle.

Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller hypothèquent la maison au profit de François Joseph Nicard, greffier de la maréchaussée d’Alsace et adjoint à la chambre des affaires criminelles.

1737 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 124-v
Georg Friedrich Tag der Pastetenbeck und Anna Maria geb. Müllerin mit beÿstand ihres curatoris ad hunc actum H. Adam Friedrich Oesinger des geschwornen courtier mit fernerer assistentz ihres vatters Daniel Müller und ihres bruders Emanuel Müller beeder kieffer als iher nächsten
in gegensein H. Lt. Frantz Joseph Nicard Greffier de la Maréchaussée d’Alsace und vicarÿ beÿ dem vergicht protocollo – schuldig seÿen 100 lb
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten auff dem Baarfüplatz, einseit ist ein eck ahne dem so genannten Brandt ein endt, anderseit neben weÿl. Simon Rolle altgewanthers erben, hinten auff besagtes Branndt ein End – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetter dächleins und einer kellerthür 16 ß ahne ane allmend geldt – als ein am 30. Junÿ 1736 erkaufftes guth

Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller hypothèquent la maison au profit du perruquier Jacques Cousin

1737 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 650
Georg Friedrich Tag der Pastetenbeck und Anna Maria geb. Müllerin mit beÿstand ihres vatters Daniel Müller des Kieffers und H. Rick E.E. kleinen Raths beÿsitzers und fernerer assistentz ihres ad hunc actum geordneten Curatoris H. Adam Friedrich Oesinger geschwornen Courtier
in gegensein Jacques Cousin des Peruquenmachers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Baarfüßerplatz einseit ist ein Eck ahne dem Brandt ein end, anderseit neben weÿl. Simon Rolle altgewanthers erben, hinten auff besagtes brandt ein End – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und Keller thür 16 ß ahne Allmend geldt – als ein ledigen standts am 30. Junÿ 1736 erkaufftes guth

Georges Frédéric Tag quitte la tribu des Boulangers pour celle de la Mauresse où il obtient le droit de revente
1738, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 376-v) Donnerstags den 24.t Julÿ Anno 1738
Neuer Leibzünfftiger Gremp ER. – Georg Friderich Tag der Pastetenbeck und burger allhier, welcher E. E. Zunfft der Becker quittiret producirt Stallschein, Vom 19. Junÿ 1738. bittet um das Zunfft und Grempenrecht, Erkandt gegen Erlag der Gebühr willfahrt
Erlegte Vor den Pfenningthurn 13 ß 4 d, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Gempen recht 1 lb 10 ß, Vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 s, Und Einschreib Geld 2 ß, Also zusammen 2 lb 13 ß 8 d

Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller font dresser l’inventaire de leur fortune dans une maison rue du Pilot derrière le poêle des Pelletiers. L’actif du mari s’élève à 129 livres, le passif à 283 livres. Les biens de la femme s’élèvent à 395 livres.
1739 (24.9.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 22) n° 571
Inventarium über die Jenige Nahrung so Geörg Friderich Tag dem Ehemaligen Pastetenbeckhen undt Fr. Annæ Mariæ Tagin gebohrner Millerin beeden Eheleuthen undt burgere allhier am active quam passive Zuständig, auffgerichtet anno 1739. (…) welche auf ansuchen und begehren Hn Joh: Paull Funckhen deß Paßmentirers auch burgers dahier, der Ehefr Curatoris ad lites inventirt (…) Actum Straßburg auff Donnerstag den 24.ten Septembris Anno 1739.
Inn Einer allhier Zue Straßburg hinder der Kürßer Zunfft Stub ane der Pfahlgaßen gelehenen Weißbecken behaußung hat sich befundten alß volgt
Des Ehemanns haußrath 129 – Schulden 283 übertreffen also die Schulden aiß deß Ehemanns unveränderte undt der Theilbahren Nahrung zu bezahlent desselben unveränderten undt Theilbahrer Nahrung so unter Einer Massa beschrieben umb 153 lb
Der Frauen Nahrung, haußrath 82, Silber 12, Goldene Ring 17, Schulden 175, Ergäntzung der Ehefrauen Ermanglenden ohnveränderten guths, Vermög Inventarÿ illatorum durch mich Notarium in aô 1736 auffgerichtet 108, Summa summarum 395 lb

Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller vendent la maison au fourbisseur Jean Daniel Mannberger et à sa femme Marie Barbe List

1738 (9.5.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 285
Georg Friedrich Tag der Pastetenbeck und Anna Maria geb. Müllerin
in gegensein Johann Daniel Mamberger des schwerdtfegers und Maria Barbara geb. Listin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne dem Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck am sogenannten Brand ein end, anderseit neben weÿl. Simon Rolle des altgewänders erben, hinten auff den Brand ein end – davon soll man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 sch. ane allmend zinß – den 30. Junÿ 1736 währendes ledigen standt erkaufft hat – um 800, 150 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 550 pfund

Jean Daniel Mannberger devient tributaire chez les Maréchaux le 26 juin 1733
1733, Maréchaux – Protocole du corps des couteliers (XI 154)
(f° 92-v) Freÿtags den 26. Junÿ Anno 1733 – Meisterrecht
Johann Daniel Mannberger der Ledige Lang Meßerschmids gesell, weÿland herrn Johann Nicolai Mannbergers, des ältern E: E: Großen Raths alten beÿsitzers und Lang Meßerschmidts, auch Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßener Sohn, stehet vor und bitt, mann wolle Ihne Zum Meister Recht admittiren, legte auff handwercks gebühr 16 ß (Auflaggeld dt. 16 ß d)
Erkand, gegen erlegung der Gebühr Willfahrt dt. 7. lb 10 ß d

Fils du coutelier Jean Nicolas Mannberger, Jean Daniel Mannberger épouse en 1734 Marie Barbe List, fille du marchand Nicolas List : contrat de mariage, célébration
1734 (1.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 317
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Daniel Mannberger dem Ledigen Lang Meßerschmidt, weÿland des Wohl Ehrenvest, Großachtbahr Und Wohlweißen herrn Johann Nicolai Mannbergers des ältern Lang Meßerschmidts auch E: E: Großen Eaths alten wohlverdienten beÿsitzers vnd burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßenem Sohn, als dem herrn Bräutigamb, ane einem,
So dann der Viel Ehren Vnd hoch tugendgezierten Jungfrauwen Maria Barbara Listin, weÿland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren herrn Nicolai Listen, geweßenen handelßmanns und Burgers allhier zu Straßburg, nunmehr seeligen nachgelaßener Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen und Verhandelt in Königlicher Statt Straßburg auf Freÿtag den Ersten tag des Monats Octobris im Jahr des herren, als man Zahlte 1734.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 17-v n° 18)
1734. Mittwoch den 13. Octobr: seind nach Zweÿmähl. geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirchen zu St. Niclaus durch priesterliche Copulation in den Ehestand eingesegnet word. Johann Daniel Mannberger der ledige Lang Meßerschmidt und burger allhier weil. herrn Niclaus Mannbergers geweßen. Lang: Meßerschmidts u. E. E. Groß. Raths alt. Beÿsitzers hinterl. ehel. Sohn u. Jgfr Maria Barbara weil. Hn Nicolai Listen geweßten Handelsmanns u. burg. allhier hinterl. ehl. Tochter (unterzeichnet) Johann Daniel Manberger als hochzeiter, Maria Barbara Listin als hochzeiterin (i 19)

Jean Daniel Mannberger et Marie Barbe List hypothèquent la maison au profit de Jean Silberrad, receveur de la fondation Schenckbecher et triumvir de la Tour aux deniers.

1740 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 88
Johann Daniel Mamberger der Langmeßerschmidt und Maria Barbara geb. Listin mit beÿstand ihres schwagers Johann Theobald Meÿer des gastgebers zum Thiergartten und ihres geschwistrig kinds Johann Daniel Würtz des Unter Cranmeisters
in gegensein H. Johannes Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen stifftung und dreÿers hiesigen Pfenning Thurns – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand,eine behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten an dem Baarfüßer: platz – ist einseit ein eck an dem so genannten Brandt: ein end, anderseit neben Vincent Gayneau dem Sattler ehevögltlichen weiß, hinten auff den Brand ein end- davon gibt man wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür hiesiger Stadt Pfenning Thurn 16 ß ane allmend zinß – als ein am 9. Maÿ 1738 erkaufftes guth

Daniel Mannberger loue une partie de sa maison au cordonnier Jean Michel Ohlmann

1743 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 32
Daniel Mamberger der schwerdfeger
in gegensein Johann Michael Ohlmann des schuhmachers
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörig auff dem barfüßerplatz einseit ist ein eck anderseit neben Vincent Gayneau dem sattler ux. noe. gelegenen behausung unten auff dem boden einen laden, kammer, kuchen und ein kämmerlein unter der stieg, ferner auff dem dritten stock eine kammer aus welcher dem entlehner auf seinen costen eine stub zu machen erlaubt ist auff dem vierten stock eine Gesind: Kammer samt einem unterschlagenen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff nächst künfftigen Annunciationis Mariæ anzufangen – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden
[in margine :] gebrochen 8. Aprilis 1746

Jean Daniel Mannberger et Marie Barbe List hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Sachs, femme de l’assesseur au Grand Sénat Jean Sébastien Gambs

1745 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 329
Johann Daniel Mamberger und Maria Barbara geb. Listin mit beÿstand H. Johann Philipp Richßhoffer und H. Joseph Büchel beede handelsleuth ihrer vettern
in gegensein H. Lt. Johann Friedrich Sachs Cancellariae Contactuum Substituti als gewalthaber seiner schwester Fr. Mariæ Salome geb. Sachs H. Lt Johann Sebastian Gambs E.E. großen Raths alten beÿsitzers Eheliebstin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis am Baarfüßerplatz einseit ist ein Eck ane dem sogenannten brennt ein end, anderseit neben Vincent Gayneau des sattlers Ehefrau, hinten auff besagtes brennt ein end – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 16 ß ane allmend zinß – als ein am 9. Maÿ 1738 erkaufftes guth

Jean Daniel Mannberger et Marie Barbe List vendent la maison à l’orfèvre Jean Régnard Theurer moyennant 1 700 livres

1746 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 142
Johann Daniel Mannberger der Lang Meßerschmidt und Maria Barbara geb. Listin
in gegensein H. Johann Reinhard Theurer des goldarbeiters
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und ane dem Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck ane dem so genanten brennt ein end, anderseit neben Vincent Gayneau dem Sattler ehevögtl. weiß, hinten auff den brennt ein end – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 ß ane allmend zinß – als ein am 9. Maÿ 1738 erkaufftes guth – um 800 pfund verhafftet, geschehen um 1700 pfund

Jean Régnard Theurer est admis le 21 mai 1743 à faire son chef d’œuvre qu’il présente le 5 septembre. Les examinateurs le reçoivent maître
1742, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 1066) Montag den 21. Maÿ Anno 1742
Johann Reinhard Theurer de ledige Goldarbeiter erscheint und berichtet daß man Ihme erlauben möchte das Meisterstück auffzunehmen und Zu verfertigen. Erkandt, Wird dem Imploranten gegen Erlag der Gebühr Willfahrt und solle es beÿ H. Bernhard als einem der dreÿen Herren Schauern behaußung so der Goldarbeiter Profession Zugethan solches verfertigen.

(p. 1072) Mittwoch den 5.ten Septembris Anno 1742
Johann Reinhard Theurer der Leedige Goldarbeiter von hier erscheint und præsentirt sein verfertigtes Meisterstück in Vier Stücken bestegend, bittet solches Zu besichtigen und darüber Zu erkennen.
Die dreÿ geschwohrene Herren Gold und Silberschauer referiren nach genugsammer besichtigung, daß solche Stuck sehr Wohl und gut gemacht mithin vor ein Meisterstück passable seÿe, wann er Kan Handtreu geben ane Äydes statt daß er solche mit eigener Hand gemacht hat so wolten Sie ihn vor einen Mitmeister erkennen.
E.E. Gericht Erkannt similiter de super dedit fidem et pro Discretione 3. lb d.

Fils de l’orfèvre du même nom, Jean Régnard Theurer épouse en 1743 Marie Madeleine Stœsser, fille du secrétaire de la Taille Jean Raoul Stœsser : contrat de mariage, célébration
1743 (24.7.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 352)
Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrenn Herrn Johann Reinhard Theurer, ledigem Gold Arbeitern, weÿland des Wihl Ehrenvest und Kunsterfahrenen Herrn Johann Reinhard Theurers, geweßenen Silber Arbeiters und Burgers allhier Zu Straßburg, mit auch weÿland der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Ursula Elisabetha gebohrner Faustin, beeder seel: ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehr: und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Magdalena Stößerin, des Wohl Edel Vest, Rechtsgelehten und hochachtbaren Herrn Johann Rudolph Stößers, löblichter Statt Straßburg Stalls bestmeritirten Actuarÿ und Vornehmen burgers allhier mit der Edlen, Viel Ehr: und tugendreichen Frauen Susanna Catharina gebohrner Ditoin ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
Geschehen und verhandelt seind dieße ding in der königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 24. Julÿ im Jahr als man nach unser Heÿland Jesu Christi Gnadenreichen Geburth Zahlte 1743. (unterzeichnet) Johann Reinhard Theurer als hochzeiter, Maria Magdalena Stößerin alls hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 220 n° 839)
1743. Mittw. d. 7. Aug. seind nach ordent. Proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden H Johann Reinhardt Theurer der led. goldarbeiter u. b. allhier weÿl. H Johann Reinhardt Theurers geweß. silberarbeiters u. b. allhier nachgelaß. Ehl. Sohn u. J. Maria Magdalena H Johann Rudolph Stößers wohlverordneten Actuarii auff dem Herrn Stall u. Vornehmen b. allhier Ehl. erzeugte tochter (unterzeichnet) Johann Reinhard Theurer als hochzeiter, Maria Magdalena Stößerin als hochzeitrin (i 225)

Jean Régnard Theurer et Marie Madeleine Stœsser hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine François Balthasar von Lindern

1749 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 187-v
H. Johann Reinhard Theurer der goldarbeiter und Maria Magdalena geb. Stößerin mit beÿstand ihres schwagers H. Gottlieb Benjamin Löchner goldschlagers und ihres vetters H. Johann Philipp Kolb des handelsmanns
in gegensein H. Frantz Balthasar von Lindern Med. D. und Practici und Jacobe geb. Herrmännin – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane dem Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck am brennt ein end, anderseit neben Vincent Gayneau dem stadt sattler ehevögtl. weiß, hinten auff gedachten brent ein end – als ein am 25. Februarÿ 1746 erkaufftes guth

Marie Madeleine Stœsser meurt en 1749 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 1 350 livres. La masse propre au veuf est de 30 livres, celle propre aux héritiers de 723 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 777 livres, le passif à 3 848 livres

1750 (20.8.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 325) f° 575
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und tugendreichen Frauen Mariæ Magdalenæ Theurerin gebohrener Stößerin des wohl Ehrenvest Großachtbahr: und Kunsterfahrenen Herrn Johann Reinhardt Theurers, Goldarbeiters und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Frauen Eheliebste nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1750 – nach ihrem den 17.den octobr: des nächst abgewichenen 1749.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Herrn Gottlieb Benjamin Lechner, Goldschlagers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Magdalenæ, so 6 Jahr würcklichen passirt, Dorotheä Elisabethä, so beÿ nahe 2 Jahr alt und Johann Reichards, so beÿnahe 2 Jahr alt, alle sambt der Theurer, der Abgelebten seeligen mit vorgemeltem ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erzeugt und hinterlaßener Kinder und Erben inventirt (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auff Donnerstag d. 20. Augusti A° 1750.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem baarfüßerplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Nemlichen eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen deroselben begriffen, weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem baafüßer platz, einseit ist ein Eck ane dem so genannten brenden End, 2. seit neben Vincent Gayneau dem Sattler ehevögtlicher Weiß, hinten auff besagtes Branden end stoßend, gelegen, davon gibt man jährlichen hießigem Pfenning Thurn wegen eines Wetterdächleins und einer Kellerthür 26 ß d ane Allmend Zinnß, sonsten ist dieselbe über hernach eingetragene darauff Hafftende psssiv. Capitalia freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben ad Conceptum geliefferten Schrifftlichen Abschatzung Zeduls vom 17.ten Augusti 1750. angeschlagen pro 1350. lb. Davon ist Abzuziehen obige beschwerde des Allmend Zinnßes der 16 ß d so Zu doppeltem Capital gerechnet anlangt 32 lb. Nach solchem Abgang Verbleibt ane dem Anschlag der behaußung auß Zuwerffen 1318. lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. Stb. gefertiget mit dero anhangendem Insiegel verwahret de dato 25. Februarii Anno 1746.
Ergäntzung des Herrn Wittibers wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guts. Solche bestehet einig und allein wie die den 8.ten Aug. 1743 über ihr beeder geweßter Ehepersohnen erhaltene haußsteuren
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft. Obwohlen Zwar beede nun Zertrennte Ehepesohnen in ihrer vorher Copialiter einverleibten Eheberedung §° 4.to sich ein unverändert guth reservirt und solches beederseits in die Ehe inventiren Zulaßen Stipulirt, so haben Sie dennoch solche Inventur wie der Hr Wittiber hiebeÿ versicherte unterlaßen (…)
Des Herrn Wittibers ohnveränderten Vermögen. Sa. haußraths 26, Sa. Werckzeug Zur Goldarbeiter Profession gehörig 13, Sa. Silbers 11, Sa. baarschafft 3, Sa. Ergäntzung 164, Summa summarum 119 lb – Schulden 150 lb, des H Wittibers ohnverändert Passiv onus 30 lb
Solchemnach Wird auch derer Kinder und Erben anerstorbenen Mütterlich ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 62, Sa. Silbers 8, Sa. goldene Ring, Ketten und dergleichen Geschmeids 88, Sa. Schuld 150,, Sa. der Ergäntzung 414, Summa summarum 723 lb
Endlichen wid auch das Gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 15 ß, Werckzeugs Zur goldarbeiter profession gehörig 15 ß, Sa. Silbers 100, Sa. goldener Ring, Jubelen und dergleichen Geschmeids 342, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 1318, Summa summarum 1777 lb – Schulden 3848 lb – Passiv onus 2070 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 723 lb, Endlicher passiv Schulden rest 1377 lb
Copia der Eheberedung (…)

Le syndic des créanciers de Jean Régnard Theurer qui a quitté la Ville vend la maison au tailleur Pierre Pugens

1753 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 299
H. Gottlieb Benjamin Lochner des goldschlagers innahmen Johann Reinhard Theurer des von hier absentirten goldarbeiters creditorum
in gegensein Pierre Pugens des schneiders
eine in Theurerischer credit: mass gehörigen behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane dem Baarfüßer: Platz, einseit ist ein Eck gegen dem bierhauß zum weißen bären, anderseit neben H. Vincent Gayneau dem stadt Sattler und E.E. Großen Raths alte, beÿsitzers, hinten auff den Brenntein end und einen ausgang dahin habend – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen einem wetterdächlein 16 ß ane allmend zinß – um 800 und 500 lb verhafftet, geschehen um 712 pfund

Pierre Pugens termine en 1732 son apprentissage chez son père Jean Pugens (ici Buchain)
1732, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 376) Dienstags den 22.ten Apr. 1732 – Jean Buchain der schneider spricht seinen sohn Pierre Buchain der lehr Zeit freÿ (dt. 5 ß)

Pierre Pugens s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en 1742. Il y est admis en janvier 1745. Les examinateurs le reçoivent maître.
1742, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 280) Dienstags den 21. Augusti 1742
Pierre Buchain, weÿl. Jean Buchain des Schneiders und burgers allhier ehel. Sohn, laßet sich Zum Meisterstück einschreiben (dt. 2 lb)

(p. 354) Montags den 18.t Januarÿ 1745 – Zum Meisterstück wurden admittirt, Pierre Pugens

(p. 355) Montags den 18.t Januarÿ 1745
Erscheint unter H. Rathh. Andreas Schaaffen seinem Informatore Pierre Pugens der leedige Schneider weÿl. Andres Pugens des gewesenen Schneiders und burgers alhier ehel. Sohn, bittet Ihme Zu einem completen Manns Kleÿd so er Von droquet Verfertigen wolle, das quantum beneben denen Rißen auffzugeben. Ist Imploranten mit 10 ½ Ehl droquet nebst folgenden Rißen willfahrt worden. N° 5 ein Romerisch Kleÿd, N° 12 ein Sudan. Facta relatione et examinatione der geschworne herren Meisterstück schauern, daß der Implorant sein Meisterstück nach ordnung wie recht verfertiget, als ist derßelbe Zu einem mitmeister auff: und angenommen worden.

Pierre Pugens épouse en 1745 Marie Marguerite Bidot, fille du traiteur Jacques Bidot : contrat de mariage, célébration
1745 (1.2.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 349) n° 167
Eheberedung – persönlich erschienen, H Pierre Pugens, der ledige Schneider, weÿl. Hn Jean Pugens, gewesenen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg, mit Frauen Barbara gebohrener Voltzin, ehelich erzeugter Sohn, mit beÿstand Hn Francisci Grillot, wohlbestellten Procuratoris fisci und Vornehmen burgers allhier, seines hierzu in specie erbettenem Hn assistenten, als hochzeither ene einem,
So dann Jungfrau Maria Margaretha Bidot, Hn Jacques Bidot, des Traitteur und burgers allhier, mit Frauen Anna Maria Francisca, gebohrener Vogelin, ehelich erzeugte Tochter, mit assistentz erstgedachten Ihres Hn Vatters und Hn Johann Daniel Otten, Silberarbeiters und geschwornen Stattgewichtfächer, So dann Hn Joseph Bronsal, Perruquier, beeder burgere allhier, als hochzeitherin ane dem andern theil
So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg auf Montag den 1.ten Februarÿ Anno 1745. (signé) pierre pugens fiance, + der hochzeitherin handzeichen

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 264)
Hodie primâ mensis martii anni 1745 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes petrus pugens argentinensis, sartor, filius defuncti joannes pugens et barbaræ Wolzin Conjugum Commorans in Dictâ parochia Sti petri junioris, et maria margarita Bidot, quoque argentinensis, filia Jacobi Bidot, dicti vulgo La Liberté, civis obsenatoris, et annæ mariæ Fauglerin Conjugum ex hac parochia (signé) pierre pugens, + nota sponsæ (i 136)

Pierre Pugens devient bourgeois à titre gratuit le 13 mars 1745.
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 203
Joh: Peter Bugens Von hier gebürtig erhaltet das burgerrecht gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der schneidter Jurav. Eodem [13. Martii 1745]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient aux parents de l’épouse rue des Serruriers. Les apports du mari s’élèvent à 383 livres, ceux de la femme à 458 livres.
1745 (26.3.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 316) n° 368
Inventarium über Herrn Pierre Pugens, des Schneiders und Frauen Maria Margaretha gebohrener Bidot, beeder Eheleuthe und Burgern allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1745. (…) und sich deren Jeedes Vermög Ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung vor unverändert vorbehalten hat (…) So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer Gegenwarth der Ehefrauen eheleiblicher Eltern, auf Freÿtag den 26. Martÿ Anno 1745.
In einer allhier Zu Straßburg in der Schlossergaß gelegenen der dißortigen Ehefrauen Eltern eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 167, Sa. Silbers 29, Sa. baarschafft 150, Summa summarum 346 lb – deme beÿzurechnen die Helffte ane denen hernach beschriebenen Haussteuren 36 lb, Soforth wird des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Völliges Vermögen außmachen 383 lb
Solchemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 136, Sa. Silbers 15, Sa. Goldenen Rings 9, Sa. baarschafft 260, Summa summarum 421 lb – Wann aber hierzu gelegt und gerechnet wird der halbe theil vo hernach beschriebenen Haussteuren (…) außmachend 36 lb, So ist und thut der Ehefrauen gesambte in den Ehestand gebrachte Nahrung benantlichen 458 lb

Pierre Pugens loue une partie de la maison au perruquier Frédéric Huder

1755 (24.7.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 243-v
H. Pierre Pugens der schneider
in gegensein Friedrich Hüder des perruckenmachers
entlehnt, in des verlehners eigenthümlich gehöriger auf dem Baarfüßerplatz am eck des brandeinends gelegener behausung, unten einen laden auf dem dritten stock eine cammer eine kuche und dann einen keller samt einem beschlüßigen platz zu dem holtz – auff 5 nacheinander folgenden jahren, anfangend auff nächst künfftigen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 56 gulden

Pierre Pugens et son voisin sellier Michael Gœrgen passent un accord relatif à l’entretien de leurs latrines communes

1769 (18.4.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 588) n° 154
erschienen heut dap persönlich Sieur Pierre Pugens der Schneider,
und Hr Michael Görgen der Sattler, beede burgere alhier
declarirende, was massen in ihren ane den Baarfusserplatz neben einander gelegenen eigenthümlichen Häussern, wovon sein H Pugens die Eck behausung am Eingang in das sogenante brand ein End ist, ein unter ihnen beÿderseitigen Parthen gemeinschaftliches s.v. Privet befindlich seÿe, deßen gemäur sie bis daher dergestalten gemeinschaftlich unterhalten, daß jeeder Von ihnen, was auf der Seite seines Hausses zu repariren gewesen, vor sich und auf seine eigene Unkosten ohne des andern Zuthun, machen und arbeiten lassen, auf welche Art und weiß sie auch deßfalls fernerhin Zu continuiren gedencken, damit aber dieser ihr Vorsatz Stable seÿn, der Friede und Einigkeit unter ihnen beeden Nachbaren unterhalten, und Künftighin alle etwa sich eräugnen Könnende verdrießliche Zwistigkeiten ein für alle mal gäntzlch aufgehaben seÿn und bleiben mögen, so wollen Sie Comparenten sich hiemit freÿwillig auch wissend: und wohlbedächtlich für sich, ihre Erben und Nachkommen dahin gegen einander reversiren und verbindlich machen, daß hinfüro wie vorhin jeeder Von ihnen was auf der Seite seines Hausses ane der Gemäur ihres gedachten gemeinschaftlichen s.v. Privats zu repariren und zu bauen nöthig seÿn werde, für sich und auf seine eigene Unkosten allein, ohne des andern Zuthun oder beÿtrag durch jeeden theil anständige Arbeitsleuthe, verfertigen und repariren Zu laßen schuldig und gehalten seÿn solle und wolle. Welche Convention beÿderseitige Parthen vorstehender massen für sich ihre Erben und nachkommen zu allen künfftigen Zeiten wahr, steil und vest zu halten einander mit Mund und gegebener Hand Zugesagt und versprochen (…) So geschehen alhier Zu Straßburg im jahr 1769 auff Dienstag den 18. Aprill

Pierre Pugens et Marie Marguerite Bidot hypothèquent la maison au profit de Philippe Jacques Greiss, notaire et secrétaire à l’audience du consul en exercice

1772 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 154
H. Pierre Pugens des schneidermeister und Anna Maria geb. Bido unter assistentz H. Nicolas Leclerc des pasteten becks und Nicolas Gabory des frantzösischen becken
in gegensein H. Not. Philipp Jacob Greis secretarii beÿ des regierenden H. Ammeisters hans audientz – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane dem Baarfußer platz einseit ist ein eck gegen dem Bierhaus zum weißen Bähren, anderseit neben weÿl. Michel Görger des sattlers wittib, hinten auff das brennt ein end – als eine von Reinhard Theurer dem entflohenen goldarbeiters creditorum den 26. junÿ 1763 vermög kauff brieff erkauffte behausung

Déclaration tenant lieu d’inventaire en 1787 après la mort de Pierre Pugens qui délaisse sept enfants mais aucune fortune
1788 (17.4), Not. Lung (6 E 41, 1527) n° 141
Declaratio loco Inventarii über Weiland Hrn. Peter Pugens, gewesenen Schneidermeisters und Burgers alhier seeligen Verlaßenschafft
Zuwißen seÿe hiemit demnach Herr Peter Pugens, der gewesene Schneidermeister und Burger allhier, den 11. May des verfloßenen 1787. Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt, daß ane Zu End stehendem dato vor mir (Notario) persönlich erschienen deßen hinterbliebenen wittib Frau Margaretha Pugens gebohrene Bito, beiständlich H. Andreas Pugens auch Schneiders und Burgers alhie, ane einem,
und des verstorbenen seeligen alhier anwesende töchter, benandlichen Jgfr Magdalena Pugens, ferner Fr. Theresia Courdot gebohrene Pugens, H. Frantz Xaveri Courdot des Buchhalters u. burgers zu Belfort Ehegattin, so dann Jgfr. Johannna Francisca Pugens, alle dreÿ majorennes und von obgedachten H. Andreas Pugens, ihrem oncle hierzu ebenfalls verbeÿstandet, an dem anderen theil,
anzeigend daß der Verstorbene seel. noch ferner folgende Kinder mit erstgemelter Wittib erzeugt habe, als Fr. Margaretha gebohrene Pugens, H. Philipp Jacob Broma, des Peruckenmachers und Burgers zu Colmar Ehefrau, weiter Ludwig Pugens, den abwesenden Schneidergesellen, ferner Jgfr. Catharina Pugens, Cammerjungfer beÿ einer auswärtigen Dame und dann H. Georg Pugens den ledigen handlungs bedienten, dermalen zu Paris in Condition stehend, welche samtliche sieben Kinder Erben ab intestato wären, aber Sie die Comparentinen auf die väterliche Erbschafft hiemit freÿwillig renunciren, angesehen Er der Vatter kein Vermögen hinterlassen habe, sondern vielmehr die hiesigen töchter ihre Eltern schon seit vielen Jahren her erhalten und verköstiget haben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg den 17. Aprilis Anno 1788

Pierre Pugens et Marguerite Bidot vendent la maison au joailler Jean Philippe Fibich

1778 (8.10.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 316-v
Sr Pierre Pugens der schneider meister und Margaretha geb. Bido
in gegensein H. Exsenatoris Johann Philipp Fibich des juvelirers
eine behausung bestehend in vorder und hinter gebäud, hoffstatt mit allen denen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfußerplatz einseit ist ein eck gegen dem bierhaus zum weißen bären, anderseit neben H. Rieth dem sattler, hinten auf den Brand ein end dahin auch einen außgang dahin habend – als ein unterm 26. Junÿ 1753 von Theuerischen creditores erkaufftes haus

Jean Philippe Fibich hypothèque quelques jours plus tard la maison au profit de l’orfèvre Jean Philippe Braun pour en régler les frais de construction

1778 (27.10.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 333-v
H. exsenator Johann Philipp Fibich der juvelirer
in gegensein H. Johann Philipp Braun des goldarbeiters, zu bau hienach beschriebener behausung – schuldig seÿe 2500 gulden
unterpfand, vorgedachte behausung ane dem Baarfußerplatz, einseit ist ein eck gegen dem Weißen bären über, anderseit neben H. Reith dem sattler, hinten auff den Brand ein end

Jean Philippe Fibich hypothèque au profit de l’orfèvre Joseph Ott la maison qu’il vient de reconstruire place des Cordeliers ainsi qu’une autre au quartier des Ponts-Couverts.

1780 (13.4.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 169-v
H. exsenator Johann Philipp Fiebich der juwelirer
in gegensein H. Joseph Ott des ledigen goldarbeiters – schuldig seÿe 500 gulden
unterpfand, die ihme zuständig neu erbaute ane dem Baarfüßerplatz am Brand ein end gelegene behausung ratione der 700 gulden
eine andere ihme gehörig au quartier du Pont Couvert gegen dem zu Dauphin geschildete gast behausung über gelegene behausung

Les experts estiment la maison à 4000 livres lors de l’inventaire dressé en mai 1780 après la mort de Susanne Catherine Sebisch
La maison de Philippe Fibich est vendue par adjudication judiciaire à l’artiste peintre Jean Jacques Büchel

1793 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 668 n° 130
Declaration – bu. Johann Jacob Bückel der kunstmaler, daß er die dem bu. Philipp Fibich dem jubelirer gehörig geweste behausung ane dem Waffenplatz alhier am eck des Brandeinends gelegen mit N° 31 bezeichnete behausung mit allen rechten und gerechtigkeiten beÿ der laut des hiesigen districtgerichts erkantnus vom 5. Decembris jüngsthin coram comissario den 29. vorigen monats vorgenommenen 4 versteigerung definitive zuerkannt um 30.250 livres
[joint] Pro extractus, Johann Philipp Fibich mass betreffend, den 16. Februar. eine ane der Paradenplatz gelegene behausung

Jean Jacques Büchel hypothèque le même jour la maison au profit du marchand Nicolas Henri Schreider

1793 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 668 n° 129
bu. Johann Jacob Bückel der maler
in gegensein bu. Nicolaus Heinrich Schreider des handelsmanns – schuldig seÿen 18.000 livres zu zalung eines theils des steigschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, obgemelte behausung ane dem Baarfüserplatz, mit n° 31 bezeichnet, einseit ist ein eck ane dem Brandenend, anderseit neben Frantz Antoni Riett dem sattler

Le peintre en miniature Jean Jacques Büchel devient tributaire à l’Echasse le premier octobre 1785.
1785, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 600) Sambstags d. 1.ten Octobris 1785. – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
Hr Johann Jacob Büchel, der Mignature: Mahler Von hier gebürtig stehet Vor und bittet ihn disorts als einen Leibzünftigen auf: und anzunehmen, producirt Stallschein vom 15.ten Octobris 1785.
Erkanndt, Willahrt, dt. 6 fl. für das Zunfftrecht, 2 fl. Zu Unterhaltung der Feurspritz, 1 fl 3 ß 4 d für den Pfenningthurn und 4. ß für das Findling hauß. Jur. eod.

Fils du perruquier Frédéric Balthasar Büchel, Jean Jacques Büchel épouse en 1780 Marie Madeleine Pfæhler, fille du marchand de fruits et légumes Jean Frédéric Pfæhler : contrat de mariage, célébration
1780 (15.11.), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 26
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿe Herr Johann Jacob Büchel, der Kunstmahler, Weiland H. Friderich Balthasar Büchel, geweßenen Perruquenmachers und Burgers dahier mit Frau Maria Magdalena gebohrener Eißeenmännin seiner hinderlaßenen Wittib ehelich erzeugter, wie er declarirt großjähriger und seiner Rechten genißender nach tod verlaßener Sohn, als Hochzeiter ane Einem
So dann Jungfrau Maria Magdalena Pfehlerin, Herrn Johann Friderich Pfehlers, des Fastenspeishändlers und Fraun Annä Judithä gebohrene Ruffin, beeder Eheleuthe und burgere dahier ehelich erzeugte Tochter beÿständlichen Herrn Pfehlers ihres Vatters vorgedacht und Herrn Johann Bernhard Pfehlers des Goldarbeiters und Burgers dahier ihres Bruders als Hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen allhier Zu Straßburg auf Mittwoch den 15 Novembris Anno 1780 (unterzeichnet) Joh: Jacob Büchel, Maria Magdalena Pfählerin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 116 n° 18)
In dießem 1780. Jahr sind nach zweÿmal nach einander geschehener proclamation Montag den 26. Novembris morgens um eÿlff uhren Zur Ehe eingesegnet worden Johann Jacob Büchel lediger burger und mahler alhier weÿl. Balthasar Büchel geweß. burgers und peruckenmachers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn mit Jgfr. Maria Magdalena Pfelerin Johann Friderich Pfelers burgers und fastenspeishändlers alhier eheliche dochter (unterzeichnet) Johann Jacob büchel als Hochzeiter, Maria Magdalehna Pfahlerin als Hochzeitern (i 119)

Inventaire des biens que Jean Frédéric Pfæhler et Anne Judith Ruff donnent à leur fille Marie Madeleine lors de son mariage
1780 (25.11.), Not. Lederlin (6 E 41, 902) n° 93
Designatio über Alles dasjenige was Herr Johann Friedrich Pfehler, der Fastenspeißhändlers und Frau Anna Juditha gebohrene Ruffin, beede Eheleuthe und Burgere dahier in Straßburg ihrer Tochter Jungfer Mariæ Magdalenæ Pfehlerin, welche sich nächster tagen mit Herrn Johann Jacob Büchel dem Mahlern Burgern allhier verehelichen werde, ane Ehesteur mit in die Ehe gegeben (…) So geschehen Straßburg d. 25. 9.bris A° 1780
hausrath 94, 27 lb, silber 13 lb, gold 9 lb, eissern geschirr 2 lb

Marie Madeleine Pfæhler meurt en 1794 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison place d’Armes. La masse propre au veuf est de 107 livres tournois, celle propre aux héritiers de 1 902 livres. L’actif de la communauté s’élève à 28 680 livres, le passif à 17 633 livres

1797 (12 prairial 5), Strasbourg 4 (8), Not. Greis n° 1185, altes 655
Inventarium über und Erörterung Weiland der bürgerin Maria Magdalena geb. Pfähler burgers Johann Jacob Büchel dermaligen Caffesieders und Inwoners zu Straßburg am 18. November 1794 alt. Stil, das ist den 28. brumaire 3, verstorbenen Ehefraun hinterlassenen Vermögens, auf Ansuchen des Wittibers wie auch burgers Johann Leonhard Pfähler, Goldarbeiters, als beeidigten Vogts der mit dem Wittiber erzeugten zweÿen Kinder und ab intestato zu zween gleichen theilen hinterlassenen Erben benandlich 1. Maria Magdalena büchel so 15 Jahr alt und 2. Johann Jacob so 12 Jahr auf sich haben mag am 7. Messidor 4 zu inventiren angefangen worden
in hernach beschriebenen Sterbbehausung

des hinterbliebenen Wittibers auser seiner Kleidung und weisen Gezeugs ihme zugehörig unveränderten Guts, Ergäntzung 192 lb, schulden aus der Nahrung zu bezalend so des Wittibers unverändert 300 lb, Nach deren abzug 107 lb
der Kinder und erben unverändert Vermögen, Kleidung 252 lb, Schulden in die nahrung zu geltend 300 lb, Ergäntzung 1350 lb, Summa summarum 1902 lb
das gemein verändert und theibare Gut, hausrath 2514 lb, silbers 80 lb, Gold 304 lb, Wein Faß brandenwein 253 lb, Billiards wie auch Waar zum Caffewesen 2438 lb, baarschafft 3600 lb
Eigenthum ane einer behaußung so theilbar, Nemlich Eine behaußung bestehend in Vorder und hinter hauß hoff hoffstatt und bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Waffenplatz mit N° 31 bezeichnet 1.s ist ein Eck gegen dem brand ein End 2.s neben b. Frantz Anton Rieth dem Sattler und hinten auf das brand ein End, 20 jährlich am 20. julÿ alt. stils das ist den 2. Ther. davon alhiesigen Gemeinde zu geben habenden und mit 757 lb 15 s 4 ablösigen bodenzinß, in Gefolg der Gesetze vom 9 pluviose & 14 thermidor 4 nach Masgab der in 1791 davon laut Extractus der Grundsteuer Mutterroll davon mit 128 livres 18 s 9 d abgerichteten Grundsteur (…) in Anschlag gebracht wird mit 19.490 livres., Diese behaußung hat der Wittiber wärend dieser Ehe von weiland br Joh: Philipp Fibich dem Juwelierer Steigerunng weiß an sich gebracht laut abzugs aus den registersn des Straßburgischen ehemaligen district Gerichts vom 6. hornung 1793 gerichtlich zuerkannt auch darüber am 30. ged. Jahrs und Monats die Verschreibung in der Cantzley Contract Stub passirt, und wurde gemelte behaußung durch br Fibich von auch weÿl. b. Peter Pugens dem Schneider in vorged. Contractstub am 8. October 1778 erkaufft. Der Platz aber worauf das Vorder hauß erbaut und welcher 18 Klaffter 5 schuh und 8 Zoll Quadrat Mess alment gros ist wurde vorgesagtem b. Fibich vermög Protocoll der ehemaligen Ober bau herren und drei des Pfenningthurns de dato 20. Julÿ 1784 fol° 141-b käuflich übergeben unter der bedingung dafür die summ von 757 lb zu bezalen
behausung 19.490 lb, Summa summarum 28.680 lb – Schulden aus der Nahrung 17.633 lb, Nach deren Abzug 11.047 lb
Abschrift der Eheberedung de dato 15. Novembris 1780 (…) Joh: Lederlin Notarius
Abschrift der entseelen Codicilli de dato 15. August 1785 so den 6. Messidor 4 enregistrirt worden, Joh. Lederlin – Bericht
Enregistrement, acp 51 F° 36-v du 13 pr 5

Jean Jacques Büchel se remarie en 1797 avec sa servante Dorothée Freydel, fille du tisserand Jean Daniel Freydel
Mariage, Strasbourg (n° 357) Cejourd’hui 20° Germinal l’an IV de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Jacques Büchel, agé de 46 ans, caffetier, né et domicilié en cette commune, fils de feû Balthasar Büchel, perruquier, et de Marie Madeleine Eisenmann, veuf de Madeleine Pfaehler, de l’autre part Dorothée Freydel, agée de 23 ans, fille de charge chez le futur, née et domiciliée en cette commune, fille de Jean Daniel Freydel, tisserand, et de Catherine Elisabeth Herter. Lesquels futurs conjoints étoient accompagnés de George Hübner, agé de 30 ans, boucher, demi-frère du futur (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 25 mars 1750 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 17 décembre 1772 (…) 3° de l’acte de décès de Madeleine Pfaehler, épouse en premières noces du futur, portant qu’elle est morte en cette commune le 28 brumaire troisième année républicaine (signé) Jacob Büchel, Dorothée Freudel (i 186)

Jean Jacques Büchel loue une partie de la maison à Nicolas Rosenstiehl, de Bouxwiller

1801 (23 fructidor 9), Strasbourg 13 (13), M° Bremsinger n° 359
Lehnung – bürger Jacob Büchel der Caffesieder
bürger Nicolaus Rosenstiehl zu Buchsweiller wohnhaft für 3 nacheinander folgenden jahren welche den 5. Nivose 10. Jahrs ihren anfang nehmen,
nemlichen den Rez de chaussée und den ersten Stock sowohl im fordern as im hintern hauß seines ane dem Paraden Platz gelegenen hauss so mit N° 31 bezeichnet, nebst denen dreÿ fordern Kellern einem Zimmer im zweÿten Stock im hintern hauß, einer mansarde im vorderhauß, einer getüch Kammer im 5.t Stock, das in dem untersten Saal befindliche Comptoir, eine Kaffee mühl, ein Kaffee Rost und des in der Küchen zum Kaffeesieden nötige und sich alda befindliche Kupfer und mösingen geschirr – um einen jährlichen Zinß nemlich 1659 francken
Enregistrement, acp 81 F° 5 du 2 compl. 9

Le cafetier Jean Jacques Büchel déclare que les quatre fenêtres qui donnent sur la propriété de son voisin sellier François Antoine Frédéric Rieth sont une pure tolérance depuis que la maison a été construite.

1802 (19 ventose 10), Strasbourg 11 (4), M° Anrich n° 458
zu weÿl. der bürgerin Marthä geb. Holdermann des bürgers Frantz Antoni Friedrich Rieth Sattlers abgelebter Ehefrau Verlaßenschafft Erörterung, erschienen der bürger Jacob Büchel Caffée sieder als Eigenthümer des neben der besagten Rieth’scher Ehefraun Verlaßenschafft gehörigen behausung gelegenen Caffée haußes, dießer zeigte an und bekannte freÿ offentlich, daß beÿ Erbauung seines Caffée haußes ihme durch die Eigenthümer berührter in gedachte Verlaßenschafft gehörige behausung vergönstiget worden 4 fenster zu errichten welche in besagter Verlaßenschafft gerechtigkeit das liecht nehmen, derowegen wolte Er der comparirende bürger büchel hiemit freÿwillig declariret habe, daß solche nur eine Vergönstigung seÿe und zu keiner zeit als eine gerechtigkeit angesehen und gehalten werden konne, sondern daß denen jeweiligen Eigenthümern Rieth’scher behausung alle ihre Vor Erbauung gemeltdeten Caffée haußes gehabte Eigenthüms rechten und gerechtigkeit hiemit außdrucklich vorbehalten seÿn und bleiben solle, wobeÿ auch noch ferner ermeldeter bürger Büchel bekannt daß er an der Maur welche deßen von Rieth’scher behausung scheidet ihme bürger Büchel zu einer helffte und Rieth’scher Verlaßenschafft zur andern helffte eigenthümlich zuständig

Jean Jacques Büchel et ses enfants en premières noces vendent la maison au négociant Joseph Dobner

1811 (14.1.), Strasbourg 12 (35), M° Wengler n° 5445
Jean Jacques Büchel père peintre et Dorothée Freydel, Jean Jacques Büchel fils commis négociant, Catherine Madeleine Büchel majeure, héritiers chacun pour une moitié de Marie Madeleine Pfaehler leur mère épouse en premières noces du Sr Büchel père
à Joseph Dobner négociant domicilié en cette ville sous les grandes arcades n° 34
une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, fontaine avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg place d’armes n° 31, d’un côté faisant le coin de la rue du coin brulé, de l’autre en partie une avance sur ladite place et attenant en partie au Sr Georger sellier carossier, devant à la place d’armes, derrière rue du coin brulé où il y a porte d’issue, trois fourneaux avec tuyaux et pierre l’un dans la salle du devant au premier étage un autre dans la chambre de derrière au même étage et un troisième dans une chambre au troisième étage, grevée envers la ville de Strasbourg d’une rente foncière de 20 fr – vendue judiciairement à Jean Philippe Fibich jouailler et acquis par ledit Sr Büchel père au ci devant tribunal du district de Strasbourg le 6 janvier 1793 enregistré à la Chambre des Contrats le 20 du même mois – que les vendeurs se réservent la jouissance jusqu’à la St Jean prochaine du logement qu’ils occupent présentement et qui consiste dans le rez de chaussée dans une chambre sur le derrière au troisième étage et dans la partie sur le derrière de la cave – moyennant 30.000 francs
Enregistrement, acp 116 f° 71-v du 15.1.

Fils de Jean Matthieu Dobner, meunier à Münichsfeld en Bohême en jurisdiction de Mayerhœfen, Joseph Dobner épouse en 1776 Marie Anne Desfontaines, veuve du marchand Jean Michel Dimier : contrat de mariage, célébration
1776 (14.8.), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 138
Contrat de mariage – le Sieur Joseph Dobner, Negociant demeurant en cette dite ville, fils majeur d’ans de defunt le Sieur Jean Matthieu Dobner Marchand de Bleds à Münichsfeld en Bohême, jurisdiction de Mayerhoeffen et de feue D° Marie née Steltznerine ses pere et mere, agissant et stipulant pour luy et en son nom d’une part
Et Damoiselle Marie Anne Dimier née Desfontaines veuve de feu le Sieur Jean Michel Dimier vivant bourgeois de Marchand de cette même ville, agissante pour elle et en son nom sous l’assistance du Sieur Jean François Guilbaux Maître de musique des Dragons à ce present d’autre
Le 14° Août 1776 (signé) Joseph D’obner, Marianne dimieu veuve

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 223)
Hodie 20. augusti anni 1776 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt josephus Dobner, ante hac musicus Legionis Equestris vulgo Dragons Collonel general dictæ, filius majorennis defuncti Joannis Mathæi Dobner, molitoris in Munichfeld Diœcesis Pragensis, ratione domicilii Parochianus noster Et Maria Anna Fontaine vidua Superstis Joannis Michaelis Dimier Civis mercatoris dum viveret hujatis Parochiana nostra, testes aderant Ludovicus Dimier sponsæ filius solutus hujas, Dominicus Barbier, Civis et Mercator Sponsæ Gener (signé) Josephus Dobner, marianne des fontaines (im 117)

La tribu du Miroir remet à Joseph Dobner une promesse d’admission pour qu’il puisse devenir bourgeois : il devient tributaire le 10 juin 1777.
1776, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 159-v) Dienstags, den 17. Decembris 1776 – Vertröstung
der von Münchfeld in Böhmen Kollowratischer Herrschafft gebürtige Hr Joseph Dobner stehet vor, producirt Schein erlernter Handlung von H. Caspar Forscheim in Eisendorf d. 1. Nov. jüngsthin gesiegelt ausgefertiget, bittet um den Zu Erlangung des hiesigen Burgerrechts benötigten Vertröstungschein. Erkannt, Willfahrt.

(f° 171-v) Dienstags, den 10. Junii 1777 – C. Leibzünfftiger
Hr. Joseph Dobner ist nunmehr auf vorgewiesenen Kanzlei- und Stall- schein vom 21. Maji jüngsthin gegen Erlag 3. lb 10 ß vor das Zunfftrecht und 20. lb d wegen nicht in hiesiger Stadt erlernter Handlung diesorts leibzünfftig als Handelsmann aufgenommen worden, promisit. Will mit quincaillerie Waaren handlen.

Joseph Dobner devient bourgeois par sa femme en mai 1777 : inscription et traitement des demandes
1777, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 171-v
Joseph Dobner der handelsmann von Münchsfelden in Böhmen, erhalt das Burgerrecht von seiner Ehefrauen Maria Anna geb. fontaine, weÿl. Johann Michael Dimier gewesenen handelßmanns und burgers hinterl. wittib umb den alten burger schilling, mit dem anhang daß er von Zeit seiner Copulation das stallgeld nachtrage, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel. Jur. eod. [21. May 1777]

(VI 286 bis) p. 488. Spiegel No 26, 21. May 1777
Joseph Dobner der handelsmann Von Münchsfeld in Böhmen gebürtig, weÿl. Joh: Matheus Dobner Gewesenen Müllers daselbst, mit fr. Maria Elisabetha gebohr. Feltnerin Ehelich erzeugter Sohn Verheurathet, nach Vorherig erhaltener erlaubnus Von S. T. dem Regierenden H Ammeister unterm 12. augusti 1776. mit fr. marian gebohr. fontaine weÿl. h Jean Michel Dimier gewesenen b. u. handelsmanns alhier hinterlassener Wittib
Erweiset durch Vorgelegte scheine Seine Ehrliche geburth der Cath. Relig. Zugethan, Seiner Sponsæ Stallgebüht in richtigkeit, Er die erforderliche Statt Stall Caution geleistet und des Zunfftrechts beÿ E: E: Zunfft Zum Spiegel Vertröstet Worden
daß erforderliche Vermögen hatt derselbe baar Vorgewiesen und als sein Wahren Eigenthum handtreu bekräfftiget, auch 100 fl 5 ß beim B. Pro. deponirt. Implorant Bittet E. G. unterthänig, Ihme daß B.recht à Sponsa um den A. B. schilling Zuvertrösten
Receptus a Sponsa um den A. B. schilling jedoch seit eeiner Verheurathung daß Stallgelt nach zu tragen

Joseph Dobner se remarie en 1809 avec Marie Thérèse Müller, originaire de Kehl
Mariage, Strasbourg (n° 294)
L’an 1809, le 26° jour du mois d’août (…) sont comparus Joseph Dobner, âgé de 65 ans, facteur d’instruments, domicilié en cette ville depuis 40 ans, né à Münchsfeld en Bohême le 10 février 1744, fils de feu Jean Mathieu Dobner, meunier, et de feu Marie Steltzner, veuf de Marie Anne Desfontaines, décédée en cette ville le 30 mai 1793, et Marie Thérèse Müller, âgée de 40 ans, domiciliée en cette ville depuis 15 ans, née à Kehl, mairie de Strasbourg le 16 octobre 1768, fille de feu Jean Müller, tonnelier audit lieu, et de feu Marie Anne Higler, y décédés le premier le 9 avril 1786 et le seconde le 27 mars 1770 (signé) Joseph Dobner, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 33)

Registre de population 600 MW 48 (1808 sqq) Place d’Armes n° 31 p. 566 (i 179)
Dobner Joseph, 67, luthier, Frauenberg, (à Str. depuis) 1768, (auparavant) Grandes Arcades 34, E. le 3 mars 1812
id. née Müller, Thérèse, 43, Epouse, Kehl, (à Str. depuis) 1786
Müller, Marie Anne, 50, sœur, Kehl, (à Str. depuis) 1786

Registre de population 600 MW 56 (1808 sqq) Grandes Arcades n° 34 p. 403 (i 96)
Dobner Joseph, 61, luthier, Pfrauenberg, (à Str. depuis) 1768, dél le 3. Mars 1812 Place d’Armes N° 31
Müller, Thérèse, 26 [sic], servante, Kehl, (à Str. depuis) 1787, idem

Le facteur d’instruments Joseph Dobner déclare que les quatre fenêtres qui donnent sur la propriété de son voisin Michel Gœrgen sont une pure tolérance (même teneur que la déclaration de 1802)

1822 (15.4.), Strasbourg 8 (34), M° Roessel n° 8417
Déclaration – Joseph Dobner, facteur d’instruments en qualité de propriétaire de la maison place d’Armes n° 31 qui lui a été vendue par Jacques Büchel cafetier, a déclaré que lors de la construction de ladite maison il avait été accordé au Sr Büchel la faculté de pratiquer quatre fenetres prenant jour sur la propriété des héritiers Rieth mais seulement par pure complaisance de ces derniers et sous la condition expresse que jamais cette faculté ne puisse être envisagée comme un droit, suivant acte reçu M° Anrich le 19 ventôse 10. Qu’en conséquence pour répondre à la demande qui lui en a été faite part Michel Goergen propriétaire actuel de la maison Rieth (…) M Goergen et ses successeurs doivent conserver tous les droits attachés à la maison n° 30 et qui existaient antérieurement à la construction de la maison Büchel et que ce dernier les a reconnus par l’acte du 19 ventose que le comparant entend non seulement confirmer en tout son contenu quant aux fenetres mais encore reconnaitre la mitoyenneté du mur
Enregistrement, acp 157 F° 51 du 16.4.

Joseph Dobner et Thérèse Müller louent une partie de la maison au bijoutier Léon Rehns

1822 (17.5.), Strasbourg 1 (40), M° Rencker n° 2043
Bail de 3 années à commencer le 25 mars dernier – Joseph Dobner, facteur d’instruments, et Thérèse Müller
à Léon Rehns, bijoutier
le rez de chaussée & le premier étage en entier de la maison appartenant aux conjoints Dobner sise à Strasbourg place d’Armes n° 31
plus le troisième étage une chambre aux mansardes donnant sur la Place d’Armes, la jouissance commune des greniers, de la cave, à l’exception de la partie séparée en lattes qui demeure réservée aux bailleurs – moyennant un loyer annuel de 800 francs
Enregistrement, acp 157 f° 148-v du 21.5.

Joseph Dobner meurt en 1822 après avoir institué sa veuve légataire universelle.

1823 (14.6.), Strasbourg 12 (91), M° Wengler n° 13.161
Inventaire de la succession de Joseph Dobner, facteur d’instruments décédé le 25 décembre dernier – à la requête de Marie Thérèse Mülller, la veuve légataire universelle suivant testament public reçu par le soussigné notaire le 30 juin 1820 enregistré le 30 décembre 1822 – dans la maison mortuaire place d’armes n° 31
immeubles, 1. la moitié par indivis dont l’autre moitié appartient à la veuve d’une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 31 d’un côté la rue du Coin brûlé, de l’autre en partie une avance sur ladite place à côté du communal en partie le Sr Jeorger sellier, devant la place d’Armes, derrière la rue du Coin brûlé où il y a une porte d’issue – la totalité de la maison est grevée envers la ville de Strasbourg d’une rente foncière de 20 fr. Le rez de chaussée et premier étage avec le troisième louées au Sr Léon Rehm, bijoutier par bail reçu M° Rencker le 17 mai 1822, Et le second étage occupé par la succession, 200 fr, estimée 10.000 francs – acquise de Jean Jacques Büchel père et Dorothée Feydel suivant acte reçu par le soussigné notaire le 14 janvier 1811 transcrit
meubles 496 fr, créances 778 fr – vignes à Ergersheim 200 fr, ensemble de l’actif 11 474 fr, passif 14.888 fr
Enregistrement, acp 163 F° 96 du 16.6.

Marie Thérèse Müller vend la maison à Salomon Schwartz pour deux tiers et à son fils Jacques Schwartz pour un tiers

1826 (21.12.), Strasbourg, M° L’Ange, Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 197, n° 57 du 8.1.
Marie Thérèse Müller veuve de Joseph Dobner, facteur d’instruments
à Salomon Schwartz père acquéreur, pour 2/3 et Jacques Schwartz fils pour le 1/3 restant, marchands jouillers
une maison sise à Strasbourg place d’Armes n° 31 consistant en bâtiment de devant & de derrière avec cour, pompe et toutes ses autres appartenances & dépendances. Cette maison forme d’un côté le coin de la rue du Coin brulé de l’autre elle avance sur la place d’Armes, attenante en partie au Sr Joerger sellier devant la place d’Armes, derrière la rue du Coin brûlé où elle a une issue – sont compris trois poeles de fonte avec leurs cors et pierres – recueilli dans la succession de Joseph Dobner son mari dont elle est légataire universelle suivant testament reçu M° Wengler le 30 juin 1820 enregistré le 31 décembre 1822. Le Sr Dobler a acquis ledit immeuble de Jean Jacques Büchel père et Dorothée Freydel, Jean Jacques Büchel fils commis négociant, Catherine Madeleine Büchel héritiers pour moitié de Madeleine Pfaehler leur mère femme en premières noces du Sr Büchel père apr acte reçu Wengler notaire à Strasbourg le 14 janvier 1811 transcrit au bureau des hypothèques volume 58 n° 86 – vendue judiciairement sur Jean Philippe Fibich, joailler, acquis par le Sr Büchel père covendeur au Tribunal du district de Strasbourg le 6 janvier 1793 et contrat de vente à la Chambre des Contrats le 20 du même mois
(les acquéreurs s’egnagent envers la venderesse à) laisser à la disposition jusqu’à la St Jean 24.6 prochain le logement qu’elle occupe dans ce moment avec le Sr Reinhard – chargé d’une rente foncière envers la ville de Strasbourg de 20 fr – moyennant 24.000 fr
Enregistrement, acp 181 F° 187-v du 28.12.

Fils d’Abraham Schwartz de Westhoffen, Salomon Schwartz épouse en 1794 à Bischheim Reiss, fille d’Abraham Levi.
Mariage, Bischheim – Heute den 22. Wind Monat im Zweÿten jahr der Republick sind vor mir der öffentlichen Beamter erschienen Seligmann Schwartz, Abraham Schwartz des burgers in Westhoffen Straßburger Districts und Judith Isaac ehelicher Sohn alt 26 Jahr und Reiß Abraham Levi des burgers allhier und Caja Alexander eheliche Tochter alt 17 jahr, besagte erschienene waren begleitet Von Abraham Levi der Hochzeiterin Vater, Leim* Israel, Jacob Levi und Israel Raphael (signé) Seligman schwartz, Abraham Levi, Haim Isroll, Jacob Levi, Israel Raphael (i 22)

Lors de la déclaration des noms par les Juifs, Salomon Schwartz conserve son nom, Reiss Levy adopte le prénom de Claire. Leurs six enfants conservent leur prénom.
1808. Déclaration des noms par les Juifs, Strasbourg
(f° 41-v) n° 240 Schwartz Salomon – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. lequel nous a déclaré conserver le nom de Schwartz pour nom de famille et prendre celui de Salomon pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Seligman Schwartz Jehd Salomon Schwartz (i 42)

(f° 42) n° 241. Levy Clara Schwartz – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présentée Gress Levy, Epouse de Seligman Schwartz, marchand quincaillier, domiciliée en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. laquelle nous a déclaré conserver le nom de Levy pour nom de famille et prendre celui de Clara pour prénom, et a délaré ne savoir signer le 27 septembre 1808 (i 42)

(f° 42) n° 242. Schwartz Jacob – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Jacob son fils mineur, né à Bischheim au Saum en Floréal an quatre le nom de Schwartz pour nom de famille et celui de Jacob pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 42)

n° 243. Schwartz Esther – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Esther sa fille mineure, née en cette ville le 26 Messidor an neuf le nom de Schwartz pour nom de famille et celui d’Esther pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 42)

(f° 42-v) n° 244. Schwartz Isaye – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Isaye son fils mineur, né en cette ville le 3 ventôse an onze le nom de Schwartz pour nom de famille et celui d’Isaye pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)

n° 245. Schwartz Joseph – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Joseph son fils mineur, né en cette ville le 9 ventôse an treize le nom de Schwartz pour nom de famille et celui de Joseph pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)

n° 246. Schwartz Rosette – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Esther sa fille mineure, née en cette ville le 5 octobre 1806 le nom de Schwartz pour nom de famille et celui de Rosette pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)

(f° 43) n° 247. Schwartz Alexandre – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Isaye son fils mineur, né en cette ville le 27 novembre 1807 le nom de Schwartz pour nom de famille et celui d’Alexandre pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)

Jacques Schwartz épouse en 1818 Jeanne Offenbach, fille du négociant Lœb Offenbach de Mannheim
1818 (3.8.), Strasbourg 9 (anc. cote 39), M° Hickel n° 76
Contrat de mariage – Jacques Schwartz, raffineur d’or fils majeur de Salomon Schwartz, quincailler, et de Claire Levy
Jeanne Offenbach fille majeure de Löb Offenbach, négociant à Manheim (Grand Duché de Baden) et de feu Jeanne Nass
Enregistrement, acp 139 F° 189 du 7.8. – régime de la communauté d’acquets partageable par moitié

Jeanne Offenbach meurt en 1838 en délaissant cinq enfants

1839 (25.4.), Strasbourg 7 (94), M° Boersch n° 1039
Inventaire de la succession de Jeanne Offenbach, épouse de Jacques Schwartz, décédée le 2 novembre 1838 – à la requête de Jean Jacques Schwartz, raffineur d’or commun en biens avec la défunte, père et tuteur de Rosine âgée de 17 ans, Léon âgé de 16 ans, Justine âgée de 15 ans, Eve Clotilde âgée de 12 ans et Hortense née le 11 mars 1832 les cinq enfants de la défunte – en présence de Moïse Weill, négociant, subrogé tuteur desdits mineurs – dans la maison mortuaire Place d’Armes n° 31
immeuble acquis durant le mariage avec M Salomon Schwartz son père, une une maison sise à Strasbourg Place d’Armes n° 31, d’un côté faisant le coin de la rue du Coin Brûlé, de l’autre en partie Place d’Armes en partie Sr Jerger, derrière la rue du Coin Brûlé où elle a une issue – acquise sur Marie Thérèse Müller veuve de Joseph Dopner, facteur d’insruments, par acte reçu M° L’Ange le 21 décembre 1826, deux tiers appartiennent actuellement à M. Salomon Schwartz père, un tiers à Jacques Schwartz – uniquement occupé par Salomon Schwartz et Jacques Schwartz, revenu de 1200 fr
Enregistrement, acp 268 F° 13-v du 29.4.

Rosine Schwartz et Justine Schwartz vendent leur part de maison à leur père Jacques Schwartz

1844 (7.11.), Strasbourg 7 (101), M° Boersch n° 5076
Vente, 7 novembre 1844. – A comparu Demoiselle Rosine Schwartz, majeure d’ans sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, agissant tant en son propre nom que comme mandataire de Dame Justine Schwartz, sa sœur épouse de Monsieur Nathan Schwartz, bijoutier avec lequel elle demeure et est domiciliée à Mulhouse (haut Rhin) (…) Laquelle ès qualité qu’elle agit a par les présentes vendu (…)
à Monsieur Jacques Schwartz négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, père de la Demoiselle comparante et de sa mandant, acquéreur ci présent et et acceptant
deux 30° indivis d’une maison sise à Strasbourg sue place d’armes N° 31, faisant d’un côté le coin de la rue du coin brulé, de l’autre côté avançant en partie sur la place d’Armes et attenant en partie au sieur Joerger, donnant par derrière sur la rue du coin brûlé où elle a une issue. Ainsi que cet immeuble s’étend, se poursuit et se comporte actuellement (…). Les venderesses étaient propriétaires chacune d’un 30° du dit immeuble pour l’avoir hérité dans la succession de Dame Jeanne Offenbach, épouse du dit Sieur Jacques Schwartz leur mère dont elles sont héritières chacune pour un cinquième ainsi qu’il rédulte de l’inventaire de ladite succession dressé par ledit Boersch et son collègue notaires à Strasbourg le 25 avril 1839 enregistré. Ledit immeuble a été acquis en entier par ledit sieur Jacques Schwartz pour un tiers et par le sieur Salomon Schwartz père de ce dernier & propriétaire, demeurant à Strasbourg pour les deux autres tiers durant la communauté qui a existé entre ledit Sieur Jacques Schwartz et son épouse susnommée de Marie Thérèse Müller veuve de Joseph Dopner facteur d’instruments demeurant à Strasbourg le 21 décembre 1826 enregistré.
Par suite du décès de ladite Dame Schwartz née Offenbach et de la dissolution de la communauté qui a existé entre entre elle et son dit Mari, le tiers dudit Immeuble dépendant de ladite communauté a été partagé entre ledit sieur Jacques Schwartz & ses enfants. Ledit sieur Jacques Schwartz est ainsi devenu propriétaire de la moitié du tiers de la maison, soit d’un 6° indivis et les cinq enfants seuls héritiers de la Dame Schwartz se sont troubés propriétaires de l’autre moitié dudit tiers de maison soit aussi ensemble d’un 6° ou chacun d’eux d’un 30° indivis dudit immeuble.
Ledit Sieur Jacques Schwartz déjà propriétaire d’un 6° ou 5/30 acquérant par ce contrat deux autres 30° se trouve donc actuellement propriétaire de 7/30 dudit immeuble – moyennant 1600 francs
acp 329 (3 Q 30 044) f° 84-v du 15.11.

Trois autres de ses enfants lui vendent leur part de maison

1853, (14.6.), M° Noetinger
Vente – 1. Léon Schwartz, bijoutier à Strasbourg, 2. Eve Clotilde Schwartz épouse de Marc Elie Lantz, Négociant à Mulhouse, 3. Hortense Schwartz, majeure à Strasbourg
à Jacques Schwartz leur père négociant à Strasbourg
des trois huitièmes d’une Maison place Kléber n° 31 moyennant 2400 francs – Origine, héritage de Jeanne Offenbach leur mère épouse de Jacques Schwartz propriétaire à Strasbourg au moyen de laquelle acquisition l’acquéreur est propriétaire actuellement d’un tiers de ladite maison
acp 420 (3 Q 30 135) f° 36-v du 17.6.

Jacques Schwartz acquiert de ses cohéritiers les parts des deux maisons contiguës n° 30 et 31

1855 (15.10.) M° Noetinger
Vente par licitation – 1° Isaïe Schwartz, joailler, 2° Joseph Schwartz, propriétaire, 3° Rosette Schwartz épouse de Léopold Weill, négociant, 4° Fanny Schwartz veuve de Joseph Baumann, propriétaire à Strasbourg, 5° Esther Schwartz épouse d’Aron Blum fabricant de drap à Bischwiller, 6° Nathan Schwartz bijoutier et Justine Schwartz sa femme à Mulhouse, 7) du mandataire de Marx Schwartz bijoutier à Mulhouse,
à Jacques Schwartz, propriétaire à Strasbourg
des 14/24 dans deux maisons contiguës situées à Strasbourg place Kleber N° 30 & 31 moyennant 46.666 francs
Le Sr Jacques Schwartz est propriétaire de la maison pour 10/24 savoir 1/6 de son chef, 1/6 comme étant aux droits de ses enfants du chef de leur mère et de 2/24 du chef de son père
acp 444 (3 Q 30 159) f° 22-v du 22.10.

Jacques Schwartz loue les deux maisons à son fils bijoutier Léon Schwartz

1859 (30.8.), M° Noetinger
Bail – Jacques Schwartz père, propriétaire à Strasbourg, pour neuf ans du 25 mars 1860
à Léon Schwartz fils, bijoutier à Strasbourg
deux maisons contiguës place Kleber N° 26 et 27 moyennant un loyer annuel de 3800 francs
Promesse par le Sr Schwartz père à son fils de lui vendre ladite maison au prix de 70.000 francs
acp 481 (3 Q 30 196) f° 12 du 5. 7.br

Jacques Schwartz meurt en 1863 chez son gendre à Remiremont en délaissant cinq enfants

1863 (24.10.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Jacques Schwartz, ancien négociant à Remiremont où il est décédé le 31 juillet dernier, dressé à la requête de 1) Léon Schwartz, bijoutier à Strasbourg, 2) Justine Schwartz épouse de Nathan Schwartz, bijoutier à Mulhouse, 3) Eve Clotilde Schwartz épouse d’Elie Lanz, négociant à Mulhouse, 4) Rosine Schwartz épouse de Benjamin Kensbourg négociant à Remiremont, 5) Hortense Schwartz épouse de Gobert Dalsace, fabricant de produits chimiques à Paris
acp 526 (3 Q 30 241) f° 40-v du 27.10. (succession déclarée le 9 novembre 1863) Succession, une rente de 100 francs 3% N° 105, Une rente de 94 francs N° 13.133, Une rente de 1100 francs N° 13.132
Mobilier et garde robe 3000, Créances et intérêts 10.027, Argent 50444
Une Maison sise à Strasbourg place Kleber N° 26 et 27
Passif 4000

La maison revient à Léon Schwartz lors du partage

1863 (23.11.), M° Noetinger
Partage de la succession de Jacques Schwartz négociant
entre 1) Léon Schwartz, bijoutier à Strasbourg, 2) Justine Schwartz épouse de Nathan Schwartz, bijoutier à Mulhouse, 3) Eve Clotilde Schwartz épouse d’Elie Lanz, négociant à Mulhouse, 4) Rosine Schwartz épouse de Benjamin Kensbourg négociant à Remiremont, 5) Hortense Schwartz épouse de Gobert Dalsace, fabricant de produits chimiques à Paris
de la succession délaissée par Jacques Schwartz leur père, ancien négociant à Strasbourg décédé à Remiremont le 31 juillet 1863
Masse active, Mobilier estimé 3000, rente de 1300 francs 3% transféré depuis 29.466, créances 10.000, argent 50.444
Une Maison sise à Strasbourg place Kleber N° 27 estimée 70.000
Masse passive 4398, reste 158.512. le 5° 31.702
Attributions. I Léon Schwartz a droit à 31.702. Il reçoit la maison estimée 70.000, en trop 38.297 (…)
acp 527 (3 Q 30 242) f° 60-v du 27.11.

Léon Schwartz épouse en 1848 Jeannette Altschul, originaire d’Ingenheim en Palatinat
1848 (29.4.), Strasbourg 2 (94), M° Roessel n° 1963
Contrat de mariage du 29 avril 1848. – Sont comparus Mr Léon Schwartz, Bijoutier Joailler demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de Mr Jacques ou Jacob Schwartz, Bijoutier Joailler demeurant en la même ville, et de Mad° Hanche Jeannette née Offenbach, son épouse défunte, M. Schwartz fils stipulant en son propre nom à cause du mariage dont il va être question, comme futur époux d’une part
Et Mademoiselle Jeannette Altschul majeure demeurante à Ingenheim, Palatinat du Rhin, Royaume de Bavière, fille de Mr Gabriel Altschul en son vivant Négociant à Ingenheim et de Mad° Sizila ou Sicilia Wolf ou Wolff son épouse défunte, Mlle Altschul stipulant en son propre nom à cause dudit mariage, comme future épouse d’autre part
Enfin Mond. Sr Jacques Schwartz bijoutier demeurant à Strasbourg, intervenant aux présentes à cause de la dot
Et dans le 30° indivis d’une maison sise à Strasbourg place d’armes n° 31 faisant d’un côté le coin de la rue du Coin brûlé, de l’autre côté attenant en partie au communal en partie au Sr Jaeger, donnant par derrière sur la rue du Coin brûlé où elle a une issue, cette portion indivise d’immeuble provenant également de la succession de la mère du fiancé, ci pour mémoire

Sociétés dont fait partie Léon Schwartz
1866 (4.5.), M° Noetinger
Dissolution de la société en nom collectif qui a existé entre Isaïe Schwartz et Léon Schwartz, bijoutiers à Strasbourg sous la raison J. et L. Schwartz de Strasbourg par acte reçu Noetinger le 10 janvier 1855 et actes subséquents. Le Sr Léon Schwartz reste seul chargé de la liquidation
acp 554 (3 Q 30 269) f° 2-v du 5.5.

1866 (4.5.), M° Noetinger
Acte de société entre Léon Schwartz et Nathan Schwartz les deux bijoutiers à Strasbourg. La société sera en nom collectif sous la raison sociale Léon Schwartz et Cie et durera trois ans, à partir du premier mai courant avec faculté de la prolonger encore pour une période triennale à l’expiration de la première période.
Le siège de la société est établi à Strasbourg. M. Léon Schwartz apporte une somme de 140.000 francs, M. Nathan Schwartz celle de 110.000 francs. Les autres dispositions sont purement règlementaires.
acp 554 (3 Q 30 269) f° 2-v du 5.5.

Léon Schwartz et Jeannette Altschul font donation de la maison à leur fils banquier Oscar Fernand Schwartz lors de son mariage avec Berthe Weill, fille du négociant Henri Weill de Haguenau. Ils se réservent le droit d’habitation dans différentes localités.

1886 (18.5.), Haguenau 7 E 20-2 (213) Joseph Kleinclaus
Ehevertrag – Sind erschienen Herr Oscar Fernand Schwartz, Bankier wohnhaft zu Strassburg großjähriger Sohn des Herrn Leon Schwartz, Bankier und der Frau Jeannette Altschul, Eheleute in derselben Stadt wohnhaft, handelnd eigenen Namens wegen der Heirath wovon hernach die Rede sein wird, mit beistand seiner hier anwesenden Eltern, als Bräutigam Einerseits
Und Fräulein Bertha Weill, ohne besonderes Gewerb, wohnhaft zu Hagenau, zwanzigjähtrige Tochter des Herrn Heinrich Weill, Kaufmann und der Frau Julie Kahn dessen Ehefrau zusammen in letztern Stadt wohnhaft, handelnd mit beistand und der Ermächtigung ihrer hier anwesenden Eltern, wegen der fraglichen Heirath, als Braut, Andererseits

Erster Artikel (unter Herrschafft der Gütergemeinschaft)
Zweiter Artickel (auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft)
Dritter Artickel (Kleidungsstücken bei Auflösung der Gütergemeinschaft)
Vierter Artikel. (Angesichts der künftigen Heirath schenken die oben genannten Eheleute Weill ihrer Tochter der Braut 1° eine Summe von 60.000 Mark, 2° eine Aussteur bestehend in Hausgetüch, Bettwerk und Hausmöbel 4000 Mark, zusammen 64.000 Mark)
Fünffter Artikel. Angesichts der künftigen Heirath schenken die oben genannten Eheleute Schwartz, die Ehefrau mit der Ermächtigung ihres Ehemanns, zu vollem Eigenthum zum voraus und außer Theil, ihrem dieses annehmenden Sohn, dem Bräutigam
Ein Wohnhaus bestehend in einem Vorder- und Hinterhaus, gelegen in Straßburg, Kleberplatz N° 27, eingetragen im Kadaster unter section N N° 738.p mit einem Flächeninhalt von ein Ar zwanzig Quadratmeter, begrenzt eineseits und hinten durch das sogenannten Verbrannte End, andererseits durch H. Baum und vornen durch den Kleberplatz. Behufs Registrirung zu einem jährlichen Bruttoertrag von 3200 Mark geschätzt.
Eigenthumsnachweis. Das fragliche Haus ist Sondergut des Vaters des Bräutigams, da es ihm in dem Nachlaß seines zu Remiremont am 31. Juli 1862 verstorbenen Vaters Jacob Schwartz, zugefallen ist, laut einer vom dem damaligen Notar Noetinger zu Straßburg am 23. November 1863 aufgenommenen Theilung. In dieser Theilung wurde das fragliche Wohnhaus zu 70.000 Franken geschätzt worden. Erbrechte des Hn Schwartz abgingen mit 31.702 Franken, der Ueberrest (…). Aus obiger Theilung geht hervor, daß Herr Jacob Schwartz das fragliche Wohnhaus gemeinschaftlich mit seinem Vater Salomon Schwartz, Kaufmann in Straßburg erkauft hatte, laut einem von dem damaligen Notar L’Ange in Strassburg am 21. Dezember 1826 aufgenommenem Kaufvertrag und laut einem vor Notar Noetinger Vater in Straßburg am 15. Oktober 1855 aufgenommenem Lizitationskauf, sowie auch laut einem Privatakt de dato Strassburg den 24. Februar 1840 welcher urschriftlich am 20.darauf folgenden April hinterlegt wurde.
Lasten und Bedingungen. Gegenwärtige Schenkung geschah unterfolgenden Lasten und Bedingungen. 1° Das fragliche Wohnhaus wird dem Bräutigam überlassen so und in dem Zustand in sich dasselbe auf Ort und Stelle vorfindet (…) 2° Die Schenkgeber behalten für sich und das Uebelebende von ihnen die lebenslängliche und unentgeltliche Nutznießung vor des ersten Stockwerks (bel Etage) der beiden Wohngebäude, des hintern Zimmers im zeiten Stock des Hinterhauses, der Küche im Erdgeschoß, eines Diesntbotenzimmers und einer Wäschekammer auf den Speicher, des Weinkellers unter dem Hinterhause und des Holzkellers unter dem Vorderhause. 3° Die Steuern und öffentlichen Auflagen jeder Art zur Last des Schenknehmers (…). Schenkungsperis 60.000 Mark, wovon der Bräutigam 40.000 Mark in die künftigen Nachlässe seiner Eltern zurücktragen wird (…)
Sechstes Artikel. Der Bräutigam erklärt in die Ehe einzutragen (1° sein Guthaben 15.400 2° verschiedene Mobiliareffekten 3200, zusammen 18.600 Mark)
Siebenter Artikel. Der überlebende Ehetheil soll Nutznießen das dem verlebten Ehetheil vorkommenden Hälfte der Gütergemeinschaft (…)
Achter Artikel. Für den Fall eines Vorabsterbens ohne Kinder zu hinterlassen schenckt der Bräutigam zu vollem Eigenthum als Morgengabe seiner Braut eine Summ won 3200 Mark (…)
Neunter Artikel. Hatte keine Kinder aus der künftigen Ehe bei ihrer Auflösung vorhanden sein solten soll der Überlebende Ehetheil (alle Summen) – Im Jahr 1886 den 18. Mai
Registrirt zu Hagenau den 21. Mai 1886 N 255 Bd. 199 Bl. 79
Transcrit aux hypothèques de Strasbourg vol. 2281 n° 44 (4 Q 4426)

Naissance, Haguenau (n° 379)
Le 9 décembre 1865 à onze heures du matin. Acte de naissance de Weill Berthe née à Haguenau le 7 décembre 1865 fille légitime de Weill Henri âgé de 35 ans, négociant né à Haguenau, domicilié à Haguenau, et de Kahn, Julie son épouse légitime âgée de 20 ans, sans état, domiciliée à Haguenau
[in margine :] Décédée le 21 novembre 1950 à Paris 12° arrondissement (Seine) i 203

Décès, Strasbourg (n° 1042)
Le 20 avril 1936 à deux heures est décédé en son domicile, 14-b Quai Koch, Fernand Oscar Schwartz, né à Strasbourg le 5 mai 1856, banquier, fils de Léon Schwartz et de Jeanne Altschul, époux décédés, époux de Berthe Weill, sans profession (im 178)



30, rue des Hallebardes


Rue des Hallebardes n° 30 – VI 152 (Blondel), O 269 puis section 20 parcelle 9 (cadastre)

Le tourneur Jean Samuel Blanck fait reconstruire en partie la maison en 1751.
Détruite par le bombardement aérien du 25 septembre 1944, reconstruite avec les maisons voisines.


Bâtiment actuel, le n° 30 occupait la moitié du passage (deuxième arcade) et partageait la suite de la façade avec le n° 32
La rue des Hallebardes après les bombardements, les n° 32 et 30 détruits sur la gauche (AMS, cote 1 Fi 108, 49)
Façade et coupe (dessins de l’architecte Théo Berst, dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme)

La maison qui a un encorbellement de 20 pieds 3 pouces de long en saillie de 3 pieds est inscrite au nom de Josse Weidmann dans le Livre des communaux (1587). Le notaire Jean Leimner l’achète en 1599. L’orfèvre Sixte Lederer la cède en 1639 avec tous ses biens à l’orfèvre Jean Herbst contre son entretien. Le serrurier Jean Jacques Ernst en est propriétaire de 1696 à sa mort en 1713. La maison appartient ensuite au tourneur Jean Samuel Blanck qui la reconstruit en grande partie pendant son deuxième mariage, sans doute en 1751 quand les préposés l’autorisent à faire diverses transformations, notamment à prolonger jusqu’à la maison voisine l’étage sous combles qui n’occupe que la moitié de la largeur. La maison comprend trois poêles et deux cuisines en 1757, trois poêles et trois cuisines en 1787 à la mort de la femme du boutonnier d’étain Jean Daniel Isenheim.



Plan-relief de 1727, début de la rue des Pâtissiers (Fladergass), la rue du Sanglier débouchant sur la gauche (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 183, élévations (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie, trois étages en bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à droite du repère (t) : deux portes séparées par une fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 12 de la rue des Pâtissiers (Fladergass, 1784-1795), le n° 41 de la rue des Hallebardes (1795-1857) puis le n° 30.

La maison appartient au tailleur Louis Locker (1846-1863) puis au commerçant Joseph Weiller d’Odratzheim, établi à Strasbourg depuis 1859. La société formée en 1864 entre le teinturier Adolphe Appell et Georges Theis est domiciliée dans la maison. Joseph Weiller opte pour la nationalité française à Saint-Dié, il vend l’immeuble en 1877 au tailleur Georges Kleber.
Le rez-de-chaussée est occupé au début du XX° siècle par un commerce de café en gros. Le propriétaire fait remplacer la corniche au pied du toit par une nouvelle en 1908. La veuve du passementier Edouard Fuchs loue le rez-de-chaussée à son voisin de gauche (n° 32) à partir en 1932. Les bâtiments sont entièrement détruits lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. La reconstruction est faite d’un seul tenant avec les maisons voisines et celles qui donnent sur la place de la Cathédrale. Un passage vers l’impasse de la Cathédrale est aménagé sous le nouveau bâtiment (en partie sur le sol de l’ancien n° 30 qui se trouvait ainsi que le n° 32 à gauche du passage).


Plan du premier étage – Murs des bâtiments à reconstruire (dessins de l’architecte Théo Berst, dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme

décembre 2023

Sommaire
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Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1591 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Josse Weidmann, tailleur, et (1551) Chrétienne Kremer – luthériens
1594 h Christophe Siess, coutelier, et (1589) Anne Weidmann – luthériens
1596 v Hermann Kurtz, luthier, et (v. 1595) Elisabeth, veuve du luthier Pierre Ulner, puis (1597) Agathe Kallhard – luthériens
1599 v Jean Leimner, notaire, et (1597) Anne Hennigk – luthériens
1610* v Pierre Hahn, tailleur, et (1598) Marie Faulhaber – luthériens
1622 v Sixte Lederer, orfèvre, et (1613) Marguerite Meder – luthériens
1639 h Jean Herbst, orfèvre, et (1632) Marguerite Beinheim puis (1641) Jacqueline Pfort – luthériens
1667* h Geoffroi Herbst, orfèvre, et (1680) Madeleine Voltz – luthériens
1684 v Abraham Büchel, marchand épicier, et (1681) Catherine Merckel – luthériens
1690 v Adam Mey, marchand, et (1654) Salomé Reinthaler – luthériens
1695 h Frédéric Mey, marchand, et (1694) Catherine Heckler – luthériens
1696 v Jean Jacques Ernst, serrurier, et (1692) Marie Dorothée Schopp puis (1704) Elisabeth Carol, remariée (1715) avec Jean Henri Kieffer – luthériens
1714 v Jean Samuel Blanck, tourneur, et (1714) Marie Salomé Sebitzius puis (1735) Cunégonde Sebitzius, veuve de l’orfèvre Guillaume Schmidt – luthériens
(les héritières) Marie Madeleine Blanck et (1745) Jean Conrad Roos, fourbisseur – luthériens
Marie Salomé Blanck et (1766) Jean Chrétien Hübschmann, orfèvre – luthériens
1771 v Jean Daniel Isenheim, boutonnier d’étain, et (1759) Anne Diemer, veuve du pasteur André Meyer – luthériens
1795* h Jean Daniel Isenheim, boutonnier d’étain, et (1796) Marie Madeleine Spinlein
1835 v Antoine Séraphin Weygand, officier puis propriétaire, et (1816) Marguerite Antoinette Zannotta
1846 v Louis Locker, tailleur, et (1846) Albertine Krauss
1863 v Jacques Weiller, commerçant, et (1855) Marie Anne Lang
1877 v Georges Kleber, marchand de chaussures, et (1856) Reine Beck
1897 v Lucien Douvier, commerçant, et (1897) Joséphine Louise Weibel
1899 v Edouard Fuchs, passementier, et (1883) Marie Thomas puis (1890) Marie (Jeanne Blanche) Barthelémy

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 800 livres en 1704 et en 1757, 700 livres en 1787.

(1765, Liste Blondel) VI 152, les héritiers Samuel Blanck
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Isenheim, 2 toises, 5 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 269, Weygand, Séraphin Antoine, rue des Hallebardes 41 – maison, sol – 0,68

Locations

1763, Jean Daniel Klein, orfèvre
1773, Charles Philippe Kremer, orfèvre
1800, Emmanuel Isenheim, orfèvre
1864, Adolphe Appell, teinturier
1872, Charles Mœhrlé, tailleur

Livres des communaux

158,7 Livre des communaux (VII 1450) f° 73
Le tailleur Josse Weidmann régle 16 sols pour sa maison rue des Pâtissiers (20 pieds 3 pouces de long), à savoir un encorbellement (saillie de 3 pieds), une marche en pierre (5 pieds de long, 15 pouces de large), un banc en pierre (4 pieds ½ de long, 1 pied ½ de large), une porte de cave inclinée (5 pieds de large, saillie de 5 pieds ½).

Fladergaß die Einseiten gegen Sanct Jacobs Capell über, Oben vom Eckh angemeßen
Jost Weidmann der Schneider hatt vor seinem hauß 20 schu 3 Zoll lang, Oben ein Vsstoß 3 schu herauß, Mehr ein steinerin Tritt 5 schu lang, vndt 15 Zoll breÿt, Ein steinen Benckhlin 4 ½ schu lang vndt 1 ½ schu breÿt, ein ligende Kellerthüer 5 schu breÿt 5 ½ schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, xvj ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1751, Préposés au bâtiment (VII 1404)
Le tourneur Jean Samuel Blanck est autorisé le 4 mars à refaire ses combles, à poser de nouvelles fenêtres et à prolonger jusqu’à la maison voisine l’étage sous combles qui n’occupe que la moitié de la largeur, à condition de ne pas remplacer les poutres de son encorbellement. Les préposés autorisent trois semaines plus tard son charpentier à travailler devant la chapelle Saint-Laurent. Ils infligent le 31 août une amende de 50 livres au charpentier Jean Michel Kientz qui a posé de nouvelles poutres dans l’encorbellement. L’amende est réduite de moitié une semaine plus tard.

(f° 69-v) Donnerstags den 4. Martÿ 1751. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Joh: Samuel Blanck
An Johann Samuel Blanck des Trähers Hauß an der flader Gaß, so einen Überhang hat, worauf er einen Neüen dachstul, und ferner in die Wände Neüe fenster Zumachen auch das Obere Stöckel auf dem dach, so nur die Helffte des Haußes nimmt*, biß ane des Nachbarn Hauß Zu Continuiren willens, und deßwegen um erlaubnus gebetten. Erkannt Willfahrt doch mit Verbott Neüe Bälcken in den Überhang einzuziehen.

(f° 74) Dienstags den 23. Ejusdem – Joh: Samuel Blanck
Johann Samuel Blanck der Träher bitt um erlaubnus auf 6. Wochen Lang beÿm Münster auf seithen Lorentzen Capell Zimmern Zulaßen. Erkannt Willfahrt gegen erlag 1. lb d Zinß. dt. Eodem.

(f° 114-v) Dienstags den 31. Ejusdem [Augusti 1751] – Joh: Michael Kientzel
Johann Michael Kientzel der Zimmermann wird vorgestellt, und Zu rede gesetzt, daß er Johann Samuel Blanck dem träger Neüe Balcken in den Überhang gezogen, ohnerachtet jhme solches am 4. Martÿ 1751. beÿ eingenommenem Augenschein Außtrucklich Verbotten worden. Citatus sagt Zu seiner entschuldigung, es seÿ in seiner abweßenheit, da er auf dem Land ware, geschehen, daß seine Gesellen, Ohnwißend seiner, die balcken eingezogen. Bittet deßwegen um gnad. Erkannt solle Beklagter deßwegen 50. lb. straff erlegen. vide Inf. 116.b

(f° 116-v) Dienstags den 7. Septembris 1751. – Joh: Michael Kientzel
Johann Michael Kientzel der Zimmermann bittet um Gnädige moderation der jhme am 31. August Letzthin angesetzten 50. lb. straff. Erkannt, wird auf 25. lb. d moderirt. dt. den 29. 9.bris 1751. 25. lb

1771, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Jean Daniel Isenheim est autorisé à remplacer le seuil en pierre de sa cave par un revêtement triparti en chêne.

(f° 118-v) Dienstags den 26. Novembris 1771 – Hr. Johann Daniel Isenheim
Hrn. Johann Daniel Isenheim, dem Pferdzeug Mr wird erlaubt statt der steinernen Schwölle, so derselbe an dem Keller vor seinem in der Fladergaß gelegenen Haus liegen hat, einen eichenen dreÿlings dielen zu legen.

Description de la maison

  • 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, deux alcôves, deux cuisines, un atelier et plusieurs dépenses, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, item une petite buanderie et un puits à pompe, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1600 florins
  • 1787 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 1400 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des hallebardes (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 23 / 41
Isenheim
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages médiocres en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien O 269, registre 25 f° 98 case 4

Weygand, Séraphin Antoine rue des hallebardes N° 41 Locker, Louis, tailleur, Subst° 1849

O 269, Maison, sol, R. des hallebardes 41
Contenance : 0,66
Revenu total : 108,34 (108 et 0,34)
Folio de provenance : (98)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 161 case 1

Locker, Louis, tailleur, 1864
1964 Weiller, Jacques, Négociant
1879 Kleber Georg, Schuhhändler
98/99 Fräulein Weibel Josephine Luise
1900 Fuchs Eduard, Posamentier

O 269, Maison, sol, Rue des hallebardes 30
Contenance : 0,66
Revenu total : 108,34 (108 et 0,34)
Folio de provenance : (98)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre allemand, registre 30 p. 251 case 9

Parcelle, section 20, n° 9 – autrefois O 269
Canton : Spießgasse Hs N° 30
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,64
Revenu : 1400 – 1700 – 1900
Remarques : 1906 Neubau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1909), compte 420
Fuchs Eduard
gelöscht 1909

(Propriétaire à partir de l’exercice 1909), compte 421
Fuchs Eduard und Maria
1909 Fuchs Eduard Witwe
(1519)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 168 de Flader (p. 329)

12
Pr. Isenheim Jean Daniel, Boutonnier – Marechaux
lo: Isenheim Jean Emanuel, idem – Marechaux
lo: Birkenstock, Ursule, Veuve
lo: Follerin, Marie Salomée Veuve – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Spiessgasse (Seite 164)

(Haus Nr.) 30
Kuntz, Kaffeegesch. 0
Fuchs, Kaufmann. E 1
Bolberitz, Wwe. 2
Bolberitz, Hebamme. 2
Koehl, Schneidermstr. 3
Bret, Wwe. 4
Riwal, Maler. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 815 W 79)

30, rue des Hallebardes (1885-1988) – La reconstruction après guerre est traitée au dossier 19 à 21 place de la Cathédrale

Le propriétaire fait remplacer la corniche au pied du toit par une nouvelle en 1908. La maison comprend un encorbellement. Le boucher Edouard Rauscher (propriétaire du n° 32) demande que la fenêtre qui donne vers sa propriété soit à nouveau grillagée. La maison est entièrement détruite lors du bombardement aérien du 11 août 1944. La reconstruction est faite d’un seul tenant avec les maisons voisines et celles qui donnent sur la place de la Cathédrale. Un passage vers l’impasse de la Cathédrale est aménagé sous le nouveau bâtiment (en partie sur le sol de l’ancien n° 30 qui se trouvait ainsi que le n° 32 à gauche du passage).
Le local commercial à droite du passage est occupé par le magasin Châtelaine. Celui de gauche par Plaisirs de France qui cesse son activité en 1972, remplacé par Roche-Bobois (meubles d’aujourd’hui, 1973) puis par Sport 2000 (commerce en franchise Lacoste, 1985) qui fait poser une nouvelle devanture dont la base est agrandie.

Commerce, Joseph Sichel (café en gros à Francfort-sur-le-Main, 1902)

Sommaire
  • 1885 (août) – Le maire notifie Georges Kleber (demeurant 18, grande rue de la Grange) de faire ravaler la façade (note qui renvoie à l’autorisation ci-dessous, septembre 1885)
    1885 (septembre) – les entrepreneurs A. Schoop et G. Meyer demandent au nom du sieur Kleber l’autorisation de faire un raccord aux canalisations municipales – Autorisation – Dessin
  • 1887 – Le maire notifie Georges Kleber (demeurant 18, grande rue de la Grange) de faire ravaler la façade – Georges Kleber répond en joignant une facture du ravalement qu’il a fait faire par l’entrepreneur Seinder en 1881 – Le maire accorde un an de délai. – Travaux terminés, juin 1888.
    1891 – Nouvelle notification – Travaux terminés, octobre 1891.
    1891 – L’entrepreneur Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du notaire Lœw l’autorisation de réparer le crépi aux 30 et 32, rue des Hallebardes – Autorisation (le n° 30 appartient au cordonnier Kleber, le n° 32 au notaire Lœw) – Le n° 30 a été repeint, au n° 32 le crépi est réparé sans être repeint, juillet 1891.
  • 1894 – La Police du Bâtiment constate qu’Eugène Münch a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire à 2,70 mètres de haut. – Demande accompagnée d’un croquis – Autorisation. L’enseigne est réglementaire (à trois mètres de haut)
  • 1897 – Le maire notifie Reine Kleber (demeurant 18, grande rue de la Grange) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1897
  • 1901 – La sage-femme Bolberitz demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée.
  • 1902 – Joseph Sichel (café en gros à Francfort-sur-le-Main) qui souhaite ouvrir son magasin le premier juillet demande l’autorisation de poser une enseigne. La Police du Bâtiment constate qu’une grande enseigne plate et un drapeau publicitaire sont déjà en place et qu’une enseigne perpendiculaire est prévue. Le maire répond que l’enseigne fixée à l’encorbellement ne peut être autorisée. Joseph Sichel déclare que l’enseigne perpendiculaire sera fixée sous l’encorbellement au même endroit que la précédente. – Le drapeau publicitaire temporaire a été retiré. – Autorisation. L’enseigne perpendiculaire fait toujours une saillie de 1,15 mètre. Elle est retirée (septembre) puis remise en place de façon réglementaire (mars 1903).
  • 1908 – L’entrepreneur Charles Nadler (1, rue des Jardins) demande au nom de la demoiselle Fuchs l’autorisation de remplacer la corniche au pied du toit par une nouvelle – Autorisation – Dossier classé, juillet 1908
    1908 (juin) – Le même demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire transmet au maire qui accorde l’autorisation.
  • 1909 – Le maire notifie la veuve Fuchs née Barthelmey (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – La veuve Fuchs demande sur papier à en-tête en français (Ed. Fuchs, Spécialités de passementeries pour meubles et nouveautés) un délai qu’accorde le maire – Travaux terminés, juillet 1910.
  • 1923 – Le boucher Edouard Rauscher (propriétaire du n° 32) demande que la fenêtre du n° 30 soit réglementaire et que le chenal soit nettoyé. La Police du Bâtiment constate que la fenêtre n’est plus garnie d’un grillage, ce qui permet de jeter des immondices – Le maire écrit à la veuve Fuchs (8, rue des Etudiants) qui fait poser un grillage.
  • 1938 – Le locataire René Schalck fait part à la Police du Bâtiment que les fenêtres de la cage d’escalier donnant vers l’impasse de la Cathédrale sont dépourvues de vitres. La Police du Bâtiment constate que les cabinets d’aisance qui donnent sur l’escalier sont en bon état mais la lumière et l’air leur parviennent de façon indirecte. Quelques marches abîmées devront être réparées ainsi que le crépi. – Travaux terminés, juin 1939.
  • 1945 – La maison est entièrement détruite lors du bombardement aérien du 11 août 1944. Certificats de sinistré accordés à Auguste Kuhn (deuxième étage) et Charles Bergaut.
  • 1957 – Le magasin Plaisirs de France demande l’autorisation de poser une enseigne au-dessus de la devanture (dessin) – Autorisation
    Autre demande pour une enseigne sous le passage (dessin) – Autorisation
    1957 – Les Machines et Frigorifiques d’Alsace (7, rue Jacques Peirotes) demandent l’autorisation de poser une enseigne au-dessus de la devanture (dessin) (texte, Mafrigal) – Autorisation
  • 1959 – La Police du Bâtiment constate que le magasin Trouvailles (2, Passage de la Cathédrale) a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire et une lampe – Demande – L’architecte des Bâtiments de France demande de déposer l’enseigne qui cache la vue sur la cathédrale. – L’enseigne est retirée.
  • 1959 – Marcel Dollé (magasin Châtelaine, 30, rue des Hallebardes) demande l’autorisation de poser deux enseignes perpendiculaires (dessin ratifié par la société civile immobilière de la place de la Cathédrale et l’architecte des Bâtiments de France) – Autorisation
    1965 – Le même demande l’autorisation de suspendre un arbre de Noël en bois pendant les fêtes. Dessin – Accord verbal. L’objet est retiré, janvier 1966.
    1966, 1967 – Même demande
  • 1966 – L’administrateur de sociétés Charles Ernwein retourne un avis de paiement, l’immeuble n’étant pas géré par ses bureaux.
    1967 – Plaisirs de France informe la Police du Bâtiment que l’enseigne sous le passage est retirée.
  • 1968 – Gillette Schies (demeurant rue de la Première Armée) demande l’autorisation de transformer le magasin Plaisirs de France. Devis de Debras et Fils (à Sarralbe, Moselle), nouvelles devantures. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation (arrêté portant permis de construire) – Travaux terminés, juillet 1968.
  • 1968 (juin) – La Police du Bâtiment constate que la boutique Anik Robelin a posé sans autorisation une enseigne en lettres détachées – Demande déposée par Plaisirs de France – Autorisation
    1971 – Le maire autorise Plaisirs de France a faire une vente sous forme de liquidation (27 mai 1971)
    1971 (juillet) – Plaisirs de France demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse. Dessin – Le propriétaire demande de poser un auvent au-dessus de l’éclairage – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable à cause des exigences du propriétaire.
    1971 (septembre) – Nouvelle demande, le propriétaire ayant renoncé à ses exigences. Dessin – Autorisation, – L’enseigne est posée
  • 1971 – Le magasin Châtelaine demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse. – Refus pour raison d’esthétique. – Le pétitionnaire demande la raison précise du refus. Le service des Monuments historiques a interdit les enseignes en saillie dans la rue des Hallebardes – Le maire demande de déposer l’enseigne – Il informe l’architecte des Bâtiments de France que l’enseigne est toujours en place malgré plusieurs injonctions. L’architecte des Bâtiments de France déclare ne pas avoir de moyen légal à l’encontre du propriétaire.
  • 1972 – Le maire autorise Plaisirs de France, meubles Adler, à faire une vente sous forme de liquidation pour cessation de commerce – Photographie (local à gauche du passage)
  • 1973 – Roche-Bobois (Meubles d’aujourd’hui) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse en lettres détachées. Dessin – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1984 – Avis de paiement pour le puits de descente, adressé à la société civile immobilière Place de la Cathédrale (Charles Ernwein, 26, rue de la Mésange), ancien débiteur, S.C.I. Place de la Cathédrale, 81 avenue de la Forêt-Noire. Nouveau débiteur, agence Emile Bintz (21, rue des Francs-Bourgeois)
  • 1986 – Le notaire Francis Hofmann (Wasselonne) demande des renseignements d’urbanisme (30-32 rue des Hallebardes, section 20 n° 12
  • 1985 – Roland Mary (Valenciennes) dépose au nom de Sport 2000 une demande de permis de construire pour transformer la devanture sous la direction de BED (109, quai André Citroën, Paris XV) – La Police du Bâtiment émet un avis favorable au projet modifié – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable assorti de conditions – La Direction départementale du Travail ne fait pas d’objection
    Notice de sécurité (commerce en franchise Lacoste)
    Notice descriptive des travaux d’agencement, magasin Lacoste
    1986 (11 mars) – Le préfet délivre le permis de construire
    1986 (18 mars) – Déclaration d’ouverture de chantier
    Suivi des travaux. L’ancienne enseigne est déposée, la nouvelle devanture dont la base est agrandie est posée. L’aménagement intérieur est en cours, avril 1986. Les travaux sont terminés conformément aux plans, juin 1986.
    Rapport de la commission de sécurité, juillet 1986.
    1986 (31 juillet) – Déclaration d’ouverture d’un établissement recevant du public
    1986 (mai) – Demande de poser une enseigne lumineuse double en drapeau (Lacoste). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – Autorisation, août 1986.
  • 1988 – Le magasin Chatelaine avertit la Police du Bâtiment qu’elle ne remplacera pas une des deux enseignes qui a été volée.
    1988 – L’agence Emile Bintz demande à la Police du Bâtiment de lui délivrer copie de l’autorisation pour l’enseigne Chatelaine. La Police du Bâtiment répond que l’autorisation a été refusée en 1971, l’enseigne illicite étant seulement tolérée.

Autres dossiers
Modification des devantures (2000-2003), cote 1572 W 646 30
Peinture (refus, 2005) cote 1624 W 717 30

Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (ADBR, cote 424 D 428)

Dossier NV 2814 Z
La veuve d’Edouard Fuchs, née en 1866, dépose en 1953 une demande de participation financière de l’Etat pour la maison sise 30, rue des Hallebardes dans laquelle est exploitée une boucherie. L’immeuble est grevé depuis 1932 d’un pacte de préférence au profit du maître-boucher Edouard Rauscher, puis (1935) Oscar Wetzel et sa femme Auguste Kettel et ensuite (1939) Paul Meyer et sa femme Jeanne Blettner.
Les bâtiments ont été détruits lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. Le locataire Paul Meyer avait réaménagé le rez-de-chaussée à ses frais. Les bâtiments sont considérés comme sinistrés à 100 % par décision du 17 décembre 1953. Comme ils ont été transformés et modernisés à plusieurs reprises, aucun abattement n’est retenu pour vétusté bien qu’ils soient antérieurs à 1840. – Dessins reconstitués (élévation, coupe, plan des différents niveaux).

Pièces principales
  • Demande de participation financière de l’Etat.
    Fuchs, Marie, née le 23 juin 1866, Lièpvre, H.R., nationalité française, veuve d’Edouard Fuchs, mariée le 5 juillet 1890 à Liepvre, régime de communauté de biens réduite aux acquêts, sans profession, demeurant 1, rue des Echasses
    Bien sinistré. maison d’habitation avec magasins, rue des Hallebardes n° 30 à Strasbourg, (mode d’exploitation) boucherie, (cause du sinistre) bombardement septembre, 1 7.bre 44. presque complètement détruite
    Acheté vers 1899 d’un Mr Douvier décédé. (Assurance) assuré autrefois plus depuis qq années
    Je déclare sous la foi du serment que je suis propriétaire des biens faisant l’objet de cette demande. Strasbourg le 6 février 1953.
  • Copie par extrait. Feuillet N° 2966 du livre foncier de Strasbourg
    Fuchs Edouard, passementier, sa veuve Marie Jeanne Blanche Barthelémy, sans profession à Strasbourg
    Section I, Propriété / Abteilung I, Eigentum
    (article) 3, section 20 n° 9, Rue des Hallebardes No. 30, 64 centiares, sol, maison
    Inscriptions, 30 septembre 1908, Dessaisine-saisine (Ann. 1063, signé Fisenne)
    Section II, Charges et restrictions au droit de disposer / Abteilung II, Lasten und Verfügungsbeschränkungen
    (1), immeuble grevé 2, 3 – 23 juillet 1932. Restriction au droit de disposer découlant d’un pacte de préférence valable jusqu’au 15 juillet 1942 au profit d’Edouard Rauscher, maître-boucher à Strasbourg, conformément à l’acte de constitution du 30 juin 1932 (Ann. 708)
    (2) 22 mars 1935. Le pacte de préférence garanti par la restriction au droit de disposer sous N° 1 est cédé à Oscar Wetzel, maître-boucher à Strasbourg et à son épouse Auguste née Kettel, en communauté de biens (Ann. 413)
    (3) 22 mars 1939. Le pacte de préférence garanti par la restriction au droit de disposer sous N° 1 est de nouveau cédé à Paul Meyer, maître-boucher à Strasbourg et à son épouse Jeanne née Blettner, en communauté de biens (Ann. 231)
    (4) 9 mars 1948. Restriction au droit de disposer au profit de Paul Meyer, maître-boucher-charcutier à Strasbourg et son épouse Jeanne née Blettner, en communauté de biens, découlant du pacte de préférence valable jusqu’au 31 décembre 1955 contenu dans l’acte de renouvellement de bail du 7 octobre 1947 (Ann. 208)
    Copie par extrait (…) Strasbourg le 17 février 1950
  • Evaluation immobilière. Procès verbal de vérification. 8 avril 1984
    Origine du sinistre, bombardement aérien du 25 septembre 1944
    Immeuble considéré comme sinistré à 100% par décision C. L. E. n° 1590 du 17/12/53
    Profondeur des fondations ont été relevées après sondage N’a pas été retenue la démolition exécutée sur chapitre Mise en état des sols et la voûte de cave remplacées par I.P.N. et remplissage surcharge 500 kg, magasin
  • Propriété de Mme Vve Fuchs, rue des Hallebardes 30, Strasbourg
    Description générale
    Dégâts au rez-de-chaussée. Le locataire M. Meyer avait exécuté à ses frais l’aménagement du rez-de-chaussée, son architecte M. Joseph Rech a compris dans le dossier de la propriété 32, rue des Hallebardes également les dégâts à l’aménagement des locaux loués par M.Meyer situés sur la propriété N° 30
    Base de calcul (…)
    Abattement. Les abattements ne sont pas appliqués. La maison est construite avant 1840 mais a été transformée et modernisée à plusieurs reprises. Elle était en bon état d’entretien. Les murs étaient sur les 3 côtés mitoyens en briques 40 cm, en pans de bois enduit sur rue depuis le premier étage.
  • Dessins (3 février 1950, signés par l’architecte Théo Berst). Façade sur rue, Coupe A-B, plans des différents niveaux (sous-sol, rez-de-chaussée, 1°, 2°, 3°, 4° et 5° étages), plan de situation – Ilot place de la Cathédrale. Plan des fondations

Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom de Josse Weidmann dans le Livre des communaux (1587)

Originaire d’Elfeld en Hesse (aujourd’hui Eltville), le tailleur Josse Weidmann épouse en 1551 Chrétienne, fille de Nicolas Kremer
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 34-v)
1551. Dnica 9 post Trinitatis. Jost Weidman von Elfeldt Christin Cremerin Claus Cremers v.lassne dochter (i 38)

Baptême, cathédrale (luth. f° 167-v)
1562. Ostertag. p. Jost Weÿdemans schneÿder, M. Christina, J. Anna (i 181)

Josse Weidmann devient bourgeois par sa femme en août 1551.
1551, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 67
Jost wydtman von Ellueldt Inn Hessenn der schneÿder hatz burgerecht Empfangen von Christyn weyllandt claus kremers deß mollers noch gelaßene dochter seyner Efrouwen vnd dient Zun schneidernn. act. den funff vnd zwentzigsten Augustÿ an° 51.

Josse Weidmann, son fils tailleur Nicolas Weidmann et sa fille Marie Jacqueline femme de l’orfèvre Jean Bündelé vendent leurs parts de maison à leur fille et sœur respective Anne et à son mari coutelier Christophe Siess

1594 (6. Mart.), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 82-v
Erschienen Jost wÿdman der Schnÿder, Mehr Niclaus wÿdman der Schnÿder sein Son, Item Hanns Bündele goldschmid vnd Maria Jacobe sein eheliche hußfr. bms Niclaus wÿdmans schwester haben vnuer. verkaufft
Christoffell Sieß dem Meßerschmidt v. Annen seiner hußfr. vnd geschwusterd. schwester
die Zweÿtheyl vnd Zweÿ dritheyl am dritheyl von v. ane huß hoffestatt m. all. Iren gebeu gelegen Inn der SS Inn Fladergaß einsyt hanns Semmich* Schneydern and.seyt Niclaus Wÿdman stoßend hind. vff Johann Ulberger Werckmeister, davon Ein dritheil am dritheyl bemelter Annen der Kheufferin Zuuor Zustendig davon gnd samthafft fünff guldin glts vff den heylig. drei könig tag losig mit 100 goldguld. dem großen gemeyn Allmuß, Item Zwen gold. gld. Sonst ledig vff Marie geburth losig m. 25 pfund pfenning SW den H. vicarien* hohen* xiiij ß iiij d losig mit xxj lb vff Johann Baptist H Ulrich Spachen der Medicin doctor, It. vj ß gelts vff S Adolffs tag ablosig mit vj lb d pfund Mötscheln der Medicin doctor, It. vj ß gelts vff S Adolffs tag ablosig m vj ld d Philip Mötschelin dem Maler, So dan verhafftet für 50 pfund pfenning für Mutterlich Erb obmt Niclaus Weydman Marien v. Annen geschwüsterden Sunst ledig eÿg.
[in margine :] der Khauff für ledig eÿg iij C xxxij lb x ß beschwerd so 177 lb d Rest noch 155 lb 11 ß

Le coutelier Christophe Siess épouse Anne Weidmann en 1589
Mariage, cathédrale (luth. p. 156)
1589. Dominica Paschatos 30. Martÿ. Christoph Süß der Meßerschmidt vnd Anna Jost Weidmanns des Schneiders tochter. Eingesegnet Montags den 7.t Aprilis (i 81)

Christophe Siess et sa femme Anne hypothèquent la part qu’ils ont acquise au profit des vendeurs Nicolas Weidmann et Marie Jacqueline Weidmann

1595 (13.t Octobris), Chancellerie, vol. 298 (Registranda Kügler) f° 369-v
(Inchoat. fo: 429.) Erschÿnnen Christoffell Sieß Meßerschmidt vnd burger Zu Straßburg, vnd Anna sein eheliche Hußfrouw
Habenn Inn gegensein Hannß Bündtelin Goldtschmidts vnd burg. alhie vnnd Marien Jacoben sein ehegemechd Ihres Schwagers vnd Schwester – schuldig sein 39 pfund, darund. aber begriffen 16 Pfund 16 schilling Pfenning so sie vonn Niclauß Weÿdman Schnÿders Ihres Schwagers vnd Bruders wegen Zu bezahlen vber sich genommen vndt vor der Zeÿt Zubezahlen verfallen
dafür Vnderpfand sein sollen die Zweÿtheÿl, vnd Zweÿ dreÿttheyl am drittheÿl den verkhöüffern für vngetheÿlt gebürende, Vonn vnd Ane Huß vnd hoffestatt, mit allen Andern Iren gebeüwen begriffen, Wÿthen, rechten vnd Zugehörden, gelegen Inn bemelter vnßerer Statt Inn d. Fladergaß, einseÿt neben einer behaußung dem Werck vnser fruwen Münster Zustendig, bewont dißer Zeÿtt Hannß Semich der Schnÿder and.seÿt neben Niclauß Weÿdman dem mit verkhoüffer stoßend hinden vff hannß Thoman Ulbergern Werckhmeÿstern, Ane Welchen Huß vnd hoffestatt, d. vberige drittheÿl Am drittheÿl bemelt. Annen d. khöufferin Zuuor Zustendig, Dauon gondt sammethafft 50 guldin gelts vff den Heÿligen dreÿ könig tag ablösig mit 100 guldin Inn goldt (…) dem großen gemeÿnen Almusen, Item Zwen guldin gelts, Straßburg. vff Mariæ geburth, ablösig mit 20 pfund Pfenning denn Vicarien hoher stifft Straßburg, Mehr 14 schilling 4 pfenning gelts, Wid. khöuffig mit 21 pfund pfenning Ulrich Spachen der Medicin doctorn, vff sanct Johannis Baptisten tag Zu Singithen, Weÿther 6 schilling Pfenning gelts vff Sanct Adolffs tag fallendt, Wid.lösig mit 6 pfund pfenning Philips Mötschlin dem Moler, Vnnd sindt ouch noch verhafftet vnd vnd.pfandt für 28 pfund 9 schilling pfenning obemeltenn hannß Bindtelin vnd Marien Jacoben Zuuor Zustendig, Sunst freÿ ledig eÿgen

Le tuteur de Christophe, fils des défunts Christophe Siess et Anne Weidmann, vend la maison au luthier Hermann Kurtz

1596 (22. Maÿ), Chancellerie, vol. 302 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 38
Kauff Herman Kurtzen des Lutenmachers vber ein haus In Flad.gaß
Erschienen hans Bendele d. goldschmidt als geschworner vogt Christoffels w. Christoff Sieß. deß Meßerschmidts vnd Annen Weidmannin beed. selig. hind.laßenen Kinds mit beÿstandt hanß Weihermüllers deß schreiners gedachts Kinds nechster V.wandter vögtlicher weiß verkaufft
Herman Kurtz. dem Lutenmach. der mit beÿstandt H Georg Sprung. vnd hans Ketting. deß Lutenmach. Zugeg. Ihme & vestiglich verkaufft
eine behaußung vnd hoffstatt, sampt derselben begriffen gebewen weiten vnd gerechtigkeiten gelegen alhie In d. Fladergaß neben Gall Lucken dem schaffner ein vnd and.seit einem hauß der fabric alhie gehörig, hind. vff Bernhard Fritschen stoßend, dauon gehen Jharlich vf d. h. dreÿ König tag fünff guld. St. w. dem großen Allmußen Zu St. Marx alhier mit 100 goldtgulden lösig, Mehr zwen guldin & 15. batzen vff Mariæ geburt den deputaten höher Stifft alhie, mit 25. lb. d. wid.keüffig, So dann Jharlich sechs schilling vf Adolphi Philips Mitschele dem Mahler mit 6 pfund pfenning ablößig, Weiter so ist diße behausung Ihme Bendele verhafftet für 50 pfund pfenning die er d. Keüffer Ihme Bendele vff Michaelis Zukommenden 98. Jahrs erlegen vnd hiezwisch. vnd biß vfgemeldte Zeit vnd ziehl v.zinsen auch den Zinß Jährlich vff Michaelis reich. soll, sonst ledig vnd eig. vnd darauf alles Recht Vnd bekand d. d. Kauff über abzug vorgesetzten beschwerdten Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 176 pfund

Originaire de « Flosdorf » en juridiction de Juliers, Hermann Kurtz devient bourgeois par sa femme Elisabeth, veuve du luthier Pierre Ulner
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 719
Hannß Kurtz Vonn Floßdorff Ihnn Lanndt Zu Gilch gelegen ein Lauttenmacher, hat das burgerecht empfang von Elisabetha, Weÿland Peter Ulner deß Lauttenmachers s. wittib seiner haußrawen und will Zun Zimmerleütt. dienen Actum denn 4.ten Nouemb. 94

Le luthier Pierre Ulner et sa femme Elisabeth font baptiser un enfant en 1584.
Baptême, cathédrale (luth. f° 8 n° 54) 1584. Dienstags 25.t Junÿ Peter Ulners Lautenmachers vnd Elisabethen, Petrus, Comp. Peter Schrantz der Küfer, Caspar Dickel der Kranmeister vnd Susanna Caspar Kratzschmers helfers tochter (i 8)

Enfants de Hermann Kurtz et de sa femme Elisabeth
Baptême, cathédrale (luth. f° 53)
1596. den I. Sonntag nach Epiphanias. Herman Kurtz der lautenmacher. M. Elisabeth, I. Catharina, compatres (…) i 54

Hermann Kurtz se remarie avec Agathe, fille du batteur d’or Martin Kallhard
Mariage, cathédrale (luth. p. 21)
1597. Dominica 10 post Trinitatis den 30. Julÿ. Herman Khurtz der lauten macher, Agada Martin Khalhardt deß goldtschlagers tochter, eingesegnet den 16. Augusti (i 13)

Herrmann Kurtz légue l’usufruit de ses biens à sa femme Agathe Kallhard.
1610 (21.2.), Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 62, A n° 365)
(f° 119-v) Codicill Hermann Kurtzen lauttenmachers vnnd burgers Zu Straßburg
Im dem Jahr Alß man von vnsers einigen herren vnd Erlösers Jhesu Christi geburth Zaltte 1610 (…) vff Mittwoch den 21. Februarÿ zwüschen Acht vnd Neün Uhren vormittenttag (…) persönlich erschienen ist Herman Kurtz der lauttenmacher vnnd burger Zu Straßburg, gesundes gehendß vnd stehendes leibß auch gutter Verstendiger sinnen Vernunfft gespräch vnnd wissens (…)
dieweil dann Zum Vierten vnnd letzten Agatha Kallhartin sein Codicillatoris haußfr. Ihme Herman Kurtzen Ihrem hauswürth, Inn Ihrem heüt dato vnd In diser stunden vffgerichtem testamento den Nutz vnd Nieß Aller Ihrer Unverändertten vnd theilbaren güter d. gestaltt d wo fern er herrmann Kurtz Ane eÿgenthumb mangell leid. solte, daß er die widems Verfangenschaft vmb ettwaß, Jedoch mit vorwissen und bewilligung der obrigkeit Anzugreiffen macht haben solle, verordnet, derowegen so will er ferner Kurtz d. Codicillator gemelter Agatha Kallhartin Aus* zu einem widem Alle seine haab nahrung vnd güetter (…) ihr lebenlang Inn rechtenn widems weiß Zubesitzen
Inn sein Codicillatoris behaußung Inn der Kurbengassenn vff einer seit. Neben Peter N. dem grempen vnd vff der Andern seitten David Huober denn schreiner gelegenen, deren oberstuben gegen der gassen sehendt

Hermann Kurtz retire à la Tour aux deniers un capital au titre des tutelles
1614, Préposés au bâtiment (VII 1329)

(f° 28) Sambstag 12.t Febr. – Vogteÿ geldt abgelöst – Herman Kurtz als vogtt hat hieuor vffkhundet Jetzo empfangen hauptgut in summa 29 h, mehr noch j capital 29 h d, für ¼ Jar martzal 14 ß 6 d (zusammen) 28. 14. 6
hat bede vrkhund. gelieffert da mit erlössett, Nam barthel bertsch das gelt Zu beysein herman kurtz.

Hermann Kurtz et sa femme Agathe vendent la maison au notaire Jean Leimner et à sa femme Anne Hennigk

1599 (24 Novemb.), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 288-v
Erschienen Herman Kurtz Luthenmacher burger alhie, vnnd Agatha sein haußfrauw Martin Kallharts des goldtschlagers alhie eheliche dochter mit beÿstandt deßelben
Haben Inn gegensein Herrn Johann Leimners Notarÿ vnd Anna Hennigkin seiner ehegemahlin (verkaufft)
hauß vnnd hoffstatt mit allen and.en Iren gebeuwen gelegen In d. St. Straßburg Inn Fladergaßen einsit neben herr Gall Lucken Schaffners behaußung, and.seit einer behaußung dem Werck vnser Frawen Münster Zustendig, stoßend hinden vff Volenberger Werckmeÿster, dauon gondt 5 guldin Straßburger Werung vff der heÿligen dreÿ König tag, ablösig mit 100 goldguldin Jeder goldguldin zu xv ß d gerechnet dem Closter Zu S Marx, Item Zwen guldin Straßburger vnd Mariæ v.kundung Wid.ablößig mit 50 guldin zu 15 batzen den Prebendarien hoher stifft Straßburg, Item 6 schilling pfenning gelts vff Adolffi Wid.khouffig mit 6 pfund pfenning Philipps Mutschel Malern, Item 3 pfund 16 schilling 6 pfenning gelts Wid.khouffig mit 76 pfund 10 schilling Hanns Bindel Goldschmidt vögtlicher weÿß, sunst ledig eÿgen Wie man sagt vnd alles recht & der Khauff vber die beschwerden, daran die Khouffer gewÿßen vnd vber sich genommen, beschehen vmb 237 pfund
[in margine :] der Khouff für ledig eÿgen vmb viij C gld St. W. Beschwerden j Lxxxij Lib x ßd

Originaire d’Enns en Autriche, Jean Leimner épouse en 1597 Anne, fille du procureur Gaspard Hennigk
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 106, n° 33)
1597. Dominica vi post Trinitatis. Johannes Leimner von Enß in Ostereich der Notarius vnd Jungfrau Anna Caspar Henigkhen procurators am Stattgericht hinterlaßene tochter, Eingesegnet im Münster den 19. Julÿ (i 57, pas dans les registres de la Cathédrale)

Jean Leimner devient bourgeois quelques jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1597, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 744
Johannes Leimner von Enß Inn Österreich d. Notarius, empfahet d. Burg. von Anna Weÿlandt Caspar Hennick. selig. dochter seiner ehelich. Haußfr. vnd will Zun Mörin diehnen, Act. den 26.t Julÿ 97.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Leimner rédacteur d’inventaires après son examen, selon le principe que plus il y a de notaires, plus les bourgeois ont de choix. Il prête serment le 28 septembre 1597.
1597, Conseillers et XXI (1 R 76)
(f° 374-v) Mittwoch den III. Augusti – Johann Leimner vmb beneficium inventandi.
Johann Leimner vbergibt supplôn vnd bitt d. m Hn Ime d. beneficium inventandi p$ hab* examinirt wolten wid. fahren lassen. vertrostet er seines fleißig. dienst, mag auch leid. d. seine H bei denen er funff Jar gewessen H. Stillkraut v. Rosenberg, seines verhaltens gefragt werd.
Erkant die Cantzley Hhn sollen Ihne examiniren wan er den besteht Kan man Ihne annhmen, wo nit werd. sie sich wolwissen Zuenthalten.

(f° 460-v) Mittwoch den XXVIII Septembr. – Joann Leimner hatt beneficium inventandi erhalten
H. Stattschbr. referirt wie neben Jacob * vnd h. Hochfeld. einen Notar. so Jungs vmb d. beneficium inventandi angesucht vnd ad examen Zugelassen word. examinirt word. vndt also befunden d. er wol mag Zugelassen werd. sonderlich d. Kein gewisse anzahl vndt man Jed: Zeit dafur gehalten Je mehr der Notarien seyen, es die burg. am besten haben vnd leid.lichsten gehalten werd. Dorumb sie meinen man soll Ihne Zulassen.
Erkant Ist Zugelassen, hatt die ordnung geschworen.

Jean Leimner et Anne Hennigk hypothèquent la maison au profit du tailleur Georges Schœnenberger

1600 (xxvij tag Septembris), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 259
(Inchoat. in Proth. fol: 277.) Erschienen Herr Johann Leÿmner Notarius Burger Zu Straßburg Vnd Anna Hennickerin sein eheliche Haußfraw, Wÿland Caspar Hennickers Fürsprecher Am Stattgerichts selig. dochter
Haben bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit des Erbaren Jörg Schönenbergers Schneÿders Burgers Zu St. – schuldig sigent 50 Pfund pfenning Straßburger
Vnd deßen Zu Mehrer sicherheit Sind Persönlich erschienen der Ehrenhafft Herr Hieronimus Hatten der Weißgerber Vndt Balthazar Wildermöhr, Schneider, burgere zu St. Haben sich für sich mit sampt Ime dem Bekhennern Zu Recht. Bürg. mit vnd selbst schuldner vnver. gesetzt vnd gemacht
(…) deßen zu mehrer Vorgewisserung ÿngesetzt Hauß Vnd hoffstatt mit Iren gebeuwen gelegen Inn der St. St. Inn der Fladergassen, anderseit nebent einer Behausung Vnser Frauwen Werck Zugehörig bewohnt hanß Semmich der Schneÿder Lehns Wiß, Anderseit neben Barthell Kallhardt der Goldtschlager, hinden vff hanß Thoman Vlberger den Werckmeister stoßend, Dauon gond 6 schilling pfenning gelts Philips Mütscheln dem Brieffmaler, Item v guldin gelts Ablosig mit C goldtguldin Zu Sant Marx, Item ij guldin gelts, Losig mit L guldin den Herrn Vicarien Im Gürtler Hoff, Item Achthalben guldin gelts Widerkhouffig mit C L guldin Johann Pintelin dem Goldtschmÿdt, Inn Vogts wiß, So dann ist sie noch hafft vnd vnderpfandt für ein Schuld 112 pfund vnd 10 schilling Zu Zielen Zubezalend, Herman Khurtz dem Lauttenmacher Alle Jahr

Jean Leimner et Anne Hennigk hypothèquent la maison au profit de Paul Hennigk, fils du procureur Gaspard Hennigk.

1601 (xxiij tag Martÿ), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 107
(Inchoat. in Proth. fol: 149.) Erschienen Johann Leÿmner Notarius burger Zu Straßburg, Vnnd Anna Hennickerin sein eheliche haußfrauw mit beÿstandt Balthazar Wildermehr schneÿders burgers Zu Straßburg Ires schwagers, Haben sich für sich & verschriben
Gegen Paulus Hennicker wÿland Caspars Hennickers des Procurators Inn Stattgericht Alhie selig Sune, Von dessen weg. Zugeg. wahr herr Hieronimus Hatten den Weißgerber burger zu Straßburg seines geschwornen Vogts demselbig seinem Vogt sun Zu Zinsen 5 guldin gelts ablösig mit 100 guldin Straßburger Werung
Vonn Vff Vnnd Abe Hauß vnnd hoffestatt, mit Iren gebeuwen & geleg. Inn der Statt Straßburg Inn der Fladergassen einsit neben einer behausung Vnser frauwen werck Zugehörig, bewohnt hannß Semmich d schneÿder Andersit nebent Barthell Kallharth dem goldtschlager, hinden vff hannß Thoman Vlberger den Werckmeister stoßend, Dauon gond Sechs schilling pfenning gelts Philipß Mutschlern dem Brieffmahler, Item v guldin gelts ablösig mit 100 gold guldin Zu Sant Marx, Item Zwen guldin gelts Lösig mit 50 guldin den herren Vicarien Inn gürtler hoff, Mehr Achthalben guldin gelts wid.khöuffig mit 150 guldin Johann Püntelin dem goldtschmÿdt Inn Vogts weÿß, So dann sindt sie noch hafft vnd vnderpfandt für ein schuld 112 pfund vnd 10 schilling d Zu Zÿlen zubezahlend, Herman Kurtz dem Lautenmacher Alle Jahr, Sunst eÿg

Nouvelle hypothèque au profit de leur beau-frère et frère respectif Paul Hennigk

1602 (19. Augusti), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 371
(Inchoat. fo: 376.) Erschienen Herr Johann Leimner offner Notarius, vnd Frauw Anna Henninken sein Ehegemahel,
Haben Inn gegensein Pauli Hennigken Ires Schwagers vnd brud.s mit beÿstand Herrn Jheronimi Hatten der Herren des großen Raths Beÿsitzers seines geschwornen vogts – schuldig sigen 100 guldin Straßburger Werung gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnnd hoffestatt mit allen and.en Iren gebeuwen gelegen Inn der St. St. In Flad. gassen, einsit Barthel Kallart den Goldschlag. and.seit einer behausung dem Werck unser Fr. Münster Zustendig, stosst hinden vff Hans Thoman Ulberger, Werckmeÿstern, dauon gond 5 guldin gelts ablößig mit 100 goldguldin dem Closter Zu S Marx, Item j lib j ß d gelts ablößig mit xxv lib d den Vicarien hoher Stifft Straßburg, Item vj ß d gelts ablößig mit vj lib d Philips Mütscheln Molern, So dann iij lib xvj ß vj d gelts losig mit Lxxvj lib x ß d Hans Bindele Goldschmidt vogtlich wÿß, Item 5 guld. gelts ablösig mit 100 guld. St. W. obbemeltem Paulo Heÿnigken dem Schuldgloubig. Vnnd seind auch noch v.hafft für lxij lib x ß Herman Kurtzen dem luthenmach. Zülswÿß Zubezalen Sunst ledig eÿgen
Hiebeÿ sindt gewesen Caspar Schönauwer Kürßner vnd Balthasar Wild. mehr Schnÿd. als verwandte darzu gebetten

Jean Leimner est candidat au poste de greffier de Marlenheim (ce n’est pas lui qui sera nommé). Le notaire Paul Rosenbrecher demande en 1615 que lui soient confiés les actes de feu Jean Leimner.
1605 Conseillers et XXI (1 R 84) Marlenheimische Gerichtschreiberey bestellen [Six Krafftberger Schreiber beurlauben]. 310. 318. 320. [Johann Leimner Notarius] 326.
1608 Conseillers et XXI (1 R 87) Johann Leymner [der Notarius] contra Offenburg. 249.
1615 Conseillers et XXI (1 R 96) Paul Rosenbrecher [Notarius] vmb Johann Leymners Protocolla. 198. 335.

La maison appartient ensuite au tailleur Pierre Hahn (cité comme propriétaire en 1610)

Pierre Han épouse en 1598 Marie, fille du boulanger Georges Faulhaber, de Beckelsberg (sans doute Bickelsberg près de Rosenfeld en Wurtemberg)
Mariage, cathédrale (luth. p. 39)
1598. den 9. Trinitatis. Peter Han der schneider, Maria Jerg fulhaber deß Becken Zu Beckelsberg n.g. tochter (i 22)

Gaspard Medler dépose un capital au nom de Marie Faulhaber, veuve de Pierre Hahn, et Jean Wag au nom de ses deux fils Jean Guillaume et Jean Georges.
1622, Préposés au bâtiment (VII 1337)
(f° 170-v) Donnerstag den 18. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Caspar Medler Notarius alß vogt Mariæ Faulhaberin, Weÿland Peter Hahnen Schneiders Wittib, So dann Jacob Wag bemelter eheleüt mit einander ehelich erzeugten Söhn mit nahmen hans Wilhelm vndt hans Georgen geodneter Vogt hat ins Vogteÿgeld anglegt 450 ln
Haben Ihn darumb Zukauffen geben 22 lib 10 ß Jährlich Vff Jacoby fallend. – Ing. fol. 193

(f° 289) Sambstag den 30. Novembr. – Vogteÿ geldt angelegt
Caspar Medler, Notarius, alß vogt Mariæ Faulhaberin, Weÿland Peter Hahnen des Schneiders seel. Wittib, So dann Jacob Wag alß Vogt Hanß Wilhelmen vndt Hanß Georgen, gemelter beeder Ehe Persohnen ehelich erzeügten Kinder, haben ins gemein für ihre Vogts Persohnen die Wittib vnd Kinder erlegt 225 h
Haben Ihnen darumb zu kauffen geben 11 h 5 ß vff Catharinæ fallend. – Ingeschr. fo. 258

La veuve et les enfants de Pierre Hahn vendent la maison à l’orfèvre Sixte Lederer et à sa femme Marguerite Meder

1622 (17. Maÿ), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 41-v
Kauffverschreybung Sixt Lederers des goldschmidts vber sein Behausung
(Extendirt wie In dem Contract buch de Anno 1622. folio 78. Zubefind.) Erschienen Maria Peter hanen des schneids. wittib mit beÿstandt H Caspari Medlers deß Notÿ. Ihres geordneten vogts, So dann Jacob Wag der schneider alß vogt em.ten hanen see: nachgelaßener Kindern mit namen M Johann Wilhelm vndt Johann Georg der hanen, deren einer alß erstermter Johann Wilhelm selbst Zugegen
bekannten H Sixt Lederers des goldschmidts vnd Margarethen Mederin beed. ehegemechdten (verkaufft)
Ein behaußung, hoffstat, sampt allen and.n Zugehörd. vnd gerechtigkeit. alhie in Fladergaßen j.seit neb. H hannß Semich alten großen Rhats V.wanthen, 2.seit Barthel Linck dem glaßmahler, hind. vff Hanß Bernhard Ulberger den Wurtz Krämer stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß 5 fl. wehr. vff Trium Regum dem Allmosen zu S Marx in hauptgut mit 100 fl. wehrung, So dan 2 fl. wehrung dem Gürtlerhoff vff Mariæ geburth in capital mit 50 fl. wehrung abzulösen, sonst ledig eÿgen Vnd were diser Kauff Zugang. für ledig vnd vnbeschwerth vmb 1200 fl.
Geschehen in beisein H M. Georgÿ Mentelÿ, H Hannß Diebold Vogels deß goldtschmidts Freÿtags den 17. Maÿ 1622.

Originaire de Langenzenn en Franconie (margraviat d’Ansbach), l’orfèvre Sixte Lederer achète le droit de bourgeoisie le 24 décembre 1605
1605, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 708
Sixtus Lederer der Goldtschmidt von Langen Zehen Inn francken kaufft d. B. mit beÿstand Isaac Herbsten deß goldschmidts Will Zut steltzen dienen Act 24. decemb: 605

Sixte Lederer épouse en 1613 Marguerite, fille de Matthieu Moder, de Neumühl près de Kehl
Mariage, cathédrale (luth. p. 14)
1613. Dominica 18. Trinitatis den 3. Octobris. Sixt Lederer der goltschmid von langen Zen aus der margrafschaft Anspach vnd Margaretha Matthes Moders von newen müel nachgelaßene tochter, eingesegnet Montag den 11. 8.bris (i 12)

Sixte Lederer hypothèque la maison au profit des trois filles mineures de l’imprimeur Chrétien Würstmann

1623 (3. 9.bris), Chancellerie, vol. 451 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 231-v
Schuldbekantnuß Christiani Wurßman der Buchtruckers seligen 3. Tochtern vber 50 lib.
Erschienen Sixt Lederer der goldtschmidt
bekandte in gegensein Christoff Schawmans deß Jüngern Müntzbot. alhie Alß vogts Christiani Würstmanns deß buchtruckers see: nachgelaßener dreÿer töchtern, vnd ihr der vogtstöchtern eheleiblichen Muter – schuldig word. 50 pfund
dafür Vnd.pfand hauß vnd hoffstat mit allen Zugehörd alhie in der Fladergaß neben hannß Emich groß. Raths v.wanth. s: Erben 2.seit Barthel Lincken glaßmaler, hind.vff hanß Bernhard Ulberger stoßend gelegen, dauon gehen Zuuor 5 fl. St. Wer. vff Trium Regum dem Allmosen Zu St Marx in hauptgut mit 100 fl. besagter wer.

Âgé de soixante-cinq ans et hors d’état de gagner sa vie, Sixte Lederer fait donation de ses biens tant meubles qu’immeubles à l’orfèvre Jean Herbst contre son entretien. L’acte est dressé en présence de Marguerite Beinheim, femme du donataire.

1639 (Ersten Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 562
(Leibgeding) Erschienen herr Johann Herbst der Goldtschmidt burger Zu Straßburg, An einem,
So dann Sixt Lederer auch Goldtschmidt und burger alhie, Am Andern theil, Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, demnach Er Sixt Lederer vff die 65. seines Alters und dahero seine tägliche Nahrung und Underhaltung mit seiner handarbeit nit mehr zu gewinnen Vermöge,
Alß heten Sie sich heut dato, in besein Herrn Tobiæ Franckenbergers Goldarbeiters und Zachariæ Roßers deß schneiders beed. Burgere alhie, alß hierzu Von beeden Parten insonderheit erpetener Underhandlern, eines Leibgedings vffrecht dahien verglichen, Nemblichen soll Er Herr Herbst ihne Lederer zu sich in seine Behaußung nemmen (.inmaßen derselb albereith Zweÿ Jahr lang darinnen sein Herbsten costen geweßen.) demsemben die tag seines Lebens (…)
Hingegen vnd für solche Pfrundt vnd vnd.haltung hat Er der obgemelte Sixt Lederer ihme herbsten hiemit eÿgenthümblichen vbergeben vnd Zugestellt alle seine ietzt habend vnd Künfftig bekommende, ligend vnd fahrende haab vnd güetere, wo die geleg. vnd anzutreffen sein werden, es seÿ an häußen, hausraht, Werckzeug oder wie daßelbige namen haben mag
Darbeÿ geweßenen Margreth Beinheimin obernt. Herbsten haußfr.

Fils de l’orfèvre Isaac Herbst, Jean Herbst épouse en 1632 Marguerite, fille de Jean Beinheim
Mariage, cathédrale (luth. p. 313)
1632. doîca 13. Trin: 26. Aug: Johan Herbst der Goltschmidt H. Isaac Herbst deß Goltschmidts vnd Beysitzer deß großen Raths Sohn, Vnd J. Margreth Johan Beinheims tochter, eingesegnet Zinstag 4. 7.brsi (i 161)

Jean Herbst est nommé contrôleur de la Monnaie en 1639
1639, Protocole des Quinze (2 R 63)
Wardenampt würdt Johann Herbst vberlaßen. 198. Johann Herbst der Newe Wardin vmb Jahrgelt. 200.

Jean Herbst se remarie en 1641 avec Jacqueline, fille du barbier Jean Pfort
Mariage, cathédrale (luth. p. 450)
1641. Domin: XVI. Trinitatis. Johann Herpst der Goldschmidt allhie vnd Jungfraw Jacobe, H Johann pforten deß gewesenen Barbierers auch eines Ehrsamen Großen Raths alten beÿsitzers, nachgelaßene eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster den 19. Octob. (i 230)

Autres mentions de Jean Herbst dans les registres du Magistrat
1636, Conseillers et XXI (1 R 119) Johann Michel Mann Contra Abraham vnd Johann Herbst. 10. (Statt Breÿsach intercedirt)
1648, Protocole des Quinze (2 R 67) Johann Herbst der Goldarbeiter umb frücht, wein. 103.
1653, Protocole des Quinze (2 R 71) Johann Herbst Ca. Steltz Zunfft. 55. 59. 65. 77. 82.
(f° 82) Sambstag den 14. Maÿ –
1665, Protocole des Quinze (2 R 82) Wartin. 90. [Johann Herbsten Wartinschafft Zue Hagenaw]

Jean Herbst rembourse le capital d’une rente assise sur la maison d’après un acte de 1489.

1671 (19. Aug:), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 566-v
Erschienen Herr hannß Georg Rhem Oberschreiber deß Gemeinen Allmosens zu St Marx, im nahmen herrn Georg Rhemen als Schaffners alda,
in gegensein herrn Johann Herbsten deß Silberarbeiters, mit beÿstand Johann Hammerers deß Glaßers seiner Kindter Vogts
bekannt, daß Er Herbst besagtem Allmoßen 100. Golt fl. erlegt und dadurch die Jenige von seiner allhier in der Fladergaßen Vermög eines latinischen pergamentinen sub dato 2. Idus Januar. und. 5. Idus Martÿ anno 1489. durch weÿl. herren Johann Spüllen alß des bischofflichen hoffs damahlig gewesenen Contractuum Notarium nun längst seel: uffgerichteten Zinnßbrieffs dabeÿ befindlicher transfix, In Compensatione termino trium Regum Zu Zinnß gefallende 5. Gold fl. abgelößt

Jean Herbst hypothèque la maison au profit d’Anne Marguerite Kob

1672 (29. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 410-v
H. Johann Herbst der Silberarbeiter, mit beÿstand Johann Hammerers deß Glasers seiner Kinder Vogts
in gegensein des Ehrenvest- fürsichtig- weÿsen herren Johann Philipp Schmidten E.E. Großen Rhats beÿsitzers alß Curatoris Jungfr. Annæ Margarethæ Kobin – schuldig seÿe 100. Pfund
Unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen und Zugehördten allhier in der Fladergaßen einseit neben Einer behaußung der Fabric des Münsters gehörig, anderseit neben herren Johann Philipp Braunen Stallschreibern, hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen

Jean Herbst l’aîné hypothèque la maison au profit de son fils Jean Herbst. Les trois autres enfant de Jean Herbst l’aîné ratifient l’acte en 1678.

1676 (21. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 793
Herr Johann Herbst der Silberarbeiter
in gegensein Johann Hammerers deß Glasers alß Vogts Johann Herbsten deß Jüngern, daß Er der Vatter Ihme dem sohn schuldig seÿe 100. lb
unterpfand, huß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier in der Fladergaß einseit neben Einer behaußung der Fabric deß Münsters gehörig anderseit neben Sigmund Schallmann dem Silberarbeitern, hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen
[in margine :] Erschienen hierinn gemelter Johann Hammerer alß curator Johann Herbsten, hat in gegensein Herrn Johann Büchels deß Handelsmanns bekannt, daß er (vorstehende Obligation cedirt und übergeben habe), Hierbeÿ sind Zugegen geweßen Veronica Herbstin, hannß Jacob Greißbachß deß Gerbers Eheweib mit beÿstand ihres Ehevogts, Dorothea gebohrne Herbstin H. hannß Jacob Windisch deß haußfeurers eheliche haußfrau mit assistentz ietztgemelts ihres Ehevogts und dann Gottfried Herbst der silberarbeiter, alle dreÿ deß debitoris eheleibliche Kindern Zeich. an d. Sie von obiger schuld genugsame wißenschafft hetten, welche auch so bald die hypothecirte behaußung Versilbert wird bezahlt oder nach des Vatters seel. Zeitlichen hintritt für aller theilung zuvorderist richtig gemacht – Act. 7. 8.b a° 1678

La maison revient à son fils orfèvre Geoffroi Herbst qui épouse en 1680 Madeleine, fille du sénateur Jean Adam Voltz.

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 92 n° 540)
1680. Eodem [Dom. Miseric. et Jub. d. 25. April et 2 Maÿ] H Gottfried Herbst d. ledige Silberarbeiter, weÿl. H Joh. Herpst. Silberarbeiters undt burgers allhier auch beÿ hiesig. Müntz wardeiners ehelich sohn, Jfr. Magdalena weÿl. H Johann Adam Voltzen .E .E Groß. Raths beÿsitzers eheliche tochter. Cop. St. thomæ 6. Maÿ (i 48, procl. cathédrale f° 79)

Geoffroi Herbst hypothèque la maison au profit du marchand Jean Büchel pour payer à l’orfèvre Jean Herbst, de Stockholm, le prix de la maison qui lui a été cédée en 1676.

1680 (16. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 668-v
Gottfried Herbst der Silberarbeiter
in gegensein Herren Johann Büchels deß handelßmanns seines Schwagers, daß Er demselben über die resp. am 21. 7.br ao° 1676 und dabeÿ befindlicher Cession vom 7. 8.br 1678 Verschriebene 100. lb noch ferners 200 lb theils bahr gelühenen Gelts daß Er damit Johann Herbsten den Goltarbeiters Zu Stockholm Vollendts wegen hiernach beschriebener angenohmener behaußung auß weißen können, theils so Ihme herrn Bücheln ehevögtlicher weiße uff erwehnter behaußung gebühren
unterpfand, Hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und zugehördten alhier in der Fladergaß, einseit neben einer behaußung der Fabric deß Münsters gehörig, anderseit neben Sigmund Schawmann dem Silberarbeiter, hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen

Geoffroi Herbst vend la maison au marchand épicier Abraham Büchel le jeune

1684 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 272
Gottfried Herbst der Silberarbeiter
in gegensein H. Abraham Büchels deß Jüngern Specirierers mit beÿstand herrn Johann Zengels deß handelßmanns
hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen begriffen weithen zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Fladergaß, einseit neben einer behaußung der Fabric deß Münsters gehörig, anderseit neben Sigmund Schalmann dem Silberarbeiter hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen – umb 500. lb

Fils du marchand du même nom, Abraham Büchel épouse en 1681 Catherine, fille du sénateur Chrétien Merckel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest vnd Achtbahren herrn Abrahamb Bücheln, Ledigen handelßmann, des Ehrenvest, fürsichtig und weißen herrn Abraham Beüchels des ältern E. E. großen Rahths alten beÿsitzers v vornehmen handelßmanns allhie Zu Straßburg, mit weÿl. der Viel Ehren v tugendreichen frawen Annæ Büchelin gebohrener Meÿerin, Ehelich erzeigtem Sohn, als dem hrn Bräutigamb ane einem, So dann de Viel Ehren vnd Tugendreichen Jungfrauen Catharina Mercklinin, weÿl. des auch Ehrenvest fürsichtig v weißen herrn Joh: Christmann Mercklins E. E. Großen Raths geweßenen alten beÿsitzers nunmehr seel. mit dier Viel Ehren und tugendreichen frawen Cleophea Mercklinin gebohrener Stauderin ehelich erzeugten Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin am anden theil (…) Beschehen in des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 21. Aprilis Anno 1681

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 15 n° 14)
1681. Fest. Pentecost. Abraham Büchel der Jünger Handelsmann alh. Hr Abraham Büchels deß Handelsmanns vnd E.E. Großen Raths alten Beÿsitzers Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Catharina weiland Hn Christman Mercklins E.E. Großen Raths alten Beÿsitzers vnd beÿ dieser Kirchen wolver* nachgelaßene tochter. Copul. Zu St Niclaus Donnerst. 2. Junÿ (i 16, procl. cathédrale p. 93)

Inventaire dressé en 1702 après la mort d’Abraham Büchel. Il en manque l’intitulé. La masse propre à la veuve s’élève à 3 362 livres, celle des héritiers à 1 753 livres. L’actif de la communauté est de 5980 livres, le passif de 4 336 livres.
1702, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 8)
Inventarium über Abraham Büchel Verl. [manque l’intitulé]
(f° 18) Eÿgenthumb ahne Häußern (W.) Erstlichen ein Kleine behaußung, in der Vorstatt Krautenaw in der Kleinen Viehegaßen (…)
(W.) It. noch eine Kleine behaußung, in der vorstatt Krautenaw in der Kleinen Viehgaß (T.)
It. eine behaußung und hoffstatt ahne der Obern straß beÿ der Sterinern bruck (…)
(f° 19) Eÿgenthumb ahne Liegende güthern. (W.) Erstlichen ein gartten der hemmelsgartten genannt über St. Johannis Gießen so 2 Acker groß
Ergäntzung der Fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ über deroselben in den Ehestand zugebrachte Nahrung in Anno 1681. durch Herrn Johann Philipp Schüblerin Notm. publ. expedirt. Erstlichen befindet sich das der frau wittib, beÿ weÿland herrn Johann Christmann Mercklins E. E. Großen Rhats alten beÿsitzers Ihres herrn Vatters seel. verlaßenschaffts abtheilung pro rato erblichen angefallen
Copia der Eheberedung (…) Beschehen in des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 21. Aprilis Anno 1681
Copia Testamenti – 1682 (…) den 9. August newen Calenders (…) in einer allhier Zu Straßburg in der großen Kirchgaß gelegener vnd ernanntem Herrn Notario Schüblern seel. eÿgenthümblich zuständiger behaußung, Persönlich kommen und erschienen sind der Ehrenvest Herr Abrahamb Büchel handelßmann v beneben Ihme die Viel Ehren v Tugendreichee Frawn Catharina Mercklinin beede Ehegemächs burgere Zu Straßburg gesunden gehend v stehenden Leiber (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib Nahrung betr., Sa. haußraths 81, Sa. leerer Vaß 2, Sa. Silber Geschirr vnd geschmeids 38, Sa. Guldener Ring und Geschmeidts 31, Sa. der baarschafft 73, Sa. Pfenningzinß hauptguths 75, Sa. Eigenthumbs ane häußern 22, Sa. Eigenthumbs ane liegender güther 35, Sa. Activ Schuld 1, Sa. Ergäntzung 3000, Summa summarum 3362 lb
Der Erben Vermögen belangend, Sa. haußraths 110, Sa. leerer Vaß 28, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 67, Sa. guldener Ring und geschmeids 19, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 55, Sa. Eigenthumbs ane häußern 80, Sa. der Gülthen 14, Sa. Eigenthumbs liegender güthere 42, Sa. Ergäntzungs Rests 1335, Summa summarum 1753 lb
Das Theilbahre Guth belangend, Sa. haußraths 76, Sa. Wein, Eßigs, brandenweins und leere Vaß 414, Sa. Wahren wie auch Schiff und geschirrs 1958, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 31, Sa. guldenen Rings 10 ß, Sa. Baarschafft 1603, Sa. Pfenningzinß hauptguths 166, Sa. Eigenthums einer behaußung 455, Sa. Activorum 1274, Summa summarum 5980 lb – Schulden 4336, Nach deren Abzug 1644 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 6760 lb
– Summarische berechnung und respective Lüfferung Vber Fr. Mariæ Magdalenæ Kraußin gebohrner Klugin H. Johann Reinhard Kraußen Pfarrers zu Naßau Saarbrücken Eheliebstin annoch habend Großelter und Mütterlichen Guths, Welches Weÿl. H. Abraham Büchel geweßener handelßmann und burger alhier seel. dero geweßenen Vogts administrirt

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 000 florins (1 500 livres) sur un total de 10 500 florins
1703, Livres de la Taille (VII 1173) f° 182-v
(Kieffer, F. 149.a, N° 750) Weÿl: H. Abraham Büchels deß geweßenen Specierers undt Burgers allhie Verlassenes Vermögen, jnventirt Nots: Rohr.
Concl: fin: Inv: ist fol: 189.b 6760. lb, die machen 13.500. fl. hiengegen verstallte derselb allein 10.500 fl und also 3000 fl Zu wenig.
Von obigen 10.500 fl. stehet nun daß Stallgelt pro 1703. auß thut 17. lb 2 ß
Nachtrag von nicht verstallten 3000 fl. vor Acht jahr in duplo macht à 9 lb d, 54 lb
Und pro Fünff jahr in simplo thut à 4 lb 10 ß, 22 lb 10 ß
Item so ist vor gebott 2 ß 8 d
So dann vor abhandlung deß verlaßenschafft: und Geberbs inventarÿ 8 lb 2 ß 6 d, summa 101 lb 17 ß 2 d
dt. 1. Aug: 1703.

Abraham Büchel vend la maison à Salomé, veuve du marchand épicier Adam Mey moyennant 500 livres

1690 (3. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 594
H. Abraham Büchel der Handelßmann
in gegensein Fr. Salome weÿl. Adam Meÿen deß Specereÿ Hendlers hinderlaßener Wittib mit beÿstand Lorentz Reinthalers deß Strehlmachers Ihres Vogts und H. Frantz Reinthalers E.E. Großen Rhats beÿsitzers
Eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördt. allhier in der fladergaß einseit neben Steffen Schecki dem Liechtermacher anderseit neben Sigmund Schellmann dem Silberarbeiter hinden uff Michael Marquart den Gürttler stoßend gelegen – geschehen umb 550 Pfund

Le marchand Adam Mey épouse en 1654 Salomé, fille du peignier Frédéric Reinthaler
Mariage, cathédrale (luth. p. 566 n° LV)
1654. Eodem [Sonnt. 26. Trin: 19. 9.br) H Adam Meÿ der handelsmann vnndt burger alhier vnndt J. Salome weilandt H. Friderich Reinthalers des burgers vnndt Streelmachers auch E. Ers. Großen Raths beÿsitzers hinderlaßene Eheliche Tochter. Zinst. 28. 9.br Münster, Spiegell H.stub (i 316)]

Salomé Reinthaler, veuve d’Adam Mey, vend la maison à son fils épicier Frédéric Mey moyennant 550 livres.

1695 (31.1.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 62
Fr. Salome geb. Reinthalerin weil. H. Adam Meÿen, gewesenen Specereÿ händlers sel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand H. Lorentz Reinthalers, deß Kammachers, ihres leiblich. bruders und Vogts
in gegensein H. Friderich Meÿen, deß Specereÿ händlers Ihres leiblich. Sohns (unterzeichnet) Friderich Maÿ
Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen und zugehörden allhier in der Fladergaß, einseit neben Stephan Jacqui den Liechtermacher anderseit neben H. Sigmund Schallmann den Silberarbeiter hinten auf Michael Marquart den Gürttler stoßend gelegen – umb 550 pfund

Frédéric Mey épouse en 1694 Catherine, fille de Georges Heckler, sénateur et chef du chantier de l’Œuvre Notre Dame
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 49-v, n° 293)
1694. Eodem [Dom. XV. post Trinit.] seÿnd Zum 1. mahl außgeruffen worden. Hr. Friderich Maÿ lediger Spezierer, Weil. hr Adam Meÿen gewesenen Spezierers und burgers allhier nachgel. ehl. Sohn, Jgr Catharina weil. Herrn H. Georg Häcklers E. E. Großen Raths gewesenen beÿsitzers, auch Werckmeisters beÿ der Frawen Werck allhier nachgel. ehl. Tochter. Seÿnd copulirt worden den 29. 7.br (unterzeichnet) Friedrich Maÿ als Hochzeiter, Catharina Heckherin als hochzeitrin (i 49)

Frédéric Mey vend la maison au serrurier Jean Jacques Ernst et à sa femme Marie Dorothée Schopp (ici Scob)

1696 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 285-v
H. Friderich Meÿ, der Specereÿhändler
in gegensein Johann Jacob Ernsten, deß Schloßers und Mariæ Dorotheæ geb. Scobin
Eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Fladergaß, einseit neben Stephan Jacquj dem Liechtermacher anderseit neben Sigmund Schallmann, dem Silberarbeiter hinten auf Weÿl. Michael Marquart des Gürttlers seel. Wittib stoßend gelegen – umb 600 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du cornette Daniel André Wid

1696 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 286-v
Johann Jacob Ernsten, der Schloßer und Maria Dorothea geb. Scobin und zwar dieselbe mit beÿstand H. Samuel Christoph Flechtners des Kaüfflers und hans Georg Thorwarths des Schneiders beeder ihrer Vettern
in gegensein Hn Jacob Christoph Pantrions, Not. Publ. alß Administratoris bonorum Hn Daniel Andreæ Wids Cornets unter dem Roßischen regiment zu Pferd, schuldig seÿen 500 pfund, daß Sie damit hernach beschriebene behausung haben erkauffen und bezahlen können auch Würcklich bezahlt haben
unterpfand, Eine behaußung und Hoffstatt perge ex immediate vorstehende verschreibung

Fils du marchand de vins Jean Christophe Ernst, Jean Jacques Ernst épouse en 1692 Marie Dorothée, fille du tailleur Jean Philippe Schopp : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung (…) zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Hannß Jacob Ernsten, Schloßern undt Burgern alhier Zue Straßburg, als Hochzeitern an einem: So dann der Ehrn: und tugendsamen Jungfrawen Mariæ Dorotheæ Scopin weÿland des Ehrenhafft: undt Achtbahen Meister Hannß Philipp Scope, geweßenen Schneiders vndt Burgers alhie seel: nachgelaßener eheleiblichen Tochter alß hochzeiterin andern theils auff Freÿtag den 10. Octobris anno 1692 vor weÿland herrn Johannes Grünwaldt Notario publ. und burgern alhier nunmehr seel: sich begeben (…) So geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, Montags den 7. Aprilis anno & 1704, Johann Ludwig Scherer

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 32, n° 201)
1692. den 19. post Trinit. Seind Zum 1. mal außgeruffen word. Hanß Jacob Ernst der Schloßer, Weÿland Johann Christoph Ernsten gewesenen Weinhändlers und burgers Nachgel. Ehelicher Sohn, Jgfr Maria Dorothea, weÿl. Hannß Philipp Schoppen Schneiders und burgers nachgelaßene eheliche T. (unterzeichnet) Johann Jacob Ernst als hochzeiter, M D der hochzeiterin Zeichen (i 32)

Jean Jacques Ernst devient tributaire chez les Maréchaux
1692, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 147 (Serruriers 1692-1704)
(f° 7-v) 1692. den 27. Octobris Handwerck gehalten – Joh: Jacob Ernst der Schloßer erscheint, meldet sich, verlangt inn die Meisterschafft geschrieben Zu werden, weilen Er nicht allein das Meisterstück gemacht, sondern auch sich verehlichet. Erkannt wann Er die gebühr wie ein andere gegeben hatt, auch geben wird, als solle Er angenommen seÿn hatt Zu geben 2. lb. d. Dtt. solche dato.

1695, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 147 (Serruriers 1692-1704)
wieder Dietrich Crackerich undt Hannß Jacob Ernsten

Marie Dorothée Schopp (Scob) meurt en 1704 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 800 livres. La masse propre au veuf est de 9 livres, celle propre aux héritiers de 284 livres. L’actif de la communauté s’élève à 436 livres, le passif à 449 livres

1704 (4.9.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 14)
Inventarium und Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿland die Ehren: vnd tugendsame fraw Maria Dorothea Ernstin, gebohrne Scopin, des Ehrenhafft: vnd Achtbaren Mstr. Johann Jacob Ernsten, Schloßers vnd burgers alhier geliebte haußfrau nunmehr seel. nach ihrem dinstags den 19.en Februarÿ Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen, erfordern, v. begehren des Ehrenhafften Mstr. Johann Heinrich Büeckels, Schwarzbecken vnd burgers alhier, als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Dorotheæ, Mariæ Magdalenæ, vnd Johann Jacobs, der Ernsten, der verstorbenen frawen seel. mit obermeltem ihrem hinterbliebenen witwer ehelich erzeügter Kind. vnd ab intestato verlaßener Erben inventirt (…) Act: Straßburg den 4. 7.bris 1704.

In einer alhie Zu Straßburg inn der Fladergaßen gelegener, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung ist befund. worden wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Item hauß v. hoffstatt mit allen deßen gebäwen begriffen, weithen rechten, zugehördten und gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßburg in der Fladergaßen einseith neben Andres Nawer dem schneid. anderseit neben Stephan Jaquis dem Krempen hinden auff ein allmend gäßel stoßend. Davon gehen Jahrs 20. lb d Zinß à 4 pro Cento H Daniel Andres Widen In capital ablößig mit 500 lb d, Sonsten allerdings freÿ ledig vnd eigen durch die geschwohrne Werckmeister allhier über vorstehende beschwehrten annoch æstimirt per 300. lb. Und besagt über hievorgeschriebene behaußung ein teutscher Perg: Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Cancelleÿ Contract stuben anh. Insigel verwahrt, datirt den 12. Maÿ A° 1696. Innhaltend welcher gestalten diese behaußung v. H. Friderich Meÿer dem Specereÿ händler erhandelt worden.
Ergäntzung der Erben unveränderten guths. Auß dem über der fraw seel. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch H Johann Grünwald Notarim seel. auffgerichteten Inventario de Anno 1692. hat mann denen Erb. Zuerg.
Series rubricarum. Des Wittwers unverändert Guth, Sa. Ergäntzung 59 lb – Schulden 50, Nach solchem abzug 9 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 3, Sa. guldenen ring 9, Sa. Schulden 50, Sa. Erg. 170, Summa summarum 284 lb
Das theilbahre Verlaßenschafft, Sa. hausraths 34, Sa. Silbers 3, Sa. Eisen und gemachte arbeit wie auch werckzeug Zum Schloßer handwerck gehörig 60, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 30, Sa. Schuld. 38, Summa summarum 436 lb – Schulden 449 lb, Übertreffen also die Schulden auß der theilbaren Verlaßenschafft Zubezahlend die theilbare Nahrung vmb 13 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 280 lb
Eheberedung (…) auff Freÿtag den 10. Octobris anno 1692 vor weÿland herrn Johannes Grünwaldt Notario publ. und burgern alhier
Abschatzung den 3 7.bris aô 1704. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Hanß Jacob Ernst Schloßer ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg in der Flader gaßen gelegen einseits Neben Meister Andres Neuenwerdt schneider, anderseits Neben Stephan Jacquis Kremb hinden auff ein Almengäßlein stosendt Welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein tausendt und Sechs Hundert gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuth, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Jacques Ernst se remarie en 1704 avec Elisabeth Carol, fille du cordonnier Jean Jacques Carol : contrat de mariage non conservé, célébration
1704, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Jacob Ernsten Schloßers, vnd Jft Elisabethæ Carolin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 148, n° 694)
1704. Mittw. d. 15. 8.br wurd. nach ordent. außruff. copulirt Johann Jacob Ernst d. Schloßer v. Burger allhie vnd J. Elißabetha, weil. Joh: Jacob Carlen des gewesenen Schuhmachers u. Burg. allhier nachgelaß. ehl. T. (unterzeichnet) Johann Jacob Ernst Alß hochzeiter, Elisabtha Carlin alß hochzeiter (i 147)

Elisabeth Carol fait son testament alors qu’elle est près d’accoucher. Elle nomme pour héritiers ses enfants ou à défaut sa sœur Salomé Carol, femme du tailleur Jacques Heyer.
1706 (22.1.), Not. Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 9) f° 26
Testament – Zuwißen, daß auff Freÿtag den 22. Januarÿ A° 1706. nachmittag Zwischen 3. vnd 4. Uhr, in mein Notarÿ ahne der großen Stadelgaß gelegenen eigenthümlichen behaußung (…) persönlich erschienen Fraw Elisabetha, gebohrne Carlin, Meister Johann Jacob Ernsten des Schloßers vnd burgers allhier Ehegattin, Zwar hochschwangern doch aber von Gottes gnad vnd barmhertzig Keit Gesund, Gehend vnd stehenden leibs, auch Richtigen Sinnen vnd gutter vernunfft (…)
3. ad basiin et fundamentum hus. Testamenti, setzt vnd ernennt Sie Zu dero Künfftigen Erben, vorderist dero lieben Kinder vnd Leibs Erben, wann sie deren eines vnd mehr hinderlaßen würde, Zugleichen portionen, im fall Sie aber, ohne ehelich Kinder dieser Welt q.ttiren solte, So solle dero Leibwerthen Schwester, Fraw Salome gebohrne Carlin Philipp Jacob Heÿer des Schneiders vnd burgers alhier eheliche hausfraw dero einige vnd wahre Erbin sein

Jean Jacques Ernst et Elisabeth Carol hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Kirn.

1708 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 181
Joh: Jacob Ernst Schlosser u. Elisabetha geb. Carlin beÿständlich Philipp Jacob Heÿers schneiders u. Joh: Jacob Hellers schuemachers
in gegensein H Joh: Kirn handelsmanns – schuldig seÿen 150 lb
unterpfand, ihre behaußung in der fladergass allhier, einseit neben andres Nauer anderseit neben Daniel osterrieth hinten auf andres friedel stoßendt

Jean Jacques Ernst meurt en mai 1713 en délaissant une fille de son premier mariage et deux de sa veuve. L’inventaire est dressé dans la maison. La masse propre à la veuve est de 263 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 522 livres, le passif à 923 livres

1713 (12.7.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 36) n° 17
Inventarium über Weÿland Meister Johann Jacob Ernsten, geweßenen Schloßers und Burgers zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1713.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so weÿland Meister Johann Jacob Ernst, gewesener Schloßer vnd burger alhier zu Straßburg nach seinem den 19.en Maÿ jüngst aus dießer welt genommenem tödlichem ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft, auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren des Verstorbenenn in erst: vnd anderer Ehe erzeugter Kinder, wie auch dero geschworner Vögte (…) ersucht und inventirt, durch die Ehren und tugendsame Fraw Elisabetham Ernstin gebohrene Carlin die hinderbliebene Wittib mit assistentz deß Ehrengeachten Meister Joachim Köpge, Schloßers und burgers alhier, Ihres geschwornen Curatoris (…) geäugt und gezeigt (…) Actum Montags den 12. Junÿ Anno 1713.
Der Verstorbene hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1.mo Jungfr. Mariam Dorotheam Ernstin, deß abgeleibten in erster Ehe mit weÿl. Fr. Maria Dorothea Ernstin gebohren Scopin seel. erzeugter dochter, dero geschworner Vogt H Johann Caspar Großer, Schloßer und burger alhier dem geschäfft persönlich beÿgewohnt
2.do Annam Elisabetham vndt 3.tio Susannam Mariam die Ernsten, diese beÿde des verstorbenenn in Zweÿter Ehe mit Eingangs gemelten fr. Elisabetha Ernstin gebohrner Carlin erzeügte döchterlin, deren gewesener Vogt der Ehrengeachte Meister Johann Geörg Ernst Nagelschmidt und burger allhier, welcher dem geschäfft von anfang biß Zu end abgewartet, Alßo alle dreÿ deß verstorbenen Zu dreÿen gleichen portionen und Antheilern ab intestato nachgelaßene rechtmäßige Erben.
Copia der Eheberedung

In einer alhier Zu Straßburg inn der Fladergaß gelegener, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung befunden worden wie volgt.
Ane Hültzen: und Schreinwerck, Auf der Bühn, In der Cammer A, In dem obern stübel, In der Cammer B, In dder Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Im undern haußöhren, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung. Item eine behauß. vnd hoffstatt, m. allen dero gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten v. gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßb. in der Fladergaß. geg. der Behaußung zum hawer gen. 1.s n. Daniel Osterrieth dem Schuhm. 2.s n. Andres Nawer dem Schneider hinden uf ein Andreß Fridel den Gürtler stoßend, davon gehen Jahrs 20. lb d. Zinß à 4 pro Ct° H. Daniel Andres Widten, In Capital lößig m. 500 lb. d, vnd über dise beschwerd. durch der St. St. geschw. Werckleüth, vermög einer apud Conceptum befindlicher schrifftl. Abschatzung, hiehero æstimirt per 400. lb. Darüber vorh. i. perg: Kb. m. d. St. St. C. C. Ins. verw. datirt d. 12. Maÿ A° 1696. Darbeÿ 3. untersch. perg. Kaufb. aus wolgemelter Contractst. deren d. 1.ne dat. d. 31. Jan: 1695. der andere d. 3.t 9.bs 1690 vnd der dritte d. 20.t Junÿ 1684.
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Gutts. Auß dem über derselben in dieße Ehe Gebrachte unveränderte Nahrung durch Christoph Philipp Webern den Notm. den 11. Aug. A° 1705. auffgerichtetem Inventario ist mangelnd befunden worden wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Gutt, Sa. haußraths 19, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 6, ss Schulden 5, Sa. Ergäntz. (197, Abzug 10, Rest) 186 lb, Summa summarum 263 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert vnd Zugleich das theilbar Gutt, als womit sich die Wittib nicht Zubeladen resolvirt, beschrieben, Sa. haußraths 50, Sa. Werckzeugs v gemachte Arbeit Zum Schloßer handw. gehörig 40, Sa. Silbegeschmeids 2, Sa. Guldin Rings 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Sa. Schulden 25, Summa summarum 522 lb – Schulden 923 lb, Übertreffen also diz Passiv Schulden die Theilbare Activ Nahrung umb 400 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 263 lb

Elisabeth Carol se remarie en 1715 avec Jean Henri Kieffer. Elle meurt en 1725 en délaissant trois enfants de son premier mariage (inventaire)

Elisabeth Carol vend la maison au tourneur Jean Samuel Blanck et à sa femme Marie Salomé Sebitzius moyennant 1 250 livres

1714 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 456
(1250) Elisabetha Ernstin wittib geb. Carlin beÿständlich Joachim Köpge schlossersb ihres Curatoris und Philipp Jacob heiger schneiders ihres Schwagers (unterzeichnet) köpcke
in gegensein Joh: Samuel Blanck hohldrehers und Mariæ Salome geb. Sebiziußin
ihre behaußung hoffstatt mit allen gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der fladergass gegen der behaußung zuem hauer genant, einseit neben Daniel osterrieth anderseit neben andres Nauer hinten auf andres fridel – um 500, 200 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 450 pfund

Les acquéreurs hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit du docteur en médecine Henri Nicolai

1714 (25.10.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 765
Joh: Samuel Blanck Kunst und hohldreher und Maria Salome geb. Sebiziußin beÿständlich H. Joh: Georg Then Med. Dris und Practici wie auch H Joh: heckhelers Med. Dris und Practici
in gegensein H. Heinrich Nicolai Med: Dris und Practici – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behaußung hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Fladergass gegen der behaußung zuem Hauer genannt, einseit neben Daniel osterrieth anderseit neben andres Nauer hinten auff Andreas Friedel

Fils du tourneur du même nom, Jean Samuel Blanck épouse en 1714 Marie Salomé, fille du docteur en médecine Jean Paul Sebitzius
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 258 n° 1113)
1714. Mittwoch den 11.t Apr. Sind nach 2. mähl. Proclamation ehel. copulirt worden Joh: Sam. blanck der ledige bein und Silber dräher, weÿl. Johann Samuel Blancken gewesen b. und Hohldrähers hinterl. ehel. Sohn und J. Maria Salome, weÿl. H Joh: Pauli Sebitzÿ gewesenen Medic. d. und Practici allhier, nachgel. ehl. tochter (unterzeichnet) Johann Salomé Blanck als hoh Zeiter, Maria Salome Sebiziusin als hochzeiterin (i 257)

1720, Protocole des Quinze (2 R 124)
EE Handwerck der Dreher, Samuel Blanck und Simon Dalubers pt° mulctæ

1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
E.E. Meisterschafft der Dreher
Samuel Blanck, Simon Dallüber von New Limbach

1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Johann Samuel Blanck Dreher 75. 86. 98. 102. 110, Gesellen 98.bis 103

L’inventaire dressé en 1735 après la mort de Marie Salomé Sebitzius n’est pas conservé.

1735, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 824
Inventarium über Maria Salome Blanckin geb. Sebitziußin H. Joh: Samuel Blancken des Silberdrähers Ehefrau seel. Verlassenschafft

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 1 700 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 60-v
Zimmeleüth. F. N. 6722 – Weÿl. Mariæ Salome gebohrner Sebitziussin H Johann Samuel Blancken des Kunst und Silbertreher auch burgers alhier Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Mader.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 105.b, 840 lb 16 ß 8 s
darzu gelegt die fol. 96. passivé eingebrachte 200 lb, Summa 1040 lb 16 ß 8 s
die machen 2000. fl. Verstallte 1700 fl. Zu wenig 300 fl.
Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 18 ß, 5 lb 8 ß
Und Vier Jahr in simplo à 9 ß, 1 lb 16 ß
Ext. Stallgeltt pro 1735. 3 lb 18 ß
Gebott 3 ß
Abhandlung 1 lb 5 ß 6 d, Summa 12 lb 10 ß 6 s
Nachgelaßen 3 lb 12 ß, rest 8 lb 18 ß 6 d
dt. 18. Julÿ 1735

Jean Samuel Blanck se remarie en 1735 avec Cunégonde Sebitzius, veuve de l’orfèvre Guillaume Schmidt : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen den Ehren undt wohlvorachtbahren auch Kunstreichen Herrn Johann Samuel Blacnken Silberdrehern und burger, allhier Zu Straßburg als dem herrn Bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren vnd tugendbegabten Frauen Kunigundæ Schmidin gebohrner Sebitziußin, weÿland des Ehren und vorachtbahren herrn Wilhelm Schmids geweßenen Silberarbeiters und burgers zu ermeltem Straßburg seeligen nachgelaßener Wittib als der Frau hochzeiterin am anden theil (…) So beschehen und verhandelt seÿnd dieße dingen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Donnerstag deb 22. Septembris als man Zalte nach Unßers Einigen Erlösers und Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen geburth und Menschwerdung 1735. unterzeichnet Johann Samuel Blanck als hoch Zeiter, Kunigunda Schmidin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 139 n° 525)
1735. Mittw. d. 5. 8.br. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich copulirt v. eingesegnet word: H Joh: Samuel Blanck der Kunst v silber dreher, wittiber v. b. alhier v. fr. Kunigunda, weÿl. H. Wilhelm Schmidten gewesenen b. v. silber Arbeiter nachgel. Wittib (unterzeichnet) Johann Samuel blanck als hochzeiter, Kunigunda Schmidin als hochzeiterin (i 143)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari. Ceux du mari s’élèvent à 2 373 livres, ceux de la femme à 389 livres.

1736 (15. 8.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 32) n° 1025 (977)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, So der Ehrenvest und wohl vorachtbahre H. Johann Samuel Blanck Silbertreher undt die Viel Ehren und tugendsahme frau Kunigunda gebohrne Sepiziusin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestandt zugebracht und sich deren jedes, vermög Ihrer mit einander aufgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten (…) Actum in fernerer gegenwart S. T. fraun Kunigundæ Sepiciusin gebohrne Reichßhofferin der Ehefrauen Eheleiblichen Frau Mutter, Straßburg d. 15. octobris 1736.

In einer allhier Zue Straßburg ane der Fladergaß gelegenen und dem Ehemann eÿgenthümblich Zuständigen behaußung sich befunden als volgt
Eÿgenthumb ahne einer Behaußung (M.) Eine behaußung vnd hofstatt mit allen deren ubrigen gebäuwen, rechten zugehörden vnd Gerechtigkeiten allhier Zue Straßburg, ane der fladergaß, eins. neben H Andreas Nauert dem schneider vnd E. E. großen rats alten beÿsitzer, anderseith neben Daniel osterried den Schuhmacher, vnd Hinten auf Daniel Grünwaldt des Gürtlers seel. nachgelaßene wittib stoßend gelegen, und seÿe solche behaußung herrn Lt. Ludwig Christian Nicolai in Capital Jahrs auf Michael a 4 pro Cento Verzinnßlich annoch Verhafftet pro 200. lb. d
Nota. solches Capital war 500 lb d. Es hat aber der Eheherr wehren seines Wittibenstands vnd Zwahr den 29. Junÿ 1736. 300 lb davon abgeführt also daß nur noch obige 200 lb stehen bleiben, Item ferner weÿland ST Herrn Heinrich Albrecht Nicolai gewesenen Med. Doctoris et professoris publ. ordinary seel. nachgelaßenem söhnlein auch in hauptgut Jahrlich à 4 p Cto auf Michaelis verinteressirt 200 lb v, Zusammen 400 lb d, sonsten frey leedig v. Eigen. Und wird dieße behaußung ohnpræjudicirlich hier außgeworffen und angeschlagen pro 1100 lb d, So verbleibt außzuwerffen 700 lb. Nota weÿland hrn Rath. Joh: Jacob Spielmann geweßenen apothecker seel. Fr. Wittib hatte auch ane Capital auf solcher behausung 200. lb d stehen gehabt, so aber der Eheherr auch wehrender wittiben standt den 5. aug. 1736. abgelöst 29. Darüber meldet ein In allhießiger Cantzleÿ Contractstube gefertigter Pergamentener Kauffbrieff sub dato 30. Junÿ 1714.
Series Rubricarum. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 307, Sa. holtz v werckzeugs Zum treher handw. gehörig 44, Sa. Waaren 1073, Sa. frucht vnd Meel 19, Sa. Wein v Leerer vaß 52, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 24, Sa. goldener Ring vnd geschmeids 24, Sa. baarschafft 831, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 237, Sa. der Gülthen 44, Sa. Eigenthums ane einer behausung 700, Sa. Schulden 291, Summa summarum 3354 lb – Schulden 984, Nach deren Abzug 2369 lb, Darzu Kommet die th. Ime ane den haussteuren gebührige helffte so ist 4, Des Ehemanns Vermögen 2373 lb
Der Ehefrau Nahrung, Sa. haußraths 94, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 33, Sa. guldener Ring vnd geschmeid 102 lb, Sa. baarschafft 155, Summa summarum 385 lb – Adde die Ihro gebührige helffte haussteuren 4 lb, der Ehefrau Nahrung 389 lb

Samuel Blanck rembourse à l’aumône Saint-Marc un capital garanti sur la maison par un titre de 1601

1736 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 610 n° 649
des Allmoßens zu St Marx Schaffner H. Lt. Johann Thomas Frölich von dasigen H. Pflegeren bevollmächtigt
in gegensein Samuel Blanck des silberdrähers
nach besag einer vor Not. Johann Hilario Meÿer am 25. Aprilis 1601 aufgerichteten zinß kauffverschreibung einen auff weÿnachten jeden jahrs verfallenden mit 100 Pfund in hauptguth ablößigen reditum Annuum auff einer ane der Flader gaß einseit neben w. S.T. H. Fünffzehners Daniel Richshoffers seel erben anderseit neben H. Rathh. Andreas Knauert hinten auff das Allmend gäßlein beÿ dem Saltzhauß stoßend gelegen, ehedeßen weÿl. Johann Pick dem silberarbeiter eigenthümlich zuständig und nach deßen todt obgedachten Samuel Blanck als als letzt und meistbietenden ahne hiesiger ganth adjudicirten behausung stehen und bißher zu fordern gehabt

Partage des habits provenant de la succession de Marie Salomé Sebitzius
1737, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 35) n° 1080 (1033)
Vertheilung der von Weÿl. fraun Mariæ Salome Blanckin gebohrener Sebitziußin H. Johann Samuel Blanckhen des Silberdrehers vnd burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun seel. Jgfer Mariæ Magdalenæ und Jgfer Mariæ Salome der Blanckhen Ihren zwoen döchtere prælegirten Kleÿdung und Weißengezeugs. Act. d. 24. febr. 1739

Compte de la succession de Marie Salomé Sebitzius
J. Jacques Oelinger (35 Not 29) n° 1080 (906-b)
Summarischer Calculus Über Weÿland fraun Mariæ Salome Blanckin gebohrener Sebitziußin, Herrn Johann Samuel Blanckhen deß Kunst und Silberträhers auxh burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun seel. Verlaßenschafft, nach Anleitung des darüber in anno 1735 aufgerichteten Inventarÿ mit aufgerechneter gewohnlichen Und etwas Verglichener Überbeßerung gefertigt – den 12. sept. 1735

1741, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
Mittwoch den 1.ten Maÿ Anno 1741
Wieder Johann Samuel Blancken den Silberträher

Marie Cunégonde Sebitzius meurt en 1757 en délaissant deux fils de son premier mariage et un du deuxième. Les experts estiment à 800 livres la maison qui a été presque entièrement reconstruite pendant la deuxième communauté. La masse propre au veuf est de 1 081 livres, celle propre aux héritiers de 871 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 107 livres, le passif à 906 livres

1758 (1.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 69) n° 1634
Inventarium über Weÿland der Edlen und viel Ehr: und wohl tugendbegabten Frauen Kunigunda Blanckin geborner Sebitziusin des wohl Ehrenvesten, weißen und vorachtbaren auch Kunstreichen herrn Johann Samuel Blanck, Silberdrehers und E. E. großen Raths jetzmalig wohlverdienten beÿsitzers, acuh vornehmen burgers allhier Zu Straßburg gewesener Frau Eheliebstin nunmehr seeligen Verlaßenschaft, auffgerichtet in Anno 1758. – nach ihrem den 3. Julÿ des abgewichenen 1757.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und begehren Sowohl des Herrn Wittibers selbsten als auch des abgeleibten seel. in zwoen Ehen ehelich erzeugter Kinder und ab intestato zu gleichen Portionen und Antheilen verlaßener Rechtmäsiger Erben (…) inventirt und ersucht durch den herrn Wittiber, wie auch frau Mariam Magdalenam Roosin gebohren Blanckin und Jgfr. Mariam Salomeam Blanckin, deßelben in erster Ehe ehelich erzeugte Zwo Töchtere (…) So Geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg Mittwochs den 1. Martÿ Anno 1758.
Die abgeleibte Frau Rathherrin seel. hat ab intestato Zu Ihren rechtmäsigen Erben verlaßen wie folgt. 1. S.T. Herrn Wilhelm Schmidt den Handelßmann und Burgern allhier, welcher beÿ dem Geschäfft persönlich erschienen in den ersten dritten Stammtheil, 2.do Herrn Johann Philipp Schmidt, leedigen Knöpffmacher so majorennis vor sich und in seinem Namen, welcher auch præsens war, in den Zweÿen dritten Stammtheil, diese beede Söhne hat die verstorbene Frau Rathherrin in Erster Ehe mit weiland H. Wilhelm Schmidt gewesenen Silberarbeiter und burgern allhier ehel. erzeugt
So dann 3.tio Johann Friderich Blanck leediger Hohltreher, so über 21. Jahr alt mithin nach hiesigen Statuten majorennis, welcher aber von Herrn Johann Gottfried Werner, dem allhiesig verburgerten Schuhmacher assisitirt in den dritten letzten Stammtheil in letzter Ehe mit Eingangs gemelten H, Wittiber ehelich erzeugt. Alle dreÿ aber zu gleichen Portionen und antheiler verlaßene Rechtmäsige Erben.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli

In einer allhier Zue Straßburg ane der Fladergaß gelegenen und dem Ehemann eÿgenthümblich hieher gehörigen behaußung sich befunden als volgt
(f° 23) Eigenthum ahne einer Behaußung (W.) Neml. eine Behaußung Höflein und hofstatt allhier Zue Straßburg ane der Fladergaß, einseith neben Frau Glockin der Vöghändlerin und anderseith neben weiland Daniel Osterried des Schuhmachers Wittib, hinten auf N. N. den frippier stoßend gelegen, so gegen männiglichen auser denen unter denen Passivis stehenden Capitalien freÿ ledig und eigen, und ist dieselbe vermög einer zu dem Concept gelieferten schriftlichen Abschatzung vom 19. Septembris 1757 durch (die Werckmeistere) æstimirt und angeschlagen worden pro 800 lb. Diese behausung ist in des Herrn Wittiber erster Ehe erkauft worden, weilen dieselbe dreÿ auß solcher Ehe ehelich erzeugte aber nach iher Mutter verstorbenen Kindern Joh: Samuel, Joh: Daniel v Joh: Michael die Blancken geerbt, so participirt derselbe proprio daran 13/15.te theil, frau Maria Magdalena Rooßn geb. blanckin u. Jgfr. Maria Salome Blanckin die zwo töchtere aus 1.ter Ehe 2/15.theil, dieselbe ist stehender dieser zertrennten Ehe fast gantz neu aufgebauen worden, weswegen auch die derenthalben angewandte Bau Cösten infra folio facie (-) des H. Wittibers Erg. Abzug beigelegt Zubefinden.
Darüber meldet ein in allhiesiger C. C. Stub gefertigter Kauffbrief sub dato 30. Junÿ 1714.
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangen unveränderten Guths Nach Anleitung Inventari Illatorum de 1736.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des H. Wittibers Vermögen, Sa. haußraths 52, Sa. Waar und Werckzeugs Zu der Treher profession gehörig 189, Leerer vaß 10, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 16, Sa. goldener Ring 23, Sa. der baarschafft 34, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 137, Sa. der Gülthen von liegenden güthern 14, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 800, Sa. Schulden o, Sa. Ergäntzung (1773 abzug 1607, restiret) 166, Summa summarum 1445 lb – Schulden 363, Nach deren Abzug 1081 lb
Der Herren Erben anerstorbenen Mütterlich guth, Sa. haußraths 75, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 24, Sa. goldenen Ring und dergleichen Geschmeids 39, Sa. baarschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 285, Sa. der Schulden o ; Sa. Ergäntzung (727, abzug 289, restiret) 437 lb, Summa summarum 871 lb
Die gemein unverändert und theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 84, Sa. des zum treher handwerck gehörigen holtz vnd waaren 118, Sa. frucht 10, Sa. Weins vnd leeren vaßen 55, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. Goldenen rings 14 ß, Sa. baarschafft 247, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475, Sa. Schulden 109, Summa summarum 1107 lb – Schulden 906 lb, Nach deren Abzug 200 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2267 lb
Wÿdemb Welchen der hr. Wittiber von der frauen defunctæ seel. lebtägig Zu genießeb
(f° 52) Wÿdemb Welchen der hr Wittiber von weÿland fraun Mariæ Salome Blanckin gebohrner Sebitziusin deßen ersten frau Eheliebstin seel. theils mit gewißer Zeith vnd theils lebenslänglich Zu gneißen hat
Copia Codicilli, persönlich erschienen die viel Ehren vnd wohl tugendbegabte Frau Kunigunda Blanckin gebohren Sebitziußin, des Ehrenvesten großachtbahren weißen und Kunsterfahrenen herrn Johann Samuel Blanck berümbten Silbertrehers vnd E. E. großen Raths allhier Zu Straßburg wohlansehnlichen burgers dahier frau Eheliebstin, zwahr etwas schwach vnd Krancken leibs dahero auf einem bette liegend (…) Actum in einer allhier zu Straßburg ane der fladergaß gelegenen vnd der frau Codicillirerin Ehegatten eingangs gemelt eigenthümlich zuständigen behaußung dero vordern wohnstuben mit denen fenstern auf die Gaß außsehende (…) Dienstags den 18. Januarÿ Nachmittags zwischen 3, vier vnd fünff uhren Anno 1757, Johann Jacob Oelinger, Notarius juratus
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Donnerstag den 22. Septembris 1735.
Abschatzung vom 19.ten 7.bris 1757. Auff begehren Herrn Johann Samuel Blanck E: E: Großen Raths Alter beÿsitzer, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg inn der Flader gaß gelegenen, einseits Neben Herrn Ostridt dem Schumacher, Anderseits Neben Frau glockin und hindten auff N.N. dem frippié stoßent, solche Behaußung bestehet in dreÿ Stuben, Zweÿ Stub Kammern Zweÿ Küchen, eine Werckstatt und Etliche Hauß Kammeren, dar über ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt, Hat auch einen gewölbten Keller, eine Kleine Bauch Kuchen und Gumpbronnen. Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werck Meistern, nach vorhero beschehener besichtigung, mit Aller Ihrer gerechtigkeiten dem Jetzigen Wahren Wert nach Estimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb. Ein Tausent Sechs Hundert Gulden. [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß Munsters, Werner Hueber

Samuel Blanck est élu échevin à la tribu des Charpentiers
1752 Conseillers et XXI (1 R 235)
Samuel Blanck wird beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth Zum schöffen erwehlet. 257.

Les deux filles et uniques héritières de Jean Samuel Blanck sont dispensées de faire dresser un inventaire des biens de leur père
1762 (8.11.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 71) n° 1660
Designatio desjenigen Vermögens, welches nun weÿland S.T. Herr Johann Samuel Blanck E. E. großen Raths allhier Zu Straßburg geweßener wohlverdienter beÿsitzer, Silber und Kunstdreher, nach seme derselbe den (-) dieses nun zu end laufenden 1757.ten Jahrs das zeitliche mit dem Ewigen verwechselt mithin seeligen von hinnen geschieden Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft Zwahr hiesiger Statt ordnung gemäß durch deßen zwo frau vnd Jgfr. tochter auch Zugleichen Theilen respe. Erbinnen, Nahmentlich frau Mariam Magdalenam Rooßin gebohrene blanckin weÿland H Johann Conrad Rooß gewesenen Schwerdfegers und burgers allhie Zu Straßburg hinterbliebene Witt. die ältere tochter vnd Jgfr. Mariam Salomeam blanckin so majorennis die Jüngere tochter beede vor sich und in Ihem Nahmen dem Stalltax nach solt Inventirt vnd des Inventarÿ Expedition auf löbl. abhandlung eingeliefert werden, allein demnach aber Sie die Zwo tochter vnd Erbinnen Mündlichen versicherten, daß Sie Zwahr weÿland fraun Künigundæ blanckin gebohrener Sebitziußin ihres Hn Vatters Zweÿter vor demeselben verstorbene Ehefrau Verlaßenschaffts Inventarium de 1758. denen wohlansehnlichen herren dreÿ der Statt Stall pro dispensatione dermahliger verlaßenschaffts Inventur vorgelegt, so Sie es seÿe aber ohne weitere bemerkung der reproduction gedachten Inventarÿ de 1758. der würcklichen dießeitigen anderwärtigem Inventur dennoch Mündlichen entladen (…)
Actum den 8. Novembris et sequentibus diebus anno 1762.

La maison revient pour moitié à Marie Madeleine Blanck qui épouse en 1745 le fourbisseur Jean Conrad Roos, fils du pasteur Jean Conrad Roos de Bodersweier : contrat de mariage, célébration
1745 (22.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1085
Eheberedung – zwischen dem Ehren und vorgeachten Herrn Johann Conrad Rooßen Seeligen Schwerdfeger, weÿland des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten herrn Johann Conrad Rooß, geweßenen treu eÿferig Evangelischen Pfarrherren Zu Boderseÿher, Fürstlich heßen damstättischer Jurisdiction nunmehr seel. mit der Viel Ehren und Wohl tugendbegabten Fraun Ursula gebohrner Zinnßnerin Ehelich erziehltem und nach tod Verlaßenem Sohn, als dem hochzeiter ane einem
Sodann der Wohl Ehren und tugendreichen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Blanckin, des Ehrenvesten Wohl vorgeachten und Kunstreichen Herrn Johann Samuel Blancken
und seÿnd vorhergeschriebene Ding Zugangen und beschehen In der Königlichen Statt Straßburg Donnerstags den 22.ten Aprilis Anno 1745. unterzeichnet Johann Conrad Roos als hochzeuder, Maria Magdalena Blanckin alß hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 242 n° 926)
Anno 1745 Eod. [mittw d. 21. Jul.] seind nach ordent. Proclamation Ehl. copul. v. eingesegnet worden H Johann Conrad Rooß der led. Langmeßer schmidt u. b. allhier weÿl. H Johann Conrad Roß gewes. ev. Pfarrers Zu Bodersweyer nachgelaß. Ehl. Sohn und J. Maria Magdal. H Johann Samuel Blanck Kunsterfahrnen silberdrähers u. b. allhier Ehl. Tochter (unterzeichnet) Johann Conrad Roos als hochzeuder, Maria Magdalena Blanckin als hochzeiterin (i 247)

Marie Madeleine Blanck femme de Jean Conrad Roos et Marie Salomé Blanck louent la maison à l’orfèvre Jean Daniel Klein

1763 (24.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1013)
Bail pour 9 années qui commencent à la Notre Dame de mars prochaine – Dlle Marie Madeleine Blanc veuve de Jean Conrad Rooß fourbisseur assitée de Antoine Hetzel tourneur, Dlle Marie Salomé Blanc fille majeure assitée de Jean Daniel Busch licencié ez loix, Les deux Dlles comparantes etant les deux seules filles et héritières délaissées par deffunts Sr Samuel Blanc leur père tourneur
à Jean Daniel Klein M° orphevre de Strasbourg
les places et appartements qui font la majeure partie de la Maison qu’elles ont hérité dud. Sr leur père et qui est Scise en cette ville rue des flancs tels qu’ils sont cy après détaillés Scavoir 1° la boutique du Retz de chaussée, Item tous les appartements du premier étage, Item au troisième étage un poele La chambre y attenante et une autre chambre, Item les deux chambres a la mansarde, Item une cave séparée des autres, Item l’usage commun des greniers pour la lescive ainsy que celuy de la pompe, Les Dlles bailleuses se réservant tout le reste pour leurs habitation – moyennant un loyer annuel de 240 livres tournois

Marie Madeleine Blanck veuve de Jean Conrad Roos meurt sans enfant et délaisse pour unique héritière sa sœur Marie Salomé femme de l’orfèvre Jean Chrétien Hübschmann

1766 (24.10.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 270) n° 1042
Designatio deßjenigen Vermögens, welches nun Weÿl. die Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria Magdalena gebohrene Blanckin längst Weÿl. H. Joh: Conrad Rooßen, des geweßenen Schwerdfegers burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßene Frau Wittib nun auch seel. nach Ihrem den 18.ten Martÿ dieses laufenden 1766. Jahres tödlichen Hinscheiden Zeitlichen verlaßen, welches ane Dato Zu End gemeldt mit Zuziehung H. Joh: Georg Lederlin, dießer Statt geschwornen Käufflers nach dero nunmehro Frau Maria Salome Hübschmännin geb. Blanckin der Verstorbenen Frauen seel. leibliche Schwester und ab intestato nach tod verlaßene einige Erbin mit assistentz H Joh: Christian Hübschmanns des Goldarbeiters und burgers allhier Ihres H. Eheliebsten (…) inventirt. So beschehen Straßburg auff Freÿtag den 24. Octobris Anno 1766.

In der allhier Zu Str. ane der Spießgaß gegen dem Hauergäßlein über gelegenen zum halben theil hiehero gehöriger beh. hat sich folgender maßen befunden als (…)
Sa. haußraths 79, Sa. Silbers 14, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 331, Sa. Gülth von liegenden güthern 28
Antheil ane einer Behaußung. Nahmlichen die helffte vor unvertheilt von und ane i.r Beh. Höfflein v. Hoffstatt mit allen deren Begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Fladergaß gegen dem hauergäßlein über, j.s. neben Fr. Agnes geb. Schmidin, Joh: Daniel Glocke des föchhändlers v. b. allh. verlaßener Ehefr. 2.s. neben N Henri, dem Bratwurstmachern, hinden auff andres Häffelin den frippier stoßend, so ledig eigen und nach außweiß des über weÿl. herrn Samuel Blancken geweßenen Kunst und Silberdrehers und E. E. Großen rhats alten wohlverdienten beÿsitzers v. b. allh. seel. 2.ter hsfr. Verl. durch H Notn Johann Jacob Oelinger in A° 1757. gefertigten Inv. fol. 96. fac: 2.do æstimirt und angeschlagen wobeÿ man in so mehr, als durch des nachbaren auffgeführt Gebäude der tag in der fordern Kuchen seithero verbauet worden, jedoch mit Großgünstiger Genehmhaltung derer Hh. dreÿ der Stadt Stall gelaßen hat 800, wovon hiehero die helfftte gehörig ist 400. Darüber meldet j. teut. perg. Kaufvsch. in allhies. C. C. st. gef. v. mit deren anh. Ins. vw. datirt den 30.ten Junÿ a° 1714 dabeÿ verschiedene ältere Kffbr. von unterschiedenen datis befindlich, und ist der andere halbe th. der Fr. erbin zuständig
Sa. antheils ane j. behausung 400, Schulden 25, Summa summarum 891 lb – Schulden 128 lb, Nach deren Abzug 762 lb. Davon hat die verstorbene seel. folgendes mündlichen legirt 18 lb – Stall Summa 762 lb

La maison revient pour moitié puis en entier à Marie Salomé Blanck qui épouse en 1766 l’orfèvre veuf Jean Chrétien Hübschmann : contrat de mariage, célébration

1766 (21.1.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 494
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren Vesten und Kunsterfahrenen Herrn Johann Christian Hupßmann, dem Goldarbeitern, wittibern und burgern allhier Zu Straßburg, als dem herrn Hochzeitern, ane Einem
So dann der Viel Ehrn: und tugendreichen Jungfrauen Mariæ Salome Blanckin, weÿl. des Wohl Ehrenvesten, Großachtbaren und weißen herrn Samuel Blancken, geweßenen berühmten Kunst: und hohldrehers, auch E. E. Großen rhats alten wohlverdienten beÿsitzers und burgers allhier seeligen nachgelaßener Jungfer Tochter, als der Jungfer Hochzeiterin am anden theil
Straßburg auff Dienstag den 21. Januarii Anno 1766 (unterzeichnet) Christian Hübschmann als Hochzeiter, Maria Salome Blanckin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39)
Im Jahr 1766 sind nach ordentlich geschehener offentlichen Proclamation Dominicaa Cantate et Jubilate oder dom. III. et IV. post Pascha auf gegebene Erlaubnus von J. gn. dem regierenden Herrn Ammeister dedato 18.t Aprilis Sonntags den 27. Aprill in der Jungfer Hochzeiterin behaußung copulirt und ehelich eingesegnet worden herr Johann Christian Hübschmann burger und Goldarbeiter allhier Wittwer und Jungfer Maria Salome Blanckin weÿl. Herrn Samuel Blancks geweßenen Kunst drehers und E. E. großen Raths allhier alter beÿsitzers wie auch weÿl. Frau Maria Salome gebohrner Sebiztiusin hinterlassene eheliche Tochter (unterzeichnet) Johann Christian Hübschman als Hochzeiter, Maria Salome Blanckin als Hochzeiterin (i 43)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 583 livres, ceux de la femme à 1 785 livres.

1766 (18. 8.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 270) n° 1040
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so der Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrene Johann Christian Hübschmann, der Goldarbeiter und die Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria Salome gebohrene Blanckin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht und sich crafft der vor mir Notario errichteten Eheberedung §° 4.to vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auff Sambstag den 18. 8.br. Anno 1766 In fernerer Gegenwart des Wohl Ehrenachtbaren und Kunsterfahrenn herrn Johann Heinrich Wiegels des Goldarbeiters und burgers allhier des Eheherrn Kinder Erster ehe geschwornen Vogts.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen, und hernach beschriebenen behaußung folgender maßen sich befunden.
Antheil ane einer Behaußung. (F.) Neml. die helffte vor unvertheilt von v. jr. Beh. Höfflein v. hoffstatt m. allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. ane der Fladergaß gegen dem hauergäßl. über, j.s. neben Fr. Agnes geb. Schmidin, Joh: Daniel Glocken des ausgetrettenen föchhändlers v. b. allh. verlaßene Ehefr., 2. s. neben N. Henry dem bratwurstmacher, hinden auf Andres Häffelin, den frippier stoßend, so ledig eigen und ohnpræjudicirlichen æstimirt pro 1500 lb. d. daran die helffte hoehero außmacht 750 lb. Darüber und Zwar über die gantze beh. meldet j. teut. perg. Kff verschreibung in allhies. C. C. stub gef. v. m. deren anh. Ins. vw. datirt den 30.ten Junÿ A° 1714, dabeÿ verschiedene ältere Kffbr. von unterschiedenen datis. Und ist der ander halbe theil u. vor offermeldeter ihrer schwester seel. verl. gehörig,welchen nun dißorts Ehefr ererbet hat.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Vermögen betreffend. Sa. haußraths 333, Sa. Leerer Faßen 7, Sa. goldener Ring und Geschmeid 944, Sa. Schulden 73, Summa summarum 1358 lb – Schulden 806 lb, Dazugelegt die ane denen haussteuren demselben gebührige helffte so thut 31 lb, des Eheh. Zugebracht Vermögen 583 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth anlangend, Sa. hausraths 359, Sa. leeren Faßen 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 86, Sa. goldener Ring 165, Sa. baarschafft 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 331, Sa. Gülth von liegenden güthern 96, Sa. Antheils ane einer behaußung 750, Sa. Schulden 25, Summa summarum 1828 lb – Schulden 75, Nach deren Abzug 1753 ln Darzugerechnet die andere Helffte ane denen haussteuren 31 lb, Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Vermögen 1785 lb

Marie Salomé Blanck meurt en 1770 après avoir institué son mari légataire universel de ses biens. Sa cousine et héritière présomptive Marie Elisabeth Blanck, femme du tourneur Jean Georges Kolb, ratifie le testament. L’actif de la succession s’élève à 1 828 livres, le passif à 927 livres.

1770 (2.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 274) n° 1184
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so weÿland die Viel Ehren und tugendsame Frau Maria Salome gebohrene Blanckin, des wohl Ehrenachtbarn und Kunsterfahrenen Herrn Johann Christian Hübschmanns, des Goldarbeiters und burgers allhier zu Straßburg geweßene Eheliebstin nunmehr seelige, nach ihrem den 24.ten Januarÿ dießes angefangenen 1770.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren vorwolermelt des herrn Wittibers, als der verstorbenen Frauen seel. über Abzug deren legaten in crafft indulti testandi c* intituirte Erben fleißig inventirt und ersucht durch Ihne auf Zuvorhin ane Ihne und Jgfr. Margaretha Elisabeth Hübschmännin seine Tochter erster Ehe beschehene gebührende Verlesung des gewohnlichen articuls Eÿds, Äugens und Zeigens (geäugt und gezeigt) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 2.ten Martÿ 1770.
Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig. Demnach beÿ der den 17.ten Jan. A° 1770 beschehenen Apertur und Publication des verstorbenen Frauen seel. erichteten und hievor in copia eingetragnen testamenti solemnis, wie aus dem darüber dressirten und ebenfalls hievor in copia gehenden actu Zu sehen, Frau Maria Elisabetha gebohrene Blanckin, Mr Johann Georg Kolben des hohldrehers und burgers allhie Ehefrauen dei damalige præsumptiv Erbin unter beÿstand ihres mariti und Herrn Johann Friderich Schaffen, Notarii publici jur. et practici alhier ihre Erklärung über angeregtes testament und beÿgelegenen Schedam ausgesetzt gehabt, so ließ dieselbige unter beÿstand vorgemeld durch Sieur Humbourg huissier Royal acte unterm 3.ten Martÿ und darinn andeuten, wie daß sie wider ihrer Fr. Baasin dißorts verstorbenene Fr. Hübschmännin sel. errichtetes testamentum clausum im geringesten nichts einzuwenden habe (…) Actum Straßburg den 5.ten Martÿ A° 1770.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden.
Eigenthum ane einer Behaußung. Neml. j. Beh. Höffl. v. hofstatt mit allen deren begriffen weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Fladergaß gegen dem hauergäßl. über, j.s. neben Frau Maria Salome geb. Reichlinin H. Isaac Küblers des goldarbeiters v. b. alhier Ehegattin als Glockischer tochter Testaments Erbin, 2. s. neben N. Henry dem bratwurstmacher, hinden auf Andres Häffelin den frippier stoßend, so ledig eigen und wie solche beÿ weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Blanckin, auch weÿl. H. Joh: Conrad Roßen gewes. Schwerdfegers v. b. allh. hinterbliebener Wittib see. Verl. Zufolg des durch mich notm. in A° 1766 vergriffenen Concepts angeschlagen worden, wieder also jedoch auff genehmhaltung wohlverdienter herren dreÿ der Stadt Stall, æstimirt pro 800 lb. Darüber meldet j. teut. perg. Kff verschreibung in allhies. C. C. stub gef. v. m. deren anh. Ins. v.wahrt datirt den 30.ten Junÿ A° 1714, dabeÿ verschiedene ältere Kffbr. von unterschiedenen datis.
Der Fünff noch lebenden Kinder erster Ehe Pfetter Göttel und Geschenck gelts betreffend. Nach besag darüber beeder nun Zertrennter Ehepersohnen einander Zur Zeit ihrer Veheürathung errichteten und durch mich Ntm. in A° 1766 gefertigten Invii.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 322, Sa. Werk zum Goldarbeiten gehörig 6, Sa. Wein und Leerer Vaß 11, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 47, Sa. Goldener Ring 128, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475, Sa. Gülth von liegenden güthern 28, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 800, Sa. activ schuld 9, Summa summarum 1828 lb – Schulden 927, Nach deren Abzug 900 lb
Gleich auszuliefernde Legata 119 Sa. dieser nach des H. Wittibers als Niesers todfall auszliefern destinirte Legate 539 – Stall Summa 1422 lb
Copia der Eheberedung (…)
Copia Testamenti clausi (…) Zu Straßburg den 14. Octobris 1769

Les héritiers de Marie Salomé Blanck vendent la maison au boutonnier d’étain Jean Daniel Isenheim moyennant 2 250 livres

1771 (19.10.), Chambre des Contrats, vol. 645 n° 463
Fr. Maria Elisabetha geb. Blanckin H. Johann Georg Kolb des hohldrehers ehefrau, H. Johann Heinrich Wiegel der goldarbeiter als geordneter und geschworener vogt weÿl. H. Johann Christian Hübschmann gewesten goldarbeiters hinterlassenen 5 minorennen kinder
in gegensein H. Johann Daniel Ißenheim des Zinnknopffmachers
eine behausung, bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Fladergaß gegen dem Hauergäßlein über einseit neben N. Henriot dem wurstmacher, anderseit neben H. Kübler dem goldarbeiter hinten auff Andreas Häffelin den altgewänder – um 2250 pfund

94 Z 68 – Aus Ihro Gnaden des regierenden Herrn Ammeisters der Statt Straßburg Haus Memoriali de anno 1771. Donnerstag den 17. Octobris (…) weiland Frauen Mariæ Salome Hubschmännin gebohrner Blanckin hinterlassene behausung

Fils de l’ouvrier de fabrique du même nom, Jean Daniel Isenheim épouse en 1759 Anne Diemer, veuve du pasteur André Meyer : contrat de mariage, célébration
1759 (23.2), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 310
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Daniel Isenheim, dem Ledigen Versilbert Pferdzeug: und Knöpffmachern auch burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland des Ehrenvest und Kunsterfahrnen Herrn Johann Daniel Isenheim, des geweßenen Silberarbeiters und burgers allhier, mit auch Weÿland der viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Maria Cleophe gebohrener Dietschin beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Wohl Ehren: und Tugendbegabten Frauen Anna Meÿerin gebohrener Diemerin, Weÿland des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Magister Andreæ Meÿers geweßenen wohlverdienten Pfarrers der Evangelischen Gemeind zu Preuschwickersgei und burgers allhier nunmehr seeligen hinterlaßener Frau Wittib, als der Frauen hochzeiterin ane dem andern Theil
So geschehen in Straßburg auf Freÿtag den 23. Februarÿ Anno 1759. (unterzeichnet) Johan Daniel Isenheim Als hochzeiter, Anna Meÿerin Als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 369-v n° 1373)
1759. Sontag d. 18. Martÿ sind nach ordentliche proclamation ehl. copulirt und eingesegnet worden H Johann Daniel Isenheim der ledige Zinn Knopffmacher weÿl. H Joh: Daniel Isenheim Silber Arbeiters und b. alh. ehel. Sohn und d. Anna weÿl. H. M. Andreas Meÿers pfarrers Zu beuschwickersheiml hinterl. wittib (unterzeichnet) H Daniel Isenheim Als hoch Zeeter, Anna Meÿerin Als hochzeiterin (i 375)

Anne Diemer veuve du pasteur de Breuschwickersheim André Meyer fait vendre des meubles. – André Meyer est le fils du cordonnier Laurent Meyer et de Marie Madeleine Würtz (Lorentz Meÿer Schuemacher und Maria Magdalena geb. würtzin, mit beÿstand ihres sohns H. M. Andreas Meÿer S.S. Theol. Studjosi, Chambre des Contrats, 1729, f° 218-v). D’après Bopp, il est immatriculté à Strasbourg le 23 octobre 1716, candidatus philosophiæ le 22 mars 1717, maître le 20 février 1719, diacre à Plobsheim (1732), pasteur à Rothau (1732-1737) puis à Breuschwickersheim (de 1737 à sa mort en 1753). Sur Anne Diemer, voir plus bas son inventaire après décès.
1755 (11.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 51) n° 1056
Mittwoch den 11.ten Junÿ Anno 1756. hat Fr. Anna Meÿerin gebohrne Diemerin weÿl. H. Mr Andreas Meÿer, gewesenen Pfarrers zu Breuschwickersheim nachgelaßene Fr. Wittib folgende hausraths posten durch H. Philipp Jacob Schützenberger den geschwohrnen Käufler und deßen Ehefraun in einer an dem drusengäßel gelegenen behaußung offentlich verkauffen und vesteigern laßen

Jean Daniel Isenheim loue une partie de la maison à l’orfèvre Charles Philippe Kremer.

1773 (5.10.), Not. Laquiante (6 E 41, 1049) n° 10
Lehnung auff 6 jahr lang welchen die ihren anfang nehmen werden auf künfftigen Weÿnachten – H. Johann Daniel Isenheim Zinnknopffmacher
an tit. Hrn Carl Philipp Kremer des Silberarbeiters
Eine in des H. verlehners allhier in der fladergaß liegenden behausung befindlichen wohnung im zweÿten stock, bestehend in stub und stub Kammer, Kuchen und einer Kammer darneben wie auch zweÿ kleinen Kammer, vier Stegen hoch und einer kleinen Kammer dreÿ steegen hoch
Mehr den laden nebst der Eß worinnen sich in der sogenannten bauch Kuchen befindet
Item ein holtzhauß mit Latten unter der Steeg und einen Platz zu den Kohlen neben dem holtzhauß in der höhe wie auch einen Keller nebend des herrn Verlehner eigenen anstoßend – um einen jährlichen Zinß nemlich 120 gulden

Jean Daniel Isenheim et Anne Diemer font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 2651 livres, l’actif de la femme est de 177 livres, le passif de 384 livres. En annexe, accord passé par Jean Daniel Isenheim et son beau-fils boutonnier d’étain Jean Frédéric Meyer

1775 (16.11.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 419) n° 1332
Inventarium über des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Daniel Isenheim des versilbert Pferdzeug: und Knöpffmachers und der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Annä Isenheimin gebohrener Diemerin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1775. – in Ihren im Monath Martio Anno 1759 angetrettenen Ehestand einander für ohnverändert Zugebracht, welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Eheberedung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg, in fernerm beÿsein des Wohl Edlen und Rechsgelehrten Herrn Johann Friderich Greiß, Notarii jurati publici und Practici der Ehefrauen erbettenen herrn Assistenten auf Donnerstag den 16. und Sambstag den 18. Novembris Anno 1775, auch Freÿtags den 5. Januarÿ Anno 1776.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen in wehrender dießer Ehe erkaufften und also in beeder Eheleuthe theilbahre Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (M.) Nemlichen eine Behaußung, höfflein, gemeinschafft des Bronnens und Hoffstatt mit allen übigen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, echten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Hauergäßlein (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 72, Sa. Lährer Faß 33, Sa. Silbergeschmeids 39, Sa. Goldenen Rings 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung, Nihil, baarschafft 2500, Summa summarum 2651
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen gehörigen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 115, Sa. Lährer Faß 19, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 33, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern Nihil, Summa summarum 177 – Schulden 384 lb, Passiv onus 206 lb
Vor mir unterschriebenem offenbahrem geschwornem Notario in Löbl. Statt Straßburg seind ane Zu end gemeltem dato persönlich erschienen Herr Johann Daniel Isenheim der versilbert Pferdzeug: und Knöpffmacher auch burger allhier ane einem, So dann herr Johann Friderich Meÿer der Ledige ebenmäßig versilbert Pferdzeug: und Knöpffmacher auch burger allhier deßen Stieff Sohn ane dem andern theil, anzeigend welcher gestalten Sie nachstehenden accod unter sich getroffen, beschloßen auch stäth und Vestzuhalten abgeredet und Versprochen haben, Nemblichen und Zum Ersten so verspricht und obligirt sich er Herr Isenheim gedachtem Herrn Meÿer seinem Stieffsohn, umb deßen Glück und Wohlfahrt zubefördern und demsemben ein bequemes Etablissement zu verschaffen (…) den 5. Septembris Anno 1770.

Anne Diemer meurt en 1787 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un fils du veuf. Les experts estiment à 700 livres la maison rue des Hallebardes. La masse propre au veuf est de 3 074 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 213 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 096 livres, le passif à 4 305 livres

1787 (4.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1511) n° 313
Inventarium über Weiland Fraun Annæ Isenheimin gebohrner Diemerin, herrn Johann Daniel Isenheim, Senioris, des versilbert Pferdzeug: und Zinnknopffmachers auch burgers dahier Zu Straßburg im Leben gewesene Ehefrau nun seeligen Nachlaßenschafft, errichtet im Jahr 1787 – nach ihrem den 8.ten Märtz jüngsthin aus dieser Welt genommenen tödlichen hinscheiden hie Zeitlichen verlaßen hat (…) durch den Wittiber und die anwesende Erben wie auch Magdalenam Spinnlein die dienstmagd von Markirch gebürtig (geäugt und gezeigt). So geschehen auf freitag den 4.den May 1787. Nachmittags in einer allhier Zu Straßburg an dem St. Thomäloch gelegenen von der Defunctæ zum theil lehnungsweiße bewohnt gehabten, herrn Sebastian Antoni Klotz dem Jüngern hiesigem Maurer: und Steinhauermeister eigenthümlich Zuständigen behausung und tags darauf in der ane der fladergas gelehenem in gegenwärtige succession gehöriger daher hernach mit mahrerm beschrienenem hauß
Die abgelebte Frau seelige hat ausweislich des hernach copialiter inserirten Testamenti mistici zu ihren rechtmäßigen Erben verlaßen. Ihre drei in zwöer Ehen erzeugte Kinder, nahmentlichen und 1. herr Daniel Herrmann Meÿer, den hiesigen Burger und Silberarbeiter, so dermalen abwesend, zu einem Völligen dritten theil, das ist zu drei neunten theilen ihrer Verlaßenschafft. Indeßen Nahmen bei diesem Geschäfft erschinen Herr Rathherr Frantz Anton Riehl der Schneider und Burger allhier, als zufolg Curatorÿ vom 30. Aprilis jüngst deßelben bestellten und beeidigter Curator, ferner war zu mehrer Sicherheit, weilen sein aufenthalt gäntzlichen ohnbekannt, gegenwärtig eingangs gemeldeter Herr Johann Jacob Kirstenstein, der hiesige burger und Silberarbeiter, welche beede deßen Interesse bestens besorgt haben. 2.do Jungfrau Annam Catharinam Meÿerin, so großjährigen Alters und ihrer eigenen rechten auch hierzu anfangs dieser Inventur von Herrn Johann Daniel Schaaff Notario jurato und practico verbeiständet, in persohn gegenwärtig, zu fünff 9. theilen ihrer Succession, nachgehends aber von Herrn Notario Johann Daniel Lauth, diese beede der Verstorbenen seeligen mit längst weiland herrn M. Andreas Meÿer, dem gewesenen Pfarrer zu Breuschwickersheim und Burger allhier zu Straßburg ehelich erzielte Kinder,
3.tio herrn Johann Daniel Isenheim, juniorem den versilbert Pferd: Zeug und Zinnknopffmacher auch hiesiger Burgern welcher ad Legitimam oder zu einem Neunten theil ihrer Verlaßenschafft reducirt, so daß die an seiner rechtmäsigen Erbs: portion übrig bleibende Zwen Neuente theile seiner Vorgedachter Halbschwester Zufallen und gebührig sein sollen, persönlichen zugegen, dieser der Defunctæ seeligen mit dem vorbenannten hierseitigen Hrn Wittiber ehelich erzeugter Sohn.

Copia der Eheberedung (…) den 23. Februarÿ 1759, J. Rudolph Dinckel Notarius
Copia des von der Verstorbenen fraun seeligen errichteter Testamenti mystici (…) so geschehen Straßburg auf Montag den 27. Martÿ 1786, Copia Actus Depositionis (…) zu soch in ihre allhier Zu Straßburg am thomanloch im Goller-Gäßlein gelegenen behausung berufen laßen (…), Schweighäuser Notarius mit handzug.
Eigenthum ane Häußeren. (W.) Nemlichen eine Behausung, Höflein, Gemeinschafft des Bronnens und hoffstatt mit allen dero übrigen Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg im Hauer-Gäßel (…)
(T.) Erstlichen eine Behausung, Bronnen und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der fladergas gegen dem hauer Gäßlein über gelegen, einseit neben H. Birckenfeld, dem Schneidermeister, anderseit neben herrn Kübler, dem Gold Arbeiter, hinten auf Herrn Haifle des gewesenen frippier zurückgelaßene Wittib und Erben stoßend, so gegen Männiglich frei leedig, eihen, auch mit keiner Dienstbarkeit noch mit sonsten einiger Beschwehrde beladen, und auweislich einer von (den Werckmeistern) unterschriebenen und diesem Concept jungirten Abschatzung vom 12. Maÿ 1787. æstimirt worden für und um die summ von 1400 fl. oder 700 lb. Darüber meldter ein teutscher pergamentener in hießiger Cantzlei Contract Stub gefertigter und mit dero aufgedrucktem Innsiegel verwahrter Kauf Brief d. d: 19.ten 8.bris 1771. so mit N° 2 bezeichnet.
(T.) Item eine Behausung, Hof, Scheur, Stallung, Garthen und hoffstatt samt allen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten wie auch trott und trotthaus im dorf Itenheim (…) 162 pfund
Ergäntzung des Herrn Wittibers währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths
(f° 35) Rubricarum series. Des Wittibers ohnverändert vermögen, Sa. hausraths 16 lb, Sa. leeren faßen 19 lb, Sa. silbers 9 lb, Sa. goldenen rings 1 lb, Sa. des Eigenthums ane einer behausung 450 lb, Sa. Schulden 75 lb, Ergäntzung 2502 lb, Summa summarum 3074 lb
Diesemnach wird der Kinder und Erben unverändert Guth, Sa. hausraths 22 lb, Sa. leeren faßen 1 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 1 lb, Sa. Eigenthums ane liegenden gütheren 895 lb, Sa. der Schulden 67 lb, passib Ergäntzung (716), Summa summarum 987 lb – Schulden 1201 lb, Compensando 213 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 30 lb, Sa. wein und leeren Faßen 47 lb, Sa. Früchten auf der Kast 6 lb, Sa. Strohes 7 lb, Sa. blumen im feld 23 lb, Sa. Schaafen 3 lb, Sa. Silbers und Geschmeids 8 ß, Sa. baarschafft 32 lb, Sa. Eigenthum ane häusern 862 lb, Sa. Eigenthums ane liegenden gütheren 30 lb, Sa. pfenningzinß hauptgüter 311 lb, Sa. schulden 742 lb, Summa summarum 2096 lb – Schulden 4305 lb, theilbares passiv onus 2209 lb – Stall summa 615 lb, Conclusio finalis 650 lb
voir Summarische berechnung – Producta – Notanda
Abschatzung vom 12.t Maÿ 1787. Auf begeren Herr johann Danjel jsenheim dem Zinnknopffmacher ist Eine behausung alhie in der statt straßburg in der fladergaß gelegenn Ein seÿts neben Herr Birgenfeld dem schuender Meister anderseÿts neben Herr Kübler dem goldarbeither und hinten auf frau häufle Wittib stosend gelegen solche behausung bestehet in Einer boutique ferner in dreÿ stuben dreÿ Küchen und Etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller und brunen, Vor und um Ein Tausend Vier Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist auch alhier in der statt straßburg im Hauergäßell gelegen Ein seÿts neben Herr Gebhard, anderseÿts neben Meister burand dem goldarbeither, und Hinten auf Herr ambtmann Weinborn stosend gelegen, solche behausung bestehet in vier stuben vier Küchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt hat auch Ein gewölbter Keller Hoff und gemeinschafftlichen brunen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwohrnen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner WMstr, Klotz WMstr

Fille de Nicolas Diemer, laboureur à Handschuheim, et de sa femme Catherine Bürckel, Anne Diemer a épousé en premières noces le pasteur André Meyer et en deuxièmes Jean Daniel Isenheim. Elle meurt le 8 mars à l’âge de 68 ans, son corps est inhumé le 10 au cimetière Sainte-Hélène
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. n° XIX. 1785-1788 f° 27-v)
Im Jahr 1787 donners-tags den 8. Märtz Vormittags Zwischen Acht und Neun Uhr starb allhier an einem Bust-Fieber Frau Anna Isenheimin geborne Diemerin, weÿland Niclaus Diemers geweßenen Ackermanns und burgers in Handschuheim und weÿland Frau Catharinä geborner Bürcklerin eheliche Tochter. Sie war verheurathet in erster Ehe mit weÿland Herren Magister Andreas Meÿer geweßenen evangelischen Pfarrer Zu Breuschwickersheim, in der andern Ehe aber mit dem noch lebenden Herrn Johann Daniel Isenheim versilbert Zinn- Knöpf- und Pferd-Zeugmacher und burger allhier. Sambstags darauf den 10 Märtz Nachmittags wurde sie, nach um halb zweÿ Uhr gehaltener Leichen-Rede in der Prediger Kirch, auf den Gottes-Acker Stæ Helenæ Zur beedigung gebracht. Ihres Alters 68 Jahr 2 Monath und 8 Tage (unterzeichnet) Johann Daniel Isenheim als Ehemann, Johann Daniel Isenheim als Sohn (i 31)

Jean Daniel Isenheim l’aîné rachète les parts de la maison

1789 (20.7.), Not. Anrich (6 E 41, 1511) Joint au n° 313 du 4 mai 1787
Vor mir zu weÿl. Fraun Anna Isenheimin geb. Diemerin herrn Johann Daniel Isenheim senioris des versilbert Pferdzeug: und Zinnknopffmachers Verlassenschaffts Inventur Abtheil und Erörterung erschienen Jfr. Anna Catharina Meÿerin der defunctæ in erster ehe mit längst weÿl. herrn M. Andreas Meÿer dem gewesenen Pfarrer zu Breuschwickersheim großjährige tochter unter assistentz Herrn Johann Daniel Lauth Notarii publici und practici und H. Frantz Antoni Riehl der schneidermeister und Exsenator als beeÿdigter Curator Daniel Herrmann Meÿers des von hier ausgetrettenen burgers und Silberarbeiters, der verstorbenen auch in erster Ehe mit H. Pfarrer Johann Andreas Meÿer erzeugten Sohns, so dann herr Johann Daniel Isenheim junior ebenmäßiger versilbert Pferd: Zeug und Zinnknopffmacher der defunctæ seelig zwote Ehe mit obernannten Johann Daniel Isenheim seniore ihrem hinterbliebenen wittiber erzeugt mehrjähriger sohn, in der abgelebten seelig mit ermeldetem dero hinterbliebenen wittiber gehabte theilbare Nahrung gehörige immobilia woran besagtem Wittiber zwo tertzen Jungfer Anna Catharina Meÿerin fünf 27. Daniel Herrmann Meÿer dreÿ 27. und Johann Daniel Isenheim juniori ein 27.
dem wittiber Johann Daniel Isenheim seniori
Erstlichen eine tertz an der fol: 217.b Inventarÿ beschriebenen dahier an der Fladergas gegen gegen dem hauer Gäßlein über gelegenen hoffstatt und behausung, bronnen wie auch allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten woran seith der in anno 1771 dem 19.t Octobris um 4500 fl. beschehene acquisition nichts verbeßert worden, einseit neben H. Birckenfeld dem Schneidermeister anderseit neben Hrn Kübler dem Goldarbeiter auf Ansuchen Hrn Haifle des frippier wittib und erben, die gantze behausung zu 4500 gulden gerechnet, 1500 fl.
Item (behausung zu Ittenheim) – Item eine terz vor unvertheilte an der fol: 223-a Inventarÿ beschriebenen halben zwischen feldts (…) – den 20 Julÿ 1789

La maison revient à son fils Jean Daniel Isenheim qui épouse en 1796 Marie Madeleine Spinlein, originaire de Sainte-Marie-aux-Mines

1796 (20 frimaire 5), Strasbourg 2 (4), Not. Meyer n° 552
Eheberedung – burger Johann Daniel Isenheim der Zinn Knopffmacher des burgers Johann Daniel Isenheim mit Weÿl. Anna geb. Diemer sohn majorennis
Maria Magdalena Spinlein weÿl. Adam Spinlein mit weÿl. Francisca Marchal Eheleuthen zu Markirch tochter so Majorennis (unterzeichnet) Spenlein
Enregistrement acp 44 F° 11-v du 29 frimaire 5 – revenu industriel 150 livres

Inventaire dressé dans la maison après la mort du locataire Emmanuel Isenheim
1800 (17 brumaire 9), Strasbourg 10 (15), M° Zimmer n° 184, 572
Inventarium über weÿl. bürgers Emanuel Isenheim Wittibers und vormahligen Silberarbeiters Verlassenschafft, nach seinem den 8. Brumaire jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt
der Verstorbene hat in ermanglung erzeugter Kinder ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1. bürger Johann Daniel Isenheim, Zinn versilbert Knopffmacher des defuncti Leiblicher bruder,
2. weil. Fraun Ursula geb. Isenheimin mit auch weÿl. bürger Leonhard Dollinger dem Kuttler erzeugte 7 Kinder und Enckel Namentlichen 1. burger Leonhard Dollinger den Eisenhändler in dem ersten 7.t theil, 2. weil. Fraun Ursula geb. Dollinger mit bürger Johannes Wehrlen dem beck erzeugte 5 Kinder Namentlichen 1) Frau Salome geb. Wehrlen des bürgers Martin Jung becken Ehefrau, 2) Fraun Maria Magdalena geb. Wehrlen des bürgers Theobald Kuhn des Meelmanns Ehefrau, 3) Anna Maria Wehrlen die ledige großjährige, 4) Johannes Wehrlen so 14 Jahr alt, 5) Friedrich Wehrlen so 12 Jahr alt, welcher beede minderjährigen geschworner Vogt ist bürger Samuel Friedrich Stuber der musichändler, 3. fr. Cleopha geb. Dollingerin burgers Samuel Stuber musichändlers Ehefrau unter assistentz ihres Ehemanns, 4. Fr. Salome geb. Dollingerin des bürgers Johann Jacob Metzger Ehefrau unter verbeÿstandung ihres Ehemanns, 5. weÿl. Fraun Maria Magdalena geb. Dollingerin mit bürger Christoph Frick dem Kuttler erzeugte zwei Kinder Nammentlich 1) Israel Frick so 17 jahr alt und 2. Maria Magdalena Frickin so 15 jahr, 6. Fr. Maria Elisabetha geb. Dollingerin des bürgers Johann Christoph Kohler Ehefrau, 7. Frau Maria Dorothea geb. Dollingerin bürgers Jacob Roos des Silberarbeiters Ehefrau, so dann
3. weil. Fraun Maria Salome geb. Isenheim mit auch weÿl. bürger Michael Linck gewesten Kutter in erster ehe erzeugte 4 Kinder 1) burger Michael Linck holdreher, 2) Emanuel Linck silberarbeiter so abwesend, 3) Johann Daniel Linck Metzger so auch abwesend in welchen abwesenden Namen bürger Johannes Hauser der Kuttler dero Stiefvater als geordnet und geschworener Curator und 4) Fr. Maria Salome geb. Linckin burgers Johann Jacob Gruber Metzgers Ehefrau, samtlcher aber des verstorbenen leibliche Geschwüster und respectivé Geschwüster Kinder
in einer ane der Fladergaß gelegenen mit N° 12 bezeichneten behausung
hausrath 370 pf, silber und golden Geschmeid 116 pf, Summa summarum 162 pf
Enregistrement, acp 76 f° 38 du 25 brum. 9

Le boutonnier Jean Daniel Isenheim meurt en délaissant deux enfants

1817 (12.2.), Strasbourg 8 (17), M° Roessel n° 3991
Inventaire de la succession de Jean Daniel Isenheim, boutonnier décédé le 9 février 1816 – à la requête de Marie Madeleine Spinlein la veuve, mère et tutrice légale de Marie Madeleine Salomée âgée de 19 ans et Charles Daniel âgé de 10 ans, en présence de Samuel Frédéric Stuber, marchand de musique subrogé tuteur
en une maison rue des Hallebardes n° 41
Contrat de mariage reçu M° Mayer le 20 friimaire an 5, pas d’inventaire des apports
de la succession de son père Jean Daniel Isenheim boutonnier d’étain, une maison sise en cette ville rue des Hallebardes n° 41, d’un côté le Sr Oppermann sellier de l’autre le Sr Taegermann relieur, aboutissant sur Mde Rettermeyer – Iedit père a acquis la maison par acte passé à la Chambre des Contrats le 19 octobre 1771 – rapporte en loyer, la Dlle Perlascar paie du rez de chaussée 96 fr, le Sr Faer du 1er étage 120 fr, le cordonnier Adeloff du second 96 fr, le troisième occupé par la veuve 72 fr, ensemble 384 fr, en capital 7680 fr
communauté meubles 253 fr
propres meubles 97 fr, garde robe 56 fr, créances 1839 fr, total 1992 fr
Enregistrement, acp 133 F° 11 du 13.2.

Madeleine Salomé Isenheim devient seule propriétaire de la maison après la mort de son frère. Elle la vend au négociant Antoine Séraphin Weygand

1835 (27.7.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 295, n° 79
Strasbourg, Me F. Grimmer du 11.7. ; Enregistrement de Strasbourg, acp 233 f° 15-v du 217.
Marie Madeleine Salomé Isenheim, majeure
à Antoine Séraphin Weygand ci devant négociant
une maison avec puits droits, aisances, appartenances sise à Strasbourg rue des Hallebardes n° 41 ci devant rue dite Fladergass n° 41, d’un côté M Oppermann sellier, de l’autre la veuve Taergermann, devant la rue, derrière la propriété du Sr Rang boucher – sont encore compris trois fourneaux et les doubles fenêtres pour les trois étages
Etablissement de la propriété. La maison vendue provient de Jean Daniel Isenheim, boutonnier d’étain, aieul de la Dlle Isenheim devenu propriétaire par acte passé à la Chambre des Contrats le 19 octobre 1771, par liquidation dressée par M° Anrich le 1 février 1790 elle est échue à Jean Daniel Isenheim, boutonnier, fils du sus dénommé et père de Dlle venderesse. D’après inventaire dressé par M° Roessel le 12 février 1817, il parait que cette maison est entrée dans la communauté avec Marie Madeleine Spinlein, suivant contrat de mariage reçu M° Mayer le 20 frimaire 5. M. Isenheim fils a délaissé pour seuls et uniques héritiers ses deux enfants la Dlle venderesse et Charles Daniel né le 27 décembre 1821. Charles Daniel Isenheim est mort en laissant pour seuls et uniques héritiers sa mère et sa sœur, Le 18 juin 1824 la veuve Isenheim est décédée en laissant pour seule et unique héritière la venderesse suivant inventaire dressé le 12 février 1817 et acte de notoriété dressé par M° Grimmer le 9 courant – pour 10.000 francs

Originaire de Weiterswiller près de Bouxwiller, l’ancien militaire Antoine Séraphin Weygand épouse en 1816 Marguerite Antoinette Zannotta
Mariage, Strasbourg (n° 449)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 14 novembre 1816. Antoine Séraphin Weygand, majeur d’ans né en légitime mariage le 7 décembre 1775 à Weitersviller (Bas-Rhin), domicilié à Strasbourg, Militaire retraité et pensionné, fils de feu Antoine Weygand, pensionnaire de l’état décédé à Rhinau (Bas Rhin) le 7 Floréal an cinq de la République française et de feu Rosine Metz, décédée audit lieu le 7 Germinal an trois de la République française, Marguerite Antoinete Zannotta, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 juin 1782 à Strasbourg, fille de feu Jean Adam Zannotta, fabricant de chandelles décédé en cette ville le 25 Thermidor an deux de la République française et de feu Barbe Delisle, décédée en cette ville le 7 ventôse an trois de la République française (…) Et de suite lesdits époux ont déclaré reconnaître Auguste Séraphin Weygand, né d’eux en cette ville le 9 novembre 1814 et inscrit dans nos registres le lendemain (signé) Antoine Qeraphin Weygandt, Marguerite antoinette Zannotta (i 7)

1847 (24.2.) M° Grimmer
Consentement par Antoine Séraphin Weygand propriétaire à Strasbourg au mariage de son fils Auguste Séraphin Weygand négociant à Paris avec Victorine Duport de Bruxelles
acp 358 (3 Q 30 073) f° 22 du 24.2.

Testament olographe
1854 (11.11.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Dépôt du testament olographe d’Antoine Séraphin Weygand, officier en retraite à Strasbourg, ledit testament en date du 25 juillet 1854, enregistré ce jourd’hui
acp 434 (3 Q 30 149) f° 92-v du 11.11.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 118 (3 Q 31 617) f° 76-v du 11.11.
Testament du 25 juillet 1854 – Je soussigné Antoine Séraphin Weygand, officier en retraite à Strasbourg, lègue en toute propriété à Thérèse Weygand, ma ménagère, si elle sera encore à mon service lors de mon décès, la somme de 500 francs

Antoine Séraphin Weygand meurt en 1854 en délaissant quatre enfants (la fille qui a renoncé à la succession ne figure pas parmi les héritiers)
1854 (6.11.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Antoine Séraphin Weygand, propriétaire décédé hors la porte d’Austerlitz de Strasbourg le 29 septembre dernier, dressé à la requête de I) Auguste Seraphin Weygand fabricant de bougies à Paris agissant tant en son nom pour que comme mandataire de 1° Joseph François Weygand, rentier à Fegeleen (Hollande), 2° Alphonse Constant Weygand, Maître de piano à Lima (amérique méridionale), 3° Sophie Weygand épouse d’Auguste Cousette, cantinier au 9° d’artillerie à Lafère, II) Xavier Weygand, sous-lieutenant au 3° lanciers à Lunéville
acp 434 (3 Q 30 149) f° 77 du 7.11. (succession déclarée le le 10 mars 1855) Il dépend de la succession un mobilier estimé à ci 968
acp 435 (3 Q 30 150) f° 13 du 18.11. (vacation du 13 novembre) 47 ares de terre ban de Strasbourg
une maison route de Colmar
une maison ban de Strasbourg canton Schurmfeld
créances 3643, passif 724
[in margine :] Vu la minute. Il s’est trouvé une pièce contenant trois quittances données par M. Burger pour dot de son épouse aujourd’hui dame Courette (…)

Déclaration dans laquelle figurent tous les héritiers
1857 (2.4.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Déclaration par le mandataire de 1) Charles Weygand, sous-lieutenant au 3° lanciers à Pont-à-Mousson, 2) Auguste Seraphin Weygand fabricant de bougies à Paris, 3) Joseph François Weygand, rentier à Fegelen, 4) Alphonse Constant Weygand, Maître de piano à Lima, 5) Sophie Weygand épouse d’Auguste Coussette, cantinier au 9° d’artillerie à Lafère,
que par suite de la renonciation faite au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 6 novembre 1854 par Antoinette Thérèse Weygand épouse de Reinier van Eibergen Santhagen, négociant à Amsterdam, à la succession d’Antoine Séraphin Weygand propriétaire à Strasbourg décédé le 29 7.bre 1854 les sus dénommés ont seuls droit au prix d’un immeuble vendu à Jacques Willmann, tapissier à Strasbourg par acte reçu Grimmer le 27 février 1857.
acp 459 (3 Q 30 174) f° 14 du 7.4.

Antoine Séraphin Weygand et ses enfants vendent la maison au tailleur Louis Locker et à sa femme Albertine Krauss

1846 (22. 7.br), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 448 (2673) n° 92 – M° G. L. F. Grimmer
ont comparu Monsieur Antoine Séraphin Weygand propriétaire demeurant et domicilié hors la porte d’Austerlitz de la Ville de Strasbourg et en sa banlieue et Madame Anne Marie Sophie Weygand veuve de Monsieur Ambroise Burger, commis négociant à Strasbourg elle demeurant et domiciliée hors ladite porte d’Austerlitz, agissant tant en son nom que comme mandataire de 1° de Monsieur Auguste Seraphin Weygand négociant à Paris suivant procuration (…), 2° de Monsieur François Xavier Weygand, Marechal des logis à l’école Royale de cavalerie de Saumur (…), 3° de Monsieur Ferdinand Georges Weygand négociant à Amsterdam (…), 4° Enfin de Melle Antoinette Thérèse Weygand épouse dument autorisée de Monsieur Reinier van Eibergen Santhagens directeur d’une Compagnie d’assurances demeurant et domicilié ensemble à Amsterdam (…) lesdits Comparans Monsieur Weygand et Dame Burger se portant encore solidairement fort et responsables d’Adolphe Weygand né le 12 juillet 1827 leur fils et frère respectif qu’il ratifiera les présentes lors de sa majorité et à ses frais, lesquels (ont vendu)
à Monsieur Louis Locker maître tailleur d’habits et sous son autorisation Dame Albertine Krauss sa femme demeurant et domicilié ensemble à Strasbourg acquéreurs ci présens et acceptant
une maison Rue des Hallebardes n° 41 d’un côté la propriété de Monsieur Oppermann sellier de l’autre celle de Monsieur Gerhardt boucher devant ladite Rue et derrière la propriété de Monsieur Mang boucher. Sont compris dans cette vente cinq foureaux et la double fenêtre pour les trois étages ainsi et dans l’etat où cette maison se poursuit et se comporte actuellement (…)
Etablissement de propriété. L’immeuble présentement vendu dépend de la communauté de biens qui a existé entre entre Monsieur Weygand Comparant et dame Antoinette Marguerite Zannotta sa femme défunte pour avoir été par eux acquis durant leur mariage de demoiselle Marie Madeleine Salomé Isenheim majeure célibataire à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant le soussigné notaire Grimmer le 11 juillet 1835 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 du même mois volume 295 numéro 79 moyennant le prix de 10.000 francs dont 4000 francs ont été quittancés dans le contrat et pour ce qui regarde les 6000 francs restans Monsieur Weygand a justifié aux acquéreurs de leur acquittement. Lors du décès de Mlle Weygand née Zannotta arrivé le 7 avril 1845 la moitié dudit immeublee a elle appartenant est avenu à ses six enfants susnommés, ses seuls et uniques héritiers ainsi declaré. Dans le contrat d’acquisition des Epoux Weygand ci-dessus relaté il est dit que la demoiselle Issenheim a recueilli ledit Immeuble dans la succession de son frère Charles Daniel Issenheim boutonnier à Strasbourg et de sa grand mère dame Marie Madeleine Spinlein veuve de Jean Daniel Issenheim boutonnier d’étain en ladite ville dont elle est la seule et unique héritière ainsi qu’il appert des Inventaires dressés par M Roessel vivant notaire à Strasbourg le 12 février 1817. Situation hypothécaire (…) Prix, moyennant le prix principal de 10.300 francs (…)
Fait et passé à Strasbourg en l’étude de M° Grimmer l’an 1846 le 15 septembre
acp 352 (3 Q 30 067) f° 61-v

Originaire de Bischheim, Louis Locker épouse en 1846 Albertine Krauss, fille du cordonnier Jean Geoffroi Krauss
1846 (6.1.), Strasbourg 12 (168), Me Noetinger n° 18.218
Contrat de mariage – Ont comparu M. Louis Locker, ouvrier tailleur demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. François Locker, aubergiste à Bischheim au Saum, y demeurant et de D° Salomé Schneebeger ssa femme stipulant comme futur époux sous l’assistance et consentement de son père à ce présent d’une part
Et Delle Albertine Emilie Krauss, sans état, demeurant à Strasbourg, fille majeure de M. Jean Geoffroi Krauss, cordonnier et de D° Marguerite Salomé Muntz conjoints demeurant à Strasbourg, stipulant comme future épouse, sous l’assistance et consentement de son père, ci présent
acp 344 (3 Q 30 059) f° 19 – régime de communauté d’acquêts
Les apports de la future épouse consistent en meubles, objets mobiliers estimés 1000 francs
Donation par le futur époux à la future épouse à titre de don matutinal de 300 francs
Donation mutuelle par les futurs époux au profit du survivant d’eux de l’usufruit viager des biens délaissés par le premier mourant.
Le futur époux fait apport d’une somme de 500 francs

Albertine Krauss meurt en 1862 en délaissant deux fils

1863 (2.3.), M) Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Louis Locker, propriétaire et Albertine Emilie Krauss sa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 20 octobre 1862. Dressé à la requête du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger le 6 janvier 1846 et comme usufruitier de la moitié de la succession en vertu du même acte et comme père et tuteur de Louis Albert et Alfred Jules Locker
acp 519 (3 Q 30 234) f° 79 du 5.3. (succession déclarée le 16 avril 1863) Communauté, Mobilier estilé 1687
Une Maison à Strasbourg rue des Hallebardes N° 38, 15.000
moitié d’une maison rue du Maroquin N° 19, 4000
reprises de la défunte 2492, reprises du veuf 500 – Passif 14.616
Succession, garde robe 303, reprises en nature, mobilier 245, reprises 2892, bénéfices de la communauté 3031

Louis Locker et le tuteur de ses deux enfants vendent la maison au négociant Jacques Weiller

1863, M° Noetinger
17 avril 1863 – Cahier des charges pour parevenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes N° 30 à la requête de Louis Locker de Strasbourg
acp 521 (3 Q 30 236) f° 35 du 24.4.
4 mai 1863. Adjudication définitive – à la requête de I. Louis Locker, propriétaire à Strasbourg, II. Eugène Gutfreund, ouvrier en papiers peints à Strasbourg, comme subrogé tuteur de Louis Albert Locker et Alfred Jules Locker, les deux enfants dudit Sr Locker et de feue Albertine Emilie Krauss sa femme
au profit de Jacques Weiller, Négociant à Strasbourg, moyennant 22.600 francs, payables savoir 9000 francs entre les mains de Chrétien Linden propriétaire et Thérèse Kuhn sa femme à Strasbourg, créanciers suivant obligation reçue Noetinger le 2 juillet 1853, et le surplus au Sr Locker d’après liquidation et la part des enfants à leur majorité. Jouissance du 25 juin 1893. Impôts du premier juillet 1963.
acp 521 (3 Q 30 236) f° 83 du 8.5.
une maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes N° 30

Commerçant originaire d’Odratzheim, Jacques Weiller épouse en 1855 Marie Anne Lang, de Scharrachbergheim
Mariage, Odratzheim (n° 3)
Le 23 octobre 1855 à cinq heures du soir. Acte de mariage de Weiller Jacques, célibataire âgé de 27 ans né à Odratzheim le 3 novembre 1827, commerçant domicilié à Odratzheim fils légitime et majeur de Weiller Isaac, âgé de 53 ans, commerçant à Odratzheim ci présent et consentant ,et de May Rose âgée de 54 ans, ménagère à Odratzheim ci présente et consentante
et de Lang Marie Anne célibataire âgée de 32 ans née à Scharrachbergheim (Bas-Rhin) le 5 avril 1823, domiciliée à Raon l’Etape (Vosges) fille légitime et majeure de feu Lang Jost âgé de 76 ans, commerçant domicilié à Raon l’Etape y décédé le 5 mars 1853 et de feue Braunschweig Philippine âgée de 70 ans, rentière domicilié à Raon l’Etape (…) il a été fait (contrat de mariage) le 20 octobre 1855 devant monsieur Ihlé notaire à Westhoffen (signé) Jacques Waltern M. Lang (i 3)

Babette est leur premier enfant qui naisse à Strasbourg en 1859.
Naissance, Strasbourg (n° 462)
Acte de naissance. Le deux mars 1859 à dix heures du matin (…) a comparu Jacques Weiller, âgé de 31 ans, négociant domicilié à Strasbourg lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin né à Strasbourg le premier mars 1859 à quatre heures du soir en la maison N° 2 quai Kellermann et nommé Babette fille de lui déclarant et de Marie Anne Lang son épouse (i 3)

Jacques Weiller opte en son nom, celui de sa femme et de ses enfants pour la nationalité française à Saint-Dié en juin 1872.
Archives nationales BB 31, 488
Traités du 10 mai et du 11 décembre 1871. Options pour la nationalité française
Le 30 juin 1872, par-devant nous, Maire de la commune de Saint-Dié, canton et arrondissement dudit (Vosges), est comparu M. Weiller Jacques, né à Odratzheim (Bas-Rhin) le 27 septembre 1827, lequel (…) a déclaré opter pour la nationalité française, qu’il entend conserver, tant en son nom personnel qu’en celui de sa femme et de ses enfants
1° Marie Anne Lang née à Scharrachbergheim (Bas Rhin) le (-) avril 1823,
2° Weiller Jules né à Odratzheim (Bas Rhin) le 27 7.bre 1856,
3° Weiller Paulin né à Odratzheim le 26 novembre 1857,
4° Weiller Babelle née à Strasbourg (Bas Rhin) le 1° mars 1859,
5° Weiller Augustine, id. le 30 juin 1860,
6° Weiller Joséphine, id. le 23 janvier 1864,
7° Weiller Lucien, id. le 1° novembre 1865,
8° Weiller Adrienne, id. le 25 mai 1867.
[N.B. Babelle est mis pour Babette]

Jacques Weiller loue la maison au teinturier Appel

1870, Enregistrement de Strasbourg, ssp 155 (3 Q 31 654) f° 2-v du 1.12.
7. November 1865. Lehnung wie folgt Zwischen den unterschriebenen 1) Jakob Weiller, Eigenthümer in Straßburg
2) H Appel Sohn, Färber in Straßburg
ist folgendes bestimmt worden, Hr Jakob Weiller verlehnt an Hn Appel Sohn, welcher es annimmt, das Magasin und hinter Magasin, eine Wohnung im dritten Stock bestehend in vier Zimmer, Bühn, Keller und ein Zimmer im vierten Stock in dem Hause Spiesgasse N° 30, welche localitäten der Lehner erklärt zu kennen, für eine Frist von neun Jahren, welche anfängt vom Johannistag 1866. Die Lehnung ist gemacht für einen jährlichen Zins von 1100 Franken wovon das erste Termin zahlbar ist den Michaelis Tag 1866 (…)

La société entre le teinturier Adolphe Appell et Georges Theis a son siège dans la maison.
1864, Enregistrement de Strasbourg, ssp 140 (3 Q 31 639) f° 56 du 24.9.
12 septembre 1864. Société – Entre les soussignés 1° M. Adolphe Appell, teinturier, et 2° Georges Theis, les deux demeurant à Strasbourg, a été convenu ce qui suit, savoir
Art. 1. Il est formé par les présentes une société en nom collectif ayant pour objet la fabrication de divers produits servant à la teinture.
Art. 2. La raison sociale sera Appell et Theis, chacun des associé aura la signature sociale. Le domicile de la société sera établi rue des hallebardes N° 30.
Art. 3. Les associés fourniront par moitié tous les fonds nécessaires à l’établissement de leur industrie. Chaque année le premier janvier il era fait un inventaire général qui sera porté sur un livre ad hoc et qui sera signé par chacun des associés.
Art. 4. Les bénéfices et les pertes seront partagés par parts égales entre les associés.
Art. 5. La durée de la société sera de 15 années qui commenceront le 18 avril 1864 pour finir à pareil jour de 1879. A l’expiration de la société la liquidation sera faire en commun par les deux associés.
Art. 6. Si l’un des associés venait à décéder (…)
Art. 9. Un extrait des présentes sera déposé au greffe du tribunal de commerce à Strasbourg ainsi que l’exige le loi.

Jacques Weiller, commerçant à Saint-Dié, loue la maison au tailleur Charles Mœhrlé

1872, Enregistrement de Strasbourg, ssp 156 (3 Q 31 655) f° 61 du 13.3.
18. December 1871. Pacht wie folgt zwischen Jakob Weiler, Kaufmann in St Dittel
und Karl Moehrlé, Schneider in Straßburg
Hr Weiler verpachtet an Hr Moehrlé ein Haus in Straßburg, Spiessgasse N° 30 gelegen, bestehend in einem Magazin, vier Stöcken, jeder Stock mit vier Zimmern und Küchen, für eine Frist von drei, sechs oder neun Jahre vom ersten März 1872, für eine jährliche Pacht von 2400 Franken (…)
Im Fall der Lehner nicht vom ersten März an von dem Magazin und dem dritten Stock die Nutznießung haben kann, so kan er auch die Pacht verzichten und der Verlehner ist gebunden ohne das voraus bezahlte 100 zurück zu erstatten

Jacques Weiller de Saint-Dié vend la maison au marchand de chaussures Georges Kleber, demeurant rue de la Grange

1877 (2.10.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 1725 (3887) n° 15, M° Constant Schmitz
N° 451. Kaufvertrag – Erschienen I. Herr Jacob Weiller, Kaufmann in Saint Dié wohnhaft, Eineseits und
II. Herr Georg Kleber, Schuhhändler zu Straßburg Stadelgasse Nummer 18 wohnhaft, andererseits, zwischen denen folgendes Vertrag zustande gekommen ist,
nämlich, der erstgemelte Herr Weiller verkauft und überläßt zum vollem Eigenthum dem letztgenannten Herrn Kleber, welcher acceptirt, das nachbeschriebene Immöbel als
Ein Wohnhaus mit allen An- und Zubehörden gelegen zu Straßburg in der Spießgasse unter N° 30 und begrenzet einerseits von Herrn Carl Fuchs, andererseits von Herrn Dutant. Eigenthumsherkunft. Herr Weiller erklärt, daß er das vorbeschriebene Immöbel erworben habe von Herrn Louis Locker Eigenthümer in Strassburg wohnhaft und dessen Kindern erzeugt in der Ehe mit seiner verlebten Ehefrau Albertine Emilie Kraus auf Grund eines Licitations protokolles aufgenommen von dem früheren Notar Noetinger zu Straßburg am 4. Mai 1863. Bedingungen und Währschaften (…).
acp 669 (3 Q 30 384) f° 87 n° 3539 du 25.9. – Besitz und Genuß vom 29. September 1877 und Uebernahme der Steuern vom selben Tag. Der Kaufpreis beträgt 27.200 Mark, worauf baar bezahlt 5600 Mark. Der Rest ist zahlbar in 9 Terminen wovon der Erste verfällt am 25. März 1876 mit Zins 5% von Tage des Besitzantrittes – Errichtet zu Straßburg in der Amtsstube des Notars am 25. September 1877
(Hypothèques, répertoire n° 244, case 622. Weiler, Jacques, comm. à Odratzheim puis à Strasbourg, St Dié)

Originaire de Pirmasens en Palatinat, Georges Kleber épouse en 1856 Reine Beck, native de Bœrsch
Mariage, Strasbourg (n° 625)
Du 27° jour du mois de décembre 1856 à dix heures du matin. Acte de mariage de George Kleber, majeur d’ans, né en légitime mariage le 4 octobre 1827 à Pirmesens (Bavière rhénane) domicilié à Strasbourg, Cordonnier, fils de feu George Kleber, tisserand décédé à Ingouville (Seine inférieure) le (-) août 1830 et de feu Catherine Horst décédée à Coblence (Bavière rhénane) le 25 juin 1820 et de Reine Beck, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 septembre 1826 à Boersch (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, blanchisseuse, fille de Michel Beck, boucher, absent depuis plus de seize ans dont le domicile est inconnu, et de feu Marie Odile Ducret décédée à Boersch le 9 novembre 1841 (…) il n’a pas été paséde contrat de mariage (signé) Kleber, Reine Beck (i 46)

Registre domiciliaire, 600 MW 338 (i 203)
Kleber, George, Pirmasens 27, g / h.m. Cordonnier, luth., bavarois, (à Str. depuis) 52, ant. g rue 108, marié le 27 Xbr 56
Beck, Reine, Boersch 28, f. blanchisseuse, cathol., français, (à Str. depuis) 44, ant. finckwiler 60
Kleber née Beck, Boersch 26, f.m., sa femme, cathol., français, (à Str. depuis) 44
Pfeiff, Caroline, Pirmasens 41, f. servante, Bavière, (à Str. depuis) 15 Juin 57 – p.p. ses foyers
r. de la fontaine 12, (délogé) 25 Juin 57 – même rue 5/16, (délogé) 30 mai 59 – grand rue 53, (délogé) 25 mars 63 – r. de la grange 18
600 MW 415 (table, i 121)
Kleber, Georges, cordonnier – gr. rue 108, rue fontaine 12, 5 (16), gd rue 53, rue de la grange 18
Kleber née Beck, Reine, rue fontaine 12, 5 (16), gd rue 53, rue de la grange 18

Georges Kleber institue sa femme sa légataire universelle
1894 (18.4.), M° Keller
Testament des am 14. ds. Mts dahier gestorbenen Georg Kleber, wodurch derselbe seiner Ehefrau Regina Beck seinen ganzen Nachlass zu Eigenthum vemacht.
Privaturkunde vom 15. Mai 1867, hinterlegt bei Notar Keller vom 18. April 1894.
acp 885 (3 Q 30 600) f° 95-v n° 345 du 19.4. (Erbsch. Erkl. vom 11.11.94 Bd. 213 N° 360)

Notoriété constatant que rien ne s’oppose au testament puisque le défunt n’a laissé ni ascendants ni descendants.
1897 (20.9.), M° Mossler
Offenkunde bestätigend, daß Georg Kleber, Schuhmacher em 14. April 1897 [sic] zu Straßburg verstorben ist, weder Ascendenten noch Descendenten oder Vorbehaltserben hinterlassen hat und daß demzufolge dem Vollzuge seines eigenhändigen Testaments vom 16. Mai 1867, welches zufolge Anordnung des Amtsgerichts Straßburg in der Schreibstube des Notars Keller hinterlegt wurde, als dadurch er seiner heutigen Wittwe Regina Beck als Universalerbin einsetzte, nichts im Wege steht.
acp 930 (3 Q 30 645, II) f° 42 n° 2220 du 27.9.

Reine Beck veuve de Georges Kleber vend la maison à Joséphine Louise Weibel

1897 (25.3.), M° Mossler
Verkauf – Regina Beck, Schuhhändlerin in Straßburg Wittwe Georg Kleber
an Josephine Luise Weibel, großjährig ohne Gewerbe in Straßburg
Stadt Strassburg O 269, 269, 0 a 66 Wohnhaus mit Erdgeschoß in welchem eine Spezereihandlung betrieben wird, 3 Stockwerken, Mansardenzimmer, Hof und Zubehör Spießgasse N° 30
erkauft durch Eheleute Kleber-Beck laut Act des Notars Schmitz hier vom 25. September 1877 um 17.200 M. Ehemann starb hier am 21. April 1894 und setzte seine Wittwe als Universallegatarin ein laut eigenhändigen Testaments vom 15. Mai 1867 hinterlegt bei Notar Keller 18. April 1894.
Genuß und Steuren sofort. Preis M. 26.800, baar bezahlt 2000, sind angewiesen an (…)

Commerçant originaire de Hersbach (commune de Wisches), Lucien Douvier épouse en 1897 Joséphine Louise Weibel
Mariage, Strasbourg (n° 709) Straßburg am 31. Juli 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Lucien Douvier, katholischer Religion, geboren den 31. August des Jahres 1866 zu Hersbach Gemeinde Wisch (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Bäckers Alexander Douvier, wohnhaft zu Hersbach und dessen verstorbenen Ehefrau Amalia geborene Boulangeot zuletzt wohnhaft zu Hersbach,
2. die gewerblose Josephine Luise Weibel, katholischer Religion, geboren den 16. Juli des Jahres 1873 zu Straßburg wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Kaufmanns Wilhelm Weibel und dessen Ehefrau Caroline Josephine geborne Himmelsbach beide wohnhaft zu Straßburg
[in margine :] Durch Verfügung des Polizeipräsidenten in Strassburg vom 27. Oktober 1942 führt die Ehefrau anstelle des bisherigen Familiennamens den Familiennamen Daubner. Strassburg den 30. April 1943. (i 119)

Le représentant de commerce Lucien Douvier et Joséphine Louise Weibel hypothèquent la maison au profit de la veuve et des légataires de Charles Werner

1897 (31.12.), M° Allonas
Schuldbrief und Annahme – Lucien Douvier, Handlungsreisender, und Josephine Luise Weibel in Straßburg
zugunsten von I. Adele Rehn, Rentnerin in Straßburg, Wittwe des Rentners Karl Werner, eigenen Namens und als Nutznießerin des Nachlasses ihres Ehemanns und II. die Universallegataren ihres Ehemanns laut Testament reg. 13. März 1891 hinterlegt beim amtierenden Notar den 29. Dezember 1891, 1) Karl Werner, Maler in Straßburg, 2) Bertha Werner, großjährig ohne Gewerbe in Straßburg, 3) Ernestine Werner, Ehefrau Georg Martzloff früher in Schweighausen zur Zeit in Straßburg, 4) August Werner, Metzger in Straßburg, für das nackte Eigenthum, 12.800 Mark, angewiesen im Verkauf des Notars Mossler hier vom 25. März 1897 und geschuldet laut Obligation des Notars Schmitz hier vom 27. März 1883, Vertrag Roessel vom 8. Mai 1862.
Pfand, ein Haus zu Straßburg Spießgasse 30
beigetreten Adolph Weill, Schuhhändler in Hagenau, welcher die in obigem Kauf Mossler vom 25. März 1897 zu seiner Gunsten enthaltene Anweisung von 4000 M. gemäß Obligation Schmitz hier vom 28. November 1881 annimmt.
acp 935 (3 Q 30 650) f° 7 n° 4797 du 3.1.1898


Le passementier Edouard Fuchs achète la maison en 1899.

Fils du passementier Charles Fuchs, Edouard Fuchs épouse en 1773 Marie Thomas, fille du cordonnier Laurent Thomas : contrat de mariage, célébration. Il apporte en mariage une partie de la maison sise 28, rue des Hallebardes
1883 (6.4.), Strasbourg 8 (119), M° Gustave Edouard Loew n° 14.897
Ehevertrag – sind erschienen 1) Herr Eduard Fuchs, Posamentier, wohnend zu Straßburg, großjähriger Sohn des gewesenen Posamenties herrn Karl Fuchs in Straßburg und dessen verstorbenene Gattin frau Margareth Bourgeois, handelnd als Künftiger Ehegatte, einseits
2) fräulein Marie Thomas, ohne Stand, wohnend zu Straßburg, großjährige Tochter des verlebten Schuhmachers herrn Lorenz Thomas in Straßburg und dessen noch lebdender Wittwe frau Franziska Ducret, Rentnerin, wohnend daselbst, handenld als künftige Ehegattin mit Genehmigung ihrer mitanwesenden Mutter, anderseit
3) die soeben bezeichnete Frau Wittwe Thomas, miterschienen wegen der Schenkung, welche sie der Braut, ihrer Tochter, machen will, drittenseits

Artikel sechs. Der Herr Bräutigam bezeichnet als sein Einbringen 1) seinen unabgetheilten Antheil, bestehend in 19/128.tel ane dem Hause mit An- und Zugehörden zu Straßburg, Spießgasse N° 28, wovon 71/128.tel seinem Vater, 19/128.tel seiner Schwester Fräulin Marie Fuchs und der Rest mit 19/128.tel seiner Schwester fräulein Emma Fuchs zusteht
acp 736 (3 Q 30 451) f° 80 du 9.4. 1) Annahm des Systems der Errungenschaft Gemeinschaft
2) der Bräutigam bringt zur Ehe a) 191/28 Antheil an dem Wohnhause Spießgasse 28, b) baares geld und Forderungen 12.000, c) seinen Antheil in der Gemeinschaft mit seinen 2. Geschwistern betriebenen Posamentiergeschäften
3) die Braut bringt zur Ehe a) Mobilien geachtet zu 2480, b) Forderung an Georg Kleber 400 (zusammen) 2880
4) die genante Mutter der Braut schenkt derselben eine Forderung ane die Eheleuthe Michel Herrmann und Anna Meyer in Oberhausbergen laut Urkunde Lauterbach von 30. Mai 1879 im Betrage 2000 Mark
5) Auf Todesfall schencken sich die Brautleute gegenseitig die lebenslängliche Nutznießung des Eheeinbringens

Mariage, Strasbourg (n° 163)
Strassburg am 7. April 1883. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Posamentirer Eduard Fuchs, katholischer Religion, geboren den 8. September des Jahres 1850 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, ehelicher Sohn des Posamentirers Carl Fuchs, wohnhaft zu Strassburg und der verstorbenen Margaretha Bourgeois, zuletzt wohnhaft zu Straßburg
2. die Francisca Maria Thomas ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 11. September des Jahres 1854 zu Strassburg wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter des verstorbenen Schuhmachers Lorentz Thomas, zuletzt wohnhaft zu Strassburg und der Maria Francisca Ducret, wohnhaft zu Strassburg (i 72)

Marie Thomas meurt en 1888 en délaissant une fille
1888 (4.12.), M° Loew
Erbverzeichnis über dem Nachlass der dahier den 4. Oktober 1888 verstorbenen Marie Thomas Ehefrau des Posamenters Eduard Fuchs
Einzige Erben ist die Tochter Bertha Fuchs, minderjährig unter Vormundschaft ihres Vaters. Laut Ehevertrag vor dem amt. Notar vom 6. April 1883 bestand zwischen Eheleuten Thomas-Fuchs Errungenschafts Gütergemeinschaft und steht dem überlebenden Wittwer nach demselben die lebenslängliche Nutznießung des Einbringens der Verstorbenen

acp 810 (3 Q 30 525) f° 41-v n° 3568 du 12.12. (Erb. Erkl. vom 5.3.89 Bd. 158 N° 568) Nachlass, Mobilien 2490, Kleider 120
Gemeinschafft, baar Geld 320, Sparkasenforderung lt. Büchlein 7, Geschäftsausstande 1548, Miethzinse 36, Waaren 1400
Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und 3 Stockwercken, zwei Höfen, Keller & Zubehörden, 3,20 ar, gelegen dahier Hauergasse N° 13
Passiva 12.706
Rücknahme des Nachlasses 1) Eingebrachte Mobilier, 2480, eingebrachte Forderung an Eheleuth Kleber 400, Herrmann 200 (zusammen) 4880
Rücknahme dess Wittwers in Natur, Hausantheil Spießgasse N° 28 dahier 18/128, Ersatzforderung des Wittwers 14.736
Activforderung der Gemeinschafft, Zinsen der Sonderforderungen des Nachlasses 48
Décès, Strasbourg (n° 1293) Strassburg am 17. Mai 1907. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Eigenthümer Eugen Fuchs, wohnhaft zu Strassburg Kaiser Friedrichstraße 8, und zeigte an, daß der Rentner Eduard Fuchs, 56 Jahr 8 Monat alt, katholischer Religion, geboren zu Strassburg, Ehemann von Marie geborner Barthelemy, Sohn der verstorbenen Eheleute Karl Fuchs, Posamentier und Margaretha Bourgeois, zuletzt wohnhaft zu Strassburg, zu Straßburg Spachallee 2 am 6. Mai des Jahres 1907 vormittags um neun Uhr verstorben sei (i 54)

Edouard Fuchs se remarie en 1890 à Liépvre (Haut-Rhin) avec Marie Barthelémy (voir le dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme)


Guillaume Schmidt, orfèvre, et (1712) Cunégonde Sebitzius

1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
Wilhelm Schmidt von Lübeck, 269, 281-b

Natif de Lübeck, l’orfèvre Guillaume Schmidt fait dresser un état de sa fortune en juillet 1711.

1711 (20.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Verzeichnus) Zuwißen daß Vor mir (…) Notario Persönlich erschienen H. Willhelm Schmid, der ledige Silberarbeiter gebürtig Von Lübeckh, weÿl. H Nicolai Schmiden, gewesenen Silberarbeiters und burgers daselbst ehl. Sohn, hat volgendes in Vermögen darüber Er mir die Würckliche handtreu præstirt und abgelegt
(…) Summarum 184 lb
Sigl. Straßburg den 20. Julÿ 1711 (unterzeichnet) Wilhelm Schmidt

Guillaume Schmidt achète le droit de bourgeoisie en août 1711
1711, 3° Livre de bourgeoisie p. 1281
H. Wilhelm Schmid der silberarbeither Von Lübeck, weÿl. H. Niclaus schmid auch gew: silberarbeithers hint. sohn erkaufft d. burgerrecht p. 6. Gold fl. 16. ß. wird Zur Steltz dienen. Jur: d. 19. aug. 1711

Fils de l’orfèvre Nicolas Schmidt, Guillaume Schmidt épouse en 1712 Cunégonde, fille du médecin Melchior Sebitzius : contrat de mariage, célébration

1712 (21.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 10
Eheberedung – zwischen dem Ehren Vesten und Kunstreichen Herrn Wilhelm Schmiden dem Ledigen Silberarbeitern und Burgern alhie, alß dem herrn Bräutigam an einem
So dann der Viel Ehren: und tugendreichen Jungfer Kunigundæ, weÿl. des Hoch Edel Vest und Hochgelehrten Herrn Melchior Sebitzÿ, geweßenen weitberümbten Doctoris Medicinæ et Professoris alhier nunmehro seel hinterlassener ehel. tochtern alß der Jungfer hochzeiterin andern theil
So beschehen und Verhandelt in dießer Königlichen freÿen Statt Straßburg den 21. Martÿ Anno 1712.
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 134 n° 772)
Anno 1712 den 6. Aprilis seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch St Thomas ehelich eingesegnet worden H Wilhelm Schmid, der ledige Silberarbeiter von Lübeck, weÿl. H Niclaus Schmiden gewesenen Goldschmid daselbst hinderlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Kunigunda weÿl. H Melchioris Sebitzÿ gewes. Med. Doct. und beÿ löbl. Universitæt alhie Prof. Publ. und deß Collegiat Stiffts Zu St. Thomas Canon. hinderlaßene ehel. Tochter (unterzeichnet) Wilhelm Schmidt als hochzeiter, Künigunda Sebiziusin als hochzeiterin (i 136)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (non conservé)

1712, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 44
Inventarium über Herrn Willhelm Schmiden des Silberarbeiters und frauen Kunigundæ geb. Sebiziusin beeder Eheleuth in die Ehe gebrachte Nahrung

Guillaume Schmidt meurt en 1720 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue Mercière. L’actif de la succession s’élève à 144 livres, le passif à 1 319 livres.

1720 (2.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 10) n° 409
Inventarium über Weÿland Hn Wilhelm Schmiden, gewesten Silberarbeiters und burgers alhier zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1720.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, nichts davon ausgenommen, so weÿl. Hr Wilhelm Schmid, gewester Silberarbeiter u. burger alhier nunmehro seel. nach seinem am 17.ten Maÿ Jüngsthien genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freund fleißiges ansuchen und begehren, Hn Johann Pickhen des Silberarbeiters und burgers alhier als geschwornen Vogts, Willhelmen und Joh. Philipps, beeder Schmiden, so der abgeleibte seel. mit hernach Vermelter seiner hinterbliebenen frau Wittib ehel. erzielt u. ab intestato Zu gleichen portionen u. Antheilen Zu Kinder u. Erben Verlaßen, heut dato ordnungsmäßig inventirt u. ersucht, durch Fr. Kunigundam gebohrne Sebiziusin die hinterbliebene wittib mit hülff und beÿstand Hn Johann Albrecht Eisenmanns, Apotheckers, ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen Straßburg den 2.ten Augusti Anno 1720.

In einer allhier zu Straßburg ane der Krähmergaß gelegenen Lehn behaußung befunden wie folgt
Haußrath. Schrein und höltzenwercks. Cammer A, Cammer B, ober Stub, vor dießem Gemach, im obern Hind.haus, Wohnstub, Officier stub
Haußrath W 28, E & T 64, Leerer Faß, T 13 Werckzeug Zum Silberarbeiter Profession gehörig 30, Schulden in der Wittib unverändert Vermögen Zugeltend 75
Conclusio finalis Inventarÿ, übertreffen die sogenannte Passiv Schulden beede Activ massas so alhier loco der Stall summ dienet umb 669 lb
Schulden, Item Weÿl. Johann Joachim Röcklingers gewesten Kachlers u burgers alhier hinterlaßener Erben soll man vor 5 Jahr hauß Zinns, 64 lb
Ohnvorgreifflich Summarischer Calculus, Summa Hausraths 64, Leere vaß 13, Werckzeug 30, Silber 31, Goldene Ringe 3, Summa 144 lb – Schulden 1319, Abgezogen übertreffen die Theÿlbare Passiv Schulden die gantze sogenannte Theÿlbahre Activ massam um 1175 lb
Copia der Eheberedung (…) unterzeichnet Wilhelm Schmid als Hochzeiter, Künigunda Sebiziusin als Hochzeiterin



Table alphabétique des propriétaires, M


ABCDEFGHI-JKLNOP-QRSTU-VWZ

Maag – Jean Baptiste, ancien mécanicien à Lyon, (1)
Machenaud – Jean, cabaretier, et (1801) Gertrude Riss, (1)
Mack – Catherine, (1)
Mack – François Antoine, cafetier, et (1792) Catherine Dorothée Jung – catholique et luthérienne, (1), (2)
Mack – Gall, potier, et (1687) Anne Dorothée Müller – catholiques, notice
Mack – Sébastien, barbier, et (1603) Jacqueline Mentzer – luthériens, (1)
Mackau – François Guillaume de, intendant des écuries, préteur, et Marie Barbe d’Ichtratzheim puis (1695) Françoise Marie d’Elsenheim – catholiques, (1), (2), (3)
Mackau – François Joseph de, et (1700) Anne Clotilde Marnais de la Bastie – catholiques, (1), (2)
Mackau – Louis Eléonor de, et (1755) Marie Angélique de Ficte de Soucy – catholiques, (1)
Mader – Philippe Jacques, notaire, et (1699) Susanne Reichard – luthériens, notice
Madler – François Louis, architecte, et (1804) Marie Anne Voltz, (1)
Mæchling – Charles (Pierre), maître maçon, et (1849) Julie Holtzapfel, (1)
Mæchling – Jean Henri, boulanger, et (1791) Marguerite Salomé Lauffenburger puis (1793) Catherine Salomé Lipp – luthériens, (1), (2)
Mæchling – Jean Michel, boulanger, et (1780) Anne Marie Steinbach, (1)
Mæchling – Jean Michel, brasseur, et (1803) Marie Madeleine Hoh puis (1809) Anne Ursule Mühl, (1)
Mægerlin – Jean Frédéric, barbier, et (1666) Anne Marguerite Hugo puis (1687) Abigaïl von Molsheim, auparavant femme (1671) du maître d’armes Jean Régnard Widt et (1677) du préposé aux grains Wolffgang Daniel Engel – luthériens, (1), (2)
Mæhn – Jean Michel, boulanger, et (1746) Anne Chrétienne Michel, veuve du boulanger Jean Lentz, puis (1759) Marie Salomé Dachert veuve du fabricant de pain d’épice Geoffroi Heinrich – luthériens, (1)
Mæhn – Jean, boulanger, et (1802) Ursule Rehberger, (1805) Catherine Marguerite Rasp puis (1815) Catherine Helmerich, (1)
Mæhn – Jean, cordeur de bois et ancien boulanger, et (1774) Barbe Donnenwerth – luthériens, (1)
Mænnel – Georges, tanneur, et (1698) Marie Cléophée von Türckheim – luthériens, (1)
Mænnel – Jacques, tanneur, et (1645) Susanne Gassner – luthériens, (1)
Mænnel – Jacques, tanneur, et (1671) Catherine Wolff – luthériens, (1) , (2)
Mænnel – Jean, tanneur, et (1677) Anne Catherine Griesbach veuve du tanneur Jean Joachim Rauch – luthériens, (1)
Mænnel – Jean, tanneur, et (1677) Anne Catherine Griesbach, d’abord (1674) femme du tanneur Jean Joachim Rau – luthériens, (1)
Magnier Grandprez – Jean Charles, receveur principal des douanes, et (1795) Marie Victoire Perot, (1), (2)
Magnus – (Albert) Jonathan, propriétaire, célibataire († 1903), (1) , (2)
Magnus – Geoffroi, boucher, et (1856) Frédérique Staiger, (1)
Magnus – Geofroi, boucher, et (1813) Salomé Lix, (1)
Magnus – Henri (Edmond), négociant, célibataire († 1896) , (1)
Magnus – Jean Frédéric, boucher et (1779) Anne Marie Kammerer puis (1786) Marie Dorothée Ott – luthériens, (1)
Magnus – Jean Frédéric, boucher, et (1785) Catherine Marguerite Mürdel – luthériens, (1)
Magnus – Jean Henri, boucher et (1742) Anne Roth – luthériens, (1)
Magnus – Jean Henri, boucher et (1780) Marie Salomé Ludwig – luthériens, (1)
Magnus – Jean Henri, boucher, et (1812) Caroline Mühl, (1), (2)
Magnus – Jean Michel, marchand, et (1780) Marguerite Madeleine Hetzel, d’abord (1777) femme du marchand Jean Geoffroi Engel – luthériens, (1)
Magnus – Jonathan Albert, propriétaire, (1)
Magrat dit Castaville – Jacques, cabaretier, et Julie Corcorane – catholiques
Mahler – Georges, aubergiste, et (1624) Catherine Waltz, (1637) Catherine Lentz mariée (1625) avec l’aubergiste Georges Ott, puis (1645) Anne Hock mariée (1628) avec le farinier Georges Brimmer, remariée avec le pasteur Jean Matthieu Nægelin – luthériens, (1)
Mainhardt – Frédéric Adolphe, serrurier, et (1843) Sophie Salomé Geyer, (1)
Maino – Pierre, marchand, célibataire († 1801) – catholiques, (1)
Malahowsky de Petrowsky – Adolphe de, officier, et (1810) Madeleine Louise Tinchant, (1)
Malapert – Jean, pharmacien puis fabricant, et (1793) Marie Anne Marchal, (1)
Maline – Pierre, tailleur de pierres, manant, et (1728) Marie Anne Willmann puis (1744) Sibylle Schirmann – catholiques, notice)
Maljean – Servais, manant et marchand – catholique, (1)
Mallarmé – Guillaume Philippe, juriste, et Anne Marie Madeleine Müller puis (1815) Marie Anne Cappès veuve de Joseph Garand, (1)
Maltré (Malté) – François, maître d’armes, et (1771) Anne Marie Lutz – catholiques, notice
Mamberger – Jean Daniel, coutelier, et (1734) Marie Barbe List – luthériens, (1)
Mamberger – Jean Nicolas, et (1709) Marie Salomé Füssinger – luthériens, (1)
Mangin – Esdras, marchand, et (v. 1620) Marie Robidé – réformés, (1)
Mangold – Jean, boulanger, et (1662) Marguerite Fuchs veuve de Thomas Reiter et de Jean Pfleger – luthériens, (1)
Mann – Charles Théodore, boucher, et (1855) Julie Emilie Kappler, (1)
Mann – Georges Adolphe, pâtissier, et (1759) Catherine Eve Rechberger – luthériens, (1)
Mann – Jean Charles, boucher, et (1780) Catherine Salomé Voltz – luthériens, (1)
Mann – Jean Frédéric, boucher, et (1814) Marie Salomé Mahler, d’abord (1800) femme de l’imprimeur Frédéric Schæffer, (1)
Mann – Jean Frédéric, boucher, et (1849) Sophie Kæss, (1)
Mann – Jean Geoffroi, horloger, et (1764) Anne Marie Bleyfuss – luthériens, (1)
Mann – Jean Geoffroi, pâtissier, et (1734) Marie Madeleine Neff puis (1736) Sara Seiffert – luthériens, (1)
Mannberger – Jean Daniel, fourbisseur, et (1734) Marie Barbe List – luthériens, (1)
Mannberger – Jean Frédéric, marchand, et (1736) Marguerite Salomé Hitschler – luthériens, (1)
Mannberger – Jean Michel, tonnelier, et (1774) Louise Elisabeth Cullmann – luthériens, (1)
Mannberguer – Jean Daniel, fabricant de tabac, et (1801) Frédérique Bader, (1), (2)
Mannberguer – Jean Geofroi, négociant, et (1822) Antoinette Weyher, (1)
Mantelartz – Jean, matelassier, et (1759) Marie Eve Jenni puis (1775) Marguerite Moser – catholiques, (1)
Marabail – Antoine, conseiller du Roi et commissaire ordonnateur des guerres, et (v. 1746) Marie Amélie Berthelot – catholiques, (1)
Marbach – Jean Daniel, boutonnier, et (1720) Marie Salomé Goldbach – luthériens, (1)
Marbach – Jean Frédéric, notaire, et (1694) Anne Barbe Rapp – luthériens, notice
Marbach – Jean Frédéric, teinturier, et (1800) Sophie Catherine Lang, remariée (1807) au teinturier Charles Louis Braunwald, (1)
Marbach – Jean Georges, préposé aux lods et ventes, et (1608) Anne Bittlinger – luthériens, (1), (2)
Marbach – Jean Georges, teinturier, et (1738) Anne Diehl – luthériens, (1)
Marbach – Jean Georges, teinturier, et (1770) Anne Marie Scheer – luthériens, (1)
Marbach – Jean Georges, teinturier, et (1834) Dorothée Mélanie Riehm puis (1837) Marie Madeleine Braunwald, (1)
Marbach – Jean, notaire, et (1714) Susanne Catherine Bader – luthériens, notice
Marbach – Paul Frédéric, co-directeur du bureau de la Taille, et (1641) Salomé Dieffenbecher, d’abord (1631) femme du marchand Bernard Brand, puis (1663) Susanne Dorothée Engel remariée (1671) avec André Brackenhoffer – luthériens, (1), (2)
Marbach – Philippe Albert, tisserand en laine à Colmar, (1)
Marbach – Philippe Jacques, notaire, et (1720) Marie Salomé Ebenau – luthériens, notice
Marbach – Ulric, et Marie Ester Lamp – luthériens, (1)
Marbach – Ulric, pasteur à Saint-Pierre-le-Vieux – luthérien, (1)
Marchal – Joseph Laurent Anselme, docteur en médecine et professeur à la faculté de médecine, et (1848) Joséphine Marie Meuziau, (1)
Marchal – Nicolas Barthélemy, maître d’hotel puis confiseur, et (1774) Marie Claire Meyé – catholiques, (1)
Marchands – Corps des, (1)
Marck – Léonard, tamisier, et (1680) Anne Marie Eydt veuve d’André Dœlpe puis (1698) Marie Madeleine Becker d’abord (1670) femme du tailleur Jean Frédéric Weniggut – luthériens, (1)
Marclesy – Joseph de, colonel, et (1722) Marie Catherine Jeanne Le Laboureur – catholiques, (1)
Marco – Louis Félix, avocat au Conseil souverain d’Alsace, et (1722) Marie Anne Sidonie de La Sablière puis (1743) Catherine Richarde Cunégonde Kien – catholiques, (1)
Marcus – Jean, chaussetier, et (1601) Elisabeth Mathis – luthériens, (1)
Marin – Prosper Antoine, chirurgien, et (1784) Marie Catherine Ammel – catholique et luthérienne, (1)
Marion – Claude, fabricant de pâtés, et (1631) Catherine Barthol – luthériens, (1)
Marlen – Georges von. journalier, et (1627) Barbe Grien – luthériens, (1)
Marler – Martin, jardinier, et (1660) Aurélie Huck, d’abord (1638) femme du jardinier Laurent Wunderer – luthériens, (1)
Marmoutier (Abbaye de), (1)
Marocco – Gaétan, négociant, et (1789) Marie Catherine Ganzinotti – catholiques, (1)
Marolff – Jean Philippe, procureur, et (1670) Anne Marie Vogler – luthériens, (1)
Marolles – Joseph de, conseiller du roi, et (1704) Marie Dorothée Kempffer – catholiques, (1)
Marquart – Jean Michel, ceinturier, et (1682) Anne Marthe Græthel – luthériens, (1)
Marquart – Michel, ceinturier, et (1647) Catherine Burger – luthériens, (1)
Marquier – François Antoine Ulysse, propriétaire, et (1852) Marie Madeleine Krufft, (1)
Martenot – Pierre, dentiste, et (1829) Caroline Dollfus, (1)
Martha – François Joseph, huissier, et (1802) Marie Françoise Bægert, (1)
Martin – Jacques, jardinier pépiniériste, et Barbe Schürmann veuve de Georges Dachert puis (1711) Agathe Bœckel – luthériens, (1)
Martin – Jean Jacques, ferblantier, et (1843) Sophie Emilie Caroline Schuler, (1)
Martin – Jean Philippe, boutonnier et marchand de soie, et (1723) Véronique Pfeiffer puis (1753) Anne Marie Wallburg – catholiques, (1)
Martin – Jean, tailleur, et (1694) Barbe Hellbeck – catholique et luthérienne convertie, (1)
Martin – Michel, soldat puis maître d’armes, et (1732) Marie Ursule Roy veuve de René Guenadel – catholiques, notice
Martner – Jean Baptiste Antoine, receveur de l’enregistrement et des domaines, (1)
Martzolff – (Frédéric) Edouard, tonnelier, et (1862) Caroline Wendling, (1)
Martzolff – Charles Philippe Edouard, tonnelier, et (1897) Louise Sophie Eugénie Lang, (1)
Martzolff – Philippe Albert, tailleur, et (1784) Anne Marguerite Kayser, (1)
Martzolff – Philippe Jacques, cordonnier, et (1830) Caroline Schott, (1)
Marx – (Pierre) Antoine (Joseph), tanneur puis aubergiste, et (1843) Marie Friess veuve de Philippe Gæckler puis (1849) Joséphine Stotzenbach, (1)
Marx – François Thiébaud, capitaine retraité veuf d’Anne Catherine Schneider, et (1809) Anne Madeleine Antoni veuve de Joseph Kaltner, (1)
Marx – Jean Pierre, tailleur, et (1734) Marie Elisabeth Kolb – luthériens, (1)
Marx – Pierre Antoine, aubergiste, (1)
Marxer – Louis, journalier, et (1842) Anne Marie Wernert, (1)
Marzolff – Jean Théophile, baquetier, et (1803) Anne Marie Aufschlager, (1)
Masské – Daniel Frédéric, chirurgien, et (1761) Catherine Barbe Petzel – luthériens, (1)
Massol – Joseph, architecte, et (1725) Marie Louise Rely, manant – catholiques, (1)
Masuel – George François et (1744) Anne Marguerite Jullot, notice
Mathæus – Christophe, faiseur de chausses et sergent de l’aumône, et (1655) Anne Marie Wild puis (1677) Salomé Nægel, veuve du pêcheur Jean Frédéric Burger – luthériens, (1)
Mathæus – Philippe Charles, tailleur, et (1798) Susanne Madeleine Christmann, (1)
Mathæus – Zacharie, menuisier, et (1719) Anne Sara Kehrlen – luthériens, (1)
Mathieu – Philibert, serrurier, et (1828) Charlotte Lang, (1)
Mathieu de Faviers – Philippe Gaëtan Mathieu, dit, intendant militaire, et (1798) Caroline Elisabeth de Franck, (1)
Mathis – Jean, et (1612) Ursule Eberhard – luthériens, (1)
Mathys – Nicolas Joseph, fournisseur de l’armée puis directeur d’assurances, et (1798), Louise Frédérique Sophie Wilhelmine Madeleine de Pistoris, (1)
Matter – Emile (Pierre), entrepreneur de construction, et (1891) Elise Reeb, (1)
Matter – Pierre, maçon, et (1856) Thérèse Stiegler, (1)
Mattheus – Jean, secrétaire, et (1612) Ursule Eberhard, (1623) Marguerite Hansler puis (1630) Barbe Klein ensuite (1634) femme du farinier Jean Vogt – luthériens, (1)
Matthis – Emile, brasseur, fils du marchand de vins Jean Guillaume Matthis, (1), (2)
Matthis – Jean Frédéric, serrurier, et (1831) Eve Salomé Mauler, (1)
Matz – Jean Nicolas, fabricant de tabac, et (1755) Catherine Schwab veuve de Jean David Martzloff, apprêteur de tabac – catholiques, (1)
Matzenheim – Jean Jacques von, passementier, et (1595) Anne Schilter – luthériens, (1)
Maucké – Charles Théophile, chirurgien puis juge de paix, et (1785) Anne Dorothée Doldé – luthériens, (1)
Maucké – Dorothée (Frédérique), (1)
Maul – Jean Michel, orfèvre, et (1712) Marie Elisabeth Bæhr – luthériens, (1)
Maurer – Jean, maître maçon, et (1735) Odile Frey, (1737) Anne Marie Haaser puis (1751) Marie Anne Burckard, veuve de Jean Sinterus – catholiques, notice
Maurer – Jean, vannier, et (1770) Eve Marguerite Kientz – luthériens, (1)
Maurer – Léonard, boulanger, et (1643) Agnès Brantzy – luthériens, (1)
Maurer – Léonard, boulanger, et (1680) Anne Bauer puis (1705) Marie Salomé Grohberger veuve de Jean Jacques Müller – luthériens, notice
Maurer – Nathanael, vannier, et (1806) Marie Dorothée Westermann, (1)
Maurin – Jean, horloger, († 1838) célibataire, (1)
Maus – Jean Frédéric, tonnelier, et (1725) Anne Marguerite Vogt – luthériens, (1)
Mauss – Abraham, fabricant de poudre, et (1665) Marguerite Buchmann – luthériens, (1)
Mauss – Jean Georges, musicien, et (1697) Marthe Hirt – luthériens, (1)
May – Elie, marchand de meubles, et (1859) Rebecca dite Rosalie Gerschel, (1)
Maybaum – Jean Philippe, horloger, et (1751) Marie Ursule Jost – luthériens, (1)
Mayer – Daniel, avocat, et (1829) Jeannette Neustetel, (1)
Mayer – Frédéric (Charles Frédéric Bernard) et Hélène (Catherine Hélène) Hoss puis (1907) Rosine (Jeanne Rosine Hoss) Hoss, (1)
Mayer – Jean Chrétien Sébastien, notaire, et (1784) Marie Anne Bangé puis (1788) Marie Dominique Kleinclaus – catholique, notice
Mayne – Eleonor du, comte du Bourg et (1731) Marie Anne de Klinglin – catholiques, (1)
Mayno – Pierre, célibataire – catholique, (1)
Mayno – Pierre, marchand de tabac, célibataire († 1801) – catholique, (1)
Mayno – Pierre, marchand de tabac, et (1740) Marie Catherine Venino – catholiques, (1)
Mebwart – Paul, savonnier, et (1592) Odile Zoller – luthériens, (1), (2)
Mechel – Jean, tonnelier, et (1719) Marie Barbe Bronner – luthériens, (1)
Mechler – François, cordonnier, et (1729) Catherine Grob veuve de Jean Specht – catholiques, (1)
Mechling – Georges, portefaix, et (1676) Barbe Stoll puis (1687) Susanne Ott – luthériens, (1)
Meck – Jean Georges, tonnelier, et (1697) Marguerite Kermann puis (1699) Anne Marguerite Vogt – luthériens, (1)
Meckert – Jean Michel, marchand de fer, et (1778) Anne Ursule Mathis puis (1819) Catherine Jacobé Murr veuve de Frédéric Bösswillwald, boulanger – luthériens, (1)
Meckert – Jean Michel, marchand de fer, et (1810) Frédérique Salomé Helmstetter, (1)
Meder – Laurent, tonnelier, et (1608) Barbe Schützbach veuve de Léonard Schnell puis (1637) Madeleine Erb d’abord (1622) femme du tonnelier Christophe Sebert – luthériens, (1)
Medler – Jean Frédéric, notaire, et (1647) Anne Ursule Süss – luthériens, (1), (2)
Meffert – Luc, imprimeur, et (1689) Marie Madeleine Limburger – protestant converti et catholique, (1)
Mehl – Georges, boucher, et (1656) Marie Soth puis (1685) Marie Schütz, veuve du pasteur Benoît Gross – luthériens, (1)
Mehl – Jean Chrétien Adam, vitrier, et (1759) Marie Madeleine Eckel, veuve de Jean Daniel Inckel, puis (1769) Marguerite Salomé Vierling – luthériens, (1)
Mehl – Jean, cordonnier, et (1656) Marguerite Christ – luthériens, (1), (2)
Mehl – Philippe Jacques, cirier, et (1687) Marie Madeleine Besserer, notice
Mehl – Thomas, mesureur de grains, et Ursule – luthériens, (1)
Mehn – Georges, employé aux équipages militaires, et (1798) Anne Marguerite Dietrich, (1)
Mehner – Frédéric, tonnelier, et (1590) Anne Barthel – luthériens, (1)
Meichel – Adam, sellier, et (1629) Appolonie Hetzel – luthériens, (1)
Meier – Gustave, économe, et (v. 1871) Anne Kuhn, (1)
Meiler – Chrétien, saucissier puis marchand de bestiaux et marchand de houblon, et (1775) Elisabeth Spreng puis (1805) Catherine Frédérique Hartschmitt veuve du boucher Thiébaut Zimmer – luthériens, (1)
Meiler – Frédéric, boucher, et (1813) Sophie Caroline Müller, (1)
Meinické – Jean Henri, tonnelier, et (1751) Anne Marie Diemer, remariée (1762) avec Thierry Reiber – luthériens, (1)
Meinzer – Emile (Charles Emile), restaurateur puis serrurier, et (1874) Frédérique Louise Lina Oschmann puis (1887) Sophie Emilie Kiefer, (1)
Meinzer – Frédéric, serrurier, et (1844) Salomé Rosenstiel, (1), (2)
Meisenbach – Jacques, taillandier, et (v. 1655) Marguerite Briller – luthériens, (1)
Meisenbach – Jean, taillandier, et (1682) Anne Catherine Baur – luthériens, (1)
Meisenbach – Jean, taillandier, et (1720) Catherine Elisabeth Stædel – luthériens, notice
Meisner – Philippe, revendeur, capitaine puis aubergiste, et Susanne Rechner (ensuite à Haguenau, 1636) – luthériens, (1)
Meiss – François, cordonnier, et (1601) Sabine Reinthaler, veuve du cordonnier Frédéric Kieffhaber, puis (1635) Marie Engelhard, veuve du tonnelier Gaspard Leher – luthériens, (1)
Meissner – Henri, enseignant au Gymnase, et (1673) Marie Barbe Feuerlin puis (1689) Barbe Œsinger veuve du pasteur Jean Nicolas Schweitzer – luthériens, (1)
Meistertzheim – Valentin von, notaire, et (1587) Ursule Vetter – luthériens, (1)
Melchior – Albert, menuisier, et (1885) Joséphine Andrea, (1)
Melsheimer – Jacques, brasseur, célibataire, (1)
Melsheimer – Philippe Frédéric, de Mittelhausen, (1)
Meltzheim – François Joseph, tanneur, et Catherine Riedinger, (1)
Meltzheim – Jean Nicolas, tanneur, et Marie Anne Dürrenberger, (1)
Memminger – Benoît, boulanger puis aubergiste, et (1690) Marie Cléophée Braun, notice
Memminger – Georges Frédéric, pêcheur, et (1785) Marie Salomé Mentel – luthériens, (1)
Memminger – Georges Henri, pêcheur, et (1738) Marie Salomé Arnold – luthériens, (1)
Memminger – Jean, pêcheur, et (1757) Marie Dorothée Lutz – luthériens, (1)
Mena – Louis Antoine, directeur des verreries de Saint-Quirin, et (1763) Louise Anastasie Gouget puis (1766) Anne Rœderer – catholiques, notice
Mena – Louis, greffier criminel en chef, et (1719) Cécile Chalon – catholiques, notice
Menges – Georges, marchand, et (1641) Elisabeth Schæffer, remariée (1662) avec le marchand Jean Decimator – luthériens, (1)
Menges – Jean Frédéric, chapelier, et (1734) Marie Salomé Rieth – luthériens, (1)
Menges – Jean Frédéric, chapelier, et (1767) Barbe Seegmüller – luthériens, (1)
Menges – Jean Jacques, tailleur à Oberbronn, et (1725) Marie Salomé Decker – luthériens, (1), (2)
Menges – Marguerite Ursule, célibataire – luthérienne, (1), (2)
Mengus – André, boulanger, et (1797) Catherine Reisser, (1)
Mengus – Georges Philippe, maréchal ferrant, et (1699) Marthe Anne Frühinsholtz – luthériens, (1)
Mennet – François, négociant, et (1806) Françoise Catherine Hyacinthe Neltner, (1)
Mennrath – Joseph, brasseur, et (1860) Sophie Gnædig, (1)
Menoth – Charles Etienne, marchand, et (1785) Marie Madeleine Schlenacker – luthériens, (1)
Menoth – François Benjamin, marchand, et (1785) Susanne Marie Schlenacker – luthériens, (1)
Mentel – Emanuel, pasteur, et (1619) Marthe Bentz – luthériens, (1)
Mentel – Isaac, pêcheur, et (1664) Anne Vogel – luthériens, (1)
Mentel – Jean Jacques, pêcheur, et (1753) Anne Barbe Weiner – luthériens, (1)
Mentel – Jean Martin, pêcheur, et (1716) Susanne Esther Schwartz – luthériens, (1)
Mentzel – Chrétien, marchand, et (1724) Marie Salomé Lochmann puis (1737) Marie Salomé Saltzmann veuve de Jean Frédéric Feschott – luthériens, (1)
Mentzer – André, ouvrier maçon, et (1722) Anne Marie Wolff puis (v. 1738) Marie Dorothée Inckel – luthériens, (1)
Mentzer – François André, pelletier, et (1769) Marie Madeleine Schmidt – luthériens, (1)
Mentzer – Jean Martin, pelletier, et (1688) Marie Elisabeth Merg – luthériens, (1)
Mentzer – Jean, pelletier, et (1722) Marthe Riebel – luthériens, (1)
Mentzinger – Loup (ou Wolfgang Mentzinger), major, et Susanne Strobel puis (1672) Marie Agnès Neudecker – luthériens, (1)
Menu – Antoine, propriétaire, et Anne L’Hen, (1)
Merck – Philippe, journalier puis marchand de charbon, et (1868) Madeleine Neff puis (1888) Marguerite Kalb, veuve du maçon Jacques Frantz, (1)
Merckel – Gaspard, cordonnier, et (1587) Barbe Meyer, (1599) Reine Weinmüller puis (1635) Ursule Wendrum, d’abord (1628) femme du pasteur Théophile Sutor – luthériens, (1)
Merckel – Georges, teinturier, et (1643) Madeleine Mauss – luthériens, (1)
Merckel – Jean Adam, marchand de bois, et (1610) Madeleine Faber – luthériens, (1)
Merckel – Jean Daniel, cordonnier, et (1747) Marie Madeleine Sommer – luthériens, (1)
Merckel – Jean Erard, chef de l’accise, et (1600) Salomé von Auenheim – luthériens, (1)
Merckel – Jean Georges, remueur de grains et (1646) Marie Daul, remariée (1675) au chef des travaux Philippe Lump – luthériens, (1)
Merckel – Jean Georges, remueur de grains, et (1671) Anne Dorothée Acker – luthériens, (1), (2)
Merckel – Jean Henri, notaire, et (1681) Anne Catherine Kayser veuve du batelier Jean Georges Hess – luthériens, (1), (2)
Merckel – Jean Michel, cordonnier, et (1693) Anne Barbe Notter – luthériens, (1)
Merckel – Jean Michel, pasteur de Berstett et Olwisheim puis diacre à Saint-Pierre-le-Vieux, et (1684) Anne Rinck – luthériens, (1)
Merckel – Jean, secrétaire puis préposé au bois, et (1575) Cunégonde Hemmerlin – luthériens, (1)
Merckelbach – Christophe, marchand, et (1601) Marguerite Kürn puis (1612) Véronique Schilling – luthériens, (1)
Merckelbach – Régnard, marchand, et (1602) Dorothée Müller – luthériens, (1), (2)
Mercklé – Jacques Frédéric, maçon, et (1801) Marie Dorothée Vendenheim, (1)
Mercklin – Chrétien, teinturier, et (1651) Ursule Kolb, remariée (1670) au teinturier Georges Mœllner – luthériens, (1)
Mercklin – Georges, teinturier, et (1676) Anne Reffold – luthériens, (1)
Mercklin – Jean Chrétien, teinturier, et (1625) Madeleine Müller puis Marthe Nagel et (1651) Cléophée Steudel – luthériens, (1), (2)
Merg – Chrétien, receveur de familles nobles, et (1721) Marguerite Hein, veuve de Jean Jacques Hetzel, aubergiste – luthériens, (1)
Merg – Georges, tailleur et commissaire priseur, et (1598) Anne Stempffer puis (1628) Amélie Fessmann, d’abord (1600) femme du cordier Léonard Hetzel puis (1611) du teinturier Jean Thiébaut Ehrstein – luthériens, (1)
Merg – Jean Georges, pelletier, et (1662) Barbe Bœhler – luthériens, (1)
Merg – Jean Georges, pelletier, et (1699) Eve Eigenoss – luthériens, (1)
Merg – Jean Martin, pasteur, et (1632) Anne von Mutzig, remariée (1648) avec le pelletier Jean Werdemann – luthériens, (1)
Merg – Jean, pelletier, et (1695) Anne Marie Klug – luthériens, (1)
Mergilet – Jean André, receveur, et (1659) Salome Birtsch, d’abord (1625) femme du docteur en médecine Nicolas Philippe Scheid, puis (1663) Madeleine Schmidt – luthériens, notice
Mersudi – Michel, tailleur de pierres, et (1586) Véronique Kessler – luthériens, (1)
Mersy – Marie Salomé, célibataire († 1759) – luthérienne, (1)
Mertel – Frédéric Charles, menuisier, et (1846) Marie Catherine Münch, (1)
Mertian – François Xavier, fils mineur du négociant Félix Mertian (1840), (1)
Mertian – Marie Henri, prêtre (1821-1901), (1)
Mertian – Marie Victor, prêtre, et Consorts (Marie Victor Mertian, Marie Vincent Henri Mertian, Jean d’Hivert, et François Xavier de Franciosi) , (1)
Mertz – Antoine, tonnelier, et (1794) Marie Thérèse Eckert, (1)
Mertz – François Antoine, maçon, et (1839) Dorothée Halbwachs, (1)
Mertz – Frédéric Auguste, employé au chemin de fer, et (1839) Anne Barbe Fuchs, (1)
Mertz – Georges, employé, célibataire († 1857), (1)
Mertz – Jean Michel, cordonnier, et (1812) Sophie Edelmann, (1)
Mertz – Jean Michel, savetier, et (1779) Anne Catherine Noll – luthériens, (1)
Mertz – Philippe Louis, tapissier, célibataire († 1837), (1)
Mesmer – Ignace, serrurier, et (1825) Anne Marie Hiller, (1)
Messerschmidt – Philippe Robert, barbier, et (1664) Susanne Klinger, (1678) Anne Marie, Meyer puis (1680) Marguerite Bartu – luthériens, (1)
Messner – Barthelémy, boulanger, et (1602) Sibylle Dinginger veuve de Jean Wurst – luthériens, (1)
Metz – Jean Erard, boulanger, et (1696) Anne Marie Gross puis (1720) Anne Catherine Richter, veuve du ceinturier Chrétien Ostertag – luthériens, (1)
Metz – Jean Michel, boulanger, et (1732) Marie Salomé Jung, auparavant (1711) femme du boulanger Laurent Karcher, puis (1748) Marie Elisabeth Klein – luthériens, (1)
Metz – Jean, tisserand, et (1601) Marie Peter puis (1623) Rosine Mutterspach – luthériens, (1)
Metz – Joseph, marchand de vins, et (1846) Rosalie Eckert, (1)
Metzger – André, cultivateur à Pfulgriesheim, et (1660) Eve Michel – luthériens, (1)
Metzger – François Antoine, boulanger, et (1744) Marie Madeleine Lachbronner – catholiques, (1)
Metzger – Georges, tailleur, et (1843) Caroline Redslob, (1)
Metzger – Jacques, cordonnier, commerçant, et (1817) Marie Anne Droller, (1)
Metzger – Jean Frédéric, tonnelier, et (1684) Marie Madeleine Andres puis (1686) Marie Elisabeth Grünwald – luthériens, (1)
Metzger – Jean Georges, marchand de bois, et (1658) Marie Ursule Theurer veuve du marchand Jean Stædel – luthériens, (1), (2)
Metzger – Jean Henri, culottier, et (1634) Ursule Ziegel veuve de Michel Claus – luthériens, (1)
Metzger – Jean Henri, marchand de bois, et (1644) Madeleine Hünerer puis (1679) Marthe Uhlmann, veuve du receveur Jean Marcel Schenck – luthériens, (1)
Metzger – Jean Louis, marchand de bois, et (1610) Susanne Scheid – luthériens, (1), (2)
Metzger – Jean Thiébaut, boulanger, et (1714) Catherine Claus – catholiques, (1)
Metzger – Jean Ulric, et Marie Elisabeth Gambs, de Colmar, (1)
Metzger – Jean, tailleur, et (1695) Anne Marguerite Dürr – luthériens, (1)
Metzger – Léonard, marchand de bois, et (1634) Marthe Fettich, veuve de Frédéric Schütterlin, (1)
Mey – Adam, marchand épicier, et (1641) Marie Gerlach puis (1654) Salomé Reinthaler – luthériens, (1), (2)
Mey – Adam, marchand, et (1654) Salomé Reinthaler – luthériens, (1)
Mey – Frédéric, marchand, et (1694) Catherine Heckler – luthériens, (1)
Mey – Kilien, serrurier, et (1669) Marguerite Barbe Berckmann puis (1676) Anne Catherine Burucker – luthériens, (1)
Mey – Pierre, marchand de fer, et (v. 1594) Barbe Heuer – luthériens, (1)
Meyé – François, entrepreneur de travaux, et (1820) Thérèse Humann, (1)
Meyé – Jean Zacharie, maître maçon et tailleur de pierres, et (1731) Anne Marie Moltzheim veuve du maçon Jean Daniel Gerhard puis (1747) Susanne Marguerite Russ – luthériens, notice
Meyé dit Saint-Louis – Louis, tailleur, et (1745) Marie Françoise Straubhaar, remariée (1768) avec le tailleur Gall Joseph Rorschach – catholiques, (1)
Meyé dit Saint-Louis – Louis, tailleur, et (v. 1712) Catherine Rose, (1726) Catherine Sigrist puis (1765) Catherine Rolland – catholiques, (1)
Meyel – Luc, tailleur, et (1610) Ursule Meyer – luthériens, (1), (1)
Meyer – André, cordonnier, et (1714) Ursule Barbe Merckel – luthériens (1)
Meyer – Charles, cordonnier, et (1661) Marguerite Leining – luthériens, (1)
Meyer – Christophe, garde-chasse, et (1647) Marguerite Kieffer, veuve du boucher Jean Quick, puis (1663) Anne Inglo – luthériens, (1)
Meyer – Christophe, greffier, et (1661) Marie Hélène Heckler – luthériens, (1)
Meyer – Conrad, receveur du chapitre Saint-Etienne, et (1614) Salomé Meyer – luthériens, (1), (2), (3)
Meyer – Denis, batelier, et (1593) Agnès Weinmann puis (1621) Anne Marie Baumgarten, veuve de Georges Zelterer, de Neuwiller – luthériens, (1)
Meyer – Etienne, farinier, et (1621) Anne Heuss puis (1636) Anne Sultzer veuve de Georges Littmann – luthériens, (1)
Meyer – François, facteur de messageries, et (1829) Marguerite Beck, (1)
Meyer – Frédéric, chirurgien, et (1743) Anne Marie Helmstætter – luthériens, (1)
Meyer – Gabriel, batelier, et (1723) Marie Salomé Braun puis (1739) Marie Salomé Grohberger d’abord (1730) femme du pêcheur Jean Artzner – luthériens, (1)
Meyer – Gabriel, batelier, et (1756) Marie Salomé von Zabern – luthériens, (1)
Meyer – Gabriel, cordier, et (1611) Julienne Karch, d’abord (1598) femme du cordier Barthelémy Dreher – luthériens, (1)
Meyer – Gabriel, pilote, et (1689) Anne Ursule Riehm – luthériens, (1), (2)
Meyer – Georges, tonnelier, et (1686) Elisabeth Diemer – luthériens, (1)
Meyer – Jacques, batelier, et (v. 1575) Agnès Elis dite Humpel puis (1586) Marguerite Reinschmid, d’abord (1582) femme du tailleur de pierres Valentin Hering et (1583) du pêcheur Jacques Schiff – luthériens, (1)
Meyer – Jacques, boulanger, et (1836) Salomé Weinling puis (1850) Thérèse Schneider, (1)
Meyer – Jacques, cordonnier, et (1721) Susanne Baldner – luthériens, (1)
Meyer – Jacques, maréchal ferrant à Wolfisheim, et (1652) Catherine Fritsch – luthériens, (1)
Meyer – Jean Adam, cordonnier, et (1666) Cléophée Simon, veuve du cordonnier Georges Bollich, puis (1681) Jacqueline Morgen – luthériens, (1)
Meyer – Jean Christophe, cafetier, et (1690) Anne Elisabeth Hertenstein – catholiques, (1)
Meyer – Jean Christophe, vitrier, et (1693) Ursule von Molsheim, (1704) Anne Catherine Artopœus, d’abord (1689) femme de l’organiste Jean Frédéric Ring, (1723) Barbe Stehlin, d’abord femme de l’apprêteur de tabac Jean Frédéric Feldmann puis (1714) de l’apprêteur de tabac Mathias Boless – luthériens, (1)
Meyer – Jean Clément, marchand de bois, et (1850) Julie Vogt, (1)
Meyer – Jean Conrad, libraire et (1683) Anne Marie Kœnig – luthériens, (1)
Meyer – Jean Daniel, brasseur, et (1803) Marie Madeleine Meyküchel, (1)
Meyer – Jean Etienne, gainier, et (1738) Marie Elisabeth Rapp – luthériens, (1)
Meyer – Jean Frédéric, boutonnier d’étain, et (1783) Catherine Elisabeth Rothhan – luthériens, (1)
Meyer – Jean Frédéric, marchand épicier, et (1669) Marguerite Edom, remariée (1676) avec Abraham Koch – luthériens, (1)
Meyer – Jean Frédéric, précepteur, et (1753) Marie Salomé Allinger veuve du jardinier fleuriste Henri Chrétien Struvé – luthériens, (1)
Meyer – Jean Georges, chapelier, et (1615) Ursule Boppel, d’abord (1603) femme du receveur Martin Faber, puis (1619) Marie Ohler – luthériens, (1)
Meyer – Jean Georges, chapelier, et (1615) Ursule Poppel, d’abord (1603) femme du receveur Martin Faber, puis (1619) Marie Ohler – luthériens, (1)
Meyer – Jean Georges, pasteur, et (1659) Salomé Meyer puis (1663) Madeleine Reiser – luthériens, (1)
Meyer – Jean Georges, peignier, et (1669) Ursule Sibylle Rebeck – luthériens, (1)
Meyer – Jean Henri, tailleur, et (1821) Chrétienne Schmitt puis (1829) Elisabeth Gaumer, (1)
Meyer – Jean Jacques, codirecteur de la Monnaie, consul, et (1604) Dorothée Widt – luthériens, (1), (2)
Meyer – Jean Jacques, cordonnier, et (1810) Marguerite Salomé Ludwig puis (1814) Anne Marie Henches veuve du cabaretier Chrétien Louis Müller, (1)
Meyer – Jean Jacques, négociant, (1784) Marie Charlotte Striedbeck – luthériens, (1)
Meyer – Jean Michel, cordier, et (1830) Caroline Brunner puis (1844) Elisabeth Altorffer, (1)
Meyer – Jean Michel, maître maçon, et (1747) Marie Salomé Hammerschmid, veuve de Jean Kœderer – catholiques, notice
Meyer – Jean Michel, maître maçon, et (1788) Catherine Elisabeth Hatzung, veuve de Jean Georges Scherb – luthériens, notice
Meyer – Jean, batelier, et (1700) Marie Salomé Weber – luthériens, (1)
Meyer – Jean, brossier, et (1732) Dorothée Luther, d’abord (1731) femme du brossier Jean Jacques Spœttnagel – luthériens, (1)
Meyer – Jean, chirurgien, et (1697) Susanne Steg – luthériens – luthériens, (1)
Meyer – Jean, économe, et (1757) Marguerite Hélène Trotos Lider – catholiques, (1)
Meyer – Jean, le jeune, meunier, et (1673) Catherine Schwing – luthériens, (1)
Meyer – Jean, tanneur, et (1869) Barbe Kætzel, (1)
Meyer – Jean, transporteur de sable, et (1669) Anne Catherine Erhard – luthériens, (1)
Meyer – Jean, transporteur de sable, et (1700) Marie Salomé Weber – luthériens, (1)
Meyer – Joseph, garde des Eaux et Forêts, et (1824) en deuxièmes noces Catherine Walter, (1)
Meyer – Joseph, négociant et (1810) Esther Denery, (1)
Meyer – Joseph, sachetier, et (1637) Elisabeth Müller – luthériens, (1)
Meyer – Joseph, tailleur, et (1858) Sophie Lœwenstein, (1)
Meyer – Laurent (Isaac Levy), commerçant, et Judith Lehmann (Jüdel Lehmann), (1)
Meyer – Laurent, marchand de vins, et (1609) Susanne Beuchler puis (1620) Anne Werner – luthériens, (1)
Meyer – Laurent, marchand de vins, et (1620) Anne Werner – luthériens, (1)
Meyer – Laurent, marchand, et (1653) Marie Salomé Geiger – luthériens, (1)
Meyer – Léopold, boucher, et (1847) Sophie Klein veuve d d’Isaac Hallel, (1)
Meyer – Michel, cordier, et (1798) Anne Marie Müller, (1)
Meyer – Michel, et (1583) Rosine Rœllisch – luthériens, (1)
Meyer – Nicolas, chapelier, et (1584) Apollonie Hug – luthériens, (1)
Meyer – Nicolas, cordonnier, et (1694) Marguerite Rasp – luthériens, (1)
Meyer – Paul Louis (Jean Joseph), notaire, et (1788) Anne Hélène Chouard – catholiques, (1)
Meyer – Philippe, laitier, et (1763) Anne Marie Reidler – catholiques, (1)
Meyer – Raphaël, négociant et (1809) Sophie Proops, (1)
Meyer – Salomon, négociant et (1813) Frédérique Berliner, (1)
Meyer – Thiébaut, batelier, et (1620) Anne Marie Gretz puis (1635) Anne Marie Scherbaum remariée (1646) avec le garçon batelier Léonard Schneider – luthériens, (1)
Meyer – Thiébaut, manant et fabricant de tabac, et (1711), et Marie Salomé Grob – catholiques, (1)
Meyer – Tobie, brodeur sur soie, et (1627) Anne Marie Karg – luthériens, (1)
Meyerhoffer – Jean Georges, conseiller à la Chancellerie épiscopale, et à sa femme Catherine Kœnig – catholiques, (1)
Meyli – Jean Frédéric, apprêteur de tabac, et (1786) Susanne Friedrich, puis (1797) Marie Madeleine Bartholomé, (1)
Meyli – Jean Frédéric, compagnon maçon, manant, et Anne Marguerite Bolliger – réformés, (1)
Meyli – Jean Henri, chargeur à la douane, et (1815) Catherine Salomé Stauffert, (1)
Meyli – Jean Henri, chargeur, et (1791) Marie Salomé Memminger – réformé et luthérienne, (1)
Meyli – Jean Jacques, cordonnier, et (1786) Marguerite Dorothée Zendler puis (1790) Anne Marie Jæger – réformés, luthérienne, (1)
Meyling – Jean Michel, menuisier, et (1718) Anne Catherine Schœning, (1743) Barbe Verius d’abord (1725) femme de Jean Rummel puis (1760) Barbe Jenn d’abord (1750) femme du maçon Jean Flessa – luthériens(notice)
Meyling – Jean Michel, menuisier, et (1747) Marie Salomé Rummel – luthériens, (1)
Meyling – Philippe Frédéric, menuisier, et (1782) Barbe Debs – luthériens, (1)
Miane dit La Douceur – Pierre et (1725) Aldegonde Blondeau veuve de Jean César Verraingue – catholiques, (1)
Michel – Arnold, pelletier, et (1617) Salomé Brendel, d’abord (1615) femme de Barthelémy Schultz – luthériens, (1)
Michel – Georges, brasseur, et (1796) Salomé Stahl, (1)
Michel – Jean Emile, commis négociant, et (1882) Sophie Adèle Stauffert, (1)
Michel – Jean Georges, boulanger, et (1632) Anne Marie Grün – luthériens, (1)
Michel – Jean Georges, serrurier, et (1764) Marie Madeleine Reinthaler – luthériens, (1)
Michel – Louis Alphonse, commerçant, et (1888) Marie Roth, (1)
Michel – Thiébaut, manœuvre municipal, et Marguerite Buchmann veuve d’Abraham Mauss (1665) – luthériens, (1)
Michels – Jacques, licencié en droit, et (1749) Marie Thérèse Grillot – catholiques, (1)
Michot – François, serrurier, et (1695) Marguerite Gassmann puis (1709) Susanne Weyer – catholiques (manants) notice
Mickilsé – Georges Antoine Henri, marchand chapelier, et (1838) Marie Justine Stephan, (1), (2)
Migevand – Jean François, militaire retraité, et (1811) Catherine Pfaff veuve de Joseph Steinmesser, (1)
Milius – Ferdinand, marchand de fruits et légumes, et (1758) Anne Marguerite Ruff, (1770) Marguerite Elisabeth Roos puis (1785) Marguerite Salomé Debus – luthériens, (1)
Milius – Louis, négociant, et (1807) Dorothée Dinckel, (1)
Milius – Philippe Guillaume, brasseur, et (1729) Anne Marie Riebel puis (1736) Catherine Goll, notice
Milius – Philippe Guillaume, brasseur, et (1761) Marie Salomé Federreuth – luthériens, (1)
Millot – Jean, marchand, et (1621) Susanne Buisson – luthériens, (1)
Minder – Edouard Chrétien, fabricant d’étoffes à Wasselonne, et (1859) Emma Butz, (1), (2)
Minder – Jean Georges, tanneur, et (1658) Anne Marie Beyer, (1671) Anne Marie Dorothée Metzinger puis (1694) Anne Marguerite Stœffel – luthériens, (1)
Mittel – Grégoire, boucher, et (1676) Barbe Gæckler – luthériens, (1)
Mittel – Henri, pelletier, et (1591) Marie Bapst – luthériens, (1)
Mittel – Jacques, pelletier, et (1565) Anne Dentzel – luthériens, (1)
Mittel – Jean Henri, imprimeur, et (1627) Marguerite Kempffer – luthériens, (1)
Mittelhausen – Cuno de et (1586) Eve de Wangen, (1)
Mittmann – Jean Auguste, serrurier, et (1752) Susanne Baufinck veuve de Philippe Jacques Bœris – luthériens, (1)
Mittmann – Jean Philippe, menuisier, et (1648) Ursule Knœrr – luthériens, (1)
Mittmann – Jean, menuisier, et (1693) Marthe Hirschel – luthériens, (1)
Moch – Abraham, négociant, et (1758) Mariam Schlesinger puis (1787) Sara Berr – juifs, (1)
Mock – André, charron, et Elisabeth Seyfried (bourgeois en 1628) – luthériens, (1)
Mock – Jean, boulanger, et (1599) Marie Jund – luthériens, (1)
Mock – Jean, boulanger, et (1634) Agnès Stumpf – luthériens, (1)
Mock – Jean, tailleur puis aubergiste, et (1658) Chrétienne Oberhausser – luthériens, (1)
Mockel – Frédéric Richard et (1709) Salomé Greuhm – luthériens, (1)
Moda – Jean, cloutier, et (1797) Marie Anne Imbs puis Elisabeth Meyer, (1)
Modeste – Catherine, repasseuse (1812), notice
Mœbs – Georges, cordeur de bois, et (1836) Christine Grusenmeyer, (1)
Mœgelé – Jean, farinier, et (1624) Catherine Linck – luthériens, (1)
Mœrsel – Jean Frédéric, pasteur à Bischheim et Hœnheim, et (1668) Rosine Gertrude Gerlé – luthériens, (1)
Mœssner – Jean, pelletier, et (1673) Susanne Reinbold – luthériens, (1)
Mœst – Jacques, tisserand, et (1627) Marguerite Ensel veuve de Michel Meyer et de Georges Segmehl – luthériens, (1)
Mœtschel – André, jardinier, et (1640) Catherine Huck puis (1676) Marie von Trudersheim, d’abord (1647) femme du journalier Jean Huck – luthériens, (1)
Mœtschel – Georges, cordonnier, et (1683) Susanne Moscherosch, (1705) Agnès Schripff, veuve du cordonnier Jérémie Schmidt puis (1708) Sophie Véronique Moscherosch, veuve du fabricant de tabac Jean Michel Ewinger – luthériens, (1)
Mœtzel – Jean Nicolas, potier, et (1781) Anne Marguerite Herrmann – luthériens, (1)
Mogg – Mathias Ambroise, juriste, et (1737) Françoise Susanne Marguerite Courtz – luthériens, notice
Mogg – Mathias Ambroise, juriste, et (1771) Marie Agnès Jahreis – luthériens, (1)
Mogin – Augustin Désiré, négociant, et (1839) Pauline Eléonore Nebel, (1)
Mohr – Conrad, cordonnier, et (1726) Marie Elisabeth Vogler – luthériens, (1)
Mohr – Conrad, tailleur, et (1642) Susanne Vœllner – luthériens, (1)
Mohr – David Henri, cordier et revendeur, et (1752) Marguerite Barbe Baldner veuve de Jean Jacques Frick – luthériens, (1)
Mohr – Jean Louis, cordonnier, et (1769) Anne Marie Fegers – luthériens, (1), (2)
Mohr – Jean Pierre, cocher, célibataire, (1)
Mohr – Jean, cocher, et (v. 1770) Barbe Wolbert -catholiques, (1)
Mohr – Michel, cocher, et (1801) Marie Anne Mathis, (1)
Mohr – Samuel Philippe, taillandier, et (1758) Anne Marie Blind, d’abord (1736) femme du taillandier Jean Pierre Rœmus, puis (1787) Anne Barbe Oberlin – luthériens, (1)
Moirant – François Alcibiade, propriétaire, et Domitien Joseph Joseph Asselin, colonel en retraite, (1)
Molitor – François Antoine, passementier, et (1776) Anne Marie Strom, puis (1799) Marie Madeleine Louise Maudeux, (1800, puis divorce) Marie Barbe Strub et (1800) Marguerite Salomé Büchi – catholiques, (1)
Moll – Michel, cordeur de bois, et (1798) Marie Barbe Fuhrer, (1)
Moll – Oswald, jardinier, et (1624) Marguerite Tugend – luthériens, (1)
Mollinger – Ernest Frédéric, (1)
Mollinger – Ernest Frédéric, administrateur de la Monnaie, et (1672) Elisabeth Dietrich – luthériens, (1)
Molsheim – Jean Wolffgang von, maître d’armes, et (1643) Abigaïl Gloner, (1656) Cécile Saltzmann veuve du docteur en médecine Jean Régnard Widt, (1672) Marie Cunégonde Welper veuve de Jean Henri Kügler, (1680) Barbe Knoll veuve du conseiller aulique Jean Henri Schreiber – luthériens, (1), (2)
Molsheim – Loup von, drapier, et (1572) Catherine Reiff – luthériens, (1), (2)
Molter – Augustin Léopold, chef de bataillon, et (1818) Marie Antoinette Françoise Engelmann, (1)
Mommletter – Jean et (v. 1711) Marie Madeleine Witz, d’abord (1703) femme de Gaspard Lempfried – catholiques, notice
Momy – André (Romain Joseph), tapissier, et (1802) Joséphine Schauer, (1), (2), (3)
Momy – Anne Marie, célibataire († 1850), (1)
Momy – Clément, employé des vivres, célibataire († 1823), (1)
Momy – Etienne, boulanger français (bourgeois en 1725), notice
Momy – François Joseph, cafetier, et (1761) Marguerite Schreiber – catholiques, (1)
Monachus – Jean, pasteur, et (1578) Anne Offner – luthériens, (1)
Monachus – Théodose, notaire, et (1617) Susanne Mülkaum puis (1649) Marie Saltzmann, veuve du receveur Laurent Clusrath – luthériens, (1)
Monbilly – Christophe, secrétaire puis officier au service de Russie, et (1763) Françoise Müller – catholiques, (1)
Monflambert – Jean Nicolas, perruquier, et (1746) Marguerite Sophie Dubuisson – catholiques, (1)
Montfort – Jean Pierre, brasseur, et (1658) Catherine Schlehenacker, puis (1676) Anne Gartner, veuve de l’aubergiste David Gessner – luthériens, (1)
Montlaur – Marie Louis, officier, et (1793) Marie Louise Adélaïde Praz, veuve de Jean Félix de Dartein, (1)
Montreux-Chavanatte – Philippe Jacques de, cornette (vente résolue), (1)
Moos – Jean, tailleur, et (1632) Ursule Ferber, veuve du tailleur André Glock – luthériens, (1)
Morgen – Gabriel, boucher, et (1600) Einbeth Heussler – luthériens, (1)
Morgen – Jean, emballeur à la halle, et (1647) Catherine Krug – luthériens, (1)
Moriceau – (François René) Jules, chapelier, et (1841) Marie Ursule Henriette Adèle Debray, (1)
Moriceau – René, chapelier, et (1811) Madeleine Marie Antoinette Kleybler, (1)
Morin – Charles Joseph, courrier de l’armée, et (1818) Barbe Frédérique Larivière, (1)
Morisset – Jacques François, maître d’armes, et (1692) Marguerite Bleu – catholiques, (1)
Moritz – François Jacques, tailleur, et (1829) Aimable Joséphine Mornave, (1), (2)
Morlock – Antoine, fabricant de chandelles, et (1810) Marie Claire Jacquet, (1)
Morpain – Denis, employé à la manufacture des tabacs, et (1825) Marie Salomé Maille, (1)
Moscherosch – Jean Christophe, barbier, et (1647) Marie Kercher – luthériens, (1)
Moser – François Joseph, tisserand, et (1809) Thérèse Kieffer, (1)
Moser – François Xavier, sellier, et (1838) Joséphine Kieffer, (1)
Moser – Jean Jacques, boulanger, et (1711) Anne Barbe Hornung puis (1724) Marie Salomé Frentz – luthériens, (1)
Moser – Jean Sébastien, jardinier à Innenheim, et (1800) Catherine Marguerite Gottié, (1)
Mosseder – Ernest Frédéric, marchand épicier, et (1732) Marie Marguerite Vetter – luthériens, (1)
Mosseder – Jean Georges, marchand et (1693) Elisabeth Richshoffer – luthériens, (1)
Mosser – Jean Paul, aubergiste et marchand de vin, et (1818) Marie Elisabeth Mertz, (1)
Motheux – Quentin, aubergiste, et Anne Marie Strubel puis (1739) Marie Salomé Weber, notice
Motz – Paul, fournier, et (1621) Madeleine veuve de Jacques Laubenberg puis (1624) Marguerite Klein – luthériens, (1)
Mourgue – Nicolas, marchand, et (1707) Marie Marguerite Lamprecht – réformé, manant, (1)
Mouy – François, tonnelier, et (v. 1545) Agathe Schœnenburger – luthériens, (1)
Muderer – Michel, batelier, et (1752) Catherine Barbe Frech – luthériens, (1)
Muderer – Philippe Jacques, garçon batelier, et (1719) Susanne Marie Gayon – luthériens, (1)
Müeg – Georges, consul, et (1599) Anne Chrétienne Wogesser – luthériens, (1), (2), (3)
Müeg – Guillaume André, procureur ordinaire au Petit Sénat, et (1741) Marie Claire Geiger – catholiques, (1)
Müeg – Henri André, greffier – luthérien, (1)
Müeg – Jacques et (1603) Marguerite Lichtensteiger puis (1621) Ursule Seippel – luthériens, (1)
Müeg – Jean Charles, avocat et procureur au tribunal aulique de Spire, (1)
Müeg – Nicolas et (1631) Marthe Biehl – luthériens, (1)
Müeg – Paul, barbier à Lichtenau en Bade (1660), (1)
Mueg de Bofzheim – Sébastien et (1608) Susanne Marguerite de Botzheim – luthériens, (1), (2)
Muffat – Georges, marchand, et (1704) Catherine Rabel – catholiques, (1)
Müh – Jean, tonnelier, et (1781) Marie Madeleine Schlegelmilch – luthériens, (1)
Mühé – Paul Simon, négociant, et (1820) Frédérique Henriette Hoffmann, (1)
Mühl – Eugène (Désiré), notaire († 1899), célibataire, (1)
Mühl – Jean André, négociant, et (1808) Marie Madeleine Meckert, (1)
Mühlberger – Chrétien, avocat, et (1776) Marie Elisabeth Schreider – luthériens, (1)
Mühlberger – Jean Daniel, pasteur, et (1738) Catherine Salomé Werner, puis (1765) Anne Marie Schott – luthériens, (1)
Mühleisen – (Jean Georges) Alfred, brasseur à Schiltigheim, et (1892) Sophie Münch, (1)
Mühleisen – Joseph charpentier, et (1813) Salomé Werner, remariée avec le boulanger Abraham Kober, (1), (2)
Mühlschlegel – Jean Jacques, marchand, et (1764) Marguerite Barbe Müller – luthériens, (1)
Mülberger – Georges Philippe, tanneur, et (1807) Marie Salomé Diehl, (1)
Mülhauser – Oswald, barbier, et (1576) Agathe Mithas ou Stipp – luthériens, (1)
Müllenberger – Jean, potier, et (1611) Barbe Grassmann, (1632) Esther Heim et (1634) Susanne Gœppel – luthériens, (1), (2)
Müllenheim – Frédéric de (de Hüttenheim) † 1610, (1)
Müllenheim – Jean Jacques de, et (1730) Françoise Sidonie de Klinglin – catholiques, (1)
Müllenheim – Jean Régnard de, et Marie Jacobée Zorn de Polbsheim, bourgeois en 1659 – luthériens, (1)
Müllenheim – Louis Henri de, et (1697) Marie Anne Frédérique Bock de Blæsheim – catholiques, (1)
Müller – (Jean Baptiste) Antoine, pâtissier, célibataire († 1839), (1)
Müller – Abraham, jardinier cultivateur, et (1729) Aurélie Wunderer veuve de Jacques Reibel, (1743) Barbe Ruhlmann puis (1744) Barbe Federlin, veuve du jardinier Jean Georges Riebel – luthériens, (1), (2)
Müller – Adolphe Charles, négociant, et (1872) Camille Catherine Susanne Clausing, (1)
Müller – Alphonse Henri, rentier, célibataire († 1882), (1)
Müller – André, maître maçon (1774), célibataire – catholique, notice
Müller – Antoine, plâtrier, et (1804) Marie Eve Bucher, (1)
Müller – Charles Edouard Albert, marchand de farine, et (1879) Mathilde Dorothée Schuh, (1)
Müller – Charles Frédéric, pasteur à Montpellier, et (1911) Mathilde Sigel, (1)
Müller – Daniel, farinier, et (1611) Dorothée Dessinger – luthériens, (1)
Müller – David, aubergiste, et (1645) Madeleine Braun – luthériens, (1)
Müller – Edouard, marchand de farine, et (1853) Caroline Schmidt, (1)
Müller – Frédéric Jacques, ferblantier, et (1783) Marguerite Elisabeth Hebenstreit – luthériens, (1)
Müller – Gaspard Jean Georges, commerçant, et Thérèse Neff, de Mulhouse, (1)
Müller – Georges Guillaume, brasseur, et (1864) Augustine Deschenes puis (1884) Anne Marie Maier, (1)
Müller – Georges Michel, maître maçon, et (1737) Marie Françoise Schissler, puis (1754) Marie Catherine Meltzheim – catholiques, notice
Müller – Georges, tisserand, et (1556) Catherine Kades, d’abord (1545) femme du tisserand Jean Christ, puis (1599) Sara Herrmann – luthériens, (1), (2)
Müller – Guillaume, marchand, et (1598) Marie Goll – luthériens, (1)
Müller – Jacques, boucher, et (1698) Elisabeth Schæffer, (1702) Marie Madeleine Schmidtem puis (1717) Françoise Bach – catholiques, (1)
Müller – Jacques, cordier, et (1770) Anne Marie Haas, puis (1787) avec Catherine Dorothée Tornarius, veuve du pelletier Emanuel Hellbeck, et (1809) Marguerite Madeleine Brida veuve de l’employé a la douane Herrmann Petzel – luthériens, (1)
Müller – Jean Adam, marchand, et (1704) Anne Elisabeth Carol – luthériens, (1), (2), (3), (4)
Müller – Jean Adam, marchand, et (1733) Marguerite Barbe Frœreisen – luthériens, (1)
Müller – Jean Daniel, cordier, et (1757) Marie Barbe Müller auparavant (1743) femme de Christophe Michelbach, charron – luthériens, (1)
Müller – Jean Daniel, cordier, et (1764) Marie Anne Zoberst, d’abord (1752) femme du marchand de poissons Jean André Jung, (1)
Müller – Jean Daniel, tonnelier, et (1697) Anne Marie Eydgenoss – luthériens, (1)
Müller – Jean David, fripier, et (1770) Catherine Salomé Barthel – luthériens, (1)
Müller – Jean Frédéric, boucher, et (1744) Marie Madeleine Vogt – luthériens, (1)
Müller – Jean Frédéric, potier, et (1719) Anne Marie Rittelmeyer puis (1721) Marie Elisabeth Lüttich – luthériens, (1)
Müller – Jean Georges, boulanger, et (1675) Marie Bilger, auparavant (1660) femme du boulanger Jean Frédéric Gross, puis (1698) Barbe Senckeissen – luthériens, (1)
Müller – Jean Georges, ferblantier, et (1759) Frédérique Hœnické – luthériens, (1)
Müller – Jean Georges, fripier puis cabaretier, et (1806) Marguerite Barbe Geyler, (1823) Anne Marie Mæhn, (1)
Müller – Jean Georges, tonnelier, et (1751) Marie Marguerite Debus – luthériens, (1)
Müller – Jean Guillaume, propriétaire, et Marie Louise Sœhnée, (1)
Müller – Jean Henri, négociant, et (1807) Christine Frédérique Mannberger, (1)
Müller – Jean Jacques, horloger, et (1657) Marguerite Scherbaum puis (1660) Marguerite Lang – luthériens, (1), (2)
Müller – Jean Jacques, peignier puis marchand épicier, et (1804) Marie Madeleine Kœbelé, (1)
Müller – Jean Joseph, représentant de commerce, et (1892) Marie Catherine Baumgarten, (1)
Müller – Jean Laurent, cordonnier, et (1813) Marie Dorothée Kohler, (1)
Müller – Jean Louis, maître maçon, et (1741) Françoise Müller – catholique, notice
Müller – Jean Martin, tourneur, et (1829) Elisabeth Heer, (1)
Müller – Jean Melchior, tailleur, et (1669) Catherine Bindenschuh – luthériens, (1)
Müller – Jean Michel, maçon, et (1789) Marie Elisabeth Ritleng – catholiques, notice
Müller – Jean Michel, tailleur d’habits, et (1691) Marie Elisabeth Nické – catholiques, (1)
Müller – Jean Michel, tisserand, et (1796) Anne Madeleine Humann, puis (1801) Anne Marie Reinbold, (1), (2)
Müller – Jean Pierre, ferblantier, et (1800) Catherine Elisabeth Kuhn, (1)
Müller – Jean Richard, libraire, et (1578) Agnès Stœr, d’abord (1569) femme de Jacques Hag, puis (1602) Marie, veuve du pasteur Sébastien Cœler – luthériens, (1)
Müller – Jean Simon, compagnon serrurier, et (1806) Dorothée Herrmann, (1)
Müller – Jean, aubergiste, et (1615) Apollonie Güntzer, puis (1637) Apollonie Braun, veuve du tonnelier Marcel Haas – luthériens, (1)
Müller – Jean, menuisier, et (1620) Apollonie Winter – luthériens, (1)
Müller – Jean, meunier puis pileur, et (1714) Anne Marie Eckart -catholiques, (1)
Müller – Jean, préposé au sel, et (1596) Catherine, veuve de Jean Würffel puis (1613) Ursule Baur – luthériens, (1)
Müller – Jean, serrurier, et (1593) Salomé Mock puis (1611) Susanne Acker, d’abord (1608) femme du pasteur Wolffgang Sibenhorn – luthériens, (1)
Müller – Josse, mercenaire, et (1606) Marie Eberlin – luthériens, (1)
Müller – Laurent, maraîcher, et (1661) Marthe Winter – luthériens, (1)
Müller – Martin, jardinier botaniste, et (v. 1852) (Marie Louise Adèle) Angélique Keller puis (v. 1876) Marie Catherine Jesslin veuve de l’orfèvre Charles Auguste Mylius, (1)
Müller – Mathias, cultivateur à la Robertsau, et (1641) Marie Joss, veuve de David Ittelhæuser, puis (1665) avec Catherine Wunderer – luthériens, (1)
Müller – Michel, maître maçon, et (1761) Thérèse Canissier – catholiques, notice
Müller – Pierre, ferblantier, et (1759) Anne Marie Knobloch puis (1771) Madeleine Gœttling d’abord (1766) femme du préposé aux grains Georges Fendrich – catholiques, notice
Müller – Simon Frédéric, pasteur puis propriétaire, et (1827) Anne Marie Zimmermann, (1)
Müller – Urbain, cocher puis appariteur, et (1605) Marguerite Graseck, veuve du maçon Sébastien Gloss (Glock, Sonnet) – luthériens, (1)
Müller – Zébédée, peintre, (1)
Müller – Zébédée, tisserand puis marchand d’eau-de-vie, et (v. 1582) Elisabeth Ittelhauser puis (1617) Marie Ulmann, remariée (1630) avec le pasteur Michel Koch – luthériens, (1)
Müller Simonis – Henri Paul, prêtre († 1930), (1)
Mültenberg – Jean von, tailleur et commissaire priseur, et Barbe – luthériens, (1)
Münch – (Louis) Auguste, lithographe, et (1867) Catherine Salomé Gœtz, (1)
Münch – André, boucher, et (1823) Caroline Elisabeth Zabern veuve de Jean Jacques Lobstein et de Philippe Jacques Kieffer, (1)
Münch – Charles Guillaume Benjamin, directeur de l’école industrielle, et (1833) Mélanie Schneiter, (1)
Münch – Jacques, tisserand, et (1684) Barbe Fischer puis (1719) Marie Elisabeth Schultheiss – luthériens, (1)
Münch – Jean, cafetier, et (1876) Marie Jeanne Voisard, (1)
Münch – Laurent, tisserand, et (1717) Anne Barbe Kessler – luthériens, (1)
Münch – Marcel, charron, et (1682) Anne Marie Weber – luthériens, (1)
Münch – Philippe Jacques, tisserand, et (1721) Marie Marguerite Baur – luthériens, (1)
Mündel – Jacques, boulanger, et (1819) Salomé Ehrhard, (1)
Munschina – Jean Baptiste, avoué, et (1812) Marie Catherine Rose Ferazino, (1)
Müntz – Antoine de, capitaine, et (1735) Madeleine Barnier veuve de Pierre Le Blanc – catholiques, (1)
Muralt – Jean von, lieutenant-colonel veuf d’Anne Marie de Brissac, et (1769) Marie Marguerite Brand – réformé et luthérienne, (1)
Murat – Moïse dit la Coste, frippier, et (1702) Marie Barbe Schwab – catholiques, (1)
Mürdel – François Henri, boucher, et (1766) Catherine Marguerite Knoderer – luthériens, (1)
Mürsch – Martin, entrepreneur des travaux du Rhin à Illkirch, et (1802) Madeleine Wurtz, (1)
Mürsch – Nicolas, jardinier, et Susanne (1659) – luthériens, (1)
Mürschel – Israël, pasteur à Bischheim, et (1626) Anne Marie Brand puis (1636) Dorothée Beinheim – luthériens, (1)
Mury – Pantaléon, aubergiste, et (1819) Josèphe Doroschinsky, (1)
Musculus – Charles, ébéniste, et (1825) Caroline Braun puis (1834) Eléonore Sophie Frantz, (1)
Musculus – Georges Frédéric, potier, et (1726) Marie Madeleine Nagel – luthériens, (1)
Musculus – Jean Conrad, potier, célibataire – luthérien, (1)
Müssel – Philippe Jacques, tonnelier, et (1772) Anne Marguerite Dürr – luthériens, (1)
Mustinger – Jean Gaspard, chirurgien, et (1685) Marie Elisabeth Gundelwein veuve du barbier Philippe Trombach, puis (1710) Marie Diehl veuve du diacre Jean Georges Kitsch – luthériens, (1)
Mutschler – Frédéric, aubergiste, et (1910) Marie Catherine Gross puis (1939) Marie Rose Germaine Buchmann, (1)
Mutschler – Gabriel, tailleur et commissaire priseur, et (1586) Ursule Schaumann – luthériens, (1)
Mutzig – Chrétien (Christmann) von, aubergiste, et (1583) Anne Thomann, veuve de Marcel Artzt – luthériens, (1)
Mutzig – Chrétien (Christmann) von, aubergiste, et (1610) Odile Meyer veuve de Nicolas Fritsch puis (1615) Marguerite Stephan, veuve de Thiébaut Wiers – luthériens, (1)
Mutzig – Georges, propriétaire, et Marie Catherine Schneider puis (1866) Catherine Wiesner veuve de Jean Conrad Hüttner, (1)



Table alphabétique des propriétaires, C


ABDEFGHI-JKLMNOP-QRSTU-VWZ

Caba (de) – Philippe, baron de Caberg, général au service de sa Majesté impériale, et Jacqueline de Knipenberg (1657), (1)
Cabaret – Jacques Marie Léonard, receveur des finances, et (1800) Marguerite Sophie Barbenes puis Marie Louise de Salomon, (1)
Cadé – Paul, cafetier, et (1831) Catherine Pfeiffer, (1863) Marie Anne Ehrhard puis (1880) Marie Eugénie Felter, (1)
Cadet – Georges, maréchal ferrant, et (1825) Marguerite Lix, (1)
Caillet – Georges Joseph, Jean Chevaux, Jean Baptiste Prosper Fontaine et Dominique Clouzet, prêtres (tontine) , (1)
Caïmi – André, courtier de marchandises, et (1795) Jeannette Cassano, (1)
Caire – Marcellin, marchand de tabac, et (1758) Marie Jeanne Duval – catholiques, (1)
Caisse des veuves de ministres protestants, (1)
Calame – Florian, horloger († 1814), et Anne Clémence Saigey, (1)
Calède – Dominique, militaire, et (1849) Elisabeth Fritz, (1)
Calmet – Jean, conseiller du Roi, prévôt général de la Maréchaussée en Alsace, et Anne Rousseau puis Elisabeth Luhmann – catholiques, (1)
Camehl – François Frédéric, greffier au Petit Sénat, et (1673) Marie Madeleine Reichard – luthériens, (1)
Camehl – Gaspard, horloger, et (1616) Anne Marie Petri – luthériens, (1)
Camehl – Georges, horloger, et (1646) Anne Marguerite Wilwisheim puis (1653) Marie Franck, remariée (1673) avec le messager et trompette Jacques Guillaume Kiessel, (1)
Camel – Noël, tapissier, et (v. 1684) Marie Claude de La Tour – catholiques, (1)
Camel – Pierre, secrétaire, et (1599) Anne Erhard – luthériens, (1)
Caneau – Louis Claude, juriste puis religieux franciscain – catholique, (1)
Capiomont – Jean Baptiste Louis, contrôleur à la manufacture d’armes de Mutzig, et (1812) Marie Catherine Derché veuve de Nicolas Frizon, (1)
Capitaine – Claude, aubergiste, et (1688) Marie Vicat puis (1695) Marguerite Escuyer du Pré veuve du confiseur Julien Maux – catholiques, (1), (2)
Capitaine – Jacques Philippe, aubergiste, et (1735) Marie Madeleine Kœnig – catholiques, (1)
Cappaun – Jean Daniel, juriste, et (1742) Marguerite Salomé Courtz – luthériens, (1)
Cappe – Charles Louis de, commissaire ordonnateur des guerres, et (v. 1765) Marie Hyacinthe Ursule Locart – catholiques, (1)
Cappès – Jean Bernard, notaire, secrétaire, et (1773) Marie Anne Bernard – catholiques, notice
Capriol – André de, chevalier seigneur de Saint-Hilaire et Pechassant, major et (1772) Rosalie Elisabeth Horrer – catholiques, (1)
Capriol – Marie Joseph André de Saint Hilaire, maréchal de camp, et Jeanne Adélaïde Dousset, (1)
Carben – Jean Frédéric von, orfèvre, et (1683) Elisabeth Hermann puis (1695) Barbe Baumgartner – luthériens, (1)
Carbonel – Antoine, marchand, et (v. 1710) Marguerite Béatrice Beausire – catholiques, (1)
Carey – Louis, marchand cartier, et (1777), Elisabeth Odile Pescaire, veuve de Pierre Jean Laborie et de Jean Claude Jeantet, marchands cartiers – catholiques, (notice)
Carl – Jean Léonard, aubergiste, et (1677) Salomé Schwing, femme divorcée de l’aubergiste Jean Joachim Haubenstricker – luthériens, (1)
Carl – Jean Martin, tisserand, et (1749) Susanne Wetzlau, veuve de Mathias Dax, (1759) Marie Rosine Wingert puis (1761) Anne Marthe Schmidt – catholiques, (1)
Carl – Marie Georges Adolphe, prêtre et directeur d’institution, (1)
Carlé – André Nicolas, marchand puis soldat, et (1745) Marie Madeleine Weiss remariée (1763) au marchand Joseph Antoine Zimmermann – catholiques, (1)
Carlé – Henri, marchand, et (1779) Marie Eve Roos – catholiques, (1)
Carlé – Nicolas, soldat, lainier puis cardeur de coton, et (1720) Marie Madeleine Scheer – catholiques, notice
Carlier – François Xavier, greffier bailliager, notaire puis juge de paix, et (1755) Anne Marie Guissing puis (1765) Marie Catherine Ruelmann – catholique, notice
Carnari – Jean Jacques, notaire, veuf de Catherine Sophie Diebolt et (1819) Marguerite Dorothée Hæckler, femme (1812) du marchand de vins Jean Jacques Guntzer, veuf de Catherine Brida, (1)
Caroli – Frédéric, pasteur et (1679) Marguerite Barbe Reussner – luthériens, (1)
Carré – Sébastien, capitaine, et (1744) Geneviève Carré – catholiques, (1)
Carrogey – Dominique, domestique, et (1696) Marie Meyer veuve du sergent Antoine Bezard – catholiques, (1)
Caspar – (François) Mathias, batelier, et (1768) Marguerite Kling – catholiques, (1)
Caspar – Jean Georges, menuisier, et (1815) Marie Jeanne Françoise Chantal Pick, (1)
Caspar – Jean Jacques, boulanger, et (v. 1610) Barbe puis (1627) Apollonie Rost – luthériens, (1)
Caspar – Joseph, cordier puis marchand de laine, et (1850) Françoise Kœsel, (1)
Caspari – Jean Ogier, marchand, et (1680) Marie Salomé Redslob – luthériens, (1)
Caspari – Jean, marchand, et (1741) Marie Marguerite Brand – luthériens, (1)
Castor – Conrad, cordonnier, et (1836) Laurence Adolphe Prestat puis (1848) Catherine Frey, (1)
Castor – Philippe Jacques, tailleur d’habits, et (1798) Marie Madeleine Meyer, (1)
Cayon – Gaspar, manant et maçon, et (1690) Susanne Gori – réformé et luthérienne, (1)
Cellarius – Jean Michel, fabricant de pâtés, et (1609) Anne Hey puis (1630) Dorothée Knopff – luthériens, (1)
Certain – Jean François, confiseur, et (1741) Marie Salomé Pflug – catholiques, (1)
Certain – Jean, confiseur, et (1719) Anne Marie Cladi puis (1745) Marie Rose Blondel – catholiques, (1)
Certain – Joseph, conseiller du roi († 1792), catholique, (1)
Chaillot – Pierre du, aide major et capitaine des portes, et (v. 1723) Anne Augron veuve Chauvelin de Beauregard – catholiques, (1)
Chaineau – Nicolas, couvreur en ardoises et entrepreneur, et (1751) Marie Madeleine Chevalier, puis (1776) Jeanne Housset – catholiques, (1)
Chambre des logements militaires, (1)
Chamfort – Jean de, commandant, et (1710), Jeanne Genot, veuve du commissaire d’artillerie Jacques Loubert – catholiques, (1)
Champy – Bernard Michel, propriétaire de forges, et (1816) Elisabeth Joséphine Pierrette Prost, (1)
Champy – Edme, chirurgien de l’armée, et (1794) Eléonore Monnier, (1)
Champy – Louis, maître des forges de Framont, et (1788) Hélène Eléonore Chouard – catholiques, (1)
Chanard – Antoine, sellier, et (1701) Marie Ritter – catholiques, notice
Chapitre Saint-Etienne, (1)
Chapitre Saint-Thomas, (1)
Chapuis – Jean, fabricant de chandelles, et (1712) Antoinette Maury puis (1718) Marie Gasque dite Duportal – catholiques, notice
Charbonnier – Benoît dit Chevalier, officier de la monnaie, et (v. 1685) Marguerite Genon – catholiques, (1)
Charot – Louis, marchand, et (1704) Marie Sibylle Pierrot – catholiques, (1)
Chartier – Marie et Françoise Jacqueline, marchandes de fruits, (1)
Chartreuse et de Saint-Nicolas-aux-Ondes, Fondations de la, (1)
Chartreuse, (1)
Chastelain – Jean Louis Antoine Alexandre, commissaire des guerres, et (1792) Marie Anne Catherine Humbourg, (1)
Chateau – Alexis Louis, militaire en retraite, et (v. 1810) Marie Salomé Dorbié, (1), (2), (3)
Chaumont – Jean Pierre, capitaine, et (1766) Marie Ursule Cagnon – catholiques, (1)
Chaumont – Jean Pierre, marchand, et (1737) Catherine Madeleine Le Blanc – catholiques, (1)
Chauvigny – Gilbert de, propriétaire à Saint-Gal-sur-Sioule, et Anne Hélène Charlotte de Sayn et Wittgenstein, (1)
Chavanne – Philippe Théodore, tailleur, et (1817) Elisabeth Penjon, (1)
Chavassine – Claude François de, négociant, et (1746) Catherine Trombert – catholiques, notice
Chayrou – Louis Ignace, officier de santé, et (1800) Marie Marguerite Hausser, (1)
Chemnitzius – Philippe Chrétien, marchand, et (1636) Ursule Müller – luthériens, (1)
Chené – Claude François, notaire (1746-1777) – catholique, notice
Chené – François Antoine, péager au Wickheusel, et Gertrude Belle – catholiques,
Chenin – Joseph, fabricant d’allumettes, et (1830) Marguerite Louise Maugin, remariée (1862) avec le journalier Jean Baptiste Kempf, (1)
Chevallier – Jacques Ignace, marchand épicier, et (1840) Madeleine Fischer, (1)
Chevallier – Pierre Victor, chapelier, et (1830) Marguerite Salomé Gangloff, (1)
Choisy – Jean Baptiste, sellier carrossier, et (1744) Marie Salomé Rothenbach – catholiques, notice
Chouard – Bernard, directeur général de la régie en Alsace, (1766) Anne Hélène Lohmeyer – catholiques, (1)
Christ – Georges, étudiant en droit (1823), (1)
Christ – Jacques, cordier, et (1685) Salomé Siffert puis (1689) Jacqueline Grimm – luthériens, (1)
Christ – Jean Adam, ferblantier, et (1798) Marie Marguerite Dietrich veuve de Jean Georges Schiemann, (1)
Christ – Jean Henri, diacre, et (1648) Dorothée Edel, d’abord (1632) femme du pasteur Frédéric Heupel, puis (1682) Anne Catherine Schneider, d’abord (1675) femme du passementier Jean Jacques Bæhr – luthériens, (1)
Christ – Jean, boulanger et farinier, et (1617) Ursule Kuntz – luthériens
Christ – Melchior, chapelier, et (1662) Eve Storck veuve du contremaître Elie Reiff puis (1664) Susanne Oberlin – luthériens, (1)
Christ – Philippe Jacques, peintre, (1)
Christen – François Xavier de et (v. 1798) Marie Catherine Walburge Badani veuve de Denis Joseph André de Gail, (1)
Christen – Jean Conrad, pasteur à Sainte-Aurélie, et Marie Salomé Büttner puis (1754) Susanne Catherine Dürninger veuve de Jean Daniel Riss – luthériens, (1)
Christian – Jean, chaudronnier, et (v. 1648) Marie Marguerite Pœnius puis (1663) Anne Dieffenbecher – luthériens, (1)
Christian – Jean, chaudronnier, et (v. 1676) Rosine Augschwitz, (1678) Barbe Rœderer puis (1703) Marie Madeleine Schmidt – luthériens, (1)
Christiani – Christophe, marchand, et (1691) Marie Salomé Dreher veuve de Jean Philippe Kast – luthériens, (1)
Christianus – Jean (Christian), chaudronnier, et (1706) Dorothée Mercklin – luthériens, (1)
Christmann – Charles Philippe, tonnelier, et (1832) Caroline Kober, (1)
Christmann – Jean Daniel, négociant, et (1793) Anne Marie Fleischhauer puis (1802) Frédérique Sophie Lung remariée (1812) avec le passementier Charles Louis Bahn, (1), (2), (3)
Christmann – Jean Daniel, passementier, et (1827) Caroline Sophie Lung, (1)
Christmann – Jean Philippe, tonnelier, et (1805) Madeleine Dorothée Dürr, (1)
Christmann – Jean, farinier, et (1790) Marguerite Salomé Riedinger puis (1807) Marie Madeleine Schlæber – luthériens, (1)
Christophe – Charles, boulanger des vivres, et (1777) Marie Barbe Vonié – catholiques, (1)
Cindrowitz – Paul, officier polonais, et (1838) Elisabeth (Anne Marguerite Elise) Perny, (1)
Cladé – Jean, cordonnier, et (1707) Anne Eve Singer – réformés, (1)
Clady – Jean Frédéric, confiseur, et (1776) Marie Elisabeth Senckeissen – catholique et luthérienne, (1)
Claude – Ignace (Nicolas), juge garde de la Monnaie, célibataire († 1794), (1)
Claus – Adam, greffier et notaire et (1720) Anne Marie Colombe Corwan – catholiques, notice
Claus – François Gaspard, avocat et procureur au Grand Sénat, et (1757) Marie Anne Vogel – catholiques, (1)
Claus – Gaspard, tailleur et bonnetier, et (1624) Félicité Freyder puis (1663) Esther Hellbeck dite Bœhm – luthériens, (1)
Claus – Jacques, cordonnier, et (1612) Chrétienne Herr, remariée (1627) avec le cordonnier Thiébaut Metzger – luthériens, (1)
Claus – Jean Nicolas, marchand, et (1750) Julienne Salomé Kiessel – luthériens, (1)
Clausing – Philippe Frédéric, officier de santé, et (1798) Marguerite Salomé Wittmann, auparavant compagne du chef de brigade Nicolas Houel, (1)
Clausmar – André, vigneron à Wangen et (1678) Elisabeth Klein – luthériens, (1)
Clausmar – Henri (Clausmann) de Marlenheim (1642) et Brigitte, (1)
Clausmar – Jean puis Clausmann, marchand de chevaux, et (v. 1709) Marie Marguerite Stoltz, remariée (1731) avec le boutonnier Jean Enoch Hæssel – luthériens, (1)
Clausmar – Jean, de Marlenheim (1689) , (1)
Clauss – Jean Georges, potier, et (1701) Anne Marie Reh, remariée (1716) avec le potier Jean Dieuloué Nœdel – luthériens, (1)
Clauss – Jean Georges, potier, et (1727) Marie Catherine Eckart – luthériens, (1)
Claussmeyer – Jean, menuisier, et (1669) Marie Madeleine Lienhard – luthériens, (1)
Clavey – François Xavier, maître de pension, et (1763) Marie Salomé Lich – catholiques, (1)
Clément – Rosalie, (1)
Clerc – Augustin, horloger, et (v. 1693) Elisabeth Marie puis (1694) Elisabeth Barthelemy, veuve du vivandier Jean Longuant dit Montauban – catholiques, (1)
Clérie – Louis (Charles François) de, sous inspecteur des équipages à Audincourt, et (1801) Sophie Elisabeth Hélène Meyer, (1)
Clignet – Jacques, teinturier, et Jeanne Catherine Kramer – réformés, (1)
Clignet – Pierre, teinturier, et (1655) Elisabeth Chardinet veuve de David Bozon – réformés, (1)
Clussrath – Laurent, archiviste, et (1587) Marie Fuchs puis (1608) Susanne Eckhard auparavant (1583) femme du marchand Jean Volckwein – luthériens, (1)
Cody – Pierre, employé de raffinerie, et (1808) Marguerite Claudine Bromet, (1)
Collé – François Urbain, boulanger français, et (1714) Anne Beyer veuve de Damien Launois – catholiques, (1)
Collmar – François Adam, compagnon maçon, et (1774) Catherine Elisabeth Kœllner, veuve de Jean Kræmeyer (1764) – catholiques, (1)
Collonel – Pierre, chirurgien, et (1777) Marguerite Güthlein – catholiques, (1)
Comes – Guillaume, huissier, et (1769) Anne Marguerite Schneider – catholiques, (1)
Commanderie Saint-Jean, (1)
Communauté israélite de Strasbourg, (1)
Compagnie des Chemins de fer de l’Est, (1)
Compenius – Hermann Henri, chirurgien et barbier, et (1687) Anne Catherine Gass, – luthériens, (1)
Comperot – Marin Henri, marchand de vins, et (1769) Odile Louis, veuve du confiseur Jean Antoine Falconet, puis (1776) Marguerite Benoist veuve du boulanger Antoine Charles Martin – catholiques, (1)
Comte – Pierre, domestique, et (1714) Marie Madeleine Bohnert – manants, catholiques, (1)
Condé – Thierry, jardinier, et (1600) Ursule Widmann, (1607) Marie Cléophée Meyenthau puis (1618) Marguerite Friderich, remariée (1622) au jardinier Georges Spener – luthériens, (1)
Conigliano – Bernard, marchand à Lunéville et à Strasbourg, et (1741) Marie Josèphe Mathieu – catholiques, (1)
Conigliano – Jean Baptiste, marchand, et Marie Barbe Vulpilier – catholiques, (1)
Conigliano – Marie Joseph, négociant, et (1716) Marie Marguerite Marigny – juif converti, catholiques, notice
Conrad – Jean Henri, négociant, et (1777) Marie Madeleine Miesch – catholiques, (1)
Conrad – Jean, précepteur, et (1768) Marie Dorothée Wachenheim – luthériens, (1)
Conrad – Pierre François, négociant, et (1814) Marie Anne Kieffer, (1)
Contz – Jean Wolfgang, receveur, notaire royal, et (v. 1671) Marie Weidmann – catholiques, notice
Coquard – Claude, marchand parfumeur, et (1701) Marguerite Bartel – catholiques, (1)
Corbia – Jean François, tailleur de pierres, et (1838) Anne Marie Hiller veuve d’Ignace Mesmer, (1)
Corps des Pensions, (1)
Corwan – Jean Jacques, cordonnier, et (1685) Anne Marie Lehmann, (1697) Anne Catherine Beck veuve de Jean Georges Ott, (1733) Anne Marie Zoller – catholiques, notice
Cossa – André, marchand, et (1704) Jeanne Fischer veuve du tailleur André Wenck puis (1717) Marie Lucie Brentana Scalina – catholiques, notice
Cossa – Joseph Antoine, marchand, et (1755) Marie Françoise Susanne Scotti – catholiques, (1), (2)
Cottler – Jean Daniel, huilier, et (1783) Salomé Ehrlenholtz – luthériens, (1)
Coudre – Joseph Henri, procureur au Conseil souverain d’Alsace à Colmar, et (1756) Marie Rosine Dreux, (1)
Coudu – André, maître de danse, et Antoinette Cordonnier puis (1701) Catherine Thérèse Bentz veuve d’Antoine de la Frégère – catholiques, (1)
Coulaux – Jacques, entrepreneur de la manufacture d’armes de Klingenthal, et (1791) Anne Sütterlin – catholiques, (1), (2)
Couppard – Jean, sieur des Friches, oculiste, et Catherine Muffat – catholiques, (1)
Courjean – Jean Joseph, épicier, et Marie Anne Hillenweck, (1)
Courtz – Jean Wolfgang, notaire, et (1705) Marie Elisabeth Mockel puis (1715) Marie Susanne Schatz – luthériens, notice
Couturat – Augustin François Clément, ingénieur des Travaux du Rhin, et (1821) Marie Marguerite Adèle Exel, (1), (2)
Couvent des Pénitentes, (1)
Coyard – Calixte, marchand de sangsues, et (1832) Marie Madeleine Gaudiot, (1)
Cratzmeyer – François Joseph, receveur, et (1711) Marie Anne Larue – catholiques, (1)
Cratzmeyer – Jean Maurice, chanoine – catholique, (1)
Créhange – Jacob, négociant, et (1810) Jeannette Ernestine Lincourt, (1)
Cretin – Frédéric, propriétaire, et Frédérique Eléonore Schild, (1), (2)
Creutzenacher – Nicolas, barbier chirurgien, et (1613) Anne Marie Kretzinger – luthériens, (1)
Cristian – Ferdinand Léopold de, capitaine, etAnne Morel puis (1730) Anne Marie Hüber veuve d’Alexandre Ridejoy – catholiques, notice
Cromer – Prosper Etienne, restaurateur, et (1874) Caroline Emilie Meinzer, remariée (1889) avec Alfred Henri Raoul Abel, horloger, (1)
Cron – Jean Adam, apprêteur de tabac, et (1695) Anne Marie Katzenstein auparavant femme (1677) du fondeur de cloches Jean Martin Küffel puis (1687) du garçon batelier Nicolas Klingelmeyer – luthériens, (1)
Croner – Jean Jacques, fripier, et (1745) Marie Salomé Lutz – luthériens, (1)
Cros – Pierre dit Cros-Roux, marchand de vins, et (1802) Marie Jeanne Marguerite Roux, (1)
Cubertefond – Bernard, cloutier, et (1796) Geneviève Virt, (1)
Cubertefond – Michel, cloutier, et (1845) Madeleine Dürrenberger, (1)
Cuchot d’Herbain – Claude, aide major, et (1719) Catherine Pierrette Petin – catholiques, (1)
Cullmann – Jean Chrétien, sellier, et (1738) Anne Marie Weltz – luthériens, (1)
Culmann – Noé, brasseur, et Catherine Müller – luthériens, (1)
Culmann – Noé, tonnelier et brasseur, et (1588) Catherine Müller – luthériens, (1)
Culmann – Noé, tonnelier et brasseur, et (1610) Apollonie Fend – luthériens, (1)
Cuntz – André, huilier, et (1574) Sara Wencker – luthériens, (1)
Cuntz – Charles (mariage non célébré, 1818, avec Marguerite Barbe Gerrin), interdit en 1820, (1)
Cuntz – Jean Georges, baigneur, et (1776) Catherine Madeleine Klein – luthériens, (1), (2), (3)
Cuntz – Jean Jacques, baigneur, et (1782) Catherine Elisabeth Klein – luthériens, (1)
Cuntzmann – Jean Philippe, secrétaire, et (1644) Susanne Salomé Neff puis (1646) Elisabeth Crusius – luthériens, notice
Cuny – Jean Baptiste, employé à la manufacture des tabacs puis négociant, et (1843) Sophie Klotz, (1)
Custine (de) – Philippe, seigneur de Guermange et Marie Gertrude Caba de Caberg (1657), (1)
Custine de Guermange (de) – Jacqueline Elisabeth († 1735), (1)



Table alphabétique des propriétaires, B


ACDEFGHI-JKLMNOP-QRSTU-VWZ

Bach – Christophe, receveur de familles nobles, et (1691) Anne Marguerite Kamm veuve de Sébastien Goldbach – luthériens, (1)
Bach – Daniel (Boch), négociant, et (1589) Catherine Dentner, d’abord (1578) femme de Pierre Bertschweiler – luthériens, (1)
Bachel – Simon, maçon, et (1707) Marie Madeleine Mentzinger veuve de Jean Charles Logel – catholiques, (1)
Bachelin – Guillaume Simon, marchand, et (1751) Marie Marguerite Wolff – catholiques, (notice)
Back – Othon, entrepreneur en bâtiment, et (1872) Marie Flinck, (1)
Bade-Bade – Auguste Georges margrave margrave de, et (1735) Marie Victoire Pauline d’Arenberg (1)
Bader – François (François Ignace), cafetier, et (1779) Catherine Siffert – catholiques, (1)
Bader – Jean Baptiste, cafetier, et (1812) Marguerite Hansmænnel, (1)
Bader – Jean Jacques, meunier à Plobsheim puis à Hugsweier – luthérien, (1)
Bader – Joseph, aubergiste, et (1807) Marie Catherine Reinhard, (1)
Bader – Louis Frédéric, négociant, et (1805) Victoire Schertz, (1)
Bader – Michel, marchand de vins, et (1831) Sophie Burger, (1)
Bader – Wolffgang Auguste, marchand, et (1763) Marguerite Salomé Rœderer – luthériens, (1)
Bæhr – Christophe Evrard, notaire, et (1689) Eve Schumacher, (1693) Marie Elisabeth Winter et (1711) Marguerite Huck – luthériens, notice
Bæhr – Jean Christophe, passementier, et (1715) Anne Marguerite Gory – luthériens, (1)
Bæhr – Jean Frédéric, orfèvre, et (1765) Charlotte Louise Wagner – luthériens, (1)
Bæhr – Jean Jacques, pelletier, et (1665) Barbe Finckler – luthériens, (1)
Bæhr – Jean Jacques, serrurier, et (1750) Susanne Dorothée Spæth, puis (1763) Catherine Elisabeth Jennisch – luthériens, (1)
Bæhr – Jean Martin, serrurier, et (1721) Marie Salomé Kamm, (1723) Sophie Elisabeth Bernhard, puis (1745) Marie Salomé Braun femme (1738) de l’apprêteur de tabac Jean Henri Berger – luthériens, (1)
Bær – Charles Frédéric, sellier carrossier,et Barbe Baumer puis (1832) Marie Elisabeth Bourbon, (1)
Bær – Chrétien Jacques, négociant, (1)
Bær – Christophe Frédéric, passementier, et (1812) Marguerite Madeleine Bauer, puis (1822) Caroline Auguste Knoderer, (1)
Bær – Jean Daniel, orfèvre, et (1717) Marguerite Barbe Strœhling – luthériens, (1)
Bær – Jean Sébastien, serrurier, célibataire († 1819), (1)
Bæuerlé – Charles Henri, fabricant de pipes, et (1753) Marie Salomé Kost – luthériens, (1)
Bæurel – Nicolas, cordonnier, et (1716) Marie Dorothée Schmitz – luthériens, (1)
Bahl – Jean Frédéric, aubergiste, et (1690) Marie Marguerite Barthol – luthériens, (1)
Bahn – Charles Louis, passementier, et (1812) Frédérique Sophie Lung veuve de Jean Daniel Christmann, (1)
Bahn – Jean, tisserand, et (1685) Catherine Straub, d’abord (1665) femme du tisserand Laurent Bastian, puis (1691) Marie Madeleine Schatz veuve de Philippe Giess, remariée (1697) avec le cordier Benjamin Frantz – luthériens, (1)
Bailliet – Pierre, cocher puis marchand de fruits et légumes, et (1763) Marie Madeleine Sommer veuve de Jean Daniel Merckel – réformé et luthérienne, (1)
Balay – Jean Jacques François, peintre en miniature, et (1769) Marie Catherine Maison – catholiques, (1)
Balazuc – Louis, chirurgien militaire, et (1769) Marie Elisabeth Barbazan – catholiques, (1)
Baldner – Charles Frédéric, menuisier, et (1830) Louise Meyer, (1)
Baldner – Charles, pêcheur, et (v. 1604) Ursule Mock puis (1641) Marie Frœreisen veuve d’April Brosier et de Jacques Schreiber – luthériens, (1)
Baldner – Frédéric, boutonnier en zinc, et (1740) Marguerite Salomé Ziegler – luthériens, (1)
Baldner – Jacques, pêcheur, et (1626) Salomé Winckler puis (1632) Marie Saur d’abord (1617) femme du tisserand Nicolas Fischer – luthériens, (1)
Baldner – Jean Daniel, tailleur puis fripier, et (1742) Marie Madeleine Metzger, (1749) Marie Madeleine Brunner, (1777) Catherine Salomé Hæberlin – luthériens, (1)
Baldner – Jean Frédéric, boutonnier en zinc, et (1707) Marie Ursule Graff – luthériens, (1)
Baldner – Jean Geoffroi, boulanger, et (1789) Susanne Marguerite Blessig, remariée (1809) au gainier Jean Michel Klein – luthériens, (1)
Baldner – Jean Georges, tonnelier, et (1765) Marie Barbe Butz – luthériens, (1)
Baldner – Jean Jacques, farinier, et (1675) Anne Rauscher puis (1692) Barbe Schertz – luthériens, (1)
Baldner – Jean Jacques, notaire, et (v. 1707) Anne Marie Güttich – luthériens, notice
Baldner – Jean, orfèvre, célibataire († 1764) – luthérien, (1)
Baldner – Jean, receveur, et (1667) Marie Salomé Theurer – luthériens, (1)
Baldner – Jean, secrétaire puis receveur, et (1638) Madeleine Gambs, (1646) Anne Marguerite Camel puis (1667) Anne Catherine Orth, veuve du docteur en médecine Paul Sebitzius – luthériens, (1)
Baldner – Martin, pêcheur, et (1629) Marie Roser – luthériens, (1)
Baldner – Pierre, batelier, et (1623) Barbe Herrmann, veuve du batelier Jean Heinrich – luthériens, (1)
Ball – Jean, cloutier, et (1754) Marguerite Scheuring – luthériens, notice
Ballis – Jean Frédéric, tonnelier, et (1827) Caroline Salomé Schnée, (1)
Balmer – Frédéric, chargeur à la douane, et Catherine Louise Bricka, (1)
Balthasar – Gui, journalier, et (1617) Marguerite Fuchs – luthériens, (1)
Balthasar (de) – Philippe Christophe, officier, et (1768) Marie Madeleine de Türckheim – luthériens, (1)
Baltz – Jean Louis, secrétaire, et (1619) Susanne Kauffmann veuve de l’orfèvre Nicolas Eberlin – luthériens, (1), (2)
Bambis – Jean, aubergiste, et (1852) Dorothée Kolb, (1)
Bameyer – Jean Jacques, boucher puis aubergiste au Cygne à Stuttgart, et (1704) Marie Cléophé Werner – luthériens, (1)
Bameyer – Jean Philippe, manant employé au chantier des charpentiers, et (1727) Catherine Madeleine Hatt, puis (1748) Elisabeth Stammer, réformée, divorcée du cordonnier Laurent Mosimann – luthériens, (1)
Bameyer – Jean, boucher, et (1672) Chrétienne Winter puis (1675) Catherine Hansmetzger – luthériens, (1)
Bapst – Benoît, menuisier, et (1759) Odile Isaac, d’abord (1749) femme du menuisier et portier Bernard Berdat – catholiques, (1)
Bapst – Jean Jacques, marchand épicier, et (1709) Marie Salomé Bruder – luthériens, (1)
Bapst de Bolsenheim – Jean Christophe, célibataire († 1714) – luthérien, (notice)
Bapst de Bolsenheim – Jean Philippe et (v. 1685) Anne Françoise Salomé de Rathsamhausen d’Ehnwihr puis (1704) Eve Julienne de Kippenheim – luthériens, (1)
Bapst de Bolsenheim – Jérôme Christophe, et (1630) Ursule Véronique Joham de Mundolsheim – luthériens, (notice)
Barbenès – Frédéric, chaudronnier, et (1707) Anne Barbe Geiler – luthériens, (1)
Barbenès – Jean Jacques, cordonnier, et (1701) Marguerite Daucher – luthériens, (1)
Barbenes – Jean Michel, employé de la halle, et (1669) Ursule Dietrich puis (1688) Catherine Bœhler, veuve de Jean Pierre Müller – luthériens, (1)
Barbet – Nicolas, orfèvre, et (1734) Marie Elisabeth Stutz – réformés, (1)
Barbett – Geoffroi, orfèvre, célibataire – luthérien, (1), (2)
Barbett – Jean Georges, orfèvre, célibataire, (1)
Barbette – Frédéric, orfèvre, et (1655) Marguerite Passage puis (1667) Anne Mida – luthériens, (1)
Barbier – Jean François, conseiller du Roi et receveur des finances d’Alsace, et (1730) Marie Elisabeth Schwilgué puis (1736) Françoise Elisabeth Grau – catholiques, (1)
Barbier – Jean, conseiller du Roi et receveur des finances d’Alsace, et (1707) Marie Claude Michel – catholiques, (1)
Barbier de Sassigny – (Denis) Louis (Joseph), ingénieur du roi à l’île de Grenade puis capitaine, et (1759) Marie Catherine Petit Beaublanc – catholiques, (1)
Barbier de Tinan – Jean Jacques François Théodose, commissaire des guerres, et (1765) Marie Françoise Xavière Noblat – catholiques, (1)
Barbusse – Jean François, soldat puis cafetier, et (1747) Marie Madeleine Bender – catholiques, notice
Barchewitz – Théophile, brasseur, et (1846) Caroline Elisabeth Schaaff remariée (1857) avec le forgeron François Constant Pihan, (1)
Barnewitz – Jules Frédéric, imprimeur, et (1832) Catherine Salomé Engel, (1)
Baron – Antoine, colonel d’Etat Major, et (1805) Marguerite Rosalie Jacob, (1)
Baron – François, écuyer, conseiller du Roi et receveur des finances, et (1698) Claire Brunck – catholiques, (1)
Baron d’Autigny François, préteur royal, et (1771) Adélaïde Flore de Parseval – catholiques, (1), (2)
Baron de Fregval – Prudent, écuyer, conseiller du Roi et receveur des finances, et (1730) Françoise de Regemorte, (1)
Barry – Gérard de, major au régiment de Royal Bavière, et (1769) Françoise de Stoll – catholiques, (1)
Barth – François Christophe, marchand de drap, et (v. 1674) Anne Catherine Müsser – catholiques, (1)
Barth – Jacques, ceinturier, et (v. 1583) Susanne Kull – luthériens, (1)
Barth – Jacques, ceinturier, et (v. 1583) Susanne Kull – luthériens, (1)
Barth – Jean, employé à la Douane, et (1587) Marie von Hipsheim, d’abord (1563) femme de Balthasar Herlin, boucher, puis (1573) de Thiébaut Schoner, boucher – luthériens, (1)
Barth – Louis, tourneur, et (1841) Caroline Lobstein, (1)
Barthel – Daniel, batelier, et (1656) Rosine Scheer, puis (1670) Chrétienne Schmidt – luthériens, (1)
Barthel – Jean Jacques, batelier, et Anne Marie Giessbrecht – luthériens, (1)
Barthel – Jean Jacques, propriétaire, et (1821) Marie Salomé Bischoff, (1)
Barthel – Jean Michel, fripier, et (1746) Anne Marguerite Roos – luthériens, notice
Barthel – Laurent, tonnelier, et (1680) Anne Marie Schmutz – luthériens, (1)
Barthel – Philippe, tonnelier, et (1680) Susanne Weiss puis (1711) Elisabeth Feigler, veuve de Jacques Holtzinger – luthériens, (1), (2)
Barthel – Salomé, célibataire († 1861) , (1)
Barthol – Jean, aubergiste, et Marie Jacqueline, remariée (1681) au boucher Kilien Schœnmann – luthériens, (1)
Bartholet – Joseph, lieutenant colonel, et (1811) Marie Auguste Elisabeth Badany, d’abord (1800) femme du capitaine Jean François Ransonnet, (1)
Bartholmé – Jean Jacques, jardinier, et (1788) Elisabeth Marguerite Rettig, remariée (1796) avec le jardinier Jean Georges Schertzer, divorcé d’Anne Catherine Riebel – luthériens, (1)
Bartholmess – William Edouard, (né en 1849) à Montreux, (1)
Bartol – Pierre, fabricant de pâtés, et (1595) Anne Sicard – luthériens, (1)
Basch – Jean Daniel, apprêteur de tabac, et (1710) Barbe Fehringer veuve du chapelier François von Hipsheim – luthériens, (1)
Basler – Jean, maçon, et (1582) Madeleine Gruber – luthériens, (1)
Bass – Jean, journalier, et Marguerite Thorer († 1719) – luthériens, (1)
Bassé – Raymond, tisserand, et (1841) Anne Catherine Reiss veuve du journalier Jean Frey, (1)
Bassecour – Philippe Régnard, tisserand en laine, et (1695) Anne Meyer – réformés, (1)
Bastian – Charles Jonathan, boucher, (1832) Frédérique Sophie Heckmann, (1)
Bastian – Thiébaut, tisserand, et (1779) Marie Barbe Haas puis (1797) Marguerite Hœrter – luthériens, (1)
Batteincourt – Jacques, notaire en 1780, notice
Battincourt – Jean Baptiste, marchand, et (1745) Marguerite Rondouin – catholiques, (1)
Baucher – Jean, maçon, manant, et Elisabeth Pierron puis (1690) Barthélémie Nicolas – catholiques, (1)
Baudé – Pierre, boulanger, et (1740) Agathe Dalbin – catholiques, (1)
Bauer – Emile, imprimeur, et (1887) Marie Louise Joséphine Marxer, d’abord (1860) femme de Georges Renner, serrurier, (1)
Bauer – Frédéric, facteur de pianos, et Barbe Kieffer puis (1838) Salomé Wilhelmine Rathgeber, (1)
Bauer – Jacques, charron (1789), (1)
Bauer – Jean Charles, orfèvre, et (1623) Marguerite Guckenmus – luthériens, (1)
Bauer – Joseph, ouvrier à la manufacture des tabacs, et (1867) Augustine Emilie Hæussler puis (1878) Caroline Elisabeth Liebermann, d’abord (1871) femme de l’aubergiste Mathieu Gérard Ungermann, remariée (1891) avec Edouard Beck, (1)
Bauer – Louis, tanneur, et (1817) Marie Sophie Habersoth, (1)
Baum – Jean Christophe, passementier, et (1719) Susanne Madeleine Falckenhauer puis (1753) Ursule Richshoffer veuve du passementier Jean Michel Stamm – luthériens, (1), (2)
Baum – Jean Michel, passementier, et (1682) Anne Ursule Hebding – luthériens, (1)
Baum – Jean, passementier, et (1642) Salomé Meyer – luthériens, (1)
Baum – Joseph, coiffeur, et (1868) Frédérique Nerson, remariée (1892) avec le maître d’école Nephtali Levy, veuf de Mathilde Trabbel, (1)
Baum – Thomas, garde de la garnison, et (1649) Catherine Wald – manants, luthériens, (1)
Baumann – Christophe, boucher puis aubergiste, et (1825) Marie Anne Berr, (1)
Baumann – Georges Albert, peignier, et (1802) Marie Madeleine Reiber, (1)
Baumann – Georges, à Offenbourg, et (1579) Ursule Wurmser puis (1592) Salomé de Müllenheim – luthériens, (1)
Baumann – Georges, baigneur, et (1616) Marie Ursule Sundheim veuve de Martin Heckhirn – luthériens, (1)
Baumann – Madeleine, célibataire, (1)
Baumann – Matthieu, tisserand, et (1666) Marie Uffhauser veuve de Jean Jacques Herberling puis (1676) Anne Marie Haag – luthériens, (1)
Baumeister – Auguste, serrurier, et (1849) Joséphine Pierrot, (1)
Baumeister – héritiers de Sibylle, de Günzburg en Bavière
Baumgarten – André, revendeur, et (1870) Marie Catherine Schneider, (1)
Baumgarten – François, compagnon maçon, et (1743) Catherine Comte – manants, catholiques, (1)
Baumgartner – André, pelletier, et (1590) Marie Bachmann – luthériens, (1)
Baumgartner – Blaise, fondeur de pichets, et (1568) Cléophée Siffermann puis (1585) Salomé Seitz – luthériens, (1)
Baumgartner – Joseph, cloutier, et (1776) Jeanne Madeleine Ruhlmann d’abord (1774) femme de Jean Burckhart – catholiques, (notice)
Baumüller – Matthieu, charretier, et (1633) Eve Zimmermann, veuve du cordeur de bois Jean Stierlé, puis (v. 1662) Salomé Schmid veuve du charretier Georges Hœrter – luthériens, (1)
Baur – Auguste, serrurier, et (1837) Caroline Sophie Martin, (1)
Baur – Chrétien, marchand de cuir, et (1707) Marie Félicité Bitsch – luthériens, (1)
Baur – Conrad, aubergiste, et (v. 1699) Anne Madeleine Frantz – luthériens, (1)
Baur – Jean Chrétien, plâtrier puis brocanteur, et (1760) Anne Barbe Scheuer veuve de Jean Louis Kneischick – catholiques, (1)
Baur – Jean Daniel, marchand de cuir, et (1707) Marie Félicité Bitsch – luthériens, (1)
Baur – Jean et Anne Schott d’Ittenheim, (1)
Baur – Jean Frédéric, serrurier, et (1790) Marie Catherine Wald – luthériens, (1)
Baur – Jean Georges, cordonnier, et (1723) Marie Barbe Lambrecht – catholiques, (1), (2)
Baur – Jean Georges, serrurier, et (1764) Marguerite Barbe Formier – luthériens, (1)
Baur – Jean Jacques, cordonnier, et (1696) Marie Marguerite Schmidt – luthériens, (1)
Baur – Jean Jacques, cordonnier, et (1772) Marie Marguerite Moll – luthériens, (1)
Baur – Jean Louis, brasseur, et (1726) Anne Barbe Fischer – luthériens, notice
Baur – Jean, aubergiste à Lahr, et Barbe Theodor, bourgeois de Strasbourg (1605) , (1)
Baur – Jean, aubergiste puis secrétaire à l’Accise, et (1732) Marie Salomé Schmidmeyer puis (1735) Catherine Hornus – luthériens, (1), (2)
Baur – Jean, teinturier, et Jeanne Masselot puis (1847) Justine Maret, (1)
Baur – Laurent, cordonnier, et (1737) Anne Marie Ohl – luthériens, (1)
Baur – Mathias, boulanger puis consigne, et (1714) Anne Marguerite Fürderer puis (1733) Anne Elisabeth Gross veuve de Gall Wantz – luthériens, notice
Baur – Pierre, tailleur, et (1598) Barbe Demuth puis (1603) Barbe Riehl, veuve du jardinier Paul Graff – luthériens, (1)
Baur – Sébastien, cordonnier (bourgeois en 1725), notice
Bausch – Julie, mercière, célibataire (1844-1924), (1)
Bausinger – Auguste (Joseph), architecte entrepreneur, et (1876) Marie Valérie Waltz, (1)
Bayard – Louis, propriétaire, (1)
Bayerlé – Jean Jacques, savetier, cordonnier, et (1721) Marie Salomé Specht puis (1768) Anne Marie Etter – luthériens, (1)
Beatschi – Frédéric, compagnon maçon, et (1762) Rosine Hock, auparavant (1755) femme de l’aubergiste Jean Lobstein – luthériens, (1)
Beau – Claude François, marchand, et (1704) Anne Ursule Haug, veuve de Georges Kirschner, boulanger au fort de Kehl – catholiques, (1)
Beaufort – Joseph Henri, cartier, et (1750) Françoise Bena – catholiques, (1), (1)
Beausire – Jean Claude, lieutenant de grand prévôt, et Anne Marie Huart puis Marie Salomé Wimpff – catholiques, (1), (2)
Beauvais – (Emanuel) Auguste, commis, et Stephanie Kappler, (1)
Beauvalet – Jean, chirurgien puis cabaretier, et (1731) Catherine Gaudemar, remariée (1744) avec Jean Louis Pillon – catholiques, (1)
Becasse – Sébastien, employé pour le Roi, veuf de Liévine Catherine Fumal, et (1709) Marie Dorothée Rehm veuve de Jean Philippe Güntzer – catholique et manant, luthérienne convertie, (1)
Becht – Jacques Evrard, bailli, et (1659) Salomé Commerell – luthériens, (1), (2)
Bechtold – Jean Raoul, pasteur à Eckbolsheim, et (1671) Susanne Goll, remariée (1678) au docteur en médecine Frédéric Schilling puis (1680) au juriste Jean Jacques Gambs – luthériens, (1), (2), (3)
Bechtold – Jean Thiébaut, tripier, et (1615) Chrétienne Meyer, veuve de Jean Henri Christ, (1634) Anne Marie Haderbeck puis (1646) Marie Schallmeyer, veuve du marchand d’étoffes Jacques Aland – luthériens, (1)
Bechtold – Jean, chapelier, et (1653) Anne Marguerite Brimmer – luthériens, (1)
Bechtold – Jean, journalier, et (1653) Marguerite Tugend puis (1680) Ursule Lutz, d’abord (1653) femme du jardinier Michel Roth – luthériens, (1)
Bechtold – Jean, receveur des Chartreux et de Saint-Nicolas-aux-Ondes, et (1687) Anne Madeleine Saladin – luthériens, (1), (2), (3)
Beck – Edouard, maréchal ferrant, et (1891) Caroline Elisabeth Liebermann, d’abord femme de Mathieu Gérard Ungermann puis de Joseph Bauer, (1)
Beck – Jean Georges, boulanger, et (1793) Sara Hütt, remariée (1807) à Thiébaut Bauer, boulanger (1)
Beck – Jean Henri, musicien, et (1715) Anne Barbe Geyer puis (1729) Marie Elisabeth Wilhelm, veuve de Jean Thiébaut Soder – luthériens, (1)
Beck – Jean Jacques, marchand, et (1685) Marie Anne Frantz – catholiques, (1)
Beck – Jean Joseph, revendeur, et (1818) Anne Marie Fix, (1)
Beck – Jean Martin, marchand, et Agnès Brüschel (1610), (1)
Beck – Jean Philippe, notaire à Wasselonne, et (1812) Marie Elisabeth Rose Gallay, (1), (2)
Beck – Jean Philippe, orfèvre, et (1803) Catherine Elisabeth Pfeiffer, veuve du brossier Jean Michel Heinrich, puis (1810) Barbe Müller, (1)
Beck – Jean, cordonnier, et (1577) Susanne Schleffer – luthériens, (1)
Beck – Jean, menuisier, et (1731) Anne Marie Voltz veuve de Jean Georges Wilderich, puis (1763) Marguerite Elisabeth Bürckel, veuve du coutelier Raoul Haller – luthériens, (1)
Becké – Samuel, pelletier, et (1728) Anne Marguerite Franck puis (1766) Sara Barth – luthériens, (1)
Becker – (Jacques) Emile, conducteur des ponts et chaussées puis professeur de dessin, et (1861) Emilie Roos, (1), (2)
Becker – André, cordonnier, et (1741) Marie Catherine Steinler – catholiques, (1)
Becker – Chrétien, tisserand, et (1700) Anne Marguerite Schrepffer, veuve de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Kœnig – luthériens, (1), (2)
Becker – Daniel, chaussetier, et (1715) Marie Barbe Streng – luthériens, (1)
Becker – Daniel, revendeur, et (1689) Salomé Schweigheuser puis (1693) Anne Madeleine Lautenschlager – luthériens, (1)
Becker – Félix, fabricant de boucles, et (1775) Chrétienne Klammerer puis (1813) Barbe Taglang remariée (1815) avec Joseph Bubser – catholiques, (1)
Becker – Gérard, fourbisseur, et (1680) Anne Chrétienne Reimschüssel puis (1703) Anne Catherine Fesch, (1)
Becker – Guillaume, cordonnier, et (1788) Marie Salomé Matthis – luthériens, (1)
Becker – Henri Guillaume, relieur, et (1795) Catherine Salomé Rayger, (1)
Becker – Jean André, notaire, et (1775) Catherine Willig – catholiques, notice
Becker – Paul, barbier, et (1615) Sara Walter – luthériens, (1)
Beeh – Edouard, menuisier, et (1846) Sophie Emilie Wernert, puis (1856) Frédérique Amélie Schaub, (1)
Beetz – Jean Geoffroi, tonnelier, et (1818) Marguerite Dorothée Wirth, (1)
Beguin – Joseph, libraire, et (1886) Caroline Emilie Rhein veuve d’Adolphe Sutter, (1)
Beguin – Louis, marchand, et (1706) Catherine Beurez – catholiques, (notice)
Beguin – Matthieu, avocat, greffier du Petit Sénat, et (1744) Catherine Hélène Lanfrey puis (1750) Marie Philippine Odile Anthon, veuve de Joseph Degeorges – catholiques, notice
Béguinage à la Tour, (1)
Béguinage de la Tiers Ordre, (1)
Behr – Chrétien Frédéric, contre-maître, et (1824) Catherine Salomé Widerhold, (1)
Behr – Georges Henri, docteur en médecine, et (1732) Marie Chrétienne Walther puis (1740) Anne Marie Schætzel – luthériens, (1), (2)
Behr – Henri Geofroi, fabricant de laine, et (vers 1780) Chrétienne Nagler, (1)
Bein – Jean Jacques, tonnelier, et (1741) Marie Salomé Theurkauff – luthériens, (1), (2), (3)
Bein – Jean Jacques, tonnelier, et (1772) Marie Elisabeth Philippi – luthériens, (1)
Bein – Jean Pierre, marchand, et (1648) Ursule Barbe Voltz – luthériens, (1)
Beiner – Jacques, jardinier puis emballeur, et (1635) Marguerite Hertenstein – luthériens, (1)
Bella – Jean Baptiste, marchand, et Marie Catherine Blanc – catholiques, (1)
Bellan – François, traiteur, et (v. 1680) Marguerite Le Moine – catholiques, (1)
Bellius – Gaspard, maître d’école, et Marguerite – luthériens, (1)
Bemberg – Georges Frédéric, marchand, et (1734) Anne Marguerite Richshoffer – luthériens, (1)
Bemberg – Jean Frédéric, marchand et (1702) Anne Marguerite Miville – luthériens, (1), (2)
Bemberg – Jean Georges, marchand, et (1667) Anne Ursule Haan – luthériens, (1)
Bendelé – Maurice, aubergiste, et Anne Marie Lutz, (1)
Bender – Jean Martin, artiste peintre, et (1744) Anne Marie Gœtz, épouse (1715) du cocher Jean Albrecht – luthériens, (1)
Bender – Maurice, tailleur et fripier, et (1612) Susanne Bussler – luthériens, (1)
Béné – Jean Joseph, coutelier rémouleur, et (1790) Marie Barbe Iselé – catholiques, (1)
Beneyton – Jean François, ancien officier, et (1780) Catherine Barbe Chaineau, (1)
Beno – Joseph Aloÿse, pharmacien et (1856) Françoise Elise Wucher puis (1858) Hélène Hœrter, (1)
Benoit – Pierre, mousquetaire, et Elisabeth, (1)
Bentz – Adam, cordonnier, et (1782) Marie Thérèse Weisskirch veuve de François Michel Dietrich, puis Françoise Gebhard – catholiques, (1)
Bentz – Jacques, boulanger, et (1814) Marie Elisabeth Sohn puis (1836) Marguerite Salomé Gross, (1)
Bentz – Jean, aubergiste, et (1694) Marguerite Hammerer veuve de l’aubergiste Thiébaut Geist, (1)
Bentz – Jonas, marchand de vins, et (1702) Barbe Erhard – luthériens, (1)
Bentz – Laurent, journalier, et (1701), et Salomé Münck – luthériens, (1)
Bentz – Marcel, journalier, et (1670) Anne Jud – luthériens, (1)
Bequet – Philibert, commissaire des poudres et salpêtres, et (1808) Adélaïde (Gabrielle Emerentienne Hortense) Gallimard, d’abord (1804) femme du commissaire des poudres et salpêtres, Didier Jean Baptiste Campagne, puis (1827) Marina Gigault de Marconnay, (1)
Beranger – Jean Pierre Laurent, marchand épicier, et (1826) Catherine Hœltzel auparavant femme de Jean Guillaume Margraff (1816) puis du commis négociant Jean Jacques Petri (1818), puis (1840) Sophie Margraff, (1)
Berckheim – Frédéric Magne de et (v. 1658) Marie Cléophée de Franquemont puis Marie Chrétienne de Liebenstein – luthériens, (1), (2)
Berdat – Bernard, menuisier et portier, et (1749) Odile Isaac – catholiques, (1)
Berding – Joachim, orfèvre, et (1610) Marguerite Bauer veuve d’Abraham Kreuchel puis (1635) Ursule von Türckheim, remariée (1648) avec le docteur en médecine Matthieu Meyer – luthériens, (1)
Berenstecher – Nicolas, jardinier, et (1606) Susanne Keck – luthériens, (1)
Berga – Jean Quirin, maître maçon, et (1703) Marie Madeleine Hand puis (1728) Marie Eve Meyer – catholiques, notice
Berga – Jean, maçon, chef de chantier, et (v. 1662) Agnès Simon – catholiques, notice
Berger – François Georges Oscar, négociant, et (1851) Anna Caroline Eléonore Pitois, (1)
Berger – Frédéric, domestique puis messager de la Chancellerie, et (1721) Anne Marie Salomon – catholiques, (1)
Berger – Georges, charpentier, et (1594) Marguerite Seiger – luthériens, (1)
Berger – Jean Martin, marchand de futaine, et (1673) Marie Eve Feigler, remariée (1690) au marchand de draps Michel Bosch – luthériens, (1)
Berger – Jean, compagnon imprimeur, et (1771) Anne Marie Heister puis (1805) Salomé Gottié, divorcée de l’orfèvre Jean Jacques Wittmann, remariée (1817) avec le tonnelier Jean Jacques Schæffer – luthériens, (1)
Berger – Jérôme, peintre puis marchand, et (1629) Anne Meyer – luthériens, (1), (2)
Berger – Pierre Frédéric, avocat, et (1825) Antoinette Louise Victoire Eléonore Levrault, (1)
Berger – Tobie (bourgeois en 1624) – luthérien, (1)
Berger Levrault et Compagnie (imprimerie et librairie), (1)
Berghoffer – Thomas, potier, et (1668) Elisabeth Ott, veuve du potier Michel Ruff, puis (1677) Marguerite Heuberger – luthériens, (1)
Bergmann – Frédéric (Guillaume), professeur à la faculté des lettres, et (1841) Emilie Mathilde Bartholmé, (1)
Bergner – Jean Barthelémy, docteur en droit, et (1617) Cunégonde Trausch, d’abord (1596) femme de Daniel Birtsch – luthériens, (1)
Bergner – Jean Martin, tailleur d’habits, et (1691) Marie Ursule Rinck puis (1716) Anne Marie Kamm – luthériens, (1)
Beringer – Jean Henri, taillandier, et (1816) Caroline Madeleine Esser, (1)
Berion – Jean Frédéric, orfèvre puis précepteur, et (1725) Anne Catherine Schott,, remariée (1838) avec le chapelier Simon Hollænder – luthériens, (1)
Berion – Jean Henri, tourneur, et (1685) Marthe Kessler, remariée (1710) à Georges Engelhard Stoltz, boulanger – luthériens, (1)
Berion – Samuel, tourneur, et (v. 1647) Barbe Straub, (1658) Catherine Cunégonde Mægelin puis (1667) Marie Salomé Frühinsholtz, veuve du maréchal ferrant Christophe Gesensohn – luthériens, (1)
Beris – Laurent, menuisier, et (1619) Madeleine Binder – luthériens, (1)
Bermann – Nicolas, cloutier, et (1791) Marie Salomé Eberstein, (1)
Bernard – Florent, marchand épicier, et (1819) Marie Anne Touvenin, (1)
Bernard – François, directeur des hôpitaux militaires, et (1808) Barbe Guillaumette Lemky, (1)
Bernard – Guillaume, entrepreneur des hôpitaux royaux en Flandres, veuf de Barbe Lombard, et (1745) Marie Elisabeth Brunelot dit Duchemin – catholiques, (1)
Bernard – Jean Pierre, traiteur, et (1729) Anne Catherine Scheitel – catholiques, (1)
Bernard – Pierre, restaurateur, et Françoise Chalon – catholiques, (1)
Bernard de Montbrison – Alphonse Henri Philippe de, capitaine, et (1834) Anne Marie Françoise Audéoud, (1)
Berndt – (Charles) Ernest, facteur d’instruments, et Hilda Caroline Auguste Hederich puis (1897) Antoinette Zopff, (1)
Berneck – (François) Xavier, limonadier, et (1848) Marie Joséphine Frey puis (1880) Valentine Catherine Hœlg, (1), (2)
Berneck – François Xavier Marie Hippolyte, banquier, célibataire, († 1927), (1)
Bernegger – Jean Gaspard, juriste, consul et (1638) Madeleine Beinheim, veuve de Frédéric de Türckheim puis (1662) Appolonie Sebitzius, veuve de Jean Georges Leiterperger puis de Jean Sébastien Gambs – luthériens, (1), (2)
Bernegger – Jean Georges, cordonnier, et (1644) Marie Daudel, puis (1675) Annne Chrétienne Klein, d’abord (1646) femme du marchand drapier Jean Adam Bott puis (1664) du tonnelier Jean Jacques Schweinlin – luthériens, (1)
Bernegger – Jean Ulric, cordonnier, fils de Pierre Bernegger, (1)
Bernegger – Marie et Dorothée– luthériennes, (1)
Bernegger – Tobie, juriste, et (1653) Dorothée Marguerite Schlagmann, (1656) Jacqueline Reisseissen puis (1666) Marguerite Elisabeth Schreiber – luthériens, (1)
Bernegger – Tobie, juriste, et (1653) Dorothée Marguerite, (1656) Jacqueline Reisseissen puis (1666) Marguerite Elisabeth Schneuber – luthériens, (1)
Berner – Abraham, orfèvre, et (1609) Esther Spengler – luthériens, (1)
Bernhard – Frédéric, remueur de grains, et (1662) Anne Marie Vogel puis (1678) Anne Wild – luthériens, (1)
Bernhard – Jean Christophe, marchand, fabricant de tabac et banquier, et (1736) Hélène Dufay – réformés, (1)
Bernhard – Jean, charcutier, et (1777) Marie Françoise Christmann – catholiques, (1)
Bernhard – Jean, marchand et fabricant de tabac, et (1698) Marie Elisabeth Heusch – réformés, (1), (2)
Bernhard – Jean, potier, et (1791) Anne Marguerite Herrmann veuve de Jean Nicolas Mœtzel – réformé et luthérienne, (1)
Bernhard – Jean, tisserand, et (1654) Anne Marguerite Jacob – luthériens, (1)
Bernhard – Matthieu, chaudronnier, et (1628) Marie Dorsch, d’abord (1626) femme du chaudronnier Michel Schwartz – luthériens, (1)
Bernhard – Philippe Jacques, tisserand, et (1814) Marie Catherine Hackenschmitt, (1)
Bernhard – Philippe, boulanger, veuf de Frédérique Oster et (1839) Eve Meylænder, (1)
Bernhardt – Jean Frédéric, fabricant de toiles, et (1835) Caroline Hamann, (1)
Bernheim – Isaac puis Ignace Bernheim, marchand, célibataire, († 1811), (1)
Bernhold – Philippe Albert de et (1660) Anne Eléonore Zorn de Plobsheim – luthériens, (1)
Bernhold (de) – Antoine Sigefroi, colonel, et (1747) Charlotte Sophie Wurmser de Vendenheim Sundhouse – luthériens, (1)
Bernhold (de) – Sigefroi, capitaine, et (1691) Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre – luthériens, (1)
Berni – Jean, batelier, et (1818) Marguerite Salomé Ulrich, (1)
Bernon – Pierre, garde d’artillerie, et Marie Stocker († 1850), (1)
Bernoulli – Jacques, marchand de tabac, et (1733) Susanne Marie de Barry puis (1744) Marie Marguerite Preissweck – réformés, (1)
Bérot – Bernard, professeur à la faculté de médecine, et (1804) Justine Françoise Louise Olinet, (1)
Berrat – François, fabricant de parapluies, et Marie Seux puis (1781) Marguerite Latzer – catholiques, notice
Berri – Jean, boulanger, et (1685) Susanne Riedel – luthériens, notice
Bersch – Michel von, comptable, et (1629) Anne Marie Erné veuve de Jean Mannhard, pasteur à Hugsweier, remariée (1635) au tonnelier municipal Jean Roser – luthériens, (1)
Berst – Jean Jacques, propriétaire, et (v. 1840) Caroline Généviève Anne Langlois, (1)
Bertena – Louis, prévôt d’armes, et (1786) Marie Catherine Schneider – catholiques, (1)
Bertenier – Jean, tapissier, et (1712) Elisabeth Bessu puis (1748) Susanne Barbe Veron – luthériens, (1)
Berthiot – Etienne, cabaretier, et (v. 1700) Marie Lunique – catholiques, (1)
Bertin Mourot – Pierre Augustin, professeur de physique, et (1850) Eugénie Albertine Dreyfus, (1)
Bertoleidenmeyer – Jean Georges, tailleur, et (1691) Anne Catherine Riethammer – catholiques, (1)
Bertrand – Henri, rentier, et (1905) Marie Adèle Rosalie Jeanne Blanck, (1)
Bertsch – François Joseph, maçon, et (1723) Marie Elisabeth Kleber – manants, catholiques, (1), (2)
Bertsch – Jean Michel, ramoneur, et (1773) Catherine Marguerite Kaltner puis (1785) Ursule Bernhard, (1)
Bertsch – Jean, tanneur, et (1713) Marie Elisabeth Rœderer puis (1727) Marie Madeleine Simon – luthériens, (1)
Bertsch – Michel, boulanger, et (1849) Catherine Weber puis (1863) Marguerite Haber, (1)
Bertuch – Henri, aubergiste, et (1872) Françoise Baudendistel, veuve du marchand d’eau de vie Charles Pingeoz, (1)
Berus – Geoffroi, cordonnier, et (1649) Anne Marie Kelterer – luthériens, (1)
Bessière – Antoine, aubergiste, et (1690) Jeanne Paumier – catholiques, (1)
Besson – François Joseph, négociant, (1)
Besson – François Paul, directeur de l’entrepôt des forges de Framont et Rothau, et (1832) Catherine Amélie Schaller veuve de Jean Frédéric Deimling puis (1845) Caroline Gammig, (1)
Besson – Jean Claude Adam, avocat et (1791, divorce 1799) Marguerite Voinard, puis (1804) Marie Catherine Atloff – catholiques, (1)
Besson – Jean Georges, voiturier, et (v. 1760) Madeleine Wagner – catholiques, (1)
Besson – Pierre, voiturier, et (1722) Anne Marie Kostmann – catholiques, (1), (2)
Best – Jean Ferdinand, brasseur, et (1856) Marie Elisabeth Siegel, (1)
Best – Job, armurier, et (1641) Marie Madeleine Engelmann puis (1659) Marthe Stumpff – luthériens, (1)
Besthorn – Jean Conrad, tonnelier, et (1682) Marie Baldner veuve d’André Bilger et de Gaspard Bœhringer – luthériens, (1)
Bettendorff – Jean Philippe de, seigneur de Wesdesheim, (1)
Betz – Michel, graveur de caractères, employé à l’Accise, et (1579) Marguerite Bertsch – luthériens, (1)
Beuther – David, cordier, et (1646) Aurélie Obelé puis (1648) Marguerite Klinger – luthériens, (1)
Beutner – Gaspard, cocher, et (1721) Dorothée Dietrich – catholiques, (1)
Bex – Pierre, marchand, et (1609) Cléophée Braun – luthériens, (1)
Bex – Pierre, marchand, et (1646) Anne Marie Kolb – luthériens, (1)
Beyckert – Jean Philippe, docteur et professeur en théologie de l’Université, (1747) Susanne Madeleine Frœreisen – luthériens, (1)
Beyer – Charles, berger, et (1617) Susanna Albrecht – luthériens, (1)
Beyer – Georges Frédéric, brasseur, et (1793) Marie Madeleine Dieterlin, (1)
Beyer – Jean Georges, brasseur, et (1759) Marie Salomé Milius, veuve de l’aubergiste Georges Guillaume Blessig, puis (1767) Anne Marie Greiner – luthériens, (1)
Beyer – Joseph Auguste, magasinier, et (1916) Mathilde Marie Hess, (1)
Beyer – Laurent, maçon, et Marie Anne Jacobi puis Marie Eve Spannroff, (1)
Beyer – Urbain, batelier, et (1636) Anne Friedrich, (1654) Susanne Obrecht – luthériens, (1)
Beyerbach – Georges, secrétaire, et (1632) Barbe Hæhnel, veuve du prévôt de Dorlisheim Nicolas Maurer – luthériens, (1)
Beyerbach – Jean Georges, receveur à Saint-Pierre-le-Vieux, et (1673) Anne Marie Kallhardt puis (1691) Marie Madeleine Bockenhoffer – luthériens, (1)
Beyerlé – Jean Louis, trésorier de la Monnaie, et (1736) Jeanne Marguerite Chalon – catholiques, (1), (2), (3)
Beyerlé – Jean Valentin, directeur de la Monnaie, et (1698) Barbe Schæffer – catholiques, (1), (2)
Beyrath – Georges Nicolas, chirurgien et barbier, et (1714) Anne Catherine Gass, puis (1726) Marie Félicité Brand veuve de l’artiste peintre Jean Frédéric Walter, enfin (1746) Catherine Dorothée Bruder – luthériens, (1)
Bianchi – François, marchand, et (1765) Marie Félicité Acker – catholiques, (1)
Biber – Jean Philippe, maître maçon, et (1711) Catherine Salomé Meisenbach – luthériens, notice
Biber – Philippe, maître maçon, et (1685) Marie Elisabeth Bimler veuve du chanter Samuel Rothenbach puis (1715) Anne Chrétienne Berger veuve du maçon Jean Henri Leist – luthériens, notice
Bibernick – Jean, tailleur de pierres et chiffonnier, et (1731) Anne Madeleine Hottinger puis (1756) Susanne Theurkauff – luthériens, (1)
Biccius – Grégoire, professeur ès institutions et pandectes, et (1638) Sara Kohllœffel – luthériens, (1), (2)
Bichy – Jean Antoine, tailleur et (1814) Marie Barbe Streicher puis (1840) Catherine Weccheider, remariée à François Raphaël Guyon, (1)
Bidier Dutil – Pierre, notaire royal, et (vers 1684) Marie Sophie Sidonie Baumgartner puis (1712) Françoise Fagnier – catholiques, notice
Bieler – Jean Chrétien, propriétaire, et (1847) Caroline Arlen, (1)
Bielmeyer – Jean, tisserand, et (1649) Marie Otler, veuve de l’orfèvre Abraham Peter, puis (1670) Anne Ursule Kayser – luthériens, (1)
Bier – Jean Jacques, journalier, et (1791) Anne Marie Jacob – catholiques, (1)
Bier – Jean Jacques, journalier, et (1819) Marie Catherine Salomé Brunner, (1)
Bierbaum – André, cordonnier, et (1797) Anne Marie Wurtz, (1)
Bierbaum – Laurent, tonnelier, et (1639) Odile Demuth – luthériens, (1)
Bierck – Jean Guillaume, marchand de fruits, et (1858) Caroline Madeleine Dubesi puis (1891) Salomé Jest, femme (1864) divorcée du serrurier Georges Decker, (1)
Bière de la cathédrale de Strasbourg (Straßburger Münsterbräu, (1)
Bierlen – Jean Georges, cordonnier, et (1630) Anne Catherine Mechel – luthériens, (1)
Bierset – Jean, garde du maréchal de Lorge puis entrepreneur des étapes militaires, et Anne Revey manants – catholiques, (1)
Bieth – Charles Auguste, boulanger, et (1855) Caroline Emma Best, (1)
Bieth – Jean, tisserand, et (1760) Auguste Egerter – catholiques, (1)
Bieth – Michel Théodore, tonnelier et marchand de vins, et (1849) femme Caroline Lix, (1)
Bieth – Michel, boulanger, et (1814) Marie Madeleine Eberlin, (1)
Bieth – Michel, boulanger, et (1843) Sophie Gluntz, (1)
Bieth – Valentin et Barbe, à Offenheim, (1)
Bietz – Jacques Louis, armurier, et (1844) Caroline Ostermann, (1)
Bigler – Jacques, propriétaire, et (1872) Marie Madeleine Gœhner, (1)
Bigler – Jacques, tailleur, et (1824) (Marthe) Appoline Duret, (1)
Bijon – Charles, machiniste, et (1842) Caroline Muff puis (1852) Caroline Salomé Ernst (1)
Bilger – (Frédéric) Charles, menuisier, et (1842) Madeleine Dambach, (1)
Bilger – Christophe, notaire (1751), notice
Bilger – François, tonnelier, et (1757) Marie Marguerite Brauneissen – catholiques, (1)
Bilger – Georges Auguste, pâtissier, et (1871) Caroline Emma Dürr, (1)
Bilger – Jean Daniel, docteur en médecine, et (1715) Marie Madeleine Bahl – luthériens, (1)
Bilger – Jean Daniel, menuisier, et (1833) Barbe Scher, (1)
Bilger – Jean Frédéric, menuisier et (1791) Marguerite Salomée Wald puis (1796) Catherine Elisabeth Kærcher – luthériens, (1)
Bilger – Jean Georges, cordonnier, et (1725) Anne Marguerite Gutermann veuve de Wolff Frédéric puis (1744) Dorothée Schiffer – luthériens, (1)
Bilger – Jean Jacques, aubergiste, et (1683) Susanne Nægel – luthériens, (1)
Bilger – Jean, aubergiste à la Cave profonde, et (1674) Susanne Bœhler veuve de Jean Fritsch, aubergiste – luthériens, (1)
Bilger – Jean, aubergiste, et (1674) Susanne Bœhler, notice
Bilger – Laurent, aubergiste, et (1648) Salomé Hetzel, (1656) Marie Madeleine Günter puis (1666) Jeanne Françoise Füchsel – luthériens, (1)
Bilger – Michel, boulanger, et (1818) Marguerite Litt, (1)
Billaudet – François Xavier Léger, huissier, et Marie Charlotte Windholtz puis (1836) Marie Ursule Zanotta, (1)
Billinger – Jean Melchior, fabricant de pâtés, (1658) Susanne Stœhr – luthériens, (1)
Billo – Jean Michel, charpentier, et (1821) Salomé Kirchmeyer, (1)
Billy – Bon de, ingénieur du Roi, et Ursule Margueritte Madeleine Battaincourt – catholiques, (1)
Bimler – Abraham, serrurier, et (1679) Anne Marie Baur – luthériens, (1)
Bimler – Abraham, serrurier, et (1710) Susanne Hammerer – luthériens, (1)
Bimler – Isaac, coutelier, et (1742) et Dorothée Steidel, veuve de Jean Georges Schmidt – luthériens, (1)
Bimler – Isaac, coutelier, et Marie Sophie Ehlendeintz puis (v. 1772) Marie Madeleine Baumgartner – luthériens, (1)
Bimler – Jean Christophe, employé à la manufacture d’armes de Mutzig, et (1812) Thérèse Nicolas, (1)
Bimler – Pierre, pasteur à Kürzell, et (1611) Marguerite Kohler puis (1640) Anne Marie Grasmann – luthériens, (1)
Bind – François Joseph, propriétaire, et (1839) Caroline Braunwald, veuve de Thiébaut Antoine Schott, (1)
Bindenschuh – Michel, charpentier, et (1678) Marie Sara Ziegler – luthériens, (1)
Binder – Jacques, tonnelier, et (1636) Apollonie Engel – luthériens, (1)
Binder – Louis, boucher, et (1880) Frieda Schlecht, (1)
Binder – Louis, marchand, et (v. 1679) Marie Herr – luthériens, (1)
Binder – Sébastien, potier, et (1598) Anne Zoller – luthériens(1)
Birckel – Charles Henri, tourneur, et (1807) Anne Marie Dorothée Buggelé, (1)
Birckel – Jean Georges, tonnelier puis blanchisseur, et (1687) Anne Madeleine Lentz – luthériens, (1)
Birckel – Louis, notaire, et (1765) Anne Marie Blaise – catholique, notice
Birckenfeld – Frédéric, tailleur, et (1781) Marie Barbe Ammann – luthériens, (1)
Birckicht – Frédéric, teinturier, et (1760) Marie Chrétienne Acker puis (1767) Marie Salomé Presamlé et (1806) Madeleine Dillinger – luthériens, notice
Birkenfeld – Chrétien, comte palatin de et (1630) Madeleine Catherine, comtesse palatine de Deux-Ponts puis (1648) Marie Jeanne de Helfenstein, veuve de Maximilien Adam comte de Leuchtenberg – luthériens, (1)
Birkenfeld Bischwiller – Chrétien, comte palatin de, et (1667) Catherine Agathe comtesse de Ribeaupierre – luthériens, (1)
Birr – Jules Achille, négociant, et (1870) Susette Victorine Weiler, (1)
Birry – André, boulanger, et (1871) Louise Grosjean, (1)
Birry – Louis, boulanger, et (1846) Marie Anne Kutterer, (1)
Birtsch – Daniel et (1596) Cunégonde Trausch, remariée (1617) avec le docteur en droit Jean Barthelémy Bergner – luthériens, (1), (2)
Bisantzer – Isaac, chaussetier, et (1607) Catherine Strintz – luthériens, (1)
Bischoff – Balthasar, bailli de Barr, et Anne Elisabeth – luthériens, (1)
Bischoff – Balthasar, marchand de bois, consul, et (1614) Catherine Frantz puis (1637) Marie Hirt, veuve du marchand de vins Nicolas Diel – luthériens, (1), (2)
Bischoff – Balthasar, marchand de bois, et (1588) Salomé Trausch – luthériens, (1)
Bischoff – Jean Balthasar, marchand de bois, et (1689) Marthe Siegel – luthériens, (1)
Bischoff – Jean Henri, et (1659) Ursule Mahler – luthériens, (1)
Bischoff – Jean Henri, marchand de bois, et (1659) Ursule Mahler puis (1675), Madeleine Reiser veuve du diacre Jean Georges Meyer et (1684) Salomé Saladin veuve de l’avocat Jean Henri Schatz – luthériens, (1)
Bischoff – Jean Philippe, perruquier, et (1801) Marie Dorothée Reissé, (1), (2)
Bissmann – Paul et (1920) Georgette Sophie Kimmerlé, (1)
Bitsch – Jean Jacques, marchand épicier, et (1687) Marie Cléophée Wilvesheim – luthériens, (1)
Bittane – Dominique Arménie, capitaine d’infanterie († 1808), (1)
Bittlinger – Ulric, bailli, et (v. 1625) Anne Barbe Schæffer – luthériens, (1)
Bitto – Claude, orfèvre, et (1570) Agnès Holl puis (1604) Marie Pullian veuve de l’orfèvre Melchior Hartung – luthériens, (1), (2), (3)
Bitto – Gilles, marchand, et (1575) Barbe Hellbeck, d’abord (1573) femme de Michel Maltzet – luthériens, (1)
Bitto – Isaac, marchand de poudre et greffier à l’Umbgeld, et (1687) Anne Marie Faust – luthériens, (1)
Blæss – Jean Jacques, fabricant de pipes, et (1742) Marie Elisabeth Bruckmann – luthériens, (1)
Blaise – Jean Baptiste, marchand de beurre, et (1797) Marie Elisabeth Danichert remariée (1816) avec Joseph Haffner, (1)
Blanck – Jean Samuel, tourneur, et (1714) Marie Salomé Sebitzius puis (1735) Cunégonde Sebitzius, veuve de l’orfèvre Guillaume Schmidt – luthériens, (1)
Blanck – Marie François Joseph Aloyse, employé de banque, et Adèle Zissel, (1)
Blanck – Mathias, remueur de grains, et (1709) Catherine Salomé Klein puis (1717) Anne Marie Bühler – luthériens, notice
Blanckenburg – Frédéric, diacre, et (1606) Marie Sturmer veuve du brasseur Balthasar Gress puis (1623) Marguerite Parthess veuve du tailleur Laurent Rohner, de l’assesseur Georges Hœffel et du notaire Basile Petri – luthériens, (1)
Blanié – Raymond et Madeleine Bœsser, (1)
Blassé – Marin, marchand parfumeur, traiteur, directeur de l’hôpital de la garnison de Strasbourg (1691) puis marchand de vins à Landau, et Anne Croisé – catholiques, (1)
Blaterspach – Christophe, fabricant de poudre, et (1587) Anne Hoffmann – luthériens, (1)
Blatt – Auguste Edouard, fabricant de billards, et (1841) Sophie Schwing, (1)
Blatt – Georges Jacques, menuisier, et (1798) Sophie Marguerite Buck, (1)
Bleicher – Henri, pelletier, et (v. 1603) Barbe Kopff – luthériens, (1), (2)
Bleicher – Jean Henri, pelletier, et (1626) Barbe Rœmer – luthériens, (1)
Bleicher – Jean Jacques, pelletier, et (1657) Marie Meyer puis (1671) Anne Marie Huber – luthériens, (1), (2)
Blessi – Jean Laurent, marchand de poissons, et (1745) Susanne Sigwald – luthériens, (1)
Blessig – Jean Laurent, marchand de poissons, et (1717) Anne Salomé Mentel puis (1757) Anne Marie Schmutz – luthériens, notice
Blessig – Jean Laurent, professeur en philosophie, et (1780) Susanne Madeleine Beyckert – luthériens, (1)
Blessig – Jean, maître maçon, et (v. 1706) Marie Madeleine Heusser – catholiques, notice
Blessig – Mathias, maître maçon, et (1682) Anne Barbe Haderer – luthériens, (1)
Blessig – Mathieu, maître maçon, et (1653) Agnès Wolffgruber puis (1681) Marguerite Fessmann veuve de Jean Georges Gartner – luthériens, (1), (2), (3)
Blessing – Jean Georges, maréchal ferrant, et (1736) Marguerite Schell veuve de Jean Georges Hoh – luthériens, (1)
Bleydorn – Jean, menuisier, et (1780) Madeleine Gœrger – catholiques, (1)
Bleyfus – Charles Auguste, célibataire, (1)
Bleyfuss – Christophe, cordier, et (1613) Marthe Müller, (1634) Véronique, veuve du pasteur Martin Andres, (1641) Barbe Riehl, veuve du redresseur de cornes Thierry Holwein, puis (1659) Anne Ott, veuve du farinier Balthasar Dürrwanger, remariée à Tobie Burckhard – luthériens, (1)
Bleyfuss – Christophe, cordier, et (v. 1593) Susanne Mahler veuve de Jacques Engelhard, (1601) Ursule Kobel puis (1612) Eve Eberspach veuve de l’arquebusier Georges Riemernager – luthériens, (1)
Bleyfuss – Georges, cordier, et (1654) Rosine Geckler – luthériens, (1)
Bleyfuss – Jean Nicolas, cordier, célibataire – luthérien, (1)
Bleyfuss – Jean, gainier, et (1759) Anne Marie Jost – luthériens, (1)
Blind – Jean Georges, farinier, et (1765) Marie Madeleine Ludin – luthériens, (1)
Blind – Philippe Jacques, mégissier, et (1769) Marie Elisabeth Schwing – luthériens, (1)
Blind – Philippe Jacques, teinturier, et (1801) Catherine Salomé Dietz, (1)
Blinder – Thiébaut, boulanger, et (1690) Anne Salomé Ludin – luthériens, (1)
Bloch – Hayem, négociant, et (1826) Sophie Cerf, (1)
Bloch – Lazare, marchand de chiffons, et (1860) Pauline Kahn, (1)
Bloch – Louis, changeur, et (1840) Babette Levi puis (1847) Sara Altschul, (1)
Bloch – Moïse, commerçant, et (1833) Rachel May, (1), (2)
Blosdœrffer – Jean Pierre, compagnon maçon, et (1762) Anne Catherine Klein puis (1772) Anne Marie Richert, veuve du serrurier Jacques Urbain Jungblut – catholiques, (1)
Bloy – François Louis, receveur des contributions, et (1801) Anne Marie Müller, (1)
Bloy – Joachim Bonaventure, intéressé dans les affaires du Roi, et (1769) Barbe Tarral – catholiques, (1)
Bloy – Joachim Louis Félix, célibataire († 1826), (1)
Blum – Mathias, marchand, et (1784) Sara Gremnitz, notice
Blum – Nathan, négociant, et (v. 1851) Pauline Goudchaux, (1), (2)
Blum – Salomon, commerçant, et (1847) Julie Weill, (1)
Blümel – Jean Thiébaut, aubergiste, et (1746) Anne Catherine Hornus veuve de Jean Baur – luthériens, (1)
Blüttner – Jean Geoffroi, maître maçon, et (1736) Marie Madeleine Arnold puis (1745) Marie Sophie Conrad – luthériens, notice
Bobba – Jean Charles, tapissier, et (1851) Barbe Elise Widmer, (1)
Bobba – Jean, aubergiste, et Salomé Hetzel, (1)
Boch – Abraham, teinturier, et (1809) Catherine Sophie Brandhoffer, (1)
Boch – Conrad, brasseur à la Cloche, (1)
Boch – François, négociant, et (1736) Susanne Marguerite Walther – luthériens, (1)
Boch – Georges, tonnelier, et (1621) Anne Weber – luthériens, (1)
Boch – Jean Daniel, pâtissier, et (1670) Anne Catherine Bock – luthériens, (1)
Boch – Jean Geoffroi, tonnelier et marchand de vins, et (1771) Frédérique Elisabeth Faudel – luthériens, notice
Boch – Jean Philippe, pâtissier, et (1701) Susanne Alber – luthériens, notice
Boch – Jean, marchand de vins, et (1690) Marie Ursule Graff – luthériens, (1)
Boch – Martin, marchand de vins, et (1638) Marthe Rœderer – luthériens, (1), (2)
Bochinger – Jean Edouard, menuisier puis débitant de vins, et (1864) Caroline Diemer, remariée (1864) avec le peintre Jean Guillaume Michel, (1)
Bock – Israël et (1568) Marguerite Sigler – luthériens, (1)
Bockenhoffer – Joachim, libraire, et (1615) Madeleine Zetzner – luthériens, (1)
Bodeck d’Elgau – Jean François Henri Nicolas de, chevalier de Saint-Louis, et (1769) Marie Euphémie Joséphine Gabrielle Ursule, baronne Bœcklin de Bœcklinsau – catholiques, (1)
Bodemer – Jean Jacques, aubergiste, célibataire († 1757) – luthérien, (1)
Bodemer – Jean Philippe, boucher puis aubergiste, et (1715) Marie Dorothée Bezold veuve de Jean Daniel Theurer, aubergiste à Mühlberg, remariée (1739) avec Jacques Datt, boucher et aubergiste – luthériens, (1)
Bodenmüller – Christophe, tisserand, et (1651) Barbe Hetzel, veuve du tisserand Jean Schneider, puis (1657) Elisabeth Streich – luthériens, (1), (2)
Bœbel – Georges, boulanger, et (1583) Appolonie, veuve du fabricant de pain d’épice – luthériens, (1)
Bœckel – Charles Auguste, commis négociant, et (1833) Louise Emilie Kammerer, (1)
Bœcker – Georges, boucher, et (1589) Salomé Rummel – luthériens, (1)
Bœckler – Chrétien Louis, juriste, et (1747) Marie Sophie Winter – luthériens, (1)
Bœckler – Jean Henri, professeur à l’Université, et (1726) Anne Marguerite Miville veuve de Jean Frédéric Bemberg – luthériens, (1)
Bœcklin (de Hüttenheim) – Jean Louis et (1602) Anne Reine Böcklin (de Wibolsheim) – luthériens, (1)
Bœcklin de Bœcklinsau – François Ernest († 1710) et Marie Salomé de Flachslanden, (1)
Bœcklin de Bœcklinsau – Guillaume et (1573) Lucie de Reinach – luthériens, (1)
Bœcklin de Bœcklinsau – Jacques Christophe († 1682) et Rosine Bœckel de Bœcklinsau – luthériens, (1)
Bœcklin de Bœcklinsau – Loup Louis, bailli de Dachstein, et Marie Elisabeth d’Andlau, (1)
Bœcklin de Bœcklinsau – Philippe Frédéric et (1670) Marie Françoise de Rathsamhausen d’Ehnwihr – luthériens, (1)
Bœcklin de Bœcklinsau – Philippe Louis et (1631) Eve Reine de Sultz – luthériens, (1)
Bœcklin de Bœcklinsau Rust – Balthasar († v. 1655) et Marguerite Wurmser de Schæffolsheim – luthériens, (1)
Bœdigheim – Louis de, et Madeleine de Wickersheim, (1)
Bœgner – Jean Gaspard, emballeur, et (1672) Marie Rupp – luthériens, (1)
Bœgner – Jean Jacques, emballeur, et (1677) Barbe Heck – luthériens, (1)
Bœgner – Louis, tonnelier, et (1683) Anne Marie Burckhardt (propre à la femme) – luthériens, (1)
Bœhler – Edouard, journalier, et (1893) Anne Müller, (1)
Bœhler – Jean, potier d’étain et assistant de l’accise, et (1640) Barbe Bender, puis (1659) Anne Ursule Bischel veuve (a) de Pierre Murmetzger, tonnelier à la cour de la Petite Pierre, puis (b) de Daniel Keber, receveur ecclésiastique à Bischoffsheim à la Haute-Montée – luthériens, (1)
Bœhm – Charles, revendeur, et (1605) Elisabeth Müele – luthériens, (1)
Bœhm – Georges, menuisier, et (1672) Barbe Schott puis (1684) Barbe Schaffner, d’abord (1676) femme du revendeur Rémi Hoffmann – luthériens, (1)
Bœhm – Jean Adam, compagnon maçon, et (1728) Barbe Dinder puis (1731) Catherine Sibille Fritsch – catholiques, notice
Bœhm – Jean Daniel, marchand, et (1730) Eve Barbe Bechtold – luthériens, (1)
Bœhm – Michel Frédéric, fabricant de papiers peints, et (1796) Catherine Sophie Rœderer, (1)
Bœhm – Michel Frédéric, pasteur, et (1703) Jacqueline Herrmann, notice
Bœrel – Jean Jacques, maçon, et (1672) Anne Marie Soldner – luthériens, converti, (1)
Bœringer – Jean Daniel, boutonnier, et (1755) Anne Catherine Schmutz puis (1795) Marie Catherine Kopp veuve du fabricant de crics Jean Martin Hosch – luthériens, (1)
Bœringer – Jean Gaspard, tanneur, et (1667) Marie Marguerite Schwender puis (1680) Marguerite Bielstein veuve de Jean Nicolas Rœderer – luthériens, (1), (2)
Bœris – Philippe Jacques, serrurier, et (1722) Susanne Baufinck – luthériens, (1)
Bœrner – Jean David, maréchal de camp, et Marie Madeleine Kutter, (1)
Bœrsa – Jean Jacques, tisserand en laine puis aubergiste, et (1641) Marie Cléophée Meyer puis (1666) Anne Dorothée Metzger – luthériens, (1)
Bœrsch – Abraham, jardinier, et (1848) Barbe Fridolsheim, (1)
Bœrsch – Jean von, jardinier, et (1655) Marie Schott – luthériens, (1)
Bœrsch – Jean von, jardinier, et (1693) Aurélie Wunderer puis (1704) Marguerite Drenns – luthériens, (1)
Bœrsch – Loup von, jardinier, et (1645) Marguerite Füllwarth veuve du charron Martin Dannenberger – luthériens, (1)
Bœrsch – Urbain von, jardinier, (1680) Anne Haag – luthériens, (1)
Bœrsch Daniel, jardinier, et (1817) Marguerite Lix, (1)
Bœs – André, garçon batelier, et (1624) Madeleine Anschelmann puis (1640) Anne Marguerite Jæger auparavant (1637) femme de Léonard Fischer – luthériens, (1)
Bœs – Léonard, batelier, et (1673) Marguerite Klein – luthériens, (1)
Bœschet – Jean Michel, boulanger, et (1724) Marie Eve Wallner – luthériens, (1)
Bœschet – Martin, boulanger, et (1687) Marie Elisabeth Schranckenmüller – luthériens, (1)
Bœshens – Jean André, maréchal ferrant, et (1825) Marguerite Barbe Fauth, (1)
Bœsinger – Benjamin, boucher, et (1717) Madeleine Freyss d’abord (1694) femme du boucher Jean Georges Stahl puis (1736) Anne Vix d’abord (1734) femme du jardinier Jean Jacques von Bœrsch – luthériens, (1)
Bœss – Jean, batelier, et (1612) Madeleine Krieg, auparavant (1608) femme du tailleur de pierres Louis Baur – luthériens, (1)
Bœss – Jean, batelier, et (1638) Marguerite Roth – luthériens, (1)
Bœss – Jean, batelier, et (1669) Anne Marie Senger, remariée (1684) avec André von Zabern, marchand de bois, (1)
Boesser – Balthasar, tonnelier, et (v. 1810) Rosine Wohlgemuth, (1)
Bœsswilwald – Jean Michel, boutonnier d’étain, et (1786) Catherine Elisabeth Rothhan veuve de Jean Frédéric Meyer – luthériens, (1)
Bœswillwald – Auguste, marchand de cuir, et (1839) Adèle Ott, (1)
Bœswillwald – Auguste,passementier, et (1858) Emma Mathilde Schœttel, (1)
Bœswillwald – Frédéric, boulanger, et (1786) Catherine Jacqueline Murr remariée (1819) au marchand de fer Jean Michel Meckert – luthériens, (1)
Bœttiger – David, ramoneur, et (1679) Judith Hæffelin, veuve du ramoneur Thomas Ammann d’Esslingen, (1695) Anne Scheer puis (1700) Barbe Heyer remariée (1708) avec Jean Jacques Kiesel, trompette municipal – luthériens, (1)
Bœttiger – Philippe, jardinier, et (1683) Catherine Knecht – luthériens, (1)
Bogner – Christophe, coutelier, et (1703) Marie Elisabeth Klingel, (1734) Anne Eve Hetzel, d’abord (1694) femme du tanneur Laurent Trens – luthériens, (1)
Bogner – Christophe, coutelier, et (1726) Catherine Dorothée Krieg – luthériens, (1)
Bogner – Jean Frédéric, coutelier, et (1763) Anne Catherine Jund – luthériens, (1)
Bogner – Jean Frédéric, coutelier, et (1806) Philippine Louise Beyckert, (1)
Bohnert – Laurent, journalier, et (1674) Marie Wixer puis (1690) Anne Barbe Brunschwick remariée (1710) avec le compagnon maçon François Bach – manants, luthériens puis (1690) catholiques, (1)
Bohnert – Thiébaut, manœuvre puis jardinier, et (1678) Barbe Winter, remariée (1706) avecle boulanger Jean Mülleiter, (1)
Boitel – Virginie, rentière célibataire († 1882), (1)
Bolender – Isaac, potier, et (1732) Marguerite Weber – luthériens, (1)
Bolender – Jean Gaspard, cordonnier, et (1740) Marie Salomé Sommer – luthériens, (1)
Bolender – Jean, chaussetier, et (1643) Anne Marie Esdras – luthériens, (1)
Bolender – Jean, chaussetier, et (1713) Anne Marie BæurIin veuve d’Isaac Oberlin – luthériens, notice
Boll – Jean Adam, menuisier, et (1678) Catherine Schneider – luthériens, (1)
Boll – Jean, menuisier, et (1631) Susanne Œlkrug – luthériens, (1)
Bolla – Charles, négociant, (1818) Françoise Klein, (1)
Bollen – Thérèse, blanchisseuse à Hermolsheim, (1)
Bollenbach – Louis, cocher, et (1866) Madeleine Haar, (1)
Bollong – Mathias, serrurier, et (1803) Marie Salomé Adam, (1)
Bon Pasteur – Etablissement du, (1)
Bonami – Jacques, musicien de l’armée, et Gertrude Honnig, (1)
Bonhomme – Antoine, pensionnaire de l’Etat, et (1829) Marie Anne Persohn, (1)
Bonn – Quirin, boulanger, et (1769) Françoise Gilloth – catholiques, (1), (2)
Bonnard – Joseph, boutonnier, et (1741) Anne Marie Hammerer – catholiques, (1)
Bonne – Jean Baptiste, graveur, et (1805) Marguerite Madeleine Vest, (1)
Bonnet – Philibert Ignace, tapissier, et (1762) Marie Agnès Christine Guillemin – catholiques, (1)
Bontemps – Pierre Henri, trésorier principal de l’extraordinaire des guerres, et (1736) Marie Jeanne de Chatillon – catholiques, (1)
Bony de Lavergne – (Edouard Henri) Léandre de, avocat, et (1845) Athénaïs Léopoldine Husson, (1)
Boob – Nicolas, géomètre, et (1827) Marie Madeleine Louise Jung, (1)
Born – Jean, cordonnier, et (1663) Susanne Engelbrecher d’abord (1568) femme du péager Conrad Hosch, (1665) Cléophée Eissen puis (1685) Barbe Schubæus – luthériens, (1)
Borneck – Jean Jacques, garde-magasin, et (1766) Jeanne Barbe Lautour – catholiques, (1)
Bornmann – Charles (Frédéric), commissionnaire, et (1853) Salomé Treuschel, (1)
Borrer – (Georges) Victor, négociant, célibataire († 1888) , (1)
Borst – Jacques, cordonnier, et (1695) Susanne Kohut ou Polosina, juive convertie, veuve de Jean Zerath puis de Michel Sutor – luthériens, (1)
Borst – Jean Georges, coutelier, et (1717) Marie Madeleine Allheilig – luthériens, (1)
Borst – Jean Jacques, coutelier, et (1678) Marie Elisabeth Wolff puis (1694) Barbe Thorwart – luthériens, (1)
Bosch – Antoine, employé au chemin de fer, et (1855) Catherine Frühauff, (1)
Bosch – Charles (Guillaume), boulanger, et (1905) Caroline (Berthe) Pestel, (1)
Bosch – Emile, menuisier, et (1890) Emma Ensfelder, (1)
Bosch – Michel, et (1581) Susanne, veuve de Georges Braun puis (1585) Susanne Schwebel – luthériens, (1)
Bosch – Michel, marchand, et (1690) Marie Eve Feigler, veuve de Jean Martin Berger – luthériens, (1)
Bosch – Ulric, musicien puis débitant de vin, et (1611) Marguerite Schmidt veuve d’Abel Brack – luthériens, (1)
Bosque – Jean Mathieu, greffier à la Monnaie et intéressé dans les affaires du Roi, et (1728) Anne Marie Federlé – catholiques, (1)
Boss – Georges, de Bosselshausen – luthérien, (1)
Bossant – Cyprien, poseur de palissades et charpentier, et (v. 1684) Marie Dorothée Herr – catholique et luthérienne convertie, (1)
Bossenius – Chrétien Geoffroi, notaire, et (1794) Catherine Salomé Griesbach – luthériens, notice
Bosser – Joseph, tailleur, et (1801) Marie Elisabeth Leibrock, (1)
Bosshart – Jacques, capitaine, et (1812) Frédérique Salomé Eger veuve de Jean Georges Rœmer, remariée (1821) au tricoteur de bas Henri Klein, (1)
Bott – Jean (Pierre), compagnon tailleur de pierres, et (1714) Anne Marie Lazarus – catholiques, notice
Botzenhart – Georges, jardinier, et (1625) Madeleine Eigelé, (1)
Botzheim – Jean Frédéric von, et (1588) Appolonie Mueg – luthériens, (1)
Botzheim – Jean Loup von, tonnelier, et (1697) Marie Salomé Limburger – luthériens, notice
Botzheim – Joachim von, marchand, et (1650) Marguerite Fleischbein, (1659) Marie Madeleine Kirstner puis (1680) Sara Rosine Bœrffenicht – luthériens, (1), (2)
Botzheim – Wolfgang, marchand, et (1605) Agnès Müller puis (1624) Susanne Baumgarter, d’abord (1614) femme de Guillaume Sigbert puis (1619) de Jean Heller, bailli – luthériens, (1)
Botzon – Jean Daniel, passementier, et (1697) Marie Elisabeth Buschard – réformés, (1)
Botzon – Jean Jacques, marchand de soieries, et (1726) Marie Elisabeth Hæberlin puis (1732) Marie Salomé Huguenel – réformés, (1)
Botzon – Jean Jacques, marchand de soieries, et (1769) Marie Salomé Geymüller – réformés, (1)
Botzon – Jean, marchand épicier, et (1668) Anne Marie Ackermann veuve d’Isaac Woillaumé, puis (1679) Susanne Marie Guionet, veuve de Georges Philippe Berlin – réformés, (1)
Botzon – Jean, marchand et teinturier d’art, et (1675) Marie Elisabeth Pistorius veuve de Samuel de Barry – réformés, (1)
Bouchotte – Simon, receveur de l’imposition des fourrages d’Alsace, et (1762) Jeanne Françoise Hervé mariée en premières noces (1746) avec le marchand Henri Suriray – catholiques, (1), (2), (3)
Boudhors – Pierre Valentin, inspecteur des travaux, et (1777) Gertrude Meng – catholiques, (1)
Bougeot – Jean Baptiste, tailleur, et (v. 1702) Marie Anne Blanche – catholiques, (1)
Boulein – Nicolas, cordonnier, et (v. 1780) Elisabeth Werlin – catholique et luthérienne, (1)
Bourbon – Pierre, négociant, et (1810) Elisabeth Bertat – catholiques, (1)
Bourdelot – Etienne, employé pour le Roi, et (1733) Marie Marguerite Lhanneur puis (1746) Marie Anne Kien – catholiques, (1)
Bourdot – Mathieu, fabricant de chandelles, et (1725) Nicole Goujon – catholiques, (1)
Bourgeois – Jacques Isaïe, tapissier, et (1723) Jeanne Clémence Tardieu puis (1748) Marie Andrée Donnay – catholiques, (1)
Bourst – Jean François Antoine, receveur du couvent Saintes Marguerite-et-Agnès, et (v. 1710) Eve Catherine Fendrich – catholiques, (1)
Boutrou – Pierre François, employé dans les affaires du Roi, et (1743) Anne Contal veuve de Léonard Larcher – catholiques, (1)
Boutte – Pierre, marchand épicier, et (1835) Elisabeth Hagé, (1)
Brack – Abel, menuisier, et (1591) Marguerite Schmidt – luthériens, (1)
Brackenhoffer – André, consul, et (1644) Apollonie Wencker – luthériens, (1), (2)
Brackenhoffer – André, préposé à l’accise, et (1671) Susanne Dorothée Engel veuve de Paul Frédéric Marbach puis (1685) Susanne Metzger – luthériens, (1), (2), (3)
Brackenhoffer – Elie, et (1646) Anne Schmidt puis (1667) Barbe Erhard – luthériens, (1), (2), (3), (4)
Brackenhoffer – Elie, juriste, et (1699) Catherine Zeyssolff, (1708) Anne Elisabeth Harnister veuve de Jean Walter et de Jean Schatz, puis (1716) Anne Marie Engelbach – luthériens, (1), (2)
Brackenhoffer – Elie, professeur à l’Université, et (1759) Marie Elisabeth Richshoffer – luthériens, (1), (2)
Brackenhoffer – François, marchand, et (1709) Marie Dorothée Goll – luthériens, (1)
Brackenhoffer – Jacques Frédéric, licencié en droit puis maire, et (1788) Françoise Salomé Lemp, (1)
Brackenhoffer – Jean Jérémie, professeur à l’école d’Artillerie et (1754) Marie Cléophée Goll puis (1757) Marguerite Salomé von Carben – luthériens, (1), (2)
Brackenhoffer – Jean Michel, bailli, et (1675) Madeleine Salomé Stœsser, d’abord (1665) femme de Jean Sébastien Gambs – luthériens, (1)
Brackenhoffer – Jean, notaire, et (1719) Catherine Dorothée Schrag, (1727) Susanne Barbe Pantrion et (1743) Salomé Ungar, veuve de Jean Jacques Riedlé – luthériens, notice
Brackenhoffer – Joachim, orfèvre puis consul, et (1599) Anne Marie Ziegel – luthériens, (1), (2), (3)
Brackwehr – Arnaud, messager, et (1637) Barbe Eckart, veuve du boucher Etienne Reichard, puis (1651) Anne Barbe Rohrer – luthériens, (1)
Brackwehr – Loup Thierry, messager, et (1676) Marthe Geiger puis (1709) Eve Fessmann, d’abord (1692) femme du boucher Jean Knoderer puis (1701) de l’aubergiste Jean Christophe Strintz – luthériens, (1)
Bræsch – Frédéric, boucher, et (v. 1867) Louise Thorwart, remariée (1876) avec le brasseur (Louis) Auguste Stephan, (1)
Brancour – Bernard, marchand de fruits et légumes, et (1771) Marie Catherine Nadler – catholiques, (1)
Brancour – Jean Pierre, peintre sur porcelaine, et (1733) Marie Madeleine Nœppel puis (1746) Marie Félicité Sarger – catholiques, (1)
Brand – André, barbier, et (1571) Anne Oster – luthériens, (1)
Brand – Bernard, marchand, et (1631) Salomé Dieffenbecher – luthériens, (1)
Brand – Jean Daniel– luthérien, (1)
Brand – Jean Daniel, marchand, et (1661) Félicité Goll puis (1693) Marie Salomé Schatz veuve du marchand Jean Philippe Heinrici – luthériens, (1), (2)
Brand – Philippe Henri, docteur en médecine, et (1704) Anne Marie Schneider, veuve du marchand de cuir Jean Henri Sendelbach, puis (1723) Anne Marguerite Nicolai – luthériens, (1)
Brand – Sébastien, marchand de drap, et (1551) Anne Meyer – luthériens, (1)
Brand – Sébastien, tondeur de draps, et (1597) Susanne Storck puis (1605) Ursule Andres – luthériens, (1)
Brand – Thiébaut, drapier, et (1588) Ursule Jœger, remariée (1612) avec Thiébaut Widt – luthériens, (1)
Brandhoffer – Jean, marchand, et (1676) Susanne Bernhard – luthériens, (1)
Brandhoffer – Philippe Jacques, brasseur, et (1791) Catherine Salomé Hatt – luthériens, (1)
Brandis – André, cordonnier, et (1634) Susanne Vierling – luthériens, (1)
Brandstetter – Chrétien, revendeur, et Dorothée Rauscher puis (1796) Marie Anne Holdermann, (1)
Brantz – Emanuel, barbier, et (1658) Salomé Hartmann d’abord (1652) femme de l’orfèvre Daniel Kauffmann, (1662) Susanne Reinthaler, (1680) Marie Kœnig d’abord (1660) femme du pasteur Jean Frédéric Geiger, (1687) Dorothée Pauli d’abord (1636) femme du revendeur Louis Schlehenacker, (1669) du blanchisseur Jean Louis Griesbach puis (1674) du tanneur Jean Georges Beyer – luthériens, (1)
Brantz – Jean Adam, notaire, et (1689) Catherine Heller – luthériens, conversion, notice
Brantz – Jean Frédéric, fabricant de boutons en argent, et (1725) Susanne Salomé Lang – luthériens, (1)
Brantz – Jean Frédéric, fondeur en étain, et (1692) Susanne Reinthaler puis (1710) Susanne Marie Richshoffer – luthériens, (1), (2)
Brasserie d’Adelshoffen s.a. à Schiltigheim, (1)
Bratfisch – Frédéric, précepteur, et (1777) Marie Madeleine Salomon – luthériens, (1)
Bratfisch – Jean, boulanger, et (1682) Jacqueline Dürrbach veuve du fournier Geoffroi Krauss – luthériens, (1), (2)
Bratfisch – Martin, tanneur, et (1648) Marie Mœssner, remariée (1679) avec le batelier Daniel Rues – luthériens, (1)
Bratz – Jean Théophile, potier, et (1761) Marie Madeleine Bloch, veuve de Jean Gaspard Otterbein – luthériens, notice
Braulle – François André, employé pour le roi, et (1772) Marie Dorothée Chapuis – catholiques, (1)
Braun – (Chrétien) Michel, voiturier, (1811) Marie Catherine Latscha, (1)
Braun – (Jacques) Jonathan, aubergiste puis meunier, receveur de l’octroi, et (1801) Catherine (Dorothée) Rœderer, (1)
Braun – Charles Louis, agent des salines de l’Est, et (1832) Charlotte Emma Gerhard, (1)
Braun – Christophe, boulanger, et (1693) Anne Catherine Wehner – luthériens, (1)
Braun – Christophe, cordonnier, et (1640) Anne Marie Christianus – luthériens, (1)
Braun – Daniel Ernest, orfèvre, et (1692) Marie Madeleine Richshoffer – luthériens, (1)(1)
Braun – Daniel Louis, négociant, et (1801) Louise Caroline Karth, (1)
Braun – Daniel, cordonnier, et (1678) Marthe Pfund – luthériens, (1)
Braun – David, apprêteur de tabac puis revendeur, et (1718) Anne Henck, (1)
Braun – David, boulanger et farinier, et (1743) Marguerite Dorothée Gretzinger puis (1760) Catherine Marguerite Seiler – luthériens, (1)
Braun – Frédéric Michel, gendarme, et (1843) Mathilde Holtz, (1)
Braun – Gaspard, charpentier, et (1621) Marie Reuchlin, d’abord (1594) femme du charpentier Jean Schwartz puis (1638) Marguerite Huck – luthériens, (1)
Braun – Jacques, remueur de grains, et (1760) Anne Marie Fendrich – catholiques, (1)
Braun – Jean Adolphe, marchand, et (1607) Barbe Baur – luthériens, (1)
Braun – Jean Daniel, cordonnier (bourgeois en 1725), notice
Braun – Jean Daniel, orfèvre, et (1657) Salomé Bressler – luthériens, (1)
Braun – Jean et Jean Frédéric, marchands à Lyon, (1)
Braun – Jean Frédéric, boucher, et (1782) Anne Marie Gerling – luthériens, (1)
Braun – Jean Georges, tonnelier, et (1812) Anne Marguerite Clerc puis (1817) Elisabeth Senter, (1)
Braun – Jean Jacques, boulanger, et (1724) Anne Barbe Vogel puis (1744) Anne Susanne Lemorm veuve de Jean Siegfried – luthériens, (1)
Braun – Jean Jacques, joailler, et (1730) Catherine André – luthériens, (1)
Braun – Jean Philippe, notaire, et (1703) Marie Madeleine Lang – luthériens, notice
Braun – Jean Philippe, orfèvre, et (1764) Marie Madeleine Reinbold – luthériens, (1)
Braun – Jean, batelier, et (1645) Barbe Baldner – luthériens, (1)
Braun – Jean, brasseur puis marchand épicier, et (1830) Marie Louise Mæchling, (1)
Braun – Jean, cartier, et (v. 1593) Eve Kempff puis (1620) Brigitte Kauffer veuve du marchand de chevaux Jean Louis Klein – luthériens, (1)
Braun – Jean, confiseur, et (1787) Marie Madeleine Eichborn – luthériens, (1)
Braun – Norbert, aubergiste, et Esther Kœrner, puis (1695) Catherine Betz, et (1718) Marie Anne Frey – catholiques, notice
Braun – Thiébaut, tailleur, et (1641) Catherine Martin – luthériens, (1)
Braun – Thomas, charpentier, et (1630) Barbe Schmitt – luthériens, (1)
Braun – Tobie, musicien, et (1713) Anne Chrétienne Lautenschlager veuve d’Isaac Gœbel – luthériens, (1)
Braunagel – Charles (Joseph), serrurier mécanicien, et (1848) (Marie Françoise) Julie Sandmann puis (1865) Barbe Bauer, (1)
Brauneissen – Georges, tonnelier, et (1723) Jeanne Sophie Giessel, veuve du sergent Jean Wolffgang Pettich – catholiques, notice
Braunwald – Charles Guillaume, teinturier, et (1826) Madeleine Louise Helck, (1), (2)
Braunwald – Charles Louis, teinturier, et (1783) Marie Madeleine Borst – luthériens, (1)
Braunwald – Jean Daniel, teinturier, et (1819) Caroline Scheer, (1)
Braunwald – Jean Michel, teinturier, et (1712) Elisabeth Christ – luthériens, (1)
Braunwald – Jean Michel, teinturier, et (1746) Catherine Barbe Lurtzing – luthériens, (1)
Braunwald – Jean Michel, teinturier, et (1785) Marie Madeleine Gutmann – luthériens, (1), (2)
Braunwald – Jean Michel, tisserand, et (1664) Anne Marie Callenberger puis (1674) Anne Madeleine Mosseder – luthériens, (1)
Brecht – Jean Georges (Precht), serrurier, et (1768) Françoise Meyer veuve du serrurier Pierre Stocker puis (1780) Catherine Marguerite Dreher – catholiques, notice
Brechtel – Jean, cordonnier, et (1693) Marie Madeleine Schæffer puis (1703) Anne Catherine Reinthaler – luthériens, (1)
Breck – Louis Charles, caissier, et Françoise Louis, (1)
Breck – Philibert, commissionnaire, et (v. 1798) Pétronille Schneegans, (1)
Brehmer – Albert Frédéric, capitaine († 1674), et (b) Eve Félicité Katzendorffer – luthériens, (1)
Breidt – Samuel, taillandier, et (1871) Emilie Burgard puis (1880) Catherine Bœrtig d’abord (1865) femme du tailleur de pierres Aloïse Weyer, (1)
Breisacher – Mathias, manant et charretier, et (1776) Marguerite Hamm – luthériens, (1)
Breitenacker – Philippe, receveur ecclésiastique à Bischofsheim à la Haute-Montée, et Susanne Scheid – luthériens, (1)
Bremsinger – André, notaire, et (1788) Claire Thérèse Gœrger – catholique, notice
Brendel – Christophe, brasseur puis baigneur, et (1625) Apollonie Nægelin, (1), (2)
Brennwald – Jean Louis, tailleur, et (1613) Elisabeth Spon (Bonn) – luthériens, (1)
Brenon – Jacques, épinglier, et (v. 1563) Elisabeth Desch – luthériens, (1)
Brentz – Pierre, fabricant de capes, et (1618) Madeleine Wilhelm, veuve du fabricant de capes Jean Sontag – luthériens, (1)
Breslé – Jean, tonnelier, et (1729) Marie Barbe Loger, (1734) Marie Ursule Braun, (1746) Marie Anne Isabelle Arnold puis (1756) Marie Catherine Pertois – catholiques, (1), (2)
Bressel – Jean Jacques, compagnon tailleur de pierres, et (1752) Anne Marie Ripp – catholiques, (1)
Bressler – Ernest, pharmacien, et (1663) Agnès Saltzmann – luthériens, (1)
Bressler – François, marchand, et (1675) Marthe Krauth, veuve du notaire Jean Philippe Braun – luthériens, (1)
Bret – Guillaume, cordonnier, et (1858) Caroline Gasser, (1)
Breu – Jean Daniel, tonnelier, et (1765) Marguerite Salomé Wenger – luthérien et réformée, puis (1799) Anne Marie Meckert, d’abord (1771) femme du peintre Jean Daniel Heimlich, (1)
Breu – Jean Sigefroi, receveur, et (1736) Marie Salomé Reisseissen puis (v. 1738) Rebecca Françoise Bassy – luthériens, (1)
Breu – Jean, notaire, et receveur, et (1687) Anne Marguerite Beck, (1698) Anne Catherine Schmidt, (1706) Anne Marie Boch et (v. 1716) Susanne Nægelin – luthériens, notice
Breuling – Charles, boulanger, et (1873) Reine Burkhardt puis (1906) Frédérique Wilhelmine Schlott, veuve du cultivateur Auguste Frühauf, (1)
Breuninger – Léonard, tisserand, et (1788) Susanne Barbe Schützenberger veuve du tailleur de pierres Jean Henri Fetsch – luthériens
Brey – Jean Georges, aubergiste, et (1678) Catherine Zesenmacher puis (1690) Marie Barbe Reichard – luthériens, (1)
Brey – Jean, charron, et (1594) Véronique Schuekür veuve de Pierre Groshenn – luthériens, (1)
Brey – Philippe Jacques, perruquier, et (1780) Marie Barbe Fettinger puis (1785) Marie Salomé Schæffer – luthériens, (1)
Brickmann – Jean Daniel, marchand, et (1765) Anne Barbe Eck, (1771) Anne Marie Urfer, puis (1791) Catherine Elisabeth Siebold, luthérienne – manants, réformés, (1)
Brida – Philippe Jacques, tonnelier, et (1774) Chrétienne Barbe Blind – luthériens, (1)
Brieff – Jean Martin, notaire, et (1694) Anne Elisabeth Schübler – luthériens, notice
Brienne – Augustin Joseph, casernier, et (1809) Christine Louise Schwab veuve de Jean Jacques Wendling, (1)
Brillenmeyer – Jean Frédéric, chaussetier, et (1741) Marie Françoise Dorothée Bœhm puis (1747) Catherine Elisabeth Bertsch – catholiques, (1)
Brion – Jean Jacques, tonnelier, et (1716) Anne Catherine Hahn – luthériens, (1)
Brissez – Antoine Joseph, capitaine, et (1812) Marie Marguerite Beyer, (1)
Brod – Pierre, bourgeois de Strasbourg et maître d’école à Wasselonne, (1)
Brodard – Alexis, garde-magasin, et (1779) Marie Barbe Meyer, (1)
Brodbeck – Erard, cordonnier, et (1798) Eve Lienhard (luthériens), (1)
Brodbeck – Jean Gustave, employé au chemin de fer, (1)
Brodbeck – Thiébaut, archer et messager, et (1699) Marguerite von Bœrsch veuve de Samuel Fritschmann – luthérienne convertie et catholique, (1), (2)
Brodbühl – Adam, serrurier et suspendeur de cloches, et (1619) Marguerite von Mey, veuve du fondeur de bronze Erasme Urion – luthériens, (1)
Brodfisch – Georges, tanneur, et (1648) Marguerite Feigler, (1661) Marie, veuve d’Isaac Baderus puis Marguerite Krotendœrffer – luthériens, (1)
Brohm – Jacques, cloutier, et (1696) Anne Elisabeth Andres puis (1730) Marie Marguerite Gahr – luthériens, (1)
Bronner – Daniel Théodore, tailleur d’habits, et Thérèse Caroline Carle, (1)
Bronner – François, manant et tailleur de pierres, et (1772) Anne Marie Müller veuve du domestique Elie Tostalick – catholiques, (1)
Bronner – Georges, menuisier, et (1598) Marthe Bronner puis (1621) Catherine Hausser – luthériens, (1)
Bronner – Isaac, graveur, et (1616) Sara von der Heyden puis (1630) Elisabeth Dorsch – luthériens, (1)
Bronner – Jean Chrétien, cordier puis revendeur, et (1802) Marie Elisabeth Stahl, (1)
Bronner – Jean Jacques, charron, et (1808) Caroline Wilhelm puis (1810) Susanne Marie Müller veuve du chanvrier Jean Frédéric Marbach, (1)
Bronner – Jean Joseph, organiste et sacristain de l’oratoire de la Toussaint, et (1777) Elisabeth Ringerspurger – catholiques, (1)
Bronner – Laurent, menuisier, et (1689) Anne Catherine Kæhrlin, (1694) Marie Barbe Stattmann puis (1703) Marguerite Kœnig – luthériens, (1)
Brosé – Jean Jacques, baigneur et (1754) Marie Dorothée Schmidt – luthériens, (1)
Brosier – April, fourbisseur, et (1588) Marie Riegel puis (1604) Marie Frœreisen, remariée (1610) avec le cordonnier Jacques Schreiber – luthériens, (1)
Broude – (Etienne) Emile, tapissier, et (1863) Christine Euller, (1)
Brouillon – Antoine, garçon tanneur puis aubergiste, et (1846) Elisabeth Haffen, (1)
Brubacher – Jacques, marchand, et (1892) Marie Louise Meyer, (1)
Brück – Jean Adam, marchand d’habits, et (1698) Anne Marguerite Reinel puis (1704) Marie Elisabeth Grohberger – luthériens, (1)
Brück – Jean Michel, boulanger (bourgeois en 1725), notice
Brucker – Augustin, tailleur, et (1681) Anne Barbe Stœrtzer, (1692) Sibylle Madeleine Gall puis (1709) Ursule Gross – luthériens, (1)
Brucker – Jean Christophe, fournier, et (1709) Marie Dorothée Mebus – luthériens, (1)
Bruckert – Jean Thiébaut, fabricant de chausses , et (1694) Susanne Reine Kirchner – luthériens, (1)
Bruckner – Emile, négociant, et (1833) Frédérique Eugénie Bahn, (1)
Bruckner – Louis Chrétien, négociant, et (1799) Jeanne Catherine Meyé, (1)
Bruder – Chrétien, passementier et marchand de soie, et (1651) Marie Salomé Bürckel – luthériens, (1)
Bruder – Ezéchiel, revendeur puis précepteur, et (1687) Anne Marie Saur – luthériens, (1)
Bruder – François (Cyriaque), marchand fripier, et (1843) Joséphine Ottmann, (1)
Bruder – Georges Frédéric, parcheminier, et (1749) Anne Marie Beck – luthériens, (1)
Bruder – Jean André, marchand, et (1732) Marie Salomé Richshoffer puis (1743) Dorothée Elisabeth Liedvogel – luthériens, (1)
Bruder – Jean André, marchand, et (1761) Marguerite Salomé Saltzmann puis (1767) Anne Salomé Sandherr, notice
Bruder – Jean Benoît, marchand de cuir, et (1725) Marguerite Voltz – luthériens, (1)
Bruder – Jean Frédéric, parcheminier, et (1712) Anne Catherine Walter – luthériens, (1)
Bruder – Jean Jacques, marchand de cuir, et (1709) Jacqueliné Rubin, (1)
Bruder – Jean Jacques, marchand, et (1681) Anne Marie Griessbach puis (1711) Anne Marie Lobstein – luthériens, (1)
Bruder – Jean, parcheminier, et (1799) Barbe Oster, (1)
Bruder – Jean, parcheminier, et (1830) Caroline Henckel, remariée (1845) avec l’insituteur Charles Théodore Wægener, (1)
Bruder – Meinrad, boucher puis aubergiste à Mutzig, et (1772) Marie Catherine Flecher – catholiques, (1)
Brügel – Georges, cordonnier, et (1619) Barbe Zinck – luthériens, (1)
Brühlinger – André, jardinier, et (1640) Agnès Mack*, veuve du jardinier Jean Sigel – luthériens, (1)
Brunet de Guadet – Antoine, aide major à Gravelines, et (1735) Marie Gertrude Pelletier – manants, catholiques, (1)
Brunn – Geoffroi von, marchand épicier puis pharmacien, et (1629) Marie Ringler puis (1636) Marguerite Meyer – luthériens, (1), (2)
Brunn – Jean Georges, sachetier, et (1668) Anne Marie Diebold puis (1693) Marie Elisabeth Reinthaler – luthériens, (1)
Brunn – Jean, diacre, et (1639) Marie Roser veuve de Martin Baldner – luthériens, (1)
Brunn – Jean, pasteur à Saint-Pierre-le-Vieux, et (1639) Marie veuve de Martin Baldner – luthériens, (1)
Brunner – Jean, potier, et (1679) Anne Marie Guthmann – luthériens, (1), (2), (3)
Brunnert – Jean Michel, cordonnier, et (1809) Barbe Seeger, (1)
Bruyas – Jacques Etienne, marchand, et (1713) Madeleine Ducroc veuve de Joseph Lavalette – catholiques, notice
Buch – Jean Régnard Thierry de – luthérien, (1)
Buch – Philippe Louis de, et (1704) Jeanne Louise Gremp de Freudenstein – luthériens, (1)
Büchel – Abraham, marchand épicier, et (1681) Catherine Merckel – luthériens, (1)
Büchel – Abraham, marchand, et (1681) Catherine Mercklin – luthériens, (1)
Büchel – Georges, sergent municipal, et (1617) Marguerite Birr – luthériens, (1)
Büchel – Jean Georges, fourbisseur, et (1744) Eve Rosine Reich – luthériens, (1)
Büchel – Jean Georges, marchand, et (1718) Marthe Krauss, épouse– luthériens, (1)
Büchel – Jean Jacques, corroyeur, et (1641) Barbe Riehl – luthériens, (1)
Büchel – Jean Jacques, peintre en miniature puis cafetier, et (1780) Marie Madeleine Pfæhler puis (1797) Dorothée Freydel – luthériens, (1)
Büchel – Jean, corroyeur, et (1605) Anne Marie Zigel puis (1631) Madeleine Kopp, veuve du pasteur Joachim Wedland, remariée (1636) avec le fourbisseur Paul Hellwig – luthériens, (1)
Büchel – Jean, corroyeur, marchand de cuir et (1596) Marie Ulrich puis (1631) Madeleine Kopp, veuve de Joachim Wendland, remariée à Paul Hellwick – luthériens, (1)
Büchel – Paul, fabricant de bourses, et et (1602) Anne Gœtz, remariée (1623) avec Gothard Wiener – luthériens, (1)
Bucher – François Joseph, commis négociant, et (1837) Marie Salomé Kuhn veuve de François Joseph Otter, (1)
Bucherer – Charles Frédéric, négociant, et (1836) Wilhelmine Kast, (1)
Bucherer – Charles Louis, marchand de vins, et (1806) Christine Lung mariée en premières noces (1799 ) avec Jean Frédéric Heyl, (1)
Bucheron dit Duval – Claude, maître d’armes, et Marie Marguerite Grison – catholiques, (1)
Buchlé – Jean François, ferblantier, et (1803) Françoise Schweighæusser, (1)
Büchlé – Louis, cordonnier, et (1757) Elisabeth Stolch – catholiques, (1)
Buchmann – Joachim, teinturier, et (1617) Madeleine Rœderer veuve de Philippe Martin Schæffer, (1634) Jacqueline Schopp, (1640) Anne Stein, (1650) Marie, veuve de Michel Zimmerberger – luthériens, (1)
Buchmüller – Jean, menuisier, et (1588) Barbe Kornlen puis (1597) Elisabeth Geldreich, veuve de Laurent Muschet d’Obernai – luthériens, (1)
Buchmüller – Joseph, facteur de pianos, et (1834) Madeleine Barbe Chevalier puis (1848) Marguerite Klem, (1)
Büchner – Jean, tailleur, et (1604) Susanne Kleindienst – luthériens, (1)
Buchs – Jean Jacques, boisselier, et (1678) Anne Marie Fürnkorn – luthériens, (1)
Buchs – Jean Jacques, boisselier, et (1678) Anne Marie Fürnkorn – luthériens, (1)
Büchsner – Henri et (1576) Agathe Gremp von Freudenstein – luthériens, (1)
Buck – Chrétien Albert, chirurgien, et (1716) Catherine Barbe Müller puis (1728) Catherine Salomé Rau – luthériens, (1)
Buck – Jean Baptiste Aimé, serrurier, et (1843) Marguerite Frédérique Martin, (1)
Buck – Jean Georges, menuisier, et (1771) Chrétienne Wilhelmine Holtzberger – luthériens, (1)
Buck – Jean Philippe, menuisier, et (1714) Anne Dorothée Waldeck – luthériens, (1)
Buckel – Martin, tisserand puis aubergiste, et (1618) Anne Widmann, d’abord (1601) femme de Loup Gebhard puis (1605) de Bernard Pflaum, tisserands – luthériens, (1)
Budinger – Joseph Antoine, maître maçon, et (1752) Marie Hélène Schiller veuve de Jean Nicolas Gœbel et de Jean Michel Guth – catholiques, notice
Buess – Nicolas, docteur en théologie († 1688) – catholique, (1)
Buggelé – Jean Henri, menuisier, et (1729) Anne Barbe Rœhrer – luthériens, (1)
Buggelé – Jean Henri, menuisier, et (1771) Anne Marie Schneller – luthériens, (1)
Bühler – André, tisserand, et (1588) Madeleine Fritsch – luthériens, (1)
Bühler – Jacques, charretier, et (1595) Walburge Müller – luthériens, (1)
Buhler – Martin, jardinier, et (1684) Aurélie Sigfrid – luthériens, (1)
Buisson – Joseph, marchand, et (v. 1593) Jeanne Mackler – luthériens, (1)
Buisson – Michel, marchand et (1629) Marie Jacquemin – luthériens, (1)
Buisson – Michel, peintre, et (v. 1578) Claudine Blanpignon – luthériens, (1)
Bullier – Jean, fabricant de chausses, et (1674) Anne Marie Gesensohn puis (1681) Anne Marie Pfeiffer – luthériens, (1)
Bumb – Michel, marchand, et (1902) Marie Thérèse Diebold, (1)
Bumsel – Lemel (ensuite Léon Boumsel), marchand, et (1795) Madigen Isaac puis (1800) Judith Bloch, (1)
Buntz – Joseph Philippe Antoine, marchand de comestibles, et (1872) Christine Elisabeth Wilhelmine Busch, (1)
Buntz – Joseph, domestique puis propriétaire, et (1826) Elisabeth Bauer puis (1842) Thérèse Jung, (1)
Bupff – Jean, aubergiste, et (1703) Anne Elisabeth Hetzel puis (1709) Anne Marguerite Westermann – luthériens, (1)
Bürck – Joseph, boulanger célibataire († 1880), (1)
Burckardt – François Joseph, cordonnier, et (1790) Catherine Dierstein – catholiques (1)
Bürckel – Bourcard, chapelier, (1662) Salomé Sœller – luthériens, (1)
Bürckel – Jacques, marchand épicier, et (1708) Marie Dorothée Güntzer – luthériens, (1)
Bürckel – Jean Georges, tonnelier et marchand de vins, et (1716), Anna Barbe Jung – luthériens, (1)
Bürckel – Jean Georges, tonnelier, et (1707) Marie Salomé Barthel puis (1716) Anne Barbe Jung – luthériens, (1)
Bürckel – Jean Jacques, marchand de vins, 1638) et Anne Weber veuve du tonnelier Georges Boch – luthériens, (1)
Bürckel – Jean Jacques, tonnelier et brasseur, et (1743) Marguerite Salomé Christianus – luthériens, (1)
Bürckel – Jean, tailleur, et (1693) Catherine Klopffer veuve de Martin Weber – luthériens, (1)
Bürckel – Léonard, domestique puis journalier, et (1779) Catherine Bischoff – catholiques, (1)
Bürckel – Pierre, marchand, et (1596) Ursule Leitersperger – luthériens, (1)
Bürckel – Pierre, marchand, et (1596) Ursule Leitersperger, remariée (1608) avec Matthieu Schulter puis (1613) Jean Renger – luthériens, (1)
Burckhard – Wendelin, armurier, et (1565) Barbe Sparschuh puis (1583) Judith Schurer d’abord (1575) femme de l’armurier Sébastien Guntermann – luthériens, (1)
Burckhardt – Chrétien Henri, tonnelier, et (1810) Marie Anne Meyer, (1)
Burckhardt – Jean Léonard, agent de change, et (1810) Marie Madeleine Birckel, (1)
Burckhardt – Louis, propriétaire, et (1870) Césarine Jacquin auparavant (1858) femme de David End, (1)
Burckhardt – Tobie, tonnelier, et (1633) Madeleine Carl, (1655) Apollonie Kammerer, (1662) Anne Ott veuve du boulanger Balthasar Dürrwangen et du cordier Christophe Bleyfuss, (1)
Burckhart – Jean, cloutier, et (1758) Silbylle Schirmann veuve de Laurent Waag, puis (1774) Jeanne Madeleine Ruhlmann – catholiques, (notice)
Burckhart – Tobie, tonnelier, et (1663) Susanne Ichinger, d’abord (1650) femme du boulanger Vincent Limberger, puis (1691) Marie Catherine Milius – luthériens, (1)
Bürckwald – Louis de (Wolfgang Louis du Terrier seigneur de Bürckwald, † 1711), lieutenant-colonel, et Concorde Truchsess de Rheinfelden – catholiques, (1)
Burg – Alfred, boulanger, et (1927) Marguerite Joséphine Roos, (1)
Bürg – Georges Michel, négociant, et (1855) Marie Joséphine Noémie Wencker, (1)
Burg – Jean, serrurier, et (1797) Marie Catherine Sternlein, (1)
Burgard – François Georges, aubergiste, et (1768) Catherine Marguerite Raballiati puis (1795) Marie Madeleine Reinhard – catholiques, (1), (2)
Burger – Abraham, tonnelier, et (1663) Barbe Kübler – luthériens, (1)
Burger – André, jardinier cultivateur, et (1612) Anne Eissen – luthériens, (1)
Burger – Christophe, ceinturier, et (1660) Jacqueline Ostertag, remariée (1679) avec Marc Speckard – luthériens, (1)
Burger – Daniel, batelier, et (1766) Marie Salomé Schlegelmilch – luthériens, (1)
Burger – Daniel, marchand, et (1689) Marguerite Madeleine Baldner – luthériens, (1)
Burger – François Xavier, maçon, et (1791) Catherine Barbe Ritling – catholiques, (1)
Burger – Frédéric, pêcheur, et (1635) Barbe Kieffer – luthériens, (1)
Burger – Geofroi, brasseur, et (1825) Marguerite Salomé Flach, (1)
Burger – Jacques Henri, perruquier, et (1778) Marguerite Marie Josèphe Scholl veuve de Jean Huin puis (1784) Marie Salomé Walcker – couple mixte puis luthériens, (1)
Burger – Jacques, ceinturier, et (1612) Catherine Nürnberger – luthériens, (1)
Burger – Jean Georges, marchand, et (1708) Catherine Salomé Zetzner – luthériens, (1)
Burger – Jean Georges, menuisier, et (1705) Agnès Gœppinger – catholiques, notice
Burger – Jean Martin, charpentier, et (1736) Catherine Nicker puis (1760) Reine Burgert veuve du messager Jean Nicolas Kleber – catholiques, (1)
Burger – Jean, brasseur, et (1856) Louise Wilhelmine Frick, (1)
Burger – Jean, tonnelier puis brasseur, et (1788) Madeleine Salomé Lindauer – luthériens, (1)
Burger – Louis, cordonnier, et (1895) Marie Madeleine Duchossois, (1)
Burger – Thiébaut, cordier, et (1632) Anne Marie Gross – luthériens, (1)
Burger – Thiébaut, cordonnier, et (1712) Dorothée Schmidt – luthériens, (1)
Burger – Wendelin, farinier, et (1656) Catherine Hægelé veuve du farinier Léonard Überkomm – luthériens, (1)
Burggraff – Jean, négociant, et Ferdinand Kolb, banquier, (1)
Burgleckler – François Eugène, serrurier, et (1895) Salomé Adé, (1)
Burgleckler – Michel, serrurier, et (1841) Marguerite Kern, (1)
Burucker – Jean, cordonnier, et (1675) Ursule Hoffmann veuve de Jean Mathias Wurm – luthériens, (1)
Büry – Benjamin, tanneur et aubergiste à Wasselonne, et (1690) Anne Schumacher – réformés, (1), (2)
Büry – Isaac, boutonnier, et (1711), Barbe Goll, d’abord (1689) femme su boutonnier Jean Nicolas Karth – réformé et luthérienne, (1)
Büry – Jacques, tanneur, et (1723) Anne Elisabeth Pasquay puis (1730) Salomé Birr – réformés, (1)
Büry – Jean David, tanneur à Westhoffen, et (1737) Marie Esther Heusch – réformés, (1)
Büry – Jean Jacques, charretier, et (1717) Anne Bolly veuve de Pierre Dalmann – réformés, (1)
Büry – Jean Melchior, revendeur et (1745) Madeleine Zimmer – réformé et luthérienne, (1)
Büry – Pierre, aubergiste, et (v. 1675) Anne Dombal puis (1696) Marie Marin de Bischwiller, veuve du boucher Conrad Georg – réformés, (1), (2)
Busch – Jacques, batelier, et (1754) Anne Marie Kercker puis (1757) Marie Salomé Riebel – luthériens, (1), (1)
Busch – Jean Georges, tailleur d’habits, et (1694) Catherine Müller – luthériens, (1)
Busch – Jean Georges, tailleur d’habits, et (1723) Marie Salomé Merckel puis (1741) Marie Salomé Witz – luthériens, (1)
Busch – Jean Jacques, médecin, et (1793) Marguerite Salomé Zollickoffer, (1)
Busch – Jean Paul, tailleur, préposé à la Douane, et (1728) Marie Dorothée Schranckenmüller veuve de Simon Heim, (1734) Marie Salomé Schneider puis (1741) Marie Salomé Weiss – luthériens, notice
Büttner – Charles Auguste, orfèvre, et (1842) Sophie Frédérique Steinbach puis (1850) Henriette Salomé Ungerer, (1)
Büttner – Daniel, notaire et greffier, et (1611), Catherine Retz – luthérien, (1), (2)
Büttner – Jean Louis, orfèvre, et (1799) Susanne Frédérique Busch, (1)
Büttner – Jean Pierre, compagnon charpentier, et (1760) Caroline Dorothée Sind, manants, (1)
Butz – David, tonnelier, et (1820) Madeleine Barbe Ehrenfeuchter puis (1822) Anne Marie Schertz, (1), (2)
Butz – Georges Guillaume, tonnelier et marchand de vins (1710), et Marie Cléophée Brand – luthériens, (1)
Butz – Georges Guillaume, tonnelier, et (1680) Apollonie Meyer veuve de Daniel Klein, puis (1710) Marie Cléophée Brand – luthériens, (1)
Butz – Jean Frédéric, tailleur, et (1743) Catherine Barbe Blind – luthériens, (1)
Butz – Jean Georges, tonnelier, et (1704) Anne Catherine Zengler, d’abord (1675) femme de Loup Philippe Fimpel puis (1702) de Jean Vernier Schmitz, remariée (1714) avec l’aubergiste Jean Wittmann – luthériens, (1)
Buxbaum – Jean Georges, boucher, et (1724) Anne Marie Bæhr – luthériens, (1)
Buxbaum – Laurent, apprêteur de tabac, et (1778) Catherine Barbe Wuschker – catholiques, (1)
Buxbaum – Laurent, journalier, remueur de grains, et (1736) Ursule Stoll puis (1761) Barbe Schalck – catholiques, (1)



8, rue Saint-Marc


Rue Saint-Marc n° 8 – VIII 161 (Blondel), P 1228 puis section 4 parcelle 47 (cadastre)

Cour Lumbart (Lumbarts hoff), ensuite appelée à l’Ordre teutonique (zum teutschen Herrn) et auberge des Pauvres passants (Elende Herberg)
Jardin du chevreuil (zum Rehgarten, 1758 et suiv.), façade reconstruite vers 1770 (maître d’ouvrage, Jean Frédéric Pfeffinger, boucher)
Couvent du Bon Pasteur (1838) puis école du Bon Pasteur (1871), aujourd’hui collège Lucie Berger – anciens bâtiments démolis en 1966


Façade rue Saint-Marc (on reconnaît le numéro 8), angle de la rue des Greniers (panneau Speichergasse), bâtiments le long de la rue des Greniers (vers 1942, AMS, cotes 1003 W 1599, 1609, 1608)

La cour Lumbart (Lumbarts hoff), ensuite appelée à l’Ordre teutonique (zum teutschen herrn) et auberge des Pauvres passants (Elende Herberg), comprend plusieurs bâtiments entourés d’un mur. D’après la description de 1718, le bâtiment avant est dit à l’Ange (zum Engel) et la petite maison vers l’enclos Saint-Marc au Four (zum Bachoffen). Un partage a lieu après la mort de l’aubergiste Jean Georges Fritsch en 1713 : la partie est (n° 160 à droite ci-dessous) en est détachée, les bâtiments à l’ouest (n° 161 à gauche) sont représentés sans changement sur le plan Blondel (1765).
Le gantier Daniel Schœffel vend en 1588 la cour Lumbart qui comprend douze bâtiments au drapier Balthasar Stœsser. Auguste Frédéric Fettich s’en rend adjudicataire en 1635, elle est louée à plusieurs reprises pendant la minorité de son fils Georges Sigismond Fettich qui la vend en 1697 à l’aubergiste Jean Georges Fritsch. La propriété est partagée à sa mort en 1713. Sa fille Anne Salomé Fritsch vend en 1736 sa part, située à l’ouest, au confiseur Jean Certain qui habite au Marché aux Herbes. La maison est appelée zum Rehgarten (jardin du chevreuil) quand le boucher Jean Frédéric Pfeffinger l’achète en 1758. Les préposés refusent de lui céder un terrain communal à l’angle des rues. Jean Frédéric Pfeffinger ajourne les constructions prévues puisque le plan Blondel représente les mêmes bâtiments qu’en 1727. Il est autorisé à modifier les croisées en 1776 et en 1782. Il doit alors construire à neuf le bâtiment avant dans le style de l’époque : portail caractéristique du XVIII° siècle, fausses clés des linteaux au premier étage reliées par une moulure ondulée.


Plan-relief de 1725 (Musée historique), même endroit représenté sur le Plan Blondel (1765, exemplaire AMS cote 1 PL 675)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : élévations sur rue (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la rue Saint-Marc se trouve entre les repères (s’-t’) : une porte, trois fenêtres et une porte cochère au rez-de-chaussée, six fenêtres à l’étage, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’angle arrondi (t’-v’) n’a pas d’ouverture. Les bâtiments (v’) à (z’) longent l’impasse du Haras.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 8.


Cour D, partie de la cour E
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : plan
Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt). La maison comprend le bâtiment à tourelle et ceux qui donnent sur sa cour.

Le cadastre ne signale pas de transformation après 1843. C’est donc entre les années vingt et quarante que l’étage mansardé est converti en étage ordinaire et que les autres bâtiments le long de l’impasse du Haras (ensuite rue des Greniers) sont surélevés d’un étage. Les héritiers du boucher Jean Georges Freysz passent en 1835 avec leur voisin Jean Daniel Grœtzinger (ensuite n° 10) un accord relatif aux ouvertures dans le mur mitoyen. L’établissement du Bon Pasteur acquiert en 1838 la maison qu’il vend en 1865 à l’établissement des Diaconesses. Les bâtiments auxquels sont ensuite adjointes les maisons voisines (n° 10 à 14) servent d’école de jeunes filles (au Bon Pasteur). L’établissement des Diaconesses charge en 1894 l’architecte Emile Salomon de construire dans le jardin un préau et une salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée.


Terrain que Jean Frédéric Pfeffinger demande d’acquérir (1758,AMS cote VII 1408 f° 34)
Plan et élévation de la salle de gymnastique (dessins d’Emile Salomon, dossier de la Police du Bâtiment)

L’architecte Marcel Strohmenger rédige le 14 avril 1964 un devis descriptif pour remplacer des bâtiments vétustes par un bâtiment neuf à rez-de-chaussée et quatre étages, de sorte que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’établissement des Diaconesses s’engage en juin 1966 à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement rue Saint-Marc (parcelle 55/47, 176 m²) et rue des Greniers (parcelle 56/47, 169 m²). Le maire accorde le 15 avril 1966 le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Saint-Marc. Le préfet accorde en mai 1966 l’autorisation de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers (rez-de-chaussée et deux étages, en maçonnerie et briques, toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates).


Elévations sur rue et sur cour (Marcel Strohmenger, 1966, dossier de la Police du Bâtiment) – Plan sur lequel sont représentés les terrains à céder à la voie publique
Façade rue Saint-Marc (août 2021), rue des Greniers (juin 2023)

juin 2023

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier 1866-1964, dossier 1966-1987Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Daniel Schœffel, gantier, et (1572) Barbe Schramm – luthériens
1588 v Balthasar Stœsser, drapier, et (1584) Barbe Übelhœr – luthériens
1610 v Jean Philippe Scheer et (1603) Anne Kirchhoffer, remariée (1640) avec le pasteur Juste Arcuarius – luthériens
1616* adj Sigismond Flach et (1595) Marie Hochfelder puis (1606) Marguerite Fettich – luthériens
1619 v Jean Jacques Riep, docteur en droit, et (1606) Anne Flach d’abord (1590) femme du docteur en droit Paul Graseck, puis (1611) Jeanne Marie Wolff dite Schœneck – luthériens
1635 adj Auguste Frédéric Fettich et (1624) Marie Flach – luthériens
1648* h Georges Sigismond Fettich et (1663) Anne Barbe Acker puis (1680) Marie Félicité Bittlinger, d’abord (1669) femme du pasteur Mathias Rœsch – luthériens
1697 v Jean Georges Fritsch, aubergiste, et (1667) Barbe Niclaus, (1678) Anne Marie Wolff puis (1688) Ursule Wolff, d’abord (1659) femme du teinturier Georges Frédéric Merckel – luthériens
1713 h Jean Rœsch, tanneur, et (1699) Anne Salomé Fritsch – luthériens
1720 h Laurent Rhein, boucher à Schiltigheim, et (1720) Anne Salomé Fritsch veuve du tanneur Jean Rœsch – luthériens
1736 v Jean Certain, confiseur, et (1719) Anne Marie Cladi puis (1745) Marie Rose Blondel – catholiques
1741 h Jean François Certain, confiseur, et (1741) Marie Salomé Pflug – catholiques
Joseph Certain, conseiller du roi († 1792), catholique
1758 v Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et (1743) Anne Barbe Pfeffinger puis (1752) Marie Marguerite Knoderer – luthériens
1798 v Jean Georges Freysz, boucher, et (1774) Marguerite Simon puis (1786) Marie Marguerite Rœsch, d’abord (1785) femme du boulanger Isaac Schiff – luthériens
1811 h Jean Georges Freysz, boucher, et (1811) Marie Dorothée Hæberlé
1838 v Etablissement du Bon Pasteur
1865 v Etablissement des Diaconesses

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1825 livres en 1715, 1475 livres en 1718, 1540 livres en 1740, 2250 livres en 1752, 1650 livres en 1757

(1765, Liste Blondel) VIII 161, Henri Pfeffinger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Henri Pfeffinger, 28 toises, 4 pieds et 2 pouces
son jardin 14 toises, 1 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1228, Freyss Georges boucher ½, Freyss Jean boucher ½ – maison, sol, cour, bâtiment – 7,8 ares

Locations

1648, Nicolas Hansmetzger, boucher et Jean Speich, de Kork
1651, Sigismond Frédéric Scheid, avocat
1661, Marie, femme du boucher Balthasar Krauss
1664, Jean Ernest Rinck
1670, Jean Kamm et Jean Frédéric Kamm, boucher
1681, Georges Henri Metzger, boucher
1689, Jean Henri Hansmetzger, boucher
1693, Jean Paul Tromer, secrétaire en chef de Saint-Marc
1705, Agnès Kopp (maison dite à l’Ange)
1722, Abraham Esdras, horticulteur
1727, Anne Barbe Schumann veuve de Jean Kieffer
1730, Jean Conrad Kieffer, tonnelier
1734, (cave) Jean Daniel Euler, brasseur
1737, (jardin), Jean David Klugshertz, jardinier
1741, Jean Baptiste Joseph Visterini, sculpteur
1744, Jean Albert Ungerer
1745, Jean Adam Sebastian, vice-messager de la Taille
1746, Joseph Colard, manant, blanchisseur
1760, (jardin) Adam Mattern, jardinier, et Catherine Bierel, manants
1813, Jean Jacques Kammerer, boulanger, et Marie Madeleine Michel
1815, Chrétien Erdmann Laad, charpentier, et Marguerite Salomé Strub

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1751, Préposés au bâtiment (VII 1404)
La grange de la propriété Certain s’appuie par des arcades sur un mur qu’il faut démolir sur le terrain du nouveau haras. Après visite des lieux, les préposés concluent que la Ville se chargera de reconstruire la partie démolie de la grange.

(f° 62-v) Donnerstag den 21. Januarÿ 1751. Reitschul – In dem Zur Reitschul erkaufften Bürckenwaldischen Hoff auff St. Elisabethen Gaß, in welchem eine An weÿl. Jean Certain des geweßenen Zuckerbeckers Scheur stehende Maur sich befindet, welche wegen der Gedeckten Reitbahn, so dahin gebauen werden solle, nothwendiger weiß abgebrochen werden muß, und weilen gedachte Scheur Keine eigene Maur hat, sondern Allein Vermittelst gesprengter Bögen an dieseithige Maur angebauen, und daher Zubesorgen, daß selbige, wann sothane Maur abgebrochen werden wird, möchte einstürtzen, als ist Erkannt, solle solches H. Certain des Verstorbenen Sohn angezeigt werden, damit er seine Vorsorg dargegen nehmen und sich Vor schaden Hüten möge. quod factum.

(f° 89) Donnerstag den 13. Ejusdem [May 1751]. Neue Reitschul. Certain – Augenschein eingenommen in dem sogenannten Schäffolsheimer oder Bürckenwaldischen Hoff auf Elisabethen Gaß wo Sr Jacques Gallay der Maurer und Entrepreneur geweßen, daß er die fundamenten Zur Neüen Reitschul auf einer seithe 5. schuhe tieff gegraben, und nichts als sand angetroffen, dergleichen auch noch beßer Unten sich befindet, also daß Kein Vestes fundament Kan angelegt werden, wofern Man nicht fundament diehlen Unter un den boden Legen und darauf mauren wird. weilen auch wegen grabung der fundamenten die bögen an Certain des Zuckerbeckers scheür, worauf dieselbe ruhet Hinweggebrochen werden müßen, und die Statt solche wieder auffzuführen Haben wird, als Haben Mghh. für nötig erachtet in gegenwahrt H. Certain das Meß Von den Pfeilern nehmen Zulaßen, deren einer 3. schuhe 6. Zoll, der Andere 2. schuhe 3. Zoll, der dritte 3. schuhe 10. Zoll und der Vierte 2. schuhe 3. Zoll breit und ein jeder ein halben stein dick /:und biß unter die Maurlatt 12. schuhe hoh:/ ist, je einer 7. schuhe 3. Zoll Von dem Andern stehend, ferner befindet sich in der Lini dießer Pfeiler eine 9. schuhe 9. Zoll Lang und nur 3. Zoll dicke Maur, welche ebenfalls Hinweggebrochen werden muß. Erkannt, sollen die fundament diehlen und Holtz zu den Rippen Von der Statt fournirt, und was Certain abgebrochen wird Von der Statt wieder auffgemaurt werden.

1758, Préposés au bâtiment (VII 1408)
Le boucher Jean Frédéric Pfeffinger a l’intention de construire un nouveau bâtiment dans sa propriété dite zum Rehgarten. Il souhaite acquérir un terrain communal à l’angle des rues. Le receveur de Saint-Marc qui veut conserver son accès à la boulangerie ne s’y oppose pas si le propriétaire ne pose pas de pierre devant son bâtiment. Le boucher Jacques Klein estime qu’il sera gêné pour entrer dans sa maison sise en face. Les préposés refusent de donner l’autorisation, décision qu’ils confirment trois semaines plus tard.

(f° 34) Sambstags den 26. Augusti 1758. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Joh: Friderich Pfeffinger
An Johann Friderich Pfeffingers des Metzgers Hauß im Rehegarten genannt im Finckweiler, welche ein neu gebäud allda auffzuführen willens, und etwas Allmendt darzu begehrt, worüber aber, weilen es am eck der gaß ist, sowohl H. Lit. Frölich der schaffner Zu St Marx wegen der Zufuhr Zu dießes Stiffts Pfistereÿ, die dardurch gehemmet, als auch Jacob Klein der Metzger, welcher An der einfahrt in seinen Hof gegen über gehindert wird, sich beschwehren doch sagte H schaffner, daß wann Kein eckstein für das Hauß gesetzt werden solle er sich weiter nicht opponiren wolte. Erkant, abgewießen. (Plan)

(f° 37) Dienstags den 5.ten Ejusdem [Septembris] – Joh: Friderich Pfeffinger
Johann Friderich Pfeffinger der Metzger wird nochmahls mit seinem begehren abgewießen. Vid. Supra fol: 34

1776, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le maître maçon Jean Lingenhœl est autorisé à ouvrir plusieurs croisées dans la maison du boucher Jean Frédéric Pfeffiger au Finckwiller.

(f° 46) Dienstags den 16. Aprilis 1776 – Friedrich Pfeffinger Metzger
Idem [H. Johannes Lingenhölin der Maurer] nôe. Friedrich Pfeffinger, des Metzgers bittet zu erlauben an deßen in Finckweiler gelegenen behausung Creutzstöck durch zu brechen. Erkannt, Willfahrt.

1782, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître maçon Walther est autorisé à ouvrir une fenêtre dans la maison du boucher Jean Frédéric Pfeffiger au Finckwiller.

(f° 58-v) Dienstags den 23. Aprilis 1782. – H. Friderich Pfeffinger, Metzger
Mr Walther, der Maurer, nôe Hrn. Friderich Pfeffinger, des Metzgers, bittet zu erlauben an deßen Stallung beÿ St Marx gelegen ein Fenster machen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1707 (billet d’estimation traduit) (avant partage) La maison comprend deux bâtiments accessoires, deux cours, trois puits, une écurie et une grange, le tout estimé à une somme de 3 300 florins
  • 1714 (billet d’estimation traduit), Idem, 3 600 florins
  • 1718 (billet d’estimation traduit) (après partage) La maison comprend deux bâtiments accessoires, une salle, un bâtiment accessoire, trois caves sous solives, une écurie, au fond du jardin deux petites maisons, une remise, un pavillon d’été, deux puits, estimé avec la cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 2 950 florins
  • 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, dépenses, caves sous solives, à l’étage poêle, chambre, une cuisine et un vestibule, le comble a deux greniers dallés, le bâtiment latéral sur la droite comprend une cave sous solives, poêle, chambre, cuisine, vestibule, le comble a un grenier dallé, le bâtiment latéral sur la gauche sert de logement militaire, le toit est vieux et délabré, le bâtiment latéral où se trouve une alcôbe, une petite cuisine et un vestibule, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 3 000 florins
  • 1752 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux bâtiments latéraux et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres, cuisines, une cave voûtée et une cave solivée, écurie pour l’officier, les combles ont une double couverture de tuiles plates, il y a en outre une remise et au-dessus un fenil dont le comble a une simple couverture de tuiles plates, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 4 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Marc

nouveau N° / ancien N° : 13 / 4
Freis
Rez de chaussée et 1° étage bon en maçonnerie

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 349 case 1

Les Dames du Bon Pasteur
Gourichon Anne Marie, Religieuse de la maison du Bon Pasteur, Substitution 1850

P 1228, sol, maison bat. et cour, rue St Marc 4
Contenance : 7,80
Revenu total : 470,58 (450, 16,52, 4,06)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 125 / 100
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1227, jardin
Contenance : 24,30 (total 32,10)
Revenu total : 16,52

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 378 case 1

Gourichon Anne Marie (1867)
1867 Diaconesses (les Dames protestantes)

P 1228, maison, sol, cour, rue St Marc 8
Contenance : 7,80
Revenu total : 470,58 (450, 16,52, 4,06)
Folio de provenance : (349)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 125
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1227, jardin
Contenance : 24,30 (total 32,10)
Revenu total : 16,52

P 1581, sol, Gestütgaesschen
Contenance : 1,11 (total 33,20)
Revenu total : 0,57 (total 471,15)
Folio de provenance : von Wege
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1878
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 205
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 117 case 5

Parcelle, section 9, n° 47 – autrefois P 1227, 1228, 1581
Canton : Speicherstraße Hs Nr 1, Marxgasse Nr 8 / rue des Greniers 1 et rue St Marx 8
Désignation : Hf, 2 Whs
8/08, 343 Marxgasse Nr 8, Turnsaal u. Whs e.n.a.T.
Contenance : 37,81 – 43,17 – 34,36 – 43,17
Revenu : 11.400, 11.450
Remarques : ab 1908 S 101 F 4, S 117 F 50 – Zug. S 117 F 2-4
1937,aug. c. 2

(Propriétaire), compte 61
Evangel. Diakonissenanstalt
1927 Etablissement des Diaconesses
(154) corrigé en (175)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 280 Finckweiler Derrière la Mouche p. 435

4
pr. Pfeffinger, Fred. Caffetier – Bouchers
loc. Griesbach, veuve de Notaire – Tailleurs
loc. Hetzel, Jean George, jardinier
loc. Wicker, Rosine veuve tiss. – Drapiers
loc. Wicker, fils de la pré. tisserand – Drapiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Marxgasse (Seite 109)

(Haus Nr.) 8
Höhere Töchterschule der Diakonissenanstalt.
Affolter, Diakonissin. 0
Affolter, Diakonissin. 0
Baquol, Diakonissin. 0
Bentz, Diakonissin. 0
Egers, Diakonissin. 0
Favre, Diakonissin. 0
Hartmann, Diakonissin. 0
Klein, Diakonissin. 0
Lindinger, Diakonissin. 0
Müller, Diakonissin. 0
Schlochow, Diakonissin. 0
Tribolet, Diakonissin. 0
Vetter, Diakonissin. 0
Berger, Vorsteherin. 1
Eppel, Lehrerin. 1
Dubried, Lehrerin. 1

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2033)

Saint-Marc (rue) N° 8, 10, 14 (1866-1964)

L’entrepreneur Arnold déplace en 1866 deux croisées, ouvre dix nouvelles croisées, une porte et treize soupiraux vers l’impasse du Haras et ravale la façade. L’agent voyer note que la façade en maçonnerie dépasse de l’alignement dans la rue Saint-Marc mais n’a pas d’avance, que la façade dans l’impasse suit l’alignement et n’a pas non plus d’avance. L’entrepreneur Schlagdenhauffen ouvre en 1866 quatre croisées vers l’impasse et en agrandit sept. L’architecte Emile Salomon fait en 1894 les plans de la salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée et un préau à construire dans le jardin de l’école de jeune filles au Bon Pasteur. Les entrepreneurs A. et P. Brion signent les dessins de l’appentis qui n’était pas prévu.

Sommaire
  • 1866 – L’entrepreneur Arnold demande l’autorisation de déplacer deux croisées, d’ouvrir dix nouvelles croisées, une porte et treize soupiraux vers l’impasse du haras et de ravaler la façade – L’agent voyer note que la façade en maçonnerie dépasse de l’alignement dans la rue Saint-Marc mais n’a pas d’avance, que la façade dans l’impasse suit l’alignement et n’a pas non plus d’avance
    1866 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé à faire une prise pour environ dix becs dans l’établissement des Diaconesses
  • 1884 (avril) – L’entrepreneur Schlagdenhauffen (25, rue du Faubourg national) demande l’autorisation d’ouvrir quatre croisées vers l’impasse, dont une au premier étage et trois au deuxième étage – Autorisation – Travaux terminés, mai 1894
    1884 (juin) – Le même demande l’autorisation d’agrandir sept croisées vers l’impasse – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1894
  • 1884 – Le maire demande à l’établissement des Diaconesses (2-4, rue Sainte-Elisabeth) de faire ravaler le bâtiment sis 8, rue Saint-Marc – Travaux terminés, novembre 1884
  • 1894 – L’architecte E. Salomon (demeurant 21, rue du Finckwiller) demande l’autorisation de construire une salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée et un préau dans le jardin de l’école de jeunes filles au Bon Pasteur – Autorisation – Plan de situation, plans
    Les murs sont terminés, on commence à poser le toit, juillet 1894. Les plâtriers travaillent. Un appentis a été ajouté sans autorisation
    Autorisation délivrée pour l’appentis, septembre 1894. Dessin des architectes entrepreneurs A. & P. Brion – Tous les travaux sont terminés
  • 1907 – Rapport d’intervention des pompiers, feu de cheminée
  • 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1940 – La Police du Bâtiment constate que le peintre Camille Wagner a fait sans autorisation une enseigne plate

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 290)

8, rue Saint-Marc, collège Lucie Berger (1966-1987)

L’architecte Marcel Strohmenger rédige le 14 avril 1964 un devis descriptif pour remplacer des bâtiments vétustes d’externat par un bâtiment neuf d’internat (rez-de-chaussée et quatre étages). Le nouveau bâtiment sera construit de manière à ce que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’ancien escalier servira à l’internat, le nouveau à l’externat. L’accès se fera entre deux bâtiments et non sous un bâtiment pour pouvoir adjoindre ultérieurement d’autres bâtiments. L’établissement des Diaconesses s’engage en juin 1966 à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement rue Saint-Marc (parcelle 55/47, 176 m²) et rue des Greniers (parcelle 56/47, 169 m²). Le maire accorde le 15 avril 1966 le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Saint-Marc.
Le maire transmet au préfet en avril 1965 la demande de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers (rez-de-chaussée et deux étages, en maçonnerie et briques, toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates). Le préfet accorde en mai 1966 l’autorisation de démolir.

Sommaire
  • Plan de situation, section 9, parcelle 55/47 (176 m²) à céder à la voie publique rue Saint-Marc et 56/47 (169 m²) rue des Greniers
  • 1966 – Le Collège Lucie Berger est autorisé à occuper la voie publique à l’angle de la rue Saint-Marc et de celle des Greniers
    Le président du Conseil d’administration Daniel Hamm demande à être exempté des droit de voirie en arguant que le chantier dépasse de très peu le sol qui était occupé par les anciens bâtiments et que la municipalité n’a versé aucune subvention – Le maire accorde l’exemption à titre exceptionnel.
  • 1965 – La directrice transmet à la Police du Bâtiment le dossier pour le nouveau bâtiment scolaire destiné à en remplacer d’anciens trop vétustes.
  • 1965 (mars) – Demande de permis de construire, parcelle 47 de la section 9, appartenant à l’établissement des Diaconesses, Collège Lucie Berger
    Devis descriptif par l’architecte M. Strohmenger (14 avril 1964) pour remplacer des bâtiments vétustes d’externat par un bâtiment neuf d’internat. Le nouveau bâtiment sera construit de manière à ce que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’ancien escalier servira à l’internat, le nouveau à l’externat. L’accès se fera entre deux bâtiments et non sous un bâtiment pour pouvoir adjoindre ultérieurement d’autres bâtiments. Le sous-sol comprend une chaufferie, une grande salle de réunion et deux petites, le rez-de-chaussée quatre salles pour le jardin d’enfants, deux petites salles, une lingerie, un bloc sanitaire, le premier étage des salles d’administration (salle des professeurs, secrétariat, etc.), le deuxième étage quatre salles de classe et un bloc sanitaire, le troisième étage deux dortoirs de douze lits, deux blocs sanitaires, salles de surveillantes, le quatrième étage des logements (notamment celui de la direction). La structure sera en béton, les murs extérieurs en briques de 25 centimètres d’épaisseur, les murs intérieurs en briques de 12 centimètres d’épaisseur. Toiture en ardoises, murs extérieurs revêtus de pierre naturelle.
  • 1965 (juin) – Procès verbal de la Commission auxiliaire de sécurité
  • 1965 (avril) – Rapport de la Division I sur l’alignement légal. Plan de situation, section 9, parcelle 55/47 (176 m²) à céder à la voie publique rue Saint-Marc et 56/47 (169 m²) rue des Greniers. Le nouveau bâtiment ne devra pas dépasser de l’alignement alors qu’il dépasse d’un mètre celui de la rue des Greniers selon le projet.
    1966 (juin) – L’établissement s’engage à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement
    1965 (octobre) – Le directeur départemental de la construction autorise les travaux sous réserve de respecter les conditions énoncées (prescriptions de la commission de sécurité notamment)
    1966 (15 avril) – Le maire accorde le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Sain-Marc, après que le préfet a autorisé les démolitions le 3 mai 1965 et que la Commission auxiliaire de sécurité a fait son rapport le 26 juin 1965
    1966 (août) – L’architecte Marcel Strohmenger demande de déroger au règlement des constructions pour quatre puits circulaires servant de fondation qui dépassent de 70 centimètres de l’alignement à trois mètres sous le niveau du trottoir. – Le maire accorde la dérogation
  • 1965 (mars) – Demande d’autorisation de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers
    Constat. Les immeubles prévus à la démolition sont des anciennes constructions à rez-de-chaussée et 2 étages, en maçonnerie, en briques et toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates. Ces constructions ne menacent pas ruine, or le remplacement des constructions est projeté, création de locaux modernes, plus adaptés à l’usage scolaire. Comme les immeubles de remplacement sont déjà projetés, l’avis favorable à la démolition envisagée peut être donné.
    1965 (avril) – Le maire transmet au préfet la demande de démolition avec avis favorable
    1966 (mai) – Le préfet accorde l’autorisation de démolir
  • 1967 (janvier) – L’établissement des Diaconesses transmet par son directeur A. Mary une demande d’avenant au permis de construire

Autres dossiers
954 W 144 – 8-10 rue Saint-Marc, collège Lucie Berger (volume II, 1991-1994)
802 W 203 – 8-10 rue St Marc et 1 rue des Greniers, collège Lucie-Berger (1973-1980)


Relevé d’actes

Le titre ci-dessous (1588) est l’un des titres mentionnés à l’inventaire dressé en 1679
La maison dite cour Lumbart (Lumbartshoff) appartient au gantier Daniel Schœffel qui épouse en 1572 Barbe fille de Georges Schramm de « Granen »

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 48 n° 115)
1572. Dominica III. Daniel scheffel der handtschuhmacher Barbara Gorg schrammen von Granen dochter 4 Februarÿ (i 50)

Le fabricant de chausses Daniel Schœffel, les enfants de sa sœur Elisabeth femme du fabricant de pâtés Jean Krebs, Daniel et Catherine Schœffel vendent la cour Lumbart à Balthasar Stœsser

1588 (xiij Junÿ), Chancellerie, vol. 256 (Registranda Kügler) f° 306
Erschienen Daniel Schöffell der hosenstricker für sich, Item Caspar Reychart Sporer v. Peter Schnyder hosenstricker alls geschworner Vogt Elizabethen, hansen v. Jacobs geschwüsterden Wÿland hanns Krebßen d pastetenbeck. selig Kinder mit Elizabeth seiner hußfr. bemelt. Daniel Schöffells schwester selig ehelich. erzielet, So dann Barthell Ferck* hosenstricker alls geschworner vogt Daniels v Catharinen geschwüsterden bemelten Daniel schöffells selig Kinder all dreÿ vögtlich. weys Irer Vogtkinder für dieselb. vnd Iren erben (haben) verkhaufft
d. Achtbaren v fürnemm. Herr Balthazar Stosser Ime v. seinen Erben
den lumbhart hoff mit Zwelff heüser Iren hoffstätten hoff Gartten vnd Ställ m all andern Iren gebeuwen alle bey v. einander In der S S Im Finckwÿler beÿ dem platerhuß einseyt ein eck ane der vÿhegaß gegen der platterhuß scheuren hinuber, andersyt herr paulo hochuelder Stattschreyber stossen hinden vff herr Jacob Wolffen, Dauon gnd 24 guld. glts Straßburger vff Johannis Baptiste falld losig mit 600 guld. bemelt werung d. Werck vnser Fr. Münster, Mehr 12 guldin gelts vff bemelt S Johans tag losig mit 300 gld. SW Diebold Kretz* dem gartner, Item 6 schilling 8 pfenning v 6 Kappen hieher Inn hauptgut für xix lb gerechnet dem Thumbherrn hoher stifft Straßburg vnd S Martins tag, So dann 1 pfund 5 schilling vff Martini fallend den herren Vicarien hoherstifft Straßburg In hauptgut für 37 pfund 10 schilling Nechstegende m* seyen einen bodenzinß Erschetzig fürbietig mit geld oder Münß ablösig wie solche die hauptbrieff dvffgerecht vßwÿßd. also hatte der H kheüffer vff sich genommen & Alles recht & der Kauff vber solche beschwerden Zugang für 696 pfund pfenning SW

La maison est vendue en 1610 à Jean Philippe Scheer (voir la référence lors de la vente de 1619) qui épouse en 1603 Anne, fille d’Adolphe Kirchhoffer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 185 n° 522)
1603. Sonntag 13. Novembris. Hanss Philips Scheer v. J Anna h. Adolff Kirchhoffers alhie Nachg. tochter. Eingesegnet 21 Novemb. (i 187)

Jean Philippe Scheer hypothèque au profit de Sébastien Blanck de Strasbourg, demeurant à Haguenau, la cour Lumbart, déjà grevée d’une dette envers les enfants de Sigismond Flach

1613 (ut spâ [xwvij. tag Aprilis]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 233-v
(Inchoat. in Proth. fol. 213.) Erschienen herr hannß Philipß Scher burger zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Sebastian Blanckhen vonn Straßburg wonhafft Zu Hagenauw – schuldig seÿe 300 pfund pfenning Straßburger
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd v.legt, hoff, hauß, hoffestatt vnd garten, sampt Sechs nebentsheüßlin mit Allen Ihren gebeüwen & der Lumbarts hoff genant, Inn der St. St. Im Finckhweÿler beÿ dem Platterhauß gelegen einsit nebenn dem Allmendt seg, Andersit neben herrn Geörg Ringler, hinden Auch vff denselben Geörg Ringler stoßend, dauon gend vier guldin gelts Ablößig mit 100 guldin Straßburger Werung der Cartheußer Alhier, Item Aber vier guldin gelts widerlößig mit j C guldin werung der Samlung Zum Thurn, item xxiiij guldin gelts stendt Inn hauptgutt mit vj C guldin Straßb. werung abzulößen dem werck vnser frauwen Münster, Item xij gudlin gelts widerkheüffig mit iij C guldin werung hannß hammerer dem gartner v. seinen Consorten, So dann seind sie noch verhafftet für ein Schuldt Lvj lb v ß d herrn Sigißmundt Flachen Khindern Zuerlegen Sunst ledig vnnd eÿgenn

Le tuteur d’Anne Kirchhoffer, femme de Jean Philippe Scheer, dépose un capital à la Tour aux deniers
1611 XV (2 R 39) Hanns Philips Scheer. 224. [Kühe kauffs, H. Wolff Grienwaldts stieffsohn]
1620 Bauherren (VII 1335) Sambstag den 8. Aprilis 1620.
(f° 82) Vogteÿ geldt angelegt – Herr Hanns Bastian Zeißolff, als Vogt frawen Annæ Kirchhofferin, Hannß Philipp Scheren haußfrawen Hatt erlegt 50 lb. Haben Ihn darumb Zu kauffen geben 21 lb 10 ß Jherlich vff Annunciationis Mariæ fallend. Zugeschrieben folio 11

Marc Kirchhoffer, frère d’Anne Kirchhoffer, demande l’intercession du Magistrat pour établir que Jean Philippe Scheer a été enterré à Vienne
1625, Conseillers et XXI (1 R 107)
(f° 102) Montag den IX Maÿ. – Hans Philips Scheer ob er noch lebt erkundig.
Marx Kichhoffer vogt seiner schwester Hanß Philips Scheeren hausfrawen vbergibt supplôn dorin er mhn. er Innert wie er hienweg gezog. vnd seithero wenig Zeittung seines verhaltens gehabt ausser dem d. Gorg Bodecker en Jr Adolph Falcken gschrb vnd Zu wissen gemmacht d. er A° 1622 gestorb. u beim Schotten thor auf der Evang. begrabnus begraben worden wan sie aber kgren* ein satten bericht haben möchten Alß bitt er Mhn. wollen Iren Agenten zu Wien Zuschb.en Zuerkundig. ob er al Zell* bey Hn Mollart sich aufgehalten was sein verrichtung gewessen vnd ob er etwas verlaßen. Erk Man soll durch p.tnden an Agenten schbn. vnd begeren lassen. J. Ingoldt.

Anne Kirchhoffer, veuve de Jean Philippe Scheer, se remarie en 1640 avec Juste Arcuarius, pasteur à Lahr : contrat de mariage, proclamation à Saint-Thomas, célébration à Eckbolsheim
1640 (ut supra [2. 8.bris]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 511
(Eheberedung) Erschienen der Ehrwürdig und wohlgelehrte herr M. Justus Arcuarius Pfarrer Zu Lohr alß hochzeiter mit beÿstandt herrn M. Daniel Kecken diaconi Zu S. Niclaus alhie und herrn hannß Marx Mappus handelßmann seines dochtermanns und Schwagers ane einem,
und dann die viel Ehre: und tugendreiche fr. Anna Kirchhofferin weilandt herren hanß Philipß Scheeren burgers Zu Straßb. seeligen hinderlaßene fr. wittib alß hochzeiterin mit beÿstandt H Johann Geörg Salatins Kleinen Raths bewanthen und H Gottfried Stößers Allmendschreibers ihres geschwornen vogts und Schwägere ane andern theill

Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 252-v)
1640. Domin. XVIII Trinit.. 4. Octon. M. Justus Arcuarius Alter Pfarrer Zu Lahr, Fr. Anna weÿl. Johann Philipp Scheeren burgers alhie nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Montag d. 17. Octob. Eckoltzheim (i 259)
Mariage, Eckbolsheim (luth. n° 9) 1640. d. 12. octob. M. Justus Arcuarius Pastor Zu Lahr, Vnd Fr. Anna Kirchhoferin, Johann Philipp Scheer hinterlassene Wittib. (i 120)

La maison revient aux héritiers du créancier Sigismond Flach qui épouse en 1595 Marie, fille du greffier Paul Hochfelder puis en 1606 Marguerite, fille de Georges Fettich

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 39, n° 111)
1595. Dominica 16. Trinitat: 5. Octob. H Sigismundus Flach. Vndt Jungfr. Maria H. Paul hochfelder des Alten Stattschreybers alhie tochter Eingesegnet montag den 3. Novemb. (i 41)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 231-v n° 630)
1606. Sonntag den 13. Julÿ. H. Sigmund Flach vnnd J Margreth H Geörg Fettichs Alhie tocht. Eingesegnet Zinstag 22. Julÿ (i 237)

Malade et alité, Sigismond Flach fait son testament le 14 juin 1615. Il fait un legs à sa femme Marguerite Fettich et à chacun des trois enfants de son deuxième mariage (Jean Georges, Antoine et Frédéric) pour les égaliser avec ses quatre enfants issus de son premier mariage.
1615, Chancellerie, vol. 414 (Gemein Contract Buch) f° 78-v
Codicill vätterliche Dispositio vnd verordnung Sigmund Flachen zwischen seinen Kindern vnd ehelich. haußfr. (Ingross. den 23. Julÿ An. 1616)
vor unserm Cancelleÿ verwandten verordneten Actuario vnd Registratori Laurentio Klussrhat in weÿland vnsers gewesenen Burg.s Sigmund Flachen seligen Behausung alhier dahin er beruffen ist, Jetzernanter Sigmund Flach leybs halben gleychwol seher schwach Kranck vnd abkommen vnd dernhalben In einem Bett ligend aber sonsten darneben guter ohnverletzter gesund. vernunfft (…)
daß er der vielfaltigen ehelich. Trew vnd freundschafft, so seine Jetzige geliebte haußfrau Margaretha Fettichin Ime die Zeyt Ihrer ehelichen beywohnung (…) bewisen vnd erzeÿgt (…)
Am andern, dieweÿlen auß erster Ehe vier Kinder noch In leben, welche nhunmehr Gott lob Zimlich erwachsen vnd auch für sich selbst Ir eygen Großvätter vnd mütteliche Nahrung ererbt vnd in handen, darneben aber Ine biß er sie so weÿt gepracht ein ehrlich vnd ansehnliches gecostet, dahergegen seine treÿ Jüngere Kinder, die er In gegenwertiger seiner andern Ehe mit obgedachter seiner geliebten haußfrawen erzeüget, vnder Ihren Jaren vnd noch ohnerzogen, so were sein lieber wil vnd meinung, das denselben seinen Treÿen Jüng. Kind. und Söhnen mit Nahmen Hanß Georgen, Anthonio vnd Friderichen nach seinem ableÿben auß seiner verlaßenschafft Jedem ein Thausend gulden Zu einem vorauß gelufert vnd erstattet werden solle (…)
auff Mittwoch den 14. tag Monats Junÿ Als man nach Christi vnsers Herren erliches vnd seligmachers gepurt Zalete 1615. Jar

Jacques Schilling dépose 400 livres à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Jean Georges et Antoine, issus du mariage de Sigismond Flach avec sa deuxième femme Marguerite Fettich
1620, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1335)
(f° 77) Sambstag den 1. Aprilis 1620. – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Jacob Schilling XXI als vogt Hanns Georgen vnd Anthoni weÿland Herrn Sigmund Flach mitt frawen Margrethen Fettichin seiner andern haußfrauwen, ehelich erzeügter Söhn, Hatt erlegt 400 lb. d.
Haben Ihnen darumb Zu Kauffen geben 20. lb d Jhärliches Zinß vff Annunciationis Mariæ fallend, Zugeschriben folio 9.

Le curateur de Marguerite Fettich, veuve de Sigismond Flach, dépose 450 livres à la Tour aux deniers
1622, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1337)
(f° 152) Montag den 8. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Doctor July Friderich Procurator ahm kleinen Rhat alß Vogt De. Margareth Fettichin, weÿland Hn Sigmund Flachen Wittib, hat ins Vogteÿgeld angelegt 450 lb. d. Vnnd haben Ihro darumb Zu Kauffen geben 22. lb 10 ß vff Joh. Baptistæ fallend, Ingr. fol. 149.

Jacques Schilling dépose 500 livres à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Jean Georges et Antoine, issus du mariage de Sigismond Flach avec Marguerite Fettich
(f° 161-v) Sambstag den 13. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Jacob Schilling XV. als Vogt Hanns Georgen vndt Anthoni Weÿland Hn Sigmund Flachen mit fr. Margrethen Fettichin seiner ehern haußfr. ehelich erzeügter Söhn, hatt hat ins Vogteÿgeld angelegt 500 lb. d. Vnndt haben Ihnen darumb Zu Kauffen geben 25. lb vff Jacobi jährlich fallend, Ingr. fol. 165.

François Raoul Ingold dépose des capitaux à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Paul, Sigismond et Marie, issus du mariage des défunts Sigismond Flach et Marie Hochfelder
(f° 300-v) Mittwoch den 11. Decemb. 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Frantz Rudolff Ingold Vorbemelt, alß Vogt Pauli Weÿland Hn Sigismundi Flachen mit fr. Maria Hochvelderin beeder Seel. ehelich erzeügten Sohns, haben angelegt 250 h. haben Ihr darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend, Ingr. fol. 281.

(f° 300-v) – Vogteÿ geldt angelegt
Ehrengedachter Frantz Rudolff Ingold, alß Vogt Sigismundi, Weÿland Hn Sigismundi Flachen mit fr. Maria Hochvelderin Seel. erzeügten Sohns, hat ins Vogteÿgeld angelegt 250 h. haben Ihme darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend.

(f° 300-v) – Vogteÿ geldt angelegt
Ehrengedachter Herr Ingold, alß Vogt J. Mariæ gemelter beÿder Ehegemecht Seel. hinderlaßener Tochter, hat ins Vogteÿgeld angelegt 250 h. haben Ihro darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend.

François Raoul Ingold vend au nom de ses pupilles Paul, Sigismond, Marie et Anne Ursule, issus du mariage de Sigismond Flach et de Marie Hochfelder, au docteur en médecine Jean Jacques Riep et à sa femme Jeanne Marie la cour Lumbart (Lumpartshoff), aussi dite à l’Ordre teutonique (zum Teutschenherren) à l’angle de la rue des Bestiaux face à l’hospice des Vérolés, la maison voisine dont le bâtiment avant est appelé l’auberge des pauvres passants (Elende Herberg) et la maison suivante. La vente à Jean Philippe Scheer passée en 1610 a été annulée pour défaut de paiement.

1619 (26 Julÿ), Chancellerie, vol. 434 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 41
Kauffverschreÿbung d Johann Jacob Rÿpen über den Lumberts hoff
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1619 folio 43. Zubefinden.) Erschienen Herr Frantz Rudolph Ingold dreÿ Zehener als geschworner Curator vnd Vogt Paulÿ, Sigismundi, Mariæ vnd Ann Ursulen weÿland Herrn Sigmund Flachen mit Frawen Marien Hochfelderin beede seeligen ehelich erzielter Söhn vnd Tochter (verkaufft)
Hn Johann Jacob Riepen beed. recht. doctoren vnd frauwen Johannam Mariam deßelben ehelig. haußfrauwen
Einen Hoff, Jetzo der Lumbarts hoff Vor Zeiten aber Zu den Teutschen herren gnt. mit dem darzu gehörigen, einem neuwen vordern vnd Zweÿen alten neben heusern Schewr hoffstetten, Gärten vnnd Ställen, sambt allen begriffen, weiten, Zugehörd. recht. vnd gerechtigkeit. aller beÿ und neben einand. alhie In dieser Statt Straßburg Im Finckweiler beim Platerhauß geleg. einseit ein Eck ahne der Viehgaßen gegen gedachtes blaterhauß Scheuwren hienüber anderseit neben weiland Hn Jacob wolffen seeelig. gartens auß ganngk hind. vf gedacht Hn Wolffen genand Schonegkers garten stoßend, davon gehn Jahrs 24 fl. Str. w. vff Joh. Bapt: loosig mit 600 fl. hauptguths s.selbig. w. unser frawen werck alhie, Mehr 12 fl gelts vff blmt. Joîs deß Teufferstagh, Jacob Schewr* dem gartner, In hauptgut loosig mit 300 fl. Sw.
Mehr sind in disen Kauff gehörigk Zweÿ heuser ein vorders vnd ein hinderes, sambt deren hoff vnd garten, vnd allen andern Ihren gerechtigkeÿten, heist das vorders die elend herberg, auch alhie In dieser Statt In gedachtem Vinckweiller vnd. den vischern, einseit neben vorgemeltem Lombartshoff, andersit neben dem hauß Zum Engel gelegen, freÿ ledig vnd eÿgen
Item vnd eine behausung vnd hofestatt, Ställ vnd heußlin, sambt andern Ihren gebeuwen begriffen Zugehörden rechten vnd gerechtigkeiten auch alhie In dieser Statt Im Finckweiler vnder den vischern, Einseit Zum theil neben obgedachter Hn Jacob wolfen genandt Schoenecker seelig. garten, anderseit neben vorgedachter behaußung der alten elend. herberg, hind. abermals Ist mehrbesagter Schoenecker seelig. garten Ziehend, davon gehen Jährlichen vff Martini vier guld. Str: w. wid loosig mit 100 fl. gerüerter Str: w. Zu Zweÿen mahlen, der Carthausen alhier, Mehr 4 gld. goldts vff Joh. Bapt: wid. loosig mit 80 fl. Str. w. Zu Zweÿen malen der Samblung Zum Thurn, welche alle und Jede vorher beschriebene heuser vnd darzu gehörige stuck, ehrengedachter H verkeuffer, In dem vorschienenen 1610.ten Jahr, Inhalt darüber bey der Cancelleÿ beschehener verschreibung, hannß Philips Scheeren Zu kaufen geben, dieselben aber nach. wegen der nicht Zalung vnd vßgeschlagener würcklicher beschwerd. nothwendig mit recht wid. erlangen vnd ahn sich Ziehen müßen, Vnd wehre dieser verkaufft vnnd Kauff aller vnd Jeder dieser zu vorgemeldter stuck, vber abzugk obbeschriebener darauff von alters stehender beschwerden vnd dann noch weiler 500 pfund von gedacht. hannß Philips Scheeren vff geschlagener Zinnß vnd loßen (…) Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 1133 pfund
[in margine :] Erschienen Herr D Johann Jacob Riepp der in diesem Kauffbrieff keüffer vnd hat die Zinß verschreibung vber die auch in diesem Kauff angebene 12 fl. Jährlich gelts vnd 300 fl. cap. alles Str. werung, besagend, mit deß Bischofflichen hoffs Insigel v.wahrt vnd datirt den 26. Maÿ A° 1557. vorgewießen (…) Act. 14. Jan. 625.
[in margine :] Erschienen herr D. Johann Jacob Riepp vnd Fr. Johanna Maria sein Ehegemahlin mit beÿstand H Georg Friderich Wolfen vnd H Georg Friderich Ringlers ihrer negster v.wanten an einem, So dann Augustus Friderich Fettich alß Ehevogt Fr Maria Flächin am andern theil (…) Act. den 9. Maÿ Anno 1628.

Originaire de Stuttgart, Jean Jacques Riep épouse en août 1606 Anne Flach veuve du docteur en droit Paul Graseck et devient bourgeois en juillet 1607.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 232 n° 639)
1606. Sontag den 24. Augusti. Johannes Jacobus Riep d. Rechten doctor vnd Anna doctoris Pauli Grasecks Nachgelaßene wittib, Eingesegnet Dinstag den 9. Septemb: (i 237)

1607, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 886
Johann Jacob Riep von Stuttgarth der Rechten Doctor, Empfahet daß Burger Recht Von Anna Weÿland herrn Pauli Graseckhen der Rechten doctor hinderlaßene wittib, Wüll Zu Steltz Zünfftig sein Actum den 22 Julÿ Aô 1607.

Fille de Sigismond Flach, Anne Flach épouse Paul Graseck en 1590.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 122, n° 411)
1590. 15. Trinit. Paulus Graseck der Rechten Doctor vnd hiesigen Schul professor, vnd Anna h . Sigmund flachen nachgelaßene dochter (i 132)

Jean Jacques Riep se remarie en 1611 avec Jeanne Marie Wolff dite Schœneck
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 309, n° 877)
1611. Sontag den 20. Januarÿ. J. Joannes Jacobus Riepp d. Rechten Doctor vndt Johanna Maria weÿland H. Jacob Wolffen genant Schöneckers Alhier Nachgelaß: tochter. Eingeseg. Zinstag 29. Januarÿ (i 318)

Vente où est cité Jean Jacques Riep, issu du mariage entre Jean Jacques Riep et Anne Flach
1614 (xxvij. Junÿ), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 162
Erschienen der Ehrenvest Fromm herr Sigmund Flach vnd Dauid Essinger alls geschworne ober V wid* vndervogt Wÿland der Erentreych Fr. Annen gebohrner Flächin sein herrn Sigmund Flachen schwester In erster V anderer ehe erzieler seelig Kinder verkaufft mit beÿstand und bewilligung des Ehrenuesten hochgelehrten herrn Johann Jacob Riep der Rechten doctor alls vatter hanns Jacobs, So er mit bemelter Fr. Annen Flächin selig ehelich erzielt
dem auch Ehrenvesten hochgelehrten herrn Philipp Scheÿden der Rechten doctor (verkaufft)

Accord que passe Jean Jacques Riep après la mort de son fils Jean Jacques avec Antoine Graseck, Ursule Graseck femme de Charles Gambs et Odile Graseck femme de Michel Stemmler, demi-frère et demi-sœurs du défunt.
1628 (7. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 433
Erschienen der Ehrenvest hochgelehrtt herr Johann Jacob Riepp, beeder Rechten Doctor, An eim,
So dann herr Anthoni Graseck für sich selbst, herr Carol Gambß alß Ehevogt Fr. Ursulen, herr Johann Michel Stembler alß Ehevogt Fr. Ottilien, aller Grasecken vnd geschwisterden am andern theil,
Zeigten An, Waß maßen sein G. D. Rieppen mit weiland Frawen Anna Flächin erzielter Jünger Sohn, auch hannß Jacob Riepp vnd ihr der Grasecken geschwisterden Muter halben Bruder in anno a 1618. verstorben, vnd dahero so wohl wegen seines, alß seiner geliebten Eltern vnd Großeltern, weiland herrn Sigißmund Flachen vnd Frawen Annæ Schmaltzin, Fr. annæ Leÿmerin, herrn Pauli Grasecken deß altern fünffzeheners vnd beeder abgeleibter gebrüedere Pauli vnd Caroli Grasecken, aller nunmehr seeligen, Zu gewißen Antheilen anheimb gefallene Erbsportionen, Zwischen ihnen allerhand differenten vnd Mißverständ (…)

Jean Jacques Riepp délivre à Nicolas Fürich un complément de paiement, le capital établi par un titre de 1557 ayant été remboursé pendant la dévaluation en 1623.

1629 (ut spâ [19. 7.bris]), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 594
Erschienen herr D. Johann Jacob Riepp an einem,
So dann weÿ: Niclauß Furichs deß Schreibzeügmachers vnd burgers seel. alhie wittiben vnd Erben vögt Peter Robidet der handelsmann, vnd herr M. Georgius Würmblin præceptor Classicus am 2. theil, Zeigten An,
demnach er Herr D. Riepp 300. fl. Capital St. w. so er mit 12. fl. besagter werung von vf vnd abe seiner behausung alhie im Finckhweiler gelegen, der Lumpartshoff genannt, vermög einer vnd. deß Bischofflichen hoffs alhie anhangendem Insigel durch Notar. Cornelius Kegel den 26. Maÿ A°. 1557. vfgerichten v.schreib. v.zinßt, in A° 1623. den 8. Januarÿ in dem damahls hochgangbar gerechnetem gelt obgedachtem Furichen erlegt, Alß heten sie sich mit einander dahin güetlich. v.glichen, daß er H D Riepp ermelter witib vnd erben 150 gld. (…) nachzutragen

La maison revient le 28 décembre 1635 par adjudication judiciaire à Auguste Frédéric Fettich (voir la référence à l’inventaire dressé en 1679).
Fils de Georges Fettich, Auguste Frédéric Fettich épouse en 1624 Marie, fille de Sigismond Flach

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 2-v)
1624. Dominica I. pt. Trinit. den 30. Maÿ. Augustus Friderich Fettig H. Georgÿ Fettigs hind.laßener Sohn vnd Jungfr. Maria H. Sigmund Flachen hinderlaßene tochter. Montag den 7. Junÿ Eingesegnet (i 5)

Baptême en 1635 de leur fils Auguste Frédéric
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 127-v n° 1334.)
1635. Donnerstag d. 18. Junÿ. P. H Augustus Fredericus Fettich, M. fr. Maria, I. Georg Sigmundt. P. h. D. paul Friderich Advocat Im Kleinen Rath,, h Anton flach, Fr. Dorothea, H Augusti Gollen handelßmans witwen (i 184)

Auguste Frédéric Fettich délivre à l’Œuvre Notre Dame un complément de paiement pour un capital garanti sur la cour Lumbart, le capital établi par un titre de 1555 ayant été remboursé pendant la dévaluation par Jean Jacques Riepp.

1636 (ut spâ [11. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 635-v
Erschienen deß Wercks vnser Frawen Münster allhier underschreiber H Johann Rhem An einem,
So dann H Augustus Friderich Fetich burger Zu Str. Am and. theil
Zeigten An, demnach die 600. fl. Capital, so dem besagten werckh vermög einer vnd. deß Bischofflichen hoffs alhie Insigel durch Hilarium Meÿgern den Notm. den 29. Maÿ A° 1555. vffgerichten brieffs Jährlich mit 24. von vff und Ane dem Lumbardts hof alhie im Finckweiler gelegen vff Johannis Baptæ verzinßt, durch H D. Johann Jacob Rieppen alß damalen erstbesagts hoffs Besitzer, in hohen dem Reichßthaler nach Zu 6. fl. gerichteten gelt abgelegt word. daß sie sich, nach maß Alhieiger vber die Nachträg v.faßten instruction güetlichen dahin v.glichen, daß Er Fettich Alß Jetziger possessor obberührten hoffs mehrgedachten werck An gnten ietziger Zeit gang vnd gibigen gelt 300. fl. St. w. nachzutragen, solchen Nachtrag fürohin vff Michaelis mit 15. fl. besagter Wehrung zuuor zinßen schuldig sein

L’inventaire du receveur Philippe Jacques Ebersperger est dressé dans la maison qu’Auguste Frédéric Fettich a acquise par adjudication judiciaire des héritiers de Jean Jacques Riep et de sa femme
1646 (9.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 16) f° 6
Inventarium undt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so H Philipp Jacob Eberspergern, Landtspergischem Schaffner und Frau Annæ Mariæ Tornarium beeden Eheleuthen burgern alher Zu Straßburg zuständig
Inn einer alhie Inn der statt Straßburg beÿ dem Blatherhauß gelegener Behaußung welche H Augustus Friderich Fettichs Burger alhie von H. Johann Jacob Riepen undt seiner hfrau. seel. Erben, ane der Ganth erhaltten, beede Eheleuth aber Lehnungsweiß bewohnen

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Nicolas Hansmetzger, sauf la partie louée à Jean Speich, de Kork.

1648 (16. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 573-v
Erschienen H Anthoni Flach alß Vogt Georg Sigmund Fettichß,
hatt in gegensein Niclauß Hannß Metzgers deß Metzgers
verlühen habe hauß, hoff, Garten mit allen deren Gebäwen nichts davon so hannß Speich von Korckh lehnungß weiß innhatt außgenohmen, alhie im Finckhweiler beÿm Blaterhauß ist einseit ein Eckh anderseit auch neben deß Vogts sohns Behaußung gelegen, vff ein Jahr lang von nechst verwich. Michaelis angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 25. Pfund
(…) und kein Viehe in den Garten gehen Zu laß. dadurch die Bäum Köndten beschädigt werd.

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison à l’avocat Sigismond Frédéric Scheid

1651 (8. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 299-v
Erschienen H Anthoni Flach E.E Kl. Rhats Beÿsitzer alß Vogt Georg Sigmund Fettichß
hatt in gegensein H Sigmund Friedrich Scheid. V.I.D. & Advocati
verlühen habe sein Fettichß Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen und Zugehördten alhie im Finckhweiler gegen dem Blaterhauß hienüber gelegen, vff sechß Jahr lang von nechst verschienenen Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß behausung 27. lib. 10. ß

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison à Marie, femme du boucher Balthasar Krauss

1661 (24. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 365
Erschienen H Anthoni Flach Alter Groß Rhats Verwanther alß Curator Georg Sigmund Fettichß
in gegensein Mariæ, Balthasar Kraußen, deß Jüngern Metzgers, ehelicher Haußfrawen, mit beÿstand Georg Bronnen deß Weißbeckhen ihres geordneten Vogts
Verlühen habe, seines Vogts sohns alhie im Finckhweiler ohnfern dem Platterhauß, Zwischen dem Verleÿhnern gelegene behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten sambt dem daran gelegenen Garten, uf Zweÿ Jahr lang Von nechst Künfftig Joh. Bapt: angerechnet für und umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 22. lb 10. ß

Georges Sigismond Fettich épouse en 1663 Anne Barbe Acker, fille du docteur en médecine Nicolas Acker et de sa femme Susanne Marie Trausch : contrat de mariage, célébration

1663 (14.9.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 739
Eheberedung Zwischen H Geörg Sigmund Fettich als Brauttigam & vnd Jfr. Annæ Barbaræ Weÿl. H. Nicolaj Ackhers Medicinæ Doctoris dochter als hochzeiterin
zwischen dem Ehrenvesten v. wohlvorgeachten H Geörg Sigmund Fettich burgern alhier des Weÿland Ehrenvesten vnd hochachtbaren H Augusti Friderich Fettichs Vornehmen burgers alhier Zu Straßb. mit der Vil Ehren v. Tugendreich. Frawen Mariæ Fettichin gebornen Flächin ehelich erzeügtem Sohn als Braütigam ab Einemn
So dann der Vil Ehren v. Tugendreichen Jfr. Annæ Barbaræ weÿl. des Wol Edel Vest v hochgelehrten H Nicolai Ackers Weitberümbten Medicinæ Doctoris alhie selig. vnd der vil Eren: v Tugendreichen Fr. Susannæ Mariæ Ackerin geborner Trauschin eheleiblich. Tochter alß hochzeiterin Andern theils
So beschehen in Straßb. Montags den 14. Septembris A° 1663.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 53-v)
1663. Dn. 1. Adventus 29. Novembr. H. Geörg Sigmund Fettich, weiland H. Augusti Friderich Fettich Vnd Burger allhier hinderlaßener Ehelicher Sohn, J. Anna Barbara, Weiland H. Nicolai Aggerii Medic. Doctoris et Practic. allhie hinderlaßene eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 8. Decembris Zum Spiegel (i 58)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Georges Sigismond Fettich à se marier au poêle du Miroir
1663 Conseillers et XXI (1 R 146)
(f° 188) Montags den 16.ten Novembr. 1663. Georg Sigmund Fettich
Georg Sigmund Fettich bitt per Dr. Bi. vmb consens sich mit Jgfr. Anna Barbara weÿl. Dr Nic. Ackers dochter vff der Zunfftstub Zum Spiegel vopuliren zu laßen. Erk. willfahrt vnd soll 3. lb d in das Allmußen geben. Hr XXI. Schütterlin et H Walter.

Mentions de Georges Sigismond Fettich dans les registres du Magistrat
1649 XV (2 R 68) August Friderich Fettichß Sohns Vogt. [drucht, wein] 20. [Zinß] 172. [Zinß] 232.
1650 XV (2 R 69) Georg Sigmund Fettichs Vogt. 235. [Früchten, Wein]
1657 XV (2 R 75) Georg Sigmund Fettich. [wein] 168.
1659 XV (2 R 77) H. Georg Sigmund Fettichs Vogt. 76 [Zinß].
1660 XV (2 R 78) H. Georg Sigmund Fettich. 71 [Wein, 247 id.].
1662 XV (2 R 79) Georg Sigmund Fettichs Vogt. 59 [Wein]. 206 [Frucht und Wein]. 128 [abloßung].
1663 XV (2 R 80) H. Georg Sigmund Fettich. 119 [wein]. 143 [compensation]. 209 [wein]. 213.
Würth Zum Geÿst. 231 [H. Georg Sigmund Fettich]
1664 XV (2 R 81) H. Georg Sigmund Fettich. 112. [wein]
1666 XV (2 R 83) Georg Sigmund Fettich. 106. [zinß]
1674 XV (2 R 90) Georg Sigmund Fettich. 244. [zinß]

Anne Barbe Acker fait dresser l’inventaire de ses apports (2565 livres) dans la maison de ses parents rue Sainte-Barbe
1665 (1.6.), Not. Oesinger (David, 37 Not 18) n° 9
Inventarium und beschreibung aller vnd Jeder Haab und Nahrung, So die Viel Ehren und tugendreiche fraw Anna Barbara Fettichin gebohrne Aggerin dem Ehrenvesten und hochachtbahren H. Geörg Sigmund Fettichen ihrem geliebten Eheherrn in die Ehe Zugebracht (…) So beschehen in Straßburg den 1. Junÿ Anno 1665.
In Einer In derStatt Straßb. In St Barbara Gaßen gelegenen behaus. So Weÿl. deß Wohl Edlen vndt hochgelehrten H Nicolai Aggerÿ Medicinæ Doctoris seel. hinderlaßenen Fr. Wittwe Zuständig Ist befund. worden wie volgt
Abzug In dießes Inventarium. Sa. haußraths 495, Sa. Silbern Geschirr vnd Geschmeidts 238, Sa. Guldenen Ringen und dergleichen Geschmeids 296, Sa. der Baarschafft 984, Sa. Pfenningzinß hauptgüter Hauptguths 550, Summa summarum 2565 lb

Georges Sigismond Fettich loue la maison à Jean Ernest Rinck

1664 (4. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 71
Erschienen H Georg Sigmund Fettich
in gegensein H Johann Ernst Rinckh
verlieh. Eine Behaußung sampt allen deren Gebäwen Garten und Zugehördten alhie im Finckhweÿler beÿm Blaterhauß geleg. und der Lumbarts hoff genannt vff fünff Jahr lang von Joh. Bapt: dießes Jahrs angerechnet umb einen iährlich. Zinnß benantlich p. a° 1665 und 1666 Jedes mahlß 20. lb, so dann p. a° 1667. 68. v. 69 Jedes mahl 21. lib

Georges Sigismond Fettich loue la maison, autrefois appelée cour Lumbart, à Jean Kamm, assesseur au Grand Sénat, et à son fils boucher Jean Frédéric Kamm

1670 (20. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 n° 308-v
Erschienen Georg Sigmund Fettich E.E. Kleinen alter Beÿsitzer
in gegensein H Hannß Kammen E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers und hannß Friderich Kammen deß Metzgers, vatters und sohns
entlehnt, Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, auch Garten, Begriffen und zugehördten alhie im Finckhweÿler beÿm Blaterhauß geleg. und von alters der Lumbarts hoff genannt, treÿ Jahr lang von Mich. dießes Jahrs angerechnet, umb einen iährlich Zinnß benantlich. 21. Pfund pfenning

Georges Sigismond Fettich rembourse au béguinage à la Tour un capital assis sur la maison d’après un titre de 1564.

1671 (2. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 349-v
Erschienen Herr Johann Schmidt alß Schaffner der Samblung Zum Thurn
in gegensein Herrn Georg Sigmundt Fettichs E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers
bekannt, daß derselbe, Ihme herren Schmidten 100. fl. staßb. wehrung erlegt und damit die Jenige 4. fl. besagter wehrung termino Joh. Bapt: Von uff und ab einer im finckhweÿler ohnfern dem blatterhauß und dem Lumpartshoff gelegenen behaußung vermög der durch weÿl. herrn Hÿlarium Meÿern alß deß bischofflichen Hoffs damahlig. geweßenen Contractuum Notarium nunmehr seel. am 28. Januar. a° 1564. uffgreichteter Verschreibung in Zweÿen Posten fallenden Zinnßen widergekaufft, abgelöst

Anne Barbe Acker meurt en 1679 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison principale, dite cour Lumbart (Lumparts hoff) et ensuite à l’Ordre teutonique (Zum teutschen herrn) à la somme de 1 300 livres, deux petites maisons voisines dites auberge des Pauvres passants (die Elende Herberg) à 100 livres et une autre à 50 livres. La succession comprend d’autres maisons rue Sainte-Barbe, rue du Bouclier et à la Krutenau. La masse propre au veuf est de 8 325 livres, celle propre aux héritiers de 3 840 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 357 livres, le passif à 3 342 livres

1679 (10. 9.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 1) n° 10
Inventarium vnd Beschreibung aller vnd jeder Haab, Nahrung vnd Gütter, liegender vnd vahrender, verändert und vnveränderter, so weÿland die Edle Viel Ehren: vnd Tugendreiche Anna Barbara Fettichin, gebohrne Ackerin des Edlen, Wohl Ehrenvesten Weißen vnd hochachtbaren herrn Georg Sigmund Fettichs E. E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers vndt vornehmen burgers allhier geweßene Ehelich geliebt. haußfr. nunmehr seel. nach Ihrem den 3.to Septembris dießes Zu end lauffenden 1679.sten Jahres beschehenen todtlichem Ableiben Zeitlichen verlaßen, welches auf fr. ansuchen, erfordern vnd begehren des wohl Ehrenvesten vnd hochachtbaren herrn Christoph Gambßen, vornehmen Handelßmanns vnd burgers in Straßburg, als geschwornen Tutoris Jungfr. Annæ Ursulæ, Georg Friderichs, Nicolai Daniels vnd Johann Philippßen, aller vier der verstorbenen frawen seel. mit vor wohl Edelernanntem Ihrem hinterpliebenen Herrn Wittibern, ehelich erzeügter Kinder vnd ab intestato hinderlaßener Erben (…) Actum in der H. Reichs St. Str. in noch fernerem gegenwertigkeit der Edlen hochedlen vnd Viel Tugendreichen Fr. Annæ Salome Kniebßin gebohrner Ackerin, Weÿl. des Wohl Edlen Vest vnd hochweÿßen H. Matthiæ Kniebßen des beständig. Regiments der H. XXI. hochansehnlicher beÿsitzers vnd vornehmen handelßmanns allhier hinderlaßener Fr. Wittib, So dann der hoch Ehren vnd Tugendreichen frawen Claræ Annæ Gambßin gebohrne Ackerin Vorwohlgemelts H Gambß. Eheliebsten der Frauen seel. Vielgehrter Fr. Schwester, Montags den 10. Novembris Ao 1679.

Eÿgenthumb Ane Häußern. (W.) Item hauß, hoff, hoffstatt, jetzo der Lumparts hoff, vor zeiten aber Zum teutschen herrn genadt mit den darzu gehörigen einem Vordern vnd Zweÿen alten Nebens häußlein, Ihren hoffstätten, Einem Garten Schewer, Ställen auch annen anderen begriffen, weithen, rechten Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, alle freÿ* vnd*kenen, allhier in der Statt Straßburg im Finkhweiler beÿ dem Blatterhauß gelegen, einseit Ein Eck ane der Viehegaßen, gedachtes Blatterhaußes Scheuren hienüber, anderseit neben H. Joh: Reichßhoffers XV. Außgang vff ged. garten stoßend, so freÿ ledig Eigen vnd ist das größere vmb 1300 lb, die 2 nebens haußlin p. 87 lb 10 ß vnd d. Kleine vord. Eckhäußlein p. 25 lb. d. die werckm. angeschlagen thut Zusammen 1412. lb 10 ß
It. 2. Häußlein Ein vorders v Ein hinders, sampt dero hoff v. gärtlein auch allen ihren gerechtigkeit. heißt das vorder die Elende Herberg in obgedachtem Finckweÿler geleg. vnder den fischern, einseit neben vorgemelte Lumpartshoff, anderseit neben dem hauß Zum Engel, so freÿ ledig vnd Eig. vnd hiehehro angeschlagen 100 lb
It. Eine Behaußung vnd hoffstatt, ställ v. häußlein sampt allen andern Ihren Gebäwen, begriffen, Zugehördt. vnd Gerechtig Keiten, auch allhier in der St. Str. im finckhweÿler vnder den fischern gelegen, einseit Zum theil neben obwohl Edelernandts H. XV. Richßhoffers Garten Ziehend, davon gibt mann Jahrs vff Martino vier Guldin Straßb. wehrung wider Käuffig mit 100 fl. besagter wehrung der Carteußern allhier, sonsten freÿ ledig vnd Eigen vnd hiehero angeschlagen über die daruff stehender beschwerd vmb 50 lb
([biffé] It. Ein alt Klein häußlein, mit Seinen begriffen weithen vnd Gerechtigkeiten allhier in der St. Str. im finckhweiler vnder den fischern geleg. beÿ dem blatter hauß, And. seit neben obgemeltem Lumparths hoff Einseit ane der Viehe gaß geg. des blatterhaußes Scheüren hinüber stoßend, so freÿ ledig v. eig. vnd angeschlagen vmb 25. lb)
Über alle dieße häußer im finckweiler gelegen sagt i teutscher Perg. Ganth Kauffbrieff mit des Stattgerichts Zu Str. anhangendem Innsigell verwahrt geben den 28. tag Xbris A° 1635. Mehr Ein teutscher Pergam. brief über den Lumparthshoff häußer v. Garthen besagend mit der St. Str. Contract Innsigel datirt d. 13. Junÿ aô 1588. mit altem N° 16. jetzt newem Lit. A. notirt, darbeÿ noch 18. vnderschiedlich Per. brief vnd andere brieffliche Documenten mit altem N° A notirt v. dabeÿ gelaß.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (W.) Item hauß, hoff, hoffstatt, mit allen deren ebäuwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden vnd gerechtigkeit in Sr Barbaræ gaßen (…)
(E.) hauß, hoff, vnd hoffstatt, sampt einem hinderhauß ane S. Barbaræ gaßen, Zur Tauben genant (…)
(T.) It. hauß, hoff, hoffstatt
(T). It. hauß, hoffstatt vnd Stall am Roßmarckh in der Schiltsgaß geleg. (…)
(T.) It. hauß hoff hoffstatt in der Vorstatt Krautenau im hammengäßlin
Ergäntzung der Erben Unveränderten Gutts. Innhalt des üer der abgeleibten frauwen Seel. in den Ehestand Zugebrachter Nahrung auffgerichteten Inventarÿ A° 1665. durch herrn David Ösingern seniorem Notarium auffgerichtet
Innhalt des über weÿl. Annæ Ursulæ Greinerin Wittiben Zeit lebens wÿdembs weiß genoßenen Fidei Commiss vnd Eygenth. unveränderte Nahrung durch herrn David Ösingern Notm. sen. in aô 1671. auffgericht. Theilbuch
Abzug in dieses gegenwärtig gehörig, Haußrath 250, Bibliothec 50, Lährer vaß 13,Silbergeschirr 96, Guldene Ring 26, Pfenningzinß hauptgütter 4031, Weinzinß 8, häußer 1962. Liegende gütter 275, Ergäntzung (2113, gehet ab 370n verpleibt) 1743., Summa summarum des H Wittibers unveränderten guths 8456 lb – Schulden 131, Nach deren Abzug 8325 lb
Der Erben unverändert guth, Sa. haußraths 238, Bibliothec 5, Pfeffer 108, Lähre vaß 5, Silber 169., Goldene Kettlin, Ring perlein und dergleichen geschmeid 361. baarschafft 12, Pfenningzinß hauptgüter 639, Ergäntzung (1608, abzug 8, Rest) 1599, Summa summarum 3840 lb
Volgt dann auch endlichen das Gemein Verändert und theilbar Vermögen, Sa. haußraths 184, Sa. Bibliothec 50, Sa. Früchten 87, Sa. Wein vnd lärer vaß 133, Vieh, Schiff v geschitt Zum Ackher baw 42, Silbergeschirr 108, Guldene Rigen 4, Baarschafft 306, Pfenningzinß hauptgüter 125, Eigenthum ane häußern 800, Schulden i das Erb Zugeltend so ein Pfenningthurn Zinnß bestehen 1545, Summa summarum 3357 lb – Schulden 3342 – per Rest übrig 44 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 12.210. lb

Georges Sigismond Fettich se remarie en 1680 avec Marie Félicité, veuve du pasteur de Kehl Mathias Rœsch
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 90 n° 530)
1680. Dom. Reminisc. et oculi d. 7. u. 14. Martÿ H. Geörg Sigismund Fettich, alter beÿsitzer eines Ehrsam. kleinen Raths allhier, fr. Maria Felicitas weÿl. H. M. Mathiæ Röschen gewesenen pfarrers Zu Kaÿl, hind.lassene wittib. Cop. d. 18. Zu St. Thomas

1680 (10. 7.bris), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 1) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller und Jeder haab Nahrung und gütter, liegender und fahrender, so die Edle viel Ehren und tugendreiche Fraw Maria Felicitas gebohrne Büttlingerin zu dem Edlen Wohl Ehren vesten weißen und hochachtbaren herrn Georg Sigmund Fettich E.E. kleinen Raths alten beÿsitzers und vornehmen burgern allhier in den Ehestand Zugebracht und vermög mit einander auffgerichteter Eheberedung für unverändert reservirt und vorbehalten durch sie die Fraw selbsten In gegensein des Edlen Wohl Ehren vesten hochgelehrten und hochachtbaren herrn Johann Heinrich Hertensteins J.U. Ddi und beÿ allhießiger St. Str. Wohlverordneten Fiscalis alß geschwornen vogts Matthiæ Röschen der Frawen in erster Ehe mit Weÿl. H. Mathiæ Röschen geweßenen Pfarrers Zu Kaÿl nunmehro sel. Ehelich erzeugtem Söhnleins angeben, H Johann Peter Müllern einen diießer Statt gewesenen käufflern (…) Actum in vor Wohlgemelyer Statt Straßburg Mittwochs den 10.ten 7.bris A° 1680.

Fils du tanneur Mathias Rœsch de Barr, le pasteur Mathias Rœsch épouse en 1669 Marie Félicité, fille du bailli Ulric Bittlinger
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 5, n° 17)
1669. Herr M. Mathias Rösch Pfarrer Zu Keil H. Mathiæ Röschen Rothgerbers und lederbereiters Zu Barr ehelicher Sohn Jfr. Maria Felicitas weÿland H. Ulrich Bittlingers gewesenen J. U. Licent. v. hoch Gräfflich Leining. dachspurgisch. Amptmanns eheliche tochter. Eingesegnet den 30. Sept. Donnerstag zu St. Thomæ (i 4 proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 195-v n° 134)

Georges Sigismond Fettich fait des dispositions de dernière volonté le 11 décembre 1680. Il lègue à sa femme l’usufruit viager de la maison provenant de la succession Greiner rue Sainte-Barbe
1680 (11.12.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
H Georg Sigmund Fettich Codicill
persönlich kommen und erschienen ist der Edel, Ehrenvest fürsichtig und wohlweiß herr Georg Sigmund Fettich, E E Kleinen Raths alter beÿsitzer und vornehmer burger alhier Zwar sehr krancken vnd schwachen leibs auff einen bett liegend, vnd sehr schwacher Zungen , brachte mit mit heÿßeriger Stimen vor
3. weilen die ältere Tochter vor Ihren dreÿ brüder alß Jüngern geschwistern bereits viel guthaten genoßen (…)
fürs vierdt Verordnet dersembe seinem jüngsten Sohn Niclaus Daniel ebenmäßig Zu einem Prælegat 300 Reichßthaler
Zum Fünfften Seinem Jüngst. Söhnlein Johann Philippßen, welcher noch gar Jung vnd unerzogen (…)
Zum Sechsten vnd Letzten will Er der Herr Codicillator seiner lieben haußfrawen felicitas fettichin Gebohrner Pettligerin ferner im besten Zugedancken zu dem jenigen wÿdemb so Er Ihro In Ihrer ohnlängst mit einander auffgerichteten Eheberedung verordnet hatt annoch ferner zu einem lebtägigen wÿdembssitz wohlbedächt vnd freÿwilliglich verschrieben Seine in St. Barbara Gaß liegenden Ihme in Fr. Dr. Greinerin sel. Erbschafft angefallene sogenandte Greinerische Behaußung dieselbe nach Ihrem Guten belieben in wÿdembßweiß habend Zu genießen (…)
So beschehen in der H. R. fr. St. Straßburg in einer in dem Finckhweiler nahe dem blatterhauß gelegenen Ihme herrn Eigenthümlich zuständig. bewohnend. behausung in der Mittlern stuben auf der seiten, im hoff sehend (…) Sambstags den 11.ten Decembris A° 1680

Georges Sigismond Fettich meurt le 16 décembre 1680
Sépulture, Saint-Thomas (luth. p. 778)
1680. H. Geörg Sigmund Fettich starb seines alters 45 Jahr 6 monat den 15. Xbris int 6 et 7 vesp. wardt begrab. den 18. ejusd. X.bris Zu St. Galli

Le tuteur des enfants de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Georges Henri Metzger

1681 (15. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 512-v
Herr Christoph Gambs der Specerirer alß Vogt Weÿl. herren Georg Sigmundt Fettichs E.E. Kleinen Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Georg Henrich Metzgers des Metzgers, mit beÿstand Friderich Senckheÿßens deß Metzgers
die gantze Fettichische behausung aus maaß und wie herr Fettich solche bewohnt hatt, nichts alß die undere Newe Stuben, undt den Keller under der grünen Stuben außgenohmen, alhier in dem finckhweÿler gelegen, auff 9. Jahr lang Von nechst Verwichen Michael: angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 60. fl.

Le tuteur des enfants de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Jean Henri Hansmetzger

1689 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 420
H. Johann Christoph Gambß, der handelßmann, im nahmen Hn Christoph Gambßen deß handelßmanns seines leiblich. Vatters, alß vogts Weÿl. H. Georg Sigmund Fettichs sel. hind.laßener kinder
in gegensein hans Henrich Hans Metzgers, deß Metzgers
verlühen, eine behaußung mit allen deren gebäuen und zugehördt., allhier im Finckweiler, Zwisch. Zweÿen andern dem Verleihen. vogts Kind. auch gehörig. behaußung, hinden auff d. Fettich. Gart. stoßend, in maß. Er Entlehner d.selbe bereits ein Jahr lang beseßen, auff zweÿ jahr lang von Johannis Bapt. diß Jahrs anzurechnen, umb Zehen pfund Jährlich. Zinß

Le tuteur de Nicolas Daniel et Jean Philippe Fettich loue la maison au secrétaire en chef de Saint-Marc Jean Paul Tromer. Le bail est reconduit pour six nouvelles années en 1696.

1693 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 67-v
H. Christoph Gambß, der Haußfeurer alß Vogt H. Niclaus Daniels und Johann Philipß Fettichische jüngern Gebrüder, beeder Handelß diener
H. Johann Paul Tromers, Notar. Publ. und Oberschreibers zu St Marx
verlühen, maßen zwar die Fettichische im Finckweiler einseit geg. der Pfistereÿ zu St Marx über and.seit neb. d. Fettich. Kleinen haüßern gelegen behaußung, hind. auff den Elsenheimischen hoff und gartten stoßend, mit allen Gebaüen, gartten und zugehörung, wie solche H. Paul Flach Oberschreiber deß Mehrern Hospitalß bißhero in gehabt, außgenommen der Scheuren, welch d. Verleiher seinen Vogts söhnen vorbehaltet, auff dreÿ Jahr lang von Annunciat. Mar. dieß Jahrs anzufang. umb einen jährlich. Zinß nemblich 50 pfund
[in margine :] (…) daß Sie die hierinn verschriebene behaußung mit allen deren gehengt. Condition und Clausula auff 6. fernere Jahr continuirt – den 26. Jan. 1696

Marie Félicité Büttlinger meurt en 1714 en délaissant trois héritières testamentaires. L’actif de la succession s’élève à 409 livres, le passif à 101 livres.
1714 (26.4.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 100) n° 909
Inventarium und Beschreibung aller d. jenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. die Edle, Viel Ehren und Tugendbegabte frau Maria Felicitas Fettichin, gebohrne Büttlingerin, weÿl. des wohl Edel vnd hochgelehrten Hn Georg Sigmund Fettichs, gewesenen J.U. Candidati u. E: E: kleinen Raths allhier Zu Straßburg alt. wohlverdienten beÿsitzers nunmehr seel. hinterbliebene fr. wittib, nunmehr auch seel. nach ihr ane den 11.ten dießes Monats Aprilis aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlich v.laßen (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 26.ten Aprilis Anno 1714.
Die abgeleibte fraw seelige hat per Testamentum Zu ihren Erben verlaßen wie volgt. 1. die Hoch Edle und hoch tugendbegabte Frau Margaretham Leÿterspergerin gebohrne Reißeißin, des hoch Edel vest fromm fürsichtig hochweiß und hochgelehrten Hn Philipp Caspar Leÿterspergers des geheimen beständig. Regiments d. Herren XV.en in allhießig. löbl. Statt Straßb. hochansehnlich Assessoris frau Ehegemahlin, welche beÿ dießem Geschäfft in deme d. hochgeehrter H Eheherr Ambts geschaffts halb. dießmahlen nicht beÿwohnen Können, hiebeÿ allein erschienen
2. die Hoch Ehren und Tugendbegabte Frau Einbetham Silberradin geb. Kolbin des hoch Ehrwürdig hochachtbahren und hochgelehrten Hn M. Samuel Silberrads beÿ d. Evangelisch. Gemeinde in allhießig. sogennadten Predig. od. Neuen Kirch. hochverdienten Pfarrherren auch vornehmen burg. allhie frau Eheliebstin, so in dem e d. hochgeehrter hr Eheliebstine eb.maßig wichtiger Ambts geschäffts halben dießer Inventation nicht in Person abwarten Können, hiebeÿ allein geg.wärtig war und dann
3. die Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Mariam Magdalenam Bochin gebohrne Juntin, des wohl Ehrenvest und Großachtbahren H Johann Conrad Bochen, vornehmen handelsmanns u burgs allhier wehrtgeehrten Eheherrn, sich beÿ dießem Geschäfft eingefund. Alßo alle dreÿ d. angeleibt. fr. seel. per Testamentum Zugleich. antheilen instituirte Erb.

In einer allhier Zu Straßburg d. sogenandten barbaragaß gelegenen und von d. Fr. seel. Wÿdembs weiß bwohnenden behausung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obern bühn, In d. obern Stub, In d.selb. Stub Cammer, In der Cammer A, In d. Wohnstub, Im Contor, In d. Wohnstub Cammer, Im haußöhren vor d. wohnstub, In des Knechts Cammer
Publicatio auffgerichteten Testamenti solemnis in Scriptis und Nach Disposition
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 112, Sa. Lähren vaß 12, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. Goldenen Ring 30, Sa. baarschafft 221, Sa. Schuld 6, Summa summarum 409 lb – Schulden 101 lb, Nach solchem abzug 302 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1557 lb
Wÿdemb, welchen die Verstorbene Frau seelige von eingangsgedachtem H Georg Sigmund Fettichen Ihrem gewesenen herrn Eheliebstin und auch selig Zeit lebens Zugenißen gehabt, 1250 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 33, Zweiffelhaffte Schulden 80 lb
Copia Testamenti (…)

Le commis négociant Nicolas Daniel Fettich, demeurant à Morges en Suisse, et le marchand Jean Philippe Fettich vendent au marchand de vins Georges Fritsch la maison appelée anciennement la cour Lumbart, l’Ordre teutonique et l’auberge des Pauvres passants, entourée d’un mur, moyennant 1 900 livres

1697 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 69-v
H. Johann Christoph Gambß der handelsmann alß vermög eines von hernach genanten seinem ppalen eÿgenhändig auß Morsé beÿ Geneve an Fr. Annam Salome geb. Ackerin weil. H. Matthiß Kniebßen XXI. seel. hind. laßene Fr. Wittib, sub dato 26.t Januarÿ jüngst geschriebenen Missivs, constituirter special Mandatarius H. Niclaus Daniel Fettichs, deß handelßdieners zu ged. Morsé sich auffhaltend, welcher majorennis und ohnbevögtiget, So dann H. Johann Philipp Fettich auch ledig. Handelßmann, ingleichem majorennis und ohnbevögtiget
hans Georg Fritschen, deß weinhändlers
Eine behaußung, etwan der Lumportshoff, vor Zeiten aber Zum teutschen Herrn genandt, Ferner die alte Elent Herberg, und alle andere daran und darbeÿ gelegen den Fettichischen bißhero gehörige häußer sambt dero hoffen, hoffstätten, gartten, gebaüen, begriff. Recht. und Zugehördt. wie solches alles rings umb mit einer Maur beschloßen, und geleg. in ged. Finckweiler, Under d. Fischern, ohnweit dem alt. Blaterhauß, oder neuen Schaffneÿ zu St Marx, so einseit ein Eck an der Viehgaß. hind. den Mauren geg. ged. St. Marx Pfistereÿ über, anderseit ists vorn auch ein Eck, weiter hin aber neb. Melchior Sebizio Med. Doctoris et Professoris Ehevögtlich weiß besitzenden Gartten, hind. auff den Freÿherrlich Elßenheimisch. hoff und Gartten, der Schäffoltzheimer hoff genandt, stoßend geleg. von welcher behaußung einen nebens hauß gehen jährlich auff Martini Vier gulden, Straßburger wehrung, wid. lösig mit 100 gulden ged. wehr. der Carthaus allhier – umb 1800 pfund

Fils de l’aubergiste à la Cave profonde Jean Fritsch, Jean Georges Fritsch qui est alors aubergiste à la Cave au Faucon épouse en 1667 Barbe, fille du boucher Georges Niclaus
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 63-v)
1667. G. Paschatos d. 7. Aprilis. Johann Geörg Fritsch, Würth Zum Falckenkeller, Johann Fritschen Würths Zum Tieffen Keller alhie Ehelicher Sohn, v. J. Barbara, weiland Johann Georg Niclaus, der Metzger allhie, nachgelaßene Eheliche Tochter, Copulavit Donnerst. d. 18. Aprilis Zu St. Thomæ (i 68)

Ancien aubergiste à l’Aigle noir, Jean Georges Fritsch se remarie en 1678 avec Anne Marie, fille du marchand de vins Frédéric Wolff de Barr
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 76-v n° 452)
1678. Ostern v. Quasimodogeniti d. 31. Martÿ v. 7. Aprilis. H. Joh: Geörg Fritsch burger vnd gastgeber allhier, Jfr. Anna Johann Friderich Wolff burgers v. Kieffers Zu Barr eheliche tochter. Cop. zu Barr d. 9. Aprilis (i 40)
Mariage, Barr (luth. n° 15) 1678. Zinst. den 9. April. sind nach Zweÿmaliger Außruffung eingesegnet worden Hans Georg Fritsch gewesener Gastgeber Zum Schwartzen Adler v. b. Zu Straßb. vnd Jfr. Anna Wölffin H Friderich Wolffen b. v. Weinhändlers alhie ehl. Tochter (i 129)

Le marchand de vins Jean Georges Fritsch se remarie en 1688 avec Ursule Wolff, fille de l’aubergiste Georges Wolff de Barr et veuve du teinturier Georges Frédéric Merckel
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 3-v n° 11)
Dom. 4. et 5. Epiph. alß den 1. v. 8. febr. 1688. seind Zu St Thomæ proclamirt word. H. Johann Geörg Fritsch burger und weinhändler allhier, undt Fr. Ursula weÿl. Geörg Friderich Merckels gewesenen Burgers und ferbers Zu Barr wittib. die Einsegnung ist geschehen Zu Barr Dienstag den 10. febr. 1688. (i 4)
Mariage, Barr (luth. n° 5) 1688. Eodem tempore [Domin. III et IV Epiphan.] wurden allhier außgeruffen v. Dienstags darauff als den 10. febr. copulirt herr hanß Georg Fritsch, burger b. handelsmann in Straßburg v. Fraw Ursula Wolffin weÿl. herrn Heinrich Fridrich Mercklins gewesenen Gerichtsverwander wie auch schwartz v. schönferbers allhier hinterl. wittib (i 147)

Mariage, Barr (luth. n° 11)
1659. Dominicâ VI. et VII. Trinitatis Wurden Zu Zweÿmahlen proclamirt und dann Montags darauf als den 18. Julÿ eingesegnet Geörg Fridrich Mercklein, der ferber allhier, Weÿlanndt Geörg Friderich Mercklins burger und gastgebers Zu Ofweÿler Hanauischer herrschafft unndt jungfr. Ursula Herr Geörg Wolff des Wurth und gastgebers Zum rindsfus eheliche tochter (i 213)

Ursule Wolff acquiert le droit de bourgeoisie par son mari deux ans plus tard
1690, 4° Livre de bourgeoisie p. 570
Ursula Wolffin Von Barr gebürtig, weÿl. Georg Wolffen geweßenen weißbecken V. burgers daselbst nachgelas. tochter, empfangt das burgerrecht Von Hannß Georg Fritschen dem Weinhändler Ihrem Ehemann p. 2. Gold fl. 16. ß. so sie bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor schon Verheurathet gewest V. wird beÿ E: E: Zunfft der Freÿburger dienen. Prom: d 10. May 1690

Le marchand de vins Jean Georges Fritsch qui est bourgeois depuis vingt-cinq ans s’adresse aux Conseillers et aux Vingt-et-Un pour ne pas régler d’impôts fonciers à la fois à Strasbourg et à Barr sur des biens que sa femme possède à Barr. Le préteur Obrecht déclare qu’il n’y a pas double imposition mais ordonne d’écrire au bailli de Barr pour expliquer l’inégalité entre contribuables. L’assemblée renvoie Jean Georges Fritsch à son jugement quand il réitère sa demande dix mois plus tard.
1692, Conseillers et XXI (1 R 175)
(f° 332) Sambstagß den 13.ten Xbr 1693. – Hannß Georg Fritsch der Weinhändtler pt° auf seine Barrer güther
G. nôe Hannß Georg Fritschen burgern und der Weinhändtlers alhier, prod. memor. mitt beÿl. sub N° 1 et 2, berichtet, Er seÿe beÿ 25. Jahren burger alhier, Habe vor 5 Jahren an Ursulam weil. Joh: Friderich Merckhelß geweßenen burgers und Schwartzfärbers Zu Barr hint. wittib sich verheurathet, Ihr Vermögen auf 3000 fl. darunter mehr nicht alß 4. Ackher Reeben im Barrer Bann begriffen, auf der Statt Stall declarirt, um laut scheins biß dato ordnungs mäßig verstallt, und seÿe Ihme weg. seiner frawen liegender güther im Ampt Barr niemahlen nichts abgefordert worden, vor wenig Monaten Habe man Ihme beÿliegend Forderung sub N 1. Zu geschicktgleich wie Er aber unter diejenige Barrer vnterthanen, welche sonsten mit dergleichen beschwärden belegt Zu werden pflegen, nicht gerechnet werden Kann, sondern verhoff wie andere hiesige burgere so considerable guther in besagtem ampt besitzen, und weder der gemeidte noch der Herrschafft etwas beÿtragen exempt seind, Er auch also gehalten und freÿ gelaßen werden solle damit Ihme nicht doppelt aufgelegt werde, was Er hier in Stallgeld Zahle, darauß unter dem nahmen gewerf noch ein mahl Zahlen müße. Wolle also umb gleichhaltung und resp: billiche exemptio bitten.
Herr prætor Obrecht, wan das gewerf Zu Barr hiesigen Stallgeld gleich gehalten werde, könne implorant nicht doppelt belegt werden. Es scheine, es gehe eine Ungleichheit vor, wie implorant auch deutlichen darauff sich beziehet, umb eÿgentl: nachricht Zuhaben, wie die burger wegen ihrer güther alda angelegt werden, können Hrr Amptmann solches außfürlich berichten und eine Listen schicken, wer, wie und von was güthen die anlaage geschehen, darauff beÿ den V.O. Herren die sach bedacht werden.
Erkandt man solle an Herrn Amptmann schreiben, seinen außführlichen bericht begehren wie es mit anlaagen gehalten werd. und dann die gleichheit Zu wißen, derselbe ein Vollständig estat machen Von allen güthern so hießigen burgere im Ampt haben, wie sie angelegt, und was von Ihren bezahlt werden. H. XV. Brand, H. Daniel Dietrich.

1693 Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 207) Sambstags de, 28. 9.bris 1693 – Johann Georg Fritsch pt° aufflag. zu Barr
G. ersch. Johann Georg Fritsch burger und Weinhändler alhier p.ducirt nochmaliges Underth. Memoriale und b. pt° ihme Zu Barr geford.ten aufflag.
Erk. Soll implorant Zur ruhe gewießen werd. in deme die sach schon einmahl judiciret
H. XXI. Brackenhoffer, H Pfeiffer.

Jean Georges Fritsch hypothèque la maison au profit de l’étudiant en droit Albert Mappus

1701 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 576
Joh: Georg Fritsch der weinhändler
in gegensein Hn Alberti Mappus studiosi juris so unbevögtigt, schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, deß debitoris im finckweiler liegende haüßer, sambt dem garthen und allen übrigen Zugehörden, wie selbige Vom dem debitore erkauft u. in der CContract Stub unterm 11.ten Febr. 1697 umständlich beschrieben seind

Jean Georges Fritsch loue la maison dite à l’Ange à Agnès Kopp

1705 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 611-v
Joh: Georg Fritsch weinhändler
in gegensein S.T. Hn Daniel Andres König banquiers u. XV.ners alß vogts frn. Agnes koppin geb. (-)
entlehnt, ahn seinem hauß allhier beÿ St marx d. häußlein zuem Engel genant auf deß verleihers Hoff stoßend gelegen, nichts darvon außgenommen, auf 9 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1705 – um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund

Jean Georges Fritsch hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Marc Mappus

1709 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 507
Joh: Georg Fritsch weinhändler
H. Marcus Mappus Med: Dris und Practici 500 pf
unterpfand, seine Häußer u. Garten daran c. appert: allhier im finckweiler, einseit aufs allmend anderseit neben dem heffenbachischen Garten hinten auf den Schäffoltzheimer hoff

Jean Georges Fritsch meurt en 1714 en délaissant deux enfants issus de ses deux premiers mariages. Le billet d’estimation établit en 1707 estime la cour Lumbard à 1 650 livres, celui établi en 1714 à 1 825 livres.

1714 (5.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 1) n° 85
Inventarium über Weÿland H. Johann Georg Fritschen geweßenen Weinhändlers und Burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1714.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Gütter, Ligender und vahrender nichts davon außgenommen, so weÿland Hn Johann Georg Fritsch, geweßener Weinhändler und Burger alhier nach seinem den 24. Xbris des nechstabgelegten 1713.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Wie Solche auf freund fleißiges ansuchen erfordern und begehren H. Georg Fritschen des Metzigers und burgers alhier vor sich selbst so dan frauen Annæ Salomeæ gebohrner Fritschin H Johannes Röschen des Rothgerbers und Lederbereiters auch burgers alhier gel. Ehegattin mit beÿstand deßelben, welche beÿde der Verstorbene herr seel. in erster und 2.ter Ehe ehelich erzielte und per Testamentum Zu Kinder und Erben Verlaßen heut dato ordnungsmäßig inventirt – So beschehen in dießer Königlichen freÿen Statt Straßburg den 5. Januarÿ Anni 1714.
Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiller gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig und deßwegen hernach fol: (-) beschriebenen behaußung und sonsten befund.
Schreinwerckh. Auff dem Casten, Im obern Stübel, Im obern Sahl, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Magd oder Nebens Cämmerl. Im Hausöhren, In der Understen stub, Im undern Saal, In der Cammer darneben, In der officier Knechts Kammer (…)
Sa. hausraths 178, Taback 7, Vaß und Wein 622, Guldene Ring 3, Baarschafft 144, Schulden 3263, Eÿgenthum ane Häußern 2200
Passiv Schulden 1645, Nach deren defalcirung bleibt noch übrig 1617
Stall Summ 2692 lb
Eÿgenthum ane Häußern und Gartten. Eine behaußung, etwann der Lumpartisch hoff genant, ferner die Alte elende herberg, und alle andere daran und darbeÿ gelegen, und darzu gehörige Häußer, sambt dero höffen, hoffstätten, Garthen, Gebäuen, begriffen und Zugehörden, wie solches alles ringsumb mit einer Maur beschloßen und gelegen im finckweiller, under den fischern, ohnweit dem alten Bladerhauß, oder neüen Schaffneÿ St. Marx, so i. seit ein Eckh ane der Viehegaß, hinter den Mauren, gegen gedachter St: Marx Pfistereÿ hinüber, 2.s ist Vornen auch in Eckh, weitershin aber neben einem Garten etwann denen Sebitziusischen Erben gehörig, hinten auff den freÿherrlich Elsenheimischen Hoff und Garten oder Schäffoltzheimer hoff genant, so allerdings freÿ ledig und eÿgen Zumahlen die behaußung Von denen geschwornen Hh. Werckmeistern Crafft dero Abschatzung vom 4. Januarÿ 1714. umb 1825. lb d. der Garten aber durch Hn Abraham Heÿdeln den Schätzer Vermög deßen Abschatzung v. 5.ten Januarÿ gemelten Jahres gewürdiget umb 375. lb d machen beede außwürff Zusammen 2200 lb. Darüber besagt ein Pergamentiner Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contractstub anhagendem Insigel Verwahrt und datirt den 11. Februarÿ Anno 1697. mit altem lit A. bezeichnet und dabeÿ gelaßen
[annexé à l’inventaire n° 83] Abschatzung d. 5. Junÿ aô 1707. Auff begehen des Ehrhafften und bescheidenen herren hannß geörg Fritsch Weinhändler ist eine behausung allhier in der statt Straßburg im Finckweÿler beÿm bladter hauß gelegen, einseits neben Niclaus Strobier blumen gärdtner anderseits ein Eck gegen dem bladter hauß übern hinden auff dem Elsenheimiger hoff stosendt Welche behausung Zweÿ Nebens Mittel gebäw zweÿ höfflein, dreÿ brünnen stallung und Scheyr sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschworne Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor undt Um Dreÿ tausendt undt dreÿ hundert gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
[annexé à l’inventaire n° 83] Abschatzung den 4. Januarÿ anô 1714. Weilland des Ehrenhafften vnd bescheidenen H: hannß Görg Fritsch. Weinhändler hinderlaßene Seelig Erben ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg im Finckh Weÿler, beÿ dem bladter hauß gelegen, Ein seids Neben Nicolaus Strobier, blumen gärtner ander Seids Ein Eck, gegen dem blater hauß über, hinden auff dem Elsenheimeger hoff Stosendt, Welche behaußung Zweÿ Nebens vnd Mittel gebeÿ, Zweÿ höfflein, dreÿ brunen, stallung vnd scheüren, sambt aller Ihrer Recht vnd gerechtigkeÿt, wie solichs durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleüth sich in der besichtigung befundten, vnd dem Jetzigem preiß nach angeschlagen Wirdt, Vor undt Umb Dreÿ tausendt undt Sechs hundtert Fünffzig gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs

Fils de l’aubergiste Jean Fritsch et de Marguerite Mornhinweg, le marchand de vins Jean Georges Fritsch meurt à l’âge de 67 ans. Son fils Jean Georges et son gendre Jean Rœsch sont témoins de l’acte.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1712-1741, f° 18 n° 110)
Anno 1713. den 24. decembr. Nachts Zwischen 10. und 11 Uhren ist gestorben Johann Geörg Fritsch der burger und weinhändler alhie seines alters 67 Jahr 3 Monath deßen Eltern waren Johannes Fritsch der burger und würth Zum tieffen Keller alhie und seine Ehefr. Margaretha geb. Mornhinweg, ist darauf den 27. ejusd. auf dem Gottes Acker S. Galli begraben und von mir M Philipp Strohl ein leich Sermon gehalten worden [unterzeichnet] hanß georg fritsch als sohn, Johann Rösch Als tochterman (i 20)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la légataire non bourgeoise doit régler le droit de détraction. Le défunt payait ses contributions sur un pied de 3 400 florins, l’inventaire établit une fortune de 3 100 florins
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 79
(Gerber, F. N° 1259) Weÿl. Fr. Mariæ Felicitas gebohrne Bühttingerin, auch Weÿl. Hn Geörg Sigmund Fettich geweßten J.V.C. und burgers alhier Hinderlaßener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Reinhard Lang.
Concl. fin. Inv. ist fol. 75.b, 1557. lb 17 ß 2. d, die machen 3100 fl., dieselbe verstallte Hingegen 3400 fl.
Extat kein Stallgeltt
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 17 ß 6 d – Summa 1. lb 18 ß 10 ß
Abzug. Anna Catharina Claußin von Schopfheim aus der Marggraffschafft Durlach gebürtig die dienstmagd soll von anverschafftem legat so 21. lb 6 ß auswirfft den Abzug erlegen mit 2. lb
(rub.) Vermög Erkantnus gnäd. Herrn der Fünff Zehen vom 2.° Jan. 1714. ist vorstehender Abzug in gnäd. nachgelaßen word.
dt. obige Summam der 1. lb. 18. ß 10. d sambt 10. lb 4 ß Stallgeltt pro 1714. et 1715. so seithero der abhandlung verfallen d. 28° Septembris 1715.

L’héritière Anne Salomé Fritsch se marie en 1699 avec le tanneur Jean Rœsch& : contrat de mariage, célébration
1699 (7.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 128
Eheberedung Zwischen H Johann Röschen Rothgerber und Lederbereiter burgern allhier als den Hochzeiter, beÿständlich Herrn Geörg Röschen auch Rothgerber vnd Lederbereiters Burgers Zue Straßburg des hochzeiters Vattern v. H Andreæ Dietzen weißgerbers v burgers Zu Barr deßelben vogts ane einem
So dann Jgfr. Annæ Salome, Herrn Johann Geörg Fritschen Weinhändlers und burgers allhier mit Weÿl. Frawen Annæ gebohrner Wolffin seiner haußfrawen seel. ehelich erzeugten dochter, ams der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand erstgedachts Ihres H. Vatters und Herrn Matthæi Lambrechts au Weinhändlers vnd burgers ammhier deroselben geschwornen Vogts andern theils
Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Sambstags den 7. febr. Anno 1699 [unterzeichnet] Johannes Rösch Als Hochzeiter be Kene Wie on stehet, anna Salome fritschin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 70-v n° 381)
Heüt den 4. Martÿ 1699. sindt auff geschehene ordentliche proclamation Copulirt worden Johannes Rösch der ledige Rothgerber undt lederbereiter H Geörg Röschen burgers undt Rothgerbers allhier ehelich. Sohn, undt Jfr. Anna Salome Fritschin, H Johann Geörg Fritschen burgers und Weinhändlers alhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Rösch als hochzeiter, anna Salomea als hochzeiterin (i 73)

Jean Rœsch et Anne Salomé Fritsch hypothèquent la maison au profit de l’étudiant en droit Albert Mappus

1716 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 645
Johann Rösch rothgerber und Anna Salome geb. Fritschin beÿständlich Joh. Georg Fritsch metzgers und Abraham Schott weißgerbers
in gegensein H. Albertus Mappus Jurium Candidati – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, ihr hauß höfflein hoffstatt nebens häußer zum großen hoff gehörig mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten im Finckweiler auch der Garten daran, einseit neben Straub dem Kunstgärtner anderseit neben dem Schäfoltzh: hoff hinten auf ihn Straub vornen aufs allmend

Le tanneur Jean Rœsch meurt en 1718 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Dentelles. La maison appelée cour Lumbart puis auberge des Pauvres passants comprend un bâtiment avant dit à l’Ange (Zum Engel) et une petite maison dite au Four (Zum Bachoffen), le tout entouré d’un mur ; elle est estimée à 1 475 livres et le jardin à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 1 501 livres, celle propre aux héritiers de 3 974 livres. L’actif de la communauté s’élève à 846 livres, le passif à 3 410 livres.

1718 (24.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1425
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte herr Johannes Rösch geweßene Rothgerber, Lederbereiter und burger allhier zu Straßburg nun mehr seel. nach seinem den 19. Martÿ innstehenden 1718.ten Jahrs aus dießer welt genommenen Tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Großen Weißbecken und burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Mariä Salome, Johann Friderichs, Annä Mariæ, Susannæ Mariæ und Johannis der Röschen, aller fünff des abgeleibten seel. mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Fraw Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben fleißig inventirt und ersucht durch die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Annam Salome gebohrne Fritschin die hinderbliebene Wittib beÿständlich des Ehren und Vorgeachten Herrn Andreas Keller Pfisters Zu St. Marx u&é auch burgers allhie Ihres geordneten Curatoris (…) So beschehen allhier in Königl. St. Str. Dienstags den 24. Maÿ Anno 1718.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane der Spitzengaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der öbersten bühn, In der Cammer A, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, Vor dießen Gemachen, In der Wohnstub, In Christian Schotten Wohnstuben, In dem Haußöhren, In der officier Stub, In der Soldaten Küchen, In der Wohn Küchen, Im Keller – Im Hauß im Finckweiler
Ergäntzung der fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens, Innhalt Inventarÿ über deroselben in den Ehestand zu dem Verstorbenen seel. gebrachte Nahrung in A° 1699. durch H Notarium Johann Friderich Redwitz expedirt
Wÿdumbs Verfangenschafft Fraw (-) gebohrne (-) weÿland herrn Friderich Wolff geweßenen Weinhändler und alten heimburgers auch Kirchenpflegers Zu Barr hinderbliebene Wittib und dießoths großmutter
Wÿdumbs Verfangenschafft Geörg Reichenbach der Schwartz und Schönfärber burger Zu Barr geneußt von weÿl. Frawen Margaretha gebohrner Röschin seiner erstern haußfrauwen der abgeleibten schwester seel.
Eÿgenthumb ane Häußern und Lohe Mühl. (W.) Eine behaußung, etwann der Lumpartisch hoff genannt, ferner die alte elende herrberg sampt dem daran gelegen und darzu gehörigen Vorderhauß Zum Engel genannt, und dem Zum Bachoffen genannten häußlein mit dero höffen, hoffstätten, garthen, gebäwen, begriffen und Zugehörden, wie solches alles rings herumb mit einer Maur beschloßen und gelegen im finckweiller, under den fischern, ohnweit dem alten Bladerhauß, oder neüen Schaffneÿ St. Marx, so einseit ein eck ane der Viehegaß, hinter den Mauren, gegen gedachten St: Marx Pfistereÿ hinüber, anderseit ist Vornen auch in eck weitershin aber /:theils neben einer weÿl. georg Fritschen geweßenen Metzger v. burgers allhier der Wittib bruders seel. Kindern Zuständigen behausung so wor Zeiten auch zu dießem hoff gehörig war, theils:/ neben einem Garten etwann denen Sebitziusischen Erben gehörig hinden auff den freÿ herrlich Elsenheimischen Hoff und Garthen oder Schäffoltzheimer hoff genannt, so allerdings freÿ ledig und eÿgen+ Zumahlen die behaußung Von denen allhießig geschwohrnen Werckmeistern crafft dero abschatzung vom 21 Maÿ 1718 umb 1475. lb d. der garthen aber durch Hn Abraham Heÿdel E. E.Großen Raths allhier alten beÿsitzern und geordneten Schätzer beÿ E E Zunfft der Garttner Underwagner gewürdiget Vor 325. lb d. Machen alßo beede außwürff Zusammen 1800 lb. Darüber /:und über Vorberührte Zu dießem hoff gehörig geweßene behaußung:/ besagt ein pergamentiner Kbr. mit der St. Str. anhangenden Innsiegel Verwahrt, datirt den 11. Febr : A° 1697.
(E.) It. Hauß und hoffstatt in der Spitzengaß (…)
(T.) It. Zwen neuntetheil für unvertheilt an einer Lohmühlen von Zween gängen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ Der Fraw Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 100, Sa. Leeren vaß 110, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 76, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 1800, Sa. eÿgenthümblich Liegender Güther 279, Sa. Schuld 75, Summa summarum 2444 lb – Schulden 942, Nach deren Abzug 1501
Der Erben unverändert Guth belangend, Sa. haußraths 84, Sa.Leerer Vaß 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 625, Sa. eÿgenthümblich Liegender Güther 552, Sa. Eÿgenthumbs ane einem hauß 475, Sa. Ergäntzungs rests 2600, Summa summarum 4349 lb – Schulden 375, Verbleiben 3974 lb
Das Theilbahre Guth betreffend, Sa. haußraths 103, Sa. Werckzeugs Zum Rothgerber handwerck gehörig 7, Sa. Wein und Leerer Vaß 317, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. goldenen Ring 2, Sa. Eigenthums ane einer Lohmühl 147, Schulden 248, Summa summarum 846 lb – Schulden 3410 lb die Theilbare Passivva übertreffen das Theilbar Guth 2563 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2887 lb – Verlohrene Schulden der Fraw Wittib unverändert 7, Zweiffelhaffte und Verlohrene Pfenningzinß hauptgütere 94 lb, Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in der Erben unverändert Nahrung 53 lb
Abschatzung d. 21.ten Mäÿ Anno 1718. Weÿlandt, deß Ehrenhafften, vnd bescheÿten H: Johannes Rösch Rothgerber, Seel hinder laßene Frau Wittib vndt Erben ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg in dem Finckhwiller gelegen, Ein seÿth Neben dem Schaffelser hoff, Ander seith Neben H: Strobier garten hinden Auff Vor gedachten Strobier stoßend Welche behaußung, hoffstatt, Zweÿ Nebens gebeÿ, Einen sall, Mehr, Ein Neben gebeÿ dreÿ gebälckte Keller Stall, hinden im garten Zweÿ Nebens häußlein schopf vnd Ein Sumer haüßel, hoff vnd Zweÿ brünen Sampt Aller Ihrer gerechtigkeit, wie solches durch der Statt geschwornen werckhleüthen in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach Angeschlagen Wirt Vor und umb Zweÿ tausent Nein Hundert vnd Fünfftzüg Gulten
der Ander begriff Ist Auch Alhier in der Statt Straßburg inn der spitzen gaßen (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren werckh Leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters

Anne Salomé Fritsch veuve de Jean Rœsch hypothèque la maison au profit de Jean Bechtold, receveur des fondations de la Chartreuse et de Saint-Nicolas-aux-Ondes

1720 (30.11.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 549-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Johann Röschen gewesten Rothgerbers wittib mit beÿstand dero gewesten Vogts andres Kellers Pfisters zu St Marx
in gegensein Hn Johann Bechtolds der Stifftungen Carthauß und St Nicolai in Undis allhier Schaffners – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, der Fr: debitricis eigenthümliche behausung und gartten sambt allen dero gebäuden, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in dem Finckweiler, einseit neben dem Straubischen garthen anderseit neben dem allmend hinten auff den so genannten Schäffoltzheimer: hoff garthen

Anne Salomé Fritsch se remarie en novembre 1720 avec le boucher Laurent Rhein, de Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1720 (5.11.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1001
Eheberedung Zwischen Herrn Lorentz Rheinen, Metzgern und burgern Zu Schiltigheim als dem bräutigamb, beÿständlich herrn hanß Georg Rheinen burgern und Würth Zum Schlößlein Zu Schiltigheim und H. Christian Schotten, Rothgerbern und Burgern allhier Zu Straßburg an einem
So dann Frauen Anna Salome Röschin gebohrner Fritschin, weÿl. H Joh: Röschen geweßenen Rothgerbers und Burgers allhier Zu Straßb. seel. hinterbliebene Wittib als der Fr. Hochzeiterin mit assistentz H Andreæ Kellers, Pfisters Zu Marx deroselben geschwornen Curatoris und H Johann Großen, Weißbecken der Fr. Hochzeiterin in erster Ehe erzeugtuer Kinder Vögten, beeder burgere zu gedachtem Straßburg andern theils
Actum Straßburg Dienstags den 5. Novembr. A° 1720. [unterzeichnet] Lorentz Rhein als hochzeiter, anna Salomea röschin gebohrne fritschin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 172-v n° 989)
Anno 1720. den 4. Novembr. seind nach geschehene ordentliche ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden, Lorentz Rein, der burger und Metzger Zu Schiltigheim und Fr. Anna Salome weil. Johannes Rösch, deß gewesenen burgers und Gerbers alhie, nachgelaßene wittib gebohrne fritschin [unterzeichnet] Lorentz Rhein als Hochzeiter, anna Salomea röschin als hochzeiderin (i 176)

Laurent Rhein et Salomé Fritsch louent le jardin à l’horticulteur Abraham Esdras

1722 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 690
Lorentz Rhein der Metzger zu Schiltigheim und burger daselbst und Salome geb. Fritschin
in gegensein Abraham Esdras des Blumergärttners
Ihr der mitverlehnerin eigenthümlichen allhier im Finckweiler ahn ihrer Behausung einseit neben dem Struvischen anderseit neben dem Schäffholtzheimer gartten gelegenen gartten mit deßen zu bodengewächßen, bäumen, blumen, zwiblen, espaliers und über darinn befindlichen gewächßen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 pfund

Laurent Rhein et Anne Salomé Fritsch louent une partie de la maison à Anne Barbe Schumann veuve de Jean Kieffer

1727 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 464
Fr. Anna Salome geb. Fritschin Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim
in gegensein Fr. Annæ Barbaræ geb. Schuemännin weÿl. Joh: Jung kieffers wittib mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Georg Bürckel des kieffers
In ihrer allhier im Finckweiler einseit neben weÿl. hannß Georg Fristch gewesten metzgers Erben anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ des Stiffts St Marx über gelegenen behausung Einen auff der lincken handt des eingangs gedachtes hauß befindlichen gewölbten Keller sambt 6 Faßen, deren jedes 100 ohmen haltet, wie auch dazu gelegenen Liegerlingen – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von auff Michaelis fürwährenden Jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Laurent Rhein et Anne Salomé Fritsch hypothèquent la maison au profit de Catherine Merckel, veuve du marchand épicier Abraham Büchel

1727 (22.12.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 657
Lorentz Rhein Metzger und burger zu Schiltigheim und Anna Salome geb. Fristchin beÿständlich ihres tochtermanns hannß Jacob von Zabern Schreiners und ihres vettern Christian Schott Rothgerbers
in gegensein Fr. Catharinæ geb. Merckelin weÿl. H. Abraham Büchel Specierers wittib beÿständlich ihres Curatoris S.T. H. Johann Frantz Oeßsinger Jcti. und EE. kleinen Raths referendarÿ – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler gegen dem Stifft zu St Marx über, einseit neben weÿl. Georg Fritschen Erben anderseit ist ein eck ahm allmend hinten auff den Schäffolßheimer hoff – ihro Rheinin eigenthümlich zuständig

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Elisabeth Bechtold

1730 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 367-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein metzgers zu Schiltigheim hinterl. hier verburgerte wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Daniel grießbach des Rothgerbers und Lederbereithers
in gegensein H. Johannes Silberrad Beÿsitzers und Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung als curatoris Jfr. Mariæ Elisabethæ Bechtoldin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: Mittel: und hindergebäu hoff gartten Scheur und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit neben dem Struvischen gartten Nicolaus Struve dem Doctor: gärtter gehörig, anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über hinten auff den sogenannten Schäffoltzheimer hoff

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein loue une partie de la maison au tonnelier Jean Conrad Kieffer

1730 (28.8.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 386
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein metzgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich ihres Vogts H. Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereithers
in gegensein Johann Conrad Kieffer des kieffers
In ihrer eigenthümlichen im Finckweiler einseit neben dem Struvischen gartten Nicolaus Struve dem Doctor: gärtter gehörig, anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über, hinten auff den sogenannten Schäffoltzheimer hoff gelegenen Behausung unter der von Titotischen Fr: wittib besitzenden und entlehnten wohnung lincker handt, einen gewölbten Keller sambt 6 ohngefähr 600 ohmen haltenden Faßen und dero liegerlingen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkommend Michaelis fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Jean Spielmann, receveur de Saint-Marc

1731 (1.6.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 241
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers und burgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich Johann Daniel Grießbach Rothgerbers und Curatoris
in gegensein H. Johannes Spielmann Schaffners zu St Marx – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß Scheur Stallung hoff gartten weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit ist ein eck ahm Allmend gegen des Stiffts zu St Marx Pfistereÿ über anderseit neben theils ihres bruders weÿl. hannß Georg Fritsch gewesten Metzgers erben theils Struve dem Doctor: gärttner hinten auff S.T. H Præsident von Klinglin

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit des enfants mineurs du boucher Abraham Kamm

1731 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 101-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene Wittib beÿständlich ihres Curatoris Daniel Grießbach Rothgerbers und Lederbereiters
in gegensein Gerhard Zentler des Metzgers als vogts weÿl. Abraham Kamm gewesten Metzgers hinterlassenen 5 Kinder Abraham, Friedrich, Susanna, Cleophea und Salome der Kammen – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß Scheur Stallung hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit ist ein eck ahm Allmend gegen dem Allmoßen zu St Marx über, anderseit neben weÿl. Johann Georg Fritsch gewesten Metzgers, der Schuldenerin bruders seel. Erben hinten auff S.T. H. Præsidenten von Klinglin
wobeÿ ferner erschienen der debitricis tochtermann hannß Jacob von Zabern Schreiner, verbürgt unterpfand, Einen dritten theil für ohnvertheilt ane einer behausung und hoffstatt cum appertinentis einseit ist ein eck ahm Steingäßel anderseit neben Emanuel Brantz dem versilbert Knopff und Pferdzeugmacher hinten auff H. Not. Adam Clauß dem haagschreiber – ihme zu einem, seinen beeden geschwisterden aber zu denen übrigen zween dritten theilen

Anne Salomé Fritsch ratifie le legs d’une des maisons (celle à l’est) que son père a fait à son fils Jean Georges Fritsch

1733 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 213-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Johann Rösch Rothgerbers allhier und nachgehends weÿl. Lorentz Rhein Metzgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich ihres Curatoris Johann Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereiters, Ferner dero in erster ehe mit obged. Röschen erzeugte annoch lebende Kinder Maria Salome geb. Röschin Johann Jacob von Zabern des Schreiners Ehefrau, Johann Friedrich Rösch der Rothgerber, Susanna Maria geb. Röschin Johannes Borst des küblers eheweib, weither weÿl. Anna Maria geb. Röschin Johann Adolph Rhein des Metzgers zu Schiltigheim Ehefrauen hinterlassenen einigen Kinds Johann Adolph Rhein geschworner vogt Michael Fleischmann auch Metzgers allda, so dann Johannes Groß der Weißbeck als vogt Johannes Rösch des Rothgerbers Lehrjungen, weither ihr Rheinische wittib in letzter ehe erzeugten einigen Kind Maria Magdalena Rheinin geordneter vogt Johann Michael Rhein adlerwürths zu Schiltigheim alle dieße an einem
und weÿl. Johann Georg Fritsch gewesten Metzger hinterlassenen Kinder Maria Dorothea geb. Fritschin Friedrich Kreuchel des Kieffers Ehegattin beÿständlich ihres hauswürths und hannß Peter Scheppler des Schneiders und erstgedachter Kreuchel als gewalthaber Johann Georg Fritsch des ledigen sich zu Collmar auffhaltenden Blumengärttners am andern theil
demnach ihr Rheinische wittib und dero bruders weÿl. Johann Georg Fristchen vatter seel. weÿl. Johann Georg Fritsch der weinhändler allhier in seinem vor weÿl. Johann Friedrich Redwitz Notario am 18. Aprilis 1710 auffgerichteten Testamento Nuncupativo §° 4° bemeltem einem Sohn Johann Georg Fritsch das Undere hauß im Finckweiler beÿ dem Stifft St Marx einseit neben Nicolaus Struve den Doctor: gärttner anderseit neben der Reinischen wittib hauß hinten auff eben denselben und gedachten Struven gartten stoßend gelegen, samt 6 mit eißen gebundenen Wein Faßen (…) umb 1000 gulden jedoch mit dem anhang prælegirt, daß ihme verbotten sein und er nicht macht haben solle obbenambstes hauß zu verkauffen oder zu versetzen, sondern solches auff seine Kinder und Kindes Kinder immerfort in mangel aber oder auff absterben des letztern Fritschen wieder zurück auff obbenamste Fr. Salome Röschin oder dero Kinder und linie kommen und erwachßen solle
verglichen daß sie Reinische wittib und dero Kinder wie auch enckel (…) verzug thun, mithin mehrerwehnte behausung und capital denen Fritschischen Kindern und dero erben als ein völliges ohnverfangene so* eigenthümlich entschlagen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Jacqueline Bæhr, veuve du secrétaire Geoffroi Samuel Werner

1733 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 248
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Daniel Grießbach des Rothgebers, Ferner dero einer Sohn erster ehe Johann Friedrich Rösch des Rothgerbers
in gegensein Fr. Mariæ Jacobæ geb. Bährin weÿl. Gottfried Samuel Wörner des haagschreibers hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Rudolph Schranckenmüller des vormaligen weißbecken – schuldig seÿen 300 pfund wovon die mutter 200 und der sohn 100 pfund
unterpfand, eine Behausung bestehend in Vorder hinder: und Nebens gebäuden hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben zugehörden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit neben weÿl. Johann Georg Fristch Metzgers erben anderseit ist ein eck am allmend gegen der Pfistereÿ des stiffts zu St Marx hinten theils auff H. von Bürckwaldt theils auff Nicolaus Struve des Doctor: garttners gartten
Einen fünfften ohnvertheilt antheil ahne Einer Behausung und hoffstatt mit zugehörden und rechten ahne der Spitzengaß, einseit neben weÿl. Johann Jacob Hornus Rothgerbers erben anderseit neben Gottlob Nödtel dem haffner hinten auff den Gerbergraben – ihme zu einem und seinen geschwisterden zu vier 5.te theilen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein loue une cave au brasseur Jean Daniel Euler. Le bail est reconduit par Jean Certain en 1737

1734 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 20
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib beÿständlich Johann Daniel Grießbach des Rothgerbers ihres Curatoris
in gegensein Johann Daniel Euler des Bierbrauers
In ihr der verlehnerin eigenthümlich im Finckweiler einseit neben Nicolaus Struve dem Doctor: gärttner anderseit am Allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über gelegene behausung Einen gewölbten lincker hand des eingangs befindlichen hindersten Keller sambt 6 Faßen ; anfangend am heutigen tag, um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund
[in margine :] Jean Certain Marchand Confiseur als dermaliger proprietarius der beschriebenen Behausung, Johann Daniel Euler auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstbevorstehenen Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund, den 9. sept. 1737

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit du consul régent Jean Frédéric Œsinger

1734 (31.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 201
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib beÿständlich ihres Curatoris Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereiters und dero eine Sohn erster ehe Johann Friedrich Rösch der Rothgerber
in gegensein S.T. H. Johann Friedrich Oesinger Jcti. und regierenden H. Ammeisters – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, die Rheinische wittib, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinder haus, Scheur, Stallung, hoff, Gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten im Finckweiler einseit ist ein eck am Allmend gegen dem Stifft zu St Marx über anderseit neben weÿl. Johann Georg Fritsch metzgers der Rheinischen wittib bruders seel. erben hinten auff. H. Præsidenten von Klinglin
Er Rosch aber Einen 5.ten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt cum appertinentis ahne de Spitzengaß, einseit neben weÿl. Johann Jacob Hornus des Rothgerbers Erben anderseit neben Gottlob Nödtel dem hafner hinten auff dem Gerbergraben
Item einen 5.ten von Zweÿ 9° theilen ahne einer Lohmühl vor dem weißenthurn beÿ St. Arbogast beÿ der grießbachischen walckmühl gelegen — die übrige hausantheilen aber seinen geschwisterden, die andre lohmühl theiler auch theils eben derselben theils Samuel Hetzel und Consorten zuständig
wobeÿ auch ferner erschienen ged. Rheinische tochter und tochtermann Maria Salome geb. Röschin Johann Jacob von Zabern des schreiners ehefrau mit beÿstand ihres bruders Johann Friedrich Rösch und ihres stiefbruders schwagers Johann Adolph Rhein des Metzger zu Schiltigheim (bürgschafft)
Er von Zabern Einen dritten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt sambt zugehörden ahne St Stephans Plan einseit neben ein eck am Steingäßel anderseit neben Emanuel Brantz versilbert Knopff und Pferdzeugmacher hinten auff H. Not. Adam Clauß den haag schreiber, seine beeden geschwisterden zu zwo tertzen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Elisabeth Bechtold

1735 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 27-v
Fr. Anna Salome geb. Fristchin weÿl. Lorentz Rhein des ältern Metzgers und burgers zu Schiltigheim hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres curatoris Daniel Grießbach Rothegrbers und lederbereiters
in gegensein H. Joseph Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung und dreÿers hiesigen Pfenningthurns als vogts Mariæ Elisabethæ Bechtoldin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff, gartten und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler gegen dem Stifft zu St Marx über einseit neben hannß Georg Fritsch dem Blumengärtthner und Friedrich Greichel dem Kieffer ehevögtl. weiß anderseit ist ein eck am Allmend hinten auff den Schäffelsheimer hoff

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein vend au marchand confiseur (confiturier) Jean Certain la maison comprenant deux bâtiments avant, un grand bâtiment arrière, un jardin et des bâtiments accessoires

1736 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 42
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim hinterlassenen hier verburgte wittib mit beÿstand ihres curatoris Daniel Grießbach Rothgerbers und Lederbereiters
in gegensein Jean Certain des Confiturier und Anna Maria geb. Cladÿn
Eine Behausung bestehend in zweÿen vorder häußern, einen großen hindergebäu, hoff, zween brunnen und gartten mit deren hoffstätten, scheur, stallung und allen übrigen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten etwann der Lumpartshoff vor zeithen aber zum Teutschen herrn genannt allhier im Finckweiler under den Fischern ohnweit dem alten Blatterhauß oder der neuen schaffneÿ zu St Marx, einseit ist ein eck ahne der Viehgaß, hinder der Mauren gegen ged. Stifft St Marx Pfistereÿ über anderseit neben Johann Georg Fritsch dem Blumengärttner zu Collmar und deßen schwester Maria Dorothea geb. Fr. Friedrich Kreuchel dem kieffer ehefrauen zum theil theils Sebitziußischen modo Nicolaus Struvé dem Doctor gärttner zuständigen hauß und gartten hinten auff S.T. H. Christoph von Klinglin zweÿtem Præsidenten des hohen Raths zu Colmar zugehörigen freÿherrlich Elsenheimischen hoff und gartten der Schäffoltzheimer hoff genannt – als ein von ihrem verstorbenen vatter weÿl. Hannß Georg Fritsch dem weinhändler krafft deßen vor weÿl. H. Not. Redwitz am 18. apr. 1710 auffgerichteten Testamenti Nuncupativi § drittens erhaltenes prælegat. Ist alßo der verkauff und kauff vorsbeschriebener häußer davon das große der Lumpartshoff, das zweÿte gegen St Marx über zum Bachoffen und das dritte zum Engel genannt, des garttens und übrigen zugehörden, mit auch 6 ohngefähr 600 ohmen haltender Faß und deren Liegerling, kuppfernen bauchkeßels – um 3150 pfund

Fils de Pierre Certain demeurant à Huningue, Jean Certain entre en apprentissage chez le marchand épicier Georges Frédéric Mappus
1697 (10.1.), Not. Contz (6 E 41, 30)
(Breuet d’apprentissage) fut present En personne Le S. Georges Frederic Mapus Bourgeois et Marchand Epicier icy aud. Strasbourg, Lequel a reconnu et Confessé
auoir pris En apprentissage Chez luy dans sa maison Jean Certain fils du Sr Pierre Certain demeurant à huningen pour quatre années Cosecutifes, finies et accomplies à Commencer du deux° octobre dernier de L’année passée et à finir au meme jour à La fin du present siecle, quand on comptera 1700 (…) pour le prix d’apprentissage la somme de 300 livres et 30 livres pour Damlle Mappus En Consideration du Blanchissage

Jean Certain entre au service du marchand confiseur Paul Tribert
1708 (11.1.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 16)
Obligé – xi janvier – est comparu deuant moy No° Royal, Jean Certain Jeune garçon Confiseur de profession, Lequel s’est obligé
envers le Sr paul tribert marchand confiseur Bourgeois e Lad. ville present et acceptant de Le seruir bien et fidellemt. pendant un an qui a Commencé au premier du mois de Januier et qui finira a pareille Jour de l’année prochaine en qualité de garçon de Boutique

Fils du bourguemestre Pierre Certain de Huningue, Jean Certain achète le droit de bourgeoisie le 26 mai 1716 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1716, 4° Livre de bourgeoisie p. 822
Jean Certain der Zuckerbeck Von Huningen, Weÿl. Pierre Certain gew: burgermeisters daselbst h. Sohn emp: das burgerrecht gratis, Wird beÿ E E Zunfft Zum Spiegel dienen, Jur: d. 26. Dito [Maÿ] 1716.

Fils du greffier de Huningue Pierre Certain, Jean Certain épouse en 1719 Anne Marie Cladi, fille du graveur Henri Cladi : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest vnd Vorgeachten Herrn Jean Certain Marchand Confiturier und burger allhier Zu Straßburg Weÿland S. T. Herr Pierre Certain burger Martin und Statt schreibers zu Hüningen seligen hinderlaßenem ehelichem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ Cladi, weÿland S. T. Herrn Heinrich Cladi, gewesenen Kupfferdruckers und burgers allhier seeligen hinterbliebener ehelich erziehlter Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin, am andern theil (…) in herrn Gottfried heüpels des Handelsmanns behaußung und deren obersten Eckstuben mit den fenstern auff den Münsterplatz sehend, auff Montag den 5. Junÿ im Jahr als man nach Christi unsers einigen Erlößers heÿlandt und Seeligmachers gnaden und trostreichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1719 (…) expedirt auff Montag den 31. Januarÿ Anno 1729. Johann Daniel Lang Notarius publicus

Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 39-v)
Hodie 26. Mensis Junÿ Anni 1719. (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Certain ab Hiningen oriundus Confiseur suæ p.fessionis ac Civis Huiatis. Et Anna Maria Cladin Argentinensis Defuncti Joannis Heinrici Cladi Civis Huiatis filia legitima (signé) Jean Certain, Anna Maria cladin (i 40)

Jean Certain loue le jardin au jardinier Jean David Klugshertz

1737 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 91
H. Jean Certain der Confisseur
in gegensein Johann David Klugshertz des garttenmanns
entlehnt, in einer dem verlehner eigenthümlich zuständig im Finckweiler einseit ist ein eck am Allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über anderseit zum theil neben Friedrich Kreichel dem kieffer theils neben dem Sebitziußischen Nicolaus Struwe dem Doctor: gärttlner gehörigen gartten hinten auff den Schäffolsheimer S.T. H. Præsident von Klinglin in der H. von Bürckenwald zuständigen hoff gelegenen behausung, In dem hoff eine stiege hoch Eine Stub, Stubkammer und haußöhren über der stueb die Bühn soweith sich selbige erstrecktet, einen unterschlagenen Keller über der Officiers stueb, eine unterschlagene kleine bühn, ferner einen schweinstall mit einer steinernen kripff die grueb mitten im hoff um beßerung dahin zu legen, den gantzen unter dem steinernen hauß gelegenen Saal umb gewächß dahin zu stellen, den halben undern theil der scheur jedoch daß zu der zeith da der entlehner seine früchten dreschen laßen wieder sich des gantzen underen theils der scheur bedienen möge, so dann den ganzen gartten sambt darin stehende 105 stücken ahne Roßen und Johannes trauben hencken, 42 espaliers von Möllen Pfiersing: äpffeln und Bieren, 52 stücken allerleÿ gattung hohen obstbäumen und einer von der scheur an biß an den Birckenwaldi gartten sich erstreckenden Reebhäldt – auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend von jüngst verfloßnene weÿhnachten um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund
[in fine] die thenn in der Scheur muß beÿ der lehnung durch den entlehner ohnbeschädigt abgetrenen werden (…)

Anne Marie Cladi meurt en 1740 en délaissant deux fils et une fille morte peu de temps après elle. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 9 793 livres, le passif à 2 049 livres.

1740 (18.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 51) n° 1670
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Certain gebohrner Cladiin Sieur Jean Certain, Marchand Confisseur und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauw nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1740. – nach ihrem Dienstags den 8.ten Xbris des zurückgelegten 1739.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen vnd ihr Verlaßenschafft auff gebührendes ansuchen erfordern undt begehren erstgedachten H Johann Certain des hinterbliebenen Wittibers, als welcher Jgfr. Franciscam Certain die nach derer abgeleibten seel: auch verstorbenene dochter in dießer ihrer Mutter Succession repræsentiret und dann H. Johann Baptista Zapffen des glaßers und burgers alhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Frantz Certain, des ledigen Zuckerbeckers dermahlen in der Frembde sich auffhaltend und H Joseph Certain Stud. Redoricæ beeder noch lebender herren Söhne und Von der Verstorbenen sel. Zu Zwen dritten haupttheilen ab intestato Verlaßener rechtmäsigen Erben Inventirt (…) So beschehen Straßburg Donnerstags den 18.ten Februarÿ Anno 1740.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstl. eine behaußung an St Martins platz oder dem sogenannten Garthners Marckt (…)
It. eine Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem hindergebäu, Hoff, bronnen und Garthen, mit deren hoffstätten Scheür Stallung und allen übrigen denselben gebäuden begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten, etwan der Lumpards Hoff Vor Zeithen aber zum teutschen herren genant, alhier im finckweiler ohnweith dem alten bladerhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, 1.seith ein eck an der Vieh gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx pfistereÿ über, j. s neben Maria Dorothea geb. Fritschin Abraham weÿhel des metzgers und b. allh. Ehefr. zum theil theils aber neben Niclauß Struve dem Doctor gärthner Zustendigen hauß und Garten, hinten auf den S. T. H. Christoph Von Klingling 2.ten Præsidenten des hohen Raths Zu Collmar zugehörigen freÿherrlich Elsenheimischen hoff und garthen der Schäffolßheimer Hoff genannt stosend gelegen, so gegen Miethvertrag freÿ leedig eigen und so viel die gebäu betrifft davon das große der Lumpards hoff das zweÿte gegen St. Marx über Zum bachoffen und das 3.te Zum Engel genannt wird, durch Vorenannte Hh. Experts laut erwehnter schrifftlichen abschatzung taxirt pro 1500 lb. das darab gelegene garthen aber so ungefähr 1 ¼ acker groß durch H. Theobald Von Fridolßheim GVW wie auch E. E. Großen raths alten beÿsitzer alß von seithen gnädigen Hh. den XV.en ernanten Schätzer taxirt pro 250. lb daß alßo in allem außzuwerffen 1750. Über solche behaußung gebäu und garthen meldet in teutscher perg. Kffbr. in allh. C.C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. 1736. mit Lit. F. Dabeÿ ferner i. dergl. perg. Kffbr. Vom 11. febr. 1697. mit altem Lit. A. und dermahligem Lit. G. bemerckt.
Eÿgenthumb ane einem Garthen Häußlein. Nembl. ein Garthen so ungefähr ein Acker grund in sich begreifft sambt einem wohnhauß Vornen gegen dem weeg wie auch einem Kleinen auff das waßer gehenden Sommerhäußlein
außerhalb hießiger Statt vor dem fischer thor und Vor dem sogenandten Fort Mutin (…)
Eÿgenthumb ane einem Land Guth in der Ruprechts au gelegen. Nembl. ein landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 597, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau gehörig 16, Sa. Pferd und rind Viehs 18, Sa. Waaren zum Zuckerbeckereÿ gehörig 715, Sa. Weins und faß 51, Sa. Silbers 39, Sa. goldener Ring 13, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 4250, Sa. Eigenthum ane einem garthen 150, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2875, Sa. Eigenthum ane einem Landguth 957, Sa. Schulden 110, Summa summarum 9793 lb – Schulden 2049 lb, Nach deren Abzug 7744 lb
Stallsumm 7047 lb
Copia der Eheberedung (…) expedirt auff Montag den 31. Januarÿ Anno 1729. Johann Daniel Lang Notarius publicus
Abschatzung dem 2: Januarÿ: 1740. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheidenen H: Johann Serting dem Zucker backer ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem fischmarck gelegen (…)
Der 2.t begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg hinder der Mücken gegen st: Marÿx über gelegen, Ein seitß an die frau Kreichelin, anderseitß ein Eck gegen der schafneÿ st: Marÿx hinden auff dem Pürckwaltischen hoff stoßend welche behausung, ein stuben Cammer Kuchen hauß Ehren Nebenß Cammer geträmbten Kellern, oben dar über ein stuben Cammer Kuchen und hauß Ehren dar über daß tach mit 2 besetzten bünen, daß seiten gebeü rechter handt worinen unden ein getrembter Keller, oben darüber ein stuben Cammer Kuchen haußöhren war über daß tach mit einer besetzten bienen, daß seiten gebeu Lincker handt so under einen gewölbten Kellern oben darüber der gantzen Stock Vor die ein loschirung war über daß tach welches alt und baufellig ist daß Neben gebaw worinnen ein stuben Cammer küchell und hauß Ehren worüber daß tach der hoff und bronen sambt aller gerechttig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und umb Dreÿ Tausent Gulten
Der 3.te begrieff (…)
bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und bau Meÿster, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 300 florins (1 150 livres) sur un total de 13 800 florins
1740, Livres de la Taille (VII 1178) f° 427-v
Spiegel F. N. 8082. – Weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Cladiin, H. Jean Certain Marchand Confisseur und burger alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Hoffmann
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 127.b 7744. 2. 6. Gehet ab wegen Zu 3 ½ pro Cento angelegter capitalien, nicht gnossenen activis und beÿtrags der Gemeind in Ruprechtsau 822. 14, restirt 6921. 13. 6., die machen 13.800 fl. Verstallte allein 11.500 fl, Zu wenig 2300. fl
Nachtrag Sechß Jahr in duplo à 6 lb 18 ß – 41 lb 8 ß
Und Vier Jahr in simplo à 3. ln 9 ß – 13 lb 16 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 3 ß
Abhandlung – 8 lb 2 ß 6 d, Summa 63 lb 9 ß 6 d
Von denen Herren dreÿen nachgelaßen 13 lb 16 ß, rest 49 lb 13 ß 6 d
dt. 21. Martÿ 1740.

Jean Certain loue une partie de la maison au sculpteur Jean Baptiste Joseph Visterini

1741 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 150-v
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein H. Jean Baptiste Joseph Visterini des bildhauers (signé) visterinÿ
Entlehnt, In einer in dem Finckweiler gelegen ihme dem verlehner zuständigen behausung folgende wohnung nemlich in dem hinderhauß, eine stub auf dem estern stock, Camin Cammer, zweÿ andere Kammeren samt einer Kuchen, buhn und keller – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nachstinstehende Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Jean Certain dépose son testament
1742, Not. Laquiante (6 E 41, 994)
Du 3 août 1742, Testament – fut present en personne le sieur Jean Certain Marchand Confiseur Bourgeois en Cette ville y demeurant sain d’esprit même Jugement et entendement, mesme de corps (…) a présenté et Exhibé le présent Cahier clos à Lacet bleu et muni de son cachet
Je soussigne Jean Certain marchand Confiseur Bourgeois de Strasbourg y demeurant au marché aux herbes
quatrièmement Je donne et prelegue à Joseph Certain mon fils cadet la somme de 2000 livres tournois (…)
cinquièmement Je nomme fais et institue pour mes successeurs et héritiers Jean François et Joseph mes deux fils d’entre feüe marie cladi ma femme et moi

Jean Certain loue une partie de sa maison à Jean Albert Ungerer

1744 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 68
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Johann Albrecht Ungerer
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen im Finckweiler einseit neben Nicolaus Meÿer dem brüher im schlaghauß, anderseit ist ein eck ane einem Allmend gäßlein gelegenen behausung, im eingang des hoffs rechter hand auff dem ersten stock eine kuche, stub und stubkammer und die darüber befindliche bühn, so dann im hinderhauß einen kleinen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff instehenden Annunciationis Mariæ um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden

Jean Certain se remarie avec Marie Rose Blondel, originaire de Dijon et sœur d’un prébendier de la cathédrale : contrat de mariage, célébration
1745 (25.2.), Not. Humbourg (6 E 41, 73)
Mariage – furent presens Le Sieur Jean Certain marchand Confiseur Bourgeois de cette ville, faisant stipulant et agissant pour lui et en son nom d’une part
Et dem.le Marie Rose Blondel fille majeure d’ans usante et jouissante de Ses droits de feu le Sr Pierre Blondel en son vivant marchand tapissier de la ville de Dijon et defunte damle Claudine Cenzé son Epouse demeurante aussi en cette ville, faisant stipulant et agissant pour elle et en son nom d’autre part
Fait lû et passé et interpreté en allemand audit Straßburg le 25° Fevrier 1745 En presence et de l’assistance de la part du futur époux des Sr Jean Baptiste Zapff son beau frère vitrier Bourgeois et Bernard Fugat Employé pour le roy ey de celle de la future épouse des Sr Pierre Blondel son frere pretre beneficier de la Cathedrale, Claude Henry Grimont ancien garde d’artillerie et François audran ancien greffier de villé (signé) Jean Certain Le Pere, M. R. blondel

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 72)
Hodie 2 Martÿ Anni 1745. sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Dnûs Joannes Certain, Civis ac Mercator hujas, viduus defunctæ Mariæ Annæ Clady Parochianus dicta Eccl. Parochialis Ad. .S Ludovicum intra argentinam et Dna Maria Rosa Blondel oriunda ad Sacntum Joannem urbis Divionensis filia defunctorum Conjugum Petri Blondel ac Cla(udiæ) Sansé, Parochiana supradictæ Ecclesiæ Parochialis ad Stum Laurentium (signé) Jean Certain le Pere, Marie rose blondel, Blondel capallanus (i 38)

Marie Rose Blondel fait dresser l’inventaire de ses apports rue des Echasses dans la maison au Grand Turc où elle habitait avant son mariage
1745 (17.3.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 9) n° 35
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab undt Nahrung, So die Ehren undt tugendsame frau Maria Rosa Certain gebohrne Blondelle, des Ehrenhafft undt wohlachtabren Herren Johann Certain vornehmen burgers undt Zuckerbeckers allhier Eheliche Haußfr. Zu vorwohlgedachtem jhrem Eheherrn für unverändert in den Ehestandt mitgebracht, welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehrender Ehefrauen Zu verhütung künftigen streits und weiß verständtnuß der in ihrer vot H. Notario Hombourg auffgerichteten Eheberedung stipulirten Ergäntzung wegen – so beschehen in der köigl. freÿen Statt Straßburg Mittwochs d. 17.ten Martÿ 1745.
In einer allhier Zu Straßburg in dem Steltzen gäßel gelegenen Zum Großen turcken benannten Behaußung, allwo Eingangs gedachte Frau biß Zu ihrer verheurathung wohnhaft war, ist befunden worden wie folget
haußrath 365, Silber 8, Goldene Ring, baarschafft 113, Summa 508 lb

Marie Rose Blondel devient bourgeoise une semaine après son mariage
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 202
frau Marie rose gebohrne Blondelle Verheurathet an Jean Certain den burger und Zuckerbecken allhier erhaltet das burger recht wegen hoher recommendation gratis, und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum spiegel, promis. eodem [10. Martÿ 1745.]

Jean Certain loue sa maison, sauf les localités qu’occupe Albert Unger au vice-messager de la Taille Jean Adam Sebastian
1745 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 817-v
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Johann Adam Sebastian des unter Stallbotten
entlehnt, Eine ihme dem verlehner eigenthümlich gehörigen im Finckweiler gegen der Pfistereÿ zu St Marx einseit ist ein eck am Allmend anderseit zum theil nebenJohann Nicolaus Meÿer dem brüher im Schlaghauß theils neben Nicolaus Struve dem gärtner des Horti Medici, hinten auff das Bürckenwaldische hauß, mit ausnahm derjenigen wohnung so dermalen Albrecht Unger der metzger inne hat, als welche der verlehner sich vorbehaltet, eine stub stubkammer neben dem großen Saal unten auff dem boden eines kleinen gewölbs mit einer eisernen thür der obern wohnung bestehend in einer großen stub zweÿ Kammeren und kleinen stübel, welche letztere wohnung aber nur in dem fall vorbehalten wird wann der verlehner selbige selbsten besizten und genießen wolte wovon als dann von dem zinß jährlich 36 gulden abgehen sollen – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Weÿhnachten
der in dem vorderhauß wohnende Wascherin ist erlaubt wochentlich zween täg nemlich dienstags und Mittwochs sich der bauch Küche, zu bedienen – um einen jährlichen Zinß nemlich 220 gulden

Jean Certain loue une partie de sa maison au blanchisseur manant Joseph Colard

1746 (4.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 865
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Joseph Colard des schirmers und waschers und Evæ geb. Englerin
verlühen In der dem verlehner eigenthümlich gehörig im Finckweiler gelegenen behausung das gantze kleine hauß am eingang, den gebrauch der bauch küchen vor alle montag, dienstag und Mittwoch jeder wochen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen weÿhnachten 36 gulden (alle 14 täg wasche [mit einem verzeichnus])

Jean Certain fait dresser l’inventaire de ses apports (11 713 livres) dans sa maison au Marché aux herbes
1748 (26.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 50
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Certain, des Zuckerbeckers und Burgers allhier zu Straßburg, zu Frauen Marie Rose Blondel seiner jetzigen Ehegattin vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1748. – welche der ursachen beschrieben worden alldieweilen Er Herr Certain in dem mit gedachter seiner Ehefrauen Vor Hrn Humbourg dem Königl. Notario den 25.ten Februarÿ 1745. auffgerichteten Ehevertrag sein Zugebrachtes Vermögen reservirt und vorbehalten hat (…) Actum Straßburg in beÿsein und persönlicher gegenwart vorgedachter Frauen Certain und Hn Frantz Certains des Zuckerbeckers und burgers hieselbsten sein H. Certains ältesten Sohns, auf Montag den 26.ten Februarÿ Anno 1748.
In einer allhier Zu Straßburg auf dem St. Martinsplatz oder sogenannten Gartners Marck gelegenen in dieße Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Eine Behaußung in Vorder und Hintergebäu ane dem St. Martinsplatz oder sogenannten Gartners Marck (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 198, Sa. Wein und Lehrer Faß 64, Sa. Silbergeschmeids 25, Sa. baarschafft 250, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4175, Sa. Eigenthum an einer behausung 7000, Sa. Schulden nullum, Summa summarum 11.713 lb

Jean Certain meurt en mai 1748 en délaissant deux fils de son premier mariage. La masse propre à la veuve est de 121 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 7 464 livres, le passif à 1 541 livres.
1748 (21.6.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 54
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Ligend und Fahrender, verändert und ohnverändert, nichts savon ausgenommen, so Weÿl. der Ehrenveste Herr Johannes Certain geweßener Zuckerbecker und Burger allhier Zu Straßburg, nach seinem den 19.ten Maÿ dießes instehenden 1748.sten Jahrs beschehenen tödlichen Hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen Hn Certain seel. ab hernach folgendem folio benambster und per Testamentum verlaßener Erben, inventirt und ersucht durch die Ehren und Tugendbegabte Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel die hinterlaßene Wittib und des abgeleibten geweßene Zweÿte Ehefrau mit beÿstand des Ehrengeachten Hn Johannes Dupuis des Schneiders und burgers hieselbsten (…) Actum Straßburg auf Freÿtag den 21.ten Junÿ Anno 1748.
Der Verstorbene Herr Certain hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt 1. Hr Johann Frantz Certain den Handelsmann und burgern allhier, welcher in Persohn dem Inventations geschäft beÿgewohnt, So dann 2. Hn Josephe Certain J. U. Ltum und burgern Hieselbsten, welcher über 25. Jahr alt dahero Majorennis und in Persohn der Inventur abgewartet, Alle beÿde des abgeleibten Hn Certain mit Weÿl. frauen Annæ Mariæ gebohrner Cladÿn seiner geweßenen erstern Ehefrauen ehelich erzeugter Hn Söhne und per Testamentum verlaßene Erben Zu gleichlingen portionen und Antheileren
Copia der Eheberedung, Copia Testamenti Clausi, Copia Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg auf dem St Martins Platz oder sogenannten Garthners Marck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 10) Eigenthumb an einer Behaußung. Eine Behaußung in Vorder undt Hintergebäu bestehend, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem St. Martins Platz oder so genannten Garthners Marck, einseit neben Weÿland Hn Rathherr Dietrichs des gewesenen Handelsmanns allhier hinterlaßene Erben, anderseit neben einer der fabric des Hiesigen Münsters eigenthümlich zuständigen behaußung Hinten auf Hn Jean Hervé Marchand Confiseur stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig und eigen und ist dieße behaußung durch H (die Werckmeistere) vermög einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung vom 19.ten Junÿ 1748. angeschlagen worden vor 2750 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget, ausweißend wie dieße behaußung von Frauen Anna Margaretha Ludin gebohrne Kiefferin erkaufft worden, de dato 11.ten Julÿ 1722. mit Lit. A. bemerckt. Dabeÿ ferner ein frantzösischer Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub errichtet außwießend wie erstgemeldte Frau Anna Margaretha Lundin gebohrene Kirschnerin dieße Behaußung Von Hn Antoine Paudiere mr d’hotel du Roy Stanislas und deßen Ehefrauen aberkaufft dedato 11.ten Septembris 1720. und mit der Stadt Cantzleÿ Contract Insigel vewahrt mit Lit. B. signirt. (…)
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach inhalt des durch Herrn Notarium Adam Claus in anno 1745. auffgerichteten Zugebrachten Nahrungs Inventarÿ
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 3, Sa. baarschafft 12, Sa. Ergäntzung 101, Summa summarum 121 lb
Der Erben unverändert und theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 83, Sa. Wein und Lehren faß 243, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. baarschafft 36, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4175, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 2750, Sa. Schulden 161, Summa summarum 7464 lb – Schulden 1541, Nach solchem abzug 5923 lb
Stall Summ 5958 lb
Copie du Contrat de mariage, Humbourg
Copie du testament – Je soussigné Jean Certain Marchand confiseur Bourgeois de Strasbourg y demeurant au marché aux herbes (…) dans la Maison dudit Sieur Certain sur le Marché aux herbes à Strasbourg dans une chambre au Second étage prenant jour par deux grandes fenêtres sur ledit Marché l’an 1748 le 29° mars, Euth, Notaire

Jean Certains cède à ses deux fils la maison au Finckwiller et le bien de campagne à la Robertsau en conservant la maison au Marché aux Herbes

1748 (22.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 49
Transactio Vergleich: und Abtheilung zwischen Herrn Johann Certain dem Zuckerbecken und burger alhier ane einem
und Herrn Frantz Certain wie auch Herrn Lt. Joseph Certain deßelben beeden herren Söhnen am andern theil, und zwar über deroßelben völlig ausgeliefferte Mütterliche Guth und was ihrem Herrn Vatter an Vermögen zuständig, besagend, auffgerichtet Anno 1748.
Zu Wißen seÿe hiemit (…) persönlich kommen und erschienen seÿe, Herr Johannes Certain der Zuckerbecker und burger allhier, der hat mit beÿhülff Herrn Claude Guirot, burgers und hießigen Chirurgi seines hierzu expresse berufenen herrn Assistenten freÿ offentlich angezeiget, was gestalten derselbe auß freÿen willen zu beförderung H. Johann Frantz Certain des allhießigen handelsmanns, wie auch H. Joseph Certain, J.U. Licentiati seine beeden herren Söhne nutzens, und damit dieselne beßer Subsistiren und außkommen mögen, sich entschloßen habe, gedachter seiner beeden herren Söhne Mütterliches Guth, welches derselbe salva Legitima Zeit lebens Zu genießen berechtiget ist, außzulieffern, und alßo auff den davon habenden Genuß zu renunciren Zu dem ende dann Er H. Certain der vatter ahn Einem, und deßen vorgemeldte herren Söhne am andern theil, ratione gedachten Mütterlichen Guths /:nach deme dieselbe Zuvor unter sich nach innhalt des Mütterlichen Kindervertrags vom 16.ten Aprilis 1740. einen überschlag gemacht, und alles in reiffe und genaue überlegung gezogen, auch zu verhütung größerer weitläuffigkeit:/ dahin übereingekommen seÿnd, daß bemeldte Certainische herren Söhne vor ihr völlig Mütterlich guth nichts davon außgenommen, die behaußung sambt Garten und aller Zugehörden gelegen allhier Zu Straßburg in dem Finckweÿler, weiter das in der Ruprechts Au befindliche Landguth, in hauß, Hoff, Scheur, Stallungen, Äckeren, Garthen, sambt allen Zugehörden und Gerechtigkeiten, ohn außnahm, benebst noch einigem haußrath silber und dergleichen geschmeid, so H. Certain der Vatter denen Kindern bereits in einem Kasten verwahrt, dargewießen, worunter einiges bettwerck, so Wohl allhier Zu Straßburg, als auch auff dem Guth in der Ruprechts Au befindlich, mitgebriffen, haben auch erb und eigenthümlichen behalten sollen, Welche behausung, Landguth und Mobilien dann die Certainische herren Söhn von gedachtem ihrem herrn Vatter, nicht nur allein dann ki*sch acceptiret und vor Ihre völlig Zuerforderen habendes Mütterliche Guth angenommen, mithin dero H Vatter davor völlig und gäntzlichen loß und ledig Zahlen, auch deßwegen die geringste forderung, wie die nahmen haben mag, zu thun, weder jetzo noch in das Künfftige nicht berechtiget seÿn Können noch mögen, sondern auch das übrige vorhandene, so gesucht als ungesuchte Vermögen, das unter besonders die behaußung auff dem Gartners Marck allhier gelegen, die völlige dermahlen angelegte Capitalia und überhaupt alles andere Vermögen, nichts außgenommen, begriffen, Ihme H Certain dem H Vatter cediren auch erb und eigenthümlichen überlaßen (…)
So beschehen Straßburg den 22.ten Februarÿ 1748. [unterzeichnet] Jean Certain Le Pere, Jean François Certain, Josephe Certain Lt

Le confiturier Jean François Certain épouse en 1741 Marie Salomé Pflug, fille du chef des travaux Pierre Pflug : contrat de mariage, célébration

1741 (8.2.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 198
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und Wohlachtbaren Herrn Johann Frantz Certain, ledigen Confiturier, des Wohl Ehren und Wohlachtbaren herrn Johann Certain auch Confiturier und Burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Anna Maria Certain gebohrner Cladiin deßen gewester Frauen Eheliebstin nun seel. ehelich erzeugten ältern Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann die Wohl Ehren und mit Vielen Tugenden gezierten Jungfrauen Maria Salome Pflugin, des Wohl Ehrenvest, Großachtbaren und Kunsterfahrenn herrn Johann Peter Pflugen, nunmahligen wohlmeritirten Stattlohners und Burgers allhier mit weÿl. der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Catharina Pflugin gebohrner Dumungin, seines geweßenen Frauen Eheliebstin längst see. ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
auff Mittwoch den 8. Februarÿ Anno 1741. [unterzeichnet] Jean François Certain, Comme Marié, Marie Salome Pflugin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 165)
Hodie 12 die junÿ anni 1741 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus juuenis joannes franciscus Sertin filius joannis Sertin dulciaris et civis et annæ mariæ gladin Conjugum in parochia ad Stum Ludovicum commorans, et pudica ac virtuosa virgo Maria Salome Pflug filia Dni joannis petri Pflug architecti huius urbis et Catharinæ Dimonin p: m: conjugum ex hac parochia (signé) Jean François Certain, Maria Salomea Pflugin (i 173)

François Certain cotise à la tribu des Fribourgeois après que les Quinze l’ont autorisé à vendre des liqueurs
1743, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
Dienstags den 3. Dec. A° 1743 – Schöffen Wahl de 1743
(f° 188-v) Hr François Certain der Zuckerbeckh und burger allhier Erscheinet dato vor denen Hh Schöffen, und berichtet, wie daß Er von Gnäd. H. denen XV. Liqueurs undt dergleichen mit sich führend wie auch burgunder und andere Frantzösisch. weinen en detail Zu verkauffen die Erlaubnus Erhalt. bittet dahero Ihme alß einen Zud. zu recipiren.
Erkand, derselbe wird gegen Erlag der 3. lb 4 ß d alß Zudiener recipirt, dabeÿ aber auch verordnet, daß von Seithen Er. En. Zunfft solches nicht mehr Erlaubt werd. solle.

François Certain hypothèque sa bibliothèque
1749 (21.2.), Not. Laquiante (6 E 41, 998)
Cession du 21 février 1749 – fut present le sieur François Certain Marchand confiseur Bourgeois de cette ville, lequel a cedé et transporté
au Sieur Pierre Batailhe interessé dans les affaires du Roy
La somme de 800 livres due audit Cedant Par le sieur François Maury assesseur de la marechaussés d’alsace par lettre de change du 18 juillet 1748 (…) moyennant pareille somme de 800 livres
hypothèque speciale Sa Bibliotheque Composée des livres Contenus en l’Etat demeuré ci joint
Liste de mes livres

La tribu de la Mauresse inflige une amende à François Certain qui a vendu fruits et légumes sans en détenir le droit
1751, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 12-v) Dienstags den 16.ten Martÿ Anno 1751
H. Johann Conrad Rudolph, der Fastenspeishändler klagt wieder herrn François Certain den handelsmann allhier, deß derselbe ohnlängsten Fastenspeiß Waaren en gros verkaufft, ohnerachtet Es das Recht darzu nicht gehabt noch würcklich habe, bittet abstraffung.
Beklagter Zugegen ist der Anklag geständig, sagt aber, es seÿe per commissionem geschehen und excusirt sich, daß er von dem articul nichts gewußt hätte.
Erkandt, Weilen sich der Herr Beklagte deßfalls Vorher einkündigen sollen, alß seÿe Er in die geordnete Straff der 5 Pfund zu condemniren.

Marie Salomé Pflug fait dresser l’inventaire de ses apports (2 764 livres)

1752 (10.3.), Not. Lang le jeune (Jean Daniel, 26 Not 3) f° 40
Inventarium über der Viel Ehren und tugendgezierten Fraun Mariæ Salome Certain gebohrner Pfluegin des Ehrenvest und Vorgeachten Hn Francisci Certain Handelsmanns und burgers allhier Fr. Eheliebstin zu demselben in die Ehe gebrachter Nahrung auffgerichtet Anno 1752. – welche der Ursachen, allweilen in ihr beeder Ehepersohnen vor Hn Joh: Daniel Langen Seniore den 8.ten Februarÿ 1741. auffgerichteten Eheberedung §° 4.to ausdrücklichen versehen, daß beederseits einander Zubringende Nahrungen vor ohnverändert vorbehalten und was davon wehrender Ehe verkauft vertauscht oder sonsten in anderer Weege alienirt worden (…) wiederumb ergäntzt werden sollen – So beschehen Zu Straßburg in beÿsein und persönlicher Gegenwarth der Ehefrauen Eheh. obgemelt wie auch des wohl Ehrenvest und wohlweisen H Francisci Petri Pflugen E. E. großen Raths jetzigen wohlverdienten Assessoris der Ehefr. H. Bruders und hierzu erbettenen H Assistenten, auff Donnerstag den 10. Martÿ Anno 1752. erschienen
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen von dem Ehe H. und deßen herrn bruders eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefraun in den Ehestand Zugebrachter Nahrung vor und ane sich selbsten, Sa. Haußraths 677, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 123, Sa. gold. Ring, Ketten peerlein und dergl. geschmeid 464, Sa. baarschafft 1500, Summa summarum 2764 lb – Und wan hierzu gelegt wird Ihro der Ehefraun ane hernach beschriebenen Haussteuren vi pactorum dotalium §° 6.to gehörige Helffte, antreffend 91 lb, So belaufft sich offt wohlgedachter frauen Mariæ Salome Certains gebohrner Pfluegin samptlich in die Ehe gebrachtes Vermögen dem billigmäßigen Werth und Anschlag nach auff 2855 lb

Etat de la fortune de François Certain et Salomé Pflug après que le mari a quitté la ville. Les experts estiment la maison 1 740 livres. L’actif du mari s’élève à 8 242 livres, le passif à 28 721 livres. Les biens de la femme s’élèvent à 4 154 livres

1752 (10.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 375) n° 484
Inventarium über Herrn Francisci Certain, des Handelsmanns und Frauen Salome Certain gebohrener Pflugin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzende Activ: und Passiv: Nahrung auffgerichtet Anno 1752. – welche der Ursachen Alldieweilen Er Herr Certain ohnlängstens von hier ausgetretten und deßen habende Nahrung mit Zimlichen Passivis bemaden, und nach dessen austritt Von Seithen E: E: großen Raths allhier Secretiert, anjetzo aber auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sowohl der Ehefrauen mit assistentz S.T. Herrn Frantz Peter Pflug vor Ehrengedachten großen Raths jetzig Wohlansehnlichen beÿsitzers Ihres geliebten Herrn Bruders und geschwornen Herrn Curatoris umb Salvirung Ihres ohnveränderten guths willen, als auch Herrn Philipp Friderich Kuhff des handelsmanns und burgers allhier als derer Herren Creditorum Zufolg einer Vor herrn René J.V. Lt° et Notario Jurato allhier unterm 29.ren Maji jüngst ausgestellten und unterschriebenen Procuration ernannten Assistenten (…) inventirt durch die Frau Salome Certain gebohrne Pflugun die Ehefrau ingleichem Johann Michael Leventz von Wißloch aus der Pfaltz gebürtig, den handelsdiener (geäugt und gezeigt), So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein Sis Tis Johann Friderich Röderers, Goldarbeiters und Herrn Johann Philipp Dorßners JUL beeder E. E. Großen Raths jetzig wohlansehnlicher beÿsitzer, als hierzu in specie abgeordneter herren Deputirten, auf Sambstag den 10.ten Junÿ et sequentibus Anno 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Nahrung eigenthümlich gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 26) Eigenthümliche Antheiler ane Häußern. (F.) Erstl. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Antoniergaß (…)
(F.) It. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung (…)
(M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane dem St Martins Platz oder dem sogenannten garthners Marckt (…)
(f° 28) (M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem Hindergebäu, hoff, bronnen und einem Garthen, mit deren hoffstätten Scheür Stallung und allen übrigen deroselben gebäuden begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler, ohnweith dem alten blaterhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, ist einseith ein Eck an der Viehe gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx Pfistereÿ über, anderseit neben Niclaus Meÿer dem brüher im der allhiesßigen Metzig zum theil und zum theil neben Weÿland herrn Nicolai Struve, gewesenen Doctorgärthners hinterlassener Wittib und Erben, hinten auf den vormahlig Freÿherrlich Elsenheimischen hoff und garthen, der Schäffolßheimer Hoff genannt, so anjetzo die neue Reith Schuhl ist, stosend gelegen, warvon das große gebäu etwa der Lumpards hoff vnd Vor zeithen zum teutschen Herren, das zweÿte gebäu gegen St. Marx über Zum bachoffen und das dritte gebäu Zum Engel genand worden, davon seind die sambtliche gebäu mit deren Zugehörden durch obernannte der Statt Straßburg herren Lohner und geschwornen Werck Meistere inhalt angezogenen Abschatzung Zeduls vom 2.ten Julÿ 1752. æstimirt vor 2250. lb
Der Garthen aber so ohngefähr ein und ein quart acker Groß, ist sambt denen darinn befindlichen Reeben und alten bäumen durch herrn Johann Theobald von Fridolßheim, Garthner Underwagnern und E. E. großen Raths alten beÿsitzern auch geschwornen Schätzern Laut Schrifftlicher Abschatzung vom 1.ten Julÿ 1752. angeschlagen umb 900 lb. Macht beedes und alßo der völlige anschlag dießer behaußung und Garthens Vor freÿ Ledig und eigen 3150 Und daran der hierero gehörige halbe theil 1575.
Die andere helffte ist Vorgedachtem herrn Joseph Certain J.V. Lt° des Ehemanns Herrn Bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über dieße Völlige behaußung gebäu und Garthen meldet in teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. Anno 1736. mit Lit. F. Dabeÿ ferner i. dergl. perg. Kffbr. Vom 11. febr. 1697. mit altem Lit. F. signirt. Dabeÿ ferner ein alter dergleichen pergamenter Kauffbrieff vom 11.ten Februarÿ Annp 1697. mit altem Lit. A et G. bemerckt
(M.) der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einem landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises
in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
(f° 35) Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel, Weÿland Herrn Johann Certain geweßenen Zuckerbeckers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßene Wittib des Ehemanns stieffmutter von gedachtem Ihrem verstorbenen Ehemann, alß deßen eheleiblichem Vatter, solang dieselbe in wittibstand verharren wird, zugenießen hat
(f° 43) Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der heuraths verschreibung
Der Ehefrauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 503, Sa. Lähren Faßen 7, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 92, Sa. antheils ane Häußern 492, Sa. Schuld 100, Erg. Rest 2646, Summa summarum 4154 lb – Zweiffelhaffte vnd verlohrne Schulden 185 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns ohnverändert und theilbahe Nahrung unter einer Masse beschrieben, Sa. haußraths 192, Sa. Schiff und geschirr Zur handlung gehörig 20, Sa. Gewerbswaahren 1864, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau 3, Sa. Kühe 5, Sa. Wein und Lährer Faß 14, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 52, Sa. Eigenthümlicher Antheil ane häusern Gärten und einem Landguth 5202, Sa. Schulden 886, Summa summarum 8242 lb – Schulden 28.721 lb, In Vergleichung 20.478 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 723 lb
Copia der Eheberedung (…) den 8. Februarÿ 1741, Johann Daniel Lang Notarius

1751 XV (2 R 160) Mörin contra François Certain 362
1752 XV (2 R 162) Spiegel contra François Certain, 59, Table-45

Salomé Pflug meurt en 1753. Les biens de son mari lui ont été attribués le 19 décembre 1752 par un contrat d’atermoiement à condition de satisfaire les créanciers hypothécaires. L’actif de la succession s’élève à 7 839 livres, le passif à 8 646 livres. L’estimation des maisons que les experts ont faite en 1752 est annexée à l’inventaire.

1754 (4.9.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 382) n° 595
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin, des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren H. Francisci Certain, des handelsmanns und burgers allhier geweßener Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1754. – als dieselbe Mittwochs den 5. Decembris des Zurückgelegten 1753.sten Jahrs durch einen seeligen Tod von dießer Welt abgefordert worden, nach solch Ihrem seeligen absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft band nach Ihrem tödlichen hintritt nemblich den 8.ten ejusdem Mensis Decembris Anno 1753. Zufolg Ihro Gnaden des damahlig Wohlregierenden Herrn Ammeÿsters Erkandnus ab eodem dato auf requisition des herrn Procuratoris Fisci durch die aus E: E: Großen Raths Mittel darzu abgeordnete Herren Deputirte und den herrn Rathschreiber secretirt heut dato aber ad effectum Inventandi vermög Ehrengedachten großen Raths Erkandnus vom 22.ten Augusti jüngst (…) committirt – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 4.ten Septembris et sequenti Anno 1754.
Bericht Wegen dießer Verlaßenschafft. Weilen die Verstorbene selige nach Ihres Ehemanns beschehenem Außtritt und erfolgtem Concursu mit deßen ohnversicherten Creditoribus den 19.ten Decembris Anno 1752. den hieoben verbotenus inserirten Contract d’attermoyement auffgerichtet, welcher den 23.ten ejusdem beÿ E. E. großen Rath alhier Salvo Jure tertÿ Obrigkeitlichen confirmirt und den 19.ten Januarÿ Anno 1753. beÿ herrn Humbourg Königlichem Notario allhier ad effectum hypothecæ und worzu es sonsten nothig und dienlich seÿn möchte, deponirt worden, worinnen Sie Ihres Ehemanns Massam völlig übernommen und hingegen denen ohnversicherten Creditoribus den dritten theil Ihrer Forderungen zubezahlen sich obligirt selbige auch soviel deren gedachten Contract d’attermoyement mit Ihro eingegangen und unterschrieben haben würcklichen befriediget hat (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Zum theil eigenthümlich gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 26) Eigenthümliche Antheiler ane Häußern, Gärthen und einem Landguth. Erstl. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Antoniergaß (…)
It. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Creutzgaß (…)
(M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane dem St Martins Platz oder dem sogenannten garthners Marckt (…)
It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem Hindergebäu, hoff, Zweÿen bronnen und einem Garthen, mit deren hoffstätten, Scheür, Stallung und allen übrigen deroselben gebäuden begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler, ohnweith dem alten blaterhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, ist einseith ein Eck an der Viehe gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx Pfistereÿ über, anderseit neben Niclaus Meÿer dem brüher im der allhiesßigen Metzig zum theil und zum theil neben Weÿland herrn Nicolai Struve, gewesenen Doctorgärthners hinterlaßener Wittib und Erben, hinten auf den vormahlig Freÿherrlich Elsenheimischen hoff und Garthen, der Schäffolsheimer Hoff genannt, so anjetzo die neue Reith Schuhl ist, stosend, warvon das große gebäu etwa der Lumpards hoff vnd Vor zeithen zum teutschen Herren, das zweÿte gebäu gegen St. Marx hinüber Zum bachoffen und das dritte gebäu Zum Engel genand worden, davon seind die sambtliche gebäu mit deren Zugehörden durch vorallegirtem beeder geweßener Eheleuthe Activ: und Passiv: Nahrungs Inventario de Anno 1752. fol. 267. fac: 2.da durch der Statt Straßburg herren Lohner und geschwornen Werck Meistere inhalt vorangezogenen Abschatzung Zeduls vom 2.ten Julÿ 1752. æstimirt vor 2250. lb
Der Garthen aber so ohngefähr ein und ein quart acker Groß, ist sambt denen darinn befindlichen Reeben und alten bäumen in ermeltem Inventario fol ; 268. fac: 2.da durch herrn Johann Theobald von Fridolßheim, Garthner Underwagnern und E. E. großen Raths alten beÿsitzern auch geschwornen Schätzern Laut Schrifftlicher Abschatzung vom 1.ten Julÿ 1752. angeschlagen umb 900 lb. Macht beedes und alßo der völlige anschlag dießer behaußung und Garthens Vor freÿ Ledig und eigen 3150 Und daran der hierero gehörige halbe theil 1575.
Die andere helffte ist Vorgedachtem herrn Joseph Certain J.V. Lt° und Procureur du Roy de La Monnoye allhier des Wittibers eheleiblichem Herrn Bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über dieße Völlige behaußung gebäu und Garthen soll besagen in teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. Anno 1736. mit Lit. F. signirt. Dabeÿ ferner ein alter dergleichen pergamentener Kauffbrieff vom 11. Februarÿ Anno 1697. mit altem Lit. A et G.. bemerckt.
It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einem Landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises
in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
Abschatzung vom 2. Julÿ 1752. Auff begehren Herrn Rathherrn Pflug alß Vogten deß außgetrettenen Frantz Certain geweßenen Hauptmanns und burgers allhier Ehefrauen ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem Gartners Marckt (…)
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg Im Finckweiler, einseits neben Nicolao Meÿer dem brüher in der Großen Metzig, anderseits neben dem Allmend, und hinten auff die newe Reitschuhl stosend gelegen, Welcher begriff bestehet in zweÿen nebens und einem hintergebäw, worinnen etliche Stuben, Kammeren und Kuchen, hat auch einen gewölbten und geträhmten Keller hoff bronnen und Stallung vor den Officier, die tach stühl darüber seind mit breit Ziegeln doppelt belegt, Ferner befindet sich ein Schopff Worüber die Häuwbühn, der tachstuhl darüber ist mit breit Ziegeln einfach belegt, auch von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere nach vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb VierTaußend und Fünff Hundert Gulden
Dritte begriff (…)
[unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Samuel Werner, Werckmeister
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel, Weÿland Herrn Johann Certain geweßenen Zuckerbeckers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßene Wittib des Ehemanns stieffmutter von gedachtem Ihrem verstorbenen Ehemann, alß deßen eheleiblichem Vatter, solang dieselbe in wittibstand verharren wird, zugenießen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der heuraths verschreibung
Sa. haußraths 368, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau 2, Sa. Kühe 3, Sa. Lähren Faßen 3, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 67, Sa. Goldener Ring 119, Sa. baarschafft 114, Sa. antheiler ane Häußern, Gärthen und einem Landguth 5624, Sa. Schulden 1596, Summa summarum 7839 lb – Schulden 8646 lb, In Vergleichung 806 lb
Dahingegen hätte die verstorbene seelige ane Ihrem Maritum nunmahlen hinterbliebenen Wittiber für dero ohnverändert in der Eheberedung reservirt Vermögen Zuerfordern gehabt 4154 lb – Zweiffelhaffte vnd verlohrne Schulden 1022 lb
(Etat des loyers – Gravamina)

François Pierre Pflug rend compte de la tutelle des biens appartenant aux trois enfants de François Certain et de Marie Salomé Pflug. Le compte contient une liste des loyers.
1756, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 386) n° 667
Rechnung Mein Frantz Peter Pflug E: E: großen Raths Jetzigen beÿsitzers, als geordnet und geschworenen vogts Johannis, Johann Peters und Mariä Salome der Certain weÿland Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin nunmehr seeligen mit Herrn Francisco Certain dem Handelsmann und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter dreÿer Kinder, inhaltend alles dasjenige, Was Ich Vom 10.ten Decembris Anno 1753. alß da Ich Zu dießer Vogteÿ gekommen biß Johannis Bapt: Anno 1756. besagter in einer Curanden halben Eingenommenen und hiengegen wieder Außgegeben auch sonsten vögtlicher weiße verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ.

Bericht gegenwärtiger Rechnung. Zuwißen seÿe hiemit, daß auf tödliches ableiben Weÿland Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin, herrn Francisci Certain, des von hier abweßenden handelsmann und burgers alhier geweßener Ehegattin nunmehr seeligen, So dan 5.ten Decembris Anno 1753. beschehen, deroselben Verlaßenschafft auf requisition des Procuratoris Fisci Von Seithen E: E: Großen Raths den 8.ten ejusdem secretirt und daraufhien Ihren hinterlaßenen ehelich erziehlten dreÿen Kindern außwendig benahmbst (…)
Corpus der dreÿen Curanden ins gemein Jährlich fallen habender häußer und Gärthel Zinnß.
Erstl. 15. lb 12. ß 6 d das ist der Vierte theil Von und ane 72. lb 10. ß Jährlichen Zinnßes solle Sieur Duportail von der seit Weÿhenachten 1754. exclusivé Ihme Verlühenen ane der Anthonier gaß allhier liegenden zwischen denen Pflugischen Vier Stamm Erben annoch ohnvertheilten behausung, so in der Curanden mütterlichem Verlaßenschafft Inventario sub. Lit. A. fol. 110. fac: 2.da abe 840. lb d hiehero Zum Viertentheil angeschlagen pro 235.
It. 12. lb. 10. ß d. das ist der Viertetheil Von und abe 50. lb. d. Jährlichen Zinnßes gibt Weÿland Herrn Johann Thomä Römers E: E: grossen Raths allhier geweßenen Advocati et Procuratoris ordinarii seel. nachgelaßene Fraw Wittib, Von der in Lehenung habenden ane der Creutzgaß allhier Liegenden Zwischen denen Pflugischen Vier Stamm Erben annoch ohnvertheilten behaußung, so Zu dißseitigem Viertentheil besagte Invent° fol. 113. fac: 2.da abe 747 lb. d æstimirt Vor 186. 15. Auf Joh. Bapt: 1756. aber ist dieselbe ausgezogen und stehet nunmehro solche behaußung Lähr, in deme selbige reparirt werden muß (…)
ane St. Martins Platz
it. aus der gemeinschafftlich Certainischen behaußung und Garthen ane dem Finckweÿler allhuer gelegen sollen Jährlichen ane Zinß reichen Anfänglichen Collard 18 lb, Ferners Heller 8 lb, Mehr Unger der Metzger 12 lb, Weiter Hartman 18 lb, Ferner herr Burgard aus einer wohnung, so vormahls Wehrle biß Joh. Bapt: 1753. ingehabt, von solcher Zeit an aber biß Michaelis 1755. Lähr ht gestanden sambt noch einigen Ihme darzu gegebenen gemachen anjetzo 24 lb, So dann der gartenmann vom Garthen 50 lb, Macht in allem 130. lb
It. von dem gemeinschaftlich Certainischen Ruprechtsauer guth (…)

La tribu du Miroir propose des tuteurs aux trois enfants de François Certain qui a quitté la ville
1759 Miroir (XI 278) (f° 55) Dienstags den 20. Martii 1759 – Anderwärtiger Ausschuß Zur Bevögtigung
Zufolg producirten Scheins E löbl. vogteÿ Gerichts vom 12.ten hujus, wegen Anderwärtigen Bevögtigung Jean François Certain des von hier abweßenden handelsmann und burgers dreÿer Kinder, seind als tüchtig Subjecta catholischer religion in den Ausschuß gebracht worden Jean Claude Gaillard, Jean Baptiste Henry, Jean Julien Gounion

Malade, Joseph Certain institue pour ses héritiers testamentaires son frère et sa belle-sœur.

1748 (17 août), Not. Humbourg (6 E 41, 80)
Testament – fut present le Sr Joseph Certain Licentié ès droits, Bourgeois de cette ville, lequel gisant au Lit malade de corps dans un Poële et chambre à cheminée au Second Etage de la maison dependante de la succession de feu le S Jean Certain, Confiseur aussi Bourgeois de cette ville Scise marché aux herbes et prenant Jour sur ledit marché, Sain toutes fois d’Esprit (…)
institue pour son héritier et pour son héritiere par egale moitié led. Jean François Certain son frere et lad° Damle Marie Salomé Pflug sa belle sœur

Joseph Certain cotise à la tribu des Tanneurs. Il résigne son droit en septembre 1754
1751 Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 7-v) Sambstag den 18. Decembris A° 1751 – Hr Joseph Certain, weil. Herrn Johann certain gewesenen burgers und Zuckerbeckers allhier hinterlassener ehelicher Sohn stunde vor und producirte Stallschein de dato 16. Decembris 1751. mit bitte, ihm als einem Zudiener das Zunfftrecht gedeÿen Zu laßen. Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
(Zunfft 1 lb 16 ß 2 d, Spend. 15 ß 10 s, Summa 2 lb 12 ß, Scribæ 2 ß, büttel 1 ß, findl. haus 5 ß, summa 3 lb)

(f° 45-v) den 3.ten Septembris Anno 1754 ist Herr Joseph Certain, J U. Ltis und nunmahliger Conseiller du Roy et son Procureur à la monoye, beÿ dem Protocolli erschienen und hat das Zunfft Recht aufgegeben, wie deßen unterschriebener Schein außweißet.

Joseph Certain meurt célibataire le 28 septembre 1792 sans héritiers connus dans la maison du négociant Robert rue de l’Ail
1793 (17 frimaire 2), Strasbourg 11 (1), Not. Anrich n° 367
Inventaire de la succession de Joseph Certain – L’an 1792 le 13. nov. en exécution d’un decret rendu le 31. oct. dernier par le Tribunal du district de Strasbourg en vertu duquel le Notaire soussigné a été nommé pour dresser Inventaire de la succession de de feu le Citoyen Joseph Certain cy devant employé à la Monnoye de cette ville et de veiller aux interets des héritiers absens et inconnus – iceux meubles et papiers montrés et enseignés par Ursule Lescher de Kertzfeld ménagere du défunt
dans la maison du Citoyen Robert Négociant rue de l’ail N° 8 ou ledit Certain est décédé le 28. sept. aussi dernier, au troisième étage de ladite maison
Meubles meublans, dans le Poel à manger, Chambre a coucher, Cabinet à côté avec une porte vitrée, Chambre, Cuisine, Chambre de la menagere, Total 151 lb, Dettes actives 9025 lb, Total général 9177 – Dettes passives (aux Citoyens les freres Roberts Négociants pour loyer de l’appartement occupé par le défunt depuis le St Jean 1789 Jusqu’à Noël 1790 pour trois ans 6 mois à raison de 144 livres par an, 504 livres) 4407 livres – le 17 frimaire 2
acp 19 f° 125 du 18 frim. 2

Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 22)
Anno domini 1792 die 28 Septembris mortuus est Joseph Certain solutus, olim Procurator Regis in officiæ monetaria argentinensis, filius legitimus Defunctorum Joannis Certain civis hic et negotiatoris et Mariæ Rosæ Blondel, annos circiter 68 natus, et die sequenti (…) sepultus est in Coemeterio ad stum Urbanum (i 64)

Lors du partage, la maison au Finckwiller et le bien de campagne reviennent aux enfants de François Certain et de Salomé Pflug

1757 (2.3.), Not. Humbourg (6 E 41, 97) Partage
M Joseph Certain Conseiller du Roy et son procureur en la Jurisdiction de la Monnoye de Strasbourg en qualité de fils et héritier pour une moitié de feu le Sr Jean Certain Marchand confiseur
Et le Sr Pfloug assesseur au grand sénat de cette ville en qualité de tuteur des enfants mineurs de défunte De Salomé Pfloug décédée épouse du Sr François Certain Marchand Confiseur fils et héritier du défunt pour l’autre moitié, lesd. enfants et héritier représentans lad. défunte D°. leur mere qu’etoit cessionnaire de la Masse des Créanciers du Sr Certain
Lesquelles parties ont dit qu’ayant des immeubles indivis entre eux faisant partie de la succession dudit défunt Joseph Certain Elles auroient été en procès au Grand Sénat de cette ville au sujet du partage desdits immeubles sur lequel différents seroit intervenue sentence audit Grand Sénat les 18. juin 1755 et 10. mars 1756 qui auroit ordonné le partage desdits immeubles pour quoy parvenir leds. parties auoient nommé des experts Jurés qui auroient fait la visite prisée et Estimation desd. immeubles en conséquence Il auroit été reconnu que lesd. immeubles pouvoient se partager ainsi qu’il s’en suit
que le premier lot demeureroit composé de la Maison et Jardin Scitué au finckweiller et dépendances consistant en trois corps de bâtiment Grange Ecurie et Jardin faisant coin d’une part vis à vis la Boulangerie de S Marc Nicolas Meyer Boucher et les Veuve et héritiers de Nicolas Struve Jardinier d’autre par devant sur la rue dite le quartier du Finckweiller et par derrière le Nouveau Manege
Et le bien de Campagne Scituée à la Ruprechtsaw consistant en une maison de Campagne une autre pour le fermier Remises Grange Ecurie et Jardin avec les terres labourables y attenant consistantes en environ de 14 arpens a Eux appartenante en propriété et 12 arpents qu’ils tienent par bail a femme ledit Bien de Campagne scitué au Canton dit in der Oberaw im hintern Ort les héritiers de feu Sr Heiss d’une part David Kiener d’autre part pardevant sur le Communal et parderrière sur lesd. terres labourables et sur Jean Georges Beck avec toutes les voitures bestiaux outils et autres effets servans au labourage appartenante à ladite succession
Et le second lot sera composé de la Maison Située au Marché aux herbes en cette ville consistant en deux corps de logis le S Jean Nicolas Dietrich ancien assesseur au Grand Sénat d’une part la fabrique de la Cathedrale de cette ville d’autre pardevant sur led. Marché aux herbes et par derrière le Sr Jean Gaspar Hervé Marchand épicier Et comme ce dernier lot n’est estimé qu’a la somme de 17.000 livres et que les 2 immeubles du premier lot ont été portés pour la somme de 18.500 livres
Le 1° lot à Pfloug, le 2° lot à Certain

1760 (12.7.), Not. Humbourg (6 E 41, 104)
Transaction entre le Sr Certain et ses neveux – M Joseph Certain Conseiller du Roy et son Procureur en la Jurisdiction de la monnoie de cette ville
et le Sr Jean claude Gaillard Marchand en qualité de tuteur établi par la justice aux enfants mineurs de D° Salomé Pfloug décédée épouse du Sr François Certain Marchand et le Sr André Lichtenberger Secrétare à la chancellerie curateur ad lites établi par justice
(annexé) Déclaration par rapport aux loyers percus par le Sr Certain et par le nommé Pfloug depuis la liquidation du 30 mars 1758 – Recette de M Certain
Loyers percus de la maison et Jardin indivis Scituée au finckwiller, le loyer de Cotard jusqu’à la Notre Dame de mars 1757, cet appartement a reste vuide jusqu’à la St Michel de ladite année auquel terme il a été loué au nommé teubler à raison de 60 li. par année,
le loyer de hartmann,
le loyer de Unger,
les loyers du nommé heller,
les loyers du jardinier,
Maison de campagne scituée à la Roberceau, le canon de ce fermier (…)
Maison scituée au Marché aux herbes, demeurée vuide de locataires jusqu’à Noel 1757 terme auquel le premier étage a été Loué au Sr Gaillard a raison de 200 li par année
(…) Laurent Mühl fermier de la Roberceau doit pour le restant de son Canon

Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent de recevoir à l’orphelinat Marie Salomé Certain, fille de François Certain, âgée de quinze ans
1760, Conseillers et XXI (1 R 243)
Jean François Certain des außgetrettenen Handelsmanns tochter Mariæ Salome Certain Vogt H. Claude Gaillard wird pt° gesuchter auffnahm ged. seiner Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß abgewießen. 239.
(p. 239) Sambstags den 20. Decembris 1760. – Freund nê Jean François Certain des außgetrettenen Handelsmanns Verlaßener tochter Mariæ Salome Vogt Sr Claude Gaillard des handelsmanns, prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. sub litt. a. b. c. et d. pt° gnäd. reception ged. Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß.
H. Syndicus Regius Meldeten es hätten die Hh Pflegere des Waÿßenhaußes wegen der Vorgestandenen Curanda auffnahm deswegen anstand genommen, weilen selbige schon über 15 Jahr alt ist, und auß eben dießer ursach den Implorirenden Vogt an MHhn verwießen, umb hochdenselben seiner Curandæ dürfftigkeit vortragen Zu können, und fernerer Erkant, aus gewärtig Zu seÿn, Nun seÿe beschienen daß dießelbe nicht das geringste in vermögen erhalten, auch keine anverwandte habe, die sie Zu erhalten schuldig oder im stand wären, dero gemüths beschaffenheit noch nicht Zuläßt daß man sie in einen dienst thun könnte, in erwegung solcher umbstände vermeinte er H. Syndicus Regius, daß des Imploranten Curanda vor 6 Monath oder ein Jahr lang in das waÿßenhauß auffgenommen und darinnen verpflegt werden könnte, da inzwischen Imploranten obliegen wird, vor seiner Curandæ ferneren unterhalt oder einigen dienst Zu sorgen.
Nach angehörtem voto des HN Prætoris Regii und auff anspruch des auf dem Obern banck Vorstitzenden H. Stättmleisters Von Bock wurde Erkand, wird implorirender Vogt pt° gesuchter auffnahm seiner Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß mit seinem begehren abgewießen. Deppi. H Rathh. Dr Ottmann, H. Rathh. Rondouin.

Le tuteur des trois enfants de François Certain vend par enchère la maison au boucher Jean Frédéric Pfeffinger

1758 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 235-v
H. Rath. Peter Pflug als vogt Frantz Certain des gewesten Zuckerbecken 3 kinder Johann, Peter und Salome der Certain
H. Johann Friedrich Pfeffinger des metzgers, versteigert
eine behausung, hoff, hoffstatt und garten samt allen deren übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zum Rehegarten genannt im Finckweiler einseit ein eck am allmend, anderseit neben Nicolaus Meÿer dem metzger, hinten theils Nicolaus Struwe dem Doctor garter theils die Königl. reithschuhl – als ein elterliches erbguth – um 1800 pfund

Fils du boucher du même nom et de Susanne Dorothée Beck, Jean Frédéric Pfeffinger épouse en 1743 Anne Barbe Pfeffinger, fille d’un autre boucher du nom de Jean Frédéric Pfeffinger : contrat de mariage, célébration
1743 (27.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1030
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und achtbahren Herrn Johann Friderich Pfeffinger, ledigem Metzger weÿland deß Ehrenvesten vndt wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Pfeffinger auch gewesenen Metzgers nun seel. mit der wiel ehren und wohl tugendbegabten fraun Susanna Dorothe gebohrner Beckhin Ehelich erzeugtem vnd nach tod verlaßenem Sohn, alß dem H. bräutigamb ane Einem,
sodann der wohl Ehren und tugendreÿchen Jungfraun Annæ Barbaræ Pfeffingerin des Ehrenvest vnd wohlvorachtbaren Herrn Johann Friderich Pfeffinger, ebenmäßigen Metzgers mit weÿland der Viel Ehren und tugendgezierten frauen Annæ Barbaræ gebohrner Keckin seel. Ehelich erziehlten vnd hinterlaßener Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern Theil
Actum in der Königlichen Statt Straßburg den 27. Martÿ als man Zalte 1743

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 174)
1743. Mittw. den 29. Maji sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H Johann Friderich Pfeffinger lediger Metzger u. burger allhier weÿl. H. Johann Friderich Pfeffinger burgers v. Metzgers allhier nachgelaßene ehel. Sohn v. Jgfr. Anna Barbara H. Friderich Pfeffinger burgers und Metzgers ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Fridrig Pfeffinger als hochzeiter, Anna Barbara Pfeffingerin als hochzeiterin (i 177)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Madeleine et Derrière les murs. Les apports du mari s’élèvent à 1 219 livres, ceux de la femme à 888 livres.
1743 (12. Xbris), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 44) n° 1282 [restitué, page abîmée] (1238)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so herr Johann [Friderich] Pfeffinger der Jüngere und der Viel Ehren und tugendbegabte frauen Anna Barbara gebohrner Pfeffingerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich deren In des Vermög Ihrer auffgerichteten Eheberedung Vor unverändert vorbehalten (…) Actum In der Königlichen Statt Straßburg in fernerer gegewart Frauen Susanna Dorothea gebohrner [-des] Ehemanns Eheleiblichen [-] und Herrn Johannes [-]gers deßelben annoch [ohnentledigten] Vogts, ferner herrn [-] Pfeffinger des ältern [-] der Ehefrauen Vatter und herrn Johann Friderich Kecken biersieders, derselben Curatoris, Donnerstags den 12.ten Decembris 1743.

In einer allhier Zue Straßburg theils ane der Ruthengaß und theils hinter den Mauren gelegenen behaußung sich befunden wie folgt
Series Rubricarum, deß Ehemanns Vermögen, Sa. haußraths 313, Sa. Rindvieh und schwein 200, Sa. Heu, Stroh und beßerung 20, Sa. Silbers 70, Sa. Goldener Ring 11, Sa. Baarschafft 133, Sa. Schulden 364, Summa summarum 1113 lb – Dazu gelegt die helffte ane den hernach beschriebenen haussteuren so macht 106, Solchemnach belaufft sich deß Ehemanns Samptlich in den Ehestand gebrachten unveränderten Vermögens auf 1219 lb
Der Ehefrauen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 318, Sa. Silbers 31, Sa. Goldener Ring 85, Sa. baarschafft 350, Summa summarum 782 lb – Darzu kombt die Ihro ane den hernach beschriebenen haussteuren gebührige helffte mit 106 lb, Der Ehefrauen Vermögen 888 lb

Anne Barbe Pfeffinger fait son testament au Faubourg Blanc dans la maison de sa grand-mère
1749 (5.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 290) n° 253
Codicillus Frauen Annæ Barbaræ Pfeffingerin geb. Pfeffingerin Johann Friedrich Pfeffingers des metzgers
persönlich erschienen seÿe die Ehren und tugendsame Frau Anna Barbara Pfeffingerin, Herrn Johann Friedrich Pfeffingers des metzgers und burgers allhier Zu Straßburg Eheliebstin, Zwar gesunden gehend und stehenden, ber dabeÿ hochschwangeren Leibes
(…) und wann auch wider verhoffen geschähe, daß die frau Codicillantin weder eheliche Kinder noch ihren liebeb Vattern nach tod verlißen, so will dieselbe anerwogen ihr geliebter Ehemann als dann ihre völlige verlaßenschafft Zeit lebens Zugenießen haben
beschehen allhier zu Straßburg und einer daselbst ane der Weißenthurnstraß liegenden Frauen Keckin der Frauen Codicillantin frauen Großmutter Zugehörigen behausung, deren obern von vorbemeldeten beeden Ehepersonen bewohnenden Stocks Stuben mit denen fenstern in die Straß außsehen auff Donnerstag den 13. Novembris Anno 1749

Anne Barbe Pfeffinger meurt en 1749 en délaissant pour héritier son père. La masse propre au veuf est de 2 079 livres, celle propre à l’héritier de 591 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 227 livres, le passif à 2 561 livres
1750 (16.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 252) n° 429
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die viel Ehren: und Tugendbegabte Fr. Anna Barbara geb. Pfeffingerin, des Ehrenvest v. vorachtbaren H. Johann Friderich Pfeffingers des jüngern Metzgers v. burgers allhier Zu Straßb. gewesene Fr. Eheliebstin seel. nach ihrem den 18.ten Xbr des letztabgewichenen 1749.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. ableiben, Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundl. Ansuchen Erfordern v. begehren des Wohl Ehrenvesten v. Wohlborachtbaren H. Johann Friderich Pfeffingers, des ältern ebenmäßigen Metzgers v. burgers allhier, der verstorbenen seel. leibl. lieben Vatters, und deroselben alldieweilen Sie ohne ehelich erzeugte Kinder dießes Zeitliche gesegnet, ab intestato ncah tod verlaßenen Erbens fleißig inventirt (…) So geschehen alhier in der Königl. Stadt Straßburg auf Donnerstag d. 16.ten tag des Monats Aprilis A° 1750.
Copia der Eheberedung
Copia der verstorbenen Fr. seel. errichteten Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraß gelegenen Keckischer Frauen Wittib eigenthümlich gehörigen behaußung folgendermaßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der obern vordern Cammer, In der Knecht Cammer, In der Magd Cammer, In der mittlerin vordern Cammer, In der vordern obern Stub, In deren Kuchen, Im obern haußöhren, In der untern Wohnstub, In deren Kuchen, Im Keller
Ergäntzung des Wittibers manglenden ohnveränderten Guths, Vermög der über beeder Eingangs gemeldeter nun zertrennter Eheleuth einander in die Ehe gebrachte Nahrung durch H Joh: Jacob Ölinger Not. publ. jur. et pract. allh. auffgerichteten Inv. den A° 1743
Wÿdumbs Verfangenschaft welche Fr. Susanna Pfefingerin geb. Fruthin wittib Zeit lebens geneußt (…) dißortige Fr. Großmutter vätterl. seithen
Wÿdumbs Verfangenschaft welche Frau Margaretha Keckin gebohrne Heÿdelin zeit lebens Zu genießen hat, Nehml. vermög der zwischen weÿl. H Michael Kecken dem geweßenen bierbraueren Zum goldenen Hirsch burgern allh. nunmehr seel. (…) der verstorbenenn Groß Eltern
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers Vermögen, Sa. haußraths 78, Sa. Silbergeschmeids 31, Sa. goldene ring, kett v. dgl. geschmeids 76, Sa. baarschafft 22, Sa. Eigenthumb an einem Ar Reben 54, Sa. Ergäntzung (2511, Abgang 416, Rest) 2095, Summa summarum 2357 lb – Schulden 277, Nach deren Abzug 2079 lb
Des Erben guth, Sa. haußraths 85, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. goldenen rings 8 ß, Sa. baarschafft 26, Sa. Ergäntzung (468, Abgang 2,Rest) 466, Summa summarum 591 lb
Die theilbare Nahrung, Sa. haußraths 118, Sa. weins v meeren faßes 33, Sa. Pferds 24, Sa. Viehes 95, Sa. Häuth 101, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. gold. Rings 1, Sa. baarschafft 451, Sa. Schulden 1397, Summa summarum 2227 lb – Schulden 2561, Theilbar Passiv rest 333 lb
Stall Summa 2336 lb
Eigenthum ane Häußern. Erst. die Helffte von und ane einer behaußung hinter St. Niclaus Kirchen

Jean Frédéric Pfeffinger se remarie en 1752 avec Marie Marguerite Knoderer, fille du marchand Jean Charles Knoderer, de Westhoffen : contrat de mariage, célébration
1752 (15.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 294
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvesten und Wohlvorachtbaren H. Joh: Friederich Pfeffingern, dem Wittwern metzgern und b. allhier Zu Str. als dem H. Hochzeitern ane Einem
sodann der viel Ehren und Tugendgezierten Jungfr. Maria Margaretha Knodererin, des Wohl Ehrbarn und Großachtbaren herrn Johann Carl Knoderers, vornehmen handelsmanns und der viel Ehren und tugendreichen Fr. Margarethæ geb. Karcherin beeder Ehepersonen und b. Zu Westhoffen, hochfürstl. Heßen Hanauischer Herrschafft ehel. erzeugter Jgfr. Tochter als der Jungfr. Hochzeiterin am andern theil
Das zwischen inngemeldten hochzeit, nunmahlen aber Eheleuthe Sub Signatura privata errichtete original (…) Von H Notario Dautel dem Jüngern als beÿsitzer seines H Vatters seel. Notariats acten weilen noch Zur Zeit Kein Actus Depositionis darüber gahalten worden noch werden solle (…) Straßburg den 15. Septembris 1783

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 115-v n° 2)
1752. Mittw. den 19. Jan. 1752. seÿnd nach Zweÿmahl Vorhergeschehener Proclamation in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu St Nicolai in den Stand der H Ehe eingesegnet worden H Johann Friderich Pfeffinger, Metzger und burger allhie wittwer und Jungfr. Maria Margaretha Knodererin H Johann Carl Knoderer des Handelsmanns und Gerichtsschöffens Zu Westhoffen eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Pfeffinger als Hochzeiter, Maria Margaretha Knoderin als hochzeitterin (i 118)

Marie Marguerite Knoderer devient bourgeoise deux mois après son mariage
1752, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 485
fr. maria margaretha Knodererin Von westhoffen gebürtig erhalt das burgerrecht von Ihrem Ehemann Johann friederich Pfeffinger dem burger und metzger umb den alten burgerschilling und will dienen beÿ E E Zunfft Zur blum juravit d 13. Martÿ 1752.

Jean Frédéric Pfeffinger loue le jardin et un logement au jardinier Adam Mattern et à sa femme Catherine Bierel, manants

1760 (18.1.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 971) n° 43 (1° série)
persönlich kommen und erschienen der Ehren achtbare herr Johann Friedrich Pfeffinger, Metzger und burger allhie, anzeigend, wie daß er miterschienenen
Adam Matthern dem Gartenmann und Frauen Catharinä gebohrner Bierelin beeden Eheleuthen und Schirmern allhier [unterzeichnet] Aadam Madtern, Fr. Cat. geb. bierlerin Zeichen +
seinen an seiner Wohnbehausung nahe beÿ dem Stifft S Marx liegenden Garten beneben einer Wohnung, bestehend in einer Stub, zweÿen Cammern und einem Gewölb von Martini 1759 biß dahien 1760 vor und um einen jährlichen zinß der 70 gulden
Actum Straßburg d. 18. Januarii Anno 1760.

Jean Frédéric Pfeffinger et Marie Marguerite Knoderer hypothèquennt la maison au profit du capitaine d’infanterie Philippe Jacques Joham de Mundolsheim

1777 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 189
H. Johann Friedrich Pfeffinger der metzger und Maria Margaretha geb. Knodererin unter assistentz Johann Leonhard Rinck des glaßers und Georg Friedrich Walter des maurer meisters
in gegensein weÿl. ST. Johann Reinhard Dietrich freÿherr von Buch subtitutionis verlaßenschaft nahmens deren der freÿwohlgeborne Philipp Jacob Freÿh. Joham von Mundolßheim, hauptmann unter dem löbl. Infanterie regiment royal alsace, als universal erb und auf substitution graviter nutznießer, ferner H. Johann Daniel Ensfelder notarii publici ac practici als gerichtlich bestellten substitutions curatoris – schuldig seÿen 200 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane dem Finckweiler, einseit neben der Reitschuhl, anderseit neben den Meÿerischen erben, hinten auff besagte reith schuhl

Inventaire (non conservé) dressé en 1798 après la mort de Jean Frédéric Pfeffinger en 1798 et de Marie Marguerite Knoderer en 1794

1798 (14 thermidor 6), Strasbourg, Not. Greis (minute en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Pfeffinger décédé le 26 pluviose dernier et de Marie Marguerite Knoderer décédée le 15 germinal 2
Enregistrement, acp 62 F° 107 du 17 ther 6

Acte de décès de Jean Frédéric Pfeffinger
Décès, Strasbourg (n° 489)
Cejourd’hui 27° Pluviôse l’an six de la République française une et indivisible (…) que Jean Frédéric Pfeffinger agé de 76 ans, Boucher, né en cette Commune fils légitime de feu Jean Frédéric Pfeffinger, Boucher et de feüe Susanne Dorothée Beck, veuf de Marguerite Knoderer est mort hier 26 puviôse à huit heures du soir en sa demeure située à la pomme de Pin sur la place d’armes [in margine :] vieillesse (i 125)

Compte que rend Georges Daniel Widt de la tutelle des enfants Pfeffinger
1799 (25 thermidor 7), Strasbourg 9 (anc. cote 6), Not. Dinckel n° 322
Rechnung Inhaltend all das jenige was b. Georg Daniel Widt handelsmann dahier Namens weÿl. b. Johann Friedrich Pfeffinger gewesenen Metzgers dahier hinterlassenen samtlicher Erben (…) mit deßen auch verstorbenen Ehegattin weÿl. b. Maria Margaretha Knoderer hinterlassenen liquiden Vermögens seit besagten 3. frimair jüngst biß den 19. thermidor nachgehends
Einnahm, Erst. den 27. vent. 7 gienge auf b. diefenbach metzger dahier der auf den 27. pluvios vorhin vor ein Jahr verfallene schudlige banckzins ein mit 340
Item zalte b. Milius den 23. ger. 7 den vierteljährigen hauszinns vom Tanzapffen auf d. 1 Mess. 7 verfallen zu voraus 600

Les cinq héritiers Pfeffinger vendent la maison dite zum Rehgarten (au jardin du chevreuil) au boucher Georges Freysz en confirmation d’une adjudication faite le 24 messidor précédent devant le juge de paix du deuxième canton, confirmée le 29 par le tribunal civil

1798 (19 thermidor 6), Strasbourg 4 (14), Not. Greis n° 1466 Altes N° 828
erschienen persönlich 1° die burgerin Maria Salome geborne Pfeffinger, burgers Georg Heinrich Leicht des Metzgers Ehefrau, beiständlich desselben, 2° burgerin Maria Barbara geborne Pfeffinger, weiland burgers Rudolph Friderich Ferber, gewesenen Rechtsgelehrten alhier Wittib, ihrer Rechte selbst geniesend, 3° burger Johann Friderich Pfeffinger, Metzger, 4° burger Georg Daniel Widt der Handelsmann als ernant und beeidigter Vormund weiland der Burgerin Susanna Dorote geb. Pfeffinger mit burger Abraham Leicht dem Metzger, dero hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt hinterlassener vier Kinder, mit Namen Georg Heinrich, Maria Salome, Johann Abraham und Luise Carolina derer Leicht, so dann 5° burgerin Margareta Elisabet geborne Pfeffinger, burgers Abraham Eichborn, des Metzgers Ehefrau, unter dessen Verbeiständung, samtliche fünff weiland burgers Johann Friderich Pfeffinger gewesenen Metzgers und auch weiland burgerin Maria Margareta geb. Knoderer beider gewesener Eheleute und Inwoner alhier ehelich erzielte Kinder und respective der einen verstorbenen Tochter mit vorgenannt dero Wittiber ehelich erzeugte auch vorerwänte vier Kinder als Enkel, allesamt Zu fünff gleichen Theilen verlassene Erben ab intestato und Inwonere hieselbsten, diese haben insgesamt
in beiseÿn burgers Georg Freÿß, des Metzgers und hiesigen Inwohners freÿ und offentlich angezeigt und bekannt (…) auf die durch Gutachten der bei dem Friedensrichter des alhiesigen Zweiten Gerichts bezircks versammelt gewesener Verwandten und Freunde am 12. Ventose jüngst erhaltene Autorisation, so am 19. ejusdem beim Civil Tribunal des departements Niederrhein alhier resideirend homologirt und behörig enregistrier worden, nach vorhergegangenen bei dem Friedensrichter des alhiesigen dritten Gerichts Bezirks vorgenommenen Neunmaligen offentlichen Versteigerungen (…) verkaufft und zu kauffen gegeben (…)
benantlich Eine enen fünff vorerwänten Pfeffingerischen Kinderen und Enkeln als respective Elter- und Großelterlich Erb Zu gleichen Theilen eigenthümlich angefallene, allhier Zu Straßburg ane der Marxgaß gelegene mit N° 4 bezeichnete behaußung, Zum Rehgarten genannt, samt Hoff, Hoffstatt, Bronnen, Stallung und einem etwa Zween Acker grosen Garten, ein seit ein Eck an einem nicht durchgehenden Gässel ander seit neben Burger Niclaus Meÿer, hinten auf die Struverische Erben und die ehemalige Reitschul stosend, so auser der jährlichen Grundsteur der Verkäufern Versicherung nach gegen männiglich frei, ledig eigen (…) vor und umb die bei dem Steig procès verbal am 19. Messidor jüngst gethane und am 24. ejusdem bei vorgehabter Neunten und letzten offentlichen Gerichtlichen Versteigerung, so bei dem Civil Tribunal des departements Niederrhein am 29. gesagten Monats Messidor jüngst confirmirt und am 12. gegenwärtigen Monats Thermodor enregistrirt
Geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst unten am Waffen Platz gelegenen in obgemeldte Pfeffinger(‘sche Verlaßenschafft gehörigen Zum Tannzapfen geschildeten behaußung, den 19. thermidor im 6. Jahr der einen und unzertrennlichen frantzösischen Republick

Originaire de Bischheim, le boucher Jean Georges Freysz achète le droit de bourgeoisie le 29 janvier 1774 : inscription et registre des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 96-v
Johann Georg Freÿß d. ledige Metzger von Bischheim am Saum gebürtig erhalt das burger recht um den Neuen burger schilling, will dienen beÿ EE Zunft Zur Blum, Jur. eod. [29. Januarÿ 1774]

p. 31 (VI 286 bis) Joh: Georg Freÿß der ledige Metzger Zu bischheim am Saum weÿl. Georg Freÿß b. u. ackersmanns daselbst ehel. sohn.
durch vorgelegter schein erweißet er die Ehel. geburt aug. conf. bepflichtet, die gewohnliche stadt stall caution geleistet, u. beÿ E. E. Zunfft der Metzger des Zunft rechts vertrsotet word.
500 fl. baaren geldt hat Er vorgewiß. deß Eigenth. mit Eÿd erhärtet auch 100 fl. 5 ß beym b. Prot deponirt
Impl. bittet E. G. unterthänig ihn um d. N. b. ß das b recht gnadigst zuv. trösten
Receptus um d. B. b. ß

Jean Georges Freysz épouse Marguerite Simon, fille du tanneur Jean Adam Simon de Barr : contrat de mariage, célébration
1774 (11. 9.bris), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) n° 149
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Georg Freiß, der leedige Metzger und burger allhier Zu Straßburg weiland H Johann Georg Freiß, des gewesenen Weis becken zu Bischheim am Saum mit auch weiland Fr. Catharinæ geb. Metzgerin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Margaretha Simonin H. Johann Adam Simon zu Barr mit auch weiland Fr. Catharina geb. Hefftstetterin ehelich erzeugt annoch minderjährige Tochter, als hochzeiterin ane dem andern theil
auff Freÿtag den 11. Novembris Anno 1774 [unterzeichnet] Johann Georg freÿß als hochzeiter, Margaretha Simonin als Junfer hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 81-v)
Im Jahr 1774 Dienstags den 22. Novembris Nachmittags nach vier Uhr sind (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Georg Freÿß der leedige Metzger und burger allhier, weÿland Johann Georg Freÿß gewesenen weißbecken und burgers Zu Bischoffsheim am Saum und auch weÿland Catharinä gebohrner Metzgerin nachgelaßener ehelicher Sohn und Margaretha Simonin von Barr gebürtig, weÿland Johann Adam Simons geweßenen Rothgerbers und burgers Zu Barr und auch weÿland Catharinæ gebohrner Helmstätterin nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] H. Georg freÿß als hochzeiter Margaretha Simonin als hochzeiterin (i 134)

Marguerite Simon devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage : inscription et registre des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 120
Margaretha Simonin von barr gebürtig erhaltet das burgerrecht von ihem Ehemann Johann Georg Freÿß dem Metzger und burger allhier umb den alten Burger schilling will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Blum. Prom. den 10. X.bris 1774.

p. 148 (VI 286 bis) Blum N° 11 d. 17. 9.br 1774.
Jgf. Margaretha Simonin Von Barr geb. weÿl. adam Simon des gew. b. u. Rothgerbers daselbst ehel. Tochter Verlobt an Joh: Georg Freÿß d. Metzger u. b. alhie, die Schein geben an die ehel. geb. aug. conf. deßen Sponsi stall gebühr in richtigkeit
Vermög Zweÿ passirten obligation vor dem ambtschreiber des ambts Barr beweist sie ihr Vermögenschafft so über 300 fl. betrifft deßen wahren u. ohnveränd. Eigenthumb sie mit einer Handtreu bekräfftiget durch 100 fl. 5 ß beÿm b. Prot. deponirt
Impl. bittet E. G. unterthänig sie a Sponso um d. a. b. ß des b rechts zuvertröst.
a sponso um d. a. b. sch

Marguerite Simon meurt en 1785 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue Saint-Marc, sans doute la maison Weiler dans laquelle la défunte a fait son testament. La masse propre à l’héritier est de 2 877 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 520 livres, le passif à 3 428 livres.
1785 (6.12.), Not. Zimmer (6 E 41, 1435) n° 712
Inventarium über Weiland Fraun Margarethä Freÿsin geborner Simonin, Herrn Johann Georg Freÿß des Mezgers und Burgers dahier geweßener Ehegattin Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1785. – nach ihrem den 19.den Augusti Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie zeitlichen verlaßen hat (…) So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg den 6. Decembris Anno 1785.
Die Verstorbene Hat ab intestato Zu ihrem einigen Erben hinterlassen, benantlich Johann Georg Freÿß, so 6 Jahr alt, Ihr der Defunctæ mit dem hinterbliebenen Wittwer ehelich Erzeugten Söhnlein, deßen geordnet und geschworener Vogt ist Johann Friderich Kreuchel der Metzger und burger alhier

In einer alhier ane dem Marx Gäßlein im Finckweiler gelegenen hiehero gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane liegenden Güthern in dem Barrer Bann gelegen
(f° 8) Eigenthum ane einer Metzigbanck (…)
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschaft. Es haben zwar bede Zertrennte Eheleuthe der mit einander errichteten und vorher einverleibten Eheberedung §° 3.° derselben sich also verabredet und verglichen, daß das von beden theilen in die Ehe bringende und während derselben ererbende Vermögen, jedem theil und seiner Erben ein freÿ eigen und unverändert Guth seÿn (…) Wie aber der hinterbliebene Wittiber hiebeÿ anzeigte so wäre über ihr bederseitiges zubehöriges Vermögen kein Inventarium errichtet worden
(f° 7) Ergäntzung des Kinds und Erben abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Extractus aus Johannes Dietz des Zingießers Zu Barr ihr der verstorbenenen Frau Freÿßin geschwornen geordneten Vogts abgelegter, approbirter und unterschriebener Rechnung (…)
(f° 12-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der vor mir Notario und Zeugen den 11. Novembris 1774 zwischen beden nun Zertrennten Eheleuten auffgerichteten Eheberedung
Copia der Verstorbenen vor mir Notario den 15. Augusti 1785. errichteten Codicilli
Des Erben unveränderten Guths, Sa. Kleidung und weisen Gezeugs 44, Sa. Silbers 6, Sa. golener Ring und dergleichen Geschmeids 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 850, Sa. Eigenthumb ahe liegenden Güthern 77, Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzung 2353, Summa summarum 3377 lb – Schuld 500, Nach deren Abzug 2877 lb
Diesemnach wird auch sowol des Wittibers unverändert als theilbar Guth unter einem Titul als in des Wittibers Nahrung gehörig beschrieben, maßen des Kinds und Erben geordneter Vogt auf die theilbare Mass gäntzlich Verzug thut, Sa. haußraths 69, Sa. Brandweins 225, Sa. Silbers 18 ß, Sa. Eigenthums ane einer Metzigbanck 375, Sa. Schulden 850, Summa summarum 1520 lb – Schulden 3428 lb, In Vergleichung 1908 lb
Stall Summ 869 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Freÿtags den 11. Novembris Anno 1774, Zimmer Nots.
Copia Codicilli nuncupativi (…) So geschehen alhier zu Straßburg in einer in dem Finckweiler an dem Marxgäßlein gelegene, Herrn Weiler Zuständigen behausung und dem auf dem zweÿten Stock derselben sich befindlichen Wohnstub mit denen Fenstern an gedachtes Gäßlein aussehend (…) den 18. Augusti Anno 1785, Zimmer, Nots.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 1 700 florins
1786 (20. Martii), Livres de la Taille (VII 1181) f° 26-v
Blum N° 725 – Weÿland Fr: Margarethä gebohrner Simonin, Joh: Georg Freÿß des Metzgers und Burgers alhier gewesener Ehefr: Verlaßenschaft inventirt H. Not. Zimmer. Concl: fin: Inv: ist fol: 84.b, 869 lb 11 ß 7 d die machen 1700 fl. verstallte 1000 fl. also Zuwenig 700 fl.
Wovon Nachtrag, als von in die Ehe gebrachtem Gut, Acht Jahr in duplo à 2 lb 2 ß d – 16 lb 16 ß
und Sechs Jar in simplo à 1 lb 1 ß – 6 lb 6 ß
Ext. Stallgelt pro 1786 – 2 lb 17 ß
Gebott – 2 ß 6 d
Abhandlung – 2 lb 9 ß – Summa 28 lb 10 ß 6 d
Auf fürgebrachte triftige motiven ist ane dem samtlichen Nachtrag die Helfte nachgelaßen worden mit 11 lb – Rest 16 lb 19 ß 6 d
dt. 26. Martii 1786.

Jean Georges Freysz se remarie en 1786 avec Marie Marguerite Rœsch, veuve du boulanger Isaac Schiff : contrat de mariage, célébration
1786 (17.8.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 13
Eheberedung – erschienen der Ehrengeachte Hr Johann Georg Freiß verwittibter Burger und Metzger dahier, als Hochzeiter ane einem
Sodann die Ehren und tugendbegabte Frau Maria Margaretha Schiffin geborne Röschin, weil. H. Isaac Schiff, gewesenen Burgers und Schwartzbecken auch dahier nachgelaßene Frau Wittib, beiständlich H Lorentz Blind, Burgers und Huefschmids auch Mitschöffen auf E. E. Zunfft der Schmidt ihres Vettern, als hochzeiterin am andern Theil
So geschehen (…) Straßburg den 17. Augusti 1786. Johann Georg Freÿß alß hochzeiter, Maria Margaretha schiffin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 130 n° 23)
1786. den 28. Augusti sind nach ordentl. geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicol. ehel. eingesegnett word. H Johann Georg Freÿß der Metzger und Burger allh. weil. Fr. Margaretha gebohrner Simonin nachgelaßener Wittiber, und Fr. Maria Margaretha geborne Röschin weil. Johann Isaac Schiff gewesenen Schwartzbecken u. burgers allh. nachgelaßene Wittib wie solches bezeugen [unterzeichnet] Joh: Georg Freÿß als hochzeitter, Maria Margaretha schiffin als hochzeiterin (i 135, proclamation Temple-Neuf f° 222 i 223)

Fils de boulanger, Isaac Schiff épouse en 1785 Marie Marguerite Rœsch, fille du tanneur Jean Michel Rœsch de Barr : contrat de mariage, célébration
1785 (7.2.), Not. Schaaff (6 E 41, 919)
Eheberedung – erschienen der Ehrsam und bescheidene Hr Isaac Schiff, lediger burger und Beckenmeister dahier zu Straßburg, weil. H. Johann Niclaus Schiff, gewesenen auch Schwartzbecken und burgers hieselst mit längst weil. Catharinä Margarethä gebohrner Kochin ehelich erzeugt nach tod hinterlassener großjähriger Sohn, als hochzeiter ane Einem
So dann die Ehr: und Tugendsameen Jungfrau Maria Margaretha Röschinn weil. H. Johann Michael Rösch, gewesenen Burgers und Rothgerber Zu Barr mit auch weiland Fr. Mariä gebohrner Dietzin ehelich erziehlt nachgelaßene majorenne Tochter, beiständlichen H. Andreas Dietz des auch burgers und Rothgerbers zu ermelten Barr Ihres würcklich alhier sich befindenden annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeitein am andern Theil
Straßburg Montags den 7. Februarÿ Anno 1785 [unterzeichnet] Johann Isaac Schiff als Hochzeiter, Maria Margaretha Röschin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 109 n° 14)
1785. Montag den 18. Aprilis sind nach ordentlich geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Isaac Schiff der ledige becker und burger allhier, weÿland Niclaus Schiff geweßten beckers und burgers allhier mit weÿland Frau Maria Margaretha gebohrner Kochin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Maria Margaretha Röschin weÿland Johann Michael Rösch geweßenen Rothgerbers und burgers in Barr mit Frau Maria gebohrner Dietzin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Isaad Schiff als Hochzeiter, Maria Margaretha Röschin als Hochzeiterin (i 113)

Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Jacques Kammerer

1813 (2.3.), Strasbourg 3 (36), Not. Übersaal n° 1291, 6333
Inventaire de la succession de Jean Jacques Kammerer boulanger, à la requête de Marie Madeleine Michel la veuve et 1. Jean Jacques Kammerer horloger, 2. Jean Michel Kammerer boulanger 32 ans, absent depuis environ 6 ans duquel on n’a aucune connnaissance où il se trouve, en son nom M° Chrétien Geoffroi Bossenius, notaire impérial, 3. Marie Madeleine Kammerer épouse de Jean Frédéric Glock, sacristain de l’Eglise de St Pierre le Vieux de la confession d’Augsbourg, 4. Marie Caroline Kammerer épouse de Léonard Laurent Haertelmeyer boulanger, 6. Dorothée Frédérique Kammerer fille majeure – Contrat de mariage M° Dautel le 6 août 1778
dans une maison sise en cette ville rue St Marc n° 4 appartenant à la veuve du Sr Freÿss
propres de la veuve 2445 fr – propres des enfants, meubles 45 fr
propriété d’une maison apportée en mariage par le défunt, sçavoir une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Veau n° 14, d’un côté la maison de la famille Loewenhaupt, d’autre celle du Sr Keller derrière brasserie à l’enseigne de l’Espérance – évaluée à 400 fr de revenu en capital 8000 fr, cédée au défunt par sa mère à l’art. 7 du Contrat de mariage – Dans l’inventaire des apports, il est dit que la propriété est constatée par acte de la Chambre des subhastations du 28 février 1771
total 8045 fr, passif 696 fr, reste 1176 fr, remploi, les héritiers doivent tenir compte à la succession de 2721 fr
communauté, meubles 207 fr, argenterie 18 fr, dettes actives 2721 fr, total général 2946 fr, passif 4548 fr
Enregistrement, acp 121 F° 169 du 3.3.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marguerite Salomé Strub femme du charpentier Chrétien Erdmann Laad

1815 (18.10.), Strasbourg 8 (12), Not. Roessel n° 2730
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Laad née Strub, décédée le 20 avril dernier – à la requête de Chrétien Erdmann Laad charpentier le veuf père et tuteur légal des quatre enfants procrés avec la défunte nommés Marguerite Salomé âgée de 7 à 8 ans, Georges Chrétien âgé de près de 7 ans, Marie Madeleine passés 5 ans, Frédérique Aldegonde près de 3 ans – en présence de Jacques Ohl ouvrier en tabac subrogé tuteur – mariés en 1806 sans contrat de mariage
dans une maison rue St Marc n° 4 appartenant au Sr Freys boucher
actif 3893 fr, passif 2650 fr
enreg. f° 193 du 19.10.

Lors de la liquidation, la moitié de la maison revient à la veuve, l’autre moitié appartenant à son fils Jean Georges Freysz

1834 (7.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 66), M° Hickel n° 1706
Liquidation et Partage – 1. Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freisz, boucher décédé le 29 juin 1799, 2. Jean Georges Freisz, boucher, 3. Jean Freisz, boucher
Contrat de mariage dressé par M° Schaaff notaire à Strasbourg le 17 août 1886, Partage, inventaire et liquidation s.s.p. le 1 février 1811 déposé au rang des actes de M° Bossenius le 21 février 1811, sont restés indivis 1. une maison sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 de la communauté, 2. un étal de boucher aux Grandes Boucheries n° 41 de la succession de M Freisz
la veuve : la moitié de maison art. 1 de la masse active
lot de Jean Georges Freisz fils la moitié de l’étal de boucher, 800 fr, la moitié de maison
lot de Jean Freisz, boucher, l’autre moitié de l’étal de boucher
Communauté, masse active 1. une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le harras royal et la propriété de M. Ott, évaluée à la somme de 24.000 francs. Acquise par adjudication des héritiers Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et de Susanne Marguerite Knoderer suivant adjudication définitive et déclaration de command devant le juge de Paix du troisième arrondissement de la ville le 24 messidor 6, homologué par jugement du Tribunal Civil le 29 même mois et acte reçu Greiss ;notaire le 19 thermidor 6, confirmée – la quatrième portion de maison de la communauté
Succession, 2. un étal de boucher situé à Strasbourg dans les Grandes Boucheries n° 41 pour 1 600 fr – acquis de Jean Valentin Schneegans, boucher, à la Chambre des Contrats le 22 janvier 1778
passif 4089 fr ; succession de M Freisz ; succession, total 11.596 fr, passif 11.554 fr
Enregistrement, acp 223 F° 147 du 12.3.

Accord entre les héritiers Freysz et leur voisin le boucher Jean Daniel Grœtzinger relatif à des ouvertures dans le mur mitoyen

1835 (24.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), M° Hickel n° 5007
Transaction – Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freysz, boucher, assistée de Jean Freysz son fils boucher ; et Jean Georges Freysz fils boucher
Jean Daniel Groetzinger, boucher, et Dorothée Schär
aux termes d’un partage devant M° Hickel le 7 mars 1834, Mde Freysz et M Freysz sont propriétaires par indivis de la moitié d’une maison avec jardin, autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4, d’un côté celle des conjoints Groetzinger, de l’autre le cul de sac St Marc
Qu’il y a environ 24 ans que la veuve Freysz a permis par pure tolérance à l’ancien propriétaire de la maison contiguë à l’immeuble ci dessus indiqué et situé en ladite ville même rue n° 3 qui appartient aujourd’hui aux conjoints Groetzinger de pratiquer dans le mur mitoyen qui sépare les propriétés des parties deux croisées éclairant le premier étage de l’un des bâtiments ds conjoints Groetzinger et donnant vers le jardin dépendant de la maison n° 4. Que les propriétaires de cette dernière maison pour consever leurs droits au sujet de la tolérance dont il s’agit ont réclamé à plusieurs reprises soit des conjoints Groetzinger soit des précédents propriétaires de la maison n° 3 une reconnaissance écrite constatant les droits des premiers et portant l’engagement formel de la part des propriétaires de ce dernier immeuble de faire disparaitre et murer à leurs frais et à première réquisition les croisées en question sans pouvoir prétendre par la suite à une servitude. Les parties n’ayant pas pu se concilier ont été envoyées devant le juge compétent (…) procès verbal de non conciliation devant le Juge de Paix le 27 janvier dernier. Pour éviter le procès, Lesdits conjoints Groetzinger ont déclaré et reconnu que c’est par pure tolérance de la part de la veuve Freysz que les croisées dont il est question ci dessus ont été pratiquées dans le mur mitoyen qui sépare les propriétés ci dessus désignées.
Enfin les parties déclarent que tout ce que dessus est fait sans préjudice des droits des conjoints Groetzinger au sujet de deux ouvertures qui existent dans ledit mur mitoyen et dont l’une a 59 cm environ (22 pouces) de largeur et l’autre 70 cm (environ 19 pouces) de hauteur et 58 cm (environ 21 pouces et demi) munies d’un treillis de fer dont le mailles auront 1 décimètres (environ 3 pouces 8 lignes) d’ouverture au plus de largeur. Les parties étant convenues à cet égard que les propriétaires de la maison n° 3 pourront conserver ces ouvertures tant et aussi longtemps qu’ils jugeront à propos sauf à les tenir constamment grillées
Enregistrement, acp 230 F° 196-v du 28.3.

Marie Marguerite Rœsch veuve de Jean Georges Freysz vend sa moitié de maison à Anne Gourichon, religieuse de la maison du Bon Pasteur

1838 (27.12.), Strasbourg 2 (82), M° Tinchant n° 899
Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freysz père vivant boucher à Strasbourg
à Anne Gourichon dite en religion Marie de Ste Victoire, religieuse de la maison du Bon Pasteur à Strasbourg, caution François Xavier Mertian, propriétaire à Strasbourg
Objet de la vente, la moitié indivise d’une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances, dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 au Finckwiller, d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le terrain de l’administration du Haras et la propriété du Sr Ott
Propriété, à la venderesse suivant partage et liquidation entre elle et son mari défunt devant M° Hickel le 7 mars 1834, l’autre moitié à Jean Georges Freysz fils – Freysz père est devneu propriétaire par adjudication prononcée au profit du mari par les héritiers Jean Frédéric Pfeffinger, ci devant boucher et Suzanne Marguerite Knoderer, suivant adjudication et déclaration de command par le Juge de Paix du sixième arrondissement de la ville de Strasbourg le 24 messidor 6, homologué par jugement du tribunal de Strasbourg le 29 même mois, par acte reçu M° Greiss le 19 thermidor 6 la vente a été confirmée – enfin Sr Pfeffinger a acquis leit immeuble à la Chambre des Contrats sur les héritiers Certain le 8 août 1758 – moyennant 15.000 francs
Enregistrement, acp 264 F° 89 du 2.1.

Jean Georges Freysz, boucher, et Marie Dorothée Hæberlé vendent l’autre moitié de maison à la même

1838 (28.12.), Strasbourg 2 (82), M° Tinchant n° 901
Licitation – Jean Georges Freysz, boucher, et Marie Dorothée Haeberlé
à Anne Gourichon dite en religion Marie de Ste Victoire, religieuse de la maison du Bon Pasteur à Strasbourg, caution François Xavier Mertian, propriétaire à Strasbourg
Désignation de l’immeuble, la moitié indivise d’une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances, dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 au Finckwiller, d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le terrain de l’administration du Haras et la propriété du Sr Ott – Origine de la propriété, avenu au vendeur dans le partage des biens ayant appartenu à Jean Georges Freyss père, boucher, et Marguerite Roesch, par M° Hickel me 7 mars 1834, ladite Anne Gourichon est déjà propriétaire de l’autre moitié acquise de la veuve Freysz par acte devant le soussigné notaire le 27 du présent mois – moyennant 23.000 francs
Enregistrement, acp 265 F° du 4.1.

Anne Gourichon a acquis la maison avec les fonds de l’établissement du Bon Pasteur

1857 (14. 7.br), M° Noetinger
Notoriété constatant que 1) l’acquisition faite par Anne Gourichon religieuse du couvent de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur d’Angers sur Jean Georges Freysz, boucher à Strasbourg, d’une maison rue St Marc, par acte Tinchant Nre le 27. Xbr 1838
2) l’acquisition faite par Florence Baudin, supérieure dudit couvent sur Joseph Reussel* propriétaire à la Robertsau de 1 hectare de terre à la Robertsau par acte Noetinger Nre le 14 août 1846
3) l’acquisition faite par la même d’un hectare 23 ares à la Robertsau par acte Noetinger Nre le 11 février 1848
4) l’acquisition faite par la même d’une campagne à la Robertsau Noetinger 17 novembre 1846
5) acquisition campagne à la Robertsau 23. février 1857
que lesdites acquisitions ont été faites des deniers appartenant à l’établissement du dit Bon Pasteur
acp 463 (3 Q 30 178) f° 24-v du 21. 7.br

L’établissement du dit Bon Pasteur vend la maison à l’établissement des Diaconesses

1865 (21.12), M° Noetinger
Le 5 décembre 1865 – Dépôt du cahier des charges en date du 11 9.br 1865 enregistré aujourd’hui et d’un décret impérial autorisant la vente d’une maison rue St Marc N° 8
acp 548 (3 Q 30 263) f° 77-v du 11.12.
Le 21 décembre 1865. Adjudication définitive à la requête de Marie Louise Pigé, supérieure du refuge du Bon Pasteur à la Robertsau, en qualité de mandataire de Virginie Pellerin, supérieure de la Congrégation hospitalière [des Sœurs de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur] dont le siège se trouve à Angers
au profit de Frédéric Edouard Moeder, propriétaire à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue Saint Marc n° 8, moyennant 81.100 francs
Déclaration de command par ledit Sr Moeder, qu’il a enchéri ladite Maison pour le compte de la supérieure de l’Etablissement des Diaconesses. Ladite adjudication ne sera définitive qu’après l’autorisation du Gouvernement
acp 549 (3 Q 30 264) f° 17 du 22.12.

1866 (11.7.), M° Noetinger
Dépôt par le mandataire de Virginie Pellerin, supérieure de la Congrégation hospitalière et enseignante des Sœurs de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur à Angers, et par Frédérique Boeswilwald veuve d’Emanuel Traugott Bein, en qualité de membre du Comité d’administration de l’établissement des Diaconesses protestantes de Strasbourg
de la copie d’un décret impérial en date du 13 juin 1966 autorisant l’acquisition d’une maison rue Saint Marc N° 8 à Strasbourg et adjugé audt établissement suivant acte reçu Noetinger Nre le 21 décembre 1865 au prix de 81.100 francs
acp 555 (3 Q 30 270) f° 55 du 16.7.

Article sur le collège Lucie Berger



Livre des communaux (1587), transcription II


f° 324
Vff dem Wörd beÿ der gedeckten Prucken

Dietrich Ohlmann der Welsch Garttenmann hatt nebendts an seinem Haß vnd Gartten Vff dem Wördt beÿ der Obern gedeckhten Pruckhen, gegen dem Zoll hinüber am Wasser herab ein Landuesten, Darauff ein Allmend Pfad xxxvi+ schu lang, v+ schu herauß, Bessert & xvj ß d.

f° 324
Vff dem Wörd beÿ der gedeckten Prucken

Zacharias Dideco der Altt Würth Zum Gaist hatt obwendig an seimen Garten vf dem Wörd ein Hauß, da Niclaus Huler der Vischer Innen sitzt, Vndt hatt daran ein Allmendt xxix schu lang, xx schu breit, mit brettern Inge Zeünt, Darbeÿ ein Profeÿ iij schu breit, iij schu vf das Wasser hienauß, Bessert darfür ij kb. xiiij ß d.

Vnd hatt daselbs am Wasser ein Hauffen aÿchin borten vff dem Allmendt ligen xviij schu lang, ix schu breit, Bessert für die dielen 4 ß d.

f° 324-v
Vff dem Wörd beÿ der gedeckten Prucken

Derselb Zacharias Dideco, hatt daselbs aber ein Hauß, darinn etliche vnderschidliche Wohnungen, vnd hatt vf der seÿtten hienauff werts gegen der gedeckhten Pruckhen, Vndt den Thürnen Oben Inn d. Höhen einen Vsstoß xl+ schu lang, j schu herauß, Vff der Hinderen seÿtten gegen seinem Garten aber ein Vsstoß In gleicher Lenge, auch ein schu herauß, Vff der seitten des mittelsten Gießens gegen Finckhweÿler, Oben an demselben hauß ij Wettertächer Über einandern Das Vnderst xxxiiij, das Oberst xxv schu lang, Jedes iij schu herauß, Darunder vf dem Giessen Vnden ein Landuesten, Darinn ein Profeÿ begriffen, Lx schu lang, iiij schu herauß, Mehr auch auff der seÿtten gegen dem Andern Gießen vnd dem Pflantzhoff hienüber ahne berüertem Hauß Zweÿ Wettertächer Über einander, da das Vnderst xxxiiij, Das Oberste xxv schu lang, Vnd Jedes iij schu herauß, Bessert für das Niessen ij lb. iiij ß d.

f° 324-v
Vff dem Wörd beÿ der gedeckten Prucken

Zacharias Dideco mehrgemeldt hatt auch oben am Eckh seines Gartens ein Sommerheußlin, Daran ein Kleinen Vsstoß xv schu lang, ii+ schu herauß, Vnd hatt vff dem Innersten Gießen gegen dem Pflantzhoff hienüber vff das Wasser hienauf An seim Gartten ein Hültzin Profeÿ iij schu breit, iii+ schu herauß, Vndt dann Vor der Thüeren vffs Wasser ein hültzinen Tritt iiij schu lang, xv Zoll breÿt, Bessert &, viij ß, iiij d.

Er hatt einen Altten Pergamentin Brieff gezeigt, vnder der Statt anhangendem Insigel, dessen datum vf Sanct Adolfs Abendt Anno & 1430. Weiset, das die Allmendt beÿ disem Garten ab Kaufft Jst, deren halben diser besserung erlassen, Vndt Ime solche widerumb hienauß geben, Auch beÿ der Vßgabe Inn die letste Rechnung gebracht worden.

Zuwißen, Dieweil auff donnerstag den 27. Nouembris Anno & 1595 Zacharias Dideco den Allmendt herrn allererst bericht gethan, Sich auch auf solchem bericht Inn dem Altten Allmendt buch de A° 1466. fol: 210.a befunden, das der hievor gemelte xxix schuhige Platz, Vor Clauß Hölers bewohnend. Hauß Vor Zeÿten ein Weÿher gewesen, der nunmehr Zugeworffen Vndt verschüttet Jst, Vndt aber Von der Statt für eigen ab Kaufft worden, Derenwegen so Haben die Allmendherren gedachtem Zacharie Diceco die bezalte beserung dauon, Nemblich 2 lb 6 ß d. widerumben erstattet vnd hienauß gegeben, auch solches In Rechnung gebracht.

f° 325
Vff dem Grün Zwischen der Prucken, So über den Güßen beim Pflantz hoff hinüber nach der Bocks oder Spitzmülin Zugehet

Diebold von Hÿbßheim der Vischer hatt daselbst Vor seinem Hauß hinden vff das Wasser ein Visch Archen xx schu lang, iiij schu herauß, Vndt ein Profeÿ Von holtz Werckh iiij vnd + schu breit, iij schu herauß, Bessert für das Niessen j lb. j ß. iiij d.

f° 325-v
Daselbs hinden vf dem Wördlin Oder Grün Zwischen beeden dem Blumen Vnd Dingsheim Mülin Gießen abgemeßen

Juncker Heinrich Prechter hatt Zo oberst an seinem Garten, Da er sich Zuspitzt, ein Profeÿ von holtzwerckh vff das Wasser, Nemblich den Blumengiessen hienaus gebawen, stehet vff aichinen Pfaëlen iiij schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen viij ß d.

f° 325-v
Beÿ der gedeckten Brucken gegen den Thürnen am Wasser Oder dem Obern Vischer gestadt Vnd daselbs vmb das Eckh hinumb nach vnserer Herrn Stall Zu, durch daß Finckweÿler Abhienn.

Claus Steiner der taglöhner hatt an seinem Hauß beÿ der gedeckten Bruckhen Vff der Allmendt stehen ein Schweinstall 5 schu 3 Zoll lang, 9 zoll breit herauß, Bessert & iij ß d.

f° 326
Beÿ der gedeckten Brucken gegen den Thürnen am Wasser Oder dem Obern Vischer gestadt Vnd daselbs vmb das Eckh hinumb nach vnserer Herrn Stall Zu, durch daß Finckweÿler Abhienn.

Hans Jacob Iringer der Vischer hatt ein Hauß am Eckh beÿ der gedeckten Pruckhen, gegen Vnserer Herrn Stall hinüber gelegen, daran ein Staucher vf 12 schu lang, j schu herauß, darüber Zweÿ Wettertächlin vber einand. Jedes xxiiij schu lang, i+ schu herauß, Mehr vf der seÿten gegen dem Stall hinüber ein Vsstoß xxvij schu lang, laufft oben am Ortt wider den thurn ii+ schu herauß, Vndt mit dem Vndern Ende Ins maur haupt, Daran ein Staucher xvij schu lang, j schu herauß, darüber noch ein wettertächlin xxvij schu lang, i+ schu breit, Vndt vor der Haußthüer Vnden ein besetzten Tritt vij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ix ß d.

Dergedacht Hans Jacob Iringer hatt auch ane disem Hauß hinden vff dem Gießen dreÿ Visch Archen, So gleich wol von Wasser gar Zerrissen seindt, so xxxiij schu lang, iij schu weit herauß, Im Gießen vff der Allmedt, Vndt hatt daselbst vff der Landtuesten ein hültzerin Profeÿ vff ij aichinen Pfosten iij schu breÿt, ij schu weÿt herauß, Bessert für das Nießen, j lb. iiij ß d.

f° 326
Beÿ der gedeckten Brucken gegen den Thürnen am Wasser Oder dem Obern Vischer gestadt Vnd daselbs vmb das Eckh hinumb nach vnserer Herrn Stall Zu, durch daß Finckweÿler Abhienn.

Wolff Ungarer der Mahler hatt neben disem ein Hauß, darinnen Vlrich Ammel der Vischer wohnet, so oben ein Vsstoß xxxj schu lang, i+ schu herauß, Mahr vor der Thüer ein besetzten Tritt vi+ schu lang, j schu herauß, Bessert für das Nießen, iij ß. viij d.

Und hatt hinden an demselben Hauß vff das Waßer Zwo Archen, so verrissen vndt Verfallen, Aber etliche Pfeel v,nd dielen dauon noch vorhanden, xxj schu lang, iij schu hienauß, vfs Wasser sampt einem Profeÿ, so darinn begriffen, Bessert für das Nießen, x lb. viij ß d.

f° 326-v
Beÿ der gedeckten Brucken gegen den Thürnen am Wasser Oder dem Obern Vischer gestadt Vnd daselbs vmb das Eckh hinumb nach vnserer Herrn Stall Zu, durch daß Finckweÿler Abhienn.

Hans Jacob Iringer der Vischer hatt auch ane seinem Hauß, darinn er selbs wohnhafft Ist, hinden vff dem Gießen Zwo Visch Archen, beede xx schu lang, ij schu herauß, ein Profeÿ iij schu breit, ij schu herauß, Vnd dann Zween Aichine Pfeel daruor herauß vff der Allmendt im wasser stehen, so er Zu seinem Steg braucht, Bessert für das Nießen, xvj ß. viij d

f° 326-v
Beÿ der gedeckten Brucken gegen den Thürnen am Wasser Oder dem Obern Vischer gestadt Vnd daselbs vmb das Eckh hinumb nach vnserer Herrn Stall Zu, durch daß Finckweÿler Abhienn.

Mathis Schurer der Gerber hatt ein Hauß, darinnen Peter Schneÿder der Leüfferpott wohnet, Vndt hinden daran vff dem Giessen Zwo Archen xxv= schu lang, iij schu herauß, Vnd ein Profeÿ vff einem Aichinen Pfaal iij schu breit v+ schu herauß, Bessert für das Nießen, j lb. iiij ß d

f° 327
Im Finckweÿler

Jacob Nagel der Vischer hatt hinden an seinem Hauß vff dem Giessen Zwo Archen xxiij schu lang, ij schu herauß, Daran ein Profeÿ iii+ schu breit iii+ schu für die Archen vfs wasser herauß, Bessert &, x ß. viij d

f° 327
Im Finckweÿler

Christoph Maÿer der Formenschneÿder hatt an seinem Hauß hinden vff dem Giessen ein Archen, Daran ein Profeÿ iii+ schu breit ij schu herauß, Zween Pfeel Im waß. darauff ein Steg & Bessert &, xiiij ß. viij d

f° 327
Im Finckweÿler

Hans Dürr der Vischer hatt ein Hauß hinden vnd hinden daran Vfs wasser ein Archen xxv= schu lang, am obern iij schu, Vnd dem Vndern ij schu herauß, Ein profeÿ vf dem Wasser iij schu breit ij schu herauß, Vndt dann Zween eichine Pfeel im wasser, so Er Zu einem Steg braucht & Bessert &, j lb d.

f° 327
Im Finckweÿler

Andres Erhardt der Würth zum Rothen Lewen hatt ein Hauß, darinnen Maria Thoman Hammann wittib sitzt, daran ein Staucher xiii+ schu lang, + schu herauß, sampt einem hültzinen Naach, ein Profeÿ hinden vff dem Gießen iii+ schu breit, ij schu herauß, Bessert &, vj ß. viij d.

f° 327-v
Im Finckweÿler

Michell Dürr der Vischer hatt vor seinem Hauß darinnen Georg Körber sitzt, ein besetzten Tritt v= schu lang, xxiij Zoll herauß, Hinden vff dem Gießen Zwo Archen beede mit einander xxij schu lang, ij schu herauß, Vndt ein Profeÿ iii+ schu breit, ii+ schu herauß, Bessert &, xiiij ß. iiij d.

f° 327-v
Im Finckweÿler

Darneben hatt Er aber an einem Hauß hinden vffs Wasser ein Profeÿ iii schu breit ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß d.

Derselb Michell Dürr hatt auch vor seinem Hauß, da Er selbs Innen wohnet ein lehenende Kellerthüer, vj schu breÿt, ij schu herauß, Vnndt hatt hinden vff dem Gießen dreÿ Visch Archen an einandern sampt einem Profeÿ darinnen begriffen xxxix schu lang, vii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ij lb. x ß. viij d.

f° 327-v
Im Finckweÿler

Hans Dürr der Vischer hatt hinden vff den Gießen ane seinem Hauß ein Visch Archen sampt einem Profeÿ xxxvj schu lang, vii+ schu herauß, Vndt hatt Im Wasser auch Zwen Aichine Pfeel stehen, so Er Zu einem Steeg braucht, Bessert für das Nießen, ij lb. v ß. d.
[in margine :] zeigt an seÿ ein hundert Järig Lehen von den Edlen Zornen vnd Künfftig A° 1601 Zu Ende.

f° 328
Im Finckweÿler

Burckhard Hanß hatt an seinem Hauß hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, viij d.

f° 328
Im Finckweÿler

Juncker Hanß Andres Wormbser hatt ein Hauß Im Finckhweÿler, da Hannß Berch* der Soldner Innen sitzt, daran ein Wettertächle xxvij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ij ß. viij d.

f° 328
Im Finckweÿler

Mang Negele der Schneider hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach, Bessert darfür viij d

f° 328
Im Finckweÿler

Georg Weÿler der Metzger hatt auch ein hültzinen Naach, Bessert für den Naach viij d

f° 328
Im Finckweÿler

Jacob Miltzen deß Soldners Wittwin hatt vor Irem Hauß dreÿ Eingefasste Räbstückh, Jeder iii+ schu lang, i+ schu herauß, Und ein hültzenen Naach, Bessert darfür vj ß. viij d

f° 328
Im Finckweÿler

Hanß Durban der Garttner hatt vff diser seÿten ein Eckhauß, darinnen Martin Matheß der Schloßer wohnt, Über der Thüer ein Wettertächle xij schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ij ß. viij d.

f° 328-v
Im Finckweÿler

Derselb Durbans Hanß hatt auch oben an seinem hauß Zur Ketten genant, darinnen Er selbs wohnet ein Wettertach xxx schu lang, ii+ schu herauß, Vndt hatt auch Vnden Vor demselben Hauß etliche stueckh alt Steinwerckh ligen, Bessert für das Wettertach. 4 ß d. Vnndt für die Stein vff der Allmendt 2 ß d. Thuttt vj ß d.

f° 328-v
Mülgäßlin

Hanß Raab der Müller in der Blumenmühlin, hatt Inn dem Mühlgaëßlin Über dem hindern Thor ein Wettertächle x= schu lang, i+ schu herauß & Bessert & j ß. iiij d.

f° 328-v
Mülgäßlin

Frantz Witz der Taglöhner oder Strawschneider hatt an seinem Hauß ein Schweinstall vii+ schu lang, v= schu heraus, Bessert für das Nießen, v ß d.

f° 328-v
Mülgäßlin

Diebold Feß der Kornmeßer hatt vff der Allmendt Ein IngeZeüntes Gärtlin viij schu lang, iiij schu herauß, Bessert für dise Nüeßung ij ß d.
[in margine :] Einen bestendigen Zinß darauff zuschlagen

f° 329
Vornen beÿ der Blumen Mülin

Hanß Raab der Mülller Vorgemeldt hatt vornen am Hauß beim Wasser gegen dem Lindenbaum hienauß, Ein lehenende Kellerthüeren vii+ schu breit, iij schu herauß, Mehr vor d. haußthüeren ein steinen Tritt v= schu lang, xxij zoll herauß, Darneben ein steines Benckhle v schu lang, i+ schu herauß, od. breit, Vndt Hatt auch vnder der Linden am wasser ein hütten mit dielen geteckht, vnd Zweÿen hültzinen Pfosten Darunder die Kärch stehen xxxix= schu lang, xvi+ schu von der Mauren herauß, Hatt auch vor der Mülin das Allmendt mit etlich Mülsteinen belegt, Bessert & v ß. viij d.

f° 329
Vornen beÿ der Blumen Mülin

Apolonia, Hansen Korners selligen hinderlassene Wittib vnd Erben, haben vor der Thüeren Ihres hauses Zwen gemaurter Tritt vj schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 329-v
Vornen beÿ der Blumen Mülin

Thomans Hanß der Wullinweber hatt ein Eckhauß so vff der seÿten gegen der Müelin ein vßgestoß. Kemmat iij schu lang, xx Zoll herauß, Item ein Vsstoß xxv+ schu lang iij schu herauß, Mehr vff der seÿten gegen dem Wasser aber ein Vsstoß xix schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Nießen, vij ß viij d.

f° 329-v
Vornen beÿ der Blumen Mülin

Sturmen Hanß genandt Hanß Waldtmann hatt neben disem ein Hauß, daran ein hültzener Naach, Bessert &, viij d

f° 329-v
Vornen beÿ der Blumen Mülin

Magister Jacob Stahel der Procurator an dem Gaistlichen Gericht, Ÿetzundt deßelben nachgelassene Wittwe vnd Erben haben oben an Irem Hauß so ein Eckh Ist gegen der Trenckhin nach Sanct Thomans Pruckhen Zu ein Staucher xj schu lang, j schu herauß, vnd ein hültzenen Naach, mehr vor der hineren Thüren deßelben Haußes ein steinen Tritt iij schu lang j schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß viij d.

f° 329-v
Vornen beÿ der Blumen Mülin

Paulus Fickher der Schaffner zu Sanct Barbara hatt ein hauß, dar inn Niemandts wohnet, vndt hatt Vor der hindern thüeren ein Geßle gegen Finckhweÿler ein steinen Tritt iij schu lang, ij schu herauß, Daßelb Hauß hatt auch vff der seÿten gegen der Ketten über einen Vsstoß xxxj schu lang, iij schu herauß, Mehr ligt Vor demselben Hauß vff der Andern seÿten Vornen gegen dem Wasser neben d. haußthüer ein steinerin Banckh oder sitz vij schu lang, xiiij Zoll herauß, Mehr oben am Hauß, Zweÿ wättertächlin vber einander Jedes xxviij schu lang, j schu herauß, Bessert für das Nießen, x ß d.

f° 330
Aber im Finckweÿler die ander seitten oben von Vnserer Herrn Stall herab gemeßen

der Stall Ist nit gemessen worden. &.

Christmann von Pfaffenhoffen der Metzger hatt Oben Vor den Fenstern an seinem Hauß ein Wettertach vi+ schu lang iiij schu ix Zoll herauß, Vndt ein Lehenende Kellerthüer vij schu breit iij schu herauß, Bessert & vj ß d.

f° 330
Aber im Finckweÿler die ander seitten oben von Vnserer Herrn Stall herab gemeßen

Georg Weinmann der Soldner hatt vnden vor seinem Hauß ein besetzten Stich x= schu lang, iii+ schu herauß, Bessert & j ß iiij d.

f° 330-v
Aber im Finckweÿler die ander seitten oben von Vnserer Herrn Stall herab gemeßen

Marx Platzer der Kübler hatt an seinem Hauß Zur Kogen genant vndt ein Eckhauß Jst, ein Vsstoß xxv schu lang, ij schu herauß, Item ein Laden v+ schu lang, ij schu iiij Zoll herauß, Mehr vff der Andernseÿten vmb das Eckh hienumb ein Vsstoß xxix schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß. viij d.

f° 330-v
Im Gaëßlin wann mann Zu dem Blater hauß hindern gehet

Lienhardt Haaß der Schneider hatt an seinem Hauß, darinn Hanß Josten des Seÿdenstickhers wittwin Wohnet ein Vsstoß xv= schu lang, xvj Zoll Herauß, Vndt In dem Zwerchgessel darneben aber ein Vsstoß xxiii+ schu lang, ix Zoll herauß, Bessert & ij ß. viij d.

f° 330-v
Im Gaßlin Zwärchs neben Disem das Deümel Gäßlin genandt

Herr Philips Möesinger der Fünffzehener hatt ein Hauß darinen wohnet Wolff Wÿdmann der Leinenweber, Vnndt vff der seÿthen In dem Deümelsgeßlin ein vßgestossen Kemmatt iij schu breit j schu herauß, Vndt ein Wasserstein so i+ schu vß der Mauren vff as allmendt herauß gehet, Bessert für das Nießen, j ß viij d.

f° 331
Aber in dem Gäßlin beÿm Blaterhauß

Friderich Rihel der Notarius hatt in disem Gaëßlin ein Hauß, so seines Schwehers Adolff Winters des Gartners gewesen Ist, Daran Zweÿ Wettertach Jedes xxix schu lang, ii+ schu herauß, Bessert & x ß. viij d

f° 331
Wider im Finckweÿler

Bleesin Staar der garttner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxvij schu lang, ii+ schu herauß, Daran ein Stauch. Ingleicher Lenge ix Zoll herauß, Vnden Vor der Thüer ein besetzten Tritt v= schu lang, j schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nießen, iij ß viij d.

Im beseits Gäßlin nach dem Lumbardts Hoff zu.

Derbemelt Blesin Staar hatt auch an demselben Hauß Im beseÿts gäßlin darneben ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, viij d.

f° 331-v
Im beseits Gäßlin nach dem Lumbardts Hoff zu.

Jacob Büchel der Fuhrmann hatt auch seinem Hauß ein hültzenen Naach, Darfür bessert Er, viij d.

f° 331-v
Im beseits Gäßlin nach dem Lumbardts Hoff zu.

Anna Hanßen von Ittenheim des Garttners seligen nachgelassene wittib, hatt an Irem Hauß ein vßgestossen Kemmat ij schu breit, j schu herauß, Vndt ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, j ß viij d.

f° 331-v
Im beseits Gäßlin nach dem Lumbardts Hoff zu.

Dieselb Wittwin Hatt vff der Andern seÿten diser Gaëßlins aber ein Hauß, da Jacob Müller der Kornwerffer Innen sitzt, Vndt hatt vor der hindern Thüer desselben Haußes ein steinern Tritt v= schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für den Tritt j ß d.

f° 331-v
Wider auß dem gemelten Gaëßlin im Finckweÿler

Die gedachte Anna Hanßen von Ittenheims selligen wittwe hatt ahne dem Hauß, darinn Jacob Müller der Kornwerffer wohnt, Vornen vsser dem Zwerchgäßlin am finckhweÿler einen Vsstoß xv schu lang und hatt am Eckh iij schu herauß, lufft mit dem Andern theil Ins Maurhaupt, Bessert &, j ß iiij d.

f° 332
Wider auß dem gemelten Gaëßlin im Finckweÿler

Hans Schmidt Von Eßlingen Gabriel Saurmanns dochtermann der Gartner hatt an seinem Hauß, ein Vsstoß xxj schu lang, Ane dem Vndern Ende iij schu herauß, Vnd dem obern ortt Ins Maurhaupt ziehend, Bessert für das Nießen, j ß iiij d.

f° 332
In dem beseits geßlin

Hans Georg Gerfalckh hatt ein hauß, darinn Martin Jäger der Schneÿder sitzt, Vndt hatt hinden In dem beseits gäßlin ein Vsstoß xviij schu lang, xiiij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß iiij d.

f° 332
In dem beseits geßlin

Hans Booß der Zimmermann hatt ein hauß, darinn Thoman Richshoffer der Küffer wohnet, daran In dem gemelten Beseitsgeßlin ein Vsstoß xxxj schu lang, An einem ortt ij schu, am Andern ij schu ix Zoll herauß, darüber ein Wettertach xxx schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, v ß iiij d.

Vornen auß in der Gaßen Beÿm Lumbardts Hoff.

Hans Booß der Zimmermann hatt an erst berürtem seinem Hauß do Thoman Richshoffer bewohnet, Vornen Vff d. seÿtten gegen dem Lumbardts hoff einen Vsstoß xxvij schuemacher am Eckh xxj Zoll, Vndt dem Andern ortt nach dem Blaterhauß zu iij schu herauß, Daran auch ein hültzner Nach so etwas Weit vff der Allmendt vom hauß herauß stehet, Bessert für das Nießen, iij ß iiij d.

f° 332-v
Vornen auß in der Gaßen Beÿm Lumbardts Hoff.

Mathis Betbür hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach, Bessert für den Naach, viij d.

f° 332-v
Vornen auß in der Gaßen Beÿm Lumbardts Hoff.

Hans Georg Gerfalckh hatt vornen in der Gassen gegen dem Lumbarts hoff über an seinem Hauß da Martin Jäger der Schneÿder Innen sitzt ein steinen Tritt Vor der Thüren iiij schu lang xiiij Zoll herauß, Oben ein Wettertächlin xxij schu lang, Vnd ij schu herauß, Bessert, iij ß viij d

f° 333
Vornen auß in der Gaßen Beÿm Lumbardts Hoff.

Jacob Klein der Grüebenschmeltzer hatt ein Hauß Inn dißer Gaß, daran ein offenen Keller Tritt iiij schu lang xv Zoll herauß, Vndt Vor der Thüer ein besetzten Tritt iiij schu lang ij schu breÿt, Bessert, ij ß

f° 333
Vornen auß in der Gaßen Beÿm Lumbardts Hoff.

Paulus Hanß der Kolenträger hatt ene seinem Hauß ein lehenende Kellerthüer vj schu lang, v schu herauß, Darneben ein Schweinstall v+ schu lang, iiij schu Von der Mauren herauß, Bessert, ix ß d

f° 333
Ane der Trenckin beÿ St: Thoman.

Hans Raab der Müller hatt an der Mauren am Wassr beÿ der Trenckin mit allerhandt eÿchenem Bawholtz das Allmend belegt, bessert iiij ß d

f° 333
Ane der Trenckin beÿ St: Thoman.

Hans Friderich Jung der Zinßmaister hatt ahne der Mauren beÿ der Trenckhlin ein Hauffen dielen stehen, xx schu lang, xij schu breÿt, Bessert für das Nießen, iij ß d.

f° 333-v
Ane der Trenckin beÿ St: Thoman.

Jacob Rickhards deß Zimmermanns seligen Wittwin vnd Erben haben daselbs einen Platz mit Latten belegt xxx schu lang, v schu breit, Darbeÿ auch etlich aichene Pfosten, bessert iij ß d
[in margine :] weil Sie bestendig Zum Handwerck disen Platz Praucht mag man Ihren ein bestendigen Zinß fürnehin darauff Ernennen

f° 333-v
Ane der Trenckin beÿ St: Thoman.

Daselbs Ligt auch ein Hauffen dielen dem Blaterhauß zugehörig, xx schu lang, xiij schu breÿt & bessert & iiij ß d

f° 333-v
Ane der Trenckin beÿ St: Thoman.

Vorermeltts Jacob Rieckhards deß Zimmermanns selligen Erben haben auch oben ahne der Mauren, ein hauffen dielen ligen, xx schu lang, x= schu breÿt, Mehr haben Sie Vnd ahne der Trencken einen Platz mit Kirr sparren belegt, xxxiij schu lang, vij schu breÿt, bessert vj ß d

f° 333-v
Vff der Andern seiten Gegen der Trenckhen.

Hanß Fingerlin der Schreiner hatt ein blatz mitt dielen Verschlagen, xx schu lang, xxviij schu breÿt, hatt auch daruor etliche Aichene dielen vnd bruckhhöltzer ligen, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 334
Vff der Andern seiten Gegen der Trenckhen.

Mehrgedachts Jacob Rieckhardten deß Zimmermanns selligen wittwin vnd Erben, haben uff diser seÿten auch ein Platz mit dielen vndt bawholtz Innen xxij schu lang, xvj schu breit, Mehr auch bawholtz vff einem besondern ortt darbeÿ ligen so vff den Allmendt Hindert L. schu lang, xx schu breÿt, Bessert für das Nießen, vj ß d.

f° 334
Vff der Andern seiten Gegen der Trenckhen.

Hanß von Pfederßheim der Fuhrmann hatt ane der Mauren beÿm Wasser vff dem Allmend ein hütten darunder er seine Kärch vnd Wägebn stellet, xv schu lang, xiij schu breÿt, Bessert & x ß. viiij d

f° 334
Vff der Andern seiten Gegen der Trenckhen.

Urban Steinmetz der Holtzhendler braucht ein Platz vf dem Allmendt, Drauff Er dielen Vnd allerhand Pawholtz ligen hatt, xx schu lang, xliij schu breÿt, bessert für das Nießen, ij lb. v ß. iiij d.

f° 334
Vff der Andern seiten Gegen der Trenckhen.

Matheus Sultzer, der Blatterscherer hatt gegen seinem hauß über, vff dem Allmendt am Waßer Zimblich bawholtz, Stein vnd Mist ligen, bessert & iij ß d

f° 334-v
Vff der Andern seiten Gegen der Trenckhen.

Balthasar Stoëser hatt am Wasser beÿ Sanct Thomans Pruckhen das Allmendt mit dielen belegt xx schu lang x schu breÿt, Bessert & iiij ß d

f° 334-v
Zwischen den beeden Waßern Beÿ Marbachs Pruckhen.

Hanß Raab der Müller hatt vor der Hirschmülin ein Hütten vff geschlagen, Darunder etliche Mühlstein ligendt, Vndt ist solche Hütte, xv+ schu lang xix schu breÿt, Bessert für das Nießen, xvj ß. d.

Und hatt auch an der Hirschmül oder Gerber Walckhen hinden vfs wasser ein vßgemaurt Profeÿ, vff kepffern iij schu breÿt, ij schu herauß, Bessert von dem Profeÿ vj ß. d.

f° 334-v
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Hanß Esell der schreiner hatt vff diser seÿtten am Wasser ein hauffen dielen ligen xx schu lang, xviij schu breÿt &, Bessert für das Nießen, iiij ß. d.

f° 335
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Christoffel Kleiber hatt neben disem auch einen hauffen dÿlen, xx schu lang vii+ schu breÿt, Bessert für das Nießen, iij ß. d.

f° 335
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Joseph Harsch der Träher hatt vff dem Allmendt etlich gantz Baumäelin holtz ligen, Bessert iij ß d.

f° 335
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Hans Wolff der Schreiner hatt daselbs ein hauffen dielen ligen xx schu lang, xj schu breÿt, bessert & iiij ß d.

f° 335
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Jacob Rüble der Schreiner hatt auch auff dem Allmendt am Wasser einen Platz Inn, darauff dielen ligen, xx schu lang, xxiij schu breit, Bessert & iiij ß d.

f° 335
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Hans Raab der Müller alß Vogt Hansen Sÿbenhorns des Müllers nachgelaßenee Kinder, dreÿ Wellbaum daselbs vff dem Allmendt ligen, bessert & ij ß d.

f° 335
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Hans Weÿrmüller der Schreiner hatt darneben ein Hauffen dielen, Nimpt den Blatz vff dem Allmendt Inn, xx schu lang, vj schu breit, Bessert & iiij ß d.

f° 335-v
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Georg Leüttler der Küeffer Zum Rothen Creütz hatt daselbsten ein Anzahl Vasstaugen Vfgestellet, x schu Inn alle wege begreiffende, Bessert & iiij ß d.

f° 335-v
Vff der seitten gegen dem Blumen Gießen über.

Vorgedachter Christoffel Kleÿber der Schreiner hatt aber einen Platz mit dielen belegt, xx schu lang, x schu breit, Bessert für das Nießen, iiij ß. d.

f° 335-v
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Zacharias Dideco der Alttwürth zum Gaist hatt am Wasser Oben einen Platz mit Aichinen dielen belegt, xx schu lang, x schu breit, Bessert, iiij ß. d.

f° 335-v
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Leonhard Bischoff der Schreiner hatt darneben ein Hauffen dielen, xx schu lang, viii+ schu breÿt, Bessert für das Nießen, iiij ß

f° 335-v
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Wendel Heil der Schreiner hatt auch einen Platz so er mit dielen belegt, xx schu lang, viij schu breÿt, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 336
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Wolff Schmeltz der Vischer hatt vnden am wasser ein hauffen dielen xx schu lang, viij schu breÿt, Bessert für das Nießen, iij ß d.

f° 336
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Thoman Landtmann Der Schreiner hatt Oben an Wolff Schmeltzten auch ein hauffenn dielen xx schu lang, vij schu breÿt, Bessert für das Nießen, iij ß d.

f° 336
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Theodosius Riehel Der Buchtruckher hatt am Wasser vf diser seÿtten beÿ Marbachs Bruckhen ein hauffenn dielen ligen xx schu lang, xiij schu breÿt, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 336
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Elias Schwartz der Schreiner hatt ein hauffen dielen ahn der Mauren beim Wasser Sanct Martins Bruckhen ligen, xx schu lang, xiij schu breÿt, den Platz verschlagende, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 336-v
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Obgerürter Hanß Esell der Schreiner hatt vff diser seitten ane der Mauren nechst beÿ der Bruckhen aber ein hauffen dielen ligen xx schu lang, xij schu breÿt, Bessert für die Nüessung, iiij ß d.

f° 336-v
Vff der Andern seitten am Wasser gegen der Spitzen über oben von der Dingsheim Mühl herab nach Marbachs Prucken Zu

Dergenandte Elias Schwartz der Schreiner hatt aber ein hauffen dielen vff dem Allmendt ligen xx schu lang, vij schu breÿt, Bessert für das Nießen, iij ß. d.

Nota. Eß soll allen Zimmerleüthen vndt Schreinern, so Dielen und Bawholtz bestendig vff der Allmendt hin und wid. ligen, haben, dardurch die Allmendt offtermahls vndt gemeiniglich der Statt vnnutzlich versperrt würdt, nun hinführo ein Järlicher bestendiger Zinß von solcher Nüeßung vfferlegt vndt ernennet werden, Wollen Sie denselben nit geben So mögen Sie die Allmendt alß baldt raumen vnd vnbeßwert lassen

f° 337
Aber Im Finckhweiler beim brunnen zu nechst der Trenckhen beÿ Sanct Thoman.

Margretha, Gabriel Saurmans des Zimmermanns selligen nachgelaßene Wittib, hatt ahne ihrem Hauß ein Wettertach xxj schu lang, ii+ schu herauß, Vor der Haußthür Zwen Runde steinen Tritt iii+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, iij ß. viij d.

In dem Gäßlin neben dißem Hauß.

Dieselb Margreth hatt auch in disem Nebents gäßlin ahne berüerttem ihrem Hauß vor der hindern Thüer ein steinen Tritt iii+ schu lang, xiij Zoll breÿt, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 337
Wider auß berührtem Gäßlin vff der seitten gegen vnserer Herrn Stall Zu

Michael Buchoffer Der Zimmermann begert ein allmend blatz Zu seinem Hauß zu lehnen vndt In Zu Zeünen, so Inn der Lenge hatt xxviij schu, In d. breÿten Oben an Melchior Murrers Wittwin Eckhauß viij schu iiij Zoll In der mitten vij schuh Vnden an sein Buchhoffers Eckh 6 schu herauß
Ist sich hierüber beÿ vnsern Gnedigen Herrn Rhaët vndt XXI. bescheidts Zuerholen, Ob und Welchermassen dem begehrenden Zu Willfahren sein würdt.

f° 337-v
Wider auß berührtem Gäßlin vff der seitten gegen vnserer Herrn Stall Zu.

Jacob Rickhardts Des Zimmermanns selligen Wittwe Hatt vor Ihrem Hindern Hauß ein Mistcasten vi+ schu lang, v= schu herauß, Mehr vor der Hindern Thüeren ein hültzin steglin mit Vier Tritten iij schu breit, ij schu viij Zoll herauß, darüber ein Cleines Wettertächle, ix= schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß d.

Von dannen umb daß Eck hinumb in die Gaß gegen Der Trencklin.

Gemelts Jacob Rickhardts des selligen Wittib hatt auch Inn diser beÿseits gaßen Oben am Gebell Ihres Hauses v Wettertächer, Vnder Welchen die Zweÿ Vndersten L schu lang, Jedes ij schu herauß, die übrigen dreÿ Im Gebell stehendt, Bessert für das Nießen, x ß viij d.

Hatt auch am hauß ein hültzinen Naach, Bessert für den Naach, viij ß.

Vornen vsserhalb dißer gaßen gegen Sanct Thomans Brückhen.

Jacob Rickhardts des Zimmermanns Wittib hatt auch vornen an Ihrem Hauß gegen Sanct Thomans Bruckhen Zu einen Vsstoß xxxvj schu lang, ij schu herauß, Darüber Oben Zweÿ Wättertächer Über einander Ingleicher Lenge, Wie der selbige Vsstoß, doch i+ schuh für den Vsstoß herauß, Mehr hatt Sie auch für der Haußthüren Vier steinene Tritt iiij schu breÿt, v= schu herauß, Vndt ein ligende Kellerthür vj schu iiij Zoll breÿt, iij schu viij Zoll herauß, Bessert für dieses Nießen, xiiij ß iiij d.

f° 338
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Clara Hanß Zentners selligen Wittib hatt vor Ihrem Hauß ein steinen Tritt iiij schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für den Titt j ß d.

f° 338-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Lienhard Haaß der schneider hatt an seinem Hauß ein Schweinstall x= schu lang, iij schu viij Zoll heraus, Mehr vor seiner haußthür ein steinen Tritt ii+ schu lang, xvj Zoll breit, Vndt dann ein Schneider Laden x= schu lang j schu breit, Bessert für das Nießen, v ß. d.

f° 338-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Christmann Stöer Der Haußbeckh hatt vor seiner Haußthür Zwen steinen Tritt v= schu lang, ij schu iij Zoll heraus, Bessert für das Nießen, j ß. d.

f° 338-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Die Armen Blatterleüth haben ein Hauß darinnen Balthasar Conradt der Einspenniger sitzt, dasselb hauß hatt ein Vsstoß xxxvi+ schu lang, ii+ schu herauß, hatt auch das Allmndt mit Mist vor dem Hauß verschlagen, Bessert & vij ß iiij d.

f° 338-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Hans Vischer der Formenschneider hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xii+ schu lang ii+ schu herauß, Vndt dann ein offene Kellerthür mit Zweÿen vffrechten Meürlin vj schu breit iij schu herauß, Bessert für das Nießen, iiij ß. iiij d.

f° 339
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Niclaus Schäffer Der Einspenning hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xvii+ schu lang ii+ schu herauß, Darüber ein Staucher In gleicher Lenge, wie der berüert Vsstoß, vnd j schu noch weÿter herauß, So dann ein lehenende Kellerthüer vij schu breit, v= schu herauß, Bessert für das Nießen, vij ß. iiij d.

Derselb Niclaus Schäffer hatt auch daselbs Daß Allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist ij ß d.

f° 339
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Hanß Pingerlin Der Schreiner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxxiiij schu lang ii+ schu herauß, vndt auch ein hültzinen Naach, Bessert für das Nießen, iiij ß. viij d.

f° 339
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Herr Philips Mösinger hatt yetzundt das hauß Zur Muckhen, darinn wohnt noch Mathis Pfederßheim der Kornmesser, vndt hatt solch hauß ein Vsstoß xxv schu lang iij schu herauß, darüber ein Wettertächle In gleicher Lengen xv Zoll nach weÿter heraus, Mehr Vor den fenstern der Vndern Stuben ein Grempen Banckh vj schu lang, xv Zoll breit vndt dann ein Vssatz banckh v schu lang, ij schu herauß, Bessert & ix ß d

f° 339-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Das Hauß Zum Huffant so Jetzmalen Urban Steinmetz der holtzhänlder bewohnt, hatt vor der Thür ein steinen Tritt iii+ schu lang, j schu herauß, Vndt ein lehenende Kellerthüer vi+ schu breÿt, ii+ schu Herauß, Bessert für das Nießen, iij ß. viij d.

[in margine :] Den herrn Dreÿen vff dem Pfenningthurn anzuzeigen, das Er die Allmend vor einem Hauß Zum Holtzhandel braucht.

f° 339-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Dauid Rappoltz Der Beckh hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu lang, xxj Zoll herauß, darüber ein Wettertächle Inn derselben Lengen i+ schu noch weÿter herauß, Mehr ein Ingemaurten Beckhenladen vj schu lang ii+ schu herauß, Vnndt dann ein lehnende Kellerthür v+ schu heraus, breit, ij schu ix zoll herauß, Auch ein steinen Tritt vor der Haußthür iii+ schu lang, j schu breÿt, Bessert für das Nießen, viij ß. x d.

f° 339-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Johann Rauch Der Fürsprech am Stattgericht hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxi+ schu lang, Am obern Ortt gegen dem finckhweÿler Zu vj schuh, Vnden v schu iiij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, v ß. iiij d.

f° 339-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Weÿllandt Herrn Doctor Vlrich Geigers Des Älttern selligen Wittwe hatt ahne Ihrem Hauß ein Vsstoß xxv= schu lang, v= schu herauß, Mehr ein steinerin Erckher mit iij Liechtern, vii+ schuh breÿt, xxj Zoll herauß, Item Vor der Haußthüren ein steinen Banckh v= schu lang, ij schu breÿt, Vndt dann ein lehnende Kellerthüer vij schu breÿt iij schu Herauß, Bessert für das Nießen, xiij ß. ix d.

f° 340
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Ulrich Dietrichen Des Schaffners Zu Sanct Thoman Wittwe, hatt ahne Ihrem Hauß ein lehenende Kellerthüer vij schu breÿt, iij schu herauß, Vor der Haußthür Zwen besetzte Tritt vi+ schu lang, ij schu viij zoll herauß, Darneben ein steines Benckhle v schu iij Zoll lang, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß. iij d.

f° 340
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Peter Füstlinger Der Wullinweber hatt an seinem Hauß, Darinnen Christoff Schawmann d. Bott am Stattgericht vndt Hanß Speth der Schneÿder wohnendt, ein Vsstoß xxvii+ schu lang, ii+ schu herauß, Mehr ein lehenede Kellerthür vij schu iij Zoll breÿt, iij schu herauß, Item ein steines Benckhle v schu lang, i+ schu breÿt, Mehr vor der Haußthüren Zwen runde besetzte Tritt, viij schu lang, iij schu herauß, Item aber ein steines Benckhle v. schu lang, iii+ schu breÿtt, Bessert für das Nießen, ix ß d.

f° 340-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Derselb Peter Füstlinger der Wullinweber hatt neben disem aber ein Hauß, bewohnt Er selbs, daran ein Vsstoß xxix schu lang, iii+ schu herauß, Item ein Offene Kellerthür v= schu breÿt, iij schu herauß, Vor der Haußthür ein besetzten Tritt v schu lang, xv Zoll herauß, Item ein stehendt Kellerfenster xxij Zoll breÿt, j schu herauß, Mehr ein Offen Kellerloch iiij schu lang, xv Zoll herauß, Item Vnden Vor der Werckstatt ein Laden vij schu lang, ii+ schu herauß, Mehr neben disem aber ein Laden iii+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, xj ß d.

f° 340-v
In dem Winckhel beÿ Herrn Philips Mösingers Hauß vnd daselbsten herfür nach Sanct Thomans Brückh zu.

Christoph Zeÿsolff der Schaffner Zu Sanct Margrethen alhie, hatt ein Hauß so ein Eckhauß Ist, gegen Sanct Thomans Brückhen, Vnndt wardt genandt zum Schwartzen Vößlin, Daselb Hauß Hatt vff der seÿtten gegen dem Wasser ein Vsstoß xlj schu lang, j schu herauß, Darüber ein Wettertach In gleicher Lenge, ii+ schu weÿter herauß, Mehr vff diser seÿtten vor der Haußthür ein steinen Tritt iij schu ix Zoll lang, xv Zoll herauß, Vndt hatt auch außwendig am Hauß ein hültzenen Naach vff dem Allmendt stehend, Bessert für das Nießen, ix ß viij d.

Vmb das Eckh hinnumb gegen vnßerer Frawen Brüdern Oder Der Kohlschewren.

Christoph Zeÿsolff hatt auch ane Vorbeschriebener Behausung ein Vsstoß xxxiiij schu lang, j schu herauß, Darüber Dreÿ Wettertächer, vnder welchen das Vnderste xxxiiij schu lang, ii+ schu herauß, Vndt die Andere Zweÿ In Gebell so sich verlieren, etwas Abkürtzt ij schu weÿter herauß, Item Vor der Haußthüren vff diser seitten ein steinen Tritt v= schu lang, j schu herauß, Mehrgemeltte Behausung hatt auch auff der seitten gegen der Edlen von Schawenburg speicher, vntz In Winckhell Hindern ein hültzenen Gang, xliij schu lang, v= schu heraus, Darüber ein Wettertach so den Gang bedeckht, In gleicher Lenge Wie der Gang Ist, vnd gehet für den Gang noch ij schu weÿter herauß, Dasselb Hauß hatt auch vf der Seitten ein Thür, daruor ein besetzten Tritt iiij schu iij Zoll lang i+ Zoll breÿt, Mehr ein steinerin Kasten, darinn ein grosser Rebstockh gefasst Ist, iij schu breÿt, iij schu herauß, Vnndt Ist solcher Rebstockh Oben vom Gang mit Spärrlin und Latten vßgeladen xxxiij schu lang, v+ schu herauß, Bessert für das Nießen, j lb v ß d.

f° 341-v
Vmb das Eckh hinnumb gegen vnßerer Frawen Brüdern Oder Der Kohlschewren.

Das Hauß Ane der Kollschewr zu vnser Frawen Brüdern, da Junckher Heinrich von Müllenheim des Stettmeisters selligen wittib Innen sitzt, Vndt ein Eckhauß beÿ Sanct Thomans Brückhen vnden am Wasser Ist, hatt auch auff dem Wasser ein außgemaurt Profeÿ vff steinen Käpffern iij schu breÿt, ij schu herauß, Ein steinen Erckhen mit Vier Liechtern Vff viij schu breÿt, ii+ schu herauß, Item vor der Thüren vff das Wasser ein Brütschlin von holtz werckh sampt einer stegen, vff einem Aichinen Pfosten xii+ schu lang, v schu Herauß, Vnden vff dem Wasser ein Hangende Weschbrütschen, so mit Zwen Aichinen Pfaëlen Vndt Zwen Häspeln versehen Zum Vff Ziehen, xv schu lang, ix= schu breÿt, Bessert für das Nießen, ij lb xiiij ß iiij d.

f° 341-v
Vmb das Eckh hinnumb gegen vnßerer Frawen Brüdern Oder Der Kohlschewren.

Hanß Jacob von Sundheim Der Fünffzehener Hatt Oben ane seinem Hauß ein Vsstoß xxxiii+ schu lang, ij schu herauß, Mehr vor der Haußthüren ein besetzten Tritt v= schu lang, iiij schu herauß, Item ein lehnende Kellerthür viij schu breÿt, iij schu herauß, Vnndt ein steinen Naach von der Mauren i+ schu vffs Allmendt herauß, Bessert für das Nießen, ix ß viij d.

f° 342
Vmb das Eckh hinnumb gegen vnßerer Frawen Brüdern Oder Der Kohlschewren.

Jacob Neeß der Schneider hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xj schu lang, iij schu herauß, Daran ein Staucher In gleicher Lenge j schu herauß, darüber ein Wettertächle auch xj schu lang, xv zoll herauß, Item ein gemaurten Mantell Von grundt auff, biß vnder den Vsstoß x= schu hoch xv zoll dickh, iij schu Herauß, Item ein Lehnende Kellerthür vj schu breÿt, vj schu herauß, Vnndt dann Vor der Haußthüren iij steinene Tritt iij schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, x ß x d.

f° 342
Vmb das Eckh hinnumb gegen vnßerer Frawen Brüdern Oder Der Kohlschewren.

Michael Schwartz der Keßler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xiiij schu lang, iiij schu herauß, daran ein Staucher In gleicher Lenge, Vnd einen schu darfür herauß, Über disem Staucher Ist ein Wettertach xiij schu lang, Vnd für den Staucher Ein schu weÿter herauß, Item ein ligende Kellerthüer vi+ schu breÿt, vj schu herauß, Mehr Vnden Vor der Werckstatt ein Laden v schu lang, ii+ schu breÿt &, Bessert für das Nießen, x ß iiij d.

f° 342-v
Die Gaß beÿ vnser Frawen Brüdern hindern

Hans Kermann Der Schloßer hatt an seinem Hauß, so ein Eckhauß Ist, diser seÿtten gegen Vnser frawen Brüdern, Ein Vsstoß xv+ schu lang, iiij schu heraus, Item ein Offen Kellerloch vi+ schu lang, ii+ schu heraus, Item aber ein Vsstoß xij schu iiij Zoll lang, am Eckh iij schu viij Zoll herauß, Laufft hinden Ins Maurhaupt, Item Vor der Haußthüren Zwen gemaurte Tritt, sampt einem Ortt Meürlin v= schu lang, ij schu herauß, Mehr Vnden Vor der Werckstatt ein Laden, v+ schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Nießen, vij ß iiij d.

f° 342-v
Die Gaß beÿ vnser Frawen Brüdern hindern

Frantz Moÿ Deß Küffers selligen Erben haben Vor Ihren thüeren Ihrer Behausung ein steinen Tritt v schu lang, j schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 342-v
Die Gaß beÿ vnser Frawen Brüdern hindern

Ulrich Spachen selligen deß Älttern Nachgelassene Wittwin und Erben, haben an Ihrer Behausung Oben ein steinen Erckher mit fünff Liechtern, Vndt vff zween steinen Kaëpffern vii+ schu lang, ij schu. viij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, iij ß d.

f° 343
Die Gaß beÿ vnser Frawen Brüdern hindern

Herr Niclaus von Türckheim Der Aëltter hatt ane seinem Hauß, da Claus Reÿch Innen sitzt, Oben über der Haußthür ein Wettertach xviij schu lang, iij schu herauß, Vndt darneben ein Vsstoß xxv schu lang iii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vij ß iiij d.

f° 343
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu

Michael Wernher Der Küeffer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xx schu lang, j schu herauß, Item Zwen Rebstöckh mit Latten Inge Zeünt, Jeder ii+ schu breit, i+ schu herauß, Vndt Ist dise Rebhälden Oben am Hauß mit Latten, Vnd Truchtern xxviij schu lang, Vnd viij schu weÿt Herauß geladen, Hatt auch Vnden Vor der Haußthüerenn ein besetzten Tritt v schu lang i+ schu breÿt, Bessert für das Nießen, vj ß iiij d.

f° 343
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu

Stoffel Seger Der Zimmermann hatt vor seiner Haußthüeren Zwen hültzene Tritt v= schu lang, ii+ schu breit, Item ein Vßgeladen Kemmat mit Zweÿen Kaëpffern iij schu breit, i+ schu herauß, Darbeÿ ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, ij ß viij d.

f° 343-v
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu

Mattheus Keßler Der Zimmermann hatt vor seiner Haußthüren Zwen hültzener Tritt v= schu lang, xxij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 343-v
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu

Deßelben Mathei Keßlers Kinder haben ein Behausung, da Jacob Stiffelmeÿer der Garttenmann Innen wohnet, Vndt hatt vor der Haußthür ein steinen Tritt ii+ schu lang, xvj Zoll herauß, Bessern für das Nießen, j ß d.

f° 343-v
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu

Andres Feltz Der Zimmermann hatt vor seinem Hauß ein besetzter Tritt, v= schu lang, i+ schu herauß, sampt einem hültzenen Naach, Bessert &, viij ß d.

f° 343-v
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu

Jost Saÿler hatt an seinem Hauß ein hültzenen Nach heraus vff die Allmendt stehen, Bessert &, viij ß d.

In dem Allmend Gäßlin Darneben

Derselbige Jost Saÿler hatt Darneben in dem Allmend gäßlin an seinem Hauß ein Vßgestossen Kemmatt, j schuhs breit, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß. d.

f° 344
In dem Allmend Gäßlin Darneben

Adolff Herdtweg Der Woll* Grempp hatt an seinem Inn disem Gäßlin ein hültznen Nach, Bessert für disen Naach, viij ß. d.

Wider auß dem Allmend Gäeßlin hinauff baß Sanct Elisabethen Thor zu.

Der Erstgenante Adolff Herdtweg hatt auch Vornen In Sanct Elisabethen gassen Vor seiner haußthüren ein steinen Tritt iiij schu lang, xiiij Zoll heraus, Bessert für disen steinen Tritt, j ß. d.

f° 344
Wider auß dem Allmend Gäeßlin hinauff baß Sanct Elisabethen Thor zu.

Michael Arnold Der Werckmeister vff Vnserer Herren Zimmerhoff hatt ein Hauß, In Sanct Elisabethen Gassen, daran ein Staucher xxx schu lang, j schu herauß, Neben der Thür desselben Hauses ein hültzenes Kästlin iij schu lang, i+ schu herauß, Hatt auch am Hauß außwendig ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, j ß. viij d.

f° 344-v
Wider auß dem Allmend Gäeßlin hinauff baß Sanct Elisabethen Thor zu.

Florian Grauen selligen Wittwe vnd Erben haben ein Hauß daran Ist ein Staucher xxix schu iij Zoll lang, j schu herauß, Hatt auch ein hültzenen Naach, Bessert für alles viij ß. d.

f° 344-v
Wider auß dem Allmend Gäeßlin hinauff baß Sanct Elisabethen Thor zu.

Jacob Wolff genandt Schöenecker hatt Oben ane seiner Behaußung so ein eckhauß beÿ Sanct Elisabethen Thor Ist, ein Vßgestossen Kemmatt vi+ schu breÿt, j schu herauß. Nota. Er hatt auch Zwölff grosse Ongehawene Stuckh Stein vff dem Allmendt vßwendig ane seinem Hauß ligen, Bessert für das Nießen, vij ß. d.

f° 344-v
Die Anderseitten St: Elisabethen Gaßen von Sanct Elisabethen Thor widerumb hinabwarts nach dem Kleinen Oewel zu.

Der Beyer Hoff so nun zumahlen Junckher Friderichen von Landtsperg zuständig Ist, hatt neben der Haußthüren außwendig vff der Allmendt ligen ein steinen Banckh ix schu lang, xv Zoll heraus, Bessert für das Nießen, ij ß. vj d.

f° 345
Die Anderseitten St: Elisabethen Gaßen von Sanct Elisabethen Thor widerumb hinabwarts nach dem Kleinen Oewel zu.

Hanß Mathis Rhor hatt vor seinem Hauß ein hültzenen Banckh vf dreÿen steinen füeßen x schu lang, xiiij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, iij ß d.

f° 345
Die Anderseitten St: Elisabethen Gaßen von Sanct Elisabethen Thor widerumb hinabwerts nach dem Kleinen Oewel zu.

Niclaus Eisenlöffels Haußfraw hatt vor der thüeren Ihres hauses ein besetzten Tritt, ix schu lang, ij schu iij Zoll herauß, Bessert & , j ß vj d.

f° 345
Die Anderseitten St: Elisabethen Gaßen von Sanct Elisabethen Thor widerumb hinabwarts nach dem Kleinen Oewel zu.

Die Frawen In der Samblung Zum Creütz vff Sanct Elisabethen Gassen wohnhaft, haben vor Ihres Haußes Thüeren ein steinen Tritt iiij schu breÿt, xiiij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß. d.

f° 345
Die Anderseitten St: Elisabethen Gaßen von Sanct Elisabethen Thor widerumb hinabwarts nach dem Kleinen Oewel zu.

Hans Doll der Pruckhmeister hatt ein Hauß darinnen Wohnt Hanß Notter der Neher vor derselben haußthüren ligen Zwen steinen Tritt iij schu viij Zoll lang, iij schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß. vj d.

f° 345
Die Anderseitten St: Elisabethen Gaßen von Sanct Elisabethen Thor widerumb hinabwarts nach dem Kleinen Oewel zu.

Ulrich – Der Garttenmann hatt ein Hauß, Welches er In newlichen Hanß Dollen dem Pruckhmeister abgekaufft, vnd hatt vor derselben haußthüren Zween steinerine undt ein gemaurten Tritt iij schu lang, iij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 345-v
Im Schlupff vf Dißer seitten In Sanct Elisabethen Gaßen

Hanß Doll der Pruckhmeister hatt aber ein Hauß da Hanß Knoderer d. Metzger Innen sitzt, dasselbige Hauß hatt über disem Schlupff ein Übergebaw so Inn der leng. xxix schu, vornen gegen der Gaßen ix schu, Vndt hidnen Inn de Schlupff xj schu Inn der breÿtten Inn hatt, Bessert für das Nießen, xvj ß d.

f° 345-v
Im Schlupff vf Dißer seitten In Sanct Elisabethen Gaßen

Fritschen Clausen Erben von Westhoffen haben hinden Inn disem Schlupff ein hauß, das Leienhard Bauwr der Taglöhner bewohnt, vnt hatt ein Ingebew Oben über berüertem Schlupff xxxiij schu lang, Vornen am Ingang beim Brunnen vi+ schu und + vndt hinden vij schuh breÿt, Bessert für dieße Nüeßung, xij ß d.

f° 346
Wider auß dem Schlupff Vornen Sanct Elisabethen Gassen

Vorgedachts Hanß Dollen Behaußung So Hans Knoderer der Metzger bewohnt, hatt auch vornen Inn Sanct Elisabethen Gassen, Vor der Haußthüren Vier steinerin Tritt v schu iij Zoll breÿt, iiij schu herauß, Oben darüber ein Wettertach xxvj schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, iiij ß. ij d.

f° 346
Wider auß dem Schlupff Vornen Sanct Elisabethen Gassen

Niclaus Jäger Der Einspenniger hatt vor seiner Haußthüren Zwen besetzter Tritt, sampt einem steinerin Naach daran v schu lang, iii+ schu herauß, Vndt ein steines Bencklin iii+ schu lang, xvj Zoll herauß, Bessert für das Nießen, ij ß. vj d.

f° 346
Wider auß dem Schlupff Vornen Sanct Elisabethen Gassen

Arbogast Dieboldt Der Garttenmann hatt Oben ane seinem Hauß ein Staucher xj schu lang, j schu herauß, Item vor der Haußthüren ein besetzter Tritt iiij schu lang, iij schu herauß, Bessert j ß. vj d
Hatt auch ein hültzinen Naach, für den Nach beßert Er viij d

f° 346-v
Wider auß dem Schlupff Vornen Sanct Elisabethen Gassen

Bernhard Gerdings selligen Wittib hatt vor Ihrem Hauß dreÿ steinen Tritt v+ schu lang, iij schu herauß, Darüber ein gemaurtes Wettertächle vj schu lang, j schu herauß, Vnndt dann auch ein hültzenen Naach, Bessert ane disem Ortt iij ß. ij d

Vff dem Kleinen Oewelin, Einseÿtt

Vorgedachts Bernhard Gerdings Wittwe hatt auch hinden Vff dem Kleinen Owelin vor der Stallthüren an Ihrem Hauß ein hültzin Prütschen iij schu ix Zoll breÿt, iiij schu herauß, hatt auch die Allmendt vor demselben Stall mit Mist verschlagen, Bessert für alle Nüeßung iij ß. vj d

f° 346-v
Vff dem Kleinen Oewelin, Einseÿtt

Balthasar Mueg hat daselbs die Allmendt mitt einem Heüffell mist belegt, Bessert für den Mist ij ß d

f° 346-v
Vff dem Kleinen Oewelin, Einseÿtt

Junckher Friderich Wolff von Renchen hatt außwendig ahne der Mauren seines Garttens vff dem Cleinen Auwell dreÿ gemaurte Streeb Pfeÿler, Jeder i+ stein breÿt, i+ schu herauß, Mehr daselbs ahne der bemeltten Gartten Mauren für baß abhin fünff solche Pfeÿler darin Jeder ii+ schu breÿt, ii+ schu herauß,
Nota Eß hatt auch derselb Friderich Wolff das Allmendt vor angezeigtem seinem hinder hauß vndt Gartten mit mist verschlagen, Bessert & xviij ß d.

f° 347
Vff dem Kleinen Oewelin, Einseÿtt

Niclaus Eisenlöffels Haußfraw hatt ein hauß Zu hinderst vff dem Kleinen Owell so ein Eck geg. der Rinckhmauren Ist, darinnen sitzt hanß höchstetter der Bronnenschöpffer, Vndt hatt außwendig d. Mauren vff das Wasser, oder Im Gebell Inn gemeltten Kleinen Owell ein steinen gemaurt Profeÿ iij schu breÿt, xxj Zoll herauß, Bessert für das Nießen, iij ß. d.

f° 347
Anderseitten deß Cleinen Owelins, Widerumben Sanct Elisabethen gassen Zu.

Jacob Reichshoffer Der Altt hatt ane der Mauren seines Gartens Vff dem Grüenen oder Kleinen Owelin xvij auffgemaurte Streeb Pfeÿler In einer In den Andern ij schu breÿt, iij schu herauß, Item ane demselben Gartten ein Ingemaurtes Profeÿ iiij schu breÿt, iij schu herauß, Hatt auch vor der Kleinen Gartenn thüren das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert für das Nießen, ij lb. ij ß d.

f° 347-v
Anderseitten deß Cleinen Owelins, Widerumben Sanct Elisabethen gassen Zu.

Des Mehrern Spittals Behaußung Darinnen Herr Magister Michael Theürer wohnhafftig Ist, hatt hinden ane dem Gartten vff das Klein Owelin hinauß ein Vßgestossen Steinen Profeÿ iii+ schu breÿtt ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß d.

f° 347-v
Anderseitten deß Cleinen Owelins, Widerumben Sanct Elisabethen gassen Zu.

Weÿlandt Deß Edlen Vesten Hanß Caspars von Mittelhaußen nachgelassene Wittwe geborne von Baërstätt hatt ane Ihrem Gartten beÿ Ihrem Hauß am Wasser graben, vff dem Kleinen Auwelin ein Land Vestin Inge Zeünt L schu lang, Oben gegen denn Stege iii+ schu, Vnden beim Influß i+ schu herauß, Vndt Dann auch ein hültzin Profeÿ iij schu breÿt, iii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, xij ß d.

f° 348
Anderseitten deß Cleinen Owelins, Widerumben Sanct Elisabethen gassen Zu.

Jacob Reichshoffer hatt an seinem hindn Hauß gegen dem Kleinen Owelin hinauß, ein vff Kepfern außgestossen steinen Profeÿ vi+ schu breÿt, i+ schu heraus, Item Vor derselben Hindern thüren ein hültzins Prütschle x= schu lang, v+ schu herauß, Item ane denselben hauß Hinden Zwischen dem Marggräuischen Hoff, alß das Gräblin von dem Kleinen Owelin hindurch laufft, ein Vsstoß Lx schu lang, Vornen v schu heraus, vndt laufft mit dem hindern Ortt Ins Maur Haupt, Vnndt dann Oben ein steinen vßgemaurte Profeÿ iij schuh breÿt ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, j lb. ij ß. viij d.

f° 348
Anderseitten deß Cleinen Owelins, Widerumben Sanct Elisabethen gassen Zu.

Caspar Heim der Metzger und Würth zur Blumen hatt hinden ane seinem Hauß, darinnen sein dochterman Hanß Georg Zentgraff wohnet, In disem Gäßlin gegen dem Wassergräblin hinauß Zweÿ hültzene Profeÿ, Jedes iii+ schu breÿt, iiij schu herauß, Bessert &, xij ß d.

f° 348
Anderseitten deß Cleinen Owelins, Widerumben Sanct Elisabethen gassen Zu.

Der Marggräuisch Badenisch Hoff da Burckhardt Schilling der Schaffner Innen sitzt, hatt hinden Vff das Wassergräblin, gegen Jacob Reichshoffers hauß über ein steinen außgemaurt Profeÿ vff Kaëpffern iij schuh breÿt, ij schuh herauß, Item aber daselbsten ein außgemaurt Profeÿ vff Kaëpffern iij schu breÿt, ii+ schu herauß, bessert & xij ß d.

f° 348-v
Anderseitten deß Cleinen Owelins, Widerumben Sanct Elisabethen gassen Zu.

Martin Christ der Metzger hatt vor seiner Stallthüeren Zwen besetzter Tritt vj schu lang, v= schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß. vj d.

Hatt auch das Allmendt vor disem Stall mitt Mist belegt, Bessert für den Mist, ij ß d.

Aber vornen in Sanct Elisabethen Gassen

Derselb Martin Christ der Metzger hatt auch vor seiner Haußthür Vornen In Sanct Elisabethen gassen ein besetzter Tritt vij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für den Tritt, j ß. vj d.

f° 348-v
Aber vornen in Sanct Elisabethen Gassen

Wolff Stedele der Fuhrmann hatt vor seiner Haußthür Vornen ein besetzten Stich, vij schu lang, ii+ schu herauß, sampt einem hültzenen Naach, Bessert &, ij ß d.

f° 348-v
Aber vornen in Sanct Elisabethen Gassen

Simon Flachen Wittwin vnd Erben haben ein Ortthauß, Wann mann Vonn St: Elisabethen Gassen herein gehet, gegen dem Closter zu Vnser Frawen Brüedern Oder der Kolschewren, darinnen wohnet Hannß Georg Latzarus der Schreiner, Vndt hatt oben über der Haußthüeren ein Vsstoß xxj schu lang, v= schu herauß, Item ein Lehenenden Kellerthüer vj schu breÿt, v+ schu herauß, Vndt dann Vor der Vordern haußthüeren Zwen besetzter Tritt vii+ schu lang, v+ schu herauß & Bessert xiij ß. viij d.

Hinder dem Closter Vnser Frawen Brüdern Vmb daß Eckh hienumb, vnd In daß Trachen Geßlin

Simon Flachen Wittwin vnd Erben Hauß darinnen Hannß Georg Latzarus der Schreiner sitz, hatt auch vff der Andern seiten hinder dem Closter Vnser frawen Brüdern, Wann mann Vmb das Eckh hienumb gehet, Vor der Hindern thüeren Zwen steinene Tritt iij schu lang, ij schu herauß, bessert für die Zween Tritt, j ß. vj d.

f° 349
Hinder dem Closter Vnser Frawen Brüdern Vmb daß Eckh hienumb, vnd In daß Trachen Geßlin

Bemelts Simon Flachen Wittwin vnd Erben haben Hinder dem Closter Vnser frawen Brüdern aber ein Hauß, besitzt Georg Kromer der Gartenmann, Daran ein Wettertach xx schu lang, iij schu herauß, Item ein Ligende Kellerthüer v schu brit, iij schu herauß, Item Zween Steinen Tritt Vor derselben Haußthüeren iiij schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß. viij d.

f° 349-v
Hinder dem Closter Vnser Frawen Brüdern Vmb daß Eckh hienumb, vnd In daß Trachen Geßlin

Mathis Götz der Maurer hatt vor seinem Hauß Vnden ane der Kollschewren, das Allmendt mit etlichen stuckh steinen belegt, Bessert für das Nießen, ij ß d.

f° 349-v
Hinder dem Closter Vnser Frawen Brüdern Vmb daß Eckh hienumb, vnd In daß Trachen Geßlin

Daß Hauß Zu Vnser Frawen Brüdern, so Dr. Neruius bewohnet, hatt hinden vf das Wasser Zweÿ außgemaurte Profeÿ vff steinen Kepffern xiij schu lang iii+ schu herauß, Vnden vff dem Wasser ein Hangende Weschbrütschen mit Vier Aichinen Pfeelen vnd Zweÿen haëspeln xvj schu lang, x schu breÿt, Ein außgemaurt Profeÿ Vff Kaëpffern vj schu breÿt, ii+ schu herauß, Vndt Vor einer Thüeren vfs wasser ein steinen Gang vff Käepffern mit Eisern Stenglin versehen, x schu lang, iij schu herauß, Oben Inn d. Höhe ein Vsstoß, xl schu lang, an dem obern ortt ij schu, dem Vndern ortt j schu herauß, Bessert, o

Zwischen dem Hoff Zum Trachen vnd dem Hauß da Dr. Neuius Innen Wohnet, Ist ein beschlossenes Allmendgaëßlin &
[in margine :] die Hern 3. vffm Pfenningthurn Zu fragen, wie es mitt disem Gäßlin beschaffen.

f° 350
Von der Gaßen hinder dem Closter Vnser Frawen Brüdern Vnd beÿ dem Hoff Zum Trachen herauß gegen Sanct Claus Zu.

Caspar Heim der Würth Zur Blumen hatt an seinem Hauß, darinn sein dochtermann Hannß Georg Zentgrauen wohnhafftig Ist, einen Vsstoß xxxiiij Schu lang ij schu ix Zoll herauß, Draen einen Staucher xxxij schu lang, j schu für den Vsstoß noch weÿter herauß Über demselben Staucher Ist ein Wettertach Ingleicher lengen noch i+ schu für den Vsstoß herauß, Item neben der Haußthüer ein Ingemaurten Rebstockh vj schu breÿt ij schu herauß, Vndt dann auch außwendig am hauß ein Mistcasten v+ schu lang, iiij schu herauß, Bessert, xij ß. viiij d

f° 350
Von der Gaßen hinder dem Closter Vnser Frawen Brüdern Vnd beÿ dem Hoff Zum Trachen herauß gegen Sanct Claus Zu.

Jacob Reichshoffer der Altt hatt an seinem Hauß vff der seÿtten beÿm Brunnen nach dem Scharlochgeßlin Zu, Ein offene Kellertritt v schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß. vj d.

f° 350
Scharlochsgäßlin

Jacob Truncknboltz der Kauffhauß Knecht hatt ane seinem Hauß Ein offene Kellertritt v schu lang, j schu herauß, außwendig ane demselben hauß auch ein hültzenen Naach, bessert &, j ß. viij d.

f° 350-v
Scharlochgäßlin

Claus Wittichs deß Metzgers selligen wittwin vnd Erben haben außwendig ahn Irem Hauß vff dem Allmendt ein hültzenen Naach stehen, Bessert für das Nießen, viij d.

f° 350-v
Scharlochgäßlin

Jacob Kümmich der Notarius hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxi+ schu lang, v+ schu herauß, Darüber aber ein Vsstoß so auch xxi+ schu lang, Vnd ein schu noch weÿter herauß, Item Vor der Haußthüeren Vier steinen Tritt sampt einem Vffgemaurten sitz vi+ schu lang, iiij schu herauß, Item ein offene Kellerthüer mit Zween vfrechten Mauren vij schu iiij Zoll breit, iiij schu herauß, Bessert für das Nießen, xij ß. x d.

In dem Nebendts gäßlin an Diser Behausung

Jacob Kümmichs Behausung hatt auch in dem Gaeßlin darneben Ein Vßgestossen Kemmatt Vff Kepffern iij schu breit iij schu herauß, Mehr ein Klein außgestossen Maurwerckh so besser Oben am Gebell vnd einem Kensterlin sich vergleicht, auch vf Kaëpffern iii+ schu breÿt, j schu herauß, Hatt auch ahne disem Gaëßlin an berüertem Hauß ein Hültzenen außgestelten Naach, Bessert für das Nießen, ij ß. iiij d.

f° 351
In dem Nebendts gäßlin an Diser Behausung

Urban Kauffman der Seÿler vnd seine Consorten haben einen Stall hinden In disem Gaëßlin, welchen Sie Hanß Beichtern dem Jetzigen Würth Zum Geist verliehen, Daruor Ist ein mistcastenn vi+ schu breit, vij schu herauß, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 351
In dem Nebendts gäßlin an Diser Behausung

Derselb Urban Kauffmann vnd Consorten haben auch daselbs Vor Zweÿen Hauß wohnungen, da Thoman Kegell der Cuardi Knecht, vnd Hanß Schneider der Bott Innen sitzen, ij steinen Tritt vi+ schu lang, ij schu breÿt, Item Oben ahne denselben beeder Heüsern durchauß ein hültzin Wettertach xlix vnd + schu lang, ii+ schu herauß, Vndt dann Vnden daran vff dem Allmendt ein Schweinstall vnd Mistcasten aneinander xx= schu lang iii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, xiiij ß viij d.

f° 351-v
In dem Nebendts gäßlin an Diser Behausung

Jacobus Dürr der Notarius hatt vor seiner Haußthuëren ein besetzten stich 6 schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß vj d.

f° 351-v
Wider auß dem Vorgemelten Gässlin herauß.

Ezechiel Spatzinger Hatt oben an seinem Hauß ein steinen Erckher vff dreÿen steinen Kaëpffern ix schu iij Zoll breÿt, iii+ schu herauß, Bessert &, v ß iiij d.

f° 351-v
Wider auß dem Vorgemelten Gässlin herauß.

Vor dem Marggräuischen Houe Zum Trachen genandt ligt ein steines Benckhle iiij schu lang, i+ schu herauß, hinden vff das Wasser ein außgemaurten Erckher mit Vier Liechtern vj schu breÿt iij schu herauß, Vor der Thüer Vffs wasser ein steinen Gang, mit blatten belegt, vnd mit eisern stenglin versehen, sampt einer Stegen mit Zwölff Stafflen vff das Wasser hienab, so Zusammen xvii+ schu lang, v+ schu herauß, Ein Landtvestin xliiij schu lang, iiij schu herauß, ein hangenden Vischarchen mit Vier Aichinen Pfaëlen vnd Haëspeln Im Wasser x schu lang, vj schu breÿt, ein Hangende Weschbrütschen mit dreÿen Aichinen Pfosten vnndt Vier Haëspeln xvj schu lang, viij schu breÿt, Bessert für alles iij lb. xvj ß d.

f° 352
Wider auß dem Vorgemelten Gässlin herauß.

Herr Niclaus von Türckheim hatt vff dem Platz beim Trachen so etwann ein Sandtplatz gewesen Ist, ein hauffen Tännin Bortt ligen, Bessert darfür, iiij ß d.

Stoffel Seger der Zimmermann vff Sanct Elisabethen gassen hatt auch daselbsten ein hauffen Bortt ligen, Bessert daruon, iiij ß d.

Hans Braun der Schreiner Inne der Trusengaßen bessert daselbst auch für ein Hauffen Bortt, iiij ß d

[in margine :] Den Herrn 3. vff dem Pfenningthurn geschrieben Zugeben &

f° 352
Oberhalb Sanct Claus Pruckhen Von dem Hove zum Trachen hienab d. Kirchen zu.

Daniel Kollöffel der Vergichtschreiber hatt oben ahne seinem Hauß ein steinen Erckher vff einem gemaurten fuß, vndt mit dreÿen Liechtern x= schu breÿt iii+ schu heraus, Vnndt dann Über der Haußthüer ein Kupferin Wettertach x= schu lang, iij schu herauß, Bessert, ij ß. viij d.

f° 352-v
Oberhalb Sanct Claus Pruckhen Von dem Hove zum Trachen hienab d. Kirchen zu.

Daniel Wencker hatt an seinem Hauß ein steinen Erckher mit fünff Liechtern ix schu ix Zoll breÿt, iiij schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß. viij d.

f° 352-v
Oberhalb Sanct Claus Pruckhen Von dem Hove zum Trachen hienab d. Kirchen zu.

Hans Neff der Schiffleüth Rhattherr hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu iij Zoll lang, v+ schu herauß, Oben darüber ein Gang mit geträhten hültzenen Stollen, so Inn der mitten ein hültzins Erckherlin hatt, Zusammen xxij schu lang, Vndt gehet für den Vsstoß noch ii+ schu weÿter herauß, Bessert ix ß. iiij d.

f° 352-v
Oberhalb Sanct Claus Pruckhen Von dem Hove zum Trachen hienab d. Kirchen zu.

Die Fabric Zu Sanct Niclaus hatt ein Hauß darinn sitzt Herr Johannes Thomas der Pfarrer daselbsten vndt würdt von alters hero zum Brieff genandt, daßselb Hauß hatt vornen gegen dem Wasser ein Vsstoß xxix schu ix Zoll lang, v+ schu herauß, Darüber ein Staucher, so auch xxix schu ix Zoll, Vndt für den Vsstoß j schu weÿter herauß, Vber disem Staucher aber ein Vsstoß Ingleicher lenge vnd für den Vndern Vsstoß xv Zoll herauß, Bessert für das Nießen, ij ß. vj d.

In dem Allmend Gäßlein genandt das Bocksgäßlein, Oder wie mann in Altten Brieffen Bericht findte, So würdt dises Gäßlin hindeme genandt in der Büenen.

Das gemelt Hauß da Herr Thomas Pfarrer Innen wohnet vornen am Ingang dißes Jetz bemeltten gäßlins überbawen, xxxviij schu lang, vj schu breÿt, Bessert für das Nießen, xij ß d.

f° 353
In dem Allmend Gäßlin genandt das Bocksgäßlein, Oder wie mann in Altten Brieffen Bericht findte, So würdt dises Gäßlin hindeme genandt in der Büenen.

Heinrich Zorn hatt vor seinem Rosstall hinden Inn dem Gaëßlin das Allmendt mit Mist verlegt, Bessert für den Mist, ij ß d.

f° 353
In dem Allmend Gäßlin genandt das Bocksgäßlein, Oder wie mann in Altten Brieffen Bericht findte, So würdt dises Gäßlin hindeme genandt in der Büenen.

Die Zunfft Zu der Mörin hatt ein Hauß in disem Gäßlin, wohnt darinn Abraham Grummer der Keuffller Ihr Büttell, vor demselben Hauß stehet außwendig vff dem Allmendt ein Rebstockh mitt Latten Ingefast ij schuh, viij Zoll breÿt, i+ schuh herauß, Bessert für das Nießen, ij ß d.

f° 353-v
In dem Allmend Gäßlin genandt das Bocksgäßlein, Oder wie mann in Altten Brieffen Bericht findte, So würdt dises Gäßlin hindeme genandt in der Büenen.

Hans Beichter der Würth zum Gaist hatt ein Hauß daran ein Hültzener Naach, bessert &, viij ß d.

f° 353-v
In dem Allmend Gäßlin genandt das Bocksgäßlein, Oder wie mann in Altten Brieffen Bericht findte, So würdt dises Gäßlin hindeme genandt in der Büenen.

Der Mehrer Spittal hatt ein Hauß, darinnen Herr Magister Michael Theürer wohnhafft Ist, vnd hatt ein außgestossen Kemmath ij schu breÿt, j schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 353-v
In dem Allmend Gäßlin genandt das Bocksgäßlein, Oder wie mann in Altten Brieffen Bericht findte, So würdt dises Gäßlin hindeme genandt in der Büenen.

Jost Gaÿl der Soldner Hauptmann hatt an seinem Hauß Oben über der Thüer ein Wettertach xv schu lang, i+ schuh herauß, vndt auch vßwendig ein hültzenen Nach, Bessert für das Nießen, j ß iiij d.

Derselb hatt auch das Allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist, ij ß d.

f° 353-v
In dem Allmend Gäßlin genandt das Bocksgäßlein, Oder wie mann in Altten Brieffen Bericht findte, So würdt dises Gäßlin hindeme genandt in der Büenen.

Junckher Friderich Bockh zu Gerstheim hatt ane seinem hoff ein vff Zwen steinen Kepfern außgeladen Camin viij schuh breÿt xxj Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

Wider auß dem vorbesagten Gäßlin herauß vornen gegen der Preüschen nach Sanct Claus Kirchen Zu.

Der gedacht Junckher Friderich Bockh zu Gerstheim hatt auch vornen auß gegen dem Wasser an seinem Hoff einen Vsstoß Lxx+ schuh lang, v schuh iij Zoll herauß, Oben daran ein Staucher sampt einem Tächlin Ingleicher lenge, vnd für den Vsstoß noch j schuh weÿter herauß, Bessert für das Nießen, xviij ß viij d.

f° 354
Wider auß dem vorbesagten Gäßlin herauß vornen gegen der Preüschen nach Sanct Claus Kirchen Zu.

Junckher Hans Jacob Wormbser hatt oben ane seinem Hauß ein Vsstoß xxxiij schuh vnd + lang, v schuh herauß, Darüber ein Wettertächle In gleicher lengen ij schu herauß, Item ane dem Vorgerüertten Vsstoß ein Staucher xv schu lang, vnd darfür ix Zoll weÿter herauß, Bessert für das Nießen, x ß viij d.

Er hatt auch Ein Mist Casten vff dem Allmendt stehen, vj schuh lang, iiij schuh vj Zoll herauß, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 354
Wider auß dem vorbesagten Gäßlin herauß vornen gegen der Preüschen nach Sanct Claus Kirchen Zu.

Junckher Werner von Landtsperg hatt ane seinem Hoff ein Vsstoß xviij schuh lang, v schuh herauß, Oben darüber ein Wettertächlin In gleicher lengen für den Vsstoß i+ schuh noch weÿter herauß, Bessert für das Nießen, vj ß viij d.

f° 354-v
Wider auß dem vorbesagten Gäßlin herauß vornen gegen der Preüschen nach Sanct Claus Kirchen Zu.

Junckher Georg Baumann Zu Offenburg hatt ane seinem Hoff, der etwann Herr Hanß Ingolds des Aëlttern was, darinnen Christoff Schäffler der fuhrmann wohnt, vndt ein Eckhauß gegen Sanct Claus Kirchen Ist, ein Vsstoß xxi+ schu lang, v schu herauß, darüber ein Wettertach auch In der selben Lengen, Vnd für den Vsstoß noch Zwen schuh herauß, Item Über der Haußthür am Eckh ein Wettertach xj schu lang, ii+ schuh herauß, Bessert für das Nießen, ix ß iiij d.

Hinder Sanct Claus Kirchen

Junckher Georg Baumann Zu Offenburg hatt auch hinder Sanct Claus ane Vorbeschriebenem seinem Hoff über der Kellerthüer einen Vsstoß x schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß iiij d.

Derselb Hoff hatt auch dahinden im Winckhel über des hieuorgenandten Wernhern von Landtspergs In fahrt abermahlen ein Vsstoß xxviij schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nießen, ij ß. viij d.

f° 355
Hinder Sanct Claus Kirchen

Mathis Zeidlers deß Kürßners selligen Wittwe hatt oben am Gebell Ihres Hauses ein hültzenen Gang, ix schu lang, iij schu herauß, Bessert & j ß iiij d.

f° 355
Hinder Sanct Claus Kirchen

Hans Groß von Mittelbergheim hatt an seinem Hauß, da Caspar Beckh der Leinenweber Innen wohnet, ein Intritt Inn ein Keller iij schu breit, i+ schu herauß, Mehr ein solchen Intritt Inn ein Stall auch iiij schu breit ij schu herauß, Vnden Vor der Stegen ein besetzten Vortritt ix schu lang, iiij schu breit, Item ein hohe vfgemaurte Steg mit sieben steineren Tritten und einer Prütschen xj schu lang, iiij schu iij Zoll haß, Oben darüber ein wettertach xvij schu lang, v schu Herauß, Vndt dnn ein vßgestoßen Kemmatlin ein schuhs breit i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, xj ß. ij d.

f° 355
Hinder Sanct Claus Kirchen

Ruprecht Stollenmeÿer der Weißbeckh hatt Vögtlicher weiß an einem Hauß hinder St: Niclaus darinn Felix Vischer der fuhrmann wohnet, einen Ingang Zu dem Stall mit Zwoen vfrechten Mauren viij schu breÿt, iiij schu herauß, Darauf ein vßgestossen Kemmatt vij schu breÿt, i+ schu herauß, Mehr vor der Haußthüren ein vfgemaurte Stegen sampt einem steinen Naach mit Sieben gemaurten Stafflen vj schu breit viij schu herauß, Bessert für das Nießen, v ß d.

Derselbige Felix der fuhrmann hatt auch die Allmendt mit Mist belegt, &, ij ß d.

f° 355-v
Hinder Sanct Claus Kirchen

Junckher Jacob Bockh von Erstein hatt vor einer hinder Thüeren seines Hauses ein gemaurten Tritt v= schu lang, xv Zoll breit herauß, Item aber Vor seiner hind. thüeren daselbs ein Tritt iiij schu lang, ij schu herauß, Mehr oben ahne demselben hinder hauß ein Vsstoß, Lij schu lang, Vornen iiij schu ix Zoll, Vnd hinden Im Winckhel ii+ schu herauß, Darunder ein Schweinstall xiij schu lang iiij schu ix Zoll herauß, Vndt hatt auch vor der gemelten hindern thüeren d. Allmendt mit dielen Inge Zeünt xl= schu lang am Vordern ortt iiij schu ix Zoll vnd Hinden Im Winckhel iii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, j lb. iij ß. iiij d.
[in margine :] Die Inzeünung an Bocken Hauß den Herrn 3. vff dem Pfenningthurn auch geschrieb. zugeben, umb ein bestendigen zinß zuuerleÿhen

f° 356
Hinder Sanct Claus Kirchen

Junckher Georg Bawmann zu Offenburg hatt auch vor dem hindern Thor seines hofs Im Winckhel einen Mist Casten sampt einem Schweinställin daran. Ist sammentlich xij schu lang, vj schu herauß, hatt auch sonsten beÿ dem Schweinstall etlich Mist ligen, bessert x ß d.

f° 356
Hinder Sanct Claus Kirchen

Lienhardt Küenlin der Holtz Karcher hatt Vornen ans einem Hauß über der thüer Zweÿ Wettertach über einander, Jedes ii+ schu lang, i+ schu herauß, darüber aber ein wettertächle x schu lang, i+ schu herauß, Mehr hatt dasselbige Hauß Inn dem Allmendgäßlin so nit gar durch gehet ein Vsstoß xli+ schu lang, ij schu iij zoll herauß, Darüber ein Wettertach In gleicher lenge i+ schu herauß, Vndt dann aber en hültzin Wettertach darunder die Waëgen vnd Kärch stehen xx schu lang, iiij schu herauß, Vndt hatt auch das Allemnd Vor dem Hauß mit Mist Verschlagen, xiiij ß viij d.

f° 356
Hinder Sanct Claus Kirchen

Michael Goll der Kauffmann hatt auch hinden Inn disem Allmendtgaëßlin etliche alte Vaß und Stübicher stehen & bessert iiij ß d.

f° 356-v
Hinder Sanct Claus Kirchen

Jacob Boschen selligen Wittib hatt an einem Hauß, darinnen Martzolff Schmaßmann der Spanner sitzt, Ein Vsstoß xix schu lang, iij schu herauß, ij ß. viij d

Deßelben Jacob Boschen Wittwe hatt auch ettlich Mist vff dem Allemndt daselbs ligen, ij ß d.

f° 356-v
Hinder Sanct Claus Kirchen

Erstgenants Jacob Boschen selligen Wittwe hatt auch vff einer seÿten gegen Sanct Niclaus Kirchen Zu an Irem Hauß, welches Sie selbs bewohnt ein Vsstoß xlij schu lang, iij schu herauß, vj ß. viij d

Sie hatt auch an demselben Ihrem Hauß vff der Andern seÿten vmb das eckh hinumb gegen des Pasteten Beckhen Hauß zum Guldenen Lewen hienüber aber ein Vsstoß xxxiiij schu lang iii+ schu herauß, Bessert für dißen Vsstoß v ß. iiij ß d.

f° 356-v
Hinder Sanct Claus Kirchen

Jacob Kamm der Würth Zur Aëxt hatt ane seinem hauß, da Georg sein dochtermann Innen wohnt, ein hültzenen Naach, Bessert für den Naach viij ß d.

f° 357
Hinder Sanct Claus Kirchen

Das Hauß Zum Muckenwadel dem Appt zu Ettenheim Münster zustendig, hatt vor der Thüer ein hohen besetzt stich x schu breit vii+ schu herauß, Vnndt dann ein lehenenden Kellerthüer vij schu breit iii+ schu herauß, x ß d

f° 357
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Die Fabric Zu Sanct Niclaus hatt ein hauß, welches Jetzundt herr Thobias Speccerus Diaconus derselben Kirchen bewohnt, Daren ein Vsstoß xxxvij schu iiij Zoll lang, v= schu herauß, Bessert für das Nießen, viij ß d.

f° 357
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Herr Niclaus von Türckheim der Elter hatt an seinem Hauß ein außtoß xlij schu lang, v schu herauß, daran ein Staucher xl. schu lang, Vnd ein schu für den Vsstoß herauß, Vber dem selben ein Wettertächle xl schu lang, Vnd noch i+ schu für den Staucher Weÿter herauß, Mehr Vnden an dem selben hauß Zwen Vssz laëden Jeder v schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Nießen, xiij ß. iiij d.

Hatt auch Vnden am Hauß etliche Thonnen vnd wahren vff dem Allmendt stehen, v ß d.

f° 357-v
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Herr Niclaus von Türckheim hatt neben disem Auch ein Hauß bewohnt Sontag Dietrich der Handelßmann daran Ein Vsstoß xxvi+ schu lang, vj schu herauß, Darüber ein Wettertachlin Ingleicher lenge Vnd für den Vsstoß noch ein schu weÿter Herauß, Bessert ix ß. iiij d.

f° 357-v
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Das Haus Zum Guldinen Apffel ist auch herrn Niclaus Von Türckheim dem Eltern Zugehörig, darinn sitzt sein Sohn Niclaus Von Türckheim der Jünger, Vnd hatt ein Vsstoß xlvii+ schu lang, iii+ schu herauß, Bessert viij ß d.

f° 357-v
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Hans Küß der Sattler hatt ein Hauß darinnen wohnt Hieremias Meÿer der Vhrenmacher, Mehr neben demselben aber ein Hauß welches Er selbs bewohnt, Die Zweÿ heüser haben durch abhien ein Wettertach xlix vnd + schu lang, iii+ schu herauß, Mehr ein Laden vij schu iiij Zoll lang, ii+ schu herauß, Item aber Ein Laden v schu iij Zoll lang, ii+ schu herauß, Vnndt dann Zwen Laëden, Jeder v schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ix ß. iiij d.

f° 358
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Caspar Reichard der Sporer hatt Oben an seinem Hauß ein Vsstoß xxiij schu lang, ij schu herauß, Zwen Laeden vnd vor seiner Werckstatt Jeder vi+ schu lang, ij schu herauß, Vor der Haußthüeren ein steinene Staffel iiij schu viij Zoll lang, xiij Zoll herauß, Ein ligende Kellerthüer v schu breit iij schu herauß, Bessert vj ß. iiij d.

f° 358
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Sebastian Schimpff der Tuchmann hatt an seinem Hauß darinn Sebastian Hoch der Schneider wohnet, ein Vsstoß xvij schu lang, ij schu herauß, Vor der haußthüer ein steinen Staffel v= schu lang xv Zoll herauß, Vnd ein Laden viij schu lang, ii+ schu herauß, Bessert ij ß. iiij d.

f° 358
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin

Fabian Rhoter der Sporer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xv+ schu lang, oben an dem ortt gegen Sant Niclaus Pruckhen Zu ii+ schu, Vnden am Eckh gegen dem Nesselbach i+ schu herauß, Item oben an demelben Hauß ein hültzin Wettertach xiiij schu lang, ii+ schu herauß, ij ß viij d

Im Goldgießen hienein gegen dem spittalthor Zu Einseÿth.

Derselb Fabian Rhoter der Sporer hatt auch vff der Andern seÿten Im Goldgiessen an seinem Hauß ein Vsstoß xxxviij schu lang, oben am Eckh gegen dem Wasser Gestaden iiij schu, Vnden Im Gießen Hieneinwarts v= schu herauß, Vnd iij starcke hültzine Speÿler vff dem Allmendt stehen, Item ein lehendene Kellerthüer, sampt einem Neben meürlein vij schu breit v= schu herauß, Aber ein laden v= schu lang, iij schu Herauß, Vor der Haußthüer Zween steinene Tritt iiij schu lang, ij schu herauß, Bessert & ij lb iiij ß iiij d

Derselb Fabian Rhoter hatt auch ein hültzinen naach außwendig an seinem hauß Vff dem Allmendt stehendt, Bessert für das Nießen dises Nachs, viij d.

f° 358-v
Im Goldgießen hienein gegen dem spittalthor Zu Einseÿth.

Arbogast Halbwachsen der Wagner hatt hatt [sic] oben an seinem Hauß ein Wettertach xxix schu lang viij schu herauß, Darüber ein Vsstoß xlix vnd + schu lang ii+ schu herauß, Mehr vnden Vor demselben Hauß iij besetzte Tritt x schu lang, vj schu herauß, Bessert für das Nießen, j lb. ij ß. viij d.

Derselbe Arbogast Halbwachsen hatt auch vnder obgemeldtem Wettertach sein Weckstatt mit Plöchern, Radtgruben vnd Schneidlöchern, Bessert ij lb d.

Auch sonsten das Allmendt vor dem Hauß mit allerhandt Wagner holtz vnd Stangen Verstellt darfüt bessert Er iiij ß d.

f° 359
Im Goldgießen hienein gegen dem spittalthor Zu Einseÿth.

Michael Schreibeisen der Altt vnd Huffschmid hatt ane seinen beeden heüsern durchauß ein Vsstoß Lv= schu lang, ij schuh ix Zoll herauß, Daran ein Wettertach xlij schu lang, für den Vsstoß viij schuh iij Zoll weÿter hinauß, Bessert für das Nießen, j lb. iiij ß. viij d.

Derselbe Michael Schreibeisen hatt auch vnder berüertem Wettertach sein Weckstatt vnndt Radtgruben, dann ein Nothstall, bessert für dises Niessen sampt dem Nothstall ij lb d.

Darzu das Allmendt mitt Mist verschlagen, Bessert für den Mist ij ß d

f° 359
Im Goldgießen hienein gegen dem spittalthor Zu Einseÿth.

Hieremias Mansen des Wagners selligen Erben, haben ein Hauß, Welches Jetzundt Bastian Billstein d. Wagner besitzt, daran ein Vsstoß ix= schuh lang, v= schu herauß, Bessert für das Nießen, j lb. iiij ß.

Dieselben Erben haben auch im Schlupff neben Ihrem Hauß ein Maurwerckh, sampt einem halben Schwÿbbogen vff dem Allmendt stehen, Daruor geben Sie Järlichen Zinß 10 ß. Wie hieuon In diser stat Zinßbuch weÿter vndt mehrer bericht zufinden, Gedachte Erben haben auch ane berüertem Hauß ein Wettertach xxxij schu h lang, x schu herauß, Bessert für das Nießen, xvj ß. viij d.

Vnd hatt Obgedachter Sebastian Bülstein der Wagner so das Hauß Leÿhnungs weÿse besitzt, Vnder Erstbesagtem Wettertach sein Werckstatt, Radgruben, Plöcher vnd Räder stehen, auch allerhandt alte gebrochene Karch, Wägen vnd holtzwerckh vff dem Allmendt, Bessert ij lb. xiij ß. iiij ß

Hieuorangezeigte Erben haben auch ahne Obgeschriebener Irer Behaußung ein steinerin Erckher vff dreÿen Kaëpffern, ix= schuh breÿt, ii+ schu herauß, Ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, iiij ß

Und haben auch auff dem Allmend ein Schleÿffstein stehen, für den Schleÿffstein, ij ß d.

f° 360
Im Goldgießen hienein gegen dem spittalthor Zu Einseÿth.

Lorentz Hoffmanns [d]eß Haußbeckhen selligen nachgelassene Wittwin, hatt aber an Ihrem Hauß ein Vsstoß xxxij schu lang 3 schu herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lengen für den Vsstoß iij schu herauß, Darunder stehet ein Von grund vff gemaurter Pfeÿler ij schu breit iij zoll herauß, Item Vier Keller Tritt iiij schu iij Zoll breit iij Zoll herauß, Item ein Ingemaurten Beckhen laden viij schu lang, iiij schu herauß, darund. ein Schweinstall vndt dann Vor der haußthüer Zween besetztet hohe Tritt v schu breit v= schu Herauß, Bessert j lb. xvij ß d.
[in margine :] Wann dise Erben beschickt, Soll Innen angezeigt werden, das Sie disen Sawstall hinweg thun.

f° 360
Im Goldgießen hienein gegen dem spittalthor Zu Einseÿth.

Ruprecht Stollenmeÿer der Weißbeckh hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xiiij schu lang, iiij schu ix Zoll herauß, Item Ein Beckhen Laden vij schu iij zoll lang, iij Schu iij zoll herauß, Item ein beschlüßiger hültziner sitz, Neben dem berürten Beckhenlad. ii+ schu breÿt iij schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß d.

f° 360
Im Goldgießen hienein gegen dem Spittalthor Zu Einseÿth.

Hans Krebsen des Basteten Becker Erben haben ein haus genandt Zum Guldinen Lewen, darinnen wohnet sein Hans Krepsen Nachkhom, Niclaus Gade, Vndt hatt vor der Haußthüer an steinen Tritt iiij schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 360
Im Goldgießen hienein gegen dem Spittalthor Zu Einseÿth.

Hans Debs der Wagner hatt an seinem Haus ein Wettertach, xxxj schu lang, x schu herauß, Darunder hatt Er sein Werckhstat sampt Radtgruben, Plöchern Vndt dergelichen, mehr oben am Gebell deßelben Hauß auch ein Wettertach xx schu lang, ii+ schu Herauß, Vnndt dann aber ein Wettertachle xx schu lang, iii schu herauß, Bessert & iij lv. xij ß. iiij d.

Hatt auch das Allmendt vor seinem Hauß mitt Raëdern, Altten vnd Newen Kärchen Vndt Wägen, auch anderen Holtzwerckh verschlagen, bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 360-v
Im Goldgießen hienein gegen dem Spittalthor Zu Einseÿth.

Hans Debs der Huffschmidt hatt oben an seinem Haus ein steinen Erckher Vff dreÿen steinen Kepffern, ix schu lang, i+ schu herauß, Ein Wettertach xxxiij schu lang, x schu herauß, Ein lehenende Kellerthüer vij schu breÿt, j schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j lb. j ß. iiij d.

Derselbig Debs hatt auch vnder disem Wettertach sein Werckstatt, Radtgruben und Nothstall, Bessert für das Nießen sampt dem Nothstall, ij lb. xij ß d.

f° 360-v
Im Goldgießen hienein gegen dem Spittalthor Zu Einseÿth.

Niclaus Schallers deß Huffschmidts seligen Erben haben an Ihrem Hauß, darinnen Jacob Debs der Huffschmidt wohnhafft Ist ein Vsstoß xxxiii+ schu lang, iii+ schu Herauß, daran ein Wettertach In gleicher lengen vii+ schu für den Vsstoß weÿter herauß, Oben an dem selbigen Wettertach ein Staucher In gleicher Lenge, j schu weÿter herauß, Bessert für dises Nießen, xviij ß. viij d.

Derselb Jacob Debs hatt sonsten auch vnder disem Wettertach sein Radtgruben vndt einem Nothstall, soll alles Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Nießen sampt dem Nothstall, ij lb d.

f° 361
Im Goldgießen hienein gegen dem Spittalthor Zu Einseÿth.

Georg Gilg der Fuhrmann hatt an seinem Hauß so ein Eckhauß Ist an diser seÿten gegen dem Spittalthor Zu ein Vsstoß xxxi+ schu lang, vij schu herauß, Hatt auch auff der seÿtten an Vorermelts Niclaus Schallers Erben Behaußung ein steinen Mantel vff Zween steinen Kepffern x schu ohngeuehrlich iii+ schu herauß, Bessert für dises Nießen, xij ß. viij d.

Vnder dem obangezeigten Wettertach stehen etlich Alte und Newe Vaß, Bessert für dise Alte vnd Newe Vass, ij lb d.

Derselbe Georg Gilg hatt auch vff der andern seitten seiner Haußes gegen dem Spittalthor Wann mann Vmb das Eckh hieneumb gehet, aber ein wettertach xxviij schu lang, v+ schu herauß, Vnst dann ane disem Eckh ein Ingefassten Rebstockh mit brettern ij schu breÿt xv Zoll herauß, Bessert x ß d.

f° 361-v
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Hans Debs der Huffschmidt hatt auch hinder Sanct Claus Kirchen Vor seiner Stallthüeren das allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für dises Nießen, ij ß d.

f° 361-v
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Georg Schneider der Fuhrmann hatt das Allemnd Vor seinem Hauß mit allen Wägen, Kärchen vnd Zum theil mit Mist verschlagen, Bessert für dises Nießen, iiij ß d.

f° 361-v
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Das Haus Zum Guldinen Lewen, Hanß Kressen deß Pasteten beckhen Erben Zustendig, hatt hinder Sanct Claus Kirchen ein außgemaurts Erckherlin v= schu lang, j schu herauß, Bessert für dises Nießen, j ß d.

Niclaus Gade der Pasteten Beckh in dem Hauß zum Guldinen Lewen wohnhafft, hatt das Allmendt hinden vor dem Stall mit Mist verschlagen, Bessert für dises Nießen, ij ß d.

f° 362
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Ruprecht Stollenmeÿer der Weißbeckh hatt auch hinden an seinem Hauß ein Vsstoß xv schu lang, iij schu herauß, Darüber ein hültzin Wettertach In gleicher Lenge i+ schu herauß, Vor der Thüeren deßelben Hinder Hauses ein besetzten Tritt iii+ schu lang, xxj Zoll herauß, Soll Allmend sein vnd bleiben, Bessert für das Nießen, iiij ß viij d.

f° 362
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Jacob Helber der Fuhrmann hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xv schu lang, iij schu herauß, Er hatt auch Inn dem Nebendts gaëßlin aber ein Vsstoß xxviij schu lang, iij schu herauß, bessert für das Nießen, vj ß viij d.

Derselb Jacob Helber hatt auch vor seinem Hauß das Allmend mit Mist Verschlagen, für den Mist bessert Er ij ß d.

f° 362
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Hieremias Mansen des Wagners seligen Kinder haben hinder St: Claus Inn dem Allmendtgäßlin hinder der Schuelen ein Hauß, da Veit Betz der Schneÿder Innen sitzt, dasselb Hauß hatt ein Vsstoß xxxviij schu ix Zoll lang, i+ schu herauß, Vor der haußthüer Vnden ein steinen Tritt iii+ schu lang, i+ schu herauß, Bessert & iij ß viij d.

Bemelte Erben haben auch vnden vor disem Hauß das Allmend mit Mist vnd etlichem Wagner holtz verschlagen, Bessert für den Mist vnd Wagner Holtz iij ß

f° 362-v
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Herr Niclaus von Türckheim der Eltter hatt vff der Andern seÿtter diß Allmendtgeßlins an seinem hindern Hauß ein Vsstoß xv schu lang, iii+ schu herauß, Darunder Auch ein Mistcasten vff dem Allmendt stehen x schu lang, vii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, viij ß d.

f° 362-v
Fürbas vmb das Ander Eckh Hienumb nach Sanct Niclaus Kirchen hindern.

Das Haus darinnen Hanß Diebold Berger der Lehrmeÿster Wohnet, gehört Zu der fabric sancti Nicolai, vndt Hatt oben über der Thüer ein wettertach vii+ schu lang, iiij schu herauß, Bessert & j ß iiij d.

Der genante Hanß Diebold Berger der Lehrmeÿster Hatt hinden Im Winckhel ane der Kirchen einen Schweinstall vff dem Allmendt stehen, iiij schu breÿt, v= schu herauß, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 363
Nota, Ußwendig ane Vnser frawen Werckh Speicher beÿ dem spittal thor am Goldgiessen Ist ein Hütten mit bretter vnd Dielen geteckht, darunder Ligt zimblich Bawholtz.
Vnd Ist der gantze Blatz Vff dem Allmendt also lang der berüerte Speicher sich erstreckht, aller mit gantzen vnd halben Baumen vnd Wagnerholtz (:so den Wagnern In dem Goldtgiessen wohnhafft Zu stehen solle:) biß ane den wege Verschlagen.

Die Allmendt Herrn haben Erkhandt, das die Wagner Im Goldtgiessen, Weil Sie die Allmendt mit Holtzwerkh Vnd anderem Zu Irem handtwerckh dienlich Tag vnd Nacht Verschlagen, Vndt vil besser alß sonsten an Keinem Ortt Inn der gantzen Statt niessen, Das Sie durch die Erkhandten Acht Jaht lang dauon bessern sollen j lb d.

f° 363
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Peter Langenberger der Weinhändler hatt an seinem Hauß, darinnen Hanß Hofmans des Sporers Wittwin sitzt, Ein hültzinen Naach, bessert für den Naach viij ß d.

f° 363-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Adam Müllers des Küffers Wittwin hatt an Ihrem Hauß vff der seiten gegen Vnser Frawen Speicher ein Vsstoß xx schu lang, iiij schu herauß, Vronen an dem selben Hauß aber ein Vsstoß xxvij schu lang, am Eckh ij schu, Vnd am Andern Ortt j schu Herauß, Weÿter hatt sie auch an disem Hauß nach ein Kleines ausstößlin vi+ schu lang, An eim ortt ein schu vnd am Andern + schu herauß, Vornen an disem Hauß Zeücht auch Rings herumb ein Wettertach xxxiii+ schu lang vj schu ix Zoll herauß, Bessert & xviij ß d.

Und hatt auch vnder dem gemeldten Wettertach ettliche Vaß vnd Taugen vff der Allmendt stehen, bessert & ij ß d.

f° 363-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Michaell Schreibeisen Huffschmidt der Jung hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxxiii+ schu lang, vij schu iij Zoll herauß, Darüber ein Staucher In gleicher Lenge ix Zoll für das Wettertach herauß, Bessert für d. Niessen ix ß d.

Derselb Michaell Schreibeisen hatt vnder disem Wettertach sein Werckstatt vnd Rattgruben vff vff dem Allmendt stehen, Bessert darfür j lb. vij ß. iiij d.

f° 364
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Jacob Schoner der Metzger hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxix vnd + schu lang, v= schu herauß, bessert & vj ß. viij d.
[in margine :] modo Herr Niclaus von Türckh.

f° 364
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Anthoni Schiler der Wagner hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu iij Zoll lang, v+ schu herauß, Darüber aber ein Vsstoß In gleicher Lenge für den Vndern ii+ schu weiter herauß, Bessert & ix ß. iiij d.

Und hatt Er Anthoni vnder berüertem Vsstoß sein Werckstatt, Plöcher vnd Rattgruben, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Nießen, j lb. ij ß d.

Vndt hatt auch allerhandt Wagner holtz, Raëder, Kärch vnd Wägen Vor dem Hauß stehen, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 364
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Zacharias Breÿttach der Khüeffer hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiii+ schu lang, v+ schu herauß, Oben Über demselben aber ein Vsstoß In gleicher Lenge ii+ schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleÿben, Bessert für das Nießen, ix ß. iiij d.

Derselbe Zacharias hatt auch das Allmendt vor seinem Hauß mit Mist verschlagen, Vndt vor dem Hauß etliche Vaß stehen, Bessert für das Nießen, ij ß d.

f° 364-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Simeon Seÿffridt der Metzger hatt an seinem Hauß, darinn Steffan Schwartz der Schreiner sitzt, ein Vsstoß xxviij schu iij Zoll lang, v+ schu herauß, Darüber aber ein Vsstoß Inn gleicher Lenge ii+ schu herauß, Bessert & xij ß d.

f° 364-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Lorentz Baumwoll der Huffschmidt hatt an seinem Hauß ein Vsstoß iii+ schu lang, vj schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß. iiij d.

Hatt auch vnder demselben Ausstoß sein Werckstatt sampt einer Redtgruben, Bessert viij ß d.

Vndt daruor Ein Nothstall vff dem Allmendt stehen, bessert für den Nothstall xij ß d

Undt dasselb mitt Mist verschlagen, Bessert füt den Mist ij ß d.

f° 365
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Wolff von Moltzheim der Tuchmann hatt an seinem Hauß, da Peter Großhenn der Wagner Innen sitzt, ein Vsstoß xxi+ schu lang, vj schu ix Zoll herauß, Bessert für den Ausstoß, viij ß d.

Peter Großhenn der Wagner hatt auch daß Allmend mit Mist verschlagen, Bessert für das Nießen, ij ß d.

f° 365
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Junckher Felix von Mittelhausen hatt ein hauß darinn Wohnt Gabriel Pfeÿffer der Lützelsteinisch Ober Keller, daran ein Vsstoß Lv schu lang, vi+ schu herauß, Daran ein Staucher xv schu lang, ix Zoll herauß, Bessert & xviij ß viij d.

Nota. Dises Hauß hatt Niclaus T*ada Kaufft, Vndt würdt nun hiefürter Zum Guldinen Apffel genandt, hatt auch das Allmendt Vor berüertem hauß mit Mist Verschlagen, Bessert für den Mist, ij ß d

f° 365-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Die Herrberg Zum Neßelbach Ist Philips Balthasar Stempffer des Würths Zum Rappen alhie, Vndt hatt ein Vsstoß Lxvj schu lang, iiij schu ix Zoll herauß, Vndt Ist daß Allmendt vnd. disem Vsstioß Vnden Von dem boden biß oben mit holtz verschlagen, darbeÿ stehen auch etliche lehre Vaß, Item ein vßgeladen Eck Von Maurwerckh xj schu lang, an demselben Eckh v= schu heraus, Zeücht sich Zur Andern seÿten Ins Maurhaupt, Bessert & j lb. xx ß d.

f° 365-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Zacharias Dideco hatt ane der Mauren beÿm Neßelbach gegen d. Prütschen das Allmendt mit dielen belegt, Bessert für die dielen, iij ß d.

f° 365-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Junckher Jacob Pfaffenlapp hatt an seinem Hauß außwendig vff dem Allmendt etliche stuckh Stein ligen, Bessert darfür, iij ß d.

f° 365-v
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Andres Bützman der Sattler hatt an seinem Hauß vf d. seÿten gegen Sanct Claus Pruckhen ein Wettertach xiiij schu lang, iii+ schu herauß, Darunder ein Laden v+ schu lang, ij schu herauß, Vnder demselben Laden ein gemaurten sitz, v+ schu lang, j schu ix Zoll herauß, ahne dem Eckh dises Hauses ein gemaurten Pfeÿler ix schu Hoch, ij schu breÿt, ix Zoll herauß, Mehr vff der Andern seÿten umb das Eckh hienumb ein Vsstoß xxv schu lang, v= schu herauß, Daran ein Staucher xxiij schu lang, j schu weÿter herauß, Darüber wid. ein Vsstoß auch xxv schu lang, iii+ schu herauß, Über disem Vsstoß ein hültzenen Gang In gleicher Lengen wie der Vsstoß iij schu weiter für denselben herauß, Vndt dann Vnder Vor der Werckhstatt ein Laden vij schu lang, ij schu herauß, Mehr ein Laden v+ schu lang, ij schu herauß, bessert j lb v ß d.

Hatt auch Vor dem Hauß vff dem Allmendt ein Hauffen mist ligen, soll für den Mist bessert, j ß d

f° 366
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Zacharias Dideco hatt an seinem Hauß das etwan heren Georg Mösingers was, ein Vsstoß xxviij schu lang, v= schu herauß, Daran ein Staucher In gleicher lenge xiiij Zoll herauß, Über dem gemelten Staucher ein Wettertach xxviij schu lang, Vnd noch i+ schu weÿter herauß, Vnder Vor einem Gädlein ein Laden ii+ schu breÿt i+ schu herauß, Mehr ein Laden v schu breÿt ij schu herauß, Bessert für dieße Nüessung ix ß. iij d

Und hatt derselb Zacharias Dideco auch auff dem Allmendt daselbst Vor seinem hauß etlich Geröer vndt Zerbrochene Maurstein ligen, Bessert j ß d.

f° 366-v
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Christoff Kollöffell hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxx+ schu lang, iiij schu herauß, Oben an demselben hauß ein Wettertach In gleicher Lenge i+ schu herauß, Vndern Vor der Haußthüeren ein steinene Staffel iiij schu lang, j schu herauß, Mehr Vnden Vor einer Gaden Thüer ein steinen Tritt xxj Zoll lang, j schu breit, Ein Laden v= schu lang, xxj Zoll herauß, Aber ein laden vij schu lang, xxj Zoll herauß, Bessert für das Nießen, xj ß. iiij d.

f° 366-v
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Peter Langenberger der Weinhändler hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxxiii+ schu lang, iii+ schu herauß, Mehr über demselben aber ein Wettertach Von steinen Platten xlvj schu lang, i+ schu herauß, Neben der haußthüer Vnden ein steinen sitz i+ schu lang, xv Zoll breÿt herauß ein Laden v schu lang, ij schu iij Zoll herauß, Mehr ein Laden v schu lang, xiiij Zoll breÿt herauß, Bessert für das Nießen, x ß. iiij d.

f° 367
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Georg Stigler der Sporer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxix schu lang, ahne dem obern ortt gegen Sanct Niclaus Prueckhen Zu iiij schu Vnden xv Zoll herauß, oben daran ein Wettertach In gelecher lenge ij schu weÿter herauß, Vnd. Vor der Werckhstatt Zween Laeden xii+ schu lang, ij schu herauß, Oben an berüertem Wettertach ein gamaurten Mantell vff viij schu hoch + steins dickh, iij schu herauß, Bessert für das Nießen, vij ß. viij d.

f° 367
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Zwischen gedachts Georg Stigler des Sporers Hauß vndt dem Gerttenfisch seindt Zweÿ Heuser, darinnen wohnet Balthasar Seÿdelmeÿer der Schneÿder, Vndt Steffan Gellinger der Schreiner, Vnd weil solche beede Heuser der statt Zustendig, so seinst Sie nit gemessen word.

f° 367
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Martin Metzger der Würth Zum Gerttenfisch hatt vnd bewohnt Jetzund dasselbige Würths hauß Vndt hatt daran ein Lehenende Kellerthüer vii+ schu breÿt, i+ schu herauß, Über dem Ingang ein Wettertach xvj schu lang, v=* schu herauß, darunder aber ein Lehenden Kellerthüer vj schu ix Zoll breÿt, ij schu herauß, Bessert für das Nießen, xij ß d.

f° 367-v
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Lorentz Engelhardt der Schumacher hatt an seinem Hauß ein Lehenende Kellerthüer vj schu breÿt, iij schu herauß, Vnden Vor seiner Werckhstatt Zween Laëden Jeder vj schu lang, iii+ schu herauß, Ein Ligendts Kellerfenster i+ schu lang, j schu herauß, Bessert für das Nießen, ix ß d.

Der gedacht Lorentz Engelhardt Schumacher vnd Mathis Hutter der Messerschmidt haben beÿde an Ihren heüsern ein gemein Wettertach xxx schu lang, iiij schu ix Zoll herauß, Bessern vj ß. viij d.

f° 367-v
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Mathis Hutter der Messerschmidt hatt vnden vor seiner Werckhstatt ein laden ix= schu lang, ij schu iij Zoll heraus, darund. ein Ligend Kellerfenster ij schu lang, i+ schu herauß, bessert für diß Kellerfenster j ß d.

f° 367-v
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Lorentz Engelhardt der Schumacher hatt oben über dem hiernachgeschriebenen gemeinen Wettertach noch ein Wettertach xx schu lang, i+ schu herauß, darfür bessert Er j ß iiij d.

f° 368
[Vom Goldtgießen dem Metzger Gießen zu, am Wasser]

Der Vorgenante Mathis Hutter der Messerschmidt hatt auch vff der Andern seÿten an seinem Hauß Vmb das Eckh hienumb gegen der Herrberg Zum Rappen hinab zusehen, ein Wettertach xv schu lang, iiij schu herauß, Vnden vor der Werckhstatt ein Laden v+ schu lang, ij schu iij zoll herauß, darneben ein hültzinen Banckh vij schu lang, i+ schu herauß, Mehr ane demselben Hauß ein Wettertach so sich vmb das ander Eckh biß ahne Caroli Betzen des Bulvermachers hauß Inn den Metzger giessen Hinein Zeücht xx schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Vnden auch vor einem Gaaden darinn ein Schumacher Ist ein Laden iiij schu ix Zoll lang i+ schu breit, Bessert für das Nießen, viij ß. v d.

f° 368
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Carle Betz der Bulvermacher hatt an seinen Heüsern so etwann Michell Kogmans des Büchsenschmidts gewesen durchabhin ein Vsstoß Lxxij schu lang, ahne dem obern v schu vnd Vndern orth v= schu herauß, Vnden Vor einem Gaden darin Andres Scherer der Schuemacher Ist, ein Laden vii+ schu lang, ij schu herauß, Vnndt dann Vor derselben Faaden Thüer ein Steinen Tritt 3 schu lang, i+ schu herauß, Mehr über einem Gaden, Welchen Daniel Geßger der Wurtzkrämer Inn hatt ein Laden vij schu ix Zoll lang, xxj Zoll herauß, daran ein Aussatz benckhle vij schu lang, ix Zoll breit, Vor der haußthüer vnden ein steinen Tritt v schu iij Zoll lang, xiij Zoll breÿt, ein ligende Kellerthüer iiij schu ix Zoll lang, iij schu ix Zoll herauß, Zween Laëden x schu lang, ij schu herauß, Aber ein Ligende Kellerthüer iiij schu ix Zoll breÿt v= schu herauß, Item aber vor einer haußthüeren desselben Hauses ein steinen Staffel iiij schu ix zoll lang, j schu breit, vnd ein hültzinen Naach, Bessert für das Nießen, j lb. viij ß. ix d.

f° 368-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hans Wagner der Sattler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxv schu ix Zoll lang, v schu herauß, Ein Laden vij schu iij Zoll lang, ij schu herauß, Daruor ein Vssatz banckh ix schu ix Zoll lang, ij schu breit, Item ein Laden iiij schu lang, ij schu breit, Hatt auch daeneben ein außgehawenen stein stehen, iii+ schu lang, ij schu Breit, Bessert für das Nießen, ix ß. xj d.

f° 368-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hans Rinckh der Weißbeck hatt an seinem Hauß oben ein Vsstoß xx= schu lang, v schu herauß, Darund. ein Ingemaurten Beckhen Laden x+ schu lang iij schu herauß, Vor der haußthüeren ein Steinen Tritt v+ schu lang, xv Zoll herauß, Dreÿ aussatz bänckh vj schu lang, iiij schu breÿt, Bessert & ix ß. x d.

f° 369
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Johannes Baur der Schreiber hatt ein Hauß daran ein Vsstoß xxj schu lang, iiij schu herauß, Darunder ein Aichenen Pfosten vff dem Allmend stehen, Über dem Vndern aber Zwen Vsstöß auch xxj schu lang, beede, Vnd iii+ schu herauß, Vnden ein Laden, Welchen Bastian Feiner der Sattler braucht vi+ schu lang, iij schu herauß, Daruor ein Vssatz benckhlin v schu lang, xxj Zoll breÿt, Hatt auch Vnden Vor dem selben Laden ein grosser Hohen stein Vff dem Allmendt stehen, Bessert für dises Nießen, j lb. iij d.

f° 369
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Das Hauß Zum Salmen Zunechst neben disem Ist auch desselben Johannis Bauren, Vnd würdt Jetziger Zeytt Von Ime selbs bewohnet, Daran ein Vsstoß xix schu lang, iiij schu herauß, Darüber ein Staucher In gleicher Langen, Vnd für den Vsstoß noch weÿter herauß, j schu Ein Ligende Kellerthüer vij schu breÿt, iij schu herauß, Vor der Haußthüer ein besetzten Stich x= schu breÿt v= schu herauß, Bessert für das Nießen, ix ß. ij d.

Er hatt auch vor dem Hauß daß Allmendt mitt Mist Verschlagen, Soll für den Mist ij ß d.

f° 369
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Heinrich Streelers selligen Kindt hatt ein Hauß darinn deßelben Heinrichs Wittwe sitzt, Vndt hatt ein Vsstoß xix= schu lang, iiij schu herauß, Daran ein Staucher, welcher auch also lang Vnd Ein schu weÿter herauß gehet, Darüber aber ein Vsstoß so auch xix= schu lang für den Staucher iij schu herauß, Bessert & vj ß viij d

f° 369-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Theobaldt Mäders von Obern Ehenheim selig. nachgelassene Wittwin hatt ahne Ihrem Hauß ein Ausstoß xx+ schu lang iiij schu herauß, Daran ein Staucher Ingleicher Lenge iiij Zoll herauß, Vor der haußthüeren ein besetzten Stich v+ schu lang, v= schu herauß, Item Ein ligende Kellerthüer v schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Nießen, vij ß. viij d.

Die gedachte Wittwin Hatt auch das Allmendt Vor Ihrem Hauß mitt Mist verschlagen, Bessert für das Nießen des mists ij ß d.

f° 369-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hieremias Tromer der Khüeffer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiii+ schu lang, iij schu herauß, Daran ein Staucher Ingleicher Lengen ix Zoll herauß, Ein ligende Kellerthüer v+ schu breÿt, iij schu herauß, Vndt dann Vor der [page suivante]
Derselb Hieremias Tromer der Küffer hatt auch Vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, Soll für den mist bessern ij ß d.

f° 370
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Wilhelm Rosenbrechers des Schloßers selligen Erben, haben ein Hauß bewohnt Hanß Georg Finsterer* der Keßler daran ein Vsstoß xx+ schu lang, am Obern ortt iij schu iij zoll Vnden ii+ schu herauß, Ein Laden iii+ schu lang, xxj Zoll breit, Mehr ein Laden viij schu lang ii+ schu herauß, Bessert für die Nüessung ij ß. viij d

f° 370
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Michell Seitzen deß Beckhen selligen Wittwin vnd Erben ein Vsstoß xxij schu ix Zoll lang, iij schu viij Zoll herauß, ein hültzinen Beckhen laden xj schu lang, iij schu herauß, Vor der Haußthüer ein steinen Tritt ii+ schu lang, i+ schu herauß, Undt haben auch das Allmendt mit Mist verschlagen &, Bessert für die Nüessung, sampt dem Mist, ix ß d

f° 370
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hans Monschein der Kuttler hatt ein Hauß darinn Er bawet, vnd hatt dasselb hauß ein Vsstoß xxiii+ schu lang, iij schu viij Zoll herauß, Daran ein Staucher In gleicher lenge j schu für den Vsstoß, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 370-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Jacob Külling der Schreiner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxj schu lang, iij schu herauß, Daran ein Staucher auch also lang, j schu darfür herauß, Oben über derselben Staucher ein hültzinen Gang auch Inn d.selben Lengen, Vndt für den Staucher noch i+ schu weiter herauß, Ein ligendt Kellerthüer darauff ein hültzene Prütschen v+ schu breit iiij schu ix Zoll herauß, Bessert & viij ß d.

Hatt auch ein hauffen Mist vor dem Hauß vff dem Allmendt ligen, Vndt für den Mist ij ß d.

f° 370-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Conrad Waltz hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xx= schu lang, iij schu herauß, Neben der haußthüer ein steiner Benckhlin iij schu lang i+ schu breit, Bessert & iij ß viij d.

Und hatt auch ein wenig Mist vor dem Hauß vff dem Allmend ligen vnd für den Mist ij ß

f° 370-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Zacharias Ull der Haußbeckh hatt auch daß Allmend vor seinem Hauß mitt Mist verschlagen, bessert für den Mist ij ß d.

f° 371
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hans Küling der Schreiner hatt an seinem Hauß ein Staucher xvij schu lang, j schu herauß, Ein Laden vij schu lang, xxj Zoll herauß, hatt auch das Allmendt vor dem Hauß mit mist verschlagen, bessert für den Mist ij ß d.

f° 371
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Die Clüß Hinder Sanct Niclaus im Metzger Gießen den Edlen von Endlingen Zustendig, hatt ein Von grundt auff gemaurt Profeÿ iij schu breit xv Zoll herauß, sampt Zween hültzinen Näechen, soll Allmendt sein vndt bleiben, Bessert für das Nießen, xj ß. iiij d.
[in margine :] Junckher Hanß Rudolff von Endingen.

Zacharias Dideco hatt hinden vß seinem Hauß ein gang durch die Cluß vntz Inn den Gießen, und hatt daselbst das Allmendt Vor der Clußen mit mist verschlagen, Bessert für das Nießen ij ß d.

Vorbesagter Hanß Kulling der Schreiner hatt auch vßwendig ane d. Clusen das Allmendt mit einem heüffel Dielen belegt, bessert für die Dielen ij ß

Caspar Treidinger wohnhafft in der Clusen hatt das Allmendt daruor mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist ij ß d.

f° 371-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Jacob Kamm Würth zur Aëxt, hatt in dem Metzger Gießen Vor einem Stall das Allmendt mit mist verschlagen, x ß d.

f° 371-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Simon Seiffridt der Metzger hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, bessert & x ß d.

f° 371-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Heinrich Kerlin der Metzger hatt daselbs im Metzgergiessen, Vor einem Rinderstall das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert für das Nießen, vj ß d.

f° 371-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Der mehrer Spittal hatt ein Hauß bewohnt Bastian Feiner der Sattler, daran ein Wettertach xi+ schu lang, i+ schu herauß, Vor der Thüer ein besetzten Tritt v= schu lang, ij schu herauß, Bessert & ij ß iiij. d.

f° 371-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hans Monschein der Kuttler hatt an seinem Hauß ein lehnende Kellerthüer vj schu breÿt, iij schu heraus, Ein besetzten Tritt iiij schu lang, i+ schu breÿt, Auch vor dem Hauß ein wenig mist ligen, Bessert & vij ß d.

f° 372
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Jacob Schoner hatt hinden im Metzger Gießen vor seiner Scheüer vnd Stall das Allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für das Nießen, x ß d.

f° 372
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Mathis Gehen deß Weinschenckhen wittwin hatt vor Ihrem Hauß ein besetzten Tritt v= schu lang, xv Zoll herauß, vnd ein Offene Kellerstegen vij schu breÿt iij schu herauß, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 372
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Michell Rüplins Des Goldners selligen wittwe hatt an Ihrem Hauß ein Staucher xij schu lang, ix Zoll heraus, Darüber ein Wettertächle auch xij schu lang, xv Zoll weÿter herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 372
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hanß Kamm Der Metzger hatt gegen seinem Hauß vber vnser Frawen Werckh Speicher ein Stoß Brennholtz vf dem Allmendt stehen, darneben ane deßelben Sperichers Mauren Zimblich Gerör, Vndt Stein ligen, Bessert für den Holtz hauffen iiij ß d.
Vnndt daß Gerör ii ß d.

Derselb Hatt auch vor seinemHauß vnd Schewren das Allmendt mit einem grossen Hauffen Mist verschlagen, darfür soll Er beßern x ß d.

f° 372-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Quirinus Guntz Der Metzger hatt an seinem Hauß ein Staucher xxvi+ schu lang, j schu herauß, Darüber ein Wettertach In gleicher Lengen j schu weÿter herauß, Vndt dann Vor der Hauß thür ein besetzten Tritt iii+ schu lang, i+= schu herauß, Bessert für das Nießen, ij ß iiij d.

f° 372-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Niclaus Hans Metzger der Kuttler hatt an seinem Hauß darinn Clade Metzger wohnt ein offene Kellerthüer v schu iij Zoll breit, iij schu herauß, Bessert für das Nießen, ij ß viij d.

Hatt auch das Allmendt daselbsten mit Mist verschlagen, Vnndt für den Mist v ß d.

f° 373
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Wilhelm Koch der Kuttler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxvij schu ix Zoll lang, ij schu herauß, Ein offene Kellerthüer vij schu, iij schu herauß, Hatt auch etlich Mist vor dem Hauß vfm Allmendt ligen, bessert für das Nießen sampt dem Mist, ix ß d.

f° 373
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Martin Haaß hatt oben an seinem Hauß ein Vsstoß xlij schu lang, j schu herauß, Darüber noch ein Vßstoß In gleicher Lengen Vndt für den Vndern noch j schu weiter herauß, Ein lehenende Kellerthüer ix= schu breit iii+ schu herauß, Hatt auch außwendig an dem Hauß ein hültzinen Naach, vndt daruor ein Wenig mist vff dem Allmendt ligen, bessert für das Nießen mit dem mist, xiiij ß iiij d.

f° 373
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Georg Morgen der Kuttler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xix schu lang, ii+ schu herauß, Darüber ein Stauch. xiiij schu lang, j schu weiter herauß, Darauff ein Wettertächle In gleicher lengen, j schu für den Staucher herauß, sampt ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen In allem, v ß viij d.

Derselb Georg Morgen hatt auch vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, Vnndt soll für den Mist bessern, iij ß d.

f° 373-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Hanß Andres der Pferdt Vnder Keüffer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xii+ schu lang, xx Zoll herauß, Darüber aber ein Vsstoß In gleicher lengen, vnd ein schu weiter herauß, Bessert für das Nüeßen, ij ß iiij d.

Et hatt auch das Allmendt vor seinem Hauß mit Mist verschlagen, bessert für den Mist, ij ß d.

f° 373-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Veltin Harttlaub der Metzger hatt an seinem Hauß ein lehenede Keller vij schu breÿt, iij schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nießen, iiij ß d.

Derselb Veltin Harttlaub, hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist, x ß d.

f° 374
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Jacob Rüble der Metzger hatt oben an seinem Hauß vnderm Dachstul ein Wettertach xxxi+ schu lang, ii+ schu herauß, Ein besetzter Tritt vor der Haußthüeren vii+= schu lang, ij schu herauß, Ein offene Kellerthüer mit Zwoen vfrechten Mauren vij schu breit, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, viij ß d.

Er hatt auch das Allmendt mit mist verschlagen, Vndt soll für den Mist bessern, x ß d.

f° 374
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Der Metzger Zunfftstuben hatt oben ein Vsstoß xxix= schu lang, xj schu herauß, bessert für den Vsstoß ix ß. iiij d

Vnder demselben Vsstoß ligt auch ein groß Metzger Hawbloch undt etlich Aichine Dielen, so das Allmendt verschlagen, darfür bessern Sie ij ß d.

Der Brunnen darbeÿ Ist Zugeworffen Vndt Abgangenn &.

f° 374-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Heinrich Haaß der Metzger der Elter hatt an seinem Hauß vor einer Thüeren ein besetzter Tritt, iij schu ix Zoll lang, i+ schu herauß, Mehr vor seiner Thüeren deßelben Hauses aber ein solchen besetzter Tritt vij schu lang, i+ schu herauß, Mehr ein offene Kellerthüer mit Zwoen vfrechten Mauren vij schu und + breit, ij schu ix Zoll herauß, Darüber ein wettertächlein viij schu lang, iiij schu ix Zoll herauß, Bessert für dise Nüeßung, vj ß viij d.

Des gemelten Heinrich Haasen Hauß hatt auch nebens vff Jeder seÿtten Oben In der Höhe ein gemaurten steinen Mantel Zweÿer Gaden hoch, viij Zoll breit, i+ schu herauß, Bessert für dise Nüeßung, j ß d

f° 374-v
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Das Hauß Zum Schwanen gehört diser Zeÿtt Philips Heüsen zu, bewohnt Jetzundt sein sohn Hans Michell Heuß, vnd hatt oben neben der Thüer ein außgeladen Kemmattlin j schu breit, i+ schu herauß, Mehr ein Vsstoß Zweÿer Gaden hoch, biß Vnder das Tach, xxiii+ schu lang, iiij schu ix Zoll herauß, daran ein Staucher xx schu lang, xv Zoll für den Vsstoß weiter herauß, Darüber ein Wettertach In gleicher Lenge, noch ein schu für Vß, Ein lehenende Kellerthüer vij schu ix Zoll breit, iij schu herauß, bessert & xi ß viiij s.

Der genante Hanß Michael Heüß hatt auch daselbs vor dem Hauß Zum Schwanen das Allmendt mit Mist verschlagen, Vndt soll für den Mist, ij ß d.

f° 375
Im Metzger Gießen die Ein Seitten nach dem Spittalthor zu hienauff.

Niclaus Hans Metzger der Kuttler hatt vor dem Allmendtschlupff neben dem Hauß Zum Schwanen das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert für das Nießen, vj ß d.

In dem Schlupff neben dem Schwanen Ist nichts gemeßen worden

f° 375
Aber vornen im Metzger Gießenn.

Gabriel Buser der Vnderkeüffer hatt vor seinem Hauß ein ligende Kellerthüer v+= schuh lang, iii+ schuh herauß, Vor der Haußthür ein steinene Staffell auch v+ schuh lang. xv Zoll breÿt, Bessert für das Niessen, iiij ß iiij d.

Hatt auch ein wenig Mist vor demselben Hauß vf dem Allmendt ligen, Bessert &, ij ß d

f° 375-v
Aber vornen im Metzger Gießenn.

Bläsin Voltzen selligen Wittwe hatt an Ihrem Hauß ein Vsstoß xxv schuh lang, iiij schuh herauß, Mehr daran ein Staucher Inn gleicher lengen, ix Zoll für den Vsstoß weÿter herauß, darüber Oben ein Wettertach auch xxv schuh lang noch i+ schuh weÿter herauß, Bessert für das Niessen, vj ß viij d.

Die gemelt Wittfraw hatt auch vor Ihrem Hauß daß Allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist ii ß d.

f° 375-v
In dem Allmendgäßlin neben gerüerts Bläsin Voltzen Wittwin Hauß genandt Daß Klein Vÿhe gäßlin, Ein seitten

Peter Herttenstein deß Küeffers selligen nachgelassene Wittwe hatt Inn disem Allmendt gäßlin hinden Vor Ihrem Hauß, darinn Hanß Eberlin der Fuhrman wohnt, Ein besetzten Tritt v schu lang, i+ schuh herauß, Bessert für den Tritt j ß d

f° 375-v
In dem Allmendgäßlin neben gerüerts Bläsin Voltzen Wittwin Hauß genandt Daß Klein Vÿhe gäßlin, Ein seitten

Niclaus Hans Metzger der Kuttler hatt vor seinem Hauß auch ein besetzten Tritt iii+ schuh lang, xvj Zoll breÿt, bessert für den Tritt, j ß d

f° 376
In dem Allmendgäßlin neben gerüerts Bläsin Voltzen Wittwin Hauß genandt Daß Klein Vÿhe gäßlin, Ein seitten

Andres Butzmann Sattlers des Eltern seligen nachgelassene Wittib hatt vor Ihrem Hauß ein steinen vnd ein besetzten Tritt, beede v schu lang, ij schu herauß, bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 376
In dem Allmendgäßlin neben gerüerts Bläsin Voltzen Wittwin Hauß genandt Daß Klein Vÿhe gäßlin, Ein seitten

Conrad Legler der Metzger hatt hinden in disem Allmendtgaëßlin das Allmendt an seinem Hauß mit mist verschlagen, Bessert &, ii ß d.

f° 376
Anderseitt des Cleinen Vihe Gäßlins wider dem Gießen Zu herauß.

Marx Schedler der Metzger hatt vnden vor seinem Hauß ein steinene Staffel v schu lang, xv Zoll breit, bessert für das Niessen, j ß d

f° 376
Anderseitt des Cleinen Vihe Gäßlins wider dem Gießen Zu herauß.

Claus Neffen deß Metzgers selligen Erben haben Inn dem gaëßlin Vor seiner Thüer ein steinen Tritt vij schu ix Zoll lang, xv Zoll breÿt, Bessern für disen Tritt, j ß d

Aber Vornen am Metzger Gießen

Das Hauß Zum Steinbock ist vorgeschriebenen Claus Neffen deß Metzgers Erben zuständig, hatt vnden vor d. Haußthüer ein besetzten steinen Tritt vj schu lang, ij schu herauß, Mehr ein offene Kellerthüer vj schu breÿt, ij schu herauß, Bessert für die Nüeßung, iij ß d.

Vnd hatt diser Hauß oben ind er höhe nebendts vff beeden seÿten ein steinen Mantel, da Jeder Zweÿer Gaden hoch, viij Zoll dickh, vnd i+ schu breÿt herauß gemaurt Ist, Bessert für dise Zween steinene Mäntel, ij ß d

Zuwißen, Eß Ist Hinden an Claus Nefen seligen Erben Hauß Im Metzgergiessen zum Steinbockh genandt Zwischen derselben Erben Garten, So dann weÿlandt Herrn Hanß Heinrich Vollmars seligen Erben Jetzt Georg Graßmann dem Ferber, Elias Betzen dem Goldschmidt, Wilhelm von Bÿsantz vndt Andres Luntzen beÿden Ohlleütten, ein besetztes Allmendtgäßlin funden, aber nit gemessen worden, dann es fallt der Tachtrauff von gemelten Heüsern drein, Vnd berichtet gedachter Wilhelm von Bÿsantz, das die Statt solch Allmendt gässel vor Zeÿten hat lassen besetzen, Vnd von den Nachbaurn den Oneosten* wid.umb Ingezogen, Vndt laufft das Wasser, so sich von den Tächern etwan manichmal samblet, durch einen Tholen, welcher durch Claus Neffen Garten geleÿtet Ist, ab, vnd Inn das Klein Vÿhegäßlin hienauß, Ist j C xlix schu lang, Vornen beim Stall viij, In mitten v. hind. iiij schu breÿtt.

f° 377
Aber Vornen am Metzger Gießen

Wilhelm von Bÿsantz der Ohlmann hatt Vor berüertem Hauß das Allmendt mit Mist verschlagen, Welches auch dem gemeinen Brinnen daselbs Zimblich nahe, vnd mit vil nutz bringen mag, Bessert für den mist, x ß d.

Mehrbesagte Claus Neffen selligen deß Metzgers Erben haben neben dem Steinbockh aber ein Hauß, bewohnt Adrian Hackh der Glaser, Daran oben Inn d. höhe untz Vnder das Tach auch ein steinen gemaurten Mantel Zweÿer Gaden hoch, viij Zoll dickh, i+ schu herauß, Bessern für den steinen Mantel, j ß d.

f° 377
Aber Vornen am Metzger Gießen

Lorentz Klein der Schneider hatt an seinem Hauß Ein Wettertach xiij schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Vor der Haußthür Zween steinene Tritt mit einem vfrechten Meürlin iij schu lang, ii+ schu herauß, ein ligende Kellerthüer iiii+ schu breit iij schu herauß, So dann vor d. Werckstatt ein Laden vii+ schu lang ij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, v ß iiij d.

f° 377-v
Aber Vornen am Metzger Gießen

Jacob Erhardt der Kandtengießer hatt an seinem Hauß, so ein Ortthauß Ist, Vnden ane der grossen Vÿhegassen ein Wettertach xxxix= schu lang, v= schu herauß, Oben darüber ein Staucher In gleicher Lengen, j schu noch weÿter für das Wettertach so auch xxxix= schu lang, Vnd j schu für das Vnd.st herauß, Mehr Vnden Vor d. Werckhstatt ein Laden vi+ schu lang, ii+ schu breit, Vor der Haußthüer ein besetzter Tritt iiij schu iij Zoll lang i+ schu herauß, Aber ein Laden vii= schu lang iii= schu breit, Vndt ein lehenden Kellerthüer v schu breit, iij schu herauß, Bessert xiiij ß iiij d.

Derselbig Jacob Erhardt Kandtengießer hatt auch außwendig seiner Werckhstatt ein Schleiffstein vff dem Allmendt stehen, Bessert für den Schleÿffstein, iij ß d.

Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Jacob Erhardt der Kandtengießer hatt auch vff der Andern seÿtten seines Hauses, Inn der Vÿhegassen ein Wettertach xxxij schu lang, iij schu herauß, Vnd ein hültzenen Naach außwendig ane dem selben Hauß vff dem Allmendt stehen, Bessert für das Nießen, vj ß d.

f° 378
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Georg Heüßler der Weißbeckh hatt an seinem Hauß ein hültzin Wettertach xv schu lang, v schu herauß, Vnden Vor der Thüeren ein Steinen Tritt v schu lang j schu breit, ein Ingemaurten Beckenladen ix schu ij Zoll lang, iij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, viij ß vj d.

f° 378
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Jacob Walther der Sattler hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxx schu lang, v= schu herauß, Mehr vnden vor der Werckhstatt Zwen Laëden xii+ schu lang, iij schu herauß, Aber ein Laden v+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß viij d.

f° 378-v
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Andres Cuntz der Ohlmann hatt vor seinem Hauß Vnden das Allmendt mit etlich altem holtz werckh vnd grossen Plöchern Verschlagen, Bessert für das Nießen, ij ß d.

f° 378-v
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Wilhelm von Bisantz der Ohlmann hatt vor seiner Haußthüer ein besetzten Stich v schu lang, iij schu heraus, Hatt auch vor sein Hauß etlich altt holtzwerckh vnd Plöcher vff dem Allmend ligen, bessert für d. Nießen, iij ß vj d.

f° 378-v
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Elias Betz der Goldschmidt hatt vor seiner Haußthüer Ein steinen Tritt v= schu lang j schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.

f° 378-v
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Georg Graßmann der Ferber hatt an seinem Hauß ein Wettertach, xiij schu lang, ii+ schu herauß, Vnd ein Laden vij schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß iiij d.

Nota. Ein Allmendgaëßlin soll Hinden Zwischen Herrn Hannß Heinrich Vollmar seeligen Verkauffter Behausung Zum Rappen Kopff, vnd Elias Betzen, so dann Claus Nefen seligen vnd Wilhelm von Bisantz behausungen sein, Weÿl aber In alten Allmendt büchern Kein bericht dauon funden worden, So seindt die Allmendt Herren nit darin Kommen.

f° 379
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Weiland Herrn Hanß Heinrich Vollmars fünff Zeheners selligen hinterlassene Wttwe vnd Erben haben ein Hauß genandt Zum Rappen Khopff, darinnen wohnet Jetziger Zeÿt Jacobus Meÿer der Notarius, dasselb Hauß hatt oben Von einem Gewölb herauß gegen d. gassen ein außgeladen Eckh xj schu lang, ahne demselben Eckh xvj Zoll herauß, laufft am Andern Ortrtt In das Maurhaupt, Mehr Vor der Thüer Vnden Zwen besetzte Tritt vj schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Bessert &, ij ß vj d

f° 379
Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.

Johann Zimmerer vnd Niclaus Portt hatt oben an seinem Hauß, Welches etwann auch weÿllandt Vorgedachtem Herrn Hanß Heinrich Vollmarn seligen Zustendig gewesen Ist, ein steinen Erckher Zweÿer Gaden hoch vf dreÿen steinen Kepffern ix schu lang, i+ schu Herauß, Vnden vor d. haußthüeren ein steinen Tritt xviij schu lang, i+ schu herauß, Darneben ein steines Bencklin vij schu lang, xv Zoll breÿt, Bessert für das Nießen, vj ß ij d.

f° 379-v
Hinter der Mauren beim Metzgerthurn, nach dem Spittalthor Zu.

Urban Kauffmann der Seÿler hatt ein Hauß so ein Eckh Ist, Oben an d. Vÿhegaß beÿm Metzger Thor Zu, darinn wohn Conradt Bruckmaan der Seÿler, Vnd hatt vff d. Andern seÿten Wann mann Vmb das Eckh hienumb hind. die Mauren gehet, Obenn am Gebell ein Wettertach xxij schu lang, iij schu herauß, Bessert für d. Nießen, ij ß viij d.

f° 379-v
Hinter der Mauren beim Metzgerthurn, nach dem Spittalthor Zu.

Hans Arnold der Waffenschmidt hatt an seinem Hauß ein Wettertach xv schu lang, iiij schu herauß, Mehr auch ein Laden Vnden Vor seiner Werckhstatt ix schu lang, ij schu iij Zoll Herauß, Bessert &, ij ß viij d.

f° 379-v
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Claus Frantzen des Metzgers Wittwin hatt hinden ane der Rinckhmauren beim Metzgerthurn etliche alte große Plöcher vndt ein Metzger banckh vf dem Allmendt ligen, bessert für das Niessen, ij ß d.

f° 380
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Heinrich Kerling der Metzger hatt an seinem Hauß vff der seÿten gegen dem Metzger Thurn Oben ein Genglin mit geträheten Stollen, vnd steinen blatten belegt, xj schu lang, Über die Maur j schu herauß, Mehr vornen auß ane demselben seinem Hauß ein Staucher xxj schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß d.
[in margine :] Modo Hanß Doll der Pruckmeister

f° 380
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Paulus Graffen deß Garttners selligen Nachgelassene Wittib, Jetzundt Pauli Bertrams eheliche Hausfraw, hatt ane Ihrem Hauß ein Staucher xx= schu lang, xiiij Zoll herauß, Darüber ein Wettertach Ingleicher Lenge für den Staucher noch j schu weÿter herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d.

f° 380
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Peter Schuller der Büchsenschmidt hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxiij schu lang, iii+ schu herauß, Vor d. Haußthür ein besetzten Tritt v= schu lang, i+ schu breit Vnden Vor der Werckhstatt Zwen Laëden Jeder vj schu lang, ij schu herauß, bessert für das Niessen, v ß d.

f° 380-v
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Peter Weber der Büchsenschiffter hatt oben an seinem Hauß ein Staucher ij schu lang, j schuh herauß, Mehr Vnden Vor der Thür ein besetzten Tritt iiij schu iij Zoll lang, ij schu herauß, Zwen Laëden Jeder v= schu lang ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß d.

f° 380-v
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Heinrich Haaß der Würth zum Ochsen hatt ane seinem Hauß, Da Hans Lauppelder der Strawschneÿder Innen sitzt, Ein Wettertach xxv schuh lang, iii+ schu herauß, Ein besetzten Tritt vi+ schuh lang, ij schuh herauß, Vnndt ein Laden vij schuh lang vndt ij schu herauß, Bessert für d. Niessen, v ß d.

f° 380-v
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Hieremias Eippers deß Weißbecken selligen Wittib hatt ein Hauß, darinn wohnt Ulrich Berckhstein d. Schuhmach. undt hatt oben ein Wettertach xviij schu lang, iiij schu herauß, Oben darüber ein Staucher In gleicher lenge ix zoll herauß, Mehr vor d. Thür ij besetzte Tritt iiij schu lang, iij schu herauß, Zwen Vssatz Baënckh xiij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß ix d.

f° 381
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Erstgemelte Hieremias Eippers deß Becken Wittwe hatt neben disem aber ein Hauß, darinnen Sieselbs vnd Ihr sohn wohnt, vndt hatt oben ein Wettertach xvij schu lang, v+ schu herauß, Vor der Haußthüer Zwen besetzte Tritt v+ schu lang, iii+ schu herauß, Mehr einen hültzenen Beckhen Laden ix= schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, viij ß x d.

f° 381
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Die Gastherberg Zum Ochsen Hatt Heinrich Haaß der Elter Würth daselbs, Vndt hatt oben ein steinen Wettertach mit blatten vdt vff steinen Kepfern Liii+ schu lang, xxj zoll herauß, Vor der Kleinen Thüeren neben des Beckhen Hauß dreÿ steinen Tritt iiij schu lang, ii+ schu herauß, Vnndt dann auch ein hültznen Naach Oben vfs Halbtheil mit einem Kupfferin Rhor, bessert für das Niessen, vij ß vj d.

f° 381
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Elias Geßler der Büchsenschmidt hatt oben an seinem Hauß ein hültzenen Gang, xxij schu lang, ii+ schu herauß, Darüber ein vßgestossen hoch Kemmatt ij schu breit j schu herauß, Vor der Haußthüeren ein besetzter tritt v+ schu lang, j schu ix Zoll herauß, Ein lehenende Kellerthüer v= schu breit, ij schu herauß, Vor der Werckhstatt ein Laden vj schu lang, ii+ schu herauß, Mehr ein Laden, vij schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, vj ß iiij d.

f° 381-v
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Veltin Müller der Sattler hatt ein Ingang Zu seinem Hauß, Daruor ein besetzten Tritt iiij schu lang, xv Zoll herauß, Oben darüber ein Wettertächlin v schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Bessert &, ij ß d.

f° 381-v
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Hans Eisenmann der Windenmacher der Altte, hatt an seinem Hauß ein Wettertach xvi+ schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Darüber ein Vßgestossen Kemmat i+ schu breit j schu herauß, Zwen Laëden Jeder v+ schu lang, ij schu herauß, Mehr Vnden Vor der Haußthüer Zween besetzter Tritt v schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ix ß d.

f° 382
Anderseit der großen Vihe Gaßen.

Hans Jacob Müller der Rottgiesser hatt Vff diser seÿten Inn der grossen Vÿhegassen, an seinem Hauß, so ein Ortt Hauß, Vnden ane bemelter gassen Ist, ein Wettertach xlviij schu lang, iii+ schu herauß, bessert für die Nüeßung, viij ß d.

Er hatt auch Vnden ans einem Hauß mehr ein Gaden so Er Verleÿhet ein Aussatz banckh ix= schu lang, ii+ schu breit herauß, bessert für den Vssatz banckh, ij ß d.

Er mehr Vnder seinem Hauß ein Gädlein so er Verleÿhet ein Vssatz bänckhle iii+ schu lang, j schu breÿt, bessert für das Niessen, j ß d.

Daselbs umb das Eckh hinumb Nach dem Rappen zu.

Der Vorgemelte Hans Jacob Müller der Rottgiesser hatt auch auff der Andern seÿtten vmb das Eckh hienumb nach der Herrberg Zum Rappen Zu ahne seinem Hauß ein Wettertach xxii+ schu lang, iiij schu herauß, Vnden Vor der Werckhstatt ein Laden x+ schu lang, ij schu iij Zoll herauß, bessert für das Nießen, iiij ß d.

f° 382-v
Daselbs umb das Eckh hinumb Nach dem Rappen zu.

Michell Lacher der Weißbeck hatt an seinem Hauß ein Vsstoß ([corrigé en] Wetterdach) xviij schu lang, iiij schu herauß, Vndt dann ein Beckh. laden ix schu lang iij schu herauß, Bessert für das Niessen, vj ß d.
[in margine :] jetzt Herr Friderich Keck – dieses allmend ist am 26. Aug. 1704 inge Zäunt und mit 25. lb. abgekaufft worden

f° 382-v
Daselbs umb das Eckh hinumb Nach dem Rappen zu.

Hans Roppell der Grempp hatt an seinem Hauß ein Wetterdach xix= schu lang, v schu herauß, Mehr vor seiner Gadenthüer ij steinen Tritt iiij schu lang, iij schu herauß, Item ein Gremppen banckh vi+ schu lang, iii+ schu herauß, dreÿ Vssatz bänckh vij schu lang iiij schu herauß, Ein stehendt Kellerfenster ij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xj ß vij d.

In dem Allmendgäßlin hinden Ane der Herrberg Zum Ochsen genandt daß Ochsengäßlin

Hans Roppell Der Grempp hatt in dißem Allmendt gäßlin an seinem Hauß ein hültzenen Naach darfür bessert Er viij d.

f° 383
In dem Allmendgäßlin hinden Ane der Herrberg Zum Ochsen genandt daß Ochsengäßlin

Michell Lacher der Weißbeck hatt an seinem Hauß hinden Inn dem Ochsengäßlin ein Vsstoß xxix= schu lang vnd + schu herauß, Von derselben hindern thüren ein steinen Tritt iij schu lang, ix zoll herauß, Bessert für das Niessen, ij ß iiij d.
[in margine :] jetz Herr Friderich Keck
Hinden ½ schuhe vornen i. schuhe 3. Zoll breit, dieser allmend zinnß ist am 26. Aug. 1704. abgekaufft worden.

f° 383
In dem Allmendgäßlin hinden Ane der Herrberg Zum Ochsen genandt daß Ochsengäßlin

Heinrich Hauß Der Würth zum Ochsen hatt Inn disem Allmendtgäßlin vor einer hindern Thüerenn ane derselben seiner Herrberg Zwen steinene Tritt iii+= schu lang, ij schu herauß, sampt einem hültzenen Naach, Mehr Oben am Hauß ein Wettertach xij schu lang, ij schu herauß, darüber aber ein Wettertach Inn gleicher Lengen ii+ schu herauß, Mehr vor einer Thür ein steinen Tritt v schu lang, j schu breÿt, Oben am Hauß ein Vßgestossens hültzins Erckherlin ix= schu breÿt, ij schu herauß, Ein außgeladen Camin xiiij Zoll breit, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß d.

Zuhinderst In dem Allmendgäßlin hinder der Herberg Zum Ochsen, Ist auch sonst ein Vberzwerchs Allmendt gäßlin iii+ schu breÿt, soll etwann ein durchgang gewesen sein, Vndt Hanß Kips selliger der Metzger, Weil solches zu nechst ane seiner Schewr vnd Behausung Ist, denselben Zugemaurt vndt vermacht haben, Darinn Ist ein gemein Profeÿ.
[in margine :] Sollen die Allmend Herrn über disem Allmend gäßlin Rede haltten.

Es sollen Hanß Kipsen selligen Erben oder Nach Kommen Brieff vndt sigill vff legen Wer Ihnen erlaubt hatt, den Obgemeltten durchgang Ihres gefallens Zu Zumauren
[in margine :] Ettliche wollen schier sagen, alß hab er Herr Heinrich Vollmar selig zumachen laßen

f° 383-v
Anderseitt desselben Allmendgäßlins hinden vonn Hanß Kipsen selligen Schewren widerumb herfür.

Philipps Balthasar Stumpfen selligen des Würths zum Rappen nachgelassene wittib vnd Erben haben In disem allmendtgäßlin ein Hauß, darinn wohnt Andres Hopp der büchsenschiffter, vndt hatt vnden vor der haußthür Ein besetzten Tritt iii+ schu lang, i+ schu herauß, Auch ein hültzenen Naach außwendig an demselben Hauß vff dem Allmendt stehen, Bessert für das Niessen, j ß viij d.

f° 384
Anderseitt desselben Allmendgäßlins hinden vonn Hanß Kipsen selligen Schewren widerumb herfür.

Elias Münckher hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach, bessert für den Naach viij d.

f° 384
Anderseitt desselben Allmendgäßlins hinden vonn Hanß Kipsen selligen Schewren widerumb herfür.

Johann Maler hatt an seinem Hauß oben Zweÿ Wettertach über einander Jedes xliiij schu lang, i+ schu herauß, dar zwischen ein vßgestoßen Kamin ii+ schu breÿt, xv Zoll herauß, vber einem Laden xiij schu lang iij schu herauß, bessert für das Niessen, xvij ß d.

Vornen beÿ der Herberg Zum Rappen.

Derselb Johann Maler hatt auch Vornen vß, wann mann Von dem Ochsengeßlin widerherauß vnd vmb das Eckh Hinumb nach dem Rappen zu gehen will, ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiij schu lang, ij schu ix Zoll herauß, daran ein Wettertach In gleicher Lengen, vndt für den Vsstoß noch iiij schu iij Zoll weÿter herauß, bessert für das Niessen, viij ß d.

Er hatt auch das Allmendt vnder demselben Wettertach mit etlich altem holtz werckh vnd Dielen stuckhen verschlagen, darfür bessert Er ij ß d.

f° 384-v
Beÿ der Schindbrucken am Wasser
Das Scheer Hauß so einZig an der Schindbruckhen vff dem Gemeinen Profeÿ stehet.

Niclaus Deem der Barbierer hatt an seinem Hauß hinden gegen Sanct Claus Pruckhen zu, Oben ein hültzinen Gang mit getreheten Stollen xxii+ schu lang, iij schu herauß, gibt Järlich Wie mann sagt Zu Allmendt geltt j ß d. Mehr Vornen neben der Haußthüeren Im Winckel desselben Eckhs ein lehendene Kellerthüer v= schu breÿt iii+ schu herauß, Oben darüber ein vßgeladen Eckh von Holtzwerckh v+ schu breit v+ schu herauß, Mehr vornen ane der Prucken vber den Stuben fenstern ein Wettertach xxiiij schu lang i+ schu herauß , darunder ein Staucher xiij schu lang, ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen v ß d.

Derselb Niclaus Deem hatt auch vor seinem Hauß einen grossen Schleiffstein vff dem Allmendt stehen, Bessert für den Schleÿffstein, iij ß

f° 385
Gegen dem Scherhauß hinüber Ane dem Andern Eckh beÿ der Schindbruckhen

Israel Finster der Grempp hatt an seinem Hauß so ein ortt od. Eckhauß Ist ane der Schindpruckhen ein hültzenen Gang xxxi+ schu lang, ii+ schu herauß, Daran ein hültzin Wettertach In gleicher Lenge, für den Gang noch ij schu weÿter herauß, Vnder berürten hültzinen Gang hatt er ein Gaëdlin, Daruor ein Laden v schu lang, xxj Zoll breit, Vor demselben Laden ein Vssatz banckh vj schu lang, xxj Zoll breit, Item aber Vor einem Gaëdlin ein Vssatz benckh iiij schu lang, ii+ schu herauß, Item ein Gremppen banckh ix= schu lang, ij schu herauß, Ein Laden iiij schu lang, ij schu herauß, Mehr ane disem Hauß vmb das Eckh hinumb gegen dem Rappen über ein wettertach xvi+ schu lang, iiij schu herauß, darüber ein Vsstoß xvj schu lang, am Eckh ij schu herauß, laufft hinden Ins Maurhaupt, Item ein lehendene Kellerthüer vi+ schu breÿt ii+ schu herauß, Ein Laden v schu ij schu iij zoll heraus, Bessert für das Niessen xviij ß ij d.

Derselb Israel Finster hatt auch hinden vfs Wasser ane disem Hauß ein Vsstoß xii+ schu lang, v+ schu herauß, daran Oben ein Wettertach In gleicher Lenge, noch i+ schu weÿter herauß, Darunder ein Landvesten, darinn ein Profeÿ mit einander auch xii+ schu lang, vnd v+ schu herauß, Bessert &, vij ß viij d.

f° 385-v
Gegen dem Scherhauß hinüber Ane dem Andern Eckh beÿ der Schindbruckhen

Reinhard Dietmar der Goldtschmidt hatt oben an seinem Hauß ein Wettertach xxj schu lang iii+ schu herauß, Vndt dann ein Laden vii+ schu lang, i+ schu heraus, Vndt hatt hinden vff dem Wasser ein Vsstoß xxv schu lang, vj schu herauß, Darunder ein Landtuesten In gleicher Lengen v schu herauß, Bessert für diße Nüessung xvij ß iiij d

f° 386
Gegen dem Scherhauß hinüber Ane dem Andern Eckh beÿ der Schindbruckhen

Wendling Burckhardt der Blattner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xvi+ schu lang, v schu ix Zoll herauß, Darund. ein Laden x schu lang, ii+ schu herauß, Ein steines Benckhlin v= schu lang, i+ schu breit, hatt auch hinden vf dem Wasser an disem Hauß ein Gang Von Holtzwerckh außgestoßen, sampt einem Profeÿ xxv= schu lang viij schu herauß, Bessert für das Niessen xv ß viij d.

f° 386
Gegen dem Scherhauß hinüber Ane dem Andern Eckh beÿ der Schindbruckhen

Georg Reinbold Nager der Büchsenschmidt hatt an seinem Hauß ein Wettertach xv schu lang, v schu herauß, Ein steinen Tritt iii+ schu lang, j schu breit, Ein steinen Erckher vff dreÿen Kepffern gegen der Herrberg Zum Rappen über ix schu breit ii+ schu herauß, Darneben ein Wettertach ix schu lang iiij schu herauß, Mehr Vnden am Eckh geg. dem Wasser ein Vsstoß xiii+ schu lang ii+ schu herauß &, Bessert für das Niessen xj ß viij d.

Derselbig Georg Reinbold Nager hatt auch ein groß. Schleÿffstein vnden vor seiner Werckhstatt an seinem Hauß vff dem Allmendt stehen, bessert für den Schleiffstein, iij ß d.

Nota. Eß seindt Georg Reinbold Nagern für den Gang sampt den beÿ den Pfeÿlern vnd Profeÿ j lb. 14 ß. xiij d. nachgelassen worden, dann Er hatt ein Brieff vnder der Statt Insigel de Anno 1430. Vfgelegt vnd mit demselben bewiesen, das die gemelten Stüeckh vmb die Statt für aigen abgekaufft seÿen, Dauon ein außführlicher Bericht beÿm Vß Zug der Besserung Zufinden fol: 246.

f° 386-v
Oben an der Herberg Zum Rappen Vom Eckh angemeßen, daß Gestad Am Waßer hienab nach der Newen Pruckhen Zu.

Die Herberg Zum Rappen, Philips Balthasar Stumpfen seligen Erben Zustendig, Hatt ein Vsstoß Lix schu lang, v schu herauß, Vnden Vor dem Ingang ein besetzten Tritt x= schu lang, i+ schu breit, Bessert & xvij ß d

f° 386-v
Oben an der Herberg Zum Rappen Vom Eckh angemeßen, daß Gestad Am Waßer hienab nach der Newen Pruckhen Zu.

Veltin Vollmar hatt oben an seinem Hauß ein Vsstoß xxii+ schu lang, v= schu herauß, Darüber aber ein Vsstoß In gleicher Lengen, ij schu weÿter herauß, Über dem selben Vsstoß auch ein Wettertach In gleicher Lengen ii+ schu herauß, Oben über disem Im Gebell aber ein Wettertach xvj schu lang, ii+ schu herauß, Vnden vor der Haußthüer dreÿ steinene Tritt v schu iij Zoll lang, iii+ schu herauß, auch vor einem Gaëdlin so er Verleÿhet ein Laden v+ schu lang ij schu herauß, bessert & xiij ß. vj d.

In der Allmend Gaßen Darneben

Derselb Valentin Vollmar hatt auch ane disem seinem Hauß Inn der Allmendtgassen darneben am Gebell ein Wettertach xlv schu lang, ii+ schu herauß, Vndt dann dreÿ Laëden, Vor dreÿen Vnderschidlichen Gäden, In der Lad. v schu lang, ij schu herauß, darfür das Wettertach, v ß iiij d.

[in margine :] Cf. sur la situation de ces maisons de la rue des couples le plan grossièrement tracé Ob. Bauh. Prot. 1585. f. 117.b.
La rue des couples s’appelait primitivement : weisen windtengass (rue du levrier blanc). Elle était d’abord plus étroite et ne fut élargie qu’en 1585. Cf. Ob. Bauh. 1584 et 1585.
Depuis elle veut le nom de Kuppelgass parce qu’elle conduit au Kuppelhof. De là aussi au 16° siècle déjà Kuppelhof: gäßlin.

f° 387
In der Allmend Gaßen Darneben

Jonas Schoner hatt an seinem Hauß, darinnen Daniel Sauter der holtz Karcher wohnet, ein Vsstoß xxxvj schu lang, ein schu herauß, sampt einem hültzenen Naach, Bessert für das Niessen i+ ß d.

Hatt auch das Allmendt vor demselben Hauß mitt Mist verschlagen, Bessert für den Mist, ij ß d.

f° 387-v
In der Allmend Gaßen Darneben

Peter Vogels zu Boderßweÿher Kinder haben ein Hauß, da Georg Vischer der holtz Karcher Innen sitzt, daran ein hültzenen Naach, bessert für den Naach viij d.

f° 387-v
In der Allmend Gaßen Darneben

Wendling Martin hatt oben an seinem Hauß ein Wettertach xxiij schu lang, ij schu herauß, darunder ein hültzenen Naach, Bessert für das Niessen iij ß iiij d.

Derselb Wendling Martin hatt auch an disem seinem Hauß vor Jaren ein Vsstoß gehapt, mit welchem Er Vnd. herauß gefahren, Vndt das Allmend Verbawen, Vnt hatt auch vnden ane demselben Hauß ein Allmendschlupff IngeZogen vnd über bawen, Von solchen Allmendschlupff soll Er wie mann In Bericht vornimpt Jarlich Zu Allmend Zinß der Statt geben ij ß d.

Er soll auch darumb das die Gassen offen gelassen würdt Jars der Statt zinßen seines Theils j lb d.

Was die Andern Nachbauren geben sollen, Ist auch Zuerkundigen vnd Nachfrag zuthun.

f° 388
Aber vornen am Staden.

Carle Kügler hatt ein Hauß bewont Michel Sattler der Küeffer, daran ein Vsstoß xxvij schu lang iiij schu herauß, Bessert für das Niessen viij ß d.

Michell Sattler der Küeffer hatt vnden an disem Hauß biß Inn die Nebensgaß das Allmend mit großen Newen Vassen Verschlagen, darfür bessert Er iij ß

Der gedachte Carle Kügler hatt auch zu hinderst vnden In berüerter diser Behausung, ein Allmendt schlupff, so etwann offen gewesen Ist Zugemaurt, soll Künfftig auch wie es darmit beschaffen, gerecht ferttigt werden
[in margine :] den Herrn 3. vfm Pfenningthurn an zu Zeigen.

f° 388
Aber vornen am Staden.

Elias Sparschuch der Würth zum Wolff hatt ein Hauß darinnen Dauidt Weÿß der Schreiner wohnt, Vnd hatt ein Vsstoß xxvij schu lang, v= schu herauß, Daran ein Staucher In gleicher Lengen j schu herauß & Bessert vj ß viij d

Derselb Elias Sparschuch hatt auch den Allmend schlupff neben erstbestimpter seiner behausung oben über bawen xlvij schu lang, Vornen vj schu, Hinden v+ schu breit, Vnder solchem Schlupff ein hültzene Stegen zum Vff gang deßelben Hauß, xj schu lang iij schu iij Zoll breit &, Bessert für das Niessen j lb. j ß d.

f° 388-v
In dem Allmendsschlupff darneben.

Jacob Leppells deß Schiffmanns Haußfraw hatt Hinden In disem Schlupff ein Hauß, da Sebastian Metzger der Schuster Ihr dochtermann Innen sitzt, Vndt Ist der Schlupff mit solchem Hauß vberbawen xxii+ schu lang, Vornen am Ingang x schu, hinden 9 schu breit, Vor der Haußthüer dreÿ steinene Stafflen iij schu breit iij schu herauß, darbeÿ ein hültzenen Naach, Bessert für das Niessen xiiij ß ij d.

Diser Sebastian Metzger Clagt auch auff Claus Guttmann vonwegen des Vberbawens mit dem Kühestall, vndt sagt Er habe Ihme Zweÿ Liechter verbawen, Eins Im Keller, das Ander Vnden Im Hauß

f° 388-v
In dem Allmendsschlupff darneben.

Hans Grünagel der Rauknecht vff dem Zimmerhove hatt an seinem Hauß, darinn Jacob Jane der Geiger wohnt ein hültzenen Naach bessert &, viij s.

f° 389
In dem Allmendsschlupff darneben.

Claus Guttmann der Weißbeck hatt zu hinderst in ([biffé] disem Schlupff] [corrigé en] dem Ansernn Allmendt schlupff zwischen ihme vnndt Ambrosio Schnellern) ein Kühestall vff das Allmendt gebawen xxiij schu lang, vornen x= schu, Hinden vij schu iij zoll breit, daran ein Mistcasten vj schu lang iij schu breit, Bessert &, xiij ß iiij d
[in margine :] B

Hanß Grünagel vorgemeldt Clagt, Clauß Guttmann hab Ihme mit disem Bewlin den Lufft /:hinden:/ zu seinem Hauß verbawen, Zeigt an, Er Komm, Inn er erfahrung, Guttmann lasse sich vernehmen, Alß wolt Er mit berüertem Baw höher auffahren, Wann solches beschehen solle, so werdt sein Hauß darneben gar Verbawen, Pitt vmb Abschaffung &.
[in margine :] C

Derselb Claus Guttmann der Beckh hatt auch daselbs Zu hinderst In disem /:Anckren Schlupff oder:/ Allmendgeßlin ein Hauß, darinnen wohnen Jacob Boler der Treÿber, vndt Stoffel N. der Trommelschlager, vor derselben Haußthüeren ligen dreÿ steinen Tritt iij schu lang, iij schu herauß, Bessert &, j ß d.
[in margine :] D

f° 389-v
In dem Allmendsschlupff darneben.

Ambrosius Schnellern der Schumacher hatt ane seinem Hjauß ein Vsstoß xx= schu lang, v= schu herauß, Ein besetzten Tritt v=* schu lang i+ schu herauß, Ein Laden vnden Vor der Werckhstatt vj schu lang, ij schu herauß, Vndt hatt den Allmendtschlupff Darneben vberbwaen Lxxvj schu lang, Vornen Am Ingang iii+ schu, Hinden iiij schu iij Zoll breÿt herauß, Bessert für das Niessen j lb. j ß d.

[in margine :] Vornen an dem Staden geg. der Preusche
A. Hiefahet An Der Ander Allmendtschlupff zwischen Clauß Guttmann Vndt Ambrosio Schnellen.

f° 389-v
Aber Vornen an dem Staden.

Mehrgenandter Claus Guttmann der Beckh hatt auch an seinem Hauß, darinnen Er selbs wohnet ein Vsstoß xx= schu lang, v schu ix Zoll herauß, Darüber aber ein Vsstoß In gleicher Lenge, ii+ schu herauß, Vor der Thüer ein steinen Triytt vj schu lang i+ schu breit, Vier Aussatz bänckh Zum Meelwerckh v+ schu lang, iiij schu herauß, Ein hültzinen Beckhen Laden xi+ schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für diße Nüessung xij ß iiij d

f° 389-v
Aber Vornen an dem Staden.

Georg Reinbold Nager der Büchsenschmidt Hatt vff diser seÿten ein Schlupff, Vndt darinnen etliche Heuser, so Er vmb ein genanten Jerlichen Zinß verleÿhet die weÿl man aber nit aÿgentlich wissen mag, ob es ein Allmendt seÿ od. ein Aÿgenthumb, So Ist Er nach hienunder zu beschickhen, Vndt in seinem, darüber habenden briefflichen Schein vnd Vrkunden derwegen nottwendiglich Zuersehen.

Sonsten hatt Er Vor disem Ietzo angezeigten Allmendtschlupff ein besetzten Tritt ix schu lang ij schu breit, Bessert für disen Tritt j ß d.

f° 390
Aber Vornen an dem Staden.

Hanß Knab der Schumacher hatt an seinem Hauß ein Wettertach xvj schu lang, iij schu herauß, Ein steinene staffel v= schu lang, j schu herauß, Mehr vor seiner Werckstatt ein Laden vi+ schu lang, ij schu ix Zoll breit, Bessert für das Niessen iij ß viij d.

f° 390
Aber Vornen an dem Staden.

Das Haus Zum Vogelgesang Ist diser Zeÿtt Nohe Kulmans des Bierbreühers der solches auch bewohnt Vndt hatt vff der Einen seiten ein Vsstoß xv= schu lang, i+ schu herauß, Darüber ein Wettertach xxj schu lang, i+ schu herauß, Mehr auch vf der Andern seÿten Im Winckhel ein Ausstoß xiij schu lang, vi+ schu herauß, Darüber ein Wettertächlin auch xiij schu lang, vi+ schu herauß, darüber ein Wettertächlin auch xiij schu lang, i+ schu noch weiter für den Vsstoß herauß, Vor der Haußthüer ein steinene Staffel v= schu lang, i+ schu breit, Bessert ix ß d.

Und hatt derselb Nohe Kulmann daß Allmendt daselbsten ane d. Mauren beÿm Wasser mit dielen und altten holtzwerckh belegt, Bessert j ß d.

f° 390-v
Aber Vornen an dem Staden.

Paulus Vischer der Schloßer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxv schu lang, iij schu herauß, Dar auff ein Wettertächle x schu lang, j schu herauß, Ein Laden vor der Werckhstatt vij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen v ß d.

Derselb Paulus Vischer hatt hinden ane disem noch Zweÿ Heüser alle en einander In dem Allmendschlupff neben dem Vordern Hauß, Vndt Ist derselbige Allmendtschlupff durch hin mit sochen 3. Heüsern /:allen:/ über bawen Ist, Zu Rechtfertigen ob solcher Schlupff Allmend seÿe od. Aÿgentumb, Vndt hierüber Er Vischer Zu beschickhen, Waß Er darumb vfzulegen, bessert.
[in margine :] zu beschicken vnd zufragen, ob diser Schlupff Allmendt seÿe oder nit ?

Er hatt sonsten auch daß Allmend vor seinem Hauß mit steinen Platten, Sand und Geröhr verschlagen, bessert darfür ij ß d.

f° 391
Aber Vornen an dem Staden.

Die Zunfft Stub zum Encker hatt vornen gegen dem Wasser ein Vsstoß xxxv schu lang, v schu herauß, Vor dem Ingang Vnden ein steinen Tritt vnd ein besetzten Tritt viij schu lang, ii+ schu herauß, bessert &, x ß x d.

Zuwissen das die Zum Encker auch hinden ein holtzhauß vff der Allmend stehen haben, xv schu lang, xv schu breit & Weiset das Altt allmendbuch, de Anno 1466. fol. 231.b Ist auch zurechtfertigen, vnd ein Zinß darauff Zulegen

Die bemelt Zunfft Zum Encker hatt auch vor Ihrer Stuben ein Vßgestossen getrelehte Prütschen über dem Wasser vf Zehen Aichinen Pfeÿlern vnd diselb Prütsch xl. schu lang, viij schu ix Zoll breit, daran Zween steinene Tritt, Jeder v=* schu lang, xiiij Zoll breit &, Bessert für das Niessen j lb. viij ß d.
[in margine :] Ob nit ein bestendigs vff dise Prütsch zuschlagen.
Findet man im alten Allmendbuch, daß vormals auff die Prütsch allein 3 lb 4 ß d. geschlagen worden Ist, für die Besserung fol: 231.

f° 391-v
In dem Allmendgäßlin darneben Das Encker Gäsßlinn genandt.

Hieuorgemelte Zunfft Zum Encker hatt auch in dem Allmendtgeßlin, darneben ein Hauß, darinn wohnt Lendlin Meÿer der Schiffmann, daran ein Vsstoß, xxxiiij schu lang ij schu ix Zoll herauß, Bessert &, iiij ß d.

f° 391-v
In dem Allmendgäßlin darneben Das Encker Gäsßlinn genandt.

Die Zum Encker haben noch mehr in disem Gäßlin hindern sechs Heüser aneinander, daran gehet durch abhien ein Vsstoß j C. Lxxx schu lang, i+ schu herauß, Vndt dann allerhinderst der beÿden noch aber ein Vsstoß xix= schu lang, iii+ schu herauß, Bessert &, xvij ß iiij d.

f° 391-v
In dem Allmendgäßlin darneben Das Encker Gäsßlinn genandt.

Carle Kügler hatt daselbs hinden in disem Allmend gäßlin Zweÿ Heüser an einander, darinn wohnen Hanß Murr und Georg Bleß beede Schiffknecht, daran ein Ausstoß xxxv schu lang, ix Zoll herauß, bessert &, ij ß iiij d.

f° 392
In dem Allmendgäßlin darneben Das Encker Gäsßlinn genandt.

Weiland Mathis Mügen wittwin und Consorten haben hinden Inn disem Allmendt gaëßlin an Ihrem Hauß ein hültzin Profeÿ iij schu breÿt, ij schu herauß &, vj ß d.

Und haben das Allmend daselbs auch mit mist Verschlagen, bessern für den Mist ij ß d.

f° 392
In dem Allmendgäßlin darneben Das Encker Gäsßlinn genandt.

Junckher Hans Ludwig Surger hatt hinden in vilgemeltem Allmendt gaëßlin an seinem Hauß Zweÿ gemaurte Profeÿ iiij schu iij zoll breit, ij schu herauß, Bessert für das Niessen xij ß d.

f° 392
In dem Allmendgäßlin darneben Das Encker Gäsßlinn genandt.

Thoman Schwendt hatt etlich altt Bauw Holtz geröhr vndt Steinwerckh vndenn Am Ingang des Enckhergeßlins liegen damit würdt das Allmendt verschlagen, Bessert für das Niessen ij ß d.

Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Thoman Schwendt hatt auch an seinem Hauß Vornen ein Vsstoß xxxij schu iij Zoll lang, Oben geg. dem Enckher ij schu Vnden der Newen Pruckhen Zu iii+ schu herauß, bessert für das Niessen iiij ß d.

f° 392-v
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Carle Kügler hatt ein Hauß da Heinrich Heckh der Kornmesser Innen sitzt, Vndt hatt oben vber der Infarth ein Vsstoß x= schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen j ß iiij d.

Vnd die weÿl mann Zweÿtelt Ob diselb Infarth ane Carle Küglers Hauß ein Allmendt od. nit so solle er Kügler darüber beschickht vnd seine Brieff, so Er darumb hatt Vff zulegen angehaltten werden
[in margine :] Ihne zubeschicken und Zuuernehmen ob die Infart des Hauß Allmend oder nit. & Mann würdt berichtet Carle Kügler gebe Järlich der Statt j ß d. Zinß Dvon.

f° 392-v
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Derselb Carle Kügler hatt der neben aber ein Hauß bewohnt Jost Munckher der Schneÿder, daran ein Vsstoß xxxiii+ schu lang, iii+ schu herauß, Mehr über demselben aber ein Vsstoß In gleicher Lengen, iij schu iij Zoll herauß, Oben darüber ein Wettertach auch xxxiii+ schu lang, ii+ schu herauß, Vnden Vor der Thüer ein steinen Tritt v= schu lang xv Zoll herauß, bessert für das Niessen j lb. viij ß d.

f° 393
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Das Haus Zur Kandten ist Jetzund Dauid Andresen seeligen wittwe, daran ein Vsstoß xxiij schu iij Zoll lang, iii+ schu herauß, Darauf ein Staucher In gleicher Leng. j schu herauß, Oben darüber ein Wettertach, so auch xxiij schu iij Zoll lang, j schu weiter herauß, Bessert & v ß. iiij d.

f° 393
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Niclaus Schultheis der Federmacher hatt Vornen auß gegen dem Wasser an seinem Haus ein Vsstoß xx+ schu lang, iij schu herauß, bessert & iiij ß d.

Er hatt auch das Allmendt gäßlin daneben Vberbawen xli+ schu lang, iiij schu breit, Bessert für das Niessen ix ß iiij d.

f° 393-v
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Die Vischer haben in demselben Allmendgäßlin an Irer Zunfftstuben, ein Vsstoß L. schu lang an eim ortt ij schu herauß, laufft mit dem Andern Ende Ins Maurhaupt, bessert für das Niessen ij ß viij d.

Zuhinderst In dem Allmendgäßlein neben der Vischer Zunfftstuben vnd Niclaus Schultheißen des Federmachers Hauß, Ist ein gemein Profeÿ von Maurwerckh, Vnden vff den Mauren stunden worden xv= schu lang, viij schu breÿt, dauon bessert die Nachbauren In gemein x ß d.

f° 393-v
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Niclaus Schultheis der Federmacher hatt neben demselben gemeinen Profeÿ ein Kleins Roßställelin vj schu breit ix= schu herauß, Bessert v sch d.
[in margine :] Ime Zu gebieten den Stall im Gäßlin hin weg zuthun.

f° 393-v
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Hans von Auwenheim der Schiffmann hatt an seinem Hauß, da Andres Damm der Schreiner Innen sitzt, Ein Vsstoß xxj schu lang, v schu herauß, Bessert für das Niessen v ß iiij d.

f° 393-v
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Derselb Hans von Auwenheim hatt auch an seinem Hauß, darinnen Er selbs wohnet, ein Vsstoß xxvij schu lang, v schu herauß, Darüber ein Staucher xxvj schu lang, j schu herauß, Mehr über solchem ein Wettertach In gleicher leng. wie der Staucher und noch i+ schu weÿter her auß, bessert für das Niessen xiij ß iiij d.

Dergemelt Hans von Auwenheÿm hatt den Schlupff od. das Allmendtgäßlin neben seinem Hauß vberbawen xxxviij schu lang, vj schu breÿt, Mehr hatt Er In berüertem Schlupff auch ein seinem Hauß ein Vsstoß x= schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen xiij ß iiij d.

Hatt auch ane disem Hauß Im Gaëßle ein grossen hültzenen Naach, bessert für den Naach viij d.

f° 394
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Daniel Lißge der Riemenschneider hatt oben an seinem Hauß ein steinen Mantel Zweÿer Gaden hoch, eins halben steins dickh i+ schu herauß, Bessert für das Niessen j ß d.

f° 394
Aber vornen am Staden Gegen dem Wasser.

Simeon Scheid der Schreiner hatt an seinem Hauß, Vornen gegen der Newen Prueckhen ein Wettertach xxxviij schu lang, iiij schu herauß, Ein Laden vj schu lang, ii+ schu herauß, Mehr ein Laden ix= schu lang, ij schu herauß, Aber ein Laden vj schu lang, i+ schu herauß, Bessert &, viij ß d.

Derselb Simeon Scheid hatt auch vor seinem Hauß das Allmendt mit dielen und allerhandt Holtzwerckh verschlagen, Vndt Inn dem Allmendt geßlin, bessert für dises Niessen iij ß d.

Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Dermehrgenante Simeon Scheid hatt auch in der Vttengassen ane seinem Hauß ein hültzenen Naach, vnd das Allmend daselbs mit Holtzwerckh verschlagen, bessert für die Nüeßung ij ß viij d

f° 394-v
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Hans Neher der Riemenschneider hatt vnden ane seinem Hauß ein hültzenen Naach, vndt dann ein Laden vi+ schu lang j schu herauß, Bessert für das Niessen des Naachs viij d.

f° 395
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Herr Wolffgang Schütterlin Altt Ammeÿster hatt ein altt Hauß Inn der Vttengassen, ob. daran ein vßgeladen Kemmath iii+ schu breit xiiij Zoll herauß, Bessert für das Niessen j ß d.

f° 395
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Christmann Rederers deß Gerbers Erben haben ein Hauß, darinnen sitzt Ambrosius Mockh der Paßmentmacher vnd hatt ein Vsstoß xxvij schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen iiij ß d.

f° 395
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Philips Bolich der Kachler hatt vor seinem Hauß In Vttengassen Vnden vff dem Allmend ein Leimenn Casten x schu lang iij schu herauß, Drauff Zween Laëden Jeden vj schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen ij ß d.

f° 395
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Junckher Hanß Ludwig Surger hatt an seinem Hauß In Vttengassen über dem grossen Thor ein wettertach xvj schu lang, i+ schu herauß, Mehr vor der Kleinen Thüren deßelben Hauses Vier steinen stafflen Jede v= schu lang mit einander iiij schu herauß, Daran ein Eisene Lander, Bessert für das Niessen iij ß. iiij d.
[in margine :] Ime fürthin ein bestendigs drauff Zu legen.
Herrn 3. vfm Pfenningthurn Anzuzeig.

f° 395-v
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Paulus Meßerschmidt Dreÿer ane der Müntzen alhie Hatt ane seinem Hauß Zum Straussen genandt, Zweÿ Wettertächer Über einander Jedes xlj schu lang, xv zoll herauß, Mehr auf der andern seiten aber Zweÿ Wettertächer über einand. Jeden Lviii+ schu lang, xv zoll herauß, Darüber aber ein Wettertach xl schu lang, xv Zoll herauß, Vor d. Thüer ein besetzten Tritt iiij schu lang i+ schu herauß, bessert &, xvij ß d.

f° 395-v
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Heinrich Baumgartner hatt über seinem Thor ein Wettertach xix= schu lang ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen ij ß. viij d.

f° 395-v
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Hans Lausch hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu iiij Zoll lang, ij schu herauß, Vnd ein lehenende Kellerthüer v schu breÿt , iij schu herauß, Bessert & v ß. iiij d.

f° 396
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Das Haus der Armen Waisen hatt neben dem Hauß, da derselben Schafner Innen sitzt ein Hauß, daran ein Vsstoß xxvii+ schu lang ij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen ij ß viij d.

f° 396
Uttengaßen die Ein seiten Hienauff

Die Armen Waisen haben darneben aber ein Hauß, daran ein Vßgestossen Kemmath i+ schu breit, j schu herauß, Bessert für die Nüessung j ß d

f° 396
Hinder der Stattmauren

Hans Doll der Bruckmeister hatt an seinem Hauß über einem Eisern getter ein gemaurt Wettertächlin vi+ schu lang, xv Zoll herauß, Mehr oben ane demselben Hauß aber ein Wettertach xxxij schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen ij ß iiij d.

f° 396
Anderseiten der Uttengaßen Wider Herauß der Newen Pruckhen Zu.

Die Closter Frawen Zu den Rewern haben ane derselben Ihrer Closter Pforten, Oben darüber ein Wettertach xxxi+ schu lang, i+ schu herauß, Item vor der Kleinern Thüer neben derselben Porten ein steinen Tritt v+ schu lang, i+ schu herauß, Mehr vor des Leüffers Thüeren Zwen steinene Tritt v+ schu lang, ij schu iij Zoll herauß, vnd haben auch außerhalb Vttenthörlins vff den Graben beÿ Catharinen Thurn ein vf steinen Kepfern außgemaurt Profeÿ vf iiij schu breit, iij schu herauß ohngeuehrlichen, bessern für das Niessen xj ß ij d.

f° 396-v
Anderseiten der Uttengaßen Wider Herauß der Newen Pruckhen Zu.

Heinrich Röderer der Kübler hatt an seinem Hauß ein hültzinen Naach, bessert & viij s.

f° 396-v
Anderseiten der Uttengaßen Wider Herauß der Newen Pruckhen Zu.

Martin Zipperer der Kürßner hatt an seinem Hauß auch ein hültzenen Naach, bessert darfür viij d.

f° 396-v
Anderseiten der Uttengaßen Wider Herauß der Newen Pruckhen Zu.

Heinrich Keßler der Spielmann mitt dem Psalter hatt vor seinem Hauß zween steinene Tritt iij schu lang, xxj Zoll herauß, Bessert für die Tritt, j ß. d

f° 396-v
Anderseiten der Uttengaßen Wider Herauß der Newen Pruckhen Zu.

Weiland Herrn Johannes Leüttners deß gewesenen Pfarrherrn selligen Zue Keÿl nachgelassene Wittib hatt einen Hauß, darinnen wohnet Hanß Gunter der Vhrenmacher, undt hatt vor der Thüren zwen steinene Tritt iij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für die Zween Tritt, j ß. d

f° 397
Anderseiten der Uttengaßen Wider Herauß der Newen Pruckhen Zu.

Hanß Zetzner Der Kübler hatt vor seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu lang, ij ß ix Zoll herauß, Vndt ein Laden vij schu lang, xxj Zoll herauß, Bessert für daß Niessen, ij ß. viij d

In einem Allmend Schlupff In Vttengassen, so hinden Zum Theil vff die Frawen zun Rewern stoßt

Derselb Hanß Zetzner hatt auch vff dem Schlupff neben seinem Hauß ein übergebew xxij schu lang, Vornen beim Ingang xj schu, hinden x schu breit, Er hatt auch Vnder disem Übergebew ein von grundt vffgemaurten Pfeÿler ij schu breit, ij schu herauß, vff der Allmendt, Vndt dann Zwo Aichine Saulen so den Baw tragen, Mehr ein Schweinstall v schu lang, ii+ schu breÿt, Bessert für alle Nießung, j lb xvij ß d
[in margine :] Soll Ihme vfferlegt werden, Den Sawstall hinweg Zu thun.

f° 397-v
In einem Allmend Schlupff In Vttengassen, so hinden Zum Theil vff die Frawen zun Rewern stoßt

Weiland Obgemeltes Herrn Johann Leüttners Pfarrherrn selligen Zue Keÿl wittwe hatt auch hinden In disem Schlupff, Vnden an Jhrem Hauß ein Lehnende Kellerthür sampt steinen Naach v+ schu breit, ij schu herauß, Mehr vor der hindern Thüren ein gemaurten Tritt ij schu iij Zoll lang, i+ schu herauß, Bessert & iij ß d

Sie hatt auch auß dem Vörden vntz in das hindere Hauß über dem berüerten Allmendtschlupff hinüber ein hültzenen Gang gebawen xij schu iij Zoll lang, v schu breÿt, Bessert für den Gang, ij ß. viij d

Mehrgenante Wittwe hatt auch an demselben Ihren hindern hauß, darinn Ambrosius Eichhorns des Kürßners Wittwe wohnt, ein Vsstoß xx= schu lang, j schu heraus, Item aber ein Vsstoß xvj schu lang, iij schu herauß, darunder ein heimlich Gemach mit Zieglen gedeckht xiij schu lang v schu herauß, Bessert für daß Niessen, xiiij ß d

f° 397-v
In einem Allmend Schlupff In Vttengassen, so hinden Zum Theil vff die Frawen zun Rewern stoßt

Heinrich Keßlers Des Spielmanns Hauß hatt hinden In disem Allmendtschlupff ein Sawstall x+ schu lang, iij schu herauß, Bessert für den Schweinstall v ß d
[in margine :] Soll ihme vfferlegt werden Den Schweinstall hinwegzuthun

f° 398
Vornen in Uttengaßen

Carle Guttbub der Uhrenmacher hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach Bessert für den Naach, viij d.

f° 398
Vornen in Uttengaßen

Jost Müller Der Schloßer hatt Oben an seinem Hauß ein Vßgestossen Kemmatt iij schu breÿt ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d

Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Derselb Jost Müller hatt auch vornen beÿ der Newen Pruckh ane seinem Hauß ein Vsstoß xiiij schu lang iiij schu herauß, Vndt ein Laden vi+ schu lang, ij schu iij Zoll herauß, Bessert für den Vsstoß, ij ß viij d

f° 398
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Heinrich Kugler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxxj schu lang, iij schu iij Zoll herauß, Daran ein Staucher In gleicher Lenge, j schu für den Vsstoß heraus, Über dem selben aber ein Wettertach xxxj schu lang, noch i+ schuh weÿter herauß, Vnden Vor der Haußthür Zwen steinen Tritt v schu ix Zoll lang, ij schu ix Zoll herauß, Darneben ein steines Benckhle v schu iij Zoll lang, xv Zoll breÿt, auch ein lehenden Kellerthüer vij schu lang, iii+ schu herauß, Bessert &, xv ß d

f° 398-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Der Erstgemelt Heinrich Kugler hatt neben disem aber ein Hauß, so ein Vsstoß hatt, xxviij schu lang, iij schu herauß, Daran ein Staucher auch also lang j schu herauß, Ein lehenende Kellerthür vij schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß viij d

f° 398-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Dietrich Eberspach Der Barbierer hatt Oben ane seinem Hauß über der Thüer ein Wettertach vj schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Vndt dann ein besetzten Tritt iiij schu lang, j schu ix Zoll herauß, Item ein vßgestossen von grundt auff gemaurt heÿmlich Gemach, Vnden vffm Boden iij schu ix zoll breit, ij schu iij Zoll herauß, Mehr neben der Haußthür ein steines Benckhle ij schu lang, xv Zoll herauß, Vndt dann ein Vebstockh mitt Latten Ingefasst iij schu breÿt, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, x ß iiij d

Er hatt auch einen Schleiffstein vnden vor seinem Hauß vff dem Allmendt stehen, Bessert für den Schleÿffstein, iij ß d.

Der vorgedacht Dietrich Eberspach hatt auch noch ferner Oben an seinem Hauß ein gemaurt vßgeladen Eckh ix= schu lang am Ortt, iij schu herauß, laufft hinden Ins Maurhaupt, Bessert für dises außgeladen Eckh, j ß iiij d

f° 399
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Heinrich Hellers selligen Erben haben ein Hauß da Jacob von Awenheim der Schiffmann Innen sitzt, daran ein Vsstoß xx= schu lang, iii+ schu herauß, Daran ein Staucher xviij schu lang, j schu herauß, Darüber aber ein Vsstoß auch xviij schu lang, noch ij schu für den Staucher herauß, Mehr oben über disem Vsstoß ein Wettertach xv schu lang, ij schu herauß, vor der Haußthüer ein steinen vnd besetzten Tritt vii+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessern &, vj ß. x d

f° 399
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Das Closter Maurßmünster beÿ Elsaß Zabern hatt ein Hauß, darinnen wohnet Johannes Pistorius d. Notarius vnd hatt ein Vsstoß xv schu lang, iii+ schu heraus, Bessert für das Niessen, ij ß viij d

f° 399-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Daßelb Closter Maurßmünster hatt darneben aber ein Hauß, da Jacob Schiebs der Kürßner Innen sitzt, daran ein Vsstoß xx= schu lang, ij schu iij Zoll heraus, Mehr Oben ein Wettertach Ingleicher Lengen, j schu noch weÿter für den Vsstoß herauß, Darüber aber ein Wettertach xv schu lang, iiij schu herauß, Vndt hatt auch diße Behausung Inn dem Allmendschlupff dar neben ein Überbaw xl schu lang, Vornen am Ingang v schu iiij Zoll, hind. v= schu breÿt, Bessert für das Niessen, xvj ß d

f° 399-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Jacob Steinhauser von Endingen hatt ane seinem Hauß, so etwann Melchior Nagers des Schiffmanns selligen gewesen Ist, Ein Vsstoß xxviij schu iij Zoll lang, iij schu ix Zoll heraus, Darüber ein Wettertach Inn gleicher lengen, noch i+ schu für den Vsstoß weÿter heraus, Vndt vor der Haußthüer Vnden ein steinen Tritt v= schu lang, xv Zoll breÿt, Bessert für das Niessen, ix ß d

f° 399-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Die Pflegd Unser Lieben Frawen Werckh hatt ein Hauß darinnen wohnt Johann Veltin Eßlingers selligen wittwe, Vndt Hatt Oben ein Wettertach xxix schu lang, iij schu h.aus, vor der Thür Zwen steinen Tritt v= schu lang, ij schu iiij Zoll herauß, Ein steinen sitz iij schu lang, xiij Zoll breÿt, dasselb hauß hatt auch auf der Andern seitten beÿ dem Speicher des berüerten Werckhs aber ein Vsstoß xxxv. schu lang, ij schu herauß, Darüber noch ein Vsstoß Inn gleicher Lenge auch ij schu herauß, Item ane dem hindern Heüßlin desselben Hauß aber ein Vsstoß xvj schu lang, ij schu iij Zoll herauß, Vnd ein hültzinen Naach, Bessert für alles, xvj ß. vj d.

f° 400
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Unser Frawen Werckh hatt daselbs ein Speicher vnd Schewr Über derselben Thür einn Wettertach von steinen blatte, xj schu lang, ij schuh herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 400
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Hanß Rhot Der Schiffmann hatt ein Hauß darinn sitzt Hanß Balthasar Crauß der Pantzermacher, Vndt hatt Zweÿ Wettertächer übereinander, Jedes xxxij schu lang, ii+ schu heraus, Bessert viij ß d.
[in margine :] Dises Hauß haben Wolff Letzius des Schiffzimmermanns selligen Erben an einer Schuld genommenn.

f° 400
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Jacob Leppell Der Schiffmann hatt an seinem Hauß Zwen gemaurte Pfeÿler, Jeder ii+ schu breÿt, i+ schu heraus, Von grundt vff vj schu hoch, Mehr ein Vsstoß xv+ schu lang, iiij schu herauß, Oben darüber ein Wettertach In gleicher Lenge, noch i+ schu für den Vsstoß weÿter herauß, Bessert für das Niessen, xiiij ß d

f° 400-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Jost Meÿer der Leistenschneider hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xvj schu lang, iij schu herauß, Mehr Im Schlupff darneben ein Vsstoß xxxiij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß d

f° 400-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Gabriel Schranckhen selligen Wittwe hatt den Allmendschlupff hinden an Ihrem Hauß überbawen xxvi+ schu lang, iiij schu iij Zoll breÿt, darund. Vier von grund auff gemaurter Pfeÿler, Jeder xx Zoll breÿt, ij schu herauß, Bessert & j lb. iiij d

f° 400-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Lienhard Fischer Der Schiffmann hatt vor seinem Hauß Das Allmendt mit mist belegt &, ij ß d.

f° 400-v
Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.

Heinrich Hoën der Schiffmann hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxv schu lang, ij schu herauß, Vor der Haußthür ein besetzten Tritt vii+ schu lang, xvj Zoll herauß, Vndt hatt darneben Inn dem Überbawenen Allmendt Schlupff ein grossen hültzenen Naach vf Vier seinen Küepffern der Lenge nach ligen, Bessert für das Niessen, iij ß viij

In der Allmendgaßen Neben Heinrich Hönen hauß.

Der Erstgenante Heinrich Hön der Schiffmann hatt auch In der Allmendt gassen neben seinem Hauß ein Schweinstall v+ schu breÿt, iiij schu herauß, Er hatt auch daselbsten das Allmendt mit Rudern Mastbäumen Vnd allerhandt holtzwerckh v.schlagen, Bessert für das Niessen, vij ß d

f° 401
In der Allmendgaßen Neben Heinrich Hoën hauß.

Derselbig Heinrich Höen hatt aber ein Hauß da Andres Wÿrich der Gartner Innen wohnt, daran ein Wettertach ix schu lang, vi+ schu herauß, Ein lehenende Kellerthür vij schu breit, vj schu herauß, Bessert & x ß. vj d.

f° 401
In der Allmendgaßen Neben Heinrich Hoën hauß.

Die Closter Frawen Zun Rewern haben hinden Inn diser Gaßen am Ortt ein Hauß darinnen wont Anthonj Feltz der Beckenmetzger, Vndt hatt Oben ein Wettertächle vij schu lang, iiij schu herauß, Vndt darunder Zwen steinen Intritt iij Schuh iij zoll lang, ij schu herauß, Mehr oben ane demselben Hauß ein Wettertächle vj schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, iij ß viij d

f° 401-v
Aber am Staden wider Von gemeldter Allmendgaßen herauß.

Die Grauen von Nassaw haben ein Hauß daran Oben ein Wettertach xv schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 401-v
Aber am Staden wider Von gemeldter Allmendgaßen herauß.

Das Hauß Zum Seidenfaden ist wolgedachtem Herrn Grauen von Nassaw auch Zustendig, bewohnt Michell Glaser der Einspenniger, Vndt Hatt vornen here gegen der Preüsch einen Vsstoß L. schu lang, iij schu herauß, Daran ein Staucher In gleicher Lenge j schu weÿter herauß, Vnden Vor der haußthür ein steinen staffel v= schu lang, xxj Zoll herauß, Bessert für das Niessen, ix ß d

Inn der New Gassen.

Das Hauß Zum Seidenfaden den Herrn Grauen von Nassaw Zustendig, hatt In der Newgassen dar neben aber ein Vsstoß xlij schu iiij Zoll lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, vj ß viij d

f° 402
Inn der New Gassen.

Hans Luckh Der Saiffensieder hatt in der Newgassen, das Allmendt mit dielen verschlagen, Bessert für das Niessen, ij ß d

f° 402
Inn der New Gassen.

Hans Weissenburger Der Schiffzimmermann hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu lang, i+ schu herauß, Daran ein Staucher xij schu lang, ix Zoll herauß, darbeÿ ein hültzenen Naach, Bessert für das Niessen, ij ß d

Derselb Hans Weissenburger hatt auch d. Allmendt Vor disem seinem Hauß Ingezeünt Zu einem Gärtlein xiij schu lang, vij schu herauß, Darfür bessert er v ß iiij d.

f° 402
Inn der New Gassen.

Herr Johann Schenckhbecher DreÿZehener, Hatt Oben über dem Ingang seines Hauß ein Vsstoß x schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 402-v
Inn der New Gassen.

Thobias Strintz Der Alttgewändter wohnt darneben In einem Hauß, so auch gedachten Herrn Johann Schenckhbechers gehörig Ist, Dasselb Hauß hatt ein Vsstoß xxj schu lang, vnd xv Zoll vff das Allmendt herauß gehet, bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 402-v
Inn der New Gassen.

Aristarchus Mornhinweg Der Schaffner Vnser Frawen Werckhs alhie, hatt ein Hauß, darinn wohnt Steffan Grabat der Einspenniger, und hatt ein Vsstoß xxv schu lang, j schu herauß, Vndt dann vor demselben hauß vf dem Allmendt ein Mistcasten ix schu lang, vij schu breit, Bessert für das Niessen, v ß viij d

f° 402-v
Inn der New Gassen.

Veltin Strintz der Alltgewändter hatt ane seinem hauß ein Vsstoß xxiiij schu iiij Zoll lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d

Hatt auch ein stoß holtz dar uor vff dem Allmendt stehen bessert für den hauffen holtz, j ß iiij d.

f° 403
Inn der New Gassen.

Wendling Hammann Der Schiffmann hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxv schu lang, j schu herauß, Bessert &, j ß iiij d

Vnd hatt auch ettlich Brennholtz vf dem Allmendt daselbs auffgestossen, Vndt für denn hauffen holtz bessert Er j ß iiij d.

f° 403
Inn der New Gassen.

Heinrich Webers selligen deß Schiffmans Tochter, Hatt ein Hauß, da Michel Zimmermann Innen sitzt, daran ein Vsstoß xxix= schu lang, j schu herauß, Darauff ein Staucher xv schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 403
Inn der New Gassen.

Hanß Luckh Der Saiffensieder hatt ein Hauß, da Martin Jungen selligen Wittwe Innen seßhafft Jst, Daran ein steinerin Erckher vf dreÿen Kaëpffern viij schu breÿt ij schu herauß, Ein Keller tritt v schu lang, i+ schu Herauß, V den Vor der Haußthür ein steinene Staffel v schu lang, xv Zoll breÿt, Bessert &, v ß d.

f° 403-v
Aber vornen Am Staden.

Veltin Eberts Des Schumachers Erben haben ein Hauß, da Gabriel Schmidt der Scherer Innen sitzt, Vor derselben Haußthür ein steinen Tritt, iii+ schu lang, j schu breit, Bessert für das Niessen, j ß d

f° 403-v
Aber vornen Am Staden.

Hanß Luckh Der Saiffensieder hatt aber ein Hauß bewohnt Daniel Geßger der Wurtz Crämer, vndt hatt vor der Haußthür ein besetzten Tritt v schu lang, i+ schu breÿt, Bessert für den steinen Tritt, j ß d

f° 403-v
Aber vornen Am Staden.

Derselbige Hanß Luckh der Saiffensieder hatt auch an seinem Hauß Welches Er Selbs bewohnet ein Ausstoß L+ schu lang, ix Zoll herauß, Bessert für daß Niessen, vj ß. viij d

f° 404
Aber vornen Am Staden.

Hanß Lips Der Schiffmann hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xl+ schu lang, iij schu herauß, daran ein Staucher In gleicher Lenge j schu weÿter für den Vsstoß herauß, Oben darauff ein Wettertach auch xl+ schu lang, j schu weÿter herauß, Bessert für daß Niessen, viij ß.

f° 404
Aber vornen Am Staden.

Ambrosius Gilg hatt ein Hauß, da Julius Sapher der Wagmeister Im Zollkeller Innen sitzt, daran ein Vsstoß xxxij schu lang, iij schu heraus, darauff ein Staucher xxx schu lang, noch ein schu für den Vsstoß herauß, Bessert für daß Niessen, v ß. iiij d

f° 404
Aber vornen Am Staden.

Claus Ottmans Des Verstorbenen Cranmeÿsters selligen Erben haben ein Hauß, da Philips Fÿdel d. Küffer Innen sitzt, daran ein Vsstoß 23. schu lang, j schu herauß, Vor der Haußthür Zwen besetzte Tritt vj schu lang, iij schu heraus, Bessern & j ß. vj d

Inn dem Allmend Schlupff Darneben

Claus Ottmans selligen Erben haben auch den Allmendt schlupff neben Vorberüertem Ihrem Hauß Überbawen xxx schu lang, vj schu breÿt, Mehr ein vßgestossen Kemmatt Inn dem selben Schlupff ii+ schu breÿt, xv Zoll herauß, sampt einem hültzenen Nach, Bessern für daß Niessen, xj ß d

f° 404-v
Inn dem Allmend Schlupff Darneben

Hans Lips Der Schiffmann hatt hinden In disem Allmendt Schlupff ein Hauß, darinn Caspar Gassenmeÿer der Leuffers Pott wohnt, daran ein Vsstoß xxxiiij schu lang, Oben xiii+ Zoll, Vnden j schu herauß, Bessert für daß Niessen, j ß iiij d

f° 404-v
Inn dem Allmend Schlupff Darneben

Derselb Hans Lips hatt aber in disem Allmendtschlupff hinden dreÿ Heüßer an einander so Er Verleÿhet, haben durch Abhin ein Vsstoß Lxvij schu lang, j schuh herauß, Bessert für dißen Vsstoß ij ß viij d

f° 405
[Aber vornen Am Staden]

Das Würthshauß Zum Schwerdt ist Michell Boschen Zugehörig, Daran Oben ein Staucher xxxiii+ schu lang, i+ schu herauß, Darüber ein Wettertach In gleicher Lenge, Vnd j schu noch weÿter für den Staucher herauß, Bessert & j ß iiij d

f° 405
[Aber vornen Am Staden]

Sebastian Hoën Der Schiffmann hatt vor seiner Thüer ein besetzten Tritt v schu lang, iij schu breÿt, Bessert für daß Niessen, j ß. vj d

f° 405
[Aber vornen Am Staden]

Wolff Schlegel Der Schiffmann hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xl= schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Daran ein Staucher xxxviij schu lang, j schu Herauß, Daruff ein Wettertach In gleicher Lengen j schu für den Staucher herauß, Bessert für daß Niessen, vj ß. viij d

f° 405
[Aber vornen Am Staden]

Das Closter Eberßheim Münster hatt ein Hauß da Jacob Müller der Schaffner Innen sitzt, Vndt hatt dasselbige Hauß Oben Inn der Höhe ein gemaurtenn Vsstoß xv schuh Lang, j schuh herausser, Mehr ein gemaurten Vsstoß xv schu vj zoll lang, iij schu Heraus, Vnden Vor der Haußthür ein steinen Tritt v schu ix Zoll lang, j schu ix Zoll breÿt, Bessert für daß Niessen, vj ß. iiij d

f° 405-v
[Aber vornen Am Staden]

Derselb Jacob Müller Schaffner so in dem Ebersheimmünster Hoff wohnet, hatt dar neben ein Hauß, daran ein Vsstoß xxx= schu lang, ix Zoll herauß, daran ein Staucher xvj schu lang, j schu herauß, Darauff ein Wettertach Inn gleicher Lengen vnd j schu weÿter herauß, Bessert für daß Niessen, v ß d

f° 405-v
[Aber vornen Am Staden]

Martin Braun Der Handelßmann hatt ein Hauß Zu nechst Vnden ane dem guldinen Thurn, darin wohnt Samuel Gallera der Paßmentmacher, Daran ein Vsstoß xxxj schu lang, ii+ schu herauß, Mehr Oben ane demselben Vsstoß auch ein Staucher xxix schu lang, j schu heraus, Bessert für daß Niessen, iiij ß d

f° 406
Inn dem Allmendgaßen neben Oder beÿ dem Guldinen Thurn.

Diser Martin Braun hatt beim Guldinen Thurn in der Allmendtgassen so beschlossen Ist, Hinden ane seinem Hauß vff das Allmendt gegawen Lxxxvj schu lang xv= schu von der Rinckhmauren Herauß In diser Allmendt Gassen, Bessert für dises Niessen, iij lb. v ß. iiij d

Darüber solle Er Braun beschickt vnd betragt werden, Ob vnd von Wem, auch welcher gestalt solches Ihme Vergönnet worden seÿe, Item waß Er darumb vor Zu leg.
Nota, Herr Zinßmeister berichtet, Er Zinß Jars der Statt 30 ß. Von d. Jetzgemelten beschlüßigen Allmendt gassen. Darumb seindt Ihme 3 lb. 5 ß. 4 d. den 12.ten Decembris Anno 1595. durch die Allmendt Herren widerumb erstattet vnd hinauß gegeben worden.

f° 406-v
Nun volgen die Vier Vorstätte Nacheinander
Vnder Wagnern von Dem Zollthor angemessen Die Eine seitten nach dem Closter Sanct Johannis vnd dem Weißen Thurn Zu.

Wendling Beckh Der Vogt zu Norttheim beÿ Marlenheim, hatt ein Hauß, da Claus Früchter der Küeffer Innen sitzt, daran ein Vsstoß xxxiiij schu lang, iiij schu herauß, Ein besetzten Tritt vor d. Haußthüren xj schu lang, ij schu herauß, Ein offene Kellerthür mit Zwoen auffrechten Mauren, vnd ix besetzten Tritten, viij schu breÿt, vij schu herauß, Bessert für das Niessen, xvij ß. iiij d

f° 406-v
Vnder Wagnern von Dem Zollthor angemessen Die Eine seitten nach dem Closter Sanct Johannis vnd dem Weißen Thurn Zu.

Michael Burger Der Würth Zur Linden hatt daselbs ane seinem Würths hauß ein Vsstoß Lij schu lang, iiij schu herauß, Item ein ligende Kellerthüer mitt Zweÿen vffrechten Nebenmeürlin ix schu breÿt, iiij schu ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen, xvij ß. iiij d

In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Das Würths hauß Zur Linden hatt auch in St: Johanns Gassen Über den Vndern Stuben fenstern ein steines Wättertächle xj schu lang, j schu herauß, Vndt hatt auch hinden vff dem Zollgraben hienauß Zweÿ hültzene Profeÿ ix schu breit, iiij schu herauß, Bessert für das Wettertach vnd die Zweÿ Profeÿ, ix ß d.

Der Gedacht Michael Burger Würth Zur Linden, hatt auch selbs das Allmend mit mist verschlagen, Bessert für den mist ij ß d.

f° 407
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Derselb Wendling Beckh hatt an disem Hauß hinden vff dem Zollgraben aben ein Vsstoß xxvj schu lang, Am obern ortt vij schu herauß, Zeücht Vnden Inn das Maurhaupt, drund. vff einer Landtuesten ein gemaurten Pfeÿler ii+ schu dickh, v schu herauß, Vber disem Ausstoß ein Staucher So auch xxvj schu lang j schu herauß, darüber oben ein hültzenen Gang Ingleicher Lenge, Am obern Ende noch ij schu für den berüerten Staucher herauß, laufft Vnd. Inn das Maurhaupt, Vnden ein Landt vesten xxxiiij schu lang vii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. vij ß. vj d

Mehr ein Austoß an dem gemeldten Hauß vnden vff dem Wassergraben vff einem gemaurten vnd Zweÿen hültzenen Pfeÿlern xxxv= schu lang, viij schu breit, vnd Ist Zum theil mit bortten verschlagen, Daran eun hültzin Zerrißen Profeÿ so mit gemessen worden, dar under ein Landuesten so auch xxv= schu lang, viij schu herauß, bessert darfür j lb. xj ß. iiij s.

Er hatt fürbaß den Engen Zollgraben hinauffwerths ane vilbesagtem Hauß, hinden aber ein Landtvesten xxv= schu lang, viij schu herauß, Darauff ein Vßgestossen gebaw so ein Roßstall Vff Zwen gemaurten Pfeÿlern vnd einem hültzinen Pfoste, xxv= schu lang, Oben ix= schu, Vnden vj schu breit herauß, Vnndt bessert von disser Nüessung, j lb. j ß. iiij d

f° 408
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Adam Forch der Garttenmann hatt hinden vf dem Engen Zollgraben ein Landt vesten xxvj schu lang, vij schu herauß, Darauff ein hültzene mit Tachwerckh gedechte Stegen sampt einem Profeÿ daran, so Zusammen xv= schu lang v= schu breit, Bessert für das Niessen, xij ß. d

Nota. Es möchte allen den Jenigen so Landtvesten hinden vf dem Wasser an Jren Heüsern haben, mit ernst gepotten vnd beuohlen werden, solche sampt den Wasserstegen vnd Prütschen Zuerhalten, Vnd die Abgegangenen wider auffzuführen.

f° 408
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Herr Hans Adolff Fürst hatt ein Hauß darinnen Georg Rhot der Maurer wohnt, vnd hatt ein hültzinen Naach vf dem Allmendt stehen, Vndt hatt hinden vf dem Wasser ein Landt vesten xxviij schu lang, ix schu herauß, vnd bessert für das Niessen, xiiij ß. d

f° 408
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Melchior Lorcher der Zimmermann hatt hinden ane seinem Hauß vff dem Engen Zollgraben ein Landt Vesten xl. schu lang, v schu herauß, Bessert für das Niessen, x ß. viij d

f° 408-v
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Die Johanniter Herrn haben vff dem wasser an Irer Vaßschewren hinden ein Landt vesten Lxiij schu lang, vj schu herauß, Dar Zwischen ein steinene Stegen mit x steinen stafflen, vij schu breit, vij schu herauß, vber dem Thor daselbs an diser schewren vff das Wettertach xij schu lang, ij schu herauß, Bessern für dises Niessen, j lb. j ß. iiij d

f° 408-v
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Die Johanniter Herrn Zum Grünenwörd haben daneben an einem Hauß, darinn Heitzen Hanß der Weinsticher sitzt, hinden am Wassergraben ein Landt vesten xxv= schu lang, vj schu herauß, Daran ein Sprachhauß iiij schu breit ii+ schu für die Landt vesten hinauß, Bessern für das Niessen, xiij ß d

f° 408-v
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Das Closter zun Barfüeßern hatt ein Hauß, bewonet Georg Döringer, Daran ein Vßgestossen Kemmat ij schu breit, ix Zoll herauß, Hinden vff dem Wasser ein Landt vesten mit Bortten verschlagen xxvij schu lang, vi+ schu herauß, Darinn ein hültzene Steeg Oben vom Hauß herunder, vnd ein Sommerheüßlin druff, vnd Ist das Sommerheüßlin oben herauß gestossen xij schu lang, ij schu breit, Bessert &, xj ß viij d

f° 409
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Die Herrn zu Sanct Johann Zum Grünenwördt an einem Hauß, darinn Metzgers Hanßen wittwin wohnet, hinden vf dem Graben ein vßstößlin von einem Gang vi+ schu breit, xiii+ schu herauß, Mehr vnden vf dem Wasser ein Landtuesten xxiiij schu lang, vij schu herauß, Bessern ix ß iiij d

f° 409
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Sie haben aber an einem Hauß, da Schotten wittwe Innen sitzt, vf dem Wasser ein Landt vesten xx schu lang, vii+ schu herauß, Mehr hinden Vor der Thüeren vff das Wasser ein Hültzin bänckhlin vff Zween steinen Kepfern iii+ schu lang, ii+ schu herauß, Oben über der Landvesten ane disem Hauß ein außgemaurt Profeÿ vf teinen Köpfern iij schu breit, iii+ schu herauß, bessert für das Niessen, xiiij ß. d

f° 409
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Die Johanniter Herrn Zum Grünenwördt haben aber ein Hauß, hinden vf dem Engen Zollgraben da N. N. ein Garttenmann Innen sitzt, Zweÿ Wettertächer über einand. das Vnderste xxiij schu das ober xvj schu lang, Jeden ii+ schu herauß, Mehr Vnden an dem selben Hauß ein Landt vesten xxvj schu lang, vii+ schu herauß, Darauff ein mit Tachwerckh gedeckhte Prütschen sampt einer hültzinen Stegen, vnd einen Sprachhauß, alles an einander xv schu lang, iij schu herauß, Mehr vff dem Wasser ein hültzene Stegen ii+ schu breit, iii+ schu herauß, Vndt dann ein Weschbrütschen viij schu lang, iij schu breit, bessert für das Niessen, j lb. vij ß. iiij d

f° 409-v
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Dieselben Johanniter Herrn haben auch vnden vff dem Wasser ane nechstuolgendem Hauß ein Landt vesten xvi+ schu lang, v schu ix Zoll herauß, Oben darüber amHauß ein außladung sampt einem hültzenen Gang daran xxiii+ schu lang, vj schu herauß, Darüber ein Wettertach Ingleicher lengen für den Gang noch ij schu weÿter herauß, Vnden disem Gang Zweÿ außgeladen gemaurte Profeÿ vff steinen Kopffen vij schu breit, ij schu ix Zoll heraus, Mehr vom Hauß herauß vff das Wasser ein hültzene Stegen mit neün stafflen, iiij schu breit, vii+ schu herauß, bessert für das Niessen, j lb. vij ß. viij d

Eraßmus Wachter der Schaffner zu St: Johann, sitzt in einem Hauß, so demselben Closter Zu gehörig Jst, daran ein Wettertach xv* schu lang, iij schu herauß, Mehr vf der Andern seitten gegen dem Closter ein Ausstoß Lx schu lang, iij schu herauß, Daran ein Staucher In gleicher Lenge, ix Zoll herauß &, Bessert für dise Nuëßung x ß viij d.

f° 410
In der Gaßen etwan die grün wörds gaß, Jetzund aber gemeinlich Sanct Johans Gaß genandt würdt. Die einseit nach dem Closter Sanct Johans Zu.

Das Closter zu Sanct Johann am Grünenwörd hatt vornen her beÿm Brunnen ein Wettertach mit steinen blatten Lxxiiij schu lang, i+schu herauß, Mehr oben über der Portten ein Wettertach xxv schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Mehr hinden Vf dem Wasser ausserhalb der obern gedeckhten Pruckhen ein steinen Erckher vf Quadersteinen Von Maurwerckh außgeladen mit schlitzfenstern x= schu breit iij schu herauß, Oben Im Tachwerckh ein hültzinen Erckher heraußgeladen ix= schu breit, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xviij ß. iiij d

Sie haben auch daselbsten hinden vfs Wasser Hinauß, Oben an Ihrem Sommerhauß ein Vsstoß j C. xxx. schu lang iii+ schu herauß, Item ein steinen Erckher vff Zwen steinen Kepffern, mit Zweÿen Liechtern ix= schu breit, ij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, j lb. vij ß. d

f° 410-v
Anderseitt In Sanct Johans Gaßen, wider hinauß der Straaß Zu.

Das Closter Zun Barfüeßern hatt aber ein Hauß darinn fraw Anna Meÿerin die Hebam wohnet, vnd Hatt Vnden Vor d. Haußthüer ein besetzten Tritt, sampt einem steinenen Naach vij schu lang j schu ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen, j ß. viij d

f° 410-v
Anderseitt In Sanct Johans Gaßen, wider hinauß der Straaß Zu.

Caspar Meÿer der Taglöhner sitzt in einem Hauß so einem frembden Mann Zu Gimprecht Zugehörig Ist, dessen Namen unbewust, vnd hatt vnden vor derselben Haußthüeren ein steinen Tritt iiij schu lang, xv Zoll breit, bessert für das Niessen, j ß d

f° 410-v
Anderseitt In Sanct Johans Gaßen, wider hinauß der Straaß Zu.

Die Johanniter Herrn Zum Grünenwörd haben auch daselbs auf das Wasser hinauß ane Irer Sacristeÿ ein steinen Erckher vff zween steinen Kepffern mit dreÿn Liechtern xiiij schu breit, iij schu herauß, Bessern für das Niessen, vij ß d

f° 411
Anderseitt In Sanct Johans Gaßen, wider hinauß der Straaß Zu.

Sie haben auch Innerhalb der gedeckhten Prucken nidwendig Ihrer Sacristeÿ, ane dem Closter untz für Iren Spittal hinab auf dem Wasser ein Landtvesten j C. xlv= schu lang v schu herauß, darauf ein hültzene Prütschen vnd ein Stegen daran mit ix stafflen vnd Tachwerckh gedeckht, Zum gebrauch des Außgangs vffs wasser sammentlichen xii+ schu lang, v schu herauß, darbeÿ ein Profeÿ vf Zweÿen Aichinen Pfeelen vij schu breit, v schu herauß, ein Weschprütschen Vnden Vff dem Wasser xix= schu lang, vij schu breit, Zweÿ außgemaurte Profeÿ vff steinen Kepffern Jedes vii+ schu breit, iii+ schu heraus, Mehr ein Landt vesten Vnden an dem Johanser Spittal Vff dem Wasser xxvj schu lang, v schu herauß, bessern für das Niessen, iiij lb. xiij ß viij d

f° 411
Anderseitt In Sanct Johans Gaßen, wider hinauß der Straaß Zu.

Das Closter Zu Sanct Johann hatt ein Hauß darinnen Anthoni Löchler der Straw schneider wohnt, Vndt Hatt oben Im Tachwerckh ein hültzinen Ausstoß vii+ schu breit, ii+ schu herauß, ein lehenende Kellerthüer v+ schu breit, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, iij ß. viij d

f° 411-v
Anderseitt In Sanct Johans Gaßen, wider hinauß der Straaß Zu.

Heinrich Rüel der Leufferbott hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxx+= schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß. iiij d

f° 411-v
Anderseitt In Sanct Johans Gaßen, wider hinauß der Straaß Zu.

Joël Leopardt der Oberschreiber deß Mehrern Spittals alhie, hatt ein Hauß darinnen Peter Krausen des Schumachers selligen wittwe sitzt, vor derselben Haußthüeren dreÿ gemaurte Tritt viij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d

f° 411-v
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Derselb Joël Leopardt Oberschreiber im mehrern Spittal, hatt auch an einem Hauß, so ein Eckhauß vornen an Sanct Johanns gassen, da Michel Rebmann der Huffschmidt Innen sitzt, dar an ein Vsstoß x+ schu lang iij schu iiij Zoll herauß, daran ein Wettertach Ingleicher lengen noch v schu weiter für den Vßstoß herauß, Vnder disem Wettertach hatt Michael Rebman der Huffschmidt sein werckhstatt vnd Radgruben, Bessert für das Niessen, xvj ß iiij d

Hatt auch das Allmendt daselbst mit mist verschagen, bessert für den Mist j ß. vj d.

f° 412
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Mehrgenanter Joël Leopardt hatt darneben aber ein Hauß bewohnt Georg Goldter der Schreiner, Daran ein Vsstoß xx schu lang, ij schu ix Zoll herauß, daran ein Wettertach Ingleicher lengen v+ schu für den Vßstoß herauß, Ein Laden vii+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen ane disem Hauß, xiiij ß d

f° 412
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Michael Burger der Würth Zur Linden hatt neben disem Hauß vnd der Gartner Stuben das Allmendt mit allerhand altem Bawholtz Verschlagen, bessert darfür ij ß d.

f° 412
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Die Garttner haben Oben an Irer Zunfftstuben ein Vsstoß xxviij schu lang, iiij schu iij Zoll herauß, daran ein Staucher xxvj schu lang, j schu herauß, bessern für das Niessen, v ß iiij d

f° 412-v
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Wilhelm Höchstätter der Garttner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxii+ schu lang, iiij schu herauß, daran ein Wettertach In gleicher Lengen iiij schu ix Zoll herauß, bessert für das Niessen, ix ß iiij d

f° 412-v
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Hans Obell der Wagner hatt an seinem Hauß ein Staucher xxxvi+ schu lang, j schu herauß, daran ein Wettertach xxj schu lang, noch vij schu für den Staucher weÿter h.aus, Mehr vor der Haußthüer ein besetzten Tritt v+ schu lang, ij schu herauß, Bessert & ix ß d

Vnder disem Wettertach hatt er auch sein Werckstatt vnndt Plöcher vf dem Allmend stehen, Bessert für das Niessen, xij ß. vj d

f° 412-v
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Hans Kippers von Rang des Weinstichers selligen Erben, haben ein Hauß, da sein hansen wittwe Innen wohnet, daran ein lehenende Kellerthüer vi+ schu breit v schu ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen, vj ß d

f° 413
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Lorentz Baumwoll der Huffschmidt, hatt dreÿ Haußgesaëß neben einander, so etwann ein Hauß war, darinn wohnen dieboldt Keüffer der huffschmid, vnd Martin Krauß der Schloßer, haben beede heüser an einand. einen Ausstoß xxxii+ schu lang, v= schu herauß, Mehr oben ein Wettertach xiij schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß iiij d

Vnden ane disen beeden Heüsern haben beÿde der Schmid vnd Schloßer Ihre Werckhstätt sampt einem Nothstall vff dem Allmendt daruor herauß, bessert für die Werckhstatt iij ß vj d
Vndt für den Nothstall xij ß d.

f° 413
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Georg Küeffer der Küeffer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xij schu lang, i+ schu herauß, daran ein Staucher Ingleicher Lengen ix Zoll herauß, Oben über demselben Staucher ein hültzin Wettertach auch xij schu lang, ii+ schu herauß, Ein Laden v+ schu lang, xxj Zoll herauß, bessert für das Niessen, ij ß viij d

f° 413-v
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.

Fœlix Frölich der Wagner hatt an seinem Hauß, ein Vsstoß xxiiij schu lang, iij schu herauß &, Bessert für das Niessen, iiij ß d

Derselb Fœlix hatt auch vnden an seinem Hauß sein Werckhstatt sampt blöchern vnd Andern auch vor d. Ellenden Herberg das Allmend mit Wagner holtz verschlagen, Bessert für die Werckhstatt vj ß d.
Vndt dann vom holtz vf d. Allmend stehendt ij ß d.

f° 413-v
Vff Sanct Michels Bühel.

Neben der Capellen vff Sanct Michels Bühel dem Stifft Eschaw Zustendig, Ist ein Kleines Thürlein Daruor dreÿ besetzte Tritt 5 schu ix Zoll lang, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß d

Hinder derselben Capellen hatt das Stifft Eschaw ein Hauß, da Johann Budler der Schaffner des Newen Allmosens Innen wohnet und Hatt vor er haußthüren ein gemaurten vnd ein steinenen Tritt vj schu lang, iij schu herauß, Bessert für d. Niessen, j ß. d

f° 414
Vff Sanct Michels Bühel.

Hans von Altenheim der Garttner hatt ein Hauß, bewohnt Hans Weiß auch ein Gartner daran ein Wettertach xxxii+ schu lang, v schu herauß, darunder fünff steinene Stafflen iiij schu breit iiij schu herauß, das Ist In alle weg, ein offene Kellerthüer mit Vier gemaurten Tritten v schu breit iii+ schu heraus, Bessert für das Niessen, xij ß. vj d

Hanß Weiß hatt auch das Allmend mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist, iij ß d.

f° 414-v
Vff Sanct Michels Bühel.

Mathis Reiser von Waßlenheim hatt ane seinem Hauß, darinn Thiebold Rugendt der Gartner sitzt ein Vsstoß xxix schu lang, iij schu herauß, Mehr Vor der Haußthüer vnden Zwen besetzte Tritt vi+ schu lang iiij schu herauß, Ein offene Kellerthüer mit vj gemaurten Tritten vnd Zween vfrechten Mauren vij schu ix Zoll breit, v schu herauß, Bessert für das Niessen, xij ß. iiij d

f° 414-v
Sanct Aurelien gaßen die Eine seitten hinein.

Lorentz Klein der Jung, hatt über seiner Haußthüer ein Wettertach xj schu lang, i+ schu herauß, Vnden Zwen steinene Tritt v= schu lang ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß. x d

f° 414-v
Sanct Aurelien gaßen die Eine seitten hinein.

Hans Schlegel der Garttner hatt vor seiner Haußthüer ein steinen Tritt iii+ schu lang, xvj Zoll herauß, bessert für das Niessen, j ß d

f° 414-v
Sanct Aurelien gaßen die Eine seitten hinein.

Erhardt der Kühehürtt sitzt in einem Hauß Sanct Aurelien Fabrix gehörig, Vndt hatt vor der Haußthüer Vier steinene Tritt iiij schu lang, iiij schu herauß, bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 415
Sanct Aurelien gaßen die Eine seitten hinein.

Die Fabric Sanct Aurelien hatt darneben aber ein Hauß bewont Claus Nox der Taglöhner, Vndt hatt vor der Haußthüer Vier steinene stafflen iii+ schu lang, iiij schu herauß, Bessert &, j ß vj d

Diser Claus Nox hatt auch vnden an disem Hauß ein Schweinstall vf dem Allmendt stehen, v+ schu breit, iiij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, iij ß d.
[in margine :] Ist Sanct Aurelien Fabric zugeschrieben worden.

f° 415
Sanct Aurelien gaßen die Eine seitten hinein.

Herr Heinrich Rohtman der Pfarrer Zu Sanct Aurelien, hatt hinden Vor seinem Hauß ane der Kirchhoff Mauren ein Schweinstall, sampt einem Mistcasten, darann beÿdes Zusammen xvj schu lang vj schu herauß, bessert für den Schweinstall vnd Mist Kasten v ß. iiij d
[in margine :] Ist dem Stifft St. Thoman zugeschrieben worden, Weil das Pfarrhauß demselben stifft gehörig.

f° 415-v
Anderseiten Sanct Aurelien Gaßen wider herauß.

Augustin Trenß der Mittler hatt an seinem Hauß Oben über der Infarth ein Wettertach xv schu lang, ein schu herauß, Mehr ane dem selben hauß ein Vsstoß xxxj schu lang an einem ortt j schu am andern ortt dem eckh xxj Zoll herauß, Oben darüber iij Wettertächlin Über einander, das Erste xxviij schu lang das Ander xx, das oberst x schu lang, Vnd Jedes ij schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß d.

f° 415-v
Anderseiten Sanct Aurelien Gaßen wider herauß.

Georg von Brumatt der Garttner hatt an seinem Hauß fünff gemaurte Streeb Pfeÿler, Jeder ij schu breÿt j schu herauß, von grundt auf ein Jeder vff iij schu hoch, bessert für das Niessen, x ß d.

f° 415-v
Anderseiten Sanct Aurelien Gaßen wider herauß.

Michell Conradt der Garttner hatt an seinem Hauß, darinn Jacob Mann der Gartner wohnet vnden vor der Thür ein steinen staffell iii+ schu lang ein schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß d.

Derselb Jacob Mann hatt auch daselbs das Allmend mit mist verschlagen, Vnd bessert für den Mist ij ß d.

f° 416
Wider vornen an der Straß

Lienhard Tugendt der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmend mit mist verschlagen, bessert für den Mist iij ß d.

f° 416
Wider vornen an der Straß

Dauid Voltz der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xlj schu lang, vij schu herauß, vor d. Thür dreÿ steinen stafflen iiij schu iij Zoll lang, ij schu ix Zoll herauß, Ein lehenenden Kellerthüer vj schu ix Zoll breit, v schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb ß. d

Weÿl er Vorhin, vermög des Herrn Zinßmeisters bericht Von den Stafflen Irrlich j R. 6 d. Zinßt Ist Er der besserung darumb Jetzmalen erlaßen
Er hatt auch vor dem Hauß das Allmend mit mist verschlagen, für den Mist iij ß d.

f° 416-v
Wider vornen an der Straß

Augustin Westermans Wittib hatt an Ihrem Hauß über einem Thor ein Wettertach xxij schu lang, xv Zoll herauß, Mehr ane demselben Hauß ein Wettertach xvij schu lang vj vnd + schu herauß, Ein lehnende Kellerthüer vij schu breit v schu herauß, Bessert für die Nüeßung xij ß. viij d

f° 416-v
Wider vornen an der Straß

Augustin Westermans selligen Wittib hatt aber ein Hauß, da Michell Rühel der Garttner Innen sitzt, Vor der Haußthüer Zwen steinen Tritt iii+ schu lang, xxj Zoll herauß, Bessert & j ß d

f° 416-v
Wider vornen an der Straß

Augustin Westermans Wittwe, hatt auch Vor der Thüeren Ihres Hauses, welches Sie selbs bewohnt, dreÿ steinen Tritt iii+ schu lang, ii+ schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß. vj d

f° 416-v
Wider vornen an der Straß

Diebold Schäffers des Garttners selligen Erben haben vor Irem Hauß, dreÿ steinen Tritt iii+ schu lang, iij schu herauß, j ß. vj d

f° 417
Wider vornen an der Straß

Die Stifft Herrn Zu Sanct Thoman haben ein Hauß, so ein Eckhauß oben vf diser seiten gegen dem Weißenthurn Zu Ist, darinnen herr Johann Albrecht Krauch der Helffer derselben Kirchen wohnhafftig, vnd hatt vnden vor d. Haußthüeren Zwen steinen Tritt v+ schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Ein lehnende Kellerthür vj vnd + schu breit, v+ schu herauß, Thut dise Besserung vij ß d.

f° 417
Daselbsten vmb das Eckh beÿ des Helffers hauß hinumb nach dem Teütschen Hauß hindern.

Margreth N. Schulers selligen wittwe hatt vor Ihrem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, bessert fütr den Mist j ß d

f° 417
Daselbsten vmb das Eckh beÿ des Helffers hauß hinumb nach dem Teütschen Hauß hindern.

Friderich Virling der Leinenweber hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, bessert für den Mist j ß d

f° 417
Daselbsten vmb das Eckh beÿ des Helffers hauß hinumb nach dem Teütschen Hauß hindern.

Hans Huckh der Garttner hatt vor seiner Hauß Thüer ein besetzten Tritt v=* schu lang, i+ schu herauß, Ein lehnende Kellerthüer iiij schu ix Zoll breit, iij schu iij Zoll herauß, bessert für das Niessen, iij ß iiij d

f° 417-v
Daselbsten vmb das Eckh beÿ des Helffers hauß hinumb nach dem Teütschen Hauß hindern.

Die Fabric Sanct Aurelien hatt ein Hauß da der Schulmeister innen wohnet, Daran ein gemaurten Pfeÿler ij schu ix Zoll breit ii+ schu herauß, von grundt auff vij schu hoch, bessert &, v ß d

Daßelbige Hauß darinnen der Schulmeister sitzt hatt auch Oben über dem Ingang der Kirchen ein Außstoß xxiiij schu lang, v schu heraus, Bessert &, vj ß. viij d

f° 417-v
Daselbsten vmb das Eckh beÿ des Helffers hauß hinumb nach dem Teütschen Hauß hindern.

Sanct Aurelien werck hatt aber ein Hauß darinn Hansen Martin der Taglöhner sitzt, vnd hatt Vnden Vor der thüren Zween steinene Tritt iiij schu lang iii+ schu herauß, vnd ein hültzinen Naach, Bessert für das Niessen, j ß. viij d

f° 417-v
Daselbsten vmb das Eckh beÿ des Helffers hauß hinumb nach dem Teütschen Hauß hindern.

Augustin Trenß der Altt hatt Zweÿ Heüser neben einander, Darinnen wohnen Andres Schott und Ludwig Welcher beede Gartner, diese bede Heüser haben durch Abhin ein Außstoß Lxxv schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß d

Hanß Meÿer bessert für disen Schweinstalll, iiij ß d.

f° 418
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hanß Waltz der Weißbeck hatt an seinem Hauß so ein Ortt hauß Ist beÿ der Pruckhen, außwendig vor dem Zollthor, ein Ausstoß xl. schu ix Zoll lang, ii+ schu herauß, Mehr ein ausstoß xxx schu lang, iij schu herauß, daran ein Wettertach xxvj schu lang vj schu für den Vsstoß weiter herauß, Ein beckhen Laden xii+ schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Darunder ein offene Kellerthüer v schu ix Zoll breit, v= schu herauß, Vor der Thür iiij steinene Tritt v= schu breit, iii+ schu herauß, Ein Vssatz banckh vij schu lang ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. vij ß. vj d

f° 418-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Vincentz von Northeim der Garttner hatt oben an seinem Hauß ein Wettertach xxxv schu lang, vi+ schu herauß, Ein lehnende Kellerthüer v schu breit v schu herauß, Ein besetzten Tritt vi+ schu lang, ij schu herauß, Ein Laden v schu lang, iij schu iij Zoll herauß, Ein ligende Kellerthüer vj schu breit v schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. ij ß d

f° 418-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Ulrich von Engweilers Kinder haben ein Hauß, darinnen wohnet Thieboldt Lauman der Rechenmacher, Daran ein Ausstoß xii+ schu lang, ii+ schu heraus, Mehr oben über demselben aber ein Vsstoß auch xii+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessern ij ß. viij d

f° 418-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Oßwald Mülheuser Barbierer der Jung hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xiij schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Ein steinen Tritt vor der haußthüeren iij schu lang, j schu herauß, Ein lehenden Kellerthüer vj schu breit iiij schu herauß, Bessert vij ß. viij d

Er hatt auch ein grossen Schleiffstein vnden vor dem selben hauß vfm Allmend stehen, Vnd bessert für den Schleiffstein iij ß d.

f° 419
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Lienhard Großheinrich der Wullinweber vnd Bierbrüher hatt an seinem Hauß genandt zum Guldinen Baëren, ein Ausstoß xxix= schu lang, iii+ schu herauß, Daran ein wettertach In gleicher Lengen noch v= schu für den Vsstoß weiter herauß, Darunder ein Vssatz banckh xv+ schu lang, ij schu breit, Ein ligende Kellerthüer vij schu breit, v schu iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, j lb. iij ß. ij d

f° 419
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Mathis Hügell der Garttner hatt an seinem Hauß Zum Alten od. schwartzen Baeren genandt, ein Vsstoß 39 ½ schu lang, iii+ schu herauß, daran ein Staucher xv schu lang j schu herauß, Ane disem Vsstoß vnd Staucher ein Wettertach auch xv schu lang, für den Vsstoß noch v schu weiter herauß, Darunder Zwo ligende Kellerthüeren hartt neben einander beede zusammen xv= schu breit, xi+ schu herauß, Ein gemaurten sitz ij schu breit, vj vnd + schu herauß, Mehr ein ligende Kellerthüer v schu breit, v schu herauß, Ein Laden vj schu lang, ij schu ix zoll breit, vnd bessert für das Niessen j lb. xij ß d

f° 419-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Ulrich Kammerer der Saÿler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xvj schu lang, ii+ schu herauß, daran ein Wettertach In gleicher lenge für den Vsstoß v+ schu weiter herauß, Ein ligende Kellerthüer vij schu breÿt, vij schu herauß, Bessert für das Niessen xiiij ß viij d

f° 419-v
Daniel von Schwartzach der Garttner hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxxix schu lang j schu herauß, daran ein Wettertach Ingleicher Lengen v schu ix Zoll herauß. Vor der Thüeren Zwen steinene Tritt ij schu ix Zoll lang, ij schu iij Zoll herauß, darneben ein hültzinen Naach, ein ligende Kellerthür v+ schu breit vj schu iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen j lb viij d

Derselb Daniel von Schwartzach hatt auch gegen disem seinem Hauß über, das Allmendt mit mist verschlagen, Vndt soll für den Mist bessern iij ß d.

Er Daniel hatt mich den Schreibern, darumb Ich In seinem Hauß gefragt, Ob den Mist Ime Zugehörig & überlauffen, angeschnarcht, vnd allerhandt Trutzige Reeden lauffen laßen, Wie solches die beede Werckmeisterer sampt dem Büttel gehört haben.

f° 420
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hanß Mochel Der Haußbeckh hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xx+ schu lang, vj schu herauß, Ein Lehenend Kellerthüer v schu ix Zoll breÿt, vi+ schu herauß, Ein Beckh. Laden xiij schu lang, iij schu heraus, Ein ligend Kellerfenster ij schu Inn alle wege, Vor der Haußthür ein besetzten Tritt vj schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, xvj ß. iiij d

f° 420
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hanß Krauß der Weißbeckh hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xx= schu lang, iij schu herauß, Daran Zweÿ Wettertächer über einander In gleicher lengen, Jedes iij schu iij Zoll Weÿter für den Vsstoß herauß, Ein Beckhen Laden ix schu lang, iii+ schu herauß, Dreÿ Vssatz benckhlin iiij schu lang, iiij schu breÿt, Bessert für das Niessen, xj ß d

f° 420
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hanß Goëtz der Kachler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß ix schu iij Zoll lang, ij schu ix Zoll herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lenge, iij schu iij Zoll herauß, Ein Laden x schu lang, ii+ schu herauß, Vff disem Laden hatt er Täglich ein Vssatz von häffen, Kachlen vndt dergleichen. Bessert für dises alles, vij ß iiij d

f° 420-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Herr Georg Rhott Der Fünffzehener hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xx= schu lang, ii+ schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, ij ß. viiij d

f° 420-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Marx Rhott Der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Staucher xx+ schu lang, ix Zoll herauß, Ein lehende Kellerthür vij schu iij Zoll breÿt, vij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß. iiij d

f° 420-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Friderich Braun Der Weißbeckh hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxiii+ schu lang, vi+ schu herauß, Mehr Oben über dem selben aber ein Wettertach In gleicher Lengen, noch iij schu für das Vnserste weÿter herauß, Ein ligende Kellerthür sampt einem steinen Naach vij schu breÿt, iiij schu herauß, Ein gemaurten Beckhen Laden x schu lang, iii+ schu herauß, Dreÿ Vssatz benckh vij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. v ß

f° 420-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Das Closter Sanct Johann zum Grünenwördt alhie hatt ein Hauß, da Hanß Spötter der Haußbeckh Innen sitzt, daran ein Vsstoß xxiij schu lang, iii+ schu herauß, Ane demselben ein Wettertach In gleicher lenge noch iiij schu weiter für den Vsstoß herauß, Vnden Vor der Haußthür ein steinen Tritt v+ schu lang, j schu iiij zoll heraus, Neben der haußthüer ein steines Meürlin ij schu breit iiij schu herauß, Ein Gremppenbanckh v= schu lang ij schu breit, Ein Laden vj schu lang, ij schu breit, Bessert xiiij ß x d.

f° 421
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Michel Huckh der Garttner hatt an seinem Hauß ein Staucher x+= schu lang j schu herauß, Mehr oben über disem aber ein Staucher, xxj schu lang, j schu herauß, daran ein Wettertach xxj schu lang, v+ schu herauß, Ein ligende Kellerthüer vij schu lang, iij schu ix Zoll breit, Bessert für das Niessen, ix ß. iiij d

f° 421
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hans Schetzel der Huffschmitt hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxx+ schu lang, iiij schu iij Zoll herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lengen von dem Vsstoß noch vj schu weiter herauß, Darunder hatt Er sein Werckhstatt mitt Radtgruben, bessert j lb. xj ß d.

Er hatt Auch ein Nothstall daselbst vor seinem Hauß vff dem Allmendt stehen, bessert für den Nothstall, xij ß d

f° 421-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Mathis Holder der Wagner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xviij schu lang, iii+ schu herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lengen, noch v+ schu für den Vsstoß weÿter herauß, Darund. hatt Er sein Werckhstatt, Plöcher vnd Radtgruben, Bessert xvj ß d.

Derselb Mathis Holder hatt auch das Allmendt gegen seim Hauß über Vor d. Ellenden Herberg mit Wagner holtz verschlagen, bessert darfür ij ß d.

f° 421-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Andres Grauen des Garttners selligen wittib und Erben, haben an Irem Hauß ein Vsstoß xxvii+ schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lenge, noch vj schu weiter für den Vsstoß herauß, Ein ligende Kellerthüer vij schu breit, vij schu herauß, das Ist In alle wege, haben auch das Allmend vor disem Hauß mit Mist verschlagen, bessert für den Mist j lb. v ß iiij d

f° 422
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Paulus Grauen selligen des Garttners Erben haben ein Hauß, da Jacob Trenß der Garttner wohnt, vndt hatt ein Vsstoß xxix= schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Daran ein Wettertach Inn d.selben lengen, noch iij schu ix Zoll für den Vsstoß weÿter herauß, Ein Ligende Kellerthüer vij schu breit, vj schu herauß, Bessert &, xvij ß viij s

f° 422
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Michel Burger der Würth zur Linden hatt ein Hauß, darinnen sitzt Claus Roërich der Weinsticher, vndt hatt ein Vsstoß xxxiij schu lang iiij schu herauß, Ein Ligende Kellerthüer vij schu breit, ix= schu herauß, Ein ligendt Kellerfenster ij schu ix Zoll lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xvij ß. viij d

f° 422
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hanß Schmidt der Garttner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiii+ schu lang ii+ schu herauß, Daran einen Staucher In gleicher lenge, noch einen schu weiter herauß, Ein Wettertach so auch xxiii+ schu lang, ii+ schu herauß, Aber ein Wettertach xiij schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß d

f° 422-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Daniel Walthers des Tuchscherers selligen wittwe hatt an Ihrem Hauß ein Wettertach xiij schu lang, ix schu herauß, Darund. ein ligende Kellerthüer iii+ schu breit, vij schu herauß, Ein scheerbanckh ix schu lang, ij schu breit, Bessert für das Niessen, xj ß vij d

f° 422-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Michel Hucken des Garttners selligen wittwe hatt an Ihren Hauß ein Wettertach xxviij schu lang, ix schu herauß, Ein ligende Kellerthüer v schu breit, vij schu herauß, Bessert für das Niessen, xviij ß viij d

Sie hatt auch vor Irem Hauß das Allmend mit Mist verschlagen & bessert für den Mist j ß iiij d.

f° 422-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Vix Rhot der Altt hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxx schu lang, xj schu herauß, Darüber aber ein Wettertach In gleicher lenge iiij schu herauß, Ein ligende Kellerthüer vj schu breit, vii+ schu herauß, Bessert & j lb. xj ß 4 d
Derselb Vix Rhot hatt d. Allmendt daselbsten vor seinem Hauß mit Mist verschlagen, Bessert iiij d.

f° 423
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Erstgeschriebener Vix Rhott hatt darneben aber ein Hauß, da Steffan Mergen der Seÿler Innen sitzt, vndt hatt daran ein Vsstoß xxiii+ schu lang, ii+ schu herauß, daran ein Wettertach Inn gleicher lengen noch vii+ schu weiter für den Vsstoß herauß, Mehr Vnden an disem Hauß ein Schweinstall v= schu breÿt, iii+ schu herauß, Ein Vssatz banckh v schu lang, i+ schu breit, Vor der Haußthüeren Zwen gemaurte Tritt v= schu lang, ii+ schu herauß, Bessert xvij ß iiij d.

f° 423
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Weilland Herrn Beat Trensen deß Fünff Zeheners selligen Erben Hauß bewohnt Peter Beer der schneider, Daran ein Wettertach xxij schu lang, v schu ix Zoll herauß, Ein lehenende Kellerthüer vj schu breit, iii+ schu herauß, Bessern für das Niessen, x ß. ij d

f° 423
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Augustin Trenß Der Altt hatt ein Hauß, darinnen sitzt Bernhard Haaß sein dochtermann, Ane disem Hauß Ist ein Wettertach xxxiii+ schu lang, ix= schu herauß, Ein ligende Kellerthür vj schu breÿt, ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen, j lb. j ß. iiij d

Und hatt Derselb Bernhard Haaß das Allmendt vor dißem Hauß mit mist Verschlagen Bessert für den Mist, iiij ß d.

f° 423-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Claus Schott Der Garttner hatt oben an seinem Hauß ein Wettertach xxviij schu lang, vj schu herauß, Mehr Vnden ane demselben Hauß ein ligende Kellerthür v schu breÿt, vi+ schu herauß, Ein Ligend Kellerfenster iii+ schu breÿt, j schu herauß, Über der Infahrt ein Wettertach xiij schu lang, j schu herauß, Vndt hatt daruor das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert sampt dem Mist, j lb d

f° 423-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hans Reinholdt Der Garttner hatt an seinem Hauß, darinn Michell Reinboldt sein Sohn wohnhafft Ist, ein Vsstoß xxv+ schu lang, iij schu herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lenge, noch vj schu weÿter herauß, Ein Ligend Kellerthür vi+ schu breÿt, vij schu herauß, Bessert für das Niessen, xix ß. iiij d

Michel Reinholdt Der Garttner hatt auch vor dißem Hauß das Allmendt mit mist Verschlagen Bessert für den Mist, iiij ß d.

f° 424
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Georg von Brumat der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxxix= schu lang, j schu herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lengen, noch vj schu ix Zoll weiter für den Ausstoß herauß, Vor der Haußthür dreÿ steinen stafflen iiij schu iij Zoll lang, iij schu herauß, Ein Ligend Kellerthür vj schu breit, vi+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. ij ß. viij d

Dergedacht Georg von Brumat hatt auch das Allmendt vor seinem Hauß mit Mist Verschlagen, für disen Mist bessert Er, iij ß d.

f° 424
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Georg Mötschel der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxvij schu lang, viij schu herauß, ein lehenende Kellerthüer, v+ schu breit, vi+ schu herauß, Vor der Thüeren Vier steinen stafflen iiij schu lang, iiij schu heraus, Bessert für das Niessen, xviij ß. ij d

Hatt auch vor dem Hauß das Allmendt mit mist Verschlagen, für den Mist bessert Er, ij ß d.

f° 424-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Damian Jung der Würth Zum Bock hatt ein Hauß, darinn sitzt Georg Schwartz d. Gartner, daran ein Wettertach xxviij schu lang, x schu herauß, Ein ligende Kellerthüer v schu breit, ix schu herauß, Vor der Haußthüer ein hültzene Prütschen v=* schu breit v+ schu herauß, für dises Niessen bessert Er j lb. iij ß. iiij d
Hatt auch das Allmendt mit Mist verschlagen, Vnd bessert für den Mist, iij ß d.

f° 424-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Jacob Woëlle der Kübler hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxij schu lang, v+ schu herauß, Ein lehenende Kellerthüer vij schu breit, v schu herauß, Ein Schweinstall v= schu breit, v= schu herauß, bessert & xiiij ß. viij d

f° 424-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Augustin Trenß der Mittler hatt das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert &, iiij ß d.

Claus Heffel der Garttner hatt das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert für den Mist, iiij ß d.

f° 425
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Augustin Trenß der Altt hatt ein Hauß, darinn sitzt Würths Hans der Gartner, daran ein Staucher xv schu lang, j schu herauß, vnd vor einer Thüer ein steines Trittlin 3 schu ix Zoll lang j schu breit, bessert & j ß d

Würths Hans hatt daselbs vor disem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, Vndt für den Mist bessert Er, iij ß d.

f° 425
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Hans von Altenheim der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xlj schu lang v schu herauß, Mehr Vnden von der haußthür iij steinen stafflen v= schu lang, iij schu herauß, Bessert & xij ß ij d

f° 425
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Diebold Hügel der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxx schu lang, iiij schu herauß, Ein lehnende Kellerthür vj schu breit iii+ schu herauß, bessert für das Niessen, x ß. ij d

f° 425-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Samuel Werckmeister der Wälcker hatt vor seinem Hauß einen Rebstockh In einem Kästlin Ingefasst, v schu lang, iij schu herauß, neben der Haußthüer ein gemaurten sitz ij schu lang, xv Zoll herauß, bessert für das Niessen, ij ß. vj d

f° 425-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Martin Diembter der Garttner hatt ein Hauß da Jacob Wilger der Taglöhner Innen sitzt, daruor ein lehenende Kellerthüer vj schu breit, ij schu iij zoll herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d

f° 425-v
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Claus Maurer der Garttner hatt an seinem Hauß oben über der Thüeren ein Vsstößle vj schu lang vornen am Eckh ij schu iij Zoll herauß, Laufft hinden Ins Maurhaupt, Bessert für das Niessen, j ß d

Derselb Claus Maurer hatt auch das Allmend mit mist verschlagen, Vndt für den Mist, ij ß d.

f° 426
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Joachim Koële der Zoller am Weißenthurn hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen & bessert darfür, j ß d.

f° 426
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.

Conrad Cloer der Wagner hatt vnden an seinem Hauß ein Laden v schu lang, iij schu herauß, Vndt hatt vor dem Hauß das Allmendt mit Wagner holtz und mist verschlagen, bessert für das Niessen, ij ß d

f° 426
Beim Weißen Thurn hinderm Bollwerckh hienauß vntz ane die Renngaßen Vnden.

Marx Hermann der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, bessert für dem Mist, ij ß d

f° 426
Beim Weißen Thurn hinderm Bollwerckh hienauß vntz ane die Renngaßen Vnden.

Claus Lix der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxv schu lang, ij schu herauß, dar über aber ein Wettertach xx schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 426-v
Renngaßen vom Bollwerckh Vnden hienauff die Einseitten nach Wagnern Zu.

Lorentz Klein der Altt hatt an seinem Thor ein Wettertach xvij schu lang, j schu herauß, bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 426-v
Seelos gaßen die Einseitten Dem Bollwerckh Zu.

Wolff Georgius der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxx schu lang, iij schu herauß, Vber disem aber ein Wettertach xv schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, viiij ß d

f° 427
Die anderseiten Seelos gaßen, vom Bollwerckh wider hinauß in die Renn Gaßen.

Rüels Jacobs Hans der Altt hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxix= schu lang, ij schu herauß, Mehr ein Wettertach an dem selbigen Gebel, xv schu lang ij schu herauß, bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 427
Renngaßen hinauff nach den Wagnern Zu.

Laux Klein der Garttner hatt vor seiner Thür ein steinen Tritt, ij schu lang, i+ schu herauß, darfür bessert Er j ß d.

Derselbig Laux Klein hatt auch vor seinem Hauß das Allmend mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist, iij ß d

f° 427
Renngaßen hinauff nach den Wagnern Zu.

Juden Hanß der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmend mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist, iij ß d

f° 427
Renngaßen hinauff nach den Wagnern Zu.

Würths Diebolds selligen deß Garttners Erben haben Vnden an Ihrem Hauß ein Schweinstall vj schu breit vi+ schu herauß, bessert für den Schweinstall ij ß d.

Erstgemelte Erben haben auch das Allmend mit Mist verschlagen, Vnd für den Mist, iij ß d

f° 427-v
Renngaßen hinauff nach den Wagnern Zu.

Vix Schott der Altt hatt oben an dem Gebell seines Hauses, so ein ortthauß oben ane d. Renngassen gegen Wagnern Ist, ein außgestossen Kemmatt ij schu breÿt j schu herauß, bessert für diß Kemmatt, j ß d

f° 427-v
Anderseitten der Renngaßen Oben von Wagnern wider Hinab.

Michel Hucken selligen deß Garttners Wittib hatt an Ihrem Hauß, so auch ein Eckhauß Ist, vff diser seitten der Renngassen oben gegen Wagnern, Vndt hatt ein vßgestossen Kemmatt oben am Gebell ij schu breit, j schu herauß, Bessert für diße Nüeßung, j ß d

f° 428
Anderseitten der Renngaßen Oben von Wagnern wider Hinab.

Jacob Fritsch Der Hänffer hatt oben an seinem Hauß Zweÿ Wettertächer mit dielen gemacht über einander, Jedes xxvj schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 428
Anderseitten der Renngaßen Oben von Wagnern wider Hinab.

Mathis Holder Der Wagner hatt zweÿ heüser neben einander, Daruor vj steinerin stafflen, viij schu lang, v schu herauß, Ein lehenende Kellerthüer v schu iij Zoll breit, ij schu herauß, Mehr ein lehnende Kellerthür vi+ schu breit iij schu herauß, Bessert für das Niessen, vij ß d

f° 428
Anderseitten der Renngaßen Oben von Wagnern wider Hinab.

Ludwig Metzger Der Holtzhändler hatt ans einem Hauß ein Vsstoß xxvij schu lang, j schu herauß, Vndt ein Von grundt auff gemaurt Profeÿ v= schu breÿt, i+ schu herauß, Bessert darfür, vij ß iiij d

Am Wassergraben vntz zu der außern Zollbrucken.

Derselb Ludwig Metzger hatt auch vf der Andern seÿtten ahne disem seinem Hauß, Wann mann vmb d. Eckh daselbs nach der Zollthor Pruckhen zugehen will, ein lehnende Kellerthür viij schu breÿt, iii+ schu herauß, Item ein außgemaurtes Kemmat ij schu breÿt j schu Herauß, Vndt hatt von der Zollthor Pruckhen an, vntz ane dem Lindenbaum beÿ der Trenckhin das Allmendt mit Bawholtz verschlagen, Bessert für das Niessen, xv ß. viij d

f° 428-v
Am Wassergraben vntz zu der außern Zollbrucken.

Paulus Mattenmeÿer Der Altt hatt ein Hauß xxxii+ schu lang, iiij schu herauß, Bessert für den Vsstoß vj ß. viij d
[in margine :] Modo filius Hanß Paulus

f° 428-v
Am Wassergraben vntz zu der außern Zollbrucken.

Barthol Rhott der Garttenmann hatt an seinem Hauß zweÿ Wettertächer über einander, das Vnderst xxix= schu lang, das Oberst xxviij schu lang, Jedes ij schu herauß, Mehr Vnden am Hauß ein Wettertach xj schu lang, iiij schu herauß, Darunder ein Laden vii+ schu lang, ii+ schu herauß, Mehr ein außgestossen Kemmatlin j schu breÿt, i+ schu herauß, Ein Vebstockh mit Latten Ingefast v= schu lang, ij schu herauß, Mehr ein Wettertach xiij schu lang, iiij schu heraus, Darunder auch ein Laden vj schu lang i+ schu heraus, Bessert für das Niessen, xv ß d

f° 429
Aber in der Renngaßen

Koßen Michel von Ernoltzheim Burger alhier hatt an seinem Hauß außwendig ein Ingefassten Rebstockh vff dem Allmendt stehen v schu lang, ii+ schu herauß, Bessert & ij ß d
[in margine :] modo Marx Volsperger der Schuflicker

Derselb Koßen Michael hatt auch daß Allmendt mitt Mist verschlagen, Vndt für den Mist, ij ß d

f° 429
Aber in der Renngaßen

Michel Dreß der Garttner hatt auch vor seinem Hauß das Allmendt mitt mist verschlagen, Bessert für den Mist, ij ß d

f° 429
Aber in der Renngaßen

Claus Nortz der Garttner hatt das Allmendt vor seinem Hauß mitt Mist verschlagen, bessert für den Mist, ij ß d

f° 429
Diebs gaßen, Jetzt Heiden Gaß genandt.

Diße gaß Ist von Clauß Nortzen vntz ane Hanß Voltzen hauß Von einem Eckh biß zum Andern Oben am Ingang 21 schu 9 Zoll breÿtt
Nota. Hatt sich Im Abmessen befunden, das die Gassen Oben an bemeltem ortt vmb j schu Inn d. breÿten weniger hatt weder Sie haben soll.

Der gemelte Claus Nortz hatt ane dem Eck seines Hauses oben Im Ingang ein Schewren xxv= schu breit, vnd Ist mit diser Schewren, Oben ane demselben Eckh vff das allmend herauß gewichen j schu breit, Laufft vnden an wieder vff sich selbs, Bessert &, j ß iiij d

Nota, Des Allmendtgrabens Inn welchem Mathis Schröttes Hauß anfahrt, vnd durch seinen Gartten hingeht, diebs od. Heÿdengaßen Ingedenckh zusein, Nota. vf dem Pfenningthurn nachsuchen thun.

f° 429-v
Aber in Renngaßen,

Hanß Voltz der Garttner hatt vor seiner Haußthür ein steinen staffel iiij schu lang j schu herauß, bessert &, j ß d

f° 429-v
Aber in Renngaßen,

Michel von Börß der Garttner hatt über der Infarth seines Hauß ein Wettertach xxij schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß. iiij d

f° 430
Aber in Renngaßen,

Hanß von Börß desselben Michels Sohn hatt ane seinem Hauß ein Wettertach mit dielen gemacht xxvj schu lang, ii+ schu herauß, bessert ij ß. viij d

Er hatt auch das Allmend mit Mist verschlagen, Vnd für den Mist ij ß d

f° 430
Aber in Renngaßen,

Mathis von Simbßheim Garttner der Jung hatt vor seinem Hauß, darinnen Jacob Roll der Taglöhner wohnet, Ein steinen Tritt iij schu lang, i+ schu herauß, bessert für den Tritt j ß d

Vnd hatt daß Allmend vor dem Hauß mit Mist verschlagen, j ß d

f° 430
Aber in Renngaßen,

Martin Schrötter der Garttner der Altt hatt ein Hauß bewohnt diebold Kauffers wittwe, Daruor ein steinenen Tritt iij schu lang, xv Zoll breÿt, Bessert für das Niessen, j ß d

f° 430-v
Aber in Renngaßen,

Conrad Schwartz der Strawschneider hatt vor seinem Hauß ein Schweinstall iiij schu breit, iiij schu herauß, bessert & ij ß d

f° 430-v
Aber in Renngaßen,

Mathis Vogt der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmend mit Mist verschlagen, bessert für den Mist, ij ß d

f° 430-v
Aber in Renngaßen,

Michel Knäblin der Garttner hatt daß Allmend auch mit mist verschlagen, Bessert für denselben Mist, ij ß d

f° 430-v
Aber in Renngaßen,

Andreß Rhein Von Schnerßheim hatt an seinem Hauß, Vnden ein angehenckhten gedeckhten Schwein Trog iiij schu lang, j schu herauß, Bessert & j ß d

f° 431
Hinder dem Wahl hinumb nach dem Cronenburger Thor Zu.

Hanß Schott der Garttner hatt über seiner Infahrt ein hültzin Wettertach xx schu lang, iij schu heraus, Bessert für das Niessen, ij ß. viij d

f° 431
Hinder dem Wahl hinumb nach dem Cronenburger Thor Zu.

Fritschen Lorentz Der Taglöhner hatt vor seinem Hauß ein Wenig vfm Allmend ligen, Bessert j ß d

f° 431
Hinder dem Wahl hinumb nach dem Cronenburger Thor Zu.

Jacob Schotten Des Taglöhners Wittwe hatt vor Jhrem Hauß, das Allmendt auch ein wenig mit mist verschlagen, Darfür bessert Er, j ß d
Seindt Arme Leüth die sonsten nichts haben

f° 431
Hinder dem Wahl hinumb nach dem Cronenburger Thor Zu.

Hanß Secklers Des Strawschneiders Fraw hatt vor Jhrem Hauß das Allmendt mit mist verschlag., Bessert darfür, j ß d

f° 431-v
In der Allmendgassen genandt Die Schottengaß.

Schultheißen Michel von Schnerßheim hatt ein Hauß, darinnen wohnet Paulus Huckh der Gartner, hatt nebendts an einer Mauren fünff gemaurte Pfeÿler da Jeder ij schu breÿt, ix Zoll heraus, von grund vff vff fünff schuh hoch, x ß d.

f° 431-v
In der Allmendgassen genandt Die Schottengaß.

Augustin Schott der Garttner hatt hinden an seiner Schewr vj gemaurte Pfeÿler, Jeder i+ schu breÿt, ix Zoll heraus, von grundt vff auff ii+ schuh hoch, Mehr Vornen am Hauß dreÿ gemaurte Pfeÿlerlin, Jeder i+ schu breÿt, iij Zoll herauß, Von grundt auff ongevährlichen Vff iij schu hoch, Bessert & xj ß d.

f° 431-v
Anderseit Schottengaß.

Hanß Fürstbaum Der Garttner hatt an seinem Hauß iiij gemaurte Pfeÿler, Jeder ij schu breÿt, viij Zoll heraus, von grundt vff ongevährlich vf vj schu hoch, Bessert für das Niessen, viij ß d

f° 432
Aber Hinder dem Wahl beÿ Cronenburg.

Juden Clausen Erben haben ein Hauß daruor zwen steinene Tritt iij schu lang, ij schu herauß, bessert für das Niessen, j ß d

f° 432
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Vix Pfeiffers des Garttners Wittwe hatt an Ihrem Hauß, Darinnen Ihr dochtermann sitzt über den fenstern ein hültzins Wettertächlin x schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 432
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Lorentz Diembster der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxx schu lang vj schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß iiij d

f° 432
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Bastian Loëß der Garttner hatt an seinem Hauß das Allmendt mit Wellen Verschlagen, ij ß d.

f° 432-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Hanß Adolff der Garttner hatt vor seinem Hauß ein Rebhälden vff Vier Aichinen Pfosten Oben mit Truchtern vndt Gerten herauß geladen xxx schu lang viij schu breit, Bessert für das Niessen, viij ß d

Derselb Adolff hatt auch das Allmendt mit Mist verschlagen & ij ß d

f° 432-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Lienhard Nuß von Geispoltzheim hatt ane seinem Hauß, da Caspar Hammerer der Gartner Innen sitzt, Oben über der Infarth ein Wettertach xix schu lang, j schu herauß, Bessert x j ß iiij d

f° 432-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Philips Schäffer der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Mist verschlagen, für den Mist bessert Er ij ß d

f° 432-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Ohl Christmann Garttner der Jung hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Mist vndt Wellen verschlagen, ij ß d

f° 433
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Caspar Schott hatt vor seinem Hauß daß Allmendt mit Wellen belegt &, ij ß d

f° 433
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Nortz Jacob der Garttner hatt an einem Eckh seines hauses ein Vbergebew vff einem Aichinen Pfeÿler v schu iij Zoll breit, iij schu herauß, bessert & xij ß. iiij d

Derselbige Nortz Jacob hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Wellen Verschlagen & Bessert für die Wellen, ij ß d

f° 433
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Jacob Wunderers selligen deß Garttners Erben haben an Ihrem Hauß oben über der Infarth ein Wettertach xix schu lang j schu herauß, Bessern j ß. iiij d

Haben auch daselbs daß Allmendt mit wellen Verschlagen, bessern für die Wellen, ij ß d

f° 433
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Jost von Ettlingen der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit dielen vnd Prueckhöltzern belegt, Bessert für das Niessen, ij ß d

f° 433-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Hanß Trenß der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für den Mist vnndt holtz, iij ß d

Derselb Hanß Trenß der garttner hatt auch über dem Thor an seinem Hauß ein Wettertach xvj schu lang, j schu herauß, j ß iiij d

f° 433-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Jacob Braunstein der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Mist vnd holtz verschlagen, bessert iij ß d

f° 433-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Dauid Rhül der Garttner hatt das Allmendt mit Mist vnd holtz verschlagen, für den Mist ij ß d

f° 433-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Mathis Martin der Taglöhner hatt das Allmendt vor seinem Hauß mit mist verschlagen, bessert für das Niessen j ß d

f° 433-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Blaëß Seiffridt der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert für das Niessen iij ß d

f° 434
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Adam Renchers Erben haben ein Hauß da Zimpers Hansen des Taglöhners Wittwe Innen wohnet, Vndt hatt daßelbige hauß Zween Ausstöß Vbereinand., Jeder xxv= schu lang, xv zoll herauß, Vnden am Eckh ein Schweinstall v= schu breit, v schu herauß, bessert & iiij ß. viij d

Zimpers Hansen Wittwe hatt vor berürtem Hauß, das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert & j ß d

f° 434
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Stoffel der Strawschneider der Wohnt in einem Hauß so einem Landtmann Von Eckuerßheim mit Namen Jacob Rhor Zugehörig, Daruor hatt Er iij gemaurte Tritt iij schu lang, iij schu herauß, bessert & j ß. vj d

Derselbige Stoffel der Strawschneider hatt auch vor gedachtem Hauß, das Allmendt mit Mist verschlagen &, Bessert für das Niessen, j ß d
[in margine :] Wohnt ietzt im Hauß Melchior Reps

f° 434-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Georg Burger der Haußbeckh hatt vnd bewonet diser Zeit das Hauß Zur Sonnen, Vnd hatt vor der Haußthuëren Zwen steinene Tritt v= schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 434-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Diebold Müller der Garttner hatt vor seiner Haußthüer dreÿ steinene Tritt, sampt einem gemaurten Prütschlin, iiij schu ix Zoll breit, ij schu herauß, Vnd dann ane demselben Hauß Zween hülene Neech, bessert für dieses Nüessen, ij ß x d

Derselb Diebold Müller hatt auch das Allmendt mit Mist verschlagen &, bessert iij ß d

f° 434-v
Vom Cronenburger Thor das Kagenecker Bruch, So mann auch daß New Bruch nennet, hin in der Statt zu.

Wolff Schertzer der Garttner hatt vor seinem Hauß daß Allmendt mit Mist vnd Wellen Verschlagen &, Bessert für den Mist vnd Wellen, iij ß d

f° 435
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Balthasar Huckh Der Garttner hatt daß Allmendt vor seinem Hauß mit mist verschlagen, Bessert für das Niessen, iij ß d

f° 435
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Lamprecht Huckhen Des Garttners selligen Wittwe hatt das Allmendt vor Ihrem Hauß auch mit mist verschlagen, Bessert für den Mist, iij ß d

f° 435
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Hanß Schott zu Vendenheim hatt ein Hauß darinn Barthel Von Gotteßheim der Gartner sitzt, vndt hatt ane demselben Hauß ein Allmendt Winckel oder Platz mit einer dielen Wandt Ingezeünt xxiiij schu lang, vf Jeder seitten xvij schu weÿt, Inn dem Winckhel hinder sich hinein, Vor d. Haußthüren Innerhalb diser dielinen Wand hatt Er iiij gemaurte Tritt, iij schu lang, v schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. j ß. iiij d
[in margine :] Ob Ihme solche In Zeünung durch die D[r]eÿer des Pfenningthurns erlaubt, vnd Ihme ein bestendiger Zinß hinfürter Druff zuschlagen.

f° 435
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Ludwig Metzger Der Holtzhändler hatt daselbs das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert für den Mist, ij ß d

f° 435-v
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Hanß Hammer Garttner der Altt hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Wellen verschlagen, Bessert für die Wellen, ij ß d

f° 435-v
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Nortz Ulrich hatt das Allmendt mitt Mist vnd Wellen verschlagen, Bessert iij ß d

Hanß Braun von Dingßheim beÿ Crießheim hatt vor seinem Hauß, darinnen Nortz Vlrich der Gartner sitzt, Ein Rebhälden vff fünff aichinen Stützen xxv= schu lang, iij schu herauß geladen mit Gertten vnd Truchtern, Bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 435-v
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Jacob Dräher der Garttner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxx schu lang + schu herauß, Bessert für den Vsstoß, j ß iiij d

Hatt auch vor demselben Hauß das Allmend mitt Wellen verschlagen, Bessert iij ß d

f° 436
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Martin Schrötter Garttner der Jung hatt Vor seinem Hauß das Allmendt mit mist auch etlichen Pruckhöltzern Vnd Wellen Verschlagen, Bessert darfür iiij ß d

f° 436
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Juden Jacob Der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Wellen Verschlagen, Bessert für die Wellen ij ß d

f° 436
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Hanß Decker Der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Wellen belegt, Bessert für die Wellen ij ß d

f° 436
Anderseitten wider dem Cronenburger Thor Zu. [das Kagenecker Bruch]

Hanß Burger Der Garttner hatt vnden vor seinem Hauß ein Rebstöcklin mit Gertten Ingefasst ij schu breit ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 436-v
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Juden Jacob der Garttner hatt vnden vor seinem Hauß ein Rebstockh mit brettern Ingefasst iij schu breÿt, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 436-v
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Hanß Schmidt der Garttner hatt an seinem Hauß, darinnen Nortz Anthoni wohnt, über dem Thor ein Wettertach xxj schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß iiij d

f° 436-v
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Mathis Rothen des Garttners selligen wittib hatt an Ihrem Hauß ein Wettertach xi+ schu lang, v schu heraus, Bessert für das Wettertach, ij ß viij d

Sie hatt auch daselbs vor Ihrem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, für den Mist, ij ß d

f° 436-v
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Vix Schott Der Jung hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit mist vnd Wellen verschlagen, der bessert für den Mist vnd Wellen, iij ß d

f° 437
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Jacob König Der Schneider hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xvij schu lang, ix schu herauß, Ein Schneider Laden v schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß d

f° 437
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Ohl Christmann Der Altt hatt ane seinem Hauß, das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert für den Mist, iij ß d

f° 437
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Hanß von Fridolßheim Der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit mist belegt, Bessert für den Mist, iij ß d

f° 437
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Claus Huckhen Des Garttners Wittwe hatt Vor Ihrem Hauß auch das Allmendt mit mist verschlag., Bessert darfür, iij ß d

f° 437
Ane der Newen Zeÿlen von Cronenburger vntz an daß Speirthor Hinein.

Hans N: Der Jetzige Pfüster im Bruderhoff hatt ein Hauß da Michell Mohr der Haußbeckh Innen sitzt, daran ein Wettertach xiiij schu lang, iij schu herauß, Bessert & i ß. viij ß

f° 437-v
Geÿstgaßen die Eine seitten hineinwerths.

Hans Hammer Garttner der Jung hatt an seinem Hauß, da Lienhardt Pflüger d. Leinenweber Innen wohnet einen Rebstockh mit brettern Ingefaßt, iij schu breÿt, iiij schu herauß, Mehr ein Rebhälden daran vf viij Aichenen Stützhen, xxx schu lang, v= schu herauß, Beßert für den Ingefassten Rebstockh, auch die Rehbälden, sampt den viiij Stützen alles zusammen, viij ß. viij d.

f° 437-v
Geÿstgaßen die Eine seitten hineinwerths.

Martin Bückhel hatt an seinem Hauß ein Rebstockh mit Brettern Ingefaßt iiij schu breÿt, iii+ schu herauß, Ein Rebhalden vf fünff aichinen Stützen, xx schu lang, iij schu herauß, Beßert für das Niessen, iiij ß. viij d.

f° 437-v
Geÿstgaßen die Eine seitten hineinwerths.

Hanß Hammer Garttner der Jung hatt vor seinem Hauß Zwen steinen Tritt iij schu iiij Zoll lang, ij schu, ix Zoll herauß, Beßert für das Niessen, j ß. vj d.

Derselb Hanß Hammer hatt auch vor seinem Hauß daß Allmendt mit mist verschlagen, Bessert für den Mist, ij ß d

f° 438
Anderseitt Geÿstgaßen Wider herauß.

Das Closter Zu Sanct Marx hatt hinden an der Garttenmauren über einer Cleinen Thür ein wettertächlin vij schu lang, j schu herauß, Mehr ein Wettertächlin ij schu lang i+ schu herauß, Beßert für das Niessen, ij ß. iiij d.

f° 438
Aber an der Newen Zeÿlen nach dem Speirthor Zu,

Das berüert Closter Zu Sanct Marx hatt ein Hauß so ein Eckhauß Ist, Vnden ane der Geÿstgassen, Darinnen wohnet Caspar Schlemmers des Metzgers selligen wittwe, Vndt hatt vnden vor der haußthür ein steinen Tritt v= schu lang, xv Zoll herauß, beßert & j ß d.

f° 438-v
Aber an der Newen Zeÿlen nach dem Speirthor Zu,

Daßelbige Closter hatt darneben auch ein Hauß Darinnen wohnet Nathaniel Butzeri sellgen nachgelassene Wittwe, Vor der Haußthür Vnden ein steinen Tritt iii+ schu lang, j schu breit, Beßert & j ß d.

f° 438-v
Aber an der Newen Zeÿlen nach dem Speirthor Zu,

Darneben aber ein Hauß dem Closter Sanct Marx Zugehörig, bewohnt Christmann Greiner der Schreiner vndt hatt Vnden ein Rebstockh daruor mit Latten Ingefasst iiij schu breit, ii+ schu herauß, Oben dauon ein Halden gemacht mit Latten herauß geladen, ix schu lang, v schu breit, Bessert für den Rebstockh vnd Helden, iiij ß d

Dergedacht Christmann Greiner hatt auch vor disem Hauß daß Allmend mit dielen v.schlag., Bessert & ij ß d

f° 438-v
Aber an der Newen Zeÿlen nach dem Speirthor Zu,

Lorentz Rüel Der Wullenweber sitz auch in einem Hauß, so Zu Sanct Marx gehört, Vndt hatt daruor ein Mist Casten vff dem Allmendt stehen, vij schu breit, vij schu lang das ist Inn alle wege, Bessert für das Niessen, ij ß viij d

f° 439
Aber an der Newen Zeÿlen nach dem Speirthor Zu,

Das mehrbesagt Closter zu Sanct Marx hatt aber ein Hauß da Melchior Heldt Innen sitzt, vndt hatt vor der Haußthür Vnden ein steinen Tritt iiij schu lang, ij schu herauß, Darneben ein Recbstockh mit Latten Ingefasst ii+ schu lang, j schu ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d

Melchior Heldt hatt beÿ Sanct Marx daß Allmendt mit Latten belegt, Bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 439
Umb das Eckh beÿ Sanct Marx hinumb ane dem Wasser graben hinauff nach Dem Zollthor Zu.

Der Speicher am Closter zu Sanct Marx hatt Oben über dem Ingang ein Wettertach xij schu lang, vii+ schu herauß, Bessert für das Wettertach, iiij ß d

f° 439
Umb das Eckh beÿ Sanct Marx hinumb ane dem Wasser graben hinauff nach Dem Zolthor Zu.

Lorentz Voltz Der Garttner hatt d. Allmendt vor seinem Hauß mit mist verschlagen, Bessert & iij ß d

f° 439-v
Umb das Eckh beÿ Sanct Marx hinumb ane dem Wasser graben hinauff nach Dem Zolthor Zu.

Das Allmusen zu Sanct Marx hatt vor einem Hauß, da Heinrich Deckher Innen wohnt, einen Rebstockh mit Latten vnd brettern Ingefasst, iij schu breit, i+ schu herauß, Oben mit Latten vßgeladen, xv schu lang ix schu herauß, vff ij hültzenen Stützen, Bessert für das Nießen, iiij ß d

f° 439-v
Umb das Eckh beÿ Sanct Marx hinumb ane dem Wasser graben hinauff nach Dem Zolthor Zu.

Lamprecht Huckhen deß Garttners selligen Erben haben an Ihrem Hauß ein Staucher sampt einem Wettertach daran x schu lang i schu herauß, Bessert & j ß d

Dier Vorgenante Melchior Held hatt daß Allmendt beÿ dem Closter Zue Sanct Marx weÿter für die Marckhstein für seinen gewohnlichen Ihme verguntenen holtzblatz hinauß, mit Bawholtz verschlagen, vntz ane dem Wassergraben daselbsten xxxiiij schu lang, xx schu breÿt, Bessert für das Niessen, j lb xvj ß d
Darüber mag Er beschickht vnndt gerechtfertiget werden.

f° 440
Umb das Eckh beÿ Sanct Marx hinumb ane dem Wasser graben hinauff nach Dem Zolthor Zu.

Herr Hans Adolff Fürst hatt auch vff der Andern seitten, neben der Prueckhen beim Speÿrthor, das Allmendt mit Bawholtz, vntz vff die Maur des Grabens belegt, xxviij schu lang, v+ schu breÿt, Bessert für das Niessen, viij ß d

f° 440
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Das Wüthshauß Zum Sternenberg ist diser Zeÿtt Steffan Gaßners des Kürßners, darinnen halt sein dochtermann Michael Dieboldter Würtschafft, hatt Oben ein Wettertach xlvi+ schu lang, iii+ schu herauß, vor der Haußthür ein steinen Tritt v= schu lang, j schu breÿt, Bessert für das Niessen, ix ß d

f° 440
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Ulrich Beimling Der Glaser vnd Holtzhändler hatt vnd besitzt Jetziger Zeit das Hauß, welches etwann Thoman Schwenden das holtzhändlers waß, Vndt hatt daruor das Allmendt mit hültzinen Schranckh. Ingezeünt xlij schu lang, x schu breit, Bessert &, j lb. j ß iiij d

f° 440-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Herr Hans Adolff Fürst Der Fünffzehener hatt über seiner Haußthüren ein wettertach xviij schu lang, i+ schu herauß, j ß iiij d

f° 440-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Gedachter Herr Hanß Adolff Fürst hatt darneben aber ein Hauß, darinnen Anthoni Schrag der Seÿler wohnt, Vndt hatt vor der Haußthür ein steinen Tritt v schu lang, xv Zoll breit, Daruor ein Vssatz Banckh vij schu lang, i+ schu breit, Bessert für das Niessen, ij ß ix d

f° 440-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Erhard Zehenackher Der Würth Zum Wildenmann, Welches Würthshauß Adams Thieboldten zu Wingerßheim zustendig Ist, hatt oben daran ein Staucher xviij schu lang i schu herauß, Vor der haußthüren Zween steinene Tritt iii+ schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 440-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Hans Schott Garttner der Altt hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxix schu lang, ii+ schu herauß, bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 441
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Hans Weger der Garttner hatt vnden vor seinem Zweÿ ligende Kellerfenster, Jedes i+ schu lang, ix Zoll herauß, bessert & ij ß d

f° 441
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Claus Kleinen Wittib, hatt vor Irer Haußthür zwen gemaurte Tritt v=* schu lang, ii+ schu herauß & Bessert für das Niessen, j ß d

Sie hatt auch daselbs das Allmend mit Mist verschlagen, für den Mist ij ß d

f° 441
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Ulrich Steck der Schneider hatt vor seinem Hauß zwo steinene stafflen iiij schu lang, ij schu iij Zoll herauß bessert für das Niessen, j ß d

Derselb Ulrich hatt auch das Allmendt vor dem Hauß mit Mist belegt, bessert darfür j ß d

f° 441
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Löeß Bastian Garttners wittib hatt vor Ihrem Hauß das Allmend mit Mist verschlagen, bessert ij ß d

f° 441-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Ißraël Debs der Wagner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xx= schu lang, vii+ schu herauß, darund. hatt Er sein Werckstatt und Plöcher, Bessert für das Niessen, xviij ß d

Er hatt auch das Allmendt vor dem Hauß mit mist belegt, bessert für den Mist, ij ß d

f° 441-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Hans Güttel der Haußbeck, hatt an seinem Hauß ein Wettertach xx+ schu lang, vij schu herauß, bessert darfür, viij ß d

f° 441-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Hans Nuß der Sailer hatt vor seinem Hauß ein steinen Tritt iij schu lang, i+ schu herauß, Ein Wettertach oben ane demselben Hauß xxvj schu lang vii+ schu herauß, Darüber aber ein Wettertach In gleicher Lengen ij schu herauß, Vor dem Hauß ein Vssatz banckh vi+ schu lang, ij schu breit, Mehr ein Vssatz banckh v schu lang, ij schu breit, Bessert für das Niessen, xvij ß ij d
Vndt hatt auch das Allmendt mit Mist verschlagen vor seinem Hauß, bessert, ij ß d

f° 442
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Rudolff Pfützer der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach von holtzwerckh xvj schu lang, j schu herauß, bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 442
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Augustin Drenß der altt hatt ein Hauß da Arbogast Jacob der Garttner Innen sitzt, daran ein Wettertach 15 schu lang, j schu herauß, Bessert iiij ß d

f° 442
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Paulus Loëß der Huffschmidt hatt an seinem Hauß ein Wettertach xvj schu lang, x schu herauß, Darunder hatt Er auch sein Werckstatt, vnnd vor dem Hauß ein Nottstall vfm Allmendt stehen, Bessert für das Niessen, j lb. xiij ß iiij d

f° 442
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Hanß Reinboldt der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit holtz verschlagen, Bessert für das Niessen, ij ß d

f° 442
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Börß Dieboldts Erben haben ein Hauß daran ein Wettertach xvij schu lang vi+ schu herauß, bessert v ß d

f° 442-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Jacob Bildmans des Wagners selligen Kinder haben an Ihrem Hauß, da Georg Ammann der Wagner Innen sitzt, ein Wettertach xxj schu lang, vii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß d

Georg Ammann hatt auch vor disem Hauß das Allmendt mit Wagner holtz verschlagen, Bessert für das holtz und mist, iiij ß d.

Vor dißem Hauß hatt Georg Amman auch ein Rebhalden mit Zweÿen vffrechten Pfosten, ix schu lang, viij schu breÿt, vnd bessert diser Reb Kasten sampt dem Pfosten iiij ß d

f° 442-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Hans Ulrich Schultheiß der Würth Zum Stall hatt das Allmendt daselb vor einem Hauß, darinn Er bawen will, mit gebrochenen Steinen Verschlagen, vnd bessert für das niessen j ß d.

f° 442-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Jacob Klehe der Garttner hatt an seinem Hauß Ein hültzin Wettertach xiij schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen j ß iiij d.

Er hatt auch darvor daß Allmend mit Mist verschlagen, Vnd für den Mist iij ß d

f° 443
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Wolff Müller der Garttner hatt ein Hauffen Wellen vff dem Allmendt vor seinem Hauß ligen, bessert für das Niessen ij ß d.

f° 443
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Dieboldt Wildt hatt das Allmendt mit wellen belegt, Bessert für das Niessen ij ß d.

f° 443
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Adam Wildt der Garttner hatt auch vff einem Allmendt Platz ein hauffen wellen lig., bessert iij ß d.

f° 443
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Lienhard Großheinrich der Wullinweber hatt an einem Hauß, darin Claus N: der Wein Knecht wohnt ein Wettertach xv schu lang, v= schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß xiij d

f° 443-v
Anderseitten vom Speÿrthor wider herauß nach dem Cronenburger Thor Zu hinauß wärths,

Urbans Dieboldts Hans von Reittweÿler, darinn Lorentz Reps der Taglöhner sitzt ein hültzin Wettertach xxiiij schu lang, i+ schu herauß, Vnden vor der Haußthüer ein gemaurten Tritt v= schu breÿt, i+ schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß iiij d

f° 443-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Diebold Wildt der Garttner hatt hinden an seiner Schewr das Allmendt mitt Mist verschlagen, bessert für den Mist, iij ß d

f° 443-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Ohl Adolff der Garttner hatt im Grünenbruch vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, bessert für den Mist, ij ß d

f° 443-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Zacharias Rhot der Garttner hatt im Grünenbruch hinden vor seinem Hauß Wellen vnd Mist vff dem Allmendt ligen, Bessert darfür, iiij ß d

f° 444
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Dieboldt von Fridoltzheim der Garttner hatt hinden vor seiner Schewr vff dem Allmendt ein hauffen Stein ligen, Vndt auch daselbsten das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert darfür, iij ß d

f° 444
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Rudolff Pfützer Der Garttner hatt hinden Vor seiner Schewr das Allmendt mit mist belegt, Bessert für das Niessen, iij ß d

f° 444
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Herr Hans Adolff Fürst der Fünff Zehener hatt Vor seinem Hauß, darinnen Stoffel Schmidt der Taglöhner wohnt, das Allmendt mit mist verlegt, für den Mist bessert Stoffel Schmidt j ß d

f° 444
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Ißraël Debs Der Wagner hatt daselbs im Bruch das Allmendt mit Wagner holtz verschlagen, Bessert darfür ij ß d

f° 444
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Herr Hans Adolff Fürst Der Holtzhändler hatt daß Allmendt mit etlichem gezimmerten holtz belegt, Soll Allmendt &, Bessert für das Niessen, ij ß d

f° 444-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Dieboldt Loëß Der Garttner hatt hinden an seiner Schewr undt Hauß das Allmendt mit Mist verschlagen, Bessert für das Niessen, iij ß d

f° 444-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Caspar Herder Der Schneider hatt ettlich Mist vndt ein Hauffen Wellen vor seinem Hauß vff dem Allmendt ligen, Bessert für den Mist, iiij ß d

f° 444-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Claus Kleinen Des Garttners selligen Wittwe hatt vor Ihrem Hauß das Allmendt mit Mist und Wellen verschlagen, Bessert & iiij ß d

f° 444-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Das Würthshauß Zum Wildenmann darinn Erhardt Zehenackher der Würth wohnet, Adams Thieboldten zu Wiverßheim Zustendig, hatt hinden Im grünen Bruch vor dem Stall d. Allmend mit Mist v.schlagen, Bessert & iij ß d

f° 444-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Herr Hans Adolff Fürst hatt an einem Hauß ein Vsstoß xxx schu lang, j schu herauß, Item vor der Thür deßelben hauses Zwen steinene Tritt iii+ schu lang, xxij Zoll herauß, Bessert & ij ß iiij d

f° 445
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Herr Hans Adolff Fürst hatt darneben aber an einem Hauß, da Er selbs Innen sitzt, ein Ausstoß xxxv= schu lang, j schu herauß, Vor der Haußthüer ein besetzten hohen Stich, sampt einem mit steinen Ingefassten dolen, xj schu lang, iiij schu herauß, Bessert & ij ß x d

f° 445
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Daniel Merckel der Holtzhändler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxxiij schu lang, j schu herauß, bessert für den Vsstoß, j ß iiij d

Er hatt auch neben an seiner Holtzhütten daß allmendt Zimblich weÿt für den Marckhstein mitt holtz verschlagen, Soll Allmendt sein vnd bleiben, für dises Niessen bessert Er x ß d

f° 445
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Das Würthshauß Zum Sternenberg darinn Michell dieboldter wohnet, Steffan Gassmann dem Kürßner Zustendig, Hatt Oben am Gebell gegen dem Stattgraben dreÿ Wettertächer über einander, das Vnderst Ist xxxv schu lang, das Mittler xxv schu lang, Vndt das Oberste xx schu lang, Jedes ii+ schu herauß, Mehr Vnden ane der Mauren dises Haußes dreÿ gemaurt Pfeÿler, Jeder xv Zoll breÿt ix Zoll herauß, von grund vff vff v schu hoch & bessert für das Niessen xiij ß viij d

f° 445-v
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Der Vorgedacht Michell Dieboldter würth zum Sternenberg, hatt auch Zween hohe Stoëß Brennholtz für einander ane dem Sternenberg vf wendig vff dem Allmendt vff gestossen, xlij schu breit, vj schu herauß, bessert für dises Allmendt nüessen xiij ß iiij d

Nota. Alle Holtzhändler Inn dem grünenbruch haben ein Jeder die gesetzten gewöhnliche Marckstein, daselbsten mitt belegung des holtzes Inn gemein Vberschritten.
Seindt derowegen Zubeschickhen, Vnd sich verners hinüber mit einander Nottwendiglich Zu vnderreden.
So dann die daselbsten Inn berürttem Bruch beÿ den holtzblätzen Vmbgefahrene vnd außgerissene Marckstein widerumb fürderlich setzen, Vndt Ingraben zu lassen.

f° 446
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Marx Rückhauß der Holtzhändler hatt ane einem Hauß, Vnden Vor der Thüer dreÿ steinene Tritt iiij schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Mehr ane demselben hauß Oben ein Wettertach Lv+ schu lang, ii+ schu herauß, Oben Über disem noch Zweÿ Wettertächer Vnder welchen das Eine xxxiiij schu lang, das Ander xxv schu lang, Vnd ein Jedes ii+ schu herauß, Vndt hatt auch das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert & xviij ß ij d.

f° 446
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Derselb Marx Rückhauß hatt aber ane seinem Andern Hauß so Er selbs bewohnet, Vnden ein lehenende Kellerthüer vj schu breÿt, v schu herauß, bessert & v ß d.

f° 446
In das grün Bruch hinein der Statt zu, Eine Seitten.

Claus Reiber der garttner sitzt in einem Hauß, so Lorentz vnd Jacob Bilgern beÿden gebrüderen Zu Vendenheim gehörig, Daran ein Vsstoß xxxvii+ schu lang, i+ schu herauß, Darund. ein gemaurten Ausstoß so an einem Küchlin vj schu breÿt, xxj Zoll herauß, Von grund vff, ohngeuehrlich vff v schu iij Zoll hoch, bessert & iiij ß viij d.

f° 446-v
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Peter Schan der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit Mist verschlagen, ii ß d.

f° 446-v
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Lorentz Pfister der Weinsticher hatt an seinem Hauß Über einer Thüer ein Wettertächlin v+ schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Wettertach, j ß iiij d.

f° 446-v
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Paulus Grauen selligen des Garttners Erben haben ein Hauß, darinnen Georg Räb der Schumacher wohnet, Vor der Thüeren Dreÿ steinene Tritt vii+ schu lang, iij schu herauß, bessert für die Tritt, j ß xj d.

f° 446-v
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Die Pfleg Zun gutten Leüthen haben einen Speicher, Daran oben über der Infarth ein Wettertach xx+ schu lang, iii+ schu herauß, bessert & iiij ß d.

f° 446-v
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Zunechst an disem Speicher Ist auch ein Hauß der Rothen Kirchen gehörig, Vndt hatt oben über dem Thor ein Wettertach xix= schu lang, iii+ schu herauß, Mehr auch über der Kleinen Thüeren an demselben Hauß aber ein Wettertach vij schu lang, j schu herauß, Vnden Vor derselben Thüer ein steinene staffel v schu lang, i+ schu herauß, Mehr oben an disem Hauß ein Staucher, Zeücht sich umb das Eckh hinumb, vntz Inn den Winckel Hindern Inn allem xxv schu lang, ix Zoll herauß, Vnndt darin ein Wettertach x schu lang, i+ schu herauß & bessert für das Niessen, v ß viij d.

f° 447
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Die Sondersiechen zur Rotten Kirchen haben aber ein Hauß, Daran Vnden Vor der Thüer, Vier steinene Tritt v schu lang, iiij schu herauß bessert für das Niessen, j ß vj d.

f° 447
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Diebolden von Veßenheim selligen Holtzhändlers des Altten nachgelassene Wittwe vnd Erben haben vor Ihrem hauß oben über der Thür ein Wettertach xij schu lang, ii+ schu herauß, Oben am Gebell ein Vßgestossen Kemmatt iij schu iij Zoll breit, ij schu herauß, Mehr auch über der Kleinen Thüer ane berühretem Hauß ein Wettertach, vii+ schu lang, j schu herauß, Bessert iij ß iiij d.

f° 447
Umb das Eckh an disem Hauß hinumb vnd die Einseitt von dem Geißbrücklin nach dem Hundtshoff hinab.

Lorentz von Vessenheim Holtzhändler der Aëltter hatt Oben an seinem Hauß ein Erckherlin mitt Zweÿen Liechtern iii+ schu breÿt, i+ schu herauß, Oben am Gäbell ein Wettertach xiiij schu lang, i+ schu herauß, Mehr ein Wettertächlin vj schu lang, i+ schu herauß, Vnden neben d. Haußthüer ein steines Bäncklin, vj schu lang, j schu breit, Ein Rebstockh mitt Latten Ingefast, iij schu breit, ij schu herauß, Mehr ein solchen Rebstockh mit Latten Ingezeünt ii+ schu In alle Wege, bessert vij ß x d.

Derselb Lorentz von Vessenheim hatt auch vor seinem Hauß ein Mistcasten Vff dem Allmendt stehen vij schu lang, vij schu beÿt, hatt auch das Allmendt mit steinen Verschuttet, Dann bessert Er für den Mistcasten vndt den Steinen, iiij ß vj d.

f° 447-v
Im Allmend Gaëßlin darneben

Fritschen Michell Zu Faulgrießheim hatt Zweÿ heüser neben einander, Daran ein Vsstoß L+ schu lang, i+ schu herauß, Hinden Im Winckell daran ein Schweinstall Vnndt Mistcasten an einander Zusammen xj schu lang, v schu breitt, bessert & ix ß d

Gibt gar ein großen Vnlust Im Gaëßlin, möcht Ime derowegen beuohlen werden, den Mistcasten vnd Sawstall hinweg Zuthun.

f° 448
Im Allmend Gaëßlin darneben

Hanß Schotten Erben zu Munoltzheim haben Zweÿ heüser an einander, Daran ein Vsstoß L+ schu lang, viij Zoll herauß, Vnndt dann vsserhalb dem gäßl. ane dem selben Hauß aber ein Vsstoß xvij schu lang, + schu breÿt herauß, Bessern, ij ß, iiij d

Diselben Erben haben auch das Allmendt mitt Mist verschlagen, für den Mist, ij ß d

f° 448-v
Von dem Gaÿßbrücklin Angemessen die Anderseitten aber dem hundtshoff Zu, wider daß grün Bruch hinein.

Berß Diebolds selligen des Garttners Erben haben oben an Ihren Hauß am Gebell ein Wettertach xxxiij schu lang j schu herauß, Mehr besser Vnd. an demselben Gebell ein Wettertach xij schu lang j schu herauß, Über der Infarth deßelben hauß ein Wettertach xvij schu lang, xv Zoll herauß, bessern für das Niessen, iij ß viij d

Gemelte Erben haben Oben an disem Ihrem Hauß ein außgeladenen Gang von Holtzwerckh L. schu lang iii+ schu herauß, Darund. ein außgemaurtes Profeÿ vff zwen steinen Köpffern, iij schu breit ij schu herauß, haben auch Vnden vff dem Graben ein Land vesten an dem Hauß vndt Gartten abhien iij C Lx schu lang, v schu herauß, Die Gantz lengen mit Räben vnd Obßbaumen besetzt, beßern für diße Allmendt Nüessung v lb. xj ß iiij d

Des gedachten Berß Dieboldten selligen Erben haben auch daselbs das Allmendt mit Mist verschlagen, bessern, ij ß d

f° 449
Von dem Gaÿßbrücklin Angemessen die Anderseitten aber dem hundtshoff Zu, wider daß grün Bruch hinein.

Diebold Götz der Pfründer im mehrern Spittal hatt das Allmendt mitt mist verschlagen, bessert für den Mist, ij ß d

f° 449
Von dem Gaÿßbrücklin Angemessen die Anderseitten aber dem hundtshoff Zu, wider daß grün Bruch hinein.

Anthoni Schott zu Vendenheim hatt ein Hauß daran ein Vsstoß xxvij schu lang + schu herauß, bessert für den Ausstoß, j ß iiij d

Und hatt daß Allmend mit Mist verschlagen, bessert für den Mist, ij ß d

f° 449
Von dem Gaÿßbrücklin Angemessen die Anderseitten aber dem hundtshoff Zu, wider daß grün Bruch hinein.

Hanß Rechberger der Vogler hatt vor seinem Hauß ein hauffen Reÿß vndt wellen vffm Allmendt ligen, bessert darfür, ij ß d

f° 449
Hinder der Hundts Schewren Im grünen Bruch.

Claus Heimburger der Weinsticher Rhattherr hatt dreÿ heuser an einander, da Er die Zweÿ verleiher, die haben durch Abhin ein Vsstoß Lxxii+ schu lang, + schu herauß, Über einer Haußthür ein Wettertächlin vj schu lang i+ schu herauß, bessert ij ß iiij

Nota. Disen Platz, so aller dings ein Allmendt gewesen Ist, hatt Claus Heimburger Von der Statt vmb – ß d Järlichs zinß entlehnt, Volgendts die Heüser darauff gebawen

f° 449-v
Hinder der Hundts Schewren Im grünen Bruch.

Rüel Michell der Schultheiß zu Vendenheim hatt über der Cleinen Thür an seinem Hauß ein hültzin wettertach vj schu lang i+ schu herauß, bessert für das Niessen j ß

f° 449-v
In dem Allmendtgaëßlin Hinder Allen Heÿligen

Paulus Grauen selligen deß Garttners Erben haben an Ihrem hauß, da Matern Schneÿder der Weinsticher Innen sitzr, ein Ausstoß xxvj schu lang, + schu herauß & j ß d.

f° 450
In dem Allmendtgaëßlin Hinder Allen Heÿligen

Hanß Schotten Erben zu Munoltzheim haben auch ein Hauß In disem Gäßlin, daran ein Vsstoß xxvj schu lang, + schu herauß, bessern j ß d.

f° 450
In dem Allmendtgaëßlin Hinder Allen Heÿligen

Michels Hansen Erben zu Munoltzheim haben In dem Allmendtgäßlin hinder Aller heÿligen ein Hauß, daran ein Vsstoß xxxj schu lang, + schu herauß, bessern für das Niessen j ß d.

f° 450
In dem Allmendtgaëßlin Hinder Allen Heÿligen

Hansen Lorentz zu Bischeim beÿ Hönheim hatt ein Hauß, da Georg Heckh der Mörttel Knecht Innen sitzt, daran ein Vsstoß xx= schu lang, + schu herauß, bessert j ß d.

f° 450
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Hanß Ziegler der Crämer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxxiii= schu lang, j schu herauß, Vndt hatt auch Vnd. an demselben hauß das allmendt zu Zwen Rebstöckhen so darinn stehen mitt brettern vndt Gärtten Ingezeünt Zu einem Geländt xxiij schu lang, ii+ schu herauß, Mehr Hatt er Vornen an berüertem seinem hauß ein Winckel mitt brettern vnd gertten Ingezeünt vnd Zugemacht, darinn auch ein Rebstockh stehet vff einem gelände xvij schu lang 10 schu herauß, bessert für das Niessen xiij ß iiij d.

f° 450-v
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Derselb Hanß Ziegler hatt darneben aber ein Hauß daruor Er das Allmendt mit dielen undt gertten Verschlagen, xxv schu lang, ij schu weit herauß, Bessert & ij ß. viij d

f° 450-v
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Simon Seiffridt der Metzger hatt ein Hoff da Ohl Hannß der Garttner Innen sitzt, Über dem Thor ein Wettertach xix schu lang, j schu herauß, Bessert für das Wettertach j ß. iiij d

Und neben dem Thor ein Schweinstall vii+ schu lang vj schu herauß, Darbeÿ ein Stoß Brennholtz, Ohl hanß bessert für den Schweinstall vnndt Holtzhauffenn iij ß viij d.

Ohl Hanß hatt auch das Allmend vor dem Hoff mitt Mist verschlagen, bessert & ij ß d.
[in margine :] modo Hanß Huber der Garttner

f° 451
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Der Ermelte Simon Seiffridt Metzger hatt aber ein Hauß, darinn lienhardt Hoëffel der Taglöhner wohnt, vndt hatt vnden Vor demselben Hauß das Allmendt Zu einem Gelendt, darinn ein Rebstockh stehet Ingezeünt mit brettern vndt Bortten, iij schu breit iij schu herauß, Oben darüber ein Rebhälden vff iij hültzinen Stützen, xx schu lang x schu breÿt mit Truchtern herauß geladen, bessert für alles v ß d

[in margine :] modo Hanß Huber der Garttner

f° 451
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Lorentz von Vessenheim der Ältter holtzhändler vff diser seÿtten grünenbruchs hatt dreÿ Heüser an einand. daran ein Ausstoß durch Ahbien xxxiiij schu lang, i+= schu herauß, Mehr ein von grundt vff gemaurt Profeÿ, Vnden an einem d.selben Heüser v+ schu breit i+= schu herauß, bessert & vij ß. viij d.

Derselb Lorentz von Vessenheim hatt auch oben an seinem Gartten Heüßle ein außgemaurt Kemmatt j schu breiy j schu herauß, bessert & j ß d.

f° 451-v
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Bastian Heüßler der Taglöhner sitzt in einem Hauß so einem Von Munoltzheom Zugehörig, Daran ein hültzin Wettertach xvi+ schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen ij ß viij d.
[in margine :] Jetzt gehörts gehn Niderhaußbergen

f° 451-v
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Peter Schmaltz der garttner hatt vor seinem Hauß dreÿ steinene Tritt vj schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen j ß

f° 451-v
Die Anderseiten im Grünen Bruch hinder allen Heiligen nach dem Wahl vnd Wider Cronenburg Zu.

Lorentz Gilg der garttner hatt ein Hauß darinn Geörg Westernacker der Taglöhner wohnet, daran ein Wettertach xxv schu lang, ii+ schu herauß, bessert & j ß. viij d

f° 452
In einem Allmendgäßlin Genandt im Winckhel.

Junckherr Dieboldt Joham von Mundoltzheim hatt ein Gartten daran ein Hauß, da Ludwig von Vessenheim der Holtzhendler Innen wohnt, Vndt hatt über ein grossen Thor ein Wettertach xvj schu lang, j schu herauß, Mehr über dem hindern Thor Im Winckhel ein Wettertach xij schu lang, ix Zoll herauß, Darneben oben über etlich fenstern ein Wettertächlin vi+ schu lang, xv zoll herauß, Bessert für das Niessen iij ß

Ludwig von Vessenheim so in disem Hauß wohnt hatt auch das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert für das Niessen, j ß d

f° 452
In einem Allmendgäßlin Genandt im Winckhel.

Hanß Heinrich Meÿer der Notarius hatt ein Hauß, darinn Friderich Beiner der Taglöhner sitzt, vor der Thüeren dreÿ hültzne Tritt iij schu lang, ij schu herauß, bessert & j ß d.

f° 452
In einem Allmendgäßlin Genandt im Winckhel.

Simons Lorentz der Taglöhner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xiiij schu lang j schu herauß bessert & j ß d.

f° 452-v
In einem Allmendgäßlin Genandt im Winckhel.

Thoman Grün der Taglöhner hatt vor seinem Hauß ein Schweinstall v= schu lang, iiij schu breit bessert iij ß d.

f° 452-v
Im Bruch.

Niclaus Schmidt der Wurtz Krämer hatt Vor seinen Heüsern Im Grünenbruch ein Rebhälden Vff Acht Aichinen Stützen xxxj schu lang, xiii+ schu breit oben mit Sparren vndt Latten herauß geladen, bessert für das Niessen, j lb d

Niclaus Schmidt hatt auch daselbs das Allmend mit steinen und Mist beladen, iij ß d.

f° 452-v
Im Bruch.

Mathis Späners Wittwe hatt das Allmendt Vor Ihrem Hauß mit mist und holtz verschlagen, bessert darfür ij ß d

f° 452-v
Im Bruch.

Hanß N: der Weinsticher hatt vor seinem Hauß darinnen Hanß Zehe der Zimmermann wohnet, Vnden vff dem Boden das Allmendt mit dielen Ingezeünt, ix= schu lang ii+ schu herauß, hatt auch vor dem Hauß ein Schweinstall vj schu lang v+ schu breit, bessert & iiij ß. iiij d

f° 453
Im Bruch.

Philips Flickinger der Porttner zu S: Marx, hatt Vnden vor seinem Hauß, darinnen Wolff Westhaußers selligen des Treÿbers wittwe wohnt, gleicher gestalt das Allmendt mit dielen Inzogen xij schu lang ii+ schu breit, Bessert für das Niessen j ß vj d.

f° 453
Im Bruch.

Mathis Schäffer der Strawschneider sonsten Schauffel Mathis genannt, hatt vor seinem Hauß das Allmendt zu einem Gelend, darauff ein Rebstockh stehet mitt dielen vnd brettern Ingezeünt, xvij schu lang, iii+ schu herauß, daruor ein Rebhalden vff Acht stützen xxj schu lang, Oben mitt Truchtern xiij schu herauß gelad. Darunder ein Schleiffstein, bessert & x ß viij d.

f° 453
Im Bruch.

Hanß Schäffer der Weinknecht hatt vor seinem Hauß ein steinen Vndt Zwen hültzene Tritt iij schu lang, iij schu herauß, Darneben ein lehendene Kellerthüer v= schu breit iii+ schu herauß, Vndt hatt auch vnden ahne disem Hauß das Allmendt mit dielen vnd Latten Ingezeünt, xiiij schu lang, iij schu Herauß, Darinn Zwen Rebstöckh Ingefast, so Oben vff viiij Aichinen Pfosten Auch mitt Sparren vnd Latten außgeladen, xxij schu lang, xj schu herauß, Mehr vor dem Hauß ein Schweinstall v schu lang, v= schu breÿt &, bessert für das Niessen, xviij ß vj d

Derselbige Dieboldt Schäffer hatt auch daß Allmend mit Mist verschlagen, Vndt dann für den Mist, ij ß d.

f° 453-v
Im Bruch.

Georg Bender der Schreiner hatt vor seiner Haußthüer ein besetzten Tritt iij schu lang, xv Zoll Herauß, bessert für das Niessen, j ß d

f° 453-v
Im Bruch.

Des Altten Schultheißen Zu Obernhaußbergen Erben die Mollen genandt, haben ein Hauß, da kurtz Hanßen des Garttners Sohn Innen sitzt, Daran ein Vsstoß xx+ schu lang, + schu herauß, bessert &, j ß d

f° 454
Hinder dem Wahl vnd der Rinckhmauren so et wann der Elender Trutz genandt gewesen, beÿm Steinstraßer Thor.

Herr Jacob Kips diser Zeitt Amptmann vff Herrenstein hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiij schu lang, j schu x Zoll herauß, bessert &, ij ß viij d
Nota. Ist damalen noch Amptmann Vff Herrenstein gewesen

Herr Jacob Kips hatt auch daselbs daß Allmendt mit Mist verschlagen, Vndt hinden Im Winckel beÿ seinem Hauß etlich Kärch Voll gebrochene alte Maurstein ligen, bessert darfür, iiij ß d.

Herr Jacob Kips Ist Zur Zeÿtt da die Allmendt diß ortts Inn Anno & 1589. Ersucht worden, noch Amptmann Vff Herrenstein gewesen, darnacher baldt Ist Er Zu den Herrn fünffzehen gezogen, Vndt volgendts Anno & 1594. Zu einem Herrn Ammeister erwählet worden.

f° 454
Hinder dem Wahl vnd der Rinckhmauren so et wann der Elender Trutz genandt gewesen, beÿm Steinstraßer Thor.

Niclaus von Bingen der Zoller ane Steinstraßen hatt hinder dem Wahl daselbsten das Allmendt mit Mist verschlagen, Vndt bessert für den Mist, ij ß d.

f° 454-v
Steinstraßen Oben beim Zollhauß angemessen, die Eine seithen nach der Statt hinein vnd dem Jungen S: Peter Zu.

Hanß Fuchs der garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxvj schu lang, ij schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß viij d

f° 454-v
Steinstraßen Oben beim Zollhauß angemessen, die Eine seithen nach der Statt hinein vnd dem Jungen S: Peter Zu.

Martin Rinckh der Garttner hatt an seinem Hauß vnden ein Lehenende Kellerthüer v schu breit iij schu herauß, bessert & ij ß viij d

Vnd hatt sonsten auch das Allmendt vor seinem Hauß mitt Mist verschlagen, bessert für den Mist, iiij ß d.

f° 455
In dem Allmend gäßlin darneben Daß Guttleutt Gäßlin genandt.

Hanß Heÿsch Der Garttner hatt vor seinem Hauß Inn disem Gäßlin das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert für den Mist, iij ß d.

f° 455
In dem Allmend gäßlin darneben Daß Guttleutt Gäßlin genandt.

Wolff Graff Der Garttner hatt auch vor seinem Hauß Inn disem Allmendtgäßlin das Allmendt mit Mist belegt, Bessert derfür, ij ß d.

f° 455
In dem Allmend gäßlin darneben Daß Guttleutt Gäßlin genandt.

Hanß Melchior Silberradt Der Wagner hatt neben seinem Hauß dahinden In dem Guttleüth Gäßlin da Barthel Rell der Zimmermann Innen wohnt, ein Schopff gebawen xxvij schu lang, xvi+ schu breÿt, darunder ein Schweinstall, vnd ein Profeÿ, Bessert für das Niessen j lb. iiij ß d.

Derselb Hanß Melchior Silberradt hatt auch ane berürtem seinem Hauß da Barthel Rell der Zimmermann Innen sitzt ein Vsstoß xxxv+ schu lang, ix Zoll herauß, Darneben Vnden ein Schweinstall ix= schu lang, vij schu breÿt, Bessert & v ß iiij d.

Vnd hatt Inn dem Gäßlin das Allmend mit Mist verschlagen, Beßert dar für ij ß d.

Nota. Hanß Melchior Sÿlberradt hatt Inn disem Gäßlin fünff heüser an einander, Weÿl dann diser Schopff dar Zwischen ligt, vnd vermuttlich Zu sein Eÿgenthumb gehörig, so bleibt Zu Vuckh geschriebenes i lb. 4 ß für dißmal biß auf weÿterm bescheÿdt Instehen. Hatt also auch Zur Zeÿt nichts darfür geben, Vndt weÿl Er einmahl für alle mahl bestreÿtten will, das der Platz darauff diser Schopff und Schweinstall gebawen Eÿgenthumb Vndt Kein Allmend seÿe, So Ist Er deßwegen für die herrn Dreÿr vff den Pfenningthurn gewiesen worden.

f° 455-v
Steinstraßen.

Philips Reicheisen Huffschmidt der Jung hatt ane seinem Hauß, darinnen Mathis Drenß der garttner wohnt, Oben über dem Thor ein Wettertach xij schu lang, xv Zoll herauß, Bessert & j ß d.

f° 456
Steinstraßen.

Blesin Hauß der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xiii+ schu lang, iii+ schu herauß, vndt vor der Thür ein besetzten Tritt ii+ schu lang, xxj Zoll herauß, Bessert für das Niessen iij ß viij d.

f° 456
Steinstraßen.

Laux Seiffridt der Garttner hatt vor seinem Hauß ein besetzten Tritt iii+ schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen j ß d.

f° 456
Steinstraßen.

Balthasar Cüontz der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxj schu lang, iii+ schu herauß, Vor der Thüren ein steinen Tritt iij schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Niessen v ß d.

f° 456
In dem Allmendgäßlin darneben.

Schultheißen Wolff Zu Eckuerßheim hatt ein Hauß, darinnen Vix Seiffridt der Garttner sitzt, Vndt hatt oben daran ein Ausstoß xxvij schu lang, oben ein halben schu, Hinden ij schu iij Zoll herauß, Vor der Haußthüren vj steinene Tritt ix= schu lang, ii+ schu herauß, bessert &, iiij ß viij d.

f° 456-v
In dem Allmendgäßlin darneben.

Lienhardts Hanßen Wittwe zu Schiltigheim Hatt Vnden an Ihrem Hauß, darinn Gall Wendling der Küeffer sitzt, außwendig auff dem Allmendt Ein Ingefaßten Brunnen sampt einer Mauren daran In allen xix= schu lang, iij schu herauß, Darauff ein hültziner Gang, bessert &, xij ß d.

Wider vornen an Steinstraßen.

Lienhardts Hanßen selligen Wittwe hatt auch an gemeltem Ihrem Hauß, da Gall Wendling der Küeffer Innen wohnt, vornen Inn der Steinstraßen ein Wettertach xxi+ schu lang, v= schu herauß, Oben darüber ein Staucher Inn gleicher Lengen. j schu weiter herauß, Ein Lehenende Kellerfenster iiij schu ix Zoll breit, iiij schu herauß, Ein stehendt Kellerfenster xv Zoll breÿt, j schu herauß, Bessert für dieße Nüeßung ix ß iiij d.

f° 457
Wider vornen an Steinstraßen.

Das Würthshauß Zum Hirschen ist Diebolden Schöellen des Garttners, daran ein Ausstoß xxii+ schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Daran ein Staucher xx schu lang, j schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß viij d

f° 457
Wider vornen an Steinstraßen.

Derselb Diebold Schöell hatt auch ane seinem Hauß da Er selbs Innen wohnet ein Wettertach, xxiiij schu lang v= schu herauß, Vor der Haußthüer Zwen steinene Tritt iii+ schu lang, ij schu iij Zoll herauß, bessert & vj ß. iiij d.

f° 457
Wider vornen an Steinstraßen.

Georg Müllenberger der Kachler hatt oben ane seinem Hauß ein Wettertach, xxviij schu lang, v= schu herauß, Oben über demselben aber ein Wettertach xx schu lang, j schu herauß, Mehr Vnden Vor dem Hauß ein Laden darauff Er Inn der Wochen ein Aussatz von Haëffen vnd ÿedinem Geschirr haben Kan, xi+ schu lang, iij schu herauß, Vor der Haußthür ein steinen Tritt v schu lang, ij schu breÿt, Mehr vor einer beschlossenen Kellerthür ein besetzten Tritt v= schu lang, j schu herauß, Bessert für alle diße vorgeschriebene Nüessung, xij ß vj d.

f° 457-v
Wider vornen an Steinstraßen.

Adolff Huckh der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Lehnende Kellerthür vij schu breÿt, iii+ schu herauß, ein steinenen Tritt v schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Nüessen, v ß d.

f° 457-v
Wider vornen an Steinstraßen.

Die Garttner Inn der Steinstraßen haben auch vor Ihrer Zunfftstuben Vnden ein hohen Von Maurwerckh auff gewölbten Kellerhalß vi+ schu breit v schu ix Zoll herauß, Bessert für das Niessen, vj ß d.

f° 457-v
Wider vornen an Steinstraßen.

Diebold Hoch der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxix= schu lang, vj schu herauß, Ein lehende Kellerthüer v+ schu breÿt v schu herauß, Vor der Haußthüer Zwen steinene Tritt v schu lang, ij schu herauß, Bessert & xv ß vj d

f° 457-v
Wider vornen an Steinstraßen.

Jacob von Trienbach der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xx schu lang, vi+ schu herauß, Vor der Thür ein besetzter Tritt iij schu lang, i+ schu herauß, Ein ligende Kellerthüer v+ schu breÿt, vj schu herauß, Bessert für d. Nüeßen xiij ß d

f° 458
Wider vornen an Steinstraßen.

Bastian Rinckh der Garttner hatt an seinem Hauß ein Lehnende Kellerthüer vj schu iij Zoll breÿt, vj schu herauß, Vnden Vor dem Hauß ein besetzten Tritt iii+ schu lang, i+ schu herauß, bessert & vij ß d

f° 458
Wider vornen an Steinstraßen.

Adam Wucherer der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxvj schu lang, v schu herauß, Ein lehnende Kellerthüer vi+ schu breÿtt, v+ schu herauß, Bessert für das Nüeßen xij ß viij d

f° 458
Wider vornen an Steinstraßen.

Lorentz Loëß der Garttner hatt an seinem hauß ein Wettertächlin ix schu lang, v+ schu herauß, Vor einer Haußthüren dreÿ gemaurte Tritt v= schu lang, iii+ schu herauß, Ein lehnende Kellerthür vij schu breÿt, v= schu herauß, Aber vor einer Thüren dreÿ gemaurte Tritt, sampt einem gemaurten sitz druff v schu lang, iii+ schu herauß, Mehr oben über der Infarth ein hültzenen Erckher mitt zweÿen Lichtern v= schu breÿtt ij schu herauß, bessert für das Nießen ix ß vj d
[in margine :] Zinst vorhin der Statt Järlich von 3. Steinen Stafflen am Newen Hauß 1 ß 6 d. Derwegen ihme ietztundt kein Besserung Jetzundt darauff geschlagen worden.

f° 458-v
Wider vornen an Steinstraßen.

Hanß Michell der Würt zum Pflug hatt ane seinem Hauß ein lehenende Kellerthüer vii+ schu breÿt, v+ schu herauß, bessert für die Kellerthüer, vj ß viij d

f° 458-v
Wider vornen an Steinstraßen.

Hanß Wachenheim der Weißbeckh hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xx schu lang, vj vnd + schu herauß, Ein ligende Kellerthüer v+ schu breit, vj schu herauß, Ein beckhen Laden x schu lang, 4 schu 3 Zoll herauß, Vnndt dann Vor der Haußthüer ein gemaurten Tritt v schu lang i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xv ß viij d.

In dem Allmend Gäßlin darneben

Der genante Hanß Wachenheim hatt ane disem seinem Hauß Inn dem Allmendt gäßlin darneben ein Vsstoß xxxiii+ schu lang, iiij schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nüessen, viij ß d.

f° 459
In dem Allmend Gäßlin darneben

Hanß Weber der Seÿler hatt hinden in disem Allmendt gäßlin einen Schweinstall stehen, v+ schu breit, v schu herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

Dieser Hannß Weber thutt bericht Vnd sagt, der Platz darauff Er seinen Schweinstall stehen habe gehöre Herrn Johann Peter Bittelbronnen Vögtlicher weise eigenthümlichen Zu, Vndt seÿ Vor wenig Jaren ein Hauß darauff gestanden, Alß das gedachter Bittelbronn doch auch macht habe, widerumb ein Hauß dahin Zubawen. Hierüber Ist Johann Peter Bittelbronnen zu beschickhen, Vnst Er sein darumb habende Brieff vnd gerechtigkheiten den Verordneten Allmendt herren Vor zu legen schuldig.

f° 459
In dem Allmend Gäßlin darneben

Bastian Meÿer von Herdt, Hanß Wachenheim der Beckh, Michell Theürer der Saÿler Vndt etliche mehr Ihre daselbs herumb geseßene Nachpauren, haben hinden In disem Allmendt gäßlin ein Von grundt Vff gemaurtes gemein Profeÿ vff das Allmendt gebawen xij schu lang, vij schu breÿt, Bessert die Nachbauren Von disem Profeÿ j lb d
[in margine :] Den geordneten Hn. 3. vfm Pfennigthurn geschriben zu geben und ein bestendig. Zinß darauff zu schlagen

f° 459-v
In dem Allmend Gäßlin darneben

Michel Theürer Saÿler hatt auch vff dem angezeigten gemaurten Profeÿ Oben von seinem Hauß herauß, ein Assstößlin xij schu lang + schu herauß, Vnndt dann Vornen vff der Kürtzeren seÿtten dessleben Profeÿs widermunb ein Vsstoßlin vij schu lang Im Winckell, ii+ schu vnd hinden Im Eckh ein schu herauß, bessert & ij ß d

Derselb Michel Theürer Saÿler hatt noch mehr in disem Allmendt gäßlin an seinem Hauß, Vnden sechs von grund auff gemaurte Pfeÿlerlin Jedes xv Zoll breÿtt iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 460
Aber in Steinstraßen.

Hanß Weber der Seÿler hatt an seinem hauß ein Wettertach xviij schu ix Zoll lang, vii+ schu herauß, Darunder ein Banckh vj schu lang, xxj Zoll breit, bessert &, viij ß ij d

Hatt auch vnder disem Wettertach täglich ein Werckstatt vnd etliche Hartz Thonnen darbeÿ stehen, Bessert für die Werckhstatt vndt Aussatz, iiij ß d

f° 460
Aber in Steinstraßen.

Michel Theürer der Seÿler hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxvii+ schu lang, ix Zoll herauß, Mehr ein hültzin wettertach In gleicher Lengen noch xxj Zoll weÿter für das Erst Wettertach herauß, Item ein Gremppen banckh viij schu v zoll lang, ij schu breÿt, Bessert &, ix ß iiij d

Und hatt auch täglich darunder sein Werckhstatt darbeÿ ein Vssatz von Stockischen Plateÿßlin, Liechter, Saltz & vndt dergleichen, Vndt darneben etliche Hartz Thonnen vff dem Allmendt stehen, Bessert & viij ß d

f° 460
Aber in Steinstraßen.

Hanß Dannenberger der Wagner hatt an seinem Hauß ein Ausstoß, xvij schu lang, iij schu herauß, Ein Wettertach In gleicher Lengen noch v+ schu für den Ausstoß weÿter herauß, Mehr ein ligendt Kellerfenster i+ schu breit j schu herauß, bessert für das Niessen, ix ß d.
[in margine :] jetzt Herr Johann Leonhard Pfähler
den 30. 8.bris 1703 ist Ihme erlaubt worden das Kellerfenster 2 ½ schuhe lang v. 1 ½ schuhe herauß mach. zulaßen. bleibt d. Zinnß auff d. sanvor* 9. ß d.

Der gedachte Hanß Dannenberger hatt auch vnder hievorgeschriebenen seinem Vsstoß und Wettertach sein Werckstatt, Plöcher vnd Räeder, vndt sonsten das Allmendt mit mist verschlagen, bessert für den Mist vnd Werckhstatt, ix ß viij d.

f° 460-v
Aber in Steinstraßen.

Hanß Schott der Garttner hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxij schu lang iij schu herauß, Oben darüber ein Staucher xiij schu lang, ix Zoll herauß, Ein lehenende Kellerthüer v schu breÿt vj schu herauß, Bessert für das Niessen,vij ß viij d.

f° 460-v
Aber in Steinstraßen.

Martin Haußell der Schloßer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxij schu lang, iii+ schu herauß, Oben daran ein Staucher auch derselben lenge noch ix Zoll weÿter herauß, Ein ligendt Kellerthüer v schu breÿt, iii+ schu herauß, Ein Laden v= schu lang, xxj Zoll herauß, Mehr ein Laden v+ schu lang xxj Zoll herauß, bessert darfür , vij ß d.

In der Allmend Gassen hieneben genandt die Heimburger Gaßen Ein seittenn hienein nach dem grünen Bruch.

Vorgemelter Martin Haußel der Schloßer hatt an seinem Hauß auch Inn der Nebendtsgassen so mann die Heimburgergassen nennet aber mahlen einen Vsstoß xv schu lang, vj Zoll herauß, bessert für das Niessen, j ß d.

f° 461
In der Allmend Gassen hieneben genandt die Heimburger Gaßen Ein seittenn hienein nach dem grünen Bruch.

Hanß Dannenberger der Wagner hatt ein Hauß Inn Heimburger gassen, Daran ein hültzin Wettertach xv schu lang, ij schu herauß, sampt einem hültzenen Naach, bessert für das Niessen, ij ß d.

f° 461
In der Allmend Gassen hieneben genandt die Heimburger Gaßen Ein seittenn hienein nach dem grünen Bruch.

Sebastian Hornmold hatt diser Zeÿtt daß Hauß Welches etwann Israël Münckhels selligen des Berckherrn gewesen Ist, Vndt hatt vornen am Ingang, Vber der Thür ein Wettertach xviij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß viij d.

f° 461-v
Anderseitt Heimburger Gaßen nach Steinstrassen.

Martin Baumgarttner Zu Schiltigheim hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxv schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d.

f° 461-v
Anderseitt Heimburger Gaßen nach Steinstrassen.

Adam Dieboldt der Bennenmacher, hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach herauß vff dem Allmendt stehen, bessert & viij ß d.

f° 461-v
Anderseitt Heimburger Gaßen nach Steinstrassen.

Paulus Seÿffridt der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Ausstoß L+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, vj ß viij d.

Steinstrassen.

Derselb Paulus Seÿffridt Garttner hatt auch vornen Vß ane der Steinstrassen, ane berüertem seinem Hauß ein Wettertach xxj schu lang, v schu herauß, Bessert für das Niessen, v ß iiij d.

f° 462
Steinstrassen.

Dieboldt Heß der Müller Zu Dettweÿler hatt ein Hauß da Friderich Raußhürtt der Weißbeckh Innen sitzt, Daran ein Wettertach xlj schu lang, vj schu herauß, Ein steinen Tritt v+ schu lang, j schu herauß, Ein beckhen Lad. x schu lang, iiij schu herauß, Darunder ein stehend Kellerfenster ii+ schu breÿt, ij schu herauß, Ein lehnende Kellerthüer vij schu breÿt iiij schu herauß, Darauff dreÿ Vssatz Bänckh ix= schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. iiij ß ix d.

f° 462
Steinstrassen.

Laux Feÿrabendt der Huffschmidt hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxi+ schu lang, ix= schu herauß, darunder Ein Laden vi+ schu lang, ii+ schu herauß, &, ix ß. iiij d
darunder Hatt Er auch sein Werckhstatt, Plöcher vndt Radtgruden, bessert darfür & xv ß. iiij d.

f° 462-v
Steinstrassen.

Martin Klein der Wagner hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß, xvij schu lang, ii+ schu herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lengen noch v schu weÿter für den Vsstoß, bessert & vj ß. viij d.

Vnder disem Wettertach hatt Er auch sein Werckhstatt Vndt Plöcher, vndt Radtgruben, Bessert & vij ß d.

Vnd hatt sonsten daß Allmendt mit Wagner holtz belegt, darfür bessert Er ij ß d.

f° 462-v
Steinstrassen.

Herr Johann Appenhoffer der Pfarrer Zu Lampartheim, hatt ane seinem Hauß da Conrad Fuchs der Barbierer Innen sitzt ein Vsstoß xxj schu lang, ii+ schu herauß & Bessert & ij ß. viij d.

Conrad Fuchs der Barbierer hatt vor demselben Hauß ein Schleiffstein Vff dem Allmendt steh. bessert & iij ß d.

f° 463
Steinstrassen.

Hanß Melchior Silberrad der Wagner hatt ane seinem Hauß, darinn Melchior Linckh der Seÿler wohnt, ein Ausstoß xx+ schu lang, ii+ schu herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lengen, für den Vsstoß noch vi+ schu weÿter herauß, Ein Laden v+ schu ij schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß iiij d.
[in margine :] Darinn Melchior Linckh der Seiler Wohnt

f° 463
Steinstrassen.

Hanß Melchior Silberrad hatt aber ein Hauß, so Er selbs bewohnt, Daran ein Vsstoß xx schu lang, ii+ schu herauß, Daran ein Wettertach In gleicher leng. noch vij schu für den Ausstoß weÿtter herauß, Bessert für das Nüessen & ix ß iiij d.

Vnder disem Wettertach hatt er auch sein Werckhstatt, Plöcher Vndt Radtgruben, bessert & xj ß. viij d.

Hatt auch sonsten Vor dem Hauß daß Allmendt mitt Mist vnd Wagner holtz verschlagen, bessert & iiij ß d.

f° 463
Steinstrassen.

Hanß Bawmeister der Weißbeckh hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu lang, ii+ schu herauß, Daran ein Wettertach Inn derselben Lengen, noch vj schu weÿter herauß, Ein beckhen Laden x= schu lang, iiij schu herauß, Vor der Thüeren ein besetzten Tritt, iij schu lang, xxj Zoll herauß, Dreÿ Aussatz bencklin vii+ schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, xiij ß viij d.

f° 463-v
Steinstrassen.

Hanß Huber der Ohlmann hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiii+ schu lang, iij schu herauß, Daran ein Wettertach Ingleicher Lengen, noch v schu, iij Zoll, weÿter für den Vsstoß herauß, Mehr oben ane vorbemeltten Ausstoß auch ein Staucher Inn derselben Lengen, ein schu herauß, Ein gemaurten Tritt ii+ schu lang, xv Zoll herauß, Zween Laëden Jeder vi+ schu lang, ii+ schu herauß, Ein Gremppen banckh vi+ schu lang, ij schu breÿt, Bessert für das Niessen, xiiij ß iiij d.

Derselb Hanß Huber der Ohlmann hatt täglichen vor seinem Hauß das Allmendt mit grossen Plöchern, Auch Häring vnd Hartz Thonnen verschlagen, bessert & v ß d.

f° 464
Steinstrassen.

Anthoni Klein der Wagner hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiij schu lang, iij schu herauß, Daran ein Wettertach Inn gleicher Lengen, noch v= schu weÿter heraus, Darüber ein Staucher auch In gleicher Lengen, j schu herauß, Darunder hatt Er sein Werckhstatt, Plöcher und Radgrub., bessert für due Werckhstatt, viij ß d.

Und hatt auch daß Allmend sonsten Vor mitt Wagner Holtz verschlagen, Vndt für das Wagner holtz, ij ß d.

f° 464
Steinstrassen.

Amandus Heisch der Sattler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiii+ schu lang, iij schu herauß, Daran ein Wettertach Inn derselben lengen, noch v= schu weÿter herauß, Ein steinen Tritt iii+ schu lang, ij schu herauß, Ein Laden iiij schu ix Zoll lang, iij schu herauß, Mehr ein Laden ix= schu lang, iij schu herauß, Bessert & x ß. iiij d.

f° 464-v
In Allen Heÿligen

Zuwißen Nach dem die Edlen Vesten Friderich vnd Bläeß Von Müllenheim, Sambstags den 7.t. Septembris Anno 1594. Vnstern Gnedigen Herrn vnd Obern den Rhaëten XXI ein Verschloßen Schreÿben zugeschickht Vnd Übergeben lassen, Darinn Sie souil berichtet, vndt angezeigt haben das der Hoff des Stiffts Zu Allenheÿligen, sampt alle darinn stehenden Gebewen, Alß Ihr der Junckhern Eÿgenthumb durch auß des Allmend geldts gefreÿet, Also seindt Sie auff vnserer Gnedigen herren ergangene Erkandnus, der besserung der Endts erlassen worden, Waß aber die Jenige Gebew so außwedig des Stiffts Allerheÿligen Vff der Allmendt befunden worden, Dauon haben Sie die Besserung gutt willig bezaltt vndt Abgerichtett &.

Volgt Vnserer Herrn Räthen XXI vorangezogene Erkandnus.
Auff von Junckher Blaëß vnd Friderich von Müllenheim ahne Vnsere G: Herrn Rhäet vnd XXI. wegen Abgeforderten Allmendtgeldts Vom Hoff zu Allenheÿligen Inn der Steinstrassen gelegen Überschickt Schreÿben, Ist Erkandt, das ermeldt schreÿben den Allmendt Herrn soll zugestellt werden, das gegen dem Allmendbuch haben Zuhaltten, der Junckhern gerechtigkeit besichtig. vndt freündtlich verglichen, Die weÿl Sie Jeder Zeÿtt gutte freüdtschafft mitt der Statt gehaltten, Actum Sambstags den 7.ten Septembris Anno & 94. – Johann Harttmann [mit paraphe]

f° 465
In Allen Heÿligen

Florian Stüdel wohnt in einem Hauß dem Stifft Allerheÿligen zustendig, Vndt hatt hinden vff dem Wasser ein Landtvesten, so Zimblich verfallen vnd Zeeissen j C. xxix schu lang, iij schu herauß, Darauff ein hültzene Stegen iij schu breit iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. ij ß d.

Soll Ihnen angezeigt werden, die Landtvesten Zubessern vndt vor gentzlichen Abgang Zuerhaltten, Weÿl solches dem Wasser graben nutzlich vnd zuguttem Kompt.

f° 465-v
In Allen Heÿligen

Das Stifft Allerheÿligen hatt hinden an einem Hauß da Cornelius Kreüttler Innen sitzt, vff dem Wassergraben ein Landtvesten Lx schu lang, iij schu herauß, ein Profeÿ vff Zweÿen Aichinen Pfaëlen v= schu breit, iiij schu herauß, Vor der Thür vffs Wasser ein hültzene Stegen ii+ schu breÿt, iiij schu herauß, bessert für das Niessen, j lb. j ß iiij d.

Hatt auch ane demselben Hauß da Ihr Schaffner Innen wohnet, hinden vff dem Wassergraben, oben In d. Höhen ein Hültzinen Gang, sampt einem Profeÿ vii+ schu lang, iiij schu herauß, Mehr ein Profeÿ vii+ schu breÿt, iii+ schu herauß, Vnden vff dem Wasser ein Landtvesten so gar verfallen Lxxv schu lang, vff iij schu breit, Darauff vij steinene Tritt iiij schu breÿt, v schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. x ß viij d.

f° 465-v
Aber an der Steinstraßen

Georg Lipp der Schneider hatt an seinem Hauß ein Staucher xiiij schu lang, j schu herauß, Darüber ein Wettertach xviij schu lang, ij schu herauß, Vor der Thüren ein steinen Tritt iiij schu lang, xvij Zoll breÿt, Bessert für das Nüessen, ij ß iiij d.

f° 466
Aber an der Steinstraßen

Claus Gücklers des Kachlers seligen Wittwe hatt oben an Ihrem Hauß, xx schu lang, ii+ schu herauß, daran ein hültzenen Gang Ingleicher Lengen, vnd noch iii+= schu für dem Ausstoß herauß, Ane disem Gang ein Wettertach, auch xx schu lang, j schu weiter herauß, Vnden ane dem Hauß ein gemaurten Intritt xv schu lang, v schu herauß, Vor der Thür Sechs gemaurte Tritt v schu lang, v+ schu herauß, darauff täglich ein Auussatz mit Haëffen, Kächlen vnd ÿrdinen geschirr, bessert für das Niessen, xv ß ij d.

f° 466
Aber an der Steinstraßen

Michell Widman der Scherer, hatt an seinem Hauß, darinnen Rudolff Weber der Barbierer sitzt ein Ausstoß xiii+ schu lang, iii+ schu herauß, daran ein Wettertach In gleicher Lengen, noch ii+ schu weÿter herauß, Ein lehnende Kellerthür sampt Zweÿen auffrechten Meürlin ix schu breÿt, iiij schu ix Zoll herauß, fünff steinene Tritt v= schu breit vj schu herauß, bessert für das Niessen, xij ß ij d.

Rudolff Weber hatt auch ein großen Schleiffstein Vnden Vor disem Hauß vff dem Allmendt stehen, Soll Allmend sein vnd bleÿben, bessert darfür iij ß d.

In einem Allmend gäßlin Darneben

Der Vorgeschribene Michael Widmann hatt in dem Allmendtgäßlin Vor der Hindern Thüeren des angezeigten seines Hauses, da Rudolff Weber Innen sitzt, ein steinen Tritt iij schu lang, i+ schu herauß & Bessert & j ß d

Er hatt auch daselbs hinden an einem Hauß ein hültzenen Naach & bessert für den Nacht viij d.

Er mehr vor sinem Hauß ein steinenen Tritt iij schu lang ein schu herauß, bessert für den Tritt j ß d

f° 467
Wider auß dem hieuor geschribenen Allmendtgäßlin ahne der Steinstraßen.

Fritschen Veltin zu Faulgrießheim hatt an seinem Hauß, da dauidt Hirschmann der Grempp wohnet Zwen Ausstöß übereinander xxij schu lang, Jeder j schu herauß, Daran ein Wettertach Ingleicher Lenge noch vj schu weÿter herauß, dreÿ besetzte Tritt viii+ schu lang, iii+ schu herauß, Ein lehenende Kellerthüer ix= schu breÿt, vj schu herauß, Darauff dreÿ Vssatz benckh viiij schu lang, v= schu herauß, Ein Gremppen banckh vj schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. iij ß ij d.

Derselb Fritschen Veltin hatt auch vnden ane disem Hauß vffm Wasser ein Landtuesten druff ein Rebhald vnd ein Kirschbaum Lxxx schu lang, v= schu herauß, Ein Profeÿ vii+ schu breit, v schu herauß, vor der Thüer vff das Wasser Sÿben steinene stafflen iii+ schu breÿt vi+ schu herauß, Mehr ein Sprach hauß v schu breÿt, iiij schu heraus, Oben ane dem Hauß ein Vsstoß Lij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, ij lb. ij ß ij d.

f° 467
Die Anderseitten Steinstraßen mitt Raiffgaßen widerumb hinauß.

Nota, Laux Schuwins des Keßlers selligen Erben hauß Vnden ane dem Wassergraben Zugedenckhen, vermeint mann es seÿ vff das Allmendt gebawen
[in margine :] Vfm Pfennigthurn zufragen

Gemelte Wittwe hatt hinden ane disem Ihrem Hauß vffm Graben ein Austoß oben Inn der höhen xxxiij schu lang, iij schu herauß, Daran ein hültzenen gang In gleicher Leng vnd noch ij schu weÿter herauß, Darunder ein von grundt auff gemaurten Pfeÿler, vntz Vnder den Ausstoß hinauff ii+ schu breit ii+ schu herauß, Vndt ein Landvesten Vornen mit einer auffgeführten Brust Mauren vnd Zinnen xlvij schu lang, vj schu herauß, Vnden daran Zweÿ Profeÿ neben einander vj schu breÿt ix= herauß, bessert &, ij lb. vij ß ij d.

f° 467
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Ermelts Laux Schuwins des Keßlers selligen Wittwe vnd Erben haben Inn der Raiffgaßen vor einem Hauß ein steinen Tritt iii+ schu lang, xv Zoll breit Vndt vff dem Wassergraben dahinden aber ein Landtuesten, darauff ein Rebhälden, Vndt Ist die Landt Vestin xviij schu lang, vij schu breÿt, Bessert für das Niessen, vij ß viij d.

f° 468
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Bernhard Meÿer der Sewtreiber hatt vor seinem Hauß ein besetzten Tritt iiij schu lang, xv Zoll herauß, Vndt hinden vff dem Wasser ein Landt Vestin, Darauff ein Rebhälden vnd Kirschenbaum xxxi+ schu lang vi+ schu herauß, sampt einem Profeÿ iiij schu breit ix zoll herauß, Bessert & j lb. j ß d.

f° 468
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Dieboldt Hauß der Leinenweber hatt ane seinem Hauß hinden vff dem Graben ein Landt Vestin, so Zimblich verfallen xxxij schu lang, v+ schu herauß, Daran ein Profeÿ v= schuh breÿt iiij schu über die Landt Vestin herauß, So dann oben ane demselben Hauß ein Wettertach xvj schu lang, v= schu herauß, Bessert für das Niessen, xix ß iiij d.

f° 468
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Dieboldt Weinbrenner der Beckh zu Hönheim hatt ein Hauß In Reÿffgassen, Vndt hinden daran vff dem Wassergraben ein Landt Vestin xv schu lang, v+ schu herauß, Darauff ein Profeÿ v schuh breÿt, ij schu über die Landt Vestin herauß, Bessert & x ß d.

f° 468-v
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Steffan Scherer der Kuchenmeister vff des Herren Ammeÿsters Stuben hatt ein Hauß In Reÿffgassen, vnd hinden daran vff dem Graben ein Landt Vestin xxiiij schuh lang, ix schuh herauß, oben darüber am Hauß ein Vsstößlin ix schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xij ß d.

f° 468-v
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Martin Sickh der Bader im Reiffbad hatt ane der Badtstuben vornen Im Reÿffgäßlin ein außgestossen Kemmatt iij schuh breit j schuh herauß, Bessert für das Niessen, j ß d.

So dann hatt Er auch hinden an disem Hauß vff dem Wassergraben ein Vsstoß In der Höhe xlv schu lang ii+ schu herauß, Item ein Profeÿ v schuh breÿt, iii+ schuh herauß, Bessert für das Niessen, xj ß iiij d.

f° 469
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Veitt Eckh der Schreiner hatt ein hauß in der Reÿffgassen, hinden daran Vff dem Wassergraben ein Landtuesten xxxij schu lang, vii+ schu herauß, Daruff ein Profeÿ x= schu lang, ii+ schu über die Landtuesten hinauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, bessert & xviij ß d.

f° 469
Reÿffgäßlin die Eine Seitten.

Schotten Georgen Erben zu Schiltigheim hab. ein Hauß, Daruor ein gemaurten Tritt, iij schu lang, 15 zoll herauß, Bessert für das Niessen, j ß d.

Sie haben aber vor einem Hauß ein gemaurten Tritt iij schu lang, xv Zoll herauß, hinden Vff dem Wassergraben an disem Hauß ein Landtuesten, darinn ein hültzin vndt ein außgemaurt Profeÿ zusammen xxxv schu lang, vi+= herauß, Darauff ein Gebewlin Zweÿer Gaden hoch xiij schu lang, vi+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xvij ß d.

f° 469-v
Anderseit Reiffgäßlins wider Steinstrassen Zu.

Hanß Eÿselin der Weber hatt vor seinem Hauß Zwen steinene Tritt iiij schu lang, ij schu herauß, Darneben hatt Er aber vor seinem Hauß iiij steinene Tritt v schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß vj d.

f° 469-v
Anderseit Reiffgäßlins wider Steinstrassen Zu.

Johann Mercklin der Holtzhändler hatt Vor seinem Hauß Zwen besetzte Tritt iii+ schu lang, ij schu herauß, Mehr ein besetzten Tritt iij schu lang, xv Zoll herauß, Vndt ein Wasserstein j schu herauß vff dem Allmend, Bessert für das Nüessen, ij ß viij d.

f° 469-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Derselb Johann Mercklin hatt auch an einem Hauß da Hanß Graßmann der Ferber Innen sitzt, einen Außstoß xxxij schu lang, iij schu herauß, ein lehenende Kellerthür vj schu breÿt, v= schu herauß, Vor der Thüeren Zwen besetzte Tritt v= schu lang, iij schu herauß, Ein Laden ix= schu lang, ij schu herauß, Bessert &, xj ß. vj d

f° 470
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Das Hauß Zum Hechten ist diser Zeitt weiland Magister Martin Hemmerlins selligen Erben zustendig, darinn wohnt hievorgenandter Johann Mercklin der holtzhendler, daran ein Vsstoß xxxvij schu lang, iij schu herauß, Oben ane disem Hauß Zweÿ Wättertächer, das Eine xxxvij schu lang, i+ schu herauß, Das Ander xxiij schu lang, ij schu herauß, Bessert &, x ß. viij d

f° 470
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Gabriel Krauffthal der Mehlmann hatt an seinem Hauß, darinnen Samuel Kilian der buchbinder sitzt, ein Wettertach xxiiij schu lang, j schu herauß Zwen steinene Tritt v schu lang, ij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, ij ß x d.

f° 470
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Philipps Meÿgel der Küeffer hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxiiij schu lang, j schu herauß, Zwen steinene Tritt vi+ schu lang, i+ schu iij Zoll herauß, hatt auch an disem Hauß ein hültzenen Naach, bessert iij ß vj d.

# [f°470 v°] Vor disem geschribener Philips Meÿgel der Küeffer hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit vassen vnd steinen Verschlagen, bessert darfür

f° 470
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Martzolff Mÿsel der garttner hatt an seinem Hauß vnden ein lehenende Kellerthür vij schu breit, iiij schu herauß, bessert iiij ß viij d.

Vnd hatt auch vor dem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, ij ß d.

f° 470-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Martzolff Meÿgel der Schaffner Zum Jung. Sanct Peter hatt ein hauß da Hÿlarius Falckhen der Elter Innen sitzt, daran ein steinenen Ercker mit Zweÿen Liechtern v schu breit v schu herauß, bessert iiij ß iiij d.

f° 470-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Jacob Heÿm der Küeffer hatt an seinem hauß ein Vsstoß xxvii+ schu lang, ij schu herauß, ein lehenende Kellerthür vii+ schu breit ij schu herauß, Ein lehenende Kellerthüer vi+ schu breit v+ schu herauß, bessert ix ß iiij d.

Diser Jacob Heÿm hatt auch vor dem Hauß das Allmendt mit Newen Vaßen Verstellt, bessert & ij ß d.

f° 471
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Heinrich Bawr der Garttner hatt auch an seinem hauß ein Vsstoß xxj schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß viij d.

f° 471
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Martin Schöttel der Garttner hatt auch an seinem Hauß ein besetzten Tritt iiij schu lang, xxj Zoll herauß,, darneben ein Kästlin darinn ein Rebhstöckle ij schu breit xxj Zoll herauß, bessert für das Niessen, ij ß d.

Vnd hatt das Allmendt mit mist belegt, bessert für den Mist & j ß d.

f° 471
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Philips Reicheisen Huffschmidt der Elter Hatt ane seinem Hauß Zum Rechten Kopff genandt ein Vsstoß xxvij schu lang, iij schu herauß, Darüber ein Wettertach In gleicher Lengen, noch ii+ schu weÿter herauß, Mehr ein wettertach xxviii+ schu lang, viij schu herauß, Über demselben aber ein Wettertach auch xxix= schu lang, noch ij schu weiter für das ander Wettertach herauß, bessert für das Niessen, j lb. j ß iiij d.

Vnder disem Vndersten Wettertach hatt Philips Reicheÿsen sein Werckhstatt vnd Radgruben, bessert &, xix ß d

Derselb Philips Reicheisen hatt auch vor seinem Hauß einen Nottstall vff dem Allmendt stehen, bessert für das Nüessen, xij ß d.

Vnd hatt das Allmendt mit Mist verschlagen, bessert für den Mist ij ß d.

f° 471-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Hanß Küenen deß Beckhen selligen Erben, haben an Ihrem Hauß ein Vsstoß xxv schu lang, iij schu herauß, Darüber ein Wettertach xx schu lang, noch ii+ schu weiter für den Vsstoß herauß, Ein offene Kellerthür mitt Zweÿen vffrechten Meürlin vij schu breÿt, iiij schu herauß, Vndt ein hültzenen Naach oben vom Hauß herab vff dem Allmendt stehen, bessert für das Niessen, xij ß d.

f° 472
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Hanß Heim der Guardi Knecht ane Steinstraßer Thor hatt mitt seinem Hauß das Allmendt gäßlein oben her überbawen xvij schu lang hienein werts xv schu breÿt, vndt hatt vnden darunder dreÿ Aichene Pfosten, so den Überbaw tragen helffen, soll Allmendt sein vnd pleÿben, bessert für das Niessen, i lb. viij ß d.
[in margine :] Nota allmedt [sic] gäßlin darinn Frantz Meÿers selligen Gartten.

f° 472
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Das Würthshauß Zum Grawen Mann, Ist Claus Würmlins, daran ein lehenende Kellerthüer v schu breit iii+ schu herauß, hat auch vor der Haußthüer iij steinen stafflen vii+ schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß vj d.

f° 472
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Peter Ferber der Schreiner hatt an seinem Hauß ein Wettertach, xix schu lang iij schu herauß, bessert &, ij ß viij d

f° 472-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Joachim Öeler der Schneider sitzt in einem Hauß, so des Würths Zum Bockh zu Brumatt ist, vndt hat ein Wettertach xxij schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß viij d.

Derselb Joachim Öler der Schneider hatt vor seinem Hauß ein heüfflin Mist vffm Allmendt ligen, bessert für den Mist j ß d.

f° 472-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Friderich Wolff der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxv schu lang, iiij schu herauß, darüber ein Wettertach xx schu lang, ij schu herauß, bessert für das Niessen, vj ß x d.

Vnd hatt daselbst auch ein Hauffen Mist vff dem Allmendt ligen, bessert & iij ß d.

f° 472-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Ohl Michel Garttner der Jung hatt vor seinem Hauß ein besetzten Tritt iii+ schu lang, j schu ix Zoll heraus, Bessert für das Niessen, j ß d.

f° 473
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Hansen Jacob der Garttner hatt vor seinem Hauß Zwen besetzte Tritt v schu, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d.

f° 473
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Ohl Michels selligen des Alten Wittwe, hatt vor Ihrem Hauß iij steinene Tritt, viij schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, j ß vj d.

f° 473
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Steffan Trienbachs des Garttners Wittwe, hatt ahn Ihrem Hauß ein Wettertach xxiii+ schu lang, v schu herauß, Bessert für das Niessen, vj ß viij d

f° 473
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Dieboldt Schäffer der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxx schu lang, v= schu herauß, ein lehenende Kellerthür vii+ schu breÿt, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, vj ß viij d.

Hatt auch vff dem Allmendt ein Hauffen mist ligen, für den Mist bessert Er, iij ß d.

f° 473-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Mathis Meÿsel der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach, xxij schu lang, v+ schu herauß, Ein lenende Kellerthür vj vnd + schu breit v= schu herauß, Bessert für das Niessen, xj ß viij d.

f° 473-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Bastian Seiffridt der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit mist verschlagen, Bessert für den Mist, iij ß d.

f° 473-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Bechtold Jung der Taglöhner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxvj schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

Hatt auch vor dem Hauß ein heüfflin Mist vff dem Allmend ligen, Vnd für den Mist j ß d.

f° 473-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Mathis Drenß der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertächlin vii+ schu lang, iij schu herauß, Item aber ein Wettertächlin x schu lang, j schu herauß, Ein lenende Kellerthüer v schu lang, iii+ schu herauß, bessert für das Niessen, v ß iiij d.

f° 474
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Wolff Westermann der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxvj schu lang, iij schu herauß, Mehr über dem Thor an demselben Hauß ein Wettertach xvij schu lang, + schu herauß, Bessert für das Niessen, v ß iiij d.

f° 474
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Lorentz Westermann der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach, xx schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß viij d.

Er hatt auch vor dem Hauß das Allmendt mit Mist veschlagen, Vndt für den Mist iij ß d.

f° 474
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Hanß Strintz der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach, xxxi+ schu lang iii+ schu herauß, Ein lehenende Kellerthür vij schu breÿt, iij schu iij Zoll herauß, Vor der Thür iij steinene Tritt, v+ schu lang, iij schu heraus, Mehr vor einer Thür Im Nebendsgäßlin ane disem Hauß Zwen besetzte Tritt vj schu lang ii+ schu herauß, Bessert für das Nüessen, x ß iiij d.

f° 474-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Hanß Westermann der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach, xxiii+ schu lang ii+ schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß viij d.

f° 474-v
Ane Steinstraßen die Ander seitten von Raiffgaßen vnden herauff nach dem Steinstraßer Thor zu.

Eÿsen Hanß Garttner der Altt hatt oben über seinem Thor an seinem Hauß, so ein Eckhauß Ist beim Steinstraßer Thor ein Wettertach xxiij schu lang, i+ schu herauß, Mehr ahn dem Hauß ein Wettertach xxx schu lang ij schu herauß, Darüber aber ein Wettertach xxij schu lang ii+ schu herauß, soll Allmendt sein vnd bleiben, bessert &, vj ß viij d.

Hinder dem Wahl beim Streinstraßer Thor.

Der gedacht Eÿsen Hanß hatt auch hinder dem Wahl vor der Cleinern Thüeren seines Hauses Zwen steinene Tritt iij schu lang, ij schu herauß, bessert für den steinenen Tritt i ß d.

Er hatt ein dielene Wand an seinem Hauß hinder disem Wahl xlj schu lang, vndt Ist mit derselben dielen Wand Oben herauß vfs Allmendt geruckht i+ schu breit, stehet sonsten hinden recht vnd vff Ihme selbs.

Eÿsen Hans berichtet die Allmendt Herrn, sein gerechtigkeÿtt erstrecke sich daselbs hinder dem Wahl von seinem Hauß herauß, vntz ane dem Pfaal, welcher daruor stehet, Vndt hab allein sein Bruder Eÿsen Lorentz seliger Von Ihme das Gebew so drauff gestnaden abgehen lassen.
Ist Ihme mitt brieff vnd Sigeln Zubeweÿsen vfferlegt aber bißhero noch nie geschehen

f° 475-v
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Hanß Gerber der Taglöhner hatt an seinem Hauß einen Schweinstall v= schu breit, iiij schu herauß, Bessert für den Schweinstall ij ß d.

f° 475-v
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Martin Weindecker der Küehurtt hatt vor seinem Hauß ein heüfflin Mist, bessert für den Mist, ij ß d.

f° 475-v
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Hanß Bentz der Garttner hatt an der Rinckmauren ein Schopff mit dielen gedeckht, darunder Kärch und Wägen Stehen, xxv schu lang, viij schu herauß, Bessert für disen Schopff, x ß viij d.

f° 475-v
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Bartholomeus Martin hatt vor seinem Hauß, vff dem Allmend ein heüfflin mist ligen, bessert für den Mist, j ß d.

f° 475-v
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Melchior Baur der Garttner hatt ane der Rinckhmauren das Allmend mit Wellen belegt, bessert für die Wellen, ij ß d.

f° 476
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Peter Schütz der Garttner hatt ane der Ringkhmauren ein Schweinstall vj schu breÿt, v schu herauß, Bessert darfür, iiij ß d.

Und hatt auch ein Heüfflin Welln vff dem Allmend daselb ligen, Vnd für die Wellen, j ß d.

f° 476
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Philips Reicheisen Huffschmidt der Altt hatt daselbs Hinder der Rinckhmauren ein Hauß hatt vnden daran Zweÿ stehende Kellerfenster, Jedes ii+ Schu lang, xv Zoll herauß, hatt auch dagegen über der Rinckhmauren ein Schweinstall v schu lang, v+ schu herauß, Bessert für das Nüessen, iij ß d.

f° 476
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Derselb Philips Reicheisen hatt aber zweÿ heuser an einander, dar uor Zwen steinene Tritt vj schu lang, xv zoll herauß, darzu Zwen Schweinställ an der Ringmauren dagegen über stehen, Ist der Eine ix= schu lang, v schu herauß, der Ander v schu breit, v schu herauß, bessert &, v ß d.

Er mehr vor einem Hauß ein Tritt v= schu lang, xv Zoll herauß, bessert für das Niessen, j ß d.

Er hatt aber vor einem Hauß ein Steinen Tritt 3. schu lang, j schu herauß, bessert & j ß d.

f° 476-v
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Paulus Messerschmidt der Dreÿer ane der Müntzen, hatt vor einem Hauß ein gemaurten Tritt iiij schu lang, i+ schu breÿt, Bessert für das Nüessen, j ß d.

Der genante Paulus Messerschmidt hatt auch gegen disem seinem Hauß über, ane der Rinckmauren des Dreÿ Zehen grabens ein beschlüssigen Schopff oder holtzhütten vff das Allmendt gebawen, xx schu lang, xiij schu herauß, Dauon Zinst Er Jerlich diser Statt 2 ß d. wie mann sagt, Ist Im Zinßbuch nachsuchung zuthun

Gibt der Herr Zinßmeÿster bericht, das Er diser 2 ß d. Järlichen empfahe, derwegen Paulus Messerschmidt diser Besserung erlassen.

f° 477
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Die Wagner ane der Steinstraßen haben alle Ingemein das Allmendt Hinder der Ringmauren beÿm Dreÿ Zehen Graben durch abhin mit Wagner holtz verschlagen undt belegt, bessern Ingemein für das Niessen ane diesem ortt, x ß d.

f° 477
Hinder der Rinckhmauren Ane dem Dreÿ Zehen Graben.

Diebold Götz der Rechenmacher hatt ane der Mauren ane dem Graben gegen seim Hauß hinüber vff dem Allmendt einen Schweinstall stehen v= schu breÿt, v= schu herauß, bessert für das Niessen, ij ß d.

f° 477
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Endten Letz.

Das Hauß der Armen Waisen, das etwan Sanct Catharinen Closter was, hatt über dem grössern Thor ein Wettertach xvj schu lang, iii+ schu herauß, Mehr über der Cleinen Thür ein Wettertach xij schu lang vij schu herauß, vndt hatt neben derselben Kleinern Thüren ein steines bänckhlin iiij schu lang j schu herauß, bessert für das Niessen, vij ß iiij d.

f° 477-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Michell Hermann der Mehl grempp hatt vor dem Waisen hauß das Allmendt mit einem grossen Hauffen thännin bortten verschlagen xx schu lang xj schu breÿt, bessert für das Niessen, ij ß d.

f° 477-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Zacharias Dideco hatt daselbs ein Allmendt Platz darauff er heüfflin thännin bortten ligen hatt, Vndt Ist derselb Platz xx schu lang, x schu breÿt, bessert für das Niessen, ij ß d.

f° 477-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Hanß Matern Küen der Schreiner hatt ein gleichermessigen blatz, daruff er seine Bortt legt, xx schu lang, xiiij schu breit, bessert & iiij ß d.

f° 478
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Friderich Geer der Schreiner hatt alda ein Hauffen Thännene Bortt, Damitt Er das Allmendt Verschlecht, xx schu lang, xiij schu breÿt &, Bessert für das Nüeßen iiij ß d.

Hatt darneben aber ein Platz, darauff ein hauffen bortt ligen, xx schu lang, xiij schu breÿt, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 478
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Ambrosius Gilg hatt auch alda ein Hauffen Dielen vff dem Allmendt blatz ligen, xx schu lang, x schu breÿt, bessert für das Nüeßen iij ß d.

f° 478
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Conradt Küling Schreiner, hatt auch ein Hauffen Bortt, vndt dar mitt ein Allmendt Platz Ingenohmmen xx schu lang x schu breÿt, bessert & iiij ß d.

f° 478
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Niclaus Hanß metzger der Kuttler hatt darneben ein hauffen bortt, Verschlecht das Allmendt xx schu lang, x schu breit, bessert für das Nüessen iij ß d.

f° 478-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Mathis Scheidt der Schreiner, hatt Zwen grosse hauffen bortten nit weÿt Von einander Vff dem Allmendt ligen, Verschlecht Jeder hauffen den Platz xx schu lang, xij schu breit, bessert für beede hauffen, viij ß d

f° 478-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Hanß Schmidt der Schreiner, hatt ein Platz Vff dem Allmendt, den Er mit bortten belegt, Vnd Ist solcher blatz xx schu lang, xiiij schu breit, bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 478-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Hanß Borer der Schreiner hatt auch ein Hauffen bortt xx schu lang, xix schu breit, bessert & iiij ß d

f° 478-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Jacob Baur der Schreiner hatt auch Allmend Platz mitt bortten verschlagen, xx schu lang, x schu breit Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 479
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Hans Doll der Pruckmeister hatt ein Platz daselbs mitt Bortten verschlagen, xx schuh Inn alle wege, Bessert für das Niessen, iij ß d.

f° 479
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Simon Küffer der Schreiner hatt daß Allmendt mitt dielen belegt xx schu lang, xx schu breÿt, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 479
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Claus Guttmann Der Weißbeckh hatt auch ein hauffen Bortten, so das Allmendt verschlagen xx schuh lang, vij schuh breÿt, Bessert für das Niessen, iij ß d.

f° 479
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Dieboldt Köbele der Schreiner hatt das Allmendt mit bortten belegt beÿ Sanct Catharinen Pruckhen, nimpt ein blatz Inn xx schu lang, xv schuh breÿt, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 479
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Caspar Huber Der Schreiner hatt darbeÿ auch ein Hauffen Bortten vff dem Allmendt ligen xx schu lang, xxx schu breit, Bessert & vj ß d.

Darneben aber ein Hauffen Bortten xx schu lang, xij schuh breÿt, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 479-v
Krauttenaw hinder Sanct Catharinen Vff Enden Letz.

Sixt Schneider Der Altt Meÿer vff dem Newen hoff, hatt vff der Landtvesten beim Newen hoff, beÿ Sanct Catharinen Prucken Zwischen den Wilgen Beümen die allmendt mit einem hauffen Zahl holtz und Wellen verschlagen, Bessert für das Niessen, ij ß d.

f° 479-v
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Hans Doll der Pruckmeister hatt zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl ein Heüfflin Bortten ligen, xx schu lang, iiij schu breÿt, Bessert & iij ß d

f° 479-v
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Daniel Steinbruckh der Schreiner hatt daselbsten ein Hauffen Bortt vff dem Allmend ligen, verschlecht darmit ein Blatz xx schu lang, xij schu breit, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 480
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Hanß Küling der Schreiner hatt zwen Plätz alda auff dem Allmendt, Darauff Er bortten ligen hatt, Jeder Platz xx schu lang, x schu breÿt, bessert & vij ß d

f° 480
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Darneben hatt Jacob Baur der Schreiner ein heüfflin Creütz leÿsten ligen, bessert darfür, ij ß d.

Derselb hatt auch ein hauffen aichine und lindene Börttlin da uff dem Allmendt ligen, Vndt nimpt damitt daßelbige Inn xv schu lang x schu breit, Bessert für das Nüessen, iij ß d.

Der mehrgedacht Jacob Bawr Schreiner hatt daselbs auch ein heüfflin büchine stollen ligen, Vndt mitt solchen das Allmendt verschlagen, xiij schu lang, vj schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d.

f° 480
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Hanß Michel Heüß hatt ein großen hauffen Bortten und Verschlecht mitt solchen das Allmendt xx schu lang, xxiij schu breÿtt, Bessert darfür iiij ß d.

f° 480-v
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Georg Graßman der Ferber hatt ein großer Stoß mit brennholtz, Innerhalb des Metzger Thors ane der Mauren des Wahls vff dem Allmendt stehen, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, v ß iiij d.

f° 480-v
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Andres Cuntz der Ohlman hatt ein hauffen bortt Vff dem Allmendt ligen xx schu lang, xij schu breÿt, Bessert für das Niessen, iij ß d.

f° 480-v
Zwischen dem Metzger Thor und dem Wahl.

Jacob Külling der Schreiner hatt auch ein hauffen bortt vff einem Allmendt blatz Zwischen dem Metzger Thor vnd dem Wahl ligen xx schu lang, xiij schu breÿt, Bessert für das Nüessen, iiij ß d.

f° 480-v
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Herr Mathis Wickher Altter Ammeister hatt ein hauß, daruor dreÿ steinene Tritt vii+ schu lang, iij schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß vj d.

f° 481
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Jacob Ringlers selligen des Apotheckers Wittwe vnd Erben haben an Ihrem Gartten ein Hauß vndt Oben über dem Ingang ein Wettertach xvi+ schu lang, oben am Eckh ii+ hinden Im Winckell j schu herauß, Mehr an demselben hauß ein außgestossen Kemmatt i+ schu breit, j schu herauß, bessern für das Niessen, ij ß iiij d.

f° 481
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Jacob Koëßler der Zimmermann hatt an seinem hauß ein Von grundt auffgemaurt Profeÿ iii+ schu breit iij schu herauß bessert & v ß d.

f° 481
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Junckher Hanß Conrad Böcklin von Böcklinsaw hatt ane einem Hauß neben seinem Gartten Über dem Thor ein Wettertach xiiij schu lang, j schu herauß, Bessert für das Wettertach, ij ß d

Derselb Junckher Hanß Conradt Böcklin hatt auch vor disem Gartten das Allmendt mit mist verschlagen, bessert für den Mist, ij ß d

f° 481-v
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Hanß Jacob Schwaninger der Huttmacher hatt über seiner Haußthür ein Wettertach xviij schu lang, j schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß d

f° 481-v
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Michell Liebhardt der Garttenmann hatt vor seinem Hauß Zwen mit Latten Ingefaste Rebstückh, der Eine iij schu breÿt ij schu herauß, Der Ander ii+ schu breÿt auch ij schu herauß, Vor der Thür ein gemaurten Tritt iij schu lang i schu herauß, bessert & ij ß ij d

f° 481-v
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Lienhard Haßman der Guardi Knecht an dem Metzger Thor hatt ane seinem Hauß ein Schweinstall v+ schu lang, iii+ schu breÿt, bessert & ij ß d

f° 481-v
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Heinrich Haaß Metzger der altt hatt in der Krautenaw vff Enden Letz ein schewer, Vndt hatt daruor ein grosser Hauffen mist vff dem Allmendt ligen, bessert für die schewr vndt den Mist, iiij ß d

f° 481-v
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Claus Sengers selligen des Webers Wittwe hatt vor Ihrem Hauß ein heüfflin Mist, Bessert für den Mist, j ß d

Nota, modo Heinrich Haasen dem Metzger Zustendig, der das Hauß Von dem Allmusen Zu Sanct Marx, dahin es geerbt Ist, Ab Kaufft hatt.

f° 482
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Diebold Haaß der Würth zum Hirschen alhier hatt hinden vff der Endten Letz ein Schewr, Daran ein beschlüßigen Schopff xviij schu lang, ix schu breit, bessert für das Nüessen, viij ß d

Nota. Dise Schewr Zeigt Herr Ambrosius Jörger ahn seÿ Thieboldt Haasen Zum Hirschen Zustendig, Zinst vor mals der Statt. v. d. Darumb Er Haaß diser besserung erlassen.

f° 482
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Hinden im Winckhel neben derselben Schewr hatt Ambrosius Jörger aber ein Hauß, da Wilhelm Haffner der Taglöhner Innen sitzt oben daran ein Wettertach xxv schu lang, i+ schu herauß, Vnden ane dem Hauß ein schweinstall v= schu breÿt, v schu herauß, Bessert für das Niessen, iij ß iiij d.

f° 482-v
Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.

Gall Gloners selligen des Mehlmanns Erben haben ane einem Hauß hinden vff der Endten Letz ein Ausstoß xxvij schu lang, xv Zoll herauß, bessert & j ß iiij d.

f° 482-v
Daselbs hinder der Rinckh Mauren.

Aristarchus Mornhinweg der Schaffner Vnser frawen Werckhs alhie, hatt ein hauß, darinnen Andres Meÿer der Taglöhner sitzt, Daruor ein hültzene Stegen iii+ schu breit iiij schu herauß, bessert & j ß d.

f° 482-v
Daselbs hinder der Rinckh Mauren.

Der Vorermeldte Ambrosius Jörger hatt aber ein hauß, da Jacob Kerlen der Schiffknecht Innen sitzt, daruor das Allmendt mit bretten vndt gertten Zu einem geländt, Darauff ein Rebstockh stehet, Zugemacht vndt Ingezogen vii+ schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Nüessen j ß iiij d.

f° 482-v
Daselbs hinder der Rinckh Mauren.

Carle Kügler hatt daselbs Vor seinem Gartten das Allmendt zimblich mit mist verschlagen, Bessert für den Mist ij ß d.

f° 483
Wider hinden von der Rinckhmauren herauß.

Vincentz Seiffridts Wittwe sitzt in einem Hauß, dem Allmusen zu Sanct Marx gehörig, vnd hatt daran ein Schweinstall v= schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d.
[in margine :] Allmusen Sanct Marx

f° 483
Wider hinden von der Rinckhmauren herauß.

Das Allmusen zu Sanct Marx hatt aber ein Hauß darneben, darinnen Martin Kummann der Guardj Knecht wohnt, vndt hatt daran ein Schweinstall iij schu ix Zoll lang Inn alle wege, Bessert für den Schweinstall, ij ß d.

f° 483
Wider hinden von der Rinckhmauren herauß.

Hans Karcher Der Altt der Vischer, hatt an seinem ein Schweinstall vii+ schu lang, iiij schu vff das Allmendt herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d.

f° 483
Wider hinden von der Rinckhmauren herauß.

Jacob Kügler Der Notarius hatt ein Hauß da Theobaldt Philipp der Schiffmann Innen wohnet, derselb Theobaldt hatt an seinem Hauß ein Schweinstall vj schu lang, iiij schu herauß, Bessert & ij ß d.

Dieboldt Philipp Der Schiffer hatt auch vor demselben Hauß ein heüfflin dielen vndt ein heüffen Mist vff dem Allmendt ligen, Bessert für den Mist und dielen, iij ß d.

f° 483-v
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Hans Reinboldt Der Lonherr vff dem Wasserwerck Hatt vor seinem Hauß vff Jeder seÿtten einen gemaurten sitz, Jeder iiij schu lang, xvj Zoll herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d.

Und hatt Darvor ein heüfflin Wellen vff dem Allmendt ligen, Bessert für die Wellen j ß d

f° 483-v
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Adolff Meÿentaw Der Vischer hatt vor seinem Hauß ein gemaurten Tritt iij schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Niessen, j ß d.

f° 483-v
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Adolff Meÿentaw Der Zoller zu Grauenstaden hatt vor seinem Hauß ein hültzin Profeÿ vff dem Gestad stehen v= schu breÿt v+ schu Inn den Giessen hinauß, bessert für das Nüessen, iiij ß d.

f° 484
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Andres Storcken des Vischers selligen Wittwe hatt vor Ihrem Hauß dreÿ steinen Tritt iii+ schu lang, iij schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß vj d.

f° 484
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Carle Kügler hatt alda ein Hauß, darinnen wohnet Peter Serr der Guardj Knecht, daruor Zwen steinene Tritt v= schu lang, ij schu herauß, bessert & j ß vj d.

f° 484
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Balthasar Widmann der Vischer hatt vor seinem Hauß Zween besetzte Tritt v= schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß vj d.

f° 484
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Der mehr genandt Carle Kügler hatt aber ein Hauß so Jacob von Erstein der Vischer bewohnt, Daruor ein steinen Tritt iii+ schu lang, iij schu herauß, bessert für dises Niessen, j ß vj d.

f° 484-v
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Andres Spillenmachers selligen des Schaffners wittwe vnd Erben, haben an einem Hauß ein Außstößlin x schu lang, j schu herauß, bessern für das Nüessen, j ß d.

f° 484-v
Vornen an Sanct Johanns Gießen, nach der obern gedeckten Prucken hinauff.

Bernhard Scheer der Schiffmann hatt ein hültzenen Gang xxxiiij schu lang, iij schu herauß vndt hatt auch vnden ane dem selben hauß fünff gemaurte Pfeÿller, xxj Zoll breit, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß viij d.

f° 484-v
Beÿ der Obern gedeckten Prucken. hinder der Rinckmauren, vnd daselbs wider in die Krauttenaw hinein.

Benedict Hürtten selligen des Garttners Erben haben hinden ane Ihrem Gartten ein Von grundt auff gemaurt Profeÿ iiij schu breÿt, ij schu herauß, bessert iiij ß d.
Vnd haben diselben Erben auch weÿters Vor Jhrer Scheuren daselbs Hinden ein hauffen mit mist vff dem allmendt ligen, bessern für den Mist iiij ß d

f° 485
Beÿ der Obern gedeckten Prucken. hinder der Rinckmauren, vnd daselbs wider in die Krauttenaw hinein.

Die gemelten Erben haben neben diser Schewren auch ein Hauß, da Georg Laux der Taglöhner Innen sitzt, derselb Georg Laux hatt vor dem Hauß ein Schweinstall v schu lang, iiij schu herauß, bessert für den Schweinstall, ij ß d.

Georg Laux hatt auch ein heüfflin Wellen alda vff dem Allmendt ligen, bessert für die Wellen, j ß d.

f° 485
Beÿ der Obern gedeckten Prucken. hinder der Rinckmauren, vnd daselbs wider in die Krauttenaw hinein.

Mehrgedachte Benedict Hürtten selligen Erben haben dabeÿ aber ein Hauß, daran ein Wettertach L schu lang i+ schu herauß, bessert für das Wettertach, iiij ß d.

f° 485
Beÿ der Obern gedeckten Prucken. hinder der Rinckmauren, vnd daselbs wider in die Krauttenaw hinein.

Dieselben Erben haben neben disem auch ein Hauß, da Mathis Wendlings des Baders selligen Wittwe Innen wohnt, daran ein Schweinstall v schu lang, v schu herauß, bessert der Schweinstall, ij ß d.

f° 485
Beÿ der Obern gedeckten Prucken. hinder der Rinckmauren, vnd daselbs wider in die Krauttenaw hinein.

Mathis Rosers selligen des Vischers Erben haben an Ihrem Hauß ein Wettertach xxiij schu lang, ii+ schu herauß, Darneben ane der Mauren vff dem Allmendt ein Schweinstall vj schu lang, v= schu herauß, bessert für das Nüessen, vj ß d.

f° 485-v
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Dieboldt Stahel der Vischer hatt ein Hauß da Vixen von Erstein des Vischers selligen wittwe Innen sitzt, daruor Zwen steinene Tritt sampt einem gemaurten sitz v schu lang, ij schu iij Zoll herauß, bessert für das Niessen, j ß vj d.

f° 485-v
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Derselb Dieboldt Stahel der Vischer hatt auch vor seinem Hauß, so Er selbs bewohnt dreÿ steinene Tritt v+ schu lang, iiij schu herauß, bessert & j ß vj d.

f° 485-v
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Andres Roser der Zoller vff der Rhein Prucken hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xvij schu lang, ij schu ix Zoll herauß, vor der Haußthüren dreÿ gemaurte Tritt v schu lang iii+ schu herauß, bessert & iiij ß ij d.

f° 485-v
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Paulus Reinbold der Vischer hatt vor seinem Hauß iiij gemaurte Tritt sampt einem gemaurten sitz v= schu breÿt, v= schu herauß, soll Allmendt sein vnd bleÿben, bessert für das Nüessen j ß vj d.

f° 486
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Hanß Schmutz der Vischer hatt vor seinem Hauß ein steinen Tritt sampt einem gemaurten sitz v= schu lang, iij schu herauß, bessert & j ß vj d.

f° 486
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Hieronimus Stoll hatt ein Hauß da Lorentz Fritschmann meiner Herren Waldt förster Innen sitzt, daruor iij gemaurte Tritt, samt einem gemaurten sitz vj schu lang iij schu herauß bessert & j ß vj d.

Lorentz Fritschmann hatt auch gegen disem Hauß über Vff dem Gießen ein hültzin Profeÿ stehen iij schu breit, v schu Inn den Giessen hinauß, bessert & iiij ß d.

f° 486
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Hanß Baldner Vischer der Jung hatt vor seinem Hauß iij gemaurte Tritt sampt eine gemaurten sitz v= schu lang iij schu herauß, bessert & j ß vj

f° 486
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Caspar Meÿentaw der Altt Waisen Vatter hatt ane seinem Hauß, da Adolff Meÿentaw der Vischer Innen sitzt, ein Wettertach xii+ schu lang, i+ schu herauß, Vor der Thür Vier steinene Tritt sampt Zweÿer gemaurten Neben sitzen vj schu lang, iiij schu herauß, bessert für das Nüessen iij ß iiij d.

f° 486-v
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Benedict Hürten selligen des Garttners Erben haben Vor einem Hauß Zwen steinene Tritt, sampt einem gemaurten sitz, vndt einem steinenen Naach alles an einand. vj schu lang, ij schu iij Zoll herauß, bessert & ij ß d.

Sie haben auch vff dem Giessen dauorn ein hültzin Profeÿ vi+ schu breit v= schu Vff den Giessen hinauß, bessert &, iiij ß d

f° 486-v
Aber an Sanct Johanns Giessen, Von der Vndern gedeckten Prucken hienauff.

Ermelts Benedict Hürtten selligen Erben haben aber an einem Hauß oben ein Wettertach xxv schu lang, i+ schu herauß, mehr auch über der Thür desselben hauses ein Wettertach xj schu lang, j schu herauß & Bessert & ij ß iiij d.

f° 487
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Peter Frickh der Altt hatt dahinden ein Hauß In einem Winckhel ein außgemaurt Profeÿ vff Zweÿen steinerin Kepffern iij schu breÿt xxj Zoll herauß, Mehr hinden an disem Hauß auch ein Vsstoß Lij schu lang, ii+ schu herauß, Vndt hatt daselbs am Eckh vnden am Hauß ein von grundt vfgemaurten Streb Pfeÿler iij schu breit iij schu herauß, mehr auch vnden an dem Hauß Zwen Schweinstall neben einander beede Zusammen xv+ schu lang, v+ schu breit, vndt dann aber ein Schweinstall daselbs so iiij schu lang iiij schu breÿtt, Mehr vff der Andern seÿten dises Hauses ein Wettertach oben am Gebell xvj schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. xv ß d.

Er hatt auch an disem Hauß vnden ein von grundt auff gemaurt Profeÿ iij schu breit i+ schu herauß, bessert für das Nüessen, iiij ß d.

Und hatt sonst daselbs hinden vnd vor disem Hauß das Allmendt mitt Mist, steinen vndt einem Heüfflin borten Verschlagen, bessert iij ß d.

f° 487-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Der Gedacht Peter Frickh hatt auch vor seinem Gartten, daselbst das Allmendt mit mist belegt, bessert für den Mist, ij ß d.

Und hatt außwendig an der Mauren desselben Gartten fünff von grundt auff gemaurte Pfeÿler, Jeder Zween schu hoch ij schu breit, vndt j schu herauß vff dem Allmendt stehen bessert für das Nüessen, v ß d.

f° 487-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Burckhardt Kauffmann der Leinenweber hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit einer dielen Wandt Zu einem Gartten Ingezeünt, vff einer seÿten Vornen hero xxv schu lang x schu herauß, Vff der andern seiten xvi+ schu lang, x= schu herauß, Item auch ane dem Hauß vff dem Allmendt ein Schweinstall ix schu lang x= schu herauß, bessert für das Niessen, xiiij ß iiij d.

f° 487-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Lienhard Meÿer der Spindelträher hatt ein Schleiffstein vor seinem Hauß daselbsten vff der Allmendt stehen, ij ß d.

f° 488
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Hans Bocken Des Garttners selligen Wittwe hatt an Ihrem Hauß Inn einem Allmendt gäßlin dar neben ein Wettertächlin vj schu lang, j schu herauß, Mehr ane demselben Hauß vornen vß dem breürten Allmendt gäßlin über dem Thor ein Wettertach xxij schu lang, j schu herauß, Vnndt dann ane der Schewren Oben ein Wettertach xxx schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, vij ß iiij d.

Und hatt sonst Das Allmendt auch mitt Mist verschlagen, Bessert für den Mist ij ß d.

f° 488
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Das Allmusen zu Sanct Marx hatt ein Hauß daran ein Vsstoß xxiiij schu lang iij schuh herauß, Vndt hatt von dem selben Baw über daß Allmendt gäßlin darneben xx schu lang, viij schu breÿt, Bessert für das Niessen, xij ß d.

f° 488
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Veltin Hüle Der Leinenweber hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxvj schu lang, ij schu heraus, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

f° 488-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Stoffel Hoffrichter Der Vischer hatt vor seinem Hauß ein gemaurten sitz ii+= schu lang, xv Zoll breÿt, Bessert für das Niessen, j ß d.

f° 488-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Hans Kill Der Vischer hatt in einem Allmendt Gäßlin neben seinem Hauß Oben am Gebell ein Wettertächlin v schu lang, i+ schu heraus, Bessert j ß d.

f° 488-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Steffan Schotten selligen des Vischers Wittwe hatt ane Ihrem Hauß ein Vsstoß xxvj schu lang, j schu herauß, Vor der Thür ein steinen Tritt iii+ schu lang, j schu heraus, Bessert für & ij ß iiij d.

Und hatt vor disem Hauß vff dem Allmendt Zwen Schweinställ neben vnd beede miteinand. xj schu lang v+ schu breit, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

Mehr vornen vf dem Gießen zwo Visch Archen bede samptlich xviij schu lang, xij schu breit, darneben ein hültzin Profeÿ v= schu breÿt, v schu weÿt über die Landvesten herauß, Bessert & j lb. j ß d

f° 489
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Conrad Braun der Mehl Grempp hatt ein Hauß daran ein Wettertach xvj schu lang, iii+ schu herauß, Ein offene Keller Tritt iii+ schu lang, ix Zoll herauß, Vor der Haußthüer ein gemaurten Tritt iiij schu lang, xv Zoll herauß, bessert für das Nüessen, iiij ß viij d.

f° 489
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Derselb Conrad Braun der Mehl Grempp hatt aber ein Hauß Zunechst neben disem bewohnt der Zeÿt Claus Hag, daran ein außgestossen Kemmatt, j schu breit, i+ schu herauß, hatt auch außwendig ane d. Gartten mauren ein Von Grundt vff gemaurtes Profeÿ v= schu breit, ij schu iij Zoll herauß, bessert für das Nüessen, vij ß d.

f° 489
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Hilarÿ Meÿers des Notarÿ selligen Erben haben neben Ihrem Gartten ein Schweinstall vff dem Allmendt stehen, so zu dem Hauß ane gemelttem Gartten gehörig Ist v= schu breit, iii+ schu herauß, bessert & ij ß d.

f° 489
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Laux Schwartz der Waisen Vatter hatt alda das Allmendt mit dielen vndt bortten verschlagen, bessert für das Nüessen, iij ß d.

f° 489-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Georg Herr der Vogler hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xix= schu lang, j schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß d.

f° 489-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Georg Brendlin der Feÿelhawer hatt hinden ane seinem Hauß vff dem Gießen ein hültzenes Profeÿ iij schu breÿt, ii+ schu herauß vber die Landtuesten, bessert für das Profeÿ, iiij ß d.

f° 489-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Hanß Wagner der Mehl Grempp hatt vor seinem Hauß ein Vssatz banckh x= schu lang, iiij schu herauß, Vndt hinden am Hauß vff der Landtuesten ein Hültzin Profeÿ iij schu breit, ii+ schu über die Landtvesten Inn den giessen herauß, Bessert für das Nüessen, vj ß d.

f° 489-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Adolff Meÿentaw der Altt hatt hinden vff dem Giessen ein hültzene Steg ii+ schu breit, v= schu herauß, Vndt vff der Landtvesten ein hültzin Profeÿ iii+ schu breit, v= schu In dem Gießen über die Landtvesten herauß, Bessert für das Nüessen, v ß vj d.

f° 490
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Hanß von Hibsheim förster in der Ganßauw hatt vor seinem Hauß ein Räbhälden vff dreÿen Stütz xxiij schu lang, Oben mitt truchtern und Latten, xj schu herauß geladen, Zwen gemaurte Tritt iiij schu lang, ii+ schu herauß, bessert für das Nüessen, vj ß d.

Und hatt hinden vff der Landuesten ein Profeÿ 4 schu brei vber die Landtuesten Inn dem Giessen hinauß & bessert für das Profeÿ iiij ß d

f° 490
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Das Hauß zu Sanct Jacob hinden vff der Endten Letz Ist Lorentz Schotten des Vischers, Vndt hatt vor der Thür ein gemaurten Tritt v schu lang, xv Zoll herauß, darneben ein hültzenen Banckh vff zweÿen Meürlin v schu lang, xv Zoll herauß, Bessert & ij ß d.

Hatt auch hinden vff der Landuesten ein hültzin Profeÿ v= schu breit iii+ schu vff den Giessen hinauß, bessert für das Nüessen, iiij ß d

f° 490
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Melchior Roser Hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xx schu lang, j schu herauß, Bessert für das Nüessen, j ß iiij d

Und hatt hinden vff den Gießen ein hültzin Profeÿ iii+ schu breit, v schu herauß, vndt dann ein hültzene Wasserstegen iii+= schu breÿt, v+ schu herauß, Bessert für das Nüessen, v ß vj d

f° 490-v
Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.

Der hieuorgeschrieben Hanß von Hibßheim der förster hatt aber ein Hauß, daran ein hültzin Profeÿ hinden vff der Landtuesten iii+ schu breit v schu herauß, bessert für das Niessen, iiij ß d

f° 490-v
Beÿ der Undern gedeckten Brucken Vnd daselbs durch das Allmend Gäßlein herfür.

Hans Bartt der Haußherr im Zoll Keller hatt in dem Allmendtgeßlin Zu nechst gegen der Vndern geteckhten Prucken an seinem Hauß ein Vsstoß xl schu lang, ij schu ix Zoll heraus, Mehr vornen ausserhalb dem Allmendtgeßlin, gegen dem Giessen aber mahlen ane demselben Hauß ein Vsstoß xxvij schu lang, ij schu herauß, ein gemaurten Tritt iiij schu lang, xvj Zoll breit, bessert für das Niessen, ix ß d

f° 491
Beÿ der Undern gedeckten Brucken Vnd daselbs durch das Allmend Gäßlein herfür.

Michell von Hipßheim hatt ane seinem hauß oben ein Ausstoß xxviij schu lang, iij schu herauß, Vor der Thür ein steinen Tritt iiij schu lang, ij schu herauß, bessert für das Niessen, v ß d

f° 491
Beÿ der Undern gedeckten Brucken Vnd daselbs durch das Allmend Gäßlein herfür.

Claus Schmutz der Vischer hatt hinden an seinem hauß vff dem Giessen, ein hültzin Profeÿ, iiij schu breit, iij schu Inn Giessen hinauß, bessert für d. Profeÿ, iiij ß d

f° 491
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Sixt Schneider der gewesene Meÿer vff dem Newenhoff, hatt beÿ Sanct Catharinen Prucken Jenseitten des Giessens, ane einem Gartten den Er Zu seinem gebrauch mit vier dielinen Wänden verschlagen, stehet wohl vornen vff dem Giessen, Zu beÿden seitten xxxviij schu lang, Oben beÿ Sanct Catharinen Prucken xxi+ schu hinden gegen Caspar Reüschels des Altten stallmeisters, hiebeuor etwann Andres Langen Hauß xxiij schu breit von Giessen vnden herauff, bessert für das Nüessen, ij lb. xiij ß iiij d

Der angezeigt Sixt Schneider hatt ane berüerttem seinem Gartten, auch ein hültzin Profeÿ auff Zweÿen aichinen Pfosten, so iiij schu breit, vndt iiij schu auff dem Giessen hienauff, bessert iiij ß d

f° 491-v
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Caspar Reüschell der Altt Stallmeister alhie hatt vor dem Hauß, so etwann Andres Langen was, ane der Garttenmauren Von grundt auff gemaurten Pfeÿler, ohngeuehrlich vff v+ schu hoch, xv Zoll breÿt, viij Zoll herauß, bessert für den streb Pfeÿler & ij ß d

Und hatt auch hinden vff der Landuesten am Gießen zu seinem gartten ein Garttenheußlin, vnd ein hültzin Profeÿ auch die gantz lengen der Landtuesten mitt einer dielenen Wandt verschlagen, darfür soll Er die Landtuesten Jeder Zeÿtt vor Abgang erhaltten, Vndt so Er nitt thäte, Ihme ein solches Zuthun gebotten werden, Bessert für das Profeÿ iiij ß d.

f° 492
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Derselb Caspar Reüschell hatt auch an einem Hauß da Michel Keser Innen sitzt ein hültzinen Naach, bessert für den Naach, viij ß d

f° 492
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Sixt Schneider der gewesen Meÿer vff dem Newen Hoff vorgemeldt hatt vornen an seinem Hauß zweÿ Wettertächer über einander, das Erste xxxv schu lang, das Ander xx schu lang, Jedes iiij schu herauß, vndt hinden am Hauß ein hültzenen Naach, Mehr vornen an disem Hauß ein lehenende Kellerthür vj schu ix Zoll breit, iii+ schu breÿt, Vndt vor der Thüren dreÿ steinene Tritt vij schu lang, iij schu herauß, sampt einem steinen Naach, bessert & xvj ß viij d
[in margine :] von disen 3. steinen tritten, zinst Er Jars der Statt laut Zinßbuchs Zuuor 1 ß d darumb Sie hiebeÿ nit gerechnet wrd.

Und hatt ein grossen Hauffen Mist vor seinem Kühestall herausser vff dem allmendt ligen, bessert für den Mist, iiij ß d

f° 492-v
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Jacob Schreiber der Kübler hatt an seinem Hauß, darinn Er wohnt, welches aber Michell Hermann dem Mehl Kremppen zugehörig Ist, das Allmendt mit Kübler holtz, Vaß vnd Kübel Taugen, auch Väßlin Reÿffen vnd bütten alle Tas verstellt, bessert für das Nüessen, v ß d

f° 492-v
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Das Hauß Zur Cronen so vff diser seitten ein Eckhauß vnd Zum Roneckh genandt würdt, Ist Mathis Rosers selligen wittwe, vndt hatt nebendts vff einer seÿtten am Gebell ein Wettertach xxxv+ schu lang, xv Zoll herauß, Vornen ein lehenende Kellerthür vi+ schu breit, iii+ schu herauß, bessert &, vj ß iiij d

Ermelte wittwe hatt auch nebendts an disem Hauß ein Heüfflin Bauwholtz, vnd ein heüfflin altt Zerbrochene Maurstein vff dem Allmendt ligen, bessert für das Niessen, j ß d

f° 492-v
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Martin Zimmermann der Taglöhner hatt Ane seinem Hauß Oben ein hültzin Wettertach ix schu lang, iii+ schu herauß, vndt ein hültzenen Naach, Bessert für das Niessen, ij ß d

Derselb hatt auch vor seinem Hauß ein Heüffell Mist vff dem Allmendt ligen, Bessert & j ß d.

f° 493
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Anthoni Eügels des Metzgers Wittwe hatt vor Ihrem Hauß ein heüffell mist vnd am hauß ein hültzenen Naach, bessert für den Mist j ß viij d

f° 493
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Mathis Schmidt der Hänffer hatt an seinem Hauß Zur langen Vohm genandt ein lehendene Kellerthür vj schuh breÿt, iij schuh herauß, Bessert für das Niessen, iij ß d

f° 493
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.

Adolff Huckh der Küeffer hatt vor seinem Hauß iiij steinene Tritt, v schu, ix Zoll lang, iii+ schuh herauß, dar neben ein Lehenende Kellerthüer vi+ schu breÿt iii+ schu herauß, hatt auch ane seinem Hauß ein Gartten vff der Landt Vestin mit einer dielenen Wandt v.macht, Darinn ein hültzin Profeÿ iiij schuh breÿtt, i+ schuh Inn den Giessen hinaus, des soll Er, alß lang sein Gartten Ist, die Landtvestin vor Abgang erhalten, doch bessert Er für das Profeÿ iiij ß d

Und hatt ein heüfflin Bortt sampt ettlich Wellen Raÿff auch Zweÿ heüfflin vor dem hauß vff dem Allmendt, Bessert für dise Nießung v ß d

f° 493-v
Anderseitten beÿ Sanct Catharinen Prucken, Vnden vom Gießen herauff gemeßen in Krauttenaw.

Leonhardt Friderichs selligen des Schreiners Wittwe, hatt oben an Ihrem Hauß ein Wettertach xviij schu lang, ij schu herauß, Vnndt dann Vnden am Hauß ein Rebstockh mitt Brettern Ingefasst v+ schu breÿt, iij schu herauß, Oben darüber ein Rebhälden vf dreÿen Stützen, xviij schu lang vf Truchtern heraus geladen, ix schu breit, Vndt hatt auch hinden an dem hauß ein Vf steinen Kepffern außgemaurtes Profeÿ, iij schu breÿt, ii+ schu von d. Mauren Inn dem Giessen herauß, Bessert für das Niessen, xj ß iiij d

f° 494
Anderseitten beÿ Sanct Catharinen Prucken, Vnden vom Gießen herauff gemeßen in Krauttenaw.

Hans Schultheis Garttner der Jung hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxxviij schuh lang, ij schuh herauß, Vndt ein hülltzenen Naach Oben vom hauß herab vff dem Allmendt, Bessert &, iiij ß viij d

Und hatt hinden am Hauß ein Landt Vestin xxxiij schu lang, iiij schuh herauß, darauf ein hültzin Profeÿ v schu breÿt, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen x ß viij d

Hatt auch vor dem Hauß ein Hauffen Mist vff dem Allmendt, Bessert für den Mist, iiij ß d.

f° 494
Anderseitten beÿ Sanct Catharinen Prucken, Vnden vom Gießen herauff gemeßen in Krauttenaw.

Hans Kürst der Metzger hatt vor seiner Schewr undt Stallthüren dreÿ hauffen Mist vff dem Allmendt ligen, Bessert für dsie dreÿ hauffen Mist, x ß d.

Daselbs vmb das Eckh hinumb nach dem Katzen Steg hinab.

Das Hauß Zum Apffelbaum bewohnt gemeltte Hanß Kürst der Metzger, Vndt hatt vornen vß gegen Vÿhegassen ein Wettertach xxix schuh lang, iii+ schuh herauß, Vndt ein Raëbhalden vf Vier stützen xxvij schu lang, Oben mitt Truchtern herauß geladen, v+ schuh breÿt, Vndt hatt auch vßwendig ein hültzenen Nach vff dem Allmendt stehen, Bessert & x ß d.
[in margine :] Jetzund Adam v. Elsaw d. Metzger so dise Behausunge kaufft hatt .

f° 494-v
In einem Allmend Gäßlin genandt daß Preüschgäßlin die Eine seitten hienein vnd nach dem Wasser hinab.

Andres Schiffen des Vischers selligen wittwe hatt ane Ihrem Hauß ein Vsstoß xix schuh lang, i+ schu herauß, daran ein Staucher In gleicher Lengen noch ein schu weiter herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 494-v
In einem Allmend Gäßlin genandt daß Preüschgäßlin die Eine seitten hienein vnd nach dem Wasser hinab.

Hans Schultheiß der Jung vorgenandt hatt Vor seinem Hauß darinnen Hanß Ulrichen des Schiffknechts wittwe sitzt, Ein steinen Tritt ii+ schu lang, i+ schuh heraus, Bessert für das Niessen, j ß d

f° 494-v
In einem Allmend Gäßlin genandt daß Preüschgäßlin die Eine seitten hienein vnd nach dem Wasser hinab.

Derselb Hans Schultheiß hatt vor einem Hauß darinn Hanß ein gemaurten Tritt, vj schuh lang, ij schuh herauß, Bessert für den Tritt, j vj ß d

f° 495
In einem Allmend Gäßlin genandt daß Preüschgäßlin die Eine seitten hienein vnd nach dem Wasser hinab.

Er hatt aber an einem Hauß da Lienhardt Bläeß der Vischer sitzt, hinden daran ein Landt Vestin xl schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß d

Lienhardt Bläeß der Vischer hatt vor demselb. Hauß Inn dem Preuschgäßlin etliche Floßschiff, Viemen, Vuder vndt Vischtrög vff dem Allmendt ligen, Bessert für das Niessen, ij ß d

f° 495
In einem Allmend Gäßlin genandt daß Preüschgäßlin die Eine seitten hienein vnd nach dem Wasser hinab.

Georg Wagners selligen deß gewesenen Wächters vff dem Münster nachgelassene Wittwe, hatt Hinden ahen Ihrem Hauß ein Landtvesten, mit einer Vffgeführten Mauren Zu einem Gärttlin Ingezogen xxvi+ schu lang, viij schu herauß, Darauff ein hültzin Profeÿ iij schu breit, i+ schu herauß, Bessert &, xiiij ß viij d
[in margine :] Einen bestendigen Zinß vf dise Inzeunung zuschlagen

f° 495
Anderseitten des Preüsch Gäßlins wider hinauß.

Jacob Schwendt der Schiff Zimmermann hatt ein Hauß vnd hinden daran vf dem Giessen ein Landtvesten mit einer dielenen Wandt Zu einem Gärtlin IngeZeünt xiij schu lang, viij schu herauß, bessert &, v ß iiij d

f° 495-v
Anderseitten des Preüsch Gäßlins wider hinauß.

Martin von Auwenheims selligen Kindern haben ein Hauß, daran ein hültzener Naach vndt ein heüfflin holtz, vnden daruor vff dem Allmendt ligen, bessert für das Nüssen, j ß viij d

f° 495-v
Anderseitten des Preüsch Gäßlins wider hinauß.

Vorgemelter Jacob Schwendt der Schiff Zimmermann hatt ein Hatt ein Wettertach an einem Hauß xvj schu lang, xv zoll Herauß, Bessert &, j ß d

Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Derselb Jacob Schwendt hatt auch hinden ane seinem Hauß, da Er selbs Innen sitzt vff dem Wasser ein Lendvestin xxviij schu lang, vj schu herauß, darauff ein hültzene gedeckhte Prütschen, sampt einer hültzenen Stegen vndt einem Profeÿ zusammen alles x schu lang, iii+ schu breit, Bessert für das Niessen, xij ß iiij d

f° 495-v
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Veit Dümmermuths selligen deß Metzgers Wittwe vndt Erben haben hinden an Ihrem Hauß ein Landt Vestin sampt einem Profeÿ Zusammen xxx+ schu lang, vj schu herauß, Bessert für das Niessen, xij ß iiij d

Sie haben auch dauor demselben Hauß zwen heüffen mist vff dem Allmendt ligen, bessert für die Zwen heüffen Mist & iiij ß d

f° 496
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Das Hauß Zum Gembs ist Stoffel Letzius des Altten der Statt Lonherrn, vndt hatt vornen ein Ausstoß über dem Ingang iij schu herauß, bessert & v ß. iiij d.

Vnd hatt auch ein Hauffen Stein und Heüfflin Mist daselbs vor dem Hauß vff dem Allmendt ligen, j ß d

Derselb Stoffel Letzius hatt hinden vff dem Giessen an seinem Hauß ein Landtuesten xxx schu lang, vi+ schu herauß, Daran ein vff Kepffern außgemaurt Profeÿ iiij schu breit, ii+ schu herauß, bessert &, xv ß viij d

f° 496
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Aristarchus Mornhinweg der Schaffner Vnser Frawen Werckhs alhie hatt ane einem Hauß da Georg Amrander der Maurer Innen wohnt ein Ausstoß xxvj schu lang, iij schu herauß, Daran ein Staucher In gleicher Lengen, j schu herauß, Zween besetzte Tritt viij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, v ß vj d

Er hatt auch hinden an disem Hauß vff dem Giessen ein Landtuesten mit einer dielenen Wandt, darinn ein Thür vfs wasser Zu einem Gärtlin Ingefasst Lxxv schu lang, Oben xx schu vnden ix schu herauß, drauff ein Profeÿ v= schu breit i+ schu herauß, bessert &, iij ß iiij d
[in margine :] vff dise Inzeünung ein bestendigen Zinß fürthin Zulegen

f° 496-v
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Wolff Humann der Schiffmann hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiij schu lang, iij schu herauß, Daruner ein Laden viij schu lang, i+ schu herauß, Ein Gremppen banckh vij schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Nüessen, v ß ix d

Hatt auch hinden vff der Landtuesten ein Profeÿ iii+ schu breit, iij schu herauß, Bessert für das Profeÿ, iiij ß d.

f° 496-v
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Wilhelm Binckelman der Würth hatt vor seinem Hauß Zwen steinene Tritt v= schu lang, ij schu breit, Ein lehenende Kellerthür vi+ schu breit iii+ schu herauß, Darneben ein hültzenen Naach &, Bessert für das Nüessen, v ß x d
[in margine :] Würthshauß Zum Engel

Und hatt hinden vff dem Giessen die Landtuesten mit einer dielenen Wandt IngeZeünt xxvi+ schu lang, x schu herauß, vnndt daran ein Profeÿ iij schu breit iiij schu herauß, bessert für das Nüessen, xvij ß iiij d.
[in margine :] dise Inzeünung soll fürthin ein bestendigen Zinß geben

f° 497
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Claus Roser der Vischer hatt vor seinem Hauß Zwen steinene Tritt v+ schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Nüessen, j ß vj d

Hatt auch vff der Landtuesten ein Profeÿ Vndt hatt die gantze Lenge mit demselben Profeÿ xxv+ schu lang, xj schu breÿt herauß, bessert &, xiiij ß viij d.

f° 497
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Aristarchus Mornhinweg der Schaffner Vnser Frawen Werckhs, hatt ane einem Hauß da Ulrich Stamm der Schiffmann Innen wohnet, Daran ein Wettertach xiij schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Nüessen, ij ß viij d

Hatt auch hinden am Hauß ein Landuesten sampt einem Profeÿ mit einander xxxij schu lang, xj schu herauß, bessert &, xviij ß viij d.

f° 497-v
Wider vornen auß dem Preüschgäßlin herauß vnd nach dem Katzen Steg hinab.

Er hatt aber vor einem Hauß ein steinenen Tritt ii+ schu lang, xiiij Zoll herauß, bessert &, j ß d
dise Heüser seindt etwann Georg Rosers des Vischers selligen gewesen

f° 497-v
Vnden beim Katzensteg Am Wasser Angemessen.

Claus Letzius der Vischer hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxv schu lang, ii+ schu herauß, Daran ein Staucher xviij schu lang, noch j schu weiter für den Ausstoß herauß, darunder ein Schweinstall iii+ schu breÿt, iii+ schu herauß, Vndt dann Nebendts Inn dem Allmendt gäßlin darbeÿ ein hültzinen Nach, bessert & vj ß. iiij d.

Und hatt auch vff dem Allmendt vor dem Hauß ein heüfflin mist, bessert & j ß d.

f° 498
Vnden beim Katzensteg Am Wasser Angemessen.

Adolff Pitsch der Schiffknecht hatt vor seinem Hauß Zwen besetzte Tritt, iii+ schu lang, ii+ schu herauß, ein gelendt darauff ein Rebstockh mitt brettern Ingefasst vi+ schu lang v= schu herauß, darüber ein Rebhelden vff ij stützen x schu lang mit Truchtern viij schu herauß geladen, Ein Schweinstall iii+ schu breit, v+ schu herauß, Darneben ein Gänßställelin ij schu breit, iij schu herauß, bessert für das Niessen, vij ß d

f° 498
Vnden beim Katzensteg Am Wasser Angemessen.

Jacob Meÿer der Schiffmann hatt vor seinem Hauß ein steinen Tritt, iij schu lang, j schu herauß, mehr vor einer Thür ein gemaurten Tritt iij schu lang, ix Zoll herauß, bessert für das Niessen, ij ß d

f° 498
Vnden beim Katzensteg Am Wasser Angemessen.

Derselb Jacob Meÿer Schiffmann hatt auch an einem Hauß ein lehnend. hültzenen Naach stehet vnden xviij schu weit vom hauß herauß vff dem Allmendt, bessert & j ß d

Derselb Jacob Meÿer hatt auch daselbs vor seinem Hauß ein heüfflin bortten, schiffrüemen vnd Ruder vff dem Allmendt ligen, bessert für das Niessen, j ß vj d

f° 498-v
In einem Allmendgäßlin gegen den Wilhelmern über, daß Häenffer Gäßlin.

Hans Klein der Metzger hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach, bessert für den Naach, viij ß d

f° 498-v
In einem Allmendgäßlin gegen den Wilhelmern über, daß Häenffer Gäßlin.

Dieboldt Jäger der Schiff Zimmermann hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xliiij schu lang, xxij Zoll herauß, Vor der Thür ein steinen Tritt iiij schu lang, xv zoll herauß, bessert &, j ß d.

Undt hatt hinden an disem Hauß vff dem Giessen ein Landtvesten, mitt einer dielenen Wandt, darin ein Thür vndt Wasserstegen In Zogen, Darauff ein Schweinstall, alles mit einander xxxij schu lang, v schu herauß, vndt hatt vff derselben Landtvesten auch ein Profeÿ iij schu breit, ij schu In giessen hinauß, bessert für d. Nüessen, xj ß d.

Er hatt auch weÿter ein Hauffen holtz sampt etlichen Vischtrögen, vndt Geschürr Vor seinem Hauß vff dem Allmendt, darfür soll Er bessern, ij ß d.

f° 499
In einem Allmendgäßlin gegen den Wilhelmern über, daß Häenffer Gäßlin.

Jacob Schewr der Garttner hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach, bessert für den Naach, viij ß d.

f° 499
Wider auß dem Allmend Gäßlin vornen gegen Wilhelmern über.

Dieboldt Weinman der Schiff zimmermann hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxxvi+ schu lang, iij schu herauß, Ein lehenende Kellerthüer vj schu breit, v= schu herauß, Bessert für das Nüessen, ix ß viij d

Undt hatt hinden an disem Hauß ein Landtuesten, mitt einer dielenen Wandt, darinn ein Wasserthür In Zogen xxviij schu lang, v schu herauß, daran ein Profeÿ iii+ schu breit, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß viij d.

In einem beschlüßigen Allmend Gäßlin, Neben dieboldt Weinmans Schiff Zimmermanns Hauß.

Dergenant Dieboldt Weinmann hatt auch In disem beschlüßigen Allmendtgeßlin neben seinem hauß aber ein Vsstoß xxiiij schu lang vndt v= schu herauß, Bessert für das Nüessen, v ß iiij d

Under disem Hauß hatt Er auch ettlich grosse Laere alte Vass stehen, vndt darbeÿ ein hauffen dielen vnd Ruder auch Schiffriemen ligen, bessert & j ß vj ß

f° 499-v
Vornen auß gegen Wilhelmern über.

Der mehrer Spittal hatt ein Hauß da Daniel Braun der Seÿler Innen sitzt vndt hatt oben am Tach Werckh ein Vsstoß xv schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j ß iiij d

f° 500
Aber in einem Allmend Gäßlin

Wolff Letzius des Schiffzimmermans seligen Kinder, haben ein Hauß, da Hanß Schwendt der Schiffmann Innen sitzt, Daruor ein steinen Tritt vj schu lang, iij schu herauß, Darneben ein steines Bencklin v= schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d

Sie haben auch hinden an disem Hauß ein Landtvestin mit einer dielenen Wandt, daran ein Wasserthür Ingezeünt xxxiij schu lang, v schu herauß, Daran ein hültzin Profeÿ vff zweÿen Aichinen Pfaëlen iii+ schu breit, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, x ß viij d

Hanß Schwendt der Schiffmann hatt auch ein heüfflin Schiff Viemen vndt Ruder vor dem hauß vff das Allmendt, Besert & j ß vj d.

f° 500-v
Aber in einem Allmend Gäßlin

Balthasar Kremer der Schumacher hatt ane seinem Hauß ein Staucher xx schu lang, j schu heraus, darüber ein Wettertach In gleicher Lengen, noch i+ schu für den Staucher weÿters heraus, zwen besetzte Tritt v= schu lang, ii+ schu heraus, Mehr Oben demselben hauß noch hinden gegen dem Giessen ein Ausstoß xix schuh lang, iij schu heraus, Darunder zwen von grund vff gemaurte Streebpfeÿler, Jeder ij schu breit, ij schu heraus, Mehr über dem Vorgeschriebenen Vsstoß ein Staucher xix schu lang j schu herauß, Bessert für dieße Nüessung, x ß d.

Und hatt hinden an demselben Hauß die Landtvestin mit einer dielenen Wandt Ingezeünt, xx schu lang, xiij schu heraus, Bessert xv ß iiij d

f° 500-v
Aber gegen Wilhelmern über.

Hans Meÿers des Schneiders Wittwe hatt ahne Ihrem Hauß ein Wettertach xix= schuh lang iiij schuh herauß, Vnndt Inn dem allmendt gäßlin darneben ein hültzinen Naach, bessert für das Niessen, iiij ß viij d

f° 501
Aber gegen Wilhelmern über.

Das Hauß Zur Ganß Ist diser Zeitt Hanß Lentzings des Kachlers, so darinnen Wohnt, und hatt ein Lehnend Kellerfenster iij schu lang, xv Zoll breÿt, Ein Laden darauff Er täglich ein Vssatz von Jedenem Geschirr, vi+ schu lang, i+ schu breÿt, Bessert für das Niessen, ij ß d

Derselbe Hanß Lentzing hatt auch hinden ahne seinem Hauß vff den Giessen ein Landtvestin, mit einer dielenen Wandt, darinn ein Wasserthür Ingezeünt xxiiij schu lang, xi+ schu heraus, Daran ein Profeÿ iii+ schu breÿt, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, xvij ß viij d

f° 501
Aber gegen Wilhelmern über.

Dieboldt Negele der Bleicher hatt ane seinem Hauß, da Mathis Bettbür der Biersieder Innen sitzt, ein Vsstoß xxvi+ schu lang, iij schu herauß, Ein lehende Kellerthüer vij schu breit, iiij schu herauß, Ein besetztenn Tritt iiij schu, ix Zoll lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß viiij d

Und hatt hinden am Giessen die Landtvestin mit einer dielenen Wandt Ingezogen xxxvj schu lang, xvii+ schuh herauß, Außwendig vor diser hatt Er aber ein Landtvesten mit aichinen dielen und Pfälen versehen In gleicher Lenge v= schu herauß, Bessert für das Niessen, ij lb. j ß. iiij d

In dem Allmend Gäßlin Das Narrengaßlin genandt.

Der bemeldt Diebold Negele Der Bleicher vff der Ganßaw hatt auch In disem Gäßlin ane seinem Hauß ein hültzenen Naach, Bessert für das Niessen, viij ß d

f° 501-v
In dem Allmend Gäßlin Das Narrengaßlin genandt.

Hanß Dendelmann Der Küeffer und Georg Weinmann der Bronnenschöpffer haben Inn gemein ein hültzenen Naach, Zwischen Ihren beeden heüsern vf dem Allmendt stehen, Bessern für das Niessen, viij ß d

f° 501-v
In dem Allmend Gäßlin Das Narrengaßlin genandt.

Daniel von Zabern der Schiffmann hatt außwendig ane seinem Hauß vff dem Allmendt ein hültzenen Schopff stehet [sic], Darunder Er ein heüfflin dielen vndt etliche Väßlin ligen hatt, xx schu lang, iij schu breÿt, Daran ein Schweinstall vij schu lang, iii+ schu herauß, Zwen steinene Tritt v schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Bessert & vij ß. viij d

Derselb Daniel von Zabern hatt auch ein Landt Vestin hinden ane seinem Hauß mit einer dielenen Wandt Ingezeünt xxxv schu lang, ix schuh breÿt herauß, Daran ein Profeÿ iiij schu breit iiij schu herauß, Mehr auch vnden ane diser aber ein Landt Vesten In gleicher lengen vi+ schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. xj ß d

f° 502
Gegen Wilhelmern über

Hanß Denselmann Der Küeffer hatt vor seinem Hauß ein lehnete Kellerthüer vij schuh breÿt, iiij schuh herauß, Ein steinerinn Tritt vi+ schuh lang, einen Schuh herauß, einen Ladenn vj schuh lang, ij schuh herauß, Bessert für das Niessen, v ß viij d

Derselb Hanß Denselmann Der Küeffer hatt auch hinden ane seinem Schlupff vff der Landt Vesten Zweÿ hültzene Profeÿ, so Ihme vndt seinem Nachbawrenn gemeÿn seindt, sammenthafft iiij schu breÿt iiij schu herauß, Bessern für beÿde Profeÿ ij ß d.

f° 502-v
Gegen Wilhelmern über

Marx Kogen selligen wittwe vnd Erben Hauß Zum Sternenberg genandt, darin Michell Wÿdtmann der Scherer wohnt, hatt vornen vff dem allmendt ein steinerin Tritt v schu lang, j schu herauß, Ein lehender Kellerthür vij schuh breÿtt, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, v ß viij d

Er hatt auch hinden an seinem Hauß Zum Sternenberg ein Landt Vesten xxxj schu lang In alle Wege, daran ein auffgemaurt Profeÿ vf Zwen Kepfern iij schu breÿt, ii+ schu heraus, Vnndt dann neben Inn dem beschlüßigen Allmendtgäßlin vor einer Thüren ein gemaurten Tritt ii+ schu lang, j schu herauß, Vnd ein hültzenen Naach, Bessert für das Niessen, ij lb. xvj ß viij d

Nota, Zwischen beÿden Heüsern Zum Sternenberg Vndt Zum Seelosen genandt Ist ein beschlußssiges Allmend gäßlin, vntz hinden ahne den Brunnen befunden worden, Daruon gibt Järlichen ein Jeder Inhaber oder Besitzers der Behausung Zum Seelosen diser Statt Zinß viij d.

f° 503
Gegen Wilhelmern über

Das Hauß Zum Seelosen Ist diser Zeÿtt Jacob Greÿsen des Notarÿ der darinn wohnt, Vndt Ist ein Ortthauß vff diser seÿtten gegen dem Wilhelmer Closer hienüber, Vndt hatt vornen gegen Vischer thurn hinab ein lenende Kellerthür vi+ schu breit, ij schu iij Zoll heraus, ein gemaurten sitz ix schu lang, i+ schu breit, Zwen gemaurte Tritt v schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß iiij d

f° 503
Beÿ Sanct Steffans Prucken.

Balthasar Göppell der Schuster hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxiii+ schu lang ij schu ix zoll herauß, Daran oben ein Staucher xx schu lang, j schu herauß, Oben darüber ein hültzenen Gang In gleicher Lengen, noch i+ schu weiter für den Staucher herauß, Vnden Vor der Werckstatt ein Laden vii+ schu lang, ij schu iij Zoll herauß, bessert & iiij ß d.

Nota, diser Balthasar Geppell der Schuster hatt auch hind. an disen seinem Hauß ein allmendt blatz hinder dem brunnen Im Sternenberg gessel, den Er Zu dem Hauß nutzet, dauon Zinst Er diser Statt j ß d. Järlich wie Er sagt.
Vndt sagt der Zinßmeister, es gebe Ruprecht Schwenck der Schumacher Jerlich auch von dem Allmendt geßlin zwischen dem Hauß Zum Seeloßen seines theils Zinß. 8. d.

f° 503-v
Beÿ Sanct Steffans Prucken.

Diebold Kuch Weißbeck der Altt hatt ane seinem Hauß so ein Eckhauß Ist, Zu nechst ane Sanct Steffans Prucken, ein Wettertach xxv= schu lang, v= schu herauß, Ein becken Laden x schu lang, iii+ schu herauß, Zwen aussatz bänckh x schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, xij ß vj d

Und hatt Vnden ane dem Hauß vff der Preuschen ein Landtuesten Lii+ schu lang, vii+ schu vff das wasser hinauß, Darauff ein gemaurt Profeÿ vff Kepffern iij schu breit, i+ schu herauß, bessert &, j lb. v ß. iiij d.

Dißer Diebold Kuch hatt auch hinden Zwischen seinem Hauß vndt dem Hauß Zum Sternenberg einen Gang zum Wasser hinab, mag Er darumb beschickht vnd gehört werden, Ob vnd welcher gestalten Ime derselb Gang od. Schlupff vergönnet zugelassen, vndt erlaupt seÿe oder nitt ?
Souil disen Gang vfs wasser belangt, soll derselb gleich andern IngeZeünten, Vndt was dergleichen mehr Ist, der Herrn Dreÿern vfm Pfenningthurn anzubringen nit vnderlassen werden.

f° 504
Beÿ der Obern gedeckten Prucken am Rechen angemessen Sanct Johanns Giessen hinein.

Claus Enderle der Vischer hatt vor seinem Hauß ein besetzten Tritt v= schu lang, ij= schu herauß, bessert j ß d.

f° 504
Beÿ der Obern gedeckten Prucken am Rechen angemessen Sanct Johanns Giessen hinein.

Jacob Keck der Garttner, hatt ane seinem Hauß zweÿ Wettertach Über einander, Jedes xxij schu lang, ij schu herauß, über einem Thor ein Wettertach xxj schu lang, j schu herauß, bessert für das Niessen, v ß iiij d

Und hatt vff dem Allmend etlich mist ligen, vnd bessert für den Mist ij ß d.

f° 504-v
Beÿ der Obern gedeckten Prucken am Rechen angemessen Sanct Johanns Giessen hinein.

Diebold Ertzen Wittwe hatt über Ihrem Thor ein Wettertach xv schu lang, j schu herauß, Mehr ahne seinem haus ein Wettertach xxij schu lang, ij schu herauß, bessert für das Nüessen, iij ß viij d

f° 504-v
Beÿ der Obern gedeckten Prucken am Rechen angemessen Sanct Johanns Giessen hinein.

Philips Reÿs der Garttner hatt ane seinem hauß über dem Thor ein Wettertach xv schu lang, j schu herauß, Mehr über demselben ein Wettertach xxij schu lang, ii+ schu herauß, Darüber noch ein Wettertach xv schu lang, ij schu herauß, bessert für das Nüessen, v ß d

f° 504-v
Beÿ der Obern gedeckten Prucken am Rechen angemessen Sanct Johanns Giessen hinein.

Barthel Rinck der Holtzleger hatt oben ane seinem hauß Zweÿ Wettertächer über einander, Jedes xviij schu lang, ij schu herauß, Vnden am Hauß Zween Rebstöeckh mit brettern Ingefast, xv schu lang, v schu herauß, darüber ein Rebhälden vff xj Stützen, xxxviij schu lang, vff Truchtern, xiij schu herauß geladen, bessert & j lb. j ß. iiij d.

f° 505
Beÿ der Obern gedeckten Prucken am Rechen angemessen Sanct Johanns Giessen hinein.

Samuel Örtel der Garttner hatt an seinem hauß nebents In einem Allmendtgäßlin iij Rebstöeckh mit brettern Ingefast, Jeder ij schu breit, i+ schu herauß, bessert für die dreÿ Rebstöckh, iiij ß d.

Derselb Samuel Örtel hatt auch vornen gegen dem Giessen an seinem Hauß ein Wettertach Lxiij schu lang, ii+ schu herauß, Darüber aber ein Wettertach In derselben lengen, ij schu herauß, bessert für diese Zweÿ Wettertächer, xiiij ß. viij d.

Und hatt zu beÿden seÿtten am Hauß ein Rebhälden Jede vff iiij Stützen xxj schu lang, Oben vff Truchtern xij schu herauß geladen, bessert für die Zwo Rebhälden xiij ß iiij d.

Hatt auch vff dem Giessen Vor disem Hauß Zweÿ Profeÿ aneinander beÿde vj schu breit, vi+ schu herauß, Vndt gibt von beeden Profeÿen für die Nüessung v ß d.

f° 505-v
Daselbs vmb Das Eckh hinumb Inn der Allmendtgassen nach dem Newenn Thor Zue.

Der Vorgenandt Samuel Örtel hatt auch in der gassen neben seinem Hauß, vor einer Thür ein besetzten Tritt iij schu lang, j schu herauß, bessert für den Tritt j ß d.

Mehr hinden an seinem Hauß über dem Thor ein Wettertach xv schu lang, j schu herauß, bessert für das Wettertach, j ß d.

Und hatt daselbs ein Hauffen mist vff dem Allmend ligen, Bessert für den Mist, iiij ß d.

f° 506
Daselbs vmb Das Eckh hinumb Inn der Allmendtgassen nach dem Newenn Thor Zue.

Schultheißen Geörg der Garttner hatt über seinem Thor ein Wettertach xv schu lang, j schu herauß, bessert das Niessen j ß d.

Derselb hatt auch daselbs daß Allmendt mitt Mist verschlagen, Vndt für den Mist, iiij ß d.

f° 506
Daselbs vmb Das Eckh hinumb Inn der Allmendtgassen nach dem Newenn Thor Zue.

Lienhard Würtz der Garttner hatt vor seinem Hauß mist vff dem Allmendt ligen, bessert für den mist, iiij ß d.

f° 506
Daselbs vmb Das Eckh hinumb Inn der Allmendtgassen nach dem Newenn Thor Zue.

Veltin Bocken des Garttners seligen Kindere haben an Ihrem Hauß, so ein Eckhauß Ist vf diser seiten nach dem Newen Thor Zu, über dem Thor ein Wettertach xxj schu lang, j schu herauß, Vndt ein hültzenen Nach &, bessert für das Nüessen ij ß. iiij d

Sie haben auch vff der Andern seitten nach dem Newen Thor Zu vornen ane disem Hauß ein Allmendt blätzlin mit dielen Ingezeünt, xvij schu lang, v schu herauß, darinn ein Lehenende Kellerthür v+ schu breit, iii+ schu herauß, Darüber oben am Gebell ein Wettertach xvij schu lang v schu herauß, bessern & xj ß d.

Und haben daselbs vor disem Hauß zween Hauffen mist vff dem Allmendt ligen, für dise Zwen Heüffenn mist bessern sie vj ß d.

f° 506-v
Daselbs vmb Das Eckh hinumb Inn der Allmendtgassen nach dem Newenn Thor Zue.

Martin Küser der Garttner vor seinem Hauß Vff dem Allmendt ein hauffen mist ligen, darfür bessert Er iiij ß d.

f° 506-v
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Hanß Kamm der Metzger hatt ein Schewr So Zu Clauß Murrlins Hoffstatt vor der Zeÿt gehörig gewesen vndt Hatt über dem Thor ein Wettertach xxiii+ schu lang, j schu herauß, bessert für daß Niessen j ß iiij d.

f° 507
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Bastian Klugshertz der Garttner hatt vor seinem Hauß, darinnen Andres Sigel der Taglöhner sitzt, ein steinen Tritt iiij schu lang, i+ schu herauß, Nebendts ahne dem Hauß ein Rebhelden vf vij Stützen xlv schu lang, vij schu breit, mit truchtern Oben herauß geladen, Vndt ein wasserstein j schu herauß vff das Allmendt, bessert & ix ß. viij d.

Er hatt auch ein Heüfflin Mist daselbst vff dem Allmendt ligen, vndt bessert für den Mist, ij ß d.

f° 507
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Dieboldt Schellhammer der Garttner hatt Vor seinem Hauß ein Heüfflin Wellen und holtz ligen, darbeÿ auch ein heüfflin oingeuorlich vff ein Karch Voll Eschen, bessert darfür, ij ß d.

f° 507
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Melchior Ersam der Garttner hatt über seinem Thor ein Wettertach xvij schu lang, j schu herauß, Bessert für das Nüessen, j ß d

f° 507-v
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Hanß Klein der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxvij schu lang, ii+ schu herauß, Mehr ein Rebstockh vf dreÿen Aichenen Pfosten xvij schu lang, vi+= schu breit vff Truchtern heruaß geladen, bessert für das Nüessen, v ß iiij d
Diser Ist gestorben Vnd Verdorben, also das die wittwe sampt den Kleinen Onerzogenen Kindern In grosser Armutt lebet, vndt Wochentlich auß dem Allmusen Zu Sanct Marx. 20 d empfangt.

f° 507-v
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Jacob Kamm der Würth Zur Aëxt hatt ein Schewer vndt Rinder Stalll, Oben daran ein Wettertach Von dielen xxxvij schu lang, iij schu herauß, Darüber noch ein Wettertach xx schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für dise Zweÿ Wettertächer viij ß d.

Derselb Jacob Kamm hatt auch vor demselben Stall vnd Schewer ein grossen Hauffen mist Vff dem Allmendt ligen, bessert für den Mist, v ß d.

f° 507-v
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Lienhardt Seÿtz der Notarius hatt ein Hauß so ein Eckhauß gegen Sanct Clausen in Vndis vndt der Gießhütten, Vndt hatt über dem Thor desselben Haußes ein Wettertach xiij schu lang, j schu herauß, Mehr oben am Gebell ein Wettertach xxv schu lang, iii+ schu herauß, oben ane der Stuben ein außgemaurt Kensterlin iij schu breit j schu herauß, Vnd ein hültzenen Naach, vndt hatt vornen her gegen der Gießhütten, ein Ausstoß xxxii+ schu lang, i+ schu herauß, Darüber aber ein Vsstoß Inn gleicher Lengen ix Zoll herauß, bessert für das Nüessen, x ß. viij d.

f° 508
Vff der Andern seitten beim Newen Thor an Claus Murrlins Hoffstatt vnd Gartten, dauon Er Jars diser Statt Zinst 15 ß d. von dem Marckstein Num° 5. angemessen wider Krautten Auw hinein.

Lienhardt Kog der Weinhändler hatt ein Eckhauß daselbst gegen der Rinckmauren, Wann mann beÿ der Gießhütten hinumb nach dem Newen Thor Zu gehen will, vnd hatt Oben über der Infarth desselben Hauses ein Wettertach xvij schu lang, j schu herauß, bessert & j ß d.

f° 508
Hinder der Rinckmauren beÿ dem Newen Thor von Sanct Clausen in Vndis herfür.

Hanß Klein der Garttner hatt hinden vor seiner schewr ein heüffel mist vf dem Allmendt ligen, bessert für den Mist, ij ß d.

f° 508-v
Hinder der Rinckmauren beÿ dem Newen Thor von Sanct Clausen in Vndis herfür.

Dieboldt Schellhammer der Garttner hatt hinden an seinem Hauß über einem Thor ein wettertach xvij schu lang, j schu herauß, ein Rebhälden vff dreÿen Stützen xxj schu lang, Oben vff Truchtern viii+ schu breÿtt Uber die dielen Wandt herauß geladen, bessert das Nüessen, v ß d.

Derselb Dieboldt Schellhammer hatt auch alda das Allmendt mit mist verschlagen, Darfür soll Er bessern, iiij ß d.

f° 508-v
Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts

Simeon Krieg der Schiffmann hatt vor seinem hauß ein gemaurten Tritt iiij schu lang, xv Zoll heraus, vor dem Hauß auch ein mitt Latten Ingefassten Rebstockh xii+ schu lang, ii+ schu herauß, bessert das Nüessen, ij ß iiij d.

Und hatt vff dem Gissen, auch ein Prütschen vf zweÿen Aichinen Pfosten, die soll Er sampt der Landtuesten so weÿt Er dieselb neust, erhalten

Sonst seindt Zwischen beÿden der Obern vnd Vndern gedeckhtnen brucken, Vier mit aichinen Pfaëlen Ingeschlagene Wasserstegen Inn den Landuesten durchabhin befunden, soll den Nüessern solche sampt denselben Landtuesten Zuerhaltten vff erlegt vndt mit ernst beuohlen werd.

f° 509
Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts

Burckhardt Murren des Schiff Zimmermanns seligen wittwe, hatt vor Ihrem Hauß, darinn Dauidt Oßwaldt der Schiff knecht wohnet, Zwen steinene Tritt v= schu lang, iij schu herauß, Bessert & j ß. vj d

f° 509
Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts

Bernhard Fritschman der Wurtz krämer hatt an seinem Hauß über der Infartt ein Wettertach xix schu lang, ix Zoll herauß, bessert &, j ß d.

Und hatt vor demselben Hauß ein grossen hauffen mist vff der Landtuesten ligen, Vndt bessert für den Mist, iiij ß d.

f° 509-v
Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts

Steffan Brüelmeÿer der Lonherr vff dem Rhein hatt oben an seinem Hauß ein hültzinen Gang vff Vier steinen Kepffern xxvii+ schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Vor der Thüren iij steinen Tritt iiij schu lang, ij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, vj ß x d

f° 509-v
Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts

Philips Andres der Vischer hatt an seim Hauß ein außgemaurt Erckerlin mitt zweÿen Liechtern v= schu breÿt, xvj Zoll herauß, bessert & j ß d.

f° 509-v
Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts

Lienhard Meÿers Metzgers selligen wittwe hatt an Ihrem Hauß ein hültzenen Naach, bessert für den Nach, viij ß d.

f° 509-v
Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts

Dauidt Andreßen seligen Erben haben vor dem hauß Zwen gemaurte Tritt v= schu lang, j schu ix Zoll herauß, Vndt haben d. Allmend gäßlin neben disem Hauß oben verbawen, xviij schu lang hineinwerts vj schu breit, hinden In dem Allmendt gäßlin an disem Hauß ein Ausstößlin xj schu lang ix Zoll herauß, bessert für das Nüessen, vij ß iiij d
[in margine :] Jetzt Adam Thoman der Schiffmann

Mühlgäßlin.

Sie haben auch hinden in dem Gäßlin das Allmendt ane dem gemeldten Hauß zu einem Höflin mit einer dielen Wandt Ingezeünt, xvi+ schu lang xv schu breit, bessert & xiij ß iiij d
[in margine :] Inzeünung soll bestendig bessern

f° 510
Mühlgäßlin.

Jacob Meÿenthawen des Vischers selligen Wittwe Hatt In disem Allmendtgäßlin Vor Ihrem Hauß die Allmend mit einem beschlüßigen Schopff verbawen xxxiii+ schu lang, xiij schu breit, Bessert für das Nüessen, j lb. ij ß viij d
Sie Zeigt ahn diser Schopff seÿ Ihro Von Benedict Hürtten selligen wittwe vnd erben Zu Irem Hauß für freÿ ledig aigen Zu Kauffen geben worden.

f° 510
Mühlgäßlin.

Christmann Stamm der Schiffmann hatt hinden In disem Allmendtgäßlin Vor seinem Hauß ein beschlüßigen Schopff vff dem Allmendt stehen, xvj schu lang, x schu breit, hinden daran ein Schweinstall vnd ein heüfflin wellen ligen, Bessert & xj ß d
[in margine :] diser Schopff soll bestendig bessern

f° 510-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Melchior Murrlin der Garttner hatt an seinem Hauß vornen gegen dem Giessen über dem Thor ein Wettertach, xxvij schu lang, j schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß iiij d

f° 510-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Andres Schnell der Schiff Zimmermann hatt Vnden Vor seinem Hauß ein hültzenen banckh vff dreÿen gemaurten Pfeÿlerlin xiiij schu lang, xv Zoll herauß, bessert für das Nüessen, j ß vj d

Er hatt auch Inn dem Allmendtschlupff zwischen Melchior Dachern vnd Ime ein langen hültzenen Naach schregs ane seinem Gebell herab vntz vff die Allmendt herfür gericht, so aller erst beim Augenschein den 19.ten Martÿ Anno 97. funden worden.

f° 510-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Melchior Dacher der Garttner hatt vor seinem Hauß das Allmendt mit einer dielenen Wandt Ingezeünt, vntz vff andres Schnellen Hauß neben Ihme xxx schu lang, vii+ schu breit, darinn ein Rebhälden, bessert für den Rebstock vnd Helden xij ß d.

InZeünung Zugedenckhen möchte Ihme die Herrn. 3. Vf dem Pfenningthurn Künfftiger Zeÿt ein beständigen zinnß darauff schlagen, Wanit so solte Er solche Inzeünung gar wid.umben hinweg thun vndt der Statt Ihr allmendt allerdings wider öffnen.

Derselb Melchior Dacher hatt auch hinden vor seiner Schewr vndt Stall das Allmendt mit mist Verschlagen, Vndt für den Mist, iij ß d.

f° 511
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Claus Schlettstatters selligen des Garttners Kinder haben an Ihrem Hauß ein Von grundt auffgemaurten Pfeÿler, ij schu breÿt, i+ schu herauß, bessern &, iij ß d.

f° 511
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Jonas von Grieß des Metzgers selligen des Wittwe, hatt an Irem Hauß über dem Thor ein Wettertach xx schu lang j schu herauß, vndt dann ein mit Latten Ingefasten Rebstockh xxj Zoll breÿt, xvj Zoll herauß &, Bessert & ij ß d.

f° 511-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Michell Reinhardt der Schiffmann hatt oben an seinem Hauß ein hültzin wettertach xxvij schu lang, ij schu herauß, Mehr ane dem Gebell darneben ein Wettertach xxij schu lang, ij schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleÿben, bessert für das Niessen, iiij ß viij d.

f° 511-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Frantzen Hensels selligen des Metzgers Erben haben an Ihrem Hauß ein Staucher xxxj schu lang, j schu herauß, Darüber ein Wettertach Inn gleicher Lengen xv Zoll herauß, bessern & j ß. iiij d.

f° 511-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Schultheißen Geörg hatt vor seinem Hauß vff dem Allmendt ein heüffel mist, bessert & ij ß d.

f° 511-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Sebastian Branden selligen des Tuchmanns Erben haben an Ihrem Hauß, darinn Barthel Frech der Ziegler sitzt, ein Wettertach xlj schu lang, ij schu herauß, Ein steinen Tritt v= schu lang, xv Zoll herauß, Bessert für das Niessen, v ß d.

f° 512
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Nidewendig der Vndern gedeckhten Prucken vff dem Giessen seindt vier Aichinen Pfälen Ingeschlagene Wasserstegen Vndt vff derselben Landtuesten ein Prütschen vff Zweÿen Aichinen Pfaëlenn sollen die Nüesser solche erhaltten

Ißraël Bockh der Garttner hatt über seinem Thor ein Wettertach, xvij schu lang, ix Zoll herauß, bessert für d. Nüessen j ß d

f° 512
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Paulus Dilers selligen des Garttners Erben haben an Ihrem Hauß ein Rebhälden vff iiij Stützen xxvij schu lang, Oben uff Truchtern ix ß über die Maur herauß geladen bessern &, vj ß viij d.

f° 512
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Hans Schwing der Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxiij schu lang, iij schu herauß, Mehr über der Infarth ein Wettertach x schu lang, i+ schu herauß, bessert & iiij ß. viij d.

f° 512-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Derselb hatt neben disem aber ane einem Hauß ein Wettertach xij schu lang, j schu herauß, Oben darüber noch ein Wettertach xvj schu lang, iii+ schu herauß, Vnden daruor Zwen gemaurte Tritt iiij schu lang, xxj Zoll herauß, Bessert für d. Nüessen iiij ß viij d

f° 512-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Mathis Schirmb der Garttner hatt vor seinem Hauß steinene Staffel iij schu lang, i+ schu breytt, Bessert für d. Nüessen, j ß d

Er hatt auch daselbs ein Hauffen mist vff dem Allmendt ligen, bessert für den Mist, iij ß d

f° 512-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Joachim Köle der Zoller am Weissenthurn hatt ane seinem Hauß, da Hanß Weckerlin der Schneÿder Innen sitzt, ein lehenend Kellerthür vj schu breit, iii+ schu herauß, Vor der Thür Zwen steinene Tritt, darauff ein ligend vergettert Kellerfenster iiij schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, v ß iiij d.

f° 512-v
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Basilius Beütler der Pfarrer zu Faulgrießheim hatt oben ane seinem Hauß ein außgestossen Kemmattlin i+ schu breit, xv Zoll herauß, Ein offene Kellerthür v schu breit iij schu herauß, bessert für das Nüessen, iij ß viij d.

Und hatt vor dem Hauß ein Hauffen Zerbrochenen Maurstein, vff dem Allmendt ligen, Soll Allmendt sein vnd bleiben, bessert für das Nüessen, ii ß d.

f° 513
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Philips Öler der Küeffer hatt oben ane seinem Hauß ein Wettertach von dielen, xx schu lang, v schu herauß, Darunder ein offene Kellerthüer v schu breit iiij schu herauß, Vndt hatt auch ein Rebsteckh oben am Hauß, v schu Inn alle wege, bessert & x ß viij d.

Diser Philips Öler hatt auch etlich Kübler holtz daselbsten Vor dem Hauß vff dem Allmendt ligen, bessert & i ß d.

f° 513
[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]

Michell Vischer der Schneider hatt an seinem Hauß so ein Orthauß Ist, Vnden In Vÿhegassen Vndt Zum engel genandt ein Wettertach xxviij schu lang, iiij schu herauß, Darüber oben aber ein Wettertach xv schu lang, iij schu herauß, Bessert & viij ß d.

f° 513-v
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.

Michell Herman der Mehl Grempp hatt vor seinem Hauß, da Hans Jacob Spieß der Huttmacher Innen sitzt, einen sitz von Holtzwerckh mitt einer Ruckwandt, i+ schu lang, xv Zoll breit, Mehr vor der Thür ein hültzenen Tritt, iii+ schu lang, i+ schu breit, bessert & ij ß d

f° 513-v
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.

Lienhards Jacoben des Taglöhners wittwe hatt vor Ihrem Hauß das Allmendt mit einer dielen Wandt Ingezogen xviij schu lang, Vornen v= schu lang, laufft hinden In sich selbs, bessert & ij ß d.
Nota. Soll Iro, Wann Sie beschickht, auch Zugleich mit ernst wie allen andern gepotten vndt aufferlegt werden, wider also weÿt hienein Zuweichen, Oder aber beÿ Herrn 3. vnd Bauwherren fürterhin vmb ein bestendigen Jar Zinß zuentlehnen.

f° 513-v
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.

Wolffen Hanßen des Garttners selligen Erben haben an Ihrem Hauß ein Wettertach xj schu lang, ij schu herauß, Mehr über der Infarth ein Wettertach xix schu lang, j schu herauß, bessern & ij ß iiij d

f° 514
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.

Schultheißen Geörg hatt ane einem Hauß ein Wettertach xxvij schu lang, ij schu herauß, Darüber aber ein Wettertach xij schu lang, noch ij schu weiter herauß, Über dem Thor ein Wettertach xvj schu lang j schu herauß, bessert & v ß d

f° 514
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.

Schultheißen Dieboldt deßelben Schultheißen Georgen sohn, hatt neben seinem Hauß ein Gartten, daran ein Rebhälden xvij schu lang, oben mit aichinen bügen auch Sperrlin vndt Latten vff v schu breit herauß geladen, bessert für d. Nüessen, ij ß viij d

Derselb Schultheißen Dieboldt hatt auch ane seinem Hauß daselbsten ein Wettertach xxxiiij schu lang, iii+ schu herauß, bessert für das Wettertach, v ß iiij ß d

f° 514
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.

Sixt Schneider der Altt Meÿer vff dem Newen Hoff, hatt vor seiner Schewr ein heüfflin bortten vff dem allmendt, bessert für d. Nüessen, j ß d

f° 514
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.

Jacob Keckh der Garttner hatt an seinem gartten alda ein dielen Wandt Zuferr herauß Vff das Allmendt gesetzt, vf einer seÿten Inn der Vihgassen xx schu lang, j schu herauß, Vndt vff der Andern seÿthen Inn der Vihgassen nach dem Newen Thor Zu, xl schu lang, Inn d. mitten iij schu, vndt ane beeden ortten i+ schu breit herauß, vndt bessert für solches In Zeünen der Allmendt, iiij ß d
Nota. Soll Ihme bevohlen werden, widerumb also weÿt hinein Zurucken Oder aber vfm Pfenningthurn Zu lehnen vmb ein bestendigen Zinß.

f° 514-v
In der Zwerchgaßen nach dem Newen Thor Zu, neben Keckh Jacobs Gartten.

Claus Dill der garttner hatt vor seinem Hauß zweÿ heüfflin mist vf dem Allmendt ligen, bessert & iij ß d

f° 514-v
In der Zwerchgaßen nach dem Newen Thor Zu, neben Keckh Jacobs Gartten.

Daniel Alandt der Kretschwescher hatt vor seiner Thür ein steinen Tritt iiij schu lang, xv Zoll herauß, j ß d

Und hatt daselbs vor dem Hauß auch ein hauffen mist vff dem Allmendt ligen, Vndt soll für den hauffen Mist bessern ij ß d.

f° 515
In der Zwerchgaßen nach dem Newen Thor Zu, neben Keckh Jacobs Gartten.

Bastian Klugshertzen des Garttners selligen Erben haben ein Hauß da Matheus von Bisantz der fuhrmann Innen sitzt, daran ein Rebhälden vf Vier Stützen xviij schu lang, Oben vf Truchtern viij schu herauß geladen, bessern & iij ß vj d.

Matheus von Bisantz hatt vor disem Hauß ein Heuffel mist uff dem Allmendt ligen, bessert für den Mist & ij ß d

f° 515
In der Zwerchgaßen nach dem Newen Thor Zu, neben Keckh Jacobs Gartten.

Des gemelten Bastian Klugshertzen selligen Erben haben aber ein Hauß darinn Melchior Holtzer der Taglöhner wohnt, daruor ein besetzten Tritt iij schu lang, xv Zoll breit, bessert für den Tritt, j ß d

f° 515
Anderseit in der Allmendtgaßen Von dem Newen Thor wider hereinwerths nach Sanct Johanns Giessen Zu.

Claus Mürrlin der Garttner hatt ein Hauffen Mist vff dem Allmendt ligen, bessert für den Mist, iij ß d

Benedict Hirtten selligen des Garttners Erben haben ane Ihrem Hauß, darinnen Claus Mürrlin sitzt, mit einer dielenen Wandt zu ferr vff d. Allmendt heraußgeruckht, xxxii+ schu lang, oben i+ schu breit herauß stehet vnden recht, bessern darfür, i ß iiij d
Nota. Es soll Ihme alß fern wider hinein Zuweichen oder aber bei Herrn 3. Vnd Bawherrn Vfm Pfenningthurn vmb ein bestendigen Jarzinß zu lehnen aufferlegt vnd beuohlen werden.

f° 515-v
Anderseit in der Allmendtgaßen Von dem Newen Thor wider hereinwerths nach Sanct Johanns Giessen Zu.

Martin Freÿ der Garttner hatt an seinem Hauß, über einem Thor ein Wettertach xxij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Wettertach, j ß. iiij d

Und hatt Vor dem Hauß vff dem Allmendt ein Hauffen mist & Vndt für den Mist, iij ß d

f° 515-v
Anderseit in der Allmendtgaßen Von dem Newen Thor wider hereinwerths nach Sanct Johanns Giessen Zu.

Herr Philips Wehrlin der Fünffzehener hatt vor seinem Gartten ein Hauffen mist Vff dem Allmendt, bessert für das Nüessen, iij ß d

f° 516
Anderseit in der Allmendtgaßen Von dem Newen Thor wider hereinwerths nach Sanct Johanns Giessen Zu.

Bläsin Schmidt derr Garttner hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxiij schu lang, ii+ schu herauß, Bessert & ij ß viij d

Und hatt an demselben Hauß das Allmendt mit einer dielen Wandt Zu weÿt Ingezogen xxx schu lang, Oben am Hauß i+ schu, Vnden viij Zoll breÿt herauß & Vnd bessert das er zu Weÿt hinauß vff die Allmend gefahren Ist ij ß viij d
[in margine :] soll wider umb hinein rucken Oder es auch fürthin bestendig verzinßen.

Mehr hatt Er über seinem Thor ein Wettertach xx schu lang, j schu herauß, Vnndt bessert füt das Wettertach, j ß iiij d.

Derselb Bläsin Schmidt hatt auch ein hauffen Mist vff dem Allmendt alda ligen, Bessert für den hauffen Mist, vndt das Nüssen daselbs iij ß d.

f° 516
Anderseit in der Allmendtgaßen Von dem Newen Thor wider hereinwerths nach Sanct Johanns Giessen Zu.

Herr Michael Liechtenberger Altt Ammeister hatt ein Hauß genandt zum Rothen Weiß kopff, da Jacob Knecht Garttenmann Innen sitzt, Vnd hatt daruor ein hohen uffgemaurten Kellerhalß mitt Tachwerckh geteckht vij+ schu breit, v+ schu herauß, darneben ein Schweinstall iiij schu breÿt, v+ schu herauß, Vndt hatt vor dem Kühestall ein besetzten Tritt iij schu lang ij schu herauß, bessert für das Niessen, ix ß d.
[in margine :] Modo Knechts Jacob der Garttener

Hatt auch alda ein hauffen mist vff dem Allmendt ligen, soll Allmendt sein und bleiben, bessert für das Nüessen dises mists iij ß d.

f° 516-v
Anderseit in der Allmendtgaßen Von dem Newen Thor wider hereinwerths nach Sanct Johanns Giessen Zu.

Christmann Schoppen des Vischers selligen Wittib hatt vor Ihrem Hauß ein Schweinstall v+ schu breÿt, v+ schu herausser, bessert & iij ß d.

Dieselb Wittwe hatt auch ein Hauffen mist vff dem Allmendt ligen, Vnd bessert für den Mist, ij ß d.

f° 516-v
Anderseit in der Allmendtgaßen Von dem Newen Thor wider hereinwerths nach Sanct Johanns Giessen Zu.

Simon Krieg der Schiffmann hatt in diser Gassen ans einem Hauß ein Schweinstall v schu breÿt, v schu herauß, Vndt dann em Eckh seines Hauß ein von grundt vf gemaurten Pfeÿler vj schu hoch, xxj Zoll breÿt, j schu herauß, Bessert für d. Nüessen, iiij ß d

f° 517
Aber in Vihegaßen die Anderseitten wider herauß.

Herr Niclaus Fuchß der Ammeister hatt ane seinem Hauß, da Hans Knecht der Schiffmann Innen sitzt, Oben ein Staucher xx schu lang, ix Zoll herauß, Mehr über eim Thor desselben hauses ein Wettertach xx schu lang j schu herauß, Bessert für d. Niessen, j ß iiij d

Nota. Herr Niclaus Fuchß weÿßt vnß deßhalben vff herrn Balthasar Stössern, vnd sagt Er hab Ihme das Hauß mit allen darauff stehenden beschwedern seÿthero Zukauffen geben.

f° 517
Aber in Vihegaßen die Anderseitten wider herauß.

Heinrich Hammerers des Tuchmanns selligen Erben halben an einem Hauß, da Mathis der Zahnbrecher Innen sitzt, über dem Thor ein Wettertach xx schu lang, ix Zoll heraus, Bessert für d. Nüessen, j ß iiij d

f° 517
Das Ander Eckh an Vihe Gaßen, vnd daselbs hinumb nach dem Wilhelmer Closter Abwährts.

Hans Weißhor der Beckh hatt an seinem Hauß ein hültzenen Nach, Bessert für den Naach, viij d

f° 517-v
Das Ander Eckh an Vihe Gaßen, vnd daselbs hinumb nach dem Wilhelmer Closter Abwährts.

Georg Stöffel der Weißbeckh hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxxvj schu lang, v schu iij Zoll herauß, Ein becken Laden x= schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Nüessen, viij ß. iiij d

f° 517-v
Das Ander Eckh an Vihe Gaßen, vnd daselbs hinumb nach dem Wilhelmer Closter Abwährts.

Das Haus Zum Jäger ist Stoffel Letzius bewohnts diser Zeÿtt Jacob Daltz der Zimmermann vndt hatt ein offene Kellerstegen x= schu breÿt, ii+ schu ß, Bessert für d. Niessen, j ß. viij d

f° 517-v
Das Ander Eckh an Vihe Gaßen, vnd daselbs hinumb nach dem Wilhelmer Closter Abwährts.

Andres Jundten Des Schneiders selligen wittwe hatt Oben an Ihrem Hauß ein Ausstoß xxix schu lang, iij schu herauß, ein Gremppen Banckh vnden vor dem Hauß vj schu lang, ij schu herauß, dreÿ Aussatz benck vij schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das niessen, vij ß. ix d

Hellgäßlin Eineseitten

Ermelts Andres Jundten selligen wittwe hatt auch Inn dem Haëllgäßlin ein Überbaw von Ihrem Hauß heraus xxv+ schu lang, iii+ schu breÿt, Vndt hatt hinden am Hauß ein Kupfferin Naach herauß vf dem allmend, v ß viij d.

f° 518
Hellgäßlin Eineseitten

Jacob Herdtels des Taglöhners selligen wittwe hatt vor Ihrem Hauß ein außgemaurtes bencklin iiij schu lang, j schu herauß & bessert & j ß d

f° 518
Hellgäßlin Eineseitten

Jacob Schewrer der Garttenmann hatt an seinem Hauß vor den stuben fenstern ein Staucher xii+ schu lang, viij Zoll herauß, Ein stehend Kellerfenster ii+ schu lang, + schu herauß, bessert &, j ß d

f° 518
Hellgäßlin Eineseitten

Heinrich Hammerers selligen des Tuchmans Erben haben an Ihrem Hauß hinden im Hellgeßlin ein Schewr, vndt davuor ein Hauffrn Ziegel vndt Maurstein ligen,bessert & j ß iiij d

f° 518
Anderseiten Hellgäßlins

Balthasar Stößer hatt ein Hauß daran ein Wettertach ix schu lang, j schu herauß, Ein besetzten Tritt iii+ schu lang, ij schu herauß, bessert &, ij ß d

f° 518
Anderseiten Hellgäßlins

Das Allmusen Zu Sanct Marx hatt an einem Hauß da Barthel Merckell der Maurer sitzt ein hültzenen Nach, viij d.

f° 518-v
Anderseiten Hellgäßlins

Veltin Herings selligen des Maurers Wittwe hatt ane Irem Hauß ein hültzenen Nach, bessert für den Naach, viij d.

f° 518-v
Anderseiten Hellgäßlins

Veltin Hanisch des Leinenwebers selligen Wittwe hatt Im Hell Gäßlin an Irem Hauß ein Überbaw xxv+ schu lang, v+ schu herauß oder breÿt, bessert für das Nüessen, vij ß. iiij d.

Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Ermelts Veltin Hanischen Wittwe hatt auch vornen auß dem Hellgeßlin an Ihrem Hauß einen Ausstoß xxix schu lang, iij schu herauß, Ein lehnende Kellerthüer v+ schu breit, iiij schu herauß, Ein besetzten Tritt iiij schu lang, xv zoll herauß vnd ein hültzenen Naach, soll Allmendt sein vnd bleiben, bessert für das Niessen, ix ß. iiij d.

f° 518-v
Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Balthasar Ulrich der Weißbeckh hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xxxi+ schu lang, v schu herauß, Ein Lehenende Kellerthüer vij schu breit, iiij schu herauß, Ein Brodtladen x+ schuh lang, iii+ schuh herauß, Bessert für das Niessen, xiiij ß. ij d.

f° 519
Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Veltin Meßerschmidt der Haußbeckh hatt oben ane seinem Hauß ein Staucher, xj schu lang j schu herauß, Ein Lehenende Kellerthür, sampt Zweÿen vffrechten Meürlin v+ schuh breÿt, iiij schu herauß, Ein besetzten Tritt vj schuh lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, v ß. ij d.

f° 519
Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Hans Schreiber der Kachler hatt ane seinem Hauß ein Wettertach xiij schuh lang, v+ schuh heraus, Ein Offene Kellersteg, sampt Zweÿen vffrechten Meürlin viij schuh breÿt, iiij schu herauß, Ein besetzten Tritt x schuh lang, iii+ schu breÿt, Vnndt dann ein Laden xiij schu lang, iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xj ß. iiij d.

f° 519
Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Derselb Hans Schreiber hatt auch ane seinem Hauß Zum Tantz genandt, Vornen hero ein Vsstoß xxxj schu lang iij schu herauß, Ein Offene Kellersteg iiij schuh ix Zoll breit, v= schu herauß, Vndt vor der Thür ein steinen Tritt iiij schuh lang j schuh herauß, Bessert für das niessen, ix ß. viij d.

Balthasar Stößer hatt daselbsten herumb das Allmendt Zimblich mit Bawholtz belegt, bessert ij ß d.

f° 519-v
Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Conrad Bosch der Leinenweber hatt ane seinem Hauß Zum Rÿsen genant, ein lehende Kellerthür v+ schuh breÿt, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß. viij d.

f° 519-v
Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Georg Hoffmann der Haußbeckh hatt ane seinem Hauß ein Vsstoß xxv schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Ein Brod Ladten ix= schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, vj ß. viij d.

f° 519-v
Vornen außer dem Hellgäßlin Vff der seÿten beÿ dem Hauß zum Tantz

Derselb Georg Hoffmann Beckh hatt auch darneben an einem Hauß, da Ulrich Spengler der Schneÿder Innen sitzt, ein Laden x= schu lang, i+ schu herauß, Vndt In Hamman Gäßlin darneben ein hültzenen Naach, Vndt bessert für das Niessen, viij d.

Hamman Gäßlin,

Der gemeldt Georg Hoffmann hatt auch an berürtem Hauß, Inn dem Hammangäßlin ein hinder thür, daruor ein steinen Tritt iij schu ix zoll lang, xv Zoll breit, bessert für das Nüessen, j ß d.

f° 520
Hamman Gäßlin,

Sebastian Jung der Eisen Crämer hatt ane seinem Hauß, da Lorentz Pfaff der Schiffknecht Innen sitzt, ein hültzenen Naach & bessert für den Naach, viij d.

f° 520
Aber vornen wider auß dem Hamman gäßlin, beÿ dem Closter zun Wilhelmern

Die Garttner Zunfftstuben hatt vnden vor dem Ingang ein besetzten Vndt ein steinenen Tritt vi+ schu lang, ij schu iij Zoll herauß, bessert ein Ersame Zunfft für dise Zwen besetzte Tritt j ß. vj ß

f° 520
Aber vornen wider auß dem Hamman gäßlin, beÿ dem Closter zun Wilhelmern

Die Wilhelmer haben ein Hauß da Michael Agricola der Teutsch Schulmeister Innen wohnt, Daruor ein steinenen Tritt iiij schu lang, xv zoll breit, vnd ein hültzenen Nach, bessern j ß. viij ß

f° 520-v
Aber vornen wider auß dem Hamman gäßlin, beÿ dem Closter zun Wilhelmern

Die Wilhelmer haben abermals vor einer Thür zwen steinene Tritt iiij schu lang, j ß ix Zoll herauß, Mehr vor einer Thür ein steinenen Tritt v= schu lang, j schu herauß, bessern darfür ij ß d.
[in margine :] Nota Gehört zu der Prediger Schul od. der Pflegerei zun Barfüssern.

f° 520-v
Beÿ der Wilhelmer Kirchen Vmb das Eckh hinumb nach Sanct Claus in undis Zu

Balthasar Stößer hatt ane der Wilhelmer Kirchen vff der seÿthen nach Sanct Claus in undis Zwen hauffen bortten vffm Allmendt ligen Jeder Hauff xx schu lang, x schu breit, bessert für dises Nüessen, iiij ß d.

f° 520-v
Beÿ der Wilhelmer Kirchen Vmb das Eckh hinumb nach Sanct Claus in undis Zu

Carle Spillmann der Würth Zur Lungen hatt nebents ane der Kirchen Mauren Zun Wilhelmern ein breÿtten vndt hohen stoß Zahl holtz vff dem Allmendt stehen, Soll allmendt sein vndt bleiben, bessert für das Nüessen & iiij ß d.

f° 521
Under dem Wilhelmer Closter hinab dem Vischer Thurn Zu.

Bläeß Egen der Schaffner hatt oben an einem Hauß, so ein Eckhauß Ist gegen Wilhelmern über, darinnen Bastian von Bisantz der Scherer wohnt, ein Ausstoß xx= schu lang, iij schu herauß, ein lehnende Kellerthüer vi+ schu breit, ii+ schu herauß, Darneben ein steines Bencklin ii+ schu lang, ij schu herauß, Vor der thür ein besetzten Trritt xi+ schu lang, vij schu breit herauß, Vndt hatt auch auff der andern seitten diser behausung gegen Wilhelmern über ein Rebstockh mit Latten Ingefast, vj schu lang, iij schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, bessert für das Nüessen & xj ß viij d.

Bastian von Bisantz der Scherer hatt vor disem Hauß vff dem Wasser ein Schweinstall stehen, v schu Inn allwege, soll Allmendt sein vndt bleiben, bessert für den Schweinstall ij ß d.

f° 521
Under dem Wilhelmer Closter hinab dem Vischer Thurn Zu.

Georg Linckh der Haußbeckh hatt oben an seinem Hauß ein Wettertach xxv+ schu lang, vj schu herauß, Einen becken Laden xii+ schu lang, iii+ schu breit, Darunder ein ligende Kellerthür v= schu breit, iij schu herauß, Vor der thür ein besetzten Tritt xix schu lang, vij schu herauß, darauff noch Zwen steinene Tritt v schu lang, ij schu herauß, darneben ein steinerin sitz v= schu lang, ij schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, bessert & j lb d.

f° 521-v
Steÿsen Gäßlin die Einseitten,

Ulrich Mor der Schreiner begert vff diser seÿtten hinden Im Steÿssen gäßlin Zu seinem geprauch ein lehren Allmendt Platz umb die Statt Zuentlehnen, gegen einem gebürlichen Zinß, darselb Platz Ist xvij schu breit, vndt an einem Ortt ix schu, am Andern Ortt xj schu lang hienein wertt & Ist Zu bedacht gezogen
Den Letzten May Anno & 1595 seindt die Allmendt herren widerumb auff dem Augenschein gewesen, Vndt haben befunden, das die abgemeldte Allmendt aneruolgts bescheidts albereit mit holtz werckh Ingezeünt vndt verschlagen word. Ist, derowegen möge Herrn dreÿer vnd Bawherrn nun hinfürter ein bestendigen Järlichen zinß darauff schlagen.
[in margine :] Jetzund Jacob Gruber der Schreiner. Nota Auch in d. Memorial zuzeichnen

f° 521-v
Steÿsen Gäßlin die Einseitten,

Michell Mebhardt hatt oben an seinem Hauß da Martin Hammerschmidt der Gürttler wohnt ein hültzenen Nach soll & Bessert für das Nüessen, viij d

f° 522
Steÿsen Gäßlin die Einseitten,

Wendling Dieterlin hatt daselbsten hinden ane seinem Hauß ein hültzenen Nach, Soll Allmendt sein vnd bleÿben, bessert für das Nüessen, viij d

f° 522
Anderseiten Steÿsen Gäßlins Wider hinauß.

Melchior Schnell der Zollen daniden beim Rhein Ziegeloffen, hatt Im Steissen gäßlin Oben an seinem Hauß ein hültzin Wettertach, xviij schu lang, ij schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß iiij d

Der gedachte Melchior Schnell hatt in bemeltem Gäßlin vor einer hinder Thüren Ein steinen Tritt iii+ schu lang, xv Zoll herauß, Bessert & j ß d

f° 522
Anderseiten Steÿsen Gäßlins Wider hinauß.

Derselb hatt aber in disem Gäßlin oben an einem Eckhauß ein außgestossen Kemmatt 3 schu breit, j schu herauß & j ß d

Vornen auß am Wasser.

Mehrernanter Melchior Schnell hatt ane berürtem seinem Eckhauß Steÿssen gäßlins, Vornen gegen dem Wasser ein Ausstoß xxxi+ schu lang, iij schu herauß, daran ein Wettertach In gleicher Lengen noch ij schu für den Ausstoß herauß, Zwen gemaurte Tritt v+ schu lang, ij schu herauß, Ein lenende Kellerthüer vj schu breit, iii+ schu herauß, Mehr zwen besetzte Tritt v= schu lang, iij schu herauß, Bessert für d. Nüessen, xiij ß iiij d

f° 522-v
Vornen auß am Wasser.

Hanß Lutherer der Schreiner hatt vff dem Wasser ein hauffen Bortt vff dem Allmendt ligen, Bessert für das Nüessen, iiij ß d

f° 522-v
Vornen auß am Wasser.

Martin Sinnitz der Schreiner hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xvi+ schu lang, iij schu herauß, Obern darüber ein Wettertächlin Inn gleicher Lenge noch i+ schu weÿter für den Ausstoß herauß, Ein steinen Tritt sampt Zweÿen Neben sitzen iii+ schu lang, xv Zoll breit, darneben aber Zwen gemaurte sitz der Eine iii+ schu lang, xv Zoll breit, der Ander ij schu lang, auch xv Zoll breÿt, Mehr ein Bencklin j schu breit, xiiij Zoll herauß, Ein lehende Kellerthüer v schu breit, iij schu ix Zoll herauß, Zwen Laeden Jeder v= schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Nüessen, xj ß vj d

Und hatt ein Hauffen Bortt am Wasser vor dem Hauß vff dem Allmendt ligen, Soll Allmendt sein vnd bleiben, bessert für das Nüessen, ij ß d

f° 523
Vornen auß am Wasser.

Elias Sparschüch der Würth Zum Wolff hatt daselb vor seinem Hauß Zum Wolff genandt, ein lenende Kellerthüer vij vnd + schu breit, iii+ schu herauß, darneben ein steines Bencklin xxij Zoll Inn allweg, hatt auch oben ane disem Hauß ein Ausstoß xl schu lang, iij schu iij zoll herauß, daran ein Staucher In gleicher Lengen j schu herauß, bessert für das Nüessen, xiij ß vj d

f° 523
Vornen auß am Wasser.

Das Allmusen zu Sanct Marx hatt ein Hauß so etwann Zum Wolff gehörig gewesen, darinnen Ambrosius Berlin der Schuflicker sitzt, Daran ein Ausstoß xvii+ schu lang, iij schu herauß, Oben über disem Ausstoß ein Stauch. In gleicher Lengen j schu herauß, darüber ein Wettertach xvii+ schu lang, i+ schu herauß, Vnden ein lenende Kellerthüer vj schu lang iij schu herauß, Ein besetzten Tritt v schu lang, ij schu herauß, Ein hültzins Bencklin vff Zweÿen Meürlin v schu lang i+ schu herauß, Darunder ein stehendt Kellerfenster iij schu lang, xxj Zoll herauß, bessert & x ß d

Ambrosius Berlin der Schuflicker htt vor disem Hauß vff dem Allmendt am Wasser ein Schweinstall iii+ schu lang iij schu breit, Soll &, Bessert & ij ß d

f° 523-v
Vornen auß am Wasser.

Carle Meckerlin der Mehl Grempp hatt an seinem Hauß ein Wettertach xx schu lang, iii+ schu herauß, Darüber aber ein Wettertach xxvij schu lang, iij schu herauß, bessert für dises Niessen, viij ß d.

Undt hatt auch vor dem Hauß vff dem Wasser ein Allmend blatz so ein Gärttlin Ist mit dielenen Wändten Inn die Vier Eckh verschlagen, xxx schu breÿt, xliij schu lang, dauon Zinst Er Jars der Statt iiij ß d wie mann sagt

f° 523-v
Vornen auß am Wasser.

Die Altt Heüsin hatt Oben an Ihrem Hauß Zweÿ Wettertächer über einander, Jedes xxviij schu lang, ij schu herauß, Mehr oben darüber ein Wettertach xx schu lang, i+ schu herauß, bessert für das Nüessen, vj ß viij d.
[in margine :] Fraw Margret Stößerin Wittwe

Hatt auch vor dem Hauß vff dem Allmend am Wasser ein Gartten mit Latten verschlagen, Li+ schu lang, xxxiiij schu breÿt, daruon raichen Sie Järlich der Statt x ß d. geldts laut Zinßbuchs

f° 524
Vornen auß am Wasser.

Das Hauß Zum Schwartzen Morenkopff genandt Ist Mathis Reÿchen des Leinenwebers, darinn Peter Jnling der Crämer wohnt, Vnd hatt Oben ein Vsstoß xxxx= schu lang, iii+ schu herauß, Vnden ein ligende Kellerthür vj schu breit, v schu herauß, Vor der Haußthüren Vier steinene Tritt, v= schu breit, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, xiij ß ij d.

f° 524
Vornen auß am Wasser.

Philips Bulian hatt Oben an seinem Hauß ein Vsstoß xxij schu lang, iij schu iij Zoll herauß, Daran ein Wettertach In gleicher Lengen, noch einen schu für den Vsstoß weÿter herauß, Bessert für das Niessen, v ß iiij d.

In New Gassen die ein Seitten hinein nach der Rinckmauren Zu.

Derselb Philips Bulian hatt an berürtem seinem Hauß, Auch Inn der Newen gassen Oben am Gebell ein Wettertach xxxv schu lang, j schu herauß, Darüber aber ein Wettertach xxv schu lang, vnd auch j schu heraus, Bessert für das Niessen, ij ß viij d.

f° 524-v
In New Gassen die ein Seitten hinein nach der Rinckmauren Zu.

Martzolff Volckh der Vischer hatt an seinem Hauß, so etwann Lorentz N: des Küffers selligen gewesen, Vndt aber ernandter Martzolff Volckh, Jetzundt Von dem Allmusen Zu Sanct Marx an sich erkaufft, ein Allmendt blatz mit einer vffgeführten Mauren Ingezeünt, xxxv schu lang, hinden ane dem hauß xvi+ schu lang, Vornen viij schu, ix zoll breit, Bessert für das Niessen, j lb. ij ß. viij d.
[in margine :] Inzeünung zu rechtferttigen, Ein bestendigen Zinß darauff zulegen

Soll mann nach den Brieffen über diße Behausung sagende, schickhen, Vndt Erkundigen, Ob es Allmend od. Aÿgenthumb seÿe.

f° 524-v
In New Gassen die ein Seitten hinein nach der Rinckmauren Zu.

Paulus Schreibers selligen deß Schaffners Wittwe undt Erben haben daselbs ein hauß, daran ein hültzin xxj schu lang, i+ schu herauß, Ein ligend Kellerfenster ij schu lang, i+ schu heraus, Bessert & ij ß. iiij d.

f° 525
In New Gassen die ein Seitten hinein nach der Rinckmauren Zu.

Lorentz Christmann der Kretschwescher Hatt vor seinem Hauß einen Allmendt blatz mitt hültzenen Schrancken Ingezeünt, xxv+ schu lang, an einem ortt xvj schu, am Andern ortt x= schu breyt & Bessert für das Nüessen, xvj ß d.

f° 525
Hinder der Rinckmauren hinumb nach Sanct Claus in Vndis vntz ane die Wilhelmer,

Christmann Meÿer der Seÿler hatt hinder der Rinckhmauren außwendig ane der Frawen zu Sanct Claus in undis Gartten Mauren, ein mitt Tachwerckh gedeckhte beschlüßige Hütten xx+ schu lang, ix= schu breit & Bessert & ix ß iiij s

f° 525
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Die Frawen zu Sanct Claus in undis haben am Eckh Ihres Gartens gegen der Rinckmauren ein Thür darüber ein Wettertach vij schu lang, j schu herauß, bessert für d. Wettertach j ß d

Sie haben auch vor des Schaffners Hauß daselbsten über der Infarth ein wettertach xviij schu lang, ij schu herauß, Mehr über einer kleinen Thüeren an des schaffners Hauß ein wettertächlin vi+ schu lang, j schu heraus, oben ane der Maur ein außgemaurtes Kemmatt ij schu breÿt + schu herauß, bessert & iij sch iiij d.

In dem Allmendt gäßlin Nidwendig dem Closter zu Sanct Claus in undis beÿ der Werckh Schewren Ist nichts gemessen worden, In betrachtung und ansehung die frawen mit Ihrem Garten, welcher Sich so breÿt alß dasselb Gäßlin Ist, etwann vor Zeÿten erstreckht, hinder sich hienein vff Ihr Aigenthumb gewichen Platz geben Vnd haüser darauff zu bawen gestatt haben.

f° 525-v
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Das Allmusen zu Sanct Marx hatt ein Hauß da das Geÿß Weÿblin sitzt, daran ein Ausstoß, xviij schu lang, Vornen i+ schu herauß, Zeücht hinden ins Maurhaupt, bessert & j ß d

f° 525-v
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Martin Schweger der Saÿler hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxxvij schu lang, iij schu herauß, Ein offen Kellerfenster ii+ schu lang, ij schu heraus, bessert für d. Nüessen, vj ß iiij d.

f° 526
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Caspar Wÿdt Der Altt Schaffner im Gürttlerhof, hatt hinder Wilhelmern ein hauß da Michell Huckh der Küeffer Innen sitzt, daran ein Vsstoß xxiiij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Nüessen, iiij ß d.

f° 526
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Derselb Caspar Wÿdt hatt aber ein hauß neben disem, daruor ein steinen Tritt iiij schu lang, i+ schu breÿt vnndt ein hültzenen Naach, darfür soll Er bessern j ß viij d

Nota. Gürttlerhoff will nit daß diß hauß sein seÿe, dann Florianus Cunus der Schafner solches Im Zedul außgelöscht hatt, Sagt es seÿe Im Rechten streÿttig, Jetzundt wohnt Im hauß Niclaus Bechtloff der Leinenweber, derselb Niclaus Bechtloff hatt auch die v ß. viij d. für sie Besserung Zaltt.

f° 526-v
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Simon Winther Der Schiffmann hatt ane seinem hauß ein Vsstoß xxij schu lang, j schu herauß, Oben darüber ein Staucher x+ schu lang, j schu herauß, Ein besetzten Tritt iiij schu lang, j schu ix Zoll herauß, Ein lehenende Kellerthür v+ schu breÿt, ii+ schu heraus, Vndt ein hültzenen Naach, Bessert für das Nüessen, v ß d.

f° 526-v
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Heinrich Eberhardt Der Haußbeckh hatt ane seinem hauß Oben ein Vsstoß xxij schu lang, j schu herauß, Ein lehenende Kellerthür v schu ix Zoll breit, ii+ schu heraus, Ein besetzten Tritt v schu lang, ij schu herauß, Zween Aussatz Benckh v= schu breÿt, ij schu herauß, vnndt ein hültzenen Naach, Bessert für d. Nüessen, vj ß viij d.

f° 526-v
Daselbsten hinder der Rinckmauren wider herfür, beÿ dem Closter Sanct Claus in Vndis.

Ulrich Mor Der Schreiner hatt ane seinem hauß Oben ein Staucher xii+ schu lang, ix Zoll herauß, ein gemeurte Tritt iii+ schu lang, xv zoll herauß, Bessert für d. Niessen, j ß d.

der Würth zu der Jungfrawen hatt daselbs ein großen hohen hauffen Zahl holtz vf der Allmend ligen, Vndt bessert für das Nüessen, iiij ß d.

f° 527
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Steffan Volckh der Vischer hatt Oben ane seinem Hauß ein Vsstoß xxviij schu lang, iij schu heraus, Bessert für das Niessen, iiij ß d.

Hatt auch ein Profeÿ vnden vf dem Wasser vff zwen aichinen Pfäelen, iij schu breÿt, vj schu heraus, Vndt ein Steg vfs wasser hinab & Bessert für das Profeÿ vnd die Wasser Steg vj ß d.

f° 527
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Wendling Dietrich Der Vischer hatt Oben an seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu lang, iii+ schu heraus, Ein besetzten Tritt v+ schu lang, i+ schu herauß, Bessert für d. Niessen, v ß d.

Und hatt vnden vf dem Wasser ein Profeÿ vff zwen Aichinen Pfäelen, vi+ schu breÿt, vj schu heraus, Bessert für das nüessen vj ß d.

f° 527-v
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Hanß von Hipßheim Der Vischer hatt ane seinem Hauß ein Ausstoß xxiii+ schu lang, iii+ schu heraus, Vor der Thür ein steinen Tritt iij schu lang, j schu breÿt, Bessert für d. Niessen, v ß d.

Hatt auch vnden vf dem wasser ein Profeÿ vff zwen Aichinen Pfäelen, iij schu breÿt, vj schu herauß, Bessert für d. Profeÿ v ß d.

f° 527-v
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Michael Lampp und Jacob Baldtner beÿde Vischer haben vf dem Wasser vor Ihren Heüsern ein gemein Profeÿ, so vff zwen aichinen Pfäelen v schu ix Zoll breÿt, vj schu herauß, Bessert & vj ß d.

f° 527-v
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Jacob Baldtners Des Vischers selligen Erben haben Vnden vor Ihrem Hauß ein gemaurtes steinenes Bäncklin iiij schu lang, xv Zoll herauß, Vndt ein steinenen Naach ix Zoll herauß, Bessern für das Niessen, j ß viij d.

f° 528
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Vix Dieboldts Des Vischers Erben haben ein Hauß da Ißraël Karch der Hagknecht Innen sitzt, daran ein Vsstoß xxx schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß viij d.

f° 528
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Zix Baldtner Der Vischer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxj schu lang, iii+ schu herauß, Neben der haußthür ein gemaurtes Benckhlin j schu vj Zoll herauß, Bessert für das Niessen, v ß d.

Er hatt auch vff dem Wasser vnden ein Profeÿ vff Zwen Aichinen Pfäelen, iii+ schu breit, v+ schu herauß, Bessert für das Profeÿ v ß d.

f° 528
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Michael Baldtner Der Vischer hatt vor seinem Hauß vf dem Wasser ein Profeÿ vf Zweÿen Aichinen Pfäelen, v= schu In alle wege, Bessert für d. Niessen v ß d.

f° 528-v
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Martin Baldtner Der Vischer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxiiij schu lang, iij schu herauß, Bessert & iiij ß d.

f° 528-v
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Hans Schultheis Der Garttner Der Altt hatt vor seinem Hauß ein steinen Tritt v schu iij Zoll lang, ij schu herauß, Ein hültzins Benckhlin vff Zweÿen Meürlin iii+ schu lang, xv Zoll herauß, Hatt auch Oben am Hauß ein außgeladenen Schafft von Maurwerckh, ix schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, iij ß d.

f° 528-v
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Benedict Münckh Der Schiff Zimmermann hatt Oben ane seinem Hauß ein Wettertach xxix schu lang, iiij schu herauß, Darüber aber ein Wettertach xx schu lang, iij schu herauß, Zween steinene Tritt , Vnden Vor der Haußthüren v schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß d.

f° 528-v
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Das Waisenhauß hatt an einem Hauß da Gilg Fuchs der Schneider Innen sitzt ein Wettertach xviij schu lang, iii+ schu herauß, Vnd ein steinerin Nach, Bessert & iij ß iiij s.

f° 529
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.

Daniel Rockhenstaw Der Kübler hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xx= schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Bessert für den Vsstoß, ij ß viij s.

f° 529
Steinen Gäßlin eine seitten hineinwerths der Newen Gassen Zu.

Hanß Hobb Der Spindelträher hatt vor seinem Hauß ein Kleinen Schleÿffstein vf einem Schragen stehen, Bessert für den Schleÿffstein, j ß vj s.

f° 529
Steinen Gäßlin eine seitten hineinwerths der Newen Gassen Zu.

Hanß Eÿben Der Zimmermann hatt vor seinem Hauß ein Heüfflin Mist, darfür bessert Er j ß d.
[in margine :] Disem ist die Statt v.botten worden, Also dise Besserung verlohren

f° 529
In der Newen Gassen

Hanß Schultheis Der Garttner hatt hinden ane d. Newengassen Vor seiner Schewren ein grossen Hauffen mist vf der Allmendt Bessert & iiij ß d.

f° 529-v
In der Newen Gassen

Die Vischer genandt die Beissen habend daselbs ein Gartten, daruor vf der Allmendt ein Hauffen Mist, die bessern für den Mist iij ß d.

f° 529-v
In der Newen Gassen

Sebastian Wagner Der Wagner Goldschmidt hatt Inn d. Newen Gassen ein Hauß, daran vf einer seitten ein Rebhälden, Oben über die Mauren vff hültzinen Bügen, xxij schu lang, vj schu herauß geladen, Mehr vff diser seÿtten ein Rebhälden, Oben über der Mauren des Hauses viij schu lang, vnd vff hültzinen Bügen auch vj schu herauß geladen, Item aber ane dem gemeltten haus vntz ane das Eckh daselbsten ein solche Räbhälden xli schu lang, Oben über die Maur vff holtzwerckh vj schu herauß geladen, Mehr umb d. Eckh ane dem gemelten Hauß hinumb, die Newgassen wider herauß werths aber ein Rebhälden Lxxxj schu lang, Oben vff Bügen undt Holtzwerckh über die Mauren vj schu herauß geladen, Item vor einer thüeren vf diser seÿtten ein steinen Tritt v= schu lang, j schu herauß, Oben ane dem Hauß ein Wettertach xxix schu lang, ij schu herauß, Vndt ein Staucher vij schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, ij lb. x ß. iiij d.

f° 530
In der Newen Gassen

Steffan Volckh Der Vischer hatt in der Newen Gassen, Vor seinem Hauß ein besetzten Tritt iiij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für d. Niessen, j ß d.

f° 530
Beim Vischer Thurn.

Hanß Baldtner Der Vischer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xx schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Ein gemaurten sitz vj schu lang, i+ schu herauß, Bessert für d. Niessen, iij ß viij d.

f° 530
Beim Vischer Thurn.

Matthæus Illhackh Der Vischer alß Vogt Jacob Boßlers selligen Von Appenweÿher nachgelaßener Kindere, hatt vor einem Hauß, so denselben seinen Vogts Kindern Zustendig Ist, darinn Hans Herbst der Huttmacher sitzt, ein gemaurten Tritt v schu lang, i+ schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleÿben, Bessert für den Tritt j ß d.

f° 530-v
In Khuebrunnen Gaßen, Die Eine seitten hinein vnd Ist vf der Andn. seitten diser Gaßen nichts befunden word.

Claus Fuchs Der Vischer hatt ein Hauß so ein Eckhauß Ist Vff diser seÿtten der Kühebrunnengassen Vnden daruor ein Schweinstall vff der Allmendt stehen, v schu breÿt, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, ij ß d.
[in margine :] Soll Ihme gebotten werden den Schweinstall hinweg zu thun.

f° 530-v
In Khuebrunnen Gaßen, Die Eine seitten hinein vnd Ist vf der Andn. seitten diser Gaßen nichts befunden word.

Matthæus Illhackh Der Vischer hatt vor seinem Hauß ein gemaurten Tritt ii+ schu lang, j schu herauß, Bessert für den Tritt j ß d.

f° 530-v
Aber In dem Steinen Gäßlin Die Anderseÿtten wider hinauß nach dem Wasser vnd dem Vischer Thurn Zu.

Balthasar Kintzig Der Vischer hatt vor seinem Hauß die Allmendt mit einer dielenen Wandt verschlagen vnd IngeZeünt xviij schu lang, vff einer seitten ix schu breÿt vndt der Andern xv schu weÿt heraus, Bessert für d. Niessen, x ß viij d.
[in margine :] Die Herrn 3. vfm Pfenningthurn sollen Ihme fürthin ein bestendigen Jarzinß darauf schlagen.

f° 531
Wider vornen am Wasser daniden beÿm Vischer Thurn.

Hanß Hartz Der Sailer hatt vor seinem Hauß ein steinen Tritt vj schu lang, i+= schu breÿt, Vndt hatt am Eckh an Kühebrunnengaßen Oben am Hauß ein steinen Mantell viij Zoll dickh, ij schu herauß, Bessert für d. Niessen, ij ß d.

f° 531
Wider vornen am Wasser daniden beÿm Vischer Thurn.

Martin Buler Der Kachler hatt vor seinem Hauß ein steinen Tritt iiij schu lang, j schu ix Zoll herauß, Ein hültzenen Banckh vff Zween steinen Kaëpffern, darauff Er täglich ein Vssatz von Irdinnen Geschirr vij schu lang, j schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleÿben, Bessert für das Niessen, ij ß vj d.

f° 531
Wider vornen am Wasser daniden beÿm Vischer Thurn.

Claus Schaffners Des Schiffmanns Wittwe hatt ein Hauß, da Martin Dräher der Guardi Knecht Innen sitzt, vnd ein Eckhauß Ist, vnden beim Vischer Thurn, daran ein Vsstoß xxiij schu lang, ij schu ix Zoll herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für d. Niessen, ij ß viij d.

f° 531-v
Daselbs beim Vischer Thurn vmb das Eckh hinumb hinder der Rinckmauren.

Hanß Jäger Der Vischer hatt an seinem Hauß Oben am Gebell ein Vßgestossen Kemmatt + schu herauß geladen, Vndt hatt auch ane demselben Hauß ein Allmendt blatz mit einer Dielenen Wandt Ingezeunt xxxiii+ schu lang, xvii+ schu herauß, Bessert für dise InZeünung j lb. x ß. viij d.
[in margine :] Inzeünung vfm Pfenningthurn geschrieben zugeben

Dieweÿl Hanß Jäger der Statt vormals vom Hauß Zinß 4 d. so Ist Er des j ß d. für dise besserung erlassen worden.

f° 531-v
Daselbs beim Vischer Thurn vmb das Eckh hinumb hinder der Rinckmauren.

Ulrich Martin Der Huttmacher hatt auch vor seinem Hauß die Allmendt mit einer dielenen Wandt Ingezeünt xxij schu lang, Vff einer seÿtten xv schu und der Andern seÿtten am Eckh ix schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für d. Niessen xiij ß. iiij d.
[in margine :] Soll dise Inzeünung vfm Pfenningthurn angeben werden

f° 531-v
Daselbs beim Vischer Thurn vmb das Eckh hinumb hinder der Rinckmauren.

Melchior Hetzel Der Vischer hatt gleichfals vor seinem Hauß die Allmendt blatz mitt einer dielenen Wandt Ingezogen, Vndt daran ein Geryttlin xxxj schu lang, Zu einer seitten xiiij schu Vnd der Andern seitten am Hauß xxvii+ schu breÿt herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für d. Niessen, j lb. xij ß d.
[in margine :] Dise Inzeünung herrn 3. vnd Bawherrn gleicher gestalt Zuweÿsen

f° 532
Daselbs beim Vischer Thurn vmb das Eckh hinumb hinder der Rinckmauren.

Georg Schwimb Der Garttenmann hatt vor seinem Hauß ein hültzene Stegen i+ schu breÿt v+ schu herauß, Vndt hatt auch sein heüffel mist Vor dem Hauß vff der Allmendt, Soll Allmendt sein vnd bleiben, vnd bessert für das Niessen, ij ß d.
[in margine :] Soll dise Stegen widerumb hinweg thun, oder aber fürthin bestendig Verzinßen Nota Pfenningthurn
Dises Heüffel Mist, Ist Lamprecht Milicum, so ein Gartten daselb gehabt hatt, zugehörig gewesen.

f° 532
Daselbs beim Vischer Thurn vmb das Eckh hinumb hinder der Rinckmauren.

Hans Stoër der Guardi Knecht am Vischer Thor hatt vor seinem Hauß ein heüffel mist Vf der Allmendt ligen, Bessert für das Niessen, j ß d.

f° 532-v
Von der Rinckmauren Widerumb herfür vnd aber in der Newen gaßen Die Ander seitten von Oben herab.

Die Frawen Zu Sanct Claus in Vndis haben am Eckh oben ane der Newengassen gegen der Rinckhmaur an eim Garten, druor ein grossen hauffen Maur: und Kemmattstein vff der Allmend ligen, Bessern für d. Niessen, ij ß d.

f° 532-v
Von der Rinckmauren Widerumb herfür vnd aber in der Newen gaßen Die Ander seitten von Oben herab.

Hanß Bernhard Nicker Der Schiffmann hatt oben an seinem Hauß, darinnen Caspar Branbeer der Seÿler sitzt, ein Ausstoß xxx schu lang, j schu herauß, Soll &, Bessert für das Niessen, j ß d.
[in margine :] Modo Paulus Crusius Diaconus Zu Sanct Wilhelm

f° 532-v
Von der Rinckmauren Widerumb herfür vnd aber in der Newen gaßen Die Ander seitten von Oben herab.

Hanß Jacob Brunnhammer Der Sailer hatt ane seinem Hauß ein hültzenen Nach, Bessert für das Niessen, viij d.

f° 532-v
Von der Rinckmauren Widerumb herfür vnd aber in der Newen gaßen Die Ander seitten von Oben herab.

Hanß Schultheiß Der Garttner hatt ane seinem Hauß darinnen Hanß Bernhard Nickher der Taglöhner sitzt, über dem Thor ein Wettertach xj schu lang, ix Zoll herauß, Soll Allmend sein und bleiben, vnd Bessert & j d.

Und hatt auch vor dem Hauß daselbs ein hauffen mist vff der Allmendt ligen, Bessert &, iij ß d.

f° 533
Sanct Claren vff Dem Wördt.

Die Pfleg der Armen Waisen hatt auch vff Sanct Claren Wördt am Wassergraben ein Hauß, da Claus Peter der Kornmesser Innen sitzt daran ein Vsstoß xxxv schu lang, ij schu herauß, darüber ein staucher xvj schu lang, j schu herauß, Vndt ein Steinen Tritt vj vnd + schu lang, ii+ schu herauß.

Item Sie haben darneben aber vor einem Hauß ein steinenen Tritt iii+ schu lang, ii+ schu breit & Ist der Besserung Wie nechst hieuronen Vermeldet, gleicher gestalt erlassen worden.

Undt dieweil vnsere Gnädige Herrn Meÿster vnd Rhatt solche heüser vff disem Wördt von bessern gemeiner Statt Nutzens vnd Notturff wegen gentz vndgar haben abbrechen lassen, So hatt die Verrdneten Allmendt Herrn für Rhatsamb vnd gutt angesehen, der Pfleg deß Ortts mit vfflegung der Besserung Zuuerschonen.

f° 533-v
Stoltzeneckh.

Die Sondersiechen Zur Rothen Kirchen haben vff Stoltzeneckh ein Hauß, sampt einem Gartten daran vnd vornen Im Ingang desselben Hauses über der thür ein Wettertach viij schu lang, iij schu herauß, Vnden vf dem Wassergraben ein Landt Vestin mitt einer dielenen Wandt, Von oben durch abhin vntz ane den Thurn so drinn stehet, Ingezeünt, ij C xxx schu lang, ix schu breÿt, Von dem selben Thurn Vollendts hinab In Gartten mitt dielenen Wänden Ingezeünt vnd Verschlagen L schu lang xl schu breit, Vndt hatt Inn dem eüssersten graben beÿ Sanct Claren Wördt, da ein gedeckhte Prucken Ist, so demselben Wördt über den Graben hinüber In Stoltzeneckh hinein gehet, Oben Inn der höhen ane dem Hauß ein Profeÿ iiij schu breÿt, v= schu herauß, Vndt dann besser Vnden neben der ange Zeigten gedeckhten Pruckhen aber ein Profeÿ ii+ schu breÿt, i+ schu herauß, Mehr vff diser seÿtten oberhalb der gedeckhten Bruckhen, Oben am hauß ein Profeÿ von holtzwerckh, vff iiij schu ongeuährlich breÿt, v= schu heraus.
Nota. Weÿl Stoltzeneckh ebener massen, Wie des Waisenhauses Heuser Abbrechen, Darauff nachuolgendts die groß Kohlschewer gesetzt worden, Also haben die Allmend Herren nit weniger für gutt geachtet, Die Besserung der Endts auß er Zehlen Vrsachen d. Pfleg Zur rothen Kirchen nach Zulassen.

f° 534
Uff Zinstag den 14. Martÿ Anno 1587. ward die Allmendt Innerhalb der Statt Straßburg Zuersuchen Angefangen
Vff Freittag den 5.ten Septembris Anno & 1589 warde die Ersuchung der Allmendt Innerhalb der Statt Straßburg vollendet.
Zinstags den 13.ten tag Monats Aprilis Anno & 1591. haben meine großgünstige gebietende Herrn die geordneten Allmendherren, diese hierinn geschriebene Ersuchte Allmendt angefangen zu berechnen, Vnd Vff heütt donnerstag den 2.ten tag Monats Decembris Anno & 1591. Warde die Abrechnung der Allmendt Innerhalb diser Statt durch die Allmendt Herren vollendet vnd beschlossen, Actum ut supra.
Vff Mittwoch den 26. Septembris Anno & 1593. haben die Allmend herren angefangen die Besserungen beÿ der Burgschafft Inzuziehen.

Jacob Meÿer, Allmendt Schreÿber manu propria



10, rue du Maroquin


Rue du Maroquin n° 10 – VI 310 (Blondel), O 215 (cadastre)

Façade reconstruite en 1768 par le cordonnier Jean Huck
Démolie en 1864 pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé


Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché cliché Mathieu Bertola, © Musées de Strasbourg)

La maison dont l’arrière donne sur l’auberge au Cerf appartient au début du XVII° siècle au fondeur Jean Fischer puis pendant une quarantaine d’années au cordonnier et assesseur au Grand Sénat Gaspard Merckel. Ses héritiers la vendent en 1660 au cordonnier Kilien Klencker qui la transmet à son fils du même nom. Le tamisier catholique Jean Georges Kœrner en est propriétaire de 1694 à sa mort. Le cordonnier Jean Huck achète en 1714 la maison et meurt quelques années plus tard ; sa veuve continue l’atelier de son mari. Sur le plan-relief de 1727, la maison fait partie du troisième bâtiment au premier plan à partir de la gauche (partie droite du premier bâtiment à trois étages dont la toiture a deux lucarnes). Le fils de Jean Huck, aussi nommé Jean Huck, achète en 1768 de la Ville un terrain devant sa maison pour l’aligner, indice qu’il reconstruit la façade, ce que confirme la mention en pierre de taille portée dans l’Atlas des alignements. Le bâtiment lui-même reste inchangé puisqu’il n’en est pas fait mention dans les registres des Préposés aux feux.


Terrain que Jean Huck acquiert en 1768 de la Ville (AMS, cote VII 1413)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 179
Cours F et G (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en pierre de taille. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (s) : trois fenêtres en arcade puis porte d’entrée, trois étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’arrière donne dans la cour F entre (4-5-6) et au nord dans la cour G (mur 3-4).
La maison porte d’abord le n° 13 (1784-1857) puis le n° 10.


Plan de la maison, annexé à l’acte de vente de 1864 (ADBR, cote 7 E 57 15, 112)
Façade du 9, rue du Marais Kageneck

Les héritiers de Marie Madeleine Huck vendent en 1846 la maison au vannier Jean Chrétien Hackenschmidt qui la cède en 1864 à l’Œuvre Notre Dame pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé. Le revendeur Jean Geiss et le boulanger Jacques Schaub achètent la même année les matériaux provenant de sa démolition.
Jacques Schaub reconstruit à neuf en 1865 au Marais Kageneck une maison à la place d’une ancienne à rez-de-chaussée et un étage. Adolphe Seyboth y signale le millésime 1768, l’année même où Jean Huck achète le terrain pour aligner sa façade. L’aspect de la façade rue du Maroquin en 1830 correspond exactement à celle de la maison au Marais Kageneck. Il ne fait donc pas de doute que Jacques Schaub y a remonté la façade achetée quelques années auparavant.
La façade reconstruite par Jean Huck a un rez-de-chaussée à arcades boutiquières parementé de grès à refends, aux étages inférieurs des linteaux couronnés de petites corniches à cartouches, des cordons moulurés entre les étages, des chaînages jusqu’au deuxième étage.

septembre 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1864, date de démolition. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Philippe Nürnberger, cordonnier, et (1583) Marie Sesenecker – luthériens
1600 v Jean Fischer, fondeur, et (v. 1591) Claire Anne Kleffler, d’abord (v. 1573) femme du rubanier Jacques Heusele – luthériens
1604 v Jean Zahn, menuisier, et (1600) Anne Marie Wolffer puis (1609) Anne Kœbel, remariée (1610) avec Gaspard Dorn – luthériens
1608- v Matthias Wolffer, aubergiste, et (1595) Ursule Stœsser – luthériens
1609 v Gaspard Merckel, cordonnier, et (1587) Barbe Meyer, (1599) Reine Weinmüller puis (1635) Ursule Wendrum, d’abord (1628) femme du pasteur Théophile Sutor – luthériens
1649* h (copropriétaires) Anne Ursule Sutor et (1651) Nicolas Lux, tailleur, d’abord (1644) mari de Salomé Walch – luthériens
Anne Mock, femme du cordonnier Jean Jacques Griesser à Obernai – catholiques, puis (1655) Jean Jacques Würth, cordonnier
1660 v Kilien Klencker (Klenckner), cordonnier, et (1647) Anne Chrétienne Ingweiler – luthériens
1684 h Kilien Klencker (Klenckner), cordonnier, et (1674) Anne Catherine Œlinger puis (1680) Marie Salomé Moscherosch – luthériens
1694 v Jean Georges Kœrner, tamisier, et (1684) Anne Véronique Thæm – catholiques
1712 h Jean Georges Kœrner, tamisier, et (1711) Catherine Barbe Feltz – catholiques
1714 v Jean Huck, cordonnier, et (1695) Chrétienne Göpffer d’abord (1683) femme du cordonnier Laurent Weber puis (1718) Marie Madeleine Westermann – luthériens
1719 h Jean Huck, cordonnier, et (1746) Catherine Salomé Lix – luthériens
1805 h Jean Chrétien Huck, cordonnier, célibataire († 1812) et Marie Madeleine Huck
1812 h Marie Madeleine Huck, célibataire († 1845)
1845 v Jean Chrétien Hackenschmidt, vannier, et (1835) Louise Urban
1864 v Œuvre Notre Dame

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 475 livres en 1717

(1765, Liste Blondel) VI 310, Jean Huck
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Joh. Huck, 3 toises, 5 pieds et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 215, Huck, Madeleine, fille rue du Maroquin 13 – maison, sol – 1,1 are

Locations

1603, Kilien Kempff, cordonnier
1644, Jean Schwertzel, cordonnier
1782, Geoffroi Metzger, pâtissier
1820, André Martin Bonlarron, herboriste
1820, François Martin Bonlarron, employé à la préfecture

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Jean Huck acquiert un terrain communal devant sa maison. Il doit à la ville 57 florins 4 sols 10 deniers pour une surface de 3 toises un pied et 8 pouces ½, à 17 florins 5 sols la toise

(f° 18) Dienstags den 3. Maÿ – Johannes Huck – Idem [H. Werner der baw: Insp.] producirt abriß des Allmendts welches Johannes Huck der Schuemacher Zu seinem hauß in der Kurben gaß einbezogen, 3 Cl. 1 Sch. 8 ½ Z. ins quadrat außmachend. Erkannt, solle à 17 fl. 5 ß vom Claffter 57 fl. 4 ß 10 d. bezahlen. dedit eodem.
[Plan]

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Rue du Maroquin

nouveau N° / ancien N° : 25 / 13
veuve Huck
Rez de chaussée et 3 étages en pierre de taille
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 82 case 3

Huck Madeleine fille rue du maroquin N° 13
Hackenschmitt, Jean Chrétien, vanier rue du maroquin N° 13 (subst. pr. 1848)

O 215, maison, sol, R du maroquin N° 13
Contenance : 1,10
Revenu total : 99,57 (99 et 0,57)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 /14
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 208 case 2

Hackenschmitt, Chrétien Jean, vanier (rayé pour 1865)

O 215, Maison, sol, Rue du Maroquin 10
Contenance : 1,10
Revenu total : 99,57 (99 et 0,57)
Folio de provenance : (82)
Folio de destination : Démolie, (sol 255)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 15
Porté au f° 255, Œuvre Notre Dame, Place du Château 5 (O 199 sqq)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin

13
pro. Huck, Jean, Cordonier – Cordonier
Loc. Fromm, Gotlieb, Tailleur – Tailleur
Loc. Feÿeraben, Antoine, garçon Masson – Manans
Loc. Sauderer, pierre, garçon Masson – Manans

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin p. 313

13
Pr. Huck, Jean, Cordonnier – Cordonniers
Lo. Fromm, Gotltieb, Tailleur – Tailleurs
Lo. Feyeraben, Antoine, maçon – Manant
Lo. Sauderer, Pierre, maçon – Manant


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au cordonnier Philippe Nürnberger (le jeune) qui épouse en 1583 Marie, fille du cordonnier Laurent Sesenecker

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 349-v, n° 721)
1583. Dominica IX. Philip Nürnberger der schuemacher v. Maria Eseneckerin, Lorentz Esenecker des schuemachers dochter . 6. Augusti (i 354)

Philippe Nürnberger et Marie Sesenecker vendent la maison au laveur de minerai Jean Fischer et à sa femme Claire Kleffler. En marge, quittance remise en 1605 à Jean Zahn, alors propriétaire.

1600 (5.t. febr.), Chancellerie, vol. 327 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 6-v
Khauffverschreibung Hanns Vischers deß Kretzweschers vber ein Behausung In Kurbengassen
Erschienen Philip Nürnberger der Jünger Schuhmacher vnd Maria Seseneckerin sein eheliche haußfr. vnd
haben in gegenwertigkheit Hanns Vischer deß Kretzweschers vnd Clare Klefflerin seiner haußfr. angezeigt und bekhandt, das sie mit rhat vnd vorwißen herrn Ruprecht Schwencken deß Rhatherrn (verkaufft)
Ein Behausung hoffstatt mit Allen derselben begriffen weiten rechten und gerechtigkeit. gelegen alhie Inn Kurbengaßen einseit neben Niclaus Carle dem Schuhmacher anderseit neb dem Keüffer selbst. hind. vff die Herberg Zum hirtz Ziehend, davon gent Jars ein pfund d. dem stifft Zum Jungen S Peter vff Liechtmeß mit 20 pfund lösig, Mehr Zwen guld. St. Wehr. vff Marie verkhündung vnser Frawen Werckh lösig mit 50 fl. ermelter wehr. Ferner 2. lib. vff Urbani herrn Reinboldt Meÿerin dem Rhatherrn mit 40. lb ablösig Weiter vff Johannis Baptæ 2. lib. d herrn Jacob Erhardts selig. hinderlaßener Wittib mit 40 pfund abzulösen, vnd dann Neün guld. SW vff Johannis Baptistæ herrn Niclaus Reÿchen Kindern mit 200 guld. berürter wh. lösig Item 3 gulden St. w. vff Laurentÿ mit 60 guld. gesetzter wehrung, widerkheüffig Fr. Marie Böhmin, ferner ein pfund 5 schilling vff Bartholomei Conradt Mahren dem Becken mit 25. pfund abzulösen, It. 2. lib. 10. ß vff Adolffi Steffan Scherern dem alt. Kuchen meister vff deß herren Amr. stub. mit 50 pfund ablösig, Mehr 2 pfund 10 schilling Järlichen vff Andrei mit 50 pfund abzulösen w hans von Awenheims selig. Kinder, die sie oder war es von Irentwegen thun will (…) Letztl. zweÿ pfund 10 schilling vff adolffi w. Melchior Ludwig deß Schusters hind.laßener Kinder mit 50 pfund ablösig sonst ledig und eig. (…) bekhant d der Khauff für freÿ ledig vnd eigen Zugang. vmb 510 pfund aber nach abzug gesetzter beschwerden die sich Im rechnen 437 lib vnd xv ß belauffen geschehen vmb 72 lib.
Actum in p.sentia Lorentz Seseneckers vnd vff deß Kheüffers seit. hans Jacob Bettman Notarius, Martin Höhn deß Schneiders vnd Philip Kellers deß Schindelspalters Zinst. den. 5.t. febr. 1600.
[in margine :] Erschienen Paul Mockh obgemelt vnnd hatt Inn gegenwertigkheit Hanns Vischers bekhant, das er vß handen Matheus Wolfers deß würths Zum Spanbeth wegen Hans Zahnen deß Schreiners seines Schwagers alls Jetziger Innhaber dieß. behaußung (…) Actum Mittwoch d. 14. Aug. 1605.

Originaire de Nuremberg, le fondeur et laveur de minerai Jean Fischer devient bourgeois par sa femme Claire Anne Kleffler, veuve du rubanier Jacques Hesler
1591, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 675
Hanß Visch. von Nürnberg ein schmeltzer hatt von Clar Anna Klefflerin w. Jacob Heßler deß Nestlers s. wittwe das Burckrecht empfang. vnd will Zu dem Spieglern dienen. Act. 21. Septembr. A 91.

Originaire de Lindau, le rubanier Jacques Heusele achète le droit de bourgeoisie en 1572. Il fait baptiser les années suivantes des enfants issus de sa femme Claire Kleff
1572, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 206
Jacob heüsele von Lindaw der Nestler, hatt das burgkrecht kaufft und dient Zum Spiegel. Act. Zinstag den 2.ten 7.bris A° 72.

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 120-v, n° 44)
1574. Brachmonat. Jacobus Hesselin nestler, Clara Kleffin, Maria, J. Maria Michael Bollingers haußfrau, Susanna feingerin h.dei- gutleut schafners fraw, Abraham Baumgartner (i 125)
Baptême, cathédrale, 1576. Jacob Hesele, Nestler, Clara (Inf.) Mathis (f° 59, i 61)
1579. Jacob Häselin des Nestlers vnd Clara eheliche tochter Susanna (f° 85-v, i 92)

Le laveur de minerai Jean Fischer loue la maison au cordonnier Kilien Kempff

1603 (vt spâ [Erst. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 46-v
(Inchoat. fo: 53.) Erschienen Kilian Kempff der Schumacher
hatt Inn gegensein hanns Vischers Gretzwescher burger alhier bekhant vnd offentlich verÿehen
das er Ime vnd seinen erben Zweÿ Jar lang die nechsten nach einander volgende vnd vff Marie Verkhündung nechstkhünfftig ane stehen sollen, vonn bemeltem Hannß Vischer desselben huß hoffestatt mit deren gebeuwen gelegen Inn der S S Inn Kurbengaß, einseit neben Hanns Ulrich Kerner Schumacher andersit Niclaus Carle Schumacher Nach der Statt Straßburg bruch v gewonheit Entlenen für vnd vmb ein Jerlichen Zinß Namlich 24 guld. SW

Jean Fischer et Claire Anne Kleffler vendent la maison au menuisier Jean Zahn et à sa femme Anne Marie Wolffer, assistée de son frère aubergiste Matthias Wolffer

1604 (19. 7.bris), Chancellerie, vol. 350 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 74-v
Kauffverschreibung Hans Zahnen deß Schreiners vber ein Behausung In Curbengaß
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1604 folio 123 Zubefinden.) Erschienen Hanns Vischer der Kretzwescher vnd Clar Anna Klefflerin beede ehegemechd haben (…) zu kauffen geben
Hanns Zahnen dem Schreiner vnd Annæ Mariæ Wolferin, desselben haußfr., welche beede Zugeg. solche bekhand vnd ahngenommen, vnd mit bestandt Mathis Wolfers des würths Zum Spahnbett Ihres bruders vnnd Schwagers
Eine behausung Hoffstatt sambt allen andern derselben weiten, begriffen, Zugehörden rechten vnd gerechtigkeiten alhie Inn dieser Statt vnd In Kurdwan gaß Zwischen Niclaus Carle vnd Hanns Ullrich Körnnern beid. Schumacher geleg. Hinden vff die herberg Zum Hirsch stoßend dauon gehnt Järlich j lib d vff liechtmessen dem Stifft Zum Jungen S Peter, In hauptguth Loosigk mit 20 Pfund d Mehr Zwehn gld. Str. werung vnser frauwen werck Jahrs vff Mariæ Verkündung In hauptguth mit 50 fl. derselb. w. losig, Item Zweÿ Pfund d herren Reÿmbold Meÿern vff Urbani mit viertzig lib. d hauptguth loosigk, Item Zweÿ Pfund d vff Jois Bapt. Jacob Gerber seeligen erben In hauptguth Loosig mit 40. lib, Item dreÿ gls. Str. w. Mariæ Behmin* vff Laurentÿ stohnd In hauptguth 60. fl. derselb. werung, Item j lib v ß d vff Bartholomei Conrad Moren dem Becken abzulosen mit 25 lib., So dann Hannsen von Auwenheims Kindern 2 Pfund & Zehen schilling d widerkeuffig mit 50 pfund & hauptgutts (…) sonsten ist diese behausung noch hafft vnnd verbund. Hn Ambrosio Schmiden vnnd Paulo Mocken vmb 158 gld. Zu 15 btz. welche (…), It. vnnd H. Eberhard Beeren vnd Ambrosio Schnellen dem Schumacher vogtlicher weise vmb 300 gld. Straßburg. wehrung, die aber hannß Ulrich Kerner der Schumacher Zu erlegen vnd damit die behausung zu ledigen schuldig ist (…) d. dieser verkauff vnnd Kauff über abzugk obspecificirter beschwerden für freÿ ledig eÿgen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 584 gld.
In beisein Hn Hanns Jacob Bettmanns Notarÿ

Originaire d’Ebern en Franconie, Jean Zahn épouse en 1600 Anne Marie Wolffer, fille de Jacques Wolffer du comté de Veringen
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 50, n° XVIII)
1600. den 2. Decembr, seind Ehelich eingesegnet word. Hans Zahn von Ebern im Franckenland der Schreiner und Anna Maria Wolfferin weiland Jacob Wolffen von Veringen seligen nachgelaßene dochter (i 57)

Le menuisier Jean Zahn achète le droit de bourgeoisie, assisté de Matthias Wolffer, aubergiste à la Couchette (son beau-frère)
1600, 3° Livre de bourgeoisie p. 630
Hanß Zahn, d. Schreiner, Khaufft d. Burg: mit beÿstandt Mathis Wolffer des Wurths Zum Spanbeth gibt sein nahrung für 100 fl. ahn, vnd will zun Zimmerleüthen diehnen, Act. den 22. Aprilis 1600.

Jean Zahn se remarie en 1609 avec Anne, fille du menuisier Thiébaut Kœbel
Mariage, cathédrale (luth. p. 228)
1609. Dominica 8 Trinitatis. Hans Zan der schreiner und Anna dieboldt Köbel des schreiners dochter (i 118)

Jean Zahn hypothèque la maison au profit de Matthias Wolffer

1609 (19 Junÿ), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 276-v
(Inchoat. fo: 305.) Erschienen Hanß Zahnen der Schreiner burger Zu Str.
Hatt Inn gegensein Herr Mathiæ Wolffers würts Zuer Spannbetth alhie – schuldig seÿe 517 Pfund
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnd hoffstatt mit deren gebewen & geleg. in d. St. Stb. In Curbengaßen, einseit neben Niclaus Carle vnd And.sit Ulrich Kernern beder Schuhmacher, stost hinden vf die Herberg Zum hürtzen, Dauon gend Jährlich j lb dem Stifft herren Zum Jung. St. Peter Losig mit xx lb, Mehr 2 fl. St. w. Vnser Fr. werck ablößig Syend In Hauptgutt L fl derselben werung, Item 2 lb d gelts Lösig mit 40 lb wÿland Remboldt Meÿers s. Erb. Item 2 lb wid.lösig mit 40. lb d Martin Trauschen, Item 3 lb St. werung In hauptgutt Lx gld. H. Hanß Friderich Jung. Item j lb v ß d mit xxv lb lösig Conradt Moren dem Schwartzbecken Sunst Ledig eÿgen

La maison revient ensuite au créancier comme le montre l’acte suivant. Originaire de Veringen, l’aubergiste à l’Esprit Matthias Wolffer épouse en 1595 Ursule, fille du fournier Laurent Stœsser

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 72-v n° 25)
1595. Matthis Wolffer von Feringen, der Wirtt Zum Geist, vnnd Jungfrau Ursula, Lorentz Stössers des hausbecken tochter. Eingesegnet Montag nach Quasimodo geniti den 28. Aprilis (i 40)

Originaire de Veringen sur la Lauchert (en Wurtemberg), Matthias (Matthieu) Wolffer devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 725
Matheus Wölffer von Verinngenn an der Loucher, der würdt Zum geist, hat vonn Ursula, Lorenntz Stößers deß Schwartz beckenn dochter seiner haußfrauwen, das burgerrecht empfang. vnd wüll Zun Freÿburgernn dienen. Actum den 6.ten Maÿ 95

Matthias Wolffer vend la maison pour 612 livres au cordonnier Gaspard Merckel et à sa femme Reine

1609 (14. Xbris), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 492
Erschienen H Mathias Wolffer würth Zum Spanbett alhie hatt (…) verkaufft
Caspar Merckle dem Schumacher vnd Regina seiner ehegemahlen
Hauß vnd hoffstattn, mit allen deren gebewen geleg. In d. St: St Inn Kurbengaß, einseit neben Niclaus Carle vnd Andersit Ulrich Kernern bed. Schumacher stoßend hinden vff die herrberg Zum Hirtzen, Dauon gendt j lb d gelts Lösig mit xx lb d vff Mariæ Liechtm: den Stifft herren Zum Jung. St. Peter, Mehr zween guldin gelts vf Dorotheæ ablößig mit L gld St. werung dem Werck vnser Fr. münster, Item Zweÿ Pfund pfenning gelts wid. lösig mit 40 pfund d vf Vrbani Jgfr. Ursulen, wÿland H Reilboldt Meÿers s. dochter, Item abermals 2 lb d gelts vff Johannis Baptistæ Inn hauptgutt mit xl lb d abzulösen H Martin Truschen, Item 3 guldin gelts, lösig mit 60 guldin derselben werung vf Laurentÿ fallend Hans Friderich Jungen, So dann j lb 5 ß gelts lösig mit 25. lb Conrad Moren dem Brodtbecken vf Adolphi fallendt Sunst ledig eÿg. Vnd Alles Recht & Also & der kauff vber obestimpte beschwerd. davon d. Keüffer gewißen vnd für baß Zuuerzinsen über sich nemmen soll, zugang. vmb 429 pfund xv ß d St.
Nota es sollen auch 100 dannen dielen In obgehörtem Kauff gehören.
Hiebeÿ gewesen die Ehrenhafften vnd weisen herren Mathis Erb, Hans Esell, Christophell Haaß Schneid. Diebold köbell Schreiner, Erasmus Bettman, Hans Braun, Friderich Träger Zimmerman alle hierzu erbetten.
(der kauff für ledig eÿgen 612. lb x ß d Beschwerd. 182. lb 15. ß, Beßerung 429. 15.)

Originaire de « Holzkirchen », le cordonnier Gaspard Merckel épouse en 1587 Barbe, fille du censier Frédéric Meyer de Wolfach
Mariage, cathédrale (luth. p. 130)
1587. Maius. Dominica Jubilate 7. Maÿ, Caspar Mercklin von Holtzkirchen d. Schuemacher vnd Barbara Friderich Meiers Zu Wolfach nachg. tochter. Montags 15. Maÿ (i 68)

Originaire de « Holzbach » près de Nördlingen, Gaspard Merckel achète le droit de bourgeoisie quinze jours après son mariage.
1587, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 470
Caspar Merckle von Holtzbach beÿ Nörlingen ein Schumacher, mit beÿstand Caspar Lentzen des Schumachers Hat das Burgerrecht kaufft vnd will Zu den Schumachern dienen. Act. den 24.t, Maÿ 87.

Il se remarie en 1599 avec Reine, fille de Thomas Weinmüller, originaire de l’Allgäu.
Mariage, cathédrale (luth. p. 53)
1599. Caspar Merckle der schumacher, Regina Thoman Weinmüller von Heren Heÿren* auß dem algeÿ tochter. Ist ein gesegnet den 30. Aprilis von M scheuing (i 29)

Isaac Reble et Euphrosine Tuppens vendent au docteur en médecine Isaac Habrecht un capital assis sur la maison de Gaspard Merckel rue du Maroquin

1628 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 427
Erschienen H Isaac Reble vnd Euphrosina Tuppensin sein eheliche haußfr. mit beÿstand Andreß Keßels deß guldinschreibers vnd h. hanß Ulrich Cloters deß Notÿ alß ihrer nechsten v.wanthen (verkaufft)
dem Ehrenvesten hochgelehrten herrn Isaac Habrechten medicinæ Doctori
60 gul. hauptg. St. wer. so Jahß vff Laurentÿ mit dreÿ gulden besagter werung H. Caspar Merckel alter grosser Raths verwanther von vff vnd Abe seiner behaußung alhie in Kurbawgaß. Zuuerzinsen pflichtig V.mög eines pergamentin Zinßbrieffs mit deß Bischofflichen hoffs alhie anhangen. Insigel datirt den 9. 7.bris A° 1581. Vnd were diser Kauff für freÿ, ledig eigen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb xxxv. lb

L’assesseur au Grand Sénat Gaspard Merckel se remarie en 1635 avec Ursule, veuve de Théophile Sutor, pasteur de Sainte-Marie-aux-Mines
Mariage, cathédrale (luth. p. 370)
1635. H. Caspar Merckel alter groser Raths v.wandt, v. Ursula H Theophilus Suder pfarrer Zu Markirch n. witwe eingesegnet Zinstag 26 Jenner (i 190)

Diacre à Sainte-Marie-aux-Mines, Théophile Sutor épouse en 1628 Ursule, fille de Simon Wendrum, ancien bailli à Rothau
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 58)
1628 In Festo Pentecostes den 1. Junÿ. M. Theophilus Sutor, Diaconus Zu Markirch, Vnd J Ursula Simon Wendtrumb gewesenen Amptmans Zu Rotaw hinderlaßene Tochter. Eingesegnet den 10. Junÿ. (i 5)

Ursule, veuve de l‘assesseur au Grand Sénat Gaspard Merckel, loue une partie de la maison au cordonnier Jean Schwertzel

1644 (20. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 569
Erschienen Fraw Ursula, weÿl. H Caspar Merckhelß geweßenen groß. Rhats Verwanthens seel: wittib, mit beÿstand Conrad Stöckhels deß Schuhmachers ihres vogts
hatt in gegensein hannß Schwertzelß deß Schuhmachers
verlühen, die undere Stub, hauß öhren und Stand Zusampt dem Vorkeller, wie auch ein Kammer im mittlern, ein Kammer im obern Stockh, und beÿ dißer Kammer Platz zum brennholtz, in ihro Ursulæ Behaußung in der Kurbengaß geg. d. alt. Pfaltz gelegen, vff Zweÿ Jahr lang von nechstkünfftig. Michaelis angerechnet, umb einen iährlich Zunnß nemblich 17. Pfund

Gaspard Merckel a institué pour son héritière Anne Ursule Sutor (fille de sa femme) et pour usufruitière Ursule Wendrum. Anne Ursule Sutor hypothèque les deux tiers de la maison au profit de Georges Basile Geyer pour rembourser les héritiers de Wigelius Mock, curé à Weyersheim. En marge, quittance remise en 1767 à Kilien Klencker.

1649 (19. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 441-v
Erschienen Philipß Meÿer der Schuhmacher alß Vogt Annæ Ursulæ Sutorin weÿl. H Caspar Merckhelß groß. Rhats Verwanthers seel. instituirte Erbin: mit beÿstand Ursulæ Wendrumin vorgedachts H. Merckhelß wittibin deßelben Verlaßenschafft widems Nießerin ihr der Erbin Muter und Conrad Störckelß deß schuhmachers ihres Vogts
hatt in gegensein H Georg Basilÿ Geÿers – schuldig seÿen 50. lib Zu außweißung H Wigelei Mockh geweßenen Priesters Zu Weÿherßheim nachgelaßene Erben vff nachgemeldter Behaußung habend 46. lib und dann deß Stiffts iung. St. Peter vff solcher Behaußung habenden Nachtragß bahr gelühenen gelts
dafür in spê. Und.pfand sein sollen Zwen tritte theil ahne hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen & unden in der Kurbengaß: geg. d. alten Pfaltz hienüber, neben hannß hohlen dem schuhmachern ein: und anderseit hannß Ulrich Wilden dem Schuhmachern hind. vff die herberg Zum hirschen stoßend gelegen, von welch. gantz. Behaußung gehdn iahrlich. 3. fl. wehr. vff Laurentÿ lößig mit 60. fl. wehr. Evæ Fingerlin, Item 2 fl. wehr. vff Dorotheæ lößig mit 4 fl. wehr. der Fabric deß Münsters
[in margine :] Erschienen herr Johann Caspar Dietzel der Stattrichter und Schaffner deß Collegÿ Wilhelmitani alß Curator deß hern Creditoris nunmehr seel. nachgelaßener und noch ohnverheuratheter Kinder, hatt in gegensein H Chilian Klenckhners deß ältern Schuhmachers alß ietzigen Possessoris hierin gedachter Zue tritten theil ahne hierinn beschriebener behaußung (…) Act. d. 16. Junÿ a° 1676
(vide sub dato 9. Julÿ a° 1649)

Anne Mock, femme du cordonnier Jean Jacques Griesser à Obernai et héritière de son frère Wigelius Mock donne quittance à Anne Ursule Sutor de 40 livres garanties sur la maison rue du Maroquin

1649 (9. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 490-v
Erschienen Anna Mockhin hannß Jacob Grießers deß Schuhmachers Zu ober Ehenheim eheliche haußfraw mit beÿstand erstermeldts ihres Ehevogts
hatt in gegensein Philippß Meÿers deß Schuhmachers alß Vogts Annæ Ursulä Sutorin weÿl. H Caspar Merckhelß groß. Rhats Verwanthens seel. instituirter Testaments Erbin mit beÿstand Ursulæ Wendrumin vorgedachts H Meckhelß wittibin und deßelb. Verlaßenschafft Widemsnießein ihr d. Erbin Muter und Conrad Stöckhelß deß Schuhmachers ihres Vogts
bekannt, daß Sie die Merckhelische Erbin die ienige 40. lb sampt davon hinderständigen Zinnß, so dieselbe weÿl. H Wigeleo Mockhen geweßenen Priestern Zu Weÿerßheim ihr Annæ Brudern vff die Merckhelische alhie in Kurbengaß geg. der alt. Pfaltz hienüber gelegenen Behaußung mit 40 lib also verglichener maß. über seinen ahne solch. Behaußung habenden 1/9. noch ferneres alß eine darauff gelegte Beschwärdt gehabt, Zu genüeg. befriedigt word. seÿe (…)
Dabeÿ seind geweß H. Andreß Gering und H Hannß Friderich Groß beede alß vß E. E. Kleinen Rhats mittel Zu außweißung obgedachts H Mockhen Creditores insonderheit Deputirten Vnd H Georg Basilius Geÿer alß der Zu dießer Bezahlung, crafft der am 29. Julÿ iüngsthin in d. Cancelleÿ Contractstuben verfaßter obligation daß Gelt dargelühen hatt

Anne Ursule, fille de Théophile Sutor, pasteur de Sainte-Marie-aux-Mines, achète le droit de bourgeoisie en 1645 en s’inscrivant à la tribu des cordonniers
1643, 3° Livre de bourgeoisie p. 899
Anna Ursula weÿl. Herrn Theophili Suters gewesenen Pfarrhrn Zu Maria kirch seel. hinderlaßene dochter Erkhaufft d. burgerrecht vmb den alten burger schilling der Acht gold fl. hatt noch kein eigen guth Soll Zu den Schumachern dienen, Act. den 30. 9.bris 1643.

Anne Ursule Sutor épouse en 1651 le tailleur Nicolas Lux
Mariage, cathédrale (luth. f° 539 n° XLVII).
1651. Eodem [Dom. 24. Trin: 9. 9.br]. Niclaus Lux der Schneider vnnd burger alhier Vnndt J. Anna Ursula, weilandt Theophili Suters des geweßenen Evangelischen Pfarrers Zu Markürch hinderlaßenen Ehelichen dochter (i 287)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 241-v n° 21) 1651. Dominia XXIV Trinit. Niclaus Lux d. Schneider v. burger allhie vnd Jungfr. Anna Ursula weÿland herrn Theophili Suters gewesenen Pfarrers Zu Mariakirch hinderlaßene eheliche tochter – im Münster (i 260)

Fils du boulanger Erard Lux à Saint-Jean-sur-Sarre (Sarrebruck), Nicolas Lux épouse en 1644 Salomé Walch, veuve du tailleur Christophe Kitsch.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 228, n° 6)
1644. Eâdem [Dominca Reminiscere] Niclauß Lux von S Johann Nassawischer Sarbruckischer Herrschafft der Schneider, Erhard Lux des Becker vnd burgers Zu St Johann hinderlaßener Sohn, vnd Salome Walchin Christoff Kitschen gewesenen Schneiders vnd burgers alhier hinderlaßene wittwe (i 246)

Fille du cordonnier Sébastien Walch, Salomé Walch épouse en 1623 le cordonnier Jean Kessel puis en 1634 le tailleur Christophe Kitsch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 8-v n° 23)
1623. Hans Keßel der Schumacher, Erhardt Keßel des Schumachers hinderlaßener Sohn, Vndt J: Salome Sebastian Walchen des Schuemachers Eheliche Tochter. Eingesegnet Zinstag 6. Maÿ. (i 6)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 171)
1634. Eadem [Dom. Trinitat. 8. Maÿ] Christoph Kütsch der Schneider hanß Kütschen gewesenen schneiders vnd burgers alhie nachgelaßener Sohn vnndt Salome Hnaß Keßel gewesenen Schuhmachers vndt burgers alhie nachgelaßene wittwe. Cop. 17. Junÿ Zu S. Claus (i 87, pas dans les reg. de Saint-Nicolas)

Nicolas Lux de Sarrebruck devient bourgeois par sa femme Salomé veuve de Christophe Kitsch en avril 1644.
1644, 4° Livre de bourgeoisie p. 220
Niclaus Lux von Sarbrücken, Schneider empfahet daß Burgerrecht von seiner haußfrauwen Salome Christoph Kütschen des Schneiders seel. We. vmb 8 G. et 3 fl. ist ledigen stands gewesen v. wird zu dem Schneidern dien. Jur. den 11. ten Aprilis 1644.

Anne, femme du cordonnier Jean Jacques Grieser, vend au cordonnier Jean Jacques Würth le tiers de la maison dont les deux autres tiers appartiennent à la femme de Nicolas Lux

1655 (17. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 530-v
(Protocoll. fol. 69.) Erschienen ut supra [Anna, hannß Jacob Grißers deß Schuhmachers und Burgers Zu Oberenheim Eheweib mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts]
in gegensein H hannß Jacob Würthen deß Schuhmachers und Burgers Zu Straßburg
einen tritten theil Ihro für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoff und werckstatt, mit all. deren Gebäwen & alhie in der Kurbengaß., einseit neben hannß Ulrich Wild. anderseit neben hannß Hohlen beede Schuhmach. hind. vff die herberg Zum hirsch. stoßend gelegen daran die übrige Zwen tritte theil Niclauß Luxen dem Schneidern ehevögtlich. weiße Zustehen, von welcher gantz. Behaußung gehen iahrs vff Laurentÿ 3 fl. straßb. wehr. lößig mit 60. fl. ermelt. wehr. weÿl. Isaac Habrechts deß vhrenmachers seel. Erb. Item 2. fl. wehr. vff Dorotheæ lößig mit 40 fl. besagt. wehr. der Fabric deß Münsters (zum tritten theil übernohmen) – umb 100. lb
(f° 530) Erschienen Anna, Hannß Jacob Grißers deß Schuhmachers und Burgers Zu Oberenheim Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
hatt in gegensein Niclaus Luxen deß Schneiders und Burgers Zu Straßburg (…) albereit umb ostern a° 1654. vffrecht und redlich verkaufft und Zukauffen gegeben habe, 40 lib. von und ahne 106. lib. Capitalrest, so die Stat Straßburg, vermög eines pergamentinen am 8. Junÿ a° 1622 mit deroselben anhangenden größern Insigel gefertigten Zinßbrieffs und deme überschribener resp. reduction und particulae Ablaßung, iährlich termino Medardi mit 5 lib. 6 ß Zu verzinßen schuldig ist, sampt den Zinßextantz von bemelt. 40. lib. Capital (…) vmb 25. lib. Act. 17. Sept : a° 1655.

L’acquéreur est soit Jean Jacques Würth qui épouse en 1655 Jacqueline Sommer, soit son père, originaire de Günzburg, qui épouse en 1619 Marie Zeiseneck
Mariage, cathédrale (luth. f° 37, n° LX)
1655. mehr zum 2 mal eod. [Dom. XVI. Trin. d. 31. 7.br)] Johann Jacob Würth der Schuehmach. H Johann Jacob Würth, des Burgers vnd Schuehmachers allhier Ehelicher Sohn Vnd J. Jacobe, Weilandt Lorentz Sommers des Burgers vnd Thornhüters allhier hinterlaßene eheliche Tochter. Zinst. Bettag Donnerst* 79. [in margine :] Dienst. 9. 8.br. Freÿburg. Hh. Stub, Münster (i 38)

Mariage, cathédrale (luth. p. 86)
1619. Hans Jacob Würth von ober Küntzburgk der schuchmacher vnd J. Maria Jacob Zeiseneck des schuchmachers e. tochter, eingesegnet montag den 19. Julÿ (i 48)

Jean Jacques Würth vend sa part de maison au cordonnier Kilien Klenckner

1660 (31. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 378-v
(Prot. fol. 30.) Erschienen H Hannß Jacob Würth der Schuhmacher
in gegensein Chilian Klenckhners deß Schuhmachers
Einen tritten theil Ihme für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoff und Werckh statt auch allen übrig. deren Gebäwen, Begriffen, Zusammenugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Kurbengaßen, einseit neben hannß Ulrich Wild., anderseit neben hannß hohlen beede Schuhmach. hind. vff die herberg zum hirsch. stoßend gelegen, daran die übrige Zwen tritte theil Niclaus Luxen dem Schneidern ehevögtlich weiße Zusteh. von welcher gantzen Behaußung gehend iahrs termino Laurentÿ 3. fl. Straßb. wehr. lößig mit 60. fl. ermelter Wehr. weÿl. Isaac Habrechts deß Uhrenmachers seel. Erben, Item 2. fl. besagter wehr. vff Dorotheæ lößig mit 40. fl. solch. wehr. der Fabric deß Münsters

Eve, femme du cordonnier Antoine Buch de Barr, cède à l’Orphelinat un capital assis sur la maison qui appartient à Kilien Klencker

1660 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 543-v
Erschienen Eva, Anthoni Büechen deß Wollenwebers Burgers Zu Straßburg, wohnhaft Zu Barr eheliche haußfrau, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein H. Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß Waÿsenhaußes
daß Sie Eva, besagtem Waÿsenhauß, ahne statt bekanntlich schuldige 31. lib 10. ß vffrecht redlich ohnwiderrufflich in solutum cedirt und übergeben habe 31. lib. 10. ß so Chilian Klenckhner der Schuhmach. von vff und abe seiner alhie in der Kurbengaß. gelegener Behausung iährlich. termino Laurentÿ mit j lib. 1 ß 6 d Zu verzinnßen schuldig
[in margine :] (…) in gegensein Johann Huckhen Schuemachers, als ietzigen proprietarÿ hierinn bem. Hauses in d. Kurbengaß (quittung) act. d. 5.ten aprilis 1714.

Anne Ursule (Sutor) et Pierre Montfort, tous deux héritiers testamentaires de Jacqueline Wendrum, passent une obligation au profit d’Anne, veuve de Guillaume Wendrum, de Saint-Avold en Lorraine
1658 (27. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 336
Erschienen Anna Ursula, Niclauß Luxen deß Schneiders eheliche Haußfraw mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, so dann Er Niclaus Lux alß, hiebeÿ beschienener Maßen, hierzu gevollmächtigter Befelchhaber Hannß Peter Montfort deß Biersieders beede alß weÿl. Jacobeen Wendrumbin instituirte Erben
in gegensein Annæ, weÿl. Wilhelm Wendrumbs Zu St: Tervor in Lothring. hinderlaßener Wittibin, im nahmen ihres mit ersterwehntem Wilhelm Wendrumb ehelich erziehlter Kinder, Anthonius, Georgen undt Catharinæ mit beÿstand Johann Grünwaldts Burgers Zu Straßb. – schuldig seÿen 40 lb (…)

Anne Ursule, femme du tailleur Nicolas Lux, cède les deux tiers indivis de la maison à Kilien Klencker, déjà propriétaire de l’autre tiers.

1660 (11. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 481-v
(Prot. fol. 44) Erschienen Anna Ursula, Niclauß Luxen deß Schneiders Eheweib mit beÿstand H Jonæ Andreß. Von Veßenheim E.E. Großen Rhats beÿsitzers
in gegensein Chilian Klenckhners deß Schuhmachers mit beÿstand deß Ehrenvest- From- und Wohlweÿsen herrn Isaac Fausten deß beständigen Regiments der herren Fünffzehen
Zwen tritte theil, ihme für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt werckhstatt und allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weiten, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhie in der Kurben Gaßen, einseit neben hannß Ulrich Wilden einseit neben hannß hohlen beede Schuhmacher hinden uff die herberg Zum Hirschen stoßend gelegen, daran der übrige tritte theil, ihme dem Käuffern Vorhien Zuständig, Von welcher gantzen behaußung gehendt iahrs termino Laurentÿ 3. fl. Straßburger Wehrung, lößig mit 60. fl. ermelter Wehrung Weÿl. Isaac Habrechts deß Uhrenmachers seel. Erben, Item 2. fl. besagter Wehrung uff Dorotheæ lößig mit 50. fl. solcher wehrung der Fabric deß Münsters, so seÿe auch solcher Zweÿte theil umb 50. lib H Georg Basilio Geÿern treÿern der Statt Stallß verhafftet (übernohmen) – umb 315 lb

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit d’André Fischer, assesseur au Grand Sénat

1660 (5. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 622-v
Erschienen Chilian Klenckhner der Schuhmacher
in gegensein H Andres Fischers E.E groß. Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 200 Pfund – daß Er damit, H Georg Basilÿ Geÿers, Treÿers der statt stalls vff nach beschriebene Behaußung gehabte 50. lib albößen
Unterpfand sein soll hauß hoff und Werckstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Recht. und Zugehördten alhie in der Kurbengaß, einseit neben hannß Ulrich Wild. anderseit neben hannß hohl. beede Schuhmach., hind. vff die herberg Zum hirsch stoßend gelegen, davon gehend iahrs termino Laurentÿ 3 fl. straß. Wehr. lößig mit 60. fl. ermelter Wehr. weÿl. Isaac Habrecht deß Uhrenmachers seel. Erben, Item 2 fl. wehr. lößig mit 50. fl. wehr. der Fabric deß Münsters

Originaire de Repperndorf en Franconie, Kilien Klencker épouse en 1647 Anne Chrétienne, fille du marchand de soie Michel Ingweiler : contrat de mariage, célébration
1647 (4. Jan, Chambre des Contrats, vol. 498 f° 7-v
(Eheberedung) Erschienen Chilian Klenckher der Schuhmacher von Repperndorff vß Franckhen, Burg. Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand H Michael Käß. deß Schuhmachers und Burgers alhie, an einem,
So dann Jungfrau Anna Christina Weÿl. H Michael Ingweilers deß Seidenhändlers und Burgers Zu Straßburg, nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter, alß hochzeiterin, mit beÿstand H Alberti Weßners des& Apotheckhers und alt. Treÿers deß Pfenningthurns ihres Vogts und H Zachariæ Ingweilers deß Seidenhändlers ihres Bruders am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. p. 503)
1647. Domin: 3. Epiphanias. Kilian Klencker, der Schuhmacher, Caspar Klencker, deß geweßenen Schmidts Zu Ropperndorff in Francken ehelicher Sohn, vnd Jungf: Anna Christina, H Michel Ingweiler deß geweßenen Handelßmanns vnd Burgers allhier eheliche tochter. Im Münster Mont. 8. febr. (i 256)

Kilien Klencker devient bourgeois par sa femme deux jours après son mariage.
1647, 4° Livre de bourgeoisie p. 241
Kilian Glenckher der Schumacher Von Kepperndorff, empfangt d. Burgerrecht von seiner Haußfrauwen Anna Christinan Weÿl. Michael Ingweÿlers seel. dochter vmb 8 Gold fl. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, seind ledigen stands gewesen vnd würd Er Zu E. E. Zunfft der Schumachern dienen. Jur. 10. Feb. 1647.

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit de Jean Jacques Wieger

1663 (23. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 247
Erschienen Chilian Klenckher der Schuhmach.
in gegensein H Johann Jacob Wiegers U.I. Ddi. auch der hochwürdig. evangelisch. Herrn dom Capitularen hoher Stifft Straßburg Secretarÿ – schuldig seÿen 50 Pfund
Unterpfand sein sollen hauß, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Kurbengaß, einseit neben hannß Ulrich Wild., anderseit neben hannß Höhlen, hind. vff der herberg Zum Hirsch stoßend gelegen, davon gehen iährlich. termino Laurentÿ 3. fl. straßb. wehr. lößig mit 60. fl. besagter wehr. dem Waÿsenhauß, Item 2. fl. wehr. termino Dorotheæ lößig mit 50. fl. wehr. der Fabric deß Münsters

Kilien Klencker l’aîné hypothèque la maison au profit de la confrérie des cordonniers. En marge, quittance remise en 1714 à Jean Huck, alors propriétaire.

1680 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 210
Chilian Klenckhner der alter Schuhmacher
in gegensein Mathis Schlachtmanns und Christoph Dürren beÿder Schuhmacher alß beÿsitzer der Schuh Knecht bruderschafft – schuldig seÿe 50. lb
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren gebäwen und zugehördten alhier unden in der Kurbengaß, einseit neben Hannß Hohlen, anderseit neben Daniel Braunen beÿden Schuhmachern, hinden uff daß Würthßhauß Zum Hirtzen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Johann Hucken, Schuemachers alß ietzmahlig. Proprietarÿ hierin beml. an d. Curbengaßen liegend. Haußes (quittung) act. d. 19.ten februarÿ 1714.

Anne Chrétienne (Ingweiler) meurt à l’âge de 53 ans en 1680, Kilien Klencker à l’âge de 71 ans en 1684
Sépulture, cathédrale (luth. f° 96)
1680. December. d. 14. Fr. Anna Christina, hr. Kilian Klenckners des Alteren, Schuhmachers fr. begraben, starb d. 12. huius 53 Jjahr alt (i 98)

Sépulture, Temple-Neuf (luth. f° 116-v)
1684. October. d. 19.t Kilian Klenckner, Alteren, Schuhmacher vegraben starb d. 17. hûs, ætat. 71 J. 10. Mon. 9. tag. (i 120)

La maison revient à son fils aussi nommé Kilien Klencker qui épouse en 1674 Anne Catherine Œlinger, fille de l’orfèvre Daniel Œlinger

Mariage, cathédrale (luth. f° 178-v, n° 27)
1674. Fest. Pentecostes. Zum 2. mahl Kilian Klenckner Jünger Burger Hn Kilian Klenckners des elteren Schuhmachers vnd Burgers alhie ehel: Sohn, Jfr. Anna Catharina, Hr Daniel Öhlingers Silberarbeiters v.Zollers am Rheinzoll ehel. T. Donnerstags den 28.ten Junÿ Münster (i 181)

Il se remarie en 1680 avec Marie Salomé, fille du cordonnier Materne Moscherosch.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 84-v, n° 50)
1680. Dom. XX. post Trinit. Zum 2. mal Kilian Klencker der Jung Burger und Schuhmacher, Jfr. Maria Salome Weild. Matern Moschenrosch gewesenen Schuhmacher und Burger alhie eheliche Tochter. Donnerst. d. 6. 9.br. Münster (i 88)

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit de Jean Georges Ehrlen, assesseur au Grand Sénat. Autre quittance remise au même en marge.

1691 (10.8.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 672-v
Kilian Klenckner, der Schuhmacher
in gegensein Hn Johann Georg Ehrlen, E.E. großen Raths alt. beÿsitzers – schuldig seÿe100 pfund, Ihme Zu völliger bezahlung Annæ Margarethæ Klencknerin seiner leiblich. Schwester gehabt antheiler an nachbeschriebener behaußung
unterpfand, Hauß, Hoff, weckstatt und alle übrige deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördt. und Gerechtigkeiten allhier in d. Kurben: od. St. Urbans gaß, einseit neben Daniel Braunen dem Schuhmacher, anderseit neben hans Peter Koppel, auch Schuhmachers, hind. auff dei herberg Zum Hirsch. Stoßend gelegen, darvon gehen jährlich 2. guld. strßb. wehr. uff Dorotheæ lößig mit 50 fl. ged. wehr. der fabric deß Münsters
[in margine :] (…) in gegensein Johann Hucken, Schuhmachers als jetzigen proprietarÿ hier Vorbeml. Haußes in d. Kurben gaßen (quittung) d 5. april. 1714

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit de sa belle-mère Marguerite Prügel, veuve du cordonnier Materne Moscherosch. En marge, quittance remise en 1705 à Anne Véronique Diem, veuve de Jean Georges Kœrner.

1692 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 574-v
Kilian Klenckner, der Schuhmacher
in gegensein fr. Margarethæ gebohrner Prüglerin, weÿl. Hn Matern Moscherosch gewesenen Schuhmachers seel. nachgelaßener Wittib seiner Schwiegermutter mit beÿstand Hn Abrahams Fausten, des Specereÿ händlers und dreÿers ses Umbgelds Ihres Curatoris – schuldig seÿe 75 pfund, Ihme zu völliger ausweisung Elisabethæ gebohrne Klencknerin, Samuel pfunden des Nadlers Haußfrauen seiner leibl. Schwester auff hernach beschriebener behausung gehabten Erbschaffts prætension
unterpfand, Hauß, hoff, werckstatt und alle übrige deren Gebäuen und zugehördten, allhier in der Curbengaß, einseit neben Daniel Braunen, anderseit neben Abrahamb werner beede Schuemacher, hinden uff die Herberg zum Hirschen stoßend gelegen, daran gehend Jährl. term. Laurenty 3 fl. Straß. wehr. lösig mit 60 fl. ermelter wehr. dem Waÿsenhauß, Item 2 fl. besagter wehr. uff Dorotheæ lösig mit 50 fl. solcher wehr. der Fabric des Münsters
[in margine :] (…) in gegensein weÿl. Hn Johann Georg Körners wittib Annæ Veronicæ geb. Diemin mit beÿstand u. Consens Hn Joh: Michael Hucken schuem. dero Curatoris alß nunmahliger proprietariæ hierinn versetzten haußes (quittung), den 1. apr. 1705

Kilien Klencker et sa femme Marie Salomé Moscherosch meurent tous deux en mai 1705 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison rue Sainte-Madeleine. La succession s’élève à 50 livres.
1705 (6.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 15)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte Mstr. Kilian Klenckner, geweßener Schumacher und auch weÿl. die Ehren und tugendsahme fr. Maria Salome gebohrne Moscheroschin, beede Eheleuth und Burgere alhier zu Straßburg nach ihrem im Monath Maÿ Jüngsthin bald nach einander genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafften vnd achtbaren H. Christian Westermann Schumachers vnd burger alhier alß geschwornen vogts Mariæ Salome, Kilians, Mariæ Elisabethæ, Mariæ Ursulæ und Annæ Margarethæ Klencknerein aller fünff geschwüsterd. vnd der abgeleibten Eheleuth seel. mit einand. Ehelich erzeugter Kind. vnd ab intestato verlaßener Erben, inventirt, durch die Zweÿ älyeste geschwüsterd so Majorennes vnd ihne den vogt (…) geeugt vnd gezeigt (…) Actum Straßburg Sonntag den 6. Junÿ Anno 1705.

In einer alhier Zu Straßb. in der Utengaßen gelegener und in siese verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befund. word. wie volgt.
Haußrath Auff der bühn In der Leder Cammer, Im untern Haußöhren
Eigenthumb ane Einer behaußung. Item ein vorder und hinderhauß mit allen deßen gebäuen in der Utengaß (…)
Sa. haußraths 50, Sa. Eigenthums ane einer behaußung o, Summa summarum 50 lb

Kilien Klencker vend la maison au tamisier Jean Georges Kœrner, assesseur au Grand Sénat

1694 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 467
Kilian Klenckner der Schuhmacher
in gegensein H. Johann Georg Körners des Sippmachers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers
Hauß, Hoff und Werckstatt, sambt übrigen deren gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und gerechtigkeiten allhier in St. Urbans od. sogenandten Kurben gaßen, einseit neben Daniel Braun anderseit neben Abraham werner beed. Schuhmachern hinden auff die Herberg Zum Hirtzen stoßend gelegen, darvon gehend Jahrs 2 fl. Straßb. Wehr. der Fabric deß Münsters allhier ablösig mit 40 fl. ged. Wehr., so seÿe dieselbe auch umb 60 fl. Capital dem waisenhauß, und umb 400 fl. Capital Andres Fischern, Ferner umb 100 fl. Capital (Item um 100 fl. Capital, Mehr umb 200 fl. Capital), So dann umb 200 fl. Capital Fr. Margarethæ Moscheroschin geb. Prüglerin Wittib des verkäuffers Schwieger, und Endlichen umb 100 fl. Capital (verhafftet), geschehen umb 350 pfund

Jean Georges Kœrner et sa femme Anne Véronique Augustin hypothèquent la maison au profit des filles du marchand de vins Jean Georges Denninger

1695 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 494-v
Erschienen H. Johann Georg Körner, der Sippmacher und E. E. großen Raths alter beÿsitzer und Fr. Anna Veronica geb. Augustinin, deßen Eheliche haußfrau, vnd Zwar dieselbe mit beÿstand H. Nicolaus Pfeil, Und Matthias Einsiedlers, beeder E.E. großen Raths beÿsitzer und hierzu insond.heit dep.
hatt in gegensein Jfr. Annæ Mariæ und Jgfr. Marthæ weil. hans Georg Denningers gewesenen weinhändlers sel. nachgelaßene töchter, mit beÿstand H. Johann Caspar Francken Notar. Publ. und E.E. großen Raths alt. Beisitzers Ihres Curatoris – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Hauß, hoff, und werckstatt, mit allen deren Gebäuen recht. und Zugehördt. allhier in St. Urbans od. Curbengaß, einseit neben Daniel Braun and. seit neben Abraham Werner beed. Schuemachern, hind. auff die Gastherberg zum hirtzen stoßend geleg. – darvon gehend jährlich 2 gulden Straßb. wehr. d. Fabric deß Münsters allhier ablösig mit 40 fl. ged. wehr.
[in margine :] Martha Denningerin anietzo Michaels von Hipßen deß huthmachers haußfrau (quittung), den21. mart. 1698 [unterzeichnet] Marthdan däninger, Michel von hiepen

Anne Véronique Thæm veuve Kœrner vend son tiers de maison à son fils tamisier Jean Georges Kœrner sur le pied de mille livres

1712 (ut ante [20. febr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 143-v
(166) Anna Veronica Körnerin wittib geb. Thämin beÿständlich Joh: Michel Huck schuemachers ihres vogts
in gegensein Joh: Georg Körners sippmachers ihres sohns
ihren theil ahn hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Kurbengass, einseit neben Daniel Braun schuem. anderseit neben Joh: Georg Dürr schuem. hinten auf den Hirtzen stoßend und zwar auf den fueß der 1000 pfund so viel d. gantze hauß betrifft

Jean Loup Kœrner vend sa part de maison à son frère Jean Georges Kœrner

1712 (ut ante [27. febr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 157
Joh: Wolffgang Körner, 21 Jahr alt u. unbevögtigt, beÿständlich andres apffels schuemachers
in gegensein Joh: Georg Körners sippmachers seines bruders
seinen völligen theil ahn hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Kurbengass, einseit neben Daniel Braun schumachern anderseit neben Joh: Georg Dürr schuem: hinteb auf den Hirtzen – um 143 lb

Fille du garde des princes de Durlach Jean Henri Feltz, Catherine Barbe Feltz fiancée à Jean Georges Kœrner fait dresser un état de sa fortune
1711 (7.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Verzeichnus) Catharina Barbara, Weÿl. Hannß Heinrich Filtzen geweßenen Leib guarde beÿ Ihro hochfürstl. dhlt. Von Durlach seel. eheliche tochter, verlobt an Johann Georg Kernern den ledigen Sipmacher, weÿl. H. Johann Georg Kernern geweßenen Alten Großen rathhsverwanthen alhier nunmehro seel. ehelichen Sohn, hat würcklich an eÿgenthümblich in Vermögen
Sumarum 209. lb
Sig. Straßburg den 7.ten Aug. 1711. [unterzeichnet] catrina barbra filtzen

Jean Georges Kœrner épouse en 1711 Catherine Barbe Feltz, originaire de Durlach
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 8)
1711. Die 26. Mensis Octobris Sacro matrimonÿ vinculo Copulati sunt Joannes Georgius Kerner Argentinensis Et Catharina Barbara Feltzin ex Durlach oriunda ambo parochiani mei (signé) Johan Görge Körner, catrina barbra feiltzin (i 9)

Catherine Barbe Feltz acquiert le droit de bourgeoisie quelques semaines après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers
1711, 4° Livre de bourgeoisie p. 787
Catharina Barbara Feltzin, Von Durlach, Weÿl. Joh: Heinrich Feltz gewesenen garde daselbst hinterl. tochter, empfangt das burgerrecht gratis, wird beÿ E E Zunfft der Zimmeleuth dienen. Promisit 9. Xbr. 1711

Jean Georges Kœrner et sa femme Catherine Barbe Feltz hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Georges Braun

1712 (ut ante [27. febr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 159
Joh: Georg Körner sippmacher und Cath: Barb: geb. föltzin beÿständlich Joh: Georg Schwab schuem. und Christian Westermann schuemachers
in gegensein Joh: Georg Braunen handelsmanns – schuldig seÿen 150 lb
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen und zugehörden in der Kurbengass, einseit neben Daniel Braun anderseit neben Joh: Georg Dürr hat in gegenwärtigkeit den Hirtzen

Jean Georges Kœrner et sa femme Catherine Barbe Feltz hypothèquent la maison au profit du consul régent Jacques Wencker

1712 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 451-v
Johann Georg Körner Sippmacher und Catharina Barbara geb. Filßin mit beÿstand Johann Georg Schwaben und Christian Westermanns beed. Schumacher ihrer Vettern
in gegensein /:tit:/ herren Jacob Wenckers ietzregierend. H. Ammeister dreÿzehners und Scholarchæ als Pflegers und H. Johann Heüpel als Schaffners des Waÿsenhaußes – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen gebäuen, rechten und gerechtigkeiten in der Curben gaßen, einseit neben Daniel braun Schuemacher anderseit neben hannß Georg Dürr auch schuemacher hinten auf d. gasthauß zum kleinen hirtzen

Un compagnon a été attribué à Jean Georges Kœrner qui l’a cédé à Simon Weber. Le conseil de tribu estime que Jean Georges Kœrner devra attendre son tour pour recevoir un nouveau compagnon.
1715, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 6-v) Donnerstags den 24. Jan. 1715 – Mstr Johann Georg Körner der Sippmacher Klagt Ca. die samptliche Gesellen, in specie aber Ca. Daniel Buben den Gesellen daß sie demeselben verwichenen Montag die werckstatt ohnerachtet Sie schon am Längsten Leer gestanden, Übergangen, und ged. gesell Zu David Meÿern, der Er doch schon einen Gesellen gehabt in Arbeit gangen. Bekl. sagen Sie hette demeselben schon Vor 3 wochen einen Gesellen Zuschicken wollen, weilen sich derselbe aber dazumahlen bedanckt, und Simon Webern den ihme Zugeschickten Gesellen hatt Zukommen Laßen, Als haben Sie bekl. Gesellen Daniel Buben nach ordnung David Meÿern Zugeschickt, hoffen deßwegen weilen Kl. sich des ersten Gesellen bedanckt, der Anklag absolvirt zu seÿn.
Mstr. Simon Weber sagt interveniendo, daß Kl. sich nicht des Gesellen bedanckt habe, sondern vmb ihne einen Gesellen zuerweißen denselben doch ihne ohn præjuditz uberlaßen habe. Er Körner hette sich auch offerirt die Sach in gutem zu accomodiren, David Meÿer wiederspricht solchen außsagen, und meldet weilen Kl damahlig Zugeschickte Gesellen Simon Webern Uberlaßen, hoffe Er das Recht Zu bek. Gesellen nahmens Daniel Buben Zuhaben.
Mstr. Friderich Rauscher protestirt wieder alles passirte, maßen Ihne der Bek. Gesellen eÿgentlich Zu Käme, weilen sein Werckstatt schon in Ewige lange Zeit Leer stehet, verlangt demnach Zuwißen, worumb Sie sein Werckstatt Ubergehen.
Erkant Kl. soll nicht allein Bek. Gesellen Verlohren Haben, sondern auch so lang still stehen biß die ordtnung wieder ane Ihm Kompt, maßen Er sich sein Recht ohne præjudiz den andern Meistern nicht vorbehalten Kan. Ingl. in alle Uncoten condemnirt seÿe, mit dem bedeut. daß sie Gesampte Meisterschafft einige Articul deßwegen beÿ unsern Gn. H den XV. sollen confirmiren laßen.

Catherine Barbe Feltz meurt en 1750 après avoir institué pour héritiers ceux que nommera son mari. Le notaire déclare dans une remarque préliminaire que le testament qui instiue des tiers est antérieur à l’ordonnance royale qui invalide de tels actes. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Hôpital. L’actif de la succession s’élève à 428 livres, le passif à 166 livres.
1750 (5. 9.bris), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1274) n° 197
Inventarium über Weÿland Frawen Catharinæ Barbaræ gebohrner Viltzin, H. Johann Georg Körrner Sippmachers und burgers allhier geweßener Ehelichen Hausfrawen Seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in anno 1750. – nach Ihrem an 5.ten Augusti jüngst genommenen tödlichen hientritt, Hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obgemelten hinterbliebenen Wittiber, weilen nun die Verstorbene Seelig Vermög hienach beschriebenen Testamenti nuncupativi fol° (-) paragrapho Zum dritten diejenige so Ir hinterbliebener Wittiber ab intestato od. per Testamentum Zu erben ernennen wirdt, auch Ihre Erben seÿn sollen, dem zufolg hatt Er dieße Verlaßenschafft, in so weit sich angemasset, heut dato ordnungs mäßig inventirt (…) So beschen Straßburg den 5.ten 9.bris 1730.
Bericht Ahn Statt der Eheberedung. Der hinterbliebene Wittiber hatt nach abgelegter handtrew glaubwürdig berichtet daß, als Er sich den 15.ten 7.bris anno 1711 als vor 29 Jahren mit seiner Verstorbenen Ehefrau seeligen Verheurathet, Sie dazumahlen keine Eheberedung mit einander auffgerichtet
Copia Auffgerichteten Testamenti nuncupativi. Vermög der Von Ihro königlichen Maÿestätt zu versaile anno 1744 unterschriebener Ordonnance seint alle dergleichen Testamenta od. institutiones welche l’héritier tiers favorisiren von dem tag der publication auffzurichten Verbotten, dieses vorher inserirtes testament aber, welches schon den 24.ten Februarÿ 1740., also Vier gantz jahr vor ergangenem arrest geordnet und Zu papÿr gebracht, demnach so behauptet der witiber nach dem inhalt vor eingetragenen Testamento und willen seiner Verstorbenen Frawen seel. bevor ab die weder in auf: noch absteigender lini kein noth erben Verlaßen, dero rechtmäsiger instituirter Erb Zu sein

In einer allhier Zu Straßburg ane dem genanten Spithal gäßlein gelegener und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehöriger und hernach fo : (-) beschriebener behaußung folgendermaßen befunden worden
(f° 9) Behaußung. Eine behaußung und hoffstatt allhier im Spithal gäßlein (…)
(f° 11) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 32, Sa. Wahren und werckzeug 166, Sa. Silbers 4, Sa. Eigenthum einer Behausung 375, Summa summarum 428 lb – Schulden 166, Nach solchem abzug 262 lb
Conclusio finalis 262 lb
Testamentum nuncupativum – 1740 (…) auf Montag den 24. Monathstag Februarii Vormittag Zwischen 10, 11 und 12 Uhren, in einer allhier Zu Straßburg ane der Spithal: gaß gelegenen und denen beeden hernach bemambsten testirenden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung, dero Wohn Stuben mit denen Fenstern auf gedachte gaß außehende (…) persönlich kommen und erschienen seÿnd, der Ehrengeachte und bescheidene Jerr Johann Geörg Körner Sippmacher und die Ehren und tugendsame Frau Catharina Barbara gebohrne Viltzin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, Er der Mann Zar aufrechten, gesundten gehend: und stehenden, Sie die Frau aber etwas schwach und Krancken leibs, dahero auf einem bette liegend (…) Johann Jacob Oelinger Notarius juratus

Réglement de la succession après une remarque préliminaire qui établit que le testament est invalide d’après l’ordonnance royale
1752, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 61) n° 1521
Summarischer Calculus Über Weÿland fraun Catharinæ Barbaræ Körnerin gebohrner Viltzin Mstr. Joh: Georg Körner Sippmachers vnd burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefrauen Verlaßenschafft auß dem darüber in anno 1750 aufgerichtetem Inventario mit aufgerechneter beßerung und Überbeßerung gefertigt.
Vorbericht. Damahlen auß deme allegirtem Inventario inserirtem Eingangs als dem fom: 16. fac. 2.da et sequenti erstablerem wie auch aus dem fol. 47.b annectirten bericht errhellet, daß man aus Wichtigen gründen obermelen Wittiber M. Joh: Geörg Körner vor den universal erben seiner fraun Verlaßenschafft angesehen, maßen derselben weilen die defuncta weder in auf noch absteigender Linie Kein Noth Erben verlaßen, vermittelst der vbeln Interpretation, das dem Inventario Copeÿlich inserirten Testamenti nuncupativi Reciproci auch dafür aufgeworffen in Conformitæt deßen, sagt mann gleich fol. 2.b Ursachen die defuncta in allegirtem Testamento paragrapho tertio Zu Ihren Erben instituirt diejenigen so Ihr Ehemann ab intestato oder per testamentum Zu seinen Erben ernennen werde, auch Ihre Erben seÿn sollen, so habe Er der Wittiber sich Ihrer Verlaßenschafft so weit angemaßet.
Weiter würd fol. 16.b Zum behuff deßen, daß Er der Wittiber seiner fraun rechtmäsiger Erb seÿe, Ihro König. Maÿestäth Unßers Allergnedigsten Königs vnd Herrns Erklärung, welche die jenige Testamenta den willen eines dritten verbieten bereits vnd den 23. Decembris 1744 ergangen, den 23.ten Januarÿ 1745 au Conseil souverain d’Alsace enregistrirt vnd denen samtlichen allhießigen Notarÿs den 5. Decembris letzt allegirten anni von Obrigkeit wegen publicirt worden, allegirt, meldend, weilen obmentionirten Testamentum nuncupativum Reiciprocum in anno 1741. errichtet, die Königliche declaration aber erst in anno 1744 erfolget, so seÿe ohnumbstößlich das alte gültig vnd einfolglich gehörte die dießeitige Verlaßenschafft dem Wittiber eigenthümlich Zu, welches auch et hoc fundamento fol. 47.b Soutenirt würd, und were deßwegen die in dem Inventario gemachte abzug vnd Abtheilung Viel besagter Verlaßenschafft nur pro forma geschehen, wordurch aber der H. Inventir Notarius auch allen seiten sich selbsten Contradicirt oder Er müßte den Inhalt höchst ged. Königl. ordonnance weder durch Lesen noch wohl capirt haben.
Wann nun die vorher berührte allegata in grund der wahrheit bestünden, so weren die heutige, der Körnerischen Verlaßenschafft angemaßte Erben, in actu ohnmächtig gegenwärtigen Calculum vnd darund. Ihre petita Zu formiren, demnach aber dieselbe gantz irrig, hätte man hiebeÿ gelegenheit sehr viele objectiones hierüber machen alleinen es stand Zu erspahrung aller weitläuffigkeit nur der Vornembsten Zugedencken
primo wann die obangegangene Königliche Erklärung nicht interveniret, mithin das Viel mentionirte Testament bestand hielte, so hätte der Wittiber auß deßen abgelebten frauen Verlaßenschafft sich dennach nichts anderes, /:falls auch die ordonnance de anno 1735. die Testamenta Reciproca oder Codicillis reciprocis nicht verbietete:/ alß des lediglichen genuß Keines weegs aber der proprietät weniger facultatis alienationis Zuerfreuen, welches Er dannoch würcklichen, wie Infer* fol. (-) gezeiget wird eigentätiger weiß Exerciret.
Secundo ist sich nicht wenig vber die hardiesse zu bewundern, daß beeder der Inventir Notarius und der Wittiber sich temererement unterstehen Juro Königl. Maÿestaten allergnädigste Erklärung de dato 23. Decembris 1744 ohnvernantwortlicher weiß Zu eludiren vnd fälschlich Zu verstehen*, wie wann dergleichen vorhien gestifette Testamenta biß ane obiges datum gültig seÿen, dadoch Zufolg deren dreÿen Inhaltenden articula, die dießotige Casus nicht allein nicht Existirten sondern viel mehr Zufolg primi articuli gantz verwerfflich mithien das offt angegangene Körnierische Testamentum nunc. Recipr. Keines weges bestehen Kan noch mag, so daß der abgeleibten Verlaßenschafft auf die rechtmäsige Erben kommen und fallen muß. Woraus
Tertio warscheinlch Zu erkennen, daß mann Zum theil die rechtmäsige Erben ungerechter weiß hintanzusetzen theils aber dergestalten umb Gemeiner Statti ermanglung eines H Deputati umb den abzug Zu bringen gesucht.

Jean Georges Kœrner est admis pensionnaire à l’hôpital civil.
1755 Conseillers et XXI (1 R 238)
(p. 80) Sambstag den 19.ten Aprilis 1755 – Johann Georg Kerner der burger und sippmacher wird ad dies vitæ in dem Spithal beÿbehalten
Christmann nôe Johann Georg Kerner des burgers und sippmachers alhier producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿl. sub Nis 1 biß 6. incl. pt° auffnahm in den Hospithal. Erkandt, wird der Implorant ane den hochansehnlichen Hh. pflegere des mehrern Hospitals umb allda beÿbehalten und lebtägig verpflegt Zu werden, verwießen

Jean Georges Kœrner et Catherine Barbe Feltz vendent la maison au cordonnier Jean Huck et à sa femme Chrétienne Göpffer moyennant 1 125 livres

1714 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 7
(1125) Johann Georg Körner sippmacher und Catharina Barbara geb. Feltzin
in gegensein Johann Huck schuemacher und Christinæ geb. Göpfferin
hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Kurbengaß, einseit neben Daniel Braun schumacher anderseit neben Johann Georg Dürr schuemacher hinten auff. den hirtzen – um 330, 100, 100, 75, 50, 25 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 445 pfund

Fils du cultivateur Martin Huck de Herrlisheim en juridiction de Hanau, le cordonnier Jean Huck devient bourgeois en février 1695 par sa fiancée Chrétienne veuve du cordonnier Laurent Weber.
1695, 4° Livre de bourgeoisie p. 651
Johannes Huck der ledige schumacher Von Herlißheim Hanawisch: Herrschafft, Martin Hucken, baursmanns daselbst Ehl: sohn, empfangt das Burgerrecht Von Christina weÿl. Lorentz Webers gewes. burgers und Schumachers allhier hinterl. Wittib seiner jetzmahligen Verlobten gratis Vnd wird beÿ E. E. der schumacher dienen. Jur: d. 23. Februarÿ 1695.

Jean Huck épouse Chrétienne Gœpffer veuve de Laurent Weber en juin 1695 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1695, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Hucken Schumach: vnd fr. Christinæ Göpfferin weÿl. Lorentz Webers deß Schumachers Wb.
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften Meister Johann Hucken dem noch Ledigen Schuemacher, deß Ehrsamen Martin Hucken bürgers Zu Hörlißheim Hochgräfflich Hanawischer herrschafft ehelichem Sohn, alß dem bräutigamb ane Einem, so dann der Ehren und tugendsamen Frawen Christinæ Göpfferin weÿl. deß Ehrenhafften Meister Lorentz Webers auch gewesenen Schuemachers und burgers alhie nachgelaßener Wittibin, alß der Hochzeiterin am andern theil – 1795, Jacob Christoph Pantrion, Nots.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 57, n° 332)
1695. Eodem [Dom. III post Trinitatis] ist ein paar Ehevolck außgeruffen worden, Johannes Huck, Schumacher, Martin Hucken, des Landtmanns Zu Hörlißheim hochfürstl. Hanauischer herrschafft ehelicher Sohn, Fr. Christina, weÿl. Lorentz Webers, geweßenen Schuhmachers und burgers, nachgel. ehl. wittib. Seÿnd copulirt worden den 29. Junÿ dessen seÿen Zeugen Johannes Huck alls hochzeiter (i 56)

Originaire de Kolbsheim, Laurent Weber épouse Marguerite Bilger en 1667 et devient bourgeois. Il se remarie en 1683 avec Chrétienne, fille de Chrétien Gœpffer (ici Dœrffer), de Plobsheim
1667, 4° Livre de bourgeoisie p. 359
Lorentz Weber, der Schuhmacher Von Kolbßheim, empfangt daß burgerrecht Von seiner Haußfrauen Margaretha, Weÿl. Wolffgang Billigers deß becken seel. hinderlaßene dochter umn 8. goldt fl. so er beÿ der Cancelleÿ erlegt, ist Zuuor ledigen standts gewesen und Will Zu E. E. Zunfft der Schuhmacher dienen. Jurav. den 27 Julÿ A° 1667.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 114)
1683. Dom : 6. post Trinitatis. Zum 2. mahl Lorentz Weber der schuhmacher und burger allhier und Jfr. Christina, weÿl. Christmann Döpffers des burgers in Plobsheim Adel. Zornischer herrschafft ehel. T. Mont. den 2.ten Aug. Zun Predigern (i 115)

Jean Huck et Chrétienne Gœpffer font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison propre à l’épouse rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 119 livres, ceux de la femme à 354 livres.
1695 (14.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 3)
Inventarium vnd Beschreibung, aller Haab vnd Nahrung so der Ehrsam: vnd bescheidene Mr Johannes Huckh, Schuhmacher und die Ehren: vnd tugendsahme fraw Christina gebohrne Göpfferin, beede Eheleuth vnd burgere alhier, Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung, alß ein unverändert Guth in den Ehestandt Zugebracht, – zwar Er der Mann mit beÿstand des Ehrenhafft: und achtbahren H Daniel Braunen, Schuhmachers vnd burgers alhier seines Gewesenen Meisters vnd guten freündts, Sie die fraw aber, mit assistentz der Ehren vorgeachten Herrn Jacob Schlachtmanns des Schuhmachers ihres noch ohnentledigten Curatoris, vnd M Heinrich Martin Krafften, ebenmäßig Schuhmachers Ihrer Kinder erster Ehe Geschwornen Vogts, inventirt (…) Act. Donnerstags den 14. Julÿ 1695.

In einer alhie In der Statt Straßburg, In der Curben Gaßen Gelegener behaußung, Ist befund. worden wie volft
Vff der bühnen, In der Cammer A
Der Kind. Pfetter, Göttel, vnd geschenckt Geldt, Johannis gehörig, Mariæ Magdalenæ zuständig
Eigenthumb ane einer behausung so der frawen unverändert. (F.) Item ein Vord: vnd Hinderhauß mit allen ihren Gebeuwen Inn der Kurbengaßen (…)
Wÿdemb, So eingangs gemelte fraw Christina Huckin geb. Göpferin ad dies vitæ Zugenießen hat. Es hat Weÿland Lorentz Weber gewesener Schuhmacher vnd burg. alhier nunmehr seel. der frawen voriger haußwürth, inn ihrer den 22. Julÿ 1683 mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio Seine in St. Urbans Gaßen alhier Gelegenen vnd vorher fol. (-) beschriebenen behaußung Gegen abrichtung der darauff hafftenden Jährlichen bod. Zinß ad dies vitæ Zugenießen verschafft, thut nach Inhalt des über sein Webers seel. Verlaßenschafft in Anno 1691. auffgerichteten Inventarÿ fol. 52.a
Der Frawen unveränderten Vermögen, Sa. haußraths 148, Sa. werckzeugs Schue und leder Zum Schuhmacher handwerckh gehörig 45, Sa. früchten 5, Sa. Wein und leeren vaß 10, Sa. guldenen ring 7, Sa. baarschafft 19, Sa. Eÿgenthumbbs ane einer behaußung 160, Sa. Schulden 64, Summa summarum 457 lb – Schulden 103, Nach deren Abzug 354 lb
Des Manns unverändert Vermögen, Sa. haußraths 28, Sa. werckzeugs Schue und leder Zum Schuhmacher handwerckh gehörig 5, Sa. früchten 27, Sa. Silbers 10 ß, Sa. baarschafft 4, Sa. Liegende güths 25, Sa. Schulden 29, Summa summarum 119 lb

Chrétienne Gœpffer meurt en 1717 en délaissant deux enfants de son premier mari. Les experts estiment la maison acquise pendant la communauté à 475 livres. La masse propre au veuf est de 249 livres, celle des héritiers présente un déficit de 7 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 613 livres, le passif à 169 livres.

1717 (23.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 38)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung vnd Güetere, so weÿl. die Ehren und tugendsame Fraw Christina Huckin gebohrne Göpfferin, des Ehrenhafften Meister Johann Hucken, Schumachers vnd burgers alhier geweßene haußfrau nunmehr seel. nach ihrem Sontags den 23. Maÿ Jüngsthin, auß dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlich. verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des Abgeleibten fraun seel. hinderlaßener resp° Sohns vnd dochter wie auch dere Ehevogts vnd erbettenen herrn beÿstandts (…) So beschehen in Straßburg Mitwochs den 23.ten Jun: 1717.
Die abgeleibte Fraw Selige hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt, 1. M. Johann Webern, Schuhmachern vnd burgern alhier, so Persönlcih Zugeg. war vnd dann 2. Fraw Mariam Magdalenam Rüebelin, gebohrne Weberin, Mstr Jacob Rüebels des Jüngern Schuhmachers vndt burgers amhie, haußfraw, beÿständlich erstgemelts Ihres Ehevogts, mit fernerer Assistentz des Wohl Ehrenvesten Rechtsgelehr. vnd Großachtbahren Herrn Johann Adam Ösingers Vornehme Notarÿ Jurati et Practici alhier, beide der verstorbenen Frauen seel. mit weÿl. Lorentz Webern Schuhmachern vndt burgern alhier Ihrem ersten hauß würth seel. ehelich erzeugte respe° Sohn vnd dochter vnd ab intestato Zu Zwen gleich. antheilen verlaßene Erben
Eheberedungs Copeÿ
Extract Auß eingangs gemelter Verstorbenen frauen seel. Codicilly

In einer alhie Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegenen, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung Ist befund worden wie volgt.
Eigenthumb ane Häußern. (E.) Item ein vord: Hind. hauß: in der Curbengaßen (…)
(T.) Item Hauß vnd Hoffstatt, mit allen begriffen, Weiten, rechten Zugehörden vnd gerechtigkeiten, geleg. alhier Zu Straßburg In der Kurbengaßen, einseit neben Daniel Braunen dem Schumacher, anderseit neben Johann Peter Cappel dem Schue Knecht hinden auff das Würthshauß Zuem Hirtzen stoßend. So freÿ ledig vnd eigen durch die geschworne Werckmeister alhier laut vorallegirten Schatz Zeduls angeschlagen pro 475. lb. vnd besagt über solche behausung ein teutscher Perg. Kbr. mit der Cancelleÿ Contract stuben anhang. Insigel verwahrt, datirt den 8. Jan: 1714.
Eigenthumb ane Liegenden Güethern (T.) im Härlißh. Bann
Ergäntzung des Wittwers unveränderten Guths. Laut der über eingangs gemelter beeder Eheleuthe in den Ehestand einander zugebrachte Nahrung durch auch unterschriebenen Notarium in Anno 1695, auffgerichteten Inventary
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittwers Unverändert Guth. Sa. Haußraths 4, Sa. der baarschafft 2, Sa. d. ligend. Güther 93, Sa. schuld 45, Sa. der Ergäntzung 123, Summa summarum 269 lb – Schulden 249 lb
Der Erben Unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 44n Sa. leeren Vaß 2, Sa. Guldenen Ring 4, Sa. der baarschafft 2, Sa. Eigenthums ane i. behausung 358, Sa. Schuld. 20, Summa summarum 432 lb – Schulden 439 lb, Passiv onus 7 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 64, Sa. Frucht 16, Sa. Wein und Vaß 25, Sa. led. Schue und Werckzeugs 44, Sa. d. baarschafft 66, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 296, Sa. Eigenthumbs i. beh. 475, Sa. Eigenthums ane einem Veldt acker 5, Sa. schuld 619, Summa summarum 1613 lb – Schulden 169, Nach deren Abzug 1433 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1685 lb – Ungewiß und Zweiffelhaffte Capitalia so theilbar 392 lb, in die hinterbliebene Nahrung Zugeltend 538 lb
Eheberedung (…) 1695, Jacob Christoph Pantrion, Nots.

Lors du partage annexé à l’inventaire, les héritiers cèdent au veuf leur part à la maison acquise pendant la communauté.

Abtheilungs Concept über Weÿland Frauen Christinæ Huckin gebohrner Göpfferin seel. Verlaßenschafft auffgerichtet den 21. Julÿ Anno 1717.
(f° 24) Bericht vnd Vergleichung der Theilbaren Behaußung In der Curbengaßen gelegen.
solche ist mit allen ihren Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, Wie solche in dem Mütterlich Inventario Weitlaüffig beschrieben dem wittwer /:welcher vorhin schon den Zweiten theil eigenthümlich daran hat:/ Käufflichen cedirt vnd übergeben worden, Zu der Erben daran gehörigen Onv.. oder dritten theil pro 400 lb.
Straßburg den 28. Aug. 1717.
(f° 25-v) Vergleich und Vertheilung der Erben unveränderten Behaußung (…)

Jean Huck se remarie en 1718 avec Marie Madeleine Westermann, fille du cordonnier Chrétien Westermann : contrat de mariage non conservé, célébration
1718, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Johann Hucken Schuemach. vndt Jgfr Mariæ Magd: Westermännin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 305, n° 1306)
1718. Eodem [Mittwoch den 8.ten Junÿ] seind nach 2. mahl. Proclamation ehl. copul. word. Johannes Huck der Wittwer b. und Schuhmacher und J. Maria Magdalena, weÿl. Christian Westemann, gew. b. und Schuhm. hinderl. ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes huck als hoh Zeiter, Maria Magdalena Westermännin als hochzeitern (i 304)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1 704 livres, ceux de la femme à 726 livres.

1718 (15.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 41)
Inventarium über Meister Johann Hucken, Schumachers, und Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrener. Westermännin einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1718 – So beschehen in Straßburg In fernerer Gegenwarth des Ehrenhafften undt Vorachtbaren Herrn Johann Dörffers Küeffers vnd Burgers alhier der Ehefrauen Vattern vnd hierzu erbettenen Assistenten, Montags den 115. Aug: 1718.

In einer alhie Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegenen, dem Mann Vor unverändert Zuständigen behaußung Ist befund word. wie volgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung deo dem Eheherrn gehörig. Item Hauß vnd Hoffstatt, mit allen deren gebäuwen, begriffen, Weiten, Rechten Zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg In der Kurbengaßen, einseit neben Daniel Braunen dem Schumacher, anders. neben Johann Peter Kappel auch Schuemacher hinden auff das Gasthauß Zuem Hirtzen stoßend. So freÿ ledig vnd eigen, vnd Zu verhütung Künftttiger præjuditz ohnentschlag. gelaßen worden. Über solche behaußung besagt i. teutscher Perg. Kauffbrieff mit der Cancelleÿ Contract stuben anhangendem Insigel verwahret, datirt den 8. Jan: 1714.
Series rubricarum. Des Ehemanns Nahrung betreffendt. Sa. Haußraths 161, Sa. Wein und Vaß 77, Sa. der frucht 21, Sa. des Rindtviehes 13, Sa. des Leders und Schuh 101, Sa. des Silbers 3, Sa. der Baarschafft 280, Sa. d. Capitalien 729, Sa. des hauß o, Sa. d. Ligenden Güthere o, Sa. der Activ Schulden 533, Summa summarum 1921 lb – Schulden 214, Nach deren Abzug 1704 lb
Der frauen guth betreffend, Sa. haußraths 135, Sa. Weins vnd Vaß 14, Sa. d. frucht 3, Sa. des Silbers 23, Sa. guldenen Ring 8, Sa. der Baarschafft 75, Sa. der Schulden 493, Summa summarum 753 lb – Schulden 27, bleibt 726 lb
Sa. der haußfrau 23 lb

Jean Huck meurt le 6 juillet 1719 à l’âge de 54 ans. L’inventaire dressé après sa mort n’est pas conservé.

1719 ([30 Aug.]), Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über Weÿl. H. Joh: Hucken geweßenen Schumachers alhier Verl.

Sépulture, Temple-Neuf (luth. f° 24-v, n° 38)
1719. Donnerst. d. 6. Julÿ abends zwischen 4 v. 5. Uhr ist an größen Leibs schmertzen gestorben v. Sambst. darauf beÿ Gehaltener Leich Pr. auf dem Guttes Acker S Helenen begraben worden Mr Johannes Huck, burger v. schuhmacher alhier, seines alters 54. Jahr vnd einen Monathe [unterzeichnet] Johannes Weber Als stiefsohn, Johann Jacob riebell als stieff dochterman (i 27)

Malade, Marie Madeleine Westermann fait son testament en 1728. Elle confie l’éducation de son fils à son frère cordonnier Jean Jacques Westermann. Elle institue son fils pour héritier ou à défaut ses frères Chrétien et Jean Jacques Westermann
1728 (7. Martÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 134
Codicill – Persönlich erschienen seÿe die ehr und tugendsame Fr. Maria Magdalena gebohrne Westermännin weÿl. Johann Hucken geweß. Schuemachers vndt burgers alhie nachgelaßenee Wittib ohnbäßlish leibes Zu bette liegend, Jedoch aber dabeÿ von der gnadt deß grundgütig. gottes guten richtigen verstandts (…)
dießem nach vndt vor das andere ist der Fr. Testierein ernstilches will, daß wafern der allerhöchst gott Sie in dieser ihrer Kranckheit auß dieser Zeit vnd welt abfordern thete, oder aber nach diesen, ehe vndt bevor ihr habendes eintzige Söhnlein Johannes huckh erwachß. v. erzog.seÿn werdt, durch den Zeitlich; tod zu sich in die ewigkeit abfordern solte, Ihr geliebter bruder Joh: Jacob Westermann der Schumacher vnd burg. alhie erstberührtes ihr leibes Söhnlein Zu sich wohnen v. biß zu erlang. seines 18. Jährigen alters beÿ sich behalten (…) solle mehr gedachten Joh: Jacob Westerman der fr. Testirerin habendt. behauß. alhie Zu straßb. in der Curbengaß geg. dem bronnen hienüber geleg. gedachte Zeit über biß der Knab das 18.t jahr erlanget Zinß freÿ zu bewohnen (…) vorbehaltlich der Stub Cammer über der werckstatt welche dem Knaben Zu seinem lager eingeraumbt, auch die bett vor sein deß Knaben eigenen bettwerck, lad*, Zu liegen* auffgerichtet werden sollen, so dann der groß. Cammer über der erstgedacht. Stub Cammer, welche ihme dem Söhnlein Zu Versorg v. aufheb. deßen haußräth. mobilieren reservirt vndt eingeraumbt werd. solte (…) Solte aber wieder verhoffen mehr benambster Joh: Jacob Westermann vor verfloß. deß Knaben erlangt. 18. jährig alter mit tod abgehen v. Er der Knab die berührte Zeit auß beÿ sein Westermanns verlaßend. wittib nicht bleiben können, solle deßen vogt ihn alß den andererts zu versorgen sich angeleg. seÿn lassen und solch. falls die genieß. deß haußes aufgehob. seÿn. (…)
endliche vnd Zum dritten dieweilen die institution haæredum oder die einsetz vnd benehambß. der Erben eines Jeden Zu recht bestänig. testaments fürnembsten fundament grundt veste ist œ alß wll Fr. Maria Magdalena Huckin geb. Westermännin die Fr. Testierein zu ihrem rechten wahren v. ohngeweiffel zu erben instituirt vnd eingesetzt haben Joh: Hucken ihres mit ihren verstorbenen Ehemann seel. ehelich erzeugtes habendes eintzige Söhnleih alß welches auch ab intestato ihr rechtmäsiger Erb wäre, Jedoch mit dießem expresse anhang im fall erstbenambstes dero Söhnlein ledigen standts mit tod abgienge, daß alles das jenige so daßelbe von ihr der Fr. Testierein ererbet hat, auf ihre beede brüder Christian Westermann vnd Joh: Jacob Westermann beede Schumacher v burgere alhier (…) substituirt
Geschehen in Einer alhier Zu Straßburg& in der Curben gaßen gelegenen der testirerin eigenthümlich zuständigen behaußung dero obern Stuben mit denen fenstern in bemelte gaß geg. den Caffe hauß hienüber außsehen (…) Sonntagß d. 7. Martÿ morgens zwischen acht und neun uhren Im Jar Christi 1728. [unterzeichnet] Maria Magdalena huckin

Marie Madeleine Westermann meurt en 1770. L’actif de la succession s’élève à 1 210 livres, le passif à 65 livres.
1770 (11.5.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 763) f° 437
Inventarium über Weiland der Ehren und Tugendsamen Fraun Mariæ Magdalenæ Huckin gebohrener Westermännin, längst weiland Herrn Johannes Huck, gewesenen Schumachermeisters und Burgers dahier Zu Straßburg hinterlaßener Wittib, nunmehro auch seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet im Jahr 1770. – nach ihrem Mittwochs den 17.ten Januarÿ dieses 1770.ten Jahrs beschehener Übergang Zur Ewigkeit hier Zeitlichen verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschafft heutigem zu End gesetztem Dato auf Veranstalten und freundlich begehren Herrn Johannes Huck des Schuemachers und bs. dahier der Fraun defunctæ leibl. Sohns und ab intestato verlaßener einzigen Erben (…) So beschehen Straßburg auf Freÿtag den 11.ten May 1770.
In einer alhier Zu Straßburg an der St. Urbansgaß gelegener Behausung hat sich befunden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 61, Sa. leeren Faß 2, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 1, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 274, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 340, Sa. der Gülten von eigenth. liegenden güthern 19, Sa. Schulden 509, Summa summarum 1210 lb – Schulden 65 lb, Nach deren Abzug 1145 lb

Propriétaire de la maison depuis la mort de Jean Huck, son fils Jean Huck épouse en 1746 Catherine Salomé Lix, fille du cordonnier Jean Georges Lix : contrat de mariage, célébration

1746 (8.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 773
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen vnd bescheidenen Mr Johann Hucken dem ledigen Schuemach: weÿl. deß ehrsam: vndt bescheid: Meister Johann Hucken auch geweß. Schuemach: vnd burg: alhier mit Fr. Maria Magdalena gebohrner Westermännin ehelich erzeugten hinterlaß. Sohn, alß hochzeitern ane einem
So dann Jfr. Catharina Salome Lixin des Ehrsahmen Meister Johann Georg Lixen Schumach. v. b. alhie mit Fr. Maria Salome Wolffin ehelich erzeügter dochter, alß hochzeitherin andern theilß
Actum in fernerm beÿsein auf seith. deß hochzeith. H. Joh: Birckels Schumach. seines Vogts, und Christian Westermann auch Schumach. seines nechsten anverwanth. auf der Jfr. hochzeiterinn seithen aber ihres Vatters oben benambst vnd Martin Baldners deß fischers alß nahen anverwanth. sambtl. burgere alhie Straßb. d. 8. Julÿ 1746. [unterzeichnet] Johannes Huck als Hochzeiter, Catharina Salome Lixin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 252 n° 966)
1746. Mittw. d. 3. Aug. seind nach ordentl. proclamation ehel. copulirt und eingesegnet worden Johannes Huck der led. Schuhmacher u. Burg. allhie H. Joh: Hucken geweßenen Schuhmach. u. burg. allh. nachgelaß. ehel. Sohn, u. J. Catharina Salome Joh: Georg Lixen Schuhm. und Burg. allh. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Huck als Hochzeiter, Catharina Salomea Lixin als hochzeitrin (i 257)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Sa mère usufruitière y a fait pour 400 livres de réparations. Ceux du mari s’élèvent à 937 livres, ceux de la femme à 231 livres.

1750 (5.10.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 24) n° 878
Inventarium über des Ehrsamen und bescheidenen Meister Johannes Huck, des Schuhmachers und der Ehren und tugendsahmen Fraun Catharinä Salome Huckin gebohrner Lixin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1750 – einander in ihren den 3. Augusti 1746 angetrettenen Ehestand zugebracht auch was seitheri der Ehemann von seiner Mutter auf liefferung vätterl. guths empfangen, welche der Ursachen alldieweilen in ihrer Vor mir Notario auffgerichteten Eheberedung dero 4.ten Puncten außdrucklich abgeredet, daß einem jeden und seinen Erben das in die Ehe bringend und ererbende Vermögen ein freÿ und eigen guth seÿn und bleiben solle – So beschehen in fernerem beÿsein Mr Johann Friderich Lix des Schuemachers und burgers allhier der Ehefraun Vogts und Fr. Mariä Magdalenä geb. Westermännin des Ehemanns leiblicher Mutter beÿständ. Mr Christian Westermanns des Schuemachers und burgers allhier, Straßburg den 5.ten Octobris Anno 1750.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Urbans gaß gelegener hiernach v.schriebener behaußung befunden worden wie folgt.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Maria Magdalena Huckin gebohrne Westermännin weÿl. Herrn Johannes Huck des gewesenen Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg seeligen hinterbliebene Wittib des Ehemanns Mutter lebtägig Zu genießen berechtiget. Nemblichen es hat des Ehemanns ietzgedachter Vatter seeliger in der mit seiner damahligen Jgfr. hochzeiterin jetzt hinterbliebener Wittib Vor H Not° Jacob Christoph Pantrion d. 18. Matiers 1718. gepflogenen Eheberedung dero 6.ten Puncten Ihro Zu einem lebtägigen doch Wieder rückfälligen Vor Wÿdem verschrieben
Eine Behaußung und Hoffstatt mit allen dero Gebäuwen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg in St. Urbansgaß 1.s neben weÿl. herrn Daniel Braunen des Schuhmachers seel. W. und Erben 2.s. lb Johann Peter Kappeln auch Schuhmachers hinten auf die Gastherberg Zum Hirtzen stoßend so freÿ leedig und eigen. Darüber bes. i. teutscher perg. Kffbr. m. der Statt Straßburg C. C. St. anhang. Ins. Verw. dat. d. 8.ten Jan. 1714.
In dießer behaußung seÿnd durch die Frau Wÿdembs Nießerin wie in Vorhergehender Abrechnung Zusehen 400 lb Verbauen worden, die der Sohn gegen freÿer beziehnung des haußes auf der Mutter tod in ihrer Verlaßenschafft einzuschießen hätte gehabt, allein Sie hat ihm Zufolg angezogener Abrechnung 291. lb die demselben Vor in dem Kinder vertrag berechnet Vätterl. guth über bereits empfangenes annoch gebürten, an dießer 400 lb d angewießen, und statt des Zinßes davon einige Gemach in dem hauß Zu bewohnen eingeraumt, dahero Er der Sohn dießotiger Ehemann nach seiner Mutter tod gegen beziehung Vorstehenden haußes nur noch ane Baukösten in ihre Verl. einzuschießen muß 100 lb
Wÿdembs Verfangenschaft, Hier sollte auch das jenigen was der Ehefraun Mutter Frau Maria Salome Lixin gebohrne Wolffin Von Weÿl. Mr Johann Georg Lix dem geweßenen Schuemacher und burgern allhier Zu Straßburg seel. lebtägig Zu genießen berechtighet ist (…)
Ordnung gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gerbacht Gut Sa. Haußraths 109, Sa. Lährer Fß 9, Sa. Silbers 13, Sa. der Baarschafft 264, Erg. ane Matten o, Gülth von liegenden güthern o, Summa summarum 937 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. Haußraths 87, Sa. Silbers 15, Sa. Goldener Ring 23, Sa. der baarschafft 108, Summa summarum 231 lb

Le cordonnier Jean Huck héberge pendant plusieurs années des marchands pendant les foires. Ceux nommément cités en 1762 et 1764 sont originaires d’Iserlohn.
1756, Protocole des Quinze (2 R 167)
(p. 446) Sambstags den 29. Decembris 1756 – Johannes Huck der schuhmacher pto 2 messleuth, Willfahrt

1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
(p. 454) Sambstags d. 17. Decembris – Johannes Huck der schuhmacher idem [pt° messleuth], Willfahrt

1758, Protocole des Quinze (2 R 169)
(p. 431) Sambstags den 23. Decembris – Claus nôe Johannes Huck, des schuhmachers und Johann Jacob Vogt des schwerdtfegers wegen dreÿ frembden Kauffeuthen w* Jeder Implorant gleichfalls über tisch und losament zu halten gesinnet seÿe. Erkandt nch ordnung willfahrt

1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
(p. 249) Sambstag d. 21. Junÿ – [-] nôe Johannes Huck des Schuhmachers und Philipp Jacob Vogt des Schwerdtfegers bitten um Erlaubnus diese Meß hindurch in 3 frembde Kauffeuthen in Kost und logement nehmen zu dörffen. Erk. ut supra [nach ordnung willfahrt]

1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
(p. 343) Sambstags d. 19. Junii 1762 – Idem [Claus] nôe Johannes Huck des schuhmachers, dieser bitt umb erlaubnus dieße Meß über Zweÿ Meßleuthe in Kost und logis annehmen Zu dörffen. Erk. nach Ordnung mit gebettener erlaubnus willfahrt
(p. 630) Sambstags d. 18. Decembris 1762 – Claus nôe Johannes Huck des burgers und schuhmachers allhier, dieser bittet ihme gnädig zu erlauben H Johann Wilhelm Oberbeck und Johann Peter Bellhauß die Meß hindurch an Tisch und Losament auffnehmen Zu dörffen. Erk. wird dem Imploranten inn seinem begehren Willfahrt.

1764, Protocole des Quinze (2 R 176)
(p. 451) Sambstags d. 23. Junii 1764 – Faust nôe Johannes Huck des burgers und schuhmachers dieser bittet unterthänig Zweÿ frembde Meßherren Johann Wilhelm Oferbeck und Johann Peter Bollhauß von Iserlohn, samt ihren Knecht diese Johannis Meß zeit hindurch Kost und Losament aufnehmen Zu dörffen. Erkannt, nach ordnung Willfahrt.

Jean Huck hypothèque la maison au profit du pâtissier Geoffroi Metzger

1782 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 381-v
Johannes Huck der schuhmacher meister
in gegensein H. Gottfried Metzger des Zuckerbecks – schuldig seÿe 300 gulden
unterpfand, eine behausung ane St Urbanus gaß, einseit neben der Langischen wittib, anderseit neben Georg Jockers dem schuhmacher, hinten auff die Gastherberg zum Hirtzen

Jean Huck meurt en 1789 en délaissant quatre enfants. L’actif de la succession s’élève à 2236 francs, le passif à 2067 francs.

1800 (6 prairial 8), Strasbourg 7 (12), Not. Stoeber n° 1550
Inventarium über und beschreibung alles deßen was weÿl. burger Johannes Huck gew. Schuhmachers nach seinem bereits im Monath februarii des jahrs 1789 erfolgten Absterben an Vermögen hinterlassen, auf Ansuchen deßen hinterbliebenen Wittib Catharina Salome geb. Lix beÿständlich Johann Gottfried Braun Paßmentirers
Des verstorbenen ab intestato verlaßene Erben sind 1. dessen ältere tochter Catharina Salome geb. Huck des bürgers Christian Westermann Schuhmachers Zhefrau, 2. des Defuncti älterer Sohn bürger Johannes Huck schumacher, 3. des Defuncti jüngerer großjähriger Sohn der bürger Christian Huck leediger Schuemacher, So dann 4 des Defuncti jüngere großjährige leedige tochter Maria Magdalena Huck unter verbeÿstandung burgers Diebold Wurtz Meelhändlers

der Wittib unveränderten vermögen, silber 10 lb, goldene ringe 19 lb, schulden 200 lb, ergäntzung, inhalts Inventarii durch H Brackenhoffer Not. im Jahr 1750 auffgerichtet 950 fr, Summa summarum 1179 fr
der Erbrn ohnveränderten Vermögen, kleidung 45 fr, Silber 29 fr, Pfenningzinß hauptgüter 760 fr, Matten Herrlisheimer banns, Gülthen
Eigenthum an einer behausung, so der Erben ohnverändert. Nemlichen eine behausung hof hoffstatt und brunnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der Urbansgaß mit N° 13 bezeichnet einseit neben burger Friedrich Späth Schneider anderseit neben dem bürger Georg Jockers Schuemacher hinten auf die Gastbehaußung zum Hirtzen, darüber besagt eine vor Häring Not. den 19. 7.br 1767 passirten Erbscession
Ergäntzung 17 lb, Summa summarum 852 fr – Schulden 200 fr, Nach deren abzug 652 fr
Folgt nun die beschreibung des theilbaren Guths, hausrath 684 fr, leerer Faß 106 fr, gold. ring 18 fr, baarschafft 550 fr, schulden 878 fr, Summa summarum 2236 fr – schulden 2067 fr, Nach deren Abzug 168 fr
Eheberedung (…) den 8. julÿ 1746 Brackenhoffer Not.
Copia Codicilli vor J. Carl Fické Not. am 20. maÿ 1776
Enregistrement, acp 74 F° 30 du 14 pr. 8

Les héritiers vendent des meubles après la mort de leur mère Catherine Salomé Lix
1805 (20 mess. 13), Strasbourg 4 (34), Not. Stoeber n° 217
Vente de meubles par les héritiers de feue Catherine Salomé Lix veuve de Jean Huck cordonnier rue du Maroquin n° 13
à la requête de 1. Catherine Salomé Huck femme de Chrétien Westermann, 2. Chrétien Huck cordonnier, 3. Jean Huck cordonnier, 4. Marie Madeleine Huck fille majeure, les quatre héritiers de la défunte décédée le 26 germinal dernier
total ce ce que les enfants ont à rapporter dans la masse 13.831 fr, total de la masse à partager 14.741 fr

Catherine Salomé Huck femme de Chrétien Westermann vend sa moitié de maison à son frère Jean Chrétien Huck et à sa sœur Marie Madeleine Huck.

1805 (2 compl. 13), Strasbourg 7 (38), Not. Stoeber n° 2618, 6712
Catherine Salomé Westermann née Huck femme de Chrétien Westermann cordonnier, Jean Huck cordonnier
à Jean Chrétien Huck cordonnier et Marie Madeleine Huck fille majeure assistée de son frère
la moitié dans une Maison appartenances et dépendances scitués dans la rue St Urbain N° 13, d’un côté le Sr Spiel traiteur, d’autre Valentin Diemer Vanier, aboutissant sur l’auberge du Cerf, dont l’autre moitié appartenant aux cessionnaires – moyennant 4000 francs
Enregistrement, acp 97 F° 144 du 6 vend 14

Chrétien Huck meurt célibataire en 1812 après avoir légué la maison à sa sœur Marie Madeleine

1812 (3.7.), Strasbourg 4 (41), Not. Stoeber n° 1866
Inventaire de la succession de Chrétien Huck cordonnier décédé 20 janvier dernier – dressé à la requête de 1. Catherine Salomé Huck femme de Chrétien Westemann cordonnier, 2. Jean Huck, cordonnier au nom des enfants mineurs Jean Huck et Geofroid Huck et 3. Marie Madeleine Huck, légataires à titre universel savoir la femme Westermann pour un tiers, les enfants Huck pour un tiers et la Dlle Huck pour un tiers de leur frère et oncle suivant testament nuncupatif reçu M° Stoeber le 25 janvier dernier

dans la maison rue du maroquin n° 13
succession, mobilier 212 fr, créances 230 fr, passif 400 fr
Maison, la moitié d’une maison et appartenances sise rue du Maroquin n° 13 d’un côté le Sr Spaeth tailleur d’autre Diemer fabricant de cribes, aboutissant sur. auberge au Cerf, laquelle moitié de maison le défunt a légué suivant ledit testament à sa sœur Marie Madeleine Huck moiennant la somme de 4000 fr
biens ruraux à Herrlisheim, Offendorf, non estimés
Enregistrement, acp 120 F° 29-v du 8.7.

Inventaire dressé après la mort du locataire André Martin Bonlarron, herboriste

1820 (11.3.), Strasbourg 8 (29), Me Roessel n° 7027
Inventaire de la succession d’André Martin Bonlarron, herboriste décédé le 13 février dernier – à la requête de Sophie Taubert la veuve en son nom, mère et tutrice légale de Martin et Charles ses enfants, en présence de Jean Herr, baquetier, subrogé tuteur desdits mineurs
dans une maison rue du Maroquin n° 13
mobilier 459 fr, garde robe 109 fr, ensemble 568 fr, passif 68 fr
Enregistrement, acp 146 F° 133 du 14.3.

Inventaire dressé après la mort du locataire François Martin Bonlarron, employé à la préfecture

1820 (11.3.), Strasbourg 8 (29), Me Roessel n° 7028
Inventaire de la succession de François Martin Bonlarron, employé à la préfecture décédé le 22 février dernier – à la requête de Sophie Taubert veuve d’André Martin Bonlarron, herboriste en son nom, mère et tutrice légale de Martin et Charles ses enfants
/:et de Marie Reine Demant veuve de François Martin Bonlarron à cause de la communauté en biens:/ lignes annulées:/ Jean Herr bacquetier subrogé tuteur
dans une maison rue du Maroquin n° 13
mobilier 119 fr, numéraire 705 fr ensemble 824 fr, passif 64 fr
Enregistrement, acp 146 F° 133 du 14.3.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Sophie Taubert, veuve d’André Martin Bonlarron

1821 (21.3.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7738
Inventaire de la succession de Sophie Taubert veuve d’André Martin Bonlarron, herboriste, décédée le 8 mars courant – à la requête de Louis Marie Poncet, percepteur des contributions directes à Strasbourg en sa qualité de membre de la commission administrative des hospices civils – en présence de Jean Herr baquetier subrogé tuteur de Martin et Charles enfants mineurs de la défunte
dans la maison rue du Maroquin n° 13
mobilier 867 fr, créances 600 fr, argenterie 77 fr, ensemble 1544 fr, passif 350 fr
Enregistrement, acp 151 F° 170-v du 22.3.

Marie Madeleine Huck meurt en 1845 en délaissant des héritiers collatéraux. L’acte établit la filiation de propriété jusqu’en 1714 (avec quelques inexactitudes)

1845 (2. 7.br), Strasbourg 7 (102), Not. Reiss n° 50
Inventaire de la succession de Madlle Marie Madeleine Huck, vivante célibataire majeure, domiciliée et demeurant à Strasbourg, y décédée le 8 juin dernier.
L’an 1845 le 2 septembre à cinq heures de relevée, à la requête et en présence de I. Mme Marie Barbe Westermann épouse de M. Léopold Clémentz Profoss, propriétaire, de son mari dûment autorisée et assistée, II. D° Marie Dorothée Westermann, veuve de M. Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; III. a) Dlle Catherine Salomée Lang, b) Dlle Marie Madeleine Lang, toutes deux célibataires majeures sans profession, et venant toutes les deux par représentation de leur mère D° Catherine Salomé Westermann vivante épouse du Sieur Isaac Lang, cordonnier à Strasbourg, IV. a) De Jacobée Holtzapfel épouse assistée et autorisée du Sieur Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier, b) De Sophie Holtzapfel épouse dûment assistée et autorisée de M. Jean Charles Holtzapfel, avocat, c) Et enfin De Louise Sigrist veuve du Sr Théophile Holtzapfel en son vivant tourneur, agissant en qualité de mère et tutrice naturelle et légale de Louise, Madeleine, Sophie et Théophile Holtzapfel ses quatre enfants mineurs issus du mariage qui a existé entre elle et son dit défunt mari qu’ils représentent comme ses seuls et uniques héritiers, Tous domiciliés et demeurant à Strasbourg, Ledits mineurs Holtzapfel, venant par représentation de leur père ainsi qu’il a été dit Sr Théophile Holtzapfel qui a lui-même concuremment avec ses sœurs De Eisenbrand et Holtzapfel vient par représentation de leur mère de Jacobée Westermann vivante épouse du Sieur Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg
Et lesdits De Profoss, veuve Maurer les représentants de la D° Lang ainsi que les enfants et petits enfants Holtzapfel venant tous par représentation de leur mère, grand-mère et ayeule respective De Catherine Salomé Huck, veuve en premières noces du Sieur André Westermann vivant cordonnier à Strasbourg et décédé veuve en secondes noces du Sr Chrétien Hutann aussi cordonnier en ladite ville sœur de la défunte Dlle Marie Madeleine Huck dont ils sont habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chaque branche pour un quart ainsi qu’il résulte des deux testaments dont il va être question ci après.

Testament. Par son testament par acte public dressé par M° Chrétien Théophile Stoeber le jeune Notaire à Strasbourg en présence de témoins le 28 février 1827, enregistré le 28 juillet dernier (…) Mais plus tard les D° Lang et Holtzapfel décédèrent et les legs faits en leur faveur fut caducs en vertu de l’article 1039 du code civil des français. La défunte fit en conséquence de nouvelles dispositions testamentaires au profit des enfants et représentans Lang et Holtzapfel suivant testament olographe en date de Strasbourg du (le quantième étant illisible) mois de novembre 1836, traduit en français (…) déposé (…) en l’étude du soussigné notaire Reiss suivant procès verbal du 28 juillet dernier enregistré et mis au rang des minutes dudit notaire soussigné suivant procès verbal en date du 28 juillet dernier
5° Immeuble. Une Maison avec pompe, cour, caves, droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du Maroquin N° 13, tenant d’un côté au Sr Spaeth tailleur d’habits, de l’autre côté au Sieur Valentin Diemer, faiseur de cribles, par derrière sur l’auberge au Cerf et par devant ladite rue du maroquin.
Origine de la propriété. La défunte était devenue propriétaire de cette maison pour avoir recueilli la moitié dans la succession testamentaire de son frère M Jean Chrétien Huck, vivant célibataire, cordonnier à Strasbourg, y décédé suivant son testament par acte public dressé par M° Stoeber père, notaire en cette ville, présens quatre témoins le 15 juin 1810 enregistré le 25 janvier 1812. Elle a hérité un quart dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck vivant cordonnier et Dame Catherine Salomé Lix, tous deux décédés audit Strasbourg et dont elle était héritière pour un quart conjointement avec des trois autres frères et sœurs. Enfin elle a acquis le dernier quart ou plutôt la moitié indivise avec son dit frère Jean Chrétien Huck de leur frère et sœur Catherine Salomé Huck veuve du Sieur Chrétien Westermann cordonnier en cette ville et Jean Huck cordonnier audit lieu par contrat reçu par Jean Daniel Stoeber Notaire public à Strasbourg qui en a gardé minute, en présence de témoins, le second jour complémentaire de l’an XIII de la République française. Le Sr Jean Huck l’avait hérité ou recueilli dans la succession de ses père et mère les conjoints Jean Huck, cordonnier et Christine Goepfer demeurant à Strasbourg dont il était le seul et unique héritier, ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès dudit Sr Jean Huck par M Jacques Christophe Pantrion vivant Notaire public à Strasbourg le 30 août 1719. arrêté le 6 juillet de la même année. Les époux Jean Huck avaient acheté cette maison des époux Jean Georges Koerner vannier et Catherine Barbe Fels suivant contrat reçu à la ci devant Chambre des contrats de la Ville de Strasbourg par M. François Guillaume de Rackau [Mackau] Maître et conseiller de ladite ville le 8 janvier 1714.
Titres et papiers. Titres relatifs à la maison. Cote première. Pièce unique qui est un vieux titre d’acquisition sur parchemin (…) en date du 8 janvier 1717. Cote deuxième. Pièce unique qui est un vieux titre d’acquisition également sur parchemin (…) par M° Jean Daniel Stoeber
acp 339 (3 Q 30 054) f° 74 (déclaration du 1. Xbre 1845) Garde robe 110, Linge et meubles meublans 416, argent comptant 600, créances 6117
Immeuble une maison à Strasbourg rue du Maroquin N° 13
Dettes passives 1493

Marie Madeleine Huck meurt de marasme dans sa maison à l’âge de 83 ans
Décès, Strasbourg (n° 1026)
Déclaration faite (…) le 9 juin 1845 du décès de Marie Madeleine Huck, âgée de 83 ans, née à Strasbourg, non mariée, domiciliée à Strasbourg, morte en cette mairie le 8 du mois courant à 10 heures du matin dans la maison située N° 13, rue du maroquin, fille de feu Jean Huck, cordonnier, et de feu Catherine Salomé Lix [in margine :] marasme (i 62)

Testament olographe de Marie Madeleine Huck
1845 (16.8.), M° Reiss
Dépôt du testament olographe de Marie Madeleine Huck, célibataire à Strasbourg, en date à Strasbourg du mois de novembre 1836, enregistré le 14 août 1845 enregistré en ce bureau le 14 août 1845 f° 87 v°
acp 339 (3 Q 30 054) f° 37-v du 22.8.

Liquidation de la succession
1846 (21.3.), M° Reiss
Liquidation et partage de la succession de Marie Madeleine Huck, célibataire majeure, décédée à Strasbourg le 8 juin 1845. Entre Marie Barbe Westermann épouse de Léopold Clément Profoss, propriétaire à Strasbourg, II. Marie Dorothée Westermann, veuve de Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; III. a) Catherine Salomée Lang, b) Marie Madeleine Lang, toutes deux célibataires majeures à Strasbourg venant par représentation de leur mère Catherine Salomé Westermann épouse en son vivant d’Isaac Lang, cordonnier à Strasbourg, IV. a) Jacobée Holtzapfel épouse de Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier en cette ville, b) Sophie Holtzapfel épouse de Jean Charles Holtzapfel, avocat à Strasbourg, c) Louise Sigrist veuve de Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg, agissant en qualité de tutrice naturelle et légale de Louise, Madeleine, Sophie et Théophile Holtzapfel ses quatre enfants mineurs issus du mariage avec le dit défunt, Les mineurs venant par représentation de leur père qui lui-même concuremment avec ses sœurs femmes Eisenbrand et Holtzapfel vient par représentation de leur mère de Jacobée Westermann vivante épouse de Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg. Les femmes Profoss, veuve Maurer, les représentants de la femme Lang par représentation de leur mère, grand-mère et aïeule respective Catherine Salomé Huck, veuve de Chrétien Westermann cordonnier à Strasbourg sœur de la défunte.

acp 346 (3 Q 30 061) f° 45-v du 25.3. Cette opération est précédée de diverses observations préliminaire qui sont, 1° observation, Par son Testament (…), 2° observation, inventaire (…) Les valeurs et effets mobiliers et argent comptant ont été partageés à l’amiable entre les parties, 3° observation (licitation de la maison), 4° observation (surenchère de la maison)
Masse active. Elle se compose 1° d’une somme de 2274 francs en principal et intérêts dus par les conjoints Thiébaut Kern et Catherine Lux conjoints à Ingenheim et Michel Barthel cultivateur &t Marguerite Kern conjoints ausit lieu suivant obligation reçue Boersch le 8 octobre 1838, 2274 francs
2° d’une somme de 1028 francs en principal et intérêts dus par Martin Schneider meunier et Barbe Haas conjoints à Cleebourg suivant obligation reçue Karth notaire à Wissembourg le 16 mai 1840
3° d’une somme de 1548 francs en principal et intérêts dus par Michel Hornecker et Anne Negmacher conjoints à Eckwersheim suivant obligation reçue Stoeber à Strasbourg le 5 novembre 1840
4° d’une somme de 1212 francs en principal et intérêts dus par Jacques Rohfritsch cultivateur à Oberhausbergen suivant obligation reçue Boersch le 26 mars 1845
5° Les intérêts d’un capital de 1270 francs (…) 37 francs, 6° les intérêts d’ue somme principale de 733 francs (…) 21 francs, 7° Enfin des rapports restant dus par l’acquéreur de la maison 14.651, Ensemble 20.769 francs
Masse passive 3032. Balance 17.737 francs
Comptes particuliers – Fournissement et délégations

Les héritiers font vendre la maison. La colicitante Sophie Holtzapfel se porte acquéreuse.

1845 (10. 9.br), Strasbourg 7 (102), Not. Reiss n° 143
N° 88, 4. 8.bre 1845. Dépôt du cahier des charges. Ledit M° Reis, commis par jugement du tribunal de première instance séant à Strasbourg en date du 24 du mois de septembre dernier, pour recevoir les enchères et procéder à la vente de la maison ci après désignée, Ont comparu (…)
N° 85. 3. 8.bre 1845. Cahier des charges, clauses et conditions de la vente aux enchères par aurtorié de justice qui aura lieu par le ministère de M° Reiss, Notaire à Strasbourg, commis par jugement du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg du 24 septembre 1845, d’une maison située en la dite ville, rue du maroquin marquée du N° 13.
Exposé. Dame Louise Sigrist veuve du Sieur Théophile Holtzapfel en son vivant tourneur à Strasbourg où elle demeure, ayant agi en qualité de tutrice naturelle et légale de ses quatre enfants mineurs issus du légitime mariage qui a existé entre elle et son dit défunt mari qui sont 1. Louise Holtzapfel âgée de 16 ans, 2° Madeleine Holtzapfel âgée de 12 ans, 3. Sophie Holtzapfel âgée de 12 ans, 4. et enfin Théophile Holtzapfel âgé de 8 ans, a fait convoquer et réunir en conseil de famille les parens et amis desdits mineurs afin de faite autoriser à vendre une maison située à Strasbourg rue du maroquin dépendant de la succession de Demoiselle Marie Madeleine Huck, vivant célibataire majeure, copropriétaire par indivis ainsi qu’il résulte de l’inventaire dressé sur ladite succession par M° Reiss, Notaire soussigné qui en a la minute et son collègue le 2 septembre dernier enregistré. Cette délibération fut homologuée par jugement du tribunal civil de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville en date du 24 du dit mois de septembre dernier, enregistré qui en même temps a ordonné que devant le Notaire soussigné, à ce commis il soit procédé à la vente par licitation de la maison et dépendances désignée ci après sur la mise à prix de 10.000 francs (…)

Désignation de la Maison à vendre. Une Maison avec pompe, Cour, Caves, droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du maroquin marquée du Numéro 13, tenant d’un côté au Sieur Spaeth tailleur d’habits, de l’autre côté au Sieur Valentin Diemer, faiseur de cribles par devant ladite rue du maroquin et par derrière sur l’auberge au Cerf.
Origine de la propriété. Cette maison dépend de la succession de ladite demoiselle Huck susnommée qui en a légué la propriété aux ci après nommés et dans la proportion également ci après établie, aux temres d’un premier testament par acte public dressé par M° Chrétien Théophile Stoeber le jeune Notaire à Strasbourg en présence de témoins, prédécesseur médiat du Notaire soussigné qui en a la minute, le 28 février 1827, enregistré le 28 juillet dernier en encore aux termes d’un second testament olographe en date de Strasbourg du (le quantième étant illisible) mois de novembre 1836, traduit en français (…) déposé (…) en l’étude du soussigné notaire Reiss suivant procès verbal du 28 juillet dernier enregistré et mis au rangd es minutes dudit notaire soussigné par acte du 16 août suivant. Elle appartient par indivis et dans le proportions suivantes 1° aux quatre enfants mineurs Holtzapfel chacun propre 1/48, ensemble pour 4/48
2° Dame Sophie Holtzapfel épouse de Monsieur Jean Charles Holtzapfel, avocat, les deux domiciliés à Strasbourg pour 4/48
3° Dame Jacobée Holtzapfel épouse de Monsieur Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier, domiciliés et demeurant également en cette ville, pour 4/48
4° Mademoiselle Catherine Salomée Lang, célibataire majeure, sans profession, domiciliée à Strasbourg, pour 6/48
5° Mademoiselle Marie Madeleine Lang, aussi célibataire majeure, demeurant à Strasbourg pour la même proportion 6/48
6° Dame Marie Dorothée Westermann veuve de M. Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; elle y domiciliée et y demeurant pour un quart ou 12/48
7° Dame Marie Barbe Westermann épouse de M. Léopold Clementz Profoss, propriétaire, demeurans ensemble en ladite ville pour la même portion de 12/48, Total égal à l’entier 48/48. La défunte Demoiselle Huck était devenue propriétaire de cette maison pour avoir recueilli la moitié dans la succession testamentaire de son frère M Jean Chrétien Huck, vivant célibataire, cordonnier à Strasbourg, y décédé suivant son testament par acte public dressé par M° Stoeber père, notaire en cette ville, présens quatre ttémoins le 15 juin 1810 enregistré le 25 janvier 1812. Elle a hérité un quart dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck vivant cordonnier et Dame Catherine Salomé Lix, tous deux décédés audit Strasbourg et dont elle était héritière pour un quart conjointement avec des trois autres frères et sœurs. Enfin elle a acquis le dernier quart ou plutôt la moitié indivise avec son dit frère Jean Chrétien Huck de leur frère et sœur Catherine Salomé Huck veuve du Sieur Chrétien Westermann cordonnier en cette ville et Jean Huck cordonnier audit lieu par contrat reçu par Jean Daniel Stoeber Notaire public à Strasbourg qui en a gardé minute, en présence de témoins, le second jour complémentaire de l’an XIII de la République française. Le SieurJean Huck l’avait héritée dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck, cordonnier et Christine Goepfer demeurant à Strasbourg dont il était le seul et unique héritier, ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès dudit Sr Jean Huck par Monsieur Jacques Christophe Pantrion vivant Notaire public à Strasbourg le 30 août 1719. arrêté le 6 juillet de la même année. Les époux Jean Huck avaient acheté cette maison des époux Jean Georges Koerner vannier et Catherine Barbe Fels suivant contrat reçu à la ci devant Chambre des contrats de la Ville de Strasbourg par M. François Guillaume de Rackan [Mackau] Maître et conseiller de ladite ville le 8 janvier 1714.
Prix d’estimation servant de mise à Prix, Les enchères seront ouvertes sur la mise à Prix de 10.000 francs
Charges, clauses et conditions de l’adjudication (…)
N° 143 du 10. 9.bre 1845. Adjudication – (…) plusieurs mises dont la dernière faire par M. Jean Charles Holtzapfel qui a déclaré avoir enchéri pour son épouse Dame Sophie Holtzapfel colicitante a porté le pris de ladite maison à la somme de 12.800 francs outre les charges de l’enchère. Et deux autres bougies successivement allumées s’étant éteintes sans mise ultérieure, le notaire Reiss soussigné a déclaré ladite maison adjugée au profit de ladite De Holtzapfel moyennant la somme de 12.800 francs
acp 340 (3 Q 30 055) f° 69-v, cahier des charges – acp 343 (3 Q 30 058) f° 21 (adjudication)

La maison est vendue après surenchère au vannier Jean Chrétien Hackenschmidt

1845 (27.12.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 443 (2668) n° 69
Extrait des minutes du Greffe du Tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg
Cahier des charges, clauses et conditions de la vente aux enchères par aurtorié de justice qui aura lieu par le ministère de M° Reiss, Notaire à Strasbourg, commis par jugement du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg du 24 septembre 1845, d’une maison située en la dite ville, rue du maroquin marquée du N° 13.
[voir l’acte Reiss]
(f° 147-v) Le notaire Reiss soussigne déclare que par acte au greffe du tribunal de ce siège sous la date du 17 novembre il a été fait une surenchère sur l’immeuble objet des présentes.
(Chrétien Hackenschmidt)
Cahier des charges supplémentaire. Par acte dressé au greffe du tribunal de ce siège sous la date du 17 novembre 1845 enregistré le même jour le sieur Chrétien Hackenschmidt fabricant vannier domicilié à Strasbourg ayant constitué M° Lederlin acoué près ce siège a fait une surmise du 6° sur une maison (…) Fait à Strasbourg le 25 novembre 1845 par M° Jean Louis Eugène Lederlin avoué près ledit tribunal demeurant à Strasbourg rue des hallebardes numéro 29
(f° 149-v) Adjudication sur surenchère. L’an 1845 le 12 décembre, à l’audeinc publique des criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville (…) Adjuge définitiveent l’immeuble formant l’article unique di cahier des charges de l’affiche au surenchérisseur pour ladite somme de 14.940 francs

Jean Chrétien Hackenschmidt et Louise Urban vendent en 1864 la maison à l’Œuvre Notre Dame pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé.

1864 (18.7.), Strasbourg 15 (112), Not. Momy (Hippolyte) n° 9797
Ont comparu Monsieur Jean Chrétien Hackenschmidt, fabricant vannier et Dame Louise Urban son épouse assistée de son mari, demeurant ensemble et domiciliés à Strasbourg (ont vendu)
à l’Œuvre Notre Dame de la Ville de Strasbourg pour laquelle son administrateur M. Charles Coulaux, Maire de ladite ville, Membre du corps législatif de France, du Conseil général du département du Bas-Rhin et de l’ordre impérial de la légion d’honneur, demeurant et domicilié à Strasbourg
Désignation. Une maison à rez de chaussée, trois étages, mansardes, greniers & cave avec cour, droits, aisances appartenances et dépendances, le tout occupant une superficie d’environ 80 mètres carrés et 62 centimètres carrés et située à Strasbourg rue du Maroquin n° 13 ancien et n° 10 nouveau, tenat d’un côté à l’Œuvre Notre Dame, de l’autre au Sr Schott cordier autrefois zu Sr Valentin Diemer, par devant la rue et par derrière l’auberge au Cerf.
Délibération et arrêté relatifs à la vente. L’acquisition faisant l’objet du présent contrat a été autorisée par M. le Préfet du département du Bas-Rhin, l’avis dui conseil de Préfecture entendu, suivant arrêté pris à la date du 9 juillet courant à la suite de deux délibérations du conseil municipal de Strasbourg du 22 mars et du 10 juillet 1864 tendant à ce que la ville soit autorisée à faire l’acquisition pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé.
Annexes. Les parties ont requis M° Momy d’annexer aux présentes 1° une copie sur papier non timbré délivré par M. Daviel conseiller de préfecture de l’arrêté préfectoral préallégué, 2°et le plan sur papier frappé du timbre à l’extraordinaire (…) de la maison présentement vendue (…)
Etablissement de la propriété. I. L’immeuble dont il s’agit appartenait aux conjoints Hackenschmidt, vendeurs, pour en avoir fait l’acquisition à la barre du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé à l’audience publique des criées de ce tribunal le 12 décembre 1845 à la suite d’une surenchère du sixième faite pour M. Hackenschmidt par procès verbal dressé au greffe du tribunal le 17 novembre précédent, sur le prix principal de 12.800 francs porté en un procès verbal d’enchère dressé par Mr Reiss lors notaire à Strasbourg le 10 du même mois de novembre. Ces différents procès verbaux ont été transcrits au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 décembre 1845 volume 443 N° 69 et inscrits d’office au Volume 439 n° 44. La vente par adjudication dressée par M° Reiss prénommé le 10 novembre 1845 a été ordonnée par un jugement du tribunal civil de Strasbourg du 24 septembre précédent contenant homologation d’une délibération prise par le conseil de famille des mineurs Holtzapfel ci après nommée sous la présidence de M. le Juge de paix du canton sud de Strasbourg le 4 septembre 1840 (…). Les parties venderesses dans les procès verbaux préallégués ont été 1. Mad. Marie Barbe Westermann épouse de M. Léopold Clément Profoss, propriétaire, 2° Mad. Marie Dorothée Westermann veuve de M. Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; 3° Dlle Catherine Salomé Lang, sans profession, 4° Dlle Marie Madeleine Lang, sans profession, 5° De Jacobée Holtzapfel épouse de M. Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier, 6° D° Suzanne Holtzapfel épouse de M. Jean Charles Holtzapfel, avocat, 7° Louise Holtzapfel, 8° Madeleine Holtzapfel, 9° Sophie Holtzapfel, 10° Sr Théophile Holtzapfel, ces quatre derniers mineurs sous la tutelle légale de leur mère Mad. Louise Sigrist veuve de M. Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg & ayant agi en qualité de seuls héritiers de Dlle Marie Madeleine Huck vivant célibataire majeure décédée en cette ville le 8 juin dernier ainsi qu’il résulte a) d’un testament par acte public dressé par M°Stoeber le jeune lors notaire en présence de quatre témoins le 28 février 1827, b) d’un testament olographe en date de cette ville du (le quantième étant illisible) mois de novembre 1836 déposé (…) en l’étude du même notaire Stoeber suivant procès verbal du 16 août 1845, c) et de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de la Dlle Huck par M° Reiss prénommé le 2 septembre 1845.. Le prix d’acquisition du sieur Hackenschmidts s’est élevé à 14.940 francs (…)
II. Madlle Huck était devenue propriétaire de la maison présentement vendue pour avoir recueilli la moitié dans la succession testamentaire de son frère M Jean Chrétien Huck, vivant célibataire, cordonnier à Strasbourg, y décédé suivant son testament par acte public dressé par M° Stoeber père, lors notaire en cette ville en présence de quatre ttémoins le 15 juin 1810 enregistré le 25 janvier 1812. Elle a hérité un quart dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck vivant cordonnier et De Catherine Salomé Lix, tous deux décédés audit Strasbourg et dont elle était héritiers pour un quart conjointement avec des trois autres frères et sœurs. Enfin elle a acquis le dernier quart ou plutôt la moitié indivise avec sondit frère Jean Chrétien Huck de leur frère et sœur Catherine Salomé Huck veuve du Sr Chrétien Westermann cordonnier à Strasbourg par contrat passé devant M° Jean Daniel Stoeber lors notaire en cette ville le premier jour complémentaire de l’an XIII de la République française. III. Ledit Jean Huck l’avait hérité dans la succession de ses père et mère les conjoints Jean Huck cordonnier et Christine Goepfer demeurant à Strasbourg dont il était seul et unique héritier, ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès dudit Sr Jean Huck par M° Jacques Christophe Pantrion vivant notaire public à Strasbourg le 30 août 1719. IV. Les époux Jean Huck avaient acheté cette maison des époux Jean Georges Koerner vannier et Catherine Barbe suivant acte reçu à la ci devant Chambre des Contrats de la Ville de Strasbourg par M. François Guillaume de Rackan [Mackau] maître et conseiller de ladite ville le 8 janvier 1714.
Circulation (…) Prix, 26.000 francs. (…) Etat civil des vendeurs. Els vendeurs affirment 1° qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de communauté de biens aux termes de leur contrat de mariage passé par devant M° Noetinger notaire à Strasbourg le 4 juin 1835, 2° qu’ils n’ont jamais été chargés de tutelle ni d’autres fonctions emportant hypothèque légale, 3° et que l’immeuble par eux vendu esr franc et libre de dettes privilèges et hauteurs
(Joints, Plan, arrêté du préfet)
Préfecture du Bas-Rhin, 6° Division. Commune de Strasbourg. Acquisitions d’immeubles
Nous, préfet du Bas-Rhin, séant en conseil de Préfecture, présents MM. Bellaire, S Praut & Dervieu,
Vu les délibérations du conseil municipal de Strasbourg en date du 22 mars & 10 juin 1864 tendant à ce que la commune soit autorisée à acquérir pour le compte & aux frais de l’Œuvre Notre Dame moyennant le prix de 26.000 francs une maison appartenant au Sr. Hackenschmidt, sise à Strasbourg rue du maroquin 10 & occupant une superficie d’environ 8 ares 62,
Vu la promesse de vente souscrite le 24 Xbre 1843 par le Sr. Hackenschmidt,
Vu le procès verbal d’expertise, dressé le 29 juin 1864 par les Sr Arnold & Klotz, ce dernier désigné à cet effet par M. le Maire de Strasbourg,
Celui de l’enquête à laquelle il a été procédé les 20, 21 & 22 mai 1864 par le Sr Mallarmé, adj. au Maire de Strasbourg chargé de cette mission par notre arrêté du 3 mai 1864, L’avis du commissaire enquêteur, Le plan de l’immeuble à acquérir, Vu copie de la dépêche de S. Ex. le Ministre de la Guerre du 10 mars 1864, Vu l’arrêté du Gouvernement du 3 frimaire An XII. sur l’administration de l’Œuvre Notre Dame, la loi u 18 juillet 1837, le décret du 25 mars 1852,
Considérant que l’immeuble cidessus désigné est indispensable pour agrandir, en conformité de la lettre de S. Ex. le Minsitre de la Guerre du 10 mars 1864, les dépendances de l’école militaire de santé établie dans la bâtiment construit par l’Œuvre Notre Dame sur la place du Château à Strasbourg, Considérant que le prix demandé par le propriétaire est convenable, Considérant que l’enquête qui a eu lieu n’a soulevé aucune objection,
L’avis du conseil de Préfecture entendu, Arrêtons, Art. 1° La commune de Strasbourg est autorisée à acquérir pour le compte & aux frais de l’Œuvre Notre Dame moyennant le prix de 26.000 francs du Sr. Hackenschmidt une maison sise à Strasbourg rue du maroquin 10 (…)
acp 534 (3 Q 30 249) f° 92-v du 27.7.

Jean Geiss et Jacques Schaub acquièrent les matériaux de la maison en août 1864

1864 (1.8.), Maire
Procès verbal d’adjudication des matériaux d’une maison à démolir rue du Maroquin n° 10 appartenant à l’Œuvre Notre Dame
à Jean Geiss revendeur à Strasbourg et Jacques Schaub boulanger à Strasbourg approuvé le 5 août
acp 535 (3 Q 30 250) f° 14 du 6.8.



14, rue des Aveugles


Rue des Aveugles n° 14 – IV 29 (Blondel), P 682 puis section 56 parcelle 36 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Louis Marxer (1882) – Démolie en 1912 lors de la Grande Percée


Elévations levées par le Service d’architecture en 1911 (AMS, cote 907 W 161)

La maison qui se trouve à côté du Bærenhoff appartient au XVII° siècle aux tisserands Georges Segmehl, Henri Fleischmann (1640-1665) puis Michel Braunwald qui achète en 1682 une petite maison voisine et la réunit à la sienne. Revenue par adjudication judiciaire à la veuve du menuisier Abraham Büchel, elle est estimée à une valeur minimale de 500 livres à sa mort en 1733. Le menuisier Jean Michel Meyling en devient propriétaire en 1744. Il la cède à son fils aussi nommé Jean Michel qui demande en 1764 au maître maçon Jean Christophe Schneider de faire des travaux refusés par les préposés aux feux. Le maître maçon Jean Linckenhœl transforme la même année une cheminée au deuxième étage du bâtiment à droite de la cour.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 147 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à deux étages en maçonnerie et troisième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue comprend le bâtiment à gauche du repère (d) et la première partie du bâtiment à droite. La grande cour (D’) montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4) qui prolonge en arrière celui qui donne à gauche dans la rue, le bâtiment arrière (6-1) et les remises (1-2) au nord de la cour.
La maison porte d’abord le n° 9 (1784-1857) puis le n° 14.


Cour (D’) plan-relief de 1830 – Extrait du plan, 1830 – Coupe (Service d’architecture, 1911, AMS, cote 907 W 161)

L’employé à l’intendance militaire Georges Michel Silberzahn s’en rend adjudicataire en 1822 puis la cède à son fils clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn. Le journalier Louis Marxer achète en 1864 la maison, en 1870 la voisine (n° 12) en partie enclavée dans la sienne et un terrain à l’arrière détaché du terrain faisant partie d’une maison Grand rue. Il agrandit les bâtiments en 1882 en leur donnant la façade uniforme qu’on voit par la suite et construit un atelier. La Ville les achète (exercice 1908) puis les fait démolir en 1912 lors de la Grande Percée. La partie sud du terrain est occupée par les bâtiments 12 et 14 rue du Vingt-deux-novembre, la partie nord par la rue.


Plan du Lot I de la Grande Percée (Service d’architecture, 1911, AMS, cote 907 W 161)
Rue du Vingt-deux-novembre, juillet 2015 – La maison à droite s’élève sur une partie du terrain de l’ancien n° 14

juillet 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Segmehl, tisserand, et (1613) Marguerite Ensel veuve de Michel Meyer – luthériens
1627 h Jacques Mœst, tisserand, et (1627) Marguerite Ensel veuve de Michel Meyer et de Georges Segmehl – luthériens
1640 v Henri Fleischmann, tisserand, et (1627) Anne Frey, d’abord (1608) femme du tisserand Jean Bæurlé puis (1638) Béatrice Hummer – luthériens
1665 v Jean Michel Braunwald, tisserand, et (1664) Anne Marie Callenberger puis (1674) Anne Madeleine Mosseder – luthériens
1718 adj Abraham Büchel, marchand, et (1681) Catherine Mercklin – luthériens
1734 h Jean Philippe André, marchand, et (1707) Catherine Büchel – luthériens
1744 v Jean Michel Meyling, menuisier, et (1718) Anne Catherine Schœning, (1743) Barbe Verius d’abord (1725) femme de Jean Rummel puis (1760) Barbe Jenn d’abord (1750) femme du maçon Jean Flessa – luthériens
1747 h Jean Michel Meyling, menuisier, et (1747) Marie Salomé Rummel – luthériens
1782 h Philippe Frédéric Meyling, menuisier, et (1782) Barbe Debs – luthériens
1789 v Jean Daniel Neustœckel, menuisier, et (1786) Anne Catherine Weber – luthériens
1822 adj Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire, et (1817) Philippine Frédérique Terrass
1859 h Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, et (1859) Caroline Amélie Schultz
1864 v Louis Marxer, journalier, et (1842) Anne Marie Wernert
1895* h Marie Louise Joséphine Marxer et (1860) Georges Renner, serrurier, puis (1887) Emile Bauer, imprimeur
1908* v Ville de Strasbourg

Maison au sud, réunie en 1682

Jean Diebold de Gougenheim et Anne
Thiébaut Veltin de Gougenheim et Agnès
Jean Angst, employé des Sept, et (1606) Anne Hummel – luthériens
1624 v Joachim Brackenhoffer, orfèvre puis consul, et (1599) Anne Marie Ziegel – luthériens
1629 v Georges Littmann, boulanger, et (1606) Anne Sultzer – luthériens
1636 h Etienne Meyer, farinier, et (1621) Anne Heuss puis (1636) Anne Sultzer veuve de Georges Littmann – luthériens
1663 v Adam Keller, soldat de la garde, et (1641) Anne Marie Bogner d’abord (1638) femme du remueur de grains Jean Bechtold – luthériens
1670* adj Elie Brackenhoffer et (1646) Anne Schmidt puis (1667) Barbe Erhard – luthériens
1682 v Michel Braunwald (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 500 livres en 1733, 600 livres en 1757, 350 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) IV 29, Michel Mähling
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Meÿling, 2 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 682, Silberzahn, Georges Michel, employé / propriétaire – maison, sol, cour – 3,2 ares

Locations

1744, Philippe Albert Martzolff, tisserand

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Michel Meyling charge le maître maçon Schneider de faire des travaux dans sa maison. Les préposés aux feux refusent en avril 1764 qu’il fasse aménager une cuisine avec un fourneau à droite de l’entrée et poser un fourneau dans le vestibule au premier étage du bâtiment arrière.
Le même charge quelques mois plus tard le maître maçon Linckenhœl de transformer la cheminée dans le poêle au deuxième étage du bâtiment à droite de la cour.

(p. 31) Donnerstags d. 12. Aprilis 1764. – Michel Meÿling der Schreinermeister will in seiner in der Blindengaß gelegenen Behaußung rechter hand in der Einfahrt eine Kuchen machen mit herd und Camin schooß, das rohr an einer Riegel wandt hinauf, ferner im hindern gebäut rechter hand ersten Stock ins hauß Ehren einen Herd an ein altes Camin rohr setzen, mit einem Camin schooß, das rohr in das daneben befindliche Camin Rohr hineinfüfren.
Erkandt, mit beeden begehren abgewießen und solle das offelein in der Cammer rechter hand der einfahrt hinweggeschafft werden. – Mr Schneider

(p. 42) Freÿtags d. 20. Julii 1764. – Mr. Meÿling der schreinermeister will in seiner in der Blindengaß gelegenen Behaußung rechter hand im hoff an Zweÿen stuben in das Eck ein Vor Camin setzen, welches ane statt des Camin schooßes gewölbt, das rohr grad hinauf mit einel hunds Kopf versehen welcher auf sich selbesten stoßet.
Erkanndt, Willfahrt – Mr Linckenhölin

Description de la maison

  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, plusieurs poêles, cuisines, chambres, chambre à soldats, vestibule, cave sous solives,, petite cour estimée avec autres appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
  • 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et deux ateliers où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 1 200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Aveugles

nouveau N° / ancien N° : 15 / 9
Neustoeckel
Rez de chaussée et 2 étages en maçonnerie le 3° étage en bois médiocre
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 171 case 1

Silberzahn Georges Michel

P 682, Maison, sol, cour, rue des aveugles 9
Contenance : 3,20
Revenu total : 118,66 (117 et 1,66)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 859 case 1

Silberzahn Georges Michel
1861 Silberzahn, Frédéric Auguste Adolphe, licencié en droit, rue du faubourg de pierre 17
1866 Marxer Louis journalier à Strasbourg
1895/94 Bauer Emil Rentner Wittwe Marie Luise Josephine geb. Marxer Wittwe I. Ehe Renner Georg
1908 Strassburg die Gemeinde
(ancien folio 607)

P 682, Maison, sol, cour, rue des Aveugles 14
Contenance : 3,20
Revenu total : 118,66 (117 et 1,66)
Folio de provenance : (171)
Folio de destination : 859.I Vergr.
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 683, Maison, sol, rue des Aveugles 12
Contenance : 0,30
Revenu total : 36 et 0,16
Folio de provenance : 859-II
Folio de destination : 859.I Vergr.
Année d’entrée :1884
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1

P 712.p, sol, cour, rue des Aveugles 12/14
Contenance : 1,05 (total 4,55)
Revenu total : 0,55
Folio de provenance : 871-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1884
Année de sortie :

P 682-683, maison, rue des Aveugles 12
Revenu total : 210
Folio de provenance : 859-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1885
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1
Augmentations, 1885 – Marxer Ludwig f° 859-I, P 682, Haus, Reinertrag 117, Vergrößerung, 1882
d° P 683, Haus, Reinertrag 36, Vergrößerung, 1882

P 683, atelier, rue des Aveugles 12
Revenu total : 105 (total 317,17)
Folio de provenance : 859-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1885
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 31 p. 282 case 1

Parcelle, section, 56 n° 36 (429/14 – 236) – autrefois P 682, 683, 712.p
Canton : Blindengasse Hs. N° 12/14
Désignation : Hf, Whs, N.G.
Contenance : 4,20
Revenu : 21,00 – 2300 – 3100
Remarques : 1912 Abbruch – 1914 ab 281 F. 5

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 93 Rue des Aveugles (p. 231)

9
loc. – Meyling, Phil. Fréd., menuissier – Charpentiers
loc. – Haeberlin, Jacques, pelletier – Pelletiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Blindengasse (Seite 15)

(Haus Nr.) 12-14
Köhl, Installateur und Brunnenmachermr. 01
Furtwengler, Holzboldhauermstr. 0
Dossmann, Schuhmm. H 1
Fenninger, Einkass. H 1
Mühleisen, Gesch.-Agent. 2.
Gilbert, Wwe. H 2
Gölzelichter, Wwe. H 2
Räppel, Schneiderm. H 2

Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999), n° 30

La fiche de la maison n’a pas été renseignée

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

(19) Haus : Blindengasse 12/14
[Maison :] 16, rue de l’Argile
a) Geschichtliches : N° 12 Stefan von Marlenheim, Weinsticher, 1587
N° 14. Dem Waisenhaus wo Jacob der Strow schneider wohnt. 1587, Michel Carlen, artiste peintre, 1860


Relevé d’actes

La maison appartient au début des années 1620 au tisserand Georges Segmehl. Originaire de Biberach, il épouse en 1613 Marguerite veuve de Michel Meyer, appelée Marguerite fille du tisserand Georges Endres dans le livre de bourgeoisie.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 133, n° 29)
1613. 19. Julÿ Jerg Seegmel der Leinenweber von Biberach, Margrettha Michel Meÿers wittib

Georges Segmehl devient bourgeois une semaine après son mariage.
1613, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 965
Georg Seegmehl der Leinenweber von Biberach Empfahet d. Burgerrecht von Margaretha weÿl. Georg Endreß. deß Leinenwebers tochter, Wüll Zu den tuchern dienen. Actum den 27. Julÿ Aô 1613.

Assistée de ses beaux-frères Michel Seiffert et Jean Gross, Marguerite veuve de Georges Segmehl se remarie en 1627 avec le tisserand Jacques Mœst ; contrat de mariage, célébration (sous le prénom de Georges)
1627 (24. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 397-v
(Eheberedung ) Erschienen Jacob Möst der Leinenweber burger Zu St. Alß hochzeiter mit beÿstand Mathiß Scheüblen deß Spindeltrehers auch burgers alhie An einem
So dann Margretha weÿ: Georg Seegmeels deß Leinenwebers auch burgers see: Zu St. wittib alß hochzeiterin, mit beÿstand ihres Vogts Michel Seÿffers deß Leinenwebers vnd hannß Großen auch Leinenwebers ihres Schwestermanns vnd Schwagers 2 theil
(vide Codicill in Reg: 1629 fol: 580)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 182-v)
1627. Dominica X post Trinit. Georg Mist d. Leinenweber alhie Margaretha Geörg Segmehls deß Leinenwebers allhie nachgelaßene wittib. 6. Aug. (i 188)

Marguerite Enser femme depuis deux ans du tisserand Jacques Mœst institue pour légataires ses neveux Abraham Golder, Isaac et Jacques Otthoffer. Le testament est annulé en 1633
1629 (14. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 580
Erschienen Margreth Enserin Jacob Mösten deß Leinenwebers und burgers Zu St. eheliche haußfr. gesund stehend. vnd gehend. Leibs auch guter v.stendlicher Sinnen vnd v.nunfft wie ab ihr genugsamb vschieinen Zeigte an, demnach sie sich vor 2 Jaren mit besagtem ihrem ietzig. haußwürth ehelichen eingelaß. vnd derselb ihr bißher alle eheliche lie vnd trew erwisen, Alß were sie willens anderwerts ihr Codicill vfzurichten vnd d. den 10. Octobris A° 1626. vor H hanß Georg Meÿer dem Noto. vffgerichteten Letzten willens v.ordt. zu cassiren cassirt
(…) daß es beÿ der den 24. Julÿ Anno 1627. zwischen ihr und ihrem ietzig. haußwürth vfgerichten auch in der Contractstb. v.zeichneten Eheberedung v.bleib. soll
(…) 25. lb Abraham Goldter dem schneider ihrer Schwester sohn od. deßen Erben vnd 5. pfund Isaac und Jacoben, Christoph Othofers deß Leinenwebers mit Barbara ihr Codicillirerin Schwester seel. erziehlten zweÿen söhnen legats weiß
(cassirt weg. deß durch mich den 26. 9.bris 1633. vfgerichteten Testaments)

La fille du cordonnier Jean Seegmehl de Biberach vend la maison au secrétaire de la Taille Jean Georges Meyer

1640 (1. Octob:), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 504
Erschienen Maria Weÿl. hannß Seegmehls des Schuhmachers Zu Biberach seel: hinderlaßenen Töchterlins Vogt Adam Werner der Rothgerber Zu Biberach bekannte
in gegensein H Johann Georg Meÿgern, Stallschreibers Vnd burgers Zu Straßburg (v.kaufft)
hauß hoff hoffstatt mit allen deren recht. gelegen alhie in der Blinden gaß. neben dem Beerenhoff && etwan neben Georg Repperten ietzo H Joachim Brackhenhoffern Alt Ammeister, hinden Vff H Ludwig Metzgers seel. Erben Garten stoßend gelegen – per j. C. Lix Lib. Straßb.

Le notaire et secrétaire de la Taille Jean Georges Meyer revend une semaine plus tard la maison au tisserand Henri Fleischmann et à sa femme Béatrice Hummer

1640 (7. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 516
(Protocoll. fol. 116. fac. 1. et seqq.) Erschienen Hr Johann Georg Meÿger Nots. und verordnete Stallschreiber alhie
hatt in gegensein Heinrich Fleischmanns deß leinenwebers und Beatrix Hummerin seiner ehefrauwen burgern alhie
hauß hoff hoffstatt mit allen andern gebäuwen & gelegen alhie in d. Blinden gaßen neben dem Beerenhoff && etwan neben Georg Repperten Jetzo Herren Joachim Brackhenhoffern Altem Ammeister, hinden vf Herren Ludwig Metzgers des holtzhändlers seel. Erben garten stoßendt, So gantz ledig eigen Vnd ist d. Kauff zugangen vnd beschehen für vnd vmb 182 lib.

(L’acte ainsi que les deux suivants ont sans doute trait au père de l’acquéreur) – Fils du cultivateur André Fleischmann à Alfershausen en Franconie (ici noté Amfershausen), Henri Fleischmann épouse en 1599 Madeleine, fille du tonnelier (sic) Samuel Peter
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 182-v, n° 18)
1599. Eodem die [dominica 4. Trinitatis] Heinrich Fleischman ein leinen weber, Andres fleischman eines baüermans Zu Amfershausen im franckenland nachgelaßener Son Vnd J. Magdalena Samuel Peter des Küefers alhie, tochter, dieser Samuel ist Schenck im Spital dißmal. Confirmatio ê factû 9. Julÿ (i 348)

Originaire d’« Auversheim » en Franconie, Henri Fleischmann devient bourgeois par sa femme, fille du tisserand Samuel Peter quinze jours après son mariage
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p 771
Heinrich Fleischman, v. Aunerßheim auß dem Franckenlandt, der Leinenweber, empfahet d. Burg. von Magdalena, Samuel Peter des Leinenwebers dochter, gint sein vermög. für nichts an, Vnd will Zun Tuchern diehnen. Act vts. [26. Julÿ 99]

Madeleine, femme du tisserand Henri Fleischmann, a abandonné pour la quatrième fois en treize semaines ses trois enfants Samuel, Anne Marie et Henri parce que l’aumône qu’elle recevait en argent et en pain ne suffit pas à les entretenir. Elle demande que les deux ainés entrent à l’orphelinat. Les Conseillers et les Vingt-et-Un conviennent d’augmenter le secours qui lui est alloué
1609 Conseillers et XXI (1 R 88)
(f° 51) Sambstag den XXV Febr. – Magdalena Heinrich Fleischmans Kinder steuren
Magdalena Heinrich Fleischmans Leinenwebers hausf. der hie vor 13 wochen Zum vierten mal mit 3 Kleinen Kindern Samuel, Anne Marie, Heinrich deserirt vnd ob sie wol wochentlich 3 plappert vnd 5 leibbrot zur steur gehabt, könne sie sich doch mit den Kindern nit ausbring. Bitt die Zwen ins weysenhauß Zu nehmen, will sie sehen d. sie sich mit dem tritten sampt d. steur verehre.
Erk. d. sie noch mit weysen, solten se mit 4 ß vnnd 6 leibbrot wochentlich von S Marx gesteurt werden.

Henri Fleischmann se marie en 1627 avec Anne, veuve du tisserand Jean Bæurlé
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 76)
1627. Dom. XIV 26. Augusti. Heinrich Fleischman der leinenweber vnd Anna hanß beurle sel. burgers alhie wittwe. copulatio 4. 7.bris Z. J. S. Peter (i 40)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 45-v) 1627. den 26. Augusti. Heinrich Fleischman der Leinenweber vnd burger alhie vnd Anna Hans Baürle des Schneiders und burgers alhier nachgelaßene wittib. J. S. Peter i 52)

Le tisserand Jean Bæurlé épouse en 1608 Anne, fille de Jean Frey, meunier à « Böferdingen » près de Messkirch
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 264-v n° 718)
1608. Sonntag den 17. Julÿ. Hanß Beürle der schneÿd. vndt Anna, Jacob Freÿhen des Müllers Zu Böferding. beÿ Messkirch tochter. Eingesegnet Mittwoch 25. Julÿ (i 271)

Mariés depuis trois ans, Henri Fleischmann et Anne Frey font leur testament en décembre 1630.

1630 (22. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 787
Erschienen Heinrich Fleischmann d. Leinenweber, burger Zu St. vnd Anna Freÿin, sein eheliche haußfr. beede gesunden & leibs, auch guter sinnen & Zeigten An, Wie daß sie beede in ihrem dreÿ Järigen Ehestand einand. alle eheliche Lieb & erwisen & Alß weren sie vß diß. vnd anderen mehr bewegend. Vrsachen entschloß. ihren Letsten willen, Codicills weiß vffzurichten vnd Zumachen Setzen vnd verordneten auch alßbald. vffs kräfftigst & wie volgt (…)

Henri Fleischmann se remarie en 1638 avec Béatrice, fille du tisserand Jean Cammerer, de « Hochstatt » près d’Augsbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 227)
1638. Dom. XXIII. Trinit. 20. 9.bris. Heinrich Fleischman d. Leinenweber v. burger alhie v. J. Beatrix, Hanß Cammerers deß leinenwebers v. burgers Zu Hochstatt beÿ Augspurg tochter. Cop. 20. 9.bris J. S.t. Peter in frühbett (i 15)

Béatrice, veuve de Henri Fleischmann, et sa fille Anne Marie femme du tisserand Jean Ulric Oberhauser hypothèquent la maison au profit d’André Fischer, assesseur au Grand Sénat

1660 (30. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 602-v
Erschienen Beatrix, weÿl. Henrich Fleischmanns deß leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Philipß Keÿßers deß Leinenwebers und Büttels vff der tuch. Zunfftstuben, ihres Vogts, wie auch Anna Maria ihr eheleibliche dochter mit beÿstand hannß Ulrich Oberhaußers deß leinenwebers ihres Ehevogts
in gegensein H Andreß Fischers E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 30 Pfund
Unterpfand sein soll hauß hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, alhie in der Blind. gaßen, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H. Andreæ Brackenhoffern alten Ammeÿstern, hin. vff weÿl. H Ludwig Metzgers deß Holtzhändlers seel. Erben stoßend geleg.

Les mêmes hypothèquent la maison au profit de la fondation Schenckbecher pour laquelle agit Jean Régnard Mader, en outre secrétaire aux affaires criminelles

1662 (17. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 418
Erschienen Beatrix weÿl. Henrich Fleischmanns deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene wittib mit beÿstand Philipß Kaÿßers deß leinenwebers und Büttels vff der tucher Zunfftstuben ihres Curatoris, wie auch Anna Maria ihr Debitricis eheleibliche dochter mit assistentz hannß Ulrich Oberhaußers deß Leinenwebers ihres Ehevogts, So dann Sie Muter und dochter Zugleich mit beÿstand H Johann Peter Schmidts und H Andres Fischers beed. alß aus E.E. Groß. Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit Deputierte
in gegensein H Johann Reinhard Maders Vergicht schreibers und Cancelleÿ Vewanthens alß Schaffners der Schenckhbecherisch. Stifftung – schuldig seÿen 50 pfund
Unterpfand sein soll hauß hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhier in der Blidengaßen einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H Andrea Brackhenhoffern alten ammaÿstern hind. vff weÿl. H. Ludwig Metzgers deß holtzhändlers seel. Erben stoßend gelegen

Les mêmes vendent la maison au tisserand Jean Michel Braunwald

1665 (24. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 448-v
Erschienen Beatrix, weÿl. Henrich Fleischmann deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Philipß Kaÿsers deß Leinenwebers und Büttels uff der tucher Zunnft stuben ihres Curatoris, Wie auch Anna Maria ihr Beatrix eheleibliche dochter mit assistentz hannß Ulrich Oberhaußers deß Leinenwebers ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Michael Braunwaldts deß Leinenwebers mit beÿstand Conrad Welschen deß Büttels uff der Schuhmacher Zunfft stuben
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Blindten Gaßen, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H Andreæ Brackenhoffern altem Ammaÿstern und treÿzehnern, hinden uff Georg Dänningern den Weinhändlern stoßend gelegen, solche Behaußung umb 75. lib der Schenckbecherischen Stifftung Verhafftet – umb 95 Pfund pfenning

Les Conseillers et les Vingt-et-Un attribuent à Jean Michel Braunwald et à sa fiancée un legs pour jeunes époux (le registre est abîmé)
1664, Conseillers et XXI (1 R 147)
Hanß Michel Braunwaldt. 34 bis.
(f° 34) [-] gewohnlichem legato in gnaden [-] Zugleich ein Attestatum von [-] Erk. Soll ferner erkündig [-] – H XV. Fau[-]

(f° 34-v) [-] Faust et H Mercklin referiren, wegen [-]l Braunwaldts vnd seiner verlobten [-]ge ein gar guth Zeugnuß, Er Braunwald [-] handwerck redlich erlernt, darauff ge[-]tend das Meisterstück ohne taden, verfer[tigen [-]ÿe auch die verlobte wegen ihrer die[-] e gestandten, berühmbt. Erk. [mit ein]em Legato willfahrt, doch einfrühgen [-] anstellen – vorige Hh. Deputirte.

Fils du cordonnier Jean Michel Braunwald, Jean Michel Braunwald épouse en 1664 Anne Marie, fille du tisserand Michel Callenberger. Jean Michel Braunwald y est dit par erreur cordonnier comme son père mais il est bien tisserand comme le porte l’acte de baptême à la fin de la même année
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 131-v, n° X)
1664. Dom. Reminiscere. Johann Michael Braunwald der schuhmacher, Joh: Michael Braunwald, Schuhmachers sohn, J. Anna Maria Michael Callenberger leinenwebers tochter (i 13)

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 131, n° 107)
1664. Mittw. den 13. Xbris. Johannes Michael Braunwald der leinenweber und Anna Maria Kallenbergerin, Maria Elisabetha – Philipp Lump der Zimmermann, Anna Elisabetha h. Balthasar Bischoffs sel. tochter vnd Anna Maria fixin, Joh. Vixen Salpeter sieders fraw (i 270)

Le tisserand Jean Michel Braunwald le jeune hypothèque la maison au profit des enfants du tisserand André Thomann et d’Ursule Hetzel. Son père cordonnier Michel Braunwald se porte garant.

1666 (15. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 36
Erschienen Hannß Michael Braunwald der Jüngere Leinenweber
in gegensein Abraham Ratzge deß Leinenwebers alß Vogts Andres Thomans deß Leinenwebers mit weÿl. Ursulæ Hetzlerin nunmehr seel ehelich erzeugter Kinder, mit beÿstand ihres ietzgedachts Vatters – schuldig seÿe 25. Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Blindten Gaßen, einseit neben neben dem Bärenhoff, anderseit neben herren Andrea Brackenhoffern alten Ammaÿstern und treÿ Zehnern, hinden uff Georg dänningern den Weinhändlern stoßend gelegen
Zu noch mehrern Versicherung so ist hiebeÿ persönlich erschienen Hannß Michael Braunwald der älter schuhmacher, deß Schuldners eheleiblicher Vatter, der hatt sich für dieße Schuld (…) Verbürgt
[in margine :] Erschienen andres Thoman der Mußquetirer under herrn haubtmann dürren Compagnie beÿ hießiger guarnison, deme an die hierinn bedeutete 25. lb allein gehörig seÿen (quittung) Act. d. 9.ten Julÿ 1677

Anne Marie femme de Jean Michel Braunwald meurt à l’âge de 43 ans en juillet 1673
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 39. n° 53)
1673 Anna Maria, Hanß Michel Braunwalds des Leinenwebers Haußfr. starb den 28. Julÿ Abend umb thorglock Zeit im 43. Jar ihres Alters, undt ist den 30. dito Zu Gutleuüthen begraben (i 21)

Jean Michel Braunwald se remarie en 1674 avec Anne Madeleine Mosseder, fille du brasseur au Cygne Jean Michel Mosseder
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 159-v, n° 32)
1674 (6. Aug. – 10. sept.) Hans Michael Braunwaldt burger v. Leinenweber alhie V. Jungfr. Anna Magdalena Moseterin h. Hans Michael Moseters geweßenen Burgers v. Biersieders zum Schwanen hinderlaßene eheliche tochter (i 161)

Michel Braunwald est nommé garde par la tribu des tailleurs. Il devient échevin chez les Drapiers en 1686
1668 Conseillers et XXI (1 R 151) Michel Braunwaldt Würdt Scharwechter bey EE Zunfft der Schneidern. 208.
1686 Conseillers et XXI (1 R 169) Johann Michael Braunwald wird schöff beÿ den Tuchern. 250.

Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Jean Régnard Mader, secrétaire aux affaires criminelles et receveur de l’auberge des Pauvres Passants

1674 (27. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 473-v
Hannß Michael Braunwald der Leinenweber
in gegensein H. Johann Reinhard Maders Vergichtschreibers und Schaffners der Elenden Herberg – schuldig seÿe 25. lb.
Unterpfand, Hauß Hoffstatt Höfflin, Gärtlin mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der Blindengaß, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H. Eliæ Brackhenhoffern XV. hinden uff H. Hannß Georg Thenningern den Weinhändlern stoßend gelegen

Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit du jardinier Jean Thiébaut Schell. En marge, quittance remise en 1719 à Catherine Büchel née Mercklin

1681 (27. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 465-v
Hannß Michael Braunwaldter leinenweber
in gegensein Herren Diebold Schellen, Gartners Underwagner – schuldig seÿe 75. lb
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebawen undt Zugehördten alhier in der blindengaß einseit neben dem Bährenhoff, anderseit neben hannß Anstett den Obskrempen, hind. uff Adam Allheÿlig den bastetenbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] Fr. Aurelia, gebohrne Voltzin, hierinn ged. H. Schellen des Creditoris Nun seel. nachgelaßene wittib so ohnbevögtiget mit beÿstand Samuel Hetzels, Rothgerbers Ihres Vettern hat in gegensein Fr. Catharinæ Büchelin gebohrner Merckelin Wittib mit beÿstand herrn Johann Friedrich Ößingers U.J. Licentiatj Und E.E. Kleinen Raths Referentis Ihres H. Curatoris, alß nunmahliger propretariæ hierinn beml. Haußes in d. blind.gaß liegend (quittung) act. d. 16.ten Junÿ 1719

Assesseur au Petit Sénat, Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Jean Michel Mosseder, brasseur au Cygne. En marge, quittance remise en 1719 à Catherine Büchel née Mercklin.

1695 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 119
Erschienen H. Johann Michael Braunwald der Leinenweber und E: E: kleinen Raths beÿsitzer
hatt in gegensein Johann Michael Moseders des biersieders Zum Schwanen – schuldig seÿe 250 pfund
dafür Vnderpfand sein soll, Ein Vorder und Hinder Hauß, Hoff, Hoffstatt sambt den gärttlein darinn, und übrig. deren gebaüen, begriffen, Zugehördten und gerechtigkeit allhier in d. blindengaß, einseit neben dem Bährenhoff, anderseit neben hans Anstätt dem Obst Krempen, hind. auff Adam Allheÿlig den Pastetenbeck stoßend gelegen, welche Häuser Zu vorhien vmb 75 lb Cap: d Schenckbecherischen Stifftung, Ferner vmb 50 lb d Cap. d. Elend. Herberg, Item vmb 40 lb d Cap: Weÿl. Hn Eliæ Brackenhoffer dreÿ Zehners seel. hinterlaßener Wittib vnd Erben, Sodann vmb 75 llb d Cap. Diebold Schellen, Garttner Vnd.wagner vnd E. E. grosen Raths alten beÿsitzer verhafftet
[in margine :] Erschienen Joh: Carl Röderer biersieder beÿm wildten man, u. Joh: Philipp Schell silberarb. bede alß Tochtermänner Hierinn stehenden Creditores uns. für sich vnd nahmens gesambter mit Erben (…) in gegensein Frauen Cath: Büchelin geb. Mercklinin beÿständlich H Joh: Frid: Ößingers U. J. Ddi und Referenten beÿ E. E. Kl. Raths Als numahliger schuldnerin (…) den 13. Febr: 1719.

Jean Michel Braunwald, tisserand et assesseur au Petit Sénat, meurt en novembre 1708 à l’âge de 69 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 1698-1716, f° 110-v)
1708. d. 7. Nov. ist Zu nacht ein 4.tel nach 10 vhr gestorben Johann Michael Braunwald leinenweber vnd beÿ E. E. Kleinen Rath beÿsitzer s. alters 69 Jahr 4 Monat 19 tag vnd ist folgend. 10. Nov. nachmittag vmb 2 Vhr Christlich Zu den Guten leit. begrab. worden und Johann Michael Braunwald Als Sohn, Johann Georg Moseder als schwager (i 112)

Marie Madeleine Mosseder veuve de Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Catherine Büchel née Mercklin.

1714 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 35
Maria Magd: geb. Moßederin Weÿl. H. Joh: Michael Braunwaldt geweßenen leinenwebers wittib beÿständlich Johann Peter Avenarius leinenwebers ihres Curatoris
in gegensein frn. Cath: Büchelin wittib geb. Merckelin beÿständlich H. Joh: Friedrich Ößingers U.J. Ddi u. Refetenten beÿ E. Kl. Rath – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, ihr hauß cum appert: allhier in der blindengass einseit neben dem Bärenhoff anderseit neben Leonhardt Maurers wittib hinten auf (-)

D’après son inventaire (voir ci-dessous, 1733) Catherine Büchel acquiert la maison en 1718 par enchère judiciaire sur le teinturier Jean Michel Braunwald (fils des précédents).
Le marchand Abraham Büchel épouse en 1681 Catherine, fille de l’assesseur au Grand Sénat Chrétien Mercklin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 15 n° 14)
1681. Fest. Pentecost. H. Abraham Büchel der jüngere Handelsmann H Abraham Büchels des Handelsmanns und ältern E E Großen Raths alten Beÿsitzers Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Catharina weÿland Hn Christmann Mercklins E E großen Raths alten Beÿsitzers vnd beÿ dieser Kirche*n wohlmeritirt Kirchen vnd * pfleger nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Zu St Niclaus Donnest 2. Junÿ (i 16). Donnerst. den 2
Proclamation, cathédrale (luth. f° 93) 1681. Fest. Pentecost. Zum 2 mahl hr Abraham Büchel der jüngere Specirhandler H Abraham Büchels des ältern E E großen Raths alten Beisitzers ehel. S. Jfr. Catharina Weiland H Johann Christmann Mercklins E E großen Raths alten Beÿsitzers nachgelaßene eheliche T. Donnerst. den 2.t Junÿ S Niclauß (i 94)

Catherine Mercklin meurt en 1733 en délaissant trois enfants. La succession comprend plusieurs maisons dont la maison mortuaire aux Trois Rois dans la Grand rue. Les experts estiment la maison rue des Aveugles à la somme de 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 8 686 livres, le passif à 286 livres.

1733 (19.3.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 12) n° 260
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Catharinæ Büchelin gebohrner Mercklinin, auch weÿl. des Wohl Ehren vesten und großachtbaren Herrn Abraham Büchels, geweßenen vornehmen Handelsmanns und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterlaßener Frau Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1733 – nach Ihren den 19. Januarÿ Innstehenden und Zu End gemelten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Beschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 19. Martÿ Anno 1738.
Die Verstorbene Frau seel. Hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folget. 1. Tit. Frau Annam Cleopheam Fibichin gebohrne Büchelin, weÿl. Tit. H. Johann Jacob Fibich geweßenen treueiffrigen Diaconi Zu St. Aurelien und burgers allhier seel. nachgelaßene Frau wittib, so mit beÿstand S.T. Herrn Johann Daniel Francken Banquier und E E. Kleinen Raths allhier jetztmahligen wohlansehnlichen beÿsitzers Ihres geschwornen Herrn Curatoris, und alß ermelter derselbe annoch Vor Endigung dießes Geschäffts das Zeitliche gesegnet, mit beÿstand H. Johann Herman Scherden Junioris handelßmann und burgers allhier ihres erbettenen H. Assistenten dießem Geschäfft Persönlich beÿgewohnt. 2. Tit. Herrn Abraham Büchel Vornehmen handelßmann und burger alhier so auch in Persohn zugegen war. 3. Tit. Frau Catharinam Andrein gebohrne Büchelin weÿl. Tit. herrn Johann Philipp Andre geweßenen handelßmanns und burgers allhier seel. nachgelaßene Frau Wittib, so weilen Sie ohnverburgert mit beÿstand H Joh. Jacob Braunen, Goldarbeiters und burgers allhier Ihres H Tochtermanns dießer Inventation abgewartet, Alle dreÿ der Verstorbenen Frau seel. mit mehrgemeltem Ihrem geweßenen Eheliebsten ehelich erzeugt und ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder

Copia des Von der Verstorbenen Frau seel. in Anno 1732. vor mir Notario auffgerichteten Codicilli Clausi
Hierauff Wird nun die Verlaßenschafft wie sich solche in hernach inventirter ane der langen straßen gelegenen Zu denen 3. Königen genanden behaußung befunden vor und ane sich selbsten
Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern bühn, Auffm Gang, In der Officier stub, Im undern Stübel, Im untern Haußöhren, In der Stub, In der Stub Cammer, In der finstern Cammer, In der Kuchen, Im Contor
Eigenthum ane Häusern. Erstlich i. Behaußung und hoffestatt ane der obern Straß beÿ der steinern bruck (…)
Item eine Behaußung Von Alters her Zur Glocken jetz zu denen 3 Königen genant ane der obern Straß (…)
Item I hauß hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, Rechten und zugehörden allhier in der blindengaß 1.s neben dem Bären hoff, 2. s. neben Jacob Seemann dem Maurer hinden uff Geörg Gulden den weinhändler stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen und durch die geschworne Werckmeistere vermög ob allegirter Abschatzung angeschlagen und æstimirt worden vor 500. lb. Solche behaußung hat die verstorbene seel. alß Sie Johann Michael Braunwald den färber nun des darauß Zufordern gehabten capitals exequiren laßen in Ao: 1718. der ganth ane sich gezogen, deßwegen aber kein ordentlicher Gant Kauffbrieff vorgelegt werden Können. sonsten seind annoch vorhanden 2. perg. Kbr. auß allhießiger CC Stub unter deren anhang. Innsiegekn gefertiget dedatis 24. Augusti 1661 Sun N°1 und 4. Febr. 1682. Sub N° 2.
Item I. Kl. behaußung in der Vorstatt Krautenau in der Kleinen Viehgaß (…)
Item noch eine Kleine Behaußung in der Kleinen Viehgaß (…)
Eigenthum ane Liegenden Güthern Kuhnheimer Banns
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 286, Sa. Schiff und geschirrs Zur handlung gehörig 29, Sa. Wahren 270, Sa. Wein und Faß 509, Sa. Silbers 130, Sa. Goldener Ring 37, Sa. baarschafft 189, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3363, Sa. Eigenthum ane Liegenden güthern 150, Sa. Anschlags der häußer 3148, Sa. Activ Schulden 570, Summa summarum 8686 lb – Schulden 286, Deducendo, Stall Summ 8399 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 282, Zweiffelhaffte Schulden 221 lb
Copia Testamenti – Ich Catharina Büchelin gebohrne Merckelin Weÿland Abraham Büchel geweßenen handelßmann und burgers allhier Zu Straßburg nun längst seel. nachgelaßene Wittib thue Kund hiermit (…) Siebendens, ist mein Will und behegren, daß meinem Sohn das hauß, so er Von mir schon Viel Jahr lang in Lehnung hat (…)
So geschehen iin Straßburg uff Mittwoch den 30. Januarÿ in dem Jahr des herrn als man Zahlte 1732.
Abschatzung d. 19. Marty 1733. Auff begehren Weÿl. der Viel Ehr undt Tugendsahme fraw Catharinæ Büchlerin, Gebohrne Mergelerin seel: hinterlaßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der langen straß gelegen (…)
Der 3.te begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straß in der Blinden gaßen gelegen einseits Neben dem beeren Hoff anderseits Neben Jacob Rehmen Maurer, hinden auf Johannes Gulden Kürsner stosendt Welche behausung ein alt Klein hinder behausung ein alt Klein hinder gebäwlein, Stuben, Kuchen, Cammern, Soldaten Kammer, hauß Ehren, gebälckter Keller und höffel, sambt aller gerechtig Keit Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und jetzig preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausendt Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Sommé de déclarer s’il veut se rendre propriétaire de la maison rue des Aveugles, Abraham Büchel la cède à ses deux sœurs Anne Cleophée veuve du diacre Jean Jacques Fibich et Catherine femme du marchand Jean Philippe André

1734 (16. Sept.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 12) Joint au n° 260 du 19 mars 1733
An Zuend stehendem dato erschienen beÿsammen weÿl. Frauen Catharinæ Büchelin gebohrner Mercklinin seel. Erben mit Ihren Herrn beÿständern, anzeigend, demnach Sie die Erben schon Längstens getrachtet die in die Mütterlich Verlaßenschafft gehörige Zweÿ Häußern, davon das eine ane der Langenstraß gelegen und Zu denen dreÿen Königen genannt wird, und das adere in der Blinden Gaß gelegen Gemeinschafftlich Zu verkauffen, aber sich Kein Kauffmann præsentirten wollen, daß Sie in Zwischen schon gerraume Zeit hero wegen solcher beeder Mütterlicher Häuser mit einander Vorschlägen thun insonderheit der beede Frau Töchtere Ihrem Herrn Bruder schon Längstens die Wahl antragen Laßen, daß deren Herr Bruder solche beede Häußer nemlichen das Hauß Zu den dreÿen Königen genannt um 5300 Guldin, das Hauß in der blinden Gaß aber um 1600 Guldin entweder im Erb übernehmen oder Ihnen seinen Fraun Schwestern um gedachten Preiß überlaßen möge, Weilen nun der Herr Sohn sich auff solche Proposition nicht categorisch erclären wollen, und deßwegen Ihne die beede Frau Schwestern vor E. E. Großen Rath citiren Laßen, um seine endliche Resolution gerichtlich Zuthun, So hätte der Herr Sohn sich erclärt seinen beeden Frau Schwesteren beÿ Ihrem Offerto Zulaßen, mithien seinen angebührigen dritten theil à Proportion des stipulirten Preises Zu entschlagen und Zu überlaßen, wie dann sich die dißortige Erben derentwegen follgender maßen mit einander verglichen haben.
Nemlichen cedirt und überlaßt Herr Abraham Büchel seinen beeden Frau Schwesteren
Frauen Annæ Cleophe Fibichin und Frauen Catharinæ Andrein
in Erbsweiß seinen ererbten Mütterlichen drittentheil sowohl ane der Zu den dreÿen Königen genannten ane der Langen Straßen einseit neben Johann Friderich Weiler dem Kieffer, anderseit neben dem Wirthshauß Zum Rindsfuß gelegenen hinten auff die Gerber Zunfft Stub stehenden behausung, weilen der davon dem Gürtlerhoff allhie Jährlich anzurichten habende und in Goldgulden ablösige Zinß durch dißorts dreÿ Erben ohne Anstand gemeinschaftlich abgefürt werden solle, alß freÿ ledig und eigen
alß auch die tertz ane der in der Blindengaß, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben Jacob Seeman dem Maurer gelegenen hinden auff Geörg Gulden den Weinhändler stoßenden behaußung so freÿ ledig und eigen, mit allen deren Rechten und Gerechtigkeiten, und Zwar seinen dritten theil ane erstgedachten beeden Häußern um 2300 Gulden Jetzig courant (…) Geschehen in Straßburg auff Donnerstag den 16. Septembris Anno 1734.

Catherine Büchel est ensuite propriétaire de la maison. Elle épouse en 1707 le marchand Jean Philippe André, fils du marchand Jean Philippe André : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvest undt Wohlvorgeachtn Herrn Johann Philipp Andrea, Handelßmann und Burgern allhier Zu Straßburg, alß dem Herrn Bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrawen Catharina Büchelin, Weÿland deß Wohl Ehrenvesten undt Wohlvorgeachten Herrn Abraham Büchel geweßenen Vornehmen Handelßmanns undt Burgers allhier Zu ermeltem Straßburg, nunmehr seel. mit der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Catharinæ gebohrner Mercklinin Ehelich erzügten Tochter, alß der Jungfraw Hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 24.ten Januarÿ in dem Jahr alß mann nach der Gnadenreichen geburth und Menschwerdung unßers Erlößers und Heÿlandes Jesu Christ Zahlte 1707 [unterzeichnet] Johann Philipp Andreä als Hochzeiter bekenne wie obstehet, Catharina Vüchlerin Als hoch Zeiterin bekenn Wie obstödt – Daniel Rohr, Nots.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 174-v n° 793)
1707. Mitwoch den 16.t Febr. Sind nach 2 mählicher proclamation ehl. copulirt worden, H Joh. Philipp Andreß der ledige handelsmann, weÿl. H Joh: Phil. Andeßen, gewesenen b. Schiff und handelsmanns hinterl. ehel. Sohn und Jungfr. Catharina weÿl. H. Abraham Büchel geb.w. b. vnd Handelsmann Hinterl. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Andrä alß Hochtzeiter, Cathrina bichlein als hoch zeitin (i 174)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue qui appartient aux parents de la femme. Ceux du mari s’élèvent à 556 livres, ceux de la femme à 1 304 livres.
1707 (16.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 17) n° 652
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab vnd Nahrung, so der Ehrenvest v. Vorgeachte Herr Johann Philipp Andreä, handelßmann vnd die Viel Ehren vndt tugendreiche fraw Catharina gebohrne Büchelin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt Zugebracht vnd vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen allhier in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehren vnd vorachtbahren herrn Geörg Friderich Otten Sen. Rothgerber und lederbereithers auch burgers allhier Zu Straßburg der Ehefrawen annoch ohnentledigten vogts ferner der viel Ehren und Tugendreichen Frauwen Catharina gebohrner Mercklinin der Ehefrauen geliebten Fr. Mutter, Weiter des Wohl Ehrwürdig hochachtbar vnd wohlgelehrten H Jacob Fibich der zeit treweifferigen und wohlbestellten Pfarrers der Evangelischen Gemeind Zu Eckboltzheim und der Viel Ehren und tugendreichen Frawen Mariæ Cleophe gebohrner Büchelin der Ehefrauen respectivé geehrten H. Schwager und geliebter Fr. Schwester, Mittwochs den 16. Martÿ Anno 1707.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langenstraßen gelegenen der Ehefrauen Fr. Mutter Zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Herrn Nahrung, Sa. haußraths 129, Sa. Wein und leerer faß 42, Sa. Silbers 22, Sa. goldenen Rings 12, Sa. baarschafft 349, Summa summarum 556 lb
der Frauen Guth, Sa. haußraths 234, Sa. Silbers 51, Sa. giuldener Ring 90, Sa. baarschafft 927, Summa summarum 1304 lb

Jean Philippe André meurt en 1729 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue de l’Ecurie. La masse propre à la veuve est de 1 541 livres, la masse propre aux héritiers de 410 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 744 livres, le passif à 3 754 livres.
1729 (19. 9.bris), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 5) n° 117
Inventarium über Weÿl. Herrn Johann Philipp Andre, geweßenen Handelßmann und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1729. – nach seinem den 26. Martÿ dieses Zuend gemelten Jahrs beschehenen tödtlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren meister Ehrenfrid Gebhard, des Schreiners und burgers allhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Annæ Catharinæ, Emanuels und Johann Daniels, des abgeleibten herrn seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Frau wittib ehelich erzeugter Kinder, und beneben der den 27. Julÿ jüngstin alßo nach dem herrn Vatter seel verstorbenen Tochter nahmens Jgf. Cleophe deren Stelle die Frau Mutter und Wittib repræsentirt, ab intestato nachgelaßener Erben inventirt und ersucht durch Frau Catharinam gebohrne Büchelin die hinterbliebene Frau Wittib (…) So geschehen in Straßburg in fernerem gegensein des Ehren vest und wohlachtbahren herrn Abraham Büchel handelsmanns und burgers allhier der Fraw wittib bruders und Ihres erbetteben beÿstands, auff Sambstag den 19.t Novembris Anno 1729.

Copia des von beeden gewesenen Eheleuthen vor weÿland herrn Daniel Rohr Notario publico seel. und gezeugen in Anno 1708. auffgerichteten Codicilli reciproci
Hierauff wird nun die Verlaßenschafft vor und ane sich selbsten beschrieben, wie such solche in der von der Fraw wittib lehnungs weiße bewohnenden an der Stallgaß gelegenen behaußung befunden
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens. Vermög Inventarÿ (…) durch weÿl. herrn Daniel Rohren Notarium seel. in A° 1707. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frau Wittib Nahrung betr. Sa. haußraths 29, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 28, Sa. goldener Ring 38, Sa. Pfenningzinß hauptguts 12, Sa. Gültten von liegenden gütheren fallend 4, Sa. der Ergäntzung 4328, Sa. Activ Schuld 100, Summa summarum 1541 lb
Der Erben unverändert Guth betr. Sa. haußraths 20, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Ergäntzung 481 lb, Summa summarum 510 lb – Schuld 100, Nach deren Abzug 410 lb
die theilbare Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 99, Sa. der wahren Zum gewerb gehörig 1839, Sa. Wein und leerer Faß 76, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 337, Sa. Activ Schulden 375, Summa summarum 2744 lb – Schulden 3754 lb, In Compensatione, Theilbar Passiv onus 1010 lb – Stall Summ 942 lb
Zweiffelhaffte Schulden in der Frau Wittib unveränderte Nahrung zugeltend 14, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbare Nahrung Zugeltend 388 lb
Eheberedung (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 24.ten Januarÿ 1707

Catherine Büchel veuve de Jean Philippe André vend la maison au menuisier Jean Michel Meyling et à sa femme Barbe Verius moyennant 1 000 livres

1744 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 167
Fr. Catharina geb. Büchelin weÿl. H. Johann Philipp Andres des handelsmanns wittib mit beÿstand ihres tochtermanns H. Johann Jacob Braun des goldarbeiters und dero bruder H. Abraham Büchel des handelsmanns, als negotiorum gestor seiner schwester Fr. Anna Cleophe geb. Büchelin weÿl. H. M. Jacob Fibich Dicaoni zu St Aurelien wittib
in gegensein Johann Michael Meÿling des schreiners und Barbaræ geb. Veriußin
eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Blindengaß, einseit neben Jacob Seemann des maurers wittib, anderseit neben dem so genannten Bärenhoff, hinten auff Paul Gulden des weinhändlers garten – als ein mütterlichen erbguth – um 1000 pfund

L’acquéreur hypothèque le même jour la maison au profit du tailleur Jean Frédéric Barth

1744 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 169
Johann Michael Meÿling der schreiner und Barbara geb. Veriußin mit beÿstand Johann Jacob Zisich des sattlers und Johann Janus des leistenschneiders beede ihrer schwäger
in gegensein Jacob Friedrich Barth des schneiders – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine an heutigen tag erkauffte und aus obigem vorschuß zum theil bezalte behausung, bestehehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Blindengaß, einseit neben der Seemannischen wittib, anderseit neben dem so genannten Bärenhoff, hinten auff Paul Gulden des weinhändlers garten

Jean Michel Meyling loue une partie de sa maison au tisserand Philippe Albert Martzolff

1744 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 284
Johann Michael Meÿling der schreiner
in gegensein Philipp Albrecht Martzolf des leinenwebers
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen ane der blinden gaß, einseit neben der Seemännischen wittib anderseit neben dem Bärenhoff gelegenen behausung, im hinderhauß unten auf dem boden, eine stub kammer, kuchen und hauß öhren, zwo stiegen hoch eine kammer und bühnlein über der kuchen platz zum holtz und einen unterschlagenen keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden

Assisté de son fils du même nom, Jean Michel Meyling hypothèque la maison au profit du tisserand Elie Martzolff pour régler les travaux qu’il y fait

1749 (4.3.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 151-v
Johann Michael Meÿling der schreiner /:wobeÿ erschien des schuldners sohn Johann Michael Meÿling der jünger auch schreiner
in gegensein Elias Martzolff des ledigen leinenwebers, zu verbeßerung hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Jacob Seemann des maurers wittib, anderseit neben dem Bärenhoff hinten auff Paul Gulden

La maison est estimée par les experts à 600 livres lors de l’inventaire dressé en 1757 après la mort d’Anne Barbe Verius, deuxième femme de Jean Michel Meyling.

Jean Michel Meyling cède la maison acquise pendant la communauté avec Barbe Verius à son fils issu de son premier mariage et à sa belle-fille Marie Salomé Rummel issue du premier mariage de Barbe Verius. Il s’y réserve l’habitation dans les parties qu’il occupe, à savoir un atelier à droite en entrant, un poêle, une chambre et une cuisine donnant dans la cour, une chambre au deuxième étage pour la servante, une chambre pour les compagnons au fond de la cour, une partie des greniers et de la cave.

1759 (14.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 68) Joint au n° 1617 du 30 déc. 1757
Vor mir dem unterschriebenem und dießorts adhibirtem Inventir Notario seind (…) erschienen Meister Johann Michael Maÿling der ältere Schreiner und burger allhier zu Straßburg ane einem, ferner Michael Maÿling Jun. auch allhießiger Schreiner, deßen Sohn erster Ehe andern Theils, so dann dritten theils Frau Maria Salome gebohrne Rummelin, des letztern jungen Meÿlings Ehefrau, von ihrem marito hierzu genungsam authorisirt und dißeitige Tochter (…) wie daß die Sich so wohl wegen weÿland Frauen Annæ Catharinæ Schöningin als auch Frauen Annæ Barbaræ gebohrner Veriußin, des ältern Comparirenden Maÿlings erster und Zweÿter Ehefrauen beeder Maÿlingischen Eheleuthe aber eheleiblicher Muttere Verlaßenschafften, wavon dieselben und Zwar der Maritus von Frauen Anna Catharina Schöningin, deßer Ehefrau aber von Frauen Anna Barbara Veriußin Verlaßenschafft hæredes universalis seind, zu propagir: und Erhaltung Elterlich und Kindlicher harmonie, fried und einigkeit, Vor sich und ihre Erben folgenden gütlichen Vergleich mit einander getroffen, beschloßen auch acceptirr und angenommen haben (…)
Drittens,die in letztere Ehe theilbare behaußung bestehend in Vorder, und hinderhauß, höffein und hoffstatt, samt allen deren übrigen Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem so genanndten Bähren Hoff, anderseit neben H. Ravalliati dem Maurer und Steinhauer, hinten auff H. Johannes Huck, den Gastgebern modo H. Joh: Melchior Klein, dem Weinhändler und burgern allhier stoßend gelegen, mit 500 lb. d. so man Mstr Christian Westermann und 250. lb. d. so man Mstr Joh: Michael Diebold, dem hohldräher in Capital schuldig mithin in dießen beeden Posten um 750. lb. d und dann anjetzo weiter um obangeregte der Stieff tochter vor restirend Mütterlich guth angewießene 104. lb. 11 ß onerirt, und dieße behaußung beÿ jetzigen Zeiten um mehreres nicht werth zu achten, Zumalen immer darinnen nicht geringe Reparationes Zu beförchten, so hat der Wittiber und Vatter auch respê stieffvatter um so mehr als auch davon großer Vingtieme und übrige Stattgebühren Zu geben sind, gegen Ihme dem Sohn und Ihro der Stieff tochter declarirt und bekannt daß Er vor sich und seine Erben Ihnen Jung Maÿlingische Eheleuthen und ihren Erben vorhergeschriebene behaußung cum appertinentiis um die vorspecificirte beede passiv Capitalia (…) cedirt und überlaßen haben wolle (…)
Vierdens dieweilen der Vatter und Wittiber seine Stieff tochter ihres völligen Mütterlichen Guths halben bezahlt und ausgewießen und doch demselben Zwo tertzen hievon in lebens länglichem Wÿdum Zu genießen Zukommen sollen, so haben beede Cessionarien Ihme dem vatter Zu Satisfacirung des genußes folgende Wohnung und Gemach Zeit lebens Zu genießen überlassen und dabeneben alle Reparationes außer dem Kleinen Flickwerck, so sonsten ein jeder locatarius nach lehnungs Gerechtigkeit, zu præstiren schuldig ist (…) und bestehen solche Wohnung und Gemach, in einer Werckstatt unten im hoff, lincker hand im Eingang des haußes, Zum theil auff die Gaß und zum theil in dem hoff aus sehend, daran eine Stub samt Kuchen gleicher gestalten in den hoff aus sehend, ferner oben auf dem Zweÿten Stock darüber ein Cämmerlein vor die Magd ingleichem die gemeinschaftlich. Cammer unter dem dach, Item hinten im hoff eine gemeinschaftliche Cammer für sie Gesellen, Item der halbe theil von der bühne gegen dem bähren hoff Zu, Item derjenige theil von dem Kellern so vornen inden hoff heraus gehet, imit Latten eingefaßt und beschlüßig ist, So dann den gemeinschaftlich. Platz im hoff Zum holtz zu legen, alles wie Er der Vatter es bis anhero inne gehabt, bewohnt, gebraucht und genißen hat. (…)
So beschehen Straßburg auf Sambstags den 14. Aprilis 1759

Fils de Jean Michel Meyling et de sa première femme Anne Catherine Schœning, Jean Michel Meyling épouse en 1747 Marie Salomé Rummel, fille du boucher Jean Rummel et d’Anne Barbe Verius : contrat de mariage, célébration
1747 (27.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1134
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Michael Maÿling Jun. Schreiner und burgern allhier Zu Straßburg, H. Johann Michael Maÿling des ältern Schreiners v. burgers allhier mit weÿl. fraun Anna Catharina gebohrne Schoningin Ehelich erzeugt vnd nach tod Verlaßenem Sohn als hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariæ Salome gebohrner Rummelin weÿl. Johannes Rummel geweßenen Metzgers v. burgers dahier mit Fraun Anna Barbara gebohrner Veriußin Ehelich erzielter und nach tod verlaßener tochter, alß hochzeiterin andern theil
So beschehen allhier in der Königlichen Statt Straßburg den 27.ten Maÿ Anno 1747 [unterzeichnet] Johann Michael Meÿling als hoch zeitter, Jgft. Mariæ Salome Rummelin handzeichen +

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 169-v)
1747. Dom. I. & II. Trinir. d 16 Jun. & 23 Junÿ proclamati sunt Johann Michael Meÿling der schreiner u. b. h. l. Fr. Barbara weÿl. Johannes Rummel gew. schreibers auff der Statt Bruckhoff nachgel. wittib. Copulati et copulati Mittw. d. 26. Junÿ [unterzeichnet] Johann Michel Meÿling alls hochzeiter (i 174)

Jean Michel Meyling meurt en 1784 en délaissant deux enfants. Les experts estiment à 350 livres la maison en partie cédée à leur fils. La masse propre à la veuve est de 294 livres, la masse propre aux héritiers de 23 livres. L’actif de la communauté s’élève à 86 livres, le passif à 380 livres.

1784 (10.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 869) f° 826
Inventarium über Weil. des Ehrsamen Mr Johann Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg, nunmehro seel. Verlaßenschaft auffgerichtet in Anno 1784. – nach seinem Sambstags den 24. Aprilis gegenwärtigen 1784.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen, Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetztem Dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren hernach gemelter des defuncti seel. ab intestato Zu Erben verlaßener beeder Söhne und Frauen tochter, wie auch der Tugendsamem Fraun Mariæ Salome gebohrner Rummelin, der hinterbliebenen Wittib selbsten, beiständlich Hn Johann Kiefer, des Glashändlers und burgers alhier, nach Ordnung ersucht und Inventirt worden (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in einer ane der Blindengaß gelegenen hieheri Zum theil eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerm beschriebener behaußung, auf Sambstag den 10. Julii Anno 1784.
Benambsung der Erben. Der Verstorbene seel. hab ab intestato Zu seinen rechtmäsigen Erben verlaßen nahmentlichen und 1° Johann Michael Maÿling, den leedigen Schreiner: Gesellen, so majorennis und hiebeÿ Zugegen seine eigene Interesse besorget, 2° die tugendsame Frau Mariam Salome Heberlinin gebohrne Maÿlingin, Hn Joh: Jacob Heberlin des Föghändlers und burgers alhier Ehefrau welche beiständlich dieses ihres Ehemanns Zugegen ihren eigenen Nutzen beobachtet und 3° Hn Philipp Friderich Maÿling, den Schreiner Meister und burgern alhier, welcher auch hiebeÿ in Persohn gegenwärtig seine eigene Interesse besorget, Alle dreÿ des Verstorbenen sel. mit eingangs gedachter deßen hinterlaßener Wittib ehelich erzeugte Kindern und ab intestato Zu dreÿ gleichlingen portionen und Antheilern verlaßene Erben

Bericht Zu gegenwärtigem Invenario. Es ist Zwar in dem 3.ten Puncten der Zwischen beeden nun Zetrtennten Ehepersohnen errichteten und nächst vorher copialiter einverleibten Eheberedung §° 3.tio ausdrucklichen enthalten, daß beeder seiths Ehepersohnen illata Ordnungs mäßig inventirt, æstimirt und beschrieben werden solten, allein der hinterbliebener Wittib declaration nach ist solche Inventur unterlassen worden (…)
(f° 7-v) Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung (W.) Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder und hinterhauß, höfflein und hoffstatt, sampt allen übrigen deroselben begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bähren: hoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurer-Gesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen und dermalen durch (die Werckmeistere) zufolg deroselben schriftlich ausgestelten und beÿ dieses Inventarii Concepto verwahrlich liegenden Abschatzungs Scheins vom 13. 7.bris 1784. gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 700. fl. oder 350. lb. Woran der hiehero gehörige Vierte Theil in Auswurf antrift 87. 10. Hievor beschribene gantze behausung ist der dißortigen Wittib und dem defuncto ihrem Ehemann seel. von Weil. M : Joh: Michael Maÿling dem ältern gewesenen Schreiner und burgern alhier, ihrem respê leiblichen und Stiefvatern ausweislich eines unter ihnen vor Hn Notario Joh: Jacob Oelinger am 14. Aprilis 1759. auffgerichteten Erbs: Vergleichs und Zwar jedem Zur helfte eigenthümlich cedirt und abgetretten worden. Seithero aber haben beede nun Zertrennte Ehepersohnen die helfte sothaner behausung H. Philipp Friderich Meÿling, dem Schreiner und burgern alhier, dißortigem jüngsten Sohn, käuftlichen überlaßen, so daß heutiges tags der Wittib nur der hievorgemelte vierte theil, und denen Erben der hernachbeschriebene überige vierte theil annoch gebührig ist. Über sothane gantze behaußung besagt und ist vorhanden ein teutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrief dedato 30.ten Martÿ 1744.
(f° 8-v) Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung (E.) Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder: und hinterhauß, höfflein und hoffstatt, sampt allen übrigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bähren: hoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurergesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenem Capitali gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen, und Zufolg des vorher allegirten von (den Werckmeistern) ausgestelten Abschatzungs Scheins, die gantze behaußung Zu 350. lb d gerechnet, Zu dißortigem vierten theil daran ebenfalls in auswurf gebracht wird um 87. 10. Wie der Defunctus seel. diese antheil behaußung erhalten und wie Er der andere ihme Zugehörig gewesenen vierten theil an seinen jüngeren Sohn H. Philipp Friedrich Maÿling käuflichen abgetretten davon ist schon hievornen beÿ beschreibung der Wittib unveränderten antheils davon der nöthige bericht beschehen auch der über die gantze behaußung besagende Kaufbrief allegirt word.
(f° 10-v) Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib währender Ehe abgegangener unveränderten Guths. Nach anleitung der hievor im bericht angezogen, von der Wittib in Ermanglung eines Inventarii illatorum producirten Verzeichnus hat sich ane deroselben in die Ehe gebrahctem und währen derselben geretteten Vermögen mangelnd befunden, hieher nunmehr Zu ergäntzen stehet, wie folgt (…)
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der hinterbliebenen Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 2, Sa.Silbers und dergleichen Geschmeids 2, Sa. goldenen Ring 1, Sa. eigenthümlichen antheils ane einer behaußung 87, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 52, Sa. Schulden 15, Sa. der Ergäntzung 133, Summa summarum 294 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unveränderte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 3, Sa. antheils ane einer behaußung 87, Summa summarum 90 lb – Schulden 67, Nach deren Abzug 23 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschaft beschrieben, Sa. haußraths 43, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 8, Sa. der leeren Faß 4, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 26, Summa summarum 86 lb – Schulden 380, In Vergleichung 293 lb
Beschluß und Stall summa 24 lb

Marie Salomé Rummel meurt en 1789, propriétaire d’une partie de la maison. L’actif de la succession s’élève à 229 livres, le passif à 117 livres.

1789 (8.6.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 872) n° 436
Inventarium über Weil. der Ehr: und Tugendsamen Fraun Mariæ Salome Maÿligin gebohrner Rommelin, auch Weil. Mr Joh: Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterlaßener Wittib, nunmehro auch seel. Verlaßenschaft aufgerichtet in Anno 1789 – nach ihrem Mittwoch den 3.ten Junii gegenwärtigen 1789.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen. (…) So beschehen alhie Zu Straßburg in einer ane der Blindengaß gelegener H. Philipp Friderich Maÿling dem doßortigen jüngern Sohn und Mit Erben eigenthümlich zuständiger behaußung auf Montag den 8.ten Junii Anno 1789.
Benamßung der Erben. Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu irhen rechtmäsigen Erben verlaßen namentlich und 1° Johann Michael Maÿling, den leedigen majorennen Schreiner: Gesellen, welcher beÿständlich Hn Johannes Kiefer, des Glas händlers und burgers alhier, hiebeÿ persönlich zugangen, seine eigene Interesse besorget, 2° die Ehr : und tugendsame Frau Maria Salome Heberlin, gebohrne Maÿlingin, Hn Joh: Jacob Heberlin, des Kürschners und burgers alhier Ehefrau, so beiständlich dieses ihres Ehemanns in eigener Persohn Zugangen, ihren Nutzen besorget und 3° Hn Philipp Friderich Maÿling, den Schreiner Meister und burgern alhier, welcher auch hiebeÿ persönlich Zugegen, seine eigene Interesse beobachtet, Alle dreÿ der Verstorbenen seel. mit auch Weil. Mr. Joh: Michael Maÿling dem gewesenen Schreiner und burgern alhier, ehelich erzeugte Söhn und tochter und ab intestato Zu dreÿ gleichlingen portionen und Antheileren verlaßene Erben

Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung. Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder: und Hinterhauß, Höfflein und Hoffstatt, samt allen übrigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bährenhoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurer-Gesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenem Capitali gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen, und dermalen nach Zuvor beÿ denen Wohlverordneten Herren dreÿ Löbl. Stadt Stalls geziemend angesucht und großgünstig erhaltener Erlaubnus ane der nämlichen Preis angesetzet wird, wie solche beÿ Weil. Mr Joh: Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier der defunctæ Ehemann seel. Verlaßenschafts Inventur durch (die Werckmeistere) zufolg deroselben schriftlich ausgestelten Abschatzungs Scheins vom 13. 7.br 1784. gewürdiget worden nämlich um 700. fl. oder 350. lb. Woran der hiehero gehörige vierte theil in auswurf antrift 87. 10.
Die helfte gedachter behaußung ist H. Philipp Friedrich Maÿling, dem Schreiner meister und burgern alhier dem dißortigen jüngern Sohn in Kraft seiner vor H. Not. Joh: Daniel Stöber am 30. 9.bris 1782. auffgerichteter Eheberedung bereits eigenthümlich Zuständig und der überige Vierte theil ist in ermelte Vätterliche Verlaßenschaft gehörig. Über die gantze behaußung meldet eine vor Hn Notario Joh: Jacob Oelinger am 14. Aprilis 1759. erichtete Erbs: Vergleichs Cession und respê Erbs: Vergleich, So dann ist annoch darüber besagtend vorhanden ein teutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrief dedato 30.ten Martii 1744.
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 60, Sa.Silbers und dergleichen Geschmeids 3, Sa. goldenen Ring 1, Sa. baarschafft 41, Sa. eigenthümlichen Antheils ane einer behaußung 87, Sa. Schulden 34, Summa summarum 229 lb – Schulden 117, Nach deren Abzug 111 lb
Beschluß Summ 138 lb – Stall summ 111 lb

Jean Michel Meyling et Marie Salomé Rummel cèdent en s’y réservant l’habitation la maison à leur fils Philippe Frédéric lors de son mariage avec Barbe Debs, originaire de Hangebieten : contrat de mariage, célébration

1782 (30. 9.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 143
Eheberedung – persönlich erschienen H. Philipp Friderich Meÿling, led. Schreinermeister, H. Johann Michael Meÿling Schreiners u. burger alhier mit Frau Maria Salome geb. Rummelin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter unter authorisation solcher deßen Vaters ane Einem,
und Jungfr. Barbara Debsin weiland Lorentz Debs gew. brs: und ackermanns zu Hangenbietenheim, mit weil. Fraun Barbara geb. Bilgerin ehelich erzielte tochter als braut unter autorisation ihres geschwornen Vogts Lorentz Schöttel burgers und ackersmanns Zu gedachtem Hangenbietenheim andern theil
Zum Siebenden, wollen das Hochzeiters geliebte Eltern und Zwar die Mutter unter assistentz des Vaters, ihme dem Hochzeither Zu einem wahren und unwiederuflichen Eigenthum übergeben und abtretten ihre allhier Zu Straßburg an der Blindengaß gelegene behausung in 2. Vorder und 1 hinterhauß, Hof, Hoffstatt und bronnen, bestehend mit allen deroselben übrigen Gebaüden, begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten, einseit neben weiland Jacob Säeman gew. Maurers Wittib, anderseit neben dem sogenannten bärenhof, hinten auf Kleinischer Kinder Garthen stoßend gelegen, so mit keinem bodenzinß und Real beschwerde beladen. Vor und um die Summ der 3000 Gulden, als um welchen Preis auch Er hochzeiter gedachte behausung samt Zugehörden sich und seiner Erben übernimmt, angesehen aber des hochzeiters Eltern so lang sie beede oder eines derselben an leben seÿn werden, sich den freÿen und ungestörten Genuß u. Gebrauch des einen vorder hauses neben dem bärenhof, des völligen hinterhauses, der helffte des Hofs, der helffte des Kellers und der helffte des holtzplatzes vorbehalten so hat Er hochzeiter versprochen, ihnen der Eltern vor die würcklich in Wohnung, Genuß und Gebrauch beziehende vordern behausung neben Säemann des Maurers Wb. helffte des Hofs, helffte des Kllers, Helffte des holtzplatzes u. Gemeinschafft des Bronnens auf nechstkommende Weÿhnachten da solcher Genuß anfängt, die helffte jener Überlassung Preises der 3000 fl. mit 1500 Gulden (…)
Straßburg Sambstags den 30. Novembris Anno 1782 [unterzeichnet] Phillipp Friedrich Meÿling als Hochzeiter, Barbara debsin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 5-v, n° 2)
1783 sind Dominica Septuagesima et Sexagesima proclamirt und dienstag den 25. Hornung in unserer Kirch copulirt worden Philipp Friedrich Maÿling der ledige burger und Schreiner; Meister dahier, Michael Meÿling, des Schreiner: Meisters und Burgers dahier, mit Frau Maria Salome geb. Rumelin ehel. erzeugter Sohn und Jgf. Barbara Debußin weil. Lorentz Debuß gew. Burgers und Ackersmanns in Hangenbietheim mit Barbara geb. Bilgerin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Phillipp Friederich Mayling als hochzeiter, barbara debßin als Hoch zeitrin (i 8)

Barbe Debus devient bourgeoise par son mari à titre gratuit pour bon comportement
1783, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 9-v
Barbara Debus von hangenbiethen gebürtig weÿland Lorentz Debus gewesenen burgers und Ackersmanns daselbst hinterlaßener fr. tochter, verheurathet mit Philipp Friderich Meigling dem hießig. burger und schreiner Mstr. erhaltet das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will dienen Zur E. E. Zunfft der Zimmerleuth, promisit d. 3. Aprilis 1783

Philippe Frédéric Meyling (ici Jean Frédéric) devient tributaire chez les Charpentiers en juin 1783.
1783, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 34-v) Dienstags den 17. Junii 1783. – Neuzünfftiger
Johann Friderich Meÿling, der Schreiner, Joh: Michael Maÿlings, des Schreiners und burgers alhier ehelicher Sohn producirt Stall Schein de dato 3.ten Aprilis jüngst, bittens ihne vermög deßelben, beÿ dieser Ehrsamen Zunfft gegen Erlag der Gebühr, und sub oblato præstanda Zu præstiren, als einen Zünftigen auf: und anzunehmen. Erkant, Gegen Erlag der Gebühr Willfahrt.

Philippe Frédéric Meyling et sa femme Barbe Debus hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du marchand de soieries Jean Frédéric Steinbach

1784 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 258
Mr Philipp Friedrich Meÿling der schreiner, H. Not. Philipp Ludwig Übersaal als geordneter curator sein Meÿling ehefrau Fr. Barbara geb. Debusin
in gegensein H. Johann Georg Jund des glaßers als gerichtlich bestellten vogts H. Johann Friedrich Steinbachs des seidenhändlers erzeugten kinder nahmens Anna Maria, Johann Jacob und Johann Friedrich – schuldig seÿen 300 guldin
unterpfand, des Ehemanns besonders die ihme zuständige ane der Blindengaß gelegene behausung, einseit neben H. Usinger dem beständer im kaufhaus, anderseit neben Seemann dem maurer hinten auff die Kleinische erben

Philippe Frédéric Meyling et Barbe Debus font dresser un état de leur actif et de leur passif pour que la femme puisse solliciter le bénéfice de cession. L’acte n’est pas terminé.
1786 (4.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1252) n° 519
Inventarium über Mr Philipp Friedrich Maÿling, des Schreiners und Fraun Barbarä Maÿling geb. Debßin, beeder Eheleuthen und brn. allhier einander in die Ehe dermalen besizender Nahrungen und hingegen an Passiv Schulden Zu bezahlen haben. Welche Inventur auf besonderes Ansuchen und begehren der Ehefraun, als welche um Salvirung ihres unveränderten Vermögens beÿ E. E. Kleinen Rath des Beneficium Cessionis Zu begeren für gemüsiget ist, unter assistentz Mr Jacob Häberlin des Kürschners u. brs. allhier, der Sie an Vogts statt hierzu angesprochen fürgenommen wurde (…) So geschehen in der allhier Zu Straßburg in der Blindengaß gelegenen und Zur helffte in des Ehemanns Mass gehörigen behausung Donnerstags d. 4.ten Maÿ Anno 1786.
(non terminé)

Catherine Rummel passe une convention avec Philippe Frédéric Meyling et sa femme Barbe Debus au sujet de la maison

1788 (14.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 209) n° 42
Arrangement – Salomé Rummel veuve de Jean Michel Meyling maître menuisier de cette ville, assistée de Jean Jacques Heberling Chamoisseur son gendre et David Werner revendeur
Et Philippe Frédéric Meyling menusier, son fils, et Barbe Debus sa femme, assistée des Sr Kobelt et Hartmann les deux assesseurs au petit Sénat
pour prendre des arrangements définitifs au sujet de la maison qui a été cédée audit Meyling fils par l’article 7 du contrat de mariage dressé par M° Stoeber
1. la veuve Meyling conservera sa vie durante la jouissance de ladite Maison et ses dépendances pour par elle l’habiter, la louer comme bon lui semblera à charge par elle d’entretenir ladite maison (…), 2. led. Meyling fils et sa femme continueront a jouir du logement dont ils ont joui et qu’ils occupent encore présentement dans ladite maison de même que les places, boutique, caves et aisances qui dépendent dudit logement moyennant un loyer annuel de 24 livres par quartier
(3 et 4, convention sur les hypothèques)

Philippe Frédéric Meyling et Barbe Debus font dresser un état de leur actif et de leur passif pour que la femme puisse solliciter le bénéfice de cession. Le mari propriétaire de la moitié de la maison a quitté la ville. La masse propre à la femme s’élève à 1 180 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 261 livres, le passif de 1 283 livres.

1788 (8. Aug.), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 653
Inventarium über Meister Philipp Friderich Meÿling des Schreiners und Fraun Barbarä Meÿlinginn gebohrne Debßin beede Eheleuthen und brn allhier dermalen besizende Nahrungen und hingegen Zu bezahlen habende Passiv Schulden auffgerichtet Anno 1788.
Welche Inventur auf ihr der Ehefraun besonderes Ansuchen und begehren unter assistentz Mr Jacob Heberlin des Kürschners und brs allhier den Sie an Vogts statt hierzu angesprochen, deswegen fürgenommen wurden weil Sie um Salvirung ihres unveränderten Vermögens beÿ E. E. kleinen Rath das beneficium Cessionis zu ergreifen gemüßiget ist, masen auch der Ehemann seit einigen tagen ausgetretten (…) So geschehen in einer alhier Zu Straßburg an der Blindengaß gelegenen Fr. Salome geb. Tommelin weil. H. Johann Michael Meÿling des gew. Schreiners brs. allhier Wb. des Ehemanns Mutter Zuständigen und disorths Zum theil lehnungsweise bewohnenden behausung Dienstag den 5. Aug. Anno 1788.

Bericht. So declarirt die Ehefrau beÿständlich eingangs gedacht das Sie ihre in die Ehe gebrachte Mittel zu Inventiren unterlaßen habe, Er könne aber dieselbe aus dem über ihrer Mutter weil. Barbaræ geb. Bilgerin Lorentz Debus des brs u. ackersmanns Zu Hangenbietenheim gew. Ehefrau verlaßenschafft de 1774. errichteten theil R. sodann aus dem über ihres erstbesagten Vaters hinterlaßene Erbtheil d. 1779 besagendes theil Register erwisen (…)
Eigenthum an einer behausung betreffend, so des Ehemanns Mutter Fr. Salome geb. Rummelin annoch lebenslänglich zu geniesen berechtiget. Neml. wie aus der copeÿlich enthaltener Eheberedung §. 7.mo ersichtlich, wurde dem Ehemann von deßen Eltern cedirt und abgetretten I. behausung in zweÿ Vorder häusern und einem hinterhauß hof hoffstatt und bronnen bestehend mit allen derselben übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden u. Rechten allhier zu Straßburg an der blindengaß einseit neben weil. Jacob Seemann gew. Maurers Wb. 2. s. neben dem sogenanten bärenhof hinten auf Kleinischer Kinder Garthen stoßend, so mit keinem bodenzinß und Real beschwerden beladen, vor und um die summ der 3000 Gulden, hievor hat derselbe die helffte mit 1500 Gulden nach der Mutter absterben in die mütterl. Erbschafft einzuschiesen masen Sie nach jener Eheberedung auch die helffte der behausung samt Zugehörden zu geniesen hat. Die übrige helfte solcher behausung aber ist sein des Ehemanns Mutter krafft droben allegirter vor H. Lacombe dem Königl. Not° passirten Verschreibung vom 14. Februarÿ A. 1788 dergestalten ins lebenslängl. Genuß überlassen worden daß die dagegen beede Eheleuthe um einen jährlich. zinß von 48 fl. in der behausung ihrer gewöhnlichen Wohnung wohnen laßen, auch die darauff hafftenden Capitalien als H. Joh: Michael Osterrieth Proc. in d E .E großen Rath auch anderer Gerichtssellen 1400 fl. die dem Sohn selbsten obigen 400 fl.jährl. à 4 pt° verzinsen, sodann die behausung in gutem bau Stand u. Ehren erhalte
Norma hujus inventarÿ. der Ehefrau unveränderte Guth, Sa. hausraths 51 lb, Sa. activ schulden 55 lb, Sa. Ergäntzung 1073 lb, Summa summarum 1180 lb
Dießmnach wird die übrige vorhandene Mass so in des Ehemanns Nahrung gehörig verzeichnet, Sa. hausraths 42 lb, Sa. Werckzeugs und holtz Zur Schreiner prof. gehörig 12 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguts 200 lb, Summa summarum 261 lb, -Schulden 1283 lb, passiv onus 1022 lb

Madeleine Barbe Mayling dont le père est sans domicilié connu épouse en 1812 le tonnelier Jean Georges Kaiser
1812 (14.5.), Strasbourg 5 (35), Not. F. Grimmer n° 7611
Contrat de mariage – Jean Georges Kaiser, garçon tonnelier, fils majeur de feu Pierre Kaiser, laboureur, et de feu Anne Roemer à Wellerstadt dans le royaume de Bavière
Madeleine Barbe Mayling, fille de feu Philippe Frédéric Mayling, menuisier, et de Barbe née Debus assistée de David Treuschel
n° 7608 dépôt du 12 mai – Jean Georges Kaiser garçon tonnelier demeurant rue du Limon n° 26, extrait du registre de baptêmes de l’église de Baiersdorf où il est né le 5 juillet 1779 baptisé
Enregistrement, acp 119 F° 156 du 20.5.

Mariage, Strasbourg (n° 219)
Acte de mariage célébré à neuf heures du matin le 16 May 1812. Jean George Kaiser, majeur d’ans, né le 5 juillet 1779 à Wellerstadt en Bavière, domicilié à Guebviller, Département du haut-Rhin, Tonnelier, fils de feu Jean Pierre Kaiser, cultivateur et de feu Anne Roemer, Madeleine Barbe Mayling, majeure d’ans, née le 10 novembre 1783 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Philippe Frédéric Meyling, menuisier, et de Barbe Debus ci présente et consentante (…) lesdits époux ont déclaré par serment qu’ils sont dans l’impossibilité de produire (…) l’épouse la preuve de l’absence de son père (signé) Johann Georg Kaiser, Magtlebirra mäyling (i 20)

Barbe Debus vend la maison au maître menuisier Jean Daniel Neustœckel moyennant 1 562 livres

1789 (5.11.), Chambre des Contrats, vol. 663 n° 354-v
Fr. Barbara Maylingerin geb. Debußin Philipp Friedrich Meyling des schreinermeisters zu gut geschiedene ehefrau
in gegensein Johann Daniel Neustöckel des schreinermeisters
eine behausung bestehend aus vorder, hinter und seiten gebäude, hoff, hoffstatt, bronnen mit allen derßelben übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Blinden gaß einseit neben Mr Jost dem kieffer, anderseit neben dem sogenannten Bären hoff, hinten auff der Kleinischen erben zuständigen garten – ihro der verkäuferin als die durch bescheid E.E. grußen raths vom 17. 9.bris 1788 und 27. maÿ jüngst in ihres Ehemanns mass in ansehung ihres in die Ehe gebrachten guth immittirt worden – (um 1400 fl., 700 fl. und 300 fl. capitalien verhafftet, geschehen um 3124 gulden

Jean Daniel Neustœckel devient tributaire chez les Charpentiers en 28 mai 1782
1782, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 23-v) Dienstags den 28. Maji 1782. – Neuzünfftiger E.R.
Joh: Daniel Neustöckel, der Schreiner und Burger alhier producirt Stallschein de dato 28.ten Maÿ 1782. bittend ihne Zufolg deßelben beÿ diser Ehrsamen Zunfft als einen Züftigen auf und anzunehmen, sub oblato præstanda Zu præstiren. Erkannt, Willfahrt, Juravit.

Fils du maître d’école Georges Frédéric Neustœckel, Jean Daniel Neustœckel épouse en 1786 Anne Catherine Weber, fille du coutelier Jean Jacques Weber : contrat de mariage, célébration
1786 (8.6.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 194
Eheberedung – persönlich erschienen H. Johann Daniel Neustöckel, leediger Schreiner Meister und burger alhier, Weil. H. Georg Friderich Neustöckel des gewesenen Schulmeisters und burgers alhier mit Frauen Maria Magdalena geb. Lautensackin ehelich erzeugt nach tod Verlaßener Sohn, so majorennis und seiner Rechten selbsten genieset, als hochzeiter ane einem
So dann die Ehr: und tugendsame Jungfrau Anna Catharina Weberin, Weil. H. Joh: Jacob Weber, des gewesenen Klein Meßerschmidts und burgers alhier mit auch Weil. Fraun Maria Elisabetha geb. Schlägelin ehelich erzeugt nach tod Verlaßene tochter, beiständlich H. Joh: Jacob Weber, des Klein: Meßerschmidts und burgers alhier, ihres leiblichen bruders, als die Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
auf Donnerstag den 8.ten Junii Anno 1786. [unterzeichnet] Johann Daniel Neustöckel als Hoch Zeiter, Anna Catharina Weberin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 91 n° 13)
1786 Mittwoch den 28. Junii wurden in unserer Kirch nach Vorhergegangener Zweÿmalicher Proclamation copulirt Mstr Johann Daniel Neustöckel led. Schreiner und burger alhier, weil. H. Georg Friderich Neustöckel gew. Schul: Lehrers zu S Aurelien und burgers alhier mit Fr. Maria Magdalena geb. Lautensackin ehl. erzeugter Sohn Und Jgfr. Anna Catharina, weil. Johann Jacob Weber gew. Meßerschmidts und Burgers alhier mit Fr. Maria Elisabetha geb. Schlegelin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Neustöckel als Hochzeiter, Anna Catharina Weberin als hochterin (i 94)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location rue de l’Ours. Ceux du mari s’élèvent à 305 livres, ceux de la femme à 661 livres.
1786 (25.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 870) n° 380
Inventarium über des Ehrsamen Meister Johann Daniel Neustöckel, des Schreiners, wie auch der Ehr: und tugendsamen Fraun Annæ Catharinæ gebohrner Weberin, beeder Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Vermögenschaften aufgericht in Anno 1786. (…) zu Beleb: und Erfüllung des 4.ten Punctens ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung nach Ordnung ersucht und inventirt worden – So geschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beiseÿn H. Joh: Jacob Webern des Klein – Meßerschmidts und Burgers alhier, der Ehefraun leiblichen Bruders und hierzu erbettenen beistandrs, in einer in dem sogenannten Thomä loch ane dem Barengäßlein gelegenen dißorts Zum theil Lehnungsweiße bewohnenden behaußung auf Dienstag den 25.ten Julii anno 1786.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns ind ie Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 67, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner – Handwerck gehörig 161, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 16, Sa. Schuld 36, Summa summarum 280 lb – Wird darzu gelegt die ihm gebührige helffte ane denen haussteuren 25 lb, Des Ehemanns gesambtes Vermögen 305 lb
Diesemnach so wir auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben Sa. haußraths 117, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. goldenen Rings 9, Sa. baarschaft. 503, Summa summarum 636 lb – Wird nun auch darzu gelegt die ihro ebenfalls gebührige helffte ane denen Haussteuren mit 25 lb, Der Ehefrau völlige Vermögenschaft 661 lb

Anne Catherine Weber meurt en 1820 en délaissant des héritiers collatéraux.

1821 (19.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 43), Me Hickel n° 774
Inventaire de la succession d’Anne Catherine Weber femme de Jean Daniel Neustoeckel, menuisier, décédée le 18 novembre dernier – à la requête dudit Neustoeckel usufruitier, de Jean Théophile Masské, homme de loi traducteur juré près le Tribunal Civil, curateur de la succession nommé le 4 juin de la présente
[Joint :] Vente de meubles par 1. Marie Madeleine Weber veuve de Jean Frédéric Walch teinturier, 2. Marie Madeleine Weber épouse de Jean Jacques Geiger opticien, 3. Elisabeth Weber fille majeure, 4. Marie Elisabeth Leininger veuve de Charles Zimmermann, tailleur d’habits, 5. Marie Dorothée Leininger veuve de Frédéric Charles Gérold, ramoneur, 6. Philippe Jacques Leininger, menuisier, garçon majeur, le 26 février 1823
Titres et papiers, Contrat de mariage reçu Schaeff le 8 juin 1786, inventaire des apports 25 juin 1786
Contrat de vente passé à la Chambre des contrats le 5 novembre 1789 par qlequel les conjoints ont acquis de Marie Barbe Debus femme séparée quant aux biens de Philippe Frédéric Mayling, ménuisier, une maison avec cour, puits et dépendances sise en cette ville rue des Aveugles n° 9, d’un côté le Sr Jost tonnelier, d’autre ma maison dite Baerenhof, derrière le jardin appartenant aux héritiers Klein, pour 3180 florins
immeuble, une vieille maison consistant en bâtiment de devant, latéraux et de derrière, cour, puits et autres appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Aveugles n° 9, d’un côté le Sr Rich garçon limonadier, d’autre un inconnu, derrière le S Koebelé peignier, estimée 2000 francs
dans la maison rue des Aveugles n° 9 – mobilier 698 fr (mobilier 282 fr, outils de menuisier 132 fr, (autres meubles), garde robe 79 fr – passif 8857 francs
Enregistrement, acp 153 F° 23 du 25.6.

Les créanciers de Jean Daniel Neustœckel font saisir la maison, vendue par adjudication judiciaire en 1822 à Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire, et à sa femme Philippine Frédérique Terrass

1822 (2.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 146, n° 7
Par devant le Tribunal Civil de Première Instance, vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison réellement saisie sur Daniel Neustoeckel, menuisier – Cahier des charges. Me Schneegans, avoué de Jean Frédéric Roederer, teinturier, en qualité d’héritier partiaire d’Anne Marie Kammerer décédée veuve de Jean Philippe Roederer, teinturier, ses père et mère, en qualité de cessionnaire de Jean Michel Osterrieth, avocat, Jean Kiefer, vitrier, tuteur des enfants mineurs délaissés par Michel Mayling, menuisier, suivant transport passé à la Chambre des Contrats le 21 décembre 1789 de deux obligations passées à la Chambre des Contrats en date des 3 juillet 1783 et 6 juillet 1784, est créancier de Jean Daniel Neustoeckel d’unes somme de 4583 francs
à Me Schneegans moyennant 5500 francs – Déclaration de command le 13 décembre 1821, déclare avoir enchéri pour Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire de la cinquième division, et Philippine Frédérique Terrass
Désignation de l’immeuble, une maison sise à Strasbourg rue des Aveugles n° 9, d’un côté (-) et d’autre (-), ladite maison construite en bois de charpente et maçonnerie consiste en rez de chaussée et un étage éclairé sur la rue par quatre croisées et dans la cour par cinq. Elle a son entrée par une grande porte cochère a droite en entrant dans la cour se trouve un petit bâtiment formant une habitation au fond de la cour il y a un autre bâtiment construit comme le premier et consistant également en rez de chaussée et un étage prenant jour dans la cour, à droite de ce bâtiment il y a une pompe
Mise à prix 3000 francs, Me Schnegans demeurant Vieux Marché aux Vins n° 86, fait le 13 août 1821
Adjudication préparatoire le 11 octobre, Adjudication définitive le 13 décembre

Fils du farinier Jean Michel Silberzahn, Georges Michel Silberzahn épouse en 1817 Philippine Frédérique Terrass, fille du juriste Guillaume Terrass
Mariage, Strasbourg (n° 201)
Acte de mariage célébré à dix heures du matin le 3 juillet 1817. George Michel Silberzahn, mineur d’ans, né en légitime mariage le 3 juillet 1793 à Strasbourg, Emploïé du génie, fils de Jean Michel Silberzahn, farinier en cette ville, et de Catherine Hiss, ci présente et consentante, et Philippine Frédérique Terrass, mineure d’ans, née en légitime mariage le 8 Frimaire an VI de la République française à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de feu Guillaume Terrass, homme de loi décédé en cette ville le 2 Vendémiaire an XIV de la République française et de feu Wilhelmine Louise Laemmerhird, décédée en cette ville me 3 mai 1812 (signé) George Michel Silberzahn, Fridika teres (i 2)

Testament olographe de Georges Michel Silberzahn
1861 (28.2.), M° Becker
Dépôt du testament olographe de Georges Michel Silberzahn
acp 496 (3 Q 30 211) f° 43 du 1.3.
Testament olographe – Georges Michel Silberzahn, 3 mars 1846
Enregistrement de Strasbourg, ssp 133 (3 Q 31 632) 15-v du 1.3.

Georges Michel Silberzahn meurt en 1861, propriétaire d’une maison à l’angle de la rue de la Nuée Bleue et du quai Schœpflin
1861 (13.4.), Strasbourg 9 (121), Not. Becker n° 9007
Inventaire après le décès arrivé le 29 janvier 1861 de M. Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite, demeurant à Strasbourg
L’an 1861 le Samedi 13 avril à trois heures de relevée, à la requête 1) de Mad. Frédérique Philippine Terrass, demeurant à Strasbourg veuve de Mr Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite en la même ville, Agissant en son nom personnel 1) à cause de la communauté légale de biens qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son mari défunt, 2) comme légataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession de sondit mari en vertu du testament olographe de ce dernier, en daté à Strasbourg du 3 mars 1846 déposé pour minute à M° Becker l’un des notaires soussignés suivant acte de dépôt dressé par lui le 28 février dernier (…) 2) Et de M. Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, demeurant audit Strasbourg agissant comme habile à se dire et porter seul et unique héritier de feu M. Silberzahn susnommé son père (…)
trouvés dans le logement qui était le domicile conjugal des époux Silberzahn et que Mad. veuve Silberzahn occupe encore en ce moment qui fait partie d’une maison dépendante de ladite communauté sise à Strasbourg, rue de la Nuée bleue numéro 1, en faisant observer que M. Silberzahn père est décédé le 29 janvier dernier à l’asile d’aliénés de Stephansfeld, commune de Brumath mais que les effets qui étaient à son usage audit asile ont été transportés au susdit logement

Titres et papiers. Cote 1°. Mariage des époux Silberzahn, Héritages recueillis par le mari. Les époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le juillet 1817. Ils n’ont pas fait de contrat de mariage (…) Pendant le mariage Mad. Silberzahn n’a recueili aucune succession ni aucun don ou legs. Mais M. Silberzahn a recueilli sa part dans la succession se ses père et mère (…)
Cote 2. Maison à Strasbourg. 31 pièces dont la première est l’un des originaux d’un contrat de vente sous seing privé en date à Strasbourg du 15 novembre 1835, portant la mention Enregistré à Strasbourg le 13 janvier 1836 (…) et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 du même mois volume 301 numéro 32
d’une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue de la Nuée bleue N° 12 actuellement N° 1 quai Schoepflin (…)
acp 498 (3 Q 30 213) f° 9 du 19.4. (succession déclarée le 20 juillet 1861) Communauté, mobilier estimé à 1797 succession, garde robe 146
acp 500 (3 Q 30 215) f° 98 du 26.7. (vacation du 17 juillet) Communauté, Mobilier 1770, argent comptant 1950, loyers 232, fermage 74, créances 13.000, fermages communs 48, arrérages de pension 75, 25 actions de commerce et d’industrie 8125, douze actions Miréo 30.366, intérêts 294, douze actions de la compagnie du chemin de fer de l’Est 7165, 21 obligations du chemin de fer 10.187, deux actions Klose et compagnie 10.111, intérêts 140, autres créances 7903
Une maison à Strasbourg quai Schopeflin N° 1
40 ares 81 terres ban de Bischheim et Hoenheim
79 ares 23 terres à Mundolsheim
10 ares 35 terre à Niederhausbergen
10 ares 62 terres à Lampertheim
10 ares 20 terres à Grieshiem
moitié de 2 ares 12 terre à Mundolsheim, 59 ares 97 terre à Niederhausbergen, 38 aees 92 terres à Souffelweyersheim indivis avec Mr Seinguerlet

Acte de notoriété sur Georges Michel Silberzahn
1861 (1 août), Strasbourg 9 (122), Not. Becker n° 9139
Notoriété – (…) qu’ils ont bien connu M. Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire et commis entretenu d’intendance militaire en retraite, précédemment employé du génie, domicilié à Strasbourg et Mad. Philippine Frédérique Terrass, son épouse survivante demeurant audit Strasbourg,
Que mondit Sr Silberzahn est né à Strasbourg le 3 juillet 1793 (…), Que ladite dame Silberzahn est née en la même ville le 18 frimaire de l’an VI de la République (…), Que lesdits époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le 3 juillet 1817 (…) Que mondit sieur Silberzahn est décédé à Brumath le 29 janvier dernier (…)
Que le défunt a fait des dispositions de dernière volonté au profit de son épouse sirvivante, suivant testament olographe en daté à Strasbourg du 3 mars 1846, enregistré à Strasbourg le premier mars 1861 folio 15, déposé audit M° Becker suivant acte de dépôt en date du 28 février dernier (…), Que l’inventaire après décès de M. Silberzahn a été dressé par ledit M° Becker en date au commencement du 13 avril dernier (…)

Liquidation et partage de la succession
1862 (1.3.), Strasbourg 9 (123), Not. Becker n° 9351
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Georges Michel Silberzahn et Frédérique Philippine Terrass
Ont comparu 1) Mad. Frédérique-Philippine Terrass, sans état, demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite en la même ville, Agissant tant comme ayant été légalement commune en biens avec sondit mari, à défaut de contrat de mariage, que comme légataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession du même, aux termes du testament olographe dudit défunt en daté à Strasbourg du 3 mars 1846 déposé pour minute audit M° Becker suivant acte de dépôt dressé par lui le 28 février dernier (…) 2) Et de M. Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, demeurant audit Strasbourg, agissant comme seul et unique héritier de feu M. Silberzahn susnommé son père (…) ainsi qu’ui est justifié par l’intitulé de l’inventaire après le décès de M. Silberzahn père dressé par ledit M° Becker en date au commencement du 13 avril dernier

Observations préliminaires. Les époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le juillet 1817. Ils n’ont pas fait de contrat de mariage (…)
Chapitre 1° Liquidation de la communauté d’entre les époux Silberzahn. Masse active. Article 2. Une maison
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Chapitre 5. Abandonnements. I. A Mad. Silberzahn en pleine propriété
2. La maison avec dépendances sise à Strasbourg désignée à l’article 2 de la même masse, estimée 50.000 francs
acp 508 (3 Q 30 223) f° 30 du 6.3. (succession déclarée le 26 juillet 1861) Communauté. Masse active. 1) mobilier 1797
2) Une maison à Strasbourg rue de la Nuée bleue N° 1, estimée 50.000
3) 30 ares 77 terres ban de Bischheim et Hoenheim, 1250
4) 83 ares 95 terres à Mundolsheim, 4800
5) 10 ares 35 terre à Niederhausbergen, 400
6) 25 actions de l’établissement du commerce et d’industrie Etat d’Autriche 8125
7) 12 de la caisse générale des Chemins de fer à Paris, 480
8) 12 actions de la compagnie du chemin de fer de l’Est, 7051
9) 21 obligations du chemin de fer de Strasbourg à Bâle, 10.143
10) 2 actions Klose et compagnie 9959
11) le Sr Silberzahn fils est comptable de 9000
12) la veuve est comptable de 1419, Total 104.426 francs
Masse passive 736, Reste 103.689 francs
Succession de Mr Silberzahn, moitié de la communauté 51.844, garde robe 146, Total 51.991
Masse passive 133, Reste 51.858
Compte de Mde Silberzahn, elle a fait recette de 1419, dépense de 880, elle reste comptable de 538 francs
Droits des parties et abandonnements (…)

Georges Michel Silberzahn et Philippine Frédérique Terrass cèdent la maison à leur fils Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn lors de son mariage avec Caroline Amélie Schultz

1859 (22. Xbr), Strasbourg 9 (118), Not. Becker n° 8489
Contrat de mariage – Furent présents Mr Frédéric-Auguste-Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, fils majeur de M. Georges-Michel Silberzahn ; propriétaire, et de Mad. Philippine-Frédérique Terrass, son épouse, tous demeurant à Strasbourg, M. Silberzahn fils stipulant pour lui et en son nom personnel, à cause au mariage dont il va être question, d’une part, Mr et Mad. Silberzahn père et mère du futur époux (…) stipulant tant pour assister leur fils susnommé qu’à cause de la dot qu’ils lui constitueront ci-après Aussi d’une part
Mad.lle Caroline-Amélie Schultz, sans état, fille majeure de Mr Jacques Schultz, propriétaire et de Mad° Marie-Barbe Blet son épouse, tous demeurant audit Strasbourg, Mlle Schultz stipulant aussi pour elle et en son nom personnel à cause du dit mariage, d’autre part, Mr. et Mad° Schultz (…) stipulant tant pour assister Mlle Schultz leur fille susnommée qu’à cause de la dot qu’ils lui constitueront ci-après Aussi d’autre part

Article trois. En considération du dit mariage, les père et mère du futur époux, la femme autorisée à cet effet par son mari, font, par les présentes, donation à titre de dot conjointement et par moitié, en avancement de leurs successions futures, à M. Silberzahn, leur fils, ce acceptant, de l’immeuble ci-apès désigné savoir
Une maison, consistant en différents bâtiments avec cour, puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des aveugles n° 14, précédemment n° 9, tenant d’un côté au Sr Reich, de l’autre en partie à la Dlle Matt et en partie au Sr Denu, pardevant à ladite rue et par derrière au Sr Kiener. (…) Cette maison avec ses dépendances est évaluée à raison d’un revenu annuel de 700 francs à un capital de 14.000 francs. Mr et Mad° Silberzahn, donateurs, sont devenus propriétaires de l’immeuble ci-dessus désigné au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite conjointement dans l’expropriation forcée qui a été poursuivie contre le S Jean Daniel Neustoeckel, menuisier demeurant à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un jugement d’adjudication rendu à la barre eu tribunal civil de Strasbourg le 13 décembre 1821 et d’une déclaration de command faite le même jour au greffe du dit tribunal, transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 2 janvier 1822, volume 146 numéro 7 et inscrit d’office le même jour volume 149 numéro 370. Le prix d’adjudication de ladite maison, outre différents frais priilégiés qui étaient à payer par les adjudicataires en sus du prix, se montait à 5500 francs (…) le donataire pourra faire et disposer de l’objet de la donation qui précède, comme de chose lui appartenante en pleine et entière propriété, au moyen des présentes et à compter du jour de la célébration du dit mariage
acp 484 (3 Q 30 199) f° 25-v du 27. Xbr – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en 1) mobilier estimé à 230, 2) créances 3797, 3) 50 francs de rentes 3%
Donation par les conjoints Silberzahn au futur époux leur fils ce acceptant en avancement de leur succession, d’une maison sise à Strasbourg rue des aveugles N° 14 d’un revenu de 700, capital 14.000 francs
Donation par les conjoints Schultz à la future épouse leur fille, ce acceptant, en avancement d’hoiroe 1) d’un mobilier estimé à 1318, 2) d’une somme de 4000 francs, 3) 10 ares 36 de terre ban d’Olwisheim au canton Kutzthal d’un revenu de 40, capital 800
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfant

1860 (19.1.), M° Becker
Consentement par Georges Michel Silberzahn propriétaire et Philippine Frédérique Terrasse sa femme à Strasbourg au mariage de son fils Frédéric Auguste Silberzahn, clerc de notaire avec Caroline Amélie Schultz les deux à Strasbourg
acp 484 (3 Q 30 199) f° 97 du 23.1.

Le clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn et Caroline Amélie Schultz vendent la maison au journalier Louis Marxer et à sa femme Anne Marie Wernert

1864 (2.8.), M° Becker (minutes en déficit)
Vente par Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, et Caroline Amélie Schultz sa femme à Strasbourg
à Louis Marxer, journalier, et Anne Marie Wernert sa femme à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue des aveugles N° 14, moyennant 17.000 francs dont 4000 francs payés
Origine, Donation reçue Becker le 22 décembre 1859
acp 535 (3 Q 30 250) f° 7 du 4.8.

Originaire de Waldolwisheim, Louis Marxer épouse en 1841 Anne Marie Wernert, originaire de Bossendorff
Mariage, Strasbourg (n° 130)
Du 17° jour du mois d’avril 1841 Acte de mariage de Louis Marxer majeur d’ans né en légitime mariage le 21 août 1817 à Waldolwisheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier tanneur, fils de feu Jean Marxer, Journalier décédé à Waldolwisheim le 28 janvier 1825 et de feu Marie Gabriel décédée au même lieu le 12 mai 1828 et de Anne Wernert, majeure d’ans, née en légitime mariage à Bossendorff (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu François Wernert, Cordonnier décédé à Bossendorff le 3 novembre 1834 et de feu Anne Schneider, décédée au même lieu le 10 septembre 1828 (signé) Ludwig Marxer, Anna Wernert (i 31)

Extrait des registres de population
600 MW 300 rue des aveugles 14 / 4 – (2 Janv. 1865) rue des aveugles 14 (i 283)
Marxer, Louis, Waldolwisheim 18, h.m., journalier (à Str. depuis) 39
id. née Werner, Marie Anne ; Bossendorf 16, f. m., sa femme(à Str. depuis) 36
id. Marie Louise Joséphine Strasbourg 42, f., leur fille(à Str. depuis) s.n. – voir femme Renner

La maison revient ensuite à leur fille Marie Louise Joséphine Marxer qui épouse en 1860 le serrurier Georges Renner

Mariage, Strasbourg (n° 14)
Du 10° jour du mois de janvier l’an 1860. Acte de mariage de Georges Renner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 décembre 1838 à Haguenau (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier serrurier, fils de Joseph Renner, maître serrurier, et d’Agnès Riemmer, conjoints domiciliés à Haguenau ci présents et consentants, et de Marie Louise Joséphine Marxer, mineure d’ans, née en légitime mariage le 18 mars 1842 à Strasbourg, domiciliés à Strasbourg, repasseuse, fille de Louis Marxer, journalier, et d’Anne Werner, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (…) il n’a âs été dressé de contrat de mariage (signé) Renner, Marxer (i 10)

Marie Louise Joséphine Marxer se remarie en 1887 avec l’imprimeur Emile Bauer
Mariage, Strasbourg (n° 290)
Straßburg am 7 Mai 1887. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Buchdruckereibesitzer Emil Bauer, (…) katholischer Religion, geboren den 28. Februar des Jahres 1839 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des verstorbenen Tapezierers Peter Alexander Bauer, zuletzt wohnhaft Zu Straßburg und der Caroline Klenschi, ohne Beruf, zu Straßburg, 2. die Marie Luise Josephine Marxer, ohne Beruf (…) katholischer Religion, geboren den 18. Maertz des Jahres 1842 zu Straßburg, daselbst wohnhaft, Wittwe des Brunnenmachers Georg Renner, gestorben zu Straßburg den 20. Februar verflossenen Jahrs, eheliche Tochter des verstorbenen Eigenthümers Ludwig Marxer, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Anna Wernert, ohne Beruf, zu Straßburg


Maison (a)

La maison voisine vers le sud appartient à des campagnards de Gougenheim qui la vendent en 1624 à l’orfèvre Joachim Brackenhoffer au profit duquel elle reste hypothéquée lors de la vente au farniner Georges Litmann. Manant, le soldat de la garde Adam Keller achète en 1663 une maison délabrée avec la permission des Conseillers et des Vingt-et-Un. Jean Michel Braunwald la réunit en 1682 à la maison voisine qu’il possède déjà.

Les deux actes en italiques ont sans doute trait à la maison bien que les tenants et aboutissants diffèrent de ceux cités par la suite
Obligation à laquelle fait référence l’acte suivant. Thiébaut (fils de) Sébastien (Bastians Dieboldt) de Furdenheim se porte garant de son fils Jean (fils de) Thiébaut (Dieboldts Hanns) d’Osthoffen

1615 (ut spâ [iij Martÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 110-v
(Inchoat. in Proth. fol : 2) Erschienen Dieboldts hannß Vonn Osthoffenn
hatt bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit herrn Frantz Beüring des schaffners burgers zu Straßburg – schuldig sige 40 pfund pfenning Straßburger
Vnd zu deßen Zu mehrer sicherheit & So Ist Auch Persönlich Erschienen Bastians Dieboldt vonn Virdenheim sein des bekhenners vattern hatt sich für sich & mit sampt Ihme dem bekhenner seinem sohn zu einem rechten bürgen mit und selbß schuldner vnd selbß Zahlen vnver: gesetzt und gemacht
[in margine :] disse Verschreibung Ist vß geheÿß beed parth. wid. cassirt vnd abgethan wegen seines Newen contracts p.ut. in Reg. 1617. fol: 156. Act. 28. Martÿ Anno 1617

Jean (fils de) Thiébaut (Dieboldts Hanns) d’Osthoffen et sa femme Marguerite hypothèquent au profit de François Beuring le tiers de la maison dont les deux autres tiers appartiennent à ses frères et sœurs

1617 (xxviij. Martÿ), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 156
(P. fol: 162.) Erschienen Diebolds hannß Von Osthoffenn vnd Margred sein ehelich haußfr. haben unver. sich für sich & obligiret
Geg. herrn Frantz Beüring burger, zu Straßburg demselb. & Zuzinsen
ij lb x ß d gelts Ablösig mit L lb Vonn vff vnd Abe Fünff viertzel Reben Im Osthoffen Bann (…)
Item der drittetheil Ane hauß vnd hoffstatt Alhier Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß einseit n. d. Beren hoff, And.seit neben einem Zimmermann, davon die vberig Zwen drittetheil sein des Bekhenners geschwustrig für ungetheilt gehörig, Welche behausung zuuor noch verhafftet gß vmb 1 C lb
(vide cassaturam in Reg. 1615. fol. 110.)
[in margine :] Erschienen Anthoni Spach der Schneider burger Zu Str. alß dem dieße Völlige Schuld sum der 50 lb d von seinen Uberigen mit geschwisterd. eigenthümlich. vbergeb. word. mit beÿstand Jacob Greisels burgers alhie seiner noch ledig. Schwester Susannæ Spächin Vogts, hatt in gegensein Michel Bechtels von Osthoffen, weÿl. diebolds Hanß. seel. Nachkommmen bekannt (…) Act. d. 24. 8.bris 1643.

Anne veuve de Jean Diebold de Gougenheim hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Joachim Brackenhoffer

1623 (ut spâ [x. Martÿ]), Chancellerie, vol. 449 f° 256
(Inchoat. in Prot. fol. 194.) Erschienen Anna weÿland hannß Dieboldt von Gugenheim selig. Witwe mit beÿstand Hannß Jacob Hetzell des Zimmermanns burgers Zu Straßburg Ihres vogts
hatt in gegensein h. Joachim Brackenhoffers goldarbeithers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen L. lb
vnderpfand hauß, hoffstatt, mit Allen Ihren geb. & glg. Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß einseit neben Jörg Reppen dem zimmermann, anderseit neben jörg Segmehl den Weber hind. vff ermelt Segmehl stoßend

Thiébaut Veltin (Veltins Diebold) de Gougenheim et sa femme Agnès, le tuteur des enfants de l’employé des Sept Jean Angst et de sa première femme Anne vendent la maison à Joachim Brackenhoffer

1624 (xvj. Martÿ), Chancellerie, vol. 452 f° 135
(Inchoat. in Prot. fol. 90) Erschienen Veltins Diebold von Gugenh. vnd Agneß sein eheliche haußfr. diesse für sich selbst, So dann Arbogast Schmÿdt pflaster meÿster burger Zu Straßburg alß vogt hannß Angsten des Sübener Knechts Khund. von weÿland Anna seiner erst. haußfr. selig erzielt vögtlich. weÿß (verkaufft)
h. Joachim Brackenhoffer burger Zu Straßburg
hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihr. geb. & geleg. Inn d. Statt Straßburg, Inn d. Blind. gaß. einseit neb. Jörg Reppel dem Zimmermann, And.seyt n. Jörg Segmehl den leÿnen weber vnd dieboldt Wildt, hind. vff N. N. stoßend, für freÿ led. & Vnd ist disser Khauff zugang. v. besch. für vnd vmb 105 pfundt

Le fabricant de chausses Jean Angster épouse en 1606 Anne, fille du soldat de la garde Jean Hummel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 185)
1606. Doîca 4. post Epiphan. 2. Febr. Hans Angster d. hoßenstricker, Anna, Hans Hummel des quardi knechts am steinstrasser thor Tochter. Eingesegnet Mont. d. 10. Febr. (i 97)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 30-v, n° 1) 1608. dominica IIII Epiph. 2. Februarÿ. Hanß Angster der hoßenstricker, J. Anna, Hanß Hummel des Soldaten vnter dem Steinstraßer Thor alhie Eheliche Tochter. Ist Zum Jungen S Peter eingesegnet worden (i 33)

Joachim Brackenhoffer vend la maison au farinier Georges Littmann

1629 (24. feb.), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 123
(Protocollat. fol. 52.) Erschienen d. Ehrenv. fürsichtig vnd weiß herr Joachim Brackenhofer xxj. (verkaufft)
Georg Lidtmann dem Meelman alhie
Ein behausung sampt deren hofstat v. allen & alhie in der Blind.gaß neben Georg Rappert Zimmermann & neben Hanß Seegmüller Leinenweber, hind. vf erstbesagten Seegmüller die gantz ledig eÿg. vnd ist der Kauff geschehen per 150. lb. d daran vff Johannis Baptstæ nechstkommend da dann der Kauff auch vß vnd ergehen solle (…)

Boulanger à l’Œuvre Notre Dame, Georges Littmann épouse en 1606 Anne, fille du maréchal ferrant Jacques Sultzer de Winterthur en Suisse
Mariage, cathédrale (luth. p. 178)
1624. Georg Littman pfister auf der frawenhauß vnd Anna Jacob Sultzer des schmidts zu winttethurn im schweitzerland tochter, eingesegnet montag 21. Junÿ (i 94)

Anne, veuve de Georges Littmann, épouse en 1636 le farinier Etienne Meyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 35-v)
1636. dominica 1. Adventus. Stephan Meÿer d. Meelman, Anna Georg Litman deß Meehlmans wittib. 5. Xbris (i 37)

Le boulanger Etienne Meyer avait épousé en premières noces Anne, fille du charretier Jean Heuss d’Ulm
Mariage, cathédrale (luth. p. 115)
1621 Stephan Meyer der weisbeck, Steffan Meyer des grempen. sohn, vnd Anna Hans Heüssen des fuhrmans Zu Ulm e. tochter, eingesegnet Zinstag den 10. Apr. (i 62)

Anne Sultzer femme d’Etienne Meyer meurt en délaissant deux filles de son premier mari Georges Littmann. Elle a en outre adopté le fils issu du premier mariage du veuf avec Anne Heus. La maison rue des Aveugles est un bien propre aux héritiers, celle rue de Schiltigheim est un bien de la communauté. La masse propre au veuf est de 1 livre, celle des héritiers de 48 livres. L’actif de la communauté s’élève à 22 livres, le passif à 78 livres.

1642 (23.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 11) n° 7
Inventarium vndt beschreibung aller Haab Undt nahrung, so weÿl. die Ehrn: und tugendsame fr. Anna Sultzerin, deß Ehrenhafften Stephann Meÿers, Meelmanns, burgers alhie Zu Straßburg haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem aus dießer welt tödlichen hinscheÿden hinder ihre verfallen, Welches vff freundliches ansuchen erfordern undt begehren deß Ehrenhafften Meister Hannß Maaßen Schneiders, burgers alhie, als Margarethæ vndt Marthæ, der ietz abgeleibten frn seel. mit weÿl. Mr Georg Littmann, auch geweßenen Meelmann burgern alhie Ihrem vorogen haußwürth seel. ehelich erziehlter hinderlaßener beeder döchtere, So dann Caspar Geÿgers,färbers, burgers alhie, als geschwornen Vogts Johannißen, deß ietzigen Wittwers und weÿl. Annæ Mariæ Heußin seiner erstern haußfrau seel. ehelich erziehlten Söhnleins, welches aber die ietz abgeleibte fr. seel. adoptirt vnd ane Kindtstatt angenommen, undt alß ihr d. fraw seel. adoptirter vndt ab intestato hind.laßen nechster erben durch den wittwer obbemelt geäugt und gezeigt (…) So beschehen vff Mittwoch den 23.t Martÿ A° 1642

Inn einer alhie in d. Statt Straßburg oben an d. Blindengaßen gegen den Roth. Kreutz vber gelegenen Behaußung, so H Johann Wenckern 13.nern alhier von weÿl. Henrich Rohten, deß Kürschners, burgers alhie seel. Erben an sich erganth. d. wittwer aber ietzo lehnungsweiß bewohnt, ist befund. word. wie volgt.
Vff der Andern Bühnen, vor d. Cammer A, Inn d. Cammer B, Vor dießer Cammer, Inn d. Cammer C, Inn der undern Stuben, Im vndern haußöhren, Inn der Kuchen,, Im Keller
Eÿgenthumb ane Heüßern (E.) Item hauß vnd hoffestatt mit allen Ihren gebeüwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörd. rechten vnd gerechtigkeiten gelegen in d. Statt Straßb. in d. Blindengaß, 1. s. neben hanß Mooß. dem Schneid. 2.s. neben Georg Hellern dem amblungmach. hind. vff Heinrich Fleischman den Leinenweber stoßend, dauon gehen Jahrs vff Johs. Baptæ 4. lb. gelts H. Joachim Brackenhofern ietz Regirednem H Amstr. alhie, ablößig in hauptgutt mit 80. lb d. sonst ledig eigen, hiehero angeschlagen p. 20. lib. d. Darüber sagt j. t. P. Kauffbbr. mit d. St. Str. anhangendem Contract Insigel dat. den 24. Febr. A° 1629. Inhaltts wie Georg Littmann d. ietz v.storbenen frau seel. vorig. haußwürth seel. vorbeschribene behaußung von obwohl ehrenermeltem H. Amstr Brackenhoffer erkaufft sige mit N° 1
(Th.) Item d. halbe theil ane hauß, hoffstatt, höfflin vnd gärthlin ane dem Roßmarckh in d. Schildtsgassen (…)
Bericht ane statt deß Wittwers unveränderten Gutts Ergäntzung. Zuwissen, demnach mann auch Zur Ergäntzung deß wittwers unveränderten Gutts kommen, d. man Zwahr nach anleithung deß vber weÿl. frn Annæ Magdalenä Heußin seiner ersten haußfrn. seeL. V.laßenschafft in A° 1636. auffgerichteten Inventarÿ befunden (…)
Ergäntzung der Erben unveränderten Gutts. Auß dem vber weÿland Mr Georg Littmanns geweßenen Meelmans vndt Burgers Zue Straßburg seeligen ietz abgeleibten frauen vorige haußwürts seel. V.laßenschafft auffgerichtetem Inventario
Sa. des Wittwers unveränderten haußraths 42, Sa. Silbers 8, Sa. guldenen Rings 8 ß, Summa summarum 51 lb – Schulden 50 lb, Nach deren Abzug 1 lb
Sa. der Erben unveränderten haußraths 19, Sa. Guldenen Ring 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 20, Summa summarum 42 lb – Schuld 90 lb, Übertrifft also die Schulden die unveränderte Substantz vmb 48 lb
Sa. Theilbahren haußraths 7, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 15, Summa summarum 22 lb – Schulden 78 lb, Übertreffen also die Schulden die nahrung vmb 56 lb
Beschluß summa 115 lb

Partage des biens de Georges Littmann entre ses deux filles
1649 (28. 9.br), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 18) n° 29
Lüfferung vndt Abtheilung Weÿland Georg Lidtmanns, geweßenen Meelmanns vndt burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßene beede döchter vätterlichen Guths.
Zuwißen, demnach weÿl. Anna Sultzerin, dermahlen Stephan Meÿers, Meelmanns, burgers alhie Zu Straßburg haußfraw seel. In A° 1642 Göttlichen willen nach Zeittlichen todts verblichen, deroselben Verlaßenschafft auch in recht vndt gebührend. Zeitt Inventirt vndy beschrieben, vnd durch Jeremiam Ursinum den Notarium ein ordentlich Inventarium darüber auffgerichtet vnd verfertiget worden (…)

Marguerite Littmann épouse en 1655 l’aiguilletier Jean Christophe Rauscher
1655 (3. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 517 n° 298-v
(Eheberedung) Erschienen hannß Christoph Rauscher der Nestler und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Annæ weÿl. hannß Rauschers deß Nestlers und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßener wittibin seiner Mutter, wie auch Aurelÿ Gerungß deß Thurnhüeters ihres Vogts, und hannß Conrad Rauschers deß Nestlers seines Bruders an einem,
So dann Jungfr. Margaretha, weÿl. Georg Lidmanns deß Meelmanns und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. hinderbliebene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand hannß Moosen deß Sigristen zum alten St. Peter, ihres Vogts am andern theil

Le tuteur de Marthe Lidmann fille de Georges Littmann vend en 1663 au soldat de la garde Adam Keller et à sa femme Anne Marie la maison hypothéquée au profit d’Elie Brackenhoffer

1663 (31. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 528 n° 484-v
(Prot. fol. 61.) Erschienen Hannß Moos der Sigrist Zum alten St Peter alß Vogt Marthä weÿl. Georg Lidmanns geweßenen Meelmanns nunmehr seel. hinderlaßenen döchterleins
in gegensein Adam Kellers deß guardi Knechts und Annæ Mariæ beÿd. Eheleuth
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie in der Blindengaßen einseit neben obgemeltem Hannß Moosen, anderseit neben weÿl. Georg Hellers seel: wittib, hinden vff weÿl. Henrich Fleischmanns seel. wittib stoßend gelegen, welche Behaußung umb 80 lib Capital und j. lb Marzahl dem Ehrenvest: From: und wohlweÿsen H Eliæ Brackenhoffern deß beständigen Regiments der herren Fünffzeh. verhafftet (übernohmen) – umb 4 lib. Jedoch der gestalten, daß der verkauffende Vogt den kauffend. Eheleuth. /:weilen Sie die Behaußung sonst nicht haben Kauffen wollen:/ den offen, die fenster und läden außbeßern und solch. baw Costen von dießen 4. lib. abgehen

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un non bourgeois après avoir nommé une députation pour examiner l’affaire. La commission constate que la maison est en mauvais état mais que les parties tiennent à passer contrat.

1663, Conseillers et XXI (1 R 146)
(f° 139) Montag den 17. Augusti – Adam Keller wegen haußkauff
Adam Keller, Musquetirer beÿ hiesiger guarnison überreicht per Wilden Vnderth. supplication, bitt Weilen er Vorhabens eine Hanß Moßen des Sigristen Zum alten S Peter Vogts Kindt gehörigen Vndt in der blindengaßen gelegener behaußung p. 170. fl. an sich Zu Kauffen, Vmb Obrigkeitlichen consens. Erk. Soll waß es für ein beschaffenheit damit habe bericht eingezogen werden, Vnd sindt Zu dem ende Deputirt worden H. XV. Faust et H. Voltz.

(f° 141) Montag den 24. Augusti – Adam Keller weg. haußkauff
H. XV. Faust ref: Weilen den 17. huius Adam Keller Musquetirer beÿ hiesiger guarnison beÿ Mhh. supplicando einkommen, Vndt Vmb Obrigkeitlichen consens daß er eine behaußung in der blindengaßen gelegen an sich erkauffen mögte, gebetten, Vndt darauf Ihme beneben H. Voltzen befohlen worden, waß es für ein beschaffenheit damit habe information ein Zu Ziehen, Alß hätten Sie den augenschein eingenohmen, Vndt daß häußlein sehr bawfällig Vndt Von schlechtem werth befunden, Weilen mann aber den kauff beederseits Zu halten begehrt, alß, stünde es lediglich darauf. Mh. deren consentiren wolten. Erk. Willfahrt.

Fille du fabricant de chausses Martin Bogner, Anne Marie Bogner épouse en 1638 le remueur de grains Jean Bechtold.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 40)
1638. Hannß Bechtold d Kornwerffer alhier J. Anna Maria Martin Bogner deß Hoßenmach. hinderlaßene tochter, 29. Jan. (i 41)

Elle se remarie en 1641 avec le soldat Adam Keller
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 54-v) 1641. Sambstag d. 3. Aprilis. Aus Erkantnus eines Ersam Rhats seind in die Kirch gefürt Undt eingesegnet Worden Adam Keller der Soldat, Anna Maria Hans Bechtels des Kornwerffers S. Wittib (i 56)

La femme d’Adam Keller qui est en poste depuis quelques semaines à Haguenau demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un de rapatrier son mari à Strasbourg. Sa demande est éconduite.
1645, Conseillers et XXI (1 R 128)
(f° 71-v) Sambstag d. 5. Jul. – Adam Kellers Haußfr. Intercessionales
Adam Kellers Haußfr. vberreicht per Mockel vndth. Supplication, Bericht In derselbig. d. Ihr Mann, welcher alhier Underhalt. gewesen, vor etlichen Wochen durchgang. vnd sich Zu Hagenauw In dienst begeben, Bitt deßweg. Vmb Intercessionales an Commendant. an gedachtem orth, Vnnd d. Mhh. Ihnen nachghends Zu Gnad. hiewied. vmb wol. auffnemmen. Erk. Soll Ihr d. begehren abgelehnet werd. – H. XXI. Mieg, H. Bosch.

Anne Marie, femme du mousquetaire Adam Keller sollicite la permission de fabriquer des chausses. Les Quinze refusent en considérant que son mari lui apporte sa solde et qu’elle préfère fabriquer des chausses plutôt que de filer et de carder comme elle y est autorisée.
1658, Protocole des Quinze (2 R 76)
Adam Kellers Fraw Ca. Hoßenstricker. 242. 245.
(f° 242-v) Sambstag den 18. Xbris Anna Maria Adam Kellers deß Mußquetirers haußfr. per E. Lt. supplication, vnd Klagt contra Meisterschafft Hosenstricker handwercks, daß sie ihro vf ermeltem handwerck allein fewrabends weiß Zu arbeit. verbott. bitt es ihro auß gn. Dispensando wid. Zuerlauben. Erkand, H. Dietrich H. XV. Meister bedenckens.

(f° 245) Freÿtag den 24. Xbris) – Adam Hellers Fraw Ca. Hoßenstricker
H. Dietrich und H. Franckenberger Laßen p. G. Frantzen referiern, vff Annæ Mariæ, Adam Hellers deß Mußquetirers allhier haußfrawen den 19. huius producirter supplication hetten Sie von der Meisterschafft Hoßenstricker handwercks, benedict Klingen, Daniel Eßdras vnd Sontag Rüegen, vernohmen, die hetten nun Zuvorderist Ihre habende Kaÿß. Privilegia Vorgelegt, darinn sonderlich beÿm 14.ten §° Clar verseh. daß Kein Meister Einige Hellerin, Mägdlin fürdern solle, Nun habe auch supplicantin inn 5. Jahren nit mehr gestrickt, vnd Könne nit woll spinnen, vnd streichen, so Ihro nit verwehret, mehr als mit Jenem Verdienen Weilen ihre Kind. auch darzu helffen Können, thue es aber vngern, weilen dabeÿ mehr arbeit alß beÿm stricken, dafern Ihro daß stricken vergonnet werden solte würde die Meisterschafft beÿ benachnaurten vnd auf den Märck groß vngelegenheit haben, Weilen nun d. Supplicantin daß spinnen vnd streichen nit verwehret, Ihr Mann alß Ein Soldat seinen monatlich soldt hat, Sie nit so einfältig vnd breßhafft ist, Wie sie sich stellet, auch daß in Prot. 1658. fol: 44. mit Heinrich Fuchß. Wittib, befindliche præjudicum Clar, alß vermeinen Deputirte Es solte Ihre ihr begehren Vorgebrachter maßen abgelaint vnd hingeg.d Spinnen vnd streich. erlaubt. Erkandt, wird d. bedacht placidirt.
[in margine :] Eodem Ist obigen Meistern vnd d. Supplicantin bescheid angezeigt worden.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un accordent un subside à Anne Marie Bogner femme d’Adam Keller pour qu’elle puisse prendre des bains.
1661, Conseillers et XXI (1 R 144)
(f° 106-v) Samstag d. 8. Junÿ – Anna Maria Bognerin vm eine Badensteur
Anna Maria Bognerin Adam Kellers Eheweib vberreicht per Bitsch Vnd.thge Supplication Bericht d. sie in Hochster armuth begriffen, vnd leibshalben nicht Vorkommen kan, Bitt Vm eine baden steur. Erk. soll Ihro 3. lib d auß beÿd. Allmuß. mittgetheilt werd. – H. Roderer Vnd H. Kupfferschmidt

Elie Brackenhoffer auquel la maison était hypothéquée la vend au tisserand Michel Braunwald qui la réunit à la sienne.

1682 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 552 n° 24
Erschienen der Edel – fürsichtig und hochweÿse herr Elias Brackenhoffer, Treÿzehner
hat in gegensein hannß Michael Brunwaldts deß Leinenwebers
hauß, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, begriffen, Rechten und Zugehördten alhier in der Blinden gaß, einseit neben Hannß Anstätt dem Obß Krämpen, anderseit neben weÿl. Herren Mathis Schmids alten Großen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, hinden uff deß Käuffers hoff stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig und eÿgen seÿe. Vnd were dießer Verkauff und Kauff geschehen umb 50. lb

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