14, rue des Aveugles


Rue des Aveugles n° 14 – IV 29 (Blondel), P 682 puis section 56 parcelle 36 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Louis Marxer (1882) – Démolie en 1912 lors de la Grande Percée


Elévations levées par le Service d’architecture en 1911 (AMS, cote 907 W 161)

La maison qui se trouve à côté du Bærenhoff appartient au XVII° siècle aux tisserands Georges Segmehl, Henri Fleischmann (1640-1665) puis Michel Braunwald qui achète en 1682 une petite maison voisine et la réunit à la sienne. Revenue par adjudication judiciaire à la veuve du menuisier Abraham Büchel, elle est estimée à une valeur minimale de 500 livres à sa mort en 1733. Le menuisier Jean Michel Meyling en devient propriétaire en 1744. Il la cède à son fils aussi nommé Jean Michel qui demande en 1764 au maître maçon Jean Christophe Schneider de faire des travaux refusés par les préposés aux feux. Le maître maçon Jean Linckenhœl transforme la même année une cheminée au deuxième étage du bâtiment à droite de la cour.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 147 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à deux étages en maçonnerie et troisième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue comprend le bâtiment à gauche du repère (d) et la première partie du bâtiment à droite. La grande cour (D’) montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4) qui prolonge en arrière celui qui donne à gauche dans la rue, le bâtiment arrière (6-1) et les remises (1-2) au nord de la cour.
La maison porte d’abord le n° 9 (1784-1857) puis le n° 14.


Cour (D’) plan-relief de 1830 – Extrait du plan, 1830 – Coupe (Service d’architecture, 1911, AMS, cote 907 W 161)

L’employé à l’intendance militaire Georges Michel Silberzahn s’en rend adjudicataire en 1822 puis la cède à son fils clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn. Le journalier Louis Marxer achète en 1864 la maison, en 1870 la voisine (n° 12) en partie enclavée dans la sienne et un terrain à l’arrière détaché du terrain faisant partie d’une maison Grand rue. Il agrandit les bâtiments en 1882 en leur donnant la façade uniforme qu’on voit par la suite et construit un atelier. La Ville les achète (exercice 1908) puis les fait démolir en 1912 lors de la Grande Percée. La partie sud du terrain est occupée par les bâtiments 12 et 14 rue du Vingt-deux-novembre, la partie nord par la rue.


Plan du Lot I de la Grande Percée (Service d’architecture, 1911, AMS, cote 907 W 161)
Rue du Vingt-deux-novembre, juillet 2015 – La maison à droite s’élève sur une partie du terrain de l’ancien n° 14

juillet 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Segmehl, tisserand, et (1613) Marguerite Ensel veuve de Michel Meyer – luthériens
1627 h Jacques Mœst, tisserand, et (1627) Marguerite Ensel veuve de Michel Meyer et de Georges Segmehl – luthériens
1640 v Henri Fleischmann, tisserand, et (1627) Anne Frey, d’abord (1608) femme du tisserand Jean Bæurlé puis (1638) Béatrice Hummer – luthériens
1665 v Jean Michel Braunwald, tisserand, et (1664) Anne Marie Callenberger puis (1674) Anne Madeleine Mosseder – luthériens
1718 adj Abraham Büchel, marchand, et (1681) Catherine Mercklin – luthériens
1734 h Jean Philippe André, marchand, et (1707) Catherine Büchel – luthériens
1744 v Jean Michel Meyling, menuisier, et (1718) Anne Catherine Schœning, (1743) Barbe Verius d’abord (1725) femme de Jean Rummel puis (1760) Barbe Jenn d’abord (1750) femme du maçon Jean Flessa – luthériens
1747 h Jean Michel Meyling, menuisier, et (1747) Marie Salomé Rummel – luthériens
1782 h Philippe Frédéric Meyling, menuisier, et (1782) Barbe Debs – luthériens
1789 v Jean Daniel Neustœckel, menuisier, et (1786) Anne Catherine Weber – luthériens
1822 adj Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire, et (1817) Philippine Frédérique Terrass
1859 h Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, et (1859) Caroline Amélie Schultz
1864 v Louis Marxer, journalier, et (1842) Anne Marie Wernert
1895* h Marie Louise Joséphine Marxer et (1860) Georges Renner, serrurier, puis (1887) Emile Bauer, imprimeur
1908* v Ville de Strasbourg

Maison au sud, réunie en 1682

Jean Diebold de Gougenheim et Anne
Thiébaut Veltin de Gougenheim et Agnès
Jean Angst, employé des Sept, et (1606) Anne Hummel – luthériens
1624 v Joachim Brackenhoffer, orfèvre puis consul, et (1599) Anne Marie Ziegel – luthériens
1629 v Georges Littmann, boulanger, et (1606) Anne Sultzer – luthériens
1636 h Etienne Meyer, farinier, et (1621) Anne Heuss puis (1636) Anne Sultzer veuve de Georges Littmann – luthériens
1663 v Adam Keller, soldat de la garde, et (1641) Anne Marie Bogner d’abord (1638) femme du remueur de grains Jean Bechtold – luthériens
1670* adj Elie Brackenhoffer et (1646) Anne Schmidt puis (1667) Barbe Erhard – luthériens
1682 v Michel Braunwald (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 500 livres en 1733, 600 livres en 1757, 350 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) IV 29, Michel Mähling
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Meÿling, 2 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 682, Silberzahn, Georges Michel, employé / propriétaire – maison, sol, cour – 3,2 ares

Locations

1744, Philippe Albert Martzolff, tisserand

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Michel Meyling charge le maître maçon Schneider de faire des travaux dans sa maison. Les préposés aux feux refusent en avril 1764 qu’il fasse aménager une cuisine avec un fourneau à droite de l’entrée et poser un fourneau dans le vestibule au premier étage du bâtiment arrière.
Le même charge quelques mois plus tard le maître maçon Linckenhœl de transformer la cheminée dans le poêle au deuxième étage du bâtiment à droite de la cour.

(p. 31) Donnerstags d. 12. Aprilis 1764. – Michel Meÿling der Schreinermeister will in seiner in der Blindengaß gelegenen Behaußung rechter hand in der Einfahrt eine Kuchen machen mit herd und Camin schooß, das rohr an einer Riegel wandt hinauf, ferner im hindern gebäut rechter hand ersten Stock ins hauß Ehren einen Herd an ein altes Camin rohr setzen, mit einem Camin schooß, das rohr in das daneben befindliche Camin Rohr hineinfüfren.
Erkandt, mit beeden begehren abgewießen und solle das offelein in der Cammer rechter hand der einfahrt hinweggeschafft werden. – Mr Schneider

(p. 42) Freÿtags d. 20. Julii 1764. – Mr. Meÿling der schreinermeister will in seiner in der Blindengaß gelegenen Behaußung rechter hand im hoff an Zweÿen stuben in das Eck ein Vor Camin setzen, welches ane statt des Camin schooßes gewölbt, das rohr grad hinauf mit einel hunds Kopf versehen welcher auf sich selbesten stoßet.
Erkanndt, Willfahrt – Mr Linckenhölin

Description de la maison

  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, plusieurs poêles, cuisines, chambres, chambre à soldats, vestibule, cave sous solives,, petite cour estimée avec autres appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
  • 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et deux ateliers où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 1 200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Aveugles

nouveau N° / ancien N° : 15 / 9
Neustoeckel
Rez de chaussée et 2 étages en maçonnerie le 3° étage en bois médiocre
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 171 case 1

Silberzahn Georges Michel

P 682, Maison, sol, cour, rue des aveugles 9
Contenance : 3,20
Revenu total : 118,66 (117 et 1,66)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 859 case 1

Silberzahn Georges Michel
1861 Silberzahn, Frédéric Auguste Adolphe, licencié en droit, rue du faubourg de pierre 17
1866 Marxer Louis journalier à Strasbourg
1895/94 Bauer Emil Rentner Wittwe Marie Luise Josephine geb. Marxer Wittwe I. Ehe Renner Georg
1908 Strassburg die Gemeinde
(ancien folio 607)

P 682, Maison, sol, cour, rue des Aveugles 14
Contenance : 3,20
Revenu total : 118,66 (117 et 1,66)
Folio de provenance : (171)
Folio de destination : 859.I Vergr.
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 683, Maison, sol, rue des Aveugles 12
Contenance : 0,30
Revenu total : 36 et 0,16
Folio de provenance : 859-II
Folio de destination : 859.I Vergr.
Année d’entrée :1884
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1

P 712.p, sol, cour, rue des Aveugles 12/14
Contenance : 1,05 (total 4,55)
Revenu total : 0,55
Folio de provenance : 871-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1884
Année de sortie :

P 682-683, maison, rue des Aveugles 12
Revenu total : 210
Folio de provenance : 859-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1885
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1
Augmentations, 1885 – Marxer Ludwig f° 859-I, P 682, Haus, Reinertrag 117, Vergrößerung, 1882
d° P 683, Haus, Reinertrag 36, Vergrößerung, 1882

P 683, atelier, rue des Aveugles 12
Revenu total : 105 (total 317,17)
Folio de provenance : 859-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1885
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 31 p. 282 case 1

Parcelle, section, 56 n° 36 (429/14 – 236) – autrefois P 682, 683, 712.p
Canton : Blindengasse Hs. N° 12/14
Désignation : Hf, Whs, N.G.
Contenance : 4,20
Revenu : 21,00 – 2300 – 3100
Remarques : 1912 Abbruch – 1914 ab 281 F. 5

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 93 Rue des Aveugles (p. 231)

9
loc. – Meyling, Phil. Fréd., menuissier – Charpentiers
loc. – Haeberlin, Jacques, pelletier – Pelletiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Blindengasse (Seite 15)

(Haus Nr.) 12-14
Köhl, Installateur und Brunnenmachermr. 01
Furtwengler, Holzboldhauermstr. 0
Dossmann, Schuhmm. H 1
Fenninger, Einkass. H 1
Mühleisen, Gesch.-Agent. 2.
Gilbert, Wwe. H 2
Gölzelichter, Wwe. H 2
Räppel, Schneiderm. H 2

Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999), n° 30

La fiche de la maison n’a pas été renseignée

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

(19) Haus : Blindengasse 12/14
[Maison :] 16, rue de l’Argile
a) Geschichtliches : N° 12 Stefan von Marlenheim, Weinsticher, 1587
N° 14. Dem Waisenhaus wo Jacob der Strow schneider wohnt. 1587, Michel Carlen, artiste peintre, 1860


Relevé d’actes

La maison appartient au début des années 1620 au tisserand Georges Segmehl. Originaire de Biberach, il épouse en 1613 Marguerite veuve de Michel Meyer, appelée Marguerite fille du tisserand Georges Endres dans le livre de bourgeoisie.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 133, n° 29)
1613. 19. Julÿ Jerg Seegmel der Leinenweber von Biberach, Margrettha Michel Meÿers wittib

Georges Segmehl devient bourgeois une semaine après son mariage.
1613, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 965
Georg Seegmehl der Leinenweber von Biberach Empfahet d. Burgerrecht von Margaretha weÿl. Georg Endreß. deß Leinenwebers tochter, Wüll Zu den tuchern dienen. Actum den 27. Julÿ Aô 1613.

Assistée de ses beaux-frères Michel Seiffert et Jean Gross, Marguerite veuve de Georges Segmehl se remarie en 1627 avec le tisserand Jacques Mœst ; contrat de mariage, célébration (sous le prénom de Georges)
1627 (24. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 397-v
(Eheberedung ) Erschienen Jacob Möst der Leinenweber burger Zu St. Alß hochzeiter mit beÿstand Mathiß Scheüblen deß Spindeltrehers auch burgers alhie An einem
So dann Margretha weÿ: Georg Seegmeels deß Leinenwebers auch burgers see: Zu St. wittib alß hochzeiterin, mit beÿstand ihres Vogts Michel Seÿffers deß Leinenwebers vnd hannß Großen auch Leinenwebers ihres Schwestermanns vnd Schwagers 2 theil
(vide Codicill in Reg: 1629 fol: 580)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 182-v)
1627. Dominica X post Trinit. Georg Mist d. Leinenweber alhie Margaretha Geörg Segmehls deß Leinenwebers allhie nachgelaßene wittib. 6. Aug. (i 188)

Marguerite Enser femme depuis deux ans du tisserand Jacques Mœst institue pour légataires ses neveux Abraham Golder, Isaac et Jacques Otthoffer. Le testament est annulé en 1633
1629 (14. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 580
Erschienen Margreth Enserin Jacob Mösten deß Leinenwebers und burgers Zu St. eheliche haußfr. gesund stehend. vnd gehend. Leibs auch guter v.stendlicher Sinnen vnd v.nunfft wie ab ihr genugsamb vschieinen Zeigte an, demnach sie sich vor 2 Jaren mit besagtem ihrem ietzig. haußwürth ehelichen eingelaß. vnd derselb ihr bißher alle eheliche lie vnd trew erwisen, Alß were sie willens anderwerts ihr Codicill vfzurichten vnd d. den 10. Octobris A° 1626. vor H hanß Georg Meÿer dem Noto. vffgerichteten Letzten willens v.ordt. zu cassiren cassirt
(…) daß es beÿ der den 24. Julÿ Anno 1627. zwischen ihr und ihrem ietzig. haußwürth vfgerichten auch in der Contractstb. v.zeichneten Eheberedung v.bleib. soll
(…) 25. lb Abraham Goldter dem schneider ihrer Schwester sohn od. deßen Erben vnd 5. pfund Isaac und Jacoben, Christoph Othofers deß Leinenwebers mit Barbara ihr Codicillirerin Schwester seel. erziehlten zweÿen söhnen legats weiß
(cassirt weg. deß durch mich den 26. 9.bris 1633. vfgerichteten Testaments)

La fille du cordonnier Jean Seegmehl de Biberach vend la maison au secrétaire de la Taille Jean Georges Meyer

1640 (1. Octob:), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 504
Erschienen Maria Weÿl. hannß Seegmehls des Schuhmachers Zu Biberach seel: hinderlaßenen Töchterlins Vogt Adam Werner der Rothgerber Zu Biberach bekannte
in gegensein H Johann Georg Meÿgern, Stallschreibers Vnd burgers Zu Straßburg (v.kaufft)
hauß hoff hoffstatt mit allen deren recht. gelegen alhie in der Blinden gaß. neben dem Beerenhoff && etwan neben Georg Repperten ietzo H Joachim Brackhenhoffern Alt Ammeister, hinden Vff H Ludwig Metzgers seel. Erben Garten stoßend gelegen – per j. C. Lix Lib. Straßb.

Le notaire et secrétaire de la Taille Jean Georges Meyer revend une semaine plus tard la maison au tisserand Henri Fleischmann et à sa femme Béatrice Hummer

1640 (7. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 516
(Protocoll. fol. 116. fac. 1. et seqq.) Erschienen Hr Johann Georg Meÿger Nots. und verordnete Stallschreiber alhie
hatt in gegensein Heinrich Fleischmanns deß leinenwebers und Beatrix Hummerin seiner ehefrauwen burgern alhie
hauß hoff hoffstatt mit allen andern gebäuwen & gelegen alhie in d. Blinden gaßen neben dem Beerenhoff && etwan neben Georg Repperten Jetzo Herren Joachim Brackhenhoffern Altem Ammeister, hinden vf Herren Ludwig Metzgers des holtzhändlers seel. Erben garten stoßendt, So gantz ledig eigen Vnd ist d. Kauff zugangen vnd beschehen für vnd vmb 182 lib.

(L’acte ainsi que les deux suivants ont sans doute trait au père de l’acquéreur) – Fils du cultivateur André Fleischmann à Alfershausen en Franconie (ici noté Amfershausen), Henri Fleischmann épouse en 1599 Madeleine, fille du tonnelier (sic) Samuel Peter
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 182-v, n° 18)
1599. Eodem die [dominica 4. Trinitatis] Heinrich Fleischman ein leinen weber, Andres fleischman eines baüermans Zu Amfershausen im franckenland nachgelaßener Son Vnd J. Magdalena Samuel Peter des Küefers alhie, tochter, dieser Samuel ist Schenck im Spital dißmal. Confirmatio ê factû 9. Julÿ (i 348)

Originaire d’« Auversheim » en Franconie, Henri Fleischmann devient bourgeois par sa femme, fille du tisserand Samuel Peter quinze jours après son mariage
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p 771
Heinrich Fleischman, v. Aunerßheim auß dem Franckenlandt, der Leinenweber, empfahet d. Burg. von Magdalena, Samuel Peter des Leinenwebers dochter, gint sein vermög. für nichts an, Vnd will Zun Tuchern diehnen. Act vts. [26. Julÿ 99]

Madeleine, femme du tisserand Henri Fleischmann, a abandonné pour la quatrième fois en treize semaines ses trois enfants Samuel, Anne Marie et Henri parce que l’aumône qu’elle recevait en argent et en pain ne suffit pas à les entretenir. Elle demande que les deux ainés entrent à l’orphelinat. Les Conseillers et les Vingt-et-Un conviennent d’augmenter le secours qui lui est alloué
1609 Conseillers et XXI (1 R 88)
(f° 51) Sambstag den XXV Febr. – Magdalena Heinrich Fleischmans Kinder steuren
Magdalena Heinrich Fleischmans Leinenwebers hausf. der hie vor 13 wochen Zum vierten mal mit 3 Kleinen Kindern Samuel, Anne Marie, Heinrich deserirt vnd ob sie wol wochentlich 3 plappert vnd 5 leibbrot zur steur gehabt, könne sie sich doch mit den Kindern nit ausbring. Bitt die Zwen ins weysenhauß Zu nehmen, will sie sehen d. sie sich mit dem tritten sampt d. steur verehre.
Erk. d. sie noch mit weysen, solten se mit 4 ß vnnd 6 leibbrot wochentlich von S Marx gesteurt werden.

Henri Fleischmann se marie en 1627 avec Anne, veuve du tisserand Jean Bæurlé
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 76)
1627. Dom. XIV 26. Augusti. Heinrich Fleischman der leinenweber vnd Anna hanß beurle sel. burgers alhie wittwe. copulatio 4. 7.bris Z. J. S. Peter (i 40)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 45-v) 1627. den 26. Augusti. Heinrich Fleischman der Leinenweber vnd burger alhie vnd Anna Hans Baürle des Schneiders und burgers alhier nachgelaßene wittib. J. S. Peter i 52)

Le tisserand Jean Bæurlé épouse en 1608 Anne, fille de Jean Frey, meunier à « Böferdingen » près de Messkirch
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 264-v n° 718)
1608. Sonntag den 17. Julÿ. Hanß Beürle der schneÿd. vndt Anna, Jacob Freÿhen des Müllers Zu Böferding. beÿ Messkirch tochter. Eingesegnet Mittwoch 25. Julÿ (i 271)

Mariés depuis trois ans, Henri Fleischmann et Anne Frey font leur testament en décembre 1630.

1630 (22. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 787
Erschienen Heinrich Fleischmann d. Leinenweber, burger Zu St. vnd Anna Freÿin, sein eheliche haußfr. beede gesunden & leibs, auch guter sinnen & Zeigten An, Wie daß sie beede in ihrem dreÿ Järigen Ehestand einand. alle eheliche Lieb & erwisen & Alß weren sie vß diß. vnd anderen mehr bewegend. Vrsachen entschloß. ihren Letsten willen, Codicills weiß vffzurichten vnd Zumachen Setzen vnd verordneten auch alßbald. vffs kräfftigst & wie volgt (…)

Henri Fleischmann se remarie en 1638 avec Béatrice, fille du tisserand Jean Cammerer, de « Hochstatt » près d’Augsbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 227)
1638. Dom. XXIII. Trinit. 20. 9.bris. Heinrich Fleischman d. Leinenweber v. burger alhie v. J. Beatrix, Hanß Cammerers deß leinenwebers v. burgers Zu Hochstatt beÿ Augspurg tochter. Cop. 20. 9.bris J. S.t. Peter in frühbett (i 15)

Béatrice, veuve de Henri Fleischmann, et sa fille Anne Marie femme du tisserand Jean Ulric Oberhauser hypothèquent la maison au profit d’André Fischer, assesseur au Grand Sénat

1660 (30. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 602-v
Erschienen Beatrix, weÿl. Henrich Fleischmanns deß leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Philipß Keÿßers deß Leinenwebers und Büttels vff der tuch. Zunfftstuben, ihres Vogts, wie auch Anna Maria ihr eheleibliche dochter mit beÿstand hannß Ulrich Oberhaußers deß leinenwebers ihres Ehevogts
in gegensein H Andreß Fischers E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 30 Pfund
Unterpfand sein soll hauß hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, alhie in der Blind. gaßen, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H. Andreæ Brackenhoffern alten Ammeÿstern, hin. vff weÿl. H Ludwig Metzgers deß Holtzhändlers seel. Erben stoßend geleg.

Les mêmes hypothèquent la maison au profit de la fondation Schenckbecher pour laquelle agit Jean Régnard Mader, en outre secrétaire aux affaires criminelles

1662 (17. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 418
Erschienen Beatrix weÿl. Henrich Fleischmanns deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene wittib mit beÿstand Philipß Kaÿßers deß leinenwebers und Büttels vff der tucher Zunfftstuben ihres Curatoris, wie auch Anna Maria ihr Debitricis eheleibliche dochter mit assistentz hannß Ulrich Oberhaußers deß Leinenwebers ihres Ehevogts, So dann Sie Muter und dochter Zugleich mit beÿstand H Johann Peter Schmidts und H Andres Fischers beed. alß aus E.E. Groß. Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit Deputierte
in gegensein H Johann Reinhard Maders Vergicht schreibers und Cancelleÿ Vewanthens alß Schaffners der Schenckhbecherisch. Stifftung – schuldig seÿen 50 pfund
Unterpfand sein soll hauß hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhier in der Blidengaßen einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H Andrea Brackhenhoffern alten ammaÿstern hind. vff weÿl. H. Ludwig Metzgers deß holtzhändlers seel. Erben stoßend gelegen

Les mêmes vendent la maison au tisserand Jean Michel Braunwald

1665 (24. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 448-v
Erschienen Beatrix, weÿl. Henrich Fleischmann deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Philipß Kaÿsers deß Leinenwebers und Büttels uff der tucher Zunnft stuben ihres Curatoris, Wie auch Anna Maria ihr Beatrix eheleibliche dochter mit assistentz hannß Ulrich Oberhaußers deß Leinenwebers ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Michael Braunwaldts deß Leinenwebers mit beÿstand Conrad Welschen deß Büttels uff der Schuhmacher Zunfft stuben
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Blindten Gaßen, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H Andreæ Brackenhoffern altem Ammaÿstern und treÿzehnern, hinden uff Georg Dänningern den Weinhändlern stoßend gelegen, solche Behaußung umb 75. lib der Schenckbecherischen Stifftung Verhafftet – umb 95 Pfund pfenning

Les Conseillers et les Vingt-et-Un attribuent à Jean Michel Braunwald et à sa fiancée un legs pour jeunes époux (le registre est abîmé)
1664, Conseillers et XXI (1 R 147)
Hanß Michel Braunwaldt. 34 bis.
(f° 34) [-] gewohnlichem legato in gnaden [-] Zugleich ein Attestatum von [-] Erk. Soll ferner erkündig [-] – H XV. Fau[-]

(f° 34-v) [-] Faust et H Mercklin referiren, wegen [-]l Braunwaldts vnd seiner verlobten [-]ge ein gar guth Zeugnuß, Er Braunwald [-] handwerck redlich erlernt, darauff ge[-]tend das Meisterstück ohne taden, verfer[tigen [-]ÿe auch die verlobte wegen ihrer die[-] e gestandten, berühmbt. Erk. [mit ein]em Legato willfahrt, doch einfrühgen [-] anstellen – vorige Hh. Deputirte.

Fils du cordonnier Jean Michel Braunwald, Jean Michel Braunwald épouse en 1664 Anne Marie, fille du tisserand Michel Callenberger. Jean Michel Braunwald y est dit par erreur cordonnier comme son père mais il est bien tisserand comme le porte l’acte de baptême à la fin de la même année
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 131-v, n° X)
1664. Dom. Reminiscere. Johann Michael Braunwald der schuhmacher, Joh: Michael Braunwald, Schuhmachers sohn, J. Anna Maria Michael Callenberger leinenwebers tochter (i 13)

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 131, n° 107)
1664. Mittw. den 13. Xbris. Johannes Michael Braunwald der leinenweber und Anna Maria Kallenbergerin, Maria Elisabetha – Philipp Lump der Zimmermann, Anna Elisabetha h. Balthasar Bischoffs sel. tochter vnd Anna Maria fixin, Joh. Vixen Salpeter sieders fraw (i 270)

Le tisserand Jean Michel Braunwald le jeune hypothèque la maison au profit des enfants du tisserand André Thomann et d’Ursule Hetzel. Son père cordonnier Michel Braunwald se porte garant.

1666 (15. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 36
Erschienen Hannß Michael Braunwald der Jüngere Leinenweber
in gegensein Abraham Ratzge deß Leinenwebers alß Vogts Andres Thomans deß Leinenwebers mit weÿl. Ursulæ Hetzlerin nunmehr seel ehelich erzeugter Kinder, mit beÿstand ihres ietzgedachts Vatters – schuldig seÿe 25. Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Blindten Gaßen, einseit neben neben dem Bärenhoff, anderseit neben herren Andrea Brackenhoffern alten Ammaÿstern und treÿ Zehnern, hinden uff Georg dänningern den Weinhändlern stoßend gelegen
Zu noch mehrern Versicherung so ist hiebeÿ persönlich erschienen Hannß Michael Braunwald der älter schuhmacher, deß Schuldners eheleiblicher Vatter, der hatt sich für dieße Schuld (…) Verbürgt
[in margine :] Erschienen andres Thoman der Mußquetirer under herrn haubtmann dürren Compagnie beÿ hießiger guarnison, deme an die hierinn bedeutete 25. lb allein gehörig seÿen (quittung) Act. d. 9.ten Julÿ 1677

Anne Marie femme de Jean Michel Braunwald meurt à l’âge de 43 ans en juillet 1673
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 39. n° 53)
1673 Anna Maria, Hanß Michel Braunwalds des Leinenwebers Haußfr. starb den 28. Julÿ Abend umb thorglock Zeit im 43. Jar ihres Alters, undt ist den 30. dito Zu Gutleuüthen begraben (i 21)

Jean Michel Braunwald se remarie en 1674 avec Anne Madeleine Mosseder, fille du brasseur au Cygne Jean Michel Mosseder
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 159-v, n° 32)
1674 (6. Aug. – 10. sept.) Hans Michael Braunwaldt burger v. Leinenweber alhie V. Jungfr. Anna Magdalena Moseterin h. Hans Michael Moseters geweßenen Burgers v. Biersieders zum Schwanen hinderlaßene eheliche tochter (i 161)

Michel Braunwald est nommé garde par la tribu des tailleurs. Il devient échevin chez les Drapiers en 1686
1668 Conseillers et XXI (1 R 151) Michel Braunwaldt Würdt Scharwechter bey EE Zunfft der Schneidern. 208.
1686 Conseillers et XXI (1 R 169) Johann Michael Braunwald wird schöff beÿ den Tuchern. 250.

Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Jean Régnard Mader, secrétaire aux affaires criminelles et receveur de l’auberge des Pauvres Passants

1674 (27. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 473-v
Hannß Michael Braunwald der Leinenweber
in gegensein H. Johann Reinhard Maders Vergichtschreibers und Schaffners der Elenden Herberg – schuldig seÿe 25. lb.
Unterpfand, Hauß Hoffstatt Höfflin, Gärtlin mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der Blindengaß, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H. Eliæ Brackhenhoffern XV. hinden uff H. Hannß Georg Thenningern den Weinhändlern stoßend gelegen

Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit du jardinier Jean Thiébaut Schell. En marge, quittance remise en 1719 à Catherine Büchel née Mercklin

1681 (27. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 465-v
Hannß Michael Braunwaldter leinenweber
in gegensein Herren Diebold Schellen, Gartners Underwagner – schuldig seÿe 75. lb
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebawen undt Zugehördten alhier in der blindengaß einseit neben dem Bährenhoff, anderseit neben hannß Anstett den Obskrempen, hind. uff Adam Allheÿlig den bastetenbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] Fr. Aurelia, gebohrne Voltzin, hierinn ged. H. Schellen des Creditoris Nun seel. nachgelaßene wittib so ohnbevögtiget mit beÿstand Samuel Hetzels, Rothgerbers Ihres Vettern hat in gegensein Fr. Catharinæ Büchelin gebohrner Merckelin Wittib mit beÿstand herrn Johann Friedrich Ößingers U.J. Licentiatj Und E.E. Kleinen Raths Referentis Ihres H. Curatoris, alß nunmahliger propretariæ hierinn beml. Haußes in d. blind.gaß liegend (quittung) act. d. 16.ten Junÿ 1719

Assesseur au Petit Sénat, Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Jean Michel Mosseder, brasseur au Cygne. En marge, quittance remise en 1719 à Catherine Büchel née Mercklin.

1695 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 119
Erschienen H. Johann Michael Braunwald der Leinenweber und E: E: kleinen Raths beÿsitzer
hatt in gegensein Johann Michael Moseders des biersieders Zum Schwanen – schuldig seÿe 250 pfund
dafür Vnderpfand sein soll, Ein Vorder und Hinder Hauß, Hoff, Hoffstatt sambt den gärttlein darinn, und übrig. deren gebaüen, begriffen, Zugehördten und gerechtigkeit allhier in d. blindengaß, einseit neben dem Bährenhoff, anderseit neben hans Anstätt dem Obst Krempen, hind. auff Adam Allheÿlig den Pastetenbeck stoßend gelegen, welche Häuser Zu vorhien vmb 75 lb Cap: d Schenckbecherischen Stifftung, Ferner vmb 50 lb d Cap. d. Elend. Herberg, Item vmb 40 lb d Cap: Weÿl. Hn Eliæ Brackenhoffer dreÿ Zehners seel. hinterlaßener Wittib vnd Erben, Sodann vmb 75 llb d Cap. Diebold Schellen, Garttner Vnd.wagner vnd E. E. grosen Raths alten beÿsitzer verhafftet
[in margine :] Erschienen Joh: Carl Röderer biersieder beÿm wildten man, u. Joh: Philipp Schell silberarb. bede alß Tochtermänner Hierinn stehenden Creditores uns. für sich vnd nahmens gesambter mit Erben (…) in gegensein Frauen Cath: Büchelin geb. Mercklinin beÿständlich H Joh: Frid: Ößingers U. J. Ddi und Referenten beÿ E. E. Kl. Raths Als numahliger schuldnerin (…) den 13. Febr: 1719.

Jean Michel Braunwald, tisserand et assesseur au Petit Sénat, meurt en novembre 1708 à l’âge de 69 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 1698-1716, f° 110-v)
1708. d. 7. Nov. ist Zu nacht ein 4.tel nach 10 vhr gestorben Johann Michael Braunwald leinenweber vnd beÿ E. E. Kleinen Rath beÿsitzer s. alters 69 Jahr 4 Monat 19 tag vnd ist folgend. 10. Nov. nachmittag vmb 2 Vhr Christlich Zu den Guten leit. begrab. worden und Johann Michael Braunwald Als Sohn, Johann Georg Moseder als schwager (i 112)

Marie Madeleine Mosseder veuve de Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Catherine Büchel née Mercklin.

1714 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 35
Maria Magd: geb. Moßederin Weÿl. H. Joh: Michael Braunwaldt geweßenen leinenwebers wittib beÿständlich Johann Peter Avenarius leinenwebers ihres Curatoris
in gegensein frn. Cath: Büchelin wittib geb. Merckelin beÿständlich H. Joh: Friedrich Ößingers U.J. Ddi u. Refetenten beÿ E. Kl. Rath – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, ihr hauß cum appert: allhier in der blindengass einseit neben dem Bärenhoff anderseit neben Leonhardt Maurers wittib hinten auf (-)

D’après son inventaire (voir ci-dessous, 1733) Catherine Büchel acquiert la maison en 1718 par enchère judiciaire sur le teinturier Jean Michel Braunwald (fils des précédents).
Le marchand Abraham Büchel épouse en 1681 Catherine, fille de l’assesseur au Grand Sénat Chrétien Mercklin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 15 n° 14)
1681. Fest. Pentecost. H. Abraham Büchel der jüngere Handelsmann H Abraham Büchels des Handelsmanns und ältern E E Großen Raths alten Beÿsitzers Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Catharina weÿland Hn Christmann Mercklins E E großen Raths alten Beÿsitzers vnd beÿ dieser Kirche*n wohlmeritirt Kirchen vnd * pfleger nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Zu St Niclaus Donnest 2. Junÿ (i 16). Donnerst. den 2
Proclamation, cathédrale (luth. f° 93) 1681. Fest. Pentecost. Zum 2 mahl hr Abraham Büchel der jüngere Specirhandler H Abraham Büchels des ältern E E großen Raths alten Beisitzers ehel. S. Jfr. Catharina Weiland H Johann Christmann Mercklins E E großen Raths alten Beÿsitzers nachgelaßene eheliche T. Donnerst. den 2.t Junÿ S Niclauß (i 94)

Catherine Mercklin meurt en 1733 en délaissant trois enfants. La succession comprend plusieurs maisons dont la maison mortuaire aux Trois Rois dans la Grand rue. Les experts estiment la maison rue des Aveugles à la somme de 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 8 686 livres, le passif à 286 livres.

1733 (19.3.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 12) n° 260
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Catharinæ Büchelin gebohrner Mercklinin, auch weÿl. des Wohl Ehren vesten und großachtbaren Herrn Abraham Büchels, geweßenen vornehmen Handelsmanns und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterlaßener Frau Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1733 – nach Ihren den 19. Januarÿ Innstehenden und Zu End gemelten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Beschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 19. Martÿ Anno 1738.
Die Verstorbene Frau seel. Hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folget. 1. Tit. Frau Annam Cleopheam Fibichin gebohrne Büchelin, weÿl. Tit. H. Johann Jacob Fibich geweßenen treueiffrigen Diaconi Zu St. Aurelien und burgers allhier seel. nachgelaßene Frau wittib, so mit beÿstand S.T. Herrn Johann Daniel Francken Banquier und E E. Kleinen Raths allhier jetztmahligen wohlansehnlichen beÿsitzers Ihres geschwornen Herrn Curatoris, und alß ermelter derselbe annoch Vor Endigung dießes Geschäffts das Zeitliche gesegnet, mit beÿstand H. Johann Herman Scherden Junioris handelßmann und burgers allhier ihres erbettenen H. Assistenten dießem Geschäfft Persönlich beÿgewohnt. 2. Tit. Herrn Abraham Büchel Vornehmen handelßmann und burger alhier so auch in Persohn zugegen war. 3. Tit. Frau Catharinam Andrein gebohrne Büchelin weÿl. Tit. herrn Johann Philipp Andre geweßenen handelßmanns und burgers allhier seel. nachgelaßene Frau Wittib, so weilen Sie ohnverburgert mit beÿstand H Joh. Jacob Braunen, Goldarbeiters und burgers allhier Ihres H Tochtermanns dießer Inventation abgewartet, Alle dreÿ der Verstorbenen Frau seel. mit mehrgemeltem Ihrem geweßenen Eheliebsten ehelich erzeugt und ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder

Copia des Von der Verstorbenen Frau seel. in Anno 1732. vor mir Notario auffgerichteten Codicilli Clausi
Hierauff Wird nun die Verlaßenschafft wie sich solche in hernach inventirter ane der langen straßen gelegenen Zu denen 3. Königen genanden behaußung befunden vor und ane sich selbsten
Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern bühn, Auffm Gang, In der Officier stub, Im undern Stübel, Im untern Haußöhren, In der Stub, In der Stub Cammer, In der finstern Cammer, In der Kuchen, Im Contor
Eigenthum ane Häusern. Erstlich i. Behaußung und hoffestatt ane der obern Straß beÿ der steinern bruck (…)
Item eine Behaußung Von Alters her Zur Glocken jetz zu denen 3 Königen genant ane der obern Straß (…)
Item I hauß hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, Rechten und zugehörden allhier in der blindengaß 1.s neben dem Bären hoff, 2. s. neben Jacob Seemann dem Maurer hinden uff Geörg Gulden den weinhändler stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen und durch die geschworne Werckmeistere vermög ob allegirter Abschatzung angeschlagen und æstimirt worden vor 500. lb. Solche behaußung hat die verstorbene seel. alß Sie Johann Michael Braunwald den färber nun des darauß Zufordern gehabten capitals exequiren laßen in Ao: 1718. der ganth ane sich gezogen, deßwegen aber kein ordentlicher Gant Kauffbrieff vorgelegt werden Können. sonsten seind annoch vorhanden 2. perg. Kbr. auß allhießiger CC Stub unter deren anhang. Innsiegekn gefertiget dedatis 24. Augusti 1661 Sun N°1 und 4. Febr. 1682. Sub N° 2.
Item I. Kl. behaußung in der Vorstatt Krautenau in der Kleinen Viehgaß (…)
Item noch eine Kleine Behaußung in der Kleinen Viehgaß (…)
Eigenthum ane Liegenden Güthern Kuhnheimer Banns
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 286, Sa. Schiff und geschirrs Zur handlung gehörig 29, Sa. Wahren 270, Sa. Wein und Faß 509, Sa. Silbers 130, Sa. Goldener Ring 37, Sa. baarschafft 189, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3363, Sa. Eigenthum ane Liegenden güthern 150, Sa. Anschlags der häußer 3148, Sa. Activ Schulden 570, Summa summarum 8686 lb – Schulden 286, Deducendo, Stall Summ 8399 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 282, Zweiffelhaffte Schulden 221 lb
Copia Testamenti – Ich Catharina Büchelin gebohrne Merckelin Weÿland Abraham Büchel geweßenen handelßmann und burgers allhier Zu Straßburg nun längst seel. nachgelaßene Wittib thue Kund hiermit (…) Siebendens, ist mein Will und behegren, daß meinem Sohn das hauß, so er Von mir schon Viel Jahr lang in Lehnung hat (…)
So geschehen iin Straßburg uff Mittwoch den 30. Januarÿ in dem Jahr des herrn als man Zahlte 1732.
Abschatzung d. 19. Marty 1733. Auff begehren Weÿl. der Viel Ehr undt Tugendsahme fraw Catharinæ Büchlerin, Gebohrne Mergelerin seel: hinterlaßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der langen straß gelegen (…)
Der 3.te begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straß in der Blinden gaßen gelegen einseits Neben dem beeren Hoff anderseits Neben Jacob Rehmen Maurer, hinden auf Johannes Gulden Kürsner stosendt Welche behausung ein alt Klein hinder behausung ein alt Klein hinder gebäwlein, Stuben, Kuchen, Cammern, Soldaten Kammer, hauß Ehren, gebälckter Keller und höffel, sambt aller gerechtig Keit Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und jetzig preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausendt Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Sommé de déclarer s’il veut se rendre propriétaire de la maison rue des Aveugles, Abraham Büchel la cède à ses deux sœurs Anne Cleophée veuve du diacre Jean Jacques Fibich et Catherine femme du marchand Jean Philippe André

1734 (16. Sept.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 12) Joint au n° 260 du 19 mars 1733
An Zuend stehendem dato erschienen beÿsammen weÿl. Frauen Catharinæ Büchelin gebohrner Mercklinin seel. Erben mit Ihren Herrn beÿständern, anzeigend, demnach Sie die Erben schon Längstens getrachtet die in die Mütterlich Verlaßenschafft gehörige Zweÿ Häußern, davon das eine ane der Langenstraß gelegen und Zu denen dreÿen Königen genannt wird, und das adere in der Blinden Gaß gelegen Gemeinschafftlich Zu verkauffen, aber sich Kein Kauffmann præsentirten wollen, daß Sie in Zwischen schon gerraume Zeit hero wegen solcher beeder Mütterlicher Häuser mit einander Vorschlägen thun insonderheit der beede Frau Töchtere Ihrem Herrn Bruder schon Längstens die Wahl antragen Laßen, daß deren Herr Bruder solche beede Häußer nemlichen das Hauß Zu den dreÿen Königen genannt um 5300 Guldin, das Hauß in der blinden Gaß aber um 1600 Guldin entweder im Erb übernehmen oder Ihnen seinen Fraun Schwestern um gedachten Preiß überlaßen möge, Weilen nun der Herr Sohn sich auff solche Proposition nicht categorisch erclären wollen, und deßwegen Ihne die beede Frau Schwestern vor E. E. Großen Rath citiren Laßen, um seine endliche Resolution gerichtlich Zuthun, So hätte der Herr Sohn sich erclärt seinen beeden Frau Schwesteren beÿ Ihrem Offerto Zulaßen, mithien seinen angebührigen dritten theil à Proportion des stipulirten Preises Zu entschlagen und Zu überlaßen, wie dann sich die dißortige Erben derentwegen follgender maßen mit einander verglichen haben.
Nemlichen cedirt und überlaßt Herr Abraham Büchel seinen beeden Frau Schwesteren
Frauen Annæ Cleophe Fibichin und Frauen Catharinæ Andrein
in Erbsweiß seinen ererbten Mütterlichen drittentheil sowohl ane der Zu den dreÿen Königen genannten ane der Langen Straßen einseit neben Johann Friderich Weiler dem Kieffer, anderseit neben dem Wirthshauß Zum Rindsfuß gelegenen hinten auff die Gerber Zunfft Stub stehenden behausung, weilen der davon dem Gürtlerhoff allhie Jährlich anzurichten habende und in Goldgulden ablösige Zinß durch dißorts dreÿ Erben ohne Anstand gemeinschaftlich abgefürt werden solle, alß freÿ ledig und eigen
alß auch die tertz ane der in der Blindengaß, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben Jacob Seeman dem Maurer gelegenen hinden auff Geörg Gulden den Weinhändler stoßenden behaußung so freÿ ledig und eigen, mit allen deren Rechten und Gerechtigkeiten, und Zwar seinen dritten theil ane erstgedachten beeden Häußern um 2300 Gulden Jetzig courant (…) Geschehen in Straßburg auff Donnerstag den 16. Septembris Anno 1734.

Catherine Büchel est ensuite propriétaire de la maison. Elle épouse en 1707 le marchand Jean Philippe André, fils du marchand Jean Philippe André : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvest undt Wohlvorgeachtn Herrn Johann Philipp Andrea, Handelßmann und Burgern allhier Zu Straßburg, alß dem Herrn Bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrawen Catharina Büchelin, Weÿland deß Wohl Ehrenvesten undt Wohlvorgeachten Herrn Abraham Büchel geweßenen Vornehmen Handelßmanns undt Burgers allhier Zu ermeltem Straßburg, nunmehr seel. mit der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Catharinæ gebohrner Mercklinin Ehelich erzügten Tochter, alß der Jungfraw Hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 24.ten Januarÿ in dem Jahr alß mann nach der Gnadenreichen geburth und Menschwerdung unßers Erlößers und Heÿlandes Jesu Christ Zahlte 1707 [unterzeichnet] Johann Philipp Andreä als Hochzeiter bekenne wie obstehet, Catharina Vüchlerin Als hoch Zeiterin bekenn Wie obstödt – Daniel Rohr, Nots.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 174-v n° 793)
1707. Mitwoch den 16.t Febr. Sind nach 2 mählicher proclamation ehl. copulirt worden, H Joh. Philipp Andreß der ledige handelsmann, weÿl. H Joh: Phil. Andeßen, gewesenen b. Schiff und handelsmanns hinterl. ehel. Sohn und Jungfr. Catharina weÿl. H. Abraham Büchel geb.w. b. vnd Handelsmann Hinterl. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Andrä alß Hochtzeiter, Cathrina bichlein als hoch zeitin (i 174)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue qui appartient aux parents de la femme. Ceux du mari s’élèvent à 556 livres, ceux de la femme à 1 304 livres.
1707 (16.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 17) n° 652
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab vnd Nahrung, so der Ehrenvest v. Vorgeachte Herr Johann Philipp Andreä, handelßmann vnd die Viel Ehren vndt tugendreiche fraw Catharina gebohrne Büchelin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt Zugebracht vnd vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen allhier in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehren vnd vorachtbahren herrn Geörg Friderich Otten Sen. Rothgerber und lederbereithers auch burgers allhier Zu Straßburg der Ehefrawen annoch ohnentledigten vogts ferner der viel Ehren und Tugendreichen Frauwen Catharina gebohrner Mercklinin der Ehefrauen geliebten Fr. Mutter, Weiter des Wohl Ehrwürdig hochachtbar vnd wohlgelehrten H Jacob Fibich der zeit treweifferigen und wohlbestellten Pfarrers der Evangelischen Gemeind Zu Eckboltzheim und der Viel Ehren und tugendreichen Frawen Mariæ Cleophe gebohrner Büchelin der Ehefrauen respectivé geehrten H. Schwager und geliebter Fr. Schwester, Mittwochs den 16. Martÿ Anno 1707.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langenstraßen gelegenen der Ehefrauen Fr. Mutter Zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Herrn Nahrung, Sa. haußraths 129, Sa. Wein und leerer faß 42, Sa. Silbers 22, Sa. goldenen Rings 12, Sa. baarschafft 349, Summa summarum 556 lb
der Frauen Guth, Sa. haußraths 234, Sa. Silbers 51, Sa. giuldener Ring 90, Sa. baarschafft 927, Summa summarum 1304 lb

Jean Philippe André meurt en 1729 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue de l’Ecurie. La masse propre à la veuve est de 1 541 livres, la masse propre aux héritiers de 410 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 744 livres, le passif à 3 754 livres.
1729 (19. 9.bris), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 5) n° 117
Inventarium über Weÿl. Herrn Johann Philipp Andre, geweßenen Handelßmann und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1729. – nach seinem den 26. Martÿ dieses Zuend gemelten Jahrs beschehenen tödtlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren meister Ehrenfrid Gebhard, des Schreiners und burgers allhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Annæ Catharinæ, Emanuels und Johann Daniels, des abgeleibten herrn seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Frau wittib ehelich erzeugter Kinder, und beneben der den 27. Julÿ jüngstin alßo nach dem herrn Vatter seel verstorbenen Tochter nahmens Jgf. Cleophe deren Stelle die Frau Mutter und Wittib repræsentirt, ab intestato nachgelaßener Erben inventirt und ersucht durch Frau Catharinam gebohrne Büchelin die hinterbliebene Frau Wittib (…) So geschehen in Straßburg in fernerem gegensein des Ehren vest und wohlachtbahren herrn Abraham Büchel handelsmanns und burgers allhier der Fraw wittib bruders und Ihres erbetteben beÿstands, auff Sambstag den 19.t Novembris Anno 1729.

Copia des von beeden gewesenen Eheleuthen vor weÿland herrn Daniel Rohr Notario publico seel. und gezeugen in Anno 1708. auffgerichteten Codicilli reciproci
Hierauff wird nun die Verlaßenschafft vor und ane sich selbsten beschrieben, wie such solche in der von der Fraw wittib lehnungs weiße bewohnenden an der Stallgaß gelegenen behaußung befunden
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens. Vermög Inventarÿ (…) durch weÿl. herrn Daniel Rohren Notarium seel. in A° 1707. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frau Wittib Nahrung betr. Sa. haußraths 29, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 28, Sa. goldener Ring 38, Sa. Pfenningzinß hauptguts 12, Sa. Gültten von liegenden gütheren fallend 4, Sa. der Ergäntzung 4328, Sa. Activ Schuld 100, Summa summarum 1541 lb
Der Erben unverändert Guth betr. Sa. haußraths 20, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Ergäntzung 481 lb, Summa summarum 510 lb – Schuld 100, Nach deren Abzug 410 lb
die theilbare Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 99, Sa. der wahren Zum gewerb gehörig 1839, Sa. Wein und leerer Faß 76, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 337, Sa. Activ Schulden 375, Summa summarum 2744 lb – Schulden 3754 lb, In Compensatione, Theilbar Passiv onus 1010 lb – Stall Summ 942 lb
Zweiffelhaffte Schulden in der Frau Wittib unveränderte Nahrung zugeltend 14, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbare Nahrung Zugeltend 388 lb
Eheberedung (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 24.ten Januarÿ 1707

Catherine Büchel veuve de Jean Philippe André vend la maison au menuisier Jean Michel Meyling et à sa femme Barbe Verius moyennant 1 000 livres

1744 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 167
Fr. Catharina geb. Büchelin weÿl. H. Johann Philipp Andres des handelsmanns wittib mit beÿstand ihres tochtermanns H. Johann Jacob Braun des goldarbeiters und dero bruder H. Abraham Büchel des handelsmanns, als negotiorum gestor seiner schwester Fr. Anna Cleophe geb. Büchelin weÿl. H. M. Jacob Fibich Dicaoni zu St Aurelien wittib
in gegensein Johann Michael Meÿling des schreiners und Barbaræ geb. Veriußin
eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Blindengaß, einseit neben Jacob Seemann des maurers wittib, anderseit neben dem so genannten Bärenhoff, hinten auff Paul Gulden des weinhändlers garten – als ein mütterlichen erbguth – um 1000 pfund

L’acquéreur hypothèque le même jour la maison au profit du tailleur Jean Frédéric Barth

1744 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 169
Johann Michael Meÿling der schreiner und Barbara geb. Veriußin mit beÿstand Johann Jacob Zisich des sattlers und Johann Janus des leistenschneiders beede ihrer schwäger
in gegensein Jacob Friedrich Barth des schneiders – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine an heutigen tag erkauffte und aus obigem vorschuß zum theil bezalte behausung, bestehehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Blindengaß, einseit neben der Seemannischen wittib, anderseit neben dem so genannten Bärenhoff, hinten auff Paul Gulden des weinhändlers garten

Jean Michel Meyling loue une partie de sa maison au tisserand Philippe Albert Martzolff

1744 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 284
Johann Michael Meÿling der schreiner
in gegensein Philipp Albrecht Martzolf des leinenwebers
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen ane der blinden gaß, einseit neben der Seemännischen wittib anderseit neben dem Bärenhoff gelegenen behausung, im hinderhauß unten auf dem boden, eine stub kammer, kuchen und hauß öhren, zwo stiegen hoch eine kammer und bühnlein über der kuchen platz zum holtz und einen unterschlagenen keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden

Assisté de son fils du même nom, Jean Michel Meyling hypothèque la maison au profit du tisserand Elie Martzolff pour régler les travaux qu’il y fait

1749 (4.3.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 151-v
Johann Michael Meÿling der schreiner /:wobeÿ erschien des schuldners sohn Johann Michael Meÿling der jünger auch schreiner
in gegensein Elias Martzolff des ledigen leinenwebers, zu verbeßerung hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Jacob Seemann des maurers wittib, anderseit neben dem Bärenhoff hinten auff Paul Gulden

La maison est estimée par les experts à 600 livres lors de l’inventaire dressé en 1757 après la mort d’Anne Barbe Verius, deuxième femme de Jean Michel Meyling.

Jean Michel Meyling cède la maison acquise pendant la communauté avec Barbe Verius à son fils issu de son premier mariage et à sa belle-fille Marie Salomé Rummel issue du premier mariage de Barbe Verius. Il s’y réserve l’habitation dans les parties qu’il occupe, à savoir un atelier à droite en entrant, un poêle, une chambre et une cuisine donnant dans la cour, une chambre au deuxième étage pour la servante, une chambre pour les compagnons au fond de la cour, une partie des greniers et de la cave.

1759 (14.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 68) Joint au n° 1617 du 30 déc. 1757
Vor mir dem unterschriebenem und dießorts adhibirtem Inventir Notario seind (…) erschienen Meister Johann Michael Maÿling der ältere Schreiner und burger allhier zu Straßburg ane einem, ferner Michael Maÿling Jun. auch allhießiger Schreiner, deßen Sohn erster Ehe andern Theils, so dann dritten theils Frau Maria Salome gebohrne Rummelin, des letztern jungen Meÿlings Ehefrau, von ihrem marito hierzu genungsam authorisirt und dißeitige Tochter (…) wie daß die Sich so wohl wegen weÿland Frauen Annæ Catharinæ Schöningin als auch Frauen Annæ Barbaræ gebohrner Veriußin, des ältern Comparirenden Maÿlings erster und Zweÿter Ehefrauen beeder Maÿlingischen Eheleuthe aber eheleiblicher Muttere Verlaßenschafften, wavon dieselben und Zwar der Maritus von Frauen Anna Catharina Schöningin, deßer Ehefrau aber von Frauen Anna Barbara Veriußin Verlaßenschafft hæredes universalis seind, zu propagir: und Erhaltung Elterlich und Kindlicher harmonie, fried und einigkeit, Vor sich und ihre Erben folgenden gütlichen Vergleich mit einander getroffen, beschloßen auch acceptirr und angenommen haben (…)
Drittens,die in letztere Ehe theilbare behaußung bestehend in Vorder, und hinderhauß, höffein und hoffstatt, samt allen deren übrigen Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem so genanndten Bähren Hoff, anderseit neben H. Ravalliati dem Maurer und Steinhauer, hinten auff H. Johannes Huck, den Gastgebern modo H. Joh: Melchior Klein, dem Weinhändler und burgern allhier stoßend gelegen, mit 500 lb. d. so man Mstr Christian Westermann und 250. lb. d. so man Mstr Joh: Michael Diebold, dem hohldräher in Capital schuldig mithin in dießen beeden Posten um 750. lb. d und dann anjetzo weiter um obangeregte der Stieff tochter vor restirend Mütterlich guth angewießene 104. lb. 11 ß onerirt, und dieße behaußung beÿ jetzigen Zeiten um mehreres nicht werth zu achten, Zumalen immer darinnen nicht geringe Reparationes Zu beförchten, so hat der Wittiber und Vatter auch respê stieffvatter um so mehr als auch davon großer Vingtieme und übrige Stattgebühren Zu geben sind, gegen Ihme dem Sohn und Ihro der Stieff tochter declarirt und bekannt daß Er vor sich und seine Erben Ihnen Jung Maÿlingische Eheleuthen und ihren Erben vorhergeschriebene behaußung cum appertinentiis um die vorspecificirte beede passiv Capitalia (…) cedirt und überlaßen haben wolle (…)
Vierdens dieweilen der Vatter und Wittiber seine Stieff tochter ihres völligen Mütterlichen Guths halben bezahlt und ausgewießen und doch demselben Zwo tertzen hievon in lebens länglichem Wÿdum Zu genießen Zukommen sollen, so haben beede Cessionarien Ihme dem vatter Zu Satisfacirung des genußes folgende Wohnung und Gemach Zeit lebens Zu genießen überlassen und dabeneben alle Reparationes außer dem Kleinen Flickwerck, so sonsten ein jeder locatarius nach lehnungs Gerechtigkeit, zu præstiren schuldig ist (…) und bestehen solche Wohnung und Gemach, in einer Werckstatt unten im hoff, lincker hand im Eingang des haußes, Zum theil auff die Gaß und zum theil in dem hoff aus sehend, daran eine Stub samt Kuchen gleicher gestalten in den hoff aus sehend, ferner oben auf dem Zweÿten Stock darüber ein Cämmerlein vor die Magd ingleichem die gemeinschaftlich. Cammer unter dem dach, Item hinten im hoff eine gemeinschaftliche Cammer für sie Gesellen, Item der halbe theil von der bühne gegen dem bähren hoff Zu, Item derjenige theil von dem Kellern so vornen inden hoff heraus gehet, imit Latten eingefaßt und beschlüßig ist, So dann den gemeinschaftlich. Platz im hoff Zum holtz zu legen, alles wie Er der Vatter es bis anhero inne gehabt, bewohnt, gebraucht und genißen hat. (…)
So beschehen Straßburg auf Sambstags den 14. Aprilis 1759

Fils de Jean Michel Meyling et de sa première femme Anne Catherine Schœning, Jean Michel Meyling épouse en 1747 Marie Salomé Rummel, fille du boucher Jean Rummel et d’Anne Barbe Verius : contrat de mariage, célébration
1747 (27.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1134
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Michael Maÿling Jun. Schreiner und burgern allhier Zu Straßburg, H. Johann Michael Maÿling des ältern Schreiners v. burgers allhier mit weÿl. fraun Anna Catharina gebohrne Schoningin Ehelich erzeugt vnd nach tod Verlaßenem Sohn als hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariæ Salome gebohrner Rummelin weÿl. Johannes Rummel geweßenen Metzgers v. burgers dahier mit Fraun Anna Barbara gebohrner Veriußin Ehelich erzielter und nach tod verlaßener tochter, alß hochzeiterin andern theil
So beschehen allhier in der Königlichen Statt Straßburg den 27.ten Maÿ Anno 1747 [unterzeichnet] Johann Michael Meÿling als hoch zeitter, Jgft. Mariæ Salome Rummelin handzeichen +

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 169-v)
1747. Dom. I. & II. Trinir. d 16 Jun. & 23 Junÿ proclamati sunt Johann Michael Meÿling der schreiner u. b. h. l. Fr. Barbara weÿl. Johannes Rummel gew. schreibers auff der Statt Bruckhoff nachgel. wittib. Copulati et copulati Mittw. d. 26. Junÿ [unterzeichnet] Johann Michel Meÿling alls hochzeiter (i 174)

Jean Michel Meyling meurt en 1784 en délaissant deux enfants. Les experts estiment à 350 livres la maison en partie cédée à leur fils. La masse propre à la veuve est de 294 livres, la masse propre aux héritiers de 23 livres. L’actif de la communauté s’élève à 86 livres, le passif à 380 livres.

1784 (10.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 869) f° 826
Inventarium über Weil. des Ehrsamen Mr Johann Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg, nunmehro seel. Verlaßenschaft auffgerichtet in Anno 1784. – nach seinem Sambstags den 24. Aprilis gegenwärtigen 1784.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen, Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetztem Dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren hernach gemelter des defuncti seel. ab intestato Zu Erben verlaßener beeder Söhne und Frauen tochter, wie auch der Tugendsamem Fraun Mariæ Salome gebohrner Rummelin, der hinterbliebenen Wittib selbsten, beiständlich Hn Johann Kiefer, des Glashändlers und burgers alhier, nach Ordnung ersucht und Inventirt worden (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in einer ane der Blindengaß gelegenen hieheri Zum theil eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerm beschriebener behaußung, auf Sambstag den 10. Julii Anno 1784.
Benambsung der Erben. Der Verstorbene seel. hab ab intestato Zu seinen rechtmäsigen Erben verlaßen nahmentlichen und 1° Johann Michael Maÿling, den leedigen Schreiner: Gesellen, so majorennis und hiebeÿ Zugegen seine eigene Interesse besorget, 2° die tugendsame Frau Mariam Salome Heberlinin gebohrne Maÿlingin, Hn Joh: Jacob Heberlin des Föghändlers und burgers alhier Ehefrau welche beiständlich dieses ihres Ehemanns Zugegen ihren eigenen Nutzen beobachtet und 3° Hn Philipp Friderich Maÿling, den Schreiner Meister und burgern alhier, welcher auch hiebeÿ in Persohn gegenwärtig seine eigene Interesse besorget, Alle dreÿ des Verstorbenen sel. mit eingangs gedachter deßen hinterlaßener Wittib ehelich erzeugte Kindern und ab intestato Zu dreÿ gleichlingen portionen und Antheilern verlaßene Erben

Bericht Zu gegenwärtigem Invenario. Es ist Zwar in dem 3.ten Puncten der Zwischen beeden nun Zetrtennten Ehepersohnen errichteten und nächst vorher copialiter einverleibten Eheberedung §° 3.tio ausdrucklichen enthalten, daß beeder seiths Ehepersohnen illata Ordnungs mäßig inventirt, æstimirt und beschrieben werden solten, allein der hinterbliebener Wittib declaration nach ist solche Inventur unterlassen worden (…)
(f° 7-v) Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung (W.) Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder und hinterhauß, höfflein und hoffstatt, sampt allen übrigen deroselben begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bähren: hoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurer-Gesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen und dermalen durch (die Werckmeistere) zufolg deroselben schriftlich ausgestelten und beÿ dieses Inventarii Concepto verwahrlich liegenden Abschatzungs Scheins vom 13. 7.bris 1784. gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 700. fl. oder 350. lb. Woran der hiehero gehörige Vierte Theil in Auswurf antrift 87. 10. Hievor beschribene gantze behausung ist der dißortigen Wittib und dem defuncto ihrem Ehemann seel. von Weil. M : Joh: Michael Maÿling dem ältern gewesenen Schreiner und burgern alhier, ihrem respê leiblichen und Stiefvatern ausweislich eines unter ihnen vor Hn Notario Joh: Jacob Oelinger am 14. Aprilis 1759. auffgerichteten Erbs: Vergleichs und Zwar jedem Zur helfte eigenthümlich cedirt und abgetretten worden. Seithero aber haben beede nun Zertrennte Ehepersohnen die helfte sothaner behausung H. Philipp Friderich Meÿling, dem Schreiner und burgern alhier, dißortigem jüngsten Sohn, käuftlichen überlaßen, so daß heutiges tags der Wittib nur der hievorgemelte vierte theil, und denen Erben der hernachbeschriebene überige vierte theil annoch gebührig ist. Über sothane gantze behaußung besagt und ist vorhanden ein teutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrief dedato 30.ten Martÿ 1744.
(f° 8-v) Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung (E.) Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder: und hinterhauß, höfflein und hoffstatt, sampt allen übrigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bähren: hoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurergesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenem Capitali gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen, und Zufolg des vorher allegirten von (den Werckmeistern) ausgestelten Abschatzungs Scheins, die gantze behaußung Zu 350. lb d gerechnet, Zu dißortigem vierten theil daran ebenfalls in auswurf gebracht wird um 87. 10. Wie der Defunctus seel. diese antheil behaußung erhalten und wie Er der andere ihme Zugehörig gewesenen vierten theil an seinen jüngeren Sohn H. Philipp Friedrich Maÿling käuflichen abgetretten davon ist schon hievornen beÿ beschreibung der Wittib unveränderten antheils davon der nöthige bericht beschehen auch der über die gantze behaußung besagende Kaufbrief allegirt word.
(f° 10-v) Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib währender Ehe abgegangener unveränderten Guths. Nach anleitung der hievor im bericht angezogen, von der Wittib in Ermanglung eines Inventarii illatorum producirten Verzeichnus hat sich ane deroselben in die Ehe gebrahctem und währen derselben geretteten Vermögen mangelnd befunden, hieher nunmehr Zu ergäntzen stehet, wie folgt (…)
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der hinterbliebenen Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 2, Sa.Silbers und dergleichen Geschmeids 2, Sa. goldenen Ring 1, Sa. eigenthümlichen antheils ane einer behaußung 87, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 52, Sa. Schulden 15, Sa. der Ergäntzung 133, Summa summarum 294 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unveränderte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 3, Sa. antheils ane einer behaußung 87, Summa summarum 90 lb – Schulden 67, Nach deren Abzug 23 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschaft beschrieben, Sa. haußraths 43, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 8, Sa. der leeren Faß 4, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 26, Summa summarum 86 lb – Schulden 380, In Vergleichung 293 lb
Beschluß und Stall summa 24 lb

Marie Salomé Rummel meurt en 1789, propriétaire d’une partie de la maison. L’actif de la succession s’élève à 229 livres, le passif à 117 livres.

1789 (8.6.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 872) n° 436
Inventarium über Weil. der Ehr: und Tugendsamen Fraun Mariæ Salome Maÿligin gebohrner Rommelin, auch Weil. Mr Joh: Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterlaßener Wittib, nunmehro auch seel. Verlaßenschaft aufgerichtet in Anno 1789 – nach ihrem Mittwoch den 3.ten Junii gegenwärtigen 1789.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen. (…) So beschehen alhie Zu Straßburg in einer ane der Blindengaß gelegener H. Philipp Friderich Maÿling dem doßortigen jüngern Sohn und Mit Erben eigenthümlich zuständiger behaußung auf Montag den 8.ten Junii Anno 1789.
Benamßung der Erben. Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu irhen rechtmäsigen Erben verlaßen namentlich und 1° Johann Michael Maÿling, den leedigen majorennen Schreiner: Gesellen, welcher beÿständlich Hn Johannes Kiefer, des Glas händlers und burgers alhier, hiebeÿ persönlich zugangen, seine eigene Interesse besorget, 2° die Ehr : und tugendsame Frau Maria Salome Heberlin, gebohrne Maÿlingin, Hn Joh: Jacob Heberlin, des Kürschners und burgers alhier Ehefrau, so beiständlich dieses ihres Ehemanns in eigener Persohn Zugangen, ihren Nutzen besorget und 3° Hn Philipp Friderich Maÿling, den Schreiner Meister und burgern alhier, welcher auch hiebeÿ persönlich Zugegen, seine eigene Interesse beobachtet, Alle dreÿ der Verstorbenen seel. mit auch Weil. Mr. Joh: Michael Maÿling dem gewesenen Schreiner und burgern alhier, ehelich erzeugte Söhn und tochter und ab intestato Zu dreÿ gleichlingen portionen und Antheileren verlaßene Erben

Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung. Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder: und Hinterhauß, Höfflein und Hoffstatt, samt allen übrigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bährenhoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurer-Gesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenem Capitali gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen, und dermalen nach Zuvor beÿ denen Wohlverordneten Herren dreÿ Löbl. Stadt Stalls geziemend angesucht und großgünstig erhaltener Erlaubnus ane der nämlichen Preis angesetzet wird, wie solche beÿ Weil. Mr Joh: Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier der defunctæ Ehemann seel. Verlaßenschafts Inventur durch (die Werckmeistere) zufolg deroselben schriftlich ausgestelten Abschatzungs Scheins vom 13. 7.br 1784. gewürdiget worden nämlich um 700. fl. oder 350. lb. Woran der hiehero gehörige vierte theil in auswurf antrift 87. 10.
Die helfte gedachter behaußung ist H. Philipp Friedrich Maÿling, dem Schreiner meister und burgern alhier dem dißortigen jüngern Sohn in Kraft seiner vor H. Not. Joh: Daniel Stöber am 30. 9.bris 1782. auffgerichteter Eheberedung bereits eigenthümlich Zuständig und der überige Vierte theil ist in ermelte Vätterliche Verlaßenschaft gehörig. Über die gantze behaußung meldet eine vor Hn Notario Joh: Jacob Oelinger am 14. Aprilis 1759. erichtete Erbs: Vergleichs Cession und respê Erbs: Vergleich, So dann ist annoch darüber besagtend vorhanden ein teutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrief dedato 30.ten Martii 1744.
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 60, Sa.Silbers und dergleichen Geschmeids 3, Sa. goldenen Ring 1, Sa. baarschafft 41, Sa. eigenthümlichen Antheils ane einer behaußung 87, Sa. Schulden 34, Summa summarum 229 lb – Schulden 117, Nach deren Abzug 111 lb
Beschluß Summ 138 lb – Stall summ 111 lb

Jean Michel Meyling et Marie Salomé Rummel cèdent en s’y réservant l’habitation la maison à leur fils Philippe Frédéric lors de son mariage avec Barbe Debs, originaire de Hangebieten : contrat de mariage, célébration

1782 (30. 9.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 143
Eheberedung – persönlich erschienen H. Philipp Friderich Meÿling, led. Schreinermeister, H. Johann Michael Meÿling Schreiners u. burger alhier mit Frau Maria Salome geb. Rummelin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter unter authorisation solcher deßen Vaters ane Einem,
und Jungfr. Barbara Debsin weiland Lorentz Debs gew. brs: und ackermanns zu Hangenbietenheim, mit weil. Fraun Barbara geb. Bilgerin ehelich erzielte tochter als braut unter autorisation ihres geschwornen Vogts Lorentz Schöttel burgers und ackersmanns Zu gedachtem Hangenbietenheim andern theil
Zum Siebenden, wollen das Hochzeiters geliebte Eltern und Zwar die Mutter unter assistentz des Vaters, ihme dem Hochzeither Zu einem wahren und unwiederuflichen Eigenthum übergeben und abtretten ihre allhier Zu Straßburg an der Blindengaß gelegene behausung in 2. Vorder und 1 hinterhauß, Hof, Hoffstatt und bronnen, bestehend mit allen deroselben übrigen Gebaüden, begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten, einseit neben weiland Jacob Säeman gew. Maurers Wittib, anderseit neben dem sogenannten bärenhof, hinten auf Kleinischer Kinder Garthen stoßend gelegen, so mit keinem bodenzinß und Real beschwerde beladen. Vor und um die Summ der 3000 Gulden, als um welchen Preis auch Er hochzeiter gedachte behausung samt Zugehörden sich und seiner Erben übernimmt, angesehen aber des hochzeiters Eltern so lang sie beede oder eines derselben an leben seÿn werden, sich den freÿen und ungestörten Genuß u. Gebrauch des einen vorder hauses neben dem bärenhof, des völligen hinterhauses, der helffte des Hofs, der helffte des Kellers und der helffte des holtzplatzes vorbehalten so hat Er hochzeiter versprochen, ihnen der Eltern vor die würcklich in Wohnung, Genuß und Gebrauch beziehende vordern behausung neben Säemann des Maurers Wb. helffte des Hofs, helffte des Kllers, Helffte des holtzplatzes u. Gemeinschafft des Bronnens auf nechstkommende Weÿhnachten da solcher Genuß anfängt, die helffte jener Überlassung Preises der 3000 fl. mit 1500 Gulden (…)
Straßburg Sambstags den 30. Novembris Anno 1782 [unterzeichnet] Phillipp Friedrich Meÿling als Hochzeiter, Barbara debsin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 5-v, n° 2)
1783 sind Dominica Septuagesima et Sexagesima proclamirt und dienstag den 25. Hornung in unserer Kirch copulirt worden Philipp Friedrich Maÿling der ledige burger und Schreiner; Meister dahier, Michael Meÿling, des Schreiner: Meisters und Burgers dahier, mit Frau Maria Salome geb. Rumelin ehel. erzeugter Sohn und Jgf. Barbara Debußin weil. Lorentz Debuß gew. Burgers und Ackersmanns in Hangenbietheim mit Barbara geb. Bilgerin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Phillipp Friederich Mayling als hochzeiter, barbara debßin als Hoch zeitrin (i 8)

Barbe Debus devient bourgeoise par son mari à titre gratuit pour bon comportement
1783, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 9-v
Barbara Debus von hangenbiethen gebürtig weÿland Lorentz Debus gewesenen burgers und Ackersmanns daselbst hinterlaßener fr. tochter, verheurathet mit Philipp Friderich Meigling dem hießig. burger und schreiner Mstr. erhaltet das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will dienen Zur E. E. Zunfft der Zimmerleuth, promisit d. 3. Aprilis 1783

Philippe Frédéric Meyling (ici Jean Frédéric) devient tributaire chez les Charpentiers en juin 1783.
1783, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 34-v) Dienstags den 17. Junii 1783. – Neuzünfftiger
Johann Friderich Meÿling, der Schreiner, Joh: Michael Maÿlings, des Schreiners und burgers alhier ehelicher Sohn producirt Stall Schein de dato 3.ten Aprilis jüngst, bittens ihne vermög deßelben, beÿ dieser Ehrsamen Zunfft gegen Erlag der Gebühr, und sub oblato præstanda Zu præstiren, als einen Zünftigen auf: und anzunehmen. Erkant, Gegen Erlag der Gebühr Willfahrt.

Philippe Frédéric Meyling et sa femme Barbe Debus hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du marchand de soieries Jean Frédéric Steinbach

1784 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 258
Mr Philipp Friedrich Meÿling der schreiner, H. Not. Philipp Ludwig Übersaal als geordneter curator sein Meÿling ehefrau Fr. Barbara geb. Debusin
in gegensein H. Johann Georg Jund des glaßers als gerichtlich bestellten vogts H. Johann Friedrich Steinbachs des seidenhändlers erzeugten kinder nahmens Anna Maria, Johann Jacob und Johann Friedrich – schuldig seÿen 300 guldin
unterpfand, des Ehemanns besonders die ihme zuständige ane der Blindengaß gelegene behausung, einseit neben H. Usinger dem beständer im kaufhaus, anderseit neben Seemann dem maurer hinten auff die Kleinische erben

Philippe Frédéric Meyling et Barbe Debus font dresser un état de leur actif et de leur passif pour que la femme puisse solliciter le bénéfice de cession. L’acte n’est pas terminé.
1786 (4.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1252) n° 519
Inventarium über Mr Philipp Friedrich Maÿling, des Schreiners und Fraun Barbarä Maÿling geb. Debßin, beeder Eheleuthen und brn. allhier einander in die Ehe dermalen besizender Nahrungen und hingegen an Passiv Schulden Zu bezahlen haben. Welche Inventur auf besonderes Ansuchen und begehren der Ehefraun, als welche um Salvirung ihres unveränderten Vermögens beÿ E. E. Kleinen Rath des Beneficium Cessionis Zu begeren für gemüsiget ist, unter assistentz Mr Jacob Häberlin des Kürschners u. brs. allhier, der Sie an Vogts statt hierzu angesprochen fürgenommen wurde (…) So geschehen in der allhier Zu Straßburg in der Blindengaß gelegenen und Zur helffte in des Ehemanns Mass gehörigen behausung Donnerstags d. 4.ten Maÿ Anno 1786.
(non terminé)

Catherine Rummel passe une convention avec Philippe Frédéric Meyling et sa femme Barbe Debus au sujet de la maison

1788 (14.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 209) n° 42
Arrangement – Salomé Rummel veuve de Jean Michel Meyling maître menuisier de cette ville, assistée de Jean Jacques Heberling Chamoisseur son gendre et David Werner revendeur
Et Philippe Frédéric Meyling menusier, son fils, et Barbe Debus sa femme, assistée des Sr Kobelt et Hartmann les deux assesseurs au petit Sénat
pour prendre des arrangements définitifs au sujet de la maison qui a été cédée audit Meyling fils par l’article 7 du contrat de mariage dressé par M° Stoeber
1. la veuve Meyling conservera sa vie durante la jouissance de ladite Maison et ses dépendances pour par elle l’habiter, la louer comme bon lui semblera à charge par elle d’entretenir ladite maison (…), 2. led. Meyling fils et sa femme continueront a jouir du logement dont ils ont joui et qu’ils occupent encore présentement dans ladite maison de même que les places, boutique, caves et aisances qui dépendent dudit logement moyennant un loyer annuel de 24 livres par quartier
(3 et 4, convention sur les hypothèques)

Philippe Frédéric Meyling et Barbe Debus font dresser un état de leur actif et de leur passif pour que la femme puisse solliciter le bénéfice de cession. Le mari propriétaire de la moitié de la maison a quitté la ville. La masse propre à la femme s’élève à 1 180 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 261 livres, le passif de 1 283 livres.

1788 (8. Aug.), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 653
Inventarium über Meister Philipp Friderich Meÿling des Schreiners und Fraun Barbarä Meÿlinginn gebohrne Debßin beede Eheleuthen und brn allhier dermalen besizende Nahrungen und hingegen Zu bezahlen habende Passiv Schulden auffgerichtet Anno 1788.
Welche Inventur auf ihr der Ehefraun besonderes Ansuchen und begehren unter assistentz Mr Jacob Heberlin des Kürschners und brs allhier den Sie an Vogts statt hierzu angesprochen, deswegen fürgenommen wurden weil Sie um Salvirung ihres unveränderten Vermögens beÿ E. E. kleinen Rath das beneficium Cessionis zu ergreifen gemüßiget ist, masen auch der Ehemann seit einigen tagen ausgetretten (…) So geschehen in einer alhier Zu Straßburg an der Blindengaß gelegenen Fr. Salome geb. Tommelin weil. H. Johann Michael Meÿling des gew. Schreiners brs. allhier Wb. des Ehemanns Mutter Zuständigen und disorths Zum theil lehnungsweise bewohnenden behausung Dienstag den 5. Aug. Anno 1788.

Bericht. So declarirt die Ehefrau beÿständlich eingangs gedacht das Sie ihre in die Ehe gebrachte Mittel zu Inventiren unterlaßen habe, Er könne aber dieselbe aus dem über ihrer Mutter weil. Barbaræ geb. Bilgerin Lorentz Debus des brs u. ackersmanns Zu Hangenbietenheim gew. Ehefrau verlaßenschafft de 1774. errichteten theil R. sodann aus dem über ihres erstbesagten Vaters hinterlaßene Erbtheil d. 1779 besagendes theil Register erwisen (…)
Eigenthum an einer behausung betreffend, so des Ehemanns Mutter Fr. Salome geb. Rummelin annoch lebenslänglich zu geniesen berechtiget. Neml. wie aus der copeÿlich enthaltener Eheberedung §. 7.mo ersichtlich, wurde dem Ehemann von deßen Eltern cedirt und abgetretten I. behausung in zweÿ Vorder häusern und einem hinterhauß hof hoffstatt und bronnen bestehend mit allen derselben übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden u. Rechten allhier zu Straßburg an der blindengaß einseit neben weil. Jacob Seemann gew. Maurers Wb. 2. s. neben dem sogenanten bärenhof hinten auf Kleinischer Kinder Garthen stoßend, so mit keinem bodenzinß und Real beschwerden beladen, vor und um die summ der 3000 Gulden, hievor hat derselbe die helffte mit 1500 Gulden nach der Mutter absterben in die mütterl. Erbschafft einzuschiesen masen Sie nach jener Eheberedung auch die helffte der behausung samt Zugehörden zu geniesen hat. Die übrige helfte solcher behausung aber ist sein des Ehemanns Mutter krafft droben allegirter vor H. Lacombe dem Königl. Not° passirten Verschreibung vom 14. Februarÿ A. 1788 dergestalten ins lebenslängl. Genuß überlassen worden daß die dagegen beede Eheleuthe um einen jährlich. zinß von 48 fl. in der behausung ihrer gewöhnlichen Wohnung wohnen laßen, auch die darauff hafftenden Capitalien als H. Joh: Michael Osterrieth Proc. in d E .E großen Rath auch anderer Gerichtssellen 1400 fl. die dem Sohn selbsten obigen 400 fl.jährl. à 4 pt° verzinsen, sodann die behausung in gutem bau Stand u. Ehren erhalte
Norma hujus inventarÿ. der Ehefrau unveränderte Guth, Sa. hausraths 51 lb, Sa. activ schulden 55 lb, Sa. Ergäntzung 1073 lb, Summa summarum 1180 lb
Dießmnach wird die übrige vorhandene Mass so in des Ehemanns Nahrung gehörig verzeichnet, Sa. hausraths 42 lb, Sa. Werckzeugs und holtz Zur Schreiner prof. gehörig 12 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguts 200 lb, Summa summarum 261 lb, -Schulden 1283 lb, passiv onus 1022 lb

Madeleine Barbe Mayling dont le père est sans domicilié connu épouse en 1812 le tonnelier Jean Georges Kaiser
1812 (14.5.), Strasbourg 5 (35), Not. F. Grimmer n° 7611
Contrat de mariage – Jean Georges Kaiser, garçon tonnelier, fils majeur de feu Pierre Kaiser, laboureur, et de feu Anne Roemer à Wellerstadt dans le royaume de Bavière
Madeleine Barbe Mayling, fille de feu Philippe Frédéric Mayling, menuisier, et de Barbe née Debus assistée de David Treuschel
n° 7608 dépôt du 12 mai – Jean Georges Kaiser garçon tonnelier demeurant rue du Limon n° 26, extrait du registre de baptêmes de l’église de Baiersdorf où il est né le 5 juillet 1779 baptisé
Enregistrement, acp 119 F° 156 du 20.5.

Mariage, Strasbourg (n° 219)
Acte de mariage célébré à neuf heures du matin le 16 May 1812. Jean George Kaiser, majeur d’ans, né le 5 juillet 1779 à Wellerstadt en Bavière, domicilié à Guebviller, Département du haut-Rhin, Tonnelier, fils de feu Jean Pierre Kaiser, cultivateur et de feu Anne Roemer, Madeleine Barbe Mayling, majeure d’ans, née le 10 novembre 1783 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Philippe Frédéric Meyling, menuisier, et de Barbe Debus ci présente et consentante (…) lesdits époux ont déclaré par serment qu’ils sont dans l’impossibilité de produire (…) l’épouse la preuve de l’absence de son père (signé) Johann Georg Kaiser, Magtlebirra mäyling (i 20)

Barbe Debus vend la maison au maître menuisier Jean Daniel Neustœckel moyennant 1 562 livres

1789 (5.11.), Chambre des Contrats, vol. 663 n° 354-v
Fr. Barbara Maylingerin geb. Debußin Philipp Friedrich Meyling des schreinermeisters zu gut geschiedene ehefrau
in gegensein Johann Daniel Neustöckel des schreinermeisters
eine behausung bestehend aus vorder, hinter und seiten gebäude, hoff, hoffstatt, bronnen mit allen derßelben übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Blinden gaß einseit neben Mr Jost dem kieffer, anderseit neben dem sogenannten Bären hoff, hinten auff der Kleinischen erben zuständigen garten – ihro der verkäuferin als die durch bescheid E.E. grußen raths vom 17. 9.bris 1788 und 27. maÿ jüngst in ihres Ehemanns mass in ansehung ihres in die Ehe gebrachten guth immittirt worden – (um 1400 fl., 700 fl. und 300 fl. capitalien verhafftet, geschehen um 3124 gulden

Jean Daniel Neustœckel devient tributaire chez les Charpentiers en 28 mai 1782
1782, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 23-v) Dienstags den 28. Maji 1782. – Neuzünfftiger E.R.
Joh: Daniel Neustöckel, der Schreiner und Burger alhier producirt Stallschein de dato 28.ten Maÿ 1782. bittend ihne Zufolg deßelben beÿ diser Ehrsamen Zunfft als einen Züftigen auf und anzunehmen, sub oblato præstanda Zu præstiren. Erkannt, Willfahrt, Juravit.

Fils du maître d’école Georges Frédéric Neustœckel, Jean Daniel Neustœckel épouse en 1786 Anne Catherine Weber, fille du coutelier Jean Jacques Weber : contrat de mariage, célébration
1786 (8.6.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 194
Eheberedung – persönlich erschienen H. Johann Daniel Neustöckel, leediger Schreiner Meister und burger alhier, Weil. H. Georg Friderich Neustöckel des gewesenen Schulmeisters und burgers alhier mit Frauen Maria Magdalena geb. Lautensackin ehelich erzeugt nach tod Verlaßener Sohn, so majorennis und seiner Rechten selbsten genieset, als hochzeiter ane einem
So dann die Ehr: und tugendsame Jungfrau Anna Catharina Weberin, Weil. H. Joh: Jacob Weber, des gewesenen Klein Meßerschmidts und burgers alhier mit auch Weil. Fraun Maria Elisabetha geb. Schlägelin ehelich erzeugt nach tod Verlaßene tochter, beiständlich H. Joh: Jacob Weber, des Klein: Meßerschmidts und burgers alhier, ihres leiblichen bruders, als die Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
auf Donnerstag den 8.ten Junii Anno 1786. [unterzeichnet] Johann Daniel Neustöckel als Hoch Zeiter, Anna Catharina Weberin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 91 n° 13)
1786 Mittwoch den 28. Junii wurden in unserer Kirch nach Vorhergegangener Zweÿmalicher Proclamation copulirt Mstr Johann Daniel Neustöckel led. Schreiner und burger alhier, weil. H. Georg Friderich Neustöckel gew. Schul: Lehrers zu S Aurelien und burgers alhier mit Fr. Maria Magdalena geb. Lautensackin ehl. erzeugter Sohn Und Jgfr. Anna Catharina, weil. Johann Jacob Weber gew. Meßerschmidts und Burgers alhier mit Fr. Maria Elisabetha geb. Schlegelin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Neustöckel als Hochzeiter, Anna Catharina Weberin als hochterin (i 94)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location rue de l’Ours. Ceux du mari s’élèvent à 305 livres, ceux de la femme à 661 livres.
1786 (25.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 870) n° 380
Inventarium über des Ehrsamen Meister Johann Daniel Neustöckel, des Schreiners, wie auch der Ehr: und tugendsamen Fraun Annæ Catharinæ gebohrner Weberin, beeder Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Vermögenschaften aufgericht in Anno 1786. (…) zu Beleb: und Erfüllung des 4.ten Punctens ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung nach Ordnung ersucht und inventirt worden – So geschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beiseÿn H. Joh: Jacob Webern des Klein – Meßerschmidts und Burgers alhier, der Ehefraun leiblichen Bruders und hierzu erbettenen beistandrs, in einer in dem sogenannten Thomä loch ane dem Barengäßlein gelegenen dißorts Zum theil Lehnungsweiße bewohnenden behaußung auf Dienstag den 25.ten Julii anno 1786.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns ind ie Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 67, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner – Handwerck gehörig 161, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 16, Sa. Schuld 36, Summa summarum 280 lb – Wird darzu gelegt die ihm gebührige helffte ane denen haussteuren 25 lb, Des Ehemanns gesambtes Vermögen 305 lb
Diesemnach so wir auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben Sa. haußraths 117, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. goldenen Rings 9, Sa. baarschaft. 503, Summa summarum 636 lb – Wird nun auch darzu gelegt die ihro ebenfalls gebührige helffte ane denen Haussteuren mit 25 lb, Der Ehefrau völlige Vermögenschaft 661 lb

Anne Catherine Weber meurt en 1820 en délaissant des héritiers collatéraux.

1821 (19.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 43), Me Hickel n° 774
Inventaire de la succession d’Anne Catherine Weber femme de Jean Daniel Neustoeckel, menuisier, décédée le 18 novembre dernier – à la requête dudit Neustoeckel usufruitier, de Jean Théophile Masské, homme de loi traducteur juré près le Tribunal Civil, curateur de la succession nommé le 4 juin de la présente
[Joint :] Vente de meubles par 1. Marie Madeleine Weber veuve de Jean Frédéric Walch teinturier, 2. Marie Madeleine Weber épouse de Jean Jacques Geiger opticien, 3. Elisabeth Weber fille majeure, 4. Marie Elisabeth Leininger veuve de Charles Zimmermann, tailleur d’habits, 5. Marie Dorothée Leininger veuve de Frédéric Charles Gérold, ramoneur, 6. Philippe Jacques Leininger, menuisier, garçon majeur, le 26 février 1823
Titres et papiers, Contrat de mariage reçu Schaeff le 8 juin 1786, inventaire des apports 25 juin 1786
Contrat de vente passé à la Chambre des contrats le 5 novembre 1789 par qlequel les conjoints ont acquis de Marie Barbe Debus femme séparée quant aux biens de Philippe Frédéric Mayling, ménuisier, une maison avec cour, puits et dépendances sise en cette ville rue des Aveugles n° 9, d’un côté le Sr Jost tonnelier, d’autre ma maison dite Baerenhof, derrière le jardin appartenant aux héritiers Klein, pour 3180 florins
immeuble, une vieille maison consistant en bâtiment de devant, latéraux et de derrière, cour, puits et autres appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Aveugles n° 9, d’un côté le Sr Rich garçon limonadier, d’autre un inconnu, derrière le S Koebelé peignier, estimée 2000 francs
dans la maison rue des Aveugles n° 9 – mobilier 698 fr (mobilier 282 fr, outils de menuisier 132 fr, (autres meubles), garde robe 79 fr – passif 8857 francs
Enregistrement, acp 153 F° 23 du 25.6.

Les créanciers de Jean Daniel Neustœckel font saisir la maison, vendue par adjudication judiciaire en 1822 à Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire, et à sa femme Philippine Frédérique Terrass

1822 (2.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 146, n° 7
Par devant le Tribunal Civil de Première Instance, vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison réellement saisie sur Daniel Neustoeckel, menuisier – Cahier des charges. Me Schneegans, avoué de Jean Frédéric Roederer, teinturier, en qualité d’héritier partiaire d’Anne Marie Kammerer décédée veuve de Jean Philippe Roederer, teinturier, ses père et mère, en qualité de cessionnaire de Jean Michel Osterrieth, avocat, Jean Kiefer, vitrier, tuteur des enfants mineurs délaissés par Michel Mayling, menuisier, suivant transport passé à la Chambre des Contrats le 21 décembre 1789 de deux obligations passées à la Chambre des Contrats en date des 3 juillet 1783 et 6 juillet 1784, est créancier de Jean Daniel Neustoeckel d’unes somme de 4583 francs
à Me Schneegans moyennant 5500 francs – Déclaration de command le 13 décembre 1821, déclare avoir enchéri pour Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire de la cinquième division, et Philippine Frédérique Terrass
Désignation de l’immeuble, une maison sise à Strasbourg rue des Aveugles n° 9, d’un côté (-) et d’autre (-), ladite maison construite en bois de charpente et maçonnerie consiste en rez de chaussée et un étage éclairé sur la rue par quatre croisées et dans la cour par cinq. Elle a son entrée par une grande porte cochère a droite en entrant dans la cour se trouve un petit bâtiment formant une habitation au fond de la cour il y a un autre bâtiment construit comme le premier et consistant également en rez de chaussée et un étage prenant jour dans la cour, à droite de ce bâtiment il y a une pompe
Mise à prix 3000 francs, Me Schnegans demeurant Vieux Marché aux Vins n° 86, fait le 13 août 1821
Adjudication préparatoire le 11 octobre, Adjudication définitive le 13 décembre

Fils du farinier Jean Michel Silberzahn, Georges Michel Silberzahn épouse en 1817 Philippine Frédérique Terrass, fille du juriste Guillaume Terrass
Mariage, Strasbourg (n° 201)
Acte de mariage célébré à dix heures du matin le 3 juillet 1817. George Michel Silberzahn, mineur d’ans, né en légitime mariage le 3 juillet 1793 à Strasbourg, Emploïé du génie, fils de Jean Michel Silberzahn, farinier en cette ville, et de Catherine Hiss, ci présente et consentante, et Philippine Frédérique Terrass, mineure d’ans, née en légitime mariage le 8 Frimaire an VI de la République française à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de feu Guillaume Terrass, homme de loi décédé en cette ville le 2 Vendémiaire an XIV de la République française et de feu Wilhelmine Louise Laemmerhird, décédée en cette ville me 3 mai 1812 (signé) George Michel Silberzahn, Fridika teres (i 2)

Testament olographe de Georges Michel Silberzahn
1861 (28.2.), M° Becker
Dépôt du testament olographe de Georges Michel Silberzahn
acp 496 (3 Q 30 211) f° 43 du 1.3.
Testament olographe – Georges Michel Silberzahn, 3 mars 1846
Enregistrement de Strasbourg, ssp 133 (3 Q 31 632) 15-v du 1.3.

Georges Michel Silberzahn meurt en 1861, propriétaire d’une maison à l’angle de la rue de la Nuée Bleue et du quai Schœpflin
1861 (13.4.), Strasbourg 9 (121), Not. Becker n° 9007
Inventaire après le décès arrivé le 29 janvier 1861 de M. Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite, demeurant à Strasbourg
L’an 1861 le Samedi 13 avril à trois heures de relevée, à la requête 1) de Mad. Frédérique Philippine Terrass, demeurant à Strasbourg veuve de Mr Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite en la même ville, Agissant en son nom personnel 1) à cause de la communauté légale de biens qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son mari défunt, 2) comme légataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession de sondit mari en vertu du testament olographe de ce dernier, en daté à Strasbourg du 3 mars 1846 déposé pour minute à M° Becker l’un des notaires soussignés suivant acte de dépôt dressé par lui le 28 février dernier (…) 2) Et de M. Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, demeurant audit Strasbourg agissant comme habile à se dire et porter seul et unique héritier de feu M. Silberzahn susnommé son père (…)
trouvés dans le logement qui était le domicile conjugal des époux Silberzahn et que Mad. veuve Silberzahn occupe encore en ce moment qui fait partie d’une maison dépendante de ladite communauté sise à Strasbourg, rue de la Nuée bleue numéro 1, en faisant observer que M. Silberzahn père est décédé le 29 janvier dernier à l’asile d’aliénés de Stephansfeld, commune de Brumath mais que les effets qui étaient à son usage audit asile ont été transportés au susdit logement

Titres et papiers. Cote 1°. Mariage des époux Silberzahn, Héritages recueillis par le mari. Les époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le juillet 1817. Ils n’ont pas fait de contrat de mariage (…) Pendant le mariage Mad. Silberzahn n’a recueili aucune succession ni aucun don ou legs. Mais M. Silberzahn a recueilli sa part dans la succession se ses père et mère (…)
Cote 2. Maison à Strasbourg. 31 pièces dont la première est l’un des originaux d’un contrat de vente sous seing privé en date à Strasbourg du 15 novembre 1835, portant la mention Enregistré à Strasbourg le 13 janvier 1836 (…) et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 du même mois volume 301 numéro 32
d’une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue de la Nuée bleue N° 12 actuellement N° 1 quai Schoepflin (…)
acp 498 (3 Q 30 213) f° 9 du 19.4. (succession déclarée le 20 juillet 1861) Communauté, mobilier estimé à 1797 succession, garde robe 146
acp 500 (3 Q 30 215) f° 98 du 26.7. (vacation du 17 juillet) Communauté, Mobilier 1770, argent comptant 1950, loyers 232, fermage 74, créances 13.000, fermages communs 48, arrérages de pension 75, 25 actions de commerce et d’industrie 8125, douze actions Miréo 30.366, intérêts 294, douze actions de la compagnie du chemin de fer de l’Est 7165, 21 obligations du chemin de fer 10.187, deux actions Klose et compagnie 10.111, intérêts 140, autres créances 7903
Une maison à Strasbourg quai Schopeflin N° 1
40 ares 81 terres ban de Bischheim et Hoenheim
79 ares 23 terres à Mundolsheim
10 ares 35 terre à Niederhausbergen
10 ares 62 terres à Lampertheim
10 ares 20 terres à Grieshiem
moitié de 2 ares 12 terre à Mundolsheim, 59 ares 97 terre à Niederhausbergen, 38 aees 92 terres à Souffelweyersheim indivis avec Mr Seinguerlet

Acte de notoriété sur Georges Michel Silberzahn
1861 (1 août), Strasbourg 9 (122), Not. Becker n° 9139
Notoriété – (…) qu’ils ont bien connu M. Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire et commis entretenu d’intendance militaire en retraite, précédemment employé du génie, domicilié à Strasbourg et Mad. Philippine Frédérique Terrass, son épouse survivante demeurant audit Strasbourg,
Que mondit Sr Silberzahn est né à Strasbourg le 3 juillet 1793 (…), Que ladite dame Silberzahn est née en la même ville le 18 frimaire de l’an VI de la République (…), Que lesdits époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le 3 juillet 1817 (…) Que mondit sieur Silberzahn est décédé à Brumath le 29 janvier dernier (…)
Que le défunt a fait des dispositions de dernière volonté au profit de son épouse sirvivante, suivant testament olographe en daté à Strasbourg du 3 mars 1846, enregistré à Strasbourg le premier mars 1861 folio 15, déposé audit M° Becker suivant acte de dépôt en date du 28 février dernier (…), Que l’inventaire après décès de M. Silberzahn a été dressé par ledit M° Becker en date au commencement du 13 avril dernier (…)

Liquidation et partage de la succession
1862 (1.3.), Strasbourg 9 (123), Not. Becker n° 9351
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Georges Michel Silberzahn et Frédérique Philippine Terrass
Ont comparu 1) Mad. Frédérique-Philippine Terrass, sans état, demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite en la même ville, Agissant tant comme ayant été légalement commune en biens avec sondit mari, à défaut de contrat de mariage, que comme légataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession du même, aux termes du testament olographe dudit défunt en daté à Strasbourg du 3 mars 1846 déposé pour minute audit M° Becker suivant acte de dépôt dressé par lui le 28 février dernier (…) 2) Et de M. Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, demeurant audit Strasbourg, agissant comme seul et unique héritier de feu M. Silberzahn susnommé son père (…) ainsi qu’ui est justifié par l’intitulé de l’inventaire après le décès de M. Silberzahn père dressé par ledit M° Becker en date au commencement du 13 avril dernier

Observations préliminaires. Les époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le juillet 1817. Ils n’ont pas fait de contrat de mariage (…)
Chapitre 1° Liquidation de la communauté d’entre les époux Silberzahn. Masse active. Article 2. Une maison
$ 607
Chapitre 5. Abandonnements. I. A Mad. Silberzahn en pleine propriété
2. La maison avec dépendances sise à Strasbourg désignée à l’article 2 de la même masse, estimée 50.000 francs
acp 508 (3 Q 30 223) f° 30 du 6.3. (succession déclarée le 26 juillet 1861) Communauté. Masse active. 1) mobilier 1797
2) Une maison à Strasbourg rue de la Nuée bleue N° 1, estimée 50.000
3) 30 ares 77 terres ban de Bischheim et Hoenheim, 1250
4) 83 ares 95 terres à Mundolsheim, 4800
5) 10 ares 35 terre à Niederhausbergen, 400
6) 25 actions de l’établissement du commerce et d’industrie Etat d’Autriche 8125
7) 12 de la caisse générale des Chemins de fer à Paris, 480
8) 12 actions de la compagnie du chemin de fer de l’Est, 7051
9) 21 obligations du chemin de fer de Strasbourg à Bâle, 10.143
10) 2 actions Klose et compagnie 9959
11) le Sr Silberzahn fils est comptable de 9000
12) la veuve est comptable de 1419, Total 104.426 francs
Masse passive 736, Reste 103.689 francs
Succession de Mr Silberzahn, moitié de la communauté 51.844, garde robe 146, Total 51.991
Masse passive 133, Reste 51.858
Compte de Mde Silberzahn, elle a fait recette de 1419, dépense de 880, elle reste comptable de 538 francs
Droits des parties et abandonnements (…)

Georges Michel Silberzahn et Philippine Frédérique Terrass cèdent la maison à leur fils Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn lors de son mariage avec Caroline Amélie Schultz

1859 (22. Xbr), Strasbourg 9 (118), Not. Becker n° 8489
Contrat de mariage – Furent présents Mr Frédéric-Auguste-Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, fils majeur de M. Georges-Michel Silberzahn ; propriétaire, et de Mad. Philippine-Frédérique Terrass, son épouse, tous demeurant à Strasbourg, M. Silberzahn fils stipulant pour lui et en son nom personnel, à cause au mariage dont il va être question, d’une part, Mr et Mad. Silberzahn père et mère du futur époux (…) stipulant tant pour assister leur fils susnommé qu’à cause de la dot qu’ils lui constitueront ci-après Aussi d’une part
Mad.lle Caroline-Amélie Schultz, sans état, fille majeure de Mr Jacques Schultz, propriétaire et de Mad° Marie-Barbe Blet son épouse, tous demeurant audit Strasbourg, Mlle Schultz stipulant aussi pour elle et en son nom personnel à cause du dit mariage, d’autre part, Mr. et Mad° Schultz (…) stipulant tant pour assister Mlle Schultz leur fille susnommée qu’à cause de la dot qu’ils lui constitueront ci-après Aussi d’autre part

Article trois. En considération du dit mariage, les père et mère du futur époux, la femme autorisée à cet effet par son mari, font, par les présentes, donation à titre de dot conjointement et par moitié, en avancement de leurs successions futures, à M. Silberzahn, leur fils, ce acceptant, de l’immeuble ci-apès désigné savoir
Une maison, consistant en différents bâtiments avec cour, puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des aveugles n° 14, précédemment n° 9, tenant d’un côté au Sr Reich, de l’autre en partie à la Dlle Matt et en partie au Sr Denu, pardevant à ladite rue et par derrière au Sr Kiener. (…) Cette maison avec ses dépendances est évaluée à raison d’un revenu annuel de 700 francs à un capital de 14.000 francs. Mr et Mad° Silberzahn, donateurs, sont devenus propriétaires de l’immeuble ci-dessus désigné au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite conjointement dans l’expropriation forcée qui a été poursuivie contre le S Jean Daniel Neustoeckel, menuisier demeurant à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un jugement d’adjudication rendu à la barre eu tribunal civil de Strasbourg le 13 décembre 1821 et d’une déclaration de command faite le même jour au greffe du dit tribunal, transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 2 janvier 1822, volume 146 numéro 7 et inscrit d’office le même jour volume 149 numéro 370. Le prix d’adjudication de ladite maison, outre différents frais priilégiés qui étaient à payer par les adjudicataires en sus du prix, se montait à 5500 francs (…) le donataire pourra faire et disposer de l’objet de la donation qui précède, comme de chose lui appartenante en pleine et entière propriété, au moyen des présentes et à compter du jour de la célébration du dit mariage
acp 484 (3 Q 30 199) f° 25-v du 27. Xbr – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en 1) mobilier estimé à 230, 2) créances 3797, 3) 50 francs de rentes 3%
Donation par les conjoints Silberzahn au futur époux leur fils ce acceptant en avancement de leur succession, d’une maison sise à Strasbourg rue des aveugles N° 14 d’un revenu de 700, capital 14.000 francs
Donation par les conjoints Schultz à la future épouse leur fille, ce acceptant, en avancement d’hoiroe 1) d’un mobilier estimé à 1318, 2) d’une somme de 4000 francs, 3) 10 ares 36 de terre ban d’Olwisheim au canton Kutzthal d’un revenu de 40, capital 800
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfant

1860 (19.1.), M° Becker
Consentement par Georges Michel Silberzahn propriétaire et Philippine Frédérique Terrasse sa femme à Strasbourg au mariage de son fils Frédéric Auguste Silberzahn, clerc de notaire avec Caroline Amélie Schultz les deux à Strasbourg
acp 484 (3 Q 30 199) f° 97 du 23.1.

Le clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn et Caroline Amélie Schultz vendent la maison au journalier Louis Marxer et à sa femme Anne Marie Wernert

1864 (2.8.), M° Becker (minutes en déficit)
Vente par Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, et Caroline Amélie Schultz sa femme à Strasbourg
à Louis Marxer, journalier, et Anne Marie Wernert sa femme à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue des aveugles N° 14, moyennant 17.000 francs dont 4000 francs payés
Origine, Donation reçue Becker le 22 décembre 1859
acp 535 (3 Q 30 250) f° 7 du 4.8.

Originaire de Waldolwisheim, Louis Marxer épouse en 1841 Anne Marie Wernert, originaire de Bossendorff
Mariage, Strasbourg (n° 130)
Du 17° jour du mois d’avril 1841 Acte de mariage de Louis Marxer majeur d’ans né en légitime mariage le 21 août 1817 à Waldolwisheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier tanneur, fils de feu Jean Marxer, Journalier décédé à Waldolwisheim le 28 janvier 1825 et de feu Marie Gabriel décédée au même lieu le 12 mai 1828 et de Anne Wernert, majeure d’ans, née en légitime mariage à Bossendorff (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu François Wernert, Cordonnier décédé à Bossendorff le 3 novembre 1834 et de feu Anne Schneider, décédée au même lieu le 10 septembre 1828 (signé) Ludwig Marxer, Anna Wernert (i 31)

Extrait des registres de population
600 MW 300 rue des aveugles 14 / 4 – (2 Janv. 1865) rue des aveugles 14 (i 283)
Marxer, Louis, Waldolwisheim 18, h.m., journalier (à Str. depuis) 39
id. née Werner, Marie Anne ; Bossendorf 16, f. m., sa femme(à Str. depuis) 36
id. Marie Louise Joséphine Strasbourg 42, f., leur fille(à Str. depuis) s.n. – voir femme Renner

La maison revient ensuite à leur fille Marie Louise Joséphine Marxer qui épouse en 1860 le serrurier Georges Renner

Mariage, Strasbourg (n° 14)
Du 10° jour du mois de janvier l’an 1860. Acte de mariage de Georges Renner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 décembre 1838 à Haguenau (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier serrurier, fils de Joseph Renner, maître serrurier, et d’Agnès Riemmer, conjoints domiciliés à Haguenau ci présents et consentants, et de Marie Louise Joséphine Marxer, mineure d’ans, née en légitime mariage le 18 mars 1842 à Strasbourg, domiciliés à Strasbourg, repasseuse, fille de Louis Marxer, journalier, et d’Anne Werner, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (…) il n’a âs été dressé de contrat de mariage (signé) Renner, Marxer (i 10)

Marie Louise Joséphine Marxer se remarie en 1887 avec l’imprimeur Emile Bauer
Mariage, Strasbourg (n° 290)
Straßburg am 7 Mai 1887. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Buchdruckereibesitzer Emil Bauer, (…) katholischer Religion, geboren den 28. Februar des Jahres 1839 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des verstorbenen Tapezierers Peter Alexander Bauer, zuletzt wohnhaft Zu Straßburg und der Caroline Klenschi, ohne Beruf, zu Straßburg, 2. die Marie Luise Josephine Marxer, ohne Beruf (…) katholischer Religion, geboren den 18. Maertz des Jahres 1842 zu Straßburg, daselbst wohnhaft, Wittwe des Brunnenmachers Georg Renner, gestorben zu Straßburg den 20. Februar verflossenen Jahrs, eheliche Tochter des verstorbenen Eigenthümers Ludwig Marxer, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Anna Wernert, ohne Beruf, zu Straßburg


Maison (a)

La maison voisine vers le sud appartient à des campagnards de Gougenheim qui la vendent en 1624 à l’orfèvre Joachim Brackenhoffer au profit duquel elle reste hypothéquée lors de la vente au farniner Georges Litmann. Manant, le soldat de la garde Adam Keller achète en 1663 une maison délabrée avec la permission des Conseillers et des Vingt-et-Un. Jean Michel Braunwald la réunit en 1682 à la maison voisine qu’il possède déjà.

Les deux actes en italiques ont sans doute trait à la maison bien que les tenants et aboutissants diffèrent de ceux cités par la suite
Obligation à laquelle fait référence l’acte suivant. Thiébaut (fils de) Sébastien (Bastians Dieboldt) de Furdenheim se porte garant de son fils Jean (fils de) Thiébaut (Dieboldts Hanns) d’Osthoffen

1615 (ut spâ [iij Martÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 110-v
(Inchoat. in Proth. fol : 2) Erschienen Dieboldts hannß Vonn Osthoffenn
hatt bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit herrn Frantz Beüring des schaffners burgers zu Straßburg – schuldig sige 40 pfund pfenning Straßburger
Vnd zu deßen Zu mehrer sicherheit & So Ist Auch Persönlich Erschienen Bastians Dieboldt vonn Virdenheim sein des bekhenners vattern hatt sich für sich & mit sampt Ihme dem bekhenner seinem sohn zu einem rechten bürgen mit und selbß schuldner vnd selbß Zahlen vnver: gesetzt und gemacht
[in margine :] disse Verschreibung Ist vß geheÿß beed parth. wid. cassirt vnd abgethan wegen seines Newen contracts p.ut. in Reg. 1617. fol: 156. Act. 28. Martÿ Anno 1617

Jean (fils de) Thiébaut (Dieboldts Hanns) d’Osthoffen et sa femme Marguerite hypothèquent au profit de François Beuring le tiers de la maison dont les deux autres tiers appartiennent à ses frères et sœurs

1617 (xxviij. Martÿ), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 156
(P. fol: 162.) Erschienen Diebolds hannß Von Osthoffenn vnd Margred sein ehelich haußfr. haben unver. sich für sich & obligiret
Geg. herrn Frantz Beüring burger, zu Straßburg demselb. & Zuzinsen
ij lb x ß d gelts Ablösig mit L lb Vonn vff vnd Abe Fünff viertzel Reben Im Osthoffen Bann (…)
Item der drittetheil Ane hauß vnd hoffstatt Alhier Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß einseit n. d. Beren hoff, And.seit neben einem Zimmermann, davon die vberig Zwen drittetheil sein des Bekhenners geschwustrig für ungetheilt gehörig, Welche behausung zuuor noch verhafftet gß vmb 1 C lb
(vide cassaturam in Reg. 1615. fol. 110.)
[in margine :] Erschienen Anthoni Spach der Schneider burger Zu Str. alß dem dieße Völlige Schuld sum der 50 lb d von seinen Uberigen mit geschwisterd. eigenthümlich. vbergeb. word. mit beÿstand Jacob Greisels burgers alhie seiner noch ledig. Schwester Susannæ Spächin Vogts, hatt in gegensein Michel Bechtels von Osthoffen, weÿl. diebolds Hanß. seel. Nachkommmen bekannt (…) Act. d. 24. 8.bris 1643.

Anne veuve de Jean Diebold de Gougenheim hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Joachim Brackenhoffer

1623 (ut spâ [x. Martÿ]), Chancellerie, vol. 449 f° 256
(Inchoat. in Prot. fol. 194.) Erschienen Anna weÿland hannß Dieboldt von Gugenheim selig. Witwe mit beÿstand Hannß Jacob Hetzell des Zimmermanns burgers Zu Straßburg Ihres vogts
hatt in gegensein h. Joachim Brackenhoffers goldarbeithers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen L. lb
vnderpfand hauß, hoffstatt, mit Allen Ihren geb. & glg. Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß einseit neben Jörg Reppen dem zimmermann, anderseit neben jörg Segmehl den Weber hind. vff ermelt Segmehl stoßend

Thiébaut Veltin (Veltins Diebold) de Gougenheim et sa femme Agnès, le tuteur des enfants de l’employé des Sept Jean Angst et de sa première femme Anne vendent la maison à Joachim Brackenhoffer

1624 (xvj. Martÿ), Chancellerie, vol. 452 f° 135
(Inchoat. in Prot. fol. 90) Erschienen Veltins Diebold von Gugenh. vnd Agneß sein eheliche haußfr. diesse für sich selbst, So dann Arbogast Schmÿdt pflaster meÿster burger Zu Straßburg alß vogt hannß Angsten des Sübener Knechts Khund. von weÿland Anna seiner erst. haußfr. selig erzielt vögtlich. weÿß (verkaufft)
h. Joachim Brackenhoffer burger Zu Straßburg
hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihr. geb. & geleg. Inn d. Statt Straßburg, Inn d. Blind. gaß. einseit neb. Jörg Reppel dem Zimmermann, And.seyt n. Jörg Segmehl den leÿnen weber vnd dieboldt Wildt, hind. vff N. N. stoßend, für freÿ led. & Vnd ist disser Khauff zugang. v. besch. für vnd vmb 105 pfundt

Le fabricant de chausses Jean Angster épouse en 1606 Anne, fille du soldat de la garde Jean Hummel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 185)
1606. Doîca 4. post Epiphan. 2. Febr. Hans Angster d. hoßenstricker, Anna, Hans Hummel des quardi knechts am steinstrasser thor Tochter. Eingesegnet Mont. d. 10. Febr. (i 97)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 30-v, n° 1) 1608. dominica IIII Epiph. 2. Februarÿ. Hanß Angster der hoßenstricker, J. Anna, Hanß Hummel des Soldaten vnter dem Steinstraßer Thor alhie Eheliche Tochter. Ist Zum Jungen S Peter eingesegnet worden (i 33)

Joachim Brackenhoffer vend la maison au farinier Georges Littmann

1629 (24. feb.), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 123
(Protocollat. fol. 52.) Erschienen d. Ehrenv. fürsichtig vnd weiß herr Joachim Brackenhofer xxj. (verkaufft)
Georg Lidtmann dem Meelman alhie
Ein behausung sampt deren hofstat v. allen & alhie in der Blind.gaß neben Georg Rappert Zimmermann & neben Hanß Seegmüller Leinenweber, hind. vf erstbesagten Seegmüller die gantz ledig eÿg. vnd ist der Kauff geschehen per 150. lb. d daran vff Johannis Baptstæ nechstkommend da dann der Kauff auch vß vnd ergehen solle (…)

Boulanger à l’Œuvre Notre Dame, Georges Littmann épouse en 1606 Anne, fille du maréchal ferrant Jacques Sultzer de Winterthur en Suisse
Mariage, cathédrale (luth. p. 178)
1624. Georg Littman pfister auf der frawenhauß vnd Anna Jacob Sultzer des schmidts zu winttethurn im schweitzerland tochter, eingesegnet montag 21. Junÿ (i 94)

Anne, veuve de Georges Littmann, épouse en 1636 le farinier Etienne Meyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 35-v)
1636. dominica 1. Adventus. Stephan Meÿer d. Meelman, Anna Georg Litman deß Meehlmans wittib. 5. Xbris (i 37)

Le boulanger Etienne Meyer avait épousé en premières noces Anne, fille du charretier Jean Heuss d’Ulm
Mariage, cathédrale (luth. p. 115)
1621 Stephan Meyer der weisbeck, Steffan Meyer des grempen. sohn, vnd Anna Hans Heüssen des fuhrmans Zu Ulm e. tochter, eingesegnet Zinstag den 10. Apr. (i 62)

Anne Sultzer femme d’Etienne Meyer meurt en délaissant deux filles de son premier mari Georges Littmann. Elle a en outre adopté le fils issu du premier mariage du veuf avec Anne Heus. La maison rue des Aveugles est un bien propre aux héritiers, celle rue de Schiltigheim est un bien de la communauté. La masse propre au veuf est de 1 livre, celle des héritiers de 48 livres. L’actif de la communauté s’élève à 22 livres, le passif à 78 livres.

1642 (23.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 11) n° 7
Inventarium vndt beschreibung aller Haab Undt nahrung, so weÿl. die Ehrn: und tugendsame fr. Anna Sultzerin, deß Ehrenhafften Stephann Meÿers, Meelmanns, burgers alhie Zu Straßburg haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem aus dießer welt tödlichen hinscheÿden hinder ihre verfallen, Welches vff freundliches ansuchen erfordern undt begehren deß Ehrenhafften Meister Hannß Maaßen Schneiders, burgers alhie, als Margarethæ vndt Marthæ, der ietz abgeleibten frn seel. mit weÿl. Mr Georg Littmann, auch geweßenen Meelmann burgern alhie Ihrem vorogen haußwürth seel. ehelich erziehlter hinderlaßener beeder döchtere, So dann Caspar Geÿgers,färbers, burgers alhie, als geschwornen Vogts Johannißen, deß ietzigen Wittwers und weÿl. Annæ Mariæ Heußin seiner erstern haußfrau seel. ehelich erziehlten Söhnleins, welches aber die ietz abgeleibte fr. seel. adoptirt vnd ane Kindtstatt angenommen, undt alß ihr d. fraw seel. adoptirter vndt ab intestato hind.laßen nechster erben durch den wittwer obbemelt geäugt und gezeigt (…) So beschehen vff Mittwoch den 23.t Martÿ A° 1642

Inn einer alhie in d. Statt Straßburg oben an d. Blindengaßen gegen den Roth. Kreutz vber gelegenen Behaußung, so H Johann Wenckern 13.nern alhier von weÿl. Henrich Rohten, deß Kürschners, burgers alhie seel. Erben an sich erganth. d. wittwer aber ietzo lehnungsweiß bewohnt, ist befund. word. wie volgt.
Vff der Andern Bühnen, vor d. Cammer A, Inn d. Cammer B, Vor dießer Cammer, Inn d. Cammer C, Inn der undern Stuben, Im vndern haußöhren, Inn der Kuchen,, Im Keller
Eÿgenthumb ane Heüßern (E.) Item hauß vnd hoffestatt mit allen Ihren gebeüwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörd. rechten vnd gerechtigkeiten gelegen in d. Statt Straßb. in d. Blindengaß, 1. s. neben hanß Mooß. dem Schneid. 2.s. neben Georg Hellern dem amblungmach. hind. vff Heinrich Fleischman den Leinenweber stoßend, dauon gehen Jahrs vff Johs. Baptæ 4. lb. gelts H. Joachim Brackenhofern ietz Regirednem H Amstr. alhie, ablößig in hauptgutt mit 80. lb d. sonst ledig eigen, hiehero angeschlagen p. 20. lib. d. Darüber sagt j. t. P. Kauffbbr. mit d. St. Str. anhangendem Contract Insigel dat. den 24. Febr. A° 1629. Inhaltts wie Georg Littmann d. ietz v.storbenen frau seel. vorig. haußwürth seel. vorbeschribene behaußung von obwohl ehrenermeltem H. Amstr Brackenhoffer erkaufft sige mit N° 1
(Th.) Item d. halbe theil ane hauß, hoffstatt, höfflin vnd gärthlin ane dem Roßmarckh in d. Schildtsgassen (…)
Bericht ane statt deß Wittwers unveränderten Gutts Ergäntzung. Zuwissen, demnach mann auch Zur Ergäntzung deß wittwers unveränderten Gutts kommen, d. man Zwahr nach anleithung deß vber weÿl. frn Annæ Magdalenä Heußin seiner ersten haußfrn. seeL. V.laßenschafft in A° 1636. auffgerichteten Inventarÿ befunden (…)
Ergäntzung der Erben unveränderten Gutts. Auß dem vber weÿland Mr Georg Littmanns geweßenen Meelmans vndt Burgers Zue Straßburg seeligen ietz abgeleibten frauen vorige haußwürts seel. V.laßenschafft auffgerichtetem Inventario
Sa. des Wittwers unveränderten haußraths 42, Sa. Silbers 8, Sa. guldenen Rings 8 ß, Summa summarum 51 lb – Schulden 50 lb, Nach deren Abzug 1 lb
Sa. der Erben unveränderten haußraths 19, Sa. Guldenen Ring 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 20, Summa summarum 42 lb – Schuld 90 lb, Übertrifft also die Schulden die unveränderte Substantz vmb 48 lb
Sa. Theilbahren haußraths 7, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 15, Summa summarum 22 lb – Schulden 78 lb, Übertreffen also die Schulden die nahrung vmb 56 lb
Beschluß summa 115 lb

Partage des biens de Georges Littmann entre ses deux filles
1649 (28. 9.br), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 18) n° 29
Lüfferung vndt Abtheilung Weÿland Georg Lidtmanns, geweßenen Meelmanns vndt burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßene beede döchter vätterlichen Guths.
Zuwißen, demnach weÿl. Anna Sultzerin, dermahlen Stephan Meÿers, Meelmanns, burgers alhie Zu Straßburg haußfraw seel. In A° 1642 Göttlichen willen nach Zeittlichen todts verblichen, deroselben Verlaßenschafft auch in recht vndt gebührend. Zeitt Inventirt vndy beschrieben, vnd durch Jeremiam Ursinum den Notarium ein ordentlich Inventarium darüber auffgerichtet vnd verfertiget worden (…)

Marguerite Littmann épouse en 1655 l’aiguilletier Jean Christophe Rauscher
1655 (3. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 517 n° 298-v
(Eheberedung) Erschienen hannß Christoph Rauscher der Nestler und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Annæ weÿl. hannß Rauschers deß Nestlers und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßener wittibin seiner Mutter, wie auch Aurelÿ Gerungß deß Thurnhüeters ihres Vogts, und hannß Conrad Rauschers deß Nestlers seines Bruders an einem,
So dann Jungfr. Margaretha, weÿl. Georg Lidmanns deß Meelmanns und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. hinderbliebene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand hannß Moosen deß Sigristen zum alten St. Peter, ihres Vogts am andern theil

Le tuteur de Marthe Lidmann fille de Georges Littmann vend en 1663 au soldat de la garde Adam Keller et à sa femme Anne Marie la maison hypothéquée au profit d’Elie Brackenhoffer

1663 (31. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 528 n° 484-v
(Prot. fol. 61.) Erschienen Hannß Moos der Sigrist Zum alten St Peter alß Vogt Marthä weÿl. Georg Lidmanns geweßenen Meelmanns nunmehr seel. hinderlaßenen döchterleins
in gegensein Adam Kellers deß guardi Knechts und Annæ Mariæ beÿd. Eheleuth
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie in der Blindengaßen einseit neben obgemeltem Hannß Moosen, anderseit neben weÿl. Georg Hellers seel: wittib, hinden vff weÿl. Henrich Fleischmanns seel. wittib stoßend gelegen, welche Behaußung umb 80 lib Capital und j. lb Marzahl dem Ehrenvest: From: und wohlweÿsen H Eliæ Brackenhoffern deß beständigen Regiments der herren Fünffzeh. verhafftet (übernohmen) – umb 4 lib. Jedoch der gestalten, daß der verkauffende Vogt den kauffend. Eheleuth. /:weilen Sie die Behaußung sonst nicht haben Kauffen wollen:/ den offen, die fenster und läden außbeßern und solch. baw Costen von dießen 4. lib. abgehen

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un non bourgeois après avoir nommé une députation pour examiner l’affaire. La commission constate que la maison est en mauvais état mais que les parties tiennent à passer contrat.

1663, Conseillers et XXI (1 R 146)
(f° 139) Montag den 17. Augusti – Adam Keller wegen haußkauff
Adam Keller, Musquetirer beÿ hiesiger guarnison überreicht per Wilden Vnderth. supplication, bitt Weilen er Vorhabens eine Hanß Moßen des Sigristen Zum alten S Peter Vogts Kindt gehörigen Vndt in der blindengaßen gelegener behaußung p. 170. fl. an sich Zu Kauffen, Vmb Obrigkeitlichen consens. Erk. Soll waß es für ein beschaffenheit damit habe bericht eingezogen werden, Vnd sindt Zu dem ende Deputirt worden H. XV. Faust et H. Voltz.

(f° 141) Montag den 24. Augusti – Adam Keller weg. haußkauff
H. XV. Faust ref: Weilen den 17. huius Adam Keller Musquetirer beÿ hiesiger guarnison beÿ Mhh. supplicando einkommen, Vndt Vmb Obrigkeitlichen consens daß er eine behaußung in der blindengaßen gelegen an sich erkauffen mögte, gebetten, Vndt darauf Ihme beneben H. Voltzen befohlen worden, waß es für ein beschaffenheit damit habe information ein Zu Ziehen, Alß hätten Sie den augenschein eingenohmen, Vndt daß häußlein sehr bawfällig Vndt Von schlechtem werth befunden, Weilen mann aber den kauff beederseits Zu halten begehrt, alß, stünde es lediglich darauf. Mh. deren consentiren wolten. Erk. Willfahrt.

Fille du fabricant de chausses Martin Bogner, Anne Marie Bogner épouse en 1638 le remueur de grains Jean Bechtold.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 40)
1638. Hannß Bechtold d Kornwerffer alhier J. Anna Maria Martin Bogner deß Hoßenmach. hinderlaßene tochter, 29. Jan. (i 41)

Elle se remarie en 1641 avec le soldat Adam Keller
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 54-v) 1641. Sambstag d. 3. Aprilis. Aus Erkantnus eines Ersam Rhats seind in die Kirch gefürt Undt eingesegnet Worden Adam Keller der Soldat, Anna Maria Hans Bechtels des Kornwerffers S. Wittib (i 56)

La femme d’Adam Keller qui est en poste depuis quelques semaines à Haguenau demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un de rapatrier son mari à Strasbourg. Sa demande est éconduite.
1645, Conseillers et XXI (1 R 128)
(f° 71-v) Sambstag d. 5. Jul. – Adam Kellers Haußfr. Intercessionales
Adam Kellers Haußfr. vberreicht per Mockel vndth. Supplication, Bericht In derselbig. d. Ihr Mann, welcher alhier Underhalt. gewesen, vor etlichen Wochen durchgang. vnd sich Zu Hagenauw In dienst begeben, Bitt deßweg. Vmb Intercessionales an Commendant. an gedachtem orth, Vnnd d. Mhh. Ihnen nachghends Zu Gnad. hiewied. vmb wol. auffnemmen. Erk. Soll Ihr d. begehren abgelehnet werd. – H. XXI. Mieg, H. Bosch.

Anne Marie, femme du mousquetaire Adam Keller sollicite la permission de fabriquer des chausses. Les Quinze refusent en considérant que son mari lui apporte sa solde et qu’elle préfère fabriquer des chausses plutôt que de filer et de carder comme elle y est autorisée.
1658, Protocole des Quinze (2 R 76)
Adam Kellers Fraw Ca. Hoßenstricker. 242. 245.
(f° 242-v) Sambstag den 18. Xbris Anna Maria Adam Kellers deß Mußquetirers haußfr. per E. Lt. supplication, vnd Klagt contra Meisterschafft Hosenstricker handwercks, daß sie ihro vf ermeltem handwerck allein fewrabends weiß Zu arbeit. verbott. bitt es ihro auß gn. Dispensando wid. Zuerlauben. Erkand, H. Dietrich H. XV. Meister bedenckens.

(f° 245) Freÿtag den 24. Xbris) – Adam Hellers Fraw Ca. Hoßenstricker
H. Dietrich und H. Franckenberger Laßen p. G. Frantzen referiern, vff Annæ Mariæ, Adam Hellers deß Mußquetirers allhier haußfrawen den 19. huius producirter supplication hetten Sie von der Meisterschafft Hoßenstricker handwercks, benedict Klingen, Daniel Eßdras vnd Sontag Rüegen, vernohmen, die hetten nun Zuvorderist Ihre habende Kaÿß. Privilegia Vorgelegt, darinn sonderlich beÿm 14.ten §° Clar verseh. daß Kein Meister Einige Hellerin, Mägdlin fürdern solle, Nun habe auch supplicantin inn 5. Jahren nit mehr gestrickt, vnd Könne nit woll spinnen, vnd streichen, so Ihro nit verwehret, mehr als mit Jenem Verdienen Weilen ihre Kind. auch darzu helffen Können, thue es aber vngern, weilen dabeÿ mehr arbeit alß beÿm stricken, dafern Ihro daß stricken vergonnet werden solte würde die Meisterschafft beÿ benachnaurten vnd auf den Märck groß vngelegenheit haben, Weilen nun d. Supplicantin daß spinnen vnd streichen nit verwehret, Ihr Mann alß Ein Soldat seinen monatlich soldt hat, Sie nit so einfältig vnd breßhafft ist, Wie sie sich stellet, auch daß in Prot. 1658. fol: 44. mit Heinrich Fuchß. Wittib, befindliche præjudicum Clar, alß vermeinen Deputirte Es solte Ihre ihr begehren Vorgebrachter maßen abgelaint vnd hingeg.d Spinnen vnd streich. erlaubt. Erkandt, wird d. bedacht placidirt.
[in margine :] Eodem Ist obigen Meistern vnd d. Supplicantin bescheid angezeigt worden.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un accordent un subside à Anne Marie Bogner femme d’Adam Keller pour qu’elle puisse prendre des bains.
1661, Conseillers et XXI (1 R 144)
(f° 106-v) Samstag d. 8. Junÿ – Anna Maria Bognerin vm eine Badensteur
Anna Maria Bognerin Adam Kellers Eheweib vberreicht per Bitsch Vnd.thge Supplication Bericht d. sie in Hochster armuth begriffen, vnd leibshalben nicht Vorkommen kan, Bitt Vm eine baden steur. Erk. soll Ihro 3. lib d auß beÿd. Allmuß. mittgetheilt werd. – H. Roderer Vnd H. Kupfferschmidt

Elie Brackenhoffer auquel la maison était hypothéquée la vend au tisserand Michel Braunwald qui la réunit à la sienne.

1682 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 552 n° 24
Erschienen der Edel – fürsichtig und hochweÿse herr Elias Brackenhoffer, Treÿzehner
hat in gegensein hannß Michael Brunwaldts deß Leinenwebers
hauß, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, begriffen, Rechten und Zugehördten alhier in der Blinden gaß, einseit neben Hannß Anstätt dem Obß Krämpen, anderseit neben weÿl. Herren Mathis Schmids alten Großen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, hinden uff deß Käuffers hoff stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig und eÿgen seÿe. Vnd were dießer Verkauff und Kauff geschehen umb 50. lb


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.