12, rue des Sept-Hommes


Rue des Sept-Hommes n° 12 – IV 385 (Blondel), N 899 puis section 60 parcelle n° 48 (cadastre)

Auberge aux Deux clés (1914) – Démolie en 1919 (Grande Percée)


Le n° 12 est la maison étayée suite à la démolition du n° 10. L’orfèvre Seeger a son enseigne au n° 14 (AMS, fonds Schimpf, cote 112 Z 7)
Même endroit avant démolition du n° 10 (AMS, cote 1 Fi 23 n° 28) – Vue lors de la démolition (1 Fi 23 n° 29)

La maison est sise « derrière le poêle des pelletiers près de la rue du Pilot ». L’arrière ne donne pas sur l’auberge des garçons boulangers comme celles à l’ouest mais sur une maison donnant dans la rue des Chandelles. L’inspecteur à l’aumône Christophe Rœmer la vend en 1611 au pelletier Henri Bleicher ; elle appartiendra ensuite jusqu’au début du XIX° siècle à des pelletiers, d’abord aux successeurs de Henri Bleicher puis à Jean Jacques Franck (1703) et à son gendre Samuel Becké, natif de Breslau. Sur le plan-relief de 1727, elle forme la partie gauche du deuxième bâtiment à droite de la rue des Chandelles au milieu de l’image (rez-de-chaussée et trois étages). Sa valeur minimale s’élève à 200 livres en 1714 puis à 750 livres en 1754 ; on peut en conclure que Samuel Becké y ait fait des travaux importants.


Rue des Pelletiers à gauche, rue des Sept-Hommes à droite.
Le n° 8 se trouve sur la droite du deuxième groupe de maisons (toiture à trois lucarnes) à droite du carrefour au milieu de l’image, Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 – Cour T (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à gauche du repère (p)nbsp;: au rez-de-chaussée deux fenêtres suivies d’une porte, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour T montre l’arrière (à droite de 10) du bâtiment sur rue puis (10-9-8) un bâtiment qui lui est en partie accolé.
La maison porte d’abord le n°3 (1784-1857) puis le n°12.

Geoffroi Hutt achète en 1847 la maison où il exploite une auberge, reprise par ses successeurs Antoine Bonhomme, Alexis Hartenstein puis Michel Düringer. Le bâtiment a trois étages puis à partir de 1866 quatre étages d’après les actes sans que le cadastre mentionne aucune modification. La maison ne figure pas dans l’enquête sur les bâtiments à démolir pour la Grande percée (1905) ni parmi les dessins relevés par le Service d’architecture (1911). La ville acquiert en 1917 l’auberge aux Deux clés puis fait démolir le bâtiment en 1919. Le sol sert ensuite à édifier l’actuel 5, rue des Francs-Bourgeois.


Le numéro 12 se trouvait sur la gauche (mai 2017)

octobre 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1919 (démolition). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Christophe Rœmer, inspecteur à l’aumône, et (1610) Catherine Linck d’abord (1600) femme du potier Georges Hüls puis (1606) du vitrier Léonard Wagner, remariée (1612) avec l’aubergiste Gaspard Floss – luthériens
1611 v Henri Bleicher, pelletier, et (v. 1603) Barbe Kopff – luthériens
1630* h Jean Henri Bleicher, pelletier, et (1626) Barbe Rœmer – luthériens
1658 h Georges Klug, pelletier, et (1635) Barbe Rœmer veuve de Jean Henri Bleicher
1703 v Jean Jacques Franck, pelletier, et (1698) Marie Salomé Braun – luthériens
1714 h Georges Michel Kübler, pelletier, et (1714) Marie Salomé Braun veuve de Jean Jacques Franck – luthériens
1755 adj Samuel Becké, pelletier, et (1728) Anne Marguerite Franck puis (1766) Sara Barth – luthériens
1806 v Jean Frédéric Simon, chaussetier puis cabaretier, et (1795) Susanne Dorothée Sembach
1840 v Jean Rehn, vitrier, et (1827) Françoise Schafflützel d’abord (1816) femme du vitrier David Pfister
1847 v Geoffroi Hutt, aubergiste, et (1830) Marie Anne Bohn d’abord (1814) femme du cultivateur François Antoine Mattlinger
1860 v Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat, et (1829) Marie Anne Persohn
(puis indivise avec) Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs, et (1856) Marie Julie Bonhomme
1866 v Jean Linck, tailleur puis épicier, et (1864) Eléonore Gerber
1870 v Alexis Hartenstein, aubergiste, et (1864) Marie Catherine Reichard
1892 v Georges Uebel, tripier, et (1875) Félicie Joséphine Jacquemin puis (1878) Françoise Kessler
1895 v Michel Düringer, cultivateur puis aubergiste, et (1888) Christine Eck remariée (1904) avec Charles Paul Schrœder
1917 v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 200 livres en 1714, 750 livres en 1754, 600 livres en 1760

(1765, Liste Blondel) IV 385, Samuel Becké
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Beck Wittib, 4 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 899, Simon, Frédéric, hér. – maison, sol – 0,58 are / Louis Rehn vitrier rue Madeleine

Locations

1687, Samuel Schwartz, batteur d’or
1689, Jacques Dumais
1722, Jean Thomas Kœnig, cordonnier
1724, François Antoine Anstett, formier (manant)
1764, Jean Frédéric Bollinger, cordonnier
1767, Jean Jacques Aubry, perruquier, et Marie Anne Barrière puis Jeanne Catherine Pierre
1783, Marguerite Jäggi

Description de la maison

  • 1754 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert partie de tuiles plates partie de tuiles creuses, la cave est voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des sept hommes et rue Ste Barbe vers la place d’armes

nouveau N° / ancien N° : 26 / 3
Simon
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 258 case 3

Rehn, vitrier, rue Madeleine à Strasbourg
Hutt Geoffroi rue des 7 hommes 3, 1849

N 899, maison, sol, Rue des 7 hommes 3
Contenance : 0,58
Revenu total : 149,30 (149 et 0,30)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 998 case 1

Hutt Geoffroy
1862 Bonhomme, Antoine, propriétaire
1868 Linck Jean tailleur d’habits
1871 Hartenstein Alexis
1887/88 Hartenstein Alexis Wittwe geb. Reichardt
94/95 Uebel, Georg, Kuttler
96/97 Düringer Michael
(ancien f° 746)

N 899, maison, sol, Rue des Sept hommes 12
Contenance : 0,58
Revenu total : 149,30 (149 et 0,30)
Folio de provenance : (258)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre allemand, registre 32 p. 392 case 2

Parcelle, section 60, n° 48 – autrefois N 899, 907.p
Canton : Siebenmannsgasse Hs N° 12 – 849 / 1267
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,73
Revenu : 4,75 – Valeur 2100 / 2300 / 1500
Remarques : 1910 Minderung – 1919 Abbruch – 1927 porté p. 387 c. 3 [parcelle 43 Kochlöfelgässel N° 3]

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1918), compte 2072
Düringer Michael, Wittwe
1918 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1918), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 113 Des Sept Hommes p. 194

3
loc. Mengs, J. Fred. Cordonnier – Cordonniers
loc. Reiterhardt, Ant. tailleur – Tailleurs
loc. Reiter, veuve d’un fourbisseur – Maréchaux
loc. Siegel, Laurent, garçon maçon – Manant
(ajout) loc. Bonfils, Madeleine, Bourg. majeure

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Siebenmannsgasse (Seite 161)

(Haus Nr.) 12
Düringer, Wirt. 01
Schröder, Geschäftsf. 1

Annuaire de 1912

12
Schröder, Chr. Wirtin Zu d. 2 Schlüsseln. E


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle à Christophe Rœmer et à sa femme Catherine Linck.
Fille du tanneur Georges Linck de Villingen, Catherine Linck épouse en 1600 le potier Georges Hüls puis en 1606 le vitrier Léonard Wagner avant de se marier en 1610 avec Christophe Rœmer, inspecteur à l’aumône Saint-Marc. Elle se remariera en 1612 avec l’aubergiste Gaspard Floss.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 66-v, n° 11)
1600. Jörg hulß der Kachler, J. Katharina Jörg linck. des Rottgerbers von füllingen seligen tochter, 25. Februarÿ (i 69)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 103-v, n° 45)
1606. Lienhart Wagner der glaser, Catharina Jörg Hilser des Kachlers hinderlaßene Wittwe. 25. Novemb. (i. 106)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 121-v, n° 82)
1610. Eodem [14. Augusti] Christoff Römer Visitator Zu S. Marx, Katharina, Lienhart Wagners Wittib (i 124)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 130-v, n°47)
1612. 22. Junÿ, Caspar Floß der Weinschenck Im Falckenkeller, Katharina, Stoffel Römers S. Wittib (i 133)

Les héritiers de Léonard Wagner vendent leurs droits à sa veuve Catherine Linck, assistée de son mari aubergiste Gaspard Floss
1613 (11. Februarÿ), Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch) f° 84-v
Außkauff Zwischen weÿland Lienhard Wagners seligen Witwen und Testam: erben
erschienen seind Hanß Weÿß der Huffschmid Burger Zu Willstet als geordneter vogt Bartholomei Lincken Schlossers vnd Burgers Zu gemeltem Willstett mit Elisabetha Khüenastin seiner ehelichen haußfrauwen erzeugter Kinder, als weÿland vnsers gewesenen Burgers Lienhardt Wagners des Glasers seligen instituirt vnd eingesetzter Erben mit beÿstand der Kinder vatters an einem,
vnd Jetzernanten Lienhardt Wagners seligen hinderlaßener wittwen Catharinæ Linckin mit beÿstand Caspar Floßen des Weinschencken Ihres Jetzig. ehelichen haußwürths vnd Abraham Rohren des Notarÿ am andern theÿl vnd bns erzehlen vnd fürpring. lassen
Nachdem mehrgenanter Lienhardt Wagner seligen beÿ zeÿt seines Lebens ein Testaments vnd letzten willen auffgericht, vnd In demselben obemelten Bartholomeen Lincken seines Schwagers eheleiblich Kinder Zu Erben ernant vnd also eingesetzt, Das nach Ihr Catharinæ seiner ehelichen haußfrauwen Jetz hind.laßener wittwen deren er den Usufructum vnd genuß aller vnd Jeder seiner Verlaßenschafft verordnet, todtlich abgang, alle angeregte seine Verlaßenschafft so sich vermög auffgerichten Inventarÿ dem anschlag nach Zusammen auf 347 pfund 10 schilling erstreckt (…) Vnd In mittels sie Catharina die Nüesserin vnd ernanter Caspar Floß Ihr lieber ehelicher haußwürt mehrermeltem Bartholomeo Lincken Ihrem Brudern vnd Schwag. zu desselben haußfraw vnd Kinder hoher notdurfft (die Verfangenschaft umb 200 pfund)

L’inspecteur de l’aumôme Chrétien Rœmer et Catherine Linck vendent la maison derrière le poêle des pelletiers près la rue du Pilot au pelletier Henri Bleicher et à sa femme Barbe. En marge, quittance remise à Catherine Linck alors femme de Gaspard Floss

1611 (ut spâ [xvij. tag Maÿ]), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 206-v
(Inchoat. in Proth. fol: 157.) Erschienen Christoff Römer burger Zu Straßburg und Jetziger Zeit Visitator vnd Allmusen Kheüffler Zu Sant Marx vnd Catharin Linckin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Heinrich Pleicher dem Kirschner vnd Barbaræ seiner ehelichen Haußwürthin
Hauß, Hoffestatt vnd hind. heüßlin mit Allenn Iren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. Hinder der Kirschner Zunfftstubenn beÿ dem Pfalgäßlin einsit nebent Geörg fisch. dem goldschlager Andersit Hanß diethrich dem Kirschner stost Hindenn vff Jonas Hegenauwer dem kirschnern, Dauon gendt vier pfundt gelts Ablößig mit j C lb d vff weÿhenachten vnd Johannis fallend herrn Friderich Helden 3. Inn der Müntz, Item 5 guldin gelts werung Ablößig mit j C guldin derselben werung vff Johannis Baptistæ fallendt Herrn Bastian Branden dem handelsmann Alhie So dann Ist sie noch verhafftet für ein schuldt 50. lb. Zu Zweÿenn mahlen wann es gefordert würdt Zuerlegen herrn hanß Peter Schaffnern In Morß Münster Hoff, Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles recht & Also d. & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 237 pfund
(Nota d. Khauff für boll 437 lb 10 ß)
[in margine :] Erschienen Caspar Floß burger Alhie Als ehevogt Catharin Linckin Christoff Römer seligen Witwen Als welchem disse Summ nunmahlen zustendig (…) Actum 23. Nouemb. Anno 1612.

Henri Bleicher hypothèque la maison au profit du pelletier Mathias Hellbeck dit Bœhm.

1614 (viij. Februarÿ), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 73
(Inchoat. in Proth: fol. 60.) Erschienen Heinrich Pleich. der Kirschner burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Mathÿß Helbeck genannt Böhem des Kürschners burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 50 pfund pfenning Straßburger
Zum Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüen & gelegen Inn d. St. St. hinder der Kirschner Zunfft stuben einseit neben hannß Dietherich dem Kirschner vnd and.sit hannß Philipß Spiegell dem Balbierer hind. vff d. Becken Knecht stub stoßend Dauon gett iij llb d gelts Abloßig mit j C lb h Friderich Helcken, Item fünff guldin gelts Lößig mit 100 guldin Straßburg. werung w* Sebastian Branden erben
[in margine :] Erschienen Mathÿß Helbeck der Jung. hatt in gegensein Heinrich Pleichers bekhandt (…) Act. 1. Augusti Anno 1614.

La maison revient à son fils Jean Henri qui épouse en 1626 Barbe Rœmer, fille du pelletier Jean Rœmer : contrat de mariage célébration

1626 (27.2.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56) n° 649
Eheberedung – Zwüsch. dem Ersamen Hannß Heinrich Pleÿchers Kürßnern, deß Ehrenhafften Heinrich Pleÿchers Kürßners v. burgers Zu Straßburg selig. Sohn Ane einem
So dann der Ehr: u. tugend. Jungf. Barbara Römerin, des Ehrengeachten v. fürnehmen herrn hanß Römers Kürßners burgers Zu Straßburg eheleiblichen dochter Am Andern theil
Actum in Straßburg Montagß d. 27.ten Februarÿ Anno 1626
[unterzeichnet] Heinrich Bleicher

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 57)
1626. Eadem 4. Julÿ. Hanß Heinrich Bleicher d. Kürßner, Heinrich Bleicher des Kürßners Sohn v. J. Barbara H. Hanß Römer des Kürßners Tochter, Copulatio 13. Junÿ zu Jung S. Peter (i 30)

Henri Bleicher hypothèque la maison sise derrière le poêle des Pelletiers au profit du pelletier Georges Meyer

1640 (ut supra [13. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 413-v
Erschienen Heinrich Bleicher der Kürschner und burger alhie bekante
in gegensein Georg Meÿgers des Kürschners – schuldig seÿen 100. Reichßthaler
dafür in specie Vnderpfand sein soll Hauß, Höffel und Hoffstatt gelegen alhie hinder der Kürschner Stuben neben Michel Kleinen && Jacob Pläppertfußen hinden vff Jonas högenauwren stoßend

Barbe Rœmer se remarie en 1635 avec le pelletier Jean Georges Klug. Ses enfants Jean Jacques Bleicher et Barbe Bleicher femme du pelletier Jean Philippe Reinbold lui cèdent la maison en 1658.

1658 (18. Oct.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 505
(Protocoll. fol. 75.) Erschienen Hannß Jacob Blaÿcher der Kürßner und Burger Zu Straßburg, Undt Barbara, Hannß Philipß Reinboldts auch Kürschners und Burgers alhie eheliche Haußfraw sein Schwester mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Barbaræ, weÿl. H Georg Klugen geweßenen Kürßners alhie nunmehr nachgelaßener Wittibin, ihrer eheleiblich. Mutter, mit beÿstandt H Mathiß Helbeckhen deß Jüngern fehehändlers, ihres Vogts – daß Die beede Geschwisterdten Und Zwar Er Hannß Jacob Zu treÿ, Undt Sie Barbara Zum übrig. Vierter theil, Ihro der Mutter
hauß undt hoffstatt mit allen ihren Gebäwen, rechten und Zugehördten, alhie hinder der Kürßner Stuben, einseit neben Martin Kalben dem Kürschner, anderseit neben Weÿl. Michael Kleinen deß Küeffers seel. wittib und Erben, hinden vff Jonam Högenawern den Kürschnern stoßend gelegen – umb 400 lb.

Jean Jacques Bleicher rachète un capital assis sur la maison en vertu d’un titre établi en 1550.

1678 (17.6.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 469-v
Herr Johann Friderich Von Gotteßheim der Jünger, im nahmen herrn Johann Friderichs Von Gotteßheim des ältern Schaffners deß Stiffts St. Matthæi et Nicolai in Vndis
in gegensein H Hannß Jacob Blaichers deß Föchhändlers
bekandt, daß Er Blaicher besagtem Stifft 70. fl. Straßburger wehrung in bahrem Gelt erlegt, und damit die Jenige 3. fl. gedachter wehrung so derselbe Von seiner alhier hinder der Kürschner Stuben neben Hannß David Rhaÿnen dem Biersieder gelegener behaußung Vermög eines Lateinischen pergamentinen sub dato 2. Nonas Aug. et 12. Calend. Septembr. A° 1550. iährlichen term. Joh: Bapt: zu zinß Zu raichen schuldig geweßenen beraits den 15. 8.bris a° 1676. abgelöst, widergekaufft und dadurch die behaußung solcher beschwärdt allerdingß liberirt habe

Les héritiers du pelletier Georges Klug louent la maison au batteur d’or Samuel Schwartz

1687 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 160-v
Hannß Georg Aÿgnuß der Schwartzbeckh alß Ehevogt Barbaræ Gebohrner Reinboldin und im nahmen Weÿl. Georg Klugen gewesenen Kürsners Seel. nachgelaßener dreÿ übrigen Erben [unterzeichnet] Ich hanß görg Eignuß beken wie obstedt
in gegensein Samuel Schwartzen Goldschlagers
entlehnt, Eine behaußung mit allen deren Gebawen und Zugehördten, alhier hinder der Kirßner Stuben, einseit neben Martin Kalben dem Kirßner anderseit neben Hannß Georg Wÿdman dem Küffer Gelegen, uff ein Jahr lang Von Mariæ Verkündigung dießes Jahrs angerechnet, umb einen zinß von 32 Gulden

Jean Jacques Bleicher et les autres héritiers de Georges Klug louent la maison à Jacques Dumais

1689 (26. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 479-v
H. Johann Jacob Bleicher E.E. Großen Rhats beÿsitzer und H. Johann Meßner der Föchhändler, beede für sich und im nahmen Gesambter Georg Klug. deß Kürßners seel. Erben
in gegensein Jacques Du Mais mit beÿstand H. dietrich Par terre hoffmeÿsters beÿ H. Intendant. seines hierzu Gebraucht. Interpretis [unterzeichnet] dumes, Parterre
entlehnt, eine behaußung hind. der Kürßer stub zwischen Hannß Martin Kalben und Hannß Georg Widman dem Kieffer Gelegen, mit allen derne Gebäuen, nichts außgenommen, uff ein Jahr lang von Mich: dießes Jahrs angerechnet, umb ein Jährlichen zinnß nemlichen 25 Pfund

Jean Jacques Bleicher et ses cohéritiers vendent la maison moyennant 450 livres au pelletier Jean Jacques Franck et à sa femme Marie Salomé Braun

1703 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 159
(450) Hr. Joh: Jacob Bleicher handelsmann u. E.E. großen Raths beÿsitzer für sich u. noe. übriger hier nicht benambßter eÿgenthümer HHn. infra verk. behaußung, Item Barb: geb. Rimboldin Emanuel Wehners haußfeurers haußfr:
in gegensein Joh: Jacob Francken kürßners und Mar: Salome geb. Braunin, daß sie comparenten theils für sich theilß alß negotiorum gestor
eine behaußung mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeiten allhier hinter der Kürßner stueb einseit neben Martin Kalben Kürßnern anderseit neben weÿl. Joh: Carl Rothen wittib hinten auf Hn Georg Friedrich kürßnern et consorten stoßend gelegen – umb 450 pfund

Fils du pelletier Jean Daniel Franck, Jean Jacques Franck épouse en 1698 Marie Salomé Braun, fille du boulanger Jean Daniel Braun : contrat de mariage, célébration
1698, (30. Apr.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 173
Verglichene Heuraths Puncten Zwischen dem Ehrbahren Johann Jacob Francken, Ledigem Kieffer, herrn Hannß Daniel Francken Kürßners und Burgers Zu Straßburg Ehelichem Sohn, als Hochzeitter an einem, So dann
der Ehren: und Tugendsamen Jungfr. Mariæ Salome Braunin, weÿland Herrn Hannß Daniel Braun, geweßenen weißbecken und burgers alhier seel. nachgelaßene Eheliche dochter, als der hochzeiterin, am andern theil
Actum Straßburg in beÿsein H Hannß Daniel Francken, deß Hochzeiters Vattern Obgedacht, Auff sein deß Bräuttigambs, So dann auff der Jfr. hochzeiterin seith. H Hannß Paul Löfflers deß Müllers, Ihres geschwornen Vogts, vnd H. Moritz Meÿerers deß Weißbecken, Ihres Stieffvatters, Mittwochs den 30. Apr. St. N. Anno 1698. [unterzeichnet] Johann Jacob franck als hochzeiter bekenn wie ob steht, Maria Salome braunin Als hoch zeitterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 51-v, n° 7)
Mittwochs den 2. Julÿ st. n. 1698. seind nach zweymahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S Niclauß copulirt und eingesegnet worden Johann Jacob Franck der ledige Kürschner und burger alhier, Johann Daniel Francken, deß Kürschners und burgers alhier ehelicher Sohn, und Jungfer Maria Salomé Braunin, weÿl. Johann Daniel Braunen geweßenen weißbecken und burgerß alhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Franck als hochzeiter, Maria Salome braunin als hochzeyderin (i 55, proclamation Saint-Thomas f° 68 n° 364 i 70)

Marie Salomé Braun fait dresser l’inventaire de ses apports (150 livres) dans une boulangerie face à la Grue (actuelle rue de la Douane)
1698 (7.7.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 21) n° 15
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so die Ehren: und tugendsahme Fr. Maria Salome Franckin, gebohrne Braunin, deß Ehrenthafften Johann Jacob Francken, Kürßners v. burgers Zu Straßburg Eheliche haußfrau Zu demselben Ihrem geliebten haußwürth für unverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrung der Ursach halben damit mann sich Künffighien der Ergäntz. wegen darnach Zu reguliren haben möchte, vorgenommen (…) Actum in fernerer Præsentz Herrn Johann Daniel Francken, Kürßners deß Ehemanns Vattern, auff sein deß Manns, So dann H Moritz Meÿern Weißbecken vnd Frawen Annæ Mariæ Hoffetin beed. Eheleuth, der Fr. respec. Stieff Vatters vnd Rechten mutter, wie auch H Johann Paul Löfflers, Müllers derselben noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, auff der Frawen seithen, Montags den 7. Julÿ A° 1698.
In einer alhier Zu Strassburg am Cran Gelegener Becken Behaußung Befund. worden wie Volgt
Sa. haußraths 68, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Guldener Ring 8, Sa. baarschafft 67, Summa summarum 150 lb – Haussteuren 24 lb

Les Quinze accordent une dispense à Jean Daniel Franck qui n’a pas fait son tour de compagnon pour pouvoir devenir maître
1698, Protocole des Quinze (2 R 102)
(f° 112-v) Sambstag den 31. Maÿ – Johann Jacob Franck Ca. E. E. Zunfft der Kürschner
Noîe Johann Jacob Francken, des ledigen Kürschners ersch. D Goll Ca. E. E. Zunfft der Kürschner, Weilen er Nicht gewandert, als bitt de vmb gn. Dispensation, d. Meisterstück Zumachen, Künast H. Johann Beck p.sens bericht, daß es Wid. E. E. Zunfft Articul kauffe, jedoch dispensationem wohl leiden mögen, mit bitt, der beden Interesse bestens Zu beobachten. Goll setzt sein begehren, Kün. priora.
Herr XV.er Kellermann, als Oberh., bericht, daß es Nicht umb d. Meisterstück, sondern umb d. Meisterrecht Zuthun seÿe, darzu Keiner gelang. Könte, er habe dann Zuvor Krafft Articul 2 jahr gewandt. Vnd, ob Zwar die Zunfft dem Imploranten die sach Nicht schwehr mache, dennoch sie darinnen Nicht dispensiren Könten. Erk gegen erlag 1 lb d dipensando willfahrt.

Jean Daniel Franck et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit de Henri Künast, contrôleur de l’accise.

1707 (31.10.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 674
Joh. Jacob Franck Kürßner u. Maria Salome geb. Braunin
in gegensein H. Joh. Heinrich Künast Controlleur im umgeld – schuldig seÿen 125 lb,
unterpfand, ihre behaußung allhier hinter der Kürßner stueb einseit neben Martin Kalb anderseit neben Johann Carl Rothen wittib hinten auf Georg friderici Kürßnern
[in margine :] Maria Salome der Schuldnerin und Georg Michael Küblers Kürßners ihres ietzigen Ehevogts

Jean Daniel Franck meurt en novembre 1713 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 200 livres. La masse propre à la veuve est de 118 livres, celle des héritiers de 343 livres. L’actif de la communauté s’élève à 351 livres et le passif à 853 livres.

1714 (26.2.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 38) n° 6
Inventarium über Weÿland deß Ehrenhafften Meister Johann Jacob Francken, Geweßenen Kürßners und Burgers zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft Auffgerichtet Anno 1714. – nach seinem den 23.ten 9.bris deß nechst abgewichenen 1713. Jahrs genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten Mr Hannß Georg Wöhrle, Schuemachers vndt Burgers alhier, Als Geordnet: und Geschworenen Vogts Johann Daniels, Mariæ Salomeæ, Annæ Margarethæ und Annæ Mariæ der Francken aller vier geschwüsterd deß Jetzabgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Kinder vnd ab intestato nachgelaßener rechtmäsiger Erben – Actum Straßburg Montags den 26. Febr : A° 1714.
Copia Heuraths verschreib.

In einer alhie Zu Straßburg Hinder der Kürßner stub gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt
Höltzen und Schreinwerck, Auff der bühn, In der Soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstuben, Im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (T.) Item hauß und hoffstatt mit allen deren begriffen weiten rechten zugehörden vnd Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg hinder der Kürßnerstuben i. s neben Johann Martin Kalben deß Kürßners Kindern, 2.s. neben Weÿl. H Johann Carl Rothen deß Ganthkäüfflers seel. Wittib, hinden auff H Georg Friderici den Kürschner stoßend, davon gibt mann Jahrs auff Michaelis 14. lb Zinnß H Johann Heinrich Künasten Lößig mit 350. lb d sonst gegen männiglich freÿ Ledig und eigen Vnd ist diße Behaußung durch der Statt Straßb. geschworne Werckleüth Vermög einer apud Conceptum befindlicher schrifftlicher Abschatzung Vom 7. Martÿ 1714. hiehero gewürdiget vmb 200. lb. Darüber Vorhanden I. perg. Kauffbrieff auß allhieß. C Contractstub und mit dero anh. Ins. verwahret datirt den 31. Martÿ 1703. notirt mit N° 1.
(E.) Item der halbe theil an einer Tertz Ane der Bieggergaß (…)
Ergäntzung der Wittib unverändert Gutts. Vermög deß über demselben in dieße Ehe Gebrachte Nahrung, durch mich Eingangs Gemeldten Notm. den 7. Julÿ A° 1698. auffgerichteten Inventarÿ ist mangenld befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermög. Sa. haußraths 12, Sa. Silber Geschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Baarschafft 15 ß, Sa. der Schuld 20, Sa. Ergäntzungs (403, Abgang 1, Rest) 402, Summa summarum 439 lb – Schulden 321, Nach deren Abzug 118 lb
Dießemnach wird auch der Kinder und Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 3, Sa. Guldin Rings 1, Sa. Eigenthums An einer behaußung 66, Sa. Schuld 137, Sa. Ergäntzung 207, Summa summarum 430 lb – Schulden 86 lb, der Erben unveränderte Nahrung 343 lb
Endlichen wird auch das Gemein Verantwortung und Theilbar Gutt beschrieben, Sa. haußraths 36, Sa. Wahren und Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 107, Sa. Silbergeschirrs 5, Sa. Goldenen Rings 18 ß, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthumbs An einer Behaußung 200, Summa summarum 351 lb – Schulden 853 lb, In Vergleichung 501 lb
Wiÿdumb Welchen Fraw Anna Maria Meürerin Gebohrne Hoffetin der Wittib Mutter ad dies vitæ usufruirt, Wavon das Eigenth. der Wittib gehörig vnd Verfnagen (…) Vermög durch H Joh: Ludwig Scherern Notm: den 22. 8.bris aô 1712. Gefertigt. (…) Scheins

Marie Salomé Braun se remarie avec le pelletier Georges Michel Kübler, fils du cordonnier Jean Georges Kübler de « Freistett » en Basse Sliésie : contrat de mariage, célébration

1714 (2. Octobris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 332
Verglichene Heuraths Puncten Zwischen dem Ehrbahren Georg Michael Kübler, Ledigen Kürßner von Freÿstätt in der Nider Schleßing gebürtig weÿl. Mr Johann Georg Küblers Geweßenen Schuemachers vnd Burgers daselbst nunmehr seel. hinderlaßenel Ehelichem Sohn Als Hochzeitern Ane einem
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Mariæ Salome gebohrner Braunin Weÿl. Mr Johann Jacob Francken, Geweßenen Kürßners und Burgers alhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener wittib, alß der Hochzeiterin Am Andern theil
Actum Straßburg in fernerer præsentz (…) Meister Johann Georg Wöhrle, Schuhmachers Ihrer Kinder Erster Ehe Geschwornen Vogts, Dienstags den 2. Octobris Anno 1714 [unterzeichnet] Georg Michel Kübler allß Hochzeiter, Maria Salome braunin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 145-v, n° 843-a)
Anno 1714 den 31 Octobr. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Georg Michael Kübler der ledige Kürßner von freÿstet in Nider Schlesien, weil. Joh: Georg Kübler des gewes. burgers und Schuhmachers daselbst hinderlaßener ehel. Sohn und Fr. Maria Salome weÿl. Joh: Jacob Franck deß gewesenen burgers und Kürßners alhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Georg Michel Kübler als hochzeiuer Mar Salome frenin gbor braunin (i 148)

Georges Michel Kübler devient bourgeois deux mois après son mariage
1714, 4° Livre de bourgeoisie p. 808
Johann Michael Kübler, der Kürßner, Von Freÿtätt, weÿl. Johann Georg Kübler gew: schumachers sohn, emp: das burgerrecht Von seiner Fr: Maria Salome Brauin p. 2. gold fl 16 ß. wird beÿ E.E. Zunfft der Schumacher dienen. Jur: d. 20. Dito [X.bris] 1714

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient pour partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 81 livres, ceux de la femme à 57 livres.
1715 (21.1.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 40) n° 1
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so der Ehrengedachte Mr Georg Michael Kübler der Kürßner und die Ehren: und tugendsame fraw Maria Salome Küblerin gebohrne Braunin, beede Eheleuthe vnd Bürgere allhier zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe gebracht, Welche Nahrungen der Ursach halben, damit mann sich Künfftiger Zeit, wegen der in Ihr beeden Eheleüth mit einander auffgerichteter Eheberedung Verglichener Ergäntzung darnach Zu reguliren haben mögte (…) Actum in præsentia H Johann Heinrich Künasts vornehmen Burgers alhier, als dero Ehefrawen noch Zue Zeiy ohnentledigten Vogts Montags den 21. Januarÿ Anno 1715.
Pro Nota. die Zwischen Eingangs Gemelten beÿden Eheleüth auffgerichteter Eheberedung ist den 2. 8.bris Anno 1714. von mir Eingangs gemeltem Notario sub N. 332. verschriben Zubefinden

In einer alhier Zu Straßburg Hinder der Kürßner Zunfftstub gelegener vnd in dieße Nahrung gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Auff der bühn, In der Soldaten Cammer, In der Gesellen Cammer, In der Wohnstub, Im Haußöhren, Im Hindern Stübel, In der obern Cammer, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (T.) Item hauß v. hoffstatt mit allen dero begriffen, Weiten, Rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten, Gelegen alhier Zu Straßburg hinder der Kürschner Zunfftstub, i. seith neben Hanß Martin Kalben deß Kürßners Kindern, 2.s. neben Weÿl. H Joh. Carl Rothen deß Ganthkäüfflers seel. Wittib v. Kinder, hinden auff H Georg Friderici den Kürschner stoßend, davon gehen Jahrs auff Michaelis 14. lb. d Zinnß H. Johann Heinrich Künasten, Lößig mit 350. lb d. sonst gegen männiglichen freÿ Ledig eigen. Es ist aber solche Behauß. alhier nicht zu æstimiren, sondern, wann selbige stehender Ehe verkaufft werden solte, dem darauß erlößten pretio nach, Zuergäntzen verabschiedet worden. Vnd sagt darüber I. perg. Kbr. auß allhies. C. C. stub und mit dero anhangendem Ins. verwahret datirt den 31. Martÿ A° 1703. notirt mit N° 1.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unverändert Gutt, Sa. haußraths 50, Sa. Silber geschmeids 14, Sa. Baarschafft 16, Summa summarum 81 lb
der Ehebr. unverändert Vermögen betreffend, Sa. haußraths 227, Sa. Wahren und Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 149, Sa. Meels 7, Sa. Silbergeschirrs 18, Sa. Goldenen Rings 22, Sa. baarschafft 15,. Eigenthumbs An einer Behauß., Summa summarum 436 lb – Schulden 494 lb, In Vergleichung 57 lb

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit du charpentier Jean Georges Hoffet

1716 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 38
Erschienen Michel Kübler Kürßner und Maria Salome geb. Braunin beÿständlich Daniel Braun weißb: und Joh: Georg Hoffet zimmermanns
in gegensein H. Johann Heinrich künasts handelsmanns – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behausung allhier hinter der Kürßner stueb, einseit neben Martin Kalb anderseit neben Joh: Carl Rothen wittib hinten auff H Friderici

Le conseil de la tribu des Tanneurs cite Georges Michel Kübler à comparaître. Ils interdisent à Georges Michel Kübler de revendre le parchemin qu’il a acheté à un marchand bâlois.
1716, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 100) Donnerstag den 25. junÿ Anno 1716 – Christian Bruder Sen. Pergamenter clagt wider Geörg Michael Kübler den Kürßner vndt Burgern allhier, daß er pergament von fremden orthen anhero bringen, durch seine haußfrau den buchbindern, buchtruckern und Sippmachern von hauß Zu hauß herumb tragen vnd verkaufften laße, so wider ordnung, bat umb abstraffung vnd ferneren Inhibition, Beclagter Zugegen meldet, es hätte Ihme verwichene Weÿhenachtmaß ein Kauffmann von Baßel nahmens Emanuel Schmidt eine quantitæt Pergament, weilen er solches in seinem laden nicht logiren Könte, außzuheben, vnd anbeÿ die commission gegeben, wann etwa jemandt nach Pergament fragen vnd etwas davon Zukauffen verlangen solte, er solches best möglich verkauffen möchte, deßen haußfrau habe darauff beÿ gegebener gelegenheit etlichen Sippmachern davon part ertheilt, welche dann sofort berührt Pergament dem Kauffmann selbsten abgehandelt, wäre also ohnbefugt angeclagt, bat dahero absolutionem.
Erkandt, würd die Sach Zu weiterer vndersuchung außgesetzt, in zwischen aber beclagtem beÿ ohnaußbleiblicher Straff verbotten alles Pergament Kauff vnd verkauffens, als Ihme ohngebührig, sich, vnder was prætext es sein mag, Zuenthalten.

Georges Michel Kübler loue une partie de sa maison au cordonnier Jean Thomas Kœnig.

1722 (12.12.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 700-v
Georg Michael Kübler der Kürßner
in gegensein Johann Thomas König des Schuhmachers
In seiner hinter der Kürßner zunfft stub einseit neben Rauscher dem nestler anderseit neben Percellat dem tabackhändler gelegenen wohnbehausung, unten auff dem boden Eine stub und Kuchen, Mehr zweÿ stiegen hoch eine Kammer und auff dem dritten stock eine Kammer, so dann einen unterschlagenen platz im Keller, von nächstkünfftigen weÿhnachten und vermittelst vierteljährigen auffkündigung – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund

Georges Michel Kübler loue une partie de sa maison au formier manant François Antoine Anstett

1724 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 300
Georg Michael Kübler der Kürßner
in gegensein Frantz Anthoni Anstaett des Leistenschneider und schirmers
In seiner hinter der Kürßner Stub einseit neben Percellat dem tabackhändler anderseit neben Rauscher dem Nestler gelegenen Behausung Unten auff dem bodern eine Stub Ferner dreÿ Stiege hoch eine Kammer, So dann einen unterschlagenen beschlüßigen Keller – von; nächstkünfftigen Michaelis fürwährenden Jahr ihren anfang nehmen auff viertel jährigen auffkündigung sich endigen solle – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 gulden

Georges Michel Kübler loue une partie de sa maison au cordonnier Marc Gerhard

1724 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 391-v
Georg Michael Kübler der Kürßner
in gegensein Marx Gerhard des Schuemachers
In seiner allhier hinder der Kürßner Zunfftstub einseit neben Rauscher dem Nestler anderseit neben Percellat dem handelsmann gelegenen behausung, zweÿ stiegen hoch in den hoff eine Stub Kuchen und Kammer welche auff die Gaße siehet, So dann einen unterschlagenen Keller – von nächstkünfftigen Michaelis ihren anfang nehmen – um einen jährlichen Zinß nemlich 16 gulden

Anne Marguerite Franck hypothèque sa part de la maison au profit de Marie Salomé Braun femme de Georges Michel Kübler (sa mère)

1728 (3.9.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 425
Jfr. Anna Margaretha Franckin so über 25 Jahr alt zu seÿn versicherte beÿständlich ihres annoch ohnentledigten Vogts Johann Georg Wöhrle des Schuemachers
in gegensein ihrer leiblichen Mutter Mariæ Salome geb. Braunin Georg Michael Kubler des Kürßners ehefraun – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten hinder der Kürßner Stueb einseit neben Johannes Rauscher dem Nestler anderseit neben Kuentz dem Gürttler hinten auff weÿl. H. Georg Friderici Kürßners hinterlaßenen wittib und Erben

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Sachs, veuve du docteur en médecine Auguste Wencker

1740 (24.11.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 558
H. Georg Michael Kübler der Kürßner und Maria Salome geb. Braunin mit beÿstand ihres vettern Johann Michael Ending des leinenwebers und Johann Heinrich Berger des tabacbereiters
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Sachßin weÿl. H. Augusti Wencker gewesten med. Doctoris und Prodemonstratoris Botanices atque Chymiæ hinterlassener Fr. wittib mit beÿstand ihres H. Vatters S.T. H. Johann Jacob Sachß Med. Dris. Et Profess. Publ. ord. auch capituli Thomani allhier Canonici – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehör, rechten und gerechtigkeiten hinder der Kürßner Stueb, einseit neben N N d. Tripier, anderseit neben N N Kuentz dem gürttler, hinten auff N N den Leistenschneider

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Thierry Fahlmer

1742 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 5-v
Georg Michael Kübler der Kürßner und Maria Salome Garten Braunin mit beÿstand Johann Michael Endling des leinenwebers und Johann Heinrich Bergers des tabacbereiters beede ihrer geschwistrig kinder ehemänner
H. Johann Dietrich Fahlmers des handelsmanns, 250 pf
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis hinder der Kürßner stub ; der Küblerischen ehefrau eigenthümlich zuständig, einseit neben NN dem fripier, anderseit neben N. Kuntz dem gürtler, hinten auff NN den leistenschneider

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit de son gendre pelletier Samuel Becké

1742 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 86-v
Johann Michael Kübler der Kürßner und Maria Salome geb. Braunin mit beÿstand Johann Michael Endling des Leinenwebers und Johann Heinrich Bergers des tabacbereiters beede ihrer geswisterig kinder Ehemänner
in gegensein H. Samuel Beck des veech: händlers ihres tochtermanns – 125 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis hinder der Kürßner zunfft stub, einseit neben NN dem fripier, anderseit neben N. Kuntz dem gürtler, hinten auff NN den leistenschneider – ane statt des zinßes aber Creditor befugt seÿn seine waar in beschriebener behausung zu beitzen und zu tröcknen

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun font dresser un état de leur biens pour cause de faillite. La maison est estimée à 650 livres, somme qui figure au contrat d’entretien des enfants. La masse propre à la femme s’élève à 160 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 329 livres, le passif de 1 590 livres.

1742 (29.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 239) n° 173-a
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so Meister Georg Michael Kübler, der Kürßner und Frau Maria Salome gebohrene Braunin, beede Ehepersohnen und Burgere allhier zu Str.anjetzo tam active quam passive würcklich haben und besitzen, welche der Ursachen, allweilen die Ehefrau Ihe Zugebrachtes und wehrender Ehe ererbtes in denen Ehepactis sich vor unverändert Vorbehaltenes Guth zu Salviren gedencket, und auch dahero mit Johann Michael Endling, dem Leinen Weber und burgern allhier würcklichen bevögtigen lassen (…) auf Sambstag en 29.ten Septembris Anno 1742.

In einer allhier Zu Straßburg hinder der Kürßner Zunfft Stuben gelegenen und der Ehefrauen unveränderten Behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane einer Behaußung (F.) Eine behaußung und Hoffstatt, mit allen deren begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier hinder der Kürßner Zunfft stub, einseith neben N. Riegern, dem Frippier ehevögtl. weiß, anderseith neben Hn N. Kuntz dem gürtlern allh. hinden auff H. Joh: Georg Tornarius den Kürßner, allh. so außer denen darauff hafftenden u. hernach passivé eingetragenen Capitalien, freÿ ledig und eigen und dißorts ohnpræjudicirlichen auf den fuß als solche dießorts Ehefrau Von Ihren KK erster Ehe nach den errichteten KK. Vertrag eigenthümbl. Zu ihren Antheilern überlaßen worden, hiehero angeschlagen umb 650 lb. Dieße Behaußung ist in Ihr der Ehefrauen erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft theilbare Nahrung gehörig gewesten und wie gesagt Ihro in dem den 8.ten Aug. 1714. beÿ löbl. Vogteÿ Gericht errichtet u. respe. den 6. Jul. 1722. enregistrirt und confirmirten KK Vertrag, eigenthümbl. cedirt und überlaßen worden. Darüber Vorhanden I. teutsch. perg. Kbr. in allh. C. C. stub gef. u. m. dero anh. Ins. Verw: datirt d. 31. Martÿ Anno 1703 m. alt. N° 1 notirt und dabeÿ wieder gelaßen.
Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen unveränderten Guths. Nach außweiß der über beeder eingangs gemeldter Eheleuth einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen durch weÿl. H Joh: Heinrich Langen sen: gewes. Notm. Pub. allh. in A° 1715.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 41, Sa. goldener Ring 3, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 650, Sa. Schuld 15, Sa. Ergäntzung (356, Abzug 380, In Compensatione 24) Summa summarum 710 lb. – Schulden 549, Nach deren Abgang 160 lb
Des Ehemanns ohnveränderte und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 61, Sa. Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 85, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 18 ß, Sa. Schulden 179, Summa summarum 329 lb – Schulden 1590, In Vergleichung 1261 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Dienstags den 20. Octobris 1714. Johann Heinrich Lang sen. Nots. req.situs

Marie Salomé Braun assistée de son mari Georges Michel Kübler hypothèque la maison au profit du marchand pelletier Samuel Becké (son gendre)

1746 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 569
Fr. Maria Salome geb. Braunin mit beÿstand ihres Ehemanns Geörg Michael Kübler des Kürßners unter fernerer assistentz ihres streitvogts Johann Michael Endling des leinenweber
in gegensein ihres tochtermanns H. Samuel Becke des rauchwaarhändlers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt hinter der Kürßnerzunfft stub, einseit neben Friedrich Rüger dem altgewänder, anderseit neben N. Kuntz dem Gürtler hinten auff N.N. den Leistenschneider

Marie Salomé Braun assistée de son mari Georges Michel Kübler hypothèque la maison au profit de sa fille Marie Salomé Franck

1749 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 421
Maria Salome geb. Braunin Georg Michael Kübler des kürßners Ehefrau mit beÿstand ihres streit vogts Johann Michael Endling des leinenwebers und Martin Braun des paßmentirers
in gegensein ihrer tochter erster ehe Maria Salome Franckin mit beÿstand Johann Daniel Inckel des glaßers – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt hinter der kürßner zunfft stub, einseit neben Friedrich Rüger dem altgewänder, anderseit neben N. Kuntz dem gürtler, hinten auff NN leistenschneider

Marie Salomé Braun assistée de son mari Georges Michel Kübler hypothèque la maison au profit du chirurgien Paul Frédéric Zinserlin pour rembourser une dette de son mari

1752 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 231-v
Fr. Maria Salome geb. Braunin Georg Michael Kübler des kürßners Ehefrau mit beÿstand ihres vogts und vetters Johann Michael Endling des leinenwebers und ihres tochtermanns H. Samuel Becke des veechhändlers und E.E. grosen Raths beÿsitzers
H. Paul Friedrich Zinßerlin der chirurgus am andern theil
demnach er Kübler zufolg E.E. großen Raths bescheids vom (-) Junÿ 1749 condemnirt worden ihme Zinßerlin eine haupt summ von 650 gulden benebst zinßen und uncösten (zu zahlen)
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt hinter der Kürsner zunfft stub, einseit neben N. Kuntz dem gürtler, anderseit neben Friedrich Rüger dem altgewänder, hinten auff N N den Leistenschneider

Inventaire par révision dressé après la mort de Marie Salomé Braun en 1754 à la requête de ses deux filles et héritières. Les experts estiment la maison à la somme de 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 767 livres, le passif à 1818 livres.

1754 (21. 9.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 258) n° 590-a
Revisio und respe. Inventarium aller derjenigen Haab und nahrung, welche weÿl. Frau Maria Salome Küblerin gebohrene Braunin, Georg Michael Küblers des Kürßners und burgers allhier Zu Straßburg gewesene Ehefrau nunmehr seelig nach ihrem den 4.ten aug. dieses lauffenden 1754.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren nachgemelter der Verstorbenen in erster Ehe ehel. erzeugter Zween frauen töchtere nach dem Eingang dießes Inventarii nebst ihren Ehegatten ordentlichen benambßet, fleißig inventirt (…) So geschehen allhier Zu Straßb. auff Donnerstag den 21. 9.bris 1754.
Die verstorbenen seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. die Ehren und tugendsame Fr. Mariam Salome geb. Franckin des Ehrenachtbaren meisters Joh: Fried. Neukamms des nagelschmidts und b. allh. Zu Str. Ehegattinin dieße beÿständlich dießes ihres Ehemanns gegenwärtig, So dann 2. die Hoch Ehren und tugendreiche Frau Annam Margaretham gebohrne Franckin, des Wohl Ehrenvest Großachtbaren fürsichtig und weißen herrn Samuel Becke des rauchwaar händlersn E. E. Gr. Raths alten wohlverdienten beÿs. v. vornehmen b. allh. fr. Eheliebstin, welche nebst vor wol vermeldeten ihrem herrn Ehelibeste dießer Inventur in person abgewartet, dieße beeder der Verstorbenen seel. in Erster ehe mit weÿl. dem Ehrenachtbaren Mr Joh: Jacob Francken, dem gewes. Kürschners v. b. allh. längst seel. ehel. erzeugte frauen töchter und ab intestato Erben
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Str: hinder der Kirschner Stub gelegenen in dieße Verl. gehörigen behaußung folgener maßen ich befunden
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nehml. j. Beh. v. Hoffstatt, mit allen deren gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier hind. der Kürßner Stub, j.s. neben N. Riegern, dem Frippier ehevögtl. weiß, 2.s. neben Joh: Frid. Kuntz dem gürtlern allh. hinden auff Mr Joh: Georg Tornarius den Kürschnern stoß. so außer denen darauff hafftenden und hernach inventirten passiv Cap. ledig eigen v. durch die Herren Werckmeistere dießer Löbl. Stadt nach Außweiß der mit Zum Concept eingeschickten schrifftlichen Abschatzung vom 14. Xbr A° 1754. æstimirt und angeschlagen pro 750 lb. Darüber bes. j. teut. perg. Kffbr. in allhies. C. C. stub und mit deren anh. Ins. Vw. datirt d. 31. Martÿ A° 1703.
Sa. haußraths 17, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750, Summa summarum 767 lb – Schulden 1801 und 17, Pssiv onus 1051 lb
Abschatzung Vom 14. Xbris 1754. Auff begehren Meister Joh: Michael Kübler des Burgers, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, hinder der Kürschner Stub Gelegen, einseÿts neben Herr Kuntz anderseÿts neben N. N. dem fripiés und hinden auff Herr Bansmädel dem Goltschmid Stoßend, solche behausung bestehet in etlichen Stuben, Kammeren und Küchen, darüber ist der Tagstuhl mit breidt, und hohl Ziegler belegt, hatt auch einen Gewölbten Keller. Von uns den underschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern, nach Vorhero beschehener besichtigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeith dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen worden, Vor und um Eintausent und Fünff Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister

Georges Michel Kübler est admis pensionnaire à l’hôpital
1755, Conseillers et XXI (1 R 238)
Georg Michael Kübler der burger und Kürschner alhier wird ad dies vitæ in den Spithal recipirt. 45.
(p. 45) Sambstag den 22. Marty 1755. – Christmann nôe Georg Michael Kübler des Burgers und Kürschners alhier producirt unterth. Memoriale und bitten mit beÿl. N° 1 biß 5 inclus. pt° auffnahm in den Spithal. Erk. wird der Implorant ane die hochansehnliche Hh. pfleger des mehrern Hospithals umb allda auffgenommen und Lebtägig Verpflegt Zu werden, Verwießen. Depp. H. Rathh. Kürschner, H. Rathh. Adam

Samuel Becké acquiert le 20 mars 1755 la maison par adjudication judiciaire comme le mentionent les actes ultérieurs.
Fils du secrétaire Jean Becké de Breslau (Wrocław en Pologne), Samuel Becké épouse en 1728 Anne Marguerite Franck, fille de Jean Jacques Franck (le précédent propriétaire) : contrat de mariage, célébration

1728 (23. Aug.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 26
Eheberedung – zwischen dem Eren Achtbaren Samuel Becken, dem leedigen Kürsnern Von Breßlaw gebürtig, weÿl. herrn Johann Becken gewesenen Wagampt schreibers alda nachgelaßenen ehelichen Sohn alß Bräuthigam ane einem
so dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Annæ Margarethæ Franckin, weÿl. Johann Jacob Francken gewesenen Kürßner und burgers allhier Zu Straßb. nachgelaßenen ehelichen Tochter als der Jgfr. hochzeiterin andern theil
Beschehen und verhandelt allhier Zu Straßb. auff Montag den 23. Aug. Anno 1728. [unterzeichnet] Samuel Becke alß hochzeiter, Anna Margretha franckin als hohzeitrin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 207-v, n° 1181)
Anno 1728 den 6 Octobr. sind nach geschehener ordentlicher ausruffung ehelich eingesegnet worden in der Kirch zu St. Thomas, Samuel Becke der ledige Kürßner Von Breßlaw weÿland Johann Becke deß wag ampts schreibers daselbst hinderlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Anna Margaretha Weÿland Johann Jacob Franck deß geweßenen burgers und Kirßners alhier hinderlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Samuel Becke als Hochzeiter, Anna Margretha franckin alß hochzeiterin (i 212)

Samuel Becké devient bourgeois quinze jours après son mariage
1728, 4° Livre de bourgeoisie p. 946
Samuel Beck .d Kürßner Von Weßlau geb: erhalt d. b. Von sein ehefr: Anna Marg: Johann Jacob Francken b: undt Kürßners Hint. dochter umb die tertz d. alt. b. will beÿ E.E. Zunfft d: Kürßner dienen Jur. d. 23.t octob. 1728

Il devient tributaire chez les pelletiers deux jours après avoir acquis le droit de bourgeoisie. Il produit un certificat d’apprentissage daté de Breslau le 19 juin 1719.
1728, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 331)
(f° 28) Mittwochs den 25. Octobris 1728 – Neuzünfftiger
Samuel Becke auß Breßlau gebürtig Weÿl. H Johann Becken, geweßenen Waagschreibers allda hinderlaßener ehelicher Sohn, ließ nebst producirung geburts scheins de dato 3. Aprilis 1728. unter der Stadt Breßlau hangendem Insiegel, deßgleichen deßen Lehrbrieffs datirt Breßlau den 19. Junÿ 1719. und weilen er den Stallschein noch nicht erhoben, in ermanglung deßen, des Cantzleÿ Scheins de dato 23. Octobris Anno 1728. durch Meister Georg Michael Küblern, den Kürßnern Vor: und anbringen, daß er beÿ Meister Johann Caspar Cloßen Kürßner, Zu Breßlau gebührmäßig gelernet, gewandert und die erfordrend * über allhier gearbeitet hätte, mit angehencker bitt, ihme gleich andern das Zufft und Große Recht angedeÿhen Zu laßen.
Erkannt, weilen sein Anbringen der Wahrheit gemäß, als seÿe Ihme gegen erlag der Gebühr in seinem petito willfahrt. Waran hin er, in ansehung er eines Mitzünfftigen Meisters tochter geheürathet, nach præstirten jurament gleich entricht
Vor das handwerck 1 lb 10 ß, Vor das Stubenrecht 16 ß 8 d, In des handwercks Gebrauch 1 lb 6 ß 8, Vor die Feuer Eÿmer bestellung 15 ß, Vor die Pfenningthurns Gebühr 1 lb, dem Zunftschreiber 2 ß, dem Büttel 5 ß, also Zusammen 5 lb 15 ß 4 d

Le pelletier Jean Georges Theurkauff fait grief à la femme de Samuel Becké de vendre des marchandises de mauvaise qualité au marché de Saverne. La défenderesse est condamnée à une amende faute d’avoir produit des témoignages convainquants.
1731, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 331)
Johann Georg Theurkauffs haußfrau Ca. Herrn Samuel Becken des Kürßners Ehegattin
(f° 50-v) Sambstags den 15.ten Septembris 1731, – Meister Johann Georg Theurkauffs, des Kürßners haußfrau Klagt Ca. Herrn Samuel Becken, des Kürßners, und jetzigen Zunfft Schaffners Ehegattin, daß sie Beckin auff dem vor etlichen tagen gehaltenen Zaberer Jahr Marck wieder art Ihro ihre Waar verachtet, und sie alte verrauchte und s.v. beschißene Beltz geheissen, bitt umb gebührende Abstraffung,
Beklagte Zugegen replicirt, hätte da Klägerin sie eine große Frau Föchhändlerin, welche mit stinckenden Schaaff beltzen auff die Märcktt gehe genennet, Zur antword gegeben, daß sie doch keine rechiche* sondern gute neue Waar hätte, bitt umb beweißthumb, Klägerin nochmalen vorgefördert und gefragt, ob sie glubwürdige gezeugen ihrer Anklag hätte, sagte daß neben andern so sie nicht Kennete auch Georg Günther, der Mit Meister und deßen Ehefrau, wie auch Johann Heinrich Goldbach, des Kürßners Ehefrau gehört hatte darauff Frau Beckin ebenfalls vorgelaßen und ihro beditten, ob sie im gegentheil auch ihre verantwortung wieder Klägerin daß nehmlichen dieselbe ihre beltz Zu erst verachtet, durch genungsame Gezeugnus wahr machen Könte, dieße
benande Meister David Formier Von Waßlenheim Zu ihrem Gezeugen, welcher aber dermahlen nicht anweßend, Nach gehaltener Umbfrag waren der Klägerin Gezeugen und Zwar allein Georg Günther und deßen Ehefrau, Johann Heinrichs Goldbachs Ehefrau aber weilen Beklagte darwieder præstiren, daß sie den tag Zuvor mit ihro in streit gefallen nicht vorgelaßen, Georg Günther nach gebener handtreu deponirte, hätte gehört, daß Beklagte Zur Klägerin geredet, die Beklagte hätte Kleine Verrauchte und verpabelte Waar so, wie sie, nehmlichen wie Klägerin, seßen Ehefrau auch vorgefordert meldete, nach dem sie in handgelübd genommen geweßen, Könne nichts anders sagen, alß daß Beklagte ihro Klägerin die Waar Veracht hätte, beziehet sich auff die Wort ihres Ehemanns. Hierauff ward der Articul das Nachruffen und Verachten der Waar betreffend abgeleßen und per majora vota Erkannd, Solle die Beklagte nebst der Gerichts Gebühr, so sie liegen laßen solle den Articul mit 1 lb 10 ß d beßern, dabeÿ aber ihro ihre anklag wieder Klägerin weilen Gezeugen nicht Zugegen vorbehalten seÿn als dann ferner ergehen solle, was rechtens.

Litige entre Samuel Becké et le compagnon Jean Koch. L’affaire est traitée sur des pages endommagées du registre
1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Samuel Becke C. E.E. Meisterschafft der Kürschner. 255. 266. 276. 284. 297 (Table)
(p. 255) Sambstag den 26. Augusti 1734 – [-] und Kürschnermeisters und [-] Kürschners Meisterschafft prod. unterth. [-] appellation, bitt [-] urkund laß. Erk. sill urkundt [-]
(p. 266) Sambstag den 4. Septembris 1734. – Fuchß nôe Samuel Becke et Cons. in Actis C. E. E. Zunfft der Kürschner auff producirte App. vom 28. Aug. jüngst prod. Appellation Klag juncto petito sambt beylagen Sub N. 1. 2. Zug. bitt Deput. Fuchß bitt similiter. Erk. Deput. willfahrt.

(p. 276) den 11. Septembris 1735 – [-] Hrn Secret. Kleinclaus referiren [-]ßner handwerckhs den 26. Aug. [-]hafft Johann Koch den Gesell von [-] Kürßner angeklagt, daß er beÿ [-] Kürschner allhier beÿ dem er in [-]nommen, nun aber beÿ[-] nach ordnung sich wieder[-] wochen aus der Statt Ziehen [-] und Meisters Verantwortung [-]nnnt, sich aber wieder mit [-]anft* per Majora die[-] weilen der Gesell von dem [-] und er. meister auch Krafft [-]eilung der Kundschafft [-] bißheigen ordnung nach [-]onath Zur Statt hinaus Ziehen, [-]kschawen, anbeÿ die Gerichts[-]chen bescheid Becke der Meister[-]angl. jüngst beÿ Mgh. contra [p. 277] E. E. Zunfft der [-] davon an derselbe[-] Appellationsklag [-]sie das Factum [-] beÿlag N° 2e /:s[-] articul buch Fol. [-] wolten zu erken[-] cassiren und auß[-] Mit Appellanten [-] Zu arbeiten befu[-] bewilligte 15. ß [-] Gedacht E. Zun[-] umb Deput. ge[-] denen besitzung [-] schrifft widerh[-] Glock und P[-]samen Gesel[-] Jüngst dene[-] daß wann [-] wolle, so ha[-] oder Sein wo[-] hätten replic[-] wollen die[-] Zuführen. [-] daß nach [-] enthaltenen[-] beÿ seinen [-] man dan[-] Ihme Zu[-] Zu Ihme [-] Zu thu[-] Zunfft gu[-] Zu Mghh.

(p. 284) Sambstag d. 18. Sept. 1734 – Fuchs nôe Samuel Becke et Cons. C. E. E. Zunfft der Kürßner bitt ut ante [communication bescheids]. Erk. Willfahrt

(p. 297) Sambstag den 18. Sept. 1734 – Bescheis. In Sach[-] deßen [-] am e[-] (p. 298) [-]el ! Auff producirten Zunfft: [-] jüngtjien, basaf welches [-] von gedachtem seinem Meister [-]nd er, Meister, auch Krafft Scheins [-]ung der Kundschafft consentirt, [-]ben, und entweder ein Monath [-]aber sich wieder alhier umb[-]kösten liegen laßen wolle. Eigelegte [-] Sub N° 1 et 2, und angehencktem [-] sententia à quà gantzlich zu [-] der Gesell beÿ seinem Meister [-]ng es beÿden gefällig, ohngehin:[-] gegener auch dem Gesellen die [-]ß Zu restituiren schuldig sein sollen [-] beÿ gebettener, bewilligter, und [-] gethane Verantwortung, juncto [-] bescheid Zu laßen, und all[-] Anbringen, Ist der Hh. Depp. [-]thel Zu Recht erkant, daß der [-] Meister Samuel Becke, nach[-] die Altgesellen die es auch Zu [-] eingeführt sein wird, noch [-] dem Zunfft gerichtt erlegte [-] ein solches hiemit erkennen.

Anne Marguerite Franck meurt en 1760 en délaissant deux fils, l’un jurisconsulte au service des princes de Waldeck, l’autre sous-officier au service de Wurtemberg. Les experts estiment la maison rue des Sept-Hommes à 600 livres. L’inventaire est dressé dans sa maison aux Petites Arcades. La masse propre au veuf est de 404 livres, celle des héritiers de 315 livres. L’actif de la communauté s’élève à 8 166 livres, le passif à 7 569 livres.

1760 (4.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 264) n° 814
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die hoch Ehren und tugendbegabte Frau Anna Margaretha geb. Franckin des Wohl Ehrenvesten Großachtbaren und weißen Herrn Samuel Becke, des Vornehmen Föchhändlers undt E. E. Großen Raths alten Wolverdienten beÿsitzers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßene Frau Eheliebstin nunmehr seel. nach ihrem den 14. Julÿ dießen lauffenden 1760.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 4.ten Septembris, Anno 1760.
Die Verstorbene Frau Rathherrin seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. S.T. Herrn Samuel Becke, J.ris Consultum und hochverdientenen hochfürstlichen Waldeckischen Rath dermalen Zu Paris sich auffhaltet, dahero abwesend, allein mit hoher Assistentz des hoch Edelvest Fürsichtig und hochweißen herrn Philipp Jacob Städels des beständigen Regiments derer Herren XV. hochansehnlicher Herrn Assessoris und Vornehmen Burgers allhier welcher dem Geschäfft in hoher Person selbst beÿgewohnt, in dem einen Stammtheil
So dann 2. S. T. Herrn Johann Daniel Becke, derzeit *ter Lieutenant unter Ihro hoch Fürstlichen Durchleucht Zu Würtenberg und Tegg & errichtetem gens d’armerie à cheval und annoch burgers allhier, welcher ebenfalls nicht allhier, aber derzeit bevögtigt mit herrn Johann Martin Braun des Seidenhändlers und burgers allier, so in deßen Nahmen dießes Geschäfft von Anfang biß Zu End in Persohn abgewartet, in dem andern Stammtheil, Alle beede der Verstorbenen Fraun Rathherrrin seel. mit vorher wolbemeldeten ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiben ehelich erzeugte zween Herrn Söhne und Zu gleichlingen portionen Erben

In einer allhier Zu Straßburg unter der Kleinen gewerbslaub gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörige behaußung folgendermaßen sich befunden
Eigenthumb ane Häußern (T.) Erst. Eine behaußung, höfflein und alten baufällige hinder hauß unter der Kleinen Gewerbslauben (…)
(T.) It. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen Iren begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier hinder E. E. Zunfft der Kürschner in der Siebenmanns gaß, einseit neben Friderich Rügern dem frippier anders. neben Joh: Frid. Kuntzen dem Gürtler hinden auff Mr Joh: Georg Tornarius, dem Kürschnern stoßend, so ledig und eigen, und in crafft vorgemeldter Abschatzung gewürdiget vor 600. Hierüber meldet j. teut. perg. Ganth Kauffbr. von seithen E. E. Kl. rhats gef. v. mit deßen anh. Ins. corroborirt dedato 20.ten martÿ 1755.
Ergäntzung des Herrn Wittiber abgegnenen unveränderten Guths, Vermög des durch nun weÿl. Hrn Johann Philipp Lichtenbegrer geweßenen Notarium publ. jur. über beed. nun zertrennten Ehe personen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in A° 1729 auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers gesambtes unveränderten Vermögen, Sa. Silbergeschmeids 15 ß, Sa. guldenen Rings 12, Sa. Ergäntzungs Rests 491, Summa summarum 504 lb – Schuld 100, Nach deren Abzug 404 lb
Derer Herren Erben unverändert guth, Sa. Kleidung 52, Silbergeschmeids 3 ß , Sa. Schulden 100, Sa. Ergäntzung 162n Summa summarum 315 lb
Das theilbare Vermögen, Sa. haußraths 160, Sa. Waaren vnd Beltzwerck wie auch Werckzeug Zum Fechhandel gehörig 3345, Sa. Weins v leerer Faß 362, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 92, Sa. goldener Ring, Ketten und Perlen und dergl. geschmeid 47, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1050, Sa. Eigenthums ane Häusern 2100, Sa. Schulden 1009, Summa summarum 8166 lb – Schulden 7569 lb, Nach deren Abzug 597 lb
Stall summa 1316 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter, Zweiffelhaffte Schulden
Copia der Eheberedung (…) Geschehen v. v.handelt allh. Zu Str. auff montag den 23.ten Aug. A° 1728. Joh: Phil. Lichtenberger Not.
Abschatzung Vom 4.ten 7.bris 1760. Auff begehren Herrn Rath Herr Samuel Becker jst Eine Behaußung allhier jn der Statt Straßburg unter der Kleinen Gewerbs Laub gelegen (…)
Der Zweÿte begriff ist Auch allhier jn der Statt Straßburg Hinter der Kürschner Stub jn der sieben Mans Gaß gelegen Einseÿts Neben N Eÿsen dem Schuhmacher, ander seÿts Neben Meister Kuntz dem Gürtler und hinden Auff N. N. stoßend, solcher begriff bestehet jn Etlichen Stuben Kammern und Kuchen, dar über ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt hat auch einen Gewölbten Käller und Brunnen. Von Uns dem Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschworne Werck Meister Nach Vorhero Geschehener Besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb Ein Thausend Zweÿ Hundert Gulden [unterzeichnet] Werner, Huber

Samuel Becké loue la maison au cordonnier Jean Frédéric Bollinger.

1764 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 460
H. Rathh. Samuel Becke der veechhändler
in gegensein Johann Friedrich Bollinger des schuhmachers
entlehnt, eine behausung cum appertinentis ane dem Siebenmannsgaß – auff 6 nacheinander folgenden jahren von verfloßenen Johannis Baptistæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund

Samuel Becké se remarie en 1766 avec Sara Barth, fille de l’orfèvre Louis Barth de Colmar : contrat de mariage, célébration
1766 (18.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 495
Eheberedung – Zwischen dem wohl Ehrenvesten, Großachtbaren und weißen Herrn Samuel Becke, vornehmen Föchhändlern E: E: Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzern, Wittweren und burgern allhier Zu Straßburg als dem Herrn Hochzeitern ane Einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrauen Sara Barthin, weÿl. des wohl Ehrenvesten und Kunsterfahrnen herrn Ludwig Barthen geweßenen Silberarbeiters und Burgers in Comar seel. mit der Hoch Ehren und tugendreichen Frauen Sara gebohrner von Petersholtz seiner hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erzeugter Tochter als der Jungfer Hochzeiterin am andern Theil
Seind dieße Ding Zugangen und beschehen allhier Zu Straßburg auff Dienstag den 18. Februarÿ anno 1766 und Samuel Becke alß Hochzeiter, Sara barthin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 148-v, n° 802)
Im Jahr 1766, den 6. Aprilis sind nach zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausrufung Zu St Thomæ und in der Prediger Kirch auf obrigkeitlicher Erlaubnus Zu Haus copulirt und eingesegnet worden Herr Samuel Becke der wittiber Föchhändler und burger allhier wie auch E. E. grossen Raths alter beÿsitzer und Jungfrau Sara Barthin weÿland Herrn Ludwig Barth gewesenen Silberarbeiters und burgers Zu Colmar ehelich nachgelaßene Tochter [unterzeichnet] Samuel Becke alß Hochzeiter, Sara barthin als hochzeiterin (i 151)

Sara Barth devient bourgeoise deux mois après son mariage
1766, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 94-v
Sara Barthin, von Colmar gebürtig verheurat. an H. Samuel Becke, alten EE großen Raths beÿsitzer und burger allhier, erhalt das burgerrecht aus besonderer Consideration gratis, will dienen beÿ E E Zunfft der Kürßner, prom. den 23. Junÿ 1766.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 8604 livres, ceux de la femme à 822 livres.

1766 (3.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 270) n° 1029
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Wohl Ehrenveste Großachtbare und weiße Herr Samuel Becké, der Vornehme Föchhändler, E.E. Großen Rhat alter wohlverdienter Beÿsitzer und die Hoch Ehren und tugendreiche Frau Sara gebohrene Barthin, beede Ehepersonen und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, auch sich in crafft der den 18.ten Februarÿ A° 1766. mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 3.ten Julÿ Anno 1766. In fernerer gegenwart Herrn Friderich Rathgeber des Vornehmen Handelßmanns und Burgers in Oberbrunn, Ihres Herrn Schwagers

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kleinen Gewerbslaub gelegenen in diese Nahrung eigenthümlich gehörige Behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane Häußern (H.) Nemlichen Zween dritte theil vor unvertheilt von und ane jr. behaußung, höfflein und hoffstatt unter der Kleinen Gewerbslauben (…)
(H.) It. Zween dritte theil vor unvertheilt von und ane jr. Beh. v. Hoffstatt m. allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. hinder E. E. Zunfft der Kürschner in der sogenanden Siebenmanns gaß, j.s.neben Friderich Riegern dem frippier vormals, modo N. N. dem Schuhmacher, 2. s. neben Joh: Fried. Kuntzen dem Gürtlern, hinden auff Mr Johann Georg Tornarius, dem Kürschnern stoßend, so ledig eigen, und nach obigem Calculo gewürdiget vor 900 lb, darvon betragen die 2/3, 600 lb, die übrige tertz ist denen beeden herren Söhn erster Ehe gebührig, derentwegen meldet j. teut. perg. Ganth Kffbr. von seithen E. E. Kl. Rhats unter anh. Ins. gef. datirt den 20.ten martÿ 1755.
Series rubricarum hujus Inv. Des Eheh. in die Ehe gebrachten Guths, Sa. haußraths 539, Sa. Weins v leerer Faß 628, Sa. Waaren und Werckzeug Zum Föchhandel und Kürschner Profession gehörig 5000, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 227, Sa. gold. Ring 423, Sa. baarschafft 933, Sa. Pfgzß hptg. 200, Sa. Eigenthums ane Häusern 2266, Sa. Schulden 1753, Summa summarum 11.972 lb – Schulden 3368 lb, Nach deren Abzug 8604 lb
Der Ehefrauen zugebrachte Nahr. Sa. haußraths 117, Sa. Silber geschmeids 58, Sa. gold. Ring, Perlein v. dgl. geschm. 363, Sa. baarschafft 262, Summa summarum 822 lb

Inventaire dressé dans la maison après la mort du perruquier Jean Jacques Aubry qui délaisse deux enfants en premières noces avec Marie Anne Barrière et deux de la veuve Jeanne Catherine Pierre

1767 (28.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1498) n° 45
Inventarium über Weÿland Jean Jacques Aubry, geweßenen Perruckenmachers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet anno 1767 – nach seinem den 17. Martÿ 1766. aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Erfordern und Begehren Fraun Johannæ Catharinæ Aubry gebohrner Pierre des abgelebten seel. hinterbliebener Wittib, so von H. Johann Martin Schuhemacher del hiesigen burger und Schneidermeisters verbeÿstandet (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in einer ane der Siebenmanns gaß gelegenen, Hrn Rathherrn Becké eigenthümlich zuständigen und dißorts Zum theil lehnungs weiß inhabenden Behausung auf Montag den 25.ten May 1767.
Die verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben verlaßen 1.mo Jfrau Susannam Barbaram Aubry so mehrjährig und Zugegen, 2.do Jfrau. Mariam Elisabetham Aubry, so auch mehrjährig und gegenwärtig, beede des Verstorbenen seel. mit auch weil. Maria Anna geborner Barriere deßen ersterer Ehefrauen erzeugte Kinder und von H. Frantz Joseph Quinchamp dem hiesigen burger und Caffetier ihrem oncle verbeÿstandet,
3.tio Jgfrau Catharinam Barbaram Aubry ihres alters 16 Jahr, 4.to Mariam Dorotheam Aubry in dem sechsten Jahr ihres alters stehend, Beede letztere Von dem Verstorbenen seel. in Zweÿter Ehe mit dißorts hinterbliebener Wittib ehelich erzeugte Kinder und mit H. Johannes Burger dem Perruckenmacher und burger hieselbsten so zugegen bevögtigt

Copia der Zwischen dem abgelebten und der Hinterbliebenen Wittib Zur Zeit ihrer Verehelichung Vor nun weil. Hrn Notario Revoire errichteten Eheberedung de dato 20.ten Junÿ 1748.
Pardevant le Notaire juré de la Ville de Strasbourg (…) Collation des présentes a eté faite sur la Minute de feu Sr Revoire cydevant notaire estant en la possession du soussigné notaire juré et public de la Ville de Strasbourg ce 22 may 1757, Albert
Sa. Hausraths 14 lb, Sa. des Werckzeugs zur Peruckenmacher Profession gehörig 4 ß, Summa summarum 14 lb – Schulden aus der verlaßenschafft 20 lb, Compensando, passiv onus loco stall summ 5 lb

Le capitaine Jean Daniel Becké vend à son père la part qui lui revient dans la maison rue des Sept-Hommes

1769 (9. Sept.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 264) Joint au n° 814 du 4 sept. 1760
Erschienen aine dato Zu end gemelt vor mir offenbarem und Zu dießem Inventations geschäfft adhibirtem Notario, S. T. Herr Johann Daniel Becke, derzeit wolbestelter Capitain unter Ihro hoch Fürstlichen Durchleucht Zu Würtenberg Tegg & Leib granadiere regiment, dißorts Herr Sohn majorennis der hat
in gegensein S.T. Herrn Samuel Becke, Vornehmen Föchhändlers und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers auch burgers allhier zu Straßburg seines herrn Vatters declarirt, daß nach dem in dem hievor über weÿl. Frauen Annæ Margarethæ gebohrner Franckin respectivé sein herrn Rathherrn Becke erstern Eheliebstin und des herrn Sohns frau Mutter seel. Verlaßenschafft (…)
seinen Antheil das ist der sechste unvertheilte theil von und ane der behaußung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg hinder E. E. Zunfft der Kürschner, die Siebenmanns gaß genant, einseit neben Friderich Rügern dem frippier anderseit neben Johann Friderich Kuntzen dem Gürtler hinden auff Meister Johann Georg Tornarius dem Kürschnern stoßend, so freÿ ledig und eigen, woran Ihme Herrn Vatter selbsten Zwen dritte theil und Herrn Johann Becke, hochverdienten Syndico auff der universität zu Göttingen (…) und zwar dieße behaußung auff den fuß derr 1200 pfund (…) So geschehen Straßburg auff Sambstag den 9. Septembris anno 1769

L’inventaire dressé après la mort de Samuel Becké n’est pas conservé (il doit s’agir du numéro 1255, noté manquant lors de la confection du répertoire). Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 600 florins (1 800 livres) sur un total de 12 500 florins

1772, Livres de la Taille (VII 1180) f° 142
2902 Weÿl. H. Samuel Becke geweßenen Fochhändlers Exs. und burgers allhier Verlassenschafft jnventirt H Not. Dautel
Concl. final. jnvent. Ist fol. 269.b 4725. lb 12 ß 11.¾ d adde die wieder ordnung gemachten abzug von den waaren und anderen mit 1524. lb 16 ß so thut dießelbe 6270 lb 8 ß 11 ¾. d die machen 12.500 fl. Verstallte 8900 fl. zu wenig 3600 fl.
Wovon nachtrag 6. Jahr in duplo a 10 lb, 64 lb
und 4 Jahr in simplo 21 lb
Ext. stallgeldt 1771, 14 lb
Geb. 2 ß
Abhandlung 9 lb, (zusammen) 110 lb
das Simplex nachgelaßen restirt 89 lb
dt. 18. Maÿ 1772

Etat des biens que Marguerite Jäggi a laissés dans la maison après avoir quitté la ville pour éviter les poursuites de ses créanciers

1783 (30.5.), Not. Lederlin (6 E 41, 905) n° 225
Designatio über Margarethæ Jäggin gebohrner N. der von hier abgetrettenen burgerin zurückgelassene weniger Haabseeligkeiten, errichtet Anno 1783 – der von hier ausgetrettenen Burgerin nach ihrer von ohngefehr sieben wochen wegen obwaltendem Schulden last genommener Flucht activé verlaßen, so viel erkundiget werden Konte, passivé Zu bezahlen schuldig ist, welche auf Requisition Frauen Sarä Becké gebohrner Barthin, weÿland Herrn Exsenatoris Samuel Becke, geweßenen Föchhändlers und burgers dahier hinderlaßener Frauen Wittib, beÿ welcher die Fluchtige gewohnt hat, inventirt (…) so geschehen Straßburg d. 20. Maÿ 1783.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Siebenmanns gaß gelegenen H. Exsenatoris Becke hinderlaßener Wittib zuständigen behausung folgender maßen sich befunden als (…) activa 7 lb, passiva 17 lb, Compensando 9 lb

Sara Barth meurt en 1804 en délaissant des héritiers collatéraux. Elle est devenue propriétaire indivise des immeubles suite à la mort de son fils Chrétien Théophile Becké en 1772.

1804 (5 vend. 13), Strasbourg 7 (20), Not. Stoeber n° 1993, 6050
Inventaire de la succession de Sara Barth veuve du Sr Samuel Becké marchand pelletier décédée le 27 fructidor dernier – à la requête de 1. Salomé Barth femme de Jean Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn, héritière de sa sœur pour une cinquième portion, a constitué pour ses mandataires ses deux fils Samuel Rathgeber et Georges Louis Rathgeber dont le premier est boutonnier à Obebronn l’autre demeurant à Niederbronn,
2. les enfants et petit enfants de Louis Barth, orfèvre à Ribeauvillé, frère de la défunte pour la cinquième portion a) Marie Madeleine Barth femme de Jean Henri Beisser négociant à Ribeauvillé, b) Sr Jean Jacques Barth orfèvre jouialler à Ribeauvillé, c) De Louise Barth épouse du Sr Jean Mathieu Dorn négociant à Ribeauvillé, d) les enfants de Marguerite Madeleine Barth conçus avec Jean Philippe Steffan propriétaire à Ribeauvillé, nommés Philippine et Caroline Stephan
3. les enfants de Catherine Marguerite Barth, sœur de la défunte avec Jean Feberey négociant à Oberbronn, pour la cinquième portion a) Marguerite Madeleine Feberey femme de Frédéric Jacques Schweitzer, faiseur de bas au métier à Oberbronn, b) Jean Philippe Feberey, notaire public à Reichshoffen, c) Dorothée Frédérique Feberey épouse de Casimir Schmidt employé a la sous préfecture de Wissmbourg,
4. Marie Madeleine Barth femme de Jean Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn sœur de la défunte, 5 Demoiselle Marie Ursule Barth majeure sa sœur

en la demeure qu’occupoit la défunte faisant partie de la maison sous les petites Arcades N° 2
Portion dans deux Maisons, 2/9 dans une Maison située en cette ville l’une sous les petites arcades N° 2 consistant en deux Corps de logis puits cour deux caves voutées avec appartenances, d’un côté les freres Müsel négociants, d’autre le Sr Exel négociant, aboutissant en partie sur le Sr Nestler apothicaire en partie sur le Sr Lichtenberger coutelier – dont on paie annuellement à la commune une redevance foncière de 4 francs, sur laquelle maison existent différents titres de ventes passées à ma Chambre des Contrats les 7 septembre 1744 et 27 janvier 1749
Plus 2/9 dans une maison appartenances située derrière le cidevant poele des Pelletiers dans dans la rue des Sept hommes N° 3, d’un côté Jean Frédéric Kunz ciseleur, d’autre Frédéric Rüger frippier, aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier, Cette maison a été acquise à la chambre des Subhastations le 20 mars 1755 et par un autre contrat passé à la Chambre des Contrats le 31 mars 1703, Les deux 9° dans les maisons susrelatées sont échues à la défunte par le décès de son fils Chrétien Théophile Becké comme unique héritiere d’après les lois qui existoient lors de son decès arrivé en l’an 1772, usufruit dont jouissoit la défunte en vertu du testament mystique de feu Samuel Barth passé le 27 juillet 1769 déposé le même jour enl’étude de M° Dautel – la défunte avoit la jouissance de la succesion à l’exception de la légitime délivrée aux enfants du premier lit faisant pour la part du Sr Jean Becké, syndic a l’université de Goettingue, et pour la part de Jean Daniel Becké vivant Capitaine des Grenadiers du Duc de Würtemberg
Etat sommaire, meubles 703 fr, garde robe 375 fr, argenterie 252 fr, or bijoux 354 fr, dettes actives 1866 fr, porton de maisons o, total de la masse 3552 fr, passif 752 fr, reste 2799 fr
(Jointes) Quittances de loyer de l’emplacement de deux boutiques sous les petites arcades, 5 nivôse 14, 4 fr ; der Allmend zins von zweÿen gädlein mit 4 francken, den 6 nivose 11
(Joints) Compte des recettes et dépenses faites par Jean Stahl en qualité de mandataire Recette 1. Loyers Maison rue des Sept hommes, Sr Giessé journalier pour le quartier échu a la St Michel 1805 24 fr, an XIV du Sr Simon pr. le même Quartier 32, NB le loyer de la Ve. Huber cordonnier et celui du Sr Rapp aussi cordonnier pour trois mois que le Sr Traeger doit acquitter
Maison sous les petites arcades ; an XIV du S Philibert marchand de tabac 135 fr, du Sr Sohn marchand de cuirs 100 fr, du S heckmann 11 fr
1805 de la Demois. Freymann pour le Quartier de Noel 18, du Sr Sohn marchand de cuirs 100 fr, du S heckmann 22 fr, NB. le Sr Philibert ayant délogé a la St Michel n’avoit plus de loyer a payer et son logement n’a pas été reloué
Enregistrement, acp 94 F° 28 du 6 vend. 13

Ursule Barth, sœur de la précédente, est propriétaire d’une partie des mêmes immeubles à sa mort en 1805.

1805 (30 fruct. 13), Strasbourg 4 (34), Not. Stoeber n° 248
Inventaire de la succession délaissée par Dlle Ursule Barth décédée le 4 du présent mois – à la requête de Samuel Rathgeber, boutonnier à Oberbronn, Georges Louis Rathgeber, culottier demeurant à Niderbronn, mandataire de Marie Salomé Barth veuve de Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn, leur mère sœur germaine de la défunte, Jean Henri Oertle se portant fort De Marie Catherine Barth épouse de Jean Henri Beysser négociant à Ribeauvillé, niece de la défunte, pour Jean Jacques Barth orfèvre et jouaillier a Colmar neveu de la défunte et pour Jean Philippe Steffan propriétaire a Ribeauvillé tuteur des enfants de Marguerite Madeleine Steffan, Philippine Steffan et Caroline Steffan, Mathieu Dorn négociant à Ribeauvillé au nom de sa femme Marie Madeleine Barth, Georges Louis Müntz Courtier de marchandises se portant fort de Me Jean Philippe Feberey notaire public à Reichshoffen, petit neveu de la défunte, et Dorothée Frédérique Feberey épouse de Casimir Schmidt employé a la sous préfecture de Wissmbourg, petite niece de la défunte, Marie Salomé Rathgeber héritiere pour un tiers, la D° Beysser Jean Jacques Barth, les enfants Steffan et D° Dorn pour l’autre tiers, lesdits Feberey pour le dernier tiers, suivant testament reçu Stoeber père notaire à Strasbourg le 2 du présent

en la demeure qu’occupoit la défunte faisant partie de la maison sise à Strasbourg sous les petites arcades N° 2
meubles 753 fr, numéraire 174 fr
immeuble, 11/45 dans une maison située en cette ville sous les petites arcades N° 2 consistant en deux corps de logis puits cour et deux caves voutées, d’un côté les freres Müssel négociants, d’autre le Sr Exel négociant, aboutissant en partie sur le Sr Netter apothicaire et en partie sur le Sr Lichtenberger coutelier – chargée envers la commune d’une rente foncière de 4 francs – acquis par contrat passé à la Chambre des Contratsle 7 septembre 1744 et 27 janvier 1749, estimée 17.000 fr, ici 755 fr
Plus 2/45 dans une maison située derrière le ci devant poele des Pelletiers dans dans la rue des Sept hommes N° 3, d’un côté Jean Frédéric Kunz ciseleur, d’autre Frédéric Rieger frippier, aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier – acquis par contrat passé à la Chambre des Subhastations le 20 mars 1755, et par autre contrat passé à la Chambre des Contrats le 31 mars 1703, estimée 4000 fr, ici 177 fr
total de la masse 1860 fr, passif 265 fr
(Testament, Legs à sa servante Eve Freyss, dans une chambre au premier étage sur le devant dans la maison Becké sous les grandes arcades n° 2)
Enregistrement, acp 97 F° 127 du 30 fruct.

Les héritiers de Samuel Becké et de Sara Barth vendent les deux maisons par adjudication. Celle rue des Sept-Hommes revient au cabaretier Jean Frédéric Simon

1806 (29.3.), Strasbourg 4 (34), Not. Stoeber
203, Cahier des charges du 13 messisor 13 – Adjudication de deux maisons faisant partie de la succession des défunts Samuel Becké, marchand pelletier, et Sara née Barth, à la requête de M. Jean Frédéric Lauth, Jurisconsulte et avocat, en qualité de mandataire de D° Wilhelmine Charlotte Becké, de Caroline Sophie Louise Becké femme de Gustaphe Alberti, plus Louise Sophie Becké veuve Volbart et Sr Charles Frédéric Jean Chrétien Becké selon pouvoir donné a Gottingue, lesdits mandants héritiers de feu Jean Becké leur père vivant syndic de l’Université de Goettingue, Plus à la requête de Joseph Momy, Juriscosulte et avocat au tribunal, en qualité de Mandataire de D° Marie Caroline Eleonore de Becké, Sr Jean Charles Xavier de Becké Capital de Chasseurs R. et I. et Chevalier de l’ordre de St Charles, D° Caroline de Becké, représentant feu leur père Jean Daniel de Becké, lieutenant colonel et Chevalier de l’Ordre du mérite militaire du duc de Wirtemberg, Lesdites deux branches héritières ab intestato de feu Sr Samuel Becké ; plus à la requête du Sr Jean Stahl
Henri Riss pour Jean Frédéric Simon Cabaretier (la maison rue des Sept hommes) – pour 4300 francs
Jean Jacques Stolz maçon pour Jean Jacques Exel marchand épicier (vente Stoeber fils) – pour 21.000 francs
adjudication de deux maisons situées en cette ville l’une sous les petites arcades N° 2 consistante dans une grande boutique, trois étages pour logement, puit cour deux caves voutées et autres aisances, d’un côté les freres Müssel négociants, d’autre le Sr Exel négociant, aboutissant en partie sur le Sr Lichtenberger coutelier en partie sur le Sr Netter apothicaire – doit annuellement à la ville pour permission de placer deux boutiques sous l’arc de la maison – mise à prix 17.000 fr Plus une maison appartenances située derrière le ci devant poele des Pelletiers dans dans la rue des Sept hommes N° 3 consistant en trois étages pour logement puit cave voutée, d’un côté le Sr Reusner cordonnier, d’autre le Sr Offenburger menuisier / d’un côté Jean Frédéric Kunz ciseleur, d’autre Frédéric Reusner frippier aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier – mise à prix 4000 fr
n° 237 du 12 thermidor 13 – n° 243 du 28 thermidor – n° 246 du 10 fructidor – n° 252 du 30 fructidor – n° 258 du 6 vend. 14 – n° 283 du 21 janvier
(Joint :) que le Sr de Becke vivant Lieutenant Colonel au Service du Duc de Wirtemberg et Chevalier de L’ordre pour le mérite natif de Strasbourg est décédé en cette garnison le 29 octobre de l’année courante et n’a laissé d’autres enfants qu’une fille Marie Caroline Eleonore de Becke et un fils Sr Jean Charles Xavier de Becké capitaine de chasseur Royal et Imperial et Chevalier de l’ordre de St Charles, Fait en Garnison a Louisbourg le 9 décembre 1801
(Joint, Rapport d’experts) du 28 prairial 13, Jean Chrétien Arnold maçon, Gédéon Emanuel Stuber charpentier (…) 1. que la maison située sous les petites arcades N° 2 était bien entetenue et avons estimé que les réparations locatives nécessaires a y faire ne peuvent monter qu’a la somme de 20 francs
2. Qui a été effectivement fait par ladite veuve différentes réparations majeures non seulement utiles mais nécessaire même pour la durabilité de l’immeuble en question et à charge des propriétaire, savoir celle du mur de la fosse d’aisance celle de l’arcade qui supporte le devant du bâtiment principal, celle de la platte forme qui couvre la maison de derrière ainsi qu’une toiture construite par dessus et enfin un escalier neuf au second étage, estimées 800 fr
3. Que la maison sise rue des sept hommes n° 3 etant moins bien entetenue exige plusieurs réparations surtout celle de la toiture, lesquelles réparations ensemble nous avons évaluées à 250 fr
4. Que dans cette même maison la défunte usufuitière a fait faire différent ouvrages nécessaires pour la location de cet immeuble tant en croisées neuves qu’en poeles de fonte qu’elle y a fait placer au lieu des anciens en poterie qui etoient tombés en ruine, estimés 200 francs – mises à prix 17.000 fr et 4000 francs

Vente pasée suite à l’adjudication au profit de Jean Frédéric Simon et de sa femme Susanne Dorothée Sembach

1806 (29.3.), Strasbourg 7 (38), Not. Stoeber, n° 2676, 7015
M. Jean Frédéric Lauth, Jurisconsulte et avoué près des tribunaux établis en cette ville, en qualité de mandataire de De Wilhelmine Charlotte Becké sa femme, Dlle Caroline Sophie Louise Becké femme de Gustave Alberti, de De Louise Sophie Becké veuve Vollbarth et du Sr Charles Frédéric Jean Chrétien Becké selon pouvoir donné a Gottingue, lesdits mandants héritiers de feu Jean Becké leur père vivant syndic de l’Université de Goettingue,
Plus Joseph Momy, Jurisconsulte et avoué près des tribunaux établis en cette ville, au nom des enfants et uniques héritiers bénéficiaires de feu Sr Jean Daniel de Becké leur père, lieutenant colonel et Chevalier de l’Ordre du mérite militaire du duc de Wurtemberg, savoir de De Caroline de Becké majeure demeurant à Louisbourg, plus de M. Jean Charles Xavier de Becké, Capitaine du régiment Impérial et Royal Autrichien des Chasseurs tyroliens N° 64 Chevalier de l’ordre pour le Mérite militaire demeurant ordinairement à Mannheim, 2. M. Jean Stahl Jurisconsulte en cette ville, en qualité de mandataire de Samuel Rathgeber, boutonnier à Oberbronn comme représentant sa mère De Salomé Barth, veuve de Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn, Jean Jacques Barth orfèvre et jouaillier à Colmar, Jean Mathieu Dorn négociant à Ribeauvillé mandataire de des enfants et petits enfants de feu Louis Barth orfèvre à Ribeuavillé, Jean Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn au nom de sa femme Marie Madeleine Wurz et De Marie Ursule Barth majeure d’ans, Plus le même Stahl en qualité de mandataire de Casimir Schmidt, employé a la sous préfecture de Wissmbourg, au nom de sa femme Dorothée Frédérique Feberey, Plus led. Stahl en qualité de mandataire de Frédéric Jacques Schweitzer, faiseur de bas au métier, enfin Georges Müntz Courtier en cette ville comme cessionnaire des droits de Me Jean Philippe Feberey notaire public à Reichshoffen par cession passée détect M° Stoeber fils le 7 floréal 13, tous en qualité d’héritiers de feu Samuel Becké marchand Pelletier et de Sara née Barth conjoints
à Jean Frédéric Simon et Susanne Dorothée née Sembach
une maison sise en cette ville rue des Sept hommes N° 3 consistant en trois étages pour logement, puit cave voutée et toutes ses appartenances, d’un côté le Sr Reusner cordonnier d’autre le Sr Offenburger menuisier aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier – moyennant 4300 francs
Enregistrement, acp 99 F° 78-v du 29.3.

Fils de chaussetier, Jean Frédéric Simon épouse en 1795 Susanne Dorothée Sembach, fille de boulanger
1795 (25 therm. 3), Strasbourg 4 (10), Not. Greis n° 786, Altes N° 379
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Johann Friedrich Simon, leediger Strumpffstricker allhier, des Bürgers Johann Friderich Simon, Strumpffstrickers allhier mit Eva Margaretha gebohrner Erhard ehelich erzeugter Sohn, unter Authorisation dieses seines Vaters ane einem Theil
sodann die leedige Bürgerin Susanna Dorothea Sembach, weiland des Bürgers Johann Adam Sembach, gewesenen Becken allhie mit auch weiland Dorothea gebohrner Heß ehelich erzeugte hinterlaßene großjährige Tochter, beiständlich ihres Bruders des Bürgers Johann Jacob Sembach, Becken allhier, an dem andern theil
Geschehen allher Zu Straßburg in mein des Notarii Schreibstube den 25. Thermidor im dritten Jahr der Frantzösisch Einen und unzetrennlichen Republick [unterzeichnet] Jean Frederic Simon, Susanna Doroth Sembachin
Enregistrement, acp 36 F° 129 du 27 therm. 3, revenu industriel 200 francs

Le débitant de bière Jean Frédéric Simon meurt en 1826 en délaissant cinq enfants

1826 (3.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 51), Me Hickel n° 2221
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Simon, débitant de bière décédé le 1 juin dernier – à la requête de 1. Susanne Dorothée Sembach la veuve demeurant rue des Sept Hommes n° 3, mère et tutrice légale de Charles Gustave Simon, 2. Philippe Frédéric Simon, baquetier demeurant même rue n° 4, 3. Sophie Dorothée Simon épouse de Thibaud Schneider meunier, 4. Eve Catherine Simon, 5. Frédérique Wilhelmine Simon demeurant rue des Sept Hommes n° 3, héritiers pour un cinquième de leur père, en présence de Jean Jacques Simon, fabricant de bas rue du Faubourg de Pierre n° 55, subrogé tuteur du mineur
Contrat de vente passé devant M° Stoeber le 29 mars 1806, acquis du mandataire & cessionnaire des héritiers Samuel Becké pelletier & Sare Barth une maison en cette ville rue des Sept Hommes n° 3, transcrit au bureau des hypothèques volume le 29 mars 1806, estimée 4000 fr
mobilier 373 fr, argent 50 fr (dont garde robe 41 fr)
Contrat de mariage devant M° Greis le 25 thermidor 3 – total 4423 francs
Enregistrement, acp 179 F° 87-v du 5.7.

Sophie Dorothée Simon femme du marchand fariner Thiébaut Schneider cède sa part de maison à ses frères et sœurs

1835 (25.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), Me Hickel n° 5099
Sophie Dorothée Simon épouse de Thiébaut Schneider marchand fariner
à 1. Eve Catherine Simon épouse de Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2. Frédérique Wilhelmine Simon épouse de Daniel Schaan, imprimeur, 3. Charles Gustave Simon, imprimeur, pour un tiers chacun
le quart indivis avec les acquéreurs d’une maison avec grande cave voutée, pompe, & autres appartenances & dépendances sise en cette ville rue des Sept Hommes n° 3, d’un côté M. Bontems actuellement M. Lipp, d’autre M. Koch – sont compris dans cette vente notamment un billard, différents fourneaux avec tuyaux et pierres et différents autres objets mobiliers – les vendeurs ont recueilli ledit immeuble dans la succession de Jean Frédéric Simon, débitant de bière, et de Susanne Dorothée Sembach dont ils sont héritiers pour un 5° ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, les conjoints Simon ont acquis ladite maison des héritiers de Samuel Becké, marchand pelletier, et de Sare Barth, suivant vente passée devant Me Stoeber père le 29 mars 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 28 n° 138 – moyennant 2250 francs
Enregistrement, acp 233 F° 27-v du 27.7

Les héritiers Simon vendent au vitrier Jean Rehn la maison et divers objets mobiliers dont un billard

1840 (15.4.), Strasbourg 12 (152), Me Noetinger n° 12.235
1. Eve Catherine Simon épouse de Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2. Frédérique Wilhelmine Simon épouse de Daniel Schaan, imprimeur, 3. Charles Gustave Simon, aussi imprimeur
à Jean Rehn, vitrier
une maison avec appartenances & dépendances située en cette ville rue des Sept Hommes n° 3, d’un côté M Lantz pelletier, d’autre M Koch cordonniern devant la rue, derrière le Sr Billot chapelier
sont compris dans la vente les objets mobiliers suivants, un billard avec trois billes, 16 queues & deux longues queues, plus quatre tables avec les bancs, une table avec tiroir, un comptoir, trois quinquets, une ardoise, quatre fourneaux en fonte & en fayence, deux chaudrons en cuivre avec couvercles en bois – les vendeurs ont recueilli trois cinquième dans la succession de Jean Frédéric Simon, débitant de bière, et Susanne Dorothée Sembach leurs père et mère, conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, Et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, les conjoints Simon ont acquis ladite maison des héritiers de Samuel Becké, marchand pelletier, et de Sare Barth, suivant vente passée devant Me Stoeber père le 29 mars 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 28 n° 138 – moyennant 12.300 francs
Enregistrement, acp 277 f° 56-v du 20.4.

Jean Rehn est marié à Françoise Schafflützel qui a épousé en premières noces le vitrier David Pfister
1816 (17.5.), Strasbourg 12 (64), Not. Wengler n° 9565
Contrat de mariage – David Pfister vitrier, veuf sans enfant de Marie Barbe née Riehl
Françoise Schaaflutzel demeurant à Strasbourg, fille mineure de Jean Jacques Schaaflutzel, tanneur, et de Jeannette Charlotte Gilg (si fr) (si fr)
Régime de communauté partageable par moitié
Enregistrement f° 86 du 17.5.

David Pfister meurt en 1825 en délaissant deux enfants issus de la veuve
1825 (22.12.), Strasbourg 12 (98), Me Wengler n° 14.064
Inventaire de la succession de David Pfister, vitrier décédé le 26 novembre dernier – à la requête de Françoise Schafflützel, la veuve en son nom et comme tutrice naturelle de ses deux enfants mineurs Sophie âgée de 8 ans née le 28 juin 1817 et Adolphe né le 13 mars 1821 – en présence de Jonathan Pfister employé subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu Wengler notaire à Strasbourg le 17 mai 1816
dans la maison mortuaire rue de la Madeleine n° 10
Description des objets provenant de la succession de Marie Barbe Riehl épouse en premières noces du défunt Pfister et dont celui ci avait la jouissance viagère suivant inventaire dressé par le soussigné notaire le 11 juillet 1814, immeuble, une petite maison à trois étages avec ses appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg rue Ste Madeleine n° 10 d’un côté le Sr Moll marchand de fruits, d’autre Conrad Ulrich, devant la rue, derrière une ruelle communale – acquis par la défunte dame Pfeiffer née Riehl des héritiers d’Adam Chrétien Mehl, vitrier, par acte reçu Stoeber notaire à Strasbourg le 14 mars 1809
mobilier 2841 fr, passif 7511 fr
Enregistrement, acp 176 F° 61 du 29.12.

Originaire de Landau, Jean Rehn épouse Françoise Schafflützel en 1827
Mariage, Strasbourg (n° 155)
Acte de mariage célébré le premier mai 1827, Jean Rehn, Mineur d’ans quant au mariage, né en légitime mariage le 25 fructidor an X à Landau (Bavière rhénane) domicilié à Strasbourg, vitrier, fils de Jean Rehn, vitrier, et de Marguerite Rosin Stichler, conjoints domiciliés à Landau, et Françoise Schafflützel, Majeure d’ans née en légitime mariage le 21 Fructidor an IV à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, veuve de David Pfister, vitrier décédé en cette ville le 26 novembre 1825, fille de feu Jean Jacques Schafflützel, tourneur décédé en cette ville le 26 décembre 1815 et de Jeanne Charlotte Gilig, domiciliée en cette ville ci présente et consentante, veuve de Léonard Kien propriétaire à Obernai. (signé) Jean Rehn, Françoise Pfister née Schafflützel (i 1)

Françoise Schaaflutzel consent au mariage de sa fille Sophie Pfister avec Jean Jacques Rehn
1844 (6.11.), M° Noetinger
Consentement par Françoise Schafflützel veuve en secondes noces de David Pfister vitrier et épouse en secondes noces de Jean Rehn vitrier à Strasbourg, au mariage de sa fille Sophie Pfister à Strasbourg avec Jean Jacques Rehn, chaudronnier à Landau (Bavière rhénane)
acp 329 (3 Q 30 044) f° 49-v du 7.11.

Françoise Schaaflutzel meurt en 1867 en délaissant deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième

1867 (27.2.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Rehn, vitrier, et Françoise Schaaflützel sa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 5 janvier 1867, à la requête du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger Nre. le 28 avril 1827. comme mandataire de Henriette Amélie Rehn, épouse de Frédéric Rehn, propriétaire à Landau, 2) Adèle Rehn, épouse de Charles Wernert, serrurier à Strasbourg, 3) ledit Sr Werner comme mandataire de Sophie Pfister épouse de Jacques Rehn, chaudronnier à Landau, 4) Adolphe Pfister, négociant à Sanjosé, les deux enfants du premier mariage

acp 561 (3 Q 30 276) f° 49 du 6.3. (succession déclarée le 4 août 1867) Communauté, mobilier 1374, argent 10.000, livret de caisse d’épargne 1003, un autre 997, deux obligations du chemin de fer de l’Est 619, trois obligations du Crédit foncier 1488, créances Wernert 10.012, autres créances 817, autres 676, intérêts 3198, loyer 3
Une maison rue des Sœurs N° 16, loyers arriérés 76
Une maison rue de la Madeleine N° 17, loyers 14
un hectare de terre à Wollmenheim (Bavière) 79
Succession, garde robe 240, reprises 7052
Une maison rue de la Madeleine N° 15
Rapport 8000

Liquidation de la même succession
1867 (17.6.), M° Noetinger
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Jean Rehn, propriétaire, et Françoise Schaflützel ssa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 5 janvier 1867, dressé à la requête du veuf, comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger Nre. le 28 avril 1827. comme usufruitier du quart de la succession, 2) Frédéric Rehn, propriétaire à Landau, mandataire de Henriette Amélie Rehn sa femme, 3) Adèle Rehn, épouse de Charles Wernert, serrurier à Strasbourg, ces deux issus du second mariage, 4) le mandataire d’Adolphe Pfister, négociant demeurant à Sanjosé (Californie), 5) Jacques Rehn, chaudronnier à Landau, mandataire de Sophie Pfister sa femme, ces deux issus du premier mariage avec David Pfister, vitrier à Strasbourg

acp 563 (3 Q 30 278) f° 91 du 22.6. – Compte du Sr Jean Rehn le veuf. Il porte en recette pour sommes par lui touchées 36.577, il a payé 200, reste 36.377. De cette somme il revient à la succession 2000 mais il a payé à la décharge des enfants 766, reste 1233. Partant M Rehn est comptable de 35.610.
Communauté. Masse active, mobilier 1376, reliquat de compte 34.777, deux livrets de caisse d’épargne 2031, deux obligations du chemin de fer de l’Est 619, trois obligations du Crédit foncier 1488, créances du Sr Wernert mari d’Adèle Rehn 10.215, créance Fleig 311, créance Bantz 690, créance sur Frédéric Rehn épouse de Henriette Amélie Rehn 3150, prix d’immeubles 28.249, un terrain à Wolwenheim (Bavière) 3633, intérêts 96, total 86.038 – Passif 18.474, reste 67.564 (dont moitié 33.782)
Succession, bénéfice de la communauté 33.782, reprises 7052, garde robe 240, reliquat du compte du veuf 2000, prix d’une maison du pae le Sr Dubesi 6048, rapport des enfants, Adolphe Pfister 2000, Jacques Rehn 2000, Amélie Rehn 2000, De Wernert 2000, intérêts 161, Total 57.284 – Masse passive 441, reste 56.842
Droits des parties de abandonnements

Jean Rehn et Françoise Schafflützel vendent la maison (rez-de-chaussée et trois étages) à l’aubergiste Geoffroi Hutt et à sa femme Marie Anne Bohn

1847 (26. 8.br), Strasbourg 12 (172), Not. Noetinger n° 19.676
Ont comparu Monsieur Jean Rehn, vitrier, & dame Françoise Schafflützel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg rue Sainte Madeleine N° 10 (vendent)
à Monsieur Geofroi Hutt, aubergiste, & Dame Marie Anne Bohn, son épouse à ce dûment autorisée de sondit mari, demeurant ensemble à Strasbourg rue des incendiaires N° 2, à ce présens & acceptant
Une maison à rez-de-chaussée surmonté de trois étages, droits, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg rue des Sept hommes n° 3,, tenant d’un côté à Mr Lang, pelletier, de l’autre à M Koch, cordonnier, donnant par devant sur ladite rue & tirant par derrière sur le Sr Billot, chapelier (…) Les vendeurs déclarent être propriétaires de ladite maison & dépendances au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° dame Eve Catherine Simon épouse du sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° dame Frédérique Wilhelmine Simon, épouse du sieur Daniel Schaan, imprimeur &, 3° sieur Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés qui en a la minute & son collègue le 15 avril 1840, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg, & inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41, cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun & Schaan & le dit Sr Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans les successions du Sieur Jean Frédéric Simon, en son vivant débitant de bière & de Dame Suzanne Dorothée Sembach, conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième, ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 & d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec dame Sophie Dorothée Simon, épouse du Sieur Thiébaut Schneider, farinier demeurant à Strasbourg, dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon, en son vivant baquetier à Strasbourg, dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés, ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, 3° & pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Quant aux titres de propriété antérieurs, les parties se réfèrent au contrat de vente du 15 avril 1840 sus énoncé dans lequel ils se trouvent amplement détaillés & analysés – moyennant, 11.000 francs
acp 366 (3 Q 30 081) f° 53-v

Marie Bohn épouse en 1814 François Antoine Mattlinger, tous deux d’Epfig
Mariage, Epfig (n° 9) Acte de mariage célébré le 7 septembre 1814. François Antoine Mattlinger, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 5 juin 1772 à Epffig, domicilié à Epffig, Militaire, fils de Jean Mattlinger, vivant tailleur domicilié en cette commune, décédé le 20 nivôse en XII de la République, et d’Anne Marie Spriss décédée en cette commune me 20 frimaire an XIV de la République, et Marie Anne Bohn, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 juillet 1793 à Epffig, domiciliée à Epffig, fille d’Antoine Bohn, garde champêtre dans cette commune, ci présente et consentant et d’Anne Marie Schütz (signé) Madinger, Maria Anna Bohn (i 6)

Marie Bohn se remarie en 1830 avec Geoffroi Hutt, originaire de Gumbrechtshoffen
Mariage, Strasbourg (n° 274)
Du 5° jour du mois d’Août 1830, Acte de mariage de Geofroi Hutt, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 fructidor an X à Gumbrechtshoffen /Bas Rhin/ domicilié à Gumbrechtshoffen, Journalier, fils de feu Antoine Hutt, Journalier décédé à Gumbrechtshoffen le 12 janvier 1814 et de feu Eve Weiss, décédée au même lieu le 25 mars 1815, et de Marie Anne Bohn, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 juillet 1793 à Epfig .Bas Rhin, domiciliée à Strasbourg, veuve d’Antoine Mattlinger Journalier décédé à Epfig le 21 août 1827 fille de feu Antoine Bohn, garde champêtre décédé à Epfig le 24 mars 1826 et d’Anne Marie Schütz demeurant e cette ville ci présente et consentante (signé) hutt, Maria Anna Matlinger (i 25)

L’aubergiste Geoffroi Hutt meurt en 1853 en délaissant un fils.
1853 (12.7.), M° Grimmer
Inventaire communauté de biens qui a existé entre Marie Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger, vigneron, et veuve en 2° noces de Geoffroi Hutt, aubergiste à Strasbourg où il est décédé le 7 avril 1853, dressé à la requête de la veuve agissant comme commune en biens à défaut de contrat de mariage et comme légataire à titre universel de son mari suivant testament reçu Grimmer le 2 janvier 1846 et comme mère et tutrice de Frédéric Auguste Hutt son fils
acp 421 (3 Q 30 136) f° 21-v du 14.7. (succession déclarée le 28 7.bre 1853 N° 1622) Communauté, meubles estimée 2632
acp 422 (3 Q 30 137) f° 75-v du 12.9. (vacation du 8 septembre) Communauté, argent comptant 600
Une maison à Strasbourg rue des sept hommes N° 3
Succession, garde robe estimée à 141 – passif 6522 francs

Testament de Geoffroi Hutt,
1853, M° Grimmer
10 janvier 1846, Testament de Geoffroi Hutt, aubergiste à Strasbourg, par lequel il lègue à Anne Marie Bohn son épouse l’usufruit de toute sa succession avec dispense de fournir caution
acp 418 (3 Q 30 133) f° 43-v du 13.4. (décès du 11 avril 1852, déclaration du 28 7.bre 1853)

Registre de population 600 MW 196, 1846 sqq, Rue des Sept Hommes n° 3, p. 49 (i 29)
Hutt, Geoffroi, 1804, Gumbrechtshoffen, Débit. propr. (à Strasbourg depuis 12 janvier 1830, N° 72-1841, (auparavant) rue des Incendiaires, (entré) 21 May 1842, décédé 11 avril 1853
id. née Bohn, Marie, 1793, Epffig, Ep.
id. Fred. Auguste, 1830, Strasbourg, fils
Mattlinger, Rosalie, 1820, Epffig, enf. du 1° lit, (sortie) 15 février 1849, rue de Schiltigheim 15

Liquidation de la succession
1861 (16.4.), M° Grimmer
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Geoffroi Hutt, vivant aubergiste à Strasbourg, et Marie Bohn sa veuve et de la succession du Sr Hutt décédé le 7 avril 1853, dressé à la requête de la veuve, agissant comme commune en biens à défaut du contrat de mariage et comme usufruitière de la moitié de la succession de feur son mari, suivant Testament reçu Grimmer Nre le 2 janvier 1846, II. Auguste Hutt, tapissier à Schlestadt
acp 498 (3 Q 30 213) f° 1-v du 17.4. (succession déclarée le 28 septembre 1853) Communauté, 1) mobilier 2632, 2) argent 600, 3) prix de vente de la maison 15.000, 4) revenus 1259, total 19.451
Masse passive, 8895, reste 10.598 (moitié 5922)
Succession, moitié de la communauté 5299, garde robe 144, total 5440
Droits des parties – Compte de tutelles

Marie Bohn lègue le quart de sa fortune à ses deux enfants du premier lit Joséphine et Jérôme Madlinger
1861 (12.6.), M° Momy
Dépôt du testament olographe de Marie Bohn veuve de Geoffroi Hutt décédée à Strasbourg le 7 juin 1861, ledit testament en date du 28 mars 1861 enregistré aujourd’hui
acp 499 (3 Q 30 214) f° 73 du 14.6.
1861, Enregistrement de Strasbourg, ssp 133 (3 Q 31 632) f° 66 du 14.6.
Testament, 18 mars 1861 – Marie Bohn lègue à ses deux enfants Joséphine et Jérôme Madlinger le quart de sa fortune par préciput (décès du 7 juin 1861)

Marie Bohn et son fils Frédéric Auguste Hutt vendent la maison au pensionnaire de l’Etat Antoine Bonhomme et à sa femme Marie Anne Persohn, demeurant autrefois à Lauterbourg

1860 (19. Xbr), Strasbourg 15 (103), Me Momy n° 6825
Sont comparus 1° Dame Marie Anne Bohn veuve en premières noces du Sieur Antoine Madlinger en son vivant vigneron à Epfig & Veuve en secondes noces de M. Geofroi Hütt, en son vivant aubergiste à Strasbourg où ladite veuve demeure et est domiciliée, 2° Et M. Frédéric Auguste Hutt, tapissier demeurant et domicilié en la même ville (ont vendu)
à M. Antoine Bonhomme, propriétaire, pensionnaire de l’Etat & à D° Marie Anne Persohn, son épouse à ce par lui dument assistée et autorisée, demeurant autrefois à Lauterbourg, présentement à Strasbourg
Désignation. Une maison à rez-de-chaussée surmonté de trois étages, droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Sept hommes donnant par devant sur ladite rue & tirant par derrière sur le Sr Billot, chapelier, d’un côté à Mr Chrétien Weber, boulanger, de l’autre au Sieur Steinmetz tailleur. Cette maison portait autrefois le n° 3 & présentement le n° 12. Etablissement de la propriété. Les vendeurs déclarent que la maison présentement vendue dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre la veuve Hutt ci-dessus qualifiée & son défunt mari pour avoit été acquise par eux de Mr Jean Rehn, vitrier, & de D° Françoise Schafflützel conjoints demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Charles Noetinger et son collègue notaires à Strasbourg le 26 octobre 1847 enregistré. Ce contrat a été transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et à la suite de cette transcription inscription d’office a été prise le 6 novembre& 1847 volume 476 Numéro 205 (…). Le Sieur Hütt étant décédé à Strasbourg le 7 avril 1853, la part du défunt dans les biens de la communauté qui avait existé entre lui et sa veuve survivante est avenue à son fils Frédéric Auguste Hütt ci-dessus qualifié, alors mineur comme étant habile à se dire seul et unique héritier du défunt son père, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Grimmer et son collègue notaire à Strasbourg les 12 juillet et 8 septembre 1853 enregistré. Dans le contrat de vente reçu par M° Noetinger le 28 octobre 1847 ci-dessus relaté, les conjoints Rehn et Schafflützel ont déclaré qu’ils étaient propriétaires de la dite maison au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° Dame Eve Catherine Simon épouse du Sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° Frédérique Wilhelmine Simon femme du Sieur Daniel Schaan, imprimeur, 3° Et Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger notaire sus dit et son collègue le 15 avril 1840 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg, & inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41. Cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun & Schaan et le dit Sieur Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans les successions du Sieur Jean Frédéric Simon, en son vivant débitant de bière, & de Dame Suzanne Dorothée Sembach, conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième, ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 & d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon, Epouse du Sieur Thiébaut Schneider, farinier demeurant à Strasbourg, dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon, en son vivant baquetier à Strasbourg, dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, 3° Et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Les titres de propriété antérieurs se trouvent amplement détaillés et analysés dans le contrat de vente du 15 avril 1840 ci dessus énoncé. Les parties déclarent se contenter de l’origine de propriété qui vient d’être établie & décharger le Notaire soussigné – Prix, 15.000 francs
acp 494 (3 Q 30 209) f° 52-v du 21. Xbre – acp 492 (3 Q 30 207) f° 4 du 2.10.

Originaire de Puy-la-Roque (Tarn et Garonne), le bottier Antoine Bonhomme épouse en 1829 Marie Anne Persohn en légitimant un enfant
Mariage, Neuf-Brisach (n° 7)
L’an 1829 le 19 octobre à neuf heures du matin (…) Antoine Bonhomme, né le 7 octobre 1800 au Puy-la-Roque, bottier au régiment de hussards de chartres (premier de l’arme) en garnison à Neuf-Brisach, domicilié de droit audit Puy-la-Roque, Majeur, fils légitime de feu Jean Pierre Bonhomme charpentier décédé à ladite commune, et de la survivante Catherine Cavalerie, domiciliée également au Puy-la-Roque (…) d’une part et Marie Anne Persohn, née le premier janvier 1799 à Lauterbourg arrondissement de Wissembourg département du Bas Rhin, domiciliée de fait à Neuf Brisach etde droit à Lauterbourg, Majeur, fille de feu Christophe Persohn, boulanger décédé à Lauterbourg et de la survivante Julienne Brésel (…) et aussitôt lesdits époux ont déclaré qu’il est né d’eux le 27 septembre dernier un enfant naturel du sexe féminin inscrit le même jour sur les regsitres de l’Etat civil de la commune de Lunéville, chef-lieu d’arrondissement du département de la Meurthe sous les noms de Anne Marie Persohn, lequel enfant ils reconnaissent pour leur fille légitime (i 117)

Proclamation, Lauterbourg (n° 12) Le 7 juin 1829. Antoine Bonhomme, majeur d’ans, né en légitime mariage au Puy-la-Roque (Tarn et Garonne), bottier au premier régiment de hussards en garnison à Neuf-Brisach, domicilié de droit audit Puy-la-Roque, fils de feu Jean Pierre Bonhomme en son vivant charpentier, et de Catherine Cavalerie, et Marie Anne Persohn, majeure d’ans née en légitime mariage à Lauterbourg, domiciliée de fait à Neuf Brisach (Haut-Rhin) fille de feu Christophe Persohn en son vivant boulanger à Lauterbourg et de Julienne Bressel domiciliée à Lauterbourg (i 5)

Marie Anne Persohn meurt en 1863 en délaissant une fille. La maison est aménagée en débit de boissons.

1863 (17.10.), Strasbourg 15 (110), Not. Momy (Hippolyte) n° 9180
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Antoine Bonhomme pensionnaire de l’Etat et Marie Anne Persohn
L’an 1863 le Samedi 17 octobre dans une maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes numéro 12 où est décédée le 10 octobre courant Mad. Marie Anne Persohn épouse de M Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat et débitant demeurant à Strasbourg. A la requête et en présence 1° de Mr Antoine Bonhomme, le veuf ci-dessus qualtifié, agissant ès présentes tant comme ayant été commun en biens avec se défunte épouse avec laquelle il s’est marié sans avoir fait de contrat anténuptial qu’en sa qualité de donataire d’un quart en toute propriété et d’un quart en usufruit viager de l’universalité de tous les biens meubles et immeubles composant la succession de ladite défunte son épouse aux termes d’une donation entre vifs reçue le 9 juin 1856 par M° Louis Henri Britt notaire à Lauterbourg en présence de témoins, enregistré à Lauterbourg le 13 octobre courant (…) 2° de Monsieur Gustave Wolff, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg, demeurant en ladite ville, agissant au nom et comme mandataire de Dame Marie Julie Bonhomme épouse de Mr Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs à Faulquemont où ils demeurent (…) ladite Dame Dufour habiles à se dire et porter seule et unique héritière de Mad. Bonhomme sa mère défunte

Communauté. Salle de débit, Chambre numéro 1, Chambre numéro 2, Chambre numéro 4, Chambre numéro 5, Chambre numéro 7, Chambre numéro 8 Chambre numéro 9, Au coridor, Chambre numéro 10, Chambre numéro 11, Chambre numéro 12, Chambre de M Huser, Chambre de M Bonhomme, Chambre à côté de la cuisine, Cave, Cuisine
Immeubles de la communauté. Le veuf requétant déclare que quatre parcelles de biens ruraux sis dans la banlieue de Lauterbourg (…)
Il dépend en outre de la communauté une maison avec cour, puits commun, appartenances & dépendances tels que grange et écurie le tout sis dans la ville de Lauterbourg dans la grand rue (…)
N° 9185, Clôture du 19. 8.bre 1863. Suite des immeubles de la communauté. Une maison à rez-de-chaussée surmontée de trois étages, droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, donnant par devant sur ladite rue, tenant par derrière sur le Sr Billo chapelier.d’un côté M Steinmetz tailleur de l’autre M Riehl. Cet immeuble a été acquis par les conjoints Bonhomme de Dame Marie Anne Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger en son vivant vigneron à Epfig et veuve en secondes noces de Geoffroi Hütt en son vivant aubergiste à Strasbourg où ladite Dame demeure Et de M. Frédéric Auguste Hütt tapissier demeurant en ladite ville suivant contrat passé devant M° Momy le 19 décembre 1860 dont une expédition en forme a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 835 N° 82 et inscrit d’office en même temps vol. 773 N° 61. Dans ce contrat se trouve amplement établie l’origine antérieure de la propriété dudit immeuble mias le Sr Bonhomme déclare ne pouvoir représenter ni l’expédition ci dessus mentionnée ni les autres titres de propriété, attendu qu’ils se trouvent entre les mains d’un des créanciers ayant hypothèque dudit immeuble
acp 526 (3 Q 30 241) f° 18 du 20.10. (succession déclarée le 9 avril 1864) Communauté, mobilier 2396, loyers 735
69 ares 38 de terres Ban de Lauterbourg. Une maison à Lauterbourg, Une maison à Strasbourg – créances 1000, passif 18.365
Succession, garde robe 92
acp 531 (3 Q 30 246) f° 72 du 8.4. (vacation du 31 mars – Communauté, créances 3155. Reprises de la défunte, immeubles aliénés 4245

Registre de population, 600 MW 375, 1850 sqq – 12, rue des Sept Hommes
(i 158) Bonhomme, Antoine, Caussade (Tarn et Garonne) 01, hm, cathol. (à Strasbourg depuis) décembre 60, carte de séjour 1273
id. née Persohn, Marie Anne, Lauterbourg 01, fm, cathol., décédée le 10 8.bre 1862.

Marie Julie Bonhomme et son mari Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs, hypothèquent les immeubles indivis avec son père au profit de Pierre Rielle, baron de Schauenbourg

1863 (19 8.br), Strasbourg 15 (110), Not. Momy (Hippolyte) n° 9186
Obligation – Ont comparu Monsieur Jean Gratien Dufour, vérificatieur de la culture des tabacs à Faulquemont (Moselle) et dame Marie Julie Bonhomme son épouse de lui dûment assistée et autorisée demeurant ensemble à Faulquemont (ont déclaré devoir)
(…)
à Monsieur Pierre Rielle Baron de Schauenbourg ancien Pair de France, domicilié à Strasbourg pour lequel est ici présent stipule et accepte Monsieur Jean Baptiste Léon Mengus principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 2000 francs
hypothèque. 1° Une maison avec cour, puits commun, grange, écurie, appartenances le tout sis dans la ville de Lauterbourg dans la grand rue (…)
2° Une maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12 tenant d’un côté à M Steinmetz de l’autre Mr Riehl donnan par devant sur ladite rue et par derrière sur le Sr Billo chapelier. (…) Les immeubles ci-dessus constitués en hypothèque appartiennent indicisément aux époux Dufour et à Mr Bonhomme comme dépendant de la communauté de biens qui a existé entre Mr Bonhomme et dame Marie Anne Persohn son épouse décédée, de laquelle madame Dufour est seule et unique héritière, ainsi que le tout résulte de l’inventaire après le décès de Mad. Bonhomme, dressé par M° Momy l’un des notaires soussignés, les 17 et 19 octobre courant et qui sera enregistre avant ou en même temps de les présentes. M. Bonhomme a acquis l’immeuble sis à Strasbourg de Marie Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger vigneron à Epfig et en secondes noces de Geoffroi Hütt aubergiste à Strasbourg et de Frédéric Auguste Hütt tapissier demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Momy l’un des notaires soussignés et son collègue le 19 décembre 1860, enregistré. Et il a acquis l’immeuble sis à Lauterbourg (…) le 21 octobre 1841 – Situation hypothécaire

Marie Bonhomme épouse Jean Dufour en 1856. Les époux légitiment un enfant né à Paris.
Mariage, Lauterbourg (n° 4)
Le 29 avril 1856. Acte de mariage du Sr Jean Dufour, âgé de 35 ans, né à Aiguillon, Département du Lot et Garonne le 3 novembre 1820, employé des tabacs, domicilié audit Aiguillon, fils majeur et légitime de feu Gratien Dufour mort à 64 ans ancien employé des contributions directes à Aiguillon y décédé le 15. mars 1851 et de Catherine Augé âgée de 61 ans, débitante de tabacs audit Aiguilon, et Dlle Marie Bonhomme, âgée de 26 ans, née à Lunéville Département de la Meurthe le 21 septembre 1829, domiciliée à Lauterbourg, fille majeure et légitime d’Antoine Bonhomme âgé de 55 ans, propriétaire à Lauterbourg ci présent et consentant et de Marie Anne Persohn âgée de 57 ans, domiciliée à Lauterbourg (…) à l’instant jes époux ont déclaré avoir un enfant du sexe masculin né hors le mariage à Paris, Mairie du douzième arrondissement le 18 septembre 1852 inscrit d’après l’extrait de son acte de naissance ci joint sous le nom de Marie Louis Bonhomme qu’ils reconnaissent par les présentes et conformément à l’article 331 avec mention expresse que par suite de cette reconnaissance ledit enfant soit légitime de père et mère (i 4)

Compte de la succession dressé à la demande du tribunal
1867 (19.7.), Strasbourg 15 (119), Not. Momy (Hippolyte) n° 12.148
Etat du compte liquidation et partage de la succession Marie Anne Persohn femme Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat, ancien cabaretier, avec lequel elle demeurait à Strasbourg où ele est décédée le 10 octobre 1863, dressé en exécution d’un jugement rendu par le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 9 avril 1857.
Observations préliminaires. Le jugement du tribunal civil de Strasbourg ci-dessus allégué (…) a mis fin à une instance lue devant ce siège entre le Sieur Jean Nicolas Schramm, Commerçant et maire de la commune de Faulquemont (Moselle), demandeur, comparant par M Wolff, son avoué constitué et 1. Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des Tabacs domicilié à Marmande, tant en son nom personnel que comme tuteur légal de Louis Marie Dufour et Paul Marie Gratien Dufour, ses deux enfants mineurs issus de son union avec feu Julie Marie Bonhomme son épouse décédée, 2° Ulysse Bidoux, Employé des Ponts et Chaussées domicilié à Marmande, subrogé tuteur desdits mineurs Dufour, 3° Antoine Bonhomme, ci-dessus qualifié, les trois défendeurs comparant par M° Engelhard, leur avoué constitué (…)
Précis des faits. La Dame Marie Anne Persohn épouse de Mr Antoine Bonhomme pensionnaire de l’Etat domicilié à Strasbourg est décédé dans cette ville le 10 octobre 1863 (…)
acp 564 (3 Q 30 279) f° 69 du 24.7. – Communauté, 42.052, masse passive 23.373, reste 18.679
Succession, moitié de la communauté 9339, pric d’immeubles vendus 4972, total 14309 – Passif 43, reste 14.266.

Antoine Bonhomme meurt à l’hôpital. Il délaisse deux petits-fils
1869 (16.12.), Strasbourg 15 (123), Not. Momy (Hippolyte) n° 13.293
Inventaire de la succession d’Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat
L’An 1869, le Jeudi 15 décembre à deux heures de l’après-midi en la maison sise à la Robertsau dépendances de Strasbourg quartier bleu rue du Coq N° 24 où a demeuré Mr Antoine Bonhomme, Pensionnaire de l’Etat domicilié à Strasbourg et décédé à l’hôpital Civil de la dite ville le 31 juillet dernier où il se trouvait et traitement à ses frais.
A la requête et en présence de Mr Jean Dufour dit Gratien, vérificateur de la culture des Tabacs demeurant à Aiguillon (Lot et Garonne), agissant comme tuteur naturel et légal de Louis Marie Dufour âgé de 16 ans et Paul Marie Gratien Dufour âgé de 12 ans, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec D° Julie Marie Bonhomme sa femme décédée à Marmande le 25 octobre 1866, lesdits mineurs habiles à se dire et porter seuls héritiers et représentant de Mr Antoine Bonhomme leur aïeul maternel ci-dessus qualifié sous la réserve de bénéfice d’inventaire. En présence de Mr Emile Stein, clerc de notaire demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de Mr Ulysse Bidou, Employé des Ponts et Chaussées demeurant à Marmande, (…) subrogé tuteur desdits mineurs
dans la maison où il habitait et avait pension chez Mesdemoiselles Rommel rue du Coq N° 24 Quartier bleu à la Robertsau. La représentation des vêtemenns, hardes et papieres sera faite par Mesd. Adèle et Caroline Rommel majeures sans profession
acp 588 (3 Q 30 303) f° 95-v du 21.12. (succession déclarée le 29 janvier 1870)
Succession, mobilier 85, argent 1000, créances 7519 francs

Antoine Bonhomme et sa fille Julie Bonhomme femme de Jean Gratien Dufour vendent la maison à quatre étages au tailleur Jean Linck et à sa femme Eléonore Gerber. Les mêmes parties passent un autre acte portant vente des objets mobiliers, dont ceux de la salle d’auberge.

1866 (9.5.), Strasbourg 15 (116), Not. Momy (Hippolyte) n° 11.236
Ont comparu Mr Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat, logeur et débitant à l’enseigne de la pomme d’or domicilié et demeurant à Strasbourg, Et Mr Gustave Wolff, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg, domicilié et demeurant en ladite ville, agissant en qualité de mandataire de Mad. Marie Julie Bonhomme épouse de Mr Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs demeurant ci-devant à Faulquemont aujourd’hui à Marmande (ont déclaré vendre)
à Mr Jean Linck, tailleur d’habits et à D° Eléonore Gerber sa femme de lui autorisée domiciliés et demeurant ensemble à Strasbourg
Une maison à rez-de-chaussée surmontée de quatre étages située dans la ville de Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, ayant sa façade sur ladite rue donnant par derrière sur le Sieur Billot chapelier.d’un côté M Chrétien Weber boulanger de l’autre le Sr Steinmetz tailleur, Tel que cet immeuble se poursuit et de comporte (…). Etablissement de la propriété. L’immeuble vendu dépendait de la communauté de biens légale ayant existé entre Mr Antoine Bonhomme et Mad. Marie Anne Persohn son épouse décédée à Strasbourg le 10 octobre 1853 délaissant pour seule et unique héritière la D° Dufour sa fille ainsi que’il est constaté par l’Intitulé de l’inventaire dressé après décès de la D° Bonhomme par M° Momy notaire soussigné le 17 octobre 1863 enregistré. M. Bonhomme et sa défunte épouse ont acquis ledit immeuble de D° Marie Anne Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger et en secondes noces de Geoffroi Hütt en son vivant aubergiste à Strasbourg et de M. Frédéric Auguste Hütt tapissier, demeurant & domicilié à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Momy notaire soussigné et l’un de ses collègues le 19 décembre 1860 dument enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 835 N° 82 et inscrit d’office vol. 773 N° 61. La vente de cet immeuble a eu lieu moyennant le prix de 15.000 francs (…)
La maison dont s’agit dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre la veuve Hütt ci-dessus qualifiée et son défunt mari pour avoir été acquise par eux de Monsieur Jean Rehn vitrier et de Dame Françoise Schafflützel conjoints demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Charles Noetinger et son collègue notaire à Strasbourg le 26 octobre 1847 enregistré. Ce contrat a été transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et à la suite de cette transcription inscription d’offidea été prise au bureau le 6 novembre 1847 volume 476 N° 205 (…). Le Sieur Hütt étant décédé à Strasbourg le 7 avril 1853 la part du défunt dans les biens de la communauté qui avait existé entre lui et sa veuve survivante est avenue à son fils Frédéric Auguste Hütt ci-dessus qualifié alors mineur comme étant habile à se dire seul et unique héritier du défunt son père, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Grimmer et son collègue notaire à Strasbourg les 12 juillet et 8 septembre 1853 enregistré. Dans le contrat de vente reçu par M° Noetinger le 28 octobre 1847 ci-dessus relaté, les conjoints Rehn et Schafflützel ont déclaré qu’ils étaient propriétaires de la dite maison au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° Dame Eve Catherine Simon épouse du Sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° Frédérique Wilhelmine Simon femme du Sieur Daniel Schaan imprimeur, 3° Et Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger notaire et son collègue le 15 avril 1840 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41. Cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun et Schaan et le dit Sieur Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans la succession du Sr Jean Frédéric Simon en son vivant débitant de bière et Dame Suzanne Dorothée Sembach conjoints à Strasbourg leurs père & mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon susnommés ainsi que cela résulte des deux contrats cidessus relatés, 3° et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Les titres de propriété antérieurs se trouvent amplement détaillés et analysés dans le contrat de vente du 15 avril 1840 ci dessus énoncé. Les parties déclarent se contenter de l’origine de propriété qui vient d’être établie et décharger les notaires soussignés – Assurance contre l’incendie (…) – Prix, 20.000 francs
acp 554 (3 Q 30 269) f° 32-v du 18.5.
N° 11.237. Vente du 9 Mai 1866 – Ont comparu Monsieur Antoine Bonhomme , pensionnaire de l’Etat, logeur & débitant à l’enseigne de la pomme d’or domicilié & demeurant à Strasbourg, Et Mr Gustave Wolff, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg, domicilié et demeurant en ladite ville, agissant en qualité de mandataire de Mad. Marie Julie Bonhomme épouse de Mr Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs demeurant ci-devant à Faulquemont & aujourd’hui à Marmande (…) Lesquels ont déclaré vendre avec la garantie solidaire entre M Bonhomme & la dame Dufour sa fille
à Mr Jean Linck, tailleur d’habits et à D° Eléonore Gerber sa femme de lui autorisée domiciliés et demeurant ensemble à Strasbourg
Les objets mobiliers ci après détaillés & qui se trouvent présentement dans la maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12
Rez-de-chaussée. Chambre d’auberge, Cuisine,
Premier étage, Chambre n° 1, Chambre n° 2, Chambre n° 3,
Deuxième étage, Chambre n° 4, Chambre n° 5
Troisième étage, Chambre n° 7, Chambre n° 8, Chambre n° 9, Chambre n° 10
Quatrième étage, Chambre n° 11, Chambre n° 12, Chambre n° 13
Total de l’estimation des objets vendus, 2000 francs (enregistré le 18 mai 1866 f° 32 vol. 4)

Originaire de Kutzenhausen, Jean Linck épouse en 1864 Eléonore Gerber, native d’Auenheim
Mariage, Strasbourg (n° 387)
Du 16° jour du mois d’août 1864. Acte de mariage de Jean Linck, majeur d’ans, né en légitime mariage le 15 décembre 1829 à Kutzenhausen (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg et précédemment à Metz (Moselle) tailleur, fils de Chrétien Linck, cultivateur domicilié à Lampertsloch (Bas Rhin) et de feu Marie Anne Meyer décédée à Kutzenhausen me 23 septembre 1838 et de Eléonore Gerber, majeure d’ans, née en légitime mariage le 17 février 1842 à Auenheim (Bas Rhin) domiciliée à Bischwiller (Bas Rhin), servante, fille de Laurent Gerber, boucher demeurant à Soufflenheim (Bas Rhin) ci présent et consentant et de feu Catherine Kleon décédée à Auenheim le 6 mars 1858 (i 44)

1864 (8.8.), M° Grimmer
Consentement par Chrétien Linck, Journalier à Lampertsloch, au mariage de son fils Jean Linck, ouvrier tailleur à Strasbourg, avec Eléonore Gerber de Bischwiller
acp 535 (3 Q 30 250) f° 20-v du 9.8.

Testament par lequel Eléonore Gerber institue son mari marchand épicier pour son légataire universel
1872 (11.10.), M° Flach
11 october 1872. Testament von Eleonore Gerber Ehefrau von Johann Linck, Specereÿ Kremer in Straßburg, durch welchen Sie ihrem Ehegatten als universal Erben eingesetzt
Gestorben den 4. December 1872
acp 610 (3 Q 30 325) f° 56-v du 6.12. (Erklärung S.D. N° 201)

Eléonore Gerber meurt en décembre 1872 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue de Schiltigheim.
1873 (12.2.), M° Flach (minutes en déficit)
Inventar nach Erklärung der Güter gemeinschaft die zwischen Johann Linck Eigenthümer in Straßburg und Eleonore Gerber seine Ehefrau in Straßburg existirt hat, und von dem Nachlass dieser Letztern den 4. December 1872 gestorben
errichtet durch den Wittwe handelnd als Theilnehmer der halben Güteremeinschafft als Eigenthümer eines viertels und als Nutznieser eines andern Vietels nach Akt vor Notar Flach den 11. October 1872, und als Vater von Maria Eugenie und Emil Georg Linck
acp 613 (3 Q 30 328) f° 17 du 15.2. n° 796 (ZU 9/4 1875, Bd. 687 n° 1243, erklärt 24/3 1874) – Gemeinschafft. Mobilien 1441
Ein Haus Schiltigheimerstraße in Straßburg
Geld 200, Ausstände 350 – Passif 16.468.

Jean Linck et Eléonore Gerber vendent la maison à rez-de-chaussée et quatre étages ainsi que divers objets mobiliers à l’aubergiste Alexis Hartenstein et à sa femme Marie Catherine Reichardt

1870 (16.4.), Strasbourg 15 (124), Not. Momy (Hippolyte) n° 14.250
Sont comparus Monsieur Jean Linck, tailleur d’habits, et Dame Elléonore Gerber son épouse de lui autorisée domiciliés et demeurant à Strasbourg, lesquels ont déclaré vendre
à Monsieur Alexis Hartenstein, exploitant ci-devant un estaminet hors la porte d’Austerlitz dans la banlieue de Strasbourg et dame Marie Catherine Reichardt son épouse de lui autorisée demeurant ensemble aujourd’hui à Strasbourg,
1° Une maison à rez-de-chaussée surmontée de quatre étages sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, d’un côté Chrétien Weber boulanger, de l’autre le Sr Steinmetz, tailleur, par derrière Billot, chapelier. Ledit immeuble et inscrit au plan cadastral de la Ville de Strasbourg sous le Numéro 899 de la section N, à 58 cent.
2° Les objets mobiliers ci après spécifiés se trouvant dans la maison vendue, savoir, Un comptoir avec sa garniture, un assortiment de mesures en étain pour les liquides, une armoire à portes vitrées encastrée dans une croisée, six tables en bois peint, 24 tabourets, une horloge, deux miroirs avec cadre en bois, sept tableaux encadrés, les appareils servant à l’éclairage au gaz y compris le compteur, un chaudron à lessive en cuivre, deux pots économiques avec leurs lunettes, les chantiers se trouvant dans la cave, six poëles dont un en fayende un autre en fer, quatre en tôle de forme carrée avec leurs cors et pierres enfins trois petits camorifères en tôle
Etablissement de la propriété. L’immeuble vendu a été acquis par les époux Linck du Sieur Antoine Bonhomme pensionnaire de l’Etat demeurant à Strasbourg et de Dame Marie Julie Bonhomme épouse de Monsieur Jean Gratien Dufour vérificateur de la culture des tabacs demeurant alors à Marmande, suivant contrat passé devant M° Momy notaire soussigné et un de ses collègues le 9 mai 1866 enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois vol. 1061 N° 54 et inscrit d’office Vol. 921 N° 155. Cette vente a été faite pour le prix de 20.000 francs (…). Ledit immeuble dépendait de la communauté de biens légale ayant existé entre Monsieur Antoine Bonhomme et Madame Marie Anne Persohn son épouse décédée à Strasbourg le 6 octobre 1863 délaissant pour seule et unique héritière la dame Dufour sa fille ainsi qu’il est consaté par l’intitulé de l’inventaire dresse après le décès de la Dame Bonhomme par M° Momy notaire soussigné le 17 octobre 1863. Monsieur Bonhomme et sa défunte épouse avaient acquis le dit immeuble de Dame Marie Anne Bohn veuve en premières noces du Sr Antoine Madlinger et en secondes noces de M. Geoffroi Hütt en son vivant aubergiste à Strasbourg et de Monsieur Frédéric Auguste Hütt tapissier demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Momy notaire soussigné et l’un de ses collègues le 19 décembre 1860 dument enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 835 N° 82 et inscrit d’office vol. 773 N° 61. La vente de cet immeuble a eu lieu moyennant le prix de 15.000 francs (…)
La maison dont s’agit dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre la veuve Hütt ci-dessus qualifiée et son défunt mari pour avoir été acquise par eux de Monsieur Jean Rehn vitrier et de Dame Françoise Schafflützel conjoints demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Charles Noetinger et son collègue notaire à Strasbourg le 26 octobre 1847 enregistré, transcrit et inscrit d’office. Le Sieur Hütt étant décédé à Strasbourg le 4 juillet 1853 la part du défunt dans les biens de la communauté qui a existé entre lui et sa veuve survivante est avenue à son fils Frédéric Auguste Hütt ci-dessus qualifié alors mineur comme étant habile à se dire seul et unique héritier du défunt son père ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Grimmer et son collègue notaire à Strasbourg les 12 juillet et 8 septembre 1853 enregistré. Dans le contrat de vente reçu par M° Noetinger le 28 octobre 1847 ci-dessus relaté, les conjoints Rehn et Schafflützel ont déclaré qu’ils étaient propriétaires de la dite maison au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° Dame Eve Catherine Simon épouse du Sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° Frédérique Wilhelmine Simon femme du Sieur Daniel Schaan imprimeur, 3° Et Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger notaire sus dit et son collègue le 15 avril 1840 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41. Cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun et Schaan et le dit Sieur Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans la succession du Sieur Jean Frédéric Simon en son vivant débitant de bière et Dame Suzanne Dorothée Sembach conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, 3° Et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Les titres de propriété antérieurs se trouvent amplement détaillés et analysés dans le contrat de vente du 15 avril 1840 ci dessus énoncé. Les parties déclarent se contenter de l’origine de propriété qui vient d’être établie – Situation hypothécaire (…) – Prix, 24.500 francs
acp 592 (3 Q 30 307) f° 92 du 21.4.

Originaire de Freistroff Alexis Hartenstein épouse en 1864 Marie Catherine Reichhard d’Ettendorf. Les époux légitiment deux enfants
Mariage, Ettendorf (n° 7)
Le premier octobre 1864 à huit heures du matin, Acte de mariage de Hartenstein Alexis, célibataire, âgé de 28 ans, né à Freistroff (Moselle) le 14 juillet 1836, profession aucune, domicilié à Freistroff (Moselle) fils naturel de père inconnu et de Hartenstein Marie, âgée de 60 ans, domiciliée à Freistroff, consentant suivant acte notarié en date du 24 septembre 1864, et de Reichhard Marie Catherine, célibataire, âgée de 35 ans, née à Ettendorf le 31 décembre 1828, domiciliée à Ettendorf, fille légitime de Reichhard Antoine âgé de 63 ans, cultivateur domicilié à Ettendorf ci présent et consentant etd e feu Gangloff Marie, domiciliée à Ettendorf y décédée le premier octobre 1838 (…) que le premier septembre dernier il a été passé contrat devant M° Matter notaire à Hochfelden (…) Et à l’instant Alexis Hartenstein et Marie Catherine Reichhard ont déclaré devant les témoins soussignés reconnaître pour leurs enfants légitimes les nommées Reichhard Marie Amélie née le 29 août 1856 à Ettendorf et 2° Reichhard Marie Brigitte née en cette commune le premier février 1863. Lesdits époux ont déclaré que leurs enfants ci-dessus relatés porteront dès ce jour le nom de Hartenstein (i 5)

Alexis Hartenstein et Marie Catherine Reichhard hypothèquent la maison au profit des demoiselles Pothier

1870 (16.4.), Strasbourg 15 (124), Not. Momy (Hippolyte) n° 14.251
Monsieur Alexis Hartenstein, exploitant ci-devant un estaminet hors la porte d’Austerlitz dans la banlieue de Strasbourg et dame Marie Catherine Reichardt son épouse de lui autorisée demeurant ensemble aujourd’hui à Strasbourg (ont déclaré devoir)
à Mesdemoiselles Aimée Pothier, Octavie Pothier et Clemence Pothier, les trois rentières demeurant et domiciliées ensemble à Strasbourg, la somme principale de 10.500 francs
Affectation hypothécaire. Une maison à rez-de-chaussée surmontée de quatre étages sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, d’un côté à M. [blanc]
Origine de la propriété. Les époux Hartenstein sont propriétaires de l’immeuble sus-désigné pour en voir fait l’acquisition du Sr Jean Linck, tailleur d’habits, et dame Eléonore Gerber son épouse demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé ce jourd’hui même devant M° Momy notaire soussigné et sus relaté. L’origine de propriété dudit immeuble etant amplement établie au titre sus-visé, les parties dispensent les notaires soussignés de le faire aux présentes, les déchargeant de toute responsabilité à cet égard
Promesse d’emploi (…) M. Jean Dufour ainé dit Gratien vérificateur de la culture des tabacs demeurant à Aiguillon (…) comme tuteur naturel et légal de ses deux fils mineurs Louis Marie Dufour et Paul Marie Gratien Dufour issus de son mariage avec dame Julie Marie Bonhomme son épouse décédée

L’aubergiste Alexis Hartenstein meurt en 1885 dans sa maison, Marie Catherine Reichhard en 1893 chez le boulanger Antoine Jucker rue des Charpentiers
Décès, Strasbourg (n° 1094)
Strassburg am 1. Mai 1885. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschien heute Maria Catharina Hartenstein geb. Reichhard, wohnhaft zu Strassburg Siebenmannsgasse 12, und zeigte an, daß ihr Gatte der Gastwirt Alexis Hartenstein 48 Jahre alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Freisdorf (Lothringen) Sohn der verstorbenen ledigen gewerbslosen Maria Hartenstein, in ihr Wohnung am 30. April des Jahres 1885 Vormittags um 9 uhr verstorben sei. (i 2)

Décès, Strasbourg (n° 2854)
Strassburg am 11. November 1893. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschien heute der Bäckermeister Antoni Jucker wohnhaft zu Straßburg Zimmerleutgasse 5, und zeigte an, daß die Rentnerin Maria Katharina Hartenstein geborene Reichhard, 65 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Ettendorf, Unter-Elsass, Wittwe des Gastwirtes Alexius Hartenstein, Tochter der verstorbenen Eheleute Anton Reichard, Ackerer und Maria Gangloff, zuletzt zu Ettendorf wohnhaft gewesen, zu Straßburg in des Anzeigers Behaußung am 10. November des Jahres 1893 Vormittag im elf Uhr verstorben sei. (i 33)

Marie Catherine Reichhard qui a été envoyée en possession de la succession de son mari en septembre 1885 vend la maison en 1892 au maître tripier Georges Uebel.

Originaire d’Alteheim en Bade, le boucher Georges Uebel épouse à Wolfisheim en 1875 Félicie Joséphine Jacquemin, native de Strasbourg et demeurant à Wolfisheim, puis en 1878 Françoise Kessler, originaire de Lierbach près d’Oppenau
Mariage, Wolfisheim (n° 4)
Am 30. September 1875. Heirathsurkunde von Uebel Georg, geboren zu Altenheim (Baden) den 22. März des Jahres 1846, Metzger wohnhaft zu Altenheim, Großherzogthum Baden, großjähriger Sohn von weiland Uebel Georg, gestorben zu Altenheim den 22. Mai 1875 und dessen Wittwe Buttner Katharina, ohne Beruf, wohnhaft zu Altenheim,
und von Jacquemin, Felicia Josephine, geboren zu Straßburg den 21. September 1857, wohnhaft zu Wolfisheim, minderjährige Tochter von Jacquemin Johann Joseph, 65 Jahren Pensionär, wohnhaft zu Wolfisheim, und dessen Ehefrau Ott Melanien gestorben zu Wolfisheim den 5. Februar 1869 (i 3)

Mariage, Wolfisheim (n° 1)
Am 24. Januar 1878. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Kuttler Georg Uebel, Wittwer aus erster Ehe von Felicia Josephine Jacquemin, evangelischer Religion, geboren den 22. März des Jahres 1846 zu Altenheim im Großherzogthum Baden, wohnhaft zu Wolfisheim, Sohn des zu Altenheim verstorbenen Landwirths Georg Uebel und dessen Wittwe Katharinaa Buttner, ohne Stand, wohnhaft zu Altenheim,
die Köchin Franziska Kessler, ledigen Stands, katholischer Religion, geboren den 26. Februar des Jahres 1846 zu Lierbach, Kreis Offenburg, Großh. Baden, wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Tagners Johannes Kessler und dessen Ehefrau Margaretha Doll, ohne Stand, beide Eltern wohnhaft zu Lierbach (i 1)

Georges Uebel, marié à Françoise Kessler la revend en 1895 à l’aubergiste Michel Düringer et à sa femme Christine Eck.

1895 (14.2.), M° Keller (dans Sept-Hommes n° 12, (96 MW 173)
Vom 14. Februar 1895. Kaufvertrag Düringer-Uebel
Vor Justizrat Dr Keller, Notar mit den Amtsitze in Strassburg ist erschienen
Herr Georg Uebel, Kuttlermeister in Straßburg wohnhaft, derselbe verkaufft
An Herrn Michael Düringer, Gastwirt und an sein von ihm ermächtigte Ehefrau Christine gebohrne Eck, beide beisammen in Strassburg wohnhaft, solidarische Ankäufer, hier zugegen und dies annehmend, das nachverzeichnete Grundstück
In der Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus bestehend aus Erdgeschoß über Keller, vier Stockwerke und Speicher, gelegen an der Siebenmannsgasse Nummer 12. eingeschrieben im Kataster unter Section N Nr 899 für eine Fläche von 85 quadratmeter neben Tapeziermeister Ludwig und Goldschmied Seeger, vornen die Gassen hinten Eschrich und Billo.
Kaufpreis. Der vereinbarte Kaufpreis beträgt 23.000 Mark (…)
Eigenthumsnachweis. Der Verkäufer erklärt, daß das verkaufte Grundstück sein Eigentum geworden ist, weil er daselbe erworben hat durch Kauf von Maria Katharina Reichard Gastwirtin Witwe von Alexis Hartenstein in Strassburg, gemäß Kauffvertrags aufgenommen von Notar Loew in Strassburg vom 8. Oktober 1892 überschrieben im Hypothekenamte hierselbst am 8. desselben Monats Band 2561 Nr. 28. der Kaufpreis ist in der Urkudnde selbst quittirt. Dasselbe Grundstück gehörte zu der Errungenschafts gemeinschafft, welche inhaltlich Ehevertrages vor Notar Matter in Hochfelden vom ersten September 1864 zwischen dem verstorbenen H Hartenstein und seiner Wittwe bestanden hat, weil sie diesselbe erkauft haben von Johann Linck, Schneider und Eleonore Gerber Eheleute in Strassburg gemäß Kaufvertrages aufgenommen von dem früheren Notar Momy in Strassburg am 16. April 1866 überschrieben in hiesigem Hypothekenamte am 3. Mai darauf Band 1207 Nr. 72. Der Kaufpreis ist auch der Erklärung des Verkäufers ganz ausbezahlt.
Durch das am 30. April 1885 erfolgte Ableben des H Hartenstein war dessen Wittwe auf Grund des Artikels 767 des bürgerlichen Gesetzbuchs einzige Erbin ihres Gatten geworden, und ließ sich durch Beschluß des kaiserlichen Amtsgerichts Strassburg vom 27. September dieses Jahrs gemäß Artikel 770 desselben Gesetzbuchs in den Besitz des Nachlasses ihres Ehemann einweisen. Eine Ausfertigung dieses Beschlusses ist der vorerwänhten Erwerbsurkunde des Verkäufers angeheftet.
Die Ehegatten Linck hatten das Grundstück erworben durch Kauf von Anton Bonhmme Pensionär und Maria Julie Bonhomme Ehegattin von Johann Gratien Dufour in Marmande gemäß Urkunde aufgenommen von Notar Momy in Strassburg vom 9. Mai 1860 überschrieben am 31. desselben Monats, Band 921. Nr. 155. Das Grundstück rührte aus der Gütergemeinschaft welche zwischen dem genannten Anton Bonhomme und seiner Ehefrau Maria Anna Persohn bestanden hatte. Letztere starb in Strassburg den 10. Oktober 1863 und hinterließ als einzige Erbin ihre Tochter die frau Dufour ausweilich Inventars aufgenommen von Notar Momy am 17. desselben Monats. Die Ehegatten Bonhomme hatten das Grundstück gekauft von Maria Anna Bohn Wittwe Gottfried Hütt in Straßburg und Genossen, laut Urkunde aufgenommen von dem genannten Notar Momy am 19. Dezember 1860, überschrieben am 26. desselben Monats Band 835 Nr 82.
Civilstands- und Hypothekar- Verhältnise. Der Verkäufer erklärt daß er verheirathet ist mit der bei ihm wohnhaften Frau Franciska Roesser* in Gütergemeinschaft, und daß das verkaufte Grundstück von Hypotheken und Privilegien frei ist.
Errichtet in Straßburg Im Jahre 1895 den 14. Februar

Originaire de Berstett, le cultivateur Michel Düringer épouse en 1888 Christine Eck, native de Brumath. Tous deux habitent à Vendenheim.
Mariage, Vendenheim (n° 8)
Vendenheim am ersten Dezember 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Ackerer Michael Düringer, evangelischer Religion, geboren den 30. August des Jahres 1864 zu Berstett, wohnhaft zu Vendenheim Sohn des Holzhändlers Michael Düringer und dessen hier verstorbenen Ehefrau Maria geb. Düringer, wohnhaft zu Vendenheim, die gewerbslose Christine Eck, evangelischer Religion, geboren den 25. März des Jahres 1868 zu Brumath wohnhaft zu Vendenheim, Tochter des Ackerers Jacob Eck und dessen verstorbenen Ehefrau Margaretha Salomea geb. Becker, wohnhaft zu Vendenheim (i 9)

L’aubergiste Michel Düringer meurt à l’hospice de diaconesses le 28 septembre 1903
Décès, Strasbourg (n° 2558)
Strassburg am 28 September 1903. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschien heute die Diakonessinschwester Elisa Henrÿ, wohnhaft in Strassburg im Diakonissenhaus und zeigte an, daß des Gastwirt Michael Düringer, 39 Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg Siebenmansgasse 12, geboren zu Berstett, Unter Elsass, Ehemann von Christin gebirne Eck, Sohn der verstorbenen Eheleute Michael Düringer, Landwirt und Maria georne Düringer zuletzt in Vendenheim wohnhaft, zu Strassburg im Diakonissenhaus am 28. September des Jahres 1903 vormittags um zehn ein halb Uhr verstorben sei (i 228)

Christine Eck se remarie en 1904 avec Charles Paul Schrœder, originaire de Grosschönau près de Görlitz en Saxe.
Mariage, Strasbourg (n° 1420)
Strassburg am 22. Dezember 1904. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Gastwirt Karl Paul Schröder, evangelischer Religion, geboren am 22. Oktober des Jahres 1868 zu Grossschönau Sachsen wohnhaft in Strassburg Siebenmansgasse 12, Sohn des verstorbenen Gastwirts Karl Friderich Moritz Schröder und seiner verstorbenen Ehefrau Pauline Luise Wilhelmine geborner Barth, beide zuletzt wohnhaft in Zittau, Sachsen,
die Gastwirtin Christina Eck Wittwe des Gastwirts Michael Düringer, evangelischer Religion, geboren am 25. Märtz des Jahres 1868 zu Brumath, Unter-Elsaßn wohnhaft in Straßburg wie oben, tochter des verstorbenen Ackerers Jakob Eck und seiner verstorbenen Ehefrau Margaretha Salome gebornen Becker, beide zuletzt wohnhaft in Vendenheim, Unter-Elsaß (i 221)

Christine Eck, veuve de Michel Düringer et de Paul Schrœder, est devenue propriétaire de la maison par disposition testamentaire de Michel Düringer, mort en délaissant trois enfants. Elle cède la maison à la Ville moyennant 30 000 marks auxquels s’ajoutent 15 000 marks pour la dédommager de son auberge. La vente sera définitive après approbation par le conseil municipal.

1917, Sept-Hommes n° 12 (96 MW 173)
Wohnungs-Amt. Akten betreffend, Kauf Siebenmannsgasse 12
Rep. N° 143. Kauf-Vertrag
Vor dem unterzeichneten Beigeordneten der Stadt Strassburg, Regierungsrat Dr. Heinrich Emerich, handelnd als gesetzlicher Vertreter des Bürgermeisters der Stadt Straßburg als Urkundsperson, sind heute in seinem Amtszimmer erschienen die ihm bekannten 1) Frau Witwe Paul Schroeder, geborne Christine Eck Verwitwete Michael Düringer, wohnhaft in Strassburg, Rehgasse 5,
2. Herr Arthur Weeber, Hilfsarbeiter beim hiesigen Bürgermeisteramt, in Strassburg wohnhaft, handelnd als Vertreter der Stadt Strassburg bei diesem Vertrage laut beigehefteter Vollmacht des Bürgermeisters vom heutigen und vorbehaltlich der Genehmigung des Gemeinderates.
Die Erschienen erklären zur Beurkundung was folgt
§. 1. Frau Witwe Schroeder verkauft an die Stadt Strassburg, für die Herr Weeber dies annimt, das nachbezeichnete Anwesen
Bezeichnung. Untergemarkung Strassburg Stadt, Flur 60 Nr. 48, 73 qm, Siebenmannsgasse 12, mit einem Nutzungswert von 2100 Mk. eingetragen im Eigenthumsbuch von Strassburg auf Blatt 2201.
§. 2. Eigenthumsnachweis. Eheleute Michael Düringer, Gastwirt, und Christine geb. Eck haben das oben bezeichnete Anwesen durch Kaufvertrag vor Notar Justizrat Dr. Keller in Strassburg vom 14. Februar 1895. Rep. Nr. 8893, erworben von Georg Uebel, Kuttlermeister in Strassburg. Der Anteil des Ehemanns Düringer ging laut dessen letztwilliger Verfügung nach seinem Tode auf seine Ehefrau Christine, wiederverheiratete Schroeder, über und wurde unter dem 13. Dezember 1904 auf deren Namen allein im Grundbuche (Eigenthumsbuche) eingetragen. Die Anteile der damals noch minderjährigen Kinder wurden durch Hypothekareintragung (s. § 3.) auf das Eigentum versichert.
§ . Hypotheken. A . Die Stadt Strassburg übernimmt folgende auf dem verkauften Eigentum lastenden Hypotheken (…) B. Von nachstehende Hypotheken wird heute die Lößung bewilligt. Diese werden nicht von der Käuferin übernommen (…) 639 Mark zu Gunsten von Marie Salomea Düringer, Tochter von Michael in Straßburg, 685 Mark zu Gunsten von Karl Michael Düringer, Sohn von Michael in Straßburg, 723 Mark zu Gunsten von Anna Margaretha Düringer, Tochter von Michael in Straßburg
§. 4. Kaufpreis. Der Kauf geschiht um einen Kaufpreis von 30.000 Mark. Ausserdem zahlt die Käuferin an die Verkäuferin einen weiteren Betrag von 15.000 Mark als entschädigung für die Aufgabe des in dem Anwesen betriebenen Geschäftes (Wirtschaft)
§ 9. Erklärung. Gegenüber der Verkehrssteuramt wird erklärt, dass gegenwärtiger Vertrag zum Zwecke der Sanierung der Altstadt (Grosser Strassendurchbruch) abgeschlossen wird, d. h. dass das verkaufte Haus zu diesem Zwecek abgebrochen werden soll.
§ 10. Vorstehender Kaufbertrag erfolgt ausdrücklich unter dem Vorbehalte der nachträglichen Genehmigung durch den Gemeinderat. Sollte der Gemeinderat die Genehmigung versagen, so gehen die bereits gezahlten Kösten des Vertrages zu Lasten der Verkäuferin, d. h. sie sind von ihr der Stadt zu erstatten.
Hierüber Urkunde aufgenommen zu Strassburg i.Els. den 28. Juli 1917 in dem Amtzimmer des Beurkundenden.
(Bd. 1149 Bl. 47. No. 454 eingetragen Strassburg I, den 11. August 1917)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.