1, place du Corbeau


Place du Corbeau n° 1 – IX 101 (Blondel), O 738 puis section 17 parcelle 115 (cadastre)

Linteau millésimé 1693 dans l’impasse, nouvelle façade (1696) par le sellier Jean Jacques Faudel

Avec mes remerciements à F. et B. P.


Vue en août 2021 – Fenêtres à meneaux aux deux premiers étages

La maison entre l’auberge du Corbeau et l’impasse est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de Jean Maler (en fait le peintre Michel Buisson qui l’a achetée l’année précédente). Elle a deux auvents superposés et une échoppe vers la ruelle, deux encorbellements et un auvent vers la rue, de 23 pieds de long. Elle appartient ensuite au tailleur Nicolas Repperlé (1604-1617). Les propriétaires suivants sont selliers (Valentin Schneider et Georges Frédéric Scheubler, 1617-1667) puis graveur de cachets (François Frantz, 1667-1690). Le sellier Jean Jacques Faudel achète en 1690 la maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière séparés par une petite cour. Il transforme le bâtiment arrière dans l’impasse : le millésime 1693 se trouve sur le linteau de la porte. Les préposés l’autorisent en 1696 à construire en avant de son encorbellement en enclosant un terrain de 85 pieds carrés. Il transforme le pignon qui donnait vers l’ouest, rehausse la façade en créant le nouveau pignon qu’on voit aujourd’hui vers le nord. Ces transformations sont corroborées par les analyses archéologiques (Inrap, Maxime Messner, 2021). Jean Jacques Faudel fait poser en 1697 une dalle sur la rigole qui part du corps de garde pour que le chemin entre le pont et sa maison soit plus commode par mauvais temps. Il fait élargir en 1712 de deux pieds l’auvent devant la maison moyennant un cens annuel, supprimé en 1768 quand le marchand Ange Marie Tagliaschi répare la maison qu’il vient d’acheter. La veuve du sellier Jean Georges Faudel acquiert en 1769 la maison dont elle transmet la propriété à son fils Jean Faudel qui fait faillite en 1776. Le propriétaire suivant, Joachim Frédéric Lorentz, est aussi sellier. Le boulanger Michel Veihl rachète en 1813 la rente communale établie le 30 juillet 1696.



Façade occidentale, ancien pignon transformé en 1696 (juin 2022)
La maison fait l’angle de l’alignement à gauche de l’image (Plan-relief, 1727, Musée historique, cliché Claude Menninger, © Région Grand Est – Inventaire général)
Millésime 1693 sur le linteau de la porte donnant dans l’impasse

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830 et cour (P’), îlot 210 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade à pignon vers le quai se trouve entre les repères (m »-n ») : porte et fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun (et non trois comme sur le plan-relief en 1727 et la façade actuelle). Trois façades se succèdent vers la ruelle (à droite de n »), une première devant l’impasse, une deuxième à pignon dont les ouvertures sont disposées de façon irrégulière, une troisième à rez-de-chaussée et deux étages. La cour qui figure sur le cadastre n’est pas représentée sur le plan-relief. L’arrière des bâtiments donne entre (5-6) dans la cour (P’).
La maison porte d’abord le n° 58 du quai des Bateliers (1784-1857) puis le n° 1 de la place du Corbeau.


Dessin suite à la demande du propriétaire d’enclore le terrain (a-b-c) en 1888, marque (x) de l’ancien auvent autorisé en 1696
Elévations de 1902 lors des transformations – Plan du rez-de-chaussée, l’alignement légal figure en rouge (dossier de la Police du Bâtiment) – (plan cadastral de 1896)

La maison appartient à partir de 1802 au boulanger Michel Veihl puis à ses deux gendres perruquiers, Jacques Louis Reichard et Charles Nicolas Reichard. Louis Wurm charge en 1902 les entrepreneurs Kaag et Mohler d’aménager le magasin et de poser une devanture munie de volets roulants. Les bombardements aériens des 11 août et 16 septembre 1944 endommagent le bâtiment. En 1948, Eugène Sexauer fait aménager deux logements, réparer le magasin et les façades endommagées sous la direction de l’architecte Joseph Schwab, les pans de bois sont dégagés.


Elévations et coupe, 1948 – Photographie, 1958, enseigne Comptoir du chauffage (dossier de la Police du Bâtiment)

avril 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1586 v Michel Buisson, peintre, et (v. 1578) Claudine Blanpignon – luthériens
1604 v Nicolas Repperlé, tailleur, et (1600) Charité Feistlinger – luthériens
1617 v Valentin Schneider, sellier, et (1618) Ursule Bliemel puis (1634) Barbe Keller – luthériens
1667 h Georges Frédéric Scheubler, sellier, et (1663) Barbe Keller, veuve de Valentin Schneider – luthériens
1676 v François Frantz, graveur de cachets, célibataire († 1696) – luthérien
1690 v Jean Jacques Faudel, sellier, et (1687) Salomé Feigler, (1690) Susanne Marie Mosseder puis (1711) Anne Marie Frantz – luthériens
1721 h Jean Jacques Sattler, sellier, et (1721) Anne Marie Frantz, d’abord (1711) femme du sellier Jean Jacques Faudel – luthériens
1768 v Ange Marie Tagliasachi, marchand, et (1764) Chrétienne Charlotte Storck, d’abord (1762) femme du marchand Charles Hyachinte Henry – catholiques
1766 v Jean Georges Faudel, sellier, et (1732) Catherine Knoderer – luthériens
1771 v Jean Faudel, sellier, et (1771) Marguerite Dorothée Müller – luthériens
1776 v Joachim Frédéric Lorentz, sellier, et (1775) Marie Dorothée Lichtenberger puis (1792) Marie Salomé Kuhn – luthériens
1802 v Michel Veihl, boulanger, et (1798) Marie Madeleine Fetter
1809 h (½) Jacques Louis Reichard, perruquier, et (1822) Christine Elisabeth Veihl
Louis Charles Alphonse Reichard, coiffeur, et (1850) Catherine Wilhelmine Rieb
(½) Charles Nicolas Reichard, perruquier, et (1827) Marie Madeleine Veihl
Léopold Louis Charles Reichard, confiseur, et (1857) Louise Madeleine Klein
1897* Louis Wurm, serrurier, et (1893) Lucie Eugénie Marie Reichard et
son fils Charles Louis Wurm et (1916) Mathilde Hahn
1933* v Aloïse Scheben, directeur d’école
1938* v (Albert Paul Fernand) Engelmann
1945* Eugène Alfred Sexauer

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 700 livres en 1662, 1200 livres en 1708, 1650 livres en 1720, 1000 livres en 1767, 900 livres en 1772

(1765, Liste Blondel) IX 101, Jean Jacques Sattler
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Lorentz, 6 toises, (-) pied et (-) pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 738, Reichard, Louis, perruquier près du Corbeau 58 – maison, sol – 1,7 are

Locations

1689, Charles Maurice, marchand de vins
1691, André Revel, musicien, et Jeanne Caillot
1692, Jean Baldy, limonadier
1692, Jérôme Forest, perruquier
1734, François Grandpierre, sellier
1803, Antoine Wehrly, maître de la poste aux chevaux, et Hélène Schneider (voisin)
1811, Jean Baptiste Polti, marchand

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 384
Jean Maler règle 17 sols pour sa maison, à savoir dans la ruelle pour deux auvents l’un au-dessus de l’autre (44 pieds de long, 1 ½ pieds de saillie), entre les deux une cheminée (2 pieds ½ de large, 15 pouces de saillie), une échoppe (13 pieds de long, 3 pieds de saillie)
Le même règle en outre 8 sols, à savoir à l’avant quand on sort de l’impasse et qu’on tourne vers l’auberge au Corbeau pour un encorbellement (23 pieds de long, 2 pieds 9 pouces de saillie), un auvent de même longueur et un encorbellement d’une saillie supplémentaire de 4 pieds 3 pouces.
En outre 2 sols pour des pièces de bois et des planches posées sur le communal

Anderseitt desselben Allmendgäßlins hinden vonn Hanß Kipsen selligen Schewren widerumb herfür.
Johann Maler hatt an seinem Hauß oben Zweÿ Wettertach über einander Jedes xliiij schu lang, i+ schu herauß, dar zwischen ein vßgestoßen Kamin ii+ schu breÿt, xv Zoll herauß, vber einem Laden xiij schu lang iij schu herauß, bessert für das Niessen, xvij ß d.

Vornen beÿ der Herberg Zum Rappen.
Derselb Johann Maler hatt auch Vornen vß, wann mann Von dem Ochsengeßlin widerherauß vnd vmb das Eckh Hinumb nach dem Rappen zu gehen will, ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiij schu lang, ij schu ix Zoll herauß, daran ein Wettertach In gleicher Lengen, vndt für den Vsstoß noch iiij schu iij Zoll weÿter herauß, bessert für das Niessen, viij ß d.

Er hatt auch das Allmendt vnder demselben Wettertach mit etlich altem holtz werckh vnd Dielen stuckhen verschlagen, darfür bessert Er ij ß d.

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 99
Le sellier Jean Jacques Faudel règle 1 livre 10 sols pour un terrain communal enclos de 85 pieds carrés devant sa maison près de l’auberge au Corbeau, pour la première fois en 1697
De même pour un auvent à la même maison (21 pieds 9 pouces de long, 10 pouces de large) qu’il a élargi de deux pouces, pour la première fois en 1713

Johann Jacob Fautel, der Sattler, Soll vom eingezäunter Allmend Zu Seiner beÿ der Gastherberg zum Raben gelegenen Behausung, 85. quadrat Schuh Groß Jahrs vff Michaelis und anno 1697. i.mo, 1 lb 10 ß
l. Prot. de 1696. fol: 54.b

(Quittungen, 1697-1712)
Ferner von einem 21. schuh 9 Zoll lang und 4. Schuh 10 Zoll breiten Wetterdach an dieser behausung, so Er umb Zween Schuh breiter machen laßen Jahrs vf Michaelis und l. Prot. de 1712. fol: 78. a° 1713. I.mo, 7 ß. 6 d.

(Quittungen, 1713-1741)
Neuzb fol 725-b

1741, Livre des loyers communaux,VII 1472 (1741-1802) f° 725-b
Mêmes loyers reportés dans le registre suivant. Le deuxième cens devient caduc en 1768 après suppression de l’auvent. Les contribuables suivants sont Ange Marie Tagliaschi et Joachim Frédéric Lorentz

alzb. 99
Joh: Jacob Fautel der Sattler, solle vom eingezogenem Allmend Zu Seiner beÿ der Gastherberg zum Raben gelegenen behausung, auf Michaelis (id est 29. sept.) 1 lb 10 ß [in margine :] 8 vendemiaire
Ferner von einem 21. sch. 9 Zoll lang und 4. Sch. 10 Zoll breiten Wetterdach an dießer behaußung, so Er umb 2. sch. breiter machen laßen auf Michaelis, 7 ß 6 d
[in margine :] ist in mense Apr: 1768 hinweggemacht worden)

(Quittungen, 1741- an 10)
C 353.

jetzt Angelo Maria Tagliaschi
modo Joachim Friderich Lorentz Laut Kauffbrieff aus Löbl. Statt C. S. Stube de ato 10. Februarii 1776.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1696, Préposés au bâtiment (VII 1377)
Le sellier Jean Jacques Faudel demande le 28 mai l’autorisation de construire à l’aplomb du chenal qui borde son encorbellement et d’établir un pignon en pierre d’après l’ordonnance royale. Comme il a constaté lors des mesures qu’une fenêtre dans un mur commun avec l’auberge au Corbeau allait être occultée, il modifie sa requête en demandant de ne construire que jusqu’à cette fenêtre. Comme l’aubergiste perdrait une des deux fenêtres dans le vestibule du haut, les préposés estiment que le sellier doit agrandir à ses frais la fenêtre subsistante pour mieux éclairer le vestibule. Les préposés renvoient le pétitionnaire aux Quinze le 30 mai.
Après que les Quinze l’ont autorisé à enclore un terrain une demi-pierre au-delà de son encorbellement et que les chefs de chantier ont mesuré le terrain qui a une largeur de trois pieds vers l’auberge au Corbeau mais de quatre pieds deux pouces vers l’impasse du Bœuf, une longueur de 23 pieds 1 pouce sous l’encorbellement mais de 22 pieds 9 pouces vers la rue, c’est-à-dire en tout 85 pieds carrés, il a été décidé le 30 juillet que Faudel devra payer chaque année deux livres à la Saint-Michel, pour la première fois en 1697. Faudel demande une réduction et l’autorisation d’élargir l’auvent d’un demi-pied à l’aide d’une planche. La proposition est acceptée, le cens fixé à 1 livre 10 sols.

(f° 41) Montags den 28. Ejusd: [Maÿ] – Johann Jacob Faudel der Sattler, umb einzäunung des allmendts vor seiner behausung
Augenschein eingenommen an Johann Jacob Faudel des Sattlers behausung jenseiths der Schindbrucken neben der Gastherberg Zum Raaben, welcher umb erlaubnus angesucht mit seinem Hauß, welches einen überhang hatt, soweit alß sein tachtrauff gehet, auff das allmend herauß Zufahren, und daßelbe Vornen auff die gaß herauß, Königl. ordonnance nach, mit einem steinern gäbel Zuversehen, Alldieweilen Er aber beÿ dem abmeßen wahrgenommen, daß Er durch diesen baw dem Würth Zum Raaben ein fenster, welches Zwar in einer Zwischen Ihnen beeden gemeinen Mawr sich befindet, Verbawen würde, Hatt Er selbsten sein begehren geändert, und allein biß an daßelbe fenster Zubawen Verlangt, nach deme mann aber befunden, daß Er dem Würth dannach ein fenster von denen 2.en so sich in dem Obern Haußöhren befindet Zumauren Würde, alß hatt mann die gelegenheit des haußöhren besichtiget, da sich dann erbegen, daß es wohl sein könte, wann mann den Sattler obligiren thäte, das jenige fenster so bleiben würde gegen der straßen Zu in seinem Kosten Zu vergrößern und seine behausung umb etwas Zuerhöhen, wardurch dann das hauß öhren mehr liecht, alß es anietzo hatt bekommen würde. Erk. Bedacht.

(f° 43-v) Mittwochs den 30. Ejusd: – Johann Jacob Faudel der Sattler pt° einzäunung allmendts
Johann Jacob Faudel, der Sattler ist mit seinem beÿ jüngst gehaltenen augenschein an seiner behausung neben der Gastherberg Zum Raaben eröffnetem Verlangen an Unsere Herren die XV. gewiesen worden.

(f° 54-v) Montags den 30. Julÿ – Johann Jacob Faudel der Sattler wegen einzäunung des allmendts
Wegen eingenommenen augenscheins an Johann Jacob Faudels, des Sattlers, jenseith der Schindbrucken neben der Gastherberg Zum Raaben gelegenen behausung, ist auff beschehene erlaubnus der herren Fünff Zehen, daß derselbe umb einen halben stein weiter herauß, alß sein Überhang gehet, das allmend Zu seinem hauß einzaünen möge, und der Werckmeister erstattete relation, daß Sie beÿ genommener abmeßung befunden, daß dieses Allmend ane der Gastherberg Zum Raben dreÿ schuhe breit, Vornen an dem Ochßengäßel aber Vier schuhe Zween Zoll breit an Faudels behausung unter dem Überhang 23. schuhe 1 Zoll lang gegen der gaßen zu aber 22. schuhe und 9. Zoll lang, also in allem 85. quadrat schuhe groß seÿe, ist Erk. daß derselbe jährlich auff Michaelis und Anno 1697. Zum ersten mahl 2. lb d bodenzinß darvon bezahlen solle, Faudel bittet umb moderation, und umb erlaubnuß daß Er sein Wetterdach umb einer halben schuhe breiter machen laßen dörffe und Zwar nur mit einem diehlen, Erk. Willfahrt, und ist der jährliche Zinn auff 1. lib. 10. ß d. moderirt worden.

1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
Jean Jacques Faudel porte l’affaire devant les Quinze le 9 juin en demandant une décision rapide puisqu’il doit quitter la maison qu’il habitait à la Saint-Jean. Les préposés déclarent que non seulement deux fenêtres seraient privées de lumière mais que certains voisins protestent.
Les préposés au bâtiment exposent le 14 juillet que le sellier Jean Jacques Faudel a demandé d’agrandir son auvent mais que deux fenêtres de l’auberge au Corbeau seraient privées de lumière. Lors d’une nouvelle visite, on a constaté que la chambre du Prince et un couloir seraient obscurcis, le pétitionnaire a cependant fait remarquer que seule une fenêtre serait supprimée. On lui a proposé de se limiter à la largeur de l’auvent, soit trois pieds. Il a demandé réflexion puis proposé d’avancer d’un demi-pied. On a entendu les voisins, notamment Jean Georges Praunsmantel, en faisant remarquer que si sa proposition avait été telle dès le début, personne n’y aurait vu d’objection. L’affaire est renvoyée aux préposés au bâtiment pour fixer le cens à régler.

(f° 131) Sambstags den 9. Junÿ – Hannß Jacob Fautel pt° heraus Führung des überhangs an seinem hauß neben d. Raben
Hannß Jacob Fautel d. Burger Und Sattler alhier, per Künast, berichtet, daß er beÿ denen Oberen Bauherren Wegen Heraus Führung seines überhangs beÿ dem Raben sich gebührend maßen angemeldt, der augenschein hierüber auch eingezogen worden seÿe, Wohl ermeldte Herrn aber die sach nicht über sich nehmen wollen, sondern ihn Vor Mghh. fürwießen hätten, bitt undth. ihne jnn einem begehren gn. Zu Willfahren, auff dero relation sich mit mehrerm bezielend, Und bittet umb Füerderliche Urthel, Weilen er biß Johannis seine jetzmahlige behaußung quittiren muß.
Obere Bauherren berichten, daß die den augenschein eingenommen hätten, d. hauß neben dem Raben liege, Und Implorant gantz heraus Fahren wolle, darüber nicht nur d. Raben würt dem er 2. Fenster Verbauen würden sond.n auch die andere Nachbaren sich beschwehren.
Erk. Vor die Obere Bauherren, Umb die Nachbaren darüber hören Verwießen.

(f° 148) Sambstags den 14. Julÿ – Hannß Jacob Fautel pt° heraus Führung eines überhangs
Obere Bauherren laßen per Herrn Schragen referiren, daß jüngst Von Ihne proponirt worden, Wie daß Hanns Jacob Fautel, d. Sattler, beÿ Ihnen Umb erlaubnus, den überhang An seinem An dem Würthshauß Zum Raben gelegenen hauß Weiter heraus Zu führen angesucht, Sie es aber vor bedencklich angesehen hätten, Weilen dadurch gedachtem Würthshauß Zum Raben Zweÿ tagliechter weg Kommen weren, Under sich darüber Zu beklagen groß Ursach gehabt hätte, Nach deme er aber de novo vber Sie gemeßen worden, so habe mann den Augenschein Nochmahlen eingenommen, und erfunden, daß auff dieße weiß, Wie Fautel es verlangt, nicht zu gratificiren seÿn würde, Angesehen durch dieße Zweÿ Fenster d. licht jnn die so genandte Fürsten Stub fallet, Und wann sie Verbaut würden, der tag dießer Stuben so wohl, als auch einem Gänglein gäntzlich benommen werden würde, darauff Implorant eine bemerckung gemacht, Krafft welcher Nur ein Fenster weg Käme, Weilen aber solches dem Nachbaahren Nicht wohl Zu Zumuthen, so habe mann ihme Zugesprochen, daß er sich mit deme, soweit sein überhang heraus gehet, Und so dreÿ schuh breit ist, contentiren solte, welches er Zu bedacht gezogen, Und, da er sich nach der hand Wider angemeldt, habe er beditten, daß er dabeÿ laßen wolte, jedoch wann d. Maurer etwann Umb einen halben schuh weiter heraus Führte, solches verhoffentlich Nicht übel wüerde geditten werden. Allein habe man Auch vor Nöthig ermeßen, die Nachbaren, in specie H Johann Georg Praunßmandel, darüber Zu hören, d. Vermeldt, daß wann Fautel anfangs mehr nicht begehrt hätte, die Nachbarschafft sich Nicht opponirt haben würde. Dießem Nach Zu Mghh. stünde, Ob Sie die hienausführung der Überhangs erzehlter maßen genehm halten, Und Wegen reglirung des Zinnßes Von Boden und Wettertächin Auff den Pfenningth: dahin es eigentlich gehört, Verweißen solle. Erk. beliebt.

1697, Préposés au bâtiment (VII 1377)
Jean Jacques Faudel demande l’autorisation de poser une dalle sur la rigole qui part du corps de garde pour qu’il soit plus facile d’arriver à sa maison depuis le pont du Corbeau par mauvais temps. Il y est autorisé après visite des lieux, à condition de rehausser à ses frais le pavé de chaque côté.

(f° 16-v) Donnerstags den 28. Martÿ 1697. – Johann Jacob Faudel der Sattler
Augenschein eingenommen jenseith der Schindbrucken, alwo Johann Jacob Faudel der Sattler einen breiten stein über die Von der alda stehenden Corps de Garde herab fließenden Waßerruntz, damit mann von der Schindtbrucken Zu seinem neben der Gastherberg Zum Raben ligendem Hauß beÿ üblem Wetter desto bequemer gehen könne, legen und an beeden enden das pflaster erhöhen Zulaßen angehalten. Erk. Bedacht.

(f° 18) Montags den 1. Aprilis 1697. – Wegen eingenommenen augenscheins jenseith der Schindbrucken gegen Johann Jacob Faudels, des Sattlers, behausung über ist Erk. Würt demselben einen breiten stein über die Waßerrinne auff seinen Kosten legen Zulaßen, erlaubt, jedoch mit dem bedig, daß Er das pflaster auff beeden seithen erhöhen laßen solle.

1712, Préposés au bâtiment (VII 1385)
Le sellier Jean Jacques Faudel demande l’autorisation d’élargir de deux pieds l’auvent (21 pieds 9 pouces de long, 4 pieds 10 pouces de large) de sa maison entre l’auberge du Corbeau et la ruelle des Bœufs. Il y est autorisé moyennant un cens annuel de 10 sols, ramené à 7 sols 6 deniers.

(f° 78) Dienstags den 6. Ejusd. (7.bris) – Johann Jacob Fautel pt° eines Wetterdachs
Johann Jacob Fautel, der Sattler, hatt ein Wetterdach an seiner am Ochßengäßlein beÿm Würthshauß Zum Raben ligenden Eck behaußung, welches 21. schuhe 9. Zoll lang und Vier schuhe 10. Zoll breit ist, und Er umb 2. schuhe breiter machen Zulaßen willens ist, bittet undth: umb deßen gnd. Willfahrung.
Erk. Willfahrt gegen jährlicher erlag 10. ß d Allmend Zinnßes, mod. à 7 ß 6 d.

1741, Préposés au bâtiment (VII 1399)
Le sellier Jean Jacques Sattler est autorisé à réparer son auvent endommagé devant sa maison, sans en modifier la largeur ni la longueur.

(f° 155) Dienstags den 24 Ejusdem [Octobris 1741] – Johann Jacob Sattler
Johann Jacob Sattler der sattler neben dem Raaben jenseiths der Schindbruck bittet um erlaubnus sein schadhafftes Wetterdach Vor seinem Hauß allda repariren Zulaßen. Erkant in Nemlicher Länge und Breite Willfahrt deßwegen das Meß durch Herrn Lohner und Werckmeister genommen werden solle.

Description de la maison

  • 1720 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, atelier, cave voûtée, bâtiment arrière où se trouvent deux poêles, chambres, écurie, petite cour, puits commun, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 3 300 florins
  • 1769 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, une arrière-boutique, plusieurs poêles, chambres et cuisines, les combles sont couverts de tuiles plates, la cave est voûtée, le puits commun, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 7 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Bâteliers

nouveau N° / ancien N° : 12 / 58
Feyl
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 206 case 2

Reichard Louis perruquier, près du Corbeau N° 58

O 738, maison, sol, quai des bateliers 58
Contenance : 1,70
Revenu total : 126,89 (126 et 0,89)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 37 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 890 case 1

Richard, Louis, Perruquier
1885/86 Reichard Ludwig zu ¾, 2. Leopold Ludwig Karl zu ¼
1889/90 Reichard 1. Ludwig, 2. Leopold Ludwig Karl, 3. Pfender Elisabeth
97/98 Wurm Ludwig Karl, minderjährig

O 738, maison, sol, Place du Corbeau 1
Contenance : 1,70
Revenu total : 126,89 (126 et 0,89)
Folio de provenance : (206)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 28 f° 206 case 9

Parcelle, section 17, n° 115 – autrefois O 738
Canton : Rabenplatz N° 1 / Place du Corbeau
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,58
Revenu : 1500 – 2280 – 3100
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1947), compte 1364
Wurm Ludwig und Wurm Ludw. Karl S. v. Ludw.
1931 Wurm Louis mécanicien pour la moitié et copropriétaires
1933 Scheben Aloise directeur d’école et son épouse née Rietsch
1938 Engelmann Albert Paul Fernand et son épouse
1945 Sexauer Eugène Alfred u. Sexauer Eugen, Ehefrau

(Propriétaire à partir de l’exercice 1947), compte 6294
Sexauer Eugène Alfred commerçant et son épouse

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 315 Quai des Bateliers p. 506

58
Pr. Lorentz, Joachim Fred. – Tanneurs
loc. Baller, Frédéric Christophe – Miroir
[ajout] loc. Kraft, Daniel, orfèvre
loc. Heckel, Jacques – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Rabenplatz (Seite 134)

(Haus Nr.) 1
Kramer, Chem. Waschanstalt. 0
Wurm, Telegraphist. E 1
Höfling, Kaufmann. 2
Bartels, Reisender. 3
Schramm, Zuschneider. H 1
Marchal, Schriftsetzer. H 2
Herzog, Tagner. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 680 W 160)

Place du Corbeau (dossier I, 1886-1982)

La direction de l’octroi demande en 1888 si le bâtiment devant la maison appartient au propriétaire de la maison n° 1. Le maire répond en transmettant les décisions du conseil municipal (19 septembre 1807) et des préposés au bâtiment (30 juillet 1696). Louis Wurm charge en 1902 les entrepreneurs Kaag et Mohler d’aménager le magasin et de poser une devanture munie de volets roulants. Les bombardements aériens des 11 août et 16 septembre 1944 endommagent le bâtiment. En 1948, Eugène Sexauer fait aménager deux logements, réparer le magasin et les façades endommagées par les bombardements sous la direction de l’architecte Joseph Schwab. La Police du Bâtiment demande que le cintre au-dessus des devantures soit abaissé et que les ouvertures aient un profil qui rappelle les encadrements des fenêtres au premier étage. Les pans de bois sont dégagés. Un riverain fait remarquer que le nouveau revêtement en pierre a été avancé de quinze centimètres, ce qui rend plus difficile l’accès à la ruelle du Corbeau. Le nouvel alignement de l’impasse du Corbeau qui remplace celui de 1854 est approuvé par le préfet le 3 mai 1966.
Commerces. 1895, coiffeur Hopp – 1899, Adolphe Gostl, enseigne du Soldat viennois (zum Wiener Landwehrmann) – 1902, teinturerie Kramer – 1911, frères Müller (magasin de régime la Fontaine de Jouvence) – 1912, horloger Ernest Clad – 1917, café Max Irmscher – 1930, atelier du tailleur A. Rzepkowitz – papiers peints Eugène Hochstetter (1938) puis Charles Gilenmann (1940) – 1949, épicerie Eugène Sexauer – 1951, Comptoir du chauffage (poêles, cuisinières, articles de ménage – 1964-1981, société Maman et Bébé – 1982, débit de boissons Philippe Egensperger (Le Valentino)

Sommaire
  • 1886 (mai) – Le maire demande au rentier Charles Reichart de faire ravaler la façade du 1, place du Corbeau.
    1779 (juillet) – Courrier du commissaire de police. L’entrepreneur E. Widman demande l’autorisation de ravaler la façade – La façade a été en partie crépie et peinte, août 1886
  • 1888 – La direction de l’octroi demande si le bâtiment devant le n° 1 appartient au propriétaire de la maison n° 1. Le maire joint un extrait de la décision du maire en date du 3 juin 1813 qui fait état d’une décision du conseil municipal le 19 septembre 1807 et des préposés au bâtiment le 30 juillet 1696. Il en résulte que le sol devant la maison appartient à la Ville. Le propriétaire a racheté en 1813 la rente communale établie le 30 juillet 1696 au profit de Jean Jacques Händel pour un bâtiment sous l’encorbellement et le droit d’enclore un terrain sur une demi-pierre devant l’avance. L’appui du mur est toujours visible sur la façade.
    Croquis (plan et élévation), surface (a-b-c) que revendique le propriétaire, (x) marque l’appui du mur devant le rez-de-chaussée.
  • 1892 – Le maître maçon Louis Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Mertz l’autorisation de ravaler la façade d’après l’injonction de la Commission d’assainissement – Autorisation
  • 1893 (mai) – Le maire demande au propriétaire Emile Metz (demeurant 2, place du Corbeau) de ravaler la façade du 1, place du Corbeau vers la place et dans la ruelle. L’horloger Emile Metz demande un an de délai
    1894 (avril) – L’entrepreneur demande au commissaire de police l’autorisation de ravaler la façade de feu le sieur Reichard. Au dos, accord de l’ingénieur départemental, à condition que la route nationale N° 2 ne soit pas encombrée – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1894.
  • 1895 – La Police du Bâtiment constate que le coiffeur Hopp a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation. – Demande accompagnée d’un croquis (l’enseigne se trouve à l’angle de la place et de la ruelle) – Autorisation
  • 1898 (mai) – Le maire demande à Louis Wurm et à Emile Metz de ravaler la façade du 1, place du Corbeau vers la place et dans la ruelle. Le maire leur accorde un an de délai en faisant observer que le crépi se détache. – Travaux terminés, juillet 1899.
  • 1899 – Adolphe Gostl, à l’enseigne du Soldat viennois (zum Wiener Landwehrmann) demande l’autorisation de poser une enseigne en toile, une enseigne plate en bois et d’exposer des vêtements – Autorisation de poser deux enseignes plates, en toile et en bois – Les enseignes sont posées, août 1899.
  • 1895 – Le maire notifie le mécanicien Wurm de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, et deux trappes dans la cour. – Rappel, juillet 1898 – Les volets ont été modifies mais pas les trappes, mai 1899. Les trappes sont modifiées, octobre 1900.
  • 1902 (janvier) – Les entrepreneurs Kaag et Mohler demandent au maire l’autorisation de faire des transformations et d’aménager le magasin. La Police du Bâtiment leur communique les conditions à respecter. – Autorisation de poser une devanture à la maison de Louis Wurm, sise 1, place du Corbeau. – Dessins
    Les fondations sont posées (janvier). Les ouvertures pour poser les devantures sont faites (février). Les plâtriers ont terminé leur travail (avril). Les menuisiers travaillent (juin). Travaux terminés (juillet)
    Taxes réglées pour 4 piliers, 5 ouvertures, 1 porte, 1 fermeture de magasin, 2 soupiraux)
    1902 (juillet) – Le maître menuisier E. Hagenstein (8, rue de l’Echasse) demande l’autorisation de poser deux stores (volets roulants) de cinq mètres de long pour la teinturerie Kramer. – Autorisation – Travaux terminés, juillet
  • 1902 (février) – Les entrepreneurs Kaag et Mohler (17, rue des Bouchers) demandent au commissaire de police l’autorisation d’occuper le trottoir devant la maison Wurm selon le croquis joint pour y faire des transformations. Le commissaire transmet au maire – Autorisation – Prolongation – Le communal n’est plus occupé, mars – Dessus (31 décembre 1901)
    1902 (avril) – Les mêmes demandent l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, avril 1902.
  • 1902 (mai) – La fabrique strasbourgeoise de parquets (Straßburger Parquetfabrik, à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte devant le 1, place du Corbeau – Autorisation de poser le chaudron et d’entreposer des matériaux devant le 1, place du Corbeau.
  • 1902 (mai) – Le peintre Charles Fuchs (1, quai des Bateliers) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage devant le 1, place du Corbeau. Le commissaire de police transmet au maire. – Autorisation – Le communal n’est plus occupé, juin 1902.
  • 1902 – La Police du Bâtiment constate que le teinturier Kramer a posé sans autorisation deux enseignes plates. – Louis Kramer dépose une demande – Autorisation
  • 1908 – C. Fuchs (17, rue des Couples) demande l’autorisation de poser un échafaudage vers la ruelle au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – Le communal n’est plus occupé
  • Commission contre les logements insalubres. 1905, remarque sur les latrines et les fourneaux dans le bâtiment arrière
    1907. Louis Wurm fait part que le logement loué trois ans auparavant est devenu trop petit depuis que deux enfants sont nés et que la commission estime qu’une seule personne doit l’occuper.
    1909. Rapport de visite qui constate qu’une partie de la maison est sombre et humide
    1915. Commission des logements militaires. Remarques en 5 points. – Travaux terminés, octobre 1915.
  • 1911 – La Police du Bâtiment constate que les frères Müller (magasin de régime la Fontaine de Jouvence) ont posé sans autorisation deux enseignes plates et deux volets roulants. – Charles Auguste Heynen, propriétaire de l’enseigne, dépose une demande – Autorisation de poser quatre enseignes plates. Les volets roulants ont seulement été modifiés. Droits réglés pour quatre enseignes plates et deux volets roulants. Les droits pour les volets roulants sont annulés en 1912.
  • 1912 – L’horloger Ernest Clad demande l’autorisation de poser deux enseignes plates et une enseigne perpendiculaire (horloge) au-dessus de la porte – Autorisation
  • 1914 – La Police du Bâtiment constate que l’entrepreneur H. Mohler (9, Heyritz au Neudorf) a posé un échafaudage sans autorisation. L’entrepreneur répond qu’à sa connaissance c’est Charles Fuchs (rue des Couples) qui fait les travaux. – Le maître peintre Fuchs demande l’autorisation au commissaire de police qui transmet au maire. Accord. Prolongation – Le communal n’est plus occupé, juillet 1914
  • 1913 – La Police du Bâtiment constate que la façade du 1, impasse du Corbeau qui appartient au sieur Schneider est très sale. Après s’être informée sur place, la Police du Bâtiment déclare que la maison forme le bâtiment arrière du 1, place du Corbeau – Croquis – La partie qui appartient au Petit Pêcheur a été ravalée, juillet
    1914 (juillet) – Le maire notifie le propriétaire Wurm de ravaler la façade le long de la ruelle sous peine de poursuites.
  • 1917 – La Division II transmet la demande de Max Irmscher d’exploiter un café au 1, place du Corbeau. Rapport, le local a seulement 3,35 m de haut au lieu de 3,50, conditions à respecter
  • 1923 – Charles Fuchs (17, rue des Couples) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qu transmet au maire. Accord
    535
    1927 – Le commissaire de police informe le maire que l’agent d’affaires Guillaume Penning (1, place du Corbeau) n’a pas fait réparer la cheminée défectueuse au 7, rue du Ziegelfeld malgré les injonctions.
  • 1930 – Le tailleur A. Rzepkowitz informe la Police du Bâtiment qu’il a transféré son atelier et ses deux enseignes du 7, rue de la Grange au 1, place du Corbeau.
  • 1937 – L’entreprise Maulbecker Frères demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour démonter puis remonter une enseigne. – Autorisation
  • 1938 – Suite à la demande du docteur Fernand Engelmann (64, route d’Altenheim) qui a acheté la maison, la Police du Bâtiment répond au service d’arpentage qu’elle ne connaît pas de servitude concernant le 1, place du Corbeau, frappé d’alignement d’après l’arrêté préfectoral du 11 mars 1854.
  • 1938 – La Police du Bâtiment constate qu’Eugène Hochstetter (papiers peints) a posé une enseigne sans autorisation – Demande – Autorisation de poser une enseigne et un caisson de volet roulant devant l’alignement légal.
  • 1940 – Le peintre Albert Kehr (22, rue de Sélestat au Neudorf) demande l’autorisation de modifier l’inscription sur la devanture de Charles Gilenmann (tapisseries et toilés cirées) – Accord – Travaux terminés, novembre – Dessin
    1942 (août) – Le peintre Albert Kehr demande au nom de la société Eugène Hochstetter (successeur Charles Gilgenmann) l’autorisation de peindre deux encadrements (fenêtre et devanture). Le travail sera fait par Oscar Weber (rue des Lis au Neudorf) – Travaux terminés, novembre 1942
    1942 (septembre) – Charles Gilgenmann informe la Police du Bâtiment qu’il a démonté les deux volets roulants.
  • 1946 – Le bombardement aérien du 11 août 1944 endommage le bâtiment. Certificat de sinistre délivré à Jean Æschelmann, à Emma Bondarballa, en 1948 ) Charles Gilgenmann pour ses locaux commerciaux
  • 1946 – L’entreprise Maechling-Franck (route de la Wantzenau à la Robertsau) est autorisée à déposer des matériaux devant la pharmacie du Corbeau (G. Lutz)
  • 1947 – Jean Æschelmann (Brasserie restaurateur au Canon) demande à être exempté de payer la taxe sur les volets roulants. Le caisson est encore en place, le démontage n’a pas été déclaré à temps.
  • 1948 – Paul Arioli (9, rue de Stosswihr au Neudorf) est autorisé à occuper la voie publique devant le 1, place du Corbeau. Deux prolongations
  • 1948 – Fernand Letz, demeurant 7, rue Klein, se plaint des fumées qui s’échappent de la cheminée des frères Ott (1 [sic], place du Corbeau). Le courrier est signé par plusieurs habitants de la rue – La Police du Bâtiment qui se réfère à des contrôles n’a jamais constaté que les fumées soient gênantes.
  • 1948 (janvier) – Eugène Sexauer (demeurant 11, rue du Maroquin) et le Service municipal d’architecture demandent, avec l’autorisation préalable du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme, l’autorisation d’aménager un logement d’une pièce et cuisine au premier étage et un logement de trois pièces et cuisine réparties aux deuxième et troisième étages au 1, place du Corbeau (section 17 parcelle 115) – Autorisation (section 31 n° 25) – Travaux terminés, octobre 1948 – Devis (29 janvier 1948) – Dessins (élévations vers la place, vers la ruelle, plans des étages, coupe) – Certificat de conformité, avril 1949
  • 1946 – Eugène Sexauer (demeurant 4, rue Strauss-Durckheim) demande l’autorisation d’exploiter le restaurant Cigogne d’Alsace au 1, place du Corbeau (transfert du 33-35, rue des Jardins) – La Police du Bâtiment fait remarquer qu’il faut transformer le magasin en salle de débit – Dessin
    1947 (décembre) – Réfection du bâtiment sinistré
    1948 (octobre) – L’aménagement est presque terminé
    1948 (janvier) – Eugène Sexauer demande l’autorisation de réparer le magasin et les façades endommagées par le bombardement du 16 septembre 1944 sous la direction de l’architecte Joseph Schwab (3, rue Saint-Maurice), Entrepreneur, Barthelmebs Frères.
    La Division VI fait remarquer que le bâtiment dépasse de 2,20 m l’alignement légal de l’impasse et qu’il est à trois mètres en arrière de l’alignement légal de la place. Le cintre au-dessus des devantures devra être abaissé, les ouvertures devront avoir un profil qui rappelle les encadrements des fenêtres au premier étage. Les pans de bois ne devront pas être apparents pour des raisons esthétiques.
    L’architecte transmet les plans rectifiés avec l’accord du Service d’Architecture qui approuve la mise à nu du pan de bois.
    1948 (février) – Eugène Sexauer et l’architecte Joseph Schwab sont autorisés à mettre en état et à transformer les façades sinistrées (arrêté portant permis de construire)
    Suivi des travaux. Le rez-de-chaussée est revêtu en pierre de taille, mai 1948. Le gros œuvre du rez-de-chaussée est terminé, les travaux continuent aux étages, juin. Travaux terminés, juillet
    1948 (septembre) – Eugène Sexauer et l’architecte Joseph Schwab sont autorisés, avec l’autorisation préalable du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme, à remettre en état le magasin (arrêté portant permis de construire) – Travaux terminés, décembre 1948
  • 1948 (août) – Albert Weber, propriétaire de l’immeuble sis 11, rue d’Austerlitz fait remarquer que le nouveau revêtement en pierre au 1, place du Corbeau a été avancé de 15 centimètres, ce qui rend plus difficile l’accès à la ruelle du Corbeau qu’il empruntait pour garer sa remorque et sa moto. – La Division VI déclare que l’entrée de l’impasse est plus étroite de 13 centimètres. – Le maire demande à l’architecte Joseph Schwab de trouver un accord avec Albert Weber.
  • 1949 – Eugène Sexauer demande l’autorisation de mettre des inscriptions sur les devantures (Produits comestibles Sexauer – Poissons, Gibier – Volailles, Conserves) – Autorisation
    1950 – Eugène Sexauer demande l’autorisation de poser une inscription (Comestibles) en lettres métalliques entre le premier et le deuxième étage – Maquette – Autorisation
    1950 (décembre) – Eugène Sexauer demande l’autorisation d’éclairer la façade pour les fêtes en posant des ampoules électriques au-dessus des devantures – Autorisation
  • 1951 (avril) – Le Comptoir du chauffage (poêles, cuisinières, articles de ménage, anciennement 148, Grand rue, baraque commerciale qui sera démolie) demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques et une enseigne perpendiculaire. – Croquis – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable pour l’enseigne perpendiculaire – Autorisation pour l’enseigne plate
    1951 (juin) – Le Comptoir du chauffage prend à son compte le store qui appartenait à Eugène Sexauer.
    1954 – Le Comptoir du chauffage demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation
    1957 – La Police du Bâtiment constate que la maison Lemorain (Comptoir du chauffage) a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – L’enseigne est retirée, janvier 1958
    1958 – Le Comptoir du chauffage demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation – Photographies
    1958 – La Société d’Achat et de Vente d’Appareils Ménagers (S.A.V.A.M.) et la société Pain demandent l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses (Pain) sur la façade du Comptoir du chauffage – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable en mars puis un avis favorable en avril pour un nouveau projet – Autorisation – Les enseignes sont posées (décembre 1958)
    1959 – Le Comptoir du chauffage demande l’autorisation de déplacer l’enseigne en lettres détachées entre le premier et le deuxième étage au-dessus des devantures – Accord
    1960 – Le Comptoir du chauffage retire le store.
  • 1962 – Rapport d’intervention des pompiers (accumulation de fumée)
  • 1964 – L’ingénieur Francis Reichel demande au nom de la société Maman et Bébé (3, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) l’autorisation de poser deux enseignes au néon en lettres détachées – Autorisation – Les enseignes sont posées, juillet 1965
    1965 – La société Maman et Bébé (Materna) demande l’autorisation de transformer le magasin – Plan cadastral de situation – Francis Reichel expose les travaux à faire – Elévations – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable.
    La Division I souhaite que le propriétaire s’engage à ne pas demander de plus-value qui résulterait des travaux si la Ville réalisait l’alignement de la ruelle selon les plans de 1854. L’avocat Robert Weil demande au nom de la société Maman et Bébé si les projets d’alignement ont été portés à la connaissance des précédents locataires et si la Ville entend empêcher toute remise en état. Le propriétaire F. G. Leininger (23, rue de la Croix à Eckbolsheim) signe l’engagement tout en émettant un avis critique sur l’alignement en question. La Division VI (G. Laforgue, directeur général des Services techniques) propose de modifier l’alignement une fois les travaux terminés. – Les travaux sont terminés, octobre 1965.
    1966 (avril) – Arrêté portant permis de construire, délivré après la fin des travaux, autorisant la société Maman et Bébé à transformer le magasin. Le nouvel alignement de l’impasse du Corbeau est approuvé par le préfet le 3 mai 1966.
  • 1981 – La société Maman et Bébé informe la Police du Bâtiment qu’elle a cédé son bail à compter du premier janvier 1982.
  • 1982 – Le préfet informe le maire que Philippe Egensperger (demeurant 5, rue Neuve à Haguenau) demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons de cinquième catégorie Le Valentino au 1, place du Corbeau.
    Philippe Egensperger demande l’autorisation de poser trois enseignes lumineuses – Photographies – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation

Autres dossiers
924 W 644 – volume II, habitation, restaurant (photographies), 1982-1997
1601 W 219 – (ADS-IM-482 97 V 0003), 1997-2004
1331 W 862 – Peinture des menuiseries (dt 482 00 V 0846), 2000-2001
1687 W 233 – (ADS-IM-482 04 V 0032), 2004-2011
1689 W 310 – Remplacement toile de store (ADS-PC-482 12 V 0336), 2012-2013


Relevé d’actes

Le secrétaire Georges Hœfflin vend deux bâtiments séparés par une cour au peintre Michel Buisson, originaire de Troyes, et à sa femme Claudie moyennant 650 livres.

1586 (10. octob), Chancellerie, vol. 242-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 106
Kauff Michel Buisson des Malers von Troy
(Extendirt In vol. Contract Aô 86) Erschienen Georg Höflin der gulden schreiber burg. alhier vnd hatt freÿwillig bekand vnd verjehen daß er (verkauffte)
Michel Buisson dem Maler von Troÿ Jezo einwohner Zu Straßburg der dann Zugeg. solche bekandtnus Annehme Ihme vnd Claudie seiner haußfrawen vnd Ir beeder Erb.
Zwo behausung. vorder und ein hinderhauß sampt einem hoflin darzwisch. mitt aller derselb. weith. Zugehörd. & gelegen alhie In der Statt Straßburg Jhensit der Schindbruck. neben der Herberg Zum Rapp. ein vnd anderseit ein Eckhauß am Trommengäßlin hünden vff Claus Wammeßon des Kuttlers selig. Erben, so allerdings Zinßfreÿ ledig vnd eig. & vnd alles Recht & Bekandt das der Kauff Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 1300 guld. Straßburg. wehrung
Act. Montag den 10.t octob. Aô 86.

Originaire de Troyes, Michel Buisson acquiert le droit de bourgeoisie en 1589

1589, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 497
Michel Bÿson von Troÿ der Maler Hatt mit beÿstandt Herrn Johann Zimmeren des Burckrecht Kaufft, vnd will Zum Spiegel vnd Zur Steltz dienen. Actum 30. Decembris A° 88

Il fait baptiser des enfants à Strasbourg depuis 1574.
Baptême, cathédrale (luth. f° 20) 1574 Suntag den 21. Nouembr. P. Michel Brüson der Möeller von Troÿ. M. Claudia, I. (-) Compat. h. Isaac Weicker Rathsg. Zum Spiegel, Jungfr. Sara, Mart. Deublus* Passament docht. Maria Arnoldt Cassan * in Spiesgas fraw (i 22)
Baptême, cathédrale (luth. f° 60-v) 1577. Sontag den 15. Dec. P. Michel Büsson. M. Claudia, I. Sara Compat. Petrus Robertus studiosus Juris, Maria (-) Brandscheit uxor, Susanna Petri Julÿ uxor (i 63)

Claudine Blanpignon (Plantin et formes voisines) est d’après les actes suivants mère de Pierre Buisson, belle-mère de Pierre Dubin, de Paul Guyonet et d’Isaac von Thur et en outre de Joseph Buisson d’après les registres des Quinze
1602 (xiij Januarÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 25
haben in gegensein Frawen Claudina Plantinin wÿland herrn Michel Bÿsons burgers vnd gewerbßmans alhie selig Witwe Mit beÿstand herr Peter Bysons Ihres lieben Sohns Vnd Pauli Gionet burger Zu pfaltzburg des handelßmann Ires dochtermans – schuldig seyen 1000 guldin Zu 15 batzen
[in margine :] Erschienen herr Peter Dubyn vnd herr Paulus Gionet beÿder alls dochtermänner wÿland Frawen Claudia Plantinin der Schuldbekennerin (…) vff den Eilfften Junÿ A 615

1606 (xxv tag Octobris), Chancellerie, vol. 366 (Registranda Meyger) f° 299-v
(P. fol. 209.) Erschienen h Isaac vonn Thur d. handelßmann burger Zu Straßburg vnnd Sara Buisson sein eheliche haußfrauw haben (verkaufft)
Fr. Claudinen Blanpignon weÿland Michel Buisson selig. witwe Ihr d. verkäufferin Mutter, (…)

Claudine Blanpignon veuve de Michel Buisson vend la maison au tailleur Nicolas Repperlé moyennant 770 livres

1604 (1. 7.bris), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 260-v
Erschienen Frauw Claudia Blambengin weÿland Herrn Michell Byson seligen witwe Hatt mit beÿstandt herrn Martin Reinolts gewerbßmans Ires geschwornenn Vogts Verkaufft vnd Zu Kauffen geben
Niclaus Repperle Schneid. burg. alhie Ime allen seinen Erben
Zweÿ heüßer ein Vorders vnd hinders mit Iren hoffstetten vnd hofflin darzwüschen auch allen and. Iren gebeuw geleg. In d. St. St. Jhenseit d. Schindbrucken neben d. herrbergen Zum Rappen Vnd and.seit ein Eck Ane Tromengäßlin, stoßt hind. vff Samuel Gionet fed.bereÿter, dauon gondt 40 guldin St. W. ablosig mit 800 guldin bemelt werung vff s Michels tag fallend, Georg Höfflin Rechen meystern sunst ledig eig. Vnd alles Recht, Vnd beschiht d. Khauff vber die beschwerd. vmb 700 guldin Zu fünffzehen batzen
Herbeÿ geweß herr Peter Byson gewerbßman d. v.keufferin sohn, Lorentz Clein schneid.
(d. khauff für ledig eig. v. 1540. fl. Zu xv batz. beschwer. 800 fl. St. w. besserung 700 fl Zu xv batz)

Originaire de la Petite-Pierre, Nicolas Repperlé épouse en 1600 Charité, fille du tisserand Pierre Feistlinger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 131, n° 338)
1600. Dominic. Reminiscere 14. Feb. Niclauß Repperle von Lützelstein d. schneÿd. vndt Charitas, Peter Feistlinger der sergenwebers alhier tochter. Eingesegnet Montag 15. Februarÿ (i 132)

Nicolas Repperlé devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1600, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 779
Niclauß Repperle, v. Lützelstein d. Schneid., empfangt d. Burg. von Caritas Peter Feütlingers dochter seiner ehelich. Haußfrauwen, vnd will Zu den Schneidern diehnen, Act. den 6. Martÿ 1600.

Sa fille Marguerite épouse en 1627 Jean Kamm le jeune
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 147, n° 2)
1627. Dom. II Epiph. i. vice, Dom: 3 post Epiph. Zu S Claus) Hanß Kamm der Jünger, Herr Hanß Kamm des ältern vnd gastgebern Zum Hirtzen Ehelicher Sohn, Vnd Jnfr. Margred Räpperlin, Weiland Niclaus Räpperlin des schneiders hinderlaßene Eheliche tochter

Marguerite Repperlé et Jean Kamm vendent la maison au sellier Valentin Schneider et à sa femme Ursule Bliemel moyennant 1 250 livres

1627 (18. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 523-v
(P. fol. 150.) Erschienen Margredt Repperlin mit beÿstandt hannß Khammen Ihres Jetzigen haußwirdts Vnd Simon Keller Schneÿders Auch burger Alhie (verkaufft)
Veltin Schneÿder dem Sattler Auch burg. Alhie und Ursula Bliemlin seiner ehewirtin
hauß hoffstatt Vnd höfflin sampt der gerechtigkeit des gemeinen brunnens, Auch Allen Iren gebeüwen geleg. Inn d. St. St. Jenseit der Schindbrucken einseit neben herrberg zum Rappen, And. seit ein eck Am Trummen gäßell hinden vff Paulus Gionet den federschmuck. stoßend für freÿ, ledig, eÿgen, Vnd ist dißer Khauff Zugangen für vnd vmb 1250 Pfund

Originaire de Poppenlauer en Franconie, Valentin Schneider épouse en 1618 Ursule, fille du blanchisseur Barthelémy Blümlin
Mariage, Robertsau (luth. n° 138)
1618. Dom. 7 et 8. Trinit haben sich bei Uns in Rup. aw außruff. laß. mit Namen Valentinus Schneider der Satler, bürtig Von Poppenlawer auß Francken, Vnd Ursula Blümlerin Barthel Blümlins des Bleichers ehlige tochter (i 124)

Valentin Schneider devient bourgeois par sa femme en août 1618.
1618, 4° Livre de bourgeoisie p. 2
Veltin Schneider der Sattler Von Poppenlaur In Franckh. Empfangt d. Burg.recht Von Ursula Barthel Blümle deß Bleichers In Ruprechtsauw Tochter vnd Will Zu den Gerbern dienen Actum den 5. August. Aô 1618.

Valentin Schneider se remarie en 1634 avec Barbe Keller, fille du sellier de l’hôpital Jacques Keller : contrat de mariage, célébration
1634 (17. Julÿ), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14), Protocollum (n° 1425) f° 14-v
Eheberedung Copeÿ Zwischen Veltin Schneidern, dem Sattler vndt Burgern allhier vndt Jungfrawen Barbara Kellerin, Jacob Kellers deß Spithal Sattlers Burgers allhier zu Straßburg ehelich. dochter
Zwischen den Ehrenhafften H. Veltin Schneider, Sattlern v. Burgern allhier zu Straßburg ane einem
v. d. Ehren v. tugendsame Jungfr. Barbara Kellerin, deß auch Ehrenhafften H Jacob Kellers, Spithal Sattlers vndt Burgers allhier zu Straßburg Eheleiblichen dochter, am andern Theil
in beÿsein (…) auff Ihr d. Jungfr Hochzeiterin seithen (…) Samuel Keßelmeÿers Sattlers, Ihres geschwornen Vogts
So beschehen vff Donnerstagß den 17. Julÿ, Anno 1634, Geörg Jeger Nots.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 178, n° 25)
1634. Dominica 8 post Trin. 27. Julÿ I vice, Veltin Schneider der Sattler, Und Jfr. Barbara Jacob Keller des Sattlers Und burgers alhie eheliche Tochter (i 185)

Acte dans lequel le boucher Jean Kamm agit pour sa femme Marguerite Repperlé, héritière de son grand-père Pierre Fischlinger
1631 (6. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 347-v
Erschienen Hanß Kamm d. Metzger burg. Zu Str. Alß Ehevogt Margretha Repperlerin
hatt in gegensein herrn Johann Georg Marbachen Alten groß. Rhats Verwanthen bekannt
daß Er Zur bezahlung der L. lb d so er vff seiner behausung ihme herrn Marbachen schuldig, in solutum cedirt vnd vbergeben zween Sÿbende theil darunder den einen sibenden theil sein cedenten haußfraw von ihrem großvater H Peter Fischlinger see: ererbt, vnd den andern sÿbenden theil Er Kamm von H Georg Bawmeister dem Buchtrucker von Speÿr, Alß deßen haußfraw Catharina Fischlingerin auch von obgenantem H Peter Fischlingern ihrem Vater s: erblich bekommen, crafft einer vnder sein Bawmeisters eigener handt und vffgetruckhtem pitschafft gefertigten Vrkundt datirt den 5. diß. an sich gebracht, An 464. fl. 2 ß 4 d reducirt hauptgut (…) daran die vberigen 5 sÿbendetheil obgenannten H. Peter Fischligers s. andern Erben alß seinen Kindern vnd Enckel, so mehrern theils außländisch, zustendig
(vide etiam Regist. de A° 1632. fol. 402.)

1660, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13)
Protocollum Testamentum nuncupativum 1660 H Valentin Schneider deß Sattlers

Valentin Schneider meurt en 1662 en délaissant deux enfants issus d’Ursule Blümlin et quatre de sa veuve Barbe Keller. Les experts estiment la maison à 700 livres. La masse propre à la veuve est de 612 livres, celle des héritiers de 903 livres. L’actif de la communauté s’élève à 677 livres et le passif à 515 livres.

1662 (25.4.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 1) n° 39 (40, 41)
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Jeeden Haab Nahrung vndt Güethere, Ligender vndt vahrend, veränderter vndt unveränderter, Keinerleÿ außgenommen, So weÿlandt der Ehrenvest vndt vorgeachte Herr Valentin Schneider, gewesener Sattler vndt Burger alhier Zu Straßburg, beÿ seinem den 16.ten Martÿ dießen 1662. Jahrs beschehenen seel: absterben, verlaßen, welches auf erfordern vndt begehren hernachbemelter deß verstorbenen seeligen hinderlaßener Kinder vndt Erben, Inventirt, durch die vielehren vndt Tugendsame fr. Barbaram Kellerin die hinterbliebene wittib (…) mit beÿstand deß Ehrenvesten vndt vorgeachten Herrn Hannß Jacob Rueffen, E: E: Kleinen Raths beÿsitzers, Zinngießers vndt burgers allhier, deroselben geordneten Curatoris, geeigt vndt gezeÿgt (…) Actum vndt angefang. Dienstags den 29.t. Aprilis: A° 1662.
Der Abgeleibte seeliger hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Fr. Mariam Veriußin deß Ehrenhafften vndt Ehrengeachten H Gÿßbrecht Veriußen, Salpetersieders vndt burgers alhier eheliche haußfr. welche mit vndt beneben erst gemeltem ihrem Haußwürth, ingleichem mit beÿstandt deß Ehrenvesten v. wohlgelehrten H Christoph Schüblers Not: Cæs: pbl: beÿ dem geschäfft inn persohn Zugeg. gewesen, 2. Christoph Schneidern, welch. ab. allein in legitimam instituirt, undt wegen deß. abwesenheit inn seinem nahmen der Ehrenueste vndt vorgeachte Herr Hannß Kamm Metzg. von E. E. Kleinen Rath, dießer Inventation beÿ Zuwohnen deputirt word, Welche beede der abgeleibte seeliger mit weil. Fr: Ursulæ Blüemlin seiner ersten haußfr. ehelichen erzühlet.
3. Fr. Barbaram, deß Ehrsamen v. Bescheÿdenen Sebastian Haderers Rothgerbers vndt burgers alhier eheliche haußfr: welche beÿde auch Zugegen gewesen, 4. Valentin, 5. Appoloniam vndt 6. Carolum, deren geschworner Vogt Hannß Heinrich Kamm, Satler v. burg. alhier dem geschäfft beÿgewohnet, Welche letztere vier d. verstorbene seel: mit seiner vorhergemelten hindbliebenen wittib ehelich erzeüget vnd Zu Erb. verlaßen.

So inn iner inn der Statt Straßburg jenseit deß Stadens nahe dem Rappen gelegener, in dieße Verlaßenschafft gehöriger hernach eingetragener Behaußung befunden worden wie volgt
Ane Haußrath, Vff d. obern Büehnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dieß. Cammern, Inn d. obern stuben, In der Cammer E, Im Obern Haußöhren, Inn d. wahren stueben, Inn d. Kuch. Im Keller
Eÿgenthumb ane Häußern (W.) j. Hauß, Hoffstatt, hofflin hind. der Pfarrkirch Zu S Clauß (…)
(E.) j Vorder v. hind.hauß sampt dem höffel da zwischen mit allen derselb. weithen, rechten v. gerechtigkeiten, geleg. in d. Statt Straßb. jenseith d. Schindbrucken, einseith neben d. Herberg Zum Rappen, 2.s ein Eck am Trommengeßel, hinden vff Hanß Jacob Sÿfferman den Spohrer stoßend æstimirt p. 900. lb. Dauon ab. ist ab Zuzieh. so H. Hannß Kammen dem Metzger wehrend dißer Ehe ane Capital vff dieß behausung angelegt gewesen Zalt nemlich 200. lb (welches hernach fol: f: alß ein theilbar beßerung eingetragen Zubefind.) Pleibt also solchem anschlag v. bring. 700 lb. v. besag üb. dieße Behauß. j.perg. Kauffbrieff mit d. St. Straßb. Contract Insigel datirt den 18. 8.br: Anno 1627. Mehr Zween perg: Kauffbr. deren d. eine datirt den 10. 8.br 1586. d. and. den 1.ten 7.br 1604.
Ergäntzung d. Erben Unverändert guets. Vermög Inventarÿ, üb. weild. Fr: Ursulæ Blüemlin, deß verstorbenen Ersten Haußfr: seel. verlaßenschafft, in A° 1634. den 8. Martÿ durch H: Notarium Geörg Jegern, senoirem, vffgericht, hat mann den Erben Zuergentz. wie volgt.
Abzug in dießes Inventarium. Der Wittib unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 46, Sa. Werckzeugs Zum Satler handwerckh 1, Sa. anschlags der Behaußung 200, Sa. d. Schuldt 30, Sa. d. Wittib unveränderten gueth u. Erg. (343, davon gehet ab 8, Pleibt) 334, Summa summarum 612 lb
Der Erben unverändertes Vermög. Sa. Haußraths 79, Sa. Werckzeugs Zum Sattler handwerckh gehörig 4, Sa. guldinen eings 7 ß, Sa. Eÿgenthumb ane Einer Behaußung 700, Sa. Ergäntzung (470, dauon gehet ab 320, Pleibt) 150, Summa summarum 933 lb – Schulden 30, Verbleibt 903 lb
Theilbar Guett, Sa. Haußraths 110, Sa. Wahren Zum Sattler Handwerck gehörig 209, Sa. der früchten 38, Sa. Weinß vndt Lährer Vaß 38, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 36, Sa. guldiner Ring 3, Sa. der Baarschafft 10, Sa. beßerung ane d. beh. 200, Sa. Schulden 29, Summa summarum 677 lb – Schulden 515 lb, Verbleibt 146 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1677 lb – Beschluß summa Inventarÿ , Conclusio finalis Inventarÿ 1400 lb
N° 40, den 14. Aprilis A° 1663, Separation und abtheÿlung.
Vffrichtung d. Wittib Wÿdembs. Es hat d. v.storbene seel: v.mög seines Montags den 19. 9.br: A° 1660 vffgerichteten Testament §° 4° Barbaræ Kellerin d. hind.bliebenen wittib seine nahe dem Rapp. gelegene Wohn behaußung 6. jahrlang nach wÿdembsrecht Zu bewohnen v. Zubesitzen bestimpt v. verodnet, dießem Testaments pass die Erben eine guete Zeit lang resistirt (…)
Behaußung der Erben unverändert befteffend. Dieselbige ist inn offtangezogenem Inventario fol: 40. fac: 1.a über abzug 200. lb d theilbarer beßerung æstimirt per 700. lb.

1665 (11.7.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 2) n° 74
Vogteÿ Rechnung Mein Hannß Heinrich Kammen Sattlers vnd Burgers Zu Straßburg alß geschwornen Vogts Valentini vndt Appolonia Weiland H Veltin Schneiders auch gewesenen Sattlers Zu ermeldem Straßburg seeligen hinderlaßener Kinder, Inhaltend alles das jenige So ich vom 19.ten Aprilis Anno 1662 /:alß vff welche Zeit solche vormundschafft mir anbefohlen worden:/ biß d 11. Julÿ Anno 1664. ermelter meiner Vogts Persohnen halb. empfangen v. eingenommen dahiengegen wiederumb bezahlt v. außgegen hab.
N° 78

Barbe, veuve de Valentin Schneider, se remarie en 1663 avec le sellier Georges Frédéric Scheubler, fils du sellier Euchaire Scheubler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 269, n° 16)
1663. Domin: 12 et 13 Trin: außgeruffen Geörg Friderich Scheubler der Sattler Eucharÿ Friderich Scheubler auch Satler ehelicher Sohn Vnd Fr. Barbara, Valentin Schneider Seel. hinderlaßene Wittib. Copulirt Zu St: Claus den 15. 7.bris (i 287)

Les héritiers de Valentin Schneider vendent la maison au selllier Georges Frédéric Scheubler et à sa femme Barbe

1667 (17. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 693
(Prot. fol. 47) Erschienen H Laurentius Treutel Not. alß hannß Christoph Schneiders deß Sattlers Zu Landeckh in Tÿrol, vermög eines sub dato Straßburg d. 13. Junÿ a° 1663. (…) gefertigten Gewaltscheins, Ferners Barbara Schneiderin Sebastian Haderers deß Rothgerbers Eheweib mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, Mehr hannß Friderich Scholl der Sattler alß Ehevogt Apoloniæ Schneiderin, So dann hannß Henrich Kamm der Sattler alß Vogt Valentins und Caroli der Schneiderisch. Gebrüd. mit beÿstand der Ehrenvest, Fürsichtig- Weÿsen H Johann Philipß Zeißolffs und H Francisci Reißeißens beed. alß auß EE großen Rhats mittel ad Contractus Minorum insonderheit Deputirter
in gegensein Georg Friderich Scheublers deß Sattlers und Barbaræ seines Eheweibs
ihrer der Verkäuffer Antheil ahne Zweÿen häußern einem vordern und einem hindern auch dero hoffstätten, höfflin dar Zwischen, und allen Gebäwen, Begriffen Zugehördten, Rechten Und Gerechtigkeiten, Jenseit der Schindbruckh, einseit neben der Herberg Zum Rappen, anderseit ist ein Eckh am Trommengäßel, hind. vff hannß Jacob Sÿfermann den Sporer stoßend gelegen, daran d. übrige Annæ Mariæ Veriußin der Verkäuffere Schwester gehörig Zumahl. die gantze Behaußung umb 200. lib. der mit Käufferin selbsten auch umb 50. lib. erstermelter Veriußin und umb 50. lib obernanntem hannß Carl Schneidern verhafftet (übernohmen) – umb 636 lib.
[in margine :] Erschienen Anna Maria Gißbrecht Veriußen deß Salpetersieders Eheweib, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, hatt in gegensein Georg Friderich Scheüblers deß Kaüffers, bekannt daß Sie denselben geg. bahrer Erstattung 50. lib: ihre, umb die in gegenwärtige Kauffverschreibung benamßte und vff der darinn bemelten Behaußung gehabte 50. lib gehabte Gerechtigkeit cedirt habe, Jedoch mit außtrucklichem reservat ihres über solche 50. lib ahne der Behaußung selbst. noch habend. antheilß Versproch. – Act. 7. Maÿ a° 1668

Georges Frédéric Scheubler et Barbe, assistée de ses gendres Sébastien Haderer et Jean Frédéric Scholl, hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du tanneur Jean Thiébaut Rohr

1670 (18. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 157
Erschienen Georg Friderich Scheubler d. Sattler und Barbara sein Eheweib, Und Zwar Sie Barbara insonderheit mit assistentz hannß Sebastian Haderers deß Rothgerbers und hannß Friderich Schollen deß Sattlers beed. ihrer dochtermänner
in gegensein hannß Philips Rosa deß Rothgerbers alß Vogts weÿl. hannß Dieboldt Rohren geweßenen Rothgerbers nunmehr seel. hinderlaßene Zweÿer Kind. – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning
Unterpfand sein sollen der beÿd. schuldig. Eheleuth antheil ahne Zweÿen häußer einen vordern und einen hindern auch dero hoffstätten, höfflin darzwisch. und allen Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, Jenseit der Schindbruckh, einseit neben der herberg Zum Rappen, anderseit ist ein Eckh am Trommengäßlin, hind. vff hannß Jacob Sÿfermann den Spanner stoßend gelegen, daran daß übrige Annæ Mariæ Veriußin gehörig

Les mêmes hypothèquent la maison au profit de Jean Hartmann Wœrtz, receveur de l’Orphelinat.

1672 (17. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 329
Georg Friderich Scheübler der Sattler undt Barbara sein Eheweib und Zwar dieselbe mit assistentz Sebastian Haderers deß Rothgerbers und hannß Philipp Schollen deß Sattlers beeder ihrer dochtermänner
in gegensein herren Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß Waÿsenhaußes – schuldig seÿen 135. lb
Unterpfand, Vier sechste theil denen schuldbekennenden Eheleuthen für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt und allen deren Gebäwen begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier beÿ der Gastherberg Zum Raaben, einseit ist ein Eckh am drommen Gäßlein, anderseit neben herren hannß Jacob Ruoffen alten Großen Rhats Verwanthen, hinden uff herrn Johann Leonhard Fröreißen fünffzehnern stoßend gelegen

Georges Frédéric Scheubler meurt en 1675 en délaissant pour héritier son père. La masse propre à la veuve est de 546 livres, celle de l’héritier de 141 livres. L’actif de la communauté s’élève à 592 livres et le passif à 463 livres.

1675 (21.4.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 7) n° 341
Inventarium vnd Beschreibung aller der Jenigen haab Nahrung undt Güther, Liegend. v. vahrend. verändert vnd vnveränderten, Keinerleÿ außgenommen, So weÿ. der Ehrenhaffte vnd vorgeachte Geörg Friderich Schübler Satler burg. allhie beÿ seinem den 11. Martÿ diß lauffenden Jahrs beschehenen seel. absterb. Zeitlichen verlaß. so vff erford. vndt begehren deß Ehrenvesten v. wohlvorgeacht, Hn Eucharÿ Friderich Schüblers auch Satlers v. burgers allhie sein deß v.storbenen seel. Vatters, v. ab intestato hind.laßenen Erbens inventirt, durch die viel ehrenn v. tugendsame Fr. Barbaram Kellerin die hind.pliebene Wittib mit beÿstandt deß auch Ehrenhafften v vorgeachten Hanß Sebastian Haderers Rothgerbers burgers allhier ihre geordneten Vogts (…) Actum in beÿsein deren auch Ehren vnd vorgeacht. Samuel Keßelmeÿers Carl Schneÿders obged. Wittiben wi erst. Ehe gezielt. sohns Vogts So dann Samuel Schüblers Sattlers deß v.storbenen seel. bruders

In der Cammer A, Im Nebens Cammerl., In der Cammer B, Vor dieser Cammer, In der Cammer C, Im obern hauß öhren, In der obern Stuben, Im obern Küchel, In d. undern Kuch. In d. undern Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb einer behaußung (T.) Nemlich. hauß, hoff, hoffstatt, höffel v. einem gemeinen bronnen sampt allen andern gebeüwen, Zugehörd. v. gerechtigkeiten geleg. inn d St. Str. jenseith d. schindtbrucken i.s. neben d. herberg Zum rapp. 2. s. dem trommel Gäßel, hind. vff hanß Jacob Sÿffermann den Spohrer Ziehend, dauon gefallt jahrs 6. lb 15. ß d Zinß, vff weÿhenachten H Augustin Güntzern accis schreib. in Straßb. Zuuor Gÿßbrecht Verÿ hfr. Zustendig, lösig mit 135. lb. It. 6. lb. 15 ß Zinß gefallt jahrs vff den 8. 9.br dem waÿßenhauß Stifft in Straßb. lösig mit 135. lb d welche Zu abstattung Veltin Schneiders deß ältisten Sohns vorig. Ehe, So dann hat die Wittib nach besag Zugebracht. Nahr. Inventarÿ fol: 32.a uff dißem hauß Zurfordern 350. lb, Summa solch. beschwärd. ist 620. lb. Hingeg. Ist diß hauß stehend. diß. Ehe Erkaufft word. p. 1000 lb. Restirt also ane solchem Kauffschilling noch 380. lb. Darüb. besag. 3. perg. alte Kauffbrieff, mit d. St. Str. anhangend Contract Insigeln de datis 18. 8.br. 1586, 18. 8.br 1627. v. 1. 7.br. 1604. So dann ein perg: Kauffbr. v. 17. Xbr. 1667. Krafft deß. obiges hauß d. v.storbene seel: seinen Stieffsöhnen v. Stieffdöchtern p. 2000 fl. aberkaufft
(W.) Es hat die Fr. Wittib beÿ H: Valentin Schneiders ihres v.storbenen vorig. v. Erst. haußwürts seel: v.laßenschafft separation v. Abtheÿlung, in abschlag ihres damahlig. unveränd.ten guths Ergäntzung (…) Gebühret also ihr d. wittib vff angeregtem herban beschriebenem hauß vorstehend. maß. in 3. post. zusammen 350. lb
Erg. d. Fr: wittib unveränd.ten guths, ermög Inv: üb. d. wittib in die Ehe Zugebrachte Nahrung in A° 1663. vffgerichtet
Abzug in dis Inventarium. Erstlich d. wittib Guett, Sa. haußraths 51, Lährer vaß 1, Silbergeschmeÿds 8, guldener Ring. 5, Eÿgenth. ane einer beh. 350, Ergäntzung thut (356, geht ab 6, Rest) 349, Summa summarum 766 lb – Schulden 220, Pleibt 546 lb
deß Erben guett, Sa. haußraths 13, Silbers 1, baarschafft 7 ß, Schuld. ins Erbe Zugeltend 42, Ergäntzung (86, geht ab 2, Pleibt) 84 lb, Summa summarum 141 lb
Theilbar Guett, Sa. haußraths 54, wahren v. werckzeugs 68, Frücht. v. Meels 31, Weins 15, Silbergeschirrs 8, Eÿgenthumb einer behaußung 380, Schuld. ins Erbe Zugeltend 33, Summa summarum 592 lb – Schulden 463, Theilbar gutt 128 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 826 lb
N° 345, Verkauff Register, Actum d. 16. Aug. aô 1675.

La veuve de Georges Frédéric Schübler hypothèque la maison au profit des enfants de l’aubergiste Daniel Nægelin

1675 (30. X.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 820
Barbara, weÿl. Georg Friderich Schüblers gewesenen Statt Sattlers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Sebastian Haderers deß Rothgerbers ihres Vogts
in gegensein herren Philipps Küblers deß Zinngießers im nahmen hannß Friderich Kochen der Statt Huffschmidts alß Vogts Weÿl. Daniel Nägelins deß Würths Zum Thiergarten nunmehr seel. nachgelaßener Kindern – schuldig seÿe 425 pfund pfenning
unterpfand, Zweÿ Häußer ein Vorders und ein hinders, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier Jenseit der Schindbruckh einseit neben der Herberg Zum Rabben anderseit ist Ein Eckh am Trommen Gäßlein, hinden uff hannß Jacob Sÿffermann den Sporer stoßend gelegen
[in margine :] in gegensein Francisci Frantzen deß Wappenschneiders alß ietzigen Possessoris hierin gedachter behaußung (quittung) Act. 2.ten Julÿ 1684.

La veuve de Frédéric Schübler assistée des enfants de Valentin Schneider vend la maison au graveur de cachets François Frantz moyennant 1 725 livres. En marge, quittance remise à Jean Jacques Faudel en 1691.

1676 (26. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 876
Barbara Scheublerin, weÿl. Friderich Scheublers deß Sattlers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Sebastian Haderers deß Gerbers ihres dochtermanns und Vogts, hannß Jacob Knoderers deß Sattlers auch Ihres dochtermanns, und Samuel Keßelmeÿers deß Sattlers ihres Vettern, und herr Christian Breuning U.I.Ddus alß Curator Annæ Mariæ Verjusin Gißbrecht Verjus deß Salpetersieders eheweibs
in gegensein Francisci Frantzen deß wappenschneiders mit assistentz herrn Christoph Bleÿfußen E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers und herrn hannß Georg Heckhlers der Fabric deß Münsters Werckmaÿsters
Zweÿ haüser ein Vorders und ein hinders mit deren hoffstätten, höfflin dar zwischen und allen Gebäwen, begriffen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten sambt der gemeinschafft deß bronnens, Jenseits der Schindbruckhen, einseit neben der Herberg Zum Raben, anderseit ist ein Eckh am Tromelgäßlein, hinden uff hannß Jacob Sÿffermann den Sporer stoßend gelegen, welche Häußer annoch umb 425. lb weÿl. Daniel Nägelins geweßenen Würths Zum Thiergarten nunmehr seel. nachgelaßenen Kinder, Verhafftet – umb 1300 lb.
[in margine, f° 877 :] Erschienen Herr Johann Carl Schrag E.E. Kleinen Rhats beÿsitzer im nahmen und von wohlged. K. Rhat ahne statt Johann Valentin Schneiders Hoff Sattlers ahne dem Fürstl. Meckhlenburgischen Hoff zu Güstraw, insonderheit Deputirter, Item Johann Sebastian Haderer der Rothgerber, alß Ehevogt Barbaræ Hadererin gebohrner Schneiderin, so dann Johann Jacob Knoderer der Sattler alß Ehevogt Appoloniæ Knodererin gebohrner Schneiderin, alle Weÿl. hierin bemelter Verkäufferen nunmehr seel. nachgelaßene Kinder, haben in gegensein des Käuffers (quittung), Act. 5. Xbr 1681.
[in margine, f° 877-v :] (…) in gegensein Hannß Jacob Faudels deß Sattlers alß ietzigen possessoris der hierin beschriebenen behaußung (quittung) den 1. Martÿ Anno 1691.

François Frantz hypothèque la maison au profit des enfants de l’aubergiste Daniel Nægelin. En marge, quittance remise à Jean Jacques Faudel (Pfaud) en 1691

1677 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 111-v
Franciscus Frantz der Wappenschneider
in gegensein Hannß Friderich Kochen der Statt Heuffschmidts alß Vogts weÿl. Daniel Nägelins Geweßenen Würths Zum Thiergarten nunmehr seel. nachgelaßener Kinder mit beÿstand herrn Philipp Küblers deß Zinngießenrs – schuldig seÿe 500. pfund
unterpfand, Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten und allen übrigen deren Gebäwen und Zugehördten Jenseit der Schindbruckh, einseit neben der Herberg Zum Raben, anderseit ist ein Eckh am Tränckhgäßlein hinden uff hannß Jacob Sÿffermann den Sporer stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Hannß Jacob Pfauden deß Sattlers alß jetzig. possessoris der Zu unterpfand verlegten behaußung (quittung) Act. 19. Julÿ 1691.

Le graveur de cachets François Frantz loue la maison au marchand de vins Charles Maurice, auparavant à Landau

1689 (3.8.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 484-v
François Frantz, Graveur de cachet & bourgeois de cette ville
bail à Charl Maurice marchand de vin cy devant demeurant à Landau
une Maison scituée en cette ville au quay de baitteliers tenant d’un costé à l’hostellerie du corbeau, d’autre Costé faisant le coin d’une petite rue appellée trommelgäßlein avec tous ses appartements & commodité, sans en rien excepter ny reserver, Ce présent bail fait pour deux années consécutives à commancer à la St Michel de l’année courrante – moyennant la somme de 330 liures par chacun an

1697 (10. 7.bre), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 5)
Summarischer Calculus Über Weÿland Francisci Frantzen des geweßenen Pitschier Grabers Und burgers allhier seel. Verlassenschafft

1696 (19. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 4)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland der Ehrenhafft und Kunstreiche H. Franciscus Frantz gewesener Pitschier Graber und burger alhier nunmehr seel.

Fils du cordonnier Laurent Frantz, François Frantz meurt célibataire à l’âge de 60 ans le 16 septembre 1696
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 73-v, n° 37)
Sonntags den 16. Septemb. st. n. 1696. starb Franciscus Frantz der Kunst, wappen, vnd steingraber vnd burger alhier ledigen standts weÿl. Lorentz Frantzen, gewessenen Schumachers vnd burgers alhier, und seiner ehelichen haußfrauen, weÿl. Ursula geb. Bleyfussin nachgelaßener ehelicher Sohn, seines alters 60. jahr 5. Monath vnd 14 tag und ist d. 18. dito bey gehaltener leichenpredigt auff den Gottesacker der Neuen S. Urbans au begraben worden (i 78)

François Frantz vend la maison au sellier Jean Jacques Faudel moyennant 1 250 livres

1690 (5. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 674-v
H. Frantz Frantz der Pitschier Graber mit beÿstand Philipp Beckers deß Schuemachers [unterzeichnet] Franciscus Frantz
in gegensein hans Jacob Faudel, deß Sattlers mit beÿstand H. Georg Sigmund Braunsmäntels, deß Zinngießers, seines Vettern
Zweÿ häußern ein vorders und ein hinderes mit deren hoffstätten, höfflein dar zwischen und allen Gebäuen, begriffen, zugehördt rechten und Gerechtigkeit. sambt der gemeinschafft deß Bronnens jenseit der Schindbrucken, einseit neben der herberg zum Raben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hind. auff Salomon Funck der Roßartzt stoßend geleg. welche haüßer umb 525 Pfund Capital (Ferner umb 250 lb Kauffschillings rest, So dann umb 400 Pfund Capital verhafftet), geschehen umb 75 pfund

1687, Protocole des Quinze (2 R 91)
E.E. Handwerck der Sattler
294 Johann Jacob Fautel, 301 (302 Sattler Meisterstück)

Fils du garde-forestiier Jacques Faudel de Wasselonne, Jean Jacques Faudel épouse en 1687 Salomé, fille du taillandier Jean Georges Feigler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 39 n° 21) 1687. Dominica XXVI et I Advent. Hans Jacob Faudel von Waßlenheim der ledige Sattler weÿland H Jacob Faudels deß oberförsters im Edenwald nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfr. Salome weÿland Hans Georg Feiglers, deß Burgers und Waffenschmidts alhier nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Mittw. zu St. Niclaus 23. 9.br / 3. 10.br (i 40)

Jean Jacques Faudel devient bourgeois par sa femme quelques semaines après son mariage
4° Livre de bourgeoisie, f° 536
hans Jacob Faudel von waßlenheim der Sattler empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Salome Feÿlerin pro 2 gold fl. undt 16 ß so beÿ der Cantzleÿ erlegt, Jur. 15. Xbr.

1687 (23. Xbr), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6029)
d. 23. Xbr. 1687. Zusammenkunfft von H. Georg Sigmundt Praunnsmäntel Kannengieß. als vogt. weÿl. hannß Georg Feiglers gewes. waffenschmidts seel Kind. betr. waß Salome, hannß Jacob Pfaudels Sattlers u. burgers allhier ehelich haußfr. so sich kurtz. Verheurathet, gelüffert word.
(Jacob Faudel)

1688, Protocole des Quinze (2 R 92)
E.E. Handwerck der Sattler
117 Hannß Jacob Faudel

1688, Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Codicill Fr Salome Faudelin gebohrne Feiglerin H Hannß Jacob Faudels des Sattlers hsfr

Salomé Feigler meurt en 1688 en délaissant deux enfants. La masse propre au veuf est de 155 livres, celle propre aux héritiers de 848 livres. L’actif de la communauté s’élève à 254 livres
1688 (13. 9.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 11) n° 29
Inventarium vnd Beschreibung der Jenigen Haab, Nahrung vnd Gütter, liegender vnd vahrender, verändert und Unveränderter, so weÿl. die Ehren und Tugendsame Fraw Salome Faudelin gebohrne Feiglerin des Ehrengeachten herrn hannß Jacob Faudels Sattlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene geliebte haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem den 24.ten Augusti newen Calenders dieses Zu end lauffend. 1688.gsten Jahrs beschehenem tödlichen ableiben Zeitlich. verlaßen, welche auf erfordern und begehren des wohl Ehrenvesten, vnd großachtbaren herrn Georg Sigmund Braunßmäntels, Zinngießers vnd burgers allhier als geschwornen vogts hannß Georg Feiglers vnd Susannæ Feiglerin weÿl. des Ehrenvesten herrn hannß Georg Feiglers geweßenen Waffenschmidts vnd burgers allhier seel. ehelich erzeügter vnd nachgelaßener Kinder, der verstorbenen frawen seel. geliebter Geschwistrige, vnd ab intestato gelaßener Erben inventirt (…) Actum und angefangen in der Königlichen freÿ. Statt Straßburg, Sambstags den 13. 9.br. A° 1688.

In der Cammer A. Vor dießer Cammer, In der Obern Stub, In der Cammer B, Vor dießer Cammer, In der Wohnstub, In der St: Cammer, In der Küchen, Im Keller
Abzug in gegenwärtiges Inventarium gehörig. Des Wittibers Guth, Sa. Haußraths vnd vaß 15, Sa. Gemachter Wahren 6, Silbergeschmeids 1, Ergäntz. deß Wittibers unveränderten Guths 33, Summa summarum 155 lb
Der Erben Vermögen, Sa. haußraths 59, Silber geschirr und Geschmeid 18, Guldener Ring 11, Baarschafft 257, Erg. 179, Summa summarum 848 lb
Die Theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 18, Wahren und Werckzeugs 79, Baarschafft 156, Summa summarum 254 lb
Conclusio finalis Inventarÿ

Jean Jacques Faudel se remarie en 1690 avec Susanne Marie Mosseder, fille de l’aubergiste à la Pomme d’or Laurent Mosseder : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung (…) zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Faudtteln Sattler und burgern allhier Zu Straßburg als dem bräutigamb ane einem, So dann der viel ehren und Tugendreichen Jungfrauwen Susannæ Mariæ weÿland deß Ehren vesten und wohl vorgeachten herrn Lorentz Moseders deß Ältern gewesenen gastgebers Zum guldenen Affel und burgers allhier Zu Straßburg Seel. hinterlaßener Ehelicher Tochter als der hochzeiterin andern Theils (…) Beschehen vnd Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 27. Novembris Stili novi Anno 1690, Johann Philipp Schübler Not. Publ:

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 14-v, n° 18)
1690. Auff heuth Mittwoch den 13. 10.br St. n. A° Christi seind nach Zweÿmahliger proclamation copulirt worden Hans Jacob Faudel der Burger und Sattler alhier vnd Jungfr. Susanna Maria, weÿland Hr Lorentz Mosedters deß alten Burgers vnd würth Zum guldenen Apffel alhier nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Hanß Jacob Fauttel Als Hochzeiter, Susanna Maria Moßederin Alß hochzeitterin (i 16)

Jean Jacques Faudel loue une partie de la maison au musicien André Revel et à sa femme Jeanne Caillot

1691 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 203-v
Jean Jacques Faudel, maistre Sellier et bourgeois de cette ville (signé) hanß Jacob Fauttel)
bail au Sr Andre Revel, Musicien de la grand Eglise et Jeanne Caillot sa femme
dans une maison située au Quay des batteliers tenant d’un coste au Corbeau d’autre faisant le coin d’une petite rue appellée Drommelgasslein, la boutique et cuisine avec une petite chambre d’enbas, pour un an a commancer de la feste de Nostre Dame de l’année courrante, moyennant 40 escus

Jean Jacques Faudel loue une partie de la maison au perruquier Jérôme Forest

1692 (27. Jun.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 437
Jean Jacques Faudel, maistre Sellier et bourgeois de cette ville
bail à Hierosme Forest, maistre Peruquier (signé) chirome forest
dans une maison située au Quay des batteliers tenant d’un costé au Corbeau d’autre faisant le coin d’une petite rüe appelle Drommelgesslin, la boutique et cuisine avec une petite chambre d’en bas, de trois mois en trois mois, à commencer à la St. Jean de l’année courrante, à raison de dix escus par quartier
Sur tout est comparu Jean deschamps boulanger demeurant à la Citadelle de cette ville, lequel à promis d’estre garant pour le locataire du loyer

Jean Jacques Faudel loue une partie de la maison au limonadier Jean Baldy

1692 (29. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f°
514
H. Johann Jacob Faudel, der Sattler mit beÿstand hans Georg Rothhan deß wollenwebers seines Stieff Bruders
in gegensein Johann Baldÿ, Limonatiers mit beÿstand Hn Johann Georg Krackaun deß Specereÿhändlers
entlehnt, In seiner jenseit der Breusch am Schiffleuth staden, einseit neben dem würthsghauß Zum Rappen, anderseit am drommelgäßlein gelegenen behaußung, In den Vorderhauß den ganzen Keller, den laden und Küch. sambt einer Kleinen Cammer auff den Boden, Ferner eine Stiege hoch, Eine Stub, hauß ohrel und Küchel, So dann Zwo Stieg. hoch Vier Cammeren, Mehr dreÿ Stiegen hoch eine Cammer, Und soll der hoff zwisch. den hinder und vorder hauß gemein sein mit d. Inwohnern deß hind. haußes, Alles auff dreÿ Viertel jahr von Michaelis dießes Jahrs an zu rechnen umb 30 Reichsthaler oder 22 Pfund 10 schilling
[in margine :] (…) auff fernere dreÿ Viertel jahr mit eben den hierinn gemeldt. conditionen continuirt haben wollen – den 15. maÿ 1693

1697, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Mittwochs den 22. Maÿ Anno 1697
Hannß Jacob Faudel ist ebenfalls beclagt

Jean Jacques Faudel hypothèque la maison au profit du Chapitre Saint-Thomas

1701 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 43-v
H. Johann Jacob Faudel der Sattler [unterzeichnet] Johann Jacob Fauttel
in gegensein Herrn Johann Niclaus Harttschmidt Theol. Doctor D et Metaphys. Professoris alß Canonici & p. t. Cistarÿ senioris beneb. H. Johann Joachim Mosedern Schaffnern deß Stiffts zu St Thomæ – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, zweÿ Haüßer Ein vorderes und ein hinderes mit den hoffstätten, Hofflein darzwischen, und allen Gebäuen, begriffen, Recht und Zugehördt. allhier jenseit der Schindbruck einseit neben der Herberg zum Raben and.seit ist ein Eck am Trommelgäßlein hind. auff Philipß Albert den Waffenschmid stoßend geleg., darvon gehend jährlich 1 lb 10 ß allmend zinß Gemeiner Statt Pfenningthurn

Les héritiers Feigler passent un accord avec Jean Jacques Faudel qui renonce à la jouissance des biens appartenant à sa première femme

1701 (28. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 487-v
H. Johann Georg Feigler der Handelßmann Und Fr. Susanna geb. Feiglerin deßen leibliche Schwester H. Julÿ Christoph Keßlers, des Barbierers Und Wundartzts Haußfrau an einem
So dann H. Johann Jacob Faudel der Sattler alß gewesener Ehevogt Weÿland frauen Salome geb. Feiglerin am andern
demnach Er H. Faudel Krafft Codicills auff Mittwoch d. 24. Augusti 1688 von Hn Stephan Cornelio Saltzmann Not. publ. auffgerichtet §. Fünfftens, bemelter Fr. Salome Feiglerin seiner ersten Haußfrauen seel. gantze Verlaßenschafft außer 200 fl. prælegat, So dieselbe ged. Hn Feiglern und Keßlerischer Haußfrauen Ihren geschwistern Verschafft, und Ihnen auch ausgelüffert Word, ad dies vitæ Zu genüßen befugt, welche Verlaßenschafft in dem von ged. H. Notario Saltzmann in ged. 1688.sten Jahr auffgerichteten Inventario beschrieben, Und in liegender Und fahrender Haab bestehet, alß hätten Sich beede Theile dahin mit einander vereinbahret Und verglichen, Nemlich Und zum Ersten so übergeben und überlaßen Sie H. Feigler und Keßlerische Haußfrau, Hn Faudeln Ihrem Schwager die summ von 925 gulden oder 462 pfund (…), dahingegen So renunciret Und thut Er H. Faudel Verzug aff den Genus bemelter seiner ersten Haußfrauen seel. Verlassenschafft (…)

1702, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Montags den 13. Februarÿ Anno 1702
er habe hannß Jacob Faudel wider Articul gehandelt, Arbeith von Monsieur la Batis

1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Hannß Jacob Faudel pt° außgestoßener ehrenrührig. reden wider die oberen bawh. und Hh. dreÿ des Pfthrns

Susanne Marie Mosseder meurt en 1708 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 1 200 livres. La masse propre au veuf est de 1 169 livres, celle propre aux héritiers de 2 133 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 127 livres, le passif à 2 381 livres.

1708 (17. Xbr), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 21) n° 777
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender vnd vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Susanna Maria Faudelin gebohrne Moßederin des Ehren vndt Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Faudel Sattler vnd burgers allhier Zue Straßburg geweßene liebwerthe haußfraw nunmehr seelig, nach Ihrem den 16.ten Aprilis dießen Zue end lauffenden 1708.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des Ehren vndt wohlvorgeachten herrn Geörg Samuel Moßeders Gastgeb Zum guldenen Apffel vnd burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Mariæ Salome, Mariæ Dorotheæ, Susannæ Mariæ vndt Johann Geörgs, der abgeleibten fraw seel. mit vorernantem Ihrem hinterbliebenen Wittibern ehelich erzeigter 5 Kinder vnd ab intestato nachgelaßener Erben fleißig inventirt (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 17. Xbris Anno 1708.

In einer allhier jenseith der Schindbrucken ohnfern der Gastherberg Zum Raaben gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung, sich volgender maßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der obern Stuben, In der Obern Stub Cammer, Vor dießem Gemach, In der Mittlern stub, Im Mittlern Haußöhren, In der Cammer E, In der undern stub, In der undern Kuchen, Im Speiß Cämmerlin, In deß Officiers stub, In des officiers Knecht Cammer, In der Werckstatt, Im Keller
(f° 25) Eÿgenthumb ahne Häußern (W.) Erstlichen 2. Häußer ein vorders v. i. hinders mitt deren hoffstatt, höfflein dar zwischen sambt all vbrigen deren gebewen begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten beneben der gemeinschaft des bronnens gelegen allhier in der St. St. jenseith der Schindbruckh, 1. seith neben der Geastherberg Zum Raaben, 2. seith ist ein Eckh am Trommelgäßlein, hinden auff Philipp Albrecht dem Wafenschmidt stoßend, davon gehen jährlichen 12 lb d. Zinnß dem Stifft Zu St. Thomæ allhier Jährlichen vf den 27. Januarÿ lößig in hauptgut mit 300 lib d. Sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig vnd eigen vnd ist solche behaußung durch die allhießig geschworne Werckmeistere vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 12. Xbris A° 1708. æstimirt worden pro 1200. lb. Abgezogen vorstehend Passiv Capital der 300. lb so verbleibt annoch allhier außzuwerffen im rest 900. Darüber besagt i. newer teutscher perg. Kbrieff mit allhießiger C. C. Stuben anhangendem Cancelleÿ Contract stub Insiegel verwahrt de dato den 5. Xbris Anno 1690. mit altem Lit. A. notirt
(T.) It. Eine behaußung der sogenannte Kleine Kuppelhoff (…)
(T.) It. Hauß, hoff, hoffstatt, Keller, Scheür, Stallung sambt einem darbeÿ befindlichen Gartten (…) gelegen Zu Brechlingen (…) davon ist Herrn Jonas Faudeln hueffschmidt vnd burgern allhier des herrn Wittibers brudern, die helffte, vnd der vbrige halbe theil hiehero gehörig
(f° 28) Ergäntzung des Herrn Wittibers abgangenen: unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ vber beeder geweßene Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, in Anno 1691. durch Weÿl. herrn Johann Philipp Schüblern Notm. Publ. seel. auffgerichtet
(f° 35) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers Nahrung betr. Sa. haußraths 45, Sa. Leerer Vaß 6, Sa. Silbers 14 ß, Sa. Guldenen Rings 2, Sa. Baarschafft 115, Sa. Eÿgenthumbs ane i. behaußung 900, Sa.& Ergäntzung 599, Summa summarum 1699 lb – Schulden , Nach deren Abzug 1169 lb
Der Erben Vermögen belangend, Sa. haußraths 180, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 7, Sa. Guldener Ring 6, Sa. Pfenningzinß haupt Güthere 125, Sa. Eigenthumbs ane Liegenden Güttern 33, Sa. Ergäntzung 1782, Summa summarum 2133 lb
Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. Haußraths 163 Sa. Gemachte Wahr v Werckzeugs 551, Sa. Früchten 12, Sa. Wein v. Leerer Vaß 624, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 50, Sa. Guldener Ring 28, Sa. baarschafft 256, Sa. Eigenthumns ane Häußern 396, Sa. Eÿgenthumbs ane Liegenden Güttern 53, Sa. Activ Schulden 991, Summa summarum 3127 lb – Schulden 2381 lb, Detrahendo verbleibt 745 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4049 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen vnd Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 27. Novembris Stili novi Anno 1690, Johann Philipp Schübler Not. Publ:
Copia Codicilli Reciproci so beede geweßene Eheleuthe in Anno 1692. vor Weÿl. herrn Johann Philipp Schüblern Noto. Publ: auffgerichtet – auff Montags den 24. Januarÿ Neuen Calenders Zwischen fünff und sechs Uhren nachmittags in (mein Notario Schreibstuben)
Abschatzung den 12. 10.bris. Anno. 1708. Auff begehren herrn Johann Jacob Faudel Sattler ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg gegen der Schindbruck über gelegen ein Eckh am Tromml gäßlein, ein seiths neben H. N. N. Goll Würth und Gastgeber Zum Raben hinden auff Herrn Philippus Albrecht Waffenschmidt stoßendt, Welche behaußung hinder hauß, Nebens gang höffel undt Gemeiner bronne sambt aller Gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ Taußendt Vier hundert Gulden
Die andere behaußung ist auch allhier in der Statt Straßburg am Staaden im Kuppelgäßl. gelegen (…)
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 116
(Gerber, F., N° 284) Weÿl. Frauen Susannæ Mariæ gebohrner Moßederin, Hannß Jacob Faudels des Sattlers und burgers alhier geweßener haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol. 153.b, 4049. lb, die machen 8100. fl.
(…) Summa 83. lb
Demnach aber der Wittiber supplicando einkommen und remonstrirt daß die Häußer und Wahren sehr hoch angeschlagen, auch an Weinen kurtz vor der Frauen tod der Nahrung ein Zimliches Zugangen, haben die Herren Dreÿ an obigem geforderten Nachtrag Zweÿ jahr duplo und zweÿ jahr in simplo nachgelaßen, thut 20. lb, restiert 63. lb
dt. 14° Decembr. 1709. in abschlag bahr 27 lb
dt. 25° Jun. 1710. den rest pro Pfenningthurn schein mit 35. lb

Jean Jacques Faudel se remarie avec Anne Marie Frantz, fille de l’aubergiste au Cerf Jean Jacques Frantz : contrat de mariage, célébration
1711 (3. febr.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 598
Eheberedung zwischen Herrn Johann Jacob Faudel Sattlern vndt Jgfrn Annæ Mariæ Frantzin, beeden Eheleuthen vnd Burgere allhier
Eheberedung zwischen Herrn Johann Jacob Faudel Sattler vnd burgern allhier Zu Straßburg, als dem Hr. Brautigamb beÿständlich herrn Georg Samuel Moßeder goldenen Apffelwürths deßelben Kinder vogten vnd herrn Julÿ Christoph Kößlers berühmter Chirurgi vnd Barbierers seines Vettern, beeder burgere allhier, ane einem
So dann Jgfrn Annæ Mariæ Frantzin, herrn Johann Jacob Frantzen geweßenen gasthalters Zum Hirtzen vnd auch burgers allhier ehelichen tochter als der Jgfr. hochzeiterin mit assistentz gedachts Ihres Vatters, ferner Herrn Johann Friderich Bahlen Gastgebs Zum Thiergarthen vnd E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers deroselben vnd herrn Christoph Andres Lurtzing Würths Zu obermelten hirtzen Ihres Schwagers auch aller burgere allhier, andern theils
Actum Straßburg Dienstags den 3. febr. Anno 1711 [unterzeichnet] Johann Jacob Fauttel Alß Hoch Zeider beken Wie ob stedt, Anna Mariaa Frantzin alß hoch Zeider

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 123 n° 2)
1711. Mitwoch den 25. febr. 1711. seind nach Zweÿmaliger Außruffung in der Kirch Zu St. Nicol. in Straßburg alhier Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden H. Johann Jacob Faudel, der Sattler vnd burger alhier vnd Jungfr. Anna Maria Frantzin H Johann Jacob Frantzen, Vormalig geweßener wirths vnd Gastgebers Zum Hirtzen, vnd burgers alhier Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Fauttel Als Hochzeiter, Anna Maria Frantzin als hoch Zeitin (i 129)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari, décrite en les mêmes termes qu’à l’inventaire précédent.

1711 (16. 9.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 29) n° 993
Inventarium undt Beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender Und Vahrender Keinerleÿ davon außgenommen so der Ehren und Wohlvorgeachte herr Johann Jacob Faudel, Sattler Vnd die Viel Ehren vnd Tugendreiche fraw Annæ Mariæ gebohrne Frantzin beeder Eheleuthe undt burgere allhier zu Straßb. einander in den Ehestand Zugebracht vnd Vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor Unverändert Vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern Vnd begehren, beeder Eheleuthe selbsten fleißig inventirt (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen St. St. in fernerem gegenseÿn Tit. H. Georg Samuel Mosseder Gastgäbers Zum goldenen Apffel vnd burgers allhier des Ehemanns Kinder erster Ehe geschwornen Curatoris auf desselben, So dann S. Tit. H. Johann Friderich Bahlen Würths Zum Thiergartten v. E. E. Kleinen Rhats alten beÿsitzers der Ehefr. annoch ohnentledigten Vogts auff Ihr der Fr. Seithen, Montags den 16. 9.bris A° 1711.

In einer allhier zu Straßburg Jenseith der Schindbrucken ohnfern der Gastherberg Zum Raaben gelegenen vnd in dem Eheherren eigenthümlich gehörigen behaußung, sich volgender maßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Vor dießem Gemach, Im obern Stübel, In der Obern Stub Cammer, In der Cammer E, In der Wohnstub, In der Cammer D, In deß Officiers stub, In des officiers Knecht Cammer, Im Mittlern Haußöhren, In der undern Wohnstub, In der undern Kuchen, In der Werckstatt – Im Schopff im Kuppelhoff, Im Schopff des kleinen Kuppelhoffs, Im Goldenen Apffel
(f° 32-v) Eÿgenthumb ahne Häußern (M.) Erstl. 2. Häußer 1. vorders und i. hinders mitt deren hoffstatt, höfflein dar zwischen sambt all übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, beneben der Gemeinschaft des bronnens gelegen allhier in der Statt Strb. jenseith der Schindbruck, 1. s. neben der Geastherberg Zum Raaben, 2. s. ist ein Eckh am Trommelgäßel, hinden auff Philipp Albrecht dem Wafenschmidt stoßend, davon gehen jährlichen 12 lb d. Zinnß dem Stifft Zu St. Thomæ allhier auff den 27. Januarÿ lößig in hptgut mit 300 lib d. Sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig vnd eigen. Darüber besagt i. newer teutscher perg. Kbr. mit allhießiger C. C. Stuben anhangendem Cancelleÿ Contract stub Insiegel de dato den 5. Xbris Anno 1690. mit altem Lit. A. notirt
(M.) It. Eine behaußung der sogenannte Kleine Kuppelhoff (…)
(f° 34) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Nahrung. Sa. haußraths 785, Sa. Wahren und Werckzeugs 1236, Sa. Frucht 120, Sa. Wein und Leere Vaß 120, Sa. Pferd 90, Sa. Häu 12, Sa. Silber Geschirr und Geschmeid 121, Sa. Goldener Ring 48, Sa. baarschafft 975, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 131, Sa. Eigenthumns ane Häußern o, Sa. Activ Schulden 1219 lb

1712 (31.8.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 95) n° 862
Verkauff und Erlöß Register inhaltend alles das jenige so abe der viel Ehren und tugendsahmen Annæ Mariæ Fautelin gebohrne Frantzin, des Ehrenvest und Vorachtbahrn H. Johann Jacob Fautels des Sattlers und burg. allhier ehelicher Haußfrauen

1719, Protocole des Quinze (2 R 123)
E.E. Handwerck der Biersieder
Joh: Jacob Faudel

Jean Jacques Faudel meurt en 1720 en délaissant trois enfants de sa deuxième femme et trois outre un posthume de la veuve. Les experts estiment la maison à 1 650 livres. La masse propre à la veuve est de 2 123 livres, celle propre aux héritiers de 3 630 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 112 livres, le passif à 4 274 livres.

1720 (10.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 47) n° 1571
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güetere, liegend und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrenvest und Wohl Vorgeachte Herr Johann Jacob Faudel, geweßene Sattler und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 8. Junÿ instehenden 1720.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren es Abgeleibten seel. in 2. Ehen ehelich erziehlter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben geschworner herren Vögten alle nach dießen Titulo Inventarÿ ordentlich benahmßet fleißig inventirt und ersucht, durch die Ehren und tugendsame Frau Annam Mariam gebohrene Frantzin, die hinterbliebene Frau Wittib mit Assistentz des Ehrenvesten undt wohlvorgeachten herrn Gottfried Plarren, Kunst und Schönfärbers auch burgers allhier dero geschwornen herrn Vogts (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 10. Junÿ A° 1720.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben hinterlassen wie volgt. 1. Johann Jacob Faudel, Lediger Sattler gesell, 2. Jgfr. Susannam Mariam Faudelin, 3. Johann Georg Faudel, Welche dreÿ Kinder bevögtigt mit herrn Georg Samuel Moßedern, der Zeit Verordneten Guarde undt Burger allhier, welcher auch der Inventation persönlich beÿgewohnt und hat der Verstorbene seel. solche in mittlerer Ehe mit Weÿl. Fr. Susanna Maria gebohrner Moßederin nunmehr seel. ehelich erzeuget
4. Annam Magdalenam Faudelin, 5. Johann Carl Faudel, und 6. Johann Friderich Faudel, Welche 3. letztere Kinder benebens j. Posthumo, so annoch unter Mütterlichen hertzen Verborgen, in letztere Ehe mit Eingangs gedachter Fr. Wittib gezeuget worden, und seind dieselbe bevögtigt mit herrn Jonas Faudeln Huoffschmid und burgern allhier welcher auch beÿ der Inventation Von anfang biß Zu end persönlich erschienen und zugegen geweßenen, Alle Sieben aber des Abgeleibten seel. ehelich erzeugte Kinder und Zu gleichen theilen nachgelaßenee Erben
Copia der Eheberedung
Copia Dispositionis inter Liberos, welche der abgeleibte seel. in Anno 1713. vor mir Noto. auffgerichtet – Copia Nach disposition so allererst in A° 1720. beschehen

In einer allhier Zu Straßburg jenseit der Schindbrucken nechst dem Raaben gelegenen und in dießer Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen Behaußung, volgender maßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, In der Meel Cammer, In der Cammer C, In der Cammer D, In der obern Stub, In der Stub Cammer, Im hauß Öhren, In der Magd Cammer, In des Officiers Knechts Cammer, In Hrn Præceptors Stub, In deß Officiers stub, Auff dem Gang, In der Wohnstub, Im mittlern hauß Öhren, In der Cammer E, In der untern Stuben, In der undern Kuchen, Im hauß Keller
(f° 19) Eigenthumb ane Häußern. (E.) It. 2. Häußer j. Vorders v. j. hinders m. deren Hoffstatt, höffl. darzwischen s. all. vbrigen deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, beneben der Gemeinschafft eines Bronnens, gelegen allh. Zu Straßb. jenseit der Schindbrucken j.s. neben der Gastherberg Zum Raaben, 2. s. ist j Eck am Trummelgäßl. hinden auf Peter Laußer, den Waffenschmid stoßend, davon gehen jährl. 15. lb d Zinnß dem Stifft St. Thomæ allhier jährl. auff den 27. Januarÿ lößig in hbtgth mit 300. lb, sonst gegen männigl. freÿ ledig und eigen und ist dieße behaußung durch der Statt Geschwohr. Werckleuth Vermög einer ad Conceptum überreichter schrifftlicher Abschatzung vom 13. Julÿ A° 1720. hiehero angeschlagen umb 1650. lb. Nach Abzug Vorstehender beschwerd Verbleibt noch p. rest 1350. Darüber sagt 1. teutscher perg. Kffbr. m. allh. C. C. Stub anh. Insiegel Verwahret de dato 5. Xbris A° 1690 m. a. Lit. A. notirt und Vor dißmal dabeÿ gelaßen.
(E.) It. j. Behaußung, der Kleine Couplehoff genandt (…)
(W.) t. i. behaußung hoff hoffstatt b.Gaden in dem sogenannden Seÿlergäßlein (…)
(f° 30) Ergäntzung der Wittib manglenden unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ über beeder gewesener Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in A° 1711 durch eingangs gemelten Not. auffgerichtet
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung betr. Sa. Haußraths 32, Sa. Leerer vaß 9, Sa. Silbers 15, Sa. Goldener Ring 4, Sa. baarschafft 24, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 1100, Sa. Eigenthumbs ane Liegenden Güthern 50, Sa. Activ Schulden 100, Sa. Ergäntzungs rests 781, Summa summarum 2123 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 273, Sa. leerer Faß 38, Sa. Guldener Ring 8, Sa. baarschafft 28, Sa. Eigenthums ane häußern 1950, Sa. Eÿgenthumbs ane liegenden güthern 114, Sa. Activ Schulden 68, Sa. Ergäntzungs rests 2954, Summa summarum 5490 lb – Schulden 1859, Nach deren Abzug 3630 lb
Theilbahr Guth betreffend, Sa. haußraths 50, Sa. Wahren vnd Werckzeugs 422, Sa. Meels 3, Sa. Wein vnd Leerer vaß 301, Sa. Pferd 15, Sa. Hous 2, Sa. Silbers 10, Sa.goldener Ring 16 ß, Sa. baarschafft 33, Sa. Activ Schulden 273 Summa summarum 1112 lb – Schulden 4274, Theilbar Passiv onus 3161 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4352 lb
Abschatzung d. 13.t Jullius: anô: 1720: Weÿlandt deß Ehren Hafften, Vnd bescheidenen H hanß Jacob Faudell Sadtler Seel: hinder Lassenen Fraw Wittib vnd Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, gegen der schinnbruckhen über, Ein Seith Neben dem Rappen Ander Seith Neben dem ohnnen geßell, ist ein Eckh hauß, hinden auff hanß Peter Laußer Waffenschmit stoßendt, Welche behaußung, hoff, statt Stuben, Kammerern, Küchen, Haußehren, Werckhstatt, Ein gewölbter Keller, hinder gebeÿ, Mit Zweÿ Stuben, Kammeren, Stallung, höffell Vnd Ein, gemeiner brunnen, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith, Wie solches durch der Statt Straßburg geschwohrnen werckhleüthen In der besichtigung befundten vnd dem Jetzigen preiß Nach, an geschlagen wirt Vor und umb Dreÿ tausendt dreÿ Hundert Gulden
Der Ander begriff (…), Der drite Begriff (…)
Bezeichnüß, durch der Statt Straßburg Geschwohrenen Werckleüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

1720 (18. 7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 48) n° 1590
Verkauff und Looß Registerlein inhaltend alles dasjenige, so abe weÿl. des Ehrenvest und wohlvorgeachtn Herrn Johann Jacob Faudem geweßenen Sattlers und burgers allhier nunmehr seel.
1602, Abtheilung

Anne Marie Frantz se remarie avec le sellier Jean Jacques Sattler, fils du pasteur de Ringendorf et Buswiller : contrat de mariage, célébration
1721 (10. 8.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1045
Eheberedung zwischen Herrn Johann Jacob Sattler dem leedigen Sattler, Weÿl. herrn Johann Jacob Sattler, gewesener Pfarrers Zu Ringendorff vndt Bueßweiler hochgräfflich Hanaw Liechtenbergischer herrschafft seeligen ehelichem Sohn, als dem H Brautigamb beÿständlich herrn Johann Jacob Sauren handelßmanns vndt herrn Christian Sattlers wohlverordneten Schaffners Ihrer hochfürstl. durchlaucht von Bürckenfeldt, seiner beeden vettern ane einem, So dann
Frawen Anna Maria Fautelin gebohrner Frantzin, weÿl. H Johann Georg Faudel geweßenen Sattler vndt burgers allhier seel. hinterbliebener Wittib als der Fraw Hochzeiterin mit assistentz Herrn Gottfried Plarren Kunst vnd Schönferbern vndt herrn Johann Becken vornehmen Buchhändlers beeder Burgere allhier, deroselben respectivé geordneten vogts vndt Schwagers, andern theils
Actum Straßburg Montags d. 10. 8.bris 1721. [unterzeichnet] Johann Jacob Sattler als Hochzeitter, Anna Maria Fautelin geborne Frantzin alls hoch zeitterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 177 n° 16)
Mitwoch den 3. Dec. 1721. seind nach Zweÿmaliger offentlichen Außruffung in der Evangelischen Pfarrkirchen Zu St. Nicol. in Straßburg, Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden H. Johann Jacob Sattler, der ledige Sattler Vnd burger alhier, weÿl. H. M. Johann Jacob Sattlers, geweßenen Evangelischen Pfarrers Zu Rigendorff, hochgräffl. Hanawischer herrschaff. hinterlassener Ehelicher Sohn, Vnd Fr. Anna Maria Faudelin, weÿl. Joh: Jacob Faudels, geweßenen Sattlers vnd burgers alhier nachgelaßene wittib, welches bezeug. Johann Jacob Sattler als Hoch Zeitter, Anna Maria fautlerin als hochzeitrin (i 182)

Jean Jacques Sattler devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1722, 3° Livre de bourgeoisie p. 1318
Johann Jacob Sattler der Sattler von bußweiler geb. weÿl. H. Johann Jacob Sattlers gewesenen Pfarrherren daselbst hinderlaßener ehelicher Sohn erhalt des burgerrecht gratis wird beÿ E.E. Zunfft der gerber dienen, Jur. den 11.t feb: 1722

1722, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
Donnerstags den 4.ten Martÿ Anno 1722
Johann Jacob Sattler der Sattler Zunfftrecht

Les héritiers de Jean Jacques Faudel louent la maison à Jean Jacques Sattler et à Anne Marie Frantz

1722 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 317-v
Weÿl. Johann Jacob Faudels gewesten Sattlers nachgelaßene Kinder erster und zweÿter ehe geschwornen Vögte nahmens Jonas Faudel der hueffschmidt Georg Samuel Moßeder Consigne ahm Juden: thor v: Johann Caspar Erlenholtz der Sattler
in gegensein Johann Jacob Sattler, Sattlers und Fr. Annæ Mariæ geb. Frantzin beÿständlich ihres annoch ohnenledigten vogts H. Gottfriedt Plarr Weitt: schwartz und schönfärbers
Entlehnt, Eine Behausung höfflein hinderhauß und hoffstatt cum appertinentis neben der gastherberg zum Raaben, einseit neben dem Ochßengäßel hinten auff Peter Laußer den waffenschmidt, auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend auff Joh. Baptistæ nächstkünfftig, um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund
[in margine :] auff gleich weiß entlehnt zu haben bekanntlich war ihren Curanden eigenthümlich zuständig behausung mit allen dero zugehörden nichts davon als das darinn gelegene und Johann Fischer dem Gastgeber verlehnten Kutschenhauß und die darüber befindliche Obere bühn ausgenommen, welche behausung allhier einseit neben der gastherberg zum Raben anderseit neben der H. Rathh. Richshoffer zuständig großen Kuppelhoff gelegen ist und der klein Kuppelhoff genannt wird, auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend auff jüngst verfloßenen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 61 pfund – den 4. julÿ 1722

1723 (14. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 12) n° 235
Inventarium und beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehrengeachte Johann Jacob Fautel gewesener lediger Sattlergesell, letztmahls aber Grenadier unter dem Löbl. Oberst Baron Bibrissen Regiment zu Fuß Weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Fautels geweßenen Sattlers und burgers allhier hinterlassener Sohn

1723 (16.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 12) n° 228
Rechnung Mein Caspar Ehrlenholtz Sattlers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob Fautels, frauen Susannæ Mariæ geb. Fautelin welche nunmehro Verheurathet an Herrn Johann Bezeold den Gastgeber zur Linden und burgern allhier und Johann Georg Fautels, aller dreÿen Weÿland Hn Johann Jacob Fautels, gewesenen Sattlers und burgers allhier mit auch Weÿland Frn. Susanna Maria geb. Moßederin seiner zweÿten haußfrauen seeligen erziehlter Kinder, inhaltend und ausweißend alles dasjenige was Ich Vom 5. Martÿ Anno 1721 als da ich dieße Vogteÿ angetretten biß den 16. aug. Anno 1723 ermelter meiner Curanden halben eingenommen und Außgegeben habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

1723 (26.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 12) n° 226
Inventarium und beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Sattler und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Sattlerin geb. Frantzin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht

1723, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Dienstag den 11. Maÿ 1723
Johann Jacob Sattler seine Sattelbäum Zum Meisterstück besichtigen laßen
Sambstag den 24.ten Julÿ 1723,
Donnerstag den 17.ten Augusti 1723 Meister sitz

1724, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Montag den 4.ten Decembris Anno 1724
daß Mr Johann Jacob Sattler der Sattler
Montag den 18. Decembris 1724
Montags den 15. Januarÿ Anno 1725 wegen haltung der frantzöischen Gesellen accomodiren

1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
E.E. Handwerck der Sattler
19 Johann Jacob Sattler

1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Jacob Sattler Sattler pt° offener Werckstatt, pt° mulctæ

1727 (1.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 18) n° 388
Rechnung Mein Caspar Ehrlenholtz Sattlers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Georg Fautels des Ledigen Sattlergesellen, weÿl. Hn Johann Jacob Fautels des gewesenen Sattlers mit auch Weÿland Frauen Susanna Maria geb. Moßederin seiner zweÿten haußfrauen seel. erziehlten Sohns, inhaltend alles dasjenige Was Ich Vom 16. Augustj Anno 1723 als dem beschluß meiner Erstern Rechnung biß dden 1.ten Martÿ Anno 1727 berührten meines Curandj halben Eingenommen und Außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße verrichtet und Verhandelt habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ

Le soldat Jean Georges Faudel loue ses biens au sellier Jean Jacques Sattler

1729 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 603 n° 81-v
Johann Georg Faudel Cavalier unter dem Regiment Bethune Cavallerie so ohnbevögtigt
in gegensein Johann Jacob Sattler des Sattlers
verlühen, seinen antheil von vätterlicher und mütterlicher Verlaßenschafft herrühred ahne Einer Behausung hinderhauß höflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith der Schindtbruck einseit neben der Gastherberg zum Raaben anderseit neben weÿl. Keck des zinngießers Erben darzwischen das Trommelgäßel ist
Ferner sein antheil ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff bestehend in verschiedenen gebäuden barraquen und hoff cum appertinentÿs, einseit neben der gastbehausung zum Raaben anderseit neben H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffer
So dann seine im Scharrachbergheim und Flechspurger bann lieegende ohngef in zween ackern bestehende Reeben – auff 4 nacheinander folgenden jahren oder dafern der verlehner noch länger in Kriegsdiensten verbleibet vom 1. Januarÿ fürwährenden jahr ihren anfang nehmen

Susanne Marie Faudel, femme de l’aubergiste Jean Bezold, vend sa part d’immeubles à ses beaux-parents Jean Jacques Sattler et Anna Maria Frantz

1730 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 604 n° 429
Fr. Susanna Maria geb. Fautelin Johannes Bezold des Gastgebers zur Linden ehefrau so über 25 jahr alt zu sein versicherte
in gegensein ihrer stieff Eltern Johann Jacob Sattler des Sattlers und Annæ Mariæ geb. Frantzin
erstlich 6/35.te theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten wie auch der gemeinschaft eines bronnens jenseith der Schindbruck einseit neben der gasthergerg zum Raaben anderseit ist ein eck ahm Trummel: gäßel hinten auff Peter Laßer den waffenschmidt – von solchem gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß 6 d ane bodenzinß
zweÿtens 38/175.te theil für ohnvertheilt ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuden, einen neu erbauten höltzernen Kutschen Schopff so auf das hievor allda gewester gärttlein gebauen worden, hoff und bronnen cum appertinentis unterhalb der gastherberg zum Raaben zwischen der Schind: und Neuen bruck in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen H. Johann Friedrich Richshoffer Exsenatori zuständigen Kuppelhoff, anderseit zum theil neben ged. Gastherberg zum Raaben theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, welcher auch dort recht des gebrauchs obged. bronnens und den ein und ausgang durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers wittib
(reebstück Scharrachbergheimer, Fleckspurger und Bergbietener banns) das hauß auff den fueß von 2000 lb, der 38/175 theil ahn dem kleinen Kuppelhoff so umb 1200 æstimirt, über angegebene dienstbarkeit des durchgangs und aquæhaustus

Le sellier célibataire Jean Georges Faudel vend sa part d’immeubles à son beau-père Jean Jacques Sattler

1732 (7.1.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 6
Johann Georg Faudel ledig mehrjähriger Sattler so ohnbevögtigt zu sein behielte
in gegensein seines stieffvatters Johann Jacob Sattler des Sattlers
Erstlich 6/35 für ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen und rechten wie auch der gemeinschafft eines bronnens jenseitth der Schindbruck, einseit neben der Gastbehaußung zum Raaben anderseit ist ein eck amTrommelgäßel hinten auff Peter Laßer den waffenschmidt, von diesem gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß 6 ane bodenzinß
Ferner 38/175 t. für ohnvertheilt ahne dem sogenannten kleinen Kuppellhoff bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem neuerbauten höltzernen gutschen schopff der auf das hiebevor allda geweste gärttlein gebauen worden, hoff und brunnen samt zugehörden unterhalb der Gastherberg zum Raben zwischen der Schind: und Neuenbrucken und einem Allmend gäßlein das Kuppelgäßlein genannt einseit neben dem großen weÿl. H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffer seel. erben zuständigen Kuppelhoff anderseit zum theil neben ged. Gastherberg zum Raaben theils Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler welcher das recht des gebrauchs ged. bronnens und des ein: und ausgangs durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers wittib
so viel die antheiler des haußes am Raaben betrifft auff den fueß von 2000 lb, so viel aber den Kleinen Kuppelhoff concernieret auff dem fueß von 1200 lb, umb 867 pfund
(ferner reeben Scharrachbergheim)

Jean Jacques Sattler et Anne Marie Frantz font dresser un inventaire avant séparation de biens dont la valeur s’élève à 4 739 livres. L’acte mentionne la proportion qui revient à chaque héritier dans la maison

1732 (12.12.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 41) n° 381
Inventarium über des Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Sattlers des Sattlers und der Ehren: und Tugendsamen Frauen Annä Mariä Sattlerin, geb. Frantzn beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg dermahlen eigenthümbl. besitzendes Vermögen, auffgerichtet Anno 1732. – Welche, weilen die Parthen pt° Separationis quoad thoram et mensam beÿ Löbl. Ehegericht erschienen, auch ehistens daselbsten hoc puncto ein Bescheid ergehen wird und die Ehefrau Ihr Guth Zusuchen intentionirt, zufolg E. E. Kleinen Raths Erkantnuß vom 4.ten dießes Monats, auf Ansuchen und begehren Ihro der Ehefrauen selbsten mit beÿstandt Herrn Johann Brackenhoffers, Notarÿ publici et practici allhier, deroselben geschwornen herrn Curatoris ad Lites inventiret (…) So beschehen Zu Straßburg in fernerer gegenwarth des wohl Ehrwürdig großachtbahr und wohlgelehrten Hn Philipp Georg Langen, treueiferigen Diaconi Zu Brumat und Pfarrers Zy Krautweiler, hochgräffl. Hanauischer Herrschafft, wie auch Annä Magdalenä Langin geb. Fautelin der Ehefrauen tochter Erster Ehe und ihres Eheherren, auff Freÿtag den 12.ten Decembris er seqq. Anno 1732.

In einer allhier Zu Straßburg jenseith der Schindbruck neben der Gastherberg Zum Raaben gelegenen, in dieße Nahrung gehörigen und hernach beschriebenen behausung, befunden worden, wie volgt
Ane Holtz und Schreinwerck. In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, Im Obern Haußöhren, In der Cammer D, In der obersten Stub, In der obern Stub Cammer, In der obern Kuchen, In der Wohnstub, In dem mittlern Haußöhren, In der Magd Cammer, Auff dem Gängel, In dem untern Stübel, In dem obern hindern Stübel, In der Gesellen Caammer, In dem Laden Stübel, In der untern Kuchen, In dem untern Haußöhren, In dem Hoff
Ergäntzung der Ehefrauen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder eingangs gedachter Ehepersohnen in die Ehe gebrachten Nahrung durch herrn Not: Johann Lobstein in Anno 1723. auffgerichtet
Antheil ane Häußern. (F.) Erstl. ein siebender oder 5/35. Theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer Vorders und hinderhaus, m. deßen Hoffstätten v. höfflein. darzwischen auch allen übrigen deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Zugehörd. rechten und Gerechtigkeiten, sampt der gemeinschafft eines Bronnens, gelegen allhier Zu Straßburg jenseith der Schindbrucken, einseith neben der Gastherberg Zum Raaben, anders. ist ein Eck am Trummelgäßel hind. auf Meister Peter Laußer den Waffenschmid stoßend, Von welcher gantzen behaußung und Zwar von einem Wetterdächlein Jährl. auff Mich: gemeiner Statt Pfenningthurn 1. lb 17 ß 6 d ane bodenzinß gefallen, Ferner gehen von der gantzen behaußung 12. lb d Zu 4 peo Ct° gerechn. Zß dem Stifft St. Thomæ allhier, Jährl. auff den 27. Januarÿ ablößig in haubtguth mit 300. lb. Weiter hatte Fr. Susanna Maria Bezoldin, gebohrene Fautelin die dißseitige Stiefftochter auf dißer behaußung, Vor dero Mütter: Vätterliche und brüderl. assignationes, wie hernach fol: (-) fac: (-) erwehnet Zuerfordern, so dieselbe der dißortiger Theilbahren Massæ käufflichen überlaßen 611 lb 11 3/10. d. Deßgleichen ware auch H Joh: Georg Fautel dem Sattlern v. burgern allhier dem noch lebenden Stieffsohn wie dicto fol. fac: berichtet vor Mütterl. Vätterl. und bruderl. Guth die nembliche Summ gehörig, so derselbe ebenmäßig ane H. Sattler, den dißseitigen Ehemann Verkauffet mit 611 lb. 11 3/10. Welche beede letztere Zusammen 1222 lb 1 ß 10 3/5 außmachende Summen hernach fol. (-) fac. (-) denen theilbahren Pfenningzinß hauptgüter behörig inserirt Zuer*, Ferner hat Frau Pfarrerin Anna Magdalena Fautelin geb. Längin die Tochter erster Ehe (…) Und dann ane 468 lb 3 ß 3 d so Joh: Jacob Fautel dem ältisten Sohn erster Ehe (…) für gleiche summ ist auch Johann Carl und Joh: Friderich Fautel der Ehefrauen beed. Söhnen letzter Ehe auf solcher behaußung Vor vätterlich und bruderlich Guth gehörig (…) So dann hat die dißortige Ehefrau selbsten von Maria Sara Fautelin ihrem Töchterl. erster Ehe ererbter maßen (…) Welche auf dießer behaußung hafftende Capitalia und beschehene assignationes Zusammen antreffen 2000 lb d.
Weilen nun solche Behaußung sowohl beÿ Fautelischer Verlaßenschafft abtheilung als auch beÿ beeder Sattl. Ehepersohnen Inventur Zugebrachter Nahrung höher nicht als umb 2000 lb. d. angeschlagen v. in Calculum gebracht worden, alß ist, wann selbige dermahlen beÿ solchem pretio jedoch ohnpræjudicirlich gelaßen wird, vor obbedeuteten der Ehefrauen davon participirenden von ihrem Verstorbenen töchterlin erster Ehe ererbten siebend. theil weg. der daroben hafftenden beschwerd. dißorts in außwurff Zubringen, Nihil
Ane dem überrest dießer behaußung seind in dißeitige Theilbahre Massam Von Fr. Susanna Maria Bezoldin gebohr. Fautelin v. H. Joh: Georg Fautel, denen beed. noch lebenden Stieff Kindern erkauffter maßen 12/35 theil, So dann Fr. Pfarrerin Annæ Magdalenæ Langin gebohrner Fautelin, Joh: Carl und Joh: Frid. Fauteln der Ehefr. 3. noch lebend. Kindern erster Ehe theils vor Vätter und Theils Vor brüderl. Guth, Jedem insonderheit 6/25.te theil so vor alle 3 Zusammen 18/35.te Theil außmacht, gebührig. Über dieße behsg. sagt j. teutscher pergament Kauffbrieff in allhießig. Cancel. Contractstuben gefertiget u. mit deroselben anhang. Ins. corroboriret, dat. den 5. Decembris A° 1690 mit alt. Lit. A. notirt.
(F.) It. 4/35 te oder 60/525. te Theil Vor ohnvertheilt ane einer Behaußung, der Kleine Kuppelhoff genandt (…)
(T.) It. 12/35.te theil Vor ohnvertheilt von und ane einer neben der Gastherberg Zum Raben allhier einseith der Schindbrucken gelegenen behaußung, höfflein und hoffstätten wie solche mit Ihren übrig. Zugehörd. auch auff und Anstößen hievorn fol. (-) fac. (-) et seqq.umbständlicher beschrieben und über den gemeiner Statt Pfenningthurn davon Zureichen habenden boden Zinnß Vom 1. lb 17 ß 6 d angeschl. pro 2000. lb. Zu deme aber die auff solcher behaußung hafftende Capitalia so alle hievorn benambset seind aber so viel als dießes pretium antreffen, als ist wegen obbedeuteter hiehero gehöriger 12/35.te theil werffen, Nihil.
Dieße portiones und haußantheiler haben beede Sattlerische Ehepersohnen von Fr. Susanna Maria Bezoldin und H Joh: Georg Fautel dem Satter, Ihren beeden Stieff Kindern in wehrender Ehe ane sich erkaufft, als deren Jedem insonderheit Vor Vätterlich Guth 1/7.ter oder 5/35.te theil. Und ane Joh: Jacob Fautels ihres Verstorbenen Vollbändig Bruders Vätterl.siebenden theil wiederumb ein fünfftel macht am gantzen hauß 1/35.ter theil gehörig ware, so beede Geschwisterder Zusammen obbedeutete 12/35.te theil außmachet. Wer sonsten noch mehreres an dießem hauß participirt, ist samt dem darüber besagendem hauptbrieff supra (-) fol. (-) fac. (-) et sqq. angemerckt befindlich.
It. 76/175.te oder 228/525.te theil Von ohnvertheilt ane einer Behaußung der Kleine Kuppelhoff genandt (…)
Ergäntzung des Ehemanns ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über beeder Eheleuthe einander zugebrachte Nahrung durch H Not. Johann Lobstein in A° 1720 auffgerichtet
Des Manns Nahrung, Sa. haußraths 13, Sa. Silbers 44, Sa. Goldener Ring 61, Sa. baarschafft 20, Ergäntzung (513, Abgang 4) 509, Summa summarum 656 lb
Summarischer Calculus über H Johann Jacob Sattlers, des Sattlers und Fr. Annä Mariä Sattlerin geb. Frantzin dermalen besitzende theilbare Nahrung, Sa. haußraths 288, Sa. Silbers 13, Sa. Pferdts 18, Sa. Baarschafft 34, Sa. Liegenden güether 159, Sa. Activorum 242, Sa. der Wein und Vaß 360, Sa. Wahren 1969, Sa. der Capitalien 1734, Summa summarum 4821 lb
Fr. Sattlerin Ergäntzung (3166, Abgang 353, rest) 2812, Mariti Ergäntzung 509, Inventirt theilbare passiva 1363, der beeden Kind. Interesse Vom bruderl. guth 82, Sa. 4739 lb

1733, Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
Sattler Jacob Sattler 218, 221

Jean Jacques Sattler cède sa part d’immeubles à sa femme Anne Marie Frantz

1733 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 142
Johann Jacob Sattler
seiner quo ad thorum et mensam geschiedene haußfrau Annæ Mariæ geb. Frantzin beÿständlich ihres curatoris ad lites H. Johannes Brackenhoffer Notarii Publici und Practici, demnach die von seithen Löbl. Ehegerichts allhier am 16. Decembris 1732 erkannte Separation und zuvorhin am 4. ejusdem von E.E. Kleinen Raths verordneter Inventur beeder Ehegattern besitzenden vermögens H. Not. Johann Daniel Lang auffgerichteten Vergleich getroffen
die währender Ehe erkauffte antheiler ahne hernach beschriebenen häußern (…) 1. 12/35 theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinder hauß, höfflein gemeinschafft des bronnens und hoffstatt samt zugehördenden jenseith der Schindbruck einseit neben der gastherberg zum Raaben anderseit ist ein eck am Trommel: gäßel hinten auff Peter Laßen den waffenschmidt, von dießen gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb, 17 ß 6 d ane bodenzinß, dem stifft St Thomæ (300, 336, 428 und 49 pfund beladen)
ferner 76/175 theil für ohnvertheilt ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff, bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem neu erbauten höltzernen gutschen Schopff auff des hiebevor allda gew. garttenplätzlein gebauen worden, hoff und Bronnen sambt zugehörden unterhalb der Gastherberg zum Raaben zwischen der schind und Neuenbrucken in einem das Kuppelgäßel genannten Allmendgäßlein, einseit neben dem großen weÿl. H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffers Erben zuständigen Kuppelhof anderseit neben ged. gastherberg zum Raaben zum theil theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, welcher auch das Recht des gebrauchs obged. bronnens in des ein: und ausgang durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers nachgelaßener wittib (um 528, 160 und 300 lb verhafftet) – als ein währender ehestandts den 28. Septembris 1730 und 7. Januarÿ 1732 erkaufft und mithin theilbares guth, dem cedentene zu zwo tertzen und der cessionnaria zum übrigen tertz
seine zween dritte theil ahne denen im Scharrachbergheim und Fleckspurger Bann

Anne Marie Frantz, femme séparée de Jean Jacques Sattler, hypothèque les parts qu’elle vient d’acheter au profit des enfants mineurs du tisserand Jean Henri Lembeck

1733 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 144
Fr Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers geschiedene Ehefrau beÿständlich ihres Curatoris ad lites H. Johannes Brackenhoffen Notarÿ Publici und Practici
in gegensein Johannes Wengenroth des Tuchscherers als Curatoris ordinarÿ und Johann Jacob Clauß des hoßenstrickers und Under: Stallbotten als curatoris ad lites weÿl. Johann Heinrich Lembeck wollenwebers 5 Kinder Annæ Magdalenæ, Catharinæ Dorotheæ, Elisabethæ Gertrudis, Annæ Mariæ und Margarethæ Magdalenæ der Lembeck – schuldig seÿen 250 lb
unterpfand, 13/35 theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein gemeinschafft des Bronnens und hoffstatt sambt zugehörden, jenseith der Schindbruck einseit neben der Gastherberg zum Raaben anderseit ist ein eck am Trummekgaßel hinten auff. Peter Laßer den waffenschmidt
Ferner 76/175 theil und 1/125 theil für ohnvertheilt ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff, bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem neu erbauten höltzernen gutschen Schopff so auff allda gew. gärttlein gebauen worden, hoff und Bronnen sambt zugehördenden unterhalb der Gastherberg zum Raaben zwischen der schind und Neuenbrucken in einem das Kuppelgäßlein genannten gäs&lein einseit neben dem großen weÿl. H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffers Erben zuständigen Kuppelhof an ged. gastherberg zum Raaben zum theil theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers nachgelaßener wittib – vom ersten hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß 6 ane bodenzinß

Anne Marie Frantz hypothèque sa part d’immeubles au profit de la fille mineure du garde Daniel Lentz

1733 (31.12.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 522-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers ehefrau beÿständlich ihres Curatoris H. Johannes Brackenhoffer Notarii Publici und Practici
in gegensein H. Johannes Beck des Buchhändlers, als geschwornen vogts Jfr Annæ Mariæ geb. Lentzin weÿl. Daniel Lentz gewesten Garde alleinigen Kindts – schuldig seÿen 1250 pfund
unterpfand, Ihre noch nicht völlig determinirte antheiler ahne zweÿer häußern deren eines jenseith der Schindbruck einseit neben der Gast behausung zum Raaben anderseit neben weÿl. Peter Laußer gewesten waffenschmidts Creditoribus zum theil theils ein eck am Trommelgäßel gelegen, davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
das ander aber im Kuppellhoff gäßel einseit neben ged. Gast behausung zum Raaben anderseit neben den großen Kuppelhof so weÿl. H. Johann Friedrich Richshoffer Exsenatoris Kindern zugehörig liegt, und der kleine Kuppelhoff genannt wird, theils ihro theils ihren leiblichen und stieffkindern eigenthümlich zuständig

Anne Marie Frantz loue une partie de la maison, notamment la boutique, au sellier François Grandpierre

1734 (13.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 176-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers qua ad thorum et mensam separirte ehefrau beÿständlich ihres Curatoris H. Johannes Brackenhoffer Notarii Publici und Practici
in gegensein François Grandpierre des sattlers beÿständlich François Gilbart des Kunstmahlers
verlühen, In ihr der verlehnerin und ihren Kindern eigenthümlich allhier jenseith der Schindbruck einseit neben der gastherberg zum Raaben, anderseit ist ein eck am Trommel: oder ochßengäßlein hinten auff Peter Laußer des gewesenen waffenschmidts creditores gelegenen behausung, In dem Vorderhauß unten auff dem boden, den neben dem gasthauß zum Raaben befindlichen Laden durch welchen doch die verlehnerin sich den ihrigen und allen denen die beÿ ihr ein: und ausgehen, den freÿen durchgang vorbehaltet, ferner die Stueb und Kuchen auch platz im Keller um etwann 6 ohmen wein dahin legen zu können, Item das gantze hinderhauß, nichts davon als die für den jeweiligen einquartirten officier bestimmte stueb und Kammer ausgenommen, So dann platz zum holtz under dem hiderhauß – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkünfftigen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 60 pfund

Anne Marie Frantz loue une partie de ses immeubles à Jean Jacques Sattler dont elle est séparée

1735 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 819-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers quoad thorum et mensam geschiedene Ehefrau mit beÿstand ihres Curatoris ad Lites H. Mr Johann Jacob Römer Procuratoris vicarÿ
sein erstbemeltes Johann Jacob Sattler
In ihrer jenseith der Schindbrück einseit neben der gastbehausung zum Raaben anderseit ein eck ane dem Ochßen: oder Trompeter gäßlein stoßend gelegene Behausung Unden auff dem boden in dem Vorder hauß ein Sattler: Laden und die darinn stehende zwen waaren kästen, die laden stub, Kuchen, Speiß Kammer, das holtzhauß im hoff so weith es mit Bruckhöltzern belegt ist, wie auch in dem Keller platz umb 20 bis 30 Ohmen Faß dahin legen zu können,
die Erste stiege hoch die große wohnstub, das haußöhren, die Kuchen sambt der in den hoff stehenden Kammer, weither dreÿ stiegen hoch zwo in den hof gehende Kammmern und zu oberst in dem hauß den haarschlag,
Mehr in dem kleinen Kuppelhoff stehende an H. Philipp Richshoffers stall stoßende kleine Remise umb Chaisen darin zu stellen – auff 18 nacheinander folgenden jahren anfangend von der zeith an als François Grand Pierre der Sattler der Ein theil obbeschriebener Stück in lehnung hat das hauß raumen wird und sich 18 jahr darauff oder durch das absterben eines der contrahenten endigen – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 pfund

Anne Marie Frantz hypothèque sa part l’immeubles au profit des enfants du boulanger Jean Jacques Debus

1740 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 335-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers quo ad thorum et mensam geschiedene Ehefrau, beÿständlich ihres Curatoris H. Lt. Johann Jacob Römer Procuratoris Vicarÿ
in gegensein weÿl. Johann Jacob Debus des weißbecken hinterlassener zweÿ älterer töchter Margaretha und Dorothea der Debus so ohnbevögtigt zu seÿn versichern und in fernerm gegenwart besagten Debus zweÿen jünger kinder Catharina und Anna Maria* die Debus geordneten vogts Johann Daniel Wehrbeck des schwerdtfegers – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, 3/5 theil für ohnabgetheilt ahne Einer behausung, hoff, hinderhauß und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, Zugehörden und gerechtigkeiten jenseith der schindbruck ohnfern dem metzger gießen, einseit ist ejn eck am Trommelgäßel, anderseit neben dem gasthauß zum Raaben, hinten auff Diebold N den Postillon – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt 17 ß ane bodenzinß – ihr Schuldnerin zu besagten 3/5 theilen eigenthümlich zuständig angesehen sie 1/5 theil von ihrer verstorbenen tochter erster ehe Maria Sara Faudelin seel ererbt und 2/5 von ihren stieffkindern Georg Faudel den sattler und Susanna Maria Bezoldin geb. Faudelin erkaufft habe dahingegen die übrige 3/5 übrige Faudelischen kindern zugehörig seÿen

Anne Marie Frantz hypothèque sa part l’immeubles au profit du marchand de vins Jean Saum

1741 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 628
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattlers des Sattlers zu tisch und bett geschiedene ehefrau beÿständlich ihres Curatoris H. Lt. Jacob Römers Proc. vicarÿ
in gegensein H. Johannes Saum des weinhändlers – schuldig seÿe 600 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, hinderhauß und hoffstatt cum appertinentis jenseit der Schindbruck ohnfern dem Metzgergißen einseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, anderseit neben dem Gasthauß zum Raaben, hinten auff Diebold Wöhrle den Postillon – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
mehr eine behausung, hoff, remise und hoffstatt der kleine kuppelhoff genandt ane dem Kuppelgaßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff, anderseit neben besagtem Gasthauß zum Raaben99 hinten auff Schneeganß den metzger

Jean Charles Faudel vend sa part l’immeubles à sa mère Anne Marie Frantz

1742 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 1
Johann Carl Faudel der sattler
seiner mutter Fr. Annæ Mariæ geb. Frantzin Johann Jacob Faudel/Sattlers des sattlers zu tisch und bett geschiedener Ehefrau, mit beÿstand ihres curatoris H. Lt. Johann Jacob Römers procuratoris vicarÿ
6/35 theil vor unvertheilt ane einer behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten wie auch die gemeinschaft eines bronnens jenseit der Schindbruck, einseit neben der Gastbehausung zum raaben, anderseit ist ein eck am trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postillon – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß (um 300 und 1222 pfund dem verkäufer selbst, 142 pf., 285 und 49 pfund verhafftet)
ferner 79/525 theil vor unvertheilt ane dem sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem kutschen: schopff, hoff und bronnen samt zugehörden in dem Kuppelgäßlein, anderseit neben dem großen kuppelhoff, anderseit neben gedachtem gasthauß zum Raaben zum theil theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, der auch das recht des gebrauchs obged. bronnens und des ein und ausgangs durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff Schneeganß den metzger (um 512, 176, 352 und 160 pfund verhafftet)
das hauß am Raaben um 2000 lb, so viel aber den kleinen kuppelhoff 1200 lb beladen, 318 pfund, davor der verkäufer bereits Innhalt einer zwischen ihme und der käufferin am 28. Januarÿ 1740 vor H. Notario J. Rud. Dinckel gepflogene abrechung

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit d’Agnès Wessner, veuve de l’avocat Jacques Wencker

1744 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 208-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau mit beÿstand ihres curatoris ad lites H. Lt Johann Friedrich Faust Proc. vicarÿ
in gegensein H. Johann Heinrich Jahreiß Oberschreibers des Frauenhaußes als mandatarius Fr. Agnes geb. Weßnerin weÿl. S.T. H. Jacob Wencker gewesten Jcti. und hiesigen Löbl. stadt Raths und advocati wittib – schuldig seÿe 500 lb
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höffllein und hoffstatt cum appertinentis jenseit des Schindbrucks, einseit neben der gast behausung zu Raben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle Postilion, davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß bodenzinß
mehr den so genanndten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unteschiedenen gebäuen einen kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt salt zusammenr in dem Kuppgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff anderseit neben ged. Gasthauß zum Raaben zum theil theils Friedrich Wagner dem kieffer weinhändler hinten auff. Scheeganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit d’Anne Marguerite Krieg, veuve du chirurgien Jean Henri Mosis

1745 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 208
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau mit beÿstand ihres curatoris H. Lt. Friedrich Faust Procur. Vicarÿ
in gegensein Fr. Annæ Margarethæ geb. Kriegin weÿl. Johann Heinrich Mosis des Chirurgi wittib, mit beÿstand Christoph Bogner des kurtzmeßerschmidts ihres vogts – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis jenseit der Schindbruck, einseit neben der gastbehausung zum Raaben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postilion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
ferner den sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem Kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff anderseit neben dem gasthauß zum Raaben zum theil theils Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, hinten auff Schneeganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit du docteur en médecine Georges Henri Eisenmann

1747 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 388
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau mit beÿstand ihres curatoris H. Lt. Johann Friedrich Faust advocati und procuratoris ordinarÿ beÿ Löbl. Ammeister audientz
in gegensein H. Georg Heinrich Eißenmann Med. D. et Prof. auch Capituli Thomani Canonici – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt jenseit der Schindbruck, einseit neben der Gastbehausung zum Raaben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postilion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
ferner den sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem Kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff anderseit neben dem gasthauß zum Raaben zum theil theils Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, hinten auff Schneeganß den metzger

1749, Protocole des Quinze (2 R 159)
E.E. Handwerck der Sattler
335 Jacob Sattler, 351, 367, 527

Jean Jacques Sattler et Anne Marie Frantz hypothèquent les immeubles au profit de Marie Salomé Jund, veuve du marchand Valentin Grauel

1750 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 365-v
Johann Jacob Sattler der sattler und Anna Maria geb. Frantzin mit beÿstand ihres sohns erster ehe Johann Georg Faudel des sattlers und ihres vettern Johann Heinrich Leÿdecker geschwornen courtier
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Jundin weÿl. H. Valentin Grauel des handelsmanns wittib, mit beÿstand ihres sohns H. Johann Philipp Grauel Med. Dis. und Physices Prof. auch capituli Thomani canonici – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt jenseit der schind bruck, einseit neben der Gastbehausung zum Raaben anderseit ist ein eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle dem postilion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 7 ß ane bodenzinß
ferner hypoteciren sie in specie den sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäud, hoff, kutschenschopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff, anderseit neben gedcahtem gasthauß zum Raaben theils Friedrich Wagner dem weinhändler und NN Schneganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit d’Anne Marie Herrmann veuve du farinier Martin Albrecht

1751 (25.11.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 566-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau beÿständlich ihres vettern H. Johann Heinrich Leÿdecker des geschwornen courtie
in gegensein Johann Jacob Albrecht des knopffmachers namens seiner mutter Fr. Annæ Mariæ geb. Herrmännin weÿl. Martin Albrecht des meelmanns wittib – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung besethend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt jenseit der Schindbruck, einseit neben der gastbehausung zum Raaben, anderseit ist ein eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle dem Postillion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
so dann den so genannten Kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem kutschen: schopff, brunnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppel: gäßlein, einseit neben dem großen kuppelhoff, anderseit neben gedachtem gasthauß zum Raben theils Friedrich Wagner dem weinhändler, hinten auff NN Schneeganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit du marchand Jean Georges Walter

1754 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 368
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers ehefrau beÿständlich ihres vetters H. Johann Riedlin des chirurgi
in gegensein H. Johann Georg Walter des handelsmanns – schuldig seÿe 300 pfund
Unterpfand, erstlich, eine behausung bestehend in vorder und hinter hauß, höfflein und hoffstatt mit allen rechten und gerechtigkeiten ane der schindbruck, einseit neben der gastbehausung zum Raaben,anderseit ist ein eck am Trommengäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postilion, (davon gibt mann) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß
so dann hypothecirt sie ihre specifice der sogenannte kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff, anderseit neben ged. Gasthauß zum Raaben theils Friedrich Wagner dem weinhändler hinten auff NN Schneegans den metzger

1767 (17.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 725) n° 631
Inventarium über Weÿland H. Joh: Jacob Sattlers des ältern geweßenen Saltlers nun seel. Verlaßenschafft

Anne Marie Frantz meurt en 1767 en délaissant trois enfants de son premier mariage et deux du deuxième. Les experts estiment à la somme de 1 000 livres la maison dont les titres d’acquisition sont donnés en détail. L’actif de la succession s’élève à 2 897 livres, le passif à 4 529 livres.

1767 (11. 7.br), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 725) n° 648
Inventarium über Weÿl. fraun Annæ Mariæ Sattlerin geb. Frantzin, auch weÿl. Hn Joh. Jacob Satlers des ältern geweßenen Sattlers und Burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1767 – als dieselbe Sontags den 29.ten Aug. dießes laufenden 1767.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen seel. Absterben hier zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 11.ten 7.bris A° 1767.
Die Verstorbene seel. hat Zu Ihren Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo Weÿl. Hn Joh: Carl Fautels des geweßenen Sattlers und Burgers in Collmar seel. mit Frauen (-) ehelich erzeugten Sohn Nahmentlichen Herrn Joh: Heinrich Fautel Metzgern und burgern in Collmar, In den ersten fünfften Stammtheil, 2.do Weÿl. fraun Mariæ Magdalenæ Langin geb. Fautelin mit auch weÿl. S. T. Hn Philipp Georg Lang treueifferigen Pfarrern und Special des Ambts Westhoffen seel. ehelich erzeugte Tochter mit Nahmen Frau Maria Magdalena geb. Langin Hn Joh: Michael Turbans Gastgebers in Bischheim Zum hohen steg Ehefrau so in persohn gegenwärtig war, In den 2. fünfften Stammtheil, 3.tio Hn Joh: Friderich Fautel den hdls Mann und burgern Zu Schwobach beÿ Nürnberg in den dritten 5.ten Stammtheil, dieße 3 der Verstorbenen seel. mit weÿl. Hn Joh: Jacob Fautel dem geweßenen Sattler vnd burgern allhier Ihrem Ersten Ehemann seel. ehelich erziehlte Söhne und tochter, auch deroselben nachgelaßene Kinder in deme aber solche allhier ohnverburgert alß ist in deren Nahmen laut Extractus Es En kleinen Raths Memoriali vom 10. 7.bris jüngst S. T. H. Joh: Heinrich Beck Es En Großen Raths alter und Es En Kleinen Raths dermaliger wohlverdienter beÿsitzer als ernandter Hr Deputatus erschienen
4. Weÿl. Fraun Mariä Elisabethä geb. Sattlerin in Zwoen Ehen ehelich erzeugte Kinder benantlich 1. H Joh: Christoph Otto leedig. Hdsmann, 2. H Joh: Christoph Otto auch ledig. hdsmann, 3. Jgfr. Mariam Cleophe Ottoin und 4. Jfr. Magdalenam Christinam Ottoin, dieße 4. in erster Ehe mit auch weÿl. Hn Joh: Christoph Otto dem geweßenen hdsm. v. b. allh. ehelich erzeugte Kinder welche mit und beneben S. T. H. Joh: Daniel Lauth Notariatus Candidato und Burgern allhier als Ihrem geschwornen H Vogts gegenwärtig ware, 5. Mariam Salome Frölichin und 6. Margaretham Elisabetham Frölichin, dieße beede der verstorbenen töchter seel. in Zweiter Ehe mit H Joh: Thomas Frölich dem auch handelsmann und burger, allhier ehel. erzeugte beede Kinder welche mit S. T. H Joh: Georg Himmler wohlbestellten H. Oberschreiber löbl. Stifft St. Marx und burgern allhier bevögtigt, so auch noîne derselben beÿ d. Inventur erschienen, So dann
5.to H Johann Jacob Sattler den Jüngern Sattler und Burgern allhier welcher dem Geschäfft persönlich beÿgewohnet in den letzten 5. Stammtheil, die bede letztere der Verstorbenen seel. in letzter Ehe mit auch weÿl. H Joh: Jacob Sattler Sen: gew. Sattler v. b. allh. ehel. erzeugte fr. tochter und Sohn
Vericht in Gegenwärtiges Inventarium gehörig. Beÿ Inventirung dießer Verlaßenschafft habe ich der Notarius befragt, ob die Verstorbene seel. nicht einige Letzte Willens Verordnung auffgerichtet, worauf der bericht ertheilt auch eine ohnvidimirte Copia einer Verordnung unter Kindern in forma eines Testamenti nuncupativi vorgewießen worden, es enthaltet aber nichts anders als daß Ihr Sohn Erster Ehe Joh: Friderich Fautel in Schwaben vor sein samtlich Künffig Mütterlich erb mit 2000 fl. ausgewießen werden sollen (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vieh Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. Erstlichen eine Vorder und hinter behaußung mit deren Hoffstätten, höfflein Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten beneben der Gemeinschafft eines Bronnens, gelegen allhier Zu Straßburg, jenseit der Schindbrucken einseit neben der Gastherberg Zum Raaben, anderseit ist die Behaußung ein Eck am Trummelgäßel hinten auf gedachte Gastherberg Zum Raaben stoßend, davon gibt man Jährlichen der Statt Straßburg Pfenningthurn 1. lb 17 ß 6 d ane bodenzinß, sonsten auß hernach eingetragenen darauff hafftenden Capitalien freÿ leedig eigen, und durch H Samuel Werner Bau Inspectorem und H Sebastian Hubert Werckmeistern des Zimmerhoffs laut Abschatzungs Zeduls vom 11. 7.bris 1767 angeschlagen pro 2000 fl. oder 1000. lb. Abgezogen obgemelten darauf hafftenden Bodenzinß so Zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 75. lb: Nach solchem Abzug Verbleibt annoch ane dem Anschlag solcher behaußung dißorths außzuwerffen übrig 925 lb. Darüber soll besagen 1. teutsch. pergam. Kffbr. in allh. C. C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret dd. 5. Xbris 1690 m. alt. Lit. A. notirt.
Item eine Behaußung, der Kleine Kuppelhoff genandt (…)
Über obbeschriebene Neben der Gastherberg Zum Raben gelegene Sterb behausung sagen ferner 5. Versch. in allh. C. C. Stub errichtete und mit dero Anh. Ins. Verwahrte Kffbrieff datirt d. 10. 8.bris 1586, d. 1. 7.bris 1604, 18. 8.bris 1627, 17. Xbris 1667. et 26. 8.bris 1676. Weiter 1. teutsch. perg. in allh. C. C. Stub errichteter und mit dero anh. Ins. verwahrter teutscher pergamenter Kffbr. außweisend Wie die Verstorbene seel. und dero Verstorbenene Ehemann und Fr. Susanna Maria Bezoldin geb. Fautelin, des Gastgebers Zur Linden und burgers allhier Ehefrauen, ihro Vor Vätter und Brüderl. Erbguth gebührig gewesene 6/35.ste theil ane der Sterb behaußung neben dem Raaben und Ihre 28/175.ste theil ane dem Kleinen Kuppelhoff erkaufft dd. 28. 7.bris 1730. deme in fine annectirt, daß die verstorbene seel. auch auf Ihren Vätter: und ererbt Brüderliche Antheil derjenigen 1000. fl. so die Verstorbene seel. lebtägig Zu genißen hatte und die Bezoldische Ehefrau Ihro Zu Verzinßen hatte renuncirt. Ferner eine Von erstgemelter Kauffverschreibung in allh C. C. Stub gefertigte papÿr Copia deren in fine eine von H Joh: Georg Fautel Sattlern und eintzigen Erben gedachter fr. Bezoltin annectirte Quittung über 95. lb d und 19. lb 1 ß 4 d besagend d.d .d 19. febr: 1731.
Über 6/35.theil der Behaußung neben dem Raben wie auch über 35/175.te theil der behaußung Zum Kleinen Kuppelhoff welche Hn Joh: Georg Fautel dem Sattler und burgern allhier der Verstorbenen seel. Stieffsohn gehörig waren, ist vorhanden 1. in mehrgemelter C. C. Stub errichteter und mit dero anh. Ins. verwahrter Kauffbrieff Crafft deßen beede Sattlerische Eheleuthe solche haußantheiler Kaufflich an sich gebracht dat: d. 7. Jan: 1732. (…)
Weiter ein pergamenter Kauffbrieff und respectivé Cession in allhiesiger Contract Stub gefertiget und mit dero anh. Insiegel corroborirt, weißend wie der Verstorbene Ehemann Joh: Jacob Sallter der Sattler und burger allh. als sich beede Eheleuthe Zu disch und Zu bett separirten, seiner Ehefrauen die Vorherig. beeden Kauffbrieffe gemelte 12/35.ste theil der behaußung neben dem Raaben und die 75/175.ste theil des Kleinen Kuppelhoffs eigenthümlich cedirt und überlaßen, deßen datum der 17. Martÿ 1733. mit N° 1 bezeichnet
So dann eine pap. auch in all: C. S. Stub gefertigte und mit dero Kleinerem Secret Insigel corrobororte Kauffverschreibung außweißend, wie Joh: Carl Fautel d. Sattler und burger allhier der Verstorbenen seel. eheleibl. Sohn seiner Mutter seine 6/35.ste theil ane der Behaußung neben d. Gastbehaußung Zum Raaben und seine 79/525.te theil ane dem Kleinen Kuppelhoff eigenthümlich Verkaufft und überlaßen d.d. 2.ten Jan: 1742.
Ane der neben dem Raben gelegenen Behaußung war Joh: Jacob Fautel dem Sattler der 7.te theil gehörig welchen aber seine beede Voll: und dreÿ halbbändige geschwüstere auf deßen tödt. Ableiben ererbt. Fraun Susanna Maria Bezoldin geb. Fautel war Vor Vätter: und brüderl. Erbguth gebührig, so laut Kauffbrieffs vom 28. 7.bris 1730. an beede Sattlerische Eheleuthe eigenthümbl. übergeben worden 6/35.
H. Joh: Georg Fautel dem Sattler v. b. allh. war gleichfalls Vor Vätter: und brüderl. Erbguth gebührig so an Sattlerische Eheleuthe lt. Kauffbrieffs vom 7. Jan. 1732. verkaufft worden 6/35
Joh: Carl Fautel dem Sattler und b. allhier gehörte ebenfalls Vor Vätter v. brüderl. Erbschafft so die Verstorbene seel. l. Kauffbrieffs vom 2.ten Jun: 1742. erkaufft 6/35
Weÿl. Frauen Specialin Anna Magdalena Langin geb. Fautelin als der Fr. Turberin Fr. Mutter sel. vor ebenfalls vor Vätter: und brüderl. Erbschafft gebührig, so Ihre beÿ Außlieferunng solcher Erbschafft Vergüthet worden 6/35
Joh: Friderich Fautel dem Schwerdfeger Zu Schwabach war ebenfalls Vätter: und brüderl. Erbschafft zuständig, so Ihme laut seiner handschrifft vom 3. Aug. 1745. der 6.ten Apr: 1743. vergüthet und bezahlt worden 6/35
So dann ist der Verstorbenen seel. wegen Saræ Fautelin Ihres nach dem Vatter Verstorbenen, und von Ihro geerbten Kindts wegen seines vätterl. Guths eigenthümlich Zugefallen 1/7. theil od. 5/35.
Ane der Behaußung Zum Kleinen Kuppelhoff (…)
Wÿdum, Welchen der Verstorbene seel. von Ihrem ersten Ehemann H Joh: Jacob Fautel dem geweßenen Sattler und burger, alhier Zeit Lebens Zu genißen verordnet worden
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 188, Sa. Silbers 13, Sa. baarschafft 30, Sa. Eigenthumbs ane häußer 2425, Sa. Gülth von liegenden güthern 240, Summa summarum 2897 lb – Schulden 4529 lb, Mehr Schulden als Nahrung in vero pretio 1651 lb – Endlicher passiv Schulden rest 1480. lb

1768, Protocole des Quinze (2 R 179)
pt° Abzugs
133 weÿl. Fr. Annæ Mariæ Frantzin auch weÿl. Johann Jacob Sattler wittib, 183

Les héritiers vendent la maison au marchand Ange Marie Tagliasachi

1768 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 511
H. Johann Georg Himler der oberschreiber löbl. Stiffts St Marx als mandatarius Johann Heinrich Faudel des metzgers zu Colmar und Johann Michel Durban des wirths zu Bischheim zum Hohen Steeg, ferner H. Johann Christoph Otto und H. Michel Otto, beede handelsleuthe beÿständlich ihres annoch ohnentledigten vogts H. Johann Daniel Lauth Notariatus candidati, dißer zuzüglich als vogt Jfr. Maria Cleophä und Christinä Magdalena der Otto, mehr obgedachter H. Himmler als vogt Mariæ Salome und Margarethæ Salome der Frölichin, so dann Johann Jacob Sattler der sattler
in gegensein H. Angelo Marie Tagliasachi des handelsmanns
eine behausung bestehend in vorder und hinterhaus, hoff, gemeinschaftlichkeit eines bronnens und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten gegen der Schindbruck über, einseit ist ein eck ane dem Trometengäßlein, anderseits und hinten die gastherberg zum Raaben – als ein von ihrer mutter und respective großmutter weÿl. Fr. Anna Maria Sattlerin geb. Frantzin ererbtes guth (um 300, 500, 200, 600, 750 pfund verhafftet, geschehen um 105 pfund)

Originaire de Tremezzo sur le lac de Côme en Lombardie, Ange Marie Tagliasachi épouse en 1764 Chrétienne Charlotte Storck, veuve du marchand Charles Hyachinte Henry : contrat de mariage, célébration
1764 (27.2.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 88
Eheberedung – persönlich kommen v. erschienen seÿe der Ehrengeachte Angelus Maria Tagliasachi aus Trametzo in Italien geb. weÿl. Joseph Tagliasachi des b. v. Schneiders allda mit frauen Anna Maria geb. Brentano ehelich erzeugter Sohn, Lediger Handelsbedienter, als Hochzeiter, unter assistentz Hn Johann Joseph Groß des b. und handelsmann alhier ane einem
So dann die Viel Ehr v. Tugendgezierte Fr. Christina Carolina geb. Storckin weÿl. Hn Charles Hyacinth Henry des gewes. Handelsm. v. b. dahier seel. W. unter verbeÿstandung H. Joh: Conrad Scholl des Siegristen beÿ St Louis allhier am andern theil
So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Montag den 27. Februarii 1764. [unterzeichnet] Anglo Maria Tagliasachi, Carola Storkin

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 133)
Hodie 28. Februarÿ Anni 1764 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Angelus Maria Tagliasachi Civis et mercator hujas ex Freniezzo Diœcesis Comensis oriundus defuncti Joseph Tagliasachi civis et sartoris dicti loci et Annæ Mariæ Brentano olim conjugum filius legitimus et Majorennis Et Maria Carola Storckin, vidua Caroli Henry dum viveret civis et Mercatoris hujatis, ambo parochiani nostri (signé) angelo Maria Tagliasachi, Carola Storckin (i 70)

Fille d’un tailleur à la cour de Karlsruhe, Chrétienne Charlotte Storck épouse en 1762 le marchand veuf Charles Hyachinte Henry : contrat de mariage, célébration
1762 (23.6.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 63
Eheberedung – persönlich kommen v. erschienen seÿe der Ehren v. wohlvorgeachte Herr Carolus Hyacinthus Henry der Handelsmann v. Br. allhier ane einem,
So dann die Viel Ehren v. tugendgezierte Jgfr. Christina Charlotta Storckin weÿl. Herrn Martin Storck des gewesenen Hoffschneiders v. bs. Zu Carlsruhe seel. mit Frauen Maria Margaretha geb. Gartnerin ehelich erzeugte tochter, unter assistentz Hn Johann Conrad Scholl des Siegristen beÿ der Pfarrkirchen Zu St Louis dah. am andern theil
So geschehen Straßburg auf Mittwoch den 23. Junii 1762. [unterzeichnet] Charle jasien henry

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 128)
Hodie 25 Junii Anni 1762 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Carolus Henry, Civis et Mercator in hac urbe, viduus Mariæ Salome Ehrhardin ex unâ et Christina Carola Storckin oriunda ex Carlsruhe filia legitima Martini Storck defuncti et Margaritæ gartnerin ex altera partibus, ambo commorantes in hac Parochiâ (signé) Charle Henry (i 66)

Ange Marie Tagliasachi devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1764, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 36-v
Angelo Maria Tagliasachi d. handelsmann von Tremezo am Comer See geb. erhalt das burgerrecht ab uxore Christina Charlotta weÿl. Charles Hyacinthe Henry gew. burgers und handelsmann allhier hinterl. wittib umb den alten burger schilling will dienen beÿ E E Zunfft Zum Spiegel Jur. den 31. Mertz 1764.

1764, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
Donnerstags den 9. Februarÿ 1764
Vertrösteter Leibzünfftiger – Sr Angelo Maria Tagliasachi von Tremezzo am Comer See gebürtig (292 Leibzünfftiger – Dienstags den 3. Aprilis 1764

1766, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
Donnerstags den 13.ten Februarÿ Anno 1766
Neuer Zudiener Fastenspeishändler en gros – Herr Angelo Maria Tagliazachi der Handelsmann

1764, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
Dienstags den 17. Julÿ 1764
Geld zünfftiger Angilo Maria Tagliasachi

1768 (21.12.), Not. Elles (6 E 41, 1336) n° 432
Inventarium über Herrn Angelus Maria Tagliasachj des Handelsmanns u. deßen Fraun Eheliebstin Fraun Christina Carolina Tagliasachi geb. Storck beeder Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen

Ange Marie Tagliasachi hypothèque la maison au profit de Françoise Dorothée Gœbel femme de l’huilier Jean Nicolas Ottmann pour en régler les réparations

1769 (9.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 133)
Sr Ange Marie Tagliasachi Marchand (devoir)
à Françoise Dorothée née Goebel Epouse du Sr Jean Nicolas Ottmann Marchand huilier 1500 lit
qu’il a employé ladite somme de 1500 livres aux reparations et ameliorations qu’il a fait faire a sa Maison scituée en cette ville faisant le coin de la petite ruelle ou cul de sac aupres du cabaret à l’enseigne du corbeau laquelle maison il hypothèque

Ange Marie Tagliasachi et Chrétienne Charlotte Storck font dresser un état de leur biens pour que la femme puisse demander le bénéfice de cession. Les experts évaluent la maison à 3 500 livres. Les biens propres de la femme s’élèvent à 1 259 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 6 471 livres, le passif à 9 264 livres.

1769 (11.1.), Not. Elles (6 E 41, 1337) n° 434
Inventarium über Herrn Angelus Maria Tagliasachi des handelsmanns u. Frauen Christinæ Carolinæ geb. Storck beeder verburgerter Eheleuthen dahier Zu Straßburg würcklich besitzende Activ Passiv Nahrung, aufgerichtet Anno 1769. – (…) welche Nahrungen der Ursachen halben, alldieweilen des Ehemanns seinige mit verschiedenen Passivis onerirt und dahero die Ehefrau ihr unverändert Guth Zusamt dem was ihro sonsten vermög der Eheberedung gebührig Zu Salviren beachtet und zu solchem Ende würcklich beÿ Em En Kl. Rath dah. pro beneficio Cessionis eingekommen inventirt (…) So geschehen in d. Königl. Statt Straßburg auf Mittwoch den 11. Monats tag Januarÿ Im Jahr 1769.

In der Vordern auf dem Zweÿten Stock befindlichen Wohnung und übrigen Gemachen, so Sie Tagliasachische Eheleuthe in hizrnach eingeführter ohnlängst an sich ersteigten dahier Zu Straßburg zwischen d. Viehgaß und dem holtzstadten neben der Gastherberg Zum Raben gelegenen behaußung innhaben, ist befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der handels bedienten Cammer auf dem dritten Stock, In d vordern wohnstub auf den 2.ten Stock, In d. Vordern Stub Cammer, Im Hauß Ehren allda, In der Kindern Stübel neben vorstehendem Stübel In d. duncklen Kuchen, Auswendig im hauß Ehren und Höffel, Im Comptoir
Eigenthum ane einer behaußung. Neml. eine behausung bestende in vord. und Hinter haus, hoff, hoffstatt gewölbtem Keller mit d. Gemeinschaft des bronnens, mit allen derselben Weiten, Zugehörden, Rechten, Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg Zwischen d. Viehgaß u. dem Holtzstaaden gelegen 1.s neben d. Gastherberg Zum Raaben, 2.s ist das Kuttlergäßel u. hinten auf erstged. Gastherberg stosend, so auser hernach eingeführten darauf versichet stehenden Capitalien Freÿ leedig u. eigen. Und ist diese behausung sampt Zugehördten durch (die Werckmeistere) Zufolg dero schriftlichen dem Concept beÿ behaltenemn Abschatzungs Procès verbal æstimirt und angeschlagen worden für und umb 7000 fl. od. 3500. lb. Und hat Er H Tagliasachi sothane behausung von weÿl. Fraun N Sattler geb. N. seel. Erben laut in allhiesiger Cantzleÿ Contract stub unterm 18. Augusti jüngst Zurückgelegten 1768. Jahrs Käuflich an sich gebracht und ist d. Kauffbrieff darüber von d. noch Zur Zeit nicht gelüffert worden.
Ergäntzung der Ehefrauen wehrend bisheriger Ehe abgangen unveränderten Guths. Ausweislich über der dießorthigen beeder Eheleuthen einander Zu und in den Ehestand gerbachter Haab und nahrung durch unterschrib. Notarium den 21. Decembris 1768 errichteten Inv.ii.
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Eheberedung vor unterschriebenem Notario sub dato 27. Februarii A° 1764. auffgerichtet
Der Ehefrau unverändert eigenthümlich Vermögen, Sa. haußraths 168, Sa. Silber und Geschmeids 54, Sa. Goldenen Rings und Geschmeids 8, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung 1043, Summa summarum 1324 lb – Schulden 65 lb, Nach deren Abzug 1259 lb
Solchemnach wird auch des Ehemanns unverändert und theilbar Nahrung unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Schiff und geschirrs Wie auch Waaren Zur Specereÿ Handtlung gehörig 2229, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 3500, Sa. der baarschafft 87, Sa. Schulden 620, Summa summarum 6471 lb – Schulden 9264 lb, Comensando 2793 lb – Endliches passiv onus 333 lb
Wÿdem Welchen dißortige Ehefrau Lebenlängl. Zu genießen. Solcher bestehe nach ausweising über weÿl. H Caroli Hyacinthi Henry abgelebten handelsmanns u. burger alh. Zu Straßburg ihres geweßenen Erstern Ehehern seel.
Sa. Zweiffelhaffte und verlohrener Schulden in der Theilbare Nahrung zugeltend 314 lb
Abschatzung Von 23: Jenner 1769. Auff gegehren Fr. N. Sackÿ beÿstandlich N: N: ist eine behausung alhie in Der Statt Straßburg beÿ dem Raben Gelegen Ein seits Neben dem Kudtler Geslein, ander seits und hienden auff die gastherberg Zum Raben Stosent gelegen, solche behausung bestehet in Einen Laden und Ladenstuben Ferner in Ettliche Stuben Kamern und Kichen Dar jber seind die dach Stühl mit breitziglein belegt, hat auch ein gewölbten Käller, hoff und gemeinschaftlichen brunnen. Von uns Unterschriebenen der Statt Straßburg geschworne Werckmeister nach vorhergeschehner besichtigung mit aller ihrer gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Siben Thausent gulden [unterzeichnet] Werner, Huber

1777 (9.7.), Not. Lederlin (6 E 41, 900) n° 32
Inventarium über Angelus Maria Tagliasachi des handelsmanns und Fr. Christina Carolina geb. Storck der zeit besitzende activ nahrung und zu bezalen habende passiv schulden, so Angelus Maria Tagliasachi sich abweßend gemachte handelsmann und Fr Christina Carolina geb. Storck

Ange Marie Tagliasachi et Chrétienne Charlotte Storck vendent la maison à Catherine Knoderer, veuve du sellier Jean Georges Faudel

1771 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 104
Angelo Tagliaschi der handelsmann und Charlotte Christina geb. Storckin
in gegensein Fr. Catharinæ geb. Knodererin weÿl. H. Johann Georg Faudel gewesten sattlers wittib unter assistentz H. Philipp Jacob Faudel des sattlers ihres sohns
eine behausung bestehend in vorder und hinter haus, hoff, gemeinschafft eines bronnens und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der Schindbruck über, einseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, anderseit neben der gastherberg zum Raabenn hinten auff H. Schwing dem sporer – davon gibt man löbl: Stadt Pfenning Thurn auff Michaelis 1 lb 10 ß im Stadtbuch f° 725.b – als ein von weÿl. Anna Maria Sattlerin erben d. 18. Augusti 1768 erkaufftes guth (um 300, 200, 500, 600, 250 und 375 verhafftet, beschehen um 925 pfund)

Les experts estiment la maison à la somme de 900 livres à l’inventaire dressé en 1772 après la mort de Catherine Knoderer

Lors de la liquidation, Jean Faudel rachète les parts de ses frères et sœur il devient ainsi seul propriétaire de la maison

1773 (29.1.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 765) Joint au n° 516 du 19 déc. 1772
(f° 17) in weÿl. Fraun Catharinæ Faudelin gebohrner Knodererin seel. Erbschafft in Persohn gegenwärtig gewesen, Herr Philipp Jacob Faudel, der Sattler und Herr Friderich Carl Faudel, der Caffée Sieder, so dann Frau Friderica Elisabetha Bochin, gebohrene Faudelin, Herrn Johann Gottfried Boch, des Kiefers Weinhändlers und Burgers dahier Eheliebstin, diese dreÿ Geschwister, und Zwar Sie, Fr. Bochin, sowol unter authoritæt und Verbeÿständung ihres erstermelten Ehemanns als auch Herrn Johann Michael Klein, des Sattlers deroselben geordneten und annoch ohnentledigten Curatoris ad actum agirend
haben Herrn Johannes Faudel, des Sattlers und b. alhier ihres leiblichen Bruders (…) cedirt, verkaufflichen übergeben
Anfänglich eine Behaußung, bestehend in Vorder: und hinterhauß, Hoff, Gemeinschaft eines Bronnens und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg gegen der Schindbruck über, einseit ist Ein Eck am Trommel Gäßel anderseit auf die Gastherberg Zum Raben und hinten auf N. Schwing den Sporer stoßend gelegen, davon ist man löbl. Stadt Pfenningthurn, alljährlichen auf Michaelis 1. lb 10 ß Zu Zahlen pflichtig, auch ist dise Behausung dem löbl. Stifft St Thomä um 300. ln Weiland S. T. Herr Ammester Faust seel. frau Wittib um 200, Weiland Herrn Pfarrer Herrmanns Kindern als Erben Weiland Herren Professoris Eisenmans um 500 lb und dann herrn Rathherrn Johann Philipp Richshoffer um 600 lb und ferner demselben um 250 lb d alles an Capital verpfändet (…) zugangen und beschehen vor und umb 1300 Pfund (…)
So dann ist ihme Jerr Johannes Faudel
eine behausung nebst dagegen über befindl. Gewächß hauß hoff hoffstatt und bronnen, wie auch da zwischen liegenden Garten an der Vorstadt Krautenau in dem sogenannten Schwaben Ländel (…)
Straßburg den 29. Januarii 1773.

1770, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
Donnerstags den 1.ten Maÿ 1770
Johannes Faudel das Meisterstück, 1141 Donnerstags den 19.den Aprilis 1770, 1142 Donnerstags den 10.den May 1770, 1146 Mittwochs den 13. Junii 1770, 1147 Mittwochs den 20. Junii 1770, 1151 Mittwochs den 3. Aprilis 1771

1770, Protocole des Quinze (2 R 181)
Sattler Johannes Faudel 315, R 9

1771, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
Sambstags den 21. Decembris 1771
Johannes Faudel der Sattler meister Leibzünfftig

Le sellier Jean Faudel épouse en 1771 Marguerite Dorothée Müller, fille du tonnelier et marchand de vins Jean Georges Müller : contrat de mariage, célébration
1771 (3. 8.bris), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 204
Eheberedung zwischen dem Ehren und wohlachtbaren Herrn Johannes Faudel, dem ledigen Sattler, Weiland herrn Johann Georg Faudel, gewesenen Sattlers und Burgers alhier, mit Fraun Catharina gebohrner Knodererin, ehelich erzeugt hinterlaßener Sohn,
so dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrau Margaretha Dorothea Müllerin, Herrn Johann Georg Müller des Kiefers Weinhändlers und Burgers alhier mit fraun Dorothea Salome gebohrner Schäferin ehelich erzielter Jungfer tochter
Donnerstag den 3. Octobris anno 1771 [unterzeichnet] Johannes Faudel als bodenzinß, Margaretha Dorothea Mullerin als Zoheiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 120-v, n° 24)
Im Jahr 1771 seind Dominica 19 und 20 post trinitatis proclamirt und folgenden 16. Octobris copulirt worden Johannes Faudel lediger Sattler weiland Hrn Johann Georg Fautels geweßenen Sattlers und burgers allhier und Fr. Catharinæ gebohrner Knottererin ehelicher Sohn und Jgfr. Margaretha Dorothea, weil. Johann Georg Müllers Kiefers und burgers allhier und Fr: Dorothea Salome gebohrner Schäfferin eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Faudel als hochzeiter, Margaretha Dorothea Müllerin als hochzeiterin (i 124)

1771 (28. 9.bris), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 764) n° 485
Inventarium über des Wohl Ehren und achtbaren Herrn Johannes Faudel des Sattlers und der Viel Ehren und tugendsameen Fraun Margaretha Dorothea geb. Müllerin beeder Eheleuthe einander vor unverändert in die Ehe zu: und eingebrachte Haab: und Vermögenschaft

Jean Faudel le jeune hypothèque la maison au profit de l’apprêteur de tabac Philippe Jacques Lefevre

1774 (24.1.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 27
H. Johann Faudel der jüngere sattler
in gegensein H. Philipp Jacob Lefevre der tabackhändler – schuldig seÿe 600 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden gegen der Schindbruck über einseit ist ein Eck ane dem Trommelgäßlein, anderseit neben der Gastherberg zum Raaben, hinten auff H. Schwing dem sporer – davon gibt man auff Michaelis d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 lb 10 s, dem Stifft St Thomä 300 gulden verpfändet

Vente de meubles provenant de la faillite du sellier Jean Faudel
1775 (3.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 279) n° 1357-b
Verkauff: und Erlös Registerlein über Johannes Faudels, des burgers und Sattlermeisters dahier zu Straßburg Credit massa so durch Hn Johann Georg Stoltz verkaufft worden, auffgerichtet 1775
Sambstags den 3. Junii Anno 1775 Nachmittag um vier uhren auf Ansuchen Johannes Faudels des hiesigen Burgers und jüngern Sattler Meisters Credit geschäft betreffend, auf Requisition Herrn Lt Johann Jacob Schwings, des Cancellariæ Adjuncti und Procuratoris vicarii auch burgers hieselbst, als zufolg eines unter der Mehrheit des unversicherten Gläubiger am 23.ten Decembris letzt entwichenen 1774.sten Jahrs sub signo privato errichteten den 9.ten Mertz 1775. beÿ E. E. Großen Rath confirmirten und den 11.ten daraufhin gedächten Monaths beÿ unterschriebenem Notario deponirten Actus debilerationis ernandten Syndici Massæ (…)

1782, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
Meister Johann Faudel der Sattl. und burger weilen seine Nahrung Umstände ihme ô haben erlauben wollen sich in hießiger Stadt aufzuhalten

Les créanciers du sellier Jean Faudel vendent la maison au sellier Joachim Frédéric Lorentz

1776 (10.2.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 41-v
H. Lt. Johann Jacob Schwing procurator vicarius und cancellariæ adjunctus alß zu Johann Faudel des sattlers falliments massa H. creditorum in gefolg deliberationis acte unterem 4. Augusti 1775 bestellter syndicus, mehr H. exsenator Gerhard Walter des handelsmanns und H. Karl Friedrich Schweighäußer der handelsmann als Zugegebene erstgedachten H. Syndicus
in gegensein Joachim Friedrich Lorentz des sattlers – gerichtliche versteigerung
die in gemelten Faudels falliment massam gehörige behausung in vorder und hinter haus, hoff, gemeinschafft eines bronnens und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der Schindbruck über, einseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, anderseit neben der gastherberg zum Raaben, hinten auff N. Schwing den sporer – davon gibt man auff Michaelis d. löbl: Stadt Pfenning Thurn wie in dasigen buch f° 725 zu sehen, 1 lb 10 ß – (verhafftet um 300, 200 und 850 pfund), beschehen um 5800 gulden

Joachim Frédéric Lorentz et son fils Jean Frédéric Lorentz vendent la maison au boulanger Michel Veyhl et à sa femme Marie Madeleine Fetter

1802 (5 messidor 10), Strasbourg 7 (36), Not. Stoeber n° 3370, 1926
br. Joachim Friedrich Lorenz Sattler allhier und br. Johann Daniel Lichtenberger Meßerschmidt als mandatarius br. Johann Friedrich Lorenz ledigen großjährigen Sattlers (Procuration – Jean François Lorentz sellier demeurant à Paris rue neuve Egalité n° 17 division de Bonne Nouvelle)
in gegensein bs. Michael Weÿl bekkers und Mariæ Magdalenæ geb. Vetter
Eine behausung bestehend in Vorder und hinder haus hof hoffstatt Gemeinschafft eines bronnens mit allen deren Gebäuden und zugehörden gelegen alhier zu Straßburg gegen der Schindbruck über N° 58, 1.s ist ein Eck am Rabengäßl. 2.s der Gastherberg zum Raben hinten auff br. Farny bierbrauer – davon gibt man hiesiger Commune 6 fr ane bodenzinß – um 10.000 francken
Enregistrement, acp 84 F° 180-v du 13 mess. 10

Originaire de Neuhausen sur l’Erms près de Metzingen en Wurtemberg, Michel Veyhl épouse en 1798 Catherine Madeleine Fetter, originaire de Wingen près de Wissembourg
Mariage, Strasbourg (n° 183)
Cejourd’hui 15° Nivôse l’an VI de la République française, une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Michel Veyl, agé de 28 ans, boulanger, domicilié en Cette commune depuis sept ans, natif de Neuhausen sur l’Erms dans le duché de Wurtemberg, fils de feu Bernard Veyl, boucher audit lieu, et de feuë Anne Marguerite Huss, d’autre part Catherine Madeleine Fetter, âgée de 28 ans, native de Wingen, canton de Wissembourg, département du bas-rhin, fille de feu Jean Bernard Fetter, berger audit lieu, et de feuë Catherine Elisabeth Reinbold (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 12 avril 1769 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 27 septembre 1769 (signé) Michael Veÿl, fetteri, (i 96)

Registre de population 600 MW 85 (1808 sqq) f° 119 suite du n° 58 quai des Bateliers (i 91)
Weyhl, Michel, 38, farinier, Metzingen (à Strasbourg depuis) 1790, (auparavant) R du bétail 23, E. le 23 Mes. XII, Décédé le 6 avril 1809
id. née Fetter, Marie Madeleine, 34, Schweigen (à Strasbourg depuis) 1790, Décédée le 10 fév. 1909
id. Christine Elisabeth née le 16 flor. 9
Weyhl Madeleine née le 20 floreal XIII

Michel Veyhl loue une partie de la maison au maître de la poste aux chevaux Antoine Werly (Wehrli) et à sa femme Hélène Schneider (propriétaire de la Cour du Corbeau adjacente)

1803 (3 brumaire 12), Strasbourg 5 (17), Not. F. Grimmer n° 2489
Lehnung – der bürger Michael Feÿl becker
dem bürger Antoni Wehrlÿ, Pferdpostmeister, und Helena geb. Schneider
diejenige in des verlehners hauß an dem fischer staaden neben dem Raaben N° 58 befindliche Wohnung im erstern stockwerck auf die Strasse sehend, bestehend in einer Wohnstube und Alcove vorhauß Kuchen und zweÿen in den hoff aussehenden Kammern, kurz alles was sich auf dem ersten stockwerck befindet, einen Plaz im Keller so unterschlagen ein kleiner plaz im hof für holtz zu legen, Gebrauch der bauchkuchen mit den andern bewohnern des haußes, gemeinschaftlichen gebrauch der bühnen um wasche aufzuhängen samt dem Gebrauch des bronnens – auf 6 nacheinander folgenden jahren den 1. dieses Monaths brumaire ihren anfang nehmen, um einen jährlichen zins von 200 francken
Enregistrement, acp 89 F° 64 du 8 brum. 12

Michel Veyl et Catherine Fetter meurent tous deux en 1809 en délaissant deux filles

1809 (13.4.), Strasbourg 13 (29), Not. Bremsinger n° 4681
Inventaire des successions de Catherine Fetter et de feu Michel Veyl, marchand farinier, dans la maison ci après détaillée, l’épouse décédée le 10 février dernier, l’époux le 6 avril dernier, en délaissant deux enfants 1. Christine Elisabeth âgé de 8 ans et 2. Catherine Madeleine âgée de 4 ans – en présence du tuteur subrogé Daniel Ziks graissier domicilié quartier dit puits des fous sous n° 6 et du tuteur ordinaire Jean Philippe Hey gantier rue des bouchers n° 53

meubles au Raiz de chaussée dans la chambre, dans la cuisine, D’autre troisième étage, meubles, argenterie, créances 8152 fr
Propriété d’une maison et dépendances. Savoir une maison consistante en Bâtiments de devant et derrière avec sa cour, communauté d’un Puits ainsi que toutes ses autres appartenances, droits et dépendances située en cette ville vis à vis le Pont du Corbeau sous n° 58, d’un côté le Coin de la rue du corbeau, d’autre l’Auberge a l’enseigne du Corbeau, derrière Brasserie du Sr Farny – chargé de 6 fr de rente foncière – Titres, actes passés à la Chambre des Contrats les 18 août 1768 et 10 février 1776, devant M° Stoeber le 5 messisor 10 – Louée sans bail aux Particuliers ci après savoir La boulangerie et deux logemens à Jean Heimerdinger boulanger pour 332 fr, Le premier étage à Schwider employé au bureau des Diligences pour 185 fr, Le second étage au Sr Polty pour 172 fr, Le quatrième étage à Ihl jardinier pour 78 fr, la rente de 6 fr, total 773 fr de revenu faisant en capital 15.460 fr
total de la succession 23.612 fr, passif 302 fr, reste 23.310 fr
Enregistrement, acp 111 F° 58-v du 21.4.

Inventaire dressé dans la maison en 1811 après la mort du locataire Jean Baptiste Polti

1811 (1.7.), Strasbourg 8 (1), Not. Roessel n° 236
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Polti marchand décédé le 15 avril dernier – à la requête de 1. Marie Salomé Gilioth la veuve, 2. Jean Baptiste Polti fabricant de bas à Niederbronn, 3. Marie Elisabeth Polti veuve de Charles François Boulanger lieutenant à la 18 ½ brigade d’Infanterie de ligne, 4. Jean Louis Knobloch notaire impérial à la résidence de Strasbourg, commis pour représenter Antoine Polti sergent de chasseurs absent, 5. Mathieu Polti employé au théatre de cette ville, 6. Pierre Adolphe Schroeder tuteur de Marie Louis, Joseph Antoine Polti ces deux jumeaux nés le 8 août 1791, Jacques Pierre né le 21 brumaire 4 et François le 20 germinal 5, les quatre premiers issus de Marie Elisabeth Koenig sa première femme, les quatre derniers de Marguerite Guillaumet sa seconde femme – en présence de François Ignace Walter employé a la poste aux chevaux, subrogé tuteur desdits mineurs
dans une maison sur le quai des bâteliers n° 58 appartenant aux héritiers Feyel
Contrat de mariage reçu Anrich notaire le 23 fructidor 8
meubles apportés par le défunt, garde robe 1132 fr
communauté, meubles 151 fr, passif 2032 fr, déficit 1880 fr
(Liquidation du 13.11. n° 423 et renonciation par la veuve)
Enregistrement, acp 117 F° 110 du 2.7.

La fille aînée Christine Elisabeth Veihl épouse en 1822 le perruquier Jacques Louis Reichard

1822 (9.5.), Strasbourg 8 (34), Me Roessel n° 8456
Contrat de mariage – Jacques Louis Reichard, perruquier, fils majeur de feu Christophe Louis Reichard, perruquier, et de Jeannette Gerber
Christine Elisabeth Veihl, fille de feu Michel Veihl, farinier à Strasbourg, et de Madeleine Fetter
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 157 F° 121 du 10.5.

La fille cadette Marie Madeleine Veihl épouse en 1827 le perruquier Charles Nicolas Reichard, frère du précédent

1827 (10.4.), Strasbourg 8 (43), Me G. Grimmer n° 1613
Contrat de mariage – Charles Nicolas Reichard, garçon majeur perruquier, fils majeur de feu Christophe Louis Reichard, perruquier, et de Jeannette Gerber
Marie Madeleine Veihl, fille majeure de Michel Veihl, farinier, et de feu Madeleine Fetter
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 183 F° 88 du 13.4.

Christine Elisabeth Veihl meurt en 1829 en délaissant deux enfants

1829 (4.5.), Strasbourg 8 (47 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2722
Inventaire de la succession de Christine Elisabeth Veihl, épouse de Jacques Louis Reichard, perruquier, décédée le 6 janvier dernier – à la requête de ce dernier tant en son nom qu’en qualité de père et tuteur légal de ses deux enfants 1. Louis Charles Alphonse né le 20 mars 1826 et 2. Amédée Jules Eugène né le 10 septembre 1827, seuls et uniques héritiers de la défunte leur mère – en présence de Charles Nicolas Reichard, perruquier, subrogé tuteur

en la maison quai des Bateliers n° 58
Contrat de mariage reçu Roessel notaire le 9 mai 1822
propre aux héritiers, la moitié indivise dans une maison, bâtiment de devant & de derrière, cour, communauté de puits, avec tous droits & dépendances située en cette ville quai des Bateliers n° 58, d’un côté le coin de la rue du Corbeau, de l’autre l’auberge ayant pour enseigne le Corbeau, derrière la brasserie au Canon – la totalité acquise par Michel Veyhl, boulanger, et Marie Madeleine Vetter père et mère de la défunte par acte reçu Stoeber notaire le 5 messidor 10, avenu à leurs deux filles dont l’une est la défunte, non estimée
mobilier, dans une chambre au rez de chaussée, dans une chambre au troisième étage, 348 fr, garde robe 79 fr, numéraire 175 fr, créance 1150 fr – totalité 1540 fr, passif 169 fr
Enregistrement, acp 194 F° 128 du 9.5.

Registre de population 600 MW 213 (1846 sqq) f° 484, Quai des Bateliers N° 58 (i 174
Reichhard, Jacques Louis, 1795, Strasbourg, Perruquier, propriétaire, veuf, (auparavant) même quai 94, (entré) 11 mai 1822
idem, Louis Charles Alphonse, 1826 (20 mars), son fils, (sorti) 10 juillet 50, rue d’Austerlitz N° 21 marié à Rieb Clementine Louise d’ici le 10 9.bre 1851
Reichhard, Nicolas Charles, 1803, Strasbourg, peintre en portraits, marié, (auparavant) même quai 94, (entré) 11 8.bre 1822, q. Paul Victor Albert d’ici né le 6 juin 1831 engagé volontaire le 4 Xbr 48
Idem née Veyhl, Madeleine, 1804, id., sa femme, 2 Janv. 49., D.C.D.
id. Léopold Louis Charles, 1829 (9 mai), confiseur, fils, 24 Sept. 52, p.p. Orléans
(p. 486)
Reichard, Louis Charles Alphonse, 1826, perruquier, M. (auparavant) rue d’Austerlitz 21, (entré) 23 Juill. 53
id. née Rieb,, Catherine Wilhelmine, son ép.
id. Clementine Louise, 10 9.bre 1851, ses enf.
id. Wilhelmine Louise, 19 8.bre 1850
id. Emma Caroline, 9 juin 1853

Jacques Louis Reichard meurt en 1860 en délaissant pour seul héritier son fils Louis Charles Alphonse Reichart
1861 (26.2.), M° Stromeyer
Notoriété constatant que Jacques Louis Reichard vivant perruquier à Strasbourg est décédé le 14 octobre 1860 laissant pour héritier Louis Charles Alphonse Reichart son fils, perruquier à Strasbourg
acp 496 (3 Q 30 211) f° 42 du 1.3. (succession déclarée le 15 avril 1861)

1868 (27.3.), Strasbourg 10 (160), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 534
Notoriété du 27 mars 1868 – Ont comparu 1° M. Charles Nicolas Reichard, propriétaire, 2° M. Charles Reichard, confiseur les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont, par les présentes, déclaré avoir parfaitement connu M. Jacques Louis Reichard, en son vivant propriétaire & ancien coiffeur à Strasbourg où il était domicilié, qu’il est décédé en cette ville le 14 octobre 1860, qu’après son décès il n’a point été fait d’inventaire & qu’il a laissé pour seul et unique héritier M. Louis Charles Alphonse Reichard, son fils, coiffeur demeurant à Strasbourg
acp 571 (3 Q 30 286) f° 21-v du 28.3.

La moitié de maison qui appartenait à Christine Elisabeth Weyl revient à son fils Louis Charles Alphonse Reichard qui épouse en 1850 Catherine Wilhelmine Rieb, originaire de Herskirchen

Mariage, Strasbourg (n° 283)
Du 10° du mois de juillet l’an 1850. Acte de mariage de Louis Charles Alphonse Reichard, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 mars 1826 à Strasbourg, Perruquier, fils de Jacques Louis Reichard, perruquier domicilié en cette ville, ci présent et consentant et de feu Christine Elisabeth Veyhl, décédée en cette ville le 6 janvier 1829, et de Catherine Wilhelmine Rieb, mineure d’ans, née en légitime mariage le premier janvier 1831 à Harskirchen (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de feu Louis Rieb, tisserand décédé à Strasbourg le 25. mars 1836, et de Clémentine Maguin domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) L. Reichard, Clementine Rieb (i 13)

Louis Charles Alphonse Reichart meurt en 1868 en délaissant cinq enfants. La succession comprend la moitié de la maison place du Corbeau.

1868 (26.3.), Strasbourg 10 (160), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 526
Inventaire de la succession de M. Louis Charles Alphonse Reichard, coiffeur à Strasbourg où il est décédé le 20 mars 1868.
L’an 1868, le jeudi 26 mars à neuf heures du matin. A la requête de Madame Catherine Wilhelmine Rieb, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Louis Charles Alphonse Reichard, en son vivant coiffeur en cette ville, agissant A. en son nom personnel 1° à cause de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son défunt mari, 2° à cause des reprises en deniers qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés pendant le mariage et des reprises en nature des biens propres encore existans, 3° et comme usufruitière légale des biens de ses enfants mineurs ci après nommés jusqu’à leur 18° année ou leur émancipation, 4° & comme donataire de l’usufruit gratuit et viager de la moitié de tous les biens meubles & immeubles composant la succession de son défunt mari, usufruit qu’elle aura le droit d’exercer préférablement sur les maisons ou portions de maisons que ce dernier possède à Strasbourg place du corbeau N° 1 & rue de l’ancre N° 13 si elle le juge convenable, aux termes d’une donation entre époux, reçue par M° Koerttgé, notaire soussigné, en présence de deux témoins le 19 mars 1868 enregistrée le 21 fu même mois
B. au nom & comme tutrice légale de 1. Wilhelmine Reichard, née le 10 novembre 1850, 2° Louise Reichard, née le 10 novembre 1851, 3° Emma Reichard, née le 9 juin 1853, 4° Alphonse Reichard né le 26 octobre 1854, 5° Léonie Reichard, née le 5 octobre 1856, 6° Marie Reichard, née le 16 octobre 1858, ses six enfants encore mineurs, issus du mariage avec son défunt mari dont ils sont habiles à se dire et porter seuls héritiers, chacun pour un 6°. En présence de M. Charles Reichard, Confiseur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant au nom et comme subrogé tuteur de susdits mineurs Reichard

Meubles meublans & objets mobiliers. Magasin. Arrière boutique, cuisine
acp 570 (3 Q 30 285) f° 93 du 28.3. (succession déclarée le 28 mars et 6 mai 1868) Communauté, mobilier 1169 – Succession, garde robe 194
acp 572 (3 Q 30 287) f° 66 du 28.4. (vacation du 24 avril) – Communauté mobilière 31.683, passif 307 -Succession, garde robe 194, moitié de la communauté 15.687, maisons
II. Immeubles. I° La moitié indivise d’une maison avec cour, puits commun, appartenances & dépendances sise à Strasbourg, place du Corbeau N° 1, autrefois N° 58, tenant d’un côté à MM Ott frères, de l’autre à M Metz, horloger, pardevant à ladite place, par derrière à M. Stiffel. Cette portion de maison a été recueillie par le défunt, 12/48 dans la succession de Dame Christine Elisabeth Veyhl, sa mère, décédée épouse de M. Jacques Louis Reichard, coiffeur à Strasbourg, de laquelle défunte il était héritier pour moitié, ainsi qu’il résulte d’un intitulé d’inventaire dressé par M° Guillaume Grimmer, alors notaire à Strasbourg le 4 mai 1829, 9/48° dans la succession de M. Amédée Jules Eugène Reichard, son frère, décédé en minorité à Strasbourg en 1838, lequel possédait aussi 12/48 de ladite maison du chef de la Dame Reichard née Veyhl, sa mère sus-nommée, et 3/48 dans la succession de M. Jacques Louis Reichard, son père dont il était seul héritier ainsi qu’il est établi ci-dessus sous l’article premier des créances, M. Reichard père avait lui-même recueilli cette portion dans (la) succession de son fils mineur, ensemble 24/48.
Cette maison avait été recueillie par la Dame Reichard née Veyhl sus nommée dans les successions de M Michel Veyhl, marchand farinier & de D° Catherine Madeleine Fetter, ses père et mère, conjoints décédés à Strasbourg, desquels défunts elle était héritière pour moitié ainsi qu’il est constaté par l’intitulé de l’inventaire de ces successions, dressé par M° Bremsinger, alors notaire à Strasbourg le 13 avril 1809. A l’appui de la propriété dudit immeuble il existe 1° l’expédition de ce dernier inventaire, 2° une expédition dont l’une sur parchemin d’un contrat de vente passé devant M° Stoeber alors notaire à Strasbourg le 5 Messidor an V (23 juin 1797) 3° et une expédition sur parchemin d’un contrat de vente passé à la ci-devant Chambre des Contrats de la Ville de Strasbourg le 10 février 1776.
Pour la perception des droits de mutation par décès, la moitié indivise de la maison désignée ci-dessus est évaluée par les parties à un revenu annuel de 450 francs, sans distraction des charges, représentant au denier vingt un capital de 9000 francs
II. Une maison avec appartenances, droits & dépendances sise à Strasbourg Impasse de l’Ancre N° 13, autrefois rue de l’Ancre N° 7

Charles Nicolas Reichard meurt en 1882 après avoir institué son fils aîné Léopold Louis Charles héritier pour deux tiers et son fils cadet Paul Victor Albert pour un tiers

1882 (6.4.) M° Mossler
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments von Carl Niclaus Reichard
Je soussigné lègue et donne à mon fils aîné Léopold Louis Charles les deux tiers de ma fortune délaissée et un tiers à mon fils cadet Paul Victor Albert. J’ordonne en outre de verser la somme de 50 francs à chacune des deux égliasé savoir à l’église St Nicolas où j’ai reçu le baptême et à l’église Ste Madeleine où j’ai fait ma première communion pour être distribuée aux pauvres de la paroisse, le 12 mars 1878
acp 723 (3 Q 30 438) f° 58 du 6.4.

La succession mobilière est partagée sans inventaire préalable
1882 (19.5.), M° Mossler
Theilung des Nachlasses des am 25. Januar 1882 hieselbst verlebten Rentners Karl Reichard. Erben sind due Söhne, Leopold Ludwig Karl Reichard, Rentner hier du 2/3, Paul Victor Albert Reichard ohne Gewerbe hier zu 1/3 und zwar in Gemäßheit des eigenhändigen Vermächtnisses vom 12. März 1878, bei den handelnden Notar hinterlegt am 6. April 1882
acp 725 (3 Q 30 440) f° 81-v du 21.5. (Sterbfall-Erklärung 6.7.82 B 139 N° 182)
Ein Erbverzeichnis liegt nicht vor. Massenaufstellung 1) Mobilien 430, 2) desgleichen im Besitze des Leopold Ludwig Karl 188, 3) Kleider 80 Obligation der Stadt Hagenau 820, 4) Sparkassenbetrag 741, Zinsen 21, 5-10.bis) Forderungen 160, 140, 160, 800, 1440, 800 und 800, 11) Werthpapiere 808, 800, (1600, 1600), zusammen 9148 (3200)
Zuweisungen (…)

Le serrurier Louis Wurm épouse en 1893 Lucie Eugénie Marie Reichard, fille de Léopold Louis Reichard, qui meurt en 1896 en délaissant un fils, Charles Louis

Mariage, Strasbourg (n° 499) Strassburg am 1. Julÿ 1893. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. Ludwig Wurm der Schlosser, evangelischer Religion, geboren den 31. Januar des Jahres 1867 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des Kupferschmides Anton Carl Wurm, wohnhaft zu Straßburg und dessen verstorbenen Ehefrau Friederike Koch, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, 2. die gewerblose Lucie Eugenie Marie Reichard, katholischer Religion, geboren den 25. Maerz des Jahres 1865 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Tochter der verstorbenen Eheleuthe Leopold Ludwig Carl Reichard, Rentner und Luise Magdalena Klein, zuletzt Wohnhaft zu Straßburg (i 16)

Registre domiciliaire (603 MW 910)
Wurm, Schloßer (603 MW 910)
Ludwig, 31.1.67 Straßburg, (Religion) E († le 5.2.38)
Saarburg
29.6.89 Schiffleutstaden 4, Zechninger
Frau seit Ap. 93, Lucie Eugenie Maria Reichard, 25/3 65, Straßburg, (Religion) K, 2 4 93 († 25/3 96)
Rabenplatz 1 / 10 8 16
1.7.16 Steinring 76, Hausmann
Kinder Karl Ludwig 5 8 94
Frau seit 28 6 16, II (*) 18.4.77,d° (Strassburg)
Kinder, todgeburt 17.4.17 Strassburg
Jeannette Marthe 9.11.19

Charles Louis Wurm épouse en 1916 Mathilde Hahn, de Thionville (25 mai 1916, acte n° 377)

Wurm, Musketier, I R 132, Wirtschafts * 146
Vater Ludwig geb. 31.1.67, Mutter † 25.3.96
Karl Ludwig, 5.8.94 Strassburg (Mann) Rabenplatz 1, b/ eltern
Mann z Zt im Feld, Frau Sch*weg 3 lt. *
Frau 1.7.16 Rabenplatz 1, b. Wurm
Frau seit 25.5.1916 Mathilde Hahn 14.11.95, Diedenhofen, Ehemann v. Felde
wohnt in Suffelweyersheim, Muhlgasse 11.a nach einem Brief dem 17.1.41
18.11.18 Rabenplatz 1, Hahn
15.7.29 rue Baldner 20.a, Wurm*
10.5.35 à Souffelweyersheim
de Souffelweyersheim
8.10.35 rue de Lausanne 2, Ottmann
6.2.36 rue des Veaux 20 Schutz*
8.9.37, (mars) rue des Balayeurs 2
Kinder, Adam Karl, 21.10.1818 Strassburg Lucien 1.9.21
Mathilde Marguerite 11.5.26 Strassburg
Edith 23.12.27 Strassburg
Renaud 24.9.29 Strassburg


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.