4, Grand-rue


Grand-rue n° 4 – VII 190 (Blondel), P 805 puis section 1 n° 21 (Cadastre)

Au Lion rouge (zum rothen Löwen)

VII 189-190 Grand-rue
Le numéro 4 est la maison à droite

La maison abrite l’auberge au Lion rouge (zum rothen Löwen) puis (1827) au Chasseur magique (zum Freischütz) jusque dans la deuxième moitié du XX° siècle. Elle est formée de la réunion d’au moins deux maisons dont l’une s’ouvrait dans la rue de la Fontaine (actuelle rue Adolphe-Seyboth) comme l’indique un acte de 1661. Les directeurs fonciers confirment en 1716 que la ruelle entre la maison et la voisine à l’est fait partie du communal. La façade est remaniée en 1758. Le brasseur Abraham Ludwig qui achète la maison en 1826 y fait aussitôt faire des travaux (maçonnerie et charpente).

122 Elévations I
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 122

La maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages mauvais en bois et avance (Atlas des alignements) se trouve de part et d’autre du repère (e) qui forme l’angle de la Grand rue et de la rue de la Fontaine (voir le plan). Le pignon donne sur la Grand rue : chacun des deux étages a quatre fenêtres comme aujourd’hui. Au rez-de-chaussée, la porte d’entrée à l’extrémité gauche est suivie de cinq petites fenêtres qui ont été transformées depuis lors en trois ouvertures en arcade. La longue façade sur la rue de la Fontaine formai anciennement au moins deux maisons comme l’apprend l’acte de remboursement de 1661 : une porte cochère s’ouvre au milieu de la deuxième moitié. Les fenêtres du deuxième étage sont plus basses que sur le pignon. On parvient dans la cour (K), reconnue communale en 1716, par la porte entre les repères (5) et (6), la façade latérale de l’auberge se trouve entre les (5) et (4) : deux portes au rez-de-chaussée et des fenêtres à distribution irrégulière aux deux étages. Le propriétaire transforme le rez-de-chaussée en 1878 en agrandissant les ouvertures et en transformant des portes en fenêtres.

122 Cour K
Cour K

août 2009

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1657 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Ambroise Hetzel, aubergiste à la Hache
1661 v Louis de Wenckstern, lieutenant colonel, et Anne Catherine Waldner de Freundstein – luthériens
1670 h Anne Euphrosine de Wenckstern et (1674) Jacques Christophe Grempp de Freudenstein – luthériens
1677 v Mathias Immler, aubergiste, et Timothée Schmidt – luthériens
1704* h Mathias Immler, aubergiste, et (1696) Elisabeth Benner – luthériens
1715 v Jean Bupff, aubergiste, et (1703) Anne Elisabeth Hetzel puis (1709) Anne Marguerite Westermann – luthériens
1734 v Jean Jacques Seltz, pâtissier, et (1727) Chrétienne Salomé Korn – luthériens
1758 v Jean Saum, négociant, et (1725) Anne Elisabeth Demuth puis (1752) Anne Marie Silbermann veuve de Philippe Jacques Nack – luthériens
1764 v Jean Jacques Klein, aubergiste, et (1764) Marguerite Elisabeth Lauth – luthériens
1800 v Chrétien Henri Ott, marchand épicier, et (1799) Marie Salomé Burggraff puis (1814) Marie Elisabeth Stædel
1803 v Georges Henri Klopfer, aubergiste, et (1784) Anne Catherine Koch – luthériens
1826 v Abraham Ludwig, brasseur, et Salomé Debus
1827 v Henri Dietz, brasseur, et (1822) Marguerite Salomé Gœtz puis (1837) Marie Madeleine Schœttel veuve de Philippe Jacques Mathis
1839 v Philippe Gœtz, marchand de bois, et Théodore Gœtz, marchand de laine
1842 v André Füllhardt, brasseur, et (1841) Marie Catherine Mager
1864* Jacques, Diemer brasseur
1875* Arthur Schützenberger
1888* Oscar et Charles Frédéric Schützenberger
1910* Schützenberger père et fils, société en nom collectif
1931* Grande Brasserie de la Patrie, Schützenberger & Compagnie, société anonyme

(1765, liste Blondel) Sr Saum
(1843, Cadastre) P 805, Dietz Henri brasseur, maison, sol, cour, brasserie, 2,4 ares, (puis) Füelhard André

Locations

1660, Jean Satz, aubergiste
1663, André Schneider, aubergiste au Bateau
1674, Jean Georges Holtzschuh le jeune, aubergiste
1675, Anne Rosine veuve de Jean Jacques Kupfferschmidt, aubergiste à l’Ange, remariée à Philippe François Gretzinger
1710 (place pour un étal), Jean Frédéric Fruchter, cordier
1711, Jean David Kugler, aubergiste
1715, Jean Philippe Feigler, aubergiste
1821, Jean Frédéric Biehl, boulanger à la Robertsau, et Marie Anne Jost
1824, Frédéric Théophile Schoch, aubergiste, et Catherine Pauly

Localisation sur le plan Blondel de 1765 : la maison se trouve en haut à gauche, en face de l’église Saint-Pierre-le-Vieux.

Situation sur les plans et élévations pour le plan-relief de 1830, cadastre napoléonien et allemand (Strasbourg centre, section I, parcelle 21).

Livre des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 192-v

Anderseits Oberstraßen beÿ dem Zollthörlein wider hienein gemeßen
Andres Erhardt der Würth Zum Rothen Löwen hatt ein Vsstoß xxij schu ix Zoll lang, Vnd iij schu herauß, Ein besezter Tritt xij schu lang, Vnd vj schu herauß, Darauff ein ligende Kellerthüer v schu weit Vnd v schu herauß, Ein steinerin staffel iiij schu iij Zoll lang, Vnd j schu breit herauß, Bessert für das Niessen, xvij ß vj d.

(Traduction) L’autre côté de la grand rue, en remontant à partir de la petite porte du péage
André Erhard, aubergiste au Lion rouge a un encorbellement long de 22 pieds 9 pouces en saillie de 3 pieds, une marche dallée longue de 12 pieds et en saillie de 7 pieds, s’y trouve une porte de cave large de 5 pieds en saillie de 5 pieds, une marche en pierre longue de 4 pieds 3 pouces et large de 1 pied. doit pour la jouissance 17 sous 6 deniers.

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 158 case 2

Fuelhard André
P 805, Grand-rue
sol, Brasserie et maison – 2,40 ares – revenu, maison 333, maison et sol 334,25
portes et fenêtres ordinaires : 42 puis 34
fenêtres du 3° et du-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 514 case 1

Fullhardt André
1864 Diemer, Jacques, brasseur
1875 Schützenberger, Arthur, Rentner, Thomas-Staden 2
1888/89 Schützenberger 1. Oskar, 2. Karl Friedrich Bierbrauer

P 805, Grand’rue 4
Brasserie et maison, sol – 2,40 ares – revenu, maison 333, maison et sol 334,25
folio de provenance : (152)
folio de destination : 514, Vergrößerung
portes et fenêtres ordinaires : 42 puis 34
fenêtres du 3° et du-dessus :

maison, sol – 2,40 ares – revenu, maison 400, maison et sol 401,25
folio de provenance : 514, année 1881
folio de destination : 514, Vergrößerung 88, année 91/92
portes et fenêtres ordinaires : 42 puis 34
fenêtres du 3° et du-dessus 10 puis 8:

maison, sol – 2,40 ares – revenu, maison 455, maison et sol 456,25
folio de provenance : 514, année 91/92
folio de destination : Gb
portes et fenêtres ordinaires : 54 puis 43
fenêtres du 3° et du-dessus 10 puis 8:

Cadastre allemand, registre 29, folio 3 case 1

Parcelle, section 1, n° 21 – autrefois P 804, 805
Canton : Langstraße Hs. N° 4 u. 6 – Grand’rue – Lange Straße – Grand’rue
Désignation : Hf, Whs. u. NG
Contenance : 4,96
Revenu : 6500 – 6400 – 7900
Remarque : 1910 Berufung

(Propriétaires) compte 1129
Schützenberger Karl Friedrich und Oskar

(Propriétaires) compte 1130 à partir de l’exercice 1910
Schützenberger père et fils / Vater u. Söhne, offene Handelsgesellschaft in Strassburg
1927 Schützenberger père et fils société en nom collectif
1931 Grande Brasserie de la Patrie, Schützenberger & Cie société anonyme
(222)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche (p. 350)
(maison n°) 78

Pr. – Klein J. Jacques – Fribourg.

Directeurs fonciers

1716, Directeurs fonciers (VII 1387)
Jean Bupff est autoriséà supprimer les saillies à ses fenêtres de l’encorbellement. Quelques mois après, demande de confirmer que la ruelle entre sa maison et celle de Jean Ernest Spielmann fait partie du communal

(f° 34) Dienstags den 28. Aprilis 1716. Johannes Bupff p° fenster gestell – Johannes Bupff, der Gastgeber Zum rothen Löwen in der Obern Straßen, bittet umb erlaubnus die außladungen seiner fenster gestöllen in seinem Überhang hinweg schneiden Zulaßen. Erk: Willfahrt

(Traduction) Mardi 28 avril 1716. Jean Bupff, au sujet de l’encadrement des fenêtres – Jean Buff, aubergiste au Lion rouge en haut de la grand rue, demande l’autorisation de supprimer les saillies à ses encadrements de fenêtres dans l’encorbellement. Décision, accord.

(f° 110) Dienstags den 24. 9.bris 1716. Johann Georg Bupff, Herr Lt. Joh: Ernst Spielmann – Johann Georg Bupff, der Würth auff der Gerber Zunfft Stuben, bittet einen augenschein an dem Zwischen seiner erkaufften Gastherberg Zum Rohten Löben in der Straßen und Herrn Lt. Johann Ernst Spielmanns, des Cancelleÿ Oecomoni, behausung befindlichen beschloßenen Gäßlein, in erwegung Ihme von E.E. Kleinen Raht aufferlegt worden seÿe Zu probiren, daß daßelbe ein Allmendtgaßlein seÿe. Erk: Willfahrt

(Traduction) Mardi 24 septembre 1716. Jean Georges Bupff, Sr Licencié Jean Ernest Spielmann – Jean Georges Buff, aubergiste au Lion rouge, demande qu’on fasse une visite de la ruelle fermée entre l’auberge au Lion rouge qu’il vient d’acheter dans la grand rue et le Sieur licencié Jean Ernest Spielmann, économe à la Chancellerie, du fait que le Petit Sénat lui a ordonné de prouver que la ruelle est communale. Décision, accord.

1717, Directeurs fonciers (VII 1387)
Litige avec le voisin Jean Ernest Spielmann au sujet de la ruelle entre leurs maisons. Les préposés confirment que la ruelle fait partie du communale en s’appuyant sur le Livre des communaux de 1587

(f° 137-v) Mittwochs den 27. Januarÿ 1717. Herr Joh: Ernst Spielmann, Joh: Georg Bupff – Augenschein in der Obern Straßen in dem Zwischen der Gastherberg Zum Rohten Löwen und Herrn Lt. Johann Ernst Spielmanns, Löbl. Cancelleÿ Oeconomi ligenden gäßlein umb zu examiniren ob daßelbe Allmend seÿe oder nicht ? Erkt: Bedacht

(Traduction) Mercredi 27 janvier 1717. Sieur Jean Ernest Spielmann, Jean Georges Bupff – Inspecté en haut de la grand-rue la ruelle entre l’auberge du Lion rouge et le Sieur Jean Ernest Spielmann, économe à la chancellerie pour savoir si elle est communale ou non. Décision, à examiner

(f° 146-v) Dienstag den 16. Februarÿ 1717. Herr Joh: Ernst Spielmann Ca. Joh: Georg Bupffen – Wegen des am 27. Januarÿ jüngst eingenommenen augenscheins in dem Zwischen dem Würths hauß Zum Rohten Löwen und herrn Lt. Johann Ernst Spielmanns, des Cancelleÿ Oeconomi in der Obern Straßen gelegenen beeden häußern befindlichen Gäßleins eingenommenen augenscheins, ob dieses Gäßlein allmend seÿe oder nicht ? producirt Johann Georg Bupff der jetzige Eigenthumbs herr der Gastherberg Zum Rohten Löwen, E.E. Kleinen Rahts Erkandtnus de 3. 8.bris 1716. Krafft deren Ihme aufferlegt worden Zu probiren, daß dieses gäßlein ein allmend: gäßlein seÿe, ingleichem seine dreÿ Kauffbrieff über diese Gast herberg de 15. Junÿ 1661. 15. 8.bris 1677. und 9. Xbris 1715 in welchen allen die situation der Gastherberg beschrieben Würdt, Einseith ein Eckh an der Bickergaßen anderseith neben einen allmendtgäßlein. Ego Verliß darauff das Allmend: buch de Anno 1587. darinnen fol: 193. sich befindet.
Nota Ist an diesem hauß, nemblichen dem Würths: hauß Zum Rohten Löwen, ein Kleines Gäßlein, Welches ein In gang hinden Zu des Mattenmeÿers häußern hatt ist Vornen im Ingang mit einer thüren Zugemacht soll gerecht ferttiget werden. Erk: Würdt Herrn Lt. Spielmann aufferlegt mit glaubwürdigen Documentis innerhalb Vierzehn tagen zu probiren, daß dieses gäßlein ein aigenthumb seÿe, alß dann ferner ergehen solle was recht ist.

(Traduction) Mardi 16 février 1717. Sieur Jean Ernest Spielmann contre Jean Georges Bupff – Après l’inspection qui a eu lieu le 27 janvier en haut de la grand-rue la ruelle entre l’auberge du Lion rouge et le Sieur Jean Ernest Spielmann, économe à la chancellerie, pour savoir si elle est communale ou non, Jean Georges Bupff propriétaire actuel de l’auberge du Lion rouge produit une décision du Petit Sénat en date du 3 octobre 1716 selon laquelle il a été invité à prouver que la ruelle est communale ainsi que ses trois contrats d’achat de cette auberge en date des 15 juin 1661, 15 octobre 1677 et 9 décembre 1715 qui stipulent tous que l’auberge a pour tenants et aboutissants d’un côté un coin de la rue Pick, de l’autre une ruelle communale. J’ai ensuite consulté le Livre des communaux de l’année 1587 où on trouve au folio 193 : Remarque, A côté de cette maison, à savoir l’auberge du Lion rouge, il y a une petite ruelle communale qui a une entrée à l’arrière vers les maisons Mattenmeyer, à l’avant une entrée fermée par une porte, il faudra statuer à ce sujet. Décision, le Sieur licencié Jean Ernest Spielmann est invité à prouver dans les quinze jours, documents authentiques à l’appui, que cette ruelle est propriété privée, Adviendra ensuite ce que de droit.

(f° 169) Dienstags den 13. Aprilis 1717. Herr Joh: Ernst Spielmann Ca. Herrn Joh: Georg Bupffen – In sachen Herrn Lt. Johann Ernst Spielmanns, des Cancelleÿ Oeconomi Ca. Joh: Georg Bupffen den Eigenthumbs herrn der Gastherberg Zum Rohten Löwen pt° des zwischen Ihren beeden Häußern befindlichen Allmendt gäßlein, ob dieses ein allmend: gäßlein seÿe oder nicht ? ist auff eingenommenen augenschein und producirte examinirte Documenta Erk. daß weilen in Herrn Lt. Spielmanns producirten coram nobis Brieff de Anno 1396. Welcher ein bloße contract Verschreibung ist über 66. lb. d. Capital und 3. lb d. Zinnß welche das Closter St. Johann Zum Grünen Wörth darauff stehen gehabt, darfür Herr Lt. Spielmanns behausung Zum unterpfand versetzt worden ist, welches unterpfandt unter Volgenden Wortten darinnen beschrieben würdt Curia et domus anteriores, in quibus Venditores morantur cum ædificÿs attinentÿs et juribus suis universis sitis juxta aliam Curiam magnam ipsorum Venditorum /:das ist anietzo die Gastherberg Zum Rohten Löwen:/ quæ est angularis ex utraque parte, zuersehen, daß dieses Gäßlein, Von welchem kein wortt darinn gemeldet Würdt, nicht Zu diesem Hauß gehöre, in dem producirten Kauffbrieff de 28. Augusti 1628. daß dieses gäßlein zu H. Lt Spielmanns hauß gehöre, auch nicht das geringste gedacht würdt, in Herrn Bupffen dreÿen haußbrieffen aber alß Vom 15. Junÿ 1661. 15. 8.bris 1677. und 9. Xbris 1715. deütlich stehe, Einseith ein eck an der Bieckergaß anderseith neben einem Allmendt: gäßlein auch in dem über die Anno 1587. beschehenen revision des allmendts in der Statt gehaltenem Protocolli außtrucklichen gedacht würd. /: Nota Ist an diesem Hauß ein Kleines Gäßlein, Welches ein Ingang hinden Zu des Mattenmeÿers Häußern hatt, ist Vornen im Ingang mit einer thüren Zugemacht. Soll gerecht ferttiget werden./ dieses gäßlein ohn disputirlich ein allmendt gäßlein seÿe, auch alß ein Allmend gäßlein hiemit declarirt Würdt, alldieweilen aber Herr Bupff auß aigener authorität ohngefragt einen harn: nach darin machen laßen, alß ist demselben anbefohlen worden, solchen nach annoch Heütiges tages wider Hinweg zuthun.

(Traduction) Mardi 13 avril 1717. Sieur Jean Ernest Spielmann contre Jean Georges Bupff – Dans l’affaire qui oppose le sieur Jean Ernest Spielmann, licencié, et Jean Georges Bupff, propriétaire de l’auberge du Lion rouge, au sujet de la ruelle entre leurs deux maisons pour savoir si elle est communale ou non, après visite des lieux et examen des documents produits, et considérant qu’il appert de l’acte coram nobis, daté de 1396 et produit par le sieur Spielmann, un simple contrat sur un capital de 66 livres de capital et 3 livres d’intérêts assis sur la maison au profit du monastère Saint-Jean à l’Île Verte et garanti sur la maison du sieur Spielmann, désigne cette garantie de la manière suivante, Curia et domus anteriores, in quibus Venditores morantur cum ædificÿs attinentÿs et juribus suis universis sitis juxta aliam Curiam magnam ipsorum Venditorum [cour et maisons de devant où demeurent les vendeurs avec tous droits, appartenances, dépendances, sises à côté de la grande cour qui appartient aux vendeurs eux-mêmes] (aujourd’hui l’auberge du Lion rouge) quæ est angularis ex utraque parte [et qui fait le coin de part et d’autre], que cette ruelle dont il n’est pas fait mention ne fait pas partie de cette maison, considérant que le contrat de vente produit, daté du 28 août 1628 d’après lequel cette ruelle ferait partie de la maison du sieur Spielmann n’en fait pas mention mais que les trois actes concernant la maison du sieur Bupff, en date des 15 juin 1661, 15 octobre 1677 et 9 décembre 1715, portent expressément d’un côté un coin de la rue Pick, de l’autre une ruelle communale, qu’en outre le protocole daté de l’année 1587 portant révision des communaux dans la Ville mentionne expressément : « Remarque, A côté de cette maison, à savoir l’auberge du Lion rouge, il y a une petite ruelle communale qui a une entrée à l’arrière vers les maisons Mattenmeyer, à l’avant une entrée fermée par une porte, il faudra statuer à ce sujet », il appert sans conteste que cette ruelle est communale et les présentes confirment que cette ruelle est communale, mais comme le sieur Bupff y a fait faire de son propre chef et sans autorisation un écoulement d’urine, il lui a été signifié de le retirer encore aujourd’hui même.

1738, Directeurs fonciers (VII 1398)
Jean Jacques Seltz demande l’autorisation d’installer un chenal en pierre dans son vestibule à gauche de l’entrée et de faire s’écouler les eaux dans la ruelle communale entre sa maison et celle du sieur Spielmann par un tuyau en plomb

(f° 5-v) Freÿtags den 31. Januarÿ 1738. Johann Jacob Seltz – An H. Johann Jacob Seltzen Würths hauß Zum Rothen Löwen an der Bieckergaß, beÿm alten St. Peter, welcher umb erlaubnus Gebotten, in seinem Hauß Ehren Lincker hand des eingangs einen Stein Zum Waßer Abschlagen in seine Maur Zumachen, und das Waßer durch ein bleÿes Rohr in das Zwischen seinem und H. Spielmanns des Specierers Haüß befindliche Allmend Gäßlein Zuleÿten.

(Traduction) Vendredi 31 janvier 1738. Jean Jacques Seltz – Jean Jacques Seltz, propriétaire de l’auberge au Lion rouge dans la rue Pick proche Saint-Pierre-le-Vieux, demande l’autorisation de poser dans son mur une pierre pour faire s’écouler l’eau dans son vestibule en entrant à gauche et de conduire l’eau par un tuyau en plomb dans la ruelle communale qui se trouve entre sa maison et celle de l’épicier Spielmann.

1758 (26.8.), Directeurs fonciers (VII 1408), f° 33-v
Jean Saum demande l’autorisation d’agrandir les croisées au premier et au deuxième étage de son encorbellement. On l’y autorise à condition qu’il raccourcisse son entrée de cave et qu’il recule les marches.

Johannes Saum – An dem Würths Hauß Zum Rothen Löwen an der straß deßen Eigenthumer H. Johannes Saum der Handelsmann um erlaubnus gebotten, ane statt der Kleinen alten fenstern des ersten und Zweÿten Stockwercks in dem Überhang, neüe Creützstöcke Zu machen. Erkannt, Wann der Implorant seine Vor dem Hauß auf dem Allmendt habenden Kellerthür um 1 ½ schuhe abkürtzen und die stafflen darneben Zur Haußthür also dann der Kellerhür zugleich zurucklegen will, solle ihme in seinem begehren Willfahrt werden. Solle übrigens Keine neüe balcken in den Überhang legen.

(Traduction) Jean Saum – Jean Saum, propriétaire de l’auberge au Lion rouge dans la Grand rue, demande l’autorisation de remplacer les anciennes petites fenêtres au premier et au deuxième étage de l’encorbellement par de nouvelles croisées. Décision, accord à condition que le pétitionnaire raccourcisse d’un pied et demi la porte de cave qui est sur le communal devant la maison et qu’il recule les marches à côté de la porte d’entrée pour les aligner avec la porte de cave. Par ailleurs il ne devra pas poser de nouvelles poutres dans l’encorbellement.

1759 (12.2.), Directeurs fonciers (VII 1408) f° 61-v
Litige avec le voisin Jean Ernest Spielmann qui a déplacé un tuyau d’urine au fond de la ruelle entre leurs maison de sorte qu’il se trouve au-dessous des fenêtres de la cuisine. Le voisin devra remettre le tuyau à son emplacement initial.

Johannes Saum Ca. Joh: Ernst Spielmann – An dem Würths hauß Zum Rothen Löwen, neben der Bickergaß, an der Obern straß, auf Ansuchen Johannes Saum des proprietarÿ, welcher wieder Hn Johann Ernst Spielmann den Handelsmann Klagt, daß er die Von Klägern gemachte Öffnung auß seinem Hauß, in das Zwischen beÿder Häußern Befindliche Gäßlein Zu einem Harn: Naach nicht Leÿden wolle, und Zwar nur darum, weilen er dießen Harn: Nach, welcher Zuvor am eingang des Gäßleins ware, nur weiter Zurück in das Gäßlein gemacht. Beklagter ist geständig, daß Kläger einen Harn: Nach am eingang des Gäßleins gehabt, da er Aber solchen beßer Zurück in das gäßlein, und Zwar gerad gegen seiner Küchen gerichtet, Könne er selbigen, wegen Unerträglichen S: V: gestancks Ohnmöglich da Leÿden, Bittet Kläger anzuhalten seinen neu gemachten Harn: Nach wieder hinweg zuthun, ist den 13. Ejusdem Erkant, Solle Kläger seinen Harn: Nach Von dem Ort, wohin er jhn Kürtzlich Versetzt, wieder hinwegzuthun, Hingegen jhme freÿstehen selbigen wieder an den Platz am eingang in das Gäßlein, wo er Zuvor geweßen, machen Zulaßen.

(Traduction) Jean Saum contre Jean Ernest Spielmann – A l’auberge au Lion rouge à côté de le rue Pick en haut de la Grand rue, à la requête de Jean Saum propriétaire qui porte plainte contre Jean Ernest Spielmann : il ne saurait tolérer que l’ouverture que le plaignant a fait à sa maison dans la ruelle entre leurs deux maisons serve à l’écoulement des urines, plus précisément parce qu’il a reculé vers l’arrière de la ruelle cet écoulement d’urine qui se trouvait auparavant à l’entrée de la ruelle, et comme il l’a placé plus en arrière dans la ruelle en le dirigeant exactement vers sa cuisine, il ne saurait le tolérer à cet endroit à cause de l’insupportable odeur, le plaignant demande de lui signifier de retirer de l’endroit où il vient de le transporter le nouvel écoulement d’urine mais qu’il lui soit libre de le remettre à l’entrée de la ruelle où il se trouvait auparavant

1763 (31.5.), Directeurs fonciers (VII 1410), f° 76
On refuse à Adam Haas l’autorisation de poser un étal de revendeur devant l’auberge au Lion Rouge

Adam Haaß – Oben in der Straß an dem wirthshauß zum rothen Löwen hat Adam Haaß der Gremp umb erlaubnuß gebetten ein Grempenständel an das hauß auff das Allmendt zu stellen. Erkannt, abgeschlagen

1781, Directeurs fonciers (VII 1419)
Jean Jacques Klein est autorisé à poser une porte dans son arcade.

(f° 249-v) Dienstags den 26. Junii 1781. Johann Jacob Klein Cafféesieder – Idem [Hr. Nagel, der Maurer] nôe. Johann Jacob Klein, des Cafféesieders, bittet zu erlauben an deßen behausung ane der langen Straas am Eck der Bickergaß gelegen in den bogen ein Thür Gestell setzen zu laßen, Erkannt, Willfahrt, aber weiter nicht zu machen

1784, Directeurs fonciers (VII 1421)
Jean Jacques Klein est autorisé à remplacer une arcade par une porte et d’ouvrir une croisée vers la rue Pick.
Le même demande l’autorisation de crépir et peindre la maison vers la rue Pick. Après examen des lieux par l’inspecteur Boudhors, il y est autorisé à condition qu’il ne touche pas à l’encorbellement.

(f° 96) Dienstags den 11. Maji 1784. Joh: Jacob Klein, Caffée Sieder. Mr Walther der Maurer, nôe. Joh: Jacob Klein, des Caffée Sieders, bittet zu erlauben an deßen behausung zum rothen Löben vornen gegen der langen Stras statt des bogens eine Hausthür machen, und gegen der Bücker Gaß einen Kreuzstock ausbrechen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

(f° 131-v) Dienstags den 6. Julii 1784. Jacob Klein, Caffée Sieder. Mr Walther, der Maurer, nôe. Jacob Klein, des Caffée Sieders, bittet zu erlauben deßen behausung gegen der Bicker Gaß verwerfen und anstreichen zu laßen. Erkannt, Seie dieses begehren anvorderist durch Herrn Bau Inspector Boudhors zu examiniren

(f° 154-v) Dienstags den 17. augusti 1784. Jacob Klein, Caffée Sieder. Idem [Mr Walther, der Maurer], nôe. Jacob Klein, des Caffée Sieders, wiederholet sein den 6. Julii jüngst gethanes Petitum, zu erlauben an deßen am Eck der Bicker Gaß gelegenen behausung die façade gegen der Bicker Gaß verwerfen und anstreichen zu laßen. Herr Bau Inspector Boudhors referirte, daß Er in gefolg Meiner Gnädigen Herren Erkanntnus dieses begehren untersucht, und befunden, daß dem Imploranten Willfahrt werden könne, besagte façade bis an den vornenher befindlichen Überhang ausbeßern und anstreichen zu laßen. Erkannt, Mit dem ausdrucklichen Anhang, daß besagte façade nur bis an den Überhang ausgebeßert und angestrichen werde, mithin die Nebenseite des Überhangs nicht berührt werden solle.

1789, Directeurs fonciers (VII 1423)
Jean Jacques Klein demande l’autorisation de repeindre la maison. Après visite des lieux, on la lui refuse parce que les travaux projetés auraint pour seul effet de consolider l’encorbellement en mauvais état.

(f° 255) Dienstags den 5.ten Maji 1789. Johann Jacob Klein p° Anstreichens. Idem [Mstr Ketterer der Maurer] nomine H. Johann Jacob Klein des Caffé sieders bittet gehorsamst um erlaubnus deßen gegen der alten St. Peter Kirch über an der Bickergaß gelegene behaußung anstreichen zu dörffen. Erkannt, Augenschein
(f° 265) Dienstags den 19.ten Maji 1789. Johann Jacob Klein mit seinen reparationen abgewiesen – An H. Johann Jacob Klein des Caffé sieders behaußung Zu end der langen straß, allwo dieselbe solche unter dem Überhang gegen der alten St. Peter Kirch anstreichen und gegen der Picker gaßen den bestich repariren und anstreichen laßen will, da nun augenscheinlich daß dieße vorgespiegelte reparationen nur dazu dienen würden den in allen stücken delabrirten überhang zu bevestigen. Erkannt, Abweißung

Le propriétaire de la maison voisine autorise à titre précaire l’écoulement des eaux provenant de la cuisine
1826 (20.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 54, f° 57, ssp du 17 courant

A été convenu que Chrétien Henri Ott negociant à Strasbourg permet par les présentes à Abraham Ludwig brasseur en ladite ville mais à titre de Concession précaire seulement d’Etablir dans le pignon separative de la maison de ce dernier d’avec ladite ruelle et dans le Conduit nécessaire à l’ejection des eaux de sa cuisine qui pourront s’écouler dans ladite ruelle, Ladite concession est faite à charge de Contribuer pour moitié à l’Ecurage de ladite ruelle

Seyboth (p. 84)
(1858) n° 4 – (1783) n° 78

  • Zu dem Wahsman (Wachshändler) ex opposito ecclesiæ S. Petri senioris 1325, 1377, stosset hinden uf des Wurtzers Garten 1381. Dietrich hospes zu dem Wahsman 1381.
  • Zu dem rothen Löwen ex opposito S. Petri stosset hinden uf des Wurtzers Garten, J. Hoffman Würt 1410, 1417. Nicolas de Steingewerke caupo, 1420. Claus zum rothen Löwen Wittib hat ein Laden do men Smelset uff veil het uf dem Almend 1427. Veltin des Grempers Bank do er veil uff hat 1466. Zum rothen Löwen, Andreas Erhardt Wirth 1587, zum rothen Löwen, Wirthshaus, Friedrich Lemp, wirth 1604, 1636, hat die Kundschaft des Henckers, damals in der Büchergasse wohnhaft.
  • Au Lion rouge, auberge, 1681, 1741, 1775. Café du Lion rouge. Klein cafetier 1789, 1800. Café Klopfer 1809, 1817
  • A Robin des Bois 1826
  • Zum Freischütz, Au Chasseur magique, brasserie 1833, 1870

Atlas des alignements

3° arrondissement ou Canton sud – Grand’rue
nouveau N° / ancien N° : 149 / 78
Klopfer
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)

Registres de population

(1795) 9° section, Grand Rue N° 78 (registre 600 MW 9) – légende

    Jn. Jq. Klein, 62, Caffetier, Stras.
    Jn. Frédéric Klein, 18, fils, id
    Cath: Klein, 23, Veuve, id
    Sal: Rothenbach, 26, Servante, id

Dossier de la police du bâtiment (cote 233 MW 918)

Les locaux sont occupés par l’auberge « Au Chasseur magique », devenue un temps « Au Bon Bock » (1936). Le propriétaire transforme le rez-de-chaussée en 1878 en agrandissant les ouvertures et en transformant des portes en fenêtres.

Sommaire
  • (I) 1865 – Prise de gaz : demande d’ouvrir une tranchée
  • (II) 1878 – Transformations au rez de chaussée et deuxième étage : agrandissement de fenêtres, transformation de portes en fenêtres – Demande et autorisation
    Prise de gaz : l’entrepreneur demande l’autorisation de faire une tranchée
  • (III) 1884 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire de faire ravaler la façade – Demande de recrépir et de repeindre les murs extérieurs – Autorisation
  • (IV) – 1885 – Autorisation d’apposer une enseigne sur une plaque en bois
  • (V) – 1885 – Le sergent de ville fait un rapport parce que la maison est en mauvais état – Expertise de la ville d’après laquelle les bâtiments sont en bon état
  • (VI) -1887-1888 – Demande d’exécuter des travaux décrits en 12 articles dans les maisons n° 4 et 6 – Permis le 1 mai 1888 – Demande de raccord aux égouts municipaux, Permis – 14 septembre 1888 : un soupirail dépasse de l’alignement autorisé et accord qui autorise l’empiètement moyennant une rente foncière annuelle
  • (VII) – 1893 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire de faire ravaler la façade – Demande de délai pour plusieurs auberges – La deuxième demande de délai du 21 avril 1894 est refusée
  • (VIII) – 1900 – 24 août 1900, Autorisation de poser une échelle sur la voie publique pour exécuter des travaux
    9 mai 1900, La Police du Bâtiment notifie le propriétaire de ravaler les façades qui ont été ravalées moins de dix ans auparavant : correspondance
    15. Sept. 1900, Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour exécuter des travaux
    Suivi des travaux
  • (IX) – 9 juin 1904 : la Police du Bâtiment notifie le propriétaire de ravaler les façades. Comme un ravalement a eu lieu récemment, elle accorde un délai d’un an. Le façade est ravalée en octobre 1905
  • (X) – 1905-1909 – Visite de la maison : mansardes
  • (XI) – Octobre 1906 : conditions à remplir pour l’exposition de l’association « Kanaria » dans la salle du restaurant
  • (XII) – 1906, Lanterne électrique sur la façade pour remplacer une lanterne à gaz ; autorisation précaire du fait que la saillie est supérieure aux prescriptions du règlement
  • (XIII) – Novembre 1907- février 1908 : Transformation des toilettes du restaurant
  • (XIV) – 1913, La Police du Bâtiment demande au propriétaire de nettoyer la façade. Les travaux sont autorisés alors qu’ils sont terminés
  • (XV) – Juin-juillet 1913, Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade
  • (XVI) – 1920 – Exploitation de l’auberge – Travaux à faire dans la maison suite à la plainte d’un locataire
  • (XVII) – 1921 – Réparation des parquets : l’entrepreneur demande de placer un chaudron d’asphalte sur la voie publique
  • (XVIII) – 1922-1924 – Marcel Hodel sollicite l’autorisation de continuer à exploiter l’établissement, décembre 1922
    Visite des lieux, observations, janvier 1924. Les transformations sont réalisées en 1925.
    Demande pour agrandir la cuisine du restaurant, mai 1922. La Police du Bâtiment demande que le projet soit modifié pour que la surface de la cour soit conforme aux prescriptions – Nouveau projet, mai 1922, accepté bien que la surface de la cour soit toujours inférieure à celle qu’exige le Règlement de voirie. Permis de construire (septembre 1922) qui expire sans que les travaux soient exécutés. Le propriétaire de l’établissement demande que la validité soit prolongée. Nouveau permis de construire 25 avril 1924. Les travaux sont terminés en août.
  • (XIX) – 1922-1923 – Cuisinière et tuyaux de poêle en mauvais état. Le propriétaire fait réparer le tuyau. Plainte d’un locataire en février 1922, travaux.
    L’inspection en décembre 1922 constate que la toiture est en mauvais état. Réparation entre juin et octobre 1923
  • (XX) – Janvier 1924 – Le propriétaire de l’établissement proteste qu’il doive payer des droits pour les lampes – Réponse de la Police du Bâtiment
  • (XXI) – Enseignes – 1930, Enseigne pour « Le Foyer », Robert Dowler
    1932 : Estaminet « Au Chasseur magique »
  • (XXII) – 1933 – Un locataire se plaint de la fumée – E. Forler demande l’autorisation d’accrocher une vitrine sur la façade, autorisation accordée le 11 décembre 1933
  • (XXIII) – 1936 – Pose d’une enseigne en lettres détachées « Au Bon Bock » – Transformations extérieures et intérieures du bâtiment, le propriétaire s’engage envers la ville au cas où celle-ci achèterait le bâtiment non aligné – Pose d’une enseigne lumineuse – L’entrepreneur demande à être autorisé d’occuper la voie publique – Autorisation pour une enseigne en encorbellement déjà en place
  • (XXIV) – 1938 – Pose d’une enseigne en lettres détachées sur l’encorbellement en saillie sur la façade
  • (XXV) – 1939 – Incendie dû à la cheminée – Travaux (non décrits)
  • (XXVI) – 1941 – Demande de repeindre la façade, travaux non exécutés
    Demande de reprendre l’exploitation de l’auberge par Ernest Linck : description des locaux destinés à l’auberge
    Octobre 1941 – Demande de poser une enseigne en lettres détachées (traduction de l’enseigne en allemand) ; l’enseigne est déjà posée lors de la demande qui est déposée sur intervention des services municipaux.
  • (XXVII) – 1942 – Léon Baechler, exploitant de l’auberge, demande permission d’apposer une enseigne lumineuse
    Inspection des cheminées par un maître ramoneur. Modifications à faire, réalisées en partie en 1943.
    Le Commandant de police demande une inspection des auberges ; rapport sur le Chasseur magique.
  • (XXVIII) – 1948 – Léon Beckler demande à être autorisé d’exploiter le débit de boissons « Au Chasseur magique »
  • (XXIX) – 1956 – Demande de poser un échafaudage sur la voie publique
  • (XXX) – 1957 – Conformité des locaux – Jean Pierre demande à être autorisé d’exploiter le débit de boissons
  • (XXXI) – 1958 – Effondrement d’une grille de soupirail
  • (XXXII) – 1961 – Conformité des locaux – Eugène Kientz demande à être autorisé d’exploiter le débit de boissons
  • (XXXII) – Demande d’apposer une enseigne

Relevé d’actes

Les héritiers d’Ambroise Hetzel, ancien aubergiste à la Hache, louent l’auberge au Lion Rouge près de la Porte du péage à Jean Satz

1660 (2. april), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 382-v
Erschienen Lorentz Bilg. der Gastgeb. Zur Blumen und hannß carl Schedler der Metzger, beede im nahmen weÿl. H Ambrosÿ Hetzels geweßenen Gastgeben Zur Äxt nunmehr seel: gesampter Erben, derentweg. die anweßende de ratihabitione stipulatâ manû cavirt
in gegensein Johann Satzen
verlühen haben die herberg Zum roth. löwen mit allen deren Gebäwen, Begriffen und zugehördten beÿm Zollthor geleg. vff Zweÿ Jahr lang von Weÿhenachten a° 1659 angerechnet um einen jährlichen Zinß benantlich 35 Pfund
[in margine :] (…) weilen die lehnung, weg. eingetrettenen Kauffen sich nunmehr geendet habe, vorstetende lehnungß Verschreibung wid. zu cassiren befehlend. Act. 29. Julÿ a° 1661

Les héritiers d’Ambroise Hetzel remboursent au Chapitre de St Pierre le Vieux un capital garanti par un acte de 1388 sur une maison rue de la Fontaine qui a été réunie à l’auberge au Lion rouge

1661 (14. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 421-v
Erschienen Georg Beÿerbach alß Schaffner des Stiffts zum alten St. Peter
in gegensein hannß Jacob Schneiders deß zinn Gießers im nahmen weÿl. ambrosÿ Hetzels geweßenen Würths nunmehr seel. gesambter Erben
bekannt, daß Sie die Hetzelische, besagtem Stifft, die jenige 5 ß welche Sie Ihme nach anlaÿtung eines pergamentinen lateinischen 5. Idibus 74.bris A° 1388 mit deß bischofflich. Hoffs anhangendem Insigel gefertigten Donationsbrieff, Von uff und ab Ihrer ahne der Bieckher Gaßen gelegenen Eck behausung, so etwann ein absonderlich hauß war, nunmehr aber der Herberg Zum Roth. Löwen ein Verleibt ist, Zu raich. schuldig geweßen seind, mit 10. lb alß Verglichener maßen abgelöst

Les héritiers Hetzel vendent 1 150 livres l’auberge au Lion rouge au lieutenant colonel Louis de Wenckstern

1661 (15. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 423
(Prot. fol. 33. fac. 2 & fol. seq.) Erschienen H. Niclaus Reb Notarius alß H Hannß Ernsten Gastgeben Zur Äxt, / :welch/ leibßblödigkeit halben diß orts nicht erscheinen können, vermög eines (vorgelegten) Gewaltscheins hierzu gevollmächtigter Befelchhaber mit beÿstand Fr. Saræ sein H. Ernst ehelich. haußfrauen, Mehr Ursula Hetzelin mit beÿstand H. Lorentz Kleinen deß Gastgeben Zur Kannten ihres Curatoris, Ferners H Hannß Jacob Schneid. der Zinngießer alß Vogt H Lorentz Bilgers deß Gastgeben Zur Blumen, mit weÿl. Salomeen Hetzelin nunmehr seel. ehelich erziehlter Zweÿer Kind. Andreß. und Lorentz, mit beÿstand erstgedachts ihres eheleiblich. Vatters, weiters Margaretha erstermelts Schneiders eheliche haußfraw mit assistentz sein deß Ehevogts, Ferners Er Schneid. alß Vogt Ambrosÿ Hetzels, So dann hannß Carl Schedler der Metzg. alß Ehevogt Catharinæ Hetzelin /:so weg. ihrer Kindbett, diß orts nicht selbst erschienen könne:/ Und Zwar offtermelter hannß Jacob Schneid. mit beÿstand H Johann Peter Schmidts und H Johann Leonhardts Fröreißens beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel ad Contractus Minorum insonderheit Deputirter
in gegensein deß Freÿ Reichß Wohl Edelgebohrnen Gestreng H Ludwig von Wenckhstern, Obristen Leutenants – vff Herrn Rhät und XXI. an besagtem 5.ten hus. ertheilten Consens
die Gastherberg Zum Roth. Löwen mit dero hoffstatt, Bronnen, stallung, und allen übrig. Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie ahne der Obern Straß. ist einseit ein Eckh an der Bieckhergaß. anderseit neben einem Allmendgäßlein, hind. vff hannß Rudolph Odersoot den Meelmann stoßend gelegen – umb 1150 Pfund

Louis de Wenckstern loue pour trois ans l’auberge au Lion Rouge rue de la Fontaine à Jean Satz

1661 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 539-v
Erschienen der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne Gestreng H Ludwig von Wenckhstern, Obrister leutnant
in gegensein Johann Satzen deß Würths
entlehnt, die herberg Zum Roth. Löwen alhie an der Bieckhergaß. geleg. vff treÿ Jahr lang von iungst verschienenen Joh. Bapt: angerechnet um einen iährlich. Zinß, benantlich für daß erste Jahr 35 Pfund, Vnd für Jedes der zweÿ übig. Jahr 40 Pfund pfenning, (…)

Louis de Wenckstern loue pour neuf ans l’auberge au Lion Rouge à l’angle de la rue de la Fontaine à André Schneider, aubergiste au Bateau. En mention marginale, Anne Euphrosine de Wenckhern, unique héritière du bailleur confirme en 1670 la location à Susanne, veuve du preneur

1663 (16. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 174
Erschienen der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne Gestreng H. Ludwig Von Wenckhern Obrist Leutenant
in gegensein Andres Schneiders deß Würthß Zum Schiff mit beÿstand hieronÿmi Engelhardts deß Weinstichers
Verlühen, die herberg Zum Rothen Löwen alhie am Eckh der Biecker Haß gelegen, uf 9 Jahr lang von bevorstehend. Annunciationis Mariæ angerechnet, um einen Jährlich. Zinß benantlich 35. lb
[in margine :] Erschienen d. Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne H Philipß Ludwig von Kippenheim deß beständigen Regiments der herren Fünffzeh. alß Curator Jfr. Annæ Euphrosinæ von Wenckhern des H. Verleÿhers adelich. und einig. dochter und Erbin an einem, So dann Susannæ deß Enthlehners wittib mit assistentz hannß Jacob Rothbackh deß Schwartzbeck. ihres Curatoris am andern, Zeigten an, wiewohl. beÿdes der H Verleÿher und der Entlehnter, inmittelst verstorben seÿen, Sowohlen iedoch daß deß Hn Verleÿhers Jfr dochter, Vnd deß Entlehners wittib dießer Lehnung einand. außhalten (…) Act. 7. martÿ a° 1670

Anne Euphrosine de Wenckstern épouse en 1674 Jacques Christophe Grempp de Freudenstein
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 176-v)

1674. Donnerstags den 19.ten Mart: seind in Hr. * Von Kippenheim behaußung copulirt worden, (16) Hr Jacob Christoph Grempp Von Frewdenstein Isenburgischer Rhat undt Amptmann, Weiland Hr * Ludwig Gremppen Von Frewdenstein nachgelaßener ehel. Sohn, Jfr. Anna Euphrosina Von Wenckstern, Weiland Hr Ludwig Von Wenckstern geweßenen Obr. Leutenant mit Fr. Anna Catharina Von Wenckstern gebohrner Waldnerin Von Frewdenstein nachgelaß. ehel. T. (i 179)

Anne Euphrosine Grempp de Freudenstein née de Wenckhstern loue pour cinq ans l’auberge à Jean Georges Holtzschuh le jeune

1674 (13. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 500-v
der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne Herr Friderich Ludwig Von Schmidtburg alß Curator Fr. Annæ Euphrosinæ Grempin Von Frewdenstein gebohrner Wenckhsterin und herrn Jacob Böhler Notarius und Ihr Fr. Grempin Schaffner
in gegensein hannß Georg Holtzschuchß deß Jüngern ledig. würths mit beÿstand hannß Georg Holtzschuchs deß ältern, Kieffers seines eheleiblichen Vatters und H. Hannß Barthol Notters deß Schuhmachers seines noch ohnentledigten Vogts
Verlühen die Herberg Zum Rothen Löwen alhier an der Obern Straßen gelegen uff fünff Jahr lang Von nechst Kommend Michaelis angerechnet, um einen jährlichen Zinß, benantlich 35. lb.

Anne Euphrosine Grempp de Freudenstein née de Wenckhstern loue pour quatre ans l’auberge à Anne Rosine veuve de Jean Jacques Kupfferschmidt, aubergiste à l’Ange. Le bail est résilié l’année suivante par la preneuse et son mari Philippe François Gretzinger

1675 (22. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 92-v
der freÿ Reichß hoch Edelgebohrne Herr Friderich Ludwig Von Schmidtburg und herr Johann Jacob Böhler Notarius beÿde alß ihrer anzeig nach Constituirte Mandatari frawen Annæ Euphrosinæ Grempin von Frewdenstein gebohrner Wenckhsterin
in gegensein herrn Jacob Spielmanns E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers alß curatoris Annæ Rosinä weÿl. hannß Jacob Kupfferschmidts geweßenen Würths zum Engel nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, mit beÿstand herrn M. Johann Ulrich Kupfferschmidts Pfarrers zu Illkirch ihr Annæ Rosinæ Kinder Vogts wie auch herrn Johann Niclaus Caroli wohlgedachten Rhats Beÿsitzers
entlehnt, die Herberg Zum Rothen Löwen alhier ahn der Obern straß gelegen uff 4. Jahr lang Von bevorstehend. Annuctiat. Mariæ angerechnet umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 40. lb
[in margine :] Erschienen hierinn Edelgemelter herr Von Schmidburg und Herr Notar. Böhler, uff Verleÿhenden seilen, an einem, So dann Philipp Frantz Gretzinger alß ietziger Ehevogt hierin gedachter Annæ Rosinæ Kupfferschmidischer wittibin der Entlehnerin am andern theil, Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, demnach besagte Anna Rosina und berührter ihr Ehevogt sich entschloßen hierinn bedeutete lehnung länger nicht, dann biß nechst Kommend Michael. Zue continuiren, der fraw Verleÿherin aber nichts desto weniger annehmliche satisfaction zu geben So hette dann, Sie Rosina, mit consens ob Edelged. H von Schmidburgs und H. Not. Böhlers alß der adelichen Frawen Von Krempin Mandarario hannß Friderich hannß Metzgern dem Metzgern und Annæ Barbaræ beÿden Eheleuthen diese Lehnung die übrige Jahr acht übergeben (…), Allermaßen denn besagter hannß Friderich Hannßmetzger und Annæ Barbaræ beÿde Eheleuth und Zwar diese, mit beÿstand herrn hannß Jacob Rueffen E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers und herrn hannß Carl Schragen deß Saÿlers alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther hierbeÿ erschienen (…), hatt sich auch hierbeÿ persönlich gestellet herrn Joachim Schurer der Sattler und hatt sicht dafür verbürgt – Act. den 31. Julÿ a° 1676.

Anne Euphrosine de Wenckhstern femme de Jacques Christophe Grempp de Freudenstein hypothèquent l’auberge au profit de Jean Jacques Bœhler, greffier à la chambre de manance

1676 (4. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 415
Herr Johann Jacob Böhler Notarius alß frawen Annæ Euphrosinæ Grempin Von Frewdenstein gebohrner Von Wenckhstern, & herrn Jacob Christoph Gremp Von Frewdenstein Ehegemahlin, Vermög seines Sub dato Ronnenburg den 17. h.us jüngsthien außgefertigten (…) Gewalts hierzu constituirter Mandatarius
in gegensein herren Johann Böhlers Pfundzollers und Schirmb Gerichts Actuarÿ – schuldig seÿen 400 Gulden
unterpfand, die Herberg Zum rothen Löwen mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der Obern straßen gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Matthiß Immlers deß Würths Zum Roth. Löwen, alß ietzmahlig. besitzers deß hierinn gemeldt. Und.pfandts (quittung), Act. d. letzt. April 1691

Jacques Christophe Gremp de Freudenstein et Anne Euphrosine de Wenckstern vendent l’auberge au Lion rouge à Mathias Immler pour 2 100 florins

1677 (15. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 689-v
Matern Melckher der Handelßmann alß Herrn Jacob Christoph Grempen Von Frewdenstein, und frawen Annæ Euphrosinæ Krempin Von Frewdenstein gebohrne Von Wenckhsterin beÿde ehegemahl Vermög Zweÿer sub datis 3. Febr: und 10. April. dießes iahrs resp. Zu Gelnhaußen und Franckhfurt am Maÿn ertheilter selbst händig underschriebener mit deren fürtruckhten Pittschafft Verwahrter (…) Gewaltschein, hierzu constituirter Mandatarius
in gegensein Mathis Immlers deß Würths, mit beÿstand hannß Caspar Immlers deß Metzgers Zur Waßlenheim, seines eheleiblichen Vatters
die Gastherberg Zum Rothen Löwen mit deren hoffstatt, bronnen, Stallung und allen übrigen Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeit alhier ahne der Obern Straß, ist einseit ein Eckh ahn der Bickher Gaß, anderseit neben einem Allmend Gäßlein, hinden uff Hannß Rudolph Odersoot den Mehlmann stoßend gelegen, welche behaußung annoch Krafft der am 4. April. A° 1676 in der Cancelleÿ Contract stuben uffgerichteter Obligation umb 400. R. Herren Johann Böhlern alten Schirmgerichts Actuario Verhafftet – Zugangen umb 2100. R.

Mathias Imler, natif de Wasselonne, vient d’acquérir le droit de bourgeoisie pour lui, sa femme Timothée Schmitt et leurs trois enfants
1677, 3° Livre de bourgeoisie f° 1003
H. Mathiß Imler Von Waßlenheim ietziger Würth Zum Löwen, erkaufft das burgerrecht für sich und seine hausfr. demuth Schmidin wie auch seine treÿ Kinder hanns Caspar, Mathiß und Barbaram p. 20 goltR. welche Er auff den Pfenningthurn erlegt hatt, Jur. d. 1. aug. 1677

Mathias Imler hypothèque la maison qu’il vient d’acheter au profit de Jean Bœhler, greffier à la Chambre de manance. Son père Jean Gaspard Imler, boucher à Wasselonne, se porte garant.

1677 (15. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 691-v
Mathis Immler der Würth
in gegensein Herrn Johann Jacob Böhlers Notarÿ, im Nahmen Herrn Johann Böhlern alten Schirmgerichts Actuarÿ seines eheleiblichen Vatters – schuldig seÿe 600. R. à 15. batzen, daß derselbe nachbeschriebene behaußung erkauffen und daß Angelt erlegen können
unterpfand, die Gastherberg Zum Rothen Löwen mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten, alhier ahne der Obern Straß ist einseit ein Eckh ahne der Bickhergaß, anderseit neben Einem Allmend Gäßlein, hinden uff Hannß Rudolph Odersoot den Mehlmann stoßend gelegen, welche behaußung Zuvorhien Krafft der am 4. April. A° 1676 in der Cancelleÿ Contract stuben Vergasten Obligation umb 400. R. den Creditori, so dann umb 675 R. Herrn Jacob Christoph Grempen Von Frewdenstein und frawen Annæ Euphrosinæ Grempin Von Frewdenstein gebohrne Von Wenckhsterin beÿde Ehegemahlin Verhafftet
Deßen Zu noch mehrern Versicherung so ist auch hierbeÿ persönlich erschienen Hannß Caspar Immler der Metzger Von Waßlenheim, deß debitoris eheleiblicher Vatter, der hatt sich für diese Schuld und biß dieselbe Völlig wird bezahlt sein Verbürgt

Inventaire des biens de Philippe Louis Benner, préposé aux ventes, de sa femme Elisabeth et de leur fille Elisabeth, femme séparée de Mathias Imler, fils du propriétaire précédent. Elisabeth Benner a des prétentions sur l’auberge au Lion Rouge

1698 (27. 7.bris), Me Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 8) n° 347
Designatio und Verzeichnus der jenigen Nahrung und Vermögen, welche Herrn Philipp Ludwig Benner der Keuffler und frawen Elisabethæ Bennerin, beeden Eheleuthen, So dann frawen Elisabethæ Imlerin gebohrne Bennerin dero dochter, allen Burgern alhier in Straßburg eigenthümlich Zugehörig, und Ihrer Anzeig nach, sich jetzmahlen annoch allhier in Straßburg befinden – So beschehen Strassburg den 27.sten Septembris A° 1698.

Summa summarum vorstehender den beeden Bennerischen Eheleuthen Zuständiger Nahrung und Vermögen Ist 572 lb
Der dochter, Schulden, Mathiß Imler der Jüngere deroßelben geschiedener Ehemann, oder vielmehr desselben Vatter, H. Mathiß Imler der Ältere, soll für die Ergäntz. Ihres abgegangenen unveränderten guths 218, Ferner fordert Sie an denselben, für die verschriebene Morgengaab, 40 lb, Itel für Hochzeit Kleidung 18 lb 15 ß d, so dann ein Gewisse Genus ahne der Gastherberg Zum Löwen, weÿlen aber solche Posten ex adverso disputirt werden, und die Partten deßwegen, beÿ E.E. Gr. Rath, in Process stehen, alß hett mann alhier mehrs nicht alß dießen bericht, beÿ ehren wollen
Summa summarum der Vermögens, so der dochter zugehörig 254 lb
Summarische Designation, Sa. hausraths und Vahrender Haab ist 80, Sa. Silbers 4, Sa. Guldener Ring 9, Sa. baarschafft 513, Sa. Activ-Schulden 218, Summa thut 826 lb

Matthias Imler épouse Elisabeth Benner en 1696
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 68-v, n° 378), 1696 – Mittwoch d. 1. aug. wurd. nach zweÿmahliger außruffung copulirt Matthias Imler der ledige Gastgeber V. B. allhier Hrn Matthis Imlers E. E. Kl. Raths alt. Beÿsitzers V. Gastgebers Zum Roth. Löwen allhier ehl. Sohn, V. J. Elißabetha Hrn Philipp Ludwig Benners des küffers V. B. allhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Matthias Imler als hochzeiter, Elisabetha bennerin als hochzeiterin (i 68)

Inventaire de séparation et partage entre Mathias Immler le jeune, aubergiste au Lion rouge, et sa femme divorcée Elisabeth Benner. L’inventaire des apports dressé par le même notaire en 1696 n’est pas conservé.

1698 (24.7.), Me Kolb (Jean Pierre, 23 Not 1) n° 40
Inventarium und beschreib. aller Haab, Nahrung und güttere so Herrn Matthiß Immlern dem Jüngern würth und gastgeber zu Rothen löwen auch burgern alhier unnd Frn. Elisabethæ Bennerin beede von Einem hochlöbl. Constistorial und Ehegericht der Statt Straßb. geschiedene Eheleuth zuständig und vermög E.E. Großen Raths Erkanntnus vom 21.ten Julÿ 1698. – Actum in der Königl. freÿen Statt Straßb. in ferneren beÿsein beederseits Eltern Hn Mathis Immlers deß alten und Hn Philipp Ludwig Benner der frn. Vatter und geschwornen vogts auf donnerstag den 24. Julÿ Anno 1698.

Inn einer alhier inn der Statt Straßb. ane dem Zollthor gelegenen und Zum Rothen löwen genant würths behauß. ist befund. word. wie volgt.
Inn der obern Innern Cammer – Höltzen: und Schreinerwerckh, In der obern Stuben
Schulden auß der Nahrung Zu bezahlendt, It. Hr. Mathis Immler dem ältern solle man ane restirend. haußzinßes
Ergäntzung der Frawen unveränderten Guths, Auß dem über beeder gescheidener Eheleuthen den 18.ten aug. in Anno 1696. aufgerichteten zusammen gebrachten Nahrungs Invantario durch mich
Norma hujus inventarÿ, des Manns Nahrung, Sa. Kleid. und weißgezeugs 23, Sa. haussteuren 8, Sa. leeren stuck vass 4, Sa. Silbers 13, Sa. guths Ergäntzung 138, Summa summarum 188.
der Frn. unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 130, Sa. Silbers 18, Sa. Goldener Ringe, 16, Sa. göttel lädel gelts 7, Sa. haussteuren 8, Sa. der Schulden 18, Sa. Ergäntzung 218, Summa summarum 419 lb
die Theilbahre Nahrung, Sa. hausraths 92, Sa. Weins und leeren vaßen 143, Sa. geraucht Fleisches 2, Sa. frücht. 19, Sa. haw und strohs 4, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 38, Sa. theilbar activ schuld 43, Summa summarum 353 – Passiva 381 lb – Compensando 28 lb
dieweilen dan beÿ solcher bewandnus die fr. unter Rath und guth befind. Ihres leiblich. Vatters vor dißorts geschwornen Curatoris aus die theilbar Nahr. Verzug gethan und. dieselbe dem Mann activé et passivé cedirt und überlaß. alß wird obiger Nachstand Und deß Mans restirenden unveränderten guth zu defalciren und ab Zu Zieh. sein, thut von her fol. 188. Nach deßen Abzug verbleibt 160. lb – Conclusio finalis Inventarÿ 560. lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Nahrung Zu geltend so theilbar 5.
deß döchterleins Pfetter: Göttel: und Geschenckt geldt

Mathias Immler loue un emplacement pour un étal devant l’auberge au cordier Jean Frédéric Fruchter

1710 (12.4.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 263-v
Mathias Immler roth Löwen würt
in gegensein Joh: frid: fruchters seÿlers
entlehnt, ein plätzlein zu einem standt vor besagten Gasthauß mit verspruch ihm oben einen rechen machen zu laßen, auf 6 jahr lanng anfangend auf Joh. Bapt. nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 8 R

Timothée Schmid meurt en juillet 1704 à l’âge de 66 ans après une courte maladie, Mathias Imler trois jours plus tard à l’âge de 62 ans. Les témoins sont leur gendre Chrétien Westermann et leur fils Mathias Imler
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1698-1713, f° 70-v) 1704 Heut dato den 23. Julÿ ist zu nacht zwischen 9 v. 10 Uhren Fr. Demuth S. T. Herrn Hanns Caspar Immlers geweßenen gastgebers Zum Rothen löwen Wie auch E. E. Großen Rath alter beÿsitzer Undt Fabric Pfleger beÿ der kirch Zum Alten St Peter Eheliche haußfr. gebohrne Schmidin nach außgestandener 11. tägiger schwerer Kranckheit, ihres alters 66. jahr 7 monat v. 2. tag gestorben vndt den folgenden 26. dato Christlich nacher St Gallen begraben worrdn [unterzeichnet] Christian Westermann Als sohn, Mathias Imler als sohn (i 71)

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 70-v) deßgleichen ist den 26. Julÿ Vormittag zwischen 10 & 11 Uhren S. T. H. Mathias Imler burger und gastgeber Zum Rothen löwen Wie auch E. E. Großen Rath alter beÿsitzer Undt Fabric Pfleger beÿ der kirch Zum Alten St Peter nach außgestandener 14. tägiger Kranckheit, seines alters 62. jahr und 6 monat gestorben v. den folgenden 27. dato Christlich nach St Gallen begraben [unterzeichnet] Christian Westermann Als sohn, Mathias Imler als sohn (i 72)

Mathias Imler et les ayant-droit Westermann (Jean Jacques Westermann et Anne Marguerite Westermann femme de Jean Pupff) louent l’auberge à Jean David Kugler pour deux ans et demi

1711 (ut supra 27.7.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 421
Diebold Kräutler rappenwürt zu Schiltigheim alß vogt Johann Jacob Westermanns, Item Joh. Pupff würth auf der Gerber stub als ehevogt Annæ Margarethæ Westermännin, Item Mathias Imber würth
in gegensein Joh. David Kuglers gastgebers
entlehnt, das gasthauß zuem rothen löwen in der straß einseit ist ein eck an der bickergass anderseit neben den Spielmännischen EE hinten auff -, bis auf der mutter Cammer und Matthias Immlers 3. Cammeren, Item auf den untersten fruchtkasten platz für 30 à 40 frtl. frucht oder meel, auch soll Matthias Immler das Recht haben im hauß ein und aus zu gehen auch beÿ dem Entlehner feuer und licht zu haben seÿn, der grempen laden wird denen verleihern verbehalten, auff 2 und ½ jahr lang anfangend auf Michaelis 1711, um einen jährlichen Zinß nemlich 100 lb

Mathias Imler loue l’auberge à Jean Philippe Feigler pour trois ans

1715 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 410
Mathis Immler der würt zum rothen Löwen
in gegensein J: Philipp feigler würts
entlehnt, d. gasthauß zuem Rothen Löwen allhier in der straß einseit ist ein eck ahn der Pickergass anderseit neben Spielmann hinten auff Niclaus Hoffmann stoßendt nichts alß 4 Cammern und einen fruchtKasten außgenommen welche der verleiher sich reservirt doch mit dem beding, daß der Entlehner solchen für Kasten brauchen soll wann der verleiher ihn nicht brauchen solte, auf 3 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt. 1715, um einen jährlichen Zinß nemlich 100 lb
[in margine :] hierinnen stehende Parthen haben in gegenwart Joh: Pupff würts auf der Gerber stueb Demnach ihm Pupff die helffte ahn hierüber stehenden hauß ehevögtl. weiß gehöre, alß solle die lehnung zwar außgehalten werden, so fern er Pupff von bessagter gerber stueb indeßen nicht vertreiben werden solte Er aber vertreiben werden, so soll solcher lehnung allein 9 viertel jahr währen und alß dann selbige ihm Pupff eingeraumet werden, ultimo Maÿ 1715

Inventaire des apports en mariage de Jean Philippe Feigler, aubergiste au Lion Rouge, et d’Anne Marguerite Riehl. L’inventaire est dressé rue Pick (rue de la Fontaine, actuelle rue Adolphe-Seyboth)
1715 (13.6.), Me Lang (Jean Henri, 28 Not 4) n° 115
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehren vorgeachte Herr Johann Philipp Feigler Gastgeber zum Rothen Löwen und die Ehren: und tugendsame fraw Anna Margaretha gebohrne Riehlin, beede Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe gebracht, welche der Vrsach halben damit mann sich künfftiger Zeit wegen der Zwischen Ihnen beeden Eheleuthen mit einander auffgerichteten Eheberedung stipulirten Ergäntzung darnach zureguliren haben möchte – Actum in præsentia Herrn Johannes Widmanns Gastgebers Zur Sonnen deß Ehemanns Stieffvatters und Herrn Johann Jacob Riehlen der Ehefrawen Eheleiblichen Vatters, donnerstags den 13. Junÿ Anno 1715

In einer alhier zu Straßburg ane der Büggergaß gelegener und in dieße Nahrungen nicht gehöriger behaußung befunden worden wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Deß Eheherrn unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 202, Sa. Silber geschmeids 32, Sa. Goldener Ring 8, Sa. baarschafft 50, Sa. Schulden 13, Summa summarum 306 lb – Haussteuren 34 lb, Deß Eheherrn unveränderte Nahrung 340 lb
Der Ehefrawen unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 204, Sa. Silber Geschmeids 25, Sa. der Goldnene Ringen 25, Sa. baarschafft 109, Summa summarum 364 lb – Haussteuren 24, der Ehefrawen gantz unveränderte Nahrung 398 lb
Haussteuren 68 lb

Matthias Imler fait dresser l’inventaire de ses biens après avoir vendu l’auberge au Lion Rouge

1715 (24. Xbr), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 40) n° 26
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so Herrn Matthiæ Imlern, dem Gastgeber und burger alhier eigenthümlichen Zuständig – Actum dienstags den 24. Xbris A° 1715.

In der Gasthergerg zum Rothen Löwen befunden worden wie volgt
Sa. Haußraths 67, Sa. Schulden, H Johann Pupffen den Würth auff der Gerber Zunfftstub soll weg. aberkauffrten antheils ane d. Gastherberg Zum rothen Löwen ane Kauffschilling per Rest 2475 R, thun 1237 lb, Summa summarum 1304 lb, Davon Abzuziehen 562 lb – Nach solchem abzug 1146 lb

Mathias Immler vend sa moitié de maison à Jean Pupff, aubergiste au poële des Tanneurs pour 1 350 livres de Strasbourg

1715 (9.Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 851-v
Mathias Immler würt
in gegensein Joh: Pupff würts auf der Gerber stueb
seine helfte ahn der Gastherberg zuem rothen Löwen mit deren hoffstatt brunnen Stallung und allen übrigen gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten alles zuer helfte ahn der obernstraß, einseit ist ein eck ahn der Pickergass anderseit neben einem allmendt gäßlein hinten auf Niclaus feichter – 400 R wÿdum welche der verkäufer sich lebtägig reservirt – um 1350 pfund (1350)
[in margine :] Mathias Immler des ältern gew. gastgebers nachgelaßene Stamm und respe. wÿdums Erben hingegen erwehnter 400 R so ihnen nach absterben oberwenten verkäufers Mathias Immler junioris erblich anerwachßen nahmens H. Michael Keck Biersieder als Vogt Mariæ demuth mit Johann Krueg des Biersieders zu Franckforth, Ferner Johann Jacob Röderer Rothgerber und Lindenwürth zu waßlenheim, Item Matern Westermann Schuemacher, weither Maria Magdalena geb. Westermännin weÿl. Joh: Huck Schuemachers wittib mit beÿstand Christian Wolffgang Egelus Schuemachers ihres vogts, mehr Christian Westermann schuemacher, Jacob Westermann gleichfalls Schuemacher, Item Joh: Jacob Westermann Pflugwürth zu Schiltigheim, So dann Fr Maria Margaretha geb. Westermännin Daniel Barbenes des Fünffzehen botten Ehefrau (quittung) den 10. sept. 1726

Jean Pupff et Anne Marguerite Westermann hypothèquent au profit de l’hôpital bourgeois la maison qu’ils viennent d’acheter

1715 (14. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 863
Joh: Pupff würt auf der Gerberstueb und Anna Marg: geb. Westermännin beÿständlich Joh: Jacob Westermann Pfluegwürts zu Schiltigheim und Michel Rhein bierwürths zu Schiltigheim
in gegensein S.T. H Joh: Theobaldt Reiß alten Ammeister und XIII.ners, Item S.T. H. Jeremias Adam Leitersperger alten Ammeister alß hochverordneten herrn Pfleger deß mehrern spithals neben beneben H Joh: Martin Schlitzweck alß schafnern 1250 pfund zu erkauffung immediate infra versetzten behausung
unterpfand, ihr hauß cum appert: zuem rothen Löwen genannt alhier in der Straß, einseit neben Zintzner dem specereier anderseit ist ein eck ahn der Pickergass hinten auff –

Le nouveau propriétaire, Jean Pupff natif de la seigneurie de Nuremberg, est devenu bourgeois en 1702 après avoir épousé en premières noces Anne Elisabeth Hetzel, fille de jardinier. Sa femme meurt en 1709, il se remarie la même année avec Anne Marguerite Westermann qui lui apporte un quart de l’auberge au Lion rouge

1702, 4° Livre de bourgeoisie f° 740
Johann Bupff der würth Von Ottensols Nürnberg. Herrschafft Conrad Bubffen des Wewers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Verlobten Anna Elisabetha Von hier, Hannß Hetzels des Gartenmanns tochter gratis Vnd Wird beÿ EE. Zunfft der Freÿburger dienen. Jur: d. 23. 9.bris 1702.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 89-v, n° 491)
den 24. Jan. 1703 sind auff vorher gegang. ordentliche außruffung eingesegnet word. Johannes Pupff der ledige Gastgeber von Odenseß Nürenbergischer Herrschafft weÿl. Cunrad Pupffen des gewesenen burgers undt Leinen Webers daselbst nachgelaßeneer ehelicher Sohn undt Jfr. Anna Elisabetha, Johannis Hetzels des burgers und gartenmanns allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Pupff alß hochzeiter, Anna Elisabeth hetzlerin alß hochzeiterin, hannß Daniel Hetzel als Vatter (i 92)

Inventaire de succession
1709 (14.8.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 22) n° 831
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab undt Nahrung so Weÿland die Ehren und tugendsahme fraw Anna Elisabetha Pupffin gebohrne Hetzelin, des Ehren: und Wohl Vorgeachten Herrn Johann Pupffen Gasthalters vf E. E. Zunfft der Gerbere und burgers allhier zu Straßburg geweßene hertzgeliebte Ehegattin nunmehr seel. nach Ihrem den 29. Maÿ instehenden 1709.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Bilger Würth und Gastgebs Zum Gertenfisch undt auch burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Magdalenæ und Mariæ Salome der abgeleibten fraw seel. mit vorernanntem Ihmen hinderblieben Wittibern ehelich erzeigter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben – so beschehen allhier in der Königlichen statt Straßburg Montags den 19. Augusto A° 1709

In einer allhier zu Straßburg ane der Thucherstubgaßen gelegenen: E. E. Zunfft der Gerbere eÿgenthümblich zuständigen Gastbehaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen: und Schreinerwerck, Auff der bühn, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Großen Stuben, Auff dem Gang, In dem Gang Cammerlein, In der Gaststub, In der Gaststub Cammer, In der Nebens Cammer, In der Kuchen, Auff der Steegbrütsch, Im Keller
Ergäntzung, Nach besag Inventarÿ in Anno 1703 durch Hn Johann Peter Kolben auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des H. Wittibers Nahr. betreff. Sa. Silbers 15 ß, Sa. Ergäntzung 161, Summa summarum 161 lb
Der Erben Nahrung betreffend, Sa. haußraths 53, Sa. silbers 12 ß, Sa. Goldener Rings 2, Sa. Ergäntzung 26, Summa summarum 82 lb
Die Theilbahre Nahrung bet. Sa. hausraths 177, Sa. Meels 9, Sa. Wein und Leerer Vaß 579, Sa. Viehes 1, Sa. silbers 7, Sa. Goldener Ring 22, Sa. baarschafft 37, Summa summarum 815 lb – Schulden 327 lb, Rest Theilbahren guths 487 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 732 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft, Wavon das Eÿgenthumb diß Orths Kinder und Erben gebürtig, Vermög Inventarÿ über weÿl. frawen Christina Baurin der abgeleibten frawen Mutter seel. Verschreibung in A° 1694. auffgerichtet, und deme in fine annectirten Kinder Vertrags gebührs (…)
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johannes Pupffen leedigen Gastgebern Herrn Conradt Pupffen burgers zu odenhoß Nürenbergischer herrschafft ehelichen Sohn dem Hochzeiter ane Einem, Sodann andern theils der Ehren und tugendsammen Jgfr. Annæ Elisabethæ gebohrnee Hetzelin, deß auch Ehrenhafften Herren Hannß Hetzels Gerttenmanns undt burgers allhier zu Straßburg Eheleiblicher tochter (darbeÿ) Herrn Hannß Conradt Sternen Blumenmachers Ihres geschwornen Vogten – So beschehen auff Sontag den 12. 9.bris Anno 1702. Johann Peter Kolb Not. Juratus ac requisitus
Copia codicilli Reciproci – Im Jahr 1704 (…) vf donnerstags den 6. tag des Monats Martÿ – persönlich erschienen seindt Herr Johann Pupff Würth und Gastgeber und beneben Ihme die Viel Ehren und tugendsahme Fr. Anna Elisabeth gebohrne Hetzelin beede Eheleuthe v. burgere allhier zu Straßburg, Er Herr Codicillator gesund gehendt und stehendten leibs, Sie aber Fr. Codicillantin wegen Zugestandenen unglücklicgher Leibes geburth, auff einem bette liegend – Johann Peter Kolb Not. Juratus ac requisitus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 119-v, n° 16)
Mittwoch den 13. Novemb. 1709. seind (…) copulirt und eingesegnet worden, H. Johann Pupff der wirth auff der Gerberstub Und burger alhier, Undt Jungfr. Anna Margaretha Westermännin weÿl. hans Jacob Westermanns geweßenen wirth zum Pflug in Schiltigheim und burgers daselbst hinterlaßene Eheliche tochter, [unterzeichnet] Johannes Pupff alß hochzeiter, Anna margrega Westermennen als hochzeiterin (i 124)

Anne Marguerite Westermann devient bourgeoise par son mari
1709, 4° Livre de bourgeoisie p. 776

Anna Margaretha Westermännin, Von Schiltigheim, Hannß Jacob Westermann, Würths daselbst Tochter, empfangt das burgerrecht Von Ihrem Mann Johann Bopff p. 2. goldR. 16. ß Wird beÿ den Freÿburgern dienen P. d. 11. Ejusd. [Xbris 1709]

Inventaire des apports en mariage
1709 (23. 9.bris), Me Rohr (Daniel, 46 Not 22) n° 852
Inventarium und beschreibung Aller derjenigen Haab und Nahrung, Liegender v. Vahrender Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehren und Wohl Vorgeachte Herr Johannes Pupff Gasthalter auff E. E. Zunfft der Gerbere und die Ehren und tugendsahme Fraw Anna Margaretha gebohrne Westermännin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen allhier in fernerem Gegenseÿn deß Ehren und Wohl Vorgeachten herrn Diebold Kräuthler Würths zum Schwartzen Rößel und burgers in Schiltigheim der Ehefrauen annoch ohnentledigten Vogts, Sambstags den 23.ten Novembris Anno 1709.

In einer allhier zu Straßburg ane der Thucher Stubgaßen gelegenen: E. E. Zunfft der Gerbere Eÿgenthümblich zuständigen Gastbehaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen: und Schreinerwerck, Auff der bühn, Inn der Cammer A, Vor dießem Gemach, In der Gast Stuben, In der Großen Stub, Auff dem Gang, In der Kuchen, In der Speiß Cammer Im Zimmer N° 2, Im Zimmer N° 4, In den Kellern
Eÿgenthumb ane einer behaußung. It. ein vierter theil vor ohnvertheilt ane der Gastherberg Zum Rothen Löwen alhier zu Straßburg miy deren Hoffstätten, bronnen stallung und allen übrigen Gebäuen, begriffen, weithen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten ane der Obern straßen 1.seit ist ein Eck ane der Bickergaß, anderseit neben einem Allmend Gäßlein, hinten auff Niclaus Feuchter stoßend, welche behaußung allhier ohne Anschlag zusetzen beliebet worden mit dem beding wann selbige wehrender Ehe ver Kaufft werden solte, das darab erlößte wahre pretium Zuergäntzen seÿe
Der Kinder Pfetter: Göttel und Geschenckt Geld, Mariæ Magdalenæ Zuständig, Mariæ Salome gehörig
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Deß Herrn Nahrung betr. Sa. hausraths 549, Sa. Frucht und Meels 25, Sa. Weins und leerer Vaß 1134, Sa. Viehes 51, Sa. Silber Geschmeids 23, Sa. Goldener Ring 16, Sa. baarschafft 303, Sa. Schulden 14, Summa summarum 2113 lb – Haussteuren 36 lb, (Summa) 2150 lb, Schulden auß, p., 979 lb, Nach solchem abzug 1170 lb
Der Fr: unverändert Vermög. betr. Sa. hausraths 271, Sa. Früchten 14, Sa. leerer Vaß 3, Sa. Silbers 32, Sa. Goldener Ring 48, Sa. baarschafft 1245, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 245, Eÿgenthumb ane einer behausung -, Sa. Eÿgenthumb ane liegende güthern 51, Sa. Schulden 310, Summa summarum 2223 lb – Haussteuren 36 (Summa) 2259 lb – Schulden auß p. 91 lb, Deducendo verbleibt 2168 lb
Abrechnung mit Herrn Diebold Krauthler Würth zum Schwartzen Rößel und burger in Schiltigh. als Vogten und frawen Anna Margaretha Puoffin gebohrner Westermännun deß. Curandin
Extractus Auß Weÿland deß Ehrsamb Undt bescheidnenen Herrn hanß Jacob Westermann gewesenen Burgers und Pflug Würths zu Schiltigheim Seel. Verlassenschafft Underm Eilfften Martii 1709. auffgerichteten Haubt Inventarii und abtheillung besagt und ausweiset, was Hanß Jacob und Anna Margaretha die hinderlaßene Kinder durch das ohnparteischen Looß Vor Ihren Vätterlichen Zweÿ dritte theil Ahne der baarschafft zue und angefallen wie Volget

Georges Frédéric Zinssner, marchand épicier, et sa femme Marie Madeleine Pupff hypothèquent la part de maison qui revient aux Imler au profit du marchand Jean Léonard Pfæhler

1728 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 602, f° 562-v
Georg Friedrich Zinnßner Specirer und Maria Magdalena geb. Bupffin mit beÿstand ihres Vatters Johannes Bupff des gastgebers zum Rothen Löwen und ihrer mutter bruders Andreas Hetzel garttenmanns
in gegensein H. Johann Leonhard Pfähler handelsmanns – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, ¾ theil für ohnvertheilt ahne der gastherberg zum Rothen Löwen cum appertinentis an der Obern straß, einseit ist ein eck ahn der Picker: gaß anderseit neben Spielmännischen Erben darzwischen ein Allmend: gäßlein hinten auff Friedrich Früchter dem Seÿler

Georges Frédéric Zinssner, marchand épicier, et sa femme Marie Madeleine Pupff hypothèquent la part de maison qui revient aux Imler au profit de Jean Melchior Eschenauer, professeur au Gymnase

1728 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 602, f° 123-v
Georg Friedrich Zinnßner Specirer und Maria Magdalena geb. Bupffin mit beÿstand ihres Vatters Johannes Bupff Löwenwürths und ihres mutter bruders Andreas hetzel garttenmanns
in gegensein H. M Johann Melchior Eschenauer Præceptoris Superioris Gymnasÿ – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, besagter Bupf vor seiner tochter und tochtermann verbürgt, hypothecirt dreÿ vierdte theil für ohnvertheilt ahne der Gastbehausung zum rothen Löwen allhier ahn der Obern Straß, einseit ist ein eck ahn der Picker: gaß anderseit neben Spielmännischen Erben darzwischen ein Allmend: gäßlein hinten auff Friedrich Früchter den Seÿler

Jean Pupff et Marguerite Westermann hypothèquent la maison au profit de Madeleine Geyer

1730 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 74-v
Johannes Pupff der würth zu Rothen Löwen und Margaretha geb. Westermännin mit beÿstand H. Johann Friedrich Sachs und H. Adam Graff Exsen:
in gegensein Felix Niefferlin Fastenspeishändlers als vogt Magdalenæ Geÿerin – schuldig seÿen 107 pfund
unterpfand, die gastbehausung zum rothen Löwen bestehend in Vorder: und hinderhauß mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ahne der Obern: Straß gegen der Kirch zum Alten St Peter über, einseit ist ein eck ahn der Picker: gaß gegen dem Zollkeller anderseit ist ein Eck an einem nicht durchgehenden Allmend: gäßlein gegen H. Zinnßner Specirer und Spielmännischen erben, hinten auff Fruchter den Seÿler

Jean Pupff, aubergiste au Lion rouge, sa femme Anne Marguerite Westermann et Jean Jacques Westermann, aubergiste à la Charrue à Schiltigheim, vendent l’auberge à Jean Jacques Seltz, pâtissier, et à Chrétienne Salomé Korn pour 2 850 livres
1734 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 105

Johannes Bupff der gastgeber zum rothen Löwen und Anna Margaretha geb. Westermännin so dann der letztern bruder Johann Jacob Westermann der gastgeber zum Pflueg und burger zu Schiltigheim
in gegensein Johann Jacob Seltz des Pastentenbeckers und Christinæ Salome gebohrner Kornin beÿständlich ihres vatters H. Ambrosÿ Korn des Kieffers
die gastbehausung zum Rothen Löwen bestehend in vorder: und hinderhauß, Stallung, Bronnen und hoffstatt mit allen derselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, beneben verschiedenen in einer besondern Specification beschriebenen mitverkaufften mobilien, welches hauß alhier ahne der Obern straß, einseit ist ein eck ahne der Pickergaß anderseit neben H. Johann Ernst Spielmann J.V. Lto und Cancellariæ Oeconomi darzwischen ein allmendgäßlein hinten auff Nicolaus Fruchter den Seÿler gelegen – um 146, 20, 20, 13, 1250, 100, 75, 107, 56 und 287 capitalien verhafftet, ihme Bupff zur helffte die er am 9. dec. 1715 erkaufft, seiner ehefrau zum 4.dten theil und ihme Westermann auch zum 4.t theil so sie von ihren eltern ererbt – um 2076 pfund ausmachende passiva, geschehen um 773 pfund

Le nouveau propriétaire, originaire de Mittelbergheim, est devenu bourgeois en 1726 après avoir épousé Chrétienne Salomé Korn, fille d’un tonnelier et marchand de vin. Les nouveaux conjoints font dresser un inventaire de leurs apports. Ils habitent alors Grand rue la maison Korn.

1726, 3° Livre de bourgeoisie, f° 1356
Johann Jacob Seltz d: Pastetenbeck Von Mittebergh. erhalt das b: um die tertz d. neuen b. will beÿ E.E. Zunfft d: becker dienen Jur. d. 30.ten Martÿ 1726.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 208, n° 9)
1727 – Mittwoch den 14. Maÿ seind (…) copulirt und eingesegnet word., Johann Jacob Seltz der ledige Pasteten: Becker u. burger allhier, Weil. Joh: Jacob Seltz, geweßenen Schreiners u. burg. allhier hinterlaßener ehl. Sohn, u. Jgfr. Christina Salome, Ambrosius Kornen deß Kiefers und Weinhändlers u. burgs. allhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Seltz als hochzeiter, Christina Salome Kornin Als hochzeiterin (i 213)

Inventaire des apports en mariage
1727 (11.7.br), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 37) n° 950
Inventarium und Beschreibung aller der Jeenigen, Haab Nahrung und Güethere, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehrsame achtbahre und bescheidene Herr Johann Jacob Seltz, Pastetenbeck, und burger allhier, und die Ehren und tugendsahmme frau Christina Salome gebohrne Kornin beede Eheleuthe und burgere allhier einander in Ihren ohnlängst mit einander angetrettenen Ehestand zugebracht, und sich deren Jeedes Crafft Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für Eigenthümlich ohnverändert Vorbehalten hatt – Actum in der Königl. Statt Straßburg in fernerem gegenseÿn H. Ambrosÿ Kornen der Ehefrauen Vatters, auch frawen Mariæ Cleophæ Kräuttlerin gebohrner Sivermännin und H. David Kräuttler, Weißbeckens und burgers in dem fleckhen Barr, des ehemanns Mutter und Stieffvatter, Montags den 4. Augusti und 11.ten 7.bris A° 1727.

In einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg, ahne der langen straßen gelegenen Herrn Ambrosio Kornen der Ehefr. geliebten Vatter Eigenthümlich zuständig Von beed. Jungen Eheleuth aber Zum theil Lehnungsweiß bewohnend. behaußung befunden worden Wie folgt
Eigenthumb ahne einer behaußung (M.) Zween dritte theil ahne einer behausung in dem dorff Mittelbergheim in der Kirch gaßen
Series rubricarum, Des Ehemanns Nahrung, Sa. hausraths 147, Sa. Silbergeschirrs 19, Sa. Eigenth. ane einer behaußung 240, Summa summarum 406 lb, Schulden 15 lb, Nach deren Abgang 391 lb, haussteuren 48 lb, des Ehemanns Vermögen 440 lb
Der Ehefrau Nahrung, Sa. haußraths 185, Sa. Silbergeschirrs 27, Sa. Goldener Ring 29, Sa. baarschafft 265, Summa summarum 507 lb, haussteuren 48, Der Ehefraun Nahrung 556 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 996 lb

Inventaire de la masse Jean Pupff et Anne Marguerite Westermann après qu’ils sont vendu leur auberge. La fortune du mari est entièrement aborbée par les dettes passives, les biens de la femme suffisent cependant à couvrir les dettes.

1734 (6.5.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 233) n° 28
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Kleinerleÿ davon außgenommen, so der wohl Ehrengeachte Herr Johannes Bupff der Gasthalter zum rothen Löwen und die Ehren und tugendbegabte Frau Anna Margaretha gebohrne Westermännin beeder Eheleuthe dermalen activé besitzen und hingegen auch was dießelbe passivé zu bezahlen schuldig seÿn – In præsentia Tit. H. Joh: Andreæ Käufflins, Jurium Practici und Vice Procur: beÿ E.E. Großen Rath, auff seithen der KK. Erster Ehe erbettenen assistenten

In einer allhier ane der langen Obern Straß gelegenen zum Rothen Löwen genanden nun Verkaufften Würths behaußung folgender maßen sich befunden
Im hinderhauß – In der Schwartzgetüch Cammer Lit. A, Cammer B – Auff dem Tantzplatz
Im vorderhauß – In der Cammer C, Cammer E, Cammer H, In der Obern vordern Stub, In dero Cammer, Im Haußöhren, Untere Stub, In der Küchen, Im Haußöhren
Ergäntzung der Ehefrauen ermangelnden ohnveränderten Guths, Vermög durch nun weÿl. Herrn Daniel Rohren in A° 1709 auffgerichteten zugebrachten Nahrungs Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Ehefr. ohnverändert Guth, Sa. Silbers 24, Sa. goldene ringe 37, Sa. der baarschafft 30, Sa. des Eigenth. ane liegende, güth. 75, Sa. der activ Schuld 200, Sa. der Erg. per rest 3065, Summa summarum 2433 lb
Des Ehemanns und zugleich theilb. guth, Sa. hausraths 739, Sa. d. blumen auf dem feld 4, Sa. des meels 7, Sa. wein und leerer faß 34, Sa. Silbers 39, Sa. Pfgzß hptg. 1025, Sa. der guten activorum 16 lb, Summa summarum 1867 lb, Schulden 4613 lb, In Compensatione 2745 lb – Conclusio finalis Inv. vi. hernach (1329) lb
Wÿdumb So der Ehemann von weÿl. Fr. Anna Elis. Bupffin geb. Hetzelin seiner geweßenen erstern Ehegattin ad dies vitæ zu genießen berechtiget, Nehml. wie auß dem des Ehemanns mit seinen KK. I.r Ehe nahmentl. Maria Magdalena v. Maria Salome der Bupffen geordneten Vogten auffgerichteten KK. Vertrag de dato 30. 8.br 1709 erhellet – Wovon Fr. Maria Magdalena Zinnßnerin geb. Bupffin so nun an H. Georg Frid. Zinnßner den Specierern v. b. allh. nunmehro aber zu Oberbronn wohnhaft verheurathet
Copia der Eheberedung, zwischen dem Ehren Vorgeachten H. Johann Bupffen Gastgebern v. b. allh. Sodann d. Ehren v. tugendreiche Jungfr. Annæ Margarethæ Westermännin weÿl. H. Hß. Jacob Westermanns Gastgebers zum Pflug v. b. zu Schiltigheim tochter – den 7. oct. 1709, Johann Heinrich Lang sen. Not.

Anne Marguerite Westermann veuve de Jean Pupff meurt en 1762 au quai des Pêcheurs en laissant pour héritière une fille. Sa fortune s’élève à 485 livres
1763 (10.2.), Me Zimmer (6 E 41, 1403) n° 50
Inventarium über Weÿland der tugendsamen Frauen Annæ Margarethæ Bupffin, gebohrner Westermännin, auch weÿland Herrn Johann Bupff geweßenen Gastgebers zum rothen Löwen und burgers allhier zu Straßburg längst seel. hinterbliebenen Wittib nun auch seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 25.ten Decembris des Verfloßenen 1762.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitlichen verlaßen. Welche Verlassenschafft auf Ansuchen und begehren Frauen Mariæ Barbaræ gebohrner Bupffin, Philipp Jacob Kolb des burgers allhier verlaßener Ehefrauen, als der Verstorbenen seel: ab intestato hinterlaßener einiger Erbin, inventirt und ersucht, durch Sie die Erbin beÿständlich herrn Johann Daniel Groß des Gastgebers und burgers (geäugt und gezeigt) – So geschehen allhier zu Straßburg auff donnerstag den 10.ten Februarÿ Anno 1760.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zur Erbin verlaßen, Eingangs gedachte Frau Mariam Barbaram gebohrne Bupffin, Philipp Jacob Kolb des burgers allhier verlaßene Ehefrau, deroselben mit auch eingangs gemeltem Ihrem Ehemann ehel. erzeugte Tochter

In einer allhier zu Straßburg ane dem Fischerstaden gelegenen in diese Verlassenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 18, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Schuld 16, Summa summarum 485 lb – Schulden 61 lb – Stall Summa 425 lb

Inventaire de la masse Jean Jacques Seltz et Chrétienne Salomé Korn. Les biens du mari et ceux de la communauté sont absorbés par les dettes mais les biens de la femme sont supérieurs au passif. Outre l’auberge au Lion rouge, l’actif comprend la part de la maison Korn et un jardin sur lequel est construit une maisonnette

1755 (21.4.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 259) n° 603
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, keinerleÿ davon außgenommen, so herr Johann Jacob Seltz der Gastgeber zum rothen Löwen und frau Christina Salome gebohrne Kornin beede Ehepersonen und burgere dahier dermalen active besitzen und hingegen aber auch wieder, was sie passive zu bezahlen schuldig sind, welche, nach deme einige dringende passiv schulden vorhanden und alßo die Ehefrau ihres unveränderten Guths und andere so ihro die Eheberedung zugeschrieben zu ihrem weiblichen Recht greiffen müßen, auf freundliches ansuchen ihr der Ehefrauen selbsten mit Assistentz Tit. herrn Johann Heinrich Thennen Notarii publ. jur. und Practici auch burgers allhier

In einer allhier ane dem Zollthor hieherwärts gelegenen zum rothen Löwen genanden in dieße Nahrung gehörigen Gastbehaußung folgender maßen sich befunden,
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auff der bühn in j.r Cammer darhinden, In der Cammer über dem tantz platz, In der hindern Cammer, In des Knechts Cammer, In dem Neuen Cämmerl., In der bindel Cammer, In der großen Cammer, In der Cammer darneben, Im tantz platz, In der gebott stub
Eigenthumb ane Häußern – (T) Erstl. j. Gastbehaußung zum rothen Löwen genand bestehend in forder: und hinter hauß, Stallung, bronnen und hoffstatt mit allen derselben Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Obern Straß j.s ist jn. Eck ane der Pickergaß 2.s neben Hn Joh: Ernst Spielmann dem Specierern dar zwischen j. Almend gäßl. hinden auff Anthonj Chapuy den Amlungmachern stoßend, dißorts ohnpræjudicirlichen um den preiß als mann solche schon feÿlgebotten angeschlagen umb 3000 lb, Darüber bes. j. teut. perg. Kffbr. in allhies. C. Ct. gef. datirt den 20. mart. A° 1734, Darbeÿ noch 3 andere a. perg. Kffbr. allda gef. de datis 15. 8.br 1677, 19. febr. 1627 v. 9. Xbr 1715
(F) It. 1/9. theil Vor ohnvertheilt Von und ane j. beh. allhier ane der mittleren langen Straß (…)
(F) It. j. Gartenhäußl. mit ziegeln gedeckt und diehlen und riegelwand Versehen so auff j. bandplatz am Schießrhein (…)
In Mittelbergheim, It. j. beh. hoffstatt, Trotthauß und Keller (…) 400
Ergäntzung, Vermög der über beederseits zugebracht Nahrungen in A° 1727 durch weÿl. Herrn Not. Johann Adam Ösingern seel. vermutlich gef. und durch H. Not. Johann Jacob Öhlinger collationirt
Abzug gegenwärtigen Inventarii, der Ehefr. unverändert guth, Sa. hßraths 89 lb, Sa. lährer faß 3, Sa. Slbers 9, Sa. goldene ring 21, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 9, Sa. häußern 263, Sa. activ schuld 75, Erg. 892, Summa summarum 1363 lb
des Ehemanns unverändert und theilbahr Guth, Sa. hausrath 292 lb, Sa. lährer faß 52, Sa. Schiff und geschirr zum fuhrweßen gehörig 31, Sa. Pferds 3, Sa. heu 2, Sa. Silbers 30, Sa. häußern 3400, ß liegende gütheren 281, Sa. activ schulden 95, Summa summarum 4189 lb, Schulden 5796 lb, In Vergleichung, passiv onus 1606 – Zweiffelhaffte Schulden in des Ehemanns unverändert und theilbaren Nahrung zugeltend
Copia der Eheberedung, zwischen dem Ehrenhafften und wohl achtbaren Herrn Johann Jacob Seltzen Leedigen Pastettenbecken von Mittelbergheim gebürtig Weÿland Meister Johann Jacob Seltzen geweßenen Schreiners und burgers zu gedachten Mittelbergheim mit Frauen Maria Cleophea geb. Sivermännin deß Ehrsam und bescheidenen David Kräuttlers Weißbeckens und burgers in dem Flecken barr Jetzmahligen haußfrau erzeugtem Sohn, Sodann der Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Christina Salome geb. Kornin Herrn Ambrosÿ Kornen Kieffers und Weinhändlers burgers allhier mit Weÿland Frauen Christina Salome geb. Jostin erzeugten tochter – den 10. mart. 1727, Not. Joh: Adam Ößinger, Coll. Johann Jacob Ölinger

Inventaire après le décès de Jean Jacques Seltz, ancien cafetier, dans la maison du banquier Wiertz rue de la Lanterne
1767 (11.2.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 271) n° 1055
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Wohl Ehrenachtbare Herr Johann Jacob Seltz, der geweßene Caffetier und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 16.ten 7.br des letzt abgewichenen 1766.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Verstorbenen seel. ab intestato nach tod Verlaßenen und gleich nach dem Eingangs dieses Inv. ordentlich benahmbster Erben fleißen inventirt und ersucht durch die Viem Ehren und Tugendbegabte Frau Christinam Salome gebohrne Kornin die hinterbliebene Wittib mit assistentz S.T. Herrn Johann Daniel Buschen, J.U. Lti. und Löbl. Stadt Cancellariæ Adjuncti auch Vornehmen burgers allhier – So beschehen allhier Zu Straßburg auff dienstag den 17. februarÿ Anno 1767.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Herrn Johann Jacob Seltz den ledigen Gastgebern so majorennis dahero Vor seine Person gegenwärtig, 2. Herren Johann Friderich Seltz, den Gastgeber und burgern in Durlach, Marggraff Baden Durlachischer Herrschafft, dahero abwesend und dieweilen derselbe allhier unverburgert, als ist in deßen Nahmen zugegen geweßen S.T. Herr Johann Heinrich Beck, E.E. Großen Rhats alter und E.E. Kleinen Rhats jetzig wolverdienter beÿsitzer und b. allh. als auß Edelbesagten Rhats Mittel nach bes. Extractus Memorialis Von 14.ten februarÿ 1767. hierzu insonderheit abgeordnet. 3. Jungfer Christinam Salome Seltzin so majorennis So dann 4. Jungfer Margaretham Barbaram Seltzin ebenfalls großjährig, Vor genande beede ledige töchtere mit beÿstand Herrn Johann Ulrich Mahns des Silberarbeiters und burgers allhier dießer Inventur beÿwohnend. Alle Vier der Verstorbenen seel: mit eingangs gemeldter seiner hinderbliebenen wittib ehelich erzeugte Söhn und töchtere und ab intestato nach tod Verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg ane der Herren Stubgaß gelegenen, frauen N. Wierzin der Banquiere allhier zugehörigen behaußung folgendermaßen sich befunden
Eigenthumb ane Häußern. Erstl. 1/9.ter theil Vor ohnvertheilt Von V. ane j.r beh.
ane der Westhaußer od. Schumacher gaß, j. seit ist ein Eck, 2.seit neben dem bierhß. Zur Ketten (…)
It. 1/6.ter theil einer in d. Vorstadt Steinstraß und deren Guth Leuth Gaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 86, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. Eigenthumbs ane häußern und Garten 263, Sa. activ schuld 5, Summa summarum 361 lb – Schulden 576 lb In Compensatione, Conclusio finalis 215 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Verl. Zugeltend 6 lb

Inventaire après le décès de Chrétienne Salomé Korn veuve de Jean Jacques Seltz dressé dans la maison au Café hollandais, rue du Jeu-des-enfants
1778 (7.3.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 282) n° 1434
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren: und tugendsame Frau Christina Salome gebohrne Kornin, auch weÿland des wohl Ehrenachtbarn herrn Johann Jacob Seltz, geweßenen Caffésieders und burgers allhier zu Straßburg seeligen hinterbliebene Wittib nun auch seelige, nach ihrem den 2.ten Martii dießes lauffenden 1778.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen – So beschehen allhier Zu Straßburg auff Sambstag den 7. Martÿ Anno 1778.
Die Verstorbene seelige hat ab intestato zu Erben verlaßen, wie folgt. 1. Herrn Johann Jacob Seltz, den ledigen Gastgebern, und burger, allhier, so Großjährig, und beÿ dießer Inventur selbst gegenwärtig, 2. Herren Johann Friderich Seltz, den wolverordneten Inspectorem des löbl. Hospitals in der Hochfürstlich Marggräff. Badischen Residenz Stadt Durlach und burgers allda, Zwar in der selbstigen Person diesem Geschäfft abgewartet, allein weilen derselbe allhier unverburgert, Zu gleich Zu gegen geweßen S.T. Herr Isaac Ottmann Med. hocherfahrener Doctor et Practicus, E.E. Großen Rhats alter und E.E. Kleinen Rhats jetziger wolverdienter beÿsitzer als vermög Extractus auß Ihr Gn. des regirenden Herrn Ammeisters hauß memoriali de dato 5.ten Martii 1778 auß Edelbesagten Kl. Rhats Mittel hierzu ernannter Deputatus, So dann 3. Jungfrau Christina Salome Seltzin, annoch ledigen Standts und Großjährig dahero verbeÿstandet mit Herrn Johann Ulrich Mahns den Silberarbeitern und burgern allhier. Alle dreÿ der Verstorbenen seel: mit eingangs gemeldtem ihrem Ehegatten seel. ehelich erzeugte Söhn und tochter, und zu gleichen antheilern Erben

In einer allhier zu Straßburg ane der Kinder Spiel Gaß gelegenen behausung Zum holländischen Cafféhauß genandt folgendermaßen sich befunden
(f° 6) Eigenthumb ane Häußern. Nemlichen Ein 9.ter theil Vor ohnvertheilt Von und ane der Eck behausung
ane der mitlern Langen stras an der Westhaußer sonsten Schumacher gaß (…)
It. ein 6.ter theil vor unverändert von und ane einer beh. in der Vorstatt Steinstraß und deren sogenanden Guthleuth Gäßlein (…)
Series rubricarum hujus Inv., Sa. haußraths 294, Sa. Billards 18, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 37, Sa. Goldener Ring 10, Sa. Eigenthumbs ane häußern und Garten 255, Sa. Schulden 41, Summa summarum 657 lb – Schulden 478 lb, Nach deren Abzug 179 lb
Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden in die Verl. Zugeltend 74 lb
Copia Dispositionis inter Liberos – Ich Christina Salome gebohrne Kornin Weÿland Hern Johann Jacob Seltzen letzthin gewesenen Caffetiers und burgers allhier zu Straßburg nun seeligen hinderbliebene Wittib – So geschehen allhier zu Straßburg auf Mitwoch den 17.ten Julii Anno 1776 – Copia Actus instrumenti

Jean Saum acquiert l’auberge par adjudication en 1758 (pas d’acte conservé)

L’acquéreur, tonnelier fils d’un cordier, a épousé en premières noces Anne Elisabeth Demuth en 1725. Sa femme meurt en 1751, il est marchand de vins, habite rue des Bouchers et possède alors trois maisons. Il se remarie l’année suivante avec Anne Marie Silbermann veuve de Philippe Jacques Nack et fait dresser l’inventaire de leurs apports respectifs

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 199-v n° 10)
1725 – Mittwoch den 1. Aug: sind (…) ehelich copulirt und eingesegnet word. Johannes Saum der ledige Kiefer u. burger allhier weil. Christoph Saumen Geweßten Seilers u. burgs. allhier hinterl. ehelicher sohn u. Jgfr. Anna Elisabeth Joh: Jacob demuths deß weinhändlers u. burg. allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Saum Alß hochzeiter, Anna Elisabetha Demuthin Alß hochzeiterin (i 205)

Inventaire des apports en mariage
1751 (5.10.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 255) n° 498
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die viel Ehren und tugend begabte Frau Anna Elisabetha gebohrne Demuthin, des Wohl Ehrenvesten und Wohlachtbaren herrn Johann Saumen, vornehmen Weinhändlers, Kiefers und burgers auch der Evangelischen Gemeinde zu St Nicolai wolverordneten fabric Pflegers allhier su Straßburg gewesene Fr. Eheliebstin seel., nach ihrem den 21. Junÿ dießes laufenden 1751.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben zeitl. verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren H Carl Frantzen, des Metzgers v. b. allhier als geordnet v. geschworenen Vogten Johann Adam, so in die 12. Jahr alt, so dann Annä Elisabethä so in die 15. wochen alt, der Saumen, der verstorbenenn mit vorgemeldetem ihrem hinderblieben H. wittibern ehelich erzeugter 2. Kindern, fleißig inventirt und ersucht – So beschehen allhier zu Straßburg auf Dienstag den 5. octobris Anno 1751.

In einer allhier zu Straßburg an dem Metzgergießen gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung foldender maßen sich befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Schwartz Getüch Kammer, In der Kammer darneben, Im obern vordern hauß öhren, In der obern vordern Stub, In der Kinder Stub, In der mittlern vordern Stub, Auff dem untern Gang, In der Magd Kammer, In der Kammer auff dem Gang, In der Stub auff dem gang, In der Camin Kammer suff dem ersten Stock, In der obern auf dem ersten Stock befindl. Stuben, In der Wohnstuben, Im Laden, In der Kuchen (vide sub hac signo q.)
Eigenthumb ane Häußern und brenn hütt. Nehmlichen eine behaußung ane dem metzger gießen (…)
It. eine behaußung gelegen allhier in der Vorstatt Krautenau (…)
It. eine behaußung gelegen allhier auch ane der Vorsattt Krautenau auff dem Uttengänglein (…)
Ergäntzung, Vermög in A° 1725 durch H. Joh: Brackenhoffer Notm. jur. et Practicum gefertigten Inv.ii – Nach außweiß des Theilregisters über dasjenige, was der herr wittiber beÿ abtheilung weÿl. Frn. Aureliæ geb. Rencherin längst Weÿl. H. Christoph Saumen des gewesenen Seilers und b allhier seel. hinterbliebeneer wittib, deßelben leibl. Mutter seel. Verl. vor j.m 5.ten Stammtheil erbl. erhalten durch H. Not. Joh: Lobstein in A° 1735 gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. Silbers 16, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 46, Sa. Ergäntzung 2082, Summa summarum 2144 lb – Schulden 75, Nach Abzug deren 2069 lb
der Kk. v. Erben ohnverändert Guth, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ringen 24, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzung 1075, Summa summarum 1179 lb
das theilbare Guth, Sa. hausraths 923, Sa. Werckzeug Zum Kiefer handwerck gehörig 17, Sa. Weins, Eßig, brandenwein v. leeren faßen 4963, Sa. Silbergeschirrs 197, Sa. Goldener Ringen 123, Sa. baarschafft 1696, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4947, Sa. Gülth von liegenden güthern 20, Sa. Eigenthums ane häußern 4790, Sa. Schulden 7028, Summa summarum 24 719 lb Sa. Schulden 3551 lb, In Compensatione 21 167 lb – Stall Sa. 24 416 lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem ehrsam und bescheidenen Herrn Johann Saumen, leedigen Kieffern und burgern allhier weÿl. herrn Christoph Saumen geweßenen Seÿlers und burgers allhier und Frauen Aureliæ geb. Rengardin ehelich erzeugtem Sohne, Und dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Elisabethä Demuthin, Herrn Johann Jacob Demuths Kieffers und weinhändlers auch burgers allhier mit Frauen Anna Elisabetha geb. Schurerin ehelich erzeugten tochter – Mittwochs den 2.Maÿ anno 1725, Johannes Brackenhoffer, Notarius juratus
Copia Testamenti nuncupativi – Anno 1737, dienstags den 23. Julÿ in einer allhier in dem Metzgergießen gelegenen Disponirenden beeden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung, in einer in dem zweÿten Stockh befindlichen Stuben, mit denen Fenstern in gedachten Metzgergießen außsehend – die Ehren und tugendsame Frau Anna Elisabetha geb. Demuthin, Johannes Brackenhoffer, Notarius juratus

Contrat de mariage
1752 (12.1.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 277
(Eheberedung) zwischen dem Wohl ehrenvesten undt Großachtbahren Herrn Johann Saumen vornehmen Weinhändlern, wittwern und burger, auch der Evangelischen Gemeinde zum St Nicolai allhier Wohlverordnetem Fabric Pflegern als dem Herrn Hochzeitern
so dann der Hoch Ehren und Tugendbegabten Frauen Annä Mariä gebohrner Silbermännin, Weÿlandt Herrn Philipp Jacob Nacken, geweßenen handelßmanns und letztmahls geschwornenn Courtier und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Frauen Wittib – So geschehen auf Mittwoch den 12. Januarÿ im Jahr Christi 1752. [unterzeichnet] Johannes Saum älterer alß hochzeiter, Christoph Saum alß bruder, Johann Caspar Ehrenholtz als schwager, Johann Jacob Kammer alß schwager, Johan Carl Frantz als der Kinder vogt, Anna Maria Nackin Gebohrne Silbermännin als Hochzeiterin, Johann Andreas Silbermann als bruder, Johann Daniel Silbermann als bruder – attestirt, datum ut supra, Frantz Heinrich Dautel, Notarius juratus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 115, n° 1)
1752 – Sonntag den 16. Jan. seÿnd auf erhaltener Dispensation Von Ihro Gnaden dem Regiereden Herrn Ammeister Langhans in der Evangelischen Kirchen zu St Nicolai Zum I. und 2. mal zugleich ausgeruffen und eod. die auf den Abend im silbermännischen Haus im finckweiler in den Stand der H. Ehe eingesegnet worden, H. Johann Saum wohlbestellter Fabric Pfleger beÿ Vorgedachter Kirche, auch weinhändler und burger allhie wittwer und Fr. Anna Maria gebohrne Silnermännin weÿl. H. Philipp Jacob Nacke geweßten Handelsmanns und burgers allhie Hinterlassene wittib [unterzeichnet] Johannes Saum ältere alß hochzeiter, Anna Maria Nackin gebohrne Silbermännin als Hochzeiterin, Christoph Saum als brudter Johann Andreas Silbermann als bruder (i 117)

Inventaire des apports en mariage
1752 (8.5.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 256), n° 509
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Wohl Ehrenveste und Großachtbare herr Johannes Saum, der Vornehme Weinhändler, Kieffer v. der Evangelischen Gemeinde zu St Nicolai Wolverdienter Fabric Pfleger, und die hoch Ehren und tugendsame Frau Anna Maria gebohrne Silbermännin, beede Ehepersohnen einander in den Ehestand zugebracht, auch sich in crafft der mit einander aufgerichteter Eheberedung und deren 2.t. §° vor ohnverändert vorbehalten haben – So beschehen allhier auf Montag dem 8. Maÿ et seqq. dieb. Anno 1752. In præsentia H. Joh: Daniel Silbermanns des orgelmachers undt burgers allhier der Ehefr. leibl. bruder

In einer allhier zu Straßburg an dem Metzgergießen gelegenen und hernach beschriebener behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Schwartz Getüch Kammer, In der K. darneben, In der obern vordern Stub Im obern vordern hauß öhren, In der Kinder Stub, In der mittlern vordern Stub, In der Stub darneben, Auff dem untern Gang, In der Magd Kammer, In der ligner* Stub, In der Camin Kammer, In der vordern auf dem Ersten Stock befindl. Stuben, In der Wohnstuben, Im Laaden, Im Laden stübel, In der Knecht Kammer, Im Keller
(f° 29) Eigenthumb ane Häußern und brenn hütt. (H.) Nehm. eine behaußung ane dem metzger gießen (…)
(H.) It. eine behaußung in der Vorstatt Krautenau, auff dem Uttengänglein (…)
(H.) It. i. behaußung, Hoff, Hoffstatt auch ane der Vorstatt Krautenau auf dem Uttengängl. (…)
(f° 41) Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Eheherrn Vermögen, Sa. hausraths 1997, Sa. Schiff und geschirrs Zum Kiefer handwerck gehörig 159, Sa. Weins, Eßig, brandenwein, liquers und leeren Faß 13 488, Sa. Früchten 27, Sa. Gerauchten fleisch 15, Sa. Silbergeschirrs und geschmeids 539, Sa. Goldener Ringen 177, Sa. baarschafft 7568, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4626, Sa. Gülth von liegenden güthern 115, Sa. Eigenthums ane häußern 6900, Sa. Schulden 18 827, Summa summarum 54 551 lb – Sa. Schulden 6794 lb, Nach deren Abzug 47 756, haussteuren 75 lb, Summa 47 832 lb
der Ehefraun Nahrung, Sa. hausraths 91, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. Goldener Ring 149, Summa summarum 54 lb, haussteuren 75 lb, Summa 329 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Pfenningzinß hauptgüter so der Eheherr in die Ehe gebracht 750, Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden so der Eheherr in die Ehe gebracht 3232 lb

Jean Saum, négociant, vend l’auberge à Jean Jacques Klein pour 2 500 livres de Strasbourg

1764 (1.12.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 762-v
H. Johannes Saum der handelsmann
in gegensein H. Johann Jacob Klein des gastgebers
eine behausung zum rothen Löwen genandt bestehend in vorder und hinter hauß, stallung, bronnen und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der obern Langen straß gegen dem alten St Peter kirch über, einseit ist ein eck ane der Pickergaß anderseit neben H. Johann Ernst Spielmann des Specirers Erben darzwischen ein klein allmendgäßel, hinten auf Antoine Chapuy den amlungmacher – als ein den 5. junÿ 1758 ane der ganth erkaufftes guth – um 1000 lt capitalien verhafftet, geschehen um 1500 pfund

Même vente dans sa version provisoire dressée par un notaire, le prix de vente y est exprimé en florins.

1764 (23.11.), Me Hüttel (6 E 41, 859) n° 18, Interims Kauff Verschreibung
herr Johannes Saum der handelsmann
in gegensein H Joh: Jacob Klein des Gastgebers zum blauen Wolcken
die dem H. Verkäufer eigenthümlich zuständige Würths behaußung zum rothen Löwen genannt cum appertinentiis ane der obern Langenstras allhier gegen der Pfarr Kirch zum alten St Peter hin über gelegen, das Eck ane der bickergaß ausmachend – um 2000 R capital verhafftet, geschehen um 3000 gulden

Jean Jacques Klein hypothèque la maison qu’il vient d’acheter au profit de Marie Madeleine Fritschmann veuve du courtier Jean Daniel Ehrmann

1764 (11.12.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 782
H. Johann Jacob Klein der gastgeber
in gegensein H. Not. Johann Daniel Langheinrich innahmen Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Fritschmännin weÿl. H. Johann Daniel Ehrmann des courtier wittib – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis zum Goldenen löwen genandt ane der Langen straß, einseit ist eck ane der Pickergaß anderseit neben H. Johann Ernst Spielmann des specirers wittib, hinten auf Antoine Chapuÿ den amlungmacher

Le nouveau propriétaire, l’aubergiste Jean Jacques Klein, a épousé au début de l’année Marguerite Elisabeth Lauth, fille du meunier aus Huits tournants à la porte Blanche. Ils font dresser l’inventaire de leurs apports
1763 (23.12.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 193
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Klein, dem Leedigen Gastgeber und burgern allhier, weiland Herrn Johann Andreä Klein, des geweßenen Hueffschmids und burgers allhier seeligen nachgelaßenem ehelichem Sohn, als dem herrn bräutigam ane einem
So dann der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Jungfrauen Margaretha Elisabetha Lauthin, des Wohl Ehrenvest: und Großachtbahrn Herrn Frantz Heinrich Lauth wohlangesehenen burgers und Achträdermüllers allhier ehelich erziehlter Jungfer tochter – Straßburg auf Donnerstag den 22. Decembris Anno 1763 [unterzeichnet] Johann Jacob Klein Als hochzeiter, Margareth Elisabeths Lauthin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 276)
Im Jahr 1764 seind (…) den 8. februarii copulirt Worden Hr. Johann Jacob Klein gastgeber und burger dahier weiland Hn Andreas Klein geweßenen hufschmids und burgers dahier mit fr. Barbara gebohrner Eckartin ehelich erzeugter sohn und Jgfr. Margaretha Elisabetha Hn Frantz Heinrich Lauth Müllers und Fabric Pflegers beÿ dießer Gemein mit Fr. Anna Maria gebohrner Hartmännin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Klein als hochzeiter, Margaretha Elisabetha Lauthin als hochzeiterin, Georg Friderich blind als schwager (i 145)

Inventaire des apports en mariage
1764 (15.2.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 804) n° 352
Inventarium über des Wohl Ehren: und Wohl Vorachtbahren Herrn Johann Jacob Klein, des Gastgebers und der Viel Ehren und Viel tugendgezierten frauen Margarethä Elisabethä Kleinin, geb. Lauthin, beeder Eheleuthe und burgere dahier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuth Vor mir Notario den 22.ten 7.bris letztgewichenen 1763.sten Jahrs errichteter heuraths abrede §.pho 3.tio expressé enthalten, daß eines jeeden in die ehe liegende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen zu Straßburg in fernerem beisein Hn Frantz Heinrich Lauthen des Achträder Müllers und burgers alhier der Ehefraun geleibten Hn Vatters und dißorths beistandt, angefangen dauf Mittwoch den 15.ten februarÿ 1764.

Abrechnung Zwischen Frauen Annä Barbarä Persohnin geb. Eckerdin letstmals weiland Hn Johann Daniel Persohn des geweßenen Hueffschmids und burgers alhier zu Straßburg seeligen nachgelaßener Wittib, beiständlich Hn Georg Eckers des haußfeurers und burgers dahier als Mutter ane einem, Und Hn Johann Jacob Klein dem Gastgebern und burgers dahiern dero Sohn erster Ehe ane dem andern theil gepflogen. Vermög eines durch nun weilm. Hn Not.um Johannes Lobstein seel. den 1.sten 7.bris A° 1735. errichteten (…) Kinder Vertrags
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 179, Sa. Weins und lährer Faß 168, Sa. Silber Geschirrs und Geschmeids 42, Sa. Schulden 84, Summa summarum 474 lb, Darzu die helffte ane denen haussteuren 181 lb, Des Ehemanns in die ehe gebracht Vermögen 656 lb
Der Ehefrauen vor ohnverändert in die ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 246, Sa. Silbers 40, Sa. Goldener Ring 49, Sa. baarschafft 323, Summa summarum 660 lb, Darzu die helffte ane denen haussteuren 181 lb, Der Ehefraun in die Ehe gebracht Vermögen 842 lb
Beeder Ehepersohnen in die Ehe gebrachtte Nahrungen in vero pretio 1498 lb

Jean Jacques Klein, aubergiste, hypothèque la maison au profit des enfants du boulanger Jean Michel Metz

1765 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 14-v
Johann Jacob Klein der gastgeber
in gegensein Johann Theobald Roßer des weißbecken als vogts weÿl. Johann Michael Metz des weißbecken zweÿer kinder Mariæ Salome und Catharinæ Elisabethæ der Metz – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, die zum rothen Löwen genannte gast behausung cum appertinentis ane der Langenstraß, einseit ist ein eck ane der Pickergaß anderseit neben weÿl. H. Spielmann des specirers Wb. und Erben, hinten auff N.N.

Jean Jacques Klein et Marguerite Elisabeth Lauth ont l’intention de ne plus exploiter l’auberge et vendent du mobilier

1781 (30.1.), Me Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 633) n° 127
Dienstags den 30.ten Januarÿ 1781. sind auf Veranstalten und Begehren Herrn Johann Jacob Klein, Gastgebers zum rothen Löwen und burgers allhier zu Straßburg, wie auch Frauen Margarethä Elisabethä geb. Lauthin, deßen von ihme hierzu authorisirten Ehegattin, hernach verzeichnete Ihnen eigenthümlich zuständige Effecten, angesehen sie die Wirtschafft auffzugeben gesonnen (…) in besagtem Gasthauß zum rothen Löwen offentlich versteigert und verkaufft

Inventaire après le décès de Marguerite Elisabeth Lauth femme du cafetier Jean Jacques Klein. Elle délaisse trois enfants, la succession est obérée de dettes

1799 (7 brumaire 8), Strasbourg 7 (12), Me Stoeber n° 1501 – Enregistrement de Strasbourg, acp 70 f° 61 du 8 bru. 8
Inventarium über weÿl. Margaretha Elisabetha geb. Lauth bs. Joh. Jacob Klein Kaffesieders gew. Ehegattin Verl. angefangen den 7. fructidor 7, dieselbe ist den 8. maÿ 1791 mit tod abgegangen und hat zu Erben hinterlassen 1. br Joh. Jacob Klein von deßen Aufenthalt man nichts weis, 2. weÿl. bs Phil. Jacob Klein Caffesieder, 3. br. Joh. Friedrich Klein hies. Inwohners so in Ehe lebet mit b. Maria Catharina geb. Rotenbach, ihre mit den Wittiber erzeugte Kinder – bevögtigt mit Peter Führer dem hufschmidt

in der an der Langenstras N° 78 gelegenen und in diese Verlassenschafft gehörigen behausung
Eigenthum einer behausung. Nemlichen eine behausung bestehend in Vorder und hindergebäude Stallung bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen und zugehörden gelegen an der obern langenstras gegen der alten St Peter kirch über N° 78, einseit ist ein Eck an der Pickergaß N° 1, 2.s neben weÿl. Joh. Jacob Burggraf des handelsmanns wittib und Erben darzwischen ein Allmendgäßlein hinten auf herrmann den Mezger, darüber besagt Kaufbrieff C.C. Stub de dato 1. Xbr. 1764 – Als welche behausung angeschlagen worden pro 12 000 fr
Ergäntzung, durch Not. Lobstein d. 3. mart. 1764 aufgerichtet Inventarii
Berechnung dieses Inventarii, des Wittwers mass betreffend, hausrath 836 lb, behausung 12 000 lb, summa summarum 12 836 lb, schulden 27 779 lb, In Vergleichung 14 743 lb

L’auberge est vendue par devant le tribunal au marchand épicier Chrétien Henri Ott pour 18 600 francs

1800 (8 pluviose 8), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 2, n° 33
Audience du 14 nivose 8, Est comparu le C.en Laurent Goetz de Strasbourg poursuivant l’opposition formée sur le C.en Jean Jacques Klein caffetier a Strasbourg Déclarant qu’il persistoit dans les Conclusions par lui prises par son requisitoire fait au greffe le 21 frimaire dernier
au Cit. Henry Ott marchand epicier
une maison située a Strasbourg grande rue n° 78 composé d’un rez de chaussée et de deux Etages avec cave Grénier et autres aisances apartenances et dépendances attenant d’un côté à la veuve du Cit. Burgraff, d’autre La Rue ditte Bikergass, par devant la grande rue et par derrière le C.en hermann boucher, Ensemble les fonds très fonds Superficie de fonds propriété de fond En Comble &c. Evalué en revenu net sur L’Extrait de la matrice du Rôle de la Commune de Strasbourg pour l’An 7 de 225 fr, Mise à prix qu’a fait la partie poursuivante 12 000 francs – pour 18 600 francs

L’acquéreur, originaire de Dinglingen près de Lahr en pays de Bade, a épousé en l’an VII Marie Salomé Burggraff dont les parents sont propriétaires de la maison qui jouxte l’auberge au Lion rouge. Marie Salomé Burggraff y meurt en 1813. Chrétien Henri Ott se remarie en 1814 avec Marie Elisabeth Stædel
1799 (28 germinal 7), Strasbourg 7 (28), Me Stoeber n° 747 – Enregistrement de Strasbourg, acp 68 F° 32 du 8 flo. 7
Eheberedung – br. Christian Heinrich Ott lediger handelsmann so großjährigen Alters, Heinrich Ott Wagners in Dinglingen beÿ Lahr mit fr. Catharin geb. Logler erzeugter Sohn als bräutigam
und b.in Maria Salome Burggraf die leedige so großjährigen Alters, weil. br. Joh: Jacob Burggraf des gewes. handelsmanns alhier, mit br.in Susanna Salome geb. Stuber deßen Wittib erzeugte tochter als braut
Straßburg den 28. Germinal im 7. Jahr der Republik
[unterzeichnet] Heinrich Ott als hochzeiter, Maria Salome Burggraffin als braut

Inventaire de succession
1813 (14.4.), Strasbourg 12 (50), Me Wengler n° 7481 – Enregistrement de Strasbourg, acp 122 f° 52 du 17.4.
Inventaire de la succession de Marie Salomé Burggraff épouse de Chrétien Henri Ott négociant décédée le 29 jan. dernier – à la requête du veuf père et tuteur légal de Charles Auguste 11 ans, Henriette Julie 9 ans 6 mois, Frédéric Guillaume 7 ans 6 mois les trois enfants, en présence de Jean Chrétien Oppermann négociant subrogé tuteur – Contrat de mariage Me Stoeber le 28 germinal 7

dans la maison mortuaire appartenant à la veuve Burggraff mère de la défunte grand rue en face de l’église St Pierre le Vieux n° 77
propres et communauté 30 554 francs
dont marchandises d’épicerie 20 266 fr, passif 20 476 fr, reste 10 078 francs

Remariage avec Marie Elisabeth Stædel
1814 (3.8.), Strasbourg 12 (55), Me Wengler n° 8313 – Enregistrement de Strasbourg, acp 125 f° 33-v du 4.8.
Contrat de mariage, communauté d’acquets – Chrétien Henri Ott, négociant demeurant grand rue n° 77 veuf avec enfants de Marie Salomé Burggraff
fille majeure de Daniel Staedel employé a l’administration des hopsices civils et de Marguerite Salomé née Schatz

Charles Henri Ott vend l’auberge à Georges Henri Klopffer, cafetier, et à Anne Catherine Koch pour 12 000 francs

1803 (19 fructidor 11), Strasbourg 5 (17), Me F. Grimmer n° 2438 – Enregistrement de Strasbourg, acp 88 F° 194 du 27 fru. 11
burger Heinrich Ott der handelsmann ane der langen Straße N° 77
an bürger Georg Heinrich Klopfer dem Caffesieder und Anna Catharina geb. Koch beede ane der langen strasse N° 78 wohnhaft
Eine Behausung zum Rothen löwen genannt hoffstatt stallung bronnen samt allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane der obern langen strasse N° 78 gegen der alten St peters Kirche über, einseit ist ein Eck ane der Pickergaß anderseit neben weÿl. bürgers Burggraff gewesenen handelsmanns Wittib und erben behausung, zwischen welche letzteren und dieser verkauften behausung ein gäßlein befindlich, so gedachter Wittib gehörig und hinten bürger hermann den Metzger – daß wenn sie die jetzt erkaufte behausung früh oder späth an fremdte Personen verkaufen vördern sie diesen ausdrücklichen anzubefehlen, daß sie das vierckte loch auf der stiege im ersten Stockwerck so auf gemeltes gäßlein gehet zuzumauren haben angesehen die vergünstigung desselben nur für die heutige Käufer und die ihrigen, keines wegs aber für fremde statt haben solle – 12 000 francken

Le nouveau propriétaire, fils d’aubergiste, a épousé en 1784 Anne Catherine Koch, elle-même fille d’aubergiste et ils font dresser l’inventaire de leurs apports
1784 (3.9.), Me Stoeber (6 E 41, 1248) n° 400
Inventarium über weÿl. Fraun Annä Catharinä Klopfferin geb. Kochin zu H. Georg Heinrich Klopffer dem Gastgeber in die Ehe gebrachte Nahrung, den 27. julÿ diesen Jahrs angetrettenene Ehestand vor mir Notario den 25. julÿ diesen Jahrs errichteten Eheberedung

in der zu Straßburg auf dem neuen Kornmarckt gegen dem Broglio gel. H. Knoderer dem Sattler zuständigen und dißorts lehnungsweiße besessenen behausung
Wittums Verfangenschafft Welche Fr. Maria Barbara Kochin geb. Oberin weÿl. H. Johann Jacob Koch gew. Gastgebers zum goldenen Sternen Wb. lebtägig zu geniesen berechtigt ist
Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 348 lb, gold. rings 25 lb, baarschafft 600 lb, pfenningzinß hauptgüter 1654 lb, In additione 2627 lb

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 151-v, n° 29)
Im Jahr 1784. dienstags den 27. Julii (…) sind ehelich eingesegnet worden H. Georg Heinrich Klopfer Gastgeber und burger allhier weiland H. Johann Heinrich Simon Klopfers gewesenen Gastgebers und burgers alhier und Frauen Maria Dorothea gebohrner Artznerin ehelicher Sohn, Und jgfr. Anna Catharina Kochin weiland Hn Mathias Koch gewesenen Gastgebers und burgers allhier und Frauen Anna Catharina gebohrner Dillin eheliche Tochter [unterzeichnet] Georg Heinrich Klopfer als Hochzeiter, anna catarina Kochin als hochzeiterin (i 153)

Georges Henri Klopffer donne à bail pour neuf ans la maison à Jean Frédéric Biehl, boulanger à la Robertsau, et àMarie Anne Jost

1821 (21.8.), Strasbourg 2 (49), Me Weigel n° 1259 – Enregistrement de Strasbourg, acp 153 F° 196-v du 31.8.
Bail de 9 années à commencer à la St Michel prochaine – Georges Henri Klopffer, propriétaire
à Jean Frédéric Biehl, boulanger à la Robertsau, et Marie Anne Jost
la maison avec ses dépendances sise à Strasbourg dans la grand rue n° 78 faisant l’un des coins de le rue de la Fontaine autrement appelée Pickergass d’un côté dans la rue de la Fontaine Sr Herrmann boucher, d’autre dans le Grande rue Sr Ott derrière Sr Ott
1. (les locataires seront) obligés d’entretenir l’arrangement que le bailleur a conclu avec avec le Sr Klein entrepreneur de danse, cet arrangement a encore à durer jusqu’à Carnaval 1822. Il n’est que verbal et porte en substance a) que le Sr Klein est obligé de payer au propriétaire toutes les semaines 9 francs, b) qu’en revanche il aura le droit de faire danser dans ce local les dimanches, lundis et jeudis chaque semaine, c) que s’il fait danser un autre jour de la semaine il payera pour ce jour 9 francs, d) que s’il fait danser toute la nuit il payera par nuit 3 francs, e) que le S Klein est tenu d’éclairer à ses frais la salle et les dépendances et de se soumettre aux lois et réglements de police – 7. les bailleurs se réservent les greniers qui se trouvent sur le bâtiment de derrière – le bailleur s’engage à faire blanchir et tapisser la grande salle au rez de chaussée – 9. dans le présent bail sont compris un billard (…) – pour un loyer annuel de 1500 francs

Jean Frédéric Bühl cède son bail à Frédéric Théophile Schoch, aubergiste, et à Catherine Pauly
1824 (28.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 51 – ssp du 4 decembre dernier

Jacques Diemer propriétaire demeurant à Strasbourg en qualité de mandataire de Frédéric Bühl Aubergiste et Marie Anne Hart sa femme demeurant à la Robertsau – louer à titre de bail pour l’espace de 6 années et neuf mois faisant le restant du tems que les conjoints Bühl seraient encore tenus de continuer jusqu’à l’expiration qui serait à la St. Michel de 1830
à Frédéric Theophile Schoch aubergiste et Catherine Pauly demeurant à Strasbourg
d’une maison et dépendances à Strasbourg Grand rue N° 78 moyennant un loyer annuel de 400 francs – est aussi intervenu le Sr Frédéric Gross chaircuitier à Strasbourg qui a déclaré se rendre caution pour les conjoints Schoch et se soumettre à toutes les conditions du bail passé devant le notaire Weigel le 21 aout 1821

Georges Henri Klopffer et Anne Catherine Koch vendent la maison à Abraham Ludwig, brasseur, et à Salomé Debus pour 15 000 francs

1826 (24.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 51), Me Hickel n° 2213 – Enregistrement de Strasbourg, acp 179 F° 62-v du 26.6.
Georges Henri Klopffer, ci devant cafetier, et Anne Catherine Koch à la Robertsau n° 13
à Abraham Ludwig, brasseur à Strasbourg, et Salomé Debus demeurant Faubourg Blanc n° 41
une maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg grand rue n° 78, d’un côté le coin de la rue de la Fontaine où elle est marquée du n° 1, d’autre la propriété de M Ott négociant, derrière celle du Sr Herrmann boucher – sont compris notamment un fourneau en fonte se trouvant au premier étage avec tuyaux et pierre, un chaudron à lessive en cuivre & les volets sont résevés aux vendeurs – acquis de Chrétien Henri Ott, négociant, Me Grimmer 19 fructidor 11, le Sr Ott par adjudication définitive au Tribunal Civil le 14 nivose 8 par expropriation forcée contre Jean Jacques Klein – pour 15 000 francs

Le nouveau propriétaire fait exécuter des travaux et passe un marché

1826 (3.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 51), Me Hickel n° 2222
Marché – Abraham Ludwig, brasseur, et Salomé Debus rue Faubourg Blanc n° 41
à Jean Jacques Stotz père architecte, maçon, rue Thomann n° 18 & Jean Schweighaeuser, maitre charpentier rue Faubourg Blanc n° 17
MM Stotz & Schweighaeuser s’engagent à faire exécuter par leurs ouvriers respectifs & à surveiller les constructions & réparations que les conjoints Ludwig se proposent de faire dans leur maison située à Strasbourg Grand rue n° 78 & ce sur les indications desd. conjoints Ludwig (…) le tout jusqu’à concurrence de 6000 francs pour les travaux de maçonnerie à exécuter par M Stotz & les fournitures y relatives & 2500 francs pour les travaux de charpente & founitures à la charge de M Schweighaeuser
hypothèquent la maison dans laquelle seront faites lesdites constructions & réparations avec les bâtiment qui en dépendent, le tout situé à Strasbourg Grand rue n° 78 d’un côté le coin de la rue de la Fontaine où elle est marquée n° 1, d’autre la propriété M Ott négociant, derrière celle du Sr Herrmann boucher – les conjoints Ludwig en sont propriétaires pour l’avoir acquis de Georges Henri Klopffer, cafetier, et d’Anne Catherine Koch demeurant à la Robertsau par acte Me Hickel le 24. juin dernier

Abraham Ludwig, brasseur, et Salomé Debus vendent la brasserie à l’enseigne du Chasseur magique à Henri Dietz, brasseur, et à Marguerite Salomé Goetz pour 28 500 francs
1827 (12.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 54), Me Hickel n° 2646 – Enregistrement de Strasbourg, acp 186 F° 136 du 19. 9.bre

Abraham Ludwig, brasseur, et Salomé Debus
à Henri Dietz, brasseur, et Marguerite Salomé Goetz
la brasserie à l’enseigne du Chasseur magique avec tous ses batiments, appartenances & dépendances située à Strasbourg grand rue n° 78, d’un côté le coin de la rue de la Fontaine où elle porte le n° 1, d’autre la propriété de M Ott négociant, devant la grand rue, derrière celle du Sr Herrmann boucher – y compris 4 poeles dont l’un avec un petit four en tole se trouvant au rez de chaussée, 2 au premier étage & le 4° au second étage. Les séparations à claire voie & à deux portes se trouvant au rez de chaussée près de la pompe & des latrines – acquis de Georges Henry Klopffer, cafetier, et d’Anne Catherine Koch demeurant à la Robertsau par acte Me Hickel le 24. juin 1826 transcrit au bureau des hypothèques vol. 191 n° 81 – convention entre eux et Sr Ott leur voisin s.s.p. le 17. juil. 1826 enreg. 20. juil. 1826 f° 57 – pour 28 500 francs

Henri Dietz, natif de Barr, épouse en 1822 Marguerite Salomé Gœtz : contrat de mariage, inventaire des apports
1822 (27.12.), Strasbourg 12 (89), Me Wengler n° 12 945 – Enregistrement de Strasbourg, acp 160 F° 179-v du 30.12.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Henri Dietz, brasseur, fils de feu Jean Georges Dietz, fabricant de draps, et de feu Marguerite Windesheim domiciliés à Barr
Marguerite Salomé Goetz fille majeure de feu Jonathan Goetz, marchand de bois et charpentier, et de Marguerite Salomé Bischoff

Inventaire des apports
1823 (3.11.), Strasbourg 12 (92), Me Wengler n° 13 275 – Enregistrement de Strasbourg, acp 165 F° 65 du 5.11.
Inventaire des apports de Henri Dietz, brasseur, et Marguerite Salomé Goetz, selon leur Contrat de mariage dressé le 27 décembre dernier
meubles 622 fr, vin 1320 fr, numéraire 2400 fr, terres à Barr 1225 fr, le 9° d’une maison 266 fr, ensemble 6434 fr, biens à Gertwiller 500 fr, ensemble 6934 fr, apports de la femme 5043 fr

Inventaire après le décès de Marguerite Salomé Goetz femme d’Henri Dietz, brasseur
1835 (9.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), Me Hickel n° 5047 – Enregistrement de Strasbourg, acp 231 F° 125-v du 14.5.

Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Goetz épouse de Henri Dietz, brasseur – à la requête du veuf, père et tuteur légal de Théodore & Henri Dietz – en présence de Jean Geoffroi Bley, serrurier, subrogé tuteur

dans une maison de la communauté, grand rue n° 78 où la défunte est décédée le 10.2. dernier
Contrat de mariage Me Wengler le 27 dec. 1822 Cote 1
dans une cave faisant partie de la maison sise Strasbourg rue du Savon n° 6
Cote 2, Me Hickel le 12 nov. 1827, acquis d’Abraham Ludwig, brasseur, et Salomé Debus, une maison brasseur avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grand rue n° 78 estimée 28 100 francs

Devenu veuf, il se remarie en 1837 avec Marie Madeleine Schœttel de Barr
1837 (18.12.), Strasbourg 9 (72), Me Hickel n° 5802 – Enregistrement de Strasbourg, acp 255 F° 70-v du 23.12.
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Henri Dietz, brasseur, veuf avec deux enfants de Marguerite Salomé Goetz
Marie Madeleine Schoettel veuve sans enfant de Philippe Jacques Mathis, propriétaire à Barr

Henri Dietz, brasseur, vend la brasserie à l’enseigne du Chasseur magique à Philippe Goetz, marchand de bois, et à Théodore Goetz, marchand de laine pour 30 000 francs

1839 (21.11.), Strasbourg 12 (151), Me Noetinger n° 11 805 – Enregistrement de Strasbourg, acp 273 f° 30-v du 27.11.
Henri Dietz, brasseur
à Philippe Goetz, marchand de bois & Théodore Goetz, marchand de laine
la brasserie ayant l’enseigne du Chasseur magique avec tous ses bâtiments appartenances, & dépendances située à Strasbourg Grand rue n° 78, d’un côté le coin de la rue de la Fontaine où elle porte n° 1, d’autre M. Fecly, devant la grand Rue, derrière jadis Hartmann ingénieur – plus les objets mobiliers ci après décrits situés dans les bâtiments savoir 1) 15 tables, 2) 8 bancs doubles, 3) 7 bancs simples, 4) 4 tabourets, 5) un bas buffet , 6) un comptoir, 7) un peole en fonte avec tuyaux, 8) une chaudière pour la buanderie, 9) une armoire, 10) un poele en fayence, 11) une chaudière en cuivre avec tuyaux [43 articles décrits] – acquis de feue Marguerite Salomé Goetz femme d’Abraham Ludwig, brasseur, et Salomé Debus, par acte Me Hickel le 12. nov. 1827 transcrit au bureau des hypothèques vol. 206 n° 49 – au vendeur par suite de la renonciation que les enfants mineurs des conjoints Dietz les seuls et uniques héritiers de leur mère ont faite de la communauté au Greffe du Tribunal Civil le 5. août 1835 – les conjoints Ludwig ont acquis la maison sur Georges Henry Klopffer, ci devant cafetier, et Anne Catherine Koch, Me Hickel 24. juin 1826 transcrit au bureau des hypothèques vol. 191 n° 81, les conjoints Klopffer l’ont acquis de Chrétien Henry Ott, négociant, Me Grimmer 19 fructidor 11 – pour 30 000 francs

Philippe Goetz, marchand de bois, et Théodore Goetz, marchand de laine, vendent la brasserie à l’enseigne du Chasseur magique à André Füllhardt, brasseur, pour 28 521 francs

1842 (15.1.),Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 14 078
M. Philippe Goetz marchand de bois & M. Theodore Goetz marchand de laine
au Sr André Füllhardt brasseur
La brasserie ayant l’Enseigne du Chasseur magique avec tous ses bâtimens, appartenances & dépendances, le tout situé à Strasbourg grand’rue N° 78 tenant d’un côté à M. Fecly faisant de l’autre le coin de la rue de la fontaine où elle porte le numéro un par devant la grand’rue parderrière M. Hartmann ingénieur
Outre lesdits immeubles les Sieurs Goetz vendent au Sieur Füllhardt tous les objets mobiliers qui se trouvent désignés & estimés article par article dans un contrat de vente passé devant ledit Notaire Noetinger le 21. nov. 1839 – Les vendeurs ont acquis le tout du Sr Henri Dietz brasseur demeurant à Strasbourg aux termes du contrat de vente du 21. nov. 1739, Le Sr Dietz a acquis ledit immeuble pendant la communauté qui avait existé entre lui & son épouse De Marguerite Salomé Goetz du Sr Abraham Ludwig brasseur & de De Salomé Debus suivant contrat de vente passé devant le Notaire Hickel le 12. nov. 1827, Les héritiers de la Dame Dietz née Goetz ayant renoncé à ladite communauté suivant acte dressé au greffe du Tribunal Civil de Strasbourg le 5. août 1835, le Sr Dietz est demeuré propriétaire de la totalité de ladite maison, Les conjoints Ludwig avaient acquis le même immeuble du Sr Georges Henri Klopffer cidevant cafetier & de De Anne Catherine Koch suivant contrat de vente passé devant ledit Notaire Hickel le 24. juin 1826, Les conjoints Klopffer en avaient fait l’acquisition du Sr Chrétien Henri Ott négociant à Strasbourg suivant acte passé devant Me Grimmer le 19 fructidor an 11 – pour 28 521 francs et les objets mobiliers 1478 francs, ensemble 30 000 francs

Le brasseur André Füllhart, originaire de Duntzenheim, épouse en 1841 Marie Catherine Mager, originaire de Niederhausbergen
Mariage, Niederhausbergen (n° 3) Le 5 Decembre 1841, acte de mariage d’André Füllhart non marié, brasseur de profession domicilié à Duntzenheim (Bas-Rhin), agé de 26 ans né à Duntzenheim le 3 février 1814 fils légitime d’André Füllhart, cultivateur à Duntzenheim agé de 60 ans ci présent et consentant et d’Eve Lapp agée de 60 ans ci présent et consentant, et Marie Catherine Mager, non mariée, fille cultivatrice domiciliée à Niederhausbergen agée de 24 ans née à Niederhausbergen le 9 avril 1817 fille légitime majeure de Valentin Mager cultivateur à Niederhausbergen agé de 55 ans ci présent et consentant, et de Christine Freyss agée de 55 ans, (signé) andre Füllhart, Maria Catharina Mager (i 3)

Marie Catherine Mager femme d’André Füllhart meurt en 1847 en délaissant deux enfants. La masse active s’élève à 34 039 francs, la masse passive, à 52 874 francs

1847 (18.8.), Strasbourg 12 (172), Me Noetinger n° 19 489
Inventaire de la succession de feu Dame Marie Catherine Mager en son vivant épouse du Sr André Füllhart, brasseur, demeurant à Strasbourg où elle est décédée le 11 juin 1847. – A la requête du Sr André Füllhart, brasseur, demeurant à Strasbourg, agissant 1° comme ayant été commun en biens, conquêts et acquêts avec feue Dame Marie Catherine Mager son épouse, 2° comme donataire de l’usufruit viager de la moitié des biens composant la succession de cette dernière, & 3° en qualité de père et père et tuteur légal de de A. Théodore Emile Füllhart agé de 4 ans et huit mois, B. André Eugène Füllhart, âgé de 3 ans & demi, ses deux enfants mineurs procréés en son légitime mariage avec sadite défunte épouse, en qualité de seuls et uniques héritiers chacun d’eux pour moitié de la succession de ladite De Füllhart née Mager, de M. Jacques Richert, brasseur demeurant à Strasbourg, agisant en qualité se subrogé tuteur desdits deux enfants mineurs – La présente opération sera basée sur un contrat de mariage passé entre les époux Füllhart devant Me Noetinger le 18 novembre 1841

Immeubles. La brasserie ayant l’enseigne du chasseur magique, avec tous ses batimens, appartenances & dépendancess, deux chaudières & deux cuves a rafraichissoir, le tout situé à Strasbourg, grand’rue N° 78, tenant d’un côté à M. Kopff, faisant de l’autre le coin de la rue de la Fontaine où elle porte ne N° un, par devant la grand’rue, par derrière M. Hartmann ingénieur. Les époux Füllhart ont acquis ladite maison & brasserie avec ses dépendances pendant la communauté, des Srs Philippe Goetz, marchand de bois, & Théodore Goetz, marchand de laine, les deux demeurant à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant ledit Me Noetinger le 15 janvier 1842 pour un prix de 30 000 francs, (…) Aux termes de l’article huit du contrat de mariage cidessus analysé, le veuf déclare qu’il entend user des dispositions de cer article pour se rendre propriétaire de l’immeuble cidessus décrit moyennant le prix d’estimation qui sera fixé par les experts, contradictoirement nommés
total des meubles 4039 francs, total de la masse active 34 039 francs
masse passive, remploi 25 744, dettes 27 130, total 52 874 francs


Dossier de la police du bâtiment (cote 233 MW 918)

(I)

(1865 – Prise de gaz – Papier à lettre imprimé rempli à la main)

Strasbourg le 26 Septembre 1865
A Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg
Monsieur le Maire
Le Sieur Rhein plombier demande au nom de Monsieur Schott qu’une prise de gaz pour alimenter environ deux becs soit faite devant la maison située rue de la Fontaine 22 dont il est le locataire propt. Mr Diemer.
Veuillez Monsieur le Maire, m’autoriser à ouvrir une tranchée au point indiqué ci- dessus
Et d’agréer l’assurance de mon profond respect.
Le Directeur de l’usine à Gaz
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Travaux publics, 3880 A, 28. 7.br 1865

(II)

(1878 – Transformations au rez de chaussée et deuxième étage : agrandissement de fenêtres, transformation de portes en fenêtres – Demande et autorisation
Prise de gaz : l’entrepreneur demande l’autorisation de faire une tranchée)

Strassburg den 2.ten Aprill 1878
An Herrn Burgermeisterei Verwalter
Hochwohlgeboren, Hier
Ende Unterschriebener hat die Ehre Ihnen (im Namen des Herrn Schutzenberger Eigentümer der Brauerei zum Freischütz ane der Ecke der Lange Straße N° 4 auch Bücher Gasse N° 22 Hier) gehorsam vorzutragen und Bitte um gefällige Erlaubniß der Nachstehender Bau Reparaturen resp. Umänderung.
Bücher Gasse
Erdgeschoß
1° Vergroßerung [sic] des Fensters im Ecke welche nur 0,62 breit ist und soll 1,20 Erhalten
2° Herausnahme der 3.ten Pfeiler um bildung einer Große [sic] Fenster
3° Umänderung der Thüre in Fenster.
4° Umänderung von zwei Fenster in 2 thüre
I. Stock, Vergrößerung von 3 fenster [barré]
2° Stock, Vergrößerung und Bildung von 6 Fenster [sic]
*ere beiputzen der Fensteren und Thuren Gewänder
In Erwartung einer guter Aufnahm meines Gesuches
Achtungsvoll [unterzeichnet] Klein
[Tampon] Bürgmst Amt Strassburg, Pr : 4-4-78
[Tampon] Stadt-Bauamt Strassburg, N° 2935 A, 1878-8 April

Bürgermeisteramt Strassburg – Bau-Amt – Sud-Canton – H. Klein, Gesuchsteller – Ermacht. N° 2800
Strassenwesen – Baufluchten
Bericht der städtischen Wegemeister über das Gesuch vom 2. April 1878 wodurch H. Klein im Namen des H. Schützenberger Eigenthümer des Hauses in der Langstraße N° 4, begehrt an die Facade des Hauses auch der Nebenseite gegen der Büchergaße N° 22 im Erdgeschoße die Vergrößerung von Fenstern und Umänderung in Thüren, und im 2.ten Stock Vergrößerung und Bildung von 6 Fenstern.
Dieser Eigenthum auf der Seite der Büchergasse steht aus wärts dem Alignement aber ohne Ueberhang. Das Erdgeschoß und 1.ter Stock ist in Mauerwerk und das 2.te Stock ist in Fachwerk.
Straßburg, den 8.ten April 1878, der städische Wegemeister
In Erwägung daß die Facade auf der Seite der Büchergasse auswärts dem Alignement steht aber keinen Ueberhang hat, daß das Erdgeschoß und 1.ten Stock in Mauer ist aber der 2.te Stock in Fachwerk ist, so sind folgende Beschlüsse in Anwendung zu bringen :
1° Vergrößerung von Fenstern im Erdgeschoß, Beschluß N° 1913.
2° Umänderung von Fenstern in Thüren, id. N° 594.
3° Vergrößerung von Fenstern im 2.ten Stock, id. N° 2675
Genehmigt, der Burgermeisterei-Verwalter – der Stadtarchitect

[Prise de gaz – Papier à lettre imprimé rempli à la main]

Strasbourg le 10 Août 1878
A Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg
Monsieur le Maire,
Le Sieur Lepain plombier demande au nom de Monsieur Schützenberger qu’une prise de gaz (longueur 2 m 50) pour alimenter environ 15 becs soit faite devant la maison située rue de la Fontaine 22 angle de la Gd. rue N° 4 dont il est le propriétaire.
Veuillez Monsieur le Maire, m’autoriser à ouvrir une tranchée au point indiqué ci- dessus
Et d’agréer l’assurance de mon profond respect.
Le Directeur de l’usine à Gaz

(III)

[1884 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire de faire ravaler la façade – Demande pour recrépir et pour repeindre les murs extérieurs – Permis]

Aufforderungsschein N° III-b 5137
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des aufzufordernden Eigenthümers Herr Arthur Schützenberger, Rentner, Thomasstaden N° 4
Lage des in Betracht kommenden Hauses : Langstrasse N° 4
Polizei-Revier III
Herrn Maÿer zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen, 5/6 84 – Kenntniß genommen 6/6 84
Wiedervorzulegen am 1/11 84
Herrn Maÿer zur gefl. Revision 1/11 84
[in margine :] ab 5.6.84
[in fine :] der Anstrich ist verneurt* nichts zu erinnern, 6/11 84
[[in fine :] ad acta, Str. 6/11 84
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekrets vom 26. Märtz 1852, welcher also lautet :
 » Die Außenseite der Häuser ist beständig in einem sauberen Zustande zu erhalten. Dieselben müssen auf die von der Gemeindebehörde an den Eigenthümer zu erlassende Aufforderung mindestens einmal alle zehn Jahre abgerieben, angestrichen oder getüncht werden,
Die Zuwiderhandelnden sind zu Geldstrafe, welche achtzig Mark nicht übersteigen darf, zu verurtheilten.  »
Nach Einsicht der Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Nach Einsicht des Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Der Eigenthümer des Hauses an der Langstrasse N° 4
Herr Arthur Schützenberger, Rentner,
wird hiermit aufgefordert, alle von der Straße aus sichtbaren Außenseiten vorbezeichneten Hauses vor dem 1. November dieses Jahren auffrischen zu lassen, widrigenfalls gegen ihn das Strafverfahren eingeletet werden wird.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung giebt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstreichen oder Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein theilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerüstes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden.
Artikel 3 – Sollten irgend welche Hindernisse gegen die Ausführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom Eigenthümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen,die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschließliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstrichen oder Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
Artikel 5 – Gegenwärtiger Beschluß wird dem Herrn Polizei-Kommissar des III Reviers mit dem Ersuchen übersandt, den Beschluß dem Eigenthümer gefälligst zuzustellen, sowie den Vollzug der darin enthaltenen Bestimmungen gefälligst zu veranlassen.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 4. Juni 1884
Der Bürgermeisterei-Verwalter
[in margine :] mnnt.* 5.6.84

Straßburg den 1.en Juli 1884
Herrn Bürgermeisterei-Verwalter hochwohlgeboren Hier
Wie Endesunterzeichnete Bauunternehmer J & E Klein Fritzgasse 9 haben die Ehre Sie hiemit ergebenst zu bitten, und die Erlaubniß zu ertheilen um an dem Hause von herrn Arthur Schützenberger Langestraß 4 den Verputz auszubessern und die Façaden anzustreichen.
In der Hoffnung daß Sie unter Begehren genehmigst gewähren wollen.
Zeichnen Achtungvoll [unterzeichnet] Nidschelm
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg Pr. 3-7-84
[in fine :] H. Mayer zur gef. Besichtigung zu, Str. 3/7 84
Der Grundstück Langestraße N° 4 ist vor dem Alignement mit Überhang, Str. 4/7 84 Mayer

Bauschein N° III-b 5406
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. B. A. b 1028
Name des Antragstellers, Herr Bauunternehmer J & E Klein, Fritzgasse N° 9
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes, Langestraße N° 4
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 9/7 84
Herrn Mayer zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen, 9/7/ 84
[in margine :] Kenntnis genommen den 9/7 84
[in fine :] H. Meyer zur gef. Kenntnis, Str. 23/7 84
[in fine :] Die Anstreicharbeiten sind ausgeführt, baupolizeilich nichts zu erinnern, Str. 28/7 84, Mayer
[in fine :] ab 9/7/ 84
[in fine :] ad acta, Str. 29/7 84
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 1.ten Juli 1884
betreffend die theilweise Ausbesserung des Mörtelbewurfs und die Erneuerung des Anstrichs des Wohnhauses auf dem Grundstücke des Herrn Arthur Schützenberger an der Langenstraße N° 4 ;
In Erwägung, daß das bezeichnete Wohnhaus sowohl an der Langen Straße wie auch an der Büchergasse über die gesetzlich festgestellte Fluchtlinie vortritt und außerdem an der Langenstraße überhängende Stockwerke hat ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Herrn J & E. Klein vom 1.ten dss. Mts. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den Bedingungen genehmigt :
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
* 2) Eine theilweise Ausbesserung des Mörtelbewurfs darf nur an den aus massivem Mauerwerk bestehenden Umfassungswänden vorgenommen werden. Diese Vergünstigung ist indeß nach Maßgabe des Artikels 46 des Bürgermeiter: beschlusses vom 6. Mai 1856 an den überhängenden Stockwerken nicht zulässig und wird dieser jede Ausbesserung des Verputzes der letzteren hiermit untersagt.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf den Stadthause zu Straßburg den 5. Juli 1884
Der Bürgermeisterei-Verwalter
[in margine :] mns. 5.7.84

(IV)

(1885 – Autorisation d’apposer une enseigne sur une plaque en bois)

N° III-b 6589
Polizei-Direktion vom 2.ten Februar 1885 N° I. 1004
Gesuch vom 21. Januar ds. J.
Erlaubnißertheilung dem Herrn Neidlinger hier Kleberplatz 31 Aubette (biffé : Gerbergraben 26) zur Anbringung von Plakaten an Holzrahmen welch letzter eine Stärke von höchstens 0,02 m erhalten sollen an den Häusern
Langstraße 4
Waisenplatz 2
Finkweilergasse 14
Ziegelsträßchen 33
Tränkgasse N° 5
Stephansplan N° 12
Metzgerstraße 28
Colmarerstraße 33
Zürchenstraße 14
Reibeisengasse 2
Küßstraße 8
Colmarerstraße 45
Straßburg den 6. Febr. 1885, Gesehen, der Bürgermeisterei-Verwalter [unterzeichnet] Nebelung
[in fine :] Baugebühren im Betrage von 9 M 60 d bezahlt am 18/3 85
[in fine :] H. Mayer zur gef. Revision, Str. 19/3 85, Nebelung
[in fine :] Die Rahmen sind angelegt mit Ausnahm an den Häusern Langestraß 4 und Küßgasse N° 8, Straßburg den 19/3 85, Mayer
[in fine :] Die Anbringung der zwei noch fehlenden Rahmen unterbleibte baupolizeilich nichts zu erinnern, Str. 23/6 85,
[in fine :] ad acta Str. 23/6 85 Nebelung

(V)
(1885 – Rapport du sergent de ville sur la décrépitude de la maison – Expertise de la ville d’après laquelle les bâtiments sont en bon état)

N° III-b 7950
Polizei-Direktion vom 5. August 1885 N° I. 6312
Anzeige des Schutzmanns N° 84 vom 4. August 1885 betr. Baufälligkeit der Häuser Langenstrase N° 4 und 8
Verf.
1) Grm : der Kaiserl. Polizei-Direktion, hierselbst
mit dem Erwidern ergebenst zurückgesandt, daß nach technischer Begutachtung an den Häusern Langestraße N° 4 und N° 8 irgend welche Anzeichen, welche eine Katastrophe befürchten ließen, nicht vorgefunden wurden. Von dem Hause N° 4 ist zu bemerken, daß ein Theil der an den Hof des Nachbargrundstücks N° 6 grenzenden Umfassungswand des in ausgemauertem Holzfachwerk hergestellten, zweiten Stockwerks nach letzterem Grundstücke nur einige Centimeter überhängt, daß indeß dieser überhängende Zustand nach Augenschein schon lange Zeit bestehen muß und voraussichtlich annoch noch lange Zeit bestehen wird. Immerhin kann dem Eigenthümer des Hauses N° 4 empfohlen werden den Zustand besagter Umfassungswand etwa durch Verputzen (Bestechen) der äußeren Fläche zu verbessern bezw. gegen die Einwirkungen des Wetters zu schützen.
2) ad acta
Straßburg den 14.August 1885, der Bürgermstr-Verwalter, [unterzeichnet] Nebelung
[in margine :] md. 15/8 85
ab. 17/8 85

(VI)
(1887-1888 – Demande pour exécuter des travaux décrits en 12 articles dans les maisons n° 4 et 6 – Permis le 1 mai 1888 – Demande de raccord aux égouts municipaux, Permis – 14 septembre 1888 : un soupirail dépasse de l’alignement autorisé et accord qui autorise l’empiètement moyennant une rente foncière annuelle)

Strassburg den 30.ten November 87
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Herrn Burgermeister
Unterzeichneter Emil Widmann Maurermeister Ludwiggasse 1, hier, hat die Ehre im Namen der Herren Schützenberger, Bierbrauer in Schiltigheim und Eigenthümer der Häußer Langestraße N° 4 & 6 um Erlaubnis zu bitten folgende grosse Reparaturen vornehmen zu dürfen und zwar :
In dem Hauße N° 4
1. Herabsetzen der beiden Fenster nach der Straße, erweiterung der Eingangsthüre und Anbringung von Rolläden
2° Abbruch alter inwendigen Wände und Treppe
3° Ausbrechen von dem großen Oeffnungen in der linken Façade nach dem Hofe
4° Ausbrechen zweier Thüren um den beiden hintern Häußer in Verbindung zu setzen
5° Neubau einer Treppe zwischen beiden Häußer
6° Erneuerung eines theils an Façade im 1.ten Stock nach dem Hofe und umbau verschiedener innerer Wände u. s. w.
In dem Hauße N° 6
7° Abbruch und Aufbau des rechten Giebels
8° Abbruch eines Theiles des Haußen im Hofe (mit A bezeichnet)
9. Abbruch der Treppe um Terrasse
10. Abbruch und Aufbau der hinteren Façade des Hinterhaußes
11. Ersetzen der jetzigen Schaufenster durch neue und anbringen von Rollläden
12. Aufbau und Aenderung verschiedener innerer Scheidewände im 1.ten und 2.ten Stock u. s. w.
In Erwartung gütigstens Genehmigung seines Gesuchs,
Zeichnet Hochachtungsvoll [unterzeichnet] Widmann
[Tampon] Bürgmst Amt Strassburg, Pr : 30-11-87, III-b 1768

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 1768
Name des Antragstellers : herr Maurermeister E. Widmann Ludwiggasse N° 1
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Langestraße N° 4 & 6
Baugebühren im Betrage von 17 M. 20 bezahlt am 7/12 87
Herrn Stieffel zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen, 7/12 87
[in margine :] Kenntniß genommen Str. 8/12 87 Stieffel
[in margine :] ab. 7/12 87
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 30. November 1887
betreffend die Vornahme baulicher Veränderungen an den Straßenfluchtwänden wie im Innere der Häuser auf dem Grundstücken der Herren Schützenberger Langestraße N° 4 & 6
In Erwägung, daß die Straßenfluchtwände der beiden Häuser über die gesetzliche Fluchtlinie vorragen und längts der Langenstraße übenhängende Stockwerk haben ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des herrn Maurermeisters Emil Widmann vom 30.vorigen Mts. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden, revidirten Zeichnungen unter folgenden Bedingungen genehmigt (1 Blatt Zeichnungen)
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
* 2) Da die Straßenfluchtwände über die gesetzliche Fluchtlinie vorragen und außerdem überhängende Stockwerk haben, so sind die Vorschriften der Artikel 40 und 41 des Bürgermeister-Beschlusses vom 6. Mai 1856 zu beachten, wonach nur Öffnungen im Erdgeschoß durchzubrechen oder bestehende Öffnungen abgeändert werden dürfen und zwar unter der Bedingung, daß die Querende* der Öffnungen in tannenholz bis zu den vorgeschriebenen Abmessungen hergestellt werden.
* 3) Das im Innere der beiden Häuser zur Verwendung kommende Scheid: bezw. Walzeisen darf mit höchstens eintausend Kilogramm pro Quadratcentimeter Querschnittsfläche beansprucht werden.
* 4° Die an den Fensteröffnungen der Straßenfluchtwand im Erdgeschoß etwa anzubringende Läden sind nach Maßgabe der bezüglichen Vorschriften des bürgermstr. Beschlusses vom 2. August 1855 einzurichten, die vorhandene Schlagläden sind vorschriftsgemäß abzuändern.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von 17 Mark 40 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 5. Dezember 1887
Der Bürgermeister, I. A. 3/12

[in margine :] Mit dem theilweisen Abbruch der Wände im Hause N° 6 it bereits begonnen worden. Die Arbeiten sind zur Zeit wegen ungünstiger Witterung eingestellt, Str. 4/1 88, Stieffel – H. Stieffel 25/1
[in margine :] Die Umbauarbeiten sind wieder in Angriff genommen. Baupolizeiliches nicht zu bemerken gefunden, Str. 8/2 88, Stieffel
[in margine :] Umbau von Innerer u. Straßenfluchtwand im Erdgeschoß 2 . 4,0 – : 8,0 M
1 Fensteröffg. des Erdgeschoß : 2,0 M
Erweiterung von Öffnungen 2 . 0,80 = 1,60 M
1 Fensterbrüstung : 0,80 M
Verschluß des Ladens mit Schaufenster : 4,80 M zus. 17,20 M – H. Rieffel 29/2
[in margine :] Die Bauarbeiten waren zur Zeit wegen ungünstiges Witterung eingestellt. Das Hinterhaus von N° 6 ist nahezu im Rohbau vollendet, an der Straßenfront sind noch keine Umbauarbeiten vorgenommen worden, Str. 6/3 88 H. Stieffel
[in margine :] Die Umbauarbeiten im Hause N° 6 sind im Rohbau bereits vollendet und mit dem inneren Ausbau begonnen worden, Baupolizeiliches nichts zu bemerken gefunden, mit dem Umbau im Hause N° 4 ist noch nicht begonnen worden, Str. 19/4 88, Stieffel – H. Stieffel 19/5
[in margine :] Die inneren Scheidewände im Erdgeschloß des Hauses N° 4 sind durchgebrochen und bereits durch eisernen Trägern sachgemäß ersetzt worden, der Rohbau ist noch nicht vollendet. Baupolizeiliches nichts zu bemerken gefunden, Str. 25/5 88 – H. Stieffel 18/6
[in margine :] Die inneren Umänderungsarbeiten im Hause N° 6 sind vollendet bis auf die Maler- & Tapezierarbeiten
Die Umbauarbeiten im Hause N° 4 sind im Rohbau vollendet, mit der Schreinerarbeit ist begonnen worden, zu bemerken gefunden, daß der Verputz an der Straßenfluchtwand gegen die Büchergasse z. Z. ausgebessert wird. den 2.7.88, Illinger – H. Illinger 2/8
[in margine :] Die Umänderungsbauarbeiten in den Häusern 4 und 6 sind bis auf Kleinere Malerarbeiten fertig gestellt. Am Hause N° 4 fand sich zu bemerken, daß eine Kellerlichtöffnung 0, 80 m vor dem Sockel vorragt. den 4.8.88, Illinger – H. Illinger 12/9 – Siehe Umschlag

(Demande de raccord aux égouts municipaux)
Strassburg den 6.ten April 1888
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Unterzeichneter Emil Widmann Maurermeister Ludwiggasse 1, hier, hat die Ehre im Namen der Herren Schützenberger, Eigenthümer der Häußer Langestraße N° 4 u. 6 um Erlaubniß zu bitten mittelst einer Zweigdohlen in Cementröhren von 0,20 lichter Weite die Wasser obengenannter Grundstücke in die städtische Dohle zu leiten, und bittet um gütigste Genehmigung seines Gesuch’s.
In dieser Erwartung
Zeichnet Hochachtungsvoll [unterzeichnet] Widmann
[Tampon] Bürgmst Amt Strassburg, Pr : 7-4-88, III-b 2138

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 2138
Name des Antragstellers : Herr E. Widmann, Maurermeister Ludwiggasse N° 1
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Langestraße N° 4 & 6
Baugebühren im Betrage von 4 M. 80 bezahlt am 11/5 88
Baugebühren : 6,00 x 0,80 = 4,80
[in margine :] ab. 8/5 88
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 6. April 1888
betreffend die Herstellung einer Zweigdohlenleitung zwischen dem Grundstücke des Herrn Schützenberger Langestraße N° 4 & 6 und dem in der dortigen Staatsstraße befindlichen städtischen Dohlen ;
In Erwägung, daß in vorbenannter Straße die Stadtgemeinde eine Abzugsdohlenleitung besitzt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des herrn E. Widmann vom 6. April 1888 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden, revidirten Zeichnungen unter folgenden Bedingungen sowie den am Beschlusse vom 22. Januar 1863 enthaltenen Bestimmungen über das Legen von Gas- & Wasserleitungsröhren,genehmigt :
1) Antragsteller ist verpflichtet, zwei Tage vor Beginn der Ausschachtung in der Straße dem Herrn Kreisbauinspektor schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Zeitpunkte des Dohlenbaus zu erstatten.
Der Anschluß an die Abzugsdohlenleitung muß an der Stelle erfolgen, welche durch den städtischen Baubeamten bezeichnet wird. Die Arbeiten in der Straße müssen nach drei Tagen beendet sein, wenn nicht bei besonderen Schwierigkeiten eine Verlängerung dieser Frist von Amtswegen genehimgt ist.
2) Die Zweigdohlenleitung muß undurchlässig hergestellt und ebenso unterhalten werden, sie muß als eine aus Rohrsträngen zusammengesetzte Leitung eine lichte Weite von mindestens 20 Centimetern erhalten.
3) Der Eigenthümer des durch die Zweigdohlenleitung entwässerten Grundstückes bleibt für alle mit der Dohlenanlage verbundenen Ausführungen auf dem Straßengebiete (Straßenbefestigung pp…), sowie für alle durch diese Ausführungen in Zukunft entstehende Mängel beziehnungsweise nothwendig werdende Ausbesserungen haftbar, und wird bei etwaiger Säumnis das Erforderliche durch das Bürgermeisteramt oder den Kaiserlichen Kresibauinspektor auf Kosten des Eigenthümers veranlaßt werden.
4) Es ist nicht zulässig, bei der beabsichtigten Zweigdohlen-Ausführung eigenmächtig irgend welche Aenderungen an den städtischen Dohlenanlagen vorzunehmen, auch behält sich die Stadtgemeinde das Recht vor, das Einsetzen des Anschlußrohres auf Kosten des Antragstellers durch einen städtischen Unternehmer ausführen zu lassen.
Das Anschlußstück muß mindestens 20 Centimeter über der Dohlensohle liegen, es muß mit bestem Cementmörtel eingemauert und verputzt werden, und darf über die innere Wandfläche der Sammeldohlenleitung nicht vorragen.
5) Der infolge Einlassens des Anschlußrohres in die Wandung der Sammeldohlenleitung entstehende Schutt muß aus der Leitung sofort wieder entfernt werden.
6) Auf dem entwässerten Grundstücke ist in der Zweigdohlenleitung möglichst nahe der Straßengrenze ein stehendes, festes Eisengitter von höchstens 1 Centimeter Stabentfernung derart anzubringen, daß ein Fortschwemmen von festen Stoffen in die Straßendohlenleitung verhindert wird.
Um ferner das Eindringen von Dohlengasen in die Gebäude zu verhüten, ist die Einschaltung eines ausreichenden Wasserverschlusses in die Zweigdohlenleitung innerhalb des Grundstücks empfehlenswert.
7) Der bekannteste Hochwasserstand in jener Gegend und zwar an der Weissenthurnbrücke erreichte die Kote 139,25, bezogen auf den Nullpunkt des Havre-Pegel. Der Eigenthümer ist gehalten, die Herstellung eines etwa nothwendig werdenden Abschlusses der Zweigdohlenleitung gegen andringendes Hochwasser auf seine Kosten und auf seinem Besitzthume zu bewirken.
* Reinigungsschächte dürfen auf dem Trottoir nicht angebracht werden.
Artikel 2. – Alle vom betreffenden Grundstücke kommenden Regen und Haushalungswasser sind in Zukunft unterirdisch nach der Sammeldohlenleitung abzuführen.
Dagegen dürfen gewerbliche Abwasser, menschliche und thierlsche Auswurfstoffe in die Dohlenleitung nicht abgelassen werden, wenn nicht zur Abführung derartige Stoffe ausdrücklich die besonders zu beantragende Genehmigung durch das Bürgermeisteramt ertheilt worden ist.
Artikel 3 – Gegenwärtige Ermächtigung wird auf Widerruf ertheilt. Der Eigenthümer des entwässerten Grundstückes bleibt verpflichtet, auf seine Kosten und ohne Anspruch auf Entschädigung die Zweigdohlenleitung in der Straße abzuändern und nöthigenfalls ganz zu beseitigen, sofern es im städtischen oder öffentlichen Interesse für nothwendig erachtet wird.
Artikel 4. Antragstetter hat die auf Vier Mark 80 Pfennig festgesetzten Baugebühren bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 5. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 1. Mai 1888
Der Bürgermeister, I. A.

Nr. III-b 1768
Betrifft die baulichen Veränderungen an den Straßenfluchtwänden wie im Innern der Häuser auf dem Grundstücke der Herren Schützenberger Langestraße N° 4 & 6
Die Inneren Arbeiten sind fertig gestellt, der am 4/8 88 genannte Mangel ist noch nicht beseitigt, den 13/8 88, Illinger

III-b 3281, Verf.
1) An Herrn Emil Widmann Ludwiggasse N° 1
Bei amtlicher Prüfung der baulichen Veränderungen an den Straßenfluchtwänden und im Innern der Häuser auf den Grundstücke der Herren Schützenberger Langestraße N° 4 & 6 hat sich in baupolizeilicher Hinsicht zu erinnern gefunden, daß eine Kellerlichtöffnung im Trottoir 30 cm vor den Sockel ragt.
Im Hinblick auf die bezl. Vorschriften des Bürgermeister-Beschlusses vom 2. August 1855 ersuche ich Sie ergebenst die betreffende Kellerlichtöffnung so umändern zu lassen, daß dieselbe höchstens 20 Centimeter über den Sockel vorragt.
2) Zustellungsurkunde beizufügen
3) Nach 4 Wochen
Straßburg den 14/9 88, der Bürgermeister 14/9
[in margine :] cf. III-b 3322 – ab 15/9 88

Bierbrauerei zum Vaterland, Schützenberger Vater & Soehne, Straßburg-Schiltigheim
Schiltigheim den 22. September 1888
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Herrn Bürgermeistern
In Beantwortung Ihres hochgeehrten Schreibens vom 14 dieses Monats, an den Herrn Maurermeister Widmann beehren wir uns Ihnen mitzutheilen daß wir sehr bedauern die baupolizeilichen Vorschriften des Bürgermeister-Beschlusses vom 2. August 1855 überschritten zu haben, eine absolute Unmöglichkeit anders zu machen hat es verursacht, und bitten wir deßhalb ergebenst die Kellerlichtöffnung im Trottoir bestehn zu laßen, verpflichten uns jedoch dieselbe auf Aufforderung der städtischen Behörde umzuändern und während des Bestehens derselben eine jährliche Miethe von einem Mark an die Stadtkasse zu entrichten.
In Erwartung gütigster Genehmigung Zeichnen hochachtend
[tampon] pp. Schützenberger Vater & Söhne [unterzeichnet] Braunwald
[in margine, Stempel :] Bürgmst Amt Strassburg, Pr : 23-9-88, III-b 3322

III-b 3322, Vrf.
1) An die Herrn Schützenberger Vater & Söhne, Schiltigheim
Auf die Eingabe vom 22. September ds. Jr., betreffend die Abänderung der 30 Centimeter über den Sockel vorragende Kellerlichtöffnung auf der gesetzliche Mass von 20 Centimetern, will ich die Belassung der bestehenden Öffnungen der in Ihrem Schreiben vom 22. vorigen Mts. vorgeschlagenen Bedingungen genehmigen. Sie wollen zufälligst die bezügliche Verpflichtung auf 80 Pfenning Stempelpapier geschrieben an mich einschicken. In der Verpflichtung ist noch anzugeben, daß die Anerkennungsgebühr von 1,0 Mark jährlich am 11. November im voraus an die Stadtkasse gezahlt werden soll.
2) Nach 14 Tagen
Straßburg den 18. Oktober 1888, der Bürgermeister 12/10
[in margine :] ab 20.10. 88
[in fine :] Soll

III-b 3583, Vrf.
1) An das Domänenamt
Die Herrn Schützenberger Vater und Söhne in Schiltigheim haben vor ihrem Hause Langestraße N° 4 hierselbst eine Öffnung im Bürgersteige, welche 30 Centimeter über den Sockel der Straßenfluchtwand vorragt, anlegen lassen, um durch dieselbe Fässer in den Keller unter gedachtem Hause verbringen zu können. Nach den beizuli
lichen Vorschriften ist für derartige Öffnungen ein Vorsprung bis zu 20 Centimeter über den Sockel zulässig, da nun eine entprechende Abänderung der Öffnungen
Aufgabe des beabsichtigten Zwecks müßen bauliche Veränderungen nothwendig machen würde, so habe ich genehmigt, daß die Öffnung in ihrem jetzigen Zustande bis auf weiterer Beibehalten werden darf.
Die Eigenthümer haben laut des Verpflichtungsscheines vom 4. Novemver 1888 die Bedingung des jederzeitigen Widerrufs anerkannt, Sie erklären sich zugleich bereit auf die dauer des bestehens der gedachten Öffnung eine Anerkennungsgebühr vom 1,0 Mark /:einer Mark:/ alljährlich am 11 November im voraus an die Stadtkasse zu entrichten.
Der Domänenamt wolle des Weitern zufälligst veranlassen.
Z. d. A., Straßburg den 8. November 1888, der Bgrmstr. 7/11
[in margine :] ab 9/11 88

N° III-b 3583, pr. 6/11 88
Unterzeichnete H. Schützenberger Vater & Söhne verpflichten sich die 30 Centimeter über den Sockel vorregende Kellerlichtöffnung auf dem Grundstück Langestraße N° 4 auf erste Aufforderung der städtischen Behörde zu beseitigen und so lange die jetzige Oeffnung besteht, eine jährliche, zum Voraus an die Stadtkasse zu zahlende Anerkennungsgebühr welche am 11. November jedes Jahr zu entrichten ist, zu bezahlen. Die Anerkennungsgebühr ist auf die Summe von eine Mark festgesetzt.
Straßburg den vierten November achtzehn hundert acht und achtzig.
[unterzeichnet] Schützenberger Vater und Soehne

(VII)
[1893 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire de faire ravaler la façade , 19 mai 1893 – demande de délais pour plusieurs auberges – la deuxième demande de délai du 21 avril 1894 est refusée]

Aufforderungsschein N° III-b 1621
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des aufzufordernden Eigenthümers : Herr Schützenberger, Schiltigheim, Vermittlerin : Frl. Eldmann Langestr. 4
Lage des in Betracht kommenden Hauses : Langstr. 4-6 und Büchergasse
Polizei-Revier III
[in margine :] cf. K H-l 1951 – ab 20/5 93
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekrets vom 26. Märtz 1852, welcher also lautet :
 » Die Außenseite der Häuser ist beständig in einem sauberen Zustande zu erhalten. Dieselben müssen auf die von der Gemeindebehörde an den Eigenthümer zu erlassende Aufforderung mindestens einmal alle zehn Jahre abgerieben, angestrichen oder getüncht werden,
Die Zuwiderhandelnden sind zu Geldstrafe, welche achtzig Mark nicht übersteigen darf, zu verurtheilten.  »
Nach Einsicht der Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Nach Einsicht des von der Kaiserlichen Polizei-Direktion aufgestellten Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden ;
Nach Einsicht der vom Herrn Bezirkspräsident erlassenen Polizeiverordnung vom 10. November 1887, betreffend die öffentliche Anbringung von Aufschriften und Ankündigungen :
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Der Eigenthümer des Hauses an der Langstrasse 4-6
Herr Schützenberger, wird hiermit aufgefordert, alle von der Straße aus sichtbaren Außenseiten vorbezeichneter Häuser vor dem 1. November dieses Jahres auffrischen zu lassen, widrigenfalls gegen ihn das Strafverfahren eingeletet werden wird.
Falls an dem Hause Inschriften vorhanden sind, mûssen dieselben beseitigt oder nach Maßgabe der Polizeiverordnung vom 10. November 1887 erneurt werden.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung giebt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstreichen oder Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein theilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerüstes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden.
Artikel 3 – Sollten irgend welche Hindernisse gegen die Ausführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom Eigenthümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen, die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschließliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstrichen oder Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
Artikel 5 – Gegenwärtiger Beschluß wird dem Herrn Polizei-Kommissar des III Reviers mit dem Ersuchen übersandt, den Beschluß dem Eigenthümer gefälligst zuzustellen, sowie den Vollzug der darin enthaltenen Bestimmungen gefälligst zu veranlassen.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 19. Mai 1893
Der Bürgermeister

Bierbrauerei zum Vaterland, Schützenberger Vater & Soehne, Straßburg-Schiltigheim
Schiltigheim den 31. Mai 1893
[in margine :] Feggasse 8, Metzgerstrasse u. Rabengäschen, Langestraß 4 u. 6)
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Herrn Bürgermeistern
Unterzeichnete, Eigenthümer der Häußer Feggasse N° 8, Langestraße und Büchergasse N° 4 & 6, Metzgerstraße und Rabengäschen N° 1 beehren sich um Aufschub auf nächtes Jahr für die Renovirung der Façaden der obengenannten Häußer zu bitten indem in demselben größere inwendige Reparaturen vorgenommen werden sollen.
In Erwartung gütigster Genehmigung zeichnen, hochachtungsvoll
[unterzeichnet] Schützenberger Vater und Soehne
[in fine :] H Adis 1/6 93
[in fine :] umstehend

Feggasse 8 – Ebenerdiges Schuppengebäude sehr unsauber ; Auffrischung dringend nöthig ; abwaschen genügt nicht.
Metzgerstraße 1 und Rabengäschen – Auffrischung nöthig ; abwaschen genügt nicht.
Langestraße 4. u. 6 Ecke Büchergasse – Die Außenseite Langstraße N° 4 u. 6 könnten noch durch abwaschen eine*chtweilen b verbessert werden ; dagegen dürfte die etwas unsaubere Außenseite an der Büchergasse einer Anstrichs-Erneuerung unterzogen werden, abwaschen genügt hier nicht. 22/7 93
[in fine :] Straßb. den 26. Juli 1893, Gt -b 1951
[in margine :] *liche Dienstsache !

Vrf.
1) An die Herrn Schützenberger Vater & Söhne, Schiltigheim
Auf die Eingabe vom 31. Mai ds. Jr., betreffend die Auffrischung der Häuser an der Feggasse N° 8, an der Langestraße N° 4-6 und an der Metzgerstraße N° 1 hierselbst, benachrichtige ich Sie ergebenst, daß bezüglich der Häuser Feggasse N° 8 die Frist nicht verlängert werden kann in der Zustand derselben thatsächlich nun sehr unsauber ist. Bezüglich der Häuser Langestraße N° 4-6 und Metzgerstraße N° 1 will ich die frist bis zum 1. Juni 1894 verlängern
2) Am 1/4. 94, der Brgmstr. 25/7
[in margine :] ab 28.7.94

Straßburg am 21. April 1894
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Unterzeichneter Emil Widmann Ludwiggasse 1, beehrt sich hiermit im Auftrage der Herren Schützenberger Eigenthümer der Grundstücke Langestraße 4 u 6., behufs Renovierung der Façaden obengenannter Grundstücke, um Aufschub der betreffenden Arbeiten auf nächstes Jahr zu bitten.
In Erwartung gütigster Genehmigung Zeichnet Hochachtungsvoll, E Widmann
[in margine, Stempel :] Bürgmst Amt Strassburg, Pr : 23-4-94, Bd-b 1578
[in fine :] H. Adis, 25/4
[in fine :] Besagte Häuser sind sehr unsauber u. einer Auffrischung bedürftig, zumal an diese Lage. Eine nochmalige Verlängerung für nächtes Jahr dürfte sich nicht empfehlen, 26/4 94

[verso] Strbg. den 28. April 1894, K.H.-b 1578
1) Antragsteller ist abschläglich zu bescheiden. Die angesetzte Frist bis zum 1. Juni ist einzuhalten.
2) Am 1/6 94, der Bgmstr. J. A. 27/4
[in margine :] gesch. 28/2* 94
[in margine :] ab 30/4 94, H. Adis 1/6 94
Mörtelverputz ausbesserung ist in letzter Zeit erfolgt, Anstrichs-Erneuerung noch nicht begonnen, 2/3 94
[in fine :] H. Adis 2/7 94
Anstrichs-Erneuerung in Oelfarbe der beiden genannten Häuser ist fertig gestellt 3/7 94
Erledigt 3/7

(VII)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.