1, place du Moulin Zorn


Place du Moulin Zorn n° 1 – partie du VIII 176 (Blondel), P 1265 (cadastre)

Maison démolie en 1892


La maison (z-a’-b’-c’) masquait les bâtiments à pans de bois qui longeaient l’impasse (juillet 2017)
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 108 (musée des Invalides)

La maison entourée de trois côtés par le communal et adossée aux écuries du moulin Zorn figure parmi les immeubles de rapport dans la succession du consul Daniel Wencker en 1675. Ses héritiers la vendent au meunier Adolphe Lœffler. Le notaire Jean Pierre Kolb la loue à partir de 1700 puis l’achète en 1715. Son fils la vend à la femme abandonnée d’un cordonnier qui est autorisée en 1746 moyennant un loyer à jouir d’un terrain entre sa maison et la cabane de son voisin pour y diriger les tuyaux provenant de son évier. Le loyer sera éteint en mars 1790 en réglant son capital. Le compagnon maçon réformé Frédéric Meyli acquiert la maison en 1767. Deux de ses fils se la partagent en 1803, la partie avant revient à l’un, la partie arrière à l’autre. Fils du propriétaire de la partie arrière, Jean Henri Meyli réunit à nouveau les deux moitiés en 1826.


La maison au milieu de l’image est délimitée par les repères (z-a’-b’-c’)
Plan dressé pour le plan-relief de 1830, l’îlot 113 à l’est n’est pas représenté

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1) la représentent entre les repères (z-a’-b’-c’). Le pignon (a’-b’) donne vers l’est sur la place. La façade (b’-c’) orientée vers le nord comprend deux portes d’entrée qui correspondent aux numéros 89 et 89-bis. L’arrière (z-a’) du bâtiment longe l’impasse. Le rez-de-chaussée est surmonté de deux étages dont le premier a l’aspect d’un entresol. La toiture comprend un niveau de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 89 (et 89 bis quand la maison est partagée) du quartier Finckwiller (1784-1857) puis le n° 1 de la place du moulin Zorn.
Jean Henri Meyli vend la maison au pasteur Balthasar Philippe Herrenschneider pour se libérer d’une créance à la fondation dont l’acheteur est administrateur. Le maître maçon Jean Joseph Reiner l’acquiert à la fin des années 1860. Sa veuve la vend à la Ville qui la démolit en 1892 pour en réunir le terrain à la voie publique.

juillet 2017

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1625 à 1892. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Daniel Wencker, consul en 1672, et (1646) Marie Madeleine Kœnig puis (1668) Salomé Kniebs – luthériens
1677 v Adolphe Lœffler, farinier, et (1661) Claire Mathis – luthériens
1715 v Jean Pierre Kolb, notaire, et (1688) Anne Marie Springer – luthériens
1745 v Nicolas Bæurel, cordonnier, et (1716) Marie Dorothée Schmitz – luthériens
puis les héritiers Marie Elisabeth Wittich femme du peignier Wunibald Beÿer, et Marie Madeleine Fels, fille du barbier Georges Philippe Fels et de Marie Madeleine Schmitz
1767 v Jean Frédéric Meyli, compagnon maçon, manant, et Anne Marguerite Bolliger – réformés
puis indivise entre Jean Jacques Meyli, cordonnier, et (1786) Marguerite Dorothée Zendler puis (1790) Anne Marie Jæger – réformés, luthérienne – et les deux suivants
1803 h Jean Frédéric Meyli, apprêteur de tabac, et (1786) Susanne Friedrich, puis (1797) Marie Madeleine Bartholomé (moitié avant, n° 89)
Jean Henri Meili, chargeur, et (1791) Marie Salomé Memminger – réformé et luthérienne moitié arrière (n° 89.bis)
1826 v Jean Henri Meyli, chargeur à la douane, et (1815) Catherine Salomé Stauffert
1853 v Balthasar Philippe Herrenschneider, pasteur, et (1821) Guillaumette Rœderer
1869* v Jean Joseph Reiner, maître maçon, et (1845) Brigitte Bieth, (1855) Catherine Elisabeth Jouvelet, veuve du fabricant de corsets Joseph Wilhelm, (1856) Marie Louise Blettel
1890* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 250 livres en 1763
La valeur vénale de la maison est stable (225 livres en 1715, 250 en 1749 et en 1767)

Locations

1694, Jean Jacques de Saga, tailleur, et Jean Jacques Meyer, remueur de grains
1700, 1706, Jean Pierre Kolb, notaire, ensuite propriétaire
1765, Valentin Knab, charron, et Daniel Oberried, cordonnier

(1765, Liste Blondel), considérée comme partie du moulin Zorn (VIII 176)
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1265, Maylé, Henri, chargeur – maison, sol – 0,7 are

Livres des communaux

Livre des loyers communaux, cote VII 1472 (1741-1802) f° 680
Dorothée Bæurel paie chaque année 2 sols pour jouir d’un terrain de dix pieds et demi sur quatre pieds et demi à côté de sa maison d’après une autorisation donnée par les préposés aux affaires foncières. Le loyer est éteint en versant un capital en mars 1790.

Dorothea Bäurelin gebohrne Schmitzin solle Von einem 4 ½ schuhe breit und 10 ½ schuhe tieffen Allmend Plätzlein an jhrem Hauß im Mühlgäßlein beÿ der Zornenmühl jahrs auf Ann: Mariæ Laut Prot. de A° 1746. A° 1747 I.mo id est 28. Martii (5. Germinal), 2 ß
(Quittungen, 1747-an 10)
[in margine :] laut quittung vom 26. Martii 1790 ist pro 1790 auf dem pfenning thurn bezalht worden
C. 307
jetzt Friderich Maÿle der Maurer

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1746, Préposés au bâtiment (cote VII 1402)
Dorothée Schmitz, femme abandonnée du cordonnier Nicolas Bæurel, est autorisée à jouir d’un terrain entre sa maison et la cabane de l’emballeur Jean Blœchel pour y diriger les tuyaux provenant de son évier moyennant un loyer annuel de deux sols

(f° 6-v) Montags den 31. Ejusdem [Januarÿ 1746] Dorothea Bäurelin
Dorothea Bäurelin gebohrne Schmitzin Michael Bäurel des schuhmachers Verlaßene Haußfrau bittet jhro das zwischen jhrem Hauß und Johannes Blöchels des Spanners im Kauffhauß hütte befindliche 1 ½ schuhe breit und 10 ½ schuhe tieffe allmendt Plätzel im Mühlgäßel beÿ der Zornen Mühl, auf welches Sie jhre Waßerstein Näche gerichtet, Zukommen Zulaßen. Erkannt Gegen 2. ß Zinß des Jahrs Willfahrt, so sie acceptiert.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Petite rue du Moulin

Mayly
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 313 case 3

Maÿlé, Henri, Chargeur
Herrenschneider Balthazard Philippe à l’hôpital civil, subst. 1854

P 1265, maison, sol, Petite Place du Finckwiller 89
Contenance : 0,70
Revenu total : 58,36 (58 et 0,36)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 616 case 2

Herrenschneider Balthasard Philippe, pasteur, rue St Nicolas 16
1869 Reiner, Jean Joseph, Maître Maçon
1885 Reiner Johann Joseph Eigenthümer We Maria Luise Blaettel
1890/91 Straßburg Stadt

P 1265, maison, sol, Place du moulin Zorn 1
Contenance : 0,70
Revenu total : 58,36 (58 et 0,36)
Folio de provenance : (313)
Folio de destination : Abbruch, (sol) Abgang zur öffentl. Straße
Année d’entrée : 93/94
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus :
1893, Strassburg Stadt f° 616, P 1265, sol 0,70, Reinertrag 0,36, zu öffentl. Straße
Strassburg Stadt f° 616, P 1265 Maison, Reinertrag 58, Abbruch, Zeit 1892

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 279 Des Moulins p. 25

89
prop. Maily, Frédéric, Cordonnier – Cordonniers
loc. Negouret, Mathié, Ouvrier en tabac – Moresse
loc. Schappartin, Madeleine, veuve, Blanchisseuse – Manante
loc. Kemler, Jacques, valet d’Apothiquaire – Boulangers
loc. Maily, Frédéric, Ouvrier en tabac – Manant
loc. Busch, Marguerite, Couturiere – Miroir
loc. Molsheim, Madeleine, sous la tutêle de Jean Tuback – Echasses


Relevé d’actes

La maison appartient à Daniel Wencker, consul en 1672, qui épouse en 1646 Marie Madeleine Kœnig puis en 1668 Salomé Kniebs

Mariage, cathédrale (luth. p. 197)
1646. Domin. 2. Trinitatis. Herr Daniel Wencker, deß Edlen, Ehrenvesten, Fürsichtigen Vndt Wohlweißen Herrn Johann Wenckers Alten Ammeisters ehelicher Sohn, Vnd J. Maria Magdalena deß auch Edlen, Ehrenvesten, Fürsichtigen Vnd Wolweisen Herrn Martini Andreæ Königs deß Bestendigen Regiments der Herren dreÿ Zehner Eheliche Tochter. In H. Ammeisters Wenckers hauß, Dienst. 16. Junÿ (i 253)

Mariage, cathédrale (luth. f° 103-v, n° 34)
1668. Dom. XI. post Trin. Zum 2. mahl der Edle, Ehren Vest, Fürsichtig Wohl Weiße Hr Daniel Wencker, deß beständ. Regiment der Hen. XIII. Jfr. Salome, Weiland hrn Philipp Jacob Kniebsen geweßenen Dreiers deß Pfenningthurns v. Handelsmanns alhie nachgelaßene ehel. T. Donnerstags den 13.ten Aug. Münster (i 106)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 184, n° 32) 1668. Sonnt. XI. Trinitatis. Der Edle, Ehren Vöste, Fürsichtig Vndt Hoch Weiße Hr Daniel Wencker, deß Geheimen Regiment der Herren XIII. hochansehnlichen Beÿsitzere Und Jfr. Salome, Weÿl. hrn Philipp Jacob Kniebsen Vornehmen Burgers Vnd Handelsmanns auch Dreÿers beÿ hiesiger Statt Pfenningthurn nachgel. Ehl. Tochter, Eingesegnet in Summo Templo Mittw. 13. Augusti (i 197)

Lors du partage de la succession dont l’inventaire n’est pas conservé, la maison sise ruelle du Moulin à côté du moulin Zorn revient aux enfants issus du premier mariage avec Marie Madeleine Kœnig

1675 (27.4.), Me Schübler (Christophe, 55 Not 19) n° (957)
Zuwißen, alß nach Weÿlandt deß Wohl Edlen, vest fürsichtig, hoch undt wohlweißen Herrn Daniel Wenckers dießer deß heÿl. Reichs freÿen Statt Straßb. alten Ammeisters und wohlmeritirten 13.rs. deß geheimen Regiments nunmehr seeligen, tödtlichen Ableiben, deßelben Verlaßenschafft in beÿsein der zugehörige Persohnen Inventirt, darüber auch zweÿ gleichlautend Inventaria verfertiget vndt auffgerichtet worden, daß darauff vff dato wie nach steht die wohl Edle Viel Ehren und tugendreiche fraw Salome Wenckherin gebohrne Kniebßin die hinderlaßene fraw Wittib mit beÿstand deß Wohl Edlen, vesten hoch vnd wohlweißen H. Andreæ Brackenhoffers der Statt Straßburg wohlmeritirten alten Ammeisters vndt 13.ers deß geheimen Regiments Ihres erbettenen vnd geschwornenn herren Vogts ane Einem, ferner die Edle viel Ehren vnd tugendreiche fraw Salome Reichßhofferin gebohrne Wenckherin deß Edeln Ehrenvesten vndt hochachtbaren H. Daniel Reichßhoffers vornehmen handelßmanns vndt der Statt Stall wohlverordneten H. dreÿers haußfr. welcher auch beneben deroselben dem Geschäfft beÿgewohnt, deß verstorbenen, H. Ammeisters seel. in erster Ehe, mit auch weÿland der wol Edlen, Viel Ehren vnd tugendreichen frauen Mariæ Magdalenæ Wenckherin gebohrner Königin ehelich erzeugte dochter, Mehr der wol Edle, vest, fromm, fürsichtig vnd hochweiß H Jacob Wencker wohlverdienter 15.r deß geheimen Regiments alß geschworner Vogt Jungfr. Mariæ Foelicitas vndt Elisabetha deß in Gott ruhenden H. Ammeisters seeligen in anderer Ehe mit ob Edelgedachter frawen Salome Wenckherin gebohrner Kniebßin ehelich erzeugter döchter, In auch beÿsein Herrn Johann Zieglers geschwornen der Statt Straßb. Käufflers vnd mein Christophori Schüblers hierzu insonderheit requirirten Notarÿ zusammen kommen und erschienen vndt willens in vor Wohl Edelbesagts H. Daniel Wenckers (…) Verlaßenschafft eine gebührende Separation vor vndt ane die hand Zunehmen – Actum vndt angefangen den 27. Aprilis 1675. Ergäntzt aber den 10.ten Februarÿ 1676.

Zuvor vndt ehe man aber Zu einiger Lieffer vnd Außweißung, Ingleichem der Abtheilung geschritten, ist von mir Notario ein Summarischer Extractus nicht allein vber sein herrn Ammeisters seel. gehabte eÿgenthümbliche alß sogenannte theilbare vndt wÿdembs Nahrung, welcher beÿ mein Notarÿ vergriffenem Concept gebunden zubefinden vorgelegt, warinnen remonstriret, daß deß H. Ammeisters seel. velaßene theilbare Passva die theilbare Activa vmb ein merckliches vbertroffen, darohalben hat eingangs wohl Edel, gedachter H. Andreas Brackenhoffers der Statt Straßb. wohlmeritirter alter Ammeister vndt 13.er deß geheimen Regiments in nahmen der Fr. Ammeisterin seiner Curandin sich nochmalen wie in dem Inventario fol. 52. zusehen dahin resolvirt auff die Inventirt theilbare Nahrung allerdings Verzug Zuthun (…)
(f° 3-v) Eÿgenthumb ane einer behaußung so in die Wÿdembs Verfangenschaft gehörig. Summa Anschlags der vff dem alten Weinmarckh gelegenen behaußung, welche der H. Ammeister seel. ad dies vitæ bewohnt vnd genoßen, Ist wie Im Inventario fol: 244 zusehen 2000. lb. Die vber diße behaußung sagende brieffliche Documenta mit N° 41. notirt vndt Im Invent. fol. eod. registrirt hat H. Daniel Richshoffer alß Ehevogt Zu seinen handen in verwahrung empfang.
(f° 4) Wÿdembs Ergäntzung so in der fr. dochter Wÿdembs Verfangenschafft gehörig. Summarum der jenig. Ergäntzung, welche der fr. dochter nicht allein in erster Ehe undt wittibstand sondern auch in des H Ammeisters seel. anderer Ehe beÿ dießer Verlaßenschafft Inventation zuergäntzen sich befunden (…)
Ruprechtsawer Guth oder Meÿerhoff daselbsten. Erstl. hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Ställ, Schopff, trott, daubhauß in der Ruprechtsau in der Obern Au im alten Garten oder Kleinen Guth (…)
(f° 5) It. hauß, hoff, hoffstatt, höfflein vff dem alt. Weinmarckh, einseit neben der fr. dochter ererbten Mütterl. hauß (…)
(f° 10-v) Außweißung Jungfr. Mariæ Felicitatis und Elisabethæ Wenckherin beeden Jüngern döchterlein verschafften vätterlichen Prælegaten. (f° 11-v) Behaußung. It. Hauß, hoffstatt, höfflein hinder deß Allmosen Zu St. Marx Garten (…)
It. hauß v. hoffstatt, so in 3.en vnderschiedlichenen wohnung. begriffen, mit allen Ihren Gebäwen, weiten, rechten, Zugehörten V. gerechtigkeit. gelegen in der St. Str. in dem Finckhweiler Jenseit der Preüsch, Obwendig St. Thomas brucken, In dem Mühlgäßl. einseit neben der Edlen Zornen Mühl, 2.seit wie uach hind. v. vornen vff daß Allmend stoßend, so allerdings freÿ ledig v. eÿgen angeschlag. p. 100. lb. Vber solche behaußung sagen die Documenta sub N° 71. Lit. G. v.. N° 40 signirt, im Invent. fol. 183. mit mehrerem registrirt

Le tuteur des enfants mineurs vend la maison 180 livres au farinier Adolphe Lœffler

1677 (25.5.), Chambre des Contrats, vol. 546 n° 428
der Edel- from und wohlweÿse Herr Jacob Wenckher deß beständigen Regiments der Herren Fünffzehen, alß Vogt weÿl. deß Edel- fürsichtig- hochweÿsen herrn Daniel Wenckhers dießer Statt geweßenen Alten Ammaÿsters und dreÿ Zehners nunmehr seel. nachgelaßener Kinder letzter Ehe
in gegensein Adolph Löfflers deß Mehlmanns
hauß hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier im Finclhweÿler hinder stost daselbe uff die Zornische Mühl, sonst stehet dieselbe Vornen wie auch uff beÿden seiten gantz freÿ – geschehen umb 360. R.

Le meunier Adolphe Lœffler épouse en 1661 Claire Mathis, fille d’un fabricant de pâtés
Mariage, Saint-Nicolas (luth. p. 264, n° 12)
1661. Domin: Cantate v. Rogat: seind jâ et ndâ vice außgeruffen worden Adolphus Löffler der Müller, weÿl. Laurentÿ Löfflers deß gewesenen Müllers auff der Zornen Mühlen hinderlaßener ehelich. Sohn Vnd Jungfr. Clara, weÿl. Petri Mathißen des gewesenen deß Bastetenbecken und burg. allhie hinderlaßene eheliche dochter, Copulirt den 20. Maÿ Zu St Niclaus (i 282)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 117) 1661. Cantate 12. Maÿ. Adolph Löffler, Mühlartz, Weÿl. Lorentz Löffler, deß Müllers auff der Zornen Mühlen, Vndt burg. allhier, ehel. Sohn, Vnd Jgf. Clara Anna, Weÿl. Petri Matthis, deß Bastetenbecken v. Burgers allhie, nachgelaßene ehl. Tochter. Eingesegnet zu St. Niclaus Mont. 2. Maÿ

Adolphe Lœffler délaisse cinq enfants. Le tuteur rend compte de sa gestion des biens. La maison est louée au tailleur Jean Jacques de Saga et au remueur de grains Jean Jacques Meyer

1694 (Joh. Bapt.), Me Reeb (Jean Pierre, 45 Not 4) n° 233
Rechnung Weÿl. Herrn Johann Peter Reeben Geweßenen Notarÿ Publ. auch burgers alhier zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßener Fr. Wittib und Erben, Inhaltend alles das Jenige so gedachter Herr Notarius Reeb seel. alß Jungfr. Annæ Mariæ, Andreßen, Margarethæ Salome, hannß Peters und Saræ der Löffler, Weÿl. Adolph Löfflers deß Meelmanns und Fr. Claræ Annæ Matthißin beeder Eheleuthen und burgere Zue Straßburg ehelich erzeugt und nachgelaßener Fünff Kinder geweßener geschworner Vogt, Von Johannis Baptistæ 1692. alß deßelben abgelegten ersten Rechnung ahn, biß auf Weÿhenachten 1694. dießer Vogts Persohnen halben eingenommen hien widerumb Außgeben und sonsten Vögtlicher verhandelt und verrichtet worden – Andere und und letzte Rechnung dieser Vogteÿ.
(Prod. beÿm Vogteÿ Gcht den 22 Sept. 1695.)

Haußzinß – Undt gebens Jetziger Zeit Volgende Persohnen. Item Weÿlandt Meister hannß Jacob de Saga deß Schneiders Wittib gibt Jährlichen auß der Vogts persohnen vordern hauß 8 lb 10 ß, so dann Inventarÿ anschlag nach in hauptgutt zu rechnen j C xx lb
Item 5 lb d gelts gibt Jährlichen hanß Jacob Meÿer der Kornwerffer, auß der Vogts Persohnen Nebens hauß so gleicher gestaltt dem Inventarÿ Anschlag hach in Capital höher nicht Zu reichen alß lx lb
(f° 8) Einnahm gelt ahne Hauß Zinnßen. 1692 (…) auß dem Vordern hauß, von hanß Geörg Hetzeln oder vielmehr von der ältern Vogts dochter für den auff Michaelis 1692 verfallenen Viertel jährigen Zinß
Item von Andreß Tuwel den auf Michaelis schuldigen haußzinß
Item den 29. dito brachte hanß Jacob de Saga seinen Von Michaelis biß Nativitatis Christi Verfallenen haußzinß
(…) brachte andres Teübel
Anno 1693 (…) decembris, Er Saga (…), hannß Jacob Meÿer
Anno 1694 (…) hannß Jacob Meÿer, hannß Jacob de Saga

Tuteur des cinq enfants d’Adolphe Lœffler, Jean Ernest Gesensohn loue la maison au notaire Jean Pierre Kolb

1700 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 573 n° 202
Johann Ernst Gesen Sohn der Hoßenstricker als Vogt Weÿl. Adolph Löfflers gewesenen Meelmanns hinterlaßener fünff Kinder [unterzeichnet] Hanß Ernst Gösensohn
in gegensein Hn Johann Peter Kolben Not. Publicj
entlehnt, Eine Behaußung sambt allen begriffen Und Zugehördten allhier beÿ der Zornen Mühl, am Mühlgäßlein einseit ists ein Eck am ged. Gäßlein, as. neben einem andern Hauß ged. Löfflerischen Kindern auch gehörig, so in diese lehnung nicht gehört, hind. auff ged. Mühl gäßlein stoßend gelegen, auff ein Jahr lang Von Annunc. Mariæ dieses 1700.sten Jahrs angehend, Umb einen Jährlichen zinns, Nemblich 10 pfund

Nouveau bail entre les mêmes en 1706

1706 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 123-v
Hanß Ernst Gößensohn Hößenstricker alß vogt Löfflerischer 4 KK. beneben Anna Maria der ältesten Curandin
in gegensein Hn Joh. Peter Kolben Not: publ.
entlehnt, die Löfflerische vordere behausung ohnfern der Zornen mühlen gelegen auf dreÿ jahr lang anfangend auf Weÿhn. 1705 – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb

Les héritiers d’Adolphe Lœffler vendent la maison 225 livres au notaire Jean Pierre Kolb et à sa femme Anne Marie Springer

1715 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 479-v
(285) Anna Maria geb. Löfflerin beÿständlich Joh: Schlundt schneiders ihres mariti, Item Marg: Salome Fischbachin wittib geb. Löfflerin beÿständlich Joh. Ernst Goßensohn hoßenstrickers ihres Curatoris, Item Sara geb. Löfflerin beÿständlich Joh: Georg Schauer Kornwerffers ihres mariti
in gegensein H Joh: Peter Kolb Not: publ: und Annæ Mariæ geb. Springerin
ihre zweÿ dritte theil für unvertheilt an zweÿ häußeren neben einander mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten beÿ der Zornen mühl, einseit ist ein Eck ahn dem mühlgässel, anderseit neben dem Allmendt hinten auf den Stall der Zornen Mühl – um 200 R pro rata beladen, geschehen um und 225 lb

Fils et créancier de la succession de son père, le notaire Abraham Kolb vend la maison 250 livres à Dorothée Schmitz, femme du cordonnier Nicolas Bæurel

1745 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 586-v
H. Abraham Kolb Notarius publicus und practicus
in gegensein Dorotheæ geb. Schmitzin weÿl. Nicolaus Bäurel des schuhmachers wittib beÿständlich ihres vogts Paul Janus des schuhmachers [unterzeichnet] bäuerlein
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler ane der Zornen Mühl, einseit am Mühlgäßlein, anderseit neben dem Allmend, hinten auff die Zornen Mühl Stallung – um 100 pfund capital (verhafftet), als ein elterliches erbguth – geschehen um 250 pfund

Fils d’un cordonnier de la Robertsau, Nicolas Bæurel épouse en 1716 Marie Dorothée Schmitz, fille du tonnelier de la Halle : contrat de mariage, célébration à Illkirch
1716 (19.6.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 346
(Eheberedung) zwischen dem Ehrbahren Niclaus Bäurel, Ledigem Schuemacher, Niclaus Bäurels deß Baursmanns und burgers in der Ruprechtsaw Ehelichem Sohn, Als Hochzeitern, an einem,
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Mariæ Dorotheæ Schmitzin, Weÿl. Herrn Johann Werner Schmitzen, Geweßenen Kauffhauß Küffers vnd burgers Zu Straßburg nunmehr seel. hinderlaßener Ehelichen dochtern Als der hochzeiterin, Am andern theil
Actum Straßburg (…) Freÿtags den 19. Junÿ Anno 1716. [unterzeichnet] Nicklauß bäurel als hochzeider, Maria Dorothe schmitzin

Mariage, Illkirch (luth.)
MDCCXVI. den 5. Julii sind in Illkirch auf erlaubnus Ihro Gnaden Regierenden H. Ammeisters in Straßburg laut beiligenden Scheins, Zum I. vnd II. mal außgeruffen vnd den 6. Ejusd. copulirt und eingesegnet worden, Niclauß Bäuerle, der ledige Schuhmacher, Nicolaus Beurle burger Und Ackermann in der Ruprechtsaw vnd Anna Margaretha Wernerin seiner ehel. haußfr. ehl. Sohn, Und Maria Dorothea, Johann Werner Schmidt Keiffer Vnd Weinhändler in Straßb. und Maria Magdalena Leopoldin seiner ehel. haußfr. hindl. ehel. tochter, beide Lutheranischer Religion, wohnhaft in der Ruprechtsau. [unterzeichnet] Nicklauß baurel alß Hochzeiter, Maria dorothea schmitzin als hochzeiterin (i 22)

Marie Dorothée Schmitz hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Gambs

1745 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 840-v
Dorothea geb. Schmitzin Nicolaus Bäurel des schuhmachers verlassene ehefrau mit beÿstand ihres vogts Paul Janus des schuhmachers
in gegensein H. Johannes Gambs Med. D. und Practici, zu vorhabender reparation hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis im Finckweiler ane der Zornen mühl einseit neben dem Mühlgäßlein, anderseit neben dem Allmend, hinten auff besagter Mühl Stallung – als ein am 30. Augusti jüngst erkaufftes guth

Marie Dorothée Schmitz donne en gage sa maison pour subvenir à son entretien à la maison de travail

1749 (17.11.), Chambre des Contrats, vol. 623 n° 671
H. Georg Albrecht Hagen entrepreneur des hiesigen Arbeit haußes an einem
Dorothea geb. Schmitzin Nicolaus Baurel des schuhmachers Ehefrau unter assistentz H. Johannes Bex des specireres am anderen theil [unterzeichnet] bäurlerlin, Nicolaus bäurel)
wie daß sie nachstehender leibgeding miteinander getroffen – es verpflichtet sich H. Hagen die Baurelische ehefrau solang ihro gott das leben fristet in ermeltes Arbeitshauß als eine Pfründerin zu verpflegen
acceptirt hat eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben zugehörden und rechten im Finckweiler ane der Zornen mühl, einseit neben dem Mühlgäßlein, anderseit neben dem Allmend hinten auff gedachter mühl stallung – um 250 pfund verhafftet – als ein am 30. Augusti 1745 erkaufftes guth

Marie Dorothée Schmitz meurt en 1765 en délaissant trois héritiers dont le seul à avoir un domicile connu est Marie Elisabeth Wittich, femme du peignier Wunibald Beyer. L’actif de la succession s’élève à 267 livres, le passif à 364 livres. Wunibald Beyer rend compte de sa gestion, notamment des loyers versés par le charron Valentin Knab et le cordonnier Daniel Oberried.

1763 (30.5.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 267) n° 912
Designatio Aller derjenigen Haab und Nahrung Keinerleÿ ausgenommen, so weÿl. Dorothea gebohrne Schmitzin auch weÿl. Niclaus Bäurle, des geweßenen Schumachers und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib, nun auch seel. nach ihrem den 3.ten Aprilis dießes lauffenden 1765. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft theils auff E. Löbl. Policeÿ Gerichts und theils Frauen Mariæ Elisabethæ gebohrner Wittichin herrn Wunibald Beÿers des Kammachers und burgers allhier Ehegattin, beÿständlich deßelben beschehene requisition – Actum Straßburg den 30.ten Maÿ Anno 1763. In præsentia S. T. Herrn Emanuel Brantzen E. E. Großen Raths alten und E. Löbl. Policeÿ Gerichts jetzig. Wohlverdienten beÿsitzers und burgers allhier, als aus hochwohl gedachten Policeÿ Gerichts Mitteln wie er meldete, abgeordneten Herren.
Die Verstorbene hat anderer gestalten ab intestato Zu ihren Erben verlaßen wie folgt, Vor Eingangs gedachte Frau Mariam Elisabetham Beÿerin gebohrne Wittichin,
Elisabetham Schmitzin ledigen standts deren Auffenthalt nicht zu erfragen geweßenen,
So dann N. Schmitz so aber nicht wißend ob er noch lebend oder verstorben seÿn sollen, Alle dreÿ der Verstorbenen bruders und Schwester Kinder

N° 1, Haußrath 4 lb
N° 2, Eigenthumb ane einer behaußung. Nehmlichen eine behaußung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier im Finckweiler ane der Zornen Mühl einseit neben dem Mühlgäßl. anderseit neben dem Allmend hinden auff besagter Mühl Stallung stoßend, so außer herbech gemeldeter passiv capital ledig, eigen und ist diße behaußung durch die geschwornene herren Werckmeistere Vermög derselben mit Notario Zum concept eingeschickten schrifftlichen Abschatzung vom 18. Maÿ 1763. angeschlagen worden pro 250. lb
N° 3, Schulden in die Verl. Zugeltend 12 lb, Summa summarum 267 lb
Schulden aus der Verlaßenschafft zu bezahlend 364 lb, In Compensatione 96 lb
– Abrechnung, Was Herr Wunibald Beÿer, der Strehlmacher und burger allhier uxorio nomine, theils ab intestato mit Erb, und bißheriger Verwalter weÿl. fr. Dorotheæ gebohrner Schmitzin, auch weÿl. Niclaus Bäurle geweßenen Schuhmachers und burgers allhier hinterbliebene Wittib hinterlaßener behaußung ane haußzinßen eingenommen und hinweider deßwegen außgegeben.
Dieße behaußung ist gelegen allhier im Finckweiler ane der Zornen Mühl einseit neben dem Mühlgäßlein anderseit neben dem Allmend hinden auff besagter Mühl Stallung stoßend, daran gibt man Jährl. auff Annunciationis Mariæ 2 ß d ane bodenzinß und stehet auf dieße behaußung nun weÿl. herrn Johann Gambßen gewes. Medicinæ Doctoris und burgers alhier seel. hinderlaßenen Erben in Capital jahrs auff Martini Vier pro Ct° Verzinßlich 500 R. Zum bericht
Einnahm Gelts ane bezahlten haußzinnßen
Erstlichen giengen Von Valentin Knab dem Wagner allhier (…)
It. empfinge der administrator von Daniel Oberried dem Schuhmacher, so dahin ein gezogen Von Michaelis 1763 biß Johannis Baptistæ 1765 (…)
It. auß der untern Stuben (…)
und dann von Joh. Bapt: 1763 biß 1765 (…)
It. entrichtete N. N. der Gartenmann auß dem hindern Losament biß Joh. Bapt: 1763 per rest, und ferner biß Michaelis besagten Jahres Vor in 4.tel Jahr (…)
It. erhielte er von N. N. einer Waßerin so in solch Losament gezogen von Michaelis 1763 biß Annunciationis Mariæ 1764 (…)
It. gieng Von einer anderen persohn weilen Vorherige auß ziehen müßen von Joh. Bapt: 1764 biß dieße Zeit 1765. (…)
It. stattete Margaretha Bielerin Von ihrem Thun von Annunciationis Mariæ 1763 biß Annunciationis Mariæ 1764 dem haußzinnß ab Vor 2 Jahr (…)
Und nach dem dieselbe in den letzten Viertel jahr Joh. Bapt: 1765 verstorben (…)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Wunibald Beyer et Marie Madeleine Fels, fille du barbier Georges Philippe Fels et de Marie Madeleine Schmitz à vendre la maison au manant Frédéric Meyli

1767, Conseillers et XXI (1 R 250)
Joh: Wunigund Beÿer der burger und Kammacher uxorio nomine et Consorten erhalten erlaubnus an Friderich Meÿli den Maurer und schirmer alhier eine im finckweiler gelegene behaußung dispensando vom augenschein verkauffen, dießem auch also Kauffen Zu dörffen. 39.
(p. 39) Sambstags den 7. Martÿ 1767. Froereis Nê Friderich Meÿli des Maurers und schirmers alhier, der bitt unterth. ihme gnädig Zuerlauben Von Johann Wunigund Beÿer dem burger und Kamm macher seinen uxorio nomine von fr. Dorothea gebohrner Schmitzin ererbten antheil an einer behaußung, hoffstatt und Zugehörden im finckweiler beÿ der Zornen mühl einseit neben dem Mühlgäßel anderseit neben dem Allmend gelegen, umb 60. R. nebst übenahm des antheils des darauff hafftenden Capitals von 250. lb wie auch der Kösten an sich Kauffen Zu dörffen,
Ferner von Salome Felsin weil. Fr. Mariæ Magdal. gebohrner Schmitzin mit auch weÿl. Georg Philipp Felßen geweßenen barbierers und Königl. Zollers Zu Niederröderen ehelich erzeugter tochter beÿständlich H. Johann Winthers des Schiffmanns und burgers alhier den derselben unvertheilten Von weil. fr. Dorothea gebohrne Schmitzin ihrer baaßen ererbten antheil, worinnen derselbe bestehen mag, ane Vorbesagter behaußung und hoffstatt umb die summ vom 18. R. benebst auch übernahm des darauff Hafftenden Capitals von 250. lb soviel den antheil daran betrifft, und derer Uncosten kauffen Zu dörfen und umb gnädige dispensation Von gewohnlichen augenschein.
Claus nê Vorbemeltem Johann Wunibold Beÿers der bitt ebenfalls unterth. auff Vorstehende arth Verkauffen Zu dörffen und zugleich umb gnädige dispensation Vom augenschein.
Nach angehörtem voto des H. Syndici Regii, in welchem Hochderselbe auff die gebettene willfahrung angetragen, Wurden auf hohen anspruch Excel. Domini Prætoris Regii von Gayot und des auff dem obern banck vorsitzenden H. Stättmeisters Von Berstätt vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, wird denen Imploranten dero resepectivé antheilter ane Vorbemelter im Finckweiler beÿ der Zornen mühl gelegener behaußung und hoffstatt samt Zugehörden Von Johann Wunibold Beÿer dem burger und Kammacher Zum theil und von Salome Felßin vorgedacht daran ererbten theil der ersteren ad 60. R. und den 2.ten ad 18 R. nebst übernahm der Unkosten, vnd des darauff hafftenen Capitals von 250. lb d. so Viel daran eines jeden antheil betrifft ane Friderich Meÿli den Maurer und schirmer alhier dispensando Vom augenschein verkauffen, deßen auch also Kauffen Zudörffen, jedoch mit dem anhang wilfahrt, daß der Kauff und Verkauff in Mhh, Cantzleÿ Contract stub ordnungs mäßig coram Dominis Deputatis ordnungß mäßig Verschrieben und dabeÿ Gemeiner Statt versirenden interessé, besonders wegen abrichtung des real Schirmgelts bestermaßen observirt werden solle.
Depp. H. Rathh. Metzgern H. Rathhh. Kips.

Le maçon Frédéric Meyli fait enregistrer à la Chambre des Contrats la vente provisoire passée devant un notaire.

1767 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 n° 201, Joh. Heinrich Dautel, 9. Jan. 1767
auf ansuchen Friedrich Meÿli des maurers, nachstehenden kauff
Salome Felßin weÿl. Fr. Maria Magdalena geb. Schmitzin mit weÿl. Georg Philipp Felß gewesten barbierers und königl. zoller zu Niederrödern eheliche tochter mit beÿstand H. Joh. Winter des schiffmanns
in gegensein Friedrich Meÿli des maurers und schirmsverwandten
ihre unvertheilte von weÿland Fr. Dorotheæ geb. Schmitz ihrer baaßen seel. ererbten antheil von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen und zugehör im Finckweiller beÿ der Zornmühl, einseit neben dem mühlgäßlein, anderseit neben dem Allmend, hinten auff besagten mühlen stallung – um 250 pfund verhafftet

Réformé originaire de Stadel en Suisse, Jean Frédéric Meyli épouse une fille de manant, Anne Marguerite Bolliger qui meurt en 1790. Il se remarie en 1792 avec Marie Salomé Jæger, fille d’un tuilier de Bischwiller et meurt en 1797 à l’âge de 71 ans
Mariage (réformés, f° 153-v)
1752. Apr. d. 3. Friderich Meÿlin, d. maurergesell weÿl. J. Jacob Meÿlins v. Stadell beÿ kieleth*, hinterl. Ehel. Sohn, Jfr. Anna Margaretha weÿl. Rudolf Bolliger gew. Schirmers in Straßb. hinterl. Ehel. tochter (i 166)

Sépulture (réformés, f° 4-v)
Im Jahr 1790 Freÿtags den 18. brachmonats Nach mittags um dreÿ Uhr wurde nach gehaltener Ermahnung auf St Galli Gottesacker Zur Erde bestattet frau Anna Margaretha Bollinger, Meister Friderich Meÿlins, Maurergesellen und Schirmers allhier gewesene eheliche haußfrau, welche Donnerstags Morgens um zweÿ Uhr hiemit mehr als 36. Stunden vor ihre beerdigung gestorben in einem Alter von 67. Jahr 7 Monaten und 10 Tage Zeugen des haben sich unterschrieben Meister Friderich Meÿlin als Wittwer und Joh: Jacob Meÿlin burger und Schuemacher als sohn [unterzeichnet] + Handzeichen des Wittwers, Johann Jacob Meÿlu burger und Sohn (i 95)

Mariage (réformés)
Im Jahr 1792, Sonntags den 7. und 14. Octobris wurden in der reformirten Kirche allhier proclamirt und Montags den 17. ejusdem in derselben ehelich eingesegnet Friderich Meÿlin der wittwer burger und Kärchel zieher allhier und Jungfrau Maria Salome Jaeger, Meister Jaegers des Zieglers in Bischweiler eheliche Tochter [unterzeichnet] + handzeichen des bräutigams, + handzeichen der braut (i 101)

Anne Marguerite Bolchert meurt en 1790 en délaissant ses trois fils. La maison est estimée 400 florins. Le veuf aura la jouissance de tous les biens.

1792 (11.6.), Strasbourg 4 (2), Me Schaaff, n° 174 & Enregistrement N° 100
Inventarium über Weiland Fraun Anna Margaretha Maÿlÿ geborner Bolchert, Friderich Maÿlÿ actif burgers und Karchziehers dahier zu Straßburg geweßter Ehefraun Verlassenschafft, aufgerichtet Anno 1792 – nach ihrem den 16. Junii A° 1790 jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hienscheiden hier zeitlich verlassen. Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen und begehren obgemeldt des hinterbliebenen Wittibers und der Erblaßerin ab intestato Verlassener Erben mit Namen 1° Johann Jacob Maÿlÿ, des Schumachers und actif burgers zu Bischweiler, 2° Johann Heinrich Maÿlÿ, auch Schuemachers und actif burgers dahier und 3° Johann Friderich Maÿlÿ ,ebenmäßigen activ burgers und Taback bereiters hieselbst, aller drei der Verstorbenen mit dem hinterbliebenen Wittiber erzeugter ihrer Aussag nach großjähriger Söhnen
Über des declarirte uach noch der hinterbliebene Wittiber, auf das an ihn durch mich Notarium gethane Anfrage, daß sie bede nunmehro getrennte Eheleuthe beim Antritt ihres Ehestands weder eine Eheberedung einander aufgerichtet haben, noch dero einander Zugebrachtes Vermögen wegen dessen Geringfügigkeit inventiren laßen, auch daß sie wehrend der Ehe nichts ererbt, deßwegen alles hier unter einem Titul beschrieben wird

Folgt nun hier auff die beschreibung der übrigen Verlassenschafft ane und vor sich selbsten
Eigenthum an einer behausung so theilbar. Neml. Eine behausung und hoffstatt mit allen deren Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier zu Straßburg ane dem Finckweiler bei der Zornen Mühl einseit neben dem Mühlgäßlein, anderseit neben dem Allmend und hinten auf besagter Mühl Stallung stosend gelegen, so frei, ledig eigen, und wurde solche auf ausdruckliches Begehren derer Interessenten hier jedoch ohnnachtheilig in Anschlag gebracht vor und um die summ von 400 R – Diese behaußung hat der hinterbliebene Wittiber in zweien Verschiedenen Malen zu ungleichen Antheilern von Salome Felßin von Niederroedern gebürtig, wie auch von Joh: Wunibald Beÿer dem hießigen Kammacher und deßen Ehefraun Maria Elisabeth Schmitzin erkaufft, worüber vorhanden ein Interims Kauf vor weil. H. Not. Dautel Sub dato 9. Januarÿ 1767 passirt und den 30 Martÿ dicti Anni in alhiesiger Canzlei Contract Stub enregistrirt, wie auch fernere Kauff Verschreibung in der Contract Stub passirt de dicta die 30. Martÿ 1767
Schulden in die Nahrung zugeltend 313 R, Summa summarum 713 R
Übrigens aber solle Ihme wittiber und Vatter auch Vergönnet seÿn all Vorher inventirtes beisammen und in besitz Zu behalten, auch lebenslänglich Zu geniesen gerechtiget seÿn
(enregistré 13.6.)

Jean Jacques Meyli épouse en 1786 la luthérienne Marguerite Dorothée Zendler : contrat de mariage, célébration par le pasteur réformé. Il se remarie en 1790 avec Anne Marie Jæger de Bischwiller

1786 (29. Martÿ), Me Carlier (6 E 41, 974) n° 26
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen, der Ehr und Züchtige Jüngling Johann Jacob Meÿle, Schuhmacher und burger dahier Zu Straßburg, des Viel Ehrengeachten Friedrich schirmer und karchzieher auch dahier und der Ehr: und tugendsamen Anna Margaretha gebohrner Bolgert Ehelich erziehlten Sohn, vollständigen jahren und seines rechts selbsten genießend als Hochzeiter ane einem,
Sodann die viel Ehr und tugendreiche Jungfer Margaretha Dorothea Zendler weÿl. des Viel Ehrengeachten Johann Daniel Zendler im leben geweßenen metzger und burger auch alhier, und auch weÿl. der Viel Ehr und tugendbegabten Margaretha Dorothea Mausin stehender ihrer Ehe Erziehlt und hinderlaßener dochter mehrjährigen standts und ihren rechten selbsten gaudirend
Actum Straßburg nach mittag den 29. Martÿ 1786 [unterzeichnet] Johann Jacob Meÿli, Margaretha Dorothea Zentlerin

Mariage (réformés, f° 13)
Anno 1786, Sonntags den 16. und 23. Aprilis sind in unsere Kirche Zu Wolfisheim proclamirt und den 24. Ejusdem daselbst eingesegnet worden Johann Jacob Maÿle der ledige burger und Schuhmachermeister, Friderich Maÿli des Schirmers und Karchziehers ehelicher Sohn, und Margaretha Dorothea weiland Johann Daniel Zentler des burgers und Metzgers ledige tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Meÿli als Hochzeiter, Margaretha Dorothea Zentlerin als Hochzeiterin (i 42)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 82-v) 1786. sind nach zweÿmahligen Proclamation Montag den 24. Aprilis Zu wolfisheim copulirt worden Johann Jacob Meÿli, led. Schuhmacher und burger allhier, Friderich Meÿli, Karchziehers und Schürmers alhier ehl. Sohn, und Margaretha Dorothea, weil. Johann Daniel Zentler gew. Metzgers und burgers allhier ehl. Tochter (i 86)

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1788-1792, f° 9
1788 Mittwoch den 5. Novembris wurde unter gehaltener Leichenpredigt Zu St. Helena begraben Frau Margaretha Dorothea gebohrne Zentlerin, Mstr. Johann Jacob Meÿli des Schuhmachers und burgers allhier geweßene Ehefrau Ihres Alters 31. Jahr einen Monat und einen Tag, Welche Dienstag den 4. Novembris Morgens um Vier Uhr gestorben mithin 33 studen gelegen ist [unterzeichnet] Johann Jacob Meÿli als wittwer (i 10)

Mariage (réformés)
Im Jahr 1790, Sonntags den 3. und 10. Octobris sind in unser Kirche proclamirt und den eilften Ejusdem ehelich in derselben eingesegnet worden, Meister Johann Jacob Meÿli, burger und Schuhmacher allhier, Martin Friderich Meÿli, Maurers und schirmers allhier ehelicher Sohn, und Jungfrau Anna Maria Jaegerin, Meister Philipp Jaegers Schirmers vnd. Zieglers in Bischweiler eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Meÿli als hochzeiter, Anna mar ja ger ihn als hoh zeiderin (i 72)

1788 (19. Xbris), Me Stoeber (6 E 41, 1255) n° 673
Inventarium über weÿl. Fraun Margarethæ Dorotheæ Meÿelin geb. Zentlerin Mr Johann Jacob Meÿle des Schuemachers Ehefrau Verl. – nach ihrem den 4. 9.bris jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen des Wittibers wie auch dero eheleibl. bruders und ab intestato verlaßenen Universel Erbs herrn Philipp Jacob Zentler des enjoliveur und Innwohners zu Lyon
in der an der blindengaß gelegen H. Heuchert d. Spengler zuständigen behausung u. dißorts zum theil lehnungsweiße bewohnenden behausung
Bericht gegenwärtigen Inventarÿ
Norma hujus inventarii, des Erben unveränderte Gut, hausrath 66 lb, silbers 1 lb, Ergäntzung 170 lb, Summa summarum 237 lb
alles übrige als in des Wbers Nahrung gehörig, hausrath 3 lb, schulden 331 lb – passiv onus 328 lb
Eheberedung – (…) den 29. mart. 1786, Carlier Not.

Jean Frédéric Meyli épouse en 1786 Susanne Friedrich originaire d’Aubure en Haute-Alsace. Il est admis à la manance sans disposer de fortune mais sa femme qui a servi à Strasbourg possède 100 livres tournois. Il se remarie en 1797 avec Marie Madeleine Bartholomé, native de Heiligenstein

1786, Conseillers et XXI (1 R 269)
(Schirm) Johann Friderich Meÿlÿ der tabackbereiter et sponsa. 66.
(p. 66) Mittwoch den 19. Aprilis 1786. Lectum folgende von Löbl. Schirmgericht eingegebene Memorialien um aufnahm folgender Personen in den Schirm
3. Johann Friderich Meÿlÿ der ledige Tabackbereiter und Schirmers Sohn, ohne Vermögen, und deßen Verlobte Susanna Friedrichin die ledige Von Altenwihr im Obern Elsaß, so 13 Jahre hier gedienet und 100 L. im Vermögen besitzt, dispensando vom erforderlichen Vermögen und unter Caution Johann Jacob Meÿlÿ des Schuhmachers und burgers.

Mariage (réformés, f° 13-v)
Anno 1786, Sonntags den 23. und 30. Aprilis sind in unsere Kirche Zu Wolfisheim proclamirt und daselbst eingesegnet worden Johann Friderich Maÿle der ledige Schirmer und tabackbereiter, Friderich Maÿli des Schirmers und Karchziehers ehelicher Sohn, und Jungfrau Maria Susanna weÿl. Michael Friderich gewesenen burgers und Ackermannns in Altwÿr ehelich hinderlaßene tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Meÿli, x handzeichen d. hochzeiterin (i 43)

Mariage, Strasbourg (n° 339)
Cejourd’hui le 17° Germinal l’an V de la République française une et indivisible (…) d’une part Jean Frédéric Meyli, agé de 32 ans, ouvrier en tabac, né et domicilié en cette commune, fils de feu Frédéric Meyli, maçon, et de feüë Anne Marguerite Bolcher, Veuf de Susanne Friedrich, de l’autre part Marie Madeleine Bartholomé, agée de 29 ans, servante, domiciliée en cette commune depuis 8 ans, native de Heiligenstein canton de Barr, département du bas Rhin, fille de feu Jean Michel Bartholomé, tonnelier au dit lieu et de feüe Marie Madeleine Hült (…) de l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 16 janvier 1765 (…) de l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née à Heiligenstein le 22 novembre 1767 (signé) Johann Friederich Meÿlin Maria Magdalena bartholmein (i 175)

Jean Henri Meili épouse en 1791 la luthérienne Marie Salomé Memminger, fille de pêcheur.

Mariage (réformés)
Im Jahr 1791 Sonntags den 3. und 10. Julii wurden in der reformirten Kirche allhier proclamirt und Montags den 11. ejusdem in derselben ehelich eingesegnet Johann Heinrich Meÿlin, dier ledige burger und Schuster Meister, Friderich Meÿlin bürger und Kärchelziehers von hier ehelicher sohn, reformirter Religion, und Jungfer Maria Salome, weiland Johann Jakob Memmingers geweßenen burgers und fischers von hier nachgelaßene eheliche tochter, evangelisch lutherischer Religion, [unterzeichnet] Johann Heinrich Meÿli, Maria salame Memmingerin (i 84)

Frédéric Mayli père se rend adjudicataire de la maison

1794 (2 brumaire 3), Strasbourg 10 (8), Me Heus n° 84
der bürger Johann Jacob Maÿli Schuhmacher zu Bischweiler wohnhaft, ferner Johann Heinrich Maÿli der Schuhmacher und bürger alhier und Johann Friedrich Maÿli bürger und tabackbereiter alle dreÿ in der Eigenschaft als Erben weiland Fraun Anna Margaretha geb. Bolchert des bürgers Friedrich Maÿli Maurers dahier geweßter Ehefraun ihrer Mutter so den 16. junÿ 1790 (alten stils) gestorben
bürgers Friedrich Maÿli des Maurers ihres Vatters, in offentlicher freiwilliger Versteigerung zufolg des Von mir Notario unterm 24. Vendemiaire Jüngst darüber dressirten Steigerungs procès verbals verkauf und als letzt und meistbietenden abgetretten und überlassen hätten
Eine Behausung mit N° 89 bezeichnet samt allen dazu gehörigen begriffen, Rechten und gerechtigkeiten gelegen ane dem Finckweiler bei der Zornen Mühl dermalen die Gaß Vom 2. Messidor genannt, einseit neben dem Mühlgäßel anderseit neben dem allment und hinten auf besagter Mühl Stallung stosend, davon und zwar ab einem hinten daran gelegenen Ställelein gibt man jährlich alhiesiger Gemeinde 8 Sols ane bodenzinns, Ane welcher behaußung dem Kaufenden Vatter die eine helfte und denen Verkäufern die andere helfte als ein von obbemelt ihrer Mutter ererbtes Guth eigenthümlich zuständig, auf den fuß von 5000 Livres um welche das gantze Hauß Craft obenangeregten Steigerungs procès verbals ihme adjudicirt worden
– n° 82, Im dem 3. Jahr, den 4. Vend. auf Ansuchen Friedrich Mailÿ Vaters der Maurers, ferner Friedrich Mailÿ des sohns tabackbereiters und Johann Heinrich Mailÿ des Schuhmachers, samtlicher bürgern alhier sowohl für sich als auch nahmens Johann Jacob Mailÿ des Schuhmachers und burgers zu Bischweiler ihres abwesenden respe. Sohns und bruders als Erben weiland Fraun Anna Margaretha Mailÿ geb. Bolchert ihrer geweßten respe. Ehefraun und Mutter so den 16. junÿ 1790 (alten stils) gestorben wurde und zwar zufolg des von denen Schiedesrichtern unterm 19. Messidor lezthien wegen der zwischen obbemelten requirenten besagter Verlassenschafft halben entstehenden Contestation ergangenen Urtheils welcher die Versteigerung von nachbnamster behaußung verordnet und daran dem Vatter die eine und denen drei söhnen die andere Helfte zuerkannt [unterzeichnet] Meÿli
die erste freiwillige Versteigerung der in gedachter Frauen Mailÿ Verlassenschafft gehörigen behaußung mit N° 89 bezeichnet samt zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen ane dem Finckweiler der Gaß Vom 2. Messidor bei der Zornen Mül einseit neben dem Mülgäßel anderseit neben dem allment und hinten auf besagter Mül Stallung stosend, davon und zwar von einem hinten daran gelegenen Kleinen Ställelein gibt man jährlichen alhiesiger Gemeinde 8 Sols ane bodenzinns, ausgerufen worden pro 1400 Livres
den 14. Vendemiaire, 2300 Livres Friedrich Mailÿ Sohn – den 24. Vendemiaire 5000 Livres bürger Johann Philipp Heusler der Schneider, für und im Namen Friedrich Maÿli Maurer obbemelten Vaters und mitverkäufers – 2500 Livres
acp 28 f° 185 du 2 bru. 3

Frédéric Mayli meurt en 1797

Décès, Strasbourg (n° 535)
Cejourd’hui 11° Ventose l’an V de la République française une et indivisible (…) Frédéric Meyli agé de 32 ans, apprêteur de tabac, et Jacques Meyli agé de 30 ans, Cordonnier, tous deux domiciliés en cette municipalité et fils du défunt, (…) ont déclaré que Frédéric Meyli agé de 71 ans, Maçon, natif de Stadel en Suisse, fils de feu Jacques Meyli, Laboureur et de feüe N. N. époux en légitime mariage de Salomée Jaeger est mort ce jour d’hui à une heure du matin en sa demeure située au finckwille N° 89 (i 141)

Marie Salomé Jæger veuve de Frédéric Meyli renonce à la jouissance viagère au profit de ses beaux-enfants

1798 (6 prairial 6), Strasbourg 4 (27), Me Roessel n° 376
persönlich erschienen burgerin Maria Salome gebohrne Jäger, weiland bürger Friderich Maili, geweßten Maurers alhier Zu Straßburg hinterbliebene Wittib die hat
in gegensein des erstgedachten verstorbenen bürger Maili hinterlassenen Kindern und Erben als b. Joh: Jacob Maili, Schuhmachers alhier, Joh: Heinrich Maili auch hiesigen Schuhmachers und Joh: Friderich Maili, tabackbereiters hieselbst
hiemit und in Krafft dieses renuncirt und verzug thut auf den lebtägigen Genuß der untern Wohnung der vätterlichen behaußung ane dem Finckweiler N° 89 auch vätterlichen mobilien maß, /:ihro vermög acte vor mir Not° am 16. frimaire an 5 passirt u. d. 22. ejusd. enregistrirt verschrieben worden, so:/ daß sie Wittib Maili sothane Wohnung auf den 8. Vendemiaire an Sept gänzlich raumen und ohne einige weitere ansprach quittiren soll und will. Welche offerten die Kinder und Erben Maili nicht nur vollkommen angenommen, sondern auch dagegen und wegen solchem Abstand, ihre der Stiefmutter Maili eigenthümlich cedirt und überlaßen haben, obgemelten ihres Vaters wenig hinterlaßene mobiliar-mass

Le cordonnier Jacques Meyli vend sa part de maison à ses deux frères Jean Henri et Jean Frédéric

1799 (29 pluviose 7), Strasbourg 10 (8), Me Heus n° 222, 9
der bürger Johann Jacob Meÿli Schuhmacher, nach dreien vor unterschriebenen Notario gehaltenen offentlichen Steigerungen und Kraft des über die lezte Steigerung den 26. pluvios jüngst errichteten procès verbals
beeden bürgern Johann Heinrich Meÿli Schuhmacher und Johann Friedrich Meÿli tabackbereiter seinen brüdern
Ein dritten theil für ohnvertheilt von und ane Einer Behausung samt allen deren begriffen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen im Finckweiler beÿ der zornen Mühl mit N° 89 bezeichnet, einseit und anderseit neben dem allmend und hinten auf besagter Mühl Stallung stosend, davon und zwar ab einem hinten daran gelegenen Ställelein gibt man jährlich alhiesiger Gemeinde 40 Centimes ane bodenzinns – um 641 Francken
N° 221, 8 – Im 7. Jahr den 12. Pluvios, auf Ansuchen der bürger Johann Jacob Meÿli, Johann Heinrich Meÿli beede Schuhmacher und Johann Friedrich Meÿli tabackbereiters, die freiwillige Versteigerung der denen drei requirenten zu gleichen theilen gehörigen Behausung samt zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen im Finckweiler beÿ der zornen Mühl mit N° 89 bezeichnet einseit und anderseit neben dem allmend und hinten auf besagter Mühl Stallung stosend, davon und zwar ab einem hinten daran gelegenen Ställelein gibt man jährlich alhiesiger Gemeinde 8. Sols ane bodenzinns, ausgerufen worden pro 1800 Livres, kein Gebot
den 19. Pluvios, 1825 Francken bürger Johann Friedrich Meÿli tabackbereiter – den 26. Pluvios, 1925 Frk. bürger Friedrich Mattäus der Zimmermann, im Namen der bürger Johann Heinrich Meÿli Schuhmacher und Johann Friedrich Meÿli tabackbereiter
Enregistrement de Strasbourg, acp 65 F° 183 du 2 vent .7

Jean Henri Meyli et Jean Frédéric Meyli se partagent la maison après expertise. La moitié arrière (n° 89.bis) échoit à Jean Henri, la moitié avant (n° 89) à Jean Frédéric

1803 (16 pluviose 12), Strasbourg 10 (44), Me Zimmer n° 1475, 1872
br. Johann Heinrich Meyli Schuemacher und Johann Friedrich Meyli tabackbereiter gebrüder, declarirten daß sie bis dato eine allhier zu Straßburg im finckweiler N° 89 beÿ der Zornenmühl gelegene behausung gemeinschafftlich miteinander beseßen und genoßen hätten, welche behausung mit 40 c bodenzinßes zu gunsten der Gemeinde beladen, daß sie bede Comparenten aber nicht gesonnen sind länger in den ohnverteilten Gemeinschaft solcher behausung zu bleiben, sondern vorzögen daß jeder seine helfte allein nuzen und genießen auch darüber schalten und walten könne, so haben dieselbe die br. Jacob Schlagdenhauffen zimmermann und Philipp Kutterer Maurer allhier ersucht gemelte behausung zu besichtigen
übereingekommen, daß ahne das Looß zuziehen br. Johann Heinrich Meyli vor seine helfte den hintern theil und br. Johann Friedrich Meyli vor deßen helfte den vordern theil gemelter behausung, daß der vordere theil 130 fr mehrern Werths als der hintere erkannt worden
[Joint] Strasbourg den 28 nivose 12 – haben wir unterschiriebene Padentirde und Von den zwei brüdern Maeulé Ernannte experten uns in ihre auf dem Mühl Plätzel mit N° 89 bezeichnet gelegene behausung begeben um dieselbe in zweÿ gleiche theil zu theilen Welche wir auch noch genauer besichtigung auf folgende art getheilt haben, als nemlich daß die da stehnde Scheidwand die Von unten biß oben in den giebel geht die Scheid wand sei, die, die zweÿ häußer von einander scheid, benante Scheid wand soll aber den zweÿ brudern gemeinschaftlich zugehören aber derjenige bruder der den Vordern theil deß haußes bekomt soll dem andern 130 francken heraus geben
Enregistrement de Strasbourg, acp 90 f° 76 du 16 pluv. 12

Madeleine Meyli se marie à Paris
1819 (12.3.), Strasbourg, Me Zimmer
Consentement – Frédéric Meyli ouvrier en tabac et Marie Madeleine Bartholmé au mariage que leur fille Madeleine Meyli se propose de contracter avec Pierre Joseph Descamps, tailleur d’habits à Paris
Enregistrement de Strasbourg, acp 142 F° 73-v du 12.3.

L’apprêteur de tabac Jean Frédéric Meyli et Marie Madeleine Bartholmé vendent leur moitié de maison à Jean Henri Meyli

1826 (5.9.), Strasbourg 10 (74), Me Zimmer n° 10 244
Jean Frédéric Meyli, ouvrier en tabac ci devant à Strasbourg présentement à Basle en son nom et en celui de sa femme Marie Madeleine Bartholmé
à Jean Henri Meyli, journalier
la moitié séparée dans la maison et dépendances sise au quartier dit Finckwiller n° 89, d’un côté la moitié séparée de ladite maison appartenant déjà au Sr acquéreur, d’autre la petite place du Finckwiller, devant ladite place, derrière la ruelle des moulins
propriété, par indivis conjointement avec ses frères, Jean Henri père du Sr acquéreur et Jean Jacques Meily, par le décès de Frédéric Meily maçon leur père et auteur commun mais par contrat reçu Me Heus le 29 pluviose 7, Jean Jacques Meily a cédé son tiers indivis à ses deux frères, l’indivision a été dissoute par partage devant Me Zimmer le 16 pluviose 12 – 2000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 180 f° 56-v du 6.9.

Fils de Jean Henri Meyli, Jean Henri Meyli épouse en 1815 Catherine Salomé Stauffert
Mariage, Strasbourg (n° 255)
Acte de mariage célébré le 17 mai 1815, Jean Henri Meyli, mineur d’ans, né en légitime mariage le 24 août 1792 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, journalier, fils de feu Jean Henri Meyli cordonnier décédé en cette ville le 1 septembre 1809 et de Marie Salomé Menninger ci présente et consentante, et Catherine Salomé Stauffert, majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 octobre 1790 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Léonard Stauffert, pêcheur, et de Catherine Salomé Baldner (signé) Johann Heinrich Meÿli, Catharina Salome Staufferin

Les trois enfants de Jean Henri Meyli vendent à leur père la part de maison acquise durant la communauté

1842 (2.6.), Strasbourg 10 (99), Me Zimmer n° 4358
ont comparu 1° Dlle Salomé Meyli, ouvrière en gants, fille majeure poursuivant ses droits, 2° Dlle Caroline Meyli matelassière, également fille majeure poursuivant ses droits, 3° Mr Jean Henri Meyli garçon meunier aussi majeur, tous trois demeurant et domiciliés à Strasbourg (vendu)
au Sr Jean Henri Meyli, leur père, journalier demeurant et domicilié à Strasbourg
La moitié indivise entre eux de la moitié séparée dans une maison & dépendances sise à Strasbourg au quartier Finckwiller N° 89 entre la moitié séparée de ladite maison appartenant déjà à l’acquéreur & la petite place du Finckwiller donnant par devant sur ladite place & par derrière sur la ruelle des moulins. Cet immeuble est vendu dans l’état où il se trouve (…). Le Sr Jean Henri Meyli avait acquis ladite moitié séparée de maison durant la communauté qui a existé entre lui & sa femme Dame Catherine Salomé Stauffert de son frère Jean Frédéric Meyli ouvrier en tabac demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M Georges Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 5 septembre 1826, par suite du décès de lad. De Meyli la moitié qui lui appartenait dans l’objet de ladite acquisition est échu aux comparans trois enfants & seuls héritiers à chacun pour un tiers. L’établissement de la propriété antérieure du dit immeuble et plus amplement consigné dans l’acte de vente précité. – pour une somme de 900 francs
acp 299 (3 Q 30 014) f° 13-v

Jean Henri Meyli hypothèque la maison au profit de la Caisse de secours des veuves des ministres protestants de la confession d’Augsbourg

1845 (17 mai), Strasbourg 10 (104), Me Zimmer n° 5691
Obligation – a comparu Le Sieur Jean Henri Meyli, chargeur à la douane, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a reconnu devoir
à la Caisse de secours des veuves des ministres protestants de la confession d’Augsbourg en la Ville de Strasbourg, ladite caisse administrée et représentée actuellement par M. Chrétien Théophile Kopp, ministre du culte protestant près la paroisse protestante de Ste Aurélie à Strasbourg demeurant et domicilié en cette ville, la somme principale de 1000 francs (…)
hypothèque spéciale, Une maison divisée en deux parties située à Strasbourg, quartier Finckwiller N° 89 et 89.bis, tenant d’un côté à ladite place, de l’autre à la propriété de M. Stinnes, meunier, par derrière à la petite rue du moulin.
La moitié de cette maison qui porte le N° 89 a été acquise par le Sr Meyli de Jean Frédéric Meyli, ouvrier en tabac, demeurant à Strasbourg, qui a agit tant pour lui qu’au nom de Marie Madeleine Bartholmé sa femme suivant contrat de vente passé devant M Zimmer père notaire à Strasbourg le 5 septembre 1826, ratifié par ladite Marie Madeleine Bartholmé suivant acte passé devant le notaire Bernoulli à Bâle le 9 du même mois enregistré à Strasbourg le 21 du même mois (…) et déposé audit Me Zimmer par acte du 23 septembre 1826. Quant à l’autre moitié de ladite maison portant le n° 89.bis le sieur Meyli en a recueilli une moitié dans la succession de son père Jean Frédéric Meyli. Le comparant devint propriétaire de la partie n° 89.bis pour en avoir recueilli une moitié dans la succession de son père Jean Henri Meyli, dont il est héritier et l’autre moitié de son frère Jean André Meyli dont il est seul héritier et qui était lui-héritier par moitié de son père. Le débiteur certifie sous les peines de droit que ladite maison lui appartient en toute propriété et qu’elle n’est grevée que 1) d’une somme (…)

Jean Henri Meyli vend par enchère la maison au pasteur Balthasar Philippe Herrenschneider, administrateur de la Caisse de secours des veuves des ministres protestants

1853 (7.4.), Strasbourg 10 (124), Me Zimmer n° 9990
Cahier des charges, 29 mars 1853. A comparu Mr Jean Henri Mayli, père journalier demeurant et domicilié à Strasbourg, Lequel pour se libérer envers des créanciers est intentionné de vendre aux enchères publiques la maison qu’il possède à Strasbourg au quartier Finckwiller N° 89 & 89 bis
Désignation de l’immeuble à vendre & mise à prix. Une maison avec dépendances sise à Strasbourg au quartier Finckwiller N° 89 & 89 bis tenant par devant sur la petite place du Finckwiller, par derrière sur la ruelle des moulins, d’un côté sur ladite place, de l’autre sur le moulin dit de Zorn. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 3000 francs.
Etablissement de la propriété. L’immeuble dont désignation précède a été recueilli par les Sr Jean Frédéric Meyli ouvrier en tabacs à Bâle (Suisse), Jean Henri Meyli cordonnier à Strasbourg père du comparant & Jean Jacques Meyli de la même ville dans la succession de leur père et auteur commun le Sr Frédéric Meyli vivant maçon à Strasbourg. Suivant contrat de vente passé devant Me Heuss alors notaire à Strasbourg le 29 pluviose an VII, Jean Jacques Meyli céda son tiers indivis dans ledit immeuble à des deux frères susnommés. L’indivision existant entre les deux frères Meyli a été dissoute aux termes d’un acte contenant partage et transaction passé devant Me Georges Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 16 pluvose an XII, suivant cet acte la maison en question a été partagée en nature en deux parties à peu près égales, la partie située du côté du moulin & portant le n° 89.bis échut au Sr Jean Henri Meyli, quant à l’autre partie portant le N° 89 elle échut au Sr Jean Frédéric Meyli. Le comparant devint propriétaire de la partie n° 89.bis pour en avoir recueilli une moitié dans la succession dudit Sr Jean Henri Meyli son père dont il était héritier pour pareille portion et l’autre moitié dans la succession de son frère Jean André Meyli dont il était seul et unique héritier et qui avait lui-même recueilli cette moitié dans celle du père, Jean Henri Meyli. Aux termes d’un contrat de vente passé devant ledit M Georges Frédéric Zimmer le 5 septembre 1821 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 9 du même mois volume 194 n° 23, le Sr Jean Frédéric Meyli vendit sa moitié N° 89 dans ledit immeuble au comparant pendant la communauté qui existant alors entre ce dernier & Catherine Salomé Stauffert. Cette acquisition étant faite sans le concours de De Marie Madeleine Bartholmé femme du vendeur celle-ci ratifia la vente en question suivant acte passé devant M Bernoulli notaire à Bâle (Suisse) le 9 septembre 1826 dont le brevet original est demeuré annexé à la minute d’un acte de depôt dressé par le même notaire Zimmer le 23 septembre 1826. Cette vente eut lieu pour le prix de 2000 francs (…). Après le décès de la femme Meyli née Stauffert, la partie N° 89 qui dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre les époux Meyli echut pour une moitié au comparant quidevint ainsi propriétaire des trois quarts de la totalité et pour l’autre moitié à 1) Salomé Meyli ouvrière en gants, 2) Caroline Meyli matelassière, 3) Jean Henri Meyli meunier, tous trois demeurant )à Strasbourg, seuls héritiers de la Dame Meyli. Enfin aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Zimmer soussigné le 2 juin 1842, les trois enfants Meyli vendirent leur part dans ledit immeuble à leur père le Sr Comparant qui devint ainsi propriétaire de la totalité de l’immeuble en question. Cette dernière vente eut lieu pour le prix de 900 francs (…)
Etat hypothécaire (…) 1° Une somme de 1000 francs due actuellement à la caisse de secours des veuves des ministres protestants de la confession d’Augsbourg en la Ville de Strasbourg, ladite caisse administrée et représentée actuellement par M. Balthasar Philippe Herrenschneider pasteur à l’hôpital civil (…). Total en principal, intérêts et frais au jour de l’adjudication, 4405 francs – Charges, clauses et conditions (…) 5) Sont compris dans la vente huit poeles en fonte avec leurs tuyaux et pierres.
L’an 1863, le mercredi 30 mars, adjudication préparatoire – M. Balthasar Philippe Herrenschneider pasteur à l’hôpital civil de Strasbourg, 3800 francs
L’an 1863, le jeudi 7 avril, adjudication définitive – aucun enchérisseur ne s’étant présenté le comparant déclare par les présentes adjuger définivement ladite maison à M. Balthasar Philippe Herrenschneider pasteur
acp 418 (3 Q 30 133) f° 10 du 1.4.

Alors enseigne au Gymnase, Balthasar Philippe Herrenschneider épouse en 1821 Guillaumette Rœderer
1821 (16.1.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7416
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Balthasar Philippe Herrenschneider, régent au gymnase de Strasbourg, fils majeur de Simon Herrenschneider, pasteur à Schiltigheim, et de Christine Frédérique Bierau
Wilhelmine Roederer fille mineure de Jean David Roederer, pasteur à Scharrachbergheim, et de Catherine Salomé Leicht
Enregistrement de Strasbourg, acp 150 F° 174-v du 17.1.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1822 (1.2.), Strasbourg 8 (33), Me Roessel n° 8289
Inventaire des apports de Balthasar Philippe Herrenschneider, pasteur à Riquewihr, et de Wilhelmine Roederer suivant contrat de mariage passé le 16 janvier 1821 devant le notaire soussigné
le mari 310 francs, la femme 4250 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 197 du 2.2.

La maison revient ensuite (1868) au maître maçon Jean Joseph Reiner qui épouse en 1845 Brigitte Bieth originaire de Hohatzenheim

Mariage, Strasbourg (n° 398)
Du 2° jour du mois d’octobre 1845. Acte de mariage de Jean Joseph Reiner, majeur, né en légitime mariage le 6 mars 1814 à Strasbourg, Maçon, fils de feu Joseph Reiner, Maçon décédé en cette ville le 12 octobre 1835, et de feu Elisabeth Morgenthaler, décédée en cette ville le 13 mai 1821, et de Brigitte Bieth, majeure, née en légitime mariage le 24 janvier 1810 à Hohatzenheim (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de feu Antoine Bieth, tisserand décédé à Hohatzenheim le 1 janvier 1829 et de Brigitte Blès domiciliée à Hohatzenheim ci présente et consentante (signé) Reiner, Bieth (i 25)

Brigitte Bieth meurt en 1855 en délaissant deux enfants
1855 (12.10.), Me Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Joseph Reiner, maître maçon, et Brigitte Bieth sa femme et de la succession de cette dernière décédée à Strasbourg le 15 juin dernier
dressé à la requête du veuf comme commun en biens à défaut de contrat de mariage et comme donataire en usufruit de la succession de son épouse suivant donation reçue Grimmer le 2 mai 1855 et comme père tuteur naturel de Jean Joseph et d’Alphonse Edouard Reiner ses enfants issus du dit mariage
Communauté, maison 676, argent comptant 370, créances 410
maison sise à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 11 – Passif 410
Succession,garde robe estimée 81
acp 444 (3 Q 30 159) f° 3 du 13.10. (Décès f° 24 n°& 432, succession déclarée le 8 décembre 1855)

Joseph Reiner épouse en secondes noces Catherine Elisabeth Jouvelet, veuve du fabricant de corsets Joseph Wilhelm, qui meurt quelques mois plus tard en délaissant des héritiers collatéraux
Mariage, Strasbourg (n° 523)
Du 20° jour du mois de décembre 1855. Acte de mariage de Jean Joseph Reiner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 mars 1814 à Strasbourg, maître maçon veuf de Brigitte Bieth décédée à Strasbourg le 15 juin 1855, fils de feu Joseph Reiner, maçon décédé en cette ville le 12 octobre 1835, et de feu Elisabeth Morgenthaler, décédée en cette ville le 13 mai 1821, et de Catherine Elisabeth Jouvelet, majeure d’âge née ne légitime mariage le 26 mars 1815 à Bessoncourt (Haut-Rhin), domiciliée à Strasbourg, corsetière, veuve de Joseph Wilhelm fabricant de corsets décédé à Strasbourg le 9 janvier 1855, fille de feu François Jouvelet préposé des douanes décédé à Strasbourg le 25 juillet 1852 et de feu Jeanne Marguerite Strohm décédée à Strasbourg le 27 octobre 1840 (signé) Reinder, Jouvelet (i 36)

1856 (10. 9.br), Me Burtz
Notoriété constatant que Catherine Elisabeth Jouvelet épouse en secondes noces de Jean Joseph Reiner, maître maçon à Strasbourg est décédée le 2 avril 1856 en laissant pour héritiers Angélique Fanny Jouvelet femme en secondes noces de Joseph Mosbach, tailleur, Marguerite Claudine Jouvelet femme d’Aloyse Leitner, bottier, et Philippe Jouvelet
acp 454 (3 Q 30 169) f° 96 du 11. 9.br

Jean Joseph Reiner se remarie avec Marie Louise Blettel : contrat de mariage, célébration
1856 (1.8.br), Me Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Jean Joseph Reiner, maître maçon à Strasbourg veuf en premières noces de Brigitte Bieth et en secondes noces d’Elisabeth Jouvelet
Marie Louise Blettel, majeure à Strasbourg
Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêtsn réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur sont constatés par inventaire reçu Grimmer le 12 octobre 1855, et en outre en créances de matériaux estimés 6000
Les apports de la future consistent 1) un mobilier estimé 400, 2) argent comptant 1000
Donation par le futur à la future d’une part d’enfant le moins prenant en usufruit, s’il n’existe pas d’enfants au premier lit mais de l’union projetée, et de l’usufruit de la totalité s’il n’existe aucun enfant
et par la future épouse au futur époux de l’usufruit de toute sa succession
acp 453 (3 Q 30 168) f° 90 du 4. 8.br

Mariage, Strasbourg (n° 472)
Du 4° jour du mois d’octobre 1856. Acte de mariage de Jean Joseph Reiner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 mars 1814 à Strasbourg, maître maçon veuf en secondes noces de Catherine Elisabeth Jouvelet décédée à Strasbourg le 2 avril 1856, fils de feu Joseph Reiner, maçon décédé en cette ville le 12 octobre 1835, et de feu Elisabeth Morgenthaler, décédée en cette ville le 13 mai 1821, et de Marie Louise Blettel, majeure dans, née en légitime mariage le 12 avril 1828 à Strasbourg domicilié à Strasbourg, sans état, fille de feu David Blettel, cordonnier décédé à Paris (Seine), le 14 juillet 1855 et de feu Salomé Conrad décédée à Strasbourg le 25 février 1855 – il a été passé le premier de ce mois un contrat de mariage devant Me Grimmer notaire en cette ville (i 32)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.