16, rue des Tonneliers


Rue des Tonneliers n° 16 – VII 399 (Blondel), O 57 puis section19 parcelle 148 (cadastre)

Reconstruite par Jean Jacques Scær (1770), maître maçon Georges Christophe Freysinger


Le numéro 16 au milieu de l’image (avril 2014) – Etages (octobre 2007), les fenêtres ont les croisillons d’origine
Rez-de-chaussée, boucherie Bœtsch (publiée sur Archi-Wiki)

La maison appartient à la fin du XVI° siècle au marchand Michel Goll qui demande en 1584 l’autorisation d’ouvrir une communication avec une autre qu’il a l’intention d’acheter à l’arrière de la sienne. Les Quinze l’éconduisent malgré l’avis favorable du chef de chantier. Ilm fait tout de même des communications avec la maison arrière que son beau-frère a achetée. Il s’ensuit pendant plusieurs années des dissensions entre Michel Goll et les Quinze.
Le Livre des communaux (1587) y mentionne un encorbellement (16 pieds 3 pouces de long) et un auvent de même longueur. Le propriétaire pose chaque jour des marchandises et des barriques devant sa maison et la voisine au sud dont il est aussi propriétaire. Michel Goll fait faillite en 1595 et meurt peu après. Sa maison revient à ses créanciers de Francfort qui la vendent en 1624 au tonnelier Jean Henri Stürtzel. Elle revient à nouveau aux créanciers de Francfort en 1639. Originaire de Muttersholtz, le revendeur Adam Engel puis sa veuve en sont propriétaires de 1655 à 1699. Les Préposés au bâtiment n’autorisent pas le revendeur Martin Wurtz à ajouter un étage en 1710 quand il demande l’autorisation de réparer son encorbellement (16 pieds ½ de long). Son gendre boucher Jean Jacques Kamm puis le marchand de futaine Auguste Krieg entretiennent la maison, estimée à 900 livres à la mort du premier en 1734 et à 1 100 livres à celle du deuxième en 1743. A la mort de sa veuve, les experts l’évaluent seulement à 600 livres. Le cordonnier Jean Jacques Scær est autorisé en mars 1770 à reconstruire sa maison sur les anciennes fondations. Il confie les travaux à Georges Christophe Freysinger qui édifie la même année un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages. Un chaînage se trouve de chaque côté de la façade à deux travées. Les étages sont séparés par des cordons. Les fausses clés des linteaux arqués sont moulurées.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 159, rue des Tonneliers (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (l) : rez-de-chaussée à deux ouvertures en arcade, trois étages à deux fenêtres chacun, toiture à étage mansardé et un niveau de lucarnes. L’arrière (cour) donne dans la rue de l’Etal, à gauche de (k). La cour E représente l’arrière de la maison à gauche de (5) et l’édicule (1-2-3) à gauche de la porte (6-1) à l’angle sud-est ; les autres bâtiments font partie des propriétés voisines.
La maison porte d’abord le n° 7 (1784-1857) puis le n° 16.


Rue de l’Etal, cour E


Rue de l’Etal – La cour se trouvait à l’emplacement du bâtiment blanc (avril 2015)

Les héritiers Scær vendent en 1828 la maison à l’épicier Jean Baptiste Romer. Elle appartient ensuite à des bouchers, dont le premier Michel Pierre Anstett acquiert le bâtiment en 1833. Samuel Hirsch fait remplacer en 1890 les arcades par une devanture à volet roulant.
La Ville envisage en 1971 d’acquérir le maison pour empêcher sa démolition. Jean Muller fait transformer la même année quatre logements en y aménageant des salles d’eau et des cabinets. L’architecte des Bâtiments de France s’oppose en 1988 au projet de surélever le bâtiment.


Rez-de-chaussée avant et après sa transformation en 1890 (dossier de la Police du Bâtiment)

octobre 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Michel Goll, marchand, et (1576) Marie Fettich – luthériens
1620* adj Jérôme Stahlenburger, prévôt à Francfort
1624 v Jean Henri Stürtzel, tonnelier, et (1612) Barbe Pierre Doll – luthériens
1639 adj Catherine Müller, femme de Thierry Springer, juriste à Francfort
1655 v Adam Engel, revendeur, et (v. 1638) Marie Mey – luthériens
1667 h Jean Frédéric Rinck, tonnelier, et (1667) Marie Mey veuve d’Adam Engel – luthériens
1699 h Martin Wurtz, boucher, et (1692) Catherine Mey – luthériens
1721 h Jean Jacques Kamm, boucher, et (1710) Marie Catherine Wurtz – luthériens
1734 v Jean Daniel Baur, marchand de cuir, et (1707) Marie Félicité Bitsch – luthériens
1736 v Auguste Krieg, marchand de futaine, et (1731) Marie Madeleine Witter d’abord (1726) femme de Jean Giess, marchand de futaine – luthériens
1764 v Jean Jacques Scær, cordonnier, et (1756) Marie Salomé Carl puis (1763) Catherine Barbe Michel – luthériens
(puis indivis avec le suivant et) Chrétien Sommer, cordonnier, et (1808) Marie Dorothée Scær
1818 h Philippe Jacques Scær, commis des Ponts et Chaussées, et (1803) Marie Elisabeth Dartillon puis Kreuter
1828 v Jean Baptiste Romer, marchand épicier, et (1823) Caroline Metz
1833 v Michel Pierre Anstett, boucher, et (1733) Charlotte Wiedersohn
1866 v Bernard May, boucher, et Thérèse Kammer
1884 Samuel Hirsch, rentier
1906* Charles Erb
1923* v Joseph Aloïse Kugler, maître boucher à Hochfelden, et Amélie Trend*
1938* Joseph Aloïse Kugler

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 525 florins en 1699, 900 florins en 1720 et en 1735, 1 100 florins en 1741, 600 florins en 1763

(1765, Liste Blondel) VII 399, Jean Jacques Scarr
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Scaer, 1 toises, 1 pied et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 57, Anstett, Michel Pierre, boucher rue des Tonneliers 7 – maison, sol – 1,15 are

Locations

1655, Gabriel Voltz, cordonnier
1664, Jean Martin Romer, tailleur, et (1645) Barbe Schmitt
1695, Jacques Lanaux, aubergiste
1711, Jean Georges Flechtner, marchand de futaine
1780, (boutique) Jean Gaspard Werdmüller de Zurich
1862, Bernard May, boucher (ensuite propriétaire)

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 231
Comme sa voisine en aval, la maison appartient à Michel Goll qui en paie 3 livres 6 sols 4 deniers pour un encorbellement (16 pieds 3 pouces de long, saillie de 6 pieds ½), un auvent (même longueur, 4 pieds de saillie), une porte de cave inclinée (6 pieds ½ de long, saillie de 7 pieds) et un soupirail incliné (2 pieds ½ de long, 21 pieds de saillie). On pose chaque jour des marchandises et des barriques devant ces maisons

Anderseitt Küffergaß vnden Vom Eckh widerumben Hienauff
Verners hatt gedachter Michael Goll an dem Andern hauß nechst Oben an disem ein Vsstoß xvj schu iij Zoll lang, v+ schu herauß, Daruor ein Wettertach In gleicher lenge iiij schu herauß, Item ein ligende Kellerthüer vi+ schu breÿt vij schu herauß, darneben ein ligend Kellerfenster ii+ schu lang, xxj Zoll herauß, hatt sonsten auch vor disen beÿden heüsern den Platz mit allerhandt Wahren Vndt Thonnen täglich vorschlagen, Bessert für das Niessen, iij lb. vj ß iiij d
[in margine :] Soll ihme mitt ernst gepotten, vnd beÿ ernstlicher Straff beuolen werden, mitt seinen Vssazen etwas mehr dann bißhero gespärt worden maß zuhalt.

Préposés au bâtiment (Bauherren), protocoles des Quinze

1584, Protocole des Quinze (2 R 14)
Le marchand Michel Goll expose le 6 juin qu’il entreposait jusqu’à présent ses marchandises chez feu son beau-père Auguste Fettich rue de l’Epine. Il devra les transporter dans sa maison rue des Tonneliers qui est cependant trop petite. Etienne Kaiser est disposé à lui vendre une petite maison à l’arrière de la sienne, dans la rue derrière la Mauresse, ce qui lui permettra d’agrandir sa maison non par luxe mais par nécessité. Les préposés se rendent sur place le 10 juin. Un pignon en pierre sépare la maison de celle de Goll qui mettrait des marchandises au rez-de-chaussée et habiterait à l’étage. La maison Kaiser est large mais peu profonde, le rez-de-chaussée comprend l’entrée, une cage d’escalier, un entrepôt pour les barriques de saindoux, une écurie pour six chevaux, une petite cour, les deux étages ont chacun un poêle et des chambres, dépense, cuisine, dans les combles chambre pour les domestiques, le grenier est aménagé en bûcher. Le chef de chantier Frauler estime qu’il n’y a pas d’inconvénient à accéder à la demande d’ouvrir des communications entre les deux bâtiments. Jacques Kœsser fait remarquer que la maison à vendre se trouve dans une ruelle peu passante et qu’elle a peu de chance d’intéresser un artisan ou un marchand. L’assemblée ne statue pas sur la demande, le quorum n’étant pas atteint. Les Quinze estiment le 13 juin que la maison de Michel Goll est satisfaisante et que celle d’Etienne Kayser est assez grande pour une maison de bourgeois : ils éconduisent Michel Goll.

(f° 47) 6. Junÿ – Michael Goll. Heuser Zusamen prechen
Michel Goll der handelßmann, vbergibt ein Splôn organo Bitterlbronnÿ, Ist verleßen, hat Inn, Es sey meniglich bewußt, d. sein schwehr Augustus Fettich seliger vnd er ein gemein gewerb inn Kieffergaß mitt einander vffgericht haben vihl wahren Inn seines schwehers hauß in dorlißgaß gelegen. d schweh. auch ettlich diener beÿ sich erhalten. Solch hauß werde Itzo seiner schwäger einem Zugetheilt, d. er sich deren nicht mehr werd. gebrauchen Können, So seÿe sein hauß wohnung In Kieffergaß so eng, das er für seine Kinder vnd gesind nicht platz In allein Zur nodturfft haben konne. Da er doch verhoffe noch mehr Kinder Zu bekommen, Sey auch kein gelegenheit, die krancken von den gesunden abzusöndern, Item hab auch Zu holtz Korn vnd andere nodturff nicht platz vnd mueß sich daher feues* besorgen. Nuhr trage sich Itzo ein gelegenheit Zu d. Steffan Kaÿßern, ein Kleine behaußung veyll so vff Ine beÿ d Mörin Zunfftstub stosse, dar Inne bitzher nuhr Stallung gehalten, Veÿll Ist, vnd Kayßer Ime disselbig gonnen wolte, wo es bey mein H außpring. möchte, dieselb. Zu einem hauß Zuprechen. Begers Zu keinem pracht od wollust, sonder Zur hochsten nodtrufft, Bitt den augenschein In seiner vnd derselben behaußung durch verordnete einnemmen Zu laßen vnd Ime darauff nach befundener warheit Zugestatt. d. er solch hauß kauffen vnd Zu seinem hauß prechen vnd gebrauchen möge.
Erkant, Ime anzeigen, Mein herren wieder Zu Irer gelegenheit den augenschein einnemen. Den mag der xv meister fürnemmen wann er gelegenheitt hatt, Würdt sichs befinden, ob Ime Zu willfahren oder nicht. J. Kagen. Bauh.

(f° 51-v) X Junÿ – Michael Goll
Von dannen seind mein Herren ut supra In des vnbewandert doch durgehnd gässlein hinder der Mörin gangen. Steffan Kaysers behausung welche Michel Goll, Zu seiner behaußung Inn Kieffergaß Zu accomodiren vnd Zusammen Zuprech. begert, besichtigt, die Ist von Gollen hauß mit einem steinern gebell durchauff abgesondert, Im selben gebell begert Goll ettlich thüren vnnd liechter durch Zuprechen die heußer Zusammen Zurichten, damitt er vnden möge gewolb Zu den wahren vnd oben Zu seiner haußhaltung mehr platz machen. Sonst Ist Kaysers hauß Zimlichen breÿdt aber nicht tieff, hatt vnden einen eingang Zum schnecken, ein platz dar Inne er Kayßer seine herings schmalttz thonnen gehabt, vnd ein Stall Zu sechs pferden, ein Kleines schmahles höflin Ist Inn die höhe gebawen, hatt Zweÿ mahl stuben und Camern, mit neb. Camern vnd Kuchen Vber einand. oben auff vnd. tach ettlich gemechlin gesind Zuleg. darüber die buen Zum holtz vnd and. so an eine Zug hinauff gezog. würd.
Nach besichtigung dißer hatt Goll mein herrn durch Gorius Morgen des Kuttlers hauß seins nechst nachbarn In die Kieffergaß Inn sein behausung Ins gaden gefüret, weither seind mein herren mitt kommen, dwl. man die weithe des haußes vnden wohl sehen Kan, vnd mein H vor diß auch einmahl dar Inne vffm augenschein geweßen.
Alß mein herren widerumb hinauff Inn Ir stub kommen seind die drey* und Werckmeister herin gelaßen, die Werckmeister erstlich Adolff Stürmers heußer halb gehört, die haltens dafür d. Ime ohn einichen nachteill menigkliche leichtlich Zu willfahren, dwl. es Zusammen vnderscheidne heußer pleyben vnd sein Jetzige wohnung der Inne er gahr wenig platzs hatt Zu besserer seiner gelegenheit Zu Zurichten.
Souihl Michel Gollen belangt (nachdem h Friderich Wolff vnnd Balthasar Stosser außgedrett.) Referiren die werckleutt erstlich Frauwelen dwl. Goll ein grosser handell fürt vnd In seinem hauß (f° 52-v) Inn Kueffergaß lützel platz. So macht Ime sein begren nach Inn den gebell thueren vnd fenster durchzuprechen Zu Zulaßen sein, M. Jacob Kößer sagt, es stand Steffan Keyßers hauß In einem engen gäßlin, da kein durchwandern Ist, alßo d. sich weder handwercks noch handelßleuth fuegklich dazu behelffen, damit dann Goll seinen handell desto besser treyben möge, were er auch der meynung, d. Ime Zuwillfahren Kondte Vbernacht (wi man sagt) widerumb Zweÿ heußer darauß gemacht werden. Etlinger vnd Jörger seind Michel Gollen halben (dwl. seine verwandt noch dauß) gehört, Wolten Im helff. willfahren Inn ansehung er ein groß. handell füre, vnd kein nodtwendigen platz, Zudem obgleich ein handtwercks man Inn Kaÿßers hauß Käme, Inn das enge abweg gelegene gäßlin, So würde Goll dannoch noch mehr vff den Stall geb. dann Jener geben würde. Adolff Stürmern belangend, seind Ettlinger Stößer vnd Jörger (dann die außgedrettene herren wid. herein kommen) gehört vnd haben alle dreÿ Kein bedencken, Ime sein begeren Zu Zulaßen, damitt Ist Inen, vnd den werckhleuth. (so nach angezeigte Irem bedencken außgangen) erlaubt worden. Da haben mein Herren von Adolff Stürmers beger geredt vnnd ettliche herren dafür gehalten, d. er beÿde heuser scheiden, Ime selbs tag vnd lufft verbawen vnd das hinderhauß gahr v.derben werde. Es jst aber Erkandt, d. man Ime willfahren, doch Zuuorderist er Innern soll, man hetts für Rhätlicher d. er dißer baw vnderließe, solte wohl mehr seinen schaden, dann seinen nutz schaffen. Will er (p. 53) dann vff seinem begeren oder fürnemmen beharren so sey willfahrt, B. s.
Mitt Michel Gollen begeren hatt man von weg.der geringen anzahl herren nicht können fürfahren sonder deßhalb müssen einstellen.

(f° 54) Sambstag den XIII. Junÿ – Michael Goll
Waß Michel Goll bey mein herren suppliciren vnd wie mein herren verschinen Mittwoch den augenschein eingenommen Ist hieoben auß dem Protocoll verleßen, vnnd haben die herren so auff dem augenschein geweßen (auch mündlich Referiren wie mans befunden, vnd waß Ir bedencken Nemlich dwl. Goll hieuor die Zweÿ heußer Inn Küeffer gaß dar inn er wohnt so Zweÿ vnd.scheiden abgesondert heüßer geweßen, Zusammen gebroch. dageg. vber noch ein guth hauß hatt, so er Zu seinem handel praucht, vnd Steffan Kayßer hauß für ein Ehrlichen burger weitte genüg. das es wohl sonder Zubewohnen. So solt man Gollen sein begeren abschlagen. Dißer meynung seind die vbrigen herren alle. Also Ist einhellig Erkant, das es Ime abgeschlagen soll werden. J. Kageneck vnd (-)

1585, Protocole des Quinze (2 R 15)
Les Quinze constatent le 29 mai 1585 que Michel Goll a ouvert des communications entre les deux maisons bien que les Quinze et les Vingt-et-Un le lui aient interdit. L’assemblée fixe la visite des lieux au lundi 13 juin. La visite est maintenue bien que la femme de Michel Goll soit sur le point d’accoucher. Les chefs de chantier Jacques Kœsser (charpentiers) et Thiébaut Frauler (maçons) constatent qu’une porte a été ouverte dans la boutique au rez-de-chaussée et une autre dans la cuisine à l’étage. Michel Goll déclare qu’il lui faut des chambres pour ses enfants qui ont pris de l’âge, et qu’il ne va pas mettre à la rue, qu’en outre les ouvertures doivent seulement subsister le temps de son bail. Les Quinze infligent à Michel Goll une amende de cent livres pour avoir contrevenu à la décision des deux assemblées et lui notifient de remettre les lieux dans leur ancien état sous huitaine. Les ouvriers qui ont fait les ouvertures seront condamnés à 5 livres d’amende s’ils sont bourgeois, Michel Goll devra régler 10 livres s’ils ne sont pas bourgeois.
Michel Goll déclare le même jour que son beau-frère a acheté la maison qu’il lui a ensuite louée. Comme le charpentier auquel il s’est adressé a refusé de faire le travail, il a engagé des employés au pont du Corbeau. Il déclare que les cadres des portes sont des remplois. Quand on lui oppose que l’un d’eux est neuf, il déclare qu’un charpentier du nom de Haus le lui a fait. Michel Goll répète que la place lui manque pour les siens et que son intention n’a pas été de défier le Magistrat. Les Quinze maintiennent l’amende.
Michel Goll produit le 19 juin l’acte de vente à son beau-frère. Il n’estime pas avoir contrevenu au règlement puisque les deux bâtiments seront à nouveau séparés à la fin de son bail. Il demande l’autorisation de rester dans la maison jusqu’à ce qu’il ait trouvé à se loger dans une plus grande maison. Pour l’heures sa femme est sur le point d’accoucher, trois de ses enfants ont la rougeole et il doit préparer la prochaine foire. L’assemblée lui donne jusqu’à la Saint-Michel pour remettre la maison dans son ancien état. Elle se tient à l’amende qu’elle lui a infligée en faisant remarquer que Michel Goll trouvait la maison assez grande quand il l’a achetée.
Mandataire de Michel Goll, Pierre Bittelbronn déclare le 19 août que Michel Goll a versé le montant de l’amende. Il réitère son précédent exposé et termine en demandant aux Quinze de prolonger le délai. Le mandataire ajoute que Michel Goll pourrait acheter l’ancienne maison de Matthias Wicker devant la cathédrale. L’assemblée en-deçà du quorum réserve sa décision. Elle décide le 28 août de prolonger le délai d’un an.

(f° 80) Sambstag den XXIX Maÿ – Michael Goll. Heuser Zusammen prechen
Idem [J. Prechter] zeigt an, das Michel Goll seine zwo heußen Inn Kieffergaß vnd hinden der Mörin Zunfft zusammen gebrochen habe, ohnangesehen es Ime sowohl bey Rhat und XXI abgeschlag. sein soll, als es Ime von mein H XV Zuvohr abgeschlag. word.
Erkant, Mein herren XV sollen Zu des H XV gerichts gelegenheit samptlich vff den augenschein gehen.

(f° 84) Mittwoch den IX Junÿ – Michael Goll
Dieweyll es auff d. stett drey schlagen würdt Ist der augenschein Inn Michel Gollen hauß Jetzo eingeholt den werckmeystern wider erlaubt vnd der XV. Mr umbefragt, ob er den herrn bitz Sambstag widerumb soll bey beschicken gebieth. H Treubell entschuldigt sich d. Ime sampstag hie Zusein ohnmüglich aber bitz Montag wolt er wohlerscheinen. J Werner* hatt auch wichtige geschefft Zu Breuschwickershim Zuversehen.
Erkant, bitz Montag bey beschicken gebiethen lassen, od. bitz Sambstag wie es am füglichsten vnd sollen die Junckherrn hiezu teyb* od. sich wider bey mein herren Zur gewohnlicher stund furdern.

(f° 84-v) Montag den XIIII Junÿ – Michel Goll
J Prechter XV Mr Als Jüngst erkandt vff heutt widerumb beÿ beschicken Zugebieth. den augenschein Inn Gollischen hauß einzunemmen, Konne er meine H. nicht verhalten d. Gollen haußfraw groß schwanger vnd gehe nähig vff dem Zihl, hab er nitt erlich herren dauon geredt, Es möhge villeicht die fraw, wann mein H. alßo samptlich Im Hauß Kämen, darab erschrecken, vnd was Ir ettwa vber kurtz od. lang begegnete, mein Herren der vnglimpff mög. Zugemessen werd. darumb sol est zu mein H. ob man den augenschein fürgehn lassen, oder den Werckmeistern vffs ernstlichst, beÿ Ihrem burgereyd, einbinden vnd beuchten wolte, d. sy es allenthalben, ob. vnd vnden besichtighen solten, wie es mitt dem durchprechen geschaffen, vnd mein H widerumb Referiren, wie sys befunden. Dwl. doch mein H hieuor den augenschein eingenommen, habe derwegen ein frag darüber halten wöllen, Nachdem nuhr ein vnderred gehalten, vnd sie herren einander gehört, Ist Inn der and. vmbfrag.
Erkant, d. man den augenschein Jetzo samptlich einnemen, den XV. Knecht (ut virarum eius) hinschicke vnd Ihne Goll avisiren solle, d. mein herren Jetzo Kommen werden.

(f° 85) Eodem die. Michael Goll
Sind meine herren samptlich (ausserhalb Friderich wolffen so verwandtnuß halb sich absentir) Inn Michel Gollen hauß gangen, M Jacob Käßer Zimmermann, vnd Diebolt Fraweler Maurer der Stattwerckleutt mitgenommen vnd befunden, d Goll vnden Im gaden vnd oben auff Inn der Kuchen durchproch. vnd hültzine thürgestell einsetzen lassen, Was die herrn mit ihme od. er mitt den herren geredt, hab Ich alß da nicht so mehr dabeÿ kommen können nicht gehört, Dann d. Goll sich bemühet* mein herren Zu bereden, d. sy den augenschein recht einnemmen vnd besichtig. sollen was er für platz Im gantzen hauß habe,
Erkandt Man soll Zuuorderist die werckleuth hören, Seind herren gelassen vnd Inen p. XV Mr gesetzt sy (f° 85-v) sollen mein herren berichten, wie sy den augenschein befunden. Frawler sagt, sovihl er gesehen, vnd vor dißem auch, als man auff dem augenschein gewesen, befinde er d. die thür hinden Im Gaden wie auch die oben In der Kuchen, nyt* dahin geordnet, sonst habe er kein ander Neuwen durchpruch befunden.
Mr Jacob sagt auch d. nicht diße 2 durchprüch sey. die thürgestell des vnder vnd 3 schuh weith und 6 schuh hoch, das vber nicht uber 2 ½ schuch weith das vnder thürgestell sey alt, das ober New, vnd seÿe der Goll es habs Ime hie Keiner machen wollen hab er frömbde werckleuth gebraucht, Frawler sagt, es hab von Ime verstanden d. sein schwager das hinderhauß Kaufft vnd es Ime ein Jahracht ghelauhen & Seind die mandata d. Anno & 52 vnd 82 von Zusammen prechung der heußer verlesen, Würdt von ettlich herren angezeigt, d. er sich Zimlich Pöhß auffm augenschein erzeigt, vnd anderm gesyg hab, war gelt bedörff der leugt wo es findt alßo hab er mitt dem platz auch gethan. Wo er seine Kinder hin logiren soll, ob er sy soll vff die gaß legen, man soll den augenschein Recht einnemmen, werd man befinden, das von nöthen sey od. nicht. Ist es hab sein schwager Augustus mitt bewilligung H Matthißen von Gotteßheim seines vogts, das hind.hauß Kaufft vnd es Ime gelauhen, so hab es nit alß sein eygen, sond. als entlehner vff ein Jahracht durchproch.
Als nuhn ettlich herrn der meynung geweß, d. man bedencken soll, wie er zu straff. ettlich dafür gehalten, Dwl. mein H. Zu vollkommen anzahl (außehalb [f° 86] H Frid. Wolfen) vnd sobald nicht so starck Zusammen kommen möchten, d. mans Jetzo fürnemmen vnd außmachen solte, Ist
Erkandt Man solls Jetzo außmachen vnd darüber erkennen, Ist alßo vmbgefragt vnd abermahlen der straff halben vngleiche meynungen gefallen, Inn gemein aber haltens mein herren für ein grossen frevell vnd sondern nur* hielten, d. er Goll, vber d. es Ime erstlich von mein herren xv. vnd volgends alß er beÿ Rhät und xxi darumb wid. supplicirt, daselbst auch abgeschlagen, dannoch forthgefahren vnd durchprech. Zudem d. von Ime gesagt worden, d. er vff meiner H. XV damaliger abschlagungs erkandtnuß. Sich* soll haben vernemmen laßen, Die XV seyen nicht allein herren Rhät und XX setzen mehr den XV. Derhalb von Neuwem vmbgefragt, und durchs mehr, da das minder nicht über 3 vngleicher stimmen waß
Erkandt, Man soll Ime des begangenen frevels halben j C lb d Zu straff abnemmen und gebiethen. Inn dreÿ. Tagen vff den Pfenningthurn Zuerlegen. Vnd dabey ferner bey L lb d gebiethen, die durchprüch widerumb Innerhalb Acht tagen Zu Zumauren wie sy zuvohr geweßen. Man sol Ine auch bey seinem burgereÿd hören, was er für werckleuth od. taglöhner darzu gebraucht, die Ime geholf. Seind sy burger, so soll man Inen die straff vermög Mandats (Jedem 5 lb auß Iren eygen secklin) abnemmen. Seind sy nicht burger, So soll er Goll für dieselb. x lb auch abrichten vnd mitt den j C lb In drey. tagen erlegen.

(f° 86-v) Eodem die. Michael Goll
Michel Goll würd herein gelaßen vnnd Ime p. XV. Mr J. Prechter fürgehalten, er wüßt sich Zuerinnern, was er vorgangens Jahrs, beÿ mein herren XV vnd volgends auch beÿ Rhät vnd XXI angesucht, seins hauß halb. da Ime sein begeren auß bewegenden vrsachen an beyden ortten abgeschlagen, Dwl. dann man herr* In erfarung Kommen, d. er Vber desselbig., die [f° 87] heußer zusammen gebrochen, hab man den augenschein wöllen einnemmen, da man befunden, d. er vnßern herrn bescheyd Zuwider auß seinem eygnen willen fürgenommen, welches Ime alß einem burger nicht gebührt, Soll Zuvordrist beÿ seinem burgereÿd anzeig. waß er für werckleutt darzu gebraucht habe.
Goll sagt, d. Ine die nodt getrungen anzusuch. hab alle mittell gesucht, vnd mit Rhat guth freund seinen schwager Augenschein gebetten, der hab das hinderhauß mit bewilligung seines vogts J Matthiß von Gottesheims Kaufft, vnd er Goll es Ime abentlehnet, nicht der meynung sich einich. ungehorsams gegen mein herren Zugebrauchen, sonder dieweyll ers Zum höchsten vonnöth. hab ein Zimmermann alhier angesprochen, der habs nicht thun wöllen, also habe ers durch frembde laß. mach. die er bey seinem Eÿd nit kenne od. nitt nennen anzuzeigen wüße. Gefragt wo er sy besolt, war sy angesproch ? Sagt, sein gesind hab. sy uff der schindpruck und sonst geholt, wo man sy bekommen konnen, Gefragt, wer Ime die thürgestell gemacht. Sagt es seÿen alte thürgestell, Ist Ime gesagt, das aber sey ein New gestell, wirds ein Zimmermann gemacht haben. Sagt es habs einer gemacht heiß Meister Hauß, wüß seinen nammen anderst nicht & Zeigt Ime der XV. Mr weither an, dwl. er nicht hab gehandlet, wie einem burg. gebühre, vnd vber meine herren abschlag mit frevell darwider gethan, So haben mein herren erkandt, d. er für sie werckleuth, so wie er sagt, frömbd sein sollen, Zuuordrist x lb d vnd dann d. er fürsetzliche muthwilliger weÿß wider meine H. XV vnd Rhtat vnd XXI erkandtnuß den vortheil gesucht, j C lb d alles inn dreyen tagen vff dem Pfenningthurn Zu straff erstatten solle, Vnd gebiethen Ime mein H XV. weither bey fünffzig [f° 87-v] pfund pfenningen, d. er die beyden thüren od. durchprüch Inn acht tagen widerumb soll Zumachen laßen allerdings wie es Zuvohr gewesen, Vnnd wo mein herren seiner haußfrawen nicht daran geschondt hetten, werd. sy wohl befragt geweßen ein andere straff gegen Ime fürzunemmen, das hab er Ime auß beuelch meiner herren sollen anzeigen.
Goll, Er wolt mein herrn gern Vnd.thenig gehorsam leysten, bitt aber es wöllens doch mein herren Recht besichtig, können mein herren Ime platz Zeigen da es seine Kinder hin legen Kann, woll ers gern thun. Er hoff aber man werd: Ine nicht laßen seine Kinder vff die gaß legen. Er sey auch ein armer burger, bitt doch man wölls Recht besehen, Mann soll Ime sonst platz geben, er p.testire sich Zum höchst. hat anders nicht thun Können, er mueß Ja platz zu seinen Kindern haben, habs vß Keinen ungehorsam od. trug gethan.
Erkandt, beÿ vorigem bescheyd pleiben laßen vnd Ime dabeÿ anzeigen, d. mein herren ob seiner unbescheidenheit vnd p.testiren ein beschwerd wöllen Inen deßwegen die straff vorbehalt. haben, Vnd mag mans mit der Zeitt ein gedanck sein.

(f° 88) Sambstag den XIX Junÿ – Michael Goll
Michel Goll p. Bittelbr. erscheine meinherren vnd.thg Zuberichten, welchermaßen Er Jüngster erkandtnuß vnthg. pariret, statt vnd vollziehung, vnd daneb.. mein h. vnd XXI Zupitten vnd für zupringen, waß sein hohe nodturfft erfordert, vbergibt derweg. solches In gegenwart d schrifft, mit sampt dem Original Kauffbrieff vber das hinderhauß Bitt gn. an vnd abzuhören.
Die Splôn od. schrifft (ohn ein titul) Ist verleßen, Erholt was er fernd dißer Steffan Kaysers behausung halben, an mein herren gelangt, was für verstehen Ine vnd Kayßer Zu dem brieff vnd verkauff des haußes verursacht, Alß aber die motifen villeicht damalen nicht genugsam fürpracht, vnd er bey m. h. nichts erlangen mög. auch Rhat vnd 21. bey m. h. 15. bedelt haben pleyben lassen, sey er vom Kauff abgestanden. Nachgehends auff Kaysers belang, hab sich sein schwager Augustus Fettich als burg. und Zünfftig mit Ime consensu h Mathis von Gotteßheim seines vogts eingelaß. Ime Kayser das hauß abkauff.v.mög vbergebnen Original Kauffbrieffe, auch das hauß eingenommen vnd bezog. Dwl nuhn er nirgend platz Zu seinen wahr. sein fraw d geburtt nähig, die Kinder Zum theil erwachß. das er sy auß seiner schlaffkammer thun müß. hab er mitt seinem schwager gehandelt Ime das hauß Zuleyh. vnd vff ein Reuerß an Zweÿ ortten durchprech. Zulaß. sich Im wenigst verseh. d. es mein h. entgeg. vnd Zuwider [f° 89] sein solte. Dwl. es nicht wid. mein h. ordnung sond. Zweÿ vnderschiedliche heußer pleyb. vnd and. alhie deßgleichen vnverbotten plieben, Darauß anzunemmen d. sein gemueth nicht geweß. gemeine ordnung, vihl weniger meine h. bevehl vnd dener* zuwider (deren doch seines wüsens keins fürgang.) ettwas hin zu nemmen, vnd er verhoffentlich keins fürsetzlichen vberfahrens vnd veracht könne beschuldigt werden, daß unangesehen, habe er die beschwerlich groß straff erlegt,
Bittet aber dabey mein herren wollen Ime bey seins schwag. gönnung pleyben laß oder wo es meine herren Ir bedencklich, dißelbige doch auff ein geraumpte Zeitt xij od x Jahr lang vmb die gebühr erstreck. damitt er sich Inmittelst vmb ein anders gelegenheit vmb thun, sein handell einziehen, sein außstand Zusammen treyben möge, Alßdann sey ers vrbüttig Inn vorigen stand Zurichten, Sey Ime Jetzo Ime d. eyll nicht möglich, seiner haußfrauwen, Item dreyer an d. Rödte krancker Kinder, vnd vohrsehend. Meß halb: Köne es bey seinem burgereyd behalt d. es für sein wyb kind vnd gsind (so 24 p.son) nicht platz, geschweigen einen freind Zuleg. Im gegenhauß vber sey vnden Ir Conthor, In d. mitte die Zuckerstub, oben auff m dritten gemach bitz vnden das tach draht vnd andere wahren, die nicht ein pletzlin Jemand zu leg., wie der augenschein geb. würde. Gehröse sich auff seinen warhafften bericht, werden mein herren alles vnd dabey erweg. d. er mitt seinem handell gemeiner Statt vnd burgerschafft nicht wenig fürstendig, Auch die Kist Im Kauffhauß Jährlich nicht vmb ein gerings gebeßert, Sein hochste noturfft anseh. vnd [f° 89-v] Ime willferigen bescheid widerfahren lassen, weitleüffigern Innhalts d. vbergeben schrifft vnd sagt Bittelb. weicher, es hat Er Goll meinherren nicht vnderlassen wollen Zuberichten, d. er meiner h. bescheid pariren vnd daneben nochmal vnderthenig. vmb die gönnung Zubittenn.
Erkandt, Dwl. die straff erlegt Ist, vnd er drey Kinder hatt so an der Rodte ligen, die fraw nähig, die Meß auff dem halß, So soll man Ime den termin, die durchprüch widerumb Zu Zumach. vnd Im vorigen stand Zurichten, bitz künfftig Michaelis erstrecken, alßo d. er Ime nochmahl bey den 50 lb d soll gebotten sein* laß. Man werde alßbald nach Michaelis den augenschein wid. einnemmen vnd wo die durchgeng nicht Inn alt. stand gericht weren, Ime die straff nicht fahren laß. daneben soll man Ime sein Splôn ableynen vnd außtrucklich sag. d. er wid. ordnung gehandelt, d. er meiner h. vnd Rhat vnd xxj erkantnuß freuerlich vnd muthwilliger weÿß vberdrett., d. es nicht die meynung wann einer ahn eim ortt etwas Kaufft vnd danach den platz Zu eng befinde, d. er darumb so weitt vmb sich freß. vnd Ime platz genug machen möge. & It. d. der Jüngst Ime gegeben bescheid In vollkommen meiner herren anzahl ergangen, dabey mein h. es Jetzo nochmalen laß. pleyb. allein die erstreckung des termins auß gnad. bewilligt. Vnd d. mein herren beschuldigt, als hett sy nicht berichts genung eingenommen, [f° 90] solten sy mein herren nicht si für einfeltig anseh. d. sy nicht wüßt. was sy für bericht einnemmen, vnd was sy v.mog Irer ordnung sprech. solt.
Solches Ist Inen weittleuffig, durch B. XV. p. me fürgehalten, Sy pitt mein H wöllens nicht alßo v.sehn, sond. Goll gebe Ime selbs die schuld, d. er mein h. nicht genugsam berichtet habe.

(f° 124) Donnerstag den XIX Augusti – Michael Goll
Michel Goll mit beÿstand J. Peter Bittelbrons seines procurators, vbergibt durch denselbigen ein Suplôn die Ist verleßen, Inhaltend, Dwl. mein h. Ine straffbar erkandt, von wegen deß durchprechens ohn erlaubnuß, In seins schwagers hauß, hinden an seinem hauß gelegen, hab er die straff ohn einich widersprechen ghorsamlich erlegt, das Ime aber dabey vfferlegt, bitz Michaelis die durchprüch wider Zu Zumauren bey hoher straff [f° 124-v] darüber setzen, er sein haußfrau vnd Kind. hoch bekümmert, verhoffe doch mein h. als getrewe Vätter vnd liebhaber der burgerschafft werden den vnwillen gegen Ime fallen laß, vnd Ime Inn dem, so ohn Jemands schaden, Ime Zu seiner vnd der seinen ohnvermeydlichen nodturff gegondt werden mag g bedencken,
Erholt darnach die ungelegenheit so er In voriger splôn auch erzelt, wie er drey Kinder so er auß der Cammer mueßen lig., denen er ein pedagogum geordnet vnd hab 2 töchterlin, so er mitt der Zeitt auch auß seiner Cammer werde thun mueß. dazu er Kein platz, vihl weniger d. er etwa ein frembde gast oder Zwen Kondte beherbergen, Item wan sain haußfrau Kindtbetterin od. Jemand Im hauß Kranck wird, Kan er Inen kein abgesondert gemach geb. & Nuhn sey die hinder behaußung, die sein schwag. mitt seines vogts bewilligung kaufft, kein solch hauß daran andern burgern vihl möcht geleg* sein, lig nicht an einer straß, sonder Inn einem unwanderbaren geßlin, seye In vihl Jahren nitt bewohnt, allein Zur Pferdstallung gebraucht, würd noch In vihl Jaren nicht verkaufft sein worden, Könne keinem burger schedlich sein, wan sy Ime noch lenger Zu sein behaußung gegondt würde. Er begere sy nicht beharrlich, sonder nuhr ein Jahr od. Jeh. od. bitz er ein ander gelegenheit bekommen möchte, Bitt derweg. wo mein H. an seiner fürprachten nodturfft Zweivel hab, sy woll. [f° 125] den augenschein darüber einnemen laß. vnd sich sein weyb vnd Kinder allein vmb sovihl g. bedencken, Inen den gebrauch des hindern hauß wie es Jetzund durchgebroch. Allein ein bestimpte Jahracht vergonnen Zu prauchen, Mitt erbeiths Zuverdienen & ferners Inhalts
Ferner Zeigt Bittelb. mündtlich an, d. er Goll durch Ezechiel Spatzinger albereid auch an ander ortt lassen ansuchen, ob er ein gelegne behaußung bekommen möchte, d. er für sich vnd die seinen mehr platz haben vnd seinen handell desto fuegklichs treyben Kondt, Wie Ezechiel (Im fall m. h. daran Zweiuel hetten) dasselb m. h. würde berichten Können, vnd so Ime gelegenheit Zustunde, wolt er ohne das in dißem ortt beharrlich nitt pleyb. dieweyll mans dafür halten will, d. andere burger sich alda beßer Zunehmen. Bitt derowegen wie Inn splôn.
J Prechter bericht, d. er nach herr Matthis Wickers behaußung vorm Münster trachte, wo er dazu käme, Mochten mein herren oder die pflegereyen Ires außstands auff den Wycker desto besser bezalt werden.
Erkant, dwl. ettlich herren abdretten die vberigen Inn geringer anzahl, So soll mans gegen Inen Zu bedacht Zieh. (B.m.) vnd herrn ordnen die es fürderlich bedancken, vnd wider herpringen, darmitt Ime noch vor Franckfurter Meß möge bescheid werden. H Beinheim H Mösinger.

(f° 133-v) Sambstag den XXVIII Augusti – Michael Goll
Michel Gollen schrifftlich vnd Mundlich fürpring. sup. 124. vnd H Beinheims & H Mösingers bedancken Im Bedacht XV. N° 19 fol. 18. v.leß. Steht summarie darauff, d. Ime Gollen die gnad zu bewißen, d. er die beyde durchprüch noch ein Jahr lang möge offen behalten, sonst aber soll es Inn allwegs bey dem geschehenen gebott verpleiben, alßo d. er Michaelis A° 86. Alle durchprüch wider Inn vorigen stand gerichtet vnd vermauren haben solle, beÿ der straff, dabeÿ Ime gebetten &
Erkant, vnd der Herren bedancken durchs mehr geruhen, da das minder fünff vngleichen stimmen wahren.

1586, Protocole des Quinze (2 R 16)
Les Quinze prolongent une nouvelle fois le délai jusqu’à Pâques 1587.

(f° 150) Mittwoch den XVII Augusti – Michael Goll
Michel Goll p. Bittelbron, vbergibt ein fernere underthenige suplôn, So verleßen In deren er alle seine beschwerden, wie In sein behaußung In Kueffergaß Zu eng, vnd Ime das hinderhauß geg. d. Mörin Zunfft so hochnothwendigs, widerholt vnd noch weitleuffiger außfüert, Und bitt auffs vleyßigist Ime Zugestatten, d. er das hinderhauß wie es Zuuohr durchgebrochen allein noch so lang haben vnd geprauchen möge, bitz er ein andere gelegener und geraumbter behaußung zu seinem gewerb vnd handl möge bekommen Deren er bish. vber allen angewandten vleÿß noch keine zutragen* *gen Konden.
Inn der vmbfrag haben vihl herren sich der vorigen handlung erinnert vnd repetirt, warumb er so mitt einer hohen ungewohnlichen straff beladen.
Erkandt Ime den termin Nach vnd Zu dißem Mahl bitz nechst künfftig ostern prorogiren, Inn der Zeitt soll er alle durchprüch wider Zugemaurt vnd in den alten Zustand gerichtet haben, mit d. Commination, wo es nicht beschehen, d. mein herren nicht underlaßen werden gebührende straffe geg. Ime fürzunemmen.

1587, Protocole des Quinze (2 R 17)
Les Quinze autorisent le 20 mai Michel Goll à rouvrir jusqu’à la Saint-Michel les portes qu’il a fait murer à condition que le pétitionnaire ne vienne plus présenter la même supplique à l’avenir. Il présente cependant le 16 décembre une nouvelle demande avec les arguments habituels. Il obtient une nouvelle autorisation jusqu’à la Saint-Jacques.

(f° 77-v) Sambstag den XX May – Michel Goll
Michel Goll p. Emanuelem Golden (filium meum) vbergibt ein Splôn, pitt dießelbig gnedig an vnd an Zuhören, Ist verlesen, Inhalts, d. er vermög meine herren erkandtnuß die thür In sein hinderhauß Jetzverschinen ostern wid. Zu zu mauren laß. Erzelt demnach sein grosse beschwerden vnd ungelegenheiten, wie er so geht engen platz vnd Ime Jetzo richt* wahren kommen, die er wed. verstoß* noch packen kan, So hat er bitzher kein and. gelegener hauß, ohnangesehen er mitt ernst darnach getrachten bekommen können, Dwl. dan den polemg* nicht wenig an vffgang der Commercien geleg. So pitt er Ime die fernere guthtatt Zubeweiß. vnd Ine die thur widerumb durchprechen, vnd das hinderhauß prauchen Zulassen, bitz er ein bequemer behausung zu seinem handell bekommen möge & weittleuffigern außfuerlichern Innhalts, Post lectione sagt Emanuel d. der spl.cant Innhalt Jetzgehörter splôn unterthänig wölle gebetten haben, Ist der ferndig Recess fol. 150. geleßen, vnd Inn de ersten vmbfrag die meynungen vngleich gang. vnd an vffzeichnen auch Zweiuelll fürgefallen derwegen es für ein vnderred gehalten, Weilen vmbgefragt vnd Erkant Man soll Ime vmb sovihl willfahren d. er die thür wider auffprechen, vnd beÿ Michaelis aber nicht lenger offen halten möge, alß dann soll er sie wider Zugemaurt haben, bey meiner h. ernstlicher straff vnd forehin mein herren mitt solchem ansuchen vnbeunruht lassen. B. Mr.

(f° 177-v) Sambstag den XVI Decembris – Michael Goll
Michel Goll vbergibt abermahl durch Bittelbrin ein Sploôn Zuverlesen, dar Inne er meldet, ob Ime wohl hievor bescheid geben d. er mein herren forehin nicht mehr beunruhen soll. So treyb Ine doch die vnvermeydliche nodt, meine herren seinen großen schaden fürzupring. vnd. vmb ferner hulff Zubitten, erzelt demnach waß Ime an seinen wahren vnd. in der haußhaltung für schaden geschehen, seith er vermög meiner h. lesten bescheid die durchpruch wid. Zumauren lassen Was es für ein gelegenheitt mit dem hinderheußlin Im Stanckgäßlein hatt, d. es einem handtwercksman vnd burger nicht wohl Zubewohnen, vihl Jahr auch eps bewohnt sonder nuhr für ein Stallung gebraucht, vnd d. er vber allen angewendten vleÿß bitzher kein ander hauß, da er mehr platz hette, bekommen können Wie es auch mitt dem andern hauß Inn Kueffergaß geg. Ime vber geschaffen, Bittet nochmalen Ine vff dißmahl etwaß gnediger Zubedancken vnd ime Zugönnen, das hinder wid. Zum forder hauß Zuprechen, allein solang, bitz er ein ander bequemer behausung zu seinem handl bekomm. möge, alßdann er schuldig sein solle, sy allerdings wid. abzusondern vnd abgesondert Zuuerkauffen. Erbeutt sich für solche gönnung der Statt Jährlich ettwas Zugeben, so lang er sich daren gebrauchen werde
Nach verlesung, Sagt er p. Bittel. d. er auch Im hinderheußlin allerdings nichts bauwen lassen, allein den durchpruch vnd zugang mach. wolt zu seiner höchsten nothdurff, bitz er ein and. gelegen hauß möchte bekommen, so Inn der vmbfrag Ist ein gezweytte meinung gefallen, Die Ich außsprech. vnd der einen beyfallen das mehr machen sollen, wie von alter herkommen, Aber et Ist noch ein vmbfrag gehalten vnd durchs mehr
Erkandt, das man Ime die Zeitt bitz Jacobi prorogiren vnd zulassen soll, den vndern durchpruch wider Zuöffnen hernach vmb Jacobi soll es wider lassen Zu mauren vnd Inmittelst auch im Hinderhauß sonst nichts verändern. B. M. et Ego.

1588, Protocole des Quinze (2 R 18)
Michel Goll remercie le 29 juillet 1588 les Conseillers et les Vingt-et-Un de l’avoir autorisé à conserver ses ouvertures jusqu’à la Saint-Jacques ; il comptait ne plus devoir présenter de nouvelle supplique puisqu’il allait acheter une plus grande maison. Comme un incendie s’est déclaré dans le bâtiment arrière, il a pensé refaire le caveau et faire d’autres transformations qui éviteraient tout danger, en conservant deux bâtiment séparés. Il demande l’autorisation de conserver les ouvertures tant qu’il possédera la maison avant. L’assemblée remet sa décision à une séance ultérieure. Michel Goll est autorisé le 5 août à conserver ses ouvertures pendant une année supplémentaire.

(f° 93-v) Montag den XXIX Iulÿ – Michael Goll
Michel Goll p. Bittelbron vbergibt ein splôn so verlesen. Bedanckt sich der Ime Zuvorderist d mein herren Ime den durchpruch Inn sein hinderhauß bey Jacobi gestattet, habe v.hofft ein weitter vnd gelegener behaußung Zu seinem handell Zubekommen, damit er nicht mehr dörfft mein herren brauch. welches sich aber bitzher nicht schicken wöllen, darumb werde er getrungen wider an Zusehen, sonderlich dwl. sich ohnlangs ein vnversehene gefehrliche brunst Im hinderauß Zugetragen, Darumb er bedacht were, daselbst Im hinderhauß ein gewölb Zubauwen, vnd das gantz hauß vor brunst vnd weithere gefahr Zu versehen, wolts dannoch ein sonder hauß pleyben vnd so er auß dem fordern wegziehen solte, den durchbruch wider Zumauren laßen Dwl. er dann ihme den Jezt eroffnete durchgang nicht könne Ins werck richten, des hinderhaußes auch zu seinem handell nicht antretten, das hauß auch alßo geschaffen, d. er von keinem burger od. handwercksman fuegklich Zubewohnen, So pitt er Ime nicht allein In seinem vorhabenden Baw, sonder auch Zu seinem handell, solang er das forder hauß möcht bewohnen, Zugestatten, den durchgebrochenen eingang Ins hinderhauß offen Zuhaben.
Erkant Jetzmals geg. Ime Zu bedacht Ziehen (dwl. Zwen h. abgedretten) vnd künfftig so mein H. Inn mehrer anzahl beyeinander, davon reden. Sag. Ime J Bietenheim und H Mösinger

(f° 98) Montag den V Augusti – Michael Goll
Michel Gollen hette verschinen Sambstags acht tag fürgebrachte Suplô, Ist wider verleßen (dortt Zwen herrn ab und pleyben* x sig.) Erkandt J noch ein Jahr lang erlauben den durchpruch Zuprauchen, welches erlich h. nicht gefallen, sond. gewolt, d. ime die Jüngst erkandtnuß vergangenes Jahrs leßen soll, dieß vermeindt haben diß Jetzig* stracks Zuwider sein, Alßo Ist der ferndig Receß fol. 177 verlesen und ieder vmbgefragt, da dann Erkandt vnd das vorige mehr bestedigt, d Ime noch ein Jahr die offnung Zugelaßen, doch soll er nichts Inn der behaußung verändern.

1590, Protocole des Quinze (2 R 19)
Les rapporteurs exposent le 21 mars 1590 que Michel Goll n’a pas muré les ouvertures comme il s’y était engagé le 6 décembre précédent. Il est donc passible d’une amende de 50 livres. Un des conseillers déclare qu’il faudrait que les chefs de chantier inspectent d’abord les lieux. Michel Goll déclare le 23 juin qu’il n’a pas encore trouvé de maison à sa convenance et s’excuse de ne pas avoir muré les ouvertures autorisées pendant la foire de Noël. Comme l’ordre de fermer les ouvertures n’a pu lui être remis parce qu’il se trouvait à Francfort puis à Nuremberg, la notification devra lui être remise et l’amende ajournée.
Michel Goll s’excuse le 25 juin de ne pas comparaître en personne parce qu’un de ses enfants vient de mourir et remercie l’assemblée d’avoir prorogé le délai jusqu’au 24 juin. Il a fermé l’ouverture en conservant cependant un jour de deux pieds sur deux pour pouvoir jeter un œil dans la boutique. Il proteste contre l’amende de 50 livres qu’il doit régler pour n’avoir pas fermé l’ouverture à l’étage. Le conseiller Prechter rapporte que Matthias Weickerl n’a pas voulu vendre sa maison à Michel Goll. L’assemblée s’en tient à sa précédente décision et maintient l’amende.
Michel Goll présente à nouveau le 26 décembre sa demande du 25 juillet. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’autorisent à rouvrir la porte pendant la foire.

(f° 42) XXI Martÿ – Michael Goll
H Auwenheim und H heuß Referiren Ir bedencken vff Michel Gollen den vj Decembris Jüngst vbergebene splôn so Jetzo wieder verleßen nemlich dieweÿll Goll dem bescheid nicht nachkommen, die durchprüch vnden vnd oben nicht Zugemacht wie er doch In seiner splôn fürgibt, d. es beschehen, So soll man Ime die 50. lb straff abnemmen vnd Ime weitter bey solcher straff oder der vngehorsame gebrochen* dem bescheyd statt Zuthun, vnd die heußer Inn vorigen stand Zuricht. d. er* geht abgesondert seyen, Wie Im Bedacht xv N° 26 fol. 39. gleichwohl sagt h Fürst d. er v.meint, man hette die werckleuth Zuuorderist den augenschein sollen einemmen lassen aber es Ist durchs Matt. Erkandt, vnd der herren bedencken geuolgt.

(f° 78-v) Zinstag den XXIII Iunÿ – Michel Goll. Heüser Zusamen prechen
Michel Goll p. Bittelb. dieweÿll er bitzher die gelegenheitt nicht haben mögen, seinen handell anderstwohin Zurichten, wie er gern gethan hette, vnd noch verhoff Zubekommen, Werde er getrungen widerumb beÿ mein herren anzusehen, Zu weyhenachten sey Ime Zugelassen, die thür Ins hinderhauß Zuöffnen vnd dieselbige Meß offen Zugeprauchen. Bitt Ime diße Meß Zu gonnen, d. er s allein ein Monatlang möge offen halten, Wölls alßdan wider Zumachen, darmit geschehe Ime ein sondere guththat, die er sich erbeithe Zuvedinenen. Zeigt der H xv Meyster an, d. Ime Gollen der hieuor (sup. fo. 42) ergangen bescheid nicht angezeigt, dwl. er In franckfurth Meß und hernach wegen der Statt Nürnberg ein guthe Zeytt abwesend, auch andere verhinderung hingefallen.
Erkandt, Man solle Ime Zuuorderist den hievorigen bescheidt anzeig. Vnd Ime Itzo Inn seinem begehren willfahren mitt dem anhang, wann er seinen erbeithen nicht statt thun vnd es wider Zumacht, d. er Ime meiner H *ther straff sehen solle. Ist die handlung sup. auß dem p.tocoll verleß. Zu er Innerung.

(f° 82) Sambstag den XXV. Julÿ – Michael Goll
Christoff Seytz Nots. Innamen Michael Gollen der laßt sich seines nicht selbst erscheinens entschuldigen, d. Ime ein Kind mitt todt abgangen, vbergibt ein Splôn pitt sie Zuverleßen. Wie beschehen, dar Inne bedanckt er sich d. Ime den 24. Junÿ Jüngst gegondt die gaden thür Ins hinderhauß wider iiij wochen lang offen Inhaben, Sagt hab sich wid. Zugemaurt, allein ein loch ij schuh hoch vnd schuhs breydt dar Inn gelaß. d. er Ins hinderhauß sehen, vnd Ein hund auß vnd einspringen möge, seys hoch vonnöthen, dann Ime vorgester Zumacht vnderstanden worden ein zu prechen, Bekümmert sich aber hoch, s. er der vngehorasme beschuldigt vnd vmb 50 lb gestrafft vmb das er die thur Im obern gemach nicht zugemaurt, Betheurts bey dem Eyd, d ers nys dahin verstanden, d. er die thur Im mittlern stock solt Zumauren sond. allem vor der vndern thür Im gaden. Ehrzehlt dannach die mercklichen vngelegenheit vnd hochste nodthurfft das er solche thuren vnd des hinderhauß nicht konne entrathen, Wie es mit beyden heüßern eh geschaffen was es für gemach vnd warzu es bedürffig, Bitt ine der straff gn. Zuerlaßen vnd Zubewilligen, d. der die thür Im mittlern gaden od. gemach möge offen behalten, bitz er ein andere gelegenheit bekomme, dabey er dan melden, d. er nitt h. Matthis Weickern handlen, der sich aber In keinen kauff mitt Ime einlassen wöllen & Weittleuffigen Innhalts, Zeigt H Prechter an, d. Goll Ine selber bericht, Es sey mitt seinem bruder Zu H Weickern gangen, mitt Ime Zuhandlen, H Weicker gefragt, Wer Ime gesagt (f° 83) daß Ime sein hauß veyll sein soll, Goll unverdacht gesagt, der Stettmeister Kagenecker habe Ime gesagt, Weicker gesagt sein nebenauß vnd das hauß Inn Krautenaw sey Ime veÿll, aber sein behausung Dar Inn er wohne, veÿll Zuthun, sey Ime Inn sein gedancken nyt Kommen, Alßo habe Goll cum tanto de uaso* wider abziehen muessen, Vnbefragt, Vnd das Mehr worden, das mans bey vorigem bescheyd solle pleyben lassen. Dwl. aber der herrn nuhr Acht vnd alßo In genug. anzal d. sie vermög der ordnung nicht kommen oder sollen bescheyde geben, So ist wider vmbgefragt, Vnd
Erkandt, d mans Jetzmals geg. Stegltzen soll In bedacht Ziehenn. Wider vmbgefragt, ob mans wolte herren beuohlen, die handlung vff zu stehen vnd Zubedancken. Erkandt, Man solls einstellen, beÿ die herren Inn mehrer anzahl vorhanden, davon Zureden, Statt sententia, canis commendit iurium

(f° 140) Mittwoch den XVI. Decembris – Michel Goll. Heüser Zusamen prechen
Michel Goll e. Bittelbronn, vmb gnedige vergönnung d. eröffnung der thüren Inn seinem gaden vnd erbawung d. gewölb Im hindern hauß übergibt er ein splôn so verleßen, darin führt er weittleuffig auff, wie sein eüßerste notturfft erfordert, die Zugemaurte thier Inn das hinderhauß wid.umb Zuöffnen, vnd wo er vermeinte Zweÿ gewölb über einander Zuschlag. & Bitt vnd erpeütt sich wie in splôn daruff ist auch d. Receß vom 25.ten Julÿ supra fol. 82. vnd volgends die damalen übergebene Splôn verlesen.
Erkandt Ime Inn den willfahren, daß er die öffnung dieße weÿhenacht meß haben möge, vnd solls hernach wid.umb Zumachen, das überig soll man zubedacht Ziehen, vnd Hn ordnen die es bedancken (J. Bietenh. H. Beinheilm vnd H Obrecht.) was Ime Inn ein vnnd den andern weg Zuwillfahren od. abzuschlag. Sag ime antwortt.

1591, Protocole des Quinze (2 R 20)
Le président des Quinze rapporte le 22 mai 1591 que Michel Goll l’a plusieurs fois interpellé pour obtenir une visite de sa maison. L’assemblée se rend sur place, Michel Goll montre le caveau qu’il souhaite faire transformer en bureau par le maçon Michel Mebhard. Le maître maçon expose les travaux que Michel Goll a l’intention de faire : transformer la cave et le caveau pour y entreposer ses marchandises, percer une ouverture dans la cage d’escalier pour accéder à la maison avant, faire un nouveau bureau qui avance dans la cour et agrandir légèrement son logement à l’étage. L’assemblée approuve les travaux. Certains conseillers sont d’avis de revenir sur l’amende de 50 livres mais comme ils en ignorent la raison ils devront d’abord s’informer plus amplemet. Un feuillet joint fait état d’ouvertures non autorisées établies 28 ans auparavant entre la maison de commerce et celle dans la rue de l’Etal.

(f° 72) Sambstag den XXII Maÿ. – Michael Goll
der XV Meyster J. Böcklin Zeigt an, d. Michel Goll Ime ettlich mahl nach geloffen vnd begert habe, den augenschein einzunehmen, Also hab er XV. Mr die werckleuth Jetzo herauff bescheyden, die seyen vorhanden, ob man heran Jetzo gleich den augenschein einemmen wöllen, Ist auß ferndig. p.tocoll geleßen wie Michael Goll suppliciret vnd d. es dermalen gegen Ime Zu bedacht gezogen auch herrn beuohlen worden Zu bedencken, Aber kein augenschein fürzunemmen Erkandt, Alßo wie das ptocoll Zuuohr were besichtigt worden, So hette man die werckleuth Jetziger Zeÿt Zu bescheyden wohl vmbgehen können.
Dwl. aber ettlich herrn dafür gehalten, Wann Gollen supliciren abgehört würde, d. man den augenschein Jetzo einnemmen und die sachen gleich außmachen möchte, So hab Ich auß beuelch, die letste, vnd die daruor Inn Julio des Gollen vbergebne supplicationes verleßen vnd was darauff Erkandt worden
Erkandt, damit mein H. gemeinlich sehen könne, wie es Inn Gollen hauß beschaffen, dieweyll auch die werckleuth bescheyden, So soll man Jetzo samptlich vff den augenschein gehn darnach weither dauon Reden. Alßo stend mein H hinab Inn Kueffergaß, durch Gorius Morgen des Kuttlers hauß Inß Stanckgesslin Inn Gollen hinderhauß von dannen wider herdurch Inn die haupt behaußung od. gaden, theils herrn vnd die werckleut auch oben hinauff gangen, hatt Goll (wie Ich hernach gehört.) ettlich herren so am nechsten bey Ime gestanden, angezeigt, auch ein visirung p. seinen Maurer Michel Mebharten gewißen wie er die gewölb Im hinderhauß bauwen, den durch pruch verrucken vnd ein Contörlin Zurichten wollte.
Alß man wider herauff Inn die stub kammer, sind die beÿde werckmeÿser gehört, Sagt M Michel d. Zimmermann d. sie daß hauß oben besehen, sey ein C* ding*, ein haußehr, Zwo Kameren vnd ein stäge, sey mitt holtz belegt, dörff Goll Zu ein solch gewerb wohl mehr platz, erzehlt wie es Goll vermeind. Zubauwen, vnd holt darfür d. Ime wohl ettwas Zu willfartten, d. auch desto weniger gefahr Zu besorgen were &
M Georg d. Steinmetz sagt, Es beger Goll erstlich das Keller gewölb vnd ein gewölb oben darauff Zumachen, damitt er seine wahren desto besser verstehen möge, fürs ander wolt er den durchgang Ins forderhauß beym schnecken machen (f° 73) Zum dritten Ein Contörlein vff vj schuh herauß Ins hinder höflin, dauon es den tag hette, Zum vierten haben sie den augenschein oben auff eingenommen sey ein enger platz, Goll dörff Zu seiner haußhaltung der platz wohl der*, Wo mein herren sonst Kein ander bedenckens haben so hielt er darfür, d. Inn sein begeren wohl Zu Zulassen.
Darauff Inen den Werckmeÿstern erlaubt von der sach geredt vnd
Erkandt Man soll Ime Inn seinem begehren willfahren, Mitt dem anhang, d. ers dahin soll Richten Wann ime ein andere gelegeheitt fürfeltt d. er das forder und hinderhauß wider söndern, vnd zu vnderschiedlichen häußer vnd wohnungen Zurichten solle.
Inn voriger vmbfrag seind ettliche (vj) herren der meynung gewesen, d. man Ime die hievor erkante straff der 50 lb (ettlich darund. habens nuhr vffs 25. lb verstanden) abnemmen solle ohnangesehen seiner Splôn vnd verantworttung Im Julio geschehen, so dermalen Zubedencken bevohlen. Ist derwegen ein Newer umbfrag gehaltten vnd Erkant, dwl. ettlich herren nicht wüßten waß zuuohr gehandelt vnd warumb Ime die straff vfferlegt, So sollen die herren denen es beuohlen geweß. vff suchen, warauff es berühre vnd es wider hieher pringen.
(scheda) Michel Gollen behausung in d. Küeffer gaß Wie auch hinder der Morin Seind Vor Vngefehr 28 Jharen Vom Gewerbhauß in d. hauß Zum Stanck 2 tag fenster Wid. ordnung eingebroch. worden. hernacher etliche wenig Ihne Vergünstiget, Aber nicht erlaubt. vide p.tocol p. Säcker

1610, Préposés au bâtiment (VII 1325)
Les héritiers de Michel Goll demandent que la ruelle entre leur maison et le poêle de la Mauresse soit dégagée et rouverte.

Michel Gollen erben wegen des gesselins in Kieffergaß
(f° 82) Sambstag den 19.ten Maÿ – Mathis von Gottesheim, H. Mathis Stoffelins beuelch haber weg. Michel Gollen erben übergibt Supplication wegen des gesselins zwischen Ihrem hauß In Kieffergaß vnd Zwisch. oder hinden an der Mörin Zunfft gelegen bittet solch gäßelin wider Zuraumen vnd Zu öffnen. Ist Ihm antzeigt Es gehör für B den wollen wies forbring.

1611, Préposés au bâtiment (VII 1326)
Les héritiers de Michel Goll demandent que la ruelle des Senteurs ne soit pas encombrée par les deux bourgeois qui souhaitent la louer moyennant 25 sols. La Mauresse souhaite elle aussi louer la ruelle à cause des mauvaises odeurs.

(f° 6) Donstag 17. Jenner 1611. Michel Gollen Erben – Mathis von Gottesheim hat hieuor Innamen d. Gollischen Erben Suplicirt das man das Gestanck gässelin. hinden an d. Mörin Zunfft, so Zweien burg. vmb 25 ß d. Verlühen wolte, wider offnen damit vß dem Gollischen hauß der vß vnd Ingang nit gesperrt werde, Ist abgelesen, vnd referirt das H Amr. Mürssel Innamen d. Mörin Zunfft auch vmb lühenung dieses gässelins angesucht, weil die Jetzigen Inhaber gar ein Wüest gestanck mach. der Zunfft Ihr Keller lad. verlegen vnd schir Niemand oben In d. Stub. die fenster vffthun dörfe. derhalb Jetz Erkandt, wollen die H den Augenschein Innemen.

1710, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Le revendeur Martin Wurtz demande l’autorisation de remplacer l’ancien encorbellement (16 pieds ½ de long, en saillie de 5 pieds ½ vers l’hôtel de ville et de 4 pieds 10 pouces vers la halle, les corbeaux étant en retrait d’un pied 7 pouces) et d’ajouter un étage. Les préposés constatent que l’encorbellement a seulement cinq poutres en chêne dont l’une est pourrie. Ils estiment qu’une fois réparé il ne pourra pas soutenir l’étage supplémentaire. Ils éconduisent le pétitionnaire

(f° 8) Montags den 27. Januarÿ 1710. – Martin Wurtz pt° eines Überhangs
Augenschein eingenommen an Martin Wurtzen des Krempen in der Küeffergaßen gelegener behausung, an deren Er den Überhang, welcher 16 ½ schuhe lang, gegen der Pfaltz 5 ½ schuhe gegen dem Kauffhauß aber 4 schuhe und 10 Zoll Vom hauß Herauß breit ist, an dem einen endt 2. schuhe 3. Zoll, an dem andern aber 1. schuhe 7 Zoll biß an die darunder befindliche steinere Käpffer hinweg schneiden denselben wider frisch auffbawen und umb ein stock höhen Zulaßen gesinnet ist. Erk. Bedacht.

(f° 9-v) Dienstags den 28. Januarÿ 1710 – Martin Wurtz pt° Überhangs
Wegen des am 27.ten huius an Martin Wurtzen des Krempen in der Küeffergaßen gelegener behausung eingenommenen augenscheins, referiren dieselbe, daß Sie den Überhang visitirt und gefunden hätten, daß allein fünff eichene balcken daran der eine faul seÿe, sich befänden, undt ahn einziehende newe Balcken, Zumahlen da derselbe umb einen stock erhöhet werden solte, nicht Daurhaft gebawen werden könte. Erk. Würdt das begehren abgeleint

1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Les préposés autorisent Jean Jacques Scær à reconstruire sa maison sur les anciennes fondations

(f° 13-v) Dienstag den 13 Martÿ. – Joh. Jacob Scär
Johann Jacob Scär dem schuhmacher wird erlaubt sein hauß in der Kieffergaß auff das alte fundament zu bawen.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1770, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Freysinger expose les travaux à faire dans la maison du cordonnier Jean Jacques Scær rue des Tonneliers : aménager un poêle à cheminée à la française au premier et un autre au deuxième étage, une cuisine pourvue d’un fourneau et d’une chemnée au deuxième et une autre au troisième étage.

(p. 225) Freÿtags den 28. Septembris 1770 – Johann Jacob Scär der schuhmacher will in seiner in der Kiefergaß gelegenen behaußung im ersten Zweÿten und dritten stock jedesmal eine Stube mit einem frantzösischen Camin auf ein gewölb wohl versehen, daneben jedesmal ein rund gegoßener ofen, die rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im ersten Zweÿten und dritten stock jedesmal eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, die rohr an steinern gäbel hinauf, von allem holtz entfernt. Erkanndt, willfahrt – Mr Freÿsinger.

Description de la maison

  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle et un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, au-dessus aussi un poêle et deux chambres, au rez-de-chaussée la boutique, un vestibule, un petit poêle, elle a une cave voûtée, une petite cour, un puits et à l’arrière une sortie vers le Marché aux Poissons, le tout estimé à la somme de 1 800 florins
  • 1741 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée une petite boutique à cloison en planches, à l’arrière un caveau pour les marchandises, un étroit vestibule, un puits et une sortie vers le Marché aux Poissons, à chacun des deux étages un poêle et un vestibule où se trouve le fourneau, le vieux comble comprend deux petits greniers, la chambre à soldats se trouve dans celui du bas, le tout estimé à la somme de 2 200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Tonneliers

nouveau N° / ancien N° : 17 / 7
Scaer
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 17 case 3

Anstett, Michel Pierre, boucher rue des tonneliers N° 7 à Strasbourg

O 57, maison, sol, R. des tonneliers 7
Contenance : 1,15
Revenu total : 108,60 (108 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 331 case 1

Anstett, Michel Pierre, boucher
1863 Anstett, Eugène et Auguste Edouard, bouchers
1868 Mey Bernard
1885/86 Hirsch Samuel, Rentner

O 57, maison, sol, Rue des tonneliers 16
Contenance : 1,15
Revenu total : 108,60 (108 et 0,60)
Folio de provenance : (17)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre allemand, registre 30 p. 234 case 8

Parcelle, section 19, n° 148 – autrefois O 57
Canton : Küfergasse Hs Nr 16
Désignation : Hf, 2 Whs (sol 2 maisons)
Contenance : 0,94
Revenu : 1000 – 1400
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1906), compte 549
Hirsch Jakob
1920 Hirsch Moses, Kaufmann in Strassburg
gelöscht 1922

(Propriétaire à partir de l’exercice 1906), compte 1441
Erb Karl u. Ehefrau
1932 Erb Charles et les héritiers de son épouse
(1338)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1923), compte 4527
Kugler Léon boucher à Strasbourg et son épouse Henriette née Burgard chacun pour moitié
1920 Kugler Joseph Aloïse maître boucher à Hochfelden et son épouse Amélie née Trend*
1938 Kugler Joseph Aloïse
(2503)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 251 Rue des Tonneliers p. 404

7
Pr. Scaerr, J. Jacques – Cordonniers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Küfergasse (Seite 91)

(Haus Nr.) 16
Erb, Metzgermstr. 03
Wormser, Kaufmann. 1
Meyer, Giesser. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 721 W 296)

Rue des Tonneliers 16 (dossier I, 1886-1992)

Le propriétaire Hirsch charge en 1890 les entrepreneurs J. et E. Klein de poser une devanture à volet roulant. Après que le notaire Pierre Loth a demandé un certificat d’urbanisme en 1971, la Ville déclare avec l’appui de l’architecte des Bâtiments de France qu’elle s’oppose à une éventuelle démolition du bâtiment de style XVIII°. Le directeur régional des affaires culturelles écarte en 1972 l’inscription à l’inventaire supplémentaire, notamment parce que le bâtiment se trouve dans le futur secteur sauvegardé. Jean Muller fait transformer en 1971 quatre logements au premier et au quatrième étage en y aménageant des salles d’eau et des cabinets d’aisance. L’architecte des Bâtiments de France émet en 1988 un avis défavorable au projet de surélever le bâtiment.

1923, Léon Kuegler charcuterie
1931, Salomon Levy, antiquaire
1938, Camille Spagna, alimentation
1963, Robert Kapusta, tableaux et encadrement
1974-1978, la Boîte aux merveilles, produits exotiques
1978, la Boutiquette, vêtements, jouets, bijoux exotiques
1980, Montmartre Voyages
1985, restaurant de la Place puis (1990) l’Assiette du Chasseur

Sommaire
  • 1886 (mai) – Le maire notifie la rentière Caroline Hirsch (demeurant 124, Grand rue) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1886 (la façade a été lavée)
  • 1887 – Le voisin (n° 18) se plaint des fumées qui sortent d’une cheminée sise au 11, rue de l’Etal (bâtiment arrière du n° 6) – L’installation de chauffage a été raccordée à la cheminée du bâtiment avant
  • 1889 (juin) – Le maire notifie le sieur Hirsch (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1889, mais il reste une inscription en français
  • 1890 – Les entrepreneurs J. et E. Klein (9, rue Fritz) demandent au nom du sieur Hirsch l’autorisation de poser une devanture à volet roulant comprenant la porte d’entrée – Travaux terminés, juin – Dessin (élévation, coupe, plan du rez-de-chaussée, état ancien et état projeté)
  • 1903 – Le maire notifie le sieur Hirsch (demeurant 3, rue Saint-Fridolin) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1903
  • Commission contre les logements insalubres – 1903 (janvier). Les alcôves servent au propriétaire. La pièce mansardée occupée par la servante doit être plâtrée
    1903 (novembre) – Rapport de la commission. Les chambres sont bien tenues
    1906. Remarques en trois points. Propriétaire Erb, demeurant sur place. La boutique du charcutier est bien tenue – Travaux terminés, juillet 1907
    1915, Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1923 – Léon Kuegler demande une autorisation pour des machines électriques déjà installées dans sa charcuterie – Avis de l’inspecteur du travail – Autorisation – Dessin
  • 1929 – Une voisine (n° 14) se plaint des déchets qui encombrent le toit vitré qui recouvre la cour du n° 16 – La toiture de la remise a été nettoyée, novembre 1929
  • 1931 – La Police du Bâtiment constate que Salomon Levy a fait suspendre une antenne de T.S.F. entre les bâtiments n° 16 et n° 5. – L’antenne est enlevée, avril 1931
    1931 – La Police du Bâtiment constate que l’antiquaire Salomon Levy a fait poser sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Autorisation, mars 1931
    1931 (novembre) – Clément Sauer déclare avoir remplacé l’enseigne par une nouvelle
  • 1937 – Les entrepreneurs en crépissage Kleffer et Cammada (de la Wantzenau) sont autorisés à occuper la voie publique devant la maison qui appartient à L. Kugler
  • 1938 – Camille Spagna (magasin d’alimentation) déclare avoir supprimé l’enseigne lumineuse
  • 1963 – Robert Kapusta demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (Tableaux Kapusta) – Autorisation
    1968 – La Police du Bâtiment constate que Robert Kapusta a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Robert Kapusta demande l’autorisation de remplacer son ancienne enseigne par une nouvelle à double face (Tableaux encadrements R. Kapusta) – Même demande par la société Publi-Est (à Cronenbourg, 84, route de Mittelhausbergen) – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – L’enseigne n’est pas enlevée, avril
  • 1971 – Le notaire Pierre Loth (27, rue de la Haute-Montée) demande un certificat d’urbanisme sur la propriété Kuegler – Extrait du plan cadastral – Extrait de la matrice cadastrale (Léon Kugler, boucher pour 5/8 et l’épouse née Marie Messmer pour 3/8
    1971 (avril) – Rapport de visite. Le n° 16 se trouve dans le périmètre de protection du n° 10, inscrit à l’inventaire des monuments historiques en 1920. Le bâtiment de style XVIII° a un rez-de-chaussée et trois étages, chambres sous combles et toit à la Mansard. Les bandeaux, les chaînages et les encadrements de fenêtre sont en pierre, le reste en maçonnerie crépie. Les arcades du rez-de-chaussée ont été remplacées en 1890 par une sous-poutre métallique et une devanture. Chaque étage a deux fenêtres de style XVIII° dont la clé sculptée a un motif différent. Des garde-corps en ferronnerie d’époque se trouvent au premier étage. L’escalier a un garde-corps en bois du XVIII° siècle. « En conclusion, c’est une harmonieuse façade qui mérite d’être conservée. »
    1971 (mai) – Le secrétaire général adresse un rapport au maire sur le 16, rue des Tonneliers et les 17-19 place Henri-Dunant.
    1971 (juin) – La Ville signifie au notaire qu’elle s’oppose à une démolition et demande son appui à l’architecte des Bâtiments de France, ce qu’il fait par un courrier du 25 juin 1971.
    1971 (août) – Acquisition éventuelle de bâtiments anciens pendant l’Année de la conservation des monuments et des sites.
    1971 (octobre) – La Ville raie la maison de la liste puisque le nouveau propriétaire a déposé une demande de réparation. – L’architecte des Bâtiments de France a demandé que la maison soit inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques
    1972 (septembre) – Le directeur régional des affaires culturelles écarte l’inscription à l’inventaire supplémentaire étant donné (1) que le bâtiment ne présente pas d’intérêt majeur, (2) qu’il se trouve dans le périmètre de protection de plusieurs bâtiments inscrits à l’inventaire supplémentaire et (3) qu’il se trouve dans le futur Secteur sauvegardé.
    1972 (novembre) – Le bâtiment a été ravalé. – La Ville renonce à acquérir la maison
  • 1971 – Jean Muller (demeurant rue des Bateliers) dépose une demande de permis de construire pour transformer la maison sous la direction de G. Weiss, ingénieur en bâtiment (116, route de Colmar au Neudorf) – Devis pour transformer quatre logements au premier et au quatrième étage (aménager des salles d’eau, des cabinets d’aisance, le bâtiment n’en comprenant qu’un dans la cour intérieure, installer un chauffage central, refaire la toiture) – Plan cadastral de situation – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable (la façade n’étant pas transformée) – Permis accordé en 27 août 1971 – Travaux terminés, façade ravalée, juin 1972. – Déclaration d’achèvement des travaux, novembre 1972
  • 1974 – La société Boîte aux merveilles (produits exotiques) est autorisée à poser une enseigne
    1976 – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable à la demande de la société Rowa, agissant pour la Boîte aux merveilles, pour poser un store en corbeille à larges rayures noires et blanches – Courrier d’A. Kabyle. Le store n’est pas retiré, octobre 1976. Il est soumis à triple taxe, janvier 1977
    1976 (décembre) – Demande de la société Rowa (rue du Général Leclerc à la Wantzenau)
    1977 (octobre) – Le store est autorisé à titre de régularisation suite à l’avis favorable émis par l’architecte des Bâtiments de France
  • 1978 – Patrice Klein (3, rue du Parc à Schiltigheim, pour la Boîte aux merveilles) est autorisé à repeindre la devanture suite à l’avis favorable émis par l’architecte des Bâtiments de France – Travaux terminés, septembre 1978
    1978 (octobre) – A. Kabyle déclare ne plus posséder le magasin. Les droits d’enseigne et de store sont exigibles pour l’année en cours.
  • 1978 – La Boutiquette (vêtements, jouets, bijoux exotiques) demande l’autorisation de poser une enseigne. Photographies – Le propriétaire Jean Muller donne aux conjoints Klein son accord pour une enseigne – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
  • 1980 (juillet) – J.-P. Knauf (3, rue Vincent Scotto à Illkirch) demande l’autorisation de repeindre la devanture – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable 1980 (septembre) – Nouvelle autorisation au nom de Montmartre Voyages – Dessin – L’enseigne est posée, juin 1981
  • 1980 – Projet de restaurant, la Boîte aux merveilles, par D. Fridez, (à Poligny, Jura) – Dessin – Le magasin Montmartre Voyages n’est pas modifié, août 1981.
    1985 – E. Menoux, gérant du restaurant (sàrl REM), demande l’autorisation de poser une enseigne. Photographies (Restaurant de la Place). Dessin de l’enseigne perpendiculaire en fer forgé éclairée par deux lampes – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation de poser l’enseigne – Les lampes ne sont pas posées
    1986 – Le maire demande que la lampe blanche soit peinte en couleur, par exemple en noir – La lampe est repeinte en couleur fer forgé
  • 1988 (octobre) – Les notaires associés Emile Feurer et Martial Feurer d’Obernai demandent des renseignements d’urbanisme (propriétaire, Jean Muller)
    1988 (novembre) – Nouvelle demande, pour surélever et aménager les combles – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable pour surélever le bâtiment
  • 1989 – La société Edde Néon (18, rue du Heyritz), demande l’autorisation de remplacer l’enseigne par une nouvelle – Photographie (Restaurant de la Place) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à condition de supprimer le pourtour en néon
  • 1989 – Le géomètre Pierre Bardel (70, boulevard de Reuilly à Paris XII) demande un certificat d’urbanisme. Propriétaire, Cogefina
  • 1990 – Christian Campiglio, propriétaire du restaurant l’Assiette du Chasseur, demande au préfet l’autorisation de fermer l’établissement à trois heures au lieu d’une heure trente
    Rapport de la Commission de sécurité
  • 1991 – Le notaire Martin Diemer (7, place de Bordeaux à Strasbourg) demande des renseignements d’urbanisme (propriétaire, Cogefina, rue de la Boétie à Paris)
  • 1990 – L’entreprise Kapp (4, rue de Rouen à Strasbourg) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
    1992 – Droits de voirie réglés par l’architecte André Kessler (rue des Magasins à Strasbourg)

Autres dossiers
721 W 297 – (volume 2) 1990
946 W 134 – (volume 3) 1990-1996
721 W 295 – déclaration de travaux (refus) 1990
1625 W 231 – ravalement, 2005
782 W 253 – 11 rue de l’ Etal, 1903


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de Michel Goll.
Originaire de Colmar, il épouse en 1576 Marie, fille d’Auguste Fettich

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 154-v, n° 376)
1576. Do. III [post Trinitatis] Michel Gol von Kolmar und Maria fettichin her Augustin fettichs dochter, 23 Julÿ (i 157)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 267) 1576. Sontag den 6. Junÿ Michel Goll von Colmar, Maria H Augustus Fettichs dochter alhie, werd. Zu S Thomas eingesegnet word. (i 136)

Michel Goll achète le droit de bourgeoisie deux ans plus tard en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1578, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105)293-294
Michael Goll von Collmar hatt das burgkrecht Kaufft und diene Zum spiegl, Eod. die [4 april a° & 78]

Michel Goll adresse le 11 janvier aux Conseillers et aux Vingt-et-Un une supplique dans laquelle il expose qu’un inventaire de ses biens a été dressé par autorité de justice alors qu’il est disposé à céder ses biens à ses créanciers. L’assemblée donne le 3 février lecture d’un arrêté impérial qui convoque les créanciers à Spire pour statuer sur la cession de biens et la séparation de biens avec sa femme. L’avocat Hochfelder fait observer que la convocation à Spire est contraire aux règlements de Strasbourg. La femme de Michel Goll demande le 24 février l’intercession du Magistrat pour libérer son mari emprisonné à Nuremberg. L’assemblée statue le 19 mars sur la représentation de la Ville au tribunal de Spire. Nuremberg répond le 26 avril qu’elle attend la sentence du tribunal de Spire avant de prendre une décision.
1595, Conseillers et XXI (1 R 74)
Michel Goll beclagt immissionem in sein Hab vnd guetter. 9. Keyserl. Mandat darin alle Michel Gollen creditores nach Speyr citirt werden. 42. Maria Fettigin vmb Erledigung ihres Mans Michel Gollen. 83. Creditores vmb Abforderung von Kreys Cammergericht. 111. Nürnberg contra Michael Gollen. 163.

(f° 9) XI Januarÿ – Michel Goll beclagt immissionem in sein Hab vnd guetter.
L. Bittling p. Michel Gollen übergibt ein supplôn darin er weitlauffig sich beclagt, d. er sein vnverhort Im d. hauß eingenohmen, d. gaden verspert vnd mit grossem seinem vncosten durch Soldner verwacht vnnd vom Schultheißen vnndt sch.ber des Stattgerichts Inventirt word. Ir auch vnndt sein weib vnst gesindt Zum hauß hienauß stoßen wolten vnangesehen er sich aller billichkeit erbotten, sein haußfraw auch uber 20.000 fl. im gewerb hatt, Bitt derwegen man woll Im Citation an seine creditores vergohnnen ad videndum se bonis cedens welches Im Zuuor vor einem Ersamen Rhat nit zugedeyen mog. Erkant Ist für Rhatt hewisen. H. Mosinger, H Meyer.

(f° 42) Montag den III Februarÿ – Es ist ein Keyß. Mandat abgelesen word. so mit Michel Gollen supplôn erkant, dorin alle Gollen creditores nacher Speyr den 24. Martÿ Jungst gelad. werden ad videndum se bonis & * et separationem bonorum uxoris à bonis mariti fieri.
Item ein schreiben von Keyß. Cammer an meine Hh verlesen, dorin gemeld. d. Goll wider mherrn proces begert von wegen des schnellen fahrens vnd vbereilens, aber es sey In kein p.ces, sondern erkant word. m. hn Zuvor vmb bericht anzulang. Dorumb so gebietten sie von Keyß. Macht weg. d. mhern in 6 wochen Iren bericht aller verloffenheit des einfalls in sein Gollen gutter nacher Speyr schicken wollen.
Es ist auch Gollen supplôn p. citandis creditoribus ans Kayß. Cammergericht verlesen word.
H Hochfeld. vermeint so vil d. mandat anlangt könne mans woll laßen anschlag. doch soll mans mit den Advocatis bedencken, sonst seÿ d. mherren Jurisdiction Zuwid. d. die creditores nacher Speyr citirt werd. d. schreiben dorin von mherren bericht begert würdt soll für Rhatt gewisen werd. vnd die supplôn denen von Nürnberg zugeschickt, vndt begert d. sie nach d. Keÿß. Cammer bericht wollen. Erkant, gefolgt.

(f° 83) XXIV Februarÿ – Weg. Maria Fettigen Michel Gollen haußfrau erscheint Geörg Fettig Ir brud. sambt Ihrer übergibt ein supplôn darin sie bitt d. Ir Man Michel Goll so auf verursachen deren Zu Nurnberg Kranck in thurn geführt word. mochte der gefangknis erledigt vnnd bei Ir In Irem hauß mit Soldner verwacht werd. domit sie seiner desto beser abwartten möge, oder Il fall m hrn denen v. Nurnberg Zuuor zusch.ben vnndt berichten wolten, d sie Inen Ires vatter seelig dienst in aufbringung Zil 1000 fl. Zuerkennen geben wolten, wie nach Irer unerzogner Jung. Kinder, die m. Herren Zugleich auch ein fußfall gethan, große beschwerd Zugemuth fuhren, vndt Ir vnder deß ein freyen Zugang vergennen, auch Zugleich disse supplôn Zuschicken, verhoff sie die v. Nurnberg würd. sie Irer bitt gewehren. Erkant, Soll für Gr. Rhatt gewisen werd. Ir der Zugang Zu Irem kranck Man erlaubt vnnd die fürschrifft bewilligt, darin auch der Kind. fußfall gedacht werd. soll. H. Teurer, H. Wolffart.

(f° 111) XIX Martÿ – Bittelb. wegen aller creditoren so burg. alhie Michel Gollen vbergibt er ein suplôn mit beÿstandt Lux Gollen, darin mhrren sie erinnern wie sie sambt andern Michel Gollen creditoren vor Cammergericht den 24 Martÿ Jungst kommendt citirt an videndum separationem bonorum uxoris et cessionem sein Gollen d aber solches m Hrn Jurisdiction Zu wider vnd verkleinerlich auch anderenlandische creditoren bei Irer obrigkeit ebenmäßig begeren thun werd. d. sie hie ir sachen mochten außfuhren, Also Bitten sie d. m Hrn sie die burg. durch Iren Syndicum lassen vertretten oder sonst vermelden lassen ob sie selbst entscheiden sollen oder ohn gefahr kennen auß pleiben. Erkant Man solls mit den d bedencken Ist befohlen word. H Reinbold Meyer H Hugwart Ist sonst für Rhatt gewisen.

(f° 163) XXVI Aprilis – Nürnberg antwort an m herrn schreiben für Michael Gollen vndt melden d. sie In der gefengnis nit erlassen Konnen, d. er nit für ein maleficium sonder nuhr ein ciuil sich haltet, er auch d. beneficum cessionis in der Cammer außzubring. begert dagegen sie gegen handlung fürgewant vndt ein sententz erwarten, vnndt der wegen mit solcher Intempestiba indulgentia nit selbst p.iudiciren sollen. So soll Gollen fraw alß supplicantin Ir genuegen lassen d. m Herren Ir decretum der Execution gegen Irer person gemiltert vndt sie sambt den Kindern im hauß gelaßen hab. Zu dem erwarten sie noch mherren bescheidt in pô gebettener citation rôe p.lationis, neben abschrifft der unverrichten in nenter* vnndt cassa burg. ohn die sie sich nit Zuerclaren wissen. Letstlichen so erclär sich die supplicantin nit d. sie von dem Irigen der sachen helfen wolt. darumb sie bitt Iren Hr wollens bei altem stand p.leiben laßen. Erkant, Ist für Rhat gewiesen.

Quittance des créanciers
1596, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1311)
(f° 171) Sambst. den 24. Julÿ – Vogteÿgeld
H Caspar Kniebs und Lux Goll alß vßschutz Michel Gollen creditoren haben gelüffert 500 h

Marie Fettich, veuve de Michel Goll, pour laquelle agit son curateur Georges Fettich, demande à être exemptée de la Taille en qualité de faillie
1598, Protocole des Quinze (2 R 27)
(f° 180-v) Sambstag den IX Decembris – Michel Gollen wittib Ca. Stall
Geörg Fettich alß vogt Mariæ Fettichin seiner schwester, Michel Gollen selig. wittib, p. Peter Knörer, übergibt ein Splôn, so verlesen, darinnen referirt er sich vff ein artl., so meine hn. vor dißem sollen vffgesetzt haben, Was einer Inn Fallimenten stecken hatt, das er nicht schuldig deßelbig Zuverstallen, so lang vnd vil bitz Ime ettwas daruon worden, vnd er es widerumb nutzen vnd gebrauchen möge, dieweil dann seiner schwester nahrung noch Inn Ihren gewollt sonder Im Gollischen Falliment steckt, So bitt er den dreÿen des Stalls Zubevelhen, so lang die sachen Inn Jetzigen stand, Järlich dreÿ schilling Stallgeltt von Ihr anzunehmen,
Erklandt geg. Ime Zubedacht Ziehen, vffm Stall erkundig, wie es damitt geschaffen, vnd es bedencken geordnet H. Kolöffel vnd H Kniebß geben antwortt B. q. Mr.

Autres quittances enregistrées à la Tour aux deniers
1605, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1320)
(f° 126) Mittwochs 7. Augusti – Vogteÿ geldt abgelöst
H Georg Fettich weÿl. Michel Gollen bezaltt für 49 wochen martzal von 67 h 10 ß d so bißher den Gollischen Creditoren vff Jacobi verzinßt word. vnd die losung herr Ihnen 1500 h den 5 Julÿ Ihnen erlegt haben damit gedachte 57 h 10 ß erlößt, aber vff Zedel von den losung herren Ihnen betzaltt 49 woch. martzal 63 h 11 ß d. Die urkundt haben die loßung herren beÿhand.

1606, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1321)
(f° 177) Mittwoch 8.ten 8.br. – Vogteÿ geldt abgelöst
Michel Gollen wittib p. Augustum Ihren sohn hat Zedul von Loßung herren für gelegt, das dieselben Ihme abgelößt haben 90 h Zinß mit 2000 g capital in dreÿen malen Nemblich
18.ten Februarÿ 606 Ihm daran erlegt 500 h d thun 2000 h 29 wochen martzal – 50 h 3 ß 10 f
mehr Ihme 2 Junÿ Capital erlegt 500 h d thun 1500 h 15 wochen martzal – 19 h 9 ß 2 d
mehr Ihme 7 Augusti 606 daran erlegt 1000 h die thun 9 wochen martzal – 7 h 15 ß d
So dann Ihm auch von 500 d Capital die vff Jacobi mit 22 h 10 ß verzinßt word. d. Capital erlegt sampt martzal von Jacobi biß 3.t Xbris Aô 606 thun 19 woch – 8 h 4 ß d
Summa 85 h 12 ß s
die hat obgemelter Augustus goll empfang. vnd luth h grienwaldts vnd H Kniebsen Zedel dieselben haben auch die Urkhundt vber 2000 f Capital beyhand. Die Urkhundt vber 500 h d haben wir empfang.

1599, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1314)
Michel Schoningers diener von Aach contra Michel Gollen creditores. 160. 153.

Autres mentions de Michel Goll dans les registres des Conseillers et des Vingt-et-Un et des Quinze
1588 XV (2 R 18) Michael Goll. (monopolische handlung) 125. 148.
1590 XV (2 R 19) Michel Goll. (Silberkauff) 35. 40. 42.
1592 XV (2 R 21) Michel Goll. (Barchanthandel) 150. 164. (pt°offenen Laden in Lottringen) 182.
1593 XV (2 R 22) Michel Goll. (frembde Müntzen) 151. 155. 195.
1594 Conseillers et XXI (1 R 73) Michel Goll vmb Vorschrifft an den von Harrencurt. 20. 136. Michel Goll vmb Restitution 2 pleyfäßlin. 250.
1594 XV (2 R 23) Michel Goll (Seÿler contra Mathis Karcher und Michel Goll). 92. (Barchent weber contra Michel Goll) 125.
1595 XV (2 R 24) Michel Goll (schuld ins Kauffhaus). 41. dessen creditoren. 99.
1596 XV (2 R 25) Michel Goll. Basel für Bartholome Schoburger contra Michel Gollen. 63. Statt S Gallen, Zurch, Schaffhausen vmb Befürderung der Rechtfertigung Bartholome Schoburger contra Michel Gollen. 86. Michel Gollen creditores zu Augspurg. 121. Gollischen falliments curatores contra D Obertum Giphanum. 419. Gollische creditores contra Peter Antoni Hortensÿ de Picaria diener. 448. 467.
1598 Conseillers et XXI (1 R 77) Michel Gollen Curator Dietherich Planck contra Antoni Hendel. 364.
1601 Conseillers et XXI (1 R 80) Johann Stocker contra Michel Gollen. 180. (schulden)
Michel Gollen creditores contra Curatoris bonorum. 88.
1603 Conseillers et XXI (1 R 82) Daniel Fettich und Hans Friderich Fettich contra Michel Gollen falliment. 395. 399.
1610 Conseillers et XXI (1 R 89) [Nürnberg contra Michel Gollen falliment. 370.]

Les héritiers de Michel Goll sont cités pour la dernière fois dans les tenants et aboutissants des voisins. La maison revient ensuite à Jérôme Stahlenburger : son mandataire, le marchand Jean Jacques Müller, la vend en 1624 au tonnelier Jean Henri Stürtzel et à sa femme Barbe Doll.

1624 (xiij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 27
(Inchoat. in Prot. fol. 21 – Protocollat. fol. 302.) Erschienen Herr H Johann Jacob Müller handelßman Von franckhfurth, Alß gewalthaber, wie er sagte, Weÿlandt H. Hieronimi Stahlenburger Schultheißen Zue Franckhfuth seligen erben (verkaufft)
Hannß Heinrich Stürtzel küeffer burger Zu Straßburg, vnd Barbara Dollin seiner ehelichen haußfrauwen
Hauß, hoffstatt, Vndt höfflin, mit Allen Ihren gebäwen & gelegeb Inn der St. St. Inn Küeffer gassen eins. Jacob Hüß dem Küeffer And. s. Philipps Weinschenckh dem schuhmacher, Hinden Vff ein Allmend gäßlin, das gestanck gäßlin genant, dauon gend 4 fl. geldts vff Mariä Liechtmeß Lößig mit j C. fl. weÿl. Philipps Schmidts selig erben, Sonst eÿgen Vndt Alles Recht & also & Vnndt ist disser Khauff vber obgehörtten beschwerdt so die Kheuffere vff sich nemmen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 850 pfund

Le tonnelier Jean Henri Stürtzel épouse en 1612 Barbe, fille du boulanger Pierre Doll.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 331-v, n° 1013)
1612. Sontag den 11. Octob. Hannß Heinrich Stürtzell d. küeff. vndt Barbara, Peter Dollen des Becken Alhier Nachgelaßene tochter. Eingeseg. Zinstag 20. Octob. (i 342)

Jean Henri Stürtzel hypothèque la maison au profit de l’ancien consul Charles Spielmann

1628 (12. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 594-v
Erschienen hannß henrich Stürtzel der Küeffer burger Zu Straßburg
hatt in gegensein deß Ehrenuesten fürsichtigen vnd wohlweisen herrn Caroli Spielmanns Alt Ammeisters der St. St. – schuldig worden, 75 pfund
Vnderpfand sein soll hauß, hofstat, vnd höflin mit allen Andern deren gebäwen & alhie in Küeffer gaß einseit neben Jacob hussen dem Küeffer, 2.seit neben Philipps Weinschencken dem schuhmacher hind. vff ein Allmend geßlin stoßend gelegen, so zuuor V.hafft vmb 100. fl. St. w. H Lienhard Bauren XXI.er, Item vmb 200. lb d dem Stifft S. Thoman So dann vmb 500. lb d restirend. Kauffschilling herrn Johann Jacob Müller von Franckhforth

Cléophée Schmid vend à Léonard Baur un capital garanti sur la maison rue des Tonneliers qui appartient à Jean Henri Stürtzel

1629 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 189
Erschienen Johann Baptista von d. Brucken burger Zu St. alß Eheuogt Cleophe Schmidin, mit beÿstand hanß Heinrich Schmiden, auch burgers alhie seines Schwagern
hatt in gegensein deß Ehrenuesten Frommen vnd weisen herren Lienhard Bauren xv.ers (verkaufft)
100 gld. Capital St. w so, vermög eines latinischen brieffs mit des Bischofflichen hoffs Insigel datirt in Anno & 1528. Jarß vff Liechtmeß mit 7 R. besagter wehrung von, vff vnd Abe hanß Heinrich Stürtzels deß Küeffers behausung alhie in Küeffergaß. v.zinßt word, – für vnd vmb 35. lb

Jean Henri Stürtzel et sa femme qui habitent alors à Westhoffen sont admis à l’hôpital en qualité da pauvres pensionnaires
1658, Conseillers et XXI (1 R 141)
(f° 203) Sambstag d. 9. Octobr. – Daniel v. Carol Spielman gebrüder vberreich. per Egê Vnd.ge Supplication Bericht daß Johan Heinrich Stürtzel vnd sein Weib, welche sich Zu Westhoffen auffhalten hohen alterß, vnd In hochst betrübten Zustandt leben, auch In außerster durfftigkeit begriffen, Alß bitt sie In Ihrem nahmen Mh wollen sie beÿde In die Arme pfrund Un dem hoßpital erkennen. Seÿe beÿde auß dißer Statt gebührtig. Erk. Sindt mitt dem begehren an die H Pfleger Zu h. worden.

Acte qui mentionne le la distillerie appartenant à Jean Henri Stürtzel a été vendue par adjudication judiciaire en 1640. Les actes ultérieurs établissent que la maison est vendue par adjudication judiciaire le 28 septembre 1639.

1639 (6. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 316
(Prot. fol. 134. v. sess.) Erschienen Hanß Heinrich Stürtzel der Küeffer burger Zu Str. und Barbara sein eheliche haußfr. (verkaufft)
hanß Samuel Nagel auch Küeffer alhie
Ein Brennhütt sampt dem garten daran vnd Bronnen, auch Schöpfflein mit allen andern ihren gebäwen außerhalb der St. Str. vor dem Judenthor Zwischen den beeden Wassern gelegen, einseit neben Martin Waltern geweßenen Stattküeffer anderseit neben Georg Späthen dem Küeffer hinden vffs Waßer Vornen vff die Allmend gaß stoßend, dauon gehen Jährlich vff Martini j. lb 5 ß Bodenzinß der statt strb. sonst ledig eigen – vmb 40. Pfund d
[in margine :] Erschienen H Philipps Keller alß Schaffner des Stiffts St: Thomann alhie, an einem, So dann hanß Samuel Nagel der hieringenante Käuffer am andern theil, Zeigten an, demnach ermeltem Stifft diße v.kauffte Brenhütt v.mög der den 15. Maÿ 1624. vffgerichteten v.schreibung neben einer in der Kieffergaßen gelegener Behaußung vmb 200. Lib. d v.setzt auch solche Brennhütt laut des den 19.ten Febr. 1640. datirten Gant Kauffbrieff und des den 29.t Julÿ 1640. Expulsion bescheidt albereit an sich gezogen, daß Er Schaffner ihme Nageln solch. des Stiffts Gerechtigkeit für vnd vmb die 90. Lib. so Er hannß Heinrich Stürtzeln dem Bemeinten V.käuffer noch schuldig Vfrecht eÿgenthümblich cedirt Vnd übergeben – Actum den 1. Augusti 1640

Catherine Müller, femme de Thierry (Théodore) Springer de Francfort cède la maison au revendeur Adam Engel moyennant 440 livres

1655 (8. feb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 85-v
Erschienen Fr. Catharina Müllerin H Johann Theodorici Springers U.I.D. Zu Franckhfort Wohnhaft ehelicher Haußfr. in crafft eines sub dato franckhfort d. 12. Decembris 1654. gefertigten Und Von ihnen beeden Eheleuthen Underschriebenen auch mit ihren pittschafften Verwahrten Gewalts gevollmächtigter Befelchhaber H Johann Baptista Börffenicht handelßmann alhier
hatt in gegensein Adam Engels deß Grempen
hauß, hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie in der küeffergaßen, neben Mathiß Holtzingern dem Küeffern anderseit neben weÿl. Martin Würtz. deß Schreiners seel. Erben hinden vff daß gestanckh gäßlin dahien es auch einen Außgang hatt stoßend geleg. davon gehend Jährlich 4. fl. Wehrung Vff Liechtmeß ablößig mit 100. fl besagter Wehrung H Daniel Steinbockhen alt. groß. Rhats verwanth – umb 387 lb
[in margine :] NB. der Kauff ist für freÿ ledig Und eig. geschehen umb 440. lb gehet ab 52. lb 10. ß für die Steinbockhisch. beschwärdt bleiben 387. lb. 20. ß

Originaire de Muttersholtz, le revendeur Adam Engel et sa femme Marie Mey achètent le droit de bourgeoisie le 26 novembre 1639 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1639, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 884
Adam Engel Von Muderscheltz der Gremb Erkaufft d. Burgerrecht für sich vnd Sein Haußfrauw Mariam Miegin Vmb 20 golf fl. Hatt Keine Kinder würd Zur mörin dienen. Jur. den 26. 9.bris Anno 1639.

Adam Engel loue la maison en entier sauf la cave, un caveau et une partie de la boutique au cordonnier Gabriel Voltz

1655 (21. feb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 122-v
Erschienen Adam Engel der Gremp alhie
hatt in gegensein Gabriel Voltzen deß Schuhmachers
Verlühen habe, hauß, hoffstatt, und höfflin mit allen deren gebäwen /:nichts davon alß ein gewölb und den Großen Keller wie auch einen platz im laden auß genohmen alhie in der Küeffergaßen neben H. Mathißen Holtzingern dem Küeffern ein: Vnd and.seit neben weÿl. Martin Würtzen deß Schreiners seel. Erben gelegen, Vff Vier Jahr lang Von nechstkommend Mariæ Verkündung angerechnet, für und Umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 12. lib.

Adam Engel est nommé garde de la Ville
1653, Conseillers et XXI (1 R 136)
(f° 162-v) Sambstag d. 5. Nouem: – Adam Engel.
Beÿ E E Zunfft der Kirschner ist Zu einem Scharwechter erwöhlet word. Adam Engel

La femme d’Adam Engel vend en 1649 du suif sans autorisation et des harengs en 1658.
1649 Protocole des Quinze (2 R 68) Adam Engelß Fraw wegen Unschlittkauffs wider ordnung. 10. Adam Engelß Fraw, Unschlitt Kauff, Straff 25. lb. 17. vmb moderation 19. moderirt 28.
1658 XV (2 R 76) Adam Engelß Fraw pt° Herin Verkauffs. 35. Straff 100. lb. 39. vmb Straff moderation 47. Straff moderation 54.

La Monnaie vend en 1659 au receveur du béguinage à la Tour un capital garanti sur la maison qui appartient à Adam Engel d’après un titre de 1528

1659 (14. febr.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 138-v
Erschienen H Anthoni Diebolt alß der Statt Straßburg Müntz Verwalther
in gegensein H Hannß Jacob Seupels deß Silberarbeiters, im nahmen H Johann Friderich Seupels delß Schaffners der Samlung Zum Thurn
geg. bahr erlegt. 338. lb. 16. ß 10. d cedirt habe 4. fl. straßb. wehr. iährlich. vff liechtmeß fallend und mit 100. fl berührter Wehr. wid. lößig. zinnßes, so anietzo Adam Engel der Kremp vermög latinisch. pergamentinen 12. Kal. Febr. a° 1528. mit deß Bischoffl. hoffs anhangenden Contract Insigel gefertigt. Zinnßbrieffs von, vff und abe seiner alhie in Küeffergaß. gelegener Behaußung Zu raÿch. und 1 lib. 18. ß 6. d Marzahl schuldig, Item (…)

Odile Gambs vend à Véronique Bitlinger un capital garanti sur la maison qui appartient à Adam Engel

1661 (5. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 586
Erschienen H. Friderich Schell der Silberarbeiter alß Vogt Jungfr. Otilia Gambsin,
hatt in gegensein deß Ehrenvest, hochgelehrten H. Georg Obrechten U.I.D. und E.E. Kleinen Rhats Advocati et Procuratoris alß Curatoris Fr. Veronicæ Bitlingerin
100. lb. Capital rest so Adam Engel der Kremp Von seiner alhie in Küeffergaßen gelegener behaußung Vermög des Von H. Jeremiæ Ursino Notario und alten Kleinen Rhats v.wanth. ertheilten attestati Ihro Jungfr. Ottiliæ iährlich Zu Verzinnßen schuldig (…)
[in margine :] Vide in Prot. extens. de A° 1646. fol. 194. fac. 2.

Le revendeur Adam Engel meurt le 27 avril 1663
Sépulture, cathédrale (luth. f° 27-v)
1663. Aprilis d. 27. Adam Engel, Gremp

Inventaire dressé dans la maison de feu le revendeur Adam Engel après que le tailleur Jean Martin Romer a quitté la ville en abandonnant sa femme Barbe Schmitt qu’il a épousée en 1645.

1664 (22.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 33) f° 7
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab Nahrung vndt Schulden, so Mr Hannß Martin Romers, Schneidern, vndt Barbaræ Schmidin beeder Eheleuthen vndt Burgern alhie Zuständig, welche der Ursachen, weÿlen Er hannß Martin, Donnerstags den 28.ten Februarÿ Jüngsthin außgetretten, Auch Sie Barbaram Schmidin mit beÿstand Mr Johann Bromanns, auch Schneiders vndt Burgers alhier, Ihres geschwornen Vogts (…) So beschehen Inn beÿsein Mr Christoff Walckmanns Schuhmachers vndt burgers alhie, Ihr d. frau dochtermanns auff Montag den 22.t Februarÿ Anno 1664.

In einer alhie in der Statt Straßburg Inn der Küeffergaßen gelegenen behaußung, so weÿl. Adam Engels, geweßenen Gremppen vndt Burgers alhie seel. hinterlaßener wittwen Zuständig, beede Ehewürth lehnungsweiß in Lehnung haben, ist befunden Worden Wie Volgt
Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Cammer D, Inn der Cammer E, Im undern haußöhren
Werckzeug Zum Schneider Handwerck gehörig
Ergäntzung der Frawen unveränderten Gauth, Auß dem über weÿl. Georg Böhringers E. E. Zunfft der weinsticher geweßenen büttens vnd burgers alhier ihres llieben haußwürths seel. Verlaßenschafft den 8. Martÿ A° 1638 auffgerichteten Inventario
Der Frawen unverändert Guths, Sa. hausraths 59, Sa. Silbers 3, Sa. Goldenen Ring 2, Sa. Ergäntzung 12, Summa summarum 77 lib
Die theilbahre Nahrung betreffend, Sa. Haußraths 9, Sa. werckzeugs Zum Schneid. handwerck gehörig 15 ß, Summa summarum 10 lib – Schulden 43 lb, Übertreffen also die Schulden aus theilbaren Nahrung Zu bezahlend. die theilbahre Nahrung vmb 33 lib
Eheberedungs Copeÿ – Zwischen dem Ehrsamen vndt bescheidenen hannß Martin Romern, Schneidern, hannß Romers Schneiders vndt burgers alhier ehelichem Sohn, alß hochzeiter einen theils, So dann der tugendsamem frawen Barbara Schmidin, weÿl. Georg Böringers geweßenen büttels beÿ E. Ehrs. Zunfft der Weinsticher seel. nachgelaßener Wittib andern theils (…) vff ihr der hochzeiterin seiten aber hannß Ehemann Schneider alß deroselben vogt, Herrn M Johannes Brunn Prediger v. Diaconus Zum alten St Peter vndt Peter Schmidt Schneider vndt burger der hochzeiterin bruder (…) Fürs Fünffte vndt weilen Sie die Fraw hochzeiterin Zweÿ lieben Kinderlin ein Söhnlin so bresthafft vnd ein döchterlin die Vätterlicher hülff benöthiget (…) Beschehen vndt Verhandelt inn dißer dß heÿligen reichs freÿen Ststt Straßburg Mittwochs den 28. Maÿ 1645, Laurentius Dreüttel Nots. Publ.

Le receveur du béguinage à la Tour revend en 1659 à la veuve d’Adam Engel le capital garanti sur sa maison

1665 (22. April), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 207
Erschienen herr Johann Schmid alß Schaffner der Samblung Zum Thurn,
hatt in gegensein herren Johann Wolffgang Heßlers E.E Großen Rhats Beÿsitzers alß Curatoris Mariæ, weÿl. Adam Engels deß Krempen seel. Wittibin
bekannt daß Sue Engelin Ihro der Samblung 100 fl. Straßburger Wehrung erlegt, und dadurch die ienige 4 fl. g. Wehrung Von uff und ab ihrer alhier in der Küeffer Gaßen neben Mathiß Holtzingern dem Küffern gelegener behaußung, Vermög der 12. Calend. Februarÿ A° 1528. durch weÿl. H. Jacobum Schmidten alß deß Bischofflich. Hoffs damahlig. geweßenen Contractuum Notarium nun längst seel. uffgerichteter Verschreibung iährlich termino Purificationis Mariæ fallend. Zinnßes abgekaufft abgelöst und bedeutete behaußung solcher beschwärd allerdingß liberirt habe

Marie, veuve d’Adam Engel, se remarie en 1667 avec le tonnelier Jean Frédéric Rinck, fils de tonnelier
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 63-v) 1667.
Dn. I. Trinit. d. 9. Junii. Johan Fridrich Rinck der Küeffer, H Sebastian Rincken Küeffers v. burgers allhier Ehelicher Sohn, Fr. Maria, Adam Engel Handelsmanns v. burgers allhier nachgelaßene Wittib. Copulirt Donnerst. d. 20. Junii Zu St. Thomæ (i 68)

Le boucher Martin Wurtz loue au nom de sa cousine Marie Mey veuve Engel la maison à l’aubergiste Jacques Lanaux

1695 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 235-v
Martin Wurtz, der Metzger im Nahmen Mariæ Engelin, geb. Meÿin, Wittib seiner Baßen
Jacques Lano, Aubergiste
entlehnt, Eine behaußung, mit allen deren Gebäuen und zugehördt. nichts darvon alß d. vordern großen Keller, welchen der Verleiher sich vorbehaltet außgenomm. allhier in d. Küffergaßen, einseit neben Heinrich Kaüffer dem Schreiner, anderseit neben Valentin Gräff dem bürstenbind. hind. auff die Zunfftstub zur Mörin, darbeÿ Sie auch ein außgang hat, stoßend geleg. auff Vier jahr lang, von Johannis Baptistæ dieß jahrs anzurechnen, umb einen jährlich. Zinß nemblich 36 pfund 10 schilling
[in margine :] hierinn gemelter Martin Wurtz alß Ehevogt Catharinæ geb. Meÿin, hierinn gemeldter Meÿischen wittib eintziger besitzerin des hierinnen beschriebenen haußes, hat in gegensein hierinn gemelten Jacques Lano des Entlehners (…) auff fernerer zweÿ Jahr lang von ged. Joh: Bapt. angehend (umb) 36 pfund d. reducirt, den 1. junÿ 1699

Veuve d’Adam Engel et de Jean Frédéric Rinck, Marie Mey meurt le 25 janvier 1699 en délaissant pour héritiers les enfants de son frère Gui Mey, pêcheur à Rathsamhausen. Elle a institué pour sa légataire universelle Catherine Mey, femme du revendeur Martin Wurtz. Elle est propriétaire de deux maisons vis à vis l’une de l’autre rue des Tonneliers. La succession s’élève à 5 257 livres.

1699 (9.2.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 45) n° 435
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme Frau Maria gebohrne Meÿin, erstmals weÿland des Ehrengeachten weiß. Hrn Adam Engel gewesenen Gremp nunmahlen aber auch weÿland deß Ehrenthafft v. achtbaren Meist. Johann Friderich Rinckhen, geweßenen Küeffers allhier seeligen hinterlaßene Wittib auch seelige nach ihrem Sontags den 25. Januarÿ Jüngsthin aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und Tugendsamen Frauen Catharinæ Wurtzin gebohrner Meÿin, deß Ehrenhafft und achtbaren Hrn Martin Wurtzen, Grempen und burgers allhier ehelicher Haußfrauwen, der Verstorbenen Frauen seeliger p. Testamentum hinterlaßener einiger Erbin, mit beÿstand deßelben (…) So geschehen in Straßburg den 9. Februarÿ in Fernerem beÿseÿn deß hoch Edel Vest und hochgelehrten auch Edel Wohl Ehrenvest und hochachtbahren Herrn Johann Ulrich Friden, deß gehemien beständigen Regiments der Herren Fünffzehen allhier, hochverdientenen ältesten secretarÿ, als der abgeleibten Frauen seelig in dero Testamento hochverordneten Testamentarÿ und Herrn Philipp Jacob Erhards, verschiedener Stifftungen wohlmeritirten Schaffners auch E. E. Kleinen Raths jetzmaligen beÿsitzers als von Ehrengedachten Kleinen Rath in Nahmen der Frauen seelig frembder Anverwandten in Specie deputirten Herren, Montag den 9. Februarÿ Styli Novi Anno 1699.

(f° 2) Publication hievorgeschriebener der Verstorbener Frawen seel. auffgerichteter Letzter willen (…) 1. Herr Johann Ulrich Frid (…), 2. Herr Philipp Jacob Erhard (…), 3. Fraw Barbara Schmutzin gebohrne Megin, weÿl. herrn Christian Schmutzen, gewesenen Pfarrers Zu Mietersholtz wittib, burgerin Zu Baldenheim als weÿl. Viox Megen gewesenen Fischers und burgers zu Rathsamhauß. und Baldenheim der Fr. sel. eheleiblich. bruders Tochter, 4. Fraw Juliana Waltherin gebohrne Megin, Lorentz Walthers, burgers Zu Ebweiler Ritterständischer herrschafft, Tocht. eheliche haußfrau vorhergedachten d. Frawen seel. Eheleiblich Bruders, 5. Fraw Catharina Wurtzin gebohrne Megin herrn Martin Wurtzen des Grempen und burgers allhier Zu Straßburg Eheweib, so ebenmäßig vorher erwenten Viox Megen d. Fr. seel. Bruders Tochter und ihre einige instituirte Erbin auch dero haußwürthß, 6. Thomas Meg, Burg. Zu Schlettstatt, als d. Sohn von mehrgedachtem der Frn. seel. Brudern, erclärte sich, daß Er mit denen letzten willen gantz zufriden, 7. Fraw Eva Braunin gebohrne Megin, Meister Johann Daniel Braunen des Küblers und burgers allhier eheliche haußfrau, als auch eine Tochter von offtvorher bedittenen Viox Megen d. Frn. seelig bruder, mit assistentz dero haußwürth, 8. Hannß Caspar Knecht, burg. Zu Schlettstatt in nahmen Frauen Salome Knechtin gebohrner Megin seines Eheweibs, also gleichfalls mehrangeregt. d. Fr. seel. Bruders Tochter, 9. herr Johann Friderich Redwitz, Notarius juratus als weÿl. Frauen Annæ Klingelmeÿerin gebohrner Megin, N. Klingelmeÿers geweßenen burgers Zu Niderhauß. seel. geweßener haußfrawen, vielerwehnt. Viox Megen d. Frauen seel. bruders Tochter Kinder (…) 10. Hannß Klingelmeÿ. burg. zu Nid.hauß. 11. Fraw Eva Braunin gebohrne Klingelmeÿerin Antoni Braunen burgers Zu Epffig haußfr. 12. Hannß Stöhr, burg. Zu Ruest und 13. Hannß Jacob Metzg. auch burg. Zu Ruest, dieße 4. vorgedacht. Frn. Annæ Klingelmeÿerin, d. verstorbenen Fr. see. Bruders Tocht. in verschiedenen Ehen erzeugte Söhn und Töchter (…), 14. Herr M. Johann Jacob Böhler wohlverdienter Diaconus beÿ der Newen Kirchen alhier (…) im nahmen d. haußarmen beÿ der Newen Kirchen (…), 15. Herr Bernhard Jost d. Grahnmeister und Küeff. auch burg. allhier (wegen) legats (…) So beschehen in Straßburg in der Fr. seel. Sterb behausung in der Küeffergaß. geleg. auff Freÿtag den 6. tag des Monats Februarÿ Styli Novi A° 1699.
(f° 4) In einer allhier in der Statt Straßburg in der Küeffer Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt. (f° 7) Schrein: und höltzenwerck. Auff der Obern bühn, Im obern Stübel, In der Cammer A, Vor dieser Cammer, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer, Vor diesen Gemachen, In der Wohn Stuben, In der Stub Cammer, Im hintern Süblin, In der Kuchen, Im hauß öhren, Im Gaden Stüblin, In dem Keller
(f° 11) Eigenthumb ane häusern. Erstlichen I behausung, Hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäuen begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, allhier in der Kieffergaß I. seit neben herrn Bernhard Josten (…)
Item eine behausung, hoffstatt und höfflein mit allen deren gebeuen, begriffen, weithen, Rechten Zugehörd. und gerechtigkeiten gelegen allhie Zue Straßburg auch in d. Küeffergaß, einseit neben Valentin Gräffen dem buchbinder, anderseit neben herrn Heinrich Kauffern dem Schreiner, hinden auff das gestanckh gäßlein, dahin es auch einen Außgang hat, stoßend gelegen, So freÿ, ledig und eigen und durch vorgemelte hrn Werckmeistere æstimirt pro 525 lb. Darüber saget 1. Teutscher pergament: Kffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangend. Cantzleÿ Contr. Insigel verwahrt, datirt den 8. Febr. Anno 1655. Ferner I. Copia vidimata einer Kffverschrbg. vor hrn Jacob Küglern Contractuum Notario auffgerichtet, de dato 28.ten Maÿ A° 1658. Mehr i. alter teutscher Pergam: Kffbrff. de dato 28. Maÿ A° 1588. ohne Insigel Und dann ein Pergam: Ganth Kffbrff mit deß Statt gerichts Zu Straßb. anhangend. Insigel verwahrt, datirt den 28.ten Septembris 1639. alles mit Jetzigem N° 7 bemerckt.
(f° 14) Abzug in dieses Inventarium gehörig, Sa. haußraths 189, Sa. Wahren zu dem Grempenwerck 268, Sa. Wein, Eßig und Vaß 290, Sa. Früchten 12, Sa. baarschafft 1630, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 828, Sa. Eigenthums ane häusern 1725, Sa. Schulden 314, Summa summarum et Conclusio finalis Inventarÿ 5257 lb
Copia der abgeleibten Frauen seeligen auffgerichteten Testamenti nuncupativi. 1691 (…) auff Donnerstag den 20. tag des Monats Decembris neuen Calenders Zwischen Fünff undt Sechß uhren, beÿ dreÿ hellbennenden liechtern Vor mir (Notario) persönlich kommen und erschienen die Ehren: und tugendsame Fraw Maria Engellin gebohrne Meÿin weÿland Herrn Johann Adam Engels gewesenen Grempens und burgers allhier seligen hinterlaßene Wittib, Von der Gnaden Gottes gesunden gehend und stehenden leibs, auch guten richtigen verstandts, Sinnen und Vernunfft (…) Johann Christoph Stöffel, Nots. publ.
Copia Vorgedachter Verstorbenen Frauen seeligen auffgerichteten Nach Dispositionis (…) auff Dienstag den 14. Tag des monats Maÿ Styli Novi abends Zwischen Sechß und Acht Uhren Anno 1697. Johann Reinhardt Lang Notarius regius Civisq. Argentinensis

Originaire de Rathsamhausen, l’héritière Catherine Mey acquiert avec sa sœur Eve le droit de bourgeoisie en décembre 1684 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse et en promettant d’épouser un bourgeois
1684, 3° Livre de bourgeoisie p. 1025
Catharina undt Eva Meÿin von Oberrathsamhausen, empfangen das burger Recht p. 16. gold. fl. so Sie auff dem Pfenningthurn erlegt mit condition daß Sie sich an einen burger verheurathen sollen, Zünfftig Zur Mörin, promis. 30. Xbr. 1684.

Le boucher Martin Wurtz épouse en 1692 Catherine, fille du pêcheur Gui Mey de Rathsamhausen-le-Haut : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration à Illkirch
Copia Beeder eingangs gemelter Eheleuthe Zur Zeit dero Verheürathung mit einander auffgerichteter Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Martin Wurtzen juniore, dem ledigen Metzger des Ehren Vest und Vorgeachten herrn Martin Wurtzen des ältern und burgers allhier Zu Straßburg eheleiblichen Sohn, alß Bräutigamb mit assistentz erstgedachts seines Vatters, wie auch herrn Johann Philipp Kammen E: E: Großen Rahts beÿsitzers und herrn Johann Albrecht Ungers Meisters an einem, sodann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauwen Catharina weÿland des Ehrsamen Veit Meÿen gewesenen fischers zu Ober Rahtsamhaußen seligen nachgelaßener Tochter alß der Jungfrau hochzeiterin, mit beÿstand herrn Johann Jacob Lichteisens Speciers ihres anoch ohnentledigten Vogts, herrn Bernhard Josten Küfers und herrn Georg Bögners Küblers, am andern theil (…) Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 31. Julÿ anno 1691. Andreas Schmidt Not. publ.

Mariage, Illkirch (luth. f° 35)
MDCXCII. den 12. vnd 19. Augusti St. n. sind in Illkirch Zum ersten vnd andern mal außgeruffen vnd den 21. Ej. copulirt vnd eingesegnet Word. auf Permission vnd Erlaubnus des Regirend. H. Ammeisters, laut beiligend. Scheins, Johann Martin Wurtz, der ledige Metzger, H Martin Wurtzen, Metzgers vnd burgers, wie auch Schöffen in Straßburg, alhie aber wohnhaft Vnd Anna Elisabeth gebohrner Nagelin, seiner ehl. haußfrawen ehl. Sohn, Vnd Jfr. Catharina, Vitus Meyen, gewesenen Fischers vnd burgers von Rathsenhaußen vnd Eva seiner ehl. haußfr. hind. ehl. Tochter [unterzeichnet] Martin Wurtz alß hochzeÿter, Catharina Maÿin hochzeiterin ahn deßen Nahmen vnderschriben Johann Jacob Liecht Eÿßen als vogt (41)

Le revendeur Martin Wurtz loue la maison au marchand de futaine Jean Georges Flechtner

1711 (ut sup. [26. oct.]), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 616-v
Martin Wurtz gremp
in gegensein Joh. Georg flechtner barchethändlers
entlehnt, seine behaußung biß auf den großen Keller allhier in der Kiefergass, einseit neben Steinern anderseit neben Bernhard Schlögel hinten auff ein gässlen stoßend – auf 6 jahr lang anfangend auf Weÿhn: 1711 – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund

Catherine Mey meurt en juillet 1720 en délaissant une fille. La défunte est propriétaire des deux maisons échues dans la succession de sa tante, celle à l’est est estimée à la somme de 900 livres. Elle a acquis avec son mari deux maisons ruelle du Bouc. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre au veuf est de 481 livres, celle de l’héritière de 3404 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 982 livres, le passif à 1 083 livres.

1720 (18. 9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 118) n° 1060
Inventarium und Beschreibung, aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿland die Viel Ehren und Tugendsahme Frau Catharina Wurtzin gebohrne Meÿin, des Ehrenvest und Wohl Vorgeachten, herrn Martin Wurtzen, gesaltzen Wahrhändlers und burgers allhier zu Straßburg geweßene Ehegattin, nunmehr seelige, Welche den 29.ten Julÿ dieses noch lauffenden 1720.sten Jahrs tödlichen Verblichen, nach solch ihrem seeligen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und Tugendsamen Frawen Mariæ Catharinæ Kammin gebohrner Wurtzin, des Ehren vnd Wohlgeachten Herrn Johann Jacob Kammen, des Metzgers und burgers allhier ehelicher haußfrau als der abgeleibten Frawen seel. mit Vorermeltem ihren hinterbliebenen H Wittiber ehelich erzielter Tochter und ab intestato Verlaßener einiger Erbin (…) So beschehen in fernerem beÿsein der Viel Ehren: und Tugendreichen Frawen Margarethæ Kammin, gebohrner Düringerin der Fraw Tochter geehrten Fraw Schwiger auff Montag den 18.ten Novembris Anno 1720.

In einer in der Statt Straßburg ane der Küeffergaß gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, Im obern Hauß öhren Vor d. Cammer A, In der Obern Stub, In des Knechts Cammer, In der Cammer C, In der Wohnstub, In derern Stub Cammer, In des officiers Stub, Im mittlern haußöhren, In der Undern Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane einem Metzger Banck (W.)
Eigenthumb ane häusern. (E.) Erstlichen I. behausung, hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäwen begriffen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, allhier in der Kieffergaß einseit neben Hn Friderich Schwingen dem Küffern, and. neben H. Joh: Hermann Schwerdten dem ältern handelsmann allhier gelegen, hinden auf die herrberg Zur Äxt stoßend (…)
Item eine behausung, hoffstatt und höfflein mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg auch in der Küeffergaß, eins. neben Bernhard Schlegel dem ältern Kübler, anders. neben H. Lorentz Steinen dem Soldner, hinden auff das gestanckh gäßlein, dahin es auch einen Außgang hat, stoßend gelegen, So freÿ, ledig und eigen und durch mehrgemelte hrn Werckmeistere æstimirt vor 900 lb. Darüber saget 1. teutscher pergament: Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhangend. C. Contr. Insigel verwahrt, datirt den 8. Febr. A° 1655. Ferner I. Copia vidimata einer Kauffverschrbg. vor hrn Jacobo Küglern Contractuum Notario auffgerichtet, de dato 28.ten Maÿ Anno 1658. Mehr i. alter teutscher Pergam: Kffbrff. de dato 28. Maÿ A° 1588. ohne Insigel, Und dann ein Pergam: Gant Kauffbrieff mit deß Statt gerichts Zu Straßburg anhangendem Insigel verwahrt, datirt den 28.ten Septembris 1639. alles mit altem N° 6 und Jetzigem N° 5. signirt
(T.) It. Zweÿ häuser neben einander allhier in Straßburg jenseit der Preusch oberhalb St. Niclaus Kirchen, in der Bocksgaß (…)
Ergäntzung des Herrn wittibers ohnverändert. Guths. nach besag Inventarÿ über eingangs ernandter beeder Ehepersonen einand. in den Ehestand Zugehörd Nahrung durch weÿland Herrn Andream Schmidt Notarium in Anno 1692. auffgerichtet
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Dienstags den 31. Julÿ anno 1691. Andreas Schmidt Not. publ.
Copia der Verstorbenen Frauen seeligen auffgerichteten Codicilli – 1720 (…) auff Mittwoch den 22. tag des Monats Maÿ abends zwischen Sechs; und Sieben Uhren, die Ehren: und tugendsame Frau Catharina Wurtzin gebohrne Meÿin, des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Martin Wurtzen des Fastenspeis händlers und burgers allhier eheliche haußfrau (…) zu sich in Ihre eigenthümliche in der Kieffergaß liegende Behausung und dero obern hindern Stüblein mit den fenstern in den hoff außsehend, in specie requirirten, beruffen und kommen lassen, und uns Zwar Zimblich Krancken Leibs, auf einem bette liegend (…) Vor das andere, will Sie die Frau Codicillierin Zu widervergeltung derjenigen eheliche lieben, trew und freundschafft, welche der hauswürth herr Martin Wurtz wehrender Ihrer Ehe Ihro jeweilen erzeigte, auch noch ferner in das künfftige ohngewendet Zuerweißen verhoffet, demselben hiemit so lang Er in dem Wittibstand Verbleiben Wird, dann Wann Er sich wider verheurathen solte, solle solcher Wÿdemb gäntzlichen gefallen, mithin tod und absein, nicht nur allein Ihro Wohn: sondern auch die gegen hinüber einseit neben Meister Bernhard Schlögel dem Kügler, anderseit neben Herrn Lorentz Steinern dem Soldner in der Kieffergaß gelegene behaußung, welche beede häußer Ihro der Frawen Codicillierin ohnverändert, maßen Sie solche Von Ihr seithen hero ererbet, Wie nicht weniger Ihren dritten theil an der in dem Bocksgäßlein gelegenen behaußung (…) Dahingegen aber drittens, soll dero haußwürth nicht nur allein obligirt und Verbunden sein, Ihre tochter und tochtermann, Meister Johann Jacob Kammen, den Metzger und Fraw Mariam Catharinam Kammin gebohrne Wurtzin seine haußfrau wehrender solchen genußes in dero Wohn behaußung ane der Küeffergaß gelegen und Zwar die jenige gemach, welche Sie biß dato auch bewohnt, sondern auch die heübühn und Stal im bocksgäßlein, so dann den Metzigbanck in der Kleinen Metzig gelegen, Warauff der tochtermann würcklichen Metzigt, Welche Zwar dero haußwürth gehörig, freÿ und ohne einigen heller Zinß respective bewohnen und genießen Zulaßen – Johann Lobstein
Copia der abgeleibten Frawen seeligen auffgerichtete Nach Disposition – 1720 (…) auff Donnerstag den 4. tag des Monats Julÿ (…) zu sich in Ihre eigenthümlichen in der Kieffergaß liegenden und hernach benambßter Frawen Disponentin eigenthümlich zuständigen behausung deren obern hindern Stüblein mit den fenstern in den hoff außsehend,
Abzug in dieses Inventarium gehörig, Des Herrn Wittibers ohnverändert Guth, Sa. haußraths 1, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthumb ane einem Metzgerbanck 321, Sa. Ergäntzung (260, abzuzuehen 103, verbleibt) 157, Summa summarum 481 lb
Der Fraw Erbin ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 122, Sa. Waß 30, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptguths 400, Sa. liegenen guths 15, Sa. Eigenthumbs ane häusern 1900, Sa. Ergäntzung (3809, bezalt 2882, verbleibt) 926, Summa summarum 3404 lb
Das gemein, verändert und theilbahr guth, Sa. haußraths 108, Sa. Wahren 177, Sa. grempenwerck 55, Sa. Wein, brandenwein, Eßig und Vaßen 707, Sa. Silber geschmeids 44, Sa. Goldener Ring 11, Sa. baarschafft 130, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Eigenthums ane häußern 172, Sa. Schulden 75, Summa summarum 1982 lb – Schulden 1083, Nach deren Abzug 899 lb
Gantze Verlaßenschafft, Conclusio finalis Inventarÿ 4784 lb

Catherine Mey meurt le 29 juillet 1720. Le pasteur cite ses parents mais ne donne pas son âge.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1712-1741, f° 67, n° 418)
Anno 1720, den 29 Julii fruhe morgens eine halb viertel stund vor 4 Uhr, ist gestorben fr Catharina wurtzin gebohrne Meyin, Martin Wurtz deß gesaltzenen wahr händlers und burgers alher gewesene Ehefr. dero Eltern waren Weÿl. Viox Meÿ gewesener fischer in Ober Rathsamhausen und seine Ehefr. Eva gebohrne Hamänin, ist den 31. ejusd. auf dem Gotes Acker St. Galli begraben, und von mir M Philipp Strohl ein Leich Sermon gehalt. word. [unterzeichnet] Martin Wurrtz als Wüttwer, hanß Jacob Kamm Alß dochder Man (i 70)

Marie Catherine Wurtz s’accorde avec son père sur les droits de jouissance dans les deux maisons rue des Tonneliers. La maison à l’est revient à la seule fille, le père ayant droit de jouir de la cave

1721, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 118) Joint au n° 1060 du 18. 9.br
Lüffer und Vergleichung der eigenthümlichen häußer welche der Frau Erbin vor ohnverändert gebührig
Betreffend erstl. die behausung, hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen begriffen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, allhier in der Kieffergaß einseit neben Hn Friderich Schwingen dem Küffern, and. neben H. Joh: Hermann Schwerdten dem ältern handelsmann allhier gelegen, hinden auf die herrberg Zur Äxt stoßend, welche freÿ ledig und eigen um in den Inventario fol: 78. fac. 2.da angeschlagen pro 1000 lb
So ist dießelbige auff die art und weiße, wie der H. Vatter, auch die Fraw Tochter und H. Tochtermann selbige biß dahero bewohnet und beseßen haben Ihnen noch ferner alßo Zubesitzen und Zugenießen, Von Faßnacht 1721. biß 1722
Vermög sonderbahren betroffenen Vergleichs Vom 30. Januarÿ 1721. überlaßen Worden
Was aber die andere behausung in der Küeffergaß gelegen berührt, deren im Inventario fol: 79. fac: 1.a et 2.da gedacht, welche eins. neben Bernhard Schlegel+ dem ältern Küblern, anders. neben H. Lorentz Steinen dem Einspänniger gelegen, hinden auff das gestanckh gäßlein, dahin es auch einen außgang hat, stoßend, so freÿ ledig und eigen um in den Inventario fol: 79. fac. 2.da æstimirt pro 900. lb, ist selbige, der Fraw Tochter, von dem H Vatter würcklichen abgetretten und außerhalb des Kellers, als welcher dem H Wittiber nach besag vorangezogenen Vergleichs, Zu seinem Wein und Grempenwahr wehren, expressé vorbehalten, damit sonsten nach beliebigem gefallen Zu schalten und Zu walten extradirt Worden. Die über beede vorgemelte häuser besagende in dem Mütterlichen Inventario, theils folio 78. fac: 2.da theils fol: 79. fac: j.ma und fol: 80 fac: j.ma & 2.da Sub Nis 4 et 5 registrirte Documenta seind herrn Johann Jacob Kammen dem Tochtermann den 31. Januarÿ 1721. sammenthafft Zuhanden gelieffert und zugestellet worden [unterzeichnet] hanß Jacob Kamm

Fils du boucher Jean Philippe Kamm, Jean Jacques Kamm épouse en 1710 Marie Catherine Wurtz : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehren und vorgeachten Herrn Johann Jacob Kammen dem leedigen metzgern, des Wohl Ehrenvest, Fürsichtig, Großachtbahrn und Wohlweißen Herrn Johann Philipp Kammen, des Metzgers und Viehhändlers, auch EE großen Raths allhier Zu Straßburg alten wohlverdienten beÿsitzers eheleiblichem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem, So dann der viel Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Catharinæ Wurtzin des Ehren und vorgeachten herrn Martin Wurtzen des Fastenspeishändlers und burgers allhier ehelich erzielter Jungfrauen tochter, als der Jungfrauen Hochzeiterin am andern Theil, sich begeben und Zugetragen, daß hierauff Montags den 4. Augusti Anno 1710 in erstgementer Jungfrauen Hochzeiterin Eltern behaußung ane der Kieffergaß gelegen. – Expedirt, Johann Daniel Lang Notarius publicus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 125, n° 713)
Anno 1710. den 10. Sept. sind nach geschehener ordentlicher Ausruffung in der Kirch St. Thomas ehel. eingesegnet word. Johann Jacob Kamm, der ledige Metzger, H. Joh: Philipp Kamm deß burgers und Metzgers auch E.E. Großen Raths alten beÿsitzers Ehel. Sohn und Jungfr. Maria Catharina, H Martin Wurtz deß burgers und fasten Speishändlers Ehel. tochter [unterzeichnet] hanßah Kamm Alß hochzeider, Maria Catharina Wurtzin als Hochzeuterin (i 127)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse rue des Tonneliers. Ceux du mari s’élèvent à 202 livres, ceux de la femme à 682 livres.
1710 (17.9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 89) n° 800
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung u. Güethere, so der Ehren und Vorgeachten Hr Johann Jacob Kamm, Metzg. und die Ehren undt Tugendsahme Fr. Maria Catharina Kammin, gebohrne Wurtzin, beede Eheleuthe u. burger. allhier Zu Straßb. einand. in die Ehe Zugebracht, Welche d. ursach. allweilen in ihr beed. vor ehrenberühtt. Ehepersohnen mit einander auffgerichteten Eheberedung außdrucklich enhalten, daß einem jed. d.selb. seinen in die Ehe bringene Nahrung ein unveränd. freÿ v. vorbehalt. Gut sein, ach was davon durante matrimonio v.ändert wird (…) Actum in Straßb. in fernerem beÿsein d. Viel Ehren u. tugendreich. Fr. Margaretha Kammin geb. Dürningerin des Manns werthgeliebt. Fr. Mutter, auff Montag d. 17.ten Novembris Anno 1710.
In einer allhier Zu Straßb. ane d. Kieffergaß gelegenen und d. Fr. geliebt. Eltern eigenthümlich gehörig. behausung befunden worden wie volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 10, Sa. baarschafft 8, Summa summarum 111 lb – Schulden 7, Nach solchem abzug 103 – deme beizufügen die ae beeder Eheleuth gehaltenem hochzeitlich Ehrenfest verhert bekommenen haussteuren 98 lb, Des Mans in die Ehe gebrachtes guth 202 lb
Der Frauen zugebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 289, Sa. der Schaaff 6, Sa. Silbers 47, Sa. Goldener Ring 27, Sa. baarschafft 262, Summa summarum 632 lb – Warzu Zuechnen der Ihro gehörige dritte theil ane denen haussteuren 49, der Frauen eigenthümlich in die Ehe gebrachtes Guth. 682 lb

Martin Wurtz meurt en 1724 dans la maison de sa fille. L’actif de la succession s’élève à 1781 livres, le passif à 90 livres.
1724 (3.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 14) n° 255
Inventarium und Beschreibung, aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿland der Ehren und Wohl Vorgeachte Herr Martin Wurtz der geweßene Fastenspeishändler und burger allhier nunmehr seel. nach seinem Mittwochs den 1. Martÿ dießes Laufenden 1724.sten Jahrs, aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und Tugendsamen Frawen Mariæ Catharinæ Kammin geb. Wurtzin, mit beÿstand des Ehren vnd Wohlgeachten Herrn Johann Jacob Kammen, des Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg Ihres Ehevogts, des Abgeleibten seel. mit auch Weÿl. Frauen Catharina Wurtzin geb. Meÿin, seiner gewesenen hausfrauen ebenmäßig seel. ehelich erzeugter Frauen Tochter und ab intestato Verlaßener einiger Erbin (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 3.ten Aprilis Anno 1724.

In einer allhier zu Straßburg ane der Kieffergaß gelegenen und der Fraun Erbin eigenthümlich zuständigen Behausung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Obern Cammer, In d. Soldaten Cammern
Eigenthumb ane einem Metzger Banck (…)
Eigenthumb ane häusern. It. Zween drittetheil Von und ane 2. häuser neben einander allhier in Straßburg jenseit der Preusch oberhalb St. Niclaus Kirchen, in der Bocksgaß (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig, Sa. haußraths 84, Sa. Wein, brandenwein und Lährer Vaß 200, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 45, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 656, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 333, Sa. Eigenthums ane häußern 115, Sa. Eigenthums ane einem Metzigbanck 321, Sa. Schulden 18, Summa summarum 1781 lb – Schulden 90, Restirende gantze Verlaßenschafft, Conclusio finalis Inventarÿ 1690 lb
Ungewiß Zweiffelhaffte und Verlohrne Schulden in das Erbe Zugeltend 254 lb

Jean Jacques Kamm meurt en 1734 en délaissant trois fils. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre à la veuve est de 4 870 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 616 livres, le passif à 2 546 livres

1734 (5.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 39) n° 881
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren: und Wohl Vorgeachten Herr Johann Jacob Kamm, der geweßene Metzger und Burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Freÿtags den 19. Martÿ dießer Lauffenden 1734.sten Jahrs dieses Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Johann Jacob Kamm, Ledigen Metzgers, so Majorennis und ohnbevögtigt, So dann des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Philipp Gecklers des Metzgers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Martins und Johann Daniels, der Kammen, alßo aller dreÿen des verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzielter Söhn und ab intestato Verlaßener rechtmäsiger Erben, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren: und tugendsame Frau Mariam Catharinam Kammin gebohrne Wurtzin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Daniel Bruders des handelsmanns und burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris (…) So Beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 5. Maÿ et seqq. Anno 1734.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Bocksgäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behausung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Auff dem Gang, In der Magd Cammer, Im Mittlern haußöhren, In der Cammer D, In der Obern nebens Stub, In den Obern Stub Cammer, In den Obern Vordern Stub, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In des Knechts Cammer, Im Keller, Im Vordern Kelller, Im hoff
Eigenthumb ane Metzgerbäncken (…)
Eigenthumb ane häußern. (W.) Erstl. eine behausung, hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Kieffergaß einseit neben Johann Friderich Schwingen dem Kieffer, and. neben H. Joh: Hermann Schwerdten dem ältern handelsmann, hinden auf die herrberg Zur Äxt stoßend (…)
(W.) Item eine Behausung, hoffstatt und höfflein mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg auch in der Kieffergaß, einseit neben Bernhard Schlegel dem ältern Kübler, anderseit neben Hn. Joh: Jacob Francken dem handelsmann, hinden auff das so genante gestanckh gäßlein, dahien Sie auch einen Außgang hat, stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und durch vorgedachte der Satt Straßburg geschworne Werckmeistere inhalt berührter Schrifftlicher Abschatzung vom 3. May Anno 1734. æstimirt vor 900 lb. Hierüber meldet ein Teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret, datirt den 8.ten Februarÿ Anno 1655. Dabeÿ ein alter teutsch. pergamenter Kauffverschreibung durch H. Jacob Küglern Contractuum Notarium gefertiget davon das Insiegel abgerißen datirt den 28.ten Maÿ Anno 1588. So dann ein pergamentener Ganth Kauffbrieff mit des Statt gerichts Zu Straßburg anhangendem Insigel corroborirt, datirt den 28.ten 7.bris 1639. alles mit alten N° 6 et 5. signirt und dabeÿ gelaßen
(W.) It. ein behaußung jenseit der Preusch oberhalb St. Niclaus Kirchen, in der Bocksgaß (…)
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Margaretha Kammin gebohrne Dürningerin weÿl. H Johann Philipp Kammen des ältern gewesenen Metzgers und E. E. großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers, auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr sel. hinterlaßene Frau Wittib des Verstorbenen seel. eheleibliche Mutter von gedachtem Ihrem in Gott seelig entschlaffenen haußwürth Zeit lebens zu genießen hat.
Ergäntzung der Wittib angegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ üebr eingangs gedachter beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1710. durch Weÿl. H Notm. Johann Reinhatd Langen nunmehr seel. consignirt aber durch H Not. Johann Daniel Langen expedit
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 204, Sa. Lährer vaß 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 90, Sa. Goldener Ring 10, Sa. baarschafft 37, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 900, Sa. Eigenthum ane häußern 3630, Sa. Eigenthumbs ane einem Metzig banck 531, Sa. Schuld 75, Summa summarum 5481 lb – Schulden 605, Nach deren Abzug 4870 lb
Der Erben unverändert und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 191, Sa. Viehes 119, Sa. heus, ohmat und Strohes 40, Sa. besserung im hoff 7, Sa. Lährer Vaß 2, Sa.Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. baarschafft 71, Sa. pfenningzinß hauptgüter 25, Sa. Eigenthumb ane einem Metzig banck 71, Sa. Schulden 1072, Summa summarum 1616 lb – Schulden 2546, In Compensatione 929 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4876 lb – Stamm Summ 3946 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in das Erbe zugeltend 12, so de Erben ohnverändert und theilbar 437 lb
Abschatzung dem 3. Meÿ 1734. Auff begehren Weiland deß achtbahren und bescheitenen H: Johann Jackob Kammen dëß geweßenen Mëtzgers seel. hinder Laßnen fraw wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem box gëßelin gelegen (…)
Der 2.te begrief ist auch alhie in der Statt Straßburg in der Kufer gaßen gelegen, ein seits Neben Herrman schwêndt (…)
Der 3.te begrieff ist auch alhie in der Statt Straßburg in der Kufer gaßen gelegen, ein seits Neben Bernhardt schlegell dem Kubler, anderseits Neben Beniamin Frantz barget gremmer hinden auff daß gäßlin Zur mehren Stoßend welche behausung Stuben, hauß Ehren worinen der herdt und waßerstein oben wiedrum Stuben 2 cammern auff dem botten der Lahten hauß Ehren stubell hofflin brunen gewölbter Keller hinden einen außgang auff dem fischmärck neben gebaulein worin wahren këmerlin und holtz Cämmerlin sampt aller gerechtig Keidt wie selbs durch der Statt Straßburg geschworne wërckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen Vor und Umb Ein Tausent und acht Hundert Guldenn
Der 4.te begrieff ist auch alhie in der Statt Straßburg bestehet in Zweÿ Metzger bëncken (…)
Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Montags den 4. Augusti Anno 1710


Catherine Wurtz veuve de Jean Jacques Kamm vend la maison au marchand de cuir Jean Daniel Baur l’aîné

1734 (2.8.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 285
Fr. Maria Catharina geb. Wurtzin weÿl. Johann Jacob Kamm des Metzgers wittib beÿständlich ihres Curatoris Johann Daniel Bruder der Lederhändler
in gegensein H. Johann Daniel Baur des ältern Lederhändlers
Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Kieffer gaß, einseit neben Johann Jacob Frantz dem handelsmann anderseit neben Bernhard Schlegel dem älten kübler hinten auff das sogenannte gestanckgäßlein stoßend und einen ausgang dahin habend – um 150 und 500 pfund capitalien verhafftet – als ein elterliches Erbguth – um 650 pfund ausmachende capitalien, geschehen um 750 pfund

Fils du pharmacien Chrétien Baur de Lahr, le marchand de cuir Jean Daniel Baur achète le droit de bourgeoisie en janvier 1704.
1704, 4° Livre de bourgeoisie p. 748
Joh: Daniel Baur, der Lädhändler V. Lohr durlach: Herrschafft weÿl. Christian Bauren gew. Apotheckers daselbst hinterl. sohn, empfangt d. burgerrecht gratis V/ wird beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur: d. 19. Januarÿ 1704.

Il épouse en 1707 Marie Félicité, fille du marchand épicier Jean Lux Bitsch
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 109-v, n° 620)
Anno 1707 den 16. Mertzen seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas eingesegnet word. H. Johann Daniel Bawer der ledige handelsmann weÿl. J Christian Bawren, gewesenen Apotheckers Zu Lahr hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Maria Felicitas weÿl. H. Joh: Lucas bitschen, deß geweßenen burgers und Specereÿ händlers alhier hinterlaßener Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Baur als hochzeider, Maria Felicitas Bitschin als hochzeiterin (i 112)

Marie Félicité Bitsch meurt à l’âge de 28 ans en 1715. L’inventaire de sa succession est seulement connu par le répertoire du notaire
1715, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 145
Inventarium über weÿland Frauen Mariæ Felicitas gebohrner Bitschin H. Johann Daniel Bauren des Lederhändlers haußfrauen seel. Verlassenschafft

Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1687-1733, f° 76 n° 4)
1715. Sambstag d. 16. febr. Morgens nach 8 uhren starb fr: Maria Felicitas gebohrne bittschin, herrn daniel bauren, des burgers und Lederhändlers allhier geweßene eheliche haußfrau, war geboren den 19. Aug. 1686. und also ihres alters 28. Jahr 5. mens. v. 22. Tag. Wurde Montag darauff zu St Helenæ begraben vnd Von Mir Martino Silberrad diac. Thom. daselbst auff dem Gottesacker die leichpredigt gehalten. dieses bezeugen [unterzeichnet] Johann Daniel Baur Als Wittwers (i 78)

Jean Daniel Baur l’aîné meurt en 1749 à l’âge de 80 ans. L’acte porte par erreur qu’il est veuf de Marie Salomé Spielmann (laquelle était la femme de son fils). Ses deux fils Jean Daniel et Jean Jacques sont témoins de l’acte de sépulture.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1741-1771, f° 58 n° 352)
Anno 1749. Mitwoch den 3. Sept. früh nach 6 uhr ist gestorben und Donnerst. den 4. ejusd. Zu St Helenæ begraben worden H Johann Daniel Bauer, sen. Lederhändler und burger alhier, seines Alters 80. Jahr (-) Monath weniger 3 tag, Seine Eltern waren weÿl. Hr. Christoph Bauer gewesenen Apothecker Zu Lahr und fr. Catharina gebohrne Saltzmännin, war verheurathet mit weÿl. fr. Maria Salome gebohrner (Sp)ielmännin, die Leichen Sermon hielte Zu St. Helenæ M. Johann Georg Schweighäuser Diac. Thom. [unterzeichnet] Johann Daniel Baur als Sohn, Johann Jacob Baur als Sohn (i 60)


Jean Daniel Baur vend la maison au marchand de futaine Auguste Krieg et à sa femme Marie Madeleine Witter

1736 (3.9.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 774
Johann Daniel Bauer der ältere Lederhändler
in gegensein H. Augustus Krieg des Barchethändlers und Mariæ Magdalenæ geb. Witterin
Eine Behausung, höfflein, Bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten an der Kieffergaß, einseit neben H. Johann Jacob Frantz dem handelsmann, anderseit neben weÿl. Bernhard Schlegel des ältern küblers erben, hinten auff das sogenannte gestanck: gäßlein hinder der zunfft stub zur Möhrin und einen ausgang dahin habend – um 500 pfund verhafftet, dem Verkäufer seith den 2. Augusti 1734 da er selbige erkaufft hat eigenthümlich zuständig – umb 1300 pfund

Auguste Krieg temine en 1723 son apprentissage de trois ans chez son père (barbier)
1725, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 4) Dienstags den 24. April 1725 – Augustus Krieg erscheint vnd bit seiner beÿ seinem H. Vatter vom 16. April 1720 biß dato 1723. ausgestandener Lehrjahr verschreibung. Erkand, willfahrt (dt. 1. lb 6 ß, 5 ß gcht)

Fille de l’orfèvre Jean Michel Witter, Marie Madeleine Witter épouse en 1726 le marchand de futaine Jean Giess : contrat de mariage, célébration
1726 (18. Dec.), Not. Marbach (Jean 34 Not 8) f° 60-v

Eheberedung – zwischen den Ehren und vorgeachte Herrn Johannes Gießen, dem Barchethändlern burgern und Wittwern allhier Zu Straßburg als dem Brautigamb ane einem,
So dann der viel Ehr: und tugendsamen Jungfer Maria Magdalena gebohrne Widderin, des Ehrengeachten und Kunsterfahren Herrn Johann Michael Widders deß Silberarbeiters, und auch burgers allhier Ehelichen tochter, als der Jungfer Hochzeiterin andern theils
So beschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 18. deß Monaths Decembris Anni 1726.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 48-v n° 188)
1727. Mittw. d. 12. febr. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. H. Joh: Gieß der barchethändler, wittwer v. b. alhier v. Jgfr. Maria Magdalena H Michael Widters b. v. silberarbeiters ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes Gieß alts hochzeiter, Maria Magdalena Wittnerin als hochzeiderin, benjamin frantz als stifvatter Johannes Jacobus Witter, Log. et Mat. P. P. ord. als Bruder (i 52)

Elle se remarie en 1731 avec Auguste Krieg, fils du chirurgien Auguste Krieg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Augusto Kriegen, dem leedigen nunmahligen barchet händlern, Weÿland des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Augusti Kriegen, geweßenen Chirurgi und burgers allhier nun seel. nachgelaßenem ehelichem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ehelichem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Mariæ Magdalenæ Gießin gebohrner Widderin, weÿland des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Gießen geweßenen Barchethändlers und burgers allhier, nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, als der Frau hochzeiterin ane dem andern theil (…) So Beschehen und Verhandelt seind dieße ding in der Löblichen Statt Straßburg Dienstag den 3. Junÿ im Jahr des Herren alß man nach unsers einigen Erlößers heÿlandts und Seeligmachers Jesu Christi Gnadenreiches Geburth und Menschwerdung Zahlte 1731. – Johann Daniel Lang Notarius publicus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 93-v n° 341)
1731. Mittw. d. 25. Julÿ sind nach 2. maliger proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word: H. Augustus Krieg, der Ledige Barchethändler v. b. alhier, weÿl. H. Augustus Kriegen, geweß. b. v. Chirurgi Nachgel. ehel. Sohn vnd fr. Maria Magdalena weÿl. H Joh: Gießen Geweß. b. v. Barchethändlers Nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Augustus Krieg als hoch Zeither, Maria Magdalena Gießin als Hochzeiterin (i 98)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Vieux-Marché-aux-Poissons près du poêle de la Mauresse. Ceux du mari s’élèvent à 378 livres, ceux de la femme à 542 livres.
1733 (24.3.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 43) n° 395
Inventarium über des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Augusti Kriegen, des barchethändlers und der Ehren und tugendgezierten Frauen Mariä Magdalenä Kriegin geb. Widderin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1733. – allweilen in ihr beeder mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to außdrucklichen Versehen, daß eines jeeden in die Ehe gebrachte Nahrung ein freÿ, eigen, ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben – So beschehen Zu Straßburg auff Dienstag den 24.ten Martÿ A° 1733.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem undern Fischmarckt ohnfern der Zunfftstuben Zur Möhrin gelegenen behaußung befunden worden, wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachte Mittel, Sa. Haußraths 32, Sa. Müntz Cabinets 100, Sa. Silber Geschmeids 19, Sa. goldener Ring 7, Sa. baarschafft 200, Summa summarum 359 lb – Wann nun hierzu gerechnet wird die ane hernach beschribenen Haußteuren dem selben gebürige helffte 19 lb, So belaufft sich sein des Eheherrn völliger in die Ehe gebrachtes Guth dem vero pretio nach auf 378 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 103, Sa. Silber geschmeids 18, Sa. goldener Ring 17, Sa. baarschafft 382, Summa summarum 523 lb – Darzu gelegt die ane hernach beschriebenen Haussteuren deroselben gebührige helffte anlangend 19 lb, Beträgt demnach Ihro der Ehefrauen gesambter in die Ehe gebrachte Nahrung dem vero pretio nach 542 lb

Auguste Krieg meurt en 1741 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 1 100 livres. La masse propre à la veuve est de 455 livres, celle des héritiers de 375 livres. L’actif de la communauté s’élève à  2085 livres et le passif à 2 418 livres. On remarque que Jean Daniel Baur qui a vendu la maison est cité sous le nom de Jean Daniel Braun.

1741 (16.7.br), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 74) n° 653
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehren und Großachtbaren H. Augusti Kriegen geweßten Barchet händlers und Burgers allhier nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1741. – nachdeme derselbe den (-) dießen lauffenden 1741. Jahrs Von dem lieben Gott aus dießer Welt seel. abgefordert worden, Zeitl. hinter sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren S. T. Herrn Johann Friderichs Von Gottesheim, Mit Obrigkeit Zu Geÿderthein und E. E. Kleinen Raths auch Löbl. Policeÿ Gerichts alten wohlmeritirten Assessoris und Vornehmen burgers allhier, als geschwornen Vogts Mariæ Magdalenæ, so in die Zehen Jahr, Philipp Jacobs, so in die Acht Jahr, und Johann Friderichs, so in die Sieben Jahr alt, der Kriegen, aller dreÿ des abgeleibten Herrn Kriegen mit der Vil Ehren und Viel Tugendreichen Frauen Maria Magdalena Kriegin gebohrner Witterin, deßelben geweßten Ehagattin und nunmahliger Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato verlaßener Erben, inventirt durch sie die hinterbliebene Frau Wittib mit beÿstand S. T. Herrn Johann Friderich Kürsteins, Silberarbeiter und Burgers allhier, deroselben H Schwagers und hierzu erbettenen Assistenten, ingleichem Margaretham Debusin Von hier gebürtig, die dienstmagd im hauß (…) So beschehen Zu Straßb. in fernerer Gegenwarth der Wohl Ehren u. Viel tugendgezierten Fr. Annæ Mariæ Kriegin gebohrner von Gottesheim Herrn Augusti Kriegen, geweßten berühmten Chirurg Wundtartzts und Burgers allhier seel. hinterbliebener Wittib des abgeleibten seeL ehel. Frau Mutter auff Sambstag den 16. Septembris Anno 1741.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kieffer Gaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörig und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 8) Ane Höltzen und Schreinwerck. Soldaten Cammer, Auff der Bühn, vor die Soldaten Cammer, In der Schwartz getüch Cammer, Auff dem 2. Stockwerck In der Vordern Stub, Im obern Hauß Ehren, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Keller, Im Gewölb
(f° 12) Eigenthumb ane eine Behausung (T.) Eine Behaußung höfflein, bronnen und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg an der Kieffer Gaß, einseith neben Hn Benjamin Frantzen, dem Barchet händlern, anders. neben Joh: Weber, dem Meßerschmidt, hinten auff herrn Düriningers, des leedigen handelßmanns Fabrick, auch Zum theil auff das so genandte gestanck Gäßel, hinter der Zunfftstub Zur Möhrin stoßend und einen außgang dahien habend, so freÿ ledig und eigen, maßen die darauff gestandene Capitalia wie à tergo hernach allegirten brieffs, deßgleich in regist. Cancell. Contract de A° 1736. fol. 774.a et A° 1734. fol. 39.a Zusehen, baar bezahlt und angelöst worden, welches hauß durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad conceptum gelieferter Abschatzung Vom 11. dieses Monats Septembris 1741. Angeschlagen pro 2200 gulden oder 1100 lb. Darüber besagt i. teutscher Pergament Kauffbr. in allh. C: C: stub gefertiget u. m. deroselben Anhang; Insiegel Verwahret, Weißend, wie der Verstorbene H Krieg und deßen nunmahlige Fr. Wittib solche behaußung H. Joh: Daniel Braunen dem ältern lederhändlern und burgern allhier aberkaufft haben datirt d. 3. 7.bris 1736.
(f° 18) Ergäntzung der Fr: wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder geweßter Ehepersohnen einander in die Ehe Zugebrachte Nahrung, durch mich Notarium d. 24. Martÿ Anno 1733. auffgerichtet
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, vid. Ext. Prot. Sub N° (-), Copia Codicill Reciproci
Der Frau Wittib eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 25, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring, 7, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzung (415, Abgang 1, verbleibt) 413, Summa summarum 530 b – Schuld 75, Nach deren Abzug 455 lb
Diesemnach wird auch der Erben ohnveränderten Vätterliches Guth beschrieben, Sa. haußraths 23, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring 1, Sa. Schuld 75, der Erben ohnveränderten guths (349, abgang 2, Nach deren Abzug) 347, Summa summarum 450 lb – Schulden 75 lb, Compensando 375 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 31, Sa. Gewerbswaaren 933, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Rings 2, Sa. baarschafft 13, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1100 lb, Summa summarum 2085 lb – Schulden 2418 lb, Theilbares passiv onus 333 lb
Stall Summ 498 lb
Wÿdembs Verfangenschaft, So eingangs gedachte Frau Anna Maria Kriegin gebohrne von Gottesheim weÿl. H Augusti Kriegen des ältern geweßenen berühmmten Chirurgi und Wund artzt allhier seel. hinterbliebene Wittibn des letst Verstorbenen Jüngern H Kriegen seel. eheleibl. Fr. Mutter Zeit lebens Zu genießen
Copia der Eheberedung (…) So Beschehen und Verhandelt seind dieße ding in der Löblichen Statt Straßburg Dienstag den 3. Junÿ 1731. – Johann Daniel Lang Notarius publicus
Copia beeder geweßter Ehepersohnen mit einander auffgerichteten Codicilli Reciproci. 1739. (…) auff Montag den 10. Augusti, persönlich kommen und erschienen der Wohl Ehren und wohl achtbare Herr Augustus Krieg, barchethändler auch mit und beneben Ihme die Viel Ehr und tugendgezierte Frau Maria Magdalena Kriegin gebohrne Witterin bede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, De Herr Krieg Zwar etwas Krancken und ohnpäßlichen Leibes, auff einem bette liegend (…) Johann Daniel Lang Notarius publicus
Abschatzung dem 11. Sept : 1741. Auff begëren weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H Augustuß Krieg deß geweßenen handelßmann seel. hindter Laßenen frau wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Kufer gaßen gelegen ein seitß Neben H Frantz Beniamin dem Parchethändler, anderseitß Neben Johannes wëber dem mëßerschmidt hindten auff H Turingerß fabrick stosßent, welch behausung undten einen kleinen Lahten mit diellen verschlagen hinden daran ein gewölbell Zu wahren ein schmalleß hauß Ehren daß höffell undt bronen einen auß gang auff dem fischmärck, gewölbter Keller oben dar über, Zweÿ Stock über ein andter ein Stuben hauß Ehren darinnen der herdt worüber daß tach mit Zweÿ Kleinen binen, in der undtern die soldaten Kammer, ein alter tach stull sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne werck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß Nach angeschlagen wirdt vor und Umb Zweÿ Tausendt und Zweÿ hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 000 florins
1742, Livres de la Taille (VII 1179) f° 119-v
Spiegel N. 8491 – Weÿl. Augusti Kriegen gewesenen Barchet händler und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H Not. Lang
Concl. fin. Inv. ist Fol. 115 – 495. 6. 9 ½, die machen 1000 fl. Verstallte nur 900 fl. Zu wenig 100 fl.
Nachtrag auff acht Jahr in duplo à 6 ß – 2 lb 8 ß
Und auff Sechs Jahr in simplo à 3 ß – 18 ß
Extat das Stallgelt pro 1742 – 2 lb 14 ß
Gebott 3 ß
Abhandlung – 15 lb 6 ß – Summa 6 lb 18 ß 6 s
auf bitten haben die Herren dreÿ nachgelaßen 18 ß – Restirt 6 lb 6 ß
dt. 9. Aprilis 1742.

Les marchands de futaine s’adressent aux Quinze pour que la veuve d’Auguste Krieg ne fasse pas en même temps commerce de futaine et de plumes.
1747, Protocole des Quinze (2 R 157, (registre endommagé)
(p. 432) Sambstags d. 2. Septembris – Augustus Kriegen wittib Ca. Barchet Krähmer
Faust nôe derer hießigen Barchet Krähmer C. weÿl. Augustus Kriegen wittib, weilen citati MGhh bescheid vom 17. Julÿ Jüngst entgegen den Barchetkram, Federhandel Zugleich continuirt, als bitt unterth: Ihro 8. tag sub pœna amissionis beneficÿ optionis anzusehen einen oder den anderen Zu erwahlen, ref. exp: Roemer Ca. erstgedachte Barchet Krähmer und E. E. Zunfft Zum Spiegel Hn Zunfftmeister, prod. unterth. Memor: und bitten, Faust ohne præjuditz vorherigen begehren bitt cop. et T. O. Rœmer laßts Zu, und wegen dem Zunfftmeister Zum Spiegel berufft sich auff den botten /:Ille des citati Ehefrau angelegt:/ Erk. pt° des ertern begehren in suspenso Zu laßen pt° des andern cop: und T. O. Zugelaßen und solle dem Zunfftmeister E. E. Zunfft Zum Spiegel beÿ straff gebotten werden.

(p. 605) Sambstags d. 9. Decembris – Barchet Krähmer Ca Augustus Kriegen wittib
Faust nôe derer allhiesigen Barchet Krähmer Ca. weÿl. Augustus Kriegen wittib, Auff gghh. Memoriale prod. Exceptiones, Rœmer bitt cop. et depp.on Faust laßt cop. Zu und bitt auch umb depp.on Erkandt cop. et depp.on Obere Kauffhauß Hn.

Marie Madeleine Witter meurt en 1763 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 540 livres, le passif à 428 livres. Le notaire expose la maison aux enchères. La succession se rend propriétaire de sa propre maison.

1763 (22.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 721) n° 472
Inventarium über Weÿland der Viel Ehr: und tugendreichen frauen Mariä Magdalenä Kriegin geb. Witterin, längst weÿl. H. Augusti Krieg des geweßenen barchethändlers und burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener fr. Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1763. – als dieselbe Montags den 16. Maÿ dießes lauffenden 1763.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 22. Junÿ Anno 1763.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt, 1. frau Mariam Magdalenam Ottin gebohrne Kriegin, Herrn David Ott Rothgerbers und Lederbereiters auch Burgers allhier Zu Straßburg frau Eheliebstin, so unter assistentz deßelben dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, in den Ersten dritten Stammtheil. 2. Herrn Philipp Jacob Krieg den leedigen handelßmann so sich dermahlen in Berlin in Condition aufhält in deßen Nahmen S. T. herr Joachim Friderich Kirstenstein, Vornehmer Silberarbeiter und Es En Großen Raths dermahliger wohlverdienten beÿsitzer und burger allhier, als sein geehrter Hr Oncle, und ehemaliger geschworner Hr Vogt beÿ der Invantation Zugegen war, in den Zweÿten dritten Stammtheil, So dann 3. herrn Joh: Friderich Krieg, den ebenmäßigen Seiden Knöpffmacher und nunmahligen Barchethändler und burger allhier so sich in Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden, in den dritte und& Letzten Stammtheil, Alßo alle dreÿ der Verstorbenenn Frauen seel. mit Ihren Verstorbenen Ehemann seel. ehelich Erzeugte und nach todt Verlaßener beeder Hh. Söhne und Eine Frau tochter, als Zu dreÿen gleichlingen portionen und Stammtheilern Verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kieffergaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane eine Häußeren. Erstl. Eine Behaußung, Höffl. Bronnen u. hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg an der Kieffer Gaß, einseith neben Hn Philipp Jacob Dürr dem Caffée sieder u. burgern allhier, 2. seith neben Joh: Jacob Weber, dem Meßerschmidt, hinten auff Herrn Johann Michael Greiner den Kieffer Weinh. und Burger allhier Zum theil auff das so genandte Gestanck Gäßlein, hinter der Zunfftstub Zur Möhrin, stoßend und einen Außgang dahien habend, so freÿ ledig und eigen, und isch solche durch (die Werckmeistere) l. Abschatzungs Zeduls Vom 1. Julii A° 1763. æstimirt pro 1200 fl. oder 600 lb. Darüber besagt ein teutsch. Perg: Kffbr. in allh. C: C: Stub gef: u. m. deros. Anh; Ins. Verw: & Weißend, Wie der Verstorbene Hr Krieg und deßen nun auch Abgeleibten Fr. W. solche behaußung Herrn Joh: Daniel Braunen dem Ältern Lederh. u. b. allh. aberkaufft haben dat. d. 3. 7.bris 1736.
Item eine Kleine Behaußung u. hoffstatt im Zwinger Zwischen denen beiden Metzger und Spithal Thoren (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 68, Sa. Wahren zum Barchethandel gehörig 640, Sa. Wein und Lehrer faß 6, Sa. Silbers 3, Sa. goldenen Rings 1, Sa. pfenningzinß und deßen hauptguths 204, Sa. Eigenthums ane häußern 615 lb, Summa summarum 1540 lb – Schulden 428 lb, Nach deren Abzug 1111 lb
Stall Summ 1318 lb
– Auf Ansuchen eingangs gedachter Weÿland frauen Mariä Magdalenä Kriegin geb. Witterin, seel. nachgel. Kinder und deren respê H Mandatarÿ Wurde die Ihnen Vor Mütterlicher Erbschafft gehörige ane der Kieffer Gaß gelegene Behaußung einseith neben Hn Philipp Jacob Dürr dem Caffée sieder, 2. seith neben H. Joh: Jacob Weber, dem Meßerschmid, hinten auf Hn Johann Michael Greiner den Weinhändler Zum theil und Zum theil auf das so genandte Gestanck Gäßlein, hinter E. E. Zfft Zur Möhrin, woselbst hin solche Behaußung auch einen Außgang hat stoßend, sambt allen deren Recht und Gerechtigkeiten, Vor freÿ leedig eigen, weßwegen Kriegische Erben die wehrschaft Versproch. nach deme solche Vorher durch das wochenblättel und den geschworne Außruffer Kund gemacht worden (…) einer freÿwilligen Versteigerung unter Nachgesetzten Conditionen außgesetzt. 1. Solle solche behausung Vor freÿ leedig eigen außgeruffen werden pro 3500 fl. (…)
außgeruffen pro 3500 fl. Worauff dann Hr. Bergmann gebotten 3510 fl. Welcher dann declarirt, daß Er solches Gebott Vor und im Nahmen gesambte Erbschafft gethan – Straßburg d. 19. 7.bris 1763 [unterzeichnet] Christian Ehrenfried Bergmann

Les héritiers passent une vente provisoire devant notaire. Le courtier Jean Daniel Bex achète la maison moyennant 1 950 livres

1763 (19. Xbr), Not. Langheinrich (6 E 41, 743) n° 193
weÿl. fraun Maria Magdalena Kriegin geb. Witterin die verwittibte barchethändlerin seel. Verlaßenschafft dreÿen Kinder und erben ane einem
So dann H. Joh: Daniel Bex der Statt Straßburg geschwornen Courtier andern theils
dero Mütterl. an der Kieffergaß gelegene behaußung, einseit neben H. Dürr dem Caffetier 2.s neben H Weber dem Meßerschmidt hinten auf das gäßel hinter der Mörin Zunfft Stub stoßend – um 2900 gulden

Les enfants et héritiers Krieg vendent la maison au cordonnier Jean Jacques Scær et à sa femme Catherine Barbe Michel

1764 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 1
H. Philipp Jacob Krieg der handelsmann und deßen bruder H. Johann Philipp Krieg der barchethändler, mehr deren schwester Fr. Maria Margaretha geb. Kriegin H. Johann David Ott des rothgerbers ehefrau
in gegensein Johann Jacob Scaer des schuhmachers und Catharinæ Barbaræ geb. Michelin [unterzeichnet] scärr
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kieffergaß einseit neben Johann Philipp Dürr dem caffesieder, anderseit neben Jacob Weber dem meßerschmitt, hinten auff das sogenannte getranckgäßel hinter der zunfft zur Möhrin und einen außgang dahin habend – als ein elterliches erbguth

Fils du prévôt d’Abtweiler près de Kreuznach en juridiction de Stein-Kallenfels, Jean Jacques Scær épouse en 1756 Marie Salomé Carl, fille du cordonnier Jean Jacques Carl : contrat de mariage, célébration
1756 (22.9.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1289) f° 249
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Hr Johann Jacob Scär ledigen schuhmacher von Abtweiler freÿherrlichen Stein Kalenfelßischer Herrschafft gebürtig, H Christian Scär des Vormahligen Schultheißen zu gedachtem Abtweiler mit weÿland frauen Anna Maria gebohrner Götzmännin ehelich erziehltem Sohn, welcher seines Vatters consens zu haben hiebeÿ versicherte, alß dem Hochzeiter beÿständlich S° T° H Johann Christoph Görmann Hochadelichen Schaffners und vornehmen Burgers allhier ane einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Maria Salome Carlinn weÿland H Johann Jacob Carls geweßenen schuhmachers und burgers allhier mit frauen Maria Salome gebohrner Dannenberherin seiner hinterbliebenen wittib dermahlen H Johann Düringers auch schuhmachers und burgers allhier Ehefrauen erzielhter tochter, alß der Jungfr. Hochzeiterin mit assistentz H Johann Melchior Haaß des Zimmermeisters und burgera dahier ihres geschwornen und noch ohnentledigten Vogts ane dem anden theil
Straßburg den 22. Septembris Anno 1756 [unterzeichnet] Jacob Scär Als Hoch Zeitter, Maria Salome Carlin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 154, n° 19)
1759. Mittwoch den 35. April wurden nach zweÿmahliger Außruffung, in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu S. Nicolai Ehelich eingesegnet Johann Jacob Scär Schuhmacher, burger alhier, H. Christian Scär Schultheiß in Äbtweiler Steincalenfelßischer Herrschafft Ehelicher Sohn, v. Jgf. Maria Salome Carlin, weÿl. Johann Jacob Carls gew. Schumachers v. burgers allh. hinterlaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] Joh: Jacob Scärr Als hochzeiter, Maria Salome Carlin als hochzeit (i 156)

Marie Salomé Carl meurt en 1763 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison de sa mère à l’angle de la rue du Maroquin et de la place aux Cochons de lait. La masse propre aux héritiers s’élève à 61 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 88 livres, le passif de 198 livres.
1763 (13.4.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1283) n° 387
Inventarium über Weÿl. Frn Mariæ Salome Scärin gebohrener Carlin, Hn Johann Jacob Scär burgers und Schuhmachers alhier Zu Straßburg geweßener Ehelich hausfrauen seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1763. – nach ihrem am 18.ten Novembris jüngsthien genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H Leonhard Haaß, Zimmermanns und burgers alhier als geschwornen Vogts Mariæ Susannä, Mariæ Elisabethæ und Johannis Jacobi, dießer dreÿen Scären, so die Verstorbene selig mit nachgemelten ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelichen erziehlt und ab intestato Zu dreÿen gleichen portionen und antheileren Zu Kinder und rechtmäsigen Erben verlaßen (…) So beschehen alhier Zu Straßburg den 13. Aprilis 1763.
In einer alhier Zu Straßburg ane der genanten S Urbans gaß am eck des Ferchels marckts der großen Metzig hinüber gelegenen der Carlischen Wittib und Erben eigenthümlich zuständiger behaußung folgender maßen befunden worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 35, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Goldene Ring 10 ß, Sa. activ Schuld 25, Summa summarum 61 lb
Dießmnach Würd auch die übrige Verlaßenschafft unter einem titul als theilbahr beschrieben, Sa. haußraths 18, Sa. Werckzeug und leder 15, Sa. Silber 3, Sa. activ Schulden 50, Summa summarum 88 lb – Schulden 198 lb, Compensando 110 lb
Conclusio finalis 48 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 25. Septembris 1756, Johann Jacob Heß Notarius juratus

Jean Jacques Scær se remarie en 1763 avec Catherine Michel, fille du serrurier Jean Georges Michel et de sa femme Marie Catherine Immendœrffer
1763, Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1290) répert. 6 E 41, 1267-2 n° 339
Eheberedung – Johann Jacob Scär Schuemacher
Catharina Barbara Michelin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 3-v, n° 6)
1763 den 3. des Augstmonats wurden nach gewöhnlichen Aufbieten in der Kirche Zu St Nicolai ehelich getraut Johann Jacob Scär Schuhmacher, burger u. wittwer alhier und Jungfr. Catharina Michelin Johann Georg Michels, des Schloßers u. burgers allhier mit Maria Katharina Immendörferin seiner Ehefrauen erzeugte tochter, [unterzeichnet] Joh: Jacob Scärr Als hochzeitter, Catharina Barbara Michelin als Hochzeiterin (i 6) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 430) 24 et 31 juillet 1763 (i 435)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 100 livres, ceux de la femme à 166 livres.
1767 (10.6.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1285) n° 441
Inventarium über Herrn Johann Jacob Scär Schumacher und Frauen Catharinæ Barbaræ geb. Michelin, beeder Eheleuthen und Burgeren alhier in die Ehe gebrachter Nahrungen auffgerichtet Anno 1767. – und kraft deren mit einander auffgerichteter Eheberedung ihnen und ihren Erben, als ein ohnverändert und Vorbehalten Guth, mithin die Ergäntzung derselben expressé reservirt, conditionirt und bedungen (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beÿseÿn H Georg Michel, Schloßer u. b. alh. der Ehefr. leibl. Bruder und erbettenen beÿsandts den 10.ten Junÿ 1767.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Vermögen, Sa. haußraths 95, Sa. Silbers 4, Summa summarum 100 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung consignirt und beschrieben Sa. haußraths 50, Sa. Silbers 9, Sa. Guldenen Rings 6, Sa. baarschafft 97, Summa summarum 166 lb.

Jean Jacques Scær loue pendant les foires une boutique à Jean Gaspard Werdmüller de Zurich.

1780 (23.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1075) n° 33,
Lehnung – H. Johann Caspar Werdmüller von Zürich ane Einem so dann
H. Johann Jacob Scär schuhmacher meister zu Straßburg am anderen theil
1. überlaßt H. Scaer auf 9 nacheinander folgenden jahren nemlich von weÿnacht meeß dieses laufenden Jahrs angerechnet bis anno 1789 inclusive der Johani Meeß also zusammen auf 18 hiesige meesen, in seiner eigenthümlich in der Kieffer gaß zu Straßburg gelegenen behausung einseit neben dem Caffé hauß zu den dreÿzehen Cantonen genannt und anderseit neben H. Johann Jacob Weber dem meserschmid, den gantzen laaden ebenes fußes, nebst dem daran stosenden Comptoir und auser dem selben in dem höfflein befindlichen Plätzlein leere Kisten dahin zu stellen, welches Er mit einem behörigen dach auf seinen Cösten bedecken wird
(bedingungen) 2. soll H. Scär den Laaden mit nöthiger gestellen tisch und stühlen versehen wie auch obigen H. Werdmüller in beÿden Meesen den nöthigen Kertzen und liechter anschaffen und in der weÿnacht meß das Comptoir von seinem holtz einheitzen laßen – um 125 livres de france für jede meeß

Les Quinze remettent à Jean Jacques Scær et à sa femme Catherine Wilhelm [sic] une attestation par laquelle ils sont exemptés de taxe lors de la vente d’une maison dans l’ouvrage à corne de Kehl
1781, Protocole des Quinze (2 R 191)
Jacob Scär, Catharina gebohrne Wilhelm freÿzug mit Kehl
(p. 279) Sambstags den 30.sten Junii 1781.
Idem [Osterrieth] nomine Jacob Scär, des burgers und schuhmachers und dessen ehefrauen Catharina gebohrner Wilhelm producirt unterthäniges memoriale juncto petito Attestati den freÿzug mit Kehl betreffend. Erkandt, wird mit gebettenen attestato willfahrt in folgenden Terminis
Wir die geheimr Räthe der Stadt Straßburg die Fünff Zehen genant urkunden und bekennen hiemit, wie daß Johann Jacob Scär, der hiesige burger und schuhmacher undt dessen ehefrau Catharina gebohrne Wilhelm uns per memoriale geziemend vortragen laßen daß sie ein hauß nebst garten in dem Hornwerck zu Kehl theils Erblich theils Käuflich erhalten, welches sie dermalen Zu verkaufen und den Erlöß davon zu beziehen gedencken, solcher wolle ihnen aber ohne abzug nicht gefolget werden, es wäre dann daß sie bescheinigen würden, daß die Margraf Baadische ländt ins besonders das hornwercl Kehl mit hiesiger Stadt freÿzügig seÿe, dahero sie Ins umb unser Attestatum in unterthänigkeit gebetten, da wir um auf die von dem hochfürstlich Margraf Badischen Amt Zu Kehl unterem 10.ten Aprilis 1769. ausgestellte reversales wegen reciprocitæt des freÿen Zugs die dasige unterthanen seithero freyzügig gehalten auch fernerhin Zu halten mitschlossen falls das nemliche gegen die hiesig. angesessene alldort wird beoachtet werden, als haben wir mit dem begehrten Attestato um Zu Angezeigtem ende um so willigen hiemit willfahren wollen, deßen Zu wahrer urkund und merhern bekräfftigung wird solches durch unsern secretarium ausferigen und nebst fürdruckung unsers secret Insigels unterschrieben laßen, Straßburg den 30.sten Junii 1781.

Leur fils et héritier pour moitié Philippe Jacques Scær, commis des Ponts et Chaussées, épouse en 1803 Marie Elisabeth, fille naturelle du chirurgien Guillaume François Salles Dartillon et de Marie Elisabeth Kreuter : contrat de mariage, célébration

1803 (1 floréal 11), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber N° 4361 (1030)
Eheberedung – erschienen burger Philipp Samuel Scär, Commis principal des ponts et Chaussées de cet arrondissement, b. Johann Jacob Scär Schumachers allhier mit weil. Maria Catharina geb. Michel erzeugter lediger Sohn als breütigam grosjärigen alters gleichwol beÿständ. seines geliebten Vaters
und b. Margaretha Rosina D’artillon, weiland b. Mariæ Elisabethä Kreuter, letztmans b. Johann Gottfried Bleÿ Schloßers alhier geweßener Ehefraun im ledigen stand erzeugte tochter unter assistentz solches ihres Stiefvaters
Straßburg den ersten floreal im eilften Jahr der Republick [unterzeichnet] Philippe Samuel Scaer, Marguerithe Rosine d’Artillon

Mariage, Strasbourg (n° 24)
Du troisième jour du mois de Brumaire l’an douze de la République française. Acte de mariage de Philippe Samuel Scaer, âgé de 34 ans, Emploïé Principal des ponts & chaussées né en cette ville le 17 octobre 1779, y domicilié, fils légitime de Jean Jacques Scaer, Cordonnier, ci présent & feue Catherine Barbe Michel, Et de Marguerite Rosine Salles D’artillon, âgée de 21 ans accomplis, née en cette ville le 19 décembre 1781, y domicilié, fille née hors la mariage de feu Guillaume François Salles D’artillon, Docteur en Médecine, et de feüe Marie Elisabeth Kreuter,duement autorisée à cet effet par Jean Geoffroi Bley, Serrurier, son tuteur, ci-présent (signé) Ph. S. Scaer, Marguerithe Rosine Salles d’Artillon
[in margine :] Salles D’artillon remplacé par Kreiter. Cette rectification a été faite en exécution d’un jugement du Tribunal civil séant à Strasbourg en date du 21 décembre 1808. (i 15)

Marie Elisabeth Dartillon fait dresser l’inventaire de ses apports (6802 francs) dans la maison Scær rue des Tonneliers.

1804 (29 prairial 12), Strasbourg 7 (20), Not. Stoeber n° 1975, 5832
Inventarium über burgerin Margaretha Rosina Dartillon burgers Philipp Samuel Scaer commis principal des Ponts et Chaussées du deuxième arrondissement allhier wohnhaft, in ihrem den 3. brumaire lezthin angetrettenen ehestand zugebrachte Nahrungen, in der vor unterschr. Not. den 1 floreal 11 passirten Eheberedung (vorbehalten haben)
in einer an der Kiefergaß gelegenen des Ehemanns elterlichen behausung
hausrath 474, 715, 317 fr, silber, haussteur 134 fr
Anteil Einer behausung so der Ehefrau in die Ehe gebracht, Nemlich den 5.ten theil für unvertheilt Einer behausung bronnens und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, und zugehörden gelegen alhier a der Kuppelgaß Numero 5 einseit neben der Gastherberg zum Raben samt 21 großen faßen in 11 gebunden circa 785 hl enthaltend, Einen zehnten theil hieran hat dieselbe vermög des vor mir Notario den 11 pr 12 passirten Vergleichs von burger Johann Gottfried Bleÿ ihrem Stiefvater käuflich angenommen, der übrige zehnten theil ist ihro als mütterlichen Guth zuständig
berechnung gegenwärtigen Inventarii, hausrath 1506 fr, silber 191 fr, baarschafft 504 fr, behausung 4600 fr, summa summarum 6802 francs
Enregistrement, acp 92 F° 63-v du 30 pr. 12

Registre de population 600 MW 67, 1815 sqq, Rue des Tonneliers 7 (p. 600)
Scär, Jacques, 1727, beuf, Offwiller, (à Strasbourg depuis) 1751, décédé le 20 fev. 1818
id. Philippe, 1769, Empl., Strasbourg, décédé à Schlestatt
id. née Berg, Margueritte, 1782,Ep. Strasbourg, dél. marché neuf 2
Sommer Chrétien Conrad, 1779, Cordonnier, Saarbruck (depuis 1799), mort le 27 Mars 1823
id. née Scär, Dorothée, 1779, Strasbourg, dél. même rue 4

Après la mort de Jean Jacques Scær en février 1818 (voir ci-dessus), le cordonnier Chrétien Conrad Sommer et Marie Dorothée Scær cèdent leur moitié de maison à leur cohéritier Philippe Samuel Scær et à sa femme Marguerite Rosine Kreuter

1818 (30.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 39), Not. Hickel, n° 52
Chrétien Conrad Sommer, cordonnier, et Marie Dorothée Scaer
à Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt tant en son nom et qu’au nom et comme mandataire de Marguerite Rosine Kreuter son épouse
la moitié d’une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances appartenant à la venderesse par indivis avec le Sr Scaer acquéreur son frère propriétaire de l’autre moitié sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon cafetie, d’autre en partie le Sr Lauth avoué en partie le Sr Greiner marchand de vins, devant la rue des Tonneliers , derrière rue des étals où ladite maison a une issue est est marquée du n° 3 – avec les croisées, les chantiers dans la cave, les rayons, bancs, comptoir, doubles portes servant au magasin aux époques de foires
Echue à la venderesse dans la succession de Jean Jacques Scaer cordonnier et Catherine Barbe née Michel ses père et mère dont elle est héritière pour moitié avec le Sr Scaer son frère – acquis la totalité des héritiers Krieg par acte passé à la Chambre des contrats le 2 janvier 1764 – moyennant 5161 francs
Enregistrement, acp 139 F° 118 du 3.7.

L’acquéreur loue le lendemain la maison entière au vendeur

1818 (1.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 39), Not. Hickel n° 53
Bail de 3 années à commencer le 24 juin dernier – Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt
à Chrétien Conrad Sommer, cordonnier, et Marie Dorothée Scaer
la moitié d’une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances appartenant à la bailleresse par indivis avec le Sr Scaer acquéreur son frère propriétaire de l’autre moitié sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, avec les croisées, les chantiers dans la une maison sise sur rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon cafetier d’autre en partie le Sr Lauth avoué en partie le Sr Greiner marchand de vins, devant la rue des Tonneliers, derrière la rue des étals où ladite maison a une issue est est marquée du n° 3 – déclarant la bien connaitre l’ayant habitée depuis nombre d’années avec bancs, comptoir, doubles portes servant au magasin aux époques de foires
art. 6, s’il convenait au bailleur pendant la durée du présent bail d’établir son domicile à Strasbourg, les preneurs seront tenus de faire mettre à sa disposition le deuxième étage avec appartenances de la maison louée à charge de payer le même loyer qui aurait été payé par les sous locataires
art. 8, seront tenus en raison des deux foires qui se tiennent chaque année dans cette ville d’évacuer le magasin au rez de chaussée 10 jours avant l’ouverture de chaque foire et de tenir à disposition des locataires pendant la durée de la foire un lit complet à placer dans le comptoir du magasin – moyennant un loyer annuel de 600 francs
Enregistrement, acp 139 F° 118-v du 3.7.

Originaire de Saint-Jean près de Sarrebruck, Chrétien Sommer épouse Marie Dorothée Scær en 1808
1808 (15.3.), Strasbourg 5 (25), Not. F. Grimmer n° 4947
Contrat de mariage – Chrétien Sommer, cordonnier en cette ville, fils de Jacques Sommer, cordonnier de St Jean près de Sarrebrück, et de feu Jeannette née Hensi
Marie Dorothée Scaer, fille de Jean Jacques Scaer, cordonnier, et de feu Catherine née Michel
Enregistrement, acp 105 F° 38-v du 28.3.

La part de maison provenant de la mère de l’épouse figure à l’inventaire des apports
1808 (6.9.), Strasbourg 5 (26), Not. F. Grimmer n° 5212
Inventaire des apports de Chrétien Sommer, cordonnier ,et de Marie Dorothée née Scaer, assitée de Jean Jacques Scaer, cordonnier son père – contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 19 mars dernier
dans la maison des conjoints rue des tonneliers n° 7
la femme, meubles 403 fr, bijoux 42 fr
le mari, Immeuble, une partie d’une maison rue des tonneliers n° 7 comme bien maternel, pour note – total 645 fr, numéraire 200 fr, présents de noces 321 fr
Enregistrement, acp 107 F° 100-v du 10.9.

La maison revient à Marie Dorothée Scær en qualité d’héritière de son frère Philippe Samuel Scær. Lors de la vente aux enchères, la veuve Marguerite Rosine Kraeuter s’en rend acquéreuse

1828 (21.2.), Strasbourg 4 (66), Me Hatt n° 3914
Adjudication préparatoire le 28 janvier n° 3957, Dépôt du cahier des charges 26 novembre n° 3749 – Adjudication définitive – Marie Dorothée Scaer veuve de Chrétien Sommer, cordonnier en qualité d’héritière sous bénéfice d’inventaire de Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées demeurant à Schlestadt, assistée de M° Louis Auguste Eissen son avoué (…) suivant jugement du 12 octobre et procès verbal d’experts du 25 octobre entériné par jugement du 20 courant
Cahier des Charges, à la requête de Marie Dorothée Scaer (…) héritière de son frère.
à Jean Jacques Thomas, lequel déclare avoir enchéri pour Marguerite Rosinne Kraeutter autrefois Dartillon veuve dudit défunt Samuel Scaer, conducteur des Ponts et Chaussées à Schlestadt – 8800 fr
Désignation de l’immeuble et mise à prix, une maison sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon, d’autre les héritiers Lauth et le Sr Greiner, derrière la rue des étaux
Cette maison consiste en un seul bâtiment, cour avec pompe au fond de la cour, bucher et lieux. Le bâtiment principal renferme au rez de chaussée en entrant passage au fond escalier à gauche, boutique et arrière boutique premier étage cage d’escalier sur le devant une cahmbre avec alcove au fond une chambre, cuisine et bucher, second et troisième étage même distribution, dessus comble à la mansarde renfermant quatre chambres et escaliers couvert à tuiles doubles, dessous ledit bâtiment cave voûtée, rapport d’experts du 29 octobre 1827 estimé 6500 fr
[Joint] rapport d’experts du 29.10., François Reiner architacte du roi, Jean Jacques Stotz et Jean Chrétien Arnold architectes [ut supra]
II. Enonciation des titres de propriété, le Sr Scaer est propriétaire de la moitié comme héritier de son père Jean Jacques Scaer, cordonnier, et de l’autre moitié pour l’avoir acquise de la poursuivante Mde Sommer née Scaer par acte reçu par M° Hickel le 30 juin 1818
Enregistrement, acp 188 F° 54-v du 23.2.

Marguerite Rosine Kreutter vend quelques mois plus tard la maison au marchand épicier Jean Baptiste Romer et à sa femme Caroline Metz

1828 (14.8.), Strasbourg 3 (78), Me Schreider n° 3781
Marguerite Rosine Kreutter autrefois Dartillon veuve de Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt assistée de Jean Jacques Thomas, marchand de potier son cousin germain par alliance
à Jean Baptiste Romer, marchand épicier, et Caroline Metz
une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7 d’un côté le Sr Bourdon, d’autre les héritiers Lauth & le Sr Greiner, derrière la rue des Etaux
Etablissement de la propriété, acquis de Marie Dorothée Scaer veuve de Chrétien Sommer, cordonnier, par acte reçu Hatt notaire à Strasbourg le 21 février 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 209 numéro /61. A la D° Sommer en qualité de seule et unique héritière de Philippe Samuel Scaer, ci devant nommé son frère, ledit Scaer en était propriétaire comme héritier pour moitié de son père Jean Jacques Scaer, cordonnier, l’autre moitié à la D° Sommer par contrat passé devant M° Hickel le 30 juin 1818. Dans la présente vente sont compris trois fourneaux en fonte les volets qui sont au rez de chaussée – moyennant 9000 francs
Enregistrement, acp 190 F° 182-v du 20.8.

Originaire de Sélestat, Jean Baptiste Romer épouse en 1823 Caroline Metz d’Epfig
Mariage, Epfig (n° 12)
Acte de mariage célébré à la Maison commune d’Epffig le 15 juin 1823. Jean Baptiste Rohmer, Majeur dans, né en légitime mariage le 8 Messidor an VI à Schlestatt, domicilié à Strasbourg, Marchand épicier, fils de Laurent Rohmer, Tannneur domicilié à Schlestatt, ci présent et consentant, et de Ursula Bucher
Anne Barbe Caroline Metz, Mineure d’ans, née en légitime mariage le 6 Vendémiaise an XI à Epffig, domiciliée à Epffig, fille de feu Jean Georges Metz, vivant cultivateur à Epffig, y décédé e 30 juin 1812 et Anne Barbe Kientz, décédée ne cette mairie le 5 août 1808 (signé) Jean Bte Romer, Caroline Metz (i 7)

Registre de population 600 MW 67 (p. 601)
Rohmer, Jn Bapt. 1797, Négt. Schlestadt, (à Str. depuis 1822), auparavant Finckwiller 8, Entré Mars 1830
id. née Mertz, Caroline, 1801, Ep., Epffig
id. Jn Bapt. 1824, Strasbourg
id. Françoise Caroline, 1825, Strasbourg
Anstett, Michel Pierre, 1808, boucher, M. (auparavant) rue de l’homme de Pierre 2, Entré avril 34
id. née Widersonn, Charlotte, 1803, Ep.
id. Pierre Eugène, 1834 6 mai, Enf.
(…) Anstett Charlotte Sophie, 1835, 27 Novb., Enf
id. Charles Emile, 1838, 5 Sept., Enf
(p. 602) Anstett, Michel Pierre, 1808, boucher, M, Entré janv. 41.
id. née Widersonn, Charlotte, 1803,Ep.
Edouard Auguste, 1841, 13 janvier, Ennf.

Jean Baptiste Romer et Caroline Metz vendent la maison au boucher Michel Pierre Anstett et sa femme Charlotte Wiedersohn

1833 (5.11.), Strasbourg 12 (132), Me Noetinger n° 5857
Jean Baptiste Romer, marchand épicier, et Caroline Metz
à Michel Pierre Anstett, boucher, et Charlotte Wiedersohn
une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon, d’autre les héritiers Lauth & Sr Greiner, devant la rue, derrière la rue des Etaux – acquise de Marguerite Rosine Kreutter autrefois Dartillon veuve de Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt, par acte reçu Schreider notaire à Strasbourg le 14 août 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 215 numéro 67, La D° Scaer l’avait acquise de Marie Dorothée Scaer veuve de Chrétien Sommer, cordonnier, par adjudication définitive dressée par M° Hatt le 21 février 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 209 numéro 61. La veuve Sommer était seule et unique héritière de Philippe Samuel Scaer susnommé. Ledit Scaer en avait recueilli la moitié de Jean Jacques Scaer son père cordonnier et acquis la moitié de sa sœur apr acte reçu Me Hickel le 30 juin 1818 – moyennant 9000 francs
Enregistrement, acp 221 f° 55-v du 11.11.Lauth

Fils de boucher, Michel Pierre Anstett épouse en 1833 Charlotte Wiedersohn, fille de boucher
Mariage, Strasbourg (n° 5) Du troisième jour du mois de janvier l’an 1833. Acte de mariage de Pierre Michel Anstett, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 18 mai 1808 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Boucher, fils de feu Henri Christophe Anstett, messager de la Préfecture décédé en cette ville le 24 juin 1812 et de feu Salomé Wentzler, décédée en cette ville le 11 octobre 1820
Charlotte Wiederum, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 5 pluviôse an XI à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Daniel Wiedersum, Boucher, décédé en cette ville le 17 Germinal an XI et de feu Madeleinee Winter décédée en cette ville le 29 août 1818 (signé) Michel Pierre Anstatt, Scharlott Wiedesom (i 4)

Registre de population 600 MW 382
Anstett, Michel Pierre, Strasbourg 1806, h.m., boucher, luthérien, français, (à Strasbourg d.s.n.)
id. née Wittersohn, Charlotte, Strasbourg 1803, f.m., sa femme, idem
id. Eugène, Strasbourg 34, son fils, boucher, idem
id. Eugénie, Strasbourg 45, sa fille, idem
Weilern Ferdinande, Strasbourg 35, f. servante, catholique, badoise (à Strasbourg dep. 1855)
Treuter, Salomé, Ittenheim 33, f. servante, luthérienne, française, (à Strasbourg 24 Jan. 56), anct. grand rue 54
Anstett, Edouard Auguste, Strasbourg 41, g. boucher, luthérien, ([biffé] 25 X 58) derechef, C eng* 18 Mai 59
Eck, Jules, Barr, 23. 8.bre 45, g., apprenti boucher, luthérien, français (à Strasbourg depuis 5 9. 59) Barr
rue des tonneliers 7 / 16

Michel Pierre Anstett et Charlotte Wiedersohn hypothèquent la maison au profit de Daniel Reibel

1852 (23.4.), Strasbourg 4 (108), Not. Lauth n° 5207
Du 23 Avril 1852. Obligation – Furent présens M. Michel Pierre Anstett, boucher et dame Charlotte Wiedersohn son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à M. Daniel Reybel, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens Numéro un, à ce présent et acceptant, la comme principale de 2000 francs
hypothèquent. Une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des tonneliers n° 7, tenant d’un côté à M. Ernst de l’autre côté à M Lauth, donnant par derrière sur la rue des étaux.
Déclarent les débiteurs que cet immeuble est franc ey libre de toutes dettes, privilèges & hypothèques sans exception, qu’il leur appartient en toute propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de M Jean Baptiste Romer, marchand épicier et de dame Caroline Metz conjoints à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 5 novembre 1833, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 18 du même mois de novembre volume 275 Numéro 50 & que le prix d’acquisition est intégralement payé ainsi qu’ils l’ont justifié

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1852 (30.9.), Strasbourg 4 (108), Not. Lauth n° 5499
Du 30 septembre 1852. Obligation – Furent présens M. Michel Pierre Anstett, boucher et dame Charlotte Wiedersohn son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à M. Daniel Reybel, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens Numéro un, à ce présent et acceptant, la comme principale de 2000 francs
hypothèquent. Une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg rue des tonneliers n° 7, tenant d’un côté à M. Ernst de l’autre côté à M Lauth, donnant par derrière sur la rue des étaux.
Déclarent les débiteurs que cet immeuble leur appartient en toute propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de M Jean Baptiste Romer marchand épicier et de dame Caroline Metz conjoints à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 5 novembre 1833, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 18 du même mois de novembre volume 275 Numéro 50 & que le prix d’acquisition est intégralement payé ainsi qu’ils l’ont justifié

Michel Pierre Anstett loue une partie de la maison au boucher Bernard May

1862 (30.7.), Strasbourg 4 (120), Not. Lauth n° 10.315
Du 30 juillet 1862. Bail – A comparu Eugène Anstett, boucher et propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par les présentes donné à loyer pour 9 années entières et consécutives qui courront du 29 septembre prochain et finiront à pareil jour de l’année 1871
à M. Bernard May, boucher demeurant et domicilié à Strasbourg
1. Un étal de boucher se trouvant au rez-de-chaussée d’une maison sise à Strasbourg rue des Tonneliers N° 16 dont M. Anstett est propriétaire, avec les chambres et la cuisine y attenant,
2. Une petite chambre au premier étage de ladite maison et donnant dans la cour,
3. Le droit d’exercer son métier de boucher dans la cour et droit commun avec les autres locataires de la maison de puiser l’eau à la pompe,
4. Et les meubless dont la description suit. Deux balances avec poids, un comptoir, 60 crochets et une petite table qui se trouvent dans ledit étal ainsi que tous les instruments servant à l’exploitation de la boucherie – moyennant un loyer annuel de 500 francs (signé) Bernhard Maÿ
acp 513 (3 Q 30 228) f° 9-v du 2.8.

Michel Pierre Anstett vend la maison au boucher Bernard May et à sa femme Thérèse Kammer en s’y réservant l’habitation

1866 (24.11.), M° Stromeyer
Vente par Pierre Eugène Anstett, ancien boucher, propriétaire à Strasbourg
à Bernard May, boucher, et Thérèse Kammer sa femme à Strasbourg
d’une maison sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 16 moyennant une rente annuelle et viagère de 1800 francs payables de mois en mois avec la somme de 150 francs, ladite rente estimée à un capital de 18.000 francs
Le Sr Anstett se réserve sa vie durant le droit d’habitation d’une chambre et chambrette servant de décharge au quatrième étage, estimé à un revenu annuel de 40 francs, en capital 400 francs. Jouissance du 25 décembre 1864.
Origine, héritage pour un quart dans la succession de Michel Pierre Anstet, so père boucher à Strasbourg décédé le 10 août 1861, ¼ dans la succession de Charlotte Wiedersohn sa mère décédée le 16 novembre 1861, 2/4 dans la succession de son frère Edouard Auguste Anstett décédé boucher à Strasbourg le 15 juillet 1862. Origine antérieure, vente Noetinger Nre le 5 novembre 1833.
acp 559 (3 Q 30 274) f° 43-v du 1.12.

Bernard May et sa fille Sophie Mey vendent quatre sixièmes de la maison à Samuel Hirsch

1884 (19.3.) M° Mossler
Bernhard May, Metzger, und Sophie May, hier, und Elisabeth Kammer Ehefrau Bernhard May, hier
an Samuel Hirsch, Rentner hieselbst
die ungetheilte vier 6° eines hier Küfergasse N° 16 Wohnhauses mit Zugehör. Durch die Eheleute Bernhard May und Therese Kammer erworben laut Urkunde Stromeyer vom 24 November 1866. Die Ehefrau May ist am 16. August 1881 hieselbst gestorben und wurde zu ⅓ von der genanten Sophie Mey beerbt.
Besitzeintritt sogleich, Genußantritt vom 25. l. Mts an und Steuereinnahme vom 1. April 1884 ab. Der Kaufpreis besteht in 1) einer von Peter Eugen Anstett Rentner hier lebenslänglich zu zahlenden Rente von M. 960 geschuldet laut Urkunde Stromeyer wie oben, 2) einer an Anstett als Gefälle der Rente du zahlende Betrag vom 240. 3) einer baarer bezahlten Summ von 160 (960 x 10, 240, 160, zusammen 10.000 M) Die Namen der beiden andern Kinder May sind nicht genannt.
acp 748 (3 Q 30 463) f° 7 n° 4646 du 21.3.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.