2, rue des Francs-Bourgeois (ancien)


Rue des Francs-Bourgeois n° 2 – IV 303 (Blondel), N 857 puis section 60 parcelle 98 (cadastre)

Démolie lors de la Grande Percée (1915)


Façade à l’angle de la rue des Fribourgeois (AMS cote 1 Fi 24, n° 10)
Façade rue de la Demi-Lune au premier plan (AMS, cote 1 Fi 23, n° 16)
Cour des n° 2 et 4 rue des Fribourgeois (AMS, cote 118 MW 69)

La maison sans encorbellement est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom de Jean Schnürer. Le menuisier Jean Buchmüller l’acquiert en 1589. Il la reconstruit et vend en 1613 la maison arrière en même temps qu’il passe un accord avec ses créanciers. Elle appartient successivement au farinier Georges Stiegler, au fabricant de chausses Marcel Schreiber puis (1667) au musicien et secrétaire à l’Université Jean Georges Windenius qui en transmet la propriété à son gendre menuisier Paul Würtz. En 1740 la maison a trois étages et un bâtiment arrière à un étage dont le rez-de-chaussée sert d’atelier. Le tailleur Jean Frédéric Butz l’acquiert en 1764 et la réunit avec la maison voisine rue de la Demi-Lune qu’il a héritée de son père en 1757. Les deux maisons sont chacune décrites dans les actes jusqu’en 1809 quand le boucher Jean Georges Hoffherr l’achète.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 150 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (c) : sur la gauche, pignon vers la rue des Fribourgeois à deux portes d’entrée et trois fenêtres à chaque étage, sur la droite vers la rue de la Demi-Lune quatre travées irrégulièrement réparties, au rez-de-chaussée trois fenêtres et une porte et quatre fenêtres à chacun des trois étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour J représente l’arrière (1-2) de la façade rue de la Demi-Lune, (2-3) de la façade rue des Fribourgeois, le bâtiment (3-4-5) à l’angle sud-est, le mur sud (5-6) et la clôture (6-1) avec la cour voisine.
La maison porte d’abord le n° 3 (1784-1857) puis le n° 2 de la rue des Fribourgeois.


Plan – Cour J (plan-relief)


Elévations rue des Fribourgeois. La maison est celle sur la droite
Plan correspondant. Légende à droite (
Wirtschaftslokal, Küche, Schreinerwerckst. – Salle d’auberge, cuisine, atelier de menuisier (AMS, cote 907 W 161)

La maison appartient au ferblantier Pierre Engel puis au coiffeur Auguste Heuson. Le brasseur Alfred Mühleisen l’achète en 1890 et y établit une auberge exploitée par Hœnen puis par le nouveau propriétaire Florent Stengel (enseigne à la Bonne Fontaine, zur Guten Quelle). La Ville achète la maison en 1908, l’enseigne est reprise par L. Kœbel. Le cadastre indique qu’elle est démolie en 1915.
L’enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée relève divers aménagements intérieurs (galerie, escalier, portes).


Rue des Francs-Bourgeois, aspect actuel. La maison formait l’angle au premier plan (septembre 2013)

avril 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1604 à 1915 (démolition). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Buchmüller, menuisier, et (1588) Barbe Kornlen puis (1597) Elisabeth Geldreich, veuve de Laurent Muschet d’Obernai – luthériens
1625* adj Luc Thoman, marchand, et (1620) Anne Catherine Cappeller – luthériens
1634 v Georges Stiegler, farinier, et (1622) Marguerite Ipper, remariée (1637) avec le tailleur Jacques Grisel – luthériens
1653 v Marcel Schreiber, chaussetier, et (1633) Susanne Mathis puis (1634) Rosine Linck veuve du chaussetier Erard Weichard – luthériens
1667 v Jean Georges Windenius, musicien et secrétaire à l’Université, et (1660) Barbe Holler – luthériens
1709 h Paul Würtz, menuisier, et (1701) Marie Salomé Windenius – luthériens
1745 h Jean Daniel Würtz, orfèvre, célibataire († 1761) – luthérien
1752 adj Jean Baldner, orfèvre, célibataire († 1764) – luthérien
1764 v Jean Frédéric Butz, tailleur, et (1743) Catherine Barbe Blind – luthériens
1800* h Jean Georges Baldner, tonnelier, et (1765) Marie Barbe Butz – luthériens
Jean Michel Greiff, menuisier, et (1776) Anne Marie Butz – luthériens
1809 v Jean Georges Hoffherr, boucher, et (1787) Anne Marie Geiger – luthériens
1841 v Pierre Engel, ferblantier, et (1836) Salomé Madeleine Reiber
1853 v Jean Philippe Bischoff, perruquier, et (1801) Marie Dorothée Reissé (usufruitier)
(Michel) Auguste Heuson, coiffeur, et (1842) Elisabeth Sophie Bischoff puis (1860) Marie Steib, veuve de Jean Georges Vögelin, instituteur à Colmar
1891* v (Jean Georges) Alfred Mühleisen, brasseur à Schiltigheim, et (1892) Sophie Münch
1905* v Florent Stengel, aubergiste, et (1896) Catherine Meyer
1908 v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 300 livres en 1688, 750 livres en 1745, 450 livres en 1783

(1765, Liste Blondel) IV 303, Jean Fréderic Butz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Frid: Butz, 11 toises, 2 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 857, Hoffherr, Jean Georges, veuve – maison, sol – 1,7 are / Engel Pierre

Locations

1727, Jean Georges Kieffer, maçon
1739, Jean Schætzel, marchand de vins
1782, François Buffet, marchand, et Anne Marie Müller
1786, François Joseph Rohr, laveur, et Marie Agathe Riff

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 151
Jean Schnürer qui est propriétaire de la maison d’angle à côté du poêle des Fribourgeois règle 1 sol 8 deniers pour une plate-forme en pierre (8 pieds ½ de long en saillie de 15 pouces) et un chenal en bois

Freÿburger Gaß die Eine Seitten
Hanß Schnüerer hatt dar gegenüber an dem Andern Eckh neben der Freÿburger Zunfft, ein besetzten Tritt ix= schuh lang, vnd xv Zoll herauß, sampt einem hülzenen Naach, Bessert für d. Niessen, j ß viiij d
[in margine :] Caspar Mock der Müntzmeister hatt ÿetzund des Schnüerers Hauß

Description de la maison

  • 1745 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, cuisine, vestibule, cave voûtée, au premier étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule, au deuxième étage aussi un poêle, chambre, cuisine et vestibule, au troisième étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule et chambre à soldats, le comble est ancien, le pignon est partie en bois partie en pierre, le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un creuset, à l’étage un petit poêle, le demi-toit renferme un grenier dallé, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1784 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, quatre cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, la cour commune, autres appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
  • 1841 (procès verbal d’expertise) Elle se compose 1° d’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune, 2° d’une petite cour, 3° d’une maison de derrière et bâtiment latéral servant de cage d’escalier et galerie pour communiquer à la maison de derrière, 4° une pompe mitoyenne, la maison principale est batie sur cave voûtée, un rez de chaussée et trois étages en maçonnerie et grenier, couverture en tuiles à doubles rangées. Le bâtiment au fond de la cour est composé d’un rez de chaussée distribué en latrines, buanderie et trois étages en galandure et greniers et couverture en tuiles à double rangée.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Fribourgeois

nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Hofherr
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 246 case 1

Engel Pierre à Strasbourg
(1855) Bischoff, Philippe rue de la Demi lune 1 rue des fribourgeois 3

N 857, maison, sol, R. de la demi-lune 1
Contenance : 1,70
Revenu total : 216,88 (216 et 0,88)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 38 / 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1008 case 1

Bischoff, Philippe
1862 Heuson, Michel Auguste, coiffeur
1891/92 Mühleisen Johann Georg Alfred, Brauer in Schiltigheim
1905 Stengel Florentz Wirt u. Ehefr. Katharina geb. Meyer in Gtg.
(ancien f° 756)

N 857, maison, sol, rue des Fribourgeois 2
Contenance : 1,70
Revenu total : 216,88 (216 et 0,88)
Folio de provenance : (246)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 38 / 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11

Cadastre allemand, registre 32 p. 402 case 2

Parcelle, section 60, n° 98 – autrefois N 857
Canton : Freiburger Gasse Hs. N° 2 (665/15, 1291)
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,57
Revenu : 1700 – 2800
Remarques : 1915 Abbruch – 1927 porté p. 387 c. 3

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 106 Des Fribourgeois f° 196

3
pr. Krieg, Veuve, Nég.te – Miroir
loc. Hollwein, Cordier – Echasses
loc. Kraemer, Boutonnier – Miroir
loc. Mexel, Jean, Cordonnier – Cordonniers
loc. Dieterlin, Marie Dorothée

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Freiburgergasse (Seite 40)

(Haus Nr.) 2
Stengel, Wirt, Zur guten Quelle. 01
Fürnstein, Stellenverm. 1.
Kern, Eisenbahnarbeiter. 2
Saas, Ausläufer. 3
Koller, Metzger. 4
Müller, Sackhändler. H 1
Langenfeld, Tagner. H 2
Hornecklin Ausläufer. H 3

Annuaires

1893, Hœnen, Wirt
1908, (Stengel, Fl. Oberhausbergerstrasse 107, E) – Koebel L. Wirt zur Guten Quelle
1909, (Stadtverwaltung, E) – Koebel L. Wirt zur Guten Quelle

Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999)

(84)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen. [Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907
Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention de conservation, à savoir : (+) à enlever immédiatement, (*) à conserver dès que possible, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à enlever immédiatement]

Haus : Freiburgergasse N° 2 [Maison, 2. rue des Fribourgeois]

a) Geschichtliches : Zum Bremisser 1404. Zum Bremmis 1427. Der Duchscherer Trinkstube 1441 ; Hans Schnurer 1587. Caspar Mock, Müntzmeister 1590.

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 5. Dachstuhl [Comble] – Guter Dachstuhl (liegender Stuhl, aufnehmen !) [comble en bon état, à photographier]


Croquis à la rubrique des Remarques

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 5. Galerie auf dem Hofe – Gallerie mit Ballustern aus Bretten geschnitten [Galerie sur cour – galerie à balustres en lattes sculptées]
  • 8. Treppengeländer – vergl. Bem. A [Balustrades d’escalier – voir remarque A]
  • 9. Fenstergitter – Höltzernes Gitter zwei Steingewänder [Zeichnung] [Grilles de fenêtre – grille en bois, deux jambages en pierre]
  • 15. Wandschränke – 1. Wandschrank ; mit*blech u. Zwei Bändern einfach [Placards – un placard (recouvert) de tôle, à deux entretoises, simple]
  • 25. Türbeschläge – 1. Schlüsselblech (* Forte) [Ferrures de porte] Serrure de porte

Bemerkungen :

A. Treppenbrüstung Antrittspfosten einfach (Zeichnung) Aus dem Brett geschnitten
B. 2 Füllungs thür mit ge*em Rahmen erhaltenswert (II Sock)
C. 2 Giebelfenster gemaurt
D. Spülstein in der Küchen mit Abtropff fläche f
[Remarques – A. Balustrade d’escalier, départ de rampe simple. Sculpté dans la latte]
B. Deux portes à panneaux, cadre à conserver
C. Deux fenêtres murées dans le pignon
D. Evier à égouttoir dans la cuisine


Relevé d’actes

D’après l’acte ci-dessous dressé en 1613, Gaspard Mock vend en 1589 la maison au menuisier Jean Buchmüller
Jean Buchmüller épouse en 1588 Barbe, fille de Jean Kornlen de Gertwiller

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 79-v n° 238)
1588. Eodem die [Domin. Invocavit] Hannß Buchmüller, der schreiner vnd Barbara Hans Kornlen des bäcken von Gertweiler nachgelaßene dochter, eingesegnet den 10. Martÿ (i 88)

Originaire de Markgröningen près de Ludwigsburg, Jean Buchmüller est devenu bourgeois l’année précédente
1587, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 470
Hans Buchmüller Von Marckgrüningen ein Schreÿner mit Beÿstandt philips Blasÿ des Ungelters hat das Burgerrecht Kaufft vnd will Zu den Zimmerleütthen dienen Act. den 24.t Maÿ Anô 87

Jean Buchmüller se remarie en 1597 avec Elisabeth (Geldreich), veuve de Laurent Muschet d’Obernai
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 111 n° 56)
1597. Hans Buchmüller der schreiner vnd Elizabeth Lorentz Muschets von Obernehen hinterlaßene wittwe. Eingesegnet Montag den 31 Octobris Außgangen in Anthoni Hertzogs behausung (i 59)

Jean Buchmüller et sa femme Elisabeth hypothèquent au profit du menuisier Jean Oberhauser la maison qu’il a achetée du chef de la Monnaie Gaspard Mock

1603 (Andern tag Aprilis), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 113-v
(Inchoat. in proth. fol: 87.) Erschienen Hannß Buchmüller der Schreÿner Burger Zu Straßburg Vnd Elizabeth sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt Vnd In gegenwertigkheit des Erbarn Hannß Oberhausers Schreÿners burgers Zu St. – schuldig sigent 40 Pfund
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt hofflin vnd hinder hauß Mit Allen Iren gebeuwen & geleg. Inn der St. Straßburg, Inn der Freÿburg. gaß, gegen dem Müntzhoff vber,einseit nebent Hannß Schwindell der Küeffern Vnd And.sit ein Eckhauß, hinden vff Ulrich Bertschen den Notarium, Vnd Zum theil vff die Freÿburg. Zunfft stoßend, Davon gend xiiij guldin gelts, Ablösig mit iij C guldin sant Marx Closter alhier, mehr sind sie noch hafft vnd Vnderpfandt für sein schuld 340 guldin Zu Zielen sampt dem Interess Zubezalend Caspar Moocken dem Müntzmeister, Vmb den sie erkaufft

Autre hypothèque entre les mêmes

1604 (xvj tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 70-v
(P. fol. 82.) Erschienen Hannß Buchmüller der schreiner burger Zu Straßburg, vnnd Elizabeth sein eheliche haußfrauw, haben sich vnver: für sich & verschriben
Geg. hannß Oberhauser dem schreiner burger Zu Straßburg demselben Zu Zinsen ij lb x ß d gelts Ablösig mit L lb Straßburg
Vonn Vff v Abe Hauß, hoffestatt, höfflin vnd hind.hauß mit Allen Ihren gebäu & geleg. Inn der Statt Straßburg, Inn der freÿburg. gaß, gegen dem Müntzhoff über, einsit neben hannß Schwindell dem küffer, vnnd andersit ein Eckhauß hind. vff Ulrich Bertsch. dem Notarien vnnd Zum theil vff due Freÿburger Zunfft stoßend, Davon gond xiiij guldin gelts Ablösig mit iij C guld. Sant Marx Closter Alhie, Vnd dann seind sie noch hafft vnd vnd.pfandt für ein schuld 340 guldin zu Zÿlen Zu erleg. Caspar Moocken dem Müntzmeister, Vmb dem sie erkhaufft, Als man sagt,
(vide cassat. recessum in Reg: 1603. fol: 113)

Jean Buchmüller et Elisabeth Geldreich vendent la maison arrière au tourneur Martin Heus et à sa femme Odile Stœsser. Le puits et les latrines resteront communes entre les deux parties

1613 (24. Julÿ), Chancellerie, vol. 400 (Imbreviaturæ Contractuum 1612. 1613) f° 60
Khauffverschreÿbung Martin Heüsen des Trehgers vber sein Behausung In Sanct Barbaræ gassen gelegen
(Extendiert wie In dem Contractbuch de Anno 1613. Zubefinden folio 90.) Erschienen Hannß Buchmiller der Schreiner Burger alhie Vnd Elisabethen Geltreichin sein eheliche haußfrauw (verkaufft)
Martin Heüsen dem Träger Burgern alhie vnd Othilia Stöserin* seiner ehelich. haußfr.
eine hinder behaußung beÿ St. Barblen gaß gelegen, einseit neben h. Abraham Röderers Cantzleÿ Verwanten wittib, die Ander neben Ihme Verkeüffer hinden vff die freÿburger stub stoßend, Dauon gehet dem Stifft zu St Marx alhie Von beden heüsern ablösig mit 300 fl. Mehr 679. fl. 7 ß 10 d hauptgutt vnd seithero verfallene Zinß herrn Caspar Mocken Müntzmeistern Vermög einer Verzeichnus so der Verkäuffer fürgelegt schuldig Vnd dann hanß Oberhaußern dem Schreiner v fl. ablösig mit 100 fl. den guld. Zu 15 batz. gerechnet, sonst ledig vnd eigen, Vnd ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 600 gulden zu 15 bz.
(vide Nachtrag in Anno 1625. fol. 346. fa. 2.)
[in margine :] Erschienen Renat Grauistet dochtermann Peter Miler burger alhie hatt in gegenwerttigkeit obermelter Wittwen (…) Mittwoch den 11. octob. anno 1620
(Scheda) Erschienen Johann Daulphin burger alhie innamen H Reinhard Grauiseten, hatt in gegenwerttigkheit Otilia Martin heüßen deß Trehers see: wittiben mit beÿstand Michel Hörmanns deß Küeffers ihres ietzigen Eheuogts (…) 125 lb (…) von hannß Buchmüller dem Schreiner den 24. Julÿ 1613. Vmög der in alhieiger Cantzleÿ vffgerichten v.schreibung erkaufft, noch am kauffschilling rest schuldig qtirt den 23. Augusti Anno 1622.
Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch) Ein hindere Behausung derselben Hoffstatt mit allen deren gebawen, begriff weÿthen Zugehörd, Recht vnd gerechtigkeÿt einem Gang dridthalben schuh breidt zu einem gemeinen Bronnen vnd einem heymlichen gemach oder Propheÿ, welcher gang neben dem gemelten Bronnen samt einer gemeinen Thülen wandt von der Verkäuffern vordern Behausung abgesondert, vnd sowol dieselb als gedachter Bronnen vnd Propheÿ von beden em Verkeuffern vnd den Keuffern In gemeinen costen erhalten, der Bronnen so offt von nodten geschopfft, das heÿmlich gemach gesaubert durch verkäuffern Behausung außgetragen vnd mehrs* desto wehniger Jeder theyl den halben costen leÿden, obgedachter Gang durch die Käuffer hoher nit dann eines Stocks hoch gebawen werden Vnd die Mauren so Jedem Hoff auff Abraham Roderers seligen Behausung stosset, Ihnen verkäuffern eÿgenthümblichen verpleÿben, vnd der Keuffer auch alles wasser so von dem dachtrauff herab falt vnd von mehrgedachten Bronnen fleüßt durch Ire erkauffte behaußung außzuleÿdten vnd demselben seinen gepürlichen außfluß Zugestatten schuldig sein sollen, In diser vnserer Statt Straßburg beÿ Sant Barbaræ Gaßen vnd dem Müntz Hoff einseÿt (…)

Jean Buchmüller et sa femme Elisabeth Geltreich passent avec René Graviset un accord sur leurs dettes. Ils ont acquis en 1587 de Gaspard Mock une maison qu’ils ont partagée et reconstruite. La cherté des temps ne leur permettant pas de régler leurs dettes, Gaspard Mock a été mis en possession judiciaire de la maison sur laquelle Elisabeth Geldreich a droit à 300 florins d’après son contrat de mariage et René Graviset à 385 florins.

1613 (10 Augusti), Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch) f° 83
Vertrag Zwischen Reinhard Grauiset vnd Hans Buchmüller dem Schreiner vnd desselben ehelicher Haußfrawen
erschienen seind vnser Rhatsbewandter Hannß Nessel vnd Conrad Stor vnd beneben Ihnen vnser Burg. Reinhard Grauiset der Jubilier an einem,
vnd Hans Buchmüller der Schreÿner vnd Elisabeths Geltreychin sein eheliche haußfrauw bede ehegemechd am anden theil
Nachdem Jetzernante bede ehegemecht In dem verschinen 1589. Jar ein behausung In diser vnserer Statt Straßburg bey dem Müntzhof so ein eckhauß geg. ermeltem Müntzhof gelegen von Caspar Mocken dem Müntzmeÿster erkaufft dieselb seydhero in Zweÿ heuser abgetheylt vnd erbawen dardurch se sind* In diser biß anhero gewereter theüren Zeÿt, da sie die Jährliche Zinß nit abrichten könen, also verstreckt vnd dahin endtlich gehalten, das ermelter Caspar Mogk von wegen seiner ausstendiger vnd auffgeschwollener Zinß angeregte Jar bede Häuser ane die Gant gepracht vnd erhalten, das dieselben Ime eingeraumpt werden sollen, dar durch sie die bede eheleuth nit allein alle Ir besserung sondern auch die Elisabetha Ihre 300 gulden, so Ir vermög Ihrer gehaltenen Eheberedung für ohnverändert gehörig, wie auch obernanter Herr Grauiset gleichergestalt auff ohgefahr 314 gulden (…)

La maison revient par enchère judiciaire au marchand Luc Thoman qui achète le droit de bourgeoisie en 1619 puis épouse en 1620 Anne Catherine Cappeller, fille du bourguemestre André Cappeller, de Worms.

1619, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 800
Lucas Thoman Von colmar der handelßmann, Khaufft d. Burgerrecht mit beÿstandt h Heinrich Koppen deß dreÿ Zeheners Alhie vnd will Zu den freÿbuergern dienen den 24.t Januarÿ 1620.

Mariage, cathédrale (luth. p. 104)
1620. Dominica Trinitat: d. 11. Junÿ. Lucas Thomas der Handelsmann H. Jörg Thomas des Handelsmanns Zu Colmar, sohn, und J. Anna Cätherin H. Andres Capeller bürgermeisters Zu Wurms n. tochter, eingesegnet Zinstag den 20. Junÿ (i 57)

Nicolas Günter de Haguenau se plaint de la garance que lui a procurée Luc Thoman
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
Niclaus Günther contra Lucas Thoman. 139.
(f° 139-v) Donnerstag den XXI. Junÿ – Hagenawisch schreiben abgelesen darin sie melden wie Lucas Thomas mit Ihrem burg. Nicolao Günther weg. Röthe ein Contract getroffen, demselben aber kein gemug gethan doher er Günthern angreiff. für Null Zuerkennen d dann billich d er Lucas in loco *schein d die sach richtig mache alß begeren sie d. er 5 July styl non vor Innen * erscheine & Ires burgers begeren selb d durch ein Anwaldt anhoren woll.

Luc Thoman, receveur demeurant dans la maison de Hanau, et sa femme Anne Catherine Cappeller vendent la maison au farinier Georges Stiegler

1634 (ut spâ [18. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 542-v
(Protocollat. fol. 94.) Erschienen Lucas Thoman Schaffner im Hanawischen hoff alhie, vnd Anna Catharina Kappelerin sein ehefr.
haben in gegensein Georg Stiglers deß Meelmanns auch burgers alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, höfflin vnd einen gemeinen Bronnen mit allen and.en ihren gebäwen & Alhie in der Freÿburger gassen neben Jonas Trenner dem schuhmacher & Niclauß Mausen dem Schneider, hind. vff die freÿburger Zunfftstuben stoßend gelegen, davon gehen Jährlich vff (-) 6 fl. 7 ß 6 d gelts dem Stifft S. Marx alhie in hauptgut mit 150. fl. dauon stehen fünff Jar Zinß auß thun 33. fl. 7 ß 6 d So dann ist solch hauß auch noch verhafftet vmb 278. lb d hauptg. und davon Zinß von Anno 1630. biß dato 68. lb 15. ß d H Eberhardt Zetzners Kindern, daran Alle Jahr auf Annunciationis Mariæ 100. lb sampt dem Zinß Zuerlegen, sonst ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschw., so der Käuffer vff sich genommen, gescheh. per 253 fl.

Originaire de Dinckelsbühl en Franconie, le boulanger Georges Stiegler épouse en 1622 Marguerite Ipper, fille du boulanger Martin Ipper (nommé Martin Sper à l’acte de mariage)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 128 n° 6)
1622. den 11. Februarÿ sind ehelich eingesegnet worden Jörg Stiegler, von dinckelspiel, der weißbeck Jörg Stieglers des weißbecken vnnd burgers daselbst Sohn, vnnd Jungfrauw Margreth, weiland Martin Sper, gewesenen Weißbecken vnd burg. alhie, seligen, nachgelaßene dochter (i 138)

Georges Stiegler devient bourgeois par sa femme Marguerite Ippert trois jours après son mariage
1622, 4° Livre de bourgeoisie p. 43
Georg Stügler Von Dinckhelspüel der Mehlmann, empfangt d. Burg.recht Von Margaretha, Weÿl. Martin Ipperten deß Weißbeckhen see: Alhie hind.laßene ehelich. dochter, vnd Will Zu den Beck. dienen, Actum den 14. Februarÿ Aô 1622

Les fariniers, les amidonniers et les fabricants de pâtés achètent le grain en trop grande quantité au marché, ce qui le renchérit. Georges Stiegler est le seul à être nommément cité pour ces abus.
1625, Protocole des Quinze (2 R 53)
Meelleüth, Amblungmacher, Pastetenbecken mißbauchen den Kornmarck. Geörg Stiegel. 193.
(f° 193) Donnerstag den 15.ten Augusti. – H. XV. Meister bericht, die geschworne beede schawer clagen, daß die Meelleüth, Amblungmacher, Pastetenbecken vff den Kornmarck theuwrung verursachen, In dem sie ein fallen, den besten vndt schönsten weitzen außstechen, auch ein mehrers von früchten dann Ihnen die Ordtnung Zugibt, vndt an statt daß sie nur 4 frtl. kaufen sollen, wohl 12 erpracticiren & ob nit die Zahl der Meelleüth Zuringern ein Schreiber vffm Kornmarck Zubestellen vndt die v.brecher abzustraffen.
Erkandt, Ober Ungeltherrn sollen die Brodtschawer ferner fernemmen vndt daß die so wider Ordtnung gehandellt nambhafft gemacht werden & Ober Ungellt Herren v.richtens Allso baldt, referiren brodschawer halten nit darfür, daß es sich mit der schreibereÿ vf dem Korn Marckh werde thun laßen, seÿ der Meelleüt Ordtnung Zwar steig aufgesetzt, werde mit darauf gehalten, schlagen, Zum Mittel für daß Meelleüth, Amblungmacher, Pastetenbecker, von dem Marck ab: vndt auff die Casten Zuweÿsen, Geörg Stiegele hab enormiter gehandellt, dahero Abzustraffen, weiß vndt Schwartzbecken solten deß Meelwercks müeßig stehen, & ob nit Alle Meelleüth Zubesenden, in handtrew aufzunemmen, ob sie nit wider Ordtnung gehandellt gleich mit den wührten procedirt worden.
Erkandt soll durch Ober Ungelth. bedacht werden, als sich mit der handtrew practiciren laßen wöll, oder wie die abstrafung vorzunemmen, deßgleichen welcher gestalt daß verfürwortten vff dem Marck Zuv.hüeten.

Le farinier est mis à l’amende pour avoir enfreint le règlement du marché au grain
1626, Protocole des Quinze (2 R 54)
Geörg Stiegele. 288. der Meelman
(f° 288. Donnerstag den 24. Novembris Seind volgende Straffen durch Mich vf den Pfenningthurn gelüffert worden
Geörg Stiegele der Meelman, hatt wid. Kornmarckts ordtnung gehandellt, Zur straff erlegt 3. lb, davon vß befelch der Ober vngellth.dem Anbringer 110 ß ver Ehrt word. rest 2. lb 10 ß

Marguerite Ipper se remarie en 1637 avec le tailleur Jacques Grisel.

Le farinier Jean Georges Metzger vend au nom de son beau frère mineur Abraham Stiegler la maison au chaussetier Marcel Schreiber

1653 (18. maÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 277-v
(Protocoll. fol. 61.) Erschienen hannß Georg Metzger der Meelmann alß Vogt Abraham Stiglers seines Schwagers mit beÿstand H Johann Wolffgang Heßlers und H Johann Peter Schmidts beeder alß auß EE groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
hatt in gegensein Martzolff Schreibers deß hosenstrickhers
hauß, hoffstatt, höfflin, Bronnen, hinderhäußlin, mit allen übrig. Gebäwen & alhie in der Freÿburg. Gaß, ist ein Eckh geg. dem Müntzhoff, einseit neb. hannß Saußenthalern dem Kürßnern, anderseit neben Jonæ Trennern dem Schuhmachern, hind. vff die Freÿburger Zunfftstub stoßend gelegen, davon gehend iahrs 3 lib 7 ß 6 d vff Michaelis lößig mit 75 lib. dem groß. gemeinen Allmosen Zu St Marx, sonst für freÿ ledig vnd eig. Und were dißer Verkauff und Kauff über die erstgemeldte Beschwärdt, daran d. Käuffer gewißen word. ist, welche derselbe auch übernohmen (…) geschehen umb 255 lib
[in margine :] Erschienen hierinngemelter Abraham Stigler, mit beÿstand H Johann Georg Lang, Notarÿ, seines Schwähers, hatt in gegensein deß Käuffers bekhannt (…) quittirend Verspr. Act. 11. maÿ a° 657.

(Héritier de son oncle Marcel Schreiber), Pierre Schreiber de Hœnheim et sa femme Barbe vendent la maison à Jean Georges Windenius, musicien et secrétaire à l’Université

1667 (13. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 540-v
(Prot. fol. 36. fac. 2. – 375 lib) Erschienen Peter Schreiber von Höhnheim und Barbara sein Erkannt Willfahrt, beÿde mit beÿstand hannß Niclaus Schreibers deß hosenstrickhers ihres eheleiblich. Sohns
in gegensein H M. Johannis Georgÿ Windenÿ Musici und Scribæ Gÿmnasÿ – ihme H Mr Windemio, verkaufft
hauß, hoffstatt, höfflin, Bronnen, hinderhäußlin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, weith. Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in der Freÿburg. Gaßen, ein Eckh geg. dem Müntzhoff hienüber Zwischen hannß Saußenthalern dem Kürßner, hind. vff die Zunfftstub zum Freÿburg. stoßend geleg., welche Behaußung umb 75. lib. Capital und 23. lib 14 ß 6 d. davon biß vff instehend Mich: verfallene Zinnße dem groß. gemeinen Allmosen Zu St. Marx, Und umb 75. lib Capital und 9. lib. 7 ß 6. d davon biß vff gemelt Mich. gerechnete Zinnße und Marzahl H Johann Daniel Würtz Treÿern der Statt Pfenningthurn verhafftet (übernohmen) – umb 191. lib.

Enseignant et secrétaire à l’Université, Jean Georges Windenius et sa fiancée Barbe Holler, originaire de Sarrebruck, achètent le droit de bourgeoisie en avril 1660
1659, 3° Livre de bourgeoisie p. 962
Hn Johann Georg Wintenio Præceptor vnd Schreiber beim Gÿmnasio alhie ist auß Sond.bahrer oberkeitlich gnad. sampt seiner verlobten Jungf. Barbaram Hohlerin von Sarbrücken d. burgerrecht darein sie angenommen word. seind, freÿ geschenckt, vnd wollen Zu E. E. Zunfft d. Steltzen dienen, Jurav. 20. Aprilis 1660.

Fils du pasteur de Langen-Kandel dans la seigneurie de Guttenberg (près de Germersheim en Palatinat), Jean Georges Windenius épouse en mai 1660 Barbe, fille du pasteur de Bouquenom (Sarre-Union) Jean Josse Holler.
Mariage, cathédrale (luth. f° 116, n° 20)
1660. Misericord: Dni den 6. Maji. Zum 2 mahl Hr M. Johann Georg Windenius Præceptor Musices und Schreiber bei hiesigem Gymnasio, Weiland Hr. Johann Jacob Windenÿ gewesenen Pfarrers Zu Langen: Candel in der graveschafft Gutenberg hinterlaßener ehel. Sohn, Jfr. Barbara, Hr Johann Jost Höllers Pfarrers Zu Sar- Bockenheim ehel. Tochter. Dienstags den 15. Maji. Spiegel. Münster. Hhstub (i 117)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 40-v) 1660. Dncâ Misericordiæ den 5. Maji. H. M. Johann Georg Windenius Præceptor Musices vnd Scriba alhiesigen Gymnas. J. Barbara H Johann Jodoci Höllers Pfarrers Zu Sarr- Bockenheim Eheliche Tochter. Copulirt d. 15. Maji in dem Münster (i 44)

Jean Georges Windenius renonce à sa place au collège des wilhelmites et demande un subside pour pouvoir s’établir jusqu’à ce qu’il ait trouvé un meilleur emploi. Il reçoit des avantages en nature (bois, fagots et grains) et le logement dans la maison qui appartient au béguinage du Tiers Ordre à charge de l’entretenir.
1660, Conseillers et XXI (1 R 143)
Mr. Johann Georg Windenius. 45. 61.
(f° 45) Montag d. 5. Martÿ – Mr. Johan Georg Windenius p. subsidio
Mr. Johan Georg Windenius vberreicht per Wild. Vndgr. supplication resignirt sein beneficium Wilhelmitanum, Bericht d. Er sein eigene Haußhaltung anzufangen vorhabenß, Bitt Mh. Vm ein Subsidium Damitt Er sein außkomm. haben möge, biß Er Zu einer beßerer g.dition gelangen thut. Erk. Soll bedacht werden.

(f° 61-v) Montag d. 19 Martÿ – Mr. Windenio Würdt ein Jährliches subsidium geschopfft
(3) daß Mr. Windenius mit einer vndg. supplication beÿ Mh. einkommen, vnd Ihn er Zuerkennen geben, d. Er sein eigen Haußweß. anzufangen Vorhabenß, vnd dießes darum damitt Er seine erlebte Muhter Welche keine mittel vnd alterß halb. nicht mehr vortkommen kan, Zu sich nemmen möge, mit bitt Mh Wolten Ihme mitt einem Jährlich. Subsidio Vnder die Arm greiffen, damitt Er sein außkommen desto beßer hab. mochte Habe Vacationes gehabt, man Habe Ihnen aber Der musique halben nicht erlaßen wollen, Werde Ihme Dadurch anderß gegeben seines vleiß beÿ d. Jugend vnd desto mehr scheinen Zulaßen Seÿe Vor guth angesehen word. man sol sein begehren in g.sideration Zihen Vnd Ihme ahne holtz 4 Fuder Vnd dan 300 Einwidiger Wellen durch den Haag meister Vnd das 6 frt. früchten halb vnd halb Von der Schuel Jahrlich lüffern laß. Vnd weÿlen man sich errinnert daß die Samlung Zur tritten regul ohne daß lehr stehet, Alß seÿ vor guth angesehen word. man soll Ihme dieselbige einraumen, die H Pfleger aber so vber selbige gefäll gesetzet die v.ordnug thun daß d. hauß auß d. selbigen mittlen mag reparirt werd.. Erk. Gevolgt worden.

Jean Georges Windenius demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un un nouveau logement puisque la maison du Tiers Ordre rue Sainte-Hélène va être vendue. L’assemblée le renvoie au receveur des béguinages.

1663, Conseillers et XXI (1 R 146)
Joh: Georg Windenius umb ein hauß. 9.
(f° 9) Mittwoch den 21. Jan. – Joh: Georg Windenius umb ein hauß.
M. Joh: Georg Windenius supplicirt, weil ihm vor 3 jahren biß zu anderwerthlicher beförderung eine freÿe behausung in der höllen gaß gelegen vnd Zur samblung Zur dritten regul gehörig bewilligt word. nuhn aver dieselbige u. den H Pflegern verkaufft werden Mghh. ihn mit einer andern begnadigen wollen.
Erk. an die H. Scholachen gewiesen, die von dem Schaffner der Samblungen vernehmen werd. ob kein andere bequemlichkeit für ihn zu finden. H. Ansorg, H Voltz.

Jean Georges Windenius demande un complément aux subsides dont il bénéficie déjà en attendant de nouvelles fonctions plus rémunératrices. Il reçoit de nouveaux avantages en nature pour le récompenser de la musique dont il s’occupe.
1665, Conseillers et XXI (1 R 148)
Mag. Joh: Georg Windenius. 126. 137. 140.
(f° 126-v) Sambstags den 19.ten Augusti – Mag. Joh: Georg Windenius.
Mag. Joh: Georg Windenius überr p. Wilden underth. Supplicat. danckt für die Ihme vor 5. Jahren beschehene addition, vnd bitt noch etwas dazu Zu legen, biß daß Er einen andern vnd beßern dienst bekombt. Erk. An die Mhh gewießen. Herr XV. Frantz et Herr Schach.

(f° 137-v) Montags den 4. Sept. – Joh: Georg Windenius
(5) Es hette Magro. Johann Georg Windenius Zu erkennen gegeben, wie gar Er mit der Ihme geschöppfften bestallung beÿ ietztmahls Zugenommener haußhaltung nicht bestehen könne, vnd deßwegen vmb addition gebetten, Nun seÿ Seine Persohn wohl recommendiirt, were auch kein Zweiffel wann Er wegtrachten solte, d. Er nicht balds condition bekäme, allein wirdte dadurch die Music einen Zimblichen stoß laßen, deßwegen Sie dafür gehalten dieweilen gleichwohlen die bestallung so gering daß Er dabeÿ nicht bestehen kann, mann werde etwas, wann mann Ihme anderes anhalten will, beÿ der sachen thun müßen vnd hetten deswegen von Ihm vernommen laßen, wamit Ihme am besten gedient sein möchte, da Er es dann vff etwas vorigs ane gelts, holtz vnd wein gestellt hatt, Sie hetten deßwegen vermeint, weilen Er bereits 6. vrtl. früchten, 300. wellen, 4. fuder holtz vnd eine freÿe wohnung hatt, so könte mann Ihm ietz und annoch 300. wellen, 2 fuder holtz, ½ fuder wein vnd 6. lb d ane gelt, vnd Zwar dieses letztere von S Marx addiren, doch wolten Sie alles Zu Mghh. stellen. Erk. gefolgt.

(f° 140-v) Montags den 11. Septembris 1665 – Magister Johann Georg Windenius übergibt eine Underthänige dancksagung, für die Ihme gn. Zuerkante addition. Auff sich.

Nouvelle demande de subsides (le registre est abîmé)
1671, Conseillers et XXI (1 R 154)
Johann Georg Windenius. 153.
(f° 153) Sambstag d. 3. Junÿ – M. Johann Georg Windenius der [-] bitt vmb erlaßung des trengelds Gleich [wie den] Schuhldienern Geschehe, weilen Er von schlechten [-] vnd Gar geringe besoldung hette, Auch dato [-] anderwertig promouirt werden können. [-] vmb solcher Consideration willen Wilfahrt. H. XXI. Schmidt vndt H. Von Veßenheim.

Son fils Jean Georges Windenius, pasteur à Wintersbourg près de Phalsbourg, épouse en 1687 Anne Marie Tornarius, fille du pelletier Jean Joachim Tornarius : contrat de mariage, célébration
1687 (7. Apr.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 83
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen dem Ehrwürdig vnd wohlgelehrten H. H Johann Georg Windenio der Zeit wohlbestellten Pfarrherrn Zu Wintersburg Fürstt. Veldentzischer herrsch. deß Ehrenvest vnd wohlgelehrten H. M. Joh: Georg Windenÿ beÿ alhiesigem Gÿmnasio wohlbestellten Scribæ v. Musici burgers zu Straßburg Ehelichem Sohn als hochzeiter an einem
Vndt der Ehren und Tugendgezierten Jungfr. Annæ Mariæ, weÿl. Mr Hannß Joachim Tornarÿ Geweßenen Kürschners vnd burgers alhie Zu Straßb. nachgelaßener Eheleibl. dochter als hochzeiterin andern theils
Actum Straßb. Mo&&s den 7. Apr. St: N: A° 1687. [unterzeichnet] Johannes Georgius Winenius Pastor. Winterb. als Hochzeitter, M Joh: Georgius Windenius als deß Hochzeiters Vatter – Georg Friderici als Stiesvater

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 126, n° 742)
1687. Dom. Trinit. et I. Trin. 25. Maÿ und 1. Junÿ. H. Johann Geörg Windenius, Pfarrer zu Wintersburg hochgr. Pfaltz vendentzisch herrschafft, H. M. Johann Geörg Windenÿ, Musici et Scribæ Infer. Gymnas. ehelich. Sohn, Jfr. Anna Maria weÿl. Johann Joachim Tornarÿ burgers und Kürsners eheliche Tochter. Cop. mittwoch den 4. Junÿ (i 65)

Anne Marie Tornarius fait dresser l’inventaire de ses apports
1687 (7.6.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 9)
[Inventarium über alles dasjenige so Frau Anna Maria gebohrne Tornariusin] zu dem Ehrwürdig Undt Wohlg[-] herrn Johann Georg Windenio der Zeit Wohlbestellten [Pfa]rrherrn Zu Winterspurg hochfrst. Pfaltz Veldentz. HerrschIhrem geliebten haußwürt vor ohnverändert in die Ehe gebracht (…) Actum Sambstag d. 7. Junÿ 1687
In einer allhier zu Straßburg hinter der Kürschner Stub in der sogenannten heiligen Liechtergaß gelegener Behaußung befund. worden wie volgt
Sa. Haußraths, Sa. Silber geschirr und Geschmeids, Sa. Goldene Ring, Sa. Baarschafft, Summa summarum (-)

Le mandataire de Jean Georges Windenius, souffrant, et Barbe Holler hypothèquent la maison au profit de Jean Schmidt, receveur de la fondation Saint-Marc. En marge, quittance accordée au menuisier Paul Würtz en 1712.

1688 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 268-v
H. Johann Philipp Sachs, de Pastetenbeck und E:E: kleinen Raths alter beÿsitzer und Abraham Jundt der weißbeck alß (…) constituirte Mandatarÿ Hn M. Johann Georg Windenÿ, Informator. Musicæ Infer. Gymnas. allhier, welcher unpäßlichkeit halb. nicht außgehen kan, So dann fr. Barbara gebohrne Hollerin, Erstged. H. Windenÿ eheliche haußfrau und Zwar dieselbe mit beÿstand vorged. H. Sachß. und Jund
in gegensein H: Johann Schmids Schaffners Zu St. Marx – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine behaußung, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäwen recht. und zugehördt allhier in der freÿburger Gaß, einseit neben der Rothenkirch behaußung, anderseit ist ein Eck an der barblengaß gelegen
[in margine] (…) in gegensein Paul Würtzen Schreiners als ietzigen proprietarÿ hierinn gemeldten Haußes (quittung) den 23. Junÿ 1712.

Enseignant de musique à l’Université, Jean Georges Windenius meurt en 1688 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 394 livres, le passif à 41 livres.

1688 (23.8.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 12) n° 702-a
Inventarium vnd Beschreibung Aller der Jenig. Haab, Nahrung vnd Güethern, ligenden v. vahrenden, Keinerleÿ außgenommen, so weÿl. der Ehrenueste vnd wohlgelehrte Herr Johann Geörg Windenius beÿ alhiesigem Straßb. Gÿmnasio wohl meritirte Præceptor Musices, beÿ seinem den 25.ten Maÿ hus. Anni, beschehenem seeligen Absterben Zeitlich. verlaßen, wo auff erfordern vnd begehren sein deß verstorbenen seel. mit hernach benamßten seiner Fr. Wittib ehelich gezeugten hinderlaßener Herren Söhn v. döcht. alß ab intestato Erben inventirt, durch die viel rhen v. tugendreiche Fraw Barbaram Höllerin, die hinderplibene wittib (…) Actum inn fernern gegenwarth deß Ehrenuesten v. Kunstreich. H. Johann Friderich Mägerlin, burgers Barbierers vnndt Wundartzten allhier Vorhergecacht. Fraw wittiben geordneten Herrn Curatoris, vff Montag den 23.ten Augusti A° 1688.
Der verstorbene seeliger hat ab intestato Zu Erben Verlaß. 1. H; Joh: Geörg Windenius ;, vertribene Pfarrer von Wintersperg, hochfrst. Veldentzischer Herrschafft, burger alhier, so Zwar abwesend inn deß. nahmen ab . Fr. Anna Maria Tornariusin seine haußfr. Zugegen gewesen, 2. Jungfr. Annam Barbaram, So mit H. Ma : Joh: Christoph Schäff, inferioris Gÿmnasÿ Scriba & Collegÿ Marciani Pædagogo ehelich versproch. 3. H. Joh: Jacob Windenium, Philosophiæ Studiosum, 4. Jfr. Mariam Salome, Welch. beed. Letztern geschwüsterd Zum vogt verordnet d. Ehrenveste v. vorgeachte Herr Christian Gebhard, Seckhler v. burg. alhie, so d. Inventation v. Anfang biß Zum ende beÿgewohnet

So in einer alhie Zu Straßburg ane Freÿburger gaßen gelegenen vnd in diße Verlaßenschafft behörigen behausung befunden worden wir folgtt.
Ane Haußrath, vff d. obern Bühn, Inn d. Cammer A, Inn d. wohnstuben, Inn d. Stub Cammer, vor d. wohnstub, In d. Kuch., Inn d. vnd. stuben, Inn d. vnd. Kuchen, Im vnd. haußöhrin, Im Keller
Eÿgenthumb ane Einer behaußung. Nemblich. Hauß hoffstatt höfflin bronnen, hind. höußel, mit allen seinen gebäwen begriff. recht. v. Zugehörd. alhie in d. freÿburg. gaß. geleg. ist j: s. ein eck geg. dem müntzhoff hinüb. 2.s. neben j. behaußung d. roth. Kirch. behörig, hind. vff die Zunfftstub Zum freÿburg. stoßend, dauon gefaller d. 15. April: v. Aô 1689. Zum ersten mahl 3. lb d à 4. p. ct° gerechnet. Zinß dem Almosen Zu S. Marx, lösig mit 75. lb. d vnd ist üb. diße beschwärdt æstimirt 225. lb. Darüb. sagt j. perg. Kauffbrieff inn alhieigen Cancelleÿ Contract stb. gefertigt mit anhangendem Contract Insigel datirt d. 13. 7.br. 1667. dabeÿ noch 2. alte Perg : Kauff v. j. ganthbrieff Zubefind.
Abzug. Sa. haußraths 49, Frücht 3, lähre Vaß 16 ß, Bibliotheca 3, Silb. 3, guldine Ring 4, baarschafft 35, hauß 225, Activum 68, Summa summarum 394 lb – die summa d. Passivorum ist 41, Conferendo pleibt ane d. Massa übrig 352 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 352 lb

Barbe Holler veuve de Jean Georges Windenius hypothèque sa part de maison au profit du même Jean Schmidt. Quittance identique en marge.

1690 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 94
Fr. Barbara gebohrne Hollerin, weÿl. H. M. Johann Georg Wintenÿ gewesenen Musici beÿ allhiesig. Gymnasi hind.laßene Wittib, mit beÿstand H. Johann Friderich Megerlin deß barbierers und wundartzts, Ihres Vogts
in gegensein H. Johann Schmiden, Schaffners deß großen allmosens zu St Marx nahmen deßelb. – schuldig seÿe 25 pfund
unterpfand, Ihr der Schuldnerin dritter theÿl an einer behaußung hoffstatt höfflein, Bronnen, hind. haüßlein mit allen deren Gebäuen, begriffen, eecht. und zugehördt. allhier in d. Freÿburg. gaß, so einsert ein Eck geg. dem Müntzhoff hinüber, anderseit neben einer behaußung Zur Roth. Kirchen gehörig, hind. auff die Freÿburg. stub zum theÿl, und zum theÿl auff Eliam Horneck den Kirschner stoßend geleg.
[in margine :] (…) in gegensein Paul Würtzen des Schreiners als ietzigen proprietarÿ hierun bemelten Haußes (quittung) den 23. Junÿ 1712

Barbe Holler hypothèque son tiers de maison au profit de la fondation Saint-Marc

1691 (19.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 356
Erschien Fr. Barbara, gebohrne Hollerin, weÿl. H. M. Johann Georg Windenÿ gewesenen Musici et Scribæ Inferior. Gymnasÿ hind. laßene wittib, mit beÿstand Hn Johann Friderich Mägerlin deß barbierers Ihres, und Hn Christian Gebhard deß Säckers Ihrer Kind. Vogts
hat in gegensein Hn Johann Paul Tromers Notar. Publ. alß Und.schreibers deß großen Gemeinen Allmosens zu St. Marx im nahmen ged. Stiffts – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, Ein dritter theÿl für ohnvertheilt ane hauß und hoffstatt allhier an d. Freÿburg. gaß, so ein seit ein Eck an d. Barblen gaß, geg. dem Müntzhoff über, and.seit neben einer behaußung der Roth. Kirch gehörig, bewohnt Paul Hartschmid, der Haffenmacher, hind. auff hans Jacob Bruder den Lederhändler Zum theil und Zum theil auff Elias Horneck den Kirßner, stoßend geleg. welche behaußung Zuvorhin umb 75 lb d Capital obged. Allmosen verhafftet
[in margine :] Erschienen /:tit:/ Herr Johann Jacob Richshoffer XV.ner als Pfleger, vnd H Johann Spielmann als Schaffner hierinn ged. Allmosens Zu St Marx, habenin gegensein Paul Würtz, Schreiners, als ietzigen proprietarÿ hierinn ged. Haußes (…) Act. d. 23. Junÿ 1712.

Barbe Holler hypothèque son tiers de maison au profit du pasteur Martin Iller pour pouvoir doter sa fille Marie Salomé

1701 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 264
Fr. Barbara geb. Hollerin Weÿl. Hn M. Johann Georg Windenÿ geweßenen Præceptoris Musices nun seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn Johann Friderich Mägerlin des Barbierers und Wundartzts und E:E: kleinen Raths beÿsitzers Ihres Curatoris
in gegensein Hn Johann Gärttners Schul Meisters beÿ der Neuen Kirchen allhier im Nahmen /tit/ Hn M. Martini Illers Pfarrherrn ged. Neüen Kirchen – schuldig seÿe 50 pfund, daß Sie damit Jfr. Maria Salome Windernußin Ihre leibliche Tochter welche Verlobt hat aussteuren und wegen Ihrer Vätterlichenen Legitimæ hat außweisen können
unterpfand, Ein dritter Und ane zweÿ dritten der Vierdte theil oder waß Ihro gebühren mag an Hauß Hoffstatt, Höfflein, Bronnen, Hinderhaüßlein mit alllen Gebaüen, begriffen, Rechten Und Zugehördten allhier ane der freÿburgergaß einseit ist ein Eck gegen dem Müntzhoff, anderseit neben einer behausung der rothen Kirchen allhier gehörig hind. vff die Zunfft stub zum Freÿburger stoßend gelegen

Le notaire Schatz a dressé l’inventaire (non conservé) après la mort de Barbe Holler. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 700 florins et que Jean Georges Windenius, pasteur à Ostheim, doit régler un droit de détraction.

1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 74-v
(Steltz, F., N. 159) Weÿl. Frauen Barbaræ auch Weÿl. Hn. Johann Geörg Windenÿ geweßenen Præceptoris Musices und Burgers alhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Schatz.
Concl. fin. Inv. ist fol. 37, 415. lb 7 ß 4 d, die machen 800 fl. dieselbe verstallte Hingegen allein 700 fl. also 100 fl. Zu wenig.
Wavon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs jahr in duplo macht à 6 ß d – 1 lb 16 ß
Und auff vier jahr in simplo trifft à 3 ß d, – 12 ß
So thun die Gebott – 1 ß 4 d
Und dann die Abhandlung – 10 ß 6 d
Extat d. Stallgeltt pro 1709. – 1 lb 1 ß , Summa 4. lb 10 d
Abzug. Herr Johann Geörg Windenius Pfarrherr zu Ostheim in der Rothenburgischer Landtwehr, hat alß dißorts frembd und ohnverburgert von angefallenen 51. lb. 15. ß. 2. d. Vätter: und Mütterlichem Erbe ane Abzug zu entrichten, benantlichen, 5. lb. 3. ß. 6. d
dt. omnia d. 2° Martÿ 1709.

La maison revient à sa fille Marie Salomé Windenius qui épouse en 1701 le menuisier Paul Würtz : contrat de mariage, célébration

1701 (23.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5941)
Heuraths Verschreibung – Zwisch. dem Ehrenhafft. Meister Paul Würtzen, Ledigen Schreinern, weÿl. des Ehrengeacht. H. Paul Würtzen, auch gewesenen Schreiners burg. alhie Zu Straßburg seelig. nachgelaßenen ehelich erzeugten Sohn, als hochzeitern an einem
So dann d. Viel Ehren: undt tug.dtsame Jungfrauen Mariæ Salomeæ Windeniußin, Weÿland des wohl Ehren Vest. wohlgelehrten Herrn M. Johann Georg Windeniußen, gewesenen Musici, auch Scribæ Inferioris Gymnasÿ et Pædagogi Stipendÿ Alumnorum Sancti Marci, ebenmäßig. burg.s alhier Zu Straßburg seeligen hind.bliben. eheleiblich. tochter, d. Jungfrauen hochzeiterin, and. theils
Bescheh. undt verhandelt in dieß. Königlich. Statt Straßburg, Sambstags d. 23. Aprilis nach Christi Jesu Unsers Einig. Erlösers heÿlandts und Seeligmachers frewdenreicher geburt 1701
1 AH 5893, Protocollum tertium f° 191-v

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 120 n° 583)
Mittw. d. 8. Jul. wurd. nach ordentlicher außruff. copulirt Paulus Würtz, d. led. schreiner v. B. allhier, weil. Hn. Pauli Würtzen geweß. schreiners v. B. allhier nachgelaß. ehl. sohn, v. J. Maria Salome, weil. Hn. M. Joh. Georg Windenÿ, geweßenen Scribæ & Musici im unterm Gymnasio v. Pædagogi Marciani nachgelaß. ehl. tochter [unterzeichnet] Paulus Würtz Alß Hoch Zeiter, Maria Salome windeniußin als hochzeiterin, Johann Heinrich Küeffer* alß Stieffvatter, Christian Gebhard Alß Vogdt (i 119)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 83 n° 449) Nach geschehener außruffung auch Zu S. Thomas ist den 6 Julÿ 1701 in der Neüen Kirch copulirt word. Paulus Würtz der ledige schreiner weÿl. H. Paulus Würtzen gewesenen burgers und schreiners allhier nachgelaßener ehelicher Sohn, mit Jfrt. Maria Salome, weÿl. Herren M. Johann Georg Windeniusen, gewesenen Scribæ undt Musici in inferiori Gymnasio, auch pædagogi beÿ dem Collegio Zu S Marx nachgelaßene ehelich. tochter (i 85)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 118 livres, ceux de la femme à 261 livres.
1701 (23.7.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6022) n° 618
Inventarium und Beschreibung aller d. Jenig. Haab undt Nahrung, so dem Ehrengeachten Paul Würtzen, Schreinern und d. Viel Ehren und tugendsahmen frawen Mariæ Salome Windeniußin, beed. Eheleuth. burg. alhier Zu Straßburg eÿgenthümblich gehörig, so umb d. ursach beschrieb. wirdt, weilen in d. Zwisch. beed. ged. Ehepersohnen mit einand. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich. v.sehen, d. eines jed. in die Ehe gebrachte Vermög. einen jed. undt seinen Erb. ein freÿ eÿgen ohnverändertt undt vorbehalt. guth seÿe (…) welches beschehen in Straßb. inn beÿsein d. Ehren: undt vorgeachten herrn hannß Heinrich Kaüffers, Schreiners, des Ehemanns Stieffvatters undt Hn Christian Gebhardts Säcklers d. Ehefrauen noch ohnentledigten. vogts Sambstags d. 23. Julÿ anno 1701.
des Ehemanns Vermögen anlangend, Sa. haußraths 46, Werckzeug Zum Schreiner handwerck gehörig 19, Silber 2, baarschafft 80, Summa summarum 118 lb
der Ehefr. Nahrung anlangend, Sa. haußraths 147, Silbe und geschmeid 15, guldene ring 23, baarschafft 75, Summa summarum 261 lb

Jean Paul Würtz loue une partie de la maison au maçon Jean Georges Kieffer

1727 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 558-v
Johann Paul Würtz Schreiner
in gegensein Johann Georg Kieffer des Maurers
entlehnt, In seiner allhier ahne der Freÿburger gaß, einseit ist ein eck ahn St Barbara gaß anderseit neben einem dem Mehrern hospithal allhier gehörigen hauß hinten auff Butz den Schneider gelegenen behausung, Einen theil eines gewölbten Kellers sambt 4 ohngefähr 200 ohmen zusammen haltenden Faßen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Michaelis umb einen jährlich Keller: und Faßzinnß von einem Batzen jedem Ohmen für 200 ohmen – um einen jährlichen Zinß nemlich 13 gulden 3 schilling 4 pf.

Le boutonnier Antoine Meyer se plaint du coffre que lui fait Jean Paul Würtz. Le conseil renvoie l’affaire comme les parties ne comparaissent pas.
1737, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 235) Dienstags den 19.ten Martÿ 1737 – Anthoni Meÿer der Knöpffmacher Contra Paulus Würtz den Schreiner, so abwesend Klagt, daß er ihme einen Kasten gemacht aber nicht auf die Art, wie er Ihme denselben anbefohlen, und weilen er ihme denselben Zu theur geben will, bitt Abschatzung.
Erkannt, weilen die Partheÿ nicht præsenz so seÿe dis Sach Zu verschieben.

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius louent une partie de la maison au marchand de vins Jean Schætzel

1739 (11.6.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 284
Paul Würtz der Schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin beÿständlich ihres tochtermanns Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers
in gegensein H. Johann Schätzel des weinhändlers
entlehnt, In ihr Würtzischen Ehefrau eigenthümlich zuständigen behaußung unten ahne der Freÿburger gaß, einseit ist ein Eck an St Barbara gaß, anderseit neben einer dem hiesigen hospitals gelegenen behausung, den vordern auff die gaß stehenden gewölbten Keller, ein klein unterschlagenen plätzlein so die verlehnerin sich zu ihtem gebracuh vorbehalten ausgenommen, beneben denen anjetzo darinn befindlichen Liegerlingen – auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend auff nächstkommenden Johann Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 7 pfund

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit d’Anne Dorothée Bær, femme du pasteur Philippe Jacques Leonhard

1742 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 201
Paulus Wurtz der schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin mit beÿstand H. Balthasar Sattlers des handelsmanns u. H. Balthasar Hummels des pastetenbecks beede ihrer vettern
in gegensein Fr. Annæ Dorotheæ geb. Bärin, H. M. Philipp Jacob Leonhard Pfarrers zum alten St Peter – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, eine behausung, höffein und hoffstatt cum appertinentis in der Freÿburger gaß gegen der königl. Müntz über, einseit neben einem dem Mehrern Hospital gehörigen hauß
anderseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, hinten theils auff der Freÿburger Zunfft stub theils das wirthshauß zum Falcken – als ein elterliches erbguth

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit du tailleur Jean Georges Stoltz

1743 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 42
Paulus Würtz der schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin mit beÿstand ihres sohs Johann Daniel Würtz des goldarbeiters und Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers ihres tochtermanns
in gegensein Johann Georg Stoltz des schneiders – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis in der Freÿburger gaß, einseit neben einer dem Mehrern Hospital gehörigen behausung, anderseit neben ist ein Eck, hinten auff E.E. Zunfft der Freÿburger theils das Wirths hauß zum goldenen Falcken – als ein elterliches erbguth

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit du juriste Samuel Silberrad, substitut aux affaires criminelles

1743 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 74
Paulus Würtz der schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin mit beÿstand ihres sohns Johann Daniel Würtz des goldarbeiters und Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers ihres tochtermanns
H. Samuel Silberrad J.U.L. und Substituti beÿ dem verjicht protocoll – Contract stub 200 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburger gaß, einseit neben einer dem Mehrern Hospital gehörigen behausung, anderseit ist ein Eck, hinten theils auff E.E. Zunfft der Freÿburger theils das Wirths hauß zum goldenen Falcken – als ein elterliches erbguth

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit du marchand de poisson Jean Jung

1743 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 170
Paulus Würtz der schreiner und Margaretha Salome geb. Windeniußin mit beÿstand ihrer sohne Johann Daniel Würtz des goldarbeiters und ihres tochtermanns Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers
in gegensein Johannes Jung des fischhändlers- schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburgergaß, einseit neben einem dem mehrern hospital gehörigen hauß, anderseit ein Eck, hinten theils E.E. Zunfft der Freÿburger theils auff das wirthhauß zum goldenen Falcken – als ein elterliches erbguth

Marie Salomé Windenius meurt en 1745 en délaissant trois enfants. Les experts estiment à la somme de 750 livres la maison préléguée au fils orfèvre Jean Daniel Würtz. La masse propre au veuf est de 126 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 004 livres, le passif à 755 livres

1745 (17.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 364) n° 184
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Mariä Salome Würtzin gebohrener Windeniußin des Ehren und Vorgeachten Herrn Paul Würtz des Schreiners und Burgers allhier Zu Straßburg geweßener Haußfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1745 – als derselbe Donnerstags den 26.ten Februarÿ dießes lauffenden 1745.sten Jahrs dises Zeitlichen mit dem Ewigen Verwechstelt, nach solch tödlichen hientritt Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 17.en Martÿ A° 1745.
Die abgeleibte seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie folg, 1° Frau Catharinam Salome Wagenmännin geb. Wurtzin Hn Johann Nicolai Wagenmanns des Kieffers und burgers allher eheliche haußfrau, Welche mit und beneben gedachtem Ihrem Ehevogt in Persohn beÿ dem geschäfft erschienen, 2.do Herrn Daniel Würtz, Ledigen Goldarbeiter, so Majorennis und ohnbevögtigt, dahero Er in selbst eigener Persohn mit Assistentz des hoch Edel Vest und hochgelehrten herrn Johann Andream Schaaff J. U. Lti und E: E: großen Raths wohlbestelten Procuratori Vicarii seines erbettenen herrn beÿstands dem geschäfft abwartete, So dann 3.tio Frau Mariam Margaretham Weÿrichin geb. Würtzin weÿl. Hn Johann Jacob Weÿrich, gewesenen Musicant und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib welche mit beÿhilff Hn Johann Daniel Marbachs des Knöpffmachers Seidenhändlers burgers allhier Ihres geschwornen Vogts dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, Also alle dreÿ der seelig Verstorbenen mit Eingangs gedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlt H. Sohn und Frau Töchtere, als deroslben ab intestato Verlaßene Rechtmäßige Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Freÿburgergaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden, Wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (E. Hn Daniel Würtz dem Sohn prælegirt umb 1200 lb) Eine behaußung, höfflein und hoffstatt sambt hindergebäu und gemeinschafft eines bronnens mit allen übrigen deroselben gebeüden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Freÿburger gaß einseit ist ein Eck ane St. Barbaræ gaßen, anderseit neben einer behaußung dem teutschen mehren Hospithal allhier gehörig, hinden Zum theil auf Johann Friderich Butz den Schneider theils auf die gastherberg Zum goldenen Falcken und theils auff E: E: Zunfft der Freÿburger stoßend, so vor freÿ ledig und eigen durch (die Werckmeistere) lauth überschickten Schrifftlicher Abschatzung Vom 2. Martÿ 1745. angeschlagen pro 750.. Darüber ist vorhanden ein alt. teutsch pergam. Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertiget und mit dero anh. Insiegel bekräfftiget de dato 18. Maÿ 1653. Dabeÿ ferner ein auch allda gefertigter und mit ermeltem Insigel corroborirter teutscher pergamenten Kauffbrieff, de dato 13. 7.bris 1667.
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten guths Vermög Inventarÿ über Beeder geweßener Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, in Anno 1701. durch weÿl. herrn Notarium Johann Kitschen nun seel. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli – Copia Nach disposition
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 12, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750, Sa. Schuld 75, Erg. übertrifft der abgang, Summa summarum 839 lb – Schulden 713 lb, Detrahendo Verbleibt 126 lb
Dießemnach Wird nun auch sowohl des wittibers ohnverändert als theilbare Nahrung /:in ansehung die Erben auf das theilbare guth tam active quam passive gäntzlichen renunciren und solches dem Wittiber allein überlaßen:/ unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 36, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 6, Sa. Silber 15 ß, Sa. goldnen Rings 1, Sa. baarschafft 250, Sa. Schulden 709, Summa summarum 1004 lb – Schulden 755, Nach deren Abzug 248 lb
Gantz Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 1075 lb
Legat und Respectivé Fidei Commis Welches der hinterbliebene Wittiber von Weÿl. Frauen Anna Margaretha Steinin gebohrner Würtzin, auch Weÿl. Lorentz Steinen geweßenen Einspännigers und burgers allhier see. nachgelaßener Wittib als seine eheleiblichen Schwester ebenmäßig seel. ererbt seinen Kindern aber eigenthümlich Verfangen
Abschatzung dem. 2: Martÿ: 1740. Auff begehren deß bescheitenen Meister Pauluß wiertz deß schreinerß ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, in der freÿ burger Stub gaßen gelegen, einseitß ein Eck, in die barbra gaßen, anderseitß Neben einen spitall hauß hinten auff Martin Johann frittrich butz dem schneiter stoßend welche behausung unden einen Stuben Kuchen Hauß Ehren gewölbten Keller, oben ihm Ersten Stock ein Stuben Cammer Kuche hauß Ehren ihm 2.ten Stock eben falß ein Stuben Cammer Kuchen Hauß Ehren ihm 3.ten stock ein Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren soldaten Cammer, ein alter tach stull ein höltzrer und steinere gëbell sambt dem hinter gebeü so unden ein kleine Eß, oben ein Stübell darüber ein halbeß tach mit ein besetzten bienen daß höffell, sambt allen gerëchtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Vmb Ein Tausent und Vünff hundert Gulten bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Copia der Eheberedung (…)
Copia Codicilli – 1743 (…) auff Freÿtag den 15. des Monaths Februarii Nach Mittag Zwischen dreÿ und Vier Uhr in einer allhier Zu Straßburg ane dem Hauer: und Kößelgäßel gelegenen Von mir Notario bewohnenden behausung dero mittlern Stuben mit denen fenstern in gedachte beede Gäßlein sehend, (…) persönlich erschienen seÿe die Viel Ehren und tugendsame Frau Maria Salome Würtzin gebohrne Windeniusin des Ehren und Vorgeachten hern Paul Würtzen des Schreiners und burgers allhier Ehefrau, durch die Gnaden Gottes auffrecht gesund gehend und stehenden Leiber auch guter richtiger Sinnen und Vernunfft (…) Mathias Koch Nots.

Les préposés de la Taille font figurer la succession de Paul Würtz et de sa femme dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 100 florins (550 livres) sur un total de 2 100 florins. Les préposés réduisent l’arriéré à régler parce que l’excédent est dû au prix de la maison attribuée au fils.
1745, Livres de la Taille (VII 1179) f° 337-v
Zimmerleüth F., N 9399 – Weÿl. Paul Würtz geweßenen Schreiners und Fr. Mariæ Salome gebohrner Windeniußin Beeder Eheleuthe und Burgere alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Dinckel.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 137. 1075 lb 6 ß 7 d, die machen 2100 fl. Verstalte 1000 fl. Zu wenig 1100 fl
Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 3 lb 6 ß – 19 lb 16 ß
Und Vier Jahr in simplo à 1 lb 13 ß – 6 lb 12 ß
Ext. Stallgeltt 1745 – 2 lb 17 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung 2 l 7 ß 6 d, Summa 31 lb 14 ß 6 d
Weilen der Nachtrag von der höher dem Sohn prælegirten behaußung herrühret alß haben die Obere Stall Herren denselben moderirt auff die helffte gehet ab 13 lb 4 ß, Rest 18 lb 10 ß 6 d
dt. 15 Maÿ 1745.

(f° 335), 10. May – Weÿl. Paul Wurtz des schreiners Erben der angesetzte Nachtrag weilen derselbe Von der höher prælegirten alß æstimirten behaußung herrühret auf die helffte moderirt

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit du notaire Mathias Koch

1745 (31.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 944
H. Johann Daniel Wurtz der ledige goldarbeiter
in gegensein H. Mathias Koch not. publici und Practici theils zu bezalung seiner schwester elterlichen guths theils zu seinem vorhabenden etablissement – schuldig seÿen 220 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäud, höfflein bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburgergaß, einseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff der Freÿburger Zunfft – als ein elterliches prælegat

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit du notaire Jean Raoul Dinckel

1746 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 453-v
H. Daniel Würtz der goldarbeiter
hatt in gegensein H. Johann Rudolph Dinckel Notarii Publici und Practici – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäuden, höfflein, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburgergaß, ist einseit ein eck ane der St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff der
Freÿburger zunfft

Jean Daniel Würtz apprend le métier d’orfèvre de 1727 à 1732 chez Jean Frédéric Seupel.
1727, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 380) Donnerstag den 3. Julÿ Anno 1727 – Herr Johann Friderich Seupel der goldarbeiter alhier nimbt zum Lehrjungen an Daniel Würtzen, Paulus würtzen des Schreiners und burgers alhier ehelichen Sohn, mit beÿstand deßelben die goldarbeiter Kunst von verwichenen Johannis tag biß auff gemelte Zeit 1732. in Fünff Jahren getreulich Zulehren gegen Erlag 100 thaler die erste helffte gleichen die andere helffte aber in Mitler der lehrzeit nebst einem Kasten von Schreiner arbeit zum silber Zur Discretion der Frau lehr meisterin, alles mehrern Inhalts ober handwercks herren Schein de 2. Julÿ 1727.

(p. 593) Montag den 23. Junÿ Anno 1732 – Johann Friderich Seupel der goldarbeiter erscheint und præsentirt seinen außgelehrten lehr Knaben Daniel Würtzen Von hier und berichtet daß seine fünff Jährige lehrzut biß morgenden St: Johannis tag verfloßen, alß bittet Er um gerictliche looßsprächung.
Erkannt, weillen die Parthen mit einander zu frieden alß seÿe ihnen in ihren begehren willfahrt gegen Erlag der gebühr

Jean Daniel Würtz s’inscrit en juin 1746 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente en septembre. Les examinateurs le reçoivent maître malgré plusieurs défauts qu’ils ne font pas corriger au candidat qui a une faible constitution et des capacités réduites.
1746, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 104)
(f° 5) Donnerstags den 16. Junÿ A° 1746 – Johann Daniel Würtz der Leedige Gold Arbeiter Gesell weÿl. Paul Würtzen geweßenen Schreiners und Burgers allhier ehel. Sohn stehet vor und bitt man wolle Ihme erlauben das Meisterstück Zuverfertigen.
Erkand, wird demselben in seinem begehren Wllfahrt und hat solches beÿ H. Hohleißen Zu machen, dt. vor das Kauff Gericht 1 lb 5 ß d und Vor die Auffnahm des Meisterstücks 2. lb d

(f° 8-v) Donnerstag den 15.ten 7.bris Anno 1746 – Joh: Daniel Würtz der Leedige Gold Arbeiter weÿl. Meister Paul Würtzen des geweßenen Schreiners und Burgers allhier seel. nachgelaßener Sohn stehet vor und præsentirt sein dem 16. Junÿ 1746. aufgenommene Meisterstück, bittet solche Zu examiniren und Zu besichtigen und Ihn nachgehends Vor einen Meister auf und anzunehmen,
Die dreÿ Geschworne Herren Gold: und Silber Schauere referiren, daß ohnerachtet Verschiedenes an solchen Vorgewießenen Stucken auszusetzen und zu corrigien Wäre, so wolten Sie deß Wegen des Meisterstückers üblen und blöden Leibes Constitution und daher niemahl gehabten guthen Gelegenheit etwas Zuerlernen solch Stuck Vor passable erkennen mithin E: E: Gericht Gebetten haben Ihne Vor einem Meister auf und anzunehmen/
Worein E: E: Gericht Verwilligt und Weilen Er Handtreu ane Eÿdestätt abgelegt daß Er solche Stuck mit eigener Hand Verfertiget habe, dahero wurde
Erkand, daß Er Vor ein Meister auf und anzunehmen seÿe, dt Vor des Kauffgericht 1 lb 5 ß d pro Discretione 3. lb und Vor den Gold und Silber handel 8. lb d

1752, Registres annuels de la Taille (VII 1245) f° 280-v
Würtz Daniel Jun. Pauli Sohn, Ins. 16. 7.br 1746 – 2 lb 5 ß
dt. 15. Jan. 10 ß
1762, Registres annuels de la Taille (VII 1255) f° 195
Würtz Joh: Daniel Jun. Ins. 16. 7.br 1746 – 7 lb 1 ß
dt. 21. Julÿ

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Samuel Schwanfelder

1747 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 462
H. Daniel Würtz der goldarbeiter
in gegensein H. Samuel Fingado des courtier als mandatarius H. Samuel Schwanfelder des silberarbeiters – 150 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäu, höfflein, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburger gaß, einseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff die freÿburger Zunfft

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Saltzmann, veuve du marchand Jean Chrétien Mentzel

1750 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 492
H. Daniel Wurtz der goldarbeiter
in gegensein H. M. Johann Jacob Dieterlin des organisten, als gewalthabers Fr. Mariæ Salome geb. Saltzmännin weÿl. H. Johann Christian Mentzel des handelsmanns wittib – schuldig seÿe 16 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäu, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburger Gaß, einseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff der Freÿburger zunfft

Jean Daniel Würtz est admis pensionnaire à l’hôpital
1754, Conseillers et XXI (1 R 237)
Johan Daniel Würtz wird ad dies vitæ in den Spithal recipirt. 85.
(p. 85) Montag den 11 Februarÿ 1754 – Freund nôe Johan Daniel Würtz des ledigen burgers und goldarbeiters producirt unterth.es Memoriale und bitten mit beÿl. sub Lit. A biß E inclusivé pt° auffnahm in des spithal. Erkandt wird der Implorant ane die Hochansehnliche Hhen pflegere des mehren Hospithals umb allda auffgenommen und lebtägig verpflegt Zu werden, Verwießen.
Depp. Rathh. Kleinclaus, H. Rathh. Ströhlin.

Jean Daniel Würtz meurt à l’hôpital le 9 mars 1761 à l’âge de 51 ans
Sépulture, Hôpital (luth. p. 481)
1761. Mondtags d. 9. Mertz Morgends ein Viertzel vor 6. uhr starb in del allhiesigen Teutschen Hospital an mancherleÿ blödigkeiten Daniel Würtz, ehedem Gold Arbeiter und burger allhier, weÿl. Mstr. Paul Würtzen gewesenen Schneiders und burgers allhier und weÿl. Fraun Mariä Salome geborner Windeniusin hinterlaßener ehelicher Sohn, noch ledigen Stands und letzlich seit den XI. horn. 1754. gewesener Hospitals Armen Pfründer, seines Alters 51 Jahr 4. wochen und 3. Tag. Bekam keine Leichen begängniß (i 246)

La maison revient le 17 juin 1752 à Jean Baldner par adjudication judiciaire (voir la vente de 1767). Jean Baldner entre en apprentissage chez son père en 1717

1717, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 67) Donnerstag den 3. Junÿ Anno 1717 – H Carl Baldner der Goldarbeiter stellet vor seinen leiblichen Sohn Johann Baldner ihne die profession von dato in 4 Jahren gratis zu lehren

Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent Jean Balder pensionnaire à l’hôpital
1764, Conseillers et XXI (1 R 247)
(p. 240) Sambstags den 11. Augusti 1764 – Johannes Baldner der ledige burger und goldarbeiter wird in den spithal lebtägig recipirt
Johann Georg Kuch geweßt. burgers und drähers wittib Anna Catharina geb. Rappin wird in den spithal lebtägig recipirt. 240.
Froereisen nê Joh. Baldner des ledigen burgers und goldarbeithers prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. sub N° 1 biß 4 inclusivé pt° gnäd. aufnahm in den Hospithal.
Nachdeme H. Syndicus Regius auf die gebettene Wilfahrung angetragen. Wurde auf hohen anspruch Ihro Excellentz des H. Prætoris Regii von Gayot und des auf dem obern banck nach H. Stättmeister von Berstett /:hochwelcher als Pfleger ged. Spithals die decision Mhhen anheim gestellt:/ vorsitzenden H. Ammiester Fausten vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, werden beede Imploranten puncto gebettener auffnahm in den mehren Hospithal an die daselbstige Hochansehnl. Hh. Pflegere umb gegen einbringung ihres sowohl gegenwärtig als etwa in zukunfr überkommenden Vermögen daselbst auffgenommen und lebtägig verpflegt Zu werden verwiesen.
Depp. H. Rathh. Vaudin, H. Rathh. Stammwird in den spithal lebtägig recipirt.

Fils de l’orfèvre Charles Baldner et de sa femme Marie Elisabeth Bein, Jean Baldner meurt le 15 septembre 1764 à l’hôpital où il est entré le 11 août précédent.
Sépulture, Hôpital civil (luth.) f° 98)
Im Jahr 1764. Sambstags den 15. Herbstmonats Nachmittags ein Viertel Vor dreÿ uhr starb in dem allhiesigen Teutschen Hospital Herr Johannes Baldner, ein lediger Goldarbeiter von hier gebürtig, weÿland Herrn Carl Baldners auch gewesenen Goldarbeiters und burgers allhier und weÿland Fraun Mariä Elisabeth gebohrner Beinin hinterlassener ehelicher Sohn, seit den 11. Augstmonats dieses laufenden Jahrs gewesener Hispitals Armen Pfründer, seines alters 62 Jahr weniger Zwo wochen und Zwen Tag, und Wurde derselbe Sonntags darauf als den 16. Herbst Monats nach einer Abendt um fünf uhr im Hospital gehaltenen Leichen Predigt auf dem Gottesacker S: Helenen beÿ einer ehrlichen begleitung Zur Erden bestattet [unterzeichnet] Christoph Treiger als verwander, Johann Friderich Butz als Zeug (i 101)

Jean Baldner vend au tailleur Jean Frédéric Butz la maison qu’il a achetée le 17 juin 1752 par enchère judiciaire

1764 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 380
Johannes Baldner der goldarbeiter
in gegensein Johann Friedrich Butz des schneiders
eine behausung bestehend in vorder und hinterhauß, hoff und hoffstatt mit allen deren begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Freÿburgergaß, einseit neben Johann Georg Schauer dem hauptkanten zur Luzern, anderseit ist ein Eck, hinten auff N. Kügel den wirth – als ein den 17. Junÿ 1752 ane der ganth erkauftes guth – der Verkäufer hat sich auch in verkaufter behausung vor seine persohn lebtägig eine cammer zinßfrei zu bewohnen vorbehalten nebst 5 sch. monatlich – um 175 lb, 390 lb, 200 lb, 50 lb und 225 lb verhafftet, ferner nichts heraus zu geben

Jean Frédéric Butz fait son apprentissage chez son père du même nom de 1731 à 1733.
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 339) Donnerstags den 28.ten Ejusdem [Junÿ] 1731 – Johann Friderich Butz burger und schneider alhier nimbt in die Lehr an Johann Friderich Butzen seinen sohn (dt 5 ß)

(p. 442) Dienstags den 17.ten Novembris 1733 – Johann Friderich Butz burger und schneider alhier loß ab seinen sohn auch Johann Friderich Butzen auß der lehr außthun (dt 5 ß)

Jean Frédéric Butz inscrit son fils au chef d’œuvre
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 159) Donnerstags d. 9.t Aprilis 1739 – Johann Friderich Butz, des Johann Friderich Butzen burgers vnd schneider meisters allhier Ehelicher sohn laßet sich Zum Meisterstück Einschreiben.

Il prépare son travail chez Jean Michel Rick. Les examinateurs le reçoivent maître
(p. 267) Dienstags den 30. Januarÿ 1742 – Erschienen unter seinem Informatore herrn Johann Michael Ricken, Johann Friderich Butz der leedige Schneider, Mstr Meisterstück Johann Friderich Butzen des Schneiders und burgers allhier ehel. Sohn, bittet Ihne Zu seinem vorhabenden Meisterstück aus II Viertel breitem drap d’elboeuf zu einem Completten Manns Kleÿd Mittelmäßiger status beneben denen beliebigen Rißen auff Zugeben, solchemnach Imploranten mit 3 ¾. staben tuch und folgenden Rißen willfahrt worden,
N° 12 Ein langer Priester Rock, N° 15 Ein Thurnhüter Rock
Facta relatione derer geschworne herren meisterstück Schauern daß der Implorant sein meisterstück rühmlich verfertiget, alß ist derselbe Zu einem Mitmstr. auff und angenommen worden.

Jean Frédéric Butz devient tributaire chez les Tailleurs le 23 octobre 1742
(p 285) Dienstags den 23.t Octobris 1742 – Johann Friderich Butz Jun. d. Schneider und burger allhier, Joh: Friderich Butzen senioris des Schneiders und burgers allhie ehel. Sohn erhaltet auff prod. Stallschein v. (-) 1742 d. Zunfft und Stubenrecht. (dt. 12 s)

Jean Frédéric Butz épouse en 1743 Catherine Barbe Blind, fille de mégissier : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1743, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 1036
Eheberedung – Johann Friderich Butz des jüngern Schneiders
und Jungfrauen Catharinä Barbarä Blindin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 188-v n° 4)
1743. Mittwoch den 6. Martÿ sind nach zweÿlahlige Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden Joh: Friderich Butz der Ledige Schneider und burger allhie, Joh: Friderich Butzen auch Schneiders und burgers alhie ehel. Sohn und Jfr. Catharina Barbara weÿl. Joh: Georg Blinden gewesenen burgers und weißgerbers allhie hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Butz Als hochzeitter, Catharin barbara blindin als hochzeitrin (i 191, procl. Saint-Thomas n° 222 i 45)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue Sainte-Barbe dans la maison qui appartient au père du mari (voisine de la maison à l’angle de la rue des Fribourgeois). Ceux du mari s’élèvent à 29 livres, ceux de la femme à 154 livres.
1743 (21.10.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 53) n° 1810
Inventarium über des Ehrengeachten H. Johann Friedrich Butz des Jüngern Schneiders, und der Ehren und tugendsahmen frauen Catharinæ Barbaræ Butzin gebohrne Blindin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand für ohnverändert Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743. – in ihren ohnlängsten mit Gott agetrettenen Ehestand würcklich zusammen gebracht, und Kraff dero mit einander auffgerichteten Eheberedung mit einander auffgerichteten Eheberedung sich und ihre Erben alß ein ohnverändert und vorbehalten Guth, mithin die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs derselben expresse conditionirt reservirt und bedungen (…) So geschehen in fernern beÿseÿn Hn Johann Friderich Butzen des ältern Schneiders und frauen Susannæ Butzin gebohrner Strohlin, des Ehemanns respectibé leiblichen Vatters und Stieffmutter, So beschehen Straßburg den 21.ten Octobris Anno 1743.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Barbaræ Gaß gelegenen des Ehemanns leiblichen Vatter eigenthümlich zuständigen behaußung, befunden worden als volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns eingebrachte Nahrung, Sa. haußraths 10, Sa. Silbers 13, Sa. baarschafft 5, Summa summarum 29
Dießemnach Wird auch der Ehefrauen Zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 60, Sa. Silbers 12, Sa. Goldener Ringe 6, Sa. baarschafft 75, Summa summarum 154 lb
Somma vorher specificirter Haussteuren 57 lb ; daran gebührt vermög der Eheberedung paragrapho Sexto jedem Ehegatt die helffte mit 23 lb

Jean Frédéric Butz et Catherine Barbe Blind hypothèquent la maison au profit d’Eve Barbe Bœhm née Bechtold

1765 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 127
Johann Friedrich Butz der schneider und Catharina Barbara geb. Blindin mit beÿstand ihres bruders Georg Friedrich und Philipp Jacob der Blind
in gegensein Fr. Evæ Barbaræ Böhmin geb. Bechtoldin beÿständlich H. Not. Johann Rudolph Dinckel, schuldig seÿen 250 pfund und Jfer Mariæ Magdalenæ Hubmeÿerin, 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane St Barbarä gaß, einseit neben Johann Friedrich Küchel dem gastgeber, anderseit neben den debitoribus, hinten auff E. E. Zunfft der Freÿburger

Jean Frédéric Butz et Catherine Barbe Blind hypothèquent la maison au profit de Jérémie Evrard Silberrad, receveur de la Haute-Ecole, pour pouvoir régler les frais de construction de leur autre maison rue Sainte-Elisabeth

1767 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 f° 483-v
Johann Friedrich Butz der schneider und Catharina Barbara geb. Blindin mit beÿstand Friedrich Butz des weißgerbers und Johann Peter Schneider des schneiders beede ihren nächsten
in gegensein H. Rath. Jeremias Eberhard Silberrad des Schaffners der hohen Schul, zur erbauung einer hernach beschriebenen ane St. Elisabethä gaß gelegenen behausung, schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane St. Elisabethä gaß, einseit neben N. Sinder dem kieffer, anderseit neben (-) Hahnin geb. (-), hinten auff N. Buck dem schreiner
ferner zweÿ neben einander liegenden häußer cum appertinentis in der Freiburgergaß, anderseit neben N. L’Enfant dem schloßer, anderseit ist ein Ack ane der kleinen St. Barbarägaß, hinten auff E.E. Zunfft der Freÿburger

Inventaire dressé après la mort du locataire François Buffet, marchand

1782 (27.6.), Not. Roederer (6 E 41, 914) n° 40
Inventarium über Weil. H. Frantz Buffet, gew. burg. und Handelsmanns alhier zu Straßburg Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1782 – auf sein Samstags den 25. Nov. 1780 geschehene Absterben activé und passivé hinterlassen, Welche Verl. auf Ansuchen Fr. Annä Mariä Buffet geb. Müllerin der Wb. beisd. Mr. Martin Zittvogel des hies. burg. und Schumachers (…) So Geschehen alhier in der Königl. freien Stadt Straßburg und einer daselbst ane der Freiburgestub Gaß gelelegen Mr. Butz dem burg. und Schneider dahier eigenthümlich Zuständigen und diesorts Aum theil Lehnung weiß bewonenden Eck: und Sterbbehausung, Sambstags den 27.ten Julii Anno 1782.
Der verstorbene hat ab intestato Zu Beneficial Erben verlassen wie folgt. 1° H Joh. Frantz Buffet, Cancell. Secret. et Procurator bei allhies. Löbl. Magistrat und burg. alhier, so diesem Geschäfft persönlich beigewonet, 2° H. Joseph Buffet, Handelsm. in Augspurg, 3° Jgfr. Mariam Catharinam Buffet, die ledige daselbst, 4° H. Niclaus Buffet den Hdlsm. in ged. Augspurg, diese vier des verstorb. in erster Ehe mit längst weil. Fr. Maria Cathar. geb. (-) ehelich erzeugt hinterlassene großjährige Kinder, und ist Namens derer drei letzterer in Augspurg wohnhaffter (…) abgeordnet worden H. Lt. Fabian Sebastian Dournay, E. E. Kl. Raths dermaliger wolverdienter beisitzer,
5° Catharina Buffet, so15 Jahr alt, und 6. Anna Maria Buffet, so 13 Jahr alt, Welche beede der entseelte in letzter Ehe mit Eingangs gemelter Wb. ehelich erzieht, denen ordinarie Vogt Obrigkeitlich ernannt und beidigt worden H. Frantz Joseph Graff, der hies. burger und Knopffmacher.

Sa. Hausraths 60, Sa. Schulden and der Verl. zu bezahlend 14 lb, Nach welchem Abzug 45 lb – Stall summ 30 lb
Bericht gegenwärtiger Verlaßenschafft. Es hat der verstorbene sich bereits in Anno 1767 wegen gehabten Schulden last gemüßiget gesehen, dessen damalige Nahrung durch weil. H. Not. Joh: Daniel Langheinrich am 24. Sept. Ordnungmäßig inventiren und das darüber auf 45. fol. verfertigte Inventarium auch bei E. E. Kl. Rath producirren zu lassen, alwo auch die nunmalige Wb. vermög contradictorisch ergangener Erkantnus vom 28. Sept. 1768. so eod. publicirt mit dem gesuchten benef. cessionis willfahrt und zugelaßen ihro auch ferner laut anderwärtigen daselbst ergangenen bescheids vom nemlichen tag die gesamte damals vorhandene geweßte Activ Massa in solutum ihrer Forderungen entschlagen worden, mit dem Anhang jedoch, daß dieselbe noch prælevirerten Inventur und Gerichtscösten die etwa ausständige Stadt Stall: Capitations und Vingtieme Gebüren Zu Zalen solle schuldig und gehalten seÿn (…)
Schulden aus des verstorbenen Nahrung zu bezalend 250 lb – Zweiffelhaffte und verlorene schulden 1529 lb

Catherine Blind meurt en 1783 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison rue des Fribourgeois à 450 livres et celle rue de la Demi-Lune que le mari a héritée de son père à 350 livres. La masse propre au veuf est de 664 livres, celle des héritiers de 809 livres. L’actif de la communauté s’élève à 812 livres, le passif à 5 192 livres.

1783 (27. 9.br), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) n° 390
Inventarium über Weÿland Fraun Catharinæ Barbara Butzin gebohrner Blindin, H. Joh: Friedrich Butz des Schneidermeisters und burgers allh. Zu Straßburg im leben geweßener Ehefrau Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1783 – nach ihrem den 9.ten diesed zu End benannten Monats u. Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat. (…) So herrschafft in Einer allhier zu Straßburg ane der Barbarä gaß gelegenen in gegenwärtige Verlaßenschaft gehörigen dahero hernach mit mehrerm beschriebener behausung auf Donnerstag den 27.ten 9.bris 1783.
Benennung der Erben. Die Verstorbene Fr. Butzin hat ab intestato in Zween gleiche theile Zu Erben hinterlaßen mit Eingangs benanntem dermaligem Wittiber ehelich erzeugte Zwo Töchtere, Nahmentlichen 1° Frau Susanna Barbara Baldnerin geborene Butzin, Hn. Joh. Georg Baldner, des küblers u. bs. allh. Ehefrau und 2° Frau Anna Maria Greiffin geb. Butzin, Hn. Joh: Michael Greiff, Schreiner Mstrs. u. auch bs. allh. Ehefrau, Beide mit und beneben ihrem Ehemänneren und unter deren Autorisation gegenwärtigem Erbschafts: geschäfft persohnl. beiwohnend.

Ergäntzung des Wittibers manglenden Ohnverändert Guths, Nach ausweisung des über beider nun Zetrennter Ehe Persohnen einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, durch weil. Hn Not. Joh: Michael Hofman A° 1742 auffgerichteten Inventarii
Eigenthum ane Häußeren. (W.) Erstlichen eine Behausung, Hof, Hoffstatt u. Hinterhäußlein mit allen deren Gebäuen, Begrifen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhie zu Straßburg ane der St Elisabethengas (…)
(W.) Item eine Behausung und hofstatt samt der gemeinschaft eines Bronnens mit allen übrigen derselben Gebäuen, Begrifen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allh: Zu Straßburg ane der St. Barbara gas, 1. seit dem Gasthaus zum halben Mond, dermalen Joh: Georg Lobstein dem Gastgeber Zuständig, 2. seit einer in disortige theilbare Mass gehörigen Behausung und hinten auf eben dieselbe stosend, so freÿ, ledig, Eigen und ebenfalls durch hiesiger Stadt geschworene Hh. Werckmeistere laut ihres oben allegirten Abschatzung Scheins æstimirt vor 350 lb. Darüber besagt i. deutscher pergamentener Kaufbrief in allh. C. C. Stub ausgefertigt u. mit dero anhangend Innsiegel Verwahrt d. d. 16. Martii 1724. Ferner i. ältere dergleichen Kaufbrief vom 12.ten Junii 1705. u. hat der Wittiber sothane Behausung A° 1757 von seinem Vater seel. geerbt.
(T.) Nemlichen eine Behausung, bestehend in Vorder und Hinter hauß, Hof und Hofstatt mit allen derselben gebäuen, Begrifen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh: Zu Straßburg ane der Freÿburger gas, 1. seit neben Mstr Hebdich dem Schloßer Zum theil und Zum theil neben der Freÿburger stub, 2. seit ist Ein Eck an der Barbara gaß hinten theils auf des Wittibers unveränderte hievornen beschriebene behausung theils aber auf das Gasthauß zum halben Mond stosend, so außer denen darauf haftenden Passiv: Capitalien freÿ, ledig, Eigen und durch hiesiger löblicher Stadt geschworene Herren Werckmeistere Zufolg ihrer Zum Concept gelieferten schriftlichen Abschatzung d.d. 9. January 1784. æstimirt pro 450 lb Hierüber ist vorhanden i. Præliminar: Kauf verschreibung sub signaturis privatis vom 9. Junii 1764. woraufhin sothane behausung den 8.ten Julii Mensis et anni in allhies. C. C. Stub Ordnungs: mäßig verschrieben aber kein Kaufbrief darüber ausgefertigt worden ist.
Ergäntzung Not. Joh: Michael hofmann A° 1743 aufgerichtetn Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung. Copia Codicilli
Des Wittibers unverändert guth. Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 14 ß, Sa. Baarschafft 12 ß, Sa. Eigenthums ane häusern 858 lb, Sa. Ergäntzung (passive 53 lb), Summa summarum 859 lb- Schulden 195 lb, Nach abzug deren 664 lb
Solchemnach wird auch der Töchtere u. und Erben anerstorben unverändert Mütterl. guth beschrieben, Sa. Hausraths 27 lb, Sa. Silber Geschmeids 1 lb, Sa. Goldener Ring 2 lb, Sa. der Baarschafft 2 lb, Sa. Schulden 50 lb, Sa. Ergäntzung 725 lb, Summa summarum 809 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert u. theilbahr Guth beschrieben, Sa. Hausraths 45 lb, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 7 lb, Sa. Eigenthums an I bhausung 450 lb, Sa. Schulden 310 lb, Summa summarum 812 lb – Schulden 5192 lb, Compensando 4379 lb
theilb. Passiv-onus loco Stall: summa 2906 lb
Copia der Eheberedung, im Jahr 1743. den 28. Jan. zwischen dem Ehrengeachten H. Joh: Friderich Butzen, dem jüngern, leedigen Schneidern, des auch Ehrengeachten H. Joh: Friderich Butzen des ältern ebenmäßigen Schneiders u. bs. allh. Zu Straßburg eheleibl. Sohn, Mit beÿstand deßelben als Hochzeitern ane Einem, So dann der Ehren: u. tugendsahmen Jgfr. Catharina Barbara Blindin, weil. Hn Joh: Georg Blinden gewesenen weisgerbers u. b. allh. seel. hinterlaßener ehel. Tochter als Hochzeiterin, beist. H, Joh: Peter Ränus des Stadtwafenschmidts u. bs. allh. andern Theils – Christoph Michael Hoffmann, Notarius juratus
Copia Codicilli, in einer ane der Barbarä gaß gelegenen von der Fr. Codicillantin bewohnenden behausung, den 1. julÿ 1783, T. Schweighäuser
– Abschatzung vom 9.t jenner 1784. Auff begeren herr johann friderich Butz dem schneider Meister ist Eine behausung alhir in der statt straßburg in der Barbara gaß gelegen, Ein seÿts neben der gastbehausung Zum Halben Mond anderer seÿts neben sich selbsten und Hinden auf E.E. Zunft zur freÿburger stoßend gelegen, solche behausung bestehet in dreÿ stuben dreÿ Kuchen und Etlichen Kammern, darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller, gemeinschafftlichen hoff und brunnen, Vor und umb Sieben Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist auch alhir in der statt stradburg in der freÿburger stub gas gelegen, Ein Seÿts Ein Eck auf die Barbara gaß, anderer seÿts neben Meister Hebdig dem schloßer und hinten auf E. E. Zunft Zur freÿburger stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Vier stuben Vier Kuchen und Etlichen Kammern darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller gemeinschaftlichen Hoff und brunnen, Vor und umb Neün Hundert gulden
Der dritte begriff ist auch alhir in der statt strasburg auf der Elisapeter gas gelegen, Ein seÿts neben Herr Simmler anderer seÿts neben Weÿland frau Hannin, und Hinten auf das spithal Höffell stoßend gelegen solche behausung bestehet in forder und hinter gebäu worinnen Eine Küblers werckstatt, ferner in sechs stuben sechs Küchen und Etlichen Kammern, darüber seÿn die dachstühl mit breitzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt Straßburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorher geschehen besichtigung mit allen irer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth nach æstimirt und angeschlagen Vor und um Ein Tausend Ein Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner W:Mst, Götz Wmstr.

Inventaire dressé après la mort de Marie Agathe Riff femme du laveur François Joseph Rohr. La masse propre aux héritiers s’élève à 267 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 148 livres, le passif de 124 livres.

1786 (9. Sept.), Not. Wengler (6 E 41, 1530) n° 41
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Agatä Rohrin gebohrner Riffin, Frantz Joseph Rohr des Leinenzeugwaschers und burgers alhiee zu Straßburg gewesener Ehefrauen Verlaßenschaftn auffgerichtet anno 1786. – nach ihrem den 22. März dieses laufenden 1786.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableben hie zeitlichen zurückgelaßen hat. Welche Nachlaßenschaft auf gebührendes ansuchen genannten des hinterbliebenen Wittibers sowol als auch H. Anton Dickel des hiesig Verburgerten Fastenspeishändlers als geordnet und geschwornen Vogts Mariä Theresiæ, so den 4.ten Augst im Jahr 1782 geboren, der Defunctæ mit genanntem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugten wittibers und ab intestato hinterlaßener einiger beneficial Erbin
So geschehen alhier Zu Straßburg in einer am Eck der Freiburger: und Halbenmondgaß gelegenen Meister Butz dem Schneidermeister eigenthümlich Zugehörigen behausung, auf Sambstag den 9.ten Septembris im Jahr 1786.

Vorbericht. Ungeachtet beede diesortige nun durch den Zeitl. Tod abgesonderte Eheleute, in dem dritten Paragrapho der vorher abschriftl. einverleibt befindl. Ehepacten ihr einander gegenseitig zubringendes und wärender Ehe ererbendes Vermögen als unverändert, auch ein Ergäntz: und Widererstattung des davon etwa Abgehenden stipulirt, so haben sie doch des Wittwers hieben getaner Deklaration die desfalls nötig gewesene Eheinventur unterlaßen (…)
Anteil ane einer Behaußung (E.) Nämlich zween dritte teile von und an einer abgeteilten behausung Zu Colmar im Überzwerch wassergäßlein gelegen (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Anschrift der Eheberedung vor Herrn Notario Joh: Andreas Becker am 23. Jenner 1781. mit einander gestifftet
Der Erben unverändert, Sa. haußraths 29, Sa. Golds 8 ß, Sa. der Schulden 87, Sa. des eigenthümlichen nteils ane einer behaußung 300, Summa summarum 417 lb – Schulden150, Nach deren Abzug 267 lb
Dießemnach wird auch die übrige Verlaßenschaft, Kraft obigen Vorberichs unter dem Titel als in des Wittwers Massam gehörig verzeichnet, Sa. haußraths 16, Sa. Silbers 4, Sa. Activ Schulden 127, Summa summarum 148 lb – Schulden 124 lb, Detrahendo restirt 24 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 291 lb
Abschrift der Eheberedung (…)

La maison revient pour moitié à Marie Barbe Butz qui épouse en 1765 Jean Georges Baldner

Fils du pêcheur Martin Baldner, Jean Georges Baldner fait son apprentissage chrez le tonnelier Daniel Baldner de 1754 à 1757.
1754, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 51) Mittwochs den 27.ten Martÿ 1754 – Mstr Daniel Baldner der Kübler nimbt Zum Lehrjungen an Joh: Georg Baldner, Joh: Martin Baldners burgers und Fischers allhier Ehel. Sohn umb selbigen 3 jahr lang das Kübler Handwerck zu lehren nembl. vom 1. Februarÿ 1754. biß dahin 1757 Vor Lehrgelt ist accordirt 50 fl. und 6 fl. pro discretione für die meisterin wor von die Helffte gleich die andere Helffte an mittler Lehrzeit Zu bezahlen der jung Leidet alle unkösten dt 30 fl. pro inscript. 5 ß pro prot. 1 ß p. Flindling deßen bürgen seÿnd des Vatters und H. Schlögel.

(f° 89) Dienstags d. 8. Februarÿ 1757 – Mstr Daniel Baldner der Kübler stellet vor Hannß Georg Baldner, Joh: Martin Baldners Burger und Fischers alhier ehel. Sohn meldet daß deßen Lehrzeit d. 1.ten hujus verstrichen auch beede wohl mit einander Zufrieden und bittet außthuung
Erkant, willfahrt, dt. pro delis. wie obiger 1 lb 10 ß, pro Lehrbr. 1 lb 10 ß, pro Sig. 2 ß, pro prot. 5 ß, pro findl. 2 ß

Jean Georges Baldner s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en février 1762
(f° 144) Dienstags den 9. Februarÿ 1762 – Johann Georg Baldner, der ledige Kübler von hier bittet ihn Zum meisterstück einzuschreiben. Erk. Willfahrt
dt. Werckstätter Zinß 3 lb, protoc. 3 ß, findling 9 d

Jean Georges Baldner devient tributaire chez les Tonneliers le 5 novembre 1764
(f° 202) Dienstags den 5. Novembris 1764 – N. Leibzünfftiger
Meister Johann Georg Baldner der Kübler Evangelisch Religion, bittet ihne als einen neuen Leibzünfftigen Anzunehmen.
Erkannt Willfahrt, Zahlt pro receptione 2 lb 5 ß, feur Eÿmer 10 ß, Prot. 3 ß, findl. 9 d

Jean Georges Baldner épouse Susanne Barbe Butz en 1765 : contrat de mariage, célébration
1765 (31.5.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 969) n° 125
Eheberedung – Persönlich kommen und erschienen der Ehrenachtbare H. Joh: Georg Baldner, der leedige Kübler Meister H Johann Martin Baldners, des Fischers und unds allhier ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich erwehnten seines Vatters als hochzeiter ane Einem,
So dann die Ehren und tugendsame Jfr. Susanna Barbara Butzin, H. Johann Friderich Butz des Schneiders und burgers allhier ehelich erziehlte Tochter mit assistentz gemeldten Ihren H Vatters und H. Georg Friderich Blind, des Weißgrbers und burgers allhier Ihres Oncle als Hochzeiterin andern theils
Actulm Straßburg den 31.ten Maÿ Anno 1764. [unterzeichnet] Johann Georg Baldner als hochzeiter, Susanna Barbara Butzin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 142-v n° 790)
Anno 1765 mitwoch den 18. Septembris seint nach zweÿmaliger ordentlicher proclamation und Außruffung zu St. Thomæ und zum alten St Peter, zu St Thomæ copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Baldner Lediger Kübler Johann Martin Baldner Fischers und burgers allhier ehelicher Sohn, und Jungfrau Susanna Barbara Butzin Hrn Johann Friderich Butz Schneiders und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Georg Baldner als Hochzeider, Susanna Barbara Butzin als hochzeiterin (i 145)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Saint-Louis. Ceux du mari s’élèvent à 131 livres, ceux de la femme à 260 livres.
1766 (1.10.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 965) n° 208
Inventarium über des Ehrsam: und Bescheidenen Meister Johann Georg Baldners, des Küblers und der Ehren: und tugendsamen Fr. Susannä Barbarä gebohrner Butzin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1766 – Vermög der Vor mir Notario den 31. Maÿ 1765. errichteten Eheberedung §° 3.tio Vor ohnverändert einander in den Ehestand zugebracht
So beschehen allhier Zu Straßburg auff Mittwoch den Ersten Octobris Anno 1766. In præsentia H, Johann Friderich Butz des Schneiders und Burgers allhier, der Ehefrauen eheleiblichen Vatters und hierzu erbettenen Assistenten

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern St Louis gelegen und Von beeden Eingangs geadachten Eheleuhen Zum theil Lehnungs weiß bewohnenden Behausung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns ohnveränderte Nahrung. Sa. Schiff und Geschirrs wie auch Holz und Reiff zur Kübler Profession gehörig 75 lb, Sa. Silbers 7 lb, Summa summarum 82 lb – Und wann annoch darzugelegt wird waß demselben Vermög der Eheberedung §° 4.to ane denen haussteuren Zur helffte gehörig, antreffend 49 lb, So wird des Ehemanns völliges ohnverändertes Vermögen in allem belauffen auff 131 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen ohnverändertes Guth beschrieben. Sa. hausraths 77 lb, Sa. Silbers 18 lb, Sa. Goldener Ring 6 lb, Sa. Baarschafft 109 lb – Summa summarum 211 lb – Und Wann annoch darzugelegt wird waß derselben denen gleich hernach specificirten haussteuren Krafft der Eheberedung §° 4.to Zur helffte zuständig, anlangend 49 lb, So wird sich der Ehefrauen gesambtes ohnveränderten Vermögen in allem belauffe auff 260 lb

Le passementier François Ehrenfried Doldé et sa femme Catherine Barbe Baldner (fille de Jean Georges Baldner) font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison

1802 (26 germ. 10), Strasbourg 4 (32), Not. Roessel n° 642
Inventarium und beschreibung all derjenige haab Nahrung und güthern so bürger Frantz Ehrenfried Doldé der Paßmentirer und bürgerin Catharina Barbara Baldner in ihrem den 16. germinal an 9 miteinader angetrettenen Ehestand zugebracht haben – vor mir Notario den 16. frimaire an 9 errichtete Eheberedung
in einer ane der freiburger Gaß stehende diesorts wonbehausung N° 3
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehemanns eingebrachte gut 118 fr
der Ehefrauen eingebrachte vermögen, mobilien 735 fr, baarschafft 2000 fr, summa summarum 2735 fr
Enregistrement, acp 84 F° 47-v du 27 ger. 10

Liquidation de la succession de Susanne Barbe Butz qui délaisse trois enfants
1809 (15.11.), Strasbourg 3 (33 / 1), Not. Übersaal n° 1150, 5114
Liquidation de la succession de Susanne Barbe Baldner née Butz décédée veuve de Jean Georges Baldner – à la requête de Jean Frédéric Baldner menuisier, Louis Baldner baquetier et Catherine Barbe Baldner épouse de François Ehrenfried Doldé boutonnier en soie leur mère décédée le 7 octobre courant
vente des meubles 1683 fr, numéraire trouvé dans la maison rue du vent n° 7, 203 fr
cession de la maison à Louis Baldner et Marguerite Salomé née Roessel le 13 octobre courant 91 fr, créances 2300 fr, total 4278 fr, passif 977 fr, reste 3301 fr
succession immobilière que la défunte a délaissé, la moitié dans une maison située en cette ville rue du vent n° 7 laquelle a été vendue avec l’autre moitié qui appartient aux enfants du chef de leur père à Louis Baldner par contrat susallégué

Susanne Barbe Butz veuve de Jean Georges Baldner vend sa moitié des deux maisons contiguës à sa sœur Anne Marie Butz veuve du menuisier Jean Michel Greiff

1809 (12.6.), Strasbourg 10 (50), Not. Zimmer n° 2697, 4044
Susanne Barbe Butz veuve de Jean Georges Baldner baquetier
à Anne Marie Butz sa soeur veuve de Jean Michel Greiff menuisier
Premièrement, la moitié par indivis dans une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la demi lune n° 1 entre Sr Scheyen Netter et la maison ci après désignée, derrière ci devant tribu des Francs bourgeois
Plus la moitié par indivis dans une Maison avec avec petite cour, communauté de puits avec la maison précédente scise à Strasbourg sise rue des francs bourgeois n° 3, d’un côté la maison du Sr Albrecht cordonnier, d’autre faisant le coin de la rue de la Demi lune, derrière la maison précédente – échues dans la succession de Jean Frédéric Butz son père tailleur – 4000 francs
Enregistrement, acp 112 f° 36 du 13.6.

Anne Marie Butz épouse en 1776 le menuisier Jean Michel Greiff, fils du menuisier Jean Henri Greif
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 16, n° 31) Im Jahr 1776, Montag den 4. Martÿ seind nach vorher gegangener zweÿmaliger ordentlicher Proclamation Zu St. Thomæ und Zum alten st. Peter in der Stifts Kirche Zu St. Thomæ auf Erlaubnus des Herrn Ober Kirchenpflegers, ehelich copulirt und eingesegnet worden Johann Michael Greiff, der ledige Schreiner und burger allhier, weiland Johann Heinrich greiff gewesenen Schreiners und burgers allhier hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Anna Maria Butzin Johann Friderich Butz, des Schneiders und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Michael Greiff als hochzeiter, Anna Maria Butzin Als Hochzeiterin (i 19, procl. Saint-Pierre-le-Vieux f° 21)

Jean Michel Greiff et sa femme font dresser l’inventaire des apports dans une maison rue Sainte-Barbe face aux Petits Capucins. Ceux du mari s’élèvent à 146 livres, ceux de la femme à 283 livres.
1789 (2.2.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 872) n° 423
Inventarium über H. Johann Michael Greiff, des Schreiner Meisters, wie auch der Ehr: und tugendsamen Fraun Annæ Mariæ gebohrner Butzin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaften aufgerichtet in Anno 1789 – in ihren vor einigen Jahren angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu: und eingebracht haben (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beiseÿn H. Johann Friderich Butz des Schneider: Meisters und Burgers alhier, der Ehefrau leiblichen Vaters und beistands, in einer an der Barbara gaß gegen dem kleinen Capuciner Kloster über gelegenen behausung auf Sambstag den 7.ten Februarÿ Anno 1789.

Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 64, Sa. Silbers und dergleichen Geschmids 33, Sa. der baarschafft 10, Summa summarum 108 lb – Wird nun darzu gelegt die ihm gebührige Helfte ane denen haussteuren anlangend 38 lb, So kommet des Ehemanns völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft Zustehen auf 146 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 97, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 10, Sa. der goldenen Ring 29, Sa. der baarschafft 107, Summa summarum 244 lb – Wird auch darzu gelegt die ihro gleichfalls gebührige helfte ane denen Haussteuren 38 lb, So belaufet sich der Ehefraun völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft in allem auf 283 lb

Les enfants de Jean Georges Baldner et de Susanne Barbe Butz vendent en qualité d’héritiers de leur tante Anne Marie Butz la maison au boucher Jean Georges Hoffherr et à sa femme Marie Geiger

1809 (16.11.), Strasbourg 3 (56), Not. Übersaal n° 2475, 5117
Jean Frédéric Baldner menuisier, Louis Baldner baquetier et Catherine Barbe Baldner épouse de François Ehrenfried Doldé, boutonnier en soie, en qualité d’héritiers collatéraux ab intestat d’Anne Marie Butz veuve de Jean Michel Greiff leur tante, comme représentant Susanne Barbe Butz veuve de Jean Georges Baldner baquetier leur mère et sœur de la veuve Greiff
à Jean Georges Hoffherr boucher demeurant grand rue n° 97 et Marie née Geiger
les deux maisons échues aux vendeurs de la succession de la veuve Greiff leur tante situées à Strasbourg l’une rue de la demi lune n° 1 ayant cour, pompe, appartenances & dépendances, d’un côté la maison ci après désignée, de l’autre celle du Sr Scheyen Netter aubergiste, derrière ci la devant tribu des Fribourgeois
l’autre sise rue des fribourgeois n° 3 avec petite cour, communauté de puits avec la maison ci dessus désignée, appartenances et dépendances, d’un côté formant le coin de ces deux rues, de l’autre la maison du Sr Albrecht cordonnier, derrière la maison sise rue de la demi lune n° 1 – la moitié avenue de la succession de Jean Frédéric Butz son père, tailleur d’habits et l’autre moitié cédée à la De Baldner née Butz par acte reçu Me Zimmer le 12 juin de la présente année – moyennant 9876 francs représentant 10.000 livres tournois
Enregistrement, acp 113 F° 128-v du 18.11.

La maison est décrite dans l’inventaire dressé après la mort de Jean Georges Hoffherr en 1824. Les immeubles sont vendus par licitation en 1841. Pierre Engel acquiert les bâtiments rue des Fribourgeois.

Fils naturel du graveur Pierre Engel et de Louise Specht, le ferblantier Pierre Engel épouse en 1836 Salomé Madeleine Reiber, fille de cordier
Mariage, Strasbourg (n° 463)
Du 17° jour du mois de décembre l’an 1836. Acte de mariage de Pierre Engel Majeur d’ans, né hors le mariage le 20 frimaire an XII à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, ferblantier, fils reconnu de Pierre Engel, graveur, domicilié en cette ville et de Louise Specht, domiciliée en cette ville ci présente et consentante, et de Salomé Madeleine Reiber, Majeure d’ans, née ne légitime mariage le 15 nivôse an IX à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Georges Henri Reiber, Cordier domicilié en cette ville et de Salomé Madeleine Roessler domiciliée en cette ville (signé) Pierre Engel, Salome Magdalena Reiber (i 25)

1836 (7.4.), Strasbourg, Me Stoeber
Consentement – Pierre Engel, graveur en bois, au mariage de Pierre Engel son fils ferblantier à Strasbourg avec telle personne il jugera lui convenir
Enregistrement, acp 239 F° 86 du 9.4.

1836 (3.12.), Strasbourg, Me Stoeber
Consentement – Henri Reiber, chanvrier, et Madeleine Salomé Roessel au mariage de Madeleine Salomé Reiber, leur fille avec Pierre Engel, ferblantier
Enregistrement, acp 245 F° 79 du 5.12.

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber hypothèquent les maisons qu’ils viennent d’acheter pour en régler le prix.

1845 (5.2.), Strasbourg 7 (101), Me Boersch n° 5221
Obligation – Ont comparu le sieur Pierre Engel, ferblantier, et Dame Madeleine Salomé Reiber, sa femme, de lui dûment autorisée demeurant ensemble et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont, par les présentes, reconnu devoir
au sieur Guillaume Beck, employé à l’Académie, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue du Marooquin N° 22, créancier ci présent & acceptant, la somme principale de 4000 francs (…) pour partie du prix d’adjudication d’une maison ci après désignée suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Grimmer notaire à Strasbourg le 15 mars 1841, enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 avril suivant volume 368 n° 59 & inscrit d’office le même jour volume 344 Numéro 39
hypothèquent, Une Maison sise à Strasbourg, à l’angle de la rue des fribourgeois N° 3 et rue de la demi-lune N° 1, tenant d’un côté à la maison du Sieur Fischer, de l’autre à celle du Sieur Albrecht et donnant par derrière sur la cidevant Tribu des Fribourgeois. Elle se compose 1° d’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des Fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune
2° D’une petite cour et d’une maison de derrière et bâtiment latéral servant de cage d’escalier et galerie pour communiquer à la maison de derrière
& 3° d’une pompe mitoyenne
Les conjoints Engel déclarent qu’ils sont propriétaires de l’immeuble hypothéqué pour l’avoir acquis des sieurs 1° Charles Louis Kolb, tonnelier, 2° Frédéric Théodore Kolb, compagnon brasseur, 3° Dame Louise Kolb épouse du sieur Louis Lindauer, aubergiste, tous demeurant à Strasbourg, 4° de Martin Scheer, ouvrier brasseur demeurant à Pont d’Arianne, 5° de Frédéric Scheer ferblantier demeurant à Alger, 6° de Martin Scheer aubergiste, 7° Georges Edouard Kolb, 8° Caroline Concorde Kolb & 9° Sophie Emélie Kolb ces trois derniers enfants mineurs délaissés par Charles Théodore Kolb, Marchand de vins, & Sophie Louise Hoffherr vivant conjoints à Strasbourg tous demeurant à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication sus relaté dressé par M° Grimmer notaire à Strasbourg

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber hypothèquent la maison au profit de Guillaume Beck

1848 (25.3.), Strasbourg 7 (105), Not. Reiss n° 1387
Obligation – Ont comparu le sieur Pierre Engel, ferblantier & Dame Madeleine Salomé Reiber sa femme de lui dûment autorisée à l’effet des présentes, domiciliés & demeurant ensemble à Strasbourg rue des fribourgeois N° 3, lesquels ont par les présentes reconnu devoir
à Mr Guillaume Beck, Employé à l’Académie de Strasbourg, demeurant & domicilié en cette ville rue du Marooquin N° 22, ci présent & acceptant, la somme principale de 1000 francs (…)
hypothèque, Une Maison sise à Strasbourg à l’angle de la rue des Fribourgeois N° 3 & rue de la demi-lune N° 1, tenant d’un côté à la maison du Sr Fischer de l’autre à celle du Sr Albrecht & donnant par derrière sur la cidevant tribu des fribourgeois.
Elle se compose 1° D’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune
2° D’une petite cour & d’une maison de derrière & bâtiment latéral servant de cage d’escalier & galerie pour communiquer à la maison de derrière
& 3° d’une pompe mitoyenne
Les conjoints Engel déclarent qu’ils sont devenus propriétaires de l’immeuble hypothéqué pour l’avoir acquis des sieurs 1° Charles Louis Kolb, tonnelier, 2° Frédéric Théodore Kolb, compagnon brasseur, 3° D° Louise Kolb épouse du sieur Louis Lindauer, aubergiste, tous demeurant à Strasbourg, 4° de Martin Scheer, ouvrier brasseur demeurant à Pont d’Arianne, 5° de Frédéric Scheer ferblantier demeurant à Alger, 6° de Martin Scheer aubergiste, 7° Georges Edouard Kolb, 8° Caroline Concorde Kolb & 9° Sophie Emélie Kolb ces trois derniers enfants mineurs délaissés par Charles Théodore Kolb, Marchand de vins, & Sophie Louise Hoffherr vivant conjoints à Strasbourg tous demeurant à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Frédéric Grimmer le 15 mars 1841, enregistré & transcrit au bureau de la conservation des hypothèques de Strasbourg le 8 avril suivant volume 368 Numéro 52 & inscrit d’office le même jour volume 344 Numéro 39
Etat civil des débiteurs. Les époux Engel déclarent qu’ils sont mariés en premières noces & sous le régime de la communauté

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber hypothèquent les maisons au profit de Sophie Keck veuve du cordier Frédéric Henri Reiber

1850 (6.3.), Strasbourg 2 (96), Not. Roessel n° 3256
Obligation – Ont comparu le sieur Pierre Engel, ancien ferblantier, dans le moment propriétaire, et D° Madeleine Salomé Reiber, son épouse qu’il autorisé à l’effet de ce qui suit, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont par les présentes reconnu devoir
à Madame Sophie Keck veuve de Mr Frédéric Henri Reiber en son vivant cordier à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée à ce présent et acceptant, la somme de 6000 francs
hypothèquent spécialement, 1° Une Maison avec toutes ses appartenances et dépendances, sise à Strasbourg Rue des fribourgeois N° 3 et Rue de la demi-lune N° 1, tenant d’un côté à Mr. Levi, de l’autre à la propriété du maître tailleur des pontonniers et donnant par derrière sur la cidevant Tribu des Fribourgeois, elle se compose 1° d’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des Fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune, 2° d’une petite cour, 3° d’une maison de derrière et bâtiment latéral servant de cage d’escalier et galerie pour communiquer à la maison de derrière, 4° d’une pompe mitoyenne. La maison principale est bâtie sur cave voûtée, un rez de chaussée et trois étages en maçonnerie et greniers. La bâtiment au fond de la cour est composé d’un rez de chaussée et de trois étages et de greniers.
M. et Mad. Engel ont acquis ledit immeuble du Sr Charles Louis Kolb, tonnelier, Frédéric Théodore Kolb, compagnon brasseur, Sophie Louise Kolb épouse du Sr Louis Lindauer, aubergiste, de Martin Scheer, ouvrier brasseur demeurant à Pont d’Ariance, de Frédéric Scheer ferblantier demeurant à Alger (Afrique), Charles Frédéric Scheer enfant mineur issu du mariage du Sr Martin Scheer, aubergiste, et de Marie Salomé Hoffer sa femme, du Sr Georges Edouard Kolb et de Caroline Concorde Kolb, de Sophie Emélie Kolb suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Frédéric Grimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 15 mars 1841, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 avril suivant volume 368 n° 52 & inscrit d’office le même jour volume 344 n° 39. Le prix de cette adjudication était de 12.050 francs (…)
Et le quart par indivis
1° D’une maison avec puits et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, Faubourg national N° 29 (…)
2° d’une maison avec pompe, cave voûtée appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue de la Nuée bleue N° 14 (…)

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber vendent la maison au perruquier Jean Philippe Bischoff pour l’usufruit et à son gendre coiffeur Auguste Heuson et Elisabeth Sophie Bischoff pour la nue propriété

1853 (29.6.), Strasbourg 4 (110), Not. Lauth n° 6038
Vente – Ont comparu M. Pierre Engel, ferblantier, et dame Madeleine Salomé Reiber, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont (vendu)
1. à M. Jean Philippe Bischoff, perruquier, demeurant et domicilié en la même ville, à ce présent et acceptant, comme acquéreur de l’usufruit viager et gratuit sa vie durant, de la maison ciaprès désignée,
2. Et à M. Auguste Heuson, coeffeur, et à dame Elisabeth Sophie Bischoff son épouse, demeurant et domiciliés en la dite ville, aussi à ce présens et acceptant, la femme du mari autorisée, comme acquéreurs solidaires de la nue propriété de la maison dont s’agit, à laquelle nue propriété se réunira l’usufruit au jour du décès de M. Bischoff
Une maison sise à Strasbourg, à l’angle de la rue des fribourgeois où elle porte le N° 3 et de la rue de la demi lune où elle porte le N° 1, composée d’une maison de devant, de bâtimens latéraux et de derrière, avec cour, pompe mitoyenne, droits aisances, appartenances et dépendances, le tout tenant d’un côté au sieur Albrecht de l’autre au sieur Véron & par derrière sur la cidevant Tribu des Fribourgeois. Cette maison est vendue dans l’état où elle se trouve (…) avec huit poêles en fayence et cinq en fonte, avec tuyaux et pierres et une chaudière à lessive (…)
Etablissement de la propriété. Déclarent les vendeurs qu’ils sont devneus propriétaires de cet immeuble au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite des héritiers du sieur Jean Georges Hoffherr, boucher, et de dame Anne Marie Geyer, décédés conjoints à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Georges Louis Frédéric Grimmer notaire à Strasbourg le 15 mars 1841, enregistré, et en vertu d’un jugement qui a ordonné la vente, rendu par la tribunal civil de Strasbourg le 28 décembre 1840 enregistré. Une expédition dudit procès verbal d’adjudication transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 avril 1841 volume 368 n° 50 & inscrite d’office le même jour volume 344 n° 39 p$^s^reté du prix d’adjudication qui était de 12.050 francs (…)
Les époux Hoffherr avaient été propriétaires dudit immeuble pour l’avoir acquis des héritiers de dame Anne Marie Butz, décédée veuve de Jean Michel Greiff en son vivant menuisier à Strasbourg aux termes d’un contrat reçu par M° Ubersaal, alors notaire à Strasbourg le 16 novembre 1809, enregistré. La dame veuve Greiff était propriétaire du dit immeuble pour en avoir hérité la moitié dans la succession de son père M. Jean Frédéric Butz décédé tailleur d’habits à Strasbourg et pour avoir acquis l’autre moitié de sa sœur dame Suzanne Barbe Butz veuve du sieur Jean Georges Baldner en son vivant baquetier à Strasbourg, suivant contrat passé devant M° Zimmer alors notaire à Strasbourg le 12 juin 1809, enregistré, la dame Baldner avait aussi hérité cette moitié dans la succession de son père le sieur Butz – Prix, 17.000 francs
Etat civil des vendeurs. Et finalement déclarent les vendeurs être mariés en premières noces, sous le régime de la communauté
acp 420 (3 Q 30 135) f° 81 du 1.7.

Le coiffeur Auguste Heuson épouse en 1842 Elisabeth Sophie Bischoff
1842 (22.3.), Strasbourg 4 (95), Me Hatt n° 13.711
Contrat de mariage – Ont comparu Monsieur Michel Auguste Heuson, coeffeur, fils majeur et légitime du S’ Chrétien Heuson, cordonnier, et Dame Caroline Dock son épouse ci présens tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, stipulant comme futur époux d’une part
Et Demoiselle Elisabeth Sophie Bischoff, fille majeure et légitime de Monsieur Philippe Bischoff, coeffeur et de feue Dame Marie Elisabeth Reisé ses père et mère demeurant et domiciliés à Strasbourg stipulant comme future épouse d’autre part
acp 296 (3 Q 30 011) f° 47 du 26.3.- communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié
Les apports de la future épouse consistent en une somme de 1600 francs, en objets mobiliers détaillés au contrat estimés 727
Donation par le futur à la future en cas de survie d’un douaire de 600 francs sur le plus clair de la succession
Donation mutuelle entre les futurs de l’usufruit viager de la fortune du prémourant

Sophie Elisabeth Bischoff meurt en octobre 1858 en délaissant quatre enfants.

1858 (18.11.), Strasbourg 4 (117), Not. Lauth n° 8809
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Michel Auguste Heuson et Sophie Elisabeth Bischoff
L’an 1858, le Jeudi 18. Novembre à trois heures de relevée, à la requête de M. Michel Auguste Heuson, coiffeur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant dans les qualités suivantes. 1. à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Sophie Elisabeth Bischoff, son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hatt prédécesseur immédiate de M° Lauth l’un des notaires soussignés le 22 mars 1842 et dont une expédition sera ci après inventoriée, 2. comme donataire en usufruit pendant sa vie, sans être tenu de donner caution ni de faire remploi, de la moitié de tous ses biens meubles et immeubles sans aucune exception, dépendant de la succession de sadite défunte épouse, aux termes de leur susdit contrat de mariage, 3. comme tuteur légal de Caroline Sophie Elise Heuson, née le 2 juin 1844, Frédérique Sophie Heuson née le 23 avril 1846, Charlotte Mathilde Heuson née le 15 janvier 1848 & Charles Auguste Heuson né le 3 décembre 1849, ses quatre enfants mineurs issus de son mariage avec sadite défunte épouse, 4. Et comme ayant la jouissance légale des biens de ses enfants mineurs jusqu’à ce qu’ils soient émancipés ou qu’ils aient atteint leur 18° année aux termes de la loi et aux charges de droit, les dits quatre mineurs Heuson frères et sœurs germains habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un quart de feu Madame Heuson leur mère. Et en présence de M. Jean Jacques Martin, coiffeur demeurant et domicilié à Strasbourg, en sa qualité d subrogé tuteur desdits quatre mineurs Heuson (…)
le tout trouvé dans un magasin sis à Strasbourg sous les petites arcades et dans une autre maison sise en la même ville rue des fribourgeois N° 2 où Mad. Heuson est décédée le 15 octobre dernier
[in margine :] Voir l’inventaire rectificatif dressé par M° Lauth le 18 novembre 1860.

(vacation du 8 décembre, n° 8831) Titres et papiers. Acquisition d’une maison. Cote deuxième. Une pièce qui est l’expédition dun contrat reçu par M° Lauth le 29 juin 1853 contenant vente par M. Pierre Engel, ferblantier, et Dame Madeleine Salomé Reiber, conjoints à Strasbourg, à M. Bischofff susnommé d’autre part, acquéreur de l’usufruit viager et au veuf requérant et à la défunte acquéreurs ensemble de la propriété, d’une maison avec dépendances sise à Strasbourg à l’angle de la rue des Fribourgeoiss où elle porte le numéro 3 et de la rue de la demi lune où elle porte le numéro 1 pour le prix de 17.000 francs (…) Cette expédition porte en marge la mention qu’elle a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 juillet 1853 volume 568 numéro 44 et inscrite d’office le même jour volume 588 n° 184. Le veuf déclare que M. Bischoff, l’usufruitier est toujours en vie et jouit de la maison.
acp 473 (3 Q 30 188) f° 97-v du 19.11. (succession déclarée le 6 janvier 1859) Communauté, mobilier et marchandises 1494 – succession, garde robe 101
acp 474 (3 Q 30 189) f° 57-v du 11. X.br (vacation du 8. décembre) Communauté, mobilier 460
La nue propriété d’une maison sise à Strasbourg rue des Fribourgeois

L’usufruit s’éteint en 1859 à la mort de Jean Philippe Bischoff (inventaire). Auguste Heuson devient propriétaire à part entière.

Auguste Heuson se remarie en 1860 avec Marie Steib, originaire de Bischwihr près de Colmar et veuve de Jean Georges Vœgelin, instituteur à Colmar
1860 (27.6.), Strasbourg 4 (118), Not. Lauth n° 9443
Contrat de mariage – Ont comparu M. Michel Auguste Heuson, coiffeur, demeurant et domicilié à Strasbourg, veuf avec enfants de Dame Sophie Elisabeth Bischoff son épouse défunte en premières noces, et fils majeur et légitime de M. Chrétien Heuson, cordonnier, et de Dame Caroline Dolck, décédés conjoints à Strasbourg stipulant pour lui et en son nom comme futur époux
Et Dame Marie Steib, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve sans enfant du Sr Jean Georges Vögelin, vivant instituteur à Colmar, et fille majeure et légitime de M. Georges Steib, laboureur et de Dame Marie Suzanne Rusterholtz, décédés conjoints à Bischwihr, canton d’Andolsheim, stipulant pour elle et en son nom comme future épouse
acp 489 (3 Q 30 204) f° 65 du 28.6. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent dans ceux constatés par inventaire reçu Lauth le 18 novembre 1858.
Les apports de la future épouse consistent en un mobilier estimé 917 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit des biens de la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfants

Auguste Heuson et Marie Steib hypothèquent la maison au profit de Marie Françoise Eschbach, veuve du ferblantier Philippe Antoine Riebel

1861 (8.5.), Strasbourg 4 (119), Not. Lauth
Obligation du 8 Mai 1861 – Ont comparu M. Michel Auguste Heuson, coiffeur, & dame Marie Steib, son épouse, de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, M. Heuson agissant tant en son nom que comme père et tuteur légal de Caroline Sophie Elisa Heuson, Frédérique Sophie Heuson, Charlotte Mathilde Heuson et Charles Auguste Heuson, ses quatre enfants mineurs issus de son mariage avec dame Sophie Elisabeth Bischoff son épouse défunte en premières noces (…) a reconnu devoir
à Dame Marie Françoise Eschbach, veuve de M. Philippe Antoine Riebel, en son vivant ferblantier à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée, ci présente et acceptant, la somme principale de 1800 francs
hypothèquent spécialement une maison sise à Strasbourg à l’angle de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 2 (ancien n° 3) et de la rue de la demi lune où elle porte le N° 8 (ancien n° 1) composée d’une maison de devant, de bâtiments latéraux et de derrière, avec cour, pompe mitoyenne, droits, aisances, appartenances et dépendancess, le tout tenant d’un côté au Sr Albrecht, de l’autre côté au Sr Véron et par derrière sur la ci devant tribune des fribourgeois et inscrit à la matrice cadastrale section N n° 857 avec une superficie d’un are 70 centiares
Déclare M. Heuson qu’il a fait l’acquisition de cet immeuble conjointement avec son épouse défunte en premières noces de M. Pierre Engel, ferblantier et de Dame Madeleine Salomé Reiber, son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth l’un des notaires soussignés, le 29 juin 1853, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 juillet 1853 volume 568 n° 44 et inscrit d’office le même jour volume 588 numéro 184 pour sûreté de solde du prix de vente qui est encore dû, que cette acquisition a eu lieu conjointement avec avec M. Jean Philippe Bischoff, perruquier demeurant et domicilié à Strasbourg mais pour l’usufruit seulement, mais que cet usufruit s’est éteint par le décès de M. Bischoff arrivé à Strasbourg le 7 mars 1859 et que l’immeuble appartient aujourd’hui pour moitié indivise à M. Heuson et pour l’autre moitié indivise aux quatre mineurs Heuson ainsi queil est constaté par un inventaire dressé après le décès de Mad. Heuson née Bischoff par M. Lauth le 18 novembre 1858 enregistré. Quant à la propriété antérieure de cet immeuble elle se trouve établie dans le contrat de vente ci-dessus relaté. Déclarent encore les époux Heuson qu’il employeront la somme présentement empruntée au paiement de diverses sommes qu’ils doivent conjointement avec avec les quatre mineurs

Marie Steib meurt en 1867 en délaissant une fille issue du veuf.

1867 (20.9.), Strasbourg 4 (126), Not. Auguste Weiss n° 246
Inventaire de la succession de Dame Marie Steib, veuve sans enfant de M. Jean Georges Voegelin vivant instituteur à Colmar et décédée épouse de M. Michel Auguste Heuson, coeffeur, à Strasbourg, ladite Dame décédée en cette ville le 24 juin 1867.
L’an 1867 le Vendredi 20 septembre à trois heures de relevée, à la requête de M. Michel Auguste Heuson, coeffeur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre lui et Dame Marie Steib, son épouse, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Lauth, prédécesseur immédiat de M° Weiss, l’un des notaires soussignés, le 27 juin 1860 et dont une expédition sera ci après analysée, 2° comme donataire en usufruit pendant sa vie, sans être tenu de donner caution ni de faire remploi, de la moitié de tous les biens meubles et immeubles, sans aucune exception, dépendant de la succession de sadite défunte épouse, aux termes de son contrat de mariage ci-dessus énoncé, 3° comme père et tuteur légal de de Gustave Adolphe Heuson, né le 2 juin 1861, son enfant mineur issu de son mariage avec sa dite défunte épouse, demeurant avec lui, 4° et comme ayant la jouissance légale des biens de son enfant mineur jusqu’à ce qu’il soit émancipé ou qu’il ait atteint sa 18° année et aux charges de droit, ledit mineur Heuson habile à se dire et porter seul et unique héritier de Mad. Heuson née Steib sa mère. Et en présence de M. Jean Jacques Martin, coiffeur, demeurant et domicilié à Strasbourg, en qualité de subrogé tuteur dudit mineur (…)
le tout trouvé dans une maison sise à Strasbourg rue des fribourgeois n° 2 où Madame Heuson est décédée le 24 juin dernier.
Et au moment de commencer l’opération, le veuf requérant a déclaré qu’il avait été marié en premières noces avec Dame Sophie Elisabeth Bischoff, décédée à Strasbourg le 15 octobre 1858, que l’inventaire de ka succession de sa première femme a été dressé par le susdit M° Lauth le 18 novembre et 8 décembre suivant, que la majeure partie des meubles et effets mobiliers dépendant de la communauté de biens qui avait existé entre lui et sadite première femme et inventoriés dans le susdit inventaire existent encore aujourd’hui en nature
garde robe de la défunte 77 francs
acp 566 (3 Q 30 281) f° 60 du 21.9. (succession déclarée le 13 Xbr 1867 n° 272) Mobilier de la première communauté 864, mobilier de la deuxième communauté 757, mobilier de la succession 364
acp 567 (3 Q 30 282) f° 65-v du 11.11. (vacation du 6 novembre) Désignation des titres

Lors de la liquidation, la maison reste indivise

1873 (12.7.), Strasbourg 4 (137), Not. Charles Lauterbach, n° 688
Liquidation et partage de la communauté qui a existé entre Michel Auguste Heuson, coiffeur, et Sophie Elisabeth Bischoff
Ont comparu A. Mr Michel Auguste Heuson, coiffeur, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant dans les qualités suivantes a) à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui et dame Sophie Elisabeth Bischoff, son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hatt, prédécesseur médiat de M° Lauterbach, notaire soussigné, le 22 mars 1842, b) comme donataire en usufruit pendant sa vie sans être tenu de donner caution, de la moitié de tous les biens meubles et immeubles, sans exception, dépendant de la succession de sadite épouse, aux termes dudit contrat de mariage,
B. 1. Mlle Caroline Sophie Elise Heuson, sans état, 2. Melle Frédérique Sophie Heuson, sans état, 3. Melle Charlotte Mathilde Heuson, aussi sans état, 4. Et M. Charles Auguste Heuson, coiffeur, les quatre majeurs, demeurant et domiciliés à Strasbourg, les quatre enfants Heuson, frères et sœurs germains, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de feu dame Sophie Elisabeth Bischoff prédénnommée, décédée à Strasbourg le 15 octobre 1858

Observation préliminaires. Décès de Mad. Heuson. inventaire
Décès de M. Bischoff, Partage et liquidation – M. Philippe Bischoff, grand père des enfants Heuson prédénommés, est décédé à Strasbourg le 7 mars 1859 (…)
Communauté des époux Heuson. Masse active. Cette masse comprend 1. les meubles 1494, 2° argent comptant 30
3. Une maison avec droits, aisances et dépendances, sise à Strasbourg à l’angle de la rue des fribourgeois où elle porte le numéro 2 et de la rue de la demi lune où elle porte le numéro 8, que les époux Heuson ont acquise de M. Pierre Engel, ferblantier, et de dame Madeleine Salomé Reiber, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente reçu pat ledit M° Lauth le 29 juin 1853 et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 juillet suivant volume 568 numéro 44 et inscrit d’office le même jour volume 588 n° 184, pour sûreté de la somme de 7000 francs restée due sur le prix de vente. Cette maison, au termes du contrat d’acquisition, était grevée de l’usufruit viager et gratuit au profit dudit défunt M. Philippe Bischoff, mais cet usufruit s’est éteint par le décès de ce dernier. Cette maison est estimée à la somme de 24.000 francs
Total de la masse active 25.924 francs. (…) Total de la masse passive 15.435. Balance 10.088
Succession, Mase active 7873, masse passive 80. Balance 7792 francs
acp 619 (3 Q 30 334) f° 10-v du 22.7.

La maison est inscrite à partir de 1891 au nom du brasseur Jean Georges Alfred Mühleisen de Schiltigheim. Fils du marchand Georges Mühleisen de Strasbourg, il épouse en 1892 Sophie Münch, fille d’un journalier de Lingolsheim. Après avoir suivi les cours de l’école supérieure de commerce de Stuttgart, il voyage dans différents pays pour acquérir des connaissances en brasserie. Il fonde le journal protestataire Echo dont la parution est suspendue par le gouvernement en 1884. Il est député au parlement de 1884 à 1890 (voir l’article en allemand sur Wikipédia)

Mariage, Schiltigheim (n° 11)
Schiltigheim am 12. März 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Brauereibesitzer Georg Jakob Alfred Mühleisen, evangelischer Religion, geboren den 19. August des Jahres 1856 zu Strassburg, wohnhaft zu Schiltigheim, Sohn der Eheleute Kaufmann Georg Mühleisen und Friederika Amalie geborener Weltz, verstorben und Zuletzt wohnhaft zu Strassburg,
die Gewerblowe Sophie genannt Johanna Münch, katholischer Religion, geboren den 2. Februar des Jahres 1867 zu Lingolsheim Kreis Erstein, wohnhaft zu Schiltigheim, Tochter der Eheleute Tagner Michael Münch und Katharina geborener Brankratz, letztere zu Lingolsheim verstorben, ersterer wohnhaft zu Lingolsheim (i 12)

Inscrit comme propriétaire au cadastre à partir de 1905, Florent Stengel originaire de Hohengœft épouse en 1896 la servante Catherine Meyer, originaire de Gougenheim.

Mariage, Strasbourg (n° 519)
Straßburg am 13. Juni 1896. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Fuhrmann Florentz Stengel, katholischer Religion, geboren den 28. Oktober des Jahres 1865 zu Hohengoeft (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Ackerers Michael Stengel und dessen Ehefrau Maria geborene Eckert, beide wohnhaft zu Hohengoeft,
die Dienstmagd Katharina Meyer, katholischer Religion, geboren den 13. April des Jahres 1873 zu Gugenheim (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Maurers Anton Meyer und dessen Ehefrau Anna Maria geborene Koebel beide wohnhaft zu Gugenheim
(† 12 avril 1935 n° 1012)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.