3, rue de la Lie (ancien 7)


Rue de la Lie n° 3 (ancien n° 7) – VII 287 (Blondel), P 1099 (cadastre)

Voir la maison voisine avant 1746 et après 1835


Le n° 7 puis 3, rue de la Lie se trouve à droite, après le tuyau de descente (vers 1930, fonds Schimpf, AMS cote 112 Z 8)

Le menuisier Jean Sébastien Hellmund passe en 1746 un accord avec le tonnelier Laurent Weber qui vient d’acheter la maison à l’angle de la rue de l’Ail et de celle de la Lie en se rendant propriétaire du bâtiment arrière donnant dans la rue de la Lie. Les experts estiment la maison à 1 800 florins en 1761 et à 2 300 florins en 1789. Il est donc probable que le menuisier Philippe Charles Voltz, propriétaire entre 1761 et 1789, y ait fait des travaux, sans cependant avoir besoin de l’agrément des Préposés aux feux.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 167 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et premier étage en maçonnerie et deuxième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à gauche du repère (g) : deux portes et une descente de cave au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun, deux niveaux d’ouvertures dans la partie en pignon, ce qu’on retrouve sur la photographie prise au début des années 1930. Une partie de la maison donne dans la cour D en (2-3).
Elle porte le n° 7 (1784-1857) puis le n° 3 alors qu’elle fait partie du 11, rue de l’Ail.

167 Plan (rue de l'Ail)
Plan, cour D

Les enquêteurs qui visitent les maisons à démolir pour la Grande percée relèvent que le bâtiment arrière date du XIX° siècle. Le cadastre ne signale cependant aucune construction entre 1842 et 1892. Il pourrait s’agir des transformations que peut avoir faites Philippe Charles Voltz entre 1761 et 1789 ou Jean Théophile Ehrenfeuchter après avoir acquis la maison en 1835, sans modifier la façade.

septembre 2020

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1746 à 1835. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1746 v Jean Sébastien Hellmund, menuisier, et (1737) Anne Marguerite Thalwitz puis (1743) Anne Marie Weberrus – luthériens
1761 adj Philippe Charles Voltz, menuisier, et (1745) Marie Madeleine Braunwald d’abord (1742) femme du menuisier Jean Michel Meffert, puis (1754) Marie Salomé Friess – luthériens
1789 h Jean Charles Mann, boucher, et (1780) Catherine Salomé Voltz – luthériens
1810 v Jean Georges Riedinger, farinier, et (1772) Marie Salomé Metz – luthériens
1835 v Jean Théophile Ehrenfeuchter, marchand de vins, voir la maison voisine

Valeur de la maison selon les billets d’estimation :900 livres en 1761, 1150 livres en 1789

(1765, Liste Blondel) VII 287, Philippe Jacques Voltz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Foltz, 5 toises, 1 pied et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1099, Ehrenfeuchter, Jacques Théophile, rue de l’Ail 16 marchand de vin – maison, sol, cour – 0,91 are / Ehrenfeuchter Jean Théophile

Locations

1820, Barbe Thomas, veuve de l’officier d’artillerie retraité Jean Aubert

Description de la maison

  • 1761 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est en partie voûtée et en partie solivée, le puits commun, le tout estimé à la somme de 1 800 florins
  • 1789 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, une cuisine et plusieurs chambres, en outre un atelier de menuisier et un bûcher, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé à la somme de 2 300 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue de la Lie

nouveau N° / ancien N° : 14 / 7
Riedinger
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie, le 2° étage médiocre en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 387 case 1

Ehrenfeuchter, Jean Baptiste
1858 Wolff, Gustave Adolphe, avoué

P 1099, maison, sol, rue de la Lie 7
Contenance : 0,91
Revenu total : 90,47 (90 et 0,47)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 13
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1101, sol
Contenance : 2
Revenu total : 1,04 (91,51)
Ouvertures, portes cochères, charretières :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 365 case 1

Wolff, Gustave Adolphe, avoué 1865
1865 Holderbach, Charles, Menuisier
1880/81 Mann Carl die Kinder Halbmondgasse

P 1099, maison, sol, rue de la Lie 3
Contenance : 0,91
Revenu total : 90,47 (90 et 0,47)
Folio de provenance : (387)
Folio de destination : 384
Année d’entrée :
Année de sortie : 1881
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 13
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1101, sol
Contenance : 2
Revenu total : 1,04 (91,51)
Folio de provenance :
Folio de destination : 385
Année d’entrée :
Année de sortie : 1865

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 242 Rue de la Lie (p. 393)

7
Pr. Mann Charles, maison point occupée
(ajouts) Loc. Voltz, mar. Salomé – Menuisiers
Loc. Kohler, Henry – Menuisiers


Relevé d’actes

Le tonnelier Laurent Weber acquiert en 1746 la maison qui forme l’angle occidental de la rue de l’Ail et de celle de la Lie. Il cède le bâtiment arrière rue de la Lie au menuisier Jean Sébastien Hellmund par un acte non conservé passé le 17 ou le 25 octobre 1746 devant le notaire Jean Philippe Liechtenberger
Jean Sébastien Hellmund et sa femme Anne Marie Weberrus hypothèquent la maison qu’ils viennent d’acheter au profit de Catherine Salomé Werner veuve du tonnelier Georges Samuel Mosseder.

1746 (23.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 648
Johann Sebastian Hellmund der schreiner und Anna Maria geb. Weberußin mit beÿstand ihres vettern Johann Heinrich Füßel des kupfferschmidts
in gegensein Fr. Catharinæ Salome geb. Wörnerin weÿl. Georg Samuel Moßeder gewesten kieffers weinhändlers wittib mit beÿstand H. Johann Abraham Schatz Gymnasiarchæ und fernern gegenwart Daniel Deubler des nagelschmidts – schuldig seÿen 200 pfund und 300 pfund zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung helffte
unterpfand, die anheute erkauffte helffte ane einer behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein, bronnen und hoffstatt ane der Knoblochsgaß, einseit ist ein eck ane dem drußengäßlein, anderseit neben H. D. Johann Daniel Bilger wittib und erben, hinten auff dieselbe – davon gibt man dem Mehren hospital 1 lb, mehr der Commanthureÿ St Johann im grünen wört 1 lb, so dann dem Stifft St Thomä auff Martini 2 ß

Ils hypothèquent un mois plus tard la maison au profit du docteur en médecine Isaac Ottmann (leur voisin, propriétaire de la maison ensuite numérotée 11)

1746 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 946
Johann Sebastian Hellmund der schreiber und Anna Maria geb. Weberußin mit beÿstand ihres stieffvatters Johann Beck des küblers und ihres vettern Johann Heinrich Fiesel dss kupfferschmidts
in gegensein H. Isaac Ottmann Med. D. und Practici – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung und hoffstatt im Drußengäßlein, einseit neben Lorentz Weber dem kübler, anderseit neben H. Dr Ottmann ux. noe., hinten auff denselben – als ein am 23. Augusti jüngst erkaufftes guth
so dann eine behausung und hoffstatt auff der Burggaß, einseit neben einem thurn, anderseit neben dem Allmend hinten auff den stadt graben – der Ehefrau vor unverändert

Originaire d’Eisenach (Stockhausen), Jean Sébastien Hellmund épouse en 1737 Anne Marguerite Thalwitz, fille de menuisier : contrat de mariage passé en 1737, célébration en 1740
1737 (4.3.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 35
Eheberedung – erschienen der Ehrsame Johann Sebastian Hellmund, lediger Schreiner von Eißenach gebürtig, deß Ehrengeachten Jacob Hellmund, Bierwürths v. burgers daselbst mit fr. Agnes geb. Langlotzin ehel. Erzeugter Sohn als hochzeiter, beÿständlich Mr Joh: Heinrich Rauchmaul deß Schreiners v. burgers allhier Zu Strb. ane Einem
So dann die Tugendsahme Jgfr. Anna Margaretha Dahlwitzerin, Weÿl. Mr. Christoph Dahlwitzers, geweßenen Schreiners v. b. allhier mit auch weÿl. Fr. Anna Marg. geb. Güntersdörfferin, ehel. erzeugte Tochter, beÿständ. S. T. Herrn Joh: David Baumüllers des Cantoris v. Ludimoderatoris beÿ allhies. Ev. gem. Zun Jungen St. Peter v. burgers allhier als hochzeiterin am andern Theil
[unterzeichnet] Johan Sebastian Hellmundt als hoch Zeiter, Anna Margaretha thalwitzin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 189 n° 713)
1740. Eodem [Mittw. den 27.ten April] seind nach ordentl. außruffung Ehl. copul. u. eingesegnet worden Johann Sebastian Hellmund der led. schreiner u. b. allhier, weÿl. Jacob Hellmunds geweß bierschencken u. ackermanns Zu Stockhaußen beÿ Eißenach hinterl. Ehl. Sohn u. J. Maria Margaretha weÿl. Christoph Dalwitzers geweß schreiners u. b. allhier hinterl. Ehl. tochter [unterzeichnet] Johan Sebastian Hellmundt als Hoch Zeiter, Maria Margaretha Thalwitzrin (i 193)

Les Quinze accordent le 24 mai 1738 à Jean Sébastien Hellmund l’autorisation de faire son chef d’œuvre avant d’avoir terminé ses années d’épreuve
1738, Protocole des Quinze (2 R 147)
Johann Sebastian Hellmundt Ca. E. E. Handwerckh der Schreiner
(p. 245) Sambstag d. 19. Aprilis 1738. – Moss. nôe Johann Sebastian Hellmundts Schreiners Gesell gebürtig von Eisenach C. E. E. Handwerckh der Schreiner prod. Appellations Klag mit beylagen A et B Christ. bitt Cop. et T. ord. Moss. laßt Copeÿ Zu bitt aber Deput. Erk. Wird Cop. und T. ord. Zugelaßen.

(p. 266) Sambstag d. 3. May 1738. – Moss. nôe Johann Sebastian Hellmundt C. der Schreiner erhohlt Cit. vom 19. Martÿ jüngst, Römer prod. Except. Moss. bitt Deput. und Wie in prod. Moss. priora. Erk. Ober handwerckhh.

[manquent les pp. 287-290 du 10 mai]
(p. 313) Sambstag d. 24 May 1738
Bescheid. Sambstag den 10. May 1738.. In Sachen Johann Sebastian Hellmundts Schreiners Gesellen von Eisenach gebürtig, Appellanten, ane einem, entgegen undt Wieder E. E. Handwerckh der allhiesig. Schreiner Appellaten, am andern theil. Auff producirte Unterthänige Appellations Schrifft mit beÿlagen Sub lit. A et B. und angehenckhtem bitten den Appellanten ex gratia dispensando Zu dem Meisterstück Zu admittiren, Vorgelegte Exceptiones juncto petito den begehren ab: und an die ordnung Zu Verweisen, ref. Expensis. Gebettene, bewilligte, und beschehene Deputat. auch all übriges angehörte Vor: und anbringen, Ist der Herren Deputirten abgelegten Relation nach, Erkandt, daß der Appellant Von dem nacharbeiten der 8. wochen gegen erlag der unkosten, und lb d pro dispensatione zu dispensiren, selbiger aber Zu Völliger außhaltung der Muthzeit Zu condemniren seÿe. Alß wir hiemit dispensiren und condemniren.
Zu Mghh stellend, ob die dießen auffsatz alßo genehmhalten, undt dabeÿ erkennen wollen, daß selbiger in dieser formb expedirt, undt dem petenten Zugestellt werden solle. Erk. quod sic.

Originaire de Stockhausen près d’Eisenach, Jean Sébastien Hellmund devient bourgeois par sa femme le 7 mai 1740.
1740, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 8
Johann Sebastian Hellmundt der Schreiner Von Stockhaußen im Sachsen Eÿßenachischen gebürtig und sein ehefrau Anna Margaretha dalwützin von hier gebürtig erhalten das burgerrecht die Ehefrau wegen wohlverhaltens gratis, und der Maritus um den alten burger schilling und werden beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth dienen, jur: et promisit d. 7. Maÿ 1740.

Le tisserand Jean Michel Münch rend compte des biens qui appartiennent au fils qu’a délaissé Marguerite Thalwiter, femme de Jean Sébastien Hellmund
1745 (3.2.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 476) n° 281
Abrechnung zwischen Hn Joh: Michael Münch dem Leinenweber v. b. allh. ane einem
und Weÿl. fr. Margarethä geb. Dalwitzerin H. Joh: Sebastian Hellmund des Schreiners und b. allh. geweß. Ehefr. seel. nachgelaßenen Kindes Nahmens Joh: Sebastian In deßen Nahmen der Vatter Zugegen war, wie auch H. Joh: Paul Thalwitzer dem bürstenbinder v. b. allh. am andern theil.
Erst. haben die 3. Wohnungen in dem Hauß ane d. Burg Gaß Vor die 3. letzte Quartal zusammen ertragen pro A° 1743., 24 lb 7 ß 6 s
It. pro Anno 1744. haben alle 3. Weißbecken Zus. gerechneter maßen ertragen 32. lb

Jean Sébastien Hellmund se remarie en 1743 avec Anne Marie Weberrus, fille de tonnelier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – entzwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Meister Johann Sebastian Hellmond Wittiber schreiners und burgers allhier Zu Straßburgn alß dem bräutigamb ane Einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Anna Maria Weberußin, weÿland herrn Johann Seigmund Weberruß gewesenen Kübler und allhießigen burgers mit auch weÿland fraun Annæ Mariæ gebohrner Schweinlinin Ehelich erzielten und nach todt verlasenen dochter, alß der hochzeiterin andern theils – So beschehen in fernerer gegenwarth (…) auf der Jungfer hochzeiterin seithen herrn Johannes Becken Küblers Ihres Stieffvatters (…) Sonntags den 18. Julÿ Anno 1743, Johann Jacob Oelinger, Notarius juratus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 220-v, n° 841)
1743. Eod. [Mittw. d. 14. aug.] seind nach ordentl. Proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden Johann Sebastian Helmond, schreiner, b. u. wittwer allhier u. J. Anna Maria weÿl. Sigmund weberus geweßen Küblers u: b. allhier nachgelaßene Ehl. tochter [unterzeichnet] Johan Sebastian Hellmundt als Hoch Zeiter Anna Maria Weberußin als Hochzeiterin (i 226)

Etat des biens qui reviennent au frère et à la sœur d’Anne Marie Weberrus dont Jean Sébastien Hellmund est devenu curateur
1744, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 58) n° 1335
Specificatio Alles des jenigen, Was Frau Anna Maria Hellmondin gebohrne Weberusin, Meister Johann Sebastian Hellmund, des Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg eheliche Haußfrau, Wegen Ihrer beeder Justen Geschwüsterde, Johann Sigmunds und Mariä Elisabethä der Weberußen, weilen mann dero geschwornen Vogten Meister Johann Daniel Braunen den Schuhmachern und burgern allhier, welcher seithero mit todt abgegangen und deßen Stelle wegen dießer Vogteÿ durch obgedachten Meister Joh: Sebastian Hellmund den Schreiner der Curanden Schwager ersetzt worden, deroselben Erbschafft nicht unter die hand hat geben wollen, Von Weÿhenachten 1740 biß Annunciationis Mariæ 1744 eingenommen und hingegen wiederumb ausgegeben hat.
Gemeine Einnahm vor beede Geschwüsterde in gemein beschehen
Erstl Zahlte Meister Johannes Beck der Kübler V. Burger allhier der Curanden Stieff Vatter Von der in Lehnung habenden behaußung den Zinß auf Weÿhenachten 1742. et 1743. Verfallen th. à 35. lb d vor 2 Jahr 70. lb

Les Quinze autorisent Jean Sébastien Hellmund à prendre des compagnons en surnombre pour faire les travaux dans la maison de Ribeaupierre (Rappoltsteinischer hoff)
1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
(p. 274) Sambstags d. 28. Junÿ 1760 – Froereisen nôe Sebastian Hellmund des b. u. Schreiner Mstr. bitt um gnädige Erlaubnus die Reparationen und arbeiten in dem Rappoltsteinischen hoff vor I. D. den Printz. Friderich, fördern Zu können [-] Gesellen 4 Monath lang über die gewohnliche anzahl nehmen zu dörffen, mit bitt daß Er wann einer davon auß arbeit tretten wolte von der Herberg einen andern nehmen dörffe. Erk. biß Zu verfertigten Arbeit willfahrt.

Anne Marie Weberrus meurt en 1760 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre aux héritiers est de 900 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 1304 livres, le passif à 2 859 livres

1761 (7.1.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 71) n° 1653
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen fraun Annæ Margarethæ Hellmundin gebohrner Weberrußin Meister Joh: Sebastian Hellmund Schreiners und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1761 – nach ihrem den 17. Aug. des abgewichenen 1760.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sowohlen sein des Wittibers selbsten als Meister Philipp Ambrosius Krähmer Seilers und burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Mariæ Salome, 16 Jahr alt, Mariæ Elisabethæ von 14 Jahren vnd Johann Sogmund so 10 Jahr alt die hellmunden alle dreÿ der abgeleibten mit vorermeltem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder und ab intestato Zu gleichen portionen und antheilern verlaßene rechtsmäßiger Erben fleißig inventirt – Actum in der Königl. Statt Straßburg, Mittwochs d. 7. Januarÿ et seq. anno 1761.
Copia der Eheberedung

In einer alhier zu Straßburg ane dem Trusengäßl. gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 7-v) Eigentum ahne häusern. (W. et T) Nemblichen eine behausung, höflein vnd hofstatt, sampt allen deren gebäuden, Zugehörden vnd gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der burggaß (…)
(W. et T) Item eine behausung sampt einem Nebens hauß auch allhier Zu Straßburg in dem Trusengäßel, einseit neben Lorentz Weber dem Kübler deßen behausung so ein Eck ane dem trusengäßel in die Knoblochgaß außmacht, vermög Kauffbrieff de dato 27. Augusti 1746 auch darzu gehörden so daß solche häußer vormals nur ein hauß waren, welches Er Lorentz Weber und er der Wittiber von denen Stuberischen Erben, an sich erkaufft, Nachmahlen aber ist solch erkauffte Stuberische hauß Crafft der den 17.ten Octobris 1746. zwischen Ihnen denen beeden Käufern, laut acte von H. Notario Joh: Philipp Liechtenberger gefertigt vorgeandeter* maßen abgetheilt worden, die anderseit neben dem dißeitigen hauß liegt neben Hn Doctor Ottman & E E grosen Raths Jetzmahligen beÿsitzer vnd hinten wieder auf den selben stoßend. Auf dem vorher angezogenen gantzen Stuberischen hauß stünden folgender real onera als von dem allhiesigen teutschen Mehren hospital hat man zu bezahlen 1 lb, dem Stittt S Thomæ 2 ß, vnd dem Stifft S Johann im grünen wörth 1 lb, sammethafft 2 lb 2 ß. Nun aber besag allegirter Cession ein Jeeder der beeden benambßter häüsern die helfte ane diesen 2 lb 2 ß Zu leiden schuldig, so macht die dießeitige halbe theil 1 lb 1 ß vnd zu doppeltem Capital 42 lb. Es ist aber Vorher beschriebenes hauß vermög obmentionrter Abschatzung estimirt pro 900 lb, Detrahendo der 42 lb restiret auß zu werfen 856 lb. Im überigen aber über die unter denen passivis sel* enthaltenen Capitalia freÿ, leedig und Eigen.
(f° 13) Ergäntzung der Kinder vnd Erben unveränderten Mütterl. guts, Inhalt Inventarii illatorum de 1754 durch mich gefertigt
(f° 17-v) Series rubricarum, der Erben Vermögen, Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 3, Sa. goldener ring 2, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzung (588, Abzug 64, remanet) 523, Summa summarum 591 lb
Des Wittibers unverändert Nahrung und theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 50, Sa. Werckzeug zum Schreiner handwerck gehörig 17, Sa.Silber und dergleichen Geschmeids 7, Sa. Eigenthumbs ane häußern 1184, Sa. der Schulden 45, Summa summarum 1304 lb – Schulden 2859 lb, In Compensatione 1554 lb
Conclusio finalis Inventarÿ nichts
Eheberedung (…) Sonntags den 18. Julÿ Anno 1743, Johann Jacob Oelinger, Notarius juratus
Abschatzung Vom 15. Januarius 1761. Auff begehren Sebastian Hällmunt des Schreiners Meisters ist Eine behaußung allhier jn der Statt Straßburg jn dem Trußen Gäßel gelegen, Ein seÿts Neben N. Weber dem Kübler, ander seÿts Neben Herrn Doctor Ottman und Hinten Ebenfalls auff Herrn Doctor Ottman stoßend, solche behaußung bestehet jn Etlichen Stuben, Kamern und Küchen darüber jst der dachstuhl mit breitzieglen belegt Hat auch ein Gewölbten und getrembten Käller und gemeinschaftlichen brunnen. Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister Nach Vorheri Geschehener besichtigung mit Aller Ihren Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und Abschatzung worden, Vor und Umb Ein Thausent Acht Hundert Gulden
Der Zweÿte begriff (…) [unterzeichnet] Werner, Huber
(L’accord du 17 octobre 1746 ne figure pas au répertoire du notaire)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent à l’orphelinat le fils de Jean Sébastien Hellmund qui a déserté la Ville et ordonnent des poursuites contre lui s’il donne de ses nouvelles
1762, Conseillers et XXI (1 R 245)
Johann Sebastian Hellmund des von hier außgetrettenen burgers und schreiners mit weil. Anna Maria geb. Weberußin ehelich erzeugter Jüngster Knab wird usq. ad reditum patris in das Waÿßenhauß recipirt, dem Procuratore fisci aber committirt, wieder ged. Hellmund seine requisitiones propter malitiosam desertionem gehöriger orthen einzugeben. 103.
(p. 103) Sambstags den 5.ten Junÿ 1762. – Froereisen nê Philipp Ambrosius Krämer des burgers und Seilers alhier als vogt des von hier außgetrettenen Johann Sebastian Hellmund des geweßten burgers und schreiners mit weil. Anna Maria geborner Weberußin seiner Ehefrauen ehelich erzeugten Jüngsten Kinds producirt unterth. Memoriale und bittel sambt beÿl. sub Lit. 1 biß 4 inclusive p° gnädiger auffnahm in alhiesiges Waÿsenhauß.
Facta lectione wurde nach angehörtem voto des H. Syndici Regii, in welchem derselbe auf die gebettene reception zwar angetragen, dabeÿ jedoch gemeldet, daß des Curandi Vatter dem Procuratori fisci ob malitiosam desertionem seiner Kinder Zu inquiriren und seine requisitiones gehöriger orthen eingeben Zu können, geschrieben gegeben werden solle, Auf hohen anspruch des H. Prætoris Regii de Regemorte und des auff dem oberenbanck vorsitzenden H. Stättmeisters von Gail nach gehaltener und vollführter Umbfrag unanimiter Erkandt, wird Implorirender Vogt puncto gebettener auffnahm seines Curandi ane die Hochansehnliche Hh. Pflegere des Waÿßenhaußes, damit solcher usque ad reditum patris daselbst aufgenommen und verpflegt werden möge, verwießen, zugleich wird unßerm Procuratore fisci in commissis auffgetragen wieder gnd. Johann Sebastian Hellmund so von hier außgetretten und seine Kinder malitiosé verlaßen, Zu inquiriren und seine requisitiones gehöriger orthen einzugeben, damit dießer unnatürliche Vatter, fals er in erfahrung gebracht wird, Zu gebührender straffen gehalten werden möge.
Depp. H. Rathh. Baudet, H. Ratt. Blanck

Le docteur en médecine Isaac Ottmann auquel la masse du failli Jean Sébastien Hellmund a été attribuée fait dresser un inventaire du mobilier
1761 (5.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 265) n° 839
Demnach zufolg Erkandnuß E: E: Großen Rhaths vom 30. Maÿ 1761 in sachen Johann Sebastian Hellmunds, des burgers und Schreiners allhier falliment betreffend, S.T. herrn Isaac Ottmann Medicinæ hochberühmten Doctori und E: E: Großen rhats jetzig wohlverdientem beÿsitzern und vornehmen burgern allhier sein Meister Hellmunds hinterlaßene sambtliche falliments Nahrung so bewög: so unbewöglich, als letzten Herrn Creditori dergestalten entschlagen worden, daß er die Ihme vorgehende Creditores allenfalls soweit die Kräffte der Massæ sich erstrecken werden Zu bezahlen (…)
daß ich dannenhero ane dato mich in den Mr Hellmunds Verlaßene behaußung ane dem drußengäßlein allhier liegend Verfüget, allwo auch vor wolernandter herr requirent nebst Mr Philipp Ambrosio Krämern dem Seilern und burgern allhier sein Hellmunds dreÿer mit weÿl. Frauen Anna Margaretha gebohrner Weberußin, seiner kürtzlich verstorbenen Ehefrauen seel. ehelich erzeugter Kinder Zugegen gewesen

Les Quinze dispensent Isaac Ottmann de régler les droits de mutation sur la maison Hellmund qui lui a été attribuée en tant que créancier hypothécaire, en considérant qu’il perd de l’argent en partie à cause de la négligence de feu le greffier de la Chambre des Contrats

H Isaac Ottmann pt° Pfundzolls der Hellmundischen behaußung
1761 XV (2 R 173)
(p. 287) Sambstags d. 1. Aug. – Claus nôe H Isaac Ottmann Med. Doct. wie auch E.E. G. Raths würcklichen beÿsitzers prod. unterthänig memor. und bitten, sampt beÿlagen sub N. 1. 2. et 3. pt° des pfundzolls. Erk. Obere pfundzoll herren.

(p. 315) Sambstags d. 12. Septembris – Obere pfundzoll herren lassen per H. Secret. Stædel referiren, es habe H Isaac Ottmann Medicinæ Doctor wie auch E. E. Grosen Raths beÿsitzer d. 1. Aug: jüngst beÿ E. G. pt° der Statt pfund Zolls ein unterth. memor: und bitten samt beÿl. Sub Nis 1, 2 et 3. übergeben und darinnen vorgetragen er H. Implorant habe in Anno 1746. Johann Sebastian Hellmund dem Schreiner auf die demselben gehörige und im drußengäßlein gelegenen behaußung 1000. fl. geliehen, beÿ welchen actu dem H. Imploranten sowohl von besagtem Hellmund, als auch von dem H. Contractuum actuario versilbert worden daß auff besagter behaußung nur 700 fl. Kauffschillings Rest stünden, Wie aus beÿ producirter verschreibung sub N° 1 erhellet Nachgehends seÿe es mit der Hellmundischen Massa Zu einem falliment gekommen, da es sich dann hervorgethan daß die passiva die activa um 816. lb 9 ß übertroffen, da nun durch erkandtnuß E. E. Grosen Raths dem H. Imploranten, der der letzte hypothecarius war, die Massa entschlagen wurde, worauff sich dann sogleich unbekanndte Creditores hervorthaten, wodurch derselbe um jene auszuweisen nicht nur seines Capitals Verlustiget sondern auch noch aus seinem sack darauff zu legen genöthiget seÿn wird, wann nun dieser Verlust Ihme sehr nahe gehet, da er sich denselben nicht durch sein, sondern durch des H. Christiani verschulden Zugezogen, und ihme der pfundzoll noch mehr beschwärlich falle, als gelange an E. G. des H. Imploranten gehorsamste bitte hat dieselbe gnädigst geruhen Wollten zu erkennen, daß der H. Implorant wegen denen jenigen Häußer, so ihme mit der Hellmundischen Massa entschlagen worden sind, oder dort wenigstens wegen denenjenigen Capitalien, welche Ihme von seinem debitore sowohl als vo, E. G. Contractuum actuario verschwiegen worden sind, um so eher des gewöhlichen pfund Zolls befreÿet seÿn solle, als beÿ übenahm des Massæ quætionis der größte theil des hauses anderwärtig pro 1600. fl. wovon der pfund zoll ohne dem wird abgerichtet werden müßen cediret worden ist.
Auff geschehene weißung habe der H. Implorant præsens seinem Memor: annoch beÿgesetzt, wie daß er einig und allein durch die Nachläßigheit des letztverstorbenen H actuarii in der Contractstub in dieses Unglück gerathen, als welcher Ihme die auf der quæstionirten behaußung gestandene Capitalien außer 350. lb verfehlt, wie hiervon beede den actis beÿgelegte Contract verschreibungen maßgeben, dergestalt daß anestatt besagter 350. lb 1850 lb ihme vorgegangen, wordurch Er H. Implorant mit beÿ rechnung seines eigenen Capitals der 500 lb 2350 lb oder 4700 fl habhafft werden sollen, da aber die beede häußer laut falliments Inventarii sub N° 2. durch die geschwohrne Experten nur zu 1300 lb æstimirt worden, seithero sich auch viele Gliederschulden hat hervorgethan, welche der H. Implorant bezahlen müßen, so fallen Ihme ein Reellerschaden von 1050 lb oder 2100 fl zu, er verhoffe also, daß MGhh. in Ansehung des pfund zolls eine Gnädige einsicht haben werden.
Die H. Deputirte hätten in untersuchung dieses Geschäffts und da sich herfürgethan, daß der H. Implorant das eine in dem drußen gäßlein gelegenen hauß gleich nach übernahm der massæ wieder um 800 lb verkaufft nach der strenge der Rechten den völligen pfundzoll Von den übernohmenen häußern nach dem Fuß der Abschatzung der 1300 lb zu bezahlen hätte, weilen aber die Verkauffung dieser behaußung so zu sagen uno eodemque actu geschehen, auch der H. Implorant wann die Massa durch die Ganth wäre subhastirt worden, und er der letzt und meistbietende geweste wäre, als letzter Creditor Zweÿ Jahr Zeit gehabt hätte, bemeltes hauß pfundzoll freÿ wieder Zu verkauffen, derselbe auch diese Massam titulo onerosissimo annehmen müßen, als hätten die H. Deputirte dafür gehalten, daß dem H. Imploranten der pfundzoll von 800 lb nachzulaßen, derselbe aber Von den übrigen 500. lb als nun welche beede Summen er die in die hellmundische Massam gehörige häußer übernommen, den gewöhnlichen pfund zoll zubezahlen schuldig seÿe, die Confirmation stehe zu E. G.. – Erk. confirmation.

Isaac Ottmann vend la maison au menuisier Philippe Charles Voltz moyennant 800 livres

1761 (12.11.), Chambre des Contrats, vol. 635 n° 328
H. Isaac Ottmann medicinæ doctor und practicus und EE grosen raths
in gegensein Philipp Carl Voltz des schreiners
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane dem Drußengäßel einseit neben Lorentz Weber dem kübler, anderseit und hinten den verkäufer – davon gibt man dem mehrern hospital 10 ß, der commenthureÿ St Johann im grünen wörth 10 ß, dem stifft St Thomä 1 ß – als ein in Johann Sebastian Hellmund des schreiners falliments mass so ihme den 30. maÿ jüngst und EE. großen raths tam active quam passive entschlagen worden – vor der unterschrifft ist verabschiedet worden das das profeÿ gemeinschafftlich seÿn solle und daß ane dieser behausung keine gebäu führen kann dadurch dem verkäuffer den tag in seinem hoff könte verbaut wroden – 800 pfund

Fils de manant, Philippe Charles Voltz épouse en 1745 Marie Madeleine Braunwald veuve du menuisier Jean Michel Meffert : contrat de mariage, célébration
1745 (9.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 732
Eheberedung – zwischen dem ehrsamen Philipp Carl Voltz dem ledig. Schreiner, Jacob Voltzen deß gartenmanns vnd Schirmers alhier ehelich erzeugtem Sohn alß hochzeithern ane einem
So dann der tugendtsahmen fr: Maria Magdalena gebohrne Braunwaldin, weÿl. deß ehrsamen M. Joh: Michael Meffert deß Jüngern geweßenen schreiners vnd burg. alhier hinterlassenen Wittib als hochzeiterin andern theilß
mit unterhandem und vermittlung auf seithen deß hochzeiters H. Johann Georg Faudels deß sattlers undt burgers alhier deßelben geschwornen vogts, auf der hochzeiterin seithen aber herr Johann Michael Braunwaldß färbers vnd burgers alhie ihres leiblichen vatters vndt burgers alhie
Straßburg den 9. Martÿ Anno 1745 [unterzeichnet] Philipp Carl Voltz, Maria Magdalena Meffertin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 179, n° 2)
1746. Mittw. F. Purif. Mariæ d. 2. febr. wurde n nach 2. mahl. ordentlichen Proclamation ehelich copulirt Philipp Carl Voltz lediger schreiner u. burger allhier, Joh: Jacob Voltz blumengärtners und schirmers h. l. ehel : sohn, Fr. Maria Magdalena Meffertin geb. Braunwaldin weÿl. Joh: Michael Meffert gew. schreiners u. burgers allhier hinderl. wittib [unterzeichnet] Philipp Carl Voltz als hochzeiter, Maria Magdalena mefferdin (i 184)

Le menuisier Jean Michel Meffert épouse en 1742 Marie Madeleine Braunwald, fille de teinturier : contrat de mariage, célébration
1742 (29.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 630
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Meister Johann Michael Meffert dem ledigen Schreiner, des Ehrsamen Mstr. Joh: Michael Meffert deß ältern auch Schreiners vndt burg: alhier ehelich erzeugtem Sohn alß hochzeiter ane einem
adern theils aber Jfr: Maria Magdalena Braunwaldin des Ehrsamen Mstr. Joh: Michael Braunwaldß Schwartz und Schönfärbers vnd auch burgers alhier ehelich erzeugter dochter alß hochzeitherin
actum Straßb. d. 29. Martÿ 1742. [unterzeichnet] Johan Michael Meffer Als hochzeiter, Maria Magdalena Braunwaldin Als hochzeirin

Mariage, Robertsau (luth. p. 293)
Mittw. den 25. April 1742 seind auff Obrigkeitl. Erlaubnuß, nach gewohnlicher Außruffung Ehelich eingesegnet Worden Joh: Michael Meffert d. ledige Burger i&& Schreiner Zu Straßburg, Joh: Michael Meffert deß Burgers und Schreiners daselbst Ehl. Sohn Und Maria Magdalena, Joh: Michael Braunwaldss, deß Burgers und Färbers daselbst, Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johan Michael Meffert Als hochzeitter, Maria Magdalena braunwaldin Als hochzeirin (i 195)

Philippe Charles Voltz et Marie Madeleine Braunwald font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du tréfileur Lederlin au Fossé des Tanneurs. Les apports du mari s’élèvent à 306 livres, ceux de la femme à 263 livres.
1746 (26.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 21) n° 744
Inventarium über Mstr. Philipp Carl Voltzen des Schreiners und fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Braunwaldin beeder Eheleuthe undt burgere allhier einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1746 – auß der Ursachen weilen sie sich in denen mit einander auffgerichteten Ehepacta für unverändert Guth reservirt undt vorbehalten auch der Ergäntzung halben (…) die Ehefrau mit beÿstand H. Joh: Michael Braunwaldt des färbers und burgers allhier, deroselben leiblichen Vatters (…) Actum Straßburg d. 26. Martÿ 1746.
In einer allhier Zu Straßburg auff dem Gerber Graben gelegenen H. Lederlin dem tradzieher gehörigen behaußung sich befund. hat wie Volgt.
Ordnung gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Werckzeug und Waar zum Schreiner handwerck gehörig 59 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 131, Sa. Waaren und Werckzeugs zum Schreiner handwerck gehörig 130, Sa. Silbers 17, Sa. goldener Ring 7, Sa. der baarschafft 18, Summa summarum 306 – Schulden 263, Nach deren Abzug 25 lb

Natif de Blæsheim, Philippe Charles Voltz acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme en février 1746
1746, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 248
Ph. Carl Voltz der Schreiner Von Bläßheim gebürtig erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefrauen Maria Magd. Johann Michael Braunwaldts des burgers und ferbers allhier tochter um den alten burger schilling und wird dienen beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleüth, juravit d. 21. febr. 1746.

Philippe Charles Voltz est reçu tributaire chez les Charpentiers en mai 1746.
1746, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 72) Dienstags den 8. Maÿ 1746 – Evang. Neuz.
Philipp Carl Voltz der Schreiner Von Bläßheim prod. Cantzleÿ undt Stallß. dedato 21. et 28. febr: 1746, bitt Ihme das Zunfftrecht angedeÿen Zu laßen. Erkand, Willf. dt: 3 lb 4.

Marie Madeleine Braunwald meurt en 1753 en délaissant une fille de son premier mariage et trois enfants du second. L’inventaire est dressé dans la maison du tisserand Jean Georges Roth au Fossé des Tanneurs. La masse propre au veuf est de 30 livres, celle des héritiers de 209 livres. L’actif de la communauté s’élève à 142 livres, le passif à 239 livres.
1753 (9.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 25) n° 949
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Fraun Mariä Magdalenä geb. Braunwaldin letztmahls Mr Philipp Carl Voltzen des Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg gewesener ehel. Haußfrauen nunmehr seeliger Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1753. – nach ihrem Sonntag den 27. Maÿ jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitl. Verlaßen, (…) So beschehen Straßburg Montags den 9.ten Julÿ 1753.
Die Verstorbene seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1° Helenam Catharinam Meffertin die neun Jahr alt in deren Nahmen beÿ dießem Geschäfft erschienen Mr Friderich Philippi der Schreiner und br. alhier als geordnet und geschworener Vogt dießes töchterleins, Welches döchterl. die Verstorbene seel. mit weÿl. Mr Johann Michael Meffer auch geweßenen Schreiner und burger, alhier ehel. erzeugt
2° Johann Michael Votz so bald das 7. Jahr erreichen wird, 3° Mariam Elisabetham die 5 Jahr alt, sodann 4° Mariam Barbaram welche 3 ½ Jahr erlebet, dieße dreÿ letztere die Voltzen, mit Eingangs gemeltem hinterbliebenen Wittiber erzeugte Kkr. Vor die Kk. Letzter Ehe Mr Johann Michael Braunwald der Schwartz und Schönfärber auch b. allhier deren Mutter bruder und geordnet und geschworener Vogt dießem Geschäfft beÿwohnet
Alßo sind alle Vier der abgel. seel. aus Zwoen Ehen erzielte Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheilen nachgelaßenee Erben

In einer alhier Zu Straßburg an dem Gerber graben gelegenen Mr Johann Georg Rothen dem Wollenwerber Zuständigen dießorts Zum theil Lehnungs weiße bewohnenden behaußung befunden wordn wie folgt
Werckzeug Zum Schreiner Handwerck gehörig (…)
Ergäntzung derer Erben wehrender Ehe abgegang. ohnveränd: guth. Vermög Invent: über Meister Philipp Carl Voltzen deß Schreiners und nunmehr weÿl. Fr. Maria Magdalena gebohr. Braunwaldin in die Ehe zugebrachte Nahr. durch mich dermahlig. Inventir schreiber den 26. Martÿ 1746. auffgerichteten Inventarÿ
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ. – Copeÿ der Eheberedung, perge in mein Notÿ. Extens. Prot. N° 6 fol: 57.b Min. N° 732
des hinterbl. Wittibers ohnveränderten Vermögens, Sa. Werckzeugs 12, Sa. Silbers 1, Sa. der Erg. 46, Summa summarum 60 lb – Schuld per se, In Vergleichung, verbleiben 30 lb
Diesemnach wird auch derer Kinder und Erben ohnverändert vnd vorbehalten Guth beschrieben, Sa. haußraths 76, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring 1, Sa. der baarschafft 5, Sa. der Activ Schulden 30, Sa. der Erg. 134, Summa summarum 252 lb – Schuld 43, Nach deren Abzug 209 lb
Endlich folgt auch die gemeinschafftliche Verändert und theilbare nahrung, Sa. haußraths 77, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner Hsw. 1, Sa. holtz und Waar Zum Schreiner hdw. gehörig 40, Sa. Silbers 3, Sa. derer Activ Schulden 20, Summa summarum 142 lb – Schulden 239, Theÿlb. Schulden last 97 lb
Stall Summ 185 lb

Philippe Charles Voltz se remarie avec Marie Salomé Friess, fille de tourneur : contrat de mariage, célébration
1754 (4. jenner), Not. Haering (6 E 41, 1375) n° 4
Eheberedung -zwischen dem Ehrengeachten Mr Philipp Carl Voltz Schreiner Wr. und br. alhie Zu Straßb. alß hochzeiter ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfraun Mariä Salome Frießin weil. Mr Johann Daniel Frieß des geweßenen hohldrähers und b. alhie mit auch weil. Fr. Anna Margaretha geb. Schüblerin beede seel. ehel. erzeugter tochter, als der Jgfr. brauth am andern theil
der bräutigam mit beihülff Mr Johann Michael Braunwald des Schwartz und Schönfärbers seiner Kr erster Ehe geordnet und geschwohrenen Vogts
So beschehen Straßburg Freÿtag den 4. Jänner Im Jahr der Gnaden 1754 [unterzeichnet] Philipp Carl Voltz als Hochzeiter, Maria Salome Frißin alß Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 206, n° 3)
1754. Sonnt. I et II. Epiph. sind proclamirt u. Mittw. d. 23. Januarii copulirt word. Philipp Carl Voltz, Verwittibter burger und schreiner h. l. und Jgfr. Maria Salome weÿl. Daniel Frieß gew. Hohldreher u/ b/ h l. ehl. tochter [unterzeichnet] Philipp Carl Voltz als hochzeiter, Maria Salome Frießin als hochzeitrin (i 210)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du tisserand Jean Georges Rothhan au Fossé des Tanneurs. Les apports du mari s’élèvent à 344 livres, ceux de la femme à 219 livres.
1757 (29.7.), Not. Haering (6 E 41, 1355) n° 54
Inventarium über des Ehrsamen und Bescheidenen Mr Philipp Carl Voltz Schreiners und der Ehren und tugendsahmen frau Maria Salome geb. Frießin, beeder Eheleuthe und burgere alh. Zu Straßburg einander in die Ehe gebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1757 – in ihrem den 23. Jenner 1754. angetrettenen Ehestand zugebracht und sich in ihrer vor mir Not° am 4.ten Jenner 1754 errichteten Eheberedung §° 4.to vor eigen vorbehalten haben. Wie solche durch Sie sie beede Eheleuthe selbsten und Zwar die Ehefrau beiständlich H Johann Daniel Frieß Kunstdräher und br. alhier ihres bruder – So beschehen Straßburg Freÿtag den 29. Julÿ 1757.

In einer alhier Zu Straßburg an dem Gerbergraben gelegenen Mr Johann Georg Rothhan dem Wollenweber Zuständig dießorts Zum theil Lehnung weiße bewohnenden behausung befund. worden, wie folgt
des Ehemanns Kinder erster Ehe Pfetter Göttel und andere Geschenck Johann Michael gehörig, Maria Elisabetha zuständig, Maria Barbara eigen
Series rubricarum hujus Invÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Guths, Sa. hausraths 210 lb, Sa. Werckzeugs zum Schreiner hdw. gehörig 345 lb, Sa. Silbers 6 lb, Sa. Baarschafft 35 lb, Sa. Schuld 14 lb, Summa summarum 612 lb – Schulden 268 lb, Nach deren Abzug 344 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr: in die Ehe gebr. Vermögen beschrieben, Sa. weis Leinwands und getüchs 15 lb, Sa. Silbers 21 lb, Sa. gold. Ringe 6 lb, Sa. der baarschafft 18 lb, Sa. Schulden 157 lb, Summa summarum 219 lb – Haussteuren 15 lb

Philippe Charles Voltz et Marie Salomé Friess hypothèquent la maison au profit du menuisier Frédéric Philippi

1762 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 636 n° 128-v
Philipp Carl Voltz der schreiner und Maria Salome geb. Frießin mit beÿstand ihrer schwäger Johann Conrad des schneiders und Johann Schwab des schumachers
in gegensein H. Friedrich Philippi des schreiners und E.E. kleinen raths dermaligen beÿsitzers – schuldig seÿen 600 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Drußengäßel, einseit neben Lorentz Weber dem kübler, anderseit und hinten H. Rathh. Isaac Ottmann med. doct. – davon soll man dem mehrern hospital 10 ß, der commanthureÿ St Johann im Grünenwörth 10 ß, dem Stifft St Thomas 1 ß

Philippe Charles Voltz meurt en délaissant deux enfants ou leurs représentants issus de son premier mariage et une fille du second. Les experts estiment la maison 1 150 livres. La masse propre à la veuve est de 244 livres, la masse propre aux héritiers de 390 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 351 livres, le passif à 746 livres

1789 (25.7.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 641) n° 322
Inventarium über Weiland Meister Philipp Carl Voltz gewesenen Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1789.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen liegend und fahrenden Vermögenschaft, so Weiland Meisterr Philipp Carl Voltz gewesener Schreiner und burger allhier Zu Straßburg nunmehro seeliger, nach seinem den 5.ten gegenwärtigen Heumonaths aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschaft auf Ansuchen und begehren sowohl der hinterbliebenen wittib Fraun Maria Salome gebohrner Frießen beiständlich Herrn Meister Hosch Sen: Windenmachers und burgers alhier als auch des Verstorbenen in erster und Zweÿter Ehe erzeugter Kinder und ab intestato hinterlaßen (…) So geschehen Zu Straßburg auf Sambstag den 25. Julÿ im Jahr 1789.
Benennung der Erben. Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu seinen rechtsmäßigen Erben hinterlassen seine in erster und 2.ter Ehe erzeugte Kinder und respectivé Enckelin alß 1° Meister Johann Michael Voltz, Schreiner und b. alhier in Person zugegen, 2.do Weiland fraun Elisabetha Sÿfertin gebohrner Voltzin mit auch weiland Daniel Sÿfert gewesenen tabackbereiter und burgern dahier seel. ehelich erziehle nachgelaßene Tochter Namens Dorothea so beÿ nahem 16. Jahr alt, deren geschworner Vogt ist vorgedachter Mstr Johann Michael Voltz weil er aber selber hiebeÿ interessirt als ist Ihro Zufolg Curatorii vom 16. July jüngst Zu einem Theil Vogt ernannt worden Herr Carl Ludwig Braunwald, Schwartz und Schönfärber auch burger dahier, beÿde in erster Ehe mit längst weiland Fraun Maria Magdalena gebohrner Braunwaldin seel. erzeugt und
3.tio Frau Catharina Salome Mann gebohrne Voltzin Johann Carl Mann Metzgers und b. dahier Ehefrau unter desen assistentz anwesend, diese in letzter Ehe mit dißorthiger Wittib ehelich erzeugte Tochter

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Drusengäßlein gelegenen in gegenwärtiger Verlaßenschafft gehöriger dahero hernach mit mehrerm beschriebener behaußung sich befunden hat wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung so theilbar. Nemlich ein Behausung und Hoffstatt mit allen deren gebäuden begriffen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiteb alhier Zu Straßburg ane dem Drußen Gäßlein N° 7, einseit neben Mstr Johann Friderich Wahl dem Nadler, anderseit und hinten auf die Ottmannische behaußung stoßend gelegen, davon gibt man Jährl. dem mehrern Hospital 10. ß der Commanthureÿ St Johann im Grünen Wörth 10 ß und dem Stift St. Thomä 1 ß ane Zinß, sonsten aber außer den gewohnlichen beschwerden freÿ, leedig und eigen. Diese Behausung ist durch löbl. Stadt geschwornen Herrn Werckmeister laut dero Zu dieses Invent. Concept gelieferten Abschatzungs scheins vom 31. Augstmonath 1789. dem jetzigen Wahren Werth nach angeschlagen worden vor 1150. lb. davon gehen ab, obige Real beschwerden der 4 lb 1 ß Zu doppeltem Capital gerechnet mit 42 lb, Restiren 1108. lb. Darüber besagt ein in alhiesiger CCstub gefertigter deutscher pergamenter mit der Stadt Insiegel versehener Kauffbrieff vom 13. Dec. 1761. Ferner ein dergleichen Kauffbrieff vom 11 Maÿ 1667. Weiter ein vor H. Not° Johann Philipp Lichtenberger den 25.ten Oct. 1746. Zwischen Mstr. Lorentz Weeber dem Kübler und Mstr. Johann Sebastian Hellmund dem Schneider getroffener Vergleich. Extractus aus E. E. Kleinen Raths der Statt Straßb. Memoriali vom 22. Aprilis 1780. Mstr Wahlen Propheÿ und Altan betreffend. Eine prival Übereinkunft zwischen Mstr Wahl u. dem dießorthigen Verstorbenen seel vom 11. Maÿ 1789. vermög deren der erstere verspricht mit den Platten seines Altans vier Schuh von dißorthigen Fenstern weg zu bleiben, den Platz mit einem Ziegeldach Zu decken und das neue Privet soviel es sich thun läßt Zu verkleinern. So dann ein mit Fraun Drin Ottmann unterm 18.ten Dec. 1765. getroffener Provat Vergleich wegen dem Vingtieme und Einquartierungs Geld.
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unverändertn Vermögens. Nach Anleitung des über beder nun Zertrennter Ehegatten einander zugebrachte Nahrungen durch weil. Herrn Not. Ha&ring im Jahr 1757 errichtet und ausgefertigten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 1, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. goldnene Ringen 2, Sa. Schuld 30, Sa. der Ergäntzung 203, Summa summarum 244 lb
Demnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahr. bezeichnet, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 12 ß, Sa. Ergäntzung ist per rest 397, Summa summarum 420 lb – Schuld 30, Nach deren Abzug 390 lb
Endlich wird auch die gemein verändert und theilbare Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 18, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 153, Sa. Wein und der Faßen 42, Sa. Silbers 4, Sa. Eigenthums ane einer behausung 1108, Sa. Capitals 25, Summa summarum 1351 lb – Schulden 746 lb, Liebthat 10, Nach deren Abzug 604 lb
Beschluß und Stall summa 1239
Copia der Eheberedung (…) Johann Richard Häring
Abschatzung Vom 31.ten august 1789. Auf begehren E. E. großen Rath ist Eine behausung alhie in der statt strasburg im drußengäßell gelegen ist gehörig Weÿland Philipp Carle foltz dem geweßenen schreiner Meister Ein seÿts neben Meister Wahl dem Nadler ander seÿts und hinten auf frau Doctor ottmänin stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer stuben, Einer Kuchen und Etlichen Kammeren, ferner in Einer schreiners werckstatt und Holtz Magasin darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller. Von uns unterschriebenen der statt Straßburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿ tausend Dreÿ Hundert gulden. Kaltner WMstr.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 900 florins (950 livres) sur un total de 2 400 florins
1789, Livres de la Taille (VII 1181) f° 89
Zimmerleuth N° 1581. Weÿland Meister Philipp Carl Voltz, des gewesenen Schreiners und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Ensfelder
Conclusio finalis Inventarÿ ist fol: 66.b, 1239 lb 13 ß 6 d diese machen 2400 fl. verstallte 500 fl. also zu wenig 1900 fl
Wovon Nachtrag vor Sechs Jahr in duplo seilen es gröstentheils von errungenem Guth herrühret, thut à 5 lb 14 ß des Jahrs, 24 lb 4 ß
Extat kein Stallgeld
Gebott 2 ß 6 d
Abhandlung 2 lb 1 ß 6 d – Summa 36 lb 8 ß
Auf fürgebrachte triftige motiva wurde der Nachtrag auf Vier Jahr in simplo moderirt, thut à 2 lb 17 ß des Jahrs 11 lb 8 ß gehet dahero ab 22 lb 16 ß, Restiret 13 lb 12 ß
dt. 21. Octobris 1789

La maison est mise aux enchères. La fille cadette Catherine Salomé Voltz femme du saucissier Jean Charles Mann rachète les parts de ses cohéritiers et devient ainsi seule propriétaire de la maison

1789 (12.12.), Chambre des Contrats, vol. 663 n° 391
Carl Ludwig Braunwald der schönfärber als theilvogt weÿl. Elisabet Siegfriedin geb. Voltzin hinterlassener tochter Dorothea Siegfriedin und Johann Michel Voltz der schreiner, so dann Fr. Maria Salome Frießin weÿl. Philipp Carl Voltz des schreinermeisters wittib beÿständlich H. Johann Martin Hosch des älteren windenmachers
in gegensein Fr. Catharina Salome geb. Voltzin Johann Carl Mann des bratwurstmachers Ehefrau der tochter respective einbändige schwester
einen dritten theil vor unvertheilt, so der mutter ane der gantzen behausung zuständig, ferner ein dritter theil von denen übrigen zween dritten theilen, so der curandæ und gleicher antheil so dem bruder vor unvertheilt zuständig, ane einer behausung und hoffstatt mit all deren gebäud, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, ane dem Drußengäßlein einseit neben Lorentz Weber dem kübler, anderseit und hinten H. Rathh. Ottmann – davon gibt man dem Mehrern Hospital 10 schilling, der Commanthureÿ St Johann im Grünenwörth 10 s und dem Stifft St. Thomä 1 s ane zinß – worin der übrige theil der cessionnaria als ererbt bereits zuständig – woran nach anleitung der vor H. Ensfelder über ihres vatters und respective großvatters verlassenschafft – um 2370 gulden

Publication et compte rendu d’enchères
(94 Z 74) Behausung zu verkaufen. Aus Erkanntnus E. E. Raths der Stadt Straßburg vom 8.t Augst j. wird hiemit jedermann kund und Zu wissen gethan, daß bis künftigen Dienstag, so da seyn wird der 29. Monats Septembris dieses laufenden 1789.sten Jahres die in weil. Philipp Carl Voltz geweßenen Burgers und Schreiners Verlaßenschaft gehörige Behausung samt Zugehörd allhier ane dem Drußengäßlein gelegen, in E. E. Raths: stuben Nachmittag um zwey Uhr offentlich in Gegenwart der darzu deputirten Kinder: Vertrags: Herren solle versteigert, und daselbst dem Meistbietenden pro omni termino auf Obrigkeitliche Ratification adjudicirt werden. Wer nun Lust und Lieb hat, solche Behausung an sich zu erkaufen, dem dienet Zur Nachricht, daß an die feile Behausung ein gleicher Zedul angeschlagen worden, allwoselbst er die Wohnung samt Zugehörde besichtigen und im übrigen sich auf ermelten Termin und Ort beÿ der Steigerung einfinden kan.
Ad mandatum Inclyti Senatus Argentinensis, Lauth, Rathschreiber
(verso) (…) ausgesetz um das bei dem Protocoll geschehene lezte Nachgebott der 2330. fl,
H. Pfister 2340. 2360.
H. Mann 2350. 2370.
Da nun nach dem von Johann Carl Mann, hiesigen Burger und Bratwurstmacher, mit 2370 Gulden gethanen Gebott, kein weiteres geschehen, als wurde demselben obige Behausung bis auf erfolgende obrigkeitliche Confirmation überlassen, und gegenwärtiger Processus verbalis von dem Steigeren, dem Implorant, denen Herren Deputirten und mir dem Rathschreiber unterschrieben

Le boucher Jean Charles Mann épouse en 1780 Catherine Salomé Voltz : contrat de mariage, célébration
1780 (30.11.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1489)
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen H. Johann Carl Mann, der leedige Metzger und burger allhier, weiland H. Georg Adam Mann geweßten Metzger und burgers allhier mit Fraun Anna Margaretha gebohrner von Zabern ehelich erzeugt hinterlassener Sohn, als hochzeiter ane einem
So dann die Viel Ehren und tugendreiche Jungfrau Catharina Salome Volzin, H Philipp Carl Volz des Schreiner meisters und burgers allhier mit Fraun Maria Salome gebohrner Frießen ehelich erzeugte Tochter mit assistentz erstgedacht ihres Vatters, als hochzeiterin andern Theils
auf Donnerstag den 30. Novembris Anno 1780 [unterzeichnet] Johann Carl Mann als Hochzeiter, Catharin Salome Voltzin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 117-v n° 20)
1780 sind (…) montag den eÿlfften Decembris mittag um dreÿ uhren Zur Ehe eingesegnet word. Johann Carl Mann lediger burger und metzger alhier weÿl. Georg Adam Mann geweßenen burgers und metzgers alhie nachgelaßener ehelicher Sohn mit Jgfr. Catharina Salome Voltzin, Philipp Carl Voltz burgern und schreiners allhier eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Carl Mann als hochzeiter, Catharina Salome Voltzin als hochzeiterin (i 121)

Catherine Salomé Mann fait dresser l’inventaire de ses apports (315 livres) dans une maison rue de l’Outre qui appartient à la fondation de l’Université.
1783 (11.3.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1486) n° 85
Inventarium über Fraun Catharinæ Salome Mannin, gebohrner Volzin H. Johann Carl Mann, des Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg Ehefraun zu gedacht ihrem Ehemann für unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1783 – welche der Ursachen, Alldieweilen in Ihr beeder Ehepersohnen Vor mir Notario den 30. Novembris Anno 1780. auffgerichteten Eheberedung paragrapho tertio expresse enthalten, daß einem jeeden theil seine in die Ehe zubringende Nahrung ein freÿ eigen unverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg Dienstag den 11. Martÿ in fernerer gegenwart H Johann Cark Mann Eingangs gemelten Ehemanns, Anno 1783.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Schlauchgaß gelegener und dißorts Zum theil Lehnungsweiß bewohnender behaußung, so Löbl. Stifft Zur hohen Schuhl hieselbst Zuständig ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 95, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 11, Sa. Goldener Ring 9, Sa. baarschafft 172 (darunter ane Ehesteur begriffen 168), Summa summarum 289 lb – und wann hierzu gerechnet wird die ane hieunten beschriebenen Haussteuren Ihro gebührige helffte antreffend 25 lb, So Wird Ihr Frauen Mannin ihrem Ehemann in die Ehe gebrachtes Eigenthümlich ohnverändertes Vermögen sammenthafft dem Wahren werth nach sich belaufen auf 315 lb

Jean Charles Mann meurt en 1804 en délaissant une fille

1804 (6 vendémiare 13), Strasbourg 7 (20), Not. Stoeber n° 1994, 6056
Inventaire – est comparu Catherine Salomé Volz veuve de Jean Charles Mann saucissier, laquelle a déclaré que son mari étant décédé le15 germinal dernier a délaissé un enfant mineur nommé Catherine Salomé Mann âgée de 14 ans dont elle est la tutrice naturelle, et Christophe Mann saucissier tuteur subrogé
Inventaire des apports 11 mars 1783, que la Maison située im Drussengässlein N° 7 chargée au dela de sa valeur
propriété dévolue a la veuve selon partage de la succession de Philippe Charles Volz, menuisier, suivant actre dressé par Übersaal notaire le 5 décembre 1789
vieux habits 48 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 94 F° 43 du 16 vd 13

Catherine Salomé Voltz vend la maison au farinier Georges Riedinger moyennant 6 400 francs

1810 (16.7.), Strasbourg 7 (39), Not. Stoeber n° 3090, 9833
Catherine Salomé Volz veuve de Jean Charles Mann boucher assitée du Sr Jacques Schaff praticien*
à Georges Riedinger ancien farinier
Une Maison située en cette ville rue de la Lie dite Drussergaesslein N° 7 consistant en trois logements complets, une cave voutée et autres appartenances avec grands greniers et autres aisances, d’un côté le Sr Ottmann Banquier, d’autre les héritiers du Sr Schneeganz Marchand boutonnier, aboutissant sur le Sr Ottmann – recueilli dans la succession de Philippe Charles Volz, menuisier, suivant partage reçu Ubersaal le 5 décembre 1789 – moyennant 6400 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 51-v du 26.7.

Le farinier Jean Georges Riedinger épouse Marie Salomé Metz en 1772. La maison figure à l’inventaire dressé après sa mort en 1822.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Barbe Thomas, veuve de l’officier d’artillerie retraité Jean Aubert

1820 (2.2.), Strasbourg 13 (35), Me Bremsinger n° 1607
Inventaire de la succession de Barbe Thomas, veuve de Jean Aubert, officier d’artillerie retraité, décédée le 26 janvier dernier – à la requête de Jean Baptiste Thomas cultivateur au Petit Rombat à Ste Croix aux mines tant en son nom que comme usufruitier des biens de Barbe Thomas sa sœur et comme administrateur des biens personnels de ses enfants procréés avec Marie Thérèse Vilmain sa seconde femme nommés Thérèse, Marie, Jean Pierre, Marie Anne, François et Madeleine les 6 légataires universels suivant testament reçu par le notaire soussigné le 24 janvier dernier – Contrat de mariage pardevant Me Lacombe le 3 octobre 1777
dans une maison rue de la Lie n° 7 – déclaration par Regine Keckhuth veuve de Frédéric Laurengel menuisier demeurant dans la même maison qui a soigné la défunt dans sa dernière maladie
meubles 248 fr, numéraire 89 fr – Titres et papiers, créances actives – passif 673 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 146 F° 59 du 11.2. – (dernière vacation, enreg. 148 manquant F° 7 du 10.7.)

Lors de la liquidation, la maison rue de la Lie revient à Caroline Christmann femme de l’architecte Charles Louis Arnold.

Caroline Christmann vend la maison au marchand de vins Jean Théophile Ehrenfeuchter qui achètera en 1842 la maison voisine de laquelle elle avait été détachée en 1746.

1835 (3.10.), Strasbourg 8 (63), Me G. Grimmer n° 5394
Caroline Christmann épouse de Charles Louis Arnold, archiecte
à Jean Théophile Ehrenfeuchter, marchand de vin
une maison avec tous ses droits, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de la Lie n° 7, d’un côté M Ottmann négociant, d’autre le Sr Schott marchand de vins, derrière l’acquéreur – avenue au vendeur par donation et partage biens de Jean Georges Riedinger, propriétaire, et Marie Salomé Metz ses aïeuls maternels par acte reçu Hatt le 24 janvier 1831. Le dit Riedinger l’a acquis par vente reçue Me Stoeber le 16 juillet 1810 – moyennant 4000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 234 F° 71 du 5.10.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.