6, rue du Maroquin (ancien)


Rue du Maroquin n° 6 – VI 303 (Blondel), O 209 (cadastre)

Un ou deux étages ajoutés au milieu du XVIII° siècle par le cordonnier Geoffroi Schmidt – Démolie en 1856


Plan-relief de 1727, côté nord-est de la rue du Maroquin. La maison est la partie droite du bâtiment à deux étages vers le milieu de l’image (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)
Même endroit d’après le plan Blondel (1765, exemplaire qui représente en rose les ajouts et en jaune les suppressions, AMS, cote 1 PL 675)

La maison qui a huit pieds neuf pouces de long et une avance de cinq pieds est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de l’épinglier Jacques Brenon. Elle appartient ensuite presque toujours à des cordonniers, Kilien Kempff (1603), Georges Brügel (1626), Jean Georges Bierlen (1634), Christophe Braun (1649) puis son fils, Jérémie Schmidt (1680) puis son fils, Jean Wurtz puis ses enfants (1722-1834). Le plan-relief (1727) représente une maison à rez-de-chaussée et deux étages. Les billets d’estimation rédigés en 1747 et en 1766 font penser que le propriétaire a ajouté deux étages entre temps mais il faut alors supposer que le plan-relief représente un étage de trop. Qu’il y ait un ou deux étages supplémentaires, la maison étroite (huit pieds dix pouces en 1747) a finalement une boutique au rez-de-chaussée et trois poêles, soit un par étage.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 179 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la troisième à gauche du repère (q) : une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour P montre l’arrière (1-4) de la maison qui donne dans une petite cour entourée par ailleurs des propriétés voisines.
La maison porte le n° 6. Les héritiers d’Anne Marie Wurtz la vendent en 1834 à leur voisin au nord Jean Gœhner (n° 5). Le cadastre désigne les deux maisons sous la même parcelle que l’Œuvre Notre Dame achète en 1855 pour dégager les abords de la cathédrale (voir le n° 5).


Cour P

juin 2022

Sommaire
Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1834 (date à laquelle la maison est rattachée à la voisine). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Brenon, épinglier, et (v. 1563) Elisabeth Desch – luthériens
Jean Engelhard, revendeur, et (1590) Esther Gionet – luthériens
1603 v Kilien Kempff, cordonnier, et (1576) Susanne Wendel – luthériens
1626 v Georges Brügel, cordonnier, et (1619) Barbe Zinck – luthériens
1634 v Jean Georges Bierlen, cordonnier, et (1630) Anne Catherine Mechel – luthériens
1646* adj Isaac Rummersperger, tisserand de serge et teinturier, et (1610) Appolonie Krauffthal – luthériens
1649 v Christophe Braun, cordonnier, et (1640) Anne Marie Christianus – luthériens
1664* h Daniel Braun, cordonnier, et (1678) Marthe Pfund – luthériens
1679 v Jean Pierre Kappel, cordonnier, et (1675) Madeleine Ammerbach, ensuite (1692) femme du cordonnier Jean Wernert – luthériens
1680 v Jérémie Schmidt, cordonnier, et (1662) Anne Marie Trautmann puis (1679) Susanne Schiffer – luthériens
1715 h Geoffroi Schmidt, cordonnier, et (1718) Marie Dorothée Bechtold – luthériens
1775 v Jean Wurtz, cordonnier, et (1713) Anne Catherine Braun puis (1715) Anne Catherine Rhein – luthériens
1775 h Jean Wurtz, cordonnier, et (1775) Marie Marguerite Engel – luthériens
1810 v Jean Georges Wurtz, cordonnier, et (1761) Anne Marie Jockers – luthériens
1814 h André Bierbaum, cordonnier, et (1797) Anne Marie Wurtz
1834 v Jean Gœhner, tamisier, et (1825) Marie Madeleine Diemer, veuve de Chrétien Krentzberger (voisin)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1744, 900 livres en 1766, 300 livres en 1788

(1765, Liste Blondel) VI 303, Jean Wurtz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Wurtz, 1 toise, 1 pied et 8 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 209, Goehner, Jean, tamissier rue du Maroquin 5 – maison, sol – 0,5 are (la parcelle réunit les numéros 5 et 6, anciennes parcelles VI 302 et 303)

Locations

1715, Frédéric Gœring, cordonnier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 47
L’épinglier Jacques Reinung (pour Breinung) règle 5 sols 8 deniers pour sa maison (8 pieds 9 pouces de long, saillie de 5 pieds) rue du Maroquin, à savoir un étal pliable (5 pieds de long et 3 pieds ½ de large), en hauteur une avance (3 pieds de saillie, 8 pieds 9 pouces de long)

Oben am Andern Eck In Kurben Gaß Zum Falckhen wider hinab
Jacob Reÿnung der Welsch Guffenmacher hatt vor seinem heüßlin 8 schu 9 Zoll, Vnden ein 5 schu herauß, darauff ein Vssatz banckh 5 schu lang vnd 3 ½ schu breit, Oben ein Vsstoß 3 schu herauß vnd 8 schu 9 Zoll lang vf der Allmendt, Soll Allmend sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, v ß viij d

Description de la maison

  • 1714 (billet d’estimation traduit) La maison dont la cave est voûtée est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 250 florins
  • 1747 (billet d’estimation traduit) La maison qui a 8 pieds 10 pouces de large comprend au rez-de-chaussée un vestibule, à l’étage un poêle et le vestibule où se trouvent le fourneau, sous la toiture deux chambres, un vieux comble, le bâtiment n’a de pignon d’aucun côté, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
  • 1766 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois vestibules où se trouve le fourneau et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins
  • 1788 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, trois poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 600 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Rue du Maroquin

nouveau N° / ancien N° : 11 / 6
Wurtz
Rez de chaussée et 3 étages mauvais en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Voir l’ancien n° 5

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin

6
pro. Würth, Jean, Cordonnier – Cordonnier
Loc. Lorenci Jean Cordonnier – Cordonnier
Loc. Cigerin Gertrut veuve Couturiere – Macons

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin (p. 312)

6
Pr. Würth, Jean, Cordonnier – Cordonniers
Lo. Lorenci Jean Cordonnier – Cordonnier
Loc. Cigerin Gertrut Veuve Couturiere – Maçons


Relevé d’actes

L’épinglier Jacques Brenung (Brenum, Brenon) achète le droit de bourgeoisie le 19 avril 1564.

1564, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 55
Jacob Brenum der guffenmacher hatt d. Burgkrecht für foll Kaufft vnd dient Zum Spiegem eodem die [19. Apprillis A° & Lxiiij]

Il fait baptiser deux enfants de sa femme Elisabeth en 1565 et en 1567.
Baptême, cathédrale (luth. f° 217)
1565. Sonntag den 2. Decemb. P. Jacob Brenung Guffenmach. M. Elizabeth. I. Susanna. Comp. Bertram Gionet fed.mach, Francisca Steffan Jacob Led:bereit., Agnes Martin (i 230)

Baptême, cathédrale (luth. f° 236)
1567. Sonntag den 2. Hornung. P. Jacob Breunun Guffenmach. M. Elsbeth. I. Sara. C. Martin Schloßer ein Kremer, Catharina Jacob von daler des Gremers fraw, Elsbeth Jost von Andorf, des Kremers hasfraw (i 249)

Le plumassier Samuel Gionet (Goyonnet) dépose au nom de Jacques Brenon un capital que Jacques Brenon héritier d’Elisabeth Desch, Marguerite Brenon et les enfants de Catherine Brenon ont reçu l’année suivante.
1595, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1310)
(f° 11-v) Sambstag den 10.t Januarÿ – Samuel Gionet federmacher hat Erlegdt von weg. Jacob Brennon guff.mach. (…) In Allerhand wegen 137 h 11 ß 1 ½ d
[in fine :] obgemelte 137 h 11 ß 1 ½ d seind vß erlaubnuß eines E. Rhats gelüffert Samuel Gionet als Vogt Jacob Brenon als Erben Elisabeth Deschin, Margreth Brenon, Erhard teüschters gufenmach. als vogt Catharinen Brenon s. kind. haben sie empfang. Mittwoch den 14. Johann a° 1596. 70 h

Le plumassier Samuel Gionet (Goyonnet) dépose un capital au nom de Jacques Brenon, épinglier et soldat
(f° 72-v) Mittwochs den 14. Maÿ – Wir Vogteÿ gelt folio 241.
Samuel Gionet federmacher als Vogt Jacob Brennung des guffenmachers vnd Kriegsmans gelüffert 125 h.
In Lorin* /.den 18 Januarÿ 95 gelüffert
Dauon Järlich vff urbani Ihme Zukauffen geben 6 h 5 ß alblösigs gelts zugeschriben

Autres dépôts au nom du même
1599, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1314)
(f° 183-v) Sambstags 22 Septemb. – Vogteÿ geldt angelegt
Samuel Gionett als vogt Jacoben, Jacoben Brenons guffenmachers sohns, so in vng.n 5 Jar geschworen hat Ins vogteÿ gelt angelegt weg. desselben, Ist mit hie stand nun 6 Jar vß 100 lb d
haben darumb desselben vogtsohn vnd sein Erben Zukauffen geben v lb d vff Michaelis. Zugeschriben folio 321.

1602, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1317)
(f° 141) Sambstag 6 Augusti – Vogteÿ geldt angelegt
Samuel Gionett d. federmach. als Vogtt Jacob Brennon, weiland Jacob Brennons guffenmachs s: sohns hat Ins vogteÿ gelt angelegt vnd geliffert 50 h d
habe, darumb demselben sein vogtsohn Zukauffen geben 2 h d vff bartholomei fallend Zugeschriben In Vogteÿ lüfferung buch folio 398.

La maison appartient à la fin du XVI° siècle à Jean Engelhard. Originaire d’Altheim près d’Ulm, il épouse en 1590 Esther, fille du plumassier Bertrand Gionet (Guyonnet, ici Jonet)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 15-v n° 16)
1590. Eodem die [den 27. Julÿ] sind im Münster eingesegnet aber Zu S Clauß Zweÿmal außgeruff. worden Hans Engelhard von Alten beÿ Ulm vnd Esther Jonet, Bertram Jonets des federmachers selig hinderlßene Tochter von Straßburgk (i 16)

Le revendeur Jean Engelhard et sa femme Esther vendent la maison chargée d’une rente foncière à la famille de Landsperg au cordonnier Kilien Kempff et à sa femme Susanne

1603 (18 [8.bris]), Chancellerie, vol. 347 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 80
Khauffverschreibung Chilian Kempfen deß Schumachers vber ein Behausung In Kurbengaßen
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1603 folio 122. Zubefind.) Erschienen Hanns Engelhard der Gremp vnd Ester sein ehelich haußfraw alhie
und hatt in gegenwertigkeit Chilian Kempffen deß Schumachers und Susannen seiner haußfr. (verkaufft)
Ein Behausung hoffstat mit allen denselben gebeuwen begriffen weit. Recht. und gerechtigkeit geleg. alhie Inn Kurbenngaß. neben Thoman Scheÿchern die ein vnd Hans webern dem Schuhmacher geleg. hind. vff der Fr. hauß stoßend, dauon gehnd Jars 10. fl. St. w vff Marie Verkhündung h. Johann Saltzman Großen rhats sch. mit 200 fl. St. w. ablösig, It. dem Stifft Zum Jung. S Peter 5 guld. St. w. vff Adolffi mit 100 fl. berürter w. widerkheüffig, Mehr vff d. Fr. hauß 7 ß 6 d vnd vff Michaelis den Edlen von Landsperg 8 ß 4 d vff Johannis vnd Weÿhenacht. alles bod. Zins sonst ledig vnnd eig. vnd were der Verkhauff vnd Khauff geschehen vber obgesagten beschwerd. die die Kheuffere vff sich genommen, für vnd vmb 250 pfund

Les acquéreurs hypothèquent la maison deux mois plus tard au profit du boulanger Jean Babel

1603 (26. Xbris), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 396
Erschienen Kilian Kempff Schumach. vnd Susanna sein hußfr. haben sich verschriben gegen
Hanns Babels Brottbecken denselben Zu Zinsen 5 pfund pfenning gelts St. W. wider ablosig mit j C Lib
von vff vnd abe hauß hoff vnd hofflin mit Iren gebeuwen geleg. In d. St. St. In Kurbengaß einseit neben Hannß Weber Schumach. And.seit Thoman Schoucher stoßt hinden vff ein behaußung dem werck Vnser frauwen Münster Zustendig, dauon gond 8 ß 4 d boden Zinß den Edlen von Landsperg, Item 7 ß 6 d ewigs ohnablosigs Zinß dem Werck Vnser Frauwen Münster, Item 5 gulden gelts St. W. widerablösig mit 100 gld. bemelter werung Martzolff Meygerlin Schaffnern Zum Jungen Sant Peter, Item 10 gld. gelts ablosig mit 200 fl. Straßb. Werung herrn Johann Saltzman Grossen Rathschreibern Vnd seind Auch noch verhafftet für 300 guldin Zu xv batzen Hannß Engellharten dem Grempen daran vff Martini Anno 1606. 100 gld. (…)

Originaire de Neustadt (Neustadt an der Saale en Franconie, voir ci-dessous, 1616), le cordonnier Kilien Kempff épouse en 1576 Susanne fille du cordonnier Martin Wendel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 224-v n° 499)
1579. Dominica paschatis. Kilian Kempff von der Neuwenstat der Schu macher Susanna Martins wendeling des Schuemachers dochter, 28 April (i 230)

Kilien Kempff devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1579, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 457-458
Gilian Kempf von Neunstatt d Schumacher hatt d. burgerrecht von seiner haußfrawen Susanna Martin Wangen des Schumachers Dochter empfangen vnd will mit d. Schumachern Dienen. Actum d. 21. Maÿ A° 79

Kilien Kempff sollicite l’intercession du Magistrat pour recueillir la succession de sa cousine femme de l’aubergiste Jean Muller à Neustadt an der Saale.
1616, Conseillers et XXI (1 R 97)
(f° 69) Sambstag den IX Martÿ. – Chilian Kempff vmb Fürschrift wegen Erbfalls
Chilian Kempff vbergibt Supplôn dorin er meldt d. seiner Mutter s. schwester Anna weÿl. Hanß Gansen Zur Neustatt an d. Saal dochter so mit Hanß Mullern Gasthaltern alda verheurathet d. sie ohn Kind gestorben Zuuor ein testament gemacht vnd Ire bederseits nechste erben instituirt nach dem gebrauch nach von d. Cantzel herab ablesen laß. Also Ime und seiner schwester Otilia doselbst wohnend der halbe theil Zugefallen, Angedeutter todt fall seÿ Ime nit notificirt so doch A° 1602 doher er hienaußzog. u. sein schwester auch todt word. u der Schwag.* Muller mit d. Magdt verheurathet vnd alß sie schwangers leibs geweßen Zur angezeugt d. Ime nichts dan die Kleider Zum halben theil gepüeren, Sey auch sein schwester *vil von hauß verschickt domit er Kein knecht haben Konnen d. dan Ime angeleg. die warheit Zuerkundigen vnnd alle dergleich vermachtnußen Zu Wurtzburg bey dem Landtgericht so Monatlich gehalten muß versch.ben und do die disponenten wahnen* word. Cantzel abgelesen werd. Bitt derweg. an die furst. Wurtzburgische Hn Landrichter vnnd beysitzer ein fürschrifft Zuertheilen angedeutte vermechnis so vor 18 Jar vorgang. auf zusuch. beglaubte abschrifft mit Zutheilen und Zuversch.ben an Rhatt Zu Newenstatt d. sein schwager Zu ordentlichem Inventario seiner basen verlaßenschafft angehalt. v. so er * * gepuerlich Zuvers* domit er od. die seinen dessen habhafft werd. mög. Erk. Ist willfahrt.

Kilien Kempff et sa femme Susanne, fille du cordonnier Wendelin Martin, hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Beuchel

1617 (18. Februarÿ), Chancellerie, vol. 427 (Registranda Kügler) f° 66
(Inchoat. fo: 54) Erschÿnen Kilian Kempff Schumacher vnd Susanna sein eheliche hußfr. wÿland wendling Martin Schumachers selig dochter
hatt in gegensein herrn hanns Beüchel handelßman – schuldig seÿen 300 pfund pfenning Straßburger für aberkhaufft leder
Zum vnderpfand ÿngesetzt huß hoffestatt vnd hofflin mit all Iren gebeuwen geleg. Inn der S S. oben Inn Kurbengaß. einseyt neben Martin Reynolt handelßmann anderseyt Caspar Dorn dem Schumacher stoßend hind. vff Thobie Strintzen Altgewender Davon gend Zehen guldin gelts S abloßig mit 200 guldin derselb. werung herrn Johann Stoltzen an alten rathschreyber, Mehr fünff guldin gelts abloßig mit 100 guld. S. w. wÿland Martzolff Meÿgels Schaffners Zum Jung. S. peter selig. erb. Item fünff pfund pfenning gelts leßig mit 100 pfund pfenning herr Babell Brottbecken So dann viij ß ij d boden dem werck vnser Fr. Münster, So dann viij ß vj d bodenzinß wÿland des Edell vesten Werner von Landtsperg selig erben.

Nouvelle hypothèque entre les mêmes. En marge, quittance remise en 1633 au cordonnier Georges Breyel, alors propriétaire

1626 (21. Janu:), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 52
(inchoat. in Prot. fol. 37.) Erschienen Kilian Kempff d. schuhmacher Burger Zu St. bekant
in gegensein hannß Büchel deß Lederbereiters alhie deme vffrecht schuldig sei, 100. Pfundt Str. für aberkaufft Leder
vnderpfand, hauß hoffstat vnd höfflin mit allen and.en Zugehörd. & alhie in Churbaw gaß, neben Martin Reinolts s. Erben, i. vnd 2. seit Caspar Dornen schuhmacher, hind. vff deß Sigristen im Münster hauß, so vnser frawen werck zuständig, stoßend gelegen, dauon gehen Jahrs & 9 gld. St. w. Fr. Magdalenen N. der hebammen in hauptg. mit 200. fl. w. Item 5 fl. Zinß St. w. N.N. beeden Merckeln dechant zum Jungen vnd Alten S. Peter Alhie in hauptg. mit 100. gld. So dann 5. lb geltz hannß Babel dem hauß fewrer in hauptg. mit 100. lb. d abzulösen, Mehr 7 ß 6 d bod. Zinß vnster Frawen werck, Vnd 8 ß d bod. Zinß N. N.
[in margine :] Erschienen hannß Büchel bekante in gegensein Georg Breÿel Schuhmachers alß ietziger Inhabers deß Underpfandts (…) q.tirt. Actum den 5.ten Februarÿ Anno 1633.

Kilien Kempff et sa femme Susanne vendent la maison au cordonnier Georges Breugel. En marge, quittance remise par Susanne, veuve de Kilien Kempff et son fils Elie Kempff

1626 (29. decembris), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 760
(P. fol. 254) Erschienen Kilian Kempff d. schuomach. burger Zu Straßburg vnd Susanna sein eheliche haußfraw (verkaufft)
Geörg Breügell dem schuomach.
hauß hoffstatt vnd höfflin, mit allen Ihr. geb glg. Inn d. St. St. Inn d. Kurben gaß, einseit n. Caspar dorn schuomach. and.seit n. Martin Renoldts erb. hind. vff ein Behaußung d. werck vnser Fr. Munster gehörig stoßend, Dauon gnd vij ß vj d geldt für Bod. zinß vff Weÿhnacht fallend dem Werck vnser Fr. Münster, Mehr viij ß vj Lehn Zinß vff weÿhenachten denen von Landtsperg It. 2. lb 12. ß ged loß mit 52. lb 10. ß d. vff Adolffi, Johann Heinrich Meckell* dechant Zum Jng Sant Peter, It. 5 lb s gltd loß 1 C v lb vff Mariæ Vrkhdg, Magdalen Sÿboldin, It. v lb d gl loß mit j C lb vff Wÿhnacht. hanß Babell den schwarzb. It. v lb d gls loß. mit j C. lb vff Lætare hannß Büchell Sunst ledig eÿgen, Vnd Jst disser Khauff vber obgehertt. beschwd. so d. Kheuffer vff sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb ij C Lxxv lb
[in margine :] Erschienen hanß hipolitus der schuhmacher alß vogt Susannæ weiland Kilian Kempfen s. wittib, So dann Eliæ Kempff deß verstorbenen sohn, haben in gegensein deß Keuffers bekannt (…) q.tirt den ii. Jan. 1638

Originaire de Sarrebrück, Georges Brügel épouse en 1619 Barbe, fille du cordonnier Jean Zinck
Mariage, Saint-Thomas (luth. n° 1309)
1619. Eodem die [Dominica 2 Trinitatis] Georg Brügel von Sarbrucken der Schumacher Vndt Jungfraw Barbara, Hans Zincken Schumachers alhie Eheliche Tochter (i 434)

Peut-être originaire de Sarbockenheim (Bouquenom), Georges Bruel devient bourgeois par sa femme Barbe Zinck et s’inscrit à la tribu des cordonniers
1619, 4° Livre de bourgeoisie p. 12
Georg Brüel d. schumach. Von sar* bo*khenheim bürttig Empfangt d. burg.recht Von Barbara Zünckhin vnsers burgers hanß Zunckh deß schumachers eheliche tochter vnd Wüll Zu den Schumachern Dienen. Actum den 14. Julÿ 1619.

Georges Brügel se libère d’un capital à la Tour aux deniers
1628, préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1343)
(f° 14-v) Sambstagß den 2. Februarÿ. Abloßung
Georg Brügell dem Schumacher Abgelöst, So Er A° 1622 vff Jacobi Jarß bestendig angelegt 200 fl. mit 12. lb 10 ß
War* sein haußfr. Barbara Zinckin Ist die Verschreibung gelüffert cassirt vnd Im Zinßbuch außgethan.

Georges Brügel vend la maison au cordonnier Georges Bierlen

1634 (26. febr.), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 136-v
(Protocollat. fol. 20.) Erschienen Georg Brigel Schuhmacher alhie
hatt in gegensein hanß Georg Bierlen auch schuhmachers alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, höflin, mit allen andern deren gebäwen & alhie in der Kurbaw gaßen neben Caspar Dornen dem schuemacher & Daniel Weller schuhmacher hinden vf deß Sigristen im Münster behausung stoßend, dauon gehen Jarß vff Mariæ v.künd. 10. gld w. Magdalenæ Sÿbeldin der hebammen in hauptgut mit 200. fl. w. Item 2. lb 12 ß 6 s Zinß vf Adolffi Martin Merckel dechant zum Jungen S. Peter in hauptg. mit 100. gl. werung abzulösen, Item 7 ß 6 d bodenzinß Vnder frawen werck So dann 8 ß 4 d bodenzinß Jr. Sambson von Landtsperg sonst eÿgen, Vnd ist der Kauff vber die beschwd., so der Käuffer auf sich genommen, geschehen per 350. lb

Jean Georges Bierlen et sa femme Anne Catherine Mechel hypothèquent trois mois plus tard la maison au profit de leur mère et belle-mère respective Anne Marie Glickner

1634 (19. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 374
Erschienen hanß Georg Büerle d. schuhmach. alhie, vnd Anna Catharina Mechlerin sein eheliche haußfr.
haben in gegensein Anna Maria Glochßnerin ihrer respectiué Muter vnd Schwieger mit beÿstand Christoff Gerings deß schuhmachers ihres vogts bekannt, demnach ihme Bierle vf sein handschrifft Daniel Weller d. schuhmacher 100. fl. und Thoman Pfeiffer der schuhmacher Alß sein Bierlens geschwisterd. vogt 60. fl. vorgestreckht (…)
zu vnd.pfandt Verlegt hauß vnd hoffstat alhie in Kurbawgass Zwischen Caspar Dornen und Daniel Weller beed. schuhmacher hind. vffs Sigristen im Münster behaußung stoßend, so zuuor v.hafftet vmb 600 fl. Georg Briegel dem schuhmacher, Item vmb 200. fl. weÿl. H Martin Merckel dechant Zum Jungen S. Peter, So gehen auch Jarß dauon 7 ß 6 s bod. zinß vnser frawen werck so dann 8 ß d bod. zinß Jrn Sambson von Landtsperg

Fils du cordonnier Jean Bierlé, Jean Georges Bierlé épouse en 1630 Anne Catherine, fille du boucher Pierre Mechel (Michel), bourgeois à Gries près de Haguenau
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 2-v n° 7)
1630. Dnica VII et vigesimâ. hans görge Bierle, Schuhmacher, hans Bierle des Schuhmachers am Katzen stäge Sohn, Avus maternus des Hochzeiters war H görge Gloccer Helffer Zuem Alten S. Peter, J. Anna Catharina, peter Michels von Hoch ietet* Burgers Zu grieß bey Hagenaw Tochter Confirmaô facta i. Februarÿ. Aderant parentes (i 244)

Le boucher Pierre Mechel de Gries près de Haguenau fait une donation à sa fille Anne Catherine, femme de Jean Georges Bierlen, pour la récompenser de ses loyaux services
1637 (30. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 89
Erschienen Peter Mechel der Metzger von Grießheim beÿ Hagenaw gesund. & leibs, guter & Vernunfft Zeigte An, demnach ihme sein dochter Anna Catharina, hanß Georg Bierlen deß Schuhmachers und burgers Zue Str. eheliche haußfraw bißhero Villfaltige Kindliche lieb und trew erwüsen, Er solches auch noch ferner so wohl von besagter seiner dochter alß ihrem Haußwürth verhoffe, Daß Er hiemit besagter seiner dochter vffs cräfftigst und bestendigts & Zu einem prælegat und Rechtem vorauß bestimbt und vermacht hab. woll. 50. lb (…)

Pierre Mechel de Gries emprunte de l’argent au boulanger Georges Dambach. Son gendre Jean Georges Bierlen hypothèque la maison en garantie.

1637 (ut spâ [29. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 425-v
Erschienen Peter Mechel von Grieß
hatt in gegensein Georg Dambachen deß Weißbecken burgers Zu St. – schuldig seÿ 125. Reichßthaler
Und Zu noch mehrer sicherheit ist auch erschienen Hannß Georg Büerlen der Schuhmacher burger alhie sein Mechels dochtermann der hat sich darfür Zu einem recht. Bürg., mit: und selbst schuldner und selbst Zahler vnversch. dargeben (…) dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß vnnd hoffstat alie in d. Curbaw gassen neben Daniel Weller dem Schuhmacher & Barthel Hocken dem Hosenstricker, hinden vff ein hauß dem Werck vnser frawen Münster zuständig, so zuuor verhafftet vmb 350. fl. Georg Beügel dem Schuhmacher & Barthel Hocken dem hosenstricker, hinden vff ein hauß dem werck vnser frawen Münster Zustendig, so zuuor verhafftet vmb 350. fl. Georg Brügel dem Schuhmacher, Item vmb 200. fl. Magdalena Sÿboldin der Hebman see. Erben, Item vmb 100. fl. dem dechant zum Jungen S. Peter, So gehen auch Jährlich davon 7 ß 6 d Bodenzinß obgedachtem Werck und dann 8 ß 4 d Bodenzinß den Edlen von Landsperg
[in margine :] Erschienen hanß Georg Dambach deß Creditoris see: Sohn vnd eintziger Erb, hatt in gegensein hanß Georg Büerlen deß Bürgen (…) Act.. den 1. Decembris Anno & 1638.

Jean Georges Bierlen hypothèque sa maison au profit de son voisin le cordonnier Daniel Weller

1638 (ut supra [7. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 479 f° 271-v
Erschienen Hanß Georg Bierle d. schuhmach. alhie
hatt in gegensein Daniel Wellers auch Schuhmach. vnd burg. Zu Str. – schuldig seÿ. L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstat mit allen and ihren gebäwen & alhie in der Kurbengaß. neb. Barthel Hocken dem Gremppen & ihme Glaubiger selbsten, hind. vff deß Sigristen im Münster Behaußung, dauon gehen Jährlich 7 ß 6 s bod. Zinß Meister Merckel decht Zum Jungen S. Peter, Mehr 8 ß 4 d bod. Zinß Jr: Sambson von Landsperg So ist diß hauß auc noch v.hafftet vmb 100. fl. w. Martin Merckel dechant zum Jungen S. Peter alhie, Item vmb 175. lb d Georg Briegel dem schuhmacher rest am Kauffschilling, So dan vmb 100. lb weÿl. Georg dambachen s. Erben in Bürgschaft weiß

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1638 (1. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 817
Erschienen hanß Georg Bierle der Schuhmacher, burger Zu Str.
hatt in gegensein Daniel Wellers auch Schuhmachers alhier – schuldig seÿe. L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstat mit allen ihren gebäwen alhie in der Kurbawgaß neben Barthel Hocken dem Grempen & ihme Glaubiger selbsten, hind. vf deß Sigristen im Münster hauß dauon gehen Jarß 7 ß 6 d bod. zinß dem Werck unser Frawen Münster, It. 8 ß 4 d bod. zinß Jr. Samson von Landsperg, So ist diß hauß auch noch v.hafftet vmb 100. fl. w. Martin Merckel Canonico zum Jungen S. Peter alhie, It. vmb 150. lb. Georg Brigel dem Schuhmacher

Jean Georges Bierlen hypothèque la maison au profit du marchand de cuir Isaac Rummersperger

1642 (13. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 488 f° 322
Erschienen Hannß Georg Bierle der Schuhmach. burger Zue Straßburg
hatt in gegensein Isaac Rummelspergers deß Lederhändlers – schuldig seÿen 150. Pfund
dafür in spê. Und.pfand hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren gebäwen, alhie im Kurbengasen neben Daniel Wellern dem Schuhmach. ein und anderseit neb. Bartholme Hockhen de hosenstrickher, hind. vff das Stiffthauß so der Sÿgrist im Münster bewohnt, stoßend gelegen, davon gehnd iahrs 8 ß 4 d vff weÿhenachten. Jr. Samson von Lansdperg Item 7 ß 6 d der Fabric im Münster alle Jahr vff Michaelis, Item 5 ß Straß. wehr. vff Adolphi lößig mit 100. fl. dem Stifft iung. St. Peter alhie, So ist diß hauß auch noch verhafftet umb 100. lib. Georg Brügeln dem Schuhmachern Kauffschillingß Restes, Mehr umb 100. lib obgemeldt. Daniel Wellern

Le créancier Isaac Rummersperger est devenu propriétaire de la maison qu’il revend en 1649 au cordonnier Christophe Braun

1649 (3. april.), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 246
(Prot. fol. 86.) Erschienen H Isaac Rummersperg. der lederhändler und Kleinen Rhats Verwanther
hatt in gegensein Christoph Braunen deß Schuhmachers mit beÿstand hannß Ulrich Wilden deß Schuhmachers
Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen alhie in der Kurbengaß. neb. H Daniel Wellen dem Schuhmachern ein und anderseit neben Barthol Hockhen deß außgetrettenen hosenstrickhers Creditoren, hind. vff deß Stiffthauß so der Sigrist im Münster bewohnt, stoßend geleg. davon gehend iahrs vff Weÿhenachten 8 ß 4 d weÿl. Jr Hug dietrich von Landsperg seel. Söhnen alß hoher Stifft Straßburg Lehenträgern, ewigß Zinnßes und dann 7 ß 6 d vff Michaelis der Fabric deß Münsters ewig. bodenzinßes, alß d. Verkäuffer und Käuffer beÿ der Fabric ihrer Anzeig bericht empfang. haben, Item 5. fl. wehr. vff Adolphi lößig mit 100. fl. wehr. dem Stifft iung. St. Peter, So ist diß hauß auch noch verhafftet umb 50. lib. obgemeldtem Daniel Wellen, sonsten für ohnverhafftet ledig vnd eig. Vnd were dißer Verkauff vnd Kauff vber solche Beschwärdt. daran der Käuffer gewiß. word. ist, Welche Er auch über sich genohmen hatt, Zugangen umb 220. lib

Fils du fripier Tobie Braun, Christophe Braun épouse en 1640 Anne Marie, fille du bailli Jean Christianus : contrat de mariage, célébration
1640 (ut supra [17. Octob:]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 530
(Prot. fol. 121 – Eheberedung) Erschienen Christoff Braun schuemacher weilandt Tobiæ Braunen des Altgewenders und burgers Zue Straßburg seeligen hinderlaßener Ehelicher Sohn als hochzeiter mit beÿstand Petri Eberhardt des altgewenders alhie seines Schwagers ane einem,
So dann Jungfraw Anna Maria weiland herrn Johannis Christiani gewesenen Rappoltsteinischen Amptmanns Zu Heüteren und Nambßheim seeligen nachgelaßene eheleibliche dochter alß hochzeiterin, mit hilff und beÿstandt herren Martin Brombachen Schaffners und burgers zu ermeltem Straßburg Ihres vettern und erpettenen vogts am andern theill

Mariage, cathédrale (luth. p. 440)
1640. Domin: 20. Trinitatis. Christoff Braun der Schuhmacher, Tobiæ Braunen deß geweßenen Altgewänders vnd burgers allhie nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfrauw Anna Maria H Johann Christian geweßenen Grävlichen Rappolsteinischen Amptmanns zu Heuttern nachgelaßene eheliche Tochter. Eingesegnet Im Münster, Zinst.den 27. Octob. (i 225)

Les Quinze réduisent l’amende infligée aux héritiers de Christophe Braun dont l’inventaire montre que la fortune s’élève à 900 florins alors qu’il n’en déclarait que 300.
1664, Protocole des Quinze (2 R 81)
Stall Ca. Böhmen, Desenin. 149 [Martin Böhmen des Schuelmeisters und Gerichtschreibers Zu Kaÿl haußfrau Anna Felicitatis Daserin]. 159. Ca. Christoph Braunen Erben.
(f° 149) Freÿtag den 14.ten 8.bris – Stall Ca. Christoph Braunen Erben
Jr Böcken alß Ober Stallherr vnd H. XV. Mr. laßen per me referiren, Sie hetten Zweÿ von den Herren dreÿen deß Stallß herauff gelüfferte Inventaria, neben Einen bericht, examinirt (…) daß ander aber Christoph Braunen deß Schuhmachers seel. Erbschafft, die sich vff 900 fl. belauffe, davon aber nur 300.fl. Verstallet Word. deßwegen mann für Nachtrag vnd Stallgelt schuldig 11. lb 7 ß 6 d dieweilen dann diese mehr als Jene dißorts wider ordnung gehandelt, alß Vermeinen die herren Deputirte Es weren Zwar beede Geschäfft wider ane die herren dreÿer Zu remittiren doch dergestalt, daß Sie daß einen 3*. Erben in deme* sie neben dem nachtrag auch 36. lb Abzug Zahlen müßen, Keine fernere Straff Braunischer Wittib vnndt Eintzigem Erben aber über gemelten nachtrag, noch 15. lb dictiren vnndt ansetzen, doch solche nachgehend vf anhalten auch pro di(s)cretione moderien solten, stellens. Erkandt Würd der Herren bedencken In beeden puncten placidirt, doch sollen die 15. lb straff von den herren dreÿern biß vf 10 lb moderiert (…)

Les Quinze chargent les préposés généraux de la Taille d’examiner l’inventaire d’Anne Marie, veuve de Christophe Braun, qui déclarait une fortune sous évaluée.
1669, Protocole des Quinze (2 R 86)
(f° 39) Sambstag den 10. Aprilis – Statt Stall Ca. Anna Maria Christoph Braunen Wittib
Herr Negelin thut anzeig, daß die Herren dreÿ des Stalls Annæ Mariæ Christoff Braunen wittib gefertigtes Inventarium wegen Zu wenigen Verstallens, ad Prothocollum liffern laßen, fernerer anordtnung darüber erwartend. Erkand, vor Obere Stallherren gewißen.

(f° 44) Freÿtag den 23.ten Aprilis – Stallgeschäfft wegen der Verstorbenen armen Burger
Herr Negelin referirt, Herr Stallschreiber habe beÿ diser occasion den Obern Stallherren gebürend angebracht, daß sich In den Stall büechern einige Irrungen vnder den armen burgers Leüten herfür thäten, die sterben dahien, vnd wie man hiebevor die leuchten düecher beÿ den Zunfftbüttelen abgehohlt, die Büttel aber schuldig geweßen vnd noch seind, solche Verstorbenen dem Stallbuech anzugeben, Also geben Jetzo die Leuchten träger auch dücher hienweg, vnd vnd.schlagen die alte gute anstalt, alßo daß offmahls ein geraume Zeit Verstreicht, biß d. todtfall erfahren würd, welches billig zu verwehren vnd den leüchten trägern Zuverbieten, keinen Verburgerten ohn allein den Schirms Verwanten die tüecher Zugeben, wie auch dem Stifft St: Marx, welches sonsten den armen Inventirt, anzuzeigen, wan dergleich. fäll sich begeben, daß mans In der Cantzleÿ vnd vff der Statt Stall geschrieben gebe, Erkandt, Vor die herren Pfleger Zu St Marx gewißen, wie angeregt, weitere Verfügung Zuthun.

La maison revient à son fils Daniel Braun qui épouse en 1678 Marthe, fille du tonnelier Georges Pfund

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 3-v n° 18)
1678. Dom 5. et 6. Trin: Daniel Braun der Schuhmacher Christoph Braunen des Burgers vnd Schuhmachers alhier nachgelaßeneer ehelicher Sohn vndt Jungfr. Martha Georg Pfunden deß Burgers vnd Küblers alhier eheliche Tochter. Cop. ad S. Nicol. Mittw XI. Julÿ (i 5)

1719, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über weÿl. Daniel Braunen gewes. Schumacher alhier Verl.

Daniel Braun vend en 1679 la maison au cordonnier Jean Pierre Kappel

1679 (22. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 689-v
Daniel Braun der Schuhmacher
in gegensein Hannß Peter Kappellen, deß Schuhmachers
eine behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Kurbengaß, einseit neben Weÿl. Andres Dolpe deß Sibmachers nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, anderseit neben Barthol Hockhen deß hosenstrickhers hinterbliebener wittibin, hinden uff daß Stifft hauß so der Sÿgrist im Münster bewohnt, stoßend gelegen, davon gehend iahrs uff Weÿhenachten 8. ß d 4 d weÿl. herrn Hug Dietrich Von Landsperg nachgelaßene Erben Mannlich Geschlechts alß Hoher Stifft Straßburg Lehenträgern, ewigß zinnßes, und dann 7. ß 6. d uff Michael der Fabric deß Münsters ewigen bodenzinßes – umb 475. fl. à 15. batzen

Fils du cordonnier Jean Jacques Kappel, Jean Pierre Kappel épouse en 1675 Madeleine Ammerbach, fille du boucher Jean Georges Ammerbach : contrat de mariage, célébration
1675 (25. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 647-v
(Eheberedung) Erschienen Hannß Peter Kappel der Schuhmacher burger zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Johann Stöffelins deß Schuhmachers seines noch ohnentledigten Vogts und hannß Jacob Kappels deß Schuhmachers seines eheleiblichen bruders an einem
So dann Jungfr. Magdalena Amerbachin, hannß Georg ammerbachs deß Metzgers eheleibliche dochter, alß hochzeiterin, mit assistentz erstgedachts ihres eheleiblichen Vatters, und H. hannß Jacob Erhardts deß Goltarbeiter am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. f° 17 n° 78)
1675. Dom: 25. post Trin. Zum 2 mahl Hanß Peter Kappel der Schuhmacher Weiland Hans Jacob Kappels geweßenen Schuhmachers u. Burgers alhier nachgelaß. ehel. Sohn, Jfr. Magdalena Hans Georg Ammerbachs des Metzgers und Burgers alhier ehel. T. Donnerstags den 2.ten 10.bris im Münster (i 18)

Veuve, Madeleine (Ammerbach) se remarie en 1692 avec le cordonnier Jean Wernert
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 31-v n° 18)
1692. Dom: 8. post Trin: haben sich zum 2 mahl laßen außruffen Abraham Werner der Schuemacher hrn Johann Wernert Schuemachers und Burgers S. Magdalena, Weiland Joh: Peter Kappels Schuhmachers v. Burgers W. sind d. 6.t Aug: Wircklich copulirt worden [unterzeichnet] Abraham Werner Als Hochzeiter, M der hochzeiterin Zeichel (i 32)

Compte que rend Jérémie Schmidt aux deux enfants de Jean Pierre Kappel et de Madeleine Ammerbach.
1708 (30. 8.bris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 21)
Rechnung Mein Jeremiæ Schmids, Schuemachers und burgers alhie alß geordnet und geschworenen Vogts Jungfr. Dorotheæ, und Johann Peter Kappels, weÿl. Mr Johann Peter Kappels, geweßenen Schuemachers und burgers alhier, mit auch Weÿl. frauen Magdalena gebohrner Ammerbachin seel. ehelich erzeugter dochter vnd Sohns, Inhaltend alles das Jenige, waß ich seit erstgedachter der Curanden Mutter seel. absterben, daß ist vom 6.ten Martÿ 1706. biß den 30. 8.bris 1708. Ihrentweg. inn verschiedene Wege eingenommen, dargeg. wid. außgeben, auch sonsten vögtlicher weiß verhandelt habe. Erste Rechnung dieser Vogteÿ
Bericht dießer Rechnung (…) Alß aber den 6° Martÿ Anno: 1706. obermelte fraw Magdalena gebohrne Ammerbächerin die sich vorher wider mit Mr Abraham Werners auch Schumachern vnd Burgern allhier Verheurathet, Zeitlichen Todes Verfahren vnd darauff noch inn gemeltem Jahr Zur Inventur geschritten, auch den 19. Aug: dicti Anni die Abtheilung ihrer verlaßenschafft vorgenommen wurde (…)
Belangend die fol: 29. beschriebene Mütterliche behaußung alhier zu Straßburg In der Kurbengaßen gelegen, deren meinen Curand. Zwo tertz gehörign sind Mr Abraham Werner dem Schuhmacher dero Stieffvattern angeregte 2. tertzen Jährlich vmn 12. fl. Zinß verlühen
(Hauszinß)

Jean Pierre Kappel hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Jean Jacques Erhardt

1680 (1.4.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 247
Hannß Peter Kappel der Schuhmacher
in gegensein herren hannß Jacob Erhardts deß Goltarbeiters – schuldig seÿe 75 lb
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen begriffen Rechten und Zugehördten alhier in der Kurbengaß, einseit neben weÿl. Andres Delpe deß Schuhmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin anderseit neben Barthol Hockhen deß Hoßenstrickhers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, hinden uff daß Stiffthauß, so der Sigrist im Münster bewohnt stoßend gelegen, davon gehendt iahrs uff weÿhenachten 8 ß 4 d weÿl. herrn Hugo Dietrichs Von Landtsperg nachgelaßenen Erben Mannlichen geschlechts alß hoher Stifft Straßburg Lehenträgern ewigen Zinnßes, und dann 7. ß 6. d uff Michael. der Fabric des Münsters ewigen bodenzinßes

Jean Pierre Kappel vend la maison au cordonnier Jérémie Schmidt

1680 (23. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 718
(Prot. fol. 66.) Erschienen Hannß Peter Kappel der Schuhmacher
hatt in gegensein Jeremiæ Schmidts auch Schuhemachers (verkaufft)
Eine Behaußung mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten undt gerechtigkeiten, alhier in der Kurbengaß, einseit neben Leonhardt Margne dem Sippmacher ehevögtlicher Weiß, anderseit neben Barthol Hockhen des Hoßenstrickhers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, hinden uff das Stiffthauß, so der Sÿgrist im Münster bewohnt, stoßendt gelegen, davon gehendt Jahrs uff Weÿhenachten 8 ß 4 d. Weÿl. den Adelichen Landspergischen Erben Mannlichen geschlechts ewiges Zinnßes, und dann 7 ß 6 d. uff Michael: der Fabric des Münsters ewigen bodenzinßes, sonsten für ohnverhafftet Vndt Were dießer Verkauff undt Kauff Zugangen umb 450 fl. bahr bezahlt worden

La maison est portée à l’inventaire dressé en 1714 après la mort de Jérémie Schmidt qui est propriétaire de deux maisons. Lors du partage en 1715, celle à l’est de la rue du Maroquin revient à son fils Geoffroi Schmidt au prix d’estimation de 300 livres.

Geoffroi Schmidt loue la maison au cordonnier Frédéric Gœring.

1715 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 133-v
Gottfried Schmidt beÿständlich Joh: Jacob Baur schuemachers seines Curatoris
in gegensein Friedrich Göring schuemachers
sein hauß in der Kurbengaß, einseit neben Heinrich hübner anderseit neben Marx Schnepf gelegen, auf 4 Jahr lang anfangend auf Annunciationis Mariæ 1715, um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund

Geoffroi Schmidt épouse en 1718 Marie Dorothée, fille du cordier Jean Thiébaut Bechtold : contrat de mariage, célébration
1718, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Gottfried Schmidts Schuemach. und Jgfr Dorotheß Bechtoldin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 39, n° XVIII)
1718. Dominica XV & XVI. Trinit. proclamati sunt Johann Gottfried Schmidt, der ledige Schuemacher v. burger alhier Jeremias Schmidt gewes. burgers v. schuhmachers alhier nachgelaßener Ehel. Sohn und Jgfr. Maria Dorothea, Weÿl. Johann Theobald Bechtolds gewes. burg. v. Seilers alhier Nachgelaß. Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 5. Octobr. [unterzeichnet] Johann Gottfrit schmidt alls hochzeÿder, + Ist das beÿ Zeichen als hochzeiterin (i 43)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (non conservé)
1719, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über Gottfried Schmieden des Schumachers u. fr. Maria Dorothea geb. Bechtoldin beede ehel. einand. zugebr. Nahr.

Les deux plus jeunes enfants de Geoffroi Schmidt sont admis à l’Orphelinat, les deux aînés habiteront avec leur mère en recevant l’aumône de Saint-Marc
1729, Conseillers et XXI (1 R 212)
(p. 325) Sambstag d. 17. 7.bris – Weÿl. Gottfried Schmidts 2. iüngste Kinder Werden in das Wäÿßenhauß auffgenommen, und die Zweÿ ältere sambt der mutter an St. Marx verwießen
Lt Mosseder, Nomine Weÿland Gottfrid Schmidts gewesenen burgers und schumachers allhier hinterlassener Vier Kinder Vogts Diebold Burgers auch schumachers, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten sambt beÿlagen sub Num. 1. 2. 3. 4. et 5. umb deren gnädiger Auffnahm in das Wäÿßenhauß, handelt innhalts.
Ist Erkandt, Werden die Zweÿ iüngste Von diesen Kindern an die Hh. Pflegere das Waÿßenhauß umb sie darin auffnehmen zu lassen Verwießen, die Zweÿ älteste aber sambt der Mutter denen Hh. Pflegern Lobl. Stiffts St. Marx zu erhaltung eines Wochentlichen Allmoßens Verwiesen.
Deputati H XV Von Stöcken und H. Rht. Hügel

Marie Dorothée Bechtold veuve de Geoffroi Schmidt meurt en délaissant deux filles dans la maison de l’orfèvre Jacques Kolb rue du Sanglier. L’actif de la succession s’élève à 47 livres, le passif à 19 livres.
1738 (27. 9.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 69) s.n.
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland die Ehren und tugendsame Fraw Maria Dorothea Schmidin gebohrne Bechtoldin, weÿl. des Ehrenhafften Meister Gottfried Schmidts, geweßenen Schumachers und Burgers Zu Straßburg hinderlaßene Wittwe, nunmehr seelige, nach ihrem den 25. Octobris Nechsthin, aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf erfordern v. begehren des Ehren vorgeachten H Dieboldt Burgers, Schumachers v. burgers alhier alß geordneten: v. Geschworenen Vogts Mariæ Dorotheæ und Margarethæ Salome Schmidin, der Abgeleibten Frauen seel: mit obernantem ihrem vorher verstorbenen hauß würths ehelich erzeugte döchterer und ab intestato velaßene Erben ersucht – So beschehen und verhandelt in Straßburg Donnerstags den 27. Novembris Anno 1738.
In einer alhie Zu Straßburg in dem Hawer gäßlein gelegen, H Kolben dem Goldschmid gehöriger behaußung darinnen die verstorbene seel. metzgers weiß gewohnt, ist befunden word. wie folgt.
Sa. Haußraths 34, Sa. Leder, Schuh vnd Werckzeugs Zum Schuhmacher handwerck gehörig 12 Silber 15 ß, Summa summarum 47 lb – Schulden (soll man H Jacob Kolben dem Goldschmid vor ein viertel Jahr hauß zinß 3 lb) 19, Conclusio finalis Inventarÿ 28 lb

Geoffroi Schmidt et Marie Dorothée Bechtold vendent la maison en 1722 au cordonnier Jean Wurtz et à sa femme Anne Catherine Rhein moyennant 700 livres

1722 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 263
(700) Gottfriedt Schmidt Schuhmacher und Dorothea geb. Bechtoldin
in gegensein Johann Würtzen auch Schuemachers und Annæ Catharinæ geb. Rheinin
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in St Urbans: gaß, einseit neben Abraham Erhard dem Meelmann anderseit neben Matern westermann den Schuemacher hinten auff eine der fabric des Münsters zuständigen, von Trawitz dem Sigristen der Prediger Kirch allhier bewohnte behausung – auff Michaelis gedachter fabric des Münsters 7 ß 6 d. ane bodenzinß, so dann denen Edlen von Landsperg mannlichen geschlechts auff weÿhnachten jeden jahrs 8 ß 4 d. ahne ewigen zinß – (um 400 pfund verhafftetn geschehen um 300 pfund)

Fils du cordonnier Jean Wurtz, Jean Wurtz épouse en 1713 Anne Catherine Braun, fille du passementier Jean Martin Braun : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire (la minute n’en est pas conservée), célébration
1713, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Wurtzen Jun: Schuemach. und Jgfr. Annæ Cath: Braunin
Eheberedung – entzwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Meister Johann Wurtzen, dem ledigen Schuemacher des Ehrenhafften und vorachtbaren herrn Johann Wurtzen des ältern auch Schuhmachers und burgers alhier ehelich erzeugtem Sohn alß dem bräuttigamb ane einem, So dann der Ehren: vnd tugendsamen Jungfrauen Annæ Catharinæ Braunin, weÿland des Ehren vorgeachten und wohlachtbahrn Herrn Johann Martin Braunen gewesenen Paßmentirer und burgers alhier nunmehr seel. hinderbliebener ehelicher dochter alß der hochzeiterin andern theils – Actum den 27. Monatstag Maÿ im Jahr 1713. Jacob Christoph Pantrion Notarius

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 251-v n° 1090)
1713. Eod. [Mittwoch den 14. Julÿ] Seind nach 2.mähl. Proclamation ehelich copulirt word. Joh. Wurtz der ledige Schuhm. Joh. Wurtzen b. vnd Schuhm. ehl. Sohn, und J. Anna Catharina weÿl. Hanß Martin Braunen gew. b. und Paßmentm. hinterl: ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Wurtz alß hoch Zeiter, Ana Carinen braunin Alls hoch Zeidtirn (i 251)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient au père du mari rue du Maroquin.
1713 (14.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 30) n° 33
Inventarium über Mr Johann Wurtzen, deß Jüngern Schumachers, und der Ehren vndt tugendsahmen frawen Annæ Catharinæ Braunin beeder Eheleuthe und burgere alhier einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet A° 1713. – alß Crafft Ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung Vor unverändert in den Ehestand Zugebracht (…) Actum Straßburg In fernerer gegenwarth H. Johann Georg Müllers Paßmentirers alß der frauen Vogt und H. Johann Rauschers Nestlers alß Ihres Vettern, Montags d. 14. Augusti 1713.
In einer alhie Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegener Mr Johann Wurtz sen: des Manns Vattern Zuständig. behaußung ist befunden worden wie volgt
Werckzeug vnd Schue Zum Schuemacher handwerck gehörig
Haussteuren 30. lb

Anne Catherine Braun meurt en 1715 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans la maison qui appartient au père du mari rue du Maroquin. La masse propre au veuf présente un déficit de 6 livres, celle des héritiers s’élève à 278 livres. L’actif de la communauté s’élève à 162 livres, le passif à 336 livres
1715 (28.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 33)
Inventarium und Beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehren: und tugendsame Fraw Anna Catharina Wurtzin gebohrne Braunin, des Ehrenhafften Meister Johann Wurtzen des Jüngern, Schuemachers und burgers alhier Geweßene eheliche haußfrau nunmehr seel. nach ihrem Mittwochs den 6. Februarÿ Jüngsthin, aus dießem mühensamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des Ehrenhafften vnd vorachtbaren H Johann Friderich Bruders Knöpffmachers vnd burgers alhier, alß geschwornen vogts, Johann Wurtz der Abgeleibten Frawen seel. mit vorernanntem ihrem hinderbliebenen Wittwer ehelich erzeugten Söhnleins vnd ab intestato verlaßenen einig. Erbens inventirt, durch ihne den hinderbliebenen Wittwer, mit beÿstand H Johann Wurtzen des ältern auch Schuhmachers vnd burgers alhier seines geliebten Vatters – Actum Straßburg, Donnerstags den 28° Martÿ 1715.

In einer alhier Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegener, des Wittwers Vattern Zuständiger behaußung ist befunden worden, wie volgt
Ergäntzung des Wittibers unveränderten Guth. Laut Concept Vber Eingangs Gemelter beeder Eheleüthe in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch Mich Unterschriebenen Notarium d. 14. Aug. 1713. auffgerichtet
Series rubricarum. Des Wittwers Unverändert guth, Sa. Mobilien 2, Sa. Werckzeugs Zum Schuemacher handwerck geh. 1, Sa. Silbers 2, Sa. Ergäntzung 37, Summa summarum 43 lb – Schulden, wie vorher, Übertrifft also dew Wittwers Zubezahlen habende Passivorum 6 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 56, Sa. Silbers 8, Sa. Gullednen Ring 4, Sa. Schulden 50, Sa. der Ergäntzung 160, Summa summarum 278 lb
das Theilbahr Guth, Sa. haußraths 8, Sa. Leder vnd Schuh 28, Sa. Silbers 13 ß, Sa. Schulden 125, Summa summarum 162 lb – Schulden 336 b, Übertreffen also die vorhandene Passiva die sambtliche theilbare Activ Massam vmb 173 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 98 lb
Eheberedung (…) Actum den 27. Monatstag Maÿ im Jahr 1713. Jacob Christoph Pantrion Notarius
Copia Testamenti – 1715 (…) auff Sonntag den 3. Monats tag Februarÿ vormittag zwischen 7 und 8 uhren, die Ehren: und tugendsame fraw Anna Catharina Wurtzin gebohrne Braunin, des Ehrenhafften Meister Johann Wurtzen des Jüngern Schuemachers und burgers alhier eheliche Haußfrauw (…) zu sich erfordern laßen, die wie dann wegen schwehrer Kindbett unpäßlichen Krancken und schwachen Leibs auf einem bette ligend (…) Jacob Christoph Pantrion Notarius

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 200 florins
1715, Livres de la Taille (VII 1175) f° 136-v
(Schuhmacher, A. N° 1536) Weÿl. Frauen Annæ Catharinæ gebohrner Braunin, Johannes Wurtzen jun. des Schuemachers und burgers alhier, geweßener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol. 47.b – 98. lb 13 ß 7 d. die machen beÿ 200. fl. verstallte 100. fl. also zu wenig 100 fl
Warvon der achtrag gerehcnet wird auf 2 jahr alß lang Er nehmlichen burger in duplo, macht à 6 ß – 12 ß
Und auch auff Zweÿ Jahr in simplo th. à 3 ß – 6 ß
Extat das Stallgeltt pro 1715 mit – 1 lb 10 ß
Gebott, 1 ß 4 d
Abhandlung, 5 ß 6 d – Summa 2 lb 14 ß 11 d
dt. 8. Julÿ. 1715.

Jean Wurtz se remarie en 1715 avec Anne Catherine, fille du revendeur Nicolas Rhein : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire (la minute n’en est pas conservée), célébration
1715, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq) p. 261
Eheberedung – Joh: Wurtzen jun: Schumach: und Jgfr. Annæ Catharinæ Rhönin
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Meister Johannes Wurtz Schuhmachern und burgern allhier, als Hochzeiteren ane einem, So dann der Ehren: und tugendsamem Jungfrauen Anna Catharina gebohrner Rhÿnin, weÿl. Niclaus Rhÿnen geweßenen Gremppen und burgers allhie Seel. nachgelaßener Tochter (…) Beschehen in Straßburg Sonntags den 30. Junÿ 1715, Pantrion, Not.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 275 n° 1183)
1715. Eod. [Mittwoch den 24. Julÿ] Seind nach 2.mahl. Proclamation ehelich copulirt worden Johannes Wurtz der wittwer b. und Schuhm. allh. vnd J. Anna Catharina, weÿl. Niclauß Rheinen gewesenen b. und Grempen nachgel. eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Wurtz alß hoch Zeiter, Anna Catharina Reinin alhoß Zitin (i 274)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 442 livres, ceux de la femme à 181 livres.
1715 (8. 8.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 34)
Inventarium über des Ehrenhafften Meister Johann Wurtzen Schuemachers: und Frauen Annæ Catharinæ Wurtzin gebohrner Rhÿnin, beed. Eheleuthe und Burgere alhier zu Straßburg, einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1715. – zufolg dero mit einand. auffgerichteten Eheber: alß ohnverändert sich reservirt und vorbehalten haben (…) Actum v. invent. d. 8. octob. 1715. expedirt aber d. 31. Jan. 1743.
In einer allhier Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegenen, Mr Johann Wurtzen dem Schuemachern, des Manns vattern Zuständigen behaußung ist befund. worden, wie volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung (F.) Item hauß vnd hoffstatt inn d. thucherstubgaßen, gegen der Gerber Zunfftstuben über (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 220, Sa. Silbers 37, Sa. Leder und Schue 50, Sa. der baarschafft 134, Summa summarum 442 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 44, Sa. Silbers 10, Sa. Goldener Ring 9, Sa. Eigenthum i. behaußung o, Summa summarum 81 lb

Anne Catherine Rhein meurt en 1743 en délaissant sept enfants. Les experts estiment la maison à 350 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 609 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 128 livres, le passif de 778 livres.

1744 (24.8.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1270) n° 69
Inventarium über Weÿland Frawen Annæ Catharinæ gebohrner Rheÿnin, Meister Johannes Wurtz Schuhmachers und burgers allhier geweßener ehel. haußfrawen seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1744. – nach ihrem am 2.ten Octobris des letzt Verfloßenen 1743.sten jahrs genommenen tödlichen hientritt hie zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrsamen Meister Johann Michel Saltzmann, auch Schuhmachers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob, Johann Daniel, Annæ Catharinæ, Johann Georg, Johann Friderich, Mariæ Salome und Alle Vier Minorennen alters so dann Johannes des Leedigen Schuhmachers, so für Majorenn Erkant, alle sieben gebohrne Wurtzen, so die Verstorbene seel. mit vorgemeltem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehel. erziehlet und ab intestato Zu sieben gleichen portionen undt antheÿlern Zu Kinder und rechtmäsig Erben verlaßen (…) So beschehen Straßburg den 24.sten Augusti 1744.
Copia der Eheberedung – Copia Testamentum nuncupativi reciproci

In einer allhier Zu Straßburg ahne der St: Urbans gaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen hernach beschriebenen behausung folgender maßen befunden worden
(f° 7) Eÿgenthumb ahne einer Behaußung. (T.) Ein Hauß, Hoff u. hoffstatt, mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Recht und gerechtigkeiten allhier in St: Urbansgaß einseith neben Christian Westermann dem Schuhmacher ander seith neben Matern Westermann, auch schuhmacher allhier, hinten auff einer der Fabrique des Münsters allhier Zuständigen behaußung stoßend gelegen, davon gibt mann jährl. der Fabrique des Münsters 7 ß 6 d bodenzinß, so dann denen Edlen Von Landsperg Männlichen geschlechts auff Weÿhenachten jährl. 8. lb 4 ß ewigen Zinßes. Darüber meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff auff der allhiesigen Canceleÿ contract stub Verfertiget, und dero größern anhangendn Insigel Verwahret de dato 23.sten Aprilis anno 1722.
Darauff steht Einem Löblichen Stifft St: Marx allhier in Verzinnßlichem capital auff 500. lb d sonsten über dieses eigen Und ist dieße behaußung Vermög der Hn Werckmeister Zugeschickter schrifftl. Abschatzung de 27.sten Martÿ 1744. æstimirt worden für 350. lb Conferendo übertrifft das passiv onus der h Werckmeistere anschlag benantlichen umb 150. lb so hernach in folgendem passiv onus eingeführet.
(f° 8) Ergäntzung der Erben obgangen unveränderten Mütterlichen Guths. Innhalt Inventarÿ Illatorum über beeder geweßener Eheleuthen Zugebrachter Nahrungen dedato 8.ten Octobris 1715. von weÿland Hn Jacob Christoph Pantrion auffgenommen nachgehends aber den 31.sten Januarÿ 1743. durch herrn Johannes Brackenhoffer den Notarium verfertiget
(f° 10) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 3, Sa. Schulden in der Erben Vermögen 37, Sa. Ergäntzung 568 lb, Summa summarum 609 lb – Davon ist abzuziehen der halbe theÿl der 1 lb 10 ß so denen armen der Schuhmacher Zunft besag Testamenti paragrapho Vor das Andere Vermacht mit 15 ß, Bleibt 608 lb
Solchemnach Wird die übrige Verlaßenschafft unter einem Titul als theÿlbar beschrieben, Sa. haußrath 56, Sa. leeder gemachte arbeit und werckzeug 52, Sa. Vaß und Büttel 3, Sa. Silber 15, Sa. goldener Ring 1, Summa summarum 128 lb – Schulden 778 lb, Übertreffen die theÿlbahre passiva die gantze sogenante theÿlbahre activ massam benantlichen umb 649 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 40 lb
Abschatzung dem 27: Mertz: 1747. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheitenen Meister Johaneß wurtz dem schu Macher, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, in der Kurben gaß gelegen, so ein seitß an Maternuß wëster Mannß Erben dem schu macher, anderseitß an Christian wëstermannß Erben hinden auff eine behausung so dem frawen hauß Zu gehörich Stoßent, welche behaußung unden ein gangß daß haus Ehren 8 schu 10 Zoll in seiner gantzen breiten, oben eine Stuben und hauß Ehren darinnen der herdt under dem tach 2: Camern ein alter tach stull eß hat auch gemelte behausung Keinen gebell beterseitß sambt aller gerechtigkeit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wirdt vor und Umb Sieben Hundert Gulden. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs
Copia der Eheberedung (…) Beschehen in Straßburg Sonntags den 30. Junÿ 1715, Pantrion, Not.
Copia Testamentum nuncupativi reciproci. 1717. (…) auff Donnerstag den 9. Monaths tag Septembris ) persönlich kommen und erschienen seind der Ehrsame Meister Johannes Wurtz, der Schuhmacher und mit und neben ihme die Ehren und tugendsame Frau Anna Catharina Wurtzin gebohrne Rheinin beede Eheleuthe Von den gnaden des Grundgütigen Gottes gesunder gehend: und stehender Leiber auch guten richtigen verstandts (…)

Jean Wurtz meurt en 1766 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 660 livres, le passif à 812 livres.

1766 (18. 9.bris), Not. Haering (6 E 41, 1367) n° 318
Inventarium über Weiland des Ehregeachten Meister Johannes Wurtz im Leben geweßenen Schuhemachers und hiesigen Burgers seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1766. (…) nach seinem Sambstags den 8.ten 9.bris gegenwärtigen 1766.sten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödl. von hinnen Scheiden, hie Zeitlichen verlaßen Welche Verlt. auf gebührenden Ansuchen des Verstorbenen seel. hinderlaßener Kinder und Erben (…) inventirt und ersucht durch dieselbe, ingleichem Margaretha Englerin von Mittelweÿher gebürtig die Magd (…) So beschehen Straßburg dienstags den 18.den 9.bris Anno 1766.
Den Verstorbenen seelig zu Erben sind fähig, Laut hernach abschriftlich einverleibten Testamenti 3. benandl. seine mit Weil. frau Anna Catharina geb. Rheinin, welche A° 1744 vestorben, ehelich erzeugte Von 7 noch lebende 4. KKr als I. Johannes Wurtz, Schuhemacher Mr. und Br. alhier seinen eigenen Nutzen beÿ diesem Geschäfft beobachtend, II. Johann Daniel Wurtz leediger Schuhemacher Vollbürtiger Jahren, dießen Geschäfft persönlich beÿwohnend, III. frau Anna Catharina geb. Wurtzin, Meister Johann Georg Jockers Schuhemachers und burgers alhier Ehefrau beÿständlich ihres Ehemanns Zugegen, So dann IV. Johann Georg Wurz Schuhemacher Mr. und hießiger Burger, darbeÿ dießer Inventur gegenwärtig ost, Zu Vier gleichen Antheilen

In einer allhier zu Straßburg an der St: Urbans gaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
hausrath, In der 2.ten Stuben, Im dritten Stockwerk
Eigenthum an einer behaußung (Johannes Wurtz dem Sohn pro 1000 lb. verschrieben). Nemlich eine Behaußung, Höfflein und Hoffstatt, mit allen deroselben Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier in St: Urbans Gaß einseit neben H. Christian Westermann Schuhemacher, anderseit neben Herrn Matern Westermanns tochtermann Georg Steinmetz ebenfalls Schuhemacher hinten auf eine der fabric des Münsters alhier Zuständige von Trawitz dem Siegristen der Prediger Kirch bewohnte behaußung stoßend gelegen, davon gibt man jährlich auf Michaelis ged. fabric des Münsters 7. ß 6. d an Bodenzinß, so dann denen Edlen Von Landsperg mannlichen Geschlechts auf Weÿhenachten Jeeden Jahrs 8. ß 4. d an ewigen Zinß, über das ist auch dieselbe um 500. lb d Löbl. großem Allmoßen Stifft St: Mrx verhafftet, sonsten aber freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) Zufolg deren Zu mein Notÿ Concept schrifftlich geliefferter Abschatzung Vom 16. Xbris 1766. angeschlagen worden Vor 900 lb. abgezogen die unablößige Zinß zu doppeltem Capital gerechnet mit 31 lb 13 ß 1, restiren am Anschlag d. behßg. 868 lb. Es wird ab. nach Erheischug der Ordnung der Preiß um welchen solche dem ältesten Sohn Verschrieben ist davon außgeworffen für 1000. Hierüber meldet i. deutscher perg: Kffbr: aus allh: C.C. Stb. vom 23. Aprilis 1722. mit deren anhangd. größern Ins. Verw.
Ordnung gegenwärtigen Invÿ. Copia Actus præsentationis Testamenti clausi perge in mein Notarÿ Minute den 26.ten Martÿ 1757. vergriffen, Copia Nachdisposition de dato 1764 den 30. Aug.
Sa. hausraths 142 lb, Sa. Werckzeug Waar und Leder zum Schuhemacher hdw. gehörig 47 lb, Sa. Silbers 16 lb, Sa. baarschafft 172 lb, Sa. Eigenthums an einer behaußung 1000 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 275 lb, Sa. Schulden 6 lb, Summa summarum 1660 lb – Schulden 812 lb, Nach deren Abzug 848 lb – Stall summ 1018 lb
– Abschatzung Vom 16.ten Der 1766. Auff Begehren Weil: H. Wurtz Des Gewesener [sic] schuhemachers seil. hiender Lasener Erben ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg in der Curbe gas gelegen Ein seits & Neben H Westerman ander seits Neben Georg Steinmetz und hienden auff eine behausung Lobl. Stifft Frauen hauß geherig solche behausung besteht in dreÿ Stuben dreÿ Hauseren war inen herd und Camin schos und Ettliche Kamern Dar jber ist der Dach Stuhl mit breitziglein belegt, hat auch ein gewelbten Keller und Kleinen hoff, Von uns unterschriebenen der Statt Strasburg geschwornen Wercl Meister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth Nach Estimirt und angeschlagen Vor und Umb Acht Zehe hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber

Le défunt a légué la maison à son fils Jean qui épouse en 1775 Marie Marguerite Engel, originaire de Mittelwihr, qui était à son service depuis douze ans : contrat de mariage, célébration

1775 (13.3.), Not. Schatz (6 E 41, 1302) n° 16
Eheberedung – zwischen Meister Johannes Wurtz, dem ledigen Schuhmacher und burger allhier, Weÿl. Meister Johannes Wurtz geweßenen Schuhmachers mit auch Weÿl. Fraun Anna Cath. gebohrner Rheinin, ehelich erzeugtem Sohn, als hochzeitern ane einem
So dann Jungfrauen Maria Margaretha Engelin, Weÿl. Meister Adam Engel, geweßenen Schneiders und burgers Zu Mittelweÿer, in dem Oben Elsaß gelegen, mit auch Weÿl. Fraun Elisabetha gebohrner Baurin, ehelich erziehlten Tochter, so Majorennis, als hochzeiterin ane dem andern theil
Actum Straßburg (…) auf Montag den 13.ten Martÿ 1775

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 98)
Im Jahr Christi 1775. Montag den 22. Maÿ Vormittag um Zehen Uhr sind nach Vorher den Vierten und fünften Sontag nach Ostern geschehenen Proclamationen in offentlicher Kirch ehelich eingesegnet worden Johannes Wurtz lediger Schuhmacher Meister und Burger allhie Weÿl. Johann Wurtzen geweßten Schuhmachers und Burgers allhie mit auch Weÿl. Anna Catharina geborner Rheinin ehelich erzeugter Sohn, Und Jungfrau Maria Margaretha Engelin, Weÿland Adam Engel geweßten Schneiders und burgers Zu Mittelweyer beÿ Colmar mit auch Weÿl. Elisabetha geborner Baurin* ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johanes Wurtz alz hochzeiter o so zeichnet Maria Margaretha Engelin (i 150)

Marie Marguerite Engel devient bourgeoise par son mari à titre gratuit pour son comportement
1775, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 131-v
Maria Margaretha Engelin von Mittelweÿr verheurathet an Johannes Wurtz den schuemacher und burger allhier erhalt das burgerrecht wohl verhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E.E. zunfft der Schuemacher, prom. den 31. May 1775.

(VI 286 bis) p. 224. Schuhmacher N° 17, d. 6 Maÿ 1775 – Jfr. Maria Margaretha Engeler von Mittelweÿer gebürtig, weÿl. Adam Engeler gewes. B. und Schneiders daselbst mit Elisabetha geb. Baurin ehelich erzeugte tochter verlobt an Joh. Wurtz dem B. und schuhmacher allhier, Ihre vorgelegte schein beweisen ihr eheliche geburt, augspurgisch. confession und daß des Sponsi stallgebühr in richtigkeit gebracht. 500 fl. baares gelt hat sie vorgewiesen und deren eigenthum mit einer handtreu erhärtet, auch 100 fl 5 ß beÿ dem B. protocoll deponirt.
Implorantin bittet Ew. G. sie wohlverhaltens wegen in das B. recht aufzunehmen sintemal sie 12 jahr ohnunterbrochen beÿ ihrem Sponso treu und ehrlich gedienet, dessen auch derselbe eidlich versichert hat.
Recepta wohlverhaltens wegen gratis.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leur fortune dans la maison propre au mari. Ses apports s’élèvent à 1642 livres, ceux de la femme à 112 livres.

1776 (12.6.), Not. Schatz (6 E 41, 1295) n° 39
Inventarium über Meister Johannes Wurtz, Schuhmachers, und Fraun Mariæ Margarethæ Wurtzin geb. Engelin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg, einander in die Ehe gebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1776 – Welche der Ursachen alldieweilen in der, den 13. Martii 1775 vor mir Notario aufgerichteten Heÿraths verschreibung und dem darinn vergriffenen zweÿten paragrapho, solches ausdrucklich abgeredet worden, inventirt und ersucht durch Sie beede Eheleuth: selbsten (…) Actum Straßburg in beÿseÿn H. Gottfried Marx, Schuhmachers und Burgers allhier, der Ehefrauen erbettenen beÿstands, auf Mittwoch den 12.ten Junÿ 1776.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St Urbans: Gaß gelegenen: dem Ehemann eigenthümlich Zuständigen Behausung befunden worden, wie folgt
(f° 10-v) Eigenthum ane einer Behaußung. (M.) Nemblichen eine Behausung samt Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane St: Urbans Gaß, 1.s. neben Mr Joh: Georg Steinmetz dem Schuhmacher, 2.s. neben Mr Joh: Götz, und Mr. Christian Westermann dem jüngern, beeden Schuhmachern, hinten auff ein: Löbl. Stifft Frauenhaus gehöriges haus, darinnen der jeweilige Siegrist der Prediger: Kirch wohnet, stosend, davon man jährl. auf Michaelis besagter Fabric des Münsters 7. ß 6. d bodenzinß, ferner denen Edlen von Landspurg männlichen Geschlechts, auf Weÿhnachten 8. ß 4. d ewigen Zinß zu reichen pflichtig, sonsten aber u. außer dem Löbl. Stifft St. Marx allhier Jahrs auf Joh: Bapt: à 4 pro Cento verzinßlichem Capital von 1000 gulden, freÿ, ledig und eigen, ohnpræjudicirlich hiehero taxirt pro 1100 lb. Vermög eines, d. 26. Martÿ 1757. beÿ H. Not. Joh: Richard Häring deponirten Testamenti Clausi, so d. 12. Nov: 1766. eröffnet worden, hat des diesorts Ehemanns Vatter seel. dießem seinem Sohn vorbeschriebenes haus samt allem was darinnen Nied: und Nagel fest ist, um gewißen Preis eigenthümbl. præ, Auch hat derselbe in folgender Zeit seine 3. geschwisterde deshalben ausgewießen welches aller in Häringischer Schreibstub soll Zu finden seÿn.
(f° 14-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Folgt nun die Beschreibung des Ehemanns eingebrachten Vermögens, Sa. hausraths 222 lb, Sa. Wein u. Faß 37 lb, Sa. Werckzeugs, Leder und gemachter Arbeit zur Profession gehörig 275 lb, Sa. Silbers 9 lb, Sa. Baarschafft 150 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer Behausung 1100 lb, Sa. capitalien 347 lb, Summa summarum 2142 lb – Schuden fol. 11.b, nach solchem abzug 1642 lb
Dießemnach wird Auch der Ehefrau, eingebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 49 lb, Sa. Silbers 11 lb, Sa. golden Geschmeids 1 lb, Sa. Baarschafft 50 lb, Summa summarum 112 lb – Haussteuren 22 lb

Marie Marguerite Engel meurt en 1788 sans enfant après avoir institué son mari légataire universel de ses biens. Les experts estiment la maison à la somme de 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 810 livres, le passif à 623 livres.

1788 (13.9.), Not. Übersaal (6 E 41, 659) n° 237
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Margarethä Wurtzin geborner Engelin, Herrn Johannes Wurtz, des Schuhmachers und Burgers alhier Zu Straßburg gewesener Ehegattin seelig Verlaßenschaft, auffgerichtet den 13. Septembris im Jahr 1788 – nach ihrem den 21.ten Maji dieses Jahrs erfolgten Absterben hinterlassen hat. Solches wurde auf Ansuchen erstbemelten Wittwers, als per institutionem contractualem vermög des fünften Punkts der hernach eingetragenen Eheberedung hinterlassenen Universal: Erbes /:in Ansehung due Verstorbene seelig weder in ab noch aufsteigender Linie einige Noth Erben hinterlassen hat:/

So geschehen alhier Zu Straßburg in einer an St . Urbans: Gaß gelegenen dem Wittwer zuständigen und hernach eingetragenen Behausung N° 6 auf Samstag den 13. Septembris Im Jahre 1788
Eigentum an einer Behausung. Nämlich eine Behausung, höfflein und hofstatt samt allen Zugehörden und Rechten, mit N° 6 bezeichnet, gelegen alhier zu Strasburg an St. Urbans: Gaß einseit neben Meister Joh. Steinmetz, anderseit neben Meister Joh. Götz und Christian Westermann dem jüngern, allen drei Schuhmacher, hinten auf eine dem Löbl. Stifft Frauenhaus Zuständige Behausung stoßend, davon hat man jährlich auf Michaelis der Fabric des Münsters oder gemeltem Frauenhaus 7. ß 6. d und denen Edlen von Landsperg männlichen Geschlechts auf Weihnachten 8. ß 4. d an ewigen Zinß zu entrichten, so aber sonsten auser dem darauf haftenden hernach passive eingetragenen capital frei, ledig, eigen und durch (die Werckmeistere) ausweislich ihrer schriftlichen bescheinigung vom 18. Augusti 1788. angeschlagen worden pro 300 lb. Diese behausung wurde von des Wittwers Vater weiland Herrn Johannes Wurtz, dem gewesenen ebenmäsigen Schuhmacher und Burger alhier in seinem den 26. Martii 1757. verschlossen aufgerichtet den nämlichen tag auch weiland Herrn Notario Johann Richard Häring deponirt: und den 12. Novembris 1766. eröffneten Testament paragrapho secundo dem diesortigen Wittwer um einer gewissen Preis prælegiret. Darüber ist vorhanden ein pergamentener Kauffbrieff in Löblicher Kanzlei: Contract: Stube gefertiget und mit deroselben anhangenden Insigel verwahret, vom 23. Aprilis 1722.
Abschatzung Vom 18.ten august 1788. Auf begeren Herr johannes Wurtz dem schuh Macher, ist Eine behausung alhir in der statt strasburg in der St urbans gas gelegen, Ein seÿts neben johannes steinmetz, anderer seÿts neben johannes getz Et westermann, und Hinten auf Eine behausung löbl. stifft frauenhaus gehörig stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einem ladten, dreÿ stüben, zweÿ Kuchen und Etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller, und glein Höfflein. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschworne Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Sechs Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner wkmr, Klotz wkmr
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Hierauf wird nun Eingangsgedachte Verlaßenschafft und zwar weil der Wittwer Universal: Erb seiner verstorbenenn Ehefrau Vermögens ist, ohne einihe Untersuch: noch Absonderung beschrieben, Sa. Hausraths 81, Sa. Leders, gemachter Arbeit und Werckzeugs Zum Schuhmacher handwerck gehörig 65t, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 5, Sa. der Baarschaft 25, Sa. des Eigentums an einer Behausung 300, Sa. Capitalien 332, Summa summarum 810 lb – Schulden 623 lb, Nach deren abzug, Stall Summa 186 lb
Copia der Eheberedung (…)

Inventaire des apports d’Anne Marie Wurtz fille de Jean Georges Wurtz et femme du cordonnier André Bierbaum, dressé dans la maison de son oncle Jean Wurtz
1798 (9 messidor 6), Strasbourg 3 (20), Not. Übersaal n° 564
Inventarium über der bürgerin Anna Maria geb. Wurtz zu dem br. Andreas Bierbaum Schuhemacher ihrem Ehemann vor unverändert in den Ehestand gebrachtes Vermögen, in ihrem den 21. Frimaire V angetrettenen Ehestand und sich vor mir unterschriebenem Notario den 7. ejusdem aufgerichteten Eheberedung, beiständlich des brs Joh: Georg Wurtz Schuhemachers ihres Vaters
in einer an der Urbans Gaß gelegen dem br. Johann Wurtz Schuhemachers der Ehefrau Oncle zuständigen behaußung N° 6
hausrath 771, worunter Ehesteur 718, baarschafft 200, summa summarum 971
Eheberedung, der bürger Andreas Bierbaum leediger Schumacher des weÿl. burgers Andreas Bierbaum gewesenen Ackersmanns zu Vendenheim mit Anna geb. Brand und Jungfrau Anna Maria Wurtz des bürgers Johann Georg Wurtz schuhmachers mit Frau Anna Maria geb. Jockers tochter, Übersaal Not. den 7. frimaire V
Enregistrement, acp 61 F° 185 du 12 mess. 6

Jean Wurtz meurt en 1810 en délaissant pour seul héritier son frère Jean Georges Wurtz qui devient propriétaire de la maison

1811 (9.2.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1230, 5711
Inventaire de la succession de Jean Wurtz ancien cordonnier décédé le 26 octobre dernier – à la requête de Jean Georges Wurtz père cordonnier en qualité de frère germain et héritier unique ab intestat
Propriété d’une maison, Sçavoir une maison avec petite cour, appartenances et dépendances situé à Strasbourg rue du Maroquin n° 6, d’un côté Jean Steinmetz cordonnier, d’autre Chrétien Westermann cordonnier, derrière une maison appartenant à la fabrique de la Cathédrale, grevée d’une rente foncière annuelle de 1,50 fr due à la fabrique de la Cathédrale et d’une rente foncière de 1,65 fr due à la famille de Landsperg, habitée par le défunt, évaluée à 150 fr de revenu, faisant en capital 3000 – propriété constatée par un conducteur passé à la Chambre des Contrats le 23 avril 1722
mobilier 145 fr, passif 1975 fr
Enregistrement, acp 116 F° 109 du 11.2.

Jean Georges Wurtz épouse en 1761 Anne Marie Jockers, native de Korck près de Kehl ; contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1761, Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1290) répert. 6 E 41, 1267-2 n° 303
Eheberedung – Georg Wurtz Schuhmachers
Maria Jockerßin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 392 n° 1453)
1761. Mittwochs den 17. Maji wurden nach ordentlicher Proclamation ehelich copulirt und eingesegnet, Johann Georg Wurtz der ledige Schuhmacher von hier, Johannes Wurtzen Burgers und Schuhmachers ehel. Sohn, und Jgfr. Anna Maria Jockersin, Philipp Jockers burg. und Ackermanns in Korck Hanau Lichtenberg. Hschafft egel. Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Wurtz Als hochzeiter, Anna Maria Jockersin als hochzeiterin (i 397)

Anne Marie Jockers meurt en 1810 en délaissant deux enfants
1810 (26.9.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1215, 5548
Inventaire de la succession d’Anne Marie Jockers, épouse de Jean Georges Wurtz cordonnier, décédée le 6 juillet du présent – à la requête 1. du veuf, 2. Anne Marie Wurtz femme d’André Bierbaum cordonnier, 3. Jean Georges Wurtz cordonnier, les deux enfants et héritiers de la défunte
dans la maison rue du maroquin n° 10 que les conjoints ont acquis durant leur mariage
Contrat de mariage devant Hess, notaire le 14 mars 1761
communauté : meubles 534 fr, outils 70 fr, total 604 fr
propres du défunt : garde robe 113 fr, bijoux 19 fr, don matutinal 100 fr, une somme de 1181 francs formant le tiers du prix pour lequel la défunte a légué au fils Jean Georges Wurtz la tiers qui lui appartient dans la maison sise en cette ville rue du maroquin n° 10 par testament reçu par le soussigné notaire le 24 mai 1807. Les deux autres tiers acquis durant le mariage de Geoffroi Werner par contrat passé à la Chambre des Contrats le 14 mai 1776 auquel elle avait été vendue par son père Jean Werner, cordonnier, à ladite Chambre le 6 juillet 1725
total de la succession 1615 fr, à déduire les legs 75 fr, reste 1540 fr
Enregistrement, acp 115 F° 129 du 27.9.

Jean Georges Wurtz meurt en 1814. Sa succession comprend deux maisons dont celle héritée de son frère qu’il lègue à sa fille Anne Marie, femme du cordonnier André Bierbaum

1814 (6.8.), Strasbourg 3 (37), Not. Übersaal n° 1342, 6664
Inventaire de la succession de Jean Georges Wurtz cordonnier décédé le 5 avril dernier – à la requête de 1. Anne Marie Wurtz épouse d’André Bierbaum cordonnier, 2. Jean Georges Wurtz cordonnier, enfants procréée avec feu Anne Marie Jockers
Propriété de deux maisons à Strasbourg. Premièrement deux tiers par indivis dans une maison avec petite cour, droits, appartenances et dépendances située en cette ville rue du Maroquin n° 10 d’un côté le citoyen Schmidt gantier, d’autre Frédéric Jünger cordonnier, derrière une maison appartenant à la Fabrique de la Cathédrale, chargée d’une rente à M de Landsperg propriétaire 67 c et demi, habitée par le défunt aujourd’hui par son fils Jean Georges Wurtz, estimée 4345, les deux tiers au défunt 2896 fr, le tiers restant appartient à Anne Marie Jockers femme de Jean Georges Wurtz 1148 fr – Titre, contrat à la Chambre des contrats le 6 juillet 1795 et 14 mai 1776
Et une maison avec petite cour, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Maroquin n° 6,d’un côté Jean Steinmetz, d’autre Chrétien Westermann cordonnier, derrière une maison appartenant à la Fabrique de la Cathédrale, grevée d’une rente foncière de 1,50 fr due à M de Lansdperg – propriété habitée par le susdit André Bierbaum, cordonnier, estimée 3000 fr. Titre, contrat à la Chambre des contrats le 23 avril 1782, le défunt a hérité cette maison de son frère Jean Wurtz cordonnier, décédé le 26 octobre 1810
meubles 290 fr, or argenterie 72 fr, ensemble 6260 fr
Enregistrement, acp 125 F° 39-v du 8.8.

Les deux enfants Bierbaum vendent la maison au marchand de cuir Judas Stieffel, de Bischheim

1834 (16.4.), Strasbourg 3 (85), M° Kratz n° 251
1. Jean André Bierbaum, candidat en théologie, 2. Anne Bierbaum, fille majeure
à Judas Stieffel, marchand de cuir à Bischheim au Saum
une maison avec petite cour, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Maroquin n° 6, d’un côté la maison Goehner tamisier, d’autre maison Holtzapfel et Diemer, derrière maison appartenant à l’Œuvre Notre Dame – dans cette vente sont compris quatre poeles en fonte et la chaudière à lessive – échue de la succession d’Anne Marie Wurtz femme d’André Bierbaum, cordonnier, leur mère. A la D° Bierbaum héritière de son père Jean Georges Wurtz, cordonnier, suivant inventaire dressé par Ubersaal, notaire, le 6 août 1814. Par testament reçu Ubersaal le 6 octobre 1812, prélegs de la maison par son père Jean Georges Wurtz, lequel est devenu propriétaire de la maison comme héritier de Jean Wurtz, cordonnier, suivant inventaire dressé pat M° Ubersaal le 9 février 1811. La propriété est constatée par un contrat d’acquisition passé à la Chambre des contrats le 23 avril 1782 – Prix, 3000 francs
Enregistrement, acp 224 F° 101-v du 16.4.

Judas Stieffel déclare le lendemain, par un acte passé chez un autre notaire qu’il a agi au nom du tamisier Jean Gœhner, propriétaire de la maison voisine (n° 5)

1834 (17.4.), Strasbourg 12 (133), M° Noetinger n° 6283
Déclaration de command – Judas Stieffel, marchand de cuir à Bischheim au Saum
à Jean Goenner, tamisier, et Madeleine Diemert
acquisition de la maison par acte dressé par M° Kratz hier, enreg. f° 101, la maison avec petite cour, droits, appartenances & dépendances rue du Maroquin n° 6 entre la maison Goehner, tamisier & maisons Holtzapfel & Diemer, derrière maison appartenant à l’Œuvre Notre Dame, acquis de Jean André Bierbaum (…) moyennant 3000 francs
Enregistrement, acp 224 f° 106 du 17.4.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.