43, rue du Faubourg de Pierre


Rue du Faubourg de Pierre n° 43 – II 109 (Blondel), N 225 puis section 72 parcelle 23/7 (cadastre)

Autre adresse, 10 rue des Cigognes
Maître d’ouvrage, Eugène Mühl, ancien notaire (1874-1875)



Bâtiment construit pour Eugène Mühl en 1874 (juillet 2014)
Porte d’entrée millésimée 1875 rue des Cigognes (mars 2015)
Balcon vers le Faubourg de Pierre (mars 2015)

La maison qui appartient en 1587 au maraîcher Jacques von Trienbach a un auvent de 20 pieds en saillie de six pieds et demi. Elle revient à son fils Jean von Trienbach puis (1675) à son petit-fils Jean David von Trienbach. Ses héritiers la vendent en 1717 au revendeur réformé Melchior Stær. Les Préposés au bâtiment autorisent la même année Melchior Stær à transformer sa porte de cave et à établir un étal sur le communal pour y vendre ses marchandises. Melchior Stær doit faire des travaux importants puisque la valeur minimale de la maison passe de 450 livres en 1715 à 900 livres en 1721. Sa veuve épouse en secondes noces l’apprêteur de tabac luthérien Jacques Hauloch qui y installe un atelier puis, redevenue veuve, fait donation de sa maison à l’huilier Jean Pfæhler contre son entretien le restant de sa vie. Devenu propriétaire en 1737, le sellier Jean Daniel Schweighæusser est autorisé la même année à réparer son auvent mais non à l’agrandir. Le loyer dû pour la porte de cave et l’étal est supprimé avec les objets imposés en 1768 alors que la maison appartient au boucher Benjamin Bœsinger. Le tonnelier Philippe Jacques Brida qui vient d’acheter la maison est autorisé en 1787 à modifier l’encadrement de sa porte de cave et les fenêtres de sa boutique. Son gendre Jean Lipp, propriétaire à partir de 1817, y établit la brasserie aux Trois cigognes, citée de 1823 jusqu’aux destructions par les bombardements de 1870.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 7 – Cour U – Plan (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois, tout comme les plans établis par les Ponts et Chaussées en 1823 et en 1851. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, le pignon sur rue se trouve à gauche du repère (g) : une fenêtre de chaque côté de la porte, deux étages à deux fenêtres, toiture à deux niveaux de lucarnes. Le bâtiment qui longe l’impasse à droite du repère (g) est suivi de deux bâtiments d’habitation puis d’une remise avant le bâtiment du milieu qui donne au fond de l’impasse (h-i) et dont l’arrière (7-8) se trouve dans la cour (U)
La maison porte d’abord le n° 29 (1784-1857) puis le n° 43. Le nouveau bâtiment porte aussi le n° 43, l’entrée des logements est au 10, rue des Cigognes.


Plans des Ponts-et-Chaussées en 1823 (ADBR, cote 2 SP 52) et en 1851 (ADBR, cote 5 K 123)

Charles Lipp cède en 1869 l’arrière de son jardin à la Compagnie des Chemins de fer de l’Est. Les bombardements détruisent entièrement la maison et le mobilier ; le gouvernement allemand attribue au propriétaire une indemnité de 41 800 francs. La Ville achète le sol de la maison, ouvre la rue des Cigognes et revend la parcelle d’angle à l’ancien notaire Eugène Mühl qui charge en 1874 l’entrepreneur Auguste Schlagdenhauffen de construire un nouveau bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie dont une aile longe la rue du Faubourg de Pierre (15,50 mètres) et l’autre la rue des Cigognes (37,40 mètres). Le baron de Puttlitz, neveu d’Eugène Mühl, charge en 1899 l’entrepreneur Emile Wieger de restituer les anciennes devantures qui existaient avant la transformation du rez-de-chaussée en logement. Il fait mettre en 1900 un balcon devant chacune des trois fenêtres à l’angle coupé et construire un pavillon de jardin.


Plan joint à la vente du jardin aux Chemins de fer (1869, vente Momy, ADBR cote 7 E 57- 15,122)
Nouvelle devanture, 1899 – Plan du magasin des frères Siquet, 1904
(dossier de la Police du Bâtiment
)

juillet 2020

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques von Trienbach, jardinier, et (1578) Odile Lorentz puis (1596) Salomé Siffert – luthériens
1620* h Jean von Trienbach, jardinier, et (1612) Marie Heus, (1615) Marguerite Ohl puis (1622) Chrétienne Huck – luthériens
1675 h Jean David von Trienbach, jardinier, et (1658) Marie Trens – luthériens
1717 v Melchior Stær, cocher puis revendeur, et (1707) Anne Lehemann – réformés
1721 h Jacques Hauloch, apprêteur de tabac, et (1691) Anne Barbe Heigelé puis (1722) Elisabeth Lehemann veuve de Melchior Stær – luthériens
1735 h Jean Pfæhler, huilier, et (1706) Anne Marguerite Schwartz – luthériens
1737 v Jean Daniel Schweighæusser, sellier, et (1734) Anne Salomé Glock – luthériens
1742 adj Benjamin Bœsinger, boucher, et (1717) Madeleine Freyss d’abord (1694) femme du boucher Jean Georges Stahl puis (1736) Anne Vix d’abord (1734) femme du jardinier Jean Jacques von Bœrsch – luthériens
1787 v Philippe Jacques Brida, tonnelier, et (1774) Chrétienne Barbe Blind – luthériens
1817 h Jean Lipp (Jean Baptiste), brasseur, et (1799) Marguerite Barbe Brida
1846 h Charles Lipp (Charles Louis), brasseur, et (1840) Sophie Vogt
1873 v Eugène (Désiré) Mühl, notaire († 1899), célibataire
(cohéritière) Marie Madeleine Louise Guillaumette Mühl et (1879) le capitaine baron Albert Othon Bernard Gans de Putlitz
1902* v Thierry Ernest Hampelé, marchand, et (1900) Mathilde Berthe Müller
1938* Adolphe Trensz et son épouse

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 450 livres en 1715, 900 livres en 1722, 600 livres en 1733, 800 livres en 1736, 600 livres en 1781

(1765, Liste Blondel) II 109, Benjamin Bösinger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bößinger, 4 toises, 4 pieds et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 225, Lipp, Jean Baptiste – maison, sol, jardin – 15,05

Locations

1740, Jean Georges Dæther, huilier
1782, Frédéric Schneegans, boucher, Jean Philippe Bischoff. aubergiste (gendres du propriétaire)
1789, Jean Frédéric Galster, cordier, et Marie Salomé Riff
1732, Jean Charles Régnard Hodel, jardinier, et Anne Marie Adélaïde Fermier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 457-v
Le maraîcher Jacques von Trienbach est propriétaire d’une maison qui a un auvent de 20 pieds de long, 6 pieds ½ de saillie, devant la porte une marche en pierre en saillie de 1 ½ pied, une porte de cave inclinée de 5 pieds ½ de large, il doit pour cette jouissance 13 sols

Wider vornen an Steinstraßen.
Jacob von Trienbach der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xx schu lang, vi+ schu herauß, Vor der Thür ein besezter Tritt iij schu lang, i+ schu herauß, Ein ligende Kellerthüer v+ schu breÿt, vj schu herauß, Bessert für d. Nüeßen xiij ß d

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 280
Le revendeur Melchior Stær doit à la Chandeleur un cens de 10 sols, à verser la première fois en 1713, pour un étal destiné à vendre ses marchandises et une grille sous l’avent de Salomé Holwein.
Il doit à partir de 1717 dix sols pour son étal de 5 pieds de long en saillie de 7 pieds ½ et pour transformer une porte de cave inclinée en porte horizontale devant sa maison au faubourg de Pierre. Les contribuables suivants sont Jean Pfæhler puis Daniel Schweickheusser

Melchior Stär der Kremp, soll von einem Langen banckh und rechen unter Salome Hohlweinin, wetterdach, welches Sie, wie hernach fol: 462.b zu sehen, Mit 1. lb 5 ß d verzinßet, Seine Klempen wahren darauf feÿl zuhaben, jahrs auf Liechtmeß und A° 1713. i.mo 10 ß
H. Johann Pfähler
Joh: Daniel Schweickheußer

(Quittungen 1713-1718)
P. N. Zinßt anietzo Von seinem 5. schuh lang und 7 ½ schuh Vom Hauß herauß breiter Krempenstand sampt der erlaubnus Seine lehnende Kellerthür Vor dieser Seiner behaußung in Steinstraßen liegend machen Zulaßen inhalt Prot: de 1717. folio 234. A° 1718 I.mo Martini, 10 ß
(Quittungen 1719-1741)
Neuzb fol 79

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 79
Report du cens précédent dans le nouveau registre. La rente disparaît en juin 1768 avec l’objet imposé.

alzb. 280
Johann Daniel Schweighäuser Zinßt von einem 5. schuh Langen und 7 ½ schuh vom Haiß Herauß breiten Krempenstand, sampt der erlaubnuß seine Lehnende Kellerthür vor dießer seiner in der Steinstraßen Liegenden Behaußung machen zu laßen auff Martini 10 ß
(Quittungen 1741-1768)
Ist im mense Junio 1768 hinweggemacht

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1717, Préposés au bâtiment (VII 1387)
Les Préposés au bâtiment autorisent Melchior Stähr à avoir un étal et à transformer sa porte de cave, voir plus haut le Livre des loyers communaux

(f° 227-v) Dienstag den 14. 7.bris 1717 – Melchior Stöhr pt° Krempenbancks
Augenschein eingenommen an Melchior Stöhren des Krempen behausung in der Steinstraß Von welcher Er einen 5. schuh langen und 7 ½ schuh Von Hauß heraus breiten Krempenbanch und die alda befindliche lehnende Kellerthür ligend machen Zu laßen willens ist, und umb deßen permission angesucht hatt. Erk. Bedacht.

(f° 234) Montag den 27. 7.bris 1717 – Melchior Stöhr pt° Krempenbancks und Kellerthür
Melchior Stöhren dem Krempen, ist angezeigt worden, daß MGHh erlaubt haben, daß Er einen Krempen standt Vor seine in der Steinstraßen gelegener behausung 5. schuhe lang, und 7 ½ schuhe Von Hauß heraus breit, auch die lehnende Kellerthür ligend machen laßen, darff gegen erlag jährlicher 10. ß d allmendt Zinnses

1737, Préposés au bâtiment (VII 1397)
Le sellier Jean Daniel Schweighæusser demande l’autorisation de réparer son auvent et la suppression des 10 sols dus pour un étal qu’il veut supprimer. Les préposés constatent que le cens n’est pas seulement dû pour l’étal mais aussi pour une porte de cave. Les préposés maintiennent le cens en arguant que le terrain communal sert au pétitionnaire à exercer son métier. Ils refusent en octobre 1741 que Jean Daniel Schweighæusser agrandisse son auvent déjà très important.

(f° 126) Dienstags den 30. Ejusdem [Aprilis] – Johann Daniel Schweighäußer
Johann Daniel Schweighäußer der Sattler bittet umb erlaubnus das Wetterdach Vor seinem Hauß in der Steinstraß repariren Zulaßen, und durchstreichung der 10. ß Zinß, welche von den Vorbäncken darunter bißher bezahlt worden, maßen er solche nicht mehr nöthig hat, sondern hinweg Zuthun willens ist. es befindet sich aber auß dem Statt Zinßbuch fol: 280. daß dieser Zinß nicht Von den Vorbäncken oder Grempenstandt allein sondern auch Zugleich Von der erlaubnus eine Lehnende Keller thür Liegend machen Zulaßen gegen worden.
Erkand sollen die Werckmeister das Wetterdach besichtigen und referiren, als dann bescheid erfolgen.

(f° 137) Dienstags den 18. Ejusdem [Junÿ] – Johann Daniel Schweighäußer
Johann Daniel Schweighäußer der Sattler wiederhohlt sein am 30. Aprilis Letzthin gethanes begehren pto moderirung des Zinßes oder durchstreichung deßelben, weilen er die Vorbänck Hinweggethan. Erkant, weilen Implorant den Platz jederzeit Zu seinem Handwerck nutzen wird, als solle d. Zinß Continuirt werden.

1741, Préposés au bâtiment (VII 1399)

(f° 153-v) Montags den 16. Octobris 1741. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Daniel Schweighäußer
An Daniel Schweighäußers des sattlers hauß in der Steinstraß, welcher umb erlaubnus gebetten sein Wetterdach Vom Hauß Herauß etwas breiter Zumachen weilen aber solches Ohne dem schon sehr breit, als ist das Begehren abgelaint.

1787, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Les préposés autorisent le tonnelier Philippe Jacques Brida à modifier l’encadrement de sa porte de cave et les fenêtres de sa boutique.

(f° 290) Dienstags den 5. Junii 1787. – Philipp Jacob Brida
Idem [Mr Vogt der Zimmermann] nôe Mr Philipp Jacob Brida, des Kiefers bittet zu erlauben an deßen Behausung in der Steinstraß gelegen, das Kellerthüren Gestell und das Laden Fenster verändern Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1715 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une cave sous solives, une grange, une écurie, une remise, un puits, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, salle à tabac, chambre à soldats, cuisine, vestibule, une cave sous solives, écurie, remise, grange, puits aux parois enduites d’argile, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 1200 florins
  • 1736 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, cuisine et vestibule, à l’étage quatre chambres dont celle à soldats, dans la cour une vieille remise comprenant une écurie, une cave sous solive, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1600 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Faubourg de Pierres

nouveau N° / ancien N° : 57 / 29
veuve Brida
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois médiocre état
(Légende)

Ponts et Chaussées

2 SP 52 (Ponts et Chaussées, 1823) N° 29 Brasserie aux 3. Cigognes.
Rez de chaussée en pierres très médiocre. 2. Etages en bois. Mauvaise
5 K 123 (Ponts et Chaussées, 1851) N° 29. Lipp Ch. Louis
2 E. B. M. (2 étages, construction en bois, médiocre)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 67 case 2

Lipp Jean Baptiste à Strasbourg, faubourg de pierre 29
Lipp Charles Louis brasseur

N 225, maison, sol et jardin, faubourg de pierre N° 29
Contenance : 15,05
Revenu total : 349,82 (342 et 7,82)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 28 / 22, jardin 10 / 8
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 285 case 1

Lipp Charles Louis
1875 Mühl Eugen Desire, Zu Straßburg

N 225, maison, sol et jardin, Faubourg de pierre N° 43
Contenance : 15,05
Revenu total : 349,82 (342 et 7,82)
Folio de provenance :
Folio de destination : zerstört (sol 241 [Société de l’Union des gaz], 285)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871 (sol 1870)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 28, jardin 10
fenêtres du 3° et au-dessus :
Diminutions 1870, Maisons détruites pendant le blocus – Lipp Charles f° 285, N 225, revenu 342

N 225.p, sol et jardin
Contenance : 13,31
Revenu total : 6,06
Folio de provenance : 285
Folio de destination : 1045-I [von Wangen Emil, 1045-II [Rosse Joseph Wittwe], 285-I, 1046-I [Eugen Pfeiffer & von Wangen Emil], 1046-II [Eugen Pfeiffer], Rest zum Weg
Année d’entrée :1870
Année de sortie : 1875

N 225.p, sol, Steinstrasse 43
Contenance : 3,67
Revenu total : 1,91
Folio de provenance : Rest
Folio de destination :
Année d’entrée :1875
Année de sortie :

N 226.p, sol, Steinstrasse 43
Contenance : 2,39
Revenu total : 1,24
Folio de provenance : 285-II
Folio de destination :
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 339 case 2

Mühl Eugen Desire

N 104, Hofraum, Haus, Steinstrasse 43
Contenance : 3,12
Revenu total : 642,62 (641 et 1,62)
Folio de provenance :
Folio de destination : Neubau
Année d’entrée :
Année de sortie : 1878 (GB 1902, 307)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 46 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 24 / 19
Zugang 1878 – Mühl Eugen Desire f° 339-II, N 104, Haus, Reinertrag 641, Neubau, vollendet 1875, steuerbar 1878, besteuert 1878

Cadastre allemand, registre 32 p. 624 case 3

Parcelle, section 72, n° 23/7 – autrefois N 104 / 105.p, 2322
Canton : Storchengasse Hs. N° 10 u. Steinstraße N° 43 / Rue du Faubourg de Pierre N° 43 et Rue des Cigognes N° 10
Désignation : Hf, Whs, NG
Contenance : 3,45
Revenu : 4300 – 4660 – 6500
Remarques : 1943 Nb

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1910), compte 2358
Hampele Ernst Thierrÿ
1931 Landshut Samuel, architecte, veuve Suzette née Cahn
1953 Kaufmann Paul, ingénieur, son épouse née Landshut à Paris et copr.
(2266)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1910), compte 2359
Hampele Ernst Thierrÿ , sa veuve
(1806)

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1926), compte 4998
Müller Mathilde Berthe veuve de Thierry Ernest Hampelé négociant et descendants

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1931), compte 2359
Hampele Ernst Thierrÿ , sa veuve
(1806)

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1938), compte 5894
Trensz Adolphe et son épouse et copropriétaires
1950 Trensz Frédéric Adolphe l’héritiere et sa veuve et copropriétaires
(4067)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 44 Fauxbourg de Pierre p. 52

Pr. – Brida, Phil. Jacq., tonnelier – Tonneliers
lo. – Fritsch, Jean, Metayer – Jardiniers
lo. – Gebaur, Mathias, Chanvrier – Manant
lo. – Meyer, André, Journalier – Manant
lo. – Rauscher, Bastien – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Steinstrasse (Seite 174)

(Haus Nr.) 43
Siquet Geschw. Manufakturwarengeschäft

Storchengasse (Seite 176)

(Haus Nr.) 10
Schneider, Pförtner. 0
Siquet, Fr., Rechn.-Rat. 1
Frhr. Gans Edler Herr zu Putliz, Oberstleut. a. D. E 2
Löscher, Pfarrer. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 789 W 185)

Rue du Faubourg de Pierre n° 43 – Rue des Cigognes n° 10 (1869-1995)

Ch. Lipp est autorisé en 1863 à conserver une lanterne devant sa brasserie aux Trois Cigognes. Le propriétaire Mühl charge en 1874 l’entrepreneur Schlagdenhauffen de construire un nouveau bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie dont une aile longe la rue des Cigognes (37,40 mètres) et l’autre la rue du Faubourg de Pierre (15,50 mètres). Il est autorisé en 1876 à faire s’écouler l’eau de sa buanderie dans la rigole au milieu de la rue des Cigognes.
Le baron de Puttlitz charge en 1899 l’entrepreneur E. Wieger de restituer les anciennes devantures qui existaient avant la transformation du rez-de-chaussée en logement. Il fait mettre en 1900 un balcon devant chacune des trois fenêtres à l’angle coupé et construire un pavillon de jardin. Le propriétaire fait aménager en 1909 deux pièces au quatrième étage mansardé. L’entrepreneur Ernest Diebold construit en 1926 une remise dans la cour.
Local commercial – Müller (outillage de Mulhouse, 1885), frères Siquet (1900, 1904) Mathieu Dreyfus (1922), Charles Kling et Compagnie (ficelles en chanvre, jute et sisal, 1930), remplacé de 1942 à 1945 par le cordier Bresch, Meubles Globe (1961-1971), Badina (revêtements de sol, 1972), reprographie et informatique OBBO (1977)

Sommaire
  • 1863 – Ch. Lipp demande l’autorisation de continuer à mettre une lanterne devant sa brasserie aux Trois Cigognes
  • 1872 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Bedicam soit autorisé à faire pour le compte du locataire Fix une prise pour environ deux becs au 43, faubourg de Pierre
  • 1874 – L’entrepreneur Schlagdenhauffen demande au nom du propriétaire Mühl l’autorisation de construire un nouveau bâtiment dont une aile longe la rue des Cigognes (37,40 mètres rue des Cigognes et 15,50 mètres rue du Faubourg de Pierre), coupe au dos – L’agent voyer fait son rapport. Le nouveau bâtiment comprend un rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie
  • 1876 – Le sieur Léonard demande au nom du propriétaire Mühl l’autorisation de poser une clôture devant le 8, rue des Cigognes et de faire s’écouler l’eau de sa buanderie dans la rigole au milieu de la même rue en retirant une partie du pavage. – L’agent voyer fait son rapport.
  • 1885 – L’agent constate que le sieur Müller (outillage de Mulhouse) a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. Comme il s’agit d’une route nationale, l’affaire est renvoyée au commissaire de police qui autorise de poser une enseigne en tôle (février 1886).
  • 1890 – Le maire notifie Eugène Mühl de faire ravaler la façade. Travaux terminés en octobre
  • 1899 – L’entrepreneur E. Wieger (30, Faubourg de Pierre) demande l’autorisation de refaire les devantures dans la maison qui appartient au baron de Puttlitz. Les anciens piliers intégrés dans le mur lors de la transformation du rez-de-chaussée en logement seront à nouveau dégagés – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1899 – Dessin en double exemplaire
  • 1900 – Les frères Siquet informent qu’ils ont retiré leur enseigne. La Police du Bâtiment constate que l’enseigne qui fait une saillie de 25 centimètres sera posée contre le mur sans saillie
  • 1900 – Le baron de Putlitz demande l’autorisation de construire trois balcons à sa maison sise 43, Faubourg de Pierre et 10, rue des Cigognes – Autorisation – Travaux terminés, mai 1900 – Dessin (les balcons sont devant les fenêtres à l’angle coupé)
  • 1900 – Les entrepreneurs L. Greiner et F. Peter demandent au nom du baron de Putlitz l’autorisation de construire un pavillon de jardin – Travaux terminés, juillet 1900 – Dessin de l’ancien pavillon et du nouveau où se trouve une buanderie
  • 1904 – Les frères Siquet demandent l’autorisation d’ouvrir des portes (b-c, d-e, f-g sur le dessin) entre leur local commercial et le vestibule sans toucher aux murs porteurs. – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1904
  • 1904 – Le dentiste A. Krug demande l’autorisation de transférer deux enseignes sur balcon du 1, quai Finkmatt au premier étage du 43, Faubourg de Pierre – Autorisation
  • 1906 – Rapport d’incendie qui s’est déclaré dans une chambre
  • 1909 — La Police du Bâtiment constate que Hempele (demeurant 1, quai Kellermann), propriétaire du 10, rue des Cigognes fait aménager les mansardes sans autorisation – Demande d’aménager 2 nouvelles pièces au quatrième étage mansardé. – Autorisation. Les pièces servent d’entrepôt.
  • 1922 – Le commerçant Mathieu Dreyfus demande l’autorisation de poser un store (3,40 mètres de haut, 13 mètres de long) – Autorisation – Le store est posé
  • 1923 – J. Samuel (Comptoir général d’assurances J. Samuel et Frère) demande l’autorisation de poser une enseigne sur le balcon au troisième étage – Autorisation – Maquette (Assurances J. Samuel & Frère)
  • 1924 – L’Annonce & l’affiche françaises (38, rue du Louvre à Paris) demande l’autorisation de peindre une publicité pour la marque le Ripolin sur le pignon
    Dossier de la préfecture qui sollicite l’avis du maire – Le dossier est classé sans que la publicité ait été peinte
  • 1909 – Le maire demande au propriétaire (Marie Mühl née Candidus demeurant 9, quai des Bateliers) de faire ravaler la façade du 10, rue des Cigognes – Nouveau destinataire, Barbe Hempelé (22, rue des Juifs) – Le maire accorde un an de délai – Le propriétaire qui vient de faire réparer le 13, rue de la Croix demande un nouveau délai.
    1911 – Les peintres Levy frères demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1911
  • Commission contre les logements insalubres. 1905 (propriétaire, veuve Mühl, 8, quai des Bateliers). Le propriétaire doit rénover la loge du concierge
    Commission des logements militaires, 1917 (propriétaire Ernest Hampelé, 6-a quai Kellermann). Rien à signaler
  • 1926 – L’entrepreneur Ernest Diebold (5, rue des Mineurs) demande l’autorisation de construire une remise dans la cour au 10, rue des Cigognes. La Police du Bâtiment objecte que la cour n’aura plus la surface réglementaire – L’entrepreneur modifie son projet – Autorisation de construire un garage au fond de la cour – Dessin – L’entrepreneur fait observer qu’il ne s’agit pas d’un garage mais d’une remise – La réception finale a lieu en juillet 1926.
  • 1933 – Le locataire du deuxième étage qui vient de faire installer dans son logement un chauffage centralisé craint que la cheminée ne soit pas assez grande pour pouvoir servir aussi au chauffage centralisé du logement au premier étage. – La Police du Bâtiment fait en note des remarques générales sur cette situation qui se répand
  • 1930 – Les entrepreneurs Kaufmann et Levy (14, rue des Poules) demandent au nom de Charles Kling l’autorisation de poser deux enseignes en fer blanc – Autorisation de poser deux enseignes perpendiculaires
    1938 – Charles Kling et Compagnie (ficelles en chanvre, jute et sisal) s’étonne que la redevance soit passée de 55 à 215 francs. La Police du Bâtiment répond qu’elle applique le nouveau tarif – Charles Kling fait remarquer qu’il n’a qu’une seule enseigne
  • 1941 – Charles Kling dénonce son enseigne
    1942 – Le nouveau titulaire de l’enseigne est la société Bresch (corderie)
    1943 – La corderie L. Bresch est autorisée à poser une enseigne lumineuse
    C. Kuhn (rue Oberlin à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser l’enseigne. L’enseigne devra se trouver sur la droite ou sur la gauche et non au-dessus du magasin
    1946 – Le cordier Bresch renvoie l’avis de paiement que la Ville devra libeller au nom de la société Charles Kling et Compagnie qui a repris possession de son établissement depuis le premier janvier 1945
  • 1958 – Le locataire Jakubovic se plaint que la pluie pénètre dans son logement (propriétaires, Meylænder-Treusch, rue de la Canardière à la Meinau)
    Le Syndicat des locataires fait la même réclamation au nom d’Alice Gross
    La Police du Bâtiment constate que la grêle a endommagé les ardoises. Le maire demande à l’ingénieur Arthur Maylænder, directeur des Forges de Strasbourg, de faire les travaux nécessaires sous quinzaine. L’entreprise Vonthron répare la toiture en novembre 1958.
  • 1960 – Le propriétaire Matter autorise l’entrepreneur Kayser à consulter les plans
  • 1961 – L’entreprise de construction E. Meyer (route des Romains à Kœnigshoffen) est autorisée à occuper la voie publique pour repeindre la façade, à double tarif pour n’avoir pas déposé de demande préalable
  • 1961 – W. End, propriétaire des Meubles Globe, demande l’autorisation de transformer le local commercial (section 4, parcelle 23/7). Plan de situation – Le conseiller technique décrit les travaux. L’entrée sera déplacée à l’angle des rues. Une des fenêtres rue des Cigognes sera agrandie pour avoir les mêmes dimensions que l’autre. Certaines cloisons et une partie du mur de refend seront supprimées.
    L’ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées donne son accord – Autorisation
    La devanture est posée, les finitions (peinture) sont en cours
    1961 (avril) – Les Meubles Globe demandent l’autorisation d’entourer d’une flèche au néon l’enseigne en place – Maquette – Autorisation de poser une enseignee en lettres détachées et une flèche lumineuse
    1963 – Les Meubles Globe demandent l’autorisation de poser une enseigne provisoire pendant un mois – Autorisation
  • 1964 – Le propriétaire Matter (demeurant 9, Faubourg de Pierre) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pendant le ravalement.
  • 1972 – La société Badina (revêtements de sol, à Haguenau) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face – Maquette (Badina, Moquettes, Tapis). Les enseignes, transférées du 36, Faubourg de Saverne, prennent la place de celles des Meubles Globe – Arrêté portant permis de poser des enseignes
    1973 – Avenant à l’autorisation. Photographie
  • 1977 – La société Publi-Est (à Bischwiller) demande au nom de la société OBBO l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face (libellé, Centre de reprographie et informatique) – Photographie – Arrêté portant permis de poser des enseignes – L’enseigne est posée
  • 1977 – Le maire notifie René Matter, conseiller municipal, de faire ravaler les façades
    1978 – L’entreprise Gilbert Reinbold (rue des Marguerites à Lingolsheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler les façades – Travaux terminés, décembre 1978
    (fin non relevée)

Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom de Jacques von Trienbach. Le jardinier Jacques von Trienbach épouse en 1578 Odile Lorentz puis en 1596 Salomé Siffert, fille du jardinier Sébastien Siffert

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 246, n° 1)
1578. Dominica Invocavit. Jacob Drienbach der garttner vnnd Vtilia Lorentz Schellen des alten Rattherren tochter. Eingesegnet am Zinstag den 25. Februarÿ (i 129)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 92 n° 20)
1596. Cantate. Jacob von Trinbach der garttner vnd Salome Bastian Seifferts des garttners hinderlaßene tochter. Eingesegnet Zinstag nach Exaudi den 25. Maÿ (i 50)
(enfants de a) 1579 à 1594 de b) 1597, 1599, 1610)

La maison revient ensuite à Jean von Trienbach comme en témoignent les tenants et aboutissants des maisons voisines. Fils de Jacques von Trienbach, Jean von Trienbach épouse en 1612 Marie Heus, fille du jardinier Blaise Heus. Il se remarie en 1615 avec Marguerite Ohl, fille du jardinier Michel Ohl : contrat de mariage, célébration. Il épouse en troisièmes noces en 1622 Chrétienne Huck, fille du jardinier André Huck.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 247)
1612. Do. 3. Trinit. 28. Junÿ. Hans von Trienbach d. garttner, h. Jacob von Trienbach des raths hinderl. Sohn, Maria, Blasi Heusen des gartners hinderlassene Tochter, eingesegnet den 30. Junÿ (i 128)

1615 (28. Martÿ), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) Scheda ad fol: 166
(P. fol. 128. [Eheberedung]) Erschienen Hannß von Triembach der gartner Ane Steinstraß ane eim
So dan Margredt des Ersammen Ohl Michells gartners daselbst eheliche dochter mit beÿstand & Jetzgemeldts Ihres vatters Am And. theil

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 166 n° 16)
1615. Dominica Paschalis 9. April. Hans von Trienbach ein gartner, Margareta Ohl Michel des gartners tochter. Eingesegnet Zinst. den 18. Aprilis (i 138)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 256)
1622. Dom: 20. Trinit. 3. 9.br. Hanß Drienbach der Gartner J: Christina Andres Huckhen des Garttners tochter. Engesegnet Zinstag 12. 9.br (i 183)
(enfants de b) 1616-1622, de c) 1623-1638)

Le consul régent fait grief à Jean von Trienbach de son commentaire après une décision concernant l’entretien des soldats. Jean von Trienbach déclare que ses propos ont été mal interprétés. Les Quinze estiment qu’il s’agit d’une mauvaise justification et revoient l’affaire aux échevins des Jardiniers
1639, Protocole des Quinze (2 R 63)
Soldaten Underhaltungs Bedacht – H. Hanß von Trienbach. 134. 139.
(f° 134-v) Sambst. den 27. Aprilis – Soldaten Underhaltungs Bedacht – H. Hanß von Trienbach
H. Frantz, Regirend. H. Stätt v. Ammeister, hetten heüt beÿ H. Rattschreibern errinnert, Wie heut als der Soldaten Underhaltungs bedacht referirt geweßen H. Hanß von Trienbach Zimblich hart in seinem voto gangen, vndt hinder anderen
die formalia gebraucht, Wann Einer ein guth roß habe, vnnd Lehne, es einem andern so werde es Ihme bald zu scheittern geritten
v. v.meinten Sie Mh. solte Ihne herren Trienbach beschicken vnd vonn Ihme wie Er dieße Wortt v.stehe v.nehmen, Ihme dabeÿ Eine remonstration thun mit vermahnen daß Er Ja wann biß nechst Künfftigen montag die Herren Schöffen obermelten bedachts wegen zusammen Kommen, die Sach nit Schwer machen wolte & Erkandt soll H. Trienbach also balden beschickt v. Ihme obiges per Jr Röderern, H. Stören, H. Zetznern v. H. XV. Mr vorgehalten w.den.

(f° 139-v) Mont. den 29.ten Aprilis – H. Hanß von Trienbachs Entschuldigung
Jr Röderer, H. Stör, H. XV. Mr vnndt H. Zetzner referiren per H. Frantzen, hetten Crafft Erkandnus hieoben fol. 134. H. Trienbach vorgehabt, d. habe sich gar demütig gestelt, gesagt Er hett nie Im Sinn gehabt die Sach Schwer Zu mach. habe nie nichts schwer gemacht, wolle es auch beÿ dieser occasion nit thun, v.meine er hette Viel mehr für als Wid. den bedacht gered, v. Weilen sich etliche herren Vor ihme deß heüßergelts wegen beschwerdt, habe Er darfür gehalten daß es gegen dem Ackergelt nichts seÿe dann wann Eines gegen dem andern gesetzt würd, w* sich find. daß 50 Acker vf 20.000 fl. Kommen & habe Im übrigen gesagt
wann Einer Ein willig od. guth Pferd habe, v. es Immer reiten wolle, reitte Er es, bald Zu bod.
v.stehe dar durch daß die immer continuirende boße Zeiten einen endlich ruiniren In sa. Er H. Trienbach hette die Sach so gleimpff als Er immer gekandt entschuldiget, h. gar gute wortt geben, v. bestendig darauf geblieben, daß Er Ja nichts schwer mach. wolte. Erkandt, ob Zuvor diese Entschuldigung gar schlecht, soll doch erwartt. wd. Was sich der Garttner zunfft H Schöffen biß künfftigen mit erklären, Kann H. Trienbachen noch Ein mahl Zugesproch. v. daß Er künfftig etwaß leiden gehen mögen, v.mahnt wd.

Nomination de Jean von Trienbach à différentes fonctions : préposé à la fermeture des portes à la tribu des Jardiniers (1644), assesseur des Quinze, préposé aux communaux, légat à la Robertsau, administrateur de l’hôpital (1651), préposé aux grains (1656)
1644 Conseillers et XXI (1 R 127) Hanß von Triembach, Thorschließer Beÿ E E Zunfft der Gartner ahne des steinstraß (216)
1651 Conseillers et XXI (1 R 134) H Hanß von Trienbach Würdt XV.er. 5. Allmend herr. 21. Landt pfleger In d. Ruprechtßauw. 30. Würdt Grubherr. 35. H. XV.er Trienbach Würdt Zu Einem Pfleger In dem Spitahl erwöhlt. 15.
1656 XV (2 R 74) H. Hanß von Trienbach würdt Kornherr. 126.

Le jardinier Jean David von Trienbach recueille la maison dans la succession de son père et l’hypothèque au profit du receveur du béguinage de la Troisième règle pour défrayer son frère Thiébaut von Trienbach et sa sœur Anne von Trienbach femme d’André Hoh.

1675 (8. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 260
Hannß Davidt Von Trienbach Gartner ahne Steinstraß
in gegensein Herrn Johann Schmidts alß Schaffners der Samblung Zur dritten Regul – schuldig seÿe 200. lb Ihme Zu dem Ende bahr gelühenen Gelts daß Er damit Dieboldt Von Trienbach und Annam Von Drienbach Andreß Hohen Eheweib seine beÿde Geschwisterdt umb dero nachbeschriebene behaußung /:welche Er Hannß Davidt beÿ nechst Vorgewiesener abtheilung angenohmen habe:/ gehabte Erbs Portiones außweißen können
unterpfand, Hauß, Hoff, Hoffstatt, Scheur, Ställ und garten mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt steinstras, einseit neben H. David Hohen dem Jüngern gartnern anderseit neben Dietrich Hohlwein dem Saÿler, hinden uff den Preßlerischen Garten stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 100 lb Emanuel Brantzen dem Barbierer Verhafftet seÿe, und habe auch Herr hannß Jacob Knoderer E.E. Großen Rhats alter beÿsitzer ahne berührte behausung 200. lb und Hannß Von Trienbach seel. Kinder 100. fl. weg. ihrer Antheiler Zu fordern

Fils de Jean von Trienbach, Jean David von Trienbach épouse en 1658 Marie Trens, fille du jardinier Augustin Trens
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 92-v) n° 12)
1658. Eâdem dominicâ [Dominicâ Jubilate] Hannß David von Trienbach der Gartner, des Ehrenvesten from, fürsichtig und Weisen Herrn Johann von Trienbach, des beständigen Regiments der Herren Fünff Zehen Wohlverordneten beÿsitzers ehelich. Sohn, undt Jungfr. Maria H. Augustin Trensen, burgers und Gartners alhie eheliche Tochter. copulabantur Zinst. d. 11. Maÿ Zum JSPeter (i 104)

Jean David von Trienbach règle à Marie Madeleine Brantz un capital garanti sur sa maison d’après deux titres de 1554

1676 (18. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 863
Daniel Braun der handelßmann alß Curator Mariæ Magdalenæ Branziusin, mit beÿstand herren Emanuel Brantzen deß Barbierers ihres Eheleiblichen Vatters
in gegensein hannß Davidt Von Trienbach Gartners ahne Steinstras mit beÿstand David Raspen deß wagners seines Schwagers
bekannt, daß derselbe die Jenige iährlichen term. Galli Zu zinß Verfallene 4. fl. straßb. wehrung /:dann die übrige 4 fl. längst abgelöst worden:/ so Er Trienbach Von seiner alhier in der vorstatt Steinstraß neben diebold Hohe Gartnern alda gelegener behaußung, Vermög eines pergamentinen sub dato 21. Feb: und 18. April a° 1554. mit deß bischofflich. hoffs anhangenden Insigel durch weÿl. herrn Wolffgang Ruchen alß gedachten hoffs damahls geweßenen contractuum Not. uff gerichteten zinnß brieffs zu raichen schuldig geweßen abgelöst, widergekaufft und dadurch seine behaußung dießer beschwärt allerdingß liberirt habe

Jean David von Trienbach est élu échevin à la tribu des Jardiniers à la place de Thiébaut Hoh
1684 Conseillers et XXI (1 R 167) Hannß David von Trimbach wird Schöff E.E. Zunfft der Gartner Ane Statt Thieboldt Hoh. 207.

Marie Madeleine Trens veuve de Jean David von Trienbach meurt sans enfant en décembre 1715. Ses héritiers sont les enfants de son frère. Les héritiers de Jean David von Trienbach sont énumérés au chapitre des biens dont la défunte avait la jouissance viagère. Les experts estiment la maison 450 livres. Le titre d’achat remonte à 1506, une sentence des maçons et une sentence du Petit Sénat toutes deux à 1587. L’actif de la succession s’élève à 809 livres, le passif à 11 livres.

1715 (23. Xbr), Not. Lang (Jean Henri, 28 Not 4) n° 122
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Maria Von Triembach gebohrner Drennßin, auch Weÿl. Herrn Hannß David Von Triembach geweßenen Garttners ane Steinstraß Undt E.E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehelicher haußfrau nunmehr beeder seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1715. – nach Ihrem den 9. Decembris dieses Zuend lauffenden 1715. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg den 23. Decembris Anno 1715.
Die abgeleibte Fraw seelig Hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie Volgt, 1. Jfr. Margaretham gebohrne Drennßin, Weÿland Hannß Drennßen gewes. G. ane Steinstraß nachgelaßene dochter, beÿständlich Lorentz Hohen Garttners ane Steinstraß vnd burgers allhier, Ihres geschwornen Vogts, welche dem geschäfft in Person beÿgewohnt. 2. Hannß Drennßen Garttnern ane Steinstraß, so dem geschäfft ebenmäßig in person abgewart, 3. Claus Drennßen auch Gartner ane Steinstraß welcher gleichergestalt anweßendt. 4. Fr. Annam Ursulam Sÿfridin gebohrne Drennßen, Michel Sÿfrid David Sohn, Garttners ane Steinstraß vnd burgers alhier Eheliche haußfrau beÿständlich erstgedachts Ihres haußwürths Alß alle Vier der Verstorbenen seeligen Bruders Kinder, Jedes Vor einen Vierten theil berührendt.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegener vnd in fine beschriebenen Wÿdumb gehörige behaußung, befunden worden wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerckh, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstuben, In der Kuchen, Im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung und Gartten. (Wÿdumb) Item hauß, hoff, hoffstatt Scheür vnd Ställ, sampt dero recht vnd gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß ohnweit der Gartner Zunfftstub, einseit Zum theil neben einem nicht durch Gehenden Gäßlein, Und Zum theil Friderich Verÿ deß ferbers Wittib, 2.s Salome hohlweinin, hinden auff hernach beschriebenen Gartten stoßend, so allerdings Ledig eigen Und durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeisteren Vermög einer apud Conceptum befindlicher Abschatzung vom 19. hujus hiehero æstimirt pro 450. lb
Item Ein Gartten hinden daran gelegen, einseit neben Vorgemelter Veriusischen Wittib, 2.s. neben Hannß Marlers Wittib und Erben, Vornen auff vorbeschriebene behaußung Vnd hinden auff S.T. H. Andream Lemppen Fünffzehners gartten stoßend, Vnd ist dießer Gartten durch H. Hannß hohen am Schätzern ane Steinstraß hiehero æstimirt worden pro 100 lb.
Über Vorstehende behaußung Vnd garten sagt ein perg. Kbr. mit deß bischofflichen hoffs anhang. Ins. Verw. deßen datum 2.do Idus Junÿ 1506. mit altem N° 15 notirt. Item ein abgelößter teutscher perg. Zinnßbrieff, mit gedachts hoff angehencktem geweßenen aber abgeschnittenem Ins. datirt den 18. Aprilis 1554. Under alten Nis 4. 5. 31. et 44. Weiter i. perg. hüttenbrieff mit der Statt Straßb. geschwornen Werckleüth anh. Insigeln deßen datum den 31. Junÿ 1587.. So dann i. perg. Spruchbrieff mit deß Kleinen Raths anh. Insiegel Verwahrt, datirt den 31. Augusti A° 1587. dieße beede Letztere auch mit altem N° 15. notirt Vnd nach beschehener besichtigung für dießes mahl wider dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 67, Sa. Schiff und geschirrs 15 ß, Sa. Vieh 2, Sa. Stroh 2, Sa. Blumen auf dem feld 3, Sa. Hanffs 1, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Baarschafft 80, Sa. Eigenthums ane Ligenden Güttern 204, Sa. beßerung ane lehengüthern 18, Sa. Schulden 423, Summa summarum 809 lb – Schulden 11 lb Nach deren Abzug 798 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 980 lb
Wÿdumb Welchen die verstorbene Fraw seelig von Weÿl. H. Hannß David von Triembach geweßenen Garttner ane Steinstraß Vnd E. E. Kleinen Raths altem beÿsitzer Ihrem Haußwürth ad dies vitæ genoßen, Innhalt auffgerichteten Inventarÿ de anno 1700 (…) Compensando Verbleibt noch under die samptliche Wÿdembs Erben zu Vertheilen im rest 182. lb, Seind Sechs Stämm macht also 1/6. teil Insonderheit 30. lb
Und participiren an den Ersten Stammen dreÿ 1. Andres von Triembach der ältere Garttner ane Steinstraß, 2. Maria gebohrne von Triembach Weÿl. Michel Huebers geweßenen Garttners ane Steinstraß, 3. Anna gebohrne von Triembach, weÿl. Mr Bartholomæi Schmidts deß geweßenen schneiders Vndt burgers allhie nachgelaßene Wittib
Ane dem Andern Stammtheil participiren 1. Fr. Dorothea gebohrne Kreüchelin, H. Daniel Fidels des Jüngern Metzgers und Burgers alhier Eheliche Haußfrau, 2. Fr. Catharina gebohrne Kreüchelin, H. Johann Michael Demuths deß Kieffers und burgers alhier Eheliche haußfr.
Ane dem dritten Stammen 1. Fr. Christina gebohrne Raspin Mr Hannß Caspar Otterbeins deß Schneiders und burgers allhier haußfr. 2. Meister Hannß David Rasp Wagner und burger alhier, 3. Fr. Mariam gebohrne Raspin Mr Hannß Georg Baders Weißbecken und burgers alhier Ehewürthin, 4. Fr. Ursulam Raspin Weÿl. Mr Sebastian Wunderle des geweßenen Wagners vnd burgers alhier Wittib, 5. Fr. Margaretham gebohrne Raspin Mr Niclaus Meÿers Schuhmachers vnd burgers alhier Eheliche haußfr. 3. Weÿl. Fr. Annæ gebohrner Raspin Andres Matthæi des tabackbereiters vnd burgers alhie Verl. frawen hinderlaßenes Kind, so sich in dem Weÿsenhauß befindet, 7. Fr. Salome gebohrne Raspin Mr Matthiß Jüngen deß haußfeÿrers vnd burgers alhie Ehefr.
An dem Vierten Stammen, 1. Hannß von Triembach, G: U: W: vnd burgers alhier, 2. Margaretham gebohrne von Triembach Hannß Nortzen Jun. Gartt: ane Steinstraß vnd Burgers alhue Eheliche haußfr. 3. 4. Andres: Vnd Diebold von Triembach, Weÿl. Diebold v. Triembach geweß. G. ane Steinstraß v. b. alhier hinderlaßene Zweÿ Kind. deren geschworner Vogt vorgedachter Hannß von Triembach G:U:W:
An dem fünfften Stammen participiren 1. Mr Daniel Sattler, Kürßner undt burger alhie, 2. Weÿl. Fr. Catharinæ gebohr. Sattlerin mit Mr Hannß Jacob Carlen dem Jüngern Schuemacher v. b. alhier hinderlaßene 2. Kinder deren geschwornen Vogt vorgemelter Mr Daniel Sattler 3. Hannß Michel Sattler, Schneider Zu Bibelstatt Fürstl. Würtzburgischer Herrschafft, 4. Margaretham gebohrne Sattlerin Johann Michel Schmutzen deß Tabackbereiters haußfr. und 5. Anna Maria gebohrne Sattlerin Johann Schöttels deß Leinenwebers und b. alhier Ehefrau
Ane dem Sechsten und letzten Stall participirt 1. Andres Hoh der ältere Garttner ane Steinstraß, Und 2. Anna gebohrne Hohin, Hannß Drennßen Gartt: ane Steinstraß v. b: alhie haußfrau
Abschatzung den 19.ten Decembris 1715. Weÿlandt der Tugendtsame Frawen Maria Strentzin Gartenfraw seel: hinderlaßene Erben ist eine Behaußung allhier inn der Statt Straßburg inn der Stein Strasen Gelegen, Ein Eck auff ein allment geßel, einseith neben Salome Hohlweinin, hinden auff herrn XV. Lempe Garten stoßend, Welche Behaußung, Gebälcker Keller, Scheür, Stallung, Schopff, hoff: hoffstatt und bronnen sambt aller lhrer recht: und Gerechtigkeit durch der Statt Straßburg Geschwornen werckhleuthe Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und umb. Neun hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschwohrne werckh leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (300 livres) sur un total de 2 700 florins. L’héritier non bourgeois doit en outre régler le droit de détraction.
1716, Livres de la Taille (VII 1175) f° 172-v
(Steinstraß, F. N° 1650) Weÿl. Fr. Mariæ gebohrner Drenßin, auch Weÿl. Hannß David von Triembachs, geweßenen Gartners und Burgers alhier hinderlaßener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang junior.
Concl. fin. Inv. ist fol. 44 – 980. lb 7 ß
darzu gelegt die beÿ dem Wÿdemb irrig abgezogene Zwo posten, alß welche in der Verstorbenen Verstallung fließen, thun fol. 48. zusammen 367. lb 14 ß 8 d, Summa 1348. lb. 1 ß 8 d, die machen 2700. fl, dießelbe Verstallte Hiengegen allein 2100. fl. alßo 600 fl. Zu Wenig
Alldieweilen aber die abgeleibte Frau sich in anno 1712. 800 fl. abschreiben laßen, biß dahien aber verstallet, alß wird der Nachtrag allein von slcher Zeit an gerechnet, Nemblichen auff dreÿ Jaht in duplo, trifft à 1 lb 16 ß d für gemelte Zeit Zusammen 5 lb 8 ß
Und auch auff dreÿ Jahr in simplo macht à 18 ß – 2 lb 14 ß
Extat kein Stallgelt
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 12 ß 6 d, Summa 9. lb 15 ß 10 d
Abzug. Es ist zwahr Hannß Michael Sattler der Schneider und burger Zu Bibelstatt Fürstlich Würtzburgischer Herrschafft alß frembder Wÿdembs Erb beÿ dießem Geschäfft interessirt alldieweilen aber bereits den 22° Januarÿ Anno 1701. beÿ Weÿland Hannß David von Trembachs der Verstorbenen geweßenen Ehemanns Verlaßenschafft Inventarÿ abhandlung gebührende Abzug von seinem Erbs rato der Statt würcklichen entrichtet worden, wie in der Rechnung von gedachtem Jahr, sub rubrica Einnahm von Abzügen Zu sehen, alß ist deßhalben dermahlen weiter nichts anzusetzen noch abzufordern geweßen.
dt. 24° Februarÿ 1716.

Les héritiers de Jean David von Trienbach vendent la maison au revendeur Melchior Stær et à sa femme Anne Lehemann moyennant 1 500 livres

1717 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 590 n° 86
(1500) Hanß Trienbach G. ahn St. und Marg: Trienbächin beÿständlich Abraham Bär G. ahn St. ihres Ehevogts, Item Joh: Heinrich Pers schuemacher, Item Joh: Trienbach alß vogt Andres Trienbachs seel: zweÿ jüngerer Kinder, Item Anna Schmidtin geb. Trienbachin beÿständlich August Person Schmidts ihres Curatoris, Item Dorothea geb. Greichelin beÿständlich Daniel fiedel metzgers ihres ehevogts, Item Cath. geb. Greichelin beÿständlich Michel Demuth weinhändlers ihres mariti, Item Christina geb. Raspin beÿständlich Caspar Otterbein schneiders ihres mariti, Item Joh: David Rasp wagners, Item Maria geb. Rasp Joh: Georg Baders bütels auf der Beckerstueb haußfr: Ursula Wunderlin wittib geb. Raspin beÿständlich H. Joh: Martin Rieger schuemachers ihres Vogts, Item Marg: Raspin beÿständlich Niclaus Meÿer schuemachers ihres mariti, Item S.T. hr antoni Quinssart XV.ers alß pflegers deß Waÿßenhauß beneben H. Joh: Heupel schaffnern daselbst wegen Andres Mathiæ so daselbst ist, Item Salome geb. Raspin beÿständlich Mathis Jung ihres mariti, Item Marg: geb. von Trienbach beÿständlich Hanß Nortzen G. ahn St. ihres mariti, Item Daniel Sattler Kürßners alß vogt Joh: Jacob Carlen 2 KK in beÿsein deß vatters, Item Er Sattler nahmens Joh: Michel Sattlers hierzu von ihm bevollmächtigt, Item Marg: geb. Sattlerin beÿständlich Melchior Schmutz tabacbereithers ihres mariti, Item Andres Hoh sen: büttel auf der Gartner stueb, Item Anna geb. Hohin beÿständlich hanß Drenß G. ahn St. ihres mariti
in gegensein Melchior Stär gremp und Elisabethæ geb. Lehmännin
hauß hoff Scheür Ställ und Garten mit allen deren begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten in der vorstatt Steinstraß ohnweit der Gartner stueb, einseit zum theil neben einem nicht durchgehenden gäßlein theils neben Friedrich Verius E.E. anderseit neben Salome Hohlweinin, hinten auff S.T. H. XV.er Lempen Garten – 1500 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de l’orfèvre André Altenburger
1717 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 92-v
Melchior Stär gremp und Elisabetha geb. Lehmännin beÿständlich Peter Weiß Wollenwebers und Diebold Paul Müller kiefers
in gegensein Andres Altenburger silberarbeiters – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, hauß hoff scheur ställ und Garten c. appert: in Steinstraß, einseit theils neben einem nicht durchgehenden gässel theils neben Friedrich Verius EE, anderseit neben Salome Hohlweinn hinten auff den Lempischen garten

Les réformés Melchior Stær et sa fiancée Elisabeth Lehmann sollicitent le droit de bourgeoisie auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un. Ils présentent un état d’après lequel leur fortune est supérieure à 500 livres. Le fiancé sert à Strasbourg depuis neuf ans dont sept chez le préteur Joham de Mundolsheim, la fiancée est depuis quinze ans au service du pasteur réformé Heu.
1706, Conseillers et XXI (1 R 189)
Melchior Storr vnd seine verlobte pt° Civilegÿ obtinendi. 190. relation. 192.
(p. 190) Sambstags den 25.ten 7.bris 1706. – Melchior Storr vnd Elisabetha Lehmännin pt° Civilegÿ obtinendi
S. Ersch. Melchior Storr von Gurtschlen Berner gebieths der ledige Gutscher beÿ H. Stättmeister Joham dem ältern vor sich vnd im nahmen Elisabethæ Lehmännin von Baßel gebürtig seiner verlobten die seÿndt Laut mitkommenden Confessions scheins der Calvinischen religion Zu gethan, vndt Verlangen u Ew. gnd. fürgeacht auffgenommen Zu werd. prod. sub N° 1 et 2. Verzeichnuß über dero Vermögen mit unterthäniger bitt, Sie ahn E. E. großen Rath dispensando zuverweißen.
Erk. werde zu Untersuchung der Imploranten Vermögen H. XV.ern Reichshoffer vndt H. Rathh. Mollinger deputirt.

(p. 192) Montags den 27.ten 7.bris 1706. – H. XV.er Reichshoffer vndt H. Rathh. Mollinger referiren, Sie hätten der Ihnen den 25.ten huius auffgetragener Commission Zufolge nicht ermangelt Melchior Storren vndt Elisabethœ Lähmännin beeder Verlobten Vermögen Zu untersuchen, dabeÿ sie dann gefunden, daß selbige Crafft einer von Hn Notario Pantrion aufgesteteten Verzeichnuß 533. lb 16 ß 4 d Vndt also, über die erforderente Summ der 1000 fl. in bonis hätten, Vnd Weÿllen Er sich in 9 Jahr darunter Zwar Sieben Jahr lang beÿ Hhrn Stättmeister Joham dem ältern in diensten auffgehalten sich auch Crafft Vorgewießenen attestati fromm vndt getreuwlich verhalten habe, Sie aber sich beÿ Hhn Pfarrer Heuwen in die XV. Jahr lang als eine dienst magdt habe gebrauchen laßen, als Verhoffen beede Imploranten Vmb damehr Zu MGHh burgerrecht Zu gelangen.
Erk. werd. beede Imploranten mit Ihrem begehren E. E. großen Rath recommendirt.

Originaire de Gurzelen au canton de Berne, le cocher Melchior Stær et Elisabeth Lehmann de Bâle sont admis bourgeois à titre gratuit en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1706, 4° Livre de bourgeoisie p. 763
Melchior Ster d. kutscher V. gortzlen berner gebieths V. s. Fr: Elisabetha Lechmännin V. Baßel, empfangen d. burgerrecht gratis, werden Zur Mörin dienen, J. d. 4. Dito [8.br] 1706

Fils d’un maçon de Gurzelen, Melchior Stær épouse en 1707 Elisabeth Lehemann, fille d’un maçon de Bâle : contrat de mariage, célébration
1707 (4.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 70)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsahmen und bescheidenen Melchior Stären dem ledigen Gutscher vnd Burgern Zu Straßburg von Ober Gurtzlen, Bernergebieth gehörig, deß Ehrsamen Melchior Stären burgers allda Ehelichem Sohn alß Bräutigamb ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfr. Elisabetha Lehemännin, deß auch Ehrsamen Ulrich Lehemans burgers Zu Basel Ehelicher dochter als der Jungfr. hochzeiterin andern theils
Beschehen und verhandelt in Straßburg dinstag den 4.ten Jun: 1707.

Mariage (réformés, f° 123)
1707, den 9. dito [Januarÿ] seind eingesegnet worden Melchior Stär Burger in Straßburg weÿl. Melchior Stären gewesenen Maurers Zu Gritzlen Bernergebiets nachgel. ehel. Sohn, Jfr. Elisabetha Lehemännin weÿl. hannß Ulrich Lehemanns gewesenen Maurers Zu Baßel nachgel. ehel. Tochter (i 133)

Melchior Stær cotise à la tribu des tonneliers pour pouvoir servir de l’eau-de-vie
1708, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 37-v) Dienstags den 27.ten dito [Martÿ]
Melchior Sterr der krempp erhaltet auff Vorgelegten schein Wegen deß habenden Kremppenrechts das Zunfftrecht wegen des brandenwein Schancks Zahlt Zur gebühr 2. lb. 10. ß. 6. d Vnnd pro Zunfftscheiber unnd büttel 2. ß 6 d

Melchior Stær meurt en 1721 en laissant pour héritière sa veuve selon les dispositions de leur contrat de mariage. Les experts estiment la maison 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 258 livres, le passif à 166 livres.

1722 (25.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 47)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte und bescheidene Melchior Stähr gewesener Fetthändler und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Donnerstags den 24.ten Julÿ des nechst abgelegten 1721.ten Jahrs aus dießem müheseeligen leben genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Ehren und Tugendsahmen Fr. Elisabetha gebohrner Lehenmännin des Abgeleibten seel. hinterlaßener Wittib und Crafft der Ehe pacten nachgebliebener einiger Erbin, mit beÿstand des Ehren Vorgeachten und wohlachtbahren H. Johann Buschardts lederhändlers und burgers allhier, ihres geschwornen Curatoris inventirt – So beschehen in Straßburg in fernerer Gegenwarth (S.T.) H. Andreä Altenburgers, Vornehmen Silber Arbeiters und burgers allh. als hierzu in specie erbettenen H. Assisteten, Mittwochs den 28. Martÿ Anno 1722..

In einer alhier Zu Straßburg in d. Steinstraß gelegener undon diese Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie folgt
Sa. Haußraths 86, Sa. es Tabacks wie auch Schiff und geschirr Zum Tabackbereiten gehörig 84, Sa. Käßwahren 4, Sa. Silbers 6, Sa. Guldinen Ringen 1, Sa. baarschafft 75
(f° 9) Eigenthumb ane einer behaußung. Item hauß, hoff, Scheur, Stall v. Garthen, m. allen deren begriffen, weithen. Rechten Zugehördten v. Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. in d. Vorstatt Steinstraß ohnweit der Gartner Stuben, eins. Zum theil neben einem nicht durchgehenden Gäßl. v. Zum theil neben Friderich Ferius des Färbers Erben, anders. neben Michael Bohner dem Sattler, hinten auff H. XIII. Lempen Garthen stosend. Davon gehen jährlichen 12 lb 10 ß Zinß auff den 11. Febr. H. Andreä Altenburgern Silber Arbeitern v. burgn alhier in Capital ablößig mit 250. lb, Ferner 4 lb 15 ß Zinß demselben jahrs auff den 8. 8.br ablößig in hauptguth mit 95. lb, It. 2. lb 10. ß d Zinß vff ermelten Termin erstgemeltem H. Altenbergern ablößig in Capital mit 50 lb, It. 2. lb 10 ß d dicto termino weiters Ihme in Capital redimibel mit 50. lb, Item 1 lb 15 ß d Gelds demselben abermahlen uff besagten termin in capital ablösig mit 35. lb, It. 1. lb 5 ß Zinß auff den 1. Febr. Ihme wieder ablößig in Capital mit 25. lb, It. 3. lb d Gelts abermahlen Ihme uff d. 1. Julÿ ablößig in Capital mit 60 lb, It. 1. lb. 5 ß d Gelts uff besagtenn Termin Ihme gleichfalls ablößig in capital mit 25. lb. It. 1. lb 5 ß d Zinß uff den 28. 10.bris Ihme wieder ablößig in hauptguth mit 25. lb, It. 1. ln 5 ß Gelt weiters uff ermelten termin ablößig in Capital mit 25. lb, It. 4. lb d. Zinß mehr ernandten H. Altenburg. eodem termino ablößig in capital mit 80. lb, It. 1. lb 7 ß d Gelts Jahrs uff den 22. Febr. dem Waÿßenhauß allh. ablößig in Cap: mit 27. lb. It. 1. lb 15 ß d Zinß Hanß Jacob Carlen dem Schuemacher, als Usufructuario seiner mit Catharina Sattlerin in erster Ehe erzeugter 2 KK. ablößig in Cap. 35. lb. It. 4. lb 5 ß gelts Hanß Drenßen dem G. A. Steinstr. wegen Annä Hohin seiner hauß Fr. ablößig in Capital mit 85. lb. It. 4 lb 15 ß Gelts H Johann Michel Demuth als usufructuario weÿl. Fr. Catharinæ gebohrnen Kreuschelin seiner erst. hauß Fr. Verlaßenschafft ablößig in Capital mit 95. lb. Thun Vorstehende beschwerden Zusammen 962. lb, Dargegen ist Vorher gemelte Behausung cum appertinentÿs durch der St. Str. geschwornen Werckmeistere lauth überschickten und beÿ mein des Notarÿ concept befindlichen Schatzzeduls de dato 27.ten Martÿ 1722. æstimirt worden pro 900. lb. Ist also obige behaußung höher beschwehrt als dieselbe angeschlagen so hernacher den Passivis einverleibt Zu befinden 62. lb. Und besagt über Vorstehende behaußung ein teutsch perg. Kbr. m. d. St. Str. Cantzl. Contr. St. anh. Ins. Verw. v. dat. den 9. Febr. 1717.
Summa summarum 258 lb – Schulden 166, Nach solchem abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 91 lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Melchior Stären dem ledigen Kutscher und burgern Zu Straßburg von Ober Gurtzlen Berner gebieths gebürtig deß Ehrsamen Melchior Stären burgers allda Ehelichem Sohn alß Brautigamb ane Einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Elisabethæ Lehemännin deß auch Ehrsamen Ulrich Lehemann Burgers Zu Baßel Ehelicher dochter als der Jungfrau Hochzeiterin andern theils – Beschehen und Verhandelt inn Straßburg dinstag den 4. Januarÿ Anno 1707 [unterzeichnet] Melchior Stär als Hochzeiter, x der Hochzeiterin handzeichen

Elisabeth Lehemann se remarie en 1722 avec l’apprêteur de tabac Jacques Hauloch : contrat de mariage, célébration

1722 (27.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 74) n° 361
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Jacob Hauloch dem Tabacc bereiter und burgern alhier alß bräutigam ane einem, Sodann
der Ehren und tugendsahmen Frauen Elisabethæ gebohrner Lehmänin weÿl. Meister Melchior Stehr geweßenen Krempen, Tabacc bereiters und burgera alhie nunmehr seel. nachgelaßene Wittib alß hochzeiterin aù andern theÿl
So beschehen Straßburg den 27. Maÿ Anno 1722 [unterzeichnet] hannß Jacob hauloch, + der Frau Hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 95-v)
1722 Dominicâ I. et II Trinit. seindt außgeruffen vndt Mittwochs daruff als den 17. Junÿ Ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Hauloch der Tabackbereÿter vndt verwittib. burger allhier, vndt fraw Elisabetha geboren Lehmännin weÿl. Melchior Stären gewesenen burgers vnd Tabackbereÿters allhier nachgel. wittwe [unterzeichnet] hannß Jacob hauloch hochzeiter, x dießes ist der fraw Hochzeiterin Zÿchen (i 98)

Originaire de Marlenheim, Jacques Hauloch devient bourgeois le 28 avril 1691 à titre gratuit par sa fiancée. Il épouse Anne Barbe Heigelé, fille du maçon Jean Georges Heigelé le 9 mai. Sa femme native de Strasbourg (née avant que ses parents ne deviennent bourgeois) devient bourgeoise le 19 mai suivant.
1691, 4° Livre de bourgeoisie p. 590
Hanns Jacob Hauloch Von Marlenheim, der Tabackbereiter, Weÿl. Hannß Jacob Haulochs, des geweßenen Küeffers daselbst hinterlaß. sohn empfangt das burgerrecht von Anna Barbara Höglerin, seiner jetzmahlig. Verlobten, gratis, ist noch ledigen standes, Vnd wird Zu E. E. Zunfft Zur Möhrin dienen. Jur: d. 28. Aprilis 1691.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 31.v)
1691 den 9. Maÿ seind copulirt worden Hanß Jacob Hauloch der ledig tabackspinner von Marlenheim Hannß Jacob Haulochs burgers V. Kieffers daselbst hinterlaßener ehelicher Sohn vnd Jungfr. Anna Barbara, Hanß Georg Hegele Mawrers v. Steinhalsters alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Hannß Jacob Hauloch als Hoch Zeider, x dießes hat die Jungfraw hochzeiterin hergesetzt

1691, 4° Livre de bourgeoisie p. 591
Anna Barbara Heÿgelin, Von hier gehörig Hanns Georg Heÿgelins, des burgers und Maurers allhier, tochter, empfangt das burgerrecht von hannß Jacob Hauloch dem Tabackspinner Ihrem jetzmahlig. Ehemann, gratis, ist Zuvor ledig. standtes gewest, und wird zu E. E. Zunfft der Mörin dienen. Promis: d. 19. May 1691.

Anne Barbe Haigeli meurt en 1720 en délaissant six enfants. L’inventaire est dressé dans une maison au Thomanloch. La masse propre au veuf s’élève à 4 livres. L’actif des héritiers s’élève à 175 livres, le passif à 334 livres.
1721 (8.7.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 12) n° 462
Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Barbaræ gebohrner Hägelin, Meister Johann Jacob Hauloch, Tabaccbereiters und burgers alhier zu Straßburg geweste ehel. Haußfrau nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1721. – nach ihrem den 19. Augusti des Vorigen abgelegten 1720.sten Jahrs genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in dießer Königlichen Statt Straßburg den 8. 7.bris Anno 1721.
Die abgeleibte seel. harr ab intestato Zu Kinder und Erben Verlaßen wie volgt 1. Frau Mariam Salomeam gebohrner Haulochin Meister Jeremiæ Krieben Schuhmachers u. burgers allhier geliebte haußfrau mit beÿstand deßelben, 2. Johann Georg Hauloch, Maurer u. Steinhauer, so sich on Ambsterdam bereits verheurathet u. Häußlich alda auffhaltet, weÿlen derselbe frembt u. unverburgert als ist in deßen nahmen beÿ E E. Kleinen Rath unterthänig erbetten u. gnädig Depudirt worden S. T. H. Johann Jacob Klingelmeÿer schiffmann u. E. E. Kleinen Raths ietzmahliger beÿsitzer welcher dem geschäfft in Persohn abgewartet, 3. Meister Christian Haulochen, den tabackbereitern und burgern allhier præsens, 4. 5. 6. Jungfrau Christinam Barbaram Jgfer Mariam Jacobam u. Johannem dießer dreÿ Haulochen deren geschworner Vogt H. Johann Adam Bußler schuhmacher u. burger allhier welcher dem geschäfft in Persohn abgewarttet, Aller 6. Zu gleichen portionen und antheÿlern nachgelaßene Kinder u. Erben.

Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig. Es hat der Wittiber beÿ seiner gegebenen handtrei glaubwürdig berichtet, d. als Er Sich Vor ohngefehr 31. Jahren mit seiner verstorbenen Frauen seel. Verheurathet Zwischen ihnen beeden einige Eheberedung nicht auffgerichtet (…)
Copia Codicilli
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Tomanloch in den sogenannten nußbaumen gäßel gelegenen, in dieß Verlaßenschafft gehörigen und deßwegen fol: (-) beschriebenen behausung befunden wie volgt
Schreinwerck, In der Kammer A, In der wohn stub, im mittlern Haußöhren, In der Kuchen
Sa. Haußraths (W 5 ß, E 40, T 76), Schiff und geschirr Zum tabacc bereiten gehörig (T 16), Sa. Weins (T 4), Sa. Silbers (W 1, E 3, T 3), Sa. Goldener Ring (W 1, E 6), Sa. baarschafft (T 5), Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung (E 125)
Summa summarum des Wittibers smbtlich unverändert Vermögen 4 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert Nahrung beschrieben, Summa summarum 175 lb – Schulden 334 lb
Summa summarum des Theilbahren Verlaßenschafft – Schulden 107 lb, Passiv onus 226
Conclusio finalis Inventarÿ 50 lb
(f° 9-v) Eÿgenthumb ane einer behaußung den Erben unverändert gehörig (E.) Ein Hauß (…)
Copia Codicill – 1720 (…) auff Mittwoch den 24. Julÿ Nachmittag Zwischen 3 und 4 Uhren in einer allhier zu Straßburg ane dem Thomanns Loch im Nußbaumen Gäßel gelegenen hernach vermelten beeden Codicillirenden eigenthümlich zuständigen behaußung dero Obern mit denen fenstern theils in dn hoff, theils auff gedachtes Nußbaumen Gäßlein außsehenden Wohnstube, (…) persönlich kommen und erschienen seind der Ehrengeachte Mstr Johann Jacob Hauloch der Tabackbereiter und Frau Anna Barbara gebohrne Hägelinin beee Eheleuthe und burgere alhier, Er der Mann Gesund gehend und stehenden, Sie die Frau abr Kranckh und unpäßlichen leibs – Christoph Michael Hoffmann

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au Faubourg de Pierre, propriété de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 85 livres, ceux de la femme à 915 livres.

1722 (8.7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 48)
Inventarium über des Ehrenhafften H. Johann Jacob Haulochs, tabackhändler und d. tugendsamen Fr. Elisabethæ Haulochin gebohrner Lehemännin, beeder Eheleuthe und burgere zu Straßburg einand. in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1722. (…) welche umb künfftiger beßerer Nachricht willen, und damit mann sich auff gebende fälle, die Gott lange Zeit in Gnad. abwend. wolle, d. Ergäntzung halber desto beßer darnach reguliren möge, auff ihrer beeder Eheleuthe gethanes Ansuch. und begehren, und Zwar er Maritus mit beÿstand des Ehrenhafften H. Johann Adam Bußlers, Schuhmachers und burgers alhier, Seiner Kind. erster ehe geschwornen Vogts, Sie die Ehefrau aber mit assistentz H. Johann Buschardts led.händlers, dero noch ohnentledigten Curatoris und Mr Johann Jacob Zieglers Schneid. ihres vettern ersucht – Actum Straßburg Dienstags d. 8. Sept: 1722.

In einer alhie Zu Straßburg in d. Steinstraß gelegener d. Ehefrauen zuständiger behaußung ist befunden worden wie folgt
(f° 8) Eigenthumb ane einer behaußung. (Fr.) Item hauß, hoff, Scheur, Stall u. Gart. daran, mit allen übrig. den gebeüen begriffen, weit. Rechten Zugehörd. und Gerechtigkeit geleg. alhie Zu Straßburg ane d. Steinstraß ohnweit d. Gartner Stub. einseit Zum theil neb. einem nicht durch gehend. Gäßl. und Zum theil neben Friderich Verÿ färbers seel. wittib und Erb. anderseit neben Michael Bohner dem Sattler, hint. auff H. XIII. Lemp Gart. stoßend. Davon geh. Jährl. 36. lb d Gelts à 5 pro cento H. Andreæ Altenburger Silber Arbeitern und burgern alhier ane Capital in 11 vnd.schied. Posten abzulöß. mit 720. lb. Item 1. lb 7 ß gelds dem Waÿßenhauß alhie Jahrs auff d. 22. Febr; ablößig in Hauptguth mit 27. lb d, Item 1. lb 15 ß Zinß Hanß Jacob Carlen dem Schuemacher als Usufructuario seiner mit Catharina Sattlerin in erster Ehe erzeugter Kind. ablößig in Capital mit 35. lb. Item 4. lb 5 ß gelts Hanß Trenßen dem Gartner ane Steinstraß weg. Anna Hohin seiner haußfr. ablößig in Capital mit 85. lb. Item 4 lb 15 ß gelts H Johann Michel Demuth dem Kieffer als usufructuario weÿl. Fr. Catharinæ Kreuschin seiner erst. haußfrauen seel: Verlaßenschafft ablößig in Capital mit 95. lb. Thun hievor geschriebene beschwerd. Zusammen 962. lb. Sonsten freÿ Ledig und Eigen. Und ist die vorgeschriebene behaußung zu vermeidung Künfftig. Præjuditz ohn angeschlagen gelaß. worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 61, Sa. Schiff und geschirr Zum Tabackbereiten gehörig 6, Sa. Silbers 16, Sa. der baarschafft 49, Summa summarum 135 lb – Schulden 49, Nach solchem abzug 85 lb
Der Ehefrauen Zugebrachte Unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 229, Sa. leeren vaß 7, Sa. Schiff und geschirr Zum tabackbereiten 6, Sa. Silbers 22, Sa. guldenen Ring 13, Sa. der baarschafft 723, Sa. des Eigenthums ane einer behausung (-), Summa summarum 1003 lb – Schulden 87 lb, Nach deren Abzug 915 lb

L’apprêteur de tabac Jean Jacques Hauloch meurt en 1733 en délaissant six enfants de son premier mariage. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 565 livres. La masse propre aux héritiers de 46 livres. L’actif de la communauté s’élève à 911 livres, le passif à 411 livres.

1733 (14. 9.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 64)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte Johann Jacob Hauloch, geweßener Tabackbereitter, und burger alhier Zu Straßburg, nunmehr seel. nach seinem Dienstags den 20. Octobris jüngsthin aus dießem mühesamen Leben genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen Erfordern und Begehren des abgeleibten seel. hinterlaßener resp. Sohn, töchter und Enckeln (…) ersucht durch die Ehren und tugendsame Frau Elisabetham Hawlochin gebohr. Lehemännin die hinterlaßene Wittib mit beÿstand des Ehren vorgeachten H. Johann Bernhard Pfählers, Peruquiers und burgers lhier, dero geschwornen Curatoris und H. Johann Jacob Freÿer Silberarbeiters v. burgers alhier als hierzu in specie erbettenen Assistenten (…) So beschehen in Straßburg Sambstags den 14. Novembris A° 1733.
Der abgeleibte Seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Weÿl. Frauen Mariæ Salome Griebin, gebohrner Hawlochin mit Jeremia Grieben Schuemachern und burgern allhier ehelich erzeugte Kind. nahmentl. Maria Salome und Maria Eva Griebin dero geschworner vogt der Ehrenhaffte Meister Christian Suter Schuemacher und burger alhier so benebens obgemelter seiner curanden Vatter dieser Inventur persönlich beÿgewohnt, 2. Weÿl. Johann Georg Hawlochen, so in ambsterdam establirt geweßen, aber todes verfahren und Keine Kind. hinterlaßen haben solle, derentwegen man aber noch kein Documentum mortis erhalten, dahero unterdeßen in seinem nahmen der Ehrenvest und wohlvorgeachte Herr Johann Ulrich Cammerer, E. E Kleinen raths wohlmeritirter Assessor und aus deßen mittel hierzu insonderheit abgeordneter Deputatus diesem geschäfft assistirt, 3. weÿl. Frauen Christinæ Barbaræ Lampertin gebohrner Hawlochin, mit Joachim Lampert dem verzogenen tabackbereütters ehelich erzeügtes Söhnlein nahmentl. Joachim Lampert deßen geschworner Vogt obgemelter Jeremias Grieb Schuemacher und burger alhier, 4. Christian Hawloch, tabackbereitter und burger alhier, vor sich selbsten so persönlich zugegen war, 5. Frau Jacob Hottingerin gebohrne Hawlochin, Johann Rudolph Hottingers auch tabackbereiters und burgers allhier eheliche haußfrau mit beÿstand deßelben Und dann Johann Hawloch, Noch ledige Tabackbereiter mit beÿstand des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Adam Pußlers Schuemachers und burgers alhier seines geschwornen Curatoris, Alle deß abgeleibten seel. in erster Ehe mit weÿl. Fraun Anna Barbara gebohrner Hegelin ehelich erzeügter Kind. und Enckel und ab intestato zu gleichen portionen und antheilen verlaßene Erben.

In einer alhier Zu Straßburg vorstadt Steinstraß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt
An hültzenwerck. In der Cammer A, Im unden haußöhren, In der wohnstub, In der obern hintern Cammer, In der obern vordern Cammer, In der Soldaten Cammer, vffm gang, Im Hoff
(f° 13) Eigenthumb ane einer behaußung. (W.) Item hauß, hoff, Scheur, Stall vnd Garthen, m. allen deren begriffen, weiten. Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraßen, ohnweit der Gartnerstuben, einseit Zum theil neben einem nicht durchgehenden Gäßlein vnd Zum theil neben hannß Michel Verÿ des Färbers Wittib, anders. neben hannß Michael Bohner dem Sattler, hinten auff den Lempischen Garten stosend. Davon gehen jährlichen 4 lb 15 ß Zinß weÿland H. Andreæ Altenburgern Silberarbeitern vnd burgern nunmehr seel. etwann modo der reformirten Kirchen Zu Wolvish. Jahrs auff den 29. Xbris ablößig in Capital mit 50 lb, It. 2. lb 10 ß d dicto termino weiters Ihme in Capital redimibel mit 95. lb, It. 19. lb d Zinß à 4 pro Cento dem Stipendio Mauritiano alhier Jahrs auff den 16. Junÿ ist in Capital abzulößen mit 470 lb. It. 1. lb 7 ß geldts dem Weÿßenhauß alhier Jahrs auff den 22. Februarÿ in hauptguth ablößig mit 27 lb, Thun vorstehende beschwerd. zusammen 592 lb. Sonsten eigen, durch der Statt Straßb. Geschwornen Werckmeistere Vermög überschickten und beÿ mein des Notarÿ Concept befindlichen Schatz Zeduls vom 7. 9.bris 1733. über vorstehende beschwerden annoch æstimirt pro 18. lb. Der obbenambste Zu dem hauß gehörige Garten aber ist durch herrn Andream Jösten Schätzern E. E. Zunfft der gartner in Steinstraßen æstimirt worden vermög deßen außgestellten schrifftlichen Attestati pro 125. lb. Über vorstehende behaußung und garten besagt i. teutscher Perg. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Cancelleÿ Contract stuben anhang. Insigel de dato 9. Febr. 1707. Darbeÿ noch 5. alt. Perg. resp° Kauff vnd abgelöste Zinßbrieffe von verschiedenen datis, so zu registriren vor ohnnöthig befunden.
(f° 14) Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths, Vermög Inventarÿ über eingangs gemelte beeder Eheleuthe in den Ehestand Zugebrachte Nahrung den 8. Septembris 1722 auffgerichtet
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 91, Sa. Leeren vaß 3, Sa. Werckzeug Zur Tabac fabric gehörig2, Sa. Silbers 9, Sa. Guldener Ring 5, Sa. der Ergäntzung 310, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung und Garten 143, Summa summarum 565 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 22, Sa. Werckzeugs Zur tabac fabric gehörig 2, Sa. Silbers 5, Sa. der Ergäntzung 101, Summa summarum 131 lb – Schulden 84 lb, Nach solchem abzug 46 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. Haußraths 31, Sa. wahren Zum Tabach handel und Grempereÿ gehörig 76, Sa. baarschafft 789, Sa. Schulden 14, Summa summarum 911 – Schulden 411 lb, Nach deren Abzug 484 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 106 lb
Eheberedungs Copeÿ (…) den 27. Maÿ 1722, Christoph Michael Hoffmann
Copia Codicilli – 1733 (…) auff Mittwoch den 7. Octobris Vormittag zwischen Neun und Zehen Uhren in einer alhier zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegenen hernach Vermelten Codicillen ietzmahiger Ehefrauen eigenthümlich zuständigen behaußung, dero untern Stuben die fester auff gedachte Steinstras außsehen, der Ehrengeachte Meister Johann Jacob Hauloch tabackbereiter Kremp und burger alhie, Zwar Kranck und unpäßlichen Leibs dannenhero auff einen bett ligend (…) Christoph Michael Hoffmann
Abschatzung d. 7. 9.bris aô 1733. Auff begehren Weÿl des Ehrenhafften und bescheidenen Mstr Jacob pauloch Taback bereiter seel: hinter laßene fraw Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der statt Straßburg in der Steinstraße gelegen, ein Eck gegen feris Wittib anderseits Neben Hanß Michel Bonnert hinden auf herrn Ammeister Lempen garten stoßend welche behausung Stuben Tabackstube, Kammer, soldaten Cammer, Kuchen hauß Ehren, Bauch Kuche gebälckter Keller, stallung, Schopff, scheur, hoff und bronne, so zum theil mit leÿmen gewicklet sambt aller gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befnden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Um Ein Tausend und Zweÿ Hundert gulden, Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Testament copié à l’inventaire ci-dessus
1733, Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 61)
Testament – Mstr Johann Jacob Hauloch des Tabackbereiters

Les préposés de la Taille font figurer la succession (2 100 florins alors que le défunt était imposé sur la base de 2 500 florins) dans leur registre parce que le fils établi à Amsterdam devrait régler le droit de détraction, annulé après qu’un acte de décès leur a été présenté.
1734, Livres de la Taille (VII 1177) f° 308-v
(Möhrin F. N. 6201) Weÿl. Hannß Jacob Hauloch geweßenen tabackbereiters und burgers alhir Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 103 – 1056. 13.. Darzu gelegt des Jüngsten Sohns annoch außständiges Mütterl. Guht so Fol. 77 passive eingebracht th. 27. 14. 11, Summa 1084. 7. 11, die machen 2100 fl. Verstallte 2500 fl.
Ext. Stallgeltt pro 1734, 5 lb 2 ß
Gebott 2 ß
Abhandlung 1 lb 7 ß 6 d, Summa 6 lb 11 ß 6 s
dt. 10° Febr. 1734.
Abzug. Johann Georg Hauloch in Amsterdam soll von theils dato theils finito usufructu anfallendem Vätterl. Erbe der 93 lb 6 ß 6 s Abzug, 9 lb 6 ß 8 s
Crafft prod. todesschein de dato 23. Jan 1734. ist derselbe den 25. Julÿ 1727 in Amsterdam gestorben.

Elisabeth Lehemann meurt en 1738 après avoir institué pour héritier la veuve Altenburger née Deucher et Ester Deucher, veuve du pasteur réformé André Heu. L’inventaire est dressé Grand rue dans la maison Pfæhler où elle habitait. La succession s’élève à 413 livres
1738 (26. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 69)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so weÿland die viel Ehren und tugendbegabte Frau Elisabetha Haulochin gebohrne Lehmännin weÿl. H. Joh: Jacob Haulochs geweßenen tabackbereiters und burgers allhier Zu Straßb. hinterlaßene wittib nunmehro seel. nach ihrem den 14.ten 7.br jetzlauffenden 1738.sten Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödtl. ableiben Zeitl. verlaßen, welche auf freundl. ansuchen erfordern und begehren der abgeleibten Frauen seel. vermög auffgerichteten Testamenti nuncupativi instutuirte Erbinnen (…) inventirt und ersucht durch Fr. Margaretha Pfählerin geb. Schwartzin beÿ welcher die verstorbenen seel. bis an ihr ableiben gewohnt
– So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Freÿtag den 26.ten 7.bre 1738.
Die abgeleibte seel: hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt. 1.mo die viel Ehren v. Tugendbegabte Frau Annam Mariam Altenburgerin geb. Deucherin, weÿl. S. T. H. Andreæ Albenburgers geweßenen vornehmen Silberarbeiters v. b. allhier hinterl. Fr. Wittib, so der Zeit unpäßl. in dero nahmen Zugegen ware, der wohl Ehren vest und Großachtbare H. Joh: Jacob Albenburger vornehmer Handelsmann und burger allhier, dero geliebter Sohn und ane Vogtsstatt erbettener assistent zur helffte
Und dann 2.do die auch viel Ehren und hoh tugendbegabte Frau Ester Heuin geb. Deucherin, weÿl. S. T. H. M. Andreæ Heuen, geweßenen treufleißigen Predigers beÿ der Christ. Reformirten gemeind Zu Wolvish. nachgelaßene Frau wittib so ohnverburgert, auch ohnverburgert, dero dann nomine deroselben beÿ dießem geschäfft erschienen der wohl Ehren vest und wohlweiße H Johann Jacob Teutsch E. E. Kl. Raths beÿsitzer, als aus wohlermelten Raths mittel hierzu insonderheit verordnete H. Deputatus, vor den übrigen halben theil

In einer allhier Zu Straßburg in der Steinstraß gelegener eingangs gemeldter Frau Pfählerin Zuständiger behaußung ist befunden worden wie folgt
Sa. Haußraths 45, Sa. Silbers 18, Sa. Goldene Ring 14, Sa. baarschafft 334, Summa summarum 413 lb – Sa. Legaten 125 lb, Nach solchem abzug 288 lb
Wÿdemb So die Verstorbene frau seel. ad dies vitæ genoßen. Lauth Abtheilungs Concept über weÿland Johann Jacob Haulochs geweßenen tabackbereiters und burgers alhier der Fraw seel. zweiten haußwürths verlaßenschafft den 18. febr. 1734.
Copia Testamenti nuncupativi – 1729 (…) auff Donnerstag den 8. Decembris Vormittag Zwischen Eilff und Zwölff Uhren, die Ehren und tugendsame Fraw Elisabeth Haulochin gebohrne Lehemännin des Ehrenhafften Herrn Johann Jacob Hwlochs, tabackbereiters und burgers allhier eheliche Haußfrau (…) zu sich erfordern laßen, die Wie dann Ohnpäslichen Krancken leibes auff einem bette liegend, Jedoch von der Gnaden des grundgütigen Gottes, guten richtigen verstandts und vernünfftiger Sinnen – Jacob Christoph Pantrion

La veuve de Jean Jacques Hauloch renonce à son droit de revendeuse en conservant son inscription à la tribu
1736, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 199) Dienstags den 28.ten Februarÿ A° 1736
Weÿl. Johann Jacob Haulochs, des geweßenen Grempen Wittib resignirt durch H. Johann Leonhard Pfähler, den Perruquenmacher und burgern allhier ihren geschwornen Vogt, dero biß daher gehabtes Grempen Recht, warbeÿ sie Sich aber das Zunfftrecht reservirt, Erkandt Willfahrt.

Elisabeth Lehemann fait donation de sa maison à l’huilier Jean Pfæhler contre son entretien le restant de sa vie

1735 (14.2.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 87-v
Erschienen Fr. Elisabetha gebohrne Lehmännin weÿl. Johann Jacob Hauloch, gewesten tabackbereiters und burgers allhier hinterlaßene Wittib mit beÿstand ihres geordneten Vogts, H. Johann Leonhard Pfäler, Perruquenmacher, und mit fernerer Assistentz H. Rathh. Wörner und H. Lt. Colignon, beede EE. Kleinen Raths Beÿsitzern, aus deßen Mittel dieselbe, Zufolg einer am 12. hujus ertheilt und hiebeÿ producirten Erkanntnus hierzu insonderheit abgeordnet worden sind, an einem
und Johannes Pfäler, der ohlmann und burger allhier, am andern theil, beederseits anzeigende, daß sie Haulochische wittib mit ihme Pfäler, und dießer für sich, seine Ehefrau, ihre beeder Erben und Nachkommende, mit ihr Haulochin ein auff dießer letztern Lebenszeith dauendes Leibgeding auffrichtig und ohnwiderrufflich getroffen (…)
Nemlich es verspricht er Pfäler, Sie Haulochin von Stund an zu sich in seine behausung an nehmen, ihr in selbiger eine besondere Stueb, Kuchen und Kammer einzuraumen, Sie darinn die zeith ihres lebens zu beherbergen, mit benöthigem Holtz und Liecht zu Versehen, ihr an seinem Tisch eine gesundte guthe kost nebst tranckbarem Wein, So guth er es selbsten hat und haben kan, gedeÿen zu laßen (…)
So hat sie Haulochin sich Verpflichtet ihme H. Pfäler dem ohlmann gleichbalden 250 pfund baaren geldts zu behändigen und als ohnwiderruffliches Eigenthumb Zu überlaßen (…)
Ferner obligirt sich ged: Haulochin ihre eigenthümlich allhier in der Vorstatt ahne Steinstraß, einseith neben weÿl. Friedrich Verius gewesten Schwartzfärbers Erben zum theil, theils neben einem nicht durchgehenden Allmend gäßlein, anderseith neben Salome Holweinin, modo N Bohner, dem Sattler, hinten auff auff weÿl. S.T. H. Ammeister Lempen seel. gartten stoßend gelegene Behausung, Scheur, Stallung, Schopff, Hoff, gartten und Hoffstatt, mit allen deren gebäuden, begriffen, Zugehörden und gerechtigkeiten, So annoch der Mauritianischen Stifftung umb 470 lb, weÿl. H. Andreas Altenburger geweßenen Silberarbeiters Erben umb 95 lb. hießigem Weÿßenhauß umb 24 lb 14 ß 7 d so dann ihren Stieffkindern weÿl. Johann Jacob Hauloch Kindern und Erben umb 400 lb. So sie Haulochin Lebenslang zu usufuiren hat, verpfändet (…) ihnen Pfählerischen eheleuthen und deren Erben als ein wahres ohnwiderrufflicges eigenthumb (überlaßen)
(copie dans l’inventaire de 1738)

Fils d’huilier, l’huilier Jean Pfæhler épouse en 1706 Anne Marguerite fille du chaudronnier Michel Schwartz
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 58-v, n° 1733)
1705. Eod. [Mittwoch den 2.ten 7.mbr] Seind nach 2.mählicher Proclamation copulirt worden Johannes Pfähler der ledige Ohlman vnd burger allhier weÿl. Leonhard Pfählers gew. b. vnd Ohlmanns allhier hinterl. ehel Sohn, und J. Anna Margaretha, Michel Schwartzen des Kupferschmidts und burgers allhier ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes Pähler als hochzeiter, Anna Margaretha Schwartzin hochzeiderin (i 158)

Jean Pfæhler meurt en novembre 1735 en délaissant six fils. L’inventaire est dressé dans sa maison au Faubourg de Pierre. La masse propre à la veuve est de 998 livres, la masse propre aux héritiers de 733 livres. L’actif de la communauté s’élève à 924 livres, le passif à 1 378 livres. Les experts estiment à 500 livres la maison léguée par Elisabeth Lehemann.

1736 (29.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 31) n° 1001 (953)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, Verändert vnd unveränderter, liegender und vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland der Ehren: und wohlvorgeachte Herr Johannes Pfähler der geweßene ohlmann cit. burger allhier Zue Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 14.ten Novembris des abgewichenen 1735.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt, zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib Ehelich erzielter Sechs Söhne Vnd Kindere auch ab intestato Verlaßener rechtsmäßiger Erben (…) fleißig inventirt und ersucht durch die Viel Ehren und tugendsahme frau Annam Margaretham gebohrne Schwartzin die Verlaßene wittib, beÿständlich Hn Johannes Schwartzen Kupfferschmidts ihres geschwornen Curatoris – Actum Straßburg Dienstags den 29.ten Maÿ A° 1736.
Der Verstorbene Seelig hat ab intestato Zu seinen rechtsmäßigen Erben Verlaßen wie volgt. 1. H. Johann Leonhard Pfählern perruquenmachern und burgern allhier, so der Inventation zugegen war, 2. H. Johann Daniel Pfählern den Ohlmann und ebenmäßigen burgern allda so auch præsens war, 3. Hn Johannes Pfählern ledigen Schwerdtfegern so Majorennis und sich anweßnd befund. 4. 5. et 6. H. Johann Jacob Leediger Ohlmann, Johann Michael und Johann Friderichen die Pfählere, welche bevögtigt seind mit S. T. H. Johann Leonhard’ Pfählern Vornehmen handelßmann und burgern allhier zu ermeltem Straßburg so auch dem geschäfft von anfang biß Zuend beÿwohnete, Alle Sechß des Verstorbenen seel. mit Eingangs gemelter seiner hinterbliebenen Wittib Ehelich erzeugter Kinder auch ab intestato Verlaßene rechtsmäßige Erben Zu gleichen portionen vnd antheilern

In einer allhier Zue Straßburg ane der Steinstraß gelegenen und eÿgenthümblich hiehero gehörigen behausung sich befunden worden als volgt
Eÿgenthumb ahne häußern. (E.) Nemlichen eine behaußung vnd hintergebäuel, sampt dem Nebens gebäu, trott und ohlmühl auch i. gar kleinen gärtel vnd Ohlmühl ane der Vorstatt Steinstraß (…)
(T.) Item Eine behaußung vnd hoffstatt sampt allen deren rechten Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, auch allhier In der Vorstatt Steinstraß einseit neben M. Bohnert dem Seilern anderseit neben fr. Veriußin der färberin vnd hinten auf H Ammeister Lempen seel. garthen stoßend gelegen, davon gibt mann Jährlich 10 ß d bodenzinß auf der Statt Pfgtrn von einem banck, thut Zu doppeltem Capital gerechnet 20 lb, It. Zalt mann der Mauritianischen Stifftung allhier Jahrs vf den 16. Junÿ 18. lb 16 ß d Zinß macht In ablösigem Capital 470. lb. It. 4. lb 15 ß d Interesse der Reformirten Kirch allhier Jahrs auf den 19. Sbr. macht in Capital 95. lb It. j lb j ß 8 d gelts dam Stifft Waÿßenhauß allhier Jahres auf den 9. Februarÿ abzustoßen In Capital mit 21 lb 13 ß 4 s. Summa der Vorher begriffenen beschwerden Ist 606. lb 13 ß 4 s. Es ist aber dießelbe durch die oberwehnte Herren Werckmeistere Vermög oballegirter Abschatzung angeschlagen worden pro 800. lib. dargegen gehalten die obihe beschwerden der 606. lb 13 ß 4 d Nach deren abzug verbleibt ane dem anschlag außzuwerffen 193. lb 6 ß 8 d. Der ane solcher behaußung hinten daran gelegenen Garthen, so ohngefähr ein halb ackher groß, einseith neben obenbenambster Fr. Veriußin, anderseit neben Hannß Geörg Reuthen dem Garttner ane Steinstraß vnd hinten auch auf den Lempischen Garten stoßend, ist durch Hn Andres Jösten dem Garttnern, Innhalt Schrifftlicher Abschatzung vom 19. apr. 1736. gewürdiget worden pro 60. lb. Über Vorstehende behaußung Vnd Garten besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contractstuben anhangendem Innsiegel verwarth de dato 9. febr. 1707., dabeÿ noch fünff alten Pergamentener respe. Kauff: und abgelößte Zinnnß brieff Von Verschiedenen datis so zu registriren weilen Sie nicht in vorschein gekommen vor ohnnötig befunden. Nota. Diße behausung vnd garten rühret von Frau Elisabethæ Haumochin gebohrner Lehemännin weÿland Johann Jacob Haulochs deß geweßenen tabackbereiters Vnd burgers allhier Zu Straßburg nachgelaßener Wittib her, vnd seÿe dieselbe ane den Verstorbenen H. Pfähler vnd deßen hinterlaßene Wittib Eingangs gemelt Vermög eines In allhießiger Contract stub mit deriseklben getroffenen und auffgerichteten Leibgedings, gegen dero Lebtägiger Unterhaltung eÿgenthümblichen erwachßene, zu welcher Behaußung Sie die Pfählerische geweßene Eheleuthe auch annoch 500 fl. baaren geltts erhalte. Ferner ist berichtlich Hier anzufüegen, daß weÿland Johann Jacob Hauloch des geweßenen tabackmachers Vnd burgers allhier egel. Erben, nach absterben dessen hinterlaßener Wittib vnd usufructiariæ oberwehnt, auf solcher behaußung In allem Zufordern haben 404 lb 10 ß d. Dieweilen nun die Pfählerische dießeitig. theilbahre Mass die Wÿdembs nießerin repræsentirt, alß seind solche 404 lb 10 ß d hier auch nicht in abzug oder hierauf passivé Zu Inseriren.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen Unveränderten guths. Nach anleitung deß uber beeder Im leben geweßenen Ehepersohnen einander In den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in anno 1705. durch weÿland Notm Daniel Rohren auffgerichteten Inventarÿ
Norma. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci
Der Wittib eigenthümlich unverändert Vermögen, Sa. haußraths 15, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. goldener Ring 2 lb, Sa. Schulden 75, Sa. der Ergäntzung (903, abzug 6, restiret) 897, Summa summarum 998 lb
Solchemnach würd auch der Kinder und Erben anerstorben unverändert Vätterlich guth beschrieben, Sa. haußraths 26, Sa. Schiff und geschirr Zum ohlmachen gehörig 10, Sa. leere vaß 4, Sa. Silber geschmeids 8, Sa. goldenen rings 1, Sa. Eigenthum einer behaußung 931, Summa summarum 983 lb – Schuld 249, Nach deren Abzug 733 lb
Endlichen volgt auch die beschreibung des gemeinen Verändert vnd theilbaren guts, Sa. haußraths 117, Sa. Schiff und geschirrs Zum ohlmachen gehörig 24, Sa. Öls, Mag und Reebs saats auch Nußen und Kuchen* 129, Sa. Pferds und geschiff wie auch heü vnd strohe 21, Sa. Silbergeschmeids 16, Sa. baarschafft 162, Sa. weins und leeren vaß 8 Sa. Eigenthums ane einer behaußung 253, Sa. Schulden 192 lb, Summa summarum 924 – Schulden 1378, Theilbar passiv onus 453 lb
Conclusio finalis Inventarÿ (-)
Abschatzung dem 6: Aprill 1736. Auff begehren weilandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H. Johannes Pfeller deß gëweßenen ohlmann seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung (…)
Der 2.t: begriff ist auch alhier in der Statt Straßburg in der Stein straßen gelegen ein Seits Neben der frau fritschin, anderseits an Meister boner dem satler hinden auf H ameister Lëmpen seel. garten stoßend welche behausung unden auff dem botten eine Stube, Kuchen hauß Ehrn oben dar über Vier Cammern eine dar von die Soldaten Cammer, im hoff ein alter schopff worunder ein Stall scheür bronnen und getrëmbter Keller sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befindten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierd Vor und Umb Ein Dausentt und Sechs hundert Gulden. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Auff begehren undt ansuchen Weÿlandt herrn Johann Pfählers gewesten Specierers Unndt burger alhier Zu Straßburg nach todt gelaßener fraw wittib, Unndt Erbs jnteressenten Ist deren ahne der Vorstatt Steinstraß hindten ahne Ihrem hauß gelegen, deselben Eigenthümlich gehörigen Garten So ohngefehr Ein halb Acker groß, Eins eith neben fraw Veriußin der färberin, andter seit neben Hannß Georg Rinckh Garthens ahne Steinstraß, und hindten auff Salv. tit. herrn Lempen Garthen Stoßend, durch den Ehrbar und bescheidenen Ht Andters Jösten Garthnern ahne besagter Steinstraß und burgern Von hiern alß von unßern gnäd: Herren den fünffzehen Verordnet: und geschwornen Schätzer Zu beuorstehender gedachter fraw Wittib undt Erben Inventur unndt zwar nach Eingenommenen augenschein dem heütig. werth nach fürn Unndt umb 60 Pfund sage 60. lb æstimirt Vnndt angeschlagen worden, In urkundt deßen Ich unterschriebener hierzu requirirter Notarius gegenwärtigen proces verbal auffgesetzt und Eingenhändig underschrieben wollen, Straßburg den 19. Aprilis Anno 1736 H. Andreas Schmidt Not. publ. ac Jur.

La veuve et les enfants de Jean Pfæhler vendent aux enchères la maison au sellier Jean Daniel Schweighæusser moyennant 1 935 livres

1737 (12.4.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 265
weÿl. H. Johannes Pfäler gewesten ohlmann hinterbliebene wittib Fr. Anna Margaretha geb. Schwartz mit assistentz ihres curatoris Johannes Schwartz hiesigen kupfferschmidts, ferner derselben mit ihrem verstorbenen Ehemann erzeugtes Kind Johann Leonhard Pfäler der Peruquenmacher, Johann Daniel Pfäler der ohlmann und H. Johann Leonhard Pfäler der handelsmann als vogt der minderjährigen vier Pfälerischen Kinder Johannes Pfäler ledigen Schwerdtfeger, Johann Jacob Pfäler und Johann Michael Pfäler beede lediger ohlleuth wie auch Johann Friedrich Pfäler, so dann Heinrich Willhelm der haußfeurer als gewalthaber Elisabetha geb. Lehemännin weÿl. Johann Jacob Hauloch des tabackbereiters wittib
in gegensein Johann Daniel Schweighäußer des sattlers, d. 3. hujus ergangen obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung bestehend in vorder: und hindergebäuden, Scheur, stallung, hoff, gartten, Bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt ahne Steinstraß einseit neben Hannß Michael Böhner sattler zum theil theils Claude und Peter Besson gebrüder und fuhrleuthe theils mit dem gartten neben Georg Rinck dem fuhrmann und g.u.w. anderseit neben weÿl. Michael Verius schwartzfärbers wittib und erben hinten auff weÿl. H. Ammeister Lempen seel. erben gartten – hiesigen Stadt Pfenning Thurn von einem auff dem Allmend stehendem vorbanck 10 ß ane allmend zinß – um 470, 404, 24 und 94 pfund verhafftet – ehemals ihr Haulochischen wittib als ein von ihr und ihrem erstern Ehemann weÿl. Melchior Stör dem grempen am 9. Februarÿ 1717 erkaufft und als durch deßen vor der ehe errichteten Ehepacten instituirten universal erbin erhaltenes guth, anjetzo aber nach besag derselben mit verstorbenem Johannes Pfäler am 12. Februarÿ 1735 errichteten Leibsgedings dießes letztern wittib und erben gehörig – um 994 ausmachende capitalien – auff den fueß des steigschillings der 1935 pfund

L’acquéreur et sa femme Marie Salomé Glock hypothèquent le même jour la maison au profit de Jean Saltzmann, docteur en médecine et chanoine du chapitre Saint-Thomas

1737 (12.4.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 267
Johann Daniel Schweighäußer der sattler und Maria Salome geb. Glocke mit beÿstand ihres vatters H. Ratth. Gottfried Glocke des Fechhändlers und ihres geschwistrigkinds Ehemanns H. Samuel Schwanfelder goldarbeiter und silberarbeiters
in gegensein S.T. H. Johannes Saltzmann Med: D. et Prof. publ. Ord: auch Capituli Thomani Capituli senioris – schuldig seÿen 600 pfund, zu vollkommener bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, Eine heutigen tags erkaufften Behausung, Scheur, stallung, schopff, Bronnen, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten in der Vorstatt ahne Seinstraß, einseit neben Hannß Michael Bohner dem sattler, theils Claude und Peter denen Besson gebrüder und fuhrleuthe, theils mit dem gartten neben Georg Rinck g.u.w. anderseit neben weÿl. Michael Verius schwartzfärbers wittib und erben, hinten auff weÿl. H. Ammeister Lempen seel. erben gartten – davon man hiesiger Stadt Pfenning Thurn von einem auff dem Allmend stehendem vorbanck 10 ß ane allmend zinß zu reichen pflichtig ist

Fils d’aubergiste, Jean Daniel Schweighæusser devient tributaire chez les Tanneurs le 6 juillet 1734
1734, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 234-v) Dienstag den 6. Julÿ Anno 1734 – Johann Daniel Schweighäußer der Sattler weÿl. Daniel Schweighäußer geweßenen wirths und burgers allhier hinterlassener ehelicher Sohn producirte Stallschein vom 26. Junÿ 1734 und bate um das Zunfftrecht. Erkannt gegen Erlag der Gebühr willfahrt. Promisit.
(3 lb 14 ß 6 d, 14 ß spend. 2 ß Scribæ, 1 ß büttel, dt. 4. lb 11 ß 6 d)

Fils de l’aubergiste à la Charrue (au Faubourg de Pierre), Jean Daniel Schweighæusser épouse en novembre 1734 Anne Salomé Glock, fille de pelletier : contrat de mariage, célébration
1734 (9. 8.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 37-a
Eheberedung zwischen dem Ehrenachtbarn Herrn Johann Daniel Schweighäußern, dem ledigen Sattlern, weÿl. herrn Johann Daniel Schweighäußers, geweßenen Pflugewürths und burgers allhier Zu Straßburg mit auch weÿl. Frauen Anna Maria gebohrner Vögtin seiner Ehegattin seel. nachgelaßenem ehel. Sohn, als dem hochzeitern mit assistentz Tit: herrn Ulrich Greiners des Ohlmanns und E. E. Großen Raths allhier alen wohlmeritirten beÿsitzers, herrn Tobia Ludwig Krugen des Silberarbeiters beeder seiner Vettern und dann herrn Daniel Vogten des Holtzhändlers und ebenmäßigen burgers allhier seines Vettern und geweßenen Vogten ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Anna Salome Klockin, Tit. herrn Gottfriedt Klocken, des Föchhändlers und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers, burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Elisabetha gebohrner Leopardin seiner Eheliebstin ehelich erzeugten Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin, mit beÿstand vorgedachten ihres herrn Vatters Ferner Tit: herrn Johann Jacob Graffen, wohlmeritirten Diaconi beÿ der Evangelischen Gemeind Zum Jungen St Peter allhier und herrn Friderich Barbenes des Kupfferschmidts und gleichmäßigen burgers allhier ihrer nahen Anverwanthen, an andern theil
So geschehen allhier in der Königl. freÿen Stadt Straßburg Sambstags den 9.ten Octobris Anno 1734. [unterzeichnet] Johan dajel schweickheißer Als hoch Zeitder, Anna Salome Klockin Als hoh Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 124 n° XV)
1734. Dominica XVIII et XIX Trinit. proclamati sunnt Johann Daniel Schweigheußer der ledige Sattler v. burger alhier, weÿl. Johann Daniel Schweigheußer gewesenen Gastgebers v. burgers alhier nachgelaßener ehel. Sohn, v. Jgfr. Anna Salome Herrn Gottfried Glock Feg: und Rauh Wahrhändlers alhie auch E. E. Großen Raths alten Beÿsitzers ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. den 3. Novembr. [unterzeichnet] Johan dajel schweuckheußer als hochzeitder, Anna Salome Klockin als hochzeitderin (i 128)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de l’aubergiste Jean Daniel Fischer au Fossé des Tanneurs. Les apports du mari s’élèvent à 186 livres, ceux de la femme à 474 livres.
1734 (29. 9.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 233) n° 33-a
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrenachtbare Meister Johann Daniel Schweighäußer der Sattler und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Salome geb. Klockin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und sich crafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben – So geschehen allh. in der Königl. fr. St. St. auff Montag den 29. 9.br A° 1734. in præsentia Tit. H. Gottfried Klocken, Föchhändlers, b. E. E. Großen Raths alten wohlmeritirten beÿsitzers b. allh. der Ehefr. geliebten Vatter.
In einer allhier Zu Str: ane dem Gerbergraben gelegenen J. Joh: Daniel Fischern dem Gastgebern zum blohen bauren allh. eigenthümlich zuständigen Behaußung folgendermaßen sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Nahrung, Sa. haußraths 22, Sa. Waaren und werckzeug 82, Sa. Silbers 13, Sa. der baarschafft 15, Summa summarum 144 lb – Wann nun darzu gelegt wird due helffte ae denen haussteuren 42, So wird sich des Ehemanns gantzes in ie Ehe gebrachtes Guth dem vero pretio nach belauffen auff 186 lb
Der Ehefrauen Vermögen, Sa. haußraths 77, Sa. Silbers 43, Sa. gold. Ring 35, Sa. der baarschafft 275, Summa summarum 431 lb – deme ist beÿzurechnen deroselben ane dene verehrten haussteuren gebührige helffte 42 lb, Wamit demnach der Ehefrauen gesamte in die Ehe gebrachte Nahrung in allem dem billigen Wert nach antrifft 474 lb

Jean Daniel Schweighæusser et Anne Salomé Glock font leur testament
1734 (31. Xbris), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 289) n° 32
Codicillus reciprocus Mr. Johann Daniel Schweighäußers des Sattlers, und Fr. Annæ Salome gebohr. Glockin beeder Eheleüth v. b. allhier
(…) persönlich kommen undt erschienen seind der Ehrenachtbare herr Johann Daniel Schweighäußer, der Sattler, und beneben Ihme die Ehren und tugendsame Frau Anna Salome gebohrene Klockin beede Eheleüthe und burgere allhier Zu Straßburg Von Verliehung Göttlicher Gnaden gesund gehend und stehender Leibere auch guter richtiger Sinnen und Verstandts
beschehen allhier zu Straßburg und einer daselbst ane der Barbara gaß gelegenen Von mir Notario Lehnungs weiß bewohnenden behaußung dero untern Vordern Stuben, mit denen fenstern Zum theil auff die Gaß und Zum theil in ein Klein höfflein aussehend, auff Freÿtag den 31. Decembris Anno 1734. Abends Zwischen 7 undt 8. Uhren beÿ Zweÿen hellbrennenden Lichtern
[unterzeichnet] Johann dajel schweickheißer sadtler, Anna Salome schweickeißerin gebohrene Klockin

Jean Daniel Schweighæusser et Anne Salomé Glock hypothèquent la maison au profit de Jérémie Evrard Linck, professeur et docteur en droit, chanoine à Saint-Thomas

1739 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 26-v
Johann Daniel Schweighäußer dem Sattler und Anna Salome geb. Glocke mit beÿstand ihres vatters H. Rathh. Gottfried Glocke des Fechhändlers und ihres geschwistrig kindts H. Samuel Schwanfelder gold: und silberarbeiter
in gegensein S.T. H. Jeremias Eberhard Linck J.V.D. et Prof. Publ. Ord: auch Capituli Thomani Decani – schuldig seÿen 450 lb
unterpfand, Eine Behausung bestehend in vordern und hindergebäuden, Scheur, Stallung, hoff, Gartten und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt ahne Steinstraß, einseit neben Hannß Michael Bohner dem Sattler zum theil theils Claude und Pierre denen Besson gebrüder Fuhrleuthen theils ln dem Gartten neben Georg Rinck dem g.u.w. und Landkutscher, anderseit neben weÿl. Michael Verius schönfärbers wittib und erben, hinten auff weÿl. H. Ammeister Daniel Andreas Lempen seel. erben gartten – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines auff dem Allmend stehenden Vorbancks 10 ß ane allmend zinß – als ein am 12. Aprilis 1737 erkaufftes guth

Jean Daniel Schweighæusser loue une partie de la maison à l’huilier Jean Georges Dæther

1740 (29.2.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 111
Johann Daniel Schweighäußer der Sattler
in gegensein Johann Georg Däther des ohlmanns
entlehnt, In einer ihme Schweighäußer eigenthümlich zuständigen in der Vorstatt Steinstraß einseit neben Fr. Margaretha Veriusin der wittib Farbbehaußung anderseit neben Michael Bohner dem sattler gelegenen behausung, In dem hinderhauß untern auff dem Boden eine Stueb und kuchen, Eine stiege hoch über der stueb eine kammer, zweÿ Stiegen hoch abermahls eine bühn, unter obge. stueb einen keller, weither in dem vordern hoff einen 40 schuh langen und 16 schuh breitten platz, auff welchem der verlehner ein ohl hauß einen stall umb ein pferdt zu stellen und eine Bühn umb hau und stroh dahin zu legen, auff seine Unkosten erbauen zu laßen sich verpflichtet, Item einen platz im hoff umb zweÿ fuder holtz dahin zu legen wie auch endlich in sein des verlehners wohnstub ein Comtoir oder verschlag in dem der entlehner sein öhl zu verkauffen berechtigt sein solle – auff 9 nacheinander kommende jahr von Nächst bevorstehend Annunciationis Mariæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 35 pfund

Jean Daniel Schweighæusser et Anne Salomé Glock font dresser l’inventaire de leurs biens. La masse propre à la femme s’élève à 581 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 2 263 livres, le passif à 2 741 livres

1740 (10. 9.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 237) n° 130
Inventarium v. Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung v. Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so M: Johann Daniel Schweighäußer, der Sattler, v. fr. Anna Salome geb. Glockin, beede Ehel. v. B. allh. Zu Str. dermalen tam active quam passive eigenthümbl. in haben und besitzen, welche alldieweilen des Mariti Nahr. mit Zieml. Schulden beladen Zu Salviren der Ehefr. Guths auf freundl. ansuchen, Erfordern v. Begehren der Ehefr. selbsten, mit assistentz S. T. H. Johann Friderich Fausten, J. U. Lti. v. verschiedener Gerichtsstellen wohlverordneten v. geschwohr. H. Curatoris fleißig inventirt – So beschehen allhier in der Königl. Fr. St. Str. auff Donnerstag den 10.ten 9.br. A° 1740.

In einer allhier Zu Str: ane der Steinstraß gelegenen in dieße Credit Massam eigenthümlich gehörigen Beh: folgeder maßen sich befunden
Eigenthumb ane eine behaußung. Eine behaußung, bestehend in Vorder: und hinder Gebeüen, Scheur, Stallung, Hoff, Garten, bronnen, und hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, so gelegen allhier In der Vorstatt ane Steinstraß, einseit neben Mr Joh: Bohner, dem Sattlern zum theil und theils neben Peter und Claude Besson, Gebrüdere und Fuhrleuthen, theils mit dem Garten neben Georg Rinck, dem fuhrmann v. Gartnern unter W. 2.s. neben Weÿl. Michael Verius gewes. Schwartzfärbers wittib und Erben, hinden auf weÿl. S. T. H. Ammeisters Lempen seel. Hh. Erben Garthen, stoßend, davon mann jährl. der Statt Pfenningth. von einem auff dem Allmend gegangenen aber weggethanen, jedoch aber wider dahin Zu thun berechtigten banck, 10. ß d Allmend Zinnß Zu geben pflichtig, sonst aber außer denen darauff hafftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien ledig eigen und wird solche behaußung nach den preiß als solche bißhero darumb Verkaufft werden können, hiehero ohnvergreifflichen æstimirt pro 2000. Darüber bes. j teutsch. perg. Kffbr. in allhies. C. C. stub gef. v. m. deren anh. Ins. ver. dedato 9. febr. 1717. dabeÿ noch andere perg. Kffbr. sich befunden alles mit neuen N° 1 quotirt
Ergäntzung der Ehefrauen ermanglenden unveränderten Guths, Vermög des durch mich Notarium über beeder Ehepersonen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in A° 1734 auffgerichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Invii. Der Ehefrauen unverändert Vermögen, Sa. hßraths 118, Sa. Silbers 29, Sa. Gold. Ring 35, Sa. der baarschafft 5,, Sa. der Activ Schulden 75, Sa. Ergäntzung 317, Summa summarum 581 lb
Des Ehemanns unverändert v. Theilbare Nahr. Sa. hßraths 31, Sa. Waaren v. Werckzeugs 38, Sa. der Kutsch 130, Sa. weins 9 ß, Sa. Silbers 2, Sa. der baarschafft 25, Sa. Eigenth. en jr. Beh. 2000, Sa. Activorum 35, Summa summarum 2263 lb – Schulden 2741, In Compensatione, passiv onus 477 lb

Le boucher Benjamin Bœsinger acquiert la maison qui fait partie de la masse du failli Jean Daniel Schweighæusser moyennant 1 905 livres

1742 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 620
Ganthkauff, Mittwoch den 23. maÿ 1742 – In sachen Johann Daniel Schweighäußer des sattlers falliment betreffend, ist die in solche masse gehörigen vorder und hinder behausung, scheur, stallung, Garthen, hoff, bronnen und hoffstatt gelegen ane der Vorstatt Steinstraß einseit zum theil Johann Michael Bauer dem sattler theils Pierre und Claude Besson gebrüder fuhrleuthe, theils mit dem garten einseit neben Georg Ring dem Gartner anderseit neben Michael Verius des schwartzferbers wittib und erben hinten auff den Lempischen garten – wovon man dem Pfenningthurn wegen eines bancks auff dem Allmend 10 ß ane allmend zinß gibt
an Benjamin Bößinger dem metzger umb 3810 gulden adjudicirt worden

Né à Pforzheim du meunier Jean Absalon Bœsinger, Benjamin Bœsinger épouse en 1717 Madeleine Freyss, veuve du boucher Jean Georges Stahl de Schiltigheim.
Mariage, Schiltigheim (luth. p. 376, n° XIV)
A° 1717 den 19. Octobris seind auff ertheilte Erlaubnuß des Herrn Amtmanns sub dato 9. ej. und Zweÿmahl. ordentlichen Außruffung ehl. copulirt und eingesegnet Worden, Joh: benjamin Bösinger der ledige Metzger allh. Mstr. Joh: Absolon Bösingers, des Müllers zu Pfortzh. Marggraff. durrlachischer Herrschafft ehl. Sohn, v. Frau Magdalena Weil. Mstr. Johann Georg Stahlen, geweßenen Burgers v. Metzgers allh. nachgelaßene Wittwe, wie solches bezeugen, Johan beniamin beßinger als hochzeiter, magtalehna stali, hannß Jörg freÿß als brutter (i 192)

Originaire de Bischheim, Jean Georges Stahl épouse en 1687 Madeleine Landgraff, veuve du boucher Laurent Vogt puis en 1694 Madeleine Freyss
Mariage, Schiltigheim (luth. p. 96)
Anno 1694. d. 2. Febr. Hannß Georg Stahl der Metzger allhier, v. Jgfr. Magdalen, Lorentz Freÿßen hießigen burgers ehl. Tochter (i 53)

Mariage, Schiltigheim (luth. p. 30)
1687. Hans Georg Stal der ledige metzger Michel Stalen von Bischheim deß metzgers ehelicher Sohn, v. Fr. Magdalena weiland Lorentz Vogten deß geweßenen metzgers allhier hinderlaßene eheliche wittib seÿnd d. 27. Aprilis 1687 nach geschehener außruffung ehelichen alhier copulirt v. eingesegnet worden (i 18)

Mariage, Schiltigheim (luth. p. 40)
1670. Zinst. 19. Aprilis Lorentz Vogt, Clauß Vogts Metzgers v. Burgers allhier ehl. Sohn, v. J. Magdalena Jacob Landgraven seel. geweßenen Burgers allhier nachgelaßene eheliche Tochter, sind auff zwiefache proclamation ehl. eingesegnet worden + obÿt Anno 1685 (i 24)

Benjamin Bœsinger s’adresse aux Quinze pour devenir bourgeois comme il n’a pas servi un an chez un boucher de la Ville. La tribu estime qu’il s’agit d’un cas exceptionnel pusiqu’il fait partie des 24 bouchers de Schiltigheim qui ont le droit de commercer à Strasbourg. Les Quinze se réfèrent à une décision de 1695 d’après laquelle les bouchers de Schiltigheim ne sont pas considérés comme des étrangers. La tribu pourra délivrer un certificat d’admission moyenant paiement de 5 livres.
1725, Protocole des Quinze (2 R 130)
Johann Benjamin Bösinger Ca. E. E. Zunfft Zur Bluhm pt° Zunfftrechts
(p. 136) Sambstag d. 5. May 1725 – Moss. nôe Johann Benjamin Bösingers des Metzgers Zu Schiltigheim contra E. E. Zunfft Zur Bluhm H. Zunfftmeister Ppal ist laut mit Kommenden Zunfft bescheids puncto eines Scheins Zu hiesigem Zunfft undt Burgerrecht an Mghh. verwießen worden, Bitt undtg. dispensando gnädig Zu erkennen, daß ihme gedachter Schein ertheilt werden möge.
Gug weilen Gegners petitum ein Casus extraordinarius ist, der sich noch niemahlen allhier begeben hat, alß bitt underth. umb Deputation, et facta relatione setzt H. Ppal dieses begehren Zu Mgh. Erkantnuß. Moss bitt auch umb Deputation. Erkandt Ober Handwerck Herren.

(p. 176) Sambstag d. 9. Junÿ 1725 – Iidem [Obere Handwerck Herren] per Eundem [Secretarium] referiren daß Johann Benjamin Bösinger der Metzger Zu Schiltigheim contra E. E. Zunfft Zur Bluhm H. Zunfftmeister den 5. Maÿ jüngst per recessum Klagend angebracht daß er laut damahl Vorgelegten Zunfft bescheidts /:so vom 26. Aprilis 1725. Krafft Welches auff sein Bösingers begehren daß Ihme mit einem Schein umb Groß Zünfftig werden Zu können, wilfahrt werden möchte.
Erkandt weilen der Implorant allhier seine dienstjahr nicht articulmäßig außgestanden, alß seÿe er mit seinem gesuch ab: und an hoher orth billich Zu Verweißen:/ pt° eines Scheins Zu hiesigem Zunfft: undt Burgerrecht er von gnd. Zunfft ab: und an Mghh verweißen worden seÿe, mit Unterthäniger Bitt dispensando gnädig Zu erkennen, daß Ihme gedachter Schein ertheilt werden solle. Auff Welches die beklagte Zunfft geantwortet, Weilen Gegeners petitum ein Casus extraordinarius, der sich noch niemahlen allhier begeben habe seÿe, alß bäthen sie umb Deputation, undt setztens Facta relatione Zu Mghh. Erkantnuß, welche Deputation dann auch willfahrt und beseßen worden seÿe, da der Implorant sein begehren widerhohlt, und Weithers nichts beÿsetzt, nahmens der Imploranten seÿen Zugegen geweßen H. Johann Friderich Pfeffinger alß Zunfftmeister undt Johann Peter Keÿm welche nochmahlen widerhohlt, daß es ein Casus extraordinarius beÿ fügend der Implorant habe seinen eigenen Metzgerbanck allhier, habe aber nach jnnhalt hießiger Ordnung die I. Jahr allhier beÿ hießigen Meistern Knechts weis nicht Verarbeithet die Zahl der Metzger zu Schiltigheim seÿe auff 24 gesetzt, dem so herein Zu metzgen die Gerechtigkeit haben, und wurde falls dem Imploranten willfahrt werden solte ein platz zu Schiltigheim lär, und bekämen die hießige Metzger einen Meister mehr. Auff seithen der Hh. Depp. finde man daß es auff die Frag ankomme, Ob die Metzger Zu Schiltigheim Welche die Gerechtigkeit haben herein Zu Metzgen alß frembd zuachten ? Es seÿe aber diese Frag A° 1695. auch beÿ MGhh. Vorgekommen und in Negativum erörtert worden, vid. Mghh. Mem. de dicto anno fol. 143. Ille ließt solchen passage ab, undt meldet darauff daß beÿ sothaner der sachen bewandtnuß der bedacht dahien ausgefallen seÿe, daß dem Imploranten dispensando gegen erlag 5. lb. das Große Zunfftrecht Zue conferiren, mithin Ihme mit einem Zunfft Schein zu erhaltung des burger rechtens Zu willfahren. Die Genehmhaltung Zu MGhh stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.

Originaire de Metzingen, Benjamin Bœsinger achète avec sa femme Madeleine Freyss le droit de bourgeoisie en réglant le tiers de l’ancien tarif.
1725, 3° Livre de bourgeoisie p. 1353
Beniamin Beßinger d. Metzger Von Mertzingen geb. und seine ehefr. Magdalena Freÿßin Von Schiltigheim erhalten das br. umb die tertz d: alt: b: wollen beÿ E. E. Zunfft d. blum dienen, Jur. et prom : 21.ten Junÿ 1725. [in margine :] Verreyst d 10.te, Sept. 1737

Madeleine Freyss meurt en 1736 en délaissant six petit-enfants issus de son fils Jean Georges Stahl et de Marie Madeleine Stœber. L’inventaire est dressé dans sa maison au Faubourg de Pierre. La masse propre aux héritiers s’élève à 414 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2087 livres, le passif à 55 livres
1736 (25.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 32) n° 1019 (971)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung liegender und fahrender, Verändert und unverändert, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Ehren und tugendsahme frau Magdalena Boesingerin gebohrne Freÿßin des Ehren und Vorgeachtenn Herren Joh: Benjamin Boessingers metzgers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene Ehefrau nun mehr seel. nach ihrem den 2. Junÿ dießes führwährenden 1736.ten Jahrs aus dießer welt genommenen dötlichen hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H. hannß Jacob Zimmerers ohlmanns und H. hannß Geörg Freÿßen würdens Zum schwanen beeder burgern Zu Schiltigheim, davon aber der erstere unpäßlichkeit halbe, anfänglich nicht Zugegen war, als geordnet und geschworenen (…) Vögten weÿland Hannß Georg Stalen deß geweßenen metzgers und burgers Zu gedachtem Schiltigheim mit Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Stöberin seiner hinterlaßenen Wittib Ehelich erzeugter sechs Kindern und resp. Enckeln, Nahmentlich Johann Geörgen leedigen metzger Knechts, Mariæ Magdalenæ, Benjamin, Mariæ Salome, Mariæ Barbaræ und Lorentzen, alle der stahlen zu gleichen portionen und antheilern ab intestato Verlaßene rechtsmäßige Erben in deren Nahmen weilen sie allhier ohnverburgert hierbeÿ (…) ferner erschienen S. T. H. Joh: Ulrich Kammerer seÿler und gedachten Ehrsahmen Kleÿnen Raths jetzmahliger wohl ansehnlicher beÿsitzer, fleißig Inventirt und ersucht durch Ihne den Wittiber selbsten, Johann Heinrich Seiler dem Metzgerknecht und Catharinam Runnenmännin die dienstmagd (…) Actum in præsentia und fernerm gegenseÿn obermelter frauen Staliin der Kinder Enckele und Erben mutter und H. Johann Christoph Vincato notarÿ und ambtschreiber deß ambts dorelßheim von mehrgemelter Enckeln Vögten erbettenen beÿstandrs wie auch H. Johann Daniel Stöbers Notariatus Candidati dero ferneren assistenten Straßburg Montag d. 25. Junÿ 1736.
Declaratio der Erbs Interessenten Vnd Wittibers vber die auffgerichtete Eheberedung und Codicillum Reciprocum. So viel dem wittiber betrifft so bezeugt er sowohlen wegen der Eheberedung als dem Codicillo reciproco völliges Vergnügen zu haben maßen er dabeÿ acquiesciren wolle, H. Notarius Vincato aber als der Stalischen Kinder, respê Enckeln und Erben erbettener beÿstandt ist Zwar auch beedes mit der Eheberedung und dem Codicillo zufrieden allein er Desideriren nur dießes dabeÿ, daß in deme Erwehnten Codicillo der herr Notarius Lang nicht gemeldet ob die verstorbene seel. in der minut sich entweder eÿgenhändig unterschrieben oder unterzeigeret habe, bitt sich davon die Muinut Zu Inspectiren.

In einer allhier Zue Straßburg an der Steinstraß gelegenen vndt Eÿgenthümblich hiehero gehörigen behaußung sich befunden als volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Im mittlern hauß Erhen, In der Obern stub, In der obern stub Cammer, Im untern hauß Ehren, In der untern Küchen, In der Knechts Kammer – zu Schiltigheim
(f° 14) Eigenthum ane einer behaußung und einem metzig bäncken allhier zu Straßburg (T.) erstlichen eine behausung bestehend in einem fordern hauß und nebens gebauen, scheur, Stallung und bronnen ane der Vorstatt steinstraß (…)
(f° 15) (T.) It. ein metzger banck allhie Zu gedachtem Straßburg unter der kleinen metzig (…)
(E.) It. ein dritter theil vor ohnvertheilt dvon die übrige zw. tertz fol. (-) fac. (-) beÿ dem wÿdemb beschrieben seind, Von vnd ane einer behaußung, Scheur, Stallung v. garth. Mitten In dem dorf Schiltigheim (…)
Wÿdem, Welchen die Verstorbene frau Bößingerin seelig von weÿland herrn Hannß Georg Stahlen geweßenen metzger und burgern Zu Schiltigheim Ihrem Ersten Ehemann seelig blebtägih genoßen (…)
It. Ein In Zweÿen bretter, bestehender Metzig banck allhier zue Straßburg vnter der Kleinen metzig (…)
(f° 37-v) Norma hujus inventarÿ. Coapie der Eheberedung, Copia Codicilli reciproci
Des Wittibers Nahrung, Zwo Silberposten (Ist im Mundo außzulaßen)
Der Erben unveränderten Großmütterlich Vermögen, Sa. haußraths 76, Sa. leeren vaß 1, Sa. Silbers 9, Sa.Goldenen rings 1, Sa. der baarschafft 10 ß, Sa. Antheil ane einem hauß 148, Sa. Eigenthums ane ligenden gütern 204, Sa. beßerung ane lehengüthern 2, Sa. Schulden 40, Summa summarum 482 lb – Schulden 68, Nach deren Abzug 414 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 155, Sa. Schiff und geschirr Zul fuhrwerck v. ackerbau gehörig 25, Sa.bau: hand vnd Scheurengeschirrs 3, Sa. Ohmet stroh v. beßerung 7, Sa. Pferdt 19, Sa. blumen auf dem veld 50, Sa. früchten auf dem Kasten 38, Sa. Rindviehs 45, Sa. Wein v. Leere Vaß 52, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 415, Sa. Eigenthum einer behaußung 800, Sa. Eÿgenthumb einem Metzigbanck 180, Sa. Eÿgenthumb ane ligenden gütern 209, Sa. beßerung ane lehengüthern 2, Sa. Activorum 71, Summa summarum 2087 lb – Schulden 55, Nach deren Abzug 2032 lb
Stall summa 2942 lb
Copia Codicilli – 1716 (…) auff Mittwoch den 2. deß monats Decembris nachmittag umb Zweÿ uhren der Ehrsame und bescheidene Hannß Geörg Stahl, burger und metzger allhier zu Schiltigheim und fraw Magdalena gebohrne Freÿsin seine Ehelichen Haußfraw beede Eheleuthe mich ends unterschriebenen deß Ambts Illkirch verordnet und beeÿdigten Ambtschreibern (…) In Ihrem Inwohnendte behausung daselbsten In die unterste stub deren fenster gegen der gaß und In dem hoff sehenf, requiriren und erfordern lasen, der mann Kranckh beede aber mit stehent und gehendten leibs guter Vernünfftiger sinnen und verstandt – Simonnaire Ambtschreiber
Copia Codicilli – 1735 (…) auff Freÿtagden 26. Augusti (…) persönlich erschienen der Ehren und Vorgeachte Herr Johann Benjamin Bösinger, metzger auch mit und beneben Ihme die Ehren und tugendbegabte frau Magdalena Bösingerin gebohrne Freÿßin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, gesinder gehend und stehender Leiber (…) So dann Herrn Johann Philipp Fettichs und Johann Georg Riedle beder mein des Notarÿ Scribenten von hier gebürtig – Johann Daniel Lang Notarius

Benjamin Bœsinger se remarie en 1736 avec Anne Vix veuve de Jean Jacques von Bœrsch : contrat de mariage, célébration. Le marié accorde à sa femme l’usufruit de sa maison, la femme fait de même de la sienne en faveur de son mari
1736 (31. 8.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 76) n° 841
Eheberedung – entzwischen dem Ehren vnd Vorachtbahren herrn Johann Benjamin Bößingern, Metzgern Wittibern vnd burgern allhier alß dem Bräutigamb ane Einem,
So dann der Ehren vnd tugendsahmen frauen Annæ von Börsch gebohrner Vixin weÿland herrn Hannß Jacob v. Börsch geweßenen Garthners ane Steinstraß seel. hinterlaßener Wittib, alß der hochzeiterin andern theils

Zum Sechßten, der Wÿdembs belangend, so thut der hr. hochzeiter hiemit vnd In Crafft dießes, seiner Fr. hochzeiterin Zu einem lebtägigen vnd doch wiederfälligen wÿdemb Verschrieben, die helffte an einer Vordern Behaußung vnd Nebenß gebäuen, sampt Scheur vnd Stallung, sampt allen deßen ubrigen Rechten und gerechtigkeiten allhier In der Vorstatt Steinstraß einseith neben H. Johann Jacob Zÿsig dem Sattler Ehevögtlicher weiß anderseit neben hannß Michel Braunwald dem färbern hinten auf Hn Joh: Balthasar Bischofs alten dreÿer des Pfthrns Garten stoßend gelegen, für freÿ leedig Vnd Eigen (…)
Siebendens, will Sie die Frau hochzeiterin Ihrem liebwerthen bräutigamb, So fern Sie vor ihme dießes Zeitliche, es geschehe gleich mit oder ohne Verlaßung Ehelicher Kinder gesegnete, Zu einem gleichförmigen gegenwÿdem Verschrieben Ihre helffte ane einer auch In der Vorstatt Steinstraß gelegener behaußung, einseith neben der Garthner Zunfftstub, anderseith neben Mr Heinrich (-) dem Schuhmacher, hinten auf dem Lempischen Garthen stoßend für freÿ leedig vnd Eigen, davon die übrige helffte Hannß Rothen dem Garttner ane Steinstraß Ihren Schwehrvatter Zuständig, worbeÿ aber Expresse Versehen, wann Sie die Fr. Hochzeiterin oder Ihre Erben allenfalls diejenige 600 fl. welche besagter hannß Roth Vermeint auf der Jetzt In wÿdemb Verschriebene helffte haußes bezelt Zu haben, Ihme wieder lüfern müßen, so sellen solche auff Ihre er hochzeiterin ohnveränderten Mittlen bezalt werden
Actum In gegensein H. Andreas Jösten, Garttner ane Steinstraß der Ehefrauen Vogten, Auf seithen deroselben, so dann auf des H. Hochzeiters seithen H. Johannes Georg Stufels Metzgers und burgers allhier Straßburg Mittwochß den 31. 8.bris 1736. [unterzeichnet] beniamin bößinger als hochzeitrer, Anna Von börsch als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 139-v)
1736. dominica XXIV et XXV Trinit. proclamati sunt Benjamin Bößinger der Metzger u. burger alhier, v. fr. Anna geb. Vixin, weÿl. Johann Jacob von Börsch gewesenen Gartners v. burgers alhier nachgelaßene Wittib. Copulati sunt Mittw. d. 21. Novembris [unterzeichnet] beniamin bößinger als hochzeiter, Anna berchin als hohzeitrin (i 144)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Benjamin Bœsinger et Anne von Bœrsch à se marier bien que le deuil ne se soit pas encore entièrement écoulé
1736. Conseillers et XXI (1 R 219) – Beniamin Bößinger der burger und metzger und Anna von Börsch beede Verlobte erhalten Dispensation in der trauer: Zeit. 535.
(p. 535) Sambstag d. 10.ten 9.bris. – Römer Nomine Beniamin Bößingers des hiesigen burgers und metzgers und Annæ gebohrner Vixin Weÿland Johann Jacob von Börsch gewesten burgers und gartners allhier hinterlassener Wittiben, beeder Verlobten, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten, sambt Beÿlagen Sub Lit. A. B. et C. pro gratiosa Dispensatione in tempore Luctus, handelt innhalts. Ist Erkandt, Wird denen Imploranten, in ansehung nach innhalt des Memorialis und der angefügten beÿlagen, an besagten tempore Luctus nicht gar Viel Zeit mehr fehlt, keine Confusio sanguinis Zu beförchten ist, und des Imploranten handwerck eine Ehegattin erfordert, sich mit einander Zu Verheürathen Obrigkeitlich erlaubt und ihnen die dazu wegen noch nicht völlih Verfloßener Trauer: Zeit nöthige Dispensation, gegen erlag Zweÿ pfund pfenning in das Gemeine Allmoßen, Willfahrt.
Deputati H. Rht. Hirschel und H. Rth. Cappler.

Fils de jardinier, le jardinier Jacques von Bœrsch se marie en 1734 avec Anne Vix, fille du jardinier Thiébaut Vix : contrat de mariage, célébration
1734 (24.3.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 702) n° 53
Eheberedung – persönlich kommen Unndt Erschienen der Ehrb: Unndt besch: Jacob Börsch leediger G. und burger alh: mit Hn Hannß David von Trimbach G. ahne ged. Ststrß. Unndt burg: hierselbsten seinem geschwornen Vogt Verbeÿstandet hochzeither ahne Einem
So dann die Ehr: und tugendbegabte Anna geb. Vixin deß auch Ehrb: undt besch: Dieboldt Vixen auch G. ahne mehrbesagten Ststrß Unndt burg; von hier Eheliche dochter mit beÿstandt deselben hochzeiterin andtern theils
Actum Straßb. d. 24.ten Martÿ A° 1734. + des hochzeiters Handzeichen, Anna Vixin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 151)
1734. Domin: Jubil. et Cant. seindt außgeruffen vndt Mittwochs darauff als den 26. Maj ehelich eingesegnet worden Hans Jacob von Börsch der ledige gartner vndt Burger allhier, Hanß Von Börsch geweßenen Burgers vndt Gartners allhier Nachgel. Ehel. Sohn vnd Jungfr. Anna Vixin dieboldt Vixen deß Burgers vndt gartners allhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] xd ießes ist daß Zeÿchen deß hochzeiters, Anna Fixin als hochzeiterin, Andreas von Börsch als brutter (i 153)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison à côté du poêle des Jardiniers qui appartient pour un quart au mari.
1735 (5.3.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 698) n° 94
Inventarium undt beschreibung All der Jennigen Haab, Unndt Nahrung, So der Ehrb. undt bescheid: Jacob v. Börsch Garthner ahne Ststrß, Unndt Anna gebohrner Vixin beede Eheleuthe Unndt burgere alhier Einander in Ihr ohnlängst angetrettenen Ehestandt für ohnverändert Zugebracht, Welche nahrung Undt güther /:damit mann Sich ins Künfftig wegen der in Ihr Einander auffgerichteten Eheberedung stipulirten Ergäntzung Zu regulieren wiße (…) invetiert und ersucht
Straßb. auff Sambstag den 5.te, Martÿ Anno 1735.
In Einer in der Vorstatt Steinstraß neben der Garthner Stuben gelegenen Unndt dem Ehemann Zur ¼ gehörigen behaußung beschrieben worden

Benjamin Bœsinger hypothèque la maison au profit de la Haute Ecole

1747 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 360-v
Benjamin Bößinger der metzger
in gegensein der hohen schul allhier schaffner H. Philipp Jacob Oesinger – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, eine behausung, scheur, garten, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der vorstatt Steinstraß, einseit ist ein eck ane einem gemeinen gäßlein, anderseit neben Johann Michael Bohner dem sattler theils Claude Besson dem fuhrmann, mit dem garten auff Clemens Reiff des holtzhändlers garten

Benjamin Bœsinger hypothèque la maison au profit du brasseur Jean Frédéric Keck, assesseur au Petit Sénat et échevin chez les Tonneliers

1750 (20.11.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 574-v
Johann Benjamin Bößinger der metzger
in gegensein H. Johann Friedrich Keck des biesieders und E.E. kleinen Raths beÿsitzer als E.E. Zunfft der Kieffer Schöffen – schuldig seÿen 600 pfund
unterpfand, eine behausung, schuer, stallung, bronnen, garten, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der vorstadt Steinstraß, einseit neben Johann Jacob Zisich dem sattler, anderseit ist ein eck ane einem gäßel, hinten auff deb Bischoffischen garten
so dann einen metzig banck unter der kleinen metzig, einseit neben Lorentz Stahl dem metzger von Bischheim am Saum, anderseit neben Martin Mann dem metzger wittib, hinten auff den Rindshäutergraben – davon gibt man 13 ß ane bodenzinß

Benjamin Bœsinger meurt en 1781 en délaissant trois enfants. La masse propre à la veuve est de 2 604 livres, la masse propre aux héritiers de 1 307 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 112 livres, le passif à 2 798 livres. Les experts estiment la maison provenant de Jean Daniel Schweighæusser à 600 livres

1781 (28.8.), Not. Stoeber (6 E 41, 1242) n° 243
Inventarium über Weiland des Ehrenachtbaren Herrn Benjamin Bösinger, des ältern gew. Metzgers und Brs allhier Zu Straßburg Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1781 – nach seinem leztverwichenen Frohnleichnamstag den 14. Junii diesen Jahrs aus der Welt genommenen tödlichen hintritt, verlaßen hat. Welche succession auf gebührendes Ansuchen, Erfordern und Begehren der Tugendbegabten Fraun Annä gebohrner Vixin der hinterbliebenen Wittib unter assistentz Herrn Diebold Rieder ga St St. u. brs allhier, den Sie ane Vogtsstatt hierzu angesprochen – So geschehen in der allhier zu Straßburg dero Vorstatt Straßburg ohnfern dem Hirzhorn gelegenen und in diese Verl. gehörigen dannenhero d.runten beschriebener behausung, Dienstags d. 28.t Augusti et seq. A. 1781.
Der Abgeleibte hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1. H. Benjamin Bößinger, den jüngern Metzger Wittiber u. br allhier in den dritten haupttheil, 2. Frau Mariam Margaretham Schneeganßin geb. Bösingerin, H. Friedrich Schneegans des Metzgers und brs allhier Ehegattin, unter deßen authorisation in den dritten haupttheil, So dann 3. Frau Mariam Magdalenam Bischoffin geb. Bößingerin, H. Johann Philipp Bischoff des biersieders u. brs allhier Eheliebstin, von ihrem Ehemann hierbeÿ authorisirt in den dritten haupttheil. Alle dreÿ des Erblaßers mit eingangs erwehnter Wittib erzeugte Kinder und ab intestato verlaßene Erben

Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Indeme bede Zertrennte Eheleute vermög hievor copeÿl. enthaltener Eheber. § 2.do ein unverändert Guth stipulirt aber bedersetige in die Ehe gebrachte Mittel Zu inventiren hinderlaßen haben (…)
liegende güther (25 stück), beßerung ane lehengüthern (26 stück)
(f° 14) Eigenthum ane Häußern. (T.) Erstl. 1 Behs. bestehend in vorder und hinder Gebäu Hof, Hofstatt, Scheuer, Stallung und bronnen s. 1. Garten so ohngefär 1 ½ Vzl. gros m. allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der Vorstadt Steinstraß 1.s. neben Mr Roos dem Sattler Z. th. und Z. th. an dem Garten neben H. Georg Heinrich Steinbach dem Metzger ehevögtl. weiß, 2.s. neben weil. H. Joh. Martin Schwind des jüngern Kiefers Wb. Erben hinten auf H. Clemens Reif des gew. holzhändlers Wb. Erben stos. gel. so über den 20.me ledig eigen. Es wurde aber solche Beh. s. Zugehörde durch H: Sebastian Huber Werck Mr u. H. Joseph Kaltner Wck Mr des Maurhofs ausweißl. deren Zu mein Not. Concept übergebenen Abschatzung Zedels vom 1. 7.bris 1781 taxirt vor 600, Das Gärtlein aber durch Eingangs erwehnten Inventir Schätzer æstimirt pro 15, zusammen 615. Hierüber meldet i. deutsch perg. Kfbrf. in alh. C. C. Stb. gefert m. dero anhgd. Ins. verw. s. dato 23. Maÿ 1742. wobei ferner 1. Augenschein von Seiten E. E. Kleinen Raths vorgenomenen s. dato 23. Xbris 1748.
(E.) It. die helffte an 1. Behs. in vorder u. hinder Gebäuden bestehend Scheuer, Hof, hofstatt, Stallung u. Bronnen auch 1. Gärtl. so ohngefär 1 ½ Vzl. gros alh. zu Straßbg. dero Vorstadt Steinstraß 1.s. neben H. Joh. Jakob Zisig dem Staller ehevögl. weiß Z. th. und Z. th. H. Brantz dem Meelhändler, 2.s. neben weil. Joh. Michael Braunwald des gew. Schwarz u. Schönfärbers Erben hinten auf vorbes. Brantz den Meelmann Zieh. gel. (…)
(T.) 1. häusl. u. hfs m. deßen Zugehörden und Rechten allhier Zu Straßburg hinter dem Steinstraßer Bollwerck (…)
(T.) 1. Behs. u. Hoffstatt mit dero Zugehörden u. Rechten allhier Zu Straßb. hinter vorgemelten Steinstraßer Bollwerck rings um auf das Allmend Zieh. gel. so über den 20.me ledig, eigen und nach Maßgab der bei diessem Concept befindl. Abschatzung Designation gewürdiget pro 300. Es hat aber der verstorbene die Hofstatt solcher Behausung von Löbl. Stadt Pfenningthurn als einen lären Allmend Platz acquirirt und darauf solche Behausung erbauen laßen.
(T.) Und dann die helffte vor unvertheilte an einer Behs. in vorder (supra) so vorger fol. et sq. mit mehren bechrieben, 520, Über solche wehrend dieser Ehe aquiriten behausung helffte bes. Kfbrf CCtb. sub dato 29. maÿ 1747
Eigentum an einem Metzig banck. (E.) Nemlich die helffte an 1 Metzig banck an der Kleinen Metzig jenseit des Pfgth. am Rindshäuter Graben, (…)
T. Neml die helffte an dem vorher f. et sqq. beschriebenen metzig banck (…) 177, hierüber bes. 1 in allh. CCsb. Kfbrf sub dato 29. maÿ 1747
Ergäntzung der Wb. ermangelden unverändert guth, Nach Anleitung des über dero erstern Ehemanns Verl. (weÿl. Jakob von Börsch GAStr. Verl. Not. Schmid d. 11. junÿ 1736 (…)
(f° 19-v) Abzug gegenwärtigen Inventarii. Der Wb. unverändert Vermögen, Sa. Eigentums an lieg. Gütern 398 lb, Sa. Beßerung ane Lehengüthern 2 lb, Sa. Ergäntzung 2203 lb, Summa summarum 2604 lb
Diesemnach wird der E. unveränderte Gut bezeichnet, Sa. Manns Kleider u. weis Getzeugs 14 lb, Sa. Antheil an I. Beh. 520 lb, Sa. Antheil an I. Metzig banck 177 lb, Sa. Eigent. an lieg. Gütern 115 lb, Sa. Beßerung ane Lehengüthern 1 lb, Sa. Ergäntzungs Rests 478 lb, Summa summarum 1307 lb
Endlich wird auch das gemein und theilbare Gut consignirt und beschrieben, Sa hausraths 84 lb, Sa Schiff und Gesch. zum feld u. Ackerbau 21 lb, Sa Pferd und deren Geschirr 58 lb, Sa Früchte in der Scheur 99 lb, Sa. häu und Stroh 23 lb, Sa. Tabacks 35 lb, Sa. Blumen auf dem feld 20 lb, Sa. Wein und Faß 76 lb, Sa. Silb. Geschmeids 3 lb, Sa. Gold ring 2 lb, Sa. Baarschafft 150 lb, Sa. Antheil an I. Metzig banck 177 lb, Sa. Eigentums an Häusern 1290 lb, Sa. Eigenthums en liegenden Gütern 69 lb, Sa. Beßerung an Lehengütern 16 ß, Summa summarum 2112 lb – Schulden 2798 lb, T. pass. onus 686 lb – Stall summ 3277 lb
Wittum welchen der Entseelte von weiland Fraun Magdalena Bösingerin geb. Freÿsin seiner den 2. Junÿ 1736. verstorbenen erstern Ehefrau lebtägig genoßen hat. Vermög der zwischen ihme und der Wÿdems Stiffterin d. 27. Septembris 1727 vor H. Simonaire dem Amtschreiber zu Illkirch passirten Eheberedung §° 2.do
Eheberedung (…) den 30. Octobris 1736, Johann Jakob Ölinger Nots.
Copia Codicilli 13. sept. 1773, Not Johann Daniel Stöber

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 6 400 florins
1781, Livres de la Taille (VII 1180) f° 302
Blum N° 5235. Weÿl. Benjamin Bößinger Sen. geweßenen Metzgers und burgers Verlaßenschafft jnvent. H. Not. Stöber.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 185. 3277 lb 6 ß 1 ½ d die machen 6400 fl. Verstallte 6100 fl. Zu wenig 300 fl.
Wovon nachtrag 8 Jahr in duplo ) 18 ß – 7 lb 4 ß
und 6 Jahr in Simplo – 2 lb 14 ß
Ext. kein Stallgeldt
Geb. – 2 ß
Abhandlung 6 lb 2 ß 6 d, (Summa) 16 lb 2 ß 6 d
das Simplex nachgelaßen, restiert 13 lb 15 ß 6 d
dt. 15. Xbris 1781.

Anne Vix loue la maison à ses deux gendres le boucher Frédéric Schneegans et l’aubergiste Jean Philippe Bischoff.

1782 (17.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1242) Joint au n° 243 du 28 août 1781
Zuwißen seÿe hiermit, daß an zu end gemelten dato Zwischen Fraun Anna Bösingerin geb. Vixin, weiland H. Benjamin Bösinger des ältern gew. Metzgers v. Brs allhier Wb. beÿständlich Herrn Diebold Rieder GAStSt u. brs. allhier an einem
und Herrn Friedrich Schneeganz dem Metzger wie auch Joh. Philipp Bischoff dem biersieder allhier beede, tochtermänneren am andern theil, nachfolgende Lehnung wißend und wohlbedächtlich getroffen worden als
So will hiermit Sie Frau Bösingerin als Wÿdemsnieserin ihres Ehemanns Verlaßenschafft ihren erstbesagten tochtermännern in Lehnung und Genuß abtretten in der alhier zu Straßburg an der Steinstraß neben den Schwindischen Erben gelegenen behausung, die Scheur, samtliche Stallungen samt den darüber befindlichen bühnen und Schopffen, so dann den Hof, dagegen verpflichten sich die tochtermänner gegen dem Genuß erstbesagter begriff Jährlichen auf Weÿhenachten 36 gulden
Straßburg Freÿtags den 17. May Anno 1782.

Anne Vix et ses enfants vendent la maison au tonnelier Philippe Jacques Brida moyennant 2 700 livres

1787 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 26-v
Fr. Anna geb. Vixin weÿl. Benjamin Bößinger gewesten metzgers wittib beÿständlich Diebold Rieder g: ane Steinstraß, H. Benjamin Bößinger der metzger, ferner Fr. Maria Margaretha geb. Bößingerin H. Friederich Schneganß des metzgers ehegattin, so dann Fr. Maria Magdalena geb. Bößingerin H. Johann Philipp Bischoff des bierbrauers ehegattin
in gegensein H. Philipp Jacob Brida des kieffer meisters
eine behausung bestehend aus vorder und hintergebäud, hoff, hoffstatt, bronnen, scheur, stallung und garten mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg dero vorstatt Steinstraß einseit neben Johann Rooß dem sattler meister, anderseit neben Friedrich Ziesich ebenmäßigen sattler, mit dem garten auf weÿl. Clementz Reiff des holtzhändlers erben – woran den mitverkäuffern kinder als ein vätterlich anerstorben guth gehörige Antheilen, ihro mitverkäuffende mutter mit natural genuß verfangen, auff den sie aber wißend und wohlbedächtlich ein vor all mal verzug gethan – um 5400 gulden

Fils de tonnelier, Philippe Jacques Brida épouse en 1774 Chrétienne Barbe Blind, fille de maréchal ferrant : contrat de mariage, célébration
1774 (16. 7.bris), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 748) n° 104
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachte H. Philipp Jacob Brida, leedigen Kieffer Meister Hn Philipp Jacob Brida des Kieffer Meisters und Weinhändlers auch burgers allhier mit der Ehren und tugendsamen fraun Maria Salome gebohrner Perßin ehelich erziehlten Sohn, als dem Hochzeiter ane einem
So dann der Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Christinä Barbarä Blindin, H. Lorentz Blind des Hueffschmidts und burgers dahier in erster Ehe mit weÿland frauen Eva gebohrner Greinerin seelig erzeugten tochter alß der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen Straßburg Freÿtags den 16. Septembris Anno 1774. [unterzeichnet] Philipp Jacob Brida als Hochzeiter, Christina Barbara Blindin als hochzeiterin, Joh: Gottfried Redslob sonst Retzloff als vogt

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 21-v n° 8)
In diesem 1775. Jahr sind nach (…) geschehener proclamation Mittwoch d. 22. Mart. gleich mit der bettstunde ehelich copulirt worden Philipp Jacob Brida lediger burger und Kieffer alhier Philipp Jacob Brida burgers und Kieffers alhier ehel. Sohn mit Jungfr. Christina Barbara Blindin Lorentz Blind burgers und huffschmid alhier ehel. dochter [unterzeichnet] Phflipp Jacob Brida als hochzeiter, Christina Barbara Blindin als hochzeiterin (i 23)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg de Pierre. Les apports du mari s’élèvent à 278 livres, ceux de la femme à 420 livres.
1775 (12.4.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 747) n° 233
Inventarium über des Ehrengeachten H. Philipp Jacob Brida, des jüngern Kieffer Meisters und der Ehren und tugendsahmen Fraun Christinä Barbarä Brida gebohrner Blindin beeder Eheleuthen und burgern allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1775 – welche der ursachen alldieweilen in ihren den 16.ten Septembris 1774. auffgerichteten Eheberedung §° 4.to expresse enthalten, daß einem jeeden sein in die Ehe bringendes Vor ohnverändert verbleiben solle – So beschehen in fernerem beÿsein H. Philipp Jacob Brida des ältern Kieffer Meisters und Weinhändlers auch burgers allhier des Ehemanns eheleiblichen H. Vaters und H. Lorentz Blind des Huffschmidts und burgers dahier der Ehefrauen eheleiblichen H Vaters, Straßburg Mittwochß den 12. Aprilis Anno 1775.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen dißorts Lehnungsweiß bewohenden behaußung befunden worden wie folgt
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns eigenthümlich guth, Sa. haußraths 38, Sa. Werckzeugs wie auch holtz reiff und band zum Kieffer handwerck gehörig 5, Sa. Weins, brandenweins und Eßig 164, Sa. Silbers 18, Sa. der baarschafft 4, Summa summarum 72 lb – Und wann darzu gerechnet wird deßen helffte ane denen haussteuren 55, des Ehemanns völlig eingebrachtes eigenthümliche Vermögen 328 lb – Schulden 50, Nach solchem abzug 278 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth, Sa. haußraths 95, Sa. Silbers 15, Sa. goldenen Ring 28, Sa. der baarschafft 225, Summa summarum 365 lb – Darzu gerechnet dero Helffte ane denen Haussteuren 55 lb, der Ehefrauen eigenthümlich guth 420 lb

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Salomé Riff femme du cordier Jean Frédéric Galster

1789 (21.9.), Not. Wengler (6 E 41, 1531) n° 191
Inventarium über Fr. Maria Salome Galsterin geb. Riffin Mr Johann Friedrich Galster des seilers ehefrau nach ihrem am 13. dieses laufenden monats und jahrs aus dieser welt erfolgten tödlichen hintritt, auf ansuchen des wittwers
Benennung der erben, 1. Johann Georg Riff den meelhändler, 2. H. Mag. Johann Daniel Riff den lehrer im alhiesigen gymnasio, 3. H Johann Friedrich Riff den säckler, 4. H Johann Konrad Riff den müller zu Niederbesdorf Hanauischer herrschafft, aller der defunctæ leiblichen H brüder
in einer an der vorstatt steinstraß gelegen H. Philipp Brida den kiefer und weinhändlers eigenthümlich zuständig und disorts zum theil lehnungsweiße bewohnenden behausung
ergäntzung 524 lt 4, einbringen 2 lt 16 – extract, Inventarii über weil. Konrad Heintz den Kronenwirt zu gedachten Bischheim, ambtschr. Klein Bischheim am Saum

Philippe Jacques Brida meurt en fructidor III en délaissant quatre filles. La masse propre à la veuve est de 1842 livres, la masse propre aux héritiers de 3369 livres. L’actif de la communauté s’élève à 16 079 livres, le passif à 23 996 livres

1797 (25 vend. 6), Strasbourg 3 (19), Not. Übersaal n° 538
Inventarium über des weiland bürgers Philipp Jacob Brida gewesenen bierbrauers Vermögens Nachlaßenschafft, angefangen den 24. Messidor V, nach seinem den 18. Fructidor 3. Jahrs erfolgten Absterben, auf Ansuchen dessen Wittib bürgerin Christine Barbara geb. Blind beÿständlich des burgers Lorenz Blind jüngern hufschmids ihres bruders
der Verstorbene hat mit seiner Wittib erzeugt nachbemanste 4 Kinder 1. Jungfrau Margaretham Barbaram Brida so über 21 jahr alt daher majorennis beiständlich des bürgers Andreas Kuntz beckers, 2. die bürgerin Mariam Magdalena geb. Brida des bürgers Benjamin Kuntz handelsmanns Ehefrau, 3. Jungfrau Mariam Salome Brida so bald 14 Jahr alt und 4. Margaretham Eleonoram Brida ihres Alters 11 ½ Jahr dieser beÿden minderjährige töchter wurden zum vogt erwählet der bs Joh: Jakob Mockel Kiefer

in einer an der Streinstraße gelegen in diese Verlassenschafft gehörigen behaußung N° 29
(f° 7) Eigenthum an einer behaußung so in die theilbare massam gehoerig. Nemlichen eine bierbehausung bestehend aus Vorder: und hinter: Gebäude einem brauhaus hof hoffstatt bronnen Scheuer Stallung und Garten mit N° 29 bezeichnet samt allen deroselben Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen an der Vorstadt Steinstraße einseit neben den br Johann Roos Sattler anderseit ist zum theil ein Eck an eine nicht durchgehenden Gäßlein und zum theil neben dem br Joh: Friedrich Zißig ebenmäßigen sattler, hinten auff b. Meÿers holtzhändlers Garten, hier ohnpræjudicirlich mit Vorbehalt des Eigenthums dem Ankauf nach angeschlagen wird pro 12.000 livres, darüber ist vorhanden Kaufbrieff C. C. Stub vom 16. Januarÿ 1787
Ergäntzung, Not. Thenn den 12. Aprilis 1775
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib ohnverändert Vormoegen, hausrath 210 lb, silbers 5 lb, gold. Ringe 45 lb, activ schulden 300 lb, ergäntzung 1282 lb, Summa summarum 1842 lb
der Kinder und erben unverändertes Guth, Kleÿdung 164, hausrath 272 lb, leere Faß 9 lb, Ergäntzung 3387 lb, Summa summarum 3669 lb – Schulden 300 lb, Nach deren abzug 3369 lb
Theilbare Massa, hausrath 617 lb, Faßer biers Werckzeugs schiff und Geschirr zur Kiefer und bierbrauerei gehörig 1643 lb, silbers 1 lb, baarschafft 516 lb, Activ schulden 27 lb, behaußung 12 000 lb, Mobilien welche Jfr Margaretha Barbara Brida erhalten 191 lb, Maria Magdalena Kuntz empfangen 1083 lb, Summa summarum 16.079 lb – Schulden 23.996 lb, In Vergleichung 7916 lb
Copia der Eheberedung vor Not. Joh: Heinrich Thenn den 16. Septembris 1774 aufgerichtet (…)
Enregistrement de Strasbourg, acp 55 F° 10 du 25 vend. 6

Marguerite Barbe Brida femme du brasseur Jean Baptiste Lipp acquiert les parts de maison de sa mère et de ses sœurs en en devenant seule propriétaire.

1817 (18.1.), Strasbourg 12 (66), Not. Wengler n° 9966
Christine Barbe Blind veuve de Philippe Jacques Brida brasseur, Marie Madeleine Brida veuve de Benjamin Kuntz marchand épicier, Jean Chrétien Kugler, négociant, père et tuteur naturel de Salomé et Caroline Eléonord procréés avec Marie Salomé Brida, Marguerite Eléonore Brida épouse de Frédéric Nathanael Horning ministre du culte protestant à Eckwersheim
à Marguerite Barbe Brida leur fille et sœur respective épouse de Jean Baptiste Lipp, brasseur
sept 8° par indivis d’une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière cour pompe grange écurie et jardin y attenant avec toutes ses autres appartenances et appartenances [sic] sise à Strasbourg Fauxbourg de Pierre n° 29, d’un côté une impasse et en partie Jean Frédéric Zisich sellier, d’autre en partie le Sr Bronner charron en partie le Sr Steinbach jardinier cultivateur, devant la rue, derrière le jardin du Sr Meyer – acquis pendant le mariage de Philippe Jacques Brida auteur des parties à la Chambre des contrats le 16 janvier 1787, pendant la communauté partageable par moitié – l’acquéreuse est déjà propriétaire d’un 8° suivant inventaire dressé par Me Ubersaal le 24 messidor 5 – moyennant15.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 132 f° 168-v du 24.1.

Registre de population 600 MW 32, p. 592, fauxb: de pierre 29 (i 339)
Brida née Blind, Christine Barbe, 1752, Propriétaire, veuve, (née à) Strasbourg
Lipp, Jean, 1772, Brasseur, Marié (né à) Colmar, (à Strasbourg depuis) 1790
id. née Brida, Barbe, 177, Ep., Strasbourg
id. Jean, 1800, Strasbourg
id. Frédéric, 1806, Strasbourg
id. Louis Charles, 1815, (M), Strasbourg
id. Sophie, 1810, Strasbourg
(…)
Lipp née Vogt, Sophie, 1816, Ep. de Louis Charles, M. Strasbourg, (auparavant) Faub. de Pierre 16, Entrée oct. 1840

Originaire de Husseren près de Colmar, Jean Lipp épouse en 1799 Marguerite Barbe Brida : contrat de mariage, célébration
1799 (27 thermidor 7), Strasbourg 9 (26 n.c.), Not. Bossenius n° 80
Eheberedung – sind erschienen B. Johannes Lipp, hiesiger Bierbrauer, Burgers Joseph Lipp, Maurers Zu Häußern, Ober Rhein’schen département mit B. Katarina geborener Benitz ehelich erzeugter großjähriger Sohn, als bräutigam an einem
Und Bürgerin Margaretha Barbara Brida, weiland Bs Philipp Jakob Brida geweßen Kiefers allhier mit br. Christina Barbara geborener Blind, dessen nunmaliger Wittib ehelich erzielte Jungfer tochter beiständlich Bs Johann Heinrich Kuhff hiesigen Strumpf Webers als Braut an andern theil
Straßburg an 27. thermidor siebenden Jahrs der fränckischen ohntheilbaren Republique
[unterzeichnet] jean Lipp als hoh Zeiter, Margaretha Barbara Brida als Hochzeiterin
Enregistrement de Strasbourg, acp 69 F° 116 du 3 fru. 7

Mariage, Strasbourg (n° 380)
Cejourd’hui 30° Thermidor l’an VII de la République française une et indivisible (…) d’une part Jean Baptiste Lipp âgé près de 29 ans, garçon brasseur, domicilié en cette commune depuis trois ans, natif de Haeussern canton de Colmar, Département au haut Rhin fils de Joseph Lipp, maçon audit lieu & de Catherine Bonitz d’autre part Marguerite Barbe Brida âgée de 23 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de feu Philippe Jacques Brida, tonnelier, et de Christine Barbe Blind (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 18 août 1770 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 30 janvier 1776 (signé) jean babis Lipp, Margerith Barbe Brida (i 199)

Inventaire après décès d’une locataire, Anne Marie Adélaïde Fermier femme du jardinier Jean Charles Régnard Hodel

1832 (24.4.), Strasbourg, Me F. Grimmer (actes en déficit)
Inventaire de la succession d’Anne Marie Adélaïde Fermier femme de Jean Charles Regnard Hodel, jardinier propriétaire, décédée le 31 octobre dernier – à la requête de 1. Frédéric Hodel, tant pour lui que tuteur Guillaumette Adélaïde Amélie Fanni Edouard Hodel, 2. Charles Louis Hodel, jardinier propriétaire, 3. Wilhelmine Adélaïde Hodel, majeure, 4. Caroline Hodel, majeure, veuf et enfants de la défunte
Contrat de mariage devant Ehr. Stoeber le 20 messidor 13
meubles 587 fr
immeuble, une maison Faubourg de Pierre n° 29
2 autres petites maisons attenantes l’une à l’autre même Faubourg n° 37
marchandises 16.200 fr, passif 28.667 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 209 F° 172 du 28.4.

Jean Baptiste Lipp meurt en 1842 en délaissant deux enfants

1842 (23.6.), Strasbourg 12 (157), Me Noetinger
Inventaire de la succession de feu M. Jean Baptiste Lipp en son vivant brasseur à Strasbourg où il est décédé le 20 avril 1842
Cejourd’hui 23 juin 1842 à neuf heures du matin, à la requête de 1° Dame Marguerite Barbe Brida, veuve de feu Jean Baptiste Lipp, en son vivant Brasseur à Strasbourg où elle demeure, agissant en son nom personnel comme ayant été commune en biens avec feu son dit mari suivant son contrat de mariage passé devant M° Bossenius Notaire à Strasbourg et en présence de témoins le 27 thermidor l’an VII de la République, enregistré, dont les principales dispositions seront ci-après analysées, 2° Dame Barbe Sophie Lipp épouse dument autorisée à l’effet des présentes de M. Daniel Marbach, teinturier ci présent les deux demeurant à Strasbourg, 3° & de M. Charles Louis Lipp, brasseur demeurant en la même ville. Lesdits Dame Marbach Sr Lipp habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour moitié et sous bénéfice d’inventaire de feu Jean Baptiste Lipp leur père
trouvé en la maison mortuaire sise à Strasbourg faubourg de pierres N° 29
Analyse du contrat de mariage, 1) Donation par le futur à la future épouse d’une somme de 300 francs à titre de don matutinal, 2) Réserve d’apports & héritages respectifs, 3) Communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié entre le survivant & les héritiers du premier mourant, 4) Jouissance assurée du survivant de la moitié de la fortune du prémourant, 5) en cas de non existence d’enfant, jouissance au profit du survivant de toute la fortune du prémourant
acp 299 (3 Q 30 014) f° 93 du 25 juin – Mobilier de la communauté, 507, Garde robe du défunt 119

Comptes des successions de Jean (Jean Baptiste) Lipp et de son fils Jean Benjamin Lipp
1843 (1.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 84 (1873) f° 81-v ssp du 25.1.1843
Compte de l’administration 1° de la succession bénéficiaire de Mr Jean Baptiste Lipp en son vivant Brasseur à Strasbourg
2° de la succession bénéficiaire de M. Jean Benjamin Lipp son fils vivant Tanneur, Président du Conseil de Prudhomme et membre du Conseil municipal de la Ville de Strasbourg y demeurant
rendu par 1° Dame Marguerite Barbe Brida veuve de feu Sr Jean Baptiste Lipp demeurant à Strasbourg, en qualité d’héritière réservataire pour un quart dudit feui Jean Benjamin Lipp son fils mais seulement sous bénéfice d’inventaire ainsi qu’il sera dit ci après, 2° Dame Barbe Sophie Lipp épouse de M. Daniel Marbach teinturier demeurant à Strasbourg de sondit mari ici présent du même autorisée, 3° Et M. Charles Louis Lipp, Brasseur demeurant en ladite ville, Me Marbach et M. Lipp en qualité 1. de seuls héritiers avec dit feu Sr Jean Benjamin Lipp leur frère germain de feu Sr Jean Baptiste Lipp leur père, chacun d’eux pour un tiers et pareillement sous bénéfice d’inventaire et 2. conjointement pour six héritiers ou chacun pour 3/8 de leur dit frère Jean Benjamin Lipp
Observations préliminaires 1. Décès de M. Lipp père, inventaire. M. Lipp père est décédé en sa demeure à Strasbourg le 20 avril 1842. Le 23 juin suivant il a été procédé à l’inventaire des biens délaissés par M. Lipp père par M° Noetinger (…)
2. Renonciation à ladite communauté par Me V. Lipp (…)

Acte de notoriété dressé en 1869 après la mort de Marguerite Barbe Brida
1869 (20.2.), Strasbourg 15 (122), Not. Momy (Hippolyte) n° 13.275
Notoriété – (…) avoir parfaitement commu Dame Marguerite Barbe Brida veuve de Mr Jean Baptiste Lipp en son vivant brasseur, ladite Dame demeurant et domiciliée à Strasbourg et savoir ppertinemment qu’elle est décédée en ladite ville le 23 décembre 1856, qu’après son décès il n’a point été dressé d’inventaire et qu’elle a délaissé pour seuls et uniques héritiers ses deux enfants M. Charles Louis Lipp Brasseur demeurant à Strasbourg et Dame Barbe Sophie Lipp veuve de M Daniel Marbach teinturier demeurant à Strasbourg au profit desquels Madame Lipp née Barbe Brida leur mère a fait une donation à titre de partage anticipé aux termes d’un acte reçu M° Noeinger lors notaire à Strasbourg le 10 mars 1846
acp 578 (3 Q 30 293) f° 109-v du 1.3.

Marguerite Barbe Brida fait donation de la maison brasserie à son fils brasseur Charles Louis Lipp

1846 (10.3.), Strasbourg 12 (168), Me Noetinger n° 18.323
A comparu De Marguerite Barbe Brida veuve de feu M. Jean Baptiste Lipp, en son vivant brasseur à Strasbourg où elle demeure, laquelle a, par les présentes, fait donation à titre de partage anticipé, conformément à l’article 1075 du code civil, à ses enfants et héritiers présomptifs, savoir
1° à M. Charles Louis Lipp, brasseur demeurant à Strasbourg, 2° et à De Barbe Sophie Lipp épouse de M. Daniel Marbach, teinturier, les deux demeurant à Strasbourg, de l’immeuble ci-après désigné, sous les conditions & charges suivantes. Mad. veuve Lipp fait donation audit titre
à M. Charles Louis Lipp, susqualifié
D’une maison, brasserie, consistant en bâtimens de devant, bâtiment de derrière, cour, pompe, grange, écurie, jardin & dépendancess, située à Strasbourg faubourg de pierre, d’un côté une impasse & Monsieur Roederer, de l’autre M. Bronner, par devant la rue, par derrière M. Steinbach, cet immeuble N° 29. Ensemble tout ce qui y tient à clous, à mur & à cheville & ce qui est de nature immobilière, y compris les volets & jalousies, plus les chaudières, alambics, rafraichissoirs & en général tout le matériel servant à l’exploitation de la brasserie & tout ce qui est immeuble par destination, à l’exception des tonneaux qui ne sont pas à comprendre dans la donation
2. Et à la Dame Marbach, de la somme que ledit Sr Charles Louis Lipp aura à lui rendre aux termes du décompte qui suivra, sur la valeur de la maison
Etablissement de la propriété de l’immeuble. Mad. veuve Lipp a hérité un 8° de cet immeuble de son père M. Philippe Jacques Brida vivant brasseur à Strasbourg, dont elle était héritière pour pareille portion suivant qui’il est constaté par un inventaire dressé par M° Ubersaal alors notaire à Strasbourg le 24 messidor en V & elle a acquis les autres sept 8° de 1. De Christine Barbe Blind veuve de M. Brida ci-dessus qualifié, 2° De Marie Madeleine Brida veuve de M. Benjamin Kuntz vivant marchand épicier, 3° M. Jean Chrétien Kugler, négociant, tous demeurant à Strasbourg, ce dernier s’était porté fort pour ses enfants mineurs issus de son mariage avec feu De Marie Salomé Brida, 4° & De Marguerite Eléonore Brida, épouse de M. Frédéric Nathanael Horning, ministre du culte protestant demeurant à Eckwersheim, suivant acte de licitation passé devant M° Wengler lors notaire à Strasbourg le 18 janvier 1817. Lesdites dames Kuntz, Kugler & Horning étaient chacune propriétaires d’un 8° de l’immeuble susdésigné, au même titre que Madale Lipp donataire & Mad. Brida née Blind était propriétaire de la moitié de ladite maison en sa qualité de commune en biens avec son mari, le prix de ladite liquidation se trouve entièrement réglé (…) Les conjoints Brida en avaient fait l’acquisition durant ladite communauté suivant acte passé à la Chambre des Contrats de Strasbourg le 16 janvier 1787
Charges, clauses et conditions (…) 3. La De donataire se réserve l’usufruit viager de la maison & dépendancess formant l’objet de la présente donation
Décompte sur la valeur de l’immeuble. La maison et dépendances dont il est fait donation à M. Lipp par sa mère sont évaluées à la somme de 50.000 francs
acp 346 (3 Q 30 061) f° 18-v

Charles Lipp épouse en 1840 Sophie Vogt, fille de fabricant d’huile
1840 (11.9.), Strasbourg, Me F. Grimmer (actes en déficit)
Contrat de mariage – Charles Lipp, brasseur, fils de Jean Baptiste Lipp, brasseur, et de Marguerite Barbe Brida
Sophie Vogt, fille de Philippe Jacques Vogt, fabricant d’huile, et de Sophie Schiff
régime de la communauté d’acquets
Donation éventuelle par les conjoints Lipp du droit de pouvoir se rendre acquéreurs au jour du décès du dernier vivant de leur maison à Strasbourg au Faubourg de Pierres n° 29 et de tous les ustensensiles de brasseur
Bail de 12 ans du 29.9. au profit des futurs époux de leur maison, ustensiles à l’exception du premier étage, pour 2000 francs de loyer annuels
Enregistrement de Strasbourg, acp 281 F° 63-v du 19.9.

Charles Louis Lipp et Sophie Vogt vendent l’arrière de leur jardin à la Compagnie des Chemins de fer de l’Est

1869 (20.2.), Strasbourg 15 (122), Not. Momy (Hippolyte) n° 13.271
Vente du 20 février 1869. Ont comparu Monsieur Charles Louis Lipp, brasseur, et Madame Sophie Vogt, sa femme demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, Mad. Lipp de son mari dûment assistée et autorisée à l’effet des présentes (ont vendu)
à la Compagnie des Chemins de fer de l’Est dont le siège est à Paris rue et place de Strasbourg pour laquelle est présent stipule et accepte Monsieur Emmanuel de Beausobre, Ingénieur principal de ladite Compagnie demeurant à Strasbourg
Un terrain de la contenance d’un are 74 centiares détaché d’une plus grande propriété sise à Strasbourg, faubourg de Pierre n° 43, section N du cadastre n° 29 ancien. Le terrain vendu est figuré teinté en rose sur un plan dressé à l’effet des présentes (…)
Etablissement de la propriété. Le terrain cédé à la Compagnie de l’Est dépend d’un établissement industriel situé à Strasbourg, faubourg de Pierres numéro 43 consistant en Maison d’habitation, bâtiments affectés à la fabrication de la bière, cour, écurie, jardin et dépendances. Cet immeuble est devenu la propriété de Mr Lipp pour lui avoir été attribué dans un acte portant donation à titre de partage anticipé fait devant M° Noetinger lors notaire à Strasbourg en présence de témoins le 10 mars 1846 par lequel Mad. Marguerite Barbe Brida veuve de M. Jean Baptiste Lipp, en son vivant brasseur à Strasbourg & fait donation de l’immeuble en question à M. Charles Louis Lipp et à De Barbe Sophie Lipp épouse de M. Daniel Marbach, teinturier demeurant à Strasbourg ses deux enfants avec attribution dudit immeuble à Mr Lipp l’un des donataires. Cette donation a été faite par Mad. veuve Lipp à Mr son fils à charge par lui d’acquitter une somme de 22.000 francs, dûe hypothécairement sur l’immeuble dont s’agit et de payer à la Dame Marbach la codonataire une somme de 14.000 francs. La Dame veuve Lipp née Brida avait recueilli un 8° de l’immeuble dont s’agit dans la succession de son père Monsieur Philippe Jacques Brida en son vivant brasseur à Strasbourg, duquel elle était héritière dans ladite proportion ainsi qui’il est constaté par l’inventaire dressé de la succession dudit Sieur Brida par M° Ubersaal lors notaire à Strasbourg le 24 messidor an V et elle a acquis les autres sept 8° de sa mère Christine Barbe Blind veuve de M. Philippe Jacques Brida ainsi que de De Marie Madeleine Brida sa sœur veuve de M. Benjamin Kuntz en son vivant marchand épicier, de De Marguerite Eléonore Brida, épouse de Monsieur Frédéric Nathanael Horning, ministre du culte protestant domicilié à Eckwersheim enfin des enfants et représentants de Marie Salomé Brida sa sœur décédée épouse de Mr Jean Chrétien Kugler, négociant demeurant à Strasbourg aux termes d’un acte de licitation passé devant M° Wengler lors notaire à Strasbourg le 18 janvier 1817. Philippe Jacques Brida et Christine Barbe Blind avaient acquis l’immeuble susdit durant leur mariage suivant acte passé à la Chambre des Contrats de Strasbourg le 16 janvier 1787. – Prix 8700 francs – Etat Civil des vendeurs. Monsieur et Mad. Lipp déclarent qu’ils ont arrêté les conventions civiles de leur union par contrat reçu le 11 septembre 1840 par M° Frédéric Grimmer lors notaire à Strasbourg et ont établi entre eux une communauté de biens réduite aux acquêts
acp 581 (3 Q 30 296) f° 17 du 1.3.
Strasbourg 15 (123), Not. Momy (Hippolyte) n° 13.941. Quittance du 22 décembre 1869

Charles Lipp meurt en août 1870 en délaissant deux filles et un fils. La communauté avec Sophie Vogt partagée en 1873 comprend principalement l’indemnité payée par le gouvernement allemand suite à la destruction complète de tous les bâtiments et des meubles

1873 (9.7.), Strasbourg 8 (87), Not. Gustave Edouard Loew n° 5281
Liquidation et partage de la communauté entre Charles Lipp et Sophie Vogt
Ont comparu 1° Madame Sophie Vogt veuve de Monsieur Charles Lipp, brasseur demeurant à Strasbourg, agissant a) à raison de la communauté de biens qui a existé entre elle et son défunt mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Georges Frédéric Grimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 11 septembre 1840 enregistré, b) à cause des récompenses qui lui sont dues par la dite communauté et la succession de son mari défunt pour ses apports et héritages inexistants, c) comme donataire en usufruit de la moitié de la succession de son mari défunt aux termes de l’article 5 du contrat de mariage sus relaté
2° Madame Julie Emilie Lipp épouse à ce autorisée de M. Jean Geoffroi Sonntag taillandier demeurant à Strasbourg, 3° Madame Sophie Lipp épouse à ce autorisée de Mr Emile Haslauer employé typographe demeurant à Strasbourg, Monsieur Charles Lipp fils, brasseur demeurant à Strasbourg, agissant Mesdames Sonntag et Hasslauer et Mr Lipp en leur qualité de seuls et uniques héritiers dans la proportion d’un tiers chacun de Me Charles Lipp leur père défunt

Exposé préliminaire. I. Contrat de mariage de Mr et Mad. Lipp père et mère (…)
II. Décès de Mr Lipp. Monsieur Lipp est décédé à Strasbourg le 12 août 1870 en délaissant pour ses seuls et uniques héritiers ses trois enfants Me Charles Lipp et Mesdames Haslauer ey Sonntag déjà dénommés plus haut. Il n’a pas été fait inventaire après le décès de Me Lipp, vu que cet inventaire devenait impossible à établir a ce moment, par suite de la destruction complète de tous les bâtiments et des meubles dépendant des communauté et succession Lipp à la suite de l’incendie causé par le siège et bombardement de la Ville de Strasbourg. De sorte que la communauté qui existait entre les épouse Lipp se compose aujourd’hui de la somme de 41.800 francs montant de l’indemnité payée par le Gouvernement Allemand à raison des pertes mobilières éprouvés par la communauté pendant le bombardement de la ville et des récompsnes dues à la communauté par la succession de M. Lipp pour sommes payées à la décharge de Mr Lipp, ci 41.800. (…) Total du passif de la communauté 56.849
Immeuble de la Communauté. Outre la somme de 41.800 francs dont il est parlé ci-dessus (…) il dépend de cette communauté Une cave surmontée d’un hangar terrain, le tout de la contenance d’environ 18 ares sis au ban de Schiltigheim route de Brumath
III. Succession de M. Lipp (…)
acp 617 (3 Q 30 332) f° 99-v du 19.7. (Erklärung 1/5 71) Gemeinschafft, Sie ist von 77.800. – Passiv Masse, Sie ist von 79.008, Deficit 1208
Nachlass 1) Kriegs Entschädigung 71.944, 2) Preis des Bauplatzes durch sie Stadt geschuldet 70.000, 3) Preis eines Stücks Bauplatzes der Eisenbahn verkauft 8700, Ersatz Listung durch Mde Sonntag 2037, durch Me Haslauer 2085, Mobilien nicht vorhanden 1500 (Summ) 156.269 – Passiv Masse 36.000 (Rest) 120.269
Nutzniesung der Wittwe 40.089
Die wittwe hat zu bekommen 1) Ersatz Forderung nach Eheverrag 11.959, welche Summ Sie von der Kriegs Entschädigung bezieht
III. Mde Sonntag (…), IV. Karl Lipp (…)

N° 5254 du 30 juin 1873 – Notoriété – avoir parfaitement connu Monsieur Charles Lipp, brasseur ayant demeuré à Strasbourg où il est décédé le 12 août 1870 et savoir qu’après son décès il n’a pas été fait d’inventaire et qu’il a délaissé pour ses seuls et uniques héritiers dans la proportion d’un tiers chacun ses trois enfants issus de son mariage avec Dame Sophie Vogt sa veuve survivante demeurant à Strasbourg, nommés 1° Dame Julie Emilie Lipp épouse de M. Jean Geoffroi Sonntag taillandier demeurant à Strasbourg, 2° Dame Sophie Lipp épouse du Sieur Emile Haslauer employé typographe demeurant à Strasbourg, 3° M. Charles Lipp fils, brasseur, demeurant à Strasbourg, lesquels ont seuls le droit de recueillir la succession dudit Sieur Lipp, laquelle succession est soumise pour moitié à l’usufruit viager de Madame veuve Lipp, usufruit qui lui résulté de son contrat de mariage passé devant M+ Grimmer et son collègue lors notaire à Strasbourg le 11 septembre 1840

Le fils Charles Lipp meurt brasseur sans enfant en 1875 à Bar-le-Duc
1877 (4.6.), M° Loew
Offenkundigkeitsurkunde bestätigend, daß Karl Lipp Sohn, Brauer zu Bar-le-Duc am 7. Februar 1875 gestorben ist ohne Testament und als einzige Erben hinterließ 1. zu ¼ seine Mutter Sophie Vogt Wittwe von Karl Kipp, Straßburg, und zu ¾ mit hälftigen Antheilen sein beiden Schwestern a) Julie Emilie Lipp, Gattin des Zeugschmieds Johann Gottfried Sonntag dahier, b) Sophie Lipp Gattin des Buchdruckergehülfe Emil Hasslauer dahier
acp 663 (3 Q 30 378) f° 94 du 8.6. n° 2048

La veuve et les enfants de Charles Louis Lipp cèdent à la Ville un terrain pour servir de voie publique

1873 (10.7.), Maire
3079. Verkauf durch 1) Sophie Vogt Wittwe von Karl Ludwig Lipp, lebend Bierbrauer, 2) Julie Emilie Lipp Ehefrau von Gottfried Sonntag, 3) Sophie Lipp Ehefrau von Emil Hasslauer, Buchsetzer, 4) Karl Lipp, Bierbrauer, alle zu Straßburg
an die Stadt Straßburg
von 1053 Q. Meter Grundfläche in der Steinstraße N° 43 zur Erweiterung der Straßen dienend, für 70.000 Franken
acp 617 (3 Q 30 332) f° 82 du 12.7. – Bürgermeister

La Ville vend en juin 1873 à Eugène Mühl une partie du terrain qu’elle a achetée pour servir de voie publique

1873 (3.6.), Maire
Bürgermeister 3. Juni, den 2. Juli bestätigt
3087. Versteigerung durch die Stadt Straßburg von verschiedenen Grundstücken in der Steinstraße und im Kageneckerbruch gelegen und von der Zerstörung der Stadt herrührend, zum allgemeinen Alignement zu gelangen nach dem Gesetz vom 3. Mai 1841
21) 606 Q Meter nehmliche Straße (Steinstraße)
an Eugen Mühl zu Straßburg Bürge Eleonore Mühl zu 45.900. Franken

Le licencié en droit Eugène Désiré Mühl acquiert en 1843 des héritiers de Pierre François Chaveheid la charge de notaire à la résidence d’Oberschaeffolsheim. Eugène Mühl y exercera ses fonctions de janvier 1844 à juin 1860.
1843 (20.9.), Me Grimmer
Cession d’office par 1. Françoise Schaeffer majeure à Oberschaeffolsheim agissant en qualité de mandataire par acte conforme de Marie Hélène Geneviève Clémentine Chaveheid femme de Maurice Wernert, employé au chemin de fer demeurant à Arschwiller, 2° Georges Aloyse Pierre Fritz, percepteur des contributions à Diemeringen agissant comme administrateur des biens de sa femme Victoire Reine Antoinette Chaveheid, 3° Françoise Philippine Caroline Chaveheid majeure et 4° Dlle Rosalie Albertine Chaveheid mineure émancipée, ces deux dernières demeurant à Oberschaeffolsheim, lesdites dames Wernert, Frite et Dlle Chaveheid agissant comme seules héritières de leur père Pierre François Chaveheid, notaire à Oberschaeffolsheim décédé
à Eugène Désiré Mühl licencié en droit demeurant à Strasbourg
la charge de notaire à la résidence d’Oberschaeffolsheim canton de Schiltigheim arrondissement de Strasbourg, moyennant la somme de 62.000 francs
acp 314 (3 Q 30 029) f° 20 du 23.9.
acp 314 (3 Q 30 029) f° 98 du 16.10. Grimmer 14.10. Modification du mode de paiement

acp 316 (3 Q 30 031) f° 33-v du 17.11. – M° Grimmer 16 novembre 1843 – Acte de présentation par les héritiers de Pierre François Chaveheid, notaire à Oberschaeffolsheim à l’agrément du roi de Eugène Désiré Mühl, licencié en droit à Strasbourg, à l’effet d’être admis comme successeur de M° Chaveheid dans l’office de notaire qui lui a été cédé suivant acte reçu Grimmer Nre le 20 septembre 1843.

Oberschaeffolsheim, recensement de 1856 – n° de maison 178, numéro de ménage n° 206
n° 939 Mühl, Eugène, Notaire, 38 ans
n° 940 Mühl Mathilde, sa sœur, 33 ans
n° 941 Riff, Salomé, sa servante, 23 ans
n° 941 Riff, Marie, sa servante, 20 ans

Eugène Mühl est le fils de Jean André Mühl et de Marie Madeleine Meckert
1863, Strasbourg 14 (162), Not. Ritleng père Notoriété 7 août 1863, n° 14.162
avoir parfaitement connu Monsieur Jean André Mühl propriétaire et Madame Marie Madeleine Meckert son épouse tous deux décédés à Strasbourg, Mad. Mühl le 22 octobre 1850 & Mr Mühl le 23 septembre 1862. Qu’ils savent qu’après leur décès il n’a point été dressé d’inventaire de leurs succession & qu’ils ont laissés pour seuls et uniques héritiers leurs quatre enfants nommés Charles Adrien Mühl propriétaire, Désiré Eugène Mühl ancien notaire, Gustave Adolphe Mühl docteur en médecine & Dame Mathilde Eléonore Mühl rentière, tous majeurs domiciliés & demeurant à Strasbourg, lesquels ont en conséquence seuls droit a recueillir la généralité de la succession de leurs père et mère

Eugène Mühl passe en 1873 avec son voisin (n° 41) marchand de houblon Eugène Pfeiffer une convention concernant le mur de séparation

1876 (12.8.), M° Holtzapffel
Erklärung durch Desire Eugen Mühl, Eigenthümer und
Eugen Pfeiffer, Hopfenhändler beide in Straßburg
daß die Scheidemaur zwischen ihren Eigenthum wie in den beigehefteten Plan angegeben richtig ist
acp 654 (3 Q 30 369) f° 11 du 17.8. n° 2479

Natif d’Amiens, Eugène Mühl meurt célibataire le 24 mai 1899 à l’âge de 83 ans
Décès, Strasbourg (n° 1236)
Strassburg am 25. Mai 1899. (erschien) der Pförtner Michael Schneider, wohnhaft zu Straßburg Storchengasse 10 und zeigt an, daß der ledige Rentner Eugen Mühl, 83 Jahre 5 Monate alt, evangelischer Religion, wohnhaft Zu Straßburg, geboren zu Amiens, Somme, Franckreich, Sohn der verstorbenen Eheleute Andreas Mühl, Rentner und Maria Magdalena Meckert zuletzt hier wohnhaft gewesen, zu Straßburg in des Anzeigers Behausung am 24. Mai des Jahres 1899 Nachmittag um 3 Uhr verstorben sei. (i 103)

Sa nièce Marie Madeleine Louise Guillaumette Mühl épouse en 1879 le baron Albert Othon Bernard Gans de Putlitz
Mariage, Strasbourg (n° 339)
Strassburg am 24. Juni 1879. der Hauptmann in Ingenieur Corps Reichs-Freiherr Caspar Albrecht Otto Bernhard Gans Edler zu Putlitz, evangelischer Religion, geboren den 11. Februar des Jahres 1845 zu Berlin (Preussen), wohnhaft zu Metz (Lothringen), Sohn des Lieutenants außer Dienst Paul Ludwig Wilhelm Reichs-Freiherr Gans Edler zu Putlitz und der Maria Luise geborner Wolfart, Eheleute wohnhaft zu Wernigerode (Preussen), und Maria Magdalena Luise Wilhelmine Mühl, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 20. Juli des Jahrs 1854 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Dr. med. und Bibliothekars an der hiesigen Universität Gustav Adolph Mühl und der Luise Wilhelmine geborner Candidus, Eheleut wohnhaft zu Straßburg, Als Zeugen waren zugezogen und erschienen der Eigenthümer Carl Adrian Mühl, 69 Jahr alt, wohnhaft zu Straßburg, der Buchhändler Caspar Gebhard Reichs-Freiherr Gans Edler zu Putlitz, 35 Jahr alr, wohnhaft zu Braunschweig (i 117)

(Propriétaire suivant) Le marchand Thierry Ernest Hampelé épouse en 1900 Mathilde Berthe Müller

Mariage, Strasbourg (n° 1055)
Strassburg am 4. Oktober 1900, der Kaufmann Dietrich Ernst Hampele, evangelischer Religion, geboren am 31. Mai des Jahres 1863 zu Strassburg, wohnhaft zu Straßburg Sohn des Rentners Dietrich Hampele und seiner Ehefrau Maria Barbara geborner Krencker beide wohnhaft in Strassburg, die gewerbslose Mathilde Bertha Müller, evangelischer Religion, geboren am 30. Aprilis des Jahres 1877 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg, Tochter des Rentners Friedrich August Müller wohnhaft in Strassburg und seiner verstorbenen Ehefrau Emilie geborne Vogt, zuletzt wohnhaft in Strassburg [in margine :] † le 24 XI 24 N° 2726 (i 127)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.