2, rue des Poules (ancien)


Rue des Poules n° 2 (ancien) – X 134 (Blondel), O 965 (cadastre)

Auberge à la Poule noire (zur Schwartzen Hennen, 1625-1712), puis à la Poule blanche (zur weissen Hennen, 1712-1718), à l’Autruche (zum Strauss, 1718-1742), enfin au Cor de Chasse doré (zum goldenen Waldhorn, 1742)
Démolie en 1850 pour agrandir la manufacture des tabacs


Plan-relief de 1725 (Musée historique). L’auberge occupe deux bâtiments qui suivent les deux premiers devant une grande cour, en haut à droite de l’image
La maison se trouvait au premier plan à gauche (avril 2016)

Le boulanger Sébastien Henninger, alors aubergiste à l’Ancien Palais, acquiert en 1625 deux bâtiments rue des Bestiaux et la moitié d’un puits commun avec le voisin à l’arrière. Il y exploite à partir de 1625 l’auberge à la Poule noire (zur Schwartzen Hennen), reprise en 1659 par son gendre. Tenue soit par les propriétaires suivants soit par leurs locataires, l’auberge a mauvaise réputation dans le voisinage en 1711. L’enseigne devient en 1712 à à la Poule blanche (zur weissen Hennen). Jean Philippe Bodemer qui achète la maison par adjudication judiciaire en 1718 y exploite jusqu’à sa mort l’auberge à l’Autruche (zum Strauss). Sa veuve réserve l’enseigne pour son fils, le locataire suspend en 1742 celle au Cor de Chasse doré (zum goldenen Waldhorn). Le fils Jean Jacques Bodemer devient effectivement aubergiste mais tient non loin de là l’enseigne à la Couronne.
Propriétaire à partir de 1760, Jean Nicolas Matz y exerce son métier de fabricant de tabac après avoir renoncé à celui de marchand de fruits et légumes pour se conformer au nouveau règlement de la Mauresse. La maison passe aux héritiers testamentaires de sa veuve, les enfants de l’apprêteur de tabac Jean Nicolas Riebel. Elle est expropriée en 1847 sur son fils Nicolas Riebel pour agrandir la manufacture des tabacs et démolie en 1850.
Jean Philippe Bodemer doit avoir fait d’importants travaux ou reconstruit entièrement la maison dont la valeur minimale passe de 425 livres en 1711 à 750 livres en 1757, date à laquelle elle comprend deux logements. A la mort de Jean Nicolas Matz en 1787, elle comprend trois logements pour une valeur minimale de 500 livres.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 227 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et premier étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade en deux parties se trouve à droite du repère (c). Le premier bâtiment a une porte et une fenêtre de chaque côté, l’étage trois fenêtres et la toiture un niveau de lucarnes. Le deuxième un peu plus haut est disposé de la même manière. La cour (S) montre l’arrière (1-4) du deuxième bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (2-3), la remise (1-2) à l’ouest et le bâtiment latéral (3-4) à l’est. Le bâtiment du fond longe la cour (R) entre (16) et (1).


Cours S et partie de la cour R

mai 2020

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1610 à 1847. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Michel Oberhauser, pasteur, et (1612) Anne Vollbarth – luthériens, et copropriétaires
1614 v Sébastien Henninger, boulanger puis aubergiste, et (1616) Barbe Wœfflin, veuve du notaire Jacques Beringer – luthériens
1650* h Chrétien Dietsch, boucher, et (1645) Anne Marie Henninger – luthériens
1693 h Chrétien Dietsch, boucher, et (1677) Anne Fritsch, veuve du boucher Georges Kamm – luthériens
1694 adj Paul Flach, secrétaire général de l’hôpital bourgeois – David Divoux, marchand de bestiaux à Sainte-Marie-aux-Mines, et Thiébaut Sigel, boucher à Benfeld
1704 v Jean Dürninger, tonnelier, et (1701) Susanne Schranckenmüller, remariée à Jean Henri Drœscher – luthériens
1712 v Jean Jacques Schmitz, tonnelier, employé à la Grue, et (1696) et Marie Sara Satz – catholique et luthérienne convertie
1718 adj Jean Philippe Bodemer, boucher puis aubergiste, et (1715) Marie Dorothée Bezold veuve de Jean Daniel Theurer, aubergiste à Mühlberg, remariée (1739) avec Jacques Datt, boucher et aubergiste – luthériens
Marie Dorothée Bodemer, et (1737) Gaspard Hess, batelier – luthériens
Anne Marie Bodemer, et (1740) Jean Conrad Reiff, aubergiste – luthériens
Marie Salomé Bodemer, et (1747) Jean Daniel Wintersinger, cordonnier – luthériens
1753 h Jean Jacques Bodemer, aubergiste, célibataire († 1757) – luthérien
1760 v Jean Nicolas Matz, fabricant de tabac, et (1755) Catherine Schwab veuve de Jean David Martzloff, apprêteur de tabac – catholiques
1787 h Joseph Riebel, apprêteur de tabac, et (1763) Marie Ehl puis (1798) Cécile Leiter – catholiques
1815* h Jean Nicolas Riebel, ouvrier en tabac, et (1800) Anne Audinot
1847 exp État, pour la manufacture de tabac

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 675 livres en 1693, 425 livres en 1711, 750 livres en 1757, 500 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) X 134, Nicolas Matz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Matz, 9 toises, 5 pieds et 8 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 965, Riebel, Nicolas, rue des Poules 2 – maison, sol – 5,55 ares

Locations

Tenanciers de l’auberge, d’abord à la Poule noire (1625-1712), peut-être d’après le nom du propriétaire Henninger, puis à la Poule blanche (1712-1718), à l’Autruche (1718-1742), enfin au Cor de Chasse (1742). Les dénominations successives figurent dans les inventaires dressés au milieu du XVIII° siècle (anfänglich zur Hennen, nachgehends zum Strauß, dermalen aber zum goldenen Waldt: Horn genandten würths behaußung)

  • 1625, Sébastien Henninger établit son auberge à la Krutenau. Elle porte en 1632 l’enseigne à la Poule noire (zur schwartzen Hennen)
  • 1659, son gendre Chrétien Dietsch reprend l’auberge (Quinze)
  • 1678, 1682, Philippe Gross, aubergiste (bail – Quinze 1687 puis 1689)
  • 1687, Laurent Henri Gœldel, aubergiste (bail)
  • 1689, Philippe Gross, aubergiste (bail – Quinze)
  • 1690, Chrétien Dietsch fils (Quinze)
  • 1698, Jean Georges Bahn, aubergiste (bail)
  • 1702, Chrétien Allemann (bail – Quinze 1703)
  • 1703, André Eigel, boucher (bail – Quinze)
  • 1705, Jean Dürninger (propriétaire, Quinze)
  • 1707, Antoine Bondiquet (Quinze)
  • 1707, Jean Dürninger (propriétaire, Quinze)
  • 1711, mauvaise réputation (Quinze)
  • 1712, Jean Jacques Schmitz (propriétaire, Quinze), nouvelle enseigne à la Poule blanche (zur weissen Hennen)
  • 1712, Jean Jacques Schnabel (bail – Quinze 1712)
  • 1714, Jean Michel Arnold (bail – Quinze)
  • 1714, Jean Jacques Schmitz (propriétaire, Quinze)
  • 1714, Jean Jacques Schnabel (voir plus haut, Quinze)
  • 1715, Jean Philippe Rockenbach (Quinze)
  • 1716, Jean Jacques Schmitz (propriétaire, Quinze)
  • 1718-1739, Jean Philippe Bodemer (propriétaire, Quinze) nouvelle enseigne à l’Autruche (zum Strauss)
  • 1739-1742, non exploitée (voir Quinze 1742)
  • 1742, Jacques Auffhammer (bail – Quinze) nouvelle enseigne au Cor de chasse doré (zum goldenen Waldhorn)
  • 1744, Jean Daniel Gross (Quinze)
  • 1748, Chrétien Schnebel (bail – Quinze 1749)

Autres locations

1701, Jean Michel Seitz, consigne et interprète à la porte de l’Hôpital
1803, Joseph Müssner, aubergiste, et Marie Wenck
1810, Henri Ruh, charpentier, et Marie Françoise Elisabeth Fleich
1813, Cassian Dablander, tisserand, et Marie Catherine Madeleine Schmittlé veuve de Dieudonné Cherrier

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1780, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Le maître maçon Jacques Ferdinand Hertelmeyer est autorisé au nom du propriétaire Matz à ravaler et repeindre la maison

(f° 29) Dienstags den 7. Martii 1780. – Hr Matz, tabackfabricant
Idem [Mr. Härtelmeÿer der maurer] nôe. Herrn Matz, des tabackfabricanten, bittet zu erlauben deßen behausung ane der Hennen Gaß außbeßern und anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt

Protocole des Quinze

1617, Protocole des Quinze (2 R 45)
Le meunier Simon Weiss exploite une auberge en attendant de trouver un moulin. Il accepte le moulin que le consul Christophe Stædel lui propose à Achenheim. Sébastien Henninger reprend l’auberge.

Simon Weiß – H. Christoph Städel alt Ammeister – Bastian Henning umb Weinschanck. 4.
Sebastian Henning. 128.
(f° 4-v) Sambstag den 18.ten Januarÿ – Simon Weiß der bißhero gewesten Weinschenck vnd Mehlman, sonsten seines Handwercks ein Müller, erscheint, vnd berichtet p. J. Rosen Ob er wohl Jederzeÿt gesinnet geweßen sein Müller handwerck Zutreiben, So habe er doch keine Mühl erlangen können, Nunmehro aber soll Inn der gelegenheit für des H. Christoph Städell alter Ammeister Ime sein mühl Zu Achenheim, vff ein gewisse Jaracht, Verlauhen, Welches dann J. Rosa bestättiget, mit vermelden, das ehrengemelter H. Ammeister mit Ime heüth auß der sachen geredt, Vnnd ein solches meinen Herrn inn seinem nahmen für Zupringen begert, Wann er dann den bißher getribenen Weinschanck Vbergeben, Vnd Bastian Henning, denselben hergegen annehmen Wolt. So erschein auch er Henning, Vnd were der Parteÿen Vnderthänig bitten, vnd des Hrn Ammeisters begehren, Inn solche Vergleichung Iren gnedigen Consens vnd willen Zugeben, daruff Zeigt der H XV meister ahn, H Ammeister Städell haab vff diße Weiß auch mitt Ime geredt.
Erkant, Wann Henning das Jenige im Vngelt leisten Würdt, Waß die Ordnung diß falß erfordert, So soll Jme der Weinschanck so lang bewilligt sein, alß er meinen Hrn belieben Würdt, darneben soll man Ime auch Zusprechen, Keine leüth Zusetzen, wie man vernimpt d. es bißhero Weiß gethan, oder man Werd Ihn wider abschaffen. B. Mr.

Sébastien Henninger est autorisé à exploiter l’auberge au Van (zur Wannen) Grand rue

(f° 128-v) Mittwoch den 25. Junÿ – Sebastian Henning, Weinschanck zur Wannen
Sebastian Henning Jetziger Weinschenck Zur Wannen an der Obern straßen, erscheint, vnd laßt p. Tromers fürpringen, Wie das er sich mitt Ulrichs Hannß Schotten, dem alten Würth Zum Schwartzen Adler, vonn wegen Jetzermelter seiner Herberg, Wahfern wonn meinen Herren Ime, die Würtschafft allda Zutreibenn gnedig solte beiwilligt werden, inn gewisse vergleichung eingeloffen, dieweÿl dann diße behaußung bißhero lange Zeÿt ein Herberg geweßen, vnd noch den Schilt daran hencken hatt, Suppliccant sich auch beÿ dem Weinschanck seithero ohmlagbar verhalten, Vnd nicht weniger hienfürter ebenmäßig sich Zuerzeigen gesinnet, So were sein vnnderthänige bitt, Mein hrn wollen Ime gnedig gestatten, das nach geleisteter bürgschafft, er berürter Herberg beziehen, vnnd Würtschafft darinnen treiben möge. Weitter meldet Tromer, Es erscheine auch Niclauß Weber der schneider, so onangezogener Vergleichung beÿgewohnt, vnnd bette innahmen vnnd vonn wegen Ulrichs Hannß Schotten welchen die Herberg zustendig, gleicher gestalt vmb gnädige willfahrung. Erkandt, Wann er genungsame bürgschafft stellen würd, Woll Inen in Irem begehren willfahrt sein. B. Mr.

1625, Protocole des Quinze (2 R 53)
Sébastien Henninger qui est aubergiste depuis neuf ans demande l’autorisation d’exploiter une auberge à la Krutenau où il habite. Les préposés généraux à l’accise déclarent que le pétitionnaire a bonne réputation et que deux auberges vont fermer dans le quartier. L’autorisation lui est accordée pour un an après lequel il devra en solliciter une nouvelle.

Bastian Henninger vmb den Weinschanckh. 147.
(f° 147) Mittw. 22. Junÿ – Bastian Henninger erschienen vbergibt per Dr Rengern Ein vnderthenig Supplication, pit darin vmb den Weinschanckh wone in der Crautenaw, hab die 9 Jahr vber allß hiebevor würtschafftt getrieben vndt wein außgezäpft, daß ungellt Jeder Zeit richtig contentirt & Obervngellth. gehort, geben Supplicanten ein guth Zeügnus, vndt berichten daß in der Crutenaw, zween weinschencken bald abgehen werden, dahero dißem Zuwillfahren &
Erkandt, Ober Vngelltherren mogens Ihme ein Jahrlang erlauben soll darnach wider Insonderheit darumb Ansuchen, auch gebürende bürgschafft leisten.

1627, Protocole des Quinze (2 R 55)
Aubergiste à la Poule, Sébastien Henninger demande l’autorisation d’exploiter une auberge en arguant que plusieurs ont fermé dans le quartier. Les préposés généraux à l’accise déclarent que le pétitionnaire a bonne réputation. Son voisin Glaser le confirme. L’autorisation lui est accordée.

(f° 208) Sambst. 1. 7.bris – Bastian Hellinger vmb würtschafft Zur Hennen [Bastian Henninger]
Bastian Hellinger weinschenckh Zur Hennen Erschien, bericht per D. Rengern, weÿlen In seiner Nachbarschafft etliche würtshäußer Abgangen, Alls pit Er Ihme offene würtschafft Zutreiben, gn. Zuerlauben, hab das vngelt Jederzeit richtig abgelegt, will so auch fürohin thun, berufft Sich vff ober vngelt Herren & dieselben gehört, geben Supplicanten ein guth Zeügnus, deßgleich. auch Herr Glaser Alls sein Nachbaur Erkandt, wofern Er die formalia nach besag der Ungellt ordtnung erstattet haben würdt, daß Ihme Allß dann In seinem begeren willfahrt sein soll. Mr. et H. Schach.

1632, Conseillers et XXI (1 R 116-114)
Sébastien Henninger est aubergiste à la Poule noire (Zur Schwartzen Hänen) lors d’une plainte déposée contre lui en 1632

Bastian Henninger, Einer p.dition beschuldigt. 86.
(f° 86-v) Montag 4. jun. 1632 – Ego referire, waß verschienen H. Goßenhanß von Neuwen Sandt, wid. Bastian Henningern den würth Zur Schwartzen Hänen, wegen p.dition, den priester Zu Windschleg beschehen, außgesagt, wie in der verfaßten inq.sition mehrers Zu sehen. Erkhandt. Ambtschaffners schr.ben beÿ der Vord. h. bedencken, Bastian Henninger Sach für Rath gewießen.
1645 Conseillers et XXI (1 R 128)
(f° 24-v) Montag d. 3. Martÿ – Sebastian Henninger schwert vff die Statt gerichts ordnung. Soll daselbst p.sentirt werd. durch H. XXI Bauren v. H. Kauffmann.

1636, Protocole des Quinze (2 R 61)
Les préposés généraux à l’accise infligent une amende à Sébastien Henninger qui a déclaré un seul tonneau lors du déchargement à la Grue alors qu’il en a reçu deux. Sébastien Henninger doit payer 50 livres et le tonnelier Jean Isen qui était au courant 5 livres.

Ungelts betrug. Bastian Henninger würth Zur schwartzen hennen Straf 50 lb – Hannß Isen d. Kieffer Straff 5 lb
(f° 50-v) Sambst. den 12. Martÿ – Jr. XV. Mr et Obere Ungeltherren proponiren, Beÿ Ihnen hette der Cran meister angebracht, wie das Bastian Henninger der würth Zur schwartzen hennen vor ettlich wochen 2. fass wein am Cran, durch seinen Kieffer erkauffen laßen, aber davor nur eines am Vngelt angeben vnnd also betrug verübet, weßwegen Inquisition eingezogen, vnnd so wol Er der würth, alß auch Hannß Isen der kieffer, vnd Melchior Mock der Kärchel Zieher gehört worden, welche deponirt vnd außgesagt, wie in dem hagbuch B. fol. 45. et seqq. verzeichnet so zu diesen mal p. H. Frantzen verlesen worden. Erkanndt, Man solle dem würth anzeigen, Zuvordrist das restirend. vngelt, vnnd dann Zu verdienter straff 50. lb. d zu entrichten, nicht weniger solle hannß Isen der Kieffer, als der vmb dieser Betrug gewußt 5 lb zur straff zu geben schuldig sein.
[in margine, 50 lb] Entrichtet vnd vff den Pfenningthurn gelüffert p. (*) Mittw den 30. Mart. 1636.
[in margine, 5 lb] wie dieße straff entrichtet vide infr. fol. 70.

1659, Protocole des Quinze (2 R 77)
Chrétien Dietsch dont les forces déclinent demande l’autorisation d’exploiter l’auberge à la Poule. Il demande à bénéficier d’un tarif réduit pour le vin qu’il sert parce que les clients sont rares. Il devra régler une mesure de vin toutes les trois semaines tant que son beau père sera en vie.

Christmann Dietsch. 73 [Metzger wegen Würths Zur Hennen].
(f° 73-v) Sambst. den 30. Aprilis – Christmann Dietsch Metzger allhier per Wild. dd. Supplication, bericht, d. Er nun Eine Zeit hero beÿ seinem mit leibßblödigkeit sehr behaffeten Schweche dem Würth Zur Hennen, sein aber auch seinen in die haußhaltung brauchenden wein, nach dem Würths Vngelt v.ungelt müß. Weil. aber ermeltem orth die Würthschafft wegen gedachte werth Elenden Zustandts sich fast allerdings Verlohren, alß bitt Supplicant Ihme alle 14. tag nur j. ohmen im burger Ungelt passiren Zulaß. Erkandt, Obere Ungelt Herren, bedenckens
[in margine :] NB die habens dahin gestelt, daß so lang d. Schwehr lebet, supplicant alle 3. wochen j. ohmen in burg. ungelt passirt th. sollen.

1687, Protocole des Quinze (2 R 91)
Jean Philippe Gross demande l’autorisation de passer de l’auberge à la Poule noire à celle à l’Ange

Johann Philipp Groß umb Schild und Schanck, gewester Würth Zur schwartzen Hennen, Würthshauß Zum Engel, 254, 258, 264, 270, 399, 405.
(p. 254) Freÿt. den 28. Junÿ – herr Johann Philipp Groß, der geweßte Würth Zur schwartzen Hennen, p. D. Gollen, hatt nunmehr das Würthshauß Zum Engel bestanden, bitt ihme den Schild und Schanck gn. Zu erlauben.
Erk. wann Implorant Zu Fordrist Mghh. die Umbgeldts Extantzen wird bezahlt haben, soll er als dann beÿ mghh. retione huius petiti sich wieder anmelden.

(p. 258) Sambstags den 5. Julÿ – Philipp Groß pt° Schancks
Philipp Groß, per D Gollen, prod. Unterth. Anzeig und Bitten mit Beÿlag Lir. A. et B. Erk. vor Ober Ungeltsherren gewießen.

1689, Protocole des Quinze (2 R 93)
La femme de Philippe Gross, aubergiste à la Poule noire, demande un délai pour régler l’accise. Les préposés généraux à l’accise déclarent qu’il a déjà été sursis à la vente du mobilier saisi. La débitrice souhaite régler la somme sur un capital qui appartient à son beau-fils Sébastien Nægelin. Les Quinze accordent un nouveau délai.

Philipp Groß, der Würth zur schwartzen Hennen. 45. 51
(f° 45) Donnerst. den 5. Martÿ. – Philipp Großen des Würths zur schwartzen Hennen haußfrau, per D Gollen, berichtet, daß ihro Wegen schuldigen Umbgeldts mit dem heimgang getrohet werden, Weilen es aber schohn einmahm geschehen, Und sie ane bett mehr nicht als was sie nöthig, übrig hatt, Und auff solche Weiß die Würtschafft Nicht Furt Führen, noch sich erhalten kann, als bitt sie demüthig, Umb gn. gedult, Verspricht sich eußerst zu bemühen, solches Nach und nach abzustatten. Erk. Vor Obere Umbgeldts herren gewießen.

(p. 51) Freÿt. den 11. Martÿ – Philipps Groß pt° Umbgeldts Extantz
Obere Umbgelts herren laßen per Herrn Schragen referiren, daß mann Philipps Großen, den Würth Zur schwartzen hennen, so Gemeiner Statt ane Umbgelts Extanzen annoch 140. lb 10 ß schuldig, und die Monatlich Verprochene 4 thlr. nicht bezahlt, Zweÿ bett und ein bilard jns Ganthauß Führen laßen Und nachdeme deßen Frau Um geduld gebetten, die sach aber Vor sie gewießen worden, Sie nicht ermangelt hätten, beede, sowohl der mann, als auch die Frau Zu beschicken, da dann er seine alte Exceptiones Wegen des Junckern Von Ichterßheim Vorgebracht, Und endlichen auch auff ein Saltz Cassa Capital, so seinem stieffsohn, benantlichen Daniel Nägelins sohn, gehörig, gekommen, Worbeÿ die Frau berichtet, daß ein Kinder Vertrag aufgerichtet worden were, Vermög deßen sie die davon Verfallende Zinnß biß dießer sohn 14 jahr alt seÿn Wird, genießen sollte, da sie doch selbige Krafft hießigen gebrauchs, biß auff 18 jahr Zugenießen hätte, Und were beÿ dem Vertrag Weder sie, Noch ihr Vogt gewesen, wollte beÿ E. E. Rath umb das recht, Wie es ander genießen, anhalten Und Wann sie es erhaltet, diejenige 52. fl. Zinnß, von ged. Capital herrührend, beneben den 4. Rhler monatklich dem Pfenningth. Zu kommen laßen, der mann aber gleich gesagt, daß sie thon Könte, was sie wollte, Und wofern sie es nicht balden erlanget, mann mit Verkauffung der bett Und Bilard Fürtfahren werde, Zu Mghh. stellend, Ob Sie nach so lang jnnhalten maßen wolten ?
Inn der Umbfrag berichtete Herr XV.er Brandt, als Vogt gedachten Nägelins, daß es gantz Falsch were, daß der Vertrag ohne ihr beÿßein auffgerichtet worden seÿe, welcher ja, wann es deme also were, Nicht passirt, Noch guth geheißen worden were, die Zinnß Von dießem Saltz Capital betreffend, so Könne er Nicht geschehen laßen, daß sie sellbige ein Ziehten jndeme er sie zu des Knaben Underhat Nöthig hätte.
Erk. Soll mit Verkauffung des haußraths noch etwaß Zeit jnngehalten, Und wann die Frau dem usumfructum auff 4 jahr nicht erhaltet, darmit Wie auch mit der execution Furtgefahren werd.

1690, Protocole des Quinze (2 R 94)
Chrétien Dietsch a demandé avant de quitter la ville l’autorisation d’exploiter lui-même l’auberge, faute de trouver un tenancier compétent.

(f° 146-v) Sambstags d. 12. Aug: – Christmann Tietsch der metzger pt° conservationis des Schilds Zur Schwartzen Hennen
Christmann Tietsch, der metzger, so verreÿßt, per Saltzmann, berichtet inn underth. das Sie sein würthshauß Zur Schwartzen Hennen, weilen Sie biß dahero Keinen tüchtigen würth darein haben können,nunmehro selbsten bewohne, vnnd das so lang, bis er jemannd, deme dieselbige wieder anständig ist, darein Werde bekommen können, habe solches underth. notificiren, vnnd Zugleich vmb continuaôn des Schilds vnndt habenden rechtens underth. bitten wollen. Erk. vor Obere Umbghh. gewießen /: Implorant ward citirt, erscheine aber nicht.

1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
Chrétien Allemand demande l’autorisation de quitter l’auberge à la Poule noire qui vient d’être vendue pour en exploiter une autre en face, dans une maison qu’il a achetée et portait autrefois l’enseigne au Lièvre.

Christian Allemand pt° weinschancks Zur schwartzen Hennen, Zum Haaßen
Andreas Eigel pt° weinschancks Zur schwartzen Hennen, 2404
(f° 220) Sambstags den 18. Aug. 1703. – K. nôe Christian Allemand des burgers und würths Zur schwartzen Hennen, weilen dieße gastherberg verkaufft worden, Er aber ein dagegen über liegendes hauß, worinn schon hiebevor das Schildt Zum Haaßen geweßen, an sich erhandelt, als b. unterth. ihme den Schanck allda gn. Zu erlauben. Erk. ut supra [an die Oberen Ungeltshh. gewießen]

Les préposés généraux à l’accise rapportent que le pétitionnaire occupe à titre de locataire l’auberge à la Poule noire depuis un an et demi et qu’il a acheté sa maison de Tobie Stædel le puîné. Il est autorisé à ouvrir une auberge à condition de donner congé au boucher qui occupe un des bâtiments et d’aménager un logement militaire.

(f° 247-v) Freÿtags den 14. Septembris 1703. Christian Allemand pt° weinschancks
Iidem [Obere Ungeltsherren] per Herrn Friden, es habe Christian Allemanstn so die würtschafft Zur Schwartzen Hennen bißhero getrieben, ansuchung gethan, daß ihme der weinschanckh in einem Hauß Gegenüber gelegen, gn. erlaubt werden möchte. Auff beschehene Remission habe man demselben ferner angehört, welcher beditten, daß er bemeldtes hauß, so H. Tobiæ Städel dem mittlern in der straß zugehöre, von demselben umb 1800. fl. gekaufft, und Zwar nach 1 ½ jahr lang lehnung Zur Schwartzen Hennen, allein weilen solches hauß in process stehe, er besorge daß er hiernechst daraus vertrieben werden dörffe, dahero dießes Kauffl. angenommen habe. Es habe auch ged. H. Städel neben J Rathh. Reiber, als des H. Städels Stieff kindts vogt, welches auff dießem hauß sein guth stehen habe, gebetten dem Imploranten in seinem begehren Zu willfahren, weilen die gelegenheit gut seÿe, und er ein Gutes Zeugnus habe. Wann demnach Mgherren demselben willfahren wolten, so hette man davor gehalten, daß ihme anzuzeigen seÿn werde, daß er allein in dem hauß wohnen, und dem, im Nebens hauß wohnenden Metzger wegschaffen, und dagegen etl. gemach Zur Einquartierung Zurichten laßen solte.
Erkandt, wirdt dem Imploranten, auß erstbemelte Condition inn seinem begehren willfahrt.

André Eigel obtient l’autorisation d’exploiter l’auberge à la Poule noire

(f° 352-v) Sambstags den 15. Decembris 1703. – H. nôie Andr. Eigels burgers alhie, der bittet unterth. Ihme den weinschanckh Zur schwartzen Hennen gn. Zu erlauben. Erk. ut supra [Obere Ungeltshh. gewießen]

(f° 357-v) Sambstags den 22. Decembris 1703. – Conrad Baur und Andreas Eigel pt° weinschancks
Obere Ungelts Herren Laßen per Herrn Friden proponiren, daß Conradt Baur vnd Andreas Eigel umb den weinschanckh und Zwar Jener Zum Grünen reiff, und dießen Zur Schwartzen Hennen angehalten haben, vnd weilen es alte würthshäußer seÿen, die Imploranten schon dem weinschanckh getrieben, ihre gebühren richtig bezahlt vnd auch wegen der Einquartierung schein vorgelegt alß stündte Zu Mghherren, Ob sie denenselben in ihrem begehren willfahren wollen. Erk. willfahrt.

1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
Conrad Bauren Zum Grünen reiff auff dem Roßmarck pt° Weinschancks
Andreas Eigel Zur Schwartzen Hennen
(f° 352) Sambstags den 15. Decemb. – G. nôie Conrad Bauren burgers alhie der bittet unterth. ihme den Weinschanckh Zum Grünen reiff auff dem Roßmarck gn. Zuerlauben. Erk. an die Oberen Ungelts Hh. gewießen.

(f° 357-v) Sambstags den 22. Decembris 1703. – Obere Ungelts Herren Laßen per Herrn Friden proponiren, daß Conrad Baur und Andreas Eigel umb den weinschanckh und Zwar Jener Zum Grünenreiff, vnd dießer Zur Schwartzen Hennen angehalten haben, Vnd weilen es alte wurthshäußer seÿen, die Imploranten schon den Weinschanckh getrieben, ihre gebühren richtig bezahlt, und auch wegen der Einquartierung schein vorgelegt als stünde Zu Mgherren, Ob sie denenselben in ihrem begehren willfahren wollen. Erk. Willfahrt.

1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
Jean Dürninger obtient l’autorisation d’exploiter à l’essai pendant un an l’auberge à la Poule noire qu’il vient d’acheter.

Johann Dürninger pt° Weinschancks Zur Schwartzen hennen
(f° 152) Sambstags den 23. Maÿ 1705. – S. nôe Joh: Dürningers burgers vndt weinhändlers alhier, der bittet unterth. Ihme in seinem erkaufften würths hauß Zur Schwartzen hennen, den weinschanckh Zur prob auff ein Jahr lang, gn. Zu willfahren. Erk. an die Oberen Ungeltshh. gewießen.

(f° 155) Freÿtags den 29.t Maÿ 1705. – Johann Dürninger pt° Weinschancks Zur Schwartzen hennen
Iidem [Obere Ungelts Herren] per Herrn Friden, es habe Johann Dürninger der burger und weinhändler alhie, umb den weinschanck Zur Schwartzen hennen angehalten, Welchen man zuvordertist dahin angewießen, daß Er einen schein von E. E. Zunfft der Freÿburger, ein bringen solle, so Er auch gethan vnd E. E. Fridt denselben vom 20. Hujus abgelesen, daraus Zu ersetzen, daß ged. Zunfft wann Er præstanda præstire, Ihme Zu einem Zünfftigen an zu nehmen willens seÿe. Darauff Er beÿgesetzt, daß Er den schanckh nur auff ein Jahr um zu sehen, Ob er ihme Zuschlagen möchte, probiren wolle, vnd hab man davor gehalten, daß demeselben in seinem begehren wohl willfahrt werden könne, iedoch daß Er auch einen schein vor der Einquartierungs Stub einlieffern solle. Erk. Bedacht gefolgt.

1707, Protocole des Quinze (2 R 111)
Jusqu’à présent tenancier au Château d’or, Antoine Bondiquet obtient l’autorisation d’exploiter l’auberge à la Poule noire.

Anthoine Bondiquet Zur Schwartzen hennen pt° Weinschancks
(f° 142) Sambstags den 9.ten Aprilis 1707 – H. nôe Anthoine Bondiquet burgers und Gastgebers alhier, der bittet unterth. Ihme den weinschanckh Zur Schwartzen hennen Gn. Zu willfahren.
Erk. an die Oberen Ungelts Hh gewießen.

(f° 143-v) Freÿtags den 15. Aprilis 1707 – Iidem [Obere Ungelts Hh] per Herrn Friden, es habe Anthoni Bondiguet umb den weinschanck Zur Schwartzen hennen in der Krautenau ansuchung gethan, vndt weilen Er Zuvor nicht weit davon au Chasteau d’or wein außgeschenckt, vndt es nur umb eine änderung Zu Thun, so habe man davor gehalten, daß ihme amit willfahrt werden könte, doch daß Er auch einen schein vor der Einquartierung bringen solle. Erkandt, bedacht gefolgt.

1707, Protocole des Quinze (2 R 111) et XV (2 R 112)
Jean Dürninger est autorisé à continuer d’exploiter l’auberge à la Poule noire

Johann Dürninger pt° Weinschancks Zur Schwartzen Hennen
(f° 348) Sambstags den 19. Novemb. 1707. – S. noîe Joh: Dürningers burgers alhier derselbe will die Würtschafft in seinem eigenen hauß Zur Schwartzen Hennen wider treiben, bittet umb den schanckh alda. Erk. an die Oberen Ungeltshh. gewießen

XV (2 R 112)
(f° 26-v) Freÿtags den 3.ten Februarÿ 1708 – Obere Ungeltsherren laßen durch herrn Friden referiren, daß Johann Jacob Dürninger der vormahls geweßene Würth zur Schwartzen Hennen in der Krautenau de novo angehalten, daß Er in ged. Würthshauß den Weinschanck treiben möchte, so bald man aber davon geredt, habe man sich gleich erinnert, daß dießer Implorant vor dießem schon den weinschanck Ime auff eine gewiße Zeit erhalten vnd alßo auch nur gelt Zünfftig beÿ EE Zunfft der Freÿburger seÿe deßwegen man ihme aufferlegt, einen schein Zubringen, daß Er beÿ gedachter Zunfft leibzünfftig seÿe, so er auch gethan, /:Frid lißt ab den schein so datirt den 30. Januarÿ jüngst, vnd von Herrn Zunfftmeister vnd Zunfftschreiber vnderschrieben:/ weil man Implorant præstade præstirt alß stünde Zu MHh. ob Sie ihm den Weinschanck erlauben wollten. Erk. willfahrt, doch daß Implorant Zuvor Ein schien von der Einquartierungs stub Zu bringen schuldig sein solle.

1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
Le pétitionnaire (non dénommé) est autorisé à continuer d’exploiter l’auberge à la Poule noire bien que le voisinage se plaigne et qu’un client y a été poignardé.

in dem Würthshauß zur Schwartzen Hennen geht es übel her
(f° 164-v) Sambstags den 20. Junÿ 1711. – Sonsten seÿe Mgherren nicht Zu verhalten, daß in dem Würthshauß zur Schwartzen Hennen sehr übel hergehe, daß die gantze Nachbarschafft darüber klage, auch jüngst einer alda erstochen worden seÿe.
Erkandt, würdt dem Imploranten der Weinschanckh wider auff ein Jahr lang willfahrt, vnd die beschaffenheit des Würthshaußes zur Schwartzen Hennen Zu examiniren, den Obern Ungeltsherren recommendirt.

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
Ancien aubergiste au Bélier d’or, Jean Jacques Schmitz demande l’autorisation de continuer à exploiter l’auberge à la Poule noire en en changeant l’enseigne. Les Quinze lui accordent la permission après avoir constaté qu’il est compétent.

Johann Jacob Schmitz pt° Weinschancks umb den Weinschanck Zur Kandten, 76-v zum Guldenen Widder
Johann Jacob Schmitz pt° Weinschancks zur schwartzen Hennen, 175-v
Hannß Jacob Hemler pt° weinschancks zum Guldenen Widder, 175-v
(f° 175-v ) Montags den 11.ten Julÿ 1712 – S. noê Hans Jacob Schmitzen des burgers undt Würths Zum Guldenen Widder, der ist willens das würthshauß zur Schwartzen Hennen Zu beziehen, vndt den Schild Zu verändern, bittet umb continuaôn des alldasigen weinschancks. Auff beschenenen bericht, daß der Implorant ale Requisita habe, Ist Erkandt, wirdt demselben in seinem begehren Willfahrt, iedoch mit dem anhang, daß Er sich wohl aufführen solle.

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
Jean Jacques Schnabel est autorisé à exploiter l’auberge à la Poule blanche rue de la Poule

Joh: Jacob Schnabel pt° Weinschancks, zur weißen hennen
(f° 262) Sambstags den 12.ten Novembris 1712. – Saltzm. noîe Hannß Jacob Schnabels deß burgers allhier, der ist willens das Würthshauß Zur weißen hennen Zubeziehen, vmb Würtheÿ daselbsten Zu treiben, bittet vnderth. vmb den schanck, Erk. ahne die Obere Ungeltsherren gewießen.

(f° 295-v) Sambstags den 10. Decembris 1712. – Obere Ungeltsherren laßen durch H Friden referiren, daß Joh: Jacob Schnabel vmb den weinschanck Zur weißen hennen in einem hauß in der hennengaß gelegen angehalten, welcher auff beschehener remission beÿ der Deputation ein schein von E. E. Zunfft der Freÿburger vom 3.ten huius producirt vnd weilen in dießen hauß allzeit den schanck gehalten worden alß hette Er darvor gehalten, daß Imploranten gegen einem schein von der Einquartierung in seinem begehren willfahrt werden könte. Erk. beliebt.

1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
Jean Michel Arnold demande l’autorisation de continuer à exploiter l’auberge à la Poule blanche. Les préposés accordent la permission après avoir constaté que Jean Georges Schnabel lui a cédé son bail.

Johann Michael Arnoldt pt° Weinschancks zur weißen Hennen
Hannß Jacob Schmitz und Hannß Michael Arnoldt pt° Weinschancks Zum Guldenen Einhorn und zur weißen Hennen
(f° 40) Sambstags den 17. Febr. 1714. – S. nôe. Johann Michael Arnoldts des burgers vndt Würths alhie der bittet unterth. umb continuation des weinschancks zur weißen Hennen. Erk. an die Oberen Vngelts Hh. gewießen.

(f° 51) Sambstags den 3.ten Martÿ 1714. – Hanß Michael Arnoldt pt° Weinschancks
Obere Ungelts Herren laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß Hanß Michael Arnoldt der Würth allhier vmb den weinschanck Zur weißen hennen angehalten habe, deme ehe alß mann ihme ferner gehört beÿgefügt, wie daß bißhero Hanß Georg Schnabel dießes hauß bewohnt, vnd Er ihne seine noch habende lehnung auff anderthalben jahr überlaßen habe, welche Er zu continuiren gedächte, so fern Mghherren wollen darein geben wolten, weilen nun dießer Implorant alle requisita habe, so habe man deßen keinen anstandt gehabt, sondern es MHH anheim stellen willen, ob Sie demselben in seinem begehren willfahren wolen. Erkannt Willfahrt.

Le propriétaire Jean Jacques Schmitz qui exploite l’auberge à la Licorne d’or se plaint que le locataire a cédé son bail sans autorisation. Les parties conviennent que le propriétaire exploitera son auberge à la Poule blanche et Jean Michel Arnold celle à la Licorne d’or

(f° 84-v) Sambstags den 17.ten Martÿ 1714. – Hannß Jacob Schmitz und Hannß Michael Arnoldt pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Herren] laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß Hannß Jacob Schmitz der burger vnd gastgeber Zum Guldenen Einhorn geklagt, daß Johann Jacob Schnabel der bißherige Würth zur weißen Hennen ihme sein eigenthümliches hauß ohne sein vorwißen ahne Hanß Michael Arnoldt verlehnt habe, da Er doch solches selbsten Zu beziehen gedächte, Warüber man ihne Arnoldt gehört, der gestehen müßen, daß er dann alßo weis mit vermelden, daß Sie sich mit einander verglichen hetten, daß Schmitz die weiße henn vnd Er Arnold den guldinen Einhorne beziehen sollen mit vnderth. bitt ihnen ahne beeden orthen den weinschanck Zu Continuiren, weilen nun bede die requisita haben auch in beden häusern allzeit wein außgeschenckt worden, so stände Zu MGHh. ob Sue ihnen gegen schein auß der Einquartierung willfahren wollen. Erk. quoad sic.

1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
Les Quinze refusent en juillet 1714 de donner à Jean Jacques Schnabel l’autorisation d’exploiter l’auberge au Pélican rue des Lentilles. Il demande en décembre de passer de l’auberge à la Poule blanche à celle au Cerf blanc

Hanß Jacob Schnabel pt° Weinschancks in Linsenfelser Gäßel
Zur Weißen hennen, Zum Weißen Hirschen hindter dem Reebstöckel
(f° 57) Sambstags den 10.ten Martÿ 1714. – Hanß Jacob Schnabel pt° Weinschancks
S. nôe Hanß Jacob Schnabels des Würths vndt burgers alhie der hat in Linsenfelser Gäßel ein Hauß gekaufft so den Schildt Zum Pelican gehabt bittet unterth. ihme den Schildt und Weinschanckh alda gn. Zu erlauben. Erk. Soll derselbe abgewießen werden

(f° 198-v) Sambstags den 21. Julÿ 1714. – Hanß Jacob Schnabel pt° Würtheÿ
Iidem [Obere Ungeltsherren] laßen durch H. Secretarium Friden referiren daß Johann Jacob Schnabel der burger vnd Würth allhier de novo den 14.ten hujus gegenwärtiges undth. Memorial übergeben innhaltend, daß Zwar ihm Implorant nach dem Er durch seinem fleiß vnd gottes seegen endlich dahin gebracht, daß ein hauß im dem Linsenfelser Gäßlein gelegen, allwo vor dießem Würthschafft getrieben worden, wegen der liederlichen besitzern vnd Inwohnern deßelben der damahlen geweßte schild Zum Pelican wegerkandt worden, ged. Schild wider auff zu hencken vnd daselbsten Würtschafft Zu treiben abgeschlagen worden, wann aber Er bereits beneben seiner haußfrau über 15 jahr im schirm, vnd so wohl von geistlichen alß Weltlichen persohnen vermög beÿgehender attestation ein guthes Zeügniß habe, vnd auch lauth Zweÿer abschied Jhro Königl. Maÿe. in Franckreich alß ein reüther gedienet vnd solches hauß Zu seinem vorhaben eine Kleine Würtschafft Zu treiben sehr bequem ist und Mghh. auch versichert sein können, daß Er keine desordres darinnen werde vorgeh. laßen, dabeneben auch sich anderwerths Zuernehren nicht wußte, alß wolte in aller vnderthänigkeit gebetten haben ihme die gnade Zu erzeigen, vnd in ged. hauß Würtschafft zu treiben gn. Zu erlauben, Alß man ihne auff beschehene remission ferner gehört habe Er sich auff die Contenta deß Memorials bezogen vnd andersten nichts beÿzusetzen gewußt, alß daß, wann Er die permission die Würtheÿ in dem linßenfelßer gäßlein gelegenen hauß nicht erhielte, Er verderben müßte, allein habe mann seine beÿgebrachte rationes nicht für erheblich angesehen, vnd dahien darvorgehalten, daß es beÿm vorigen bescheid gelaßen, vnd Implorant ein Für alle mahl abgewießen werden könte. Erk. beliebt.

(f° 416) Sambstag den 15. ten Decembris. – Hanß Jacob Schnabel pt° Weinschancks
Ober Vngelts Herren laßen durch H. Secret. Friden referiren, daß Hanß Jacob Schnabel der burger und bißheriger würth Zur Weißen hennen umb des Weinschanck Zum Weißen Hirschen hindter dem Reebstöckel (…)

1715, Protocole des Quinze (2 R 119)
Jean Philippe Rockenbach demande l’autorisation d’exploiter l’auberge à la Poule blanche qu’il a louée pour un an des héritiers de Jean Jacques Schmitz. Les préposés lui accordent la permission en rappelant que l’auberge a eu naguère mauvaise réputation.

Johann Philipp Roggenbach pt° Weinschancks zum weißen Hirtzel – zur weißen Hennen
(f° 229) Sambstag den 13.ten July – G. nôe. Johann Philipp Roggenbach deß burgers und gastgebers bittet umb continuation deß Weinschancks Zum Weißen Hirtzel auffm gerbergraben geleg. Erkandt, abgewießen.

(f° 296) Sambstag den 9.ten Novembris – Johann Philipp Roggenbach pt° Weinschancks
Iidem [Obere Umgelt herren] laßen referiren, daß Johann Philipp Roggenbach der burger allhier umb den Weinschanck zur Weißen hennen in der hennen gaß angesucht habe, mit dem bedeütten, daß er beÿ den Freÿburgern leibzünfftig were und schon an Verschiedenen orthen die Würtheÿ getrieben, und gedachtes würths hauß Zur hennen deß Verstorbenen Hanß Jacob Schmitzen Erben Vor ein jahr abgelehnt hette, allein seÿe man sehr angestandten in dem selbiger Vormahls in sehr schlechtem ruff geweßen, jedoch weilen er kläglich sich gestellet, und Versichert, daß er sich sonsten nicht zu ernehren Wüßte, auch Versprochen sich sowohl auff zu führen, daß man Keine Klag hören werde, so stundte die willfahrung Zue MGHherren.
Erkandt, Willfahrt gegen einem schein auß der Einquartierung und auff sein Wohl Verhalten.

1716, Protocole des Quinze (2 R 120)
La veuve de Jean Jacques Schmitz qui avair renoncé à tenir une auberge pour être revendeuse demande à nouveau le droit d’exploiter la Poule blanche où les tenanciers se sont succédé sans y trouver leur compte

Maria Sara Weÿl. Johann Jacob Schmitzen Wittib pt° Weinschanck Zur Weißen hennen
(f° 77-v) Sambstag den 28.ten Marty – R. nôe. Sarræ Schmitzin bittet ihroe den Weinschanck in ihrem hauß Zur weißen hennen in der Krautenaw Zu willfahren. Erkandt, Ober Umbegdts herren.

(f° 104) Sambstag den 2.ten May – Maria Sara Schmitzin pt° Weinschancks
Iidem [Obere Umbgedts herren] per Eund. [Secretarium] laßen referiren, daß Maria Sara Weÿl. Johann Jacob schmitzen deß geweßenen gastgebers Zur Weißen hennen Wittib umb den Weinschanck in gedachtem hauß angehalten habe, alß man sie ferner gehört, habe sie bedütten, daß nach absterben ihres manns, sie die Würtheÿ quittiret hette, sich beÿ der Mörin leibzünfftig gemacht und das Grempen weßen angefangen, anietzo wolte sie die Würteÿ Wider anfangen, also man aber gehört, daß sie beÿ der Möhrin Zünfftig, habe man sie ab: und an die ordnung Verwießen. Worauff sie einen schein von E. E. Zunfft der Freÿburger dedato 11.ten Aprilis 1716. producirt, Vermeldend, daß sie einen dochtermann bekommen werde, der ihro an die hand Zugehen Versprochen, in dißem hauß seÿen Zwar schon viel Würth geweßen, aber ihr fortun nicht gefunden, und Were es beÿ dießen implorantin mehr zu wünschen alß zu hoffen, und weilen daß hauß ihro gehört, als stundte die Willfahrung Zu Mghherren. Erkandt, Willfahrt.

1718, Protocole des Quinze (2 R 122)
Ancien aubergiste au Tilleul sur le Faubourg blanc, Jean Philippe Bodemer demande l’autorisation d’exploiter l’auberge à la Poule blanche en en modifiant l’enseigne. Le préteur royal objecte que l’auberge à la Poule noire puis à la Poule blanche a été fermée par décision du Magistrat. Les recherches dans les archives ne permettent pas de trouver d’autre pièce que celle des Quinze en 1711

Johann Philipp Bodemer pt° Weinschanck zur Weißen Hennen
(p. 474) Sambstag d. 26. 9.bris 1718 – Gug noe. Johann Philipp Bodemers des hiesigen burgers bitt umb den Weinschanck Zur Weißen Hennen in der hennengaß. Erkandt Ober Ungelt herren.

(p. 508) Freÿtag den 9.ten Xbris 1718. – Philipp Bodemer pt° Weinschancks
Obere Vmbelt herren laßen per Eundem [Secretarium] referiren, Es habe Philipp Bodemer er burger und Würth allhier in einem gehaltenen Recess umb Cont. des Weinschancks in dem Würths hauß Zur Weißen hennen in der hennengaß gelegen angesucht, undt alß auff geschehene Remission er ferner gehört word. beÿgesetzt, daß er den Schild Zu ändern, und einen Zur Schwartzen hennen auffzuhencken willens seÿe, undt weil der Implorant ein alter Würth, maßen er ehedeßen den Weinschanckh Zur Linden in der Weißenthurnstraaß gebtreiben das Würths hauß Zur hennen auch ein altes Würthshauß Alß Vemeinen die Hh. Depp. daß dem Imploranten in beeden puncten gegen Vorweißung eines Scheins aus der Einquartierungs stub Zu Willfahren sein Werde, die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend.
Herr Prætor Regius meldet hierauff, Weilen der Implorant ein Alter Würth so finde er Wegen seiner persohn Keinen anstand, Wegen des Haußes aber ereigne sich eine difficultæt, maßen er sich erinnere daß eines der beeden Würthshäußer des Zur Weißen oder des Zur Schwartzen hennen, Wegen in demselben Verübten unfugen von E E Großen Rath daß nimmermehr Würtheÿ darinnen solle getrieben werden, condemnirt word. wegen welchen Umbstandts sich beÿ dem Verjicht Prtocoll Zu informiren, und wenn daß Hauß in welchem der Implorant Würtheÿ Zu treiben erlaubnuß begehret das Condemnirte sein solte, so finde er nicht daß MGHh demselben werden willfahren wollen. Erkandt, herrn Prætori gefolgt.

1719, Protocole des Quinze (2 R 123)
Philipp Bodemer pt° Weinschancks zur weißen hennen
(p. 26) Freÿtag d. 3. feb. 1719 – Philipp Bodemer pt° Weinschancks
Iidem [Obere Vmgelt herren] reassumiren per Eundem [Secretarium] was schon in Vorigem Jahr in sachen Philipp Bodemer des Würths pt° begehrter Erlaubnuß den Weinschanck Zur Weißen henn Zu treiben Vorgekommen undt erkand word. anbeÿ berichten daß Mhghh. ertheilter Erkantnuß Zu folg sowohl die Raths als Vergichts protocolla seÿen auffgeschlagen worden, man habe aber nicht finden können, daß aus E. E. Großen Raths Erkanntnus gemelten Würths hauß die Schildts gerechtigkeit entzogen worden seÿe. Mghh. protocoll de A° 1711. fol: (-) gebe Zwahr maaß daß dermahlen es in diesem Würths hauß nicht richtig hergegangen, die nachbarschafft sich deßwegen beschwehret, und einer allda erstehen worden seÿe, nichts desto Weniger hatten folgende persohnen mit Mghh. consens die Würthschafft alda continuirt alß in A° 1713. Joh: Dürningers Wittib, Jacob Schmitz und hans Jacob Schrop 1714 Joh: Jacob Schmitzen Wittib und 1715. Johann Philipp Rochenbach in Welchem Jahr der Schild geändert und ane statt der schwartzen eine weiße henn auff gehencktet worden, werde alßo Zu Mghh. stehen, ob Sie Ihme den Weinschanck auch alda erlauben, oder aber refusiren wollen. Die Ober Ungelt herrn geben beede dem Bodemer ein sehr guthes Zeugniß.
Herr Prætor Regius meldet hierauff, In ansehung der guthen recommendation der Ober Ungelt herren werde dem Imploranten, jedoch mit den anhang daß er in das Künfftige weder Zur Weißen noch Zur Schwartzen Hennen sondern einen andern Schild führe, Können willfahrt werd. Erk. Herrn Prætori gefolgt.

1739, Protocole des Quinze (2 R 148)
La veuve de Philippe Bodemer demande l’autorisation de continuer à exploiter l’auberge à l’Autruche (Zum Strauß, la première mention de l’enseigne date de 1721, voir infra). Elle a loué l’auberge à un revendeur mais souhaite conserver l’enseigne pour son fils. Les Quinze accèdent à sa demande.

weÿl. Philipp Bodemers Wittib pt° Weinschanck Zum Strauß in der Hennengaß
(p. 489) Sambstag d. 26. Sept. 1739 – Christ. nôe. Weÿl. Joh: Philipp Bodemers gewesenen burgers undt würths allhier Wittib prod. Underth. Mem. Erk. Oberungelt Hhn.

(p. 513) Sambstag d. 31. 8.bris 1739. – weÿl. Philipp Bodemers pt° weinsch.
Iidem [Obere Ungelts Herren] maßen per Eundem [Secretarium] referiren, daß Weÿl. Philipp Bodemers des gewesenen Burgers und Würths allhier hinderlaßene wittib in einem den 26. Sept. jüngst producirten Unterthänigen Memorial gehorsambst Vorgetragen, was maßen Sie das Würths hauß Zum Strauß in der Hennengaß allhier, so die Real Schilts: Gerechtigkeit habe, besitze, Weilen sie sich nun retirirt, undt die Würtschafft nicht mehr treiben wolle, so hatt sie sothanes Würths hauß einem Krempen Verlehnt, Sie, Unterthänige Implorantin, habe aber einen Sohn, so ein Hauß Knecht seÿe, deme Sie Künfftig darinn Zu establiren gedencke, wolle Sie alßo unterthg. Gebetten haben Mgh geruhen möchten Ihro die Schilts Gerechtigkeit auff sothanem hauß gnädig Zu conferiren.
Auff geschehener Weisung habe die Implorantin Ihr petitum Wiederohlet, mit nochmahligen bericht, daß dieses hauß die Real Schilts Gerechtigkeit habe, welches H. Capaun Controlleur in dem Vmbgeld auch attestirt.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß Zwahr der Implorantin in Ihrem begehren Zu willfahren, jedoch mit dem beding, daß in deßen der Schild, biß der Sohn in dem stand sein wird das hauß selbsten Zu beziehen, oder aber ein andern Würth den Weinschanck alda zu treiben, die erlaubnuß wird erhalten haben, abgeheckt werden solle. Die genehmhaltung Zu Mgh. stellend.
Erkandt, bedacht gefolgt, jedoch mit dem anhang, daß der quæstionirte Schild, sofern es sich thun laßen wird, nicht abgehencket, sondern nur an das Hauß angezogen werden solle.

1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
Ancien aubergiste au Vert Galant, Jacques Auffhammer est autorisé à reprendre l’Autruche où le vin n’a plus été débité depuis trois ans

Jacob Auffhammer pt° Weinschancks Zum Strauß in der Hennengaß
(p. 204, notes p. 74) Sambstags d. 17. Martÿ 1742. – Moss. nôe. Jacob Auffhammers b. und bißherigen Wurths au Verd Gallant bitt umb den weinsch. in dem Würthshauß Zum Strauß in der hennengaß und umb gn. Erlaubnuß einen Neuen Schild Zul Goldenen Waldhorn ammda auffhencken zu förffer. Erk. Ober Ungelt herren

(notes p. 75) Mont. den 19. Martÿ – Iid: [Ober Umbgeltsherren] Lect. rec. d.d.d. in s. Jacob Auffhammer pto. schildts und Weinschancks
Ille gehört, setzt beÿ, d. schon 3 jahr kein wein mehr alda außgeschenckht worden, und seÿe Bodemer der letzte Würth alda gewesen. H. Dep.d. auß Mgh. Erkandtnuß Vom 31. 8.bris 1739. die schild ein zu zieh. erlaubt Word. doch nur, biß ein anderer Würth sich præsentiren Wird umb den wschk. alda zutreiben, dahero in beeden puncten Zu willfahren. Erk. in plenum.

(notes p. 76) Sambst. den 24. Martÿ – Iid: [Ober Umbgeltsherren] ref: in s. Jacob Auffhammer pto. Wschkds Zum Strauß in der hennengaß. Erk. Willfahrt.

1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
Jacques Auffhammer qui exploite l’enseigne au Cor de chasse doré rue des Poules est autorisé à passer à celle du vert Galant devant la porte des Bouchers.

Jacob Auffhammer pt° Weinschancks zum goldenen Waldhorn – in dem Verd Galland
(p. 492) Sambstag d. 9. Nov. 1743. – Jacob Auffhammer pt° Weinsch.
Iidem [Ober Umbgelt herren] laßen weithers per Eundem [Secretarium] referiren, daß obgemelten 4. 8.bris jüngst alßo auch in feriis Jacob Auffhammer der burger und bißheriger Würth zum goldenen Waldhorn in der Hennen gaß sich beÿ Ihnen angemelt, und gebetten Ihme Zu erlauben den Weinschanckh in dem Würthshauß in dem Verd Galland Zu treiben, Vor dem Metzgerthor, Weilen nun dieses ein Altes Würths hauß und der Implorant ein alter Würth, so hatten Sie Ober Umbgelt herren auch diesem Imploranten auff MGh. ratification willfahrt. Erkand, Wird auch diese durch die Ober Umbgelt herren ertheilte permission ratificirt.

1744, Protocole des Quinze (2 R 154)
Ancien caporal au régiment de La Marck, Daniel Gross demande l’autorisation d’exploiter le Cor de chasse doré. La commission découvre que le pétitionnaire a quitté la ville cinq ans plus tôt à cause d’une affaire criminelle (dont la teneur figure sur une partie manquante des feuillets). L’autorisation lui est accordée après intervention du préteur royal.

Daniel Groß pt° Weinschancks Zum Goldenen Waldhorn
(p. 47) Sambstag d. 25. Jan. 1744 [manque le bas de page] (p. 48) wie der Congé hiebeÿ Sub Lit. A. Weisen in dem Regiment de la Marck alß Corporal in der Compagnie Colonelle ehrlich und Redlich gedienet, Nun habe er sich wieder anhero begeben, und wolle die Würtheÿ in dem Würths hauß Zum Goldenen Walthhorn allhier in der Hennengaß gelegen treiben, mit demütiger bitt Ihme solches maßen er gedachtes Würths hauß gelehnt, auch die Würtheÿ wie recht erlernet, gn. Zu erlauben. Auff geschehene weisung habe man den Imploranten gefragt, warumb Er die Statt vor 5 Jahren Raumen müßen, welcher aber mit der sprach nicht Recht heraus gewolt, Weßwegen man demselben aufferlegt den dißfalls ergangenen bescheid Vorzulegen, da er dann gestrigen Tages einen Extract aus E. E. Großen Raths allhier V[-] Memoriali de A° 1739 producirt, wor|-] daß [-] Criminis [manque le bas de page]

(p. 159) Sambstag d. 14. Martÿ 1744 – [-] noê Joh: Daniel Groß des burgers und Würths bitt Underth. umb den weinsch. in dem würthshauß zum Goldenen Waldhorn in der Hennengaß. Erkandt, Wird auf Ihro Ex. Hrn. P. Regÿ hohe Recommendation dem Imploranten ex Speciali gratia auff ein Wohlverhalten willfahrt.

1745, Protocole des Quinze (2 R 155)
Daniel Gross quitte le Cor de chasse pour le Trou aux moustiques (Schnackhenloch)

(p. 243) Sambstag d. 10. Aprilis 1745 – Romer nôe. Daniel Groß bißherigen Würths Zum Waldhorn allhier, dermahlen aber in dem Schnackhenloch bitt ut modo, Erkanndt Willfahrt.

1745, Protocole des Quinze (2 R 155)
L’ancien officier Barthelémy Braun quitte l’auberge au Roi de Pologne pour reprendre celle au Cor de chasse

(p. 228) Sambstags d. 3. Aprilis 1745. t° Weinsch. Christ noe. Bartholome Braun Officier Reformé Schirmers und Würths allhier, dieser ist willens aus dem Wurths hauß Zum Pohlnischen König hinweg, und in das Wurthshauß Zum Waldhorn in der Krautenau Zu Ziehen, bitt Ihme mit dem weinschanck allda Zu Willfahren. Erk. Ober Ungeltherrn.
(p. 264) Sambstags d. 10. April 1745. Bartholome Braun pt° Weinsch. Obere Umgeld herren laßen durch Herrn Secret. Kleinclaus referiren, daß H. Bartholome Braun der Officier Reformé Schirmer de, 3. hujus per recessus berichtet, daß er willens Von dem Wurths hauß Zum Pohlnischen König, in welchem er bißher die Würtheÿ getrieben, in das Zum Waldhorn in der Krautenau Zu Ziehen, mit bitt Ihme mit dem Weinschanckh allda Zu Willfahren. Auff geschehene Weisung seÿe deßen Ehefraw Claudina Weiblerin Vorgestanden, welche sagt deren Maritus seÿe gar kranckh, und anbeÿ petitum wiederhohlet, Weilen nun der Implorant mit erlaubnus Mghh. bereiths schon Wurtschafft Zum Pohlnischen König au quartier de Saint Nicolas getrieben, alß Vermeine man daß Ihne in seinem begehren gegen bezahlung der 13. ß Umbgeld Vom Ohmen Wein Zu willfahren, die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkannt, bedacht gefolgt.

1748, Protocole des Quinze (2 R 158)
Barthelémy Braun passe de l’auberge au Cor de chasse à celle au Cheval blanc aux Ponts Couverts. Fils de l’auberge aux Quatre Vents, Chrétien Schnabel qui a loué l’auberge au Cor de chasse doré est autorisé à l’exploiter.

(p. 354) Sambstags d. 31. Augusti – Christmann noê Bartholome Braun des Paotheÿgäger und würths allhier, der ist willens aus dem würthshauß Zum Waldhorn genandt hinaus und in das weiß Rößel au pont Couvert Zu Ziehen, bitt Ihme mit dem Weinschanck allda gnäd. Zu Willfahren. Erk. Willfahrt.

(p. 535) Sambstags d. 7. Decembris. – Christian Schnabel pt° Weinschancks
Fuchs nôe. Christian Schnabel, des würths und burgers allhier, dießer ist von seinem Vatter, dem würth Zu allenlüfften in die Statt gezogen, und hat das würths hauß Zu dem Goldenen Waldhorn in der hennengaß gelehnt, bitt Ihme allda mit dem weinschanck Zu willfahren. Erk. Willfahrt.

1749, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
Aubergiste au Cor de chasse, Chrétien Schnabel devient tributaire chez les Fribourgeois au tarif de celui qui n’a pas appris le métier. Il demande à étaler ses paiements mais règle ses droits en une seule fois devant le refus du Conseil.

Christian Schnabel der würth Zum Waldhorn
(f° 13-v) Dienstags den 18.ten Febr: A° 1749. – Christian Schnabel der würth Zum Waldt Horn allhier citiret, solle Extractum Gn. Herren der XV. Memorialis produciren, vndt in conformitæt deßen sich dermahlen Leibzünfftig machen, Vndt die gebühr Entrichten.
Ille Verantwortet ich, daß ein Doctor so sub dato 21. Dec. in A° 1748: dießorths denen XV.ern Eingegeben vndt seÿe die Sache allda anhängig.
Hierauff Ist Erkandt worden, daß Citatus alß einer, so die würtschafft nicht Erlernt, so wohlen die alte Zunfftgebür der 12. lb 14 ß d wie auch die Neue Gebühr der 20 ld d alßo Zusammen 32. lb 14 ß d Jedoch nach abzug der allschon als Zudiener Erlegten 3. lb Krafft der den 17.ten Septembris A° 1746. dießer Ehrs: Zunfft gn. Ertheilter Articul §° j.mo Zu Erlegen, schuldig seÿn solle. Ille bittet Zur Zahlung Zeit Eines Monaths,Wo er auch Erhalten.

(f° 20) Donnerstags den 8.ten Maji – Neuzünfftiger
Christian Schnabel der würth Zum Waldthorn citiret, Solle zufolg Gerichts bescheid vom 18. Febr. jüngsten weilen Er die würtschafft nicht Erlernet, die alte und Neue Zunfft Gebühr Zusammen ad 32. lb 14 ß d nach abzug aber der Sub dato 1. Dec: in Anno 1746. Ihme angesetzt und Entrichteter 3. lb d per Rest ad 29. lb 14 ß d sich belauffendt Erlegen. Ille præsens offerirt die Bezahlung Zu verfächen, so fern man Ihme einichen Nachlaß thun werden, weilen aber E. E. Zunfft Krafft habenden Art. Keinen Nachlaß deß falls thun kan, mithin Citatus ahne obiger Erkandtnuß verwießen worden, Alß hat derselbe dato obige Restirende 29. lb 14 ß d oder 59 fl. 4 ß baar bezahlet, weßhalben Er hiermit Gerichtlichen quittiret, und Ihme, Fallß er ein attestatum wegen Erhaltenem Zunfftrecht Nöthig haben sollte, Solches, daß er beÿ Einer Ehrs. Zunfft alle præstande præstirt, Zu Ertheilen Erlaubet worden.

Protocole de tribus

1752, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
Affaire concernant Jean Daniel Gross

(f° 157) Donnerstags den 16.ten des Monaths Novembris Anno 1752 – Johann Daniel Groß der bißherige Schürmer undt Letsthien gewesenen Würth Zum Waldhorn allhier, stehet Vor, und bittet, weilen Er in dem ehemahls gewesenen würths hauß Zuem Brünnel würtschafft Zu treiben vorhabens (…)

Description de la maison

  • 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, les mansardes sont couvertes de tuiles plates, la cave est solivée, il y a en outre une écurie et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins
  • 1784 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, il y a un puits commun, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue des Poules

nouveau N° / ancien N° : 3 / 2
Riebel
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 335 case 1

Riebel Nicolas, rue des poules N° 2
[biffé]

O 965, maison, sol, R. des poules 2
Contenance : 5,55
Revenu total : 83,89 (81 et 2,89)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie – (sol) vendu à l’etat, supprimé
Année d’entrée :
Année de sortie : 1850 – (sol) 1851
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 37 / 30
fenêtres du 3° et au-dessus :
1850, Diminutions – Riebel Nicolas f° 335, O 965, maison, revenu 81, Démolition en 1850
1851, Diminutions – Riebel Nicolas f° 335, O 965, sol de maison 5,55 ares, revenu 2,89, Vendu à l’état pour la manufacture des tabac
s

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, Rue Crutenau, Höllgässel et rue de la poule
2
Pr. Riebel, Sr François Joseph, fabriquant de tabac – Moresse
Loc. Schmidtbügel, Joseph, cyd. aubergiste – Freyburger
Loc. Datt née Geiler veuve Datt, veuve – Moresse

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton X, Rue 357, Rue Des Poules p. 539
2
pr. Riebel, François Joseph, fabricant de tabac – Moresse
loc. Schmidtbiegel, Joseph, cidev. aubergiste – Fribourg
loc. Datt, veuve – Moresse


Relevé d’actes

La maison appartient en partie au pasteur de Scharrachbergheim Jean Michel Oberhauser et à sa femme Anne Vollbarth et en partie aux neveux d’Anne Diether.
Jean Michel Oberhauser épouse Anne Vollbarth en 1612

Mariage, cathédrale (luth. p. 287)
1612. Mehr den 12 und 13 Trinitatis. Magister Hans Michael Ober hauser Pfarrer zu Scharleberheim und Anna Sÿlvester Volbardts n.g. Tochter (i 147)

Sébastien Henninger, alors aubergiste à l’Ancien Palais, acquiert deux maisons rue des Bestiaux, la moitié d’un puits commun avec le voisin arrière qui a en outre un droit de passage

1625 (ut spâ. [18. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 84
(P. fol. 92.) Erschienen herr M. Johann Michael Oberhaußer Pfarrer Zu Scharlachsberckheim Vnd Anna sein eheliche haußfrau bede für Ihren zweÿthentheil, Item hannß Werner Eÿdt der schumach. vnd hannß Peter Eberlin der Seÿler bede Alß gewalthaber annæ Dietherin seligen bruderß khindern wohnend Zu Berckhaußen beÿ durlach für Ihren drittentheil, mit beÿstand H Johann Deürers Auß dem Kleinen Rath darzu Verordnet (verkaufft)
herrn Sebastian henninger dem Würth Zur alten Pfaltz, so Auch Zugegen
Zweÿ heüßer gegen einander /:geleg. Inn d Statt Straßburg Inn Crautenaw Inn d. Vÿhe gaß:/ sampt deren hoffstetten, Vnnd gerechtigkeiten des halben brunnens, darin Aber herr Josias Glaßer Vnd seines haußes besitzer die einfarth Am selbigen hoff Zu seiner scheüren Vnd Gartten, benebent dem halben bronnen Vorbehalten thut, Aber Inn gemeinen bauw solle erhalten Werden, geleg. alhie Inn der Vorstatt Crautenauw Inn der Viehegaß einseit neben h. Samuel hugwarths gartten Anderseit N. N. hinden vff des h. Josiæ Glaßers Scheür stoßend für eÿg. Vnd Ist diser Kauff Zugang. für und umb vj. C. L. lb. d. Straßburg

Jacques Beringer, tailleur puis notaire, épouse en 1609 Barbe, fille de Tobie Wœfflin de Rosheim qui se remarie en 1616 avec le boulanger Sébastien Henninger, fils d’André Henninger d’Ettenheim en Bade.
Mariage, cathédrale (luth. p. 220)
1609 (Dominica Sexagesima). Jacob Beringer der schneider vnd Barbara Thobias Wolfflin Burger Zu Rosheim dochter (i 114)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 277, n° 66)
1616. Domin. 23. post Trinit. 3. Novembr. Sebastian Henning. von Ettenheim ein beck, Barbara Wölfin Jacob Beringers des Notarÿ hind. laßene Witwe. Eingesegnet Montag d. 11. Novembr. (i 143)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 48, n° 48) 1616. Sebastian Henninger von Ettenheim Ein Weißbeck, Andres Henningers seligen gewesenen burgers Zue Ettenheim nachgelaßener Sohn, Barbara Weÿland Jacob Beringers seligen des Notarÿ nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Zinstag 11. Novembr. die Martini Zum Jungen S. Peter (i 50)

Sébastien Henninger originaire d’Ettenheim en Brisgau devient bourgeois dix jours après son mariage
1616, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1006
Bastian Henning. Von Ettenheim Auß dem preißgauw d. Beck empfaht d. Burg.recht Von Barbara Wolffin Weÿl. Jacob Berings des Notarÿ hind.laßener wüttib vnd wüll Zu den Beckh dienen. Actum den 21. 9.bris Ao 1616.

La maison revient à sa fille Anne Marie Henninger qui épouse en 1645 le boucher Chrétien Dietsch, fils de Valentin Dietsch de Dorlisheim

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 5, n° 13)
1645. dominica Cantate & Vocem Jucunditatis. Christman dietsch der Metzger, Valentin Dietschen von Dorlißheim hind. Ehel. Sohn, Jugfr. Anna Maria, Sebastian Henningers Würths Zur Schwartz. Hennen Tochter. copul Mont. d. 12. Maÿ h. x. Wilhelm (i 8)

Chrétien Dietsch devient bourgeois une dizaine de jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Fleur
1645, 4° Livre de bourgeoisie p. 228
Christmann Dietsch der Metzger von Dorlißheim, empfang d. Burgerrecht von seiner haußfrawen Anna Maria, Stephan Henningers Würths Zur Hennen alhie dochter vor 8 Goldtgulden, ist ledigen standts gewesen v. würdt Zur Blumen dienen. Jur. den 27. Maÿ 1645.

Chrétien Dietsch et sa femme Anne Marie hypothèquent leur maison à la Poule noire (zur schwartzen Hennen) au profit de l’orfèvre Daniel Harnister et de sa belle mère Anne Marie Dieffenbecher

1665 (ult. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 617
Erschienen Christmann Dietsch der Metzg. und Anna Maria sein Eheweib, Vnd Zwar Sie Anna Maria mit assistentz H. Johann Pforten und H. Andres Gerings beede alß aus E.E. groß. Rhats mittem ahne statt nechster Verwanthe hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein H Daniel Harnischters deß Silberarbeiters für sich selbsten und im nahmen Fr. Annæ Mariæ Dieffenbacherin, wittibin, seiner Fr. Schwiger Muter, ihme H Harnischtern 100 lib, Und Ihre Fr. Dieffenbacherin 50. lib. schuldig seÿen
Unterpfand sein solle Eine Behaußung mit allen dero Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Vorstatt Krautenaw in der Viehegaß. einseit neben H Johann Reichßhoffers ietz regierend. Ammaÿster Garten, anderseit neben H Philipß Hammerers alten groß. Rhats Verwanth. hind. vff H Nicolaum Hämmerlin Sibner Gerichts Procuratorem stoßend gelegen und Zur schwartzen hennen genannt

Le boucher célibataire Chrétien Dietsch et le tuteur de sa mère imbécile Anne Marie Henninger hypothèquent la maison au profit de la tribu des Pêcheurs

1675 (4. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 569-v
Christmann Dietsch der ledige Metzger, mit beÿstand Christoph Geÿers deß Metzgers seines noch ohnentledigten Vogts und Georg Carl Schneiders deß Weißbeckhen alß Vogts Annæ Mariæ Henningerin sein Dietschen eheleiblichen Mutter, welche blöd häuptig seÿe
in gegensein Herren Hannß Diebolt Jungen deß fischers, alß Zunfft maÿsters und Herrn Johann Spießen Schaffners deß Stifft St. Stephan alß Schöffens E.E. Zunfft der fischer – schuldig seÿe 250. lb – mit welcher uffnahm Er der Sohn daß haußweßen führet, seine blöde und Kranckhe Mutter Verpfleget und daß Lehnungsweiße handwerck treibet, mithien alles uffrecht erhaltet
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt Krautenau in der Hennen Gaß, einseit neben Georg Friderich Reichßhoffern dem handelsmann, anderseit neben – hinden uff herrn Johann Niclaus Caroli alten großen rhats Verwanthen stoßend gelegen

Chrétien Dietsch loue l’auberge à la Poule noire à Philippe Gross

1678 (30. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 741-v
Christmann Dietsch der Metzger
in gegensein Philipp Großen deß ledigen Würths, mit beÿstand herren Jacob Luthers deß Gastgebers Zur Lucern und E.E. Kleinen Rhats alten beÿsitzers seines geweßenen Curatoris, wie auch herren Johann Niclaus Caroli E.E. Großen Rhats beÿsitzers
Verlühen, die Herberg Zur Schwartzen Hähnen mit allen deren Gebäwen und Zugehördten, allhier in der Vorstatt Krautenau in der Hänen Gaß gelegen, uff 3. Jahr lang Von bevorstehend. Annunciat. Mariæ angerechnet, dergestalten, daß der entlehner Vor die Vordere anderthalben Jahr Keinen hauß zinnß raichen sondern Verglichener maßen den Schilt außwurckhen, und waß deme Anhangt beschaffen, Vor die letztere anderhalben Jahr aber 75. lb

Chrétien Dietsch épouse en 1677 Anne Fritsch, veuve de Georges Kamm (voir ci-dessous l’acte de 1689). Fille de l’aubergiste à la Cave profonde Jean Fritsch, Anne Fritsch épouse le boucher Georges Kamm en 1659.
1675 (28.4.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 7) n° 342
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Nahrung undt güthere, Liegender undt vahrender, Verändert Und vnveränderten, Keinerleÿ außgenommen, So weÿ. der Ehrenhaffte vnd bescheÿdene hannß Georg Kamm Metzger v. burger allhie (…)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 123-v, n° 25)
1659. Eodem Dom. [Dom. 11. Post Trin.} Georg Kamm der Metzger, Jorg Kammen Metzgers allhier ehel. Sohn, Anna Wirths Zum tieffen Keller, Hanß Fritschen Tochter. (i 125)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 38) 1659. Dncâ XI. Trinit. d. 14. Aug. Geörg Kamm der Metzger Weiland Geörg Kammen auch Metzgers Vnd burgers allhier hinderlaßener Ehelicher Sohn Vnd Anna Johann Fritschen des Gastgebers Zum Tieffen Keller Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 22. Aug. Zum Alt. S. Peter (i 41)

Chrétien Dietsch loue à nouveau l’auberge à la Poule Noire à Jean Philippe Gross

1681 (16. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 545
Christmann Dietsch der Metzger mit beÿstand Friderich Senckheÿßen auch Metzger
in gegensein Johann Philipp Großen des Würths mit beÿstand Herrn Jacob Luthers E:E: Kleinen Rhats alten beÿsitzers undt Michael Hirschmann Würths zum Spanbett
entlehnt, die Herberg Zur Schwartzen hennen mit allen deren gebawen undt Zugehördten alhier in der Hennengaß in der Vorstatt Krautenaw uff 3 Jahr lang Von nechstkommen Annunciat: Mariæ 1682. angerechnet umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 50. lb.
Darbeÿ insonderheit bedingt worden ist, d. im Fall die Verleihene herberg under Wehrender Lehnung feil würde, die Lehnung Zwar alß dann geendet, der entlehner aber den Vorkauff nach Verkauffs Recht darauff haben, und deswegen uff die entlehnte Herberg hiemit Versichert sein solle, fürs Eine, Zum andern Weÿlen Er der Entlehner den Schildt so Vor der herberg herauß hängt, gehörig. orten außgewürckht und sellbigen auß seinem Costen machen laßen, daß derselbe beÿ geendeter Lehnung den Schild beÿ dem Haußlaßen, undt die deswegen angewendeter Kösten nicht fordern sollen allermaßen Er dann auch uff solche Uncosten hiemit renuncirtet

Chrétien Dietsch loue l’auberge à la Poule noire à Laurent Henri Gœldel

1687 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 209-v
Christmann Dietsch der Metzger [unterzeichnet] Cristmann Dietsch
in gegensein Lorentz Henrich Göldel, deß würths (si go. Lorentz Henrich Göltl)
entlehnt, das Würthshauß zur Schwartzen hennen sambt allen deßen Gebaüen und Zugehördten, nichts darvon außgenommen, in der darvon genandten Hennen gaß in der Krautenau einseit neben H. Johann Schatzen anderseit H Johann Würtzen, hind. auff H. Johann wurtzen stoßend geleg. auff anderthalb jahr lang von Johannis Baptistæ nächstkünfftig an Zu rechnen – umb einen jährlichen Zinß nemblich 33 pfund

Accord entre Chrétien Dietsch et sa femme Anne Fritsch relatif aux conventions stipulées à leur contrat de mariage passé devant Jean Frédéric Medler le 19 avril 1677
1689 (25. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 572-v
Christmann Dietsch der Metzger an einem
So dann Anna gebohrne Fritschin deßen eheliche haußfr. mit beÿstand H. Georg Heckers deß beständigen Regiments der Hh. XIII. beÿsitzers und H. Johann Friderich Redwitzen Not. wie auch Johann Bilgers deß Würths zum dieffenkeller alß Vogts, Ihrer mit weÿl. Georg Kammen dem Metzger Seel. erziehlter und nachgelaßener Kinder am andern, beede Theÿle aber mit beÿstand H. Sebastian Röderers und H. hanß Georg Ehrlen, beeder E.E. Großen Rhats beÿsitzer und H. Johann Jacob Geÿers J.V.L. und dießer Statt Rhats und Advocati aller dreÿ Von E.E. großen Rhat hierzu zu beed. Parten gütlicher Vergleichung insonderheit Depp.
Zeigten an und bekandt, demnach Sie Anna ihne Christmann Dietschen in dero am 19. Aprilis 1677 durch weÿl. H. Johann Friderich Medler Notarium uffgerichteten Eheberedung /:welche Eheberedung, Zwar wegen underlaßener einig. solemniter hat wolen Verworffen werden so aber hier durch de novo confirmirt und beeden parten reciproce geltig gehalten werden solle:/ §. Zum Fünfften Eine allhier in der leimengaß gelegene behaußung Wÿdembs weiß zugenüeßen Vermacht hat, Welche behaußung aber aniezto Wegen außweißung Vorgemelter Kind. erster Ehe Vätterlichen Gutts verkaufft werden müßen, Alß Wolle Er Christmann Zwar uff seinen darauff gerührter maßen gehabten Wÿdemb renunciren und Verzug thun, Hingegen aber Will Sie demselben ahne statt dießer behaußung zu einem Rechten wÿdemb Verschreiben und uffrichten Ihren under der Kleinen Metzig Zwischen Adolff und Hannß Georg Magnus denen Metzgern Von Schiltigheim gelegenen Metzger bänckh, davon man Jährlich Zehen Schilling bodenzinß Gemeiner statt allhier zugeben schuldig

Anne Marie Henninger veuve de Chrétien Dietsch meurt en février 1692. L’inventaire est dressé à la requête des créanciers et de la femme abandonnée de Chrétien Dietsch, fils et unique héritier de sa mère. Les experts estiment la maison à la Poule noire 675 livres. L’actif de la succession s’élève à 714 livres, le passif à 1385 livres. Les deux principaux créanciers sont le marchand de bestiaux David Divoux de Sainte-Marie-aux-Mines et le boucher Thiébaut Sigel de Benfeld.

1693 (2.3.), Not. Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 8) n° 274
Inventarium über Weÿland fraw Annæ Mariæ gebohrner Henningerin, Auch weÿland Christmann Dietschen Geweßenen Metzgers vnd burgers alhier nachgelaßener wittiben, beeden seel. Verlassenschafft auffgerichtet in A° 1693. – nach Ihrem den 15. Febr. nechshien genommenen tödlichen hintritt, hie Zeitlichen verlaßen, Wie solche auf Ansuchen vnd begehren des Ehrenvesten, Kunstreichen, fürsichtig vnd weißen Herrn Rudolph Steegen Barbierer vnd Wund Artzts jedoch burgers alhier, alß aus Mittel E. E. Kleinen Raths Zu dießem Geschäfft absonderlich Gebetten vnd gnädig willfahrten Deputati, im Nahmen der jenigen Creditoren, So dan Mr Christmann Dietschen den bereits vor einem Jahr ausgetrettenen Metzgers, alß der verstorbenen leiblichen Sohn, Auff welche deroselben Verlaßenschafft, ab intestato erblich gefallen, woher annoch prætensiones vnd forderungen haben, ordnungsmäsig inventirt vnd ersucht, durch fraw Annam Dietschin die Deserirte Sohnsfraw, alß welche sich beÿ der verstorbenen in dero behausung Zur hennen auffgehalten, mit beÿstand H Johann Heinrich Metzgers des Schuhmachers, Ihres geschwornen Vogts (…) So beschehen Strassburg den 2. Martÿ A° 1693.

In der, ahne so genannter hennen: oder Klein viehgaß alhier gelegener, Zur schwartzen Hennen genannter: vnd in diese Verlaßenschafft gehörig: deßwegen hernach fol : (-) beschriebener Behausung volgender maaßen befunden
Eÿgenthumb ahne Einer Behaußung vnd Zugehördten. Zweÿ häußer Gegen einander über, so ettwan die Gastherberg Zur schwartzen hennen genannt, mit allen deroselben Gebäwen, höfflein, Brunnen, auch übrigen begriffen, weilten, Rechten, Zugehördten vnd gerechtigkeiten, Gelegen ahne der Kleinen Viehe Gaß, einseit neben herrn Johann Schatzen des handelßmanns Gartten, anderseit neben H. Hannß Heinrich Silbach dem biersieder Zum Weÿßen haanen, hinden auff eine Scheür oder frucht Schütt, so denen Wurtzischen Erben gehörig, so für freÿ ledig vnd eÿgen, von denen verordneten vnd Geschwornen herrn Werckmeistern, craft dero schrifftlichen Abschatzung vom 7. Martÿ Anno 1693 angeschlagen worden vmb 675. Darüber ist vorhanden j. Teutscher Pergamenter Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contract Insigell verwahrtn deßen datum den 18. Martÿ Anno 1625. sigl. mit N° 1. Ferner soll darüber besagen ein altter Pergamentenen Kauffbrieff, mit erwehntem Insigell becräfftiget, vnd datirt den 2 Aprilis Anno 1714. so sich aber anjetzo nicht befunden. Dargegen hat sich jetzi befunden, j Ganth Kauffbrieff mit der Stattgericht Zu Straßburg anhangendem Insigell verwahrt, sub dato 11. Aprilis A° 1673. meldet wie H. Daniel Harnister & solche behaußung durch Ganthrecht ahne sich gezogen gebaht, mit N° 2 bezeichnet
Sa. Haußraths 37, Sa. Silbers 2, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 675, Summa summarum 714 lb
Nun folgen ferner die jenige Creditores, welche an eingangs Gedachten Christmann Dietschen, dem ausgetrettenen Metzger, alß dißorts leiblichen Sohn Vnd Erben annoch einige Prætensiones haben, vnd beÿ dießen Newlichem Credit Geschäfft aus Mangel der Nahrung nicht Zur Zahlung Gelang. Können (…) Item H David Diwu der Vieh händler Von Mariæ Kirch 420, Item H Diebold Sigell der Metzger Von Bennfeld 554. Summa Schulden 1385 lb, In Vergleichung 670 lb
Abschatzung Sambstags d 7 Martzi 1693. Auff gehehren deß Ehren Vösten Vnd Vorgeachten herrn Johann Friderich Steg, E. E. Kleinen Raths hirer Zu in sonderheit debudierter, ist die behaußung alhier in der Statt Straßburg Zur schwartzen hännen genandt, in der Crauttenaw, Ein seitzs Neben herrn Johann Schatz dem pulffermacher, ander Seites Neben N N dem bierwirdt Zum Weißen hanen gehörig, hinden vff herrn paullus flach ober schreiber im spitall Stoßend, durch Vnß Zu Ends bemelten der Statt Straßburg geodnete Werckleithe besichtiget, welche behaußung Sampt Neben gebeÿ hoff Vnd ein gemeiner bronnen, auch überige begriff Recht Vnd gerechtigkeit dem Jetzigen preiß vnd Wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Ein Taußend dreÿ hundert Vnd Vinfftzig Gulden. bezeigens der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhleuthe, Joseph Lauttenschlager alter Werckmeister, Johann Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhoffs.

Les syndics de la faillite de Chrétien Dietsch exposent la maison aux enchères. Les deux principaux créanciers s’en rendent propriétaires pour 400 livres mais Paul Flach, secrétaire général de l’hôpital bourgeois, use de son droit de retrait

1694 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 465-v
H. Philips Kübler, Und H. Rudolph Steeg jener E.E. großen Raths alter, beede aber E:E: kleinen Raths jetzmahlige beÿsitzere und auß deßen Mittel zu distraction und außweißung des außgetrettenen Christmann Dietschen allhier befindlicher Falliments Nahrung insonderhait Deputirte, mit beÿstand Hn Johann Friderich Ösingers, J.U. Ddj und ged. Raths referentis
in gegensein Hn Paul Flachen Oberschreibers des mehrern Hospitals allhier, angezeigt und bekandt, demnach hernach beschriebene in ged. falliment gehörige behaußung an Hn David Divus Von Markirch und Hn diebold Siegel von bennfeld deren H. Johann Martin Dautel J.U. Ddus et Practicus und H. Johann Philipp Marolff mehrged. Kleinen Raths Procurator et Advocatus constituirte Mandatarÿ sind, verkaufft word. und aber ged. Flach beÿ HHn. Räth und XXI. eingekommen, Und Ihme dieselbe vermög ergangener und hierbeÿ vorgewiesener Erkandtnuß vom 19.ten huj: jure protimiseos et retractus auß zu heben erlaubt worden, Alß hätten ob Ehren ged. Herren Deputirerten Ihme solche hiemit verkaufft
Hauß, Hoff, Hoffstatt, Stallung, bronnen, sambt der gerechtigkeit des schilds, und übrigen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Krautenau, in der Hennengaß, einseit neben H. Johann Schatzen, dem Handelßmann, anderseit neben H. Henrich Sillbach dem Biersieder Zum Weißen Hahnen, hinden auff des H. Kaüffers wohnbehaußung, welche die durch farths gerechtigkeit zu Vorhien durch jetzverkauffte behaußung gehabt, stoßend gelegen, und Zur Schwartzen Hennen Genandt – umb 400 pfund

Thiébaut Sigel de Benfeld et (David) Divoux de Sainte-Marie-aux-Mines louent l’auberge à la Poule noire à Jean Georges Bahn

1698 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 62
H. Johann Sigwald Ober Pfründer im Spitahl, vermög Zweÿer underschiedlich. Schreiben vom 22.t. Xb. 1697 Und 19. Januar. 1698 beed. von H. Theobald Siegel, Stättmeistern Zu Benfeld eÿgenhändig geschrieb., und.schrieben und sigillirt, deßen bevollmächtigter mandatarius, auch im Nahmen H. Thebauld von Markirch
in gegensein H. Johann Georg Bahnen
entlehnt, das hauß Zur Schwartzen hennen, mit allen dern Gebaüen und Zugehördt. allhier in der Kleinen Viehgaß, sonst Hennengaß genandt, geleg. auff zweÿ Jahr lang von weihnachten dieß jahrs anzurechnen, umb einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Estimation du loyer de l’auberge à la Poule noire dans l’affaire qui oppose Paul Flach d’une part et les sieurs Divoux et Siegel

1701 (4.8.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 13)
Lesquels Nous ont dit que pour satisfaire a l’arrest du Conseil souverain d’Alsace en datte du 27 juin dernier portant qu’il sera proceddé a l’estimation tant des ouvrages repetés par led. Sr Flack que les loyers pretendus par led. diuoux et Ziegel de la maison appellée la poulle noire en lad. ville pendant le tems que led. Sr Flack en a jouy par gens experts a ce connoissans (…)
Et que Led. Sieur Flack a Nommé d sa part pour l’estimation desd. Loyers les Nomméz Bann et damback bourgeois de Mad° ville, Et Lesd. diuoux et Stall aud. Nom Les Srs Rondouin charpentier et Jean Wolganden de Molsheim courtier, Et a Lesgard des ouvrages repetés par Led. S Flacl, Iceluy Sr Flack a Laissé à la liberté desd. Diuoux et Stall de se rapporter a L’affirmation des ouuriers qui y ont trauaillés ou qu’ils Nommeront d’experts pour les estimer Lesquels Lesd. Sr Diuoux et Stall aud. Nom Ont dit qu’ils veullent bien ainsi que Ledit Sr Flack Le propose se rapporter a L’affirmation des ouvriers qui y ont trauaillé attendu qu’ils Les disent qu’il Ne seroit plus au possible de Justiffoer comme estoit autrefois La maison et Les ouvrages qui y ont esté faits, ce que Led. Sr Flach a Nié et offre de Justiffier du contraire, pour Leffet de quoy Est que led. diuoux a voulu que cette raison soit Inserées dans ce verbal, Led. Sr Flack a Nommé Habraham Marmet vitrier et Sigismond Felkenhauer serrurier bourgeois e lad° ville au raport et affirmation desquels Led. diuoux se sont rapportés, et a en outre Led. Sr Flack demandé que Le M° des hautes et basses œuvres affirme ce q’il a fait ou qu’il a receu pour la vuidange des Lieux de Lad. Maison, et ont Les parties signés (Martin Stahl, Paul Flack D. Diuou
(…) Et Ledit Jour a quare heures e relleuéé Lesd. experts ont comparus deuant Nous et Nous ont rapporté et mis ez main Leur rapport escrit en allemand Et cacheté et signé d’eux, Lequel contient qu’il Leur paroit que Lestimation des loyers de la Maison en question peut aller tout au plus a 90 liures par chacun an dans le temps que Led Sr Flack en a jouy, parce qu’elle N’estoit pas alors en Estat quelle est a present, ce qu’ils ont encore réjteré de Viue voix et ont dit auoir fait ledit rapport en leurs ames et conscience
(signé) Johann Georg Bahn, Rondouin, H. Georg Dambach Johann wolffgang von Molßheim
(Joint) Underthänigster Bericht wegen der Schwartzen hennen Ihr Gnd. dem Regierenden Herrn Ammeister Zuer Offnen. – Demnach Ihr Gnad. der Regirende herr Ammeiser Franciscus Reiß Eÿßen von vnß vier Zuend vndterschribene, handtrew ahn eÿdesstatt abgenommen hat die behaußung zur Schwartzenhennen in der Crautenaw gelegen Zu besichtigen, vnd daruber Zu vrtheilen waß solche behausung Jährlichen vor einen Zinß ertragen mag oder werth ist, so hat man beÿ gutem Gewißen befunden, daß vff daß hochste solches Zinß vff L. 90 oder fl. 45. Zuschatzen seÿe, welche wir viere mit vnsers nahmens aigenhängiger vnderschrifft bezeügen So Geschehen, freÿtag d. 5.ten Augusti 1701, [unterzeichnet] Johann Georg Bahn, Rondouin, H. Georg Dambach, Johann wolffgang von Molßheim

Le juriste Jean Martin Dautel loue l’auberge à Chrétien Allemann qui céde l’année suivante son bail au boucher André Eyel

1702 (16.5.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 220
Hr. Joh: Martin Dautel U. J. Ddus u. Practicus [unterzeichnet] Johann Martin d’Autel
in gegensein Christian Allemans würths zuer schwartzen Hennen allhier
entlehnt, d. gasthauß zuer schwartzen hennen allhier in Krautenau einseit neben Hn. Joh: Schatzen handelsmann anderseit neben – hinten auf Hn. Paul Flachen oberschreibern im Spithal deme auch d. durchfahrtsrecht durch besagtes hauß gehöre, stoßend gelegen, mit allen zugehörden, recheten u. gerechtigkeit, auf vier jahr lang anfangend auf den 1. maÿ 1702, um einen jährlichen zinß nemlichen 25 pfenning (…) zweÿens verspricht Joh: Kÿlian secklers deß Conductoris Schwäher für obigen zinß biß zuer endigung der lehnung bürg zu seÿn
[in margine :] hierinnen erwehnter Allemann hat in gegenseÿn andres Eÿels metzgers angezeigt u. bekant, daß Er, Allemann, ihn Eÿel, in herinnen verschribenes sein lehnungs recht nach allen herinnen stipulirten puncten u. conditionen tretten laßen wolle – ferners erschienen Joh: Georg Bertsch seÿler sein, Eÿels, Schwäher, der hat sich für ihn den Tochtermann verbürget, den 22. sept. 1703
[in margine :] hierinnen erwehnter Hr. Dctis. Dautel beneben auch supra benambßtem Eÿel haben angezeigt u. bekant Demnach hierinnen besagten Hauß von denen Proprietariis wider eingelößet worden, mithien sein Hn. Dautels recht erloschen, alß wollen Sie beede Parthen sothane lehnung hiermit cassiren, den 28. aug. 1704

Le boucher David Divoux d’une part, les frères Mathias et Joseph Sigel d’autre part vendent l’auberge à la Poule noire au tonnelier Jean Dürninger et à sa femme Susanne Schranckenmüller moyennant 450 livres

1704 (5. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 606-v
David Divou metzger u. handelsmann für sich, ferners Mathias u. Joseph gebrüder die Sigell für sich u. nahmens übriger interessenten hierzu ihrer außsag nach mündlich bevollmächtiget [unterzeichnet] Dauidt Diwu, Mathiß sigell, Joseph Sigell
in gegensein Joh: Dürningers Kiefers u. Susannæ gebohrner Schranckenmüllerin [unterzeichnet] Johannes Theurneünger, Sussanna theürnenngerin
die Gastherberg zuer Schwartzen Hennen genannt allhier einseit neben Hn Joh: Schatzen handelsmann anderseit neben Johann Ludwig Pfunden bierwürth zuem Rießen hinten auf die würtzische KK. stoßend, zusambt der Hoffstatt Hoff mit allen anderen deren Gebäuen begriffen weithen rechten u. Gerechtigkeit – um 450 pfund (450)

Fils d’un tonnelier de Colmar, Jean Dürninger épouse en 1701 Susanne Schranckenmüller : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidene Meister Johannes Dürninger dem leedigen Kieffer Weÿland herrn Johann Philipp Dürningers geweßenen burgers Zu Collmar nunmehro seel. hinderlaßenen ehelich erzeugten Sohn als hochzeitern ane einem, So dann der tugendsamen Jungfrawen Anna Susanna deß Ehrengeachten herrn Christoph Schranckenmüllers burgers zu Straßburg ehelich erziehler tochter als hochzeiterin am andern theil – herrn Johann Friderich Schatzen dem zu dießem Actum in specie requirirten Notario, Vor Straßburg auff dem Schieß Rhein den 9. Monaths tag Julÿ, Im Jahr 1702. – Weilen nun hievorgedachter Herr Notarius Schatz vor außfertigung gegenwärtiger Heüraths verschreibung mit todt abgangen, als haben ich Ends benandter Notarius gegenwärtiges hiehero überschreiben laßen Johann Jacob Baldner, Nots: publ.

Mariage, Bischheim (luth. p. 72)
1702. Mittwoch d 12. Julÿ Seind auf Obrigkeitliche Böcklische von Böcklinsau erlaubnus ehl. eingesegnet word. Johannes dürninger der ledige küeffer Johann Philipp dürningers burgers in Collmau hinterlaßener ehl. sohn und Jgfr. Susanna, Johann Rudolff Schranckenmüllers tabackmachers v. burgers in Straßb. ehl. tochter wie solches neben mir dem pfarrer der die Copulation vererhret folgenden bezeugen, Johannes Theürneünger Alls hochzeütter, Anna Susanna Schranckenmüllerin hoch zeiterin, Johan Jäp der hochzeidter Vock, hanß Knecht der hochzeiterin schwager (i 40)

Jean Dürninger devient bourgeois un an après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Tonneliers
1703, 4° Livre de bourgeoisie p. 743
Johannes Türnninger, der Kieffer Von Colmar Weÿl. Joh: Philipp Türnninger gew: Küffers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Fr. Susanna Rudolff Schranckenmüllers tabacknechts tochter p. 2. Gold fl. V. 16. ß so beÿ der Cantzleÿ erlegt worden: wird beÿ E.E. Zunfft z: Küffer dien. Jur. d. 27. Ejusd. [Aug.] 1703

Jean Dürninger devient tributaire chez les Tonneliers le 3 octobre 1703
1703, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 301-v) Mittwoch den 3.ten Octobris Anno 1703 – Johannes Dürninger der Kieffer Von Colmar gebürthig, prod. burger Schein Von allhießiger Cantzleÿ der Statt Stall Vndt Pfenningth. Sub dato 27. aug. jüngst Verstrichen, Bittet Ihme das Zunfftrecht alß einem Leibzünfftigen gegen gewohnlicher Gebühr gedeÿen Zulaßen. Erkandt willfahrt. Zahlt fürs Zunfftrecht 2 lb 1 ß 8 d für die zu denen fewer Eÿmern geordneten 10. ß d Vndt für Zunfftschrbr. Vndt bittel 2 ß 6 d.

Jean Dürninger hypothèque l’auberge à la Poule noire au profit du maître des basses œuvres Jean Michel Grosholtz

1707 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 54-v
Johann Dürninger Kiefer
in gegensein Joh: Michel Großholtzs Nachrichters – schuldig seÿen 600 pfund
unterpfand, die Gastherberg zuer Schwartzen hennen allhier, einseit neben Joh: Schatz handelsmann anderseit neben Joh: Ludwig Pfund hinten auff die würtzische Kinder c. appert:

La femme de Jean Dürninger demande au nom de son mari malade le droit de quitter la tribu des Tonneliers pour celle des Fribourgeois parce qu’elle tient auberge depuis quelque temps. Le conseil lui demande de produire un certificat des Fribourgeois
1707, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
Dienstags den 13. Xbris 1707
(f° 22) Dienstags den 13. Xbris 1707 – Johannes Dürninger deß Weinhändlers Haußfrau stehet im nahmen gedachten Ihres Ehemanns so Kranckh vor unnd bedeütet, weilen Ihr mann schon einige Zeit die Würtschafft treibete, Er gemüßiget ware sich beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger leibzünfftig Zu machen, bathe derowegen umb erlasung seines Zunfftrechts. Erkandt vmb so fern willfahrt daß Er das dißjährige Stubengelt Zu erlegen, wie in gleichem Von ged. Ehrs. Freÿburger Zunfft einen schein, daß Er daselbsten würcklichen Zünfftig worden ehistens Vorzuzeigen schuldig sein solle.

Jean Dürninger, aubergiste à la Poule noire, meurt en mars 1711 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 425 livres. L’actif de la succession s’élève à 26 livres, le passif à 240 livres.

1711 (5. 8.br), Not. Mader (6 E 41, 666) n° 77
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung undt Gütter liegender und fahrender so Weÿl. H. Johannes Dürninger gewesener Würth Gastgeber Zur schwartzen Hennen und burger allhier nunmehr seel. nach seinem den 18. Martÿ dießes 1711.ten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren deß Ehrengeachten Herrn Lorentz Geÿßtodts hohltrehers und burgers allhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Susannæ Barbarä und Johannes Durninger deß Verstorbenen Herrn seel. mit der Tugendsamen frawen Susanna Durningerin gebohrner Schranckenmüllerin seiner geliebten Haußfrauen Ehelich Erzeugt undt hinterlaßener Zweÿer Kinder und ab intestato Erben, Inventirt und Ersucht durch obgelemte fraw Wittib mit beÿstand deß Ehrengeachten Johann Christoph Roßen Huthmachers undt Münster bläßers auch burgers allhier Ihres geschwornen Herrn Curatoris – So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Montag den 50 Octobris 1711.

In Einer in der Statt Straßburg ane der Hennengaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Soldaten Cammer, In der Officier Stub, In der Cammer A, Im mittlern Haußehren, In der Cammer B, Auff dem obern gang, In dem obern hindern stüblein, In der Gaststub (…)
Eigenthum ane Einer behaußung. Item eine behaußung, Hoffstatt und Hoff, mit allen deren begriffen weithen Rechten zugehördten und gerechtigkeiten die Gastherberg Zur Schwartzen Hennen genandt, gelegen allhier in der Statt Straßburg, ane der Hennengaßen, einseit neben H Johann Schatzen dem handelßmann anderseit neben herrn Johann Ludwig Pfunden dem biersieder Zum Rießen alhier hinden auff die Würtzische Kinder stoßend, Davon gehen Jährlichen 26. lb. 16. ß 8 .d à 5. pro Cento gerechneten Zinnßes Mstr Johann Michael Großholtz dem Scharffrichter allhier, lößig in Capital mit 536: lb: 16. ß d., Sonsten gegen männiglichen freÿ ledig und eigen und durch der statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach eines beÿ mein Notarÿ befindlichen Abschatzung angeschlagen vor 425. lb, davon aber solten wieder abgezogen werden obige beschwerden sothun 536. lb. Alldiweilen aber solche beschwerden darstehenden anschlag umb 111. lb 16. ßs übersteigen alß hat derentwegen allhier nichts außgeworffen werden können sondern es wird solches überschuß hernach Passive eingetragen. Hierüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger CC Stuben gefertiget mit der statt Straßb. anhangendem Innsiegel verwahrt datirt den 5. Decembris 1704. weißet wie solche behaußung von David Divou et Consorten Erkaufft worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 25, Sa. Silbergeschmeids 7 ß, Summa summarum 26 lb – Sa. Schulden auß dem Erbe zubezahlend 240. lb, Übertreffen also vorstehende Passiva slche Nahrung umb 214. lb
Copia der Eheberedung (…) herrn Johann Friderich Schatzen den 9. Monaths tag Julÿ, Im Jahr 1702. – Weilen nun hievorgedachter Herr Notarius Schatz vor außfertigung gegenwärtiger Heüraths verschreibung mit todt abgangen, als haben ich Ends benandter Notarius gegenwärtiges hiehero überschreiben laßen Johann Jacob Baldner, Nots: publ.

Le chapelier et corniste à la cathédrale Jean Chrétien Rossen sollicite auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un que les deux enfants de Jean Dürninger et de sa veuve Susanne, bannie depuis lors, soient admis à l’Orphelinat.
1714, Conseillers et XXI (1 R 197)
weÿl. Johann Dürninger geweßten Würths Zur schwartzen hennen Zweÿ Kinder vmb auffnahm ins Waÿßenhauß. 38.
(p. 38) Mittwochs den 11.ten Aprilis 1714. – G. Ersch. weÿl. Johann Dürningers geweßten Würths Zur schwartzen hennen Zweÿ hinderlaßene Kinder Johann vnd Susanna mit beÿstand Johann Christoph Roßen deß Huthmachers vnd bläßers auff dem Münster, der berichtet, daß deren Vatter vor 2 jahren gestorben, vnd die Mutter relegirt worden vnd weilen keine andere mittel vorhanden alß welche in einem beÿ dem Conseil souverain Zu Collmar den 19.ten Decembris 1713 ergangenen arrest gemeldet worden alß producirt Stallschein, darauß zuersehen, daß der Vatter burger geweß., mit unterthäniger bitt dieselbe gn. in das weÿßenhauß auff vndt anzunehmen. Erk. Werden die Imploranten denen Hh. Pflegern deß Weÿßenhaußes zur auffnahm recommendirt. H. Ratherr Saur und H. Sainctlo.

Susanne Schranckenmüllerin femme en secondes noces de Jean Henri Drœscher et le tourneur Laurent Geistodt, tuteur des deux enfants de Jean Dürninger, vendent la maison à la Poule noire à l’aubergiste Jean Jacques Schmitz et à sa femme Marie Sara Satz moyennant 750 livres

1712 (ut ante [2. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 486
(750) Joh: Christoph Roß huetmacher und bläßer auf dem Münster nahmens Joh: Heinrich Dröschers geweßenen Schwartzhennen würts und Susannæ geb. Schranckenmüllerin, Item Lorentz Geißtodt hohldrehers alß vogt weÿl. Joh: Dürningers 2 KK
in gegensein Joh: Jacob Schmitz würts u. Mariæ Saræ gebohrner Satzin
d. gasthauß zuer Schwartzen hennen allhier in der kleinen viehgass in der vorstatt Crautenau, einseit neben Joh: Schatzen handelsmann anderseit neben (-) Pfund dem biersieder zuem Rießen hinten auf H. Paul flach oberschreibern im Spithal stoßendt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten – um 537 pfund capital verpfändet, beschehen um 212 pfund

L’aubergiste Jean Jacques Schmitz loue son auberge à Jean Jacques Schnabel

1712 (17.10.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 618-v
Joh: Jacob Schmitz würt zuer weißen hennen
in gegensein Joh: Jacob Schnabel würths
entlehnt, besagten gasthauß zum weißen Hennen allhier ahn der Hennengaß, einseit neben H. Schatzen anderseit neben H. Pfundt gelegen, Item im nebens hauß den Keller Kuchen und den gebrauch deß secrets, auf 3 jahr lang anfangend auf weÿhnachten 1712, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 lb

Jean Jacques Schmitz et Marie Sara Satz hypothèquent la maison au profit du précepteur Jean Adolphe Rumetsch

1713 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 92
Joh: Jacob Schmitz weinhändler und Maria Sara geb. Satzin beÿständlich Joh: Martin Ochs schiffmans und Joh: Georg Artzners fischers
in gegensein Joh: Adolph Rumetsch præceptoris privati – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, d. gasthauß zur schwartzen hennen samt dem nebenshauß und appert. ahn der hennen gass, einseit neben H. Schatzen anderseit neben Ludwig Pfundt hinten auf H. Flachen

L’aubergiste Jean Jacques Schnabel loue l’auberge à la Poule blanche à Jean Michel Arnold

1714 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 146-v
Joh: Jacob Schnabel würt
in gegensein Joh: Michel Arnoldt würts
entlehnt d. Gasthauß zuer weißen hennen allhier ahn der hennengass einseit neben H. Schatzen anderseit neben Pfund gelegen ohn d. nebens hauß biß auf Weÿhn: 1715, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 lb

Le boucher Jean Philippe Bodemer et sa femme Marie Dorothée Bezold achètent le 9 septembre 1718 la maison par adjudication judiciaire (voir la référence à l’inventaire dressé en 1784, ci-dessous). Ils l’hypothèquent quelques jours plus tard au profit de Salomé Reisseissen veuve Geiger

1718 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 467
Johann Philipp Bodemer Metzger und Maria Dorothea geb. Bezoldin beÿständlich Johann Rudolph Schrancken Müller weißbeckens und Johann Christoph rooß huethmachers Ihrer vettern
in gegensein H. Johann Friedrich Ößingers U.J. Doctorandi und E.E. Kleinen raths Referenten und herrn francisci Reiseisens auch U.J.Ddi C.Contactuum Acturarÿ als Curatoris Fr. Salome Geigerin Wittib geb. Reiseiserin
demnach Sie Bodemerischen Eheleuthe das Würthshauß anjetzo zur weisen hennen genandt allher in der Krautenau in der hennen gaß legend mit allen gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in alliesiger ganth käufflich ahn sich gebracht 437 pfund zu bezalen übernommen

Le conseil de la Fleur interdit à Jean Philippe Bodemer qui a prêté serment il y a déjà longtemps d’exercer son métier de boucher parce qu’il n’a pas produit son congé de Nuremberg. Jean Philippe Bodemer fait appel de la décision devant les Quinze. Les représentants des Bouchers déclarent que le plaignant a emporté son certificat d’apprentissage en partant faire son tour de compagnon. Jean Philippe Bodemer déclare avoir servi trois ans chez son frère boucher à Nuremberg. Associé d’un garant, il s’engage à présenter son certificat d’apprentissage et son congé dans les quatre semaines. Les Quinze se rangent à l’avis de la commission qui propose d’accorder un délai de six semaines et que la décision de la tribu sera suspendue jusqu’à ce moment.
1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 43) Sambstags den 2. Martÿ – K. noê Philipp Bodemers burgers vndt Metzgers alhie Cit. per sched. E. E. Zunfft Zur Blum Zunfftmeister, weilen Sie Ihme gestern d. Handwerckh, ohngeachtet er schon längsten præstanda præstirt deßweg. nidergelegt, daß Er keine Abscheidt von Nürnberg eingebracht, den man doch innerhalb Monatsfrist Zu lieffern, vndt davon Caution Zu leisten versprochen, als bittet depuâonem eâq. factâ, Ihme das handwerckh fort zu treiben Gn. Zu erlauben. S. Citatus præs. bittet ebenmäßig depuâonem. Erk. an die Ob. aciß Hh. verwiß.

(f° 49) Freÿtags den 8. Martÿ 1709 – Philipp Bodemer Ca. E. E. Zunfft Zur Blum
Ober accis herren Laßen per me proponiren, es habe Philipp Bodemer burger vndt Metzger alhier Ca. E. E. Zunfft Zur Blum geklagt daß obwohlen Er præstanda præstirt, dießelbe Ihme doch d. große Zunfft Recht versagt hette, weilen Er keinen Abscheidt von Nürnberg eingebracht, anbeÿ vmb deputation gebetten so auch willfahrt worden seÿe, vndt als man die Parthen gehört, habe Kläger sich auff seinem recess beruffen, im nahmen der Zunfft aber H Georg Oberdörffer und Johann Ehehalt darauff geantworttet, daß Klägern als Er auff die wanderschafft gezogen seinen Lehrbrieff mitgenommen derselben aber beÿ seiner rückkunfft nicht wieder, auch keinen abscheidt, wo Er gedienet mit gebracht habe, deßwegen Sie denselben, ehe vndt bevor, Er solche vorgelegt haben werde, nicht annehmen könten,
Worauff Kläger replicirt, daß Er beÿ seinem bruder Joh: Melchior Bodemer burger undt Metzger Zu Nürnberg dreÿ jahr gedienet vndt demselben, seinen Lehrbrieff, welchen Er wegen unsicherheut der straß nicht mit sich nehmen können, in verwahrung Gegeben habe, Er wolle aber selbigen, neben seinem Abschied in 4 wochen einlieffern, Wovor Daniel Fidel, burg. undt Metzger alhie Cavirt u. selbsten versprochen, dieße beede brieff in 4. od. 6. wochen Zurhandt Zuschaffen.
Auffseithen der Hh. Deputirten habe man darvor gehalten, daß dem Imploranten die gebettene Zeit der 6. wochen willfahrt werden könte, mit dem anhang daß wann Er in solcher Zeit seinem lehrbrieff vnd abschiedt nicht einlieffern würde, Er mit seinem begehren abgewießen werden solte. Erk. Bedacht gefolgt.

Fils de tanneur, Jean Philippe Bodemer épouse en 1715 Anne Dorothée Bezold, veuve de Jean Daniel Theurer, aubergiste à Mühlberg (près de Lauf dans l’Ortenau). La mère de la future épouse et son beau père Jean Jacques Mangold louent aux futur époux l’auberge au Tilleul au Faubourg blanc. Le contrat de mariage est passé à la Hohwarth. L’aînée des enfants, Marie Dorothée, est baptisée au Temple-Neuf en janvier 1716
1715 (28.1.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Hn Johann Philipp Bodemer ledigen Metzgern, weÿland Hn Johann Melchior Bodemers geweßenen Rothgerbers und lederbereiters und burgers alhier Zu Straßb. seel. ehelich erzeugten hinderlaßenen Sohn, dem Hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren: und tugendsamen Anna Dorothea gebohrne Betzoldin weÿl. Hn Johann Daniel Theürers geweßenen würths und gastgebers im grünen winckel beÿ Mühlberg, hochfürstl. Marg. badisch. herrschafft hinterlaßener wittib der Fr. Hochzeiterin am andern theil
Vor das Sechste, so verschreiben der Fr. Hochzeiterin geliebte beede Eltern ihr beed. neü verlobte vnd angehend. Eheleuth Zu einer gemeinen lehnung ihr gastherberg Zur Lind. in der Statt Straßb. in der weißen thurn straß gelegen Vf Sechs Jahr lang als von Johannis Baptistæ 1715 biß vf solche Zeit 1721. Jahrs umb ein billich. Zinß
So beschehen vnd verhandelt vf der hohwarth in dem ban der Königl. freÿ. Statt Straßb. vff Montag den 28. Januarÿ Anno 1715. [unterzeichnet] Johann Philipp bodemer als hochzeitter, Anna dorothea gebohrene bezoltin, Joh: Jacob Mangolt als Stifuater, Anna Dorothea Mangoltin als Mutter, Johann Christoff Rossen Als schwager

Baptême, Temple-Neuf (luth. f° 31-v, n° 112)
1716. Dienstag abends den 21.t Jan. ist Johann Philipp Bodemer dem b. und Gastgeber allhier, wie auch fr. Mariæ Dorotheæ gebohrner Bezoldin ein Töchterl. gebohren Donnerstag getaufft und Maria Dorothea genennet word. Patr. Johannes Fidel der ledige Metzger H. Johann Daniel Fidel b. und Metzger ehl. Sohn, J. Maria Stephan Seÿfferd b. vnd Windenmachers ehl. Tochter, J. Maria H Johannes Bouchart burgers und lederhändl. allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Bodemer alß Vatter (i 34)

Fille du manant Jean Bezold, Anne Dorothée Bezold devient bourgeoise par son mari en avril 1715
1715, 4° Livre de bourgeoisie p. 812
Anna Dorothea Betzoldin Von hier, weÿl. Johann Betzold gew: schirmers Tochter emp: das burgerrecht Von Ihrem Mann Joh: Philipp Bodemer pro 2 Gold fl. 16. ß. Wird Zur blum dienen. P. d 24. Dito [Aprilis] 1715.

Jean Philippe Bodemer et Marie Dorothée Bezold hypothèquent l’auberge qui porte désormais l’enseigne à l’Autruche (zum Strauss) au profit de Jean Philippe Bartenstein, professeur à l’université et chanoine à Saint-Thomas

1721 (21.7.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 372-v
Joh. Philipp Bodemer Gastgeber und Maria Dorothea geb. Bezoldin beÿständlich Johann Georg Bimmlers Schneiders und Johann Georg Gärttners Schuhmachers /:in ansehung wegen der zwischen ihr und ihrem bruder Johann Bezold gastgeber obschwebenden mißhelligkeiten selbiger nicht zu beruffen worden:/
in gegensein S.T. H. Joh. Philipp Barttenstein Log. et Metaph. prof. publ. et C.Capit. Thomani Canonici weÿl. auch H: Johann Georg Golen Schaffners des Stiffts St Thomæ – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine behausung und gastherberg zum Strauß genannt ahne der hennen: gaß, einseit neben H. Johann Schatzen handelsmann anderseit neben N. Pfunt dem biersieder hinten auff Hn Paul Flachen Oberschreibers in allhießigen Meheren hospitahl mit allen dazu gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten

Jean Philippe Bodemer meurt à l’âge de 59 ans le 10 novembre 1734. Son inventaire dressé par Christophe Michel Hoffmann n’est pas conservé.
1734, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1347
Inventarium über weÿland Hn. Johann Philipp Bodemer des Gastgebers Zum Strauß und burgers alhier Verlassenschafft

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 5, 1705-1740, f° 165-v n° 817)
1734. Mittw. den 10. 9.bris morgens zwischen 8. und 9. uhr ist Johann Philipp Bottemer, geweßener wirth Zum Strauß und burger allhier, sanfft und seel. gestorben, und Freit. den 12. ejusd. ad S. Urbani ehrlich begraben worden. Seines alters 59. Jahr 5 Monat und 14. tag, welches hiemit bezeugen Johann Jacob Bodemer als sohn, Johann Bezold als schwager (i166)

Sa fille Marie Dorothée Bodemer épouse en 1737 le batelier Gaspard Hess : contrat de mariage, célébration
1737 (21.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 76) n° 886
Eheberedung zwischen dem Ehrengeachten H. Caspar Hääßen Ledigen Schiffmann und burgern alhier, alß bräutigam ane einem
Sodann der Ehren und Tugendsahmen Jgfr. Mariæ Dorothæ weÿl. H. Johann Philipp Bodermers geweßenen würths Zum Strauß und burgers allhier seel. nachgelaßener ehel. tochter alß Hochzeitterin andern Theÿl
So beschehen Straßburg den 21.ten Januarÿ Anno 1737. [unterzeichnet] Johann Caspar Häß als hochzeitter, Maria Dorothea bodemerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 68-v)
ao. 1727 den 27. februarÿ Seind (…) copulirt und eingesegnet worden Johann Caspar Häß der Ledige Schiffmann und burger allher weÿl. H. Simon Häßen geweßenen Schiffmanns und burgers alhier und Annæ Margarethæ Meÿerunn nachgelaßener ehl. Sohn und Jungfr. Maria Dorothea, Weÿl. H. Johann Philipp Bodemers Gastgebers und burgers alhier und Maria Dorothea Besoldin ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Caspar häß als hochzeitter, Maria Dorothea Bodemerin alls hochzeitrin (i 71)

L’inventaire de leurs apports est dressé rue des Poules dans la maison qui appartient indivisément à l’épouse et à ses frères et sœurs

1737 (12.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 47) n° 1537
Inventarium über des Ehren und Vorachtbahren Hn Johann Caspar Häßen des Schiffmanns und der Ehren und tugendsahmen frauen Mariæ Dorotheæ Hääßin gebohrner Bodemerin beeder Eheleuthe undt burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung – und sich deren jedes sich und seiner Erben in der mit einander errichteten Eheberedung Vor ohnverändert Vorbehalten hat – so beschehen in fernerer gegenwärtigkeit Frauen Mariæ Dorotheæ Bodemerin gebohrne Bezoldin, weÿl. Hn Johann Philipp Bodemers geweßenen würths Zum Strauß und b. allhier hinterbliebener Wittib, der Ehefrauen eheleiblich Mutter So dann H. Johannes Bezold des gastgebers und burgers allhier der Ehefrauen geehrten Hn oncle Straßburg dienstags den 12.ten Martÿ A° 1737.
In einer allhier zu Straßburg ane der Hennengaß gelegenen der Ehefrau und ihren geschwisterden gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
[sans additions]

Marie Dorothée Betzold veuve de l’aubergiste à l’Autruche Jean Philippe Bodemer se remarie en 1739 avec le boucher Jacques Datt. L’inventaire de leurs apports est connu par le répertoire du notaire
1739, Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 77) n° 980
Eheberedung zwischen dem Ehrengeachten Herrn Jacob Datten Metzgern und burgern allhier alß bräutigam ane einem
So dann der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariæ Dorothæ Bodermerin gebohrner Bezoldin, weÿl. Herrn Johann Philipp Bodemer gewesten Gastgebers Zum Strauß und burgers alhier seel. nachgelaßener wittib alß Hochzeitterin andern Theÿls

1739, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1663
Inventarium über Frauen Mariæ Dorotheæ Dattin gebohrner Bezoldin: zu Johann Jacob Datt dem metzger ihrem Ehemann in die Ehe gebrachte Nahrung

Marie Dorothée Bezold meurt le 10 janvier 1747 à Plobsheim où Jean Jacques Datt exploite une auberge. Ses deux fils Jean Jacques et Jean Philippe Bodemer signent l’acte de sépulture
Sépulture, Plobsheim (luth. f° 37-v n° 228)
1747. Dienstag d. 10.ten Jan. Morgens Zwisch. 9 und 10 Uhr starb frau Maria Dorothea gebohrne Betzoldin Herrn Johann Jacob Datten Vornehmen Gastgebers allhier und Burgers Zu Straßburg haußfrau, Ihres alters 54 Jahr und 1 Monat, deren entseelter Leichnam den 11.ten ejusdem christich und ehrlich Zur Erben bestattet worden, Testes Johann Jacob Datt als Ehmann, Joh: Jacob Bodemer als Elter Sohn, Johann Philipp Bodemer d. Jüngern Sohn (i 38)

Les enfants Bodemer louent l’auberge à l’Autruche à Jacques Auffhammer

1742 (13.3.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 116
Johann Caspar Häß Schiffmann im nahmen seiner ehefrau Mariæ Dorotheæ geb. Bodemerin, mehr Conrad Reiff wirth uxorio nomine Fr. Annæ Mariæ geb. Bodemerin und H. Johann Friedrich Faust U.Lt als curator ad lites weÿl. Johann Philipp Bodemerin des Gastgebers dreÿen minorennen kinder Johann Jacob, Mariæ Salome und Johann Philipp der Bodemer, er Faust in abweßenheit David Stammlers des Specirers des ordinari vogts
Jacob Auffhammers des gastgebers [unterzeichnet] Auff hammer
entlehnt, Eine zum Strauß genandte behausung nichts davon als die von besagtem Hauß würcklich innhabende separirte wohnung ausgenommen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 80 gulden

Le co-tuteur des quatre plus jeunes enfants Bodemer hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Jacques Schurer

1743 (13.7.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 295-v
H. Lt. Johann Friedrich Faust Proc: Vicarius und ordinarius beÿ Löbl. Ammeister audientz als streitvogt weÿl. Johann Philipp Bodemer des gastgebers 4 jüngeren kinder Annæ Mariæ, Johann Jacob, Mariæ Salome und Johann Philipp der Bodemer
in gegensein H. Johann Jacob Schurer Med. Doct. – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, 4/5 theil vor unvertheilt ane einer behausung, stallung, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstatt Krautenau ane der Hennengaß, einseit neben H. Rathh. Krug uxorio noe. anderseit neben – hinten auff Jacob Ulrich den Schiffman – als ein vätterliches Erbguth

Anne Marie Bodemer épouse en 1740 l’aubergiste Jean Conrad Reiff : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung, unterm 1. sept. 1740 Heuraths Verschreibung zwischen dem Ehrengeachten H. Joh: Conrad Reiff ledigen Gastgeber weÿl. Joh: Conrad Reiff gew. Metzgers zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, So dann der Ehren und tugendgeachten Jungfer Anna Maria Bodemerin weÿl. Joh: Phil: Bodermers würths zum Strauß und burgers allhier, erzeigten Tochter – ahne der hochzeiterin Seithe Fr. Maria Dorothea Dattin geb. Bezoldin ihrer leibliche Mutter und H. Joh: Jacob datt dero Stieffvatters, Not. Christoph Michael Hoffmann

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 193-v n° 734)
1740, Mittwochs d. 21. Sept. seind nach ordentl. außruffung Ehl. copul. u. eingesegnet word. H Johann Conrad Reiff der led. Gastgeber u. b. allhier, weÿl. Johann Conrad Reiffen geweß. Metzgers u. b. allhier hinterlaß. Ehl. Sohn u. J. Anna Maria weÿl. H. Johann Philipp Bodemers geweß. Gastgebers u. b. allhier hinterlaßen Ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Conradt Reiff als hochzeiter, Anna Maria Bodemerin als hoh Zeiterin

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports en partie route du Rhin dans l’auberge au Bœuf rouge qu’ils louent et en partie rue des Poules dans la maison qui appartent indivisément à l’épouse, appelée successivement à la Poule puis à l’Autruche et pour le présent au Cor de chasse doré. Les apports du mari s’élèvent à 481 livres, ceux de la femme à 195 livres.

1743 (25.11.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 17) n° 260
Inventarium über Johann Conrad Reiff dermahlig. würths zuem Ochßen ahne der Rhein: Straaß und Frauen Anna Maria geb. Bodemerin der Zeit besitzende Activ und Passiv Nahrung – Johann Conrad Reiff der würth zuem rothen Ochßen
Theils in einer allhier zu Straßburg ahne der Hennengaß gelegenen: Ihro der Ehefr: zum theil zugehörigen theils auch in der: ahne der allhiesigen Rhein Straaß befindt: zum rothen Ochßen genanndten v. beed. Eheleuth in Lehnung habend. würths behaußung
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Inn der Hennengaß – Inn dem würths hauß zum Ochßen, In der Wohnstuben, Inn der Gast: stuben, Inn der Kuchen
(f° 11 v) Eÿgenthumb ahne einer Würts behaußung so der Ehefr. ohnv. F. Nemblichen 1/10.the theile für ohnverändert /:wovon die überige 14/15 theile der Ehefr. 4 geschwüsterde eÿgenthümlich zu prætendiren haben:/ von und ahne einer Anfänglich zur Hennen Nachgehends zum Strauß dermalen aber zum goldenen Waldt: Horn genandten würths behaußung hoff hoffstatt undt Stallung mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ahne der Vorstatt Krauttenau in der sogenandten Hennen gaß Einseit neben weÿl. H. Joh: Ludwig Pfundten deß biers: zum Rießen seel. Wittib und Erben anderseit neben herrn Lt. Frantz Joseph Krueg Es En. Großen Raths beÿsitzern Ehevögtl. weiße hinten auff H. Joh: Jacob Ulrich den Schffmann, welche völlige behaußung umb denjenigen alß warumb der Ehefrauen Mutter solche deroseben u. ihren überigen 4 Geschwüsterde zufolg einer sub dato 18. aug. 1741 errichtet und den 4. oct. 1741 unterschrieben darauff den 19. jan. 1742 beÿ E.E. Gr. Rath prod. und den 12. jan. 1742 allda Confirm: Vergleichs /:Jedoch auch conditionaliter:/ überlaßen hier in ohnpræjudicirlichen Anschlag gebracht wird mit 1000 lb, der Ehefrauen 5.t theil 200, Über die völlige behaußung hat sich außer den vorher abgezogenen (…) Vergleich dermahlen nichts schriftlichen befunden
Ergäntzung der Ehefraun, lt. Eheberedung
(f° 15) schulden, It. fr Maria Barbara Demuthin geb. Hummelin weÿl. H. J. Heinrich Demuth des weinhändlers Wb. vor 5/4 Jahren haußzinß
Norma hujus inventarii, der Ehefrauen Ohnverändert Vermögen, hausrath 61 lb, silbers 18 lb, goldene ringe 6 lb, baarschafft 18 lb, wurthshaußes 200 lb, schulden 50 lb, Ergäntzung 15 lb, summa summarum 514 lb, schulden 32 lb, Compensando 481 lb
des Manns ohnv: und T., hausrath 69 lb, Weins u. Lähren faß 6 lb, Pferd und waagen 10 lb, Thabacks 7 lb, silbers 2 lb, baarschafft 5 lb, schulden 93 lb, summa summarum 195 lb, schulden 547 lb, Passiv onus 352 lb – zw. Schulden 56 lb
Notanda – Vergleich zwischen frauen Maria Dorothea dattin geb. Bezoldin dermahlen Johann Jacob Datt des Wirths beÿ Plopßheim und burgers allhier Ehefrauen So dann H. Johann Philipp Bodemers des geweßenen Gastgebers zum Strauß ihr der jetzigen dattischen Ehefrauen erstern Ehemanns 5 Kinder gericht. H. Curator ad lites, T. Stöber Not.
Copia der Eheberedung, unterm 1. sept. 1740 (…)

Marie Dorothée Bodemer femme de Jean Gaspard Hess meurt en 1744 en délaissant deux filles. L’inventaire décrit la maison rue des Poules qui appartient en partie à la défunte. La masse propre au veuf s’élève à 230 livres, celle des héritiers à 263 livres. L’actif de la communauté s’élève à 185 livres, le passif à 583 livres

1744 (15.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 363) n° 157
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Dorotheä Häßin gebohrner Bodemerin des Ehren: und Vorachtbaren herrn Johann Caspar Häßen, des Schiffmanns geweßener ehelicher Haußfrauen nunmehr seel. Verlassenschafft – als dieselbe Sontags den 17.ten Maji dießes Lauffenden 1744.sten Jahrs dießes Zeitlichen mit dem ewigen Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen hinter sich Verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen arfordern und begehren des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Christoph Rooß des huthmachers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ Dorotheæ und Mariæ Salome der Häßin der verstorbenen seel. mit Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Zweÿer Kinder und ab intestato Verlaßene Rechtsmäßiger Erben
So beschehen Straßburg auf Montag den 15.ten Junÿ Anno 1744.

In einer allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in der hennengaß gelegenen Zum theil in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer behaußung (E.) Ein Fünffter theil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, hoff, hoffstatt und Stallung mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in der Hennen gaß, vor dießem die Gastherberg Zur Hennen, nachgehends zum Strauß, anjetzo aber zum Waldt: horn genand, einseit neben weÿl. Herrn Johann Ludwig Pfundten deß bierbrauers Erben anderseit neben herrn Lt. Frantz Joseph Krueg Exsenatore, hinten auf herrn Johann Jacob Ulrich den ältern Schiffmann, so vor freÿ ledig und eigen, in dem über Weÿl. herrn Johann Philipp Bodemers geweßenen Gastgebers Zum Strauß und burgers allhier der Verstorbenen seeln. eheleiblichen Vatters auch seel. Verlassenschafft, durch herrn Christoph Michael Hoffmann Notarium publicum et Practicum aufgerichteten Inventario de Anno 1734. durch der Statt Straßburg geschwornen herren Werckmeistere angeschlagen auch dißmahlen mit der Wohlverordneten herrn dreÿere der Statt Stalls gd. ertheilter permission dabeÿ gelaßen pro 600. lb. Macht daran der hiehero gehörige Fünffte theil 120. Und seind die übrige Vier fünffte theil der Defunctæ eheleiblichen geschwisterden für ohnvertheilt eigenthümlich Zuständig. Der über solche behaußung besagende Kauffbrieff hat sich dißorts nicht befunden.
Ergäntzung der Erben ermangelnden ohnverändert Guths. Inhalt hieoben allegirten über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1737. durch Herrn Notarium Christoph Michael Hoffmann aufgerichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers ohnverändert Vermögen und Erstlichen, der haußrath 15, Schiff und geschirr zum schiffahren 17, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. baarschafft 2, Erg. Rest 237, Summa summarum 280 – Sa. der Schulden 50 lb – Nach deren Abzug 230 lb
der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 37, Sa. Silbergeschmeids 7, Sa. Goldener Ring 2, Sa. baarschafft 9, Sa. antheils ene einer behaußung 120, Sa. Schuld 50, Erg. rest 181, Summa summarum 407 lb – Sa. der Schuldenen 143, Detrahendo verbleiben 263 lb
Endlichen wird nun auch das Gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 29, Sa. Geschirrs zum Schiffahren gehörig 4, Sa. Silbers 19 ß, Sa. baarschafft 150, Summa summarum 185 lb – Schulden 583 lb – In Vergleichung theilbares Passiv onus 398 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 263 lb
Copia der Heuraths Verschreibung – zwischen dem Ehrengeachteen Herrn Johann Caspar Häß Ledigen Schiffmann weÿland H. Simon Häß ebenmäßigen geweßenen Schiffmanns und burgers alhier Zu Straßburg seel. nachgelaßenen ehelichen Sohn als Hochzeitern ane einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfer Mariæ Dorotheæ Bodemerin, Weÿl. Hn Johann Philipp Bodemer gewesenen Wirths Zum Strauß und burgers alhier seel. hinterlassener ehelichen tochter als hochzeiterin andern theÿl, (durch vermittlung und unterhandlung) ane der Jungfer hochzeiterin Seithen aber Frau Maria Dorothe bodemerin gebohrne Bezoldin Wittib ihrer leiblichen Mutter, Hn Johannes Bezold des Gastgebers Zur Linden dero geschwornen Vogts – So beschehen und verhandelt in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 21. Januarÿ Anno 1737, Christoph Michael Hoffmann
Copia Codicilli Reciproci – 1737, Mittwochs den 28. Augusti (erschienen) der Ehrengeachte H Johann Caspar Häß Schiffmanns und die Ehren und tugendsahme Frau Maria Dorothea Häßin gebohrne Bodemerin beede Eheleuthe und burgere alhier – Christoph Michael Hoffmann

Le tuteur des enfants Bodemer loue l’ancienne auberge à la Poule alors au Cor de chasse à Barthelémy Braun, officier réformé à la suite de Strasbourg, et à sa femme Claudine Weibel

1745 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 209-v
H. Lt. Johann Friedrich Faust Proc. Vicarius als vogt weÿl. Johann Philipp Bodemer des Wirths 4 minorennen kinder Annæ Mariæ, Johann Jacob, Mariæ Salome und Johann Philipp der Bodemer und Johann Christoph Riß des huthmachers als vogt Caspar Häß des schiffmanns zweÿer kinder
in gegensein H. Bartholome Braun vormaligen Partisan und jetzigen officier reformé à la suite de Strasbourg und Claudine geb. Weibelin
entlehnt, die denen Curanden eigenthümlich gehörig in der Vorstatt Krautenau und der Hennengaß gelegen, ehedeßen zur hennen nunmehro aber zum Waldhorn genannte Gast behausung, nichts davon als diejenige wohnung sich vorgedachter Häß inne hat aus genommen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff erst abgewichenen Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 80 gulden

Marie Salomé Bodemer épouse en 1747 le cordonnier Jean Daniel Wintersinger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 262-v, n° 1008)
Eod. [26. Jul. 1747] seind nach ordentl. Proclam. Ehl. copul und eingesegnet worden Johann Danjel wintersinger der led. schuhmacher u. b. allhier, weÿl. Johann Danjel wintersingers geweßenen schiffknechts u. schirms Verwandten allhier nachgelass. Ehl. Sohn u. J. Maria Salome weÿl. H Johann Philipp Bodemers geweß. Gastgebers u. b. allhier nachgelaß. Ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel wintersinger als hochzeiter, Maria Salome Bodemerin als hochzeiterin, Johann Bezold als oncle (i 268)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 153) ao. 1747 den 26. Jul. Seind nach zweÿmahliger Dom VII. u. VIII. Trin. Zu S. Wilhelm geschehener Ausruffung, in der N. Kirch allhie copulirt worden Johann Daniel Wintersinger der ledige Schuhmacher u. burger allhier, Weÿl. Johann Daniel Wintersinger Schiffknechts und Schirmers allhie und annæ Barbaræ Hügelin ehl. Sohn, und Jungfrau Maria Salome, Weÿl. H Joh: Philipp Bodemer, Gastgebers und burgers allhie und Mariæ Dorotheæ Pezoldin nachgel. ehl. tochter (i 156)

La maison figure à l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 72 livres, ceux de la femme à 412 livres.

1748 (20.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 368) n° 285
Inventarium über des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Daniel Wintersingers des Schuhmachers und der Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariä Salome Wintersingerin gebohrner Bodemerin beeder Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander aufgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerer beÿsein der Ehren und vorachtbahrn herrn Johann Georg Hügels des Steurmanns des Ehemanns Stieffvatters und herrn Johann Caspar Häß des Schiffmanns der Ehefrauen geliebten Schwagers beeder burgere allhier auf Mittwoch den 20.ten Martÿ 1748.

In einer allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gelegenen in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörign behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer behaußung (F.) Der Fünffte theil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, hoff, hoffstatt, Stallung, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in der Hennengaß, so vormahlen das Würthshauß oder die gastherberg Zur Hennen, nachgehends zum Strauß, anjetzo aber zum Goldenen Waldhorn genand, einseit neben Herrn Johann Pfundten dem bierbrauer Zum Rießen anderseit neben herrn Frantz Joseph Krug J.U. Lto und E.E. großen Raths altem beÿsitzern, hinden auf herrn Johann Jacob Ulrich, den ältern Schiffmann stoßend, Auff dießer Völligen behaußung haben zufolg einer über derer Bodemerischen töchter empfangene Ehesteuren unterm 21.ten februarÿ 1747. gefertigten Ersuchung Vorwiesener maßen, zu erfordern vorderistens Frau Anna Maria Reiffin, gebohrne Bodemerin, Johann Conrad Reiffen des ehemaligen Gastgebers Ehefrau per rest 27. lb, It. herr Johann Jacob Bodemer Lediger Gastgeber beneben 25. lb so ihme Von dißseitiger Ehefrauen den 18.ten 9.bris 1747. cedirt worden in allem 231. lb It. die dißorthige Ehefrau nach abzug 50. ln so Sie Ihren beeden brüdern cedirt, per rest 136. lb, So dann herrn Johann Philipp Bodemer, Lediger Gastgeber auch mit einbegriff der Ihme von der Ehefrauen cedirten 25. lb sammenthafft 231. lb, Macht in allem 626. ln. Sonsten ist dieselbe gegen Männiglichen freÿ ledig und eigen, und dißorths ohnvergreifflich über gemelte darauff verwießene Ehesteuren per rest angeschlagen umb 373 lb. Macht daran der hiehero gehörige Fünffte theil 74. lb, Wann nun hierzu gerechnet wird, dero Restirende darauff angewießene Ehesteur antreffend, 136. lb, so trifft der dißortigen Ehefrauen zufordern habend ratum ane solcher behaußung nach dem ohnpræjudicirlichen anschlag Von 1000. lb in allem an 210. lb. Der über solche behaußung besagende Kauffbrieff solle in vorigen zeiten wegen geführten Processus mit herrn Johann Jacob Ulrich, dem Schiffmann gerichtich producirt werden seÿn.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Hausraths 27, Sa. Werckzeugs Zum Schuhmacher handwerck gehörig 6, Sa. Silbergeschmeids 20., Sa. der baarschafft 6, Summa summarum 60 lb – Haussteuren 11, Des Ehemanns völlig in die Ehe gebracht guth 72 lb
der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 7, Sa. Silbergeschmeids 23, Sa. Goldener Ring 8, Sa. der baarschafft 81, Sa. antheil ane einer behaußung 210, Summa summarum 400 lb – Haussteuren 11, Der Ehefraun völlig in die Ehe gebracht Vermögen 412 lb

Les enfants et petits-enfants de Jean Philippe Bodemer louent l’auberge au Cor de chasse à Chrétien Schnebel

1748 (8.7.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 512-v
H. Johannes Bezold der gastgeber als mandatarius weÿl. Johann Philipp Bodemer des wirths vier Kinder Annæ Mariæ, Johann Jacob, Mariæ Salome und Johann Philipp der Bodemer, so dann Johann Christoph Rooß der huthmacher als vogts Caspar Häß des schiffmanns zweÿ Kinder Dorotheæ und Salome der Häßin
in gegensein Christian Schnebel des wirths – wobeÿ erschienen des entlehners stieffvatters Marx Eÿd der wirth beÿ den zwen schlüßlen beÿ Lingolßleim und burger alhier
verlühen, eine ane der Hennengaß gelegen ehedeßen zur Hennen nunmehro aber zum Waldhorn genannte gast behausung, nichts davon als diejenige wohnung so vogedachter Häß inne hat – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 80 gulden

Les héritiers de Jean Philippe Bodemer cèdent la maison par un acte de 1753 (voir la référence au compte de tutelle ci-dessous, 1764), annexé à son inventaire à leur cohéritier Jean Jacques Bodemer, aubergiste à la Couronne, qui meurt célibataire le 22 septembre 1757 à l’âge de 36 ans. Les experts estiment la maison 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 1009 livres, le passif à 1076 livres.

1757 (28.9.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 390) n° 739
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohl vorachtbahren Herrn Johann Jacob Bodemers, des geweßenen Ledigen Gastgebers zur goldenen Cron und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft – nachdeme derselbe donnerstags den 22.sten dießes Monats Septembris durch einen seeligen Tod von dießer Welt abgefordert worden, nach solch seinem seeligen absterben zeitlichen hinter sich verlaßen – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 28. Septembris 1757.
Der Abgeleibte seeliger hat zu seinen Erben ab intestato verlaßen wie folgt. 1.mo Weÿland Frauen Mariä Dorotheä Häßin gebohrner Bodemerin nunmehr seeligen hinterlaßene mit herrn Johann Caspar Häß dem Schiffmann und burgers alhier Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlte Zwei töchtere Namentlich Jungfer Margaretham Dorotheam und Mariam Salome die Häßin, deren geschworner Vogt Herr Johann Christoph Rooß der hutmacher und burger allhier, welcher im Nahmen seiner beeden Vogts töchtere beneben gedachtem Ihrem eheleiblichen Vatter in Persohn dem geschäfft abwartete, 2.do Frau Annam Mariam Reiffin gebohrne Bodemerin Johann Conrad Reiff ehemaligen Gastgebers und burgers allhier verlaßene Ehefrau, welche mit beÿhilff herrn Johann Theobald Beÿrle des Zimmermanns und burgers allhier Ihres erbettenen beÿstands in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingefunden, 3.tio Mariam Salome Wintersingerin gebohrne Bodemerin, Herrn Johann Daniel Wintersingers des Schumachers und burgers allhier Ehegattin welche mit assistentz gedachten Ihres Ehevogts in Person Zugegen ware, So dann 4.to Herrn Johann Philipp Bodemer Ledigen Keller so in der fremde, deßen geschworner Vogt ist Vorgedachter herr Johann Daniel Wintersinger der Schumacher und burger allhier, weiler aber derselbe uxorio nomine hierbeÿ interessirt ane deßen Sattt zu einem theilvogt erbetten worden, Herr Johann Georg Hügel der Steurmann und burger allhier (…), Alßo alle des seelig Verstorbenen eheleibliche geschwüsterde und einer Verstorbenen Schwester seeligen ehelich erziehle Kinder auch ab intestato zu vier gleichen portionen und antheilern Verlaßene Rechtsmäßigen Erben

In einer allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gelegenen Zur guldenen Cron genanden, in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen Gast behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Nemlichen eine behaußung, hoff, hoffstatt und Stallung, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in der Hennengaß, einseit neben Herrn Johann Conrad Reiber dem bierbrauer zum Rießen uxorio nomine, anderseit neben herrn Lt. Frantz Joseph Krug E.E. großen Raths alten beÿsitzern, hinden auf herrn Johann Jacob Ulrich den ältern Schiffmann stoßend, so ehe dießem das würths hauß Zur hennen nachgehends Zum Strauß und anjetzo zum guldenen Waldhorn genand, und vor freÿ, ledig und eigen durch (die Werck Meistere) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 14.ten 8.bris Anno 1757. angeschlagen pro 750. Dieße behaußung hat der Verstorbene seel. aus seines eheleiblichen Vatters, weÿland Herrn Johann Philipp Bodemer, geweßenen Gastgebers und burgers allhier seel. Verlassenschafft angenommen
– Abschatzung Vom 14.ten 8.bris 1757. Auff begehren Weÿland Johann Jacob Bodener des Gewässenen Gastgebers Seeligen Hinder lassener Erben, ist eine behaußung Allhier in der Statt Straßburg in der Hennen Gaß gelegen, ein seÿts Neben Herrn Reÿber dem biersieder, ander seÿts Neben Herrn Ratherr Grag, und hinde auff Herrn Uhlrig stoßend, solche behaußung bestehet in Zweÿ Stuben, Zweÿ Küchen und Etliche Kammeren, dar über ist eine Mancarde, mit breit zieglen belegt, hatt auch einen Getrembten Keller, Hoff und bronnen, ferner befindet sich eine Stallung. Von uns den Unter Schriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern, nach Vor Hero beschehener besichtigung, mit Aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigem Wahren Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und umb, Ein Thausend Fünff Hundert Gulden [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausraths 37, Sa. Wein und Lährer Faß 40, Sa. Silbergeschmeids 2., Sa. Goldenen Rings 16 ß, Sa. der baarschafft 132, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 750., Sa. Schulden 24, Summa summarum 1009 lb, – Schulden 1076 lb, In Vergleichung Mehr Schulden als Nahrung dem Stall tax nach 66. lb
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Frau Margaretha Rödererin gebohrne Gollin, Herrn M. Johann Röderers, Wohlverdienten Præceptoris Superioris Gymnasii und treueifferigen Vice Freÿ Predigers auch Vornehmen burgers allhier Frau Eheliebstin Von Weÿland herrn Johann Bezold dem geweßenen Gastgeber zur Linden und burgern allhier Ihrem Erstern Ehegatten nunmehr seeligen Lebtägig zu genießen hat

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 9 1740-1760, f° 161 n° 46)
1757. Donnerstag den 22. Sept. nachmittag zwischen1 und 2 uhr ist Herr Johann Jacob Bodemer der ledige Gastgeber u. burger allhier weÿl. Hn Johann Philipp Bodemers des Gastgebers u. burg. allhie u. fr. Maria Dorothea geb. Bezoldin nachgelaßener ehelicher Sohn selig verschieden und Sambstag darauf als den 24. dieses Christl. gebrauch nach D. Urban ehrlich begraben worden Nach dem Er in diesem welt Gelebet 36 Jahr 3 monat weniger 8 tag, wie solches bezeugen Johann Caspar häß als schwager, Johann Daniel Wintersinger als schwager (i 166)

Compte que rend Jean Daniel Wintersinger de la gestion des biens appartenant à Jean Philippe Bodemer. Y est mentionnée la cession de la maison à Jean Jacques Bodemer en 1753.

1764, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 405) n° 1035
Rechnung Mein Johann Daniel Wintersinger, Schumachers und burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Herrn Johann Philipp Bodemers, Ledigen Kellers inhaltend alles das jenige, was Ich vom 1.ten Februarÿ Anno 1755. da Ich Zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 13.ten Augusti Anno 1764. Seinetwegen Eingenommen und hingegen Wieder außgegeben, auch sonsten Vögtlicher Weiße verrichtet und Verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Zuwißen seÿe hiemit, nachdeme Weÿland herr Johannes Bezold der Gastgeber Zur Linden und burger allhier Zu Straßburg als geweßener Mandatarius außwendig benahmbßten herrn Johann Philipp Bodemers Ledigen Kellers, Weÿland herrn Johann Philipp Bodemers, geweßenen Gastgebers Zum Strauß burgers allhier mit auch Weÿland Frauen Maria Dorothea gebohrner Bezoldin, beeder längst seeligen ehelich erziehlten jüngern Sohns den 21.ten Januarÿ Anno 1755. dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt und Ihme herrn Johann Philipp Bodemer vor einen Sechsten Stammtheil Zum Erben verlaßen (…)
die behaußung aber ist auf das Obrigkeitlich erlangte Decretum alienandi den 4.ten Octobris Anno 1753. in beÿsein derer Wohlverordneten Kindervertrags herren versteigert und Herrn Johann Jacob Bodemer, Ledigen Gastgeber des Curandi bruder und einen Miterben als Meistbietendem überlaßen Worden pro 1012. lb (…)
Nachdeme aber vorgedachter Herr Johann Jacob Bodemer, der Ledige Gastgeber meines Vogts Sohns eheleiblicher Bruder den 22.ten Septembris Anno 1757. mit tod abgegangen und Ihne den Curandum ab intestato vor einen Vierten Stammtheil Zum Erben Verlaßen
Einnahm Gelds gegenwärtiger Rechnung – Anno 1758. it. den 18.ten 9.bris ist der hauß Zinnß aus der anjetzo brüderlichen behaußung Zum goldenen Waldhorn genand, Vor ein Jahr von Michaelis 1757. biß gleicher Zeit 1758. Verrechnet worden und meinem Vogts Sohn ane dem Recess Zum viertentheil ausgefallen

Autres comptes de tutelle
1767, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 409) n° 1136
Rechnung Mein Johann Daniel Wintersinger, Schumachers und burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Herrn Johann Philipp Bodemers, Ledigen Kellers, außweißend alles das jenige, was Ich vom 13.ten Augusti Anno 1764. als dem beschluß meiner abgelegten Erstern Rechnung, biß den 13.ten Maji Anno 1767. Seinetwegen ferner Eingenommen und hingegen Wieder außgegeben habe. Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.

1785, Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 876) n° 39
Rechnung über alles dasjenige was nun Weil. H. Joh: Daniel Wintersinger, der gewesene Schumacher: Meister und burger alhier Zu Straßburg, als gewesener Vogt Hn Johann Philipp Bodemer, des leedigen Kellers, seit dem 24. Xbr 1772. als dem Schluß seiner abgelegten 3.ten Rechnung, bis den 5. Junii 1785. als dem tag seines Absterbens, dieses seines Vogts Sohns halben ferner eingenommen und hingegen wiederum außgegeben, durch deßen hinterlassener Wittib gestellet. Vierte Rechnung dieser Vogteÿ

Procuration donnée par Philippe Bodemer à Naples en 1788
1788, 94 Z 82 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Die 13 mensis Februarii 1788 Neapolis, et proprie in mei Curia Constitutus in nostri præsentia magnificus D. Philippus Bodemer, Civitatis Strasburgi Filius Dni Philippi, multis abhinc annis in hac civitate Neapolis commorans, qui non vi des sponte et ea sua libera voluntate declaravit, quod novissime, et proprié pauci abhinc mensibus ex hac vita migravit Dominus Daniel Witersinger, Vir Mariæ Salomeæ Bodemerin ejus Sororis, qui utpote ipsius Constituti Curator et Procurator ordine Cameræ Orphanorum dictæ Civitatis Strasburgi (…) in fidem ego Notarius Xaverius Scarnati de Neapolis
Prod. d. 13. Martii 1788

Les héritiers de Jean Jacques Bodemer cèdent leurs part de maison à leur cohéritière Anne Marie Bodemer femme délaissée de l’aubergiste Jean Conrad Reiff

1760 (14.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 390), Joint au n° 739 du 28 sept. 1757
Cessio und Übergaab des Eigenthums ane einer behaußung – Vor mir unterschriebenem, als zu Weÿland Herrn Johann Jacob Bodemers, geweßenen Ledigen Gastgebers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft Inventation und Abtheilung, in specie requirirtem Notario seind persönlich erschienen deßelben ab intestato nachgelaßene Vier Stamm Erben, Nahmentlich 1.mo Herr Johann Christoph Rooß der hutmacher und burger allhier, als geschworner Vogt Weÿland Frauen Mariä Dorotheä Häßin, gebohrner Bodemerin seeligen hinterlaßener mit herrn Johann Caspar Häß dem Schiffmann und burgers alhier, Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Zwoer Töchtere Jungfrau Margarethä Dorotheä und Jungfrau Mariä Salome der Häßin, 2.do Frau Anna Maria Reiffin gebohrne Bodemerin, Johann Conrad Reiff, ehemaligen Gastgebers und burgers allhier verlaßene Ehefrau, mit assistentz Herrn Johann Leonhard Haaß des Zimmermanns und burgers allhier Ihres hierzu erbettenen beÿstands, 3.tio Frau Maria Salome Wintersingerin gebohrne Bodemerin, Herrn Johann Daniel Wintersingers des Schumachers und burgers allhier Ehegattin, mit assistentz deßelben, So dann 4.to Herr Johann Georg Hügel der Steurmann und burger allhier, als geschworner Theilvogt Herrn Johann Philipp Bodemers, Ledigen Kellers, so in der fremde,
der ältesten Schwester Frauen Annä Mariä Reiffin gebohrner Bodemerin, vorgedacht im ohnvertheilten Erb eigenthümlich Käufflichen cedirt und überlaßen haben
die bißhero unter Ihnen ohnvertheilt geweßene Von Vorbesagtem Weÿland Herrn Johann Jacob Bodemer Ihrem Verstorbenen respectivé bruder und oncle seeligen ererbte behaußung, hoff, hoffstatt und Stallung, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in der Hennengaß, einseit neben Herrn Johann Conrad Reiber dem bierbrauer zum Rießen uxorio nomine, anderseit neben herrn Lt. Frantz Joseph Krug Exsenatore, hinden auf herrn Johann Jacob Ulrich den ältern Schiffmann stoßend, so ehe dießem ein Würthshauß geweßen und angangs Zur hennen, nachgehends Zum Strauß und Letztlich zum guldenen Waldhorn genand, So gegen männiglichen freÿ, ledig und eigen – vor und umb1000 Pfund – So beschehen Straßburg den 14. Januarÿ Anno 1760

Anne Marie Bodemer revend quelques jours plus tard la maison au fabricant de tabac Jean Nicolas Matz et à sa femme Catherine Schwab

1760 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 20
Fr. Anna Maria geb. Bodmerin Johann Conrad Reiff des gastgebers verlaßene ehefrau beÿständlich H. Lt. Johann Daniel Schübler EE. großen raths beÿsitzers
in gegensein Johann Nicolaus Matz des tabacfabricanten und Catharinæ gebohrner Schwäbin
eine behausung, hoff, stallung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Vorstatt Krautenau ane der Hennengaß einseit neben Johann Conrad Reiber dem bierbrauer anderseit neben H. Lt. Frantz Joseph Krug exsenatore hinten auff Johann Jacob Ulrich sen. den schiffmann – als ein in unvertheilten Erb cedirtes guth – um 150 und 350 lb Capitalien verhafftet, beschehen um 500 pfund

Originaire de Wolxheim, Catherine Schwab épouse en 1744 l’apprêteur de tabac Jean David Martzloff
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 40)
Hodie 11 februarÿ Anni 1744 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes David Martzloff filius Johannis Davidis Martzloff, Civis hujatus et * Eberlin conjugis ejus Tabacci concinnator, parochianus noster et Catharina Schwäbin filia lefgitima defunctorum Georgii Schwab et Annæ Lieberspergerin, oriunda ex Wolxheim hujus Diœcesis a decem ciricter annis hanc in urben et ab ultimo anni in hac parochia commorans (signé) David Marzloff, + signum sponsæ (i 22)

Catherine Schwab deveint bourgeoise quelques mois plus tard en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1744, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 176
Catharina Schwäbin Von Moltzheim gebürtig, erhalt das burger Recht Von ihrem Ehemann Johann David Martzloff dem burger und tabackbereiter um den alten burger schilling und will beÿ E.E. Zunfft Zur Möhrin dienen, promisit d. 27.ten Julj 1744.

Jean David Martzolff meurt en 1753 en délaissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans la maison qui appartient à Jean Jacques Bodemer. L’actif de la succession s’élève à 202 livres, le passif à 474 livres.

1753 (22. Xbris), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 329) n° 661
Inventarium über Weÿl. Johann David Martzloff, geweßenen Tabackbereiters und burgers allhier zu Straßb. nunmehro seeligen Verlassenschafft – nach seinem den 26.ten Octobris dieses zu End lauffenden 1753. Jahrs beschehenen tödlichen Ableiben hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Frauen Catharinæ Martzloffin, gebohrner Schwabin deßelben hinterlaßener Wittib beÿständlichen Herrn Johann Conrad Rudolphs des Fastenspeishändlers und burgers allhier, inventirt und ersucht, durch Sie die hinterbliebene Wittib wie auch Mariam Ehlin, deroselben dienst Magd (geeigt und gezeigt) – So beschehen allhier zu Straßburg auf Sambstag den 22.ten Decembris Anno 1753.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben Verlaßen alß 1° Johann Peter Martzloff tabackbereiter und burger allhier, und 2.do Theobald Martzloff ebenmäßigen Tabackbereiter und burger dahier, Beede des Verstorbenen seeligen Leibliche Brüder und zu zweÿ gleichen Theilen ab intestato hinterlaßene Erben
Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Es ist allhier mit wenigem berichtlichen beÿzufügen, daß der Wittib gethanen Anzeige Zufolg, Sie beede nunmehro durch den Zeitlichen Tod getrennte Eheleuthe Zur Zeit Ihrer Verheürathung weder eine Eheberedung mit einander auffgerichtet, vielweniger Ihre Illata inventiren laßen, und obgleich der Verstorbene seelig Vor Herrn Matthias Koch, Notario publico et practico den 8.ten Julii Anno 1748 seinen Letzten Willen in Form eines Testamenti nuncupativi gestifftet (…)

In einer allhier zu Straßburg ane der Hennen Gaß gelegener H. Johann Jacob Bottemer dem Gastgeber und Burger allhier eigenthümlich zugehöriger und von dem Defuncto Lehnungsweiße bewohnender behaußung befunden worden, als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib annoch ohnveränderten hausraths 15 lb
der Beneficial Erben anfallendes ohnv. Guth beschrieben, Kleidung und weißen Gezeugs 29 lb
die beschreib: der Gemein und theilbare Nahrung, Sa. hausraths 15, Sa. Waar wie auch Schiff und geschirrs Zum Taback fabriciren gehörig 92, Sa. Schulden 94, Summa summarum 202 lb – Schulden 474 lb Compensando, Theilbares Passiv onus dem Stall tax nach 272. lb – Endlicher Passiv Schulden rest dem Stalltax nach 228 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zu geltend 363 – Verlohrne Schulden in die theilbare Nahrung zu geltend 226 lb

Catherine Schwab se remarie en 1755 avec le marchand Jean Nicolas Matz, fils du cultivateur Chrétien Matz à Irndorf près de Beuron dans le diocèse de Constance : contrat de mariage, célébration
1755 (29.4.), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte H. Johann Niclaus Matz, leediger handelsmann und burger allhier, Weÿl. Christian Matzen des Ackersmanns Zu Inndorff Jenseiths Rheins ehel. Sohn als hochzeiter ane Einem
So dann die tugendsahme Frau Catharina gebohrne Schwäbin, weÿl. David Martzloff gewesenen handelsmanns und burgers allhier hinterl. Wittib als hochzeiterin andern theils
Dienstag den 29. Aprilis 1755 [unterzeichnet] Johann Niclaus Matz, + Handzeichen Fr. Catharina Schwäbin der Hochzeitterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 202)
Hodie 5 mat anni 1755 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt nicolaus mathes oriundus ex beuron diœcesis Constantiensis mercator hujas, filius defunctorum christiani mathes et mariæ Schellenbaumin ex unâ, et Catharina Schwebin vidua defuncti davidis marloff tabaci fabricantis ex altera partius (signé) Johann Niclaus Mathes, + signum sponsæ (i 204)

Jean Nicolas Matz obtient de la tribu de la Mauresse une promesse d’admission après avoir présenté son certificat d’apprentissage daté d’Ettenheim en Bade en 1753 et un autre remis par Pierre Seebald de Strasbourg en 1748
1754, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 216-v) Mittwochs den 16.ten Octobris Anno 1754 – Accordirter Vertröstungs Schein zum Zunfft und Fastenspeishandel Recht
Niclaus Matz von Irndorff, Freÿherrlich Entzbergischer Herrschafft jenseith Rheins gebürtig, so weÿland Johann David Martzloff, des dißorts Leibzünfftig geweßenen Tabackbereiters und Fastenspeishändlers Wittib Zu heurathen Vorhabens, bittet ihme einen Vertröstungs Schein Zu Erlangung des hiesigen Burger: auch dißortigen Zunfft: und Fastenspeishandel Rechts Zu ertheilen, mithin Ihne von dem gewohnlichen Lehrjahr Zu befreÿen, in Ansehung er Vermög vorgewießenen Lehr Brieffs, von Schultheiß Bürgermeister und Rath der Statt Ettenheim hoher Stifft Straßburg angehöriger Jurisdiction sub dato 5.ten Junÿ 1753. ausgestelt, Von H. Chaumas dem dasigen Stadtschreiber, und Amtschreibereÿ Verwaltern eigenhändig unterschrieben und mit ermeldter Stadt anhangendem größern Insiegel corroboriret, nebst der Handlung, auch den Fastenspeis und Gesaltzen Waar handel beÿ H. Peter Seebald, dem Burger und Handelsmann daselbsten Vier Jahr lang von Weÿhenachten 1744. biß ermeldte Zeit 1748. Ordnungs mäßig erlernet.
Erkannt Willfahrt, dedit 4 ß vor Zweÿmaliges Protocoll und Gebott geld.

Jean Nicolas Matz présente au conseil du Miroir une requête pour devenir marchand. Il produit les mêmes certificats qu’à la Mauresse et déclare en outre avoir été commis négociant chez Jean Michel Schweighæußer. L’enquête montre qu’il n’a pas été engagé comme commis négociant mais comme domestique. Le conseil de tribu rejette la demande de Jean Nicolas Matz
1755, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 189) Sambstags den 4. Januarÿ 1755 – Niclaus Matz von Jndorff Fürstenbergischer Herrschafft gebürthig stehet vor, meldend wie daß Er gesonnen wäre, sich hier burgerlich Niderzulaßen Zudem End bittet derselbe deß EE Zunft Gericht ihne noch gnädig erlangten burgerrecht dißorths als Einen Kauff: und handelsmann leibzünfftig auff und annehmen wollen und zu beweißthumb erlernter Handlung, producirt derselbe Ein attestatum erlernter vierjähriger Handlung beÿ Philipp Seebold burgern und handelsmann Zu ermeltem Indorff, so nahmens Schutheißen Bürgermeister und Raths der Stadt Ettenheim hohen Stiffts Straßburg Zugehöriger jurisdiction von H. Chomas dem Stadt und Ambtschreyberey verwalther allda, sub dato 5. Junÿ 1753. unterschrieben und außgestellt ist, meldente anbeÿ Ferners daß Er beÿ Fünff jahr beÿ H. Johann Michael Schweighäußer dem Specirer allhier als Ein Handelsbedienter in Condition gestanden.
Worauff zu gemelten H. Schweighäußer geschickt worden um die Wahrheith zu vernehmen, welcher Mündlich sagen ließe, das der Petent als Knecht beÿ Ihme servirt habe. Solchem nach Erkandt, daß weilen derselbe dißseithig E Zunft Gericht mit Falscheit hintergehen wollen, sein lehrbrieff auch E: E: Zunfft Zur Möhrin angehe, woselbst Er sich schon angemeldet, als ist Er mit seinem begehren dißorths abgewießen worden.

Jean Nicolas Matz devient tributaire à la Mauresse en décembre 1755 en qualité de marchand de fruits et légumes. Il s’engage à cesser la fabrication du tabac conformément au nouveau règlement.
1754, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 284) Mittwochs den 17.ten Decembris Anno 1755 – Neuer Leibzünfftiger Fastenspeishändler CR
Niclaus Matz von Irndorff, Freÿherrlich Entzbergischer Herrschafft jenseith Rheins gebürtig, so weiland Johann David Martzloff, des dißorts Leibzünfftig geweßenen Tabackbereiters und Fastenspeishändlers Wittib geheurathet, weißt Cantzleÿ, Pfenningthurn und Stallschein vor, dedato 19.ten Novembris 1755. und bittet ihme das Zunfft und Fastenspeishandel Recht mitzutheilen.
Erkandt, gegen Erlag deß Gebühr jedannoch aber mit dem Anhang willfahrt, daß weilen dem vernehmen nach der Implorant Tabacktafflen halte, auch darauf Taback fabriciren laße und aber die Fastenspeishändler Ordnungen besagen, daß Keiner mehr den Fastenspeishandel erlangen Könne, der schon ein Gewerb oder Profession habe, Als solle derselbige ohnverzüglich und beÿ ohnausbleiblicher Straff sothane Tabacktafflen abschaffen und des Tabac fabricirens sich Künfftig gäntzlich enthalten. Promisit et dedit vor den Pfenningthurn 1 lb, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor den Fastenspeishandel alte gebür 1 lb 10 ß, Vor ein Tertz neue Gebür 8 lb 6 ß 8 d, Vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 d, Und Einschreib Geld 2 ß (zusammen) 11 lb 7 ß, So dann vor das Findling hauß 1 ß.

Les contrôleurs font grief à Jean Nicolas Metz de continuer la fabrication du tabac. Sa femme argue que 1) le commerce de fruits et légumes ne leur donne pas de revenu suffisant, 2) son premier mari avait le droit de fabriquer le tabac et de vendre des fruits et légumes, 3) les deux revenus sont nécessaires pour pouvoir régler les dettes de son premier mari. Le conseil de tribu lui inflige une amende en lui interdisant de continuer à fabriquer le tabac sous peine d’une plus forte amende.
Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 261)
(f° 299-v) Dienstags den 10.ten Februarÿ Anno 1756 – Fastenspeishändler Rüger Ca. Niclaus Matz
Johann Norbert Kleißer, der Fastenspeishändler Rüger Klagt wider Niclaus Matz, den Fastenspeishändler und burgern alhier, daß ohnerachtet ihme den 7.ten Decembris A° 1755 beÿ deßen Aufnahm in das Fastenspeishändler Corps das Taback fabriciren beÿ Straf verbotten worden, Er dannoch biß daher seine taback tafflen nicht abgeschaft, sondern beständig darauf fort arbeiten laßen, bittet deßwegen ihne Zu gebührender Straf Zu Ziehen.
Des beklagten Ehefrau erscheint im Nahmen deßelben und ist der Anklag geständig, glaubt aber deßhalben nicht strafbar Zu seÿn, weilen 1. Sie und ihr Ehemann ich auf dem Fastenspeishandel nicht ernehren können, 2. ihr ersterer Ehemann, weiland David Martzlof diese beede Rechte ebenfalls beysammen gehabt und getrieben, und 3. indeme Sie sich mit solch ihres verstorbenen erstern Ehemann hinterlaßenen Passiv: schulden beladen, welche Sie, wan ihnen das taback fabriciren niedergeleget werden solte, ohnmöglich abführen könte, bittet dahero absolutionem von der Straf und die Erlaubnus das taback fabriciren nebst dem Fastenspeishandel zu continuiren.
Erkandt, wird der beklagter in 2 lb d Straf und 2 ß Protocoll und Gebott Geld condemnirt anbenebst demselben nochmalen und Zwar beÿ noch gröserer Straf anbefohlen, seine haltende taback taflen ohnverzüglich abzuschaffen und Künfftig alles ferneren taback fabricirens müßig Zugehen, dedit 2 ß.

Jean Nicolas Matz porte l’affaire devant les Quinze. Il leur demande d’annuler la sentence de la Mauresse qui lui interdit de fabriquer la tabac en arguant qu’il ne fait que continuer les activités du premier mari de sa femme. La tribu demande d’appliquer le nouveau règlement. La commission d’enquête rejette la demande de Jean Nicolas Matz après avoir constaté qu’il s’est engagé à cesser la fabrication du tabac lors de son adhésion à la tribu. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.
1756, Protocole des Quinze (2 R 167)
Niclaus Matz fastenspeishändler Ca. E.E. Zunfft der Möhrin
(p. 75) Sambstags den 21.ten Februarii 1756. – Christmann nôe Niclaus Matz des burgers und Fastenspeishändlers Ca. E.E. Zunft zur Mörin H. Zunfftmeister, producirt unterthäniges appellations Klag juncto petito mit beÿlag sub N° 1 und will ad proximam darzu Verkünden laßen.

(p. 92) Sambstags den 28.ten Februarii 1756. – Christmann nôe Niclaus Matz in actis Ca. E.E. Zunft zur Mörin Hn Zunfftmeister, erholt appellations Klag vom 21.t hujus. Faust H. Citatus sagt, des appellanten begehren seÿe wieder den neuen artickel, bitt gnädige manutenentz deßelben, mithin die Sententiam à quâ gnädig zu confirmiren, und den appellanten mit seinem begehren ref: Exp: abzuweißen. Christmann beziehet sich auff productum de dicta die und bitt deput. Faust setzt zu mghhrn. Erkant, deput.

(p. 110-v) Sambstags den 13. Martÿ 1756. – Matz Ca. Mörin
Iidem [Obere Handwercks herren] laßen per eundem [Secretarium] referiren, es habe Niclauß Matz der burger und fastenspeishändler den 21. Februarii Jüngst beÿ mghrn Contra E E Zunfft Zur mörin H. Zunfftmeister ein unterthäniges memoriale samt beÿlag sub N° 1 übergeben und darinn Exponirt, Er seÿe den 10.ten Ejudem mensis vor E E Zunft gericht zur Mörin beschieden, und allda weilen Er nebst dem Fastenspeishandel, taback fabricirt in 2. lb straff nebst erstattung dar unkosten Condemnirt Worden, wie solches die beÿlag Sub N° 1 mit mehrerm bekräfftiget, wann nun durch den nemlichen bescheid ihme anbefohlen seine haltende tabac tafflen unverzüglich abzuschaffen und künfftighin alles ferneren tabac fabricirens müßig zugehen, da doch Er eine Wittfrau geheurathet, welche das recht gehabt, nebst Krempen handel auch taback zu fabriciren und tafflen auszuhencken, mithin der unterthänige Implorant kein neues gewerb und laden angefangen, demnach ergehe an mghhn deßen gehorsambstes bitten dieselbe gnädig geruhen Wollten in rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß in erster jnstantz übel gesprochen wohl aber appelliret Worden, mithin die sententia à quâ dahin zu reformiren, daß dem appellanten nebst dem Fastenspeishandel auch taback zu fabriciren und tafflen auszuhencken gleich seinem vorfahren zu erlauben seÿe. Eodem die, Wieder aufs neue angefangen.
(p. 112.) Matz Ca. Mörin
Iidem [Obere Handwercks herren] laßen per eundem [Secretarium] referiren, es habe Niclauß Matz der burger und fastenspeishändler den 21. Februarii Jüngst beÿ mghrn Ca. E E Zunfft Zur mörin H. Zunfftmeister eine unterthänige appellations Klag samt beÿlag sub N° 1 übergeben und darinn Exponirt, Er seÿe den 10.ten Ejudem mensis vor E E Zunft gericht zur Mörin beschieden, und allda Weilen Er nebst dem Fastenspeis handel, taback fabricirt in 2. lb straff nebst erstattung dar unkosten Condemnirt, und ihme nochmahlen und zwar beÿ noch größerer straff seine haltende tabac tafflen ohnverzüglich abzuschaffen und künfftighin alles ferneren tabac fabricirens müßig zu gehen anbefohlen worden. Weilen Er aber eine Wittfrau geheurathet, welche das recht gehabt, nebst Krempen handel auch taback zu fabriciren und tafflen auszuhencken, mithin der appellant kein neues gewerb und laden angefangen, als ergehe an mghhn deßen gehorsambstes bitten dieselbe gnädig geruhen Wollten in rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß in erster jnstantz übel gesprochen, wohl aber appelliret Worden, mithin die sententia à quâ dahin zu reformiren, daß dem appellanten nebst dem Fastenspeis handel auch taback zu fabriciren und tafflen auszuhencken gleich seinem Vorfahren zu erlauben seÿe. den 28.ten dicti mensis habe der appellatische Zunfftmeister per recessum, um gnädige manutenentz des neuer artickels gebetten, mithin die sententiam â quâ gnädig Zu Confirmiren und den appellanten mit seinem begehren ref. Exp: abzuweißen.
auff geschehene Weißung habe des appellanten Ehefrau, Catharina Matzin abwesenheit ihres Ehemanns sich auff dem jnnhalt der producirten appellations Klag bezogen, H. Rathh. Meinicke als Zunfftmeister E E Zunfft Zur Mörin Zugegen, habe einen Extractum protocoleli besagter Zunfft producirt /:Leg/:/ auß Welchem Zu ersehen, daß nicht nur dem appellanten beÿ seiner annahm der taback handel beÿ den Krempen Weßen Zugleich Zu treiben Expresse Verbotten Worden, sondern auch derselbe Versprochen dießer ordnung nachzukommen, bitt deßwegen mghern geruheten Wollten Zu erkennen, daß in erster jnstantz wohl gesprochen, übel appellirt Worden, einfolglich die sententia â quâ ref. Exp. Zu Confirmiren seÿe. Die Hhrn Deputirte, welche aus der Von appellatischem Hn Zunfftmeister producirten Erkanndtnus ersehen, daß der appellant sich selbst beÿ seiner annahm auff der Zunfft das gesetz gemacht und Versprochen eines oder das andere Zulaßen, haben deßwegen dafür gehalten, daß in erster jnstantz wohl gesprochen übel appellirt Worden, einfolglich die Sententia â quâ ref: exp: zu confirmiren seÿe.

(p. 128) Sambstags den 20. Martÿ – Idem [Christmann] nôe E E Zunfft Zur Mörin Hn Zunfftmeister Ca. Niclaus Matz bitt similiter [communication sententiæ]. Erkandt ut modo [Willfahrt]
Bescheid. Sambstags den 13. Martÿ 1756. – In Sachen Niclauß Matz des burgers und Fastenspeis händlers appellanten, an Einem, Entgegen und Wider E E Zunft zur Mörin H. Zunfftmeister appellaten, am andernn Theil, auff dem Sub N° producirten Zunfft gerichts bescheid Vermög deßen der appellant, Weilen Er beneben dem Fastenspeis handel, taback fabricirt in 2. lb straff nebst erstattung dar unkosten Condemnirt, und ihme nochmahlen und zwar beÿ noch größerer straff seine haltende tabac tafflen ohnverzüglich abzuschaffen und künfftighin alles ferneren tabac fabricirens müßig zu gehen anbefohlen worden. Interponirt und Verzeichnete appellation übergebene unterthänige appellations: Klag juncto petito Wir geruhen Wollten in rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß in erster jnstantz wohl sage übel gesprochen, wohl aber appelliret Worden, mithin die sententia à quâ dahin zu reformiren, daß dem appellanten nebst dem Fastenspeis handel auch taback zu fabriciren und tafflen auszuhencken gleich seinem Vorfahren zu erlauben seÿe. des appellatischen Hn Zunfftmeister per recessum gethanes unterthäniges bitten, appellatische Zunfft beÿ dem erhaltenem neuen artickel zu manuteniren, mithin zu erkennen daß in erster jnstantz wohl gesprochen übel aber appellirt Worden, einfolglich die Sententia â quâ ref: exp: noviter factis zu confirmiren seÿe. Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation auch all übrig derer Parthen angehörtes Vor: und anbringen, ist derer Hrn Deputirten abgelegter relation nach Erkandt, daß in erster jnstantz wohl gesprochen übel appellirt Worden, einfolglich die Sententia â quâ ref: exp: zu confirmiren seÿe.

Les contrôleurs constatent quelques mois plus tard que Jean Nicolas Matz continue à fabriquer le tabac. Il répond qu’il a cédé son tabac au marchand Joseph Bernhard pour le compte duquel il travaille désormais. Le conseil lui inflige une amende puis la réduit de moitié quand Jean Nicolas Matz déclare renoncer au commerce des fruits et légumes
Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 261)
(f° 345) Dienstags den 20.ten Julÿ Anno 1756 – Fastenspeishändler Rüger Ca. Niclaus Matz
Johann Norbert Kleißer und Johann Christoph Hilly, die beede Fastenspeishändler Rüger, Klagen wider Niclaus Matz, den Fastenspeishändler und burgern alhier, daß Zwar derselbige erst den 10.ten Februarÿ dieses Jahrs wegen des Taback fabricirens um 2. ln d gestraffet und ihme dabeÿ beÿ noch höherer Strafe anbefohlen worden, seine haltende taback tafflen ohnverzüglich abzuschaffen und Künfftig alles ferneren taback fabricirens gäntzlich müßig Zugehen, allein ohngeachtet alles deßen, stunde er davon doch nicht ab, bitten derowegen den beklagten wegen seines Ungehorsams Zu schärferer Strafe Zuziehen, refusis expensis.
Beklagter Zugegen verantwortet sich, daß er schon seit dem letzten Mertz seine samtliche taflen an Herrn Joseph Bernhard, den handelsmann, und burgern alhier Verkauffet und dadurch solchem befehl ein genügen geleistet. Und ob er schon dermalen noch auf den verkauften Taflen und Zwar in sein des beklagten Wohnbehaußung arbeite, so geschehe soch solches nicht mehr für sich, sondern in sein Herrn Bernhards Namen, als welcher ihme einen gewißen dafür Zahle, bittet absolutionem.
Erkandt, solle beklagter Sechs Pfund Pfenning Straf erlegen und ihme Taback Taflen beÿ habendem Fastenspeißhandel Zu halten nochmalen und Zwar beÿ noch höherer Strafe verbotten seÿn, es seÿe dann daß derselbige den Fastenspeishandel aufgebe, in welchem Fall ihme Taback taflen zu halten und darauf Zu arbeiten ohnverwehrt bleibet, Auf gebettene gnad und gethane Declaration daß er der Implorant das Fastensepeishandel Recht nunmehro aufgeben wolle, wurde die angesetzte Strafe auf die helfte nämlich dreÿ Pfund d moderirt.
dedit für Zweÿmaliges protocol : und Gebott Geld 4 ß d

(f° 346) Resignirtes Fastenspeishandel Recht – Ille Niclaus Matz der dißorts leibzünfftige Fastenspeishändler resignirt sein dißorts geniesendes Fastenspeiß und Gesaltzen Waar Handel recht und bittet solches zu Verzeichnen. Erkandt, willfahrt, dedit Protocoll Geld 2 ß d.

Le fabricant de tabac Jean Nicolas Matz meurt en 1782 en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment la maison 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 473 livres, le passif à 1 076 livres.

1784 (11.11.), Not. Kiechel (6 E 41, 1491) n° 10
Inventarium über weÿl. Herrn Johann Nicolaus Matz des tabackfabricanten hinterlassenenes Vermögen – nach seinem den 5. Sept. anno 1782 erfolgtem absterben – auf ansuchen Fr Catharinæ gebohrner Schwäbin die diesortigen mit herrn Johann Carl Riebel dem tanzmeister beÿstandeten wittib
Bericht Anstatt benennung der Erben, des Defuncti ab intestato hinterlassenen erben wären eigentlich gewesen, deßen hinterlassenen Geschwister mit Namen Frantz Matz burger und ackersmann zu Ingdorf in Schwaben und Fr. Sieglerin gebohrne Matzin weÿl. Frantz Siegel des schloßers und burgers zu Ettenheim-Müster hinterlassenen wittib (…) vermög derer vor H. Not. Lacombe den 2. apr. 1780 und 17. sept. 1783 passirter zweier acten anstatt der Kleidung und weißgezeug und jener stipulirten summa derer 200 fl. mit 1000 gulden baaren gelds ausgewiesen, wovor dieselben bestens quittiret, und auf alle gehabte Rechte und Ansprüche renuncirt haben

in hernach inventirter an der Hännengaß gelegenen behausung
Eigentum an einer Behausung, Nämlich eine zum goldenen Waldhorn genannte Behausung, hof stallung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten an der Vorstadt Krautenau und der Hennengaß, einseit neben Fr. Stromeÿer Wittib anderseit neben herrn Sundheim dem Zimmermeister und hinten auf H. Arnold dem Zimmermann (laut) Abschatzung d. 13. nov. dieses 1784.ten Jahrs angeschlagen worden um 1000 fl. oder 500 lb. Darüber besagt C.C. St. Kauffverschreibung de Dato 17. jan. 1760, Ferner Ganthkaufbrieff de dato 9. sept. 1718
– Abschatzung vom 13t Novembre 1784, Auf begeren Weÿl. Nicolat Matz dem gewesten tabac fabricant ist Eine behausung alhir in der statt Straßburg in der hennengaß gelegen einseit neben frau strohmeÿerin Wittib anderseit neben herr Sundheim dem zimmermeister und hinten auff Hern Arnold dem zimmermann stoßend gelegen solchen behausung bestehet in dreÿ stuben dreÿ Kuchen und Etlichen Kammeren darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt, hat auch ein getremter Keller hoff und gemeinschafftlichen brunen, (angeschlagen) 1000 Gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner WMstr, Götz WMstr
die verlassenschafft nur unter einer Massa, hausrath 59 lb, Wein und Faß 55 lb, Silber und dergl. Geschmeids 7 lb, baarschafft 150 lb, behausung 500 lb, activ Schuden 2700 lb, Summa summarum 3473 lb – Schulden 1076 lb, Nach deren Abzug 2397 lb
Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden 4701 lb
Abschrift der vor H. Not. Johann Jacob Griesbach den 29. apr. 1755 aufgerichteten Eheberedung – der Ehrengeachte Herr Johann Nicolaus Matz lediger handelsmann und burger alhier weÿl. Christian Matzen ackersmann zu Inndorf jenseits Rheins ehelicher Sohn, So dann die tugendsame Fr. Catharina geb. Schwäbin weÿl. Herrn David Martzloff handelsmanns und burgers alhier wittib

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 700 florins (850 livres) sur un total de 4 800 florins
1784, Livres de la Taille (cote VII 1181) f° 2-v
Mörin N° 367 – Weÿland Johann Niclaus Matz, des gewesenen Taback fabricanten und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Küchel.
Concl. fin: Invent: ist fol. 40. 2397. lb 1 ß 8 d die machen 4800 fl. Verstallte 3100 fl also Zuwenig 1700 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 5 lb 2 ß d. – 40 lb 16 ß
und Sechs Jahr in simplo à 2 lb 11 ß – 15 lb 6 ß
Ext : Stallgekd pro 1784 – 6 lb
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 3 lb 14 ß 6 d
Summa 65 lb 1 ß 6 d
Auf beschehenes Bitten haben die Herren dreÿ ane dem Nachtrag die Helfte nachgelaßen mit 28 lb 1 ß, Verbleibt 37 lb 17 ß 6 d
dt. 27.t Dec. 1784.

Catherine Schwab meurt en 1787 en délaissant des héritiers testamentaires, dont les enfants issus de l’apprêteur de tabac Joseph Riebel et de sa femme Marie Ehl. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 5 908 livres, le passif à 481 livres.

1787 (16.8.), Not. Kiechel (6 E 41, 1491) n° 15
Inventarium über Fraun Catharina Matzin gebohrner Schwabin auch weÿl. Johann Nicolaus Matz tabacfabricanten wittib verlassenschafft – nach ihrem den 12. aug. dieses Jahr erfolgten Absterben zurück gelassen hat – durch Barbara Wittmarin der diesortigen von haslach im Untern Elsas gebürtigen dienstmagd (geäugt und gezeigt)
Benennung der Erben. Der Defunctæ per Testamentum hinterlassenen erben sind, I. Joseph Riebel der tabackbereiter und Schirmers mit Fr. Maria geb. Aehlin erzeugte annoch minorenne 5 Kinder 1) Catharina Magdalena 19 Jahr alt, 2) Nicolaus 16.jähriger Alters, 3. Catharina 14 Jahr alt, 5. Elisabetha ohngefehr 10 Jahr und 5. Joseph so 7 Jahr, diese fünff in den ersten Stammtheil, II. Michael Schwab des burgers und Ackersmanns zu Molßheim mit fraun Elisabetha geb. Wilerin erzeugte annoch lebende dreÿ Kinder mit Nahmen 1) Michael 15 Jahr, 2. Johann Joseph ungefehr 9 Jahr und 3. Anna Maria 7.jähigen alters (Nota, das jüngste annoch vor der Testirerin dieses zietliche verlassen), III. weÿl. Joseph Aehl beckers zu Molsheim auch weÿl. Fr. Anna Maria geb. Schwabin erzeugte dreÿ annoch ledige majorenne töchtere mit Namen 1. Jfer Gertrud, 2. Jfer Magdalena, 3. Jfer Elisabetha die Aehlin unter verbeiständung Herrn Johann Georg Kienle des handelsmanns
Abschrift vor mir Notario d. 6. feb. 1786 errichteten testamenti nuncupativi

in hernach inventirter an der hännengaß gelegenen behausung
Eigentum an einer behausung, Nämlich eine zum goldenen Waldhorn genannte behausung, hof, Stallung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten an der Vorstadt Krautenau in der hännengaß einseit neben Fr. Stromeÿerin Wittib anderseit neben H. Sundheim den Zimmermeister hinten auff H. Arnold den zimmermann (vermög der) d. 13. nov. 1784 abschatzung angeschlagen worden, um 1000 fl. oder 500 lb. Darüber besagt eine in C.C.St. verfertigte Kaufverschreibung de Dato 17. jan. 1760, Ferner 1 Gantkaufbrief de dato 9. sept. 1718
hausrath 114 lb, Fäser 24 lb, Silbergeschmeids 3 lb, baarschafft 2256 lb, behausung 500 lb, Activ Schulden 3009 lb, Summa summarum 5908 lb – Schulden 481 lb, Nach deren abzug 5426 lb, Legaten 4701 lb, bleibt 725 lb, Stall summ 3123 lb – Zweiffelhaffte schulden 3457 lb

Joseph Riebel épouse en 1763 Marie Ehl originaire de Molsheim
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 275)
Hodie 5 junÿ 1763 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Josephus Riebel filius defuncti Mathiæ Riebel incolæ olim hujatis et Magdalenæ Schurmdegerin superstitis ejus uxoris legitimæ in parochia ad St petrum seniorem hujatem et Maria öhlin Molshemensis filia defuncti josephi öhl pistoris olim et civis in dicto loco et Annæ Mariæ Schwæbin in vivis conjugum in hac parochia commorans (signé) Frantz Joseph riebel, + signum sponsæ (i 280)

Marie Ehl meurt en 1795 en délaissant ses cinq enfants nommés héritiers par Catherine Schwab. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Poules dont la défunte avait la jouissance viagère.

1795 (8 floreal 3), Strasbourg 5 (2), Not. Faller (non enregistré) s.n.
Inventarium über Weÿland Fraun anna Maria Riebel geb. Ehelin des burgers Frantz Joseph Riebel des tabacbereiters Ehegattin Verlassenschafft, nach ihrem den 22. praireal im 3. Jahr jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hienscheiden hier zeitlichen verlaßen – angefangen den 30. fructidor 3
Benamsung der Erben, die Verstorbene hat ab intestato zu Erben Verlaßen 1. Fr. Catharina Magdalena Roßenbach geb. Riebel des burgers Joseph Roßenbach des Nagelschmidts Ehefrau, 2. Niclaus Riebel leedig und Majorennis, 3. Johann Carl Riebel welcher auch Majorennis und von hier abweßend, 4. Elisabetha Riebel so 18 Jahr alt und 5. Frantz Joseph Riebel welcher 16 Jahr alt ist, Vor welche dreÿ letztere der burger Joseph Schmidtbügel der Weinhändler als vogt, alle mit dem Wittiber erzeugte Kinder
Bericht, weder eine Eheberedung errichtet noch bederseits in den Ehestand gebrachtes Vermögen seÿe inventirt worden
In einer ane der hännen Gaß gelegene und mit N° 2 bezeichneter auch in dieße Verlassenschafft widems weis gehörigen behaußung befunden

François Joseph Riebel se remarie en 1798 avec Cécile Leiter, native d’Obernai

1798 (3 thermidor 6), Strasbourg 4 (26), Not. Roessel n° 263
Eheberedung – persönlich erschienen bürger Frantz Joseph Riebel, Wittiber, tabac fabricant und Inwohner alhier Zu Straßburg und
due bürgerin Cecilia Leiter, ledige Großjährige hiesige Inwohnerin von Ober Ehnheim gebürtig, des Bürgers Stephan Leiter huissier allda, mit weiland Fraun Margaretha Eberßin ehelich erziehlte Tochter
Geschehen alhier Zu Straßburg den 3/ Thermidor im Sechsten Jahr [unterzeichnet] Frantz Joseph Riebel, + Handzeichen der hochzeiterin
Enregistrement de Strasbourg, acp 62 F° 90 du 12 ther 6

Inventaire des apports des locataires Joseph Müssner et Marie Wenck

1803 (10 floreal 11), Strasbourg 13 (16), Not. Bremsinger n° 1026
Inventarium über Joseph Müßner und Fr. Maria geb. Wenck
Eheberedung vor unterschriebenem Not.
in der Ehegatten wohnbehausung in der hennengaß N° 2
des Ehegatten vermögen, fahrendes haab 200 fr, baarschafft 240 fr, summa 440 fr
der Ehegattin hausrath 1306 fr, kleidung 320 fr, baarschafft summa summarum 2526 fr
(1048 et 1052, vom 30 floreal 11 – Enregistrement de Strasbourg, acp 87 F° 186-v du 28 floreal 11) Inventarium über Joseph Müßner den Gastgeber und Fr. Maria geb. Wenck, weil wider denselben dermalen gerichtlichen poursuitten gemacht sind, Copia der Eheberedung
in der Ehegatten behausung in der hennengaß N° (-)
der Ehefrau ohnveränderte fahrende haab 453 fr, ergäntzung 2185 fr
des Ehemanns haab, baarschafft 157 fr, Schulden in des Ehemanns Nahrung 4842 fr, aus der Nahrung 8458 fr, übersteigen um 3716 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 87 F° 162-v du 16 flo. 11

Inventaire des apports des locataires Henri Ruh et Marie Françoise Elisabeth Fleich

1810 (19.4.), Strasbourg 5 (31), Not. F. Grimmer n° 6249
Inventaire des apports de Henri Ruh charpentier et de Marie Françoise Elisabeth Fleich
Contrat de mariage, Me Bossenius 29 juillet 1807
en la demeure des conjoints rue de la Poule n° 2
le mari, meubles 614 fr, argenterie 109 fr, total 723 fr
la femme, meubles 194 fr, créances 1062 fr, total 1256 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 131-v du 28.4.

Mariage du locataire Cassien Dablander

1813 (24.2.), Strasbourg 5 (37), Not. F. Grimmer n° 8114
Contrat de mariage – Cassian Dablander tisserand en cette ville demeurant rue de la Poule n° 2 fils majeur d’Antoine Dablander, tailleur d’habits à Tarrenz royaume de Bavière, et de feu Ursule née Baumann
Marie Catherine Madeleine née Schmittlé veuve de Jean Jacques Chrisostome François Dieudonné Cherrier, blanchiseuse demeurant place des moulins n° 19, fille de feu François Joseph Schmittlé, journalier en cette ville, et de feu Marie Madeleine née Beiblé
dans la maison appartenant à la future épouse place du moulin n° 19
(acte n° 8115) dépôt de l’extrait de baptême Dablander, à Tarrenz diocèse de la justice provinciale Royale Bavaroise de Brixen en datte du 14 août 1782 portant qu’il et né le même jour, et extraits mortutaires
Enregistrement de Strasbourg, acp 121 F° 159 du 25.2.

L’ouvrier en tabac François Joseph Riebel meurt en 1814 en délaissant quatre enfants issus d’Anne Marie Ehl et quatre de son deuxième mariage avec la veuve

1814 (28.11.), Strasbourg 8 (10), Not. Roessel n° 2168
Inventaire de la succession de François Joseph Riebel ouvrier en tabac décédé le 26 septembre dernier – à la requête de 1. Marie Cécile Leiter veuve de François Joseph Riebel mère et tutrice légale de Michel Lothaire 15 ans, Crescence Cécile 14 ans, Georges 13 ans, Catherine Elisabeth 10 ans et Laurent 9 ans, 2. Nicolas Riebel ouvrier en tabac, 3. Catherine Elisabeth Riebel veuve de Joseph Rosenbach cloutier, 4. Charles Riebel menuisier, 5. Elisabeth Riebel les 4 derniers en premier lit avec Anne Marie Elli – en présence de Lothaire Doerr négociant subrogé tuteur
Contrat de mariage Me Roessel le 3 thermidor 6
dans une maison sise en cette ville rue de la Poule n° 2
apports de la veuve, meubles 96 fr, apports du défunt 140 fr
communauté 73 fr, garde robe du défunt 32 fr, numéraire 4 fr, créances 429 fr, passif 1316 francs
enreg. manquant F° 105 du 1.12.

La maison revient à son fils aîné Jean Nicolas Riebel, lui aussi ouvrier en tabac. Il se marie à Nancy en 1800 avec Anne Audinot, originaire de Commercy. Il revient habiter à Strasbourg vers 1810 d’après le registre de population

Mariage (Nancy, f° 61)
Aujourd’hui 30 nivose an huit de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Nicolas Riebel âgé de 29 ans, ouvrier en tabac domicilié à Nancy, rue de la hache, cinquième section, fils de François Joseph Riebel et de défunte Anne Marie Then d’autre part Anne Audinot, âgée de 24 ans, domiciliée à Nancy, cour de la Liberté, 7° section fille de Défunt Blaise Audinot, vivnt forgeron et de Elisabeth poirson (…) 1° de l’acte de naissance de Jean Nicolas Riebel en datte du 18 juillet 1770 portant qu’il est né le dit jour à Strasbourg (…) 2° de l’acte de naissance de Anne Audinot en datte du 21 mars 1775, portant qu’elle est née ledit jour à Commercy département de la Meuse (…) (signé) Jean Nicolas Riebel, anne audinot (i 69)

Registre de population 600 MW 97, p. 379, Rue de la Poule N° 2 (i 178)
Riebel, Nicolas, 1770, Propriétaire, ouvrier en tabac, Strasbourg, (auparavant R. du foulon 24, Entré 1808
id. née Odino, Marie Anne, 1775, Ep, Commercy (à Strasbourg depuis 11 ans)
id. Elisabeth, 1801, Voye
id. Catherine 1808, Colmar
id. Cécile 1811, Strasbourg, décédé le 19 juin 1825
(p. 380) Riebel, Jean Charles, 1773 sans état, Strasbourg
(p. 382) Riebel, Jn Nicolas, 1800, ouv. Cordonnier, Nancy, (à Strasbourg) depuis l’enfance, (auparavant) rue du Loup 82, Entré 8.bre 1822, voyez page suivante
(p. 383) Riebel, Jn Nicolas, 1800, ouv. Cordonnier, Strasbourg, voyez page précédente, délogé Krutenau 27

Marie Cécile Leiter consent au mariage de deux de ses enfants
1829 (31.3.), Strasbourg 3 (79), Me Schreider n° 4028
Consentement – Marie Cécile Leiter veuve de Joseph Riebel, ouvrier en tabac, au mariage de son fils Georges Reibel, jardinier, Paris avec Marie Chevrot native de Montreuil près Paris
Enregistrement de Strasbourg, acp 194 F° 23 du 1.4.

1837 (14.3.), Strasbourg 8 (65), Me G. Grimmer n° 5964
Consentement – Cécile Leiter veuve de Joseph Riebel, ouvrier en tabac demeurant rue des Bouchers n° 30 au mariage que Cécile Riebel née à Strasbourg le 10 frimaire 9 se propose de contracter avec à Paris où elle demeure avec la personne de son choix
Enregistrement de Strasbourg, acp 248 F° 57-v du 14.3.

Le tribunal civil exproprie quatre maisons dont celle de Nicolas Riebel pour cause d’utilté publique (agrandir la manufacture des tabacs).

1847 (28.12.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 470 (2694) n° 63 – Tribunal civil
La tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas Rhin a rendu le jugement suivant sur la réquisition dont la teneur suit
Nous procureur du Roi vu l’arrêté de Monsieur le Préfet du bas Rhin en date en 27 novembre 1847 déterminat les propriétés à céder pour les travaux d’agrandissement de l’emplacement sur lequel doit être construite la manufacture de tabac à Strasbourg, Vu l’ordonnance royale du premier septembre dernier, declarant lesdits travaux d’utilité publique, attendu que toutes les formaliés prescrites par la loi ont été remplies, Vu l’article 14 de la loi du 3 mai 1841, requerant qu’il plaise au tribunal prononcer l’expropriation pour cause d’utilité publique des Immeubles designés en l’arreté du prefet, commettre un de ses membres pour remplir la fonction attribuée au Magistrat directeur du jury chargé de fixer l’indemnité et désigner un autre de ses membres pour le remplaver au besoin au parquet le six décembre 1847, Vu la réquisition ci-dessus, l’ordonnance du Roi en date du premier septembre dernier qui déclare d’utilité publique l’acquisition des immeubles ci après désignés, les arrêtés du préfet du département du bas Rhin en date du 27 novembre 1847, Vu enfin l’article 14 de la loi du 3 mai 1841, attendu qu’il résulte des pièces produites que toutes les formalités nécessaires ont été remplies, le tribunal déclare expropriés pour cause d’utilité publique
Premièrement, Nicolas Riebel de Strasbourg d’une maison sise à Strasbourg Rue des poules n° 2 numéro 965 du plan cadastral
Secondement, Jean Pierre Vaulont employé de balance publique à Strasbourg, d’une maison sise à Strasbourg rue de la Krutenau n° 105, numéro 978 du plan cadastral
Troisièmement, les héritiers de Daniel Fritz propriétaire à Strasbourg, d’une maison sise à Strasbourg rue de la Krutenau n° 104, numéro 979 du plan cadastral
Quatrièmement, Susanne Marguerite née Reiber veuve de Jacques Steinpfel sans profession à Strasbourg, d’une maison sise à Strasbourg rue du filet n° 59, numéro 996 du plan cadastral
Jugé et prononcé en audience publique de la première chambre du tribunal de première instance de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville le 8 décembre 1847


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.