2, place de la Grande Boucherie


Place de la Grande Boucherie n° 2 – VI 239 (Blondel), O 131 puis section 19 parcelle 132 (cadastre)

À la botte dorée (zum guldin Stüffel, 1604)


Le n° 2 est le bâtiment qui fait l’angle (mars 2022)
Le n° 2 est la partie droite à encorbellement (avril 2016, face sud)

Située à l’extrémité du fossé dit Ulmergraben, la maison à encorbellement qui fait 13 pieds 9 pouces de long appartient en 1587 à la veuve du barbier Jacques Kessler. Le cordonnier Gabriel Neher qui l’achète en 1597 est autorisé la même année à construire une pièce voûtée en surplomb au-dessus du fossé derrière sa maison. Elle appartient ensuite à son gendre cordonnier Laurent Voltz, au cordonnier Antoine Eisser originaire de Vienne (1647-1670) puis au cordonnier devenu revendeur Jean Philippe Ferber dont les descendants conservent la propriété jusqu’en 1853. Ancien menuisier devenu marchand de fruits et légumes, Jean Jacques Wagner est autorisé en 1710 à conserver six petits étaux sur le communal. Jean Philippe Ferber pose en 1716 un séchoir sur l’encorbellement. La maison à demi-toit comprend d’après l’estimation jointe en 1740 à l’inventaire de la femme du boutonnier Jean Henri Jundt au rez-de-chaussée une boutique, sur le fossé un petit caveau où se trouve un chaudron, un logement à chacun des trois étages.
La situation de la maison à l’extrémité du fossé lui vaut la dénomination « sur le banc de sable » (uffm Grien, 1572), zum grienen Öuel (1618) et zum grünen Wördt (1639, soit à la noue sableuse). Elle porte en outre en 1604 le nom à la botte dorée (zum guldin Stüffel). Comme sa voisine (n° 3), elle se trouve « dans le coin (im Winckel) face à la Grande Boucherie » au milieu du XVIII° siècle.


Plan-relief de 1725. La maison forme la partie droite à demi-toit du bâtiment d’angle au premier plan (Musée historique, cliché JM-JMW)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 175 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et quatre étages en pans de bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (b). Sur la gauche la façade à demi-toit face à la Grande Boucherie à une arcade, cinq fenêtres superposées et une lucarne. Sur la droite vers l’est, trois ouvertures (porte ou arcade) et cinq niveaux à deux fenêtres chacun surmontés d’une toiture à deux niveaux de lucarnes. L’arrière de la maison donne entre (26-1) sur le fossé dit Ulmergraben.
La maison porte d’abord le n° 24 (1784-1857) puis le n° 2.


Cour A

Thiébaut Geoffroi Kuhn, propriétaire de la maison voisine, l’achète en 1853. Son fils qui habite Paris la vend en 1870 au boucher Frédéric Bræsch qui en était locataire. Elle appartient ensuite au cordonnier André Fetzer (1876-1880) puis au boucher Gustave Kœnig.
Le cadastre ne signale aucune transformation au XIX° siècle.


Vue vers 1864 (carte postale de la collection Strasbourg disparu) où on voit le haut du demi-toit
Le n° 2 sur la gauche (Jonathan Michalon, janvier 2022)

mars 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Kessler, barbier, et (1572) Susanne Sutter, remariée (1587) avec le boucher Jean Kamm – luthériens
1597 v Gabriel Neher, cordonnier, et (1594) Marie Schweickart veuve de Boucart Haubenstein, (1597) Anne Spetter d’abord (1581) femme de Matthias Treser, puis (1610) Barbe Boss d’abord (1595) femme de Thomas Scheucher – luthériens
1642 h Laurent Voltz, cordonnier, et (1623) Marthe Neher – luthériens
1647 v Jean Jacques Frœreisen, cordonnier, et (1647) Susanne Schœner – luthériens
1647 v Antoine Eisser, cordonnier, et (v. 1644) et Elisabeth (Eitzler) – luthériens
1670 v Jean Conrad Simon, chirurgien, et (1669) Marie Madeleine Pfeffinger – luthériens
1676 v Jacques Frantz, revendeur (vente annulée)
1678 v Jean Philippe Ferber, cordonnier puis revendeur, et (1674) Anne Catherine Eberlé d’abord (1662) femme du revendeur Nicolas Debus, puis (1697) Anne Marie Kirchner, d’abord (1694) femme du marchand de bestiaux Christophe Milling – luthériens
1707 h Jean Jacques Wagner, menuisier puis marchand de fruits et légumes, et (1699) Anne Catherine Ferber – luthériens
1736 h Jean Henri Jund, boutonnier, et (1731) Marie Elisabeth Wagner – luthériens
1769 h Jean Jacques Jund, boutonnier, et (1767) Anne Marie Kolb – luthériens
1830 h Anne Marie Jundt, célibataire († 1847)
1847 h Jean Geoffroi Jund, boutonnier, et (1797) Marie Elisabeth Rudolph
1853 v Thiébaut Geoffroi Kuhn, farinier, et (1848) Caroline Lobstein
1870 v Frédéric Bræsch, boucher, et (v. 1867) Louise Thorwart, remariée (1876) avec le brasseur (Louis) Auguste Stephan
1876 v André Fetzer, cordonnier, et (1835) Elisabeth Sommerer puis (1858) Marie Anstett
1881* v (Frédéric) Gustave Kœnig, boucher, et (1867) Elisabeth Rœdt
1933* h Marguerite Kœnig

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 420 livres en 1696, 750 livres en 1722, 275 livres en 1734, 550 livres en 1740, 450 livres en 1767

(1765, Liste Blondel) VI 239, Jean Henry Jundt
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Junt, 5 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 131, Richshoffer, Jean Daniel, Vieux Marché aux Poissons 89 [mention erronée] – maison, sol – 0,39 / Jund Geoffroi place des Grandes Boucheries 24

Locations

1854, Michel Schneider, maître tailleur et Elisabeth Wizenné
1872, Gérard Keller

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 56
La veuve du barbier Jacques Kessler règle 6 sols 6 deniers pour sa maison face à la nouvelle boucherie faisant 13 pieds 9 pouces de long, à savoir un encorbellement (en saillie de 2 pieds 10 pouces), deux gradins arrondis devant la porte de la boutique (5 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds)

[Von dem Eckh gegen d. Newen Metzig vndt gegen dem Spanbeth zu]
Jacob Keßlers des Scherers Wittibin hatt vor Irem hauß gegen d. Newen Metzig 13 schu 9 Zoll lang, oben der Vsstoß 2 schu 10 Zoll herauß, Vnden Zwen runde Steinerin Tritt vor der Scherstuben Thieren 5 ½ schu lang, Vndt 3 schu herauß Vff der Allmendt, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, vj ß vj d

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 274
Le cordonnier Gabriel Neher doit 2 sols à la saint Martin pour une pièce en surplomb au-dessus du fossé dit Ulmergraben derrière sa maison entre la boutique de Marstaller et un tailleur, en saillie de huit pieds de manière que l’eau s’écoule au-dessous, le toit ne devra pas dépasser le surplomb du tailleur [son voisin à l’est], le tout fait de manière que les voisins n’aient pas sujet à se plaindre. Fait le 20 octobre 1597. Le loyer est dû par le même en 1627, d’un montant de 10 sols

Item ij ß d gibt Jars vff Martini Gabriel Neher der Schumacher von einem Vberstossenen Kemmerlin hinden an seinem hauß Zwischen der Marstaller gaden vnd N dem schneider, vber den Vlmergraben Acht schuh lang herauß, das das wasser darunder hinlauffe. Ihme durch Bawherren vnd dreÿ gegönt soll mit seim dach vnder des schneiders vberstoß bleiben, Auch also machen, das die nachbuwer nit Zu clagen haben, Actum den 20.ten Octobris 1597.
(rub.) Jetz Er noch 10 ß vt. [den 10. 8.br. 1627]
New 257.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 257
Le cordonnier Antoine Eisser puis Jean Conrad Simon doit 10 sols pour une pièce en surplomb derrière sa maison face à la grande boucherie

Jetzt Johann Conrad Simon
Anthoni Eiser der Schuhmacher, Soll gemeiner Statt, Von einem Überstoßenen Kämmerlein, hinden ahn dem Hauß, gegen der großen Metzig, Jahrs Vf Martini 10 ß d
Alt. d. f. 274
New fol. 222

(Quittungen, 1653-1670)
1671 Zalt Simon

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 222
Même loyer porté au registre suivant

Johann Conrad Simon, Barbierer, Soll von einem Überstoßenem Kämmerlin hinden am hauß gegen der großen Metzig vff Martini, 10 ß
St. Zinßb. p. 257
ietz Hannß Philipp Ferber 1680. p°
Jetzt Johann Jacob Wagner vid. 266*
Jetzt Johann Heinrich Jund

(Quittungen 1673-1741)
Neuzb fol 451-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 451-b
Nouveau report. Le loyer existe toujours à la clôture du registre en l’an X.

Johann Heinrich Jund solle von einem überstoßenem Kämmerlin Hinden am Hauß gegen der großen Metzig Jahrs auf Martini (id est 11. Nov.), 10 ß
[in margine] vid. 442.b – 21. Brumaire
(Quittungen 1741-an 10)
C. 217

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1597, Préposés au bâtiment (VII 1312)
Le cordonnier Gabriel Neher qui a acheté la maison sise au-dessus du fossé Ulmergraben, à côté de la boutique Marsteller ou de la maison de Mathias Karcher, souhaite construire entre ses voisins Karcher et un cordonnier une petite cave solivée à un seul étage empiétant de huit pieds sur le fossé, le toit restera au-dessous de l’encorbellement du voisin cordonnier de manière à ce qu’il n’ait pas sujet à se plaindre, l’eau devra passer comme par le passé au-dessous de ladite cave, il fera une porte pour pouvoir entrer dans ladite cave, il a obtenu la permission de Matthias Karcher. Les préposés lui accordent la permission moyennant un loyer annuel de deux sols par an, mais les voisins ne devront pas avoir sujet à se plaindre.

(f° 178) Donstag 20.ten Octobris, Augenschein – Gabriel Neher der schuemacher so das hauß neben d. Marstaller gaden oder Mathis Karchers hauß, kaufft, vnd vff dem Ulmergraben steht, der begert dahinden Zwischen den beden Nachburen Nemlich dem Karcher und (-) dem schneider hinauff werths vff oder vber den vlmer graben ein Kellerlein mit dremen Zumach. vnd 8. schuh herauß geg. dem graben hinauff zwischen den nachburen doch nur eins gadens hoch, Zufuhren, vnd mit seinem dach vnder des schneiders vberstoß oder vberhang Zu bleiben, damit derselb nit Zuclagen hab. vnd also Zumachen, das d. wasser vnden durch solch. Kellerlin lüeff wie es vorhin vnder sein hauß hinlauff, vnd vß seinem hauß ein thier In solch Kellerlin & Zu brechen & bittet Ihme solches zugestatten, Habs Ihm Mathis Karcher auch bewilligt, &
Erkand Ist Ihm willfahrt doch daßelb also Zulmach. d. nachburen nit clag. vnd soll davon alle Jar vff Martini 2 ß Zinß geben, bedanckt sich deß. wills gern thun. Solls doch für kein eigenthumb halten, sonde allmend sein vnd pleiben.

1662, Préposés au bâtiment (VII 1357)
Martin Hermann se plaint que son voisin Antoine Eyser qui a démoli le réduit au-dessus du fossé tel qu’il est autorisé par le registre D l’a remplacé par un nouveau de deux pieds plus haut. Les préposés ordonnent à Antoine Eyser de respecter les dimensions initiales.

(f° 188) Mittwochs den 25. Junÿ – Martin Herrmann Ca. Anthoni Eÿßer
Augenschein eingenommen vff begehren Anthoni Eÿßers Ca. Martin Herrmann, in deren heußern beÿ der Metzig, da Anthoni Eÿßer, über dem Ulmergraben ein Kemmerlin in dem alten Zinßbuch D fol. 274. specificirt vnd mit 2 ß allmend zinß belegt, hinweg gebroch. vnd 2. schu höher Bawen laßen, so Martin Herrmann hinder: vnd schädlich. Erk. bedacht.

(f° 192-v) Donnerstags den 10 Eiusdem [Julÿ] – Anthoni Eißer Ca. Martin Herrmann
In sachen Anthoni Eißers Contra Martin Herrmann ist vf eingenommenen augenschein, auch Verleßung deß protocolls vnd alten Zinßbuchs D fol. 274. auch allen vor vnd einbringen nach Zu recht Erkandt, d. Anthoni Eißen nicht gebüret, ohne vorher erhaltene erlaubnus d. allmend mit mehren oder größeren gebewen, alß vorhin darauff gestanden Zu beschweren, sondern darinn Zu viel vnd vnrecht gethan, daher auch schuldig sein solle den gemachten gebäw wider abzuheben, vnd in vorige in den alten Zinßb. D. fol. 274. beschranckte formb vnd höhe Zu reduciren.

1710, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Ancien menuisier devenu marchand de fruits et légumes, Jean Jacques Wagner a mis devant sa maison six petits étaux (17 pieds 4 pouces de long, 1 pied de large) pour y exposer ses marchandises. Il répond que les étaux sont petits et démontables. Les préposés établissent une taxe d’une livre dix sols, ramenée à 15 sols. La taxe est définitivement fixée à cinq sols l’étal en août.

(f° 26) Dienstags den 8 Aprilis 1710. – Johann Jacob Wagner der Kremp macht vorbänck
Johann Jacob Wagner der Kremp und vormahlige Schreiner hat sich vor Seiner beÿ der Großen Metzig liegenden behaußung selbsten Sechs Vorbänckh, welche 17. Schuh und 4. Zoll lang vnd 1 schuh breit sein, wahren darauff Zustellen, ohne erlaubnus Gemacht.
Ille entschuldiget sich damit weilen diese Bänckh Klein und nicht angemacht seÿen, also daß mann selbige alle nacht hinweg thun Könte, so Vermeint Er es würde nichts Zu bedeuten haben.
Erk. soll 1. lb 10. ß d. beßern welche auf 1. lb d. moderirt werden, auff beschehenes demutiges bitten aber bleibe es beÿ 15 ß d. welche Er auch alsobald erlegte.

(f° 70-v) Freÿtags den 19. Augusti 1710 – Johann Jacob Wagner pt° allmend bänck
Ego proponire Es seÿe Johann Jacob Wagner, der Kremp, bereits am 8. Aprilis jüngst beÿ Mhhh. verklagt und abgestrafft worden, daß Er vor seiner gegen der Großen Metzig über gelegenen Eckbehausung sechs bänck, welche Zusammen 17. schuh und Vier Zoll lange, jeder ein schuhe breit seÿen, ohne erlaubnus MGHh. auff das allmend machen laßen es seÿe anietzo der allmendt Zinnß, welchen Er jährlichen davon abzurichten hätte Zu definiren.
Erk. Soll jährlichen auff Ostern undt Anno 1711. Zum erstenmahl, Von jedem banck 1 ß 4 d allmend Zinß davon erlegen, Ille bittet umb moderation, Erk. Würdt derselbe von 8. ß d. auff 6. ß d. und endlichen auff instandiges ansuchen, auff 5 ß d moderirt.

1716, Préposés au bâtiment (VII 1387)
Jean Philippe Ferber est autorisé à poser un séchoir sur l’encorbellement de sa maison face à la grande boucherie.

(f° 17-v) Dienstags den 10. Martÿ 1716 – Joh: Phi. Ferber umb erhöhung seines Überhangs
Johann Philipp Ferber, der Kremp, bittet MGhh. unterthänig Ihme gn. Zu erlauben, daß Er an seiner gegen der großen Metzig über gelegene Eck behausung, auff den Überhang, welcher 7. schuhe lang und 2 ½ schuhe breit ist, eine trückeneÿ bawen lassen dörffe. Erk. Willfahrt.

1726, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Le saucissier Osraël Ziegel qui a un étal devant la maison de Jean Jacques Wagner devra le déplacer sur le côté pour éviter les accidents.

(f° 111) Donnerstags den 28. 9.br. 1726 – Israel Ziegel wegen Standes
Herr Mollinger, der Statt Lohner, berichtet Mghh. daß er höchst nötig seÿe, daß der jenige bratwürstmacher, welcher vor Jacob Wagners des Krempen behausung gegen der Großen Metzger über feÿl hatt, hinweg vnd an die seithe solcher Behaußung möchte gesetzt werden, masen wegen enge des wegs leicht ein groß unglück entstehen Könte.
Erk. solle Ziegel, der bratwürstmacher beschickt und Ihme die änderung ernstlich anbefohlen werden.

Description de la maison

  • 1722 (billet d’estimation traduit) La maison à demi-toit comprend plusieurs poêles, chambres, vestibule où se trouve le fourneau et l’évier, une boutique et un vestibule où se trouve le chaudron à lessive, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison à demi-toit comprend au rez-de-chaussée la boutique, un petit vestibule où se trouve le fourneau, deux chambres, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 550 florins
  • 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée la boutique, à côté sur le fossé un petit caveau où se trouve le chaudron, au premier étage un poêle, un vestibule où se trouve le fourneau et l’évier, au deuxième étage un poêle, un vestibule où se trouve le fourneau, au-dessus une chambre et un vestibule, le toit est couvert de tuiles plates, la petite cave est solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 100 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Place de la grande boucherie

nouveau N° / ancien N° : 26 / 24
Jundt
Rez de chaussée en maçonnerie et 4 étages en bois mauvais et avance

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 70 case 4

Jund, Geoffroi, place de la gde boucherie N° 24
Kuhn, Geoffroi Thiébaut marchand de farine place de la grande boucherie N° 24, Sub. pour 1855

O 131, maison, sol, place de la grande boucherie 34
Contenance : 0,39
Revenu total : 90,20 (90 et 0,20)
Folio de provenance : (70)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 214 case 1

Kuhn, Geoffroi Thiébaut, Marchand de farine
1878 Fetzern Andreas, Schuhmacher
pro 1881/82 Koenig Gustav, Metzger

O 131, maison, sol, Place de la grande boucherie 1
Contenance : 0,39
Revenu total : 90,20 (90 et 0,20)
Folio de provenance : (70)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12
fenêtres du 3° et au-dessus : 4

Cadastre allemand, registre 30 f° 233 case 1

Parcelle, section 19, n° 132 – autrefois O 131
Canton : An der großen Metzig Hs. N° 2 – Place de la Grande Boucherie
Désignation : Hf, Whs e.n.a.T. (Skizze 31)
Contenance : 0,39
Revenu : 1400 – 1200
Remarques : 1912 Berufung

(Propriétaire), compte 683
Koenig Gustav
1933 Koenig Marguerite
(2437)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 171 Ferrelmarck, Marché des Cochons de lait p. 305

24
Pr. Jund, Jean Jacques, Boutonnier d’étain – Marechaux

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

An der grossen Metzig (Seite 115)

(Haus Nr.) 2
König, Metzgerm.

Dossier de la Police du Bâtiment

Dossiers communs avec le 6, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des loyers communaux (1587) au nom de la veuve de Jacques Kessler. Le barbier Jacques Kessler épouse en 1572 Susanne, fille du farinier Laurent Sutter ; il habite sur le banc de sable (uffm Grien, le fossé sur lequel est construite la maison s’appelle Ulmergrien ou Ulmergraben)

Mariage, cathédrale (luth. p. 235)
1573. Suntag den 24 Maÿ. Jacob Kesler, der Scherer, Susanna Lorentz Sutter deß Melmans hind: docht. wont vffm grien beim Schlachaus. Eingesegnet Montag 15 Junÿ hora 9. (i 120)

Sa veuve Susanne se remarie en 1587 avec le boucher Jean Kamm
Mariage, cathédrale (luth. p. 127)
1587. Dominica Sexagesimæ, 19. Februarÿ. Hans Kamm der Metzger vnd Susanna Jacob Keßler des Schärrs nachg. wittib. Eingesegnet Montags den 27. Februarÿ (i 67)

Gabriel Neher achète la maison en 1597 (voir plus haut sa requête auprès des préposés)
La maison figure à l’inventaire dressé en 1610 après la mort d’Anne Spettel, femme de Gabriel Neher.

Le cordonnier Gabriel Neher hypothèque la maison au profit de Mathias Wolffer, aubergiste à la Couchette

1610 (xxiiij Decembr.), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 304
(Inchoat. fo: 295.) Erschienen Gabriel Neÿger der Schumacher
hatt in gegensein des Ehrenhafften Mathys Wolffer wurts Zum Spanbeth – schuldig sein 100 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll hus v. hoffstatt mit allen Iren gebeüwen & gelegen In der SS gegen der Neuwen Metzigk einseyt ein Eck neb. dem Almend andersyt Maths Karchern stoßend hinden vff den Schnyder graben oder Vlmer graben davon gndt. 5 pfund pfenning gls ablosig mit 100 pfund pfenning Mathys Treser des schumachers seligen Kinder, Mehr 15 pfund pfenning gelts widerkheuffig mit 100 pfund pfenning Straßburger Martin webers dem buchbinder deren vogt h Mathys Schelen So dann vj ß für almend Zins

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du cordonnier Laurent Dorsch

1613, (ut spâ [iiij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 4
(Inchoat. in Prot. fol: 6.) Erschienen Gabriel Näger der schuemach. burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Lorentz Dorschenn des schuemachers burgers Allhier offentlich verÿehen – schuldig sige 100 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüwenn & gelegen Inn d. St St gegen der Metzig vber einsit neben Mathÿß Karchern Andersit neben Geörg Pfauwenn dem Schneider, hinden vff den schneider graben stoßend, dauon gendt j lb bodenzinß Zu Sanct Johann, Item Zwen schilling pfenning Allmendt gelt der St. St. So dann Ist die obgeschriebene behaußung noch v.hafftet für ein schuldt 100 pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Lorentz Dorsch der glaubiger hatt in gegensein Gabriel Näger des bekhenners (…) Acum den 20. Februarÿ 1615.

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du boulanger Georges Winckler

1618 (xxii. Januarÿ), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 16-v
(Inchoat. fol. 14.) Erschÿnen Gabriel Neger Schumacher
hatt in gegensein des Ehrsamen Georg Winckler Brottbecken – schuldig sige 50 pfund
dafür vnderpfand sein soll hauß vnd hoffestatt genant Zum grienen öugel mit allen Iren gebeuwen gelegen Inn der St. St. gegen der Metzigk einseÿt ein Eck anderseyt herr Johann weÿgen stoßend hinden vff den Vlmer graben dauon gnd vier guldin gelt abloßig mit 100 gulden derselben werung wÿland Junckher Christophel Mendten selig. erben, Mehr Ein pfund pfenning gelts bodenzinß den Johannßen herren In d. grienen Werd wÿther 2 schilling Almend gelt der St Straßburg

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du remueur de grains Michel Pfrenger

1618 (vij. Julÿ), Chancellerie, vol. 430 (Registranda Meyger) f° 283-v
(Inchoat. in Prot. fol. 208.) Erschienen Gabriel Näher d. schuemach. burg. Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Michell Pfrenger kornwerffers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe L. lb
Zum recht. vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. geg. d. Metzigk vber, einseit ein Eck, And. seit Johann Weÿtz handelsmann, hind. vff d. schneÿd. grab. stoßend, dauon gnd. j lb Bod. Zinß den Johannßer herren Alhie Mehr iiij gl gld loßig mit j C gl den Mundtisch. erben, Item ij ß d Allmend gelt

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du marchand Jean Büchel. En marge, quittance remise en 1670 au barbier Jean Conrad Simon

1625 (ut spâ. [xxiiij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 455 (Registranda Meyger) f° 29-v
(Inchoat. in Prot. fol. 20) Erschienen Gabriel Näher schuhmacher burger Zue Straßburg hatt bekhandt
Vnd In gegenwärtigkeit h. hannß Büchell handelßmann burgers Zue Straßburg – schuldig seÿe j. C lb
Zu vnderpfand verlegt hauß Vndt hoffstatt, mit Allen Ihren gebäwen d gelegen Inn der St. St. gegen der Metzigck Über eins. h. Johann Weitzen, And. s. ein eckh hind. vff dem Schneider. graben stoßend, dauon gend. j. lb boden Zinnß Zu St. Johann Mehr ij ß d Allmend gelt der Statt, Item 4. fl. d lößig mit j. C. fl. w. den Mundisch. erben
[in margine :] Erschienen h. Nicolaus Hämmerlin Sibner Gerichts Procurator alß deme diße 100. lb anietzo gehörig seÿen, hatt in gegensein Johann Conrad Simons deß Barbierers alß ietzig. Possessoris Hypothecæ (…) quittirten Act. 3. 8.br a° 1670.

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du corroyeur Jean Büchel. En marge, quittance remise en 1670 au barbier Jean Conrad Simon.

1628 (4. Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 59
Erschienen Gabriel Näher der schuhmacher burg. Zu St.
hatt in gegensein H hanß Beüchels deß Lederberaiters auch burgers alhie bekannt – schuldig seÿe 100. Pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen Andern & alhie gegen der Metzig vber, neben H Johann Weitzen dem handelßmann vnd 2. seit ist ein Eck behausung hinden vf den Schneidergraben stoßend, dauon gehen j. lb d bod. Zinß dem Johanniter Closter alhie, Item 2. s d Allmend gelt der St. St. Item 4 fla. gelts ablösig mit 100. gld. Capital St. w. den Mundtisch. Erben, So dann ist solch. hauß auch noch Zuuor verhafftet vmb 100. lb ihme dem Glaubigern selbsten
[in margine :] Erschienen h Nicolaus hämerlin Sibener Gerichts Procurator alß dern die hierinn gemelt 100. lib. gehörig seÿen, hatt in gegensein Johann Conrad Simons deß Barbierers alß ietzig Possessoris Hÿpothecæ (…) Act ; 3. 8.br. a° 1670.

Jean Pleickart von Poland vend au notaire Matthieu Bastadius un capital garanti sur la maison de Gabriel Neher d’après une obligation passée en 1530 par Chrétien Niderlænder

1631 (ut spâ. [8. Novembris]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 562
Erschienen Jr. hanß Pleickhardt von Polandt (verkaufft)
H Mattheo Bachstadio Not° auch burgern alhie
100. gld. Capital St. w., wo etwan Christman Niderländer, an ietzo aber Gabriel Neher der Schuhmacher alhie, von seiner beÿ der Metzig gelegenen Eckh behausung Järlich auf Weÿhenachten mit 4 gld. besagter wehrung, nach vßweisung eines vnder eines Ers. kleinen rahts Insigel den 15. Januarÿ Anno 1530. vfgerichteten brieffs Zuuerzinsen schuldig

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit de Marguerite, veuve de Jean Büchel, remariée avec le fourbisseur Paul Helwig. Son gendre Laurent Voltz se porte garant. En marge, quittance remise en 1671 au barbier Jean Conrad Simon.

1637 (28. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 694-v
Erschienen Gabriel Neher d. schuhmach. alhie
hatt in gegensein Fr. Magdalenæ weÿ: hanß Büchels alt groß. Rhats v.wanthen see: wittiben Vogts Johann Kolben deß Biersieders mit beÿstand H Paul Hellwickh deß Schwerdtfegers ihr Magdalenen ietzigen Ehevogts – schuldig seÿ 50 lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstatt alhie gegen der Metzig über, neben Johann Weitz. & Martin Dürrenbach dem Meelmann hind. vff den Ulmergrab. stoßend so zuuor v.hafftet vmb 400. fl. sein Bekenners Kindern, so er ad dies vitæ wÿdembs weiß zugenüeß, It. 400 fl. obgenten Büchels s: Erben so gehen auch Jarß dauon 1. lb bod. Zinß dem Closter S. Johann alhie, und X. ß d. Allmend gelts d. St. St., sonst eÿg. Vnd Zu noch mehrer sicherheit ist auch erschienen Lorentz Voltz d. Schuhmacher sein Debitoris tochtermann, der hat für sich vor dise schuld zue einem rechten Bürgen Mit: vnd vnuersch. dargeben
[in margine :] Erschienen Herr Gabriel Haas der Goldarbeiter und E. E. Kleinen Rhats beÿsitzer alß vogt Johann Örtel Med. studiosi, und alß seiner anzeig mündlicher befelchhaber H M. Philipp Ortels Pfarrers zu Goxweÿler, alß welches beÿ dere hierinn bedeutetes Capital gehörig seÿe, hatt, in gegensein Johann Conrad Simons deß barbierers alß ietzig. Possessoris hieringedachter behaußung (…) Act. d. 18. 9.br. A° 1671.

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit de son gendre Laurent Voltz.

1639 (15. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 596
Erschienen Gabriel Neher der Schuhmacher burger Zu Straßburg
und hat in gegenwärtigkeit Lorentz Voltzen auch Schuhmachers und burgers alhie seines dochtermanns bekannt, daß Er demselbig. für par, Zu verschiedlichen mahlen de Anno & 1631 hero, vorgestreckt vnd gelühen geld schuldig seÿe 50. Pfund pfenning Str.
dafür in specie Vnderpfand sein soll Ein Behaußung, mit allen andern ihren gebäwen & Zum Grüenen wördt gent. gelegen in der Statt St. gegen der Metzig hinüber, einseit neben Johann Weitzen deß handelßmanns see: Wittib: Vnd Erben anderseit ist Zum theil ein Eckh und theils neben Martin Thierbachs gewesenen Meelmanns Witib und Kinder, hinden vff den Vlmergraben stoßend, so Zuuor Verhafftet vmb 200 lb hanß Carol Büchel dem Lederbereiter, Mehr vmb 50. lb Herrn Mathei Bachstadio dem Noto. alhie, Item vmb 50. lib. H Paul Hellwigen groß. Rhats Verwanthen, Eheuögtlicher weiß, sonst freÿ ledig, eigen

Assisté de son fils Gabriel, Gabriel Neher vend la maison à son gendre Laurent Voltz et à sa fille Marthe Neher

1642 (4. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 463
(Prot. fol. 149 & seqq) Erschienen Gabriel Näher der älter burg. Zu Straßburg mit beÿstand Gabriel Näher deß iüngern, Schuhmachers seines eheleiblich. Sohns und Johann Kolben deß Biersieders
hatt in gegensein Lorentz Voltzen deß Schuhmachers und Marthæ Näherin seiner ehelichen hausfrawen besagts Gabriel Nähers dochter Mann und dochter mit beÿstand H Christoph Kernstockhß deß Notarÿ und Josiæ Mittmanns deß Schindelspalters
hauß und hoffstatt mit allen ihren Gebäwen alhie geg. der alt. Metzig, ohnfern der Schindbruckhen, neben weÿl. Johann Weitzen deß handelßmanns Erben ein: und anderseit neb. Martin hörman dem Meelmann, vornen vffs Allmend, hind. vff den Vlmer Graben stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Joh. Bapt: und Weÿhenachten. j. lib. Zu Zinnß denen Johannitern Zum grünen Wörth alhie, Item von einem Gewölblin in den Vlmer graben herauß gehend 10. ß d alle Jahr vff weÿhenachten Allmendgelt gemeiner Statt, Item 4. fl. alle Jahr vff weÿhenachten lößig mit 100. fl. beÿdes Wehrung Mathæo Bachstadio dem Notario, so ist diß hauß auch noch verhafftet umb 3063 guld. fünff pfenning à 15. batz. Felicitatis und Susannæ Träserin, deß Verkäuffers Stieffdöchtern restirend. Mütterlich. Guts, so Er d. Verkäuffer ad dies vitæ widembßweiß Zu geniß. hatt, weiters umb 59. fl. 7. ß 9 d der Käufferin selbst. auch für restiert Mütterlich Gut, Ferners umb 400 Guld. in zweÿen verschiedenen Capitalien, deren eines vff d 24. Januarÿ und daß and. vff d. 4. Februarÿ alle Jahr mit 5. p. Ct° verzinßt (…) hannß Carl Beüchel dem lederhändlern, Mehr umb 100 fl. alle Jahr vff d. 28. augusti Zu verzinnß. und vff begehren wid. Zue bezahlen H Paul Hellwig groß Rhats Verwanth. Vnd dann umb 100. fl. Jme dem Käuffer selbst. – umb 412. guld.

Originaire d’Obenheim, le cordonnier Laurent Voltz épouse Marthe Neher en 1623
Mariage, cathédrale (luth. p. 149)
1623. Dominica Cantate d. 11. Maÿ. Lorentz Voltz von obenheim der schuchmacher, vnd J. Martha Gabriel Näher des Schuchmachers tochter, eingesegnet montag d. 19. Maÿ (i 79)

Laurent Voltz devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1623, 4° Livre de bourgeoisie f° 55
Lorentz Voltz Von obenheim der schuster empfangt d. Burgerrecht Von Martha Gabriel Meyers deß schusters Tochter vnd Ist beÿ den Schumachern Zünfftig Signatum den 27. Maÿ Aô & 1623.

Laurent Voltz est candidat au poste de sergent des Quinze en 1652
1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
(f° 263-v) Sambstag den 20. 9.bris – Lorentz Voltz vmb XV Knecht dienst
Lorentz Voltz der Schuemacher supplication vmb den vacirenden Fünffzehen Knecht dienst. Erkandt, soll sich gehörigen orthen geschrieben geben.

Laurent Voltz et Marthe Neher vendent la maison au cordonnier Jean Jacques Frœreisen qui cède un mois plus tard ses droits au cordonnier Antoine Eisser

1647 (13. sept.), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 538
(Prot. fol. 190) Erschienen Lorentz Voltz der Schuhmacher und Martha Näherin sein eheliche haußfraw, mit beÿstand Gabriel Nähers deß Schuhmachers ihres resp: Schwager und Bruders
haben in gegensein hannß Jacob Fröreißens deß Schuhmachers mit beÿstand hannß Jacob Walters deß Schuhmachers seines Stieffvatters wie auch H Hannß Wörners alten groß. Rhats Verwanthens seines noch ohnentledigten Vogts und H Mathæi Hellbeckhß genannt Behem EE groß. Rhats ietzig. Beÿsitzers
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhie gegen der alten Metzig hienüber ohnfern der Schindbruckhen neben Weÿl. H. Johann Weitzen deß handelßmanns seel: Erben ein und anderseit neben Martin Hörmann dem Meelmann hind. vff den Vlbergraben stoßend gelegen, davon gehnd iahrs j. lib. vff Joh: und Weÿhenachten dem Stifft St. Johann, Item 10. ß Allmendgeldt von einem Gewölblin in den Vlbergraben gerauß gebawen gemeiner Statt vff Weÿhenachten, Item 4. fl. Straßb. Wehr. Vff erstgemeldt. Weÿhenachten H Mathæo Bachstadio dem Notario, So ist diße Behaußung auch noch verhafftet umb 263. fl. 5 d. à 15. batzen Felicitati und Susannæ denen Träserischen Schwestern, Item umb 400. fl. à 15. batz. Ursulæ Hämmerlerin weÿl. H Hannß Philipß Breuningß seel. wittibin, Item umb 100. fl. à 15. batz. H. Paul Hellwig. groß. Rhatswerwanth., Item umb 100. fl. à 15. batz. weÿl. Jacob Schlachtmanns deß Schuhmachers seel. Söhnen deren Vogt Alexand. Röhmer der Schuhmacher ist, Vnd dann umb 100. fl. à 15. batz. H Jacob Spielmann dem handelßmann, sonsten ledig und eigen, Vnd were dißer Verkauff und Kauff geschehen umb 1350. fl. ieden deren zu 15. batzen, nach Abzug aber der Beschwährden so da thun (…) 1128. fl.
[in margine :] Erschienen hannß Jacob Fröreiß. der Käuffer, mit beÿstand Hannß Jacob Walters seines Stieff Vatters H hannß Wörners seines noch ohnentledigten Vogts und H Mathæi Hellbeckhß, alle hierinn gemeldt, hatt in gegensein Anthoni Eÿßers deß Schuhmachers, mit beÿstand Tobiæ Kruckhfueß deß Liechtermachers und Alexand. Röhmers deß Schuhmachers bekannt, daß Er demselben habenden hierinn beschriebenen Kauff, umb den hierinn bebembßt Kauffschilling abgetretten (…) Actum d. 30. 8.br. a° 1647.

Fils du cordonnier Jean Frœreisen, Jean Jacques Frœreisen épouse en décembre 1647 Susanne, fille du cordonnier Georges Schœner
Mariage, cathédrale (luth. f° 513)
1647. Domin. 1. Adventus. Hans Jacob Fröreißen der Schuhmacher, Hanß Fröreißen deß gewesenen Schuhmachers vnd burgers allhie ehelich. Sohn, vnd Jfr. Susanna Georg Schöner, des geweßenen Schuhmachers vndt Burgers alhie eheliche tochter. Im Münster, Mont. 6. Decembr (i 261)

Originaire de Vienne, le cordonnier Antoine Eisser achète le 13 juin 1642 le droit de bourgeoisie à l’ancien tarif par faveur particulière
1642, 3° Livre de bourgeoisie p. 893
Antoni Eißer Von Wien der Schumacher erkaufft daß Burgerrecht auß sonderbahre begnadigung vmb den alten Burger schilling der Acht goldgulden, ist ledigen stands gewesen vnd würd zu den Schumachern dienen, J. den 13.ten Junÿ 1642.

Antoine Eisser obtient des Quinze une dispense pour faire son chef d’œuvre bien qu’il manque quinze jours à la durée de son travail au service d’un maître. Il devra en compensation attendre quinze jours avant de pouvoir engager un compagnon ou un apprenti
1642, Protocole des Quinze (2 R 65)
(f° 110) Sambstag den 30. Aprilis. – Anthoni Eißer Ca. Schuemacher
Anthoni Eißer Schueknecht per Eggen Ca. Schuemacher Meisterschafft producirt Unterthänig. Anruffen pro dispensation, daß Meisterstückh vfzunehmen, Dr. Knaff. wegen Meisterschafft sagt Es mangle Supplicanten ii. wochen an der allhier verseßenen Zeit stelt die dispens: Zu Mh. Erkandt Würd Implorant. Willfahret, doch soll Er nach u nach verfertigtem Stuck ii wochen ohne fürderung gesindts vnd Jungen Arbeit.

Antoine Eisser, dit le Viennois en 1653, fait baptiser les enfants issus de sa femme Elisabeth (dite Eitzler en 1653).
Baptême, cathédrale (luth. f° 257-v) 1645. den 20. Eiusdem [Julÿ] Par. Anthonius Eiser d. Schumach. Elisabeth. Inf. Anna Catharina (i 263)
Baptême, cathédrale (luth. f° 467-v) 1653. Dom. XV. Trin. d. 18. 7.br. Anthoni Eiser, der Wiener genandt, d. Schuchmach. beÿ d. Metzig. Elisabetha Eitzlerin. H. M. Wetzel Bicht. – Anna Barbara (i 473
Autres Margaretha (1647, i 307), Anna Maria (1650 i 379), Anna Elisabetha (1651, i 428), (1656 i 22)

Antoine Eisser meurt le 17 avril 1669, sa femme Elisabeth le 26 juillet suivant
Sépulture, cathédrale (luth. f° 42-v)
1669. Aprilis. d. 17. Antonius Eiser, Schuhmacher (i 45)

Sépulture, cathédrale (luth. f° 43-v)
1669. Julius. d. 26. Elisabeth, Antonÿ Eisers, Schuhmachers W. (i 46)

Les créanciers d’Antoine Eisser vendent la maison au barbier Conrad Simon, avec l’autorisation des Conseillers et des Vingt-et-Un puisqu’il n’est pas bourgeois.

1670 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 376
(Prot. fol. 14. fac. 2 – 675 lb.) Erschienen hannß Georg Schrimpff der Schuhmacher ahn Weÿl. Anthoni Eÿsers deß Schuhmachers seel. Creditoren Außschuß mit assistentz d. Ehrenvest- Fürsichtig- weÿsen H Johann Walters E.E. Groß. Rhats alten Beÿsitzers und H Augustin Güntzers beeder alß aus E. E. Kleinen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, wie auch deß Edel- hochgelehrten H Johann Philipß Kasten V.I.D. und wohlgedachts Rhats Actuarÿ & Referentis hat
in gegensein Conrad Simons deß Barbierers Schirms Verwanthens alhie (verkaufft) vff vnserer gnädig Herren Rhät und XXI. heütig. tags ertheilten obrigkeitlich Consens
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie geg. der groß. Metzig hienüber, anderseit neben H Sebastiano Schmid SS. Theol. Doct. & Profess. primario auch EE Kirchen Convents Præsidi, anderseit neben Martin Hermann dem Meelmann, hinden uff den Vlmergraben stoßend gelegen, davon gehen iährlichen termino Martini 10. ß Allmend zinnß gemeiner Statt, Item j. lib. halb vff Joh. Bapt: halb vff weÿhenachten dem Ordens hauß St. Johann, Item so seÿe solche Behaußung auch noch umb 170. lb Nicolao Hämmerlin, Sibner Gerichts Procuratoris, Item umb 25. lib. Johann Örtel Med. stud. Item umb 25. lib. H Mr. Philipß Örtel Pfarrern Zu Gockhsweÿler, Item umb 25. lib. weÿl. H. Hieronÿmi Kraußen seel. wittibin und Erben hypothecirt, sonsten für geg. männiglich ohnanspruchig vnd were solcher Verkauff und Kauff über dieße Beschwerden, daran der Käuffer gewiß. word. istn welche Er auch übernohmen (…) zugangen umb 400. lib

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent les créanciers d’Antoine Eisser à vendre la maison au barbier Conrad Simon
1670, Conseillers et XXI (1 R 153)
(p. 190) Sambst. d. 25.ten Junÿ aô 1670 – Hannß Conrad Simon
Anthoni Eÿser gewesten Schumacher Vndt burgers alhier creditores bitten per Reüßern vmb Obrigkeitlich erlaubnus, deßen beÿ der Großen Metzig Alhier stehende behaußung Ahn Conrad Simon dem balbierer Verkaufft Zu dörffen. Erk. Willfahrt. H XV Ansorg, Et H Rheinthaler.

Le compagnon barbier Jean Conrad Simon engage le 12 février 1670 une procédure contre la maîtrise des barbiers. Les documents qu’il produit attestent qu’il a fait régulièrement son apprentissage et qu’il travaille depuis cinq ans à Strasbourg, soit onze années de pratique au total. La maîtrise des barbiers objecte qu’il aurait dû s’inscrire deux ans plus tôt pour pouvoir présenter son chef d’œuvre, que la ville cherche à diminuer le nombre de barbiers et qu’il peut toujours confectionner des perruques. Quant à sa faute (n’avoir pas ettendu son mariage pour le consommer), il ne peut s’en prendre qu’à lui-même. Jean Conrad Simon objecte notamment qu’il est impossible de gagner sa vie en ne faisant que des perruques. La commission relève les arguments en faveur du requérant (il pratique son métier depuis onze ans, le médecin Sebitius est satisfait de son travail, il a corrigé sa faute en se mariant, il n’est pas possible de gagner sa vie en faisant des perruques, sa femme est souffrante) et en sa défaveur (sa demande est contraire au règlement, les barbiers sont trop nombreux, les dispenses sont de préférence accordées à des fils de bourgeois, la dispense ne serait d’aucun effet s’il ne devient pas bourgeois). Elle propose de renvoyer l’affaire au moment où le requérant aura obtenu le droit de bourgeoisie.
1670, Protocole des Quinze (2 R 87)
(f° 15) Sambstags den 12. Februarÿ – Johann Conrad Simon per Reüßnern, Ca. Barbierer Meisterschafft, producirt vnd.th. Supplication, Dr Bitsch nom. cit. pittet communic. vnd Zeit der Ordn. obtin.

(f° 24) Sambstags den 26. Februarÿ – Barbierer Meisterschafft ca. Joh: Conrad Simon
Barbierer Meisterschafft per Dr.Bitschen Ca. Johann Conrad Simon, restituirt deßen Supplication 12.ten huius, vnd producirt gegen bericht vnd pitten Reußner nom. cit. pittet communication vnd Zeit 14. tag. obt.

(f° 29) Sambstags den 12. Martÿ – Joh: Conrad Simon Babierer Gesell vnd Reüßneren Ca. die Barbierer Meisterschafft, restituiren communic. Barbar produciren Schlußbericht, Dr. Bitschen nom: cit: pittet communication vnd Zeit d. o. obt.

(f° 35-v) Freÿtags den 25. Martÿ – Barbierer Meisterschafft ca. Joh: Conrad Simon
Barbierer Meisterschafft per Dr.Bitschen Ca. Johann Conrad Simon, restituirt Schlußbericht, vnd producirt gegen Schlußbericht, Reußner nom. cit. pittet besichtigung vnd ad prox., obtinuit.

(f° 47) Sambstags den 9. Aprilis – Joh: Conrad Simon Ca. Barbierer Meister.
Joh: Conrad Simon der Babierer Gesell Ca. Barbierer Meisterschafft, per Reüßneren, deren gegenschlußschrifft widerspricht er per g.lia, bezihet sich, was den letzteren Punct. betrifft, vff einige der Mitmeister, so in gleichen stand gewesen, beschleußt Vnd setzts. Dr. Bitsch, nom: Cit: die haben Vorderist diser allegirten exempel, ein vnd anderen concernirend, mitzuentgelten, pitten nechst erhohlung Ihrer Schrifften, auß Mghh mittel Herren Zu eröffnung dero angelegenheit abzuordnen, setzens gleichergestalt, Reüßner pittet vmb gedeÿlich: vnd fürderlichen außschlag. Erkand, Vor beschloßen angenommen, vnd so nötig anzuhören, verrichtens herr Bernegger vnd H Ansorg.

(f° 49-v) Freÿtags den 15. Aprilis – Joh: Conrad Simon Ca. Barbierer Meisterschafft
Herr Bernegger vnd Herr Ansorg lassen per herrn Negelin die Sach Conrad Simon des Babierer Gesellens Ca. Barbierer Meisterschafft, nach deme die Herren die schrifften gar nacher haus genommen referiren, beederseits fundamenta darinnen Zu bestehen, wan Clagend Simon einwendt, Haben sein Kunst crafft Lehrbrieff redlich erlernt, darauff gewandert, bereits 5. Jahr alhie servirt, Elff gantze Jahr beÿ dem handwerck gewesen, Könne sih wegen begangenen fehlers nirgend heüßlich niederlaßen dan hie, vnd weil die Meisterschafft mit ihme nicht dispensiren wolle, so pittet er alhier drumb.
Die Meisterschafft berichtet hierauff, Es seÿe des petitum dispensationis wider articul, vermög deßen 29. mues sich einer angeben vnd darauff 2. Jahr gesellen weis serviren Supplicant aber, habe sich allererst vor wenig wochen angeben. Sollen lauth 14. und 18. Articuls nur 20. Barbierstuben sein, vnd so lang kein frembder Zugelaßen werden, bis es vff berierte Summ gebracht, nun seind würcklich noch 32.
Seind Viel Meisters: vnd burgers Söhn in der frembde, welche solchergestaldt außgeschloßen würden, Seÿe einer Namens Paul Georg, der warte vff dießes præjudicum, wolle auch eines hiesigen burgers dochter heürathen, alß dan auch einkommen. Könne Supplicant mit Peruquen machen in einem jahr mehr, dann ein Barbierer In ettliche, Verdienen. Ahn dem begangenen fehler seÿe er selbsten schuldig, deßwegen keines mitleidens würdig. Zu dem will die burger ordtnung de A° 1668. daß die Töchter, welche sich von frembden fällen laßen, das burgerrecht verlieren. Pitten demnach manutenentz vnd Supplicanten das begehren abzuschlagen.
Ille replicirt, der 29.te Articul seÿe niemahlen observirt worden, laße sich auch nicht practiciren, dan die Meister dem Examinando, In der 2. Jährigen Zeit durch allerhand fastidien den lust Zum burgerrecht wohlvertriben werden, vnd wehre auch der Articul Von Anzahl der Barbiererstuben bis [f° 50-v] dato nicht so stricte observirt worden, Verhoff man werde den anfang nicht beÿ Ihme machen, die burgers Söhne In der frembde werden Ihr glück wan sie solang, alß er gewandert, auch finden, der gesell dauon sie oben meldung gethan, seÿe bereits von hier verzogen, das Peruquen machen belangend, seÿe solches ein accidens, vnd nichts beständigs, beruht vff der mode. Ob er fähig Zum burgerrecht, gehe die Meisterschafft nicht ahn, stehe beÿ E. E. Rat, daselbst er sich, soviel dem geburts brieff vnd einbringend vermögen betrifft, genugsambs zu legitimiren getrawet.
E. E. Meisterschafft beziehet sich in Ihrer Gegenschlus schrifft vff den 14. vnd 18.t articul, daß man aber bis dato ahn keinem den anfang mach. wollen, seÿe oben Ihr Clag vnd sein langes wanderen, kein motiv zue dispensation, daß ob dem 29.t articul da ein Examinandus, nach dem Er sich angeben, 2. Jahr hier müese gedient haben, nicht beßer sein gehalten werden, ist wid. Ihren wunsch und willen geschehen, Zu dem hinder Ihne sein fall, weilen keiner In solchem fall begriffen, and.swo und Ehrlichen Meisteren gedultet würd, allegiren Exempla, erhohlen priora, supplicant dergleichen verwundt sich dabeÿ, daß die Meisterschafft [f° 51] Ihme seinen fall verwürfft, da doch vnd. denselben sich auch finden, die in gleichem Spithal Kranck ligen. Quæritur, ob zu dispensiren od. nicht ? Vnd militiren pro affirmativa folgende rationes 1) Weilen der Implorant schon 11 Jahr beÿ den handwerck, daßelbe wohl erkant, In deme er Jüngst beÿ einer Section Im Spithal, Crafft Dr Sebitÿ außsag, wohl bestanden, 2) Ist Ihme sein fall, and.stwoh vnd. zukommen, hinderlich, 3) Hatt er sein begangenen fahler, per subsequens Matrimonium vmb etwas corigirt, 4) Kan er sich mit peruquen machen allein nicht ernehren, darff nur einer auß Franckreich komen, der sie beßer nach der mode vnd wohlfeÿler macht, habe er nichts mehr zuverdienen, 5) Ist sein Frau auch vmb etwas Zu consideriren, welche In einem schlechten stand begriffen.
Pro negativa, daß das petitum der Barbierer Articul 14. 18 vnd 19. schnur strack Zu wid. 2) daß handwerck übersetzt, 3) Burgers Söhn in casu dispensationis Vor frembden, doch cæteris paribus, zu consideriren, 4) Würde die dispensation supplicanten gantz vnnützlich sein, wan er nicht vorher des burgerrechtens Versichert sein könte. Halten derowegen die Herren Deputirte ohnmaßgeblich davor, dem Supplicanten wehre Volgender Vor bescheid Zuertheillen.
(Erkandtnus) In Sachen Johann Conrad Simon des Babierer Gesellens, Imploranten Eines, Entgegen vnd wider E. E. Meisterschafft der Barbierer vnd wundt Ärtzt alhie, Antwortere anderen theils, Ist allem so mündt: so schrifftlich gethanen Vor: vnd anbringen vnd ervolgten beschluß nach, mit Urthel Zu Recht Erkandt, wan Implorant, daß er beÿ E. E. Grosen Rath, vor ein Burger vff vnd angenommen Zuvorderst bescheinen würd, Soll alß dan vff anderwertig. ansuch. pt° dispensationis, ferner ergehen was Recht sein würd, Compensatis expensis.
Erkand, würd der bedacht Zusambt der Vorbescheid gevolgt.

Originaire d’Altdorf près de Nuremberg, Jean Conrad Simon qui est chirurgien à l’hôpital est autorisé à épouser Marie Madeleine Pfeffinger à Ostwald pour cause de consommation prématurée.
1669 Conseillers et XXI (1 R 152)
(f° 409) Montag d. 25. Octobris aô 1669. – Hanß Conrad Simon
Hanß Conrad Simon Von Altorf beÿ Nürnberg, Balbierer im Spithal alhier, bittet per Wilden, Weilen derselbe sich mit Maria Magdalena Pfeffingerin in früzeitigen beÿschlaff begeben daß Sie beede ohne proclamation Zu Illwickersheim sich copuliren laßen möchten. Erk. Willfahrt – H XV Friderici & H. Jfr Würtz

Originaire d’Altorf, le barbier Jean Conrad Simon acquiert le droit de bourgeoise par sa femme Marie Madeleine, fille du receveur de l’hôpital Frédéric Pfeffinger
1670, 4° Livre de bourgeoisie p. 382
H Johann Conrad Simon, der Barbierer Von Alttorff, empfangt daß burgerrecht Von seiner Haußfrauen Maria Magdalena, H. Friderich Pfeffingers Schaffners inn dem Spittal alhie ehelichen dochter, umb 8. Gold fl. so beÿ der Cantzleÿ erlegt seindt. ist zuuor ledigen standts geweßen, und Will beÿ E.E. Zunfft Zur Lucernen dienen. Jurav. den 21. 9.bris 1° 1670.

Les Quinze accordent le 3 juin 1670 la dispense à Jean Conrad Simon, notamment à cause de ses compétences reconnues. La maladie d’un des examinateurs retarde l’examen. Le rapport du 5 novembre établit que le candidat a brillamment réussi son examen.
1670, Protocole des Quinze (2 R 87)
(f° 65) Sambstag den 28. Maÿ – Joh: Conrad Simon der Barbierergesell per Reüßneren, Sub paritione Jüngster interlocutori ahm 15.ten Aprilis Jüngsthin, producirt E.E. Rathsbescheid, pt° burger Rechtens, pittet dispensando g. zu willfahren. Erkand, weil die Raths ordnung nit so sehr wider Ihn, er underdeßen die nothwendige requisita hatt, können Vorige Herren deliberiren, wie weit mit Ihme zu dispensiren.

(f° 66-v) Freÿtags den 3. Junÿ – Joh: Conrad Simon Ca. Barbierer Meisterschafft
Herr Ansorg vndt Herr Bernegger lassen In der Sach Joh: Conrad Simon Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer per me referiren, Nach deme beÿ E. E. Rath den 28.ten Maÿ Jüngsthien, P° des burgerrechtens, der bescheid vor dem Imploranten gefallen vnd darahn nicht mehr anzustehen, deßwegen Er auch eben selbigen tags gleich darauff supra fol. 65. beÿ Mghh einkommen, vnd dispensando vmb das Examen gebetten, daß E. E. Meisterschafft alß Sie solches vernomen, sobald mit einem hochgemüeßigten gegen bericht vnd pitten, so mit vorwißen des Juncker XV. Meisters ad Acta registrirt vndt Vornemlichen begehrt worden, den Imploranten, weilen es den hiesigen Meistern Vnd den Ihrigen In dem König Reich grosen nachtheil vnd verschimpffung causiren möchte, ad examen nicht komen Zue laßen, Sintemahl da deßen einiger Zweiffel sein solte, Sie sich erbieten, daßelbe ferner Monatsfrist, glaubwürdig Zubescheinen, damit aber das gantze geschäfft wid. gleichsamb erfrischt, vnd Mgh. repræsentirt werde, Ist supra fol: 49. die Völlige relation abgeleßen, vnd in den herren Deputirten darvor gehalten worden, daß ohngehindert weiteren einstrewens, Simon wohl das Examen Zulaßen wehre, weil er 1° sein Straff außgestand. 2° heürathet eines burgers tochter, 3° bringt seine Mittel In die Ehe, 4° Verstehet er sein handwerck wohl, vnd hat In dem Spithal mehr gethan dan sein Meister, daß 5° die herren Pfleger gern sehen, wan Ihme mit manier kan geholffen werden. In waß Zeit aber, vnd ob Ihme ein werckstatt Zuzulaßen wehre, refusis Expensis, Mghh allein Zu überlaßen, nach Volgender Urthel.
Erkandt, weilen von dem frühen Beÿschlaff kein articul, Sondern dergleichen brüeder nochmehr Vorhanden, die Meisterschafft, ob Sie fundirt, Ihr Vorgeben mit der beschimpfung In dem Reich längsten beÿbringen sollen, alß welche sonsten in passibus utilibus, die Articul selbsten gebrochen, seÿe das Examen durch die Urthel Zu Zulaßen, Vnd der Bedacht gevolgt, doch also, wan beriertes examen Vollendet, das die Meister mit dem sonst gewohnlichen auspruch, wie Sie den Imploranten befunden, einzuhalten, bis Mghh. deßen gehorsambst berichtet werden.
(Erkandtnus) In Sachen Johann Conrad Simon des Babierer gesellens, Imploranten Eines, Entgegen vnd wider E. E. Meisterschafft der Barbierer vnd Wund Ärtzte, Antwortere Anderen theils, Ist auff producirten E. E. Raths bescheid pt° burgerrechtens den 28° Maÿ Jüngsthien ergangen, der Antwortere so genanten hochgemüßigten Gegenberichtts vnd nachgebrachten bittens ohngehindert, endlich bekandt, daß Implorant dispensando ad examen vnd Zu Verfertigung des Meisterstücks nunmehr Zulaßen seÿe, refusis expesis [in margine:] publ. den 4. Junius

(f° 137) Sambstag den 5. 9.bris. – Johann Conrad Simon würd Meister
Herr XV. Ansorg, alß obman beÿ der Barbierer Examinatoren, that bericht, daß sich mit Johann Conrad Simon Meisterstück der Ursachen solang Verzogen, Weil H. Dr Saltzmans Unpaßlichkeit die meiste Ursach wahr, Er seÿe aber dieser tagen beÿ dem Examine durch allerhand vorgelegte fragen, nit allein länger dan andere vffgehalten Worden, Sondern auch mit dem Pflaster Kochen vnd Antworten sehr wohl bestanden, daß Ihme die Herren Doctores deßwegen ein rühmlich guet Zeugnis mitgetheilt, Stünde Jetzmahls allein dahien, waß ihme vor bescheid Zu ertheilen. Erkand, würd Simon vff dieße relation vor einen Meister hiemit declarirt vnd erclärt.

Jean Conrad Simon demande l’autorisation d’acheter une boutique de barbier. Les Conseillers et les Vingt-et-Un lui demandent de prendre patience.
(f° 156) Sambstags den 7. Januarÿ (1671) – Joh: Conrad Simon der Barbierer per Reüßnern, producirt vndh. Supplication, mit beÿl. N° 1, Pittet Ihme dispensando barbier stub Zuerkaufen. Erkand, Zur geduld gewießen.

Jean Conrad Simon et Marie Madeleine Pfeffinger font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Les apports du mari s’élèvent à 1042 livres, ceux de la femme à 326 livres.

1671 (4.8.), Not. Reeb (Nicolas, 44 Not 2) n° 251
Inventarium über die Jenige Haab und Nahrung, So der Ehrenvest, vnd Kunsterfahrne Herr Johann Conrad Simon der Barbierer und Wund Artzt, vnd die Ehren: und tugendsame frauw Maria Magdalena Pfeffingerin, beede Eheleuth, und burgere Alhie Zu Straßburg Einander für Unverändert in die Ehe Zugebracht, auffgerichtet in Anno 1671. (…) sie Maria Magdalena Pfeffingerin aber mit hulff vndt Zuthun des Achtbar vndt bescheidenen Herrn Johann Jacob Fröreisen des Krämers oder Schuhmachers vnd burgers alhier ihres Gevattern (…) Angefangen oder beschehen Freÿtags den 4. Augusti Inn des Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Anno 1771.

Inn Einer in der Statt Straßburg Gegen der grosen Metzig über gelegenen vnnd hieunden Eingetragenen, deù Mann für unverändert gehörigen behausung befunden worden wie volgt.
Vff der obern Bühn, Vor dieser Cammer, Inn der ober Barracken Stub, Vor dießer Stuben, Inn der Cammer A, In der Cammer B, In der mittlern Wohnstuben, In der mittlern Hauß öhren, Inn der vndern Barbier stuben
Sa. Haußrath M 31, F 124. Silbergeschmeid M 27, F 34, Guldener Ring M 4, F 17, Werckzeug Zum Barbierer Handwerck M 10, Baarschafft M 500, F 150
Eÿgenthumb Ahne Einer Behaußung So der mann für unverändert in die Ehe gebracht. Item hauß, hoff vnnd hoffestatt mit allen andern ihrn gebeuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden vnnd gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg, gegen der großen Metzig vber, Einseith neben weÿland herren Adam Spooren geweßenen vornehmen specereÿhändlers, vnd burgers alhie Zu Straßburg seelig hinderpliebener Frauw Wittib und Erben, Anderseiths theÿls ein Eckh, theÿls aber neben Martin Hermann dem Meelman, hinden vff den vlmer graben stoßend, darvon gohnd Jährlichen vff Martini der Statt Zinßmeisters Zehen schilling pfenning Allmend gelt, Item Ein pfund pfenning Jährlichen halb vff Johannis Baptistæ vnnd halb vff Weÿhenachten, Erblehens Zinß den Johanniter herren Zum Grünen wördt, ferner Süben Pfundt Zehen schilling pfenning Herrn Johann Joachim Sartor dem Goldtschmidt Vndt burgers Alhie, Jährlichen vff Michaelis So in restirendem hauptguth Von Vnnd Ahne 170 Pfund pfenning herrührend, welche Zuuorn Herrn Nicolao Hemmerlin verzinßt worden, Abzulößen mit 150 Pfund pfenning, Sonsten freÿ ledig vnd Eÿgen, Vnnd über vorgemelte beschwerden hiehero Angeschlagen für 420. lb Darüber sagt ein teutscher Pergamenin Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg Anhangendem Contract Insigel verwahrt, Datirt den 25.ten Junÿ Anno 1670. und Signirt mit N° 1
Eigenthum ane einer behaußung M 420, Activ Schulden 49, Summa summarum M 1042 lb, F 326 lb

Les Quinze autorisent Jean Conrad Simon à ouvrir une boutique de barbier près du Pont Neuf après la mort du barbier Bernard Georg.
1671, Protocole des Quinze (2 R 88)
(f° 26-v) Sambstag den 18. Februarÿ – Johann Conrad Simon der Barbierer per Reüßnern, producirt nochmahlige unterthänige supplication, weilen Bernhard Georgius Gott ergeben vnd sein barbierstub nechst der Newen bruck Jetzmahls Zuegehet, Ihme g. Zuerlauben, daß er dagegen sein Barbierstub öffnen vnd sich beßer nehren möge. Erkandt, auß Vielen Vrsachen willfahrt.

Jean Conrad Simon vend la maison au revendeur Jacques Frantz moyennant 1000 livres. La vente passée en 1678 prouve qu’elle a été résolue

1676 (25. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 369-v
(prot. fol. 37) Erschienen Johann Conrad Simon der Barbierer
hat in gegensein Jacob Frantzen deß Grempen, mit beÿstand Jacob Bleÿfuß deß Jüngern Spenglers (verkaufft)
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier gegen der großen Metzig hinüber, einseit neben Herrn Sebastian Schmidten S.S. Theol. Doct. et Profess. primario auch E. E. Kirchen Convents Præsidi, anderseit neben Georg Hermann dem Meelmann hinden uff den Ulmer Graben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen term. Martini 10. ß Allmend zinnß gemeiner Statt, Item I. lb. halb uff Joh. Bapt: halb uff weÿhnachten dem Ordens hauß Zu St. Johann alhie – umb 1000 Pfund pfenning

L’inventaire non conservé des biens de Jean Conrad Simon et de sa femme Marie Madeleine Pfeffinger est dressé en 1694 après leur mort
1694, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45) f° 8
Inv. über weÿl. Herrn Joh: Conrad Simons gewesenen Chyrurgi und Fr. Maria Magdalena geb. Pfeffingerin beeder Eheleuth Verlassenschafft samt der Abteilung und Verkauff Reg.

Le chirurgien Jean Conrad Simon meurt en 1694 à l’âge de 53 ans. Son fils Jean Gaspard Simon signe l’acte de sépulture.
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 58-v, n° 43)
1694. Sonnt. den 25. Julÿ st. n. 1694 starb H Johann Conrad Simon, wundartzt und Barbierer alhier a. Burger seines alters 53. jahr 4 Monath und 2 woch. und ist Dienst. den 27. dito nach gehaltener leichenpredigt beÿ St. Niclaus auff den Gottesacker St. Galli begraben worden, [unterzeichnet] Johann Caspar Simon alls Sohn, Stephann Amberger ohlman Alß Vogt (i 63)

Jean Conrad Simon vend la maison au revendeur Jean Philippe Ferber moyennant 850 livres

1678 (9. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 703-v
(prot. fol. 70.) Erschienen Johann Conrad Simon der barbierer
hat in gegensein Hannß Philipps Ferbers deß Grempen und Annæ Catharinæ beÿder Eheleuth (verkaufft)
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier gegen der Großen Metzig hinüber, einseit neben herren Sebastian Schmidten S.S. Theol. Doct. et Profess. Primario auch E.E. Kirchen Convents Præsidi, anderseit neben hannß Georg Hermann dem Mehlmann, hinden uff den Vlmer Graben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen term. Martini 10. ß Allmend Zinnß gemeiner Statt, Item j. lb habe uff Joh. Bapt: halb uff weÿhenachten dem Ordens hauß Zu St. Johann alhier, sonsten seÿe d erwehnte behaußung gegen männiglichen ohnansprüchig. Vnd were solcher Verkauff vnd Kauff /:über dieße beÿde Zinnß, daran die Kauffende Eheleuth gewießen worden seindt, welche Sie auch übernohmen (…):/ Zugangen umb 850. lb.

Jean Philippe Ferber et sa femme Anne Catherine hypothèquent la maison trois jours plus tard au profit du préteur Henri Balthasar de Kippenheim

1678 (12. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 708
Hannß Philipp Ferber der Gremp und Anna Catharina beÿde Eheleuth, und Zwar Sie Anna Catharina insonderheit mit beÿstand Christoph Eberle deß Schuhmachers und Christoph Müllers deß Schneiders beÿder alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein Herrn Johann Jacob Böhlers Notarÿ, im Nahmen deß Freÿ Reichß hochwohlgebornen Herrn Heinrich Balthasar Von Kippenheim dießer Statt alten Stättmaÿsters – schuldig seÿen 400. lb
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen Zugehördten Rechen und Gerechtigkeiten alhier gegen der Großen Metzig hinüber, einseit neben herrn Sebastian Schmidten S.S. Theol. Doct. et Profess. Primario, anderseit neben Hannß Georg Hermann dem Mehlmann hinden uff den Ulmergraben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen term. Martini 10. ß Allmendzinnß der Statt Straßburg, Item 1. lb d halb uff Joh. Bapt: und halb uff weÿhenacht. dem Ordens hauß Zu St. Johann alhier

Fils du mousquetaire Jérémie Ferber, le cordonnier Jean Philippe Ferber épouse en 1674 Anne Catherine, veuve du revendeur Nicolas Debus : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia d. Eheberedung – Zwisch. den Ehrenhafft. Johann Philipps Ferbern, dem Ledig. Schuhmach. des Ehrengeachten undt Mannhafft. Jeremiæ Ferbers, Mußquetierers hißig. Quarnison und. Hn. Capitain Frandi compagnie ehelichen Sohns, als dem Brautigamb an einem, So dann d. Ehrn: undt tugendsahmen frawen Annæ Catharinæ Eberlin, weÿl. des Ehrenhafft. Niclaus Debß. gewes. Gremp. undt burgers Zu Straßburg seelig. hind.laß.er wittwen, als d. hochzeith.in and.n theils (…) Gescheh. undt verhandelt in Straßburg Donnerstag d. 7. des Monats Maÿ Inn dem Jahr des Herrn als man Zahlte 1674, [unterzeichnet] Johann Philippus Ferber bekenne wie obsteht als hochzeither, Im Nahmen Jeremiæ Ferbers des hochzeiters vatters so Schreibens ohnerfahren, Joh: Jacob Schatz Notarius publ. der hochzeiterin vogt, Simon Wilborn barbierer vnd Wundartz d. Kind. vogt

Mariage, cathédrale (luth. f° 78-v, n° 25)
1674. Dom : Jubilate. Zum 2. mahl Johann Philipp Ferber der Schumacher Jeremiæ Ferbers, Muusquetirers unter alhiesiger garnison ehel. Sohn, Anna Catharina Weiland Niclauß Debus geweßenen Grempen u. Burgers alhier nachgelaß: Wittib. Donnerstags den 21.ten Maÿ, Münster (i 181)

Jean Philippe Ferber devient bourgeois par sa femme Anne Catherine quatre semaines après son mariage. Il s’inscrit à la tribu de la Mauresse.
1674, 4° Livre de bourgeoisie p. 413
Hannß Philip Ferber der Gremp empfangt das burger Recht von Anna Catharina weÿl. Niclauß Debes des Grempen seel. wittib pro 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hat, ist Zuvor ledigen standts geweßen, und will auff E. E. Zunfft der Morin dienen Jur. d. 17. Junÿ 1674.

Nicolas Debus épouse en 1662 Anne Catherine, fille du cordonnier Christophe Eberlé
Mariage, cathédrale (luth. f° 17)
1662. Dom: L.ma den 9.ten Febr: Zum 2 mahl Niclaus Debuß der Gremp Weiland Michel Debuß geweßener Würths Zu S* vndt Bürgers alhier hinterlaß. ehel. Sohn, Jfr. Anna Catharina, Christoff Eberles Schumachers vndt Bürgers alhie ehel. Tochter. Montags den 17.ten Febr: Maurst. Münster, hinderschreiberstub (i 18)

Nicolas Debus et Anne Catherine Eberlé font dresser l’inventaire de leurs apports
1662 (9.3.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 1) n° (40)
Beschreibung deß Jenigen so Niclauß Debßen, dem Krempen alhie, und Annæ Catharinæ Eberlin, beeden Ehegemächden eÿgenthümblichen Zuständig, vnd dieselben in den Ehestand also ein unverändert gutt gebracht, welches der Ursachen, weilen in Ihr beeder Ehegemächt auffgerichten Eheberedung expressé Versehen, das die zubringende Nahrung, wafern solche bald nach d. hochzeit beschriben würd, einem Jedem ehegemächt und seinen Erben unverändert vnd vorbehalten sein solle (…) den 9.ten Martÿ 1662.

Anne Catherine Eberlé fait divers legs à ses enfants
1695 (3.5.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
Disposition inter liberos Frawen Annæ Catharinæ Eberlin Herrn Philipp Färbers, Grempen ehelicher Haußfrawen
1695. (…) auf dienstag den dritten Maÿ newen Calenders, morgens früh Zwischen sieben undt acht Uhren, in einer am Stephansplan gelegenen, Von Mir Notario bewohnenden dem Stifft frawen haußes zugehörigen behaußung, deroselben hindern: vnd Schreib Stuben in die Oleÿgaß, gegen einer Diaconat behausung nach St. Wilhelm gehörig, außsehendt, vor mir (…) Persönlich erschienen ist, die Ehren undt tugendsahme fraw Anna Catharina Eberlin, deß Ehrenhafften Herrn H. Philipp Färbers, Grempen, burgers alhier Zu Straßburg eheliche haußfraw, gesundt gehendt: undt stehendten leibs
(…) Weiters, weilen der Stadt an der Großen Metzig gelegen Ihro undt Ihren Kindern Von der Statt Pfenningthurn umb einen Jährlichen Zinß beständig Zugenißen und inn Lehnung Zuhaben verschrieben (…)
(Protholollum secundum, 1 AH 6295)

Elle fait de nouvelles dispositions le 10 mars 1696 alors qu’elle est malade. Elle lègue à son mari la jouissance viagère de la maison rue de l’Hôpital
1696 (13.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296) f° 192
Codicill Frawen Annæ Catharinæ Eberlin Herrn Philipp Färbers, Grempen ehelicher Haußfrawen
1696. (…) auf Sambstags den 10. Martÿ newen Calenders, nach mittag Zwischen Zwölff undt Ein Uhren, inn einer neben herrn Spooren dem Specierer gegen der Großen Metzig über gelegenen eÿgenthümblich gehörigen behaußung deroselben Zweÿten: undt Wohnstuben einer Steegen oder Gaden hoch auf die gaß außsehendt, die Ehren undt tugendsahme fraw Anna Catharina Eberlin, des Ehrenhafften Herrn H. Philipp Färbers, Grempen, burgers alhier Zu Straßburg eheliche haußfraw, krancken undt schwachen leins und dannenhero in einem beth sich enthaltendt
(…) Dienstags den 13. Martÿ Anno 1696 (…) daß Ihr Ehemann den lebtägigen genuß des Kellers inn der behaußung im Spitalgäßlein haben, undt seine Ihme ein quartirte Soldaten jederzeit so lang Er lebt, in genanter behausung genießen und einlogirt seÿn sollen
(…) Sambstags de, 17. Martÿ Anno 1696 (…) daß das Jenige, waß Ihrem Ehemann wegen genußes des Haußes im Spittelgäßlein (…) cassirt

Anne Catherine Eberlé meurt le 22 mars 1696 en délaissant trois enfants de son premier mariage et trois du second. Les experts estiment la maison à 420 livres. La masse propre au veuf est de 79 livres, celle propre aux héritiers de 234 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1786 livres, le passif à 107 livres.

1696 (4.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6167) n° 482
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jed. verändert undt unveränderter Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehren undt tugendsahme fraw Anna Catharina Eberlin, des Ehrenhafft. Herren Johann Philipp Färbers, Grempen burgers alhier Zu Straßburg gewes. eheliche haußfraw nunmehr seelige, nach ihrem d. 22. Martÿ Jüngsthien tödlich genommenen hienscheid. hind. Ihro v.laßen (…) welches bescheh. in Straßb. Mittw. d. 4. Aprill aô 1696.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaß. wie volgt. 1. d. Ehrsamen undt bescheid.en Andres Debeßen Schuhmach.n burg. alhier Zu Straßburg, so gegenwärtig, 2. Johann Friderich, so stumm undt taub, deß. geordnet undt geschworer Vogt d. Ehren vest vorgeachte Herr Johannes Dürninger, tuchbereiter undt alter dreÿ.d. Statt Stall, 3. die Ehrn: vndt tug.dtsahme Mariam Elisabetham, des Ehrenhafften Johann Philipp Heÿligs Kammachers burg.s Zu gerührtem Straßb. eheliche haußfraw, mit beÿstandt deßelb. dieße 3. in erst. Ehe mit dem Ehrenhafft. herrn Niclaus Debeß. gewes. Gremp. burg. alhier erzeügt.
4. Johann Philippen, ledigen Knöpffmacher gesellen, so anwesendt, 5. Jungfr. Annam Catharinam so geg.wärtig, 6. Johann Jacoben, dieße 3 letstere mit dem hind.laß.en wittiber in Zweÿter undt letst. Ehe erziehlt. d.en geordnet und geschworener Vogt d. Ehren geachte H Daniel Becker Gremp burg. alhier alle 6. d. verstorb. seel. inn Zwoen Eh. erzeugte hind.laß.er Kind. undt ab intestato erben
Copia der Eheberedung, Copia Dispositionis inter Liberos, Copia Codicilli undt Nach Dispositionis

Inn einer inn d. Statt Straßburg geg. d. groß. Metzig üb. gelegen: in diese Verlaßenschafft gehörig: hernach beschrib.en behaußung hatt sich befund. wie volgt
Hültzen: undt Schreinerwerck. Inn der Cammer A, Inn der Obern Stuben, Vor dießer Stub. Inn der Cammer B. Vor der Cammer B, Inn der Wohnstuben, Inn der Kuchen, Inn der Undern Stuben – Inn dem hauß im Spittalgäßl.
Eÿgenthumb ane Haüßern (E.) Item Hauß und Hoffstatt mit allen deßen gebäwen, begriffen, weiten, rechten Zugehörden und gerechtigkeit gelegen inn der Statt Straßb. ane dem Spittalgäßl. (…)
Item Hauß undt Hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten geleg. in d. Statt Str. geg. der grosen Metzig hinüber eins. neben herrn Sebastian Schmidten Sacro St Theol. Dris et Præsidis hind.las. Fr. Wittib and. s. neben Hanß Georg Hermann dem Meelmann, hinden uf den Ullbert Graben stoßdt geleg. davon gehen Jahrl. termino Martini 10. ß allmendt Zinß Gemeiner Statt Pfenningth. Item 1 lb d auf Joh. Bapt: u. h. auf weÿhenachten dem ordens hauß Zu St Johann alhier undt ist diese behaus. durch die herren Werckmeister æstimirt worden vor 420. lb, thut ab. d. Codicill nach 850 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit d. Statt Strb. Cancelleÿ Contractstub anhanged. Insiegel verwahrt de dato 9. Xbr. aô 1678.. Darüber besagt ferner ein teutsche Pergamentene Kauffverschreibung auch in allhießig. Cancel. Contractstub vfertiget u. mit dero anhangend. Insiegel verwahrt, dedato 25. Junÿ aô 1670.
Norma hujus Inventarÿ. Des wittibers ohnverändert eÿgenthumblich Vermögen, Sa. haußraths 4, Ergäntzung 75, Summa summarum 79 lb
Auff solches volgtt auch d. Erb. ohnverändert eigenthümliche Nahrung, Sa. haußraths 50, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Gold. Ring 3, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 250, Ergäntzung 31, Summa summarum 351 lb – Schuldt 117, Über abzug dieß. Schuld 234 lb
Endtlich. wirdt nun auch d. gemein v.ändt. undt theilbar guth beschrieb. Sa. haußraths 59, Schiff und geschirr zum Gremp. werck gehörig 12, Sa. d. Gremp wahren 236, Frücht. 4, wein undy lehre vaß 3, Silber geschirr und Geschmeid 31, Guldene Ring 7, baarschafft 534, Eigenthumb ane einer behaußung 850, Schuldt 14, Summa summarum 1786 lb – Schulden 107
Ergäntzung des wittibers abgegang.. ohnverändert. guthsn Auß dem Inventario (…) durch H Joh: Jacob Schatzen Notm publ. d. 5. Aug. 1674. auffgerichtet (…) von seinem Vatter weÿl. Jeremias Färbern gewes. Mußquetierer wehrend. Ehe ererbt
Copia d. Eheberedung (…) Gescheh. undt verhandelt in Straßburg Donnerstag d. 7. des Monats Maÿ Inn dem Jahr des Herrn als man Zahlte 1674,
die letzte wilen Stehen in mein Notarÿ Protocoll
Abschatzung freitags d. 30.ten Martzi 1696. Auff begehrn deß Ehrenhafften vnd beschaidnen herrn Johann phillipp Ferber Burger Vnd Gremppen behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ der Großen Metzig Ein Eckh, Ein seitzs Neben herr Johann Georg her Man dem Mell Mann, Ander seitzs Neben herrn Adolff sporen dem Wurtz Kremer hinden auff dem vtter graben Stoßent, Welche behaußung, Sampt aller dero begriff recht vnd gerechtigkeit, wie solches durch die geordnete werckh leithe in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß vnd Wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb, Acht hundert Vnd Viertzig Gulden
die Andere Behaußung auch alhier in der Statt Straßburg in den sp genandten spitall geßlein (…)
Bezeichnis der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawenwerckhs, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.

Jean Philippe Ferber se remarie en 1697 avec Anne Marie, veuve du marchand de bestiaux (ici marchand de vins) Christophe Milling. Un inventaire d’apports est dressé par le notaire André Schmidt (voir le Conseillers et les Vingt-et-Un en 1707).
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 75, n° 404)
1697. Mittw. d. 20. febr. wurd. nach Zweÿmahliger außruffung copulirt Johann Philipp Ferber, d. B. u. gremp allhier v. Fr. Anna Maria weil. Christoph Millings des geweßenen B. u. Weinhändlers allhie nachgelaß. Wittwe [unterzeichnet] Johannes Philipp ferber alß hoch Zeiter, p ist der Fr. Hochzeiterin Zeichen, M. Johann Adolph Färber pfarrer Zu Willstatt, Hans Jacob Schurer alß der Fraun hochzeitterin Vogt (i 74)

Christophe Milling épouse en 1694 Anne Marie Kirchner, fille de Paul Kirchner habitant de Bischoffsheim à la Haute Montée (Rheinbischofsheim en Bade)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 32, n° 16)
Mittwochs den 27. Oct. st. n. 1694 seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu St. Niclauß in Straßb. dahinn in dem hauß auff Erlaubniß gnädig. Hh. Räthe und XXI. copulirt und eingesegnet worden H. Christoph Milling, der Viehändler und Burger alhier, und Jfr. Anna Maria Kirchnerin, Pauli Kirchnerß, deß burgers Zu Bischoffsheim Zum Hohensteg eheliche Tochter, welche auch neben mit und nachgesetzten Zeugen unterschrieben haben [unterzeichnet] Christoph Milling alß hoch Zeiter, o ist das Zeicgen der Jfr Hochzeiterin (i 35)

Fille du laboureur Paul Kirchner de Bischoffsheim à la Haute Montée, Anne Marie Kirchner devient bourgeoise par son mari le jour de son mariage.
1694, 4° Livre de bourgeoisie p. 649
Anna Maria Kirchnerin, Von Bischen Zum Hohensteg, Paul Kirchners Ackersmanns daselbst Ehl. tochter, empfangt das Burgerrecht von Christoph Milling dem Viehhändler, ihrem Ehemann gratis, War zuvor ledig. standts und wird Zu E. E. Zunfft Zur Blumen dienen. Promis: d. 27. Dito [9.br.] 1694

Le cordonnier André Debès et le peignier Jean Philippe Heilig agissant au nom de sa femme Elisabeth Devès vendent leur part de maison à leur beau-père Jean Philippe Ferber

1697 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 34-v
Andres Debes der Schuhmacher für sich selbsten, und Johann Philipp Heÿlig der Strehlmacher alß Ehevogt Elisabethæ geb. Debeßin
in gegensein Johann Philipß Ferbers, deß Krempen respect. Ihres Stieffvatters und Steiff Schwähers, Er Heÿlig aber im Nahmen und mit belieben seiner haußfrau, welche auch selbst erscheinen und diese verschreibung signiren werde ([in margine :] d. 24. Januar. 1697 Erschienen ged. Elisabetha Debußin, hat diese verschreibung freÿ verlesen und ratificirt)
Zween Sechste theil von einem dritten theil für ohnvertheilt ane Hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehördt und gerechtigkeiten allhier gegen der großen Metzig über, einseit neben weil. Hn Sebastian Schneidern SS Theologiæ Doctoris, Profess. und deß Kirchen convents Præsidis sel. nachgelaßene Fr. Wittib, anderseit neben hans Georg Hermann dem Meelmann hinden auff den Ulmergraben stoßend gelegen, von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 10 schilling Allmendgeld der Statt Pfenningthurn, Item Ein pfund pfenning zinß halb auf Johannis Baptistæ halb auff weihnacht. dem Ordenshauß zu St Johann allhier, auch ein völliger dritte theil dieser behaußung Ihme Kaüffern von seil. Fr. Annæ Catharinæ geb. Eberlin seiner haußfr. vermacht, darund. auch die ietz verkauffte antheil gehörig, ein and. Sechsten theil aber Johann Friderich Debes seinem stummen Stieffsohn und die übrige dreÿ Sechste deß 1/3. völlig. theil seinen eÿgenen mit ged. Anna Catharina erzielht. und nachgelaßenen Kind. gehörig – zumahlen die andere Zween dritte theil d. gantzen behaußung Ihnen Kaüffern vorhien eÿgenthümlich zuständig – alßo das dominum cum usufructum consolidirten – 56 Pfund

Jean Frédéric Debès qui est muet vend à son tour sa part à Jean Philippe Ferber

1697 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 275
H. Johann Dürninger, der Tuchscherer, alß Vogt Joh: Friderich Debes so Stumm
in gegensein Johann Philipp Färbers des Krempen, ihme Färbern als ged. Debes Stieffvattern
Einen Sechsten theil Von einem drittel für ohnvertheilt an Hauß und Hoffstatt mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeit, allhier gegen der großen Metzig über, einseit neben weÿl. H. Sebastian Schmiden SS. Theol. Doct. Profes. Und des Kirchen Convents Præsidis seel. nachgelaßener Fr. Wittib, anderseit neben Hans Georg Herrmann, dem Meelmann, hind. auff den Ulmergraben stoßend gelegen, Von welcher gantzen Behaußung gehen Jährlich 10 ß d Allmend geld der Statt Pfenningthurn, Item 1 lb d Zinnß halb auff Joh. Bapt: halb auff weihnachten dem ordens hauß zu St Johann allhier, so seÿe auch ein Völliger dritte theil dieser behaußung Ihme Kaüffern von weÿl. Anna Catharina geb. Eberlin seiner Haußfr. seel. ad dies vitæ widemsweiß zu genießen Vermacht darunder auch der ietz Verkauffte antheil gehörig – umb, zumahlen die andere zween dritte theil der gantzen behaußung und d. sechste theil an obged. drittel ihme Kaüffern Vorhien eigenthümlich zuständig – umb 28 pfund

Jean Philippe Ferber et Anne Marie Kirchner hypothèquent cinq sixièmes de la maison au profit au docteur en médecine Marc Mappus.

1700 (29.4.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 262
Johann Philipß Färber der Kremp und Anna Maria geb. Kirchnerin mit beÿstand H. M. Johann Michael Rebhans, Und Hn Johann Georg Stechers, beed. E:E: kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein herrn Marci Mappi, Medicinæ Doctoris & Professoris – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, Fünff Sechste theÿl für ohnvertheilt an Einer behaußung, Und hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, Recht. und Zugehördt. allhier geg. der großen Metzig über, einseit neben weÿl. H. Sebastian Schmids SS Theol. Doctor. Professoris und des Kirch. Convents Præsidis sel. nachgelaßener Fr. Wittib anderseit neben Hans Georg Herrmann, dem Mehlmann hinden auff den Ulmergraben, stoßend geleg. von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 10 ß d allmend geld der Statt Pfenningthurn, Item 1 lb zinß halb auff Johannis Baptistæ, halb auff weihnacht. dem Ordendshauß zu St Johann allhier – umb 150 Capital verhafftet, der übrige Sechste theÿl aber sein deß debitoris Kind. erster Ehe eÿgenthümlich gehörig

Jean Philippe Ferber hypothèque la maison au profit du cordonnier Daniel Braun

1701 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 378
Johann Philipß Färber der Kremp
in gegensein Daniel Braun deß Schuhmachers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, Recht. Und Zugehördt. allhier geg. d. großen Metzig, einseit neben weÿl. H. Sebastian Schmiden SS. Theol. Doctor. Profes. et Practic. sel. hind.laßener wittib, and.seit neb. hans Georg Hermann dem Mehlmann, hind. auff d. Ulmergrab. stoßend geleg., darvon gehend jährlich termino Martini 10 ß d Allmend zinß Gemeiner Statt, It. 1 lb d halb auf Johannis Baptistæ halb auff weihnacht. den Ordenshauß zu St Johann allhier
[in margine :] hierinn bemelter Braun der Creditor hat in gegensein Johann Jacob Wagners deß grempen alß nunmahligen proprietarÿ hierinn benambsten Hauses, (Quittung) den 19. Julÿ 1714

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1705 (21.4.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 378-v
Joh: Philipp Ferber gremp [unterzeichnet] Johannes Philippus ferber
in gegensein Daniel Braunen schuem: – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, seine behaußung Cum appertinentiis allhier gegen der Großen metzig einseit neben dem Sporischen Hauß anderseit ist ein Eck hinten auf (-) Herrmann melmann stoßend gelegen

Jean Philippe Ferber hypothèque la maison au profit de la tribu de la Mauresse. En marge, quittance remise en 1707 à Jean Jacques Wagner

1705 (10. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 966-v
Joh: Philipp Ferber Gremp
in gegensein Hn Joh: Philipp Bernhards Handelsmanns u. H. Joh: Reinhard Langen Not. publ. beede resp: alß Zunft meÿster u. Zunft schreiber E.E. Zunft der Möhrin hierzu ihrer außsag nach mündlich Vom gesambten collegio der Herren Schöffen daßelbst bevollmächtiget – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, seiner behaußung Cum appert: allhier einseit neben H. Joh: Adam Spooren handelsmann anderseit neben Georg Herrmann meelmann hinten auf den Ulmergraben stoßend gelegen
[in margine :] quittung, in gegensein Johann Jacob Wagner Schreiners als ietzmahlig. proprietarÿ hierinn verpfändeten Haußes, den 12. apr. 1707

Jean Philippe Ferber hypothèque la maison au profit de l’aubergiste au Paysan bleu Daniel Schweigheusser

1706 (28.8), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 627
Joh. Philipp ferber Gremp
in gegensein Daniel Schweickhaüßers würths zuem Blauen Bauren – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, seine behaußung cum appert: allhier gegen der Großen metzig, einseit neben dem Sporischen Hauß anderseit neben hanns Georg Herrmann meelhändlers hinten auf den Ulmergraben stoßend
[in margine :] cassirt den 22. mart. 1707

Jean Philippe Ferber sollicite auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un que sa femme qui a des accès de démence depuis son accouchement sept ans auparavant soit admise à l’hôpital. Son état s’est amélioré après qu’elle a été enchaînée. Jean Philippe Ferber produit le certificat médical que l’assemblée lui a demandé. Le préteur royal n’est pas favorable à l’admission. La commission rapporte le 7 mars que le mari est disposé à acheter pour sa femme une pension moyenne (mittlere Pfrund) à l’Hôpital, que la maison déjà exiguë pour le commerce est inappropriée pour y trouver une pièce traquille comme le propose le préteur royal. Les voisins déclarent en outre qu’il y a danger d’incendie puisque le femme peut transporter du feu lors de ses accès de démence. Le préteur royal réitère ses objections, il estime que les soins seront meilleurs à domicile et qu’une guérison serait possible. L’assemblée adopte l’avis du préteur royal.
1707, Conseillers et XXI (1 R 190)
(f° 29) Sambstags den 19.ten Februarÿ 1707 – Johann Philipp Ferber pt° receptionis seiner Frawen Annæ Mariæ Kirchnerin in den Spittahl
K. Ersch. Johann Philipp Ferber burger vnd Kremp allhier prod. unterthänig hochagelegenes flehentliches Memo: vndt bitten, daß mghhen geruhen wolten Annam Mariam gebohrne Kirchnerin seine ietzmahlige haußfr. welche vor vngefähr 7 Jahre durch eine gehabte Unglückliche Kindtbett gantz unrichtig worden dergestalt. daß mann Sie eine geraume Zeit anketten habe legen müßen, nachgehents zwar wurdte in etwas zü recht gebracht worden, sich aber anietzo würcklich neuwe Indicia ihre Vorthäten daß es nicht recht vmb Sie stehe, vndt Sie wohl gar noch ein unglück es seÿe beÿ Ihme im hauß oder in der nachbarschafft anstellen möchte:/ zu männiglichs sicherheit in allhiesigen mehrern hospital auff vndt in die mittlere pfrundt so Er Ihne zu kauffen gesinnet anzunehmen.
Erk. würdte Implorant sein Vorgeben per attestatum Medicum bescheinen, solle darauffhien ferner ergehen was recht ist. – H. XV Reineri vndt H. Rathh. Heckher.

(f° 32) Montags den 21.ten Februarÿ 1707 – Johann Philipp Ferber, wegen auffnahm seiner Fr. in den Spittahl
K. Ersch. Johann Philipp Ferber burg. vndt Kremp allhier pt° uxoris Zur Unterthänigen parition des am 19.ten huius ergangenen bescheidts, producirt attestatum Medicum vnd bittet wie damahlen
H. prætor Regius meldet, es hätte Zwar der Implorant durch producirung des abgeleßenen attestati medici parirt, doch findte Er nicht, daß mghhn so leichter dingen Ihme in seinem begehren willfahren könten, Indeme Ein Jeder Ehemann sein weib sowohl in kranckhen als gesundten tagen so viel möglich Zuverpfegen verbunden were, vndt vermeine Er, es werdte vor allen dingen einige auß Mghhen Mittell die commission auff Zu tragen seÿn, Ihme Imploranten Zu Zusprechen seine haußfr. im hauß Zu verpflegen, vndt wann Er sich nicht solte darzu verstehen wolle, Zu unter suchen, ob Er genungsame Mittell habe selbige Zu versorgen wie auch ob Er nicht ein bequemeres Zimmer in seinem hauß habe, worinnen selbige sicher vndt ohne gefahr männiglichen verwahret werden könte, welchesfals Sie beßer verpflegt werden könte, auch weÿllen Sie nur per Intervalla roßendt wird ehenster zu Ihrer geneßung kommen würdte, als wann Sie ins dollhauß solte gebracht werden, solte Er aber kein bequemes Zimmer im hauß vnd nicht genugsame mittell haben, Sie Zuverpflegenn daß als dann auff der Hh Deputirten relation ferner ergehen solle was recht ist. Erk. Hn prætori regio gevolgt, H. XV.er Reineri vndt H. Rathh. Heckher.

(f° 43) Montags den 7.ten Martÿ 1707 – Relation der Herren Deputirten wegen Johann Philipp Ferbers deß Krempen haußfr. pt° receptionis in den Spittahl
H. XV.er Reineri vndt H. Rathh. Heckher referiren, es were Johann Philipp Ferber burger vndt Kremp allhier den 21. Februarÿ jüngst beÿ mghhn supplicando eingekommen, daß denselben belieben möchte, seine haußfr als welche vor verschiedenen Jahren hero gantz blödthäuptig were in allhießiges hospital gegen dem unterthänigen erbiethen die mittlere Pfrundt daselbsten Vor sie zu erkauffen gnädigst auffzunehmen, worauff Mghh. dahien interloquirt hätten daß Sie sich Zuforderist erkundtigen vndt untersuchen solten ob des Imploranten mittel sufficient weren seine haußfrauw Zu verpflegen, vndt ob Er in seiner behaußung nicht ein bequeleres Zimmer habe, worinnen Er selbige sicher vndt ohne gefahr seiner vndt der nachbaren verwahren könte, dießem interlocuto Zu gehorsamer volge hätten Sie sich in gedachten Imploranten behaußung begeben, in welcher sich zwar verschiedene Zimmer befündten, allein es were selbige kaum sufficient Zu deß Imploranten vacation vndt handtierung auch hätte H. Rathh. Spoor als nachbar versichert, daß wann des Imploranten haußfraw weÿllen Sie gar gefahrlich mit dem feuer umbgienge in dem hauß verbleiben solte die Creditores solche angreiffen würdten wo durch nicht nur allein der Fr: sondern auch die Kindter Mghh. erbarmung anheim fallen dörffen, dahien gegen wann Mghh. Sie in den hospital auffnehmen wolten, Er der Implorant bis in 600 fl. Zu erkauffung Ihrer Pfrundt zu handten bringen würde, die mittel betreffent, so weren selbige wie auß dem von Hn Notario Schmidt darüber gezogenen Summarischen Calculo zu sehen sehr gering vndt belauffen sich nicht über 245 lb so mehrentheils der frauwen gehöreten das geschäfft im übrigen Mghhrn überlaßendt.
(Votum H Prætoris Regÿ) H. prætor Regius meldet, es were Ein Jeder Ehemann wie schon Jüngsthien erinnert worden, seine haußfrauw so wohl in kranckhen als gesundten tagen Zu erhalten schuldig, vndt Weÿllen noch darzu kämme, daß des imploranten haußfrauw, wie auß dem attestato Medico zu ersehen:/ nur intervalla dementiæ habe, wovon Sie wann Sie in einem burgerlichen hauß würdte verpflegt werdten annoch Curirt werden könte, dahiengegen wann Sie in allhießiges hospital auffgenommen werdten solte, Sie in das dollhauß als worinnen Sie nimmermehr Zu Ihrer gesundheit gelangen Würde, gebracht werden müste, weÿllen wann Sie die freÿheit in dem hospital herumb Zu gehen haben solte, mann so wohl wegen des feuers als übrigen *heÿlen in beständiger gefahr seÿn würdte, Wes wegen Er darvor gehalten habe, daß der implorant noch Zur Zeit mit seinem begehren abzuweißen vndt anzuhalten were, seine haußfrauw entweders in seinem oder in seinem andern burgerlichen hauß zu verpflegen, vndt damit solches desto beßer geschehen möge, daß derselbe denen Hh. pflegeren Zu St. Marx vmb eine wochentliche beÿsteur recommendirt werdten solte.
Erk. Hrn prætori Regio in allen puncten gevolgt.

Jean Philippe Ferber meurt d’enflure le 21 février 1723 à l’âge de 75 ans. Son fils André et son gendre Jean Jacques Wagner signent l’acte de sépulture.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1716-1731, n° 12)
1723. Sonnt. d. 21. febr. Nachmittags Zwisch. 3. v. 4. Uhr ist an großer geschwulst gestorben u. Dienst. darauff beÿ Gehaltener Leich Pr. auff dem Gottesacker S. Helenen begraben word. Joh: Philipp Färbern gewesener b. v. fastenspeishändler alhier, seines alters 75. Jahr v. 20. Tag [unterzeichnet] Andres Ferber als sohn, Johann Jacob wagner als dochterman (i 81)

Jean Philippe Ferber vend la maison à (son gendre) Jean Jacques Wagner et à Anne Catherine Ferber moyennant 1 300 livres

1707 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 340
(1300) Joh: Philipp Färber Gremp
in gegensein Joh: Jacob Wagers schreiners u. Annæ Cath: geb. Färberin
hauß u. hoffstatt mit allen & allhier gegen der großen Metzig über, einseit neben H Joh: Adam Spoor handelsmann, anderseit neben Joh: Georg Herrmann meelmann hinten auf den Ulmergraben stoßend, darvon gehen jährlichen 10 ß d ane allmend geld dem Pfthr, Item 1 lb zinß halb auf Joh. Bapt: halb auf weÿhn: dem ordenshauß St Johann – (um 175, 300, 150 und 75 pfund verhafftet, geschehen um 600 pfund)

Jean Jacques Wagner s’adresse aux Quinze après que la maîtrise des Menuisiers a refusé de l’inscrire au chef d’œuvre. Fils du pasteur de Waltenheim, il a commencé son apprentissage en 1684, fait son tour de compagnon pendant sept ans puis est revenu à Strasbourg où il a travaillé pendant deux ans chez son ancien maître Jean Georges Hildebrand et un an chez Frédéric Ring, mais a omis de s’inscrire aux années d’épreuve. Il demande aussi dans un premier temps de ne faire que la moitié du bahut pour son chef d’œuvre puisque l’objet passé de mode est invendable. La maîtrise fait ses objections habituelles. Le préteur royal évoque diverses raisons qui empêcheraient les compagnons de s’inscrire aux années d’épreuve. Il relève que le pétitionnaire a travaillé assez longtemps à Strasbourg. La dispense lui est donc accordée. Quant aux meubles que le candidat doit fabriquer, il propose de modifier le sujet de l’examen pour qu’il corresponde à l’usage comme dans d’autres métiers.
1697, Protocole des Quinze (2 R 101)
(f° 125-v) Sambstags den 27. Aprilis – Hannß Jacob Wagner Ca. E. E. Mstrschfft d. Schreiner
Hannß Jacob Wagner d. ledige Schreiner Von Wildenh. hochgräffl. Hanauisch. herrschafft, per Gollen u. Künast, cit. per sched. E.E. Mstrschfft d. Schreiner, plis. will d. Meisterstück auffnehmen, darzu er aber, weilen er sich hiebevor nicht einschreiben lassen, jedoch d. einschreibgeld würcklich erlegt, ex adverso nicht admittirt werden will, bitt dießes orths gn. dispensation als der sonsten hier erlernt, und die Zeit hier verarbeithet et nemine comparente setzt manns auff den Ladungs Zedul.
Nuntius refert, daß er dem Ober meister inn Mundt verkündt habe, Soll beÿ geld gebotten werden.

(f° 132) Sambstags den 4. Maÿ – Hannß Jacob Wagner Ca. E. E. Mstrschfft d. Schreiner
Hannß Jacob Wagner d. ledige Schreiner, per Gollen Jun: u. Künast, cit. E.E. Mstrschfft d. Schreiner Obermeister, Hartwig Grieße, erhohlt recess vnd petitum vom 27. April. jüngst weg. Meisterstück so biß dato inn einem großen Kosten bestanden, solchen gleichfalls auß einem halben Zu setzen, D. Goll weilen es ebenfalls wid. Ordnung, als bitt man Wie Vor [bitt desweg. zu mehrern bericht Deputation], Goll mog Deputation wohl leiden, und setzte. Erl. Wie vor [gebettene Deputation willfahrt, Obere Handwercks herren]

(f° 136) Freÿtags den 10. Maÿ – Johann Schard und Hannß Jacob Wagner die Schreiner gesellen Ca. E. E. Mstrschfft d. Schreiner pt° Meisterstücks
Obere Handwercks herren alssen per Hrn Schragen referiren, daß Zweÿ Ledige Schreiner gesellen geklagt, daß E. E. Meisterschafft d. Schreiner sie Nicht Zu Verfertigung des Meisterstücks lassen wollen, weilen sie die Zeit alhie nicht verarbeitet, anbeÿ gebetten, Nicht nur hierinnen Zu dispensiren, sondern Auch gn. zu vergönnen, daß die ane statt eines gantzen Kastens nur einen halben machen dörffen. Der eine Von den Imploranten heiße Johann Schard, von Baßel gebürtig, da mann angestanden, Ob mann ihn annehmen Könne, Weilen er als ein reformirter Vermuthlich die nöthige Mittel Zu erhaltung des Burgerrechts Nicht haben wird, allein Nachdeme mann gehörd, daß er auff d. Wanderschafft die religion geändert, und die Catholische angenommen habe, so seÿe dießen dubium gefallen, In dem übrigen habe er Schard, berichtet, daß er 3. jahr lang als von A° 1683 biß 1686. alhier beÿ Meister Heinrich Kauffer gelernt, Nachghents sich hinaus begeben, und inn Teutschland, Ungarn, (…)
Hannß Jacob Wagner /:deßen Vatter ein Pfarrh. Zu Waltenheim hanawischer herrschafft ist:/ belangend, so habe er beditten, daß er in a° 1684. Zum handwerck gekommen, 3. jahr gelernt, 7. jahr inn d. Fremden Zugebracht, und, wann gleich er sich Nicht einschreiben laßen, er dennoch seither seiner Zurück kunfft beÿ Hannß Georg Hildebrand, seinem Lehr meister Zweÿ jahr, und beÿ Friderich Ringen ein jahr geschafft habe, über dießes ihme Nicht Wißend, geweßen seÿe, daß mann sich einschreiben laßen müßte, Anbeÿ sich auff erstgedachten Friderich Ringen, so sich auch nicht einschreiben laßen, bezogen, allein habe die Meisterschafft replicirt, daß Ring eines burgers Kind seÿ, und die Unwißenheit ihn nicht entschuldig. können, Weilen die articul alle vier wochen abgeleßen werden, und daß wann dießen beeden supplicanten jnn ihrem begehren gratificirt würden, jnn Kurtzem Noch 3. od. 4. sich anmelden, und gleichförmiges begehren würden, welches ihme, alß geseßenen alten burger, die viel gelitten, Nicht wenig zu schaffen gebe, mit angehenckter bitt, auff die gantze Meisterschafft Zu sehen, Und da Mghh. 1° Zu dispensiren gedachten, ihnen ein solches quantum anzusetzen, daß andere einzukommen sich scheuden, Auff welches hie die bede Imploranten Von der Verfertigung des halben Kastens abstrahirt, bevorab, da sie gehörd, daß derjenigen so jüngst den halben Kasten machen wollen, auch einen gantzen Zu machen sich resoluirt habe, Ob aber MGhh wegen des einschreibens dispensiren, und pro dispensatione einem jeden 4. 5. do 6. Rthrt ansetzen wollen, wolle man Vernehmen.
Herr Prætor Regius sagt, es seÿen so viel Er vernehme, Umb 3.leÿ dispensationen Zu thun, 1. Wegen des einschreibens, 2. wegen d. Zeit, Und 3. Wegen des Meisterstücks. Betreffend d. einschreiben, so wiße er Nicht, ob bißher stricté darob gehalten worden, od. ob es daher komme, daß die gesellen es Nicht wüßten, od. ob es Viel Koste ? jedoch halte Er dafür, daß der Meisterschafft an die hard Zu geben seÿn würde, daß künfftighin sie die gesellen wegen des einschreibens Zu erinnrern, beÿ den jetzigen supplicanten aber sie ihre excusation Anzunehmen hätten, pt° d. Zeit, so habe es beÿ Wagnern Keiner dispensation Nöthig, weilen er etlich jahr seith der Wanderschafft hier gearbeithet, den andern aber könte man dahin anhalten (…)
Belangend d. Meisterstück, so seÿe schohn Vielfältig davon geredt worden, daß die handwercker die Meisterstück auff Nutzlichere stück richten sollen, und, Weilen d. Schreiner gantzer Kasten Nicht mehr abgehet, auch dabeÿ Viel größen Kösten als beÿ einem halben Kasten erfordert werden, so vermeine Er, daß der Schreiner Meisterschafft Zu remosntriren seÿn werd. daß sie Wied. sich selbsten were, Und man dem Meisterstück Keinen abtrag thun wolte, sondern es inn ein mehrers Auffnehmen Zu bring. suchte, Wie beÿ anderen Handwercken, als Uhrenmacher, schuhmacher && auch geschehen, Was die architectur betrifft, so were Zu wünschen, daß diejenigen handwercker, denen solches Zu wißen Nöthig, sich mehr darauff leÿden, der Schreiner architectur bestehe allein darinnen, daß die Seulen recht auff einander gehen, Und, wann sie dießes wissen, so seÿe ihr gantze architectur außstudirt, und müße es ein elender pfuscher seÿn, der ein solches nicht machen Könne. Wegen des nicht geschehener einschreibung stelle Er dahin, obmann pro dispensatione einem jedem 3. lib. d. ansetzen wolle. Erk. gefolgt.

Jean Jacques Wagner épouse Anne Catherine Ferber le 29 juillet 1699
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 100, n° 502)
1699. Mittw. d. 29. Julii seind nach ordentl. pclamat. copulirt word. Johann Jacob Wagner der ledige schreiner H. Joh: Jacob Wagners pfarrers Zu Waldenheim hochgr. Hanauisch. Herrsch. ehel. Sohn, und Jfr. Anna Catharina Johann Philipp Ferbers B. vnd Krempen allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Wagner Als hochzeiter, Anna Cathrina Ferbrin alß hochzeitern (i 99)

Il devient bourgeois par sa femme le 23 novembre suivant.
1697, 3° Livre de bourgeoisie p. 1196
Joh: Jacob Wagner, der ledige schreiner Von waldenheim Gräffl. Hanaw: Herrschafft H: Joh: Jacob Wagners Pfarrers daselbst Ehl. sohn, empfangt das Burgerrecht gratis, ist noch ledigen standts und wird beÿ E: E: Zunfft der Zimmerleuth dienen, d. 23. Dito [9.bris] 1697

Anne Catherine Ferber meurt en 1722 en délaissant cinq enfants de son mari Jean Jacques Wagner devenu marchand de fruits et légumes. Les experts estiment la maison à 375 livres. La masse propre au veuf est de 51 livres, celle propre aux héritiers de 305 livres. L’actif de la communauté s’élève à 265 livres, le passif à 784 livres.

1722 (21. 7.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 14) n° 481
Inventarium über Weÿland der Ehren tugendsahmen Frauen Annæ Catharinæ gebohrner Färberin Hn Johann Jacob Wagners des fastenspeishändlers und burgers allhier Zu Straßburg geweste ehel. haußfrau nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1722. – nach ihrem am 12.ten Augusti Jüngsthien genommenen tödlichen hintritt, hie Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßb. den 21.ten 7.bris Anno 1722.
Die verstorbene seel. hab ab intestato Zu Kindern u. Erben verlaßen wie folgt. 1. Fr. Annam Mariam Hn Johann Geörg Rauschers des Nestlers u. burgers allhier ehel. haußfrau beÿständl. deßelben, So dann 2. 3. 4. & 5. Jungfer Mariam Salomeam, Mariam Elisabetham, Catharinam Dorotheam, Annam Catharinam, Aller 5. Wagnere so die verstorbene frau seel. mit vorher vermeltem ihrem hinterbliebenem wittwer ehel. erziehlt und ab intestato zu gleichen portionen und antheÿlern Zu Erben verlaßen, der 4. Jüngeren töchtere geschworner Vogt ist Hn Johann Philipp Färber der Kremp u. burger allhier welcher dem geschäfft in Persohn abgewartet
Copia der Eheberedung – Copia Codicill Reciproci

In einer allhier zu Straßburg gegen der großen metzig über, gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und deßwegen hernach fol: (-) beschriebener behaußung folgender maßen befunden
Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, In der Wohnstuben, Im Hausöhren
(f° 7) Wahren wie auch schiff und geschirr Zum Fastenspeishandel gehörig
(f° 7-v) Ergäntzung der Erben abgangen ohnveränderter Nahrung, Nach ausweiß droben allegirten Inventarium illatorum de Anno 1699
(f° 9) Eigenthumb ane einer behaußung so Theilbahr. Ein hauß u. hoffstatt mit allen gebäuen begriffen weithen, Zugehördten rechten und gerechtigkeiten allhier gegen der grosen metzig über gelegen 1.s. neben H Johann Michael Wolffen dem handelslann 2.s. neben H Joh: Martin Albrecht dem Meelmann hinten uff den Ulmer graben stoßendt, davon gehen Jährlichen 10 ß allment geld dem Pfenningthurn macht Zu toppeltem Capital 20. lb. Item 1. lb d ohnablösigen Zinnßes dem ortenshauß St Johann gleichfalls Zu doppeltem Capital gerechnet 40 lb. d. Und ist dieße behaußung nich ferner verhafftet Johann Friderich Debus umb 175. lb d. Sonsten freÿ ledig u. eigen und ist dieße behaußung von denen geschwornen Hn Werckmeistern crafft dero Abschatzung vom 29. Aug. 1722. über obige beschwehrden æstimirt u. angeschlagen umb 140. lb. Über dieße behaußung besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßb. Cancelleÿ Contract Insigel verwahret u. datirt den 29. Martÿ Anno 1707.
Haußrath W 10, E 63, T 64, Silber E 2, T 14, Goldene Ring E 2, T 7
Des Wittibers ohnverändert Vermögen – Schulden 80 lb, Conferendo 51 lb
Dießmnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Ergäntzung 156, Schuld 80, Summa summarum 305 lb
So wird auch das gemein und Theÿlbahre Guth beschrieben, Wahren 37, Summa summarum 265 lb – Schulden 784 lb Übertreffen die gantze Activ Massam umb 519 lb
(f° 11) Ergäntzung des Wittibers abgangen ohnveränderten Vermögens, Nach ausweis Inventarÿ so weÿl. Hn Andreas Schmid geweßener Nots publ. und burger alhier (…) Zugebrachte Nahrung underm 4. Augusti Anno 1699
Abschatzung d. 29.t Aug: aô 1722: Auff begehren, deß Ehren hafften, vnd bescheÿdenen, H. Joh: Jacob wagnern fastenspeißhändler, ist Eine, behaußung, alhier in der Statt Straßburg, Ein Eckh hauß beÿ der großen Metzig über, gelegen, Ein seÿth, Neben, H: Joh: Michäll Wolff, handells Mann, Ander seith, Neben, Martin Albrecht, Mell Man, Welche behaußung, bestehet, Vnder Einen halben tach, hoff statt, Stuben, Kammern, hauß Ehren, darin Ein Härt, vnd wasserstein, Einem Gädtell, Neben Ein hauß Ehren, darin Ein bauch Gössel, Sampt Aller Ihrern Gerechtig Keÿth wie solches durch der Statt Straßburg, geschwohr werckh Leüthen, in der besichtigung, befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Nach, angeschlagen wirt, Vor, vndt, umb Süben Hundert vnd Fünffzüg Gulten, Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohrene Werckh Leüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Le menuisier Jean Jacques Wagner devient marchand de fruits et légumes, voir plus haut les Préposés au bâtiment (1710).
Les Quinze autorisent le marchand de fruits et légumes à vendre de la couleur bleue jusqu’à la fin de sa vie en s’appuyant sur la permission accordée en 1711 à Nicolas Ellès. Les Quinze publient une expédition de leur sentence.

1728, Protocole des Quinze (2 R 134)
(p. 250) Sambstag d. 2. Junÿ 1728. – Moss. nôe Joh: Jacob Wagners burgers und Fastenspeishändlers prod. uth. Mem. pt° blawer Farb verkauffs. Erk.(Ob. Kauffh. Hh.)

(p. 272) Sambstag d. 24. Julÿ 1728. – Johann Jacob Wagner Ca. E. E. Zunfft zum Spiegel pt° erlaubnuß blaue Farb zu verkauffen
Obere Kauffhauß herren laßen per me referiren, daß Johann Jacob Wagner der Burger und fastenspeishändler alhier den 3. hujus durch ein übergebenes Unterthäniges Memoriale gehorsambste ansuchung gethan, ihme gnädig Zu erlauben, blawe Farb Zu Verkauffen in ansehung 1. Mgh. in A° 1711 Ellesen dem Fastenspeishändler gleiche permission gegönnet, 2.do Es eine Land[-], 3.tens er solche Farb umb 5. batzen also wohlfeÿler [als] andere geben wolte, und dann 4.to weilen H J[acob] Dürnnger dem Specirer der nahe beÿ Inme w[ohne] gnädig erlaubt worden Liechter Zu machen, dard[urch] er, Implorant großen abgang in seiner Nahrung habe. Mghh hätten Zu untersuchung dießer [Sach] die wohl erordnete Ober Kauffhauß Herren abge[hört], anbeÿ aber auch erkandt, daß E E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfftmeister auch hierüber gehöret [werden] solle.
Beÿ beseßener Deputation habe der [-] dieses sehr urgirt, daß er ehedeßen den große[theil] seiner Nahrung beÿ dem Liechtermanchen n[-] gefund. seith deme aber H. Dürninger sein [Nachbar] auch Liechter verkauffe, gehe Ihme ein groß[-] wobeÿ er petitum wiedehohlet, Herr Louis [-] [p. 273] Zunfftmeister beÿ E. E. Zunfft Zu Spiegel habe es Zu Mgh gestelt, undt beÿgesucht derselbe würden nicht wider ordnung sprechen, was nun das allegirte præjudicum anlange, so gebe Mgh Protocoll de A° 1711 maaß deß Elleßen dem damahligen Fastenspeishändler erlaubt worden, nebst anderen auch blaue Farb Zu verkauffen, und war damahl das Motiv, weilen etliche Specirer auch Liechter verkauffen. Es stehe aber Zu Mgh. was sie erkennen wollen. Erkandt wird dem Imploranten ex speciali gratia erlaubt, aber nur für seine persohn, und so lang er lebet blawe Farb zu Verkauffen.

(p. 275) Sambstag den 14. Aug. 1728. – [-]n nôe E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfft Meister bitt g. Comm. des durch Joh: Jacob Wagner erhaltenen bescheidts. Erk. willfahrt.

(p. 276) Obere Kauffhauß herren laßen per me referiren, Es seÿe Comm. nachgesetzten bescheidts Von E. E. Zunfft Zum Spiegel Zunfftmeister begehrt und willfahrt worden.
(Bescheid). Sambstag d. 24. Julÿ 1728. In Sachen Johann Jacob Wagners des Burgers und Fastenspeishändler alhier, Imploranten, ane einem, entgegen undt wieder E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfft Meister, Imploraten, am andern theil, Auff eingelegtes Und. Memoriale dahin gehend, Ihme, Imploranten Zu erlauben blawe Farb Zu Verkauffen, gedachten Hr Zunfftmeisters beÿ erkandter vndt beseßener Deput. wieder dieses begehren angehörtes einwenden, undt übriges beederseithiges Vor: und Anbringen Ist Vnseren Deputirten Hren abgelegten Relation nach erkandt, wird dem Imploranten ex speciali gratia erlaubt, für seine persohn allein, und so lang er lebet blawe Farb zu Verkauffen.
Zu Mgh. stellend, Ob Sie dießen Auffsatz genehmigen und daß derselbe in dießer form expedirt undt dem Imploranten Zugestellt werde solle, erkennen wollen, Erk. Quoadsic.

Jean Jacques Wagner hypothèque au profit du diacre Jean Jacques Heus sa part de maison dont le surplus appartient à ses trois enfants survivants.

1730 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 552-v
Johann Jacob Wagner Fastenspeishändler
in gegensein Johann Jacob heuß Diaconi beÿ der Prediger Kirch – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, zwölff 15. theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gegen der großen Metzig über ohnfern dem Ferckelmarckt und dem Spithal: gäßlein, einseit ist ein eck am allmend, anderseit neben weÿl. H. Johann Michael Wolff gewesten banquier Erben und jenseith auch eben Samuel Allbring dem Meelmann hinten auff den Ullwer: graben – ihme zu zwölff 15 theilen v: seinen mit weÿl. Fr Anna Catharina geb. Färberin erzeugte und noch lebende 3 Kindern zu dreÿ 15 theilen eigenthümlich zuständig

Jean Jacques Wagner lègue à sa fille aînée Marie Elisabeth et à son mari Jean Henri Jund le logement qu’il occupe lui-même à charge de loger ses deux autres filles Catherine Dorothée et Anne Catherine.

1731 (7. Xbris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 239
Codicill – persönlich kommen und erschienen ist H. Joh: Jacob Wagner der fastenspeiß händler undt burger alhier, zwar schwach vnd krancken leibß Zu bette liegend, Jedoch darbeÿ von der gnad. gottes guter richtiger Sinn vndt vernunfft (…)
dießemnach vndt vor das andere, ist sein vetterliches willen vndt befelch, daß seine 3. döchter, solang als die beede Jungst annoch ledig bleiben werde, seine behaußung ane der groß. Metzig gelegen gemeinschafftl. vndt ruhiglich mit einander bewohnen sollen, doch mit dem anhang, daß die verheurathete dochter Maria Elisabetha beneben ihrem ehem. Joh: Heinrich Jundten das Jenige thun welches Er der Vatter bißhero innen gehabt Zu besitzen vnd einzunehmen, darneben das lädlein wo Sie beede Eheleuth bißhero feÿl gehabt, ihre Knöpffe vnd wahr verkaufft haben ferners zu gebrauchen, berechtiget, die Zwo ledige döchter hingegen Cathar: Dorothea vndt Anna Catharina das jenige thun so ihre verheurathete schwester dermahlen bewohnet, zu occupiren pflichtig seyn, nebst deme aber ihnen auch der laden unterm hauß so wohl inn alß außerhalb der meß, wie in gleichem das bradwurst macher ständlein Zugenißen überlaßen, eingeraumt werd. darneben aber so sollen Maria Elisabetha v. hannß Heinrich Jund deß. Ehemann obligirt seÿn den Zinß von denen auff dem hauß annoch hafftens 600 fl. capital Jährlich abzurichten (…)
Beschehen in einer alhier Zu Straßb. an der groß. metzig gelegenen dem Disponent. Zuständig. behauß. dero Untern Stuben mit denen fenstern auff die gaß außsehend (…) Freÿtagß d. 7. Xbris 1731. [unterzeichnet] Johann Jacob wagner

Jean Jacques Wagner modifie ses dispositions en faveur de ses enfants
1732 (10.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 249
Dispositio inter liberos – persönlich kommen und erschienen ist Herr Johann Jacob Wagner der fastenspeiß händler und burger alhier,auffrecht gehend und stehenden Leibs
Andern wäre ihme noch wohl wißenst, wie daß er vor ohngefehr 5. Monath, in seiner damahligen Kranckheit eine Letzte Willens Disposition vor mir Notario (…) auffgerichtet (…) gäntzlich cassirt, annullirt und widerruffen haben
Dritten Von neuem anderwärtig zu disponiren so seÿe sein Vätterlicher will, daß auf seinen tod und Absterben seine behausung ohnfern der großen Metzig alhier gelegen so lang als seine mittlere dochter Catharina Dorothea im leedigen Stand sich befunden Wird, ohnverkaufft und ohnvertheilt gelaßen, mithin von seinen döchteren gemeinschaftlich bewohnet werden sollen, dergestalten, wann die beede noch leedige sich würcklich annoch in solchen standen werden befindten, Sie beede diejenige Gemach vorwandt Kasten samt dem Blatz, welchen Johann Heinrich Jund sein dochtermann und deßen ehefrau dermahlen innen haben, und bewohnen mit und beneben dem unter dem hauß sich befindenden Laden, hingegen die älteste dochter Maria Elisabetha und ihr Ehemann alles dasjenige, was der Vatter würcklich darin bewohnt, ausgenommen des unten im hauß befindlichen Ladens, zu bewohnen auch den Stand welchen Sie würcklich besitzen, ferners Zugenießen berechtiget seÿn, doch aber sein dochtermann und deßen haußfrau, weil diese ihre größer und bequemeres, als die andere oder Obere, Sie deßentwegen, die von dem auf dem hauß hafftendem capital jährlich zu geben schuldige 24 fl. Zinnß abzurichten sollen verbunden weÿn (…)
So bald aber alle 3. döchtere werden verheurathet oder aber die mittlere Verstorben seÿn, solle ein Jeedes mit seinem antheil hauß nach seinem Belieben und Wohlgefallen zuschaffen zu schalten und zu walthen ohngebundene Macht und gewalt haben
Dienstags den 10. Junÿ Anno 1732

Jean Jacques Wagner hypothèque au profit du juriste Louis Chrétien Nicolai

1733 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 157
Johann Jacob Wagner der Fastenspeishändler
in gegensein H. Ludwig Christian Nicolaj J.V.Lti, – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der großen Metzig einseit neben Johann Friedrich Wolff anderseit ist ein eck am Allmend, hinten auff. Martin Allbrecht dem Meelmann – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß wie auch der Commenthureÿ zu St Johann 1 lb. ahne ewigen zinß

Jean Jacques Wagner meurt en 1734 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à la somme de 275 livres. L’actif de la succession s’élève à 391 livres, le passif à 590 livres.

1734 (1. Junÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 295
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, und Nahrung, Schulden und Gegen schulden, überall nichts außgenommen, so weÿl. der Ehrenhaffte und vorachtbahre Herr Johann Jacob Wagner geweßener fastenspeishändler, und Burger alhier Zu Straßburg nunmehro seel. nach seinem den 5. Martÿ dießen Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitl. Verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu end stehend, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, des verstorbenen seel. ehelich erzeugter nach tod verlaßener Kindere und Erben nahmentl. fr. Mariä Elisabethä Jundin gebohrner Wagnerin, H Johann Heinrich Jund des Knöpffmachers und burgers alhier, ehelicher haußfrauen, so dann Jungfr. Annä Catharinä Wagnerin mit assistentz und beÿstand H Johann Jacob Thorwarths des Stallbotten und burgers hieselbsten ihres geschwornen vogts, ersucht und inventirt (…) Actum Straßburg Dienstags den 1. Junÿ 1734.

In einer alhier zu Straßburg gegen der großen Metzig über am Fischmarckt gelegenen und Hiehero gehörigen Behaußung hat sich befund.
Höltzen und Schreinwerck. Auf der obern Bühn, Auf der untersten bühn, auf den 4.t Stockwerck, auf den 3.t Stockwerck, In der untersten Wohnstuben, Im Laden, Im Keller
Eigenthumb an einer Behaußung. Ein hauß und hoffstatt, mit allen dero begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg gegen der Großen Metzig über 1.s. neben Johann Friderich Wolffen dem banquier, anderseith ist ein Eck nebens an Martin Albrecht den Meelmann stoßend hinten uff d. Ullmer Graben sich ziehend, davon gehen jährl. 10 ß d. allment Geld der Statt Straßb. Pfenningth. macht Zu doppeltem Capit. gerechnet 20. lb. Item 1. lb d ohnablösigen Zinnß soll man alle Jahr halb auf Weÿhenachten dem hießig. ordenshauß St. Johann thut auch Zu 2. fach hauptgut gerechnet 40 lb d, summa 60 lb. d. Sonsten aber außer hernach gemelter unter denen passivis befindliche darauff versicherte capitalien ledig u. eig. und ist von denen geschwornen Hh Werckmeistern laut Scheins vom 9. Maÿ h.a. æstimirt und angeschlagen vor und umb 275. lb, Ist also nach abzug obiger beschwerd. hier annoch auszuwerffen. Über dieße behaußung besagt 1. teutsch pergament Kauffbrieff mit der Statt Straßburg C. C. Stub größern Insigel verwahret datirt d. 29. Martÿ Anno 1707. mit N° 1 notirt, Weiters 1. alt. pergament. Kauffbrieff, aus alhies. C. C. stub und mit dero Insigel bekräfftiget, de dato d. 25.t Junÿ A° 1670. auch mit alten N° 1 notirt, Ferner ein dergl. Kauffbrieff de dato 9. Xbr. 1678. mit N° 2 notirt. Und dann noch Zweÿ Kauffbrieff deren einer vom 10. Junÿ A° 1697. der andere aber vom 22. Januarÿ 1697. beede mit N.is 3. notirt.
Copia dispositionis inter liberos so der Verstorbene sel. auffgerichtet, vide mein deß Notarÿ Extensions prot. Litt. 2. fol. 83.
Series Rubricarum, Sa. haußraths 129, Sa. der Waaran 35, Sa. des Silbers 10, Sa. goldenen Rings 16 ß, Sa. Eigenthum an 1. behaußung 215, Summa summarum 391 lb – Summa Passivis 590, Übertreffen also die Vorhandene passiva die activ Nahrung d. Stalltax nach umb 199 lb
Abschatzung dem: 9 Maÿ: 1734. Auff begehren Weilandt deß achtbahren und bescheitenen H: Johann Jackob Wagners deß gewëßenen fastenspeÿß händlerß see: hinder Laßne Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg gegen der großen Metzig über gelegen, ein seits an herrn Johann fritterich wolffen dem panckie, ander seits ein Eck, und Neben an Martin albrecht dem Mehll man Stoßent hinten auf dem ullmer graben welche behaußung auff dem botten den Lahten ein klein hauß Ehren worin der herdt: 2 Camren ein halbtach sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworene werckleüthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Fünff Hundert und Vünfttig Gulden Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Partage de la succession comprenant un compte autographe de Jean Henri Jund
1734 (8. Junÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 296
Abtheilungs Concept über weÿland herrn Joh. Jacob Wagners geweßenen fastenspeishändlers Vndt burgers alhier seel. Verlaßenschafft (…) in fernerem beÿseÿn H. Joh: Reinhard Wagners des Hohltrehers vnd burg. alhie deß verstorb. seel. bruders d. 8. et 10. Junÿ Anno 1734.
Eigenthumb ane einer behaußung in dieße Verlaßenschafft gehörig undt deren abtheil betreff.
Die in dießer Verlaßenschafft gehörige alhier Zu Straßburg ane der großen Metzig gelegene behauß. findet sich in dem Verlaßenschaffts Inventario dahin sich Kürtz halben beziehend, mit mehrem beschrieben und ist durch die Herren Werckmeister angeschlagen worden pro 275 lb
Vertheilung derer Kremppen wahren (f° 13)
– Es beliebe Meinen Hochgerten Herr Vetter Wagner und Herr Dirwart als Fogt über disen Zedul Zu schuschiren ob ich solche Pungten Zu fordern hab oder nicht welche ich solche deils auf meinen schwehrs befehl hab machen laßen und deils er mir hat an gehengt und in der rechnung abgezogen ich aber solches nicht hab brauchen kinen sondern mehr schaden als nutzen daran gehabt wie auch meiner frau und ihrer schwester wol bewust ist so hat mein schwehr mir Versprochen solchen schaden Zu Verbeßen ich aber niemahlen nichts empfangen hab und ihme doch anne Zeit meinen Zins mit 10 gulden alle halb Jahr im geliffert hab wie quittung lauten wirt also brätendire ich erstlich was ich aus dem meinigen bezahlt hab
(passirt) Johann Friderich dirr dem schreiner Vor seinen gesellen das er ein halben dag im gearbeitet an der unteren stuben den boten geflickt, 5 ß
(…)
Sum 47 fl. 5 ß [unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt
Hingegen bin ich meinem schwehr selich Johann Jacob Wagner schuldig Vor ein firdel Jahr Zins Von weinachten biß Frauen dag, 5 fl.
und Von frauen das biß dato ins gemein die Capidal Zu Verzinsen so fil als mein deill betreffen wirdt
Restiert noch 4a2 fl. 5 ß

Le boutonnier Jean Henri Jund et sa femme Marie Elisabeth Wagner rachètent la part qui est revenue à Anne Catherine Wagner suivant un acte du 12 septembre 1736, cité lors de l’inventaire de 1740.
Fils du boulanger Jean Georges Jund, Jean Henri Jund épouse Marie Elisabeth Wagner en 1731 : contrat de mariage, célébration

1731 (3.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) f° 216
Eheberedung – zwischen dem ehrsamen vndt bescheidenen Johann Heinrich Junden, dem ledigen Knöpffgießer, weÿl. Joh: Georg Junden deß geweßenen weißbecken vndt burgers alhier ehelich erzeugtem hinterlassenen Sohn, alß hochzeitern ane einem
so dann der tugendsahmen Jfr. Maria Elisabetha Wagnerin, H. Joh: Jacob Wagners fastenspeishändlers vndt burgers alhier ehelich erzeugten dochter alß hochzeitherin andern theilß
Actum Straßb. d. 3. Martÿ 1731. [unterzeichnet] Johann Heinrich Jund als Hoch Ziter, Maria Elisabetha Wagnerin als hochzeiterin, Johann Jacob Thorwarth als vogt

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 90-v, n° 330)
1731. Mittw.d. 18. April. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word: Johann Heinrich Jundt der Ledige Zinn Knöpffmacher v. b. alhier, weÿl. Joh: Geörg Jundten geweß. b. v. weißbecken Nachgel. ehel. Sohn, v. Jgfr. Maria Elisab. H. Joh: Jacob Wagners b. v. fastenspeishändlers ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt als Hochzeiter, maria Elisabeta wagnerin als hozeierin (i 95)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (sans résumé)
1731 (28.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 5) n° 220 (1592)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, überall nichts davon außgenommen, so der Ehrsam und bescheidene Johann Heinrich Jundt, der Zinn Knopfgieser, und die Ehr und tugendsahme frau Maria Elisabetha Jundin gebohrne Wagnerin, beede Eheleuthe und burgere alhier einander in den Ehestand Zugebracht, so aux Ursachen beede Eheleuthe in ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung ein unverändert guth sich Vorbehalten haben (…) Actum Straßburg in præsentia H Johann Jac. Wagners des fastenspeishändlers u. b.. alh. auff d. frauen Seithen und dann Elisabetha Pfeifferin gebohrner Stäblerin sein des Ehemanns Mutter, den 28. Junÿ 1731.
In einer alhier Zu Straßburg beÿ der großen Metzig gelegenen, der Ehefrauen Vatter Zuständigen Behaußung sich befunden hat alß
Hand werckzeug und waaren (Werckzeugs Zedul)

Ils hypothèquent la maison au profit du tanneur Georges Frédéric Ott

1736 (10.11.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 876-v
Johann Heinrich Jundt versilbert knopffmacher und Maria Elisabetha geb. Wagnerin mit beÿstand ihres vatters bruders Johann Reinhard Wagner des holdrähers und ihres schwagers H. Johann Leonhard Pfäler des perruquenmachers
haben in gegensein Georg Friedrich Ott des Rothgerbers und Lederbereiters – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten gegen der großen Metzig über einseit neben H. Friedrich Wolff EE. kleinen Raths alten beÿsitzer, anderseit theils ein eck am Allmend theils neben Martin Allbrecht dem Meelmann hinten auff den Ullwergraben – davon soll man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß von dem überhang, in der Commenthureÿ zu St Johann 1 lb ahne ewigen zinnß – ihro Jundischen ehefrau als ein in der vätterlichen verlassenschafft abtheilung durch das Looß erhaltenes guth

Jean Henri Jund et Marie Elisabeth Wagner font un testament alors que la femme est malade et alitée
1740 (22.2.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 571
Testamentum nuncupativum – Persönlich kommen und erschienen sind der Ehrsame vndt bescheidene Joh: Heinrich Jundt Zinn: Knöpffmacher vndt mit ihme die ehr und tugendsame Fr. Maria Elisabetha gebohrne Wagnerin, beede Eheleuth und burgere alhier, Er der Ehemann aufrecht gesund gehend vnd stehend. Leibß, die ehefrau aber ohnbäßlichen Krancken leibß Zu bette liegend
Zum dritten, dieweilen die Einsatz undt benennung eines Erbs Jeden testaments fürnembstes fundament und grundfest ist (…) als Setzen dieselbe zu ihren Erben ein Ihre beede Mit einander erzeugte Söhnlen Johann Jacob vndt Johann Heinrich, wie auch all diejenige Kinder die Sie nach den willen Gottes etwan ferners noch erziehlen werd. welche auch ab intestato ihre rechtmäsig Erben wären
Beschehen allhier Zu Straßb. vnd einer daselbst ane der Großen Metzig gelegenen, beeden testirend. Eheleuth. Zuständigen behausung, dero underen Stuben mit denen fenstern auff die daß außsehend (…), Montagß den 22. Februarÿ abends Zwischen 7 undt acht Uhren
[unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt, Maria Elisabetha Jundin

Autre testament dressé deux mois plus tard.
1740 (12. Apr.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 289) n° 91
Testamentum nuncupativum, Joh: Heinrich Junden des Zinn Knöpffmachers und frauen Mariæ Elisabethæ geb. Wagnerin
persönlich erschienen seÿen der Wohl Ehren achtbare Herr Johann Heinrich Jund, der Versilbert Zinn Knöpffmacher, und Frau Maria Elisabetha gebohrne Wagnerin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, Er der Ehemann gesund gehend und stehenden, Sie die Ehefrau aber Krancken und schwachen Leibes, dahero zu bette liegend
Endlichen und Zum Neunden, dieweilen die Erb einsatzung eines jeeden testaments einiges fundament und Grundfest ist (…) als wollen die beede testirende Eheleuthe und zwar ein jeedes insonderheit zu ihren wahren einigen und rechtmäsigen Erben (…) ihre in ihrer Ehe erziehlte oder auch noch künfftig erziehlende Kindere
zugangen und beschehen allhier in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg und einer daselbst ane der Großen Metzig, am Winckel gelegenen der frauen Disponentin Zugehörigen Elterlichen behaußung, deren oberen mittleren Stuben mit denen fenstern auff die Gaß außsehend, auff Dienstag den 12.ten Aprilis anno 1740. Jahrs abends Zwischen 7 und 8. Uhren
[unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt, Maria Elisabetha Jundin

Marie Elisabeth Wagner meurt le 3 mai 1740 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à 550 livres. La masse propre au veuf est de 284 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 615 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 099 livres, le passif à 1 022 livres. Le veuf qui entend mal est assisté de son frère vitrier Jean Georges Jund.

1740 (8.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 237) n° 120-a
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güethere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Ehren: und tugendsame frau Maria Elisabetha Jundin gebohrne Wagnerin, des Wohl Ehrenachtbaren H. Johann Heinrich Junden, des Versilbert Zinn Knöpffmachers und b. allh. zu Str. geweßene Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 3.ten Maÿ dieses lauffenden 1740.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verl. auf freundl. Ansuchen, Erfordern und Begehren des Wohl Ehrengeachten herrn Johann Leonhard Pfählers des Peruquenmachers und b. allh. als geordnet und geschworenen Vogts Joh: Jacob und Joh: Heinrich derer Junden, der verstorbenen seel. mit vorgenandtem ihrem hinterbliebenen wittiben ehelich erzeugter 2. Kinder und sowol ab intestato als per Testamentum nach tod verlaßene Erben, annoch minorennes (…) fleißig inventirt und ersucht durch ihne den hinterbliebenen Wittibern und Zwar in betrachtung, daß er eines übeln Gehörs mit assistentz des Ehrenachtbaren Meisters Joh: Heinrich [sic, Georg] Junden des Glaßers und burgers allh. seines leibl. bruders und Evam Barbaram Baderin von Buchsweiler gebürtig sein dienstmagd (…) So geschehen allhier in der Königl. fr. St. Str. auff Mittwoch den 8.ten Junÿ Anno 1740.

In einer allhier Zu Straßb. gegen der Großen Metzig über ane dem Winckel gelegenen in dieße Verl. eigenthümbl. gehörigen Behaußung folgender maßen sich befunden
Ane Höltzen: und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der obern Stub, Vor dießer Stub, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Keller, In der Cammer vor der Obern Stub
Waaren und werckzeug Zum Zinn Knöpffmachen gehörig
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) j. Beh. v. hoffstatt mit allen deren Begriffen, weithen, Rehcten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Str. gegen der Großen metzig über so ein Eck am Winckel, i. s. neben herrn Joh: Frid. Wolffen, dem Banquier anderseit d. Eck, neben an Martin Albrecht, den meelmann, hinden auff den Ullwer graben stoßend, davon gehen jährl. 10. ß d Allmend Geld der Stadt Pfgth. Zu Zinß macht in doppeltem Cap. 20. Und dann I. lb. d. ohnablößigen Zinnßes alle jahr halb Joh. Bapt: v halb weÿhenachten dem hießigen ordens hauß St Johann, auch in doppeltem Cap: antreffend 40. lb und in beeden posten 60. lb. sonsten aber außer denen darauff theils unveränderten und theils theilb. Zu bezahlen habenden Cap. so hernach eingetragen ledig eigen und durch die Hh. Werckmeister in crafft der Zu mein notarii Concept eingeschickten schrifftl. Abschatzung dedato 30. Maÿ 1740. æstimirt und angeschlagen worden pro 550. lb. abgezogen vorige beschwerde so verbleibt ane dem Anschlag annoch im rest 490. lb.
Dieße behaußung rühret von der verstorbenen seel. vätterlicher Verl. her, und ist ihro selbsten, weilen der Erbinnen nur Zweÿ geweßen, die helffte davon eigenth. gebührig geweßen die übrige helffte so Fr. Anna Catharina Pfählerin geb. Wagnerin dero schwester ihro eigenthüumbl. in der verl. abtheil. cedirt und überlaßen, mithin meldet darüber die dh. Not. Joh: Brackenhoffern offtgemelt den Inventirschrb. den 12. 7.br 1736. errichtete Cession so den 3. 9.bris ejusdem a. beÿ E. E. Großen Rath confirmirt worden. Ferner besagt über dieße Beh. j. teut. perg. Kffbr. m. der St. Str. C. C. stub anh. grös. Ins. vw. datirt den 29. Martÿ 1707, weiters j. a. perg. Kffbr. auch allda gef. und besiegelt de dato 25. Juni 1670 beede m. N° 1. notirt, so dabeÿ gelaßen. So dann 3. dgl. Kffbr. dedatis 9. Xbr 1678, 10. Junii et 22. Jan. 1697. mit Altem N° 2. et 3. bemerckt
Ergäntzung des Wittibers ermanglenden unveränderten guths. Vermög des über beederseits einander in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch H. Joh: Brackenhoffern Notm. publ. jur. et Practicum allh. in A° 1731. errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des W. unverändert Vermögen betr. Sa. haußraths 8, Sa. waaren und werckzeugs 16, Sa. Silbers 3, Sa. der Baarschafft 10, Sa. der Erg. 319, Summa summarum 359 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 284 lb
Der E: unverändert Vermögen, Sa. haußraths 68, Sa.Silbers 10, Sa. der gold. Ring 10, Sa. der baarschafft 4, Sa. Eigenth. ane j. beh. 490, Sa. der Erg. (230, Abzug 1204, passiv 974), Summa summarum 659 lb – Schulden 1274 lb Compensando, passiv rest 615 lb
das Theilbare Guth, Sa. haußraths 27, Sa. waaren v. werckzeug 48, Sa. Silbers 14, Sa. der baarschafft 15, Sa. der activ schulden 993, Summa summarum 1099 lb – Schulden 1022, Conferendo 76 lb – Concl. Inv. 254 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen Zu Strb. Sambstags den 3. Martÿ A° 1731, Johannes Brackenhoffer, Nots. juratus
Abschatzung dem 30. Maÿ 1740. Auff begeren deß wohll achtbahren und bescheitenen Johann Heinrich Jung deß Knöpfmacherß, ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg, gegen der großen Metzig über gelegen ein Seitß ein Eck, andrerseitß an herrn wolffen dem Panckie, hinden auff den ullmer graben Stoßend welche behaußung unden dem Lahten, hinden dar an ein Klein gewölb auff dem Ulmmer worinnen der bauch offen, oben ihm Ersten Stock ein Stuben, und hauß Ehrn darinn der herdt und waßerstein ihm Zweÿten Stock ein Stuben hauß Ehren darinnen der herdt, oben darüber ein Cammer und daß hauß Ehren war auff daß tach mit breidt Ziglen belegt ein Kleiner getrëmbter Këller sambt aller gerechtig Keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein Tausent und Ein Hundert Gulden. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Henri Jund meurt le 14 janvier 1769 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à la somme de 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 544 livres, le passif à 336 livres.

1769 (14.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 727) n° 708
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿl. der Ehren vnd Vorachtbahre Herr Joh: Heinrich Jund der geweßene Zinn Versilbert Pferd Zeug und Knöpffmacher auch burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Sambstags den 14.ten Januarÿ dießes lauffenden 1769.st Jahres dieses Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch seinem aus dießer Welt genommenen seel. Absterben hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren des Verstorbenenn seel. mit auch Weÿl. frauen Maria Elisabetha geb. Wagnerin seiner ehefrauen seel. ehelich erzeugter beeder H Söhne und ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 14.den Februarÿ Anno 1769.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1.mo H Joh: Jacob Jund, Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knöpffmachern auch Burgern allhier, so in Persohn dem Geschäfft beÿgewohnt in den Ersten halben Stammtheil So dann 2.do H. Joh: Heinrich Jund frantzösischer Beck und auch burger allhier so ebenfalls beÿ der Inventur Zugegen war in den andern und letzten halben Stamtheil. Also beede des Verstorbenen seel. mit Eingangs gedachter frauen Maria Elisabetha geb. Wagnerin seel. ehelich erzeugte beede Söhn und Zu Zweÿen gleichlingen portionen und Stamtheilen ab intestato Verlaßene Erben und auf begehren noch ferner hierbeÿ erschienen H Joh: Leonhard Pfähler Perruquier und Herr Joh: Georg Roth Weißbeck beede burgere allhier, als dero hierzu erbettene Anverwanthe

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Metzig gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden, Wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen Eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weith. Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg. gegen der Großen metzig über einseit neben Hn Joh: Philipp Richshoffer Vornehmen handelsmann und Es En Großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzern, auch burger, allhier, anderseit neben H. Georg Anthoni dem Meelhändler, hinden auff den Ullmer graben stoßend. davon gibt man löblichem Pfenningthurn allhier Jährl. auf Joh. Bapt: 10. ß d ane Allmend Zinß und I. lb. d. auf Joh. Bapt: und Weÿhenachten dem Ordens hauß St. Johann, sonsten freÿ ledig eigen und durch (die Hh. Werckmeister) l. Abschatzungs Zeduls vom 13. Maÿ 1769. angeschlag. pro 450. lb. Abgezogen obgemelte beede darauf hafftende Beschwerden so zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 60 lb, Nach solchem abzug verbleibt annoch ane dem Anschlag solcher Behausung per rest übrig 390. lb. Über dieße Behausung sagt j. teutscher pergamentener in allhies. C. C. Stub errichteter und mit dero Anh. Insieg. verwahrten Kauffverschreibung dat. d. 29. Martÿ Anno 1707, mit altem N° 1 notirt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 8, Sa. der Baarschafft 82, Sa. Eigenthumb ane einer Behaußung 390, Summa summarum 544 lb – Schulden 336 lb, Stall Summ 208 lb

Le pasteur fait suivre l’acte de sépulturre d’une courte biographie.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. XIII 1769-1788 f° 1, n° 1)
Im Jahr Christi 1769. Sambstags den 14. Januarÿ, morgens Zwischen Zweÿ und dreÿ Uhr starb ane einer wenige Tag daurenden hitzigen Brust-Fieber Weiland Johann Heinrich Jundt, gewesener Zinn Knopfmacher, Burger und Wittwer allhier, so in ehelichen Band gestanden mit weil. Frau Maria Elisabetha gebohr: Wagnerin. Seines Alters 66 Jahr 10 Monat und 3 Tage. Montags den 16. Januarÿ wurde derselbe nach gehaltener Leichen-Predigt beÿ dieser Prediger Kirch auf dem Gottes-Acker St Helenæ christlich Zur Erden bestattet. Solches bezeugen eigenhändig Johann Jacob Jundt als sohn, Johann Heinrich Jundt als Sohn
Parentes def: weil: Johann Heinrich Jundt, gewesener Weisbeck und burger allh: und weil. Frau Elisabetha gebohr: Röblerin. Copul: 1731. d. 18 April: beÿ dieser Kirch, mit E.E. Jgfr: Maria Elisabetha gebohr: Wagnerin, welche 1740. den 9. Maji verstorben. Dreÿ Kinder wurden in dieser Ehe erzeuget, nemlich Eine tochter so verstorben und 2 Söhn, so h. t. im Leben I. Johann Jacob Zinn Knopfmacher u. b. so in Ehe stehet mit Frau Anna Maria geb. Kolbin, von welchem ein Enckel im Leben nemlich Johann Jacob, II. Johann Heinrich, h. t. Frantzösischer Beck u. burg. allh. so verheirathet ist ane Frau Maria Pigeron von Garni [Cuarny] beÿ Iverdon in der Francös: Schweitz gebürtig, In diser Ehe sind 3 Kinder beÿ Leben 1. Amalia 2 Joh: Heinrich, 3. Johann Peter.
Domicil in seinem eigenen Haus gegen der großen Metzig. (i 3)

Jean Jacques Jund devient seul propriétaire de la maison en rachetant la part de son frère boulanger Jean Henri Jund.

1769 (18.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 727) Joint au n° 708 du 14 févr. 1769
Erschienen vor mir unterschriebenem geschwornem und Zu Weÿl. Herrn Joh: Heinrich Jund. geweßenen Zinn Versilbert Pferd Zeug und Knöpffmachers auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschaffts Inventation und Abtheilung inspecie requirirtem Notario Herr Johann Heinrich Jund, frantzösischer Beck und Burger allhier der jüngere Sohn, der hat
in Gegenseÿn Herrn Joh: Jacob Jund, Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knöpffmachers auch Burgers allhier seines bruders (…) in ohnvertheiltem Vätterlichem Erb eigenthümlich cedirt, überlaßen und abgetretten
sein Hn Joh: Heinrich Junden Vor unvertheilt gebührige Helffte Von und ane einer Behaußung und Hoffstatt mit allen deren Gebäuen Begriffen Weithen Rechten Zugehörden und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg gegen der großen Metzig über, einseith neben Herrn Joh: Philipp Richshoffer Vornehmen handelsmann und Es En Großen Raths alten beÿsitzern, anderseith neben Herrn Georg Anthoni dem Meelhändler, hinden auf den Ullmergraben stoßend, Von dießer gantzen behaußung gibt man Jährlichen auf Joh. Bapt: löblicher Statt Pfenningthurn 10. ß d ane Allmend Zinß und Jährl. auf Joh. Bapt: et Weÿhenachten dem Ordens hauß St. Johann 1 lb. d. anz Zinß (…) ist die gantze behaußung über angezeigte Beschwährde und Capitalien zu 3400 gulden gerechnet (…)
Straßb. d 18.ten Martÿ A° 1769.

Jean Jacques Jund épouse en1767 Anne Marie Kolb, fille du boulanger Christophe Frédéric Kolb : contrat de mariage, célébration
1767 (4.9.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 316
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und Vorgeachten Hn Johann Jacob Jund dem leedigen Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knopffmachern, H. Joh: Heinrich Jjund, ebenmäßig Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knopffmachers auch burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem H. Bräutigam ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Anna Maria Kolbin, Weÿl. Hn Christoph Friderich Kolb des gewesenen Weißbecken und burgers alhie seel. nachgelaßener tochter als der Jgfr. hochzeiterin am andern theil
unterschrieben auff Freÿtag den 4.ten Septembris Anno 1767. [unterzeichnet] Johann Jacob Jund als hoch Zeiter, Anna Maria Kolbin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 95, n° 17)
Anno 1767. (…) und am mittwoch darauff als den 14. Octobris beÿ uns copuliret worden Joh: Jacob Jundt lediger Zinn versilberer Knöpffmacher und burger allhier des H. Joh: Heinrich Jundt Zinn versilberer Knöpffmachers und Burgers allhier ehelicher Sohn, und Jgf. Anna Maria Kolbin des weÿland H Christoph Friderich Kolben gewesenen weißbecken und burgers allhier hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Jundt lals hoch zeiter, Anna Maria Kolbin als hochzeiderin (i 99, procl. Temple-Neuf i 89)

Leur fils Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse communale, meurt célibataire en 1817 en laissant pour héritiers sa mère, sa soeur célibataire et son frère.

1817 (10.5.), Strasbourg 8 (18), Not. Roessel n° 4267
Inventaire de la succession de Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse communale, décédé le 9 avril dernier – à la requête d’Anne Marie Kolb veuve de Jean Jacques Jundt, boutonnier d’étain sa mère, Jean Geoffroi Jundt, boutonnier d’étain, Anne Marie Jundt fille majeure, ses frère et sœur
à l’hôtel du commerce de cette ville où il avait son habitation
mobilier, garde robe, livres 100 fr, numéraire 378 fr, créances, total de l’actif 4421 fr – passif 1690 fr
Immeuble dépendant de la succession, le quart de la maison sise en cette ville près de la la grande boucherie n° 24 d’un côté Mde Richshoffer, d’autre le Sr Kuhn farinier, aboutissant sur le fossé – grevée d’une rente foncière annuelle de 4 fr envers l’état aux droits de la ci devant commanderie St Jean et d’une autre de 2 fr envers la ville de Strasbourg – louée au Sr Jundt cohéritier pour 200 fr, en principal 4000 fr, le quart estimé 1000 francs
Enregistrement, acp 134 F° 28-v du 12.5.

Anne Marie Kolb meurt en novembre 1818

1818 (21.12.), Strasbourg 8 (25), Not. Roessel n° 6056
Inventaire de la succession d’Anne Marie Kolb veuve de Jean Jacques Jundt, boutonnier détain, décédée le 26 novembre dernier — à la requête d’Anne Marie Jundt fille majeure et Jean Geofroi Jundt, boutonnier d’étain ses deux enfants
immeuble, 13/24 de la maison sise en cette ville près de la grande boucherie n° 24, entre Mde Richshoffer et le Sr Kuhn farinier, derrière un fossé – grevée d’une rente foncière annuelle de 4 fr envers l’état aux droits de la ci devant Commanderie de St Jean et d’une autre de 2 fr envers la ville de Strasbourg. Le surplus appartient aux héritier requérants, savoir un tiers du chef de leur père et 3/24 de celui de leur frère Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse commerciale – occupé par Jean Geofroi Jundt pour un loyer de 200 fr par an, en capital 2166 fr
dans une maison près de la grande boucherie n° 24
mobilier 159 fr – passif 733 fr
Enregistrement, acp 141 F° 71 du 23.12.

Le boutonnier Jean Geoffroi Jund vend sa part de maison à sa sœur Anne Marie qui en devient seule propriétaire

1830 (2.6.), Strasbourg 8 (nouv. cote 48), Me G. Grimmer n° 3191
Jean Geofroi Jundt, boutonnier d’étain
à Anne Marie Jundt, majeure
la moitié qui appartient audit Sr Jundt indivisément avec la Dlle Jundt propriétaire de l’autre moitié d’une maison avec appartenances & dépendances sise en cette ville près de la Grande Boucherie n° 24, d’un côté la maison Rishoffer, d’autre le Sr Kuhn farinier, derrière le fossé
que la totalité appartenait à Jean Jacques Jundt, boutonnier d’étain, et Anne Marie Kolb leurs père et mère. Au décès de Jean Jacques Jundt père la moitié avenue aux trois enfants, les deux comparants & Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse commerciale de ladite ville, celui ci est également décédé sans postérité en laissant pour héritiers ses deux frère et sœur pour ¾ suivant inventaire dressé par M° Roessel le 10 mai 1817, par le décès de la veuve Jundt née Kolb leur mère il leur est avenu 13/24 suivant inventaire dressé par M° Roessel le 21 décembre 1818 – moyennant 1650 für
acp 199 (3 Q 29 914) f° 160 du 5.6.

Jean Geoffroi Jundt et sa femme Marie Elisabeth Rudolph d’une part et Anne Marie Jund d’autre part hypothèquent la maison au profit du ferblantier Philippe Antoine Riebel

1846 (28.8.), Strasbourg 4 (100), Not. Lauth n° 2236
Obligation, 28 août 1846 – Ont comparu le Sr Jean Geoffroi Jundt, boutonnier, & Dame Marie Elisabeth Rudolph, son épouse de lui autorisée, & Delle Anne Marie Jundt, célibataire majeure, sans état, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont déclaré par ces présentes devoir bien & légitimement
à M. Philippe Antoine Riebel, ferblantier demeurant et domicilié en la même ville, la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une Maison avec droits, aisances, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg sur le marché aux porcs, près les grandes boucheries N° 24, d’un côté le Sr Richshoffer, de l’autre le Sr Kuhn. Déclarent les débiteurs que cet immeuble est échu au Sr Jundt & à Dlle Jundt dans la succession du Sr Jean Jacques Jundt, boutonnier à Strasbourg décédé il y a environ 48 ans, leur père, dont ils sont les seuls héritiers.
Ils déclarent encore que ledit immeuble est franc & exempt de toutes dettes à l’exception 1° d’ue rente annuelle de deux francs au profit de la Ville de Strasbourg & pour sûreté de laquelle il a été pris une inscription au bureau des hypothèques de cette ville le 8 novembre 1839 volume 312 N° 148, 2° d’une domme de 800 francs due à M. Jean Frédéric Brandhoffer, commis négociant & à Dlle Sophie Barbe Brandhoffer, mineurs (…) 3° & d’une somme de 790 francs due à Delle Catherine Mühlheim rentière à Strasbourg (…) S’obligent les débiteurs à rembourser la créances de Delle Mühlheim avec partie des fonds présentement empruntés (…)

Anne Marie Jund meurt célibataire en 1847 en laissant son frère Jean Geoffroi Jund pour unique héritier

1853 (24.11.), M° Flach
Notoriété constatant que Anne Marie Jundt, célibataire à Strasbourg est décédée le 30 décembre 1847, laissant pour héritier Jean Geoffroi Jundt, boutonnier à Strasbourg
acp 424 (3 Q 30 139) f° 94 du 26.11.

Décès, Strasbourg (n° 2500)
Acte de décès. Le 30 décembre 1847 (…) ont comparu Geoffroi Jundt âgé de 71 ans, ancien boutonnier, frère de la défunte domicilié à Strasbourg (…) ont déclaré que Anne Marie Jundt, âgée de 74 ans, née à Strasbourg, non mariée, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Jacques Jundt, boutonnier d’Etain, et de feu Anne Marie Kolb, est décédée le 30 décembre 1847 à 10 heures du matin en la maison place des grandes boucheroes N° 24 (i 94)

Le boutonnier Jean Geoffroi Jund épouse en 1797 Marie Elisabeth Rudolph, fille du vitrier Jean Rudolph
1797 (9 vendém. 6), Strasbourg 4 (10), Not. Greis N° 1272, Altes N° 442
Eheberedung – persönlich erschienen der Burger Johann Gottfried Jundt, leediger Versilbert Knopf- und Pferdzeugmacher, des Burgers Johann Jacob Jund, ebenmäßigen Versilbert Knopf- und Pferdzeugmachers und Inwoners allhier, mit der Burgerin Anna Maria gebohrner Kolb ehelich erzeugter Soh, unter autorisation dieses seines Vaters an einem Theil
So dann die Bürgerin Maria Elisabetha Rudolph, des Burgers Johannes Rudolph, Glassers und Inwoners alhie mit der Burgerin Maria Magdalena gebohrner Wolffin ehelich erzeugte tochter, unter autorisation dieses ihres Vaters an dem andern Theil
Geschehen alhier zu Straßburg den 9. Vendemiaire 6. Jahr der frantzösischen Einen und unzertrennlichen Republick [unterzeichnet] Johann Gottfried Jundt, Maria Elisabeta Rudolph
Enregistrement, acp 54 F° 111-v du 11 vend. 6 – revenu industriel 200 livres

Ils consentent au mariage de leur fils militaire Jean Geoffroi en 1832 puis en 1844.
1832 (30.12.), Strasbourg 8 (nouv. cote 52), Me G. Grimmer n° 4236
Consentement – Jean Geofroi Jundt, fabricant de boutons, et Marie Elisabeth Rudolph, au mariage que Jean Geoffroi Jundt, lieutenant en premier au 3° régiment de chasseurs à pied au service du roi des Belges en garnison à Huy, est intentionné de contracter avec Adélaïde Bugnot de Faremont rentière à Tharoul
Enregistrement, acp 214 F° 151-v du 31.12.

1844 (15.7.), M° Zeyssolff
Consentement par Geoffroi Jundt père fabricant de boutons et Marie Elisabeth Rudloff, conjoints à Strasbourg, au mariage de leur fils Jean Geoffroi Jundt, ancien militaire domicilié à Liège, avec Anne Louise Leens audit lieu
acp 325 (3 Q 30 040) f° 76 du 16.7.

Jean Geoffroi Jund et Marie Elisabeth Rudolph hypothèquent la maison au profit de l’horloger Théodore Siegel.

1851 (3.6.), Strasbourg 10 (119), Not. Zimmer substitué par M° Grimmer n° 9034
Obligation, 3 juin 1851 – Ont comparu le sieur Jean Geoffroi Jundt, épingier, & Dame Marie Elisabeth Rudolph, sa femme qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien & légitimement
à M. Théodore Siegel, horloger, demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 600 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une Maison & dépendances, sise à Strasbourg sur le marché aux porcs, près les grandes boucheries N° 24, tenant d’un côté à la propriété du sieur Richshoffer, de l’autre à la propriété du sieur Kuhn, aboutissant par derrière sur le fossé dit Ulmergraben. Les débiteurs déclarent que ladite maison dépend de la communauté qui a existé entre entre le sieur Jean Jacques Jundt boutonnier & Dame Anne Marie Kolb son épouse, les deux de Strasbourg, père et mère du sieur Jundt comparant, & est échue à ce dernier conjointement avec le sieur Jean Jacques Jundt vivant inspecteur de la bourse commerce & à Strasbourg & Dlle Anne Marie Jundt majeure sans état et demeurant en la même ville, ses frère et sœur dans la succession de ses parents susnommés. Que M Jean Jacques Jundt fils étant lui-même décédé sans postérité son tiers dans ledit immeuble est échu à M Jundt comparant & à ladite Dlle Jund à chacun pour moitié. Qu’enfin par suite du décès de ladite Dlle Jundt sans postérité, M. Jundt comparant est devenu seul & unique propriétaire de ladite maison. M. Siegel nonobstant l’absence d’actes authentiques établissant les droits de propriété du sieur Jundt sur ladite maison, déclare passer outre & décharger les notaires soussignés de toute responsabilité à cet égard.
Les débiteurs déclarent que ledit immeuble appartient encore en toute propriété au sieur Jundt comparant & qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ou hypothèque à l’exception d’une somme de 10.000 francs due par les dits époux Jundt à M. Philippe Antoine Riebel, ferbantier demeurant à Strasbourg en vertu d’une obligation contenant quittance subrogatoire passée devant M° Lauth notaire à Strasbourg le 28 août 1846

Jean Geoffroi Jundt meurt en 1854 en délaissant pour seul héritier son fils demeurant à Liège
1854 (29.9.), M° Flach
Notoriété constatant que Jean Geoffroi Jundt, vivant boutonnier à Strasbourg est décédé le 24 août dernier, laissant pour héritier Jean Geoffroi Jundt, négociant à Liège
acp 433 (3 Q 30 148) f° 69 du 3.10. (succession déclarée le 23 février 1855)

Jean Geoffroi Jundt et Marie Elisabeth Rudolph vendent la maison à Thiébaut Geoffroi Kuhn (leur voisin, propriétaire du n° 3)

1853 (24.11.), M° Flach (minutes en déficit)
Vente par Jean Geoffroi Jundt, boutonnier d’Etain, et Marie Elisabeth Rudolph, son épouse à Strasbourg
à Thiébaut Geoffroi Kuhn, marchand de farine et Caroline Lobstein, son épouse à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue de la Grande boucherie N° 24, moyennant 8000 francs. Origine, héritage de Jean Jacques Jundt père
acp 424 (3 Q 30 139) f° 94-v du 26.11.

Thiébaut Geoffroi Kuhn loue la maison au tailleur Michel Schneider et à Elisabeth Wizenné

1854 (2.1.), M° Flach (minutes en déficit)
Bail – Thiébaut Geoffroi Kuhn, marchand de farine, et Caroline Lobstein son épouse à Strasbourg
à Michel Schneider, maître tailleur et Elisabeth Wizenné sa femme à Strasbourg, pour trois, six ou neuf ans du 25 mars 1854
une maison sise à Strasbourg rue de la grande boucherie N° 24, moyennant un fernage annuel de 650 francs
acp 426 (3 Q 30 141) f° 13-v du 5.1.

La maison figure à l’inventaire dressé en 1854 après la mort de Thiébaut Geoffroi Kuhn et à celui dressé en 1868 après celle de sa veuve.

Leur fils et unique héritier Adolphe Kuhn vend la maison au boucher Frédéric Bræsch et à sa femme Louise Thorwart

1870 (1.6.), M° Flach (minutes en déficit)
Vente par Adolphe Kuhn commis négociant à Paris
à Frédéric Braesch, boucher et Louise Thorwart sa femme à Strasbourg
d’une maison sise à Strasbourg rue de la grande Boucherie N° 2 moyennant 20.000 francs
Origine, héitage de Thiébaut Geoffroi Kuhn et Caroline Lobstein sa femme à Strasbourg
acp 594 (3 Q 30 309) f° 12-v du 7.6.

Leur fille naît en 1868 dans la maison dont ils sont alors locataires
Naissance, Strasbourg (n° 2218)
Acte de naissance. Le 16 octobre 1868, a comparu Frédéric Braesch âgé de 29 ans, boucher, domicilié à Strasbourg, lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin né à Strasbourg le 16 octobre 1868 à l’heure de midi en la maison N° 2 place de la grande boucherie et nommé Barbe Frédérique Louise, fille de lui déclarant et de Louise Thorvarth son épouse âgée de 19 ans (i 93)

Natif de Munster en Haute Alsace, Frédéric Bræsch meurt à l’âge de trente ans en juillet 1870.
Décès, Strasbourg (n° 1673)
Acte de décès. Le deux juillet 1870 (…) lesquels nous ont déclaré que Frédéric Braesch, âgé de 30 ans, né à Münster (Haut-Rhin), boucher, époux de Louise Thorwarth, domicilié à Strasbourg, fils de feu Jean Braesch, menuisier et de Barbe Mürbach domiciliée à Munster, est décédé le 2 juillet 1870 à deux heures du matin en la maison place de la grande bouchere 2 (i 5)

L’inventaire de ses biens est commencé en juillet 1870 et terminé en février 1871. Le défunt délaisse une fille.

1870 (11.7.), M° Flach (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Louise Thorwarth et Frédéric Braesch, boucher à Strasbourg, et de la succession de ce dernier décédé le 2 juillet 1870 – dressé à la requête de la veuve comme commune en biens à défaut de contrat et comme tutrice légale de Louise Frédérique Barbe Braesch mineure seule héritiere de son père
acp 595 (3 Q 30 310) f° 2 du 15.7. (succession déclarée le 1° mai 1871 N° 148) Mobilier de la communauté 2217
acp 597 (3 Q 30 312) f° 36 du 8.2., (vacation du 6 février 1871 – Fortsetzung) Gemeinschaft, Geld 1540, Eingegangene Ausstände 878
Ein Haus in Straßburg Großmetzger Straße N° 2
Hälfte von Zweÿ Metzgere Bänke in der Großen Metzig dem Nachlas gehörend
Passiv der Gemeinschaft 25.772, des Nachlasses 291

Louise Thorwart loue la maison à Gérard Keller

1872, Enregistrement de Strasbourg, ssp 156 (3 Q 31 655) f° 81-v du 23.4.
12 April 1872. Pacht – zwischen Louise Braesch und
Gerhard Keller ist folgenden Miethvertrag gemacht.
Louise Braesch vermiethet an Hrn Keller ein Haus in Straßburg Metzger platz N° 2 für drei, sechs oder neun Jahren vom 28. April 1872 an
der Miether zahlt einen jährlichen Miethzins von 1800 Francken

Louise Thorwart se remarie avec Louis Auguste Stephan, brasseur à Karlsruhe
1876 (23.6.), M° Mossler
Einwilligung der Luise Thorwald Wittwe von Friedrich Braesch, lebend Metzger zu Straßburg, in die Ehe welche sie mit Ludwig August Stephan, Bierbrauer zu Karsruhe, einzugehen beabsichtigt
acp 651 (3 Q 30 366) f° 59-v n° 1961 du 23.6.

Liquidation et partage de la communauté entre Frédéric Bræsch et Louise Thorwart, épouse d’Auguste Stephan, brasseur à Karlsruhe
1878 (8.7.), M° Mossler
Auseinandersetzung der Gemeinschaft bestehend zwischen Luise Thorwarth jetzige Ehefrau von August Stephan, Bierbrauer zu Carlsruhe und ihrem verstorbenenn ersten Ehegatten Friedrich Braesch, Metzgermeister und des Nachlasses dieses Letzteren, Auf Ansuchen 1° der gedachten Frau Stephan handelnd eigenen Namens wegen der zwischen ihr und ihren verlebten Ehemann bestehenden Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrags und als Mutter und Vormunderin ihrer in dieser Ehe mit Friderich Braesch erzeugten Kinds Louise Friederike Barbar Braesch noch minderjährig und eintzige Erbin ihres Vaters, 2° Johann Braesch, Schreiner zu Münster handelnd als Nebenvormund der gedachten Minderjährigen

Friderich Braesch starb zu Straßburg am 11. Juli 1870. Ein Erbverziechnis wurde errichtet durch Notar Flach zu Strassburg vom 11. Juli 1870. aus diesem Erbverziechnis bestehet die Gemeinschafft aus
Activa 1° Möbel und Getuch 1774, 2° baares Geld 1232, 3° Forderungen 1449
Ein Wohnhaus mit Zubehör zu Straßburg an der großen Metzig verkauft laut Urkunde vor Notar Mossler zu Strassburg vom 18. Juli 1876, 20.000. Aus dieser Summ wurden Käufer angewiesen zu bezahlen zur Entlastung der Verkäufer 6400, so daß nur noch der Masse zugut kommt 13.600
die Passiva betragen 20.618
Es wurden irrthümlich zugeworfen die Kosten der Beerdigung und der letzten Krankheit welche der We allein zu tragen hat mit 464. Es gehen ferner ab 3280. Augenblicklich geschuldeten Johann und Barbara Braesch und welche die Eheleute Stephan nicht annehmen und die Johann Braesch verrechnet wissen will. Summa 3744 – Bleiben 16.873
Zum Nachlasse des p. Braesch gehört 1° eine Summe von 4000 M. welche die Wittwe von der frantzösischen Gesellschaft La Nationale bezogen hat, 2° Ein Metzgerplatz welchen zu Strassburg an der Großen Metzig und die unvertheilte Hälfte an der großen Metzig (…) angeschlagen 1600
die Passiva des Nachlasses betragen 228
A. Gütergemeinschaft. 1° Mobilien 1774, 2° baares Geld 1232, 3° Ausstände 1449, 4° Forderung von Eheleute Feltzer für Rest Kaufpreis obigen Hauses 13.600, Summa 18.055
Passiv Masse 16.873, davon ab die laut obigem Kauf angewiesene Summ 6400, bleiben 10.473, 2° Kosten des Erbverziechnisses 56, Summa 10.529
Bilanz Activ Überschuß 7525
B. Nachlass. Activ Masse 1° Antheil an der Gemeinschaft 3762, 2°Summ welche die Wittwe Braesch von der Gesellschafft La Nationale für dessen Nachlass erhob 4000, 3° in den beden Metzgerplatzen p. m., Summa 7762
Passiv Masse 368, Activ Überschuss 7394.
Recapitulation (…)
acp 681 (3 Q 30 396) f° 84-v n° 2552 du 18.7.

Louise Thorwarth vend en son nom et en celui de sa fille la maison au cordonnier André Fetzer et à sa femme Marie Anstett

1876 (18.7.), M° Mossler
Verkauf durch Louise Thorwarth, Wittwe des Metzgers Friedrich Braesch zu Straßburg, handelnd eigenen Namens und als gesetzliche Vormünderin ihrer minderjährigen Tochter Louise Friederike Barbara Braesch
an die Eheleute Andreas Fetzer, Schuhmacher & Maria Anstett zu Straßburg
Ein Wohnhaus mit Bodengeschoß & vier* Stockwercken, Speicher & Zugehör zu Straßburg an der großen Metzig N° 2
Erworben durch die Eheleute Braesch-Thorwarth laut Akt vor Notar Flach dahier vom 1. Juni 1870, daher der Wittwe Thorwarth und ihrem minderjährigen Kinde als einzige Erbin seines genannten Vaters zur Hälfte gehörig Zufolge Inventar des Notars Flach vom 11. Juli 1870 – Besitzantritt zugleich – um 20.000 Mark zahlbar (…)
acp 653 (3 Q 30 368) f° 58 n° 2501 du 28.7.

Originaire de Gingen dans le bailliage de Geisslingen en Wurtemberg, André Fetzer épouse Elisabeth Sommerer en 1835 à Sélestat
Mariage, Sélestat (n° 49)
L’an 1835, le 25° Jour du mois de Juillet à huit heures du matin. Acte de mariage d’André Fetzer, âgé de 26 ans, né à Gingen, Grand Baillage de Geisslingen, Royaume de Würtemberg le 21 novembre 1809, cordonnier, domicilié à Schlestadt, fils légitime de Léonard Fetzer, tonnelier âgé de 48 ans, et d’Anne Catherine Scheisel, sans profession, âgée de 48 ans, conjoints domiciliés au dit Gingen, consentant au présent mariage suivant acte reçu par le conseil municipal dudit Gingen (…) Et Dle Elisabeth Sommerer, âgée de 28 ans, née à Schlestadt le 25 mai 1807, sans profession particulière, domiciliée en la même ville, fille légitime de feu Antoine Sommerer, percepteur décédé à Hilsheim le 23 juillet 1827 et de Marie Anne Wagner, âgée de 56 ans, sans profession particulière, domiciliée à Krautergersheim, consentant au présent mariage suivant acte délivré en brevet par Mre Daumont notaire à Obernai le 14 juillet courant (signé) Fetz, Sommerer (i 28)

Elisabeth Sommerer meurt en juillet 1857 après avoir légué ses biens à son mari
1857 (16.9.), M° Grimmer
Dépôt du testament olographe de Elisabeth Sommerer épouse André Fetzer
acp 463 (3 Q 30 178) f° 26-v du 22. 7.br

1857 Enregistrement de Strasbourg, ssp 125 (3 Q 31 624) f° 94 du 22.9.
2 mai 1857. Testament – Je soussignée Elisabeth Sommerer institue par les présentes mon mari André Fetzer mon unique héritier
déposé en l’étude de M° rimmer not.re le 16 7.bre 1857
(succession non déclarée, décès du 24 juillet 1857)

Décès, Strasbourg (n° 1412)
Acte de décès. Le 25 juillet 1857 (…) que Elisabeth Sommerer, âgée de 48 ans, née à Schlestadt (Bas Rhin), épouse d’André Feltzer, cordonnier, domiciliée à Strasbourg rue des tanneurs 12, fille de feu Antoine Sommerer, percepteur, et de feu Anne Marie Wagner, est décédée le 24 juillet 1857 à onze heures du matin en la maison place de l’hôpital civil n° 14 [in margine :] phthisie (i 35)

1858 (25 octobre), Enregistrement de Strasbourg, ssp 128 (3 Q 31 627) f° 44 du 9.11.
Consentement par Léonard Fetzer maître tonnelier à Gingen (Wurtemberg) au mariage de son fils André Fetzer maître cordonnier à Strasbourg avec Marie Anstett en condition en ladite ville

André Fetzer se remarie en 1858 avec Marie Anstett, originaire de Sand en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 575)
Du 11° jour du mois de novembre l’an 1858. Acte de mariage d’André Fetzer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 21 novembre 1809 à Gingen (Wurtemberg) domicilié à Strasbourg, cordonnier, veuf d’Elisabeth Sommerer décédée à Strasbourg le 24 juillet 1857, fils de Léonard Fetzer, tonnelier domicilié à Gingen et de feu Catherine Scheifel décédée à Gingen le 9 septembre 1858 et de Marie Anstett, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 octobre 1830 à Sand (grand duché de Bade) domiciliée à Strasbourg, servante, fille de feu Jacques Anstett, tisserand, décédé à Sand le 31 janvier 1847 et de Barbe Koerckel, sans état, domiciliée à Sand ci présente et consentante – il n’a pas été passé de contrat de mariage (signé) Fetzer, Anstett (i 15)

Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1881, le boucher (Frédéric) Gustave Kœnig épouse en 1867 Elisabeth Rœdt, originaire d’Illkirch

Mariage, Strasbourg (n° 287)
Du 11° jour du mois de juin 1867. Acte de mariage de Frédéric Gustave Koenig, majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 janvier 1840 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, boucher, fils de Jean Michel Koenig, tonnelier domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de feu Anne Marie Sophie Wehrlen, décédée à Strasbourg le 25 octobre 1843, et d’Elisabeth Roedt, majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 novembre 1843 à Illkirch (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de Jean Roedt, journalier, et de Marguerite Haegel, conjoints domiciliés à Illkirch, ci présents et consentants (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 52)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.