10, Grande rue de la Grange


Grande rue de la Grange n° 10 – IV 261 (Blondel), N 761 puis section 59 parcelle 25 (cadastre)

Démolie en 1913


Façade à droite de l’image, porte d’entrée (fonds des monuments historiques, DRAC Grand-Est, cote ICO 482-B-094 012)
Cour, vers 1910 (AMS, cote 118 MW 53)

La maison appartient au XVII° siècle aux culottiers Christophe Weinmann puis Martin Schneller, tous deux originaires d’Altkirch, à l’arquebusier Nicolas Nonnenmacher (1681) puis au pelletier Jean Philippe Fleckhammer (1696). Le potier Paul Kress l’acquiert en 1703 et établit son atelier dans le bâtiment latéral. Le bâtiment arrière est ancien et délabré d’après l’estimation de 1722. Le fabricant de pain d’épices Jean Daniel Lœschmeyer en est propriétaire de 1737 à 1780. Il remplace en 1740 deux marches en pierre abîmées devant sa porte par trois nouvelles de même taille et reconstruit le nouveau mur à côté de la porte de cave. Le boutonnier d’étain Jean Frédéric Meyer achète la maison en 1780 et y fait faire des travaux, il aménage notamment une cuisine dans le bâtiment arrière. Il passe un accord avec son voisin le parcheminier Chrétien Bruder pour reconstruire le pignon entre leurs deux propriétés et le rendre mitoyen. Il est en litige l’année suivante avec son maître maçon François Marc Sporer qu’il accuse de ne pas respecter leur contrat.

Stadelgasse 2-12 (v 1912, AMS 907 W 161)198 Elévations u-z
Elévations du Service d’architecture (AMS, cote 907 W 161)
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 198

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (v) : porte d’entrée et une fenêtre, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarne. Dans la cour F qui se trouve à l’arrière de trois maisons, la façade arrière du bâtiment sur rue est à gauche de (7), le bâtiment (7-8-9) longe la cour à l’est, celui (9-10) occupe l’arrière de la cour. Le bâtiment (10-11) fait partie de la propriété voisine qui appartient au même propriétaire depuis 1829, le parcheminier Jean Bruder. Les héritiers et l’usufruitière de la maison font dresser en 1843 un état des lieux qui décrit la distribution et l’état des différents bâtiments. Ceux qui donnent dans la cour sont en pans de bois.
La maison porte le n° 10, aussi bien selon l’ancienne numérotation (1784-1857) que selon la nouvelle.

198 Plan (ouest) (c)198 Cour F
Cour F – Elévations et plan, relevés du Service d’architecture (AMS, cote 907 W 161)
Partie ouest de l’îlot (plan-relief de 1830)

La Ville acquiert la maison pour percer une nouvelle rue (actuelle rue du Vingt-deux-novembre). La commission chargée de visiter les maisons à démolir relève une fausse clé au-dessus du portail, une fenêtre à culs de bouteille (mentionnée dans le rapport de 1843), des sièges dans l’embrasure des fenêtres au premier étage et des panneaux Renaissance. La maison est démolie en 1913. L’actuel 30, rue du Vingt-deux-novembre occupe en partie le terrain du numéro 10.


Coupe (Service d’architecture, AMS, cote 907 W 161)
Même endroit en 2014

octobre 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1617 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Christophe Weinmann, culottier, et (1604) Elisabeth Schilter – luthériens
1636* h Martin Schneller, culottier, et (1616) Chrétienne Brey puis (1624) Anne Rissenreuter – luthériens
1675* h David Schneller, culottier, et (1655) Barbe Mors – luthériens
1681 v Nicolas Nonnenmacher, arquebusier, et (1662) Marguerite Glock puis (1679) Marguerite Lœffelstiel, veuve du messager Jules Frédéric Sturmkorb – luthériens
1696 v Jean Philippe Fleckhammer, pelletier, et (1691) Marie Ursule Frœreisen puis (1707) Marie Jacqueline Mentzer – luthériens
1703 v Paul Kress, potier, et (1700) Anne Marie von Bœrsch – luthériens
1722 h Jean Kilien Gradel, potier, et (1723) Anne Marie von Bœrsch veuve de Paul Kress – luthériens
Léonard Kress, boucher, et (1722) Dorothée Niefferlin veuve du boucher Jean Frédéric Karcher – luthériens
1737 v Jean Daniel Lœschmeyer, fabricant de pain d’épice, et (1727) Cléophée Wœlffel veuve du cordonnier Isaac Frœreisen, (1730) Marie Dorothée Steinmetz puis (1732) Marie Barbe Ott – luthériens
1780 v Jean Frédéric Meyer, boutonnier d’étain, et (1783) Catherine Elisabeth Rothhan – luthériens
1786 h Jean Michel Bœsswilwald, boutonnier d’étain, et (1786) Catherine Elisabeth Rothhan veuve de Jean Frédéric Meyer – luthériens
1828 h Jean Frédéric Eissen, négociant, et (1804) Catherine Elisabeth Bœsswillwald
1829 v Jean Bruder, parcheminier, et (1799) Barbe Oster
1830 h Jean Bruder, parcheminier, et (1830) Caroline Henckel, remariée (1845) avec l’insituteur Charles Théodore Wægener
1868* h Henri Gustave Hess, serrurier, et (1828) Sophie Barbe Bruder
1908* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1722, 600 livres en 1731, 500 livres en 1750, 400 livres en 1779

(1765, Liste Blondel) IV 261, Daniel Leschmayer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Beschmeÿer Wittib, 2 toises, 0 pied et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 761, Bruder, Jean, mégissier – maison, sol – 2 ares

Locations

1687, veuve de Jean Balthasar Hatt
1702, Pierre Jobert, chandelier
1772, Jean Samuel Dachert, menuisier
1804, Jean Jacques Hoff, bonnetier, et Marie Madeleine Rothhan
1841, Eugène Jérôme Hæberlé et Philippe Wilhelm, parcheminiers

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1740, Préposés aux affaires foncières (VII 1399)
Le fabricant de pain d’épices Daniel Lœschmeyer est autorisé à remplacer deux marches en pierre abîmées devant sa porte par trois nouvelles qui ne seront pas plus grandes que les anciennes, soit 2 pieds 9 pouces, ainsi qu’à faire un nouveau mur à côté de la porte de sa cave et une nouvelle marche de même taille que les anciennes.

(f° 37) Mittwochs den 15. Junÿ 1740. seÿen folgende Augenscheinen eingenommen worden – Daniel Löschmeyer
Vor Daniel Löschmeyers des Lebküchlers Hauß in der Groß. Stadelgaß, welcher umb erlaubnus gebetten, anstatt Zweÿ steinerer staffelen für seine Haußthür, welche schadhafft und Auch Zu hoch, dreÿ andere steinere staffelen die gleichwohl nicht weiter als die Vorige, Nemblich 2. schuhe 9. Zoll Lang werden sollen, deßgleichen an der Kellerthür auf einer seithen ein Neü Gewändt und ferner ein Neüen tritt beedes in der Größe der Alten, Zulegen. Erkannt in allem Willfahrt.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Frédéric Meyer est autorisé à aménager une cuisine avec un fourneau et une cheminée au premier étage du bâtiment arrière en faisant passer le tuyau à distance des menuiseries et à chauffer le poêle depuis la cuisine

(p. 532) Dienstags den 7.ten Novembris 1780.
Friderich meÿer der Zinnknopffmacher will in seiner ane der großen stadel gaß gelegenen behaußung im hindergebäud im ersten stock eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen machen das Rohr mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt neben daran eine stube in die aus der Kuch eingefeurt wird. Erkandt, Willfahrt. Mstr Sporer

Protocole de tribus

1781, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
Le boutonnier d’étain Jean Frédéric Meyer qui s’est adressé à l’audience du consul a été renvoyé devant le conseil des Maçons. Il se plaint le premier juin 1781 des travaux du maître maçon François Marc Sporer avec lequel il a passé le 4 septembre 1780 un contrat d’après lequel il devra maçonner les poutres de son nouveau bâtiment, ce qui empêche le plaignant d’entrer dans son logement. Il demande que le maçon mette immédiatement les lieux en l’état convenu et en enlève les décombres. Comme les parties ne parviennent pas à se mettre d’accord, le Conseil nomme deux experts chargés de remettre un rapport écrit.

Freÿtags den 1.ten Junii
(p. 566) Freÿtags den 1.ten Junii – Experten Ernennung
Johann Friderich Meÿer, der Zinnknopfmacher und burger alhier, ließ citiren Meister Frantz Marx Spohrer, den Maurer und Steinhauer dahier, auf die von Ihro Gnaden dem Regierenden Herrn Ammeister unterm 15.den hujus ertheilte Erkanntnus, wodurch die Sache anhero verwiesen worden, klagt wider denselben, daß er ihme Klägern erschweren, dem am 4. Septembris 1780. mit einander getroffenen Accord nach das Zweÿte Gebälk in dem durch Beklagten in sein Klägers Hauß aufgeführten Gebäus auszumauren, wodurch Kläger gehindert wird, die Wohnung Zu beziehen, bittet derowegen den Beklagten anzuhalten sothane Wohnung ohnverzüglich dem accord gemäs in stand Zu stellen, wie auch das Geröhr wegraumen zu lassen, widrigen falls Zu verordnen, daß solches auf Gegners Gefahr und Unkosten durch hiesiger Stadt geschwornen Werkleute Zu bewerckstelligen seÿe, anbeÿ den Beklagte in Ersetzung aller Unlösten Zu condemniren, ulteriora reservando.
Beklagter hiebeÿ Zugegen behauptet, daß er die Arbeit dem Accord gemäs völlig gemacht und darinn nicht verprochen habe, das Geröhr wegzuführen, bitt um absolutionem von der wider ihn angestellten Klage.
Kläger hingegen beharrete darauf, daß Beklagter dem Accord kein Genügen geleistet habe, und bat deswegen um Experten Zu ernennen, damit solche untersuchen möchten, was in gefolg des Accords annoch auszufertigen seÿe.
Erkannt, werden Zu solcher Untersuchung als Experten ernennet Herr Johannes Lingenhölin und Metzger Antoni Klotz, beede Maurer und Steinhauer allhier, auf deren schrifftlich beÿzubringenden Rapport als dann ferner ergehen solle was rechtens, reservatis expensis.

Description de la maison

  • 1722 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, chambres, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, un atelier comportant un petit four, un vestibule, une cave voûtée, un petit bâtiment accessoire couvert de tuiles plates renfermant une petite chambre, un puits et un four de potier, un vieux bâtiment arrière en mauvais état, le tout estimé avec la cour, les appartenances et dépendances à la somme de 1300 florins
  • 1731 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment latéral et un vieux bâtiment arrière, plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, cendrier, atelier de potier, four de potier, cave sous solives, un puits, le tout estimé avec la cour, les appartenances et dépendances à la somme de 1300 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) la maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une petite cuisine, au premier étage un poêle et un vestibule qui sert de cuisine, au deuxième étage deux chambres, au-dessus comble à double couverture de tuiles plates renfermant deux greniers dallés, dans la cour une cave voûtée et un puits. Il y a aussi un passage latéral à demi toit couvert de tuiles plates, en outre un bâtiment arrière comportant un comble couvert de tuiles plates et renfermant un poêle, deux chambres, une petite cuisine, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins
  • 1779 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, cuisines et chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la cour, le puits, appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
  • 1842 rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton Nord – Grande rue de la Grange

nouveau N° / ancien N° : 19 / 10
Boeswilwald
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 216 case 1

Bruder, Jean à Strasbourg

N 761, maison, sol, Grande rue de la grange 10
Contenance : 2,00
Revenu total : 91,04 (90 et 1,04)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 966 case 1

Bruder, Jean
1871, Hess, Henri Gustave
1908, Strassburg die Gemeinde
(ancien f° 713)

N 761, maison, sol, Rue de la Grange 10
Contenance : 2
Revenu total : 91,04 (90 et 1,04)
Folio de provenance : (216)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 32 p. 359 case 5

Parcelle, section 59, n° 25 – autrefois N 761
Canton : Große Stadelgasse Hs N° 10
Désignation : Hf, 3 Whs
Contenance : 8,05
Revenu : 700 – 455
Remarques : 1913 ab S. 362 F 5 – 1912, Abbruch

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 100 Grand’rue de Stadel (p. 163)

10.
Pr. Boeswilvald, Jean Michel, Boutonnier – Marechal
lo. Rubrecht, Louis, Garçon Imprimeur – Echasses
lo. Rothan, Geofroid, Revendeur – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Stadelgasse (Seite 168)

(Haus Nr.) 10
Schäfer, Ww, Oelhdln. 02
Zipper, Tagner. 1
Sachs, Tagner. 2
Schulz, Metzger 2
Heidmann, Tagner. H 1
Persch, Tagner, H 1

Grille d’enquête, Fragebogen (113 MW 999), (57)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Grosse Stadelgasse N° 10 [Maison : Grande rue de la Grange n° 10]

a) Geschichtliches Zum Clausenberg 1587. Georg Kretschmar, Kürssner 1587: [Historique]

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 12. Fenstereinfassungen – I. Stock. Im Innern Sitzplätze in den Seitungen der Fenster [croquis]. 1 reiches dreiteil. Ren. gewänder I. Stock Hofseite
    [Encadrement de fenêtre] Premier étage, sièges sur les côtés latéraux des fenêtres (croquis) – un riche panneau Renaissance en trois parties au premier étage côté cour

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 13. 13. Holzdecken – 1 (gut erhalten, I. Stock
    [Plafonds en bois] 1 bien conservé au premier étage
  • 18. 18. Butzenscheiben – 1 Fenster mit Butzenscheiben u Bleiverglasung (Hof, Seitengebäude)
    [Vitrage en cul-de-bouteille] 1 fenêtre à culs de bouteille et raccords en plomb (cour, bâtiment latéral)
  • 25. 25. Türbeschläge – (Hof, Seitengebäude. Erdges. 1 Schlüsselblech, I. Stock, 2 Bortesbänder
    [Ferrures de porte] (cour, bâtiment latéral, rez-de-chaussée)

Bemerkungen :

Portal mit Schlüsselstein mit 2 Füllungs Thüren, zu erhalten
[Remarques – Portail à fausse clé, à deux panneaux, à conserver]


Croquis des sièges dans l’embrasure des fenêtres


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au culottier Christophe Weinmann. Fils d’un cordonnier d’Altkirch en Sundgau, il épouse en 1604 Elisabeth Schilter, fille de pelletier ; contrat de mariage, célébration

1604 (26.2.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56), Protocole
Eheberedung zwischen dem Ersamen vnnd bescheÿdenen Christoffel Weinman dem hossenstricker, Vrban Weinmans deß schuemachers Zu Alttkirch Ehelichem sohne, Ane einem
So dann der Züchtigen Vnd tugendsamen Jungfrauwen Elisabeth Schiltterin Weÿlandt deß Ehrenhafften Balthasar Schiltters geweßenen Kürßners vnd burgers Zu Straß. seligen hinderlaßener dochter Am Andern theÿl
In persönlicher gegenwärtigkeit der Ehrenvesten fürnehmen Ehrenhafften Vnd Ersamen h. Georg Leutlers Würths Zum Rothen Creutz Vnd Martin Bogeners Hoßenstrickers vff seiner deß Breütigamns,
So dann vff er Jungfrauw hochzeiterin seitenn herrn Wendlin linders Thuhmans vnd Martin gümppelß kürßners Ihres Vettter Vnd geschwornen, vogts
Beschehen vnd verhandelt in deß Heÿligen Reich freÿen Statt Straßburg Sonntagß denn 26. Februarÿ In dem Jahr alß man Zalte 1604.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 89-v, n° 18)
1604. Christoff Weinman der Hoßenstricker, J. Elisabeth Balthasar Schiltters hinderlaßene tochter, 28 febr: (i 92)

Christophe Weinmann devient bourgeois quelques jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Drapiers
1604, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 837
Christoph Weinmann der Hosenstricker Vonn Alttkirch empfahet d. Burg: Vonn seiner Haußfr. Elisabeth Balthasar Schiltter deß Kurßners seligen dochter vndt will Zun Tuchern dienen. Act. vt supra [8. Martÿ 604]

Les héritiers collatéraux de Christophe Weinmann cédent au culottier Martin Schneller un capital assis sur la maison qu’il a acquis de la succession d’Elisabeth Schilter

1636 (ut spâ [20. Maÿ]), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 508
Erschienen weÿ: Christoff Weinmanns deß Hosenstrickers see. alhie nachgelaßene Erben, mit namen Jacob Kuenheim von Altkürch, Alß Ehevogt Mariæ Weinmännin, So dann Anna Weinmännin, weÿl. hanß Christian see: Zu Weher nachgelaßene witib
haben in gegensein Martin Schnellers deß hosenstrickers burgers Zu Str. bekannt
daß sie demselben die 266. fl. so Er ihnen noch vff dem hauß, alhie in der grossen Stadelgaßen gelegen Welches Er Schneller beÿ Abtheilung anfangs gemelten Weinmanns und deßen haußfr. Elisabeth Schilterin see. Verlaßenschafft abtheilung angenommen und dann ihren 2.ten theil an 625. fl. reducirt hauptg. (…) verkaufft

Originaire d’Altkirch, Martin Schneller épouse en 1616 Chrétienne Brey, fille du menuisier Mathias Brey
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 141)
1616. 2. Julÿ. Martinus Schneller hosenstricker von Altkirch, J. Christina Matthes Brey Tochter (i 145)

Martin Schneller devient bourgeois quelques mois plus tard
1616, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1008
Martin Schneller d. hoßenstrückher Von Altt Kürch Im Suntgauw empfaht d. Burgerrecht Von Christina Mathis Biegen deß Schreiners Tochter Vnd wüll Zunn tuchern dienen Actum den 3. Januarÿ 1617.

Martin Schneller se remarie avec Anne Rissenreuter de Saverne
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 170)
1624. Dominica 7. post Trinitatis. Martin Schneller d. Hosenstricker alhier, J. Anna Clade Risenreütter deß Schreiners* Zue Elsaß Zabern nachgelaß. tochter, 19. July im Münster (i 174)

Martin Schneller sollicite la médiation des Conseillers et des Vingt-et-Un pour recouvrer une dette de Jean Reinold, culottier à Colmar
1653, Conseillers et XXI (1 R 136)
(f° 175) Sambstag den 26. Novembr.
Martin Schneller des Hoßenmachers übergibt p. Ball. Supplic. pro intercess. an Colmar, wegen eines streitts so Er mit Hanß Reinolden dem Hoßenstricker Zu Colmar, wegen etlicher scheltwort habe, vnd vmb derentwillen Er nach Colmar Zu reißen gedenckt, das mit die sach Zu ersperung verwießen, förderlich erörtert werden möge. Erk. Willfahrt.
H. Johann Reichshoffer, H. Johann Kolb
NB. Auß erkantnus des Regierenden Herrn Ammeisters ist das schreiben allein dahin einngerichtet worden d. des Raths Zu Colmar ein gewißen tag Zu erörterung der sachen bestiimmen möge.

Anne Reussenreiter, veuve de Martin Schneller, institue pour ses héritiers les enfants de Morand Schneller, frère de son mari, et sa nièce Anne Marguerite Reussenreiter de Sarralbe
1671, Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Testamentum nuncupativum Fr. Annæ Reußenreiterin Weÿl. Herrn Martin Schnellers Hoßenstrickers Wittib
14. die Erbeinsatzung betreffend, will die Frau Testirerin Zu ihren Erben ernant und eingesetzt haben erstlichen Catharinam Schnellerin, Meister Hans Jacob Schollen, Hoßenstrickern Und Burgern allhier Zu einem vierdten theil, Ferner hannß Heinrich Schnellern Hoßenstrickern und burgern allhier Zu einem Vierdtentheil, Weiter David Schnellern auch Hoßenstricker vnd Burgern Zu Straßburg in einen vierdten theil, aller dreÿ Morant Schnellers ihre der Testantin haußwürths seel. bruders erzeügte Tochter und Söhn, ihre Vettern und baß
So dann in den vierdten Stammtheil vorgedachte Annam Margaretham Reißenreüterin ietz (-) Treütels haußfrauen ihre baß Ihro Testantin Vatters Bruders Hanß Reißenreüters Schreiners von Saralben dochter
Freÿtags den 3. Martÿ abends Zwischen 6 undt 7 Uhren beÿ 3. brennend. Liechtern A° 1671.

Le culottier David Schneller et sa femme Barbe hypothèquent la maison au profit du notaire Christophe Schübler. En marge, quittance remise au potier Paul Kress et à sa femme Anne Marie Bœrsch, propriétaires de la maison en 1713

1672 (15. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 326
David Schneller der Hoßenstrickher und Barbara sein Eheweib und Zwar dieselbe mit beÿstand der Ehrenvest und weÿsen herren Johann Niclaus Caroli undt herren Emanuel Waldeckhß beÿder alß aus E.E. Kleinen Rhats mittel hierzu insonderheit deputirter
in gegensein herren Christoph Scheublers, Notarÿ – schuldig seÿen 50. pfund
Unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeit. alhier in der Stadelgaßen, einseit neben hannß Jacob Paßen dem Federschmuckher anderseit neben (-) hinden uff ein Allmend gaßlein stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Paul Kreßen des Haffners und Annæ Mariæ Börschin deßen ehelicher Haußfr. alß nunmahliger proprietariorum hievorbemelten in d. Stadelgaßen liegend. Haußes Mitschuldner (quittung), Act. d. 3.ten Januarÿ 1713.

Accord passé par David Schneller qui a racheté les parts de la maison dans la succession d’Anne Reisenreutter

1673 (17. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 108-v
David Schneller der Hoßenstricker
in gegensein Hannß Balthasar Hatten deß Hoßenstrickhers alß Vogts hannß Henrich Schnellers deß Hoßenstrickhers eheleiblicher Kinder mit beÿstand gemelts ihres Vatters
bekannt dEmnach Er David Schneller, die Schnellerische alhier in der Stadelgßen gelegen beÿ Vertheilung Annæ Reisenreuttin Verlassenschafft von seinen mit Erben angenohmen und dahero nach besag des durch herrn David Osinger des Jüngern Not. Verfertigten Berichts besagtes hannß Henrich Schnellers Kindern 50. lb schuldig worden seÿe (…) richtig zu Verzinnßen
hiebeÿ persönlich erschienen, Barbara deß Schuldners Eheweib mit beÿstand der Ehrenvest, weüs- und hochgelehrten herrn Jacob Christoph Maders U.I. Ddi und herren hannß Georg Metzgers beeder alß aus E.E. Kleinen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter

Fils du culottier Morand Schneller, David Schneller épouse en 1655 Barbe Mors, fille de charpentier
Mariage, cathédrale (luth. f° 40)
1655. Mehr Zum 2. mal David Schneller der hosenstricker d. Morandti Schneller des Burgers vnd hosenstrickers allhier, ehelich. Sohn, vndt J. Barbara Martin Morsen des burgers vnd Zimmermanns auch Münsterknechts allhier eheliche Tochter. Mont. 19. 9.br Maurerst. Münst. Thiergarten (i 41)

Le tuteur des enfants de David Schneller vend la maison à l’arquebusier Nicolas Nonnenmacher

1681 (21.7.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 336-v
Hannß Balthasar Hatt der Hoßenstricker alß Vogt weÿl. David Schnellers auch hoßenstrickers nunmehr seel. hinderbliebene Kinder mit beÿstand Johann Heinrich Schnellers ingleichem hoßenstrickers Ihr der Kinder Vatters bruder
in gegensein Niclaus Nonnenmachers deß büchßenmachers
hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren gebawen undt zugehördten rechten undt gerechtigkeiten alhier in der großen Stadelgaß, einseit neben Jacob Gähen dem Huotmacher, anderseit neben Jacob Baaßen des Landawers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben hinden uff die duhl stoßend gelegen, darvon gehendt Jährlichen 1. ß 6 s dem blatterhauß allhier lösig mit 12. lb 10. ß, so seÿe solche behaußung auch noch umb 200. fl. dem Closter St. Margarethæ undt Agneßen alhier, so dann umb 250. fl. Herrn Johann Philipp Braunen XIII. Verhafftet – zugangen umb 189. fl.

Tuteur des enfants de David Schneller, Balthasar Hatt rend compte de sa gestion. La succession a été inventoriée par Christophe Schübler. La maison Grande rue de la grange figure dans le compte.

1681 (31.1.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 3) f° 24
Rechnung Mein hannß Balthasar Hatten Hooßenstrickhers vnd b. alhier Zu Straßb. alß geschwornen Vogts Annæ Rosinæ Davidis, Hannß Henrichs und Hannß Martins /:welches letztern aber im septembri 1675. seel. verstorben:/ geschwüsterde der Schneller weÿl. Mr David Schnellers gewesenen hoßenstrickhers v. b. alhie mit auch weÿl. Fr. Barbaræ Morsin seiner gewesenen haußfr. seel. ehelich erzeugter und hinterlaßenen Kinder, Innhaltend und außweißend waß Ich Innahmen gedachter meinen Vogts Persohnen vom 15. Martÿ anno 1675. Eingenommen, dahingegen aber widerumb außgeben auch einander weg. Vögtlicher weiß verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ

Kurtzer Bericht dießer Rechnung. Zuwißen Alß nach seel. Absterben weÿl. Mr Davidt Schnellers des geweßenen Hoßenstrickers v. fr. Barbaræ Morsin bed. b. alhier Zu Straßb. meinen Curandor. geliebten Eltern (…) derselben Verlaßenschafft ordentlich inventiren und durch herrn Christoph Schübler, Notarium E. E. Großen Raths wohlverdienten alten beÿsitzern ein vollständig. Inventarium worüber expediren und aufrichten laßen (…) vnd dergleichen seind unverkaufft geblieben Welches alles theils Morand Schneller der Kinder Großvatter nachgehendts ebenmäßig Verkaufft (…)
Eigenthum ane Häußern. Betreffend die in dieße Verlaßenschafft gehörige und in angezogenem Inventario fol: 26. 27. et 28. ihrer Situation nachbeschriebene Häußer, Ist davon die ane der Großen Stadelgaß Liegende Behaußung annoch vorhanden und hannß Heinrich Schnellern der Pfleg Kinder Vettern umb Joh. Bapt:e 15. lb d Zinß, wie hernacher fol. (-) befindlich verlühen (…)
Die behaußung aber ane der Leimengaß liegend /:daran ane statt der im Invent: gesetzten dreÿ achttheilen meinen vogts K. fünff achttheil eigenthümlich Zusteh:/ ist anfangs und Zwar von Weÿhenachten 1674 biß Ostern A° 1677. umb Jährlichen 6. lb Zinß verlühen gewesen

Autre compte dans lequel le tuteur rapporte que la maison Grande rue de la Grange a été vendue à Nicolas Nonnenmacher
1684 (8. 7.bris), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 8) n° 105
Rechnung Weÿland hannß Balthasar Hatten geweßenen hoßenstrickern v. burgers Zu Straßburg als geschwornen Vogts Annæ Rosinæ, Davids und hannß Heinrich, aller dreÿ geschwüsterde der Schneller, weÿl. Mr David Schnellers geweßenen hoßenstrickers und burgers alhier mit auch weÿl. frawen Barbaræ Morsin, seiner geweßenen haußfr. seel. ehelich erzeugter und hinder laßener Kind., hind.blibene Wittib und Erben, Inhaltend waß d. selbe im Nahmen gedachter seines Vogts Persohnen vom 31° Januarÿ 1681. als dem beschluß seiner ersten Vogteÿ rechnung biß den 8.ten 7.bris 1684. Eingenommen auch theils der vogt seel. beÿ seinem lebzeit. selbst. theils nach deß. absterben seiner hinterbliebenen Wittib und Erben hingegen wieder außgeben und in anderer wege Verrichtet v. verhandelt haben. Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ

Soviel die fol. 4.b angeregte, den Vogts Persohnen Ins Gemein Zuständige Behaußung inn der groß. Stadel Gaßen gelegen analangt, hat selbige hannß Heinrich Schneller Hoßenstricker vnd burgern alhie d. Vogts Kund. Vettern Jährlich Zinß 15. lb d auch biß dahin den solch Zinß wie die gemeine Einnahm Zuerkennen gibet, mir dem Vogt Verrechnet, und Zwar im Julio 1681. vorangezogene behaußung mit belieb. d. Freundschafft aus Ursachen die Vogts Persohnen annoch Zimbliche Summen auff selbe Zubezahlen gehabt, vnd Kein Baar Mittel mehr Vorhanden waren, auff Zuvorher erhaltenes Decretum alienandi ane Mr Niclauß Nonnenmacher den buchsenmacher und burger alhier sambt den darauff stehenden beschwerd. für 330. lb d Verkaufft, auff den 21. hujus ejuds. Anni In allhie&w iger Cancelleÿ Contractstuben verschrieben worden

Fils d’arquebusier, Nicolas Nonnenmacher épouse en 1662 Marguerite Glock, aussi fille d’arquebusier
Mariage, cathédrale (luth. f° 14)
1662. Zum 2. mahl Niclauß Nunnenmacher, der Büchsenmacher, Weiland Niclauß Nunnenmachers auch gewesenen Büchsenmachers u. Burgers alhier hinterlaßener ehel: Sohn undt Jfr. Margaretha Weiland Niclauß Glocken auch geweßenen Büchsenmachers v. Burgers alhie hinterlaßene ehel. Tochter. Montags den 4.ten 9.bris Weinstich. Münster (i 15)

Marguerite Glock meurt en 1675 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé Grande rue de la Grange dans une maison qui appaortient à l’hôpital bourgeois. La masse propre au veuf s’élève à 5 livres, celle des héritiers à 150 livres. L’actif de la communauté s’élève à 130 livres, le passif à 50 livres

1675 (19.4.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 8) n° 21
Inventarium undt Beschreibung Aller und Jeeder Haab, Nahrung Vndt Güethere, So weÿl. die Ehren und tugendsamme fr. Margaretha Glockhin des Ehrenhafften, Vnd bescheidenen Mr Niclaus Nonnenmachers Büchsenmachers, Vnd Burgers alhie Zu Straßburg im Leben geweßene Haußfr. sel. welche den 14.ten Februarÿ A° 1675. diese weldt gesegnet, verlaßen, welche vff gebührlich ansuch. erfordern, Vndt begehren des auch Erßammen Vndt bescheidenen Mr Andres Früh Ins holtzs des Heffschmidts, Vndt Burgers Alhie Zu Straßburg alß geschwornen Vogts Hanß Niclaus, Margarethæ, Vnd Salome Aller dreÿ der Verstorbenen mit Vor vnd hernach bemeltem Wittibern ehelich erzeigter Kinder Vndt nächster ab intestato verlaßener Erben – So bescheh. vnd Angefang. Montags den 19. Aprilis A° 1675.

In Einer In der Statt Straßburg In der Großen Stadelgaßen gelegenen: vndt dem Mehrern Hospithal Eügenthümlich zuständig. Behaußung ist sich befund. word. wie Volgt.
Auff den ohn Ein obersten bod. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstub., In der Kuch., Im hind. Stüblin, Im Keller
Abzug In dießes Inventarium gehörig. Summa des Wittibers unveränderten Zum Büchsenmacher handtwerckh gehörigen Werckzeugs 5 lb
Der Erben Unverändert, Sa. haußraths 28, Sa. Werckzeugs 3, Sa. Silbergeschmeids 15, Sa. Guldenen Ring 3, Sa. Pfenningzinß hauptguths 50, Sa. Ergäntzung 50, Summa summarum 150 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 36, Sa. Werckzeugs Wie auch newe Vndt alte Arbeit 18, Sa. Frucht 8, Sa. Lähren Vaß 12 ß, Sa. Silbergeschirrs 13, Sa. Bahrschafft 51,Sa. Schuld 2, Summa summarum 130 lb – Schulden 50 lb, Nach Abzug solcher verbleibt 80 lb
Summa Finalis 237 lb

Nicolas Nonnenmacher se remarie en 1679 avec Marguerite Lœffelstiel, veuve du messager Jules Frédéric Sturmkorb : contrat de mariage, célébration
1679 (16.1.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 18, Vol. 2, Notariat Protocolla)
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Mr. Niclaus Nonnenmachern Burgern Vnd Büchsenmachern allhier in Straßburg als Breütigam an einem,
So dann der tugendsamen frawen. Margrethæ Löffelstihlerin Weÿl. Julius Friderich Sturmbkorbs, geweßenen Einspännigers Vnd burgers allhie seel. nachgelaßenen wittiben, als hochzeiterin Andern theils
So beschehen In des heÿl. Röm. Reichsfreÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 16. Januarÿ Als man nach der Gnadenreichen vnd Seeligmachenden gebuhrt Unßers einigen Erlößers und Heÿland Jesu Christi 1679

Mariage, cathédrale (luth. f° 62-v, n° 1)
1679. Dom 2. post Epiph. Zum 2. mahl Niclauß Nonnenmacher der Büchsenmachers alhie, Margaretha Weiland Julius Friderich Sturmkorb, gewesenen Einspännigers alhler wittwe, Donnerstags den 30. Jan. (i 64)

Fille d’un coutelier de Sainte-Marie-aux-Mines, Marguerite Lœffelstiel épouse en 1655 le messager Jules Frédéric Sturmkorb
Mariage, cathédrale (luth. f° 31, n° XLIX) 1655. Mehr zum 2. Mahl Julius Friderich Sturmkorb der Burger und Einspänniger alhier und Jfr Margaretha, Weilandt Latzari Löffelstiels des Burgers vnd Messerschmidts Zu Markirch hinterlaßene ehelich Tochter – Mont. 25. Junÿ, Freÿburg, Münster, hh Stub (i 32)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Grande rue de la Grange où la succession de la première femme a été dressée
1679 (17.2.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 12) n° 8
Inventarium undt beschreibung aller und Jeder Haab Nahrung undt Güethere, So dem Ehrengeachte, Ehrßame, Undt bescheidenen Mr Niclauß Nonnenmachern dem Büchßenmachern Undt Burgern allhier eigenthümlich zuständig Unndt Er Zu der Ehren Unndt tugendsamen Fr. Margarethæ Löffelstiehlin seines jetzigen haußfrawen alßein Unverändert guth in den Ehestandt gebracht
In Einer In der Statt Straßburg In der großen Stadelgaaßen undt dem allhießigen Mehrern Hospithal gehörigen behaußung hat sich befunden alß Volgt

Nicolas Nonnenmacher et Marguerite Lœffelstiel font leur testament. Outre l’usufruit viager dont fait état l’Inventaire de succession ci-dessous, l’épouse fait divers legs
1684 (14.8.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6084)
Testamentum nuncupativum – Persönlich erschienen ist der Ehrengeachte Niclaus Nonnenmacher, büchsenmacher und beneben Ihme die Ehrn: und tugendsahme fraw Margaretha Löffelstiehlin, beede Eheleuth burgere alhier zu Straßburg, gesundt gehendt undt stehendter leiber, auch guter rechtger ohnverruckter sinnen undt Völligen verstandts (…)
demnach undt Zum andern will die Testirerin Ihren befreündten Johannes Murer d. Küffer, David Murer , dem Pastetenbeck, Hans Ulrich Murer auch Kueffern undt Annæ Mariæ Müllerin allen Zu Reichenweÿer wohnhaft, undt dann Hanß Jacob Murer, Schuhmachern von Kalb dießen fünffen Jdem Zehen Gulden legirt haben (…) drittens Elisabethæ undt Annæ Barbaræ Murerin Legirt die Testireren Jed. 20 guld., Vierdens vermacht erstgedachte Testatrix Ihrer Stieffdochter Jacobe Stornkorbin 8 Reichsthaler (…)
Welches beschehen alhier Zu Straßburg Montags d 14. Aug. St. N. aô 1684. in einer von Mir Noto. bewohnenden ahne dem Stephansplan gelegenen dem Stifft des frawen haußes Zuständigen behausung deroselben Obern vordern Stuben auff ged Stephansplan außsehendt, Zwisch. 11 undt 12. Uhren vormittags, vorstehende Zeügen seindt (…) Joh: Philipp von Carben mein Noti. Scribent
1684, Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5891, Protocole) n° 194

Nicolas Nonnenmacher est élu huissier à la tribu des Maçons le 20 février 1685

Marguerite Lœffelstiel meurt en 1686 après avoir institué les enfants de son mari légataires universels. L’inventaire est dressé dans la maison Grande rue de la Grange. La masse propre au veuf s’élève à 139 livres, celle des héritiers à 274 livres. L’actif de la communauté s’élève à 289 livres, le passif à 489 livres

1687 (9.1.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5884) n° 149 [restitué] [n° abîmé]
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen Haab undt Nahrung so Weÿl. die Tugendtsame Margaretha Löffelstiehlin des Ehrenhafften Meister Niclaus Nonnenmachers, büchßenmachers undt Haupt Kanten beÿ E. E. Zunfft d. Maurer auch burg. alhier Zu Straßburg geweßene Eheliche Haußfr. nunmehr seel. nach Ihrem den 22. 7.bris Jüngst abgewichenen 1686.sten Jahrs tödtlich genommenen Hienscheid. hint. Ihro Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuch. erfordern und begehren des Wohl Ehrenvesten fürsichtig und Wohlweißen H. Georg Christoph Kasten E. E. Großen Raths alten und jetzmahls E. E. Kleinen Raths beÿsitzers in Constofflers Nahmen, so vor Margarethen Nonnenmacherin Zachariæ Zachmanns büchßenmachers zu Durlach eheweib, Vorhand, undt des Ehrenhafften Meister Hannß Jacob Mägels Schuemachers u. burgers alhie Zu gerührten Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Hannß Niclaus undt Salome hinterbliebenen Wittibers erster Ehe erzeugte Kinder, d. Verstorbenen fr. seel. Neben andern so in Künfftigen Ehe, von Ihme wittibern möchten erziehlet werd. per Testamentum Nuncupativum instituirter und Hind.laß: Erben – Welchen beschehen in Straßburg Donnerstags den 9. Januarÿ A° 1687.

Hültzen Werck. Auff d. obern bühn, In der Cammer A, Vor dieser Cammer, Im Keller
Eÿgenthumb ane Einer behaußung so theilbar. It. Hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäuen begriffen. weit. undt Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten, alhier in d. großen Stadelgaß, einseit neben Jacob Gehin dem huthmach. and.s: neben Jacob Baaßen des Landawers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben hind. vf die duhl stoßend geleg. davon geh. Jährlich 10 ß 6 d dem blater hauß alhier lößig mit 12 lb 10 ß, It. 2 lb d dem Closer Zu St. Margarethæ u. Agnes loßig in hauptguth mit 50. lb d It. ferner 2. lb d H Joh: Philipp Braunen XIII. ahie Jährlich auff Annunciationis Mariæ loßig mit restirend. Capital mit 50 lb d th. Zusammen 112 lb d ß sonsten freÿ ledig i. eÿg. u. hiehero wie solche in Anno 1681. erkaufft word. æstimirt u. angeschlag. pro 332. lb. Verbleibt also außzuwerffen üb. obige beschwerdten 219. lb 10 ß. Darüber Vorhand. ein teutsches Pergament: Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangenden Cantzleÿ Contract Insiegel verwahr datirt den 21. Julÿ A° 1681. Dabeÿ befindet sich ein Abrechnung zwischen David Schnellers Kind. undt dem hind. bliebenen Wittiber mit H. Joh: Reinhard Lang eÿgenhändt subscription Verwahrt de dato 29. Novembr. 1681. Dabeÿ ferner ein alte obligation über abgelößte 100. Reichs thle so man Vorgenanten H. Johann Philipp Braunen schuldig geweßen.
Werckzeug und Wahren Zum büchßenmach. handts. gehörig; durch M. hannß Jacob Liecht.feld.n schloß. burg. aljoer æstimirt word.
Copia der Eheberedung (…) So beschehen In des heÿl. Röm. Reichsfreÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 16. Januarÿ Als man nach der Gnadenreichen vnd Seeligmachenden gebuhrt Unßers einigen Erlößers und Heÿland Jesu Christi 1679, David Ösinger Junior Nots.Cæs. Publ. ac Civis Argentinensis
Norma hujus inventarÿ.Copia Eheberedung – Copia Codicilli, Copia Testamenti nuncupativi
Des wittibers ohnverändert eÿgenthümblich v.mög. Inn eine inn d. Statt Straßburg inn d. Jud. aß geleg.er E. E. Zunfft d. maurer Zugehörig. behaußung od. Zunfftstub. befund. word. wie folgt, Sa. haußraths 48, Sa. werckzeugs und wahren Zum büchßenmach. handtwerck gehörig 20, Ergäntzung, durch Hn David Ösing. Notm: publ. in aô 1679 d. 11. febr. auffgerichteten Verlaßenschaffts Inventario (302, abzuziehen 48, rest) 253, Summa summarum 322 lb – Schuld 183 lb; Nach deren Abzug 139 lb
Auff solches wirdt auch d. Erben ohnverändert eÿgenthümblich nahrung beschrieben, Sa. haußraths 43, Sa. Silbergeschmeds 15, Sa. Guldener Ring 6, Sa. Ergäntzung (210, abzuzihen 1, über abzug) 209, Summa summarum 274 lb
Endtichen wirdt nun auch d. Gemein verändert undt theilbahr guth beschrieb. Guldener Ring 2, baarschafft 28, Eÿgenthumb einer behaußung 219, Pfenningzinß hauptgüter 35, Schulden 489, Summa summarum 289 – Schulden 489, Theilbar passiva üb.treffen die theilbar Verlaßenschafft umb 200 lb
Copia Codicilli Reciproci. 1679 (…) der 28. Monathsttag Januarÿ Styli Veteris Vormittag Zwischen 8. und 9. Uhren Vor Weÿl. den Edel Wohl Ehrenvest Großachtbaren und Rechtsgelehrt H. David Ösingern Juniori geschwornen offenbahren Notario (…) in einer in d. freÿ Stat Straßburg beÿ dem Trachengäßlein Legen/ und wohl ermelte, H. Notario David Ösing. seel. eÿgenthümblich zuständig. behaußung, dererselben schreibstuben mit den fenstern in den hoff sehendt, Persönlich kommen und erschienen Seind d. Ehrengeachte Mstr Niclaus Nonnenmacher, Büchßenmacher und die Ehren und tugendsahme fraw Margareth Löffelstiehlin Wittwe Julÿ Friderich Sturmkorbs geweßen Einspenning und burg. allhe Zu Straßb. seel. nachgelaßene Wittib, beede Verlobt und burgere allhier (…), Diewielen dann Weÿl. H. Not. ößig. d. Jünge (…) vor außfertigung dieses Codicills Zeitlich. todt Verfahren, Solchemnach ich Joh: Christoph Schöll Von Wang. gebürtig auß Königl. Maÿ. authorität Macht und gewalt ein offenbahrer geschworner in Straßburg fleißig ersucht und Gebotten word. gegenwärtiges Codicill zu extendiren

Arquebusier et huissier au poêle des Maçons, Nicolas Nonnenmacher loue la maison à la veuve de Jean Balthasar Hatt

1687 (30. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 606-v
Niclaus Nonnenmacher, der büchßenmacher und büttel auff der Maurerstub
in gegensein Annæ Margarethæ weÿl. Johann Balthasar Hatten Wittib, mit beÿstand H. Johann Caspar Weickards, Notar. Publ. ihres Vogts
entlehnt, Eine behaußung, bestehend in einem vorder und hinder hauß mit allen deren Gebäuen und zugehördt, nichts darvon alß eine Cammer im vordern stock, welche d. Verleiher iederzeit verschloßen hat, außgenommen, allhier in der großen Stadelgaß, einseit neben dem hauß Zum Leichtstöckel, anderseit neben Jacob Gähr dem Huthmacher, hinden auff eine duhl stoßend geleg. – umb 3 Pfund 10 schilling 6 d Vierteljährig. Zinßes

Nicolas Nonnenmacher hypothèque une boutique sous la Tour aux Deniers et sa maison Grande rue de la Grange au profit du receveur de Saintes Madeleine et Agnès Philippe Jacques Erhard

1693 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 370-v
Niclaus Nonnenmacher, der Büchßenmacher und büttel auff der Maurer Stub
in gegensein H. Philipp Jacob Erhards, Schaffners zu St. Margarethæ und Agneßen, daß Er Nonnenmacher dem Closter zu St. Margarethæ und Agneßen schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, Ein Gädlein innerhalb deß Pfenningthurns an der Herren Keller, enseit ists ein Eck geg. dem Pfenningthurn, and. seit neben einem Gädlein der Statt Pfenningthurn annoch eÿgenthümlich gehörig, hind. auff die Einquartierungs stub stoßend geleg. darvon gibt man jahr alt 1 lb bodenzinß erstged. Pfenningthurn
So dann hauß, höfflein, hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, Zugehördt Recht. und Gerechtigkeiten allhier in der großen Stadelgaß einseit neben hans Jacob Seÿdenbänder, dem Krempen, anderseit neben weil. Georg Hauffen, gewesenen Pergamenters seel. Erben, hinten auff einen duhlgraben stoßend geleg. darvon gehen jährlich Zehen schilling 6 s. lößig mit 12 lb 10 ß dem blatterhauß allhier

Nicolas Nonnenmacher vend la maison au pelletier Jean Philippe Fleckhammer et à sa femme Marie Ursule Frœreisen. En marge, quittance remise à Paul Kress et Anne Marie Bœrsch, propriétaires de la maison en 1703

1696 (28. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 657-v
Niclaus Nonnenmacher der Büchßenmacher
in gegensein Hans Philipß Fleckhammers deß Kirschners und Mariæ Ursulæ geb. Fröreÿsin, mit beÿstand Andreæ Mentzers auch Kirschners
hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Recht. und Zugehörd. allhier in der großen Stadelgaß, einseit neben H. Johann Martin D’autel, J.U. Ddo anderseit neben Christoph Pesch dem Zirckelschmid, hind. auff die gemeine duhl stoßend geleg. darvon gehend jährlich 10 ß 6 d dem blatterhauß, lößig mit 12 lb 10 ß, so seÿe solche behaußung auch noch umb 100 gulden (und umb 100 gulden Capital verhafftet), geschehen umb 362 pfund
[in margine :] Margaretha geb. Nonnenmacherin, Zachariæ Zachmanns des Büchsenmachers Haußfrau, so dann Johann Niclaus Nonnenmacher auch Büchßenmacher, beede hie Vorged. Niclaus Nonnenmachers deß Verkäuffers seel. hinterlaßene Kinder, haben in gegensein Paul Kreßen des Kachlers und Annæ Maræ geb. Börschin, alß iezmahliger besitzer hierinn beschriebener in der großen Stadelgaßen gelegener behaußung (Quittung), den 8. oct. 1703

Fils de pelletier, Jean Philippe Fleckhammer épouse en 1691 Marie Ursule Frœreisen, fille de sellier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 33)
1691 – den 15. Aug. seind Copulirt Worden Joh: Philips Fleckhammer lediger kirschner Joh: Philips Fleckhammers kirschners v: burgers alhie hinterlassener sohn v. Jungfr. Maria Ursula, hanß Georg fröreißens Sattlers V. burgers alhier hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Philippus fleck hammer als hochzeitter, marriia ursla frereisen als hochzeiterin (i 34, procl. Saint-Pierre-le-Jeune i 32)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue de la Douane. Ceux du mari s’élèvent à 27 livres, ceux de la femme à 205 livres.
1691 (26. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 14) n° 42
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehrenhaffte Meister Johann Philipp Fleckhammer der Kürßner vnd die Ehren und tugendsahme Fraw Maria Ursula Fleckhammerin Gebohrne Fröreißin, beede Eheleuth vnd burgere alhie Zu Straßburg einander Crafft Zwischen Ihnen Auffgerichteter Eheberedung für unverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrung der Ursachen halben, damit man sich Künfftiger Zeit der Ergäntzung wegen desto beß. zu reguliren haben möchte, vorgenommen – Actum in fernerem beÿsein Frauen Ursula Gebohrner Beÿerbachin weÿl. Andreæ Steinbachs Geweßenen Sattlers alhier seeligen Wittib als der frawen Lieben Mutter und H. Hannß Jacob Schwartzen deß Seÿlers derselben noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, So dann H. Andreæ Metzgers deß Jüngern Kürßners alß deß Manns Schwagern Mittwochs den 26.ten Septembris A° 1691.

In einer Alhier Zu Straßburg nahe dem Kran Gelegener v. in dieße Nahrung nicht gehöriger behaußung befunden worden Wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Ohnv. Vermög. Sa. hßraths 31, Sa. Wahren u. Werckzeugs Zim Kürßner handwerck gehörig 2, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 1, Summa summarum 27 lb
der Fr. Ohnverändert Vermög, Sa. haußraths 102, Sa. Silbers 5, Sa. Guldenen Ring 6, Sa. baarschafft 65, Sa. Pfenningzinß hauptguht 25, Summa summarum 206 lb

Jean Philippe Fleckhammer loue la maison au chandelier Pierre Jobert

1702 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 55-v
Joh: Philipp Fleckhammer
in gegensein Pierre Jober Chandeliers [unterzeichnet] P
entlehnt, in sein Fleckhammers hauß allhier in der großen Stadelgaßen einseit neben Hn Ddo Dautel anderseit neben (-) hinten auf ein gräbel stoßend gelegen nachfolgende gemach u. gelegenheiten, nemlichen den gantzen vorderen stock nichts darvon außgenommen, beneben dem hoff u. gärthelin, wie auch der gerechtigkeit seine soldaten in der hinteren soldaten cammer dergestalt zu logiren, daß Er, der entlehner, alle zeith die logirung 14 Tag u. der bewohner deß hinteren thuns die dritte woche haben, auch ein bett in sothane Cammer fourniren solle, auf ein jahr lang anfangend auf A. Mariæ 1702 – um einen jährlichen Zinß nemlich 17 lb

Marie Ursule Frœreisen meurt en 1706 dans une maison de location aux Grandes Arcades en délaissant six enfants. La masse propre au veuf s’élève à 6 livres, celle des héritiers à 222 livres. L’actif de la communauté s’élève à 325 livres, le passif à 178 livres
1707 (14.4.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 29) n° 16
Inventarium über Weÿland der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Maria Ursulæ Fleckhammerin, Gebohrner Fröreißin, Herrn Johann Philipp Fleckhammers Kürßners und burgers zu Straßburg geweßener Ehelicher Haußfr. seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1707 – nach ihrem den Letzten Decembris nechst abgelegten 1706.ten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren des Ehren vorgeachten H. Andreæ Mentzers, auch Kürßners vnd burgers alhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Philippßen, Anna Salome, Johann Georgen, Johann David, Gottfrieds vnd Johann Daniels, aller Sechs geschwüsterd, der Verstorbenen Fr. seel. mit Vor vnd nach gemeltem ihrem hinderbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder, Vnd Zu Sechß gleichen portionen vnd Antheilern ab intestato nachgelaßener rechtsmäßiger Erben, Vorgenommen, ersucht und inventirt – Actum Donnerstags den 14. Apr. 1707.
Copia Heuraths Verschreibung perge in Prot: E fol: 346., Copia Codicilli Reciproci perge in Prot: F. fol: 139-a

In einer alhier Zu Straßburg ane der Großen Gewerbslaub gelegener: und in diße Verlaßenschafft nicht gehöriger behaußung befunden worden wie Volgt.
In der Wohnstuben, In der Stub Cammer, Im Haußöhren, Im hindern Stübel, In der Kuchen
Ergäntzung deß Wittibes unveränderten Gutts, Auß dem über beeder Eheleuth. Zugebrachte Nahrungen in A° 1691. Auffgerichteten Inventarÿ ist Zuergäntzen wie volgt.
Norma hujus inventarÿ. Des Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 1, ß Silbergeschmeids 1, Sa. Ergäntzung 28, Summa summarum 30 lb – Schuld 37, Nach deren Abzug 6 lb
Dießem nach wird auch d. Kinder undt Erben unverändert Vermög. beschrieben, Sa. haußraths 28, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. Pfenningzinß hauptguths 25, Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzung 125, Summa summarum 222 lb
Endlich wird auch das Gemein Verändert und theilbar Gutt beschrieben, Sa. hausraths 47,Sa. Wahren und Werckzeugs Zum Kürßer handwerck gehörig 64, Sa. Frucht 1, Sa. Wein und Vaß 10, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Baarschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptgutts 150, Sa. Schulden 17, Summa summarum 325 lb – Schulden 178 lb, Nach deren Abzug 146 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 361 lb.

Jean Philippe Fleckhammer se remarie en 1707 avec Marie Jacqueline Mentzer, fille de pelletier
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 181, n° 33)
1707. Eod. [Mitwoch den 12.ten 8.br.] Seind nach 2.mähl. Proclamation ehel. copulirt word. Joh. Phil. Fleckhammer b. Kürßner vnd wittwer allhier vnd J. Maria Jacobea, weÿland H. Andreß Mentzers gewesenen burgers vnd Kürßners allhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Philipus Fleckhammer Als hochzeiter, maa& Jacobe Mentzerin Als hochzeiterin (i 180)

Jean Philippe Fleckhammer meurt en 1724 en délaissant une fille issue de son premier mariage. L’inventaire est dressé dans une maison de location Grand rue face au poêle des Maréchaux. La masse propre à la veuve est de 146 livres. L’actif de la communauté et de l’héritière s’élève à 168 livres, le passif à 161 livres.
1725 (7.2.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 12) n° 300
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Meister Johann Philipp Fleckhammers, geweßenen Kürßners und burgers zu Straßburg nun seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1725 – Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab v. Nahrung so Weÿl. der Ehrengeachte Meister Johann Philipp Fleckhammer, geweßener Kürßner und burger zu Straßburg nun seel. nach seinem den 26.ten Wbris nechst Zurückgelegten 1724.sten jahre genommenen tödlichen Absterben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Gebührenes freündliches ansuchen erfordern u. begehren der Ehrn: u. tugendsamen Frawen Annæ Salomeæ Gantzerin gebohrner Fleckhammerin des Ehren Vorgeachten Mr Johann Georg Gantzers deß Schneiders und alhießig. burger, Ehelicher haußfrauen, so mit beÿsitzer erstgemelt Ihres haußwürths dem geschäfft in person beÿgewohnt, deß Verstorbenen seel. mit auch Weÿl. Fr. Maria Ursula geb. Fröreißin seiner erstern haußfr. auch längst seel. Ehelich Erzeügt: und ab intestato nachgelaßener einig. Erbin Vorgenommen, ersucht und Inventirt, durch die Ehren v. tugendsame Fraw Mariam Jacobe geb. Mentzerin die hinderbliebene Wittib beÿständlich deß Ehrengeachten Mr Philipp Andres Mentzers Kürßners u. burgers alhier derselben geordnet und geschworenen Vogts – So geschehen in Straßb. Mittwochs d. 7. Februarÿ A° 1725.
Copia der Eheberedung, pge. in Prot. sub L. A. F über Weÿl. H. Not. Joh: Heinrich Lang. Sen. seel acta folio 161.a er seqq.

In einer alhier Zu Straßburg ane der lang. Straß gegen der Schmid Zunfftstub hinüber gelegener und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörig. behaußung befunden worden wie volgt.
Norma hujus inventarii, Der Wittib unverändert Vermög. betr. Sa. haußraths 3, Sa. Silbergeschirrs 4, Sa. d. goldenen Ring 2, Sa. Schulden 62, Sa. Ergäntzung 75, Summa summarum 146 lb
Solchemnach wird auch wowohl der Erben unverändert und /:weilen die Wittib mit Consens ihres Vogts auf dem theilbaren gutt anzustehen nicht Geneigt:/ die theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 24, Sa. der Zum Kürßner handwerck gehörigen Wahren 42, Sa. Silbers 1, Sa. Pfenningzinß gutts 100, Summa summarum 168 lb – Schuld 161 lb, Deducendo 7 lb
Stall Summ 153 lb

Jean Philippe Fleckhammer et Marie Ursule Frœreisen vendent la maison 487 livres au potier Paul Kress et à sa femme Anne Marie Bœrsch

1703 (13.7.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 307
(487) Joh: Philipp Fleckhammer kürschner u. Maria Urßula geb. Fröreißin [unterzeichnet] Johann Philipus Fleckhammer
in gegensein Paul Kressen kachlers u. Anna Maria geb. Börschin [unterzeichnet] bauluß Kreeß
Hauß, Höfflein, Hoffstatt mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeit allhier in der Großen Stadelgaß einseit neben Hn Joh: Martin D’autel u. J. Ddo anderseit neben Georg Werdemann Kunst u. schönferbern hinten auf die gemeine duhl stoßend gelegen, darvon gehen jährlichen 10 ß d dem blatterhauß lößig mit 12 lb 10 ß, 100 fl, 100 fl, 200 lb, capitalien und 175 pfund
[in margine :] weÿl. Joh: Philipp Fleckhammer geweßten kürßners einige tochter und universal Erbin Anna Salome Johann Harttmann Schmidt des Schneiders Ehefrau in gegensein Daniel Löschmeÿer des Lebküchlers der oberwehnte behaußung am 7. Januarÿ jüngst erkaufft, (Quittung) 4. apr. 1737

Fils du cultivateur Thierry Kress à Neustadt an der Aisch, Paul Kress devient bourgeois le 23 août 1700.
1700, 3° Livre de bourgeoisie p. 1227
Paulus Kreß der Haffner von Neüstatt Weÿl. dietrich Kreßen gew. baursmanns daselbst hint. sohn erkaufft das burgerrecht pro 2. Gold fl. V. 16. ß so bereits auff dem Pft: erlegt worden, vnd wird beÿ E.E. Zunfft der Maurer dienen, Jur. d. 23. Aug. 1700

Paul Kress devient tributaire chez les Maçons le 7 septembre
1700, Protocole de la tribu des Maçons (XI 233)
(f° 160) Dienstags den 7.ten Septembris 1700. – Neu Zünfftiger
Paulus Greß der Haffner Von der Newstatt prod. Schein, auß der allhießigen Cancelleÿ de dato 23. Aug. 1700. so auch Zugleich von den Herren dreÿern der Statt Stall und herren Rent Meister Böckhler subscribirt, dabeÿ die præstanda præstirt, als ist Erkandt, daß Er gegen erlag der Gebühr vor ein Zünfftigen angenommen sein solle.
(Pfenningthurn 1 lb, Zunfftm. 1 lb 5 ß, Zß et b. 14 ß (zusammen) 2- 9, dt. 1 lb 18 ß und verspricht den rest in vier wochen auch Zu bezahlen.

Paul Kress épouse en octobre 1700 Anne Marie von Bœrsch, fille d’un cordeur de bois : contrat de mariage, célébration
1700 (12.10.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften und bescheidenen Meister Paulus Kreßen Ledigen Kachlern und burgern alhier, dem hochzeiter ane Einem
So dann der tugendsammen Jfr. Annæ Mariæ Von Börsch, weÿland Wolfgang von Börsch geweßenen holtzlegers auch burgers alhier Zu Straßburg seel. hinderlaßener ehelichen dochter der Hochzeiterin andern Theils
So beschehen und Verhandelt in der Königl. freÿen Statt Straßb. auf dinstag d. 12. 8.bris A° 1700 [unterzeichnet] xx dießes ist deß hochzeiters Mst Paulus Kreßen eigen handzeichen, o o dieß ist der Jfr. hochzeiterin Annæ Mariæ von börsch eig. handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 101)
1700. Domin. XVII et XVIII post Trinit: proclamati sunt Paulus Ulrich Kreß gebürtig von Neustatt an der Eÿß, weÿl. dietrich Kreß geweßenen hopffhändlers Und burgers in gemelter Neustatt nachgel. ehl. Sohn V. Jfr. Anna Maria, Weÿl. Wolffgang Von Börsch geweßenen holtzlegers V. burgers alhie nachgel. ehl. tochter, Copulati sunt Mittwoch d. 13. 8.br [unterzeichnet] xx Paulus Ullrich Kreßen alß hochzeiters ist dieses beÿzeich, O D Ist das beÿzeichen Jfr Annä Mariä Von Börsch hochzeiterin (i 103)

Paul Kress hypothèque la maison au profit du fabricant de courroies Jean David Schweinle

1715 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 281
Paul Kress hafner [unterzeichnet] Kreß
in gegensein Joh: Davidt Schweinle Riemenschneiders – schuldig seÿe 50 pfund [unterzeichnet] Schweinlein
unterpfand, sein hauß c appert: allhier in der großen Stadelgass, einseit neben dem Liechtstöckel anderseit neben Winterlin gelegen

Paul Kress hypothèque la maison au profit du conseiller Abraham Habrecht

1721 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 346
Paul Kreß Kachler
in gegensein H. Abraham Habrecht E. E. großen Raths beÿsitzers – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, ein hauß höfflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der großen Stadelgaß, einseit neben Johann Georg Winterling weißgerber anderseit neben Heinrich Stöber dem Nadler hinten auff die gemeine dühl, davon gibt man jährlich 10 ß 6 dem Blatterhauß lößig mit 12 lb 10 ß

Paul Kress meurt en 1722 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs. Les experts estiment la maison 650 livres. La masse propre à la veuve est de 61 livres. L’actif de la communauté s’élève à 759 livres, le passif à 453 livres. La maison revient pour deux tiers à son frère cadet Léonard Kress, boucher établi à Strasbourg et fils adoptif du défunt d’après l’inventaire après décès dressé en 1737, et pour un tiers à la veuve

1722 (19. 9.br), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 13) n° 291
Inventarium undt Beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte Meister Paulus Kreß der geweste Kachler undt burger allhier Zue Straßburg nach seinem den 21. Februarÿ dieses lauffenden 1722.sten Jahes genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Ersucht durch die Tugendsame Frau Annam Mariam Kreßin gebohrne von Börsch die hinterbliebene Wittib beÿstandl. Mr Johann Friderich Müllers des Kachlers und burgers alhier ihres geschwornen vogts – Actum Straßburg in fernerem gegenwart deß Wohl Ehrenvest und Rechtsgelehrten herrn Joh: Gerhardt Bicken Exsenatoris, Donnerstag den 19.t Novembris 1722.
Der Eingangs gemelt Verstorbene hat per Testamentum nuncupativum Zu Erben instituirt undt verlaßen alß volgt 1. Hannß Kreß den Kieffer zu Rietenshaußen in Franckenladt, 2. Johannes Kreß den Nagellschmidt Zu Neustatt ahne der Eÿsch, 3. Peter Kreß den Schuhmacher Zu Wollau in der Wettteraw wohnhaft, 4. Gertrud Kreßin deß testirers schwester dero auffenthalt ohnwißendt, In welchen 4. vnberburgerter Erben Nahmen den wohl Edel vest undt großachtbahrn Herr Joh: Kornmann vornehmen Banquier und E. E. Kleinen Raths allhier jetzmahliger wohlmeritirter beÿsitzer alß auß gedacht Raths mittlen vermög prod. urt. vom 18. hujus hierzu insonderheit deputirter herr dem geschäfft in persohn beÿgewohnt, So dann 5. den Ehrengeachten Leonhard Kreß metzger undt burgers allhier so selbst Zugegen gewesen Also alle 5 sein des verstorbenen per Testamentum nuncupativum instituirte Erbe Zugleich. Antheillen

Inn Einer allhier in der Statt Straßb. in der großen Stadelgaß gelegenen undt hernach beschriebener behaußung hat sich befunden alß volgt.
Hültzenwerck. Cammer A, In der Soldaten Cammer, Cammer B, In der Wohnstub, In dem haußöhren – Bücher
Werckzeug undt Wahren Zum Kachler handwerck gehörig (T.) so durch Mstr Joh: Martin örtell v. Mstr Abraham Schieb die beede Kachler undt burger alhier Volgendter maßen dem werth nach taxirt wordt.
Erstl. das Kachell werck so wohl gebrannt als ungebrandt durch undt durch per 12 fl, th. 6 lb
It: Vor Unterschiedliche Klein und großer Möttell 9 fl, 4 lb 10 ß
It: Ein Scheibe, Mühl undt beeder 8 fl, 4 lb
It: die gebrannt als ungebrandt geschürr per 3 fl, 1 lb 10 ß
It: Vier weiße Erdt undt Leimen 4 lb, Summa 20 lb [Original joint, (im Keller Etwas Von Ertz aber Nichts davon gesagt Kan Werden)]
Eÿgenthumb ane Einer behaußung so theilbar undt wehrnder Ehe erkaufft (T.) It: Eine behaußung, Hoff, Hoffestatt, und hindter gebäu sambt übriger Zuegehört, Recht undt gerechtigkeit allhier in der Statt Straßburg in er großen Stadelgaß gelegen, 1. s. Neben hannß Geörg Winderling dem weißgerber, 2.s Neben hannß Heinrich Stöber dem Nadler hindten auff E. E. Zunfft Stub der Tücher Stoßend welch vermög deß beÿ dem Concept befindlich. Abschatzungs Scheins vom 18.ten 9.br 1722 durch die allhiesige bede geschworne Werckmeistere vor freÿ ledig und Eigen æstimirt und angeschlagen worden umb 1300. fl. th. 650 lb. Die darüber besagende Kauffbrieff haben Sich dermahlen beÿ dießer inventation keiner nicht befunden sondern sollen dem gegebenen bericht nach beÿ E: E: Kleinen Rath allhier hinderlegt seÿn auch sindt die auff sothaner behaußung stehende Capitalia hernacher passive eingetragen befindlich
Norma hujus invent: Copia der Eheberedung, Copia Testamentum nuncupativi, Bericht weegen beeder seit Zugebrachter Nahrung mit dero Ergäntzung betr.
Es hatt Sich beÿ gegenwärtiger Inventation nach verleßung der hievor inseriten Eheberedung §° 4° eräugent daß Sich Zwar beede geweßte Eheleuth mit Einander verglichen daß alles das jenige so Eines der andern ane Zeitlicher Nahrung in den Ehestandy Zubringen undt wehrender deßelben Ererben wird Ein verändert guth seÿn und verbleiben (…)
der Wit: ohnv: guth anlangend. Sa. haußraths 27, Sa. Silbers v. gesch. 3, Sa. gold Ring 7, Sa. der Activorum 22, Summa summarum 61
Letzlichen so wird nun auch d. Gemein veränd. v. T. g: beschrieben, Sa. hausraths 72, Sa. Werckzeugs v. waar: Zum Kachler hdw: geh. 20, Sa. Silbers 1, Sa. Eÿgth. ane i. behaus. 650, Sa. Activorum 15, Summa summarum 759 lb – Passiva 453 lb, Verbleibt 305 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 344 lb – Verstallungs Summa 298 lb
Abschatzung d. 18.ten 9.bris: anô: 1722: Weÿlandt deß Ehrenhafften Vnd bescheÿtenen: Meister Paulus Kreß Kachler: Seel: hinder Laßenen: Frau Witib, Vnd Erben, ist Eine behaußung Alhie in der Statt Straßburg, inn der Großen Stattell gaßen gelegen Ein seits Neben Hanß Görg Winderling, Weiß gerber, Ander seith Neben hanß Heinrich Steberth. Nadtler hinden Auff E: E: Zunfft der Tuchen stoßend, Welche behaußung hoffstatt Stuben, Kammern hauß Ehren darin einen Härdt Vnd Wasserstein, Ein Werckhstatt warin Ein Klein Offen, hauß Ehren, Gewölbder Keller, Ein Klein Neben gebeÿell Mit breÿt Zügell gedeckt darunder Ein Kämmerlin, Vnd brunnen, Ein Kachler brennoffen, Ein Aldt hinder gebeÿell, so schlecht ist höffell, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith, Wie solches durch der Statt Straßburg, Geschwohre, werckh Leüthen: in der besichtgung befunden, Vnd dem Jetzigen Preiß Nach Abschatzung wirt Vor, undt um Ein Tausent dreÿ Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworenen Werckleuth. [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Anne Marie von Bœrsch hypothèque la maison au profit de Salomé Brackenhoffer veuve du professeur de théologie Jean Nicolas Hartschmidt

1722 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 177-v
Anna Maria geb. von Börsch weÿl. Johann Paul Kreß haffners wittib beÿständlich Johann Friedrich Müllers auch haffners ihres Curatoris /:wobeÿ ferner erschienen Johann Leonhard Kreß Metzger der debitricis schwager, verbürgt
in gegensein Fr: Salome geb. Brackenhofferin weÿl. Hn. Johann Niclauß harttschmidt Dr. et professoris Theologiæ wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Eliæ Brackenhoffers Exsenatoris – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt allhier in der großen Stadel: gaß, einseit neben Stöber dem Nadler anderseit neben Winterling dem weißgerber hinten auff einen dohlen

Anne Marie von Bœrsch se remarie avec le potier Jean Kilien Gradel, originaire de Fürth près de Deux-Ponts : contrat de mariage, célébration
1723 (2.7.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 28
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Kilian Gradel dem ledigen Haffner, weÿl. des Ehrengeachten Meister Johann Jacob Gradels, auch geweßenen haffners Zu Zweÿbrücken nun seel. hinderlaßenem ehelichem Sohn, als dem Bräutigamb, ane einem
So dann der Tugendsame frauen Annæ Mariæ, gebohrner Von Börß, weÿl. des Ehrengeachten Meister Paul Greßen gewesenen haffners und burgers allhier seel. hinderbliebenen Wittib, als der hochzeiterin, ane dem andern Theil
So beschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg in mein des Notarÿ Wohnbehaußung ane dem alten Weinmarckt gelegen in beÿsein Hn H. Georg Hammerers Schneiders und Mstr Georg Andreas Hucken, haffernes beeder des hochzeiters beÿständere, So dann Mstr Joh: Friderich Müllers auh haffners der hochzeiterin geschwornen Vogts und H. Gerhard von Stöckken E. E. Großen Raths jetzig wohlverdienten beÿsitzers, auff Freÿtag den 2. Julÿ A° 17223. [unterzeichnet] Johann Kilian graden als hochzeiter, + der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 62-v, n° XIV)
1723. Dominica VI. et VII. Trinit. proclamati sunt, Johann Kilian Gradel der ledige Haffner v. burgers alhier Weÿl. Johann Jacob Gradel gewes. Haffners v. burger (Zu) daselbsten nachgelaß. ehl. Sohn und Fr. Anna Maria Von Börsch Weÿl. Pauus Kreßn geweß. Haffners v. burg. nachgel. Witib, copulati sunt Mittw. d. 14. Julÿ [unterzeichnet] Johann Kilian gradel als hochzeiter, + der Hochzeiterin handzeichen (i 67)

Jean Kilien Gradel devient bourgeois quelques jours après son mariage
1723, 4° Livre de bourgeoisie p. 895
Johann Killian Gradell d. Kachler Von Fürth beÿ Zweÿ brucken geleg. geb. erhalt das burgerrecht von seiner ehefr. Anna Maria weÿl. Paul Kreßen gewes. b. undt Kachlers alhier hinterlaßene wtb. umb die tertz des alten burger schillings will beÿ E E Zunfft d: Maurer dienen Jur: d 19.t Julÿ 1723.

Jean Kilien Gradel devient tributaire chez les Maçons le 23 juillet
1723, Protocole de la tribu des Maçons (XI 235)
(f° 88-v) Donnerstags den 22. Julÿ 1723 – E. Neu Zünfftiger
Johann Kilian Gradel Haffner der haffner Von Fürth beÿ Zweÿbrucken, so Mr Paul Greßen wittib geheurathet, producirt Cantzleÿ: Pfenning thurn: vnd Stallschein vom 19.ten Julÿ, bittet Ihn Vor einen Zünfftigen anzunehmen
Erkandt, willfahrt (dt. vor den Pfenningthurn 1 lb, Zunfftrecht propter uxorem 5 ß, Zunfftschrbr und büttel 4 ß, summa 1 lb 9 ß)

L’héritier Léonard Kress épouse en 1722 Dorothée Niefferlin veuve du boucher Jean Frédéric Karcher : contrat de mariage, célébration
1722 (27.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 69
Heuraths Project Zwischen dem Ehren: und Vorgeachten Leonhard Kreßen dem Ledigen Metzger von Neustatt an der Aisch gebürtig, weÿl. Johann Dietrich Kreßen des Ackersmanns daselbsten nunmehr seel. hinderlaßenem Sohn, als dem bräutigamb, ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Frauen Dorotheæ Karcherin gebohrner Niefferlingin, weÿl. Mr Johann Friderich Karchern des Metzgers Vnd burgers allhier hinderlaßener Wittib, als der frauwen hochzeiterin, ane dem andern theil, getroffen
So geschehen in Straßburg in beÿein Mr Johann Friderich Müllers des haffners und burgers allhier, auf sein des bräutigambs, So dann auf Ihro der frauen hochzeiterin seithen herrn Jacob Gering des Einspennigers und burgers allhier, Ihres Schwagers, auff Freÿtag den 27.ten Februarÿ Anno 1722. [unterzeichnet] Johann leonhard Kreß als hoch Zeiter, Dorothea Karcherin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 54, n° V)
Anno 1722. Dominica Reminiscere et Oculi proclamati sunt Johann Leonart Kreß, der ledige Metzger V. burger alhier, Weÿl. Johann dietrich Kreß geweßenen burgers V. Ackersmanns zu Neustadt an der Eusch nachgelaß. Ehl. Sohn und fr. Dorothe geb. Nieferlingin, weÿl. Johann Friderich Karcher, geweß. Metzgers V. burgers alhier nachgelaßener Wittib. Copulati sunt Mittwoch d. 11. Martÿ [unterzeichnet] Johann Leonhard Kreß als hoh zeiter, Dorothe Karcherin als hoch zeiterin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Petites Boucheries qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 16 livres, ceux de la femme à 326 livres.
1722 (24.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 8) n° 175
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren vndt Vorgeachte Mr Johann Leonhard Kreß der Metzger und die Ehren und tugendsahme Frau Dorothea Kreßin gebohrne Niefferlingin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen allweilen Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteter heuraths Verschreibung expressé enthalten daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt vnd ohnverändert sein vnd bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehren: Vnd Vorgeachten herrn Jacob Garings, des Einspennigers und burg. alhier der Frauen geliebten Schwagers und des Ehrengeachten herrn Johann Georg Niefferlings des Schuhmachers Vnd burgers allhier er frauen geliebten bruders auf Freÿtag den 24.ten Aprilis Anno 1722.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kleinen Metzig gelegenen Und der frauen vor ohnverändert gehörigen behaußung, befunden worden wie volgt
Antheil ane einer Behausung und Metzgerbanck. (F.) Zween drittetheil vor ohnvertheilt ane einem Metzgerbanck ambt d. behausung darüber under der Kleinen Metzig allhier (…)
Zu Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Silbergeschmeids 3, Darzugelegt die Helffte ane denen haussteuren 12 lb, Belaufft sich also des Manns Völlig in die Ehe gebracht guth in allem 16 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 147, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. Antheils ane einer behaußung 972, Sa. Schuld 5, Summa summarum 1145 lb – Schulden, Nach solchem Abgang 374. Darzu kombt ferner die helffte ane denen haußsteuren 12, Ist alßo der Frauen Völligen in die Ehe Gebracht Vermögen in allem 386 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in die Nahrung zugeltend so die Frau in die Ehe gebracht 5 lb

La tribu des Maçons consent à Kilien Gradel un prêt garanti sur sa maison

1730, Protocole de la tribu des Maçons (XI 236)
(f° 23-v) Dienstags den 7.ten Martÿ 1730. – Eodem Wurde Ferner proponirt, daß Kilian Graden der Haffner auf sein hauß ane der großen Stadelgaß 200. fl. prætendire, Und habe H. Pflug das hauß besichtiget, welcher es Zu allen Zeiten Vor 1200. fl. schätze vnd stunden mehrers icht als 400 fl. daroben, von welchen er aber 100 fl. abbezahlen wolle.
Erkandt, wan sonsten nichts aiff den hauß stehen, könne man Ihme die 200 fl. à fünff pro Cento geben vnd beedes in der Contract stuben verschreiben Laßen, Vnd seÿnt Hr Rathh. Städel, Hr Rathh. Zäpffel und H. Dr Scheid darzue abgeordtnet, vnd in abwesenheit H. Rath. Städels H. Georg Friedrich Stroehlin.

Anne Marie von Bœrsch meurt en 1731 après avoir institué comme héritier son mari aux termes de leur contrat de mariage. Les experts estiment la maison 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 194 livres, le passif à 51 livres.

1731 (11.7.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 35) n° 325
Inventarium über Weÿl. der tugendsamen Frauen Annæ Mariæ Gradelin, gebohrner von Börsch, des Ehrengeachten Meister Johann Kilian Gradels, Haffners und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Haußfrauen nunmehr Zeitlichen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1731 – nach Ihren den 31.ten Maÿ dießes lauffenden 1731.sten Jahrs aus dießer Mühesamen Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Meister Johann Kilian Gradels des hinterbliebenen Wittibers, als Welcher der abgeleibten seel. hinterlaßene Nahrung, Sie bestehe warinnen Sie immer Wolle, in Crafft hernach inserirter Eheberedung §° 6.to weilen dieselbe ohne hinterlaßen ehelicher Kinder und leibl. Erben Verstorben, ane sich eigenthümlich Zu Ziehen berechtiget – So beschehen in beÿseÿn und Persönlicher gegenwarth des Ehrengeachten Meister Johann Leonhard Greßen des Metzgers und burgers allhier, der Verstorbenen ersteren haußwürths seel. eheleibliche, bruders und Von Ihme dem erstern haußwürth, mit und beneben deßen 4. übrigen Geschwüsterden p. Testamentum instituirten Erben wie auch frauen Dorotheä Greßin geb. Niefferlinin deßelben Ehefrauen ingl. Abraham Kolben Not. pub. et Pract. auch b. allhier, deroselben erbettenen H. Assistenten, auff Mittwoch den 11 Julÿ A° 1731.

In einer allhier zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Zum theil gehörigen und hernach beschriebenen behaußung, befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, Im Haußöhren, In der Soldaten Cammer, In der obern Stub, In der Stub Cammer, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung (EET) Eine behaußung, Hoff, Hoffstatt, bronnen und hindergebäu, mit allen übrigen deren begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane d. großen Stadelgaß, einseith neben Johann Georg Wintherlings des gewesenen Weißgerbers nachgelaßener Wittib, and.seit neben Johann Georg Stöber dem Nadler, hinden auff E: E: Zunfft d. Tucher Zunfft stub und vornen auff gedachte große Stadelgaß stoßend, so durch (die Werckmeistere) laut des Zu dem Concept geliefferten Abschatzungs Zedull vom 9.ten Julÿ 1731. angeschlagen Vor 600. lb. Wavon aber wiederumb abzuziehen hernach stehende auff der Behaußung hafftende beschwehrden. Erstl. ane statt der in der Verstorbenen erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft Inventario auff dem Stifft St. Marx passivé eingetragene 11 lb d solle man dem Stifft des Blaterhaußes in Straßb. Wehrungs Capital 25. fl. so Jährl. auf Weÿhenachten mit 10 ß 6 d zu 4 pro Cto. gerechnet, Zinnßbar, thut in hießigem Current 13 lb 2 ß 6 d, It. solle mann dem Stift Stæ Margarethæ allhier in haubtguth so Jährl. auff Trium Regum mit 2. lb d Zu 4. pro Cento gerechet verinteressirlich 50 lb, It. solle man H. Joh: Braunen Med. Dri nun seel. etwann, modo Hn Johann Leonhard Kuhffen dem handelßmann allhier deselben Tochtermann ane Capital so jährlich auff d. 25. Martÿ mit 2. lb d auch Zu 4. pro Cto. gerechnet, Zinnß bar 50. lb, It. solle man Mstr Johannes Fleckhammer dem Kürßner allhier ane haubtguth, so Jährl. auff Joh. Baptistæ mit 4.lb. Zu 4 pro C.to verinteressiret wird 100 lb, It. solle man Weÿl. Herrn Rathh. Habrecht nun seel. etwann nunmehro aber E. E. Zunfft der Maurer allhier ane hauptguth so Jährlich auf den 5. Maÿ mit 5. lb Zu 5. pro Cento gerechnet verpensionirlich 100 lb. Und dann solle mann weÿl. H, Johann Nicolai Hartschmidts S. Stæ Theol. geweßenen Dris et Prof. publ. allhier seel. nachgelaßener Frau Wittib so jährlich auff den 13. Maÿ mit 3. lb 15 ß ad 5 pro Cto gerechnet, Verzinßlich 75 lb, Welche bereits beÿ absterben mehr erwehnten Mstr Paul Greßen, der Verstorbenen ersteren Ehewürths seel. auff dießer Behaußung gestandene und noch würcklich hafftende Capitalia zusammen antreffen 388. 2 ß 6 d. Solche von obigem anschlag abgezogen, so restiret ane der æstimaton des haußes dißorths annoch außzuwerffen 211 lb 17 ß. Wie obgedachter Paul Kreß diese behaußung Von Johann Philipp Fleckhammern dem Kürßner allhier Käuffl. ane sich gebracht, weißet i. perg. in allh. C C sub dato 13. Julÿ 1703. gefertiget und mit d.selben größern Ins. Verwahret Kauffbrieff m. N° 1 Sig., Dabeÿ weiter i. teutsch. perg. Kauffbrieff in ermelt. CC stuben gefertiget Weißend wie gedachter Joh: Philipp Fleckhammer solche bß. von Niclaus Nonnenmacher dem Büchßenmacher und b. allhier erkauffet, dat. d. 28. Xbris 1696. mit N° 2 bezeichnet
Werckzeug und Wahren Zum Haffner Handwerck gehörig. Solche seind durch Meister Isaac Bolender und Mstr Johann Georg Feurstein beede haffnere und burgere allhier, dem Stalltax nach angeschlagen worden, wie Volgt
(W.) Die Mödel und formen seind geachtet umb 5 lb
das gebrannte und ohngebrande geschirr, ist geschätzt pro 2, die Vorhandene Weiß u. roth Erd ist taxirt für 5 ß
das gebrannte und ohngebrande Kachelwerck, wurde angeschlag. Vor 2 l 10,
Der Vorhandene Werckzeug zum handwerck gehörig, bestehen in 3 alten schüben 1.r alten Ertz mühl, 3 alten schürstangen, sambt allen übrigen Zu solchem handwerck gehörigen Kleinigkeiten trifft dem Vorschag nach zusammen 4 lb 10 ß
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Hiebeÿ ist mit wenigem Zu anden, weilen die Verstorbene seelige allenfalls die sene Zu erst ohne hindelaßung ehelich mit einander erzeugte Kinder und leibs Erben dieses Zeitliche quittiren würde, Ihre gesambte haab, nahrung und Gütheren, sie bestehe warinnen Sie immer wolle, dero geweßten in dero mit einander auffgerichteten hier Vorn copialiter einverleibten Eheberedung §° 6.to Zu einem wahren und ohn wiederrufflichen Eÿgenthum verschrieben und nun der fall sich auch dergestaten begeben, daß Sie frau Gradelin ohne hinderlaßung ehelich erzeugter Kinder und Leibes Erben Verstorben, mithin dero gesambte Verlaßenschafft Ihne dero hinterbliebenen Wittiber erb: und eigenthümlich angefallen, Als hat mann dazumahlen Sie beede geweßte Ehepersohnen ihro einander in die Ehe zugebrachter nahrung ohne dem nich haben inventiren laßen eines Jeeden ohnveränderten Vermögen, beÿ so bewandten umbstände nicht separirt sondern die gantze Verlaßenschafft sie seÿe gleich dem hinderbliebenen Wittiber in die Ehe gebracht oder aber in wehrender Ehe erkaufft und gemacht, unter einer Massa, als dem hinderbliebenen Wittiber alleine und eigenthümlichen gehörig, geschrieben (…)
Des Wittibers wie auch der Verstorbenen seel. eigenthümliche Nahrung, Sa. haußraths 9, Sa. Wahren Zum Haffner handwerck gehörig 15, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring. 4, Sa. Antheils ane einer behaußung 70, Sa. Schulden 66, Summa summarum 194 lb – Schulden 51 lb, Nach deren Abzug 142 lb
Gantze Verlaßenschafft, Conclusio finalis Inventarÿ 244 lb
Wÿdemb Welchen die Verstorbene seelige Von weÿl.Mstr paul Kreßen dem geweßenen haffner und burger allhier ihrem ersten Ehemann seel. lebtägig genoßen (…)
Copia der Testamenti. 1721 (…) auf Sambstag den 3. May abends Zwischen 7, 8 und 9 Uhren inn Einer allhier in der Königlichen freÿen statt Straßburg in der sogenannten großen Stadel Gaß gelegenen und Heinrich B[-] Zuständiger Behaußung in deßen Wohnstub mit den Fenstern auf den Hoff außsehend (…), Abraham Kolb Notarius juratus.
Abschatzung d 9. Julÿ aô 1731. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Johann Kilian Gradel Kachler ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der grosen Stadelgaßen gelegen, ein ists neben hannß Geörg Winterling gewesenen Weißgerbers seel. hinterlaßenen Wittib, anderseits Neben hannß Geörg Stöber Nodlern hinten auf E.E. Zunfft der ducher stosent, Welche behausung Neben alt hintergebäulein, Stuben, Cammeren, Soldaten Cammer hauß Ehren mit herd und Waßerstein, Esch Kasten Kachler Werckstatt, Kachler bren offen gebälckter Keller, höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen, Werckheuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preis Nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend und Zweÿ Hundert gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Jean Kilien Gradel passe un contrat de mariage avec Anne Catherine von Hipsheim veuve du chapelier Jean Jacques Bechtold mais il meurt avant la célébration.
1732 (21.3.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 72
Eheberedung – Johann Kilian Gradel, Haffner, Wittiber und burgern allhier, als hochzeiter mit beÿstand H Johann Leonhard Greß, Metzgers und burgers allh. (und Joh: Gottlob Nödel haffners beede) seines Schwagers ane einem
So dann Frauen Annæ Catharinæ Bechtoldin gebohrner von Hipßheim weÿl. Mr Johann Jacob Bechtold, gewesenen huthmachers und burgers allhier nachgelaßener Wittib beÿständlich hrn Tobias Gundelwein Gastgebers auff E E Zunfft der Gerbere und Johann Philipp von Grießbach Rothgerbers Ihres Schwagers beeder burgern allhier am andern theil
Actum Straßburg auff Freÿtag den 21. Martÿ Anno 1731 [unterzeichnet] Johann Kilian gradel alß hochzeiter, Anna Catharina bechtoltin Als hochzeiterin
[in margine :] der sponsus ist vor der Copulation verstorben

Jean Kilien Gradel meurt en 1732 en délaissant des héritiers collatéraux. Il est propriétaire d’un tiers de la maison du chef de sa femme. L’actif de la succession s’élève à 203 livres, le passif à 243 livres.

1732 (25.6.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 39) n° 362
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten Meister Johann Kilian Kradels gewesenen haffners und burgers allhier nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1732 – nach deme derselbe den 13. dieses Monaths Junÿ Von dem lieben gott aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt angefordert worden zeitlichen hinder sich verlaßen – So beschehen Zu Straßb. in fernerer gegenwarth herrn Johann Leonhard Kreßen des Metzgers und burgers allhier des abgeleibten vor Ihme Verstorbenen Ehefr. geweßenen Ehemanns nahmens Paul Greßen, auch geweßenen haffners und burgers allhier, Von deme dieselbe einen wÿdemb zugeniesen hatte, Eheleibl. bruders und von Ihme dero erstern haußwürth mit und beneben deßen vier übrigen geschwisterden per Testamentum instituirter Erben wie auch Fr. Dorotheä Kreßin geb. Niefferlerin sein H. geweßen Ehefr. auff Mittwoch den 25. Junÿ 1732.
Denominatio hæredum. Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Elisabetham Reinländerin geb. Gradelin, Meister Sebastian Reinländers, weißgerbers und burgers Zu Türckheim, hochgräfflich hartenburgischer herrschafft Ehefrau, deßelben älterer Schwester, so beede abwesend und 2. Annam Ottiliam Zillerin geb. Gradelin, meister Bernhard Zillers becken Zu Zweÿbrücken Ehegattin deßen Jüngerer Schwester, deren Ehevogt dem Geschäfft Persönlich beÿgewohnt, Welche beÿde Schwestern aber diese Erbschaffr anderer Gestalts nicht als cum beneficio legis et Inventarÿ anzutretten wie erstgedachter Mr. Ziller hiebeÿ außtrucklichen anzeigte, sich Vernehmen laßen. Und ist in dieser frembden Erben Nahmen noch ferner erschienen der Wohl Ehrenveste großachtbahre undt weiße Herr Sigmund Völckenhauer Stattschloßer und E. E. Kleinen raths dermaligen wohlmeritirter beÿsitzers, als aus Ehrengeachten Kleinen Raths Mittel Zu diesem Geschäfft in specie deputirter herr.

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen dem Verstorbenen seel. Zum theil eigenthümlich zuständigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, In der Gesell Cammer, Im Haußöhren, In der Wohnstub
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung, Hoff, Hoffstatt, bronnen und hinder gebäu, mit allen übrigen deren begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane d. großen Stadelgaß, einseith neben Johann Georg Wintherlings des gewesenen Weißgerbers nachgelaßener Wittib, anderseit neben Johann Georg Stöber dem Nadler, hinden auff E: E: Zunfft d. Tucher Zunfft stub und vornen auff gedachte große Stadelgaß stoßend, so beÿ des abgeleibten seel. Verstorbener Ehefr. auch seel. Verlaßenschafft Inventation den 9.ten Julÿ 1731. durch (die Werckmeistere) angeschlagen worden per 600. lb. Wavon aber wiederumb abzuziehen hernach stehende auff der Behaußung hafftende beschwehrden. Erstl. ane statt der in der eigangs gedachten Meister Paul Greßen des Verstorbenenn seel. geweßenen Vorfahren auch seel. Verlaßenschafft Inventario auff dem Stifft St. Marx passivé eingetragene 11 lb d solle man dem Stifft des Blaterhaußes in Straßburger Wehrungs Capital 25. fl. so Jährl. auf Weÿhenachten mit 10 ß 6 d zu 4 pro Cento gerechnet, Zinnßbar, th. in hießigem Current 13 lb 2 ß 6 d, Item solle mann dem Stifft Stæ Margarethæ allhier in haubtguth so Jährl. auff Trium Regum mit 2. lb d Zu 4. pro Cento gerechet verinteressirlich 50 lb, Item solle man H. Joh: Braunen Med. Dri nun seel. etwann, modo Hn Joh. Leonhard Kuhffen, dem handelßmann allhier, deselben Tochtermann ane Capital, so Jährl. auff d. 25. Martÿ mit 2. lb d auch Zu 4. pro Cento gerechnet, Zinnßbar 50. lb, Item. solle man Mr Jacob Fleckhammer dem Kürßner allhier ane haubtguth, so Jährl. auff Joh. Baptistæ mit 4. lb Zu 4 pro C.to verinteressiret wird 100 lb, Item solle man Weÿl. Herrn Rathh. Habrecht nun seel. etwann nunmehro aber E. E. Zunfft der Maurer allhier ane hauptguth, so Jährlich auf den 5. Maÿ mit 5. lb Zu 5. pro Cento gerechnet verpensionirlich 100 lb. Und dann solle mann weÿl. H, Joh. Nicolai Hartschmidts S. Stæ Theologiæ geweßenen Dris et Prof. publ. allhier seel. nachgelaßener Frau Wittib ane Capital, so Jährl. auff den 13. Maÿ mit 3. lb 15 ß ad 5. pro Cto gerechnet, Verzinßlich 75 lb, Welche bereits beÿ absterben mehr erwehnten Mstr Paul Greßen, des Verstorbenen Vorfahren seel. auff dießer Behaußung gestandene und noch würcklich hafftende Capitalia zusammen antreffen 388. lb 2 ß 6 d. Solche von obigem anschlag abgezogen, so restiret ane der æstimaton des haußes (dißorths) annoch (außzuwerffen) 211 lb 17 ß. Waren obgedachter Meister Paul Kreßen hinderlaßener Wittib und nachmals Gradelischer Ehewürthin ein dritter Theil gehörig ware, welcher nach dero tödlichen hintritt auff Ihren hinderlaßenen Wittiber den nunmehro auch Verstorbenen Meister Joh: Kilian Gradel eigenthüml. gekommen und dahero dißorts außzuwerffen mit 70. lb 12 ß 6 d.
Die übrige 2/3.te theil seind eingangs vermeldeten H. Joh: Leonhard Kreßen dem Metzger eigenthümlichen Zuständig. Wie offterwehnter Meister Paul Kreß längst seelig dieße behaußung Von Joh. Philipp Fleckhammern dem Kürßner allhier Käufflichen ane sich gebracht, weißet i. pergament. in allhießiger Cancelleÿ Contract Stuben gefertigter v. mit deroselben größerm Insiegel Verwahrter Kauffbrieff de dato 13. Julÿ 1703. mit N° 1 notirt., Dabeÿ weiter j. teutsch. pergam. Kauffbrieff in ermelter Canc. Contract stuben gefertiget, weißend wie gedachter Joh: Philipp Fleckhammer solche behaußung von Niclaus Nonnenmacher dem Büchßenmacher v. burg. allhier erkauffet, dat. den 28. Dec. 1696. mit N° 2 bemerckt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 53, Sa. Wahren und Werckzeugs Zum Haffner handwerck gehörig 11, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 6 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 70, Sa. Schulden 63, Summa summarum 203 lb – Schulden 243 lb, Passiv onus 42. lb

Jean Léonard Kress meurt en 1734 en délaissant deux enfants dont l’un est mort peu après son père et les deux enfants issus du premier mariage de la veuve. La maison est portée au même prix qu’à l’inventaire de 1732. La masse propre à la veuve présente un excédent passif de 155 livres, celle des héritiers s’élève à 103 livres, l’actif de la communauté à 608 livres, le passif à 264 livres.

1735 (4.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 41) n° 932
Inventarium und Beschreibung aller derjengen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿland der Ehren: und Wohlvorgeachte Meister Johann Leonhard Kreß der geweßene Metzger und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Montags den 15.ten Novembris des Zurück gelegten 1734.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und wohlvorgeachten herr, Jacob Gehrings des Einspännigers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderich und Catharinä Dorotheä der Karcher der nachgelaßenen Wittib in Erster Ehe mit auch Weÿl. Mr Joh: Frid. Karcher dem ebenmäßig geweß. Metzger und burgern allhier seel. ehelich erziehlter Zweÿer Kinder ingleichem des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Kreßen, des Sattlers und burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Leonhard Kreßen des Verstorbenen seel. mit hernach benahmbste seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlten Sohns aller dreÿen beneben Catharina Kreßin dem seithero nach dem Vatter Verstorbenen, und dahero von der hinterbliebenen Wittib, alß deßen eheleiblichen Mutter geerbten töchterlein theils ab intestato und theils Krafft hernach eingetragener Ehepacten §.pho 8.vo Zu Vier gleichen portionen und antheilern Verlaßener Rechtsmäßige Erben ersucht und inventirt, durch die Ehren: und tugendsame Frau Dorothem Kreßin gebohrner Niefferlrin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren und Wohlvorgeachten Meister Johann Friderich Kochen des Metzgers und burgers allhier Ihres geschwornen Vogts – So Beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 3.ten Martÿ Anno 1735.

In einer allhier zu Straßburg ane der vorstatt Cronenburger Straß gelegenen und in dießer Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Obern Cammer, Vor dießem Gemach, Auf dem gang, In der Wohnstub, In dero Stub Cammer, Im haußöhren, Im Keller, Im Hoff, Im Stall, auff der Bühn, In der Soldaten Cammer, Im Keller, Im Hoff, Im Stall, Auff der bühn – Im hauß In der Stadelgaß, In der Soldaten Cammer
Antheil ane haüßern und einem Metzig banck. (W.) Erst. Zween dritte theil Vor ohnvertheilt von und ane einem Metzger banck sambt der behausung darüber under der Kleinen Metzig (…)
(E.) It. Zween dritte theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung, hoff, hoffstatt, Bronnen und hindergebäu, mit allen übrigen deren begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der großen Stadelgaß einseit neben Joh: Georg Bolender dem Jüngern haffner, anderseit neben Joh: Heinrich Stöber dem Nadler hinden auff E: E: Zunfft der Tucher Zunfft Stub stoßend, Von dießer gantzen behaußung gehen Jährl. auf Weÿhenachten 10 ß 6 d à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes dem Stifft des allhießigen Blaterhaußes redimibel in Straßburger Wehrungs Capital mit 25. fl. So in Courrant außzuwerffen mit 13 lb 2 ß 6 d, It. 2. lb d auch à 4. pro Cento gerecheten Zinnßes solle mann dem Stift Stæ Margarethæ allhier Jährl. auff Trium Regum ablößig in haubtgut mit 50. lb, It. 2. lb ebenmäßig à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes, reicht mann Hn Johann Leonhard Kuhffen dem handelßmann und burgern allhier Ehevögtlicher weis, jährl. auff Annunciationis Mariæ widerlößig in Capital mit 50. lb It. 4. lb d gleicherweiße à 4 pro Cento gerechneten Zinßes weÿl. Mr Joh: Philipps Fleckhammers des Kürßners und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib Jeweilen auf Joh. Bapt: redimibel in haubtguth mit 100. lb, It. 5. lb d à 5 pro Cento gerecheten Zinss solle mann E: E: Zunfft der Maurer allhier Jährl auf den 5. Maÿ ablößig in Capital mit 100. lb, So dann 3. lb 15 ß d auch à 5. pro Cento gerechneten geldzinnßes, solle mann weÿl. H, Johann Nicolai Hartschmids S. Stæ Theologiæ geweßenen doctoris et Professoris publici allhier seel. nachgelaßener frau Wittib, jährl. auf den 13. Maÿ redimibel in Capital mit 75. lb. sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und ist die völlige behaußung über vorher beschriebenen beschwärden in dem über weÿl. Mr Johann Klian Gradels des geweßenen Haffners und burgers allhier seel. Verlaßenschafft durch Hn Notarium Johann Daniel Langen in Anno 1732. auffgerichteten Inventario fol: 37. fac: 2.da durch der Statt Straßburg geschwornen herrn Werckmeistere angeschlagen, dabeÿ es auch dißmahlen gelaßen wird pro 211. lb 17 ß 6, Machen daran die hiehero gehörige Zween dritte theil 141. lb 5 ß
Und ist der übrige eine tertz in vorgedachten Mr Johann Kilian Gradels seel. Verlaßenschafft für ohnvertheilt gebühren. über die gantze behaußung besagen Zween teutsche pergamentene in Allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertigte und mit dero anhangendem Insiegel verwahrte Kauffbrieff de datis 28.ten Xbris Anno 1696 t 13. Julÿ Anno 1703. mit alten Nis 1 et 2 signirt
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach besag Inventarÿ über beeden geweßenen Eheleuthe einander für unverändert in en Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1722. durch mich Notarium Johann Lobstein auffgerichtet (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 23, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring. 4., Sa. Antheils ane einer behaußung und einem Metzig banck 347, Erg. 124, Summa summarum 533 lb – Schulden 689 lb, Übertreffen alßo der Wittib ohnveränderte zu bezahlen habende Passiva deroselben Völlige Vorhandene Activ Massam umb 155 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 28, Sa. Antheils ane einer behaußung 141, Sa. Schuld 30, Erg. übertrifft der Abgang, Summa summarum 199 lb – Schulden 96, Detrahendo 103 lb
Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 48, Sa. Kuhe 3, Sa. Kalbfell 25, Sa. Strohes 2, Sa. Silbers 14 ß, Sa. Baarschafft 54, Sa. Schulden 474, Summa summarum 608 lb – Schulden 264 lb, In Vergleichung 344 lb
Gantze Verlaßenschafft, Conclusio finalis Inventarÿ 291 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in des Erben zugeltend 5
Abschatzung den: 23. februarÿ: 1735. Auff bëgehren weiland deß achtbahren und bescheten Johann Lienhardt Krëßen deß geweßenen Metzgers see. hinder Laßenen frau wittib und Erben ist eine Metzger banck

Registre de vente
1736 (9. 8.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 45) n° 1041
Verkauff: und Erlöß Register, inhaltend und außweißend alles dasjenige was abe weÿland des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Leonhard Kreßen geweßenen Metzgers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Dorothea Kreßin gebohrner Niefferlingin beeder geweßener Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinderlaßen, vorderen Sterb behausung ane der Kleinen Metzig gelegen

Le sellier Jean Frédéric Kress rend compte de la gestion des biens qui appartiennent à Jean Léonard Kress, compagnon boucher qui s’est engagé dans les armées françaises, fils de Jean Léonard Kress et de Dorothée Niefferlin
1746 (26.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 62) n° 1414
Rechnung Mein Johann Friedrich Kreß, Sattlers und burgers als geordnet und geschworenen vogts Johann Leonhard Kreßen des Ledigen Metzgers Knechts welcher sich nunmehro in Königlichen frantzösischen diensten befindet, weÿland Meister Johann Leonhard Kreßen des geweßenen Metzgers mit auch weÿland frauen Dorothea geb. Niefferlingin beeder nun seeligen erzeugt Sohns

Le tuteur de Jean Léonard Kress et celui des deux enfants Karcher, issus du premier mariage de sa femme et adoptés par le défunt Jean Léonard Kress, vendent la maison au fabricant de pain d’épices Jean Daniel Lœschmeyer et à sa femme Barbe Ott

1737 (7.1.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 11-v
weÿl. Johann Leonhard Kreß des Metzgers mit weÿl. Dorothea geb. Niefferlinin erzeugten einigen Kinds Johann Leonhard Kreß geschworner vogt Johann Friedrich Kreß der Sattler und ged. Niefferlinin in erster Ehe mit weÿl. Johann Friedrich Karcher, gewesten metzgers, erzielte beeder Kinder Johann Friedrich Karcher ledigen Metzgers und Dorothea Karcherin, beede von obgedachtem Johann Leonhard Kreß in auffgerichteten Ehepacten adoptirter Kinder, geschwornen Curator Jacob Göring der Einspänniger, weither weÿl. Johann Kilian Gradel des haffners geschwisterden und ab intestato nachgelaßene Erben Elisabetha geb. Gradelin Sebastian Reinländer des weißgerbers und burgers zu Dürckheim gräfflich. Leining. Harttenburgischer herrschafft Ehegattin und Fr. Ottilia geb. Gradelin Bernhard Ziller des Becken zu Zweibrücken Ehefrau gerichtlich abgeordneter mandatarius H. Rathh. Georg Daniel Meinicken
in gegensein Johann Daniel Löschmeÿer des Lebküchlers und Barbaræ geb. Ottin, am 30. junÿ 1736 vorgenommenen am 4. Augusti obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der großen Stadelgaß, einseit neben Isaac Bolender dem haffner anderseit neben Heinrich Stöber dem ältern Nadtler hinten auff Johann Friedrich Teutsch dem gastgeber zur Lucern, darzwischen ein gemeinschaftlichen dohlen ist – davon gibt man d. Blatterhauß 10 ß 6 jährlich mit 12 lb 10 hauptguth ablößigen zinß – verhafftet um 50, 100, 75 und 50 pfund – als ein weÿl. Paul Kreß des haffners und Anna Maria geb. Börschin am 13. Julÿ 1703 erkaufftes guth, sein Kreßen bruders als universal Erben Johann Leonhard Kreßen seel. ehelich und adoptirten kinde zu 2/3 theil und ihr Börschin ersten Ehemanns obged. Gradels, deme sie ihre hauß tertz in errichteten Ehepacten für eigen verschafft hat, Geschwisterden und Erben zum übrigen dritten theil – um 740 pfund und oberwehnte 287 pfund

Jean Daniel Lœschmeyer et Barbe Ott hypothèquent aussitôt la maison au profit du boulanger Jean Georges Dürr

1737 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 16
Johann Daniel Löschmeÿer der Lebküchler und Barbara geb. Ottin mit beÿstand ihrer schwäger Andreas und Diebold der Lux beeder fischern
in gegensein Johann Georg Dürr des Becken – 600 pfund
unterpfand, Ein am 7. hujus erkaufft und aus jetzigem vorschuß grösten theils bezahlten Behausung hinderhauß, höffl und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der großen Stadelgaß, einseit neben Isaac Bolender dem haffner, anderseit neben Heinrich Stober dem ältern nadtler, hinten auff Johann Friedrich Teutsch dem gastgeber zur Lucern darzwischen ein gäßlein oder gemeinen dohlen – davon gibt mann hiesigen Blatterhauß 12 lb 10 ß

Jean Daniel Lœschmeyer termine en octobre 1713 son apprentissage auprès du boulanger Jean Erard Schwing
1713, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 161) Dienstags den 10.ten Octobris – (Siegelgeltt 5 ß d. dt.)
Daniel Löschmeÿer Von hier gebürtig Meister Hannß erhard Schwing der Weißbeck erscheint mit seinem geweßenen Jungen Daniel Löschmeÿer Von hier gebürtig und bittet weilen die Lehrjung Verfloßen und Sie mit einander Zufrieden selbigen gerichtlich ledig Zusprechen. Erkant, auff Erlag 11 ß d Vor alle Gebühren seÿe Ihnen willfahrt.

Jean Daniel Lœschmeyer épouse en 1727 Cléophée Wœlffel, fille de fabricant de pain d’épices, qui s’est mariée en premières noces en 1719 avec le cordonnier Isaac Frœreisen
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 40-v, n° III)
Anno 1719. Festo Paschatos & Dominica Quasimodo geniti proclamati sunt Isaac Fröreisen der ledige Pasteten: beck V. burger Abraham Fröreißen burgers V. Schuhmachers alhie ehel. Sohn V. Jgfr. Anna Cleophe Weÿl. Johann Jacob Wölffels gewes. burg. V. Lebküchlers alhie nachgelaßene Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 19. April. [unterzeichnet] Isaac Fröreisen als hochzeiter, Anna Claua Wöeffelin als hochzeier (i 45)

Contrat de mariage, célébration
1727 (1.7.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 24) n° 175
Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Johann Daniel Löschmeÿer, ledigem becken, weÿl. Joh: Jacob Löschmeÿers geweßenen schwb. undt burgers allhier Zu Straßb. Nachgelaßenen Ehelichem Sohn hochzeitern ane Einem
So dann der Tugendbegabt Fr. Cleophe Fröreißin gebohrner Wölffelin weÿl. Isaac Fröreißen geweßenen lebküchlers auch burgers alhier nachgelaßener Wittib, hochzeiterin, anders theils
So beschehen undt verhadelt in der Königl. Statt Straßburg auff Dienstag den 1. Julii 1727. [unterzeichnet] Johan Daniel lösch Meÿer alß hochzeiter, Anna Klöue froreisen Als hozenein

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 86-v, n° XV)
Anno 1727. Dominica VII et VIII Trinit. proclamati sunt Daniel Löschmeÿer, der ledige Weißbeckh V. burger alhier, Weÿl. Jacob Löschmeÿer geweßenen Weißbecken V Burgers alhie nachgelaßener ehel. Sohn und Fr. Anna Cleophe geb. Wolffelin Weÿl. Isaac Fröreißen geweßenen Lebküchlers v. burgers allhie nachgelaßene Wittib. Copulati sunt Mittwoch d. 6. Augusti [unterzeichnet] Johann Daniel Leschmeÿer als hochzeiter, Anna Klöffe frereise alß hozeitin (i 91)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Coin Brûlé. Ceux du mari s’élèvent à 71 livres, ceux de la femme à 257 livres.
1727 (11. 8.br), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 15) n° 343
Inventarium undt Beschreibung aller Haab undt Nahrung so Joh: Daniel Löschmeÿer der lebküchler undt fr. Cleophe gebohrner Wölfflin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßb. Einandter für unverändert in den Ehestandt gebracht, Welche auf Ansuchen undt begehren ihr beeder Eheleuthe – Actum Straßb in fernerem beÿsein Herr Michell Denniche des Schreiners und burgers allhier der Ehefr. Kindts voriger Ehe vogts, auff Sambstag den 11. 8.bris 1727.
Inn Einer allhier in der Statt Straßb. beÿm Brenden Endt gelegener im Rohraffen genannten H. Stahl dem Weißgerbern Zuständigen behaußung hat Sich befunden
Der Ehefr. Söhnleins Voriger Ehe Pfetter Göttel undt geschenkt gelts, Johann Fröreißen genannt
Summarischer Calculus. des Ehemanns Nahr. Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 7, Summa summarum 71 lb
der Fr. Nahr. Sa. haußraths 147, Sa. Silbers 18, Sa. goldener Ring 8, Sa. baarschafft 83, Summa summarum 257 lb
Summa haussteuren ist 28 ln, Macht Jeedem zur helffte 14 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 357 lb

Jean Daniel Lœschmeyer fait appel devant les Quinze de l’amende que la tribu du Miroir lui a infligée pour avoir vendu du massepain et des pains de sucre pendant les foires. La tribu se fonde sur un règlement de 1662. Le pétitionnaire répond qu’il souhaite bénéficier des mêmes droits que les étrangers pendant les foires. Le représentant du Miroir convient ignorer si Jean Daniel Lœschmeyer a vendu de telles marchandises en-dehors des foires. Les Quinze réduisent l’amende. L’expédition formule clairement que le requérant n’a pas le droit de vendre les marchandises incriminées.
1729, Protocole des Quinze (2 R 134 et 135)
Daniel Löschmeÿer der Lebküchler Ca. E E Zunfft Zum Spiegel
(p. 406) Sambstag d. 4. Decembris 1728. Gug nôe Daniel Leschmeÿer burgers und Lebküchlers C. E E Zunfft Zum Spiegel H. Zfft Meister H Bequin prod. Appl. Klag sambt beÿlag N° 1. Gug bitt Cop. und T. Ord. Obt. [notes, p. 317]

(p. 419) Sambstag d. 18. Decemb. 1728. Gug nôe Daniel Löschmeÿer Cit. E E Zunfft Zum Spiegel H. Zunfft Mr. erholt Appl. Klag Vom 4. huj. bitt umb Deputation, nomine Comparente bitt des botten relation, f. Ille des Zunfftmeisters Ehefrauen, Erkant Soll beÿ gelt gebotten werden. sambt beÿlag N° 1. Gug bitt Cop. und T. Ord. Obt. [notes, p. 327]

(p. 9) Sambstag d. 15. Januarÿ 1729. [Nôe] Daniel Leschmeÿers Cir. E. E. Zunfft Zum Spiegel Hn Zfft Meister erhalt nochmahl prod. vom 4. und Recess vom 18. Xbr. jüngst , bitt Deput. Fuchß prod. Except. Bitt auch umb Deput. et facta relatione g. Z. Erkennen wie in producto. Gug bitt auch Deput. und facta relatione wie in seinem producto. Erk. Wird mit gebetterer Deput. willfahrt.

(p. 24) Sambstag d. 5. Febr. 1729 [bas de page abîmée]
Ober Handwerck Herren laßen per Eundem [(Secretarium) referiren, daß] Daniel Löschmeÿer der Lebküchler den [-] Zum Speigel angeklagt worden [-] Zuckerbrod verkauffe, wißen des [-] jedoch mit der Anzeig [-] (p. 25) geschehen, worauff nach genommenen Bedacht d. 18. N[ov.] auch jüngt beÿ ged. Gericht erkandt worden, daß ged. Löschmeÿer wegen Verbrechens die in Mghh. Decret de A° 166[2] deßwegen enthaltene Straaf der 5. lb d Zu erlegen schuldig sein solle, Von welchem Bescheid Löschmeÿer an Mggh. appellirt, undt den 4. Xbris jüngst contra E. E. Zunfft Zum Spiegel Eine Appellations Klag mit beÿlag N° 1 /:darinnen er bittet Ihme Von angesetzter Straaf der 5. lb gnädig Zu absolviren, anbeÿ Zu erlauben daß er in b[eed]en Meß Zeiten gleich wie den Frembden, dergleichen Waahren nebst der seinigen offentlich Verkauffen dörffe:) und ged. Zunfft Meister d. 15. Januarÿ auch jüngst s[eine] undt.ge Exceptiones juncto petito, producirt. Ille ließt beedes ab, und berichtet so fort, daß auff geschehener Remission der Appellant nochmahlen behauptet daß er nur in der Meßzeit sothane Zuckerbrod verkaufft, und beÿgesetzt, er seÿe nicht selbst beÿ E. E. Zunfft gericht erschienen, weilen er damahl nicht hier gewesen seÿe.
Nahmens E. E. Zunfft Zum Spiegel hätten H. Louis Beguin, und H. Not. Marbach sich auff eine ordnung Vom 1. Martÿ 1662. beruffen /:Krafft deren die Lebküchler undt Pastetenbecken des Marcipans, Biscuits, Macronen und anderen Zuckerwerckhs, so in die Zuckerbecken handtierung einlaufft, Zu machen, undt Zu bachen, sich beÿ straaff 5. lb. gäntzlich enthalten sollen:). Auff welches der Appellant nochmahl berichtet, es seÿe in der Meß geschehen, da so gar auch denen Frembden dergleichen feÿl Zu haben, undt Zur Verkauffen erlaubt seÿe. Worauff H. Beguin versetzet es seÿe Zu anfang der Meß gewesen, da Gegner sein Zuckerbrod Verkaufft habe, ob er aber dergleichen auch außerhalb der Meß Verkaufft, das wiße er nicht.
Auff seithen der Herrn Depp. finde man daß der Appellant nach claren inhalt des allegirten Decreto mit Fug seÿe gestrafft worden, jndeme er schnur strackh darwider Zuckerbrod gemacht und gebachen habe, man vermeine aber daß weilen er selbiges Zur Meßzeit, da denen Frembden allerhand allhier feÿl Zu haben erlaubt ist, Verkaufft, Ihme vor dieses mahl gnad Zu erweißen undt die Straaff auff Ein pfund d zu moderiren, jedoch derselbe auch Zugleich in die auffgeloffene unkosten Zu condemniren seÿe, die Genehmhaltung zu Mghh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

(p. 30) Sambstag den 12. Febr. 1729. Fuhß nôe E E Zunfft Zum Spiegel alten H.? Zfft M. Ppal bitt [communication des] bescheidts C. Leschmeÿer. Erk. Willfahrt.

(p. 46) Sambstag d. 19. Febr. 1729.
Bescheid. Sambstags d. 5. Febr. 1729. In Sachen Daniel Löschmeÿers des burgers undt Lebküchlers allhier Appellanten ane einem, entgegen u[ndt ent]wieder E. E. Zunfft Zum Spiegel Herrn Zunfft Meister [H. Louis] Bequin, Appellaten am andern theim, Auff pr[oducirt] underthänige Appellations Klag sambt beÿlag N° 1 [mit] angehenckem bitten Ihme den Appellanten von an[gesetzter] Straaf der Fünff pfundt d. gnädig Zu absolvir[en, anbeÿ] Zu erlauben, daß er in beeden Meß Zeiten gleich [wie den] Frembden Zuckerbrod und dergleichen Waahren n[ebst der seinigen] offentlich Verkauffen dörffe. Exceptiones, geb[ettener] undt beseßener Conferentz auch all übrige [angehörte vor und] anbringen, Ist der Herrn Deputirten abgelegter Relation auch mit Urthel Zu recht erkandt, daß was den letztern punct anbelangt, das begehren abgeschlagen den erste aber betreffend die dem Appellanten angesetzter Straaff Vor dieses mahl auß bewegenden ursachen auff Ein pfund d zu moderiren seÿe. Alß seÿ* hiemit respective abschlagen und moderiren, jedoch auch den Appellanten in die auffgeloffene unkosten salvâ taxâ condemniren.
Zu Mgh. stellend, Ob Sie dießen Auffsatz alß genehm halten und daß selbiger expedirt und dem petenten Zugestellert werden solle, erkennen wollen. Erk. quoad sic.

(p. 48) Sambstag den 26. Febr. 1729. Gug nôe Daniel Löschmeÿer bitt gn. Comm/. des C. E. E. Zunfft Z[um Spiegel] Jüngst ergangenen bescheidts. Erk. Willfahrt.

Jean Daniel Lœschmeyer se remarie en 1730 avec Marie Dorothée Steinmetz, fille de serrurier : contrat de mariage, célébration
1730 (11.3.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 24) n° 176
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten herrn Johann Daniel Löschmeÿer dem Lebküchler undt wittiber auch burgern allhier alß hochzeitern ane Einem,
So dann der Ehren undt Tugendbegabten Jgf. Maria Dorothea Steinmetzin, Weÿl. Mstr. Heinrich Jacob Steinmetzen deß geweßenen Schloßers undt burgers allhier nachgelaßener Ehelicher dochter der Jfr. Hochzeiterin andern theils
Actum Straßburg auff Freÿtag den 11. Martÿ anno 1730. [unterzeichnet] Johan Daniel löschmeÿer alß hoch zeder, Maria dorotea Sein metzin alß hoch Zeitterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 100-v, n° VI)
Anno 1730. Festo Paschal. et Domin. Quasimodo proclamati sunt Daniel Löschmeÿer der Leb Küchler V. burger alhier, V. Jgfr. Maria Dorothea Weÿl. Heinrich Jacob Stein Metz geweßenen Schloßers V. burgers alhier nachgelaß. ehel. Tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 19. April. [unterzeichnet] Johann Daniel Leschmeÿer als hochzeiter, maria dorothea Stein metzin alß hochzeitin (i 105)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Coin brûlé. Ceux du mari s’élèvent à 121 livres, ceux de la femme à 133 livres.
1730 (13.5.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 15) n° 347
Inventarium über deß Ehrengeachten H. Johann Daniel Löschmeÿer Lebküchlers undt der Tugendsamen Frawen Mariæ Dorotheæ gebohrner Steinmetzin beeder Eheleuthe undt burgern allhier Zu Straßburg Einandter für Unverändert in den Ehestandt zugebrachter zeitlcher Nahrungen, auffgerichtet Anno 1730. – Actum Straßburg in fernerem beÿsein Joh: Jacob Steinmetzen Schloßers undt burgers allhier der Ehefr. bruders auff Sambstag den 13.ten Maÿ 1730.
Inn einer allhier zu Straßburg an breden Endt gelegener Zum Rohraffen genanter H. Georg Philipp Stall dem Weisgerber Zuständigen und von Ihnen Eingangs berührten Eheleuthen lehnungs weiß bewohnendter Behaußung Sich befunden alß volgt.
Calculus. Deß Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 163, Sa. Silbers 14, Sa. gl. Rings 1, Sa. baarschafft 4, Summa summarum 184 – Pass. 63, Rest 121 lb
der Ehefr. Nahr. Sa. Haußraths 98, Sa. Silbers 4, Sa. gl. Rings 8,Sa. baarschafft 21, Summa summarum 133 lb
Haussteuren 34, Macht die Helffte 17 lb

Les préposés de la taille dispensent Jean Daniel Lœschmeyer de faire dresser l’inventaire des biens (après la mort de Marie Dorothée Steinmetz), déjà décrits à l’inventaire des apports du 13 mai 1730.
1732, Livres de la Taille (VII 1177), f° 136
Johann Daniel Löschmeÿer der Lebküchler producirt Inventarium über Zugebrachter Nahrung den 13° Maÿ 1730. per H. Not. Kolb aufgerichtet, und bittet solches für sufficent anzunehmen und wegen kürze der Zeit zu erspahrung der Ohnkosten fernerer Inventur zu befreÿen.
Der Kinder Vogt Johann Georg Meÿer der Gürtler declarirt daß ihme wohl wißend seÿe, daß kein errungen Guht außfallen könne, und consentirt in das petitum.
Erkannt Willfahrt

Jean Daniel Lœschmeyer se marie en troisièmes noces avec Marie Barbe Ott, fille de boucher : contrat de mariage, célébration à Illkirch
1732 (3.7.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 24) n° 178
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten herrn Johann Daniel Löschmeÿer dem Lebküchler undt wittiber auch burgern allhier alß hochzeitern ane Einem,
So dann der Tugendtsamen Jgf. Mariæ Barbaræ Ottin, Weÿl. Heinrich Otten deß gewesten Metzgers auch burgers allhier hinderlaßener Ehelicher dochter der Jfr. Hochzeiterin andern theils
Actum Straßburg auff Donnerstag den 3. Julÿ 1732. [unterzeichnet] Johan Daniel löschmeÿer alß hoch zeder, Maria bara ottin Alß hoch Zeiterin

Mariage, Illkirch (luth.)
MDCCXXXII. d. 27 Julÿ sind auff Erlaubnus Ihro Gnad. Regirend. H. Ammeisters in Strasb. Zum 1 und 2 mal Zugleich ausgeruffen und 30. huj. ehl copulirt und eingesegnet worden H. Johann Daniel Löschmeÿer der Lebküchler und burg. wie auch wittwer in Strasb. Maria Barbara weÿl. Heinrich Orren des metzigers und burg. in Strasb. nachgelaßene ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel loschmeÿer als hoch Zeiter, Maria bara Ottin als hochzeiterin, Johann Jacob steinmetz alß Schwager (i 102)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui leur appartient rue des Cerceaux. Ceux du mari s’élèvent à 176 livres, ceux de la femme à 95 livres.
1733 (17.4.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 15) n° 350
Inventarium undt Beschreibung aller Haab undt Nahrung so H. Joh: Daniel Löschmeÿer der Lebküchler undt burger allhier Zu Straßburg wie auch seine 3.te liebe Ehegattin fr. Maria Barbara Löschmeÿerin gebohrne Ottin einander Crafft ihrer vor mir unterschriebenen Notario auffgerichteter Eheberedung, für Unverändert in den Ehestandt gebracht – Actum Straßburg auff Freÿtag den 17.ten Aprilis 1733.
Inn einer allhier zu Straßburg in dero vorstatt Steinstraß auff der so genante Reiffgaß gelegener ihen beeden Eheleuthen nun mehro Zuständiger Behaußung, hat sich befunden alß volgt.
Deß Ehemanns Nahr., Sa. haußraths 144, Sa. Silbers 8, Sa. goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 120, Summa summarum 274 – Pass. 98, Rest 176 lb
der fr. Nahrung. Sa. Haußraths 15, Sa. Silbers 8, Sa. guldenen Ringen 7,Sa. baarschafft 65, Summa summarum 95 lb
Haussteuren 14, Mach die Helffte 8 lb

Jean Daniel Lœschmeyer meurt en 1749 en délaissant un enfant de son premier mariage et quatre du dernier. Les experts estiment 500 livres la maison dont un titre date de 1535. La masse propre à la veuve s’élève à 117 livres, celle des héritiers à 112 livres. L’actif de la communauté s’élève à 776 livres, le passif à 834 livres.

1750 (17.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 252) n° 423
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland der Wohl Ehrenachtbare Mr Johann Daniel Leschmeÿer der geweßene Lebküchler v. burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 23.ten Tag des Monats X.br. letztabgewichenen 1749.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren des verstorbenen seel. sowol in erst: als in 2.ter Ehe ehelich erzeugter Kindern v. deren Zugeordneten Hh. Vögten, alle nach dem eingang dießes Inv. ordentlich benahmbßet fleißig inventirt v. ersucht durch die Ehren vnd tugendsame Fr. Mariam Barbaram geb. Ottin die hinderbliebene Wittib, mit assistentz H. Johann Martin Braunen des Paßmentirers, Seidenhändlers v. b. allhier hierzu in specie erbetten – So geschehen allhier in der Königl. Stadt Straßburg auf Dienstag den 17.ten tag des Monats Februarii anno 1750.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Joh: Daniel Leschmeÿer, den ledigen Lebküchlern in die 21 Jahr alt, dießer des Verstorbenen seel. mit weÿl. Fr. Anna Cleophe geb. Wölffin seiner erstern Ehefr. seel. in erster Ehe ehel. erzeugten Sohn, welcher dato annoch bevögtigt mit H. Johann Georg Fügnern dem Schloßer v. b. allh. beede beÿ dießer Inventur gegenwärtig
2. Margaretham Salome in die 14. Jahr alt, 3. Mariam Magdalenam so 9. Jahr alt, 4. Mariam Elisabetham in die 5. Jahr alt, Sodann 5. Mariam Barbaram so 3. Jahr alt die Leschmeÿerin, Welche bevögtigt mit H. Johann Georg Scheibel dem handelsmann v b. allhier so auch beÿ gegenwärtigen Inventur præsens war, dieße letztere Kinder mit eingangs gemeldten seiner hinderbl. Wittib in letzter Ehe ehel. erzeugte Kinder, Alle 5. des Verstorbenen seel. in 2. Ehen ehel. erzeugte Kinder, und ab intestato Zu gleichlingen portionen nachgelaßener Erben.
Copia der Eheberedung, Copia Codicilli.

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Ane Höltzen v. Schreinwerck. Auff der obern Bühn, Auf der mittleren bühn, Auff der unteren bühn, In der Mgd Cammer, In der waaren Cammer, Im hßöhren vor der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, In der Wohnstub, In der Bachstub, Im Hoff, Im Keller, In der Soldaten Cammer
Eigenthum ane einer behauß. (T.) Nehml. eine behauß., bestehend in vorder: v. hinderhauß, höfflin v. hoffstatt, mit allen Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten v. gerechtigkeiten gelegen allhier ane der großen Stadelgaß, eins. neben Christian Brudern dem pergamenter, 2.seit neben Daniel Stöbern, dem ledigen hinden auf H. Joh: Friderich Teutschen, E: E: Großen Raths alten beÿsitzern stoßend, so außer dem darauff stehenden v. hernach passivé eingetragenen Capital ledig eigen, v. hiehero dh. der Stadt Straßb. geschw. h, Werckmeistere, in Crafft der zu mein Not. Concept eingeschickten Abschatzung de dato 27. Jan. 1750. æstimirt v. angeschlagen worden pro 500. lb. Darüber bes. j. teutsch. perg. Kffbr. in allh.C. C. stub gef. mit dem anh. Ins. corroborirt, ddat: d: 7. jan: 1737. atergo deßen ersehentlich, daß von denen darinn enthaltenen damahlen darauf gestandenen passiv Capitalien dreÿ posten bezalt v die übrige angemerckte Kleinern pöstlein gegebenem bericht auch seitheeo richtig gemacht worden seÿen. Dabeÿ sich befindet j. ältere Kffbr. vom 28. Xbr. A° 1696. v. j. latein perg. Coram nobis brieff de dato 7° Idus Xbr 1535. dießer mit N° 123. notirt
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib ermanglenden unveränderten Guths. Vermög des über beder nun zertrennten Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch herrn Notarium Abraham Kolben in A° 1733. gefertigten Inv°
Wÿdumb welchen der Verstorbene seel. von weÿl. fr. Anna Cleophe geb. Wölffelin seiner Erstern Ehefr. seel. Theils loco alimentationis und theils Zeit lebens wÿdumbs weiße genoßen. Nemlichen Vermög des über weÿl. Frn Annæ Cleophe gebohrner Wölffelin Vorgedachtt des defuncti Ersterer Ehefr. seel. welche beÿ ihrem abstebrben 3. KK. und Zwar Joh: Fröreißen mit weÿl. Johann Isaac Fröreißen gewes. Lebküchlern v. b. allhier seel in I. Ehe ehel. erzeugt, Johann Daniel und Annam Mariam die Löschmeÿer in letzter Ehe erziehlt, davn aber das mägdl. seithero Verstorben und von dem Verstorbenen geerbet worden, nach sich Zu erben verlaßen, Verlaßenschafft beÿ E. Löbl. Vogteÿ Gericht den 24. Jan: 1° 1730. errichteten wie wolen gehöriger orten nicht confirmirtern Kinder Vertrag (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 14 ß, Sa. gold. ring 2, Sa. Schuld 25, Sa. Erg. 86, Summa summarum 117 lb
der K.K. und Erben unverändert Guth, Sa. haußraths 52, Sa. Schiff und geschirrs Zum Lebküchler handwerck gehörig 5, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener ring 16 ß, Sa. der Erg. 148, Summa summarum 208 lb – Schuld 96, verbleibt 112 lb
Das Theilbare Guth berühren, Sa. haußraths 62, Sa. Weins und leerer faß 37, Sa. Schiff und geschirrs zum Lebküchler handwerck gehörig 115, Sa. Silbers 10, Sa. baarschafft 25, Sa. Pfz. hptg. 25, Sa. Eigenth. an j. beh. 500, Summa summarum 776 lb – Schulden 834 lb, In Compensatione 58 lb – Stall Summa 342 lb
Abschatzung Vom 27° Januarÿ 1750. Auff begehren Weÿland Johann Daniel Löschmeÿers des geweßenen lebküchlers seel. hinderlaßener Wittib, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Großen Stadel gaßen, einseit neben Christian Bruder dem Pergamentern anderseit neben Daniel Stöber und hinten auff herrn Rattherrn Teutschen stoßend gelegen, solche behaußung hat neben dem Eingang eine Stube und Küchel auff dem Ersten stock eine Stube und haußöhren, so auch zugleich die Küchen, auff dem Zweÿten Stock seind Zwo Kammeren, darüber ist der Tachstuhl mit breit Ziegeln doppelt gedeckt, Worunter Zwo besetzte bühnen, Im hoff ist ein gewölbter Keller und bronen, Es befindet sich auch ein nebens gang mit einem halben tach so mit breit Ziegeln gedeckt. Ferner ein hinter gebäw welche einen tachstuhl hat mit breit Ziegeln gedeckt worunter eine Stube, Zwo Kammern und ein küchel ist. Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornenn Werckmeistern nach Vorher beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Ein Taußend Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister des Maurhoffs

Barbe Ott loue la maison avant au menuisier Jean Samuel Dachert

1772 (3.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 145)
Barbe Otte veuve de Jean Daniel Löschmayer boulanger assitée de Jean Imber boulanger son gendre, bail de 9 années à commencer à la Notre Dame de mars prochaine
à Jean Samuel Dachert mre menusier
la maison du devant appartenant à la bailleuse sis en cette ville rue gros Stadelgaß, d’un côté Jean Christmann Bruder parcheminier d’autre Jean Daniel Stoeber épinglier, sans en rien excepter ny reserver qu’un poel et une petite chambre au second étage de ladite maison donnant led. deux pièces sur la cour et la moitié de la cave qui regne sous ladite maison de devant. Plus l’usage de la cour en entier de ladite maison et d’un petit bâtiment qui est construite à droite de ladite cour – moyennant un loyer annuel de 100 livres tournois

Marie Barbe Ott meurt en 1779 en délaissant 3 enfants ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 1000 livres, le passif à 488 livres.

1779 (17.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 282) n° 1461
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Ehren und tugendsame Frau Maria Barbara gebohrne Ottin, längst weÿl. des wol Ehrengeachteten Meister Johann Daniel Löschmeÿers, des geweßenen Lebküchlers und burger allhier zu Straßburg seel. hinterbliebenen Wittib nun auch seel. nach ihrem den 8.ten Januarÿ dießes angefangenen 1779.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der verstorbenen mit vorbemeltem ihren abgeleibten Ehemann seel. ehelich erzeugter Kinder und Enckel ordentlich benamst, fleißig inventirt – So geschehen allhier zu Straßburg auf Mittwoch den 17.ten Martÿ anno 1779.
Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Weÿl. der Ehren und tugendsamen frauen Margarethæ Salome gebohrner Löschmeÿerin, des Ehrengeachten Mr Johannes Heßen des Schwartzbecken und burgers allhier geweßener Ehegattin seel. mit dießen ihrem Ehemann ehelich erzeugte ehel. Kinder und respectivé Enckel, mit nahmen &. Jungfr. Margaretham Elis. 2. H. Johann Daniel Philosphiæ Studiosum, 3. Catharinam Salome und 4. Johann Friderich Inferiori Gynmasii Discipulum, welchen weilen sie alle annoch minderjährig, Zu einem geschwornen Vogt verordnet der Ehren gedachte Mr Johann Daniel Lux der Spengler und burger allhier und auch dießer Inventur neben seine ältern Vogts tochter und deren leiblichen Vattern beÿgewohnt hat,
2. die Ehren und tugendbegabte Frau Mariam Magdalenam gebohrne Löschmeÿerin des Ehrenachtbaren M. Johannes Zimper des frantzösischen becken und burgers allhier Ehefrau, so mit ihrem Ehemann beÿ dießer Inventut zugegen war,
So dann 3. die Tugendreiche Frau Mariam Barbaram gebohrne Löschmeÿerin des Ehrengeachteten Mr Johann Georg Wörners des Seilers und burgers allhier Ehegattin, welche beeder auch dießem geschäfft persönlich abgewartet haben, Alle sambt der Verstorbenen seel. ehelich erzeugte nach tod verlaßene Kinder und respe. Enckel auch denen Stämmen nach Zu gleichlingen theilen Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Stadelgaß liegenden in dieße Verl. eigenthümlich gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthum ane einer behaußung. Nehml. j. behaußung, bestehend in forder: und hinderhauß, höffl. und hoffstatt, mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier ane der großen Stadelgaß, j. seit neben Christian Brudern dem Pergamenter, 2. seit neben Daniel Stöbern, dem ledigen, hinden auf weÿl. Herrn Joh: Friderich Teutschen, E: E: Großen Raths alten beÿsitzers und b. allh. seel. hinderlaßenen Enckelin beh. stoßend, so ledig eigen, und ist dieße beh. durch der Statt Str. geschwornen herren Werckmeistere nach bes. des mir Notario Zum Concept eingeschickten schrifftlichen Abschatzung datirt den 11. Martÿ A° 1779 æstimirt und angeschlagen worden pro 400. lb. Darüber bes. j. teutsch. perg. Kffbr. in allh.C. C. stub gef. und m. deren anh. Ins. verwahrt, datirt den 7. Jan: 1737. à tergo deßen ersehentlich, daß von denen darinn enthaltenen damahlen darauf gestandenen passiv Capitalien dreÿ posten bezalt v die übrige Kleine Pöstl. gegebenem bericht auch seithero richtig gemacht worden seÿen. Dabeÿ befindet sich befindet j. älterer Kffbr. vom 28. Decembris Anno 1696. und j. lateinischer perg. Coram nobis & brieff de dato 7° Idus Decembris 1535. dießer mit a. N° 123.signirt.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 44, Sa. Silbers 2, Sa. Golden Geschmeids 2, Sa. baarschafft 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Eigenthum ane einer beh. 400, Sa. Schuld 50, Summa summarum 1000 lb – Schulden 488 lb, Nach deren Abzug 511 lb – Stall Summa 511 lb
In Compensatione 58 lb – Stall Summa 342 lb
Abschatzung Vom 11.t. Mertz 1779. Auf begeren Weÿland barbara leschmeÿerin ist Eine behausung alhir in der statt straßburg in der gros stadtel gas gelegen Ein seÿts neben danjel stöber anderer seÿts neben Christian bruder dem bergementer und hinten auf dem allmend tholen stoßend gelegen solche behausung bestehet in Etlichen stuben Kuchen und Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidziel belegt hat auch Ein gewölbter Keller hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornene Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Acht Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMstr.

Les héritiers vendent la maison 850 livres au boutonnier d’étain Jean Frédéric Meyer

1780 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 336
Johann Daniel Lux der weißblechner als geordneter und geschworener vogt weÿl. Salome geb. Löschmeÿerin mit Johann Heß dem schwartzbecken dreÿer kinder nahmens Margaretha Elisabetha, Johann Daniel und Johann Friedrich derer Heß, Fr. Maria Margaretha geb. Löschmeÿerin H. Johann Imber des weißbecken Ehefrau, Fr. Maria Barbara geb. Löschmeÿerin Johann Georg Werner des seiler meisters Ehefrau
in gegensein Johann Friedrich Meÿer des zinnknopff machers
die ihnen verkäuffern, als ein elterlich respective großelteriches guth ererbte behausung vor unvertheilt, samt bronnen, hoff und hoffstatt mit all denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten and der großen Stadel gaß, einseit neben Daniel Stöber dem Nadler, anderseit neben Christian Bruder dem jungen pergamenter, hinten auff den gemeinen dohlen – ihre Fr. Jmberin zu einem dritten theil, Fr. Wernerin zu einem dritten, den curanden zu einem dritten theil – geschehen um 1700 gulden

Jean Frédéric Meyer pase un accord avec son voisin le parcheminier Chrétien Bruder au sujet du mur (pignon) entre leurs deux propriétés, trop peu solide pour pouvoir y asseoir un bâtiment. Les parties conviennent de le démolir aux frais de Jean Frédéric Meyer qui se chargera de le reconstruire à la même hauteur en le rendant mitoyen

1780 (12.10.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 395
H. Johann Friedrich Meÿer der zinnknopff macher ane einem
und H. Christian Bruder der pergamenter am anderen theil
daß sie, in ansehung jener zwischen ihren ane der großen Stadelgaß gelegenen häußern vorfindigen gäbel oder scheidmaur, welche als gemeinschafftlich laut augenschein so von denen H. deputirten E. E. kleinen Raths ohnlängst vorgenommen erkannt worden, in zwischen zu schwach, daß einer oder der anderer der parthen etwas darauff setzen kan, nachstehenden vergleich getroffen dahien gehends verwilliget H. Bruder, daß sothane gemeinschafftliche maur längst H. Meÿer eigenthum auff kösten ermelten H. Meÿer abgebrochen auch auff eben deßelben kösten von grund auff mit einen vier schuh tieffe und ein und ½ schuh breit fundament und einen stein dick außer dem boden doch nicht höher als die vorhanden auffgeführet worden, in zwischen dieselbe immer gemeinschafftlich seÿn verbleiben solle, folgsam jedem der parthen ½ stein daran vor eigen verbleibe um auff solcher früh oder spät zu bauen

Fils du pasteur de Breuschwickersheim, Jean Frédéric Meyer épouse en 1783 Catherine Elisabeth Rothhan, fille de brocanteur : contrat de mariage, célébration
1783 (11.8.), Not. Laquiante (6 E 41, 1090) n° 18
Eheberedung – H Friedrich Maÿer der knopffmacher für die königl. trouppen weÿl. H. Andreas Maÿer, Pfarrherren zu preuschwickersheim mit Fr. anna Diemer ehelich erzeugter sohn
Jf. Catharina Elisabetha Rothhahn, H. Gottfried Rothhahn des gimpel käufers mit Fr. Maria Salome geb. Scheerin großjährige tochter

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 19, n° 18)
1783 sind auf Erlaubnus des Regierenden Herrn Ammeisters Dominica nona post Trinitatis Zum ersten und andern mal zugleich proclamirt, und Dienstag den 19. Augusti in unserer Kirch copulirt worden H. Johann Friederich Meÿer der ledige Knopffmacher und burger alhier weil. H. M. Andreas Meÿer gew. Pfarrers in Preuschwickersheum mit Fr. Anna geb. Diemerin ehel. erzeugter Sohn, und Jgfr. Catharina Elisabetha Rothhanin, Gottfried Rothhan Gimpel Käuflers und burgers dahier mit Fr. Maria Salome geb. Scheerin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Meÿer als brautigam, Catharina Elisabeth Rothhanin als Braut (i 21)

Jean Frédéric Meyer figure sur la liste des nouveaux bourgeois (le registre de bourgeoisie correspondant manque)
VI 370, 12 (Nouveaux bourgeois, 1781-1783) [p. 23], Johann Friderich Meÿer

L’inventaire après décès de Jean Frédéric Meyer dressé en 1785 n’est pas conservé

1785, Not. Lobstein (J. Frédéric, répert. 6 E 41, 664-7) n° 1029
Invent. über Weil. H. Joh: Friderich Meÿer des geweß. Versilbert Pferdt Zeug und Zinn Knöpffmacher Verlaßsch., sambt i. Summarisch Calculo und resp. Ersuch: Erörter und Wÿdums Aufrichtung, Anno 1785

Catherine Elisabeth Rothhan se remarie avec le boutonnier d’étain Jean Michel Bœsswilwald, fils de boulanger : contrat de mariage par lequel la future épouse accorde à son futur mari l’usufruit viager de la maison, célébration

1786 (17.1.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 563
Eheberedung – persönlich erschienen der Wohl Ehren: und Wohl Vorachtbahr hr. Johann Michael Bößwillwald, der leedige Versilbert Pferd Zeug und Zinn Knöpffmacher fabricant, Hn Johann Michael Bößwillwald des Schwartzbecken und burgers allhier ehelicher Sohn, unter autorisation deßelben als hochzeiter ane einem
und die Viel Ehren und Viel tugendsamen Frau Catharina Elisabetha Meÿerin, gebohrne Rothhanin weiland H: Johann Friderich Meÿers des geweßenen ebenmäßigen Versilbert Pferd Zeug und Zinn Knöpffmacher fabricanten auch burgers allhier nachgelaßene Fr. Wittib mit assistentz Hn Johann Gottfried Rothhaan des Gümpel Käufflers und burgers alhier, deren geliebten Vatters als frau hochzeiterin ane dem andern theil
Siebendens, hat auch Sie die Fr. Hochzeiterin sich liebreich erkläret, daß falß Sie Vor Ihme dem Hochzeiter, es seÿe gleich mit oder ohne hinterlaßung ehelich erziehlter Kindern und Leibs Erben, Versterben solte, Er als dann aus dero Verlaßenschafft lebenslängl. Vorwÿdumbs weise genießen solle, die Ihre eigenthümlichen gehörigen behaußung, hoff, bronnen und hoffestatt mit allen denen Gebauden, gegen männiglichen freÿ leedig und eigen geachtet werden sollen gelegen allhier Zu Straßburg ane der großen Stadelgaß 1. s. neben Michael Stöber, dem Nadlern 2. s. neben Christian Bruder dem jüngern Pergamenter, beeden burgern allhier hinden auf den gemeinen dohlen stoßend, jedoch daß daß Er auch wehrender Wittumbs Genußes dießelb in gutem Stand bau und Ehren, und nach allhießiger löbl. Stadt Wÿdumbs brauch
auf Dienstag den 17. Januarÿ Anno 1786 [unterzeichnet] Johann Michael Bößwillwald als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Meÿerin als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 119-v, n° 2) 1786 dienstag den 31. Januar sind (…) eingesegnet worden, Johann Michael Bößwilwald Led. versilbert Pferdzeug u. Zinn Knöpffmacher H. Johann Michael Bößwilwald des Schwartzbecken und burgers allh. mit weil. Fr. Susanna Maria geb. Reebmännin ehel. erzeugter Sohn, und Fr. Catharina Elisabeth gebohrne Rothanin weil. Johann Friderich Meÿer geweßenen versilbert Pferdzeug u. Zinn Knöpffmachers u. burgers allh. nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Johann Michael Bößwilwald ass hochzeiter, Catharina Elisabetha Meÿerin, als hochzeiterin (i 125, procl. Saint-Pierre-le-Vieux i 82)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 19)
1783 sinf auf Erlaubnus des Regierenden Herrn ammeisters Dominica nona post Trinitatis zum ersten und andern mal zugleich proclamirt, und dienstag den 19. Augusti in unserer Kirch copulirt worden, H. Johann Friederich Meÿer, der ledige Zinnknopfmacher und burger alhier weil. H. M. Andreas Meÿer gew. Pfarrers in Preuschwickersheim mit Fr. Anna geb. Diemerin ehl. erzeugter Sohn, und Jungfrau Catharina Elisabetha Rothhanin, Gottfried Rothhan Gimpel Käuflers und burgers alhier, mir Fr. Maria Salome geb. Scheerin ehl. erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Meÿer als brautigam – Catharina Elisabetha Rothhanin als braut (i 21)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison, portée à une valeur de 1 000 livres, qui appartient en toute propriété à l’épouse comme héritière de son fils issu de Jean François Meyer. Les apports du mari s’élèvent à 536 livres, ceux de la femme à 3 059 livres.

1786 (5.4.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 832) n° 1051
Inventarium über des Wohl Ehren und Wohlvorachtbahren Hn Johann Michael Bößwillwald des Versilbert Pferdzeug: und Zinn Knöpffmacher fabricanten, und der viel Ehren: und Tugendgezierten Frauen Catharinæ Elisabethä geb. Rothhanin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet, in Anno 1786. – welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthen Vor mir Notario den 17.ten Januarÿ dießes lauffenden 1786.sten Jahrs mit einander errichteten heuraths Verschreibung §.pho 2.do expresse enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Mittwoch den 5.ten Aprilis anno 1786.

In einer allhier Zu Straßburg ane der grosen Stadelgaß gelegenen und in der Ehefraun ohnveränderte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden als folgt.
Eigenthum ane einer Behaußung (F.) Nemlichen eine Behaußung sampt bronnen Hoff und Hoffstatt mit allen deren Gebäuden Begriffen Weithen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der goesen Stadelgaß, 1. s. neben Mr Michael Stöber dem Nadler, 2. s. neben Christian Bruder dem jüngern Pergamenter und hinten auf den gemeinen dohlen stosend, gelegen, so dermalen gegen männiglichen freÿ leedig und dermalen ohnpræjudicirlichen mit vorbehalt der Ehefrauen Eigenthum in Calculum gebracht pro 1000. lb. Dieserwegen ist vorhanden ein in allhiesiger Löbl. C. C. Stub gefertigter teutscher pergamentener Kauffbrieff sub dato 18.ten Augusti a° 1780. aus welchem erhellet, wie weil. H. Johann Friderich Meÿer, der geweßene versilbert Pferdt zeug und Zinn Knöpffmacher auch burger allhier Zu Straßburg der dißortigen Ehefrau erstern Ehemann seel. ane sich gebracht hat, nach seinem Absterben aber ist selbige auf sein mit dieser seiner geweßene Ehefraun erziehltes Söhnlein Johann Friderich Meÿer genand gekommen, da aber derselbe auch seit einiger Zeit seel gestorben, als ist es von der dermaligen Ehefrauen als seiner geliebten Fr. Mutter geerbet worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ des Ehemanns ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 66, Sa. Werckzeugs Zur Versilbert Pferd Zugn und Zinn Knöpffmacher handwerck gehörig 42, Sa.Silbers 18, Sa. guldenen Gehäuß 24, Sa. baarschafft 330, Summa summarum 481 lb – Darzu gelegt die helffte ane denen haussteuren 55, des Eheh. gesamtes in die Ehe gebracht guth 536 lb
Der Ehefraun in die Ehe gebracht Gut, Sa. haußraths 248, Sa. Werckzeug, gemachter und ohngemachter Waar, Zinn, Bleÿ, Silber und dergeiche Zum Versilbert Pferd Zeug und Zinn Knöpffmacher fabriciren gehörig 911, Sa. lehrer Waß 5, Sa. Silber 37, Sa. guldener Ring 59, Sa. baarschafft 40, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1000, Sa. Schulden 766, Summa summarum 3068 lb – Schuld 64, Nach deren Abzug 3004, Darzu Kommet die helffte ane den haussteuren 55 lb, Der Ehefrau Vermög. in die Ehe gebracht 3059 lb
Haussteuren 110 lb

Inventaire après décès d’une locataire, Marie Madeleine Rothhan femme du bonnetier Jean Jacques Hoff

1804 (22 therm. 12), Strasbourg 13 (19), Not. Bremsinger n° 1939
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Rothhan décédée le 26 thermidor 11 – à la requête de Jean Jacques Hoff Bonnetier le veuf, Jean Michel Boeswilwald fabricant de boutons subrogé tuteur des enfants de la défunte décédée en laissant huit enfants 1. Jean Georges Hoff Pharmacien, 2. Marie Madeleine Hoff majeure assistée de Pierre Seiller ferblantier, 3. Catherine Elisabeth âgée de 20 ans, 4. Guillaume Jacques âgé de 18 ans, 5. Caroline Salomé âgée de 16 ans, 6. Jean Frédéric âgé de 14 ans, 7. Charles Bernard âgé de 11 ans, 8. Michel Théodore âgé de 6 ans
dans la maison mortuaire grande rue de la Grange n° 10
actif 253 fr, passif 1709 fr, déficit 1455 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 93 F° 51 du 23 ther. 12

Jean Michel Bœswillwald meurt en 1813 en délaissant une fille

1814 (9.4.), Strasbourg 12 (54), Not. Wengler n° 8099
Inventaire de la succession de Jean Michel Boeswillwald fabricant de boutons d’étain décédé le 24 oct. dernier – à la requête de Catherine Elisabeth Rothhan la veuve, Catherine Elisabeth Boeswillwald femme de Jean Frédéric Louis Eissen négociant, fille et unique héritière – Contrat de mariage Me Lobstein 17 jan. 1786
meubles 595 fr, créances 14 416 fr
immeuble de la communauté, une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 13, d’un côté la succession du Sr Ehrlenholtz marchand de vin, d’autre le Sr Entzlen caffetier devant sur la place derrière Sr Arbogast – acquis de la succession de Jean Philippe Brandhoffer marchand de vin Me Stoeber père le 1 dec. 1792, occupé par la successtion évalué 10.000 fr
plus une maison, petite cour et puit commun avec ses autres appartenances et dépendances au vieux marché aux Vins près l’église St Pierre le Vieux, d’un côté la maison de Jean Zaepffel, d’autre Sr Roser derrière en partie Sr Zaepffel en partie succession de la De Moutier née Weissborn – acquis par le défunt de la communauté comme domaine national au ci devant Directoire du District de Strasbourg le 10 mai 1792, évaluée à 450 francs de revenu en capital 9000 francs
plus un terrain de la contenance d’environ 3 ha 60 ou 18 arpents en nature de terres labourables et une petite partie nature de jardin ou se trouve construit une petite maison et grange formant le tout un clos délimité par pierres bornes sis banlieue de Strasbourg près le ci devant péage appelé Wickhauesel hors la porte de l’Hôpital ledit terrain vulgairement appelé Agnesen Gebreit, d’un côté le communal, d’autre en partie le Rhin tortu en partie le communal, en haut le champ labouré dit Extenwerthsfeld et en bas propriété du Sr Holtzapffel – acquis de Louis Reinbold négociant Me Bossenius 2 floreal 6, 225 fr de revenu en capital 4500 fr
7 arpents à Westhoffen 1000 fr, total de l’actif 39.511 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 124 f° 95-v du 12.4.

Catherine Elisabeth Rothhan meurt en 1828. Les immeubles reviennent alors en pleine propriété à sa fille Catherine Elisabeth veuve du négociant Jean Frédéric Louis Eissen

1828 (6.5.), Strasbourg 12 (107), Me Noetinger n° 666
Inventaire de la succession de Catherine Elisabeth Rothhan veuve de Jean Michel Boesvillvald, fabricant de boutons d’étain décédée le 21 fev. dernier – à la requête de Catherine Elisabeth Boesvillvald veuve de Jean Frédéric Louis Eisen, ci devant négociant seule et unique héritière de sa mère
dans la maison mortuaire place d’Armes n° 13
la moitié par indivis d’un terrain avec une petite maison, grange et dépendances contenant environ 3 ha 70 (ou 18 arpents) partie nature de terre labourable et partie nature de jardin formant le tout un enclos situé près le ci devant péage appelé Wickhaeusel hors la porte de l’Hôpital ledit terrain vulgairement appelé Agnesen gebreit, d’un côté le communal, d’autre le Rhin tortu et en partie communal, en haut un champ labouré dit Extenwirthsfeld ne bas la propriété du Sr Holzapfel – évalué à 2250 francs, acquis par le Sr Boesvilvald et Louis Reinbold négociant, Me Bossenius 2 floreal 6
4. la moitié par indivis d’une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 13, d’un côté la propriété de M Wengler notaire honoraire, d’autre la succession du Sr Ehrenholtz, devant la place d’Armes, derrière la propriété du Sr Arbogast – occupé uniquement par la succession, estimée 5000 fr – acquis de la succession de Jean Philippe Brandhoffer Me Stoeber le 1 dec. 1792, l’autre moitié de tous les immeubles acquis de la communauté, Inventaire du mari Me Wengler 9 avril 1814
5. enfin une une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grand rue de la Grange n° 10, d’un côté le Sr Bruder parcheminier, d’autre le Sr Stoeber épinglier, derrière un aqueduc communal – louée verbalement à plusieurs personnes, estimée 3000 francs – héritée par la veuve de Jean Frédéric Meyer son enfant mineur procréé de Jean Frédéric Meyer, fabricant de boutons d’étain, seul et unique héritier du Sr Meyer, acquis Chambre des Contrats 18 août 1780
meubles, créances 5632 francs, terres à Westhoffen, 180 fr et 100 fr ; totalité de la masse active 16 162 fr – passif néant
Enregistrement de Strasbourg, acp 189 f° 98 du 14.5.

Catherine Elisabeth Bœsswillwald épouse en 1804 le négociant Jean Frédéric (Louis) Eissen
1804 (14 thermidor 12), Strasbourg 12 (5), Not. Wengler n° 908
Contrat de mariage – Sr Jean Frédéric Louis Eissen, Negociant, fils du Sr Georges Jacques Eissen Pasteur de l’Eglise consistoriale du Temple Neuf et De Marguerite Madeleine née Ehrlen
Dlle Catherine Elisabeth Boeswillwald, fille mineure de Jean Michel Boeswillwald fabricant de boutons avec De Catherine Elisabeth née Rothhan
Enregistrement de Strasbourg, acp 93 f° 38-v du 14 therm. 12

Catherine Elisabeth Bœswillwald vend la maison 4000 francs au parcheminier Jean Bruder déjà propriétaire de la maison voisine

1829 (30.9.), Strasbourg, Me F. Grimmer (Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 227, n° 103 du 6.10.)
Catherine Elisabeth Boeswillwald veuve de Jean Frédéric Louis Eissen, négociant
à Jean Bruder, parcheminier
une maison sise à Strasbourg grand’rue de la Grange n° 10 d’un côté le Sr Stoeber épinglier, d’autre l’acquéreur même, devant la rue, derrière un égout communal – la maison appartient à la venderesse comme lui étant échue de la succession de sa mère Catherine Elisabeth Rothhan veuve de Jean Michel Boeswillwald, fabricant de boutons, dont elle était seule et unique héritière, la De Boeswillwald l’a recueilli elle même dans la succession de Jean Frédéric Meyer son fils procréé en premières noces avec Jean Frédéric Meyer, boutonier, acquis Chambre des Contrats le 18 août 1780 – moyennant 4000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 196 F° 115-v du 2.10.

Fils de parcheminier, Jean Bruder épouse en 1799 Barbe Oster, fille d’un cultivateur de Lingolsheim
1799 (14 floréal 7), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 165, 71
Eheberedung – persönlich erschienen der bürger Johannes Bruder, lediger Pergamenter alhier Zu Straßburg wohnhaft, weiland des bürgers Johann Christian Bruder Pergamenters alhier mit Frauen Susanna Barbara gebohrner Clauß, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugt und hinterlaßener volljähriger Sohn, als hochzeiter ane einem,
So dann Jungfrau Barbara Oster, weiland des bürgers Johann Michael Oster im Leben gewesenen ackersmanns Zu Lingolsheim mit auch weiland frau Anna gebohrner Meÿ deßelben im Leben gewesener Ehefrau, ehelich erzeugt und hinterlaßene volljährige tochter, Ihre Rechte genießend alhier Zu Straßburg wohnhaft, beiständlich des bürgers Johann Georg Dietrich Spenglers alhier, den Sie hierzu ersucht, als Braun ane dem andern theil
So geschehen alhier zu Straßburg (…) den 16. floreal Vormittags im Siegenten Jahr der fränckischen ohntheilb. Republick [unterzeichnet] Johannes Bruder, Barbara Osterin
Enregistrement de Strasbourg, acp 68 F° 53 du 16 flo. 7

Lors de la liquidation, les trois maisons Grande rue de la Grange reviennent au fils Jean Bruder

1830 (24.12.), Strasbourg 8 (nouv. cote 49), Me G. Grimmer n° 3327
Liquidation et partage entre 1. Jean Bruder, parcheminier, 2. Sophie Barbe Bruder épouse de Henri Gustave Hess, serrurier, 3. Caroline Bruder épouse de Séraphin Gérard, tonnelier, des immeubles de la succession de Jean Bruder, parcheminier, décédé le 9 novembre dernier, procrées de son mariage avec Barbe Oster décédée le 12 avril 1816, inventaire dressé par Me Zimmer le 31 août 1816
M. Bruder les immeubles sous n° 1, 2 et 3
Mde Hess l’immeuble sous n° 4
Composition de la masse active. I. Biens immeubles de la succession du Sr Bruder : 1. une maison, cour, appartenances & dépendances sise à Strasbourg grande rue de la Grange n° 9, des deux côtés la présente succession, devant la rue, derrière un égout. Cette maison évaluée à 4200 fr, dépendait de la succession de Jean Chrétien Bruder, parcheminier le père du défunt, ce dernier en avait hérité un 5° dans la succession paternelle & acquis quatre 5° de ses frères et sœurs suivant acte reçu Me Zimmer le 27 janvier 1806
2. une maison à rez de chaussée & deux étages, bâtiment du milieu & de derrière, deux cours, pompe, appartenances & dépendances sis en cette ville Grand rue de la Grange n° 8 d’un côté la maison précédente, d’autre celle ci après, derrière un fossé. Cette maison a été acquise par le défunt de Jean Baptiste Bontemps et Anne Marie Horber suivant acte reçu Me Stoeber le 24 décembre 1816 transcrit au bureau des hypothèques volume 89 n° 75, estimée 9300 fr
3. une maison sise en cette ville grande rue de la Grange n° 10, d’un côté le Sr Stoeber épinglier, d’autre la maison précédente, devant la rue, derrière un égout communal. acquise de Catherine Elisabeth Boeswilwald veuve de Jean Frédéric Louis Eissen, négociant, par acte reçu Me F. Grimmer le 30 septembre 1829 transcrit au bureau des hypothèques volume 227 n° 103, évaluée 3500 fr
4. une maison composée d’un bâtiment de devant ayant rez de chaussée & deux étages, bâtiments latéraux & d’un autre de derrière à rez de chaussée & trois étages avec cour, pompe & autres droits & dépendances sise à Strasbourg rue du Vieux Marché aux Vins n° 62 d’un côté le Sr Laquiante, d’autre Antoine Jost, devant la rue, derrière la propriété de la veuve Grau et Sr Arnold, le défunt l’a acquis de Daniel Dürrbach fabricant de cartons, par acte dressé par Me Grimmer soussigné le 3 avril 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 210 n° 71 estimée 11.000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 202 F° 52-v du 30.12.

Jean Bruder épouse en 1830 Caroline Henckel, fille de pelletier
1830 (4.10.), Strasbourg 9 (anc. cote 59), Me Hickel n° 3573
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Bruder, parcheminier, fils majeur de Jean Bruder, parcheminier, et de Barbe Oster
Caroline Henckel, fille majeure de feu Jean Bernard Henckel, pelletier, et de Marie Madeleine Boehm
Enregistrement de Strasbourg, acp 201 F° 26 du 6.10.

Jean Bruder meurt en 1841 en délaissant pour héritiers ses deux sœurs, la veuve ayant la jouissance viagère de tous ses biens

1841 (23.1.), Strasbourg 9 (85 nouv. cote), Me Becker n° 1036
Inventaire de la communauté entre Jean Bruder parcheminier décédé à Strasbourg le premier janvier 1841 et Caroline Henckel sa veuve et de la succession du défunt
L’an 1841 le samedi 23 janvier à neuf heures du matin à la requête 1. de Caroline Henckel veuve de M. Jean Bruder, en son vivant parcheminier demeurante à Strasbourg où le défunt avait son domicile, agissant 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre elle et ledit S. Bruder son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hickel le 4 octobre 1830, communauté que la veuve Bruder se réserve d’accepter ou de répudier ainsi qu’elle avisera par la suite, 2) comme donataire en usufruit viager de la totalité des biens composant la succession dudit défunt
2° De Séraphin Gerard, marchand de vins demeurant en cette ville, agissant comme maître des droits et actions mobiliers de Mad. Caroline Bruder son épouse avec laquelle il est marié sous le régime de la communauté réduite aux acquêts ainsi qu’il le déclare, 3° de M. Gustave Hess, serrurier demeurant en la même ville, agissant comme maître des droits et actions mobiliers de Mad. Sophie Barbe Bruder son épouse avec laquelle il est marié sous le régime de la communauté réduite aux acquêts ainsi qu’il le déclare, lesdits Sr Gerard et Hess assistés de M. Louis Auguste Eissen, avoué près le tribunal civil de Strasbourg demeurant en cette ville, Et lesdites Des Gerard et Hess habiles à se dire et porter seules héritieres chacune pour moitié de feur ledit S. Bruder leur frère germain
(meubles et effets) trouvés dans différentes localités de trois maisons sises à Strasbourg grande rue de la grange N° 8, 9 et 10 dépendantes de lal succession du défunt et où le Sr Bruder est décédé le premier janvier 1841.

(n° 1247 du 26 juin, continuation) Titres et papiers. Cote première. Contrat de mariage (…)
Cote deuxième. Successions échues à M. Bruder. Trois pièces dont la première est une expédition de l’inventaire après décès de la De Barbe Oster mère du Sr Bruder, décédée épouse dudit Sr Bruder père, dressé par M° Zimmer notaire à Strasbourg le 31 août 1816. La deuxième pièce est un extrait d’un acte dressé par M° Guillaume Grimmer notaire à Strasbourg le 24 décembre 1830 contenant partage de différents biens meubles et immeubles qui étaient indivis entre le Sr Bruder fils et les De Hess et Gérard. La troisième et dernière pièce est l’un des originaux d’un acte sous seing privé fait triple à Strasbourg le 15 juin dernier constatnt les valeurs qui sont échues au Sr Bruder fils et aux dames Hess et Gerard dans les successions de ladite De Bruder née Oster, dudit Sr Bruder père et de Dlle Louise Bruder leur sœur outre les sommes que ce dernier leur avait délivré à compte de leurs parts héréditaires dans la succession de leur mère. Il résulte de ces actes qu’il a été abandonné à Mr Bruder fils 1° Une maison sise à Strasbourg, grand’rue de la grange N° 8,
2° Une maison sise en la même ville et même rue N° 9
3° Et une autre Maison sise en la même ville et même rue N° 10 (…)
Cote trois. Titres de propriété relatifs à la maison sise à Strasbourg, grand’rue de la grange n° 8
Cote quatre. Titres de propriété relatifs à la maison sise à Strasbourg, grand’rue de la grange n° 9
Cote cinq. Titres de propriété relatifs à la maison sise à Strasbourg, grand’rue de la grange n° 10.Quatre pièces dont la première est une expédition sur parchemin d’un contrat pssé devant Me Frédéric Grimmer notaire à Strasbourg le 30 septembre 1829, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 6 octobre suivant Volume 227 n° 103 contenant vente par Catherine Elisabeth Boesswillwald veuve de Mr Jean Frédéric Louis Eissen en son vivant négociant à Strasbourg au profit de Mr Bruder père, d’une maison sise en cette ville grand’rue de la grange N° 10 moyennant le prix de 4000 francs dont ledit contrat contient quittance. Les deux pièces suivantes sont des expéditions sur parchemin d’anciens titres d’acquisition de ladite maison passés à la chambre des contrats les 18 août 1780 et 7 janvier 1737. La quatrième pièce est un mémoire de frais.
Cote six, Police d’assurance relatifs auxdites maisons (…)
acp 288 (3 Q 30 003) f° 88-v (vacations des 25 et 28 juin)
garde robe 537 francs
mobilier de la communauté 1536, marchandises et outils 9143, objets divers 494, argent comptant 645
acp 284 (3 Q 29 999) f° 82 du 2.2. (vacations des 23, 35 et 26 janvier)
Titres et papiers, rapports et reprises
reprises du défunt 2600, de la veuve 1700

Caroline Henckel loue différentes localités des trois maisons aux parcheminiers Eugène Jérôme Hæberlé et Philippe Wilhelm

1841 (6.2.), Strasbourg 9 (85 nouv. cote), Me Becker n° 1056
Bail – Fut présente Dame Caroline Henckel veuve de M. Jean Bruder en son vivant parcheminier à Strasbourg où ladite Dame demeure, laquelle a par les présentes donné en bail à loyer pour le temps qui s’est écoulé et qui s’écoulera à partir du 25 janvier dernier jusqu’au 25 mars 1850
aux sieurs Eugène Jérôme Haeberlé et Philippe Wilhelm, les deux parcheminiers domiciliés à Strasbourg
Les lieux ci après désignés faisant partie de trois maisons situées à Strasbourg grand’rue de la grange N° 8, 9 et 10 dépendantes de la succession de feu ledit Sr Bruder et dont la comparante a la jouissance viagère aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 4 octobre 1830, Savoir
La cave se trouvant sous le bâtiment de devant de la maison N° 9
Tout le bâtiment de milieu se trouvant entre les deux cours dépendantes de la maison N° 8, composé d’une cave, d’un atelier au rez de chaussée, d’un étage composé de deux chambres, d’une cuisine, d’une mansarde et de deux greniers avec trois fournaux en fonte et les tuyaux et pierres qui en font partie, le tout se trouvant dans l’atelier, dans une chambre au premier étage et dans la mansarde.
La petite cave et la cage* au dessus se trouvant sous l’escalier qui conduit au premier étage dudit bâtiment. Les trois buchers se trouvant dans la maison N° 8
Deux chambres servant d’atelier se trouvant au rez de chaussée des bâtiments de derrière dépendants des maisons N° 8 et 9 et dans lesquelles se trouvent deux fourneaux en fonte avec tuyaux et pierres.
Deux autres chambres se trouvant au rez de chaussée du bâtiment latéral de la maison N° 10
Une chambre au deuxième étage du bâtiment de devant de lad. maison donnant sur la cour.
La chambre se trouvant dans la même maison et servant de logement des militaires.
Les greniers se trouvant dans les bâtiments latéraux des maisons N° 9 et 10 donnant sur la cave, ainsi que le hangard se trouvant sous le grenier du bâtiment latéral de la maison n° 9
Les prenerus auront le droit de se servir du corridor de la maison N° 8 pour y faire sécher leur parchemin et ils pourront à cet effet y placer de leurs cadres et en suspendre dans les cours des maisons n° 8, 9 et 10 partout où il y a des crochets en bois. Ils auront aussi le droit de faire dans les cours tous les travaux nécessaires pour l’exploitation de l’industrie de parheminier, d’y placer des marchandises et tout ce qui est nécessaire pour lad. exploitation, mais sans toutes fois gêner le passage, soit au corridor soit dans les cours. Ils ne pourront néanmoins faire aucun travail ni placer des marchandises ou ustensiles dans la partie de la cour de la maison N° 9 depuis la porte d’entrée jusqu’au poteau du hangard se trouvant à gauche dans lad cour
Ainsi au surplis que le tout se poursuit et se comporte sans rien excepter ni réserver. Les parties font observer que les localités dépendantes du bâtiment du milieu de la maison N° 8 ci dessus désignées, à l’exeption de l’atetier au rez de chaussée sont actuellement louées su Sr Goppert poëlier suivant bail verbal qui expirera le 25 mars prochain
Charges et conditions (…) 7.bis, les immondices provenant de la fabrication devront être versés dans la fosse à fumier se trouvant dans la maison N° 8, les produits de cette fosse seront expressémet réservés à la Dame bailleresse
moyennant le loyer ci après exprimé, savoir pour le temps qui s’écoulera depuis le 25 janvier dernier jusqu’au 25 mars prochain la somme de 97 francs (…) Et à dater de lad. époque une somme de 175 francs par trimestre ou 700 francs par an
acp 285 (3 Q 30 000) f° 10-v du 13.2.

Liquidation de la même succession
1842 (31.3.), Strasbourg 9 (88), Me Becker n° 1573
Liquidation et partage de la communauté entre Jean Bruder et Caroline Henckel
Furent par rapports 1° Dame Caroline Henckel, veuve de M. Jean Bruder en son vivant parcheminier à Strasbourg elle y demeurante, agissant 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qu a existé entre elle et ledit Sr Bruder aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Hickel le 4 octobre 1830, 2) Et comme donataire, en vertu du même contrat, de l’usufruit viager de la totalité des biens composant la succession du dit défunt
2° Dame Caroline Bruder, épouse de M. Séraphin Gerard, marchand de vins qui à ce présent l’autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg, 3° Et De Sophie Barbe Bruder épouse de Mr. Gustave Hess serrurier, qui à ce présent autorise également son épouse à l’effet de ce qui suit, demeurant avec elle en ladite ville.
Les Dames Gerard et Hess seules héritières chacune pour moitié du S Bruder leur frère germain, ainsi que cette qualité héréditaire est constatée par l’inventaire après son décès, dressé par ledit Me Becker, en datte commencement du 23 janvier 1841.

Première observation, contrat de mariage
Deuxième observation, Décès de Mr Bruder, inventaire après ce décès
Deuxième partie. Liquidation de la succession de Mr Bruder
Masse actuve. Part dans la communauté 8649, garde robe 537
Immeubles. Article 3. Une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg grand’rue de la grange N° 8 tenant d’un côté au Sr Beck, de l’autre à la maison ci après désignée
Article 1. Une maison sise en la même ville et dans la même rue N° 9 tenant d’un côté à celle dont il viet d’être question, de l’autre à celle-ci près désignée
Article 5. Une autre maison avec ses appartenances et dépendances sise en la même ville et dans la même rue N° 10, tenant d’un côté au Sr. Stoeber, de l’autre à la maison désignée ci-dessus sous l’article 4.
Mr Bruder est devenu propriétaire desdits immeubles au moyen de l’abandonnement qui lui avait été fait par le partage de la succession de Mr Jean Bruder, son père en son vivant parcheminier à Strasbourg
acp 296 (3 Q 30 011) f° 83-v du 7.4. – Communauté. Total de la masse active 29.738, plus en indemnités dues par la succession, déduction faite des reprises qu’elle est en droit d’exercer, montant à 10.083, Total à partager 39.821
dont il faut distraire les reprises de la veuve 1700, reste 38.121, dont moitié pour la succession fait 19.060.
Succession, part du défunt dans la communauté 19.060, garde robe 537, trois maisons sises à Strasbourg grand rue de la grange n° 8, 9 et 10, mémoire, total de l’actif 19.597 dont à déduire les indemités dues à la communauté 10.083, reste à partager 9514
Droits de la veuve, 1° son émolument sous la communauté 19.060, 2 sa reprise 1700, total 20.760
Pour la remplir de ses droits en pleine propriété, on lui abandonne 1° la garde robe, 2. et des valeurs de la communauté pour le surplus

Les deux héritières et l’usufruitière font visiter les trois maisons rue de la Grange pour savoir quelles seraient les grosses réparations à faire

1843 (5.8.), Strasbourg 9 (90), Me Becker n° 2023
Dépôt de convention – furent présens 1° Dame Caroline Henckel, veuve de M. Jean Bruder, en son vivant parcheminier à Strasbourg elle y demeurante, Mad. Bruder agissant comme usufruitière sa vie durant de la totalité des biens dépendant de la succession de son mari défunt,
2° Dame Caroline Bruder, épouse de M. Séraphin Gerard, marchand de vins qui à ce présent l’autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg, 3° Et De Sophie Barbe Bruder épouse de Mr. Gustave Hess serrurier, qui à ce présent autorise également son épouse à l’effet de ce qui suit, demeurant avec elle en ladite ville. Les dites Dames Gerard et Hess seules héritières chacune pour moitié de feu ledit S Bruder leur frère germain et comme telles propriétaires des biens dépendant de la succession du dit défunt
Lesquelles comparantes ont exposé que par acte dressé par ledit M° Becker et son collègue le 31 mars 1842 il a été procédé à la liquidation de la succession dudit défunt, que cette succession comprend entre autres trois maisons contiguës sises à Strasbourg grande rue de la grange Numéros 8, 9 et 10, par le même acte les parties sont convenues de faire constater l’état dans lequel se trouvaient les immeubles ci dessus désignés. Pour réaliser cette convention il a été dressé en présence de Madame Bruder etd e M M Gerard et Hess par M M Mertz et Arnold tous deux maîtres maçons à Strasbourg experts nommés par les parties, un état des lieux pour savoir quelles sont les grosses réparations qu’il y aurait à y exécuter, le tout ainsi qu’il résulte d’un procès verbal en date du 15 mai 1842 constatant l’opération des experts

Cejourd’hui 15 Mai 1842 à deux heures ed relevée, nous soussignés François Mertz et Chrétien Auguste Arnold les deux maîtred maçons domiciliés à Strasbourg nommés experts, le premier par la Dame Caroline Henckel, veuve du Sieur Jean Bruder, en sa qualité d’usufruitière des maisons sises grande rue de la grange et marquées des numéros 8, 9 & 10 provenant de la succession dudit Sieur Bruder son mari, et le second par les Dames Sophie Barbe Hess née Bruder et Caroline Gerard née Bruder les deux assistées de leurs époux les sieurs Gustave Hess maître serrurier & Séraphin Gerard marchand de vin tous domiciliés à Strasbourg, héritières du dit Sieur Bruder et propriétaires actuels des maisons susdésignées, et ce à l’effet de constater l’état actuel des immeubles en question et les grosses réparations qu’il y aurait à y exécuter, nous y sommes rendus où étant nous avons trouvé les dits Sieurs Gustave Hess & Seraphin Gerard époux des propriétaires ainsi que la Dame Hencker veuve Bruder usufruitière lequels nous ont assisté dans notre opération.
Nous avons reconnu que la maison numéro 8 (…)
De cette maison nous nous sommes transportés à celle adjacente marquée du numéro 9 (…)
De cette maison nous nous sommes rendus dans la maison adjacente marquée du numéro 10.
Sur le devant vers la rue bâtiment construit en maçonnerie à rez de chaussée et deux étages, dessous cave voûtée dessous comble à trois greniers avec couverture en tuiles doubles.
Le rez de chaussée renferme une allée avec escalier deux chambres et une cuisine, le tout en bon état d’entretien. La cave est pavée en dalles et est subdivisée en quatre parties par des cloisons en lattes. La porte principale de la cave située extérieurement vers la cour est en mauvais état et sujette à être réparée.
Le premier étage renferme une chambre une cuisine et un escalier.Le plafond de la chambre est en lambris et le tout en bon état, hormis l’escalier qui est ancien et usé.
Le second étage renferme une chambre et un galetas le tout en bon état d’entretien. Dans la chambre vers la rue se trouve l’escalier du grenier.
Le premier grenier est subdivisé en deux parties par une cloison en planches. Adossés à la dite maison et vers la cour se trouvent deux balcons en boiserie correspondans avec les deux étages.
A gauche en entrant dans la cour bâtiment en galandure à rez de chaussée et deux étages renfermant cage d’escalier jusqu’au premier et deux magasins, le tout le bon état d’entretien.
Le premier étage renferme deux chambres et un corridor le tout sous le rapport de la construction en bon état.
Dans la cage d’escalier vieille croisée à carreaux ronds. Au-dessus galerie servant de séchoir avec comble à demi toit avec couverture simple le tout en bon état.
A côté de ce bâtiment autre en charpente à rez de chaussée et un étage renfermant au rez de chaussée une cuisine et au premier étage une chambre. Dessus comble à demi toit avec couverture en tuiles doubles.
A côté et au fond de la cour bâtiment en galandure à rez de chaussée et deux étages. Au premier une chambre et une cuisine et au second un galetas. Dessus comble à un grenier avec couverture en tuiles doubles. Le tout en bon état d’entretien.
Au rez de chaussée de ce bâtiment se trouvent une échoppe un bûcher et les lieux d’aisances, le tout en assez bon état sauf une partie de plancher en sapin de l’échoppe qui est à refaire et la face postérieure du bâtiment dans la ruelle dont l’état réclame des réparations partielles
La cour de cette maison est dallée en bonnes dalles sauf une partie de deux mètres de longueur à partir de la maison du fond laquelle est pavée en cailloux et la partie vers la maison de devant dont les dalles sont en majeure partie fendues. Le mur de clôture de la dite cour vers la propriété du Sieur Bruder même rue numéro 11 se trouve en assez bon éat sauf la partie au fond de la cour laquelle sur une longueur de trois mètres cinquante centimètres surplomble vers la propriété du voisin. Les chenaux en fer blanc du bâtiment de devant et des bâtimens latéraux ainsi que les conduits de descente sont en bon état.
Dans la cour pompe avec auge en pierre de taille et balancier en bois le tout en bon état.
De tout quoi avons dressé le présent procès verbal le mois et an que dessus.

Caroline Henckel se remarie avec Charles Théodore Wægener, instituteur à la Robertsau
1844 (24. Xbr), Strasbourg 9 (92), Me Becker n° 2561
Contrat de mariage – forent présent M. Charles Théodore Waegener, insituteur demeurant à la Robertsau banlieue de Strasbourg veuf avec deux enfants de Dame Marie Madeleine Brückmann son épouse défunte, d’une part
Et Madame Caroline Henckel, demeurante à Strasbourg, veuve sans enfans de M. Jean Bruder en son vivant parcheminier à Strasbourg, comme future épouse

acp 330 (3 Q 30 045) f° 172
Les apports du futur consistent en un mobilier et en créances montant à 9028, le trout grevé d’un passif de 2654
Les apports de la future consistent en un mobilier estimé 3800, et en créances 18.387
dans les parts indivises dans la succession de Jean Bernard Henckel son père et de Marie Madeleine Henckel sa sœur, le tout grevé d’un passif de 67 francs
Donation par le futur à la future en cas de survie, de la pleine propriété d’une part d’enfant sur toute la succession
Donation par la future au futur en cas d’inexistence d’enfant de toute la succession qu’elle délaisera à l’exception d’une valeur de 2820 francs, estimation des biens meubles qu’elle possédait lors de son premier mariage, 2° du montant de ce qui lui revient pour solde de la part de la succession de son père et de elle de sa sœur 3° du montant se sa part dans les successions qui pourraient s’ouvrir à son profit, et en cas d’existence d’ensemble la future fait donation au futur de l’usufruit de la moitié de sa succession

Caroline Henckel fait donation de ses biens à Charles Théodore Wægener
1868 (10.11.), Me Becker
Donation par Caroline Henckel épouse de Charles Théodore Waegener, instituteur à la Robertsau, de l’universalité de sa succession et en cas d’enfant un quart en propriété et un quart en usufruit
acp 577 (3 Q 30 292) f° 91 du 27.11. (succession déclarée le 5 avril 1867)

1868 (7.12.), Me Becker
Dépôt du testament olographe de Caroline Henckel épouse Théodore Waegener, instituteur à la Robertsau, ledit testament en date du 15 2.& 1868 enregistré ce jour d’hui
acp 579 (3 Q 30 294) f° 18 du 7.12.

1868 (10.12.), Me Becker
Notoriété constatant que Gustave Hess, ancien serrurier, Jean Séraphin Gérard marchand de vins, Charles Emile Gérard, marchand de vins, tous demeurant à Strasbourg déclarent avoir connu Caroline Henckel, veuve premières noces Jean Bruder et en secondes noces Charles Théodore Waegener, décédée à la Robertsau le 19 novembre dernier
acp 578 (3 Q 30 293) f° 39-v du 11.12.

Caroline Henckel meurt en 1868. Les héritières de son premier mari deviennent propriétaires à part entière de la succession

1868 (17.12.), Me Becker
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Théodore Waegener, instituteur à la Robertsau, et Caroline Henckel sa femme et de la succession de cette denière décédée le 19 novembre 1868, dressé à la requête du veuf agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Becker le 24 Xbre 1844
Communauté, mobilier 1146, argent 150
Succession, garde robe 107
acp 579 (3 Q 30 294) f° 56-v du 21.12. (succession déclarée le 5 avril 1867)
Communauté, autres actifs 13.350
description des reprises
acp 581 (3 Q 30 296) f° 43 du 9.3. (vacation du 3 mars 1869)

Les maisons rue de la Grange reviennent à Sophie Barbe Bruder qui a épousé en 1828 le serrurier Henri Gustave Hess

1828 (13.3.), Strasbourg 8 (nouv. cote 45), Me G. Grimmer n° 2127
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Henri Gustave Hess, serrurier, fils de feu Frédéric Hess, boulanger, et feu Marie Dorothée Werner
Sophie Barbe Bruder fille majeure de Jean Bruder, parcheminier, et de feue Barbe Bruder née Oster sa femme en premières noces
Enregistrement de Strasbourg, acp 188 F° 125 du 17.3.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.