7, rue Sainte-Elisabeth


Rue Sainte-Elisabeth n° 7 – VIII 116 (Blondel), P 1321 (cadastre)


Vue de l’actuel n° 3. L’ancien n° 7 se trouvait à l’emplacement de l’arbre devant l’aile droite (août 2014)
Façade (v-x) iv en 1830 (élévations préparatoires au plan-relief de 1830)

La maison appartient de 1579 à 1607 au charpentier puis chef du chantier des Charpentiers Michel Arnold qui la vend pour rembourser la Ville de dépenses faites dans l’exercice de ses fonctions. Elle appartient à partir des années 1620 au cordonnier Jacques Schreiber qui habite rue des Serruriers puis à ses ayants droit. L’un d’eux, Ursule Güntzer et son mari Ulric Rotter, rachètent la maison et l’habitent. Leur petite-fille Marie Salomé Rotter, veuve du boucher Philippe Jacques Kamm, la vend en 1794. Le boucher André Nothhafft l’achète en 1797. Ses ayants droit la vendent en 1872 à la Ville de Strasbourg qui la réunit aux maisons voisines puis cède le tout en 1880 à l’Etablissement des Diaconesses. La propriété comprend en 1872 neuf logements dans une maison de devant et une maison de derrière avec aile en retour, à rez-de-chaussée et un étage.


La maison, à peu près au milieu de l’image, est à gauche de celle à pignon sur rue, Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et un étage en bois, ce qu’on retrouve dans le description de 1873. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (v-x) : porte d’entrée, porte de cave et petite fenêtre au rez-de-chaussée, étage à trois fenêtres et toiture à trois niveaux de lucarnes. La cour K’ représente la façade arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral ouest (2-3), le bâtiment arrière (3-4) et l’édicule (4-6) à l’est. La maison arrière à aile en retour doit avoir été transformée puisqu’elle a en 1873 un rez-de-chaussée et un étage en galandure.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 7.


Cour K’ et plan, plan-relief de 1830, îlot 256 (Musée des Plans-relief) 1

mars 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1579 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Stephan et Anne Erhard – luthériens
1579 v Michel Arnold, charpentier, et (v. 1675) Reine Huldereich – luthériens
1607 v Adam Fechter, jardinier, et 1591 Marthe Bitz, d’abord (1570) femme du jardinier Frédéric Seiffert puis (1583) du jardinier Martin Reinbold, puis (1608) Marie Meyer, (1610) Marguerite Pfenger – luthériens
1612 v Adam Herwag, jardinier, et (v. 1595) Chrétienne Ehrmann puis (1604) Marthe Wang – luthériens
v. 1620 Jacques Schreiber, cordonnier, et (1599) Marie Weller puis (1610) Marie Frœreisen, d’abord (1604) femme du fourbisseur April Brosier – luthériens
1641 h Charles Baldner, pêcheur, et (v. 1604) Ursule Mock puis (1641) Marie Frœreisen veuve d’April Brosier et de Jacques Schreiber – luthériens
1655 h enfants de Marie Notter femme (1627) du tonnelier Adam Güntzer, remarié (1644) avec Marguerite Jæger – luthériens
1657* h Marie Güntzer et (1657) Conrad Fuchs, notaire et greffier de Barr, puis (1665) Jean Georges Holtzschuh, tonnelier – luthériens
1677 v Ulric Rotter, tonnelier, et (v. 1671) Ursule Güntzer – luthériens
1715 h Jean Jacques Rotter, tonnelier, et (1705) Susanne Marguerite Lobstein – luthériens
1726 h Jean Conrad Kieffer, tonnelier, et (1726) Susanne Marguerite Lobstein veuve de Jean Jacques Rotter – luthériens
1769 h (indivision) Susanne Marguerite Rotter femme (1736) du tonnelier Jean Jacques Kuhn puis son légataire Jean Jacques Rother – luthériens
Marie Salomé Rotter femme (1738) de Philippe Jacques Kamm, boucher puis aubergiste – luthériens
1794 v Balthasar Knoll, perruquier, et (1761) Susanne Elisabeth Büchel – luthériens
1797 v André Nothhafft, boucher, et (1796) Eve Christine Wœrn
1836 h Catherine Sophie Wern, femme (1805) du tanneur Jacques Schweyer
1848 h André Cyprien Schweyer, journalier, et (1839) Marie Anne Gouthe
1869 h Marie Sophie Schweyer et (1863) Jacques Emile Klein, typographe
1872 v Ville de Strasbourg
1880 v Etablissement des Diaconesses

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 000 livres en 1716, 750 livres en 1725, 600 livres en 1770, 500 livres en 1795

(1765, Liste Blondel) VIII 116, Jean Conrad Küffer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Kamm Wittib, 4 toises, 2 pieds et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1321, Schweyer, Jacques, journalier – maison, sol, cour, bâtiment – 1,6

Locations

1873, Michel Kientzler

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 344
Michel Arnold, chef du chantier municipal des Charpentiers doit 1 sol 8 deniers pour sa maison, à savoir une saillie (30 pieds de long, saillie d’un pied), à côté de la porte une petite caisse en bois (3 pieds de long, saillie de 1 pied ½), en outre un chenal en bois à l’extérieur de la maison

Wider auß dem Allmend Gäeßlin hinauff baß Sanct Elisabethen Thor zu.
Michael Arnold Der Werckmeister vff Vnserer Herren Zimmerhoff hatt ein Hauß, In Sanct Elisabethen Gassen, daran ein Staucher xxx schu lang, j schu herauß, Neben der Thür desselben Hauses ein hültzenes Kästlin iij schu lang, i+ schu herauß, Hatt auch am Hauß außwendig ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, j ß. viij d.

Description de la maison

  • 1725 (billet d’estimation traduit) 1725 La maison comprend un bâtiment accessoire, un poêle, plusieurs chambres dont une séparée par des cloisons, vestibule dans lequel se trouve l’atelier de tonnelier, petite cave sous solives, petite cour, puits, abreuvoir, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1873 rapport au Conseil municipal

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Ste. Elisabeth

nouveau N° / ancien N° : 40 / 4
Nothhafft
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 354 case 3

Schweyer Jacques Journalier

P 1321, sol, maison, bat. et cour, Rue Ste Elisabeth 4
Contenance : 1,60
Revenu total : 61,83 (61 et 0,83)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 722 case 2
Le sol P 1321 est ensuite reporté (exercice 1899) à la case 2 du folio 721, Etablissement des Diaconesses

Schweyer Jacques journalier
1871 Schweyer Andreas Cyprian Wittwe und Tochter
1882/83 Diakonissen Anstalt

P 1321, Maison, sol, Rue Ste Elisabeth 7
Contenance : 1,60
Revenu total : 61,83 (61 et 0,83)
Folio de provenance : (354)
Folio de destination : Gb – (sol) Gb 721
Année d’entrée :
Année de sortie : 1899
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 24
fenêtres du 3° et au-dessus :

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 284 De Ste Elisabethe p. 447

4
loc. Zillioks, J. George – Drapiers
loc. Kamm, Marie Salomé veuve – Bouchers
loc. Glaser, Barbe – Manante
[ajout] loc. Maucks, Sébastien, passementier

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Elisabethgasse (Seite 31)

(Haus Nr.) 5, 7, 9 fehlen

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)

Voir le n° 3


Relevé d’actes

Le titre d’acquisition suivant figure aux inventaires dressés en 1655 et en 1665.
Georges Stephan et sa femme Anne, fille de Michel Erhard d’Ingwiller, vendent la maison au menuisier Michel Arnold et à sa femme Reine

1579 (xxx Julÿ), Chancellerie, vol. 200 f° 192-v
Erschienen Jerg Steffan burger Zu St. vnd Anna sein eheliche haußfraw Wÿland Erharts Michell Zu Ingweiler seligen dochter haben vnuer. für sich & Mitt vffgabe & verkaufft
dem Erbaren Michel Arnolten dem Zimmerman Zu St. Vnd Reginen seiner ehelichen haußfr. so beÿde gegenwärtig Inen Vestiglichen Kauffen
hauß hoffstatt vnd garttlin mit allen Iren gebeuwen, gelegen In der St: St: In S Elßbethen gaß einseit neben hanß Wagell dem Secklern andersit Florian granwen* seligen Wittwe, stost hinden vff hrn Friderich Wolffen gartten, dauon godt vij fl gelts vff Wÿhenachten mit j C L fl St: W: alblosig Caspar Kalman den glaser, Mehr ein gulden mit xx guldin bemelter W: ablosig vff Urbani dem großen Spittal, Item ii+ guldin auch vff S Urbans tag den Closter Fr. Zun den Rewerein Zu St: mit Lx guldin In glt abzulösen, Vnd dann dreÿ guldin gelts vff Martini widerkeuffig mit Lxxv guldin bemelter Werung Johann Volmar von Bernßhoffen Alle Jar Vnd alles echt & der Kauff beschehen vmb 200 guldin St: w:
Hie beÿ vnd mit sindt gegenwärtig gewesen die fürnemmen w erenthhafften herrn Carle Spielman, Sebastian Olff, Jost Seÿler vnd Conradt Spielman alle burgere Zu St. hantzu Insonderheit erfordert
[in margine:] Vide Ao & 72 fol. 207. In prolm

Michel Arnold achète le droit de bourgeoisie le 13 août 1576.
1576, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 264
Michel Arnoldt von Straßburg der Zÿmmerman hatt das Burgkrecht Kaufft und dient Zu den Zÿmerleütt. Eod. die [13.t Augusti a° & 76]

Michel Arnold et sa femme Reine font baptiser leur fille Anne Marguerite en octobre 1586. Aucun autre enfant n’est baptisé à Strasbourg.
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 372-v n° 1769)
1583. 17. octob. Michel Arnolt der Zimmerman, Regina – Anna Margret. – Ulrich Morseln Anna Jacob hecht* des soldners f Margret Georg Meisners dochter (i 378)

Sa fille Anne Marie épouse en 1602 le notaire Jean Martin Reuber
Mariage, cathédrale (luth. p. 100)
1602. Dominica Misericordiæ die 18. Aprilis. Hans Martin Reuber der Notarius, Anna Maria Michael Arnoldt des Werckmeisters auf dem Zimmerhoff dochter (i 53)

Différentes mentions de Michel Arnold dans les registres du Magistrat
1585, Protocole des Quinze (2 R 15) – Michael Arnoldt. 120. [mit dem trucker am Kornmarkt einen baw verdingt]
1588 VII 1304 Bauherren – Zÿmerhof. 92. 111. Michel Arnold præsentation. 120.
1589 VII 1305 Bauherren – Zimmerhoff Werckmeister Michel Arnold. 17.
1591 Conseillers et XXI (1 R 68) – Michel Arnold vmb verbesserung seiner besoldung. 581.
1591 VII 1307 Bauherren – Zimmerhoff Werckmeister (Michel Arnoldt pt° belohnung). 81.
1596 VII 1311 Bauherren – Werckmeister Michael Arnold der Zimmermann. 209. Hans Weÿß der Zimmermann. 209.
1597 VII 1312 Bauherren – Michel Arnold Werckmeister vmb erlaubnus. 151.
1605 VII 1320 Bauherren – Michel Arnold begert Hagendornen holtz. 146.
1606 VII 1321 Bauherren – M Michel Arnold Werckmeister clagt contra Hans Elchinger den Koch vffm Zimmerhoff. 11. 13.

Michel Arnold est nommé chef du chantier des Charpentiers le 20 juillet 1588 en remplacement de Jacques Kessler
1588, Conseillers et XXI (1 R 65)
Werckmeister vffm Zimmerhoff und Maurhoff Ambtsbüchlein. 240.
Werckmeister dienst vffm Zimmerhoff anstatt Jacob Keßlers. 265. Michel Arnold angenommen. 343 (XX Julÿ). schwert. 345 (XX Julÿ). 416 (XXIIII Augusti.

Le chef de chantier Michel Arnold demande l’intercession du Magistrat pour recueillir la succession de son beau-frère Jacques Beffey à Heilbronn
(f° 648-v) XXIII Decembris – Michel Arnold, Jacob Boffoÿs Erbschafft
Burgermr. vnd Rhat Zue Heilpronn schreÿben, vnd beantworten m. hn vff ein fürschrifft für Michel Arnold dem Werckmr. an sie außgang. wegen Jacob Boffoÿs seines schwagers erbschafft, v.meld. das dieselb sich vff 63 gld. anlauff. vff Zinß angelegt vnd ein viertel Jar Zuuor abgekündt werden müß Zu dem ein schreiner Zu Lauping. dieser erbschafft sich auch anmaß. Wo fern aber er einen mit genugsamen gewalt vnd caution abfertig. werde, seÿ sie verkütt* den erbfall Zuentschlagen, bericht H Amr. das er Ihme d. schreÿb. albereit fürhab. laßen, bleibt dabeÿ

Suite de la même affaire. Michel Arnold hypothèque en garantie sa maison rue Sainte-Elisabeth pour une valeur de 300 florins.
1589 Conseillers et XXI (1 R 66)
Michel Arnold der Zimmermann und Werckmeister vmb Jacob Beffeÿs erbschafft zu Heilpronn. 79.
(f° 79) XIX. Februarÿ – Michel Arnold
Michel Arnold d. Zimmermann meiner Hn Werckmeister vbergibt vff der Statt Heilpron schreib. darin sein Jacob Beffeÿs erbschafft halb Caution begeren, sein gegenbericht vnd erclerung, erbautt sich sein behausung vff S. Elßbeth. gassen vnd die besserung vff derselben, so sich vff 300 fl. erstreckt, darfür Zuverlegen, Im fall auch die Statt Hailpron mit dieser verlag nicht Zufriden, so bitt er mein h. wöllen die Caution für Ihne v.sprechen, vnd diese sicherheit annehmen, In ansehung die erbschafft sich nicht vber 63. fl. anlaufft. Erkandt, Man soll Ihme willfaren, die sicherheit für Ine versprechen, vnd Ihne m. H sein hab vnd güter darfür verschrÿb. laß.

Michel Arnold et sa femme Reine hypothèquent la maison au profit de Samuel Hupertus. En marge, quittance remise en 1623 à Nicolas Schreiber

1594 (xxviij Novemb), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 350-v
(Inchoat. fo: 470.) Erschienen Meister Michell Arnoldt der Statt Werckmeÿster vff dem Zimmerhoff vnd Regina sein eheliche hußfr.
haben Inn gegensein des Frommen Wolgelerten herrn Samuelis huperti – schuldig seÿen 200 guldin SW
Zum vnderpfand ÿngesetzt Huß hoffestatt vnd garttlin m all and. Iren gebeu gelegen Inn der SS Inn Sanct Elßbethen gaß. einsÿt neben Conrad Düringer dem Schaffner die andersyt neben Hanns Vogells geweßenen würths Zum dieffenkeller selig erben stoßend hind. vff H Jacob Wolffen gartten, dauon gnd Suben guldin gelts m. 120 guld SW abzuloßen wÿland Caspar Rulmans des glasers seligen erben seligen erben, Item Ein guldin gelt mit 20 guldin SW abzulösen d. groß. Spittal, Mehr dritthalben guldin gelts dem Closter Frauwen Zu den Ruwerin m. 60 gulden Inn gold abzulösen vnd dann 3 guldin gelts widerkhouffig mit 75 guld. SW Johann Volmar von Bernßhoffen sunst ledig eÿg.
[in margine :] Erschienen Samuel Hubertus ietzig. Kornverwalter bekante in gegensein Jacob Schreibers alß Jetzigen Inhabers des und.pfandts (…) den 17. Maÿ 623.
(Nachtrag, 25 August 635.)

Michel Arnold et Reine hypothèquent la maison au profit du charpentier Jean Schott

1600 (xxij Novembris), Chancellerie, vol. 328 (Registranda Kügler) f° 307-v
Erschienen der Erbar Michael Arnold Werckmeister der S S vff dem Zimmerhoff v. Fr. Regina sein eheliche hußfr. haben sich unverscheidenlich v.schrib.
gegen Meyster Hans Schotten Zimmermann, ij lb d glts loßig mit L lb d
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt v höfflin m Iren gebeud geleg. Inn der SS vff S Elßbethen gaß, einseyt neben Conrad Duringer Schaffner andersÿt hanns Sturmen gartenman stoßt hind. vff Jacob Wolff. selig. erb.garten, Davon gond dritthalben guld. gelt SW losig m Lx g. Inn geld dem Closter Fr. Zu der Ruwerin, Mehr dreÿ guldin gelts SW losig mit Lx g. dem Junckher Voltzen von Altenauw, So dann Zehen guld gls losig m ij L g SW herrn Samuel hupertho Præceptor sunst ledig eÿg

Michel Arnold hypothèque la maison au profit du meunier Jacques Siebenhorn

1606 (xv Aprilis), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 101
(Inchoat. fo: 154.) Erschienen der Erbar Michael Arnolt der Statt Straßburg Werckmeister vff den Zimmerhoff
hatt in gegensein Jacob Sübenhorn Müllers – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühen gelts
Zum vnderpfand ÿngesetzt huß hoffestatt höfflin v gertlin mit all Iren gebeud gelegen Inn der SS vff Sanct Elßbethen gaß, einsyt neben Conrad Duringer andersyt neben (-) dem gartner stoßend hinden vff Georg Anglers gartten, Davon gondt dritthalb guldin gelts Zu xv batzen lößig mit 60 goldgulden den Closter Zu den Rewerin Mehr dreÿ guldin gelts SW ablößig mit 60 guldin bemelter werung Johann Teürern in schaffners wÿß, wÿther 10 gulden glt widerlheüffig mit 200 guldin SW Magister Samueli Huperti Sunst ledig eÿg.

Michel Arnold hypothèque ses deux maisons, rue Saint-Elisabeth et rue Thomann, au profit de la Ville en garantie des 263 livres de bois qu’il a prélevé pour son usage personnel sans les porter dans les registres du Chantier

1607 (24. octobris), Chancellerie, vol. 368-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 150
Schuldbekantnus Versicherung und Bürgschafft versprechung für Gemeine Statt von Mr Michel Arnolden
Erschienen M. Michael Arnold dißer Stat geweßener Werckmeister vffm Zimmerhoff vnnd
hatt in gegenwertigkeit Herrn Heinrich Lipß. vnd Herrn Gall Lucken, beider eines Erbarn Rhatt Insonderheit abgeordneter, freÿ offentlich bekhant
demnach in wehrender sein Arnoldts verstrickung in ersuchung seiner schuldbücher vnd Registern befunden, daß er gemeiner Statt ane selbß gebrauchtem, verkhaufftem, vom hoff hinauß gegebnen aber niemals verrechnetem holtz In Summa 263. lb 11 ß 1 g schuldig verplieben das er vff sein vnderthenig anerbieten, vnnd erlangte gnedige bewilligung, zu erledigung seiner hafftung, mit vnd beneben Regina Huldrichin sein gegenwärtig geweßener haußfr. ohnverscheidenlich vnd guttwillig (solche schuld zu bezalen)
Zum vnderpfand ernänt vnd verlegt, Ihre Behausung vff St. Elßbeth gaß einseit neben Conrad Diringern, anderseit neben N. Sturmen des Gartenmanns s. Erben stoßt hinden vff Georg Ringlers garten, davon ghonts Jars vff Weÿhenachten v lb v ß Herrn Samuel Huberto p.ceptori 6.tæ Classis lößig mit 100* lb, j lb 5 ß dem Closter Rawern In hauptgut wie man sagt mit 60 goldgld. ob. nicht ablösig, Johann Cuntzman In Schaffners weiß 3 fl. St. ablösig mit 60 fl. gter St. w. sonst freÿ ledig vnnd eigen,
So dann Ihre andere behaußung In dem Thomanloch einseit neben weiland herrn Caspar Kniebßen geweßenen xv.ners s. Erben ghet Jars 4 lb 4 ß vff Michaelis gemeiner Statt alhie ablösig mit 34 lb, mehr 2 lb 110 ß Jonæ lintz dem fenckmeister Vff Joîs lösig mit 50 lib, It. 2 lb 10 ß vff Michaelis Hannß Jacob Freÿen dem Maurer, In Hauptgutt 50 lb d vnd dann 2 lb 10 ß vff Joîs Hannß Batte Cancellei botten, sonst allerdings auch freÿ vnd ledig.
Uber d. haben sie neb. obspecificirte burgere Hannß Martin Reubern Notarium Ihr bekhenner tochterman, Michael Schuman den Wurtzhendlern, Paul Noßen Hauptkandten vff d. becken Zunfftstub. vnd Hannß Hummerding den Zimmermann Ihre bekhante

Le chef de chantier Michel Arnold a été mis en prison ainsi que le contremaître Léonard Unfried. Il en résulte que les ouvriers du chantier n’ont plus de direction.
1607, Préposés au bâtiment (VII 1322)
Michel Arnold der Werckmeister in hafft geführet. 116. 137. 150. 181.
(f° 116) Sambstag 15 Augusti – Haben die B. nach mir vff die Pfaltz geschickt Angezeigt Nach dem M Michael Arnold d. werckmr. dißen morgen In hafft geführt word. vnd Lienhard Unfridt der Ballier Zuuor darin ligt Alß der hoff gantz ledig steht, Aber vil Arbeiter vffm hoff, vnd doch schier Keiner dem Zuuertrawen, Wie man den hoff versehen vnd versorgen möchte, Schlecht h grienwaldt Johann wercklin für Zu einem vffseher ohn deßen willen nichts weg gegeben oder verschnitten werden solte (…)

Le chef des travaux demande s’il faut verser la rémunération de Michel Arnold. Les préposés répondent que la rémunération doit être versée jusqu’à ce que l’affaire soit démêlée.
(f° 137-v) Sambstag den 12. Septembris – Michel Arnoldt Werckm.
Stattlonh. fragt, Weil Michel Arnoldt ob man M micheln od. seiner frawen den wochenlohn geben soll oder nit, weil er nun 4 woch. In hafft geleg. Ist Ihm beuohlen den lohn volgen laß. biß wie erkhundig. was es für ein vßgang gewinen werde.

Nouvelle demande du chef des travaux
(f° 150-v) Sambstags den 10. Octobris – M Michel Arnold
Stattlonherr begert bescheid wie er sich v.halten soll, weil man sagt, das M. Michel Arnold von hoff hinweg komme, ob er Ihme Arnold sein wochenlohn noch geben soll, weil er dann sein Antzeig von hör sag. hat, Vnd wie auch noch kein beuelch von vnsern h. haben, soll er Ihm disen sambstag noch den lohn werd. laß.

Le greffier des affaires criminelles Jean Conrad Ziegler est chargé de recouvrer les dettes du Chantier dans l’affaire de Michel Arnold.
(f° 181) Sambstags 12. Xbr. – M Michel Arnolds wegen hat hanns Conrad Ziegel der Vergichtschreiber dem des Zimmerhoffs vßstohnde schulden In Zusamblen beuohlen worden, vff verh*ung deßelben geliffert thut, 400. h d Vnd will Künfftig auch ein Rechnung oder specification dessen vbergeben.

Les préposés ordonnent à Michel Arnold de quitter son logement de fonction
1608, Préposés au bâtiment (VII 1323)
(f° 2) Sambstag 16 Jenner 608. – M Michel Arnold
Ihm [Statt lonh.] Ist auch beuohlen worden, M Michel Arnold. Antzuzeig. den hoff Zu raumen dan man fürderlich ein werckmr. ordnen werde.

Michel Arnold demande à être réintégré dans ses fonctions ou au moins de pouvoir occuper son logement de fonction au moins jusqu’à l’Annonciation
(f° 19-v) Freÿtag 5.ten Februarÿ
(…) Ist auch M Michel Arnoldts Sup.tion abgelesen darin er bittet Ihnen wid. Zum dienst Khomen Zulaß. oder da dasselb Je nit sein Kan Ihnen biß vnser frawen tag Im hauß Zulaß. dan er hiezwisch. nirgend hin weiß, vff solches Ist lang daruon geredt worden wer In vssschutz Zubringen (…) Vnd soll M Michel biß vnser frawen tag Im hauß sitzen bleiben, doch d. holtz p. lonh. Ihm abgestrick werd. soll sein eig. holtz brennen.

Les héritiers de Michel Arnold devront verser les sommes qui restent dues à la Ville. L’affaire est pendante devant le tribunal.
1611, Préposés au bâtiment (VII 1326)
Michel Arnold gewesenen Werckmeisters schuld. 77.
(f° 77) Ist dauon geredt daß von Michel Arnolt gewesenen Werckmeisters seligen, vsstand hero vß der Cantzl. vns hieuor etwas vff rechnung geliffert, aber seithero nichts mehr auch kein bericht od. rechnung Eruolgt, und das man wiss. das mehr vsstand vnd theils Zubracht, Ist als bald hans Conrad Ziegel beschickt gehört, sagt habe hieuor das empfangene gelt gelieffert, seine noch mehr hin und wid. vsstendig das hange vorm Statt gericht, sein Michel Arnolds erben, die treiben vorm Stattgericht selbst darauff, dan was sie nit Zubring. müss. sie selbst Zalen, darumb haben mein h. 3. bürg vnd heb er nach sein Michel Arnoldts todt, als die erben den haußrhat verkauffen wollen, solches versperrt vnd noch daruff Ihm bevohlen beim Stattghtschr. Zu treiben das das geschefft befürdert werde vnd soll er Ziegel biß Johannis ein Rechnung mach. Wills thun. der erbeüt sich auch als den seines vatters rest richtig Zumach.

Autres mentions des dettes de Michel Arnold. Son gendre Jean Martin Reuber est mentionné notamment en 1613
1612 VII 1327 Bauherren
Michel Arnold des Werckmeisters schulden. 74.
1613 VII 1328 Bauherren
Michel Arnolds erben. 80.
(f° 80) Sambstag 22. Maÿ – Hanns Martin Reuber Michel Arnolts dochterman Mang buechle als vogt d. wittwen vnd Johann Jung Nots ca. Ludwig Isenheim, legen ein Zedul für von hans Conrad Ziegeln (…)
Michel Arnold creditores. 143. 164.
1614 VII 1329 Bauherren
Michel Arnolds Erben pt° schuld. 22. Michel Arnold creditoren. 143. 161. 168.

Michel Arnold et sa femme Reine Holdereich vendent la maison au jardinier Adam Fechter et à sa femme Marthe Bitz. La vente est passée en présence du notaire Jean Martin Reubel, gendre du vendeur

1607 (xiiij Novembris), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 319-v
Erschienen M Michel Arnoldt Zimmermann und Regÿna holdereÿchin sein eheliche gemahell hab. unver: verkaufft
Adam Fechter Gartenmann v. Martha Bitzin sein eheliche gemahlin
Zweÿ heüsser ein Vorders v ein hinders mit Iren hoffstatt v. hefflin auch all and. Iren gebeu geleg. Inn d. S S vff S Elßbethen gaß einseÿt neb. h. Conrad Duringer Schaffner anderseÿt hanns hoffel gartner stosst hinden vff h. Jacob Wolffen seligen erben garten, dauon gend 10 guldin gelts S vff den heÿligen weÿhenacht tag losig mit 200 guld bemelter werung herrn Samueli huperto Preceptor der Schulen alhie, doch wann man diße hauptgutt begeren weren (…) Mehr dritthalb guld. gelts S losig mit 60 guldin Inn gelt vff (-) falend Inn diß. verkauff für Straßburger werung gerechnet den Closter Fr. Zu d. Reuern (…) Item 3 guld. glt S w. vff () losig mit 60 gulden bemelter werung (-) 3 schilling Johann Theüerer Sunst für ledig eÿg der Khauff vber solche beschwerd für 302 pfund pfenning S W
hiebey geweßen vff d. verkhüffer seÿt h Martin Röüber Notarius Ir dochtermann So dann vff d. Kheuffer seÿt h Johann Joachim Frantz Schaffner d. grossen Almosen, hans Blessi vischer, Georg Frölich dreyer knecht, hans Welff gartner

Adam Fechter hypothèque un mois plus tard la maison ainsi qu’un jardin hors la porte Sainte-Elisabeth

1607 (vt spâ [28 Decembris]), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 359-v
(Inchoat. fo: 382.) Erschienen Adam Fechter Gartenmann
Inn gegensein h Johann Joachim Frentzen Schaffners des grossen gemeynen Almusens Zu Sanct Marx – schuldig sein 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
dafür Vnderpfand Zweÿ heüßer ein Vorders v. ein hinders mit Iren hofestätten perm. in pro: 607. fo. 341 Davon vt obgdt Mehr verhafftet für j X xliij lb x Michael Arnolden Zimmermann zu bezalen
Item Ein Gartten mit Zweÿen heüßern deren auch andern begriffen vnd Zugehörd gelegen vor dem Elßbethen vnd Spittalthor einseyt ein eck ane einer Almend gaßen So hannß Frieß Statt Seyler Inn lehen, anderseyt auch ein Eck gegen der allmend stossen hind. vff J. Bernhard v. Kageneck selig erben, Davon gnd xx guldin glts loßig mit iiij C gulden Zu xv batzen Mathys Eck vogtlicher weys, Mehr vonn eim Blatz darin v ß viij d der SS So dann wyther verhafftet für 100 pfund pfenning hanns Friesen Statt Seÿlern
[in margine :] Johann Joachim Frantz obernanten Creditoris hinderlaßener Sohn vnd Erb hat in gegensein Maria Crantzerin mit beÿstand Rudolff Schotten des weißgerbers geordneten vogts (…) q.tirt den 2. Octobris Aug. 1624.

Le jardinier Adam Fechter épouse en 1591 Marthe, veuve du jardinier Martin Reinbold
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 4-v, n° 11)
1591. Sexagesima. Adam fechter ein gartner vnd Martha, Martin Reinwoltts gartenmans hinterlassene wittwe. Eingesegnet Zinstag den 16. Februarÿ, Ausgangen in des graben ulens geßlin (i 5)

Le jardinier Martin Reinbold (Reinwolt) épouse en 1583 Marthe, veuve du jardinier Frédéric Seiffert
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 317 n° 62)
1583. Dominica X Post Trinitatis. Martin Reinwoltt ein gartenman vnd Martha, Friderich Seifferts des gartners nachgelaßene wittwe. Eingesegnet Zinstag den 13. Augusti (i 166)

Fils de Thomas Seiffert (Seifried), Frédéric Seiffert épouse en 1570 Marthe, fille de Georges Bitz
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 135)
1570. Dominica Quasimodo. Friderich Seüffrid Thoman Seüffrids v.lassen Son vnd Martha Jörg Bützen dochter (i 72)

Adam Fechter et Marthe Bitz doivent 15 livres à leur beau-frère et frère Jean Bitz, charron à la Wantzenau
1592 (xx.t Februarÿ), Chancellerie, vol. 280-II (Registranda Meyger) f° 48
(Inchoat in proth. fol. 71.) Erschienen Adam Fechter gartner Ane Steinstraß alhie vnnd Marthan Bützin sein Eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit Hanns Bÿtzen Wagners Burgers Zu Straßburg wonhafft Inn der Wantznouw der Bekhenneren Schwagers vnd Bruders offentlich verÿehen – schuldig seÿen 15 Pfund Pfenning

Adam Fechter, demeurant à la Wantzenau, loue un jardin hors la porte de Pierre à Georges Ulner
1597 (vts. [xxvi. Novemb.]), Chancellerie, vol. 308 (Registranda Kügler) f° 310-v
(Inchoat. fo: 348.) Erschienen h Jerg Ulner
Hatt Inn gegensein Adam Fechters seßhaft In der Wantzenauw
bekant das er Ime vnd seinen erben Sechs Jar lang die nechste nach ei volgendt vnd vff der heÿligen wÿhnacht tag nechstkünfftig anfahen sollen, von bemeltem Adam Fechter deßelben eÿgenthümblichen gartten gelegen vor dem Steinstraßer Thor beÿ dem Guttleütthauß stost oben her Carle Helden fünffzehner vnd vnd. vff die Straß, einseit neben Martin Rinck die and.seit gegen dem Steinstraßer thor Zu endtlehnet für vnd vmb ein Jarlich Zinns Nemlich Neün pfund pfenning Straßburger

Le jardinier Adam Fechter achète le droit de bourgeoisie en juillet 1603 (il faut en conclure qu’il a perdu le droit de bourgeoisie lors de son séjour à la Wantzenau).
1603, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 669
Adam Fechter der Gartenmann Vonn Straßburg, Kaufft mit beÿst: Hanns Wolffen auch Gartenmanns das B: Will Zun Gartnern vnder wagneren dienen, vnnd 300 fl. Nahrung angeben, Actum vt supra [19 Julÿ 1603]

Adam Fechter, veuf de Marthe Bitz, se remarie en 1608 avec Marie Meyer, fille de l’employé municipal Michel Meyer : contrat de mariage, célébration
1608 (9.7.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 53 Prothocollum, 1597-1605 ) f° 408
Eheberedung Zwüschen Adam Fechter dem gartenmann vnnd Jungfrawen Marien Meÿerin beeden versprochene ehe Personen vffgericht
Zwüschen dem Ersam Adam Fechter dem gartenmann vnd burger Zu Straßburg, Ane einem
So dann der Erbaren vnd Züchtigen Jungfrawen Marien Meÿerin, weÿland Michell Meÿers geweßenen Meÿsterknechts Ane dem wasserwerckh Alhie seeligenn dochter Am Andern theÿl
Inn beÿseinn (…) der Ehrwürdigen, wolgelerten Ehrenhafften vnd Ersamen Georg Frölichß dreÿerknechts vff dem Pfenningthurn deß hochzeiters verwanten vnd vff seiner, So dan vff der Jungfrauwen hochzeiterin seiten herrn Leonhardt Wanners deß handelßmann Ihreß geschwornen Vogts, herrn Johann schillingß vnd Magistri Ambrosÿ Speccerj beder helffer In bed. Pfarrkürchen Zum Alt. vnd Jungen sanct Peter Alhie Zu Straßburg, Alle burger daselbsten
Zum Andern Ist angezeigt, daß sein deß hochzeitters Zubringende nahrung, über 200 guldin so er seiner verstorbenen frawen Marthæ Bitzin seeligen erben Zugeben schuldig aber doch dieselbigen ad dies vitæ Zunießen habe (…)
Beschehen vnd verhandelt In deß heiligen reichß freÿen Statt Straßburg, Sambstags den 9. Julÿ In dem Jar deß herrn Alß man Zaltte 1608.
Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54) minute signée

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 111-v n° 40)
1608. Adam Fechter Garttman, J. Maria Michael Meiren Meisterkenchts verlasne tochter, 25. Julÿ (i 114)

Marie Meyer meurt en délaissant son mari pour héritier d’après les stipulations du contrat de mariage. La maison est estimée à 182 livres auxquelles s’ajoutent les capitaux dont elle est grevée. L’actif de la succession s’élève à 477 livres, le passif à 178 livres.

1610 (6.7.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 5) f° 182
Inventarium Aller Haab v. Nahrung So weÿlandt die Erbar frauw Maria Meÿerin, Adam Fechters deß gartenmanns haußfr. seelig. nach Irem tödtlichen hinscheÿd hind. Ihro Verlassen, Inn beÿsein der Ehrenvesten fürnehmen herrn Bernhard schmiden vnd Michaelis Beringers deß Notarÿ, bed. beÿsitzer der herren deß cleinen raths, d.weÿl die fraw selig Ihme dem wittwer Inn der eheberedung, wofern sie vor Ihme ohne leibßerben todes verfahren würde, Ihre nahrung Ihme Zu einem eÿgenthumb vermacht, vnd der fall sich Jetzund dergestalt begeben, von wolermelt. rathn vff sein deß witttwers Ansuch.deputirt v verordnete herren (…) Actum Freÿtags d. 6.t Julÿ Anno 1610.

Inn einer hernach specificirt. behausung befund. word: wie volget.
In der Cammer A, Vnd. In d. Stub Cammern, In der Stuben
It: j garten Zwischen S. Elisabeth v. Spithal thor geleg. (…)
It: 2. heußer ein vord.s v j hind.s mit Ihren hoff stett. v. hofflin auch allen and. Ihren gebeüwen begriffen Weithen rechten Zugehörd. gerechtigkeit. geleg. In d. Statt Straßb : vff S. Elisabeth gaß einseit neben Hn hans Conradt Dürings. dem schaffner and. seit hanß höffel dem garten man hind. vff Weiland h. Wolffen seelig. erben garten stoßent daruon gondt j lb 5 ß d gelts vff S. Urbans tag dem Closter Zu d. Ruhren alhie In hauptgut loßig mit 60. goldt guld. Item j lb 11 ß. 6 d gelts Jarlich vff Martini dem edeln v vesten Junckher Adam Volmar von Bernßhoff. In hauptgut loßig mit 31. lb 10 ß d gelts Mehr 3 lb 15 ß d gelts Jarlich vff d heilig weihenacht tag Michell Arnold dem Zimmerman In hauptgutt lößig mit 75. lb.d. So dann 5 lb 5 ß d gelts herrn M. Samuel Huberto p.ceptori Classico Jars vff d 14.ten Aprilis loßig In hauptgut m 105. lb d sonst allerding ledig v eig. v Ist die besserung Angeregt behaußung vber hieuor specificirte beschwerden Angeschlag. word. für 182. lb. V. soll die v.schreibung vber Angeregte behaußung h Samuel Hubertus vnd.pfandts weiß beÿ hand. haben.
Abzug Inn dieses Inventarium. Sa. haußraths 70, Schiff und geschirr Zum garttenwerck 6 ß, Silber geschmeids 4, guldine ring 3, baarschafft 72, Blumen Im gartten 3, Eÿgenth: Ane häuser v ligend. guth. 282, Schulden 40, Summa summarum 477 lb – Schulden 178 lb, Nach deren Abzug 299 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 384 lb

Adam Fechter se remarie avec Marguerite Pfenger, fille du tanneur Jean Pfrenger d’Eger : contrat de mariage, célébration (le diacre de Saint-Pierre-le-Jeune Jean Pfrenger est témoin au contrat).
1610 (10.7.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 52, Prothocollum, n° 39) f° 25
Eheberedung Zwüschen Adam Fechter dem gartenman vnd Jungfr. Margred Pfrengerin beeden Versprochenen Ehepersonen
(…) Zwüschen dem Ersamen Adam Fechter dem gartenman burgern Zu Straßburg Ane einem
So dan der Züchtigenn vnd tugendsamen Jungfrawen Margred Pfrengerin, weÿlandt deß Ehrenhafften hanß Pfrengers burgers vnd Rothgerbers Zu Eger seeligenn dochter Am Anderntheil
Inn beÿsein wissen willen Consens vnd vnd.handlung der Ehrwürdigen, ehenuesten fürnehmen, wolgelerten Ehrenhafften vnnd Ersamen Georg Frölich dreÿer knechts vff der Statt Straßburg Pfenningthurn vnd Reinhardt scheidenn sein deß hochzeitern Vettern vnd schwagers vnd vff seiner So dann vff der Jungfr. hochzeiterin seitten herrn Johannis Pfrengers Diacony des stiffts Zum Jungen sant Peter, herrn Michaelis Beringers cleinen raths Verwanten vnnd Absolon Simon beed. Notarien Ihres bruders vnd günstiger herren burger Zu Straßburg
Geschehen vnd verhandelt Inn deß heiligen Reichß freÿen statt Straßburg Zinstags den 10. Julÿ Inn dem Jar deß herren Alß man Zaltte 1610
Minute Daniel Strintz (58 Not 54)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 225 n° 58)
1610. Dom. 6. post Trin. 15. Julÿ. Adam Fechter ein gartenmann, Margretta, Johann pfengers des rotgerbers Zu Egen hind.lassene Tochter. Eingesegnet Mont. d. 23. Julÿ (i 117)

Philippe Reinbold, fils de Martin Reinbold, agissant par son tuteur, vend avec le consentement de son beau-père Adam Fechter la maison au jardinier Adam Herwag

1612 (xvij Marty), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 86
Erschienen hannß Bitz Wonhafft Inn Ruprechtsauw Alls geschworner vogt Philips so vff xxvi Jar vngevorlich v seinem erlernt schneÿder handtwerck nachzeuch. Wÿland Martin Reymbolts des gartenmanns burg. alhie selig. Sohn hatt Vogtlich. wÿß Mit beÿstand v bewilligung Adam Fechters gartenmanns seines Stieffuatters verkaufft
Adam herrenwagen gartenmann Ime
Zweÿ heüsser ein Vorders v ein hinders mit Jr hoffestatten V hefflin auch all andern Ir gebeu gelegen Inn der S S vff S Elßbethen gaß einsyt Conrad Dürinngern schaffnern andersyt hanns höffel gartenmann stoßent hinden vff Jacob Wolffen selig. Erben gartten, Dauon gend 10 guldin gelts Straßburger vff d. 14. tag Aprilis abloßig m 200 guld Straßburger herrn Samueli huperto Præceptor der Schulen (…) Mehr xviij ß vff S Urbans tag loßig mit 60 guldin Inn geld Jeder hieher für xxv batz ger, It. L lb 2* d Closter Fr. Zu d. Reuern, Wÿther 3 guld glt SW vff S Martins tag Widerkheüffig mit 60 guldin bemelten werung Michel Enckel* alls Schaffner Junckherr hanns Volmarn von Bernshoffen, Wyther verhafftet für 50 pfund vff den heyligen weÿhenachten tag A° 609. v 610. Jedes Jars xxv lb s Zubezalen w. sollen, Mehr für Lxv lb xv ß Fr. Susanna Georg Gefrör Ißenn selig. Witwe derselben xxvij lb d vff d heÿlig wyhnacht tag A. 611 ver* v All Jar vff dem heÿlig. Weÿhenachten tag xxvj lb v ß d sampt gebürend Zinß erleg Werden sollen, Sunst für freÿ ledig vnd eÿgen, der Khauff vber solche beschwerden für 165 pfund

D’après les tenants et aboutissant de la maison voisine, les propriétaires sont ensuite Susanne, pensionnaire à l’hôpital (1619), Jacques Schreiber (1625, 1633), Charles Baldner (1641) puis Georges Holtzschuh (1670). La propriété de Jacques Schreiber et des suivants est corroborée par les actes ci-dessous.
Originaire d’Überlingen, le cordonnier Jacques Schreiber épouse en 1599 Marie, fille du pasteur Georges Weller de Deux-Ponts en Westrich

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 114 n° 311)
1599. Jacob Schreÿber von Übeling. d. schuhmach. vndt Maria Geörg Wellers pfarrers Zu Zweÿbruck. Im Westrich Nachgelaß. tochter. Eingeseg. 24. Julÿ (i 116)

Originaire d’« Eberlingen », Jacques Schreiber devient bourgeois une semaine plus tard par sa femme Marie, fille du pasteur Georges Weller de « Walffenstein » en Westrich
1599, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 772
Jacob Schreiber v. Eberling. d. Schumacher, empfangt d. Burg. von Maria Weÿlandt Jörg Wellers, geweßenen Pfarherrs Zu Walffenstein In westerich selig. dochter, gibt sein nahrung vff 5. f. ahn, vnd will Zun Schumacher diehnen, Act. vts [31. Julÿ Anno & 99]

Marie Weller meurt en délaissant pour unique héritière sa mère Marie Müsser, remariée avec le cordonnier Georges Lemmer. L’inventaire est dressé dans une maison proche du poêle des Cordonniers. L’actif de la succession s’élève à 1117 livres, le passif à 56 livres.
1609 (8.5.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 44) n° 785
Inventarium Aller haab v. Nahrung so weÿland die Erbar v. tugendsame fraw Maria Wellerin deß ehrsamen Meister Jacob schreibers schuhmachers v burgers Zu Straßburg ehelichenn haußfr. seellige nach jhem todlich. hinscheÿd. hinf. Ihro Verlassenn, So vff erfordern v begehren, der Erbar, v tugendsamen frawen [Mariæ] Müeserin Ihro der Verstorbenen frawen seeligen mutter v einzigen ab intestato nachgelaßene Erbin, mit beÿstand deß ehrsamen Meister Georg Lemmers schuhmachers burgers Zu Straßburg Ihreß ehevogts geäugt (…) Actum v angefangen Montags den 8.ten Maÿ 1609.
NB die eheberedung vnd Codicill soll einverleinbt werd.
Inn einer behausung In d. St. St. Inn einer gaß beÿ Nahe beÿ schuhmach. Zunfftstub geleg. so H Peter Werner* eigenthümlich zuständig befund. word. wie volget
Ane haußrath, vff d. Bünen, In d. Cammer A, In d. Cammer B, Vor d. Camern A v. B, In d. obern stuben, Vor d. Stuben, In d. Stuben, In d. vnd.n Kuch., Inn dem Keller
V.gleichung Zwüschen dem Wittwer v der erbin (…) Meister Jacob schreiber der wittwer Ane einem, So dann der Ehrenhaffte Meister Georg Lemmer d schumach v burger Zu Straßburg alß eheuogt Marien müesserin seiner lieben haußfrauwen vorgemelt Marien wellerin seligen mutter (…)
Sa. hausraths 139 daruff besserung 139, Sa. leders werckzeug gemachte vnd ungmachter Arbeit 43 daruff besserung 36, Silber 36 daruff besserung 12, guldiner ring 12 daruff besserung 4, baargelt 402, Pfenningzinß hauptgutt 100, Schulden 384, Summa summarum 1289 lb – Schulden 56, Nach deren Abzug 1232 lb
Abzug In dieses gegenwärtig Inventarium gehörig, Sa. hausraths 139, Sa. werckzeug leder gemachte vnd ungmachter Arbeit 43, Silber geschirr und Geschmeid 36, guldiner ring 12, baarschafft 402, Pfenningzinß hauptgutt 100, Schulden 384, Summa summarum 1117 lb – Schulden 56, Beschluß summa 1061 lb

Jacques Schreiber se remarie avec Marie Frœreisen, veuve du fourbisseur April Brosier : contrat de mariage, célébration
1610 (21.2.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54) n° 321
Eheberedung Zwüschen dem ehrsamen Jacob schreiber dem schuemacher burger Zu Straßburg Ane einem
So dan der Züchtigen vnd tugendsamen Frauwen Marien frör Isin weÿlandt des Ehrenhafften Aprilis Brosiers schwertfegers burgers Zu Straßburg selige Wittwen Andern theil wittwen
Actum sontags d. 21.ten Februarÿ 1610 (unterzeichnet) Jacob schreiber bekenn wie ob stett Simon Rudolff der hochzeiter[in] muotter vogt, Ich vllrich nott der hochzeiterin schwager
Daniel Strintz, 58 not 52, Prothocollum, n° 39) f° 6

Mariage, cathédrale (luth. p. 241)
1610. Dominica Invocavit. H. Jacob schreiber der schumacher
Maria Anna Aprilis Brosÿ des schumachers n.g. witwe (i 124)

Veuve, Marie (Frœreisen) se remarie en 1641 avec Charles Baldner, assesseur des Quinze

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 164)
1641. Dominica Quasimodo geniti. Herr Carol Baldner, deß bestendigen Regiments der Herren XV. Alhie beÿsitzer, vnd Fraw Maria, weÿland Herrn Jacob Schreibers deß Schuemachers vndt burgers Alhie auch alter großen Raths verwanthen, nachgelaßene eheliche wittib (i 327)

Fils de Jacques Baldner et de Catherine Hausser, le pêcheur Charles Baldner épouse Ursule Mock dont il a un premier enfant nommé Jacques en 1605.
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 57-v n° 90)
1605. V. Eodem die [Dominica VII Trinit. 14. Julÿ] P. Carle Baldner der fischer, M. Ursula, I. Jacob. Comp. H Michel Lamp fischer Rather, Dauidt Greß d. biersieder, Chunegundt H Thomas Obrecht des Rendtmeisters fraw (i 60)

1607 (30. Martÿ), Chancellerie, vol. 368-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 98
Kauffverschreibung Carol Baldners des Vischers vber ein behaußung am vndern vischer Staden alhie
Erschienen Catharina Haußerin weÿland H Jacob Baldners des Rhatsbewandten seelig wittib, mit beÿstand Laurentz Zirnen des schneids. Ires Jetzig. ehevogts vnd Hannß Baldners Ires sohns des instrumentisten (verkaufft)
Irem Jüngern sohn Carol Baldner dem vischer vnnd Ursulæ Mochin seiner ehelich haußfr. welche beede Zugegen (…) mit beÿstand Ruprecht Stollenmeÿers vnd leonhardt Dümlers beeder weißbecken Irer nechst verwanthen kaufft

Marie Frœreisen meurt le premier novembre 1654 après avoir institué pour héritières les filles de Marie Notter et du tonnelier Adam Güntzer. Son deuxième mari Jacques Schreiber a remboursé un capital assis sur la maison rue Sainte-Elisabeth. L’inventaire est sans doute dressé dans la maison dite au Parcheminier, rue des Serruriers. L’actif de la succession s’élève à 4 904 livres, le passif à 22 livres.

1655 (29.1.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 26) n° 1476
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab, Nahrung und Güettere, so weÿl. die viel Ehren: und Tugendreiche fr. Maria Fröreÿßin weÿl. des Ehrenvesten, Fromm, fürsichtig vnd Weißen H. Caroli Baldners geweßenen XV. des geheimen Regiments und burgers Zu Straßb. hinderlaßene fr. Wittib, welche den 1.ten 9.bris 1654. Zeitlichen todts verfahren, Verlaßen, so auff Erfordern vnd begehren Jungfr. Susannæ, Marthæ, Mariæ, vnd Appoloniæ Güntzerin, weÿl. Mariæ Notterin mit dem Ehrenthafften H Adam Güntzern, Kieffern v. burgern alhien ehelich erzeugten döchter, der abgeleibten frauwen seel. in deroselben auffgerichteten Testamento instituirter Erben, mit beÿstandt des Ehrenhafften H. Andres Gebhardt Rheinthalers, Schuhmachers vnd burg. alhie Zu Straßb. ihres geschwornen Vogts, durch den Ehrenvesten vnd vorgeachten Hn Hanß Dieboldt Härlen, handelßmann vnd burgern alhie Zu Straßburg, der verstorbenen Frawen seel. geweßenen Vogt, vnd Sie die Erben selbsten (…) Actum und angefangen in fernerer gegenwertigkeit, obehrengedachts H Adami Güntzers, d. Erben Vatters, so dann des Ehrenvesten Fürsichtig und Weÿßen, H Ulrich Notters, E E Großen Raths alten Beÿsitzers, der Erben Großvatters, Montags den 29.t Januarÿ Anno 1655.

Auff d. obersten Bühnen, Auff dem Kasten, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießen Cammern, In der Cammer D, In der Cammer E, In der obern Stuben, In d. Kuch. Im hind. hauß auff d. truckeneÿ, In dem Keller
Eÿgenthumb ane häußern. It. 2. häußer ein Vorders vnd j hinders, sampt einem höfflin darzwischen in der Schloßergaßen, Zum Pergamenter genannt (…)
It. j hauß, hoffstatt vnd höfflin mit allen ihren gebäwen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten vnd Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg in S. Elisabethæ gaßen, einseith neben Caspar Schielern dem Fuhrmann, anderseith neben Elisabethen der Bendelfrawen, hinden auff Hn Obristen Kanofsky hind.laßene Fr. Wittib v. Erben stoßend, für ledig vnd eÿgen, vnd hiehero angeschlag. Per 200. lb. Darüber sagt j. perg. Kauffbrieff mit deß Bischofflichen hoffs Zu Straßb. Insigel, datirt den 30.ten Julÿ Anno 1579. Dabeÿ ferner ein abgelöste Zinß Verschreibung, de dato den 19. Junÿ 1531. beedes mit alten lit. S und N° 5 signirt, auch. dabeÿ gelaßen.
NB Obwohlen vff solcher behaußung den Closterfrawen zu d. Reuwern 60 fl. in goldt alß ein Capital Zu bezahlen gestand., so hatt sich doch beÿ dießer Inventation auß weÿl. Hn Jacobi Schreibers des abgeleibten frawen seel. ersten haußwürths seel. Verlaßenschafft auffgerichten Inventario fol. 145. ad marginem befund. daß in der Frawen seel. erstern Wittibstandt solches Capital abgelöst word.
Abzug dießes Inventarÿ, Sa. haußraths 424, Sa. Weins vnd lehren Vaß 22, Sa. Früchten vnd Saltzes 7, Sa. Silbergeschirr und geschmeids 183, Sa. guldener Ring 54, Sa. d. Baarschafft 187, Sa. d. Pfenningzinß hauptgütter 3257, Sa. Eigenthums ane häußern 621, Sa. Schulden 155, Summa summarum 4904 lb – Schulden 22
Conclusio finalis Inventarÿ 4882 lb

Fils du vice-prévôt de Blienschwiller Thiébaut Güntzer, le tonnelier Adam Güntzer épouse en 1627 Marie Notter, fille du cordonnier Ulric Notter : contrat de mariage, célébration
1627 (5.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56) f° 31
Eheberedung Zwüschen dem Ehrsamen vnd bescheÿdenen Adam Güntzer dem Küeffer vnd Jungfrawen Marien Notterin beeden Versprochenen Ehepersonen
Zwüschen dem Ehrsamen vnd bescheÿdenen Adam Güntzern dem Küeffern, weÿland Herrn Theobaldi Güntzers geweßenen Vnderschultheÿßen Zu Blienschweÿler seeligem Sohn, Ane einem
So dann der Ehrenn: vnd tugendsamen Jungfrauwen Marien Notterin deß Ehrengeachten vnd fürnemen Ulrich Notters schuhmachers vnnd burgers Zu Straßburg eheliche dochter Am Andern theÿl
Auch darbeÿ Inn Persönlicher gegenwerttigkeÿtt der Ehrenvestenn fürnehmenn weißen, wolachtbaren vnd Ehrenhafften herrn Hanß Güntzer handelßmanns, Jacob Kipßen Großen Raths bewandten vnnd hanß Müllers Gastgebers In der Herberg Zum Rappen sein deß Hochzeitern bruder, günstigen Herrn vnd schwagers vnd vff seiner deß Breütigambß, So dann vff der Jungfrauwen Hochzeiterin seiten Ulrich Notters vnd Jacob Schreiners Alt groß. Rathsbewandten Ihro der Jungfrauwen Hochzeiterin vatters vnd vettern Aller burger Zu Straßburg
Beschehen vnd verhandelt In deß heÿlig Reichß freÿen Statt Straßburg Donnerstagß den 5. Aprilis In dem Jahr deß herrn Alß man Zaltte 1627.
(Idem minute signée) Ich Adam güntzer hoch Zeitter beken wie ob stett, Hanß Güntzer des hochzeiters Bruder, hanß Müller des hochzeiters schwager

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 43-v)
1627. Adam Güntzer von Blienßweÿler ein Küffer Vnd J. Maria Ulrich Notters des Schumachers und burgers alhie tochter. Eingesegnet den 22. Maÿ (i 50)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 236) 1627. Pfingstag 13. Maÿ. Adam güntzer der Küefer, H. Thiebold güntzer Schultheissen Zu Bliensweyler n. sohn, v. J. Maria Ulrich Noder des schuhmachers tochter. Eingesegnet Zu s. Thoman Zinstag 22 Maÿ (i 123)

Adam Güntzer devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1627, 4° Livre de bourgeoisie p. 95
Adam Güntzer Von Bleißweÿller d. Küeffer Empfangt d. Burgerrecht Von Maria Ulrich Notter deß Schuhmachers vnd Burg. Alhier dochter wüll beÿ den Küffern Zünfftig sein den 29. Maÿ 1627.

Adam Güntzer se remarie en 1644 avec Marguerite Jæger, fille de l’emballeur à la Halle Michel Jæger
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 228-v n° 12)
1644. Am 9. Sontag Trin. Adam Güntzer der Kuffer und Jungfraw Margareth Jägerin Michel Jager des Spanners vor dem Kauffhauß vnd burger allhie hinderlaßene tochter. Copulatio in der Ruprechtsau Mont. post X (i 247)

L’inventaire des apports est dressé dans la maison rue des Bestiaux (ensuite rue d’Austerlitz)
1645 (8.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 8) n° 3
Inventarium undt Beschreibung Aller vndt Jeder Ligender vndt Vahrender Haab nahrung und güettere, auch Schulden und Gegen schulden, welche dem Ehrengeachten H Adam Güntzern, burgern, und Küeffern eÿgenthümlichen zuständig, und er Zu seiner Jetzig. Haußfrauen Margarethæ Jägerin In die Ehe gebracht, wie auch deßen was unverändert ist, und Sie ehegemelten Ihren Ehemann Zubracht (…) Inn beÿsein der auch Ehrenachtbarn und bescheidenen H Andres Rheinthalers des Schuhmachers vnd burgers alhie als geschwornen Vogts obgemelten H Adam Güntzers mit weÿland Fr. Maria Notterin seiner ersten Haußfr: selig. ehelich erzielter vier Töchterlin, So dann Hanß Melchior Lentz. auch burgers und Schuhmachers alhie oberwehnter Margarethæ Jägerin Schwagers, erbettener beÿständer – Bescheh. Sambstags den 8. Martÿ A° 1645.
In Einer Behaußung In der Statt Straßburg In der Viehe gaß geleg. So in diße nahrung gehörig vnd hernach beschrieben wördt, Ist befund. word. wie volgt
Auff der Obern Büenen, Auff dem Andern Boden In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Auff d. Gang, In der Stub Cammer, In der Wohn Stub, Im Haußehren, In d. Kinder Kasten, Unden Im haußehren
Werckzeug Zum Küeffer Handwerck gehörig
Eÿgenthumb ahn Einer Behaußung In der Viehgaß (…)

Adam Güntzer meurt en novembre 1661 dans la maison rue Sainte-Elisabeth qui appartient à son gendre Jean Charles Fuchs. Il délaisse quatre filles de son mariage avec Marie Notter et neuf enfants (dont deux morts avant la fin de l’inventaire) de sa veuve. La masse propre à la veuve est de 14 livres, celle des héritiers de 53 livres. L’actif de la communauté s’élève à 23 livres et le passif à 5 livres.
1662 (22.1.), Not. Oesinger (David, 37 Not 17) n° 3
Inventarium vndt Beschreibung aller vndt Jeeder Haab Nahrung vndt Güthere, So Weÿland der Ehrengeacht Adam Güntzer geweßener burger und Kieffer alhie Zu Straßburg seel. Nach dem derselbige den 20.t Novemb: Jüngst hien Gottes Gn. willen nach die Schuld d. Natur bezahlt, hinder ihme verlaßen, Welche vff beschehenes fleiß. v. freundtliches erfordern, bitten vnd begehren deß abgeleibten seel. hinderbliebener töchter v. Söhnlin alß deßenben Rechtmeßig. Er ab intestato Erben,wie auch dero Respective H Ehe v Vögten hernach benant fleißig ersucht Inventirt durch die Tugendsame Margaretham Jägerin die hinderlaßene wittwe mit beÿstand auch Ehrengeachten H. hanß Georg Hanen auch burgers v. obern Cran Meisters alhie ihres geordneten Vogts (…) So beschehen Mittwoch den 22.t Januarÿ Anno 1662.
Der Verstorbene Seelige hat ab intestato Zu Erben verlaßen benantlichen 1. Fraw Susannam, H. Johann Jacob Schatz. Not. Cæs. Publ. eheliche haußfr. 2. Fraw Martham H Johann Enoch Braunen deß Silberarbeiters eheliche haußfr. 3. Fraw Mariam H Johann Conrad Fuchß. Not. Cæs. Publ. v. wohlbestellt. Amptschreib. der H.schafft Barr eheliche haußfr. 4. Fraw Apoloniam H. Daniel Hammerers auch Silber Arbeiters Eheliche haußfr, Alle Vier Burgere alhie Zu Straßburg v. eingangs gemelt. verstorbenen Seel. in erster ehe mit Weÿl. d. Ehren v. Tugendreich. Fr. Maria Notterin Seel. erzeigter 4 töchter,
So dann Margreth. Johannem, Ursulam, Annam, Magdalenam, David, Catharinam, Michaelem v. Salome, deßelb. in Letster ehe mit eingangs benanter Wittib erzielter 9 Kinder von welch. aber nach seinem absterben Anna v. Salome Seel. gestorben, deren geschwornee Vogt Hanß Conrad Knör burger v. Kieffer alhie
NB. Es ist Zwar r. Marthæ v ihr Ehevogt nicht alhie v. Zugeg. geweßt, Er hat aber an Daniel Diettrich den silberarbeiter geschriben d. er mit d. Jenig. waß ihre übrige H Schwägere beÿ dießer Inventation handlen thun v laß. werd. ihme auch belieblich gefällig sein soll
In einer Inn der Statt Straßburg in der Elßbethen gaß gelegenen v. hievor gedachtem H Johann Conrad Fuchß Not. Publ. eigenthümlich Zuständigen behaußung Ist befund. word. wie volget
Inn der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießer Cammer, Im obern haußöhren, In der Kammer C, In der Kammer D, In der Wohn stuben, In der Kuchen, Im Keller
Abzug In dißes Inventarium, Sa. der Wittiben Haußraths 13, Sa. Gudenen Rings 18 ß, Summa summarum 14 lb
Sa. der Erben unveränderten Haußraths 52, Sa. Silbers 15 ß, Summa summarum 53 lb
Sa. Theilbaren haußrhats 22, Guldenen Ring 1, Summa summarum 23 lb – Schulden 5 lb Restirt 18 lb
Summa finalis 86 lb

La maison revient à Marie Güntzer qui épouse en 1657 Conrad Fuchs, notaire et greffier de Barr

Mariage, cathédrale (luth. f° 75-v, XXXVI)
1657. Mehr Zum 2. mal. H. Cunrad Fuchs Notarius publicus und Amptschreiber Zu Barr weÿland H. Hans Cunradi fuchsen des burgers und Vogdtheÿ schreibers allhie nachgelaßener ehelicher Sohn, vnd Jungfraw Maria, Adami Güntzers des Kieffers und burgers allhier eheliche tochter – Zinst. d. 28. Julÿ Maurerst. Münster Weinsticher (i 77)

Veuve, Marie Güntzer se remarie en 1665 avec le tonnelier Jean Georges Holtzschuh

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 273 n° 14)
1665. Domin 6. et 7.tima, Hanß Görg Holtzschuh der Kieffer v. Burger alhie, Fraw Maria, weÿl. Herrn Johannis Conradi Fuchsen gewesenen Notarÿ und Amptschreiber in d herrschafft Barr, hinderlaßene wittib. Copulirt zu S Niclaus 13. Julÿ post preces publ. (i 291, proclamation cathédrale f° 64, X)

Marie Güntzer fait dresser l’inventaire des apports (1441 livres) dans lequel figure la maison rue Sainte-Elisabeth

1665 (11.7.), Not. Oesinger (David, 37 Not 18) n° 14
Inventarium vndt Beschreibung aller und Jeder Haab und Nahrung so die Ehren v. Tugendtsame Fr. Maria Güntzerin Zu dem Ehrengeachten H. Hanß Georg Holtzschuh burger und Küeffern alhier Zu Straßburg Ihrem Jetzigen Hauß Würth in den Ehestand gebracht, Welche vff beschehenes fleißiges vnd freundliches ansuchen erfordern und begehren Erstgedachten beeden Eheleuth. vnd persönlicher gegen Warth Wie auch des Ehrenvest vnd Rechtsgelehrtn Herrn Johann Jacob Schatzen geschwornen offenbahrem Kaÿßerlichen Notarÿ vndt burger alhie der Frawen Schwagers vndt annoch unentledigten vogts (…) So beschehen vndt angefangen Montag d. 11. Julÿ Aô 1662.
In Einer in der St St. In der Zimmerleüth. gaßen Gelegenen Behaußung Ist befunden worden wie volgt
Eigenthumb ahne Einer Behausung. Item eine Behaußung sampt j. Höfflin vndt brunnen gelegen In d. St. Straßb. ane der Elßbetter gaßen, j.s. neben Weilandt Caspar Schielers deß Fuhrmanns seel. Wittib vndt Erben anderseit neb. N.N. Hinden auch vf N.N. stoß. Davon gonth Jahres vff Urbani denen Closter frauwen Zu den Rewern 2. lb. 2. ß d Zinß sonst Eigen vndt vber dieße beschwerdt hiehero æstimirt per 200. Darüber besagt ein Pergamentener Kauffbrieff m. deß Bischofflich. hoffs Zu Straßburg Insigel dessen datum den 30. Julÿ Aô 1579. Darbeÿ noch andere mehr schrifftliche Documenta gebunden Zu befinden, alles mit Lit. S signirt v. dabeÿ gelaßen.
Abzug In dießes Inventarium. Sa. Haußraths 276, Sa. Silber Geschmeids 34, Sa. Guldenen ringen 31, Sa. der Baarschafft 133, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 746, Sa. Eigenthums ane Einer behaußung 200, Sa. Schulden, Summa summarum 1441 lb

1676, Not. Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 9)
Testament Cassatio, Hannß Georg Holtzschuhs des Kieffers

Le boucher Jean Henri Hansmetzger épouse en 1676 Anne Marie Salomé, fille du greffier de Barr Jean Conrad Fuchs
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 298 n° 36) 1676. Domin: 11 et 12 Tr: Hanß Heinrich Hanß Metzger der ledige Metzger herr Abrahami Hanß Metzgers, deß Metzgers v. E. E. Kleinen Rahts alten beÿsitzer ehelicher Sohn, Vnd Jfr Anna Maria Salomen weÿl. Hr Johannis Conrathi fuchsen, deß gewesenen Amptt schreibers Zu Barr hinderlaßene eheliche Tochter Cop: Zu S Nic. 17. Aug. (i 318)

La maison reste indivise entre les deux héritiers (Marie Salomé Fuchs femme de Jean Henri Hansmetzger et Jean Conrad Fuchs) lors du partage de la succession délaissée par Marie Güntzer, femme de Jean Georges Holtzschuh

1676 (18. Xbr), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 10) n° 331 (334)
Theilregister Was Johann Conrad Fuchßen, Weÿl. H. Joh. Conrad Fuchßen gewes. Not. publ. V. Amptschreibers Zu Barr hinderlaßenen Ehelich. Sohn beÿ Abtheÿllung Weÿl. Fr. Mariæ Holtzschuhin gebohrnen Güntzerin seiner geliebt. Mutter seel. V.lassenschafft zum halb. theil Erblich. zugefallen, begriffen, so auffgerichtet Anno 1676.
Zuwißen demnach auff seel. ableiben weÿl. d. Viel Ehren: vndt Tugendtsamen frawen Mariæ Güntzerin des Ehren Vnd Vorgeachten herrn Hanß Georg Holtzschuhs, Kieffers Vndt burgers alhier gewesenen Ehelich. haußr. Alle deroselben hinderlaßene haab, Nahrung v. güetter durch Not. H. Johann Jacob Schatzen in beÿsein übriger darzue gehöriger p.sonen den 22. febr. dießes Zu Endgemeltt. Jahrs ordentlich Zue inventiren, zugeschrieben angefangen, Vndt d. 22. Maÿ vollendet worden, daß auff hieunden gesetztes datum ob Ehrgemeltter H Holtzschuh d. hinderbliebene Wittiber, mit beÿstand H Joh: Friderich Redtwitzen, Not. publ. v. burgers alhie an Einem, So dann die Ehren: und Tugendsame fraw Maria Salome Fuchßin, mit beÿstandt deß Ehrsamen Mstr Heinrich Hanß Metzgers, Metzgers Vndt burgers alhier, Wie auch der Ehrenvest v wohlvorgeachte H Joh: Friderich Kipßen Wullen Weber Und Tuchhändler, auch E. E. Kleinen Rhats alhier altter beÿsitzer, alß geschworner Vogt Johann Conrad Fuchßen, Ihr der abgeleibtten fr: seel. mit ihrem vorigen Ehelichen hauß Würth sel. Ehelich erzieltne dochter v. Söhnlein v p. Testamentum hinderlaßene beede Erben, Andern theils (…) angefang. d. 24. Augusti (…) vollendet den 18. Xbris anno 1676.

Eigenthumb an einer Behaußung. Die d. Erben unverändert gehörige behaußung ane d. Elßbeth. gaß geleg. hatt d. H. Wittiber d. Erb. eingeraumbt v. die darüber besagende brieff v documenta d. Erb. H. Vogtt behändiget, v. haben sich die partten Wegen deß stehender Ehe darinn gebawenen stalls dahien mitt einander v.einigt daß solcher wider hienweg gethan durch vnpartheÿische leütt abgeschätzt v. der Abschatzung nach d. Erben daran die tertz guth gethan werden solle.
(…) Waß die im Inventario fol: 57. et 58 beschriebene d. Erben vnverändert gehörige ane d. Elßbeth gaß gelegene Behaußung so über die darauf stehende beschwerden pro 200. lb d æstimirt Word. betrifft bleibt siche vnd. beed. Erben Unv.theilt stehen, v hatt die darüber besagende Documenta H Kipß d. vogt beÿ seinen hand.
N° 334 Verkauff Register

Marie Salomé, femme de Jean Henri Hansmetzger, assistée de son beau-père Jean Georges Holtzschuh, vend la moitié de la maison au tonnelier Ulric Rother

1677 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 52-v
Maria Salome, Henrich Hanß Metzgers des Metzgers Eheweib mit beÿstand ihres Ehevogts und H Johann Georg Holtzschuhs Weinhändlers Ihres Stieffvatters
in gegensein Ulrich Rothers des Kieffers, mit beÿstand Jacob Gollen des Würths
die helffte Ihro der Verkäufferin für ohnvertheÿlt gebührend ahne einer vordern undt hindern hauß, hoffstatt, höfflin auch allen übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten undt gerechtigkeiten alhier in der St. Elisabethen gaßen, einseit neben einer behausung dem Stifft Zur Rothen Kirch gehörig, anderseit neben hannß Schwartzawer, hinden uff Michael Kürschner den fuhrmann stoßend gelegen, gehend jährlichen von der gantzen behaußung 5 ß lößig mit 100 fl. dem Closter Zu der Rewerin – umb 235. fl.

Le tuteur de Jean Conrad Fuchs vend l’autre moitié de la maison au même Ulric Rother.

1677 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 546 n° 252-v
H. Johann Friderich Kips Tuch händler, alß Vogt Weÿl. H Johann Conrad Fuchßen geweßenen Amptschreibers Zu Barr nunmehr seel. hinderlaßenen Sohns Johann Conrads
in gegensein Ulrich Rothers des Kieffers
die helffte ahn einem vordern undt hindern hauß, hoffstatt, höfflein und allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, rechten undt gerechtigkeiten alhier in der St. Elisabethen gaß, einseit neben einer behaußung dem Stifft zur Rothen Kirch gehörig, anderseit neben Hannß Schwartzawer, hinden uff Michael Kürschner beÿdte Fuhrleuth stoßend gelegen, undt gehend Jährlichen Von der gantzen behaußung 5. fl. lößig mit 100. fl. dem Closter Zu der Rewerin – umb 240. fl.
[in margine :] (…) in gegensein Johann Jacob Rothers des Kieffers des hierinn bem. Ulrich Rothers, des Kaüffers leiblichen sohns, deme d. hierin bemeldte Völlige Hauß nunmehro eigenthümlich und allein zuständig (quittung) Act. d. 4.ten Junÿ 1714.

Originaire de Saint-Gall (en Suisse), Ulric Rotter devient bourgeois par sa femme Ursule Güntzer en apportant un enfant prénommé Jean
1672, 4° Livre de bourgeoisie f° 398
Ulrich Roter der Küeffer Von St. Gallen, empfangt d. Burgerrecht Von seiner Haußfrawen Ursula Güntzerin umb 8. Gold fl. so er beÿ der Cantzleÿ erlegt hat, ist Zuuor ledigen standts geweßen, und will beÿ denen Küeffern Zünfftig werden. Jurav. den 28. 7.bris 1672.

Premier baptême en juillet 1672. L’enfant est prénommé Jean.
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 269-v n° 30)
1672. den 12. Jul. hab. tauffen laßen Johann Ulrich Rohtern der Kieffer, vnd seine Fraw Ursula Güntzerin, ein Jungen Sohn, welcher Johann ist genannt worden (…) [in margine :] † 11 sept. (i 277)

D’après l’inventaire dressé en 1716 (voir plus loin), Ursule Güntzer est la sœur de Madeleine Güntzer, femme d’André Allmenslechner
Originaire de Basse-Autriche, André Allmenslechner épouse en 1680 Madeleine Güntzer, fille d’Adam Güntzer (mentionné plus haut)

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 94 n° 553) 1680. Dom. 15. et 16. Trin. d. 19 et 16. Sept. Andreas Allmans lechner der ledige leinen Weber auß und. österich, weÿl. Wolffgang Allmans lechners gewesenen landmanns daselbst hind.lassener ehelicher Sohn, Jfr. Magdalena weÿl. Adam Güntzers burgers vndt Kieffers allhier hind.lassne eheliche tochter. Cop. St. thomæ d. 30. sept. (i 49)

La tribu des Tonneliers rappelle en 1699 à Ulric Rother qu’il n’a pas versé son écot pour 1696, à quoi il déclare avoir remis la somme au receveur Jean Georges Nagel qui s’est depuis lors établi à Worms.
1699, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 135) Mittwoch den 13. Maÿ A° 1699 – Hannß Ulrich Rother, dem Küeffer wurde auff erscheinen beditten, daß Er sein Stuben Gelt de A° 1696. noch abzurichten habe. Ille bedeüttet, daß Er hannß Georg Nagel, alß damahligen Neü Schaffnern in der Großen Stub auff dem Stock am Schwörtag bezahlet habe.
Erkandt, wann Er daß sein Vorgeben der Warheit gemäß, handtreu an Eÿdes Statt geben Könnte, daß Er dardurch von solcher Ansprach absolvirt werden solle, und weilen Er sich, es Zuthun offeriret, als solle H. Nagel, der Zwar anjetzo Zue Wormbs wohnhafft, es nach Zutragen schuldig seÿn.

Ulric Rother et Ursule Güntzer hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Daniel Hammerer

1701 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 260
Ulrich Rother der Küffer und Ursula geb. Güntzerin (unterzeichnet) Ulrich rother, Ursula roidern
in gegensein H. Daniel Hammerers des ältern Silberarbeiters – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Ein Vorder Und Hinderhauß, Hoffstatt, Höfflein mit allen gebäuen, begriffen, Rechten Und zugehördten allhier in St. Elisabethæ gaßen einseit neben einer behausung der Rothen Kirchen allhier gehörig anderseit neben H. Peter Lascha Metzger et Exsenat. hind. auff Michel Kürschners des fuhrmanns seel. Erben stoßend gelegen

Ulric Rother et Ursule Güntzer hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Jacques Braun

1708 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 532
Ulrich Rother Kiefer und Urßula geb. Güntzerin beÿständlich Joh: Daniel Hammerers silberarbeiters u. Joh: Wilhelm Schatz zinngießers
in gegensein Joh: Jacob Braun goldarbeiters alß vogts Heinrich Hanß Metzgers metzgers sohns Joh: – schuldig seÿen 80 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: allhier auf St Elisabethä gass einseit neben einer behaußung der Rothen Kirchen gehörig anderseit neben H. Latscha Exs: hinten auf hanß Scheubel stoßend

Ulric Rother et Ursule Güntzer hypothèquent la maison au profit d’Anne Dorothée Zentgraff née Sebitzius

1709 (4.3.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 133-v
Ulrich Rother Kiefer und Urs geb. Güntzerin beÿständlich Joh: Jacob u. Daniel gebrüder d. braunen gold: u. Silberarb:
in gegensein H. Andres Kauffmanns Exs: alß vogts frn: Anna Dorothea Zentgräffin geb. Sebitziusin – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert. ahn S. Elisabeth gass, einseit neben einer behaußung zur rothen Kirchen gehörig anderseit neben H. Latschau Exs: hinten auf andres Eÿgel stoßend

Ulric Rother et Ursule Güntzer font donation de tous leurs biens à leur fils Jean Jacques Rother et leur bru Susanne Marguerite Lobstein contre leur entretien. Le contrat est annulé le 11 avril 1715 par décision du Grand Sénat (voir l’inventaire ci-dessous)

1710 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 565-v
Joh: Urich Rother kiefer und Ursula geb. Güntzerin einßen
und andern theils Joh: Jacob Rother auch Kiefer und Susanna Marg: geb. Lobsteinin
Nemlich er verspricht obiger rother der sohn und seine hausfrau obgedacht ihren vatter und mutter resp: Schweher und Schwiegermutter ahn jedes seinen seel: todt beÿ sich zu behalten sie auch mit essen, trincken, losament, kleÿder, weißen gezeug, holtz, lichter und medicamenten und allen übrigen so gesundt und kranck so guth als sie selbst haben zu erhalten
daß ihrer beeder gesambter haab und nahrung sie bestehe worinnen sie wolle nichts außgenommen in specie auch ihre behaußung c. appert: allhier auf St Elisabetha gass, einseit neben Latscha anderseit neben einer behaußung der rothen Kirch gehörig hinten auff mathis Koch stoßend gelegen ihm dem sohn und ihre dero sohnsfrauen von dato ahn eÿgen pleno jure gehören und zustehen

Ulric Rotter meurt en 1716 en délaissant trois enfants. Il a réduit son fils Jean Jacques à la légitime par testament. L’inventaire est dressé dans une maison rue Sainte-Elisabeth. La masse propre à la veuve est 8 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 48 livres, le passif à 47 livres.
1716 (10.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 1) n° 34
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und güethere, so Weÿland der Ehren und Vorgeachte Meister Ulrich Rother, geweßener Kieffer und burger allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. nach seinem Freÿtags den 26.ten Junÿ dieses Lauffenden 1716.ten Jahrs aus dießer welth genommenen tödtlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. mit hernach benahnter seiner hinderbliebenen Wittib ehelich erziehlten Söhn und Tochter (…) inventirt, durch die Ehren und tugendsahme frau Ursulam Rotherin gebohrene Güntzerin die hind.bliebene Wittib, mit beÿstand des Edel, Wohl Ehren Vest und hochgelehrten herrn Johann Marx Moßeders J.U. Ddi auch E. E. Großen Raths Advocati et Procuratrois Vicarÿ, Ihres geschwornen herrn Vogts (geäugt und gezeigt) – So beschehen in der Königlich freÿen Sttt Straßburg auff Montag den 10.ten Augustu Anno 1716.
Der abgeleibte seeliger hat Zu seinen Erben per Testamentum verlaßen wie volgt. 1. Meister Hannß Jacob Rottern der Kieffer und burger allhier, welcher mit beÿstand Herrn Johann Adam Ösingers, Notarÿ jurati und berühmt. Practici auch burgers allhier, dem geschäfft abwarteten wiewohl allein in Legitimam, 2. Ulrich Rother, den ledigen Kieffer, so auf d. Wanderschafft begriffen, deßen geschworner Vogt H Johann Jacob Braun, d. Goldarbeiter und burger allhier, so beÿ dießem geschäfft sich eingefunden Und dann 3. Frau Mariam Salome Benderin gebohrene Rotherin, Martin Johann Jacob Benders, des Leinwand truckers Burgers allhier haußfraw, welche mit und beneben Ihrem Ehemann beÿ d. Inventation erschienen. Allßo alle dreÿ des abgeleibten seel. mit eingangs gedachter frauwen Ursula Rotherin gebohrener Güntzerin ehelich erziehlte Söhn und Tochter und per Testamentum doch Zu ungleich. portionen und antheilern verlaßene Erben.
Copia Testamenti nuncupativi

Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Es ist zuwißen als mann zu gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventation geschritten undt ich d.Notarius gleichbald gefragt, ob Zur Zeit beed. Eheleuthe mit einand. getroffenen heuraths eine Eheberedung auffgerichtet word. daß darauff eingangs ermelte frau Ursula Rotherin gebohrne Güntzerin, die hind.bliebene Wittib, den bericht gethan, daß Keine Eheberedung Von Ihnen auffgerichtet word., deßhalb. dann allein dasjenige so die Wittib von Frauen Maria Magdalena geb. Güntzerin, Weÿland Meister Andreas Allmannslechners, des gewesenen Leinenwebers und burgers allhier seel. hind.laßene Wittib Ihrer Schwester in Anno 1705. erb: und eigenthümlich Zugekommen (…)
In einer in der Statt Straßburg ane d. Langen straßen liegenden und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In d. Cammer A, In d. Wohnstub, In d. Kuch, Im Keller, Auff dem obern bühnlein Im hind.nstock
Schulden. It. Hanß Theobald Graffen dem fastenspeishändler solle man vor ein halb jahr haußzinnß biß Michaelis 1716 verfallen
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverände. Vermög. Sa. haußraths 8 lb
Dießemnach wird nun auch das Gemein verändt. und theilbar guth weilen die Erb. nichts ohnveränds hab. Sa. haußraths 42, Sa. Silbers 18 ß, Sa. baarschafft 4, Summa summarum 48 lb – Schulden 47, Nach deren Abzug 16 ß
Conclusio finalis Inventarÿ (Stall anschlag) 9 ß
Pro nota: Es ist hiebeÿ aber auch anzumercken, daß nach dem das Leibgeding, so beede ehegemächd d. 10. Septembris 1710. mit Ihrem Sohn hannß Jacob Rother, dem Kieffer und burger allhier auffgerichtet, worinnen Sie demselb. Ihr völlige Nahrung gegen d. alimentation überlaßen, den 11. Aprilis 1715. Crafft Extractus aus E. E. Großen Raths der Statt Straßburg Memoriali wid. cassirt und auffgehebt word. haben die beede Ehegemächden Ihre eigenthümlich Zuständige Behaußung in der Elisabeth gaß, an vorgedachten Mr hanß Jacob Rothern Ihrem Sohn, verkaufft von welchem Kauffschilling, nach abzug d. darauff gestandenen Von Ihme übernommenen Capitalien annoch beÿ die 250 lb. d übrig verblieb. welche beede Eheleuthe an Vorgemeldt Ihrem Sohn Zuerfordern, allweilen aber dieße sach noch Zur Zeit beÿ E. E. hochweiß: großen Rath anhängig ist, gestalten Er dießer Sohn eine gegen prætension ane seine Eltern formiret, so Sie Ihn allerdings nicht geständig, als hat man dißorts noch Zur Zeit nichts gewißes außwerffen, od. erwas davon (…)
Copia Testamenti nuncupativi – 1717 (…) Mittwoch sen 29. tag des Monats Septembris abends Zwischen Sechs und Sieben Uhren in einer in der statt Straßburg ane der Schloßer und Kettengaß Liegenber herrn Johann Jacob Braunen, Vornehmen Goldarbeiter und beÿsitzern allhier Zu Straßburg eigenthümlich zuständigen behaußung, deren Obern Hindern Cammer, mit den fenstern in die Kettengaß außsehend (…) persönlich erschienen die Ehren und tugendreiche Frau Ursula Rotterin gebohrene Güntzerin, Weÿland des Ehren: und vorgeachten Meister Ulrich Rotters, gewesenen Kieffers und burgers alhier Zu Straßburg seeligen hinderlaßene Wittib, Zwar krancken und schwachen leibs, auff einem bette liegend (…) Johannes Lobstein Notarius juratus

Compte que rend Jean Jacques Braun de la gestion des biens qui appartiennent au tonnelier Ulric Rother
1720, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 5) n° 122
Rechnung Mein Johann Jacob Braunen, Goldarbeithers und burgers allhier Zu str&, inhaltend alles dasjenige was ich wegen Ulrich Rother, dem ledigen Kieffer weÿl. Mr Ulrich Rotter des gewesenen Kieffers und burgers allhier mit auch weÿl. frn. Ursula Rotterin geb. Güntzerin seiner haußfrau seel. ehelich erzeugten Sohn, Vom 3. Augusti Anno 1716. als da ich dieße vogteÿ angentretten biß d. 3. 8.bris 1720. eingenommen undt außgegeb. auch sonsten verrichtet habe. Erste Rechnung dießer vogteÿ

Ulric Rother et Ursule Güntzer vendent la maison à Jean Jacques Rother et à Marguerite Lobstein moyennant 1 050 livres

1715 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 248-v
(1050) Joh: Ulrich Rother Kiefer und Ursula geb. Güntzerin
in gegensein Joh: Jacob Rother kiefers und Marg: geb. Lobsteinin
ihr Vorder und hinterhauß hoff höfflein sambt allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten alhier in St Elisabethæ gass, einseit neben einer behausung dem Stifft zuer rothen Kirch gehörig anderseit neben H. Joh: Peter Latscha Exs: hinten auff Mathis Koch metzger – davon gibt mann 2 lb 2 ß ablößig mit 60 Rheinischen gold fl. dem Stifft zuer Reuerin – um 450 pfund verhafftet, geschehen um 550 pfund

Jean Jacques Rother et Marguerite Lobstein hypothèquent la maison quelques jours plus tard au profit de Jean Georges Goll, receveur à Saint-Thomas

1715 (9.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 369
Joh: Jacob Rother kiefer und Susanna Marg: geb. Lobsteinn beÿständlich Heinrich Lobstein metzgers deß Vatters und Joh: Christoph Lobstein auch metzgers deß bruders
in gegensein H Joh: Georg Goll schaffners beÿ St Thomæ – schuldig seÿen 650 pfund
unterpfand, ihre behausung c. appert: allhier in St Elisabethæ gass, einseit neben einer behausung dem Stift zuer rothen Kirch gehörig anderseit neben H. Joh: Peter Latscha exs: hinten auf Mathis Koch und gibt mann darvon jährlichen 2 lb ß alblößig mit 60 lb

La tribu inflige une amende à Jean Jacques Rother qui a emporté chez lui des pièces du chef d’œuvre qu’il est en train de faire
1700, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 194) Dienstags den 17. Augusti Anno 1700 – Hannß Jacob Rother, welcher in dem Meisterstück begriffen, wardt Von den Herren Meisterst. macheren angeklagt, daß Er die daugen Zu hauß schon gestreifft, und auf solche weiße mit den platz geführet habe, reus sagte hierüber habe dardurch Keinen Vortheil gesucht, sondern es nuhr Zu dem Endte gethan, daß Er umb so viel ehender gefördert werden Könte, Worauff in umbfrag Erkandt, weilen Er hierinnen wieder ordnung gethan, alß solle Er 1 lb d Straff erlegen, auff gebettene Zweÿmahlige moderation Verbleibt es beÿ 10 ß d.

Les examinateurs relèvent quelques défauts mineurs au travail de Jean Jacques Rother et le reçoivent maître le 4 septembre 1700.
(f° 197-v) Sambstags den 4. Septembris Anno 1700 ließ Hannß Jacob Rother der ledige Kieffer, Meister Ulrich Rothers, auch Kieffers und Burgers alhier Ehelicher Sohn, sein verfertigtes Meisterstück Schauen, und referirten die dreÿ Herren Schauere, daß Sie es in der ersten Schau, an dem Vordern End ein wenig ohnfleißig außgerichtet, Item Ein daug und Zweÿ gehren stücken durch ohnglücklich außgefallenen Splitter, und striemen ohn tauglich befunden hetten, welches es abar auff untersagen Verbeßert, und an der ohntauglichen stücker statt andere hien ein gemacht hatte, die Zweÿte Schau hetten Sie durchaus guth undt wohl befunden, In der dritten Schau fanden Sie das faß Sauber abgebunden, glatt abgesaubert und in arthiger Spitzung, allein an dem hindern boden, wäre ein Kleiner Buckel, welchen Er hette beßer abhoblen Können, Weilen aber ohngeachtet deßen daß Faß für Ein guth Meisterstück passabel, alß haben Sie es auch darvor Erkandt und daßelbe auch auf solche weiße Von dem Herrn XV. alß Obmann Confirmirt, mithien Ihme in seinem Meisterstandt allerseits Gratuliret worden.

Jean Jacques Rother devient tributaire le 26 mai 1705
(f° 364) Dienstags den 26. Maÿ Anno 1705 – Johann Jacob Rother Kieffer prod: burger Schein Von der Statt Stall Sub dato 4. Maÿ 1705 bathe Ihme alß eines Zünfftigen Sohns das Zunfftrecht alß Leibzünfftigem gedeÿen Zulaßen. Erkandt Willfahrt, Zahlt Zunfftgebühr 10 ß 6 d vnd für Zunfftschrbr. und Bittel 2 ß 6 d.

Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 347) Dienstags den 28. 7.bris A° 1717 – Johann Philipp Brösamble der Sattler klagt wieder Joh: Jacob Rotter den Kiefer (…)

Jean Jacques Rother épouse en 1705 Susanne Marguerite Lobstein, fille du boucher Henri Lobstein : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Meister Hannß Jacob Rother dem ledigen Kieffer und burger allhier deß Ehren: und Vorgeachten Meister Ulrich Rothers auch Kueffers und Burgers allhier ehelichem Sohn, als hochzeiter ahne Einem, So dann der Viel Ehren: undt Tugendsahmen Jungfrauen Susannä Margarethä Lobsteinin, herrn Heinrich Lonstein des Metzgers und burgers alhier ehelichen Tochtern alß hochzeiterin am and. theil (…) den 6. Monaths Tag Aprilis Im Jahr als mann nach unßers einigen Erlößers, heÿlands und Seeligmachers Jesu Christi Gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zahlte 1705. Dieweilen nun beÿ auffrichtung dießer Heüraths abrede Weÿland Herr Johann Friderich Schatz geweßener Notarius publicus und burger allhier su Straßburg seelig persönlich zugegen gewesen und solche eingenhändig inschrifft verfaßet aber annoch Vor dero außfertigung dieses Zeitliche gesegnet, alß habe ich unterschriebener Notarius auff Vorher gegangene requisition mich in gedachten Herrn Notarÿ Schatzen seel. darüber hindelaßener Minute genugsam ersehen, darauß gegenwärtige Eheberedung (…) hiehero ingrosiren laßen (…) Straßburg den 10. Julÿ Anno 1716. Johann Adam Ösinger, Notarius juratus publicus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 93-v n° 13)
Mittwoch den 13. May 1705. seind nach zweymahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S Niclaus in Straß. copulirt und eingesegnet worden Johann Jacob Rother der ledige Kieffer und burger alhier, Joh: Ulrich Rothers deß Kieffers vnd burgers alhier ehel. Sohn, und Jfr Susanna Margaretha Lobsteinin H Heinrich Lobsteinß deß Metzgerß vnd burgerß alhie ehel. tochter (unterzeichnet) Johann Jacob Rodter Kieffer als hochzeiter, Susanna Margreda lonsteinin alß hoch zeid (i 97)

Pressés par des créanciers, Jean Jacques Rother et Susanne Marguerite Lobstein font dresser un état de leur fortune. Les experts estiment la maison à 1 000 livres. La masse propre à la femme est de 609 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 209 livres, le passif à 849 livres.

1716 (10. 7.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 23) n° 580-b
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab Nahrung und Güther, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenomen, so Mstr. Johann Jacob Rotter der Kieff. und Fr. Susanna Margaretha gebohrne Lobsteinin bede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg bißanhero beseßen und umb deren Ursachen Willen weilen einige Ihrer Creditoren Sie Zur Zahlung getrieben und aber beÿ Jetzigem gelt klemmen Zeithen vnmöglich ein sol* Zu præstiren, dannenhero sich die dißorths Ehefr. gemüßiget befund. umb der Zubeförchten habenden execution damit Sie alsdann nicht zugleich umb das Ihrige käme, sondern selbiges salviren möchte zu bevögtigen auff gedachter Ehefrauen beÿständlich herrn Johann Christoph Lobsteins Metzgers v. b. allhier ihres geschwornen Curatoris ad lites erfordern und begehren (…) Actum in d. Königl. St. Straßb. Donnerstag den 10. 7.br Anno 1716.
Bericht wegen nicht Inventirten In den Ehestand gebrachten Nahrung

In einer in der Königlichen Statt Straßb. ahne der Elisabethæ gaßen gelegenen Ihnen beeden Eheleuthen Eigenthümlich Zuständigen und bewohnenden behaußung befunden worden wie Volgt
In der Soldaten Cammer, In d. Wohnstub, In d. Stub Cammer, In d. Camr. An In d. Küchen
Ergäntzung der Ehefrawen abgegangenen unveränderten Guths. Nach außweiß einer Specification welche Herr Heinrich Lobstein der ältere Metzger und burger allhier eigenhändig geschriben und underschriben (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. Hauß, hoffstatt, höfflein und brunnen mit allen übrigen deßen begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßb. ahne der Elisabethen gaßen, 1.s. neben einer Behaußung dem Stifft Zur Rothen Kirchen gehörig, 2.s. neben H. Joh: Peter Latscha dem Metzger und E. E. großen Raths allh. alten beÿsitzern, hind. auf Matthiam Kochen den Metzger stoßend, davon gibt mann Jährlichen 2. lb 2. ß d Zinnß Jährl. auff Urbani dem Stifft Zu denen Rewern allhierso in hauptgut ablößig mit 60. Rheinische Goldguld. à 1 lb 7 ß, It. 19. lb 5 ß d Zinß à 4 ½ p. C. Jahrs auff Joh. Baptistæ dem Stifft S Thoman allhier ablößig in hauptgut mit 650, So dann 10. lb 2 ß 4 4/5 d a 4. p. Ct° Jahrs auff d. 2.t Maÿ weÿl. Joh: Ulrich Rotters deß Kieffers burgers allhier hinderlaßene Wittib und Erben ablößig in Capital mit 253, Summa der Vorher beschriebenen beschwerdten thut 984. Sonsten freÿ Ledig und eigen über solche beschwerde, annoch hiehero ohnvergreiffich æstimirt umb 16. Darüber meldet ein teutsch. pergam. Kauffbrieff in allhies. C Contr. stub gefertiget mit dero anhangend. Kleinen Cantzleÿ Secret Insieg. Verwahrt sub dato d. 2.ten Maÿ A° 1715.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrawen Unverändert Guth, Sa. Haußraths 73, Sa. Silbergeschirrs v geschmeids 11, Sa. Guldener Ringen 11, Sa. Schuld 37, Sa. der Ergäntzung 475, Summa summarum 609 lb
Des Ehemanns und das Theilbare Guth in einer Massa, Sa. Haußraths 107, Sa. Werckzeugs Reiff und Band auch gemachter arbeith 33, Sa. Lährer faß 2, Sa. Eigenthumb ahne einer behaußung 16, Sa. Schulden 40, Summa summarum 209 lb
Hiebeÿ ist auch Zuberichten, daß des Ehemanns Vatter seel. Vor ohngefähr einem Vierteljahr gestorben ist, von welchem aber derselbe nur in Legitimam Zum Erben Instituirt word. (…) – Schulden 849, die Theilbahre (Passiva) übertreffen des Ehemanns und die Theilbare Activ Nahrung 639 lb

Jean Jacques Rother et Susanne Marguerite Lobstein hypothèquent la maison au profit de Marguerite Salomé Flach, veuve de Frédéric Casimir Leitersperger

1724 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 152
Johann Jacob Rodter der Kueffer und Susanna Margaretha geb. Lobsteinin beÿständlich ihres vatters Heinrich Lobstein des Metzgers und ihres bruders Johann Heinrich Lobstein auch Metzgers
in gegensein Fr: Margarethæ Salome geb. Flachin weÿl. H. Friedrich Caßimir Leitersperger wittib, beÿständlich ihres Sohns Friedrich Adam Leitersperger als mandararÿ dero geschwornen Vogts H. Not. Christoph Michael Hoffmann – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff: und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in St Elisabetha gaß, einseit neben H. Rathh. Dieboldt von Friedolßheim, anderseit neben einer der hohen Schuel gehörigen behausung hinten auff weÿl. Mathiß Koch gewesten Metzgers wittib und Erben – umb 60 goldgulden ahne capitalien dem Closter zu denen Reuerinnen

Jean Jacques Rother meurt en 1725 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 750 livres. La masse propre à la veuve est de 578 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 511 livres, le passif à 1 271 livres.

1725 (23.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 91) n° 304
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren: und Vorgeachte Meister Johann Jacob Rotter, der geweßene Kieffer und Burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Montag den 12. Martÿ dießen Lauffenden 1725.sten Jahrs dießes Zeitliche gesegnet, nach solch seinem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Schäffers des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrauen Susannæ Margarethæn Johann Jacob und Maria Salomeæ der Rottern, des Abgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato verlaßener Erben (…) inventirt durch die Ehren; und tugendsahme Frau Susannam Margaretham Rotterin gebohrene Lobsteinin, die hinterbliebene Wittib, mit assistentz des Ehren wohlvorgeachten Herrn Johann Lobstein, des Küffers und Weinhändlers, auch burgers allhier Zu Straßburg, Ihres geschwornen Curatoris (geäugt und gezeigt), So Geschehen in Straßburg auf Mittwoch den 23.ten Maÿ Anno 1725.

In einer allhier zu Straßburg ane der St. Elisabethengaß gelegenen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Soldaten Cammer, Im Obern haußöhren, In der Kuchen, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, In der Untern Stub, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung (E. et T.) Ein Vorder und hinderhauß, hoffstatt, höfflein, sambt allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen Allhier Zu Straßburg in St. Elisabethen gaßen einseit neben einer Behaußung dem Stifft Zur Rothen Kirchen gehörig, anderseit neben Hn Daniel Von Fridolßheim Garthner unterwagnern und E. E. Kleinen Raths altem Beÿsitzern, hinden auf Matthis Kochen, des Metzgers seel. Erben stoßend, davon gibt mann Jähr. auff Urbani 2. lb 2. ß d Zinnß dem Stifft Zur Reuerinnen ablößig in Capital mit 60. Rheinischen Goldgulden, th. hiehero den Goldgulden ohnpræjudicirlich à 1 lb 12 ß d gerechnet 96. lb, Weiter 2. lb 7 ß 4 d à 4 pro Cento gerechneten gelds Jährl. auf den 2.ten 8.bris Ulrich Rotter dem Ledigen Kieffer des verstorbenen seel. eheleiblich. Brudern ablößigen haubtguth mit 59 lb 2 ß 7 d, Mehr 6. lb d à 3 pro Cento gerechneten Zinnßes, Jährl. auf den 3. Juny H Johann Daniel Hammerer dem Silberarbeiter, als Vogten Jfr Annä Barbaræ Rödererin, widerlößig in Capital mit 200. lb. So dann 70 lb 10. ß d à 5 pro Cento gerechneten geldes, Jährl. auf den 2.ten Martÿ Fr. Margarethæ Salomeæ Leiterspergerin wittib redimibel in haubtgut mit 150. lb, Sonsten freÿ ledig eigen und über dieße beschwerde, durch (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls Vom 14.ten Septembris 1725. angeschlagen pro 244. lb 17 ß. Darüber Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C Contract stub gefertiget und mit deroselben anhangendem Insiegel bekräfftiget de dato 2.ten Maÿ Anno 1715 Mit N° 1 notirt.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Weÿl. Her Heinrich Lobstein der ältere geweßener Metzger und Burger allhier Zu Straßburg der Wittib eheleib. Vatter nunmehr seel. wegen dießer seiner Tochter ad dies vitæ Zugenißen gehabt, Nach besag eines durch mich unterschriebenen Notarium über der Wittib theils von weÿl. Fr. Dorothea Lobsteinin geb. Möllingin Ihrer geliebten Mutter seel. und theils von weÿl. H. Christian Mölling dem geweßenen weinhändlers und burgern alhier Ihrem vettern auch seel. ererbtes Vermögen (…)
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten guths. Vermög einer durch weÿl. Herrn Heinrich Lobstein en äntern geweßenen Metzger und Burgern allhier zu Straßburg de Wittib aheleib. Vattern nunmehr seel. selbsthändig geschriebenen und unterschriebenen Verzeichnus (…)
Abzug In dießes Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Ring 3, Sa. Schulden 61, Sa. Guths Ergäntzung 199, Summa summarum 578 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahr Vermögen, Sa. haußraths 73, Sa. Werckzeug auch holtz Reiffen und band Zum Kieffer handwerck gehörig 18, Sa. Wein, brandenwein und Lehrer Faß 8, Sa. Silbergeschmeids 112, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 244, Sa. Schulden 153, Summa summarum 511 lb – Schulden 1271, Übertreffen die passiva der Activ Massam in allem dem Stalltax nach umb 760 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 594 lb – Mehr Schulden als Nahrung dem Stalltax nach 165 lb
Copia der Eheberedung (…) den 6. Monaths Tag Aprilis 1705
Abschatzung d. 14.ten 7.bris 1725. Auff begehren Weÿland des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Johann Jacob Rother gewesenen Küffers seel. hinterlaßene Fraw Wittib und Ereben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auf der Elisabether gaß gelegen, einseits Neben herrn Thiebold Von Friedelßheim, E. E. grosen raths alten beÿsitzers, anderseits Neben einem Stifft hauß Zur Roden Kirchen gehörig, hinden auf Matheas Koch Metzger sein hinder hauß stosend, welche behaußung Nebens gebeu, Stube, Cammern worunter eine Mit thielen Zugeschlagen, hauß Ehren worin eine Küfer Werckstatt, gebälcktes Kellerlein, höffel, brunnen vnd tränckstein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend und Fünff Hundert gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs

Susanne Marguerite Lobstein se remarie en 1726 avec le tonnelier Jean Conrad Kieffer, originaire de Neckartenzlingen (près d’Esslingen) : contrat de mariage, célébration
1726 (14.1.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 141
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: vnd vorgeachten H Johann Conrad Kieffer, dem ledigen Kieffer von Neckardinslingen Nördinger Ambts in dem hertzogthumb Würtenberg gebürtig, des Ehren: vnd Vorgeachten H Johann Conrad Kieffers, des Sattlers vnd burgers daselbsten ehelichem Sohn, als dem bräutigamb, ane einem,
so dann der Ehren vnd tugendsamen frauen Susannæ Margarethæ Rotterin gebohrner Lobsteinin, weÿl. des Ehr en vnd vorgeachten Hn Johann Jacob Rotters des gewesenen Kieffers und Weinhändlers auch burger allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. hinderlaßener Wittib als der frauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auff Montag den 14.ten Januarÿ Anno 1726. (unterzeichnet) Johann Conradt Küeffer alls hochzeiter, Susanna Margreda rotterin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 203 n° 6)
1726. Mittwoch den 11. Junÿ sind nach Zweÿmaliger offentlicher proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St Niclaus el. copuliert u. eingesegnet word. Johann Conrad Kieffer der ledige Kieffer burg. allhier Joh: Conrad Kieffers deß Sattlers v burg. Zu Niede-Dentzlingen Hertzog. Wurtemberg. Herrschafft ehl. Sohn, u. Fr. Rosina Margaretha, Weil. Jacob Rottmanns geweßenen Kieffers burg. alhier hinterlaßene Wittib& (unterzeichnet) Johann Conradt Küeffer aks hochzeitern Susanna Margrede roth (i 208)

Jean Conrad Kieffer demande l’inscription au chef d’œuvre. Le conseil de la tribu qui constate qu’il n’a pas fait ses années d’épreuve le renvoie aux Quinze.
1725, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 99-v) Montags den 12. Novembris Anno 1725 – Johann Conrad Kieffer der Leedige Kieffer Von Neckardientzlingen stehet vor, meldet Wie das Er Willens sich mit Johann Ulrich Rotters Wittib, Welche dreÿ Kleine Kinder hatt, Zu verehelichen, deßwegen bittet Er damit die Kundschafft, so Sie Hatt, nicht in abgang Kähme, Ihme Zu erlauben das Meisterstück Zu machen, daß Er als dann Zu seinem Zweck gelangen möge.
Erkannd Weilen seine dreÿ Jährige Zu verarbeithen gehabte Zeit nicht gar Vorbeÿ so Könne mann Von seithen der Zunfft sein gesuchen nicht erlauben, Wann Er aber beÿ Genädigen Herren den XV.en Wird erlangen können, so wird mann in erwegung daß Er eine Kieffers Wittib heurathet nichtt dawieder seÿn.

Les Quinze accordent la dispense eu égard qu’il épouse une veuve et qu’il n’ouvre donc pas de nouvel atelier
1725, Protocole des Quinze (2 R 130)
(p. 341) Sambstag d. 1. Xbris 1725. Moss. nôe Johann Conrad Kieffers des ledigen Kieffers Von Neckar Dietzlingen gebürtig Cit. E. E. Zunfft der Kieffer H. Zunfftmeister, Weilen der Implorant puncto admissionis Zum Meisterstück durch mit Kommenden Zunfftbescheid an Mghh. Verwießen worden, alß bitt umb Deput. et Facta relatione mit gnädiger Dispensation Zu willfahren. Gug Cit. præsens bitt Deputatio et Facta relatione setzt er des Gegners petitum Zu Mghh Erkantnuß. Erkandt, Ober Handwerck herren

(p. 366) Montag d. 17. Xbris 1725. – Iidem [Obere Handwerck herren] lassen ferner per Eundem [Secretarium] referiren daß Johann Conrad Kieffer der ledige Kieffer Von Neckardietzlingen gebürtig einen Zunfft Gerichts bescheid von E. E. Zunfft der Kieffer de dato 27. 9.bris jüngst producirt, und berichtet das er besag deßen pt° admissionis Zum Meisterstück an Mg. Verwießen worden, anbeÿ umb Deputation gebetten, et Facta relatione mit gnädiger Dispensation Zu willfahren. Auff welches der Zunfftmeister auch umb Deputation gebetten, und facta relatione es Zu Mghh Erkantnuß gesetzet. Beÿ willfahrt undt beseßener Deputation habe der Implorant sein petitum wiederhohlt, ged. Zunfft H. Zunfftmeister H Blasius Erhard aber habe geantwortet, daß Zwahr der Implorant annoch Zweÿ Jahr alhier Zu Verarbeiten hätte, allein weilen er Keine Newe Werckstatt auffrichten und eines Meisters wittib heurathen wolle, so mache es E. E. Zunfft Gericht nicht schwehr. Beÿ welcher beschaffenheit die Hh. Depp. dafür gehalten, daß der Implorant Zu Verfertigung des Meisterstücks dispensando Zu admittiren, jedoch daß er pro dispensatione 2. lb d halb der Statt, und halb der Zunfft Zu erleben schuldig sein solle, die genehmhaltung Zu Mgh fallend. Erkandt, bedacht gefolgt.

Les examinateurs reçoivent Jean Conrad Kieffer maître, les défauts qu’ils ont relevés étant tous mineurs.
1725, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 112) Mittwoch den 13. Martÿ Anno 1726. alß Conrad Kieffer der Leedige Kieffer so sich ahne Martin Johann Jacob Rotters deß Kieffers Wittib Verheürathen Wird, sein verfertigtes Meisterstück Vaß Hatt Schauen Laßen, War die relation der Herren Schaumeisteren von der ersten Schau daß das Faß Zu flach gestreifft geweßen und deß Wegen seine rechte spitzung nicht habe, ferner befanden sich unterschiedliche taschen und bückel auch Zu bauch und über die Kopff etliche außfügen unten außwendig über Eck ein schleiffer so aber mit außdäxlen Wieder Herauß gefallen, In der Zweÿten Schau fande sich daß thürlein ohnfleißig eingebeßert, in dem hindern boden oben befinden sich Zweÿ Örtlein, in einer daug auff der seith auch ein Ästlein, und unten ahne einer daug ein ströhmlein, so aber nicht gar in die gargel gehet, In der dritten Schau finden sich im hindern end Zween Wölff, oben neben der Spontdaug ein schliffer, so aber nicht biß ahne die gargel gehet, am vordern end hatt es unterschiedliche außfugen am gehren stück auff der fug ein buckel, Zu bauch Hatt es unterschiedliche außfugen und bückel auch ist es ohnfleißig abgesäubert, das gebäud aber guth, Weilen nun die fehler nicht Hauptsächlich und Er solche Zum theil verbeßert, alß haben sie es für ein passierliches Meisterstück Erkanndt, auff Welche Weiß es dann auch durch den Herren XV.er alß Obmann confirmirt worden.

Jean Conrad Kieffer règle les frais de dispense
(f° 117-v) Mittwoch den 15. Maÿ Anno 1726 – Johann Conrad Kieffer der Leedige Kieffer Zahlte umb gleicher Ursachen Willen und auff ebenmäßige Condition 2. lb d. [erlagte nach Er Kanndtnuß Gnädiger Herren der XV. Wegen erhaltener Dispensation das Meisterstück machen zu dörffen beÿtrag halb der Statt und halb der Zunfft]

Jean Conrad Kieffer devient bourgeois par sa femme le 18 décembre 1726
1726, 4° Livre de bourgeoisie p. 932
Joh: Conradt Kiefer d. Kiefer Von Truttlingen geb. erhalt d. b. von seiner ehefr. Sus: Marg: Lobsteinin umb die tertz d. alt b. will beÿ E E Zunfft d. Kiefer dienen. Jurav. 18.ten Xb. 1728.

Jean Conrad Kieffer devient tributaire le 28 janvier 1727
1727, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 139-v) Dienstag den 28.ten Januarÿ Anno 1727 – Johann Conrad Kieffer, der Kieffer producirt Schein Von hießiger Cantzleÿ Sub dato den 28.t Decembris 1726. bittet Ihne alß einen Neuen Leibzünfftigen Zu recipiren. Erkannt Willfahrt, Zahlt alß ein frembder so sich ahne eines Zünftigen Wittib verheurathet gebühr 1 lb 1 ß 8 d. für die Zu den Feüer Eÿmern geordnete 10 ß und pro Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d.

Inventaire des apports dont la minute n’est pas conservée
1731, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über Joh: Conrad Kieffers und Susannæ Magdal: geb. Lobsteinin beed: ehel: einand: zugebr: Nahr:

Jean Conrad Kieffer meurt en 1755 en délaissant pour héritier un frère à Neckartenzlingen. L’estimation de la maison (750 livres) est reprise de l’inventaire précédent. La masse propre à la veuve est de 442 livres, celle des héritiers de 140 livres. L’actif de la communauté s’élève à 709 livres et le passif à 792 livres.

1755 (4.2.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 330) n° 683
Inventarium über Weiland Hn. Johann Conrad Kiefer geweßenen Kiefermeisters und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1755.
Inventarium und Beschreibung all derjenigen Haab und Nahrung, so weiland Johann Conrad Kiefer, der geweßene Kiefer meister und burger allhier zu Straßburg, nach seinem Donnerstags den Januarÿ dieses lauffenden 1755.sten Jahr aus dießer Welt genommenem tödlichen Hientritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Jacob Kiefers des Becken und burgers Zu Neckar Tentzlingen Nürttinger Amts, in dem Hertzogthum Württenberg, des defuncti leiblichen Bruders und ab intestato verlaßenen Universal Erben mit beÿstand Hn Johann Martin Lauxmann, des Cran Kiefers und burgers allhier inventirt durch die hinterbliebene Wittib Frau Susannam Margaretham Kieferin geborne Lobsteinin, mit assistentz Hn Johann Schäffers des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch Burgers allhier, ingleichem der Wittib Sohn und Zwo töchtere erster Ehe, wie nicht weniger die im Haus befindliche Domestiquen (geäugt und gezeigt) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg in fernerer Gegenwärtigkeit Herrn Johann Friderich Keck, des Biersieders und Es En grosen Raths alten und E E Kleinen Raths dermalig wohlverdienten beÿsitzers (…) wegen des ohnverburgerten Erben inspecie abgeordneten H Deputati, auf dienstag den 4. Februarÿ et seqq. A° 1755.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Elisabethen Gaß gelegenen, in diese Verlaßenschafft gehöriger und hernach einhetragener behausung befunden worden wie folgt
Ane Schrein: und Höltzen werck, In des Knechts Cammer, Im Hauß Ehren davor, I, der Hauß Cammer, In der Cammer darneben, In der obern Stuben, Im mittlern Haußöhren, In der untern Stuben, Im Gartten, In der Scheur
(f° 13) Eigenthum ane einer Behaußung (W.) Nämlichen ein Vorder: und hinter Hauß, Hoffstatt und Höfflein, mit allen deßen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg an der St. Elisabethen Gaß, einseith neben dem Stifft Zur rothen Kirch, anderseith neben Johann Freÿ, dem Fuhrmann, hinten auf Abraham Datt den Metzger stoßend, so über hernach eingetragene Passiv Capitalia gegen männiglich freÿ leedig und eigen und in dem über weiland Meister Johann Jacob Rotter, des gewesenen Kiefers und burgers allhier, der Wittib erstern Ehemanns sel. Verlaßenschafft durch Hn Notarium Johann Lobstein in A° 1725. auffgerichteten Inventario durch der Stadt geschworne Hh Lohner und Werckmeistere æstimirt und angeschlagen worden, wobeÿ man es auch dißmalen, nach eingeholter großgünstiger Bewilligung der wohlverordneten Herren dreÿ löbl Stadt Stalls bewendet läßet pro 750. lb. Darüber Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insiegel versehen, de dato 2.t Maÿ 1715 Ferner Zweÿ andere dergleichen Kauffbrieff vom 19. Martÿ 1677. und 20. Januarÿ solchen Jahrs
(f° 15) Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guts, Nach besag Inventarÿ über beeder geww&er Ehe Persohnen Europe für ohnverändert in den Ehestand Zugebracht Nahrungen durch weiland Hn Notarium Jacob Christoph Pantrion A° 1731. auffgerichteten und durch nun auch Weiland Hn Notarium Johann Brackenhoffer A° 1746. expedirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, vor Not. Lobstein d. 14. Januarÿ 1726.
Der Wittib ohnveränderten Vermögen, Sa. haußraths 128, Sa. Werckzeugs Zum Kiefer Handwerck gehörig 12, Sa. Faß 4, Sa. Silbers 33, Sa. Goldener Ring 15, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 750, Sa. Schulden 25, Summa summarum 1499 lb – Schulden 1057, Nach deren Abzug 442 lb
Dießemnach wid auch des Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung und Weißen Gezeugs 3, Sa. Werckzeugs Zum Kiefer Handwerck gehörig 2, Sa. Silbers 6, Ergäntzungs Rest 153, Summa summarum 166 lb – Schulden 25, Detrahendo restirt 140 lb
Endlichen folgt auch die Beschreibung des gemeinen verändert und theilbaren Guths, Sa. haußraths 97, Sa. Holtzes, Reiff und Band auch Werckzeugs Zum Kieffer handwerck gehörig 45, Sa. Wein und Faß 96, Sa. Silbers 27, Sa. beßerung ane einem bandplarz 40, Sa. Activ Schulden 402, Summa summarum 709 lb – Schulden 792 lb, In Vergleichung 83 lb
Stall summ 308 lb

Susanne Marguerite Lobstein meurt en 1769 en délaissant trois enfants ou leurs représentants issus de son premier mariage. Les experts estiment à la somme de 700 livres la maison que la défunte a léguée à ses deux filles. L’actif de la succession s’élève à 839 livres, le passif à 760 livres.

1769 (2.12.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 340) n° 995
Inventarium über Weiland Susannæ Margarethæ Kieferin geborner Lobsteinin, Weil. Hn. Joh. Conrad Kiefers, des gewesenen Kiefers und Wein: Händlers auch burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterbliebener Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1769
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Weiland Frau Susanna Margaretha Kieferin geborne Lobsteinin, Weil. Hn. Joh. Conrad Kiefers, des gewesenen Kiefers und Wein: Händlers auch burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterbl. Wittib nunmehr auch seel. nach ihrem Sonntags den 26. Novembr. jüngst aus dießem Welt: Leben genommenem tödl. Hintritt, hie Zeitl. verlaßen, (…) So beschehen alhier zu Straßburg auf Sambstag den 2. Decembris Anno 1769.
Die Verstorbene seel. hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben verlaßen, wie folgt. 1.mo Frau Susannam Margaretham Kuhnin geb. Rotterin, H. Joh: Jacob Kuhn, des Pfisters zu St. Marx und burg. alh. Ehefrau der Verstorbenen seel. hinterlassene Tochter, welche unter Assistenz diees ihres Mariti diesem Geschäfft persönlich beÿgewohnet, inn den ersten dritten Stamm Theil, 2.do Frau Mariam Salome Kammin geb. Rotterin, Weÿl. H Philipp Jacob Kamm des gewes. Vormaligen Metzgers und nachmaligen Gastgebers Zu Plobsheim, auch burgers alh. sel. hinterl. Wb. auch der Verstorbenen seel. leibl. tochter, welche mit beÿstand H. Caspar Schweigheimer, des Strumpff: Webers u. burgers alh. diesem Invantations: Geschäfft persönlich Zugegen ware, in dem zweiten ditten Stamm: Theil, 3.tio Weil. H. Joh: Rotter, des gewes. Kiefer: Meisters u. B. alhier der Defunctæ verstorbenen, Sohns, mit Fr. Maria Margaretha geb. Schmidin, deßen hinterlaßener Wittib ehelich erzeugter u. nach Tod verlaßene noch lebende 2. Kinder, mit Namen Johann Jacob Rotter, lediger Kiefer, so 21 Jahr alt, Jgfr. Maria Dorothea Rotterin, so 19 Jahr alt, diese beede der Verstorbenen seel. Enckel in den letzten dritten Stamm Theil, deren geordnet u. geschworner Vogt ist vorgedachter H Joh: Jacob Kuhn, der Pfister Zu St. Marx u. burger alhier, Weilen aber derselbe Ehevögt. weise hiebeÿ selbsten interessiret,, als ist Zum Theil Vogt ernennet (…) H. Joh: Jacob Braun, der Gold Arbeiter u. burg, alh. welcher auch beÿ diesem Geschäfft in Person Zugegen ware u. seiner Curanden Interesse bestmöglicht observirte. Also alle dreÿ der Verstorbenen, sel. mit längst Weil. H. Joh: Jacob Rotter, dem gewes. Kiefer und Wein; Händl. auch burger alh. deroselben gewesener erstern Ehemann ehelich erzeugt und hinterlaßene Kinder u. Enckel.

In einer alhier Zu Straßburg ane der St. Elisabethæ-Gaß gelegener, in diese Verlaßenschaft gehöriger u. hernach einhetragener Behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlichen ein Vorder: und Hinter: Hauß, Hofstatt u. Höflein, mit allen deßen Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden u. Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der St. Elisabethen: Gaß, einseit neben dem Stift Zur rothen Kirch, anderseit neben Johann Freÿ, dem Fuhrmann, hinten auf N. Kratz den Handelsmann stosend, so über hernach eingetragene Passiv Capitalia gegen männiglich freÿ ledig u. eigen, u. durch (die Werckmeistere) vemög deroselben ad Conceptum hujus Inventraÿ d. d. 5.to Januarÿ 1770 æstimirt u. angeschlagen worden pro 600 lb. Darüber Vorhanden 1. teutscher pergamentener Kauf: Brief in alhiesiger Cantzleÿ: Contract: Stuben gefertiget, u. mit dero anhangendem Insiegel versehen, de dato 2.ten Maji 1715, Ferner Zween andere dergleichen Kauf: Brief vom 19. Martÿ 1677. u. 20. Januarÿ solchen Jahrs.
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Copia des von der Verstorbenen seel. d. 14. Aug. A° 1760. verschloßen auffgerichteten Testaments. Copia Actus Subscriptionis über vorherige letzten Willens Verordnung (den 14. Augusty 1760, Johann Friderich Lichtenberger)
Sa. haußraths 128, Sa. leere Faß 13, Sa. Silbers 9, Sa. gold. Ring 2, Sa. Baarschafft 20, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 600, Sa. Beßerung ane einem band Platzes auch Garten Haus u. Hütt 56, Sa. Schuld 8, Summa summarum 839 lb – Schulden 760, Nach deren Abzug 78 lb – Stall Summa 78 lb
Copia Testamenti (…) Siebendens prælegire ich mehr besagten meinen beeden Töchtern erster Ehe meine eigenthümliche Behaußung, bestehend in Vorder und hinter hauß, Hoffstatt und höflein, mit allen deren begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten benebst aller dem, was darinn Erd, Mauer, Nied, Wand, Band und Nagelfest ist, gelegen alhier Zu Straßburg in der St. Elisabethä Gaß einseit neben dem Stift Zur rothen Kirch, anderseit neben Johannes Freÿ, dem Fuhrmann, hinten auf Abraham Datt den Metzger, stoßend gelegen, für freÿ, ledig vnd eigen, also daß sie meine beede Töchter ins Prælegatariæ schuldig seÿn sollen für sothane ihnen für freÿ ledig und eigen prælegirte behaußung 800 Pfund Pfenning in meine künftige Verlaßenschafft einzuschiesen (…) So beschehen Straßburg Donnerstag den 14. Augusti Anno 1760

Fils du boulanger Jean Georges Kuhn, le boulanger Jean Jacques Kuhn épouse en 1724 Marie Salomé Günther, fille du vitrier Frédéric Günther : contrat de mariage, célébration
1724 (2.2.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 145
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Johann Jacob Kuhn, ledigem weißbeckhen, weÿl. hern Joh: Georg Kuhnen deß ältern auch geweßenen weißbeckhens undt burgers allhier hindterlassem Ehelichem Sohn, hochzeitern ane Einem
So dann der Ehr undt Tugendbegabten Maria Salome Güntherin weÿl. Hn Joh: Friderich Günthers deß gewesten glaser undt auch burgers allhier nachgelaßener dochter d. Jfr. hochzeiterin am andern Theil
Actum Straßburg auff Mittwoch den 2. Monatstag Februarÿ anno 1724. (unterzeichnet) Johann Jacob Kuhn als hochzeutter, Maria Salome Güntherin alls hoch Zeütterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 18-v n° 73)
1724. Eod. [Mittwoch d. 8. Martÿ] sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. J. Jacob Kuhn, der ledige weißbeck v. b. alhier, weÿl. Georg Kuhn gewesenen b. v. weißbecken nachgel. ehl. Sohn, v. Jfr. Maria Salome, weÿl. Joh: Friderich Günthers gewesenen B. v. Glaßers Nach Gel. ehl. Tochter (unterzeichnet) Johann Jacob Kuhn als hochzeuter, Maria Salome Güntherin als hoch Zeiterin (i 22)

Jean Jacques Kuhn se remarie en 1736 avec Susanne Marguerite Rotter : contrat de mariage, célébration
1736 (13.10.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 38
Eheberedung – zwischen dem Ehren vnd vorgeachten Herrn Johann Jacob Khun, dem Weißbeckhen und burgern allhier Zu Straßburg, als dem Bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Susannä Margarethä Rottererin Weÿland des Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Rotters geweßenen Kiefers und Burgers allhier, mit der Ehren: und Tugendbegabten Frauen Susanna Margaretha gebohrener Lobsteinin ehelich erzeugter und nachgelaßener Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin am Andern Theil
So geschehen und verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg in beÿseÿn und Persönlicher gegenwarth der Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Jacob Hitschlers, Meister becken, des Hochzeiters Stieffvatters und herrn Wendling Schneiders, Glaßers, deßelben Kinds erster Ehe geschwornen Vogts auff sein des Bräutigambs, So dann auff ihr der Jungfrau Hochzeiterin seithen der Großachtbahr und Kunstreichen auch Wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Conrad Kieffers, des Kieffers und Weinhändlers, deroselben Stieff Vatters, Herrn Johann Schäffers, Knöpffmachers und Seidenhändlers, dero geschwornen Vogts, Herrn Johann Jacob Braunen des jüngern, Gold Arbeiters und Herrn Johann Heinrich Lobsteins Metzgers dießer beeder nahern Anverwanthen aller Burgere allhier Zu Straßburg als hierzu insonderheit erbettener herren beÿständere auff Sambstag den 13. Octobris anno 1736. unterzeichnet Johann Jacob Kuhn als hochzeiter, Susanna Margaretha Rodterin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 30-v n° 22)
1736. Mittwoch den 14. Novembris sind nach zweÿmahl. geschehene proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Nic. in den Ehestand eingesegnet worden Johann Jacob Kuhn, de weißbecker und Burger allhier, wittwer und Jungfr. Susanna Margaretha, weil. Johann Jacob Rotters, gewesten Kiefers und Burgers allhier, hinderlaßene ehl. Tochter (unterzeichnet) Johann Jacob Kuhn als hochzeitter, Susanna Margaretha Rodterin als braut (i 33)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Bouchers. Les apports du mari s’élèvent à 197 livres, ceux de la femme à 574 livres.
1736 (19.12.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 300)
N° 78. Inventarium über des Ehren: und Vorgeachten H. Johann Jacob Kuhn, Weißbecken und Burgers alhier, der Ehren und Tugendsamen Frauen Susannæ Margarethæ Kuhnin, geborner Rotterin, seiner Frauen Eheliebstin in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1736 et 1762. (…) vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten hat – So beschehen und angefangen allhier Zu Straßburg, Mittwochs den 19. Decembris Anno 1736. und geendiget auf Mittwoch den 3. Novembris Anno 1762.
Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig (…) den 3.ten Novembris Anno 1762.
In einer alhier zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegener u. dißorts Zum theil Lehnungsweiß bewohndnen behaußung ist befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 84, Sa. Silbers 20, Summa summarum 104 lb, Und wann darzu gerechnet wird die helffte an denjenigen haussteuren (…) 92 lb, So belaufft sich des disortigen Ehemanns (…) Vermögen dem billigen Anschlag nach auf 197 lb

N° 74. Inventarium über der Ehren: und Tugendsamen Frauen Susannæ Margarethæ Kuhnin, geborner Rotterin, dem Ehren und Vorgeachten H. Johann Jacob Kuhn, Weißbecken u. B. alhier, ihrem Eheliebsten in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, aufgerichtet in Annis 1736 et 1762. (…) vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten hat – So beschehen allhier Zu Straßburg, Mittwochs den 19. Decembris Anno 1736. und geendiget auf Mittwoch den 3. Novembris Anno 1762.
In einer alhier zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegener u. dem dißortihen Ehemann Eingangs gedacht Zum theil eigenthümlich zuständigen behaußung ist befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 291, Sa. Silbers 42, Sa. goldenen Ring 24, Sa. baarschafft 123, Summa summarum 421 lb, darzu gelegt die helffte von denen haussteuren (…) 92 lb, So kommet der disortigen Ehefrauen gesamte in den Ehestand gebrachte Nahrung dem billigen Werth nach, zu sehen auf 574 lb

Le fournier de Saint-Marc Jean Jacques Kuhn fait vendre des effets mobiliers dans la maison qui appartient à sa femme et à sa belle-sœur rue Sainte-Elisabeth.
1771 (28.2.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 341) n° 1021
Verkauf und Erlös Register über diejenige Effecten, welche Herrn Johann Jacob Kuhn, dem Pfister zu St Marx und Burger alhier eigenthümlich zuständig seind, und auf deßen ansuchen in der ane der St. Elisabethæ Gaß gelegenen: Frauen Kuhnin vorgedachten H. Kuhnen Ehefraun und Frauen Kammin Wittib, beeden Geschwisteren gemeinschafftlich zugehörigen behausung

Jean Jacques Kuhn meurt en 1774 en délaissant pour héritiers testamentaires sa fille et ses petits-enfants. L’inventaire est dressé dans la boulangerie de Saint-Marc. L’inventaire décrit la maison qui appartient à sa femme rue Sainte-Elisabeth, estimée à sa valeur établie lors de l’inventaire de Susanne Marguerite Lobstein puisqu’il n’y a pas été fait de travaux ni d’amélioration. La masse propre à la veuve est de 519 livres, celle des héritiers présente un déficit de 51 livres. L’actif de la communauté s’élève à 522 livres et le passif à 257 livres.

1774 (3.2.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 342) n° 1073
Inventarium über Weiland des Ehren und vorachtbaren Herrn Johann Jacob Kuhn, des geweßenen Pfisters bei löbl. Stift St Marx und Burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seligen Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1774. (…) nach seinem d. 10.ten Januarÿ jüngst aus dießer Welt genommenen tödl. hientritt Zeitlichen verlaßen. Welche Nachlaßenschaft auf Ansuchen disortiger Wittib Fr. Susannæ Margarethæ geborener Rotterin wie auch der dissortigen Fr. Tochter und deroselben Kinder Vogts (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in der ermelten löbl. Stift St Marx Zuständigen Pfisterey behausung, in fernerer gegenwarth Tit. herrn Joh: Georg Himmler des ober schreibers gedachter Stiftung auch burgers hieselbst als der Fr. Wb. hierzu erbettenen H. assistenten auf Donnerstag den 3. Februarÿ 1774.
Der Verstorbene Herr Kuhn hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt 1°) Seine in erster Ehe mit Fr. Maria Salome geborner Günterin seel. erzeugte und hinterlassene einzige Tochter Namens Fr. Maria Salome geborne Kuhnin mit H Joh: Daniel Keck des Weisbecken und Burgers alhier Ehegattin, jedoch diese nur in einem dritten theil, das ist in die Ihro von Rechtswegen gebührige Legitimam, 2°) In den überrest oder die übrige Zwo tertzen aber 2°) ihr Keckischer Eheleuthe ehelich erziehte Kinder Zu gleichen antheilen, mit Namen a) Joh: Jacob Keck, lediger Beck, georen den 19. Julÿ 1752, b) Jgfr Maria Salome geboren d. 25. Mart. 1754, c) Joh: Georg geboren d. 22. 8.br. 1755, d) Joh: Daniel geboren d. 19. 7.bris 1761. e) Maria Magdalena geboren d. 21. Mart. 1765, f) Margaretha Barbara geboren d. 29. Julii 1767. und g) Maria Margaretha geboren den 9. Jan. 1772. dieser Keckischen Kinder geordnet und geschworner Vogt ist Joh: Caspar Schweigheimer der Strumpfweber und burger alhier

Eigenthum ane einer Behaußung. (W.) Nemlichen die hälfte von unvertheilt von und an einer behausung, höflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, geleg. alh. Zu Strasb. ane der St. Elisab. gaß, einseit neben dem Stift Zur rothen Kirch, anderseit neben weil. Joh: Frei des gewesten Fuhrmanns Erben, hinten auf H. Kratz den handelsmann stosend, so über gernach eingetragenes passiv Capital frei ledig, eigen und durch die Hh. Werckmeistere Zufolg dero Abschatzung d d. 5. Jan. 1770. Zu der d. 2. Dec. 1769 vorgewesten Inventation weil. Fr. Susannæ Margarethæ Kieferin, weil: H. Joh: Conrad Kiefer, des gewesten Kiefers u. b. alh: hinterbl. Wb. seel Verl. æstimirt u angeschlagen worden die gantze behausung zu 600. lb. d. bei welchem Anschl. man es auch dermahlen angesehen in sothane bhßg. seithero nicht im geringsten verbeßert, ja vielmehr baufälliger word., auf verhoffende approbation der wohlverordneten Hh. drei Löbl. Stadt Stalls gelaßen Und kommt also von sothanem Anschlag die Hälfte in auswurf mit 300 lb. Diese Behßg. hat obgedachte Fr. Kieferin ihren beeden töchteren als der disseitig Wb. Fr. Kuhnin u. Fr. Maria Salome Kammin geb. Rotterin Wb. per Testamentum prælegirt, so sie auch noch gemeinschaftl. Zu hälfte besitzen. Übrigens ist aber sothane bhßg. vorhanden ein teutsch. pergamentener Kfbr. in alh. C. C. Stub gefertiget und mit dero anhangend. Insiegel verseh. d. d. 2. May 1715. ferner 2. dergleichen dgl. Kfbr. vom 19. Märtz 1677. u. 20. Jan: solch. Jahrs.
Besserung an einem Band Platz und garten auch garten haus und hütt. (W.) Neml. die ½. von und ane einem vor d. alhieisg. hospital thor glegenen Band Platz und garten []
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths zufolg Inventarii (…) durch mich unterschriebenen Notm. A° 1736. errichtet v a° 1762. zu End gebracht
Series rubricarum hujus Inventarii. – Copia Testamenti Solennis inscriptis clausi so der Verst.seel. unterm 115. May 1772 errichtet
Der Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 22, Sa. goldener ring 13, Sa. baarschafft 11, Sa. Anschlags vorged. eigenthuml. Helffte ane einer behaußung 300, Sa. beßerung ane lehengüthern 28, Sa. Schulden 62, Sa. abgegangenen unveränderten Guths (576, abzuzuehen 519, annoch übrig) 56, Summa summarum 545 lb – Schulden 26, Deductione facta 519 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 27, Sa. Silbers 2, Sa. Erg. (96, abgehet 13 verbleibt) 83, Summa summarum 114 lb – Schulden 62 lb, In Compensatione 51 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert b theilbar Guth beschrieben, Sa. hausraths 83, Sa. Weins v. leerer faß 68, Sa. Saubohnen 4, Sa. Schwein 6, Sa. Silbers 6, Sa. baarschafft 51, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. Schulden 200, Summa summarum 522. lb – Schulden 257 lb, Nach deren Abzug 264 lb
Beschluß und Verstallungs summa 836 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptguths theilbar 100, Zweiffelhaffte Schulden, theilbar 94
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren vnd vorgeachten Herrn Johann Jacob Khun, dem Weißbeckhen und burgern allhier Zu Straßburg, als dem Bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Susannä Margarethä Rottererin Weÿland des Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Rotters geweßenen Kiefers und Burgers allhier, mit der Ehren: und Tugendbegabten Frauen Susanna Margaretha gebohrener Lobsteinin ehelich erzeugter und nachgelaßener Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin am Andern Theil
So geschehen und verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg in beÿseÿn und Persönlicher gegenwarth der Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Jacob Hitschlers, Meister becken, des Hochzeiters Stieffvatters und herrn Wendling Schneiders, Glaßers, deßelben Kinds erster Ehe geschwornen Vogts auff sein des Bräutigambs, So dann auff ihr der Jungfrau Hochzeiterin seithen der Großachtbahr und Kunstreichen auch Wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Conrad Kieffers, des Kieffers und Weinhändlers, deroselben Stieff Vatters, Herrn Johann Schäffers, Knöpffmachers und Seidenhändlers, dero geschwornen Vogts, Herrn Johann Jacob Braunen des jüngern, Gold Arbeiters und Herrn Johann Heinrich Lobsteins Metzgers dießer beeder nahern Anverwanthen aller Burgere allhier Zu Straßburg als hierzu insonderheit erbettener herren beÿständere auff Sambstag den 13. Octobris anno 1736. – Johann Friderich Lichtenberger Notarius publicus
Copia Testamenti

Susanne Marguerite Rotter meurt en 1780 en délaissant pour héritier testamentaire son neveu Jean Jacques Rotter, maître tonnelier et mari de Catherine Salomé Rinck. La valeur de la maison est reprise des inventaires précédents. L’actif de la succession s’élève à 1369 livres, le passif à 584 livres.

1780 (31.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 345) n° 1180
Inventarium über Weiland Fraun Susannä Margarethä Kuhnin geb. Rotterin, auch weil. H. Joh: Jakob Kuhn, des gewesenen Pfisters bei Löbl. Stift St. Marx und bgrs. alh. zu Strasburg sel. hinterl. Wittwe, nun auch sel. Verlt. aufgerichtet Anno 1780. (…) nach ihren den 5.ten gegenwärtigen Weinmonats und 1780.sten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Ableiben, sowol eigenthums als Wittums weise hie zeitlich zurück gelaßen hat. Solche Nachlaßenschafft wurde auf gebürendes Ansuchen H. Johann Jakob Rottern des Kiefermeisters und hiesigen burgers, der Verstorbenen sel. Bruders Sohns als Zufolg des 19.den Paragraphs hernach Abschrifts weise einverleibten den 24. Augstmonat 1779. verschlossen auffgerichteten, am nemlichen tag bei hieunten gemeltem Hn Not° Phil. Jakob Heus hinterlegten und am 11.ten Weinmonat 1780. eröfneten und publicirten Testaments, diesortigen alleinigen Erbens an hernach gesetztem tag inventirt und ersucht. Gleich Anfangs dieser Inventur ist sowol gemeltem Erben, als auch Frn Katharinä Salome, geb. Rinckin, desselben Ehegattin und Jgfr. Mariä Dorothe Rotterin, deßen Schwester (…) So geschehen alhier zu Strasburg, in fernerem beÿseÿn S..T. H. Phil. Jakob Greis, Not. publ. et practici und Secret. bei Ihro Gnaden des regirend. H. Ammeisters Haus Audienz als Kraft des 23.ten Artickels vorherberührten Testamenti Clausi von der Defuncta ernannten Executoris solch ihrer Letzten willens-Verordnung in einer an dem Goldgiesen gelegenen weil. Mr Rösch, des gewesenen Kiefers hinterlassener Wittwe eigenthümlich zuständigen und diesorts lehnungsweise inhabenden behausung, auf Dienstag den 31.sten des Weinmonats, im Jahr 1780.

(f° 9-v) Eigenthümlicher Anteil an einer Behaußung. Näml. die Hälfte von unvertheilt von und an einer Behausung, Höflein, mit allen deren Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Strasb. an der St. Elisabethä Gaß, eins. neben dem sogenannten Stift Zur rothen Kirch, 2.s. neben Herrn Weber, dem Knopffmacher alhier gelegen, und hinten auf H. Kratz den Handelsmann stosend, welche Völlige Behausung ausser hieunten angezeigtem Passiv: Kapital frei ledig und eigen, und bei der in Anno 1774. vor geweßter Verl. Inventur Weil. H. Joh: Jb. Kuhn der diesortigen Defunctæ Ehemanns sel. in Calculum gebracht worden überhaupt vor und um 600 lb. Da nun solche behausung seithero im geringsten nicht verbeßert, auch daran in zwischen kein haupt reparation vorgenommen, sondern vielmehr baufälliger geworden, als hat man auf verhoffende Genehmigung wolverordneter herrn dreier Löbl. Stadt Stalls, es bei solchem Anschlag gelaßen daher die hieher gehörige hälfte in Auswurf gebacht vor 300. Die übrige hälfte ist Fraun Mariä Salome Kammin geb. Rotterin, weil. H. Phil. Jb. Kammn des gewesenen Gastgebers Zu Plobsheim und bgr. alhier hinterl. Wittwen der Verstorbenen sel. Schwester eigenthümlich Zuständig. Über sothane Behausung meldet ein teutscher pergamentener Kaufbrief in alhies. K. K. Stub gefertiget u. mit dero anhangendem Insiegel versehen d. d. 2. Maji 1715. Ferner Zwei dergleichen Kaufbriefe respê vom 19. Märtz 1677. u. 20. Jan: solchen Jahrs.
(f° 10) Wittum So die Verstorbene Fr: Kuhnin von Eingangs gedachtem ihrem Vorher Verstorbenen Ehemanns sel. bis an ihr Lebensende geniesen hat, der anjetzt auf Fr. Maria Salome Keckin geb. Kuhnin, mit H. Joh: Dan. Keck, dem Weisbecken u. bgr. alhier, ehl. erzeuigte und etwa noch erzeugende Kinder, gedachten H. Kuhn sel. Enckel, Zu gleichen Theilen erb: und eigenthuml. anheim fällig ist
(f° 11) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia des von der Verstorbenen sel. unterm 24.ten Aug. 1779. verschlosen auffgerichteten Testaments
Sa. hausraths 145, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 28, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmucks 13, Sa. baarschafft 26, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 400, Sa. Schulden 455, Sa. eigenthümlichen Anteils an vorher beschriebener behausung 300, Summa summarum 1369. lb – Schulden 854 lb, Nach deren Abzug 514 lb
Sa. Legaten 433 – Conclusio finalis Inventarÿ 1159 lb
Copia Testamenti Clausi

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 400 florins (200 livres) sur un total de 1 900 florins
1780, Livres de la Taille (VII 1180) f° 282-v
Becker N° 4994. Weÿl. Fr. Susannæ Margarethæ geb. Rotterin auch weÿl. Joh: Jacob Kuhn gew. Pfisters beÿ dem Stifft St. Marx und burger allhier hinderl. wittib, verlaßenschafft, inv. Not. Lichtenberger.
Concl. fil. jnvent. Ist fol. 103.b 1159 lb 12 ß 9 d verstallte 1900 fl. Zu wenig 400 fl.
Wovon Nachtrag vor 6 Jahr in simplo als lang dießelb in Wittwenstandt geweßen thut 3 lb 12 ß
Ext. Stallgeldt 1780 – 2 lb 17 ß
Geb. – 2 ß 6 d
Abhandling 1 lb 19 ß (zusammen) 8 lb 11 ß
dt. 13. Xbr. 1780.

Marie Salomé Rotter (et non Marie Madeleine Kamm) veuve de Philippe Jacques Kamm, en dernier lieu aubergiste à Plobsheim, hypothèque la maison au profit du tailleur Jean Pierre Schneiter

1780 (18.1.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 22
Fr. Maria Magdalena geb. Kammin weÿl. Philipp Jacob Kamm des letztmahls gewesten wirths zu Plobßheim wittib beÿständlich H. Johann Friedrich Hitschler des handelsmanns
in gegensein H. Johann Peter Schneiter des schneider meisters – schuldig seÿe 300 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Stt Elisabetha gaß, einseit neben Johann Daniel Weber des knopffmachers Erben, anderseit einer löbl. Stifft hoher Schuhl zuständige behausung, hinten auff Carliische erben

Le tonnelier Jean Jacques Rother vend la moitié de la maison (héritée de sa tante Susanne Marguerite) à Marie Salomé Rother, veuve de Philippe Jacques Kamm qui en devient ainsi seule propriétaire.

1789 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 663 f° 313-v
Johann Jacob Rother der kieffermeister (unterzeichnet) Rotter
in gegensein Fr. Mariæ Salome Kammin weÿ. Philipp Jacob Kamm gewesten würths zu Plobsheim wittib beÿständlich H. Johann Georg Armbruster des gastgebers alhier ihres tochtermanns
die hälffte vor unvertheilt von und ane einer behausung bestehend aus vorder und hintergebäude, höfflein, hoffstatt, brunnen mit allen deßelben übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten mit Nr 4 bezeichnet ane der St. Elisabetha gaß, einseit neben einer zur rothen kirch dem mehren hospital zuständigen Behausung, anderseit neben H. Weber dem knopffmacher, hinten auff (-) – von dieser gantzen behausung gibt man jährlich dem Closter zu denen Reuerinnen oder St. Magdalenä 2 pf 2 s oder 4 fl. 2 ablößig mit 6 rheinischen goldgulden – um 950 gulden

Fils du boucher Jean Philippe Kamm, le boucher Philipp Jacques Kamm épouse Marie Salomé Rotter, fille de Jean Jacques Rotter : contrat de mariage, célébration
1738 (26.6.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 55
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Philipp Jacob Kamm, dem ledigen Metzger, Weÿland H. Johann Philipp Kammen gewesenen Metzgers und burgers allh. und auch weÿl. Frauen Maria Catharina gebohrener Bameÿerin ehel. erzeugtem und nachgelaßenem Sohn, als dem Bräutigams ane einem,
so dann der Ehren und Tugendbegabten Jungfraun Maria Salome Rotterin, weÿl. H Johann Jacob Rotters, geweßenen Kieffers und burgers allhier mit der Ehren und Tugendbegabten Frauen Susanna Margaretha gebohrener Lobsteinin ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfr. hochzeiterin, am andern Theil
den 26. Junÿ 1738 (unterzeichnet) Phillipp Jacob Kamm als Hochzeiter, Mariæ maria Salome rottrin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 43 n° 2)
1739. Mittwoch den 18. Febr: seind nach Zweÿmahl geschehener proclamation in der Evangel. Pfarr Kirch Zu St. Niclaus in den Ehestand eingesegnet word. Philipp Jacob Kamm, der ledige Metzger und Burg. allhier, Weil. Johann Philipp Kammen, geweßenen Metzgers und Burgers allhier, hinterlassener ehl. Sohn und Jgfr. Maria Salome weÿl. Johann Jacob Rotters geweß. Kiefers und Burgers alhier hinterlaßene ehl. Tochter (unterzeichnet) pillipp Jacob Kamm als hochzeiter, maria Salome rodtrin als hochzeitrin (i 45)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Bouc qui appartient en partie au mari. L’actif du mari s’élève à 514 livres, le passif à 650 livres. Les apports de la femme s’élèvent à 561 livres.
1739 (18.3.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 304) n° 142
Inventarium über des Ehren: und Wohl Vorgeachten Herrn Philipp Jacob Kammen, Metzgers und der Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariä Salome Kammin gebohrener Rotterin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1739. (…) Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung
So beschehen in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg in fernerer Gegenwarth Herrn Johann Daniel Bameÿers, Gastgebers Zum Falcken Keller und Burgers alhier, des Ehemanns Vettern und hierzu erbettenen Assistenten, wie auch Herrn Johann Conrad Kieffers, des Kieffers und Weinhändlers und Frauen Susannä Margarethä Kiefferin gebohrener Lonsteinin, beeder Ehegatten und burgere allhier, der Ehefrauen respê. Stieff Vatters und leiblicher Mutter, Mittwochs den 18. Martÿ Anno 1739.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Box Gäßlein gelegenen und dem Ehemann Zur helffte eigenthümlich zuständiger Behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behausung. (M.) Erstl. die helffte vor unvertheilt von und ane einer behaußung
allhier Zu Straßburg, in dem so genandten Box Gäßlein (…)
(M.) Item die helffte Vor unvertheilt von und ane einem Metzgerbanck unter der großen Metzig (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in den Ehestand Zugebrachte unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 288, Sa. Rind Vieh 50, Sa. Stroh und Ohmet 4, Sa. Silbers 41, Sa. baarschafft 101, Sa. Eigenthum ane einer behaußung und Metzgerbanck o, Sa. Schulden, Summa summarum 514 lb – Schulden 650 lb, Übertreffen also hievorgemelte Passiv Schulden des Ehemanns Activ Nahrung umb 135 lb, Hingegen thut die Haussteuren ihme dem Ehemann gebührige helffte 81, Conferendo (…) 53 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 288, Sa. Silbers 31, Sa. goldener Ring 36, Sa. baarschafft 123, Summa summarum 479 lb – Deme beÿzufügen die an den haussteuren Ihro gebührige helffte macht 81, der Ehefrau in die Ehe gebrachtes Guth dem billigen Werth nach 561 lb

Le boucher Philippe Jacques Kamm quitte la ville le 9 novembre 1749, sa femme fait dresser un inventaire pour préserver ses biens propres. L’inventaire est dressé dans la maison ruelle du Bouc. La masse propre à la femme est de 570 livres. L’actif du mari s’élève à 1 074 livres, le passif à 1 342 livres.
1749 (18.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 324) n° 549
Inventarium über Philipp Jacob Kamm, des von hier sich absentirten Metzgers und Frauen Mariæ Salome Kammin gebohrener Rotterin, beeder Ehe Persohnen und Burgere allhier Zu Straßburg dermahlen habende Activ Nahrung und Passiv: Schulden, auffgerichtet Anno 1749.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, auch Passiv Schulden, so Philipp Jacob Kamm, der Sonntags den 9.ten Novembris dieses Zu end eilenden 1749.sten Jahrs von hier sich absentirten Metzger und Frau Maria Salome Kammin gebohrene Rotterin, beede Ehe Persohnen und Burgere allhier Zu Straßburg, dermahlen haben und besitzen, Welche der Ursachen, alldieweilen due Ehefrau ihr ohnverändert Guth, Zusamt deme was Ihro Krafft der Eheberedung gebührig Zu salviren trachtet, auf ihr der Ehefrauen freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren, inventirt, durch sie selbsten, mit beÿstand Hn Johann Conrad Kieffer, des Kieffers Weinhändlers und Burgers allhie ihres Stieffvatters und geschwornen Vogts (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Dienstag den 18. Novembris Anno 1749.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Box Gäßlein gelegenen Zur helffte in des Ehemanns Nahrung gehörigen und hernach eingetragenen Behaußung, befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen die helffte vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung allhier Zu Straßburg, in dem so genandten Boxgäßlein (…)
Ergäntzung der Ehefrauen seithero abgegangenen ohnveränderten Guths. Zufolg der über beeder eingangs ermelter Eheleuthe einander in die Ehe gebrachte Nahrungen durch mich Notarium unterm 18. Martÿ 1739. auffgerichteten Inventarii Concepti
Norma hujus inventarii – Copia der Eheberedung, p. Lichtenberger d. 26. Junÿ 1738.
Der Ehefrauen ohnveränderten Vermögens, Sa. haußraths 102, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Rings 7, Sa. Ergäntzung per rest 383, Sa. Schuld 75, Summa summarum 570 lb
Diesemnach so wird auch des Ehemanns ohnverändert und zugleich die theilbare Nahrung, weilen die Ehefrau beÿständlich ihres Stieffvatters und geschwornen Vogts auf die letztere tam active quam passive renunciret, sub una eodemque Titulo beschrieben, Sa. haußraths 143, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 900, Sa. Schulden 27, Summa summarum 1074 lb – Schulden 1342 lb, Compensando 268 lb

Les cinq enfants et héritiers de Marie Salomé Rotter, veuve de Philippe Jacques Kamm, se partagent ses biens. La maison a été vendue par enchère judiciaire le 18 vendémiaire III à Jean Balthasar Knoll

1793 (24.9.), Strasbourg 3 (7), Not. Ensfelder n° 386
Abtheilung und Erörterung über Weiland der Bürgerin Maria Salome Kamm gebohrner Rotter, längst weiland Philipp Jacob Kamm gewesenen hiesigen Metzgers hinterbliebener Wittib Vermögens Nachlassenschaft, auf Ihr den 13.ten gegenwärtigen Herbstmonats erfolgtes Absterben, in beÿseÿn und auf begehren Ihrer ehelich erziehlter Kinder und ab intestato hinterlaßener Erben 1° Maria Salome gebohrner Kamm Johannes Brennapffel Hufschmids zu Plobsheim Ehefrau, 2.do Maria Catharina gebohrner Kamm bürgers Philipp Jacob Jung Fischkäufers und Einwohner zu Straßburg Ehefrau, unter deßen Assistentz anwesend, 3.tio Weiland Johann Philipp Kamm gewesenen hiesigen Metzgers mit der Bürgerin Catharina Barbara gebohrner Knoderer dermalen an bürger Gerhard den hiesigen Metzger wieder verheurathet ehelich erzeugter hinterlaßener tochter Catharina Barbara Kamm, in das 20.te Jahr ihres Alters gehend unter berathung erstgedachten Philipp Jacob Jung ihres Vogts wie auch dero Stiefvaters agirend, 4.to Maria Magdalena gebohrene Kamm Weiland Johann Jacob Schwing gewesenen Metzgers zu Straßburg hinterbliebener Wittib, persönlich anwesend und 5.to Weiland der bürgerin Susanna Margaretha gebohrner Kamm mit dem bürger Johann Georg Armbruster hiesigem Gastgeber ehelich erzeugtes Kind Namens Johann Georg, vor deßen Interesse schon bemelter burger Jung sein Vogt und sein erstbesagter Vater als Natürlicher Vormund und vor sein Kind selbster machen bestens besorgt waren, mit Zuziehung des Bürgers Johann Georg Stoltz einen der hiesigen geschwornen Inventierschätzern (…) Geschehen und angefangen Straßburg den 24. Septembris 1793

Eigenthum ane einer behaußung. Nemlich eine behausung bestehend aus Vorder und Hinter Gebäu, Höfflein, Hoffstatt und brunnen mit allen derselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten mit N° 4 bezeichnet alhier zu Straßburg ane der St. Elisabethä Gaß, einseith neben einer Zur rothen Kirch dem mehrern Hospital Zuständigen Behausung anderseith neben Bürger Weber dem Knopffmacher hinten auf N. N. Stoßend gelegen, davon Zahlt man jährlich dem ehemaligen Kloster zu denen Reuerin oder St Magdalenä dermalen der Nation 8 li. 8 s. ablösig mit 60 Rheinischen Goldgulden, Ohnnachtheilig angeschlagen vor 1800 fl. oder 3600 livres. Über die Hälfte solchen Haußes besagt ein in hiesiger Contract stub den 28. Sept. 1789 vorgegangener Kauf Contract, Solche behausung solle bis Zu anderwärtiger Verfügung gemeinschaftlich ausgesetzt bleiben und genoßen werden.
Berechnung über den Steigschilling der in diese Verlaßenschafft gehörig gewesener behausung. Die an der Elisabetha Gaß gelegene mit N° 4 bezeichnete behausung ist nach vorher gegangenen fünff Versteigerungen dem bürger Johann Baltasar Knoll hiesigen Peruckenmacher den 18. vendemiaire jüngst endscheidlich zuerkannt und überlaßen worden vor 6800 livres. In Zahlung deren sind dem Käufer besagter vor mir Notario verfertigten Steigerung Procès verbal vom 29. fructidor und demselben angehängter Entschlagung von gedacht 18. Vendemiaire angewiesen worden
acp 19 f° 136 du 3. 8.br
Copia letzten Willens vom 3. Junÿ 1783 welcher den 23. Sept. 1793 enregistrirt worden – Vergleich, 24. sept. 1793

Fils du marchand Jean Balthasar Knoll de Karsruhe, le perruquier Jean Balthasar Knoll épouse en 1761 Susanne Elisabeth Büchel, fille du perruquier Balthasar Friedrich Büchel : contrat de mariage, célébration
1761 (23.6), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 355
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Balthsar Knoll, dem Ledigen Peruquenmacher von Carsruhe gebürtig, weÿland des Ehrenvest und wohlvorachtbahren herrn Johann Balthasar Knoll, handelsmanns und burgers allda mit auch weÿland der Viel Ehren: und tugendsamen Frauen Maria Margaretha gebohrener Neumännin, beeder seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigam, ane einem
So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Susanna Elisabetha Büchelin, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Balthasar Friderich Büchels, geweßenen Peruquenmachers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen mit auch Weÿland der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Susanna Elisabeth gebohrener Schwartzenboltzin seiner Erstern Ehegattin ebenmäßig seeligen ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 23. Junÿ 1761. (unterzeichnet) Johann Balthasar Knoll als hoch Zeiter, Susanna Elisabetta büchelin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 107-v n° 687)
Anno 1761 mitwoch den 15 Julii seind nach zweÿmalige ordentlichen proclamationn Zu St Thomas in diese Kirch copulirt und eingesegnet woden H. Johann Balthasar Knoll Lediger Peruckenmacher, weil. Johann Balthasar Knoll gewesenen weißgerbers und burgers Zu Carls Ruh hinterlassener ehel. Sohn, und Jfr. Susanna Elisabetha Büchelin, Weil. H. Balthasar Büchel gewesenen Peruckenmachers undt burgers alhier hinterlassene ehel. tochter (unterzeichnet) H. Balthasar Knoll als Hochzeiter, susanna Eliabetta buchlerin ams hochzeiterin (i 110)

Susanne Elisabeth Büchel fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 256 livres dans la maison à la Mésange au Marché aux chevaux.
1762 (29.9.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 401) n° 961
Inventarium über der Viel Ehren: und Tugendgezierten Frauen Susannä Elisabethä Knollin gebohrener Büchelin, des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Balthasar Knoll, des Peruquenmachers und Burgers allhier Zu Straßburg Ehegattin zu gedachtem Ihrem Ehe Mann für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1762. (…) welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Eheberedung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem Beÿsein vorgedachten herrn Johann Balthasar Knoll des Ehe Manns Wie auch des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren herrn Johann Christoph Braun des Seidenhändlers und Burgers allhier, der Ehefrauen erbettenen beÿstandts, auf Mittwoch den 29. Septembris Anno 1762.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarck gelegen Zur Meÿß genander und in dieß Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 85, Sa. Silbers 12, Sa. Goldenen Rings und Geschmeids 19, Sa. baarschafft 112, Summa summarum 229 lb – Dazu ist zuerechnen, der Ihro Zuständigen halbe theil ane denen Verehrten Haussteuren, 27 lb, Belaufft sich also Ihro Frauen Susannä Elisabethä Knollin gebohrener Büchelin völlig in die Ehe gebrachtes Vermögen in allem in vero pretio auf 256 lb

Jean Balthasar Knoll meurt en germinal IV et sa veuve Susanne Elisabeth Büchel en nivôse V en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison estimée à 2 000 livres tournois. L’actif de la succession s’élève à 2 572 livres, le passif à 2 634 livres.

1797 (29 floreal 5), Strasbourg 10 (4), Not. Heus n° 286
Inventarium über Weÿl. bürgers Johann Balthasar Knoll Peruckenmachers wie auch weÿl. Susanna Elisabetha geb. Büchelin, beeder Eheleuthe Verlassenschafft, zwar der Ehemann den 8. germinal 4. Jahrs die Ehefrau aber den 7. nivos jüngst beschehenen absterben – auf Ansuchen burgers Jacob Büchel, des Caffésieders allhier, als geordnet und geschworenen Curatoris Georg Friedrich Knoll, Perruckenmachers dermalen beÿ der armée sich befindend, wie auch Johannes Knoll des ledigen großjährigen Perruckenmachers hieselbst, ferner Dorothea Elisabetha und Margaretha Friderica Knoll beeder leedigen großjährigen, alle vier besagten Eheleuten miteiander erzeugter Kinder und erben
in einer ane der Elisabetha Gaß gelegenen mit N° 4 bezeichneten behaußung
Eigenthum ane iner behaußung, Nemlichen Eine behaußung höflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten gelegen in der Elisabetha Gaß mit N° 4 bezeichnet einseit neben bürger Müller dem Seiler anderseit neben einer dem Hospithal gehörigen behaußung und hinten auf burger Naré stoßend, ohnpræjudicirlich æstimirt für die summ von 2000 livres. Darüber besagt ein vor Joh. Daniel Ensfelder Not. Kauf und respe. Steigerungs brieff dedato 18. vendemiaire 3
hausrath 572 li, behausung 2000 li, summa summarum 2572 livres – Schulden 2634 li, Compensando 61 livres
Enregistrement, acp 51 F° 3 du 5 prair. 5

Les héritiers Knoll vendent aux ecnhères la maison au boucher André Nothhafft pour 4 000 livres tournois

1797 (19 messidor 5), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 145
der bürger Georg Friedrich Knoll Perruckenmacher dermalen zu Fröschweiler wohnhaft, ferner Johannes Knoll der ledige großjährige Perruckenmacher alhier, weiter Dorothea Elisabetha Knoll und Margaretha Friderica Knoll beede ledige Großjährige dahier, unter assistentz erstgedacht ihres Bruders, alle vier in der Eigenschaft als Erben weiland bürgers Johann Balthasar Knoll Perruckenmachers wie auch weiland Fraun Susannä Elisabethä geb. Büchelin ihrer Eltern
bürgers Andreas Nothhafft Metzgers, in offentlichen und freiwilligen Versteigerung zufolg des Von mir Notario unterm 12. Messidor jüngst darüber dressirten Steigerungs procès verbal als letzt und meistbietenden abgetretten und überlaßen hätten
Eine in vorbesagter Knoll’scher Eheleute Verlassenschafft gehörige und unter ihnen Verkäufern ohnvertheilt gebliebene behaußung und Hoffstatt samt allen deren begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Elisabethægaß mit N° 4 bezeichnet, einseit neben bürger Müller dem Seiler anderseit neben einer dem Hospithal allhier gehörigen behaußung hinten auf bürger Naré stosend, davon habe mann vorhier dem Magdalenæ Closter hieselbst modo der francken Nation alljährlich 8 Livres 8 sols ane bodenzinß
Enregistrement, acp 53 F° 54 du 22 mess. 5
N° 142, In dem 5. Jahr, den 14. Prairial, auf Ansuchen Georg Friedrich Knoll Perruckenmachers dermalen zu Fröschweiler wohnhaft, ferner Johannes Knoll des ledigen großjährigen Perruckenmachers alhier, wie auch Dorotheæ Elisabethæ und Margarethæ Fridericæ Knoll beeder ledigen großjährigen hieselbst, unter assistentz erstgedachten Johannes Knoll ihres bruders, alle vier in der Eigenschaft als Erben weiland bürgers Johann Balthasar Knoll Perruckenmachers wie auch weiland Fraun Susannæ Elisabethæ geb. Büchelin ihrer Eltern, und zwar der Ehemann den 8. Germinal 4. Jahrs, die Ehefrau aber den 7. Nivos Jüngst verstorben, die Erste freiwillige Versteigerung der in gedachter Knoll’scher Verlassenschafft gehörigen behausung mit N° 4 bezeichnet samt allen deren zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Elisabethægaß einseit neben bürger Müller dem Seiler anderseit neben einer dem Hospithal allhier gehörigen behaußung hinten auf bürger Naré stosend, davon gibt mann Jährlich der francken Nation 8 Livres 8 sols ane zinß von dem vormaligen Magdalena Closter alhier herrührig, ausgerufen worden pro 2600 Livres, keine Mise
den 21. prairial, keine Mise – den 28. prairial, Joseph Gottdanck, Zimmermann 2750 Livres – den 5. Messidor, bürgerin Friderica Knoll 3600 Livres – den 12. Messidor, Andreas Nothhaft der Mezger, 4000 Livres

Originaire de Dœrflas (ici Doerflos, près de Marktredwitz en Franconie) en pays de Bayreuth, André Nothhafft épouse en 1796 Eve Christine Wœrn, native de Louisbourg (Ludwigsburg)
Mariage, Strasbourg (n° 287)
Cejourd’hui 17° Ventôse l’an IV de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part André Nothaft, âgé de 36 ans, boucher domicilié en cette commune depuis 15 ans, natif de Doerfloss, pays de Bareuth, fils de feu Jean Nothaft, boucher audit lieu, et de feu Sabine Hag, de l’autre part Eve Christine Woern, âgée de 30 ans, servante domiciliée en cette commune depuis huit ans, nativve de Louisbourg dans le duché de Wurtemberg, fille de feû Valentin Woern, sellier audit lieu, et de feu Walpurge Mauch (signé) Andreas Nothhafft, Eva Christina Wöhrnin (i 151)

André Nothhafft meurt en 1817 en délaissant pour héritière testamentaire sa veuve Eve Christine Wern. La maison est estimée à 5 000 francs.

1818 (25.2.), Strasbourg 7 (59), M° Stoeber jeune n° 3588
Déclaration d’hérédité, inventaire de la succession d’André Nothafft, boucher décédé le 20 décembre dernier – à la requête de la veuve Eve Christine Wern, seule et unique héritière suivant testament reçu M° Bossenius le 26 septembre 1810, mariés le 7 mars 1796 sans contrat de mariage
immeubles, une maison, petite cour, maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 4 d’un côté la veuve Eberlin, de l’autre Michel Meyer cordier, derrière la propriété du Sr Debenes – acquis de Georges Frédéric Knoll perruquier à Froeschweiler et consorts en qualité d’héritiers de leurs père et mère Jean Balthasar Knoll, perruquier, et Susanne Elisabeth Bichel par acte reçu M° Heus le 19 messisor 5, Fait encore mention de cette maison un acte passé à la Chambre des Contrats le 28 septembre 1789 – occupée, savoir le rez de chaussée par la veuve pour 72 fr, le premier par Jean Stoehr pour 120 fr, et la maison de derrière par Susanne et Dorothée les Stempfler filles majeures pour 58 fr, total 250 fr faisant en capital 5000 fr
un étal de boucher dans les grandes boucheries n° 52 à droite de l’entrée vis à vis la douane le 13° et à droite de l’entrée de la cour de la tuerie le 5°, d’un côté Henri Eichborn, de l’autre les héritiers Metzger – chargé d’une rente foncière envers la ville de 2 frabcs, acquis des héritiers Philippe Adolphe Mühlberger tanneur, par acte reçu M° Stoeber aîné le 6 juillet 1812, estimée à un revenu de 30 francs par an, faisant 600 francs en capital, originairement acquis du Sr Mühlberger de de Marie Dorothée Juncker épouse de Gustave Adolphe Hohlenfeld, adjoint de M le maire, des créanciers de Jean Daniel Winter boucher et de feu Marie Salomé Lobstein, par acte reçu M° Übersaal le 5 ventôse 11
garde robe 114 fr, mobilier 218 fr, dettes actives 4600 fr ; total des immeubles 5600 fr
Enregistrement, acp 138 F° 33 du 6.3.

Eve Christine Wern institue pour légataire sa sœur Catherine Sophie Wern, femme de Jacques Schweyer

1836 (19.5.), Strasbourg 7 (90), M° Stoeber n° 16.826
Testament – Eve Christine Wern veuve d’André Nothhafft, boucher décédée le 9 juin dernier
légataire Catherine Sophie Wern, femme de Jacques Schweyer
au neveu de mon mari Christophe Nothhaff, boucher né à Doerflas (Bavière)
un étal de boucher sis en cette ville aux Grandes Boucheries n° 52
de même lui et ses enfants de rester pendant 15 ans à partir d’aujourd’hui dans ma maison sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 4 moyennant un loyer trimestriel de 24 francs
Enregistrement, acp 241 F° 54-v du 11.6.

Eve Christine Wern meurt en juin 1836.

1836 (22.6.), Strasbourg 7 (90), M° Stoeber n° 16.888
Inventaire de la succession d’Eve Christine Woehrn veuve d’André Nothhafft, boucher, décédée le 9 courant – à la requête de Catherine Sophie Woehn (ou Wern) épouse de Jacques Schweyer, tanneur, légataire universelle de feu sa sœur, suivant testament reçu M° Stoeber le 19 mai courant enregistré le 11 juin, « je lègue à mon neveu (…) »
en la demeure de la défunte rue Ste Elisabeth n° 4
Immeubles, 1. une maison, petite cour, maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 4, d’un côté la veuve Eberlin, de l’autre Michel Meyer cordier, derrière la propriété du Sr Debenès – acquise par le Sr Nothhafft de Georges Frédéric Knoll, perruquier à Froeschweiler et consorts, héritiers de leurs père et mère Jean Bathasar Knoll, perruquier, et Susanne Louise Büchel, devant M° Heus le 19 messisor 5, mention de la maison vendue à, la Chambre des Contrats le 28 septembre 1789 – occupée par la veuve Nothhafft défunte, en capital 3000 francs
2. un étal de boucher sis à Strasbourg à la Grande Boucheries n° 52 à droite de l’entrée vis à vis la douane le 13° et à droite de l’entrée dans la cour le n° 5, d’un côté le Sr Eichborn, de l’autre les héritiers du Sr Metzger cafetier – dont on doit annuellement une rente foncière de 2 francs – occupé par personne attendu les changements projetés par la ville de Strasbourg quant à tous les étaux composant la Grande boucherie, évalué à 300 fr – acquis de Frédérique Salomé Mühlberger épouse de Jean Philippe Müller, de Jean Frédéric Hartschmidt, marchand de vins, de Georges Philippe Mühlberger, tanneur, et Frédéric Auguste Mühlberger, ancien sous officier au régiment de la Tour d’Auvergne, tous quatre seuls et uniques héritiers de Philippe Adolphe Mühlberger, tanneur, leur père, Nicolas Marie Tirant Burÿ, fermier de la saline demeurant à Soultz sous Forêts fondé de procuration de Marie Dorothée Juncker veuve de Georges Adolphe Holenfeld, négociant à Strasbourg, plus mandataire de Jean Henri Resch, propriétaire à Soultz sous Forêts, enfin Sophie Dorothée Resch adoptée Holenfeld épouse de Nicolas Marie Tirant Burÿ, par acte reçu M° Stoeber l’aîné le 6 juillet 1812. Philippe Adolphe Mühlberger et Dorothée Juncker épouse de Georges Adolphe Holenfeld adjoint au maire de Strasbourg l’ont acquis d’Abraham Winter, aubergiste au Cheval d’Or, du mandataire de Jean Daniel Winter, boucher, et des créanciers de ce dernier par acte reçu M° Ubersaal le 5 ventôse 11, Mde Nothhafft légataire universelle de son mari
Enregistrement, acp 241 F° 86 du 24.6.

Fils du tanneur Jean Jacques Schweyer, le tanneur Jacques Schweyer épouse en 1805 Catherine Sophie Wœrn, native de Louisbourg.
Mariage, Strasbourg (n° 175)
L’an XIII de la République, le 16° jour du mois de Germinal (…) sont comparus Jean Jacques Schweyer, âgé de 26 ans, tanneur né en cette ville le 27 mai 1778, y domicilié, majeur, fils de Jean Jacques Schweyer, tanneur et de Marie Salomé Wurth, ci présent et consentant, et Catherine Sophie Wöhrn âgée de 35 ans, domiciliée en cette ville depuis deux ans, née à Louisbourg, électorat de Wurtemberg le 26 novembre 1769, majeure, fille de feu Valentin Wöhren, sellier audit lieu et de feue Walpurge Mauch, décédés à Louisbourg le premier le 28 février 1789 et la seconde le 21 juin1770 (signé) Jacob Schweÿer, Catharina Sophia Wörnin (i 92)

Le boucher Jean Christophe Nothhafft, neveu d’André ci-dessus, meurt dans la maison en 1838.

1838 (5.6.), Strasbourg 7 (92), M° Boersch n° 392
Inventaire de la succession de Jean Christophe Nothhafft, boucher à Strasbourg décédé le 3 janvier 1838 – à la requête de Marguerite Sophie Stoehr la veuve, mère et tutrice légale de Sophie âgée de 9 ans et Julie âgée de 6 ans – en présence de Jean Michel Meyer, cordier, subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu M° Stoeber jeune le 21 mai 1828
en maison mortuaire rue Ste Elisabeth n° 4
immeuble, l’étal n° 52 aux Grandes Boucheries évalué à 15 fr de revenu, faisant un capital de 300 fr, légué au défunt par Eve Christine Wern veuve d’André Nothafft, boucher, suivant Testament reçu M° Stoeber jeune le 19 mai 1836
Enregistrement, acp 260 F° 26 du 12.6.

Catherine Sophie Wœrn meurt à l’âge de 79 ans le 14 octobre 1848
Décès, Strasbourg (n° 2112)
Acte de décès. Le 15 octobre 1848 (…) ont comparu Jean Jacques Schweyer, âgé de 71 ans, tanneur, époux de la défunte, domicilié à Strasbourg et Pierre Schneider, sellier, voisin de la défunte domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré de Catherine Sophie Wöhrn, âgée de 79 ans, née à Louisbourg, Würtemberg, Epouse de Jean Jacques Schweyer, tanneur, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Valentin Wöhrn, sellier et de feu Walpurge Mauch est décédée le 14 octobre 1848 à huit heures du soir en la maison rue Ste Elisabeth N° 4 [in margine :] Marasme (i 84)

La maison revient à André Cyprien Schweyer, fils unique de Jacques Schweyer (voir les inventaires ultérieurs), qui épouse en 1839 Marie Anne Gouthe, native de Lixheim près de Phalsbourg

Mariage, Strasbourg (n° 317)
Du 8° jour du mois d’août l’an 1839 à dix heures du matin. Acte de mariage d’André Cyprien Schweyer, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 7 octobre 1807 domicilié à Strasbourg, Journalier, fils de Jean Jacques Schweyer, tourneur, et de Catherine Sophie Wöhrn, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et de Marie Anne Gouthe, majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 janvier 1814 à Lixheim (Meurthe), domiciliée à Strasbourg, fille de Samuel Gouthe, journalier, et de Sophie Ischen conjoints domiciliés à Cirey (Meurthe) (signé) schveyer, Goutt (i 39)

Registre de population, 600 MW 169 (1835 sqq) Rue Ste Elisabeth N° 4 (p. 228)
Schweyer, André-Cyprien, 1807 Strasbourg, journalier, marié, (auparavant) Krutenau 168, (entré) 2 Xbre 39
id. née Guthe Marie Anne, Lixheim 1814, Epouse, (auparavant) rue des orfèvres 9

Registre de population, 600 MW 318 (1850 sqq)
Schweyer, André, Strasbourg 09, h.m., cordonnier, luth., (à Str) d.s.n.
id. née Guth, Anne Marie,14, f. m., sa femme, luth., (à Str. depuis) 1835
id. Marie Sophie, Strasbourg 13. 7° 40, f., sa fille, luth., (à Str) d.s.n.
rue Ste Elisabeth 4 / 7

André Cyprien Schweyer meurt en septembre 1869 après avoir fait donation à sa femme du quart de ses biens en propriété.
1869, M° Koerttgé
20 avril 1869 – Donation entre vifs par André Cyprien Schweyer, ancien cordonnier à Strasbourg au profit de Marie Anne Gouthé sa femme, du quart en pleine propriété et du quart en usufruit de toute sa succession
acp 586 (3 Q 30 301) f° 34 du 3.9. (succession déclarée le 17 janvier 1870 N° 133, décès du 2. 7.bre 1869)

La maison revient à leur fille unique (voir l’inventaire ci-dessous) Marie Sophie Schweyer qui épouse en 1863 le typographe Jacques Emile Klein

Mariage, Strasbourg (n° 540)
Du 7° jour du mois de novembre 1863. Acte de mariage, de Jacques Emile Klein, majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 juillet 1835 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, typographe, fils de François Klein, tourneur domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant et de feu Dorothée Julie Schatz décédée à Strasbourg le 30 juillet 1846
et Marie Sophie Schweyer, majeure d’ans, née en légitime mariage le 13 septembre 1840 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille d’André Cyprien Schweyer, cordonnier, et de Marie Anne Gouthe, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage (témoins) Jules Klein, âgé de 34 ans, tourneur, frère de l’époux, Auguste Klein, âgé de 33 ans, conducteur des ponts et chaussées, frère de l’époux, Théodore Klein, âgé de 32 ans, tourneur, frère de l’époux, Frédéric Klein, âgé de 26 ans, soldat au 98° de ligne, frère de l’époux (i 7)

Marie Sophie Schweyer meurt en décembre 1871 veuve de Jacques Emile Klein en délaissant des héritiers collatéraux.

1872 (18.1.), Strasbourg 10 (167), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 2393
Inventaire de la succession de dame Marie Sophie Schweyer décédée à Strasbourg le 5 décembre 1871 veuve de Mr Jacques Emile Klein typographe
L’an 1872, le Jeudi 18 janvier à deux heures de relevée, à la requête de I) a) Mr Jean Pierre Gouthé, polisseur de glaces, b) Mr David Gouthé, polisseur de glaces, c) Mr Louis Gouthé, employé, les trois demeurant et domiciliés à Sirey, d) Mr Nicolas Gouthé, cordonnier demeurant et domicilié à Fénétrange, agissant en qualité d’héritiers pour moitié de dame Marie Sophie Schweyer leur nièce du côté maternel, décédée en son domicile à Strasbourg le 5 décembre 1871 veuve sans enfant de Mr Jacques Emile Klein typographe
II) a) dame Caroline Schweyer veuve de Mr Jean Daniel Huck pasteur, b) dame Sophie Schweyer, veuve de Mr Charles Henri Woringer, pasteur, les deux demeurant et domiciliées à Strasbourg agissant en qualité d’héritières pour l’autre moitié de ladite dame veuve Klein leur cousine germaine du côté paternel, au cinquième degré et de tous autres qu’il appartiendra
en présence de Mr François Klein et de Théodore Klein, tous deux tourneurs demeurant à Strasbourg, le premier père et de second frère du défunt Jacques Emile Klein, susnommé, habiles à se dire seuls héritiers de ce dernier et comme tels se présentant pour faire valoir leurs droit s’il y a lieu, aux objets et valeurs dépendant de la communauté de biens qui a existé entre entre les époux Klein Schweyer
en la maison mortuaire rue Ste Elisabeth n° 7

Immeuble. une maison et dépendances sise à Strasbourg, rue St Elisabeth N° 7, entre propriété de la Ville et le Sr Holtzapffel, cet immeuble appartient à la défuntz pour l’avoir recuielli dans les succession de ses père et mère André Cyprien Schweyer, ancien cordonnier et Marie Anne Gouthé vivants conjoints à Strasbourg dont elle est la seule héritière.
Avant de clore les parties déclarent que feu le Sr Schweyer susnommé avait recueilli cet immeuble dans la succession de sa mère Catherine Sophie Wern épouse du Sr Jacques Schweyer, tourneur, et que cette dernière l’a elle même recueilli dans la succession de sa sœur Eve Christine Wern veuve du Sr André Nothhafft, boucher, dont elle a été instituée légataire universelle aux termes d’un testament public reçu par M° Stoeber alors notaire à Strasbourg le 19 mai 1836
acp 602 (3 Q 30 317) f° 72-v n° 264 du 22.1. Stebefall erklärt 25. Mai 1872 – Mobilien 1996, Ein Haus

Partage de la succession
1873 (22.7.), M° Koerttgé
Theilung zwischen den nehmlichen von dem Nachlas von Maria Sophie Schweyer Wittwe von Jakob Emil Klein, lebend Buchdrucker zu Straßburg den 5. December 1871 gestorben
acp 619 (3 Q 30 334) f° 13 n° 3247 du 23.7. Nachlass. Activ Massa 17.492, Passiv Masse 161 (verbleibt) 17.331
n° 3246, Quittung an die Stadt Strassburg, Koerttgé 22. Juli

Les héritiers dont certains se sont déclarés depuis la clôture de l’inventaire vendent la maison à l’entrepreneur charpentier Auguste Nœppel qui agit au nom de la Ville de Strasbourg. L’origine de la propriété donne en détail la transmission de la propriété.

1872 (1.10.), Strasbourg 10 (169), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 2946
21 octobre 1872. Cahier des charges. ont comparu I) Mr Nicolas Gouthé, cordonnier demeurant et domicilié à Fénétrange, agissant tant en son nom personnel qu’aux noms et comme mandataire de a) Mr Jean Pierre Gouthé, b) Mr David Gouthé, les trois polisseurs de glaces, demeurant et domiciliés à Sirey (…), II) Mr Charles Edouard Sommerau, clerc de notaire demeurant à Strasbourg, agissant au nom et comme mandataire substitué dans les pouvoirs que Mr Louis Gouthé employé demeurant à Sirey a donné à Mr Frédéric Storck, rentier demeurant à Strasbourg (…), III) dame Caroline Schweyer veuve de Mr Jean Daniel Huck vivant pasteur, IV) dame Sophie Schweyer, veuve de Mr Charles Henri Woringer, vivant pasteur, V) Mlle Caroline Salomé Süffert, fille majeure sans état, les trois demeurant et domiciliées à Strasbourg, VI) Mr Frédéric Süffert, employé de commerce demeurant à Sainte-Marie-aux-mines, agissant aux nom et comme mandataire de 1) Mlle Adélaïde Lavoyer, sans état, 2) Mlle Sophie Lavoyer, sans profession, 3) Mme Elisabeth Caroline Lavoyer sans état épouse de M. Frédéric Süffert, employé dans le commerce, déjà susnommé, ces deux demeurant et domiciliés à Sainte-Marie-aux-mines (…) Lesquels comparans ès noms et qualités qu’ils agissent, exposent qu’ils sont propriétaires par indivis de la maison ci après déasgnée, qu’ils sont intentionnés de vendre aux enchères publiques
Désignation de limmeuble à vendre. une maison avec cour, bâtiment latéral et de derrière, puits commun, droits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue St Elisabeth N° 7, entre une propriété appartenant à la Ville de Strasbourg et le Sr Holtzapffel. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 10.000 francs.
Etablissement de propriété. Cet immeuble dépend de la succession de dame Marie Sophie Schweyer décédée sans postérité à Strasbourg le 5 décembre 1871 veuve de M. Jacques Emile Klein typographe. Mme Klein avait elle-même recueilli les trois quarts de cette maison dans la succession de son père André Cyprien Schweyer, décédé ancien cordonnier à Strasbourg le 2 septembre 1869, époux de dame Marie Anne Gouthé, dont elle est la seule et unique héritière et le dernier quart dans la succession de ladite dame Schweyer née Gouthé, sa mère, dont elle est également sa seule héritière. Mme veuve Schweyer a elle-même recueilli ce quart dans la succession de sondit mari en vertu d’un acte de donation entre époux dressé par ledit M° Koerttgé le 20 avril 1869, enregistré à Strasbourg le 3 septembre 1869 folio 36 (…). Feu Mr Schweyer avait recueilli le même immeuble dans la succession de sa mère Catherine Sophie Wern épouse de M Jacques Schweyer, tourneur, dont il était le seul héritier et cette dernière l’avait elle même recueilli dans la succession de sa sœur Eve Christine Wern décédée veuve du Sr André Nothhafft, boucher, dont elle était la légataire universelle instituée par un testament public reçu par M° Stoeber alors notaire à Strasbourg le 19 mai 1836 et qu’il résulte encore d’un inventaire dressé par le même notaire le 22 juin 1836.
Quant à la communauté du puits elle résulte d’un acte dressé par M° Louis Léopold Guillaume Grimmer alors notaire à Strasbourg le 15 janvier 1833.
Après le décès de la dame veuve Klein née Schweyer cet immeuble échut pour moitié aux héritiers les plus proches dans la ligne matenelle, MM Nicolas, Jean Pierre, David et Louis Gouthé susnommés, oncles de la défunte, et pour l’autre moitié aux héritiers les plus proches alors connus dans la ligne paternelle, les dames Woringer et Huck comparantes, cousines germaines de la défunte ainsi qu’il est établi dans l’inventaire de la succession de la dame veuve Klein dressé par M° Koerttgé notaire soussigné le 18 janvier 1872. Depuis la clôture de cet inventaire, l’existence de quatre autres héritières du côté paternel s’est révélée, savoir la dame Süffert née Lavoyer cousine germaine de la défunte dame Klein, au même degré que ls dames Huck et Woringer. En sorte que l’immeuble présentement vendu appartient pour moitié à M.M. Gouthé sus nommés, soit à chacun pour un quart de cette moitié ou un huitième de la totalité, Et pour l’autre moitié, pour un tiers à la Dlle Süffert, pour l’autre tiers ensemble aux dames Woringer et Huck et pour le dernier tiers ensemble aux Dlles Lavoyer et à la dame Süffert. A l’appui de leurs déclarations les héritières de la branche paternelle ont produit un arbre généalogique qui est demeuré ci annexé (…). Etat hypothécaire (…) franc et libre de toutes dettes, rentes, privilèges et hypothèques. Charges, clauses et conditions (…)
Etat cvil des vendeurs. Les comparants déclarent 1) que M. Nicolas Gouthé est marié en premières noces sous le régime de la communauté sans contrat avec dame Marie Elise Müller, 2) que Mr Jean Pierre Gouthé est également marié en premières noces sous le régime de la communauté sans contrat avec dame Dorothée Schlosser, 3) que par deux actes reçus par M° Koerttgé notaire soussigné les 19 et 30 janvier 1872, lesdites dames Nicolas Gouthé et Jean Pierre Gouthé ont renoncé purement et simplement à leur hypothèque légale en tant qu’elle frappe la maison sus désignée, 4) que MM David Gouthé et Louis Gouthé sont mariés en premières noces, le premier avec dame Catherine Martzloff et le second avec Sophie Jung, 5) que les dames Woringer et Huck sont encore veuves en premières noces de leurs maris respectifs avec des enfants tous majeurs, 6) que les époux Süffert-Lavoye dont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Poncin alors notaire à Sainte-Marie-aux-mines le premier juin 1841, 7) et qu’aucun des vendeurs n’est ni n’a jamais été tuteur de mineurs ou d’interdits ni chargé d’aucune fonction emportant hypothèque légale
acp 607 (3 Q 30 324) f° 88-v du 23.10.
Et l’an 1872 le 22 novembre à dix heures du matin (…) Plusieurs bougies ayant été allumés, diverses mises furent faites, dont la dernière par M. Auguste Noeppel, entrepreneur charpentier demeurant à Strasbourg qui en a porté le prix à 14.000 francs et déclare à l’instant avoir enchéri au nom et pour le compte de la Ville de Strasbourg
acp 610 (3 Q 30 325) f° 32-v du 23.11.


Arbre généalogique joint à l’acte

Le conseil municipal ratifie le 17 janvier 1873 l’achat de la maison contiguë à une plus grande propriété de la ville. Le rapport en donne une description précise.

1873, Délibérations du Conseil municipal (1 MW 208) p. 43.
17 janvier – III Acquisition de la maison rue St. Elisabeth 7.
M. le Président a donné lecture du rapport suivant
Messieurs, Des annonces publiées dans les journaux et feuilles d’annonces prévoient à la date du 22 novembre 1872 la mise en adjudication de la maison sise rue St Elisabeth N° 7. Cette maison se trouve enclavée dans la propriété sise même rue N° 3 et que la ville a acquise dans le temps de la famille Dreyfus.
La ville avait donc tout intérêt à se rendre acquéreur de cette petite propriété qui augmente le développement de la façade de l’immeuble principal.
En vertu d’une autorisation de M le Maire, nous nous sommes fait représenter à l’adjudication qui a eu lieu en l’étude de M° Koertthé, et nous nous sommes rendu acquéreur de cette propriété au prix de 14.000.
Ainsi que le constate le plan que nous avons fait relever, cette propriété a une surface de 170 m carrés. Elle se compose 1°) d’une maison de devant à rez-de-chaussée, en partie sur cave, d’un 1° étage et d’une mansarde, avec murs de face vers la rue, à rez de chaussée en maçonnerie et au 1° étage en pans de bois, le mur de façade vers la cour entièrement en maçonnerie
2°) d’une maison de derrière avec aile en retour, composée d’un rez de chaussée, surmonté d’un premier étage, le tout en galandure. Elle renferme 4 logements au rez-de-chaussée, 3 au 1° étage et 2 aux mansardes en tout 9 logements.
La construction est loin d’être neuve mais tant que la ville voudra la conserver dans son état actuel elle en retirera un loyer très rémunérateur suivant état détaillé fourni par M° Koerttgé, cette maison rapporte en effet un loyer annuel 1100 fr. dont à déduire pour contribution et entretien 15 %, 165 reste 935 qui au taux de 5 % représenterait un capital de 18.700 fr. La surface de la propriété est comme nous venons de le dire de 170 mètres carrés qui au prix de 60 f le mètre quarré, représentait pour le sol seul une valeur de10.200 fr. Les constructions peuvent être évaluées à un revenu de 600 fr, or le prix payé pour l’immeuble n’étant que de 14.000 plus les frais qui peuvent se monter à 1500 (total) 15.500, il en résulte que ces constructions ne représentent plus qu’une valeur de 5300.
La ville, en devenant acquéreur de cet immeuble, supprime non seulement une enclave existant dans la propriété principale mais encore elle fait une opération financière assez avantageuse. Nous proposons en conséquence de soumetttre l’affaire au Conseil municipal et de lui demander la ratification de cette acquisition.
L’architecte d la ville, signé Conrath. Vu, L’adjoint délégué A. Weyer.
Mr Flach, tout en ne s’opposant pas à l’acquisition dont s’agit, ajoute qu’il ne faut pas se faire illusion sur les avantages financiers de l’opération, l « avenir seul montrera si les prévisions de réaliseront sous ce rapport. Il rappelle qu’on avait fait valoir un argument semblable en faveur de l’acquisition de la maison Wendling qui aujourd’hui rapporte un loyer moindre que celui qui avait été prévu.
M. le Président et Mr Petiti fait observer que de même que pour la maison Wendling, le principal motif qui doit engager la ville à acquérir la propriété sise dans la même rue 7, c’est que cette propriété forme une enclave dans la grande propriété que la ville possède déjà dans ce quartier.
Les conclusions du rapport lu par le président ayant été mises aux voix sont adoptées. En conséquence Le Conseil ratifie l’acquisition que l’administration a faite au compte de la ville de la maison sise rue Ste Elisabeth 7, aux charges, clauses et conditions du cahier des charges pour l’adjudication de cette propriété par M° Koerttgé, notaire en cette ville. Les crédits nécessaires au paiement du prix d’acquisition et des frais y relatifs sont incrits au budget de la ville.

La Ville loue la maison à Michel Kientzler

1873 (1.3.), Maire
Pacht durch die Stadt Straßburg für 3, 6 oder 9 Jahre vom ersten April 1873
von einem Hause in Straßburg Elisabethengasse N° 7
zu gunsten von Michael Kientzler in Straßburg, Bürg Christian Foerster für 850 Franken
acp 613 (3 Q 30 328) f° 73 n° 1174 du 11.3.

La Ville de Strasbourg vend les maisons sises 3, 5 et 7 rue Sainte-Elisabeth à l’établissement des Diaconesses.

1880 (11.9.), Strasbourg 10 (192), M° Frédéric Pierron n° 3534
Ist erschienen Herr Friderich Georg Stempel, Bürgermeisterei Verwalter der Stadt Strassburg in genannte Stadt wohnhaft, handelnd in seine Eigenschaft und hierzu besonders autorisirt durch einen Beschluß des früheren Bürgermeisterei verwalters Herrn Back gefaßt in Ausübung der Rechte des Gemeindraths des dritten Aprilis 1880, bestätigt durch Beschluß des Bezirkspräsidenten des Unter Elsasses vom 22. Mai desselben Jahrs, Von welchen beiden Beschlüßen beglaubigte Abschriften hier beigebogen geblieben sind, sowie es der Notar darauf vermerkt hat Und hat erklärt Namens der Stadt zu verkaufen und zu vollem Eigenthum zu übertragen
An die dahier bestehende evangelische Diakonissenanstalt, für welche erschienen ist und annimmt Frau Henriette-Adèle Lobstein, Wittwe des Herrn Theodor Schneiter, bei Lebzeiten Doktor der Medizin zu Straßburg, wo sie wohnt, Schatzmeisterin gedachter Anstalt, Zu Gegenwärtigen speziell autorisirt durch Beschluß des Ministeriums für Elsaß Lothringen, Abtheilung des Innern vom 26. August 1880, wovon eine legalisirte Abschrift hier beigebogen bleibt, was der Notar ebenfalls darauf vermerkt hat
drei zu Straßburgin der Sankt-Elisabethengasse gelegenen Häuser, nämlich
1) Ein die N° 3 tragendes Wohnhaus mit Façade nauch genennter Straßen, zween Kellern, von denen eine gewölbt, die andere geplattet ist, Hof, Remisen, Schopf, Stall, Waschküche, Zubehörden und Abhängigkeiten, auf der einen Seite das Landgestüt, auf der andern der folgende Artikel und Eigenthum Roos, hinten Garten
2) Ein die N° 5 tragendes Wohnhaus mit Hof, Brunnen, Rechten Zugehörden und Abhängigkeiten früher mit Nummer drei bezeichnet zwischen vorgehenden und folgenden Artikel beiderseits und hinten Eigenthum der Stadt vorn genannte Straße
3) Ein mit N° 7 tragendes Wohnhaus mit Hof, Seitens und Hintergebäuden, gemeinschafftlichen Brunnen, Rechten, Zugehörden und Abhängigkeiten, zwischen vorstehendem Hause und Eigenthum Holtzapffel, vornen genannte Straße hinten den Hof des ersten Hauses.
Eigenthumsnachweis. Hierüber erklärt der Herr Bürgermeisterei Verwalter folgende I. Was das Haus Nummer drei betrifft (…)
II. Was das Haus Nummer 5 betrifft, so hat die Stadt dasselbe erworben durch Kaufakt von Notar Körttgé den 26. März 1870 errichtet und auf dem Hypothekenamte Straßburg den 30. März darauf Band 1259 Nummer 101 um den baar bezahlten Preis von 20.000 Franken von den Eheleuten Johann Heinrich Wendling, Handlungsangestellten und Sophie Emilie Parisot zusammen zu Straßburg wohnhaft. In diesem Kaufakte ist die Stadt vertreten durch den schon genannten Bürgermeister Humann, zu diesem Kaufe speziell autorisirt durch Berathung des Gemeinderaths der Stadt Strassburg vom 16. November 1869 sowie durch Beschluß des Präfekten des Nieder-Rheins vom 7. Februar 1870, von welch letztern eine Abschrift besagten Erwerbsurkunde beigelegen geblieben ist. Die Ehegatten Wendling hatten dieses Haus erkauft von Frau Louise Henriette Mélanie Debenesse Ehefrau von Herrn Marie Carl Frantz Robert Picquart damal als Steuerempfänger zu Geudertheim wohnhaft. Gemäß einem Vertrag worin der Peis quittirt ist vor Notar Momÿ (…) Frau Picquart war Eigenthümerin besagten Hauses geworden, indem es ihr zugetheilt worden war in dem Theilungsakte üder dem Nachlaß ihres Verstorbenen Vaters Ludwig César August Débenessen bei Lebzeiten Kaufmann zu Straßburg aufgenommen durch en damaligen Notar Rencker zu Straßburg den 9. Januar 1849. Der vestorbene Debenesse war selbst Eigenthümer geworden, indem er das vorstehendes Haus erworben hatte von 1) Frau Magdalena Friederike Häberlé, Ehegattin des Hern Johann Michael Weimar, Metzger, 2) Frau Maria Dorothea Häberlé Gatin des Hern Johann Georg Freysz, Metzger, 3) Herrn Johann Ludwig Häberlé, Metzger, 4) Frau Margaretha Salomé Häberlé, Wittwe des Herrn Johann Jacob Stiegelmann, Wurstler und 5) Georg Friderich Häberlé, damals noch minderjährig unter Vormundschaft des Herrn Johann Daniel Siegfried, Weinhändler, Alle zu Straßburg wohnhaft, gemäß einen Versteigerungsprotokoll der gerichtlich feststellten Notars Hickel zu Straßburg, aufgenommen den 15 Dezember 1831, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg den 29 nämlichen Monats Band 251, N° 71, von Amtswegen eingeschrieben denselben Tag Band 214 Nummer 397. (…) Vorher gehörte dieses Haus dem Pensionsfond der hiesigen protestantischen Akademie, welche es dem Herrn Georg-Friderich Häberlé, Metzger zu Straßburg, Vater der genannten Kinder Häberlé überlassen hatte gemäß Versteigerungs Protokoll, aufgenommen vor Notar Ueberfall den 21 Februar 1816.
III. Was das Haus Nummer 7 betrifft, so hat diese die Stadt erworben von 1) Herrn Nicolaus Gouthé, Schuster wohnhaft zu Finstingen, 2) Herrn Johann Peter Gouthé, Spiegelschleifer, 3) Herrn David Gouthé, desgleichen und 4) Herr Ludwig Gouthé Angeltellter, die ad 2-4 genannten zu Sirey wohnhaft, 5) Frau Caroline Schweyer Wittwe des Herrn Daniel Huck bei lebzeiten Pfarrer und 6) Frau Sophie Schweyer, Wittwe des herrn Heinrich Woringer, im Leben ebenfalls Pfarrer, diese beide zu Straßburg wohnhaft, 7) Herrn Friderich Süffert und desen Ehefrau Elisabeth Caroline Lavoyer, er Handunsangestellter, 8) Fräulein Adélaïde Lavoyer, ohne Stand und 9) Fräulein Sophia Lavoyer, ohne Gewerbe, dieser 7-9 genannten zu Markirch wohnhaft. Gemäß Versteigerungsprotokoll vom 22. November durch Notar Koerttge zu Straßburg errichtet, in welchem Herr August Nöppel, Bauunternehmer zu Straßburg wohnhaft, für die Stadt Strassburg zu einem Preise von 14.000 Franken zugeschlagen worden, dieser Protokoll ist transcribirt den 9. Dezember 1880 Band 1378 Nummer 48 und von Amtswegen eingeschrieben denselben Tag Band 1124 Nummer 270 (…) Drei Vierte dieses Hauses hatte Frau Klein in Eigenthum erworben als Erbin ihres Vaters Andreas Cyprian Schweyer, ehemaliger Schuhmacher zu Straßburg, den 2. September 1861 als Gatte der Frau Maria Anna Gouthé verstorben und der letzte Viertel in der Erbschaft der gedachten Frau Schweyer gebornen Gouthé, von der sie ebenfalls die einzige Erbin was. Frau Wittwe Schweyer hatte selbst das Eigenthum an ihrem Viertel erworben in Folge einer Schenkung unter Ehegatten aufgenommen durch den genannten Notar Körttge den 20. April 1861. Herr Schweyer war selbst Eigenthümer geworden als Erbe seiner Mutter Catharina Sophia Wern, Ehegattin des Herrn Jacob Schweyern Gerber, deme einziger Erbe er war vnd war ihr selbst zugefallen, als Erbin ihrer Schwester Eva Christina Wern, gestorben als Wittwe des herrn Andreas Notthafft, Metzger, deßen Univesal Legatarin sie war, gemäs seinem offentlichen Testament aufgenommen durch Notar Stöber Zu Straßburg den 19. Mai 1836 sowie daß übrige auch gestgestellt ist durch ein Inventarium aufgenommen durch den nämlichen Notar den 2. Januar 1836.
Was aber die Gemeinschaftlichkeit des Brunnens angeht, so geht diese hievoraus einem Akt aufgenommen durch Notar Grimmer zu Straßburg den 15 Januar 1833.
Nach dem Absterben der Frau Wittwe Klein geborene Schweyer fiel dieses Haus zur Hälfte an den nächsten Verwandten der mütterlicher Linie, die obengenannte Nikolaus, Johann Peter, David und Ludwig Gouthé, Oheimer der Verstorbenen, und für die andere Hälfte an die nächsten Verwandten der väterlicher Linie, die Frau Huck und Woringer, leibliche Geschisterkinder der Verstorbenen, so wie dieses bestätigt wurde in einem Inventar über die Erbschaft der genannten Frau Wittwe Klein, aufgenommen durch genannten Notar Körttgé den 18. Januar 1872. Nach Schluß dieses Inventars ergab sich die Existenz von noch weitere Erben der vätterlichen Seite, nämlich Fräulein Caroline Salomé Süffert, sowie die Fräulein Adélaide und Sophie Lavoyer und die Frau Süffert geborne Lavoyer, leibliche Geschwisterden der Erblasserin in gleichem Grad wie die Frauen Huck und Woringer. Demnach gehört nunmehr dieses Immöbel zur Hälfte den vier obgenannten Hern Gouthé und jedem einzelnen für din Viertel dieser Hälfte oder ein Achtel des Ganzen, und die andere Hälfte für ein drittel der Fräulein Süffert, für das zweite Drittel Damen Huck und Woringer und für das letzte Drittel zusammen den Fräulein Lavoyer und der Frau Süffert.
Besitz und Genußantritt. Die Käuferin ist von heute an Eigenthümer der Kaufobjekts (…) Bedingungen (…) Kaufpreis 97.335 Mark
acp 705 (3 Q 30 420) f° 74 du 17.9.


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