25, rue des Serruriers


Rue des Serruriers n° 25 – VII 423 (Blondel), P 1066 puis section 13 parcelle 11 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Nicolas Pasquay (1787), démolie lors de la Grande Percée des années 1930

Serruriers 25 (1 Fi 27)Serruriers 25 (août 2014)
La maison Pasquay vers 1930 (AMS, 1 Fi 27)
Le bâtiment actuel, la façade sur la rue des Serruriers se trouve à droite

La maison qui occupe un assez vaste terrain comprend en 1704 un bâtiment central et deux bâtiments latéraux autour d’une cour avant, un bâtiment arrière dans une deuxième cour et deux puits selon la disposition représentée au plan Blondel (1765). Elle appartient à des marchands et des notables parmi lesquels au XIX° siècle le maire Jacques Frédéric Brackenhoffer et les notaires Charles Nœtinger et Victor Nœtinger. Le marchand réformé Jean Nicolas Pasquay acquiert la maison en 1787 et la reconstruit après avoir demandé l’alignement à suivre. Le nouveau bâtiment dont le plan est identique à l’ancien est terminé quand il en loue une partie en juillet 1787.

172 Elévations a-c-(d)
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 172

L’Atlas des alignements signale un rez-de-chaussée et deux étages bons en pierre de taille. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (c) qui marque l’extrémité de l’aile droite, suivie de la grille qui ferme la cour et de l’aile gauche. On retrouve dans la cour (R) la grille (1-4), l’aile droite (4-3), le bâtiment principal dont la façade est parallèle à la rue (3-2) et l’aile gauche (2-1). La cour (P) se trouve derrière le bâtiment principal dont la façade arrière s’étend entre 1 et 8. Deux constructions s’ouvrent sur le côté ouest de la cour (1-2), le côté nord (2-7) et le côté est (7-8) sont occupés par les murs des propriétés voisines. Les bâtiments qui entourent la cour ont deux étages.
La maison porte d’abord le n° 26 (1784-1857) puis le n° 25. Le cadastre signale de nouvelles constructions en 1846 et en 1906. La devanture de l’aile gauche est transformée en 1904, celle de l’aile droite en 1905. Une école de commerce occupe alors le premier étage du bâtiment principal. Les propriétaires vendent en 1907 la maison à une société immobilière qui cède quelques mois plus tard ses droits à la Ville après que le Conseil municipal a approuvé l’acquisition.

172 Cour R172 Cour P
Cours R et P

L’enquête de 1907 dans les maisons qui se trouvent sur le tracé de la Grande percée relève que seul le pignon occidental subsiste du bâtiment d’origine (XIII° siècle). Les bâtiments à cave voûtée, comble en chêne couvert de tuiles plates sont disposés autour d’une cour qui est séparée de la rue par une grille à barreaux en fer lancéolés, entre deux piliers en pierre surmontés de grands vases en fer. Les fenêtres et encadrements de portes sont en grès massif. La façade du bâtiment principal comporte des balcons à grilles en fer et à consoles sculptées. Le vestibule dallé de grès sur la droite du bâtiment donne accès à l’escalier en chêne. Les principales pièces du premier étage sont lambrissées jusqu’au plafond orné de rosaces de style Empire. Cette disposition se retrouve sur la photographie du début des années 1930 et sur le plan dressé en 1926 (dossier de la Police du Bâtiment. La maison est démolie et remplacée par le bâtiment dans lequel s’installe en 1935 la Brasserie des Serruriers.

Plan 1926 (849 W 268)
Plan de 1926

août 2014

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1650 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

1642 Jean Louis Zeyssolff, marchand, et (1651) Salomé Bullian, femme (1637) de François Guischart et (1642) de Samuel Spielmann, puis (1654) Marie Geneviève Storck – luthériens
puis les héritiers, Salomé Zeyssolff femme (1673) du marchand Daniel Braun puis (1690) du greffier Jean Kast (maison léguée à Marguerite Miville femme de Jean Frédéric Bemberg et à Marguerite Saltzmann veuve de Jean Henri Lederlin, dont Elie Brackenhoffer rachète les parts en 1721) et
Catherine Zeyssolff femme (1699) du juriste Elie Brackenhoffer – luthériens
1721 h Elie Brackenhoffer ci-dessus et (1708) Anne Elisabeth Harnister, femme (1673) du marchand Jean Walter et (1706) du marchand Jean Schatz, puis (1716) Anne Marie Engelbach – luthériens
puis les enfants, Jean Daniel Stædel, banquier, et (1736) Marie Salomé Brackenhoffer
Elie Brackenhoffer, professeur à l’Université, et (1759) Marie Elisabeth Richshoffer
Jean Jérémie Brackenhoffer, professeur à l’école d’Artillerie et (1754) Marie Cléophée Goll puis (1757) Marguerite Salomé von Carben
1779 v Ferdinand Kolb, marchand, et (v. 1770) Marie Charité Gretzinger – catholiques
1787 v Jean Nicolas Pasquay, marchand, célibataire – réformé
1796 éch Marguerite Salomé von Carben veuve de Jérémie Brackenhoffer, supra
1801 h Jacques Frédéric Brackenhoffer, licencié en droit puis maire, et (1788) Françoise Salomé Lemp
1838 v Charles Nœtinger, notaire, et (1823) Marie Amélie Madeleine Wengler puis (1838) Marie Elisabeth Sophie Dillemann
1868* h Victor Nœtinger, notaire, et (1860) Anne Linder
1877 v Abraham Kuhn, docteur en médecine, professeur d’université, et Amélie Seeligmann
1903 v Ferdinand Flubacher, dentiste, et Emilie Roth, domiciliés à Sarrebourg
1907 v Société d’acquisition foncière, s.a.r.l.
1907 v Ville de Strasbourg – droit d’emphytéose jusqu’au 31 décembre 1998 au profit de
René Hauss, commerçant, puis chef de district (Kreisleiter) à Haguenau
1950 Caisse d’Assurances contre la Responsabilité civile des Industries du Bâtiment

(1765, Liste Blondel) VII 423, Jean Daniel Staedel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Stadler wittib, 10 toises, 5 pieds et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1066, Brackenhoffer, Frédéric, propriétaire – maison, sol, cour – 6,3 ares (puis) Noetinger Charles, notaire

Locations

1712, Philippe Jacques Huber, marchand, et (1712) Marie Ursule Papelier
1732, Alexandre Salomon Reichard et Jean André Clemen, marchands
1755, Paul Grandval, marchand
1761, Jonathan Rhein, prédicateur luthérien
1761, (cave) Claude Henry Lanfrey, marchand
1762, Jean Sigismond Graffenauer, orfèvre
1763, Jean Georges Klein, boutonnier
1764, 1770, Thiébaut Frédéric Schœll, syndic de la noblesse de l’Ortenau
1795, Jean Georges Schertz, marchand
1873, Jean Louis Wolffhügel, notaire, et Elise Louise Kaul

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Le maître maçon André Müller demande l’alignement à suivre au nom de Ferdinand Kolb qui vient d’acheter la maison Brackenhoffer

(219-v) Hr. Ferdinand Kolb Handelsmann – Mr. Andreas Müller, der Maurer, nôe. H. Ferdinand Kolb, des handelsmanns, bittet um Anzeig des Alignements seiner an der Schloßergaß erkauften Brackenhofferischen behausung. Erkannt, Seÿe solches durch H. Bau Inspector Boudhors an zu zeigen.

1786, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Le maître maçon Pfauth demande l’alignement à suivre au nom du marchand Jean Nicolas Pasquay

(f° 80) Hr. Joh. Niklaus Pasquay, Handelsmann – Mr Pfauth, der Maurer, nôe Herrn Joh: Niklaus Pasquay, des Handelßmanns, bittet um Anzeig des Alignements seiner an der Schloßergaß gelegenen behausung. Erkannt, Seÿe solches durch Herrn Bau Inspector Boudhors anzuzeigen.

Description de la maison

  • 1704 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment central flanqué de chaque côté d’un bâtiment latéral, un bâtiment arrière, deux cours et deux puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 6 800 florins
  • 1777 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment latéral et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres à cheminée à la française, il y a en outre une écurie et une remise, les combles sont couverts de tuiles plates, une cave voûtée et des puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 5 600 florins

Atlas des alignements

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Serruriers (f° 31)

nouveau N° / ancien N° : 10 / 26
Brackenhoffer
Rez de chaussée et 2 étages bons en pierre de taille
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 384 case 3

Noetinger Charles, Notaire

P 1066, maison, sol, Rue des serruriers 26
Contenance : 6,30
Revenu total : 723,28 (720 et 3,28)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 62
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1066, maison, sol, Rue des serruriers 26
Contenance : 6,30
Revenu total : 723,28 (720 et 3,28)
Folio de provenance : n.c.
Folio de destination : 384
Année d’entrée : 1846
Année de sortie : 1848
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 55
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 356 case 2

Noetinger Charles, Notaire
1868 Noetinger Marie François Victor
1879 Kuhn Abraham Dr. med.

P 1066, maison, sol, Rue des Serruriers 25
Contenance : 6,30
Revenu total : 723,28 (720 et 3,28)
Folio de provenance : (384)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 69 / 55
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 147 case 10

Parcelle, section 13, n° 11 – autrefois P 1066
Canton : Schlossergasse Hs. N° 25 – Rue des Serruriers – Freiburgergasse – Rue des Francs Bourgeois – Rue de la Division Leclerc N° 3
(1747 – 2027)
Désignation : Hf, Whs e. T
(Skizze N° 9) maison et bat. acc.
Whs e.n.a.T. (Skizze 14), zu 13, 496
Contenance : 7,15 / 7,79
Revenu : 6500 – 5500 – 4900 – 8000
Remarques : 1907 Neubau, 1906 Neubau
1938 aug. p. 147 c. 6.
(voir aussi droit d’emphytéose page 155 c. 3)

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 711
Dr Kuhn Abraham Ww.
1904 Flubacher Ferdinand u Ehefr.
gelöscht 1908

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

Cadastre allemand, registre 29 p. 155 case 3

Parcelle, section 13, n° 11 (a) – autrefois 1747, 2027
Canton : Rue des Francs Bourgeois et Rue des Serruriers – Freiburgergasse N° 3 und Schlossergasse N° 25 – Rue de la Division Leclerc N° 3, Rue des Serruriers N° 25
Désignation : sol (779), maison et bât acc. – droit d’emphytéose jusqu’au 31.12.1998
Remarques : 1935
1938 C.N.

compte 5667
Hauss René commerçant et son épouse / Kreisleiter in Hagenau u. Ehefrau
1950 Caisse d’Assurances contre la Responsabilité civile des Industries du Bâtiment
(35)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 240 Rue des Serruriers (p. 391)
(maison n°) 26

Pr. Pasquay, J. Nicolas, Negt. – Miroir
loc. Grindler. J. George, Domestique – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schlossergasse (S. 152)

(Haus Nr) 25
Gardien, Möbelhändl. 0
Mager, Kaffeegeschäft. 0
Merkur, Schreib- & Handelsschule. 0
Flubacher, Zahntechn. 1
Roth, Zahnkünsterlin. E 1
Mertz, Tapetenhandl. 0

Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999), n° 93

Seul le pignon coupe-feu occidental subsiste du bâtiment d’origine (XIII° siècle). Le bâtiment actuel à trois niveaux (cave voûtée, comble en chêne, tuiles plates), précédé d’une cour et flanqué de deux ailes, date du début du XIX° siècle (style Empire). Une grille à barreaux en fer lancéolés entre deux piliers en pierre sépare la rue de la cour (8 à 10 mètres de large) où on trouve de grands vases en fer ornés de bas-reliefs. Les fenêtres et encadrements de portes sont en grès massif. La façade avant comporte des balcons à grilles en fer et à consoles ornées de feuilles d’acanthe et de rosaces. Le vestibule à dalles de grès sur la droite du bâtiment donne accès à l’escalier rectiligne en chêne à paliers, éclairé par un toit vitré. Les ailes de part et d’autre de la cour sont légèrement plus longues que le bâtiment central. Les principales pièces du premier étage, lambrissées jusqu’au plafond, ont un plafond en stuc orné de rosaces de style Empire, des placards de même style et des cheminées en marbre. Les portes comportent des pilastres, celles du vestibule au premier étage ont des ornements figuratifs de style Empire. Un bâtiment a été construit vers 1885 dans la [deuxième] cour dans laquelle donne une galerie récente à toit vitré.

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Schlossergasse N° 25 [Maison :] 25, rue des Serruriers
[croquis] 19. Jh – Got. Giebel – Schlosserg. – Vestib. – Trepp. mit Ober.

a) Geschichtliches : [Historique] Hans Erhart Wintertur 1466. Johann Friedrich Jung Zinsmeister 1587. Jean Daniel Staedel 1765, Hotel de Jean Nicolas Pasquay négociant 1787. Rekonstruktion 18°, cet hôtel a été échangé plus tard avec la famille Brackenhoffer contre le N° 14. Réunions politiques chez le sieur Pasquay 1789. Maison Brackenhoffer 1795. 1837 Victor Noetinger notaire 1860 [Repris de l’ouvrage d’Adolphe Seyboth]

b) Zeitbestimmung : Ursprünglicher Bau, wovon noch der westliche Brandgiebel vorhanden (vgl. ein noch vorhandenes Fenster im Dachgiebel mit zwei Spitzbogenöffnungen und Verschlussvorrichtung am Mittelpfosten) vom 13. Jh.
Jetziger Bau mit Vorhof und zwei Flügelbauter vom Anfang des 19. Jh. Formes des Empire. Anbau im Hof vom Ende des 19. Jh.
[Epoque] Le bâtiment d’origine date du XIII° siècle Il en subsiste le pignon coupe-feu occidental (il existe encore dans le pignon du toit une fenêtre à ogives dont le meneau central comporte une fermeture). Le bâtiment actuel, précédé d’une cour et flanqué de deux ailes, date du début du XIX° siècle (stype Empire). Un bâtiment a été construit dans la cour à la fin du XIX° siècle.

c) Zeicheriche Aufnahmen : [Relevés sous forme de dessin]

d) Photographische Aufnahmen : Sind vorzustellen vom Aussen, von den Seiten des I. Obg. und den reichern Einzelheiten derselben
[Relevé photographique] Prendre l’extérieur, les côtés du premier étage et ses nombreux ornements

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. Massiv. Steinerne Fenster- und Türrahmen
    [Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] Fenêtres et encadrements de portes en grès massif
  • 2. Anzahl der Geschosse, Drei
    [Nombre d’étages] Trois
  • 4. Kelleranlage, Gewölbter Keller
    [Sous-sol] Cave voûtée
  • 5. Dachstuhl, Liegender gut erhaltener eichener mit sehr starcken Sparren.
    [Comble] Comble en chêne bien conservé à forts chevrons
  • 6. Dachdeckung, Biberschwantz
    [Couverture] Tuiles plates
  • 7. Schornsteinköpfe, In Backsteinen gemauert mit aus Zieglen gebildeten Köpfen mit Jalousieartigen Zuglöchern*
    [Couronnes de cheminée] En briques, chapeau en tuiles à ouvertures en jalousie
  • 10. Balkon, Auf der Vorderseite breite Balkone mit einernem Gitter und reichen steinernen Trägetummern*.
    [Balcon] Larges balcons sur la façade avant, à grilles en fer et consoles très ornées
  • 11. Türeinfassungen, Einfach in Sandstein. Hoftor mit zwei hohen Steinpfosten. Hofabschluss mit hohen lanzenartigen Eisenstäben.
    [Encadrement de porte] Simples en grès. Portail à deux hauts piliers en pierre. Cour fermée par des barreaux de fer en forme de lance
  • 12. Fenstereinfassungen, Desgleichen, Reckteckform
    [Encadrement de fenêtre], Idem rectangulaire
  • 13. Konsolen, vgl. N° 10. mit Akanthenblatt und Rosetten
    [Corbeaux] Voir n° 10, à feuilles d’acanthe et rosaces
  • 20. Türklopfer, Reich Messingtürdrücker
    [Heurtoir] Riches loquets en laiton

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 1. Grundrissanlage, Durchfahrt in der Mitte des (U) förmigen Baues, rechtseitig Vestibul mit anschliessenden Treppenhause. Hübsche Sandsteinplatten*terung im Erdgsschoss-Vestibul
    [Disposition générale] Passage au centre du bâtiment en (U), à droite vestibule qui donne dans la cage d’escalier. Belles dalles en grès dans le vestibule du rez-de-chaussée
  • 2. Seitenflügel, Etwas länger als der Mittelbau breit ist, sie stossen vorn an die Strasse und zwischen ihnen liegt der vergitterte Torabschluß
    [Bâtiment latéral] Légèrement plus longues que la largeur du bâtiment central, ils aboutissent sur la rue, ils sont reliés par la fermeture à barreaux de fer
  • 3. Hinterhaus, Glatt, links ein Anbau v. c. 1885.
    [Bâtiment arrière] Sur la gauche, une annexe simple d’environ 1885
  • 4. Hof, Etwa 8-10 m breit und vor der Länge des Mittelbaues.
    [Cour] Environ 8 à 10 mètres de large, devant la façade du bâtiment central
  • 5. Galerie auf dem Hofe, Von jüngerer Ausbau, einfach, auf der Ostseite des Hofes, mit Glasdach.
    [Galerie sur cour] Plus récente, simple, à l’ouest de la cour, à toit vitré
  • 7. Treppenhaus, Geradlaufige eichene Podesttreppe mit Glasoberlicht
    [Cage d’escalier] Rectiligne, escalier en chêne à paliers, éclairé par un toit vitré
  • 8. Treppengeländer, In Schmiedeisen aus Vorkantstaben, Empire.
    [Balustrades d’escalier] En barreaux de fer forgé, style Empire
  • 10. Eiserne Gitter, An dem Balkon der Vorderseite, Schmiedeisen aus Quadrateisen, Empire
    [Grilles en fer] Le balcon de la façade avant a une grille en barreaux carrés de fer forgé, style Empire
  • 12. Plafonds, Aus Stuck mit Empire Stuckrosette in der Mittelräumen des I. Obergesch.
    [Plafonds] En stuc, à rosace de stuc style Empire dans les pièces centrales du premier étage
  • 14. Wandvertäfelung, In den Haupträumen des I. Obergesch. Empire, bis zur Decke reichend.
    [Lambris] Les pièces principales du premier étage sont lambrissées jusqu’au plafond, style Empire
  • 15. Wandschränke, Teilweise eingebaut im I. Obg. Reicher Schrank mit Empire-Ornamentik im Vorstub des I. Obg.
    [Placards] Dans une partie du premier étage. Placard richement orné de style Empire dans l’antichambre du premier étage
  • 19. Kamine, Marmorkamine in den Haupträumen des I. Oberg. Ein weisses, graues. Eines im Schlafz. d. II. Obg.
    [Cheminées] Cheminées en marbre dans les principales pièces du premier étage, respectivement en marbre blanc et gris. Cheminée dans la chambre à coucher du deuxième étage
  • 20. Oefen, Im Flugelbau des I. Obg. Ofennische mit reicher Stuckornamentik.
    [Fourneaux] Niche de fourneau en stuc richement orné dans l’aile du premier étage
  • 21. Kaminbilder, Ursprünglich im I. Obg. vorhanden, vor gar Zeit veräussert
    [Tableaux de cheminée] Il y en avait au premier étage mais ils ont été vendus
  • 22. Kaminspiegel, Einfacher im I. Obg. vorhanden, reicher soll verkauft worden sein im 19 Jh.
    [Miroirs de cheminée] Miroir simple au premier étage, un autre plus orné a été vendu au XIX° siècle
  • 23. Türbilder (supraporten), Im Vestibul d I. Obg. der Türabschluss mit Louisschen Pilaster und figurlichen Ornamenkwerck Empire
    [Dessus-de-porte] Fermeture de porte à pilastres en style Louis* dans le vestibule du premier étage, ornements figuratifs style Empire
  • 25. Türbeschläge, Innere Fensterläden d. Anf. d. 19 Jh im I. Obg.
    Aussere Fensterläden d. Anf. d. 19 Jh im Hof
    [Ferrures de porte] Volets intérieurs début XIX° au premier étage. Contrevents extérieurs début XIX° dans la cour

Bemerkungen :

Im Hofe stehen sehr reich reliefirte Grosse Gießeissenvase, (* o)
Reiche Alkovenwand im I. Obg. mit Holzschnitzerei, Lunette mit Cäsarenkopf
Dachfenster Kreisrund mit Profil*ung
Im Vestibul im Nische schöne Bachus-Figur, Eisenguß ( ?) *
[Remarques –] De grands vases en fer ornés de bas-reliefs se trouvent dans la cour
L’alcôve du premier étage a des parois sculptées en bois, une lunette ornée d’une tête de César
Fenêtres rondes dans le toit, à profilé
Une belle figure de Bacchus (en fer ?) se trouve dans une niche du vestibule

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 849 W 268) Rue des Serruriers 25 (I) 1895-1950

La devanture de l’aile gauche est transformée en 1904, celle de l’aile droite en 1905. Une école de commerce occupe le premier étage du bâtiment principal. On signale dans les boutiques sur rue le relieur Pscherer (1901), le torréfacteur Jules Mager (1903-1905), le tourneur Gardien (1904). La Ville acquiert ensuite (1907) les bâtiments qui se trouvent sur le tracé de la Grande Percée. Elle loue les locaux notamment à un imprimeur (Edouard Adolf, 1911, puis Michel Kœbel, 1912) et à divers commerces (épicier Camille Scheibel, marchand de fromages en gros Henri Hess, oiseleur Lucien Graffstein, ameublement d’églises Oscar Hettich) et entre en procès contre le restaurateur qui souhaite transformer les locaux qu’il loue en garage (1926-1928).
Une fois le nouveau bâtiment construit, il est occupé par la Brasserie des Serruriers où la brasserie Météor pose des enseignes (1935). Le débitant de tabac Marcel Wiegand transfère en 1936 son commerce du 36 Vieux-Marché-aux-Poissons au 25, rue des Francs-Bourgeois. L’imprimerie E.L.Z. (Elsass-Lothringer-Zeitung) y exerce son activité.

Sommaire
  • 1895 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de supprimer deux volets du rez-de-chaussée qui s’ouvrent vers la voie publique – Travaux terminés, novembre 1895
  • 1901 – La Société privée des téléphones en Alsace-Lorraine (Privat-Telefon-Gesellschaft für Elsass-Lothringen, 5 rue de la Nuée-Bleue) demande au nom du relieur J. Pscherer l’autorisation de raccorder les n° 25 et 14 par une ligne téléphonique – Plan schématique – La Police du Bâtiment renvoie le pétitionnaire à la Direction impériale des Postes – La ligne est installée en juillet mais la Direction des Postes ne donne pas de réponse. La Police du Bâtiment demande de retirer la ligne – On consulte un avocat sur la compétence de la Direction des Postes en la matière – La Direction des Postes donne son accord en avril 1902 – Le relieur Pscherer dépose une demande – Autorisation, août 1902
  • 1903 – L’entrepreneur en bâtiment Auguste Schuler (7, rue du Soleil) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant le 25 rue des Serruriers – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1903
  • 1903 – Le torréfacteur Jules Mager demande l’autorisation de poser un fanion à l’entrée de la maison – Autorisation
  • 1904 – L’entrepreneur en bâtiment Albert Metzger (3 rue du Brochet) demande l’autorisation de transformer une vitrine – Autorisation
  • 1904 – L’architecte Kalweit (9, rue de l’Abreuvoir) présente les plans de la devanture que le dentiste Flubacher souhaite agrandir – Autorisation – Travaux terminés, avril 1904 – Calcul statique
    L’entreprise Rabold (19, rue des Bateliers) demande à la préfecture l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – La Police du Bâtiment donne son autorisation
  • 1904 – Le tourneur J. Gardien demande l’autorisation de poser deux enseignes perpendiculaires – Autorisation – Travaux terminés, décembre
  • 1905 – Le torréfacteur Jules Mager retire son enseigne
  • 1905 – L’entrepreneur en bâtiment Auguste Brion (11, rue Sainte-Aurélie) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
  • 1905 – Les dentistes Flubacher, Roth et Armbruster demandent l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – L’enseigne n’est pas posée
  • 1905 – L’entrepreneur en bâtiment Auguste Brion (11, rue Sainte-Aurélie) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation – Travaux terminés, novembre
    Le même transmet au nom du propriétaire Flubacher des plans et un calcul statique pour transformer la devanture, située dans la partie droite du bâtiment alors que la devanture transformée en 1904 se trouve à gauche – Travaux terminés, novembre
  • 1905 – Le dentiste E. Flubacher-Roth demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – Le dentiste Roth-Armbruster à déménagé 7 rue de la Mésange sans poser d’enseigne
  • 1907 – Le voisin (n° 27) se plaint que l’eau de pluie pénètre à l’étage supérieur du fait que la gouttière du n° 25 est en mauvais état – Travaux terminés, avril – 1908, la gouttière a été raccordée aux canalisations aux frais du propriétaire
  • 1909 – Sophie Schæcher demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation accordée à sa mère Elise Schæcher – Travaux terminés, avril
  • Commission contre les logements insalubres. 1905 (propriétaire, Roth, domicilié sur place). Les logements sont en bon état, les cabinets d’aisance raccordés aux canalisations – 1906 (propriétaire, Flubacher à Sarrebourg), travaux à exécuter, notamment cabinets d’aisance au premier étage occupé par l’école de commerce Grunder autrefois Institut Stiegler – Note de 1908, la maison se trouve sur le tracé de la Grande Percée
    Commission des logements militaires, 1915 (propriétaire, la Ville), travaux à exécuter – Travaux terminés, 1916
  • 1910 – Rapport d’incendie dans une chambre – La maison appartient à la ville. La Division III.b fait exécuter les travaux
  • 1910 – Dossier. Un enfant est tombé du quatrième étage au troisième par un intervalle entre la cheminée et le mur. – Travaux terminés, décembre
  • 1911 – Les marchandes Faath et Miesch demandent l’autorisation de poser des écriteaux de part et d’autre de la devanture – La Police du Bâtiment constate que les écriteaux sont éclairés par des lampes électriques après la tombée de la nuit, les écriteaux sont donc des panneaux lumineux
  • 1911 – Le voisin (n° 27) se plaint de l’humidité qui proviendrait du n° 25. La Police du Bâtiment conteste les faits, conseille d’aérer les locaux et qu’une éventuelle humidité proviendrait de la maison arrière (140. grand rue) – L’affaire est classée juillet 1911 comme l’humidité a disparu
  • 1911 – L’imprimeur Edouard Adolf demande l’autorisation d’installer une petite presse. Accord de l’inspection du travail – Spécifications techniques – Autorisation – Dessin de la machine – Plan des locaux
    1911 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
    1912 – L’entreprise est reprise par la société Michel Kœbel qui est autorisée à exploiter la machine puisqu’il n’y a pas eu de transformation – Autorisation
  • 1912 – Le magasin de musique Mercure demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Autorisation – L’enseigne est posée – Dessin
  • 1913 – L’épicier Camille Scheibel (30 boulevard de Schirmeck) demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1914 – Le marchand de fromages en gros Henri Hess demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
    1915 – Il retire l’enseigne
  • 1916 – Le coiffeur Ernest Brieff (20 rue des Serruriers, chez Seegmüller) est invité à payer son droit d’enseigne. Les enseignes sont retirées
  • 1918 – L’oiseleur Lucien Graffstein demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
  • 1922 – Oscar Hettich (atelier Saint-Joseph, ameublement d’églises) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Dessin
  • 1925 – L’entreprise Sigel Frères demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse pour le compte du sieur Steckel
  • 1926 – L’architecte Charles Dœry (4, rue Sainte-Hélène à Schiltigheim) demande au nom du cafetier Albecker (café de la République, 9 place Kleber) l’autorisation de percer deux portes conformément à son bail du garage à voitures – Conditions à respecter – Plan de la maison – Les travaux ont été réalisés avant la demande
    1927 – L’agent de la Police du Bâtiment constate que Joseph Albecker a fait faire des travaux sans autorisation – Le Syndicat des hôteliers s’entremet pour obtenir un accord amiable. La Ville transmet l’affaire au tribunal qui dans son jugement du 27 décembre 1927 condamne le locataire aux dépens mais le dispense de remettre les locaux dans leur état initial
    1928 – Joseph Albecker demande l’autorisation d’installer un garage au rez-de-chaussée du bâtiment principal – Plan – Autorisation – Travaux terminés, août
  • 1935 – La brasserie Météor, Haag-Metzger et Compagnie, demande l’autorisation de poser une enseigne au néon au débit de boissons – Autorisation de poser l’enseigne à la façade qui donne sur la rue des Francs-Bourgeois – Dessin
    1935 – Autre autorisation, concernant deux stores au-dessus de la devanture du restaurant qui donne dans la rue des Francs-Bourgeois – Schéma
    1935 – La société de la Brasserie des Serruriers (domiciliée 23, rue Oberlin) demande l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses (Brasserie des Serruriers, Schlosserstub), l’une rue des Serruriers, l’autre rue des Francs-Bourgeois – Autorisation
    Le fabricant Emsa Lumod (43, rue du Vingt-deux-novembre) demande l’autorisation de poser une enseigne au néon pour le compte du propriétaire Hauss et du locataire Haag (brassserie Météor) – Autorisation – Dessin
    1936 – La Brasserie Météor demande à la Police du Bâtiment d’adresser ses avis de paiement à Joseph Schrepf – La Police du Bâtiment objecte que les autorisations ont été établies au nom de la brasserie
  • 1936 – Le débitant de tabac Marcel Wiegand qui transfère son commerce du 36 Vieux-Marché-aux-Poissons au 25, rue des Francs-Bourgeois demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse, un store et une vitrine – Autorisation
    1935 – Marcel Wiegand demande l’autorisation de poser une enseigne (Teinturerie, Plissés, Blanchisserie) au 25, rue des Francs-Bourgeois – Autorisation
  • 1935 – Paul Schall demande au nom de l’imprimerie E.L.Z. (Elsass-Lothringer-Zeitung) l’autorisation de poser un store roulant à sa devanture 25, rue des Francs-Bourgeois – Autorisation
  • 1938 – La Police du Bâtiment constate que J. Burckel a posé une enseigne sans autorisation – L’enseigne est inscrite
  • 1942 – La locataire Schlegel se plaint que les machines installées dans l’ancienne imprimerie causent du bruit et des vibrations, de même que celles de l’atelier de couture Lindenlaub. La Police du Bâtiment constate qu’elle n’a délivré d’autorisation pour aucun des deux ateliers – Affaire classée, les plaintes ont cessé, octobre 1942
  • 1945 – Le restaurateur Joseph Schrepf demande un certificat de sinistré après que le bâtiment a été légèrement endommagé lors du bombardement aérien du 29 septembre 1944
  • 1947 – La Société d’Edition et de Distribution d’Alsace et de Lorraine qui a reçu un avis de paiement concernant un puits de descente renvoie la Police du Bâtiment à l’administrateur du séquestre Georges Pfrimmer
  • 1949 – Paul Trescher (domicilié 8, rue du Bouclier) demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Au Poele des Serruriers – La Police du Bâtiment constate que les locaux sont conformes au règlement
  • 1950 – La Brasserie Météor, Haag-Metzger, demande l’autorisation de poser une enseigne sur lambrequin – Autorisation

Relevé d’actes

Bernard Frédéric Precher vend 1 150 livres un quart de la maison Prechter à Salome Guichard. Une clause stipule que les ouvertures vers la part que se réserve le vendeur devront être murées

1642 (6. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 488 f° 311-v
(Prot. fol. 28. v. seq.) Erschienen der Wohl Edel Bernhard Friderich Prechter Fürstl. Heßen: darmstattisch. Rath von hauß auß, Schirms Verwanther Zu Straßburg, sich und seine Erben soviel gegenwärtigen Contractum Emptionis-Venditionis und darauß entspringende obligation- und actiones betrifft dißer Statt Jurisdiction underwerffend, mit beÿstand weÿl. deß Wohl Edel hannß Carl Prechter dißer Statt geweßenen Stätt Maÿsters sel. nachgelaßener dochter und Erbin der Wohl Edel Jungfrau Annæ Margarethæ Prechterin Ober: und Vnder Vögt deß Wohl Edlen Clauß Ludwig Wormsers alten Stätt Maÿsters dißer Statt und H Ruprecht Reichardts Schaffners Zu allenheiligen wie auch mit beÿstand H Friderich Deckhers U. I. D. an einem, So dann Fraw Salome Bullianerin Weÿl. H Frantz Rudolph Guischardts geweßenen burgers Zue Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand deß Ehrenvest H Johann Friderich Wohlfahrts Fünff Zeheners dißer Statt ihres Curatoris am andern theil, haben in gegenwart deß Wohl Edel hieronÿmi Christoph Babst. von Bolsenheim und deß Ehrenvest H Daniel Steinbockhen, beeder alß vß E. E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit deputirt und verordnet, gutwillig bekannt und offentlicht veriahen,
demnach erst wohlgedachter Rhat, vff beschehene production Weÿl. deß Wohl Edlen Friderich Prechters deß ältsiten in a° 1519. vffgerichteten Testamenti und deß von denn Wohl Edels Friderich, Wilhelm Heinrich und Balthasarn denen Prechtern Gebrüdern in a° 1600. getroffenen Vergleichs, mit recht. erkannt, daß der gantze Prechter hoff in der Schloßer Gaß. gelegen und in die obere Straß sich Ziehend, nunmehr Ihme Bernhard Friderich Prechtern, eingangß gemelsdt, alß dem letztern dißes Stammens und Nahmens Zuständig und heimfällig seÿe, Vnd aber derselbe beÿ sich erwogen, daß die häußer ietzig. Zeit in enen solch. Vnwerth gerathen, daß Zu besorgen were, auch dieße quart so Er bewohnt, durch die nothwendige reparationes ie läng ie mehr beschwährt werd. dörfte, also deß sie gleichwohl endlich doch mit höchstem Verlust würde hiengeben werd. müßen, umb soviel mehr alldiweilen Er edelgedachter Bernhard Friderich Prechter allein 700fl. ahne meliorationen albereit schwind. laßen, welche iedoch vor abtrettung solcher quart Prechterisch. hoffs, von einem successore Prechterisch. Manns Stammens, da ie einer vorhand. were, seinen Erben hetten erstattet werd. sollen, Alß hette dißem allem seine abhelffliche maß Zu geben und die übrige Zwo quarten Zur erleichtern, auch allerhand sonsten befahrende differentien abzutragen und beÿzulegen
Frawen Salomeen Guischardtin wittibin,
Eine quart deß adelich. Prechterisch. hoffes, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen alhie in der Schloßer Gaß. neben dem H Verkäuffern selbst. ein und anderseit neben H Michael Buisson dem handelßmann hind. vff ehrengedacht. H. XV. Wohlfahrt stoßend gelegen, Für und umb 1150 Pfund oder 2300 gulden ieden Zue fünffzeh. batzen gerechnet
[in margine :] Es ist Zwisch. beÿd. Parten hiebeÿ Zugleich vßtrucklich verabschiedet und verglich. word. daß alle tagliechter am Zwerchbaw welch. an deß Jrn. Verkäuffers noch innhabend. quart, geg.dem vndern Hoff d. Fr. Käufferin erkaufft. Behaußung stehet, also zugemaurt, wie Sie iezto verbleiben und immermehr wid. geöffnet auch keine mer darein mehr gemacht werd., hiengeg. aber die Fr. Käufferin ihrer Erb. und Nachkommen den Nach, so vff solchem Zwerchbaw ligt in ihrem Cost. erhalt. sollen, allerseits trewlichen ehrbahrlich, ohn argelist und gefährdt. Straßb. Act. in ædibus Jr. Verkäuffers d. 31. martÿ a° 1645.

Salomé Bullian épouse en 1637 François Guschart, en 1642 Samuel Spielmann puis en 1651 le marchand Jean Louis Zeyssolff qui se remarie en 1654 avec Marie Geneviève Storck, fille de consul

Mariage, Temple-Neuf (luth. 392-v)
1637. Do.ica Inuocauit 26 febr. Frantz Rudolph guschart der Handelsmann H Frantz guschart des handelsmann e. sohn, v. J. Salome H. Michel pulian des Handelsmanns e. Tochter (eingesegnet Zinstag in der Ruprechtsaw 7. martÿ) (i 201)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 15)
1642. Dom 18. Trin. 9. Octobris 1. Vice, Dom 19. Rein 16. eiusdem 2. Vice H Samuel Spielmann Alter dreyer des Pfenningthurns alhie Und Fr. Salome Pulianin H Frantz Rudolph Guscharts hinterlaßene Wittib. Zinst. 18. Octobris Zu St. Claus (i 238)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 11)
1651 Dominica Rogationum, Herr hanß Ludwig Zeÿßolff des Ehrenvesten fürsichtigen und Wohlweisen Herrn Johann Sebastian Zeÿßolff des bestendigen Regiments der XIII ehelicher Sohn, Fr Salome weiland Herrn Samuel Spielmanns beÿsitzers eines Ehrsamen großen Rhats allhie hinderlaßene fr. wittwe (i 259)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 94-v) 1651. Dnca Rogat. 4. Maÿ. H. Johann Ludtwig Zeisolph der handelsmann des Ehrenvest fürsichtig Wohlweisen Herrn Johann Sebastian Zeisolph des bestendigen Regiments der Herrn Fünfzehen v. dieser Kirchen wohlbestellt, Ober Kirchen pflegers Ehelicher Sohn, Fr Salome H Samuel Spilmann E.E. gr. Rhats beÿsitzers hinderlaßen wittib. Zinst. 13. Maÿ S. Claus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 558-v, n° 3)
1654. dom. 22. Jan. H Johann Ludtwig Zeÿßolff der burger Vnndt handelsmann alhier, vnndt Jf. Anna Geneve, des Weilandt Ehrenvesten, from, fürsichtigen, Vnndt Wohlweißen herren Johann Petri Storckhen alten Ammeisters alhie, hinderlaßene Eheliche Tochter. Zinst. 31. Jan. Münster vnd Freÿburgerstub (i 307)

Accord entre Jean Louis Zeyssolff et les héritiers de sa première femme Salomé Bullian

1655 (7. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 168
Erschienen H. Johann Ludwig Zeißolff, der Handelßmann Vnd Burger Zue Straßburg, für sich selbsten, mit beÿstand H Johann Georg Primmers U.J. Doctorandi et Advocati alhie, an einem,
So dann H Michael Bullian der Goltarbeiter, für sich selbsten, mit beÿstand H Frantz Christoph Caroli fünffzehen schreibers seines geweßenen Curatoris, Wie auch Berthol Hebding Metzger Und Burger Zu Reichenweÿer alß Vatter Und H. Andreas Meder, Burger Und Procurator zu besagtem Reichenweÿher alß beÿdigter Vormund sein Hebdingß, mit weÿl. Anna Maria Bullianerin, seinem Verstorbenen Eheweib, nunmehr seel. ehelich erziehlter Kinder nahmens Annæ Mariæ Undt Hannß Friderichs, mit beÿstand H Caroli Römers U.J. Doctornadi, statt Schreibers Und Ober waÿsen Vogts zu mehrernanntem Reichenweÿher Und H Georg Hebdings deß Metzgers Und alten Kleinen Rhats Verwanthens alß der Kinder Vatters bruders am andern theil, (…)
Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, Wiewohlen eingangs gemelts H. Johann Ludwig Zeißolffs geweßene Undt abgeleibte eheliche Haußfr. Salome, nunmehr seel. in ihrem vfgerichteten, ohngeänderten Vnd durch den todfall becräfftigten Testamento Solemni in scriptis, beneben ihrer Schwester Cleopheen, Christoph Müllers deß Metzgers geweßener Ehewürthin, Welche Zwar der Testirerin Tod erlebt, aber ante euentum conditionis Institutionis diße Welt gesegnet Und keine Leibs Erben hinderlaß. hatt, Vorbesagte Michael Bullian ihren Brudern, Undt Annæ Mariæ Hebdingin ihrer Schwester Kinder /:Vff den fall gedachter H. Zeißolff in nachfolgenden Ehen keine eheliche Kinder erziehlen Würde, alß in deren existentz dieselbe zu testamentlich Erben ernännt seind:/ mit der Erbsatzung honorirt

Jean Louis Zeyssolff meurt en 1677 en délaissant deux filles issues de son deuxième mariage. Les experts estiment la maison 2 000 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 4 212 livres, celle de la première femme à 4 585 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 967 livres

1678 (7.2.), Me Boeller (Jean Jacques, 3 Not 10) n° 422
Inventarium v. Beschreibung Aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güthern, ligend: v. Vahrenden, verändert v. Unveränderten, keinerleÿ außgenommen, So der wohl Ehrenveste v. hochachtbare Herr Johann Ludwig Zeÿßolff, handelßmann undt burger alhie, beÿ seinem den 9. Julÿ deß hingelegten 1677.ten Jahrs beschehenem seeligen Absterben, Zeitlichen verlaßen, So uff erfordern v. begehren deß seel. verstorbenen Herrn hinderlaßener beeden döchtern v. ab intestato Erben hernachbenambst inventirt, die viel Ehren v. tugendreiche fraw Annam Genoveam gebohrner Störckin, deß seel: verstorbenen herren hind.plidebene fraw wittib – Actum in gegenwarth deß wohl edlen, Ehrenuesten fürsichtig v. weiß. herrn Johann Petri Storckhen, XXI.ers alhier, obgemelt Frawen wittib erbettenen H Curatoris vff Donnerst. den 7. Februarÿ A° 1678.
d. Verstorbene herr seeliger hat Zu seinen Erben hind.laßen 1. Fr. Salomeam Zeÿßolffin deß Ehrenvesten v. hochachtbaren herrn Daniel Braunen, Eÿßenhändlers burgers alhie eheliche haußfraw welche beneben dero herrn Ehevogten Zu gegen gewesen, 2. Jungfr. Catharinam Zeÿßolffin der Ehrenueste vndt hichachtbare Herr Johann Gumbrecht d. Jüng ietzmahlig. Assessor deß Vmbgeldts allhier So ebenfalls von Anfang biß Zu ende dißem geschäfft beÿgewohnt. Beede Zugleich. antheilen deß seel. verstorbenen herrens hind.laßene Erben

So inn einer alhier ane der Schloßergaßen gelegenen denen Erben schon Zuuorhero erblich Zugehörden behaußung, welche d. v.storbene herr seel. wÿdembs weiße bewohnte, befunden word. wie volgt
Erstlich Ane haußrath, Im mittlern stockh vff d. obern bühn, Vff dem und. Kast., Vff d. bühn darneb., Vff d. dritten Kast, Vff dem nebens Kast, In d. Cammer A. In d. Cammer B, Vor dies. Cammern, Inn der Cammer C, In der Cammer D, Vor diesen Cammern,
Im Vord. Stockh, Vff d. Trückeneÿ, Inn der Cammer E, Inn d. Stub Cammer, Vff dem Gang, Inn dem Küchel darbeÿ, Im hindern hauß öhrin, Inn d. Oberst. Groß. stub. iù hoff gehend
(f° 31) Ergäntzung Fr. Salomeen Zeÿßolffin gebohrner Bullianin seel. Verlassenschafft, welche der Verstorbene herr seel. Zeit lebens usufructuario noîe beseßen, nunmehr ab: denen Bullianißen Testaments Erben heimbgefallen. Vermög Inventarÿ üb. vorhergemelt. Fr. Salomeen Bullianin deß verstorbenen sel. ersten haußfr auch seel. Verl. in A° 1653 vffgerichtet
(f° 35-v) Ergäntzung d. fr. wittib Unveränderten gueth, Inhalt special theÿlregisters üb. der Fr. wittib ererbte mütterlich. verlassenschafft in Anno 1658. vffgerichtet
(f° 38) Eigenthumb ane Häußern v. Ligend. güethern. Erstlich. hauß, hoffstatt v. 2. bronnen mit allen übrig. seinen Zugehörung., Recht. v. Gerechtigkeiten gelegen in d. St. Str. in d. schloß.gaß, j.s. neben H. Marx Otto seel. W. 2.s. H. Friderich Barbett d. goldarbeitern hind. zum theil uff h. XIII. Joh. Phi. Zeÿßolffs Kind., v. Zum theil vff die Schmid Zunfftst. Ziehend, ist ledig eÿgen V. angeschlag. p. 2000 lb. Darüber vorhand. i. teutsch. perg. Kauffbrieff mit der St. Str. Contract Insigel v.wahrt außweisend wie diß Hauß in A° 1642 v. H. Bernhard Frid: Prechtern Frstl. Heßisch. darmstättischen Rath vmb 1150 lb erkaufft word. dat: 13. Aprilis A° 1642.
It. Hauß, hoffstatt in Ruprechtsaw (…)
(f° 50) Abzug in dis Inventarium gehörig. d. Fr: Wittib guet, Sa. haußraths 192, Sa. frücht 193, lähren Vaß 2, Silbers 299, guldener Ring 207, baarschafft 335, Capitalien 1450, Erg. (1717, Abgang 85, Restiren) 1632, Summa summarum 4212 lb
d.E rben V. d. Theilbare guett Sa. haußraths 184, Sa. Pferd v. häw 7, Tabac 20n frücht 46, Weins eßig. lährer Vaß 307, Silbers 237, guldiner Ring 135, Capitalien 851, Eÿgenthumb ane liegend. gueth 812, baarschafft 107, Schulden ins Erbe Zu geltend 257, Summa summarum 2967 lb
(f° 50-v) Volgt nun die beschreÿbung Fr. Salomeen Bullianin deß verstorbenen Herren Ersten haußfr: annoch in natura vorhandenen guths
Extractus deß verstorbenen Herrn Joh: Ludwig Zeÿßolff. v. seiner j. haußfr. fr. Salome Bullianin seel. In A° 1652. den 1. Junÿ uffgerichteten Testamenti Solennis Reciproci
Sa. haußraths 363, lähren vaßen 2, Silbers 144, guld. Rins 193, Eigenthumbs ane häuß. 2750, Beßerung uff Lehengüttern 50, Erg. (1742, Abgang 661, Rest) 1081, Summa summarum 4585 lb
Dauon ist Fr. Annæ Genoveen gebohrne Störckhin d. hind.plibenen fr. wittibin an deß einen v.storbenen Kindts Erb rato die helffte d. ist ane d. völligen summe 1/6 theil behörig
Conclusio finalis Inventarÿ 6804 lb

Anne Geneviève Storck meurt en 1704. La maison que les experts estiment 3 400 livres revient pour moitié à chacune de ses deux filles, Salomé Zeyssolff femme du juriste Jean Kast et Catherine femme du juriste Elie Brackenhoffer. La succession s’élève à 12 064 livres

1704 (18. 9.br), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 69) n° 611
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so Weÿland die Edle, Viel Ehren: und Tugendbegabte Fraw Anna Genovea Zeÿßolffin gebohrne Storckin auch weÿland des Edel Wohl Ehrenvest und hoch achtbahren Herrn Johann Ludwig Zeÿßolffs geweßenen vornehmen handelsmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinderbliebene Fraw wittib, auch seelige nach ihrem donnerstags den 16.ten des Monats Octobris jüngsthin aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Edlen, Viel Ehren und Tugendbegabten Frawen Salome Kastin gebohrner Zeÿßolffin des wohl Edlen und hochgelehrten herrn Johann Kasten Jurium Candidati auch E.E Kleinen Raths alhier jetzmahligen Wohlverordneten Actuarÿ und vornehmen burgers alhier, Frauen Eheliebsten, ingleichem der Edlen, Viel Ehren und tugendsahmen Frawen Catharinæ Brackenhofferin, gebohrner Zeÿßolffin, des wohl Edel und hochgelehrten herrn Eliæ Brackenhoffers Jurium Candidati auch beÿ des jeweilig. regierenden herrn Ammeisters Audientz wohlverordneten Actuarÿ und vornehmen burgers allhier Fr. Eheliebstin, beeder voredelerwehnter der in Gott ruhenden Frauen seeligen, mit voredelberührtem dero Eheherrn seeligen ehelich erzeugter Fraw Töchter und ab intestato Zu gleichen antheilen verlaßener Erbin – so beschehen den 18. Novembris Anno 1704.

In einer in der Statt Straßburg ane der Schloßergaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hernach beschriebener behausung ist befunden worden
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Im Vord. Stockh auff der bühn, Im Vord. Stockh im haußöhren vor d. bücher Cammer, Im mittlern Stockh In d. Cammer A., Im mittlern Stockh auff d. underst. bühn, In d. Cammer B, Vor diesen Cammern, In der Cammer C, Vor dieser Cammer, In d. Wohnstuben, In d. Wohnstub Cammer, Auff dem Gang Vor d. Wohnstub., Im hinderst. stockh auf der bühn, Im Stub im hind. stockh, Vor dießem Stübl., Auffm Gängl., Vor des H. Brackenhoffers Stub im groß. hßöhren, In des H. Brackenhoffers Cammern In d. Küch. im vordern stock Und. im groß. Gewölb, In des H. Amptmanns stub, In des Officiers stübl., Im Badstübl. In d. Stall Cammer, Im Stall, Im Küchenstübl., In d. sogenandt. bergheimer Cammer, Vor dießer Cammer, Im hind.sten hßöhren vor d. Neüen stuben, In d. Neüen stuben, In d. Neüen Stub Cammer, Im Keller, Im Hauß auff dem alten Weinmarckh auff d. obern bühn, Im obern Stüblein, Vor dießem Stübl. Auf d. Und. bühn, In d. Bibliothec Cammer In d. Cammer im Mittelst. stock, Im und. hßöhren, Im Holtzhauß
(f° 39) Eigenthumb ane Häußern. Erstlichen eine behaußung, hoffstatt und Zween bronnen mit allen übrigen seinen Zugehörung., Recht. und Gerechtigkeiten geleg. in d. Statt Straßb. in d. Schloß.gaß, einseit neb. herrn Christoph Güntzer Königlich. Frantzösischem Lieutenant anderseit neben Herrn Theophili Gollen des goldschmids geschiedener Frauen hind. zum theil auff herrn Johann Philipp Zeÿßolff den handelsmann und zum theil auff E.E. Zunfft d. Schmid Zunfftstub ziehend, so freÿ ledig und eigen und durch (die Werckmeistere) den 14. Xbris A° 1704 angeschlag. pro 3400 lb, daran hiehero ein dritter theil gehörig thut 1133 lb. Darüber vorhand. i. teutscher pergam. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel bekräfftiget außweisend wie die quart dießen Hauß in A° 1642 von herrn Bernhard Friderich Prechtern Fürstlich Heßischen darmstättischen Rath erkaufft word. datirt den 13. Aprilis A° 1642.
N.B. die übrige 2/3.theil seind den beed. Frauen Töchtern vorhin eigenthümlich gehörig geweßen, und von Fraun Salome Zeÿßolffin gebohrner Bullianin, der Fr. Stieff Mutter seel. ererbt word.
(f° 39-b) It. eine behaußung auff dem alt. Weinmarck geg. d. Pfarrkirch Zum Alt. St. Peter gehörig (…)
– Abschatzung den 14. Xbris ao. 1704. Weÿlandt der Ehr und Tugendsamen Frauen Annæ Jonnahlin Zeÿsolffin seel. hinderlaßene Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der Schloßergaßen gelegen einseits neben herrn Christoph Güntzer anderseit neben der Fr. Gollin, hinden auff die Schmidtstub stoßendt Welche behausung Mittler stock beÿderseits Nebens hindergebaw sambt 2. höff und Zweÿ brünnen sambt aller Gerechtigkeit wie solches durch die Statt Straßburg geschwornene Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wird vor und umb Sechs tausendt undt acht hundert Gulden
Die andere behausung (…)

(f° 46-v) Abzug gegenwärtiges Inventarium gehörig, Sa. haußraths 638, Sa. d. Bibliothec 37, Sa. des Rindviehs 4, Sa. d. Gutsch sampt dem darzu gehörig geschirr 10, Sa. früchten 138, Sa. Weins undt lährer Vaß 294, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 819, Sa. Guldener Ring undt Feschmeids 401, Sa. baarschafft 930,Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4692, Sa. Gülten von liegenden güthern 120, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 250, Sa. des Eigenthums ane häußern 2493, Sa. Schulden 1233, Summa summarum 12 064 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 12 064 lb, Stall summ 11 426 lb

La moitié de la maison appartient à Catherine Zeyssolff qui épouse en 1699 Elie Brackenhoffer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration. Tous deux font dresser l’inventaire de leurs apports en 1704, après la mort de leur mère et belle-mère respective

Copia der Eheberedung – Zwischen dem Edel, Vest und Wohlgelehrten Herrn Elia Brackenhofern J.U. Candidato weÿland deß Hoch Edel Vest und Fürsichtig, Hoch weiß und hochgelehrten herrn Eliä Brackenhoffers gewesenen Hoch Verdientena dreÿ Zeheners deß geheimen beständigenen Regiments in allhiesiger wohllöblicher statt Straßburg, nunmehr längst seeligen, mit der Hoch Edeln, Groß Ehren und hoch tugendbegabten Frauen Barbara Brackenhofferin gebohrner Erhardin, seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzeugten Herrn Sohn, So dann der Edlein Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Catharinæ Zeÿsolffin, weÿland deß Edel Wohl Ehrenvest und Hochachtbaren Herrn Johann Ludwig Zeÿßolffs gewesenen Vornehmen Handelsmanns und burgers in wohllöblich ermeldter Stadt Straßburg nun seeligen, mit der Edlen Viel Ehren und Tugendreichen Frauen anna Genove Zeÿßolffin gebohrner Storckin deßelben hinterlaßener Frau Tochter – so beschehen auff donnerstag den 4. Tag deß Monaths Junÿ in dem Jahr nach Christi (…) Geburth 1699

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 69)
den 17. Junÿ A. 1699 seind copulirt Herr Elias Brackenhoffer J.U. Candidatus deß Wohl Edlen Vesten Hochweißen und hochgelehrten Herrn Elias Brackenhoffer deß beständigen Regiments der Hern XIII hochverdienten beÿsitzers hinterlassener ehelicher Sohn, und Jungfraw Catharina Herrn Johan Ludwig Zeÿssolfs handelsmanns und Burgers alhie hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] Elias Brackenhoffer alß hochzeiter, Catharina Zeißohlffin als hochzeiterin (i 70)

Inventaire des apports. La description de la maison est reprise de l’inventaire précédent

1704 (11. Xbr), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 69) n° 613
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der wohl Edle und hochgelehrte Herr Elias Brackenhoffer, J. U. Candidatus und beÿ des jeweilig. regirenden Herrn Ammeisters Audientz wohlverordneter Actuarius und die Edle, viel Ehren und Tugendbegabte Fraw Catharina Brackenhofferin Gebohrne Zeÿßolffin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe zugebracht, warunder aber das jenige was die Fraw von weÿland der Edlen Viel Ehren: und Tugendreichen Frawen Anna Genove Zeÿßolffin gebohrner Storckin, dero hertzgeliebten Fraw Mutter seeligen allererst ererbet nicht begriffen sondern nach selbiger abtheilung od. Theilregister a parte Zulieffern ist, welche der ursachen allweilen in ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten Ehepactis expresse enthalten, daß einem jeden theil sein in die ehe Zugebrachte Nahrung unverändert sein – So beschehen in Straßburg auff donnerstag den 11. Decembris 1704.

In einer in der Statt Straßburg ane der Schloßergaß gelegenen und hiehero Zur tertz gehörigen behaußung ist befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane einer behausung. Ein dritter theil ane einer behaußung, hoffstatt, höffen und Zween bronnen mit allen übrig. ihren Zugehörd., Recht. und Gerechtigkeit. geleg. in der Statt Straßburg in d. Schloßergaß, einseit neb. Hrn Johann Christoph Güntzer Königlichem Frantzösischem Lieutenant, anders. neb. Hn Theophili Golen des Goldschmids geschiedener Frawen hind. Zum theil auff hrn Johann Philipp Zeÿßolff den handelsmann und Zum theil auff E: E: Zunfft d. Schmidt Zunnftstub ziehend, so freÿ ledig und eig. und dießmahlen ohnangeschleg. gelaß. und hat dieß. 3. theil die Fraw von weÿland Frawen Salome Zeÿßolffin gebohrner Bullianin dero Fraw Stieffmutter seeligen ererbt.
N.B. ane denen übrigen 2/3.t. theilen ist einer in der Frawen Fraw Mutter seelig. Erbschafft gehörig, der andere dritte theil aber ist Frawen Salome Kastin gebohrner Zeÿßolffin d. Fraw Schwester zuständig
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des Herrn in die Ehe gebracht eigenthümlich Guht, Sa. haußraths 53, Sa. Bibliothec Nulla, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 67, Sa. Goldener Ring 73, Sa. baarschafft 207, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 334, Summa summarum 736 lb
Der Frawen in den Ehestand gebrachte eigenthümliche Nahrung, Sa. hausraths 292, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 188, Sa. Goldener Ring 264, Sa. baarschafft 635, Summa summarum 1380 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2117 lb

Catherine Zeyssolff meurt sans enfant en 1707. Elle a institué sa sœur pour son héritiere universelle en léguant la maison aux enfants ou aux héritiers de son mari. La masse propre au veuf s’élève à 278 livres, celle de l’héritière à 8 506 livres. L’actif de la communauté s’élève à 574 livres, le passif à 1392 livres

1708 (14.2.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 79) n° 713
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güetere, so weÿland die Edle Viel Ehren und Tugendbegabte Fraw Catharina Brackenhofferin gebohrne Zeÿßolffin, des Wohl Edlen und hochgelehrten herrn Eliæ Brackenhoffers beeder Rechten Candidati auch beÿ des jeweilig. regierenden herrn Ammeisters Audientz wohlverordneten Actuarÿ und Vornehmen burgers allhier zu Straßburg gewesene Fraw Eheliebste nunmehr seelige, nach ihrem den 10. Octobris des verwichenen 1707. jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, welche verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Edlen, Viel Ehren: und tugendbegabten Frawen Salome Kastin gebohrner Zeÿßolffin, des Wohl Edlen und hochgelehrten Herrn Johann Kasten Jurium Candidati auch E.E. Kleinen Raths allhier wohlmeritirten Actuarÿ und Vornehmen burgers allhier Frawen Eheliebstin, als der verstorbenen Frawen seeligen hinderlaßener einiger eheleiblichen Fraw Schwester und per Testamentum instituirter einiger Erbin, mit assistentz erstedelgedachten dero Eheherrn, inventiret, durch obwohledel ernandten Herrn Wittiber wie auch Sie die Fraw Erbin selbsten, nicht weniger Susannam dreßlerin und Mariam Esther Wagnerin die beede dienst Mägd (geäugt und gezeigt) – so beschehen in fernerm beÿsein der Edlen Viel Ehren und tugendbegabten Frawen Annæ Barbaræ Saltzmännin gebohrner Zeÿßolffin weÿl. des Wohl Edel Vest und hochgelehrten herrn Johann Saltzmanns geweßenen berühmt. Medicinæ Doctoris und Practici auch Vornehme burgers allhier seel. hind.bliebener Frawen wittib auf dienstag den 14.en Februaÿ Anno 1708.

In einer in der Statt Straßburg ane der Schloßergaßen gelegenen und in dieße Verlassenschafft Zur helffte gehörigen behaußung, ist befund. word. wie volgt.
(f° 10-v) Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der und.sten frucht Kast., in d. Cammer A, In d. Cammer B, vor dießer Cammer, In der Cammer C, vor dieser Cammer, In d. Bibliothec Cammer, In d. Cammer d, Vor dieser Cammer, Auff d. trückeneÿ, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Auff dem Gang vor d. Wohnstub, In d. Kuchen, In des H. Wittibers Stuben, In dieder Stub Cammer, Im haußöhren Vor des H. Wittibers Stuben, In der Neuen Stuben, In d. Neuen Cammer, (f° 16) Im hind.n haußöhren Vor dieser Cammer, Im hind.n und.n haußöhren, In d. bergheimer Cammer, Im hind.n Kleinen Stübl., In d. Kuch. vor dießem Stübl., Im und.st. groß. Gewölb, In des Officierstüblein, In d. und. Stub. im hoff
Eigenthum ane Häußern. (E., des H. Wittibs Erb. legat.) Erstlich die helffte ane einer behaußung, hoffstatt, hoffstatt undt Zween bronnen sambt allen übrigen deren Zugehörung., Rechten und gerechtigkeit. geleg. in d. Statt Straßb. In d. Schloßergaß. einseith neb. Herrn Christoph Güntzern Königlich frantzösisch. Lieutenant, and.seith neb. H. Theophili Golen des Goldtschmidts geschiedener frawen, hind. Zum theil auf herrn Johann Philipp Zeÿßolff den handelsmann undt Zum theil auf E.E. Zunfft d. Schmidt Zunfftstub Ziehend, So freÿ ledig und eigen, undt (dh. die Werckmeistere) den 14. 9.bris ao. 1704. sammenthafft angeschlag. darbeÿ es auch dießenmahls gelaßen worden pro 3400. lb. daran hiehero zur helffte gehörig 1700 lb. davon ist abzuzieh. so wehrender dießer Ehe weg. eines neuen Stubenbodens, eines gewölbs im Keller und eines Camins ane baw Kost. außgelegt, so alß eine theilbare beßerung auff d. Erben ohnveränderten behaußung hernach eingetrag. wird, verglichener masen 15 lb, Verbleibt alßo ane dießer behausungs helffte annoch außzuwerff. übrig 1685 lb. Undt ist der übrige halbe theil d. frau Erbin Vorhin gehörig. Darüber Vorhanden ein teutscher perg: Kauffbrieff mit der St. Str. anhang. C.C. Insiegel becräfftiget, außweißend wie die Quart dießes haußes in anno 1642 Von herrn Bernhard Friderich Prechtern fürstl. heßischem darmstättischen Raht erkaufft word. dat. d. 13.t April 1642. Darbeÿ 2. Extractus aus E. E. Kleinen Raths d. Straßb.Memoriali vom 28. undt 30.ten 7.bris ao. 1654 auch j. Copia i. papÿrener v.gleichs Zwisch. herrn Friderich Prechter ane einem undt H. XV. Heinrich Prechter am and. theil getroff. de dato 11. aug: anno 1606. Mehr j. Copia Kauffverschreibung über das Prechterische hauß, in d. Schloßergaß de dato 29. Xbris ao. 1652.
(E.) It. auf dem alt. Weinmarckt gegen d. Pfarrkirche zum alt. St. Peter (…)
Theilbahre Beßerung ane der Erbin ohnverändert. behaußung in d. Schloßergaß. gelegen. Es ist wie hie Vornen beÿ f. fr. Erbin ohnveränderte behaußung in d. Schloßergaß gelegen erwehnet, wegen verschiedener wehrend. Ehe daran angewandter bau Cost. als eine theilbahre beßerung einzutrag. 15. lb.
Ergäntzung des Herrn Wittibers ohnveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ über beeder Eheleuth, durch mich Johann Reinhard Langen Notarium in A° 1704. auffgerichtet ist dem Hn wittiber zu ergäntzen
Copia der Eheberedung (…) so beschehen auff donnerstag den 4. Tag deß Monaths Junÿ in dem Jahr nach Christi (…) Geburth 1699
Copia Testamenti solemnis inscriptis. Ich Elias Brackenhoffer, beeder Rechten Candidatus und beÿ deß regierenden Herrn Ammeisters Audientz jetzmahliger bestellter Actuarius und ich Catharina Brackenhofferin gebohrne Zeÿßolffin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg – Zu dem Fünfften, will ich die Testirerin hiermit Eingangs ermeldten meines lieben Ehegatten, in Künfftig Ehen erzielenden Kindern, oder in Ermanglung deren, deßen entweder durch ein Testament oder ohntestirt nach seinem tödlichen hientritt Verlaßende Erben, zu eigenthümlichen Legaten bestimmet und veordnet haben (…) und dann die helffte ane der behaußung, hoffstatt, hoffstatt undt Zween brönnen mit allen übrigen ihren Zu Gehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in Straßburg ane der Schloßer Gaßen einseith neben Herrn Christoph Güntzern Königlich. frantzösischen Lieutenant, anderseith neben Herrn Theophili Golen des Goldtschmidts geschiedener frawen, hinden Zum theil auff herrn Johann Philipp Zeÿßolff den handelsmann undt Zum theil auf E.E. Zunfft d. Schmidt Zunfftstub Ziehend, So freÿ ledig und eigen – geschehen Straßburg d. 4. 9.br 1707 – Copia instrumenti publici, Johann Reinhardt Lang, Notarius juratus
Copia der abgeleibten frauen seeligen gethanen Nebens Disposition (…) – Straßburg den 14. Novembris 1707, Johann Reinhardt Lang, Notarius juratus
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des herrn Wittibers ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 27, Sa. Bibliothec 50, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. Guldener Ring 40, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 317, Sa. Ergäntzung 232 lb, Summa summarum 698 lb, Sa. der Schuld 976 lb, In Vergleichung 278 lb
der Frau Erbin ohnverändert guth, Sa. hausraths 607, Sa. Bibliothec 18, Sa.Gutsch 2, Sa. Früchten 29, Sa. Wein und lährer Vaß 114, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 507, Sa. guldener Ketten, Ring Perlein und dergelichen geschmeids 320 lb, Sa. baarschafft 230 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2274, Sa. Gülth von liegenden güthern 61, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 125, Sa. häusern 2365, Sa. Schuld. 260, Sa. Ergäntzung (1598, abzuziehen 10) 1587, Summa summarum 8506 lb
das gemein verändert und theilbar guth, Sa. hausraths 33, Sa. Früchten 6, Sa. Weins und Lährer Vaß 145, Sa. Silbers 1, Sa. Goldenen Rings 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 62, Sa. beßerung ane lehengüthern 15, Sa. Schulden 302, Summa summarum 574 lb – Sa. Schulden 1967 lb, Mehr theilbahre Schulden als theilbar Guth 1392 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 6835 lb

Elie Brackenhoffer se remarie en 1708 avec Anne Elisabeth Harnister (contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration), successivement veuve du marchand Jean Walter qu’elle a épousé en 1673 et du marchand Jean Schatz en 1706
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Wohl Edel, Vest Vnd Wohlgelehrten Herrn Eliæ Brackenhoffern, löblicher Statt Straßburg Wohlverordnetem Cantzleÿ Verwanthen Vnd Vornehmen burgern allda alß dem Herrn braütigamb ahne einem, So dann der Edlen und Ehren und tugendbegabten Frauen Annæ Elisabethæ gebohrner Harnisterin, Weÿland deß Wohl Ehren Vesten Undt Hochachtbahren Herrn Johann Schatzen, geweßenen Vornehmen Handelßmanns Undt Banquiers allhier seel. nachgelaßener frau Wittwe seel. nachgelaßener frau Wittwe alß der frau hochzeiterin – Samstags den 15. Monatstag Septembris Anno 1708 [unterzeichnet] Elias Brackenhoffer als Hochzeiter, Anna Catharina Schatzin als hochzeiterin – Jacob Christoph Pantrion, Notarius

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 167 v°, n° 768), 1706 – Mittwoch den 9.ten Maÿ Seind nach zweÿmähl. Proclamation ehl. copulirt worden H. Johann Schatz der wittwer burger und handelsmann allhier und fr. Anna Elisabetha weÿl. H. Johann Walthers gewesenen b. und Handelsmanns Hinterl. wittib. [unterzeichnet] Johann Schatz als hochzeiter, Anna Elisabetha Walterin als hochzeiterin, Johann Andreas König akß Vogdt (i 167)

Mariage, Temple-Neuf (luth. 160-v, n° 4)
1673. Dom. 11 post. Epiph. Zum 2. mahl Johann Walther Weißlein Wad händler, Weiland H Gerhard* Walthers geweßenen Weißlein Wad händlers v. Burgers alhie nachgelaß: ehl: sohn, Jgf. Anna Elisabeth Hr Daniel Harnisters, dreÿer der Statt Stall und Silberarbeiters ehel: T. Dienstags den 30.ten Jan: Münster. (i 163)

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 195-v, n° 873)
1708 – Mittwoch den 2.t ejusdem [7.mbr.] seind nach 2.mähl. Proclamation eh. copuliert worden H. Elias Brackenhoffer der wittwer und burger wie auch allhiesiger statt Cancelleÿ verwandter und fr. Anna Elisabetha weÿl. Herrn Johann Schatzen gew. b. und Handels. allhier nachgel. wittib [unterzeichnet] Elias Brackenhoffer alß hochzeiter, Anna Elisabetha Schatzin als hochzeiterin (i 195)

Les préposés de la Taille font figurer la succession de Jean Walter dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 15 700 florins (7 500 livres). Le fonds du notaire Schmidt qui a dressé l’inventaire n’est pas conservé
1704, VII 1173 – Livres de la Taille f° 210
(Spiegel, F., N° 932) Weÿl: H: Johann Walthers, deß geweßenen handelßmanns und burgers allhier Verlassenes Vermögen, jnventirt Herr Nots. Andreas Schmid.
Concl: fin: Inventar: ist wie fol: 197.a Zuesehen dem Stalltax nach 27 567. lb, die machen 55 100.fl. Hiengegen verstallte Er nur 40 000.fl. und also 15 100.fl. Zuwenig.
Wavon nun als theilbarem guth der Nachtrag gesetzt wird auf Acht jahr in duplo, macht à 45. tb. 6. ß, 362 lb. 8 ß d.
Und auch auff acht jahr in Simplo trifft à 22. lb. 13 ß, 181. lb 4 ß d
Item so thut daß Stallgelt 1703. 61 lb 7 ß d
Ferner ist vor gebott 2 ß 4 d
Und dann Vor die Unkosten 15. lb 2 ß 6 d, Sa. 620. lb. 3 ß 10 d
Vermög Erkantnus Unserer Gn. Herren der Fünffzehen seind ane Vorstehender Summ der 620. lb 3. ß 10. s Nachgelaßen worden 20. lb. 3 ß 10 d
Detrahendo sollen die Erben annoch 600. lb
Laut Obiger Erkantnus, sollen auch die Wittib und Erben auf der Statt Stall durch Pfenningthurns schein 200 lb.
Straaff, ahne statt der angesetzten 1000. Reichßthl. erbegen.
Machen also beede Summen Zusammen 800. lb
dt. d. 21. et 25. Junÿ 1704

Elie Brackenhoffer loue une partie de la maison au marchand Philippe Jacques Huber

1712 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 579-v
Anno 1712, den 7. Junÿ ist zwischen H. Philipp Jacob Huber dem handelsmann und Elias Brackenhoffer beÿständlich H. Limburgers deß geschwornen macklers
nachfolgende haußlehnung getroffen word. Nemlichen es verspricht der verlehner dem Locatori in seiner behaußung ahn der Schlossergass gelegen einzuraumen, Erstlichen eine große stueb sambt dreÿen großen Cammeren ahn derßelben stueb unten in dem hoff, 2. eine kleine Stueb neben der so genanten bauchküchen sambt der benambßten Kuchen außer daß die Küche zu der wäschen und extraordinarien gebrauch gemein verbleiben solle, drittens in dem hintern hoff eine kleine stueb sambt einem Cämmerlein genannt d. badstüblein, 4. Ein großes hauß Ehren hinten ahn dem zweÿen Cammeren biß ahn die Steeg Kästen oder waaren dahien zustelen der durchgang aber deßelben bleibt Continue freÿ und ohngehindert nichts außgenommen, 5.to einen geblattenen Fruchtkasten welches der höchste hienauff ist früchten und gekörn darauff zu schütten durch auß aber weder heu noch strohe dahien zu verlegen, 6.to einen vierdtentheil in dem kleinern keller welchen der hr. Locator nach seinem belieben und auf seinen costen zu unterschlagen freÿe macht haben soll, 7.mo einen platz zu 6 fuder holtz und zu 500 wellen wo sich derßelbe ahm füglichsten finden wird, 8.vo auf alle fall wann der hr. Locator ein pferd haben wird den hintersten stand im stall, widrigen fals aber solle solcher weder zuem heu noch strohe gebraucht, viel weniger sonsten viel strohe u. heu ins hauß gebracht noch ein magasin davon gemacht werd. in deme kein platz darzu eingeraumt wird noch einiger darzu vornehmen, 9.no wird unter dem gang im hoff der nach zuer zeith leere platz etwan große stübig voll waaren ins trocken zu stellen so lang vergönnet biß der verlehner solchen selbsten brauchen und einander verstellet werde, darmit die passage keine hinternuß leide, 10.mo werden vorgemeldte gemach und plätze in dem stand wie Sie jetzt stehen und gebauen sein gesäubert und im gantzen fenstern hergestellet so auch wider dermahlens in dem stand außzulüfferen sein (…), 11.tens wird auch die Tröckeneÿ zu dem waschen auff zuhencken und zu nichts anders eingeraumet, 12.tens was die sauber und fegung deß hoffs und der gassen anbelangt wird dem Locator obliegen die helfte daran thun zu lassen – um einen jährlichen zinß nemlichen 115 gulden

Philippe Jacques Huber meurt dans la maison qu’il a louée. Fils du pasteur de Saint-Guillaume, il a épousé Marie Ursule Papelier de Colmar en 1712. Le passif excède l’actif

1713 (28.1.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 29)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung und Schulden, so H. Philipp Jacob Hubern, dem handelßmann, und Frauen Mariæ Ursulæ Huberin gebohrner Papelierin beeden Eheleuthen und burgers alhier zuständig, welches auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Ihrer der Ehefrauen die Sich auß Ursachen Ihres Ehe Manns Nahrung mit zimblichen Schuldenlast gravirt, Zu Salvirung Ihres unveränderten Guths bevögtigen laßen, und gehöriger orthen Ihr leibliches recht zu suchen vorhabens, inventirt, durch Sie die ehefrau selbsten, mit beÿstand des wohl Ehren vesten und Großachtbahren Herrn Eberhard Capaunen Vornehmen handelßmanns alhier ihr geschwornenn curatoris – Actum Straßburg In fernern Gegenwarth herrn Johann Daniel Pappeliers, handelßmanns und burgers allhier der Ehefrauen geliebten bruders, Sambstags den 28.ten Jan: 1713

In einer alhier in der Schloßergaßen gelegenen Hn Eliæ Brackenhoffern Cancelleÿ Verwanth. Zuständiger behaußung, so beede Eheleuthe der Zeit lehnungs Weiße bewohnten Ist befunden word. Wie Volget
Eigenthumb ane häußern, so der Ehefr. unverändert. Laut vorhandenen, Auß der Gerichtschreibereÿ Colmar gefertiget theil register, sowohl was die Ehefrau von weÿl. Frauen Maria Catharina Faberin ihrer lieben Mutter, in anno 1709: alß auch in Anno 1711 von weÿl. H. Daniel Pappelier geweßenen handelßmanns zu Colmar ihrem Vatter seel. ererbt, befindet (…)
Ergäntzung der Ehefrawen unveränderten Guths, Laut des, über eingangs gemelter beed. Eheleuthe in den Ehestand zugebrachte Nahrung den 2. 7.bris 1712. auffgerichteten Concepto Inventarÿ hat mann der frawen zu ergäntz. wie folgt
Series rubricarum hujus, der frauw Unverändert Nahrung, Sa. des hausraths 420, Sa. Weins Und Vaß 239, Sa. des Silbers 87, Sa. der Guldenen Ring 151, Sa. der Baarschafft 8, Sa. Eigenthums ane Haußern o, Sa. der Liegende güther 611, Sa. der Schulden 1121, Sa. der Ergäntzungs 552, Summa summarum 3194 lb
des Manns Unverändert Unddt Theilbar Guth, Sa. des hausraths 328, Sa. des Weins 115, Sa. des Silbers 29, Sa. der Guldenen ring, 7, Summa summarum 548 – Schulden 2187 lb, Ubertreffen also die Vorhandene Passiva des Manns Unveränderte und Theilbahre Nahrung umb 1638 lb
Copia Eheberedung – der Wohl ehrenvest und hochgeachte Herr Philipp Jacob Huber noch lediger handelßmann weÿl. des wohl Ehrwürdigen, hochgelehrten und Großachtbahren herrn M. Johann Huber gewesenen hochmeritirten Pfarrers der Evangelischen Gemeinde Zu St Wilhelm in Straßburg, längst seel. hinderlaßener Ehelicher Sohn, einen besonderen ehelichen willen liebe und affection zu der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrawen Mariæ Ursulæ Pappelierin weÿl. des auch Wohl Ehrenvesten und Vorachtbahren Herrn Daniel Pappeliers, Geweßenen Vornehmen burgers und handelsmanns zu Colmar nunmehr seel. nachgelaßener dochter gewesenen und auff Vorhergangene Ansehnliche Werbung einen Freundlichen Gegenwillen befunden (…), den 23. Maii Anno 1712, [unterzeichnet] Philipp Jacob Huber Alß Hochzeitern M. Johann Leonhard Fröreißen Pf. Zu St. Nicol. als Schwager, M. Johann Jacob Ehrlen Pf. zu St: Aurel. als Schwagern, Maria Ursula Papelierin als hochzeiterin, Johann albrecht Hamer* als schwager, Joh: Daniel Papelier als brud. von der Jungfr. Hochzeiterin, Johann Friderich Pezel alß Schwager, Johann Arnold Rulandt als Schwager – Jacob Christoph Pantrion, Notarius

Anne Elisabeth Harnister meurt en 1717 en délaissant les trois fils issus de son premier mariage avec Jean Walter. La masse propre à la veuve s’élève à 4 212 livres, celle provenant de la première femme à 4 585 livres. L’actif de la communauté s’élève à 19 488 livres, le passif à 24 425 livres. La maison rue des serruriers est décrite au chapitre de l’usufruit viager assuré par Catherine Zeyssolff

1717 (24.8.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 39)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. die Wohl Edle, Viel Ehren: Und tugendreiche fraw Anna Elisabetha Brackenhofferin gebohrne Harnisterin des Wohl Edel, Vest, Hochgelehrt und Großachtbaren auch fürsichtig und weißen Herrn Eliæ Brackenhoffers, E. E. großen Raths jetzmahligen wohlmeritirten Assessoris, geweßene Frau Eheliebste nunmehr seel. nach ihrem Montags, den 8.n Junÿ Jüngsthin aus dießem mühsamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Wohl Ehrenvesten und fürgeachten Herrn Johann Daniel Walters Vornehmen Handelsmanns und burgers alhier vor sich selbsten, Ferner des auch Ehrenvest und achtbahren H Johann Gerhard Walters noch ledigen Handelßmanns und burgers alhier gleich falls für sich selbsten, So dann des Edeln, Wohl Ehrenvesten und Weißen herrn Gerhard Walters Handelßmanns und E.E. großen Raths ietzmahligen beÿsitzers, alß geordneten Vogts Herrn Johann Georg Walters, ebenmäßigen Handelß: verständigen derzeit vff der reÿße begriffen, alle dreÿ der Verstorbenen fraun seel. mit auch weÿl. Herrn Johann Waltern vornehmen handelßmann und burgern alhier in erster Ehe erzeugter herrn Söhne undt ab intestato verlaßene Erben inventirt – Actum Montags den 24.ten augusti Anno 1716.

In einer alhie zu Straßburg In der Schloßergaßen gelegenen undt Zum theil hiehero gehöriger behausung Ist befunden worden wie volgt.
(f° 35) Eigenthumb ane einem Meÿers hoff und darzu gehörigen Gütern, obewendig dem dorff Kaltenhaußen
(f° 35-v) Eigenthumb ane einer behausung. Item ein dritter theil vor ungetheilt von und ane einer in der Fladergaßen Zum Hawer genandt (…)
(f° 39) Ergäntzung des Herrn Wittwers unveränderten Guths, Laut des über des Herrn Wittwers in den Ehestand zugehörde Nahrung durch mich Notarium den 14. Martÿ 1709. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 44) Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Herrn Wittwers Unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 156, Sa. leeren Vaß 44, Sa. Silbers 75, Sa. guldenen Ring und Geschmeid 154, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 343, Sa. Ergäntzung 2666, Summa summarum 3440 lb – Schulden auß der Herrn Wittwers unverändert. Nahrung zubezahlend, Per Se, Nach deren Abzug 2463 lb
der Erben Unverändert Guth, Sa. hausraths 343, Sa. leerer Vaß 26, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 264, Sa. guldenen ring 336, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3325, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 600, Sa. Gültgüther 77, Sa. Ergäntzung 17 715, Sa. Eigenthumbs ane einem Meÿerhoff 100, Summa summarum 22 788 lb – Schuld vide fol: 37.b, Nach solchem abzug 15 759 lb
Endlichen volgt die consignation des Gemein, veränderten und theilbaren Guths, Sa. hausraths 47, Sa. Frucht anschlags 10, Sa. Weins 220, Sa. silbers 44, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 18 961, Sa. Schulden 204 lb, Summa summarum 19 488 lb, Sa. Schulden 24 425 lb, Ubertreffen also die Theilbare Passiva die theilbare Verlassenschafft umb 1037 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 26 911 lb
Wÿdemb, so der Herr Wittwer von Weÿland Frauen Catharina gebohrner Zeÿsolphin seiner ersten Fraw Eheliebstin seel. ad dies vitæ Zu genießen hat, daß Eigenthumb aber Nach deßen Künfftigen absterben /:so der Allerhöchste lang verhüeten wolle:/ dero testamentlichen Disposition gemäß Seinen hinderbliebenen Erben gehörig. Und bestehet in Volgenden Posten. Erstlich Inn Capital (…)
Und dann in dem halben theil vor ungetheilt Von und ane hauß, hoff, hoffstatt, und Zweÿen brönnen, mit all übrigen deßen rechten, zugehörd. und gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg In der Schloßergaßen einseit neben H. Andres Altenburger dem silberarbeiter, anderseit neben Sr Jean Coccar dem holtzhändlern hinden auff die Schmidstub stoßend, So freÿ ledig und eigen, und anno: 1708. beÿ absterb. obgemelter frauen Catharinæ Zeÿsolphin seel. und dero Verlassenschafft Inventation durch der Statt Straßburg Geschwornene Werckmeistere zu dißseitigen halben theil æstimirt worden pro 1700 lb. Über die gantze behaußung besagt i. t. Perg: mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contractstuben anhang. Insigel dedato 13.t April 1642. sambt noch verschiedenen darbeÿ gebundenen scripturen
Wÿdemb So der Herr Wittwer auß anderer Ehe, von eingangs gemelter Frauen Anna Elisabetha gebohrner Harnisterin Zeit lebens Zugenießen, 7500 lb
Wÿdemb So fraw Veronica Sachßin gebohrne Berneggerin, H. Georg Jacob Sachßen, Handelßmanns und burgers alhier Eheliebste, von weÿl. herrn Daniel Harnisters geweßenen silberarbeiters und burgers alhier Ihres erstern Eheherren seel. Verlassenschafft ad dies vitæ zugenißen hat, Vermög durch Weÿl. herrn Stephanum Cornelium Saltzmann Notarium publicum in Anno 1684. auffgerichteten Designation
Eheberedungs Copeÿ (…) Samstags den 15. Monatstag Septembris Anno 1708 – Jacob Christoph Pantrion, Notarius
Copia Testamenti Reciproci – im dem Jahr 1716, auff Freÿtag den 17. Monats tag Aprilis (…) Persönlich erschienen ist der Wohlgelehrte auch fürsichtig und weiße Herr Elias Brackenhoffer, Jurium Candidatus und der Zeit E.E. großen Raths Löblicher Statt Straßburg wohlmeritirter beÿsitzer, und Mit: und Neben Ihme die Wohl Edlen Viel Ehren und Tugendbegabte Fraw Anna Elisabetha gebohrne Harnisterin beede Eheleuthe und burgere alhier – Jacob Christoph Pantrion Notarius publicus

Elie Brackenhoffer se remarie en 1716 avec Anne Marie Engelbach, fille du receveur princier de Birckenfeld à Bischwiller  contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem wohl Edel Vest v. wohlweißen Herrn Eliä Brackenhoffern Eines großen Raths löbl. Statt Straßburg hochverdienten beÿsitzern, alß dem herrn bräutigam ane einem, So dann der wohl Edlen Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Annæ Mariæ Engelbachin des wohl Edel Vest v. hochachtbahren herrn Johann Michael Engelbachs hochfürstl. Pfaltz birckenfeldischen Wohlverordneten Rentner zu buschweiler mit der Wohl Edlen Viel Ehren v. tugendbegabten frauen Anna Maria geb. Langin ehelich erzeugter Jungfrau dochter – dienstags den 1. Monats tag dec: A° 1716. – Jacob Christoph Pantrion, Not. publ.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 293, n° 1253)
1716 – Mittwoch den 9.ten 10.mbr. seind nach 2.mahl. Proclamation ehelich im hauß copuliert worden H. Elias Brackenhoffer E.E. Großen Raths beÿsitzer und wittwer allhier und f. Anna Maria, Herrn Johann Michael Engelbach hochfürtl. Pfaltz bürckenfeldischer Rentmeister zu bischweÿllers ehl. tochter [unterzeichnet] Elias Brackenhoffer alß hochzeiter, Anna Maria Engelbachin als hochzeiterin (i 292)

Inventaire des apports dressé dans la maison rue des Serruriers
1723 (22.4.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 6) n° 60
Inventarium und beschreibung alles der Jenigen Haab Nahrung und Guethere, so die Edle, Viel Ehren und tugendreiche frau Anna Maria Brackenhofferin, gebohrne Engelbachin, des wohl Edel Großachtbaren und wohlweißen herrn Eliæ Brackenhoffers, E.E. großen Raths alten beÿsitzers alten Wohlmeritirten beÿsitzers und jetzigen dreÿers in allhießigem Umbgeld auch Vornehmen burgers allhier frau Eheliebste, zu Ihme dießem Ihrem Eheherrn in die Ehe gebracht, welche der ursachen allweilen in deroselben mit einander auffgerichteter Eheberedung außtrucklichen Versehen, daß einem Jeden derselben seine in die Ehe bringende Nahrung ein freÿ, eigen, ohnverändert und vorbehaltene guth seÿe – So beschehen auff Donnerstag den 22.ten aprilis A° 1723.
In einer in der Statt Straßburg ane der Schloßergaßen gelegenen von beeden eingangs wohl Ehrengedachten Ehepersohnen bewohnenden behaußung befunden worden wie volgt.
Sa. hausraths, Sa. Silber geschmeids 65, Sa. Goldener Ketten, Ring, Perl. und dergl. Geschmeid 679, Sa. baarschafft 1175, Summa summarum 2204 lb

Salomé Zeyssolff , femme du greffier Jean Kast qui a quitté Strasbourg plusieurs années auparavant, à qui appartient l’autre moitié de la maison meurt sans enfant en 1720 en délaissant des héritiers testamentaires. Elle a légué la maison rue des Serruriers à Anne Marguerite Miville femme de Jean Frédéric Bemberg et à Marguerite Saltzmann veuve de Jean Henri Lederlin. L’inventaire est dressé dans la maison de la défunte rue de l’Outre. La masse propre au veuf s’élève à 5 270 livres, celle des héritiers à 12 042 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 615 livres, le passif à 3 311 livres

1720 (7. 9.br), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 6) n° 22 (47)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güethere, liegender und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland S. T. Frau Salome Kastin gebohrne Zeÿßolffin, S. T. herrn Johann Kasten E: E: kleinen Raths allhießiger löbl. Statt Straßburg hiebevorigen Actuarÿ und burgers allda vormalig geweßene Frau Eheliebste nunmehr seelige, nach deme dieselbe nechst verwichenen Freÿtags alß den 1.ten dießes lauffenden Monats Novembris von dem lieben Gott aus dießer Vergänglichen Weltwesen in die ewige freude Versetzet worden, Zeitlichen hinter sich Verlaßen (…) durch die Erbs Interessenten selbsten ingleichem Jungfrau Annam Sophiam Müegin Von hier welche sich seithero beÿ derin Gott ruhenden frauen auffgehalten, nicht weniger Evam Barbaram Rockenbachin und Mariam Elisabetham Du*ßin die beede dienstmägd (geäugt und gezeigt) – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, in fernerer Gegenwarth S.T. Herrn Johann Caspar Mühlbergers, der Schenckbecherischen und anderen Stifftungen wohlverordneten Schaffners, auch E.E. Kleinen Raths jetzmahligen wohlmeritirten Assessoris und wohnangesehenen burgers allhie alß auß Ehrenberührten Kleinen Raths Mittel Vermög Extractus Vom 6.ten dießen Monats Vor und im nahmen ob ehrenbedeuteten Herrn Johann Kasten, als welcher schon Verschiedene Jahr in der frembde sich auffhaltet, Zu dießem Geschäfft in specie deputirten Hern, So dann Johann Reinhard Langen, Notarii publici et practicj auch burgers allhier, alß von samtlichen Herren und frauen Erbs Interessenten hierzu erbettenen Consiliarÿ auff Donnerstag den 7.ten Novembris et seqq: diebus anno 1720.
Die in Gott ruhende Frau Kastin hat per Testamentum solenne in scriptis, S.is ubiq. T.is Zu Erben verlaßen wie Volgt. 1. Weÿland Frauen Annæ Barbaræ Schüblerin gebohrne Zeÿßolffin, Herrn Johann Paul Schüblers, des beständigen geheimen Regiments der Herren dreÿ Zehen allhier hochensehnlichen Assessoris letztmaliig geweßener frauen Eheliebstin seel. hinterlaßene herren Söhn und frau töchtere benantlichen 1) Herrn Johann Saltzmann, den Jüngern ledigen handelsmann alhier, welcher seine Stelle hebeÿ selbsten Vertretten, 2) Frau Annam Margaretham Lederlinin gebohrne Saltzmännin, Hn Joh: Heinrich Lederlin, Linguarum orientalium beÿ allhießiger Löbl. Universitæt hochmeritirten Professoris publicj Capituliq. Thomanj hochverdienten Canonici und Vornehmen burgers allhier frau Eheliebstin, welche mit und beneben erst hoch Edelberührten dero Eheherren Zugegen ware, 3) Frau Susannam Moscheroschin gebohrne Saltzmännin, Herrn Johann Jacob Moscheroschs, Vornehmen Specierers und burgers allhier frau Ehegattin, so beneben dießem Ihrem herrn Ehevogt dem Geschäfft persönlich abgewartet, 4) herrn Philipp Friderich Saltzmann ledigen Knöpffmacher so dermahlen in der frembde sich auffhaltet und dahero nicht præsens war, und dann 5) herrn Frantz Benedict Saltzmann, ledigen Scribenten allhier, so sich beÿ dem Geschäfft eingefunden, Welcher beeder jüngern Herren Saltzmänner geschworner Hr Curator, obhoch Edelbesagter herr Professor Lederlin, alldieweilen aber derselbe dißorts uxorio nomine mit erblichen interessiret, alß ist in deren Nahmen herr Johann Friderich Ösinger Juris Consultus und E.E. Kleinen Rahs allhier hochverordneter Referendarius, auch Vornehmer burger allhier, deroselben geordnet und ohnentledigter Herr Theil Vogt hiebeÿ erschienen, alle fünff obhoch Edel angezogener frauen dreÿ zehenerin Schüblerin seel. mit herrn Johann Saltzmann geweßenem hochberühmbten Medicinæ Doctori et Practico auch Vornehmen burgern allhier dero erstern Eheherrn auch seel. erzeügte herrn und frauen töchtere,
So dann Weÿland Frauen Annæ Miuillin gebohrne Zeÿßolffin Herrn Abraham Miuille Vornehmen Banquier und offt Ehrenerwehntem Kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers geweßener frauen Eheliebstin seel. hinderlaßenen 4. frauen töchtere mit nahmen 1° Frau Annam Margaretham Bembergin gebohrne Miuillin, H Joh: Friderich Bemberg Vornehmen Banquier und burgers allhier frau Ehegattin, welche mit assistentz deßelben Zugegen geweßen, 2° Frau Annam Barbaram Saltzmännin gebohr. Miuillin herrn Johann Saltzmanns des ältern auch vornehmen Banquier und E.E. Großen Rhats allhier alten wohlmeritirten Assessoris frau Eheliebste, so beneben Ihrem Eheherrn dem Geschäfft abgewartet, 3. frau Mariam Cleophe Reichardin gebohrne Miuillin, Herrn Johann Christoph Reichardts des beständigen geheimen Regiments der Herren XV. allhier hochansehnlichen Mitglieds undt Vornehmen burgers Allhier frau Ehegemahlin welche mit Zuziehnung erst hoch Edelgeachten dero herren Eheliebsten sich hiebeÿ eingefund. 4) Frau Margaretham Salome Braunin gebohrne Miuillin, herrn Johann Daniel Braunen vornehmen burgers und Banquier allhier frau Eheliebstin, so Ihr Vices beneben demselben selbst Vertretten, dieße 4. Jeede Zu einem fünfften theil solch. andern halben theils,
So dann 5. Frau Mariam Salome Rohrin gebohrne Zeÿßolffin Herrn Daniel Rohren berühten Notarÿ Publici et Practici auch offt Ehrenangezogenen Kleinen Raths alten wohlmeritirten beisitzers und Vornehmen burgers allhier Frau Ehegattin, welche sich mit beÿhülff deß Wohl Ehrengeachten Ihres herrn Mariti persönlich eingestellet, in den übrigen fünfften theil solch. halben Stammtheils, Alßo alle Zehen der abgeleibten frauen seel. nach abzug deroselben Verordneten Vielen und zum theil ansehnlichen Præ: und Legaten, zu gleichen antheilen Verlaßener Herren und frauen Erben.

In einer allhier zu Straßburg ane der Schlauchgaß gelegenen in diese Verlassenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie volgt
(f° 25) Ane Höltzen und Schreinwerck, Im Vordern Hauß. Auff der bühn, In der Stuben B, In dießer Stub Cammer, In der Stuben C, In dießer Stub Cammer, In der Stuben D, In dießer Stub Cammer, In der Mägd Cammer, Im obern haußöhren, In der Wohnstuben, In dießer Stub Cammer, In der Cammer E, In der Cammer F, In der Cammer G, In der Stuben J, Vor dießem Gemach, Im Vordern haußöhrn, In der Speiß Cammer, In der Kuchen, In der Stuben K, In der undern Großen Stuben, In dem Frantzösischen Camin Gemach, In der neuen Stuben, In undern haußöhren, In der undern haußöhren Cammer
Im Hindern Hauß, Auff der bühn, In der Stuben L, In dießer Stub Cammer, In der schwartzen tuch Cammer, Auff dem Gang, In der undern Kuchen, Im Hoff, Im Keller, In der Cammer M
(f° 78) Eigenthumb ane Häußern (W.) Eine behaußung, hoff, hoffstatt ane der Schlauchgaß hind. der Gastherberg Zum Dannzapffen (…)
(Braunisch.) Eine Vord. v. hind. behaußung ane der Küeffergaß (…)
(E. Frauen Annæ Margarethæ Bembergin v. frauen Professorin Margarethæ Lederlinin conditionirtes prælegat) Der halbe theil ane j.t behaußung, hoffstatt, 2. höff. v. 2. bronnen, mit allen übrigen deren Zugehörungen, Gebäuen, begriffen, weith. v. Gerechtig Keiten, gelegen allhier zu Straßburg ane d. Schloßergaß, eins. neben herrn H. Altenburg. dem Silberarbeiter, and. seith neben Sr Cocard, hind. Zum theil auff E.E. Zunfft der Schmid Zunfftstub v. zum theil auff H. Challon stoßend, so freÿ, ledig v. eig., von (denen) Werckmeisteren weißt schein Vom 13. Maÿ 1721. angeschlag., umb 3350 lb. Daran Vor die hiehero gehörige helffte außzuwerffen 1575 lb. Der andere halbe theil war weÿl. fr. Catharinæ Brackenhofferin gebohrner Zeÿßolffin d. abgel. Fr. seel. Schwester auch seel. Zuständig, welche solche Ihres geweßenen Hn Eheliebsten in Künfftigen Ehen erziehlenden Kind. od. in langel deren deselben durch od. ohne testament Verlaßenden Erben legiret. Über diße behaußung besagt i. teutsch. pergam. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhang. Canc. Cont. Ins. verwahert, außweißend wie die quart davon in A° 1642 Von Hn Bernhard Friderich Prechtern, fürstlich Heßen darmstätt. Rath erkaufft worden, dat. den 13. apr. A° 1642. Dabeÿ 2. Extractus auß E.E. Kleinen Raths allhier Memorialj, Vom 28. v. 30. Sept. 1654. auch eine Copia eines papÿr. Vergleichs, Zwischen Hn. Friderich Prechter ane einem v. H. XV. Heinrich Prechtern am andern theil getroffen, deßen datum den 11.ten Aug. A° 1606. Und dann eine Copia jr. Kauff Verschreibung über das Prechterische hauß in der Schloßergaß alles mit ketzterm N° 35 signirt, so Hr Rathherr Elias Brackenhoffer in verwahrung haben wird.
(E., Conditionirte Stifft: und wohnung des der herren Pfarrer v. helffere wittfrauen zum Alten St. Peter) It. der halte theil ane j.r behaußung ane dem alten Weinmarckt gegen der Pfarrkirchen Zum Alten St Peter hienüber (…)
(Brackenhof., Frau Brackenhofferin seel. Stifftung Vor der herren Pfarrer und helffere wittfrauen zum alten St Peter) Der halbe Theil ane der Storckischen behaußung auff dem alten Weinmarckt gegen der Pfarrkirchen Zum Alten St Peter hienüber
(f° 80) Ergäntzung des H Wittibera ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ (durch) weÿl. H.. Andream Schmidten Notm. nun seel.in A° 1690 auffgerichtet
(f° 107) Copia der Verstorbenen Frauen seeligen auffgerichteten Testamenti solennis in scriptis. Ich Salome Kastin gebohrne Zeÿßolffin Herrn Johann Kasten, beÿder rechten Candidati und .E.E Kleinen Raths allhier Zu Straßburg vormahligen Actuarÿ, verlaßene Frau, urkunde und bekenne hiermit (…) Vor das dreÿ und dereÿßigste ist mein ernstliches begehren daß, wegen des mir gehörigen halben theils ane der sogenandten Storckischen behaußung (…) So beschehen in Löblicher Statt Straßburg in meiner ane der Schlauchgaß allhier ligenden Wohn behaußung auff Jahr und tags wie in der unterschrifft vermeldet – in Straßburg Montags den 7. Winter Monats Anno 1712.
(f° 127-v) Copia der Abgeleibten Frauen seeliger auffgerichtetem Nach Disposition (…) So beschehen in Straßburg den 10. Octobris Anno 1719
(f° 142) Copia der in Gott ruhenden Frauen vorherig. Nach Disposition beÿgelegter selbsthändig geschriebene Zweÿer Zedulen
(f° 146) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht wegen weÿland Herrn Daniel Braunen geweßenen handelsmanns und burgers allhier der abgeleibten frauen seel. erstern Eheherrn auch sel. Verlassenschafft
des herren Wittibers ohnverändert, Sa. haußraths 178, Bibliotheca 5, Lähre Vaß 69, Silbergeschirr 87, Guldene Ring 65, Baarschafft 250, Pfenningzinß hauptgüter 504, Gülth von liegenden güthern 7, Eigenthumb ane häußern 3740, Ergäntzung (3195) 699, Ergäntzung Herrn Daniel Braunen 2419, Summa summarum des herrn Wittibers (guth) 5609 lb – Schulden 338, Nach deren Abzug 5270 lb
Hierauff wird nun der abgeleibten frauen seeligen hinderlaßene ohnveränderte eigenthümliche Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 970, Bibliotheca 18, Gutsch sambt darzu gehörigen geschirr 2, Lähre Vaß 21, Silber geschirr und Geschmeids 975, Goldene Ketten, Armband, Ring, Perlein 641, baarschafft 814, Pfenningzinß hauptgüter 2512, Gülth von liegenden güthern 70, Eigenthumb ane einer Matt 125, Eigenthumb ane Häußern 3105, Schulden 671, Ergäntzung (3251, Abgang 1139, Rest) 2111, Summa summarum 12 042 lb
Endlichen wird auch das gemein Verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. haußraths 226, Bibliotheca 30, Früchten 105, Wein 168, Silber geschirr und Geschmeids 84, Goldene Kett, ring und gergleichen geschmeids 62, Pfenningzinß hauptgüter 250, Schulden 689, Summa summarum 1615 lb – Schulden 3311, In Vergleichung Theilbares passiv onus 1696 – Stall Summ 14 594 lb
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Edlen Vest und Wohlgelehrten Herrn Johann Kasten E. E. Kleinen Raths wohlverordneten Actuario des Wohl Edel Vest, Frommen, Fürsichtig, hochgelehrten und wohlweisen Herrn Johann Philipp Kastens, J. Cti. und des beständigen, Regiments der herren XV. beÿsitzers allhier zu Straßburg ehelichem Sohn, alß dem herrn Brautigams ane einem, So dann der Edeln und tugendreichen Frauen Salome gebohrner Zeÿßolffin weÿl. des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Daniel Braunen gewesenen handelsmanns und burgers alllhier seeligen nachgelaßener Frau Wittibin, alß der Frau hochzeiterin am anden theil – So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Donnerstag den 2.ten Februarÿ a° 1690.

Salomé Zeyssolff a épousé en premières noces le marchand Daniel Braun en 1673 puis le greffier Jean Kast en 1690.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 157 n° 47)
1673. Hr Daniel Braun der ledige Handelsmann, Hn Daniel Braunen auch gewesenen Burg. undt Handelßmanns allhie, nunmehr seel. hinterl. Ehelicher Sohn, unndt Jf. Salome, Hrn Johann Ludwig Zeÿsolphs Burgers unndt Handtelsmann allhier Ehel. Tochter. Mittw. 16. Oct. (i 158)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 171) 1673. Dom: XIX post Trinit: Zum 2 mahl Hr Daniel Brau der handelßmann Weiland Hn Daniel Braunen gewesenen handelßmanns v. Burgers nachgelaß: ehel. Sohn, Jfr. Salome Hr Johann Ludtwig Zeüsolphs Handelßmanns u. Burgers alhie ehel. T. Dienstags den 16.t 8.bris A. St. P. (i 173)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 22)
1690. Den 23. Febr A° 1690 seind von mir copulirt Worden Hrn Johannes Kast E.E. Kleinen Raths Wohl Verdienter Actuarius deß Wohl Edlen- Vest from- fürsichtig. Wohlweisen Und Hochgelehrten herrn Johann Philipp Kasten J. U. D. Undt des beständigen Regiments der herrn XV hochansehnlichen beÿsitzers ehelicher Sohn, Und Fr. Salome H Daniel Braunen Eisenhändlers Und Burgers alhie hinterlassene Wittib [unterzeichnet] Johann Kast alß Hochzeiter, Saloma Zeißolffin (i 24)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 169-v) 1690. Dom Invocavit. Zum 2. mahl Hr Johann Kast E.E. Kl. Raths Wohl Verdienter Actuarius des Wohl Edlen- from- fürsichtigen u. Wohlweisen herrn Joh: Philipp Kasten des beständigen Regiments d. herrn XV Mitglieds ehel. S., Fr. Salome Weiland H Daniel Braun Burger u. handelßm. nachg. W, Donnerst. den 23. Febr. Alt. St. Peter (i 171)

Anne Marguerite Engelbach femme d’Elie Brackenhoffer hypothèque la maison au profit du secrétaire des Quinze Jean Bernard Hennenberg

1721 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 147
Fr. Anna Maria Brackenhofferin geb. Engelbachin mit beÿstand H.n Elias Brackenhoffers E.E. großen Raths beÿsitzer ihres Hn Eheliebsten
in gegensein Hn Johann Bernhard Hennenberg der geheimen Collegÿ der Hn Fünffzehen Secretarÿ als mandatarÿ Hn Johann Michael Engelbach hochfürstl. Pfaltz: Bürckenfeldischen Rentmeisters zu Bischweiler und Fr. Annæ Mariæ Engelbachin geb. Langin – schuldig seÿen 1500 pfund
unterpfand, die helffe deßen behausung allhier cum appertinentÿs in der Schloßergaßen einseit neben H. Altenburger Silberarbeiter anderseit neben Coquard dem handelsmann hinten auff Hn Chalon zum theil theils aber E.E. Zunfft der Schmidt

Elie Brackenhoffer meurt en 1730 en délaissant trois enfants issus de sa veuve. La moitié de la maison appartient au défunt pour l’avoir rachetée des deux héritières testamentaires de Salomé Zeyssolff veuve Kast et l’autre moitié à ses enfants légataires de sa première femme Catherine Zeyssolff. Les trois enfants du défunt sont donc propriétaires de la maison entière. La masse propre à la veuve s’élève à 7536 livres. L’actif de la communauté et du défunt s’élève à 14 213 livres, le passif à 10 640 livres

1730 (24.4.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 29) n° 276
Inventarium über Weÿl. des Hoch Edel Gestreng Fürsichttig Hochgelehrt und hochweißen Herrn Eliæ Brackenhoffers der Statt Straßburg gewesenen hochverdienten Ammeisters und XIII.rs des beständigen geheimen Regiments wie auch beÿ Löbl. Universitæt hochansehnlichen Scholarchæ und Obern Kirchenpflegers zum alten St Peter nunmehr seel. andenckens Verlassenschafft – nachdeme derselbe den 5.ten nechst Verwichenen Monats Martÿ Von dem lieben Gott aus dießer Zeitlickeit in die seelige Ewigkeit Versetzet worden, Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Hoch Edlen und hochgelehrten Herrn Johann Thomæ Frölichs J.U. Lti und wohlbestellten Cancelleÿ Verwanthen, als geordnet und geschworenen Curatoris Jungfrauen Mariæ Salome, Eliæ IV.tæ Curiæ Discipuli und Johannis Jeremiæ Brackenhoffers VI.tæ Classis Discipuli, alle 3. des in Gott ruhenden Herrn Ammeisters mit der hoch edlen und hoch tugendgezierten frauen Anna Maria Brackenhofferin gebohrner Engelbachin deßelben gewesener Frauen Eheliebstin und nunmahlig hinterbliebenen frau wittib ehelich erzeugt Kindere und ab intestato Zu gleichen Antheilen Verlaßene Erben inventirt, durch Sie die erst hoch Edelgedachte Fr. Wittib mit assistentz des hoch Edlen und hochgelehrten Herrn Johann Bernhard Hennenbergs eines hochlöbl. Collegi derer Herrn XV. hochansehnlichen Secretarÿ Ihres geordnet und geschworenen Herrn Curatoris, desgleichen Annam Evam Fritzin die haußhälterin (…) geäugt und gezeigt
So angefangen in der Königl. Statt Straßburg auff Montag den 24.ten Aprilis Anno 1730.

In einer allhier zu Straßburg ane der Schloßergaß gelegenen in diese Verlassenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie volgt
(f° 10-v) Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, Im hindern haußöhren, In der Cammer B, Im großen haußohren, In der Cammer C, Auff der druckeneÿ, In der Magd Cammer, In der Stub Cammer, Im Haußöhren, In der Kuchen, Im Gewölb, Auff deren hindern Gängel, In der Bett Cammer, Im Keller, In der hindern Stub
(f° 47-v) Antheil ane einer behaußung. Die helffte Vor ohnvertheilt ane einer behaußung, hoff, hoffstatt, Zween höffen v. Zween bronnen, mit allen übrigen deren Zugehörungen, begriffen, weithen, rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Schloßergaß, einseith neben herrn Andrea Altenburger dem Silberarbeiter, anderseith neben Herrn Cocard, hinden zum theil auff E.E. Zunfft der Schmid Zunfft stub und zum theil auff H. Rathh. Challon stosend, so freÿ ledig und eigen, welche helffte umb den nemblichen preiß wie Sie dem seeligen H. Ammeister Von Weÿl. Frn: Salome Kastin gebohrner Zeÿßolffin auch weÿl. H. Johann Kasten E.E. Kleinen Raths hiebevorigen Actuarÿ geweßener Ehegattin als sein des H. Ammeisters ersterer Fr. Eheliebstin eheleibl. Schwester seel. legiret, auch von Ihme dem H. Ammeister baar bezahlet, obwohlen Sie dermalen durch die herren Werckmeistere nicht so hoch æstimirt in Außwurff Zubringen beliebet worden nemblichen umb 3000fl. oder 1500 lb. Über solche legirte haußhelffte besagt gedachter fr. Kastin den 7. sept. A° 1712. Vor Weÿl. Notario Joh: Reinhard Langen nun seel. auffgerichtetes Testamentum solenne in scriptis und sonderheitlich auch deroselben Vor Ihme Not. Langen den 10. Oct: A° 1719. gestifftete Nach Disposition §° 48. Krafft deßen erwehnte haußhelffte auff sein des seeligen H. Ammeisters nunmehro erfolgt.es absterben, auff Jungfrau Mariam Salome Brackenhofferin deßen tochter umb vesagten preiß der 3000 Gulden eigenthümbl. Kommen und gelangen solle. Wie aber der seelige Hr. Ammeister Vorberührte 3000 Gulden Frauen Annæ Margarethæ gebohr. Miuillin, so erstmals ane H. Joh: Friderich Bemberg den handelsmann Verheurathet ware, nunmehro aber mit H. Johann Heinrich Böcklern J.U. Doct. Profess. publ. in ehelm. bande stehet, und dann fr. Annæ Margarethæ Lederlinin geb. Saltzmännin H. Joh: Heinrich Lederlins Linguarum orient: Profess. publ. frauen Eheliebstin als welchen beeden solche summ von gedachter fr. Kastin prælegirt waren baar bezahlt, weißet eine Vor mir Notario alß Kastischen Inventir schreibern passirte Verschreib: und respect. quittung de dato 15.te Martÿ A° 1721. Der übrige halbe theil ane solcher behaußung ist des Hn Ammeisters seel. dreÿen Kindern ins gemein Von deßen erstern fr. Eheliebstin längst seel. legirter maßen gehörig auch hernach dero übrigen Legatis beÿgesetzt zuersehen. Über die Völlige behaußung aber sagt ein teutscher pergamentener mit der Statt Straßburg anhang . Canc. Contract Ins. verwahrt, außweißend wie die quart davon in A° 1642 Von Hn Bernhard Friderich Prechtern, fürstlich Heßen darmstättischen Rath erkaufft worden, dat. den 13. apr. A° 1642. Dabeÿ 2. Extractus auß E.E. Kleinen Raths allh. Memoriali Vom 28. v. 30. Sept. 1654. auch eine Copia eines papÿr. Vergleichs Zwischen H. Friderich Prechter ane einem v. H. XV. Heinrich Prechters ane dem andern theil getroffen deßen datum den 11.te aug. A° 1606. Und dann eine Copia einer Kauffverschreibung über das Prechterische hauß in der Schloß. gaß de dato 29. Dec: A° 1652.
(f° 57) Ergäntzung der Frau wittib ohnverändert Guths, Vermög Inventarÿ über Ihro der Frau wittib in die The gebrachte Nahrung durch mich Notm. in Anno 1723 auffgerichtet
(f° 60) Series rubricarum hujus Invent. Copia der Eheberedung, Copia Codicilli reciproci
Bericht wegen dießer Verlassenschafft
Der Frau Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 46, Sa. goldener Ketten Ring, Peerl. 310, Sa. baarschafft 182, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2622, Sa. Gülth von liegenden güthern 170, Sa. Eigenthums ane Matten zinnß 44, Sa. Schuld 44, Sa. Guths Ergäntzung (3928, Abgang 18, verbleibt) 3910, Summa summarum 7536 lb
die übrige sowohl dem seeligen H. Ammeister vor ohnverändert gehörig geweßte alß theilbare rubricen in ansehung die fr. Wittib auff der Errungenschaft gäntzl. renunciret, beliebter Kürtze halben unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 595, Sa. früchten 134, Sa. Wein und lährer Vaß 876, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 258, Sa. gold. Ketten Ring, Peerl. 57, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 9337, Sa. baarschafft 1000, Sa. antheils ane einer behaußung 1500, Sa. Schulden 452, Summa summarum 14 213 lb – Sa. schulden 10 640 lb, Nach deren Abgang 3573 lb – Gantze Verlassenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 24 004 lb
Legata, so offt wohl Ehrngedachte frau Catharina Brackenhofferin des seel. herrn Ammeisters ersetere fr. Eheliebstin längst seeligen deßelben Kindern und Erben eigenthümlich legiret Ihme aber den lebenlänglichen genuß davon Verordnet – meinem Ehegatten als wÿdembs nießern belieben werden, 4000 Gulden, und dann meine helffte ane der behaußung hoffstatt und zween brönnen, mit allen übrigen ihren Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg, ane der Schloßergaßen, einseith neben herrn Johann Christoph Güntzern Königlichen frantzösischem Lieutenant anderseith neben Herrn Theophili Golen des goldschmids geschiedener Frauen, hinden zum theil herrn Johann Philipp Zeÿßolffen den handelßmann und zum theil auff E.E. Zunfft der schmidt Zunfftstub ziehend
Wÿdemb, Welchen der seelige Hr. Ammeister Von weÿl. Fraien Annæ Elisabethæ Brackenhofferin, gebohrner Harnisterin seiner zweÿten fr. Eheliebstin seel. lebtägig genoßen, Vermög Inventarÿ Ihro Frawen Annæ Elisabethæ Brackenhofferin seel. Verlassenschafft durch H. Not. Jacob Christoph Pantrion in A° 1716. auffgerichtet

La veuve Brackenhoffer loue une partie de la maison aux marchands Alexandre Salomon Reichard et Jean André Clemen

1732 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 481-v
H. Johann Bernhard Hennenberg Fünffzehen Secretarius als Curator und Mandatarius S.T. Fr. Annæ Mariæ geb. Engelbachin weÿl. S.T. H. Eliæ Brackenhoffer gewesten alten Ammeisters dreÿzehners und Scholarchæ hinterbliebenen Fr. Wittib
in gegensein H. Alexander Salomon Reichard und H. Johann Andreæ Clemen des Jüngern beeder handelsleuth
In ihrer allhier ahne der Schloßergaß einseit neben H. Andreas Altenburger Silberarbeiter anderseit neben Coquard dem handelsmann gelegenen behausung, Im dem großen Steinernen großen gebäu unten auff dem boden die große Stub so die Fr. verlehnerin auff ihre cösten mit einer diehlen wand zu separiren und die dreÿ vorderer Fenster zu vergrembßen verspricht, hinden daran das frantzösische gemach gerad über eine Stiege hoch die große Stub so die Fr. verlehnerin ebenmäßig separiren zu laßen zusagt, wie auch die helffte der darneben befindlichen Cammer, welche mit einem underschlag auff obgedachten weiß unterschieden werden solle, Mehr zweÿ stock hoch zweÿ beschlüßige auff den Vordern hoff sehende neben einander liegende Cammern, Ferner in eben dießen gebäu auff dem boden gegen der großen stub über, ein kleines auff der Vordern hof sehendes Spänen Kämmerlein In dem seithen gebäu an H. Altenburgers behausung auff dem boden die neue Stub und daran befindliche Kuche, jedoch mit dem vorbehalt, daß der Fr: Verlehnerin oder denen jeweiligen innwohnern des übrigen nicht verlehnten theils sothaner behausung erlaubt sein solle, des in dießer Kuchen befindlichen Bauch Keßels sich zu denen waschen so offt es nöthig zu bedienen, Item in dem rechten seiths befindlichen großen gebäu auff dem boden die in die Schloßer gaß sehende große waaren Kammer und in dem darunder befindlichen gewölbten Keller einen unterschiedenen platz umb 300 ohmen wein darin legen zu können und endlich in dem hindern hoff zweÿ Schöpff umb holtz und wellen dahin legen zu können – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von weÿnachten fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 80 pfund

Le banquier Jean Daniel Stædel et Marie Salomé Brackenhoffer (fille d’Elie Brackenhoffer) louent une partie de la maison au marchand Paul Grandval

1755 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 23
H. Johann Daniel Städel der banquier als ehevogt Fr. Maria Salome geb. Brackenhofferin
in gegensein H. Paul Grandval des handelsmanns
in einer ane der Schloßergaß gegen der ville de Lyon über gelegenen behausung, daran der Fr. verlehnerin 2/3 theil eigenthümlich gehören, unten auf dem boden recher hand im hoff eine stub und kuchen, deren sie aber auch Fr. Bischoff zur zeit da sie eine wasch zumachen hat bedienen kan, einen großen salle nebst einer daran befindlichen kammer, den hindern hoff samt dem schopff um holtz darinn zu legen samt dem gesindstübel so sich da befindet, darunter den großen gewölbten keller auf dem zweÿten die zweÿ kammer so H. Venier innen gehabt und die über dießer lehnung befindliche bühnen, so aber zur kriegs zeit wieder mußen abgetretten werden, wofern er solche vor seinen gülteuth und deren effecten bedienen kann, ferner auf den hoff lincker hand das magazin wie es jetzo ist und der durchfahrt sich zu bedienen mit der condition einen freÿen passage vor eine persohn daron zu lassen – vor 3 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Annunciationis Mariæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 344 livres tournois

Jean Daniel Stædel et Marie Salomé Brackenhoffer louent une partie de la maison au prédicateur luthérien Jonathan Rhein

1761 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 149-v
H. Johann Daniel Städel der banquier als ehevogt Mariæ Salome geb. Brackenhofferin, S.T. H. XV Elias Brackenhoffer und deßen bruder S.T. H. Jeremias Brackenhoffer Prof. math.
in gegensein H. M. Jonathan Rhein des evangelischen frantzösischen predigers
entlehnt, in ihrer ane der Schloßergaß gelegenen behausung auf dem boden eine stub nebst einer kuchen, einem großen saal samt darinnen sich befindlichen caminspiegel und einem großen camin cammer darneben und haußehren samt dem gesinds cämmerlein im hintern hoff und zweÿ offenen plätze für das holtz zu legen und einen darneben mit vier liegerlingen unterschlagenen keller auf dem ersten stock im haußehren eine große stub eine camin cammer mit einem gegoßenen offen und einem nebens cammer auf dem zweÿten stock, ein haußehren nebst zweÿ cammern und die darüber sich befindliche fruchtkästen – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Joh. Baptistæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 65 pfund

Jean Daniel Stædel au nom de sa femme et de ses beaux frères loue une cave au marchand Claude Henry Lanfrey

1761 (20.5.), Me Humbourg (6 E 41, 105)
Bail pour neuf années qui commencent a la St Jean Baptiste prochaine – Sr Jean Daniel Staedel tant en qualité de mary et légitime administrateur des biens de De Marie Salomé née Brackenhoffer pour deux tiers que pour et au nom de M. Elie Brackenhoffer, assesseur a la Chambre de Messieurs les XV de cette ville pour un sixième et M Jean Jeremie Brackenhoffer, chanoine à St Thomas et professeur Royal des mathematiques, aussi pour un sixième
au Sr Claude Henry Lanfrey Marchand bourgeois de cette ville
la grande cave voutée et Les deux Magazins au Rez de chaussée dans la maison appartenante à le De Staedel et aux Sr Brackenhoffer en cette ville de Strasbourg rue des serruriers vis à vis la ville de Lyon – moyennant un loyer annuel de 180 livres

Jean Daniel Stædel au nom de sa femme et de ses beaux frères loue une partie de la maison à l’orfèvre Jean Sigismond Graffenauer

1763 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 33
H. Johann Daniel Städel der banquier als ehevogt Fr. Mariæ Salome geb. Brackenhofferin, S.T. H. XV. Elias Brackenhoffer und S.T. H. Johann Jeremias Brackenhoffer prof: math:
in gegensein Johann Sigmund Graffenauer des goldarbeiters
verlühen, in ihrer ane der Schloßergaß gelegenen behausung, unten auf dem boden ein großes holtzhaus, einen großen unterschlagenen keller, den gemeinschafftlichen gebrauch des bauchkeßels, auf dem ersten stock eine stub, stub kammer, kuche auf die gaß sehend, im mittelhauß ein haußehren nebst dreÿ kammern, im hintern hauß ein stub und ein küchel, auf dem zweÿten stock den gemeinschafftlichen gebrauch der großen truckereÿ nebst verschiedenen kammern so Fr. Bischoff inne gehabt und die große bühn im vordern hauß – auff sieben nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Johannis Baptistæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 45 pfund

Jean Sigismond Graffenauer sous-loue une partie des localités au boutonnier Jean Georges Klein

1763 (22.10.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 536
H. Johann Sigmund Graffenauer der goldarbeiter
in gegensein H. Johann Georg Klein des knopffmachers
lehnung, in der Brackenhofferische ane der Schloßergaß gelegene behausung auf dem ersten stock eine stub und stubkammer samt einer kuch und dreÿ anderen kammern, den halben keller und platz für holtz zu legen – vor sieben nacheinander folgenden jahren, anfangend von verfloßenen Johannis Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund

Jean Daniel Stædel au nom de sa femme et de ses beaux frères loue une partie de la maison au syndic de la noblesse de l’Ortenau Thiébaut Frédéric Schœll

1764 (13.12.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 788
H. Johann Daniel Städel der banquier als ehevogt Fr. Mariæ Salome geb. Brackenhofferin, S.T. H. XV. Elias Brackenhoffer und deßen bruder S.T. H. Johann Jeremias Brackenhoffer prof: math:
in gegensein H. Theobald Friedrich Schöll des Reichs Ritterschaffltich Ortenauischen syndici
verlühen, in ihrem ane der Schloßergaß gelegenen behausung, auf dem boden eine stub, nebst eine küche, ein großer saal samt dem darinnen sich befindlichen camin spiegel, einen großen camin cammer darneben und haußehren samt dem gesinds cammerlein im hintern hoff und zweÿ offenen plätzen für holtz zu legen und einem darneben mit vier liegerlingen unterschlagenen keller, auf dem ersten stock ein haußöhren, eine große stub, eine camin cammer mit einem gegoßenen offen und eine nebens cammer, auf dem zweÿten stock ein haußehren nebst zweÿ cammern und sich darüber befindlichen frucht kästen – auff fünff und ein halben nacheinander folgenden jahren anfangend auff instehenden weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 84 pfund

Nouveau bail entre les mêmes

1770 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 369-v
H. Johann Daniel Städel der banquier als Eheherr Maria Salome geb. Brackenhoferin ferner H. XV Elias Brackenhofer und S.T. H. Johann Jeremias Brackenhofer Prof. Math.
in gegensein H. Theobald Friderich Schoell, hochfürstl. Johanniter Mr. geheimden raths
entlehnt, eine behausung cum appertinentis neben Coniglianoischen erben ane der Schloßergaß gelegen nichts davon ausgenommen als dem großen gewölbten keller unten dem hauptgebäude und ein großes magazin in dem vorder und ein kleines in dem haupt gebäu – auff 6 nacheinander folgenden jahren angefangen auf in stehenden Michaelis – um einen jährlichen Zinß nemlich 144 pfund

Jean Daniel Stædel meurt en 1777 dans une maison rue de l’Outre. Il délaisse deux fils. L’inventaire décrit la maison dont sa femme est propriétaire par indivis rue des Serruriers. La masse propre à la veuve s’élève à 12 346 livres. L’actif de la communauté et du défunt s’élève à 9806 livres, le passif à 11 518 livres

1777 (12.5.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 421) n° 1368
Inventarium über Weÿland der Hoch Edlen und Hochachtbahren Herrn Johann Daniel Staedels, geweßenen vornehmen Bancquiers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1777 – nach deme derselbe dienstag den ersten Aprilis dießes lauffenden 1777.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch seinem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Hoch Edlen und hoch tugendgezierten frauen Mariæ Salome Staedelin gebohrner Brackenhofferinn der hinterbliebenen Frau Wittibn mit assistentz des Hoch Edel gebohrnen Vest Fromb, Fürsichtig, Hochweiß und hochgelehrtem Herrn Eliä Brackenhoffers, des beständigen geheimen Regiments der Herren fünff Zehen hochansehnlichen beÿsitzers, Ihres hochzüehrenden herrn bruders und hierzu in specie erbettenen herrn Beÿstandts, ingleichem des Wohl Edlen und Rechtsgelehrten Herrn Johann Daniel Saltzmann, Notarÿ jurati publici und berühmbten practici als geordnet und geschwornen Vogts herrn Johann Daniel und Herrn Johann Friderich derer Staedel, beeder Primæ Classis studiosorum, des in Gott seelig entschlaffenen mit hoch Edelernannter seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlter zweÿer herren Söhne und ab intestato Zu zweÿen gleichen portionen und Stammtheilern Verlaßener rechtsmäßiger Erben (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den Zwölfften Maji et sequentibus Anno 1777.

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem baarfüßer Platz neben dem dannzapffen gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
(f° 13) Eigenthumb ane einem Landguth Zu Northeim
(f° 14) Eigenthumb ane häußern (W.) Erstl. zween dritte theil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, hoffstatt, Zween höffen und Zween bronnen, mit allen übrigen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Schloßergaß einseit neben herrn Jeremia Eberhard Silberrad, E. E. großen Raths alten beÿsitzern, anderseit neben einer der fabric der Evangelischen Kirch Zu St: Niclaus allhier gehörigen behaußung, hinden zum theil auf E.E. Zunfft der Schmidt Zunfft stub und Zum theil auf herrn Philipp Jacob Karth den jüngern handelsmann stosend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und ist die gantze behausung durch (die Werckmeistere) Vermög überschickter schrifftlicher Abschatzung vom 9. Maji 1777. angeschlagen pro 2800. lb. Macht daran der hiehero gehörige zween dritte theil 1866. 13. 4. Und ist der übrige eine dritte theil S.T. Herrn Eliä Brackenhodder, des beständigen geheimen Regiments der Herren XV.n hochansehnlichem beÿsitzern und S.T. Herrn Johann Jeremiä Brackenhoffer, beÿ der Königlichen Ecole d’Artilleire und beÿ Löbl. Universitæt allhier Mattheseos hochbelobten Professori publico ordinario und des hochlöbl. Collegiat Stifft Zu St. Thomæ hochverdientem Canonico der Frau Wittib hochgeehrten herrn brüdern für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Ane dießer völligen behaußung hat die Frau Wittib die helffte Von Weÿland Frauen Salome Kastin gebohrner Zeÿßolffin auch Weÿl. Herrn Johann Kast .E. Kleinen Raths hiebevorigen Actuarÿ geweßener Ehegattin, als Ihres hochgeehrten herrn Vatters Weÿland S. T. Herrn Elias Brackenhoffers hießiger Statt hochverdienten Ammeisters, dreÿ Zeheners und Scholarchæ seel. ersterer Frauen Eheliebstin ehe leiblicher Schwester seeligen Vermög Ihres den 7. Septembris Anno 1712. Vor Weÿland Herrn Notario Johann Reinhard Lang seel. aufgerichteten Testamenti Solennis in scriptis und sonderheitlich auch der Vor gedachtem herrn Notario Lang den 10. Octobris Anno 1719. gestiffteten Nach Disposition §° 48. So dann einen Sechsßten theil von auch Weÿland Frauen Catharina Brackenhofferin gebohrner Zeÿßolffin Ihres hochgelehrten Herrn Vatters seeligen geweßener erstern Frauen Eheliebstin seeligen nach besag Ihres Vor ebenmäßig Weÿland Herrn Notario Johann Reinhard Lang seeligen den 4.ten Novembris Anno 1707 auffgerichteten Testamenti Solennis in Scriptis Legats weiße erhalten. Über dieße völlige behaußung besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahret, außweißend, wie die quart davon in Anno 1642. Von Herrn Bernhard Friderich Prechtern, Fürstlich Heßen darmstättischen Rath erkaufft worden, datirt den 13. Aprilis Anno 1642. Dabeÿ zween Extractus auß E: E: Kleinen Raths allhier Memoriali Vom 28. und 30. Septembris 1654. auch eine Copia eines papÿrenen Vergleichs, Zwischen Herrn Friderich Prechter ane einem und Herrn XV. Heinrich Prechter ane dem andern theil getroffen, deßen datum der 11.te Augusti Anno 1606. Welcher Vergleich nachgehends beÿ E: E: Großen Rath confirmirt worden. Ferner Copia einer Kauffverschreibung de dato 29. Decembris Anno 1652. So dann ist wegen denen in den hindern hoff aus der ehemalig. Chalonischen anjetzo Karthischen behaußung gehenden zweÿen Tag fenster ein Revers oder Vergönstigungs Schein Vorhanden de dato 1. Maji Anno 1722. Welcher den 13.ten Maÿ Anno 1763. wieder erneuert worden
(E.) It. eine behaußung nechst dem Pfenningthurn ohnfern dem baarfüßerplatz (…)
(E.) It. eine behaußung hoffstatt und höfflein ane St Elisabethen gaß (…)
f° 15 (E.) It. eine behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen, Zugehörden, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem sogenanden Thomansloch im Marbachsgäßel, einseit neben weÿland Johann Georg Morlock des Leinenwebers Wittib, anderseit neben Frauen Schmidin Wittib, hinden wieder auf dieselbe stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und durch besagte Herren Werckmeistern laut berührten Abschatzungs Zeduls vom 9.ten Maji 1777. geschätzt umb 125. Darüber meldet ein teutsch pergamentener Zinßbrieff mit Lorentz Hußen von Molßheim, Weinstichers und burgers allhier zu Straßburg Vor sich und im Nahmen Apolloniæ geborhener Schmidhartin, seiner ehelichen haußfrauen anhangendem eigenen Pitschier, wie auch herrn hildebrand Helden kaÿßerlichen Notarÿ anhangendem Insiegel versehen, datirt den 22.ten Octobris Anno 1583. dadurch ein pergamenten Transfix gezogen, mit gemeiner Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel corroborirt datirt den 23.ten Februarÿ Anno 1598. mit alten Nis 2. 3. 4. 6. 9. 29. 77. et 148. und Letzterm N° 33. bezeichnet.
(E.) It. eine behaußung höfflein und hoffstatt
– Abschatzung Vom 9.ten Maÿ 1777. Auf begeren Weÿland Herrn johann Danjel städel geweßenen alhiesigen burger und Banquier söllig hinderlaßene frau wittib und Erben ist Eine behaußung alhie in der statt straßburg auf dem barfieserplatz (…)
Der zweÿte begriff ist auch alhie in der statt straßburg in der schloßergaß gelegen Eins eÿts neben Herrn schaffner silber Rath andrer seÿts neben Einer behausung Zur fabric St. Claus gehörig und hinden auf E. E. Zunfft der schmitt stoßend gelegen solche behausung bestehet in Einen nebens und hinter gebäw, worinnen Etliche stuben fransosche Camin Kammern Küchen und Etlichen hauß Kammeren, ferner befindet sich Eine stallung und Remise darüber seÿe die dachstühl mit breidzigel belegt hat auch zweÿ gewölbte Keller hoff und brünen Vor und um fünff tausend sechs Hundert gulden (…)
Der Vierte begriff ist in der statt straßburg im Thomenloch im Marchbachs gäßel gelegen Ein seÿts neben frau Morlockin Wittib anderer seÿts und Hinten auf frau schmittin Wittib stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer stuben, Einer Kuchen und Zweÿ Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt hat auch Ein getremtes Kellerlein und gleiner hoff. Von uns unterschriebene der statt straßburg geschwohrnen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿ Hundert fünffzig gulden [unterzeichnet] Hueber, Götz Wmstr. Kaltner WMstr.

(f° 20) Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßenen Ehe Persohnen einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen de Anno 1736. aus dem in Weÿl. H Not. Joh: Daniel Lang den seeligen Schreinstub sich befindlich. Concept dh. H. Not. Zimmer expedirt
(f° 28) Series rubricarum hujus Inventarÿ.
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 77, Sa. Silbers 7, Sa. Goldener Ring 385, Sa. Antheils ane einer behausung 1866, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 291, Sa. Gülth von liegenden güthern 111, Sa. Schulden 1200, Erg. rest 2405, Summa summarum 12 346 lb
Dießem nach wird nun auch die völlige übrige Verlassenschafft so in ansehnung die Frau Wittib auf die Errungenschafft verzug gethan, denen herren Söhnen und Erben gebührig, beschrieben, Sa. haußraths 503, Sa. Fruchr 7, Sa. Wein und Lährer Faß 739, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 385, Sa. Goldener Ring, Peerlein und dergleichen Geschmeids 187, Sa. der Baarschafft 319, Sa. Eigenthumbs ane häußern 2121, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3883, Sa. Eigenthumbs ane einem Landguth Zu Northeim 897, Sa. Gülth von liegenden güthern 719, Sa. Schulden 41, Summa summarum 9806 lb – Schulden 11 518 lb, In Vergleichung, passiv onus 1711 lb
Stall Summ 9517 lb
Constitution de rente perpetuelle der Fraw Wittib ohnverändert 57, der Erben gehörig 57 lb, Zweiffelhaffte Schulden on das Erbe zugeltend 195
Copia der Eheberedung – (…) auff Freÿtag den 23. Monatstag Martÿ im Jahr (…) 1736, Johann Daniel Lang Notarius publicus juratus

Jean Daniel Stædel a épousé Marie Salomé Brackenhoffer en 1736 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Wohl Edlen und großachtbahren Herrn Johann Daniel Städeln dem jüngern ledigen Banquier und vornehmen burgern allhier weÿland des hoch Edelvest hochachtbaren und hochgelehrten Herrn Johann Friderich Städels Medicinæ geweßenen hocherfahrenen Doctoris und berühmten Practici auch vornehmen burgers allhier nun seelig mit der hoch Edlen und hoch tugendgezierten Frauen Agnes gebohrnen Richshofferin deßelben hinderlaßener Frau Wittib ehelich erzeugtem Sohn alß dem herrn bräuttigams ane Einem, So dann der wohl Edel und sehr tugendreichen Jungfrauen Mariä Salome Brackenhofferin weÿland des hoch Edlen gestrengen Fürsichtig Hochgelehrten und hochweißen Herrn Eliæ Brackenhoffers, allhießiger löblicher Statt Straßburg geweßenen hochverdienten Ammeisters und dreÿ Zeheners deß beständigen geheimen Regiments wie auch beÿ allhießiger Löbl. Universtæt hochansehnlichen Scholaerchæ und hochmeritirten Ober Kirchen Pflegers Zum alten St. Peter allhier seel. mit der hoch Edlen und hoch tugendgezierten Frauen Anna Maria gebohrner Engelbachin deßelben hinterbliebener Frau Wittib ehelich erzeugter Tochter als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil – Geschehen und verhandelt seind diße ding in der Königlichen Statt Straßburg auff Freÿtag den 23. Monatstag Martÿ im Jahr (…) 1736 [unterzeichnet] Johann Daniel Städel der Jünger Alß Hochzeiter, Maria Salome Brackenhofferin alß hochzeiterin – Johann Daniel Lang Notarius publicus juratus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 146, n° 551)
1736. Mittw. d. 18t Aprilis sind nach 2 mahl. Proclam. auff erlaubnuß deß Regirenden H. Ammeisters Herrlichkeit Zu Hauß ehelichen copulirt und eingesegnet worden H Johann Daniel Städel der leedige burger und Banquier alhier, Weÿl. H. Johann Henrich Städel hochberühmten Med. D. und Practici hinterl. ehel. Sohn, v. Jgfr. Maria Salome weÿl. S.T. H. Elias Brackenhoffer hochverd. Alten Ammeisters v. Scholarchæ und Ober Kirchenpflegers zum alten St Peter nachgelaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Städel alß hochzeiter, Maria Salome brackenhofferin alß hochzeiterin (i 150)

Marie Salomé Brackenhoffer meurt sans enfant en 1795 dans la maison place d’Armes
1795 (21 vend. 3, 1 frim. 3), Strasbourg 3 (8), Me Ensfelder n° 406 – enregistré le 1 frim. 3
Inventarium und Erörterung Weiland der burgerin Maria Salome Städel geb. Brackenhoffer längst weÿl. des burgers Johann Daniel Städel gewesenen handelsmanns Wittib Vermögens: Nachlassenschafft, nach Ihrem den 26. prairial vorigen Jahrs genommenen tödlichen hintritt, auf begehren burgers Jacob Friedrich Brackenhoffer der Verstorbenen Neveu und ab intestato gesetzmäßigen Universal Erben, angefangen den 21. vend. 3

Mobilien Verkauf 21 vend., 17 988 li, burger Brackenhoffer hat angenommen hausrath 1090 li (summa hausrath 19 642 li) silbers 603 li, Wein und Fäßen 1962 livres
Eigenthum ane einer behaußung. Nemlich eine gegen dem Paraden Platz über gelegen mit N° 39 bezeichnete behaußung bestehend in Vorder und Hinter Hauß höfen brunnen Stallung mit allen übrigen Zugehörden, Weithen, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten einseit neben der Gastbehausung zum blauen hechten der Helmstetterischen Erbin gehörig anderseit zum theil neben br Wolff dem bierbrauer vormalen der Gemeinde Straßburg Pfenningthurn gehörig und zum theil neben dem b. Pfeffinger Cafféesieder zum dann zapfen und hinten auf den br. Hervé stoßend, angeschlagen um die Summ welche br Lorenz Gintz der Sattler vermög Versteigerung Procès verbal vom 19 brumaire darauf gebotten nemlich 65 300 livres, darüber meldet Contract stub de 1. julÿ 1635 verfertihten Kaufbrieff und ein dergl. Kaufbrieff vom 20. junÿ 1729
Capitalien 23 430 li, Gültguthern 36 240 li, summa summarum 147 178 li – Legaten 7600 li, Nach deren Abzug 139 578 livres

Elie Brackenhoffer, Jean Jérémie Brackenhoffer et Marie Salomé Brackenhoffer veuve de Jean Daniel Stædel vendent 1 800 livres la maison au marchand Ferdinand Kolb et à Marie Charité Gretzinger

1779 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 89-v
SS. TT. H. XV. Elias Brackenhoffer, SS. TT. H. Johann Jeremias Brackenhoffer Mathematicæ Professor publicus ordinarius Capituli Thomani Canonicus, Fr. Maria Salome geb. Brackenhofferin weÿl. H. Johann Daniel Städel des handelsmanns wittib unter assistentz H. XV. Brackenhoffer ihres leiblichen bruders
in gegensein H. Ferdinand Kolb des handelsmanns und Mariæ Charitas Gretzingerin unter assistentz H. Hyacinth Johann Baptista Herve des handelsmanns und H. Johann Michael Saltzmann des schuhmachers
eine behausung, zween höffen, hoffstatt, zweÿ bronnen mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Schloßer gaß, einseit neben H. Exsenator Jeremias Eberhard Silberrad, anderseit neben der Fabric oder Kirch zu St Nicolaus zuständigen behausung, hinten zum theil E.E. Zunfft der Schmitt Zunfft stub zum theil H. Karth den handelsmann – woran verwittibte Fr. Städelin 2/3 theil das übrige 3.t aber ihren mitverkäuffern H. brüdern zuständig – um 1800 gulden

Ferdinand Kolb, fils du chef forestier de Weyersheim, devient bourgeois en 1767. Il demande d’abord un certificat à la tribu du Miroir pour pouvoir devenir bourgeois puis s’inscrit à la tribu. Il a fait son apprentissage à Haguenau auprès de Stanislas Beyer.
1766, Miroir (XI 278)
(f° 233-v) Donnerstags den 30. Octobris 1766. Vertröstung – Hr. Ferdinand Kolb der ledige Handelsmann, des H. Joh: Philipp Kolb zu Wihersheim zum hohen Thurn wohnhaften Königl. Oberförsters im untern Elsaß ehelicher Sohn, stehet vor producirt glaubwürdigen Lehrbrief vom 9. 8.bris 1754. Krafft deßen er die Handlung bei H. Stanislaus Beÿer und Comp. in Hagenau ordnungs mäsig erlernet hat, mit bitte: ihm Schein zu erteilen, daß man ihn dißorts leibzünftig. als Handelsmann annehmen wolle, solbald et das hiesige burgerrecht erlangt haben wird.
Nach eingesehenen producto und darauf gehaltenet Umbfrag, Erkannt Willfahrt
(f° 245-v) Montags den 16. Martii 1767. C. Leibzünftiger. Hr Ferdinand Kolb der ledige Handelsmann ist auf producirte Kanzlei: und Stallschein vom 1. und 4. hujus gegen Erlag drei Pfund Zehen Schilling Zunft gebühr, und Zwantzig fünf Pfund wegen nicht hier erlernter Handlung, leibzünftig als Handelsmann dißorts angenommen worden. prom. obed. und wolll Speditions: und Commissions: Handlung treiben.

1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 112-v
H. Ferdinand Kolb der ledige handelsmann von Weÿersheim zum hohen thurn gebürtig erhalt das burgerrecht ex speciali consideration umb den alten burgerschilling, will dienen beÿ EE Zunfft Zum spiegel, Jur. den 1. Martÿ 1767.

Marie Charité Gretzinger, catholique native de Mayence, devient bourgeoise en 1772 par son mari. Elle apporte une fille qui d’après le règlement ne devient pas bourgeoise. Le registre de traitement des demandes est conservé pour cette année.
1772, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 63
fr. Charitas Kretzingerin von Maÿntz gebürtig erhalt das burgerrecht von ihrem Eheherrn Ferdinand Kolb handelßmanns und burger, allhier umb den alten burger schilling, dero tochter aber Mariam Philipp. Charitas ist beÿ ordnung gelaßen, Will dienen beÿ E.E. Zunfft zum Spiegel. prom. den 21. Julÿ 1772

(VI 286 bis) p. 380 – Spiegel N° 1 den 6. July 177[2]
Fraw Maria Charitas gebohr. Kretzingerin Von Maÿntz gebürtig H. Georg Conrad Kretzinger des b. und handelsmann daselsbten ehel. to.
Dieße hat sich Vermög E.G. Erkandtnus Vom 8.ten Juny 1771 ane Joh: Ferdinand Kolb den b. und Handelßmann allhier Verheürathet, wie der Von Ihro Vorgewießene Copulation schein solches belehret.
Erweisset annoch durch Vorgelegte schein ihre Ehrl. Geburth Cath. Relig. und daß Ihres Sponsi Stall gebühr richtigkeit
500fl. baaren gelds hat sie dargewießen, und deßen wahren eigenth. mit Eyd verhartet.
Impl. bittet E: G: unterthänig. sie A Sponso um d. A: B: sch: d. burgerrechts zu Vertrösten
Recepta a sponso um d. A: B: sch. eod. die.

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 119)
Hodie 28 augusti anni 1774 baptisata est Maria Philippina Susanna filia Di Ferdinandi Kolb Civis et Negotiatoris et Mariæ Charitatis Gretzinger Conjugum hujus parochiæ nata pridie. Patrinus fuit D. Marcellus Caire civis et mercator hujas, Matrina D. Susanna Kretzinger moguntinæ vices gessit D. Philippina Caire filia patrini (i 61)

Ferdinand Kolb meurt en 1821 dans une maison grand rue
1821 (9.11.), Strasbourg 4 (11), Me Hatt n° 13 – enreg. 154
Inventaire de la succession de Ferdinand Kolb, négociant décédé le 16 septembre 1821 veuf de Marie Charité Gretzinger – à la requête de Philippine Charité Marie Anne Kolb épouse de Maurice Kolb, maire de la ville de Saverne, Marie Susanne Madeleine Kolb épouse de Gérard Jacob, négociant à Rheims représenté par Maurice Kolb, Georges Philippe Ferdinand Kolb, négociant, Théophile Antoinette Clementine Kolb, majeure en cette ville, Marie Charité Sophie Kolb épouse d’Adélaïde Louis Gabriel Lacombe, négociant, héritiers pour 1/5 de leur père

dans la maison mortuaire grand rue n° 136
mobilier : salle à manger au premier, salon à côté, chambre à toilette, chambre de la bonne, cabinet, dans le cabinet à côté, grand salon au premier, dans la chambre à coucher de M Lacombe, dans le vestibule. Au second étage dans le corridor, chambre bleue, chambre jaune, chambre à côté, chambre verte, chambre de la cuisinière, chambre aux provisons, cabinet à côté, chambre rouge, au second étage, chambre à côté
maison de derrière, chambre des domestiques, sur la cour, petite chambre des enfants, chambre de la vieille fenaille, au grenier, dans un petit cabinet, grenier le plus grand de la maison du milieu, chambre des domestiques au rez de chaussée, chambre à côté, buanderie, remise à côté, cabinet à côté de la cuisine, dans la cuisine, au grand magasin, cabinet à côté du bureau, à la cave, dans le vestibule au premier, 14 386 francs

Ferdinand Kolb et Marie Charité Gretzinger vendent 4 500 livres la maison à Jean Nicolas Pasquay. Le contrat passé devant notaire royal est enregistré à la Chambre des Contrats le 30 avril 1787 (vol. 661 f° 171-v)

1786 (2.6.), Me Lacombe (6 E 41, 202) n° 6
M. Ferdinand Kolb, négociant, et Marie Charité née Gretzinger
à M. Jean Nicolas Pasquay
une maison, deux cours, places et deux puits, en cette ville rue des Serruriers n° -, avec tous ses droits, appartenances, dépendances, bâtiment, constructions, aisances, commodités, d’un côté le Sr Silberrad Exsénateur, d’autre le Sr Oesinger négociant, derrière en partie tribu des maréchaux en partie Sr Karth – acquis à la Chambre des Contrats le 6 février 1779 – pour 18 000 livres

Jean Nicolas Pasquay loue une partie de la maison au brasseur Jean Jacques Lauth

1787 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 315-v
H. Johann Nicolaus Pasquay der handelsmann
in gegensein H. Johann Jacob Lauth des bierbrauers
in der ihme zuständig neu erbauten ane der Schloßergaß gelegenen behausung, entlehnt, den unter angeregter behausung auf der seite an H. exsenatoris Silberad behausung vorfindigen keller in dem der H. verlehner seine wasch bütten zu stellen – auff 9 nacheinander folgenden jahren von künfftigen Michaelis tag anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden

Réformé, Jean Nicolas Pasquay naît à Strasbourg en 1744. Il meurt célibataire en 1831
Baptême, Strasbourg (réf. f° 82), 1744 – Apr. d. 14, Herr Joseph Pasquay, burger und handelßmann, fraw Anna Maria Burj,
Testes H. J. Niclaus Schwartz v. Grünstatt, hr. Abraham Buschardt, Jun, fr. A. Catharin Gernler geb. Bischof
Infans Johann Niclaus (i 85)

Décès, Strasbourg (acte n° 242)
Déclaration faite le 5 Février 1831, du décès de Jean Nicolas Pasquay, agé de 86 ans 9 mois 21 jours né à Strasbourg, Rentier, non marié, domicilié à Strasbourg, mort le 4 du mois courant à cinq heures du soir dans la maison située N° 4 Quai St. Thomas, fils de feu Joseph Pasquay, Négociant, et de feu Anne Marie Bury – [in margine :] Asthme (i 69)

Me Zimmer, 3.6.1833, Strasbourg 10 (87), les cinq parties comparant ont déclaré qu’ayant été instituées par Jean Nicolas Pasquay aux termes de deux testaments olographes du 4 mai 1811, 4 mai 1830 déposés Me Zimmer 24 deux 1831 et Testament 15 juin 1829, 9 mars 1830

Jean Nicolas Pasquay expose la maison aux enchères sans qu’aucun amateur ne se présente

1795 (7 brumaire 4), Strasbourg 1 (10), Me Lacombe n° 9 – Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 43-v du 11 fri 4
le Cit. Nicolas Pasquay negociant en cette ville
vente aux encheres volontaire au plus offrant et dernier encherisseur de la maison du requerant sise en cette commune rue des serruriers N° 26, ladite maison a été mise en vente a 50 000 livres
personne ne sur Encherit – le 18 brumaire, Cit. Fauche, 3 500 000 livres, (signé) Louis Fauche boulanger

Jean Nicolas Pasquay et Marguerite Salomé von Carben veuve de Jérémie Brackenhoffer échangent leurs maisons rue des Serruriers, situées l’une en face de l’autre.

1795 (11 frim. 4), Strasbourg 1 (10), Me Lacombe n° 17 – Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 43-v du 11 frim. 4
Echange – C. Jean Nicolas Pasquay Cultivateur demeurant en cette commune d’une part
et Jacques Frédéric Brackenhoffer C.en officier municipal de cette commune pour et au nom de Marguerite Salomé Carben sa mere veuve Brackenhoffer
1. le C. Pasquay cede a ladite veuve Brackenhoffer La maison qui appartient aud. Pasquay en cette ville de Strasbourg rue des serruriers N° 26 ainsi que ladite maison se contient et se comporte appartenances aisances et dépendances, tenant d’un côté au C. Silberad d’autre C. Oesinger parderrière en partie a la ci devant tribu des Marechaux et en partie sur le C. Karth, avec droits servitudes actives et passives, extrade notamment le titre d’aquisition devant led. notaire le 2 juin 1786 et celuy de ses vendeurs passé en a Chambre des Contrats le 26 février 1779
Et le C. Brackenhoffer cede au C. Pasquay La maison appartenante a lad. sa mere sise rue des serruriers N° 6 d’un côté la rue de la lie d’autre la famille de Braun derrière la famille Papelier, appartenances aisances et dépendances,
plus 12 arpents de terres labourables au ban de Schiltigheim
sans soulte, estimées 60 000 livres (Joint) Clause et contrat de vente de la vente de la Maison du C. Pasquay, meubles)

Jean Jérémie Brackenhoffer, professeur à l’école d’Artillerie, épouse en 1754 Marie Cléophée Goll à Colmar : contrat de mariage, proclamation de mariage
Contrat de mariage – Le sieur Jean Jeremie Brackenhoffer Professeur Royal d’Artillerie et en l’université de Strasbourg fils majeur dans de feu le Sieur Elie Brackenhoffer vivant ameistre de la ville de Strasbourg et de Dame Anne Marie Engelbach ses père et mère, Et le Sieur Jean Jacques Goll bourgeois de cette ville de Colmar y demeurant stipulant pour Demoiselle Marie Cleophé Goll sa fille mineure dans – Passé à Colmar le 26 May 1754, Besson, Notaire, Drouineau, Notaire

Procl. Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 324)
1754 – Montag d. 10. Junj seind H. Professor Joh: Jeremias Brackenhofer undt Jfr. Maria Cleophe Gollin zu Colmar copulirt und eingesegnet worden. (i 329)

Marie Cléophé Goll meurt en 1755 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé rue des Serruriers
1755 (4.11.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 384) n° 634
Inventarium über Weÿland der Hoch Edelgebohrnen und Hoch tugendbegabten frauen Mariä Cleophe Brackenhofferin gebohrner Gollin, des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten Herrn Johann Jeremiä Brackenhoffers, beÿ der königlichen Ecole d’Artillerie, wie auch beÿ Löbl. Universitæt allhier Matheseos hochbelobten Professoris publici ordinarii und Vornehmen burgers allhier zu Straßburg geweßener hertzlichen geliebter Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen ohnveränderte Verlassenschafft – nach deme dieselbe Sambstags den 23.ten augusti dießes lauffenden 1755.sten Jahrs durch einen seeligen tod von dießer Welth abgefordert worden, nach solch Ihrem seeligen Absterben für ohnverändert zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlassenschafft auf gebührendes Ansuchen und Begehren Voehoch Edelgedachten Hn Professoris Brackenhoffers des hinterbliebenen herrn Wittibers wie auch des hoch Edel Vest und hochgelehrten Herrn Johann Thomä Frölichs J.V. Lti und des lochlöblichen Stiffts St. Marx wohlbestellten Schaffners auch Vornehmen Burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Jacob Jeremiæ Brackenhoffers der hochseelig Verstorbenen Frauen Professorin mit Vorhoch edel ernannten Ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erziehlten einigen Söhnleins und ab intestato verlaßenen Universal Erben ersucht und inventirt – so beschehen auf Dienstag den 4. novembris anno 1755.
Bericht und Respective Declaration wegen der Errungenschaft

In einer allhier zu Straßburg an der Schloßer gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 12) Eigenthumb ane Reeben Gärthen, hanff stücken und Mattern So der hochseeligen Frauen Professorin beÿ groß Elterlicher Abtheilung durch das Looß zugekommen (Collmarer banns) – ane einer behaußung, in der Statt Collmar
(f° 18) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der heuraths Verschreibung
Beschreibung der Frauen Professorin ohnveränderter Verlassenschafft, Sa. hausraths 353, Sa. Goldengeschmeids 558, Sa. Schuld 750, Summa summarum 1661 lb
diejenige Rubricen welche von der Fraun Professorin Groß Elterlicher und Mütterlicher Erbschafft auch Vätterlicher Ehesteur herrühren und Woran dieselbe dem herrn Professori als Ihrem hinterbliebenen herrn Wittiber nach besag der Eheberedung §° 7.mo die helffte eigenthümlichen doniret hat beschrieben, Sa. hausraths 251,Gülthen 2707, Sa. Eigenthums ane Reeben, Gärthen auch hanffstücken und Matten 2750, Sa. ane einer behausung Nihil, Sa. Schulden 427 lb, Erg. Rest 11 984, Summa summarum 18 147 lb, daran Ihrem wittiber die helfte eigenthümlichen donirt 9073 lb
dem Söhnlein mütterlicher Erbschafft 10 734 lb
Wÿdemb Welchen Herr Johann Jacob Goll Vornehmer burger in Collmar der seeligen Frauen Professorin geliebter herr Vatter Wegen dießer seiner Frau tochter noch Lebtägig zu genißen hat
Contrat de mariage – (…) – Passé à Colmar le 26 May 1754, Besson, Notaire, Drouineau, Notaire

Jean Jérémie Brackenhoffer se remarie en 1757 avec Marguerite Salomé von Carben, fille de greffier : contrat de mariage, célébration
1757 (13.4), Me Dinckel (6 E 41, 426) n° 286
(Eheberedung) zwischen dem hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten Herrn Johann Jeremia Brackenhoffer, beÿ der Königlichen Ecole d’Artillerie Wie auch beÿ hoch löbl. Universitæt allhier Matheosos hochbelobtem Professore publico ordinario und des hoch Löbl. Collegiat Stiffts zu St: Thomæ hoch Verdientem Canonico auch Vornehmen burgern allhier zu Straßburg
so dann der hoch Edlen und hoch tugendgezierten Jungfrauen Margaretha Salome von Carben, Weÿland des hoch Edel Vest und hochgelehrten herrn Johann Peter Von Carben, Juris utriusque Licentiati und E.E. Kleinen Raths geweßenen hochverdienten Actuarÿ und Vornehmen burgers allhier nunmehr seeligen hinterlassener mit Frauen Catharina Elisabetha gebohrner Leiterspergerin seiner hinterbliebenen Frau wittib ehelich erziehlter Jungfer tochter

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 351)
1757 – Dienstag d. 3. Maji seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden S.T. H. Joh: Jeremias Brackenhofer beÿ hiesiger Universitat Mathem. Prof. P O wie auch Mathes. Prof. Regius Cap. Thom. Can. W. und b. allh. und S.T. Jfr. Margaretha Salome weÿl. ST H Joh: Peter von Carben E.E. Kleinen Raths Actuatii und b. allh. hinterlassene ehl. tochter – [unterzeichnet] Jeremias Brackenhoffer als hochzeiter, Margaretha Salome Von Carben als Hochzeiterin

L’inventaire de leurs apports est dressé dans une maison rue des Serruriers
1757 (15.9.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 390) n° 737
Inventarium über der HochEdlen und Hoch tugendbegabten Frauen Margarethä Salome Brackenhofferin gebohrner von Carben, des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten herrn Johann Jeremiä Brackenhoffers, beÿ der Königlichen Ecole d’Artillerie wie auch beÿ Löbl. Universitæt allhier Matheseos hochbelobten Professoris publici ordinarii und des hoch Löbl. Collegiat Stiffts zu St: Thomæ hoch Verdienten Canonici auch Vornehmen burgers allhier zu Straßburg Frauen Ehegemahlin zu hoch Edelgedachtem Ihrem herrn Ehegemahl für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung – welche der Ursachen, all dieweilen in dero mit einander aufgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß die beederseits in die Ehr bringende Nahrungen reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben sollen
so beschehen in fernerm beÿsein der hoch Edlen und hoch tugendbegabten Frauen Catharinä Elisabethä von Carben gebohrner Leiterspergerin Weÿland des hoch Edel Vest und hochgelehrten herrn Johann Peter Von Carben, J.V. Lti und E.E. Kleinen Raths geweßenen hochverdientenen Actuarii auch Vornehmen burgers allhier hinterlassener Frau Wittib, der Frauen Professorin hochgeehrten Frau Mutter, ingleichem des hoch Edel Vest und hochgelehrten Herrn Johann Friderich Keß J.V. Lti und des hoch Löbl. Collegii derer Ober Cancelleÿ herren Wohl bestellten Secretarÿ Ihres geschwornen noch ohnentledigten herrn Vogts, auf Donnerstag den 15. Septembris Anno 1757.

In einer allhier ane der Schloßergaß gelegenen Von Eingangs hoch Edel gedachten beeden Ehe Persohnen bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einem Meÿerhoff und darzu gehörigen Liegende Gütheren, Neml. der in der Ruprechtsau im auel gelegene Meÿerhoff (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Frauen Professiorin in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 307, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 184, Sa. Goldener Ring 1629, Sa. baarschafft 51, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3500, Sa. Eigenthums ane einem Meÿerhoff 3000, Summa summarum 8673 lb – haussteuren helfte 176 lb, summa 8849 lb

Marguerite Salomé von Carben loue une partie de la maison au marchand Jean Georges Schertz

1795 (11 frim. 4), Strasbourg 9 (2, nouv. cote 4), Me Dinckel n° 952 – Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 49-v du 12 frim. 4
Lehnung – die b. Margaretha Salome Carben Weil. des b. Johann Jeremias Brackenhoffer gewesten Professoris dahier Wittib beiständlich des b. Jacob Friedrich Brackenhoffer Mitglieds der hiesigen Municipalität ihres Sohns
in gegensein b. Johann Georg Schertz handelsmanns
denen der Verlehnern eigenthümlich zuständigen ane der Schloßergaß gegen dem drusengäßlein dahier einseit neben b. Silberrad anderseit neben Oesingerischen Erben gelegen haus N° 26 vorfindigen Laden oder Magasin im hof rechter hand langs neben Silberradichem haus nebst dem unter sothanen haus vorhandenen q. Laden, auf 8 nacheinander folgenden jahren auf innstehenden 5. Nivose anfangend – q. gewölbten – um einen jährlichen Zinß nemlich 360 livres

Marguerite Salomé von Carben meurt en l’an IX en délaissant un fils, Jacques Frédéric Brackenhoffer qui hérite de la maison

1801 (29 floreal 9), Strasbourg 3 (23), Me Übersaal n° 693, 860 – Enregistrement de Strasbourg, acp 78 F° 78 du 1 prai. 9
Inventarium über weÿl. Frau Margaretha Salome Brackenhoffer geb. Carben weÿl. Johann Jeremias Brackenhoffer gewesten Professoris der Mathematik hinterbliebenen Wittib Verlassenschafft, nach ihrem den 6. frimair dieses laufenden Jahr erfolgten Absterben, auf ansuchen des brs Jakob Friedrich Brackenhoffer, Juris-Consulti und Präfektur Raths des Niederrhienischen departements, deren hinterlassenen Sohns als Universal Erbens

in der an der Schloßergaß gelegen hernach eingetragenen behausung N° 26
hausrath : Kleidung, Silber, Gold, Summa Mobilien und Effecten 3829 lb
Eigenthum an einer behausung, Nämlich ane behausung mit N° 26 bezeichnet samt allen derselben Gebäuden, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der Schloßergaß einseit neben des weÿl. brs Slberrad Rechtsgelehrten Erbschaft neben dem br. Oesinger handelsmann hinten zum theil auf den br. Dupont und zum theil ehemals auf den br. Karth handelsmann – davon sind zweÿ Magasins an den br Johann Georg Schertz handelsmann verlehnet um 360 fr
die übrige Wohnungen der völligen behausung aber sind von der Verstorbenen und ihrem Sohn als universal erb selbst besessen und genossen worden evaluirt ad 1200 fr, summa 1560 fr, in Capital 31 200 fr – darüber lautet ein tausch Contract zwischen der Erblasserin und dem br. Johann Niclaus Pasquay Ackersmann vor Notario Lacombe den 11. vend. IV passirt
liegende güther in denen bänner Fürdenheim, Marlenheim und Handschuhheim 2658 fr und 613 fr, Summa liegende güther 3271 fr

Jacques Frédéric Brackenhoffer, licencié en droit, épouse en 1788 Françoise Salomé Lemp, fille d’ammestre : contrat de mariage, célébration
1788 (3. Xbr), Me Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 120
(Eheberedung) persönlich erschienen seÿn, S. T. Herr Jacob Friedrich Brackenhoffer, J.V. Ltus und E.E. Großen Raths wohlverdienter beÿsitzer, Sis Tis Herrn Johann Jeremias Brackenhoffer beÿ der Königlichen Ecole d’artillerie wie auch beÿ hochlöblicher Universitæt alhier Matheseos hochbelobten Professoris publici ordinarii und des Collegiat Stiffts Zu St Thomä hochverdienten Decani mit S. T. Frauen Margaretha Salome gebohrner von Carben ehelich erzeugter leediger, aber Großjähriger Herr Sohn als Herr bräutigam ane einem,
So dann die Hoch Edle und tugendgezierte Jungfrau Francisca Salome Lemp des Wohl gebohrnen fromm Fürsichtig Hochweis und Hochgelehrten Herrn Johannes Lemp der Statt Straßburg alten hochverdienten Ammeisters und des beständigen Geheimen Regiments der Herren XIII. Mitglieds mit S. T. frauen Margaretha Salome gebohrne Flach ehelich erziehle Jungfer tochter – auf Mittwoch den dritten Decembris im Jahr 1788 [unterzeichnet] Jac. Fried. Brackenhoffer, Franciska Salome Lemp

Mariage, Saint-Thomas (luth. f) 25-v, n° 6)
Im Jahr 1789, Dienstag den 17. februarii (seind) copulirt worden Herr Jacob Friedrich Brackenhoffer, beÿder Rechten Licentiat und wircklicer beÿsitzer E.E. Großen Raths allhier, 29 Jahr alt, S.E. Herrn Johann Jeremias Brackenhoffer beÿ der Königlichen Ecole d’Artillerie und beÿ löblicher hohen Schule allhier Matheosos Professoris Publici Ordinarii auch Capituli Thomani Decani mit S.T. Frau Margaretha Salome gebohrner von Carben ehelich erzeugter lediger Herr Sohn und Jungfrau Francisca Salome Lemp 18 Jahr alt, S.T. Herrn Johannes Lemp Alten Ammeisters und dreÿzehners und Ober Kirchenpflegers beÿ dieser Chrtistlichen Gemeine mit S.T. Frau Margaretha Salome gebohrner Flach ehelich erzeugte Jungfrau tochter [unterzeichnet] Jacob. Fridericus Brackenhoffer als bräutigam, Françoise Salomé Lemp, als Braut, Elias Brackenhoffer als oncle des Brautigams (i 14)

Inventaire après décès du gendre du propriétaire, Jean Alpy

1837 (29.4.), Strasbourg 12 (143), Me Noetinger n° 9188 – Enregistrement de Strasbourg, acp 249 f° 93 du 8.5.
Inventaire de la succession de Jean Alpy, maréchal de camp Officier de la Légion d’Honneur décédé le 9 fev. 1837 – à la requête de Julie Brackenhoffer mère et tutrice légale de Mathilde 20 ans, Fédor 19 ans – en présence de Guillaume Lauth, négociant subrogé tuteur
Contrat de mariage, Me Wengler le 18 mai 1815
dans la maison mortuaire rue des Serruriers n° 26

Jacques Frédéric Brackenhoffer, ancien maire, meurt en 1838 en délaissant cinq enfants

1838 (27.3.), Strasbourg 12 (146), Me Noetinger n° 10 220 – Enregistrement de Strasbourg, acp 258 f° 52-v du 5.4.
Inventaire de la succession de Jacques Frédéric Brackenhoffer, ancien maire Officier de la Légion d’Honneur décédé le 13 mars 1838 à la requête de 1. Françoise Salomé Lemp la veuve, 2. Julie Brackenhoffer veuve de Jean François Alpy, maréchal de camp Officier de la Légion d’Honneur, 3. Emilie épouse de Valentin Juste Fortuné Fonrouge agent comptable des subsistances militaires à Belfort représentée par Louis Antoine Guillaume Moutier, juge au Tribunal Civil, 3. [sic] Pauline Brackenhoffer épouse de Marie Joseph Leclerc, général commandant l’école d’artillerie de Strasbourg, 4. Auguste Brackenhoffer, Chevalier de la Légion d’Honneur, sous préfet d’arrondissement à Remiremont, 5. Eugénie Brackenhoffer épouse de Louis Antoine Guillaume Moutier, juge au Tribunal de Strasbourg, héritiers pour 1/5 de leur père
Contrat de mariage Me Ensfelder 3 dec. 1788

Immeubles à Erstein, Truchtersheim, Fürdenheim
une campagne située à la Robertsau à gauche de la route en y allant consisitant en maison de maitre & de ferme et pavillon, serre, cour, écurie, jardin verger potager & jardin anglais, d’un côté les héritiers de M Ensfelder, d’autre un chemin communal, devant la chaussée, derrière la rivière d’Ill, acquis sur Jean Georges Schertz, négociant, Me Ubersaal 27 vend. 8, revenu de 1000 fr ou capital de 20 000 fr
une maison consistant en un corps de bâtiment principal avec deux ailes, avant cour, cour de derrière avec une partie surbatie par le premier étage de la maison de M Schneegans le tout situé à Strasbourg rue des Serruriers n° 26, d’un côté M Oesinger, d’autre M Schnéegans, devant la rue des Serruriers, derrière MM Oesinger, Kammerer, Berot & Mathys – occupée par la succession & Mde Alpy estimée à 44 000 fr [en marge :] elle fut vendue à M Charles Noetinger, notaire, souss. Me Boersch 27 juin et 10 juil. dernier:/ recueilli dans la succession de sa mère qui a fait acquisition sur Jean Nicolas Pasquay, propriétaire, par Echange Me Lacombe 11 vend. 4

Les héritiers Brackenhoffer exposent la maison aux enchères puis l’en retirent

1838 (22.5.) Strasbourg 12 (146), Me Noetinger n° 10 367 – Enregistrement de Strasbourg, acp 259 f° 98-v du 1.6.
Cahier des Charges n° 10 245 du 7 avril – 1. Françoise Salomé Lemp veuve de Jacques Frédéric Brackenhoffer, ancien maire Officier de la Légion d’Honneur, 2. Julie Brackenhoffer veuve de Jean François Alpy, maréchal de camp Officier de la Légion d’Honneur, 3. Pauline Brackenhoffer épouse de Marie Joseph Leclerc, général commandant l’école d’artillerie, 4. Auguste Brackenhoffer, Chevalier de la Légion d’Honneur sous préfet d’arrondissement à Remiremont, 5. Eugénie Brackenhoffer épouse de Louis Antoine Guillaume Moutier, juge au Tribunal de Strasbourg, 6. M. Moutier, mandataire d’Emilie Brackenhoffer épouse de Valentin Juste Fortuné Fonrouge, agent comptable des subsistances militaire à Belfort
Description de la maison, une maison avec deux pavillons à droite et à gauche en entrant, avant cour avec grille, cour de derrière, remises, écurie, trois caves voutées appartenances et dépendances, le tout en cette ville rue des Serruriers n° 26, d’un côté M Schneegans d’autre M Oesinger, devant la rue des Serruriers, derrière M Kammerer & M Berot, y compris la chambre voutée & le corridor y conduisant se trouvant au dessous du premier étage de la maison appartenant à M Schneegans -Titres de propriété, de la succession de leur père Jacques Frédéric Brackenhoffer, Inventaire 27 mars 1838, Jacques Frédéric Brackenhoffer recueilli en qualité de seul et unique héritier dans la succession de sa mère Marguerite Salomé Carben veuve de Jean Jérémie Brackenhoffer, professeur chanoine de St Thomas, la veuve Brackenhoffer née Carben acquis sur Jean Nicolas Pasquay par Echange Me Lacombe 11 vend. 4
Adjudication Préparatoire n° 10 294 du 26 avril, mise à prix 55 000 francs, surmise par Frédéric Christophe Goerner architecte le 11 mai – Retrait

L’une des héritières, Eugénie Brackenhoffer femme de Louis Antoine Guillaume Moutier, vend sa part de maison au notaire Charles Nœtinger

1838 (22.6.), Strasbourg 7 (92), Me Boersch n° 429 – Enregistrement de Strasbourg, acp 260 F° 56 du 23.6.
Louis Antoine Guillaume Moutier, juge au Tribunal Civil de Strasbourg, mandataire d’Eugénie Brackenhoffer sa femme
à Charles Noetinger, notaire à la résidence de Strasbourg
le 5° par indivis d’une maison avec deux pavillons à droite et à gauche en entrant avant cour avec grille, cour de derrière, remises, écurie, trois caves voutées, appartenances, dépendances située en cette ville rue des Serruriers n° 26, d’un côté le Sr Schneegans, d’autre M Oesinger, devant la rue, derrière MM Kammerer et Berot, y compris la cave voutée et le corridor y conduisant se trouvant au dessous du premier étage de la maison appartenant au Sr Schenegans (avec glaces) – Origine de la propriété, recueilli dans la succession de Jacques Frédéric Brackenhoffer propriétaire, Officier de la Légion d’Honneur, inventaire Me Noetinger 27 juin 1838 recueilli dans la succession de sa mère Marguerite Salomé Carben veuve de Jean Jérémie Brackenhoffer, professeur et Chanoine de St Thomas, la veuve de Brackenhoffer acquis en échange sur Jean Nicolas Pasquay, Me Lacombe le 11 vend. 4, Pasquay l’a acquis de Ferdianand Kolb, négociant, et Marie Charité Gretzinger par acte Me Lacombe 2 juin 1786 – pour 12 000 francs

Les autres héritiers vendent leurs parts de maison au même acquéreur, Charles Nœtinger

1838 (10.7.) Strasbourg 7 (92), Me Boersch n° 461 – Enregistrement de Strasbourg, acp 261 F° 14 du 13.7.
Licitation – 1. Françoise Salomé Lemp veuve de Jacques Frédéric Brackenhoffer, propriétaire, 2. Julie Brackenhoffer veuve de Jean François Alpy, maréchal de camp, Officier de la Légion d’Honneur, 3. Pauline Brackenhoffer épouse de de Marie Joseph Leclerc, général commandant de l’école d’artillerie de Strasbourg, M. Leclerc mandataire d’Auguste Brackenhoffer, Chevalier de la Légion d’Honneur sous préfet de l’arrondissement de Remiremont, 4. Louis Antoine Guillaume Moutier, juge au Tribunal de Strasbourg mandataire d’Emilie Brackenhoffer épouse de Valentin Justin Fortuné Fonrouge, agent comptable des subsistances militaires à Belfort, 6. Charles Noetinger notaire
au Sr Noetinger déjà propriétaire de 1/5
une maison avec deux pavillons à droite et à gauche en entrant avant cour avec grille, cour de derrière, remises, écurie, trois caves voutées, appartenances, dépendances située en cette ville rue des Serruriers n° 26, d’un côté le Sr Schneegans, d’autre M Oesinger, devant la rue, derrière MM Kammerer et Berot – y compris la cave voutée et le corridor y conduisant se trouvant au dessous du premier étage de la maison appartenant au Sr Schenegans (avec glaces) – Origine de la propriété, recueilli dans la succession de Jacques Frédéric Brackenhoffer propriétaire, Officier de la Légion d’Honneur, inventaire dreessé par Me Noetinger le 27 juin 1838, recueilli dans la succession de sa mère Marguerite Salomé Carben veuve de Jean Jérémie Brackenhoffer, professeur et Chanoine de St Thomas, la veuve Brackenhoffer l’a acquis en échange sur Jean Nicolas Pasquay par acte Me Lacombe 11 vend. 4, Pasquay l’a acquis de Ferdianand Kolb, négociant, et Marie Charité Gretzinger par acte Me Lacombe 2 juin 1786, la propriété est en outre constatée par acte à la Chambre des Contrats le 26 février 1779 – pour 48 000 francs, la totalité 60 000 fr

Charles Nœtinger épouse en 1823 Marie Amélie Madeleine Wengler, fille de notaire
1823 (15.5.), Strasbourg 15 (33), Me Lacombe n° 6484 – Enregistrement de Strasbourg, acp 163 F° 32 du 23.5.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – François Antoine Charles Nötinger, avocat à la cour royale de Colmar demeurant à Strasbourg, fils de François Antoine Nötinger, notaire à Molsheim, et de Charlotte Adélaïde Laloix
Marie Amélie Madeleine Wengler, fille émancipée de Henri Joseph Wengler, notaire à Strasbourg, et de Marguerite Madeleine Lobstein
en la demeure de Me Wengler rue Ste Barbe n° 10

Veuf, il se remarie en 1838 avec Marie Elisabeth Sophie Dillemann
1838 (3.3.), Strasbourg 7 (92), Me Boersch n° 197 – Enregistrement de Strasbourg, acp 257 F° 68 du 6.3.
Contrat de mariage régime dotal – François Antoine Charles Noetinger, notaire, veuf avec cinq enfants d’Amélie Madeleine Wengler
Marie Elisabeth Sophie Dillemann née à Strasbourg demeurant à Schwartzach (Grand Duché de Baden) fille de feu François Dillemann, négociant, et de Marie Madeleine Solliet

Liquidation de la succession d’Amélie Madeleine Wengler
1848, Strasbourg 2 (94), Me Roessel n° 1919
Liquidation – Ont comparu 1. Monsieur François Antoine Charles Noetinger, notaire demeurant à Strasbourg agissant dans les qualités suivantesn I. En son nom personnel comme ayant droit au deux tiers de la communauté de biens qui avait existé entre lui & feu Dame Amélie Madeleine Wengler son épouse aux termes de son contrat de mariage passé devant Me Lacombe le 15 mai 1823, II. Comme donataire en vertu du même contrat de la moitié en usufruit de la succession de ladite défunte son épouse, III. En qualité d’héritier pour un quart de feue demoiselle Julie Amélie Marie Noetinger sa fille décédée en minorité & qui était elle même héritière pour un cinquième 1° de Dame Amélie Madeleine Wengler sa mère déjà nommée, 2° de feu Mr Henri Joseph Wengler son aïeul maternel décédé notaire honoraire à Strasbourg, IV. Au nom et comme père et tuteur légal de de 1° Me Marie François Victor Noetinger & 2. de M Marie Joseph Fernand Noetinger tous deux encore mineurs, enfants issus de son mariage avec feu lda. dame son épouse,
2. Monsieur Marie Charles Henri Alfred Noetinger, clerc de notaire, demeurant à Strasbourg,
3. Monsieur Marie Louis Edgar Noetinger, étudiant en droit, demeurant à Strasbourg, Ces deux derniers & lesdits mineurs Marie François Victor Noetinger & Marie Joseph Fernand Noetinger héritiers chacin 1° pour un cinquième de de Dame Amélie Madeleine Wengler leur mère sus nommée, 2° pour pareille quotité de feu Mr Henri Joseph Wengler leur ayeul maternel, 3° pour 3/16 de la défunte Dlle Julie Amélie Marie Noetinger sour sœur germaine,
4. Monsieur Louis François Kieffer, propriétaire demeurant à Molsheim comme subrogé tuteur des deux mineurs
Observations péliminaires. 1° observation. Monsieur & Made. Noetinger se sont mariés dans le courant de l’année 1823 après avoir réglé les clauses et condition civiles de meur union par le contrat de mariage ci-dessus mentionné (…)
2° observation. Madame Noetinger est décédée à Strasbourg le 11 septembre 1833. Apr-s son décès il a été procédé à l’inventaire de sa succession & de la communauté par le ministère de Me Fuchs, notaire à la cour d’appel de Colmar le 25 janvier 1834
3° observation, Monsieur Wengler déjà nommé est mort le 4 juillet 1837. L’inventaire de sa succession a été dressé par Me Boersch notaire à Strasbourg le 23 novembre 1837
3° observation Mademoiselle Noetinger héritière pour un cinquième est décédée le 18 octobre 1843 (…)
Première partie. Liquidation de la communauté. Chapitre 1. Masse active. meubles 1158, honoraires 31 044, créances 10 962, valeur de l’office de notaire 60 000, argent comptant 9727, créances 13 843, corps de biens à Molsheim 24 300
Article 9. Un bien de campagne sis banlieue de Strasbourg appelé la Ménagerue hors la porte d’Austerlitz
$ 362 90 000, la somme de 6400. Total de l’actif 256 835
Chapitre 2. Masse passive (…)
Septième partie. Abandonements (parts de la campagne)

Successeur de Charles Nœtinger, Victor Nœtinger et Edgar Nœtinger, le notaire Jean Louis Wolffhügel habite la maison en 1873. Son fils Jean Louis âgé de quatre ans né à Landau meurt dans la maison en 1873. Jean Louis Wolffhügel est ensuite notaire à Neustadt an der Haardt (aujourd’hui Neustadt an der Weinstraße). Il reçoit en 1872 du roi de Saxe la Croix du Souvenir que le roi de Bavière l’autorise à accepter et à porter.

Décès, Strasbourg (n° 1471)
Den 8. Juli 1873 um Zehn Uhr morgens, Sterbe-Urkunde von Johann Ludwig Wolffhügel, alt vier Jahre, gestorben Schlossergasse 25 den 6. Juli 1873 um fünf Uhr Abends, geboren zu Landau (Pfalz) wohnhaft zu Landau, ehelicher Sohn von Johann Ludwig Wolffhügel, Notar, und von Elise Luise Kaul. Die vorstehende Erklärung ist mir gemacht durch Philipp Metz, alt 47 Jahre, Notar wohnhaft Zu Strassburg, welcher angab er sei Freund des Verstorbenen und durch Emil Wolffhügel, Advocat wohnhaft zu Straßburg welcher angab, er sei Oheim des Verstorbenen (i 14)

Hof- und Staatshandbuch des Königreichs Bayern, 1879
S. 393 Notare – Neustadt a. H. Anton Neumaier, Ludwig Wolffhügel

Justizministerialblatt für den Freistaat Bayern. 10. 1872 10
Dienstnachrichten. Seine Majestät der König haben Sich allergnädigst bewogen gefunden, unterm 10. August I. Js dem k. Notare Johann Ludwig Wolffhügel in Neustadt a. /H. die Bewilligung zur Annahme und zum Tragen des ihm von Seiner Majestät dem Könige von Sachsen verliehenen Erinnerungs-Kreuzes für 1870/71 zu ertheilen

[La maison est revenue à Victor Nœtinger dans la succession de son père. Ses héritiers la vendent en 1877 à Abraham Kuhn. Les actes suivants figurent au dossier d’achat des maisons démolies lors de la Grande Percée]
Amélie Seeligmann, veuve du professeur d’université Abraham Kuhn, à laquelle a été attribuée la maison lors du partage de la communauté vend l’immeuble au dentiste Ferdinand Flubacher et à sa femme Emilie Roth, domiciliés à Sarrebourg

1903 (27. März), Me Keller, dans Serruriers n° 25 (96 MW 189)
Kaufvertrag für 94 000 Mark – sind erschienen von Person bekannt 1. Frau Amalie geb. Seeligmann, Rentnerin zu Straßburg weÿl., Wittwe des Universitäts Professors Herrn Dr. Abraham Kuhn.
2. Herr Ferdinand Flubacher, Zahnarzt und seine Ehefrau Emilie geb. Roth, beisammen zu Saarburg i. L. wohnhaft
Die Erschienenen erklärten zur Beurkundung den folgenden Kaufvertrag (…)
Bezeichnung. In der Stadt Strassburg. Eigentumbsbuch Blatt 1084. Ein Wohnhaus bestehend aus einem Mittelbau und zwei Seitenflügeln, zwei Stockwerken mit Vor- und Hinterhof, Remise, Stallung, Rechten und Zubehörden, gelegen in der Schlossergasse Nr. 25. zwischen Haffen und Zeise, eingetragen im Eigentumsbuch wie folgt
Flur P Nr. 1066 Gewann Schlossergasse Nr. 25, 6 Ar 3 Quadratmeter, Hf. Whs. Nutzungswert 4900 Mark.
Kaufpreis, 94 000 Mark (…)
Unterwerfung zur Zwangsvollstreckung. Die Käufer unterwerfen sich de sofortigen Zwangsvollstreckung aus dieser Urkunde gemäss §§ 794 Ziff. 5 und 800 C.P.O. mit der Massgabe, dass die Zwangsvollstreckung nicht nur gegen sie und ihre Rechtsnachfolger sondern auch gegen den jeweiligen Eigentümer des gekauften Grundstücks zulässig sein soll. Sie bewilligen die Eintragung dieser Unterwerfung im Eigentumsbuche.
Bedingungen. (…). Eigenthumsnachweis. Das gekaufte Grundstück ist das Eigentum der Verkäuferin geworden, weil es ihr zugeteilt wurde in der Teilung der Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann bestanden hat, gemäss Urkunde aufgenommen von dem Notar Hammann in Straßburg am 14. Dezember 1901 eingetragen im Eigentumsbuche am 31. Januar 1902. Das Grundstück hatte Herr Kuhn während der Ehe gesteigert von den Kindern des zu Strassburg verlebten früheren Notars Marie Franz Victor Noetinger auf Grund Versteigerungsprotokolles aufgenommen von dem früheren Notar Schmitz in Straßburg, am 20. Dezember 1877, überschrieben im Hypothekenamte Zu Straßburg am 11. Januar 1878 Band 1738 Nr. 75.
Auflassung. (…) Wir, die Käufer, nehmen hierdurch vorstehende Uebertragung an und beantragen unsere Eintragung als Eigentümer des Grundstücks im Miteigentum je zue Hälfte mit dem Beifügen, dass wir in Gütertrennung verheiratet sind gemäss Ehevertrags aufgenommen von dem amtirenden Notar am 31. Mai 1895.
(…) Band 1009 Blatt 76 Nr. 56 eingetragen Strassburg I. den 2. April 1903.

Ferdinand Flubacher et Emilie Roth hypothèquent la maison au profit du maître peintre Isaac Levy

1905 (18. Dez.), Me Keller, dans le dossier Serruriers n° 25 (96 MW 189)
N° 21 818
Schuldbekenntniss für 10 000 M. – sind erschienen von Person bekannt 1. Herr Ferdinand Flubacher, Zahnarzt und seine Ehefrau Emilie geb. Roth, beide beiständlich zu Strassburg wohnhaft
2. Herr Isaac Levy, Malermeister zu Strassburg wohnhaft
Die Erschienenen erklärten zur Beurkundung was folgt. Die ehegatten Flubacher-Roth bekennen hierduch von Herrn Levy iein Darlehn von 10 000 Mark in baar erhalten zu haben (…)
Hypothekenbestellung (…) Bezeichnung des verpfändeten Grundstücks.
In der Stadt Strassburg. Eigentumbsbuch Blatt 1084.
Flur P Nr. 1066 Gewann Schlossergasse Nr. 25, 6 Ar 3 Quadratmeter, Hf. Whs. Nutzungswert 4900 Mark.
Eigenthumsnachweis. Die Darlehsnehmer erklären, dass sie Eigentümer des verpfändeten Grundstücks geworden sind, weil dis daselbe erworben haben durch Kauf von Frau Amalie geborene Seeligmann, Rentnerin zu Straßburg wohnhaft, Witwe des Universitätsprofessors Herrn Dr. Abraham Kuhn, auf Grund Kaufvertrags aufgenommen von dem amtirenden Notar am 27. März 1903 eingetragen im vorläufigen Grundbuch am 3. April 1903. (…)
Band 1050 Blatt 48 Nr. 2211 eingetragen Strassburg I. den 22. Dezember. 1903

Extrait du Livre foncier (le dossier contient plusieurs extraits successifs)

1907, Serruriers n° 25 (96 MW 189)
Abschrift aus dem Eigentumsbuch von Straßburg, Blatt 1084
1. Flubacher Ferdinand Zahnarzt in Strassburg zur Hälfte
2. Flubacher Ferdinand Zahnarzt in Strassburg Ehefrau Emilie geb. Roth in Saarburg zur Hälfte

Abteilung I. Eigentum
Flur 13, Nummer 11, Schlossergasse N° 25 – 7,15 Ar – Hf. Whs e. T.
Eintragungen. 3. Aprilis 1903 Auflassung (Anl. 307) gez. Dr Wilhelm
Abteilung II. Lasten und Verfügungsbeschränkungen
1. 29. Aprilis 1907. Vormerkung zur Sicherung des Anspruchs auf Auflassung für die Grunderwerbgesellschaft mit beschränkter Haftung Zu Straßburg (Anl. 611), gez. Bruck – Bemerkung, Abtretung N° 2
2. 13. August 1907. Vormerkung unter 1 Abgetreten an die Stadt Straßburg (Anl. 1152). gez. Dr Wilhelm
Abteilung III. Hypotheken
1. 8. April 1903. Sicherungshypothek für 50 000 Mark nebst Zinsen und Höchstbetrag zu Gunsten der Wittwe Abraham Kuhn Amalie geb. Seligmann, Rentnerin in Straßburg. Die sofortige Zwangsvollstreckung ist gegen den jeweiligen Eugenthümer zulässig. Auf die Eintragung Bewilligung com 27. März 1903 wird Bezug genommen (Anl. 307). 51 000. gez. Dr. Wilhelm
2. 20. Dezember 1905. Sicherungshypothek für 10 000 Mark nebst 4 ½ % Zinsen und 300 Mark als Höchstbetrag der Nebenleistung zu Gunsten Isaal Levy Malermeister in Strassburg Gemäß der Eintragungwbewilligung vom 18. Dezember 1905. Die sofortige Zwangsvollstreckung ist gegen den jeweiligen Eugenthümer zulässig. Auf die Eintragung Bewilligung com 27. März 1903 wird Bezug genommen (Anl. 1752) 10 300. gez. Dr. Wilhelm
Für richtige Abschrift, Straßburg den 9. September 1907. Ksl. Amtsgericht Grundbuchsamt. Der Buchführer, Henning, Aktuar

Ferdinand Flubacher et Emilie Roth vendent la maison à la Société d’acquisition foncière, représentée par son gérant André Popp. Une clause réserve à l’acquisition le droit d’élire command

1907 (4. April), Me Gustave Huber, dans Serruriers n° 25 (96 MW 189) N° 3580
Verkauf. sind erschienen die mir bekannt und verfügungsfähigen 1. Herr Ferdinand Flubacher, Zahnarzt und seine gewerbslose Ehefrau Emilie Flubacher geborene Roth, beisammen wohnhaft zu Saarburg i. L. miteinander in Gütertrennung verheiratet, gemäss Ehevertrags errichtet vor Justizrat Notar Dr. Keller in Strassburg am 31. Mai 1895.
2. Herr Andreas Popp, Rentner wohnhaft in Strassburg, handelnd hier in seiner Eigenschaft als Geschäftführer der Grunderwerbgesellschaft mit beschränkter Haftung mit dem Sitze zu Strassburg, welche im hiesigen Handelsregister eingetragen ist,
und haben folgende Erklärungen zur Beurkundung abgegeben. Wir, die unter 1 Genannten sind Eigentümer des im Eigentumbsbuch von Strassburg auf Blatt 1084 eingetragenen Grundstückes
Gemarkung Straßburg. Flur P Nr. 1066 Gewann Schlossergasse Nr. 25 zwischen Haffen und Zeiss, 6 Ar 3 Quadratmeter, Hf. Whs. Nutzungswert 4900 Mark.
Wir, die unter I. Genannten verkaufen hiermit der unter 2 genannten Grunderwerbgesellschaft, für welche Herr Popp annimmt, das obenaufgeführte Grundstück unter folgenden Lasten und Bedingungen (…).
Eigenthumsnachweis. Verkäufer Eheleute Flubacher haben das vorbeschriebene Hausgrundstück erworben von Frau Witwe Universitätsprofessor Dr. Abraham Kuhn, Amalie geborene Seeligmann, Rentnerin zu Straßburg, auf Grund Kaufvertrag des genannten Notars Dr. Keller in Strassburg vom 27. März 1903. Der Frau Witwe Dr. Kuhn wurde dieses Hausgrundstück zugeteilt in der Teilung der Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann bestanden hat, gemäss Urkunde, errichtet von Notar Hamann in Straßburg am 14. Dezember 1901. Das Grundstück hatte Herr Dr. Kuhn während der Ehe ersteigert von den Kindern des zu Strassburg verstorbenen früheren Notars Marie Franz Viktor Noetinger, auf Grund Versteigerungsprotokolles aufgenommen durch den früheren Notar Schmitz in Straßburg am 20. Dezember 1877, überschrieben im Hypothekenamte Zu Straßburg am 11. Januar 1878 Band 1738 Nr. 75.
Kaufpreis 160 000 Mark
Auflassung. Verkäufer verpflichten sich gesamtverbindlich der Ankäuferin oder auch den durch diese zu bezeichnenden Dritten die Auflassung gegenwärtigen Kaufobjektes auf erstes Begehren zu erklären und die eintragung der Erwerberin als Eigentümerin zu bewilligen.
(…) Band 1066 Blatt 55 Nr. 301 eingetragen Strassburg I. den 19. April 1907.

La Société d’acquisition foncière a cédé ses droits à la Ville de Strasbourg. Conformément à l’acte précédent, les vendeurs passent un acte au profit de la Ville de Strasbourg, autorisée par décision du Conseil municipal en date du 10 mai 1907

1907 (13. September), Me Gustave Huber, dans le dossier rue des Serruriers n° 25 (96 MW 189) N° 4199
Auflassung. sind erschienen die mit bekannt und verfügungsfähigen
I. Herr Ernst Haller, Sekretariatsassistent am Bürgermeisteramt in Straßburg, daselbst wohnhaft, handelnd als Bevollmächtigter des Herrn Alexander Dominicus, Regierungs-Rat und Beigerodneter der Stadt Straßburg daselbst wohnhaft, auf Grund einer Vollmacht vom 2. August 1907., welcher einer Urkunde, errichtet durch den Antverweser des unterzeichneten Notars am 5. Septemberf 1907 vor oder mit Gegenwärtigem zu registriren, beigebogen ist. Der genannte Herr Beigerodnete Dominicus handelte als Vertreter des Herrn Dr. Rudolf Schwander, Bürgermeisters der Statt Straßburg, daselbst wohnhaft und dieser selbst handelnd als gesetzlicher Vertreter der Stadt Strassburg im Elsass. Herr Bürgermeister Dr. Schwander ist zu Gegenwärtigem ermächtigt, zufolge Beschluss des Gemeinderats der Statt Straßburg gefasst in seiner Sitzung vom 10. Mai 1907., wovon eine Abschrifr einer Abtretungsurkunde, errichtet durch den Amtsverweser des unterzeichneten Notars am 1. August 1907 beigebogen ist. Einerseits.
II. Herr Ferdinand Flubacher, Zahnarzt und dessen mit seiner Zustimmung handelnde gewerbslose Ehefrau Emilie Flubacher geborene Roth, zusammen wohnhaft zu Saarburg in Lothringen wohnend, miteinander in Gütertrennung verheiratet, gemäss Ehevertrags errichtet H. Justizrat Notar Dr. Keller in Strassburg am 31. Mai 1895. Anderseits.
Die Erschienenen haben folgende Erklärungen zur Beurkundung abgegeben.
1. Auf Grund eines Kaufvertrags aufgenommen durch Notar Dr. Huber in Strassburg am 4. April 1907. Rep. N° 3580 haben die obengenannten Eheleute Flubacher-Roth an die in Straßburg ihren Sitz habende Grunderwerbgesellschaft mit beschränkter Haftung, folgendes Grundstück
Gemarkung Straßburg. Flur 13 Nr. 11 Gewann Schlossergasse Nr. 25, 7,15 Ar, Hf. Whs. Nutzungswert 5500 Mark.
verkauft zum Preise von 160 000 Mark (…)
2. Auf rund einer Abtretungsurkunde errichtet durch den Amtverweser des amtirenden Notars am 1. August 1907., Rep. N° 4059, hat die genannte Grunderwerbgesellschaft ihr Recht aus obigem Veräusserungsgeschäft zu demselben Preise und unter denselben Lasten und bedungungen, wie solche in dem relatirten Kaufvertrage vom 40 April 1907. näher enthalten sind, an die stadt Strassburg abgetreten. Diese Abtretung wurde im Eigentumsbuch von Strassburg Blatt 1084. in Abt. II. eingetragen.
In Erfüllung der obenangefürten Urkunden vom 4. April 1907. und 1. August 1907. erkläre nun die erschienenen handelnd wie angegeben, bei gleichzeitiger Anwesenheit folgende Auflassung.
Wir sind darüber einig, dass das Eigentum an dem obenbezeichneten Grundstück auf die Stadt Strassburg übergehen solle (…) Kaufpreis 160 000 Mark (…)
Band 1070 Blatt 85 Nr. 1381 eingetragen Strassburg I. den 14. September 1907.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.