5, rue du Coq


Rue du Coq n° 5 – VII 172 (Blondel), P 907 puis section 1 parcelle 60 (cadastre)

Maître d’ouvrage (1836) Philibert Mathieu, serrurier
Démolie en 1961. Le sol sert d’aire de stationnement


Plan-relief de 1725 (Musée historique) entre la rue des Lentilles à droite, la rue du Coq à gauche et la rue du Bain-aux-Plantes en haut. La maison est celle en légère saillie en face du jardin sur la gauche.
L’ancien n° 5 se trouvait à l’avant du bâtiment (août 2023)

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de Jean Lutzweiler de Marlenheim qui devient bourgeois en 1594. Elle appartient au milieu du XVII° siècle au teinturier manant Jean Gaspard Geyer, propriétaire de plusieurs maisons qui reviennent à son créancier, le marchand Jean Frédéric Gambs. Elle est ensuite à nouveau habitée par son propriétaire, le maître maçon Jean Martin Kiehl qui quitte la Ville sur ordre du Magistrat. Le passementier Jean Christophe Bæhr en est propriétaire de 1718 à 1752. Les experts estiment la maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière à la somme de 700 livres en 1751. Une nouvelle estimation dressée en 1763 fait état d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière pour une somme de 300 livres. On peut en conclure que la maison a été transformée entre temps par le menuisier Geoffroi Wittenberg. Le journalier Jean Georges Schmidt l’achète aux enchères en 1778, les créanciers de son fils la font vendre par adjudication judiciaire en 1818.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, face ouest de la rue du Coq, îlot 123 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) cite une maison à rez-de-chaussée et premier étage en maçonnerie, deuxième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à gauche du repère (c) : deux fenêtres et porte au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour D représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (4-1), le bâtiment latéral (1-4) au nord et le mur (2-3) du voisin au sud.
La maison porte d’abord le n° 10 (1784-1857) puis le n° 5.


Cour D

Le cordonnier Jean Michel Riehl vend la maison en 1836 au serrurier Philibert Mathieu. Il la fait transformer en 1836 comme l’indiquent le millésime, l’emblème de serrurier (Adolphe Seyboth, Das alte Strassburg, p. 98) et l’obligation contractée en 1843 mentionnant des constructions ajoutées. Le menuisier Charles Kœbelé achète en 1852 la maison qui reste propriété de ses descendants. D’après un rapport de la commission sanitaire en 1918, le plancher du rez-de-chaussée est en contrebas du trottoir, la cour est humide, les logements dans le bâtiment latéral et le bâtiment arrière sont presque inhabitables. Le maire prend le 5 octobre 1957 un arrêté ordonnant la démolition intégrale des bâtiments qui sont effectivement démolis en 1961.

octobre 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1592 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Lutzweiler de Marlenheim
1600 v Chrétien Koch, meunier à Wasselonne, et Agnès Vogt
1601 v Michel Kuntz, de Scharrachbergheim, et sa femme Marthe
v Thomas Burckhard, journalier
v Ambroise Geiger, sergent municipal, (1641) et Anne Marie Hammerbach veuve de Nicolas Hamburger – luthériens
1665* h Gaspard Geiger, teinturier, et (1624) Madeleine Starck – luthériens
1680* adj Jean Frédéric Gambs, marchand, et (1657) Anne Félicité Gambs, (1665) Marie Salomé Diebold, puis (1666) Cécile Salomé Widt – luthériens
1690* h Jean Schatz, marchand, et (1678) Anne Marguerite Gambs – luthériens
1695 v Jean Martin Kiehl, maçon, et (1695) Marie Ursule Moos – luthériens
1709 v Frédéric Zimmermann, menuisier, et (1680) Ursule Specht – luthériens
1712 v Gothard Renner, receveur, et Barbe Rollwag puis (1695) Marguerite Madeleine Stœsser – luthériens
1718 v Jean Christophe Bæhr, passementier, et (1715) Anne Marguerite Gory – luthériens
1752 v Geoffroi Wittenberg, menuisier, et (1746) Marie Marthe Fischer – luthériens
1769 v Jean Daniel Klein, maréchal ferrant, et (1753) Marie Riehl – luthériens
1773 v François Haas, batelier, et (1759) Marie Elisabeth Baureiff – catholiques
1778 adj Jean Georges Schmidt, journalier, et (1761) Anne Marie Münch – luthériens
1795* h Jean Georges Schmidt, revendeur, et (1783) Madeleine Bronner – luthériens
1818 adj Jean Frédéric Aufschlager
1819 v Jean Michel Riehl, cordonnier, et (1791) Marie Salomé Pfaltzgraff
1836 v Philibert Mathieu, serrurier, et (1828) Charlotte Lang
1847 v François Joseph Holweck, éclusier, et (1834) Elisabeth Duval
1852 v Charles Kœbelé, menuisier, et (1850) Sophie Weiss
1906 h Charles Kœbelé, menuisier, et (1876) Pauline Danner
1934* h Jules Paul Schilder, employé de banque, et (1896) Sophie Kœbelé
1947* h (co-propriétaires) Marcel Jules Schilder, professeur de dessin, et (1921) Eugénie Anne Charlotte Meyel, (1925) Frédérique Léonie Lucie Kibort puis (1935) Marie Louise Rose Pauline Charrain
Juliette Schilder (1899-1967)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1725, 700 livres en 1751, 300 livres en 1763, 400 livres en 1773

(1765, Liste Blondel) VII 172, Géofroy Wittenberger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Schmitt, 3 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 907, Mathieu, Philippert, serrurier – maison, sol, cour – 1,22 are

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 315
Jean Lutzweiler de Marlenheim règle 8 deniers pour un chenal en bois à sa maison rue du Coq

Anderseit Hanengeßlins
Hans Lutzweiler zu Marlenheim hatt an seinem Hauß ein hültzenen Naach, Bessert &, viij d.

Description de la maison

  • 1751 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle et une cuisine à côté de l’entrée, au premier étage un poêle, alcôve, cuisine et vestibule, au deuxième étage deux chambres et vestibule, le comble est couvert de tuiles creuses, la cave est voûtée, le bâtiment latéral et le bâtiment arrière comprennent un poêle, deux chambres, petite cuisine et bûcher, le comble a une couverture simple en tuiles plates, le tout estimé avec petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1400 florins
  • 1763 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisine, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec cour, appartenances et dépendances à la somme de 600 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du Coq

nouveau N° / ancien N° : 12 / 10
Schmitt veuve
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois [lire deuxième étage en bois]
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 255 case 2

Mathieu Philippe, serrurier
Hollweck François Joseph, propriétaire à Hangenbiethen (subst. p. 1848)
Koebelé, Charles, menuisier (1853)

P 907, Maison, sol, cour – rue du Coq 10
Contenance : 1,22
Revenu total : 84,63 (84 et 0,63)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 533 case 2

Koebelé Charles menuisier

P 907, Maison, sol, cour – Rue du Coq 5
Contenance : 1,22
Revenu total : 84,63 (84 et 0,63)
Folio de provenance : (255)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 6 case 9

Parcelle, section 1, n° 60 – autrefois P 907
Canton : Hahnengasse Hs. N° 5
Désignation : Hf, 2 Whs
Contenance : 1,24
Revenu : 1000 – 1600
Remarques

(Propriétaire), compte 680
Koebele Karl
1933 Koebele Charles et son épouse Pauline née Danner
1934 Schilder Jules Paul comptable et son épouse
1947 Schilder Marcel Jules ½ et Schilder Juliette ½
(3611)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 227 Rue du Coq p. 369

10
Pr. Schmidt, J. Georges – Moresse
loc. Mutschler, Jacques, journalier – Moresse
loc. Bernard, veuve – Cordonniers
loc. Seltzer, veuve – Manante
loc. Matz, veuve – Manante
loc. Meyer, J. Pierre – Man. temp.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Hahnengasse (Seite 57)

(Haus Nr.) 5
Koeberle, A. Schreiner. E 0
Koeberle, K. Schreiner. 1
Rebstock, Gasarbeiter. 1
Discher, Kachler, 2
Koeberle, E. Schreiner. 2
Barth, Tagnerin. 3
Foos, Tagner. 3
Müller, Tagnerin. 3
Klein, Gypser. 4
Baltzer, Strickerin. H 0
Waag, Wwe. H 1
Bissinger, Tagner. H 2
Meier, Näherin. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 680 W 124)

5, rue du Coq (1884-1971)

D’après un rapport de la commission sanitaire en 1918, le plancher du rez-de-chaussée est en contrebas du trottoir, la cour est humide, les logements dans le bâtiment latéral et le bâtiment arrière sont presque inhabitables. La Police du Bâtiment déclare en 1946 que les logements sont insalubres. Le maire prend le 5 octobre 1957 un arrêté qui ordonne la démolition intégrale des bâtiments. Le propriétaire déclare qu’il attend la décision du Ministère de la Reconstruction et du Logement avant toute démolition. La maison comprend un bâtiment principal à deux étages sur rue et des bâtiments annexes adossés aux immeubles riverains sur les trois côtés donnant sur une cour intérieure. Le mur de façade sur rue est en briques, les encadrements en grès des Vosges, les autres murs à pans de bois sont remplis de briques pleines, les solivages sont en bois de sapin, charpente en bois, la toiture couverte de tuiles plates. Les bâtiments arrière présentent des risques d’effondrement immédiat. Les bâtiments sont démolis entre janvier et mai 1961.
Le terrain et ses voisins sont encombrés de détritus en 1968. La charcuterie Pierre Schmidt (36, Grand rue) y établit une aire de stationnement.

Sommaire
  • 1884 – Le maire notifie le menuisier Charles Koebelé (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – La façade est repeinte, juin 1884
  • 1895 – Le maire notifie le sieur Koebelé de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique.
  • 1897 – Le maire notifie le menuisier Charles Koebelé de faire ravaler la façade – La façade est repeinte, octobre 1897
    1901 – Idem – La façade est repeinte, octobre 1901
  • 1905 – L’installateur sanitaire Ch. et E. Moebs (7 et 9, rue des Aveugles) demande l’autorisation de poser des gravats devant la maison. Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation de poser des gravats pour les travaux de canalisation. – La voie publique n’est plus occupée, juin 1905.
  • Commission contre les logements insalubres – 1902. La Commission doit inspecter le plancher à l’entrée de la cave – Les travaux sont terminés, octobre 1902
    1905 (avril). Liste de travaux à faire en cinq points (une pièce dans les combles ne doit plus servir d’habitation parce qu’elle n’est pas assez haute). Un cabinet d’aisance sert à 21 personnes – Travaux terminés, septembre 1905.
    1905 (octobre). Une rigole passe dans le couloir au lieu d’être raccordée aux canalisations – Charles Koebelé, l’aîné des trois fils du propriétaire, demande en novembre 1905 un délai parce que la maison sera exposée aux enchères. Le nouveau propriétaire est Charles Koebelé fils (avril 1906). Les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations. – Travaux terminés, septembre 1906
    1909, une remarque
    1911, deux remarques
    1915. La maison qui appartient à un Français est mise sous séquestre. Les travaux urgents sont réalisés selon les moyens disponibles.
    1918. Rapport de la commission sanitaire de la place. Propriétaire, Kœberlé, demeurant sur place. Le plancher du rez-de-chaussée est en contrebas du trottoir. La cour est humide. Les logements dans le bâtiment latéral et le bâtiment arrière sont presque inhabitables. Les locataires du rez-de-chaussée sont invités à trouver un autre logement.
    Note. Une locataire de trente ans est morte de tuberculose en 1923.
    1929 – Le locataire Joseph Pfeiffer déclare qu’un seul cabinet d’aisance sert aux locataires des huit logements et des quatre meublés (une pièce et cuisine). Le propriétaire Kœbelé habite 258, route des Romains à Kœnigshoffen. – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de réparer un plafond, des fenêtres et des planchers, en outre de réparer le deuxième cabinet d’aisance. Sept familles et des sous-locataires habitent la maison. – Le propriétaire Schilder déclare que les dégâts dans le logement Pfeiffer sont dus à une explosion – La Police du Bâtiment constate que les déclarations du propriétaire sont exactes.
    1931 – Le locataire Schwartz se plaint de son logement – La toiture est réparée, les autres griefs sont sans fondement.
  • 1941 – Le Parti allemand national-socialiste des travailleurs (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei) demande au commissaire de police d’interdire l’accès à la maison en mauvais état. Le propriétaire Schilder habite en zone non occupée, le gérant est le notaire Krænner, rue de la Nuée-Bleue. – Note sur le cabinet d’aisance bouché au n°5 dont le propriétaire est Sulser, habitant à Bischheim
    1942 – La maison vide est infestée de punaises. Les numéros 7 et 9 sont eux aussi vides. – La maison est toujours inhabitée, août 1943
  • 1945 – Joseph Klutzki demande un constat de sinistré suite au bombardement aérien du 25 septembre 1945. Le constat n’est pas délivré, les dégâts n’étant pas dus à des faits de guerre.
  • 1946 – La Division I (logement) demande à la Division V (Police du Bâtiment) si les bâtiments sis 5, 7 et 9 rue du Coq sont habitables. Les logements sont insalubres.
  • 1947 – Le chef du service liquidateur des réquisitions allemandes demande des renseignements sur l’immeuble qui appartient à Marcel Schilder (demeurant 65, avenue des Vosges)
  • 1957 – Le numéro 5 inhabité menace de s’écrouler depuis que le n° 7 a été démoli. Le n° 5 devra être aussi démoli (propriétaire, Marcel Schilder, percepteur à Ingwiller et Juliette Schilder, demeurant 12, faubourg de Pierre)
    Le maire prend le 5 octobre 1957 un arrêté qui ordonne la démolition intégrale des bâtiments. – Le propriétaire déclare qu’il attend la décision du Ministère de la Reconstruction et du Logement avant toute démolition.
    1957 (novembre) – Les propriétaires chargent l’architecte Frédéric Rexer de dresser un état des lieux.
    L’immeuble en question se compose d’un bâtiment principal à deux étages sur rue et de bâtiments annexes adossés sur les trois côtés aux immeubles riverains et ouvrant sur une cour intérieure. Le mur de façade sur rue est en briques, encadrement en grès des Vosges, tous les autres murs sont en pans de bois avec remplissage en brique pleine, les solivages sont en bois de sapin, charpente en bois, couverture en tuiles plates.
    L’immeuble est inhabité et inhabitable, la couverture étant très défectueuse, des infiltrations ont abîmé les plâtres, pourri les solives, la charpente et les pans de bois des murs. (…) En conclusion, les bâtiments arrière présentent des risques d’effondrement immédiat tandis que le bâtiment sur rue devra être démoli tôt ou tard également mais la démolition ne s’impose pas immédiatement.

    1957 (décembre) – La Police du Bâtiment approuve le rapport.
    1958 (décembre) – Pas de démolition mais certaines parties en maçonnerie ont été enlevées dans les bâtiments arrière.
    1960 (septembre) – Juliette Schilder demande au préfet l’autorisation de démolir les bâtiments – Formulaire. Le maire transmet avec avis favorable. Extrait du plan cadastral
    1960 (décembre) – Le maire confirme à Juliette Schilder son arrêté du 5 octobre 1957
    1961. Pas de travaux (janvier). Les bâtiments sont démolis (mai)
  • 1968 – Pierre Schmidt, au nom de la société d’exploitation de la charcuterie P. Schmidt (36, Grand rue), informe la Police du Bâtiment que le terrain à côté de sa fabrique (3, rue du Coq) est devenu un dépôt d’ordures.
    La Police du Bâtiment constate que le terrain encombré de détritus est entouré d’une palissade dont la porte manque. Les mesures consistent à faire enlever les ordures et à transformer le terrain en aire de stationnement jusqu’à ce qu’un bâtiment y soit construit.
    Le maire écrit à l’avocat Roger Levy de faire enlever les ordures et poser une porte.
    Le maire écrit au Service de la salubrité. L’immeuble sis 5, rue du Coq (124 m²) appartient à la Ville depuis 1963, celui sis 7, rue du Coq (57 m²) à Roger Levy. La charcuterie P. Schmidt a demandé le 20 mars 1968 l’autorisation de garer ses voitures sur le terrain municipal sis section 1 parcelle 60.
    1968 (juin) – La Police du Bâtiment suggère à la charcuterie de louer le terrain appartenant à Roger Levy.
    1968 (novembre) – La maison Schmidt a signé avec la Ville un contrat d’après lequel elle peut garer des voitures sur le terrain contre son entretien.
    1969 (janvier) – Le terrain loué est propre
    1970 (décembre) – Roger Levy demande quelle attitude adopter puisque la Ville a le projet de percer une rue entre celle du Coq et des Lentilles alors que la maison Schmidt propose d’acquérir le même terrain. – Le maire répond que le projet de rue est une simple proposition qui ne doit pas empêcher une transaction avec la maison Schmidt
    1971 (août) – Le terrain est bien entretenu. Le dossier est classé.

Relevé d’actes

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de Jean Lutzweiler de Marlenheim.
Jean Lutzweiler achète le droit de bourgeoisie le 24 octobre 1594 en s’inscrivant à la tribu des Gourmets

1594, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 587
Hannß Lutzweiler vonn Marlenn, hat mit beÿstandt Medardt Bentzenn deß Weinstichers daß burgerrecht erkhoufft, Vnndt will Zun Weinstichern, dienen, Actum den 24. Octob. 94

Jean Lutzweiler de Marlenheim, gourmet et bourgeois de Strasbourg, vend la maison à Chrétien Koch, meunier à Wasselonne, et sa femme Agnès Vogt. Le contrat est annulé quand le suivant est passé.

1600 (x. tag Decembris), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 315
(Inchoat. in Proth. fol: 317.) Erschienen Hannß Lutzwÿler Von Marle der Weinsticher, Burger Zu St. Hatt (verkaufft)
Christman Koch dem Müller Von Wasselnheim Burger Zu St. So Auch Zugeg. Ime vnd Agneß Vögtin seiner ehelich. huaßfrauwen vnd Iren beder Erben Khauffe
Hauß, Hoffestatt, höfflin Vnd Stall mit allen Iren gebeuwen & geleg. Inn der St. St. Ane der Oberstrasssen, Jhenseit der Steinen bruck Im Haanen gäßlin, einsit nebent einer Behausung dem Stifft Zum Alten Sant Peter Zugehörig, bewohnt Jacob Weggrauffen, andersit nebent Christman Sontag dem Wollstreicher, hinden vff hannß Urich weÿden Keller den Zimmermann Vnnd Paulus holenwetz den hornsieder stoßend, Für freÿ ledig vnd eÿg. vnd alles Recht & also & der Khouff Zugeg. vmb 250 Pfund
Hiebeÿ vnd mit Ist Zugeg. gewesen Michell Zÿger der Weinschenck, Burger Zu St.
[in margine :] Disse gegenwärtige Verschreibung Ist vß geheiß bede Partheÿen hierin gemelt, cassirt vnd Abgethan Von Weg. einer Neuwen Contracts prout in Reg. 1601. fol. 63. Act. den 17. tag Februarÿ Anno 1601.

Chrétien Koch, meunier à Wasselonne, et Agnès Vogt vendent la maison à Michel Kuntz de Scharrachbergheim et à sa femme Marthe

1601 (xvij tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 63-v
(P. fol. 78.) Erschienen Christmann Koch der Müller Von Wasselnheim, Burger Zu St. Vnd Agnes Vögtin sein eheliche haußfr. Haben vnuer. für sich & Es vffrecht. & verkaufft
Michell Cuntzen Zu Scharrachberkheim, Vnd Martha seiner ehel. haußwürthin
Hauß, hoffestatt, höfflin Vnd Stall, Mit allen Iren gebeuwen geleg Inn der St. St. Ane der Obern Straß Jhenseit der Steinin bruck. Im Haanen gäßlin, einsit neben einer Behausung dem Stifft Zum Alt. S Peter Zugehörig bewonet Jacob Wegranfft Andersit neben Christmann Sontag dem Wollstreicher hinden vff hanß Ulrich Wÿdenkeller den Zimmermann Vnd Paulus holenretz den Hornsieder stoßend, Für freÿ ledig vnd eÿg, vnd alles Rht & Also d. & der Khouff Zugang vmb 250 Pfund pfenning St.
Hiebeÿ vnd mit gewesen, die Erbaren hanß Lutzweÿler der Weinsticher burg. Zu St. Vnd Hans Schütz Von Kirchen, sein des Khöuffers Schwager

D’après les tenants et aboutissants des propriétés voisines, la maison appartient en 1638 au journalier Thomas Burckhard puis en 1649 au messager Ambroise Geiger
D’après l’acte ci-dessous, elle appartient en 1675 au manant Gaspard Geiger et à ses deux fils Jean Gaspard, fabricant de chausses, et Jean Philippe, tisserand.
Fils de Gaspard Geiger, le teinturier Gaspard Geiger épouse en 1624 Madeleine, fille du meunier Jean Starck d’Achenheim. Le marié est frère d’Ambroise Geiger.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 170)
1624. Dominica XXI post Trinitatis. Caspar Geig. d. ferber, Caspar Geigs deß Bamasenferbers Sohn allhie, J. Magdalena Hans Starcken deß Müllers Zu Achenheim eheliche tochter (i 175)

Baptême d’enfants, Gaspard en 1626, Jean Gaspard en 1641, Jean Philippe en 1645.
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 14) 1626. 21. Martÿ. Caspar Geiger Ferber Magdalena, K. Caspar (i 10)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 509) 1641. Mont. 12. Aprilis. P Caspar Geiger Signergerichts Bott, Magdalena. I. Johannes Caspar (i 299)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 18) 1645. Donnerst. 27. Nouembr. P Caspar Geÿger der ferber, Maria Magdalena Starckin. I. Johann Philipps (i 19)

Jean Gaspard Geiger meurt le 25 novembre 1676 à l’âge de 75 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 70, n° 99)
1676. Novembr. den 25. ist gestorben Joh: Caspar geier ætat. 75. iahr 10 monat v. 3. wochen

Jean Gaspard Geyer l’aîné, manant, et son fils fabricant de chausses Jean Gaspard Geyer le jeune vendent les deux tiers de la maison à leur fils et frère respectif Jean Philippe Geyer

1675 (3. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 318
Hannß Caspar Geÿer der älter, Schirms Verwanther alhier und hannß Caspar Geÿer der Jüngere, Hoßenstrickher Burger Zu Straßburg, Vatter und Sohn
in gegensein Hannß Philipp Geÿers deß Wollenwebers ihres resp. eheleiblichen Sohns und Bruders
Zwen dritte theil, Ihme hannß Caspar Geÿer dem ältern und erwehntem hannß Caspar Geÿer dem Jüngern für ohnvertheilt gebührend ahne Einer behausung und allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier ahne der Obern Straßen im Hahnen Gäßlein, einseit neben Johann Träscher anderseit neben H Johann Michael Visell Canonico deß Stiffts alten S Peter, hinden uff Eine Behaußung dem mehrern Hospital gehörig stoßend gelegen – der übrige dritte theil Ihme hannß Philippßen eÿgenthümblich gehöre – umb 166. fl.

Le fabricant de chausses Jean Gaspard Geyer, sa femme Marguerite, le marchand de draps Jean Philippe Geyer et sa femme Odile hypothèquent trois maisons au profit du marchand Frédéric Gambs.

1680 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 371-v
Johann Caspar Geÿer der Hoßenstrickher undt Margaretha sein Eheweib, so dann Johann Philipps Geÿer der duchhändler und Otilia beÿde Eheleuth und Zwar Sie Margaretha und Otilia iede insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig- und weÿsen herren Johann Eliæ Gollen und Herren Hannß Michael Gilgen, beÿder als auß E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter,
in gegensein Balthasar Sembachß deß Mackhlers, im nahmen herren Friderich Gambßen deß handelßmanns – schuldig seÿen 400 lb
unterpfand, Hauß und Hoffstatt mit allen deren gebäwen und Zugehördten allhier jenseit deß fischer Stadens einseit ist ein Eckh am Wolffsgäßlein, anderseit neben Jacob Bauwohl dem Weißbeckhen, hinden uff Fr. Susannam Schillingin wittib stoßend gelegen
Item hauß, höfflein hoffstatt mit allen deren gebäwen und zugehördten alhier in der hahnen gaß einseit neben Johann Tröscher, anderseit neben einer behaußung dem Stifft alten St. Peter gehörig, hinden uff daß Linßenfelßer gäßlein stoßend, daran Niemand einige Ansprach habe
so dann Hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen Rechten und Zugehördten alhier under der großen Erbs Lauben, einseit neben Eliæ Städel dem Specerirer, anderseit neben herrn Peter de Baÿer Materialisten, hinden uff den Thum Probsteÿ hoff stoßend gelegen, welche ietzt beschriebene behaußung annoch umb 2000. fl. Kauffschilling rest Ursulæ Klugin Verhafftet

La maison revient, sans doute par adjudication judiciaire, au créancier Jean Frédéric Gambs qui en transmet la propriété à sa fille Anne Marguerite qui épouse en 1678 le marchand Jean Schatz.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 26)
1678. Dom. XX et XXI Trin. Hr Johann Schatz der Burger und Handelsmann alhier weÿland Hn Johannes Schatzen E. E. Großen Raths alt. Beÿsitzer vndt Handelsmanns alhie nachgelaßener Ehelicher Sohn vndt Jungfr. Anna Margaretha. Hr Friderich Gambsen des Burgers vnd Handelsmann alhier eheliche tochter. Copul. Zu Sr alhier. – Dienstags den 24.t 8.bris S. Niclaus (i 62)
Proclamation, cathédrale (luth.) 1678. Dom. XX post Trin. Zum 2. mahl Hr Johann Schatz der handelßm. Weiland (Johannes) Schatz gewesenen handelßm. u. Brs nachgelaßener ehel. sohn, Jfr Anna Margaretha Hr Friderich Gambsen auch *ten vnd Burgers alhier ehel. T. – Dienstags den 24.t 8.bris S. Niclaus (i 62)

Anne Marguerite Gambs fait dresser l’inventaire de ses apports
1678 (18. Dec.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 7) n° 472
Inventarium vndt beschreibung der Jenigen Haab vndt Nahrung, so der Viel Ehren vndt Tugendreichen Frawen Annæ Margarethæ Schatzin gebohrner Gambßin eÿgenthümblich Zuständig vndt dieselbe dem Ehrenvesten wohl Vorgeachten Herrn Johann Schatzen, Handelßmann vnd burgern alhier in Straßburg, Ihrem Eheliebsten Krafft Ihr beeeder auffgerichter heüraths Verschreibung für Unverändert in die Ehe Zugebracht (…) Actum in Herrn Friderich Gambßen handelßmanns ihr der Frouwen eheleiblichen Vatters Wohnbehausung iIn der Vÿhegaß gelegen, den 18. Decembris Anno 1678.

Anne Marguerite Gambs femme du marchand Jean Schatz vend la maison au maçon Jean Martin Kiehl et à sa femme Marie Ursule Moos moyennant 225 livres

1695 (1.ten Xbris), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 691
(Prot. fol. 71) Erschienen Fr. Anna Margaretha, gebohre Gambßin, Hn Johann Schatzen deß handelßmanns eheliche haußfrau, mit beÿstand desselben
hatt in gegensein hans Martin Kiehl, deß Maurers und Steinhauers, und Maria Ursula gebohrener Mosin, deßen ehelichen haußfrauen (unterzeichnet) Hanß Martin Kuhl, Maria Ursula Keilin
hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Recht. vnd Zugehördt. allhier in der Hahnen gaß, einseit neben Fr. Susanna Gambsin gebohrnen Gollin, anderseit neben einer behaußung dem Stifft alt. St. Peter gehörig, hind. auff d. linsenfelser Gäßlein stoßend geleg. so gantz freÿ ledig vnd eÿg. Ist demnach solcher verkauff vnd Kauff Zugang. vnd gescheh. vmb 225 pfund d.

Jean Paul Unselt vend au nom de Marie Ursule Kiehl la maison au maçon Jean Philippe Biber et au tailleur Jean Georges Busch moyennant 600 livres

1709 (24.8.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 480-v
(600) Joh: Paul Unselt büttel beÿ E.E. Zunft zuem Spiegel nahmens Maria Ursula Kielin
in gegensein Joh: Philipp Biber maurers u. Joh: Georg Busch schneiders
ihre behaußung c. appert: alhier in der hannen gass einseit neben einem Stifftshauß anderseit neben David hartmann hinten aufs linßerfelßergäßlein – um 600 pfund

Ils la revendent deux mois plus tard au menuisier Jean Frédéric Zimmermann moyennant 650 livres

1709 (11.10.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 572-v
(650) Joh: Philipp Biber maurer u. Joh: Georg Busch schneider
in gegensein Joh: frid: Zimmermann schreiners
hauß hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der hanen gass, einseit neben einem Stifftshauß anderseit neben David Hartmann hinten aufs Linßerfelßer gäßlein stoßend – um 650 pfund

Fils du marchand Frédéric Zimmermann de Schleusingen en Thuringe, Jean Frédéric Zimmermann épouse en 1680 Ursule, fille du charron municipal Jean Michel Specht
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 10 n° 15)
1680. Domin. Quasimodo Geniti & Misericord. Hans Friderich Zimmermann der ledige Schreiner auß Schleißing auß Thürigen Friderich Zimmermann deß Handelßmans daselbst ehelicher Sohn, und Jungfr. Ursula Hans Michel Spechten deß Burgers vnd Stadtwagners alhie eheliche tochter Copul. Zu St Niclaus Donnerst. 29. Aprilis (i 11)

Jean Frédéric Zimmermann devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1680, 4° Livre de bourgeoisie p. 472
Johann Friderich Zimmermann der Schreiner aus Türingen empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Ursula Hannß Michel Spechten des wagners dochter p. 8 golt fl. welche beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist ledigen standts gewesen, vnd wirdt Zu d. Zimmerleüthen dienen, Jur. 26. Jun. 1680.

Veuve de Jean Frédéric Zimmermann, Ursule Specht meurt en décembre 1715 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison d’Elisabeth Mollinger. L’actif de la succession s’élève à 146 livres, le passif à 60 livres.
1716 (8.1.), Not. Mader (6 E 41, 672) n° 225
Inventarium über Weÿl. der Ehr: und tugendsahmen frawen Ursulä Zimmermännin gebohrener Spechtin Weÿl. deß Ehrengeachten Herrn Johann Friederich Zimmermanns geweßenen Schreiners und Burgers allhier seel: nachgelaßener Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1716. – nach Ihrem den 21.ten Xbris deß Zu end lauffenden 1715.t Jahrs beschehenem tödlichem Ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft (…) inventirt vnd ersucht durch Johannam Nitschelmin die dienst Magdt so nach der frawen seel. absterben die haußhaltung geführt (…) So Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch d. 8. Januarÿ 1716.
Die in Gott ruhende Fraw seel: hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, Wie volgt. 1. Frawen Mariam Elisabetham La Londray gebohrne Zimmermännin Herrn Michael La Londray Würths vnd Gastgebers Zum Guldenen Creütz vnd Burgers allhier haußfraw, weilen aber sich dießelbe außerhalb vnd noch Zur Zeit unwißendt wo auffhaltet, als ist in dero Nahmen Hierbeÿ erschienen der Ehrenveste Weiß vnd Vorachtbahre Herr Heinrich Müller Schneider und geschworner Käuffler auch E: E: Kleinen Raths alhier alter Wohlverdienter Beÿsitzer mit beÿstand obgedachten Ihres Ehemanns.
2. Herrn Georg Friederich Zimmermann S. S. Theol. Studiosum, so dermahlen in der frembde sich auffhaltet, in deßen Nahmen aber Zugangen geweßen der Ehrengeachte Herr Georg Engelhardt Stoltz, Weißbeck vnd burger allhier deßen geschworner Curator, dieße Zweÿ der Verstorbenen, Fraw Seel. mit obgedachtem Ihrem Ehemann erzeügt und Nachgelaßene Zweÿ Kinder und ab intestato Erben Zu gleichen portionen und antheÿlen

In Einer in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in dießer Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck In der Cammer A, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer
Schulden auß dem Erbe Zu bezahlend (…) It. Frawen Elisabetha Mollingerin der Wittib solle mann vor schuldigen Haußzinnß vor ein halb Jahr biß Joh. Bapt: 11 lb
Abzug über gegenwärtige Verlaßenschafft, Sa. Haußraths 49, Sa. Wahren und Werckzeugs zum Schreiner Handwerck gehörig 34, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. der baarschafft 8, Sa. der Schulden 50, Summa summarum 146 lb – Schulden 86, verbleibt annoch übrig 60 lb

Jean Frédéric Zimmermann et Ursule Specht hypothèquent la maison au profit du tonnelier Jean Georges Schlegel

1712 (30.4.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 317
Joh: Friedrich Zimmermann schreiner und Ursula geb. Spechtin beÿständlich Joh: Lang nadlers und Niclaus Krieg wagners
in gegensein Joh: Georg Schlegel sen: küblers
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier in der Hahnen gass, einseit neben einem Stiffthauß anderseit neben (-), hinten auff (-)

Jean Frédéric Zimmermann et Ursule Specht vendent la maison à Marguerite Madeleine Stœsser veuve Renner moyennant 712 livres

1712 (ut ante [4. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 491
(712) Joh: Friedrich Zimmermann schreiner und Ursula geb. Spechtin
in gegensein frn Marg: Magd: Rennerin wittib geb. Stößerin beÿständlich S.T. H. J: Peter Naundorffs XXI.igers ihres Curatoris
hauß hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Hannengass, einseit neben einem Stiffts hauß anderseit neben David Hartmann hinten aufs Linßerfelßer gäßlen stoßend – um 300 und 150 pfund verhafftet, geschehen um 262 pfund

Fille du receveur Balthasar Frédéric Stœsser, Marguerite Madeleine Stœsser épouse en 1695 Gothard Renner, receveur ecclésiastique des bailliages de Willstätt et de Lichtenau
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 38-v n° 23)
Heute Mittwochs den 23. novemb. st. n. 1695. seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Z St Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden H Gotthard Renner hochgräfflicher Hanaw Lichtenbergischer Kirchen Schaffner der beÿden ämpter Willstätt und Lichtenaw, vnd Jungfer Margaretha Magdalena Stöserin, weÿl. H Balthasar Friderich Stössers gewesenen Schaffners deß mehrern Hospitalß alhie nachgelaßene eheliche Tochter,welche auch neben mir und nachgesetzten Zeugen unterschrieben haben (unterzeichnet) Gotthard Renner hochgr. hanau liechtenbrischer Kirchenschafner alß hochzeiter, Margaretha Magdalena Stößerin als hochzeiterin (i 42)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient au mari rue Brûlée. Les apports du mari s’élèvent à 3 623 livres (non défalquées les sommes dues à son fils en premières noces), ceux de la femme à 1 609 livres.
1697 (29.8.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 28) n° 23
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung undt Gütter, so der Edel, Wohl Ehrenvest, Wohlgelehrte undt Großachtbare Herr Gotthard Renner, Hochgräfflich Hanaw Liechtenbergischen Kirchenschaffners undt die Edel Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Margaretha Magdalena Rennerin gebohrne Stößerin beede Eheleuth einander in den Ehestand Zugebracht, und Vermög auffgerichter Eheberedung sich für unverändert vorbehalten haben (…) Actum in der königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein deß Edel vesten Hochgelehrten Herrn Paul Gottfried Gambßen J. V. Lti und betiers löbl. Statt Str. Cancelleÿ hoch meritirten Commissarÿ undt burgers allhier alß Erbettenen beÿstandts auf der Frawen seithen, auf Donnerstags den 29. Aug. Anno 1697.

In Einer in der Statt Straßburg in der Brandgaß gelegenen dem Herrn Eigenthümlich zuständigen behaußung ist befunden worden
(f° 20) Eigenthumb ane Häußern (M.) Dreÿ Häußer an einander in der Brandgaß, eins. neben dem Kirchheimischen Hauß, anders: neben dem Hennenberg. hoff, hinden gleichfalls und vornen vf die Gaß stoßend (…)
(M.) Item i Hauß in der Vorstatt Crautenaw Zum gelben Eck genandt (…)
(M.) Item i behaußung sampt Zugehörigen Garten rechten v. gerecht. gelegen in dem dorff Bisch. Zum Hohensteeg (…)
Abzug In dieses Inventarium gehörig. Des Herrn in diese Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 402, Früchten 159, Lährer Vaaß 17, Silber geschirr und Geschmeids 157, Guldener Ketten, Ring, Perlen vnd Geschm. 369, Baarschafft 148, Pfenningzinß hauptgüter 192, Eigenthumbs Ane Häußern 1825, Eigenthums ane liegenden güttern 312, Schulden 37, Summa summarum 3623 lb
Hiervon solten auch einige Passiv: schulden insonderheit des Sohns Erster Ehe Mütterlich guth, so der Herr in diese Ehegebrachte, defalcirt vnd abgezogen werden, weilen aber solches, auß Mangel nachricht beÿ in gegenwertiger Inventation, beederseits Zugebrachter Nahrungen, auch öffters beschehener erinnegung allhier nicht effectuirt werd. können (…)
Der Frawen in die Ehe gebrachtes Vermögen anlangend. Sa. haußraths 188, Silbergeschirrs und geschmeids 163, Guldene Kettlein Ring und geschmeid 122, Baarschafft 564, Pfenningzinß hauptgütter 537, Schulden 32, Summa summarum 1609 lb

Gothard Renner et Marguerite Madeleine Stœsser font un testament réciproque
1696 (2.11.) Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Testamentum nuncupativum Reciprocum H. Gotthard Renners vnd Fr. Margarethæ Magdalenæ Stößerin, 2. 9.br 1696
persönlich erschienen seind, der Edel, Wohl Ehrenvest vndt Wohlgelehrte Herr Gotthard Renner, Hochgräffl. Hanaw Kirchenschaffner, vnd beneben Ihme die Edle Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Margaretha Magdalena Rennerin gebohrne Stößerin, burgern in Straßburg, beede Eheleuth durch Gottes Genade, bede gesunder, aufrecht gehenst vnd stehender Leiber die fraw aber hochschwanger, darbeÿ auch beede guter richtiger Sinnen, Vernunfft, Verstand vndt Gesprächs
Am vierdten will Sie Fr. Codicilliren Ihrer leib. Schwester Jungfrau Mariæ Salome Stößerin (…) Johann Gotthard Rennern Ihrem Stieffsohn (…) fünfftens, Ihr halb bruder Balthasar Friderich Stößer
auf Freÿtags den 2. 9.bris Anno 1696 vormittag Zwischen 11. vnd 12. Uhren (unterzeichnet) Gotthardt Renner Mpp. Margaretha Magdalena Rennerin gebohrene Stößerin

Les six enfants de Gothard Renner deviennent bourgeois le 22 novembre 1707
1707, 3° Livre de bourgeoisie p. 1267
H. Gotthard Renners 6. Kinder nahmens Johann Gotthard, Margaretha Magdalena, Maria Salome, Johann Gottfriedt, Balthasar Friderich vnd Johann Gottlieb, erkauffen das burgerrecht p. 6. gold fl. 2 lb 8 ß werden beÿ E. E. Zunfft der Becken dienen. Promis. d. 22. 9.bris 1707.

Gothard Renner devient cotisant à la tribu des Boulangers le 14 décembre 1707
1707, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 33) Mittwochs den 14.ten Decembris – Neuzünfftiger Zudiener
Herr Gotthard Renner, Hochgrf. Hanaw Liechtenbergischer Kirchenschaffner Zu Willstett producirt Stall: undt Burgerschein und bittet als Zudiener umb Zunfftrecht, Erkant, gegen einer freÿwilligen Gab in die Allmoßen büchß, Willfahrt.

Gothard Renner Renner meurt le 2 juillet 1708 en délaissant un fils de son premier mariage avec Barbe Rollwag et cinq enfants de sa veuve. La succession comprend plusieurs maisons à Strasbourg. La masse propre à la veuve est de 2 903 livres, celle des héritiers de 818 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 275 livres et le passif à 2 201 livres.
1708 (28.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 21)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland der Wohl Ehrenvest, und hochachtbare herr Gotthard Renner, geweßener hochgräff. Hanauw: Kirchen Schaffner, beeder Ämbter Liechtenaw und Willstätt und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach Seinem Montags den 2.ten Julÿ Jüngsthin aus dießem mühesamen Leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen erfordern vnd begehren, des Abgeleibten herrn seel. Hinderlaßener Kinder vnd Erben, wie auch dero resp° hochgeehrter Herren Vögte, wie solche ane folgendem folio benambßet, inventirt durch die Wohl Ehren: vnd Tugendreiche Fraw Margaretham Magdalenam Rennerin gebohrne Stößerin, die hinderlaßene Fraw Wittib, mit beÿstand des Wohl Edel, vesten, Fürsichtig vnd weißen Herrn Johann Peter Naundorffs, E.E. Großen Raths löblicher Statt Straßburg wohlverordneten beÿsitzers ihres geschwornen Herrn Curatoris (…) Actum Straßburg Dienstags den 28.° Aug. 1708.
Der abgeleibte Herr seel: hat ab intestato Zu Erben verlaßen. 1. Herrn Johann Gotthard Rennern, noch ledigen Handels Verständigen, alß Sein des verstorbenen herrn seel: mit auch Weÿl. Frauen Barbara Rollwagin, seiner ersten haußfrauwen seel. ehelich erzeugter Sohn, mit beÿstand des Wohl Edeln, vesten vnd hochgelehrten Herr Sebastian Rießen Jurium Practicum vnd beÿ verschiedener Gerichts stellen löbl. Statt Straßburg Wohlverordneten Procuratoris auch vornehmen burgers alhier seines geschwornen herrn vogts, so beneben seinem herrn Curando der Inventation beÿgewohnt
2. 3. 4. 5. et 6. Margaretham Magdalenam, Mariam Salome, Johann Gottfrid, Balthasar Friderich und Johann Gottlieb die Renner, des in Gott ruhenden herrn seel. mit eingangs ermelter Seiner hinderlaßenen Fraw Wittwen ehelich erzeügten Kinder, dero Geschworner Vogt der Wohl Edle, Veste vnd hochgelehrte Herr Gustavus Philippus Faber, J. U. Ddus vnd E. Löbl. Policeÿ gerichts hochverdienter Actuarius, so gegenwertiger Inventation Persönlicher beÿgewohnt, Alls Sechs deß In Gott ruhenden Herrn seel. inn Zwoen Ehen ehelich erzeügte Kinder vnd ab intestato Zu gleich. portionen verlaßene Erben
Eheberedungs Copeÿ

In einer alhie Zu Straßburg in der Brandgaßen gelegener, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt
Hültzenwerckh. Aufm fruchtkasten, Cammer A, Cammer B, Cammer C, Cammer D, Cammer E, Vor dießem Gemach, In der neuen Stuben, In der Wohnstuben, Stuben Cammer, In der Kuchen, Auff dem gang, Im undern haußöhren, In der vndern Stuben, Im Keller (…)
Eigenthumb ane einem Meÿerhoff und Zum theil darzu gehörig. Güthere, so theilbahr. (T.) Item Hauß, Scheür vnd Schopff, s: darbeÿ befindlichen Stallung vff dem hiebevor so genandten Küglerischen hoff und guth in dem Rencherloch über Rhein, hochgräff. Hanaw. Jurisdiction gelegen (…)
(f° 20) Eigenthumb ane einer behaußung (E.) Erstllichen Fünff achtetheil vor vngetheilt, von vndt ane 3. Häußern an einander in der Brandgaß, eins. neben dem Kirchheimischen Hauß, anders: neben dem Hennenberg. hoff, hinden gleichfalls und vornen vf die Gaß stoßend (…)
(M.) Item dreÿ vierdte theil vor ungetheilt deren die übrige vierde theil H. Gottfried Rennern dem Sohn erster Ehe alß Mütterlich guth gehörig ane i Hauß in der Vorstatt Crautenaw Zum gelben Eck genandt (…)
(M.) Item Zweÿ vierdte theil ane einer alhier Zu Straßburg beÿ dem Waßerzoll beÿ den gedeckten brucken (…)
(W.) Item i. vierdter theil vor ungetheilt von vnd ane einer Behausung beÿ dem obern Waßer Zoll alhier Zu Straßburg gelegen (…)
(T.) Item Zween Achte theil vor ungetheilt von und ane 3. 3. Häußern an einander (…) in der Brandgaß
(f° 24) Wÿdembs Verfangenschaft. So der abgeleibte Herr seel: wegen H Joh: Gotthard Renners seines Sohns erster Ehe auß weÿl. Frauen Barbara Rollwagin deßen erstern haußfrawen verlaßenschafft ane liquider Nahrung Zeit lebens biß inn Sein absterben genoßen, Eigenthumb ane häußern (…)
(f° 35) Ergäntzung der Frau Wittib unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über eingangs gemelter beeder Eheleuthe In den Ehestand Zugebrachter Nahrung durch H Stephanum Cornelium Salzmann Notarium Academicum den 29. Aug. 1697. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib unverändert Guth, Sa. haußraths 49, Sa. Silbers 87, Sa. Guldenen ring 86, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1011, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 62, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung 1456, Summa summarum 2903 lb
Der Erben Unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 129, Sa. Leeren Vaß 9, Sa. Silbers 71, Sa. Guldenen Ring 104, Sa. Eigenthumbs ane häußern 1514, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 102, Sa. Ergäntzung vide supra fol. 34-v, Summa summarum 2442 lb – Schulden 1624, Nach solchem abzug 818 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 33, Sa. früchten 12, Sa. Wein 30, Sa. Silbers 22, Sa. baarschafft 11, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 133, Sa. Eigenthumbs ane häußern 562, Sa. Eigenthumbs ane einem Meÿerhoff 308, Sa. Schulden 161, Summa summarum 1275 lb – Schulden 2201 lb, Übertreffen also die theilbahre Passiva die gantze theilbare Verlaßenschafft vmb 926 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4743 lb

Marguerite Madeleine Renner née Stœsser assistée de son curateur Jean Pierre Nauendorff hypothèque la maison au profit du marchand Nicolas Gambs

1714 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 849
Fr. marg: Magd: Rennerin wittib geb. Stößerin beÿständlich S.T. H. Joh: Peter Nauendorff XXI.gers ihres Curatoris
in gegensein Niclaus Gambs handelsmanns schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert. in der hahnen gass einseit neben einem Stifft hauß nach altem St. Peter anderseit neben (-) hinten aufs Linserfelßer gässel

Marguerite Madeleine Renner née Stœsser vend la maison au passementier Jean Christophe Bæhr et à sa femme Anne Marguerite Gory

1718 (27.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 631
(750) Margaretha Mad: Rennerin wittib geb. Stößerin beÿständlich S.T. H. Joh: Peter Naundorff xxi.gers ihres Curatoris
in gegensein Joh: Christoph Bär paßmentmachers und Anna Marg: geb. Goriin
hauß hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Hannengaß einseit neben einem stifftshauß anderseit neben Daniel Dourbas gerbern hinten auff das Linßenfelßer gäßlein – um 300 und 150 pfund verhafftet, geschehen um 300 pfund

Fils du notaire Christophe Evrard Bæhr, Jean Christophe Bær épouse en 1715 Marguerite, fille du jardinier Jean Daniel Gory : contrat de mariage, célébration
1715 (27.2.), Not. Mader (6 E 41, 693)
Eheberedung – zwischen Herrn Johann Christoph Bären, dem Ledigen Paßmentierern, deß Wohl Ehrenvesten und Rechtsgelehrten Herrn Christoph Eberhardt Bären Notarÿ publici et Practici und burgers allhier, mit Weÿl. der Ehr: und Tugendsamen Frawen Eva gebohrer Schumacherin seiner Fraw Eheliebstin in erster Ehe erzeugtem Herrn Sohn alß dem herrn Bräutigamb ane Einem
So dann der Ehr: und Tugendsamen Jungfrawen Margarethæ Weÿl. deß Wohl Ehrenvesten fürsichtig und weißen Herrn Johann Daniel Gorÿ, Gartenmanns E. E. Kleinen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers seel. mit der Ehr: und Tugendbegabten Frawen Anna gebohrener Lixin seiner geliebten Haußfrauwen erzeugter Jungfrauw Tochter alß der Jungfraw Hochzeiterin am andern Theil
auff Mittwoch den 27. Februarÿ Anno 1715. (unterzeichnet) Johann Christoph bär alls hochzeiter, x der Hochzeitterin handzeichen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 181-v n° 9)
Mitwochs den 22.t Maj 1715 seind nach geschehener 2. maligen außruffung Dominica Jubilate et Cantate in der Kirch Zu S Wilhelm ehelich eingesegnet worden H. Joh: Christoph Bär der ledige Paßmentirer v burger vnd Seidenhändler H Christoph Eberhard Bären Notarÿ v burgers v weiland Eva Schuhmacherin ehel. Sohn, v. Jgt. Anna Margaretha Weiland H Daniel Gori E. E. Kleinen Raths beÿsitzers, gartenmanns v. burgers v. Annen geborner Lixin nachgelaßene ehl. dochter (unterzeichnet) Johann Christoph bär als hochzeiter, Anna Margtha Gorin als hochßrin (i 187, proclamation Saint-Thomas f° 147-v n° 853)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison quai aux Chevaux à la Krutenau. Les apports du mari s’élèvent à 131 livres, ceux de la femme à 169 livres.
1715 (13.7.), Not. Mader (6 E 41, 671) f° 189
Inventarium über deß Ehrengeachten H. Joh: Christoph Bähren Paßmentirers undt der tugendtsahmen frawen Annä Margarethä Bährin gebohrer Gorÿn beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestandt Zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1715. – und Vermög der mit einander auffgerichteten Eheberedung sich Vor Unverändert Vorbehalten haben (…) So Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein der Wohl Ehrenvesten Rechtsgelehrt Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Christoph Eberhardt Bähren Notarÿ publici et Practici des herrn, herrn Vatter auff seiner, so dann auff der Frawen seithen herrn Johann Jacob Schneider Kunst undt Doctor Gärtners dero noch ohnentledigten Curatoris auff Sambstag d. 13. Julÿ Anno 1715.
In Einer in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg ane dem Gaulstaden gelegenen in diese Nahrung nicht gehörigen Behaußung ist befunden worden, wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Nahrung. Sa. Hausraths 69, Sa. Werckzeugs Schiff und Geschirrs Zum Paßment: Handwerck gehörig 45, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 1, Summa summarum 116 lb – Darzu gelegt die demselben ane hernach beschriebenen Haussteuren Vermög der Eheberedung gehörige Halffte macht 14 lb. Ist also deß Manns in den Ehestand gebrachtes Vermögen dem Billichen Werth nach in allem 131 lb
[Manque une demi page, Der Frau Nahrung – Dazu gelegt] 14 lb Würdt also der Frawen in die Ehe gebrachte Nahrung dem billichen wrth nach in allem sein 169 lb

Jean Christophe Bæhr et Anne Marguerite Gory font dresser l’inventaire de leur actif et de leur passif. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre au mari est de 72 livres, celle propre à la femme de 1 295 livres. L’actif de la communauté s’élève à 999 livres, le passif à 1 529 livres

1725 (25.6.), Not. Mader (6 E 41, 684) n° 528
Inventarium über Herrn Johann Christoph Bähren Paßmentirers und der Tugendsahmen Fr. Annä Margarethä gebohrner Goriin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg würcklich besitzende Nahrungen auffgerichtet Anno 1725.
Inventarium und Beschreibung aller Haab, Nahrung und Güttere, Liegend und fahrender, so Herr Johann Christoph Bähr, Paßmentirer und die Tugendsahme Frau Anna Margaretha gebohrne Goriin, beede Eheleuthe undt burgere allhier Zu Straßburg würcklich in Nahrung besitzen (…) So geschehen in d. König. Statt Straßburg in fernerem Gegenseÿn, deß Ehrengeachten Daniel Gorj Garthenmanns und burgers allhier alß der Fr Geschwohrnen Curatoris, auff Montag d. 25.ten Junÿ 1725.

In einer in der Statt Straßburg ane der Hahnengaß gegelenen, in dieße Nahrung gehörigen behaußung ist befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Auff d. bühn, In des Jungen Cammer, In d. Wohnstub
Eigenthum ane einer Behausung. Eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt m. allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg in der Hahnen gaß, 1.a. neben einem Stiffthauß, 2. neben Daniel Durrbach dem Gerber, hind. auff das Linsenfelder Gäßel stoßend, gelegen, annoch um 300. lb d Capital H. Secretarius Diebolden Verhafftet, wie hernacher unter den Passivis Zu Ersehen sonsten gegen jedermännig. freÿ leedig v. Eigen, und ist solche behaußung durch d. Statt Straßb. Werckmeistere Crafft einer beÿ des Notarÿ Concept befindl. Abschatzung sub dato 25.ten Junÿ 1725. dem jetzigen werth nach angeschlagen worden vor 600. Hierüber ist vorhand. 1. teutsch. perg. Kfbr. m. d. St. Str. C. Contractst. anh. Inns. vw. da. d. 27. Xbris 1718. m. Mit. A. notirt. Darbeÿ ferner i. dgl. perg. Kffbr. m. ged. St. St. Inns. vw. deßen datum d. 5. Aug. 1712.
Ergäntzung deß Ehemanns unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ Zugebrachter Nahrung durch mich vor und nachgemelten Notarium Anno 1715. auffgerichtet hat man dem Ehemann Zu Ergäntzen als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 10, Sa. Werckzeugs 23, Sa. Silbergeschm. 6 ß, Sa. Ergäntzung 88, Summa summarum 122 lb – Schulden 50, Compensando 72 lb
Der Ehefr. Nahrung, Sa. haußraths 57, Sa. Silbergeschm. 5, Sa. Goldener Ring 5, Sa. der Schuld in die Nahrung 50, Sa. der Ergäntzung (1243, Sa. Abzugs 156, Rest) 1087, Summa summarum 1295 lb
Die Theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 30, Sa. Pfenningzinß hauptguths 350, Sa. Eigenth. einer Behaußung 600, Sa. der Schulden 16, Summa summarum 999 lb – Schulden 1529 lb, Passiv rest 529 lb

Jean Christophe Bæhr et Anne Marguerite Gory hypothèquent la maison au profit de Jean Christophe Diebold, secrétaire en chef de la Tour aux deniers

1729 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 466
Johann Christoph Bär der Paßmentirer und Anna Margaretha geb. Gorÿn mit beÿstand H. Bleßig und H. Anstätt
in gegensein H. Johann Daniel Diebold des ledigen handelsmanns als mandatarÿ seines H. vatters H. Johann Christoph Diebold Obersecretarÿ allhiesigen pfteningthurn – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der hahnengaß, einseit neben einem dem Stifft zum Alten St Peter allhier gelegen zu der wohnung des Catholischen schuelmeisters daselbsten bestimbten hauß, anderseit neben Durveau dem Rothgerber hinten auff das Linnßenfelßer gäßlein

Jean Christophe Bæhr et Anne Marguerite Gory hypothèquent la maison au profit du ramoneur Jean David Farrenschon

1733 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 287-v
Johann Christoph Bär Paßmentirers und Margaretha geb. Gorÿn mit beÿstand H. Spielmann und H. Wallner beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Johann David Varrenschon des Caminfegers, schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten an der Obern straß in der hanen: gaß, einseit neben einem zum Stifft Jungen St Peter gehörigen hauß anderseit neben Johann Daniel Dourveau dem Rothgerber hinten auff das Linnßenfelßergäßel

Jean Christophe Bæhr et Anne Marguerite Gory hypothèquent la maison au profit de la fabrique Saint-Pierre-le-Vieux

1737 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 856
Johann Christoph Bär der Paßmentirer und Margaretha geb. Gorÿn mit beÿstand H. Rathh. Breu und H. Rathh. Acker
in gegensein der Fabric der Kirchen zum alten St Peter allhier Pfleger H. Not. Johann Daniel Lang – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung, hoff und hoffstatt mit allen übrigenderselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten an der Obern straß in der haanen: gaß, einseit neben einem dem Stifft zum Jungen St Peter gehörigen hauß, anderseit neben Johann Daniel Dourveau Rothgerber, hinten auff das Linnßenfelßen: gäßel – als ein währendem ihrem Ehestand erkaufftes guth

Le compagnon Jean Georges Kühlhorn fait grief à Jean Christophe Bæhr de faire travailler sa fille. Le conseil de tribu inflige à Jean Christophe Bæhr une amende pour n’être pas comparu à la convocation. Il le condamne ensuite aux dépens en lui interdisant d’employer des femmes conformément au règlement.
1741, Miroir. Passmentmacher (XI 287) 1738-1766
(f° 21) Montags den 7. Augusti 1741. – Joh: Georg Kühlhorn der alt Gesell vor Sich und nahmens gesambter anweßender Gesellen Klagt an Mr Joh: Christoph Bähren daß Er wider ordnung und articul seine Tochter auff dem handwerck fördere, und dieselbe auff dem Stuhl arbeiten laße, bitten daher Ihme Solches beÿ Straff Zu verbietten ref. Expensis.
Hr Obermesiter Hierauff meldet, daß Klagende Gesellen anfangs bey Ihme gewesen und die Klag wider Mr Bären obgedacht angebracht, Er hätte darauff gedachten Mr Bahren dießer Sach wegen Zu Sich beruffen laßen, welcher Ihme dann gestanden war, daß Er Seine Tochter wie angebracht auff dem handwerck fordere.
Angeklagter ist auff formblich citiren beÿ Fünff schilling Straff nicht erschienen, worauff Erkand daß angeklagter weilen Er vff formblich citiren nicht erschienen in die angesetzte Fünff schilling Straff und die heutige unkosten Zu condemniren, derselbe aber beÿ costen Handwerck beÿ Zehen Schilling Straff Zu erschienen wider Zu gebietten.

(f° 21-v) Sambstags den 12. Augusti 1741. – Keine Weibsperson darf auf dem Handwerck arbeiten
Obermeister nôe der gesambten Gesellen widerhohlt Klag vom 7. hujus wider Mr Joh: Christoph Bähren, daß Er seine tochter vff dem handwerck fordere und afff dem Stuhl arbeiten laßen so wider ordnung und articul.
Angeklagter nunmehro Zugegen ist der Klag Zwar geständig, sagt aber es hätten andere Meÿster vor dießem auch gethan, Zu deme so hatte Er nicht gewußt daß Solches nicht erlaubt über das wäre Er nicht gewarnet worden, worauff Erkandt
daß angeklagter weilen Er wider articul und ordnung gehandelt, deßhalben in Zehen Fünff Pf. Straff nach dem articul Zu Condemnirenn und Ihme anbey beÿ Solcher Straff ferners Zu verbietten, daß Er künftighin seine Tochter oder Sonst einige weibs persohn auff den Handwerck Zu fordern und arbeiten Zu laßen, mit ersetzung der unkosten.

Jean Christophe Bæhr porte l’affaire devant les Quinze. Il déclare qu’il n’est plus en état de travailler et que ce qu’on lui reproche a longtemps été toléré. La tribu objecte qu’il a deux fils qui peuvent travailler pour son compte ainsi que sa femme. La commission estime que l’amende pour non-comparution est injustifiée parce qu’elle a été infligée après une seule convocation mais que l’autre doit être maintenue en la réduisant. Les Quinze adoptent la proposition. Ils délivrent une expédition de leur sentence.
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
(p. 455) Sambstag d. 12. August 1741. – Moss. noê Johann Christoph Behren b. und Paßmentirer prod. underth. Memoriale mit beylag Sub lit. A. et B. umb gn. Dispensation an dem handwerck arbeiten Zu laßen. Erk. solle der Paßmentirer Meisterschafft hierzu verkündet werden.

(p. 461) Sambstag d. 19. August 1741. – Moss. noê Joh. Christoph Bähr Cit. E. E. Meisterschafft der Paßmentirer Ober Mr erhohlt prod. vom 12. huj. Fuchß bitt cop. und T. ord. Obt.

(p. 488) Sambstag d. 2. Sept. August 1741. – Fuchß nôe ged. Ober Meisters [E. E. Meisterschafft der Paßmentirer] Cit. Joh. Christoph Bähr auff gegners Mem. vom 12. Aug. jüngst prod.. Except. Moss. bitt Cop. & T. ord. Fuchß laßt Copeÿ zu bitt Deput. Moss. ut modo. Erk. Werd. Copeÿ und T. ord. willfahrt

(p. 524) Sambstag d. 16. Sept. August 1741. – Fuchß nôe E. E. Meisterschafft der Paßmentirer Cit. Joh. Christoph Bähr p. Gegentheiliges petiti das arbeithen seiner tochter betr. erholt Except. vom 2. huj. Moss prod. replicas Fuchß bitt cop. und Deput. Moss. lasst Zu. Erk. Copeÿ und Deput. Willfahrt.

(p. 666) Sambstag d. 23. Xbris 1741 – Joh: Christoph Bähr C. E. E. Meisterschafft der Paßmentirer
Iidem [Obere Handwerck Herren] laßen ferner per Eundem referiren, daß Johann Christoph Behr der burger und Paßmentirer allhier den 12. August jüngst contra E. E. Meisterschafft der Paßmentirer allhier ein Unterthänig Memoriale mit beylagen Sub lit. A. et B. producirt und gebetten, daß weilen Er, Implorant, besag erst angeregter beylagen /:deren eine ein Attestat von H. Dr Eisenmann undt der andere ein Certificat von H. Diacono Roser, welche nun abgeleßen worden:/ nicht mehr in dem stand seÿe mit seinem handwerck Zu arbeithen, Sechs Kinder habe, andere dergleichen auch gethan hätten, er auch deßwegen nicht gewarnet worden, ex gratia dispensando Zu erlauben, daß deßen Ältiste tochter, umb dem Hauß brod genug verdienen Zu können, auff dem Paßmentirer stuhl Zu arbeithen continuiren dörffe, wie es bißhero beÿ denen Meistern dieses handwerckhs tolerirt worden, darauff derselbe auch den 19. Ejusd. Zweÿ beÿ ged. L. Meisterschafft den 7. und 12. Ejusd. wieder Ihne ergangene Bescheid (da derselbe besag des esteren, weilen er beÿ dem Ober Meister geständig gewesen daß Seine Tochter auß dem Stuhl arbeite, aber beÿ dem Gericht nicht auff ersters gebiethen erschienen in 5. ß straff und in die handwercks Kösten condemnirt worden, besag des andern aber auff ebenmäßige anklag, daß er Seine Tochter auff dem handwerck fördere, und deßen erfolgte geständnuß Ihne Zehen pfund straff angesetzt, und Ihme beÿ solcher Straaf nochmahlen Verbotten worden, daß er Kunfftighien seine Tochter nicht mehr auff dem handwerck ferner fördere, und arbeiten laße, mit ansetzung sambtlich causirter unkosten) beÿ MGhh Vorgelegt, davon, auß Mghh appellirt, und Deput. gebetten, et facta relatione Ihme, Appellanten, von der Straaff und denen unkosten gn. Zu befreÿen, der Ober Meister der Paßmentirer habe copiam oben gezogenen Memorials begehrt und weilen dieße Zweÿ letztere bescheid den nemlichen punct beträffen umb T. ord. ad referendum gebetten, welches auch von dem gegentheil bewilligt worden. den 2. Sept. auch jüngst habe die Paßmentirer Meisterschafft Exceptiones Vorgelegt, juncto petito Sie beÿ Ihren habenden handwercks Articulen gnädig Zu manuteniren, den Gegner mit seinem begehren vom 12. Augusti jüngst ab- und an die Articul Zu verweisen, deßgleichen ihne mit seiner Appellation abzuweißen, und die sach beÿ denen den 7. und 12. Augusti jüngst ergangenen handwercks bescheiden Zu laßen, idque Ref. Expensis, anerwogen Gegners begehren wieder Articul 2.do habe er den Articul wißen sollen, wiße denselben auch habe aber denselben mit fleiß ignoriren wollen, 3.tio andere begangene Fehler entschuldigten des Gegners keinen nicht, und wann Er die Contravenienten gewüßt hätte er derselbe bey dem handwerck, alß Welchem hie von nichts wißend war, sonsten selbige es abgestrafft hätte, anbringen sollen, 4.to Gegner habe Zweÿ Söhne beÿ sich die mit und neben Ihme Verdienten, und helffen Könten, so dann deßen Ehefrau dann auch erlaubt auff dem Handwerckh Zu arbeiten, ohne Zu gedencken daß Er gesellen und Jungen anzunehmen und Zu fördern, befugt seÿe.
den 16. Ejusd. habe der Appellant Replicas übergeben worinnen aber unerwießene facta, und ein pures gered enthalten seÿe. Beÿ gebetten, bewiligt und beseßener Deputation habe der Appellant sich auff seine producta bezogen. Nahmens der Appellaten seÿen Vorgestanden Johann Niclaus Hartmann und Johann Martin Braun, welche sich auff Ihr Exceptiones und einen Articul vom 16. Julÿ 1717. beruffen so der 12. und nun abgeleßen worden. Vid. der Appellaten Articul Buch fol. 8.b und Mgh. der XV. protocoll d. d. anno allwo diese articul Zu und beÿgehefft.
Auff seithen der Hh. Deputirten finde man daß der Appellant von der den 7. Augusti jüngsthien Wieder Ihne, der Ordnung Zuwieder /:maßen er nicht gleich auff erstes Gebott und außenbleiben in 5 ß straff condemnirt, sondern Ihme Beÿ geld das 2.te mahl gebotten werden sollen:/ Zu absolviren, hiengegen der den 12. Ejusd. ertheilte Handwercks: bescheid /:außer daß die Straff auff 2. lb d Zu moderiren:/ Zu confirmiren sie unkosten aber zu compensiren seÿen. Die Genehmhaltung zu Mgh. stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.

Protocole des Quinze (2 R 150)
(p. 7) Sambstag d. 13.ten Januarÿ 1742. – Moss. nôe Christoph Bähr C. der Paßmentirer Ober Meister bitt ut ante [umb g. Comm. bescheidt, Erk. willfahrt]

(p. 31) Sambstag d. 13. Jan. 1742.
Bescheid. Sambstag den 23. Xbris 1741. – In Sachen Johann Christoph Bähr des burgers und Paßmentirer allhier de, 12. August jüngst contra E. E. Meisterschafft der Paßmentirer, Appellant, ene einem, entgegen undt wieder E. E. Meisterschafft der Paßmentirer, am andern theil, Auff producirtes Unterthäniges Memoriale mit beylag Sub lit. A. et B. und angehencktem bitten ex gratia dispensando Zu erlauben, daß deßen Ältiste tochter, umb dem Hauß brod genug verdienen Zu können, auff dem Paßmentirer Stuhl Zu arbeithen continuiren dörffe, wie es bißhero beÿ denen Meistern dieses handwerckhs tolerirt worden, producirte handwercks bescheid vom 7. und 12. Augusti jüngsthin, besag des esteren, weilen er, Bähr beÿ dem Ober Meister geständig gewesen daß seine Tochter auß dem Stuhl arbeite, aber auff ersters gebiethen nicht erschienen, derselbe in 5. ß straff und in die handwercks Kösten condemnirt worden, besag des andern aber, auff ebenmäßige anklag, daß er Seine Tochter auff dem handwerck fördere, und deßen erfolgte geständnuß Ihne 10. lb. d straff angesetzt, und Ihme beÿ solcher Straaf nochmahlen Verbotten worden, daß Er Kunfftighien seine Tochter nicht mehr auff dem handwerck ferner fördere und arbeiten laße, mit ansetzung sambtlich causirter unkosten.
Eingeführte Appellations Klag juncto petito Deputation Zu erkennen et facte relatione den Appellantenvon der Straff undt denen unkosten gnädig Zu befreÿen. Exceptiones juncto petito die Appellaten beÿ Ihren habenden handwercks Articuln gn. Zu manuteniren, den Gegner mit seinem begehren vom 12. Aug. jüngst ab: und an die Articul Zu verweisen, deßgleichen ihne mit seiner Appellation abzuweißen, und die Sach beÿ denen den 7. und 12. Augusti jüngst ergangenen handwercks bescheiden Zu laßen, Ref. Expensis. Replicas, bewilligt und beseßene Deputation, auch all übriges angehörte Vor: und anbringen, Ist der Hhn Deputirten abgelesten Relation nach Erkandt, wird der Appellant von der den 7.ten August jüngstien, wider Ihne, der Ordnung Zu wider, /:maßen er nicht gleich auff erstes Gebott und außenbleiben in 5 ß straff condemnirt, sondern Ihme beÿ geld das zweÿte mahl gebotten werden sollen:/ ergangenen Condemnation absolvirt, hiengegen der den 12. Ejusdem ertheilte Handwercks: bescheid /:außer daß die Straff auff zweÿ pfund Zu moderiren:/ confirmir, Compensatis Expensis.

Jean Christophe Bæhr et Anne Marguerite Gory font dresser l’inventaire de leur actif et de leur passif. Les experts estiment la maison à 700 livres. La masse propre à la femme est de 1 229 livres. L’actif de la communauté et du mari s’élève à 736 livres, le passif à 1 646 livres.

1751 (5.8.), Not. Goll (J. Frédéric, 6 E 41, 577) n° 2
Inventarium über Meister Johann Christoph Bähr, des Paßmentirers und Frauen Annä Margarethä Bährin gebohrenr Gorijin, beeder Eheleuthe und burgere allhier dermahlen besitzendes eigenthümliches Vermögen und hiengegen zu bezahlen habende passiv Schulden auffgerichtet Anno 1751. (…) So beschehen in der königlichen Stadt Straßburg auf Freÿtag den 5.ten Aug. A° 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Haann gaß gelegenen und in dißortige theilbahre Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behausung. (M & T.) Nemlichen eine Behaußung, Hoff und Hoffstatt, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Haanengaß, einseit neben einem dem Jungen St. Peter Zugehörden Stifftshauß, anders. neben Melchior Bürÿ dem Hüner Grempen, hinten auff Urban Bähr den Groß Karchzieher das Linsenfelder Gäßel stoßend gelegen, so außer denen darauff hafftenden und hernach passivé eingebrachte passiv Capitalien freÿ leedig und Eigen und durch der Statt Straßburg geschworne Herren. Werckmeistere (…) vermög deroselben ad Conceptum geliefferten Schrifftlichen Abschatzung Zeduls vom 6.ten Aug. 1751. æstimirt und angeschlagen vor 700. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Innsiegel Verwahrt de dato 27.ten Decembris Anno 1718.
Ergäntzung der Ehefrauen währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guth. Nach besag des über beeder Eheleuthe zusammen in den Ehestand gebrachte Nahrungen in Anno 1715. durch weÿl. Herrn Notm Philipp Jacob Mader auffgerichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen annoch ohnverändert Vorhandener Natural Posten, Sa. haußraths 10, Sa. Schuld 50, Ergäntzung (1327, Abgang 158, rest) 1169, Summa summarum 1229 lb
Solchemnach wird auch des Ehemanns ohnveränderte und die theilbahre Nahrung unter einem Titul und Mass beschrieben, Sa. haußraths 16, Sa. Werckzeugs zur Paßmentierer Profession gehörig 15, Sa. Eigenthumbs an einer Behaußung 700, Sa. Schulden 3, Summa summarum 736 lb – Schulden 1646, In Vergleichung 910 lb
Abschatzung Vom 6. August 1751. Auff begehren Johann Christoph Bähren, deß Baßmentierers ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Haanengaß, einseits neben Melchior Baur anderseit neben einer behaußung dem Collegiat Stifft Jungen St Peter gehörig und hinten auff weÿland Georg hencken* deß geweßenen Hänffers Wittib stoßend gelegen, Neben dem Eingang ist eine Stube und Kuchen, In dem Ersten Stock ist eine Stube, Stub Kammer Kuchen und Hauß öhren, In dem Zweÿten Stock sind Zweÿ Kammern und ein haußöhren darüber ist der Tachstuhl so mit Hohlzieglen belegt, hat auch ein höfflein und gewöbten Keller, Ferner befindet sich ein nebens und Hinter gebäwlein, Worinnen ein Stub Zweÿ Kammern ein Küchel und holtz Schopff, die tachstühl seind mit breitziegeln einfach belegt, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrnen Werckmeister, nach vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb Ein Tausend und Vier Hundert gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister

Jean Christophe Bæhr est admis le 6 septembre 1751 pensionnaire à l’hôpital où il meurt le 11 septembre 1752 d’attaques d’apoplexie.
1751, Conseillers et XXI (1 R 234)
Joh: Christoph Bähr wird pt° auffnahm in den Spithal ad examinandum an die Hh pflegere allda Verwießen.
(f° 106-v) Montag den 6. Septembris 1751. – Joh: Christoph Bähr wird ad examinandum ane die Hh pflegere des spithal verwießen anbeÿ denen selben die hand geöffnet Zusprechen was rechtens.
Freund n. Johann Christoph Bähr des burgers und Paßmentmachers producirt unterth. Memoriale und Bitten mit beÿl. sub Lis a biß g inclusive pt° auffnahm in den Spithal. Erkandt, wird der Implorant ane die Hochansehnl. Hhn pflegere des mehrern Hospithals verwießen umb zu untersuchen ob deßen ehefrau oder annoch lebende Kindter außerstand ihme die nöthige Nahrung Zu verschaffen, anbeÿ ged. Hhn die hand geöffnet nach befindenden umbständen zu sprechen was rechten.
Depp. H. rathh. Roederern H. rathh. Gayneau

Sépulture, Hôpital (luth. p. 177)
1752. Sonntags d. 11. Herbst Mon. Vormittags ein Viertel Vor 12 uhr starb am schlagflüßigen Zufällen Johann Christoph Bär, ehedem Paßment Macher und burger allhier, letztlichen aber seit den 6. Herbst Mon. 1751. gewesener Hospitals Armen Pfrunder, seines Alters 62. Jahr, weniger 5. Wochen, und wurde derselbe dienstags darauff nach einer Morgends um 7 uhr gehaltenen Leichenpredigt auff den Gottesacker St: Galli ehrlich Zur Erden bestattet (unterzeichnet) Daniel bäher alls son, Johann Daniel Bär als Bruder (i 91)

Jean Christophe Bæhr et Anne Marguerite Gory vendent la maison au menuisier Geoffroi Wittenberg moyennant 700 livres : acte provisoire devant notaire puis passation à la Chambre des Contrats

1752 (7.1.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 60) n° 272
Kauff Zwischen Joh: Christian Bär Paßmentirer et uxori Verkäuffern u. Mstr. Gottfried Wittenberg dem Schreiner u. b. allh. als Käuffer den 7.ten Januarÿ 1752.
zwischen Johann Christian Bär dem Paßmentirer et Frauen Annæ Margarethæ gebohrener Goriin, beeden Eheleuthen und burgern allhier als Verkäuffern,
So dann Mr Gottfried Wittenberg, dem Schreiner und burger allhier als Käuffer folgender Kauf contract Wohlbedächtlich abgeredet und vestiglich Zuhalten Versprochen worden
Es Verkauffen die Verkäuffer ihre mit einander den 27. Decembris 1718. erkauffte behaußung, hoff, hoffstatt und allen deren Zugehörden, begriffen, weithen, Rechten und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt an der hanen gaß ein Seith neben einem Stiffts hauß zum Jungen St Peter gehörig, anderseith neben Melchior Bauerle dem hüner Krempen und Schirmer allhier gelegen hinden ([biffé] auf das linßenfelsergäßlein) theils auf Joh: Jacob Frick den hänffer theils auf Urban Späth den bronnenschöpffer stoßend als freÿ ledig und eigen, und wäre dieser Kauff und Verkauff Zugangen vor und um 1400 Gulden unter folgenden conditionen, daß dem Käuffer die erkauffte behaußung erst auf nechstkünfftig Annunc. Mar: in Possession abgetretten, Von Ihme die 600 Gulden Cap. so das Stipendium Mauritianum darauf stehen hat übernommen (…) haben die Verkäufer nebst Joh: Heinrich Treiße dem Schuhmacher ihrem Tochtermann und dem Käuffer selbst Joh: Friderich Engel dem Schreiner deßen beÿstand diesen Interims Contract eigenhändig unterschrieben. Actum Straßburg den 7. Januarÿ Anno 1752

1752 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 626 n° 148-v
Johann Christoph Bär der paßmentirer und Anna Margaretha geb. Goriin
in gegensein Gottfried Wittenberg des schreiners
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Hahnengaß einseit neben einem dem Stifft jungen St Peter gehörigem hauß, anderseit neben Melchior Bäuerle dem hüner:Krempen, hinten theils auff Jacob Frick den hänffer theils Urban Späth dem bronn schöpffer – als ein d. 27. Decembris 1718 erkaufftes guth – um 700 pfund

Originaire de Kœnigsberg en Prusse, Geoffroi Wittenberg épouse en 1746 Marie Marthe Fischer, fille du cordonnier Jean Philippe Fischer : contrat de mariage, célébration
1746 (31. Maÿ), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 54) n° 355
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren Gottfried Wittenberg, dem ledigen Schreiner, weÿl. des Ehrengeachten Meister Martin Wittenberg, gewesenen Schuhmachers und burgers Zu Königsberg in Preussen nachgelaßenem ehelichem Sohn, als dem Bräutigam ane einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Mariæ Marthæ Fischerin, weÿl. des Ehrengeachten Mr Johann Philipp Fischer gewesenen Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg nachgelaßenen ehelichen Tochter als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
in beÿsein H Johann Friderich Engel, Schreiners, des bräutigams Vettern, hrn Johann Philipp Fischer und hrn Johann Geörg Fischers, beeder Schuhmacher der Jgfr Brauth Brüder in Straßburg auf Dienstag den 31. Maÿ Anno 1746 (unterzeichnet) Gottfried Wittenberg Als breitigam, martha fischrin aks hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 251, n° 962)
Anno 1746. Mittw. d. 22 Jun. seind noch ordentl. Proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden Gottfried wittenberg der led. schreiner u. b. allhier, weÿl. Jacob wittenberg geweßenen schuhmachers u. b. Zu Königsberg in dem Königreich Preuß. nachgelaßener Ehl. Sohn u. J. Anna Martha, weÿl. Johann Philipp Fischers geweßenen schumachers u. b. allhier nachgelaß. Ehl. Tochter [unterzeichnet] Gottfried Wittenberg Als hochzeiter, annamarthan fischerin als hohzeiterin (i 256)

Geoffroi Wittenberg devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage.
1746, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 260
Gottfried Wittenberg der Schreiner Von Königsberg in Preussen erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefrau Martha weÿl. Johann Ph. fischers gewesen burg.s und Schuhmachers hinterl. Tochter um den alten burger schilling und will dienen beÿ E.E. Zunfft der Zimmerleuth. Jur. d. 27.t, Juni 1746.

Geoffroi Wittenberg devient tributaire chez les Charpentiers le 5 juillet suivant
1746, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 72-v) Dienstags den 5. Julÿ 1746 – Evangel. Neuz.
Meister Gottfried Wittenberg der schreiner von Königsberg in Preußen gebürtig, prod. Stall und Cantzleÿ schein da dato 27. et 28. Junÿ 1746. bitt Ihme vermög deßelben als einen leibzünfftigen, das Zunfftrecht angedeÿen Zu laßen. Erkand Willf. (dt 3. lb d)

Geoffroi Wittenberg meurt en 1763 en délaissant des héritiers collatéraux à Kœnigsberg. L’inventaire est dressé dans sa maison dite zum Ehrenfels derrière le poêle de la Lanterne. Les experts estiment la maison rue du Coq à 300 livres. La masse propre à la veuve est de 528 livres, celle propre aux héritiers de 40 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 301 livres, le passif à 3 126 livres

1763 (19.11.), Not. Haering (6 E 41, 1363) n° 233
Inventarium über Weÿland des Ehrenachbaren Herrn Gottfried Wittenberg im Leben gewesenen Schreiner Meisters und burgers alhier Zu Straßburg seel. Verl.t aufgerichtet Anno 1763. – nach seinem hieselbst den 22. Aug. gegenwärtigen 1763.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödtl. von hinnen Scheiden, hie Zeitlichen verlaßen. Welche Verlt. auf geziemendes Ansuchen der Ehren und tugendsahmen Frau Mariä Marthä Wittenbergin geb. Fischerin der dießortigen hinterbliebenen Wittib, beiständlich S.T. H. Johann Daniel Busch J.V. Lti. invt. und ersucht (…) So beschehen in fernerm Gegenseÿn des Wol Ehren Vesten und Großachtbaren herrn Friderich Philippi Schreiners, wienicht weniger E: E: Kl. Raths der Zeit wolansehnlichen beÿsitzers, als auch hoch Edelged. Gerichts Stelle, Zufolg Extractus deren Memorialis Vom 17.den hujus um der unverburgerten Erben willen hierzu insonderheit abgeordnet Straßburg den 19.ten 9.bris 1763.
Den Verstorbenen seeligen zu erben sind fähig seine leibliche noch lebende Schwester und leibl. Geschwüterde, Kinder benandlich 1° Anna Elisabetha Albers geb. Wittenbergin weiland Christoph Wittenbergs geweßenen hutmachers zu Königsberg in Preußen, des Verstorbenen seel. bruders, einige hinterlaßene Tochter Verheÿrathet an Carthens Albers Schiff Steurmann zu ged. Königsberg, in einen dritten Stammtheil. 2° Christian Samuel Bartsch, Handelsmann in Königsberg weil. Fr: Annä Mariä Bartschin geb. Wittenbergin des Verstorbenen seel. leibl. Schwester einigen Sohn in den Zweÿten dritten Stammtheil. So dann 3° Fr Barbara geb. Wittenbergin verehelichte Wredin, im Königl. Hospital zu Königsberg sich aufhaltend, des Verstorbenen seel. ehelich Schwester, in den dritten Stammtheil. In deren Nahmen H. Johann Friedrich und H. Heinrich Carl Engel beede Gebrüder Schreiner Mr. und burger alhier, als Zufolg Vor dem Burgermeister und Rath der Königl. Haupt und Residenz Stadt Königsberg in Preußen unterm 8.ten X.bris 1763 außgestellte Vollmacht, hiebeÿ erschienen.
Pro Nota ! Zuerstged. Vollmacht ist auch einer Christinä Barbarä Verwittibter Wittenberg geb. Gabrielin Friedrich Wittenbergs geweßenen Schuhemrs. Wb. seiner Enckelin Evä geb. Gottschewskin ged. die aber Vermög gemeiner Rechten nicht erben können.

In einer alhier Zu Straßburg hinter der Herren Stub gelegenen zum Ehrenfelß genannten in dieße Verl. gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum an Häußern. (T.) Vordristens eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, rechten und Gerechtigkeiten deßgleichen einem angelegenen thurn, gelegen alhier an der herren stub gaß (…)
(T.) It. eine Behaußung Hoff und hoffstatt, mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten,alhier an der haanen Gaß 1.s einem dem Stifft Jungen St. Peter gehörigen hauß anderseit neben Melchior baüerle dem hüner Krempen hinten teils auf Jacob Frick den hänffer, theils auf Urban Späth, den bronnen Schöpffer stoßend gelegen, so über hernach eingebrachte passive freÿ leedig eigen, und durch Vorerwähnte Löbl. Stadt geschworene bauverständige angeschlagen worden vor 600 fl. hier 300 lb. Wie der verstorbene seel. dieße behaußung an sich erkaufft, meldet ein deutscher perg. Kffbr. aus alh. C.C. Stb. mit deren anjanh. größ. Ins. versehen datirt den 24.ten Martÿ 1752. dabeÿ ein älterer dergl. Kaufbr. vom 27.ten Xbris 1718.
Bericht in gegenwärtig Invm gehörig. Nach dem man, nach Vollbrachter dießer Inventur, in gefolg Vorstehender Eheberedung 5.ten §.phi Zu Ersuch und Erg. beederseits unverändert und eigen vorbehaltenen Guths schreiten wollen, so hat sich ergeben, daß unterlaßen worden, beederseits einen der Zugebrachte Nahrungen inventiren Zu laßen, in der Ungewißheit nun, worinnen solche bestanden seÿen (…)
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ. Der Wittib ohnverändert und eigen Vorbehaltenen Guths, Sa. Hausraths 63, Sa. Silbers 10, Sa. gold Rings 1, Sa. Schulden 175, Erg. 278, Summa summarum 528 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert und eig. Vorbehalten Guth beschrieben, Sa. hausraths 49, Sa. Silbers 10, Sa. baarschafft 5, Sa. vorbehaltenen Guts 150, Summa summarum 215 – Schulden 175 lb, Nach deren Abzug 40 lb
Endlich folgt auch das gemeinschaftlich verändert und teilbare Guth, Sa. hausraths 62, Sa. Holtzes Werckzeugs u. fertiger Arbeit zum Schreiner handwerck gehörig 75, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 30, Sa. Eigenthums an häußeren 2050, Sa. Schulden 80, Summa summarum 2301 lb – Schulden 3126 lb, In Vergleichung 825 lb
Abschatzung Vom 25.ten Ocber 1763. Auff Begehren Weil: Godtfriedt Wiedtenberg Des Gewesener Schreiners seil: Hiender Lasener Fr: Witib vnd Erben ist eine behausung Alhier in der Statt Strasburg in der Lutzernen Gas gelegen Einseits Neben H. Cellermann Ander seits ein Eck gegen der Lutzernen vnd hienden auff Fr: Bär Stosent gelegen solche behausung besteht in Ettliche Stuben Kamern vnd Kichen Dar jber ist der dach Stull mit breitziglein belegt, hat Auch ein Gewelbten Keller vnd brunnen, vor und umb Dreÿ Thausend Finff Hundert Gulden Der Zweyt Begrieff ist Auch allhier in der Statt Strasburg in der Hanen Gas gelegen Einseits Neben H: Luntzen anderseits Neben N: N: so Genanden Gres Grembten Und hienden auff N: N: stoßent Gelegen Solcher begrieff besteht in Einem Ferder Und hiender Gebeÿ Warinnen Ettliche Stuben Kammern Und Kichen Dar jber ist der dach Stull mit breidtzieglein belegt, hat auch ein Gewelbten Keller und Hoff. Von uns Unterschriebnen der Statt Strasburg Geschwornen werck Meister nach vorhero Geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren werth Nach Estimirt Und angeschlagen worden Vor und Umb Sechs Hundert Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber
Copia der Eheberedung (…) den 31. Maÿ 1746, J. Philipp Lichtenberger Not.
(Statt Stall Zedul – Extractus Auß EE Kleinen Raths Memoriali)

Les héritiers de Geoffroi Wittenberg demandent à être exonérés du droit de détraction
1787, Protocole des Quinze (2 R 197)
(f° 114-v) Sambstags den 10.ten Martii 1787 – Osterrieth nomine weÿland Gottfried Wittenbergs gewesten burgers und Schreiners allhier hinterlaßener wittib Erben Mandatarii Johann Daniel Hatt des burgers und biersieders producirt unterthäniges memoriale juncto petito samt beÿlag sub litt. a puncto freÿ Zugs.
Erkand, Insinuatio producirter reversalen mithin willfahrung mit gebettener abzugs freÿheit.

Marthe Fischer veuve de Geoffroi Wittenberg vend la maison au maréchal ferrant Jean Daniel Klein et à sa femme Marie Riehl. La procuration originale de Wittenberg se trouve dans le fond des pièces produites pour dresser les actes de la Chambre des Contrats

1769 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 418
Fr. Martha geb. Fischerin weÿl. Gottfried Wittenberg gewesten schreiners wittib beÿständlich Johann Gottlieb Holl des schneiders und Heinrich Carl Engel des schreiners als mandatarius des verstorbenen Wittenbergischen sambtlich sich in Königsberg in Preußen befindenden erben von denen bevollmächtigt
in gegensein Johann Daniel Klein des huffschmidts und Maria geb. Riehlin
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Hahnengaß, einseit neben einem dem Stifft Jung St. Peter gehörigen haus, anderseit neben Melchior Bauerle dem hünerkrempen, hinten theils auff Jacob Frick dem hänfer theils auff Urban Späth dem bronnenschöpfer – als ein von weÿl. Gottfried Wittenberg ererbes guth – um 575 pfund
(94 Z 4) Urkunden und bezeugen hiemit, daß vor Uns erschienen Herr Christian Samuel Bartsch, hiesiger Kauffmann, als bevollmächtigter der sämtlichen Erben des verstorbenen Meister Gottfried Wittenbergs Tischner, Zu Straßburg, Nahmentlcih Anna Elisabeth verehel. Albers geb. Wittenbergin, Barbara verehel. Wredin geb. Wittenbergin, Christina Barbara verwittwete Wittenbergin geb. Gabrielin, Ewald Friderich Schmidt, als Gerichtlich constituirter Vormund der Eva geb. Gottschewskin und Christian Noski und beÿgebracht, was maßen bemeldter Gottfried Wittenberg, vor seinem ableben verordnet daß sein Vermögen, seiner hinterbliebenen Ehegattin zu ihrer Leb: tagen zum Genuß laut Ehe Verbindung verbleiben, und seine Erben selbiges nicht eher als bis nach ihrem Tode in Empfang zunehmen (…) Geschehen zu (-) Königsberg in Preußen den (-) December 1763.

Jean Daniel Klein et Marie Riehl hypothèquent quelques semaines plus tard la maison au profit de Jérémie Evrard Silberrad, assesseur au Grand Sénat.

1769 (15.9.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 653-v
Johann Daniel Klein der hufschmidt und Anna Maria geb. Riehlin mit beÿstand Philipp Albrecht Krieg des glaßers und Johann Theobald Dietz auch glaßers beede ihren nächsten
in gegensein H. Jeremias Eberhard Silberrath E.E. Großen Rath alten beÿsitzer – schuldig seÿen 175 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Hahnengaß einseit neben Daniel Kuttler dem ohlmann, anderseit neben weÿl. Pfarrer Grießingers erben, hinten auff gedachten Kuttler

Fils du maréchal ferrant David Klein, Jean Daniel Klein épouse en 1753 Marie Riehl, fille du jardinier André Riehl fils de Jean : contrat de mariage, célébration
1753 (25.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 450
Eheberedung zwischen dem Ehrsam und Bescheidenen Johann Daniel Klein, ledigen huffschmid, Mr David Klein, des huffschmidts und Burgers dahier in erster Ehe mit weÿl. Fr. Maria Barbara geb. Langheldin seel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter, beÿständlich ged. seines Vatters, we auch Mr Johann Jacob Klein deß huffschmidts und b. dahier seines Bruders ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariä Riehlin, Andres Riehl hannßen S. gvw und Bs dahier in voriger Ehe mit weÿl. fr. Maria geb. Lixin seel. ehelich erzeugter Tochter alß der Jgfr. hochzeiterin unter erstgemelten dero Vatters wie auch Diebold Riehl hannßen S. gvw ihres Vettern und Jacob Wunderers Jacobs. S auch garthners allda ihres halb bruders ane dem andern theil
Endlichen und Zum Siebenden hat der hochzeiter mit Consens und Einwilligung seines Vatters und Bruders der Jgfr. hochzeiterin Zugestanden und Verwilligt word. (…) daß Sie sodann seine allhier ane der Weißenthurnstraß gelegene behaußung mit allen dero Zugehörden und gebäuden wie auch dem garthen die Zeit ihres übrigen lebens wÿdembs weiße Zu besitzen und Zubewohnen, Zu nutzen und Zugenießen berechtiget
Actum Straßburg Mittwochß den 25.ten Aprilis A° 1753. unterzeichnet Johann Daniel Klein, + der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 211 n° 17)
1753. Mittwochs den 26. sept. sind nach 2.maliger proclamation durch M Joh: Michael Eberlin Diac. Aurel. ehelich copulirt und eingesegnet worden Joh: Daniel Klein, lediger Hufschmidt und burger Meister David klein, burgers und Hufschmid ehelicher Sohn und Jungfr. Anna Maria Andres Riehl burgers und Gartner UW eheliche tochter unterzeichnet Johann Daniel Klein Hochzeider, + der hochzeiterin Zeichen (i 216)

Daniel Klein devient tributaire chez les Maréchaux le 31 octobre 1753.
1753, Protocole des maréchaux et des taillandiers (XI 141)
(p. 6) Mittwoch den 31. Octobris – Johann Daniel Klein, der hueffschmid, Meister Johann David Klein des auch hueffschmidt und Burgers allhier ehelicher Sohn stehet vor und bitt man möge Ihme das Meisterrecht Zukommen laßen, mithien Ihne vor einen ehrlichen Meister auf und annehmen.
Erkandt Willfahrt. dt. 3 lb 6 ß d, Aufflaggeld dt. 1 lb 7 ß

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg Blanc. Les apports du mari s’élèvent à 79 livres, ceux de la femme à 223 livres.
1754 (2.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1161) n° 875
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Daniel Klein, hufschmids u. der Ehren und tugendsamen Frn Mariä Kleinin geb. Riehlin beeder Eheleuten und burgern allhier Zu Straßburg einander in den Ehestandt Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1754. – in ihren den 26.ten 7.bris des erst abgewichenen 1753.en Jahrs angetrettenen Ehestand zugebracht, welche der ursachen, all dieweilen in ihrer vor mir Notario den 25.ten Aprilis erstgemelten Jahrs, auffgerichteten Eheberedung §° 3. wohl bedächtlichverglichen und bedungen, daß einem jeden sein in die Ehe bringendes Vermögen ihme um seinen Erben vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen in ferneren Beÿsein Mr David Klein des hufschmids des Ehemanns eheleibl. Vatters wie auch Andreä Riehl Hannsen Sohn guw. der Ehefrauen eheleibl. Vatters Straßburg Mittwochs den 2. Januarÿ A° 1754.

In einer allhier zu Straßburg ane der Weisenthurnstraß gelegenen des Ehemanns Vatter Zuständigen behausung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer Behaußung (F.) Nemlichen 1/90. theil vor ohnverändert von vnd ane I. behausung zu Straßburg beÿ dem Geistbrückel (…)
(f° 6) Widems Verfangenschaft Welche Jacob Wunderer Lorentzen Sohn guw von weiland Frn. Anna Wundererin gebohrene Lixin seiner den 1. Aprilis 1730. verstorbenen erstern Ehefrauen des disortigen ihrer Mutter seeligen Schwester lebtägig Zu geniesen berechtiget ist
(f° 10) Der Ehefrauen mütterlich Gut betreffend. Daßelbe ist in einem durch nunmehro weiland H. Notm. Philipp Jacob Mader seelig den 13. Junii A° 1739. verfertigten Theilregister beschrieben
Abzug gegenwärtigen Inventarii, Sa. Haußraths 56, Sa. Werckzeug gemachter Arbeit und eißen 166, Sa. Silbers 2, Sa. Activ schulden 8, Summa summarum 232 lb – Schulden 180, Nach deren Abzug 52 lb, Und wann dazu gerechnet wird seine helfte ane denen haussteuren mit 27 lb, So begreifft des Ehemanns Eigenthümlich Vermögen in allem in sich 79 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 76, Sa. Früchten 7, Sa. blumen auf dem feld 15 ß, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 125, Antheil ane 1. behaußung, Eigenthum ane liegenden Güthern, Beßerung ane lehengüthern, Summa summarum 219 lb – Schulden 23, Nach deren Abzug 196 lb, Wann aber die übrige helffte ane denen haussteuren (gerechnet), So belaufft sich der Ehefrauen in die Ehe gebracht eigenthümlich Guth in allem auf 223 lb

Le cloutier Jean Michel Gangloff fait grief à Jean Daniel Klein et à Thiébaut Lix de fabriquer des clous en contravention au règlement. Le conseil de tribu leur inflige une amende de trois livres.
1760, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 98-v) Dienstags d. 22. Januarÿ 1760 – Mr Johann Michael Gangloff der Nagelschmid und burger dahier stehet vor und Klagt nomine E. E. Meisterschafft wieder Mr Johann Daniel Klein und Mr Diebold Lix beede Hueffschmid, daß Sie Nägel Verfertiget hetten, welches wieder Ordnung, bittet Ihnen solches beÿ Straff Zu verbieten und in die auffgeloffene Unkösten Zu condemniren.
Beklagte Zugegen sagen die Nägel seÿen ohne ihr Vorwißen in ihrer Werckstätt verfertiget worden, Sie wollen sich künfftighien derselben gäntzlich enthalten, bitten dahero umb absolutionem.
Erkanndt, ist beklagten beÿ 3. lb d Straff verbotten Künffighien einige Nägel Zu verfertigen.

Jean Daniel Klein et Marie Riehl font dresser l’inventaire de leur actif et de leur passif dans la maison qui appartient au père du mari au Faubourg Blanc. La masse propre à la femme est de 921 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 420 livres, le passif à 1 235 livres.

1763 (17.5.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1190) n° 1337
Inventarium über Meister Johann Daniel Klein, hufschmids und Fraun Mariæ Kleinin geb. Riehlin beeder Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg dermahlen besitzende Nahrung und zu bezahlen habende passiv Schulden, auffgerichtet Anno 1763.
Inventarium und Beschreibung derjenigen haab und Nahrung, wie auch schulden und gegen schulden, so Mstr Johann Daniel Klein, hufschmid und Frau Maria Kleinin geb. Riehlin, beede Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg dermahlen besitzend und hinwieder zu bezahlen hätten, welche der Ursachen aldieweilen sein des Ehemanns Vermögen zimlich mit passiv schulden beladen, dannenhero die Ehefrau willens ist um Salvirung Ihres ohnveränderten und eigenthümlichen Guths beÿ einem Ehrsamen Kl. Rath um das Beneficium Cessionis unterthänig einzukommen (…) So beschehen Straßburg Dienstags den 11.ten Maÿ 1763.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraß gelegenen in des Ehemanns väterlichen Verl. gehörigen Schmid behaußung befunden worden wie folgt
Werckzeug gemachte Arbeit und Kohlen Zum Schmid handwerck gehörig
Antheil ane einer behaußung. 2/9.te theil vor ohnvertheilt von und ane i. behaußung beÿ dem Geistbücklein (…)
(f° 8) Ergäntzung der Ehefrauen ermanglenden ohnveränderten Guths. Nach anleitung des über beeder Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachter Nahrungen durch mich Notm. den 2. Jan. 1754. auffgerichteten Inv°
(f° 12) Abzug gegenwärtigen Inventarii. Der Ehefrauen ohnverändert Guth, Sa. haußraths 28, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 3, Sa. Antheils ane 1. behaußung 35, Sa. Eigenthum ane liegenden Güther 54, Sa. der beßerung ane i. lehenstück 2, Sa. Activ Schulden 51, Ergäntzung 765, Summa summarum 941 lb – Schulden 20, Nach deren Abzug 921 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns ohnverändert und zugleich auch das theilbare Guth in deme die Ehefrau auf das letztere tam active quam passive renunciret unter i. titul als in des Ehemanns nahrung gehörig beschrieben, Sa. haußraths 29, Sa. Werckzeugs gemachte Arbeit v. Kohlen zum Schmidhandwerck und in des Ehemanns Nahrung gehörig 72, Sa. beßerung auf dem feld 6, Sa. Schulden 312, Summa summarum 420 lb – Schulden 1235 lb, des Ehemanns passiv onus 814 lb
Widems Verfangenschaft Welche nunmehro weiland Jacob Wunderer Lorentzen Sohn gew. guw. und br. alhie, welcher den 10.ten 9.bris jüngst todtes verfahren weil. Fr. Anna Wunderein geb. Lixin der dießortigen Ehelich Ihrer Muter seel. Schwester seelig Ingleichem participirende dero Schwester seel. weil. Fr. Margaretha geb. Wundererin Jacob Kauffers guw und bs alhie Ehefrau ane solchem ersten Stammtheil
Widems Verfangenschaft Welche Fr. Margaretha Riehlin geb. Lixin weil. Andreß Riehl Hannßen Sohn gew. guw. und bs alhier seel. hinterbliebene Wb. der dießortigen Kleinischen Ehefrau Ihro Stiefmutter lebtägig Zu genißen berechtigt ist
Anfängl. dem 3.theil vor ohnvertheilt von und ane dem in doe vätterliche verlaßenschafft gehörigen 10.theil behaußung
$ 2480
Copia der Eheberedung (…) So Beschehen Straßburg Mittwochs den 25. Aprilis Anno 1753, Johann Daniel Stöber Nots.

Jean Daniel Klein et Marie Riehl hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Gnilius, membre du séminaire ecclésiastique.

1771 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 169
Johann Daniel Klein der huffschmidt und Maria geb. Riehlin mit assistentz Johann Daniel Hetzel des hohldrähers und Philipp Albrecht Krieger des glaßers ihren nächsten
in gegensein H. Mag. Johann Friedrich Gnilius des würdigen membris seminarii ecclesiastici – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis in der Hahnen gaß, einseit neben einem Stiffts haus zum Alten St Peter, anderseit neben Melchior Beyerle dem hühnergrempen, hinten auff David Mohr den seiler – als ein währender ehe erkaufftes haus

Anne Marie Riehl meurt en 1773 en délaissant trois fils. La succession comprend deux maisons. L’inventaire est dressé dans celle sise rue du Coq que les experts estiment à 400 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 1 879 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 787 livres, le passif à 2 539 livres.

1773 (23.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1217) n° 1799
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Fraun Annä Mariä Kleinin geb. Riehlin Mr Johann Daniel Klein des Hufschmids v. brs allhier Zu Straßburg gew. Ehefrau nunmehr selig Verl. aufgerichtet Anno 1773.
Inventarium und Beschreibung derjenigen Haab Nahrung und Güther, so weiland die Ehren u. tugendsahme Frau Anna Maria Kleinin geb. Riehlin, Mr Johann Daniel Klein des Hufschmids u. brs allhier Zu Straßburg gew. Ehefrau nunmehr nach ihrem Dienstags den 13.ten dießes Monaths Aprilis u. anstehenden 1773.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlt. auf gebühredes ansuchen, Erfordern u. Begehren sein des hinterbliebenen Wrs wie auch des Ehrsam und bescheidenen Andreä Riehl guw. u. bs. allhier, der abgeleibten selig halb bruders als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel welcher den 18. brachmonath 1755 Zur Welt gebohren worden u. das Schreiner handwerck erlernet, David, der den 20.t 8.bris 1756. und Andreæ der den 31. Märtz 1759. dieses tageslicht zum erstenmal erblicket, der abgeleibten selig mit dem Wr. erzeugter 3. Söhne u. ab intestato verlaßener Erben (…) So geschehen Straßburg Freÿtag den 23. Aprilis A. 1773.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane der Hahnengaß gelegenen u. in dieße Verlt. gehörigen dannenhero drunten beschriebenen behaußung befunden worden.
(f° 5) Eigenthum ane Häußern (W. et T.) Nemb. Eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten alhie an der bern Langen straß in der hahnen gaß, 1. s neben Mr Johann Philipp Burnas, dem dräher, 2. s. neben weÿl. (…)
(W. er T.) Und dann Eine behaußung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ebenfals alhie Zu Straßburg ane der haanen gaß, j.s neben einer dem Stifft Zum Alten St. Peter zuständigen behaußung, 2. s. neben Melchior Baurels dem hüner Krempen, hinden auf Zweÿ häußer an Linßerfelser gäßlein stosend, so über hernach folgende passiv capitalien und den Vingtieme ledig und eigen, es ist aber dieselbe Von gemelltem H Bau Inspectori und Hh Werckmeistere außweißlich jener eingezogener Abschatzung designation für ledig und eigen taxirt worden pro 400 lb. Vermög j. in alhieiger C. C. St Vorgenommener und verfertigten perg. Kauffverschreibung und dero aufgedrucktem Ins. bekräfftiget sub dato 27. Xbris A° 1718. mit altem Lit. A bemerckt
(f° 6) Ergäntzung der Kinder und Erben ermanglenden ohnveränderten Guths. Nach anleitung des über beeder gewesener Eheleuthe A° 1763. besessene activ Nahrung und zu bezahlen gehabter passiv Schulden durch mich Notarium den 17. Maÿ solchen jahrs auffgerichter den 22. Junÿ darauf beÿ E. E. Kleinen Rath und den 20.t Junÿ A° 1764. beÿ E. E. großen Rath producirten Inventarÿ ist deroselben aus ermanglung des den 2. Jan. 1754. über beeder Eheleuth einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrung von mir Notario errichteten Invÿ Zuergäntzen wie folget
Widums Verfangenschaft Welche Fr. Margaretha Riehlin geb. Lixin weil. Andreß Riehl Hß. S. gew. guw. und bs alhier seel. hinterbliebene Wb. der dießortigen Kleinischen Ehefrau Ihro Stiefmutter lebtägig Zu genißen berechtigt ist
Anfängl. dem 3.theil vor ohnvertheilt von und ane dem in die vätterliche verlaßenschafft gehörigen 10.theil behaußung (…)
(f° 12) Abzug gegenwärtigen Inventarii. Der Erben unverändert Vermögen betr. Sa. haußraths 8, Sa. Eigenthum ane j. Feldst. 22, Sa. Activorum 50, Ergäntzungs Rest 1763, Summa summarum 1879 lb
Dießemnach wird alles übrig Vorhandene es seÿe gleich Vom W. in die Ehe gebracht oder während solcher erkaufft und angeschaffet worden unter i. titul in desselben Nahrung gehörig und hingegen daraus Zu bezahlend beschrieben, Sa. haußraths 16, Sa. Schwein 5, Sa. Silber Geschmeids 9 ß, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenthums ane häußern 750, Sa. activ Schuld 7, Summa summarum 787 lb – Schulden 2539 lb, Passiv onus 1752 lb
Stallsumm 177 lb
Copia der Eheberedung (…) So Beschehen Straßburg Mittwochs den 25. Aprilis Anno 1753, Johann Daniel Stöber Nots.
Copia Codicilli – die Ehren und tugendsamee Frai Anna Maria Kleinin gebohren Riehlin, Meister Johann Daniel Klein des Hufschmidts und Burgers alhier Ehefrau, mich Notarium und drunten gemelte fünff glaubhafte Gezeugen Zu sich in ihre ane der Hahnengaß gelegene behaußung berufen, kommen und erbetten laßen, welche wie in dero Wohnstub mit den Fenstern auf die Gaß außsehende krancken, dannenhero Zu bette liegenden Leibs gleichwohl durch die Gnade Gottes richtigen Sinnen, Vernuft und Verstand (…) Donnerstags de, 1.sten Octobris Anno 1772, Johann Daniel Stöber, Notarius

Comptes que rend André Riel de la tutelle des biens qui appartiennent aux trois fils de feue sa demi-sœur Anne Marie Riehl, femme de Jean Daniel Klein
1777, Not. Stoeber (6 E 41, 1266)
(N° 2) Rechnung Mein Andreä Riehl gvw. u. bs. allhier als geordnet und geschworenen Vogts weiland Fraun Annä Mariä Kleinin geb. Riehlin Mr Johann Daniel Klein hufschmids u. bs. allhier gew. Ehefraun meiner Halbschwester mit ihme erzeugter dreÿer Söhnen nahmens Johann Daniel, Ledigen Schreiners, David, Ledigen Schumachers u. Andreä, Ledigen Schneiders der Kleinen, ausweißend alles dasjenige so seit dem 19.t Martÿ 1774 als dem Beschluß meiner erstern Rechnung bis Joh. Bapt: 1777 eingenommen und außgegeben auch sonsten verrichtet und verhandelt habe. – Zweite Rechnung dießer Vogteÿ
Wÿdem, behausung am Kageneckerbruch (…)

(N° 16) Rechnung Mein Andreä Riehl gvw. u. bs. allhier als geordnet und geschworenen Vogts weiland Fraun Annä Mariä Kleinin geb. Riehlin mit Mr Johann Daniel Klein dem hufschmid u. bs. allhier ihrem hinterbliebenen Wr erzeugter dreÿer Söhnen nahmens Johann Daniel, Ledigen Schreiners, David, Ledigen Schumachers u. Andreä, Ledigen Schneiders, inhaltend alles dasjenige so seit Joh. Bapt: 1777 als dem Beschluß meiner zweiten Rechnung bis Annunciationis Mariæ 1780. eingenommen und außgegeben auch sonsten verrichtet und verhandelt habe. – Dritte Rechnung dießer Vogteÿ

(N° 35) Rechnung Mein Andreas Riehl gvw. u. bs. allhier als geordneten Vogts weiland Fraun Annä Mariä Kleinin geb. Riehlin mit Mr Johann Daniel Klein dem hufschmid u. bs. allhier ihrem hinterbliebenen Wr erzeugter dreÿer Söhnen nahmens Johann Daniel, ledigen Schreiners, David, ledigen Schumachers u. Andreä, ledigen Schneiders, inhaltend alles dasjenige so seit Annunc. Mariæ 1780 als dem Beschluß meiner dritten Rechnung bis Johannis Baptistæ 1783. eingenommen und außgegeben auch sonsten verrichtet und verhandelt habe. – Vierte und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ

Jean Daniel Klein et ses enfants issus d’Anne Marie Riehl vendent la maison au batelier François Haas et à sa femme Marie Elisabeth Baureiff

1773 (13.12.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 475-v
Erschienen weÿl. Frauen Annæ Mariæ geb. Riehlin mit Mr Johann Daniel Klein des huffschmitts erzeugten dreÿ minderjährigen Kinder, nahmentlich Johann Daniel, David und Andreas der Kleinen geordneter und geschworener vogt Andreas Riehl der g.u.w.
in gegensein Franz Haaß des schiffmanns und Mariæ Elisabethæ geb. Bureiffin unter assistentz Franz Georg Armbruster des seilers und Georg Philipp Hirschel des küblers
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Hahnengaß, einseit neben einem dem Stifft Alt St Peter zuständiges haus, anderseit neben weÿl. Melchert Burÿ gewesten hüner gremp hinterl. erben, hinten auff das Linsenfelsergäßlein – alß ein ratione mütterlichen guts ane ergäntzung aus ihrer vätterlichen activ massa angewießenes haus – um 300 lb und 100 lb verhafftet, geschehen um 450 pfund oder 900 gulden

Fils du manant François Haas, le batelier catholique François Haas épouse en 1759 Marie Elisabeth Baureiff, fille du menuisier Jacques Baureiff de Saverne : contrat de mariage, célébration
1759 (9.10), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 323
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Frantz Haaß dem Ledigen Schiffer, weÿland des Ehrengeachten Frantz Haaß, geweßenen Schirmbs Verwanthen allhier Zu Straßburg hinterlaßenem ehelich erziehltem Sohn, als dem bräutigamb, ane einem
So dann der Ehren: und tugendsahmen Jungfrauen Maria Elisabetha Baureÿffin, weÿland des Ehren: und vorachtbahren herrn Jacob Baureÿff, geweßenen Burgers und Schreiner Meisters in Zabern hinderlaßener ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 9. Octobris Anno 1759 (unterzeichnet) Frantz Haaß als hochzeiter, Maria Elisabetha baureÿffin als hoch Zeiderin, + Frauen Barbara Baureÿffin gebohrener Rinck, der Mutter, welche Schreibens ohnerfahren Zuseÿn declarirte handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p 160)
Hodie 30 Octobris 1759 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Franciscus Has, argentinensis, filius Francisci Has Et Catharinæ Schwartzin, conjugum defunctorum, Nauta Solutus in parochia Sancti Stephani Commorans, Et Maria Elisabetha Baureiffin, Tabernensis, filia Joannis Jacobi Baureiff defuncti Civis et arcularii ibidem Et Annæ Barbaræ Rinck superstitis ejus uxoris legitimæ parochiana nostra (unterzeichnet) Frantz Haaß, Maria Elisabetha baureÿffin (i 85)

Les manants François Haas et Marie Elisabeth Baureiff font dresser un état de leur fortune (534 livres) dans une maison au Bain-aux-Plantes
1767 (22.8.), Not. Elles (6 E 41, 1334) n° 373-b
Verzeichnus Alles Desjenigen Vermögens so der Ehrsame Frantz Haas d. Schifknecht von hier zu Straßburg gebürtig u. Maria Elisabetha gebohrne Baureiff aus Elsaß Zabern gebürtig, beede dahier zu ged. Strb. wohnhafte Schirms Verwanthe Eheleuthe, würcklichen und eigenthümlichen besitzen und innhaben (…) So geschehen und vorgegangen worden den 22. Monathstag Augusti Im Jahr 1767 I, Einer allhier in d. Königl. Statt Strasburg ane der Pflantzbaader Gaß gelegenen und hiehero nicht gehörig. behausung wie hiernacher folgt.
Sa. haußraths 154, Sa. Silbers 23, Sa. baarschafft 30, Sa. Schulden 126, Summa summarum 534 lb

Le garçon batelier François Haas et sa femme Marie Elisabeth Bureiff de Saverne achètent le droit de bourgeoisie
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 124-v
Frantz Haas d. Schirmer u. Schiff Knecht von hier und deßen Ehefr. Maria Elisabeht geb. Bureiffin von Zabern, erhalten beede das burgerrecht aus hoher recommand. gratis, ihr Söhnlein Frantz Antoni ist beÿ ordn. gelaßen, will dienen beÿ EE. Zunfft zur Encker, Jur. et prom. den 3. 7.bre 1767.

Leur maison ent vendue par enchère judiciaire à Jean Georges Schmidt
1778 (13.4.), Chambre des Contrats, vol. 652 n° 132-v
Ganth kauff brieff – ist die Franz Haaß dem schiffmann et uxori zuständig gewesene ane der Hahnengaß gelegene behausung, einseit neben den Burgischen erben, anderseit neben einer dem stifft Alten St Peter gehörige behausung, hinten auff N. Börsch dem bronnen schöpffer
Johann Georg Schmidt als letzt und meistbietenden, um 1440 gulden

Jean Georges Schmidt et sa femme Anne Marie Münch hypothèquent la maison qu’ils viennent d’acheter par subhastation le 30 mars au profit de Jean Frédéric Gnilius, membre du séminaire ecclésiastique.

1778 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 652 n° 120-v
Johann Georg Schmidt und Anna Maria geb. Münchin unter assistentz H. Isac Ottmann medicinæ doctoris und Peter Joseph Noel des vergulders
in gegensein H. M. Johann Heinrich Gnilius membri seminarii ecclesiastici zu bezahlung der kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 400 gulden
unterpfand, anfangs gadachte behausung ane der Hahnengaß einseit neben den Burgischen erben, anderseit neben einer dem stifft Alten St Peter gehörigen behausung, hinten auff N. Börsch dem bronnenschöpffer – als ein auff der ganth besag ganth kauff brieff vom 30. martÿ jüngsthin erkaufftes guth

Fils du peignier du même nom, le journalier Jean Georges Schmidt épouse en 1761 Anne Marie Münch, fille du cultivateur André Münch de Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1761 (30.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 180
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Johann Georg Schmidt dem leedigen Burgern allhier, Mr Joh: Georg Schmidt, burgers und Kammachers allhier mit weÿl. frauen Elisabetha geb. Böhmin seel. ehelich erziehltem Sohn als dem bräutigam ane einem,
So dann der Tugendsamen Jungfer Anna Maria Münchin, weÿl. Andreä München des geweßenen Burgers und Ackersmanns Zu Schiltigheim seel. mit frauen Eva geb. Deinerin* ehelich erziehlten tochter als der Jungfer hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auf Montag den 30.ten Martÿ A° 1761. unterzeichnet + des hochzeiteres gemachtes handzeich. Anna Maria Münchin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 390-v n° 1444)
1761. Mittwoch den 15. April: wurden nacj ordentlicher Proclamation ehelich eingesegnet Johann Georg Schmidt der ledige Burger und Taglöhner von hier, Johann Georg Schmidts burg. und Kammachers ehel. Sohn, und Jgfr. Anna Maria Münchin weÿl. Andreas München burgers und Ackermanns in Schiltigheim ehel. Tochter (i 395)

La maison revient à leur fils Jean Georges Schmidt aussi propriétaire de la maison voisine (ensuite n° 7). Lors de l’adjudication judiciaire, l’homme de lettres Jean Frédéric Aufschlager s’en rend acquéreur.

1818 (7.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 107, n° 19
Tribunal Civil de de Première Instance
Tribunal Civil de de Première Instance, adjudication de la maison sise en ladite ville de Strasbourg rue du coq n° 10 et 11 réellement saisie sur Madeleine Bronner veuve Schmitt et sur Dorothée Schmitt femme de Mockel – Cahier des Charges, M° Klauhold, avoué des administrateurs de la Course Maurice à Strasbourg, que Madeleine Bronner veuve de Jean Georges Schmitt, marchand de volaille, tant en son privé nom que tutrice naturelle de ses deux fils mineurs et Dorothée Schmitt femme de Valentin Mockel, serrurier, d’une somme principale de 2060 francs par obligation reçue M° Ubersaal le 16 février 1816
Surenchère du 26 décembre, M° Klauhold, art .1 porté par M. Schneegans à 760 fr et l’art 2 par M° Klauhold à 760 fr
l’art. 1 par M° Schneegans au nom de Jean Frédéric Auffschlager, homme de lettres et l’art. 2 par M° Klauhold pour Michel Gruber, architecte
Désignation des immeubles et mise à prix, 1. une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Coq n° 10, d’un côté la maison Gemberlin, de l’autre celle ci après, mise à prix 600 fr
2. une maison sise dans la même rue n° 11, d’un côté celle ci dessus n° 10, de l’autre celle de Michel Hollender, mise à prix 400 francs
Cahier des Charges du 12 août 1817
Adjudication définitive du 11 décembre, l’article 1 pour 600 et art. 2 à M° Bloechel pour 410 fr, Déclaration de command du 13 décembre pour Jean Michel Wachsmuth, baquetier, la maison n° 11 pour 410 francs

Jean Frédéric Aufschlager vend la maison au cordonnier Michel Riehl

1819 (28.4.), Strasbourg 8 (26), M° Roessel n° 6411
Frédéric Aufschlager homme de lettres
à Michel Riehl, cordonnier
une maison avec cour, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Coq n° 10 d’un côté la maison Gimberlin de l’autre les héritiers Georges Michel Gruber – acquis à la barre du Tribunal Civil le 26 décembre 1817 dans l’expropriation forcée dirigée contre la veuve et héritiers Jean Georges Schmitt, marchand de volailles, suivant adjudication transcrit au bureau des hypothèques volume 101 n° 19 pour 2500 francs
Enregistrement, acp 142 F° 185 du 29.4.

Fils du teinturier Jean Riehl, le cordonnier Jean Michel Riehl épouse en 1791 Marie Salomé Pfaltzgraff, fille du charron Georges Jacques Pfaltzgraff de Bouxwiller : contrat de mariage, célébration
1791 (4.4.), Not. Übersaal (6 E 41, 661) n° 125
Eheberedung – sind erschienen Meister Johann Michael Riehl, der ledige Schuhmacher alhier, Johann Riehl des Färbers dahier, mit weiland Frau Eva geborner Lorentzin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter an einem,
Und Jungfrau Maria Salome Pfalzgräffin, Georg Jakob Pfaltzgraff, des Wagners zu Buchsweiler mit Frau Dorothea geborner Weinin ehelich erzeugte Tochter, so majorennis zu seÿn declarirte
auf Montag den 4. Aprill abends im Jahr 1791 (unterzeichnet) Johann Michael Riehl, Maria Salomea Pfaltzgräfin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 73-v n° 16)
1791. Montag den 9. Maÿ wurden nach zweÿmahlicher Proclamation, in unserer Kirch copulirt Johan Michael Riehl led. Schuhmacher und burger alhier, Johannes Riehl, des Färbers und burgers alhier, mit weil. Fr. Eva geb. Andreaßin ehelich erzeugter Sohn, Und Jgfr. Maria Salome Pfaltzgrafin, Georg Jacob Pfalzgraf, des Hofwagners und burgers in Buchßweiler mit Fr. Anna Dorothea geb. Weinin ehl. erzeugte Tochter (unterzeichnet) Johann Michael Riehl als hochzeiter, Maria Salome Pfaltzgräfin als Braut (i 60, proclamation Temple-Neuf f° 113-v)

Jean Michel Riehl meurt en 1822 en délaissant deux fils

1822 (18.12.), Strasbourg 8 (35), M° Roessel n° 8814
Inventaire de la succession de Jean Michel Riehl, serrurier décédé le 25 juillet dernier dans sa maison rue de l’Argile n° 35 – à la requête de Marie Salomé Pfaltzgraff la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu M° Übersaal le 4 avril 1791, Jean Michel Riehl, cordonnier, et Jean Georges Riehl, serrurier, héritiers de leur père
Immeubles. Par acte devant la soussigné notaire le 28 avril 1819 le défunt a acquis de Jean Frédéric Aufschlager, homme de lettres, la maison sise en cette ville rue du Coq n° 10, d’un côté le Sr Gimberlin, de l’autre les héritiers Gruber, dont le vendeur était propriétaire en vertu d’un procès verbal au Tribunal civil en date du 26 décembre 1817 dans l’expropriation forcée dirigée contre la veuve et les héritiers de Jean Georges Schmitt, marchand de volailles – occupée par le Sr Lapidau pour un loyer annuel de 24 francs, le Sr Grosé pour 24 francs, la veuve Riehl pour 20 francs, ensemble 68 francs par an, estimée 1360 fr
immeuble de la succession de Jean Riehl, teinturier, et d’Eve Lorentz. Il est échu au défunt et à sa sœur Madeleine Riehl femme de Daniel Conrad, fileur de laine, la maison sise en cette ville rue de l’Argile n° 35 entre Sr Kolb marchand de vin et le revendeur Goetz – les conjoints Riehl l’ont acquis de Marie Catherine Hartmann veuve de Frédéric Müller par acte passé à la Chambre des Contrats le 2 avril 1782. En partie occupé par le veuve Riehl moyennant un loyer annuel de 24 francs, une autre par Nicolas Becker 18 francs, partie par la veuve Schaan 18 francs, ensemble 60 francs par an, faisant en capital 1200 fr, dont la moitié 600 fr
communauté mobilier 164 fr, (la maison 1360 fr), ensemble 1524 fr
propre garde robe 31 fr, (la maison 600 fr), ensemble des biens propres 631 fr
Enregistrement, acp 160 F° 150-v du 20.12.

Marie Salomé Pfaltzgraff meurt en 1832.

1832 (14.3.), Strasbourg 4 (75), M° Hatt n° 6601
Inventaire par déclaration – Marie Salomé née Pfaltzgraff, veuve de Jean Michel Riehl, cordonnier décédée le 25 novembre dernier – à la requête de Jean Michel Riehl, cordonnier, et Georges Riehl, serrurier, héritiers de leur mère
immeuble, la moitié par indivis d’une maison et dépendances situé en cette ville rue du Coq n° 10, évaluée 1200 fr
meubles 99 fr, garde robe 31 fr
Enregistrement, acp 209 F° 52-v du 30.3.

Les deux fils de Jean Michel Riehl vendent la maison au serrurier Philibert Mathieu et à sa femme Charlotte Lang

1836 (22.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 69), M° Hickel n° 5252
Jean Michel Riehl, cordonnier, et Salomé Weber demeurant au Vieux Marché aux Vins n° 78, Jean Georges Riehl, ajusteur des Poids et Mesures, et Marguerite Sophie Jacquet, demeurant place du Vieux Marché aux Vins n° 53
à Philibert Mathieu, serrurier, et Charlotte Lang demeurant rue du Coq n° 3
Désignation, une maison consistant en bâtiment de devant & de derrière avec cour & autres appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue du Coq n° 10, d’un côté le Sr Weber, de l’autre le Sr Schahl, derrière la D° Schmutz
Etablissement de la propriété, Jean Michel Riehl et Jean Georges Riehl ont recueilli ladite maison dans la succession de Jean Michel Riehl, cordonnier, leur père dont ils étaint seuls et uniques héritiers, l’autre moitié dans la succession de Marie Salomé Pfaltzgraff épouse de Jean Mariei Riehl, dont ils étaient aussi seuls et uniques héritiers suivant inventaire dressé par M° Hatt le 14 mars 1832. Riehl père l’a acquis de Jean Frédéric Aufschlager, homme de lettres, par acte reçu M° Roessel me 28 avril 1819, ledit Aufschlager en est devenu propriétaire par adjudication à la barre du Tribunal civil par expropriation forcée poursuivie contre les veuve & héritiers de Jean Georges Schmitt, marchand de volailles, suivant jugement rendu le 7 janvier 1818, transcrit au bureau des hypothèques volume 118 n° 651 – moyennant 5000 francs
Enregistrement, acp 239 F° 37 du 23.3.

Fils du perruquier du même nom, Philibert Mathieu épouse en 1828 Charlotte Lang, fille du boutonnier Jean Lang
Mariage, Strasbourg (n° 121)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 7 avril 1828, Philibert Mathieu, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 Frimaire an VIII à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Serrurier, fils de feu Philibert Mathieu, perruquier, de Marie Huson, domiciliée en cette ville ci présente et consentante, Charlotte Lang, majeure d’ans, née en légitime mariage le premier ventôse an VII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Lang, boutonnier décédé en cette ville le 23 mars 1810 etd e feu Marguerite Madeleine Clauss décédée en cette ville le 14 juillet 1813. Ledit époux déclare par serment qu’il est dans l’impossibilité de produire l’extrait de décès de son père (signé) Plhiliper Mathieu, Charlotte Lang (i 21)

Philibert Mathieu et Charlotte Lang hypothèquent la maison au profit du doyen Laurent Pierre Etienne Delcasso

1843 (26.6.), Strasbourg 11 (37), M° Keller n° 2255
Obligation, 26. Juin 1843 – Ont comparu M. Philibert Mathieu serrurier et d° Charlotte Lang son épouse qu’il autorise spécialement à l’effet des présentes demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont reconnu par ces présentes qu’il doivent bien légitimement à titre de prêt
à M. Laurent Pierre Etienne Delcasso, Doyen de la faculté des Lettres de l’académie de Strasbourg demeurant cette ville, une somme de 6500 francs (…)
hypothèque, Une maison consistant en bâtimens de devant et de derrière, avec cour et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Coq N° 10 tenant d’un côté au Sr Weber, de l’autre à M. Fausser comme étant aux droits de M. Schahl et par derrière à la d° Schmutz, sont compris dans la présente affectation les augmentations de batisse que les débiteurs de proposent de faire en ladite Maison attendu que c’est en partie à cause de ces constructions que le présent emprunt a eu lieu.
Cet immeuble appartient aux époux Mathieu au moyen de l’acquisition qu’ils en ont fait des Srs Jean Michel Riehl et Jean Georges Riehl et de leurs femmes suivant contrat reçu par M° Hickel alors notaire à Strasbourg qui en a la minute et son collègue le 22 mars 1836 transcrit aux hypothèques le 30 du même mois volume 304 N° 56. Déclarent les débiteurs devoir encore sur la dite vente une somme de 5000 francs (…) Enfin ils affirment que leur union est régie par la communauté légale à défaut de contrat de mariage

Philibert Mathieu et Charlotte Lang hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Bischoff, veuve du chef de bataillon Jean Jacques Ober

1843 (8.8.), Strasbourg 11 (37), M° Keller n° 2330
Obligation, 8. août 1843 – Ont comparu M. Philibert Mathieu serrurier et d° Charlotte Lang son épouse, de lui autorisée demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont reconnu par ces présentes qu’il doivent bien légitimement à titre de prêt
à d° Anne Marie Bischoff, rentière demeurant à Strasbourg, veuve de M. Jean Jacques Ober, en son vivant Chef de bataillon en retraite, une somme de 1000 francs (…)
hypothèque, Une maison consistant en bâtimens de devant et de derrière, avec cour et autres dépendances, sise à Strasbourg, rue du Coq N° 10 tenant d’un côté au Sr Weber, de l’autre à M. Fausser, par derrière à la d° Schmutz
Déclarent les époux Mathieu sous les peines de la loi (…) 1° que cet immeuble leur appartient en pleine et incommutable propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite suivant contrat passé devant M° Hickel, notaire à Strasbourg le 22 mars 1836 (…) qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens légale

Philibert Mathieu et Charlotte Lang hypothèquent la maison au profit du capitaine Pierre François Joseph Peseux

1843 (24.11.), Strasbourg 11 (37), M° Keller n° 2466
Obligation, 24. 9.bre 1843 – Ont comparu M. Philibert Mathieu serrurier et d° Charlotte Lang sa femme qu’il autorise spécialement à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg, rue du Coq N° 10, lesquels ont reconnu devoir légitimement conjointement entre eux
à M. Pierre François Joseph Peseux, Capitaine d’artilllerie en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg, une somme de 1600 francs (…)
hypothèque, Une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, avec cour et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue du Coq N° 10 tenant d’un côté au Sr Weber, de l’autre à M. Fausser comme étant aux droits de M. Schahl et par derrière à la d° Schmutz
Déclarent les époux Mathieu sous les peines de la loi (…) 1° que l’immeuble sus affecté leur appartient en pleine et incommutable propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite en vertu d’un contrat passé devant M° Hickel, notaire à Strasbourg le 22 mars 1836 et des constructions y ajoutées

Philibert Mathieu et Charlotte Lang hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Müller, veuve de Daniel Frédéric Piton

1844 (5.9.), Strasbourg 4 (98), M° Lauth n° 1292
Obligation, 5 septembre 1844 – Ont comparu le sieur Philibert Mathieu, serrurier & Dame Charlotte Lang, son épouse qu’il autorise spécialement aux effets ci après, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont par ces présentes déclaré & reconnu devoir bien légitimement
à Dame Marie Madeleine Müller, veuve de M Daniel Frédéric Piton, en son vivant relieur à Strasbourg où elle demeure & est domiciliée, la somme de 2000 francs (…)
hypothèque, Une maison consistant en bâtiment de devant et bâtiment de derrière, avec cour, droits, aisances, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Coq N° 10 d’un côté le Sieur Weber, de l’autre le Sr Fausser & par derrière à la dame Schmutz. Les débiteurs déclarent que cet immeuble leur appartient au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite du Sr Jean Michel Riehl, cordonnier, & de dame Salomé Weber, son épouse, du Sr Jean Georges Riehl, ajusteur des poids et mesures, & de dame Marguerite Sophie Jacquet, son épouse, tous demeurant & domiciliés à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Hickel, alors notaire à Strasbourg, le 22 mars 1836, enregistré et transcrit aux hypothèques de Strasbourg le 30 du même mois de mars Volume 250, Numéro 170. Ils déclarent en outre qu’il est franc & exempt de cens & rentes foncières & privilèges & n’est grevé que deux hypothèques (…)

Philibert Mathieu et Charlotte Lang hypothèquent la maison au profit de l’avocat Henri Joseph Henriet

1846 (3.3.), Strasbourg 6 (75), M° Striffler n° 2914
Obligation. Du 3 mars 1846 – Ont comparu le sieur Philibert Mathieu, serrurier et Dame Charlotte Lang, son épouse qu’il autorise spécialement aux effets ci après, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels reconnaissent devoir bien et légitimement
à M Henri Joseph Henriet, avocat demeurant à Strasbourg, la somme de 1500 francs (…)
hypothèque, Une maison consistant en batiment de devant et de derrière, avec cour et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Coq N° 10 tenant d’un côté au sieur Weber, de l’autre au sieur Schahl et par derrière à la dame Schmutz. Les conjoints Mathieu débiteurs déclarent qu’ils ont acquis cette maison de Mr Jean Michel Riehl, cordonnier, er dame Salomé Weber, son épouse, de Mr Jean Georges Riehl, ajusteur des poids et mesures, et dame Marguerite Sophie Jacquet, son épouse, tous demeurant à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente reçu M° Hickel et con collègue, notaires à Strasbourg, l’an 1836 le 22 mars 1836. Ceux-ci déclarent en outre que cet immeuble est leur propriété irrésoluble et irrévocabel et qu’il est franc et libre de toutes hypothèques, privilèges judiciaires, légales et conventionnelles, à l’exception d’une créance (…)

Philibert Mathieu quitte la maison pour Kœnigshoffen en 1847
600 MW 131 Rue du Coq n° 3, f° 810 (i 282)
Mathieu, Philibert, 1799, Stras. serrurier, (auparavant) Darmstadt, (entré) 9.be 1820, (sorti) 19 août 1823, Vu pour Paris, (obs.) Rentré le 14 janvier 1825, le 7 avril 1828 quai de la Bruche N° 9
(f° 811) Mathieu, Philibert, 1800, Strasbourg, serrurier, Marié, (auparavant) quai de la Bruche 9, (entré) 9 avril 1829, (sorti) 9 juillet 47 au Königshoffen 13
id. née Lang, Charlotte, 1800, Strasbourg, Epouse

Philibert Mathieu et Charlotte Lang vendent la maison à François Joseph Holweck, demeurant à Hangenbiethen

1847 (19.5.), Strasbourg 6 (76), M° Striffler n° 3459
Du 19 mai 1852. Vente et bail – Ont comparu le Sr Philibert Mathieu, serrurier & D° Charlotte Lang, sa femme qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont par ces présentes vendu (…)
à François Joseph Holweck, propriétaire demeurant à Hangenbiethen, ci présent & acceptant
Une maison serrurerie, bâtiment de devant & de derrière, cour, cave, greniers, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue du Coq N° 10 entre Mlle Sarcel & Charles Fausser donnant par devant sur la rue et par derrière Mme Schmutz. Dans cette vente sont compris onze fourneaux en fonte avec leurs corps et pierres, une armoire sise dans la boutique, une armoire vitrée placée dans la même boutique, une autre armoire vitrée placée à la fenêtre, une armoire placée dans le coin d’une des chambre au premier étage, le billot & un établi. Telle que la dite maison & ses dépendances s’étendent & se poursuivent (…)
Les conjoints Mathieu déclarent être propriétaires in,commutables é irrévocables de ladite maison pour l’avoir acquise de Jean Michel Riehl cordonnier, et Salomé Weber sa femme & de Jean Georges Riehl, ajusteur des poids et mesures, & Marguerite Sophie Jacquet sa femme, tous demeurant à Strasbourg, suivant contrat passé devant M° Hickel et son confrère, notaires à Strasbourg, le 22 mars 1836, enregistré et transcrit, ils s’obligent à justifier du payement du prix à première réquisition. Les sieurs Jean Michel Riehl & Jean Georges Riehl sont devenus propriétaires de la moitié de l’immeuble ci-dessus pour l’avoir recueilli dans la succession de Jean Michel Riehl, en son vivant cordonnier à Strasbourg, leur père, dont ils étaient seuls et uniques héritiers. El ils ont recueilli l’autre moitié dans la succession de Marie Salomé Pfaltzgraff en son vivant épouse dud. Jean Michel Riehl, dont ils étaient également les seuls et uniques héritiers ainsi que cette qualité est constatée par l’inventaire dressé après le décès de la dite Dame Riehl née Pfaltzgraff par M° Hatt notaire à Strasbourg le 14 mars 1832. Le dit Sr Riehl père avait acquis l’immeuble dont s’agit du Sr Jean Frédéric Aufschlager, homme de lettres demeurant à Strasbourg, suivant contrat de vente reçu passé devant M° Roessel notaire à Strasbourg le 28 avril 1819, partie du prix a été payés comptant lors de la passation du contrat & partie en janvier 1821. M. Aufschlager était devenu propriétaire dudit immeuble suivant jugement d’adjudication dressé à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 26 décembre 1817 par suite de l’expropriation forcée poursuivie contre la veuve et les héritiers de M. Jean Georges Schmitt en son vivant marchand de volailles à Strasbourg. (…) La présent vente est faite & consentie pour le prix & somme de 13.350 francs
Et à l’instant M. Holweck ci-dessus dénommé & qualifié a déclaré donner à bail pour trois années entières et consécutives qui commencent aujourd’hui pour finir à la St Jean 24 juin 1850
à M Aloise Kumpf, serrurier et Caroline Salomon sa femme qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg preneurs solidaires ci présens & acceptant
La Maison & dépendances sise à Strasbourg rue du coq N° 10 telle qu’elle est ci dessus décrite ensemble les objets mobiliers qui sont compris dans la cente (…) moyennant un loyer annuel de de 667 francs (…) Par ces mêmes présentes M. Holweck promet & s’oblige à vendre au prix de 13.350 francs aux dits conjoints Kumpf la maison & ses dépendances tels qu’ils tiennent le tout à bail si d’ici au 24 juin 1850 ils lui ont payé à valoir sur ledit prix une somme de 1750 francs
acp 361- (3 Q 30 076) f° 36-v

François Joseph Holweck d’Ergersheim épouse en 1834 Elisabeth Duval
1834 (22.10.), Strasbourg 6 (58, nouv. cote 60), M° Triponé n° 3188
Contrat de mariage – Ont comparu Mr François Joseph Holweck, maître Eclusier demeurant à Ergersheim canton de Molsheim, fils de feu M Mathias Holweck, cultivateur et de D° Marguerite Koestel sa veuve demeurant à Ergersheim, stipulant en son nom personnell D’une part
Et Mademoiselle Elisabeth Duval, demeurant à Strasbourg, fille mineure de M. Louis, voiturier présumé absent, & de D° Marie Schwentzel sa femme décédée à Strasbourg où elle demeurait, stipulant en son nom personnel avec l’autorisation du conseil de famille & sous l’assistance de Mr Louis Constantin Legendre, rentier demeurant à Ergersheim son tuteur
Enregistrement, acp 228 F° 4-v du 24.10. – communauté légale

François Joseph Holweck et Elisabeth Duval hypothèquent la maison au profit du receveur Marie Joseph Jean Félix Gérard

1847 (29.10.), Strasbourg 11 (42), Not. Keller n° 3966
Obligation contenant quittance subrogatoire, du 29 octobre 1847 – Ont comparu le Sr François Joseph Holweck, propriétaire et Dame Elisabeth Duval, son épouse de lui autorisée demeurant ensemble à Hangenbiethen canton de Schiltigheim, lesquels conjointement entre eux ont reconnu devoir légitimement conjointement entre eux à titre de prêt
à M. Marie Joseph Jean Félix Gérard, receveur des finances, demeurant à Strasbourg faubourg de Saverne N° 4, une somme de 6500 francs en capital (…)
hypothèque, Une maison-serrurerie consistant en bâtimens de devant et de derrière avec cour et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue du Coq N° 10 tenant d’un côté au Sieur Weber, de l’autre à M. Fausser comme étant aux droits de M. Schahl et par derrière à la d° Schmutz
Cet immeuble appartient aux conjoints Holweck au moyen de la vente qui en a été faite au sieur Holweck par Philibert Mathieu serrurier et Dame Charlotte Lang son épouse suivant contrat passé devant M° Striffler et son collège notaires en la dite ville le 19 mai 1847. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 13.350 francs dont 6350 francs furent déléguéd à M. Delcasso (…) Il est à remarquer qu’au contenu du même acte le sieur Holweck a donné ledit immeuble à bail à Aloïse Kumpf serrurier et à Caroline Salomon sa femme demeurant à Strasbourg pour une durée de trois ans et moyennant un loyer annuel de 657 francs, Quant aux époux Mathieu ils étaient propriétaires de ladite maison au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite des Sieurs Jean Michel Riehl & Jean Georges Riehl suivant contrat reçu par M° Hickel, alors notaire à Strasbourg, qui en a la minute et son collègue le 22 mars 1836 transcrit aux hypothèques le 30 du même mois volume 304 N° 56. Déclarent les époux Holweck sous les peines de la loi (…) 1° qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens

François Joseph Holweck et Elisabeth Duval hypothèquent la maison au profit de Caroline Eyth

1852 (11.2.), Strasbourg 4 (107), Not. Lauth n° 5083
Obligation, du 11 février 1852 – Furent présents Mr François Joseph Holweck, propriétaire & Dame Elisabeth Duval, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés autrefois à Hangenbiethen actuellement à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à Dlle Caroline Eyth, mineure, sans état demeurant à Strasbourg sous la tutelle dative de son beau-frère M. Edouard Emile Strohl, docteur en médecine et professeur agrégé à la faculté de médecine de l’académie de Strasbourg où il demeure et est domicilié, la somme principale de 3600 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une maison serrurerie, bâtiment de devant & de derrière, cour, caves, greniers, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue du Coq N° 10 tenant d’un côté à M. Weber, de l’autre à Charles Fausser donnant par devant sur ladite rue et par derrière sur la propriété de Madame Schmutz
Déclarent les débiteurs que cet immeuble leur appartient en toute propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite du sieur Philibert Mathieu, serrurier et de dame Charlotte Lang, son épouse, demeurant et domiciliés à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Striffler, notaire à Strasbourg, le 19 mai 1847, enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 24 juin suivant volume 462 N° 32 et inscrit d’office le même jour volume 470 N° 85, que cette acquisition a eu lieu pour le prix de 13.350 francs (…)
Finalement déclarent les débiteurs être mariés en premières noces et sous le régime de la communauté

François Joseph Holweck quitte Strasbourg pour le Havre en 1852
600 MW 235 Rue du Coq n° 10, f° 530 (i 228)
Holwegk, François Joseph, 1787, Ergersheim, Pp. ex eclusier, M, (à str. depuis) 5 mars 44, (carte de sûreté n°) 4316, (auparavant) V. mé vins, (entré) 6 fév. 51, (ensuite) 27 fev. 52 ppt. au havre
id. née Duval, Elisabeth, 1814, Strasbourg, Ep, (ensuite) 9 oct. 52 ppt. à Paris
id. M° Josephine Octavie, Ergersheim, fille, (ensuite) 22 fev. 52 ppt. au havre
(aussi 600 MW 165, 1835 sqq, Rue du Coq n° 10, f° 454 (i 336)

François Joseph Holweck et Elisabeth Duval vendent la maison au menuisier Charles Kœbelé et à Sophie Weiss

1852 (23.3.), Strasbourg 4 (108), Not. Lauth n° 5183
Du 23 mars 1852. Vente – A comparu Madame Elisabeth Duval, épouse de M. François Joseph Holweck, propriétaire demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, M. Holweck actuellement en voyage, Madame Holweck agissant tant en son nom, dûment autorisée de son mari, que comme mandataire de ce dernier (…)
A M. Charles Koebelé, menuisier, et à Dame Sophie Weiss, son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Une maison avec bâtiment de devant et bâtiment de derrière, cour, caves, greniers, droits, aisances, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue du Coq N° 10, tenant d’un côté à la veuve Bourdon actuellement femme Weber, de l’autre côté à Charles Fausser et tirant par derrière sur la propriété Schmutz. Dans cette vente sont compris sept fourneaux en fonte avec leurs corps et pierres. (…)
Madame Holweck déclare qu’elle et son mari sont propriétaires de ladite maison au moyen de l’acquisition que M. Holweck en a faite de M. Philibert Mathieu, serrurier et de Dame Charlotte Lang, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat reçu par M° Striffler, notaire à Strasbourg, le 19 mai 1847, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 juin suivant volume 462 Numéro 32 et inscrit d’office le même jour volume 470 N° 85, que cette acquisition a eu lieu pour le prix de 13.350 francs (…) Les époux Mathieu avaient été propriétaires de la maison pour l’avoir acquise de M. Jean Michel Riehl, cordonnier, et de Dame Salomé Weber son épouse, de M. Jean Georges Riehl, ajusteur des poids et mesures, et de Dame Marguerite Sophie Jacquet son épouse, tous de Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 22 mars 1836, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques volume de Strasbourg. Les sieurs Riehl avaient recueilli cet immeuble dans les successions de M. Jean Michel Riehl, cordonnier, et de Dame Marie Salomé Pfaltzgraff décédés conjoints à Strasbourg, dont ils étaient les seuls héritiers ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Hatt alors notaire à Strasbourg le 14 mars 1832, enregistré. M. Jean Michel Riehl avait acquis l’immeuble de M. Jean Frédéric Aufschlager, homme de lettres à Strasbourg, suivant contrat reçu par M° Roessel notaire à Strasbourg le 28 avril 1819, enregistré. Enfin M. Aufschlager était devenu propriétaire de l’immeuble suivant jugement d’adjudication dressé à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 26 décembre 1817 par suite de l’expropriation forcée prononcée contre la veuve et les héritiers de M. Jean Georges Schmitt en son vivant marchand de volailles à Strasbourg.
La présente vente est faite (…) pour le prix de 10.000 francs
acp 408 (3 Q 30 123) f° 37 du 24.3.

Charles Kœbelé épouse Sophie Weiss en 1850
Mariage, Strasbourg (n° 330)
24 août 1850 Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 24 août 1850, Charles Koebelé, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 juin 1825 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Menuisier, fils de feu Jean Louis Koebelé, tourneur décédé en cette ville le 16 février 1841 et de Madeleine Sophie Ihlé, domiciliée en cette ville ci présente et consentante et de Sophie Weis, majeure d’ans, née hors le mariage le 28 juin 1827 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille reconnue de Christophe Weis, peignier domicilié en cette ville ci présent et consentant et de feu Catherine Neuenlist décédée en cette ville le 4 juillet 1840 (signé) Ch. Koebele, Sophie Weiss (i 38)

Registre de population, 600 MW 235 Rue du Coq n° 10, f° 534 (i 232)
Koebelé, Charles, 1825, Strasb. menuisier, M, (auparavant) rue finckwiller 73, (entré) 24 juin 53
id. née Weiss, Sophie, 1827, Strasb. Ep
id. Charles, 1851, Strasb. enf.
id. Sophie, 1853, Strasb. enf., décédée 20 juillet 53
id. Adolphe, 1854, Strasb. enf.
Koebelé née Ihlé, Sophie Madeleine, 1789, Strasb. veuve, (auparavant) rue finckwiller 73, (entré 24 juin 53, (sortie) 12 août 54, gd rue 102. (obs.) Xbre 53 pmt* pauvre

Leur fils Charles Kœbelé, ébéniste à Paris, épouse en 1876 Pauline Danner, originaire de Châtenois. Ils légitiment leur fille Sophie née à Strasbourg.

Mariage, Paris XI (n° 683)
Du 3 juin 1876 à onze heures du matin. Acte de mariage de Charles Koebelé, Ebéniste, demeurant à Paris, Boulevard Voltaire 234, onzième arrondissement, né à Strasbourg Bas Rhin le 14 mars 1851, fils majeur de Charles Koebelé, menuisier âgé de 51 ans et de Sophie Weis son épouse âgée de 50 ans, demeurant à Strasbourg (Alsace Lorraine), consentant par acte passé devant M° Ritleng notaire audit lieu, et de Pauline Danner, couturière, demeurant à Paris, Boulevard Voltaire 234, onzième arrondissement, née à Chatenois (Bas Rhin) le 10 février 1854, fille majeure de Jean Baptiste Danner, journalier âgé de 47 ans et de Cunégonde Bisey, son épouse âgée de 48 ans, demeurant ensemble audit Strasbourg, consentant par acte passé devant M° Ritleng notaire audit lieu (…) Les parties interpellées ont dit qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage. Les contractants déclarent qu’ils reconnaissent et légitiment Sophie, née à Strasbourg (Alsace Lorraine) le 15 août dernier inscrite le lendemain comme fille de Pauline Danner (i 4)

Consentements sous le nom fautif de Kœberlé
1876 (7.2.), M° Ritleng
Einwilligung ertheilt durch Johann Baptist Danner Weber und Cunegunda Biset seine Ehefrau zu Koenigshoffen zur Verehelichung ihrer Tochter Pauline Danner, Näherin mit Karl Koeberle, Kunsttischler beide zu Paris
Einwilligung ertheilt durch Karl Koeberle, Schreiner und Sophie Weiss seine Ehefrau zu Straßburg zur Verehelichung ihres Sohns Karl Koeberle, Kunsttischler mit Fräulein Pauline Danner, Näherin beide zu Paris
acp 648 (3 Q 30 363) f° 14 du 8.2.

Naissance, Strasbourg (n° 2353)
Den 17. August 1874 um 10 Uhr Vormittags. Geburts-Urkunde von Sophie, geboren zu Königshofen 11 den 15. August 1874 um 11 Uhr Nachts, Kind von unbekanntem Vater und von der ledigen Pauline Danner, alt 20 Jahre, ohne Gewerb, geboren zu Kestenholz (Unter Elsaß) wohnhaft zu Kestenholz. Das Kind, welches mir vorgezeigt ist, wurde von Geschlecht befunden als weiblich. Erster Zeuge, Johann Baptist Danner, alt 25 Jahre, Tagner wohnhaft zu Königshofen, Stadtbann Strassburg, Zweiter Zeuge Johann Christian Wild, 32 Jahr alt, Schlosser, wohnhaft zu Königshofen. Auf die vorstehende Erklärung, welche mir gemacht ist durch Karoline Ohl 20 Jahre alt, Hebamme zu Königshofen wohnhaft
[in margine :] Durch die am 3. Juni 1876 vor dem Standesbeamte zu Popincourt (Paris) zwischen Carl Koebele und Pauline Danner ) abgeschlossene Ehe wurde das in nebenstehendem Akte genannte Kind von beiden Eheleuten anerkannt. Strassburg den 24. April 1878 (i 126)

Décès, Strasbourg (n° 1145)
Le 16 avril 1932 à neuf heures 15 minutes est décédé en son domicile 258 Route des Romains Charles Koebelé, né à Strasbourg le 14 mars 1851, ancien ébéniste, fils de Charles Koebelé et de Sophie Weiss, époux décédés, époux de Pauline Danner (i 289)
Décès, Strasbourg (n° 2056) Le 25 juillet 1932 à 13 heures est décédée en son domicile 258 Route des Romains Pauline Koebelé née Danner née à Châtenois (Bas-Rhin) le 11 février 1854 fille de Jean Baptiste Danner et de Cunégonde Bissey, époux décédés, veuve de Charles Koebelé (i 97)

La maison est inscrite au cadastre à partir de 1934 au nom de Jules Paul Schilder
L’employé de banque Jules Paul Schilder épouse en 1896 Sophie Kœbelé

Mariage, Strasbourg (n° 375)
Straßburg am 2. Mai 1896. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Bankbeamte Julius Paul Schilder, katholischer Religion, geboren den 22. Mai des Jahres 1870 zu Paris (Frankreich) wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Schuhmachers Gustav Adolph Schilder und dessen Ehefrau Rosine Philippine gebornen Boettigheimer, beide wohnhaft zu Straßburg, 2. die gewerblose Sophie Koebele, evangelischer Religion, geboren den 15. August des Jahres 1874 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Schreiners Carl Koebele und dessen Ehefrau Pauline gebornen Danner, beide wohnhaft Zu Straßburg ([in margine :] F. 8. IV 1934 N 975 (i 12)

La maison revient à leurs deux enfants Marcel Jules Schilder et Juliette Schilder

Mariage, Strasbourg (n° 998)
Strasbourg le 2 juillet 1921. Par devant l’Officier de l’État Civil soussigné ont comparu dans le but de contracter mariage 1° Monsieur Marcel Jules Schilder, professeur de dessins, de religion protestante né le 16 juin 1897 à Strasbourg demeurant à Strasbourg Kœnigshoffen 258, route des Romains, fils de Jules Paul Schilder, employé de banque, et de Sophie née Koebelé, demeurant à Strasbourg,
2° Mademoiselle Eugénie Anne Charlotte Meyel, dactylo, de religion catholique, née le 10 février 1896 à Strasbourg demeurant à Strasbourg Cronenbourg 149 route de Mittelhausbergen, fille de feu Eugène Meyerl, sous directeur d’usine et de Marie Bernardine née Kling demeurant à Strasbourg.
Par jugement du Tribunal régional de Strasbourg, devenu définitif le 25 août 1923, le mariage contracté entre Marcel Jules Schilder et Eugénie Anne Charlotte Meyel a été dissous. Strasbourg le 17 septembre 1923 (i 29)

Mariage, Strasbourg (n° 1131)
Le 11 septembre 1928 à dix-sept heures (…) ont comparu publiquement en la maison commune Marcel Jules Schilder, pensionnaire d’Etat, divorcé d’Eugénie Anne Charlotte Meyel, le 25 août 1923 né à Strasbourg le 16 juin 1897, 28 ans, domicilié à Strasbourg Kœnigshoffen 258, route des Romains, fils de Jules Paul Schilder, employé de banque, et de Sophie Koebélé, son épouse domiciliés à Strasbourg, d’une part
et Frédérique Léonie Lucie Kibort, sans profession, divorcée de Gustave Joseph Marocke le 10 janvier 1922, née à Strasbourg le 3 mai 1893, 32 ans, domiciliée à Strasbourg, 15 rue des Juifs, fille l’Emile Eugène Kibort, chef de bureau, et de Ida Aurélie Lucie Hepp, son épouse, domiciliés à Strasbourg, d’autre part, aucune opposition n’existant. Les futurs époux déclarent qu’un contrat de mariage a été reçu le 9 septembre 1925 par maître Wittmer, notaire à Strasbourg
(mention marginale) Mariage dissous par jugement de divorcé rendu le 10 mai 1933 par le tribunal de première instance de Strasbourg et transcrit le 11 avril 1934

Naissance, Strasbourg (n° 2039)
Strassburg am 17. Juni 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Bankbeamte Julius Paul Schilder, wohnhaft zu Straßburg Hahnengasse 5, katholischer Religion, und zeigte an, daß von der Sophie geborener Koebele seiner Ehefrau evangelischer Religion, wohnhaft bei ihme zu Strassburg in seiner Wohnung am 16. Juni des Jahres 1897 um acht Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden sei, welches die Vornamen Marcellus Julius erhalten habe.
[in margine :] Schilder Marcel Jules nommé ci contre a contracté mariage à Strasbourg avec Meyel Eugénie Anne Charlotte le juillet 1921.
Remarié à Strasbourg le 11 septembre 1925 avec Frédérique Léonie Lucie Kibort
Remarié à Strasbourg le 28 décembre 1935 avec Marie Louise Rose Pauline Charrain
Décédé le 13 octobre 1960 à Vendenheim (Bas-Rhin) – i 286

Naissance, Strasbourg (n° 173)
Strassburg am 16. Januar 1899. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Bankbeamte Julius Paul Schilder, wohnhaft zu Straßburg Langegasse 20, katholischer Religion, und zeigte an, daß von der Sophie geborener Koebele seiner Ehefrau evangelischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Strassburg in seiner Wohnung am 14. Januar des Jahres 1899 Nachmittags um achteinhalb Uhr ein Kind weiblichen Geschlechts geboren worden sei, welches den Vornamen Julia erhalten habe.
[in margine :] Décédée le 10 février 1967 à Strasbourg


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.