20, rue de l’Ail


Rue de l’Ail n° 20 – VII 353 (Blondel), P 1091 (cadastre) puis section 14 n° 6

Démolie en 1934 lors de la Grande Percée

Ail n° 22-20 (v. 1920)Ail 20 (nov. 2013)
Image de gauche – Au premier plan à gauche, le n° 22. Le n° 20 est la maison suivante, après l’entrée de la ruelle du Bateau
(photographie des années 1920, coll. particulière)
Image de droite, même endroit, novembre 2013 – Au premier plan à gauche, le n° 22.

La maison forme l’angle occidental de la rue de l’Ail et de la ruelle du Bateau, ses anciennes dénominations Zum Strahleck ou ancien poêle des tonneliers (die alte Küfferstub) sont encore citées à l’acte de vente de 1693. Elle comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et un bâtiment latéral. La façade sur la rue de l’Ail a un encorbellement modifié en 1742. Elle appartient sous l’Ancien Régime à des marchands. Le propriétaire est autorisé à poser sur le communal devant sa maison une marche qui subsistera pendant tout le XVIII° siècle. D’après l’enquête de 1907, le bâtiment daterait du XV° siècle et aurait été transformé au cours des siècles suivants. La date de 1698 se trouve entre les deux ouvertures en arcade, comme le signale aussi Adolphe Seyboth qui relève aussi les initiales L. G. (celles de Laurent Græthel qui vient d’acheter la maison). L’escalier dans la cour porte une date un peu plus tardive, 1714.

154 Elévations h-k
154 Cour H
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 154, élévations, cour (H)

La maison se trouve de part et d’autre du repère (j) sur les élévations qui ont servi au plan-relief de 1830. La partie qui donne dans la ruelle du Bateau se trouve à gauche du repère : pignon, porche d’entrée dans la cour (H) et bâtiment accessoire. La maison juste à droite du repère (h) fait partie de la propriété voisine. La partie qui donne dans la rue de l’Ail se trouve à droite du repère (j) : deux ouvertures en arcade suivies de deux fenêtres au rez-de-chaussée, six fenêtres au premier. Les combles comprennent deux niveaux de grenier. La photographie prise dans les années 1920 montre la maison dans le même état, l’encorbellement n’étant pas représenté sur les dessins de 1830. Le mur dans lequel s’ouvre une porte fait partie de la propriété voisine. La cour (H) s’ouvre sur la ruelle du Bateau entre les repères (4) et (1), la moitié orientale de l’arrière du bâtiment qui donne sur la rue de l’Ail se trouve entre (4) et (3), la partie en aile du même bâtiment entre (3) et (4) et le bâtiment accessoire à un étage qui borde le sud de la cour entre (2) et (1) ; les lignes horizontales marquent les encorbellements.
Les combles sont transformés en pièce d’habitation en 1892, ce que le cadastre signale par un agrandissement. La Ville acquiert la maison au début du XX° siècle et la fera démolir en 1934 lors de la Grande percée pour faire place à la rue des Francs-Bourgeois (actuelle rue de la Division Leclerc).

octobre 2009

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1660 à 1952  les propriétaires antérieurs sont cités dans l’inventaire de 1696. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

1591 v Pierre Kau
1607 v Nicolas Thomann
1624 v Pierre Bex, marchand, et (1609) Cléophée Braun – luthériens
1674 h Jean Giroth, marchand, et (1674) Anne Marie Ayerer – luthériens
1698 v Laurent Græthel, marchand, et (1694) Marie Marguerite Lang puis (1715) Marie Susanne Graff veuve de Jean Arnaud Ruhland – luthériens
1730 h Jean Daniel Græthel, marchand, et (1725) Marguerite Madeleine Buck – luthériens
1793 h Jean Henri Œrtel, orfèvre (marié en premières noces en 1749 avec Salomé Schaumann), et (1752) Susanne Marguerite Græthel – luthériens
puis leurs deux enfants et héritiers Jean Henri Œrtel, orfèvre, et Marguerite Salomé Œrtel femme de Jean Frédéric Boden, orfèvre
1830 v Georges Fix, menuisier, et (1823) Marguerite Pfrimmer, puis (1863) la veuve
1868* h Edouard Fix
1908* v Ville de Strasbourg

(1765, Liste Blondel) VII 353, Jean Daniel Krettler
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Trettler Wittib, 16 toises, 1 pied et 9 pouces
(1843, Cadastre) P 1091, Fix, Jean Georges, menuisier – maison, sol, cour – 2,55 ares

Locations
1789-1807, Madeleine Hammerer veuve de Chrétien Louis Nicolai, l’un des Treize

Localisation sur le plan Blondel (1765) : la maison 353 se trouve près de la pliure centrale et de la rue de l’Ail (parallèle à celle de la Douane qui est la plus proche de l’Ill).

Livre des communaux

Livre de 1587, cote VII 1450 f° 237-v
Knoblauchs gaßen widerumb Die Andere seÿtten Hienauff

Peter Kog hatt an seinem hauß so ein Eckhauß oben an Schiffgassen Ist, Daran ein Vsstoß Lv schu lang, Vnd iiij schu herauß, Darauff ein Staucher auch also lang Vnd xv zoll herauß, Mehr vor der haußthüeren ein besezten Tritt x schu lang, xxij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, j lb d.

(Traduction) Rue de l’Ail, de nouveau l’autre côté en remontant
Pierre Kog a une maison qui fait l’angle de la ruelle du Bateau, elle a un encorbellement long de 55 pieds en saillie de 4 pieds, par-dessus une poutre (
Staucher) de même longueur en saillie de 15 pouces, en outre devant la porte d’entrée une marche dallée de 10 pieds de long en saillie de 22 pouces, il doit pour la jouissance 1 livre

Livre des communaux et Préposés au bâtiment

1700, Préposés au bâtiment, VII 1379 f° 46-v
Les Directeurs du bâtiment autorisent en 1700 Laurent Grætel à poser une marche sur le communal devant sa maison rue de l’Ail et rue du Bateau moyennant une rente communale qui est inscrite au Livre des loyers communaux. Les marches sont supprimées après l’exercice 1792.

(f° 47-v) Dienstags den 17. Ejusdem [Augusti].Herr Lorentz Gräthel pt° Verzinnßung seiner stafflen – Lorentz Grätheln dem Handelßmann, welcher Vor seiner in der Knoblauchs gaßen gelegener behausung eine Staffel so 16. schuhe und 4. Zoll lang und 2. schuhe breit und eine in dem Schiffgäßel, so 6. schuhe 4. zoll lang und 1. schuhe breit, hatt machen laßen, ist angezeigt worden, d. Er selbige jährlichen auff Joh: Baptistæ und A° 1701. Zum ersten mahl mit 7 ß. 6. s Verzinnßen müßte, auff gebettene moderation ist der Zinnß auff 5 ß gesetzt werden

(Traduction) Comme le marchand Laurent Græthel a fait faire devant sa maison rue de l’Ail une marche de 16 pieds 4 pouces de long et rue du Bateau une autre marche de 4 pieds 4 pouces de long et 1 pied de large, il devra payer chaque année à la saint Jean Baptiste 4 sols 6 deniers, pour la première fois en 1701, après sa demande de réduction, le cens a été fixé à 5 sols.

Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 530-v

Herr Lorentz Gräthell, der handelsmann, Soll von Zwo Steinern Stafflen vor Seiner in der Knoblochgaß gelegenen behaußung davon die eine 16. Schuh 4. Zoll lang und 2. schuh breit, die andere in dem Schiffgäßel aber 6. schuh 4. Zoll lang, und i. sch. breit ist, jahrs vf Joh: Baptæ und A° 1701. I.mo l. Prot: de 1700. fol: 46, 5 ß
Jetzt Anthoni ([corrigé en] Daniel) Gräthel

1702-1741
Neuzb fol 565-b

Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 565-b

alzb. 530-b
Antoni ([corrigé en] Johann Daniel) Gräthel solle von 2. steinern stafflen vor seiner in der Knoblochgaßen gelegenen behaußung da von die eine 16. sch. lang und 4. Zoll und 2. sch. breit, die andere in dem schiffgäßel aber 6. sch. 4. Zoll lang und i. sch. breit ist, Jahrs auf Joh: Bap. (id est 24. Junii), 5 ß
[in margine, biffé :] vid. 544.b

1740-1792
die Stafflen ist weg gemacht worden

1742, Préposés au bâtiment, VII 1400
Jean Daniel Græthel est autorisé à supprimer l’encorbellement de 13 pieds et à ouvrir d’autres fenêtres dans son encorbellement

(f° 17-v) Montags de, 9. ejusdem [Aprilis]. H. Joh: Daniel Grätel – An Hn Johann Daniel Gräthels des Handelsmanns Eckhauß an der Knoblauchs: und Schiffgaß, an welchem er einen außstoß Von 13. Zoll in dem ersten Stock an seinem Überhang gegen der Knoblauchsgaß Hinweeg zuthun, und andere fenster in den Überhang machen Zulaßen willens, und deßwegen umb erlaubnus gebotten. Erkannt willfahrt

(Traduction) Le marchand Jean Daniel Græthel, propriétaire de la maison à l’angle de la rue de l’Ail et de la rue du Bateau, demande l’autorisation de supprimer l’encorbellement de 13 pouces au premier étage vers la rue de l’Ail et de faire faire d’autres fenêtres dans l’encorbellement. Décision, accord.

Description de la maison

  • 1696 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment latéral et un bâtiment arrière, écurie, fabrique de vinaigre, cave solivée, cour, puits, estimée avec toutes ses aisances et appartenances à la somme de 2800 florins
  • 1732 (billet d’estimation traduit) La maison comprend des poêles, une chambre d’officier, cuisine, vestibule, magasin, boutique, petite cour et puits, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 3500 florins

Atlas des alignements (daté de 1829)

(Légende)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue de l’Ail (f° 30)
nouveau N° / ancien N° : 9 / 4
Graedel
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en maçonnerie et avance

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du Bâteau (f° 30-v)
nouveau N° / ancien N° : 2 / 5
porte de derrière du N° 4 rue de l’ail
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en maçonnerie

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 390 case 4

Fix Jean George menuisier

P 1091 – Rue de l’Ail 4 puis 9
maison, cour, sol – 2,55 ares – revenu, maison 135, maison et sol 136,33
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 37 puis 38
fenêtres du 3° et du-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 391 case 1

Fix Jean Georges menuisier
1863 Fix Jean Georges veuve née Pfrimmer
1868 Fix Edouard, menuisier

P 1091 – Rue de l’ail 20
sol, maison – 2,55 ares – revenu, maison 135, maison et sol 136,33
folio de provenance : (390)
folio de destination : Vergr.
Année d’entrée :
Année de sortie : 95/96
portes et fenêtres ordinaires : 38 puis 31
fenêtres du 3° et du-dessus :

sol, maison – 2,55 ares – revenu, maison 219, maison et sol 220,33
folio de provenance : Vergr.
folio de destination : Gb
Année d’entrée : 95/96
Année de sortie :
portes et fenêtres ordinaires : 38 puis 20
fenêtres du 3° et du-dessus : 4 puis 7

Jahrgang 1895/96
(Zugang) Fix Eduard f° 391, P 1091, Maison, Reinertrag 219, Vergrößerung, vollendet 1892, steuerbar 1894, besteuert 1895/96
(Abgang) Fix Eduard f° 391, P 1091, Maison, Reinertrag 135, Cf. Zugang

Cadastre allemand, registre 29, folio 159 case 6
La parcelle, ainsi que les parcelles 5 (18 rue de l’Ail), 8, 9 et 10 (7, 8 et 9 quai Saint-Thomas) est réunie en 1934 à la parcelle 7 (3 rue du Bateau) pour former une nouvelle parcelle lors du percement de la rue des Francs-Bourgeois (actuellement rue de la Division-Leclerc).

Parcelle, section 14, n° 6 – autrefois P 1091 / 1678
Canton : Knoblochgasse Hs. N° 20 u. Schiffsgäßchen N° 7 – Rue de l’Ail 20 et Rue du Bateau 7
Désignation : Hf u. Whs
Contenance : 2,56
Revenu : 1700 – 2100
Remarque : 1934 d c. 7 – dim. c. 7

(Propriétaires) compte 383
Fix Eduard, Ww.
gelöscht 1908

(Propriétaires) compte 34 à partir de l’exercice 1908
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 245 Rue de l’Ail (p. 397)
(maison n°) 4

Pr. – Graethel M. Salomé – Moresse
loc. – Graethel M. Elisabeth – Moresse
loc. – Graethel M. Dorothée – Moresse
loc. – Nicolay M. Madel. [ajout]
loc. – Graethel M. Barbe – Moresse
loc. – Kammerer Phil. Jacq. fils Cordier – Moresse
loc. – Schmutz, Etud. en Theolog.

Seyboth p. 115

  • 1838 : n° 20 – 1785 : n° 4 – 1845 : n° 9
  • Zu Stralnecke 1311. Zum Straleck 1559. Der Küfer Trinkstube 1341, 1466, 1508, etwann der Küffer Trinkstube 1559. Alte Küferstube 1565. Hans von Bers, Altammeister 1558. Die Ingolt 1559. Herr Lorentz Graethel, Handelsmann, 1760. Zwischen zwei Fensterbogen K. G. und Datum 1698. Graethel, 1795

Relevé de 1907

(Transcription provisoire, certains passages signalés d’un astérisque restent à compéler)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907

[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Knoblochgasse N° 20 [Maison : 20 rue de l’Ail]

a) Geschichtliches : Zu Stralnecke 1311. Zum Straleck 1559 Der Küfer Trinkstube 1341, 1466, 1508 etwann der Küffer Trinkstube 1559. Alte küferstube 1565. Hans von Bors Altammeister 1558. Die Ingold 1559. Herr Lorentz Graethel Handelsmann 1700. Zwischen Zwei Fensterbogen L. G. und Datum 1698. Graethel 1795
[ajout] Erdg. soll später Schreinerwerkstätte gewesen sein. vgl. den mit eiserner Tür verschlossenen Trockenschrank in der Ecke.
[Historique] (repris d’Adolphe Seyboth) – [ajout] Le rez-de-chaussée doit avoir ultérieurement servi d’atelier de menuiserie, voir l’armoire de séchage à porte de fer situés dans und es angles

b) Zeitbestimmung : Älterer Bau mit starken Eichenstutzen im Erdgeschoss c. 15. Jh. im 16. u. 17. Jh. verändert. Erdgeschossumbau an Knoblochgasse 17 Jh. Ende, Holztreppe im Hof als Stocktreppe mit sehr reichen Treppenpfosten, datirt 1714 mit (Zeichen), dasselbe Zeichen etwa zwischen den Strassenbogenfenster v. J. 1698.
[Epoque] Bâtiment ancien à gros supports en chêne au rez-de-chaussée, sans doute du XV° siècle, modifié aux XVI° et XVII° siècles. Les transformations au rez-de-chaussée vers la rue de l’Ail datent de la fin du XVII° siècle. L’escalier en bois dans la cour qui sert à monter aux étages daté de 1714 porte la même marque (dessin) que la date de 1698 qui figure entre les deux fenêtres en arcades vers la rue

c) Zeicheriche Aufnahmen : erforderlich
[Relevés sous forme de dessin] à faire

d) Photographische Aufnahmen : erforderlich von der Strassen-, inneren Keller- und Hoferscheinung
[Relevé photographique] à faire, vue de la rue, intérieur de la cave, cliché de la cour

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. – Ursprunglich Holzfachwerkbau mit grosser Halle im Erdgeßoss und Ueberhang in d. Obergeschossen. Jetzt im Erdg. massiv Oestl. Hofflügel von späterer *
    [Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] Construction à pans de bois d’origine, grande salle au rez-de-chaussée et encorbellement aux étages. Une aile massive à l’est de la cour a été construite ultérieurement
  • 5. Dachstuhl – alter gut erhaltener *balkendachstuhl. Interessanter Balkenverstuckung [Zeichnung] S. Dan-
    Deckenbalken im Oberstock (0,82 m breit)
    [Comble] Ancienne charpente de combles bien conservée. Liaison intéressante des poutres entre elles – Poutres au plafond de l’étage (0,82 m de large)
  • 6. Dachdeckung – Biberschwanze
    [Couverture] Tuiles plates
  • 8. Form des Dachgiebels – Gotisch. Schlicht
    [Forme du pignon] Gothique, simple
  • 11. Türeinfassungen – Steinbarocktor mit ornamentirter Konsolen an d. Schiffsgasse
    Holztor reich c. v. a. 1850
    [Encadrement de porte] Portail baroque en pierre à consoles ornées vers la ruelle du Bateau – Riche portail en bois, vers 1850
  • 12. Fenstereinfassungen – 1 Giebelfenster mit rechteckiger Bleiverglasung im Verbande [Zeichnung]
    Rundbogenfenster mit Profil a. d. Knoblochg. Erdg.
    [Encadrement de fenêtre] une fenêtre de pignon à vitres rectangulaires maintenes par du plomb (croquis) – Fenêtres profilées en arcades vers la rue de l’Ail
  • 13 Konsolen – 2. Verschiedene H*eiss-Kragsteine des weiten Ueberhanges an der Knoblochgasse.
    [Corbeaux] Plusieurs corbeaux qui soutiennent un fort encorbellement vers la rue de l’Ail
  • 14. Schlusssteine – vgl. ad 11.
    [Clés de voûte] voir 11)
  • 17. Hauszeichen – vgl. ad 19.
    [Marque sculptée] voir 19)
  • 19. Inschriften – an Fenster d. Knoblochgasse mit Hauszeichen G u Steinmetzzeichen [Zeichnung]
    [Inscriptions] Marque G à la fenêtre vers la rue de l’Ail et marques de tailleur de pierres (dessin)

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 1. Grundrissanlage – Ursprung. Grosse Halle im Erdg. An der Knoblochgasse späterer Einbau d. 16. Jh. Jetzt Diele mit Tür an d. Schiffsgasse und Einbau des 18. od. 19. Jh. auf der Ostseite d. Diele. Im Hintergrund der Diele Querbau mit reicher Barocktreppe und dunklen Hinterzimmern.
    [Disposition générale] Grande salle d’origine au rez-de-chaussée. Un vestibule a été ajouté vers la rue de l’Ail au XVI° siècle. Actuellement vestibule dont la porte donne dans la ruelle du Bateau, construction au XVIII° ou au XIX° siècle du côté est du vestibule. A l’arrière du vestibule, bâtiment transversal comportant un remarquable escalier baroque et des pièces obscures à l’arrière.
  • 4. Hof – vgl. ad 1.
    [Cour] voir 1)
  • 5. Galerie auf dem Hofe – Ursprung. im Oberstock vor* auf * profilirten Balkon
    [Galerie sur cour] – Etat originel à l’étage supérieur – Balcon sculpté d’origine à l’étage supérieur
  • 6. Brunnenanlage – in der Diele Schlicht mit Gussbecken, vasenförmig, d. 19. Jh. Broncegriff und Bronceauslauf (*)
    [Puits] – Dans le vestibule, simple, à bassin en fonte, en forme de vase, du XIX°, poignée et bec en bronze
  • 7. Treppenhaus – Reich barock v. J. 1714 (vgl. 6) mit im Oberstock geschweiften Barockdecken. Reicher d* (a. 1714) Anfangspfosten
    [Cage d’escalier] – Baroque, remarquable, datée 1714 (voir 6), à plafond baroque chantourné à l’étage supérieur. Remarquable pilier daté de 1714
  • 13. Holzdecken – reiche Holzdecke d. 16. Jh. mit Profil Holzbalken im Erdg. Saal
    [Plafonds en bois] – Remarquable plafond du XVI° à poutres sculptées dans la salle du rez-de-chaussée
  • 25. Türbeschläge – mehrfach in Messingbronze an Türen d. Obergeschosse
    [Ferrures de porte] plusieurs, en bronze et laiton aux portes du rez-de-chaussée

Bemerkungen :

Im Treppenvorplatz I. Obg. ein Holzmodell (+), tempietto, mit reicher Korinth. Säulen, das Ganze c. 1,0 m Durchmesser. Angeblich ein für Festzug der Schreiner i. J. 1840 hergestellt.
3 gleiche Türenfratze Empire im I. Stock Zimmer hinten, reiches Ornament
auf Terrasse i I. Obg. n. Schiffsgässchen zwei reiche ornamentirte gerundete Steinpfosten der Brüstung
Im Alkove d. vord. Zimmer I. Obg. reiche Rosette in Holz (?)
Türen mit gutem Barockrahmenprofil I. Obg.
Im Grossen Zimmer I. Obg. nach Strasse zwei Wandschränke mit orig. Beschläg inner
Fensterrahmenbeschläge i. Kleiner Wohng. n. Strasse in schönen Formen.

Wann möglich, sollte der Saal im Erdgeschoss an andere Stelle Zu einer Halle erhalten werden. Etwa für ein Weinrestaurant mit dem Titel : Zur alten Küfetrinkstube.
[Remarques] Sur le palier du premier étage, maquette en bois d’un petit temple, à riches colonnes corinthiennes, d’un diamètre total de 1,0 mètre. Réputée avoir été réalisée pour un cortège de menuisiers en 1840.
3 figures grotesques (identiques), style Empire, aux portes de la chambre arrière au premier étage, richement ornées.
Sur la terrasse au premier étage vers la ruelle du Bateau, riche rosace en bois (?)
Portes à huisserie baroque en bon état au premier étage.
Dans la grande pièce du premier étage vers la rue, deux placards à ferrures d’origine à l’intérieur.
Ferrures aux huisseries des fenêtres dans le petit appartement vers la rue, forme remarquable.

Dossier de la Police du Bâtiment (AMS, cote 230 MW 81)

Les combles sont transformés en pièce d’habitation en 1892. Le relieur Seelig installe des machines électriques dans son atelier en 1903 et la même année un miroir (réflecteur) à l’angle de la rue. Une société de bois et charbons pose une enseigne ruelle du Bateau en 1913. Les autres pièces ont trait aux ravalements et aux commissions des logements.

Sommaire
  • 1878 – Prise de gaz : demande (I)
  • 1887 – Ravalement de la façade : notification (II)
  • 1889 – Ravalement de la façade : notification (III)
  • 1892 – Transformation de combles en pièce d’habitation : demande, autorisation (IV)
  • 1895 – Ouverture des volets vers l’extérieur : demande de modification, notification, 1898, 1900, 1901 (V)
  • 1896 – Prise de gaz : demande, autorisation (VI)
  • 1900 – Ravalement de la façade : demande, autorisation, notification (VII)
  • 1900 – Commission des logements insalubres : procès verbal de visite, demande de modifications (VIII)
  • 1903 – Incendie de cheminée (IX)
  • 1903 – Pose de miroirs au coin de la rue : demande, autorisation (X)
  • 1903 – Installation de machines dans l’atelier de reliure : demande, autorisation – Installation de machines électriques : avis, dossier, autorisation (1904) (XI)
  • 1905 – Pose d’une enseigne, demande, autorisation (XII)
  • 1913 – Enseigne (XIII)
  • 1916 – Commission militaire : rapport de visite (XIV)
  • 1927 – Chute de crépi : rapport (XV)

Relevé d’actes

La maison appartient aux héritiers de Pierre Bex, originaire de Cologne. Il a épousé Cléophée Braun en 1609 et acheté en 1624 la maison, appelée fabrique de vinaigre Bex, comme l’indique l’inventaire de faillite de 1696.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 3) 1609. den 31. Jan. seind ehelich eingesegnet worden Herr Peter Bex der handelsmann Von Cöln, Weÿland Herrn Peter Bexen des Goldtarbeiters v. Burgers sel. daselbs nachgelaßener Sohn, vnd Jungfr. Cleophe Braunin, Herrn Theobaldt Braunen Handelsmanns alhie dochter (i 88)

Les héritiers d’Ambroise Richshoffer vendent 70 livres un sixième de la maison au marchand Jean Giroth

1674 (12 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 26-v
Herr Jacob Christoph Mader U.I. Ddus und E.E. Kleinen Rhats Advocatus et Procurator alß Vogt Margarethæ Schachin, ferners herr Christoph Diebolt Cancelleÿ Verwanther und Policeÿ Gerichts Schreiber alß Ehevogt frawen Margarethæ Reichshofferin, Mehr Herr Johann Philipp Kob der handelßmann alß Ehevogt frawen Salomeen Reichshofferin und alß Curator Mariæ Reichshofferin, alle Vier herrn Ambrosÿ Reichshoffers alten großen Rhaths Verwanthens resp. Enckhel und Kinder erster Ehe
in gegensein herrn Johann Girots deß Handelsmanns
Einen Sechsten theil den Reichshofferischen Kindern und Enckhel für ohnvertheilt gebührend ahne dem so genannten Bexischen Esig hauß alhier in der Knoblochß Gaß einseit ist Ein Eckh, anderseit neben Herrn Johann Leonhard Fröreißen Fünff Zehnern hinden auch uff denselben stoßend gelegen – umb 70. lb

Jean Giroth, marchand de vins fils de bourgeois de Strasbourg, a épousé en 1674 Anne Marie Aygerer fille de l’aubergiste à la Couchette devant les Halles (Ancienne douane) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire de faillite de 1696, célébration
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvesten Herrn Johann Gÿrot, handelßmann undt burger alhier Zu Straßburg, Weÿland des auch Ehrenvesten Herrn Abraham Gÿrots, geweßenen handelßmanns und burgers alhier nachgelaßenem ehelichen Sohn, alß bräutigam ane einem, So dann der VielEhren und tugendreichen Jungfrawen Annæ Mariæ Weÿland des Ehrenvesten herrn Daniel Eÿerers, geweßenen Gastgebers Zum Spanbett hinterbliebenen ehelichen dochter, alß der hochzeitterin andern theils – Actum Inn des heÿligen reichß freÿen Statt Straßburg, Montags den 29. tag Decembris 1673. – Christoph Schübler, Notarius publicus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 292-v, n° 1)
1674 Domin: 2. Epiphan. Seu 18. Jan: Herr Johan: Giroht der Weinhändler und Burg. alhie weÿl. Herrn Abraham Girohts deß gewesenen handelsmanns und Burgers allhie hind.laßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Anna Maria, weÿl. Hern Danielis Aeÿgerers deß gewesenen Gastgeber zum Spahnbett alhie hinderlaßene Leibliche tochter, copul. zu St: Nic. 29. Jan: (i 312)

Les enfants du marchand Jacques Spielmann et de Marguerite Bex vendent un sixième de la maison, appelée la fabrique de vinaigre Bex (Bexisches Essig haus) au marchand Jean Girot. La vente qui a eu lieu à la Saint Jean Baptiste 1673 est enregistrée en février 1675

1675 (17. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 544, f° 85-v
Herr Hannß Ludwig Zeißolff der handelsmann alß Vogt Jacobs und Johannæ Salomeen, herrn Jacob Spielmanns deß handelsmanns und E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers mit Margarethæ Bexin nunmehr seel. ehelich erziehlter Kinder
in gegensein herrn Johann Girots deß handelßmanns – ihme Girot, allbereit uff Joh. Bapt: a° 1673 (verkaufft und Zu kauffen gegeben)
Einen sechsten theil, Ihnen den Spielmännischen Kindern für ohnvertheilt gebührend ahne dem so genannten Bexischen Eßig hauß allhier in der Knoblochß Gaßen einseit ist ein Eckh, anderseit neben herrn Johann Leonhardt Fröreißen Fünffzehnern, hinden auch uff denselben stoßend gelegen, welche gantze behaußung annoch umb 600. fl. der Fabric deß Münsters verhafftet – umb 100 Pfund pfenning

Le marchand Jean Daniel Franck l’aîné cède l’usufruit qui lui revient de différents immeubles à sa fille Marie Barbe Franck femme du marchand Samuel Reuther

1687 (9.1.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 17
H. Johann Daniel Franck der ältere handelßmann an einem,
So dann Fr. Maria Barbara gebohrne Franckin deßen leibliche Tochter mit beÿstand Hn Samuel Reuthers deß handelßmanns ihres ehevogts am andern theÿl
haben angezeigt und bekandt, demnach in dem durch H. Notarium Johann Reinhard Langen in A° 1684. geführten und außgefertigten Calculo und berechnung alles deßen, so Er H. Franck seinen noch lebenden beeden Kindern erster Ehe, wegen dero ererbten Mütterlichen Guths, zu entrichten und Guth zu thun hat, fol. 36. sich befinde, daß derselbe gedachten seinen beeden Kindern an gem. Mütterlicher Nahrung noch per rest 1917 pfund (…) alßo Ihro deßen tochter zur helffte 958 pfund schuldig verbleibe, welche Zwar derselbe krafft Mütterlicher disposition und darüber in A° 1669. auffgerichteten Kindervertrag Zeit lebens widembs weiß zugenüßen hätte, So hätten dieselbe gleichwol sich darüber folgender maßen mit einander Verglichen respect. außgekaufft und deß. widembs begeben,
Nemblich und Zum ersten, so renunciert und begibt sich Er der Vatter hier durch zum kräfftigsten der erstangezeigten Ihme gebührenden widembs gerechtigkeit (…) Und damit fürs andere, Sie deßen Tochter für erstwiderholte Summ völlig und würcklich außgewiesen und contentirt werden, so will er derselben hier durch in solutum und eÿgenthümblich cediret und resepct. käufflich vbergeben,
erstlich hauß hoff (…) unden in der Schiltsgaßen (…)
Ferner hauß (…) im Lindenfelßer Gäßlein (…)
Mehr einen haußplatz und Gärttlein außerhalb der statt Zwischen dem Schießerrein und Fischer thor (…)
Item einen Viedten theÿl an einem Sechsten theÿl an Hauß, hoffstatt und höfflein, mit allend eren Gebäuen, begriffen, rechten und Zugehördten allhier in der Knoblochsgaßen Zum Strohleck genandt, so einseits ein Eck am Schiffgäßlein, anderseit neben Hn Johann Leonhard Fröreÿsen alten Ammeister und XIII.rs hind. auff denselben stoßend gelegen /:daran die übrige antheÿler weÿl. frauen Cleophe Bexin gebohrner Braunin sel. hinderlaßenen Erben und Erbens Erben für unvertheÿlt gehörig:/ umb 300 pfund Straßburger wehrung der fabric deß Münsters verhafftet (…) angeschlagen umb 20 pfund,
Item hauß, hoffstatt, Hoff, sambt allen deren Gebäuen weiten Rechten und zugehördten auch darzu gehörige Güthern im dorff und bann Korck Gräffl. Hanauischer Herrschafft über Rhein (…) angeschlagen umb 185 pfund

Les héritiers Bex vendent 600 livres la moitié de la maison, appelée zum Strahl Eck ou l’ancien poêle des Tonneliers (alte Küfferstub), au marchand Jean Giroth déjà propriétaire de l’autre moitié

1693 (24. 8.br.) Chambre des Contrats, vol. 565 f° 405
H. Johann Michael Hahn der Handelßmann und E.E. großen Raths alter beÿsitzer alß Ehevogt Fr. Ursulæ Alßfalckin wie auch alß seiner an Zeig nach mündlich constituirter befehlhaber Fr. Mariæ Barbaræ geb. Franckin weil. Hn. Samuel Reuthers deß handelsmanns seel. nachgelaßene wittib, Und H. Johann Georg Aßfalck d. handelsmann für sich selbsten, alle für einen Stamm theil, Ferner H. Tobias Städel, der handelßmann, für einen Stamm theil Und dan obfergen. H. Hahn auch alß vermög eines hierbeÿ producirt und bona fide recognoscirt am 1. 8.br jüngst datirt. eÿgenhändig geschrieb. und und.schrieben Gewalds constituirter mandatarius H. Johannes Bexen, deß Handelßmanns, auch für ein. Stamm theil
in gegensein Hn Johannis Girots deß Handelßmanns [unterzeichnet] Johann Giroth
dreÿ Sechste theil od. die Helffte ane den so genandt. Bexischen Eßig hauß bestehend in Haus, Hoff und dero Hoffstätt auch allen übrigen den gebaüen recht und Zugehördt zum Strahl Eck od. die alte Küfferstub genandt allhier in d. Knoblochsgaß. geg. den Hauß zum Eßig Krug über, einseit ist ein Eck am sogenandt. Straußen oder Schiffsgäßlein anderseit wie auch hind. auff die Schiffmännich: oder Fröreißenisch. behaußung anietzo löbl. Universität gehörig stoßend, geleg. – zumahl die übrige helffte od. dreÿ sechste Theil dem Kaüffer zuvorhin zuständig – darunder auch die in dem hauß befindliche, wie auch eines auff den Muhr hoff liegende Faß, mit begriffen seÿn solle – über die darauff stehende oben angeg. respect. übernanden beschwerde für und umb 600, das ist ied. Stammtheil 200 pfund
[in margine :] (…) in gegensein H. Lorentz Gräthels deß handelßmannß alß ietzmahligen besitzers der hierin verschriebenen Behaußung (Quittung), den 10. Junÿ 1698

Inventaire des biens de Jean Giroth et d’Anne Marie Eyrer, établi à la requête des créanciers. Les experts estiment la maison 1 400 livres. La masse du mari et de la communauté présente un actif de 1 467 livres et un passif de 1 933 livres

1696 (9. 8.br), Me Schübler (Jean Philippe, 56 Not 11) n° 19
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung und gütter so Herr Johann Gÿrot der Weinhändler und frau Anna Maria gebohrne Aÿerein beede Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg anietzo sowohl activé als passive aus haab und Nahrung besitzen, so auff erfordern und begehren vorgedachter fraw Gÿortin Zu wegen vieler excergirender theilbarer Passiv Schulden Zu Salvation Ihrer Weiblicher Rechten und Zu genießung auß in Ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung enthaltener Puncten Inventirt – Actum Straßburg in fernerer gegenwarth deß Edem Vest und hochgelehrten Herrn Johann Jacob Brechten J:U: Lti und burgers alhier Zu Straßburg als der frawen anietzo Constituirt: und geschwornen Vogts auff dienstags d. 9. Octobris Anno 1696.

In einer in der Stadt Straßburg in der Knoblochgaß gelegener und in dieß. Nahrung gehöriger behaußung ist befunden worden wie folgt.
Ane Holtz: oder Schreinerwerck, Auff d. oberst. bühn, Auff der Underst bühn, In der obersten stuben, Vor dießer Stuben, In der Wohnstuben, In der Stub Cammer, In der Cammer darneben, Im obern haußöhren, In der Kuchen, In d. Cammer A, (perge fol. 14)
(d. 23. 8.bris 1696) Eÿgenthumb ane einer behaußung. It eine behaußung, hoff und hoffstatt undt allen überigen deren gebäwen, begriffen, Rechten Zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg in der Knoblochsgaßen gegen dem hauß Zum Eßig Krug uber Zum Strahleck oder die alt Kieffer Stub genandt, einseit ist ein Eck ane so genandt Straußen oder Schiffgäßlein anderseit wie auch hinden auff die Schiffmännisch: oder fröreißische behaußung, anietzo löbl. Universität gehörig stoßend, davon gehen Jahrs auff Johannis Baptistæ 12. lb Zinnß der fabric deß Münsters allhier, in hauptguett wider lößig mit 300. lb. Ferner 8 lb d herrn Johann Michel Hahnen dem handelßmann und alt Großen Raths verwanthen allhier, als Ehevogten Ursulæ Aßfalckin und Mariæ Barbaræ Franckin, weÿl. H Samuel Reütters deß geweßenen handelßmanns allhier Seel. Wittib, so nunmehr an Herrn N Fridten den handelßmann und burger allhier alle dreÿ zu dreÿ gleichen theilen Jahrs auff weÿhenachten in hauptgutt wider lößig mit 200. lb. Weiter 8 lb d Zinß herrn Tobiæ Städeln Seniori dem handelsmann, vndt E.E. Groß. Raths Altem beÿsitzer allhier Jährl. auf vorbestimt. Termin in hauptgutt widerlößig mit 200 lb. So dann 8. lb weÿl. H Johann Bexen deß geweßenen Handelsmanns und burgers allhier Seel. hinterlassenen Erben Zwar modo Herrn Johann Philipp Zeißolffen dem handelsmann allhier ahne auff berührten Termin in hauptgutt widerlößig mit 200. lb, Sonst. freÿ ledig und eÿgen. Und ist dieße behaußung beÿ gegenwertiger Nahrung Inventation von der Statt Straßburg geschwornenn Werckmeister, Krafft vberschickten æstimationis Zedels sub dato den 10.ten Octobris Anno 1696. angeschlagen worden pro 1400. lb. Darvon daber abgezogen die summ der darauff stehender beschwerden so thut 900 lb. Nach solchem abzug verbleibt ane Solchem Anschlag per rest vbrig 500. Darüber ist vorhanden ein Perg. Kauffbrieff mit der St. St. anhangendem Cantzleÿ Contract Insigel verwahrt sub dato den 24. Octobris A° 1693. auß welchem erhellet welcher gestalt der herr in wehrender Ehe dreÿ sechste theil hievor ihre benambsten dreÿer herren Creditoren und Consorten sampt allen damalen in den Keller befundenen Vaßen mit auch Einem Vaß so auff dem Muhrhoff, per 900 lb d aberkaufft, Lit. A. signirt,
Ferner noch ein Perg. Kauffbrieff mit vorgemelter anhangendem Insigel de dato den 8. Aprilis Anno 1675. in welchem befindlich wie der hier einen sechsten theil von solcher behaußung Weÿl. H Jacob Spielmann deß geweßenen Banquiers und 13.ers Seel. Kindern erster Ehe vber deren antheil ahne d. 300. lb.d. auff der fabric im Münster zuständigem Capital per 100 lb d aber Kaufft, mit altem N° 2 ietzt newem Lit. A. notirt.
Weiter i. Perg. Kauffbrieff mit vorberührtem anhangendem Insigel corroborirt, de dato d. 12. Januarÿ 1674. in welchem Zu ersehen, welcher gestalt den herr auch einen sechst. theil solcher behaußung von Weÿl. H. Ambrosÿ Reichshoffers Seel. verlaßenen Kindern erster Ehe p .70. lb käufflich ane sich gebracht, auch mit alt. N° 2 ietzt newen Lit. A. notirt (perge fol. 22),
(f° 22) Mehr ein alt. Perg. brieff mit vorerwehntem anhangendem Insigel, sub dato den 13. Junÿ Anno 1624 In sich haltendt welcher gestalt Weÿl. H Peter Bex der geweßener handelßmann allhier diß herrn Mutter bruder Seel. solche behaußung weÿl. herrn Clauß Thoman dem geweßenen handelßmann allhier vber vff ernandte 300 lb beschwerdt auff der fabric im Münster her, 1250 lb d käufflich ane sich erhandelt. Undt eß a tergo deßelben befündlich wie gemelter herr Bex den Adelichen Botzheimischen Gebrüdere vor die in solcher behaußung obbesagten Adelichen Botzheimischen Gebrüdern verpfändt geweßene Vaß pro 110 Reichsthaler in specie baar bezalt mit altem N° 31 ietzt newem Lit. A: notirt.
It. noch j. Perg. Kauffbrieff mit berührtem Insigel außweißend welchergestalt Vor allegirter Herr Claus Thoman solche behaußung sub dato d 26. Novembris 1607. weÿl. Peter Kohen deß Kieffers allhier hinderlaßenen Kindern et consorten vber 350. lb d darauff gestandene beschwerdt Käufflichen ane sich erhandelt p 375 lb mit altem N° 31 ietzt newen Lit: A signirt.
So dann noch ein alt. Perg. Kauffbrieff mit mehrerwehntem anhangendem Insigel vrerwahrt sub dato den 12. Augusti Anno 1591. aus welchen Zu ersehen, welcher gestalt Weÿl. Peter Kaw der geweßene burger allhier d. Stupertischen Erben vber mehrberührten 300. lb pro 400. lb d aberkaufft, mit ltem N° 31 ietzt newem Lit: A notirt.
– Abschatzung Mitwochs d. 10.ten 8.bris. 1696. Auff begehren deß Wohl Edlen, Vnd hoch Gelährten herrn Dockhternd Johann Jacob Becht alls geordneter Vogt herrn Johanns Gerodt deß Kieffers Vnd Weinhändlers Ehliche hauß fraw, ist die behaußung alhier in der Statt straßburg in der Knoblochs gaßen, Ein Eckh ane dem schiffgeßlein, Ein Vnd anderseitzs Neben herrn Am Maister freÿ Reißen der, an Jetzo der löblichen ohnerversitet alhier Zu Stendig, welche behaußung Sampt Neben und hinder Gebeÿ Stalungn Eßig hauß getremten Keller hoff und Bronnen auch übrigen begriff recht Und gerechtigkeit, wie solches durch die geordneten Werckhleithe in der besichtigung befunden und den Jetzigen preiß Nach angeschlagen Vor Zweÿ Taußent Acht hundert Gulden. Bezeigend der Statt Straßburg geschworne Werckhleithe, [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager alter Werck Maister deß Münsters, Johann Faÿlotter WerckMeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs.
(f° 19) Ergäntzung der Frawen Unveränderten Gütter, Vermög einer durch weÿl. herrn Johann Jacob Schneidern geweßenen XV. alljier zu Straßburg als der frawen in dero ledigen Standts Vogten seel. gethaner andern Vogteÿ Rechnung
(f° 26) Abzug dießes Inventarium. Der frawen unverändert Guett, Sa. haußraths 132, Sa. Silbergeschirrrs und Geschmeids 36, Sa. guldener Ring 25, Sa. Pfenningzinß hauptgutts 40, Sa. Eÿgenthumbs ane liegende güttten 6, Sa. Gülth von liegenden güttern 13, Sa. Ergäntzung 1033, Sa. Schuld 75 – Summa summarum 1364. lb
Vbrige Nahrung. Sa. haußraths 366, Sa. Vaß, Werckzeug, Schiff und geschirrs zum Weinhandel und Kieffer handwerck gehörig 131, Sa. Silbergeschirrs und geschmeidts 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 384, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 500, Sa. Schulden in die Nahrung zugeltend 80, Summa summarum 1467 – Sa. der Schulden 1933, Schulden zu bezahlen übertreff. dann Actib Nahrung vmb 465. lb
Eheberedung – (…) Montags den 29. tag Decembris 1673. – Christoph Schübler, Notarius publicus

Anne Marie Ayerer, femme séparée quant aux biens de Jean Giroth, meurt en 1700 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison proche du Jeu de Paume à la Krutenau. La succession s’élève à 572 livres.
1700 (19.3.), Me Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2) n° 52
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahr. und Güthere so weÿl. die Ehren und tugendbegabte fr. Anna Maria gebohrne Aÿererin herr Johann Gÿroths burgers alhier separirte haußfrau seel. nach ihrem Montag den 8. febr: dießes Während. 1700.Jahrs genommenen tödlich. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen arfordern und begehren deß wohl Ehrenvesten und rechtsgelehrten Hrn Johann Ludwig Scheerers Notarÿ iuati publ. und burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts Jfr. Mariæ Salome, Annæ Mariæ und Johannes aller dreÿ gebohrner Gyrothen, der verstorbenen mit obgedachten ihrem separirten hinderbliebenen wittibern ehelich erzeügten Jfr. dochter und Söhnl. deren ab intestato hinderlaßene Erben, inventirt – Actum in der königl. freÿen Statt Straßb. in beÿsein deß wohl Ehrenvesten und vorgeachten Hn Johann Eberhard Eüden vornehmen handelsmanns und burgers alhier vorangeregten Erben Hrn Schwagers und dißorts erbettenen assistenten. Sambstags d. 19. Martÿ A° 1700.

Inn einer alhier in der Statt Straßb. Vorstatt Krauttenaw ohnfern dem so genannten Ballhauß gelegenen und Hn Hannß Kleinen Metzger und burgern alhier Eÿgenthümblich Zuständigen Nebens behaußung ist befunden worden als volgt.
vf dem Kasten, Il Hauß öhrin, In der Wohn stuben, In der Stub Cammer
Norma hujus inventarÿ, Sa. hausraths 44, Sa. früchten 4, Sa. Silbers 2, Sa. Pf. Zinß und deren h.güter 499, Sa. Eigenthums ane liegende güther 6, Sa. Gülth von liegenden gütern 9, Sa. Schuld 5, Summa summarum 572 lb
Conclusio finalis Inventarÿ, 140 lb – Zweiffelhaffte Pf: Zinß 12 lb

Compte de tutelle des enfants Giroth
1702 (Mich.), Me Scherer (Jean Daniel, 53 Not 1)
Rechnung Mein Johann Ludwig Scherers, Not. publ. und burgers alhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrawen Mariæ Salome, Jungfr: Annæ Mariæ und Johannes der Girothen aller dreÿer weÿl. frawen Annæ Mariæ Aÿererin mit herrn Johannes Giroths Geweßenen Weinhändlers und burgern alhier Ihrem ehelichen haußwirth erziehlter Kinder, besagend was jch Vom 19. Martÿ ao. 1700 alß dem atritt dießer Vogteÿ biß Michaelis ao. 1702 sowohl eingenommen alß auch wiederumb außgegeb. und sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet habe. Erste Rechnung dißer Vogteÿ

La femme de Jean Giroth à qui a été attribuée la maison après la faillite de son mari vend la maison au marchand Laurent Græthel

1698 (10.1.) Chambre des Contrats, vol. 570 f° 23
H. Johann Jacob Becht J. U. Ltus und E.E. Großen Raths Procurator et Advocatus vicarius, alß Curator Fr. Annæ Mariæ gebohrner Aÿererin, Johannis Gÿroths deß handelsmanns haußfrauen
in gegensein Hn Lorentz Grädelß deß handelßmanns [unterzeichnet] Lorentz Gräthel
Hauß, Hoff und dero Hoffstätte auch sambt allen deren Gebaüen, Recht und Zugehördt, Zum Strehl Eck oder die alte Küffer Stub genandt allhier in der Knoblochs gaßen, geg. dem Hauß zum Eßig Krug über, einseit ist Ein Eck am sogenandten Straußen oder Schiffsgäßlein anderseit wie auch hind. auff die Schiffmännich oder Fröreÿßische behaußung anietzo löbl. Universität gehörig stoßend, gelegen, welche behaußung umb 300 lb Capital (so dann umb 600 lb, 200 lb, 200 lb und 200 lb verhafftet), Zumahlen Ihro Gÿrothischer haußfrauen beÿ Außweißung obged. Ihres Manns falliment an außweißung ihrer Ergäntzung eÿgenthümlich über Geb. word., Ist demnach solcher Verkauff und Kauff, darunder auch zehen im Eßighauß liegend Faß samt darzu gehörig. Liegerlingen mitgebriffen sein sollen – umb 125 pfund

Laurent Græthel, marchand, a épousé en 1694 Marguerite Lang, fille de marchand
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 44-b, n° 275) 1694 – Eodem [Dominica Reminisc.]) seÿd Zum ersten außgeruffen worden Herr Lorentz Gräthel der ledige handelßmann weil. Anthonii Gräthelß geweßenen Nadlers und burgers und burgers allhier nachgelaßener ehl. Sohn, Jgf. Margaretha herrn Ludwig Langen handelßmanns und burgers allhier eheliche tochter, seÿnd copulirt worden 17. Martÿ [unterzeichnet] Lorentz Gräthel alß hochzeiter, Maria Margareta Langin als Hochzeiterin (i 45)

Laurent Grætel hypothèque la maison au profit de Anne Véronique Winter, veuve du batelier Jean Jacques Hetzel

1703 (20. Xbris) Chambre des Contrats , vol. 576 f° 541
Hr. Lorentz Grätel Handelsmann
in gegensein Annæ Veronicæ geb. Winterin weÿl. H. Joh: Jacob Hetzels schiffmanns wittib mit beÿstand u. Consens Hn Joh: Christoph Straußen materialisten ihres Curatoris – schuldig seÿe 400 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier zuem Strahl eck genant in der Knoblochsgaßen gegen dem Hauß Zuem eßig krug über gelegen Cum appertinentiis

Laurent Græthel, marchand, hypothèque la maison au profit de Paul Flach, greffier en chef de l’Hôpital bourgeois

1713 (21.2.) Chambre des Contrats, vol. 586 f° 109-v
Lorentz Gräthel handelsmann
in gegensein H. Paul Flach oberschreibers im Spithal – schuldig seÿe, 400 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier zuem Strahleck genant in der Knoblauchsgass gegen dem hauß zuem Essig krug genant, einseit neben dem fröreÿßischen hauß anderseit ist ein eck hinten auf besagtes hauß stoßend

Inventaire après le décès de Marie Marguerite Lang femme de Laurent Grætel. L’original n’est pas conservé, les actes Kolb manquent pour l’année en question. On dispose de l’examen de la succession par les préposés à la Taille. La somme taillable s’élève à 3 281 livres. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 800 florins (1 400 livres). L’examen fait exceptionnellement l’objet d’une rectification en 1721.

1715, Livres de la Taille (VII 1174), f° 151-v
(Spiegel, F. N° 1600) Weÿl. Fr. Mariæ Margarethæ gebohrner Langin Hn XV. Lorentz Grätels Handelßmanns und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Johann Peter Kolb.
Concl. fin. Inv. ist fol. 130, 3281. lb, die machen 6500. R, verstallte 3700. fl., zu Wenig 2800 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr in duplo macht à 8 lb, 67 lb 4 ß
Und auff Sechs Jahr in simplo à 4 lb 4 ß th., 25 lb 4 ß
Extat kein Stallgeltt
angesetzte Straff 5 lb
Gebott 4 ß 4 d
abhandlung 4 lb 2 ß 6 d, Summa 101. lb 14 ß 10 d
Straff. Weilen nun über die tertz der Nahrung nicht Verstallet worden, pp [alß wird das Geschäfft an Unsere Gnädige Herren die Fünff Zehen verwiesen]
Vermög Erkantnus G. Herren d. XV. Vom 21° Mart. 1716. ist es ohne fernerer straff beÿ vorstehendem Nachtrag gelaßen worden.

[feuille jointe] ad. N° 1600. Demnach in dem durch Hn Not. Johann Heinrich Langen sen. den [-] octobris 1721. gezogenen Summarischen Calculo so den 27°. 8.br 1722 beÿ Löbl. Vogteÿ Gericht für genehm angenommen seind darauffhin der Kinder Vertrag regulirt und auffgerichtet worden, sich hervor gethan, daß under denen für guht eingebrachten Activis 704. lb. 11. ß 4. d enthalten welche Zweiffelhafft ja meistend gar Verlohren seind, alß haben G. Herrn die Obere Stall Herren den 30° Septembr. 1722. erkannt, daß solche auff der Statt Stall auch darvor passirt und der Nachtrag darauf hien eingerichtet werden solle, gehet alßo ane dem angesetzten Nachtrag die helffte wiederumb ab mit 46. lb, restirt 55. lb.
darzu komt Stallgeltt 1722 incl. per rest 15. lb.
und für die jetzige frau pro 1722. 4. lb
Gebott 14. ß
Straff ane statt 20. lb moderirter maßen 5. lb
Summa 81. lb
[v°] Auff ferneres supplicirten Hn Gräthels und in consideration daß Er die für Zweiffelhafft passirte 1400. fl. seit anno 1716. an der seiner Verstallung gehabt und die onera darvon gelegen, haben die Herren dreÿ die Völlige anforderung reducirt auff 70. lb
den 21° Xbr. 1722. erscheint H. Gräthel und bittet umb fernerer Genad.
Erkannt soll beÿ Vorigem bescheid Verbleiben
dt. eodem 67. lb. 10. ß
den rest haben die herren dreÿ auff inständiges bitten nachgelaßen
Nota, darunter ist begriffen, Stallgeltt für den Mann 1722. incl. 15. lb und für die Frau pro 1722. 4. lb, Gebott 19. ß, Abhandlung 4. ln (zusammen) 24. lb
der rest ist alß Nachtrag zu verrechnen mit 42. lb (zusammen) 67. lb.

Laurent Græthel, veuf de Marie Marguerite Lang, épouse en secondes noces Marie Susanne Graff, native de Colmar et veuve de Jean Arnaud Ruhland, marchand et bourgeois de Strasbourg. Ils font dresser un inventaire de leurs apports. La femme apporte une part de maison à Colmar et sa part de la maison qui lui revient de son premier mari rue de l’Ecurie

1721 (29.7.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 50) n° 23
Inventarium über diejenige Haab und Nahrung so H. Lorentz Grätel, der handelßmann, und Fr. Maria Susanna gebohrne Graffin beede Eheleuth u. burgere allhier zu Straßb. einander für unverändert in den Ehestand zugebracht – Actum Straßburg In fernerer præsenz Hn Joh: Sebastian Otten Rothgerbers u. lederbereiters alß deß Eheherr Kinder Erster Ehe u. H. Joh: Philipp Andre handelßmanns als der Ehefr. Kinder Erster Ehe geschwornen Vögte, dienstags d. 29.ten Julÿ A° 1721.
Nota. Die zwischen Eingangs gemeldten beÿden Eheleuthen auffgerichtete ehebered. ist den 25. 8.br. A° 1715 Vor Hn Joh: Peter Kolben Notario Verschrieben zubefinden, so alhier Zum bericht Vermeldet wird.

In einer allhier zu Straßburg ane der Knobloch gaß gelegenen u. in dieße Nahrung gehöriger behaußung befund. worden wie volgt.
Eÿgenthumb ane Häußern. (F.) Item ein fünffter theil an Zween dritten theilen von und ane einem Neündten theil so dann ein fünffter theil an vier Neünten theilen für unvertheilt ane dem Rieggerischen Hauß Zu Collmar hinder der Wachtstub (…)
(F.) Item ein dritter theil für ungetheilt von v. ane einem Vorder: v. hinderhauß, hoffstatt, höfflein, Gerechtigkeit am Gemeinen bronnen (…) ane der Stallgaß (…)
(M.) Item eine behaußung, hoff, hoffstatt und höfflein, mit einem Gebälckten Keller v. bronnen, sampt all. anderen deren Gebäwen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehördten v. Gerechtigkeiten, Gelegen allhier zu Straßburg Ane der Knobloch Gaß, Oben am Schiffgäßlein, einseith ists ein Eck an solchem Gäßlein, anderseith neben H. Johann Caspar Petzel dem handelßmann, hinden auf gedachten H. Petzel stoßend gelegen, Welche behaußung annoch verhafftet umb 300. lb. d. Capital dem Frauen Hauß alhier so Jahrs auff den 10. Junÿ mot 12. lb 10. ß verzinnßt werden, So dann umb 400 lb. haubtgut H. Johann Paul Flachen, Oberschreiber deß allhießigen Mehrern Hospitals so Jahrs mit 12.lb verzinnßlich sonst Gegen männiglichen Ledig. Darüber sagt i. perg. Kbr. in alhießiger Contract Stub sub dato 10.ten Jan: 1698.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, deß Eheherrn unverändert Gutt, Sa. haußraths 516, Sa. der Wahren Zur handlung gehörig 3151, Sa. Pferdts 60, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 149, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 46, Sa. Baarschafft 398, Eÿgenthumb an einer behaußung 463, Sa. Schulden 1538, Summa summarum 6325 lb – Schulden 4475 lb, Nach solchem abzug 1849 lb
Der Ehefrawen unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 662, Sa. leerer Vaß 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 112, Sa. Guldenen Ring und Geschmucks 139, Sa. baarschafft 10, Eÿgenthumb ane häußern -, Eÿgenthumb ane liegende güthern -, Sa. Schulden 760, Summa summarum 1691 lb – davon abzuziehen, Schulden auß der Ehefrawen unveränderter Nahrung zu bezahlen 60 lb, der Ehefrawen restirend außgeworffen unverändert gutt 1630. lb

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 150-v, n° 469)
Anno 1715 den 6 Novembr. seind (…) ehelichen eingesegnet worden, H. Lorentz Gräthel der burger und handelsmann alhie, und fr. Maria Susanna weÿl. H. Johann Arnold Ruhland deß geweßenen burgers und handelsmanns allhier hinderlaßen wittib gebohrne Gräffin von Colmar [unterzeichnet] Lorentz Gräthel alß hochzeiter, Maria Susana Rulandin alß hochzeiterin (i 153)

Inventaire après le décès de Laurent Græthel. Ses héritiers sont ses deux fils et sa fille issus du premier mariage avec Marguerite Lang. L’inventaire est dressé dans la maison rue de l’Ail que le défunt a légué à son fils aîné Jean Daniel. La somme taillable s’élève à 5244 livres.

1732 (11. 9.br), Me Lobstein (Jean, 31 Not 35) n° 772
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts ausgenommen so Weÿland der Wohl Ehrenvest und Großachtbahre Herr Lorentz Gräthel der geweßene handelsmann und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Freÿtags den 12.ten Septembris dieses zu end eilenden 1732.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des in Gott seelig entschlaffenen Herrn in Erster Ehe mit auch Weÿl. Frauen Maria Margaretha geb. Langin seel. ehelich erzielhter Herren Söhne und Frau tochter, als deßelben sowohl per Testamentum als auch ab intestato Verlaßener rechtsmäßiger Erben, auch respectivé dero gerren Ehr: und geschwornen, Theil Vogts (…) ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und tugendgezierte Frau Mariam Susannam Gräthelin gebohrne Gräffin die hinterbliebene Frau Wittib mit assistentz des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Philipp Jacob Hubers des handelsmanns und burgers allhier Ihres geschwornen Herrn Curatoris – So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 11.ten Novembris et seqq. Anno 1732.
Der Abgeleibte Herr seeliger hat zu seinen Erben sowohl per Testamentum als auch ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt, 1. Herrn Johann Daniel Gräthel, den handelsmann und burgern allhier, 2. Frau Mariam Elisabetham Stuberin, gebohrne Gräthelin, Herrn Johann Jacob Stubers des Paßmentirers und Seidenhändlers auch burgers allhier frau Eheliebste, So dann 3. Herrn Johann Heinrich Gräthel, Ledigen Handerlsdiener deßen geschworner Vogt vorbesagter Herr Johann Daniel Gräthel der Handelsmann und burger allhier, sein geliebter bruder, welcher aber vor sich selbsten interessirt, derowegen in seinem nahmen zu einem geschwornen Theil Vogten erbetten worden, Herr Johann Christmann Röderer, der Rothgerber und Lederbereiter, auch burger allhier

Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, Vor diesem Gemach, In der Cammer B, Vor diesem Gemach, Im undern haußöhren, In des Officiers Cammer, Im haußöhren, In der Magd Cammer, In der Kuchen, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Neben Stub, Im Contor, Im Laden
Eigenthum ane Häußern. ([in margine :] H. Joh: Daniel Gräthel ist die gantze behaußung über den bodenzinß, sambt bet. Mobilien præelgirt umb 2500. lb d.) Erstl. Zween drittetheil Vor ohnvertheilt Von: und ane einer behaußung, hoff, hoffstatt und höfflein, sambt einem gebälckten Keller und bronnen mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der Knoblochgaß oben am Schiffgäßel, einseit ist ein Eck ane gedachtem Schiffgäßel, anderseit neben einer behaußung dem Stifft St: Thomæ zuständig hinden wieder auf gedachte dem Stifft St: Thomæ gehörige behaußung stoßend, Von dießer gantzen behaußung gehen Jährl. (auf Joh. Bapt: 5 ß bodenzinß gemeiner Statt Straßburg Pfenningthurn wegen einer Staffel im Schiffgäßel, ferner reicht mann Jährl.) 12. lb 12. ß d. Zinnß dem Stifft Frauenhauß termino Joh. Bapt: redimibel in Capital in Straßburger Wehrung mit 900. fl. machen allhier außzuwerffen 315. lb, so dann 16. lb d à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes frauen Susannæ Magdalenä Städel geb. Wiegerin Hn Tobiæ Städels des Handelsmanns und burgers alhier Ehefrauen Jahrs auf den 21. februarÿ ablößig in Haubtguth mit 400 lb. Sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und über Vostehende Beschwährde durch (die Werckleuthe) vermög Abschatzungs Zeduls vom 21.ten Novembris 1732 angeschlagen pro 1025. lb Machen daran die hiehero gehörige zween dritte theil 683. lb. 6. ß 8. d. Und ist die übrige eine Tertz des Verstorbenen Hn seel. dreÿen Kindern Von Erster Ehe, Vor Mütterl. Guth eigenthüml. gebührig, woran der Herr seel. des jüngsten Sohns seinen antheil neben deßen übrigem Mütterl. guth gegen gebührender Education und alimentation biß an sein seel. Ende genoßen. Über die gantze behaußung sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alllhießiger Cancelleÿ contract Stub aufgerichtett und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt de dato 10.ten Januarÿ Anno 1698.
It. ein Neuentertheil Vor ohnvertheilt von und ane der hiervorenen fol. – fac. – et seqq. specificirten behaußung, hoff, hoffstatt und höfflein cum appertinentys ane der Knoblochgaß oben am Schiffgäßel gelegen, welche gantze behaußung annoch der Statt Straßburg Pfenningthurn umb 5 ß. d. Jährl. bodenzinßes, ferner dem Stifft Frauenhauß umb 315. lb, und dann Frauen Susannæ Magdalenä Städel geb. Wiegerin umb 400 lb, beede ane Capital Verhafftet, sonsten aber gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und hievornen fol: fac: über Vorstehende beschwährde, durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister, æstimirt vor 1025 lb, Trifft die hiehero gehörige neuntetheil 113 lb
It. einen drittertheil für ohnvertheilt einer behaußung ane der Stallgaß (…)
(T.) It. zweÿ häußlein im Thomans loch im vierten so genanten Schlupff oder Jungen bronnnengäßlein (…)
– Abschatzung d. 21.t 9ber ao. 1732. Auf begehren Weÿl. des Ehren Vesten und Vorachtbahren Herren Lorentz Grätel, gewesener handels Mann seel. hinterlassene Frau Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Knoblauchs gaßen gelegen, ein Eckh hauß am Schiffsgäßel gelegen, einseits Neben einem Stiffthauß Zu St: Thomæ gehörig, anderseith im gäßel auch auf gedachtes Stiffthauß stossendt, Welche behaußung Stuben, Officier Zimmern Kammern, Kuchen, hauß Ehren, Laden Contor, höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß Nach angeschlagen wirdt Vor und Um dreÿ Taussent Fünff hundert Gulten
Der 2.te Begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Stall gaßen gelegen (…), Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworne Werckleüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Minsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauerhoffs.

Wÿdemb Welchen der Abgeleibte Herr seeliger von auch Weÿland frauen Maria Magdalena Gräthelin geb. Langin seiner Ersten frauen Eheliebstin seel. biß an sein tödlichen Ableiben genoßen hat (den 27.ten Aug. 1722 auffgerichteten Kinder Vertrag – in einem den 11. Martÿ 1694 aufgerichteten Codicillo Reciproco ante Nuptias
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ (illatorum) in Anno 1721. durch Weÿl. Hn Joh: Heinrich Langens eniroem aufgerichtet
Abzug gegenwärtig. Inventarium gehörig. Der Frau wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 147, Sa. Lährer Vaß 2, Sa. silber geschirr und Geschmeids 57, Sa. Goldener Ring 64, Sa. baarschafft 14, Sa. antheils ane einer behaußung 716, Sa. Eigenthumbs ane einem liegenden guth 2, Sa. der Ergäntzung 812, Summa summarum 1818 lb – Schulden 23 lb, Nach solchem abzug 1794 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 195, Sa. Lährer Vaß 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 44, Sa. Goldener Ring und geschmeids 25, Sa. baarschafft 3, Sa. Antheils ane einer behaußung 683, Sa. Schuld 18, Sa. der Ergäntzung 1920, Summa summarum 2902 lb – Schulden 1894 lb, Detrahendo verbleibt 1007 lb
Theilbahre Verlassenschafft, Sa. haußraths 100, Sa. Schiff und geschirr zum Tabackfabriciren gehörig 13, Sa. Gewerbs Wahren 2316, Sa. Wein und Lährer Vaß 47, Sa. Silbergeschmeids 41, Sa. baarschafft 184, Sa. Eigenthums ane zweÿen häußlein 225, Sa. Schulden 940, Summa summarum 3868 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 5244 lb
Copia der Heuraths verschreibung – zwischen dem Ehrenvesten und Großachtbaren Herren Lorentz Grätheln Vornehmen handelsmann und burger alhier dem herrn hochzeitern ane Einem, So dann der Viel Ehren und tugendbegabten fr: Maria Susanna gebohrer Gräffin weÿl. deß S.T. Herrn Johann Arnold Rulandt auch gewesenen Handelsmanns und burgers zu Straßburg seel. hinterbliebener F. Wittib der fraw hochzeiterin am andern theil – so beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Freÿtag de, 25. Octobris Anno 1715, Johann Peter Kolb, Notarius juratus Regius publ.

Légataire de la maison, le marchand Jean Daniel Græthel, épouse en 1725 Marguerite Madeleine Buck, fille de libraire. Ils font dresser l’inventaire de leurs apports (au total 2 159 livres) dans une maison en location rue de la Lie

1725 (27.12.), Me Mader (6 E 41, 684) n° 532
Inventarium über deß Ehrenvesten und Großachtbahren Herrn Johann Daniel Gräthel Handelsmanns und der Viel Ehr: und Tugendreichen frauen Margarethä Magdalenä Gräthelin gebohrner Buckin, beeder Eheleüthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – in ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht und vermög der mit einander auffgerichteten Heÿraths Verschreibung sich vor unverändert vorbehalten haben – So geschehen in Straßburg in fernerm Gegensein deß Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren Herrn Lorentz Gräthels Vornehmen Handelßmanns und burgers allhier deß Eheherrn Leiblichen Herrn Vatters, so dann auff der Ehefrauen Seithen deß Wohlvorgeachten Herrn Johann Philipp Bucken Schreiners und burgers allhier dero noch ohnentledigten Curatoris, auff Donnerstag den 27.ten Decembris 1725.

In einer in der Statt Straßburg ane den Trußen Gäßel gelegenen in dieße Nahrung nicht gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, deß Herrn in den Ehestand gebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 183, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 46, Sa. Goldener Ring 6, Sa. der Baarschafft 568, Summa summarum 805 lb, Haussteuren 104 lb, Deß Herrn gantze Nahrung 909 lb
der Frauen in die ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 444, Sa. Silbergeschirr und Geschmeid 49, Sa. Goldener Ketten, Ring und Perlein 122, Sa. der Baarschafft 28, Sa. was Ihrer in abrechnung zu kommen 500, Summa summarum 1144 lb, Haussteuren 104 lb, der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen 1249 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2159 lb

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 193-v, n° 1099)
Anno 1725 den 1 Augusti seind (…) ehelichen eingesegnet worden, H. Johann Daniel Gräthel der ledige handelsmann alhie H. Lorentz Gräthen deß burgers und handelsmanns alhie ehel. Sohn und Jungfr. Margaretha Magdalena weÿl. H. Johann Heinrich Buck deß gewesenen burgers und buchhändler alhie hinderlaßen ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Gräthel alß hochzeitter, Margaretha Magdalena buckin alß hochzeiterin (i 198)

Jean Daniel Grædel hypothèque la maison au profit de François Rodolphe Mosseder

1767 (14.3.) Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 152
H. Johann Daniel Grädel der handelsmann [unterzeichnet] Gräthel
in gegensein H. Johann Fettich des courtier innahmen H. M. Franz Rudolph Moßeder – schuldig seÿe 600 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Schiffgäßel, ein, anderseits und hinten auff d. Stifft St. Thomä gehörigen haus

Inventaire après décès de Jean Daniel Græthel, marchand. Le défunt laisse cinq enfants et possède deux maisons et un magasin au Finckwiller. La somme taillable s’élève à 1 010 livres

1767 (16.11.) Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 409) n° 1144
Inventarium über Weÿland des Wohl Edlen und Großachtbahren Herrn Johann Daniel Gräthels geweßenen Vornehmen Handelsmanns und burgers allhier nunmehr seeligen Verlassenschafft, nachdeme derselbe Freÿtags den 4. septembris dießes Lauffenden 1767. Jahrs aus dießer welt durch einen seeligen Tod von dießer welt abgefordert worden, nach solch seinem seeligen absterben zeitlichen hinter sich verlaßen – auf Ansuchen Frauen Margarethä Magdalenä Gräthelin geb. Buckin der hinterbliebenen Frau Wittib mit assistentz Herrn Heinrich Wilhelm Wunschold, Vornehmen Handelsmanns Ihres erbettenen Herrn beÿstand
Der in Gott seelig entschlaffene Herr Gräthel hat zu seinen erben ab intestato Verlaßen wie folgt 1. Frau Susannam Margaretham Oertelin geb. Gräthelin Herrn Johann Heinrich Oertels des Silberarbeiters und burgers allhier Frau Eheliebste, 2. Jungfer Mariam Salome Gräthelin, 3. Jungfer Catharinam Elisabetham Gräthelin, 4. Jungfer Mariam Dorotheam Gräthelin, So dann 5. Jungfer Catharinam Barbaram Gräthelin, So alle Vier Majorennes und ohnbevögtigt dahero mit assistentz Herrn Johann Christoph Gloxin Vornehmen Handelsmanns ihres erbettenen Herrn Beÿstands, alle Fünff des Verstorbenen mit der Frauen Wittib erziehlte Frau und Jungfrauen töchtere

In einer allhier ane der Knoblochsgaß gelegenen in diese Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
Eigenthumb ane Häußern und einer Scheur – (W.) Erstl. das halbe theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung allhier ane dem Trußengäßlein (…)
(E.) It. I. Behaußung, Hoff, Hoffstatt und bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Knoblochsgaß oben am Schiffgäßlein 1. seit ist ein Eck ane gedachtem Schiffgäßlein 2.s neben I.r behaußung dem Stifft St. Thomæ zuständig hinten wider auf gedachte dem Stifft St. Thomæ gehörig. behaußung stoßend, davon gibt man Jährl. auf Joh. Bapt: der St. Strßb. Pfthrn. 5 ß d bodenzinnß wegen 1.r Staffel im Schiffgäßl. sonsten ist dießelbe vor freÿ ledig und eigen (laut) Abschatzungs zeduls vom 28. 9.bris 1767 æstimirt pro 990, Darüber besagt I. teutscher pergam. in allhieß. C.C. Stub gefertigte Kffbr. de dato 10. Januarÿ A. 1698, Dabeÿ I. alter auch allda aufgerichteter Kffbr. de dato 24. 8.bris 1693
It. eine Scheur oder Magasin im Finckweiler (…)
– Abschatzung Vom 28.te 9.ber 1767 – Auff Begehren Weil. Joh: Daniel Gredell Sel. hiender Lasener Frau witib und erben ist eine behausung alhier in Der Statt Straßburg in der Stall Gaß gelegen Einseits Neben einer behausung zur Hohe Schuhl geherig ander seits Neben dem Schiff geslein und hienden auff die Gastherberg zum gëist stosent gelegen solch behausung besteht in Einem Laden und Laden Stuben Ferner in einer Kichen Ettliche Stuben und Kammern Dar jber ist Der Dach Stuhl mit breitziglein hat auch einen getrembten Keller Hoff und brunen Vor und Umb 2000 gulden,
Der Zweite Begriff (…), Der drÿte Begriff (…), Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werck Meister Nach vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit Dem Jetzig wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Umb 100 gulden, [unterzeichnet] Werner, Huber

Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ über (die) in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch Weÿland Herrn Notarium Philipp Jacob Mader in Anno 1725 aufgerichtet – Nach besag Inventarÿ über Weÿland Frauen Mariä Magdalenä Buckin geb. Reicheltin geweßenen buchhändlers Frau Wittib der Frau Wittib eheleiblicher Frau Mutter seeligen Verlassenschafft durch mich Notarium in Anno 1762 aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Frau Wittib ohnverändert, Sa. Silbers 21, Sa. Goldener Ring 50, Sa. Antheils ane einer behausung 375, Sa. Gülth von Liegenden gütheren 15 lb, Sa. Schuld 100, Erg. Rest 1563, Summa summarum 2125 lb, Sa. Schuld 481, Nach deren Abzug 1643 lb
der Erben ohnverändert und theilbare Nahrung, in ansehung die Frau Wittib auf das theilbahre Guth tam active quam passive renunciret hat, unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 290, Sa. Schiff und geschirr zur handlung und Tabackfabriciren gehörig 29, Sa. Gewerbswahren 469, Sa. Chaise und Fuhrgeschirrs 24, Sa. Wein und Lährer Faß 42, Sa. Silbergeschmeids 26, Sa. Goldener Kett und dergleichen Geschmeids 48, Sa. baarschafft 88, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung und einer scheur 1040, Sa. Gülth von liegenden güthern 15, Sa. Schulden 431, Summa summarum 2506 lb, Sa. Schulden 3140 lb, In Vergleichung, Passiv-onus dem Stall pretio nach 633 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1643, Stall Summ 1010 lb
Eheberedung [papier dominoté], zwischen dem Wohl Ehrenvesten und Wohlvorgeachten Herrn Johanni Daniel Gräthel Leedigen Handelßmann und burgern allhier Herrn Lorentz Gräthels Handelsmanns und burgers allhier mit Weiland Frauen Maria Margaretha geb. Langen erzeugten Sohn, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfer Margarethä Magdalenä Buckin Weÿland Herrn Johann Heinrich Bucken gewesenen buchhändlers und burgers allhier mit Frauen Maria Magdalena geb. Reicheltin erzeugten Jungfer Tochter – den 11. junÿ 1725

Inventaire après décès de Marguerite Madeleine Buck veuve de Jean Daniel Græthel. La somme taillable s’élève à 2 286 livres.

1784 (21.5.) Me Greis (Jean Fréd. 6 E 41, 884) n° 225
Inventarium über Weiland der WohlEdlen und tugendbegabten fraun Margarethä Magdalenä Gräthelin gebohrner Buckin auch weiland herrn Johann Daniel Gräthel gewesenen handelsmanns Fr. Wittib Verlassenschafft, nach ihrem den 1. dec. 1783 erfolgten absterben hinterlassen hat
der Verstorbenen Fraun Gräthelin ab intestato Verlaßene Erben sind 1. Frau Susanna Margaretha geb. Gräthelin Herrn Johann Heinrich Oertels des silberarbeiters wie auch E.s E.n Kleinen Raths dermaligen beÿsitzers Ehegattin, 2. Jungfr. Maria Salome Gräthelin, 3. Jgfr: Catharina Elisabetha Gräthelin, 4. Jgfr: Maria Dorothea Gräthelin so dann 5. Jgfr: Catharina Barbara Gräthelin diese 4 Jgfr: Gräthelin sind alle majorenes und ohnbevögtigt unter assistentz herrn Johann Friedrich Müllers des handelsmanns

in der hernach inventirter an der Knoblauchs Gaß gelegenen behaußung
Eigenthum an einer behaußung. Nemlich eine behaußung Hof hoffstatt und bronnen allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten an der Knoblauchs Gaß oben am Schifgäßl. einseit ist ein Eck an gedachtem Schiffgäßl., anderseit neben einer behaußung dem Stift St. Thomä zuständig hinden wieder auf gedachte dem Stift St Thomä gehörigen behaußung stoßend, davon gibt man jährlich auf Joh. Bapt: der Stadt Straßburg Pfenningthurn 5 schilling bodenzinß wegen einer Staffel im Schiffgäßlein, (laut) Abschatzung vom 9. julÿ 1784 gewürdiget vor 1000 lb, Werden aber abgezogen obige 8 ß darauf haftenden bodenzinßes so zu doppeltem Capital gerechnet antreffen 10, So bleibt auszuwerfen 990, Hierüber besagt C.C. Stub Kaufbrieff de dato 10. jan. 1698 dabei ein alter Kaufbrieff vom 24. oct. 1693
Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 193 lb, leerer Faß 4 lb, silbers 14 lb, goldene ringe 29 lb, behaußung 990 lb, schulden 1515 lb, Summa summarum 2747 lb – Schulden 146 lb, Nach solchem abzug 2601 lb – Beschluß summ 2601 lb, Stall summ 2286 lb

La maison revient à la fille des précédents Susanne Marguerite Græthel, deuxième femme de l’orfèvre Jean Henri Œrtel natif de Berlin

Jean Henri Œrtel, orfèvre natif de Berlin, épouse en 1749 Marie Salomé Schaumann et devient bourgeois. Les conjoints font dresser un contrat de mariage et un inventaire de leurs apports
1749 (14.3.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 22
(Eheberedung) zwischen Ehrenvest Vorachtbahr und Kunsterfahren Herrn Joh: Heinrich Örtel, dem leedigen Silberarbeiter Von Berlin gebürtig, Weÿland S.T. Herrn Joh: Georg Örtel geweßenen Vornehme Silberarbeiters und burgers zu gedachtem Berlin seeligen nachgelaßenem Herrn Sohn als dem Herrn Brautigam ane einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Salome Schaumännin S.T. Herrn Johann Heinrich Schaumanns Vornehmen Jubelierers, Goldarbeiters und E:E: kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers auch burgers allhier ehelich erziehlten Jgfr. tochter als der Jungfrauen hochzeiterin am andern theil – Geschehen und Verhandelt in der Königlichen statt Straßburg Freÿtags den 14.den Martÿ A° 1749. [unterzeichnet] Johann Heinrich Örtel als hochzeiter, Maria Salomea Schaumännin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth.)
1749 – d. 25. Juni seind nach ordentlicher proclamation copulirt und eingesegnet worden H. Johann Heinrich Örtel der ledige Silberarbeiter Weÿl. H. Johann Georg Örtel des Silberarbeiters zu berlin ehl. Sohn undt Jgfr. Maria Salome H. Joh: Heinrich Schauman des Goldarbeiters und E E Kleinen Raths alten beisitzers ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Örtel als hochzeitter, Maria Salomea Schaumanin alß hochzeiterin (i 275)

Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 386
H. Johann Heinrich örtel der Silberschmidt Von Berlin gebürthig erhalt das burgerrecht Von seiner Eheliebstin fr. Maria Salome H. Joh. Heinrich Schaumanns burgers und goldtarbeiters ehel. tochter umb den alten burgerschilling will beÿ E.E. Zunfft Zur Steltz dienen. jurav. eodem [11. aug. 1749]

L’inventaire des apports est dressé dans la maison paternelle de l’épouse, rue des Orfèvres
1749 (14. 8.bris), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) n° 44
Inventarium über des Ehrenvest Vorachtbahr und Kunsterfahrenen Hn Joh: Heinrich Örtels Silberarbeiters und der Viel Ehren und tugendgezierten frauen Mariä Salome Örtelin geb. Schaumännin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßb. einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – und sich vermög der zwischen Ihnen Ehrengedachten beeden Eheleuthn Vor mir unterschriebenem Not° aufgerichteten Heuraths Verschreibung Vor ohnverändert Vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in fernerm Gegenseÿn des Wohl ehrenvest Großachtbahren und Kunsterfahren Hn Johann Heinrich Schaumanns Vornehmen Jubelierers, Goldarbeiters auch E:E: kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und burgers allhier der Ehefrauen eheleiblichen Hn Vatters auf Dienstag d. 14.ten 8.bris A° 1749.
In einer allhier zu Straßburg ane der Goldschmid Gaß gelegenen der Ehefraun Hn Vatter eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt

Marie Salomé Schaumann meurt l’année suivante sans descendance en laissant son mari pour seul et unique héritier.
1750 (1. Xbris), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 67
Inventarium über Weÿland der viel Ehren und Tugendgezierten Frauen Mariä Salome Örtelin geb. Schaumännin des Ehrenvest Vorachtbahr und Kunsterfahrenen Hn Johann Heinrich Örtels Silberarbeiters und burgers allhier zu Straßburg Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen Verlassenschafft – als dießelbe Montags den 26.ten Januarÿ dießes lauffenden 1750.sten Jahrs dießes Zeitlichen mit den Ewigen Verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen ableiben hie zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Herrn Wittibers als deme die Verstorbene Frau seelig Vermög hernach eingetragener Heuraths Verschreibung Ihre sambtliche Verlassenschafft Zu einem Wahren und ohnwiederrufflichen Eigenthumb verschrieben und zugesagt, ersucht und inventirt – So beschehen in Straßburg auf dienstags den 1.ten Xbris Anno 1750.

In einer allhier zu Straßburg ane der Goldschmid Gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Bericht in gegenwärtig verlassenschafft Inventarium gehörig. (…) zu Erspahrung aller Weitläuffigkeit die gantze Verlassenschafft unter einer Massa beschrieben
Sa. hausraths 50, Sa. Werckzeug Zur Silberarbeiter Profession gehörig 39, Sa. Silbers 132, Sa. Goldener Ring 44, Sa. Schulden 206, Summa summarum 473 lb
Copia der Eheberedung – den 14. Martÿ Anno 1749, Johann Daniel Langheinrich, Notarius publicus juratus

Jean Henri Œrtel se remarie deux ans plus tard avec Susanne Marguerite Græthel, les nouveaux mariés font dresser un inventaire de leurs apports
1752 (8.1.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 60
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenvest Vorachtbahr: und Kunsterfahren Herrn Johann Heinrich Örtel dem Silber Arbeiter Wittiber und burgern allhier Zu Straßburg als dem Hn bräutigam ane einem,
So dann die Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Susanna Margaretha Gräthelin des Wohl Ehrenvest: und Großachtbahren Herrn Johann Daniel Gräthels Vornehmen Handelsmanns und burgers allhier ehel. erziehlten Jgfr. tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin am andern theil – So beschehen in der königlichen Statt Straßburg auf Sambstag d. 8. Jan: A° 1752. [unterzeichnet] Johann Heinrich Örtel als hochzeither, Susanna Margaretha Gräthelin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 79-v, n° 460)
1752, Mitwoch den 26. Januarÿ seind nach zweÿmaliger ordentl. proclamation und ausruffung in der Neuen Kirch und zu St. Thomæ zu St. Thomæ copulirt und eingesegnet worden Herr Johann Heinrich Oetel der Wittiber Silberarbeiter und burger allhier und Jungfr. Susanna Margaretha Gräthelin Hen Johann Daniel Gräthel Handelsmanns und burgers alhier ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Örttel als hochzeiter, Susanna Margaretha Gräthelin als Hochzeiterin (i 81)

Inventaire des apports dressé dans une maison rue des Orfèvres
1752 (9.11.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 708) n° 121
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorgeacht: auch Kunsterfahrenen Herrn Johann Heinrich Örtels vornehmen Silberarbeiters, und der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Susannä Margarethä Örtelin gebohrner Gräthelin beeder Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung – und sich vermög der Zwischen Ihnen beeden Eheleuthen Vor mir unterschriebenem Notario auffgerichteten Heuraths Verschreibung Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in fernerem Gegenseÿn S.T. Herrn Johann Daniel Gräthels Vornehmen Handels Manns und burgers allhier der Ehefrauen Geliebten Herrn Vatters auf Donnerstag den 9. Novembris A° 1752.

In einer allhier zu Straßburg ane der Goldschmidts gaß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Hausraths 164, Sa. Werckzeugs und Silbers zur Silber Arbeither Profession gehörig 1140, Sa. Wein 3, Sa. Goldener Ring und dergl. Geschmeid 34, Sa. der baarschafft 44, Summa summarum 1415 lb – Sa. der Schuld 698 lb, Compensando verbleibt 717 lb, die helffte der haussteuren 58 lb, des Eheh. völlig in die Ehe gebracht Vermögen 775 lb
der Ehefrauen in die ehe gebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 119, Sa. Silbers 50, Sa. goldener ring Ketten Perlein und dergleich Geschmeidt 110, Sa. baarschafft 630, Summa summarum 911 lb, die helffte der haussteuren 58 lb, Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth 969 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1744 lb

Jean Henri Œrtel pour lui les sœurs Grædel loue un logement à Marie Madeleine Hammerer veuve de Chrétien Louis Nicolai, l’un des Treize

1789 (26. 8.br), Me Lacombe (6 E 41, 216) n° 39
Bail de 9 années à commencer a la fete de Noël prochain – Jean Henri Oertel orfèvre tant pour lui qu’en qualité d’administrateur des biens de Susanne Marguerite Graedel sa femme ensemble pour et au nom des sœurs de sadite femme
à De Marie Madeleine née Hammerer veuve du Sr Chrétien Louis Nicolai vivant XIII au Magistrat assistée du Sr Jean Daniel Hammerer négociant son frère
un logement dans la maison appartenant au bailleur dans cette ville rue de l’aille n° — consistant dans tout le premier étage donnant sur ladite rue de l’Ecurie de ladite maison et une place au grenier pour mettre le bois une cave apart pour environ 100 mesure de vin, une chambre au grenier pour y mettre le linge sale et l’usage commun du puit, de la buanderie et de grenier pour la lecive, la comodité du premier étage devant seul etre a l’usage de la preneuse – pour un loyer annuel de 250 livres

Jean Henri Œrtel loue au nom des héritiers Græthel un logement à Marie Madeleine Hammerer veuve Nicolai

1797 (20 vend. 6), Strasbourg 9 (anc. cote 3), Me Dinckel n° 1537 – Enregistrement de Strasbourg, acp 55 F° 25 du 30 vend. 6
Bail de 9 années à commencer au 5 nivose 7 – le cit. Jean Henri Oertel orfèvre au nom des héritiers Graethel
à la cit. Marie Madeleine Hammerer veuve Nicolai au nom de laquelle le cit. Louis Henri Hecht apoticaire
un logement dans la maison appartenant aux bailleurs audit Strasbourg rue de l’Ail N° – consistant dans tout le premier étage donnant sur ladite rue l’écurie de ladite maison et une place au grenier pour y mettre du bois une cave à part pour environ 100 mesures de vin une chambre au grenier pour le linge sale et l’usage commun du puits, de la buanderie et des greniers pour la laissive, les commodités du premier etage devant etre seul à l’usage de lad cit. preneuse
ladite preneuse qui s’engage a payer le même loyer auxd. cit. bailleur pour le tems que durera encore le bail contracté entre les parties devant le Cit. Lacombe le 26. oct. 1789 – pour un loyer annuel de 300 francs

Inventaire après décès de Jean Henri Œrtel, marchand orfèvre, propriétaire par indivis de la maison

1813 (24.6.) Strasbourg 3 (36), Me Übersaal n° 1301, 6444 – Enregistrement de Strasbourg, acp 122 F° 157 du 25.6.
Inventaire de la succession de Jean Henri Oertel marchand orfèvre décédé le 9. jan. 1813 – à la requête de Susanne Madeleine Buob la veuve tutrice naturelle des enfants – en présence de Jean Frédéric Boden marchand orfèvre subrogé tuteur. Le défunt a délaissé 1. Henriette Susanne 10 ans, 2. Jean Henri 7 ans, 3. Emilie Caroline 4 ans ; Contrat de mariage souss. 4 vent. 11 (23. fev. 1803)

propres de le veuve, meubles apportés 350 fr, dettes actives 1000 fr, total 1350 fr
propres des héritiers, meubles 28 133 fr, (dont liquidation du 21. juin 1813 de société, acte n° 1300) créances 296 fr
la moitié pour indivise dans une maison avec petite cour, appartenances et dépendances située en cette ville rue des Orfèvres n° 6 (…)
Et la moitié par indivis dans une maison avec petite cour, puits, appartenances et dépendances située en cette ville rue de l’ail n° 4 et rue du bateau n° 5 faisant le coin de ces deux rues, d’autre une maison appartenant à la fondation de St Thomas, estimée à 240 fr de revenu, en capital 4800 fr, la moitié 2400 fr – Propriété constatée par acte passé à la Chambre des Contrats le 24. oct. 1793, l’autre moitié appartient à Marguerite Salomé Oertel sœur du défunt épouse de Jean Frédéric Boden marchand orfèvre
La maison rue des orfèvres n° 6 a été héritée par le Sr Oertel et sa sœur de leurs père et mère Jean Henri Oertel marchand orfèvre décédé le 3 vend. 5 (24. sept. 1796) et Susanne Marguerite Graethel décédée le 6. oct. 1790
total des immeubles 6400 fr, total général 34 830 fr, déduire don matutinal 1000 fr, reste 33 830 francs
communauté, meubles 1356 francs

Inventaire après décès de Jean Frédéric Boden, orfèvre, dont la femme Marguerite Salomé Œrtel est propriétaire par indivis de la maison

1827 (19.3.) Strasbourg 3 (76), Me Schreider n° 3234 – Enregistrement de Strasbourg, acp 183 F° 13-v du 2.3.
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Boden, orfèvre, décédée le 24. sept. 1826 ; à la requête de Marguerite Salomé Oertel la veuve et de 1. Jean Frédéric Boden, orfèvre, 2. François Guillaume Boden, orfèvre, 3. Julie Frédérique Boden, sans profession les trois majeurs seuls enfants – Contrat de mariage Me Übersaal 24 fructidor 3

communauté, une maison, petit jardin et dépendances située à la Robertsau au quartier dit in der neuen Zeil n° 113 d’un côté et d’un bout propriété Sr Wurmel, d’autre la route d’autre bout la route – n’est pas louée, estimée à 2500 fr, acquise par acte Me Roessel le 27 nivose 9
masse personnelle de la veuve – 1. une maison et dépendances située à Strasbourg dans la rue des Orfèvres n° 6 (…)
2. la moitié indivise d’une maison et dépendances située à Strasbourg dans la rue de l’Ail n° 4 et dans la rue du Bateau n° 5, d’un côté une maison appartenant à la Fondation St Thomas, l’autre moitié indivise appartient aux neveux et nièces de la veuve et enfants de feu Jean Henri Oertel. Cette maison appartient indivisément à la mère de la veuve et Catherine Elisabeth Graethel sa tante maternelle décédé
communauté, mobilier 1011 fr, marchandises 13 886 fr, ensemble 17 397 fr, passif 45 147 fr, garde robe 260 fr – totalité remploi actif 29 242 fr, remploi passif 25 242 francs

Les héritiers Œrtel vendent la maison à Georges Fix, menuisier, et Marguerite Pfrimmer pour 8 000 francs

1830 (2.7.) Strasbourg 3 (81), Me Schreider n° 4554 – Enregistrement de Strasbourg, acp 200 f° 43 du 9.7.
1. Jean Henri Oertel, commis négociant, 2. Susanne Henriette Oertel, 3. Emilie Caroline Oertel les deux filles majeures, 4. Marguerite Salomée Oertel veuve de Jean Frédéric Boden, orfèvre
à Georges Fix, menuisier demeurant rue du Sanglier n° 10, et Marguerite Pfrimmer
une maison avec petite cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’Ail n° 4 & rue du Bateau n° 5 faisant le coin de ces deux rues aboutissant sur une maison appartenant à la Fondation de St Thomas – Etablissement de la propriété, la moitié appartient aux Sr et Dlle Oertel par représentation de leur père Jean Henri Oertel, orfèvre, inventaire par Me Ubersaal le 24. juin 1813, le Sr Oertel a hérité de la moitié de maison de sa tante Susanne Marguerite Groetel décédée célibataire le 12. oct. 1812 et la moitié à De Boden l’ayant aussi héritée de sa tante Susanne Marguerite Groetel, la totalite acquise Chambre des Contrats le 24. oct. 1793 – pour 8000 francs

Jean Georges Fix a épousé Marguerite Pfrimmer en 1823
1823 (20.3.), Strasbourg 4 (54), Me Hatt, n° 900 – Enregistrement de Strasbourg, acp 162 F° 56 du 31.3.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Georges Fix, menuisier, fils majeur de Jean Georges Fix, journalier demeurant rue du Sanglier n° 10 et de Salomé née Schwing
Marguerite Pfrimmer fille mineure de Michel Pfrimmer, cordonnier, et de feu Barbe Voltz

Dossier de la Police du Bâtiment

(I)

1878, Prise de gaz : demande
Strasbourg le 28 Mai 1878, A Monsieur le Maire de la ville de Strasbourg
Monsieur le Maire, Le sieur Woringer plombier demande au nom de Monsieur Fix, Menuisier qu’une prise de gaz d’environ 3 mètres de longueur pour alimenter environ 5 becs soit faite devant la maison située rue de l’ail N° 20 dont il est Propriétaire.
Veuillez, Monsieur le Maire, m’autoriser à ouvrir une tranchée au point indiqué ci-dessus
Et agréer l’assurance de mon profond respect
Le Directeur de l’usine à Gaz, pour le Directeur

(II)

1887 – Renovation de la façade : mise de demeure
Aufforderungsschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 580
Name des aufzufordernden Eigenthümers : Eduard Fix, Knoblochgasse N° 20
Lage des in Betracht kommenden Hauses : Knoblochgasse N° 20 Seite gegen Schiffsgäßchen
Polizei-Revier III
[in margine :] S. III-b 1061

– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekrets vom 26. Märtz 1852, welcher also lautet
 » Die Außenseite der Häuser ist beständig in einem sauberen Zustande zu erhalten. Dieselben müssen auf die von der Gemeindebehörde an den Eigenthümer zu erlassende Aufforderung mindestens einmal alle zehn Jahre abgerieben, angestrichen oder getüncht werden,
Die Zuwiderhandelnden sind zu Geldstrafe, welche 80 Mark nicht übersteigen darf, zu verurtheilten.  »
Nach Einsicht der Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Nach Einsicht des von der Kaiserlichen Polizei-Direktion aufgestellten Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden ;
Nach Einsicht der vom Herrn Bezirkspräsident erlassenen Polizeiverordnung vom 10. November 1887, betreffend die öffentliche Anbringung von Aufschriften und Ankündingungen ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Der Eigenthümer des Hauses an der Knoblochgasse N° 20
Herr Eduard Fix
wird hiermit aufgefordert, allen von der Straß aus sichtbaren Außenseiten insbesondere dem gegen dem Schiffsgäßchen vor dem 1. Oktober dieses Jahren auffrischen zu lassen, widrigenfalls gegen ihn das Strafverfahren eingeletet werden wird.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung giebt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstrechen oder Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein theilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerüstes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden.
Artikel 3 – Sollten irgens welche Hindernisse gegen die Asuführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom eigenthümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen ; die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschlißliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstrichen oder Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
Artikel 5 – Gegenwärtiger Beschluß wird dem Herrn Polizei-Kommissar des III. Reviers mit dem Ersuchen übersandt, den Beschluß dem Eigenthülmer gefälligt zuzustellen, sowie den Vollzug der darin enthaltenen Bestimmungen gefälligt zu veranlassen.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 10. Mai 1887
Der Bürgermeister, I. A.

[Réponse]
Straßburg am 21.ten Juni 1887, An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, Herr Bürgermeister
Unterzeichneter E. Fix, Eigenthümer des Haußes Knoblochgasse N° 20, hat die Ehre um Ausschub aus nächstes Jahr betreff’s Renovirung der Façaden oben bezeichnetem Eigenthum’s zu bitten, indem die totale Renovirung der inwendigen Façaden mir dermaßen Ausgaben verursacht haben, alß mir weitere Ausgaben in diesem Jahre unmöglich sind.
In Erwartung gütigster Genehmigung seines Gesuch’s
Zeichnet Hochachtungsvill, D. E.d. Fix
[in margine :] BÜRGMST.AMT STRASSBURG PR : 21.6.87, III 1061

[verso] III-b 1061
– Vrf. – 1. An herrn Ed. Fix, Knoblochgasse N° 20
p. C. des III. Polizei-Komissaramts demselben ist eine Frist bis zu 1. Oktober 1888 zu bewilligen
2. Wiedervorl. 1/4 88
Strass. den 23. Juni 1887, der brgmter I. A. 23/6
[in fine :] die Straßenfront ist noch nicht aufgefrischt
[in fine :] III-b 2214, 1) zum 1. Oktober ds. Js. zu erinnern
2) am 1/10 88, Strassb. den 14. April 1888, der Bgrmstr. 23/4
[in fine :] die Straßenfront ist aufgeführt den 10/10 88, Illinger
[in fine :] Z. d. A, den 10/10 88

1888 – Réfection du crépi : demande, permis
Straßburg am 3.ten August 88, An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Herr Bürgermeister, Unterzeichneter Emil Widmann Maurermeister, Ludwiggasse N° 1 hier, hat die Ehre im Namen des Herrn Fix Eigenthümer des Haußes Knoblochgasse N° 20 und Schiffgasse N° 7 um Erlaubniß zu bitten am Bestich der Façaden betreff’s Renovirung aus bessern zu dürfen
In Erwartung gütigster Genehmigung seines Gesuch’s, Zeichnet Hochachtungsvoll, E. Widmann
[in margine :] Bürgermeisteramt Straßburg Pr : 4-8-88 – III-b 3042

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 3042
Name des Antragstellers, Herr Maurermeister Emil Widmann Ludwiggasse N° 1
des in Betracht kommenden Grundstückes, Knoblochgasse N° 20 – Ecke der Schiffgasse – Anzeige erstattet 9/888
gebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt, 9/888
Für Herrn Illinger
zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen 9/888, Kenntniß genommen 10.8.88 Illinger
[in margine :] der Verputz ist ausgebessert, der Anstrich erneuert den 12/9.88 Illinger
[in margine :] z. d. A.

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 3. August 1888
betreffend die theilweise Ausbesserung des Verputzes an den Straßenfluchtwänden des dem Herrn Fix gehörigen Eckhauses an der Knoblochgasse N° 20 – Ecke der Schiffgasse
In Erwägung, daß die Straßenfluchtwände des vorbezeichneten Eckhauses im Erdgeschoß in der gesetzlichen Fluchtlinie stehen, daß indeß das Stockwerk längs der Knoblochgasse die gesetzliche Fluchtlinie überragt,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Maurermeisters Emil Widmann vom 3. dis. Mts.
wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter folgenden Bedingungen genehmigt
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
2) Nach Maßgabe des Artikels 86 des Bürgermeister-beschlusses vom 6. Mai 1856 ist eine Auslassung des Verputzes an der Maßenfluchtwand des die gesetzliche Fluchtlinie überragenden Stockwercks nicht zulässig.
3) die Bestimmung- des Artikels 22 des Bauunfallversicherungssesetzes – Vorschrifts
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von Mark Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 7. August 1888
Der Bürgermeister, J. A. 4/8

(III)

1889 – Renovation de la façade : mise de demeure
Aufforderungsschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 1089
Name des aufzufordernden Eigenthümers Herr Fix, Knoblochgasse N° 20
Lage des in Betracht kommenden Hauses : Knoblochgasse N° 20
Polizei-Revier III
Herrn Illinger
zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen 13/6.89, K. genom. 17/6
Wiedervorzulegen am 1/10 89
[in margine :] ist aufgefrischt 1/10, 12/10 89
[in margine :] Zu den Akten 12/10 89

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekrets vom 26. Märtz 1852, welcher also lautet
 » Die Außenseite der Häuser ist beständig in einem sauberen Zustande zu erhalten. Dieselben müssen auf die von der Gemeindebehörde an den Eigenthümer zu erlassende Aufforderung mindestens einmal alle zehn Jahre abgerieben, angestrichen oder getüncht werden,
Die Zuwiderhandelnden sind zu Geldstrafe, welche 80 Mark nicht übersteigen darf, zu verurtheilten.  »
Nach Einsicht der Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Nach Einsicht des von der Kaiserlichen Polizei-Direktion aufgestellten Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden ;
Nach Einsicht der vom Herrn Bezirkspräsident erlassenen Polizeiverordnung vom 10. November 1887, betreffend die öffentliche Anbringung von Aufschriften und Ankündingungen ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Der Eigenthümer des Hauses an der Knoblochgasse N° 20,
Herr Fix wird hiermit aufgefordert, alle von der Straße aus sichtbaren Außenseiten vorbezeichneten Hauses vor dem 1. Oktober dieses Jahren auffrischen zu lassen, widrigenfalls gegen ihn das Strafverfahren eingeletet werden wird.
Falls an dem Hause Inschriften vorhanden sind, müssen dieselben beseitigt oder nach Massgabe der Polizeiverordnung vom 10. November 1887 erneuert werden.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung giebt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstrechen oder Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein theilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerüstes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden.
Artikel 3 – Sollten irgend welche Hindernisse gegen die Ausführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom Eigenthümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen ; die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschlißliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstrichen oder Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
Artikel 5 – Gegenwärtiger Beschluß wird dem Herrn Polizei-Kommissar des Reviers mit dem Ersuchen übersandt, den Beschluß dem Eigenthümer gefälligst zuzustellen, sowie den Vollzug der darin enthaltenen Bestimmungen gefälligst zu veranlassen.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 11. Juni 1889
Der Bürgermeister I. A., 7/6

(IV)

1892 – Transformation de combles en pièce d’habitation : demande, autorisation
Straßburg den 7. Mai 92, An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, Herr Bürgermeister
Unterzeichneter Emil Widmann Maurermeister, Ludwiggasse N° 1 hier, hat die Ehre im Namen der Frau Wittwe Fix, Eigenthümerin des Haußes Knoblochgasse, um Erlaubniß zu bitten auf dem Speicher ebengenannten Eigenthum’s eine Wohnung für ihre benützung einrichten zu dürfen und bittet ergebenst um Genehmigung des Gesuch’s, Hochachtungsvoll, E. Widmann
[in margine :] Bürgermeisteramt Straßburg Pr : 10 5 92 – bd. 1028
[in fine :] Roederer 11/5, In dem betreffenden
zu Wohnzwecken geeignete
bereits vorhanden, 17/5
[in fine :] Baugebühren, Einrichtung einer dachwohnung 0.80, Genehm. beschl. beigef. 17/5

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. B. A. b 1028
Name des Antragstellers : herr Maurermeister E. Widmann Ludwiggasse N° 1
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Knoblochgasse N° 20
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 24/5 92
Mittheilung an die Abtheilung II-a abgegeben,
Herrn Adis
zur gefälligen Kenntnißnahme 24/5 92
[in margine :] Kennt. gnm. 24/5 92

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 7.ten Mai 1892
betreffend die Herstellung einer dachwohnung in dem Fr. Wittwe Fix gehörigen Hause an der Knoblochgase 20
In Erwägung, daß die es sich um die Einrichtung einer dachwohnung in einem bereits bestehendenSpeicherraum handelt,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des hn E. Widmann vom 7.ten Mai ds. Jhrs
wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden, geprüften Zeichnungen unter den Bedingungen der Bauverordnung vom 30. November 1891 genehmigt
Es fand sich zu bemerken :
* 1) Alles Holtzwerk muß von den Innerflächen der Schornssteine mindestens 22 Centimeter entfernt bleiben
* 2) die Wände sind bis zur dachfläche aufzuführen, welche übe r del Treppenraum mit Gyps zu verputzen oder feuersicher abzudecken ist.
([in margine :] H. Adis 24/6 92, die Arbeiten sind in Angriff genommen, dachfenster Ausbauten u. Zwischenwände bereits hergestellt, Gÿpses u. Schreinerarbeiten z. Z. in Ausführung
die Höhe der Zimmer ist nicht wie im Plane angegeben 2.50 m, sondern nur 2.25-2.3. m durchweg, 8/7 92, It.
[in margine :] H. Illinger 8/8 92
[in margine :] die Schreinerarbeiten sind in Ausführung, nichts zu erinnern gefunden 11/10 92
[in margine :] die Arbeiten sind in allen Theilen fertig, nichts zu erinnern gefunden, 15/9 92,
[in margine :] Zu den Akten 15/9 92)
3) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungssesetzes vom 11. Juli 1887 muß über die Bauarbeiten irgend welcher art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, dem Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgsehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt, welches in der Buchdruckerei von R. Schultz u. Comp. dahier käuflich zu haben ist, eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßige Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 18. Mai 1892
Der Bürgermeister, 17/5

[Beilage, Plan, 7000] Eigenthum von Frau Wittwe Fix, Projektirte Wohnung auf dem Speicher, 1 zu 100, Grundriss, Querschnitt, den 7. Mai 92

(V)

1895 – Ouverture des volets vers l’extérieur : demande de modification, ordonnance, 1898, 1900, 1901
Ab. 995, Straßburg den 25. Febr. 1895
1) Frau Ww. Vix, Knoblochgasse 20
Bei Besichtigung des Wohngebäudes auf dem Grundstück an der Knoblochgasse 20 ist festgestellt worden, daß die Läden am Erdgeschoß nach der Straße zu aufschlagen, Bezugnehmend auf die Bestimmungen des Art. 3 B 1 der Bauordnung vom 30. November 1891, wonach die Läden aller Fenster, welche weniger als 2,20 m über dem Bürgersteig liegen, nicht nach der Straße zu aufschlagen dürfen, ersuche ich Sie ergebenst, längstens innerhalb 3 Monaten nach Empfang dieses Schreibens die betreffende Fensterläden so abändern lassen zu wollen, daß sie beim Oeffnen nicht mehr nach Außen vortreten
2) Zustellungsurkunde (gesch. 28/2 95
3, Nach 3 Monaten (nb. 28/2 95
der Bgmstr. J. A. 21/2
[in fine :] Herrn Voelckel 28.5.95
[in fine :] Noch nichts geändert 14/6 95
[in fine :] Wie vor 30/12 96, Schreib. beigefgt. 26.11.97

– [Ordonnance]
V-a 4024, Straßburg den 11.7.1898
Verfg. – Mit Zustellungsurkunde 1) An Frau Ww. Vix, Knoblochgasse 20
Auf Grund der bestimmung des Art. 3 B 1 der Bauordnung vom 30. November 1891, wonach die Läden aller Oeffnungen, welche weniger als 2,20 m über dem Bürgersteig liegen, nicht nach der Straße zu aufschlagen dürfen, wurden Sie unterm 25.ten februar 1895 aufgefordert, die Verschlüsse derjenigen Oeffnungen an Ihrem Hause an der Knoblochgasse N° 20 welche vorstehenden bestimmungen nicht entsprechen, binnen einer gestellten frist vorschriftsmäßig abändern zu lassen.
Da Sie dieser Aufforderung bis jetzt nicht nachgekommen sind, ersuche ich sie hierdurch nochmals ergebenst, die den oben angeführten Verschriften nicht entsprechen den Erdgeschoß- fensterläden an genanntem Hause so abändern zu lassen, daß dieselben nicht mehr nach der Straßen zu aufschlagen.
Sollten Die dieser Aufforderung nicht spätestens bis zum 1. Oktober 1898 nachgekommen sein, so würde ich mich zu meinem Bedauern genöthigt sehen weitere Schritte zwecks Herbeiführung eines den Vorschriften der Bauordnung entsprechenden Zustands gegen Sie zu thun.
2. Am 2. Oktober 1898, der Bürgermstr., J. A., 28/5
[in fine :] Herrn Bauführer Voelckel zum gefälligen bericht welche Gegenstände beseitigt bezw. abgändert werden sind, Str. den 2.10.98
2 Läden sind gerichtsmäßig abgeändert worden, 6 befinden sich noch im alten Zustand, 10/1 99
Es sind noch 4 Erdgeschoßfensterläden abzuändern, 20/5 99 W. K.
Es sind die Länden von 2 Erdgeschoßfenster abgeändert, bleiben noch 2 abzuändern 21/11 98
Schreib. beigefgt. 14/3 1900

– [Ordonnance, 1900]
1726, Strassburg den 15. März 1900
Verfg., 1, An frau Wwe. Vix, Hier, Knoblochgasse 20
Nach Art. 3 B 1 der der Bauordnung vom 30. November 1891 dürfen Thüren der Erd: und Keller geschosse nicht nach der Straße aufschlagen, dasselbe gilt der Läden welche weniger als 2,20 m über der Straßenoberfläche liegen.
Es ist festgestellt worden, daß Sie trotz meiner widerholten Aufforderungen die Läden im Erdgeschoß Ihres Hauses an der Knoblochgasse 20 noch nicht verschriftsmäßig abgeändert haben.
Ich fordere Sie nunmehr zum letzten Mal auf, die nothwendihe Arbeiten bis zum 1. Juli ds. Js. ausführen zu lassen, Nach Ablauf dieser letzten Frist mußte ich zwangsweise vorgehen.
2) Zustellungsurkunde beizufügen
3) Am 1. Juli vorzulegen
der Bgmstr. J. A. 14/3
[in fine :] Noch nicht geändert 6/10

– [Ordonnance, 1901]
Strassburg den – April 1901 – 1828
Verf., 1, An frau Wwe. Vix, Hier, Knoblochgasse 20
Unter bezugnahme auf meine Verfügung vom 15. Mätz 1900 V-a 1726 fordere ich Sie nochmals auf, die nothwendige Arbeiten an den vorschriftwidrigen Läden im Erdgeschoß Ihres Hauses an der Knoblochgasse N° 20 bis zum 1. August ds. Jr. ausfertigen zu lassen. Nach Ablauf dieser letzten Frist mußte ich zwangsweise vorgehen.
2) Zustellungsurkunde beizufügen
3) Am 1. August 1901
der Bürgermeister J. A. 18/4

– [Ordonnance, 1901]
Straßburg den 15. Mai 1901
An das Stadtbauamt
Bezug nehmend auf die mir zugekommene Mahnung die Umgestaltung der Läden meines Hauses betreffend, habe ich die Ehr Sie zu benachrichtigen, daß solches bereits vorgenommen war ehe letzteres neu gestrichen wurde. Es bestehen 14 Läden welche vorschriftsmäßig umgeändert worden sind, bis auf drei, an welchen dieses laut Ausspruch des Architekten unmöglich war.
Mit vorzüglicher Hochachtung, zeich. Wittwe Ed. Fix, Eigenthümerin des Hauses Knoblochgasse 20
[in margine :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i. Els. Eing : 14 MAI 1901 – V-a 2588
Nyssen 13/5
[in margine :] Läden welche noch nicht abgeändert sind, müsen zum aushängen eingerichtet werden, Köhler 24/6 – 24/6 N
Schrb. umseit*) 27/6 W. K.

[verso]
V-a 2588 Strassb. 28. Juni 1901
Verfg. 1, An frau Wwe. Vix, Hier, Knoblochgasse 20
Auf das Schreiben vom 15. vor. Mts erwidere wir ergebenst, daß sich die drei unvorschriftsmäßigen Erdgeschoß-Fensterläden ihres Hauses abändern lassen, da dieselben zum Ausheben eingerichtet werden können. Die Abänderung wollen Sie gefälligst bis zu der gegebenen Frist, 1. August d. J. bewerken lassen.
2) Am 1. August 1901,
das Stadtbest. N 27/6
H. Nyssen 1/8
die Läden sind abgeändert. Erledigt
Zu den Akten 8/8/1901 – 8/8 N

(VI)

1896 – Prise de gaz : demande, autorisation]
B.A. b. 4381 – Straßburg den 11 Sept. 1896
An den Herrn Bürgermeister der Stadt Strassburg
Hierdurch beehre ich mich mitzutheilen, dass für Herrn Heinrich eine Gasabzweigung vor dem Hause gelegen Knoblauchgasse dessen Eigenth. er ist, für circa 10 Flammen hergestellt werden soll. Die Breite der Strasse beträgt 6.0 m
In dem ich um gütige Genehmigung zur Aufgrabung des Bodens an vorbezeichneter Stelle ersuche, zeichen, mit aller Hochachtung
Der Direktor der Gas-Anstalt, I. Vt. H Kientz
0,80, 2,40 M, 14.9.

– Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B. A. b. 4381
Name des Antragstellers : Herr Weill-Goetz, Hier
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Knoblochgasse
gebühren im Betrage von 2 M. 40 bezahlt am 21.9.96
[in margine :] Ausgeführt am 10. Sept. 96, Str. d. 6. Nov. 96
Z. d. Akten, Str. 6/11 96
– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 4. Sept. 96
betreffend dieHerstellung einer Gasabzweigung vor dem Grundstücke des Herrn Heinrich an der Knoblochgasse
In Erwägung, daß in vorbenannter Straß sich iene Gashauptleitung befindet ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Weill-Goetz vom 11. sept. d. J.
wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter folgenden Bedingungen genehmigt
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßige Baugebühren im Betrage von zwe Mark 40 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 16. Sept. 1896
Der Bürgermeister, J. A.

(VII)

1900 – Rénovation de façade : demande, autorisation, mise de demeure
Straßburg den 14 Juni 1900, An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, Herr Bürgermeister
Unterzeichneter Emil Widmann, Ludwiggasse N° 1 hier beehrt sich ergebenst im Auftrag der Frau Wittwe Fix, Knoblochgasse N° 20, zu bitten leichte Reparaturen des Façadenputzes behufs Renovirung derselben vornehmen zu dürfen
die Kosten dieser Reparaturen werden 20 Mark nicht übersteigen, Hochachtungsvoll, E. Widmann
[in margine :] Bürgermeisteramt Straßburg i. Els. Eing. 16 JUN 1900 – V. A 3531
[in fine :] Köhler 16/6
[in fine :] bausch. begef. 20/6 W. K.

– Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V a 3531 Werth bis zu 20 Mark
Name des Antragstellers E. Widmann, Bauunternehmer Ludwiggasse 1
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Knoblochgasse 20
gebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt
Mittheilung an die Abtheilung II abgegeben,
Herrn Bauführer Adis
Straßburg den 29. Juni 1900, Der Bauinspektor
[in margine :] Kenntnis genommen Vorputzausbesserungen sammt Neuanstrich fertig gestellt, 30/6 00
[in margine :] Zu den Akten 30/6

– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 14. Juni 1900
betreffend die Ausbesserung des Verputzes an der Straßenfluchtwand des Hauses Knoblochgasse 20 Frau Wwe. Fix gehörig
In Erwägung, daß es sich nur um kleinen Verputzbesserungen handelt
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Hern E. Widmann vom 14. Juni 1900
wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen
2) die auf Hängegerüsten beschäftigten Arbeiter sind je an einem Seite so zu befestigen, daß sie bei etwaige Zusammenbruch des Gerüstes Keinen Schaden nehmen können.
3) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauufallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, dem Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgsehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßige Baugebühren im Betrage von 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 23. Juni 1900
Der Bürgermeister, I. A., 20/6

– [Renovation de la façade : mise de demeure, 1900]
Aufforderungsschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 2813
Name des aufzufordernden Eigenthümers : Wwe Fix, Knoblochgasse 20
Lage des in Betracht kommenden Hauses : Knoblochgasse 20
Polizei-Revier 3
Herrn – zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen 13/6.89, K. genom. 17/6
Wiedervorzulegen am 1/10
[in margine :] Neuanstrich z. Z. in Ausführung, fertig bis Erdgeschoss, 20/10 00
ab 12/5 00
[in margine :] Neuanstrich fertig gestellt 5/12 00
[in margine :] Zu den Akten Str. 5/12 1900

– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekrets vom 26. Märtz 1852, welcher also lautet
 » Die Außenseite der Häuser ist beständig in einem sauberen Zustande zu erhalten. Dieselben müssen auf die von der Gemeindebehörde an den Eigenthümer zu erlassende Aufforderung mindestens einmal alle zehn Jahre abgerieben, angestrichen oder getüncht werden,
Die Zuwiderhandelnden sind zu Geldstrafe, welche 80 Mark nicht übersteigen darf, zu verurtheilten.  »
Nach Einsicht der Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Nach Einsicht des von der Kaiserlichen Polizei-Direktion aufgestellten Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden ;
Nach Einsicht der vom Herrn Bezirkspräsident erlassenen Polizeiverordnung vom 10. November 1887, betreffend die öffentliche Anbringung von Aufschriften und Ankündingungen ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Die Eigenthümerin des Hauses an der Knoblochgasse N° 20
Frau Wwe. Fix
wird hiermit aufgefordert, allen von der Straß aus sichtbaren Außenseiten vorbezeichneten Hauses vor dem 1. Oktober dieses Jahren auffrischen zu lassen, widrigenfalls gegen ihn das Strafverfahren eingeletet werden wird.
Falls an dem Hause Inschriften vorhanden sind, müssen dieselben beseitigt oder nach Massgabe der Polizeiverordnung vom 10. November 1887 erneuert werden.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung giebt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstrechen oder Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein theilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerüstes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden.
Artikel 3 – Sollten irgens welche Hindernisse gegen die Asuführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom eigenthümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen ; die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschlißliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstrichen oder Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
Artikel 5 – Gegenwärtiger Beschluß wird dem Herrn Polizei-Kommissar des Reviers mit dem Ersuchen übersandt, den Beschluß dem Eigenthülmer gefälligt zuzustellen, sowie den Vollzug der darin enthaltenen Bestimmungen gefälligt zu veranlassen.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 9. Mai 1900
Der Bürgermeister, J. A.

(VIII)

1900 – Commission des logements insalubres : procès verbal de visite, demande de modifications
Kommission gegen die ungesunden Wohnungen, Knoblochgasse 20
[in margine :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i. Els. Eing : 20. JAN 1900 – III 499
Haus : Knoblochgasse 20
1. Name, Beruf und Wohnung des Eigenthümers : Wwe. Vix i. G.
10. Besondere Bemerkungen : Aborte finster. Aenderung ohne großem Umbau nicht möglich
Beschluß des Unterauschusses :
Das Haus ist bei echter Gelegenheit an die Kanalisation anzuschließen und zugleich, wann möglich die Aborte so zu vorlegen, daß sie Licht und Luft unmittelbar von außen erhalten.
Das durch die Küche geleitete Abortabfallrohr ist zu ummauern
der im Erdgeschoß gelegene Abort für die Schreinergesellen darf nicht mit offenem Licht betreten werden
III. U. A

– [Demande de modifications après la visite de la Commission des logements insalubres, 1900]
Strassburg 10. III. 1900, 1) A, Frau Witwe Vix, Knoblochgasse 20
Die Kommission gegen die ungesunden Wohnungen hat in Ihrem Knoblochgasse 20 belegenem Wohnhause verschiedene Uebelstände festgestellt und wegen Abstellung derselben folgenden beschluß gefaßt. das Haus ist l. ur. v. beschluß v. Amt-A.*
Etwaige Einwendungen gegen diesen beschluß dem bürgermeisteramt I. Stok Zimmer 6, Nachmittags zwischen 5 und 6 Uhr zu Protokoll zu geben werden,
Herrn Schulz zur ev. Aufnahm des Protokolles
Wiedervorlage
nach 4 Wochen wegen bericht an den Gemeinderath
der bgstr I. A.

[verso] GB. – die Küche, durch welche der Abortabfallrohr geleitet ist und nicht mehr als solche benutzt die Eigenthümerin bewohnt die betr. Wohnung selbst.
bezl. der Aborte läßt sich besserung nur durch Anchluß an die Kanalisation erzielen.
Eine Verlegung der Aborte ist mit Rücksicht auf die ungünstigen örtlichen Verhältnisse sehr schwierig, 13. XII 00
[in margine :] Str. den 13. XII 00 Wst am 1. X 1901, d. bgrmstr. J. A.

– [suite]
Strassburg, den 4. November 1901 – III 9119
V. nebst Anlagen der Abtheilung V, Hier
mit dem Ersuchen erg. übersandt die Eigenthümer zur Verbesserung der Abortverhältnisse zum Anschluß ihres Hauses an der Kanalisation veranlassen zu wollen. Ich bitte um Mittheilung über Erledigung
Str. term. 4 Wochen, prs. 21/11 01 Abtheilung II, V 3456

Strassburg den 23. XI. 01
1. die Knoblochgasse ist noch nicht neu kanalisirt
2. G. K. dem Stadtbauamt zur gefl. Kenntnis und Aeusserung bis wann die Kanalisierung der Knoblochgasse zu erwarten steht
Str. 26/10 01, der Bürgermeister
Stadtbauamt STRASSBURG Pr : 25-NOV.-1901
[in margine :] Erledigt durch Bt II 1907, Stadtbauamt
[verso] Strassburg 29/XI 01 V 3456
Wiedervorlage 1.V.1902
Gef. wiedervorgegt d. brgstr. Reg. V 2/5
[in margine :] wahrscheinlich Herbst, 15/5

V 3456, Str. 29. Mai 1902
Ursch. der Abtheilung III
mit dem Bemerken ergebenst zurückgesandt, daß die Neukanalisation der Knoblochgasse voraussichtlich im Herbst dieses Jahres hergestellt wird. die Eigenthümerin wird* zum Unpflicht der Aborte aufgefordert
der bürgermeister J. A.
III 2776, 1. XI. 02

[Feuille suivante] GB – Aborte noch im alten Zustand Kanal in dem bet.* Theil der Gasse noch ncht ausgeführt. Angelegenheit wird übrigens vobn der Abthlg. V weiter verfolgt
30/1013
G. L. Wie vor 29.V.03
[in margine :] 25.9.03 1) Noch nicht angeschlossen, 2) Im Verz. not. 3) W. V. 1.V.04
[in margine :] 2.5.04, 1) Im Kat. als noch nicht angeschl. bezeichnet, 2) W. V. 1. 10. 05

– [Lettre jointe]
Bürgermeister-Amt der Stadt Strassburg i. Els., III N° 499
Strassburg i. Els. den 10. März 1901
Erscheint und bittet um Prüfung
Die Kommission gegen den ungesunden Wohnungen hat in Ihrem Knoblochgasse 20 begegenen Wohnhause verschiedene Uebelstände festgetellt und wegen Abstellung derselben folgende beschluß gefaßt :
das Haus ist bei erster Gelegenheit an die Kanalisation anzuschließen und zugleich wann möglich die Aborte so zu verlegen, daß sie licht und luft unmittelbar von außen erhalten.
das durch die Küche geleitete Abortabfallrohr ist zu ummauern.
der im Erdgeschoß gelegene Abort für die Schreinergesellen darf nicht mit offenem Licht betreten werden.
Etwaige Einwandungen gegen diesen Beschluß können innerhalb 4 wochen von Tage der Zustellung dieses Schreibens an gerechnet, auf dem bürgermeisteramt I. Stock, Zimmer 6 Nachmittags zwischen 5 und 6 Uhr zu Protokoll gegeben werden,
der bürger meister J. A.
An Frau Wittwe Vix Hier Knoblochgasse 20

(IX)

1903 – Incendie de cheminée
V-a 247, pr. 17/1 03
Städtische Feuerwehr Strassburg
Mittheilung an Abth. V-a infolge der Verfügung des Herrn Bürgermeisters vom 4. Maÿ 1895 N° 1642
Mittwoch, den 14.ten dieses Monats, abends um 8 ½ Uhr, hat ein Kaminbrand im Eigenthum Fix, Knoblochgasse N° 20 stattgefunden
Strassburg, den 15. Januar 1903, Der Branddirector
[in margine :] Nach den starken Wind ist ein Funke den Ruß (im) Kaminhut entzündet.
H. Nyssen 17/1
durch den Kaminbrand ist nichts beschädigt worden. Erledigt 26/1
Zu den Akten Str. den 26.1.03, der Brgmstr. J. A.

(X)

1903 – Pose de miroirs au coin de la rue : demande, autorisation
An das Hochlöbliche Bauamt
Bitte das Hochlöbliche Bauamt um gütige Genehmigung für die Anbringung zweier Lichtspiegel an der Straßenseite Schiffsgäßchen
Hochachtungsvoll, G. Seelig (Sohn), buchbinder, Straßburg den 6. August 1903
[Plan : Schffsgässchen, Knoblochgasse, Buchbinder Werckstätte, Laden]

[in margine :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i. Els. Eing : 6 AUG 031 – V-a 3857
[in margine :] H. Adis 7/8 1903
[in margine :] von den beiden anvertragten Lichtspiegel ist bereits einer angebracht & zwar 2.20 m bezw. 2.80 hoch mit 40 c Vorsprung oben, in harien* zum jederzeitigen Einziehen mittels Ketten eingerichtet so, daß er dann in der Fensternische hinter der Flucht steht, & nicht hinderlich erscheint. Trottoir 35 c brt. Straße 3.15 m breit Kostenwerth über 20 M, 10/303 It.
[in margine :] Klein 10/8
bausch. beig. 14/8. 03 Kl

– Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 3857
Name des Antragstellers : Hr. G. Selig Knoblochgasse 20
Durch die Kaiserliche Polizei-Direcktion
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Knoblochgasse 20
gebühren im Betrage von 0 M. 80 bezahlt
am 26/8 03 Mittheilung an die Abtheilung II abgegeben,
Herrn Bauführer Adis zum gefälligen Kenntinßnahme
Straßburg den 27. August 190., Der Bauinspektor
[in margine :] Kenntnis genommen Beide Lichtspiegel sind bewegl. angebracht, 7/9 03 It.
[in margine :] Zu den Akten 30/Str. 7.9.03, Der Brgmstr. J. A.

– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 6. August 1903
betreffend die Anbringung von zwei Lichtspiegeln an der Straßenfluchtwand des Hauses an der Knoblochgasse N° 20
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt
In Erwägung, daß es der Bürgersteig vor deù betreffenden Hause 0,35 Meter breit ist
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Hrn. Selig vom 6. August 1903 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden sollen.
2) die Genehmigung zur Anbringung der Lichtspiegel in einer Höhe von 2,20 bzw. 2,80 Meter über der Straße u. mit einem Vorsprung von 40 cm erfolgt auf jederzeitgen Widerruf und unter der Bedingung, daß dieselben Abends eingezogen werden. Etwaige durch dieselbe entstehende Unzuträglichkeiten fallen jedoch dem Eigenthümer der Lichtspiegel zur Last.
3) Für die Anbringung der Lichtspiegel ist eine Gebühr von je achtzig Pfeinnigen jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
4) Die Einrichtung dieser Gebühr muß ohne jedem Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung der Lichtspiegel dem städtischen Baupolizeiamte schriftlich oder mündlich angezeigt ist.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßige Baugebühren im Betrage von eine Mark 60 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, durch einjährigen Nichtgebrauch vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 17. August 1903
Der Bürgermeister, I. A., 14/8 ([in margine :] Geschr. 20/8 03 Z.

(XI)

1903 – Installation de machines : demande, autorisation – Installation de machines électriques : avis, dossier, autorisaton (1904)
An das Hochlöbliche Bauamt
Meldung, Einliegender Plan (Dublikat) dem Hochlöblichen Bauamt, laut Gewerbeordnung zur gefälligen Einsicht
Hochachtungsvoll, G. Seelig (Sohn), buchbinder, Knoblochgasse 20, Straßburg den 13. Juli 1903
[in margine :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i. Els. Eing : 13 JUL 1903
[in margine :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i. Els. Eing : 14 JUL 1903- V-a 3489
[in margine :] Revisions Bericht, Knoblochgasse N° 20 (Ecke Schiffsgäschen)
Beschäftigt 5-6 Arbeiter, 2 Lehrjungen, 1 Ausläufer, 4-5 Mädchen, zus. 14
im Antrieb : 4 Schneidermaschinen, 3 Heftmaschinen, 3 Handgassen
ohne Motor, alles durch Handbetrieb mit 13 Gasflammen, Seit 3 Jahren im Antrieb. Altes Bi*ckel ohne Neu- oder Umbau
Wurde durch Polizei Wachtmeister bei dessen nötl* Revision aufgefordert, 21/7. 08 It
Köhler 15/7
[in margine :] 1) Mit 2 kl. Skizzen an das Kaiserl. Gewerbeaufsichtsamt weiterzugeben
2) dem Antragsteller Mittlg. machen
3) Nach 3 Wochen – 21/7, K. 21/7
[verso] [in margine :] Orth Anfrage bei dem Aufsichtsamt, 15/9 03
[in margine :] das Gesuch liegt z. Zt. dem betr. Polizei-Revier vor und wird wohl in den nächsten Tagen an das bürgermeisteramt gelangen, Jung 16.9.03
Siehe V-a 4522
[in margine :] betr. Genehmigung des Kais. Gewerbe-Aufsichtsbeamten vom 31/8 03 J. N. 861/03 bzw. der Kais. Poliz. direkt. v. 12/9.03 II. 15433, K 22/9
[in margine :] Hn. Köhler Kl. 23/9
[in margine :] Bausch. beigef. 28.9.
– [Installation de machines, autorisation 1903]

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 4522
Name des Antragstellers : G. Selig Sohn, hier Knoblochgasse 20
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Knoblochgasse 20
Herrn Bauführer Voelckel zum gefälligen Kenntinßnahme
Straßburg den 20. 10. 1903, Der Bauinspektor
[in margine :] 1. Zu mahnen 2. Nach 14 Tagen, Strassburg den 12/10. 03

– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 13. Juli 1903
betreffend Aufstellung den Maschinen im Hause des buchdruckermeister Herrn G. Selig Sohn, Knoblochgasse N° 20
Nach Einsicht des Schreibens des Kaiserlichen Herrn Gewerbeaufsichtsbeamten für Unter-Elsaß Nr. 861/03 vom 31. august 1903
In Erwägung, daß bauliche Unänderungen ncht vorgenommen werden sollen
[in margine :] die Maschinen sind aufgestellt und in betrieb – Erledigt 31/10
[in margine :] Zu den Akten Str. 31/10 1903, d. bgstr. J. A.
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn G Selig Sohn vom 13. Juli 1903 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden Zeichnungen unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) die in der Anlage enthaltene seitens des Kaiserlichen Polizei direktion in gewerbepolizeilicher Hinsicht geforderten bedingungen sind zu erfüllen
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßige Baugebühren im Betrage von 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Beschluß verliert seine Gültigkeit, durch einjährigen Nichtgebrauch vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 24. September 1903
Der Bürgermeister, I. A., Kl. 29/9
[Plan] Länge auf dieser Seite 14 Meter, straßenseite Knoblochgasse
Fenster 1,20 breit – Fenster 1,20 breit – Fenster 3 Meter breit – Thür – Fenster 1,20
Werkstatt – Was punktirt umwandet ist, ist 4,50 hoch alles andere 2,80 m, Werkstatt – Flur – Laden noch provisorisch kann später noch zur Werkstatt kommen – Fenster 1,20 breit – Fenster 1,20
Lager – Abort – Pissoir – Thür in den Hof – Hof, Fenster 4,50 breit

– [Installation de machines électriques, Avis 1903]
Strassburg den 15/12 1903, An das bürgermeisteramt Baufach
Ich erlaube mir, dem bürgermeisteramt ergebenst mitzuteilen, daß ich drei meiner Maschnen mit electrischem betrieb eingerichtet habe,
Hochachtungsvoll, G. Seelig (Sohn), buchbinder, Knoblochgasse 20,
[in margine :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i. Els. Eing : 16 DEC 03 – V-a 6135
Strassburg den 21 dezember 1903, Mit Blatt Zeichnungen K. K. g. g. R. Dem Kaiserlichen Herrn Gewerbeaufsichtsbeamten für Unter-Elsass, Hiebselbst zur gefälligen gutachtlichen Aeusserung ergebenstr überandt, Der Bürgermeister, J. A. – 1639/03

– [Installation de machines électriques, Dossier 1903]
N° V.a 6135, pr. d. 17/11 03, Bürgermeisteramt Strassburg, Baupolizei: Amt
Umschlag zu dem Schreiben des h. G. Selig, Sohn, vom 15.ten Dezember 1903 N° – betreffend : Gesuch um Einrichtung dreier Maschinen mit elektrischem Betrieb in seiner Werkstätt Knoblochgasse 20
Strassburg den 21. dezember 1903
1. Gesuch an das K. Gewerbeaufsichtsamt abzugeben
2. d. p. Selig it Mitteilung zu machen
3. Nach 3 Wochen
Siehe V.a 212
betr. Genehmig. des Aufsichts amts vom 19/12 03 I. N. 1639
bezw. Genehmig. der Kais. Poliz. direk. vom 4/1. 04, II. 18 632 – d. 6/1 04.

– [Installation de machines électriques, Permis 1904]
Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 212
Name des Antragstellers : G. Selig Sohn, buchbinder hier Knoblochgasse 20
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Knoblochgasse 20
Baugebühr im Betrage von 0 M 80 Pfg. bezahlt am 8/2 04
I) Herrn Bauführer Klein zum gefälligen Kenntinßnahme
Straßburg den 9. 2. 1904, Der Bauinspektor
[in margine :] 1. Zu mahnen 2. Nach 14 Tagen, Straßburg den 1/2. 04 – gem. 4. II. 04
– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 15. Dez. 1903
betreffend die Einrichtung von elektrischem betrieb in der buchbinderwerkstätte der Herrn G. Selig Sohn an der Knoblochgasse N° 20
Nach Einsicht des Schreibens des Kaiserlichen Herrn Gewerbeaufsichtsbeamten für Unter-Elsaß Nr. 1639 vom 29. Dezember 1903
In Erwägung, daß die Einrichtung bereits ohne Genehmigung erfolgt ist,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. – Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßige Baugebühren im Betrage von 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 12. Jan. 1904
Der Bürgermeister, I. A., Kl. 29/9
[in margine :] der Elektromotor und die Maschinen snd aufgestellt und in betriebn Erl. 18/2. 04. Kl.
[in margine :] Zu den Akten Str. 18/2. 1904, d. bgstr. J. A.

(XII)

1905 – Pose d’une enseigne, demande, autorisation
Straßburg den 13. Oktober 1905, An das Kaiserliche Stadtbauamt
Unterzeichnete bietet hierdurch anzufragen, ob mir die Erlaubniss gestattet würde, ein Link-Schild am Hause Spiessgasse N° 30 anbringen zu dürfen, Indem ich mein Stellenbuerau von Gerbergraben N 16 hiehr erlegt habe. Um geneigten Zuspruch bitet
Frau Kiehl Spießgasse N 30, II.te Stok
[in margine :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i. Els. Eing : 16 OKT 1905 – V-a J. Nr. 5934
[in margine :] der Querschild ist noch ncht angebracht.trottoir 175 m. breit. Kostenwert unter 20 M, Schaffer 24/10
[in margine :] Bausch. ausg. 3.11.05

– [Pose d’une enseigne, autorisation]
Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 5934
Name des Antragstellers : Frau Kiehl, Spießgasse 30
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Spießgasse 30 [corrigé en] Knoblochgasse 20
Baugebühr im Betrage von 0 M 80 Pfg. bezahlt am 24/4 06
I) Herrn Bauführer Adis, Der Bauinspektor
[in fine :] Ist das Schild schon angebracht ? Adis 24/2 06
Kenntnis genommen & eingetragen. das beantragte Querschild ist anstatt Spießgasse 30 nunmehr Knoblochgasse 20 gut angebracht 19/5
[in margine :] Zu den Akten Str. 18/2. 1904, d. bgstr. J. A.

– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 13. Okt. 1905
betreffend die Anbringung eines Querschilds am Hause Spießgasse 30
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt
In Erwägung, daß es der Bürgersteig vor deù betreffenden Hause 1,75 Meter breit ist
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Frau Kiehl vom 13. Okt. 1905 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten bezehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßige Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet,
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 6. Nov. 1905
Der Bürgermeister, I. A., 4/11

(XIII)

1913 – Enseigne
V 4886 Strassburg den 5. Februar 1913
1) Dem Braunkohlen-Brikett-Verkaufverein G.m.b.H. in Rheinau -Baden- ist durch Bauschein V 4886 vom 28. Januar 1913 die Genehmigung zur Anbringung bezw. Belassung von 1. Flachschild  » Union Brikett  » am Hause Schiffsgäßchen Nr 7 erteilt worden.
Die überzähligen Schilder müssen wieder beseitigt werden (Beding unter Ziffer 2 des Bbaucheins V 4886 vom 28. Januar 1913)
2. Herrn Meÿ z. K.
Der Stadtbaurat, 5/2
[in fine :] Nichts mehr zu erinnern
[in fine :] Zu den Akten Str. 21.6.1913, Der Brgmstr. I. A.

(XIV)

1916 – Commission militaire : rapport de visite
Schiffsgässchen 7, Knoblochgasse 20, Eigent. Stadt Straßburg, A 706
Anw. der Militär-Wohnungskommission
1. der ehem. brunnenschacht im Hof ist mit Zement abzudecken
2. Im Frauenabort ist füt Lüftung zu sorgen
3. der Fußboden der Buchbinderei ist intand zu setzen, die decke ist zu gipsen
4. die Aborte im I. Stock ind aufzufrischen
5. der Küchenboden bei Müller II. Stock ist auszubessern
6. die decke im Wohnzimmer ist aufzufrischen
7. Sämtliche Läden der Wohng. sind nachzusehen u. evt. zu repariren
8. die fenster im zweitlezten Zimmer sind zu verkitten
9. die Wasserzapfstelle im Korridor d. II. Stockes ist zu beseitigen oder es ist ein Abflußbecken anzubringen
10. die ganze Wohnung Dockter, III. Stock, ist aufzufrischen, des Schalfzimmer ist zu desinfeziren
11. die ganze Wohnung Teufel ist aufzufrischen, die fußböden sind nachzusehen
17/3/16 für U. A. III
[in margine :] 1. Auff, term. 3 Monate, Wv. 15.6.16
[verso] Haus : Knoblochgasse 20, Schiffsgässchen 7, Eig. Stadt Straßburg A 706
der Herr Militplzmstr. übersednet Einspruch der Stadt gegen die Punkte 2 u. 3 die ürbigen Arbeiten sollen ausgeführt werden.
Von Punkt 2 kann, da die Herstellung einer besseren Lüftung nur mit ganz erheblichen Kösten bewerkstellet werden könte nur die Abort an d. Kanalangechlossen ist Abstand genommen werden, drgl. von Punkt 3, da der Zustand nicht derartig ist, daß sich die durch Befolgung der Auflage entstehenden großen Kösten mit Rücksicht auf den baldigen Abbruch des Hauses noch rechtfertigen laßen und feuers gefaht nicht in frage Kommt, 24/4 16
[in fine :] 1. Auf Einspruch ist zu setzen, K. G. dem Hr. Militärpolizeimeister hier,
ergebenst zurückgesandt. In berücksichtigung der Einsprung Gründe, die der Hpt. A. als berechtlich anerkannt wird Abstandnahme von den Auflagen unter Punkt 2 u. 3 empfohlen
2) den U. A. III. z. K.
3) Wv. 15.6.16, der Hpt. A.
[in fine :] Oberstabarzt d. R., Kenntn. gen. für A. A. III

(XV)

1927 – Chute de crépi : rapport
V, 35/27, Strasbourg le 2.9.1927
An de Abtl. I
Die Baupolizei wurde heute früh 11. h. durch einen angestellten der Imprimerie alsacienne, 19 rue Thomann von folgendem Sorfall in Kennnis gesetzt :
Das Waren-Auto obiger Firma hat am Haus Knoblochgasse N° 20 Papiermaterial abgeladen, Plötzlich löste sich ein Stück Gipsputz von ca. 1,20 m Länge und etwa 25 cm Breite vom Überhang des Hauses und fiel zur Erde. Ein grösseres Stück Gips durchschlug die Decke des Autos, ein anderes beschädigte die aussenwand desselben. Es ist als Glücksfall zu bezeichnen, daß bei dieser Gelegenheit keine Person zu schaden kamen.
Das Haus N° 20 der Knoblochgasse gehört der Stadt. Es ist dringend erforderlich, daß der noch schadhafte Gipsputz entfernt wird und die alsdann freigelegten Teile des Überhanges neu mit Mörtelputz verputzet werden. Verstärkerungen in Konstrucktion Hinsicht sind nicht erforderlich.
[in fine :] Mitteilung an Abt. I.
V. 35/27 Strasbourg le 7 septembre 27
1. A la Division I
La division soussignée a été informée le 2 crt. par un employé de l’Imprimerie Alsacienne 19. rue Thomann, de l’accident suivant survenu le jour même.
Les employés de la firme ci-dessus étaient en train de décharger du papier d’une camionnette automobile devant l’immeuble municipal rue de l’Ail N° 20. Au cours des travaux un morceau de plâtre d’une longueur de 1,20 m et d’une largeur de 25 cm environ s’étant détaché de la partie de cet immeuble surplombant la rue et venu s’écraser par terre en endommageant la camionnette stationnée devant la maison.
Afin d’éviter d’autres accidents, vous voudrez bien faire examiner d’urgence la partie du bâtiment qui est en encorbellement sur la façade et d’executer de suite les travaux reconnus nécessaires. Des renforcements au point de vue constructif ne semblent pas être nécessaires.
2. A classer


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.