3, rue des Orfèvres


Rue des Orfèvres n° 3 – V 160 (Blondel), N 1157 puis section 63 parcelle 30 (cadastre)

Maison dite au Mûrier (Zum Maulbeerbaum) – Bâtiment sur rue reconstruit en 1773, maître d’ouvrage Jean Frédéric Senckeissen, orfèvre, maître maçon André Stahl


Façade – Etages (août 2023) – Porte à mascaron de 1981 (septembre 2016)

La maison à encorbellement, dite anciennement au Mûrier (Zum Maulbeerbaum), est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de l’orfèvre Erasme Krug qui est aussi propriétaire de l’actuel 4, rue du Temple-Neuf qui lui est contiguë. Elle comprend trois bâtiments (avant, médian et arrière) et deux cours. Les trois filles d’Erasme Krug la vendent en 1598 à l’orfèvre Abraham Kreichel, originaire de Sankt-Annaberg en Silésie, elle restera aux mains de ses ayants droit jusqu’en 1722. La maison appartient un temps (1636-1654) à la femme de Michel Gœnner, commandant de la place de Strasbourg puis de celle de Benfeld. L’orfèvre Jean Joachim Storck se plaint en 1693 du colonel de hussards et de sa nombreuse maisonnée que la Chambre des logements militaires a logé chez lui. Le préteur royal fait remarquer à cette occasion que les treize poêles sont pour la plupart des pièces exiguës. Jean Joachim Storck n’est pas autorisé en 1710 à déroger au règlement en convertissant en bûcher une écurie pour quatre chevaux. L’orfèvre Jean Michel Maul acquiert en 1722 la maison qui restera aux mains de ses descendants jusqu’en 1800. Son gendre Jean Frédéric Senckeissen fait reconstruire en 1773 le bâtiment sur rue par le maître maçon André Stahl. La nouvelle façade a cinq arcades au rez-de-chaussée et cinq fenêtres à chacun des deux étages. Chaque extrémité comprend un chaînage, les étages sont séparés par un bandeau. Les fenêtres ont un appui galbé et un garde-corps en ferronnerie.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 185, partie entre l’angle de la rue du Temple-Neuf à gauche et celui de la rue du Chaudron à droite (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un rez-de-chaussée en pierre de taille et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à droite du repère (d) : rez-de-chaussée à cinq arcades, deux étages à cinq fenêtres, toiture à un niveau de lucarnes. La cour K représente l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (1-2) à galeries au sud, le mur (3-4) au nord et le bâtiment médian (1-4). La deuxième cour F représente la façade principale (1-2) du bâtiment médian et les bâtiments au fond de la cour, les murs (2-6) faisant séparation avec la cour à l’arrière de la maison donnant sur la rue du Temple-Neuf (actuel n° 4).
La maison porte d’abord le n° 18 (1784-1857) puis le n° 3.


Cours K et F – Plan de l’îlot (la rue des Orfèvres se trouve à gauche)

Transformation du sous-sol, 1908 – Nouvelles devantures, 1954 (dossier de la Police du Bâtiment)

Le marchand Daniel Drenss est propriétaire de la maison de 1800 à sa mort en 1842. Ses enfants la vendent au fabricant de cire André Auffinger, ses ayants droit en sont toujours propriétaires en 1952. Le secrétaire d’archives François Fastinger fait poser en 1888 un volet roulant aux devantures et surélever en 1889 le bâtiment médian d’un troisième étage. Il fait agrandir en 1908 le sous-sol du bâtiment latéral dans la deuxième cour. Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944. Georges François Fastinger fait refaire en 1954 sous la direction de l’architecte Joseph Rech la façade des deux magasins. Guillaume Buttner fait restaurer en 1981 la façade du XVIII° siècle, remplacer la porte métallique par une porte en bois moulurée ; le maître sculpteur Denis Roth réalise pour son compte un mascaron à tête de femme.
Charles Dach et Marie-José Buttner font modifier la maisonnette dans la cour par les architectes d’intérieur Reiller et Graff en 1995.


Première cour, bâtiment médian (sept. 2016)
Façades sur cour – Escalier – Départ d’escalier – Fenêtres à meneaux – Deuxième cour (images Anne-Françoise Auberger, août 2016, publiées sur Archi-wiki)
Fenêtres à garde-corps en ferronnerie, juin 2023

Maisonnette dans la cour, ancien et nouvel état (dossier II de la de la Police du Bâtiment)

septembre 2023

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1592 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Erasme Krug, orfèvre, et (v. 1552) Ursule Stindler – luthériens
1598 v Abraham Kreuchel, orfèvre, et (1580) Jacqueline Ritter puis (1585) Marguerite Bauer – luthériens
1610 h Joachim Berding, orfèvre, et (1610) Marguerite Bauer veuve d’Abraham Kreuchel puis (1635) Ursule von Türckheim, remariée (1648) avec le docteur en médecine Matthieu Meyer – luthériens
1636 h Barbe Kreuchel et (1610) Tobie Speccerus, pasteur, (1625) Auguste Weiss, pharmacien, puis (1628) Michel Gœnner, capitaine – luthériens
1654 h Jean Joël Leopard, orfèvre, et (1637) Marie Sartorius – luthériens
1690 h Jean Joachim Storck, orfèvre, et (1688) Marie Salomé Hessler – luthériens
1722 v Jean Michel Maul, orfèvre, et (1712) Marie Elisabeth Bæhr – luthériens
1759 h Jean Frédéric Senckeissen, orfèvre, et (1744) Marie Elisabeth Maul – luthériens
1783 h Jean Frédéric Clady, confiseur, et (1776) Marie Elisabeth Senckeissen – catholique et luthérienne
1800 v Daniel Drenss, marchand, et (1799) Caroline Grün
1845 v André Auffinger, fabricant de cire, et (1830) Marie Steinmetz
1882 h François Fastinger, secrétaire d’achives, et (1879) Marie Catherine Latzarus
1929* h Léon Jules Fastinger et Georges Fastinger
1932* h Georges François Fastinger, sous-préfet, et (1948) Marcelle Berthe Defrance puis (1952) Gabrielle Clementine Nappey

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 2000 livres en 1635, 1725 livres en 1687, 2500 livres en 1755, 1900 livres en 1782

(1765, Liste Blondel) V 160, Jean Fréderic Sengeissen
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Senckeißen, 6 toises, 0 pied et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1157, Drens, Daniel, ancien négociant – maison, sol – 3,7 ares / veuve à Soultz sous Forêts

Locations

1691, Jean Frédéric von Gottesheim
1691, (boutique) Adrien François le Vent, formier
1694, Jean Henri Knœrr, sénateur
1715, (cave) Pierre Kormann, marchand
1718, Jean Brochard, perruquier
1721, Mathurin Bichon dit Poitevin, chandelier et employé à la Monnaie (manant)
1722, Geoffroi Kugler, chaudronnier
1723, Jean Jacques Hausser, orfèvre
1723, Jean Frédéric Fischer, cordonnier
1727, Samuel Schwanfelder, orfèvre
1728, (cave) Jean Frédéric Kormann, banquier
1730, Jean Christophe Richshoffer, orfèvre
1736, Jean Daniel Stumpff, tonnelier
1737, Jean Louis Strauss, orfèvre
1782, Antoine Gallo, marchand
1788, Antoine Aloïse Gallo, marchand, et (1780) Geneviève Dœbler
1816, Marie Salomé Marschalck, domestique
1818, Marie Madeleine Goullet, veuve de Henri Zaepffel, commandant
1824, Anne Dejarny veuve du receveur des douanes Henri Hurlaux
1827, (magasin) Marie Thérèse Rosalie Ruhlmann veuve de Jean Louis Eyrisch
1833, François de Sales Pick, commissionnaire, et Elisabeth Barbe Gillmann

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 124-v
Erasme Krug règle 4 sols pour sa maison rue des Dominicains, à savoir un encorbellement (21 pieds de long, saillie de 2 pieds ½), au-dessous une échoppe (7 pieds ½ de long, saillie de 1 pied 6 pouces)
Le même Erasme Krug règle 16 sols pour son autre maison, à savoir un encorbellement (41 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds ½), de chaque côté deux portes en bois (4 pieds de long, saillie de 1 pied ½), au-dessous une échoppe (7 pieds ½ de long, saillie de 2 pieds)

Predigergaß Ein seitt
Eraßmus Krug hatt vor seinem hauß Oben ein Vsstoß 21 schu lang, vnd durchauß 2 ½ schu herauß, Darund. ein Laden 7 ½ schu lang, vnd 1 schu 6 Zoll herauß, Bessert für das Niessen, iiij ß d

Predigergaß Ein seitt
Derselb Eraßmus Krug hatt noch ein hauß, daruor Oben ein Vsstoß 41 ½ schu lang, vnd 3 ½ schu herauß, Oben noch ein Vsstoß 41 ½ schu lang vnd 1 ½ schu herauß, Ahne beeden ortten oben Zweÿ hültzener Thüerlin 4 ½ schu lang 1 ½ schu herauß, Mehr vnden ein Laden 7 ½ schu lang vnd 2 schu herauß, Bessert für das Niessen, xvj ß d

Conseillers et Vingt-et-Un

1710, Conseillers et XXI (1 R 193)
L’orfèvre Jean Joachim Storck demande l’autorisation de convertir une écurie pour quatre chevaux en bûcher. Comme la demande va à l’encontre du règlement, il n’y est pas autorisé

(f° 67) Montags den 16.ten Junÿ 1710. – Johann Joachim Storck vmb die stallung in seinem hauß in ein holtzhauß Zuverwandlen
H. Ersch. Johann Joachim Storckh burger vndt Goldtarbeiter allhier prod. unterthäniges Memoriale vndt bitten vmb obrigkeitliche erlaubnus die in seiner hindern behaußung sich befindliche stallung für 4 pferdt in ein holtzhauß Zu verändern. Erk. wirdt Implorant mit seinem wieder ordnung lauffenden begehren rund auß abgewießen. H. XXI.er Schübler vndt Hr Rathh. Schweitzer.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1773, Préposés au bâtiment (VII 1415) f° 193
Le maître maçon Stahl est autorisé au nom de l’orfèvre Senckeissen à reconstruire la maison selon l’ancien alignement et à tailler les pierres sur le parvis de l’église des Dominicains (Temple Neuf). Les mêmes sont autorisés trois semaines plus tard à continuer d’y tailler des pierres pendant huit jours sans en apporter de nouvelles.

(f° 193) Dienstags den 4. Maji 1773 – Hr Senckeisen, Silberarbeiter
Idem [Mr Stahl der Maurer] nôe. Hrn. Senckeisen, des Silberarbeiters, bittet zu erlauben deßen Behausung in der Goldschmidt Gaß auf das alte fundament neu aufzubauen. Erkannt, Willfart Wobeÿ ihme erlaubt wird die Werckstein auf dem Prediger Kirchhoff zu hauen.

(f° 210) Dienstags den 25. Maji 1773 – Mr Stahl Maurer, Hr Senckeisen
Mr Stahl der Maurer wird erlaubt annoch vier grose Quader Stein Zu Hrn. Senckeisen Haus so hinter der Metzig auf dem Prediger Kirchhoff würcklich liegen daselbsten zu hauen, dennoch daß solche längstens innerhalb Acht tagen gehauen werden, wobeÿ demselben ausdrucklich verbotten, weiter keine Stein dahin führen Zu laßen.

1812, Voirie 283 MW 342

N° 246, Le soussigné propriétaire de la maison sise rue des orfèvres N° 18, qu’il est intentionné de faire recrépir et Blanchir la Façade de ladite maison, D. Drens 17 juin 1812 – Considérant que la maison dont s’agit n’a point d’avance et qu’elle est alignée suis d’avis qu’il n’y a point d’inconvénient à accorder la permission demandée, architecte Villot le 13 juillet – Ratifié par le Maire le 12 juillet [sic]. – par le Préfet le 17 juillet

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Stahl expose les travaux qu’il fait dans la maison de l’orfèvre Jean Frédéric Senckeissen rue des Orfèvres, à savoir une boutique à droite du rez-de-chaussée, un atelier d’orfèvre à l’arrière, un poêle à gauche du rez-de-chaussée vers la cour, au premier et au deuxième étage un poêle vers la rue et à l’arrière une cuisine pourvue d’un fourneau, aux mêmes étages vers la rue une chambre à cheminée à la française, le tout présentant les garanties contre les incendies.

(p. 302) Mittwochs den 17.ten Novembris 1773 – Herr Johann Friedrich Senckeisen der hiesige Burger und Silberarbeiter will in seiner in der Goldschmidtsgaß gelegenen behausung au rez de chaussée im Eingang rechter hand einen laden, hinden daran eine goldschmids Eße mit Caminschoß machen, das rohr am steinern gäbel hinauf vom allem holtz entfernt.
Im Eingang lincker hand eine Stube gegen dem hoff mit einem vor Camin auf dem Keller gewölb ruhend machen.
Im ersten und Zweÿten stock jedes mal eine Stube gegen der gaß, hinden daran eine Kuchen mit heerd und Camin schoß machen, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Ferner in gedachten beeden stöcken jedes mal eine Cammer gegen der gaß mit einem frantzösischen Camin auf einem gewölb wohl versehen ruhend, machen, die rohr mitten durchs gebäud, vom allem holtz entfernt. Erkandt willfahrt. Mr Stahl.

Description de la maison

  • 1687 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment médian et un bâtiment arrière, une boutique, deux cours, deux puits et de bonnes caves, le tout estimé à la somme de 3450 florins
  • 1755 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, il y a deux cours et un puits commun, en outre trois boutiques et une buanderie, le tout estimé à la somme de 5000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Orfèvres

nouveau N° / ancien N° : 20 / 18
Drens
Rez de chaussée en pierre de taille et 2 étages bons en maçonnerie

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 341 case 2

Drens Daniel, ancien négociant, veuve à Soultz sous forêts
Auffinger André rue des orfèvres 18

N 1157, maison, sol et cour, R. des orfèvres 18
Contenance : 3,70
Revenu total : 541,93 (540 et 1,93
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 56
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1167 case 2

Auffinger André
1875 Auffinger Andreas, Wittwe geb. Steinmetz
1883 Fastinger Frantz Ehefrau geb. Latzarus Maria Katharina
(ancien folio 915)

N 1157, maison, sol, cour, Rue des orfèvres 3
Contenance : 3,70
Revenu total : 541,93 (540 et 1,93
Folio de provenance : (341)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 56
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre allemand, registre 32 p. 463 case 3

Parcelle, section 63, n° 30 – autrefois N 1157, 1164.p, 1169.p
Canton : Goldschmiedgasse Hs N° 3 / Rue des Orfèvres
Désignation : Hf, Whs u. N.G. / Whs. e. n. a. T. (s. Skizze N° 82 u. 83) zu Pz. 28
Contenance : 5,30
Revenu : 4500 – 6000
Remarques

(Propriétaire), compte 2413
Fastinger Frantz Ehefr.
1929 Fastinger Léon Jules curé et Fastinger Georges
1932 Fastinger Georges François sans profession
(1380)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 135 des Orfevres p. 249

18
Loc. Gallo, Antoine, Epicier – Miroir
Loc. de Mayerhoffen, Lt. – Bouchers
Loc. Dahler, veuve Barbe, Marchande – Miroir
Loc. Rauch, Ch.er de St Louis, Cap. ret. du Regt. de Chamborant
Loc. Meyer, André, Journalier – Jardiniers
Loc. Karcher, Nicolas – Motesse
Loc. Schauff, Joseph – Manant
Loc. Dexler, Invalide
Loc. Judin, Anne Marie – Manante
Loc. Kress, Anne Marie, femme d’un Invalide

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Goldschmiedgasse (Seite 50)

(Haus Nr.) 3
Haag, Weinhandlung. 01
Springer, Messersch. 01
Fastinger, Kanzleirat. E 2
Fastinger, Zivilanwärter. 2
Malaisé, Bibliothekar. 2
Staat, Stellenberm. 2
Hoch, Installateur. 3
Paul, Genossensch.-Bmt. H 2
Paul, Schneidermr. H 2
Geiser, Ober-Kellner, H 3
Lahm, Wwe. H 3
Lang, Treppenbauer. H 3
Scherdin, Buchhalter, H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 886 W 139)

Rue des Orfèvres n° 3 (volume I, 1888-1984)

Le propriétaire Fastinger fait poser un volet roulant en 1888 puis surélever en 1889 le bâtiment médian d’un troisième étage. Il fait agrandir en 1908 le sous-sol du bâtiment latéral dans la deuxième cour. Le propriétaire Fastinger ne raccorde pas les cabinets d’aisance aux canalisations (1906) en arguant que la fosse est conforme au règlement et que la tourelle est inscrite sur la liste des monuments historiques. Il porte l’affaire devant le conseil de préfecture et finit par passer un accord avec la Ville en janvier 1908. Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944. Georges François Fastinger, sous-préfet de Boulay-Moselle, fait transformer en 1954 la façade des deux magasins endommagés par fait de guerre sous la direction de l’architecte Joseph Rech. Les travaux sont terminés en mai 1956. A l’occasion du ravalement, Guillaume Buttner se propose en 1981 de refaire la façade dans le goût du XVIII° siècle et de remplacer la porte métallique par une porte en bois moulurée. Le maître sculpteur Denis Roth réalise un mascaron à tête de femme.

Le magasin de gauche est occupé par une crèmerie, celui de droite par un commerce de vins et spiritueux (Charles Matt en 1910, Frédéric Klem en 1940, Richert en 1954) le traiteur Gaston Sexauer puis (1965) le fourreur Gaston Girard.
Aiguiserie Gradwohl puis (1894) Springer – relieur Ph. Schickelé (1895), pharmacien F. Schanté (1898), expert comptable Henri Cæsar (1929), tailleur Albert Hild (1939-1956)

Sommaire
  • 1888 – Le propriétaire Fastinger, demeurant 4, rue des Sœurs, demande l’autorisation de poser un volet roulant au 3, rue des Orfèvres qui suit l’alignement – Autorisation – Droits réglés pour un volet roulant sans revêtement extérieur
  • 1889 – Le propriétaire Fastinger demande l’autorisation de surélever le bâtiment médian d’un troisième étage. – Autorisation – Le gros œuvre est terminé, juillet. Le cabinet d’aisance n’est pas terminé, août. La cheminée n’est qu’à treize centimètres des menuiseries, septembre – Dessin – Le propriétaire apporte des modifications mais il reste quelques pièces de bois trop proches de la cheminée, septembre.
    1890 (janvier) – Le propriétaire objecte que l’état des choses remonte à plusieurs siècles. L’agent municipal note qu’une des cheminées est réglementaire mais pas la deuxième.
  • 1894 – L. Springer, successeur de Gradwohl, demande au commissaire de police l’autorisation de poser une enseigne Schleiferei L. Gradwohl, Reparaturen (Aiguiserie L. Gradwohl, Réparations) – Le commissaire transmet au maire – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire et une enseigne plate – La saillie de l’enseigne perpendiculaire est réduite à deux reprises pour qu’elle soit réglementaire.
  • 1895 – La Police du Bâtiment constate que le relieur Ph. Schickelé a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation – Demande – Autorisation – La saillie de l’enseigne perpendiculaire est réduite pour qu’elle soit réglementaire.
  • 1898 – Le pharmacien F. Schanté demande au commissaire de police l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Le maire accorde l’autorisation – La saillie de 65 centimètres doit être ramenée à 15 centimètres. L’enseigne est retirée
  • 1901 – Le maire notifie François Fastinger de ravaler la façade. Le propriétaire répond qu’il a fait repeindre la façade à l’huile cinq ans plus tôt, que la devanture Springer a été garnie de marbre vert deux mois auparavant et qu’il a l’intention de refaire l’autre devanture de la même manière l’année suivante. – Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, juin 1902.
  • 1905 – L. Springer (fabrique et dépôt de couteaux) demande l’autorisation de poser un miroir – croquis. Le maire refuse, le règlement portant que les saillies ne sont pas autorisées au-dessus des trottoirs de moins d’un mètre de large – Le pétitionnaire déclare que le miroir servira à réfléchir la lumière dans la boutique en évitant la lumière artificielle. – L’agent municipal estime que le miroir peut être autorisé puisque sa saillie est de 35 centimètres et qu’il se trouve à 2,90 mètres de haut. – Le nouveau règlement qui vient d’entrer en vigueur autorise les saillies Gantz au n° 15 et Rathgeb au n° 19. Le maire informe le pétitionnaire que la saillie ne doit pas dépasser 5 centimètres. – Les droits sont réglés.
  • 1906 – Rapport de la Commission des logements qui constate en particulier que les cabinets d’aisance aux étages sont éclairés indirectement par la cuisine. Le propriétaire devra faire ravaler les façades sur cour et raccorder les cabinets aux canalisations
  • Commission contre les logements insalubres. 1906, les cabinets d’aisance doivent être raccordés aux canalisations – Le propriétaire Fastinger répond que le raccordement exige d’importants travaux et que la fosse est conforme au règlement. Il demande en septembre 1906 à être exempté des travaux par un courrier circonstancié de sept pages dans lequel il expose les différentes demandes. Il ajoute que sa maison, en particulier le bâtiment médian daté de 1270, est l’une des plus anciennes de Strasbourg. Elle a appartenu aux sieurs de Landsperg, connue sous le nom de béguinage à la Tour, et a servi d’auberge à l’enseigne au Mûrier (zum Maulbeerbaum). Elle comprend une tourelle des XIII° et XIV° siècles inscrite sur la liste des monuments historiques – Le maire déclare en novembre 1906 que le raccordement aux canalisations peut avoir lieu sans porter préjudice au bâtiment lui-même et que l’écoulement des eaux ne satisfait pas à l’ordonnance du 16 juin 1898 puisqu’une partie des eaux s’écoule par la propriété voisine. – Le propriétaire Fastinger estime que la mairie outrepasse ses compétences dans un nouveau courrier de quatre pages – Réponses point par point aux objections du propriétaire (sept pages)
    1906 (novembre) – Rapport de visite relatif aux cabinets d’aisance
    1906 (décembre) – Huit locataires déclarent par écrit ne pas avoir d’objection à faire contre leurs cabinets d’aisance. – Marie Fastinger demande un délai pour le raccordement coûteux.
    1907 (janvier) – Le propriétaire Fastinger dépose un recours auprès des autorités impériales
    1906 (septembre) – Le propriétaire Fastinger commente la demande de travaux dans la cage d’escalier par la Commission des logements (cinq pages)
    1906 (décembre) – Dossier ouvert après l’ordonnance prise par le préfet (Bezirks-Präsident) le 4 décembre 1906 relative aux canalisations dans la maison Fastinger
    1907 (janvier) – Courrier de Fastinger
    1907 (juin) – Le préfet répond au secrétaire d’archives retraité Fastinger qu’il n’est pas de sa compétence de trancher dans l’affaire. – Réponse du secrétaire de préfecture
    1907 (septembre) – Courrier du conseiller de préfecture baron von Hügel
    1907 (octobre) – Courrier du maire au rapporteur du Conseil de préfecture
    1907 (novembre) – Le conseil de préfecture ordonne une visite des lieux
    1906 (décembre) – Rapport du conseil municipal concernant les mesures coercitives à prendre contre le propriétaire Fastinger
    1907 (décembre) – Courrier du maire au conseiller de préfecture von Hügel
    1908 (janvier) – L’adjoint Dominicus et le conseiller de chancellerie Fastinger passent un accord devant le rapporteur du Conseil de préfecture. Fastinger s’engage à raccorder les cabinets d’aisance de la deuxième cour aux canalisations avant début mai 1908 et ceux du bâtiment médian avant début mai 1911.
    1907 (décembre) – Courrier de Fastinger à l’adjoint Dominicus
  • 1915 – Commission des logements militaires. Rapport en six points
  • 1908 – Le propriétaire Fastinger demande l’autorisation d’agrandir le sous-sol du bâtiment latéral dans la deuxième cour – Croquis – Autorisation – Travaux terminés, juin 1905
  • 1909 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le coutelier Springer a installé deux machines électriques sans autorisation – Demande – Le commissaire de police transmet les prescriptions à respecter – Le maire délivre l’autorisation à Louis Springer – Plan de l’atelier – Description de l’atelier
  • 1909 – Le traiteur G. Strohl demande l’autorisation de poser une double enseigne (saillie de 16 centimètres) – Autorisation de poser une double enseigne et une lampe électrique – Les objets sont en place, janvier 1910
  • 1910 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Georges Strohl demande l’autorisation de débiter du vin et de la bière. Le local se trouve au rez-de-chaussée à gauche, il a 20 m² au lieu des 25 réglementaires, il n’y a pas de cabinet d’aisance, les portes s’ouvrent vers l’intérieur et non vers l’extérieur. La Police du Bâtiment estime que l’autorisation peut être accordée après travaux. – Le pétitionnaire ouvre un débit 23-24 place Kleber.
  • 1910 – Marie Schœn demande l’autorisation de poser une enseigne double (croquis, saillie de 30 centimètres) – Autorisation – L’enseigne est posée, novembre 1910.
  • 1910 – Charles Matt qui vient d’ouvrir un commerce de vins et spiritueux demande l’autorisation de poser une enseigne (saillie de 55 centimètres) – La Police du Bâtiment répond que la saillie est trop importante – Nouvelle demande, nouveau refus – Charles Matt propose de retirer l’enseigne chaque soir, nouveau refus – Nouvelle demande (l’enseigne se trouverait 25 centimètres en arrière du bord du trottoir), nouveau refus – Autorisation après que l’enseigne a été reculée
  • 1920 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Charles Matt demande l’autorisation de servir du vin à son comptoir – La Police du Bâtiment déclare que le local est conforme aux prescriptions de sécurité publique.
  • 1922 (mai) – La Division VI écrit que la devanture de droite a été peinte en jaune vif, ce qui nuit à l’aspect local. Le peintre Joseph Marx a peint en jaune clair la devanture de Charles Matt. Les travaux contreviennent au règlement du 8 avril 1910 (autorisation préalable) et à celui du 23 novembre 1910 (aspect local). – Demande par le peintre Louis Marx – Le maire engage des poursuites contre Joseph Marx.
    1922 (octobre) – Le peintre Louis Marx demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Accord – Travaux terminés octobre 1922
  • 1922 (octobre) – Le peintre Louis Marx demande l’autorisation de poser une petite enseigne
  • 1924 (juillet) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. H. Caspar demande l’autorisation d’ouvrir un débit de boissons – La Police du Bâtiment répond que le local est conforme à l’arrêté ministériel du 24 mars 1890.
    1924 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. La veuve Wohlhuter (demeurant 5, rue du Général Rapp) demande l’autorisation d’ouvrir un débit de boissons – La Police du Bâtiment répond que le local est conforme aux prescriptions de sécurité publique.
  • 1929 – L’expert comptable Henri Cæsar demande l’autorisation de poser une plaque à la porte d’entrée
    1920 – Rapport sur Madeleine Hoch qui a en pension l’orphelin Kurt Gruenewald
  • 1934 – Le cabinet d’affaires Lotz et Nibel demande l’autorisation de poser une enseigne en fer au-dessus de la porte d’entrée. – L’enseigne doit être reculée – L’enseigne n’est pas posée, le cabinet est transféré 1, place de l’Homme de Fer
  • 1939 – Le tailleur Albert Hild demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
  • 1940 (décembre) – La Police du Bâtiment demande de retirer l’enseigne sur verre
    1940 (décembre) – Le marchand de vins et spiritueux Frédéric Klem demande de reconsidérer la demande en arguant que l’enseigne ne gêne pas la circulation et n’est pas de mauvais goût
    1941 – Le commissaire faisant fonction de maire déclare que l’enseigne sur verre peut subsister malgré le précédent ordre mais l’enseigne sur bois Wein und Spirituosen (vins et spiritueux) doit être retirée conformément au nouveau règlement.
  • 1945 – Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944 – Certificat de sinistré délivré à Joseph Hoch (logement au deuxième étage)
  • 1954 – Georges François Fastinger, sous-préfet de Boulay-Moselle, dépose une demande de permis de construire pour transformer la façade des deux magasins endommagés par fait de guerre (dossier NV 5464 Z) sis 3, rue des Orfèvres (section 63 n° 30) sous la direction de l’architecte Joseph Rech (16, rue des Cottages au Neudorf). Plan de situation – Le maire transmet le dossier au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme avec avis favorable – Le M.R.U. délivre le permis de construire le 9 septembre 1954
    Suivi des travaux. Décembre 1954, l’entreprise Gremmel (95, boulevard d’Anvers) pose le soubassement en briques et la devanture à cadre métallique (magasin Hugel, vitrerie). Pas de travaux dans le magasin Richert (vins et spiritueux) – Juillet 1955, l’entreprise Gremmel commence les travaux dans le magasin Richert – Mai 1956, Travaux terminés. La réception ne donne lieu à aucune objection.
  • 1956 – Le sieur Fastinger (demeurant à Altkirch) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique)
    1956 (juillet) – Le traiteur Sexauer demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Autorisation
    1956 (novembre) – Jean-Paul Hild informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré l’enseigne de tailleur de son père décédé
  • 1961 – La Brasserie de l’Espérance (Ph. J. Hatt) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Ancre) à la façade du magasin de Gaston Sexauer (Tout pour la bonne table) – Autorisation
  • 1962 – Le préfet demande un rapport, Gaston Sexauer ayant demandé de transférer une licence de IV° catégorie du 1-2 place du Temple-Neuf (Huhnerloch) – Le local de 15 m² a trois portes qui s’ouvrent vers l’intérieur. La cuisine et les cabinets d’aisance doivent être repeints – Une note de 1963 relate que la préfecture a refusé le transfert. – Juin 1963. Le Service d’hygiène demande au directeur des Contributions indirectes de ne pas accorder de « petite licence restaurant », incompatible avec l’hygiène des aliments.
  • 1965 – Gaston Girard (demeurant 15, rue Schott à la Robertsau) dépose une demande de permis de construire pour modifier la devanture – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Dessin (le local est celui sur la droite) – Le maire accorde le permis de construire. Les pierres de tailles peintes doivent être décapées. – Travaux terminés, juin 1965
    1965 (septembre) – La Brasserie de l’Espérance déclare avoir retiré l’enseigne
    1965 (juin) – La Police du Bâtiment constate que le fourreur Gaston Girard a posé sans autorisation une inscription sur sa devanture – Demande – Autorisation
  • 1974 – Le sieur Sturm (Au Vieux Gourmet) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à allumage intermittent Crèmerie – Photographie – Dessin de l’entreprise Kappeler – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation
    1979 – Le même demande l’autorisation de remplacer le libellé Crémerie par Fromages – Photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve de supprimer l’allumage intermittent – Le maire délivre l’autorisation
  • 1979 – L’entreprise Grieshaber (6, rue des Juifs) demande l’autorisation de poser un échafaudage pour refaire la toiture et la zinguerie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
  • 1983 – Sur la suggestion du métreur vérificateur Lucien Guiochet, le propriétaire Buttner (demeurant 14, place de la République à Forbach) demande à son locataire commercial Sturm d’améliorer l’aspect de son magasin comme le fait son voisin Girard. – La Police du Bâtiment renvoie les parties à l’architecte des Bâtiments de France – L’affaire est évoquée lors d’une réunion de la Commission pour la protection des sites
  • 1980 (juillet) – L’entreprise R. Tomat et Fils (78, route de Colmar) et la crémerie Au Vieux Gourmet demandent l’autorisation de repeindre les murs extérieurs – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable, les pierres ne devant pas être peintes
    1980 – Le maire demande à Guillaume Buttner de faire ravaler la façade
    1981 – Le maire enjoint Guillaume Buttner de faire ravaler la façade puis accorde un délai supplémentaire – Guillaume Buttner se propose de refaire la façade dans le goût du XVIII° siècle et de remplacer la porte métallique par une porte en bois moulurée
    1982 – Lucien Guiochet demande au nom du propriétaire l’autorisation de ravaler la façade et dépose une demande du subvention – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Guillaume Buttner puis l’entreprise Decopeint (rue de la Charrue à Schiltigheim) sont autorisés à poser un échafaudage sur la voie publique
    1983 – Factures jointes pour la subvention dont celle du maître sculpteur Denis Roth (28, rue Riehl au Neuhof) qui a créé et réalisé un mascaron à tête de femme.
    1984 (janvier) – La mairie verse la subvention
  • 1984 (mai) – Le magasin Au vieux Gourmet demande l’autorisation de remplacer l’ancienne enseigne lumineuse par une nouvelle (enseigne plate) – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 945 W 118)

Rue des Orfèvres n° 3, (volume II, 1994-1996)

Charles Dach et Marie-José Buttner font modifier la maisonnette dans la cour par les architectes d’intérieur Reiller et Graff en 1995. Les même remplacent les anciennes fenêtres de la façade par des nouvelles de même aspect.

Sommaire
  • 1994 (juillet) – Charles Dach et sa femme Marie-José Buttner déposent une demande de travaux pour refaire la toiture et la zinguerie, ajouter un chien-assis et construire un appentis
    Les déclarent avoir obtenu l’accord de principe de l’architecte des Bâtiments de France – Dessin de l’appentis, de la maisonnette dans la cour (rez-de-chaussée et deux étages), ancien et nouvel état – Photographies
    1994 (septembre) – Le maire autorise les travaux
    Les travaux ne sont pas commencés, janvier 1995. Ils sont terminés conformément aux plans, septembre 1995
  • 1995 (mai) – Les mêmes demandent l’autorisation de remplacer les anciennes fenêtres par des nouvelles de même aspect – Les architectes d’intérieur Reiller et Graff transmettent le dossier – Photographie des étages de la façade
    1995 (juin) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire autorise les travaux
    1996 (janvier) – Travaux terminés

Autres dossiers
945 W 119 Demande de travaux (482 94 V 0399) refus (1994)
1198 W 2622 Demande de travaux (482 97 v 0344) réfection de toiture et (482 98 v 0349) changement des menuiseries (1997-1998)
945 W 120 Demande de travaux (482 98 V 00477) refus (1998)
1198 W 2542 Demande de travaux (482 98 v 0601) modification de la devanture vitrine (1998)
1308 W 1125 Demande de travaux (482 99 v 0099) changement des fenêtres (1999)
1331 W 1254 Demande de travaux (482 01 v 0349) changement des menuiseries (2001)


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux sous le nom d’Erasme Krug. Erasme Krug fait baptiser des enfants de sa femme Ursule Stindler (Article dans le Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne)

Baptême, cathédrale (luth. f° 24-v)
1553. 23. Aprilis. Erasmus Krug, pat. Reickart, mater, N*on Dieboldt schreiner auff dem pfenning thurn ccompar. Margret Jacob Meÿers deß Ammeisters tochter commater (i 35) – remarque, l’acte ne donne pas le nom de l’enfant mais Richarde est sans doute celui de l’enfant et non de la mère
Baptême, cathédrale (luth. p. 115)
1557. Auff den 6. Augusti. P. Asmus Krug, M. Ursula Stindlerin, I. Asmus, Compatrini Jacob parr, Ambrosius Jergen schriber auff dem Pfenning thurn, Sebastian Mules hsfrouw (i 65)

Richarde Krug épouse en 1583 Georg Geringer, greffier de la ville d’Altdorf près de Nuremberg
Mariage, cathédrale (luth. f° 77)
1583. Dominica Pentecostes 19. Maÿ. Georgius Geringer, Statschreiber Zu Altdorf bei Nurnberg, vnd Rickart Erasmi Krugen des Goldschmidts tochter (i 41)

L’orfèvre Erasme Krug révoque le testament passé en 1595 devant le notaire Urbain Rosenberg. Un extrait de l’acte est délivré à (son gendre) Meinrad Waldeck en 1598.
1597 (17. 7.bris), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 91
Cassatio conditi Testamenti Erasmi Krugen
Erschienen Erasmus Krug Goldschmid vnd burg. alhie gesunds gehends leybs gutter verstandig. Sinnen, Vernunfft und wissens vnd hat angezeigt, Nachdeme er Inn verschinn 1595. Jars vor Urbano Rosenberg dem Notario vnd dazu erpettenen gezeug. ein Testament vnd letst. willen auffgerichtet darinn er auß damals gehapt ursachen seine Kind. eins und das and. vor den and. bedacht, seÿdhero aber sich allerhand and.weg. zugetrag. dah. er solchen seinen letzt.willen Inmaß er Ime auch dasselb Zurechtt vorbehalt. Zuandern. Ursach, welch. gestalt aber er solche and.ung ferners wolle noch Zur Zeit in* seit* v. eygentlich entschloß. Ime aber in seinem* obageretgt Testament in sein wurcklicheyt* Khns* Zulaß. so wolte er daßelb hiemit wissentlich vnd wohlbedechtlich wid.umb abgethan cassiren vnd widerruffen (…)
[in margine :] Meinrad Waldeck hatt deßen Extract empfang. deb 19.ten Maÿ Aô & 98.

Ursule fille d’Erasme Krug et veuve de l’orfèvre Gui Treger, ses sœurs Richarde Krug femme de Georges Geringer au service de l’électeur palatin et Esther Krug femme de Meinrad Waldeck vendent à l’orfèvre Abraham Kreuchel et à sa femme Marguerite Bauer la maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment médian, un bâtiment arrière, deux cours et une issue vers l’église des Dominicains

1598 (8. tag Augusti), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) scheda f° 206
Erschienen Fraw Ursula herrn Erasmi Kriegen seligen dochter wÿland Veÿt Treggern des goldtschmids selig. Wittwe Mit beÿstand vnd bewilligung herrn Ambrosÿ Schmyden Ires geschwornen vogts, Mehr herr Christoffell Leiwenbrandt Schreÿber des Pfenningthurns alls Constituirter beuelch des Erenuesten herrn Georg Geringer Churfurstlicher pfaltzischer hoffcastner Zue Neuwen maydt vnd pfleger vff Wolffstein, Vnd frauw Ryckhart Krugin sein eheliche gemahell belmt Frawen Ursulen schwester (…) herr Meynrath Waldeck vnd Fraw Hester Krugin sein eheliche haußfrau vorgenant beyder schwestern schwester (verkaufft)
herrn Abraham Greuchell goldtarbeyter vnd Frauw Margred Beürin sein Ehegemahelin
dreÿ heüser ein vorder Mittler v hinder so den vßgang gegen dem prediger chor m Iren hoffestetten Zweÿen höffen sampt einer Stallung vnd gebeuw darüber sampt allen and. gebew begriffen weyth Recht Zugehörd. V gerechtigkeiten gelegen Inn der Statt Straßburg Inn Prediger gaß eiseyt d. vorder behaußung neben der Samblung Zum thurn die andersyt Bernhard Khuffer dem goldschmid stoßend hinden vff Friderich Truttweyn, die hinder behaußung geg. dem Prediger Chor einsyt auch d. Samblung Zum thurn die andersÿt wyld Frawen Barbare witwe vom Ruß geborner von Maßmünster selig. erben, dauon gnd Acht guldin gelts vff Georgÿ fallent losig mit 200 guld. Straßburger Juncker Wolff von Wyckerßh. deßen Schaffner herr Gall Lucken, Mehr 8 guldin vff viti Modesti widerkheiffig mit 200 gld. Straßburger Werung S Margred Closter, Item obemelt acht guld. gelts vff d. heÿlig. weÿhenachten tag widerkhouffig m 200 guld. Straßburger & Almoß S Marx
it. wyther Acht guld. gelts vff Johannis Baptistæ loßig m 200 guld Straßburger Junckher Jacob von Landtspergs selig. erben, Mehr Acht guld glts vff petri & pauli Stnd in hauptgut 200 gld SW abzulosen den Johannß herrn Zum grien werd, Item fünff guldin gelts vff Adolffi lösig mit 100 guldin Straßburg herrn Thoman Obrecht der Statt Straßburg Rentmeÿser, Item vier guldin gelts vff Georgÿ lößig mit 100 guld SW dem Stifft Unser lieb. Frawen in gelt, Wyther 6 pfund pfenning vff Johannis Baptistæ vnd weÿhenachten fallend den Armen Sondersiechen Zur rothen Kirch bey Straßburg v dann Ein pfund pfenning glts vff Georgn Ane die Kapellanen S Anne hoherstifft beyd Zinß sey ewig ehrschetz. Erblich oder ablosig wie steths In hauptbrieff befind. würt Also hette der Khouff vber solch gnd sunst für freÿ ledig eigen & v all Recht & der khouff bescheh vber solche beschwerden welche der Khouffer vber sich genommen Zugang. vnd bescheh umb 3000 guldin
[in margine :] Erschienen herr Ambrosius Schmidt und herr Meÿnrath Waldeck haben In gegensein herrn Abraham Kröüchels bekant (…) vff den xiii Octobris 1598.

Originaire de Sankt-Annaberg, Abraham Kreichel épouse en 1580 Jacqueline, fille d’Antoine Ritter de Haguenau
Mariage, cathédrale (luth. p. 31)
1580. Dnica Septuagesima 31. Junÿ. Abraham Kreichel von S. Annaberg der Goldschmid vnd Jacobe, Anthoni Ritters Zu Hagenaw nachgelaßene tochter (i 18)

Originaire de Sankt-Annaberg en Misnie, Abraham Kreichel obtient le droit de bourgeoisie par sa femme Jacqueline Ritter en avril 1580.
1580, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 476
Abraham Kreichell von santt Anaberg Im Meÿxenn der goldttarbeiter Hatt das burgrechtt empfangenn von Jacobe Reütherin seiner Hausfrawenn vnd will Zuor steltzen dienenn Acttum denn 14.t aprill anno 1580

Abraham Kreichel demande au nom de sa femme Jacqueline Ritter l’intercession du Magistrat auprès de la ville de Haguenau pour entrer en possession d’une somme de 700 florins déposée par Paul Hœchstetter à la Monnaie de Haguenau. L’affaire est encore évoquée les années suivantes.
1580, Conseillers et XXI (1 R 53)
(f° 347) Sambstag den VIII. Julÿ – Abraham Kreichell goldtschmidt
Abraham Kreichell Goldt Arbeitter als Ehevogt Jacobe Ritterin vbergibt ein suppliôn bitt darinnen vmb fürschrifft, an rhat zu Hagenaw, vermeldet Wie sein Vorfahr paul höchstetter von der Müntz Zu hagenau vffgenommen darfür ihr ohnwüssend ein gülttbrief 700 guldg. besagend versetzt, desweg. sie mit denen an der Müntz vor das heil: Reiches gericht vff der lauben rechthengig, vnd seÿ so weitt p.cedirt das Albereit Inn der sachen beschlossen. Es haben aber seiner frauwen rügt auch andere ihr Zu gehörige stuck verkaufft das gelt an die Müntz zu hagenau geleg. Welches ihnen ein wil daselbst geuolgt werden, Sie bezalen dann die hieuor gemelt. an der Müntz durch paulum höchstetter vffgenommen 300 g. sambt verfallenem Interesse, Dieweil dann derweg. die sach zu recht gesetzt vnd sie mit dem darfür verseß. brief genugsam gesichert. Bitt er vmb fürschrifft das ihm das hind.llegte gelt ihm beg. fürschrifft mit verbesserung eingeschlossener Suppliôn zu gelassen.

1583 Conseillers et XXI (1 R 57) Abraham Kreuchel der Goldarbeiter als Ehevogt Jacobe Ritterin contra Georg Seßelheimern Anthoni Hochstetter. 609.
1584 Conseillers et XXI (1 R 59) Anthoni Höchstetter und Georg Seßelsheim contra Abraham Kreuchel den goldarbeiter (Hagenaw schreiben). 166.
1585 Conseillers et XXI (1 R 61) Anthoni Höchstetter und Georg Seßelsheimer contra Abraham Kreuchel (Hagenaw schreiben). 46.
1598 XV (2 R 27) Abraham Kreüchel. 158. (in seiner Martin Herlin verkaufften behaußung)
1600 Conseillers et XXI (1 R 79) Abraham Kreuchle als kleinen Raths jurat. 171.

Abraham Kreichel se remarie en 1585 avec Marguerite, fille de l’orfèvre Léonard Bauer
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 344 n° 50)
1585. Dominica XV. Abraham Kreichel der goldschmidt, vnd Jungfrau Margaretha, herr Linhart Bauren des goldtschmidts tochter, Eingesegnet Montag den 4. Octobris (i 180)

Abraham Kreuchel et Marguerite Bauer hypothèquent la maison au profit du gentilhomme Nicolas d’Uttenheim de Ramstein

1601 (vt spâ [xxv Martÿ]), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) f° 138
(Inchoat. fo: 199.) Erschienen Sind Abraham Kreüchle goldarbeÿter vnd Frauw Margred Beüwrin sein ehegemehell
Haben Inn gegensein Frantz Beügrings alls Schaffner des Edlen vesten Niclaus vonn Utenheim Zum Ramstein – schuldig sigen 1000 guldin
Zum vnderpfand ÿngesetzt dreÿ heußer ein vorders mittel v ein hinders So den vßgang gegen dem Prediger Chor mit Iren hoffestätten Zweÿen höffen Sampt Stallung v Sampt Stallung v gebeuw* darneben* auch all. andern Iren gebeuwen & prout habet* in pro: 98 fo. 290. davon vt ibid.
[in margine :] Erschienen herr Frantz Peüring hatt Inn nammen Junckher Niclaus von Utenheim in gegensein Abraham Kreüchle (…) Quittirt vff den xvi december 1605.

Abraham Kreuchel et Marguerite Bauer hypothèquent la maison au profit de Georges Leitersperger

1602 (xvj Julÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 341
(Inchoat. fo: 348.) Erschienen die Ehrenvest hochgelehrte fromm herr Heinrich Northmeÿer fürstlicher brunschwigisch. Secretarius der Thumb schaffneÿ hohen stiffs, Abraham Kreuchle Goldarbeÿter vnnd Frauw Margred Breüwerin sein Ehegemahel
Haben Inn gegenwertigkeit Herrn Georg Leüterspergers frey guttwillig bekhant – schuldig sigen 324 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand vnd durch herrn Abraham Kreüchle verlegt In specie dreÿ heüßer ein Vorder v. hinder mit Ihren hoffstetten, pge. In Proth. 98. fol. 290. dauon gnd Acht guldin gelts wid.khoüfig mit 200 guld. Straßburger Juncker Wolff von Wyckerßheim, Item 8 guldin gelts ablößig mit 200 guldin S W abzulößen dem großen gemeinen Allmußen, Weither viij fl. gelts miy ij fl. S W abzulößen J. Jacob von Landtspergs seligen erben, Item viij fl. gelts lösig mit ij C fl. St. W den Johansen hn Zum grienen Werd, Item fünff guldin gelts lösig mit 100 guld. St. W. h. Thoman Obrecht Rentmeÿsern, Item vier guldin gelts wid.lößig mit 100 guld St W dem Stifft vnser lieben Frawen Zu Zabern, Item vj lb d. gelts den Armen Sond.siech. Zur roten Kirchen, Item Ein pfund pfenning gelts Ane ein Capellaneÿ In dem Münster Zu Straßburg, Vnd sindt auch noch v.hafft für 1000 guldin Zu xv batzen Wÿland Erasmi Krugen des Goldschmidts seligen erben Zubezalen Sunst freÿ ledig eÿgen, Wie man sagt

Marguerite Bauer veuve d’Abraham Kreuchel se remarie en 1610 avec l’orfèvre Joachim Berding, originaire de Riga en Lettonie
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 221) 1610. Joachimus Bördings von Riga aus liefland ein goldarbeiter, f. Margareta Beurin h. Abraham Kreuchlin des goldarbeiters selig. hind.lassene witwe. Eingesegnet Mont. d. 5. Martÿ (i 115)

Joachim Berding, originaire de Riga en Lettonie, achète le droit de bourgeoisie le 27 novembre 1609.
1609, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 750
Joachim Berding der Goldt Arbeiter Von Rigo auß Lüfflandt erkaufft d. Burgrecht mit Beÿstand herren Isaac Hernstein vnd wüll Zu der Steltz Zünfftig sein Actum den 27.t 9.bris aô 1609.

Joachim Berding et Marguerite Bauer hypothèquent la maison au profit de Frédéric Blanckenburg, pasteur à Hœrdt

1612 (vij tag Julÿ), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 337-v
(Inchoat. fol: 357.) Erschienen Herr Joachim Berding goldarbeÿtt. burger Zu Straßburg vnd Fr. Margred Beürin sein eheliche haußfr. mit beÿstandt herrn Lienhardt Bauren des goldtschmÿdts Alhie Ihres Bruders
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Magistri Friderich Blanckenburg pfarrers Zu Herdt burgers zu Straßburg offentlich verÿehen – schuldig sigent 100 pfund pfenning
Zum recht. vnd.pfd einges. vnd v.legt, ein vorder, mittell vnd hinderheuser, sampt Zweÿ höff. vnd Stallung Auch Allen Anders Ihren gebeü. geleg. Inn d. St. St. Inn d. groß. Predig. gaß. einsit neb. d. Sammlung Zum thurn And.seit neb. Hannß Geörg Gastelius dem glaßmahler, hind. haben sie einen Vßgang gegen dem collegio, davon gend viij gl geld Lößig mit ij C gl. J: Wolff Vonn Wickerßh. Mehr viij gl gelts Lösig mit ij C gl Sanct Margred Closter, Item noch viij gl gelts wid.kheüffig mit ij C gl S. Marx Closter, Item viij gl gelts stnd ij C gl J. Jacob von Landtsperg, Item viij gl gelts stnd, ij C gl dem Closter zu S. Johann, Item vj gl dem closter zu S. Johann, Item vj gl. gelts wid.lößig mit j C L lb den Sond.siech. Zur Roth. Kirch, Item v gl gelts Loßig mit j C gl h. Thomæ Obrechts selig. erb. Item iiij gl gelts Loßig mit j C gl. dem Stifft Elsaß Zabern, Item j lb gelts Loßig mit xx lb Ane Ein Cappellereÿ hoher Stifft Straßburg, So dan Ist soche Behausung verhafftet nebent allen mehr vnd.pfant Vmb vj C lb herrn hannß Michael heüß fünffzehner Sunst ledig eÿg.

Joachim Berding et Marguerite Bauer, assistée de son frère Léonard Bauer, hypothèquent la maison au profit de Catherine Stæhler, veuve du receveur Matthias Carol

1612 (ut spâ [vij. tag. Julÿ]), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 338-v
(Inchoat. fol: 357.) Erschienen Herr Joachim Berding vnd Fr. Margred Beürin vts. mit beÿstandt h. Lienhardt Bauren Ihres Bruders
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Anthoni Rauch burgers zu Straßburg als befelchhabers seiner Basenn Fr. Catharina Stählerin, wÿland H. Mathiæ Caroli geweßenen Sebachisch. schaffners zu Werd selig. witwe offentlich verÿehen, das sie bede ehegemechd derselb. witwe vnd Ihren Khinder mit nammen Magdalen Fœlicitas, Georg Philipß vnd Philipß Jacob – schuldig sigent 200 pfund pfenning
Zum recht. vnd.pfd einges. vnd v.legt, ein vorder, mittell vnd hind. heuser, mit sampt Zweÿen höffen vnd stallung & pnt. supra in p.cedenti contractus

Joachim Berding et Marguerite Bauer, assistée de son frère Léonard Bauer et de son beau-frère Henri Trausch, hypothèquent la maison au profit d’Erasme Wachter, de Kaysersberg

1615 (ut spâ [ij. Augusti]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 361-v
(Inchoat. in Proth. fol. 316.) Erschienen herr Joachim Berding der goldtarbeiter burger Zu Straßburg vnd frauw Margredt Beürin sein eheliche haußwürthin mit beÿstandt & herrn Lienhardt Beuren des goldtschmidts Ihres bruders vnd herrn Heinrich Trauschen des holtzhändlers Ihres schwagers, burgern Zu Straßburg, Anestatt zweÿer nechsten verwandten vonn obgedachter Margred Beürin hierzu Insonderheit erbetten
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn hieronimi Liechteÿsens von Schlettstatt Als gewalthabers wÿland Erasmj wachters geweßenen burgers Zu Keÿserspurg selig. erben offentlich verÿehen – schuldig sigend 200 pfund pfenning
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, dreÿ heüßer Ein vorders, Mittels vnd hinders, so den vßfang gegen dem prediger Chor, mit Ihren hoffstätten, Zweÿen höfflin sampt stallung vnd Brunnen, Auch Allen Andern Ihren gebeüwen gelegen Inn der St. St. Inn der großen prediger gaß, die vorder behaußung einseit nebent der Samlung Zum thurn, anderseit nebent hannß Geörg gastelio dem glaßmahler, hinden vff Friedrich Trüttwein stoßend, die hinder behaußung gegen dem prediger Chor ligt nebent gemelter Samlung Zum thurn ein vnd Andersit nebent gemelter Samlung Zum thurn ein vnd andersit nebent herrn Balthazar Krauchen Vonn vorgeschriebenen heüßern gend vj lb d Zinß den Sondersiechen Zur Rothen Kirchen, Item j lb d Zinß der Cappellaneÿ Sanct Annen Alters Zum Münster Alhie, Mehr viij gld. gelts widerlösig mit ij C gld. Jr. Wolff von wÿckherßheim, Item acht guldin gelts Ablößig mit ij C gld Sant Margred Closter, Item viij guldin gelts widerkhäuffig mit ij C guldin dem Allmußen Zu Sanct Marx, Item Aber viij guldin gets lößig mit ij C guldin J. Jacob vonn Landtspergs seeligen erben, Item viij gld gelts stend Zum hauptgutt ij C gld. von Johannser herrn Zum grüenen wördt, Item 5 guldin gelts widerlößig mit j C gld wÿland Tomann Obrechts seligen erben, Item iiij glld gelts lößig mit j C ld. dem Stifft vnserer Lieben fr. Zu Zabern, Item seind vorgeschriebene heüßer noch verhafft vnd vnderpfandt für iij C ln d herrn hannß Michael heüßen fünffzehenern, Mehr für ein schuld j C lb herrn Andres Planckenberger geweßenen pfarrers Zu herdt Jetzige professori der academien Alhie, So dann für ein schuldt ij C lb d wÿlandt herrn Johann Caroli geweßenen Sebachischen schaffners seligen witwen vnd erben

Joachim Berding et Marguerite Bauer font leur testament. Le mari fait des legs à son frère et à ses trois sœurs qui habitent à Riga ainsi qu’à son petit-fils par alliance Jean Ulric Speccerus. Il institue pour héritiers les enfants issus du premier mariage de sa femme, Barbe, Elie, Marguerite et Abraham Kreuchel.
1617, Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 62, A n° 365) f° 44
Testamentum nuncupativum deß Achtbaren vnd fürnehmen herrn Joachim Bertungs goldt Arbeiters vnd frauwen Margred. Beürin beed. Ehegemächt vnd burgere Zu Straßburg
Inn dem Jhar Alß man von vnsers einig. Erlößers vnd seligmachers Jhesu Christi geburth Zaltte 1617 (…) Persönlichen erschÿnen sindt der wol Achtbare vnd fürnehmen herr Joachimus Bertung goldt Arbeitter vnnd die ehren: vnd tugendreiche frauw Margaretha Beürin Beed. ehegemächte vnd burgere Zu Straßburg, von der ganden Gottes gesunder gonder vnd stonder leÿbes auch gutter verständiger Sinnen vernunfft gespräch vnd Wissens (…)
Zum vierdten, Ist seiner herrn Joachim Bertung deß testirers ernstlich. befelch vnd meinung, wofern er ohne leibeserben todt Verfahren würde, daß nach endung vorgemeltes widems niesses vsser seiner Verlaßenschafft Johann Bertung seinem bruder 300 gulden Aber Catharinen, Elisabeth vnd Annen seinen vberig dreÿen geschwüsterd. alle zu Rügen inn lüffland wohnhaft jed. insonderheit 100 guld. zu legaten gelüffert werd.
Ferner vnd fürs fünffte So legirt Auch er der Testator hanß Ulrich speccers seiner stieffdochter Barbaræ Kreüchelin söhnlin 100 guld. (…)
Letztlichen die Weÿl dann die Einsetzung der Erben Inn einem Jedem formblichen Testament beschehen soll (…) so ernennt vnd bestimpt herr Joachim Bertung der Testator wofern er ohne leibß erben verfahren würdt, In seinen rechten wahren testaments erbinn, fraw Barbaren, Elien, Margred vnnd Abraham seiner lieben haußfr. Margreden Breünin mit weÿland herrn Abraham Kreüchell Ihrem ersteren haußwürth seeligen eheliche erzeugte Kind. Alle seine Verlaßenschafft
(f° 49) Vnnd seind hieuorgeschribene ding Zugangen vnnd beschehen Inn deß heÿligen Reichß freÿen statt Straßburg, Inn Ihro dd. testirend. ehegemächt Zustendigen vnd bewohnend. behausung Inn der grossen Predigergassen vnd nahe beÿ dem Collegio gelegenen oben auff Inn einer stuben Inn den hoff sehendt,

Joachim Berding rembourse au monastère Sainte-Marguerite un capital de 200 florins garanti sur la maison suivant un acte de 1554.

1633 (11. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 507-v
Erschienen Joachim Berdting der Goldarbeiter burger Zu St. An einem,
So dann herr hanß Michel Heuß XIII.er Alß Pfleger S. Margarethen Closters alhie vnd H hanß Heinrich Zeißolff, Alß ietzbesagten Closters verordneter Schaffner, am andern theil, Zeigten ahn,
Nachdem Er Berdtung die 200. gld. Capital St. w. welche er, Inhalts eines teutschen vnd. deß Bischofflichen hoffs alhie Insigel durch Notm. Adam Mechler den 28. Augusti Anno 1554. auffgerichteten Brieffs, Jarß vff viti et Modesti mit 8. gld.w. von, auf vnd abe seiner alhine vnden An der Prediger gassen gegen deß Pfaltzgrafen hoff hienüber einseit neben der Samblung Zum Thurn gelegenen behaußung Zuuerzinßen schuldig gewesen, in bewussten hohen dem Reichßthaler nach zu sechß gld. gerechneten gelt, abgestoßen, Alß heten Sie sich nach maß alhieiger vber die Nachträg verfaßten instruction mit einander güetlichen dahin verglichen, daß Er Berdting mehrgedachtem Closter An gutem ietziger Zeitgäng vnd gibigen gelt 52. pfund 10 schilling (…)

Marguerite Bauer meurt en délaissant Barbe Kreuchel, femme du capitaine Michel Gœnner (Gœringer), Marguerite Kreuchel femme du libraire Jean Philippe Sartorius et les enfants de son fils Elie Kreuchel. Les experts estiment la maison à 2 000 livres. La masse propre au veuf est de 209 livres, celle propre aux héritiers de 777 livres. L’actif de la communauté s’élève à 9 268 livres, le passif à 246 livres.

1635 (25.8.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 33)
Inventarium über Weÿlandt der Vÿl Ehren: und Tugendreichenn frauwen Margarethæ Beurin, Herrn Joachim Berdings goldarbeiters burgers Zue Straßburg haußfrauen seligen Verlaßenschafft Vffgericht 1635.
Inventarium vnnd beschreibung aller haab, Nahrung vnndt güettere, so weÿland die Vÿl Ehrenn: vndt Tugendreiche frauw Margaretha Beurin, deß Ehrenuestenn vnd Wohlachtbaren Hn Joachim Berdings goldarbeiters burgers Zu Straßburg ehegamahlin nunmehr seelige nach Ihrem aus dißer welt tödlichen hinscheidenn hinder Ihro verlaß. so auff erfordern vnd begehren der Ehren: vnd tugendreichen frawen Barbaræ Kreüchelin deß Gestrengen vnd Mannhafftenn herrn Michel Köringers wolverordnet. Capitain Major Inn der vestung Benfeldt ehewürthin mit beÿstandt gemelts Ihres herren vnd haußwürths, ferner fraw Margaredten Kreüchelin deß Ehrenuesten vnd Wolachtbaren herrn Johann Philipp Sartorÿ buchführers burgers Zu Straßburg ehegemahlin mit hülff gedachts Ihres haußwürths, ferner Herrn Johann Philipp Sartorÿ als geschwornen vogts Weÿland herrn Eliæ Kreüchels goldtarbeiters burgers Zu Straßburg seeligen mit frawen Agneß schollin ehelich erzeugter vnd noch lebender Sechß Kinder mit nahmenn Agneß, Elias, hannß Friderich, Abraham, hannß Joachim vnd Christoffl die Kreüchele, an deßen Statt aber als geschworner theÿlvogt d. Ehrenvest vnd vornehm herr Tobias Babells alter Cleinen Raths Verwanther vnd burger Zu Straßburg vndchord* derer als dreÿ obehrennamster der verstorbenen, frawenn seelig Inn erster ehe mit dem Ehrenvesten. vornehmen vnd weißen herrn Abraham Kreüchell goldtarbeitern burgern Zu Straßburg erzeugter Kind. vnd deren noch lebend. enckhell, vonnn Ihr der verstorbenen fr. seelig mit gewißer maß In Ihren auffgerichtet. Testamento nominirter Erben (…) Actum vnd Angefang. zu Straßburg In fernerem beÿsein der Ehrenvest. vnd wolgelert. herrn Rupert Rÿchart, Schaffner deß Stiffts aller heÿlig. Zu Straßburg auff der Erben, vndt herrn Valentini Bilger Notarÿ publici auff deß herrn Wittibers, Dienstags den 25 Augusti Inn dem Jahr deß herrn alß man Zahlte 1635.
NB. die eheberedung findet man In meinem (…) Protocollo

Inn einer hernacher specificirten Inn der Statt Straßburg ane d. großen Predig. gassen Zum theÿll gegen dem Predig. Collegio gelegener Behaußung so beede ehegemächt bewohnnet befund. word. wie volgt
Volgt nuhn hieuorgeschribener beeder Testamenten und letster willen Publication vnd die darüber beschehene Resolution (…)
Inn dem forder, Stockh gegen der goldschmidt gaß sehendt. Auff dem obersten Boden nichts, Auff dem Andern Boden Inn der Cammern A, In der Cammern B, Inn der Cammern C, Inn der Stuben in dem vordern Stockh, Inn der Stub Cammern, Auff der Schalteckh ledle, Inn der obern Kuchen, Vor dieser Kuchen, Inn dem vordern hoffstüblin
In dem Mitlern Stock, Auff dem Andren boden, Auff dem dritten boden, In dem obersten Stüblein, Inn der Cammern D, Inn der Cammern E, Auff der Schalteckh Laden, Inn der obern stuben vor dieser Cammern, Vor diser Gemachen, In der Cammern F, Inn der Cammern G, Inn der Camin Cammern, In dem Hindern fuoßen Tröglin (…), Auff dem vorderngang, Auff dem obersten Büenlein, Auff dem Andern büenlein, Inn dem Speißkämmerlein, Inn dem Sommer hauß, Inn der Undern Wohnstuben, Inn der Kuchenn, Über dem Stall Inn der Stub Cammer, Vor dieser Stuben, Inn der Cammern H, Inn der Stuben vor dießer Cammern, Inn der Cammern J, Inn der Cammern K, Inn dem hindern Hoff, Inn dem Keller
Eÿgenthumb Ane heüßern. Item dreÿ vnderschiedliche Stöck einer Behaußung sammpt Iren vnderschiedlichen höff. 2 brunnen auch allen andern Ihren gebeuwen, begriff. weith. recht. Zugehördt. vnd gerechtigkeit. geleg. Inn der Statt Straßburg In der groß. Prediger gaßen, vornen gegen deß Thumb Probst hoff über einseit neben herrn Johann Geörg Gastelio dem glaßmahler, anderseith der samblung Zum thurn hindenn gegen dem Chor Zu der Predigeren sehendt, einseit etwann nebenn herrn Balthasar Krauchenn, anjetzo herrn Leonhard Waldern dem handelßmann burgern alhie Zu Straßburg anderseith neben Vorgemelter Samblung geleg. Dauon gehnd Jährlichen Zu beschwerdenn wie volgt, Item 5 gulden Straßburger Wehrung geltts Jährlich auff Michaelis, Item Junckher Wolffen Von Wickerßheim, anjetzo Junckher Jacob Reÿchardt von Endingen seelig. Erben Stohnd in hauptgut widerlößig mit 100 gulden ermelter Wehrung, Mehr 5 guldenn Wehrung auff Michaelis den Closterfraouwen Zue Sanct Margredenn, widerlößig In hauptgut mit 100 guld. berüerter Wehrung, It. 8 gulden wehrung dem Closter zu Sanct Marx alhier auff weÿhenachten Jährlichß fallenden Lößig mit 200 guldenn gedachter Wehrung, etwann Junckher Jacob von Landtsperg selig Erben, etwan anjetzo empfahet herr Joachim Rüderer schaffners weiß, lößig Inn hauptgut mit 100 gulden gerüerter wehrung Jährlich auff Michaelis, Item 5 guldenn wehrung gelts dem Closter zu S. Johann alhier Jährlich auff Michaelis Stohnd Inn hauptgut abzulößen mit 100 guldenn gerürter wehrung, Item 6 Pfundt Pfenning gelts, den sondersiechen Zur Rothenn Kirchenn alhie auff Johannis vndt Weÿhenachtenn Jedeßmahl den halben theÿll Stohnd widerkheüffig mit 150 Pfenning Straßburger wehrung, Item Vier guldenn wehrung dem Stifft Unnßer Lieben frauwen Zu Elsaß Zabern, Jahrß auff Geörgÿ, Stohnd abzulößen mit 100 guld. mitt gerüerter wehrung, Mehr 10 schilling Pfenning gelts auch auff Michaelis fallendt Inn die Cappellaneÿ Sanct Annæ primä hoher Stifft Straßburg, empfahet anjetzo herrn Georg Knörrer schaffners weiß gemt. Cappelaneÿ halblößig Inn Hauptgut mit 10 Pfund Pfenning, so etwann Uber gemeldte beschwerdenn freÿ Ledig Vnd eÿgenn. Wann auch die beschwerd. so wie hievorgeschribenn thun 527 lb 10 ß abgezog. werdenn, so verpleibt noch vbrig so mann hie leßerung* halb. vnd achten thut Welche auch alhie hero außgeworffen würt p. 2000 lb
Darüber besagt ein Pergamein Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Contract Insigell Versigelt datirt den 8.t August 1598. wie soche behaußung von Eraßmo Krugen deß goldtschmidts seligen Erb. ane herrn Abraham Kreücheln der Verstorbenen frauwen selig ersten haußwürth kheuflichen kommen besagendt, Signirt mit altem Lit. N. anjetzo mit N° 17. darbeÿ noch ferner dreÿtzehen alte Pergament abgelößte Zinß Verschreibung, so alles Zusammen gebund. Undt In einer scheidelad. verwahrlich Zu befind.
(T.) Item so ist Inn der hieuornen den Erbenn für vnnverendert gehörig. vnd eÿgenthumblichen Zuständig. Behaußung In Werendem dießem ehestandt Inn allerhandt Weegen Verbeßert vnd gebauwen Worden, so alhie für hauptbouw vnd theÿlbeßerung mit allerseits Parthen bewilligung Zu rechnen vnd setzen Verglich Word. benantlich 200 lb
Abzug Inn hieuorgeschrieben Inventarium gehörig. Vnndt würdt Anfänglichen beschriben des herrn Wittibers unverändert guet, Sa. Silber geschirr undt geschmeids 15, Sa. schulden 40, Sa. Ergäntzung 153, Summa summarum 209 lb
Volgt nuhn der Erben unverändert hutt, Sa. haußraths 330, Sa. Lehrer vaß 10, Sa. Werckzeugß Patronen vnd waß sonsten Zur handthierung gehörig 20, Sa. Silber geschirr undt geschmeids 80, Sa. guldiner Ring 49, Sa. Baarschafft 22, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 469, Sa. eÿgenthumbß ane Häußern 2000, Sa. schulden 6, Sa. Ergäntzung (1608, abzuziehen 3804, mehr zahlt worden 2211) Summa summarum 2989 lb – Schulden 2211, Verpleibt 777 lb
Volgtt endlichen das gemein Verändert Vnnd theÿlbar gut, Sa. haußraths 266, Sa. früchten 12, Sa. Weins und Lehrer Vaß 363, Sa. Cleinodien guldinen ring beerlein geschmeidt zum Kram gehörig 2026, Sa. Silber geschirr undt geschmeids und bruchsilber Zur handthierung gehörig 639, Sa. Werckzeugß Patronen vnd waß sonsten darzu gehörig ist 5, Sa. Silber geschirr undt geschmeids 14, Sa. guldinen Ring, Kettlein vnd geschmeids 37, Sa. Baarschafft 425, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1733, Sa. bawcostends an der behaußung 200, Sa. schulden 3544, Summa summarum 9268 lb – Schulden 246, Nach deren Abzug 9022
Conclusio finalis Inventarÿ 10.009 lb

Joachim Berding se remarie avec Ursule, fille du marchand Jean Georges von Türckheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 205)
1635. Eadem [Dom. XXV. Trinit. 15. 9.bris] Joachim Berding der goldarbeiter v. burger alhie v. J. Ursula H Johann Jörg von dürckheim deß handelßmanns v. burgers alhie tochter. Cop. 23. 9.bris Zu J. St Peter (i 104 – Proclamation Saint-Thomas f° 172-v)

Joachim Berding est élu conseil à la tribu de l’Echasse en 1639
1614 Conseillers et XXI (1 R 95) Joachim Berding contra Dubslaff Christoph von Erckstatten. 219. Idem contra Johann von Buchholdt [zu Embden]. 219.
1617 Conseillers et XXI (1 R 98)
Joachim Berding [der Goldschmidt] vmb fürschrifft [contra Johann von Buchholdt zu Embden]. 47. [Idem contra Rüdigern Massaw Zu Landaw in Pommern. 47.]
1628 Conseillers et XXI (1 R 110) Joachim Berting, Hanß Carle Baur vnd Hans Paulus Lausch & Consort. contra Israël Riehelen vnd Tobiam Franckhenberger. 221. 222. [wegen verlehnten Goltschmiidts Gäden]
1628 XV (2 R 56) Joachim Berting. 272. [pt° habern]
1639 Conseillers et XXI (1 R 122)
Joachim Berting zu einem Rathherren auff E.E. Zunfft Zur Steltz erwöhlet. 74.
1639 XV (2 R 63) H. Joachim Berding. 209. [additional Seckel]
1642 XV (2 R 65) Vogteÿgericht wegen Herrn Joachim Berdings. 344.
1643 Conseillers et XXI (1 R 126) Joachim Berdingß Wittib [umb intercessionales an die Statt Zürich]. 73.

Veuve, Ursule von Türckheim se remarie en 1648 avec le docteur en médecine et en philosophie Matthieu Meyer, fils du marchand Jean Jacques Meyer : contrat de mariage, célébration
1648 (15.8.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) N° 505
15. Augusti 1648. – offene heüraths verschreibung (…) Zwüschen dem Ehrenvesten vndt hochgelehrten herrn Matthæo Meÿern, Philosophiæ et medicinæ Doctore, weÿland deß Ehrenvesten fürsichtigen vndt weÿsen herrn Hannß Jacob Meÿers handelßmanns auch Eines Ehrsamen Großen Raths Zu Straßburg alten beÿsitzers nunmehr seeligen hinderbliebenem ehelichem Sohn, alß dem breüttigamb ane einem
So dann der viel Ehren vndt tugendreichen Frauwen Ursula Berdingin geborner von Dürckheim, weÿland des Ehrenuesten Fürsichtigen vndt weÿsen herrn Joachim Berdings goldtarbeitters vndt wohlermelts Großen Raths Zu Straßburg Alten beÿsitzers nunmehr seeligen hinderlaßener frauwen Wittwen, alß der fr. hochzeiterin am andern theil
Beschehen vndt Verhandelt sind diße ding In deß heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg, dinstags den 15. Monatstag Augusti Im Jahr deß herrenalß man Zahlte 1648.

Mariage, cathédrale (luth. p. 517)
1648. Domin: 15. Trinitatis. Herr Matthæus Meÿer, Medicinæ Doctor, Herrn Johann Jacob Meÿer, deß geweßenen Handelßmanns, auch E. E. Großen Raths allhie, geweßenen Beÿsitzers, ehelicher Sohn, Fraw Ursula, H. Joachim Börding, geweßenen Gold Arbeiters, auch E.E. Großen Raths Beÿsitzers, vnndt Burgers allhie nachgelaßenee Wittib. Copulirt Im Münster Zinst. 19. sept. (i 266)

La maison revient à Barbe Kreuchel qui épouse en 1610 le pasteur de Saint-Nicolas Tobie Speccerus qui s’est marié une première fois en 1587 avec Susanne Erhart alors qu’il était diacre dans la même paroisse.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 3 n° 21)
1587. den 11. Decemb. sind Ehelich eingesegnet word. M. Thobias Speccerus, Argentinensis ietzig. Helffer Zu S Claus vnd Jungfer Susanna Erhartin, Jacob Erharts des Kantengiesser tochter (i 5)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 86-v, n° 29)
1610. den 10. Decembris seindt ehelich eingesegnet worden M. Tobias Speccerus Pfarrherr in dieser vnnserer Kirchen alhie, vnndt Jungfraw Barbara Kreüchelin, Weÿland Herrn Abraham Kreüchels, gewesenen Goldarbeÿtters vnnd Burgers seligen alhie nachgelaßene eheliche dochter (i 95-v)

Barbe Kreuchel se remarie en 1625 avec Augustin Weis, de Worms
Mariage, cathédrale (luth. p. 190)
1625. Dominica 50 den 27. febr. H. Augustin Weis burger Zu worms vnd Barbara H. Thobiæ speceri der h. schrift doctoris vnd professoris vnd pfarrers Zu S. Claus n. witwe, eingesegnet Zinstag den 8. Martÿ (i 100)

Veuve du pharmacien Auguste Weiss, elle se remarie en 1628 avec Michel Gœnner (Günner), capitaine de la garnison de Strasbourg (natif de Weisweil en Bade, voir plus bas le livre de bourgeoisie)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 154-v n° 91)
1628. Eodem [9. Novembris] Herr Michael Günner der Statt Capitain, vnd Fr. Barbara Weiland, Herrn Augusti Weißen gewesenen Brgrs vnd Apoteckers selig Zu Worms hind. tochter (i 168)

Les Quinze autorisent le capitaine Michel Gœnner à s’engager dans les troupes
1627 Conseillers et XXI (1 R 109) Michel Gönner Capitaine erlaubt im krieg Zu Ziehen. 157.

Les Quinze demandent au commandant Michel Gœnner qui s’apprête à prendre à bail des biens au Neuhof de devenir bourgeois
1637, Protocole des Quinze (2 R 62)
(f° 172-v) Sambstag 19. August – Michael Günner Major soll burger werden.
Item weg. v.lühung der güeter beÿm Newen hoff, Ja noch dißen Morgen wegen Maior Michael Günners v.bürgerung, für ein Anhang vßersprochen worden, da es doch revera* kein, durch 15. Stimmen v.mehrter Anhang, sondern allein ein Meinung parer* herren gewesen, dan daß puré Mehrere, wahre, daß Maior Michael sich allso balden, der v.meinte Anhang aber seÿ gewesen, vff nechstkünfftig Michaelis sich verburgern solle, Allso Ihme lufft gegeben, so lang ohne Schirmbgeltt Ja gahr freÿ allhier Zusitzen, da doch Andere die beÿ weitem Maior Micheln Ir* den Mittlen nicht gleich, Ja gahr noch Exulanten seind, daß Ihrig beÿtragen müeßen & lauffen allso offt die Maiora vndt Anhang einander contrari undt Zuwider, Nun seÿ ordnung vndt herkommens, daß 15. Stimmen ein Anhang machen vndt wann daß mehr Zuvorderst vßgesprochen, Allß dann soll der Rent: od. Korn Meister, mit heller Stimmen sagen, dißer od. Jener Herr hab ein Anhang, darauff der Statt begeren, daß derselbe auch vßgesprochen, w.der stehe alllso Zu M. H. ob etwas vndt wie, Mündlich oder durch einen schrifftlichen Vortrag erinnert w.den soll ? In der Umbfrag würdt gedacht daß noch vil vorgehe so der ordnung Zu wid. Alls daß spate büchel lesen, lange v.drüßliche sitzen, weitläuffig votiren, ohnnötig repetiren stete In vndt Außgehen, discuriren hinder dem brett vndt waß der gleichen Mehr & Erkandt daß per H XV. Meister Jr Botz. H Schonern J Wenckern ein reiffer bedacht gefaßt vnd In ein Concept gebracht w.den solle.

Originaire de Weisweil, le commandant Michel Gœnner acquiert le droit de bourgeoisie pour lui-même, sa femme étant déjà bourgeoise. Il s’inscrit à la tribu de l’Echasse.
1637, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 874
Herr Michael Gönner Von Weißweil Major Kaufft daß burgerrecht für Sein Persohn gegen Erlegung 20 gold fl. wirdt Zur Steltzen dienen hatt Zwar Ein Haußfr. Barbara Kriechlerin So Aber Schon verburgert Jur. den 19. 8.bris 1637.

L’inventaire dressé après la mort de Michel Gœnner est soumis aux Quinze. La somme taillable s’élève à 10 429 livres. Diverses déductions faites, la somme finale se monte à 6608 livres, le manque à percevoir s’élévait donc à 608 livres, ce qui reste dans des limites raisonnables. Les Quinze renvoient l’affaire aux préposés de la Taille. La veuve devra cependant régler une amende pour n’avoir pas réglé d’impôts sur une somme héritée de sa mère.
1640, Protocole des Quinze (2 R 64)
(f° 37) Sambstag den 15. Februarÿ – H. Major Michel Gönner, Erbfall, Abzug
Ward p. H. Frantz. weÿl. H. Major Michel Gönners Inventarium vorgelegt, v. nach v.leßung deß dabeÿ überreichten Kl. Raths bescheid Erkandt, daß deßen frembder Erben In d. Marggraffschaft seßhafft den 10.t pfenning abzug erstatten solle.

(f° 52) Freÿtag den 28. Februarÿ – H. Major Michel Gönners Stattgeschäfft betr.
Vorige [Obere Stall] Herren referiren Per H. Frantzen, daß Sie weren weÿl. H. Major Michel Gönners seel. Inventirter v. zu weniger verstallter Nahrung, Zuvorderist der H. Dreÿer deß Stalls deßwegen vberreichten Schrifftlich. bericht ableßen laß. befund. daß die final Summa Inventarÿ ist 10.445 lb 6 ß 6 d. darzu gelegt wegen Newen burgerrechtens 450. lb Macht die Substanz der Nahrung 10.895. lb 6 ß 6 d. Daran Ist vermög Stallordnung wid. abzuzieh. waß d. haußrath ertragt, nemblich 465 lb 14 ß 9 d. Rest Zuverstallen 10.429. 11 ß 9 d. Weilen aber vnder dießen 10.429. lb 11 ß 9 d. der Fr. Wittiben guth begriffen, v. der verstorbene Major seel. nur 2 ½ Jahr burg. geweßen, als ist daselbige herauß Zu ziehen v. Zu Separiren. weil. besagte Wittib mehr als 20. Jahr burgerin geweß. daß bestehet im v.mög Inventar: fol. 96. sampt dem Widumb so ist 450. lb d. vff 2690. lb 15 ß 1 ¾ d. Restirt also deß v.storbenen Nahrung nach abzug der wittiben unveränderter substantz 7738. lb 16 ß 7 ¼. Davon wider abgezogen, Waß v.mög beÿgelegter Désignation Von den Erben für böß v. v.lohren geacht würd so davon für passirlich gehalten word. nemblich. 1130. lb 14 ß 3 v.bleibt solchem nach die Gönnerische Nahrung endlich. 6608. lb 2 ß 3 ¾ d also daß auß besagter Gonnerisch. Nahrung allein Zu wenig v.stalt 608. lb 2 ß 3 ¾ d. welches für kein exorbitantz Viel wein v. ein ahnsehnlich hauß, so ratione pretÿ in declinatione v. abgang & dahero die Herren Deputirte darfür gehalten es seÿe daß geschäfft wid. an die Herren Dreÿer Zu remittiren v. die Erben von Ihnen darumb leidenlich Zuhalten, weilen Ihnen bereits 62. lb 8 ß für Stallgelt v. nachträg vfgerechnen v. sich d. abzug ohngefehrlich vf 900 fl. belauffen Würd, &
Hingegen aber Weilen die wittib v.mög d Herren Dreÿer außführlich ubergebenen bericht, Ihro von Ihrem Mütterlich. ererbten guth, freventlich in a° 1629. 1700. fl. abschreiben laßen v. besagter Zeit an, biß A° 1637. Jederzeit 2081. fl. Zu wenig v.stallet, v. Ihr deßwegen von den H. Dreÿeren neben 27. lb nachtrag 100. lb Straf vferlegt wd. will, als v.meinen die Herren Deputirte, es solte auch dieser Punct wider an mehrbesagts Herren Dreÿer gewießen, v. Ihnen gesagt wd., ane Statt d. 100. lb 150. lb d Straff Zuerfordern. Erkandt, würd placidirt.

Michel Gœnner dans les registres du Magistrat. Après avoir été au service de la ville de Strasbourg, il est commandant à Benfeld
1632 Conseillers et XXI (1 R 114) Michael Gönner et Cons. Ca Frantz Robe. 263.
1632 XV (2 R 58) Michael Gönner Capitain. 142. [Capitain Michael Ca Soldaten So wein außzäpffen]
1634 Conseillers et XXI (1 R 116) Michel Gönner. 208
(f° 222) Sambstags den 4.ten Octobris. Michel Gönner
H. Stschrb. v.ließt concept auffkündungs schreiben d. bestallung, welche ober ieut. Michel Gönner bißh. Von raths*gehabt. Erk. ist gevolgt.
1634 XV (2 R 60) Michel Gönner Maior zu Benfelden vmb außlaßung Früchten. 94.
1646 Conseillers et XXI (1 R 129) Barbara Greichlerin [um Intercessionales an Coppenhagen]. 78. Weÿl. Michael Gönnerß Wittib [um Intercessionales an Leopold Ludwig Pfaltzgraffen beÿ Rhein]. 90. 111.

Veuve de Michel Gœnner, commandant de la place de Benfeld, Barbe Kreuchel fait son testament par lequel elle institue pour héritier son fils orfèvre Jean Ulric Speccerus, à défaut ses enfants. S’ils ne se manifestent pas dans les délais prescrits, elle leur substitue les enfants que son frère Elie a eus de sa femme Agnès Scholl (Elie, étudiant, et Abraham, apprenti boucher) et les enfants que sa sœur Marguerite a eus du libraire Jean Philippe Sartorius (Marie femme de l’orfèvre Jean Joël Leopard, Barbe et Joachim, apprenti orfèvre).
1643 (29.7.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 63)
(N° 395) 1643 (…) auff Sonntag den 26. Monatstag Junÿ umb halb Süben Uhren nachmittag, In mein endtsbenanndten Notarÿ bewohnenden behaußung Inn der Statt Straßburg, nahe dem Roßmarck, Einseÿth neben einer behhaußung Zum weißen Rößlein, genandt geleg. der obern Vordern Stuben gegen der gassen sehendt (…) Persönlich Erschienen Ist, die Vÿl Ehren vnd tugendreiche Fraw Barbara Kreüchelin weÿlandt herrn Michael Gönners Major der Vestung Benfelden und burgers Zu Straßburg nunmehr seel. hinderlaßene Wittib gesunden gehnden vnd Stehenden Leibs (…) Ihren letzten Willen Inn dießer Verschloßene libell anstellen vnd verfaßen Laßen, welche herrn Jacobi Bauren Ein vnd Zwantzigers, des Vogts gethane anzeig vorhergenandte frauw Barbara Kreüchelin auch widerholt (…)

Barbara Kreuchelin d. 29. Julÿ 1643. Ich Barbara Kreüchelin, weÿlandt herrn Michael Gönners Major der Vestung Benfelden undt burgers Zu Straßburg nunmehr seelig hinderlaßene Wittib (…)
instituire, setze vnd ernenne Zu meinen Erben meinem mit weÿland dem Wohl Ehrwürdig vnd hochgelehrten Hrn Tobia Speccero, der heÿlig. Schrifft Doctore und Pfarrer der Pfarrkirch St. Niclauß Zu Straßburg nunmehr Christ seelig. Inn erster ehe ehelich erzeigt. vnd nach todt hinderlaßnen lieben vnd einigen Sohn nahmen Hannß Ulrich Specern goldarbeiter vnd der selbige mein todtfall nicht erlebt. aber sich verheürathet hab. vnd liebe Kindelein sowan* Ihne ehelich. erzeugt hinderlaßen würd. (…) Im fall aber weder mein Sohn und eingesetzte einiger Testaments Erb Zur Zeit meines todtfalls vorhand. sein od. In d. hernach bestimpte Zeit sich anmeld. werd. So will Ich Ihne meinen sohn od. sein Kinderlin hiemit bestermaß. substituirt vnd vndersetzt hab. Erstlich weÿland herrn Eliæ Kreüchels goldtarbeiters burger Zu Straßburg meinen lieb. bruders selig mit frawen Agnes Schollin ehelich erzeugt noch lebende Zween Sohnen namentlich M Eliæ Kreucheln artium Studiosum und Abraham Kreucheln deß. brud. So deß Metziger handwerck erlernet, Zu einem Stamtheil
vnd dann weÿland frauwen Margarethæ Kreüchelin Ihrer lieb. schwester selig mit auch weÿland h Johann Philipp Sartorio, buchhändlern burgern Zu Straßburg ehelich erzeugte vnd nach todt hinderlaßene dreÿ Kinder benantlich Mariam Sartorin, herrn Hans Joel Leopardts goldtarbeiters burgers Zu Straßburg haußfrau, Jungfrau Barbaram Sartorin vnd Hans Joachim Sartoren so daß goldtarbeiter handwerckh beÿ erstgenandt. hanß Joel Leopard Zu erlernen Verdingt Zum andern Stammtheil, In all mein nach todt hinterlaßene haab Nahrung vnd güetter

Le receveur de Claire Anne de Hagenbach née de Kippenheim donne quittance d’une somme garantie sur la maison qui appartient à Barbe Kreuchel, veuve du commandant Michel Gœnner, précédemment remboursée en 1622 lors de la dévaluation monétaire

1644 (9. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 158
Erschienen H. Joachim Rüderer Schaffner Zun Rewern alhie, alß Schaffner weÿl. der wohl Edeln frawen Clar Annæ von Hagenbach gebohrner von Kippenheim nunmehr seel. hinderlaßener Erben, hatt bekannt
Demnach besagte Fraw Clar Anna, von, vff und abe der ienig. Kräuchlerisch. alhie geg. dem Predig. Collegio hierüber neb. der Samblung Zum Thurn gelegenen Behaußung, so fraw Barbara Kräuchlerin, weÿl. H Maior Michael Gönners seel. hinderblibene wittib nun Zumahl eigenthümlich inn hatt, und besitzt, alle Jahr 10 guld. Straßburg. Wehr. iährlich und mit 200. gulden berührter Wehr. widerkäuffigen Zinnßes, Zwar fallen und Zu erfordern gehabt, Vnd aber am 21. 9.br. a° 1622. also in der allzukekannt. Müntz Verwirrung, nunmehr weÿl. H Joachim Berting groß. Rhats Verwanth seel. alß damahlig. Innhaber berührter Behaußung ingleichem Weÿl. H Joachim Rüderern dem ältern, sein H Joachim Vetter seel. alß damahligem Schaffnern obgedachter Fr. Clar annæ den bemelt. Zinnß mit 200. fl. wehr. hochersteigter Müntz Sort. ohngenugsamb abgelöst (…)

Les enfants d’Elie Kreuchel donnent quittance à Barbe Kreuchel du prix de cession de la maison d’après un accord passé lors de la succession de Marguerite Bauer
1644 (26. april.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 269
Erschienen Weÿl. H Eliæ Krauchelß seel. mit Fr. Agneß Schollin ehelich erziehlt noch lebende Zweÿ Kind. und Erben, benantlich. H M: Elias Kräuchel für sich selbst. und David Rapp der Metzger alß Vogt Abrahams, mit beÿstand erstermeldter ihrer eheleiblich. Muter, wie auch H Heinrich Kochen groß. Rhats Verwanthens ihres Vogts,
haben in gegensein Frawen Barbaræ Kräuchlerin, weÿl. H Maior Michael Gönners sel: Wittibin, mit beÿstand H Jacob Bauren Ein und Zwantzigers ihres Vogts
von Ihro Fr. Barbarä Zu genüg. empfang. haben 200 Pfund ahne denen ienig. 657 Pfund 10 schilling pfenning, welche Sie Fr. Barbara ahne einer mehrern Summ, weg. Käufflich angenohmener Behaußung geg. dem Predig. Closter hienüber gelegen, in crafft der, über weÿl. Frawen Margarethæ Bäurin nunmehr auch weÿl. H Joachim Berdingß groß. Rhats Verwanthens geweßenen haußfrawen seel. Verlassenschafft in a° 1636. durch Notarium Daniel Strintzen Verfaßter Vergleichung fol. 16. Ihnen denen Kräuchelisch. Geschwisterd. Zielweiß Zue erstatten schuldig word.

Même quittance donnée par les enfants de Jean Philippe Sartorius et de Marguerite Kreuchel

1644 (26. april.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 270
Erschienen H. hannß Caspar Wolff alter groß. Rhats Verwanther alß Vogt hannß Joachims und Barbaræ, weÿl. H Johann Philipps Sartorÿ deß Buchführers, mit auch Weÿl. Fr. Margaretha Kräuchlerin ehelich erziehlter beÿd. iüngerer Kind., mit beÿstand H Johann Joel Leoparts deß Goltarbeiters alß Ehevogts Fr. Mariæ deroselb. ältern Schwester
haben in gegensein Frawen Barbaræ Kräuchlerin, weÿl. H Michael Gönners geweßenen Maiors Zu Bennfeld. sel: nachgelaßener Wittibin, mit beÿstand H Jacob Bauren Ein und Zwantzigers ihres Vogts bekannt,
daß dieselbe vff abschlag der ienig. 657 Pfund 10 Schilling pfenning, welche Sie Fr. Barbara weg. Käufflich angenohmener Behaußung geg. dem Predig. Closter hienüber geleg. in crafft deß, über weÿl. Fr. Margarethæ Bäurin auch weÿl. H Joachim Berdingß groß. Rhats Verwanthens seel. geweßener haußfrawen seel. Verlassenschafft in a° 1636. durch Notarium Daniel Strintzen schrifftlich Verfaßter Vergleichung fol. 15. besagter Fr. Margarethæ Zu ihrem Antheil schuldig worden (…)

Les enfants du libraire Jean Philippe Sartorius vendent au relieur Jean Georges Schantz le reste du fonds de librairie qui se trouve dans la maison de Michel Gœnner
1644 (23. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 614-v
Erschienen H Johann Joel Leopard d. Goldarbeiter burger Zu Str. alß Ehevogt Fr. Mariæ Sartorÿ, So dann H Johann Caspar Wolff Alter Groß. Rhats v.wanther alß Vogt Hannß Joachims und Barbaræ Sartorÿn, alle dreÿ weÿl. H Hannß Philipp Sartorÿ gewesenen Buchführers seel. Kind. und Erben
haben in gegensein hannß Georg Schantzen deß buchbinders burg. Zu Str.
Ihr der Sartorischen noch in H. Major Michael Gönners seel. Behaußung Vorhandenen Buchhandel, benantlichen 54. Ballen, 5 Riß, 8 Bücher, 18. Bög. roh und ohn eingebundene Exemplaria – den Ballen à 9 fl. 5 ß, also zusammen 518. fl. 4 ß 5 d

Héritier pour un sixième du commandant Michel Gœnner, Michel Sebold, de Forchheim en Bade vend ses droits à la veuve Barbe Kreuchel
1647 (30. April), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 291-v
Erschienen Michael Seboldt von Forcheim in der obern Marggraffschafft Baden, mit beÿstand Martin Wurtzen deß Würthß Zu Eckhboltzheim
hatt in gegensein Frawen Barbaræ Kräuchlerin H Michael Gönners geweßenen Maioris Zu Bennfeld. nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, mit beÿstand H. M. Christophori Schillingß Pfarrers im Münster ihres Curatoris
die eigenschafft ihme Michael Seboldten Zum sechßten theil von gemeldt. Maior Gönnern erblich angefallen, ahne denen ienig. 2565. lb 6 ß 1 d in dem, durch H Daniel Strintz dem Notarium in a° 1640. über sein H Maior Gönners Verlassenschafft und Ihr Frawen Barbaræ Kräuchelin Nahrung vffgerichtet. außweißung und lüfferungß Register fol. 23. fac. 2. fol. 74. fac. utraq. beschrieben seind, Sie Fr. Barbara ihr leben lang Widems weiß Zugenieß. hatt – umb 218. lb
[in margine :] Erschienen der verkäuffer hatt in gegensein der Fr. Käufferin mit beÿstand H Johann Joel Leobarts deß Goltarbeiters (…) quittirend, Act. d. 4. Julÿ A° 1648.

La maison revient aux enfants du libraire Jean Philippe Sartorius qui épouse en 1619 Marguerite Kreuchel

Proclamation, Temple-Neuf (luth. p. 88)
1619 Dominica 9. Trin: den 25 Julÿ. H Hans Philips Sartor buchführer alhie, vnd Margareth H Abraham Kreychels des goltarbeiters n. tochter, eingesegnet zu Eckboltzheim montag den 2. Augusti (i 49)
Mariage, Eckbolsheim (luth. n° VI)
1619. Dnca 10. Trinit. Montag d. 2. Augusti hielten ihren Kirchgang H Hans Philipps Sartor vndt Margaretha H Ambrahams Kreuchels des goldarbeiters nachgelaßene dochter, Sind im Münster Zu Straßburg Zum 2. mahl augeruff. Word. (i 112)

La moitié en revient en partie à l’orfèvre Jean Joël Leopard qui épouse en 1637 Marie, fille de Jean Philippe Sartorius
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 243)
1637. Eadem [Dom. XXIII. Trinit. 12. 9.bris] H. Hans Joël Leopart der goldarbeiter, H. Leopart gewesenen schaffners Zu den Rewern nachgelaßener Sohn vnd J. Maria H. Hanß Philips Sartorÿ deß buchhändlers alhie. Cop. 21. 9.bris Zu J. St. Peter ( 123)

Jean Joachim Sartorius hypothèque 150 livres qui lui reviennent sur la maison dite Au Mûrier dans le rue des Orfèvres.

1654 (8. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 304
Erschienen H hannß Joachim Sartorius der Goltarbeiter mit beÿstand H Johann Joel Leoparts deß Goltarbeiters seines Schwagers
in gegensein deß Ehrenvest hochgelehrten H Mathæi Meÿers Med. Doct. – schuldig seÿen 75. lib
Underpfand sein soll die ienige 150 lb so ihme vff der alhie in dem Goltschmidgaß. gelegenen und Zum Maulbeerbaum genandten Behaußung titulo legati bekantlich gebühren

La femme de Michel Wolff, meunier à Weisweil, l’enfant de Catherine Wurtz et Jean Reith de Weisweil vendent à Jean Joël Leopard le sixième qu’il peuvent prétendre dans la maison

1677 (19. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 471
Michael Wolffen deß Müllers Zu Weißweÿhel Eheweib, mit beÿstand erstgemelts ihres Ehevogts, weithers Georg Scher Von Eckboltzheim, alß Vogt Lorentz Wurtzen mit weÿl. Catharina Wurtzin daselbst deßen gewesenen und abgeleibten eheweib nunmehr seel. ehelich Erziehlten und hinderlaßenen Kindts, so dann Johann Reÿth der Vogt Zu Weÿßweÿl
in gegensein Herrn Johann Joel Leopardts E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers
Einen Sechsten theil Von und ahne einen halben theil, Ihro Wolffin, Ihme Raithen undt dem Wurtzischen Kind für ohnvertheilt gebührend ahne dreÿen underschiedlichen Stöckhen, höfflein, Zweÿen bronnen, auch allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Goldschmidts gaß, Vornen gegen dem Thumb Probsteÿ hoff, hinüber, anderseit neben Emanuel Gastelio dem Glaßer und Glaßmahler, anderseit neben der Samblung Zum Thurn, hinden gegen dem Chor deß Collegÿ Prædicatorum, allwo erwehnte behausung Einen ein und Außgang hatt, und allda einseit neben Herrn Johann Christoph Bähren Notario und Schaffnern deß Closters St. Margarethæ und Agneßen und anderseit neben obgemelter Samblung ligt, welche behaußung annoch umb 100. fl. straßburger wehrung herren (-) Von Mannteuffel fürstl. Würtenberg.Hoff Marschallen ehevögtlicher weiß, Item umb 100. fl. gedachter Wehrung (Item umb 100 fl. gemelter Wehrung, Item umb 200. fl. besagter wehrung, so dann umb 300 fl. verhafftet) – umb 50. lb

Anne Marie Karcher, femme de Balthasar Mast de Weisweil dans la seigneurie de Hochberg, vend sa part au même

1680 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 104-v
Anna Maria Karcherin, Balthasar Masten Zu Weißweÿl in der Marggraffschafft Hochberg, eheweib, mit beÿstand hannß Jacob Röschen Von Malterdingen ihres dochtermanns
in gegensein Herrn Johann Joel Leopards E.E. großen Rhats beÿsitzers allhier
Ihro Mastin für ohnvertheilt gebührend ahne dreÿen underschiedlichen Stöcken, höffen, Zweÿen bronnen auch allen übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Goltschmid Gaß, Vornen gegen dem Thumb Probsteÿ hoffs hinüber, einseit neben Emanuel Gastelio dem glaßer und Glaßmahlen, anderseit neben der Samblung zum Thürn, hinden gegen dem Chor deß Collegÿ Prædicatorum alwo erwehnte behaußung einen ein: und Außgang hatt, und alda einseit neben H. Johann Christoph Bähren Notario und vogteÿ Gerichts Schreibern, und anderseit neben obgemelter Samblung ligt, welche gantze behaußung annoch umb 100. fl. Straßburger wehrung herrn Christoph Von Manteuffel fürstl. Würtenbergischen Hoff Marschallen ehevögtlicher weiße, Item umb 100. fl. gedachten Wehrung dem Kloster St. Margarethæ und Agneßen, Item umb 100. fl. (Item umb 200. fl., so dann umb 300.fl. verhafftet)

L’orfèvre Jean Joël Leopard meurt en 1687 en délaissant huit filles et un fils. Une moitié de la maison appartient au défunt et à sa sœur Barbe Sartorius femme de (Valentin) Storck, l’autre aux héritiers de Michel Gœnner. Les experts estiment la maison à 1 725 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 533 livres, le passif à 433 livres.

1687 (14. 9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 21) n° 201
Inventarium vnd beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so weÿlandt der Edle wohl Ehrenvest, fürsichtig und wohlweise auch Kunsterfahrene Herr Johann Joel Leopardt geweßener Goldtarbeiter auch E: E: Hochweisen Großen Rath alhier zu Straßburg alter Assessor nunmehr seeliger, nach seinem Sonntags den 5. 8.bris iüngsthin aus dießer Wellt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß abgeleibten Herrn Rathherrn seel. ehelich erzeugte herren Sohns, frawen undt Jungfr. Töchter (…) So beschehen in Straßburg den 14. 9.bris 1687.
Der verstorbene herr Rathherr seeliger hat ab intestato Zu seinen Erben verlasen wie volgt. 1. die vielehren und tugendreiche Fraw Margaretha Gambßin gebohrne Leopardin Weÿl. deß wohl Ehren vesten und vorgeachten herrn Friderich Gambßen geweßenen Handelßmanns und Burgers alhier nunmehr seel. hinderlaßene fraw Wittib welche mit beÿstandt deß Edlen wohl Ehrenvesten, fürsichtig und wohlweisen H Johann Conradt Huthen, vornehmen Handelsmanns und EE: Hochweisen Großen Raths alhie alten, auch E: E: Kleinen raths ahne statt eines Constofflers, ietzigen wohlmeritirten Assessoris, ihres geschwohrnen herrn Vogts, dem geschäfft in Persohn beÿgewohnt
2. die viel Ehren und Tugendreiche fraw Annam Catharinam Hartmännin gebohrne Leopardin, deß Ehrenvesten und vorgeachten H Johann Philipp Hartmann, Paßmentirers undt Seidenhändlers, auch Burgers alhier zu Straßburg Eheliche Haußfraw, so beneben erstgedachtem ihrem H Ehevogt Zugegen gewesen
3. den Ehrenvesten undt vorgeachten auch Kunsterfahrnen H Johann Joel Leopardten, Goldtarbeitern und burgern alhier, welcher Persönlichen dem geschäfft beÿgeweßen. 4. die viel Ehren und Tugendsame fraw Mariam Salome Grattingerin, gebohrne Leopardtin, weÿl. deß Ehren und vorgeachten H Johann Jacob Grattingers gewesenen Einspännigers und burgers alhier hinderlaßene Wittib, so mit assistenz deß Ehrenvesten und Rechtsgelährten herrn Johann Carl Leopards Notarÿ Publici auch beambten in allhießigem Zoll Keller, ihres geschwornen H Curatoris beÿwohnete. 5. Jungfrau Maria, 6. Jgfr. Annam Magdalenam 7. Jgfr. Ursulam, 8. Jgfr Susannam Undt 9. Jgfr Agnetham die Leopardtin, Welche letztere noch ledige fünff Jungf. Schwestern alle mit beÿhülff deß Edlen wohl Ehren vesten fürsichtig und wohweisen herrn Johann Joachim Sartorÿ Vornehmen Goldarbeiters und E. E. hochweisen Grosen Raths alten, auch E.E. Kleinen Raths ane statt eines Constofflers ietzmahligen beÿsitzers, derer geschwornen herrn Vogts, in Persohn Zugegen geweßen. Alle Neün deß in Gott ruhenden herrn Rathherrn seel: mit Weÿland der Viel Ehren undt Tugendreichen Frawen Maria Leopardtin gebohrnen Sartorin nun auch seel. Ehelich erzeugte herren Sohn, Frawen und Jgfr. Töchtere auch ab intestato Zugleichen antheilen verlaßene Erben.

In Einer in der Statt Straßburg ahne der Goldschmidt Gaßen gegen dem Thomb Probsthoff gelegenen, von dem herrn Rathherrn seel: bewohnten behausung, ist gefunden worden wie volgt
Ahne Hützen Und Schreinwerck. Auff dem Kasten, In der Cammer A, In der obern Stuben, In der Mittlern Stuben, Inn der Stub Cammer, In der Nebens Cammer, Im Hauß Öhren, Im Nebens hauß, In der Speiß Cammer, In der Wohnstuben, In der Kuchen, In der Neben Kuchen, Im Undern Hauß öhren, Im Gewölb
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung. Eine Behaußung bestehet in dreÿ vnderschiedenen stöcken sambt zween vnderschiedenen höffen, zween brunnen, auch allen andern deren gebauwen, begriffen, weithen, Zugehörten, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhie in d. Statt Straßburg, in der Goldtschmidt gaß hiebevor die groß Prediger Kirch gaß genant, vornen gegen deß Thumb Probsteÿ hoff hienüber, Zum Maulbeerbaum genandt, einseit Herren Emanuel Gastelio dem glaßer und glaßmahler, anderseit neben d. samblung Zum thurn, hinden gegen dem Chor des Collegii Prædicatorum alwo erwehnte behaußung einen Ein: und außgang hat, und alda, einseit neben herrn Johann Christoph Bähren, Notario und E: löbl. Vogteÿ gerichts Actuario, und anderseit neben obgemelter Samblung liegt.
Von der gantzen Behaußung seindt Jährlichen ahne beschwerden abzurichten wie volgt, Erstlichen 5 fl. Straßburger wehr. gefallen Jährlichen auf Michaelis Jcker Jacob Reichardten von Ending. seelig. Erben, ietzo Herrn Christoph von Manteuffel Ehevögtlichenweiß in hauptg. abzulöß. mit 100 fl. bemelter wehrung, th. 52. lb 10 ß d, Mehr 5 fl. Straßb. wehrung Jährlichen uf Michaelis den Closter St Margarethen und Agneßen zu Straßburg lößig in Capital mit 100 fl. berüerter wehr. machen 52. lb 10 ß d. Weiter 8 fl. Straßb wehrung dem Gemeinen Almoßen zu St: Marx Jährlichen auff Weÿhenachten redimibel mit 200 fl. gedachter wehr. thun 105. lb d, Ferner 5 fl. Straßburger wehr. dem Ordens hauß zu S. Johann Zum Grünen wörth alhier Jahrs auff Michaelis stehen Inn haubtgut abzulößen mit 100 fl. gedachter wehr. machen 52. lb 10 ß d, Item 6 lb. d. ewig v. ehrschätzig. gelts, der Rothen Kirchen oder deren gefall ieweiligen Einsamblern alhier auf Joh. B. und Weÿhenachten iedes mahl zue helffte v.fall. in haubtgut hieher ohnvergreifflich vor 240 lb. Sa. hievor beschriebener auff der völligen behausung stehend. beschwerd. ist 502 lb 10 ß d.
Vnd ist die gantze behaußung durch (die) Werckmeistere, über Vorstehende beschwerden sammethafft æstimirt pro 1222 lb 10. ß d. Ahne dießer behaußung ist die helffte frawen Barbaræ Storckin gebohrner Sartorin d. Erben fraw Mutter seel. Schwester und dann ihnen den Erben selbsten von dero Fraw Mutter seel. hero Zugleichen antheilern gebührig thut 611. lb 5 ß. Auff dießem d. Erben und dero fraw Mutter seel: Schwester gehörig. halben theil haben H Johann Joachim Sartor Goldarbeiter und E: E: Grosen raths alter beÿsitzer, Ferner herr M: Elias Bernhardt Kreüchel Pfarrer Zu Dettweiler undt Dosenheim, und Zwar der erstern Zur Tertz, der letzter aber Zu Zween dritte theilen Zuerfordern so Jährlichen auff den 6. Martÿ mit 18. lb d à 4 procento gerechnet Zuverzinßen benantlichen 450. lb d. Verbleibt also noch an hievorigem halben Theil per rest übrig 161 lb 5 ß. Darann in dieße Erbschafft den halben theil gehörig Thut 50 lb 12 ß 6 d.
Ferner ist hiehero auch gehörig der überige halbe theil ahne d. völlig. Behaußung so hiebevor weÿl. Herrn Michael Gönners gewesenen Majors see: nachgelasene Erben Zuständig gewesen aber seithero und Zwar in Annis 1677. et 1680 von d. verstorbenen H Rathherrn seel. an sich erhandelt worden, thut dem vorigen anschlag nach 611 lb 5 ß d. Machen also die in dieße Erbschafft an hiebevoriger behaußung gehörige 3/4 teil nach abzug daruff stehenden beschwerden per rest 619 lb 17 ß 6 d. hievon gehet ferner ab der Schenckbecherischen Stifftung alhier jährlich auf Dorotheæ von dem hieher gehörig. antheil zu entrichten loßig in hauptguth mit 200 lb d Restiret also an dem hiehero gehörig. rato annoch so dißorths außzuwerffen 491. lb 17 ß d
Vber dieße behaußung besagt i. P. K.b. mit d. statt Straßburg Contract Insieg. Verwahrt durch H. Jacobum Küglern Notarium Instrumentirt de dato den 5. Aug: 1590. mit altem N° 17. notirt. Mehr ein Teutsch: Per: K.b. mit d. Statt Straßburg anhangend. Cantzleÿ Contract Insiegel verwahrt de dato den 19. Junÿ A° 1677. Mehr j: Teutsch:P: K.b. mit d. Statt Straßburg anhangend. Cantzleÿ Contract Insiegel becräfftiget deren datum den 6. Feb: 1680. Alle dreÿ mit ietzigel N° 7 signirt Dabeÿ in einer scheideladen allerhandt Pergamentene Kauffbrieff und abgelöste Zinß verschreibung befindlich.
Item eine behaußung am alten 13.en graben in d. vorstatt Steinstraß hind. den Mauren (…)
Abzug In dießen Inventarium gehörig, Sa. haußraths 156, Sa. Frücht 2, Sa. Vaß 11, Sa. werckzeug zur goldarbeith gehörig 6, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 21, Sa. guldnen ring 7, Sa. baarschafft 18, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 789 Sa. Eÿgenthumb ane häußern 504, Sa. Schuld 13, Summa summarum 1533 lb – Schulden 433, Nach deren Abzug 1099 – Conclusio finalis Inventarÿ 1411 lb
Abschatzung freitags d. 21. 9.bris 1687. Weillandt deß Ehren Vösten vnd Weißen herrn Johann Joell Leobart geweßenen Goldarbeiter vnd E: E: Großen Raths alter beÿsitzers See: hindelaßene Erben Behaußung in der goldschmidt gaßen gegen dem Thompropst hoff über, Ein seitzs Neben der Samblung Zum Thurn, anderseitzs Neben herrn Emanuel Kastellius dem glaßer hinden auff daß Korr Zun prediger stoßent welche fo[r]der Mitler vnd hindere behaußung Samp gaden Zweÿ hoff vnd Zweÿ bronn Vnd gutte Keller auch sonsten dero begriff recht vnd gerechtig Keÿt Wie solches durch die geordnete Werckhleitt befunden vnd dem Jetzigen preiß vnd Wehrt Nach angeschlagen Vor vnd vmb dreÿ Thaußendt vier hundert vnd Vinfzig Gulden. Bezeÿgens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager alter Werckmeister, Johann Feÿlotter Werck Meister deß Zimmerhoffs, Madtiß Schmaßmann Werckmeister des Maurhoffs

Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 503)
1647. Domin. 1. Epiphan. Herr Johann Valentin Storck der Jünger, Herrn Johann Valentin Storcken des Schaffners in dem Weÿßenhauß alhie ehelicher Soh, Vnd Jungfr. Barbara, Herrn Johannis Philippi Sartorÿ, deß geweßenen Buchführers, vnd. Burgers allhie nachgelaßene eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster Mont. 10. Januarÿ (i 256)

Les enfants et héritiers Leopard cèdent les trois quarts de la maison au Mûrier à l’orfèvre Jean Joachim Storck et à sa femme Marie Salomé Hessler

1690 (1. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 587-v
Fr. Margaretha gebohrne Leopardin, Hn Emanuel Fischers deß ältern handelßmanns eheliche haußfrau, mit beÿstand deßelben, Fr. Anna Catharina auch gebohrne Leopardin, Hn Johann Philipß Hartmanns, deß Paßmentierers eheliche haußfrau, H. Johann Joel Leopard, der Goldarbeiter, für sich selbsten, Fr. Maria Salome auch gebohrne Leopardin, Hn Johann Engelhards deß tuchscherers haußfrau, mit beÿstand ihres Erstged. Ehevogts, Ferner Jfr. Maria, Anna Magdalena, Ursula, Susanna und Agnes alle Fünff gebohrne Leopardin, noch ledig. Stands, aber majorennis, mit beÿstand Hn Abraham Kreuchels deß Metzgers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers, alle Neun leiblich Geschwisterige, und weÿl. Hn Johann Joël Leopards deß ältern gewesenen Goldarbeiters und E.E. großen Raths beÿsitzers sel. ehelich erzeugte Kinder und Erben
in gegensein Hn Johann Joachim Storcken, deß Goldarbeiters und Mariæ Salome gebohrner Häßlerin
dreÿ Vierdte Theÿl an der von alters her Zum Maulbeerbaum genandten Behaußung bestehend in dreÿen underschiedlichen Stöcken, Zweÿen höffen, Zween bronnen, auch allen übrigen deren Gebaüen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und gerechtigkeit. darvon d. vordere Stock allhier in der Großen Prediger: oder Goldschmidgaß, gegen dem dom Probsteÿ hoff über, einseit neben Hn Emanuel Gastelio dem Glaßer und Glaßmahler, anderseit neben der Samlung Zum Thurn, d. hinderhauß aber, welches sein besondere auß und Eingang hat gegen dem chor deß Collegÿ Prædicatorum, einseit neben Hn Johann Christoph Bähren Notar Publ. und Vogteÿ gerichts schreibern anderseit neben vorgemeldter Samblung, welch d. Eck an ged. Goldschmidgaß macht, daran sich d. hauß Zum Maulbeerbaum herumb Ziehet, und stoßet der hindere hoff auff Hn Philipp Theus Notar. Publ. zum theil, zum theil auff hans Jacob Krieck dem Schiffmann, Zum theil auch auff Hn Johann Adam Gollen, JU Doctorem und E.E. Großen Raths Procuratorem et Advocatum gelegen, Von welcher gantzen behaußung geh. jährlich auff Michaelis Fünff gulden Straßburger wehrung weÿl. denen von Endingen, modo /:tit:/ Frauen (-) von Manteuffel gebohrner von Dettlingen, ablösig mit 100 gulden ged. wehrung, Ferner Fünff gulden ermeldter wehrung jährlich auch auff Michaelis dem Closter zu St. Margarethæ und Agneßen allhier wid. lößig auch mit 100 gulden ged. wehrung, weiter acht gulden Straßburger wehrung dem Stifft oder Allmosen zu St.Marx allhier jährlich auff weihnachten albösig mit 200 gulden, ged. wehr. Mehr fünff gulden ged. wehrung, dem Closter zu St. Johann zum grünen wörth allhier, jährlich auff Martini auch ablösig mit 100 gulden vorged. wehr. So dann Sechs Pfund pfenning gelds dem Stifft zur Rothen Kiechen allhier jahrs auff Johannis und weÿnachten iedes mahl zur helffte, ewigen Geldts, hieher in Capital gerechnet für 120 lb. d, bißhero ¾. dem Kaüffer aber weg. hernach bemeldt. accord mit seinen geschwistrig. ¼. zu leid. gebühret. Vber dießes so ist die gantzer behaußung auch umb 450 lb Capital (…) an welchen 450 lb. die verkäuffere Zuvor die helffte, und Kaüffer die übrige helffte zu leid. gesetzt, So dann endlich seÿn die verkaüfte dreÿ vierdte theÿl insond.heit umb 200 lb Capital der Schenckbecherischen Stifftung verhafftet – zumahlen der übrige Vierdte theÿl einged. Kaüffern zu vorhin gehörig, alß welcher von solchen Viedtern theÿl einen Siebend. theÿl von weÿl. Fr. Barbara Storckin, gebohrner Sartorin seiner leiblich. Mutter seel. ererbt, umb [sic] die übrige Sechs Siebende theÿl aber seine Geschwistrige beÿ Vertheÿlung Mütterlich Verlassenschafft auffgekaufft und umb den Kauffschilling derselben gebührende satisfaction gethan, wie d.selbe nicht allein mit hierbeÿ vorgelegt. theÿlregister bezeugte, sondern auch H. Johann Peter Storck Accis schreiber, und H. Georg Specken d. Specirierer, deß ältisten brud. und Schwager hierbeÿ gegenwärtig anzeigt. und bekandt – geschehen umb 788 Pfund

Les Quinze autorisent Jean H. Storck à régler la moitié des droits de mutation en capitaux déposés à la Tour aux Deniers
1691, Protocole des Quinze (2 R 95)
(p. 37) Sambstags den 17. Martÿ – Hannß Joachim Storck pt° Pfundzoll
Hannß Joachim Storck der Goldarbeither per Künast prod. Pfundzollschein, 25. lb besagend, mit Undth. Bitt ihme die helffte darann an Versessenen Pfenningth. Zinnßen gn. Zu defalciren. Erk. Willfahrt.

Fils du receveur Jean Valentin Storck, Jean Joachim Storck épouse en 1688 Marie Salomé Hessler, fille du fourrier municipal Jean Wolfgang Hessler
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 4-v n° 19)
Heut dato den 5 Maÿ 1688 seindt, nach ordentlich. p.clamation auff Dom: Quasimodo et Misericord. den 25. Aprilis undt 2 Maÿ, von mir (…) copulirt word. H. Johann Joachim Storck der ledige goldarbeit. weÿl. H Joh: Valentin Storcken, gewesen. Adelich. schaffners u. ungelts beampten nachgelaßener ehelicher Sohn, undt Jfr. Maria Salome weÿl. H Joh: Wolffgang Hesslers, gewesen Burgers undt Stattfuriers alhiier nachgelaßener eheliche tochter bezeugens (unterzeichnet) Johan Joachim Storck Als hochzeiter, Maria Salome Häßlerin Als hoch Zeiterin, Friderich Wieger D als Curator der Jfr. hochzeiterin (i 7 – proclamation, Temple-Neuf f° 157-v)

Jean Joachim Storck loue une partie de la maison, sans les boutiques, à Jean Frédéric von Gottesheim

1691 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 319
H. Johann Joachim Storck, der Goldarbeiter
H. Johann Friderich von Gottesheim
entlehnt, in seiner am Goldschmidsgaß gelegenen behaußung den vordern auff die Gaß gehend. Obere Stockwerck, ohne die darund. gelegene läden und Stüblein, Ferner den vordern halb. Keller, wie solches underschlagen und dem Hn Entlehner gewiesen worden, auff dreÿ Jahr lang von Annunc. Mar. diß jahrs anzurechnen, umb 16 Pfund jährlich. Zinßes

Jean Joachim Storck loue une boutique au formier Adrien François le Vent

1691 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 319-v
ut supra [H. Johann Joachim Storck, der Goldarbeiter]
Adrien François le Vent deß Leisten schneiders
entlehnt, in seiner in Goldschmids gaß gelegenen behaußung den understen Laden, einseit neben deß Verleihers Goldschmids lad. anderseit neb. H. Emanuel Gastelio den Glaßer und Glaßmahler, auff dreÿ jahr lang von Johannis Baptistæ diß Jahrs anzurechnen umb 5 pfund 10 schilling pfenning jährlich zinß

Jean Joachim Storck hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Daniel Kauffmann. Sa femme Marie Salomé Hessler se porte garante.

1691 (23. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 814
H. Johann Joachim Storck, der Goldarbeiter
in gegensein H. Daniel Kauffmanns deß Silberarbeiters – schuldig seÿe 250 pfund
unterpfand, Eine behaußung bestehend in dreÿen underschiedlichen Stöcken, Zweÿen höffen, Zweÿen bronnen sambt allen übrig. deren Gebaüen, recht. und Zugehördten, darvon d. Vorder Stock allhier in d. Goldschmids oder großen Prediger gaß geg. dem Probsteÿhoff über, einseit neben Emanuel Gastelius den Glaßer und Glaßmaler, and.seit neben der Samlung zum thurn, d. hind. hauß aber welches seine besondere auß und Eingang hat geg. dem Chor deß Collegÿ Prædicatorum, Einseit neben weil. Johann Christoph Bären, gewes. Notar. und Vogteÿ gerichts schreibers sel. Erb. anderseit neb. ged. Samlung, welche d. Eck an ged. goldschmid gaß macht, und hind. auff G. Phil. Henrich Theus den Notar. Zubehörden, Zum theil auff hans Jacob Kieck* den Schiffmann, Zum theil auch auff H Joh: adam Gollen J.U. Doctorem und E.E. Großen Raths procuratorem & Advocatum stoßend gelegen, und zum Maulbeerbaum genandt, Von welcher behaußung gehen jährlich auff Michaelis fünff gulden straßb. wehr. weil. denen von Endingen modo Fr. von Manteuffel gebohrner von Dettling. ablößig mit 100 Gulden ged. wehr. Ferner Fünff guld. ermelder wehr. jährlich auff Michaelis dem Closter zu Sr. Margarethæ und Agneßen allhier, wid.lößig auch mit Ein hundt. Gulden gewehr. weiters acht guld. Str. wehr. den stifft od. Allmosen zu St Marx auff weihnacht. ablös. mit 200 guld. ged wehr. Mehr 5. guld. erst wid. ged. wehr. dem Closter Zu St. Johann auff Michael. auch ablösig mit 100 guld. vorged. wehr. So dann 6 lb d dem Stifft Zur Roth. Kirch. allhier jahrs auff Johannis und weihnachten jedes mals zur helffte ewig. gelds in Capital gerechnet für 120 lb
Zu deßen mehrer Versicherung ist hierbeÿ persönlich erschienen Fr. Maria Salome, gebohrne Häßlerin, deß debitoris eheliche haußfr. und Zwar dieselbe mit beÿstand Hn Johann Michael Gambßen, deß handelßmanns und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers ihres Schwagers und Georg Vetter deß lautenmachers und Meehlwägers ihres Vettern, die hat sich für solche schuld verbürgt

Jean Joachim Storck se plaint en février 1693 des logements militaires. Le colonel de hussard qui loge chez lui tient grand train avec plus de vingt personnes et dix-huit chevaux. Les préposés aux logements n’en sont pas étonnés puisque l’aubergiste au Bœuf s’est déjà plaint du même colonel qu’il logeait. On propose au plaignant un dédommagement en argent. Le préteur royal déclare que la maison est réputée comprendre treize poêles mais que la plupart sont des pièces exiguës. Il propose que le colonel loge encore deux mois dans la maison, après quoi on exempterait la maison de logement militaire pendant un an pour l’attribuer ensuite à un capitaine comme par le passé.
Jean Joachim Storck demande en novembre aux Quinze de l’exempter de loger le lieutenant de Roi à Kehl. Le préteur royal confirme le logement en déclarant que le nouveau militaire est un homme raisonnable.

1693, Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 28) Sambstags d. 14. febr: – Johann Joachim Storck pt° der all Zu schwehren Einquartierung
Künast noîe Joh: Joachim Storck des burgers undt Goldarbeiters allhier prod: Underth: memoriale undt bitt wie darinn gebetten. Lectione facta erhellet so viel darauß, daß selbiger so allein nun eine geraume Zeit hero, mit schweres einquartierung hart belegt geweßen, sondern auch den beschwärlichen Husaren Obristen, beneben 20. personen und 18. pferd allererst letstlich in eben solches qualität annehmen müßen, deme er auch nicht Zimmer genug einraumen könne, mit unterth. bitt, weilen dises nicht allein beschwärlich, sondern auch höchst gefährlich, indeme wegen besorgenden fewrs beÿ so Vilen Leüthen sein eußerster ruin darauß entstehen Könte, ihn diser schweren bürd enweder in gnaden Zu entladen, od. aber wegen besagter gefahr, schadloß zu halten, undt da er ihne ja biß an das ende undt seine abreiß behalten mußte, imploranten in das Künfftige, mit leidentliche einquartierung Zu belegen.
Herr Syndicus, es werden die Verordnete Herren Zur einquartierung Zu ersuchen sich hierüber Vernehmen Zu laßen.
Hi referunt, mann wiße fast nicht wie mann mit disem Obristen daran seÿe, mann habe ihn Zu Ochßen logirt gehabt, es habe aber nicht guth thun wollen, indeme er wie aller orten sonst, nicht Zu friden gewesen auch der Würth selbsten geklagt, daß sein ruin darauff stünde, Wann er dise einlogirung länger haben solt, mann habe ihn darauff in sein jetzig quartier thun wollen, es habe ihme aber damahlen nicht gefallen, biß jetzt letßlich er sich resoluirt dieses quartier Zu beziehen, es seÿe nicht ohn Storck habe sich darauff hefftig anfangen beÿ der einquartierung Zu beklagen, mann habe auch selbigen orts alles gethan was möglich gewesen ihne Zu befriedigen, wie mann ihne dann auch zu seiner soulagirung, Zinß auß dem Stall Zu geben Versprochen, welches aber alles nichts Verfang. wollen, dahero E. Löbl. Collegium ihne an Mghh. Verwiesen, dieses seÿe hierbeÿ Zu wißen, daß das hauß sehr groß undt dreÿ haußgesäß darinnen sich auffhalten, dannenhero ihme auch vorgeschlag. worden, daß, weilen die andere keine würckliche logirung hetten, selbige sich beÿtrag. Zu laßen, doch stehe alles Zu Mghh:
Herr Syndicus, es seÿe Statt kündig was diser Obrister Vor eine Wunderliche Conduite führe, undt daß beÿ ihme fast nicht Zu wohnen seÿe, solchem nach sich nicht Zu Verwundern, daß auch diser sich über ihne beschwere, stellet im übrigen Zu Mgh. ob dieselbige Erkennen Wolten, daß dem Imploranten Zu seinem Soulagemt. 40. fl. Welche er hiebevor nach außweiß seines memoriali auß des von dem officier eingenommenen wohnung auffgehaben, auß der einquartierungs Cassa sollen gereicht werden.
Herr Prætor Regius, es seÿe diese Einquartierung Vor einen solchen Burgers wie Implor: intollerabel, in deme er gewiße nachricht habe, daß diser Obrist, in allem über 30. personen beÿ sich habe, welches ja einer solchen haußhaltung ohnerträglich, dannenhero nothwendig seÿe, daß ein expediens hierinn gefunden werde, es habe Zwar einen großen Nahmen wann mann sagt, daß das hauß 13 stuben habe, wann mann es aber recht werde besehen, würde mann finden, daß es vielmehr Kleine Winckel alß rechte stuben seÿen, hette solchem nach darvor halten wollen, daß dises geschäfft widerum an E. Löbl. Collegium der Einquartierungs herren Zu verweißen seÿe, alß woselbst würde Können regulirt werd. ob mann Storcken ein æquivalent gedeyen laßen, oder da selbiger disen Obristen auch nur noch die 2. monath, (wie er selbsten außgebe, darann aber sehr Zu Zweifflen) behalten solte, ihne nachgehends ein jahr lang freÿ laßen und in das Künfftige nur mit einem Capitaine wie Zuvor belegen wolle.
Erk. Herrn Prætori Regio gefolgt und die sach an die Hh: der Einquartierung gewißen. H: XV.er Wesener, undt H. Fechter

(p. 164) Sambstags den 26. 7.bris 1692. – Johann Joachim Storck pt° Einquartierung
K. ersch. noîe Johann Joachim Storck, burger und goldarbeiters p.ducirt schrifft: ane statt mündliches recesses, vermög deßen er remonstrirt, daß Laum* der hußaren Obrist der ihme einlogiret geweßen außgezogen geweßen, hätten die heren Deputirte der Einquartierung ihme wieder der Lieutenant de Roy au fort de Keel, Mons. de Roy einlogirt, Nun wäre ihme unmöglich solche schwehre einquartierung Zubestreithen und wann Mghh nicht ein Oberkeith einsehen haben, hierinnen haben würden müste er darunter erlieg: dißemnach bittet er ihn hier unter Zu verschohnen und nicht Zu concediren, daß er über vermög. beleget werd. möchte.
H. Prætor dieße letztere einlogierung Zwecke Zu deß imploranten besten ab, maßen Monr. de Roy als welcher ein kleine famille habe, ihme nicht viel übetrang. thun Würde, er seÿe sehr raisonabel und werde nicht viel gemach prætendiren.
Erk. ane die herren Deputirte der Einquartierung Zu dem end gewießen daß Sie ihme solches remonstriren möchten. H. XV. Kast, H. Rauch.

Jean Joachim Storck loue la maison vers le Temple-Neuf au sénateur Jean Henri Knœrr

1694 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 419
H. Johann Joachim Storck, der Goldarbeiter
Hn Johann Henrich Knörren E.E. großen Raths beÿsitzers mit beÿstand Hn Johann Friderich Schatzen Not. Publ.
entlehnt, in seiner gegen der Neuen Kirch oder Collegio allhier gelegenen behaußung nach folgende bequemlichkeiten, Nemblich die jenige bewohnung welche neben weÿl. H. (-) Bähren gewesenen vogteÿschreibers nun seel. behaußung so anjetzo H. M. Pfeffinger, Præceptori superioris Gymnasÿ Et Ecclesiastes bewohnt, einen Eingang hat, bestehend in dem Und. sten Stock auff dem bod. in einem Hauß Ehren, Holtzhauß und Keller darunder, Mehr oben darüber zwo Stuben Küchen und auch Hauß Ehren, So dann noch höher daroben daß ist im dritten stock Fünff Cammern, und Endlich zu öberst einen fucht Kasten, Alles auff dreÿ Jahr lang von Künfftigen Joh: Bapt: dießes lauffend. Jahrs anzurechnen, umb einen Jährlichen Zinnß Nemblich 18 pfund

Jean Joachim Storck et Marie Salomé Hessler hypothèquent la maison au profit du marchand Georges Albert Storck

1717 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 264
Johann Joachim Storck Goldarbeiter und Maria Salome geb. Heßlerin mit beÿstand H. Johann Michael Gambß haußh. im Kauffhauß und Johann Seüpels Chirurgy
in gegensein H. Georg Albrecht Storck handelsmanns – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß hoff hoffstatt cum appertinentÿs in der Goldschmids gaß, einseit neben der alten Sammlung zum rothen Thurn anderseit neben (-) Schlegelmilch Schuemacher hinten auff ein Diaconathauß, der Kirchen zu den Predigern

Jean Joachim Storck et Marie Salomé Hessler hypothèquent la maison au profit d’Anne Salomé Kamm veuve Meinicke

1709 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 54-v
Joh: Joachim Storck goldarbeiter u. Maria Salome geb. Heßlerin beÿständlich Georg Vetters Meelwegers u. Joh: Jacob Rockenbachs Gastgebers beÿm Pflug
in gegensein frn Annæ Salome Meinickin wittib geb. Kammin beÿständlich H. Joh: Philipp Kamm Exs: dero vogts – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behaußung alhier ahn der Goldschmidtgass zuem maulbeeren baum genant, einseit neben der Schmidischen wittib anderseit neben der Samlung gelegen c. appert:

Jean Joachim Storck et Marie Salomé Hessler hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs Reichlin

1711 (uts. [12.6.]), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 331-v
Joh: Joachim Storck goldarbeiter und Maria Salome geb. Hesslerin beÿständlich Joh: Adam Seupels kupferstichers u. Georg Vetters meelwegers
in gegensein Joh: Reichlin Chirurgi alß vogts Reichlinischen KK – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert. in der goldtschmidtgass, einseit neben der Schmidtischen wittib anderseit neben einer der samlung zuem hohen Thurn, hinten auff Hummel

Jean Joachim Storck et Marie Salomé Hessler hypothèquent la maison au profit du cordonnier André Wagner

1713 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 16-v
Joh: Joachim Storck goldarbeiter und Maria Salome geb. Hesslerin beÿständlich H Joh: Michael Gambs haußh. im Kauffhauß und Georg Vetters lautenmachers
in gegensein Andres Wagners schuemachers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert. in der Goldtschmidt gass, einseit neben der Schmidtischen wittib anderseit neben der Samlung zuem hohen thurn hinten auff H. Picken

Jean Joachim Storck loue une cave au marchand Pierre Kormann

1715 (27.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 434-v
J: Joachim Storck silberarbeiter
in gegensein H. Peter Kornmann handelsmanns
verlühen, den großen Keller unter dem großen steinern stock in seinem hauß alhier in der Goldschmidtgass, auf 9 jahr lang anfangend auf Joh: Bapt 1715 – um einen jährlichen Zinß nemlich 13 lb

Jean Joachim Storck loue une partie de la maison au perruquier Jean Brochard

1718 (7.11.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 558
Johann Joachim Storck goldarbeiter
in gegensein Jean Brochard perruquenmachers
In seinem hauß allhier in der Goldschmids gaß neben der Samblung zum rothen thurn liegend In dem vorderen Stock auff die gaß gehend Erstlich den laden neben Schlegel Milch dem Schuemacher so biß dato Finck büchßenmacher inn gehabt, Ferner eine steeg hoch in ged. Stock Stub Stueb Cammer + (+ in zweÿen Unterschlagenen Gemachen bestehend), Kuchen und hauß ehren alles ahn einand., Item über ged. Stueb eine Cammer zuem saltz hinein zu legen, in seine Domestiques, So dann einen Unterschlagenen platz im vorderen Keller ohngefähr ein halb fud. wein darin zu legen alles auff ein Jahr lang anfangend auff weÿhn. dießes lauffenden 1718 Jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund oder 120 livres tournois

Jean Joachim Storck loue une partie de la maison au manant Mathurin Bichon dit Poitevin, chandelier et employé à la Monnaie

1721 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 136-v
Johann Joachim Storck goldarbeiter
in gegensein Mathurin Bichon dit Poitevin des Liechtermachers und Employé in der Königl. Müntz wie auch Schirms: verwanthens
in seiner ahne der goldschmidt: gaßen einseit neben der Stifftung zum hohen; thurn anderseit neben Finx dem goldarbeiter gelegenen behausung und zwar deren hinder: hauß zwo stueben und einer bühn wie auch platz in der großen Kuchen umb sein Umschitt schmelzen zu Können beneben eine Kammer darneben um die Liechter allda zu machen in dem vorder hauß aber seinen bißher selbst inngehabten mittelsten laden, eine cammer auff dem zweÿten etage und die helffte eines Kellers unten ged. Vordern hauß, auff 3 jahr lang anfangend von auff Annunciationis Mariæ 1721 um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund
wobeÿ verglichen daß der enlehner umb seine liechter in dem hoff sicher auff hencken zu können selbigen von seiner wohnung ahn biß ahn den bronnen auff seine Kosten mit latten oder dielen zu zumachen berechtiget sein solle, jedoch dergestalten daß der zugang zum bronnen und stall freÿ verbleiben

Marie Salomé Hessler meurt en 1724 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison au faubourg de Pierre. L’actif de la succession s’élève à 667 livres, le passif à 38 livres.

1724 (5. 8.bris), Not. Mader (6 E 41, 682) n° 496
Inventarium über Weÿl. der Ehr: und Tugendreichen Frauen Mariæ Salome Storckin, gebohrne Häßlerin Weÿl. S.T. H. Johann Joachim Storcken geweßenen Goldarbeiters v. Burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßener fr. Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet A° 1724. – nach ihrem Sontags den 16. 7.bris dieser Zu end lauffenden 1724.sten Jahrs genommenen Tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Actum und angefangen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerm gegensein deß Wohm Ehrenvesten und Weißen Herrn Ignatÿ Hügels E. E. großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers der verstorbenenn frauen seel: noch ohnentledigten Curatoris auf Donnerstag den 5. 8.bris Anno 1724.
Die in Gott ruhende Frau seel. Hat sowohl ab intestato alß per Testamentum zu Erben Verlaßen wie volgt. 1. die Tugendsame Frau Susannam Salome Löchnerin gebohrne Storckin, Martin Johann Heinrich Löchners des Kieffers und burgers allhier Ehefrau, welche mit assistentz gedachten ihres Ehemanns beneben dem Edel Wohl Ehrenvesten und Wohlgelehrten Herrn Johann Thomæ Römers juris practici und Burgers allhier ihres erbettenen Herrn beÿstandts Zugegen gewesen. 2. die Tugendbegabte Frau Annam Mariam Nöppelin gebohrne Storckin, Meister Johann Nöppel Kieffers und burgers allhier Ehefrau welche mit beÿstand obgemelten ihres Ehemanns dießem geschäfft beÿgewohnt. In beeder Erben Nahmen aber ist zugegen geweßen der Hoch Edel vest und Hochgelehrte Herr Johann Daniel Bilger, Medicinæ Doctor und berühmter Practicus wie auch E. E. Kleinen Raths wohlmeritirter Beÿsitzer alß auß gedachten Ehrsamen Raths mittel Hierzu in specie deputirter Herr. Alle Zweÿ vorgedachte Erben Zu gleichen portionen und antheilen.
In einer in der Statt Straßburg ane der Steinstraßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Ane Höltzewerck. In der Cammer A
Abzug über gegenwärtige Verlaßenschafft, Sa. Haußraths 91, Sa. Wein und lährer vaß 4, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. der Gülth von liegenden güttern 4, Sa. der Schulden 63, Summa summarum 667 lb – Schulden 38, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 698 lb

Non conservé, l’Inventaire de la succession de Jean Joachim Storck est dressé en 1722

1722, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 449
Inventarium über H. Joh: Joachim Storcken Goldarb. seel. Verlassenschafft

1697, Protocole des Quinze (2 R 101) Johann Joachim Storck. 292. 301. (pt° Pfenningzinß Capital)

La veuve et les deux filles de Jean Joachim Storck vendent la maison à l’orfèvre Jean Michel Maul et à sa femme Marie Elisabeth Bæhr pour 3 012 livres

1722 (17.11.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 660-v
Fr. Maria Salome geb. Häßlerin weÿl. Johann Joachim Storcken gewesten goldarbeiters wittib beÿständlich Hn: Georg Allbrecht Storcken handelsmanns im Nahmen und ahne statt ihres geschwornen Vogts H. Johann Ignatius Hügel E.E. großen Raths alten beÿsitzers, wie auch mit genehmhaltung ihrer hiebeÿ gleichfalls erschienenen beeden eheleiblichen töchtere nahmens Fr. Susannæ Salome geb. Storckin, Johann Christoph Löchner des Kieffers Ehefrauen, und Annæ Mariæ Storckin mit beÿstand ihres vogts Johann Wolffgang Witten Specirers
in gegensein Johann Michael Maul Silberarbeiters und Fr. Mariæ Elisabethæ geb. Bährin
Eine Behausung bestehend in Vorder: Mittel und hinderhauß sambt allen deren gebäuden, zweÿen höffen und dero hofstätten zugehörden, weithen, rechten und gerechtigkeiten in der großen Prediger: oder goldt: schmidts: gaßen, einseit neben einem vormahls der Samblung zum Thurn modo dem Corpori Pensionum zugehörigen hauß theils zum theil aber Balthasar Hummel dem Pastetenbeck anderseit theils neben H. Johann Georg Finx dem Juwelierer theils neben Joh. Georg Enßfelder dem haußfeurer hinten zum theil auff eine zur Prediger Kirch gehörigen Diaconat: behausung theils aber auff Johann Jacob Ratz den Schneider stoßend gelegen, so von alters her zum Maulbeeren: baum genannt – um 3012 pfund – 2025 gulden ausmachende capitalien und 4000 gulden

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Jean Antz, consigne à la porte de Pierre

1722 (24.11.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 679
H. Johann Michael Maul der Silberarbeiter
in gegensein Johannes Antz des Consigne ahm Steinstraßer: thor und burgers alhier
In seiner in der goldtschmidts: gaßen einseit neben Finx dem goldarbeiter anderseit neben dem Corpore Pensionum gelegener Behausung in dem Mittlern Steinern Stockwerk zweÿ stiegen hoch Eine Stub zwo Kammern ein haußöhren platz im Keller, auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkünfftigen weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 25 gulden

Fils du tourneur en argent du même nom, Jean Michel Maul épouse en 1712 Marie Elisabeth Bæhr, fille de l’apprêteur de chapeaux Joseph Bæhr : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire (minute non conservée), célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem ehrenvest und Kunsterfahren Herrn Johann Michael Maulen Ledigen Silberarbeitern, des Ehrsamen Wohlachtbahren und Kunstreichen Herrn Johann Michael Maulen Kunst und Silberträhers burgers allhier zu Straßburg mit Weÿland der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Maria Magdalena gebohrnen Birin ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn brautigam an einem, So dann der viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Maria Elisabetha Bährin Weÿland des Ehren Vesten und Großachtbahren Herrn Joseph Bären geweßenen Hutstaffierers und burgers allhier zu Straßburg mit auch Weÿland des Ehren und tugendbegabten Frauen Agnes Bärin gebohrner Walldeckin ehelich erzeugten tochter als der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil – So beschehen und verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg donnerstags den 6. aprilis Anno 1713. Johann Adam Oesinger Nots.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 137, n° 14)
1713. Eodem [Mittwoch den 7. Juny 1713] seind gleichergestalt nach Vorhergegangener Zweÿmahligen offentlichen proclamation in der Pfarrkirch zu St. Nicolai in Straßburg ehelich copulirt und eingesegnet worden H Johann Michael Maul, der ledige Silberarbeiter alhier H Johann Michael Maulen der Silberdräher und burger alhier ehel. Sohn und Jgf. Maria Elisabetha Bärin, weÿl. H Joseph Bären, geweßenen handelßmanns Und burgers alhier hinterlassene Ehel. tochter [unterzeichnet] Johan Michael Maull alß hochzeiter, Maria Elisabetha Baerin Als hochzeiterin (i 141)

Jean Michel Maul loue une partie de la maison au chaudronnier Geoffroi Kugler

1722 (24.11.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 679-v
Johann Michael Maul der Silberarbeiter
in gegensein Gottfriedt Kugler des Kupfferschmidt
In seiner in der Goldschmidt gaßen zum Maulbeeren baum genannten gelegenen behausung unter dem Vordern Stock auff die gaß Einen Laden sambt einen dabeÿ befindlichen Stüblein in welchem der verlehner auff sein cösten die Eß in stand zu setzen verspricht, Ferner unter eben solchem Stock einen unterschlagenen platz im Keller, Mehr im Mittlern Steinern Stock eine Stiege hoch Einen Stiege haußehren in welcher die Küchen eine Kammer, Ferner zweÿ andere Kammern und zwo bühnen übereinander und dem gebrauch des hoffs, alles auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächstkünfftigen weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 37 pfund

Accord passé entre le bailleur et le locataire pour éviter que le battage du métal ne gêne l’office divin au Temple Neuf

1723 (9.3.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 153
Johann Michael Maul der Silberarbeiter
Gottfriedt Kugler der Kupfferschmidt ahm andern theil, so dann S.T. H. Johann Reinboldt Friderici ältester ammeister dreÿzehner und Scholarchæ auch Oberkirchenpflger der Prediger Kirch und H. Johann Friedrich Ströhlin E.E. Großen Rath alten beÿsitzer vornehmer apothecker und Kirchenpfleger beÿ erstged. Kirch am dritten theil haben angezeigt und bekannt, demnach er Maul ihme Kugler vermög unter dem 24. 9.bris 1722 getroffen und in registrandâ de anno 1722 fol. 679-b verschrieben befindliche lehnung
In seiner ahne der goldtschmidts gaßen allhier gelegenen behausung, eine werckstätt und Laden beneben einer wohnung, auff 5 nacheinander folgenden jahren von jüngst verfloßen weÿhnachten ahn zu rechnen verlühen, so haben die samtlcihe H. Ober und Kirchenpfleger besagter Prediger Kirch als sie von sothaner lehnung benachrichtiget worden, besorget es möchte die außübung des mit großen gethön und Klang ohnzertrennlich begleiteten Kupfferschmidt: handwercks in einem der Kirch so sehr benachbarten orth dem täglich allda außübenden gottesdienst beschwährlich fallen, und so wohl den Prediger als auch die zuhörer beunruhigen, ja wohl gar dieße letztere ahn deutlich: und vornehmlicher anhörung der Predigten verhindern, mithin behöriger orthen deßwegen vorsehnung gethan, und daß ihme Kugler verbotten werden möchte seine profession ahn erwehnten orth zu treiben gebetten, alldieweilen sich aber nach genauerer untersuchung der sachen hervorgethan daß der entlehner in dem hintersten hoff der zum theil entlehnten behausung seine profession ohne die Kirch zu beunruhigen führen denen jenigen zeithen da Predigten Bettstunden und Examina allda gehalten werden seine arbeit verrichten könne
so lang seine auff 5 jahr getroffene lehnung dauren wird mit der bedingung und auff sein gethanes versprechen daß er so offt der gottesdienst in der Prediger Kirch gehalten werden wird während dem demselben in der werckstatt weder schmieden, klopffen, hämmern noch auff einig anderer weiß einig getöß verurscahen, noch dadurch jemand ahn seiner andacht hindern sondern zu solchen zehen seine arbeith im hindern hoff verrichten solle und wolle

Jean Michel Maul loue une partie de la maison à l’orfèvre Jean Jacques Hausser

1723 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 242-v
H. Johann Michael Maul der Silberarbeiter
in gegensein H. Johann Jacob Haußer des Silberarbeiters
In seiner ane de goldtschmidtsgaßen einseit neben H. Finxen dem goldarbeiter anderseit neben einem der hohen Schuel gehörigen hauß gelegenen behausung und dero mittlern Stock, Eine Stub Stubkammer und Kuchen sambt einen platz zum holtz, mehr in dem vordern stock den laden die Eß und ein gewölbel in dem hoff gegen dem laden über, alles bißher specificirte unten auff dem boden, so dann zweÿ stiegen hoch in dem erstgedachten vorden stock zwo kammern, Ferner einen unterschlagenen platz im Keller und in ged. Keller raum Kohlen zu legen – auff 2 nacheinander folgenden jahren anfangend auff Joh. Baptistæ nächstkünfftig, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 pfund

Jean Michel Maul loue une partie de la maison au cordonnier Jean Frédéric Fischer

1723 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 244
H. Joh: Michael Maul Silberarbeiter
in gegensein Joh: Friedrich Fischer des Schuemachers
In seiner ahne der Goldschmidts: gaßen einseit neben H. Finxen dem goldarbeiter neben der hohen schuel gehörigen behausung Einen neben H. Unßelt dem goldarbeither gelegene Laden – auff 18 jahr lang anfangend von weÿhnachten jüngst verfloßen 1722, um einen jährlichen Zinß nemlich 9 pfund

Jean Michel Maul loue une partie de la maison à l’orfèvre Samuel Schwanfelder

1727 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 12-v
H. Johann Michael Maul Silberarbeiter
in gegensein H. Samuel Schwanfeldter goldarbeiters
In sein Maulen ahn der goldschmidt: gaß einseit neben H. Finx Juwelierer anderseit neben H. Unßelt Silberarbeiter gelegene behausung vornen auff die gaß eine Stieg hoch eine Stueb zwo stuebkammern eine Kuchen und haußöhren ein Kleines kämmerlein zweÿ stiegen hoch So dann einen besondern Keller – auff nächst kommenden Annunciationis Mariæ fürwährenden jahrs ihren anfang nehmen zweÿ jahr lang, um einen jährlichen Zinß nemlich 44 gulden

Jean Michel Maul loue une cave au banquier Jean Frédéric Kornmann

1728 (9.8.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 378-v
H. Johann Michael Maul Silberarbeiter
in gegensein H. Johann Friedrich Kornmann Banquier und EE. kleinen Raths alten beÿsitzers
In sein verlehner allhier ahne der Goldschmidts: gaß, einseit neben weÿl. H. Johann Georg Finx Juwelierers allhier hinterlassenen wittib und Erben anderseit neben einem dem Corpori Pensionum zuständigen hauß, den unter dem mittelsten stockwerck gelegenen gantzen gewölbeten Keller, so der H. entlehner seith geraumer zeith in lehnung hat, die darinn befindliche Faß und Liegerling aber dem H. entlehner zuständig – auff 6 nacheinander folgenden jahren – um einen jährlichen Zinß nemlich 26 gulden

Jean Michel Maul et Marie Elisabeth Bæhr louent une partie de la maison à l’orfèvre Jean Christophe Richshoffer

1730 (9.3.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 118-v
H. Johann Michael Maul Silber arbeither und Maria Elisabetha geb. Bärin
in gegensein H. Johann Christoph Richshoffer des goldarbeiters
In einer allhier ahne der goldschmidtgaß einseit neben weÿl. H. Johann Georg Finx gewesten goldarbeiters wittib und Erben anderseit neben einem dem Corpori Pensionum zuständigen hauß, gelegenen behausung Unten auff dem boden einen auff die gaß sehenden am Finxischen hauß liegenden Laden sambt daran befindlichem stübel, platz im Keller und platz zum holtz, so alles unterschlagen ist, Mehr im vorden gebäu /:zwo stiegen hoch:/ zwo kammern nebeneinander, Mehr in dem Mittlern gebäu im hoff zwo stiegen hoch eine stub Kammer und Kuchen – auff ein Jahr lang anfangend von Ann: Mar: fürwährenden jahr – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 gulden
die im Mittleren Stock befindliche mitverlehnte Stub Kammer und Kuchen ist wie hieoben in interlinea gemeldet zweÿ Stiegen hoch gelegen

Jean Michel Maul loue une partie de la maison au tonnelier Jean Daniel Stumpff

1736 (22.9.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 799
Johann Michael Maul der silberarbeiter und Maria Elisabetha geb. Bährin beÿständlich Johann Jacob Gerold des Caminfegers
in gegensein Johann Daniel Stumpff des Kieffers mit beÿstand Johann Willhelm Fischer des gastgebers auff der Garttner ahne Steinstraß Zunfft stub
In ihr der Maulischen Ehegatten ahne der goldschmidtsgaß einseit neben Jean Montpinot dem Traitteur anderseit neben einem der hohen Schuel gehörigen hauß gelegenen behausung, Einen gewölbten unter dem Mittleren stock liegenden Keller sambt darinn befindlichen Liegerlingen – auff 12 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst innstehenen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 13 pfund

Jean Michel Maul loue une partie de la maison à l’orfèvre Jean Louis Strauss

1737 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 45
H. Johann Michael Maul der silberarbeiter
in gegensein Johann Ludwig Strauß des silberarbeiters
entlehnt, In sein des verlehners eigenthümlicher ahne der Goldschmidt: gaß, einseit neben Jean Monpinot dem traitteur anderseit neben einem der hohen schuel gehörigen hauß gelegenen Behausung, unden auff dem boden gegen der gaß Einen Laden, sambt gewölb darunder einen unterschlagenen keller, In dem mittleren stockwerck Eine stiege hoch Eine Stueb Stuebkammer Kuchen haußöhren noch eine Kammer zwo stiegen hoch eine kleine bühn – welche lehung auff 9 nacheinander kommende jahr von nächstbevorstehenden Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 43 pfund

Jean Michel Maul et Marie Elisabeth Bæhr hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Jean Louis Immlin

1738 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 439
H. Johann Michael Maul der silberarbeiter und Fr. Maria Elisabetha geb. Bärin mit beÿstand ihres bruders H. Johann Philipp Bär des huetstraffirers und deßen sohns Johann Philipp Bär des Tuchhändlers
in gegensein H. Johann Ludwig Immelin des Silberarbeiters – schuldig seÿen 2250 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder, Mittel und hinderhauß, zween höffen und dero hoffstätten mit allen übrigen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der goldschmidtgaß, einseit neben einem vormahls der Sammlung zum Thurn modo Corporis Pensionum eigenthümlichen hauß zum theil theils H. Balthasar Hummel dem Pastenbeck anderseit neben Jean Montpinot dem Traitteur theils Johann Georg Ennßfelder dem haußfeurer hinten zum theil eine zur Prediger Kirch gehörigen Diaconat behausung theils Johann Jacob Ratz dem schneider, von alters her zum Maulberren baum genannt – als ein am 17. Novembris 1722 erkaufftes guth

La femme de Jean Michel Maul se plaint de l’inspection de huit fourchettes. Les parties échangent des mots vifs. Le Conseil prie la femme de mieux respecter les inspecteurs à l’avenir.
1750, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 104)
(f° 73-v) Montags den 12.ten Januarÿ 1750 – Die dreÿ geschwohrene H. Gold und Silberschauer stehen Vor und Klagen Wieder Hn Joh: Michael Maul den Silberarbeitern daß als derselbe verwichenen Sambstag 8. Gabelen auf die Schau geschickt und nachdeme Sie solche gezeicht hatten, Wäre deß beklagten Frau Wieder gekommen und gefragt, Wer Ihnen Von den Gabelen gefeÿelt, Worauf Sie Ihro beditten, Sie solte Ihren Mann darumb fragen, Antwortete Sie Ihr Mann Wiße nichts davon, sondern Es seÿe auf der Schau geschehen, und Zwar solches schon Zum dritten Mahl, und seÿe derjenige ein S. H. Schelen und Spitzbub der solches gethan, bitten reparationem honoris, ref. Expensis.
Beklagte ist in soweit der Klag geständig, gedachte Worth außgestoßen Zu haben, solches seÿe aber erst geschehen, als die Hh Schauere Sie mit rauhen worten angefahren, bitt absolutionem.
Erkandt, beklagter soll neben deßen Ehefrauen die dreÿ Hh Schauere um Verzeÿhung bitten und ins Künfftige die Hh. Schauere beßer repectiren anbeÿ die Gerichts uncösten erlegen.

Jean Michel Maul meurt en 1755 en délaissant une fille, Marie Elisabeth, femme de l’orfèvre Jean Frédéric Senckeissen. Les experts estiment la maison à 2 500 livres. La masse propre à la veuve est de 1 054 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 34 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 996 livres, le passif à 3 272 livres

1755 (25.9.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 384) f° 630
Inventarium über Weÿland des Ehrenvest Wohlvorgeachten und Kunsterfahrenen Herrn Johann Michael Maul des geweßenen Silberarbeiters und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1753 – als derselbe Sontags den 7. dießes Monats Septembris dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenem tödlichen Hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Wohl Ehren und tugendbegabten frauen Mariä Elisabethä Maulin gebohrner Bährin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehren und Vorgeachten herrn Johann Peter Forschet des ehemahligen Sattlers und burgers allhier Ihres geschwornen Vogts wie auch der Wohl Ehren und tugendbegabten frauen Mariä Elisabethä Senckeißin gebohrner Maulin des Ehrenvest, Wohlvorgeacht, und Kunsterfahren herrn Johann Friderich Senckeißen des Silberarbeiters und burgers allhier frauen Eheliebstin des seelig verstorbenen mit vorernannter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter tochter und ab intestato verlaßener Universal Erbin mit beÿhilff gedachten Ihres Ehevogts ersucht und inventirt (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beüsein des Wohl Edlen und Rechtsgelehrten H Johann Daniel Langheinrich Notarÿ publici und berühmten Practici, der Frau Tochter und Erbin erbettenen herrn Beÿstands, auf donnerstag den 25.ten Septembris et sequenti Anno 1755.

In einer allhier zu Straßburg ane der Goldschmidgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig und hieunden eingetragenen behaußung, befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung und Garten (T.) Eine Kleine behaußung, hoffstatt, Garthen, Sommerhäußlein und Gemeinschafft des bronnens samt allen übrigen deroselben Begriffen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg in der Vorstatt Krautenau auf der Entenletz einseit neben dem Wahl anderseit neben dem Allmend, hinden auf H. Michael Klein den Metzger stoßend davon mann Jährlich. auf Martini der statt Straßburg Pfenningthurn 5 ß 6 d ane bodenzinß abzurichten hat, sonsten gegen Männiglichen freÿ ledig eigen und seind die samtliche Gebäu über vorstehendes Onus durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftl. Abschatzung vom 29.ten 7.bris 1755 angeschlagen pro 289. lb. Der Garthen aber ist durch herrn Johann Michael Kientz den Garthner in Krautenau geschwornen Schätzern æstimirt vor 35. lb. Macht beedes Zusammen 324. Hierüber ist vorhanden ein teutscher perg. Kffbrieff in allh. Contractstuben gefertiget u. mit dero anh. Insiegel corroborirt de dato 2. Xbris ao. 1745.
(T.) Eine behaußung, bestehend in Vorder, Mittel und Hinderhauß, sambt allen deren gebäuen, zweÿen höffen und dero hoffstätten gemeinschafft eines bronnens, zugehörden weithen, begriffen, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der großen Prediger oder Goldschmids gaßen, einseit neben einem vormahls der Samblung Zum Thurn, modo dem Corpori Pensionum zugehörden hauß, zum theil und zum theil neben Weÿland herrn Johann Balthasar Hummel gewesenen Pastetenbecken seeligen nachgelaßenen Erben, anderseit theils neben Hrn Hilario Marchand dem aubergiste Zum ritter St. Georg und theils neben Johann Georg Enßfelder, dem haußfeurer hinden Zum theil auf eine Zur Prediger Kirch gehörige Diaconat behaußung Zum theil aber auf herrn Abraham Wenger, den Silberarbeiter stoßend, von alters her Zum Maulbeerbaum genand, so vor freÿ Ledig und eigen durch (die Werckmeistere) laut übergebener Schrifftl. Abschatzung vom 29.ten 7.bris 1755 æstimirt vor 2500 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret de dato 17.ten Novembris Anno 1722.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1713 durch Weÿl. herrn Notarium Daniel Rohren seel. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der wittib ohnverändert Vermögen Sa. haußraths 7, Sa. Schuld 75, Erg. 971, Summa summarum 1054 lb
der Erbin ohnveränderte Nahrung, Sa. Kleÿdung 5, Erg. 35, Summa summarum 40. lb – Schulden 75 lb, In Vergleichung passiv onus 34. lb
das Gemein verändert und theilbar Guth, Sa. hausraths 48, Sa. Weins und Lährer Faß 5, Sa. Silbers 12, Sa. Eigenthum ane häußern und einem Garthen 2824, Sa. Schulden 107, Summa summarum 2996 lb – Schulden 3272 lb, Theilbare passiva, Schulden rest dem Stallanschlag nach 275 lb
Stall summ et Conclusio finalis Inventarÿ 745 lb
Abschatzung vom 29.ten 7.bris 1755. Auff begehren weil. herrn Michael Maul Seel. hinderlaßene frau wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Goldschmidts Gaß gelegen einseits neben einer behaußung zu der hohen schuhl gehörig anderseits neben Mons. Marchand und hinten auf Mons. gourment stoßend, Solche bestehet in etlichen Stuben Kammern und Küchen darüber ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt, hat auch einen gewölbten Keller, 2 höff und gemeinschaftlichen bronnen ferner befinden sich 3 Boutiques und eine bauch Küchen, von uns der Statt Straßburg unterschriebenen Geschwohrnen werckmeistern, nach Vorher geschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtigkeit dem jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen vor und umb Fünff tausend gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister
Abschatzung Vom 29. 7.bris 1755. der Zweÿte begriff ist auch allhier in der statt Straßburg in dem schwaben ländel gelegen einseits neben dem Metzger wahl, anderseit neben dem allmend und hinden auff die so genande Fackelmacherin Stoßent solcher begrieff bestehet in Zweÿ stuben, einer Stub Kammer ein Küchen und zweÿ hauß Kammern, darüber ist der dachstuhl mit hohl Zieglen belegt, ferner befindet sich ein sommer häusel und eine scheür, Von diellen Zu geschlagen, darüber seÿnt die dachstühl mit breitzieglen belegt, ferner befindet sich eine Maur umb den Garten und ein gemeinschafftlichen bronnen. Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen, Werckmeistern nach vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und um Sechs Hundert Gulden. [unterzeichnet] Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister
Copia der Eheberedung – (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg donnerstags den 6. aprilis Anno 1713. Johann Adam Oesinger Nots.
Copia Testamentum nuncupativum, 1715, auf Sambstag den 16. Martii, der Ehren und wohlvorgeachte Herr Johann Michael Maull der jüngere Kunsterfahren Silberarbeiter und burger allhier
Extractus Senckeißischer Eheberedung Vom 8.ten Aprilis 1744.

Fils du tailleur Jean Christophe Senckeissen, Jean Frédéric Senckeissen épouse Marie Elisabeth Maul en 1744 : contrat de mariage, célébration. Les parents font donation de la maison à leur fille moyennant une rente viagère annuelle de 400 florins.
1744 (8.4.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 1
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und wohlvorgeachten auch Kunsterfahrenen herrn Johann Friderich Senckeißen, dem Leedigen Silberarbeiter, Weÿl. des Ehren undt wohlvorgeachten H Johann Christoph Senckeißen des geweßenen Schneiders und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen mit der Ehren und Tugendreichen Frauen Maria Dorothea gebohrner Böhmin Welche nunmehr an dem Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Bußmann den auch Schneider und burgern allhier Verheurathet ehelich erziehltem herrn Sohn als dem herrn bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Maria Elisabetha Maulin des Ehrenvest Wohlvorgeachten und Kunsterfahrenen herrn Johann Michael Maulen des Silber Arbeiters und burgers allhier mit der Ehren und tugendbegabten Frauen Maria Elisabetha gebohrner Bährin ehelich erziehlter Jungfer tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
Ane dem Siebenden haben eingangs Ehrengedachte Herr Johann Michael Maul und Frau Maria Elisabetha gebohrne Bährin beede Eheleuthe und burgere allhier der Jungfrau hochzeiterin hochgeliebte Eltern deroselben als Jhrer geliebten tochter dero eigenthümliche allhier Zu Straßburg ane der Goldschmid Gaß einseit neben einem der hohen Schuhl gehörigen hauß, anderseith neben Hn Monpinot dem traitteur liegende hinten theils auf Hn Hummel den Pastetenbeck und theils auf einen Lichtermacher stoßende Vorder: Mittel und hinter behaußung, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Rechten Zugehörden und gerechtigkeiten hiemit freÿwillig auch wißend und wohlbedächtlichen eigenthümlichen cedirt und überlaßen, Vor welche Übergaab Ihnen der Jungfer hochzeiterin geliebten Eltern so lang Sie oder nur eines davon im Leben seÿn werden Jährlichen 400 Gulden abgericht und bezahlt werden solle (…)
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auf Mittwoch den 8.ten Aprilis Anno 1744.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 227, n° 866)
Anno 1744. Mittw. d. 22 April seind nach ordentl. Proclam. Ehl. copul. u. eingesegnet worden H Johann Friderich Senckeißen der ledig. silberarbeiter u. b. allhier, weÿl. Johann Christoph Senckeißen geweß. schneiders u. b. allhier nachgelaß. Ehl. Sohn und J. Maria Elisabetha H. Johann Michael Maulen silberarbeiters u. b. allhier Ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Senckeißen als Hochzeiter, Maria Elisabetha Maulin als Hochzeiterin (i 235)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de la femme. Les apports du mari s’élèvent à 603 livres, ceux de la femme à 401 livres.
1744 (23.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) n° 2
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Friderich Senckeißen Silberarbeiters und der Viel Ehr und tugendgezierten frauen Mariä Elisabethä Senckeißin geb. Maulin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – weilen in Ihr beder Eheleuth mit einander aufgerichteten Heuraths Verschreibung expresse enthalten daß eines jeeden in die Ehe bringendes Vermögen reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben soll – So beschehen in Straßburg in fernerem gegenseÿn des Ehren und wohlvorgeachten Hn Friderich Bußmanns Schneiders V. burgers alh. des Eheherren H. Stieff Vatters V. d. Ehren und tugendsahmen fr. Maria Elisabethä Maulin geb. Bährin der Ehefrauen eheleiblicher fr. Mutter auf Dienstag d. 23.ten Junÿ A° 1744
In einer allhier zu Straßburg ane der Goldschmids Gaß gelegenen Von der Frauen geliebten eltern Ihnen beeden Eheleuthen mit gewißer Condition in aufgerichteter Heuraths Verschreibung eigenthümlich verschriebenen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Herrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 144, Sa. Werckzeugs zur Silberarbeiter profession gehörig 225, Sa. Silbers 225, Sa. Goldener Ring 6, Sa. der baarschafft 60, Sa. der Activ Schuld 54, Summa summarum 592 lb – Sa. der Schuld 18 lb, Nach solchem abzug 573 lb. – dazu erlegt die helffte der haussteuren 29 lb, samtlich Guth 603. lb
der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 212, Sa. Silbers 27, Sa. Goldener Ring 97, Sa. der baarschafft 33, Summa summarum 372 lb – dazu erlegt die helffte der haussteuren 29 lb, der frauen Völligen in die Ehe gebachte Nahrung 401 lb

Jean Frédéric Senckeissen s’inscrit le 6 février 1744 pour faire son chef d’œuvre chez Jacques Fajard. Il présente le 24 mars son travail dont les examinateurs sont satisfaisaits, d’autant qu’il a été fait en peu de temps. Jean Frédéric Senckeissen est reçu tributaire le même jour.
1744, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 1139) Donnerstag den 6.ten Februarÿ – Johann Friderich Senckeißen der leedige Silberarbeiter von hier gebürtig erscheint und bittet ihme Zu erlauben das Meisterstück auff zu nehmen und Zu Verfertigen.
Erkand Wird demselben in seinem Begehren Willfahrt gegen Erlag der Gebühr und soll es beÿ H Jacque Fajard als einem der dreÿ Herren Schauer verfertigen.

Dienstag den 24.ten Martÿ Anno 1744
(p. 1148) Johann Friderich Senckeißen der Leedige Silberarbeiter von hier gebürtig erscheint und præsentirt sein am 6.ten Februarÿ jüngsthien auffgenommenes: und seither verfertigtes Meisterstück bittet solches Zu besichtigen und darüber zuerkennen.
Dir dreÿ geschwohrne Herren Gold und Silberschauer referiren nach genugsamer besichtigung, daß das vorgelegte Stuck in so weniger Zeit sehr gut und Wohlgemacht seÿe, Wann er Kan Handtreu geben an Äÿdesstatt daß er solches mit eigener Hand gemacht habe, so Wolten Sie Ihn vor einen Meister erkennen.
E. E. Gericht votirt Similiter et pro Discretione 3. lb. d

(p. 1149) Neuzünfftiger – Johann Friderich Senckeißen obgemelt erscheint Wieder und producirt Stallschein vom 24.ten Martÿ Anno 1744. Krafft deßen Er um das Zunfft und Stuben Recht bittet. Erkand, Wird demselben gegen Erlag der Gebühr Willfahrt. Juravit.

Marie Elisabeth Maul meurt en 1758 en délaissant trois enfants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent (1755). La masse propre au veuf est de 43 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 919 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 403 livres, le passif à 606 livres

1759 (19.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 711) n° 216
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und Tugendreichen frauen Mariä Elisabethä Senckeißin geb. Maulin, des Ehrenvest wohlvorachtbahr und Kunsterfahrnen herrn Joh: Friderich Senckeißen Silber Arbeiters und burgers allhier Zu Straßburg gewesener fraun Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1756 – als dieselbe Mittwochs den 10.den Martÿ dießes lauffenden 1756.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichem Ableiben hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehrenvest wohlvorgeacht und Kunsterfahrenen herren Johann Friderich Bütlers Goldarbeiters und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Joh: Friderichs, Mariä Elisabethä und Joh: Gottfrieds der Senckeißen aller dreÿ der Verstorbenen frauen seel. mit obgedachtem Ihrem hinterbliebenen herrn Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben – So beschehen in Straßburg auff Montag den 19.ten Julÿ A° 1756.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Goldschmidts Gaß gelegenen zufolg vorher eingetragener heuraths Verschreibung paragrapho septimo der Verstorbenen frauen seel. Von Ihren geliebten Eltern eigenthümlich überlaßen mithin dermahlen denen Kindern und Erben Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung, Inhalt Vorallegirten Inventarÿ über beeder nunmehr durch den Zeitlichen tod getrennter Eheleuth einander für ohnverändert in die Ehe Zugebrachter Nahrungen in A° 1744. durch mich unterschriebenen Notm. aufgerichtet
Eigenthum ane einer Behaußung so der Erben unverändert (E.) Eine behaußung bestehend in Vorder Mittel und Hinder behaußung, auch hoffstätten und gemeinschafft des bronnens, mit allen übrigen dero Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der sogenandten Prediger oder Goldschmidts Gaß, einseit neben einer vormahls der Samblung Zum Thurn, modo dem Corpori Pensionum zuständigen behaußung zum theil und theils neben weÿland Hn Joh. Balthasar Hummels des gewesenen Pastetenbecken und burgers allhier seeligen nachgelaßenen Kindern und Erben, anderseit Zum theil neben Hrn Hilario Marchand dem aubergiste und Zum theil neben Joh. Georg Enßfelder dem Schwartzbecken, hinten theils auf eine Zu der Neuen oder Prediger Kirch gehörigen Diaconat behaußung und theils auf Hn Abraham Wenger den Silber Arbeiter stoßend, welche Behaußung, so von alters her Zum Maulbeerbaum genandt, beÿ weÿl. Hn Joh: Michael Maul des geweßenen Silberarbeiters und burgers allhier der Verstorbenen Frauen seeligen eheleiblichen Vatters seel. Verlaßenschafft Inventation durch (die Werckmeistere) laut deren Abschatzung Vom 29.ten 7.bris 1755. Vor freÿ leedig und eihen angeschlagen worden, dabeÿ man est auch dißorths gelaßen pro 5000 fl oder 2500 lb. Über dieße behaußung ist dißorths Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret datort den 17.ten Novembris Anno 1722.
Wÿdumbs Verfangenschaft, Welche frau Maria Elisabetha Maulin gebohrne Bährin, weÿl. Hn Joh: Michael Maulen des geweßenen Silber Arbeiters und burgers allhier seel. nachgelaßene wittib als der Verstorbenen frauen seel. eheleibliche Mutter Von Erstgedachtem Ihrem Verstorbenen Ehemann seel. Lebtägig Zu genießen hat
It. in Zween dritten theilen Von und ane einer behaußung, hoffstatt, Garthen und Sommerhäußlein sambt der Gemeinschafft des bronnens mit allen übrigen dero Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg in der Vorstatt Crautenau in dem sogenanndten Entenletz einseit neben dem wahl anderseit neben dem Allmend hinden auf H. Joh. Michael Klein den Metzger und burgern allhier stoßend und gibt man Jährlich. von gd. Behaußung Löblicher Statt Pfenningthurn 5 ß 6 d ane bodenzinß sonsten gegen Männiglichen freÿ ledig eigen und seind die Gebäu über vorstehendes Onus beÿ obgedachter weÿl. Hn Joh: Michael Maulen seel. Verlassenschafft Inventation durch mehrgemelte (Werckmeistere) den 29.ten 7.bris 1755 angeschlagen pro 289. lb. Der Garthen aber ist durch Hn Joh: Michael Kientz den Garthner ane Crautenau und geschwornen Schätzern æstimirt worden vor 35. lb. Macht beedes 324. lb. Woran dißorths 2/3.te theil in Außwurff Zu bringen th. 216. Der übrige dritte theil ist Ihro Maulischer Wittib eigenthümlich zuständig. Über die gantze behaußung und Garthen sagt I. teutscher pergamentener in allh. C.C. Stub aufgerichteter und mit dero Anhangendem Insiegel Verwahrter Kauffbrieff datirt d. 2. Xbris 1745.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Hn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 5, Sa. Werckzeugs Zur Silberarbeiter profession gehörig 22, Sa. Silbers 6 ß, Erg. Rest 315 – Summa summarum 343 lb – Schuld 300. lb Compensando 43. lb
der Kinder und Erben unverändert Nahrung, Sa. haußraths 61, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring 28, Sa. Schuld 300, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 2500 lb, Erg. rest 130, Summa summarum 3026 lb – Sa. der Schulden 3946 lb, In Vergleichung 919 lb
Endlichen wird nun auch das gemein Verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. hausraths 52, Sa. wein und Lährer faß 66, Sa. Silbers 556, Sa. Goldengeschmeids 14, Sa. der Baarschafft 300, Sa. Schulden 414, Summa summarum 1403 lb – Sa. Schulden 606 lb, In Compensatione 767 lb
Mehr Schulden als Nahrung dem Stalltax nach 108. lb
Zweiffelhaffte Schuld in des Hn Wittibers ohnveränderte Nahrung 46 lb – Zweiffelhaffte und Verlohrne Schulden in die theilbahre Nahrung Zugeltend 146 lb
Copia Heuraths Verschreibung (…) So beschehen den 8. Aprilis Anno 1744
Copia der in A° 1746. aufgerichteten Codicilli

Jean Frédéric Senckeissen meurt en 1781 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 1 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 100 livres, le passif à 380 livres.

1782 (7.3.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 881) n° 136
Inventarium über Weiland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Friedrich Senckeißen, geweßenen Silberarbeiters, wie auch E.s E.n Großen Raths alten beÿsitzers und burgers dahier Zu Straßburg nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet Anno 1782 – nach seinem den 18.ten Novembris letztverloßenen 1781.ten Jahrs erfolgten Absterben hinterlassen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des Defuncti mit Weiland Fraun Maria Elisabetha gebohrner Maulin, seiner verstorbenen Ehegattin seel. ehelich erzeugten herrn Sohns und Fraun Tochter als desselben ab intestato Verlaßener Erben (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in hernach inventirter an der Goldschmid Gaß gelegenen behaußung, Donnerstags den 7. Martii Anno 1782.
Des verstorbenen seeligen ab intestato Verlaßene Erben sind 1° Herr Johann Friedrich Senckeißen, leediger Silberarbeiter, so majorennis und ohnbevögtigt und in selbsteigener Persohn dieser Verlaßenschafft Inventur beÿwohnete in den Ersten Zweÿten Stammtheil. So dann 2° Frau Maria Elisabetha, gebohrne Senckeißen, herrn Johann Friedrich Cladÿ, des Zuckerbecks und Burgers allhier Ehegattin, welche beneben diesem ihrem Marito solcher Verlaßenschafft Geschäfft abwartete, in den Zweÿten und letzten Stammtheil, beede sind des Defuncti mit Eingangs gedachter Weiland Fraun Maria Elisabetha gebohrner Maulin, seiner verstorbenen Ehegattin seel. ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu Zweÿen gleichen theilen Verlaßener Erben

Schulden in dieße Verlassenschafft zu geltend, Erstlich solle hr Advocat Barbier ane hauß zinß pro quart. Annunciationis Mariæ künfftig verfallen à 62 lb des Jahrs
Item fr Maria Barbara dahlerin die handelsmannännin allhier ist vor das nehmliche Quartal ane hauß und Ladenzinß schuldig à 75 lb des Jahrs
Item Antoni Erhard des Schreinermr allhier hat auch vor besagte Quartal an haußzinß richtig zu machen à 27 des Jahrs
Item N Wickelspach der Tapezirer ist auch dießerwegen vor das neml. Quartal schuldig à 15 lb des Jahrs
Item N drechßler der Invalide soll vor eben solches Quartal an haußzinß à 9 lb des Jahrs
Item Martin der Schneidermeister hat pro dicto quatali an haußzinß zu bezahlen à 8 lb des Jahrs
Item hr Joh: Leonhard Boch der biersieder und b. alhier vor das neml. Quartal an Keller zinß schuldig à 13 lb des Jahrs
Eigenthum ane einer behaußung. Neml. I. Behaußung, bestehend in Vorder: Mittel: u. Hinterhauß, samt allen deren Gebäuden, Zween Höffen und dero Hoffstätten Gemeinschafft eines Bronnens, auch allen übrigen Zugehörden, Begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen Zu Straßburg in der großen Prediger oder Goldschmidgaß einseit neben Joh: Peter Wentz, dem Schneidermeister Zum theil und Zum theil neben N. Haßlauer dem Pastetenbeck, anderseit neben Herrn Exsenatori Marchand dem Aubergiste Zum theil und Zum theil neben N. Ensfelder dem Haußfeurer, hinten theils auf eine Zur Prediger Kirch gehörige Diaconat: Behaußung und theils auf Herrn Abraham Wenger, den Silberarbeiter stosend, so von Alters her Zum Maulbeerbaum genannt und gegen männiglich freÿ, ledig und eigen. Welche Behaußung cum appertinentiis durch hiesiger Löbl. Staft geschworne Werckmeistere Vermög ihrer Zu der Minutte dießes Inventarii geliefferten schrifftlichen Abschatzung vom 5.ten Martÿ hujus Anni gewürdiget worden ist pro 1900 lb. Dieße behaußung hat des defuncti verstorbene Ehegattin von Weil. H. Joh: Michael Maul, dem geweßenen Silberarbeiter und Burgern alhier und auch weil. Fraun Maria Elisabetha gebohreber Bährin ihren Verstorbenen Elteren seel. geerbet. Sonsten besagt darüber ein deutscher pergamentenen Kaufbrieff in allhiesiger Cantzleÿ Contractstub gefertigt und mit dero anhangendem Insiegel verwahret de dato 17.ten Novembris Anno 1722.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. hausraths 82, Sa. leeren Faß 8, Sa. Werckzeug zur Silberarbeiter Profession gehörig 32, Sa. Silbers 7, Sa. Goldengeschmeid 16, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1900, Sa. Schulden 52, Summa summarum 2100 lb – Schulden 380 lb, Nach solchem Abzug 1720 lb – Stall summ 1720 lb
1764 Conseillers et XXI (1 R 176) H. Johann Friderich Senckeißen wird schöff beÿ E. E. Zunfft Zur Steltz. 311.

Jean Frédéric Senckeissen fils et son beau-frère Jean Philippe Clady louent une partie de la maison au marchand Antoine Gallo

1782 (28.2.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 81
H. Johann Friedrich Senckeißen der silberarbeiter und H. Johann Philipp Cladÿ der zuckerbeck, dieser letztere ehevögtlichen weiß
in gegensein H. Antoni Gallo des handelsmanns
lehnungs weiße, in ihrer ane der Goldschmidtsgaß gelegenen behausung benantlichen eine vollständige wohnung bestehend auff dem boden aus einen laden in zweÿ bogen samt dem contor und magazin, ferner in den hoff sehend im ersten stock 2 stuben nebst 2 kammern und eine küch, einen unterschlagenen keller nebst platz zum holtz – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff Mariæ verkündigung tag anzufangen – um einen jährlichen Zinß nemlich 240 gulden

Jean Frédéric Senckeissen fils cède la moitié de la maison à sa sœur Marie Elisabeth, femme du confiseur Jean Frédéric Clady

1783 (22.7.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 881) Joint au n° 136 du 7.3.1782
Vor mir dem unterschriebenen als Zu weiland Herrn Johann Friedrich Senckeißen gewesenen Silberarbeiters wie auch Eines Ehrsamen Großen Raths alten Beÿsitzers und Burgers dahier Zu Straßburg seelig Verlaßenschaft Inventur Abtheil: und Erörterung requirirtem geschwornem Notario erschienen an Zu Ende stehendem dato deßen hinterlaßener leediger majorenner Sohn Herr Johann Friedrich Senckeißen, der hat
In Gegenseÿn seiner Schwester Frauen Mariæ Elisabethæ gebohrener Senckeißin, Herrn Johann Friedrich Clady des Zuckerbecks und Burgers alhier Ehegattin angezeigt und bekandt daß er vor sich seone Erben und Nachkommen Ihro Mad° Clady eigenthümlich cedirt, abgetretten und überlaßen hä, welche auch unter Authorisation ihres Mariti (…)
die ihme Herrn Senckeisen Zuständige Helfte vor ohnvertheilt von und ane der in die disortige mütterliche Verlaßenschafft gehörigen und bis dato unter ihnen beiden Geschwistern gemeinschaftlich ohnvertheilt ausgestetzten Behausung bestehend in Vorder: Mittel: und Hinterhauß samt allen deren Gebäuen, Zween Höffen und dero Hofstätten, Gemeinschafft eines Bronnens mit allen deren übrigen Zugehörden, Begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten glegen alhier zu Strasburg in der grosen Prediger oder Goldschmidgaß, einseit neben Johann Peter Wentz dem Schneidermeister Zum theil, und Zum theil neben N. Haßlauer, dem Pastetenbeck, anderseit neben H Exsenatori Johann Baptista Joseph Marchand dem Aubergiste Zum theil und Zum theil neben N Ensfelder dem Haußfeurer, hinten theils auf eine Zur Prediger Kirch gehörigen Diaconat Behaußung und theils auf Herrn Abraham Wenger den Silberarbeiter stosend, so von alters her zum Maulbeerbaum genannt – beschehen und Zugangen vor und um die Summ von 2500 Pfund Pfenning Strasburger – Actum alhier Zu Strasburg Dienstags den 22. Julii Anno 1783.
(enregistré à la Chambre des Contrats, vol. 657 f° 351)

Marie Elisabeth Senckeissen, femme de Jean Frédéric Clady, hypothèque la maison au profit de Jean Henri Gangloff, assesseur des Quinze

1783 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 349-v
Fr. Maria Elisabetha geb. Senckeißin H. Johann Friedrich Cladÿ des zuckerbecks Ehegattin
in gegensein SSTT. H. XV. Johann Heinrich Gangloff, schuldig 1500 gulden, ihrem bruder Johann Friedrich Senckeißen abschläglich seines restierenden cessions schillings v. 3000 guldin
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder, milltel und hinter hauß samt übrigen zugehör in der großen Prediger oder Goldschmidts gaß, einseit neben Johann Philipp Wintz dem schneider meister zum theil zum theil Mr Haßlauer dem pastetenbeck, anders. neben H. Exsen. Johann Baptista Joseph Marchand dem aubergisten zum theil zum theil Mr Ensfelder dem haußfeurer, hinten eine zum Prediger kirch gehörig diaconats behausung zum theil H. Abraham Wenger den silberarbeiter – zum theil von ihrer mutter seel. weil. H. Exsenatoris Johann Friedrich Senckeißen des Silberarbeiters Ehefrau theils von ihrem bruder vorgedacht unvertheilt erbscessionweiße erhalten, wie der cessions acte vom 22. Julÿ jüngsthin vor H. Not. Johann Friedrich Greiß errichtet und dem Contractum protocollo einverleibt

Fils du confiseur Jean Henri Clady, Jean Frédéric Clady épouse en 1776 Marie Elisabeth Senckeissen
1776 (4.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) f° 467
Eheberedung – zwischen Herrn Joh: Friderich Cladi, dem leedigen Zuckerbecker, Herrn Joh: Heinrich Cladi des auch Zuckerbecken und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugtem Hn Sohn als dem Herrn Bräutigam, unter assistentz dießes seines ged. herrn Vatters
und Jungfer Mariä Elisabethä Senckeißin herrn Joh: Friderich Senckeißen Silberarbeiters und E. E. Großen Raths dermahligen Beisitzers auch burgers allhier ehelich erzeugter Jgfr tochter als der Junger hochzeiterin beiständlich Ihres ged. herrn Vatters
Neuntens hat Eingangs gedachter Hr Joh: Heinrich Cladi des Hn Bräutigambs geliebter hr Vatter Ihme dem Hn Hochzeiter seinem Sohn, wegen der Ihme biß daher mit allem Eiffer in Kindlichem Gehorsam treugeleisteten Diensts und ohnermüdet erzeigten fleißes in seinem führenden Gewerb seine eigenthümliche allhier Zu Straßburg ane der Golgschmidgaß (…)
auff Sambstag den 4. Maÿ Anno 1776 (unterzeichnet) frideric Clady, Maria Elisabetha Senckeisin

Après proclamation au Temple-Neuf, le mariage entre la luthérienne Marie Elisabeth Senckeissen et le catholique Jean Frédéric Clady est célébré selon le rite catholique à Saint-Pierre-le-Jeune
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 128)
Im Jahr Christi 1776. wurden in allhiesiger Prediger Kirch auf Dominica Cantate und Zwar auf Obrigk. Erlaubnuß Zum Ersten und andern mahl Zugleich offentlich proclamirt, H Johann Friderich Cladi, lediger Zuckerbeck und burger alhier, Hn Johann Heinrich Cladi, Zuckerbecken und burgers allhier, und weÿl. Fr. Maria Elisabetha gb. Ackerin, ehelich erzeugter Sohn, Römisch Catholischer Religion, und Maria Elisabetha Senckeißin, Hn Johann Friderich Senckeißens, Silberarbeiters E. E. großen Raths dermahl. Beÿsitzers und burgers allhier, und weÿl. Fr. Maria Elisabetha gb. Maulin, ehelich erzeugte Tochter, Evangelischer Religion (i 180)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 214)
Hodie 6. maji anni 1776 (…) s. matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Fridericus Clady Civis et condimentarius hujas filius majorennis Joannis Henrci Clady Civis et condimentarii hujatis et defunctæ Mariæ Elisabethæ acker quodam conjugum, Catholicus, Parochianus noster Et Maria Elisabetha Senck Eisin filia friderici Senckeisen Civis et auri fabri hujatis et defunctæ Elisabethæ Maulin olim conjugum confessionis augustanæ (signé) frideric Clady, Maria Elisabetha Senckeissin (i 111)

Jean Frédéric Clady devient tributaire au Miroir le 23 mars 1778
1778, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 191) Montags, den 23. Martii 1778 – C. Leibzünfftiger
Joh: Friderich Cladi, welcher bei seinem Vater alhier die Profession erlernet hat, ist auf producirter Stallschein von vorgestern gegen Erlag 1 lb d diesorts leibzünfftig als Zuckerbäcker aufgenommen worden. prom.

Inventaire dressé après la mort du locataire Antoine Aloïse Gallo qui a épousé Geneviève Dœbler en 1780.

1788 (3. 7.br), Not. Lederlin (6 E 41, 909) f° 415
Inventarium über Anton Aloisius Gallo, des Handelsmanns und Frauen Genovevæ gebohrner Döblerin beeder Eheleuthe und burgere dhier in Straßburg der Zeit besitzende Activ nahrungen und zu bezahlende Passiv schulden, errichtet Anno 1788
auf Requisition Herrn Johann Joseph Bitschnau Juris Utriusque Lti Advocati et Procuratoris Vicarii auch burger dahier Zufolg des hiebeÿ vorgewißenen Decrets von Sis Tis dem Regirenden Herrn Ammeister unterm 28.ten 8.bris jügsthin ertheilt Hoch Richtlichen ernannten Curatoris gedachter Gallo vacant und verschuldeten Nahrung, inventirt und ersucht (…) So geschehen dahier in Straßburg auf Montag d. 9.ten Novembris Anno 1788. In Gegenwart S° T° Hern [interrnompu]
in einer allhier Zu Straßburg ane der Goldschmidtgaß gelegenen H. Cladie dem Zuckerbecken eigenthümlich Zugehörigen behausung folgender maßen sich befuden als [sans sommes]
Copia der Eheberedung – Ich Anton Aloisius Gallo, burger und Handelsmann von Straßburg, Wittwer jedoch ohne Kinder Erster Ehe und Ich Genovepha Deblerin Weÿl. Herren Johannes Deblers burgers und Handelsmanns in der Reichstadt Schwäbisch Gmünd hinterlassene eheliche ledige tochter uns mit einander einer eheliche Verlobung eingelaßen haben und solche bis nächts künfftigen Montag den 14.ten dis Monaths durch Priesterliche Einseegnung vor dem Angesicht Chrislicher Kirche betätigen zu laßen Willens sind – Stutgard d, 11. Aug. 1780, Johann Christoph Kehl, Imperiali Autoritate Notarius publicus juratus ad hunc Actum legitimo modo rogatus

1807 (29.6.), Strasbourg, M° Lex
Consentement par Jean Frédéric Clady au mariage d’Antoine Frédéric Clady avec Marie Guebey
Enregistrement, acp 103 F° 13 du 30.6.

Jean Frédéric Clady et Marie Elisabeth Senckeissen vendent la maison au marchand Daniel Drenss

1800 (8 therm. 8), Strasbourg 3 (46), M° Übersaal n° 576, 525
bürger Johann Friedrich Clady Zuckebecker in der Goldschmittgaß n° 11 wohnhaft und deßen Ehegattin Fr. Maria Elisabetha geb. Senckeißen
in gegensein bürger Daniel Drenß handelsmanns am dem Waffenplatz N° 40 wohnhaft
die denen verkäufern eigenthümlich zuständige behausung mit N° 18 bezeichnet gelegen an der Goldschmittgaß bestehend in Vorder: Mittel und Hinter: haus samt zween höffen, der gemeinschafft eines bronnens, auch allen übrigen derselben Gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten durch brs Haßlauers haus ausführen zu laßen, einseit neben dem b. Moché Distillateur anderseit neben denen brn Wentz, Schneider und Haßlauer, Gelehrten hinten auf eine der Prediger: Kirche zuständigen behausung, br Gourmand Lichtermacher und Ensfelder becker – der Verkauf und Kauff der vorherbeschriebenen behausung N° 18 welche von alters her zum Maulbeeren: baum genannt (…) In instanti haben die Verkäufer über die verkaufte behausung dem Käufer vier pergementene darüber lautende Kaufbrieffe aus der C. C. Stb sub Datis 28. Augusti 1554, 19. Junÿ 1677, 6. Februarÿ 1680 und 17. Novembris 1722 ausgeliefert – um 20.000 fr
Enregistrement, acp 74 F° 189 du 18 ther. 8

Fils du jardinier Jean Daniel Drenss, Daniel Drenss épouse en 1799 Caroline Grün, fille de l’aubergiste à la Maison rouge Jean Frédéric Grün
1799 (14 nivose 7), Strasbourg 3 (39), M° Übersaal n° 279
Eheberedung – erschienen, der bürger Daniel Drenß lediger und großjähriger Handelsmann alhier wohnhaft, des weiland Bürgers Johann Daniel Drenß gewesenen Gartners alhier, mit Frau Salome gebohrner Reÿbel, so dermalen an dem Br Theobald Lix Religions lehrer allhier verehelichet, ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigam, an einem
Und Jungfrau Carolina Grün, des Bürgers Johann Friderich Grün, Gastgebers Zum roten Haus alhier, mit Frau Catharina Salome gebohrner Zisich ehelich erzeugte tochter, beiständlich dises ihres geliebten Vaters, als Braut, an dem andern theil
den 14. Nivose Nachmittag in dem siebenden Jahre der einen und unzertrennlichen Francken Republick (unterzeichnet) Daniel Drenss, Caroline Grün
Enregistrement, acp 65 F° 24 du 15 niv. 7

Daniel Drenss et Caroline Grün font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Wolff place d’Armes. Ceux du mari s’élèvent à 17 126 francs, ceux de la femme à 11 070 francs.
1799 (15 messidor 7),Strasbourg 3 (21), M° Übersaal n° 605
Inventarium über des bürgers Daniel Drenß handelsmanns und der bürgerin Carolina geb. Grün einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachtes Vermögen, in ihrem den 20. Nivose VIII. angetrettenen Ehestand, in ihrem den 14. Nivose VII vor mir aufgerichteten Ehe Contract (stipulirt worden)
in einer an dem Paradeplatz gelegenen dem br Wolff bierbrauer zuständigen behaußung N° 38
des Ehemanns Vermoegen, hausrath 654 fr, silber und Gold 384 fr, baarschafft 13.088 fr, angelegten Capital 3000 fr, Summa summarum 17.126 fr – haussteur 416 fr, Summa 17.543 fr, liegende güther Mittelhausberger banns
der Ehefraun in die Ehe gebrachtes gut, hausrath 2886 fr, silber und Gold 1037 fr, baarschafft 6750 fr, Summa summarum 10.654 fr – haussteur 416 fr, Summa 11.070 fr
Enregistrement, acp 69 F° 9 du 16 mess. 7

Inventaire dressé après la mort de la domestique Marie Salomé Marschalck

1816 (18.11.), Strasbourg 8 (16), M° Roessel, n° 3755
Inventaire de la succession de Marie Salomé Marschalck native d’Andolsheim célibataire en service chés Mad. Zaepffel demeurant rue des Orfèvres n° 18 décédée à Strasbourg le 11 courant – à la requête de Frédéric Hild journalier à Andolsheim, mandataire de Barbe Marschalck sa femme et d’André Marschalck tisserand audit Andolsheim, ensemble mandataire de Marie Salomé Herrmann veuve en premières noces de David Marschalck cordonnier à Andolsheim femme actuelle de Pierre Loubert journalier, la première tutrice le second co tuteur de Jean Michel Marschalck
demeurant rue des Orfèvres n° 18
mobilier 406 fr, numéraire 111 fr, créances 581 fr, total 1098 fr – passif 93 fr
Enregistrement, acp 132 F° 23 du 19.11.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Madeleine Goullet, veuve de Henri Zæpffel

1818 (18.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 39), M° Hickel n° 44
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Goullet, veuve de Henri Zaepffel, commandant du Fort Blanc décédée le 17 mai dernier – à la requête de Jacques Frédéric Goullet, négociant à Francfort sur le Mein héritier de sa sœur germaine
dans une maison rue des Orfèvres n° 18
Mobilier, Première chambre au premier étage ayant deux croisées sur la rue des Orfèvres, deuxième pièce à côté, dans une troisième pièce à côté, cuisine, premier grenier, second grenier, chambre de la servante 1410 fr, immeuble du partage reçu M° Schumacher le 30 octobre 1758 de la succession de sa mère, 7 ares 50 à Gougenheim 1113 fr, passif 1320 fr
Enregistrement, acp 139 F° 102 du 26.6.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Anne Dejarny veuve du receveur des douanes Henri Hurlaux

1824 (24.9.), Strasbourg 14 (80), Me Lex n° 2689
Inventaire de la succession d’Anne Dejarny veuve de Henri Hurlaux, receveur principal des douanes à Cologne décédé le 25 août dernier – Dénomination des héritiers, 1. Catherine Hurlaux épouse de Jean Pierre Vital Collin, receveur principal des douanes à Sarraguemines représentée par Joseph Laveuve, vérificateur des douanes, 2. Nicolas Hurlaux, propriétaire Chevalier de la Légion d’Honneur, 3. Claude Etienne Hurlaux, receveur des douanes à Carling canton de S Avold (Moselle) représenté par son frère Nicolas Hurlaux
dans une maison rue des Orfèvres n° 18 où le défunt demeurait avec son fils Nicolas
mobilier 385 fr
Enregistrement, acp 170 F° 3-v du 29.9.

Inventaire de séparation entre Caroline Grün et Jean Daniel Drenss

1826 (23.6.), Strasbourg 12 (100), Me Wengler n° 14.406
Inventaire de séparation entre Caroline Grün femme de Jean Daniel Drens, négociant, par jugement du 12 courant – Inventaire des apports dressé par M° Ubersaal le 15 messidor 7 (3 juillet 1799)
prétentions de cette dernière 33.821 fr, mobilier 1531 fr
dans la chambre au second étage donnant sur la cour de devant, dans le cabinet à côté, dans la chambre donnant sur la seconde cour, dans la chambre à côté, dans le corridor, dans la cuisine à côté, dans les armoires placées dans le corridor, aux mansardes, dans une petite chambre fermée en lattes, dans la chambre de la servante, dans la chambre au linge sale, au premier étage
Contrat de mariage reçu M° Ubersaal le 14 nivôse 7 (3 janvier 1799)
Enregistrement, acp 179 f° 72-v du 28.6.

Daniel Drensz loue une partie de la maison dont un magasin à Marie Thérèse Rosalie Ruhlmann veuve de Jean Louis Eyrisch

1827 (5.2.), Strasbourg 15 (41), Me Lacombe n° 7728
Bail de 3 années à commencer le 25 mars prochain – Daniel Drensz, négociant
à Marie Thérèse Rosalie Ruhlmann veuve de Jean Louis Eyrisch, capitaine de gendarmerie
un magazin en détail au rez de chaussée de la maison du Sr Drensz rue des Orfèvres n° 18 avec comptoir y attenant, deux magasins de dépot dans la même maison et tous les ustensiles du commerce d’épicerie et qui servoient au Sr Drensz
plus les appartements du premier étage donnant dans deux cours actuellement occupés par le Sr Brantz, passementier, plus et deux pièces au même étage, une chambre aux mansardes, l’usage commun du grenier, dans la cour et de la pompe, la cave jusqu’ici affectée au logement loué – moyennant un loyer annuel de 800 francs
Enregistrement, acp 182 F° 100-v du 6.2.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Elisabeth Barbe Gillmann, femme du commissionnaire François de Sales Pick

1833 (26.3.), Strasbourg 2 (74), Me Weigel n° 7973
Inventaire de la succession d’Elisabeth Barbe Gillmann, femme de François de Sales Pick, commissionnaire, décédée le 26 novembre 1832 – à la requête 1. du veuf père et tuteur légal de François Joseph Pick et commun en bioens suivant contrat de mariage reçu M° Wengler le 23 mars 1816, 2. Jean Kuhn, cordonnier subrogé tuteur
en la maison où le défunt est décédé rue des Orfèvres n° 18
reprises du défunt 14 fr, hérité de sa mère Barbe Koch femme de Nicolas Gillmann 195 fr, remplois du veuf 1583 fr, héritage de Jean Chrétien Pick son frère – mobilier 91 fr, mobilier vendu 155 fr, passif 30 fr
Enregistrement, acp 216 F° 167 du 5.4.

Daniel Drensz meurt en 1842 en délaissant deux enfants

1842 (15.6.), Strasbourg 12 (157), Me Noetinger n° 14.751
Inventaire de la succession de feu M. Daniel Drensz Négociant demeurant à Strasbourg où il est décédé le 6 juin 1842.
L’an 1842 le 15 juin à neuf heures du matin, à la requête de 1° Dame Caroline Grün, veuve de feu M. Daniel Drensz en son vivant Négociant à Strasbourg où elle demeure, agissant en son propre nom à cause de la communauté de biens qui a existé entre entr’elle et feu sondit mari aux termes de leur contrat de mariage reçu par M° Ubersaal notaire à Strasbourg & en présence de témoins le 14 Nivôse an sept de la République et des reprises qu’elle peut avoir à exercer sur sa succession et sur ladite communauté,
2° Dame Frédérique Emilie Drensz, épouse de M. Louis Heydenreich, ministre du culte protestant, de son mari ci-présent dûment autorisée à l’effet des présentes, les deux demeurant à Soultz-sous-forêts, 3° & du Sr Frédéric Emile Drensz, Commis négociant demeurant à Marseille, La dite dame Heydenreich & le Sr Drensz habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour moitié & sous bénéfice d’inventaire de feu ledit Sr Daniel Drensz leur père
dans unemaison sise à Strasbourg, rue des orfèvres N° 18 où le défunt est décédé le 6 juin courant
Immeubles. Maison à Strasbourg. une pièce qui est la grosse d’un contrat de vente passé devant M° Übersaal notaire susdénommé le 18 thermidor de l’an huit de la République par lequel il a été acquis pendant la Communauté dont il s’agit une maison & ses dépendances sise à Strasbourg rue des Orfèvres N° 18 pour le prix de 20.000 francs. Evaluée cette maison au revenu annuel de 1500 francs ou en capital 30.000 francs
acp 299 (3 Q 30 014) f° 84 – La masse active de la communauté se compose 1° d’un mobilier estimé 1499, 2° d’une maison à Strasbourg rue des orfèvre N° 18, estimée 30.000, total 31.499
Garde robe du défunt 218, total 31.717
Les reprises de la veuve s’élèvent à 60.310 francs
Les héritiers requérants abandonnent en remploi tout l’actif ci-dessus établi
Renonciation par la veuve à une donation à elle faite et contenue en son contrat de mariage devant M° Übersaal le 14 nivôse an VIII & l’usufruit viager y porté

Les enfants et héritiers Drensz vendent la maison au fabricant de cire André Auffinger. L’acte énumère les servitudes envers la maison Hasslauer.

1845 (19. 9.br), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 18.109
Cahier des charges – Ont comparu 1° M. Frédéric Emile Drensz, Commis négociant demeurant à Marseille, rue Lapalu n° 45, 2. M. Louis-Guillaume Heydenreich, ministre du culte protestant demeurant à Soultz sous forêts, agissant en qualité de mandataire de dame Frédérique Emilie Drensz épouse dudit M. Louis-Guillaume Heydenreich (…) lesquels étant intentionnés de vendre aux enchères publiques la maion ciaprès désignée ont requis les notaires soussignés d’en dresser le cahier des charges, à quoi il a été procédé ainsi qu’il suit
Désignation de l’immeuble. Une maison consistant en deux corps de bâtiments avec magasins, deux petites cours, grandes caves voûtées, sise à Strasbourg rue des Orfèvres N° 18, d’un côté M. Hickel, de l’autre M. Klotz, pardevant la dite rue & par derrière M.M. Ensfelder et Haslauer et une maison curiale du Temple Neuf. Tel et en l’état que cet immeuble se comporte et se poursuit (…)
Etablissement de la propriété. Les vendeurs sont propriétaires de l’immeuble ci avant désigné pour l’avoir recueilli dans la succession de Dame Caroline Grün, veuve de M. Daniel Drensz, de son vivant négociant à Strasbourg et elle est décédée à Soultz sous forêts le 17 octobre dernier. Cet immeuble dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre lesdits époux Drensz et a été attribué à Mme la veuve Drensz pour la remplir de des prétensions matrimoniales, ainsi que cela résulte de l’inventaire de la succession de M. Daniel Drensz, dressé par M° Noetinger, soussigné, le 15 juin 1842. M. Drensz a acquis cet immeuble pendant ladite communauté de M. Jean-Frédéric Clady, cofiseur demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente reçu par M° Übersaal, autrefois notaire en cette ville le 18 thermidor de l’an huit de la République, pour un prix de 20.000 francs dont 10.000 francs ont été payés comptant (…)
Charges, clauses et conditions. 5° L’adjudicataire supportera les servitudes passives apparentes ou occultes de toute nature à la charge de la maison vendue, sauf à lui à s’en défendre et à réclamer l’exercice de celle actives, à ses risques. Et à cet égard les vendeurs déclarent qu’un puits dépendant de la propriété vendue est mitoyen entre les vendeurs et M. Hasslauer et qu’il existe au profit de cette propriété la servitude active de laisser couler les eaux de pluie et celles grasses provenant des éviers des cuisines par la propriété du S. Hasslauer, et enfin celle à la charge de la propriété de ce dernier 1° de recevoir les matières provenant des fosses d’aisance et 2° de faire la vidange de ces matière par la même propriété, sauf à M. Hasslauer à percevoir le prix en revenant.
N° 18.161. Et aujourd’hui le 15 décembre 1845 (…) il sera procédé à l’adjudication sur enchères publiques de la Maison désignée plus bas (…) mise à prix 45.000 francs
adjugée à M. Lotz pour le prix de 60.000 francs par lui offert. Et à l’instant M. Lotz a déclaré avoir enchéri pour Monsieur André Auffinger, fabricant de cire demeurant à Strasbourg
acp 343 (3 Q 30 058) f° 50-v (cahier des charges, acp 342 (3 Q 30 057) f° 38 (adjudication)

Originaire de Berstheim, André Auffinger épouse en 1830 Marie Steinmetz, originaire de Lixhausen
Mariage, Strasbourg (n° 499)
Du 23° jour du mois de décembre l’an 1830, Acte de mariage d’André Auffinger, mineur d’ans quant au mariage, né en légitime mariage le 2 mai 1807 à Berstheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier en cire, fils de feu André Auffinger, cordonnier décédé à Berstheim le 27 mars 1820 et de feu Thérèse Rothan décédée au même lieu le 14 mai 1815
et de Marie Steinmetz, majeure d’ans, née en légitime mariage le 28 fructidor an VI à Lixhausen (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Steinmetz, cultivateur et de Marie Kirst conjoints domiciliés à Lixhausen – (signé) andreas auffinger, Maria Steinmetz (i 44)

André Auffinger meurt en 1871 après avoir institué sa nièce Thérèse Jung pour sa légataire universelle

1871 (28.10.), M° Momy (minutes en déficit)
Inventar der Gütergemeinschaft die zwischen Andreas Auffinger, Eigenthümer und Maria Steinmetz, seiner Ehefrau in Straßburg existirt hat und vom Nachlass des Hn Auffinger den 16. September 1871 gestorben. Errichtet von der Wittwe als Theilnehmerin der halben Gemeinschafft nach dem CC. 2. Theresia Jung, volljährig in Dauendorff, Nichte
acp 600 (3 Q 30 315) f° 132 n° 2335 du 7.11. (Sterbefall erklärt 12. März 1872) Gemeinschaft, Mobilien 2469, Geld 14
Nachlass, Kleidung 335
acp 602 (3 Q 30 317) f° 25-v n° 2797 du 28.12. (Fortsetzung vom 18. Dezember) Gemeinschaft 1) 500 fr. Renten, 2) 500 fr. Renten, 3) 300 fr. Renten, 4) 10 Obligationen Ost Eisenbahn, 5) 20 Obligationen Eisenbahn von Paris nach Lyon, 6) hinterlegtes Geld 20.243, 7) Schuldschein 6550
8) Ein Haus in Straßburg Goldschmidstraße N° 3
Passiv der Gemeinschaft 2390, des Nachlasses 1697

Dépôt du testament olographe daté du 20 août 1869
1871 (18.10.), M° Momy (minutes en déficit)
18 octobre – Hinterlegung des eigenhändigen Testaments von Andreas Auffinger Eigenthümer in Straßburg vom 20. August 1869
acp 596 (3 Q 30 311) f° 188-v n° 2033 du 27.10.
n° 2034 Hinterlegung des zweiten eigenhändigen Testaments von Andreas Auffinger Eigenthümer in Straßburg vom 20. August 1869

Acte de notoriété
23 octobre – Notorietät act bestädigend daß Andreas Auffinger, Eigenthümer in Straßburg den 16. September 1871 gestorben sei
acp 596 (3 Q 30 311) f° 192-v n° 2079 du 2.11.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 156 (3 Q 31 655) f° 3-v n° 885 du 27.10.1871 et f° 4 n° 886

1872 (6.4.), Strasbourg 15 (126), M° Momy (Hippolyte) n° 15.403
Compte d’exécuteur testamentaire – Ont comparu Monsieur Auguste Heinhold, homme de lettres demeurant à Strasbourg, agissant en qualité exécuteur testamentaire de feu Mr André Auffinger, propriétaire, demeurant à Strasbourg aux termes de son testament ci après énoncé d’une part
Maemoiselle Thérèse Jung, célibataire majeure d’ans demeurant à Dauendorff, agissant en qualité de légataire universelle de feu le Sr André Auffinger son oncle aux termes du même testament d’autre part
Observations préliminaires. Première observation. Me Auffinger est décédé à Strasbourg où il demeurait le 16 septembre 1871. Par deux testaments faits olographes à Strasbourg le 20 août 1869 enregistrés et déposés en l’éude de M° Momy (…) Mr Auffinger a nommé pour sa légataire universelle en toute propriété Mademoiselle Jung comparant (…) et il a légué particulièrement savoir à M Heinhold lui-même 500 francs, à Marie Auffinger épouse de Mr Acker cultivateur à Berstheim une somme de 2000 francs, à Catherine Auffinger épouse de Mr Acker cultivateur à Berstheim une somme de 2000 francs, à Odile Schneider native d’Ullwiller demeurant à Paris une somme de 8000 francs, à Dlle Marie Hüber native d’Oberkuzenhaussen demeurant à Souffelweyersheim une somme de 2000 francs, à Marie Louise Caroline Feuerstoss, demeurant à Strasbourg une somme de 1000 francs plus une rente annuelle et viagère de 1000 francs

Liquidation de la succession. Le défunt demande dans son testament le pardon à ceux qu’il a pu offenser et donne son pardon à sa « méchante femme ».
1872 (27.1.), Strasbourg 15 (125), M° Momy (Hippolyte) n° 15.248
Liquidation et partage du 27 janvier 1872. Sont comparus Madame Marie Steinmetz veuve de Mr André Auffinger, propriétaire, demeurant à Strasbourg, agissant à raison de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son mari défunt
Mademoisellle Thérèse Jung, fille majeure, sans état demeurant à Dauendorf, canton de Haguenau, agissant en qualité de légataire universelle en toute propriété du défunt Sieur André Auffinger son oncle, instituée par un testament fait en forme olographe à Strasbourg le 20 août 1869, duquel testament l’original présenté à Mr le Président du Tribunal civil séant à Strasbourg, portant la mention enregistré à Strasbourg le 28 octobre 1871 folio 3 verso Case 7 (…) a été déposé au rang des minutes de M° Momy l’un des notaires soussignés suivant acte reçu par lui et l’un de ses collègues le 18 octobre 1871 enregistré
Monsieur Auguste Heinhold, homme de lettres demeurant à Strasbourgn agissant tant pour assister Mademoisellle Thérèse Jung, que comme exécuteur testamentaire du défunt Sieur André Auffinger, institué par le testament ci-dessus relaté (…)

Exposé préliminaire. Décès de Mr Auffinger, Testament, Inventaire – Mr André Auffinger est décédé à Strasbourg où il demeurait le 16 septembre 1871, sans délaisser de descendants ni ascendants au profit desquels la loi établit une réserve, et après avoir institué pour sa légataire universelle en toute propriété Madlle Thérèse Jung, sa nièce, comparante, à charge par elle de délivrer différents legs particuliers (…)
Ich mache mein Testament im nahmen des Allerheilligsten dreÿfaltigkeit Gott deß Vatters des Sohns und deß Heiligen Geistes Amen. Ich bitte im verzeihung alle personen welche ich wißentlich oder unwißentlich beleidigt habe, ich verzeihe allen vom grund meines Hertzes besonders meinem bößen Weib, Gott sei ihr gnädig und barmhertzig (…) – Deuxième testament (…) Ich manche der Maria Louise Caroline Feuerstoss gebürtig von hier eine lebenslängliche Rente von 1000 Francken alle Jahr (…) durch die jenige die nach mir Eigenthümer word von meinem Hauß Goldschmidt gasse N° 3
Inventaire – Inventaire de biens de ladite communauté a été dressé par M° Momy, l’un des notaires soussignés sous la date au commencement du 28 octobre 1870.
acp 602 (3 Q 30 317) f° 99 n° 426 du 6.2. – Gütergemeinschaft, Mobiliar actif Masse 65.618, passif Masse 3810, bleibt 61.807, ½ 30.903
Nachlass actif Masse ½ der Gütergemeinschaft 30.903, Kleidung 335, Total 31.238 ; Passif Masse 1637, bleibt 29.541
Abtretung (…)

Thérèse Jung qui a épousé le cultivateur Antoine Ripp en 1873 vend la moitié des biens meubles et immeubles provenant de son oncle à la veuve Marie Steinmetz

1874 (10.4.), Strasbourg 1 (196), M° Alfred Ritleng aîné n° 8588
10. Aprill 1874. Verkauf – ist erschienen Frau Theresia Jung, verbeistandete und ermächtigte Ehegattin des Herrn Anton Ripp, Ackersmann in Berstheim wohnhaft, welche erklärten zu verkaufen (…)
der Frau Maria Steinmetz Wittwe des Herrn Andreas Auffinger, bei Leben Wachs Fabricant, sie Eigenthümerin zu Straßburg wohnhaft, hier gegenwärtig und annehmend, und schon für eine Hälfte unvertheilterweise Miteigenthümerin der hiernach beschriebenen Liegenschaft
nämlich die unvertheilte der Frau Ripp gebornen Jung angehörenden Hälfte eines Hauses mit Hof, gewölbtem Keller, Zugehörigkeiten und Abhängigkeiten, in Straßburg gelegen in der Goldschmiedgasse N° 3 früher N° 18, auf einer Seite H. Pierrol, auf der andern H. Weber, vornen die Goldschmiedgasse, hinten die Besitzthümer Ensfelder, Haslauer und das Pfarrhaus der Neukirche, mit einbegriffen die unvertheilte Hälfte aller Oefen, Spiegel und überhaupt von alles sonstigen Mobiliatgegenstäne welche das unvertheilte Eigenthum der Frau Ripp Verkäuferin in besagtem Hause sein können.
Feststellung des Eigenthums. Dieses Haus rührt von der gesetzlichen Gütergemeinschaft her welche in Ermanglung eines Ehevertrags zwischen der Frau Auffinger und ihrem verstorbenen Ehegatten bestanden hatte, so wie dieses hervorgehet aus dem nach dem Absterben des H. Auffinger durch H. Momy damals Notar zu Straßburg am 28. October 1871 errichteten, einregistrirten Inventarium. Sie hatten es während ihrer Gütergemeinschaft von Herrn Friedrich Emil Drensz, Kaufmann in Marseille wohnhaft und Frau Friederike Emilie Drensz, Ehefrau des Herrn Ludwig Wilhelm Heidenreich, protestantischer Pfarrer zu Sulz unterm Wald wohnhaft, vermittelst den Preis von 60.000 Franken erworben, auf Grund eines vor H. Noetinger damals Notar zu Straßburg am 19. November 1845 errichteten Lastenheftes, und eines durch diesen Notar am 15. folgenden Dezember errichteten einregistrirten Steigerungs Protocolles, welcher am 29. des nämlichen Monats im Hypothekenamte von Straßburg Band 443 N° 72 überschrieben und denselben Tag von Amtswegen Band 439 N° 61 eingeschrieben wurde.
Da H. Auffinger am 16. September 1871 zu Straßburg verstarb, ist die unvertheilte Hälfte des besagten Hauses der Frau Ripp gebornen Jung seiner Nichte Verkäuferin zugefallen auf Grund von zwei eigenhändigen Testamenten des Verstorbenen, beide vom 20. August 1869, einregistrirt und nach Erfüllung der gesetzlichen Formlitäten in der Amtsstube des Herrn Momy Notars zu Straßburg hinterlegt laut zwei durch diesen Notaren am 18. October 1871 errichteten, einregistrirten Akten. Auf diese Weise gehörte besagtes Haus für unvertheilte Hälfte der Frau Ripp Verkäuferin und der Frau Auffinger, Käuferin.
Feststellung des vorhergehenden Eigenthums. Herr Drensz und Frau Heidenreich geborene Drensz waren Eigenthümer besagter Liegenschaft um dieselbe im Nachlasse der Frau Caroline Grün Wittwe des Herrn Daniel Drensz bei Leben Kaufmann zu Straßburg ererbt zu haben, besagte Frau starb zu Sulz am 17. October 1845. Diese Liegenschaft rührte von der Gütergemeinschaft her welche zwischen besagten Eheleuten Drensz bestanden hatte und wurde der Frau Wittwe Drensz angewiesen als Ergäntzung ihrer ehelichen Ansprüchen, so wie deses hervorgehet aus dem Inventarium de Nachlasss des H. Daniel Drensz durch besagten Notar Noetinger am 15. Juni 1842 errichtet. Herr Drensz hatte diese Liegenschaft während besager Gütergemeinschaft von Herrn Johann Friedrich Clady Zuckerbäcker zu Straßburg erworben, laut eines vor H. Uebersaal Notar in besagter Stadt am 18. Thermidor Jahr VIII errichteten Kauffvertrages.
Bedingungen des Kaufes (…) – Preis 24.000 Franken (…) – Civilstand der Verkäufer. Die Verkäufer erklärten, daß die verheiretet sind unter dem Rechtsbestande der auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft ohne anderern Beschränkung auf Grund ihres vor H. Weber Notar zu Hagenau am 24. November 1873 errichteten einregistrirten Ehevertrags.
acp 627 (3 Q 30 342) f° 14 du 11.4.

Georgette Latzarus femme de Jean Fleck, cultivateur à Mommenheim, Sophie Latzarus, femme de Jacques Fleck, cordonnier à Strasbourg, et Marie Catherine Latzarus, femme de François Fastinger, archiviste adjoint du Bas-Rhin, sont légataires de Marie Steinmetz, morte à Dettwiller le 26 mars 1881 après avoir fait son testament devant le notaire Lædelin de Schiltigheim, où elle demeurait. Les deux premières cèdent leur part à la troisième.

1882 (19.1.), Strasbourg 1 (218), M° Alfred Ritleng aîné n° 11.720
(Erbrechtenverkauf) – sind erschienen 1° Frau Georgette geborne Latzarus ermächtigte & verbeistandete Ehegattin des Herrn Johann Fleck, Ackerer miteinander in Mommenheim wohnhaft und letzerer in seiner Eigenschaft als Vater und Vermögensverwalter seiner aus seiner Ehe mit der obengenannten Ehefrau Georgette Latzarus hervorgegangenen noch minderjährigen Kinder Nahmens Magdalena Maria und Aloise Fleck (…) 2° Frau Sophie geborne Latzarus ermächtigte & verbeistandete Ehegattin des Herrn Jakob Fleck, Schuhmacher zu Straßburg wohnhaft Schwesterngasse 1 Einerseits
und Frau Maria Catharina geborne Latzarus ermächtigte & verbeistandete Ehegattin des Herrn Frantz Fastinger Archiven Adjunkt des Bezirks Unter Elsaß zu Straßburg wohnhaft, Andererseits
die Frau Johann Fleck geborene Latzarus und die Frau Jakob Fleck geborene Latzarus haben hiermit erklärt freiwillig & unwiderruflich mit der rechtmäßigen Garantie zu verkaufen und eigenthümlich zu übertragen
an ihrer Schwester und Miterbin der obengenannten Maria Catharina gebornen Latzarus Ehegattin des ebenfalls genannten Hern Frantz Fastinger die es annimmt
Alle beweglichen und unbeweglichen Erbrechten, die den besagten Ehefrauen Georgette und Sophie Fleck zustehen, mit einbegriffen die hernach angegebenen Legate der minderjährigen Kinder der Eheleute Johann Fleck und der Frau Jakob Fleck gebornen Sophie Latzarus, auf Grund des Testamentes der verstorbenen Frau Maria Steinmetz Wittwe des herrn Andreas Auffinger bei Leben Rentnerin in Schiltigheim wohnhaft, gestorben zu Rosenweiler am 26. März 1881 fragliches Testament durch Notar Laedlein in Schiltigheim in Gegenwart von Zeugen errichtet am 12. Februar 1881 zu Schiltigheim registrirt den 9. April 1891 Band 131 Blatt 11 f. 16
Beschreibung der verkauften Erbrechten und einleitende Erklaerungen
Die verkauften sämmtliche Erbrechten bestehen I. für die Verkäuferin Georgette Latzarus Ehefrau des Herrn Johann Fleck, zuerst in einem unvertheilten fünftel an einer in der Goldschmiedgasse liegenden mit N° 3 bezeichneten behaußung Antheil, woran dieser Verkäuferin das Eigenthum gleich zuerkannt ist, dessen Genuß Sie aber erst den 24. Juni 1888 anzutreten hat gemäß der im obenerwähnten Testamente getroffenen Verfügungen Und in einem Legat von 3200 Mark zu Gunsten der Kinder der besagten Eheleute Johann Fleck (…)
II. für die zweite Verkäuferin Sophie geborne Latzarus Ehefrau von Jacob Fleck ebenfalls in einem unvertheilten fünftel an der vorbenannter behausung in der Goldschmiedgasse N° 3 zu Straßburg und in einem Legat von 3200 Mark (…)
Festsetzung des Eigenthumsrechts der Behausung Goldschmiedgasse N° 3. Die behausung von der hier die zwei unvertheilten Fünftel verkauft sind befindet sich Goldschmiedgasse 3 zu Straßburg einseits die mit N° 1 bezeichnete behausung des Herrn Weber, anderseits die mit N° 5 bezeichnete behausung des herrn Pierrot, beide besagten behausungen ebenfalls in der Goldschmiedgasse gelegen, stoßt hinten auf die Eigenthümer Ensfelder, Metz, Pfarrhaus der Neuen Kirche und Mathey-Touchemolin. Die Ehefrauen Johann & Jakob Fleck sind rechtmäßige Besitzerinnen des von ihnen respektiv verkauften zwei Fünftels Antheile der oben bezeicheneten behausung Goldschmiedgasse 3, durch ein vor Notar Laedlein zu Schiltigheim den 12. Februar 1881 abgeschlossenes testament der Frau Maria Steinmetz wohnhaft zu Schiltigheim gestorben zu Rosenweiler bei Detweiler den 26. März 1881, als Ehegattin des zu Straßburg verlebten Gutsbesitzers und vormaligen Wachsfabrikanten Andreas Auffinger. Dieses Testament ist registrirt zu Schiltigheim den 9. April 1891 N° 63 B. 131 Blatt 11 F. 16.
Die Testatorin Maria Steinmetz Ehefrau Auffinger ist auf folgende Weise rechtmäßige besitzerin des besagten Hauses Goldschmiedgasse 3 geworden 1. der Ersten unvertheilten Hälfte durch die gesetzliche Gemeinschafft, welche in Ermanglung eines Ehecontracts zwischen der Frau Auffinger und ihrem verstorbenen Ehegatten bestanden hatte, sowie deses hervorgehet aus dem nach dem Absterben des Herrn Auffinger durch Hern Momy, damals Notar zu Straßburg am 28. October 1871 errichteten & den 6. Februar 1872 folio 99 recto case 8 einregistrirtes Inventariums. 2° der zweiten unvertheilten hälfte des besagten Hauses durch einem vor Herrn Ritleng dem Aeltern zu Straßburg den 10. April 1874 errichteten Kauf-Contract, vermittelst welchem die Frau Maria Steinmetz Wittwe Auffinger den zweiten unvertheilten besagten Theil von Frau Anton Ripp geborner Theresia Jung für die Summ von 42.000 Franken oder 31.600 Mark abgekauft hat, wovon 17.600 Mark baar bezahlt wurden (…)
Die Eheleute Auffinger haben ihrer Seits das besagte Haus durch Meistgebot und um den Preis von 48.000 Mark in einer vor Herrn Notar Noetinger den 15. Dezember 1845 abgehaltenen öffentlichen Versteigerung erworben, das Haus rührte damals von Herrn Friderich Emil Drensz, Kaufmann zu Marseille und Herrn Heydenreich, protestantischen Pfarrer zu Sultz unter Wald her, diese Versteigerungsurkunde ist einregistrirt zu Strassburg den 22. Dezember 1845 folio 38 r. c. 5 & 6. Herr Drensz hatte besagtes Haus von Herrn Clady, confiseur zu Strassburg den 18. Thermidor Jahr VIII der frantzösischen Republik vor Notar Uebersaal zu Straßburg angekauft. Die weitere Besitztitel sind in diesem Letztern Acte numerirt.
Bedingungen des Kaufes mit Uebertragung (…) – Preis. Dieser Kauf mit Uebertragung ist geschehen & eingewiligt A. um die Summa von 3400 Mark für die Frau Johann Fleck geborne Latzarus und die Kinder der Eheleute Johann Fleck (…) B. um eine Summe von 3200 Mark für die Frau Jacob Fleck geborene Latzarus
acp 721 (3 Q 30 436) f° 90 n° 3651 du 24.1.

Fils naturel de Catherine Fastinger, l’achiviste adjoint François Fastinger épouse en 1879 Marie Catherine Latzarus, originaire de Dettwiller : contrat de mariage, célébration
1879 (26.6.), M° M° Holtzapffel
Ehevertrag – Frantz Fastinger, Archivar-Assistent zu Straßburg
und Marie Catharina Latzarus, volljährig zu Rosenweiler
acp 692 (3 Q 30 407) f° 80 n° 1085 du 24.6. unter Annahmne der auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft und hat das Ueberlebende das Antheil des Erstverstorbenen an der Gemeinschaft in Genuß bei Vorhandensein von Kindern auf die Hälfte zu beschränken
Einbringen des Bräutigams. Möbel, Forderungen M. 1600
Einbringen der Braut baares Geld M 8000
Schenkung durch Maria Steinmetz Gutsbesitzerin in Schiltigheim Wittwe von Andreas Auffinger ihrer dies annhemenden Nichte der Braut in baarem Geld 8000 Mark, zahlbar am Tage des Absterbens der Schenckgeberin verzinslich zu 5% von Tage des Eheabschlusses
Gegenseitige Schenkung der Nutznießung des gantzen Nachlasses bei Vorhandensein von Kindern auf die Hälfte zu beschränken

Mariage, Strasbourg (n° 352)
Strassburg am 3. Juli 1879. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Archiv-Adjunct des Bezirks Unter-Elsass Frantz Fastinger, katholischer Religion, geboren den 21. April des Jahres 1842, wohnhaft zu Straßburg unehelicher Sohn der Catharina Fastinger, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg, 2. die Maria Catharina Latzarus, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 23. October des Jahres 1852 zu Dettweiler (Unter-Elsass), wohnhaft zu Schiltigheim (Unter-Elsass) eheliche Tochter des verstorbenen Webers Georg Latzarus, zuletzt wohnhaft zu Dettweiler und der Therese geborene Steinmetz ohne Beruf wohnhaft zu Rosenweiler (Unter-Elsass)

Leur fils secrétaire Joseph François Charles Fastinger épouse en 1917 Marie Georgette Fleck, fille de l’aubergiste Jean Fleck de Mommenheim (sa cousine)
Mariage, Strasbourg (n° 235)
Strassburg am 23. April 1917. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Regierungs Sekretär Joseph Frantz Karl Fastinger, katholischer Religion, geboren am 13. September des Jahres 1880 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Goldschmiedgasse 3, Sohn des verstorbenen Bezirksarchiv-Sekretärs außer Dienst Kazleirat Frantz Fastinger und seiner verstorbenen Ehefrau Maria Katharina geborenen Latzarus, zuletzt wohnhaft in Straßburg, 2. die Marie Georgette Fleck, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 11. Februar des Jahres 1882 zu Mommenheim (Unter-Elsass), wohnhaft in Straßburg Goldschmiedgasse 3, Tochter des verstorbenen Landwirts Johann Fleck und seines verstorbenen Ehefrau Georgette geborenen Lazarus, zuletzt wohnhaft in Mommenheim ([in margine :] † 28. novembre 1925 N° 2877

Fils des précédents, Georges François Fastinger naît le 12 mars 1918. Il est inscrit comme propriétaire de la maison au cadastre à partir de 1932.

Naissance, Strasbourg (n° 408)
Strassburg am 15. März 1918. Der Direktor des Bürgerspitals hierselbst, hat mitgeteilt, daß von der Maria Georgette Fastinger geborenen Fleck, Ehefrau des Regierungs Sekretärs Joseph Frantz Karl Fastinger, beide katholischer Religion wohnhaft zu Straßburg, Goldschmiedgasse 3, zu Straßburg, im Bürgerspital am 12. März des Jahres 1918 Vormittags um fünf Uhr ein Knabe geboren worden sei und daß das Kind den Vornamen Georg Frantz erhalten habe
[in margine :] Marié à Blois (Loir-et-Cher) le 4 septembre 1948 avec Marcelle Berthe Defrance le 13 octobre 1948, l’officier de l’état civil
[in margine :] Remarié à Divonne-les-Bains (Ain) le 24 juin 1952 avec Gabrielle Clementine Nappey, le 9 juillet 1952, l’officier de l’état civil
[in margine :] Décédé le 19 octobre 1999 à Nice (Alpes-Maritimes), le 4 Nov. 1999, l’officier de l’état civil


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.