5, quai Finkwiller


Quai Finkwiller n° 5 – VIII 147 (Blondel), P 1286 puis section 9 parcelle 12 (cadastre)

Maison zum Freudenberg (maison Freudenberg) – maître d’ouvrage Philippe Jacques Bœris, serrurier (1751)


Les numéros 1 à 6 (décembre 2019) – Le numéro 5 (octobre 2007)
Portail (avril 2016)

Appelée zum Freudenberg d’après un nom de famille, la maison appartient au XVI° à des notables : l’assesseur des Quinze François Graseck, son beau-fils le consul Philippe Jacques Reisseissen, le juriste Tobie Bernegger puis (1676) son beau frère François Reisseissen, sept fois consul, son fils greffier à la Chambre des Contrats lui aussi nommé François Reisseissen qui y a son domicile habituel. La maison comprend un bâtiment arrière (1711). Le serrurier Philippe Jacques Bœris l’acquiert en 1741. Les préposés s’opposent en 1741 à ce qu’il construise à l’aplomb de son encorbellement qu’il supprime en 1745. Il contacte en décembre 1750 une dette pour réparer sa maison. Le deuxième étage du bâtiment avant n’est pas terminé à sa mort en 1751. La nouvelle façade est celle qu’on peut encore voir de nos jours  bandeau entre le rez-de-chaussée et le premier étage, cordon entre les deux étages, appuis galbés au premier et portail en anse de panier à voussure et petite corniche en chapeau de gendarme. Le boutonnier Abraham Jund charge en 1765 le maître maçon Georges Frédéric Hüttner d’aménager une buanderie voûtée dans le bâtiment arrière, un poêle et une cuisine dans le bâtiment du milieu.



Plan-relief de 1725. La maison est la quatrième à droite du retrait, au toit le plus bas à l’arrière du dernier arbre (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et premier étage en maçonnerie et deuxième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (n-o), son aspect est en tous points semblable à celui d’aujourd’hui : portail suivi de deux fenêtres, deux étages à trois fenêtres chacun, un étage mansardé et trois lucarnes dans la toiture. La cour (F’) montre la façade arrière (1-4) du bâtiment sur rue, le bâtiment (1-2) à l’est de la cour, la remise (3-4) à l’ouest et le bâtiment arrière (2-3) à deux étages comme le bâtiment avant.
La maison porte d’abord le n° 13 (1784-1857) puis le n° 5.


Cour (F’) – Etages (bandeau, appuis galbés, cordon, décembre 2019)

D’après la police d’assurance (1866), la maison principale sur le quai comprend des ateliers de tonnellerie, une cave voûtée, un rez-de-chaussée, deux étages, mansarde et grenier. La maison entre deux cours qui sert d’habitation comprend des ateliers, une cave solivée, un rez-de-chaussée, deux étages et deux greniers. La maison d’habitation à gauche de la deuxième cour comprend une buanderie, un rez-de-chaussée, deux étages et grenier. La maison d’habitation au fond de la deuxième cour comprend des ateliers, une cave solivée, un rez-de-chaussée, un étage et grenier. Les escaliers extérieurs comprennent des galeries, aussi bien sur la première que sur la deuxième cour.
La maison 26, rue Saint-Marc appartient depuis l’exercice 1896 au même propriétaire que le 5, quai Finckwiller, elle y est définitivement rattachée en 1936.

décembre 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1611 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

François Graseck, assesseur des Quinze, et (1598) Jacqueline Mœssinger, veuve du docteur en droit Jean Jacques Reisseissen – luthériens
1630* h Philippe Jacques Reisseissen, consul, et (1630) Einbeth Bittlinger – luthériens
1656* h Tobie Bernegger, juriste, et (1653) Dorothée Marguerite, (1656) Jacqueline Reisseissen puis (1666) Marguerite Elisabeth Schneuber – luthériens
1676 v François Reisseissen, consul, et (1659) Salomé Wencker – luthériens
1711 h François Reisseissen, greffier à la Chambre des Contrats, et (1688) Eve Marguerite Grad – luthériens
1730 h Jean Daniel Reisseissen, docteur en médecine, et (1728) Agnès Silberrad, veuve de l’imprimeur libraire Jean Pastorius – luthériens
1730 v Jean Ehrmann, courtier, et (1704) Marie Jacqueline Zittelin – luthériens
1741 v Philippe Jacques Bœris, serrurier, et (1722) Susanne Baufinck – luthériens
1752 h Jean Auguste Mittmann, serrurier, et (1752) Susanne Baufinck veuve de Philippe Jacques Bœris – luthériens
1754 v Abraham Jund, boutonnier, et (1736) Marie Catherine Lobstein – luthériens
puis en nue-propriété à Jean Philippe Jund, cordonnier, célibataire († 1784) – luthérien
1784 h Susanne Marie Datt et (1744) Jean Chrétien Kugler, puis (1755) Jean Frédéric Steinbach, aubergistes – luthériens
1795 h Jean Chrétien Kugler, aubergiste, et (1783) Susanne Marguerite Kreiss, remariée (1795) avec le docteur en médecine Jean Geoffroi Schneiter – luthériens
1839 h Charles Guillaume Benjamin Münch, directeur de l’école industrielle, et (1833) Mélanie Schneiter
1839 v Jean Jacques Taubert, baquetier, et (1821) Marie Madeleine Kaumann
1865 h Henri Albert Taubert, baquetier, et (1853) Emilie Wagner
1879* v Etablissement des Diaconesses

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 950 livres en 1721, 850 livres en 1729, 1250 livres en 1751 (bâtiment en cours de construction), 1000 livres en 1769

(1765, Liste Blondel) VIII 147, Abraham Jundt
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Junt Wittib, 3 toises, 4 pieds et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1286 – Münch – maison, sol, cour – 8,1 ares / Taubert Jacques / 7,80 ares

Locations

1743, Jean Baur, secrétaire à l’accise
1807, Jean Baptiste Clevenot, employé au magasin à sel, et Marie Madeleine Simonin
1835, Jean Frédéric Kœhler, menuisier, et Sophie Elisabeth Stütz

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1742, Préposés au bâtiment (VII 1400)
Les préposés s’opposent à ce que le serrurier Philippe Jacques Bœris construise à l’aplomb de son encorbellement

(f° 15) Montags den 2. Aprilis 1742. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden.
An Philipp Jacob Böres des Schloßers Hauß im Finckweiler, welcher umb erlaubnus Gebetten seinen daran befindlichen Überhang Zuunterbauen. Erkant, begehren abgelaint.

1745, Préposés au bâtiment (VII 1401)
Philippe Jacques Bœris qui a supprimé son encorbellement délabré se plaint que son voisin le menuisier Jean Philippe Buck peut voir chez lui depuis une fenêtre. Les préposés donnent au voisin une semaine pour fermer la fenêtre.

(f° 106) Dienstags den 13. Ejusdem [Julÿ] – Philipp Jacob Beeres, Joh: Philipp Buck
Meister Philipp Jacob Beeres der schloßer Klagt wieder Johann Philipp Buck den schreiner, daß als Kläger seinen Überhang an seinem Hauß im Finckweiler Ohnfern dem Elephanten welchen Zurepariren Mghh. jhme nicht erlauben wollen auß Noth und bawfälligkeit halben hinweggethan, Bekl. auf der seithe wo der Überhang gestanden, in sein daran auf der seithe wo der Überhang gestanden, in sein daran stehendes Hauß ein Neües fenster gemacht, wordurch er ihme in seine stuben sehen Kan, Bittet solches hinweg Zuerkennen. Erkant, solle Buck jnnerhalb acht tagen das fenster hinwegthun, und die öffnung Zumachen, oder in entsethung deßen auf seinen Kosten Von der Statt Werckleüthe Zugemacht werden.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1765, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le boutonnier Abraham Jund charge en 1765 le maître maçon Georges Frédéric Hüttner d’aménager une buanderie voûtée dans le bâtiment arrière, un poêle et une cuisine dans le bâtiment du milieu

(f° 73) Dienstags d. 11.ten Junii 1765. – Abraham Jundt der burger und Knöpffmacher, will in seiner behaußung im Finckweiler im hindern gebäu lincker hand auf den garten stoßend, eine gewölbte bauch Kuchen machen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Ferner im mittlern gebäu im ersten stock rechter hand eine Stube gegen dem hindernhoff, hinden daran eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, das rohr am steinern gäbel hinauf Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Hüttner.

Description de la maison

  • 1711 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, une cave voûtée et un puits, le tout estimé avec ses dépendances à la somme de 1600 florins
  • 1729 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment du milieu, un bâtiment arrière, un passage latéral, plusieurs poêles, chambres, chambres à cheminée, cuisines, vestibules, écurie, cave voûtée, le tout estimé avec le puits et toutes dépendances à la somme de 1700 florins
  • 1751 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à côté de l’entrée un atelier de serrurier, au premier étage deux poêles, une chambre, une cuisine et un vestibule, le deuxième étage semblable au premier qui n’est pas terminé est surmonté de mansardes couvertes de tuiles plates, la cave est solivée, le bâtiment arrière comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, il y a une écurie dont le comble a une couverture simple en tuiles plates, le tout estimé avec le puits et autres dépendances à la somme de 2500 florins
  • 1866, police d’assurance

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Quai Finckwiller

nouveau N° / ancien N° : 23 / 13
Schneiter
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage bon en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 319 case 2

Taubert, Jacques

P 1286, maison et cour, sol, quai Finckwiller 13
Contenance : 7,80
Revenu total : 292,06 (288 et 4,06)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 56 / 45
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 634 case 1

Taubert, Jacques
1867 Taubert, Henri Albert
1879 Diakonissen Anstalt

P 1286, Maison, sol, Quai du Finckwiller 5
Contenance : 7,80
Revenu total : 292,06 (288 et 4,06)
Folio de provenance : (319)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 56 / 79
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 6

P 1281, sol [rue Saint-Marc 26]
Contenance : 0,61
Revenu total :
Folio de provenance : 672-II
Folio de destination :
Année d’entrée : 96/97
Année de sortie :

Cadastre allemand, registre 29 p. 114 case 2

Parcelle, section 9, n° 12 – autrefois P 1286, 1281
Canton : Finkweilerstaden Hs N° 5 – Quai Finkwiller 5 et rue Saint-Marc 26
Désignation : Hf, 4 (3) Whs (u. N.G.) – sol, 4 maisons et bât. acc.
Contenance : 10,45 / 12,77
Revenu : 3300 – 4000
Remarques : 1936 aug. p. 113 c. 6 [rue Saint-Marc 26]

(Propriétaire), compte 61
Evangel. Diakonissenanstalt
1927 Etablissement des Diaconesses
(154) corrigé en (175)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 281 Marché aux Choux ou Quai de Finckweiler (p. 440)

13
prop. Jundt, veuve – Miroir
loc. Kraner, veuve d’un anc. Ministre de la parole de Dieu
loc. Holderer, J. George, Min. de la par. de Dieu – Charpentiers
loc. Engler, Michel – Invalide
loc. Dunell, George – Manant
loc. Perrin, Jean, un Cap. à la suite de la place

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Finkweilerstaden (Seite 36)

(Haus Nr.) 5
Timme, Gestütswärter. 0
Rimensperger, Rentnerin. 1
Merville, Rentnerin. 2
Weissheimer, Rentnerin. 2
Pflaum, Wwe. 3
Schmutz, Masseuse. 3
Boegner-Schule H 0
Dr. Nieden, Schuldirekt. H 1

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 801 W 142)

5, quai Finkwiller (1875-1970)

Le dossier a surtout trait à des ravalements, par Albert Taubert (1875) puis par l’établissement des Diaconesses (1904, 1906, 1969).

Sommaire
  • 1875 – L’ingénieur d’arrondissement (Kreisingenieur) Pfersdorf transmet à l’agent voyer Ruppert la demande d’Albert Taubert de réparer et de ravaler sa maison. L’agent voyer écrit au commissaire de police que l’autorisation est accordée puisque la maison suit l’alignement.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire (établissement des Diaconesses) de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant deux volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique.
    1898 – Rappel – Travaux terminés, janvier 1899
  • 1904 – L’entrepreneur Arnheiter (11, rue Finkwiller) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – L’échafaudage est enlevé, août
    1904 – L’installateur sanitaire Ch. et E. Mœbs (7-9, rue des Aveugles) demande l’autorisation d’entreposer les gravats provenant de la maison du Bon Pasteur (5, quai Finkwiller) sur la voie publique du 2 au 16 août. Le commissaire de police transmet au maire – Accord
  • 1906 – La maire demande à l’établissement des Diaconesses (3, rue Saint-Elisabeth) de faire ravaler la façade du 5, quai Finkwiller
    1907 – Rappel – Travaux terminés mai 1907
  • 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1954 – Le locataire Charles Steinbach et sa femme se plaignent que les fenêtres laissent passer le froid. – La Police du Bâtiment se déclare incompétente.
  • 1967 – Le service des incendies constate lors du sinistre survenu le 11 janvier qu’un poêle à charbon est mal raccordé à la cheminée – Travaux terminés, février 1967
  • 1961 – Le maire demande à la directrice de l’établissement des Diaconesses de faire ravaler la façade. La directrice déclare que les travaux auront lieu au printemps 1962.
    1964 – Rappel La directrice déclare que les travaux auront lieu en juillet.
    1968 – Nouveau rappel. Le Conseil de surveillance approuve les travaux. La directrice sollicite une subvention auprès du Fonds National d’amélioration de l’habitat et demande s’il serait possible d’obtenir une subvention pour la façade sur cour et l’escalier – Devis de l’entreprise de peinture Charles Weber à Kolbsheim, de la société d’exploitation de l’entreprise Emile Fiedel, entrepreneur de construction au Neudorf. L’architecte de la Police du Bâtiment Charles Adam établit un rapport technique (bâtiment construit avant 1850, fondations en moellons, élévations et refends en briques, planchers en bois, toiture à deux versants couverte de tuiles)
    1969 (août) – L’établissement des Diaconesses est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique. – Travaux terminés, septembre 1969. Certificat d’achèvement des travaux. Facture Fiedel (façades sur quai, façade arrière) et Weber.

Relevé d’actes

D’après les tenants et aboutissants voisins, la maison appartient en 1627 à François Graseck qui se marie en 1598 avec Jacqueline Mœssinger, veuve du docteur en droit Jean Jacques Reisseissen qu’elle avait épousé en 1594.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 10 n° 25)
1594. Dominica Invocavit, 17. Februarÿ. Johannes Jacobus Reÿßeÿßen d. Rechten Doctor vndt J. Jacobe H. Philips Mößinger des fünffzehners dochter, Eingesegnet 25. Febr. (i 10)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 95 n° 253) 1598. Eodem die [Dominic. 7. Trinitat. 30. Julÿ] Frantz Graseck vnd Jacobe, Jacob Reyßeÿsen d. Rechten doctoris Nachgelaßene Wittib, Eingesegnet Zinstag 15. Augusti (i 97)

François Graseck qui vient d’être élu échevin à l’Echasse ne comparaît pas pour prêter serment. Les Quinze lui enjoignent de comparaître en lui reprochant de ne pas se conformer au règlement et lui infligent une amende de 25 livres. Il déclare avoir été absent de la ville lors de son élection. L’amende est ramenée à 10 livres.
1621, Protocole des Quinze (2 R 49) et (2 R 50)
(f° 210) Sambstags den 22. Decemb. – H. XV. Mr proponirt Von Hr Ludwig Grienwalden E. E. Zur Steltzen Oberherrn hatt er Vernommen, daß Frantz Graseck Zum Schöffel gewöhlt, der sich aber Widersetzt, Vnd alß Ihme Vff die Pfaltz gebotten Vngehorsamblich außbliben Vnd nicht erschinen.
Erkant, Graseck soll biß Montag schwören ob er will thut ers, so soll er in diese Stub gestellt, Vnd Ihme ein guter außwischer geben, Vnd 25. lb d Zur Straff abgenommen werd.

(f° 213) Montags den 24. Decembris – Wie mit Frantz Grasecken, wegen seines Vngehorsambs Zu procediren.
Erkant, Mann soll Ihn Verstellen, Ihm sein Exceß mit allem ernst Vorhalten, Vnd 25. lib. Zur Straff abfordern.

(f° 214) Montags den letsten Decembris – Redsatz vff Frantz Graseck
Frantz Graseck ist Vorgestellt, Vnd Resatz auff Ihne abgelesen worden, Entschuldiget sich, seÿ nicht in der Statt gewesen, alß er Zum Schöffel gewöhlt worden, bekannt daß er gleichwohl vffs gebott außbliben, Wolt sich sonsten gern gebrauchen maßen, Wann er mir nicht dienen Darff.
Erkant, Soll 10. lib d ohnnachläßig Meinen Herren Zur Straff erlegen. Ite dimissus
[in margine :] Hatt 10. lib d Straff erlegt 2. Jan: 1622 die seind Vff den Pfenningthurn geschickt, Mittw 13 Martÿ A° 1622)

1622 XV (2 R 49)
(f° 43-v) Dienstags den 12. Martÿ – Frantz Grasecken Straff 10. lib eodem vff den Pfenningthurn gelüffert, wie in ferndigen Protocoll Zuseh.

François Graseck est élu contrôleur du pain en novembre 1622.
(f° 190) Mittwochs den 20. Novemb. – Frantz Graseck Brodschawer
Ahne Georg Obrechts stell, So Vnder das Metzgerthor bestelt, Soll Frantz Graseck Zum Brodschawer geordnet Werd. Sic decret.

La maison revient au fils en premières noces de Jacqueline Mœssinger, Philippe Jacques Reisseissen qui épouse en 1630 Einbeth Bittlinger, fille du licencié en droit Ulric Bittlinger. Philippe Jacques Reisseissen deviendra consul en 1649.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 90-v)
1630. Dominic 22. Trinit. den 24. octob. H. Phillips Jacob Reißeÿßen, H. Johann Jacob Reißeißens IVD hind.laßener Sohn, Vnd J Einbeth H. Ulrich Bittlingers IVL. hind.laßene Tochter. Eingesegnet den 2. 9.br. (i 97)

La maison revient ensuite au juriste Tobie Bernegger par son deuxième mariage avec la fille des précédents. Tobie Bernegger épouse en 1653 Dorothée Marguerite, fille du colonel Philippe Schlegmann, au service de la couronne de France et de ses alliés, en 1656 Jacqueline Reisseissen, fille de l’ancien consul Philippe Jacques Reisseissen, puis en 1666 Marguerite Elisabeth, fille du professeur d’université Jean Matthias Schneuber

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 17)
1653. Eâdem [Dnâ V. Trinit. d. 10 Julii] Tobias Bernegger, J. U. Doctorandus, Weiland H. Mathiæ Berneggeri beÿ hiesiger Universität Historiarum Professoris v. Canonic. Thomani hinderlaßener Sohn, Vndt J. Dorothea Margaretha, Weiland H. Philipp Schlegmanns der Königl. Cronen Franckreich, auch anderer mitt-Confederirten Cronen, wohlbestellten Obristen * Regiment Tregern, hinderlaßene Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 29. Julii auff der Freÿburger Zunfftstube (i 20)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 29)
1656. Dom. XIX d. 12. Octobris. H. Tobias Bernegger U. J. Ddus, J. Jacobe, Weiland des Ehrenvest, Fürsichtig vnd Wolweißen H. Philipp Jacob Reißeißen geweßen Alten Ammeisters hinderlaßene Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 21. Octobris Zu St Thoman (i 32)

Mariage, cathédrale (luth. f° 71)
1666. Dom : IV post Epiphan: V. Zum 2 mahl Hr Tobias Bernegger J. B. Ddus d* beÿ hiesiger Stell, Jfr. Margaretha Elisabeth, Weiland Hr M. Johann Matthias Schneubers gewesenen Gymnasiarchæ ord. Prof: Poeseos nachgelaßene ehel. Tochter. Donnerstags den 8.t. Febr ([biffé] Münster) St. Thoman (i 73)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 60-v) 1666. Dncâ IV. Epiphan. d. 28. Jan. H. Tobias Bernegger Jurus Utriusque Doctorandus J. Margaretha Elisabetha weiland H M. Johann Matthiæ Schneüber Poeseos Professoris et Gymnasiarchæ allhier hinderlaßene Eheliche Tochter. Copulirt Donnerst. d. 8. Febr. in dem Münster (i 65)

Tobie Bernegger est nommé prévôt chez les Maçons, assesseur des Quinze, préposé général de la Chancellerie et trésorier en chef en 1672, préposé général au sel en 1673, administrateur du béguinage de la Troisième régle en 1674
1672 Conseillers et XXI (1 R 155)
Herr Tobias Bernegger Würdt XXI.er. 50. Oberh. beÿn Maurern. 258. Idem Würdt XV.er. 400.
Herr XXI. Tobias Bernegger Würdt Ober Cantzleÿherr. 153. Idem Ober Cassa Herr. 16.
1673 XV (2 R 89)
1 New XV.ner H Tobias Bernegger, 77 würd Ob. Saltzherr
1674 Conseillers et XXI (1 R 157)
Herr XV. Tobias Bernegger Würdt Pfleger der Samlung Zur dritten regul. 171.

Vente en 1687 par les héritiers de Tobie Bernegger : Anne Véronique femme du marchand Georges Jacques Sachs, Dorothée Marguerite femme du chapelier Paul Fœrster, Susanne femme du marchand de vins Philippe Henri Sachs et les mineurs issus de son troisième mariage.
1687 Chambre des Contrats 308-v
Sr Jean Saltzmann Licentié es Loix comme Tuteur des Enfants du troisième mariage du feu Sr Tobias Bernegger, vivant assesseur du conseil des Quinze de cette ville, Plus Georges Jacques Sachs, marchand au nom d’Anne Veronique Bernegger sa femme, Plus Paul Foerster, marchand de chappeaux au nom de Dorothée Marguerite Bernegger sa femme, et enfin Philippe Henry Sachs, marchand de vin, au nom de Susanne Bernegger sa femme

Le tuteur des enfants de Tobie Bernegger vend deux maisons contiguës au quai Finckwiller et une autre à proximité à François Reisseissen, assesseur des Treize

1676 (28. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 378-v
(Prot. fol. 39.) Erschienen ob Ehrengedachter Herr Syndicus Fridt alß Vogt weÿl. ob Ehrengemelts herren XV. Berneggers hinderlaßener Kinder Zweiter Ehe [der Edel- Vest- hochgelehrte Herr Johann Jacob Fridt Jctus et Reipubl. Patriæ Sydicus et Consiliarius (…) weÿl. deß Edel- from und wohlweÿsen herren Tobiæ Berneggers geweßenen Fünffzehners nunmehr seel. nachgelaßener Kinder]
in gegensein ob Ehrenbesagten Herren XIII. Reißeisens [deß Edel- fürsichtig- und hochweÿsen herrn Francisci Reißeisens deß geheimen Regiments der Herren dreÿ Zehen] und Zwar vff deß Von E. E. Großen Rhat am 4.ten hus jüngsthien Obrigkeitlich interponirtes decretum alienandi (verkaufft)
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders, hoffstätt, höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier obwendig St. Thomans Bruckh ahn dem Staden, einseit neben Henrich Buckhen dem Schreiner, anderseit neben Herrn Paulo Ansorg U.I. Ddo, hinden uff den herren Käuffern selbsten,
Item hauß, hoff, hoffstatt und Stallung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten beÿ obbeschriebenem Hauß ohnfern der Muckhen, einseit neben Sebastian Ramspach dem haußfeurer, anderseit neben dem herrn Käuffern hinden auch uff denselben, Vornen uff hannß Caspar Dürren den Kieffer stoßend gelegen, welche beede häußer Von herrn hannß Georg Häckhler dem Werckhmaÿster der Fabric deß Münsters besichtiget und umb 800. fl. geschätzt worden seÿen – umb 800 fl.

Beau frère de Tobie Bernegger, François Reisseissen épouse en 1659 Salomé Wencker, fille d’ancien consul
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 36-v)
1659. F. Paschatis d. 3. Aprilis. H. Franciscus Reißeißen, Weiland des Wol Ehrenvest Fromb Fürsichtig b. Hochweißen H. Philipp Jacob Reißeißen gewesenen Alten Ammeisters allhie hinderlaßener Ehelicher Sohn vnd J. Salome des auch Wohl Ehrenvesten fromb, fürsichtig vnd Hochweißen H. Johann Wenckern, Alten Ammeisters allhier Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 12. Aprilis Zun Freÿburgern Stube (i 40)

François Reisseissen partage des capitaux au profit de ses enfants et petits enfants. Il est élu consul en 1677, 1683, 1689, 1695, 1701 et 1707.
1698, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 4) n° 166
Vertheilung der jenigen Cap: so Ihr Gnd. H. Amstr. Franciscus Reißeißen deßen Kindern und Enckel cedirt undt Ubergeben

Différentes fonctions de François Reisseissen telles qu’elles apparaissent dans les registres des Conseillers et des Vingt-et-Un
1675 Conseillers et XXI (1 R 158)
H. XV. Reißeißen wirt Land Pfleger Zu Marlenheim. 155.
1677 Conseillers et XXI (1 R 160)
Herr Ammeister Franciscus Reißeißen resignirt sein Ampt. [431.]
1678 Conseillers et XXI (1 R 161)
H. Ammeister Reiseissen benebens H. XV. Brackenhoffer ins collegium sanitatis gezogen. 7. der erste wirdt XIII. 303. H. Amm. Reiseissen wirdts Ober Commando Zu Käÿl aufgetragen. 182. wirdt XIII. 302. H. Ammeister Reißeißen wirdt XIII. 302. wirdt Kirchen Pfleger Zu Jungen St. Peter 306. ober Kirchenpfleger St. Thomæ. Frawenhauß Pfleger wirdt H. A. Reißeissen. 321.
1679 Conseillers et XXI (1 R 162)
Ober Jägerherr wirdt H. Amm. Reißeißen. 279.
1682 Conseillers et XXI (1 R 165)
Regierender Ammeister würd Herr Franciscus Reißeißen. 219.
1683 Conseillers et XXI (1 R 166)
Herr Ammeister Reißeißen resignirt sein Ampt. 307.
1686 H. Ammeister Reißeißen, Schorlach. 60.
H. Ammeister Reißeißen, Scholarch. 60.
1694 Conseillers et XXI (1 R 177)
Herr Franciscus Reißeißen wird Regirender Ar. 196.
1706 Conseillers et XXI (1 R 189)
H. XV. Reißeißen würdt wider Zum Ammeister gebracht. 257.
Epitaphe de François Reisseissen (1631-1710) dans l’église de Furdenheim

François Reisseissen meurt en décembre 1710 en délaissant sept enfants ou leurs représentants. L’inventaire est sans doute dressé dans sa maison Grand rue face à la rue du Bouclier. La maison zum Freudenberg au Finckwiller est estimée 800 livres, le titre conservé remonte à 1589. Le défunt est propriétaire du village de Fürdenheim où se trouve son épitaphe. La succession s’élève à 30 641 livres.

1711 (12.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 26) n° 937
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güttere, Liegender vnd vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland der hoch Edel, Gestreng, fromb, vest, fürsichtg, hochweiß und hochgelehrte Hr. Franciscus Reißeißen der Königlichen freÿen Statt Straßburg ältester Ammeister vnd in dem berühmten geheimen hochlöblichen Collegio der herren dreÿzehen höchstansehnlicher Assessor wie auch hoch Verdienter ältester Scholarch der löblichen Universitæt vndt vornehmer burger allhier, nunmehr seeligen, nach Seinem den 23. Decembris des allererst zurückgelegten 1710.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren ob Edelgedachts herrn Ammeisters seel. sowohl ab intestato als per Testamentum instituirter Erben (…) fleißig inventirt vnd ersucht, durch Sie die gesambte hochansehnlichen Erbs Interessenten wie auch Martham Mößnerin vnd Catharinam Lienhardin die beede dienst Mägdt (…) So beschehen Montags den 12.ten Januarÿ A° 1711.
Der nun in Gott seeligst ruhende Herr Ammeister hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen, wie volgt. 1. S. Tit. Frau Salome Geigerin gebohrne Reißeißin S. Tit. herrn Johann Jacob Geigers geweßenen vornehmen J. Cti vnd beÿ hießiger Statt Straßburg hochanshnlichen Raths vnd Advocaten auch vornehmen burgers nunmehr seel. nachgelaßene frau Wittib, welche bevögtiget mit S. Tit. Herrn Francisco Reißeißen J.U. Lto vndt der Statt Straßburg Cancelleÿ Contractuum Actuario auch vornehmen burgern allhier Weilen derselbige aber beÿ gegenwärtiger Inventation vnd Erbschafft selbsten vor sich interessiret als ist ane deßen statt solang dießes geschäfft wehren würd, Zu einem theilvogt geordnet S. Tit. Herr Johannes Heupel allhießigen Weÿßenhaußes wohlverordneter Schaffner vnd vornehmer burger welcher auch dem Geschäfft von anfang biß Zur end persönlich abgewartet.
2. S. Tit. Weÿl. Fr. Elisabethæ Sachßin gebohrner Reißeißin miy auch weÿl. S. Tit. Herrn Johann Friedrich Sachßen gewesenen Comite Palatino Cæsar: und beÿ vorgemeltem Stifft Weÿßenhaußes wohlverordnetem Schaffnern vornehmen burgern allhier nunmehr seel. ehelich erzeigt Vnd nach tod berlaßene 3. Herren Söhne Nahmentlich 1. S. Tit. H. Franciscum Sachßen, J. U Lt vnd hochgräfflich Leiningischen Rath, burgern allhier Zu Straßburg, 2. S. Tit. H. Johann Friderich Sachßen annoch leedigen handelsmann vnd auch burgern allhier, So dann 3. S. Tit. H. Johann Jacobum Sachßen Med. Ltum von welchen dreÿen die beede Jüngere herren Brüdere hiebeÿ anwesendt waren.
2. S. Tit. ob Edelgedachten Herrn Franciscum Reißeißen, J. U. Ltum vnd allhießiger Statt Cancelleÿ Contractuum Actuarium auch vornehmen burger, so auch in persohn beÿ dießer Inventation erschienen.
4. S. Tit. Weÿland Frawen Elisabethæ Ösingerin gebohrner Reißeißin nunmehr seel. mit S Tit. Herrn Johann Friderich Ösingern J. U. Ddus vnd .E. E. Kleinen Raths höchstmeritirtem Referendario auch vornehmen burgern allhier ehelich erzeigt vnd nach todt hinterbliebenen beede Söhne Nahmens 1. S. Tit. Herrn Franciscum Ösingern J. U. Cand. vnd dann Philippum Fridericum Ösingern 5.tæ Curiæ Discupulum, welche bevögtiget mit S. Tit. Herrn Philipp Caspar Leitersperger des beständigen Regiments der Herren XV. hochansehnlichem Herrn beÿsitzern in deßen Nahmen aber weilen Er selbsten uxorio nomine interessiret dem Geschäfft vor Edelgedachter Herr Dd. Ösinger als Vatter und geordneter theilvogt beÿgewohnet.
5. S. Tit. Fraw Margaretham Leiterspergerin gebohrne Reißeißin, S. Tit. nechst hoch Edel gedachts Herrn XV.er Philipp Caspar Leiterspergers Frau Eheliebste, welche auch mit assistentz deroselben hochge Ehrsteten herren Eheliebsten biß Zu endt des Geschäffts præsens geweßt.
6. S. Tit. Fraw Mariam Jenischin gebohrnee Reißeißin, S. Tit. Herrn Paul Jenisch vornehmen burgers vnd handelßmanns Zu Nürnberg Frau Ehegattin, welche aber allein in Legitimam in den überrest dießes Stammtheils aber deroselben geehrtteste Geschwistrige vnd repectivé Geschwistrige Kinder so allhier verburgert constituiret worden, vnd weilen Sie beÿ dero verheürathung ansehnliche Ehesteür ja weitmehr als Jhro anjetzo pro Legitima anfallen würd, empfangen, als hat mann vor ohnnöthig Zu sein erachtet jemanden in deroselben Nahmen Zum Geschäfft zu erbitten, So dann
7. S. Tit. Herrn Johann Paul Reißeißen vestberühmten Goldarbeiter vnd burgern allhier welcher auch persönlich zugegen was. Alle Sieben Eingangs hoch Edelernanten herrn Ammeisters mit weÿl. S Tit. frawen Salome gebohrner Wenckerin nun längst seel. ehelich erzeigte Herren Söhn vnd fraw töchterer auch respectivé Enckel
Copia Testamentum nuncupativum, in Anno 1662. auffgerichtet – Geschehen in deß Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Montags d. 16.ten Jan. A° 1662. Jeremias Urßinus Imperial auth: Nots. Publ.
Copia allererst in A° 1708. auffgericht vnd selbsthändig geschriebenen Nach Disposition – Actum den 27. Octobris Anno 1708

(f° 32) Eigenthumb ahne Häußern. Erstlichen Zweÿ häußern ein vorders vnd ein hinders mit deren hoffstätten ane der Obern Straßen gegen der Schiltzgaßen hinüber (…)
It. Hauß, hoffstatt vnd Gartten sambt nebens Gebawen vnd all vbrigen deßen begriffen, weilten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg im Finckweiler Zum Frewdenberg genant, ein seith neben Michael Kuntzel des Zimmermanns Wittib, anderseith neben Hannß Heinrich Bucken des Schreiners hinden auff dem so genanten Richßhofferischen garten, welchen Niclaus Strube der Gartenmann baut, stoßend, gelegen, so auch gegen männiglichen freÿ leedig vnd eigen Vnd ist solch hauß craft vorallegirter Abschatzung angeschlagen per 800. Vermög einer teutschen pergamentenen Kauffverschreibung mit des bischofflichen hoffs Zu Straßburg anhangendem Insiegel verwahret deren datum d. 6.ten Aprilis Anno 1569. mit alten Nis 77. 2. vnd Lit. AA bemerckt. Sambt sonsten allerhand brieffliche Documenta wie dieselbe in dem Grasseckischen Inventario fol. 73. et 74. weitläuffig specificirt Zubefinden.
It. ein alte Scheür sambt der hoffstatt vnd dreÿen bühnen oder Kästlein alhier in Straßburg in dem Finckweiler ohnfern der Mucken (…)
(f° 33) Eÿgenthumb ahne Liegenden güthern. Erstlichen ein Garthen
vor dem Metzgerthor Zur Lincken seithen der von ermeltem thor auff die Rheinbruck zuleitenden Werben (…)
(f° 33-v) Eÿgenthumb des Dorffs Vürdenheim
(f° 47) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 730, Sa. Bibliothec 150, Sa. Früchten 467, Sa. Wein vnd Leerer Vaß 564, Sa. Gutsch 6, Sa. Hews 6, Sa. Silbers 904, Sa. Goldener Ring 493, Sa. baarschafft 2088, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 11.615, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 4100, Sa. Eigenthums des dorffs Fürdenh. 3250, Sa. ligender güttere 539, Sa. Gülth von liegenden güttern 657, Sa. Activ Schuld. 5039, Summa summarum 30.641 lb – Gehet wider ab dasjenige Legat 50 lb, Nach deren Abzug 30.591 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 29.910 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüther 5728 lb, Zweiffelhaffte Activa 3106 lb
Abschatzung den 15.ten Januarÿ 1711. Weÿland deß Ehren Vesten, Fürsichtig, hoch: vndt Wohlweißen herrn Alt Ammeisters Reißeißen seel. hinderlaßenen Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Straßen gelegen (…)
Der Andere begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in dem Finckhweiler beÿ dem Elephanten Gelegen, Einseith neben Melchior Kentzels wittib, Anderseith neben Meister Heinrich buckh dem Schreiner hinden auff den Reichshofferischen Garten stoßend, Welche behaußung hinderhauß, neben Gang, Gewölbter Keller, hoff, hoffstatt und brunnen sambt aller Ihrer Recht: und gerechtigkeiten durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhmeister Jetzigem Preiß ach angeschlagen wird Vor und umb Eintausend und Sechshundert gullden
Der dritte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in dem Finckhweÿler beÿ der Muckhen Gelegen (…)
Bezeuchnuß durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhleute, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.

La maison revient à son fils François Reisseissen, greffier à la Chambre des contrats, lors du partage en 1711

1711 (18.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 26), Joint du n° 937 du 12 janvier 1711
Abhandlung der Häußer. Betreffendt vorderist der Sterb oder Wohn behausung ane der langen Straßen
Die behaußung beÿm Elephanten liegend belangendt. Dieselbe sambt der Scheür im finckweiler, beneben der Gutsch, Gutschen geschirr Alle diehlen vnd verschiedene Eÿchene pföstlen, alle Vogelgarn so viel in dieße verlaßenschafft gehörig, alle gartten gewächß im boden und roßmarin in der Güste, die Pfrentz gölten mit aller vberigen zugehörden, rechten vnd gerechtigkeiten, wie solche im Inventario beschrieben, hat der ältere H. Sohn Tit. H. Franciscus Reißeißen mit allerseiths belieben eigenthümlichen angenommen per 3000 gulden
Die in dem Inventario beschriebene Gartten (…) Johann Paul Reißeißen
Sigl. d. 18.t. Febr. A° 1711.

La maison est estimée 950 livres lors de l’inventaire dressé en 1721 après la mort de François Reisseissen et 850 livres à l’inventaire dressé en 1729 après la mort de sa veuve Eve Marguerite Grad.
Leur fils Jean Daniel rachète les parts de la maison et de la grange sis au Finckwiller

1730 (18.2.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 26) Joint au n° 257 du 3 oct. 1729
(f° 54) Vergleichung und Cession des haußes Garthens und Scheur ane dem Finckweiler.
Zuwißen seÿe hiemit daß, Vor mir unterschriebenen als Zu weÿl. S. T. frauen Evæ Margarethæ Reißeißin, gebohrner Gradin, auch weÿl. S.T. Herrn Francisci Reißeißens J.U. Ddi und Cancellariæ Contractuum gewesenen hochverdientenn Actuarÿ seel. hinterbliebener fr. Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft Inventation und Separation adhibirtem Notario persönlich erschienen S.T. Hr. Johann Friderich Sachs, Vornehmer Handelßmann und E. E. Kleinen Raths jetziger wohlmeritirter assessor, als vogt weÿl. S.T. H. Johannis Francisci Reißeißens, J. U. Lti und beÿ des jeweilig regierenden herrn Ammeisters Audienz gewesenen wohlbestellten Actuarÿ seel. hinderlaßener dreÿer Kinder nahmens Margaretæ Salome, Francisci und Mariæ Magdalenæ Reißeißin, dißorts Enckel, Mehr S.T. Herrn Johann Jacob Reißeißen, vornehmer Handelßmann und burger Zu Collmar, So dann S.T. Herr Johann Georg Reißeißen, Candidatus Notariatus, bekannten
in gegensein S.T. Herrn Johann Daniel Reißeißens, Medicinæ berühmten Doctoris vornehmen burgers Ihres geliebten herrn Bruders und respectivé herrn Vettern (…) cedirt und überlaßen haben
die Ihnen denen Comparenten und H. Sax, Vogts Kindern Vor Ohnvertheilt gehörige dreÿ Vierte theil ane der Von obwohl Edelgedachter Frauen S. Reißeißin Ihrer geliebten Frauen Mutter und respectivé frauen Großmutter seel. Verlaßenschafft herrührenden Vorder und hinder behaußung sambt darbeÿ sich befindlichen Gärthlein bronnen, hoff und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, oberhalb der Thomans bruck im Finckweiler, einseith neben einer Behaußung Zum Elephanten genandt, so Balthasar Fuxen, dem Zimmermann allhier gehörig, anderseith neben Heinrich Bucken, dem Schreiner, und hinden auf Herrn Struve, den Doctor Gärtner stoßend, so freÿ ledig vnd eigen, die übrige quart Ihme dem Herrn Cessionario selbsten in Erbsweiße gehörig (…) um die Summ der 3000 Gulden hießig Current
(f° 55-v) Unter welcher Cession und respectivé Übernahm auch zugleich mitgebriffen seÿn solle derer herren Cedenten dreÿ Vierte theil ane einer auch in dieße Verlaßenschafft gehörigen Scheür mit übrigen dero gebäuen (…)
So beschehen zu Straßburg auff Sambstag den 18. Februarÿ Anno 1730.

Jean Daniel Reisseissen, docteur en médecine, épouse en 1728 Agnès Silberrad, veuve de l’imprimeur libraire Jean Pastorius.
Fils d’imprimeur, Jean Pastorius épouse en 1719 Agnès Silberrad, fille du diacre de Saint-Thomas : contrat de mariage, célébration

1719 (17.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 16
Eheberedung – zwischen dem Ehren Vesten und Kunstreichen Herrn Johann Pastorio, Ledigen Buchdrucker und Buchhändlern auch burgern allhier alß Hochzeitter ane einem,
so dann der Edlen, Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Agnetæ, des Wohl Ehren Würdig und hochgelehrten Herrn Martini Silberrads treueÿfferigen Diaconi Zu St. Thomæ ehel: Jungfrau Tochter ams hochzeiterin andern theils
So geschehen in dießer Königl. Freÿen Statt Straßburg den 7. Januarÿ anno 1719.
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 163-v n° 942)
Anno 1719 den 1. Febr. seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in die Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden H. Johannes Pastorius der burger und buchhändler alhie weÿland H Johann Pastorÿ deß gew. burgers und buchhändlers alhie hinderlaßener Ehelicher Sohn und Jungf. Agnes H. Martin Silberad beÿ der Gemeind Zu St. Thomas wohlverdienten Diaconi ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Pastorius als Hochzeiter, Agneß Silberradin als Hochzeiterin (i 167)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient en partie au mari sous les Petites Arcades. Les apports du mari s’élèvent à 4 741 livres.
1719 (26.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 8) n° 353
Inventarium über Herrn Johann Pastorÿ des Buchführers und Frauen Agnethæ gebohrner Silberadin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in die Ehe zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet, Anno 1719. – und vrafft deren mit einander auffgerichteter Eheberedung ihnen und ihren Erben, alß ein Unverändert und Vorbehalten Guth mithin die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs derselben expresse conditionirt, reservirt und bedungen (…) So beschehen in fernerem beÿsitzer auf seiten der Ehefrauen des wohl Ehrw: H. Martini Silberads treü Eifferigen Diaconj Zu St. Thomæ ihres leibl. Vatters alhier Zu Straßb. d. 26. Martÿ 1719.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Kleinen Gewerbslaub gelegenen dem Hn Ehemann eigenthümlich zuständigen deßwegen hernach beschriebenen Wohnbehausung Volgender maßen befunden
Haußrath und Fahrende Haab, Höltzen und Schreinwerckh, Auff der Mittlern Bühn, In des Gesellen Cammer, In der Bücher Cammer, In der Magd Cammern In der Schwartz Getüch Cammer, Auff der hintern Bühn, Im Hintern Stockh im obern Stüben, Auff dem mittlern Gang, Im hintern Stockh in untern Stübel, In der vordern Wohnstub, Uff dem undern Gang, Im andern haußöhren, Im Keller
Haußrath (M 350, F 300), Buchdruckereÿ Schrifften M 750, Sibergeschirs F 146, Goldene Ringe (M 105, F 150), Baarschafft (M 111, F 221), Frucht u. Meel M 14, Wein und Lehre Faß M 165
Antheÿl ahne einer behausung, so dem Eheherrn gehörig. Dreÿ achte Theÿl Vor ohnvertheilt an einer Behaußung unter der Kleinen Gewerbslaub (…)
Pfenningzinß hauptgütter (nichts), Schulden M 373, Wahren M 1927
Summa summarum M 4790, Passiv Schulden 49, Nach deren Abzug 4741
Haussteuren 14 lb

Jean Daniel Reisseissen soutient sa thèse de médecine en 1723 en même temps que Georges Christophe Kast et Jean Gambs. Le Magistrat se rend à la soutenance et offre le cadeau coutumier.
1723, Conseillers et XXI (1 R 206)
H. Georg Cristoph Kast, H. Johann Daniel Reißeisen und H. Johann Gambß erhalten eine Deputaton zu ihrem Doctorat Medicina beneben dem gewohnlichen Geschenck. 189.
(p. 189) Sambstag d. 5.ten Junÿ – Lt. Mosseder, Nomine der Allhiesigen Löblichen universität H. Rectoris Magnifici wie auch der Medicinischen Facultät H. Decani, so dann im nahmen H. Georg Cristoph Kasten, H. Johann Daniel Reißeisens und H. Johann Gambßen aller dreÿ Medicinæ Doctorandorum Von hier gebürtig, Von Welchen der erstere absens, und sich noch Zu Paris auffhalt, die bitten unterthänig und gehorsambst, Weilen Sie nächstkünfftigen Donnerstag d. 10.ten huius sich wollen in Doctores Medicinæ promoviren lassen, Ihro Gnaden gnädig geruhen Wolten, einige Hochansehnliche Herren aus dero hohen mittel ad illustriorem actus Splendorem dahin gnädig abzuordnen, Wie auch mit dem gewohnlichen Geschenck hochgeneigt zu Willfahren, ist Erkandt Wird denen Imploranten mit gebettener Deputaton auff Hh. XV. Reichard und H. Rathh. Von Stöcken umb diesem actui nomine Magistratu beÿzuwohnen willfahrt, und das gewohnliche Geschenck ertheilt.
Deputati ÿdem umb den bescheid anzuzeigen.

Jean Daniel Reisseissen épouse Agnès Silberrad en décembre 1727 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung. zwischen dem Wohl Ehrenvest und Hochgelehrten Herrn Johann Daniel Reißeißen Medicinæ Doctori und berühmbten Practico, weiland des Wohl Ehrenvest und Wohlgelehrten Herrn Francisci Reißeißen geweßenen I.V. Ddi und wohlmeritirten Cancellariæ Contractuum Actuarii auch burgers allhier Zu Straßburg seel. mit der Edlen, Viel Ehren und tugendreichen Fraien Eva Margaretha Reißeißin gebohrner Gradin seiner hinterlaßenen Frau Wittib ehelich erzeugtem Herrn Sohn, alß dem herrn Bräuttigam ane Einem, So dann der Viel Ehr: und tugendreichen Frauen Agnetä gebohrnen Silberradin, weÿland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Pastorii geweßenen Buchdruckers und Buchhhändlers auch burgers allhier seeligen hinterlaßenen Frau Wittib alß der Frau Hochzeiterin am andern theil – So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Freÿtag den 28. Novembris Anno 1727 [unterzeichnet] Johann Daniel Reißeißen Dr. alß hochzeiter, Agnes Pastoriußin Gebohrne Silberradin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 204-v n° 1164)
Anno 1727 den 10. Decemb. seind nach geschehene ordentliche außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet word. H. Joh: Daniel Reißeisen Med. D. et Practicus Weÿl. H. Francisci Reisseßen J.U.L. und contractuum actuarii ehel. Soh, und Fr. Agnes, weÿl. H. Johannes Pastorÿ gew. burgers und buchhändlers hinderlaßene Wittib, gebohrne Silberadin [unterzeichnet] Johann Daniel Reißeißen Med. Doct. als Hochzeiter, Agnes Pastoriusin geborne Silberradin als hochzeiterin (i 209)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Pastorius aux Petites Arcades. Ceux du mari s’élèvent à 1 204 livres, ceux de la femme à 3 525 livres.
1728 (19.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 27) n° 870
Inventarium über des Edlen und Hochgelehrten Hn. Johann Daniel Reiseißen Medicinæ Doctoris und der Edlen Viel Ehr und Tugendbegabten Frawen Agnetæ gebohrner Silberadin beeder Eheleuthe undt burgere alhier zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1728. – und krafft deren mit einander auffgerichteten Eheberedung, Ihnen und Ihren Erben als ein ohnverändert und vorbehalten Guth, mithin die Ergäntzung deßelben expresse reservirt, conditionirt undt bedungen (…) beschehen in fernerm beÿsein S: T: Hn Johann Silberad hochadel. Schaffners undt burgers alhier der Ehefrauen annoch ohnentledigten Vogts, Straßburg den 19.ten Martÿ Anno 1728.

In einer alhier zu Straßburg, der Ehefrauen Zum theil für ohnverändert gehörigen und deßwegen hernacher folio (-) beschriebenen behaußung folgender maßen befunden.
Haußraths Schreinwerck. Im obersten Haußöhren, In der Cammer A, In der Papÿr Cammer, Im Hindern Stockh aufm Bühnel, In der Schwartz getüch Cammer, Im Studier Stübel, Im mittlern Hindern Haußöhren, Auf dem mittlern gang, Im untern Hindern Stübel, Auff dem untersten Gang, Im mittlern großen Haußöhren, In der wohn Stub, In der Kuchen, In untersten Haußöhren, Im Hoff, Im Keller
Sa. Haußraths 631 (M 96, F 534), Sa. chirurgische und optische Instrumenta (M 25), Sa. Wein und Vaß (M 8, F 183), Sa. Silbers (M 136, F 265), Sa. Goldener Ringe 686 (M 157, F 529), Frucht (M 11), Sa. baarschafft 854 (M 269, F 585), Sa. Wahren zum Buchhandel gehörig (M 250, F 1552)
Eÿgenthümbliche Antheÿler ane einer Behaußung so der Ehefrauen gehörig. Die Helffte ane dreÿ achten theÿlen Vor ohnvertheilt ane einer behaußung unter der Kleinen Gewerbslaub (…)
(f° 20) Eigenthümliche Antheÿler ane einem Gültgüttlein so der Ehefrau gehörig
Bilbliothec (M 125), Sa. pfenningzinß hauptgüter 829 (M 375, F 454), Sa. Schuld (F 315), Sa. des Eheherrn samblich in die Ehe gebrachten Vermögens 1204 lb
Summa summarum der Ehefrauen in die ehe gebrachter Nahrung 4644 lb, Schulden aus der Ehefrauen Nahrung 1109 lb, Nach deren Abzug 3525 lb

Jean Daniel Reisseissen meurt en 1734 en délaissant un fils. Le tuteur de son demi-frère Jean Martin Pastorius assiste à l’inventaire dressé dans la maison du défunt place des Cordeliers. L’inventaire comprend trois maisons, l’une aux Petites Arcades propre à la veuve, et deux appartenant à l’héritier au Finckwiller près de la Mouche et rue des Chandelles. La masse propre à la veuve est de 2 637 livres, celle des héritiers de 4 805 livres. L’actif de la communauté s’élève 3 260 livres et le passif à 7178 livres.
1735 (16.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 42) n° 953
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, liegender und Vahrender, Verändert und ohnverändert, überall nichts davon außgenommen, so weÿland der hoch Edel, Vest und hochgelehrte herr Johann Daniel Reißeißen gewesener hocherfahrener Medicinæ Doctor Vnd berühmter Practicus nunmehr seel. als derselbe Donnerstags den 4.ten Novembris des Zurückgelegten 1734.sten jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des hoch Edel, Vest Vnd Hochgelehrten herrn Samuel Fausten J. U. Lti Und E. E: Kleinen Raths Advocatj et Procuratoris ordinarÿ und Vornehmen burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Tutoris Johann Daniel Reißeißen, des Verstorbenen seeligen mit hernachgemelter seiner Hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzeugten Söhnleins vnd ab intestato Verlaßenen universal Erben ersucht und inventirt durch die hoch Edle, Hoch Ehren Vnd hoch tugendgezierte Frau Agnes Reißeißin gebohrne Silberradin, die hinterbliebene Frau Wittib, mit assistentz des Edel Wohl Ehren Vest und Großachtbahren herrn Johann Silbarrads, der Statt Straßburg Pfenningthurn Wohlmeritirten dreÿers, auch der Schenckbecher: und anderer Stifftungen wohlverdienten Schaffners Vnd Vornehmen Burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Herrn Curatori (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Edel Vest und Großachtbahren auch weißen herrn Johann Jacob Spielmanns berümbten Apotheckers und E: E: Kleinen Raths alten wohlverdienten Assessoris, als geordnet und geschwornen Vogts Hn Johann Martin Pastorÿ, Philosophiæ Studiosi, der Frau Wittib H. Sohns Erster Ehe auf Montag den 16.ten Maÿi et seqq. Anno 1735.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßerplatz gelegenen Vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. Auff der Obern Bühn, Auf der hindern Bühn, In der Obern Vordern Camin Cammer, In der Magd Cammer, In der Cammer A, Im obern haußöhren, Im hindern Stübel, On der Schwartzen tuch Cammer, Vor dießem Gemach, In des Officiers Gemach, In deßen Knechts Gemach, In der Wohnstub In dero Stub Cammer, Im Neben stübel, Im Haußöhren, In der obern Kuchen, Im undern Haußöhren, In der undern vordern Stub, Im undern Nebens stübel, Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstl. dreÿ Sechzehendetheil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, hoffstatt und höfflein unter der Kleinen Gewerbslaub (…)
(E.) It. ein viertertheil für ohnvertheilt ane einer behaußung im Finckweÿler beÿ der Mucken (…)
(E.) It. ein viertertheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung hoffstatt und höfflein, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der hellenliechter gaß (…)
Wÿdemb, Welchen die Frau Wittib Von Weÿland herrn Johann Pastorio dem geweßenen buchhändler und burctrucker auch burgern allhier Ihrem Ersten Eheherrn nunmehr seel. theils ad dies vitæ und theils biß zu deßen Hn Sohns 18. Jährigem alter oder Verheürathung gegen gebührender Education und Alimentation zu usufruiren hat
Ergäntzung der Frau Wittib abgagangen ohnveränderten Guths Vermög Inventarÿ über eingangs Edel angeregter beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1728. durch Hn Notarium Christoph Michael Hoffmann auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 177, Sa. Schiff und geschirr zur buchtruckereÿ gehörig 112, Sa. Wahren zum buchhandel gehörig 315, Sa. Lährer Vaß 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 121, Sa. goldener Ring 222, Sa. baarschafft 74, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 304, Sa. Gülth von liegenden güthern 6, Sa. antheils ane einem gütherzinß 7, Sa. Antheils ane einer behaußung 262, Sa. Schulden 10, Erg. Rest 1839, Summa summarum 3553 lb – Schulden 915, Nach solchem abzug 2637 lb
Des Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 115, Sa. Bibliothec 29, Sa. Schiff und geschirrs zum Reebau, Sa. der Pferdt 18, Sa. Lährer Baß 1, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 85, Sa. goldener Ring 84, Sa. baarschafft 14: Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1052, Sa. Gülth von liegenden güthern 42, Sa. Antheils ane häußern 325, Sa. Antheils ane dem Dorff Fürdenheim 1218, Erg. Rest 2215, Summa summarum 5206 lb – Schulden 404 lb, Detrahendo 4805 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 95, Sa. Waren zum Buchhandel gehörig 17, Sa. Viehes 13, Sa. Früchten 50, Sa. Wein und Lährer Vaß 189, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 18, Sa. goldener ring 1, Sa. baarschafft 44, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 75, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1960, Sa. Schulden 500, Summa summarum 3260 lb – Schulden 7178 lb, Übertreffen also die theilbare Zu bezahlen habende Passiva die Völlige vorhandene theilbare Activ: Massam umb 3917 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 4812 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Freÿtag den 28. Novembris Anno 1727
Copia Testamenti – 1734. (…) dem 3. tag des Monats Novembris Nachmittag Zwischen Ein: und Zweÿ Uhren in einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßerplatz gelegenen und hernach hoch Edelgemelten beeden Codicillirenden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung deren obern vordern Stuben mit denen Fenstern auff den Baarfüßerplatz außsehend (…) Johannes Lobstein Notarius juratus

Agnès Silberrad se marie en troisièmes noces en 1745 avec Jean Bœckler, professeur en médecine et en botanique
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 57 n° 306)
Anno 1745. Sonntag den 19. Decembris seind mit Obrigkeitlicher Erlaubnus nach zweÿmahliger ordentl. proclamation und außruffung zu St Thomæ zu haus copulirt und eingesegnet worden S. T. Herr Johannes Böckler Med. et Phil: D. Botanices et Chem. nec non materiæ medicæ Prof: Publ: Ordin. und Cap. Thom. Canonicus alß Wittiber und Fr. Agneß weÿl. S. T. Herrn Johann Daniel Reiseißen geweßenen Med: Doctoris und Practici allhie hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Johannes Boecler Med. P. Hochzeiter, Agnes Reißeißin als hochzeiterin (i 59)

Inventaire des apports dressé quatre ans après le mariage. Les apports d’Agnès Silberrad s’élèvent à 2 009 livres
1749 (30.12.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 371) n° 373
Inventarium über der Hoch Edlen, Hoch Ehren: und Hoch tugendbegabten Frauen Agnes Böcklerin, gebohrener Silberradin, des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten Herrn Johann Böcklers, Medicinæ hochberühmten Doctoris und beÿ hoch Löbl. Universitæt allhier Chymiæ Botanices et reliquæ Materiæ Medicæ hochbelobten Professoris publici ordinarÿ, auch des hoch Löbl. Collegiat Stiffts zu St. Thomæ hochverdienten Canonici und vornehmen Burgers allhier Zu Straßburg Frauen Eheliebstin zu hoch Edelgedachtem Ihrem Vielgeliebten Eheherrn für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1749. – welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Ehegatten mit einander auffgerichteter Heuraths abrede expressé enthalten, daß eines Jeden derselben in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…)
So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Wohl Edel und hochachtbahren Herrn Johann Silberrads der Schenckbecherischen und anderer Löbl. Stifftungen wohlbestellten Schaffners auch alten wohlverdienten dreÿers auf Löbl. Statt Pfenningthurn, der Frauen Doctorin noch ohnentledigten herrn Curatoris und des Edlen Wohl Ehren Vest und Großachtbahrn herrn Johann Michael Schweighäußers des jüngern Vornehmen handelsmanns als geordnet und geschworenen Vogts herrn Johann Daniel Reißeißen Philosophiæ studiosi, der Frauen Doctorin herrn Sohns Zweÿter Ehe, auf Dienstag den 30. Decembris Anno 1749.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Schildsgaß gelegenen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 18) Wÿdemb Welchen die Frau Doctorin von Weÿland S. T. Herrn Johann Daniel Reißeißen gewesenen hocherfahrenen Doctore Medicinæ und berühmten Practico auch vornehmen burgern allhier Ihrem Zweÿten Eheherrn seeligen theils ad dies vitæ und theils biß Zu deßen herrn Sohns 20. jährigen alter gegen gebührender Education und Alimentation zu usufruiren hat – Antheil ane dem Dorff Fürdenheim
(f° 21) Wÿdemb Welche die Frau Doctorin von Weÿland S. T. Herrn Johann Pastorius geweßenen vornehmen Buchtrucker und Buchhändler auch burgern allhier, Ihrem Ersten Eheherrn seeligen Zeit lebens zu genießen hat, das Eigenthumb aber Ihrem mit demselben ehelich erzeugten noch Lebenden herrn Sohn Herrn Johann Martin Pastorius, Advocato et Procuratori Vicario gebührig ist
(f° 22-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 541, Sa. Antheils ane Schiff und geschirrs auch Pferden 60, Sa. Weins und Lährer Faß 155, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 332, Sa. Goldener Ring Ketten, Peerlein und dergleichen Geschmeids 719, Sa. baarschafft 89, Sa. pfenningzinß hauptgüter 792, Sa. Gülth von liegenden güthern 40, Sa. Antheils ane einem Güether Zinnß 7, Sa. Schulden 66, Summa summarum 2805 lb – Schulden 795 lb, Detrahendo verbleibt 2009 lb

Agnès Silberrad meurt en 1775 en délaissant deux fils, Jean Martin Pastorius et Jean Daniel Reisseissen. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Bouclier. La succession s’élève à 446 livres, la somme taillable comprenant les biens dont la défunte avait la jouissance à 4 530 livres.
1775 (3.4.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 419) n° 1315
Inventarium über Weÿland der Hoch Edlen und Hoch tugendbegabten Frauen Agnes Boecklerin gebohrner Silberradin, auch Weÿland des Hoch Edelgebohrnen und Hochgelehrten Herrn Johann Boecklers, Philosophiæ et Medicinæ geweßenen Hocherfahrnen Doctoris beÿ allhießiger Löbl. Universitæt Chemiæ, Botanices et reliquæ Materiæ Medicæ Hochbelobten Professoris publici ordinarij, des hoch Löbl. Collegiat Stiffts zu St Thomæ hochverdienten Canonici und vornehmen Burgers allhier Zu Straßburg längst seel. hinterlassener Frau Wittib nun ebenmäßig seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1775. (…) nachdem dieselbe Freÿtags den 16. Decembris des zurückgelegten 1775 Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt nach solch Ihrem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) durch den anweßenden einem Herrn Sohn und deßen Frau Eheliebstin selbsten ingleichem Jungfrau Mariam Ursulam Brückin von hier gebürtig der wohlseel. Frauen Doctorin geweßener Dienstmag wie auch Jungfer Magdalenam Barbaram Frießin von hier gebürtig und Martham Susannam Unverzagtin von Markirch gebürtig des herrn Sohns beede Dienstmägd – So beschehen in Straßburg auf Montag den 3. Aprilis Anno 1775.
Die Wohlseelige Frau Doctorin hat zu Ihren Erben ab intestato verlaßen als folgt. 1. S. T. Herrn Johann Martin Pastorius J V. Ddum und E. E. großen Raths allhier alten wohlansehnlichen beÿsitzer auch dermahlig hochverdienten burgermeister in der Stadt und thal Münster in Gregorienthal, der in Gott seelig entschlaffenen Frau Doctorin in erster Ehe mit auch weÿland S. T. Herrn Johann Pastorius, dem geweßenen Buchhändler und Buchtrucker auch burgern allhier längst seeligen ehelich erziehlten Herrn Sohn, in deßen Nahmen und in deßen Abweßenheit (…) S. T. Herrn Johann Friderich Lichtenberger Notarius publicus und berühmten Practicus alß deßen constituirter Herr Mandatarius beÿ dießem Geschäfft sich eingefunden, So dann
2. S. T. Herrn Johann Daniel Reißeißen beÿ Löbl. Universität allhier Institutionum Imperialium Professorem publicum ordinarium und berühmten burgern allhier dr wohlseeligen Frauen Doctorin in Zweÿter Ehe mit auch Weÿland S. T. Herrn Johann Daniel Reißeißen Medicinæ geweßenen hocherfahrenem doctori und berühmten Practico auch burgern allhier längst seeligen ehelich erziehlten Herren Sohn welches mit und beneben S. T. Frauen Margaretha Salome gebohrner Metzlerin seiner Frauen Eheliebstinin dem Geschäfft abwartete. Alßo beede herren Söhne zu Zweÿen gleichen portionen und Antheilern verlaßene rechtsmäßige Beneficial Erben

In einer allier Zu Straßburg ane der großen Schildsgaß gelegener in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden als vogt
(f° 14) Wÿdemb Welchen die in Gott seelig entschlaffene Frau Doctorin von auch Weÿland S. T. Herrn Johann Daniel Reißeißen gewesenen hocherfahrenen Doctore Medicinæ und berühmten Practico auch vornehmen burgern allhier Ihrem Zweÿten Eheherrn Längst seeligen
Wÿdemb Welche die Wohlseelige Frau Doctorin von auch Weÿland S. T. Herrn Johann Pastorius geweßenen vornehmen Buchtrucker und Buchhändler auch burgern allhier zu Straßburg, Ihrem Ersten Eheherrn seeligen Lebtägig genoßen hat
Wÿdemb Welchen die in Gott ruhende Frau Doctorin nun seelige von auch Weÿland S. T. Herrn Johann Boeckler Philosophiæ et Medicinæ geweßenen Hocherfahrnen Doctoris beÿ allhießiger Löbl. Universitæt Chemiæ, Botanices et reliquæ Materiæ Medicæ Hochbelobten Professore publico ordinario (…) Ihrem dritten Eheherrn Längst seeligen Zeit lebens genoßen hat
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 302, Sa. Antheils ane Schiff und geschirrs auch Pferden 21, Sa. Frucht 18, Sa. Weins und Lährer Faß 59, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 187, Sa. Goldener Ring Ketten, Peerlein und dergleichen Geschmeids 230, Sa. baarschafft 85, Sa. Schulden 110, Summa summarum 1014 lb – Schulden 568 lb, Nach deren Abzug 446 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 5342 lb – Stall Summ 4530 lb
Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in der Succession Zugeltend 15 lb

Jean Daniel Reisseissen vend la maison 1000 livres au courtier Jean Ehrmann

1730 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 604 n° 95
H. Johann Daniel Reißeißen Med: D. und Practicus
in gegensein Johannes Ehrnmann des Courtier
Eine Behausung bestehend in Vorder: Mittel: und hinderhauß zweÿen höffen gartten Bronen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomans: Bruck im Finckweiler einseit theils neben einer zum Elephanten genannten Balthasar Fux dem zimmermann gehörigen behausung theils neben H. von Schwencksfelden hochfürstl: Pfaltz Bürckenfeldischem hoffrath anderseit zum theil neben Heinrich Buck dem Schreiber theils neben H. Verkäufer und deßen Miterben selbst hinten auff Nicolauß Struve des Doctor: gärttners gartten
Ferner eine Scheur oder Magasin mit allen deßen gebäuden und zugehörden wie auch Rechten in gedachtem Finckweiler einseit ist ein eck an einem Allmend gäßel das Kochlöffelgäßel genannt anderseit neben Andreas Falcken hinten auff eine dem Stifft St Marx zugehörigen behausung – als ein von seinen miterben in Vätterlichen Verlaßenschafft Abtheilung käufflich übernommenes guth ihme eigenthümlich zuständig angegeben – um 1000 lb verhafftet, geschehen um 1000 pfund

Jacqueline Zittel veuve de Jean Ehrmann vend la maison 1900 livres au serrurier Philippe Jacques Bœris et à sa femme Susanne Baufinck

1741 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 615 n° 390
Fr. Jacobe geb. Zittelin weÿl. H. Johannes Ehrmann Courtier wittib mit beÿstand H. Johann Friedrich Lichtenbegers Not. publici und practici
in gegensein Philipp Jacob Böriß des schloßers und Susannæ geb. Baufinckin
eine behausung bestehend in vorder: Mittel: und hinderhauß, zween, höffen, garten, bronnen und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten jenseit St Thomas bruck im Finckweiler einseit neben dem hauß zum Elephanten, anderseit theils neben H. von Schwenckfelden erben theils Heinrich Buck dem schreiner, hinten auff Nicolaus Struve den Doctorgärtner – als ein von ihres ehemanns seel. vermög beÿ E. E. Großen Raths confirmirten vergleichs cedirtes guth – um 500 und 500 pfund verhafftet, beschehen um 900 pfund

Les acquéreurs hypothèquent la maison le lendemain de son achat au profit de la veuve de Jean Ernest Spielmann, économe à la Chancellerie

1741 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 395
Philipp Jacob Böriß der schloßer und Susanna geb. Baufinckin mit beÿstand Andreas Schäffers des schuhmachers und Johann Jacob Meÿers des schneiders beede ihres nachgeschwistrig Kinder
in gegensein Fr. Mariæ Elisabethæ geb. Binderin weÿl. H. Lt. Johann Ernst Spielmann gewesten Cancellariæ Oeconomi Fr. wittib mit beÿstand H. Johann Ernst Spielmann des handelsmanns ihres Stieffsohns – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine gestrigen tags erkauffte behausung bestehend in vorder: Mittel: und hinderhauß, zween, höffen, garten, bronnen und hoffstatt im Finckweiler, einseit neben dem hauß zum Elephanten, anderseit neben Heinrich Buck dem schreiner, hinten auff Nicolaus Struve den Doctorgärtner

Les héritiers de Jean François Reisseissen et d’Eve Marguerite Grad donnent quittance à Philippe Jacques Bœris

1741 (19.9.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 467-v
H. Lt. Johann Friedrich Faust advocat und Procurator ordinarius beÿ Löbl. Ammeister audientz als curator ad lites weÿl. H. Lt. Johann Francisci Reißeißen gewesten actuarÿ beÿ besagter audientz hinterlassenen dreÿ kinder Margarethä Salome, Francisci und Mariä Magdalenä der Reißeißen
in gegensein Philipp Jacob Böriß des schloßers
demnach beÿ weÿl. Fr. Evä Margarethä geb. Gradin auch weÿl. H. Francisci Reißeißen Contractuum actuarÿ Fr. wittib der curanden Fr. Großmutter seel. verlaßenschaffts abtheilung weÿl. Johann Daniel Reißeißen gw. Med. D. und Practico als miterben eine in solche verlassenschafft gehörigen im Finckweiler neben dem Elephanten gelegenen behausung und garten cum appertinentis vermög einer vor H. Not. Johann Daniel Lang dem Inventierschreiber am 18. feb. 1730 passirten Erbs Cession käufflich cedirt, 500 pfund

Philippe Jacques Bœris s’inscrit en mai 1721 pour faire son chef d’œuvre. Il devient tributaire en décembre une fois devenu maître
1721, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 148 (Serruriers 1714-1729)
(f° 82) Donnerstags den 15.ten Maÿ Anno 1721 – Philipp Jacob Böriß, der ledige Schloßergesell Von hier gebürtig, Weÿland Meister Hieronÿmi Börißen, des Schloßers und burgers allhier nunmehr seeligen hinderlaßener Sohn, stehet Vor und legte auf 5 ß d handwercks gebühr und bittet man wolle Ihme das Meisterstück nach ordnung aufgeben. Erkannt Willfahrt (Aufflaggeld dt. 5 ß d)

(f° 88) Dienstags den 30. Decembris Anno 1721 – Philipp Jacob Böriß, der Schloßer, stehet Vor und bittet weilen Er sein Meisterstück bereits auffgewießen mann wolle Ihne in die Meister taffel auf: und annehmen. Erkandt und Ihme willfahrt, gegen erlegung der gebühr, hat zu entrichten In die Meisterladt 3 lb 4 ß 9 s, Vor das handwerck 7 ß d, Und dann dem Zunfftschreiber 4 ß, Summa 3 lb 15 ß 9 d

Fils du serrurier Jérôme Bœris, Philippe Jacques Bœris épouse en 1722 Susanne Baufinck, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration
1722 (1.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 72
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und vorgeachten Meister Philipp Jacob Böriß, dem Ledigen Schloßer, weÿland des Ehren und wohl vorgeachten Herrn Hieronÿmÿ Böriß, des auch gewesenen Schloßers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinderlaßenem Sohn, als dem Braütigamb ane einem, So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Susannæ Baufinckin, weÿland des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Valentin Baufincken des gewesenen Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinderlaßene dochter, als dr Jungfrauen hochzeiterin, ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein Frauen Margarethæ Börißin gebohrner Veriußin des Hochzeiters geliebte Mutter vnd herrn Johann Jacob Dürrbachs des Schloßers seines geschwornenn Vogts auf sein des Braütigambs, So dann auf der Jgfr. Hochzeiterin seithen Frauen Margaretha Baufinckin geb. Büchlerin dero Mütter, Herrn Johann Raspen des haubt Kandten beÿ E: E: Zunfft der Schuhmacher, dero Mutter geordneter Vogts und herrn Nicolaj Struve des Doctor: Kunst und Blumengärthners der Jgfr. hochzeiterin geschwornen Curatoris auf Freÿtag den 1. Maÿ Anno 1722 [unterzeichnet], auf Freÿtag den 3. Julÿ Anno 1722. [unterzeichnet] Philipp Jacob Beres als hochzeiter, Susana bau finckin alß hoh Zeitterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 179-v n° 1028)
Anno 1722. den 22. Julÿ seind nach geschehene ordentliche außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet word. Philipp Jacob Böris der ledige Schloßer, weil. Hieronÿmi Böris des gew. burgers und Schloßers alhie hind.laßener ehelicher Sohn und Jugfr. Susanna weÿl. Valentin Bawfinck deß gew. burgers und Schuhmachers hinderlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Böres als Hochzeÿter, Sußana bau Fincken alß hog Zeittere (i 183)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Barbe. Ceux du mari s’élèvent à 143 livres, ceux de la femme à 381 livres.
1722 (31.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 8) n° 183
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so der Ehren: und Vorgeachte Meister Philipp Jacob Böris, der Schloßer und die Ehren und tugendsahme Frau Susanna Börißin, gebohrne Baufinckin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein Fr. Margarethæ Börißin gebohrner Veriußin u. Fr. Margaretha Baufinckin gebohrner Büchlerin respectivé des Manns u. d. frn geliebter Mütter, auf Freÿtag den 3. Julÿ Anno 1722.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Barbargaß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung, befunden worden, wie Volgt.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 86, Sa. Gemachter Wahr zum Schloßer handwerck gehörig und alten Eisens 5, Sa. Lähren Vaß 10 ß, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 14, Summa summarum 107 lb
Darzu gelegt, crafft der Eheberedung die helffte ane denen haussteuren 35 lb, Des Manns in die Ehe gebracht guth 143 lb
der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. haußraths 216, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. goldener Rings 10, Sa. der baarschafft 38, Sa. der Activ Schuld 50 lb, Summa summarum 345 lb – Hierzu kombt ferner der halbe theil ane denen haussteuren macht 35. lb, der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen 381 lb

Philippe Jacques Bœris loue une partie de la maison (bâtiment avant, bâtiment du milieu et bâtiment arrière) à Jean Baur, secrétaire à l’accise

1743 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 30-v
Philipp Jacob Böriß der schloßer
in gegensein H. Johannes Baur des schreibers in allhiesigem Umbgeldshauß
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörig im Finckweiler einseit neben dem hauß zum Elephanten anderseit neben Mr Buck dem schreiner gelegenen behausung im vorder hauß der gantzen zweÿten stock, ferner im mittlern hauß auff dem ersten stock stub, stubkammer und Kuchen darüber die bühn und taubenhauß, mehr im hinder hauß auff dem boden platz zu einem stall vor zweÿ stück vieh, auf dem ersten stock zwo kammeren oben darüber zwo bühnen und den unter solchem gebäu befindlich. keller, die gemeinschafft des sommerhaußes und einer bühn darüber, so dann den garten samt allen darinn befindlichen bäumen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Annunciationis Mariæ
der entlehner behaltet sich vor den platz lincker hand im garten längst dem weeg samt denen darauff stehenden bäumen und reben wegen denen übrigen verlehnten gewächßen soll eine ordentliche abschatzung vorgenommen werden – um einen jährlichen Zinß nemlich 80 gulden
[in margine :] auffgebhoben auf instehenden Michaelis ihre endschafft haben soll, d. 7. 7.bris 1744

Philippe Jacques Bœris hypothèque la maison au profit du fabricant de treuils Jean Henri Fries pour en régler les frais de réparation

1750 (22.12.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 623
Philipp Jacob Böriß der schloßer
in gegensein Johann Heinrich Frieß des windenmachers, zu reparation hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿe 100 lb
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder: mittel: und hindrerhauß, garten, zween höffen und hoffstätten cum appertinentis im Finckweiler, einseit neben Philipp Küntzel dem zimmermann, anderseit neben Philipp Buck dem schreiner hinten auff verschiedene gärten

Philippe Jacques Bœris meurt en 1751 en délaissant un fils étudiant en théologie. La succession comprend une maison rue Sainte-Barbe et celle au Finckwiller, estimée 1250 livres ; le billet d’estimation mentionne que le deuxième étage n’est pas terminé. La masse propre à la veuve est de 1 138 livres. La masse propre aux héritiers présente un déficit de 13 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 279 livres, le passif à 3 369 livres. Les titres de propriété de la maison au Finckwiller comprennent celui de 1676, assorti d’une servitude ; il s’agit cependant de la vente d’une autre maison que celle dont il est question.

1751 (15.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 45) n° 970
Inventarium über Weÿl. Herrn Philipp Jacob Böris, gewesenen Schloßer und burgers allhier zu Straßburg, nunmehr seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1751. – nach seinem den 17. Martÿ dieses Jahrs beschehenem tödlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren Herrn Johann Gottfried Böris, S. S. Theologiæ Studiosi, des Verstorbenen seel. mit deßen hernach gemelter hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugten und ab intestato Zu Erben verlaßenen einigen Sohns fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme Frau Susannam gebohrne Baufinckin, die hinterbliebene wittib, beÿständlich Herrn Johann Friderich Dirr Schreiner und burgers allhier ihres geschwornen Vogts (…) So geschehen in Straßburg in fernerem gegenseÿn Herrn Johann Philipp Schöttel, Organisten und burgers allhier des Sohns beÿständlich auf Donnerstag den 15. Aprilis Anno 1751.
Werckzeug Zu dem Schloßer Handwerck gehörig

(E.) Eigenthum an Häußern. Neml. i. behaußung hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt an St. Barbarägaß (…)
(T.) It. I. behaußung bestehend in Vorder, Mittel u hinderhauß, 2. Kleinen höffen, 1. gärtlin, bronn u. Hoffestatt mit allen derselben Gebäuen, begriffen, weiten, Zugehörten, rechten u. Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt jenseit der Thomans bruck im Finckweiler ein Seith neben dem hauß zum Elephant Johann Michael Kientzel dem Zimmermann gehörig, und zum theil neben herrn Georg Wilhelm Fleischmann J.V. Ddo u. beÿ löbl. Policeÿ Gericht Reverendarium, anderseit neben Heinrich Buck dem Schreiner gelegen hinten auf Niclaus Struve den Dr Gärtner stosend so über abzug der hernach passive eingetragener Capitalien freÿ, ledig u. eigen und durch die allhiesig geschwornene Herren Werckmeister in oballegirter schrifftlicher Abschatzung æstimirt worden vor 1250. Das gärtlein aber mit bewilligung wohlverordneter Herren dreÿer der Statt Stall durch Herrn Niclaus Struve Universitäts Gärtner inhalt Schein Vom 17. Aprilis 1751. æstimirt worden vor 25 lb 9 ß, aldo beedes Zusammen 1275. lb
Darüber besagt i. teutsch perg: Kauffbrieff in allhiesiger C.C. Insiegel verwahrt de dato 7. Augusti 1741. Ferner 1. dergl. Kauffbrieff dedato 25. febr. 1730. ferner I. Extractus aus allhiesiger C. C. Stub dedato 4. Julÿ 1676 darinnen sich der damahlige besitzer vorher beschriebener behaußung als er das Nebens hauß davon Verkaufft vor sich seine Erben u. Nachkommen Vorbehalten durch den Hoff des Käuffers Nebens haußes Zu und in sein des Verkäuffers Stallung so oft es ihnen beliebig ist Zugehen und die Pferd durch zuführen.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens Innhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch herrn Johann Lobstein Notarium in Anno 1722 auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 22, Sa. leerer Faß 12 ß, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Rings 16 ß, Sa. Ergäntzung 1020, Sa. der schuld 91, Summa summarum 1138 lb.
Diesemnach wird auch des Sohns und Erben unverändert Vätterliche Nahrung beschrieben und anfänglichen davon, Sa. haußraths 14, Sa. Werckzeugs 9, Sa. leerer Faß 1, Sa. Silbers 11 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1000, Sa. Ergäntzung (197, Abzug 1145, übertrifft die Ergäntzung um 947 lb) Summa summarum 1025 lb – Schulden 1038 lb, In Compensatione 13 lb
Endlichen folget auch die gemein und theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 29, Sa. Werckzeugs 20, Sa. leerer Faß 3, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1275, Sa. der Schuld 947, Summa summarum 2279 lb – Schulden 3369 lb, In Vergleichung 1089 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag deb 1. Monatstag Maÿ 1722, Johannes Lobstein Notarius juratus
Copia beeder Eheleuthe in Anno 1724. mit einander auffgerichteten Codicilli reciproci
Abschatzung Vom 26. Martÿ 1751. Auff begehren Weill. Philipp Jacob Berus des geweßenen Schloßers Seel. hinderlaßene Fr. Wittib ist eine behaußung, alhier in der Statt Straßburg in dem finckweiler Gelegen einseÿts näben herr Buck dem schreiner anderseÿts näben Meist. Joh: Michael Küntzel und hinden auff herren Struben Garden Stossendt Gelegen, näben dem eingang ist eine Schloßers werckstatt in dem ersten Stock seÿndt Zweÿ Stuben, ein Kammer, Kuchen und haußöhren, der Zweÿde Stock ist dem erst bemeldem gleich, so aber nicht auß Gebauwen, darüber ist eine Mançarde mit breidt Zieglen bedeckt, hatt auch einen Getrembten Keller, hoff und brunnen, ferner befindet sich ein hindergebäu worinnen etliche Stuben Kameren und Kuchen, Item eine Stallung, der dachstull darüber ist mit breidt Zieglen ein fach Gedeckt, ist Von uns den underschriebenen der Statt Straßburg Geschworne Werckmeistere nach vorher beschehener besichtigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeitt dem Jetzigen werdt nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿ taußendt und Fünff hundert Gulden
der Zweÿde begriff ist auch alhier in der Statt Straßburg in der barblen gaß gelegen (…)
[unterzeichnet] Johan Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Michael Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister des Maurhoffs
daß von mit unter Schriebene auff begehren frau Susanna beriußin, von wegen Ihres gärtel hinter jhrem hauß an zu schlagen so bestehet ohn gefehr un ein viertels acker grund zu 25 lb 9 ß, Straßburg d. 17. April 1751 [unterzeichnet] Nicolaus Struve, Universitäts gärtner

La veuve Susanne Baufinck se remarie en 1752 avec le serrurier Jean Auguste Mittmann, fils d’orfèvre : contrat de mariage, célébration à la Robertsau. Le mariage figure dans le registre de Saint-Thomas mais il est retardé d’une semaine après opposition et célébré hors des remparts avec autorisation du Magistrat.
Copia der Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿe der Ehrsam und bescheidene Johann August Mittmann, leediger Schloßer, weiland Herrn Johann David Mittman, gewesenen Silberarbeiters und burgers alhier ehelicher Sohn, als hochzeiter ane einem, sodann die Ehren und tugendsame frau Susanna gebohrne Baufinkin, weil. Meister Philipp Jacob Böres gewesenen Schloßers und burgers alhier hinterlaßene Wittib als Hochzeiterin ane dem andern theil (…) Unterschrieben Straßburg den 30. Septembris Anno 1751. Johann Daniel Schweighäuser Nots: publ.
Zuwißen sÿe hiermit, daß beÿ dem Concept dieser Eheberedung abermalen erschienen seind vor erwehnte und Eingangs gedachte beede hochzeitliche Personen, Welche (…) ferner angezeigt und declarirt, wie daß sie bishero unter sich gehabter Zwistrigkeit halben sich endlichen mit einander abgefunden und dahin verglichen haben, daß vorher gehendene heuraths contract und deme annulirten besagten Acte nicht allein in allen puncten ohnwiderruflichen nachgelebet werden und solcher also hier nochmalen confirmirt und bekräftiget seÿn solle (…) Straßburg den 9.ten Maÿ Anno 1752. Johann Daniel Schweighäuser Nots: publ.

Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 80-v n° 470)
1752. Mitwoch den 3. Maji seind nach zweÿmaliger ordentl. proclamation und Außruffung in der N. Kirch und Zu St Thomæ zu St. Thomæ copulirt und eingesegnet worden Johann August Mittmann, lediger Schloßer, Weil. Joh: David Mittmann, gewesenen Goldarbeiters u. burgers allhier hinterl. ehel. Sohn und Frau Susanna weil. Philipp Jacob Böris gewesenen Schloßers und burgers allhier hinterl. Wittib.
NB. die copulation ist wegen einem zu fall ruf den nemlichen tag zu St. Thomæ nicht vor sich gegang. sondern erst 8. tag hernach nemlich den 10. Maÿ und Zwar in der Ruprechts auer Gemeinde (i 82)

Mariage, Robertsau (luth. f° 78 n° 546)
Mittw. den 10. Maji 1752 seind, auff Obrigkeitliche Erlaubnuß, nach gewohnlicher außruffung Ehelich eingesegnet worden Johann August Mittmann, der ledige Burger und Schloßer Zu Straßburg, weÿl. Joh: David Mittmanns, gewesenen Burgers und Goldarbeiters daselbsten nachgelaßener Ehelicher Sohn und Fr. Susanna geb. Baufinckin, weÿl. Philipp Jacob Böris, gewesenen Burgers und Schloßers daselbsten, nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Johann Augustus Mittmann als hochzeiter, Susanna geborne baufinken alß hoh Zeitterin (i 45)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse en en partie à son fils, ancien étudiant en théologie pour lors apprenti notaire. Les apports du mari présentent un déficit de 100 livres, ceux de la femme s’élèvent à 398 livres.

1752 (22.8.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 548) n° 9
Inventarium über des Ehrbarn und bescheidenen Meister Johann August Mittmann des Schloßers und der tugendsahmen fr. Susannæ geb. Baufinckin, beeder Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachter Nahrungen, auffgerichtet in anno 1752. – vermög Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to vor unverändert Vorbehalten haben (…) So geschehen in præsentia Mstr Joh: Friderich Dürr des Schreiners und burgers allhier als der Ehefr. Geschwornen Vogts, wie auch H. Joh: Gottfried Böris der Schreibereÿ befließenen, als der Ehefr. Sohns 1.ter Ehe, beneben Hn Joh: Phil. Schöttel Organisten und burgers allhier sein des Sohns hierzu erbettenen beÿsitzers Straßburg den 22. ten Augusti anno 1752.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegenen der Ehefr. und dem Sohn erster Ehe Zustehenden hernacher mit mehrerem beschriebenen behaußung sich befunden hat wie folgt.
Eigenthumb ane einer behausung. (F.) Nembl. ein dritter theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung höfflein hoffstatt und garthen mit all übrigen dero gebäuden, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und gerechtigkeiten allhier zu Straßburg jenseit der thomans bruck im Finckweiler 1.s neben dem hauß zum Elephanten, Joh. Michael Kientzel dem Zimmermann gehörig und z. th. neben H. Georg Wilhelm Fleischmann J. V. Ddo u. beÿ löbl. Policeÿ Gericht Referendario, 2.s neben Heinrich Buck dem Schreiner gelegen, hinten auf Nic. Struve den Doctor: gärtner stoßend, so über abzug der hernach passivé eingetragenen Capitalien freÿ leedig und Eigen und hier beliebter masen ohn angeschlagen Gelaßen worden. Die übrige Zween dritte theil seind wie hernach fol: unter dem wÿdumb zu sehen dem Sohn 1.ster Ehe vor vätterl: guth zuständig, so aber die Ehefr. Lebtägig zu genießen hat. Und besagte über die völlige behauß. i. teutscher pergam. Kaufbrief mit allhies. C. C. stub gefertiget und mit dero anhangendem Innsiegel verwahret, dedato 7. Augusti 1741. Ferner I. dergl. Kauffbrief de dato 25. February 1730 und i. Extract aus allhies. C. C. stub de dato 4.ten Julÿ 1676. darinnen sich der damahlige besitzer der behaußung beÿ verkauffung des Nebenshaußes vor sich seine Erben und Nachkommen vorbehalten durch den hoff des Käuffers nebens haußes zu und in sein des verkäufers Stallung so offt es ihnen beliebig ist zu gehen u. die pferd durch zu führen.
Wÿdum so die Ehefrau auß weÿl. herrn Phil: Jacob Böris geweßenen Schloßers und burgers Allh. Ihres erstern Ehemann seel. Verlaßenschafft ad dies vitæ Wÿdumbs weiß zu genießen hat. Eigenthum ane häußern. Erst. i. behauß. und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten an St Barbarä gaß, 1.s. neben Mstr. Friedrich Dürrbach dem Kupfferschmidt, 2.s neben Mad. Lafermiere der Würthin au Grenadier gelegen hinten auf H. Koblentz den tabackhändler und das Wirthshauß a la Ville de Luxembourg stoßend (…)
vermög summarisch berechnung durch Not. Johann Philipp Lichtenberger den 13. apr. 1752 gefertigt 1325 lb darüber vorhanden Kfbrieffen C.C.Stb 26. julÿ 1696 It. 2/3 theil vor ohnvertheilt von und ahne der im Finckweiler gelegenen und vorher fol – Umbständl. beschriebenen behausung 1500
Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Ehemanns unverändert Guth, Sa. hausrath 33 lb, Sa. des werckzeugs 45 lb, Sa.Silbers 7 lb, Summa summarum 86 lb – Sa. passivorum 187 lb, Übertreffen also des Ehemanns Zugebrachte Passiva die activ mass umb 100 lb
Der Ehefrau unverändert guth, Sa. hausraths 183 lb, Sa. Werckzeugs 61 lb, Sa. Silbers 34 lb, Sa. Goldenen rings 5 lb, Sa. der activorum 2461 lb, Summa summarum 2746 lb – Sa. passivorum 2348 lb, Nach deren abzug 398 lb
(hat die Ehefrau beÿständl. und ubter autorisation besagt ihres Ehemanns und Hn Johann Friderich Dürr Schreiner und burgers dahier ihres geschwornen Vogts, In gegensein deroselben in erster Ehe mit weÿl. Mstr. Phil. Jacob Böriß dem geweßenen Schloßer und gleichfalls burgers allhier ehelich erzeugten Sohns alß deselben eintzig hinterlassenen Erbens, Nahmens H. Johann Gottfried Böris geweßenen S.S. Theol. Stud: und dermahlen des Notariats befließenen, und H. Joh: Phil. Schöttel, des organisten und auch burgers hieselbsten, wie auch Hn Joh: Friderich Lobstein Notarÿ publ. Jurati und Practici allhier, als sein des Sohns hierzu erbettener beeder herren beÿständern

Les conjoints Mittmann font dresser un inventaire pour cause de dettes. Les parties évaluent la maison au Finckwiller à 2 250 livres. Les biens propres de la femme s’élèvent à 804 livres, l’actif du mari et de la communauté s’élèvent à 531 livres, le passif à 506 livres

1754 (1.2.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 960) n° 60
Inventarium über des Ehrsam: und bescheidenen Mstr. Johann August Mittmann, des Schloßers und der Ehren und tugendsahmen Fr. Susannä gebohrner Baufinckin, beeder Eheleuthe und burgere allhier, dermalen tam active quam passive besitzende Nahrung, auffgerichtet Anno 1754. – (…) der Ursachen alldieweilen die Ehefr. ihr Zugebrachtes und Vermög der mit vorgedachten Ihrem Marito vor Hn. Notario Johann Daniel Schweighäußern den 30. 7.br. 1751. errichteten Eheberedung §° 4.to sich vor ohnverändert vorbehalten und Vermögen zu salviren gedencket, auf freundl. ansuchen erfordern und begehren inventirt und ersucht durch sie beede Eheleuthe selbsten und Zwar die Ehefr. mit Assistentz S.T. H. Christian Heinrich Brand J. Pract: und beÿ Löbl. Ammeister Audienz Proc: Ord: (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 1.ten Febr. 1754.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegenen, der Ehefr. zum theil eigenthümlich Zuständigen, und von beeden Eingangs gedachten Eheleuthen bewohnenden behausung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer behausung. Neml. 1/3.ter theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung höffl. hoffstatt und Garthen mit all übrigen dero Gebäuden, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, jenseith der thomans bruck im Finckweiler, 1.s neben dem hauß zum Elephanten, Joh: Michael Kienßel, dem Zimmermann gehörig, und zum theil T. H. Georg Wilhelm Fleischmann J. U.Ddo und beÿ Löbl. Policeÿ Gericht Referendario, 2.s neben Heinrich Buck dem Schreiner gelegen allhier zu Straßburg hinten auf Niclauß Struve, den Doctor Gärtner stoßend, so über abzug der hernach passivé eingetragenen Capitalien freÿ, ledig und eigen und wird solche behaußung nach dem, in beeder Eheleuthen errichteten Inv: Illat: der Ehefr. zuständigen befindl: Wÿdumb bemerckter maßen und Zwar die gantze behausung ohnpræjudicirlich ausgeworfen und angeschlagen pro 2250 lb, thut die vorher inventirte tertz 750. Über die gantze behausung besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger C.C. stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt de dato 25. febr. 1741. Ferner ein dergleichen Kauffbrieff auch in allhiesiger C.C. stub verfertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt de dato 27. Augusti 1730. So dann ein Papierener extract gleichfalls aus allhiesiger C. C. stub verfertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt de dato dedato 4. Julÿ 1676 vermög welchen Contracts die jeweilige besitzer vorher beschriebener behaußung vor sich ihre Erben die durch farth des nebens haußes umb dadurch ihre Stallung nutzen zu können so oft es Ihnen beliebig Zugebrauchen berechtiget.
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög über beeder Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung durch H. Not. Johann Daniel Schweighäußern in A° 1750 den 20. Augusti errichteten Inventarium illatorum
Wÿdumbs berechnung Über Weÿl. Philipp Jacob Beris gewesten Schloßers und burgers allhiern dißortiger Ehefrauen Erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft pt° waß dieselbe ad dies vitæ Wÿdumbsweiß zu genießen hat. Erstl. eine behausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der St Barbarä Gaß (…)
It. Zweÿ dritte theil vor ohnvertheilt Von und ane der im Finckweiler gelegenen und vorher Fol: (-) umbständl: beschriebenen behausung und Garthen, woran der Ehefrauen der übrige eine dritte theil eigenthümlichen Zuständig, so ebenfalls über hievor passivé eingetragene Capitalien leedig und eigen, und in krafft obigen Summarischen Calculi außzuwerffen beliebet worden pro 2250 lb, thut hiehero Zu Zween dritten theilen 1500 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen ohnverändertes Vermogen, Sa. hausraths 118 lb, Sa. Werckzeugs zum Schloßer handwerck gehörig 56 lb, Sa. Silbers 30 lb, Sa. Eigenthumb ane einer Behausung 750 lb, Sa. Schulden 1433 lb, Ergäntzung (53, Abzug 171, passiv Rest 118), Summa summarum 2388 lb – Schulden 1584 lb, In Vergleichung 804 lb
Dießemnach Wird auch des Ehemanns ohnverändert und theilbare Nahrung sub una Massa beschrieben, Sa. hausraths 44 lb, Sa. Werckzeugs zum schloßer handwerck gehörig 108 lb, Sa. Silbers 11 lb, Sa. schulden 366 lb, Summa summarum 531 lb – Schulden 506 lb, Nach deren Abzug 25 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 9. Maÿ 1752, Joh. Daniel Schweighäußer Notarius juratus

Auguste Mittmann et Susanne Baufinck hypothèquent la maison au profit du marchand de fer Jean Guillaume Bruder

1754 (9.5.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 222-v
Augustus Mittmann der schloßer und Susanna geb. Baufinckin mit beÿstand H. Johann Philipp Geradwohl des Paßmentirers und H. Philipp Schöttel des organisten
in gegensein H. Johann Wilhelm Bruder des eißenhändlers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ein dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung cum appertinentis im Finckweiler einseit neben Michael Küntzel dem zimmermann, anderseit neben Philipp Jacob Buck dem schreiner hinten auff H. Struve des Doctor gärtners garten

Le serrurier Chrétien Bolster fait appel d’une sentence de la tribu contre Auguste Mittmann. La maison au Finckwiller est portée au prix de 2 250 livres comme ci-dessus. Les biens propres de la femme s’élèvent à 683 livres, l’actif du mari et de la communauté s’élèvent à 38 livres, le passif à 647 livres
1756, Protocole des Quinze (2 R 167)
(p. 276) Dienstags den 3. Augusti – Faust Ca Augustin Mittmann
Faust nôe Christian Bolster des schloßers Contra Augustin Mittmann auch schloßer, Will Von dem am 27.t Julÿ jüngst beÿ E. E. handwerck ergangenen bescheid an mghh. in unterthänigkeit appellirt und Verzeuchnus gebetten haben. Erkannt Verzeuchnus.

Inventaire dressé après qu’Auguste Mittmann a quitté la ville en abandonnant sa femme

1757 (19.4.), Not. Fické (6 E 41, 754) n° 80
Inventarium über Meister Johann August Mittmann, des von hier sich absentirten Schloßers und frauen Susannæ gebohrner Baufinkin beeder Eheleute und burgere allhier Zu Straßburg dermalen besitzende Activ Nahrung und hingegen wieder zu bezalen schuldige Passiv Schulden aufgerichtet in Anno 1757. – welches alles, in Ansehung des obhandenen Schuldenlasts, heut dato auf Ansuchen und begehren erstermelter der Ehefrauen die mit beÿhülf herrn Friedrich Dürrbachs des Kupferschmids und burgers alhier ihres ane Vogts statt erbettenen und hiebeÿ gegenwärtigen herren beÿsitzers zu beschütz und Erlangung ihres unveränderten Vermögens des Beneficium Cessionis und prælationis gerichtlich zu suchen gedencket, fleißig inventirt – So beschehen Straßburg den 19.ten Aprilis Aô 1757.

In einer alhier zu Straßburg ane der St. Barbara Gaß gelegener und dem dißortigen Sohn erster Ehe vor vätterlich Guth eigenthümlich zuständiger Zu End dieses Inventarii beschriebener Behaußung befunden worden
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths, Ausweiselich des über beeder Eingangs ermelter Eheleuthe einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen durch Herrn Notarium Joh: Daniel Schweighäuser den 22.ten Augusti 1752. auffgerichteten Inventarii ist ihro der Ehefrauen folgenden veraüßert und mangelnd befunden worden
Wÿdem Welchen die dißortige Ehefrau ais weiland Meister Philipp Jacob Böris des gewesenen Schloßers und burgers alhie ihres erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft lebtägig zu genießen hat, und nach dero Absterben Herr Joh: Gottfried Böris dem Scribenten ihrem einigen Sohn, als des Herrn Wÿdems Stifters seel: verlaßenem Erben anfällig ist. Ausweislich einer von Herrn Notario Johann Daniel Schweighäuser den 23.ten Augusti 1752. erricht: und ausfegertigten Correctionis Calculi und folglich grundlichen Ersuchung des dem erstermelten Sohn, Herrn Joh: Gottfried Böris, anerstorbenen väterl. Guths worunter die zweÿ in deßen Vaters seel: Verlaßenschaft gehörig gewesene Häuser und Zwar die unverändert an der St. Barbaræ Gaß gelegene und hiernach beschriebene behausung dem ehemals ohnnachtheilig gemachten Anschlag nach um 1325. lb
die theilbare im Finckweÿler neben dem Elephanten gelegene behausung aber solcher weiß vor 2250. ln begriffen und mit Vorbehalt des Eigenthums in Computum gebracht waren, hat sich solch des Sohns vätterlich Guth nach abzug aller passivorum in allem beloffen auf 804. lb. Nachdeme nun aber die in die theilbar Nahrung gehörig. gewesene behausung neben dm Elephanten den 29.ten Mai 1754 (verkauft worden)
Eigenthum ane einer behaußung (…)
(f° 19) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Ehefrauen unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 64, Sa. Waaren und Werckzeuge Zum Schloßer handwerck gehörig 27, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 572, Sa. der Ergäntzung deductis deducendi 159, Summa summarum 827 lb – Schuld 144, Nach deren Abzug 683 lb
Diesemnach so wird auch des Ehemanns unverändert und die theilbare Nahrung unter einer Mass beschrieben, Sa. haußraths 13, Sa. Werckzeugs zum Schloßer handwerck gehörig 24, Summa summarum 38 lb – Schulden 647 lb, In Vergleichung 608 lb
(f° 27) Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 9.ten Maÿ Anno 1752. Johann Daniel Schweighäuser Nots: publ.

Susanne Baufinck meurt en 1766. Son fils et héritier a disparu alors qu’il servait dans les troupes du roi de France. L’inventaire est dressé dans la maison de la défunte rue de l’Ecarlate. L’actif de la succession s’élève à 637 livres, le passif à 259 livres.
1766 (30.12.), Not. Fické (6 E 41, 759) n° 323
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsamen Fraun Susannæ Mittmännin gebohrner Baufinkin, Meister Johann August Mittmann, des ausgetrettenen Schloßers und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgericht Anno 1766 – nach ihrem Sambstags d. 20.ten Decembris dieses Zu End gehenden 1766.sten Jahrs aus dießer welt Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hintritt verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschafft heutigem zu End gesetztem Dato, auf Veranstalten und begehren S. T. Herrn Johann Michael Bühler J. U. Lti und des hochlöbl. Ehegerichts actuarii, als geordnet und geschworenen Curatoris Johann Gottfried Böres des Scribenten, der verstorbenen Fraun seel. in erster Ehe, mit längst Weÿland Meister Philipp Jacob Böres, dem gewesenen Schloßer und burger alhier ehelich erzeugten Sohns, welcher der Rede nach, in königl. Frantzösischen Kriegs diensten verstorben seÿn solle und also bis zu näherer Nachricht als verschollen zu achten ist, nach deme vorher die von Seithen E. E. kl. Raths auf Requisition der nächsten Anverwandschafft angelegte Sigilla recogniscirt und reseriret waren, der Ordnung gemäß ersucht und inventirt worden. Wobeÿ dann allforderist H. Joh: Gottfried Pflug, der Steinhauer und Johann Philipp Geradwohl, der Gimpler, die beede, auf den Fall gedachter Joh: Gottfried Böres der Sohn, bereits vor seiner nun seel. Mutter verstorben wäre, sich angegebene Præsumptiv Erben wie auch H. Joh: Friderich Dürrbach, der Kupferschmid und burger alhier der Frau Defunctæ gewesener beÿsitzer und Commissionarius, Endlich auch Fr. Maria Dorothea Meÿerin, gebohrne Waltzin, Simon Meÿers des abwesenden Sandührers in der Sterb behausung wohnhafte Ehefrau (…) geäugt und gezeigt
So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerer Gegenwart S. T. J. Christian Ludwig Böckler J. U. Lti E. E. großen Raths mehrmaligen und E. E. Kl. Raths dermaligen wohlverdienten beÿsitzers als hierzu abgeordneten H. Deputati, auf Dienstag d. 30.ten Decembris Anno 1766.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Magkümmel Gäßlein gelegen: hieher gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer behausung. Nämlich eine behaußung hinter dem Gouvernement am Scharlach und Mackkümmig Gäßel (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 49, Sa. Silbers 14, Sa. baarschafft 94, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Sa. Schulden 79, Summa summarum 637 lb – Schulden 259 lb, Nach deren Abzug 378 lb, Wird nun dazu gelegt des verschollenen Sohns und Erben restirend vätterlich Guth antreffend 70 lb, So berührt dieses Inventarii gantz Substantz zur Beschluß und Verstallungs summa benantlich 448 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 900 florins
1767, Livres de la Taille (VII 1180) f° 44
Schmidt N° 1834. Weÿl. Fr. Susannæ geb. Baufinckin Johann August Mittmann des außgetrettenen Schloßers und burgers allhier gew. Ehefrauen Verlaßenschafft jnvent. Not. Fické
Concl. final. jnvent Ist fol. 44. 448 lb 19 ß 5 s die machen 900 fl. Verstallte 200 fl. Zu wenig 700 fl.
Wovon Nachtrag 8 Jahr in duplo, 16 lb 16 ß
und 6 Jahr in simplo, 6 lb 6 ß
Ext. Stallgeldt 1766, 6 ß
Geb., 2 ß
Abhandlung, 19 ß d (summa)) 24 ln 9 ß 6 d
die helffte nachgelaßen ane den nachtrag restiert 12 lb 18 ß 6 d.

Susanne Baufinck vend la maison 1805 livres au boutonnier en soie Abraham Jund : adjudication devant notaire, vente définitive passé à la Chambre des Contrats.

1754 (9.10.), Not. Fické (6 E 41, 779) n° 32
Nach dem Frau Susanna Mittmännin geb. Baufinckin Mstr. Johann August Mittmann des Schloßers dermaligen Ehefrau, so dann herr Johann Gottfried Böris der Scribent so bereits das 25.te Jahr seines alters zurückgelegt und also seine Majorennitæt erlangt hat derselben in erster Ehe mit weÿl. Mr Philipp Jacob Böris dem Schloßer erzeugter Sohn sich entschloßen haben
die ihnen und zwar erstens der Mutter zu einem dritten ihme dem Sohn aber zu den übrigen zweÿen dritten Theilen vor ohnvertheilt eigenthümlich zuständig allhier in dem Finckweÿler, einseit neben dem sogenannten Elephanten anderseit neben Heinrich Buck dem Schreiner hinten auf weÿl. Niclaus Struve des Doctorgärtners Erben stoßend gelegen Vorder Mittel und hinter: behausung samt zween höfen hoffstatt und Garten mit allen deren übrigen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu versteigern (…) ausgesetzt worden vor und um 3700 gulden
den Ansatz des haußes zu machen befolen von 3600 fl.
3610 fl. herr Abraham Jund durch deßen sohn

1754 (14.11.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 480-v
Fr. Susanna geb. Baufinckin Johann August Mittmann des schloßers Ehefrau und deren Sohn H. Johann Gottfried Böriß der scribent
in gegensein H. Abraham Jund des Seidenknopffmachers
eine behausung bestehend in vorder, mittel und hinderhauß, zween höffen, gärtten, bronnen und hoffstatt, auch stallung mit allen dererselben gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten, in sonderheit derjenigen so sich weÿl. ST. H. XIII. Francisucus Reißeißen in der d. 4. Julÿ 1676 in alhies. C.C. Stub vorgenommenen kaufverschreibung vorbehalten jenseits St Thomas bruck im Finckweiler, einseit neben dem hauß zum Elephanten Johann Michael Kientzel dem Zimmermann gehörig, anderseit neben Johann Philipp Buck dem schreiner, hinten auff Nicolaus Struve doctor gärtners wittib und erben – der Wittib als ein während ihrer erster Ehe den 7. Augusti 1741 erkauftes guth zu einer tertz, zu denen übrigen zwo tertzen aber ihrem Sohn als ein vätterliches erbguth – um 1805 pfund

Les experts estiment la maison à la somme de 1 000 livres à l’inventaire dressé après la mort d’Abraham Jund en 1769. La veuve en a la jouissance viagère, la propriété revenant au cordonnier Jean Philippe Jund, frère du défunt, après la mort de la veuve
Le serrurier Jean Daniel Jund, neveu du défunt, cède sa part des immeubles à la veuve

1777 (28.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1208) Joint au n° 1613 du 23 mai 1769
Zuwißen seÿe hiemit daß ane heut zu end gemeltem dato vor mir unterschriebenenen geschwornener Notario und dermaligen besitzer des über weiland herrn Abraham Jund gew. Seiden Knöpffmachers u. Seidehändlers auch brs. alhie Verl. durch auch weiland H Notm Johann Daniel Stöber meinen Vater den 16. Augusti et sequentibus Anno 1769. vergriffenen Abtheil und Erörterung Conceptes persönlich erschienen Johann Daniel Jund Lediger Schloßer, so großjährigen alters welcher
In Gegenseÿn Fraun Mariæ Catharinæ Jundin geb. Lobsteinin erstbesagten H. Abraham Jund des Erblaßers hinterbliebener Fraun Wittib (cedirt)
sein des Cedenten bis daher participirten dritter theil vor unvertheilt an dem jenigen Stammtheil welchen weiland Meister Isaac Jund geweßenen Schloßers und burgers alhie in Zwoen Ehen erzeugte Kinder an obigen Abraham Jung Succession ins gemein geerbt und zu erfordern habe, bestehend und Erstlich der Stammtheil in Zween neunten theilen vor ohnvertheilt ane einer behaußung vorder, mittler und hinder Gebäuden, Hof und Hofstätt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß, einseit neben weiland h. Friderich Schuler gew. Seiden knopffmachers Wb. und Erben, anderseit neben einer behaußung Löblicher Stadt Straßburg gehörig Hinten auf M. Frantz Ludwig Knobloch dem Spengler zum theil und zum theil auf Fr. Dr. Scheidin stoßend gelegen, so ledig eigen weiter in Zween neunten theilen der die daselbstigen Keller befindlichen Stuckfaßen, so in den Abtheilung Concept folio 18.a sammenthafft per 196. lb angeschlagen worden
ferner in Zween neunten theilen einer H. Johann Philipp Jund dem Schuhmacher und Oncle prælegirten behausung, in Vorder, Mittler und Hindergebäude bestehend, Zweÿen Höflein, Garten, brunnen, Hofstätt auch Stallung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier jenseit St. Thomæ bruck am Finckweiler 1.s. neben dem Hauß Zum Elephanten genannt Joseph Collard dem Wäscher gehörig, zum theil und zum theil neben S. T. H. Rath. Fleischmann Erben 2. s. neben Mr Joh: Philipp Buck dem Schreiner zum theil u. zum theil neben Joh: Friderich Küchel dem Gastgeber so dann neben dem Roßenzweisischen Garten, hinten mit dem dißortigen Garten auf Johann Georg Gutwein den Gartenmann stoßend gelegen, Also ledig, eigen,
noch weiter in Zween neunten theilen Gültguts (…)
Straßburg Sambstags den 28. Junÿ Anno 1777

Jean Philippe Jund devient tributaire chez les Cordonniers le 18 juillet 1750
1770, Registres annuels de la Taille (VII 1263) f° 419
Schuhmacher – Jund, Joh: Phil. Ins. 18. Jul. 1750 (5 lb 17 ß)

Jean Philippe Jund, légataire de la maison, meurt célibataire en 1784 avant la veuve après avoir nommé pour légataire universelle sa demi-sœur Susanne Datt, veuve de Jean Chrétien Kugler et femme de Jean Frédéric Steinbach. L’inventaire est dressé dans la maison au Finckwiller où il jouissait d’un logement. La succession s’élève à 528 livres.

1784 (10.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1248) n° 385
Inventarium über Weiland Herrn Johann Philipp Jund gewesenen Schuemachers u. brs. allhier Zu Straßburg Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1784. – nach seinem Freitags den 23.ten Martÿ jüngst aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt verlaßen hat. Welche succession auf gebührendes Ansuchen u. begehren des Abgeleibten Zufolg hernach copeÿlich enthaltenen Testamenti solemnis in scriptis clausi instituirter und verlaßener Universal Erbin benandl. Fraun Susannä Mariä gebohrne Dattin beiständlich H. Johann Christian Kugler des Gastgebers u. brs. allhier den Sie ane Vogtsstatt hierzu angesprochen hat, inventirt und ersucht worden (…) So geweste in der alhier zu Straßburg am Finckweiler gelegenen behausung, worinnen der Verstorbene eine Wohnung lebenslänglich inne hatte, Montags d. 10.ten Maÿ Anno 1784.

Norma hujus inventarii, Sa. Hausrath 38 lb, Sa. Silbernen Geschmeids 8 lb, Sa. baarschafft 74 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 407 lb, Summa summarum 528 lb
Wobeÿ zu wißen daß des Abgeleibten vollbändiger bruder Herr Abraham Jund gew. Seiden knopffmacher u. Seidenhändler auch br. allh zu Straßb. vermög deßen den 30. Martÿ 1769 gestiffteten eodem die weil. H. Not° Joh. Daniel Stöber verschloßen anvertrauten (…) Codicill sein H. Abraham Jund Wb. Wittumsnieserin fr. Maria Catharina geb. Lobsteinin von dem ihro vermachten Wittum ihme dem Verstorbenen lebenslänglich zukommen zu laßen verbunden war. In dem hintern Gebäude der am Finckweiler gelegenen behaus. den freÿen u. besondern Wohnsitz des hintern Stübleins samt der Cammer beede 3. Creutzstöck Fenster in sich begreifent
Stall summ 1648 lb
Wittums Verfangenschaft Welche Fr. Maria Catharina Jundin geb. Lobsteinin weil. H. Abraham Jund gew. Seidenknopffmachers u. Seidenhändlers dißorts Abgeleibten vollbändigen bruders hinterbl. Wb. lebtägig zu geniesen berechtiget ist. Solche Wittums Verfangenschaft begreift nach Anleitung des über des Wittum Stifters Verl. durch nun weil. H. Not.um Stöber den 16. August 1769 er seqq. errichteten General Theilregisters u. Erörterung in sich
(…) It. 2/3.te theil 1. behausung vorder Mittler und hinter Gebäuden bestehend samt hof u. hoffstädten alh. zu Straßburg an der Flattergaß so f° 195.a beschrieben u. in dem Verl. Inv° taxirt worden pro 2500 lb, Machen hieran die dißortige 2.teth 1666. Und hat die Fr. Wb. die übrige tertz eigenthüml. Zu participiren.
It. 2/3 theil für ohnvertheilt 1. behausung so ebenmäßig in Vorder Mittler u. hinter Gebäuden bestehet samt 2. höfl. Garten, bronnen, hofstädt Stallung u. übriges Zugehörde jenseit St. Thomä bruck am Finckweiler gel. so in oben besagtem Theilregister f° 196.a beschrieben, u. von den Hhn Werckmeistern wie auch dem H. Inventir Schätzer geachtet worden vor 1050 lb, Machen dießortige 2. Tertzen 750. Und die übrige terz hätte die Fr. Wb. eigenthüml. zu prætendiren.
Copia Testamenti, So gewesen zu Straßburg den 13. Aprilis 1774. Jahrs (Acte de dépôt) Cejourd’hui 13 avril 1774, fut present en personne le Sr Jean Phillippe Jundt bourgeois Cordonnier de cette d. ville y demeurant, sain d’Esprit jugement mémoire et entendement gisant au lit malade de corps dans un poel du premier Etage de la maison de derriere de celle sont il possede deux tiers aud. Strasbourg quartier Finckweiller – Laquiante Notaire royal

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 3 300 florins
1784, Livres de la Taille (VII 1180) f° 354-v
Schumacher N° 251 – Weÿland Johann Philipp Jund, des gewesenen Schuhmachers und burgers alhuer Verlaßenschaft inventirt Hr Notarius Stöber.
Conclusio finalis Inventarii ist fol: 33.b 1648 lb. 10 ß 11 ¾ d die machen 3300 fl. verstallte 3000 fl also Zuwenig 300 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 18. ß – 7 lb 4 ß
und Sechs Jahr in simplo, à 9 ß – 2 lb 14 ß
Ext: Stallgeld pro 1784 – 5 lb 17 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 2 lb 16 ß 6 d, Summa 18 lb 13 ß 6 d
Auf fürgebrachte motiva ist die Hälfte des angesetzten Nachtrags nachgelaßen worden mit 4 lb 19 ß – Restirt 13 lb 14 ß 6 d
dt. 6.ten Septembris 1784.

L’héritière de la maison, Susanne Marie Datt, fille du boucher Georges Datt, épouse en 1744 l’aubergiste Jean Chrétien Kugler, fils d’aubergiste : contrat de mariage, célébration
1744 (11.3.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 153
Eheberedung zwischen dem Ehrengeachten Johann Christian Kugler, dem Leedigen Gastgeber H. Johann David Kuglers des Gastgebers und burgers allhier mit Fr. Anna Salome gebohrner Dürrbachin ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter, beÿständl. erstgemelten seines H Vatter und H Johann Reinhard Kuglers auch Gastgebers, seines H. oncle ane einem,
Sodann der Ehren: und tugendsahmen Jfr. Susannæ Mariæ Dattin, Weÿl. H, Johann Georg Datt des gewesenen Metzgers und burgers allhier seel. mit Fr. Margaretha gebohrner Lobsteinin seiner hinterbliebenen Wb ehelich erziehlter tochter mit beÿstand H Abraham Datt deß Metzgers und burgers dahier ihres oncle vnd geschwornen Vogts wie auch H Johann Jacob Engels deß allhießigen geschwornen Rathsbotten Ihres Vettern ane dem andern theil gepflogen
Actum Straßburg Mittwochß den 11. Martÿ A° 1744. [unterzeichnet] Johann Christian Kugler als Hochzeiter, Susanna Maria Dattin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 64 n° 8)
1744. Mittwoch d. 22.sten Aprilis nach vorher gescheenen offentlichen proclamation in der Evangel. Pfarkirch Zu St. Niclaus in den Ehestand eingesegnet worden Johann Christian Kugler der ledige Gastgeber und burger allhier Johann David Kugler des Gastgebers und Burgers allhier ehel. Sohn und Jgfr. Susanna Mari Weil. Johann Georg Datten gewesenen Metzgers u. burgers allhier hinterl. ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Christian Kugler als Hochzeiter, Susanna Maria Dattin als Hoch Zeitterin (i 66)

La minute de linventaire de leurs apports n’est pas conservée
1744, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 291
Inventarium illatorum H. Joh: Christian Kuglers Gastgebers und Fr. Susannæ Mariæ geb. Dattin

Futur aubergiste au poêle des Jardiniers au Faubourg ed Pierre, Jean Chrétien Kugler devient tributaire chez les Fribourgeois en 24 mars 1744.
1744, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 196-v) 2.te Gericht de 1744. Dienstags den 24. Martji A° 1744 – Neuzünfftiger
Johann Christian Kugler der Ledige und Künfftige würth auff Es. En. Zunfft der Garthner ahne Steinstraß Hn Joh: David Kuglers, sen: deß würths undt Gastgebers Zum goldenen Einhorn und burgers allhier ehelicher Sohn, producirt statt Stall Schein de dato 3. febr. 1744 und bittet, Ihm Leibzünfftig dießorths Zu recipiren undt demeßelben das völlige Zunfft recht Zu Conferiren.
Erkandt, derßelben wird gegen Erlag des 6 lb 14 ß als Leibzünfftig recipiret, dabeÿ aber auch Ihme injungiret, ehender Keinen wein auß zu schencken, Er abe dann Von Gnäd. Herren denen XV. den Wein Schanck Erhalten, mithin dergesalten die behörige præstanda præstirt, dt nebst 6 ß Stg. prim et jur. Auff die Ordnung.
(dt. 6 lb 14 ß d, Stg. 6 ß d)

Jean Chrétien Kugler meurt en 1753 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé disque l’auberge qu’il exploite à la tribu des Jardiniers. La masse propre à la veuve est de 610 livres, celle des héritiers de 1 177 livres. L’actif de la communauté s’élève 604 livres et le passif à 1 900 livres.
1754 (22.7.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1162) n° 880
Inventarium über Weiland des Ehrengeachten Herrn Christian Kugler, gew. gastgebers E. E. Zunfft derer Ga. St. Str. und burgers allhier Zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet, Anno 1754. – nach seinem den 27. Julÿ des verfloßenen 1753. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitl. verlaßen, alche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsamen Frauen Susannæ Mariæ Kuglerin gebohrne Dattin, die hinterbliebene Wb. unter assistentz des Ehren und vorachtbahrn Herrn Abraham Jund, Knöpffmacher und Seidenhändlers auch burgers allhier ihres halbbruders der sie ane Vogtstatt zu jhrem disortigen assistenten angesprochen, wie auch des Ehren und vorachtbaren Herrn Johann Georg Kuglers Gastgebers Zum blauen wolcken und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Christian, so etwas über 7 und ein halb jahr alt und Johann David der bald das 6. Jahr erreichet, beede des verstorbenen seel. mit gemelter seines hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erziehlten Söhnlein und ab intestato verlaßene Erben inventirt (…) So beschehen Straßburg Montags den 22.ten Julii A° 1754.

In der allhier zu Straßburg dero Vorstatt Steinstras gelegener E. E. Zunfft der Ga. St. Str. gehörigen behaußung bedungern wie folget
(T.) Eigenthum ane Gebäuden. Neml. so hat Joh: Wilhelm Fischer der vormalige Gastgeber E. E. Zunfft der ga. St. Str. mit solcher E. Zunfft consens in der in lehnung gehabten und auf Johannis Baptistæ 1744. quittirten Garten vormals im Garthen hauß nebst Zworn unterschiedenen Hütten erbauet (…)
Ergäntzung der Frauen Wittib ermanglenden ohnveränderten Guths. Nach besag des über beeder geweßter Eheleuthe einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 17.ten Junÿ 1744. auffgerichteter Inventarii
Abzug gegenwärtigen Inventariii. Der Wittib ohnverändert Vermögen belangend, Sa. Haußraths 20, Sa. Silbern Geschirr und Geschmeids 17, Sa. Goldener Ring 20, Sa. Activ Schulden 100, Ergäntzung 453, Summa summarum 610 lb
Diesemnach wird auch derer KKr und Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 97, Sa. Silbern Geschirr und Geschmeids 2, Sa. Ergäntzung 1176, Summa summarum 1277 lb – Schulden 100, Nach welchem abzug 1177 lb
Endlich folgt auch das gemein verändert und theilbahr guth. Sa. haußraths 88, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 27, Sa. der Baarschafft 250, Sa. Weins und Faß 179, Sa. Eigenthums ane Gebäuden 87, Summa summarum 604 lb – Schulden 1900 lb, Theilbar Passiv onus 1296 lb
Stall summ 491 lb – Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Verlaßenschafft zugeltend 144
Copia der Eheberedung (…) Mittwochs den 11. Martÿ Anno 1744.

Susanne Marie Datt se remarie en 1755 avec l’aubergiste Jean Frédéric Steinbach, natif de Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1755 (23.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 498
Eheberedung – zwischen den Ehrenachtbaren herrn Johann Friderich Steinbach, dem leedigen Gastgeber, H. Johann Georg Steinbach, deß gastgebers und burgers Zu Schiltigheim, mit weÿl. Fr: Catharina gebohrner Magnußin seiner ehefr. seel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendsamen fr. Susannæ Mariæ Kuglerin gebohrner Dattin weÿl. H Johann Christian Kugler des gewesenen gastgebers E. E. Zunfft derer GAStStr und burgers allhier zu Straßburg seel. hinderbliebenen Fr. Wittib alß der fr: hochzeiterin ane dem andern theil
Actum Straßburg Donnerstag den 23. Januarÿ Anno 1755. [unterzeichnet] Johann Friederich Steinbach als Hochzeiter, Susann Maria Kuglerin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 123-v n° 7)
Mittwochs d. 23. Aprilis 1755. sind nach Vorher geschehener zweÿmahligen Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden H. Johann Friedrich Steinbach der ledige Gastgeber und burger allhie, Hn Johann Georg Steinbach gastgebers und burgers Zu Schiltigheim ehelicher Sohn und Frau Susanna Maria geb. Dattin weÿl. Hn Joh: Christian Kugler gewes. gastgebers und burgers allhie hinderlaßene wittib [unterzeichnet] Johann Friederich Steinbach als Hochzeiter, Susanna Maria Kuglerin als hochzeiterin (i 67)

Jean Frédéric Steinbach meurt en 1784 en délaissant deux enfants. Les immeubles que sa veuve a hérités de Jean Philippe Jundt figurent à l’inventaire. La masse propre à la veuve est de 2 455 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève 173 livres et le passif à 2 706 livres.

1784 (10.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1248) n° 384
Inventarium über Weiland Herrn Johann Friedrich Steinbach gew. Gastgebers u. brs. allh. Verlt. auffgerichtet Anno 1784 – nach seinem Donnerstags den 11. Junÿ des abgewichenen 1783. Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. Hintritt Verlaßen hat. Welche succession auf gebührendes Ansuchen der hinterbliebenen Wb. Fr. Susanna Maria geb. Dattin beiständl. H. Joh. Christian Kugler des Gastgebers und Brs. allh. ihres Sohns erster Ehe wie auch des Abgeleibten mit ihro erzeugter u. nach dem Eingang dieses Inventarÿ benamster Kinder u. ab intestato verlaßener beneficial Erben (…) So geschehen in der alh. Zu Straßb. an der Bükergaß gelegenen Meister Mügg dem Kübler Zuständigen u. d. dißorts Zum theils lehnungs weise bewohnenden behaußung Montags den 10.ten Maÿ 1784.
Der verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt Erstl. Fr. Susannam Mariam Kuglerin geb. Steinbachin, Joh. Christian Kugler des ältern Gastgebers u. Brs. alh. geschied. Ehefr. beiständlich Joh. Mügg des Küblers u. Brs. allh. u. 2. H Joh. Fried. Steinbach, led. Weißbeck, so den 26.t Aprilis diesen Jahrs das 25. jährige Alter erreichet hat mithin majorennis u. weilen solcher Sohn sich auf der Wanderschaft befindet, aber seinem Oncle H. Joh. Gottfried Meÿer, dem hieß. br. u. Gastgeber Commission ertheilet hat in sein des Abwesenden Namen dieser Inventur beÿzuwohnen, so ist er auch in solcher Qualitæt erschienen, Beede des Abgeleibten mit Eingangs erwehnter Wb. erzeugter Kinder

Wittums Verfangenschaft Welche Fr. Maria Catharina Jundin geb. Lobsteinin weil. H. Abraham Jund gew. Seidenknopffmachers u. Seidenhändlers auch brs. alh. Zu Straßb. des dißorts Abgeleibten vollbändigen Bruders hinterbl. Wb. lebtägig zu geniesen berechtiget ist. Solche Wittums Verfangenschaft begreift nach Anleitung des über des Wittum Stifters Verl. durch nun auch weil. H. Notm. Stöber den 16. Augst 1769 et seqq. errichtete General Theilregisters u. Erörterung in sich (…) It. 2/3.te theil 1. behausung vorder Mittler und hinter Gebäuden bestehend samt hof u. hoffstädten alh. zu Straßburg an der Flattergaß so f° 195.a beschrieben u. in dem Verl. Inv° taxirt worden pro 2500 lb, Machen hieran die dißortige 2.teth 1666. Und hat die Fr. Wb. die übrige tertz eigenthüml. Zu participiren.
It. 2/3 theil für ohnvertheilt 1. behausung so ebenmäßig in Vorder Mittler u. hinter Gebäuden bestehet samt 2. höfl. Garten, bronnen, hofstädt Stallung u. übriges Zugehörde jenseit St. Thomä bruck am Finckweiler gel. so in oben besagtem Theilregister f° 196.a beschrieben, u. von den Hhn Werckmeistern wie auch dem H. Inventir Schätzer geachtet worden vor 1050 lb, Machen dießortige 2. Tertzen 750. Und die übrige terz hätte die Fr. Wb. eigenthüml. zu prætendiren.
Es hat aber der Wittumsstifter in seiner den 31. Martÿ 1769. gestiffteten Codicillarischen Verordnung §° 5.to erstbesagte völlige behaußung seinem Bruder nunmehro auch weil. H. Joh: Philipp Jund dem gew. Schumacher u. Br. allh. dergestalten vorausweise vermacht, daß er selbige behausung nach der Wittums Nieserin Tod in eigenthuml. Besitz Zu nehmen berechtiget seÿn solle u.. weilen solche behausung während der Ehe erkaufft worden u. daher der Wb. in kraft der Ehebered. die tertz daran gebührig, so verhofte der Disponent daß die Fr. Wb. auf solchen Natural Antheil Verzug thue u. sich anderwärtig dafür nach ohnpartheiischem Anschlag vergnügen und aus weisen laßen werd u. dieses umsomehr wegen des ihro zugedachten Wittums.
Wittum welchen due hinterbliebene Wb. vion ihrem ersten Ehem. weil. H. Joh: Christian Kugler gew. Gastgebers beÿ E. E. Zunft der Gartner ane St. Str. u. br. allh. lebtägig Zugeniesen hat. Dieser Wittum bestehet nach Anleitung des über des Wittumstifters Verl. durch weil H. Notm. Stöber den 20. 9.bris 1754. gepf. (…)
Norma hujus Inventarii. Der Fr. Wittib unverändert vermögen, Sa. Silbers 7 lb, Sa. gold u. dergl. Geschmeid 6 lb, Sa. Pfenningzinß u. deßen hauptguth 350 lb, Sa. d. Ergäntzung 2691 lb, Summa summarum 3055 lb – Schuld 600 lb, Nach dero Abzug 2455 lb
Dießemnach wird alles übrige vorhandene es seÿe gleich vom dem abgeleibten in die Ehe gebracht oder währender Ehe angeschafft worden unter 1. Rubric als in deßelben Nahrung gehörig u. daraus Zu bezahlend beschrieben, Sa. Hausraths 65 lb, Sa. Silbers 7 lb, Sa. pfenningzinß hauptgüter 100 lb, Summa summarum 173 lb – Schulden 2706 lb, per Compensationem 2532 lb – Stall Summ 432 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßb. den 23. Januarÿ 1755, Johann Daniel Stöber Nots. mit Hdzug

Les legs que Marie Catherine Lobstein veuve d’Abraham Jund a ordonnés en 1787 sont délivrés en 1794
1794 (16 pluviose 2), Strasbourg 7 (3), Not. Stoeber n° 964
Auslieferung deren von weiland Frau Maria Catharina Jundtin geb. Lobsteinin weiland bürgers Abraham Jundt gewesenen Knöpffmachers und Seidenhändlers nun auch verstorbenen Wittib in ihrem den 19. Jänner 1787 gestifteten Testament vermachten Legaten
Weiter gehen Von obiger Wÿdumsschuld dermalen ab, in ansehung des Verstorbenen Wÿdumsnieser die am Finckweiler gelegene behausung seinem bruder Johann Philipp Jund dem Schuemacher mit der bedingung Vermacht hatte, daß die Wb. wegen ihres Natural antheils aus gemeiner Erbschafft befriediget worden, die wb. aber nichts desto weniger selbige lebenslänglich geniesen solle, da nun anjetzo solche behaußung auf der Wÿdums nieserin absterben formlich Versteigert u. den 2. germinal jüngst dem burger Johann Christian Kugler Gastgeber alhier um die meistgebottene summ der 30.500 lb entschlagen worden

L’aubergiste Jean Chrétien Kugler rachète les parts de la maison et en devient seul propriétaire en 1794

1794 (2. germ. 2), Strasbourg 7 (31), Not. Stoeber n° 260
persönlich erschienen 1. Burger Johann Friderich Grimmer der hiesige Municipalbeamte als (…) Vormund Jungfer Susanna Maria Kugler, weiland burgers David Kugler gewesenen Kiefers alhier hinterlaßener tochter, 2.do burgerin Susanna Maria gebohrne Steinbach, Johann Christian Kugler des Gastgebers Zum Einhorn allhier geschiedene Ehefrau beiständlich ihres hiernachgemelten bruders, 3.tio burger Johann Friderich Steinbach der Gastgeber, welche in Gegenseÿn
ihres Voll: und halbbändigen bruders und oncle burgers Johann Christian Kugler des Gastgebers Zum Krebs freÿwillig anzeigten und bekannten, daß die hiemit für sich und ihre Erben auf die den 14. 24. Pluviose wie auch achten Ventose jüngst fürgenommene dreÿmalige Versteigerungen (verkauffen)
Ihre der Cedenten dreÿ Vierte theil für unvertheilt ane einer behausung hof, hoffstatt und Garthen gelegen allhier Zu Straßburg am Finckweiler ohnweit dem Elephanten N° 13, einseit neben Buck des Schreiners Erben, anderseit neben burger Koch hinten auf burger Seilers Garten Ziehend, so ledig eigen und ihnen den Cedenten von ihrer Mutter weiland Fraun Susanna Maria gebohrne Dattin letzmals mit herrn Friderich Steinbach geweßenen Gastgebers wittib Zugekommen und wovon den Cessionario selbst der übrige Vierte theil auf solche weiß gebührig – umb die letzt und meistbietende Summ der 30.500 livres
acp 21 f° 160 du 2 germ. 2

Fils de Jean Chrétien Kugler ci-dessus, Jean Chrétien Kugler épouse en 1783 la fille unique du boulanger Jean Jacques Kreiss, Susanne Marguerite : contrat de mariage, célébration
1783 (20.10.), Not. Kiechel (6 E 41, 1491), Eheb. 5
(Eheberedung) Erschienen Herr Johann Christian Kugler, der ledige Gastgeber und burger alhier, längst weÿland H. Johann Christian Kugler, des gewesenen Gastgebers und burgers alhier, mit Fraun Maria Susanna Steinbachin, gebohrener Dattin, in erster Ehe ehelich erzeugter hinterlassener Sohn, volljährigen Alters, beiständlich H. Johann Philipp Jundt des Schuemachers und burgers alhier sines mütterlichen Oheims an einem Theil
So dann die Ehren und tugendreiche Jungfrau Susanna Margaretha Kreißin Herrn Johann Jacob Kreiß, des Weißbeckers und burgers alhier mit Fraun Susanna Margaretha gebohrener Baderin, ehelich erzeugte annoch minorenne einzige Tochter mit diesem ihrem H. Vater verbeistandet, ane dem andern Theil
Straßburg auf Montag den 20. Octobris in dem Jahr nach Christi geburth 1783 [unterzeichnet] Johann Christian Kugler Als Hochzeiter, Susanna Margaretha Kreyßin Als Braut

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 165 n° 17)
1783, Dienstag den 25. Novembris mittag um zweÿ uhren zur Ehe eingesegnet worden Johann Christian Kugler burger und gastgeber alhier weÿl. Christian Kuglern geweß. burgers und gastgebers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn mit Jungfr. Susanna Margaretha Kreÿßin Johann Jacob Kreÿß burgers und frantzösischen Beckers alhier eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Christian Kugler als Hochzeiter, Susanna Margaretha Greißin als Hochzeiterin (i 168)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue des Juifs dans l’auberge à l’Ecrevisse. Ceux du mari s’élèvent à 1 416 livres, ceux de la femme à 660 livres.
1783 (6.12.), Not. Kiechel (6 E 41, 1491) n° 8
Inventarium über Herrn Johann Christian Kugler des Gastgebers und Frau Susannä Margarethä gebohrener Kreißin, beder Eheleuthe u. burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachtes Vermögen auffgerichtet Anno 1783. – in ihren den 25. Novembris jüngst angetretenen Ehestand einander eingebracht und sich kraft des 3.ten Puncts der, vor mir unterschriebenen Notario aufgericheten Eheberedung, vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in gegenwart Herrn Johann Jacob Kreiß, des Weißbeckers und burgers alh. der diesortigen Ehefraun Vaters und zugleich hierzu erbetener H Beistand, in der zum theil an der Juden und theils an der Zimmerleuthgaß gelegen diesorts lehnungsweis bewohnender zum rothen Krebs geschildeter Gastbehausung, auf Sambstag den 6. Decembris in dem Jahr nach Christi Geburt 1783.

(f° 9) Series rubricarum. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Hausraths 443 lb, Sa. Wein und leerer Faß 224 lb, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 108 lb, Sa. goldener Ringe 84 lb, Sa. Baarschafft 519 lb, Sa. activ: Schulden 87 lb, Summa summarum 1466 lb – Schulden 112 lb, Nach dern Abzug 1354 lb, dazu gelegt die Hälfte unter fol: (-) beschriebener Haussteurn so thut 61 lb, So macht des Ehemanns gesamtes in die Ehe gebrachtes Vermögen 1416 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrau in die Ehe gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. Hausraths 227 lb, Sa. Silbers 10 lb, Sa. goldener Ringe 52 lb, Sa. der baarschafft 308 lb, Summa summarum 599 lb – Wann nun die Hälfte gleich hiernach beschriebener Haussteuren hinzugerechnet wird 61 lb, So erhellet daß der Ehefrau beibringen (…) betrege 660 lb

Susanne Marguerite Kreiss se remarie en 1795 avec le docteur en médecine Jean Geoffroi Schneiter : contrat de mariage
1795 (2 thermidor 3), Strasbourg 5 (6), Not. Grimmer n° 207
Eheberedung – erschienen der bürger Johann Gottfried Schneiter Medicinæ Doctor und Wittiber ane einem
Frau Susanna Margaretha geb. Greiß weiland Johann Christian Kugler gewesenen Gastgebers nachgelaßene Wittib beiständlich des burgers Johann Jacob Greiß hiesigen beckers ihres Vaters – in fernerem beiseÿn des bürgers Peter Schneiter des Schneiders als des bräutigams Vaters
(enregistrement, revenu industriel 1000 livres)
Enregistrement de Strasbourg, acp 36 F° 69-v du 11 ther. 3

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue des Serruriers dans la maison du tailleur Pierre Schneiter. La maison au Finckwiller et celle à l’Ecrevisse rue des Juifs figurent à l’inventaire. Les apports du mari s’élèvent à 3 192 livres, ceux de la femme à 3 752 livres.

1795 (5 compl. 3), Strasbourg 5 (6), Not. Grimmer n° 224
Inventarium über des bürgers Johann Gottfried Schneiters, Medicinæ Doctoris, und der bürgerin Susanna Margaretha geb. Greiß weil. Johann Christian Kugler gewesenen Gastgebers nachgelaßene Wittib einander in den Ehestand zugebracht Narungen, ingefolg der vor mir Notario errichteten Eheberedung
in einer ane der Schloßergaß gelegenen dem bürger Peter Schneiter dem Schneider allhier gehörigen und dißorts zum theil bewohnenden behaußung
(F) Erstl. eine behaußung zum rothen Krebs geschildet mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier ane der Judengaß zum theil und zum theil ein Eck ane der Zimmerleutgaß einseit neben dem sogenannten Judenbad so br. Mügg gehörig anderseit neben br. Hechler Peruckenmacher und hinten auf besagtes Judenbad stoßend gelegen, æstimirt pro 4000. Hierüber sollen besagen mehrere Kauffbrieff in der Contract stuben gefertigt die sich aber dermalen außer einem über Einen 5. teil dieser behausung besagend datirt vom 4. Julÿ 1771 nicht vorhanden
(F) It. eine behaußung zweÿ Höfe, Garten, bronnen, Hoffstatt und Stallung mit allen deren deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier im finckweiler ohnweit dem Elephanten N° 13 einseit neben weil. des br. buck schreiners Erben 2.s neben weil. br. Koch und hinten auf br. Seilers Garten stoßend, angeschlagen pro 4000 , Hierüber ist vorhanden ein vor Not. Stöber dahier d. 2. Germinal im 2. republickanischen Jahr passirter Cessions acte
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns Vermögen, hausrath 2598 li, Faß 300 li, bibliotheck 300 li, Silbergeschmeids 213 li, Goldengeschmeids 300 li, baarschafft 600 li, summa summarum 4311 li – Schulden 1504 li, Nach deren Abzug 3192 li,
der Ehefraun Vermögen, hausrath 1569 li, Faß und bütten 964 li, Silbergeschmeids 293 li, Goldengeschmeids 859 li, Chaise 400 li, baarschafft 1000 li, Häußern 8000 li, Summa summarum 13 086 li – Conclusio finalis 8086 li, Widum So der Ehemann von seinem Söhnlein Erster Ehe zu genießen 3752 li
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 69 du 7 vend. 4

Inventaire après décès d’une locataire, Marie Madeleine Simonin veuve de l’employé au magasin à sel Jean Baptiste Clevenot

1807 (2.10.), Strasbourg 12 (16), Not. Wengler n° 2763
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Simonin veuve de Jean Baptiste Clevenot, employé au Magasin à sel, décédée le 25 avril 1807 – à la requête de François Dominique Ignace Krafft, fondé de pouvoir de Marie Elisabeth Clevenot veuve de Gilles Deverre Graveur à Paris (Procuration, demeurant à Paris rue du battoir n° 3), Marie Madeleine Clevenot fille majeure demeurant à Strasbourg, Charles Balthasar Canino Professeur de langue italienne audit Strasbourg tuteur naturel de ses 5 enfants procréés avec Marguerite Ursule Clevenot, appellés Marie Antoinette Elisabeth Sophie 14 ans 9 mois, Christophe Charles Auguste 11 ans 9 mois, Charles Louis Chrétien 10 ans 9 mois, Marie Anne Antoinette 8 ans 6 mois, François Antoine Balhasar 3 ans 9 mois, enfin Dlle Jeanne Marie Baptiste Henriette Clevenot majeure en cette ville, héritiers de leur mère et grand mère
dans la maison mortuaire sise à Strasbourg sur le quai finckweiler n° 13
actif 5163 fr dont créances 4936 fr – passif 2544 fr, reste 2618 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 103 f° 163-v du 3.10.

Inventaire après décès d’une locataire, Marie Madeleine Clevenot, fille de la précédente

1811 (22.10.), Strasbourg 6 (39), Not. Meyer n° 494
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Clevenot, fille majeure, décédée le 24 avril 1811 – à la requête de Charles Balthasar Canino, maître de langue italienne tuteur naturel de 1. Marie Antoinette Elisabeth Sophie, 2. Christophe Charles Auguste, 3. Charles Louis Chrétien, 4. Marie Anne Antoinette et 5. François Antoine Balthasar les cinq enfants procréés avec Marguerite Ursule Clevenot sœur de la défunte en qualité d’héritiers institués et Dlle Jeanne Marie Baptiste Henriette Clevenot majeure aussi sœur de la défunte légataire en usufruit suivant testament du 29 avril 1811, légué (…) à Elisabeth Clevenot veuve de Deverre demeurant à Paris
Extrait des regsitres de décès n° 715. Marie Madeleine Clevenot 51 ans 10 mois née en cette ville non mariée morte au finckwiller n° 13 le 24 fille de feu Jean Baptiste Clevenot garde magasin de l’entrepot de la ferme et de feue Marie Madeleine Simonin
décédée quai du Finckwiller n° 13 où elle s’était fait transporter peu de jours avant sa mort
dettes actives 564 fr – immeubles, 97 ares à Mittelhausen
Titres et papiers, inventaire de Marie Madeleine Simonin veuve de Jean Baptiste Clevenot employé au magasin à sel décédée le 25 avril 1807, dressé par Me Wengler le 2 octobre suivant, mère de la défunte
passif 844 fr, actif 1124 fr, reste 280 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 58 du 23.10.

Jean Geofroi Schneiter meurt en 1821 en délaissant trois enfants

1821 (6.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 42), Me Hickel n° 680
Inventaire de la succession de Jean Geofroi Schneiter, docteur en médecine décédé le 20 janvier dernier – à la requête de Susanne Marguerite Kreiss la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage, mère et tutrice naturelle de Charles Benjamin et Mélanie – Théodore Schneiter, docteur en médecine, en son nom et subrogé tuteur ses frères et sœurs, héritiers de leur père

Immeubles propres aux héritiers 9) une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue dela Fontaine n° 1 estimée 300 fr, total des immeubles 30.234 fr
immeubles de la communauté, 1) une maison avec cour appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Serruriers n° 11, d’un côté la propriété du Sr Vogel perruquier, d’autre celle du Sr Baehr serrurier, derrière M Stahl et M Trawitz, estimée 16.000 fr, total des immeubles 27.435 fr
Titres et papiers, Contrat de mariage reçu Me Grimmer le 2 thermidor 3, Inventaire des apports le 5 compl. 3, maison sise à Strasbourg quai Finckwiller n° 13 que la veuve reprend en nature. Et d’une maison rue des Juifs n° 10 faisant le coin de la rue des Charpentier vendue à Pierre Colonel et Marguerite Güthlein (Titres et papiers, Me Stoeber 29 septembre 1810)
créances 8150 fr, ensemble 10.609 fr, actif propre 3896 fr, dettes actives propres 44.821 fr, passif propre 5697 fr
immeubles à Molsheim, Dachstein, Ergersheim, Wahlenheim, Ingenheim, Strasbourg
Chambre des Contrats 18 février 1788, Catherine Salomé Baldner veuve de Jean Louis Dautel bailli a vendu à Schneiter une maison et dépendances rue de la Fontaine n° 1 à Strasbourg pour 2900 florins, anciens titres de propriété 3 juillet 1744, estimée 3200 francs
ensemble des immeubles 16.156 fr
Communauté, Titres et papiers, par jugement d’Adjudication définitive du 6 frimaire 10, transcrit au bureau des hypothèques volume 5 n° 127 une maison avec cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 11 entre le Sr Prevot et la veuve Foellner, derrière Sr Trawitz par expropriation poursuivie par Abraham Isaac commerçant contre Jean Georges Schneider cordonnier
Contestation entre Jean Balthasar Baer, serrurier propriétaire de la maison voisine relative à un bâtiment élevé par ledit Sr Baer devant les croisées de la maison du Sr Schneiter de manière à lui oter le jour, assoupie par transaction passée devant Me D. Ehr. Stoeber le 9 juin 1808. Pareiilles contestation entre les ci devant propriétaires des maisons en 1533 et années suivantes, Titres de propriété Chambre des Contrats 19 septembre 1783 par lequel Jean Georges Schneider est devenu propriétaire, estimée 16.000 fr
Inventaire des apports de la De Kreiss veuve Schneiter en son premier mariage avec Jean Chrétien Kugler aubergiste Me Kiechel 10 décembre 1783
terres à Wahlenheim, Ingenheim, rente emphythéotique, pré à Strasbourg, ensemble 23.835 fr – passif 5697 fr, dettes actives de la communauté 8152 fr, passif 46.043 fr
dans une maison en cette ville rue des Serruriers n° 11 dépendant de la communauté ; garde robe 176 fr, bibliothèque 300 fr, remploi 40.925 fr, ensemble 41.401 fr
communauté, mobilier 2059 fr, or argenterie 401 fr,
Enregistrement de Strasbourg, acp 151 F° 63 du 15.2. – vacation du 7.3. acp 151 F° 144-v du 14.3.

Inventaire après décès d’une locataire, Sophie Elisabeth Stütz femme du menuisier Jean Frédéric Kœhler

1835 (16.6.), Strasbourg 3 (85), Me Kratz n° 346
Inventaire de la succession de Sophie Elisabeth Stütz épouse de Jean Frédéric Koehler, menuisier, décédée le 24 avril 1835 – à la requête Jean Frédéric Koehler, commun en biens suivant contrat de mariage passé devant Me Kratz le 30 avril 1834, père et tuteur légal de Frédérique Sophie mineure – Michel Manrique fils, cordonnier, subrogé tuteur
dans le logement qu’occupait le Sr Koehler dans une maison sise à Strasbourg quai Finckwiller n° 13
garde robe 107 fr, boiserie 182 fr, linge 142 fr, literie 83 fr, meubles de cuisine 29 fr, argent 160 fr, total 596 fr – passif 115 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 232 F° 29 du 22.7.

Le docteur en médecine Théodore Schneiter apporte en mariage la moitié indivise de la maison sise au Finckwiller

1836 (23.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 70), Me Hickel n° 5374
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Théodore Schneiter, docteur en médecine fils de Jean Geoffroi Schneiter, docteur en médecine, et Susanne Marguerite Kreiss
Henriette Adèle Lobstein, mineure émancipée de Jonathan Lobstein, charcutier, et Henriette Farny
art. 2. apports du futur époux. 2. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 11 échue en partage par acte reçu Me Hickel le 18 décembre 1834
6. la moitié indivise d’une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la Fontaine n° 1, de la succession et a été abadonnée par De Schreiter par ledit partage
7. la moitié indivise d’une maison sise à Strasbourg quai Finckwiller n° 13 dépendant également de la succession de sa mère en vertu de titres relatés à l’Inventaire des apports dressé par F. Grimmer le 3 fructidor 3
8. et d’une maison sise en ladite ville quartier Finckwiller n° 22 que le futur époux a acquise par acte reçu Me Stoeber le 21 mai 1825
apports de la future épouse 3. le tiers indivis de deux étaux de boucher à la Grande boucherie 3 et 64
Enregistrement de Strasbourg, acp 242 F° 82-v du 1.8.

La maison est attribuée en janvier 1839 à Mélanie Schneiter qui a épousé en 1833 Charles Guillaume Benjamin Münch, directeur de l’école industrielle.

1833 (17.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 65), Me Hickel n° 4551
Contrat de mariage, communauté d’acquets – Charles Guillaume Benjamin Münch, directeur de l’école industrielle, fils de Jean Adam Münch, homme de lettres à Brumath, et de Marie Elisabeth Lichtenberger
Mélanie Schneiter fille majeure de feu Jean Geoffroi Schneiter, docteur en médecine et de Suzanne Marguerite Kreiss
Enregistrement de Strasbourg, acp 219 F° 3-v du 20.7.

Mélanie Schneiter meurt en 1848 en délaissant cinq enfants

1848 (2. 9.br), Strasbourg 10 (112), Not. Zimmer n° 7300
Inventaire de la succession de Dame Mélanie Schneiter épouse de M. Charles Guillaume Benjamin Münch, directeur de l’école industrielle à Strasbourg, décédée à Bade (grand duché de Bade) le 3 août 1848 & de la communauté de biens entre les époux Münch
L’an 1848 le jeudi 2 novembre à huit heures du matin, à la requête de M. Charles Guillaume Benjamin Münch, directeur de l’école industrielle de la ville de Strasbourg, demeurant en cette ville & y domicilié, agissant 1° à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui & feu dame Mélanie Schneiter sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage reçu par Me Hickel alors notaire à Strasbourg le 17 juillet 1833, 2° à cause des reprises qu’il peut avoir à exercer sur ladite communauté pour ses apports aliénés ou dénaturés pendant le mariage ou la reprise en nature de ceux encore existants, 3° de la moitié de la succession de sa défunte épouse en vertu de l’article 5 dudit contrat de mariage, 4° comme usufruitier légal des biens de ses enfants mineurs ci après nommés jusqu’à leur âge de 18 ans ou leur émancipation, 5° enfin comme père et tuteur légal de ses enfants mineurs nommés
Pauline Mélanie Münch née le 9 mai 1834, Marguerite Elisabeth Münch née le 15 mai 1835, Charles Guillaume Münch né le 29 novembre 1836, Wilhelmine Mathilde Münch née le 31 janvier 1838, Théodore Ernest Münch né le 12 novembre 1839, tous sans état, issus du légitime mariage du requérant avec sa défunte épouse dont ils sont habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun de pour un cinquième, En présence de M. Théodore Schneiter docteur en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des mineurs susnommés
dans la demeure du requérant rue des Juifs n° 37

Contrat de mariage
Immeubles. 1. Une maison dite Cour de Colmar rue Ste Barbe vers la Grand’rue N° 2 (…)
(vacation du 28 mars) Reprises en deniers dus axu héritiers. I. Succession de M. Jean Geoffroi Schneiter en son vivant docteur en médecine
II. Succession de feu Madame Susanne Marguerite Kreiss veuve Schneiter mère de Madame Münch. Suivant liquidation et partage de cette succession dressé par M° Becker notaire à Strasbourg le 21 janvier 1839 il a été abandonné à Madame Münch en paiement de ses droits 1° une maison située à Strasbourg quai Finckwiller N° 3. vendue par les époux Münch à M. Jacques Taubert, baquetier et Marie Madeleine Kaumann, conjoints, demeurant à Strasbourg suivant contrat reçu par M° Noetinger notaire en cette ville le 5 février 1839 pour le prix de 13.000 francs
Masse propre au veuf, 3° des immeubles situés à la Robertsau a) Une campagne sise à la Robertsau lieu dit Hinterort (…)
acp 376 (3 Q 30 091) f° 53 (déclaration du 2 avril 1849 n° 133) Garde robe évaluée 1054 francs
acp 378 (3 Q 30 093) f° 87. Communauté, objets situés au local de l’école industrielle à Strasbourg 3449
acp 381 (3 Q 30 096) f° 6-v. Il dépend de la communauté un mobilier, fermages échus et créances montant à 15.338 – tonneaux à Ergersheim 236
Immeuble, cinq ares de vignes ban d’Ergersheim am Berg 600
Une maison rue Ste Barbe vers la Grand rue n° 2 évaluée 28.000
Reprises de la défunte 49.771
Récompenses dues à la communauté 5758
Reprises dues au veuf 23.127
acp 381 (3 Q 30 096) f° 11-v. Propres de la défunte 45.067
Immeubles propres 1) un ha. 54 ares 35 ca prés ban de Strasbourg canton Pfannwoerth, 2) une maison à Ergersheim rue dite la chaussée N° 35 3) 5 ares 45 vignes ban d’Ergersheim canton Kleinfeld 4) 3 ares 68 viges dit ban canton Kunzelpfad – Ban de Dachstein, 5) un ha 89 ares 85 terres et prés ban de Dachstein
Passif propre 14 francs

Le professeur Charles Guillaume Benjamin Münch meurt à Billancourt en 1857.
1857 (14. Xbr), Strasbourg 10 (135), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 18.313
Inventaire de la succession de Charles Guillaume Benjamin Münch professeur décédé à Billancourt
L’an 1857 le lundi 14 décembre à deux heures de relevée, à la requête de M. Théodore Schneiter, docteur en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant A. au nom en comme mandataire de 1° Madlle Pauline Mélanie Münch, majeure sans profession demeurant à Billancourt près Paris (…) 2. Madlle Marie Marguerite Elisabeth Münch, majeure, institutrice chez Mad. la Comtesse de Harewood à Goldsborough Hall près Knaresborough, Comté de Yorkshre (Angleterre), 3° M. Charles Guillaume Edmond Münch, majeur, chimiste demeurant à Wesserling-Husseren (Haur-Rhin) (…)
B. au nom et comme tuteur datif de A. Madlle Wilhelmine Mathilde Münch née à Strasbourg le 31 janvier 1838, 2° M. Théodore Ernest Münch né en la même ville le 12 novembre 1839 (…), M. Frédéric Daniel Lichtenberger, rentier demeurant et domicilié à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur des enfants mineurs susnommés (…). Les trois mandants & les deux pupilles habiles à se dire et porter héritiers chacun pour un cinquième de M. Charles Guillaume Benjamin Münch, leur père en son vivant professeur de chimie décédé à Billancourt près Paris le 23 septembre 1857 (…) Cet inventaire fera supplément à celui dressé pat M° Turquet qui en a la minute et son collègue notaires à Paris le 8 octobre 1857
dressé en la maison sise rue Sainte Barbe N° 18 autrefois n° 2

Mobilier. Dans le bureau ci devant inventorié, Dans un cabinet de toilette éclairé par une croisée sur le jardin, Dans une chambre au même étage éclairée par deux fenêtres sur le jardin, Dans une chambre au même étage éclairée sur la rue, Dans une autre chambre éclairée sur la rue, Dans la solle de bains au rez de chaussée, Dans l’antichambre, Dans la salle à manger éclairée par deux croisées l’une sur le jardin l’autre sur la cour, Dans un cabinet au rez de chaussée éclairé par deux coisées sur la cour et lr jardin
acp 465 (3 Q 30 180) f° 57-v du 22. Xbr (succession déclarée le 17 mars 1858) Il dépend de ladite succession un mobilier se trouvant à Strasbourg estimé 642 francs

Charles Guillaume Benjamin Münch et Mélanie Schneiter vendent la maison au baquetier Jacques Taubert et à sa femme Marie Madeleine Kaumann

1839 (5.2.), Strasbourg 12 (149), Me Noetinger n° 11.067
Charles Guillaume Benjamin Münch, directeur de l’école industrielle de Strasbourg, et Mélanie Schneiter
à Jacques Taubert, baquetier, & Marie Madeleine Kaumann
une maison consistant en trois corps de bâtiment avec cour, jardin, appartenances & dépendances située à Strasbourg quai Finkwiller n° 13 d’un côté le Sr Schneegans commissionnaire de roulage, M. Koessler serrurier, d’autre MM Hahn boucher, Werner taillandier, Gintz nourrissier & Ernst baquetier, devant le quai et derrière M. Schneegans & jardin dit Stadtrichtersgarten – la venderesse propriétaire a recueilli l’immeuble vendu dans la succession de sa mère Susanne Marguerite Kreiss veuve de Jean Geoffroi Schneiter, docteur en médecine, suivant liquidation dressée par Me Becker le 21 janvier dernier, les vendeurs déclarent qu’il ne peuvent indiquer comment ladite veuve Schneiter est devenue propriétaire de la maison vendue mais qu’elle était déjà propriétaire lors de son mariage avec son mary, suivant inventaire des apports dressé par Me Grimmer le 3 fructidor 3 dans lequel il est dit qu’il existe à l’appui de la propriété dudit immeuble un acte reçu Me Stoeber le 2 germinal 2 – moyennant 13.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 266 f° 13 du 13.2.

Fils de baquetier Jean Jacques Taubert épouse en 1821 Marie Madeleine Kaumann, fille de tailleur de pierres
1821 (14.6.), Strasbourg 12 (82), Me Wengler n° 12.292
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Jacques Taubert, baquetier, fils majeur de feu Philippe Taubert peignier, et de Catherine Salomé Fuchs
Marie Madeleine Kaumann fille de feu Jean Kaumann tailleur de pierres et de Sophie Frédérique Gall
Enregistrement de Strasbourg, acp 153 F° 11 du 20.6.

Jacques Taubert loue une partie de la maison au Comité fondateur des œuvres de Strasbourg

1845 (26.5.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 93 (31 592) f° 18-v, ssp du 21.5.1845
Bail dont la teneur suit. les soussignés Jacques Taubert baquetier demeurant à Strasbourg déclare donner à Bail pour trois, six ou neuf années entières et consécutives qui commenceront au 24 juin prochain de l’année 1854, 1851 ou 1848 au choix respectif des parties mais à charge d’avertissement prealable de trois mois avant l’expiration des deux périodes triennales de 1848 et 1851
au Comité fondateur des œuvres de Strasbourg pour lequel accepte M. Achille Ratisbonne, propriétaire demeurant à Strasbourg acceptant soussigné
Les localités ci-après désignées dans une maison sise à Strasbourg quai Finckwiller N° 73 entre les sieurs Hahn et Kessel, par derrière Ernest Ott et Schneegans, savoir
a) un logement au premier étage du bâtiment au fond de la cour. Le propriétaire fera poser une toiture sur le corps de bâtiment sis indiqué et pratiquera un escalier pour arriver facilement au grenier dont le locataire jouira exclusivement.
b) la buanderie qui se trouve dans la cour sera a la disposition du locataire touttes les fois que ses besoins l’exigeront
c) le bucher situé au bas de l’escalier du dit logement
d) le petit jardin et la partie de la cour à gauche dudit bâtiment, le bailleur cloturera cette partie de la cour d) le petit jardin et la partie de la cour à gauche dudit bâtiment l’entrée de la maison devra être toujours facile et ne pourra jamais être obstruée par n’importq quels objets. Font partie de la présente location toutes les aisances et dépendances ddes localités sus désignées, ce bail est consenti et accepté moyennant un loyer annuel de 650 francs (suivent les charges, clauses et conditions)

Jacques Taubert et Marie Madeleine Kaumann hypothèquent la maison au profit du potier d’étain Charles Théodore Bergmann

1846 (27. 9.br), Strasbourg 12 (170), Not. Noetinger n° 18.894
Obligation – Ont comparu M. Jacques Taubert, baquetier, & De Marie Madeleine Kaumann son épouse qu’il autorise, tous deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à M. Charles Théodore Bergmann, potier d’étain demeurant et domicilié à Strasbourg, créancier à ce présent et acceptant la somme principale de 10.000 francs
hypothèque, Une maison consistant en trois corps de bâtimens avec cour, jardin & dépendances située à Strasbourg, quai Finckwiller N° 13 d’un côté MM. Schneegans & Kessler, de l’autre le Sieur Hahn, Schmutz, Hintz et Ernst, pardevant le quai, par derrière M. Schneegans et le jardin dit Stadtrichtersgarten.
Les débiteurs ont acquis cet immeuble de M. Charles Benjamin Münch directeur de l’école industrielle de cette ville & De Mélanie Schneiter son épouse demeurant à Strasbourg suivant devant passé devant Me Noetinger l’un des soussignés notaires le 5 deux 1839. Ils déclarent sous les peines du stellionat que cet immeuble leur appartient en toute propriété et qu’il est franc et libre de tous privilèges et hypothèques à l’exception 1° d’une somme principale de 11.000 francs (…)

Marie Madeleine Kaumann meurt en 1860 en délaissant trois enfants

1860 (27. Xbre), Me Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Jacques Taubert, baquetier à Strasbourg, et Marie Madeleine Kaumann sa femme et de la succession de cette dernière décédée le 19 juillet 1860, dressé à la requête 1) du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Wengler le 14 juin 1821, 2) Henri Albert Taubert, baquetier à Strasbourg, 3) Amélie Taubert, épouse de Louis Knoerr, employé des tabacs à Haguenau, 4) Julie Taubert, épouse de Charles Beringer, mécanicien à Strasbourg
Communauté, mobilier estimé à 406
Une maison quai Finckwiller N° 5
Une maison place Kleber N° 10
loyers 120
Succession, reprises 829, garde robe 121
acp 494 (3 Q 30 209) f° 77-v du 2.1. (succession déclarée le 10 janvier 1861)

Lors de la liquidation des biens de sa femme, Jean Jacques Taubert fait donation des immeubles à ses enfants. La maison au Finckwiller revient au baquetier Henri Albert Taubert

1865 (30.8.), Me Noetinger
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Jean Jacques Taubert, propriétaire à Strasbourg, et Marie Madeleine Kauffmann sa femme et de la succession de cette dernière décédée le 19 juillet 1860
Entre 1) le veuf, comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Wengler le 14 juin 1821, comme usufruitier de la moitié de la succession de feu sa femme
2) Henri Albert Taubert, baquetier à Strasbourg, 3) Amélie Taubert, épouse de Louis Knoerr, employé des tabacs à Benfeld, 4) Julie Taubert, épouse de Charles Beringer, mécanicien à Strasbourg

Communauté,, mobilier estimé à 406
Une maison quai Finckwiller N° 5 estimée 40.000
Une maison place Kleber N° 10 estimée 30.000
loyers 120 – Masse passive reprises de la défunt 829, autre 10.029 total 10.585, reste 59.667
Succession, moitié de la communauté 29.833, reprises 829, total 30.668 dont la moitié en usufruit au père et moitié en propriété aux enfants
Donation par le Sr Taubert père à ses trois enfants à titre de partage anticipé, lesquels acceptent, du droit de propriété par indivis mais avec réserve d’usufruit de sa part des deux maisons, droit qui s’élève à la somme de 29.337
Partage entre les Enfants des deux maisons. Il est attribué à Henri Albert Taubert la maison quai Finckwiller N° 5 estimée à 40.000 ff
Il est attribué aux De Knoerr et Beringer la maison place Kleber N° 10 évaluée 30.000 francs
acp 545 (3 Q 30 260) f° 86 du 6.9.

Henri Albert Taubert épouse en 1853 Emilie Wagner, fille de tonnelier
Mariage, Strasbourg (n° 333)
Du 6° jour du mois d’août l’an 1853. Acte de mariage de Henri Albert Taubert, majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 avril 1822 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, baquetier, fild de Jean Jacques Taubert, propriétaire, et de Marie Madeleine Kaumann, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et d’Emilie Wagner, mineure d’ans, née en légitime mariage le premier juin 1835 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Jacques Wagner, tonnelier, et de Marie Madeleine Schweiss conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (…) il n’y pas eu de contrat (signé) A. Taubert, M. Wagner (i 34)

Le négociant Maurice Levy ouvre un crédit au profit de Henri Albert Taubert et d’Emilie Wagner qui hypothèquent la maison. En annexe, police d’assurance qui décrit la maison

1866 (17.3.), Strasbourg 1 (179), Not. Alfred Ritleng (fils) n° 4516
Ouverture de crédit – Ont comparu Monsieur Maurice Levy, Négociant, domicilié et demeurant à Strasbourg d’une part
et Monsieur Henri Albert Taubert, Fabricant de tonneaux et Dame Emilie Wagner son épouse de lui autorisée, domiciliés et demeurant ensemble à Strasbourg d’autre part
Lesquels ont fait entr’eux le contrat suivant. Savoir Monsieur Maurice Levy consent à ouvrir à Monsieur Henri Albert Taubert comparant et ce acceptant un crédit jusqu’à concurrence d’un capital de 30.000 francs
hypothèque. Savoir Une Maison située à Strasbourg quai Finckwiller ancien n° 13 et nouveau N° 5 consistant en trois Corps de Bâtiment cour jardin appartenances et dépendances tenant d’un côté à M. Schneegans et à M. Kessler serrurier de l’autre à M. Hahn boucher et Werner taillandier et aux Sieurs Gintz et Ernst pardevant le quai et par derrière M. Schneegans et le jardin dit Stadtrichtergarten.
Origine de la propriété. Les époux Taubert déclarent que M. Taubert est seul propriétaire de cet Immeuble pour l’avoir reçu de Monsieur Jacques Taubert son père aux termes d’un acte de Donation à titre de partage anticipé dressé par M° Noetinger notaire à Strasbourg en l’année 1865 le 30 août.
Situation hypothécaire. Les époux Taubert déclarent que l’immeuble ci-dessus désigné n’est grevé que 1° d’un capital ed 10.000 francs dû à M. Jacques Mattel sacristain à Strasbourg aux termes d’une Obligation reçue par M° Noetinger notaire en ladite ville le 14 mai 1862 enregistré, 2° et d’un capital de 10.000 francs dû à Mesdames Amélie Taubert épouse de M. Louis Knoerr et Julie Taubert épouse de M. Charles Behringer en vertu de lacte de donation susrelaté, 3° enfin de l’usufruit gratuit viager et gratuit de Monsieur Jacques Taubert son père résultant de l’acte de donation et liquidation sus relaté
Police d’assurance. La Nationale, du 1° Mai 1861, N° 39.683, à Monsieur Taubert, Jacques, père, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant pour son compte, la somme de 30.000 francs répartie comme suit sur les bâtimens ci-après désignés composant sa maison et dépendances, sises à Strasbourg, quai Finckwiller N° 5, savoir
1° 5700 francs sur la maison principale sur le quai, avec ateliers et magasins à bois de tonnellerie, élevé en partie sur cave voûtée, à rez-de-chaussée, deux étages, mansarde et grenier, construite en pierre et couverte en tuiles.
2° 840 francs sur la cage d’escalier avec galeries ouvertes sur la cour à rez-de-chaussée, deux étages et grenier, construite en bois, couverte en tuiles.
3° 3000 francs sur la maison d’habitation entre deux cours avec ateliers et magasins à bois de tonnellerie, élevée en partie sur une cave sous solives, à rez-de-chaussée, deux étages et deux greniers, construite en pierre et bois, couverte en tuiles.
4° 840 francs sur la maison d’habitation en aile à gauche sur la 2° cour avec buanderie, à rez-de-chaussée deux étages et grenier, construite en pierre et bois, couverte en tuiles.
5° 180 francs sur le bureau à simple rez-de-chaussée, construit en pierre et bois, couvert en tuiles.
6° 13.200 francs sur la maison d’habitation au fond de la 2° cour, avec ateliers et magasins à bois de tonnellerie, élevé en partie sur cave sous solives, à rez-de-chaussée, un étage et grenier, construite en pierre et couverte en tuiles.
7° 240 francs sur l’escalier extérieur desservant l’étage du bâtiment article 6, à simple rez-de-chaussée, construit et bois, couverture en appentis partie en tuiles, partie en verre,
8° 6000 francs sur l’atelier mécanique, ateliers de tonnellerie et magasins à bois de tonnellerie, à rez-de-chaussée, un étage et deux greniers, construit en pierre, couverte en tuiles. Monsieur Taubert déclare que l’atelier mécanique désigné à l’article 8 renferme une scie circulaire et une machine à fraiser, mus par la vapeur, qui ne fonctionnent que pour les besoins de l’établissement de son fils, Mr Taubert, Albert, qui exploite les ateliers de tonnellerie sus mentionés dont le contenu est assuré par la Compagnie l’Union.

Le banquier Maurice Joseph Perret Heluy ouvre en autre crédit en 1867

1867 (11.3.), Strasbourg 1 (180), Not. Alfred Ritleng (fils) n° 5070
Ouverture de crédit – Ont comparu Monsieur Maurice Joseph Perret Heluy banquier domicilié et demeurant à Badonviller d’une part
et Monsieur Henri Albert Taubert, fabricant de tonneaux et Dame Emilie Wagner son Epouse de lui autorisée, domiciliés et demeurant ensemble à Strasbourg d’autre part
Lesquels ont fait entr’eux le contrat suivant. Savoir Monsieur Perret Heluy consent à ouvrir à Monsieur Henri Albert Taubert comparant et ce acceptant un crédit jusqu’à concurrence d’un capital de 30.000 francs
hypothèque. Savoir Une maison sise à Strasbourg quai Finckwiller ancien n° 13 et nouveau N° 5 Consistant en trois corps de bâtiments, cour jardin appartenances et dépendances tenant d’un côté à Monsieur Schneegans et à Monsieur Kessler serrurier de l’autre à Monsieur Hahn boucher et Werner taillandier et aux Sieurs Gintz et Ernst, pardevant le Quai et par derrière Monsieur Schneegans et le jardin dit Stadtrichtergarten.
Origine de la propriété. Les époux Taubert déclarent que Monsieur Taubert est seul Propriétaire de cet Immeuble pour l’avoir reçu de Monsieur Jacques Taubert son père aux termes d’un acte de donation à titre de partage anticipé dressé par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 30 août 1865.
Situation hypothécaire. Les époux Taubert déclarent que l’Immeuble ci-dessus désigné n’est grevé 1° que d’un capital ed 10.000 francs dû à M. Jacques Mattel sacristain à Strasbourg aux termes d’une obligation reçue par M° Noetinger notaire en la dite ville le 14 mai 1862 enregistré, 2° et d’un capital de 10.000 francs dû à Mesdames Amélie Taubert épouse de M. Louis Knoerr et Julie Taubert épouse de M. Charles Behringer en vertu de l’acte de donation susrelaté, 3° enfin de l’usufruit gratuit viager et gratuit de Monsieur Jacques Taubert son père résultant de l’acte de donation et liquidation sus relaté
Etat civil des Epoux Taubert. Les Epoux Taubert déclarent qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté légale, attendu qu’ils n’ont point fait de contrat de mariage et qu’ils ne sont ni tuteur de mineurs ou d’interdits ni comptables ou caution de comptables de deniers publics


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.