18, rue de l’Ecrevisse


Rue de l’Ecrevisse n° 18 – III 279 (Blondel), N 480 puis section 68 parcelle 63 (cadastre)

Reconstruite en 1856 pour le serrurier Jean François Matthis
Démolie en 1971 lors de la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie »
Autre adresse, 10, rue de Bischheim


Façade rue de Bischheim et rue de l’Ecrevisse avant démolition (1971, dossier de la Police du Bâtiment)

La maison s’ouvre vers la rue de l’Evêque (rue de Bischheim) et a une issue dans la rue de l’Ecrevisse. Le charpentier Michel Diringer bâtit en 1589 sur le terrain au-dessous de l’oriel (27 pieds de long et 2 pieds 7 pouces de large). Les Conseillers et les Vingt-et-Un modifient en 1591 la sentence (acte de loge) rendue entre lui et son voisin Laurent Pfeffer, relative au mur qui sépare leurs propriétés. Le notaire Thiébaut Lautenburger vend en 1623 à l’aiguillier Paul Hartschmidt la maison qui restera dans la famille jusqu’en 1842. Depuis les années 1720, les propriétaires n’habitent plus dans la maison mais dans une autre impasse Günther près de la place du Corbeau. Selon l’estimation dressée en 1749, le bâtiment a un poêle au rez-de-chaussée, deux au premier et un au deuxième étage.

Canton III, Marché aux Chevaux-Nuée Bleue57, Plan (sud)
Plan Blondel (1765, ADBR cote 2 L Plan 5) – Plan préparatoire au plan-relief (1830), la maison est en haut à droite, parcelle 278, cour P‘

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade rue de l’Ecrevisse est celle à droite du repère (a’) : une porte et trois petites fenêtres au rez-de-chaussée, trois fenêtres au premier étage et deux au deuxième. La toiture a un niveau de lucarnes. La façade rue de Bischheim est la deuxième à droite du repère (s) : deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée deux étages à deux ouvertures. La toiture a un niveau de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 7 (1784-1857) puis le n° 18 dans la rue de l’Ecrevisse, le n° 11 puis le n° 10 dans la rue de Bischheim (rue de l’Evêque).


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 57 (Musée des plans-relief) 1

Le serrurier Jean François Matthis achète le maison en 1843 et la fait reconstruire en 1856 en ajoutant un étage, ce qui en porte le revenu de 54 à 145 francs. Jacques Lohr fait élargir en 1879 la porte de soixante-cinq centimètres. La Ville de Strasbourg demande en 1971 au préfet l’autorisation de démolir la maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie, couverte de tuiles plates.

mars 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1596 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Michel Düringer, charpentier, et (1576) Ursule Eckard – luthériens
1595 v Conrad Kissel, charpentier, et Anne Burckhard – luthériens
1602 v Martin Hosch, fondeur de caractères, et (v. 1585) Ursule Beyer – réformé
1604* v Thiébaut Lautenburger, notaire, et (1608) Rosine Saltzmann puis (1617) Elisabeth Clussrath – réformé, luthériennes
1623 v Paul Hartschmidt, aiguillier, et (1616) Dorothée Weinbrecht, (1636) Anne Hünerer puis (1652) Marguerite Scheubel – luthériens
1680* h Jean Hartschmidt, aiguillier, et (1680) Elisabeth Fritschmann – luthériens
1721 h Jean Hartschmidt, aiguillier, et (1708) Marie Salomé Fischer puis (1749) Anne Ursule Günther, veuve du vitrier Wendelin Schneider – luthériens
1756 h Jean Hartschmidt, aiguillier, et (1749) Dorothée Marthe Severin – luthériens
1759 h Jean Régnard Storck, luthier, et (1778) Marie Elisabeth Hardschmidt, remariée (1802) avec le fripier Jean Georges Hickel – luthériens
1833 h Marie Elisabeth Storck et Marguerite Louise Storck, célibataires
1847 v Jean Frédéric Matthis, serrurier, et (1831) Eve Salomé Mauler
1874 v Jacques Lohr, charpentier, et (1872) Barbe Haug
1929* h Othon Lohr, peintre, et copropriétaires
1935* Georges Haudenschild

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1720, 800 livres en 1748, 700 livres en 1759

(1765, Liste Blondel) III 279, Jean George Hartschmitt Md de tabac
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Hartschmitt Wittib, 6 toises, 4 pieds et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 480, Hartschmidt – maison, sol – 0,81 are / Storck Elisabeth & Louise

Préposés au bâtiment (Bauherren), protocole des Quinze

1589, Préposés au bâtiment (VII 1305)
Les préposés autorisent le charpentier Michel Diringer à travailler 200 pièces de bois de construction sur le Marché aux Chevaux (ensuite place Broglie) puis à construire sur le terrain au-dessous de l’oriel (27 pieds de long et 2 pieds 7 pouces de large) de sa maison au Marché aux Chevaux près du chantier des Charpentiers. Michel Diringer est aussi autorisé à remplacer trois marches usées devant sa porte à condition qu’elles aient la même dimension que les anciennes.

Michel Diringer der Zimmerman, huß vff dem Roßmarck. 156. 157. vmb platz vffm Roßmarck. 147.
(f° 147) Mittwoch den 20. Augusti – Roßmarck platz
Michell Diringer Zÿmermann begert Zu 200 stuck bawholtz vff dem Roßmarck Ime platz Zugeben d. Zu Zÿmern, Ist gewilligt w der platz geraumpt.

(f° 156-v) Buwherren Zinstag den 9.ten Septembris
Michell Dyringer der Zÿmerman hat begert An seinem huß vff dem Roßmarck beÿ der Statt Zÿmerhoff gelegen seynen vberhang So Zweyer gaden hoch vnd vornen hingegen dem Allmend vsgemurt desgleich an das holtzwerck die synen* Angenagelt als abe Ein vfgefurte mur vor* die dach Zerrißen* vnd dem fall tr**, Er auch Inwendig wenig blatz hatt vnd dazu d. huß thenn Erkauffe, wid. vff die Altten tr* Zue einer* stockwand Zumachen, Ist nach fürgenommenem Augenschein d. der vßstoß 27 schu lang vnd 2 schu 9 Zoll breit sein befunden, vnd An dißem ort maniglich* onverhinderlich, Im sein begeren Zugelaßen, doch an neben Kopffen dier Zumachen vnd die selbig vß Einer ghonnung*.

(f° 157) Michell Dyringer der Zÿmerman vorgemelt hat Auch begert die dreÿ steinin drit so vor seiner hußthuren vff dem Allmend ligen vnd gantz Zerprochen wid. neu dahin Zulegen, Ist Im bewilligt, doch nit mehr* heruß die Allmend Zubegriffen, doch die Allmend sein vnd pleiben.

1591, Conseillers et XXI (1 R 68)
Michel Düringer porte devant les Conseillers et les Vingt-et-Un la sentence (acte de loge) rendue entre lui et son voisin Laurent Pfeffer rue de l’Evêque. L’assemblée ordonne une nouvelle visite des lieux par les préposés au bâtiment. Michel Dürniger a démoli un mur et un pilier sur son terrain, son voisin Laurent Pfeffer a posé dans son mur correspondant des poutres et des solives et ouvert une fenêtre à l’étage. Michel Düringer devra soit construire un mur qui lui est propre soit s’accorder avec son voisin pour construire un mur commun. La mention « construire dans les anciennes cavités » est biffée, remplacée par « aménager des arcades ».

Michel Düringer contra Lorentz Pfeffern. 407. 416.
(f° 407) XXVIII Augusti – Michel Düringer contra Lorentz Pfeffern
Michel Düringer d. Zimmermann ct. Lorentz Pfeffern vnd wegen eines vff der hütten ergangenen spruchs vbergibt er p. Bittelbrum ein supplôn die ist geleß. darinnen halt er dem spann vnd bitt h. vff den Augenschein Zuordnen, Lorentz Pfeffer p. D. Steffan bitt sich beÿ ergangenem spruch handt Zuhaben, Referirt sich vff die pfleg. Zu S. Marx vnd stelt es des Augenscheins halben Zu m.h. erkandtnus. Erkandt, Bauwh. vnd dreÿ sollen unpartheÿische werckleutt Zu sich ziehen, den Augenschein einnehmen vnd bedenck. w. für bescheid Zugeben. H Schimpff H Herman.

(f° 416-v) IIII Septembris – Michel Düringer contra Lorentz Pfefferen
Baw Herren Laßen Michel Düringers supplôn wider Lorentz Pfefferen darin er sich beschwert ob einen bescheidt so vff dieser hütt Ime geb. word. vnd gebett. den augenschein desweg. einzunehmen, dieser ab heß* vnd darauff referiren syn d. sye Vermög mh. erkandtnuß vnpartheische werckleutt Zu sich gezogen den augenschein vnd sich eines bescheidts wie hernach volgt verglichen vnd vffs papyr bring. Laßen dieses Innhalts des Streitig gebels halben zwischen Michel Turingern des Zimmermanns vnd Lorentz Pfeffer heusern Inn Bischoffs gaß am Rossmarck gelegen Ist Baw herren vnd dreÿer bedencken, Dieweil Michel Turnig. vff seiner seitt ein vffgemaurten pfeÿler, vnd ein vber Zwerche eingezeunte mur am höflein gehabt, die Jetzo abgebroch. dergleichen Lorentz Pfeffer vff seiner seitt Inn der mauren samt durch zeug vnd Pfett alls darinn Lig. Vnd Inn dem obern gemach ein blindt fenster hatt, In der halben mauren, das Michel Turing. vff solche Pfeiler vnd Ingezeunte mur vnd Inn die altte Lecher wider bawen, vnd vff seiner seitt ein gebel mitt bögen vff führen mög. So vil den die maur Im hofflin belangt, geg. der Krebsgasse die abgebroch. vnd Jetzmalen verbawen, Soll Michel Turing vff seiner seitt. ein maur vff führen die Im allein Zugehörig, oder aber dieweil Lorentz Pfeff. ein höltzin stock darauff daran hatt, die maur Inn gemein mitt einander vffbuwen, Des vncostens halben Zu beiden theilen vffgangen soll Jeder theil seiner selbs tragen vnd Leiden.
Erkandt Ist der Herren bedencken mitt diser Verbesseung gevolgt, das die wortt, Vndt Inn die alten Lochen wider bawen, aussgelöscht werden sollen, Vnd zu den wortt: mitt bogen vff führen mög. hien zu setz. dieselbig maur hien fuhro gemein sein Vnd dan Letzlich, Ein maur vff führen, die, darzu setzen, hienführo eigen vnd Ime allein Zugehörig sein soll.

1591, Préposés au bâtiment (VII 1307)

Michel Düringer der Zimmerman contra Lorentz Pfeiffer den Ballier
(f° 132-v) Buwherren donrstag den 2.t Septembris – Michel Düringer der Zimmerman contra Lorentz Pfeiffer den Ballier
(Pièces correspondantes)

Description de la maison

  • 1748 (billet d’estimation traduit) Le rez-de-chaussée comprend le vestibule, un poêle, une cuisine et une chambre, le premier étage deux poêles, une alcôve et une cuisine, le deuxième étage un poêle, une cuisine et deux chambres, le comble est couvert de tuites plates, la cave est voûtée, le tout est estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 800 florins.
  • 1759 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, trois cuisines, plusieurs chambres, le comble est couvert de tuites plates, la cave est voûtée, le tout est estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de l’Evêque

nouveau N° / ancien N° : 10 / 11
veuve Storck
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de l’Ecrevisse

nouveau N° / ancien N° : 13 / 7
porte de derrière du N° 11 rue de l’Evêque
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois mauvais état
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 136 case 4

Storck Elisabeth et Louise quai St Nicolas N° 69 à Strasbourg
Mathis Jean François, serrurier, rue de l’Evêque n° 11 (1845)

N 480, maison, sol, R. de l’évêque 11
Contenance : 0,81
Revenu total : 54,42 (54 et 0,42)
Folio de provenance :
Folio de destination : Démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1856
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus :
1856, Augmentations – Mathis Jean François f° 136, N 480, Maison, revenu 145, Reconstruction
Diminutions – Mathis Jean F.ois f° 136, N 480, Maison, revenu 54, Reconstruction, en 1856

N 480, maison
Revenu total : 145,42 (145 et 0,42)
Folio de provenance : Nlle Constr.
Folio de destination :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 637 case 2

Mathis, Jean François, serrurier
1876 Lohr, Jakob in Strassburg und Ehefr. Barbara geb. Haug in Gg.
(ancien f° 385)

N 480, maison, sol, Rue de Bischheim 10
Contenance : 0,81
Revenu total : 145,42 (145 et 0,42)
Folio de provenance : (136)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 32 page 547 case 1

Parcelle, section 68, n° 63 – autrefois N 480
Canton : Krebsgasse Hs N° 18 u. Bischheimerhasse N° 10
Désignation : Hf, Whs u. N.G. [N.G. biffé]
Contenance : 1200 – 1500
Revenu :
Remarques : N. W. II. 77 – I. 13. X. 146

(Propriétaire), compte 2849
Lohr, Jakob u. Ehefr.
1929 Lohr Othon, peintre pour 1/3 et copropriétaires
1935 Haudenschild Georges son épouse / sa veuve et cohéritiers
(1835)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 3, Rue 77 de l’Eveque

Loc. Groll, Jean Jacques, Manteau bleu – manant
Loc. Gaudrier, Jean Baptiste, Chanteur de St Pierre le jeune
Loc. Schwartz, Marie Madlen, revendeuse – manant

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 77 de Bischofsheim, p. 105

11
Lo. Groll, Jean Jacques, Manteau bleu – Moresse
Lo. Gaudrier, Jean Bapt. Chanteur de St Pierre le jeune
Lo. Schwartz, Marie Madl., revendeuse – Manante

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Bischheimergässchen (Seite 12)

(Haus Nr.) 10
Lohr, Kohlenhänldr. E 0
Lotz, Schneidermstr. 1
Huntzinger, Tagnerin. 2
Trauth, Wwe. 2
Bronner, Gärtner. 3
Doll, Steinhauer. 3
Erstein, Steinhauer. 3
Kupferer, Metzger. 3
Lang, Maurer. 3
Scheydt, Maurer. 3

Krebsgasse (Seite 84)

(Haus Nr.) 18
Lohr, Kohlenhändler.

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 646)

Rue de l’Ecrevisse 18 (1879-19)

Le propriétaire Lohr charge en 1879 l’entrepreneur Greiner d’élargir la porte de 65 centimètres. La Ville de Strasbourg demande en 1971 au préfet l’autorisation de démolir la maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie, couverte de tuiles plates.

1914, bureau de placement de l’Association allemande des Techniciens (Deutscher Techniker-Verband)
1929, 1938, Charles Klein (Lino-Rapid)

Sommaire
  • 1879 – L’entrepreneur L. Greiner demande au nom du propriétaire Lohr l’autorisation d’élargir la porte de 65 centimètres selon le croquis en marge. L’agent voyer note que la largeur de la rue est fixée à au moins cinq mètres et qu’il y a un de trottoir.
  • 1887 – Le maire notifie Jacques Lohr, demeurant sur place 18, rue de l’Ecrevisse de faire ravaler la façade
    La veuve Julie Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) demande l’autorisation de réparer le crépi et de repeindre la façade au 18, rue de l’Ecrevisse – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1887.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire Lohr de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique (10, rue de Bischheim). – Les deux volets du rez-de-chaussée ont été modifiés mais pas la trappe, mars 1897 – Rappel, 1898 – Travaux terminés, mai 1899
    1900 – Le maire notifie le propriétaire Lohr de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique (18, rue de l’Ecrevisse). – Les volets du rez-de-chaussée ont été modifiés, octobre 1900.
  • 1905 – Le maire notifie Jacques Lohr, demeurant sur place 10, rue de Bischheim, de faire ravaler la façade – Le maire accorde un an de délai
  • Commission contre les logements insalubres, 10, rue de Bischheim et 18, rue de l’Ecrevisse – 1906, Logement en bon état, le raccordement de la fosse d’aisances est prévu l’été suivant – Le raccordement a été fait, septembre 1906.
    Commission des logements militaires, 1915 – Refaire le sol du vestibule
    1909 – Le locataire Fischer (deuxième étage) se plaint des cabinets de toilette (un seul pour sept ménages). La Police du Bâtiment estime que la plainte n’est pas fondée.
  • 1914 – L’Association allemande des Techniciens (Deutscher Techniker-Verband) demande l’autorisation d’apposer une enseigne émaillée à son bureau de placement 10, rue de Bischheim et une deuxième au restaurant Au prince impérial (Kronprinz) à l’angle de la place Broglie en arguant que le bureau se trouve dans une impasse. – Accord. – Les enseignes sont posées
  • 1926 (décembre) – La Police du Bâtiment constate qu’Albert Lohr a posé sans autorisation une antenne de T.S.F. entre les 13 et 18, rue de l’Ecrevisse – L’antenne qui appartient à M. Siegel (18, rue de l’Ecrevisse) a été autorisée le 25 juin précédent
    1931 – Albert Lohr déclare avoir posé une antenne entre le 10, rue de Bischheim et le grillage qui appartient au Port autonome (dessin, l’antenne passe au-dessus de la Banque de France) – Autorisation
  • 1929 – La Police du Bâtiment constate que Charles Klein (Lino-Rapid) a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire 10, rue de Bischheim – Autorisation
    1938 – La Police du Bâtiment constate que Charles Klein a posé sans autorisation une enseigne – L’enseigne est retirée
  • 1971 – La Ville de Strasbourg demande au préfet l’autorisation de démolir le bâtiment sis 10, rue de Bischheim et 18, rue de l’Ecrevisse, à rez-de-chaussée et trois étages (4 logements, 220 m²) pour motif de rénovation urbaine. Le maire transmet la demande avec avis favorable.
    « L’immeuble 10, rue de Bischheim et 18, rue de l’Ecrevisse forme une seule construction à rez-de-chaussée et 3 étages, en maçonnerie enduite et couverture de tuiles plates. L’ensemble est dans un très mauvais état d’entretien et sans aucun confort. »
    Plan cadastral de situation – Liste des locataires à reloger (veuve Joseph Schneider, M. et Mme Yerri Carter, Marguerite Krumrey, M. et Mme Kœssler) – Rapport (voir ci-dessus) – Photographies

Relevé d’actes

Le charpentier Michel Düringer vend la maison en 1595. Originaire d’Andelsbach près de Pfullendorf sur le lac de Constance, Michel Düringer épouse en 1576 Ursule, fille de Jérôme Eckard, originaire de Kirchheim unter Teck en Wurtemberg.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 228 n° 2)
1576. Dominica Iubilate. Michel Düringer von Andelspach am bodensee ein Zimmermann vnd Ursula, Jeronÿmus Eckarts von Kirchen an der Eck nachgelaßene tochter. Eingesegnet am Montag nach Cantate den 21. Maÿ (i 119)

Il achète le droit de bourgeoisie deux mois après son mariage
1576, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 262
Michel Düringer der Zÿmmerman Von Andelspach am bodensee hatt d. burgerrecht kaufft Will Zun Zÿmmerleuthen dienen Actum eodem die [30. Julÿ ao. 1576]

Michel Düringer et Ursule Eckart vendent la maison au charpentier Conrad Kissel et à sa femme Anne Burckhard. En marge, quittance que remettent Elisabeth Düringer et son mari Georg Rapper au notaire Thiébaut Lautenburger en 1604

1595 (22. 9.br.), Chancellerie, vol. 301 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 120-v
Kauffbrieff Conrad Kißels des Zimmermanns vber ein hauß am Roßmarck
Erschienen Michel Düring. der Zimmerman vnd Ursula Eckhardtin sein eheliche haußfraw haben (verkaufft)
Conrad Kißel dem Zimmermann vnd Annen Burckhardin seiner ehelich. haußfr. die Zugeg.
ein behausung sampt derselben gerechtigkeit gemeg. alhie am Roßmarck In d. Krebß vnd Bischofs gaßen einseit neben einem hauß d. hab* alhie gehörig and.seit Lorentz Pfeffer dem Ballier vom Zimmerhoff hind. vf die Krebsgaß mit vßgang, Dauon Jherlich Zehen gld. Zu 15 batz. vf St Johannis Baptistæ dem Stifft h. Zuem Jung. St Peter alhier losig mitt 25 guld.zu 15 batz. sonst ledig vnd eig. Vnd darauf alles Recht Vnd bekhandt das dißer Kauff zugang. vnd bescheh. für freÿ ledig vnd aig. vmb Neunthalb hund. gld. St. w. od. nach abzug obgesetzter beschwerdt der iij C für vnd vmb 600 gld.
Confessat
[in margine :] Montag den 31. Julÿ 98 Ist in d. Cantzleÿ erschienen Michael Thüringer der Bruckhmeister vff der Rheinbruckh vnd hatt in gegensein Conrad Kissels vnd Annen seines haußfrawen (…)
[in margine :] Erschienen Elisabeths Terring*. mit beÿstand Georg Rappers Ires ehelichen haußwürts* hatt in gegenwertigkeyt h. Theobald Lauterburg. des Notarÿ Jetzig. Innhabers obgemeld. behausung bekhandt das sie beyde ehegemechd für sich selbs vnd als vogt Hanß during Ihres Brud. von obgemelter Kauffsumma der 600 fl. (…) Actum Donnerstags den 17.9.br. Aô 1604.

Conrad Kissel hypothèque la maison au profit du charpentier Jean Schott et de sa femme Anne Huber. En marge, quittance remise en 1623 au notaire Thiébaut Lautenburger

1597 (19. Aprilis), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 47
Confessat Hans Schotten des Zimmermanns
Erschienen Conrad Küßel der Zimmermann vnd
hatt In gegenwertigkheit hans Schotten auch deß Zimmermans vnd Anna Huberin seiner haußfr. – schuldig worden 50 pfund
Zum vnderpfand verlegt vnd verschriben die beßerung vff sein bekhenners den 22. 9.br 95. von Michel Düringer erkhaufften behausung gelegen alhie am Roßmarck Inn der Krebs vnd Bischoffsgaß einseit neben einem hauß der frawen werck gehörig anderseit neben hanns Rhiel dem wiltschütz
[in margine :] Erschienen Christoff Heß* als ehevogt *siæ *in hatt in gegensein M Theobald Lautenburgers Notarÿ vnd Burg.s alhie als Inhaber des vnd.pfandts (…) den 5. feb. Aô & 1623.

La veuve de Conrad Kissel propose à la Ville de racheter les outils peu courants de son mari, ce qui lui permettra de régler ses dettes envers la Ville. Les préposés refusent parce que personne ne se servira de ces outils.
1603, Préposés au bâtiment (VII 1318)
(f° 37-v) Sambstag 5.t Martÿ – Conrad Kÿsels W
M michel sagt es habe Conrad Kÿsels Wittwe allerhand grossen werckzeug, wendelbäum zu trägen, die nit Jedermans Kauffs seind vnd da es die Statt bedörffe, müste mans har theur betzalen, were aber diser gar In geringem werck Zu bekhommen, vnd haben beÿ der Inventation die schlosser solchen vmb 14. h. angeschlagen, wolte die wittib denselben vmb 11 h.d. lassen, dadurch könte die Statt Ihres vßstandts auch betzalt werd.
Erkant, weil man nit weiß wan mans kauff, wer es versorgt od. vffhebt, soll mans abschlag. soll M Michel den vsstand dannoch Zubring.

Anne, femme abandonnée depuis quatre [ans] par son mari, et le tuteur de sa fille vendent la maison au fondeur de caractères Martin Hosch

1602 (4. Febr.), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 73-v
Erschienen Fraw Anna Conrad Kissels Zimmermanns burgers alhier eheliche haußfraw, welcher aber Ir nun bitz In die vier lang kein eheliche beÿ Wohnung mehr thut, deßwegen auch auff Ir und.thenig ansuchen von vnsern gnedigen hn Jr Michel Arnold der St. St. Werckmeister vff dem Zimmerhoff Zu einem vogt geordnet word. wie sie sagten, mit beÿstand deßelben
So dann Leonhardt Unfridt Zimmermann, als geschworner vogt Marien bemelter Annen dochter so sie mit gedachtem Conrad Kisseln ehelich erzielet
Haben In gegensein Martin Hoschen Buchstaben gießers burg. alhie (verkaufft)
Hauß vnd Hoffstatt mit allen and.n Iren gebeüwen gelegen In d. St. St. In Bischoffs gassen einseit neben Hans Schwartzen dem Zimmermann, and.seit des wercks unser Fr. Münster behausung stost hind. vff die Krebsgaß vnd hat auch ein vßgang in dieselb. gaß, davon gnd Zuuor Zehen guldin gelts zu xv batz vff Johannis Baptistæ ablösig mit 250 guldin bemelter Werung den Stifthn. Zum Jung. S. Peter, Item Achtzehndhalben guldin gelts St. auch vff Johannis Baptistæ ablößig mit 350 guldin bemelter werung Michel Düringers geweßenen Bruckmeÿsters selig. erben (…), Item Zweÿ pfund Zehn schilling gets vff Wÿhenachten, ablößig mit 50 pfund pfenning Hans Schott dem Zimmermann wan man solch hauptguth begeren würde soll mans nach verkhündung eins vierthetl Jars Zuerlegen schuldig sein, sunst für freÿ ledig eÿgen, der Khauff vber dise vbeschwerd. daran d. Kheuffer gewÿßen u. vber sich genommen zugangen vnd beschehen vmb 125 pfund
Hiebeÿ sindt gegenwärtig gewesen Georg Boch Brotbeck, Stoffel Feürtags Werckmeister vff d. Murhoff, M Wolfart Spangenberg, D Georg Burckhard d. Schneÿd.

Originaire de Bâle, Martin Hosch achète le droit de bourgeoisie le 30 mai 1689
1589, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 504
Martin Hösch von Basel ein Buchstabengiesser hatt mitt Beÿstandt Anthoni Bertram deß Buchbinders das Burckrecht erkaufft, vnnd will Zu der Steltzen dienen. Actum 30. Maÿ Aô 89.

Il fait baptiser la même année un enfant de sa femme Ursule à Saint-Thomas puis à partir de 1599 des enfants à Saint-Pierre-le-Jeune.
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 118, n° 848)
1589. 16. Decemb. Martin Hosch, der Buchstaben gießer, Ursula – Ursula – Bernhard Jobin der buchfürer, Agnes M. Eliæ Schadæi fraw, vnd Ursula, Wilhelm Waldeck fraw (i 126)
(ensuite 1592, 1594 et 1596)
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 58 n° 90)
1599. P. Martin Hosch ein buchstabengiesser, M. Ursula, I. Barbara Margareda, Compat. Martin scheidlin ein Müller, Susanna H Caspar Klein pfarrherr zu fegersheim fraw, Barbara H Conrad Bernhards des buchstabengiessers zu franckfort fraw (i 33)

Ursule Beyer est veuve en 1621.
1621 Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 616
Ursula Beÿerin wÿland Martin Hosch des Buchstaben gießers witwe

Martin Hosch et sa femme Ursule Beyer hypothèquent la maison au profit de Sébastien Falckner, bourgeois de Bâle

1603 (vt spâ [xij. Julÿ]), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 255-v
(Inchoat. in proth. fol: 177.) Erschienen Martin Hosch der schrifftgiesser burger Zu Straßburg vnnd Ursula Bäÿerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. Sebastian Falckner burgers Zu Basell offentlich verÿehen, das sie demselbig. Einer vffrecht & schuldig vnver. sigent 1021 guldin vnd zwölff batz. Jed. guldin v xv batz. für schrifftzeüg
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt, Ein Behausung mit Allen Ihren gebeu. & geleg. In d. St. St. Inn d. Bischoffs gaß, einseit neben einer behausung vnser frawen werck zustendig, vnd andersit neben hanß Schwartz dem Zimmermann, dauon v lb d gelts Ablosig mit j C lb d dem Stifft Zum Jung. St. Peter vnd dann ij lb x ß d gelts Lösig mit L lb d hannß Schott dem Zimmermann sunst eÿg

Nouvelle hypothèque au profit de Sébastien Falckner dans une obligation passée par les imprimeurs Conrad Scher et sa femme Marthe Steb, Barthelémy Durschel et sa femme Ursule Seitz et Elis Heel

1603 (12. Junÿ), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° Scheda [f° 255-v]
Zuwüßen daß Cunradt Scher, vnnd Martha Stebin sein eheliche haußfrauw Bartholomeus Durschwell vnd Ursula Seÿtzin, sein Eheliche haußwüthin, vnd dann Elias Heel, Alle dreÿ Buchtrucker, Burgere zu Straßburg vnd Maria Schorendorfferin sein ehegemahell
Bekhandt vnt Inn gegenwertigkheit herrn Sebastian Falckners, burgers Zu Basell offentlich verÿehen, das sie demselbigen Herren, Einer vffrecht & schuldig vnver. sigent 177 guldin Jeden guldin zu xv batzen gerechnet, Für Schrifftzeüg
Vber solches, Bekhennen Martin Hosch der Schrifftgiesser, burger Zu Straßburg Vnnd Ursula Beÿerin sein eheliche haußfr. vffrecht vnd redlicher Vnuer: Schuldig sein 1021 guldin vnd zwölff batzen, Jeden guldin Zu xv batzen gerechnet Für Schrifftzeüg
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt, Ein Behausung, mit Allen Iren gebeüwen, begriffen, Weithen, Rechten vnd Zugehörtten, geleg. Inn der Stadt Straßburg, Inn Bischoffs gaßen, einseit nebent einer Behausung, Vnser Frawen Werck Zustendig, vnd Andersit nebent hanß Schwartz dem Zimmermann, Dauon gond Fünff Pfund pfenning gelts Ablosig mit 100 pfund pfenning, dem Stifft Zum Jungen Sant Peter vnd dann 2 Pfundt 10 schilling Pfenning gelts, Lösig mit 50 Pfund pfenning Hanß Schott dem Zimmermann

Comme le porte la quittance citée plus haut, la maison appartient en 1604 au notaire Thiébaut Lautenburger. Originaire de Bâle, il épouse en 1608 Rosine, fille du notaire Valentin Saltzmann

Mariage, cathédrale (luth. p. 214)
1608. M: Theobaldus Lautenberger von Basel vnd Rosina Valentinus Saltzman des notarÿ nachgelaßene dochter (i 111)

Thiébaut Lautenburger achète le droit de bourgeoisie en août 1612
1612, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 767
Theobaldt Lauttenburg Von Baßel der Notarius Khaufft d. Burgerrecht mit Beÿstandt herrn Johann Rudolph Saltzman d: vnd Michael Deürers deß Eltern Wüll Zu der Mörin dienen. Actum den 4. Augusti 1612.

Thiébaut Lautenburger se remarie en 1617 avec Elisabeth, fille de l’archiviste Laurent Clussrath
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 396 n° 1242) 1617. Dominica 18. Trinitatis. Theobaldus Lauterburg der Notarius vndt Jungfrau Elisabetha herrn Laurentÿ Clußraths, Registratoris der Cantzleÿ alhie Eheliche Tochter (i 410)

Le notaire Thiébaut Lautenburger hypothèque la maison au profit de l’enseignant Martin Sinnitz.

1617 (12. Aprilis), Chancellerie, vol. 427 (Registranda Kügler) f° 110-v
(Inchoat. fol. 95.) Erschienen H. Magister Theobaldt Lutherburger Offener Notarius
Hatt in gegensein des wolgebornen herrn Magister Martin Sÿnnitz Præceptoris Quintæ Classæ Alhieiger vniversitet – schuldig sige 50 Pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffestatt mit Allen Anderen Iren gebeuwen gelegen Inn der St St Inn der Bischoffs gassen vf dem Roßmarck Einseit neben Hannß Schwartzen dem Zimmermann die Ander seiten einer behausung dem werck vnser Frawen Münster Zustendig stost hinden vff die Krebßgaß In welche sie auch ein außgang hat, dauon gend 5 pfund pfenning den Stifftherren Zum Jungen Santt Peter ablösig mit 120 Pfund d mehr 3 pfund 17 schilling 6 Pfenning Georg Reffern dem Zimmermann ablösig mit 87 Pfund 10 schilling pfenning Wÿther 2 pfund 10 schilling Christoph Haasen dem Gantkäufflern wider Keüffig mit 50 pfund pfenning, Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Zu noch mehrer sicherheit So Ist auch Persönlich erschienen Herr Christoph Axt handelsmann Alhie hat sich und seine Erben mit sampt dem haubtschuldner vnverscheidentlich dafür Zum Rechten Bürgen vnd selbst schuldner bitz zu Voller bezahlung ernannt und ÿngesetzt

Thiébaut Lautenburger et Elisabeth Clussrath hypothèquent la maison au profit du tailleur Jacques Weiss

1619 (ut spâ [xxvij Januarÿ]), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 75-v
(Inchoat. in Prot. fol. 50.) Erschienen herr Theobaldus Lauterburg Notarius burger Zu Straßburg vnd Elisabeth Klußrathin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Jacob Weiß des schneiders burgers Inn Straßburg – schuldig seigen 100 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Bischoffs gaß vff dem Roßmarck einseit neben hannß Schwartz dem Zimmermann, And. seit neben des Wercks Vnser fr. Münster behaußung stoßend, hinden vff die Kreß gaß da sie einen vßgang hatt, dauon gend v lb d gelts ablößig mit j C xxv lb d den Stiffherren Zum Jungen Sant Peter, Weither Ist die behaußung verhafftet vmb Lxxxvij lb s ß Geörg Krepper dem Zimmermann, Mehr vmb L lb d Christoff haasen dem gantmeister, So dann ferner vmb L lb d M: Martino Sinitio præceptori classico sunst eigen

Thiébaut Lautenburger contracte une dette envers Madeleine Sebold, veuve du tailleur Chrétien Murck. Il hypothèque la maison au profit de son garant Christophe Scheurer.

1621 (ut spâ. [xxx. Aprilis]), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 253-v
(Inchoat. in Prot. fol. 176.) Erschienen h. Theobaldus Lauterburg d. Nots. burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Valentini Bilgers Notarÿ burgers Zu Straßburg Als vogt fr. Magdalenen Seboldin wÿland Christmann Murck des schneÿders s. witwe – schuldig seÿe 100 pfund
Deßen zu mehrer & So ist auch erschienen herr Christoph Scheürer burger Zu Straßburg, hat sich für sich & mit sampt Ime bekhenner Zu einem Rechten bürg. Mit: und und selbst schuldner und selbst Zahler Vnver: gesetzt und gemacht
Vber solches hatt obergannt h. Lautterburg für sich & gelopt vnd versprochen ermelt. h. Christoff Scheurer vnd deßen erb. disser bürgschafft Inn Alle weg Zuhalten vnd Zuenthab. deßen zu mehrer sich.ht (…) vnderpfand, hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. Inn der Bischoffs gaß vff den Rossmarck, einseit Jacob Schwartz. witwe, And.seit neben einer Behaußung dem Werck Vnser Fr . Münster gehörig, hind. Inn die Krebß gaß stoßend, dauon gnd. b. lb d geldt loß. mit j. C. xxv lb dem Stifft Zu Jung. Snt Peter, Mehr viij gl 3 wh geld loß j C Lxxb gl p. 15 batz. Geörg Kroppen dem zimmermann, Item ij x ß gld loß mit L lb Christoph haas, Item ij lb & ß d gnd loß mit L lb Martin Sinitz p.ceptori Classico, Mehr v lb d gelts loßig mit j C. lb Jacob wÿß* den schneÿd.

Thiébaut Lautenburger renonce à son droit de bourgeoisie le 4 septembre 1623.
1623, Chancellerie, vol. 447-II (Gemein Contract Buch) f° 2
Abscheÿd vnd Urkunden auffgesagten Burger Rechtens
(f° 2-v) vor vns in offenem Sitzendem Rath erschienen ist, Magister Theobald Lutherburger der Notarius hatt für sich vnd Innamen seiner Hauß frawen Elisabetha Weÿlandt Vnser gewesenen burg. vnd Cancelleÿ Registrators Laurentÿ Clußraths mit auch weÿland Maria Füchsin, beeder nunmehr Seelige eheleuth hinderlaßene dochter, d. burgerrecht vnd Pflicht darmit sie vns als burg. vnd burgerin hiebevor verwandt vnd Zugethan gewesen, resignirt vnd auffgesagt (…) – Donnerstags den 4. 7.bris Anno 1623

Thiébaut Lautenburger vend la maison à l’aiguillier Paul Hartschmidt

1623 (4. Augusti), Chancellerie, vol. 447 (Gemein Contract Buch) f° 35-v
Kauffverschreybung Pauli Hardschmidts Nädlers burgers alhie
(Ingrossauit den 17. Maÿ 1625) erschienen Ist vnserer Burger der wolgelerte Magister Theobaldus Lauttenberg der Notarius
vnd In gegenwärtigheÿt auch vnser Burger Pauli Hardschmidts des Nädlers vnd Dorotheæ desselben ehelicher haußfrawen (verkaufft)
Ein Behausung derselb hoffstatt mit allen anderen Iren gebeuwen, begriffen weyten Zugehörden Recht vnd gerechtigketen alhie In vnserer Statt Straßburg ane dem Rossmarckt In der Bischoffs Gassen einseyt neben einer Behausung In der Fabric vnser Frawen Münster gehörig, anderseyt neben Michael Schwartzen deß Zimmermanns wittib vnd erb. hinden auff Krebs Gassen stoßend gelegen, welche behausung in vorgerüerte beede Krebß: vnd Bischoffsgaß ein außgang hat, von welcher Behausung Jarlichs gehend 5 pfund pfenning auff Johannis Baptistæ In hauptgut mit 125 pfund dem Stifft Zum Jungen Sanct Peter, Item Zweÿ pfund 10 schilling auff dem ersten tag Septembris der Samblung zum Thurn, In hauptgut mit 50 pfund pfenning abzulösen, sonst ledig vnd eygen vnd were diser Kauff vber vorgemelter beschwerd. welche der Keuffer vber sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 1000 pfund pfenning
Minute du même acte, Chancellerie, vol. 451 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 167

Fils de l’aiguillier Jean Hartschmidt, Paul Hartschmidt épouse en 1616 Dorothée, fille de l’aiguillier Jean Weinbrecht
Mariage, cathédrale (luth. p. 45)
1616. Dominica 16. den 15. 7.bris Paulus Hartschmidt der Nodler, Hans Hartschmidt des Nodlers sohn vnd Jungfraw Dorothea, Hans Weinbrecht des Nadlers tochter, eingesegnet Zinstag den 24. 7.bris (i 27)

Paul Hartschmidt acquitte un complément de paiement aux héritiers du commissaire priseur Christophe Haas qui était créancier de la maison pour 50 livres (voir l’acte de 1621)

1630 (2. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 641-v
Erschienen Paul Hartschmidt der Nadler burg. Zu St.
hatt in gegensein weÿ: Christoff hasen gewesenen Ganthkeüfflers see: alhie nachgelaßen erben, mit namen Lorentz debsen Stattwagner alß Ehevogt Annæ Häsin, Anthoni von Brüelen innamen seiner mit Barbara häsin s: ehelich erzeugter Kindern Vnd dann H Johann Bölers alß befehlhabers H M Johann hasen Diconi Zum Jung.S. Peter vnd Mariæ häsin hanß Kraden deß Schneid.s auch burgers alhie ehelich. haußfr. bekannt daß Er ietzbesagten Erben, v.mög der den 15. Aprilis nechsthin vor den durch die zu den vnuerglichenen Nachtrags geschefften insond.heit deputirte herren ergangenen Erkanntnuß schuldig worden auch gelten soll und wolle 50. gld. a 15. bz.
darfür sein hartschmidts von Theobaldo Lauterburgern dem Noto. erkauffte Behausung,wo wie Zuuor also auch noch ohn novation vnderpfandt sein vnd bleieben soll.

Paul Hartschmidt se remarie en 1636 avec Anne, fille du sacristain Thiébaut Hünerer d’Oberhoffen
Mariage, cathédrale (luth. p. 383)
1636. Doîca XVIII Trin: 16. 8.bris Paulus Hartschmid der Nodler vnd J Anna Thiebold Hunerers des Sugristen zu Oberhoffen n tochter, eingesegnet Montag 24. 8.bris (i 196)

Paul Hartschmidt se remarie en 1652 avec Marguerite, fille du fuselier Matthieu Scheubel. Leur fils Jean naît en 1654.
Mariage, cathédrale (luth. p. 546 n° XXIX)
1652. Eodem [Sonnt. den 6. Junÿ] Paulus Hartschmidt der Nadtler vnndt Hafftenmacher, auch burger alhier, vndt J. Margaretha, weiland Mathæi Scheübels des burgers vnndt Spillentrehers alhie hinderlaßene Eheliche dochter (i 293)
Baptême, cathédrale (luth. p. 476-v) 1654. Zinst. d. 4. febr. Paulus Hardtschmidt, der Nadler v. hafftenmach. Margaretha Scheiblerin – Johannes (i 482)

La maison appartient en partie à son fils Paul Hartschmidt qui épouse en 1653 Marthe, fille du boulanger Frédéric Schaub : contrat de mariage, célébration
1653 (11. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 514
(Eheberedung) Erschienen Paul Hartschmid der Nadler, alß hochzeiter mit beÿstand Paul Hartschmidts deß Nadlers seines eheleiblich. Vatters, wie auch Valentin Gräffen deß Bürstenbinders seines noch ohnentledigt. Vogts und hannß Friderich Rheinthalers deß Strählmachers an einem,
So dann Jungfr. Martha, weÿl. Friderich Schauben deß Weißbeckh und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand Michael Loosen deß hauptkanns vff der Beckhen zunfftstuben ihres stieff Vatters wie auch Daniel haasen deß Weißbeckh ihres noch ohnentledigt. Vogts, und Johann Vnselts deß Schreiners ihrer Mutter Bruders, am andern theil

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 18)
1653. Dnâ. XIX. Trinit. d. 16. VIII.bris. Paulus Hartschmidt der Jüngere Hafftenmacher, Pauli Hartschmidt, auch Hafftenmachers v. burgers allhie Ehelicher Sohn vnndt Martha, Weilandt Friderich Schaupen des Weißbeckhen v. burgers allhie hinderlaßene Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 24. VIII.br Zu St Thoman (i 21)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 557, N° 13) 1653. Sonnt. 19. Trin. 16. 8.bris. Paulus Hartschmidt der Jüngere Hafftenmacher, Pauli Hartschmidts burgers Nadtlers vnndt hafftenmachers alhie Ehelicher Sohn vnndt J Martha, weilandt Friderich Schauben des burgers Vnndt weißbeckhen alhie hinderlaßene Eheliche dochter. Mont. 24. 8.br St Thomann, Beckenstub, H Stub (i 305)

Marthe Anne, veuve de Paul Hartschmidt, confirme qu’elle continue le métier de son mari
1670, Miroir, Stecknadler undt Hafftenmacher (XI 300) 1670-1696
(f° 2-v) Donnerstag den 29. Decembr: A° 1670.
Marthan Paul Hartschmidts des Jüng. sel. Wittib Vorgestelt, War befragt, ob sie fürkhünfftig beÿ dißem nunmehr und auff gericht. handwerckh Zugethan sein und damit haben undt leg. wolle, illa Erklärt sich gutwillig dißem handwerck Zugethan Zusein und fürter gleich andere handwerckhs geniß dem artickel gemäß sich Zuverhalt. bitt allein notitiam des gantzen artickels. Erkandt soll ihr solches vff begehren von wortt zu wortt vorgeleßen werden.

Les héritiers de Paul Hartschmidt l’aîné cèdent la maison à sa veuve Marguerite

1674 (6. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 493
Jacob Hartschmidt der bürstenbinder für sich selbsten, Paul Wagner der hafftenmacher alß Vogt Johann Hartschmidts deß ledigen hafftenmachers, und dann Hannß Martin Hailckh der Strählmacher, alß Curator Paul Hartschmidts deß Jüngern gewesenen Hafftenmachers nunmehr seel. nachgelaßener 3. Kinder
in gegensein Margarethæ weÿl. Paul Hartschmidts deß ältern geweßenen Hafftenmachers nunmehr seel. nachgelaßene Wittibin, mit beÿstand Johann Blümle deß Corallenmachers ihres Vogts
Hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Bischoffsgaßen an dem Roßmarckh, einseit neben hannß Jacob Raÿsinger dem Zimmermann, anderseit neben weÿl. Caspar Braunen deß Zimmermanns nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, hinden uff die Krebßgaß stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 125. lb dem Stifft Jungen St. Peter, Item umb 50. lb der Samblung Zum Thurn Verhafftet, sonsten gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen seÿe (zwo beschwärdte übernohmen) – umb 100. lb

Marguerite, veuve de Paul Hartschmidt, hypothèque la maison qu’elle vient d’acheter au profit de Philippe Jacques Gambs. En marge, quittance remise à son fils Jean en 1680.

1674 (13. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 597
Margaretha Weÿl. Paul Hartschmidts geweßenen Hafftenmachers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Johann Blümle des Corallenmachers Ihres Vogts
in gegensein H. Mathæi Schmidts Dahlbergischen Schaffners alß Curatoris Philipp Jacob Gambsen – schuldig seÿe 50. lb
Unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier am Roßmarckh in der Bischoffsgaßen einseit neben hannß Jacob Raÿsingern dem zimmermann, anderseit neben Weÿl. Caspar Braunen deß Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstands seel. Erben hinden uff die Krebs gaß stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Johann Hartschmidts deß Haffetnmachers der debitricis nunmehr seel. nachgelaßenen ehelichen sohns (quittung) Act. 2. Decembr. a° 1680.

Jean Hartschmidt présente son chef d’œuvre en 1680. Il est admis maître le 15 avril. Il devient tributaire le 9 juillet. Il paie tous les frais de son chef d’œuvre bien qu’il demande une réduction.
1680, Miroir, Stecknadler undt Hafftenmacher (XI 300) 1670-1696
(f° 17-v) Dienstags den 15. Aprilis 1680. – Johann Hardtschmidt, der Stecknadler undt Hafftenmacher sein gefertigtes Meisterstück, so Er beÿ herrn Paul Wagner verfertiget, bitt solches Zubesichtigen, und ienach befündung deßen, Ihnen vor einen Ehrlichen mit meister Stecknadler handwerck Zu erkennen, Als Er nun dem Herren obmann angelobt, solches der Ordnung gemeß verfertiget Zuhaben, ist die Schaw vorgenommen, und nach deme solches alles mit fleiß besichtiget, hat sich befunden, daß die arbeit recht sauber und in gutem glantz gefertiget, auch im gewicht Zimlich einschlagend, außer daß die hafften etwas beßer außbreit undt außgeseübert sein sollen, iedoch weilen solches Kein haubtfehler ist, Er für einen Ehrlichen Meister declarirt, auch Ihme glück und heÿl angewünscht worden.

(f° 18-v) Freÿtag den 9.ten Julÿ 1680. – Johann Hardtschmidt, umb daß Er Zu spet Kommen soll daß gebott 2 ß d. beßern.

Johann Hardtschmidt, würdt vorgestellt, die Vier Quartal Gulden die denen Jenigen, so daß Meisterstück Verfertigen Vemög articuls angesertzt, Zuerlegen
Ille enschuldiget sich, daß das stuck ohne das Zimlich gekostet, bitt ermaßung. Erkand, bleibt beÿm Articul, Zalt vf Abschlag 2 fl.

(f° 19) Johann Hardtschmidt, meldet, daß Er sein meisterstück verfertigt, und sich bereits Zünfftig gemacht, bitt dem,nach Ihne für einen ehrlichen meister einzuschreiben, Erkannt Willfahrt.
Johann Hardtschmidt, Hafftenmacher Gesell, ca Hans Georg Schertz, Nehenadler, 17
Friderich Pfotzer ca Johann Hardtschmidt, 24-v

Jean Hartschmidt épouse en 1680 Elisabeth, fille du batelier Jean Henri Fritschmann : contrat de mariage, célébration
1680 (18.4.), Not. Gross (Benoît, 14 not 1)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Johann Hardtschmidt dem ledigen Stecknadler hafftenmachern undt burgern allhier als dem Hn hochzeiter an einem
So dann der tugendsamen Jungfrawen Elisabetha deß Ehrenvesten undt vorgeachten herrn Johann Heinrich Fritschmanns Schiffmanns undt Burgers alhier eheleibliche Tochter, als der Jfr Hochzeiterin andern Theils
Welches alles beschehen undt Verhandelt in deß H. Reichß Freÿen Statt Straßburg, Sonntags den 18. Aprilis Anno Christi 1680 [unterzeichnet] Johannes hardtschmidt hochzeiter, Paulus Wagner alß deß hoch Zeiters Vogt, hanß henrich fritschman Als Vatter, hanß Rudold fritschman Als bruder

Mariage, cathédrale (luth. f° 79)
1680. Dom Quasimodo geniti. Zum 2. mahl [Johann Hartschmidt]der Nad[ler -] nachgelaßener S. Jfr. Elisabeth, Hans [-]schmans Schiffmanns v Burgers alhie T. den 6. Maÿ Münster (i 80)

L’aiguillier Jean Hartschmidt hypothèque la maison au profit de la confrérie des maîtres chanteurs

1708 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 222-v
Joh: Hartschmid Nadler
in gegensein Joh: Philipp Heÿlig alß obermeÿsters und Michel Bößwilwaldt Re*chenmeÿsters beÿ E.E. Geselschafft de Meÿstersänger – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier in der Bischoffsgass, einseit neben Joh: Georg Schöttel, anderseit neben Joh: frid: Hamp Paßm: hinten auf die Krebsgss stoßend

Les contrôleurs de la tribu des Tanneurs font grief à Jean Hartschmidt de vendre des courroies de fixation. Comme sa mère fait de même depuis plus de cinquante ans sans que personne n’y ait vu d’objection, il est exempté d’amende mais doit cesser de contrevenir au règlement.
1708, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 32-v) Dienstag den 12. Junÿ Anno 1708 – Johannes Hardtschmidt der Nadler vnd burger allhier ist beclagt daß er Wider ordnung mit Kniehriehmen handele.deßen haußfrau, weilen er unpäßlich erscheint sagt Könne nicht laugnen das solches beschehen, vermeine nicht daß es verbotten seÿe, angesehen dero Schwieger Mutter schon vor 50. vnd mehr Jahren dergleich. gethan hätte, wäre Ihro niemahlen deßhalben etwas in weg gelegt oder inhibiret worden. Erkandt Wird vor dißmahl die straff nachgelaß. Becklagtem aber beÿ 2. ln d verbotten sich künfftig des verkauffs angeregter Kniehriehmen Zu enthalten.

Jean Hartschmidt et Elisabeth Fritschmann hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Feigler

1713 (17.6.), Chambre des Contrats, vol. 586 n° 359-v
Joh: hartschmidt sen: nadler und Elisabetha geb. fritschmännin beÿständlich Georg Fr. scheiners und Joh: Daniel Dinckels paßm:
in gegensein H. Philipp Blümel rubinschneiders alß vogts Joh: Jacob feiglers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, seine behaußung c. appert: auf dem Rossmarckt in der Bischofsgass, einseit neben Joh: Schöttel anderseit neben H. Reineri hinten auf die Krebsgass

Jean Hartschmidt et Elisabeth Fritschmann meurent à un mois d’intervalle en 1720 en délaissant cinq enfants. L’actif de la succession s’élève à 382 livres, le passif à 69 livres.

1720 (3.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 43)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. d. Ehrenhaffte u. vorachtbahre Herr Johann Hartschmid geweßener Nadler u. die Ehren und tugendsahme Frau Anna Elisabetha gebohrne Fritschmännin, beede Eheleuthe u. burgere zu Straßburg welche bald nach einander u. Zwar Er der maritus Donnerstags den 13. Junÿ Sie die Ehefrau aber Freÿtags den 26.ten Julÿ Jüngsthin Zeitlichen Todes verblichen verlaßen, auf freundliches ansuchen Erfordern und begehren der in gott Ruhend. Eheleuthe seel. hinterlaßener Söhn, döcht. vnd resp. Enckel, wie auch dero Ehe: u. Geschworner vögte, wie solche ane folgenden folio benambßet inventirt (…) Actum Straßburg, Montags d. 5.ten Aug. Anno 1720.
Die abgeleibte beede Eheleuth seel: haben ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Herrn Johann Hartschmid Nadlern u. Burgern alhier vor sich selbsten, 2. Weÿl. Fr. Annæ Margarethæ Schmidin gebohrner Hartschmidin, mit Mr Benjamin Schmid. Nadlers burger Zu Cron Weißenburg ehelich erzeügten hinterlaßenen Sohn, Nahmens Christian Schmiden, deßen Geschworner vogt d. Ehrenhafft H Johannes Bratfisch gleichfalls Nadler und burger alhier, welcher benebens dem Vatter Obgemelt dießer Inventar beÿgewohnt, Weilen aber dießer Enckel ohnverburgert als hat der ordnungs gemäß der Wohl Edel Vest und Wohlgelehrte auch weiße Herr Joh: Caspar Mühlberg. Wohlverordneten Schaffner d. Schenckbecherisch. Stifftung u. E. E. Kl. raths beÿsitzer alß auß wohlermelts Rathß Mittel hierzu insonderheit verordneter Deputatus dem Geschäfft assistirt, 3. frau Annam Elisabetham Christin gebohrne Hartschmidi des Ehrenhafften Johann Martin Christen, Zundelmachers u. burgers allhier Ehewürthin mit beÿstand erstgemelts ihres Ehevogts 4. Frau Susannam Salome Wagnerin gebohrne Hartschmidin des Ehren: u. vorachtbahr Johann Wagners Silberarbeiters u. burgers alhier Eheliebstin mit assistentz deßelben Vnd dann 5. Johann Philipp Hartschmid, noch Ledigen Nadlern so Majorennis vnd ohnbevögtigt mit beÿstand des Ehren u. vorachtbahrn H. Joh: Daniel Kuglers hohlträhers u. burg. alhier seines vettern und hierzu inspecie erbettenen assistenten, Und also alle 5. d. in gitt Ruhend. beed. Eheleuth mit einander Ehelich erzeugte Söhn, döchter u. Enckel u.. ab intestato Zu gleichen theilen verlaßene Erben.
Bericht Wegen eingangs gemelter beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Codicills. Deßwegen ist Zu wißen daß hievorgenante beede Eheleuthe den 3. 8.bris Anno 1695. vor mir Notario ein Codicill vnd letsten willen mit einander auffgerichtet, vnd darinnen reciproce dem letztlebednen den usum fructum generalem vel omnium bonorum verschafft (…)
Copia Nach Disposition – Resolutio vnd Erklärung sambt inserirten vergleich der sambtlichen Hartschmidischen Erben über hievorgeschriebener Nach Disposition (…)

In einer alhie Zu Straßburg in der Bischoffs Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt
Hültzenwerck. Vff der Obern Bühn, In der Soldat. Cammer, In der Magd Cammer, In der Cammer A, In der Wohnstub, In der Stub Cammer
Eigenthumb ane einer behaußung. It. ein hauß und hoffstatt mit allen dern Gebäuen, begriffen, weit. Recht. Zugehörd. v. gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßburg in der Bischoffs Gaßen ane dem Roßmarck, einseit neben H. Frantz Reineri E. E. groß. Raths alt. beÿsitzern, anderseit neben Johann Schötterlin dem Leinenweb. hinten auff die Krebs Gaß stoßend. Davon geh. Jährlichen auff Joh. Baptistæ 5. lb d. Zinß dem Stifft Jung. St. Peter alhier ablösig in Capital mit 125. lb. d, Item 2. lb d Zinß dem Corpore Pensionum Jahrs auff d. 1. Septembris ablößig in Capital mit 50. lb. Item 4. lb d Zinß Jahrs auff den 1. Maÿ Johann Elles dem träher alß Vogten Joh: Jacob Feiglern Lößig in Capital mit 100. lb d. Item 2. lb d gelts E. Löbl. Gesellschafft d. Meistersänger alhier in Capital ablösig mit 50. lb, Sonsten Ledig und eigen durch d. Statt Straßb. geschworne Werckmeistere vermög überschickt. u. beÿ mein des Notarÿ Concept befindlich. den 2.ten August 1720. datirten schrifftlich. Scheins üb. vorstehende beschwerd. annoch æstimirt per 275. lb. Über hievorgeschribene behaußung bes. i. teutsch Perg. Kbrieff in d. St. Straßb. Cancelleÿ Contract stub. anhandenem Insiegel verwahret, datirt d. 6. Augusti A° 1674.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 76, Sa. Werckzeugs Zum hafftenmacher u. Nadler Handwerck gehörig 3, Sa. Wahren Zum hafftenmacher u. Nadler Kram gehörig 10, Sa. Silbers 4, Sa. Guldener ring 13, Sa. Eigenthums ane Einer behaußung 275, Summa summarum 382 lb – Schulden 69 lb – Nach solchem abzug 313 lb – Beschluß summa, Conclusio finalis Inventarÿ 282 lb
Copia Nach Disposition – Persönlich erschienen der Ehrenhafft und Vorachtbahre Herr Johann Hartschmidt Nadler und Hafftenmacher alhier und mit und neben Ihme die Ehren und tugendsame Fraw Anna Elisabetha, Gebohrne Fritschmännin, beede Eheleuthe und burgere Zu Straßburg, Von den Gnaden Gottes Gesundter Gehend und stehender Leiber und guthen Richtigen Verstandts (…) Jacob Christoph Pantrion, Notarius requisitus

Jean Wagner et Susanne Salomé Hartschmidt hypothèquent leur part de maison au profit de Jean Hartschmidt

1720 (11.10.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 478-v
Johann Wagner der Tabacbereiter und Susanna Salome geb. Hartschmidtin mit beÿstand Johann Philipp Hartschmidts deß Nadlers ihres leiblichen bruders und Johann Daniel Schwebels auch Tabacbereiters ihres vettern
in gegensein Johannes Hartschmidts Nadlers – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, hauß cum appertinentÿs in der Bischoffs gaß ahm Roßmarckt einseit neben H. rathh. Reiner anderseit neben Johann Schöttel leinenweber hinten auff einen außgang in der Krebs gaß habend

Anne Elisabeth Hartschmidt femme du fabricant de mèches Jean Martin Christen, Susanne Salomé Hartschmidt femme de Jean Wagner et Jean Philippe Hartschmidt vendent leurs part (c’est-à-dire trois cinquièmes) de la maison à leur frère aiguillier Jean Hartschmidt

1721 (28.1.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 58
(375) Anna Elisabetha geb. Harttschmidin beÿständlich ihres Ehemanns Johann Martin Christen Zundelmachers und Susanna Salome geb. Harttschmidin mit beÿstand Johann Wagners Tabackbereiters ihres Mariti und Johann Philipp Harttschmid Nadler
in gegensein ihres leiblichen bruders Johann Harttschmidts Nadlers
dreÿ fünffte theil vor ohnvertheilt ahne einer behausung und hofstatt in der Bischoffs: gaß, einseit neben Hn Reineri Exsenatore anderseit neben Johann Schöttel Leinenweber hinten auff die Krebsgaß gelegen, woran ein fünffte theil ihme dem käuffer selbsten, der übige fünffte theil aber seiner Schwester Sohn Christian Schmidt so minorennis gehörig ist – um 225 pfund capital verhafftet pro rata übernohmen, und 375 pfund

Le tuteur du fils d’Anne Marguerite Hartschmidt femme de Benjamin Schmidt hypothèque le cinquième de la maison au profit de Jean Hartschmidt

1721 (28.1.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 60
Johann Brattfisch Nadler als Vogt weÿl. Anna Margaretha Hartschmidin jüngsten Kindts Christian Schmidts
in gegensein Johann Hartschmidt Nagelschmidts – schuldig seÿe 30 pfund
unterpfand, Einen 5.ten theil ahne einer behausung allhier in der Bischoffs: gaß, anderseit neben H. Reineri Exsen. anderseit neben Schöttel hinten auff die Krebs: gaß

Le même vend la part de maison à Jean Hartschmidt qui devient ainsi propriétaire de la maison entière

1721 (27.5.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 250
(125) Johann Brattfisch Nadler als vogt weÿl. Annæ Margarethæ Schmidtin geb. Harttschmidtin seelig hinterlaßenen jüngsten Kindts Christian Schmidts
in gegensein Johann Harttschmidts auch Nadlers
den seinem Curandi zugehörigen 5.ten antheil ahne einer behausung und hoffstatt mit allen deßen zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Bischoffs: gaß, einseit neben Hn Reineri Exsenatore anderseit neben Johann Schöttel Leinenweber hinten auff die Krebs: gaß gelegen, davon die über vier 5.te 5 theil dem käuffer selbsten eigenthümlich zugehören – die gantze behausung um 125, 50 und 50 verhafftet, d. 5.te theil 30 pfund, geschehen um 50 pfund

Jean Hartschmidt s’adresse aux Quinze pour pouvoir faire son chef d’œuvre sans présenter aussi les aiguiiles de compagnon, ce qu’il a déjà fait à Kœnigsberg lors de son tour de compagnon qui a duré sept ans. Les Quinze accordent la dispense moyennant deux livres. A la demande de plusieurs maîtres et compagnons, la dispense est accordée à titre gratuit puisqu’aucun texte ne peut obliger le pétitionnaire à présenter les aiguilles. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112), 1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 33) Sambstags den 4. Februarÿ – Kun. nôe Johann Hartschmids junioris deß ledigen nadlers gtra. E. E. Meisterschafft der Nadler Obermeister, weilen principalis das Meisterstück Zumachen gesinnet, aber auch die sogenandte Gesellen nadlen machen soll, darüber doch kein Articul vorhanden, alß bittet vnderth. ihme derselben Zuerlaßen vndt Zum Meisterstück Zu admittiren. Saltzm. zu mherren bericht buttet Deputationem vnd s. Erk. ahne die Obere handwercks herren gewiesen.

(f° 39-v) Freÿtags den 10.ten Februarÿ 1708. – Johann Hartschmid Ca. E. E. Meisterschafft der Nadler
Iidem [Obere handwercks herren] laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß Johann Hartschmid der jüngere der ledige Nadler geklagt, daß die Meisterschafft der Nadler ihne dahin anhalten wollen, daß beÿ verfertigung deß Meisterstücks, auch die sogenandte gesellen nadlen machen solte, anbeÿ vmb Deputation gebetten. alß mann ihne ferner gehört, habe Er beditten, daß Er Zu Königsberg Zum gesellen gemacht worden were so ihne 24. Rth. gekostet, vnd Er ahne statt der gesellen nadler Einen dahler geben müßen, vnd wann Er anjetzo allhier die geselln nadlen machen müßte, Er selbsten dadurch seinen geselln standt verwerffen, 2. Er eines Meisters sohn were vnd 7 jahr gewandert hette, 3. es nur auff eine debauche angesehen were. Noîe der Meisterschafft seÿe Frantz Georg Schertz und Heinrich Stöber erschienen, die hetten gemeldet, daß so lang geener ein gesell bleibe, Sie ihne für einen Gesellen hielten, wann Er aber Meister werden wolte, Er machen müßte, was Sie auch gemacht hetten 2. Zu Königsberg die gesellen nachen allzeit gemacht worden weren welche in 3000 gemeinen langen nadlen bestünden 3. Meister Hartschmid des Klägers Vatter vnd Meister Pfitzer diese nadlen Zwar nicht gemacht, aber schon alte Leuth gewesen weren vnd Sie die dispensation beÿ MGhh. dießem orth erhalten hetten, auff befragen ob Ein articull vorhanden, Sie mit nein geantwortet, jedoch behaupten wollen, daß es Handwerck brauch were, von welcher sach man man beÿ der ersten Conferenz geredt, vnd denen* H darvor gehalten daß beÿ Klägern Zwar dispensirt, jedoch derselbe Zu erlegen 2. lb d pro dispensationem gehalten werden könte, nach den mann aber nachegehends von 5. Meistern vnd 8 Gesellen schrifftlich vernohmen, daß Kläger Zu verfertigung der so genandten gesellen nadlen nicht wohl angehalten werden Könte, so were man der meinung daß ihme die dispensation gratis gedeÿen könte. Erk. bedacht beliebt.

1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 44) Sambstags den 2. Martÿ 1709 – K. noîe Joh. Hartschmids jun. des Nadlers und burgers alhie, der bittet underth. umb gn. communication des ohnlängsten in Causâ ejus C. E. E. Meisterschafft der Nadler ergangenen Bescheidt. Erk. willfahrt.

(f° 45-v) Freÿtags den 8. Martÿ 1709 – Johann Hartschmids Ca. die Nadler
In Sachen Johann Harttschmids jun. des ledig. Nadlers Klägern an einem, entgegen vnd wid. E. E. Meisterschafft der Nadler alhie, beklagten am andern theil, Ist pt° verfertigung des Meisterstücks undt in specie der sogenanten Gesellen nadlen Erkandt, wird beÿ Klägern erheblichen Ursachen halben Gratis dispensirt, mithin Er von verfertigung erstged. Gesellen Nadlen, gäntzlichen befreÿt.
Die genehmhaltung vorstehender Bescheidt Zu Mghherren stellendt. Erkandt, sollen alle dreÿ abgeslesene bescheidt auff solche weiß expedirt vndt den Parthen Zugestellt werd.

Jean Hartschmidt épouse en 1708 Marie Salomé Fischer, fille du relieur Jean Michel Fischer : contrat de mariage, célébration
1708 (19.10.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 264
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen Johann Hartschmidt Ledigen Nadler, Herrn Johann Hartschmidts deß ältern, Nadlers vnd burgers Alhier Ehelichem Sohn, Als hochzeitern an einem
So dann der Ehren: und Tugendreichen Jungfr. Mariæ Salome, Gebohrner Fischerin, weÿl. Meister Hannß Michael Fischers, Geweßenen Buchbinders und Büttels beÿ E.E. Weinsticher Zunfft nunmehr seel. hinderlaßener Ehelichen dochter als der hochzeiterin, Am Andern theil
Actum Straßburg in fernerer præsenz H. Johann Hartschmidts deß ältern als des Hochzeiters Vattern obgedacht, vnd herrn Johann Georg Fritschmanns Schreiners seines Vettern, auff sein deß Bräutigambs So dann Auff der Jungfr. Hochzeiterin seithen Herrn Friderich Benners Bedienten beÿ Alhiesiger Stub vnd herrn Johann Grohbergers halbleinenwebers derselben Curatoris, Montags den 29. Octobris A° 1708. [unterzeichnet] Johannes Hardtschmidt, Mari salomi fischerin als hochzeierin

Mariage, cathédrale (luth. f° 197-v, n° 881)
1708. Mitwoch den 21.t Seind nach 2.mahl. Proclamation ehl. copulirt worden Johannes Hartschmid der Ledige Nadler Johann Hartschmid b. und Nalders ehel. Sohn, und Fr. Maria Salome weÿland Joh: Michael Fischers gew. b. vnd buchbinders hinterl. ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes hardtschmidt als hoch Zeiter, Mara salome fischerin als hoch zeitterin (i 197)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse rue des Charpentiers. Les apports du mari s’élèvent à 115 livres, ceux de la femme à 127 livres.
1708 (27.Xbris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 31) n° 35
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrenhaffte Johannes Hartschmitt der Jüngere Nadler, und die Ehren: und Tugendsahme fraw Maria Salome Hartschmidin, Gebohrne Fischerin beede Eheleuth und burgere Allhier zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand Zugebracht, welche Nahrungen der Ursach halben, damit mann sich künfftiger Zeit der in ihrer auffgerichteten Eheberedung verglichenen Ergäntzung wegen darnach Zu reguliren haben möchen vorgenommen, ersucht und inventirt
Actum Straßburg in fernerer præsenz herrn Johann Hartschmidts deß ältern Nadlers als deß Ehemanns Geliebten Vattern vnd frawen Catharinä Bennerin der Frawen Gebleibten Mutter, wie auch H Johann Grohbergers, Leinenwebers, derselben geschworne Vogts Donnerstags den 27. Xbris A° 1708.

Nota. Die Zwischen beÿde Eheleuthen auffgerichtete Eheberedung ist den 29.ten 8.bris A° 1708. vor mir Notario verschrieben Zubefinden.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth Gaß gelegener der Frawen geliebten Eltern Zuständiger Behausung befunden worden wie folgt.
Wÿdumb Welchen Fraw Catharina Bennerin der Frawen Geliebte Mutter von Weÿl. Herrn Hannß Michael Fischern dero Estern haußwürth seel. ad dies vitæ Zugenießen hat, davon das Eigenthumb der Frawen Verfangen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns unveränderte Nahr. Sa. Kleÿd. vnd eißen Gezeugs 59, Sa. der Wahren und gemachter arbeit und Werckzeugs Zum Nadler handwerck gehörig 110, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. baarschafft 8, Summa summarum 183 lb – Schulden 68 lb, des Ehemanns restirende unveränderte Nahrung 115 lb
Der Ehefrawen unverändert Vermög. Sa. haußraths 112, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. Guldener Ring 10, Sa. Baarschafft 40, Summa summarum 177 lb

Jean Hartschmidt et Marie Salomé Fischer hypothèquent la maison au profit de François Jacques Eggs, receveur à Saint-Pierre-le-Jeune

1725 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 5-v
Johannes Harttschmidt der Nadtler und Maria Salome geb. Fischerin beÿständlich ihrer Schwester Sohns Johann Reinbold Emmerich Philosophiæ Studjosi und Johann Nicolauß Weber Knopffmacher
in gegensein H. Frantz Jacob Eggs Schaffners des Stiffts zum Jungen St Peter von deßelben Scholastico vermög einer unter den 9. hujus ertheilten procuration – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, Eine Behausung zweÿ höfflein Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Staden im Rechengäßel, einseit neben der hattischen wittib anderseit neben hieronymus hatt den Biersieder zum Vogelgesang hinten auff erstgedachte hattische wittib gärttlein
Ferner Eine Behausung cum appertinentÿs ahm Roßmarckt in der Bischoffs: gaß einseit neben H. Rathh. Reineri, anderseit neben den Schöttelischen erben hinten auff die Krebsgaß und einen außgang in dießelbe habend gelegen

Quittance de l’obligation ci-dessus
1732 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 143
H. Frantz Jacob Eggs Schaffner des Collegiat Stiffts zum Jungen St Peter
Johannes Harttschmidt des nadlers
demach wohlged. Stifft zum Jungen St Peter auff sein Harttschmidt eigenthümlich allhier am Roßmarckt in der Bischoffsgaß einseit neben H. Rathh. Johann Frantz Reineri anderseit neben Schöttel dem Leinenweber hinten auff der Krebs: gaß stoßend und einen außgang in dieselbe habend, gelegenen behausung, 125 pfund (quittirt)

Marie Salomé Fischer meurt en 1748 en délaissant neuf enfants. L’inventaire est dressé sur les quais près du Pont du Corbeau dans la maison à l’Hommelet rouge. Les experts estiment la maison rue de Bischheim à la somme de 400 livres. La masse propre au veuf est de 155 livres, celle des héritiers de 286 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 499 livres, le passif à 1 059 livres

1748 (9.10.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 55) n° 1418
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, liegender und Fahrender, Verändert und unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die Viel Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Hartschmidtin gebohrne Fischerin des Ehren und Vorgeachten Herrn Johannes Hartschmidt Nadlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene Ehefrau nunmehr seel. nach ihrem den 31. Julii dieses fortlauffenden 1748.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaße, welche Verlaßenschafft auf freundl. Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl des herrn Wittibers Selbsten, als de hinterlaßenen mit Ihme dem herrn Wittiber ehelich erzeugter Neun Kindere, alle nach dießem Titulo Inventandi benambst ihren herrn Eh und geschwornen Vogts, ordentl. benambstern fleißig Inventirt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg den 5.ten Octobris Anni 1748.
Die abgeleibte Seelig hat ab intestato Zu ihren rechtmäsigen Erben Verlaßen wie folgt. 1. die Ehren und tugendsame Frau Mariam Salome Tießin gebohrne Hartschmidtin, herrn Johann Ernst Friderich Tieß, Informatoris und burgers allhier Zu Straßburg Eheliebste welche nebst demselben dem Geschäfft persönlich abgewartet in den Ersten Neunten Stammtheil, 2. den Ehren vest und vorachtbaren herrn Johann Friderich Hartschmidt, handelsmann und ebenmäßig allhiesigen burger, so præsens war, in den Zweÿten Neunten Stammtheil, 3. den Ehren und vorgeachten Herrn Johann Heinrich Hartschmidt Schwerdtfeger und burger allhier, welcher dem geschäfft ebenfalls in person beÿwohnete, in den dritten Neunten Stammtheil, 4. Herrn Johann Jacob Hartschmidt den leedigen haußknecht und Koch Zu Franckfort in diensten stehend in den vierten Neunten Stammtheil, 6. Herrn Johannes Hartschmidt den leedigen Nadler vnd burger allhier, welcher gleichfalls in eigener Person der Inventation gegenwärtig war, in den fünfften Neunten Stammtheil, 6. die Ehren und tugendbegabte Frai Mariam Elisabetham Metzin gebohrne Hartschmidtin, H Johann Erhard Metz des weißbecken und allhiesigen burgers Ehefrau welche unter dießen authoritæt beÿ deù geschäfft erschienen in den Sechten Neunten Stammtheil, 7. 8. 9. H. Johann Christoph, Studiosus Philosophiæ, Johann Gottfried und Jungfrau Catharinam Margaretham die Hartschmidte, Welche dreÿ bevögtiget mit H Johann Michael Weber Knöpffmachern und burger, dahier, welcher Seiner Curanden Interese hiebeÿ observiret, in die dreÿ letzte Neunten Stammtheil Also alle Neun der verstorbenen Seel. mit eingangs gemeldten ihrem hinterbliebenen H Wittiber ehel. erzeugte und hinterlassene Kinder, auch Zugleichen Portionen und Antheilen Erben
Publicatio codicilli

In einer allhier Zu Straßburg dem Rechengäßlein ane dem Stadten beÿ dem Rothen Männel gelegener und eigenthümlich hiehero gehöriger behausung Sich befunden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Obersten Bühn, Kammer Lit. A., Kämmerlein N° B, In dem Obern haußöhren, Kammer Lit. C. Im obern Stübel, In der Nebens Kammer, In H. Studiosi Stübel, In dem Haußöhren vor der Wohnstub, In dem Kämmerlein neben der Kuchen, In der Wohn Stub, In der Wohn Stub Kammer, In der Küchen
(f° 19-v) Eigenthum ane Häußern, Laden vnd einem Garten. (W.) Erstl. ein fünffte theil vor ohnvertheilt, wovon die übrige vier fünffte theil sich unter fol. (-) beÿ der theilbaren Verlaßenschafft sich beschrieben befinden, von vnd ane einem hauß und hoffstatt samt Ihren ubrigen Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Bischofs gaß eins. neben Johann Georg Mader, anders. neben H. Rathh. Reineri hinterlassener wittib und hinten auf die Krebsgaß stoßend, gelegen, so freÿ leedig u. Eigen angeschlagen pro 400 lb. Macht daran der dißortig. 5.te theil 80. lb. Hierüber und Zwahr vber dreÿ fünffte theil redet ein ane die bedittenem Orth errichteten teutscher perg. Kauffbrieff, de dato 28. Januarÿ 1721. Ebenfalls mit dero anhangendem Innsiegel versehen den vierden fünfften theil habe mann von Christian Schmid, deß H. Wittibers Schwester Sohn käuflich ane sich gebracht, war über oballeg. Kbrieff vorhanden, auch per an* redet v ist datirt den 27 Maÿ 1721
(T.) Nemblichen Vier fünffte theil vor ohnvertheilt daran der ubrige vier fünffte theil oben fol. (-) dem Wittiber Zu geschriben von vnd ane der allda specificirter behausung ane der Bischofs gaß allhier gelegen treffen ane 400 lb an 320. lb Wie solche 4. theil aquirirt worden, kan auß dem oben fol. (-) allegirten Kbrief ersehen werd.
(T.) Item eine behaußung ane dem Stadten beÿ dem Rothen Männel im Rechengäßlein (…)
(T.) Item ein lädel auff der Schindbruck (…)
(T.) Item ein allh. auf der Schindbruck gelegenes Gädlein (…)
(T.) Item ein Gädlein allhier beÿ dem Spahnbett (…)
(T.) Item ein Gartenhäußlein vor dem allhiesigen Metzger thor ane der Rheinstraß (…)
(E.) Item ein lädlein allhier auff dem Prediger Kirchhoff (…)
Ergäntzung des Wittibers ermanglenden unveränderten guth, Nach anleitung Inventarÿ illatorum de 1708.
Norma et Series rubricarum hujus Inventarÿ Copia der Eheberedung, Copia Codicilli reciproci
Des Wittibers eÿgenthümblich Vermoegen. Sa. antheils ane eine behausung 80, Sa. der Ergäntzung (186, abzug 69, Remanet) 116, Summa summarum 196 lb – Schulden 41, Nach deren Abzug 155 lb
Solchemnach Wird auch die beschreibung der Kinder vnd Erben anerstorbenen Mütterlichen guths, Sa. Kleidung vnd weißen gezeugs 31, Sa. Eigenthums ane einem Lädel 75, Sa. Schulden 35, Sa. der Ergäntzung (254, abgang 110, restirt) 144, Summa summarum 286 lb
Endlichen wird auch die gemein verändert und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. hausraths 157 lb, Sa. Waaren und Werckzeugs zum Nadler handwerck gehörig 731 lb, Sa. Wein und leeren Vaß 229, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 79 lb, Sa. der baarschafft 76 lb, Sa. pfenningzinß hauptguths 500, Sa. Eigenth. ane häußern laden und einem garten 1361 lb, Sa. Schulden 1352 lb, Summa summarum 4499 lb – Schulden 1059 lb, Nach deren abzug 3439 lb – Conclusio finalis 3881 lb
– Abschatzung Vom 16.ten 7.bris 1748. Auff begehren deß Vorachtbaren herrn Johannes Hartschmidts deß handelßmanns und burgers allhier ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg an dem Schiffleuthstatten im Regengäßlein (…)
Der Sechste begriff ist allhier in der Statt Straßburg in der bischoffsgaß einseit neben Georg Mader anderseits neben Frau Reineri der Wittib und hinten auff die Krebsgaß stosend gelegen, neben dem Eingang befindet sich eine Stube, Kuchen und ein Kammer, auff dem Ersten stock Zwo Stuben ein Stub Kammer und ein Kuchen, auff dem Zweÿten stock eine Stube, Küchen und Zwo Kammeren, hat einer alten tachstuhl mit breit Ziegeln gedeckt, unter dem hauß hat es einen gewölbten Keller, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern dem Jetzigen Preiß nach, nach Vorhergeschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Acht hundert Gulden [unterschrieben] Johann Jacob Biermeÿer statt Lohner, Werner Werckmeister des Maurhoff

Jean Hartschmidt se remarie avec Anne Ursule Günther, veuve du vitrier Wendelin Schneider : contrat de mariage, célébration
1749, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1196
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und Vorachtbahre herr Johannes Hardschmid der ältere Nadler vnd burger allhier Zue Straßburg als hochzeiter ane einem
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte fraw Anna Ursula gebohrne Günterin weÿl. herrn Wendling Schneider geweßenen glaßers vnd burger Zu gedachtem Straßburg hinterbliebene Wittib als hochzeiterin am andern theil
[unterzeichnet] Johannes Hardschmid als Hochzeiter, Anna Ursula Güntherin alß hochzeiderin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 71-v, n° 395)
1749. Sontag den 1.sten Junii seind nach zweÿmaliger ordentlicher proclamation und ausruffung in der Neuen Kirch und zu St Thomæ auf erhaltener Erlaubnuß des regirenden Herrn Ammeisters zu hauß copulirt und eingesegnet worden hr. Johannes Hartschmidt der Älter, der wittiber, Nadler und burger allhie, und fr. Maria Ursula Weÿl. Wendeling Schneider gewesenen Glaßer und burgers allhie hinterlassene wittib [unterzeichnet] Johannes Hardtschmidt als hochzeiter, Maria Ursula Schneiderin als hochzeiterin (i 73)

Ils modifient leur contrat de mariage en 1750.
1750 (26.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 88) varia n° 1220
Renunciatio und respe. declaratio H. Johannes Hardschmid sen. Nadlers und fr. Annæ Ursulæ geb. Günterin beede Eheleuthe allhier, Einige puncten Ihrer Ehepacten betreffend

Jean Hartschmidt meurt en 1757 en délaissant sept enfants de son premier mariage. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 5 249 livres, le passif à 426 livres.

1755 (15.10.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 65) n° 1584
Inventarium über Weÿland deß Ehren und Vorachtbahren herrn Johannes Hardschmid des ältern geweßenen handelßmanns und burgers allhier seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in anno 1757. – nach seinem den 8.ten Septembris des fortlaufenden 1755.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen(schafft), auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. in erster Ehe mit weÿland der Ehren und tugendsahmen fraun Maria Salome gebohrner Fischerin Ehelich erzeugter Kindern, Söhne, töchtere vnd Enckelen und geschwornen vögten auch theilvögte (…) inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme frau Annam Ursulam gebohrne Günterin die hinterbliebene wittib – Actum in der königlichen Statt Straßburg auf Mittwoch den 15.ten octobris et seqq. Anno 1755.
Der entseelte hr. Hardschmid hat per Testamentum zu seinen rechtsmäßigen Erben verlaßen wie Volgt. Nota. Obschon derselbe in deßen hernach inserirten Testamento in scripris acht Erben gedencken, so ist dannoch deßen verlaßenschafft nur in Sieben Stammtheil zu vertheilen, Ursachen der eine Sohn, so Johann Christoph Medicinæ Studiosus Vor dem Testireren vatter todes verblichen.
1. die Ehren vnd tugendsahme frau Maria Salome Tießin gebohrne Hardschmidin, Hn Johann Ernst Friderich Tieß des Informatoris und burgers allhier Elheliebsten, welche nebst Ihrem marito dem geschäfft von anfang biß Zu end beÿgewohnt, In dem Ersten Siebenden Stammtheil, 2. Herrn Johann Friderich Hardschmid den allhiesig Verburgerten handelsmann vor sich vnd in seinem Nahmen in den Zweÿten Siebenden Stammtheil, 3. H Johann Heinrich Hardschmid Schwerdfeger vnd burgern dahier aber dermahlen Zu Paris sich aufhaltend vnd deßen mit frauen Margarethä Salome gebohrner Silberadin ehelich erzeugte zweÿ Kinder, Nahmens Margaretham Salome und Johann Heinrich, welche bevögtiget seind mit H Johannes Hardschmid dem Nadler vnd allhiesigen Burger, angesehen Er aber proprio nomine selbsten hierbeÿ interessirt, so war als geschworner Theilvogt zugegen hr. Joh: Jacob Krieg Spitalwagner und burger dahier nomine desselben aber (…) herr Johann Andreas Stahl welcher auch von anfang biß zu end præsens war, und also Vatter Kinder vnd Enckele in dem dritten Siebenden Stammtheil. 4. obgedachten H Johannes Hardschmid Nadler und Burgern dahier vor sich und in seinem Nahmen so dem geschäfft behörig abwartete in den vierten siebender haupt und Stammtheil, 5. frau Mariam Elisabetham Metzin gebohrne Hardschmidin Joh: Erhard Metz deß Ehemaligen weißbecken vnd dermaligen in dem allhiesig teutschen Merern hospitahl armen pfründers Ehefrau, welche vor sich und in Ihrem Nahmen der Inventur Zugegen war in den fünfften Siebenden Stammtheil, 6. herr Johann Gottfried Hardschmid leediger Kunst und Schönfärber, so zwahr majorennis aber dennoch bevögtiget mit H Johann Michael Weber dem dasigen burger und Knöpffmacher, Zu dem ende Sie beede ebenmäßig der Inventur persönlich abwarteten in den Sechsten Siebenden Stammtheil, 7. frau Catharinam Margaretham gebohrne Hardschmidin Herrn Johann Christoph Flach deß allheisigen verburgerten Würts Eheliebste von demeselben so wohl als vorermeltem Hn Johann Michael Weber Ihrem annoch ohnentledigtenen vogt hierzu genugsam authorosirt, auch bemebst Ihro selbsten, dero Interesse hiebeÿ observirt, In letzten Siebenden Stammtheil
Alle Sieben vorherbemelte Kindere und Enckele aber Von dem seelig Verstorbenenen mit Eingangs gemelter fraun Mariæ Salome gebohrner Fischerin in Erster Ehe ehelich erzeugt, Zu gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben.
Copia der Eheberedung – Copie Eheberedungs Vergleichß – Copia EE Großen Raths bescheids – Copia Testamenti
Bericht Gegenwärtigen Inventarÿ. Demnach in der vorher inserirten vnd ane seiten E. E. großen raths confirmirten Eheberedung vergleichß zu ersehen, daß obwohlen die beede damahlige hochzeit vndt nachmahlige Eheleute §° 2.do derselben beederseits ein unverändert guth folglichen nach eine Ergäntzung stipulirt und ferner (…)

In einer allhier zu Straßburg ane dem Staaden beÿ dem Rothen Männel gelegenen und eigenthümlich hiehero gehörigen behaußung sich befunden wie volgt
(f° 27-v) Eigenthumb ane häußern, Lädlein einem garten auß vnd darzugehörigen grund.
Estl. Eilff 15.te theil vor ohnvertheilt, davon die vbrige vier 15.te theil infra fol. (-) in wÿdemb beschrieben Zu befinden, sampt allen deren ubrigen gebeuden, begriffen, weiten, zugehörden vnd gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der bischofs gaß auf dem Roßmarckt einseit neben Johann Geörg Mader dem bratwurstmacher, anderseit neben denen ehemaligen Reinerischen herren Erben modo N. N. hinten auf die Krebsgaß stoßend gelegen, gegen Männiglichen freÿ leedig vnd eigen. Demnach aber *wohlen dießes hauß als alle andere hernach beschrieben begriff samt Zweÿ Vierthal grund auf absterben weÿland fraun Mariæ Salome gebohrner fischerin des H Defuncti erstern Ehefrauen seel. Vermög deren Verlaßenschafft Inventarÿ in anno 1748. den 10. Septembris dicti anni durch den herren lohnherrn vnd Werckmeistere auch sonst beäydigte Schätzere seind æstimirt worden, Alß haben die wohl ansehnliche Herren dreÿ der Statt Stall großgünstig belieben wollen die dißeitig. herren Erben von einer anderwertigen Abschatzung zu dispensiren, so daß es beÿ den obangezogenen anschlag sein verbleiben haben solle. Deme Zufolg ward vorherbeschribenes hauß æstimirt per 400 lb. Und thun* denen heiero gehörigen Eilff 15.te theilen 293 lb
Darüber und Zwahr aber vier 5.te theil besagt ein in allhiesiger Cantzleÿ Contractstub gefertigter pergamenter Kauffbrieff datirt den 23. Januarÿ 1721. Der ubrige 5.te theil solle von Christian Schmid des defuncti schwester seel. Sohn den 7. Maÿ 1721 erkaufft worden seyn
It. Zween dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung ane dem Staaden beÿ dem rothen männel (…)
It. Zween ohnabgetheilte dritte theil ane einem auf der Schindbruck allhier (…) gelegenen Lädlein (…)
Item ein gädlein allhier beÿ dem Spanbett (…)
Item ein Gartenhäußlein vor dem allhießighen Metzger Thor and der Rheinstraß (…)
(f° 32-a) Wÿdemb Welchen der Verstorbene Hr Hardschmid von seiner Verstorbenen, Erstern Ehefrauen Mariæ Salome gebohrner Fischerin lebtägig genoßen
Nemblichen ein lädlein auf dem Prediger Kirchhoff (…)
(f° 36) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 157, Sa. weins vnd leeren vaß 50, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 72, Sa.Goldener Ring 25, Sa. baarschafft 850, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2300, Sa. Schulden 855, Sa. der häußer, lädlein gartenheüsel sambt dem dazugehörigen grund 941, Summa summarum 5249 lb – Schulden 426 lb, In Compensatione 4822 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 4822 lb (…) Solchemnach bestunde die Conclusio finalis et Stall summa Inventarÿ 5495 lb

Jean Hartschmidt rachète les parts de ses cohéritiers et devient seul propriétaire de la maison

1756 (18.8.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 65) Joint au n° 1584 du 15 oct. 1755
Cessio der in der Bischoffs gaß allhier gelegener behausung
Erschienen vor mir unterschriebenen u. dißorts adhibirten Inventir Notario weÿl. H. Johannes Hardschmid des ältern geweßenen handelßmanns u. burgers alh. zu Straßburg mit auch weÿl. Frauen Maria Salome gebohrner Fischerin seiner von Ihme verstorbenen Haußfrauen ehelich erzeugte verlaßene u. alh. verburgerte Kinder u. Erben Namens Frau Maria Salome Tießin gebohrne Hardschmidin, Hn Johann Ernst Friderich Tieß des Informatoris u. burgers allhier Ehefrau, von demselben hierzu genugsam autorisirt, Herr Johann Friderich Hardschmid, Handelsmann für sich u. in Nahmen herr Johann Andreas Stahl, Maurer u. Steinmetz auch E. E. Kleinen Raths dahier jetzmaliger beÿsitzer, welcher als Deputatus aus deßelben Mittel H Joh. Heinrich Hardschmid des allhiesigen Schwerdfegers und einen dermahlen Zu Paris sich aufhaltenden und abwesenden Sohns Stelle u. Interesse hiebeÿ vertritt, ferner u. im Namen deßen mit frauen Margarethæ Salome gebohrner Silberadin ehelich erzielter zweÿer Kinder, Margarethæ Salome und Johannis, H. Joh: Jacob Krieg alhiesig verburgerter Spitalwagner deroselben geschworner theilvogt, angesehen H. Johannes Hardschmid Nadler u. eine Sohn daren geschworner Vogt selbsten deßfalls interessirt, Frau Maria Elisabetha Metzin gebohrne Hardschmidin, Joh: Erhard Metz deß falliten u. ehemaligen weißbecken u. dermaligen armen Pfründers des teutschen Mehrern hospitals Eheweib, von Mstr Johann Jacob Böhm dem Lamm macher u. burgern dahier ane Vogtsstatt verbeÿstandet, So dann H Johann Michael Weber, Knöpffmacher in qualitæt eines geschwornen und annoch ohnentledigten Vogts der Zweÿen dißortiger jüngern aber Großjährigen Kindern Namens H. Johann Gottfried Hardschmid des leedigen Kunst und Schönfärbers hier zugegen und Frauen Catharina Margaretha gebohrne Hardschmidin, H. Joh: Christoph Flach deß Würts u. burgers allh. haußfrauen, so aber nebst Ihrem Marito nicht præsens war, alle samt u. sonders anzeigende,
weilen auf die zum theil in Ihres respê Vatters Verlaßenschafft u. theils in der Mütterlich von Ihme genoßener Wÿdemb gehörige in der Bischofs: Gaß nahe dem Roßmarckt, einseit neben Weÿl. H: Rathh. Reineri wittib u. Erben u. anderseit neben Dorothea Wackerin der Maurerin gelegene u. hinten auf die Krebs Gaß stoßende behaußung, nach erhaltenem Decreto alienandi, beÿ denen viermahligen beÿ E. E. Grosen Rath vorgehabten Versteigerung keine Mise gelegt worden, mithin fruchtlos abgeloffen, und aber Ihnen denen herrn Comparenten u. Erbs-Interessenten ane der Erörterung Ihrer Elterlichen Succession sehr viel gelegen (…) zu Ihren deren participirenden 806/948 theilen, davon in die Vätterliche Mass 338/948 theil in den mütterlichenWÿdemb aber die überige 8/48 gehörig seind, maßen dem H. Cessionario ein siebender theil proprio daran gebührig
H Johannes Hardschmid dem Nadler, bruder, Vettern und Mit Erben für freÿ leedig und eigen – die gantze behaußung zu 800 gulden gerechnet, nebst denen viermaligen Versteigerungs Cösten für u. um 685 gulden – Straßburg den 18.ten August 1756.

Jean Hartschmidt épouse en 1749 Dorothée Marthe Severin, fille du marchand Jean Thierry Severin : contrat de mariage, célébration
1749 (6.2.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1189
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten vnd bescheidenen H. Johannes Hardschmid, leedigen Nadler, des H. Johannes Hardschmid auch Nadlers vnd burgers allhier Zu Straßburg mit weil. der Ehren v. tugendsahmen fr. Mariæ Salome gebohrner Fischerin Ehelich erzielet v nach Tod verlaßenen Sohn, als Hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehren und Tugendbegabten Jgfr. Dorotheæ Marthæ Severinin weÿl. H. Johann Dietrich Severin Gewesenen handelsmanns, mit auch weil. der Ehren und Tugendsahmen frauen Mariæ Elisabethæ gebohrner Kohlin Ehelich erzeugt v. nach Tod Verlaßener Tochter
Zum Zehenden, thut H. Johannes Hartschmid des hochzeiters Vatter demselben das ane der Schindbruck einseit neben H. Notario Brackenhoffer uxor. nôie. und deroselben Schwester anders. neben. Mstr Wachenheimer dem Riemenschneider gelegene Gädlein, wavon mann Jährlich 15 ß. d. Bodenzinß Zu geben schudig, vor freü, Leedig vnd Eigen, eÿgenthümlich cediren und überlaßen (…) 1600 gudlen
Actum in der Königlichen Statt Straßburg den 6. Februarÿ 1749 [unterzeichnet] Johannes Hardtschmidt als hochzeiter, Dorothea Martha Severinin als hochzeiterin

Mariage, cathédrale (luth. f° 267-v, n° 1007)
1749. Eodem [Mittw. d. 16. Apr.] seind nach ordentliche proclamation ehel. copulirt und eingesegnet worden Johann Hardschmid der ledige Nadler H. Johann Hardschmids auch Nadlers und b allh. ehl. Sohn und Jfr Dorothea Martha weÿl. H Joh: Dietrich Severins Handels. u. b. allh. ehel. tochter [unterzeichnet] Johannes Hardtschmidt als hoch Zeiter, Dorothea Martha Severinin als hochzeiterin (i 273)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient en partie à l’épouse. Les apports du mari qui comprennent sa part de maison rue de Bischheim s’élèvent à 456 livres, ceux de la femme à 649 livres.

1749 (10.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 56) n° 1446
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte und bescheidene H. Johannes Harttschmidt der Jüngere Nadler und die Ehren und tugendsahme Frau Dorothea Martha gebohrene Severinin beede Eheleuthe und burgere allh. Zu Straßburg einander in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestandt Zugebracht und sich deren jeedes vermög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung vor ohnverändert vorbehalten (…) Actum In der Königlichen Statt Straßburg In præsentia S. T. H. Johannes Winter hochadel. Schaffners und der Ehefr. erbettenen Herrn beÿstandts, Sambstags d. 10.ten May Anno 1749.

In einer allhier Zu Straßburg theils ane der Uttengaß v theils ane deù Anckergässel gelegener vnd der Ehefrauen Zum theil eigenthümlich zuständigen behaußung befunden wie volgt.
Antheil ane Einer Behaußung. Neml. ½.te theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Nebenshauß und gärtlein ane der Uttengaß (…)
Eigenthumb ane Einem Lädel (M.) Neml. ein lädlein allh. Zu Straß. ane der Schindbruck (…)
Wÿdumb, Welchen H Johannes Hartschmidt der Ältere Nadler und burger allhier Zu Straßburg Von nun weÿl. Fr. Mariæ Salome gebohrner Fischerin seiner geweßenen Seelig. Ehefrauen lebenlänglich Zu genießen hat (…) Als Einen Neundten theil ane einem lädlein allhier auf dem Prediger Kirchhoff (…)
Einen 27.ten theil hat Er ane Folgende Posten zu prætendiren. Neml. ane 4/5.ten theilen vor ohnvertheilt wavon der übrige 5.te theil H Johannes Hartschmidt dem ältern und Wittwer vor ohnverändert Zustendig Von und ane Einem hauß und hoffstatt samt ihren übrigen Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der Bischoffsgaß, einseith neben H Joh: Georg Madern anders, neben weÿl. H Rathh. Reineri hinterlaßener Wittib und hinten auff die Krebsgaß stoßend gelehen
Series rubricarum. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 9 ß, Sa. Werckzeugs Zim Nadler handwerck gehörig 24, Sa. Waaren zu der Nadler profession gehörig 873, Sa. Silbers vnd dergl. geschmeid 22, Sa. der baarschafft 23, Sa. Eÿgenthumb ane einem lädel 800, Summa summarum 1743 lb – Schulden 1326 lb, Nach deren Abgang 417. lb Adde deßen helffte ane denen haussteuren so ist 38 lb, Des Ehemanns Vermögens 456 lb
Der Ehefraun Nahrung, Sa. haußraths 126, Sa. Silbers v. dergl. geschmeids 36, Sa. gildener Ring 16, Sa. baarschafft 3, Sa. Antheil ane einer behaußung 833, Summa summarum 1015 mb – Schulden 404, Nach solchem abgang 610, Darzugelegt die Ihro ane denen haussteuren gebührige helffte so macht 38 ln, Der Ehefrauen Nahrung 649 lb

Affaire restée en suspens portée devant les Quinze (registre lacunaire)
1750, Protocole des Quinze (2 R 161)
(p. 104) Sambstags d. 28. Februarÿ – Rœmer nôe E. E. Handwercks der Kurtz meßerschmidt Obermeister in actis Ca. Johannes Hardschmidt, den jüngeren auch in actis, Citatus hat Von einem d. 22. Januarÿ jüngst beÿ E. E. Handwerck ergangenen bescheid an Mghhn appellirt, solche appellattion aber seithero nicht prosequirt, bitt demselben 8. tag Zeit Sub desertione anzusuchen, Faust prod. appellations Libell mit beil. Sub Nis. 1. 2. 3. Roemer bitt cop: et T. obtin.

Jean Hartschmidt meurt en 1759 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé ruelle Gunther au quai au Bois près du pont du Corbeau. Les experts estiment la maison rue de Bischheim à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 1 250 livres, celle des héritiers de 268 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 534 livres et le passif à 1 294 livres.

1759 (31.7.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 551) n° 80
Inventarium über Weil.des Ehren: und wohlachtbahren Herrn Johannes Hartschmid, geweßenen Nadlers und Burgers allhier Zu Straßburg nun seel. Verlaßenschafft, nun seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1759 – nach seinem den 9.ten Martii lauffenden 1759.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt hier zeitlichen verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato zu End stehend auf geziehendes Ansuchen, Erfordern und Begehren der Ehren: und tugendsahmen Frauen Dorotheæ Marthæ Hartschmidin geb. Sefferin, der dißortigen hinterbliebener Wittib und des Ehrenvest und wohlvorgeachten Herrn Johann Friedrich Hartschmid, Handelsmanns und Burgers daselbst, als geordnet: u. geschworenen Vogts Mariæ Elisabethæ Hartschmidin, sein des abgeleibten seel. mit erstbemelten seiner hinterbliebenen Wittib ehel. erzielten Töchterleins und ab intestato hinterlaßenen eintzigen Erbens, so beÿ dreÿ und ½ Jahr alt, inventirt und ersucht, nach deme sie die Wittib und Vogt mit und beneben Christian Borchus aus Sachsen gebürtig dem Gesellen und Magdalena Vule von Schiltigheim, der dienstmagd (…) ane Eÿdes statt præstirt abgelegte handtreu (…) So beschehen on fernerem beiseÿn des Ehren : und wohlvorachtbaren H Johann Jacob Röderers des Rothgerbers und lederbereiters auch burgers alhier, der Wittib Zu dießem Geschäfft erbettenen H. beistand, Strassburg auf Dienstag den 31. Julii 1759.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Holtzstaden im Gündergäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen, hernach mit mehrerm beschriebenen behausung worden wie folgt
Eigenthum ane häußern und Gäden. (T.) Erstl. Eine Behausung und Hoffstatt Stallung und Gärthlein m. allen deren mit Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten (…)
(E.) Eine Behausung und Hoffstatt mit all dero Gebäuen, Begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auf dem Roßmarckt in der Bischoffs-Gaß gelegen, 1.s. neben weÿl. H. Reineri hinterl. Wb. und Erben 2.s. neben Dorothea Wackerin der Wb. und hinten auf die Krebsgaß stoßend, so freÿ ledig u. Eigen und durch hies. Statt geschworne Hh. Werckmeistere Zufolg eines Von Ihnen unterschrieben Zu diesortigem Concept gelüfferten Abschatzung Zeduls de dato 6. Junÿ 1759. auf Ansuchen und angeschlagen worden für und umb 700 fl. oder 350. lb. Dieße behausung hat der Abgeleibte seel. beÿ weÿl. H. Johannes Hardtschmid gewes. Handels-Manns u. b. allh. seines vatters seel. Verlaßenschafft-Abtheilung in unvertheiltem Erb per cessionem angenommen, außweißlich eines über vorbesagte Verlaßenschafft durch H. Notm. Joh. Jacob Ölinger in annis 1755. et 1756. ausgefertigten special theil Registers und der darinn fol: 63. et seqq. befindlichen Erbs-Cession de dato 18.ten August 1756. Sonsten und über dießes besagen über sothane Behaußung dreÿ teutsche pergam: Kauffbrieff, deren einer den 4.ten Aug. 1623. der andere den 6.ten Aug. 1674. und der dritte den 28. Januarÿ und 27.ten May 1721 datirt.
(E.) Item Ein Gädlein mit all deßen Gebäuen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Schindbruck (…)
(E.) It: ein siebender theil für ohnvertheilt von und ane einem alhier Zu Straßburg auf der Schindbruck gelegenen Gädlein (…)
Ergäntzung der Wittib währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Nach anleitung des durch herrn Notarium Joh: Jacob Oelinger in anno 1749. auffgerichteten Inventarium illatorum hat man deroselben als manglend zu ergäntzen wie folgt.
Wÿdumbs Verfangenschaft, Welche frr. Anna Ursula Hardschmidin gebohrner Günterin, Von weÿl. Herrn Johannes Hardschmid dem ältern geweßenen Handemsm: u. b. allh. Zu Straßb. ihren geweßenen Ehemann und das hieseits verstorbenen Hn Hartschmidts seel. leibl. Vatter lebens länglichen Zu genießen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderten guths, Sa. hausraths Sa. leerer Faß 27 lb, Sa. Silbers 9 lb, Sa. goldener Ring 8 lb, Sa. der activ-Schuld 50 lb, Sa. der Ergäntzung per rest 1155 lb, Summa summarum 1250 lb
Dießemnach Wird auch des Kinds und Erben anerstorbenen unverändert vätterl. Guth, beschrieben, Sa. hausraths und leerer faß 43 lb, Sa. Silbers 3 lb, Sa. des Eigenthums ane einer behausung 602 lb, die Ergäntzung ist passivé ausfällig, Summa summarum 649 lb – Schulden 380 lb, Nach deren abzug 268 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbare guth beschrieben, Sa. hausraths 49 lb, Sa. Weins u. leerer Faß 18 lb, Sa. der Waar und Werckzeugs zum Nadler handwerck gehörig 650 lb, Sa. Silbers 11 lb, Sa. der baarschafft 1362 lb, Sa. Eigenth. ane 1.r behauß. 350 lb, Sa. activorum 1087 lb, Summa summarum 3534 lb – passiva 1294 lb, Nach deren abzug 2239 lb – Conclusio finalis 3759 lb
– Abschatzung Vom 6.ten Junnÿ 1759. Auff begehren Weÿlandt Herrn Johannes Harttschmitt des Geweßenen Nadlers Seeligen Hinder Frau Wittib jst Eine Behaußung allhier jn der Statt Straßburg an dem Schiffleuth Statten Gelegen, Einseÿts Neben dem Lobstein dem Rott Männel Würth, ander seÿts Neben Johann Friedrich Harttschmitt und hinden auf den Kuppel hoff stoßendt, solche behaußung bestehet jn zweÿ Stuben, zweÿ Küchen und Etlichen Kammeren, dar Über ist der dachstuhl mit breitzieglen belegt, hatt auch ein Gewölbtes Kellerlein, Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeistern, Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb Sieben Hundert Gulden
Der Zweÿte begriff, ist Auch allhier in der Statt Straßburg an der Schienbruck gelegen (…)
Der Drÿte begriff, ist Auch allhier jn der Statt Straßburg auf dem Roß: Marck jn der Bischoffs Gaß gelegen, Einseits Neben Frau Wacknerin, anderseÿts Neben Frantz Joseph Schneider und hinten auff die Grebs Gaß stoßendt, solcher Begriff Bestehet jn Vier Stuben, dreÿ Küchen und unterschiedliche Kameren, dar Über ist der dachstuhl mit breitzieglen belegt, Hatt auch einen Gewölbten Käller, Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeistern, Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb vor und Umb Sieben Hundert Gulden
[unterzeichnet] Ehrlach Werck Meister deß Meinsters, Werner, Huber
Copia der Eheberedung) Actum in der königlichen Stadt Straßburg denn 6.ten Februarÿ 1749, Johann Jacob Oelinger Notarius juratus, Collationirt j, Straßb. den 32.yen [sic] Julÿ Anno 1759. Johann Daniel Schweighäßer, Notarius juratus

L’héritière Marie Elisabeth Hardschmidt épouse en 1778 le luthier Jean Régnard Storck : contrat de mariage, célébration

1778 (29.4.), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 567)
Eheberedung – persönlich erschienen seÿen der Ehren und Vorachtbahre Herrr Johann Reinhard Storck, lediger musicalischer Instrumenten Macher und burger allhier Zu Straßburg, weÿland Herrn Joh: Fried. Storck auch gewesenen Geiger: Machers und burgers hieselbsten nachgelaßener ehelicher Sohn, als bräutigam ane einem,
So dann die Ehren : und tugendbegabte Jungfrau Maria Elisabetha Hartschmidin weÿland Herrn Johannes Hardschmid gewesenen Nadlers und ebenfalls burgers allhier mit frauen Dorotheæ Marthæ gebohrner Sefferinin ehelich erzeugte Tochter als Braut am andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg auf Mittwoch den 29. Aprilis im Jahr der Gnaden 1778 [unterzeichnet] Johann Reinhard Storck als Bräutigam, Maria Elisabetha Hardschmidtin als braut

Mariage, cathédrale (luth. f° 196-v n° 21)
Im Jahr Christi 1778 Montag den 13. Julius Vormittag um halb Elf Uhr sind (…) ehelich eingesegnet worden Herr Johann Reinhard Storck lediger Instrumentenmacher und Burger allhie, Weÿland H Johann Friderich Storck geweßten Instrumentenmachers und Burgers alhie mit auch Weÿland Frauen Maria Elisabetha gebohrner Reinholdin ehelich erzeugten hinterlaßener Sohn und Jungfrau Maria Elisabetha Hartschmidtin Weÿland Johannes Hartschmidt geweßten Nadlers und Burger allhie mit Frau Dorothea Martha gebohrner Severinin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Reinhard Storck als Hochzeiter Maria Elisabetha Hartschmidtiin als Hochzeiterin (i 9)

Marie Elisabeth Hartschmidt fait dresser l’inventaire de ses apports (1629 livres) dans une maison quai Saint-Nicolas
1778 (30.7.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 558) n° 302
Inventarium über der Viel Ehren: und tugend-begabten Frauen Mariæ Elisabethæ Storckin geb. Hartschmidin, Herrn Joh: Reinhard Storck, des musicalischen Instrumenten-Machers u. bs. allh. zu Straßb. fr. Eheliebsten Zu solchem ihrem Eheherrn für unverändert in die Ehe gebrachte Nahrung, auffgerichtet im Jahr 1778 – und sich in dem vor mir Not° den 29. Apr. jüngst aufgerichteten Ehe-Contract für eigen und unverändert Vorbehalten hat (…) auf ihr die Ehefrau beschehenes ansuchen, in beÿsein des Eheherren, wie auch fr. Dorotheæ Margarethæ Hartschmidin die geb. Sefferinin, ihrer leibl. Mutter (…) So beschehen in einer allh: Zu Straßburg an dem Niclauß-staden gelegenen Von denen Eheleuthen bewohnenden Behausung, in fernerem Beiseÿn Herrn Johann Christian Kohl des Kiefers und burgers allhier, ihres hierzu erbettenen beistands, auf Donnerstag den 30.ten Julÿ anno 1778.
Wittems-Verfangenschafft So eingangs benannte frau Dorothea Margaretha Hartschmidin geb. Severinin der hieseitigen Ehefrauen Leibliche mutter in crafft ihrer Eheberedung ad dies vitæ zu genießen hat, Zufolg summarischen Calculi über weÿland herrn Johannes Hartschmid des geweßenen Nadlers u b. allh. Zu straßb. der hieseitigen Ehefrauen leiblichen Vaters seel. Verlaßenschafft durch mich Not. den 25. Sept. 1759 aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausraths 339 lb, Sa. Silbers 57 lb, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 109 lb, Sa. der baarschafft 1123 lb, Summa summarum 1629 lb

Jean Régnard Storck fait dresser l’inventaire de ses apports (2125 livres) dans une maison quai Saint-Nicolas dont sa mère a la jouissance viagère
1778 (27.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 865) n° 208
Inventarium über Herrn Johann Reinhard Storck, des Lautenmachers und burgers alhier Zu Straßburg in die Ehe gebrachte Vermögenschaft auffgerichtet in Anno 1778.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen so liegend als fahrenden Haab und Vermögen so H. Johann Reinhard Storck, der Lautenmacher und burger alhier Zu Straßburg, zu der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Mariæ Elisabethæ gebohrner . Hartschmidin, seiner Ehefrauen in den mit ihro am 13.den Julii dieses gegenwärtigen 1778.sten Jahres angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu und eingebacht hat (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in beÿsein vorher gemelter seiner Fraun Eheliebstin wie auch H Johann Christian Kohl, des Kiefers und Weinhändlers auch burgers allhier, ihres hierzu erbettenen beÿstands, In einer allhier ane dem Niclaus Staden ohnfern der Schindbruck gelegener, dem dißortigen Ehemann Zur helfte eigenthümlich zuständiger und hernach mit mehrerem beschriebener behaußung auf Montag den 27.ten Julii Anno 1778.
Eigenthümlicher Antheil ane einer Behaußung. Nämlich die helfte vor ohnverändert von und ane einer behausung jenseit des St. Niclaus Stadens oberhalb der Schindbruck (…)
(f° 9-b) Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 270, Sa. Instrumenten, Saiten, Holtz und Werckzeugs wie auch bücher zum handel und Instrumentenmach. gehörig 953, Sa. Weins und der leeren Faß 11, Sa. Silbers 75, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 65, Sa. der baarschafft 10, Sa. eigenthümlichen Antheils ane einer behausung 1500, Summa summarum 2886 lb – Schulden 895 lb, Nach deren Abzug 1990 lb – Wird dazu gerechnet die ihme gebührende hälfte ane denen haussteuren mit 1346 lb, Des Herrn völlige Vermögen 2125 lb

Jean Régnard Storck devient tributaire chez les Charpentiers en décembre 1765
1765, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 33)
(f° 44-v) Dienstag den 18. Decembris 1765 – Johann Reinhard Storck der leedige lautenmacher und burger alhier stehet vor und producirt Stallschein vom 15.ten Octobris 1765. bittend ihne vermög deßelben beÿ dieser Ehrsmen Zunft aks einen Zünftigen Zu recipiren, sub oblato præstanda zu præstiren und die gebühr Zu erlegen. Erkannt, Willfahrt, juravit.

Jean Régnard Storck meurt en 1788 en délaissant deux filles. La masse propre à la veuve est de 1 711 livres, celle de l’héritière présente un déficit de 786 livres. L’actif de la communauté est de 680 livres, le passif de 3 074 livres.

1788 (17.6.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 563) n° 458
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Reinhard Storck im Leben gewesenen Instrumenten-Machers u. Musicalien Verlegers, auch Burgers allh. Zu Straßburg Verlaßenschafft, aufgerichtet im Jahr 1788 – nach seinem den 22.ten Februarÿ laufenden 1788.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. Hintritt hier Zeitl. verlaßen hat. Welche Nahrungs-Verl. dato zu end stehend. Auff Ansuchen sowohl der hinterbliebenen Wb. Fr. Maria Elisabetha geb. Hartschmidin hiebeÿ mit Herrn Fried. Daniel Vogt dem hiesigen Br. u. Schwerdfeger verbeÿstandet, als auch Herrn Joh. Friedrich Eschenauer Vornehmen Banquier u. b. allh. des geordnet u. geschworenen Vogts hernach benanter zweÿer Kinder und Erben inventirt (…) So geschehen in Einer Allhier zu Straßburg Am Niclaus: Staden gelegenen in diese Verl. gehörig. daher hernacher mit mehrerem beschriebenen Sterb: behaußung, auf Dienstag den 17.ten Juny Anno 1788.
Der Verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen Seine mit Eingangs benannten Wittib erzeugte Zwo töchter zu gleichen antheilen, Nahmentlichen 1° Mariam Elisabetham, Welche den 1. July 1779 das licht dieser Welt erblickte und 2° Margaretham Ludovicam, so den 5. Aug. 1782 zur Welt gebohren wurde

Instrumenten Musicalien, Bücher und Werckzeug Zum Handel und Instrumentenmachen gehörig. Diese rubric ist durch Herrn Schönfeld den hiesigen Capellmeister (…) æstimirt worden
Eigenthum an einer Behausung. (E.) Nemlichen eine Behausung in Vorder: und Hinterhaus bestehend, Höflein und Hofstatt mit allen deren übrigen Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhie Zu Straßburg am St Niclaus staden oberhalb der Schindbruck (…)
– Abschatzung vom 20.t junÿ 1788. Auff begeren Weÿland Herr johann Reuchard storck dem geweßenen jnstrumenten Macher, ist Eine behausung allhir in der statt strasburg am Claus staden gelegen (…)
Ergäntzung der frau Wittib währender Ehe abgegangener ohnveränderten Guths, Nach außmaßung des (…) durch mich Notarium Anno 1778 aufgerichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraun Wittib ohnverändert Guth, Sa. Hausraths 77 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6 lb, Sa.goldener Ring und dergleichen Geschmeids 21 lb, Sa. der baarschafft 9 lb, Sa. der Schulden 250 lb, Sa. der Ergäntzung 1346 lb, Summa summarum 1711 lb
Demnach wird auch der Kinder und Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 72 lb, Sa. bücher und eines Instruments zum Music handel gehörig 11 lb, Sa. Silber 20 lb, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 9 lb, Sa. des Eigenthums ane einer Behausung 1250 lb, Summa summarum 1363 lb – Schulden 2150 lb, Compensando, der Erben Passic-Onus 786 lb
Endlichen wird auch das gemein, Verändert und theilbahre Guth beschrieben, Sa. hausraths 48 lb, Sa. Instrumenten, Musicalien bücher und Werckzeug zum handel und Instrument Machen gehörig 130 lb, Sa. Silber-Geschmeids 3 lb, Sa. der Baarschafft 34 lb, Sa. der Schulden 463 lb, Summa summarum 680 lb – Schulden 3074 lb, Passiv onus 2394 lb – Passiv onus loco Stall Summœ 1470 lb
Copia des Eheberedung (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Mittwoch den 29. Aprilis im Jahr der Gnaden 1778, Schweighäußer Notarius
Copia nuncupativi von dem verstorbenen sel. vor H. Not. regio Laquiante den 19. Martÿ 1770, auffgerichteten Codicilli – le Sr Jean Reinhard Storck Bourgeois de Marchand Luthier de cette ville

Marie Elisabeth Hartschmidt se remarie avec le fripier Jean Georges Hickel
1802 (3 vendémiaire 11), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 280, 1343
Eheberedung – bürger Johann Georg Hickel frippier von weÿl. Fraun Margaretha Salome geb. Bischoff den 8. pluviose 9 verstorbenen erstern Ehefrauen Wittwer
Fr. Maria Elisabetha geb. Hartschmidt weÿl. Johann Reinhard Storck des den 22. Januarÿ 1788 verstorbenen Instrumentenmachers Wittwe
Enregistrement, acp 85 f° 136-v du 3 vend. 11

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison apportée en mariage par Jean Régnard Storck quai Saint-Nicolas. Les apports du mari s’élèvent à 22 502 livres, ceux de la femme (dont la maison rue de Bischheim) à 47 314 livres.

1803 (13 vendémiaire 12), Strasbourg 10 (17), Not. Zimmer n° 273, 1718
Inventarium illatorum Johann Georg Hickel Eigenthümers und Fraun Maria Elisabetha geb. Hartschmidt den 7. prairial jüngst angetrettene Ehe – Eheberedung vom 3 vendemiaire 11
in der der Ehefraun Kindern erster Ehe vor vätterlich guth eigenthümlich zuständig aber lebenlänglich zu geniesen habenden behausung am Niclaus staden N° 69
des Ehemanns guth, hausrath 3414 fr, in des Ehemanns ersteren Ehefrau Verlassenschafft den 4 therlidor 9, wein leere Faß und bütten 664 fr, silber und gold 893 fr, baarschafft 72 fr, schulden 34.194 fr
Immobilien, behausung an der Schindbrücken, Nemlich die helfte vor unvertheilt an einer behausung hoffstatt und bronnen samt Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg an der Schindbruck N° 3, wie solche in oben angeführte Verlassenschaffts Inventario mit mehrerm beschrieben, die andere unvertheilte helfte ist den Kindern erster Ehe zuständig
Laden vor der grosen Metzig, Nemlich die unvertheilte helfte eines vor der großen Metzig gelegenen Ladens ohnweit der Schinbrücken wie solcher in erwehntem inventario beschrieben zu finden, die andere helffte ist der Kindern erster ehe gleichfalls gehörig
Liegende güther zu Niederhausbergen, Gingsheim
Garten vor dem hiesigen Fischerthor, So dann die helfte vor unvertheilt an einem Garten vor dem hießigen Fisecherthor gelegen rechter hand im hinausgehen gegen dem Schlutfeld, welcher garten auch in mehr erwehntem Inventario mit mehrerm beschrieben zu finden, und woran die andere unvertheilte helfte des Ehemanns kindern erster ehe eigenthümlich ist
Summa summarum der immobilien 39.239 fr, schulden 26.695 fr, Nach deren abzug 12.542 fr
des Ehemanns Kinder erster ehe mütterlichenen Guts 2388 fr
die theibare Nahrung, hausrath 2414 fr, wein und leere faß 664 fr, silber und gold 893 fr, baarschafft 72 fr, schulden 24 184 fr, Summa summarum 39.239 fr – Schulden 16.736 fr, Nach deren abzug 22.502 fr
der Kinder erster ehe vermögen, immobilien 13.639 und 17.075 fr, zusammen 30.714 fr
lebtägig wittumb, welchen der dießorts Ehemann aus weÿl. Fr. Margaretha Salome geb. Bischoff deßen ersten Ehegattin Verlassenschafft lebtägig zu genießen hat, durch Not. Wengler den 5 janvier 1789 errichtete Eheberedung
der Ehegattin in die Ehe gebrachte guth, hausrath 2600 fr, wein Faß und bütten 705 fr, silber und gold 1417 fr, baarschafft 371 fr, schulden 54.219 fr
Eigenthum an häußern, Erstlich eine behausung zween höfflein hoffstatt die helfte eines bronnens und Stallung mit deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg am Schiffleuthstaden hinten am Rechgäßel N° 47 einseit neben der bierbrauereÿ zum Vogelgesang anderseit neben br. L*angert dem Schreiner hinten auff gedachte bierbehausung zum Vogelgesang – Titel, Cantzleÿ Contract stub den 11. Augusti 1754 und 7. Maÿ 1714
Item eine behausung hoffstatt Stallung und gärtlein mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten sowie auch eine neben dem hauß befindliche Kuchen und Keller am Schiffleuthstaden im Günthergäßlel N° 52 einseit neben br. Schneider dem Gießer anderseit neben hiernach beschriebener behausung hinten auff hiernach beschriebener behausung, C.C.Stb. 15 Aprilis. 1751, 30 Junÿ 1751 und 18. Septembris 1750, ferner C.C.Stb. Kaufbrieff de 1741 über ein zu gedachter behausung erkaufftes Plätzlein besagend, So dann mehrere ergangen und von ehmaligem hießigen Kleinen Rath confirmirte Augenschein
Item eine behausung hoffstatt mit allen deren begriffen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten am Schiffleuthstaden im Günther gäßel N° 53 einseit neben vorher beschriebener behausung anderseit neben br. blumen schreiner und hinten auff vorher beschriebene behausung, hierüber besagt ein vonseithen des ehmaligen Ganths den 11. Septembris 1765
Item eine behausung und hoffstatt mit allen den übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in der bischoffsgaß am Roßmarckt n° 11 einseit neben br. Schuster anderseit neben br. Girardin dem Schreiner hinten auff die Krebsgaß mit einem ausgang ziehend, ohne estimation gelaßen, hierüber C.Stb. Kaufbrieff vom 4. Augusti 1723 und 27. Maÿ 1721
Reeben Niederhausbergen, Gingsheim
Summa vermögens 59.314 fr, vermög des über weÿl. br.s Johann Reinhard Storck Instrumentenmachers von Notario Schweighäußer auffgerichteten Inventario den 17 Junÿ 1788, 12.000 fr, Nach deren abzug 47.314 fr, aussteurungen
Getüch so beden Töchtern von dißortiger Ehegattin zu ihren aussteurungen bestimmt ist
Enregistrement, acp 89 f° 32 du 15 vend. 12

Lors de la liquidation, la maison propre à Marie Elisabeth Hartschmidt revient à ses deux filles (voir l’acte suivant)

1833 (10.8.), Strasbourg 6 (57, nouv. cote 59), Not. Triponé, N° 2905
Du 10 août 1833. – Liquidation de la communauté entre Jean Georges Hickel et Marie Elisabeth Hartschmidt
Ont comparu M. Jean Georges Hickel, propriétaire demeurant à Strasbourg, à cause de la communauté qui a existé entre entre lui et D° Marie Elisabeth Hartschmidt sa défunte épouse, veuve en premières noces de M. Jean Reinhard Storck
Et Mad.lles Marie Elisabeth Storck et Marguerite Louise Storck, majeures demeurant à Strasbourg, commes seules héritieres pour moitié de ladite D° Hickel née Hartschmidt leur mère. Lesquels voulant procéder à la liquidation de la communauté qui a existé entre entre M. et Mad. Hickel ont observé préliminairement ce qui suit
1° observation. Mariage du Sr. et D° Hickel. Les Sr et D° Hickel se sont mariés à Strasbourg le 7 prairial an XI. Ils avaient réglé les clauses et conditions civiles de leur mariage par contrat passé devant M° Zimmer notaire à Strasbourg le vendémiaire précédent (…)
2° observation. Mad. Hickel est décédée à Strasbourg le 18 février 1833. Les parties se sont contetés de reconnaître par des notes la situation de la communauté et de la succession et n’ont point jugé nécessaire un inventaire en forme

Les deux sœurs célibataires Marie Elisabeth Storck et Marguerite Louise Storck vendent la maison au serrurier Jean Frédéric Matthis et sa femme Eve Salomé Mauler

1843 (7.7.), Strasbourg 9 (90), Me Becker, N° 1991
Du 7 Juillet 1843. Vente – Sont comparues les Demoiselles Marie Elisabeth Storck et Marguerite Louise Storck, majeures demeurant à Strasbourg, lesquelles ont (vendu)
à M. Jean Frédéric Matthis, serrurier et à Dame Eve Salomé Mauler, sa femme, de lui dûment autorisée, demeurant ensemble à Strasbourg, tous deux presens & acceptant
Une maison avec cour et autres appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de Bischheim appelée aussi rue de l’evêque N° 11, tenant d’un côté à M. Maurer, de l’autre à M. Goenner, donnant derrière dans la rue de l’écrevisse où cette maison porte le N° 7, ainsi que cet immeuble se poursuit & se comporte (…)
Etablissement de la propriété. Les Dlles Storck déclarent qu’elles ont recueilli la maison vendue dans la succession de D° Marie Elisabeth Hartschmidt veuve en premières noces de M. Jean Regnard Storck en son vivant fabricant d’instruments à Strasbourg et épouse en secondes noces de M. Jean Georges Hickel, en son nom propriétaire en la dite ville, de laquelle Dame leur mère les venderesses sont seules et uniques héritières, chacune pour moitié ainsi qu’il résulte d’un acte de liquidation et de partage dressé par M° Triponé, Notaire à Strasbourg, le 10 août 1833.
La mère des venderesses était déjà propriétaire du dit immeuble lors de son mariage avec feu M. Hickel ainsi qu’i la été déclaré dans l’inventaire de ses apports dressé par M. Zimmer, notaire à Strasbourg le 13 vendémiaire an douze et elle l’avait recueilli dans la succession de M. Jean Hardtschmidt le jeune épingier à Strasbourg, son père dont elle était seule héritière ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé par M. Schweighaeuser, notaire à Strasbourg le 31 juillet 1759. M. Jean Hardtschmidt le jeune a recueilli un 7° du dit immeuble dans la succession de M. Jean Hardtschmidt d’aîné, son père, négociant à Strasbourg, et il a acquis les six 7° restans de ses six frères et sœurs Marguerite Salomé Hardtschmidt femme de M. Jean Ernest Frédéric Teiss, instituteur, Jean Frédéric Hardtschmidt, négociant, Jean Henri Hardtschmidt, fourbisseir, Marie Elisabeth Hardtschmidt femme de M. Jean Erhardt Metz boulanger, Jean Geoffroi Hardtschmidt, teinturier, et Catherine Marguerite Hardtschmidt femme de Jean Christophe Flach aubergiste, tous demeurant à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un contrat de vente passé devant M° Oelinger, notaire à Strasbourg le 18 août 1756, confirmé par décret du grand sénat de la Ville de Strasbourg en date du 25 septembre suivant. Aux termes de ce contrat, les dits vendeurs s’étaient réservé la faculté de racheter la part de l’immeuble par eux vendue jusqu’au 29 septembre 1757 mais n’ayant pas fait usage de cette faculté ainsi qu’il résulte de l’inventaire ci devant relaté dressé après le décès de M. Jean Hardtschmidt le jeune, ce dernier est devenu propriétaire incommutable de l’immeuble dont il s’agit. Quant au prix moyennant lequel M. Hardtschmidt a acquis les dits six 7° de ses frères et sœurs, il s’était obligé de les payer le 29 septembre 1756, et les demoiselles Storck comparantes déclarent que M Hardtschmidt a effectué ce paiement et que cela résulte encore de la circonstance que dans l’inventaire ci-dessus relaté après le décès de M. Hardtschmidt il n’est plus question du dit prix dans la masse passive de sa succession.
il existe en outre à l’appui de la propriété de la maison vendue trois contrats de vente passés à la cidevant chambre des contrats de la ville de Strasbourg les 4 août 1623, 6 août 1674 et 28 janvier & 27 mai 1721. – Prix, 4000 francs
acp 312 (3 Q 30 027) f° 23

Jean Frédéric Matthis épouse en 1831 Eve Salomé Mauler, native de Wangen.
1831 (21.5.), Strasbourg 2 (72), Me Weigel n° 6989
Contrat de mariage – Jean Frédéric Mathis, serrurier, fils de Jean Jacques Mathis, aubergiste, et de Catherine Magnus tous demeurant à Strasbourg d’une part
et Eve Salomé Mauler, fille majeure âgée de 25 ans, de Daniel Mauler maréchal ferrant et de Catherine Walter sa femme, tous demeurant à Wangen d’autre part
acp 204 (3 Q 29 919) f° 37 du 24.5. – portant réserve d’apports et des habillements et linges propre a un chacun, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé
la future épouse se constitue en propre en meubles et numéraire 1449 francs
Le futur se constitue en propre ce qui est porté dans une liquidation notariée du 29 décembre dernier

Jean Frédéric Matthis et Eve Salomé Mauler hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Dorveaux, veuve du tailleur Jean Antoine Zweiffel
1845 (31.1.), Strasbourg 10 (103), Me Zimmer n° 5542
Obligation – ont comparu Mr Jean Frédéric Matthis, serrurier et Dame Eve Salomé Mauler, sa femme qu’il autoris dûment à l’effet des présentes demeurant à Strasbourg, lesquels reconnaissemnt devoir bien et légitimement
à Dame Marie Madeleine Dorveaux, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Jean Antoine Zweiffel, maître tailleur à Strasbourg, créancière ci présente et acceptant, la somme principale de 8000 francs
hypothèque, Une Maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de Bischheim appelée aussi rue de l’evèque N° 11, tenant d’un côté à M. Maurer, de l’autre à M. Goenner, donnant derrière dans la rue de l’écrevisse où cette maison porte le N° 7.
Les débiteurs sont devenus propriétaires de cet immeuble pour en avoir fait acquisition de Demoiselles Marie Elisabeth Storck et Marguerite Louise Storck, majeures demeurant à Strasbourg, suivant contrat reçu par M° Becker, notaire en cette ville le 7 juillet 1843 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 juillet suivant volume 402 N° 59, inscrit d’office le même jour volume 303 N° 196. Les conjoints Matthis certifient que ledit immeuble leur appartient encore en toute propriété et qu’il nest grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque à l’exception d’une somme de 3000 francs due aux Demoiselles Storck pour solde du prix de ladite maison.

Jean Frédéric Matthis meurt en 1858 en délaissant cinq enfants

1858 (30.11.), Strasbourg 10 (137), Not. Zimmer (Louis Frédéric)
Inventaire de la succession de M. Jean Frédéric Matthis, serrurier à Strasbourg, décédé en cette ville le 15 novembre 1858.
L’an 1858 le mardi 30 novembre à neuf heures du matin, A la requête de 1° Dame Eve Salomé Mauler, veuve de M. Jean Frédéric Matthis, en son vivant serrurier à Strasbourg agissant A. en son nom personnel 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié qui a existé entre entre elle & feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Weigel, alors notaire à Strasbourg le 21 mai 1831, 2° comme créancière de cette communauté & même de la succession de son mari pour raison de reprises qu’elle peut avoir à exercer résultant soit de son contrat de mariage soit de tous autres titres, 3° comme usufruitière sa vie durant avec dispense de fournir caution de la moitié de tous les biens meubles & immeubles acquets & conquets & propres généralement quelconques délaissés par feu son mari ainsi qu’il résulte de l’article huit du même contrat de mariage, 4° & comme usufruitière légale des biens de ses deux enfants encore mineurs jusqu’à leur 18° année ou leur émancipation
B. au nom et comme tutrce légale de 1° Emile Oscar Matthis né le 25 janvier 1844, 2° Frédérique Eugénie Matthis, née le 2 mars 1845 ses deux enfants encore mineurs issus de son mariage avec son défunt mari, 2° M. Abraham Auguste Gross, employé & Dame Salomé Mélanie Matthis son épouse, M. Gross agissant tant pour autoriser son épouse que comme subrogé tuteur des deux mineurs sus nommés, 3° M. Gustave Adolphe Matthis, serrurier, 4° M. Frédéric Eugène Matthis, aussi serrurier, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, la dame Gross, ces deux derniers & les deux mineurs Matthis habiles à se dire et porter seuls héritiers, chacun pour un cinquième de M. Jean Frédéric Matthis, susnommé leur père
en la demeure rue de l’Eveque N° 10

Communauté. Fonds de serrurerie
Immeuble. Une Maison avec cour & autres appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de Bischheim appelée aussi rue de l’Evèque N° 10 autrefois N° 11, tenant d’un côté à M. Maurer, de l’autre à M. Goenner, donnant derrière dans la rue de l’écrevisse où cette maison porte le N° 18 autrefois le N° 7. Les conjoints Matthis sont devenus propriétaires de cet immeuble pour en avoir fait acquisition de Mad.elle Marie Elisabeth Storck & de Mad.elle Marguerite Louise Storck, les deux majeures demeurant à Strasbourg, en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Becker, notaire en cette ville le 7 juillet 1843. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 4000 francs. (…) Ladite maison évaluée par les parties à un revenu annuel de 800 francs représentant au denier vingt un capital de 16.000 francs. A l’appui de la propriété de cette maison il existe cinq pièces qui sont 1° l’expédition du contrat de vente le 7 juillet 1843 sus relaté, 2° celle d’un contrat de vente en date du 2 août 1623, 3° celle d’un contrat de vente en date du 6 août 1674, 4° celle d’un contrat de vente en date du 28 janvier 1721, 5° et celle d’un contrat de vente en date du 18 août 1756.
acp 474 (3 Q 30 189) f° 46-v du 8. X.br (succession déclarée le 13 Xbre 1858) Communauté, mobilier estimé 679, fonds de serrurerie 1769, extances 2237, créances 1021
Une maison à Strasbourg rue de Bischheim N° 10
acp 475 (3 Q 30 190) f° 76 du 26.1. (vacation du 20 janvier) Il dépend de la communauté six obligations du chemin de fer autrichien

La veuve et les enfants de Jean Frédéric Matthis vendent la maison au charpentier Jacques Lohr et à sa femme Barbe Haug

1874 (13.8.), Strasbourg 10 (174), Not. Kœrttgé (Jean Théodore), N° 4288
Vente 13 août 1874. – sind erschienen 1. Frau Eva Salome Mauler, wohnhaft in Strassburg Wittwe des H. Johann Friderich Matthis, im Leben gewesener Schloßer, 2. H. Friedrich Eugen Matthis, Schloßer, unverheirathet, in Straßburg wohnhaft, 3. und Fräulein Friederike Eugénie Matthis, Handels Kassiererin, volljährig, gleichfalls in Strassburg wohnhaft, handelnd Letztere sowohl in ihrem persönlichen Namen als auch im Namen und als Bevollmächtigte von H. Gustav Adolph Matthis, Sergeant der Militair-Krankenwärter in Garnison in Blidah (Algerien), ihrem Bruder (…) Alle die obengenannten sich stark machend solidarisch mit einander für Fräulein Emilie Gross, minderjährig, geboren den 12. Januar 1858 in Strassburg wohnhaft, unter Vormundschafft des H. Abraham Gross, Schloßer in dieser Stadt wohnhaft (verkaufft)
an H. Jakob Lohr, Zimmermann, und deßen hierzu ermächtigte und verbeistandete Ehegattin Barbara Haug, beide mit einander in Straßburg wohnhaft
Beschreibung. Ein Wohnhaus mit Hof und anderen Zugehörden und Dependenzien, in Strassburg gelegen, Bischheimergäschen N° 10, früher genannt Bischofsgassen alte Nummer 11, in die Krebsgasse hinaus Ziehend in welcher es die Nummer 18 trägt, einerseits H Besana, anderseits H Daniel Goerner. (…) mit einbegriffen der darin sich befindlichen Oefen die den Verkäufern gehören.
Eigenthulsrecht. Dieselbe Liegenschaft gehörte zur Gütergemeinschaft, welche zwischen der Frau Wittwe Matthis und ihrem verstorbenen Ehegatten H. Johann Friderich Matthis bestanden hatte, vermittelst dem Ankauf welche Letztere davon gemacht haben von den Fräulein Marie Elisabeth Storck & Margarethe Luise Storck in Strassburg wohnhaft, laut einem Kaufvertrag vor Notar Becker in Strassburg den 7. Julÿ 1843 passirt im Hypothekenbuch von Strassburg abgeschrieben den 20 desselben Monats, Band 402 n° 59 mit official Einschreibyng vom nämlichen Tag Band 388 n° 196. Dieser Kauf geschah für die sum von 4000 Franken, welche Summe seither gäntzlich ausbezahlt worden ist, wie es die Verkäufer erklären und bestätigen.
H. Matthis ist in Strassburg gestorben den 15. November 1858. Er hat seine überlebende Wittwe als gütergemeinschaftlich hinterlassen und für einzige Erben seine fünf Kinder ein jedes für ein Fünftel, nämlich die Comparenten 1. Fräulein Matthis und 2. H. Friedrich Eugen Matthis, 3. H Gustav Adolph Mathis, 4. H. Emil Oscar Matthis und 5. Frau Salome Melanie Matthis, Ehegattin von Abraham August Gross in Straßburg, sowie diese Eigenschaften bestätiget sind durch das Inventar seines Nachlasses, errichtet durch Notar Zimmer in Strassburg den 30. November 1858. Frau Gross gebohrne Matthis ist selbst in Strassburg gestorben und hat als einige Erbin hinterlassen ihre Tochter die obengenannte minderjährige Sophie Emilie Gross (…) Der H Emil Oscar Matthis, Drexler, ist auch in Strassburg den 24. April 1864 gestorben und hat als einzige Erben hinterlassen seine Mutter die Frau Wittwe Matthis für ein viertel und seine obengenannten überlebende Geschwister und ide minderjährige Gross seine Nichte am Ort und Stelle ihrer Mutter die Frau Gross, alle gemeinschaftlich für die drei andere Viertel. Zufolge diesen successiven Sterbefälle gehört nun die gegenwärige verkaufte Liegenschaft den Verkäufern in folgenden Verhaltnisen nämlich der Frau Wittwe Matthis für 84/160, wovon 80/160 in ihrer Eigenschaft als gütergemeinschaftlich gewesen mit ihrem verstorbenen, Ehegatten und 4/160 ererbt in der Verlaßenschafft ihres Sohns Emil Oscar, dem H. Gustav Adolph Mathis für 19/160, wovon 18/160 in der Verlaßenschafft des H. Matthis Vater und 3/160 in die Verlaßenschafft des H. Emil Oscar Matthis, dem H. Friderich Eugen Matthis für gleiche Qualität in denselben Verlaßenschafften ererbt 19/160, der Fräulein Matthis für gleiche Quamität 19/160 und der minderjährigen Gross auch für gleiche Qualität 19/160.
Was die ru&hrern Eigenthümlichs Rechte auf die gedachte Liegenschaft betrifft, berufen sich die Partner auf den Kauffverschreibung vom 7. Juli 1843 hieobenerwähnt, worin dieselbe aufgestellt sind – Preis 29.000 Franken (…) Titel Uebergabe (…) 1. eine Abschrift eines Kauffvertrags durch die Contractstube in Straßburg errichtet den 4. August 1623, 2. eine Abschrift eines Vertrags derselben Contractstube vom 6. August 1674, 3. eine Abschrift eines Vertrags vor derselben Contractstube errichtet den 28. Januar und 27. Mai 1720, Worüber Entlastung.
acp 630 (3 Q 30 345) f° 90-v du 14.8.

Originaire d’Obermodern, Jacques Lohr épouse en 1872 Barbe Haug, originaire de Dornstetten en Wurtemberg
Mariage, Strasbourg (n° 820)
Du 5° jour du mois d’octobre l’an 1872 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jacques Lohr, majeur d’ans, né hors le mariage le 26 novembre 1846 à Obermodern (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, Charpentier, fils reconnu de Frédéric Lohr, appariteur décédé à Obermodern le 11 avril 1859 et de feue Eve Meyer, décédée auit lieu le 30 septembre 1864 et de Barbe Haug majeure d’ans, né en légitime mariage le 6 janvier1842 à Dornstetten (Wurtemberg) domiciliée à Strasbourg, domestique, fille de Jean Haug et d’Elisabeth Weisser, conjoints domiciliés à Dornstetten – ll n’a pas été fait de contrat de mariage (i 64)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.