24, quai des Bateliers


Quai des Bateliers n° 24 – IX 180 (Blondel), O 662 puis section 22 parcelle 21 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Jacques Rhein, serrurier, 1741
Réunie en 1867 à la maison voisine


La porte de gauche formait l’entrée de l’impasse des Chaudronniers (août 2015)
Vue qui montre les fenêtres du mur latéral
Emblème de serrurier

La maison a en 1587 un encorbellement et deux auvents superposés ; une remise longe la ruelle des Chaudronniers. Cunégonde Trausch, veuve de Daniel Birtsch, la vend en 1608 au tailleur Nicolas Weller en conservant la maison voisine. La maison dont la porte donne accès à la ruelle des Chaudronniers change plusieurs fois de propriétaire avant d’appartenir au chaudronnier Matthias Bernhard. Vendue par adjudication judiciaire, elle revient quelques années plus tard au chaudronnier Gaspard Dieffenbach qui a épousé la veuve de Matthias Bernhard, puis à son beau-fils Michel Schwartz et au fils de ce dernier, Samuel Schwartz, tous chaudronniers. Le serrurier Jean Jacques Rhein l’achète en 1725 avant de se marier. Les préposés l’autorisent en 1741 à avancer le mur d’un pied et demi sous l’encorbellement large de trois pieds. Il reconstruit la maison qu’il hypothèque l’année suivante. La nouvelle façade verticale a donc été avancée d’un pied et demi au sol et reculée d’autant aux étages. Les fenêtres des étages séparés par des cordons ont un linteau arqué et mouluré. Jean Jacques Lichtenfelder acquiert la maison dans la faillite de Jean Jacques Rhein. Les préposés ne l’autorisent pas en 1761 à construire une remise dans la ruelle des Chaudronniers. La valeur minimale passe de 450 livres en 1725 à 600 livres en 1773.



Plan-relief de 1725 entre l’impasse des Trois-Gâteaux à gauche et la rue Sainte-Madeleine à droite. La maison est la quatrième à partir de la droite, bâtiments en saillie dans la partie gauche (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 209, élévations (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (h’) et (i’) : porte sur la gauche et deux fenêtres, deux étages à trois fenêtres chacun, une ouverture dans le pignon. La cour (P’), plan montre en (11-12) l’arrière qui donne dans l’impasse.
La maison porte d’abord le n° 21 (1784-1857) puis le n° 24.

Le serrurier Jean Weisser achète en 1795 la maison qu’il transmet à son fils Jean Jacques Weisser, lui aussi serrurier. La veuve la vend en 1867 à son voisin Jean Conrad Hochapfel. Les bâtiments partagent depuis lors la même destinée (voir le n° 23).


Rez-de-chaussée et étage en 1976 (dossier de la Police du Bâtiment)

novembre 2020

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1607 à 1867. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Daniel Birtsch et (1596) Cunégonde Trausch, remariée (1617) avec le docteur en droit Jean Barthelémy Bergner – luthériens
1608 v Nicolas Weller, tailleur, et (1604) Anne Gross puis (1613) Marthe Gottwald – luthériens
1615 v Mathieu Vogt, musicien, et (1600) Ursule Memminger – luthériens
1619 v Jean Salinus, culottier, et (1602) Anne Wettischweiler – luthériens
1627* adj Barthelémy Kallhard, batteur d’or, et (1600) Anne Bopffinger – luthériens
1628 v André Preg, cordonnier, et (1619) Anne Marie Beck, d’abord (1613) femme du cordonnier Adam Stahl, puis (1620) Anne Marguerite Frauler – luthériens
1629 v Matthieu Bernhard, chaudronnier, et (1628) Marie Dorsch, d’abord (1626) femme du chaudronnier Michel Schwartz – luthériens
1644 adj Jean Büchel, corroyeur, marchand de cuir et (1596) Marie Ulrich puis (1631) Madeleine Kopp, veuve de Joachim Wendland, remariée à Paul Hellwick – luthériens
v Jean Jacques Seubert, docteur en médecine, et (1636) Anne Ursule Saltzmann, veuve de Daniel Dinckel – luthériens
1652 v Gaspard Dieffenbach, chaudronnier, et (1638) Marie Dorsch, veuve de Michel Schwartz et de Matthieu Bernhard – luthériens
1680 h Michel Schwartz, chaudronnier, et (1653) Susanne Kesselmeyer – luthériens
1697 h Samuel Schwartz, chaudronnier, et (1684) Madeleine Egner puis (1704) Marie Barbe Günther d’abord (1688) femme du constructeur de bateaux François Hetzel – luthériens
1725 v Jean Jacques Rhein, serrurier, et (1727) Susanne Kesselmeyer puis (1730) Marie Salomé Wahl – luthériens
1753 adj Jean Jacques Lichtenfelder, serrurier, et (1743) Marguerite Barbe Bresslé – luthériens
1793 v Charles Simon, portier aux Enfants trouvés, et (v. 1783) Reine Lantz puis (1806) Marie Madeleine Mætz veuve du journalier Michel Wolfart – catholiques
1795 v François Antoine Wiedenmann, maître plâtrier et stucateur, et (v. 1783) Marie Elisabeth Kuntzemann – catholiques
1795 v Jean Weisser, serrurier, et (1779) Marie Madeleine Flach – luthériens
1810* h Jean Jacques Weisser, serrurier, et (1819) Catherine Barbe Flach
1867 v Jean Conrad Hochapfel, négociant, et (1849) Honorine Catherine Schroth

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 450 livres en 1725, 600 livres en 1773

(1765, Liste Blondel) IX 180, Jean Jacques Lichtenfelder
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Liechtenfelder Wittib, 2 toises, 5 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 662, Weisser, Jean, quai des Bateliers 21 – maison, sol – 0,68

Locations

1644, Gaspard Dieffenbach, futur propriétaire
1775, Jean Frédéric Baur, serrurier, et (1775) Marguerite Salomé Lichtenfelder
1781, Henri Wagner, serrurier
1788, Jean Gaspard Roser, serrurier
1792, Jean Geoffroi Bley, serrurier
1832, Jean Frédéric Bischoff, cabaretier, et (1819) Marie Madeleine Kromer
1839, Frédéric Edouard Kessel, serrurier
1854, Frédéric Mainhardt, serrurier, et Sophie Geyer

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 399-v
La maison appartient en 1587 au monastère de Marmoutier qui la loue au pelletier Jacques Schiebs. Elle comprend un encorbellement (21 pieds ½ de long en saillie de 2 pieds 3 pouces), plus haut un auvent de même longueur faisant une saillie d’un pied supplémentaire, un autre auvent de 15 pieds de long en saillie de 4 pieds. Dans la venelle se trouve une remise de 40 pieds de long qui a à l’avant une largeur de 5 pieds 4 pouces et à l’arrière 10 pieds. La contribution pour jouissance du communal s’élève à 16 sols

Daßelb Closter Maurßmünster hatt darneben aber ein Hauß, da Jacob Schiebs der Kürßner Innen sizt, daran ein Vsstoß xx+ schu lang, ij schu iij Zoll heraus, Mehr Oben ein Wettertach Ingleicher Lengen, j schu noch weÿter für den Vsstoß herauß, Darüber aber ein Wettertach xv schu lang, iiij schu herauß, Vndt hatt auch diße Behausung Inn dem Allmendschlupff dar neben ein Überbaw xl schu lang, Vornen am Ingang v schu iiij Zoll, hind. x schu breÿt, Bessert für das Niessen, xvj ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1741, Préposés au bâtiment (VII 1399)
Les préposés vont voir sur le quai en aval du Pont neuf la maison de Jean Jacques Rhein qui a demandé l’autorisation de réparer le mur et le poteau cornier endommagés ou de construire à l’aplomb de l’encorbellement. Ils l’autorisent à bâtir 1 pied ½ sous l’encorbellement de trois pieds moyennant versement de 3 livres qu’il règle aussitôt.

(f° 154) Montags den 16. Octobris 1741. (Augenschein) – Joh: Jacob Rhein
An Johann Jacob Rheinen des schloßers Hauß am Stadten Unterhalb der Neüen bruck, welcher umb erlaubnus gebetten die Schadhaffte Wand und Eckpfosten an dem daran befindlichen Überhang Zu repariren, oder den Überhang Zuunterbauen. Erkannt wid jhme erlaubt 1 ½ schuhe und mehr nicht Von dem Überhang, welcher etwas über 3. schuhe tieff ist, Zuunterbauen Gegen erlag 3. lb für ein und allemahl Zubezahlen, so er acceptiert und die 3. lb. gleich erlegt.

1761, Préposés au bâtiment (VII 1409)
Les préposés n’autorisent pas Jean Jacques Liechtenfelder à construire une remise de 8 pieds sur 5 dans la ruelle (appelée ici Goldschmidts gässel et non Kupfferschmidts gässel) pour y entreposer du charbon et y poser des étaux

(f° 82-v) Sambstags den 28. Martÿ 1761. – Johann Jacob Liechtenfelder
In dem sogenannten Goldschmidts gäßel am Fischerstaden alwo Johann Jacob Liechtenfelder der schloßer umb erlaubnus gebetten einen 8 schuh lang und 5 sch. breites hüttlein seine Kohlen darin Zu Verwahren und Schraubstock Zu stellen, hinten in das eck des gäßleins Zu setzen.
Erkannt bedacht. Ferner Erk. begehren abgelaint.

Description de la maison

  • 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, plusieurs chambres, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, au rez-de-chaussée un vestibule, une forge de chaudronnier et une petite cave solivée, le tout estimé avec les dépendancess à la somme de 900 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Bâteliers

nouveau N° / ancien N° : 84 / 21
Weiser
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 198 case 1

Weisser, Jean Jacques, quai des bateliers N° 21

O 662, maison, sol, quai des bateliers 21
Contenance : 0,68
Revenu total : 77,35 (77 et 0,35)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11 / 9
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 906 case 1

Weisser, Jean Jacques
1868 Hochapfel Jean Conrad Jacques
1896/97 Strassburg die Stadt durch Nutznießer Hochapfel Johann Conrad
98/99, Straßburg die Stadt

O 662, maison, sol, quai des bateliers 24
Contenance : 0,68
Revenu total : 77,35 (77 et 0,35)
Folio de provenance : (198)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11 / 9
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre allemand, registre 30 p. 280 case 10

Parcelle, section 22, n° 21 – autrefois O 662, O 663
Canton : Schiffleutstaden Hs N° 23 u. 24
Désignation : Hf, 2 Whs N.G. (transformation voir fol. 1466)
Contenance : 11,40
Revenu : 3100, 5900 – 2600, 1900
Remarques : 1947 C.N.
1914 Abbruch, 1918 Neubau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 315 Quai des Bateliers f° 501

21
Pr. Lichtenfelder, veuve – Maréchaux
loc. Bauer, Frederic – Maréchaux
loc. Roser, Caspar – Maréchaux
loc. Schweigheuser, Jean – Pêcheurs

Registres de population

(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 21 (registre 600 MW 11) – légende

Jean Weisser, 50, serrurier, Hornberg (à Str. depuis) 1771
M. Mad. id. 52, epouse, Strasb.
Jn Guillaume, id. 13 fils, id.
Marg. Antoni, 25, Servante, id.
Jn Jaq. Münchard, 30, charpentier, id.
Susanne id. 23, épouse, Wetzlar (à Str. depuis) 1° année

Annuaire de 1905

Voir le n° 23

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)

Voir le n° 23


Relevé d’actes

Propriétaire de la maison voisine, Cunégonde Trausch veuve de Daniel Birtsch vend la maison au tailleur Nicolas Weller et à sa femme Anne

1608 (xj Aprilis), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 131
Erschienen Fr. Künigund Wyld. Daniel Birtschen selig witwe hatt mit beÿstand v bewilligung herrn Johann Theürers offenen keyserlichen Notarÿ Ires geschwornen Vogts (verkaufft)
Niclaus Wellen Schnydern V Annen seiner ehelich. hußfr
huß v hoffestatt mit all Ir gebeu gelegen In der S S ane dem gestaden nydwendig der Neuwenbrucken ane Gangolff geßlin ein seyt neb. der verkheüfferin andersyt hans Heinrich Peÿger dem Blaen Salben kremer stoßend hind. vff die verkhäufferin, davon gnd 5 pfund gls vff d xxix Aprilis fallend losig m j C lb d herrn hanns Ludwig Rübben der Rechten doctoren Sunst frey ledig v. eÿg. der Khauff vber solche beschwerde besch. für ij C xv lb

Originaire de Westhouse, Nicolas Weller épouse en 1604 Anne, fille de Jean Gross, vigneron dans la vallée de Munster
Mariage, cathédrale (luth. p. 130, n° 14)
Dominica inuocauit d. 26. Februarÿ. 1604. Niclaus Weller von Westhaußen der schneider, Anna Hans Groß des Rebmans im münsterthal n. g. dochter (i 68)

Nicolas Weller originaire de Westhouse achète le droit de bourgeoisie la veille de son mariage
1604, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) f° 678
Niclaus Weller der Schneider vonn Westhaußen Kaufft d Burg: mitt beÿstand Hannß Adolff Müller des schneiders Vnnd will Zun schneidern dienen, Actum 25. febr. 1604.

Nicolas Weller se remarie en 1613 avec Marthe Anne, fille du ceinturier Nicolas Gottwald
Mariage, cathédrale (luth. p. 7)
1613. Dominica Paschatis den 4. Aprilis. Niclas Weller der Schneider vnd J. Marthan Niclaus gottwaldt des gürtlers nachgelaßene tochter, eingesegnet Zinstag den 13. Aprilis (i 8)

Nicolas Weller et sa femme Marthe, fille du ceinturier Gottwald, vendent la maison au musicien Mathias Vogt et à sa femme Ursule Memminger

1615 (ut spâ [xxiiij. Julÿ]), Chancellerie, vol. 416 (Registranda Kügler) f° 162
Erschienen M Niclaus Woller Schnyd. v. Martha sein eheliche hußfr. Wÿland Gottwaldts des Gürttlers selig. dochter haben unver: verkaufft
Matys Vogt Spÿlman v Ursulen Memmingerin seiner ehegehl.
Huß v. hoffestatt mit all Iren gebeu gelegen In der S S nydwendig ane gestaden ane Gangolff gäßlin einseyt neb. Joseph Byson handelßmann andersyt hanns Heinrich beyger selig witwe v erb stosst hind vff Joseph Byson, davon gend v lb d glts loßig mitt j C lb d d xxix Aprilis herr Johann Ludwig Rübben der Rechten doctor wyther vij lb xviij ß vi d vff Johannis Baptistæ loßig m. j C Lvi lb x ß d Fr. Künigund H Daniel Betschen des Jung. selig. witwe
[in margine :] der Khauff für ledig eig. v. 400. lb (vid. 608 f. 137)

Mathieu Vogt épouse en 1600 Ursule, fille du pileur d’épices Adam Memminger
Mariage, cathédrale (luth. f° 71)
1600. Dominica Iubilate den 13. Aprilis. Mattheus vogt der spilman vnd Ursula Adam memminger deß wurtzstoßers n.g. dochter, Eingesegnet den 28. Aprilis (i 38)

Mathias Vogt et Ursule Memminger vendent la maison au culottier Jean Salinus et à sa femme Anne Wettischweiler

1619 (xxvj. Julÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 406-v
(Inchoat. in Prot. fol. 289.) Erschienen Mathÿß Vogt Spielman burg. Zu Straßburg vnd Ursula Memmingerin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
hannß Salinuß hosenstricker burger Zu Straßburg, So auch Zugeg. Ime vnd Annæ Wedeschwÿlerin seiner ehelich. haußfr.
hauß vnd hoffestatt, mit Allen Ihren geb. gelg. Inn d. St. St. Am gestad. nidwendig d. Neuwen bruck. einseit neben Jacob Andreß dem schaffner, And.seit Joseph Buisson handelßman hind. vff ein allmend gässell, dauon gnd. xv. gl. gle. lößig mit iij. C. gl. werung vff Georgÿ Khunigund Trauschin wÿland Daniel Birtsch. s. erb. it. v lb d gld loß. mit j C lb d vff Sant Marx tag h. Carle Gambß, Sunst ledig eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich nemmen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb j C L lb

Jean Salinus hypothèque la maison au profit du batteur d’or Barthelémy Kallhard

1620 (ut spâ [ix. Martÿ]), Chancellerie, vol. 439 f° 147-v
(Inchoat. in Prot. fol. 163.) Erschienen Hannß Salinus d. hosenstricker burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Barthell Kalhardt goldschlagers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe Lxxvij lb
vnderpfand hauß und hoffestatt mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. angehend, nid. wendig d. Newen brucken einseit Jacob Andreß d. schiffer Anderseit Joseph Buisson hinden vff ein Allmend gäßlin stoßend, dauon gnd. xv. gl gld. loßig mit 300 gulden Khunigund drauschin, Mehr v lb loßig mit j C lb Carle Gambß. So dann sind sie verhafftet vmb j C lb Mathÿß Vogt d. Spielmann

Anne Wettischweiler hypothèque en l’absence de son mari Jean Salinus la maison au marchand Louis Kleinbub, de Calw

1621 (x. Januarÿ), Chancellerie, vol. 443 f° 17-v
(Inchoat. in Prot. fol. 12.) Erschienen Anna Wettischwillerin, hannß Sallinj des hosenstrickers haußfr. mit beÿstand Caspar Eberhard burgers Zu Straßburg Ane statt Ihres Abwesenden haußwürths
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit herrn Ludwig Cleinbub handelßmanns von Kalb – schuldig seÿe 170 guldin
vnderpfand hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der Statt Straßburg vnderhalb der neüwen brucken Am gestaden einseit neben Joseph Buisson anderseit neben einem schlupff hinden vff gemelten Buisson stoßend dauon gend cv guldin gelts loßig mit iij C gl wÿland Daniel Birtschen seligen erbenn, Item v lb gelts lößig mit j C. lb vff Sant tag herrn Carle Gambßen, Weither Ist die Behaußung verhafftet vmb j C. lb d Mathÿß Vogt dem spielmann, So dann vmb Lxvj guldin ij ß vj d Jacob Kammen dem Metziger für ledig vnd eigen

Jean Salinus et Anne Wettischweiler hypothèquent la maison au profit du batteur d’or Barthelémy Kallhard

1622 (xxvj. Maÿ), Chancellerie, vol. 446 f° 178
(Inchoat. in Prot. fol. 135.) Erschienen Hannß Salinus der hoßenstricker burg. Zu Straßburg Vnd Anna Windischweÿlerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Barthel Kalhardt goldtschlagers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿent 150 pf
zu vnderpfand verlegt, d hauß vnd hoffstatt, mit Allen Ihren gebeüen. & gelegen Inn der Statt Straßburg Am gestaden, nidwendig der Neüwen bruckhen, einseit nebent Jacob Andres dem Schiffman Anderseit nebent Joseph Bisson hind. vff Ein Allmendt geßlin stoßend, dauon gend xv gld gld gelts Lößig mit 300 gulden Khünigund Trauschin, Item v lb d gelts Lößig mit j. C. lb Carle Gambßen So dann seindt sie Vhafftet vmb L lb Mathÿß Vogt dem Spielman Sunst Ledig vnd eÿgen

Jean Salinus hypothèque la maison au profit de Sébastien Gambs

1623 (ut spâ [v. Junÿ]), Chancellerie, vol. 449 f° 548-v
(Inchoat. in Prot. fol. 330.) Erschienen Hannß Salinus hoßenstricker burger Zue Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit H. Sebastian Gambßen burgers Zue Straßburg – schuldig seÿe 200 pfund
zu vnderpfand verlegt, hauß vnd hoffstatt mit Allen & gelegen In d. St. St. nidwendig der neüwen Brucken Am gestad. Ane Gangolff gäßlin eins. h. Joseph Buison, Ands. Heinrich Andres schiffmann hiid. vff Daniel Birtschen witwe, dauon gendt 7 lb 10 ß gelts lößig mit j. C. L lb Bartholme Kallhardt dem goldschlag. Mehr v. lb d Ablößig mit j. C. Carlen Gambß. Sonst eÿgen, Wie d. Costen, & Verh. & Vide fol. 516.

Créanciers de Jean Salinus, Cunégonde Trausch veuve de Barthelémy Bergner et Barthelémy Kallhard vendent la maison au tailleur Jean Georges Weckerlin. L’acte est annulé deux mois plus tard.

1627 (ut spâ. [16. Augusti]), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 431-v
Erschienen hannß Salinus deß hosenstrickers vnd burgers alhier Hÿpothecarÿ benantlichen herr D. Niclauß Philipp Scheidt Alß befelhlhaber fr. Künigunda Trauschin weÿ: H. D. Johann Bartholmei Berckners witib seiner Schwiger H Carle Gambß für sich selbsten, Barthel Kalhardt goldschlager herr Sebastian Gambß
haben in gegensein hanß Georg Weckerlins deß schneiders auch burgers alhie bekannt,
demnach er Herr D. Scheidt vnd Kallhardt hienach specificirte Behausung alß ihr verlegt vnderpfandt Ane der Ganthen, nach Ganths recht an sich gebracht vnd erganthet, daß herauf sie vier hÿpothecarÿ Vnd ein Jeder pro suo rato vfrecht v.kaufft vnd zukauffen geben ernanntem Weckerlin vnd Mariæ Rheinin dessen ehefr. (…) hauß vnd hofstat mit Allen anderen gebäwen & alhie Jenseit der Preüschen nidwendig der Newenbrucken am Gestad. einseit am Gangolffsgäßel 2. seit neben Henrich andreß dem Schiffmann hind. vff Joseph Buisson stoßend geleg. Vnd ist diser Kauff für freÿ, ledig, eÿgen Zugangen für vnd vmb 475 Pfund
dabeÿ gewesen Wilhelm Melchior Grimm Streelmacher, Georg Maler würth Zum Wolff vnd Daniel Hägelin Maurer
[in margine :] Erschienen bede Parten haben dißes contract also Allerhandt erwöglich. vrsachen Widerumb cassirt vnd entschlagen dargeg. so hatt er der Keüffer für Abzug dießes Khauffs Ihnen den Verkäufferen heraußgeben 18. lb – Act. 14. 10.bris 627.

Charles Gambs cède à Barthelémy Kallhard 100 livres garanties sur la maison de Jean Salinus

1628 (26. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 163
Erschienen H. Carol Gambß,
hatt in gegensein Barthel Kallhardten deß goldschlagers Auch burgers Zu Straßb.
bezahlt 100 pfundt Capital und dauon Acht Jahr außstendig. gewesene Zinß auch deßwegen vffgangenen vncosten Ein Pfund Zehen schilling, so er H Gambß vff Johann Salinus des hosenstrickers gehabter Behausung alhie Jenseit der Breüschen vnderhalb der Newen Brucken Am Stad. neben Joseph Bisson gelegen, alß darfür v.legt vnderpfandt bestehen

D’après la vente de 1631, la maison revient à Barthelémy Kallhard. Fils du facteur d’instruments Hermann Kallhard, il épouse en 1600 Anne Bopffinger (Poppinger), fille de chaudronnier : contrat de mariage, célébration

1600 (6.3.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 53, Prothocollum 1597-1605)
Eheberedung Zwüschen dem Ehrsamen vnnd bescheÿdenen Barthel Kalhardt dem Jungen goldtschlager, des Ehrenhafften Martin Kalharts goldtschlagers vnd burgers Zu Straßburg ehelichem sohne, Alß dem Breüttigam Ane eim
So dann der tugendsammen Jungfrauwen Annæ, des Ehrenhafften Meister Matthÿß Bopffingers deß Kupfferschmidts Auch burgers Zu Straßburg ehelichenn dochter Alls der Hochzeÿtterin anderntheÿlß
durch die Ehrengeachten, Erwürdig. wolgelehrten, Fürnehmen, erenhafften, Ersammen vnd bescheidenen Martin Kalhart goldtschlager, Herman Kurtzen lauttenmachern, Simon Rodloff Buchbinder, vnd Daniel Strntzenn Notarium vff sein deß hochzeitern
So dann vff Ihro der Jungfrauwen hochzeiterin seitten Matthÿß Bopffingern Ihrem Vatter, Herrn Samuel Erlas, Herrn Ambrosium Speccerum helffern In der pfarrkirchen Zum Jungen sant Peter, Phillipß Sparschuh Riemenschneidern vnd Hannß Hetzeln Rothgerbern, Aller burger Zu Straßburg vnnd hierzu erbettener vnderhändler
beschehen den 6. Martÿ In dem Jar deß herrn Alß man Zalte 1600.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 130-v n° 344)
1600. Dominic. Misericord. 6. Aprilis. Bartholomeus Kallhart d. goltschlager vndt Anna Matthiß poppinger des Kupfferschmidts alhie tochter. Eingesegnet Montag 14. Aprilis (i 133)

Accord entre Augustin Schnupphagen veuf d’Anne Marie Kallhard avec ses beaux-frères et belle-sœur, héritiers de Barthelémy Kallhard et Anne Bopffinger, Mathias Kallhard, Barbe Kallhard femme de l’aubergiste Jean Hammerer et Paul Kallhard
1640 (23. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 606-v
(Quittung) Erschienen Herr Mathiß Kallhardt Goldschlager, hannß Hammerer Gastgeb Zum Weinstockh alß Ehevogt Barbaræ Kallhardtin sein Mathiæ Schwester und hannß Mathiß Beer Gastgäb Zum weiß. Haanen alß geschwornenn Vogt Pauli Kallharts vorged. Mathiæ bruders alle burg. alhie und alß Erb. weÿl. Annæ Bopffingerin weÿl. Barthol Kallhardts geweßenen burgers und Goltschlagers alhie seel. nachgelaßener wittibin und von weÿl. Annæ Mariæ Kallhardtin Augustin Schnupphagen deß Gastgäben vff der Metzger Zunfftstuben alhie verstorbener haußfrawen ihre dochter sel. in legitimam instituirte Erbin
haben in gegensein erstbenanndt. Augustin Schnupphagen dero hinderlaßenen Wittibers und Usufructuarÿ bekannt
demnach Er denenselben die ienige 346 lib. so Ihnen pro legitimâ und nach innhalt der Zwischen Ihnen in dißem Jahr & durch H Not. Johann Peter Gündeln vffgerichteten Vergleichung ahne ihr Annæ Mariæ Kallhardtin Verlaßenschafft gebührt, Zu genueg entrichtet.

Barthelémy Kallhard règle un complément de prix à Mathias Vogt sur la vente passée en 1719 au profit de Jean Salinus. La maison a ensuite été vendue à André Preg puis à Mathias Bernhard.

1631 (1. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 450
Erschienen Barthel Kallhardt der goldschlager, burger Zu St. An einem,
So dann Mathiß Vogt der Spielmann auch burger alhie Am and. theil, Zeigten An, vnd bekannten gegen einander,
demnach Er Mathiß Vogt den 25. Julÿ Anno 1619 vermög der beÿ hilario Meÿgern alß gewesenen Contractuum Not° vfgerichten v.schreibung an hanß Salin die behausung, welche nachgehends Mathiß Bernhard der Kupferschmidt von Andreß Pregen dem Schuhmacher, vnd er Preg Zuuor von ihme Kallhardten Käufflich An sich gebracht, verkaufft, vnd Am Kauffschilling den 9. Martÿ vnd 5.t Septembris Anno 1622. in damaligen hohen gelt 100. lb d. empfangen, Alß heten sie sich mit einand. gütlichen dahin verglichen, daß Er Kallhardt (…) XXV. lb vnd zwo ducaten nachzutragen

Barthelémy Kallhard vend la maison au cordonnier André Preg moyennant 400 livres

1628 (vi. Feb:) Chambre des Contrats, vol. 462 f° 67-v
Erschienen Barthell Kallhardt d. goldtschlager burger Zu Straßburg (verkaufft)
Andreas Preeg den schuomach. burger Zu Straßburg
hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihren gebeuden & glg. Inn d. St. St. Am gestad. nidwendig der Neüen bruck. eins neben Andreß Heinrich der schiffmann, a. seit Joseph Buisson, hind. vff ein Allmend gäßlein stoßend Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 400 lb
(vide in Reg. 1629. fol. 735)

Originaire de Lindau, le cordonnier André Preg épouse en 1619 Anne Marie, veuve du cordonnier Adam Stahl
Mariage, cathédrale (luth. p. 85)
1619. dominica 1. Trinit. den 30. Maÿ. Andreas Breg der schuehmacher von Lindaw und Anna Maria Adam Stahl der schuehmacher n. wittwe, eingesegnet montag d. 7. Junÿ (i 47)

Adam Stahl épouse en 1613 Anne Marie, fille du cordonnier Michel Beck
Mariage, cathédrale (luth. p. 12)
1613 Dominica IXX Trinitat: den 1. Augusti. Adam Stahl der Schuehmacher und Jungfrau Anna Maria Michel Becken des Schuehmachers nachgelasne tochter, eingesegnet Zinstag den 10. Augusti (i 11)

André Preg se remarie en 1620 avec Anne Marguerite, fille du tailleur de pierres Jean Frauler
Mariage, cathédrale (luth. p. 102)
1620. Dominica Jubilate d. 7. Maÿ. Andres Breg der schuehmacher, vnd J. Anna Margaretha Hans Frawlers des steinmetzen tochter, eingesegnet den 15. julÿ. (i 56)

Originaire de « Landau », André Preg devient bourgeois deux semaines après son mariage
1619, 4° Livre de bourgeoisie f° 11
Andreß Brög Von Landauw d. schumach. Empfahet d. Burg.recht Von Anna Maria, Weÿl. Michael Beck. deß Schumachs. dochter vnd Wüll Z den schumacher dienen. Actum den 22. Junÿ Aô 1619.

Après la mort de la veuve d’André Preg qui bénéficiait de l’aumône de Saint-Marc, ses trois enfants sont recueillis à l’orphelinat
1633, Conseillers et XXI (1 R 115)
Andreas Breÿen wittib Kind ins Waisenhauß. 250.
(f° 250) Mittwochs d. 23.t Octobris – Hannß Friderich Höler, d. Spielman, bericht p. Knaffelium d. Andtreß Breÿen wittib, so d. allmosen Zu St Marx genossen, Vor ungefehr 14 tag gestorben vnd 3 Kind. hind.laßen, namens Annam Margaretham Von 8, Peter Von 6 vnd hannß Martin von 4 jahren, Weilen nun kein nahrung vorhand. also bitt er selbige in d. alhiesige Weisenhauß auff v. anzunehmen. Erk. sollen auffgenommen,vorderst aber besichtiget vnd erkundigt werd. ob es sich d. nahrung halb. vorgebrachter maß. v.halte. H. Pleß v. Dörrer

André Preg et Anne Marguerite Frauler vendent la maison au chaudronnier Matthieu Bernhard et à sa femme Marie Dorsch

1629 (ut spâ [23. 9.bris]), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 735
(Prothocollat. fol. 94.) Erschienen Andres Preg der Schuemach. Burger Zu Straßburg und Anna Margaretha Fraulerin sein Eheliche haußfr.
haben in gegensein Matthæi Bernhards deß Kupfferschmidts, auch Burgers Alhie vnd Mariæ Dorschin seiner Ehewürthin (verkaufft)
hauß vnd hoffstatt, mit akken Ihren gebäwen, gelegen in der Statt Straßburg, am Gestaden Niedwendig der Newenbrucklen, einseit neben Andres Heinrichen dem Schiffmann, anderseit neben Joseph Buisson hinden vf ein Allmendtgäßlein stoßend, welche noch verhafftet vmb 300. Pfund Pfenning, sambt 30. Lib. Zinß H Barthel Kalhardten, solche Zu Zielen Zuerleg. wie in Registrand. de Anno 1628. fol. 67. Zubefinden sonst freÿ, ledig, eig., Vnd ist diser Kauff, vber abgehörde beschwerd., so der Käuffer vf sich genommen, Zugangen und beschehen für und umb 105 Pfund
[in margine :] Erschienen herr Mathiß Kallhardt für sich selbst vnd Tobias Franckenberger alß Vogt ersterannten Kallhardt wittiben, vnd dann hanß Mathiß Beer alß Vogt obgenants Kallhardts Jüngern Kindern bekennen in gegensein deß Käuffers seel. wittiben (…) quitire, den 12. Augusti 1635

Fille de cordonnier, Marie Dorsch épouse en 1626 le chaudronnier Michel Schwartz, fils de Jérémie Schwartz, aussi chaudronnier. Elle se remarie en 1628 avec le chaudronnier Matthieu Bernhard, fils de Matthieu Bernhard, chaudronnier à Ribeauvillé
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 31-v)
1626. Dominica Reminscere den 5. Martÿ. Michaêl Schwartz der Kupfferschmid, Jeremias Schwartzen des kupfferschmidts hinderlaßener Sohn vnd J. Maria Lorentz Dorschen, des schuhmachers und burgers alhie nachgelaßene tochter, Eingesegnet Montag den 13. Martÿ. (i 35)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 210) 1626. Dominica Reminscere 5. Martÿ. Michel Schwartz der Kupfferschmid Jeremias Schwartz des kupfferschmidts n. sohn vnd J. Maria Lorentz Dorschen des schuhmachers n. tochter, eingesegnet Zu S. Thoman montag 13. Martÿ. (i 110)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 185-v)
1628. Matthæus Bernhard d. Kupfferschmid Matthæo Bernhard deß Kupfferschmids Zue Rappolßweiler ehelich. Sohn, Maria Michel Schwartzen des Kupfferschmids nachgelaßene wittib. 10. Martÿ (i 191)

Matthieu Bernhard de Sélestat devient bourgeois quelques jours après son mariage avec la veuve de Michel Schwartz
1628, 4° Livre de bourgeoisie f° 101
Matheus Bernhardt Von Schlettstatt der Kupfferschmidt Empfangt d. Burgerrecht Von Maria Weÿlandt Michel Schwartzen deß Kupfferschmidts Vnd Burg. Alhie see. Wittib Wüll Zu den Schmiden Zünfftig Sein, den 13. Martÿ Aô 1628.

Assistée de son frère docteur en théologie Jean Georges Dorscheus, la veuve de Mathias Bernhard hypothèque la maison au profit de la veuve et des héritiers du docteur en médecine Daniel Dinckel. Une mention marginale porte que l’hypothèque est éteinte par la vente de 1652.

1634 (ut spâ [1]), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 68
Erschienen weÿ: Mathiß Bernhardts gewesenen Kupferschmidts alhie see: witib Maria mit beÿstand & deß wolehrwürdigen hochgelerten Johannis Georgÿ Dorschei der Heÿ: Schrifft Doctoris, vnd in alheis. hohen Schulen professoris ihres respectiué H Brudern vnd Vogts, wie auch Sebastian Bernhard der Kupferschmidt Alß der verstorbenen Kinder Vogt
haben bekannt, daß sie weÿ: H Daniel Dinckels medicinæ Doctoris see: witib und Erben, derentwegen Conrad Dinckel der Glaser sein H D. Dinckels Bruder Zugegen – schuldig seÿen 100 pfund
zu vnd.pfand verlegt hauß und hoffstatt mit allen and.ern deren gebäwen & alhie Jenseit der Breüschen am Staden, vnderhalb der Newenbrucken, neben Jacob Steffan & Andreß Heinrichen beed. Schiffmännern, hind. vfs Closter Zun Räwern stoßend gelegen, so Zuuor verhafftet vmb 125. lb d Barthel Kallhardten dem goldschlager und dann umb 100. lb. hanß Büchel del Led.bereiter
(diße obligation ist vermittelst der am 4. maÿ a° 1652. vffgerichteten Kauffverschreibung cassirt word.)

Les héritiers de Jean Büchel cédent à leur belle-mère Madeleine Kopp femme de Paul Hellwick un capital qu’ils garantissent sur la maison ainsi que sur une autre proche

1639 (17. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 938
Erschienen weÿ: hanß Büchels Alten großen rhats Verwanthen see: nachgelaßene söhn und Erben, namens hanß Carol und hanß Jacob die Büchel gebrüedern vnd Er hanß Jacob mit beÿstand seines Vogts Vrban Kÿsels deß Notarÿ
haben in gegensein Magdalenæ Koppin ihr Büchels Stieffmuter ietzig. Eheuogts H Paul hellwuckhs großen Rhats Verwanthen, vnd Johann Kolben Biersieders Zum Strauß Alß ihr Magdalenæ boch ohnentledigten Vogts
bekannt, demnach mehrbesagter Büchel Vater see: eingangs gent. erwehnter ihrer Stieffmuter beÿ gehaltener Eheberedung Zum Wÿdemb 500. lb d hauptgut ad dies vitæ verschafft
[in margine :] Erschienen H Gabriel haß der Goltarbeiter alß herinn gemeldter Magdalenæ Koppin Vogt, hatt in gegensein hierinn genannts H hanß Jacob Beuchelß bekannt, alß Er demselben die hierinn specificirte 250. fl. vff Michaelis und 150. fl. vff Annunciationis Mariæ iährlich Zinnßbahren Pfenningthurns Capital der Vnderpfandts Gerechtigkeit entschlag. (…) hiengeg. aber Er H Beüchel ahne dero statt auß d. hirinn constituirten general Hypothec iedoch sine novatione exprimirt haben wolle hauß und hoffstatt mit allen dern Gebäwen ienseit der newen Brucken am staden, neben Jacob Stephan dem schiffmann ein: und anderseit neben H Andreß Henrich alt. groß Rhats Verwanth. geleg. so Zuuor verhafftet ist umb 75. lb Paul Kallhard. dem Scribent, sonst ledig. eig: Wie auch hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen auch ienseit der newen bruckhen im häckhergäßlin neben H Michel Käsen Kleinen Rhats Verwanth. Zu beed. seit. geleg. – Act. 11. Jan: a° 1649

Jean Jacques Büchel loue la maison qu’il a acquise le 2 janvier 1644 par enchère judiciaire de feu Matthias Bernhard à Gaspard Dieffenbach, mari de la veuve dudit Bernhard

1644 (5. febr.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 82
Erschienen hannß Jacob Büchel der handelßmann burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Caspar Dieffenbachß deß Kupfferschmidts auch burgers alhie
Sechß Jahr lang, die nechsten vonschiericht Kommend. Mariæ Verkündigung anznunehmen, Verlühen (…), Eine Behaußung Und hoffstatt sampt deren gebäwen gelegen in der statt Straßburg am gestaden nidwendig der Newen Brucken, einseit neben herrn Andreß Heinrich Großen Rhats alten Beÿsitzern anderseit neben Jacob Stephan dem Schiffmann hind. vff ein Allmend gäßlein stoßendt, welches hauß erin Entlehners Vorfahren weÿl. Mathiß Bernhard Kupfferschmit see: wittib Und Erben zugestand. vndt Er Herr Bücheln Vermög Vorgelegten am 2. Januarÿ Anno 1644. gefertigten Ganth Kauffbrieff mit ordentlichem Rechten an sich gebracht Undt erganthet – Vmb Einen Jährlich. Zinß benantlichen 10. lib.

Le corroyeur Jean Beuchel épouse en 1596 Marie Ulrich puis en 1631 Madeleine, veuve de Joachim Wendland, pasteur à Bischofsheim à la Haute-Montée (Rheinbischofsheim en Bade)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 34-v, n° 6)
1596. den 9. Martÿ sind Ehelich eingesegnet worden Hans Beichtel von Straßburg, der lederbriter vnd Maria Ulrichin Herrn Sebastian Ulrich Rathsfreundten Eheliche dochter (i 42)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 161-v, n° 11)
1631. 7. Trinitatis. H. Hanß Beuchel der Lederbereiter vnd Burger alhie vnd Magdalena weiland Herrn Joachim Wendlandt gewesenen Pfarrers Zu Bischen Zum Hohensteg hinderl. witwe (i 175).

Le docteur en médecine Jean Jacques Seubert (marié avec la veuve de Daniel Dinckel, créancier cité plus haut) vend la maison au chaudronnier Gaspard Dieffenbach et à sa femme Marie moyennant 265 livres

1652 (4. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 276
(Prot. fol. 56) Erschienen der Ehrenvest- hochgelehrte H Johann Jacob Seübert Med. Doct.
hatt in gegensein Caspar Dieffenbachß deß Kupfferschmidts und Mariæ seiner ehelich. haußfrauen mit beÿstand deß Wohl Ehrwürdig- hochgelehrten H Johann Georg Dorschen S.S. Theol: Doct. & Profess. auch Predigers im Münster ihres H Bruders und Curatoris
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhie ienseit der Preüschen am Stad. underhalb der newen Bruckhen einseit neben H Daniel Hetzel dem Schiffmann, anderseit neben H Andreß Henrich alt. groß. Rhats Verwanthen, hind. vffs Closter Zur Rewern stoßend gelegen – umb 265. lib.

Originaire de Sélestat, Gaspard Dieffenbach épouse en 1638 Marie, veuve de Matthieu Bernhard (voir plus haut)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 224-v)
1638. Dom. XVIII. Trin. 23. Sept: Caspar Dieffenbach Von Schlettstatt, Kupferschmidt, Caspar Dieffenbachs Zunfftmeisters daselbst hinderlaßener Sohn, Maria Matthis Bernhard Kupferschmidts Nachgelaß wittib. Eingesegnet dinstag d. 2. Octob. St: Thoman (i 231)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 413) 1638. Dominica XVIII. Trin. 23. 7.bris Caspar Dieffenbach der Kupferschmidt Von Schlettstatt, Caspar Dieffenbach des Zunfftmeisters Vndt Raths Verwandten daselbst e. sohn, Vndt Maria Mathiæ Bernhard des Kupferschmidts Vndt Burgers alhie n. wittwe. ist D. Dorschen schwester. Eingesegnet Zu S. Thom. Zinst. 2. 8.br (i 211)

Gaspard Dieffenbach devient bourgeois quinze jours après son mariage.
1638, 4° Livre de bourgeoisie f° 179
Caspar Dieffenbach d. Kupfferschmidt von Ihlerstatt, Empfangt d. Burg.recht von Maria Dorsein, Weÿland Mathis Berners deß Kupfferschmidts seellig. nachgelaßener wittib seiner haußfrauwen vmb 8 goldtguld. wüll Zu den Schneidern dienen den 25. 8.bris 1638.

Gaspard Dieffenbach et Marie Dorsch font leur testament. La femme lègue à son fils aîné Michel Schwartz les outils que lui a fournis son beau père lors de son mariage.
1658 (13.7.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 18, Vol. 2, Notariat Protocolla) f° 469
Codicill Mr Caspar Dieffenbachs des Kupfferschmidts vndt Fr. Mariæ Dorschin beeder Eheleüth Vndt Burgern alhie Zue Straßburg
1658 (…) auff Dienstags Welcher wahr der 13. Monatstag Julÿ alten Calenders Abends Zwischen Sechs vndt Süben Uhren (…) Persönlich kommen und erschienen seindt der Ehrengeachte Mr Caspar Dieffenbachs der Kupfferschmidt vndt die tugendsamme Fr. Maria Dorschin Sein eheliche haußfraw Burgere alhie Zu Straßburg beede Von Verliehung Göttlicher Gnaden gesunden gehenden vndt stehenden leibs, auch gueter Vernünfftiger Sinnen
Zum Andern, Verschafft Fr. Maria Dorschin die Codicillantin, Caspar, Marthan vndt Annæ Ihren mit obgemeltem ihrem haußwürth ehelich erzeügten Kindern (…)
Beÿ dem dritten, ist der Codicillirerein Will undt Meinung daß Mr Michel Schwartzen dem Kupfferschmidt vndt Burgern alhier, Ihrem eltisten Sohn der Jenige Werckzeug so Ihme von Mr Caspar Dieffenbach seinem Stieffvatter alß Er sich verheurathet hatt Zugestelt worden, Zu einem eügenthumb Zum vorauß haben solle

Gaspard Dieffenbach hypothèque la maison au profit du marchand Jean Mappus

1675 (29. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 385-v
Caspar Dieffenbach der Kupfferschmidt
in gegensein herrn Johann Mappus deß handelsmanns – schuldig seÿe 100 gulden
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördten allhier Jenseit der Preuschen am Staden underhalb der newen bruckhen einseit neben H. Daniel Hezel altem großen Rhats Verwanthen, anderseit neben diebold Jungen dem fischer, hinden uffs Kloster zu den Rewerin stoßend gelegen

Marie Dorsch meurt en 1678 en délaissant un fils de son premier mariage, trois enfants du deuxième et deux du troisième. La masse propre aux héritiers s’élève à 151 livres. L’actif de la communauté est de 429 livres, le passif de 265 livres.

1679 (26.5.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 13) n° 29
Inventarium vndt Beschreibung aller und Jed. Haab Nahrung vndt Güethere, Ligender: vndt Vahrender, Keinerleÿ davon außgeschloßen, So weÿl. die Ehren und Tugendsamme fraw Maria Dorschin, des Ehrengeachten Mr Caspar Dieffenbachs des Kupfferschmidts vndt burgers alhie Zu Straßburg geweßene haußfraw seel. Als dieselbe den 3.ten Xbris des nächst verstrichenen 1678.ten Jahrs diße Welt gesegnet, verlaßen (…) So beschehen In Straßburg Montags den 26.ten Maÿ A° 1679.
Die eingangs beschribene Fr. seel. hatt Zu Erben ab intestato verlaßen alß volgt. Aus Erster Ehe 1. Stammtheil, H Michel Schwartzen den Kupfferschmidt vndt Burgern alhie ihren auß Erster Ehe mit Weÿl. Michel Schwartzen auch geweßenen Kupfferschmidt ehelichen Sohn, für Einen Sechst. Stammtheil
Auß anderer Ehe. 2. Stammtheil, Weÿl. Mr Sebastian Bernhards, geweßenen Kupfferschmidts vndt Burgers alhie Ihres Sohns seel. auß dreÿen Ehen ehelich erzeügte Kinder Namentlich 1. Sebastian, 2. Mattheum, 3. Annam Auß erster Ehe deren geordneter Vogt der Ehrengeachte Barthomoleus Eraßmus Albrecht der Kupfferschmidt vnd burger alhier, aus anderer Ehe 4. et 5. Mehr Johann vndt Margareth so im Weÿßenhaus, in deren Nahmen ahne deren stell der Herr Weÿßenschaffner Hannß Georg Römern Vnd Præceptorem anderen Geschäfften halber abgeordnet hatt, 6. Ferner Catharinam auß dritter Ehe ehelich erzeigtes döchterlin, diese Sechs Enckel in nahmen Ihres Vatters seel. ahne einem Sechsten Stammtheil Jedes für Einen Sechsten Theil,
3. Stammtheil, Fr. Mariæ Bernhardin Andres Läppels des Schiffmanns vndt Burgers alhier geweßener haußfr. ihrer dochter seel. nachgelaßene Kind. ihre Enckel mit Nahmen 1. Jfr. Mariam Elisabetham, 2. Rosinam, 3. Johannam, 4. Margaretham, 5. Salome, 6. Caspar vnd 7. Andream, Alle mit obbesagt. Andrea Leppel erziehlet vndt Weilen derselbe nuhn beÿ Vier Jahren hero nicht darzu gebracht werd. können, daß möchten bevögtiget werd. So haben die herren dreÿer des Stalls ahn handtgeb. daß man In deren Nahmen Einen herren des Kleinen Raths der Inventation in deren Nahmen beÿ zu wohnen erbetten solte, diese auch ahne Einem Völligen Sechsten Stammtheil, jedes für einen Sübend. theil
4. Stammtheil, Weÿl. Ursulæ Bernhardin auch Weÿl. Mr Andreä Krämers geweßenen Kupfferschmidts v. burgers alhier seel. verstorbene haußfr. sel. ehelich erzeigte Kinder benantlich 1. Andream Krämern, Burgern Vndt Kupfferschmidt zu Jena wohnhaft, In deßen nahmen den Ehrenvesten fürsichtigen vnd weißen H Daniel Lienhardt handelßmann vnd E. E. Kleinen Raths Jetziger beÿsitzer alß deputirter zugeg, 2. Hannß Jacob Krämern den Ledigen Kupfferschmidts gesellen so in der frembde, 3. Mariam Krämerin, so ahn Adam Mentzke Corporalen vnd den Königlichen Regiment vereheligt, so Zugegen, 4. Marthan, 5. Lorentz, 6. Eliam, 7. Mattheum vnd 8. Ursulam, deren noch ledigen vnd vnverheürtatheten Kind. und Enckel vorgedachten H. Michel Schwartz geschworner Vogt, Weilen Er aber selbsten Interessirt, So ist ahne seiner stell Zu einem geschwornem Theil Vogt ernandt Worden H Elias Winckhler Notarius Cæs. publ. und auch Burg. alhie, dieße Acht Persohnen ahne Einem Völligen Sechten Stammtheil auch deren Jedes für einen acht. theil
Aus dritter Ehe, 5. Stammtheil, Caspar Dieffenbach, den verzogenen Kupfferschmidt so an Jetzo Zu Offenburg Ein Soldat Ahn deßen stell vorgemelter H. Daniel Lienhardt alß deputirter præsens für Einen gantz. Sechsten Stammtheil
6. Stammtheil, Weÿl. Marthæ Dieffenbachin auch weÿl. Hannß Jacob Pfaffen geweßenen Schrött Gießers und Tabackhmachers v. burgers alhie seel. nachgelaßener witiben sel. hinderlaßene dreÿ Kind. nammentlich 1. Hannß Jacob, 2. Caspar vnd 3. Hannß Heinrich die Pfffern so mit Mr Johann Christian auch Kupfferschmidt vnd burgern alhier bevögtigt, deren Jeden ahn Einem Völligen Sechsten Stammtheil für Einen dritten Theil
NB. Weilen nuhn diese Ehepersohnen vber die 40 Jahr in ihrem Ehestand Zugebracht dahero so Wohl der frawen seel. in ihren Ehestand zugebrachte alß durch Ererbte Mobilien nicht mehr in dem Standt wie dazumahl Zubefinden, sond. fast alle verändert worden, Alß ist verglich. daß mann die Erben nach dem Buchstab. der Inventarien mit gewohnlich auffgerechneter Beßerung Ergäntzen, hingegen die Jetzmahlihe befundene Vahrende haab biß auff j. Ambooß für theilbar Inventiren solle.

In einer ahne dem Schiffleüth Staden alhie Zu Straßburg gelegenen behaußung in dise Verlaßenschafft gehörig vnd hernacher eingetrag. Zu befünd. hatt sich befund. als volg
In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, Vor dießer Cammer, In der Wohnstuben, Im Haußöhren, Im Keller
Eigenthumb ahne Einer behaußung (E.) i. hauß, vndt hoffstatt mit Allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten vndt Gerechtig Keiten In der Statt Straßburg Jenseith der Preüschen am Staden Vnd.halb der Newenbrucken j. s. neben H Daniel Hetzlern dem Schiffmann vnd E. E. Großen Rath Alten Beÿsitzern 2. s. H. Theobaldt Jung. auch Schiffmann vndt Burgern alhie Hinden vff das Closter Zur Rewern stoßendt, Geleg. so Allerdings freÿ ledig vndt Eig. vndt nach der Geschwornen Werckmeistere æstimation angeschlagen word. vmb (-). Darüber vorhand. j. Teutscher Perg. In alhiesiger Cancelleÿ Contractstuben den 4.ten Maÿ A° 1652. datirten Verschreibung mit dero anhangend. Insigel verwahret sig. mit N° 1
Ergäntzung der Erben unveränderten Guths. Nach besag vber der verstorbenen frawen seel. in dießen Ehestandt eügenthümlich Zugebrachter: vnd In A° 1638. durch weÿl. H. Notarium Caspar Medlern auffgerichtet. Inventarÿ hatt man den Erben Zu erg. Als volgt
Vermög Inventarÿ Über weÿl. Fr. Ursulæ Seÿlerin auch Weÿl. Mr Jacob Weÿßen geweßenen Schneids. v. Burgers alhier Zu Straßburg Wittiben sel. Verlaßenschafft in A° 1670. auffgericht. Inventarÿ, NB Erstgedachte Fraw Ursula Weÿßin hat die entseelte fr. Mariam Dorschin per Testamentum Zur Einigen Erbin instituirt.
Abzug in In dießes Inventarium gehörig. Der Erben Unveränderte Verlaßenschafft, Sa. Werckzeügs Zum Kupfferschmid handwerckh gehörig 13, Sa. Eigenthumbs ahne Einer Behaußung 200,,Sa. Ergäntzung (321, abzuziehen 118, Nach deren Abzug) 203, Summa summarum 416 lb – Schulden 265, Nach deren Abzug 151 lb
Theilbare Verlaßenschafft. Sa. haußraths 60, Sa. Wahren vndt Werckzeugs Zum Kupfferschmid handwerckh gehörig 83, Sa. Schulden 286, Summa summarum 429 lb – Passiva 265 lb, Nach deren Abzug 153 lb
Summa finalis 315 lb, Beschluß summa 263 lb

Michel Schwartz, le fils aîné chaudronnier, rachète les parts de ses cohéritiers et devient seul propriétaire de la maison.

1680 (2.3.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 15) n° 30
Verkauff: undt Looßregister Inhaltendt vndt außweisendt Alles das Jenige Waß auß Weÿlandt Mr Caspar Dieffenbachs geweßenen Kupfferschmidts, vndt Fr. Mariæ Dorschin beede Ehepersohnen, vndt Burgeren alhie Zu Straßburg seel. hinterbliebenen Verlaßenschafft nach ihrer beeder aus dießer weldt seel. genommenen Abscheid Erlößt worden (…) So beschehen In Straßburg den 2. Martÿ A° 180.
Überlaßung der Sterb behaußung. Die fol: 17. der Erben unveränderte Sterb behaußung haben Gesambte Erben dero geschwornen Vögt vnd Interessenten heüt dato den 4. Martÿ 1680. H. Michel Schwartz dem Kupfferschmidt vndt der Verstorbenen Fr. seel eltistem Sohn für freÿ ledig vndt eügenthümblich neb. versprochener währschafft überlaß. word. vmb 530 fl. bahr geldt, die thun 265. lb. d.

Michel Schwartz épouse en 1653 Susanne, fille du sellier Samuel Kesselmeyer
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 245-v n° 7)
1653. Dominica Trinit. Michael Schwartz der Kupfferschmid und burger alhier Michael Schwartzen gewesenen Kupfferschm. und burgers allhier hinderlaßener ehelicher Sohn vnd Jfr. Susanna Samuel Keßellmeÿers gewesenen Sattlers v. burgers allh. eheliche tochter (i 263)

Samuel Schwartz acquiert la maison lors du partage dressé en 1697 (date mentionnée à l’inventaire de 1725 ci-dessous) après la mort de son père.
Samuel Schwartz épouse en 1684 Madeleine Egner, fille du boucher Jean Egner.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 29 n° 21)
1684. Domin. XXII. et XXIII. Trinitat. Samuel Schwartz der ledige Kupffer Schmidt alhie Michel Schwartzen deß Burgers und Kupffer Schmidts alhier ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Magdalena weÿland Johann Egners deß Burgers vnd Metzgers alhie nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Zu St Niclaus d. Mont. 27. 8.br / 6. 9.br. (i 30)

Il se remarie en 1704 avec Marie Barbe Günther, fille du vitrier André Günther et veuve du constructeur de bateaux François Hetzel qu’elle avait épousé en 1688.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 85-v, n° 13)
Mittwochs den 25. Junii 1704. seind nach zweÿmahlig. außruffung in der Pfarr Kirchen Zu S. Niclaus in Straßburg copulirt und eingesegnet worden Samuel Schwartz der Kupfferschmidt vnd burger alhie, und fr. Maria Barbara Hetzelin, weÿland Frantz Hetzelß geweßenen Schiffbäuers vnd burgerß alhie nachgelaßene Wittwe, [unterzeichnet] Samuel Schwartz als Hoch Zeitter, Maria barra hetzelin als hochzeittrin, Johann Friderich günther alß bruder (i 90)

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 10 n° 39)
1688. Eosdem [Dom. 13. post Trin. Seind Zum ersten mahl außgeruffen] seind Zum ersten mahl außgeruffen Frantz Hetzel, Schiff Zimmermann, Niclauß Hetzels Burgers und horn Pressers ehel. S. Jfr. Maria Barbara, Weiland Andres Günthers Burgers u. Glaßers nachg: ehel. T. Mittw. d. 22.t 7.br. ist auf geschehene Zweÿmahlige Proclamation die Copulation geschehen [unterzeichnet] Frantz hötzel Als hochzeitter, Maria Barbara Ginthrin als hoch Zeittrin (i 10)

Samuel Schwartz hypothèque la maison au profit du farinier Jean Georges Strohl

1712 (18.10.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 623
Samuel Schwartz kupferschmidt
in gegensein Joh: Georg Strohl meelmanns – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, seine behaußung c. appert. alhier ahm Staden beÿ der neuen bruck, einseit neben Herrmannin anderseit neben hanß Jacob Jung hinten aufs gässel

Samuel Schwartz hypothèque la maison au profit du boucher Abraham Kamm

1716 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 549-v
Samuel Schwartz kupfeschmidt
in gegensein Abraham Kamm metzgers – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: ahm Staden einseit neben Johann Jacob Jung anderseit neben Christoph Herrmann hinten auff ein gässlein

Samuel Schwartz hypothèque la maison au profit du boucher Frédéric Egner

1717 (12.10.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 559-v
Samuel schwartz Kupfeschmidt
in gegensein Friedrich Egner metzgers – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, sein hauß ahm staden, einseit neben Christoph Herrmann anderseit neben Johann Jacob Jung

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1719 (10.10.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 501-v
Samuel Schwartz kupferschmidt
in gegensein Joh. Friedrich Egner metzgers – schuldig seÿe 75 pfunc
sein haus cum appertinentis ahm Staden einseit neben J: Jacob Jung dem Fischkäuffer anderseit neben Simon Knoll hinten auff den Closter garten

Samuel Schwartz meurt en 1725 en délaissant trois filles et un fils. Les experts estiment la maison 450 livres. La masse propre à la veuve est de 84 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 266 livres et le passif à 449 livres.

1725 (16.4.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 12) f° 305
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Mr Samuel Schwartzen geweßenen Kupfferschmids und burgers alhier zu Straßburg nun seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1725.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte Mr Samuel Schwartzen geweßene Kupfferschmid und burger alhier zu Straßb. nun seel. nach seinem Donnerstags den 22.ten Martÿ dießes fortlauffend. 1725.gsten jahrs genommenen tödlichen absterben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes freündliches ansuch. erfordern u. begehren des abgeleibten seel. mit auch Weÿl. Frauen Magdalena geb. Egenerin seier erstern haußfrau ehelich erzeugt und ab intestato nachgelaßene rechtsmäßig. Erben vorgenommen u. inventirt, durch die tugendsame Fraw Mariam Barbaram gebohrne Güntherin die hinterbliebene Wittib beÿständlich deß Ehren vorgeachten Hn Wendling Schneiders, glaßers u. burgers alhier als derselben geordnet und geschworenen Curatoris (…) Actum Straßb. Montags den 16.ten Aprilis 1725.
Der Verstorbene Seel Eingang gemelt hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1° die Ehren u. tugendsahme Fraw Mariam Magdalenam Tochtermänin geb. Schwartzin, deß Ehrsamen Isaac Tochtermanns, Meelmanns und alhießigen burgers Ehefr. welche beneben demselben Zugegen. 2. den Ehrengeachten Mr Joh: Michael Schwartzen, Kupfferschmid und hießigen burgern welcher vor sich selbsten in person dem geschäfft beÿgewohnt, 3. die Ehren und tugendsahme Fr. Annam Mariam Ammelin gebohrne Schwartzin weÿl. Michel Ammels geweßenen Küeffers und burgers alhier nun seel. nachgelaßene Wittib, welche mit nechst vorged. Mr Johann Michael Schwartzen ihrem brud. bevögtigt, weilen derselbe aber dißorts selbst vor sich interessirt, dis hat dieselbe beneben Mr Hanß Jacob Bender Schuemach. v. b. alh. ihrem erbettenen beÿstand dem geschäfft abgewartet 4. Und dann die tugendsame Jfr. Mariam Salome Schwartzin welche noch ledigen standts und majorennis dahero allein mit beÿstand Mr Zachariæ Schlitzers Meelmans u. burgers alhier præsens, Alle 4 deß abgeleibten seel. mit Eingangs bemelter seiner erstern ehefr. seel. ehelich erzeugt u. ab intestato nachgelaßene rechtsmäßige Erben jedes zu ¼.

In einer alhier zu Straßburg ane dem Schiffleuthstad. ohnfern der Neüen bruck gelegener u. in dieße Verlaßenschafft behauß. befund. worden, wie volgt
Eÿgenthumb an einer behaußung. Hauß u. hoffstatt m. allen dero gebäuen, begr. weithen, rechten, Zugehörd. u. gerechtigkeit geleg. alhie Zu Straßb. jenseith der Breüsch am Stad. underhalb d. neüen bruck, 1.a. neb. H. Jacob Jung dem fischkeüffer, 2.s. neben Hn Simon Knollen dem handelßmann, Hind. auch vff denselb. stoßend, welche behaußung Weÿl. H. Friderich Egners geweßenen Metzgers u. allhießig. burgers seel. nachgelaßener Wittib u. Erben umb 150. lb d so jährl. auff Michaelis à 4. pro Ct° verzinßl. und dann H. Frid: Fruthen dem Metzger u. burgern alhier umb 75. lb d so alle jahr auch ad 4. pro Ct° auff Joh. Bapt: Zu verzinnßen Verhafftet, sonsten ist solch hauß freÿ ledig u. Eig. und über solche beschwerd. Vermög i. ad Conc. gel. schrifftl. Von alhießig. Werckmeistern eigenth. susbcribirter d. 13. april. 1723. datirten absch. æstimirt vor 225. lb. Worüber sich beÿ gegenwärtig. Inv.tur. ô schrifftl. befnd. wie aber solch hauß der Verstorbene seel. A° 1697. ane sich erhandelt weißt deßelb. Vätterlich theilreg. fol: 18.
Ergäntzung der Wittib in stehender Ehe abgegangen unveränderten guttes. Vermög deß über Eingangs gedachter beeder geweßener Eheleuth einander für unverändert in die Ehe gebrachter Nahrung durch nun Weÿl. Hn Eliam Wincklern Notm. seel. d. 4. 9.bri A° 1704 auffgerichtet und durch mich Eingangs u. Zu end unterschriebenen Not. f. 25. ejusdem mensis A° 1723. expedirten Invÿ.
Norma hujus invtÿ. Der Wittib unverändert Nahrung, Sa. haußraths 32, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 7, Sa. baarschafft 11, Sa. Schulden 12, Sa. Erg. 17, Summa summarum 84 lb
Solchem nach wird auch der Erben unverändert und Zugleich /:weilen die W. mit bewilligung ihres Curatoris auff die theilbahre Verlaßenschafft renuncirt:/ d. theilbaren Gutt und. einer Mass beschrieben. Sa. haußraths 28, Sa. des Zum Kupfferschmid handwerck Zugehörig. Werckzeugs 11, Sa. Silbers 1, Sa. Eÿgenth. an i. behaußung 223. Summa summarum 266 lb – Schulden 449 lb, Onus passivorum 182 lb – Stall summ 234 lb
Abschatzung d. 13.t aprili aô 1725. Auff begehren Weÿland des Ehren hafften und bescheidenen Meister Samuel Schwartz gewesenen Kupferschmidts seel. hinterlaßene Fraw Wittib und Erben, ist Eine behaußung alhie in der Statt Straßburg an dem Schiffleuth staden gelegen, Einseits Nebens hannß Jacob Jung Fisch Keüffer, anderseits Neben H Simon Knoll handelsmann, hinden auch auf bemelten Knoll stosend, welche behausung Stub, Cammern, hauß Ehren mit herd und waßerstein, unden ein hauß Ehren Eine Kupfferschmidts Eß und ein Klein gebälcktes Kellerlein, sambt aller Gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden, und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Neun hundert gulden. Bezeüchnus durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille dispensent les héritiers de Marie Barbe Günther de faire dresser un inventaire à cause de sa pauvreté.
1732 (19. Jan.), Livres de la Taille (VII 1177) f° 128
Weÿl. Fr. Mariæ Barbaræ auch Weÿl. Samuel Schwartz des Kupferschmidts hinderbliebener Wittib Erben, seind auf ihr bittliches Ansuchen der Inventur wegen Armuth erlaßen worden

Les héritiers de Samuel Schwartz vendent la maison au serrurier célibataire Jean Jacques Rhein moyennant 500 livres

1725 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 317
weÿl. Samuel Schwartz Kupfferschmidt in erster Ehe erzeugte vier Kinder nahmens Fr. Maria Magdalena geb. Schwartzin Isaac Tochtermann des Meelmanns Ehefrau, Ferner joh. Michael Schwartz der Kupfferschmidt, Mehr Fr. Anna Maria geb. Schwartzin weÿl. hannß Michael Ammel Kieffers wittib mit assistentz erstged. Schwartz ihres bruders und vogts und hannß Jacob Bender des Schuemachers, so dann Maria Salome Schwartzin so über 25 jahr und ohnbevögtigt beÿständlich Wendling Schneider des glaßers
in gegensein Johann Jacob Rhein des noch ledigen Schloßers und burgers sohns mit beÿstand seines schwagers Johannes Wurtz des Jüngern Schuemachers
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Schiffleuthstaden jenseith der Neuen: bruck, einseit neben H. Simon Knoll handelsmanns Ehefrau, anderseit neben hannß Jacob Jung dem ältern Fischer hinten auff ged. Knollische Ehefrau stoßend, ahn so genannten Kupfferschmidts: gäßel gelegen – um 150 pfund und 75 pfund verhafftet, beschehen um 275 pfund

Jean Jacques Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Cléophée Klein veuve de Frédéric Egner

1727 (30.5.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 352
Johann Jacob Rhein Schloßer so über 25 jahr alt und ohnbevögtigt zu seÿn versicherte /:wobeÿ ferner erschienen des schuldners schwager Johannes Wurtz schuemacher:/ (verbürgt)
in gegensein Fr. Mariæ Cleopheæ geb. Kleinin weÿl. Friedrich Egner Metzgers wittib mit beÿstand ihres bruders und Vogts Johann Michael Klein metzgers und Kirchenpflegers zu St Willhelm – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten jenseith der Schindbruck ahm Schiffleuthstaden einseit neben H. Rathh Knoll handelsmann anderseit neben hannß Jacob Jung dem Fischkäuffer, hinten auff gedachten H. Rathh. Knoll

La maison est décrite à l’inventaire des apports dressé en 1727 après son mariage avec Susanne Kesselmeyer puis à l’inventaire dressé en 1730 après son mariage avec Marie Salomé Wahl.
Jean Jacques Rhein hypothèque la maison au profit de son beau père cordonnier Daniel Heiligenmeyer

1731 (25.9.), Chambre des Contrats, vol. 605 n° 400
Johann Jacob Rein der Schloßer
seines schwähers Daniel Heiligenmeÿers des Schuemachers
daß er von seiner verstorbenen erstern Ehefraun weÿl. Anna Margaretha Reinin geb. Heiligenmeÿerin vermög von und mit derselben auffgerichteter Ehepacten und Codicills zufolg von Not. Johannes Lobstein aus dero Verlaßenschafft außlüfferung und wÿdumbs Register Concept gezogen (…) extractus ahne lebtägigen wÿdumb 198 pf
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten am Schiffleuthstaden jenseith der Neuen Bruck einseit neben H. Simon Knoll E.E. großen Raths beÿsitzers und handelsmann anderseit neben hannß Jacob Jung dem ältern Fischer hinten auff H. Rathh. Knoll ahm Kupfferschmidts: gäßel gelegen
wobeÿ ferner erschienen sein Rheinen jetzigen Ehefrau Salome geb. Wahlin beÿständlich ihres bruders Hannß Georg Wahl Pflantzbaders als ihres verwanthen und H. Johann Friedrich Sachs EE. kleinen Raths beÿsitzers (…) verbürgt

Jean Jacques Rhein et Marie Salomé Wahl hypothèquent la maison au profit du receveur de Saint-Marc Jean Thomas Frœlich

1741 (23.10.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 517
Johann Jacob Rein der schloßer und Maria Salome geb. Wahlin mit beÿstand Anthoni Grätels und Johann Heinrich Stöbers beede Nadler ihrer schwäger
in gegensein H. Johann Thomas Frölich J.U.L. in der Stiffter St Marx und Blatterhaußes schaffners – 275 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis am Schiffleuthstaden, einseit neben H. Rathh. Simon Knoll, anderseit neben Johann Jacob Jung dem ältern fischer, hinten auff ged. H. Knoll – als ein am 28. Maÿ 1725 erkaufftes guth (non signé)

Jean Jacques Rhein et Marie Salomé Wahl hypothèquent la maison au profit de Salomé Brackenhoffer, veuve du professeur en théologie Nicolas Hartschmidt

1741 (7.11.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 537-v
Johann Jacob Rein der schloßer und Maria Salome geb. Wahlin mit beÿstand Anthoni Grätels und Johann Heinrich Stöbers beede nadler ihrer schwäger
in gegensein Fr. Salome geb. Brackenhofferin weÿl. H. Nicolai Hartschmidt gewesten Theol. D. et Prof. Fr. wittib mit beÿstand H. Notario Johannes Brackenhoffers in fernern gegenwart Johann David Farrenschon des Caminfegers – schuldig seÿen 375 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis am Schiffleuthstaden, einseit neben H. Rathh. Simon Knoll, anderseit neben Johann Jacob Jung dem ältern, hinten auff ged. H. Knoll

Jean Jacques Rhein et Marie Salomé Wahl hypothèquent la maison nouvellement bâtie au profit des enfants mineurs du musicien Jean Henri Beck

1742 (1.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 255
Johann Jacob Rein der schloßer und Maria Salome geb. Wahlin mit beÿstand Anthoni Grätels und Johann Heinrich Stöbers beede Nadler ihrer schwäger
in gegensein Andreas Wilhelm Sohns des schuhmachers als vogts weÿl. Johann Heinrich Beck des stadt Musici 6 kinder erster Ehe Annæ Mariæ, Margarethæ, Magdalenæ, Johann Heinrich, Johann Carl und Johann Jacob der Beck – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine neu erbaute behausung und hoffstatt cum appertinentis am Schiffleuthstaden, einseit neben H. Rathh. Knoll, anderseit neben Johann Jacob Jung dem fischer, hinten auff gedachten H. Knoll

La maison est décrite à l’état de fortune dressé en 1752 avant la séparation de biens entre Jean Jacques Rhein.
Le serrurier Jean Jacques Lichtenfelder acquiert le 28 novembre 1752 par enchère judiciaire la maison de Jean Jacques Rhein (référence donnée à l’inventaire dressé en 1773)
Jean Jacques Lichtenfelder et sa femme Marguerite Barbe Bressler hypothèquent la maison au profit du charretier Jean Frey

1753 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 223
Johann Jacob Lichtenfelder der Schloßer und Margaretha Barbara geb. Breßelin mit beÿstand ihres vetters Johann Michael Weber des Knopffmachers und ihres schwagers Johann Martin von Zabern des gastgebers
in gegensein Hanß Freÿ des sandführers, bereits am 4. Decembris jüngst, zu bezalung des ganth schillings hiernach beschriebener behausung – 350 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt am Schiffeuthstaden ane dem sogenanten Kupfferschmidsgäßel, einseit neben Diebold Jund dem fischkäuffer, anderseit neben den Knollischen erben, hinten auff diesen

Fils du serrurier Jean Georges Lichtenfelder, Jean Jacques Lichtenfelder épouse en 1743 Marguerite Barbe Bresslé, fille du paveur Jean Georges Pressel : contrat de mariage, célébration
1743 (9. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 79) n° 466
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und vorgeachten Johann Jacob Lichtenfelder, dem Ledigen Schloßer, weÿland des Ehren und wohlvorgeachten Meister Johann Georg Lichtenfelders des auch gewesenen Schloßers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßenen Sohn, als dem Bräutigamn ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Margaretha Barbara Breßlein, des Ehren und Wohlvorgeacht, Meister Johann Georg Breßle, des Pflästerers und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzielter tochter als der Jungfrau hochzeiterin ane deù andern theil
So beschehen in Straßburg auf Montag den 9.ten Septembris Anno 1743. [unterzeichnet] Johann Jacob lichtenfelder als hochzeiter, Margaretha Barbara Preßelin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 61, n° 13)
1743. Mittwoch d. 2. Oct: seind nach Zweÿmahl geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch zu St. Nicl. in den Ehestand eingesegnet Word Johann Jacob Lichtenfelder, der ledige Schloßer u. Burger allhier, weil. Joh: Georg Lichtenfelders geweßt. Schloßers u. Burg. allhier hinterlaßener ehl. Sohn, und Jgfr. Margaretha Barbara Joh: Georg Preßels, deß Statt pflästerers und Burgers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob lichdenfelder als hochst Zitder, Margaretha Barbara Preßelin als hochzeiderin (i 63)

Jean Jacques Lichtenfelder s’adresse aux Quinze pour être autorisé à faire son chef d’œuvre chez son frère serrurier Jean Geoffroi Lichtenfelder, ce qui lui permettrait de faire des économies. Le corps des Serruriers objecte que la demande contrevient au règlement et qu’il pourrait faire son chef d’œuvre chez un maître sans loger chez lui. Les Quinze confirment le refus opposé par le corps de métier. Les Quinze publient leur sentence le 8 juin.
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
Joh: Jacob Liechtenfelder Ca E.E. Meisterschafft der Schloßer
(p. 213) Sambstag d. 27. Aprilis 1743. – Moss. nôe Joh: Jacob Liechtenfelders ledigen b. und Schloßers Cit. E. E. Handwerckh der Schloßer Ober Mr prod. Appellations Schrifft mit beÿlag Lit. A. Romer bitt Cop. und T. Ord. Obt.

(p. 225) Sambstag d. 1. May 1743. – Moss. nôe Joh: Jacob Liechtenfelder Cit. E. E. Meistersch. der Schloßer prod. Vom 27. Aprilis Jüngst Römer prod. Except. Moss. bitt Cop. und Deput. Römer laßt copeÿ Zu bitt auch Deput. Erk. Deput. Willfahrt.

(p. 239) Sambstag d. 18. May 1743. – Joh: Jacob Liechtenfelder E.E. Handwerckh der Schloßer
Iidem [Ober Handwerckh Herren] laßen weithers per Eundem [Secret. Kleinclaus] referiren, daß Joh: Jacob Liechtenfelder der burger und Schloßer allhier den 27. Aprilis jüngst contra. E. E. Handwerckh der Schloßer Ober Meister eine Unterthänige Appellations Schrifft mit beÿlag Sub Lit. A. producirt, darinnen gehorsambst Vorstellend, Es erhelle aus dem Sub Lit. A. Vorgelegten den 22. Ejusdem erhaltenem Handwercks Bescheid was maßen Ihme Imploranten, in seinem Begehren das Meisterstück machen zu dörffen Zwahr willfahret worden, jedoch alßo daß er solches beÿ einem Von denen geschwornen machen solle, Weilen Er aber Von gar geringen Mittlen, alß wäre er gesonnen, Zu erspahrung Vielen unkosten, sothanes Meisterstück beÿ seinem bruder Gottfried Liechtenfelder auch burgern undt Schloßer allhier, Zu verfertigen, anerwogen deßen Verstorbene Vatter mündlich disponirt, daß Er, Appellant, sothanes Meisterstück, beÿ gemelt. seinem bruder, welcher Von dem Vatter sonsten Vorzüge genoßen, ohne entgeld, machen solle & Mit demüthiger bitt Mghh. gnädig geruhen wolten dispensando Zu erlauben, daß Er, Appellant, deßen Zu Verfertigen habendes Meisterstück beÿ gemelt seinem Bruder Gottfried Liechtenfelder dem Schloßer und burger machen dörffe. Worwieder der Citirte Ober Meister den 11. huj. Underthg. Exceptiones übergeben, juncto petito, anerwogen, des Verstorbenen Vatter Viel Zu Vernünfftig gewesen, alß daß Er wieder deß Meisterschafft Articul, alß welche express dahien gehen, daß das Meisterstück beÿ einem geschwornen Meister gemacht Werden solle, etwas hätte disponiren wollen, auch der Appellant, wann er gleich daß Meisterstück beÿ einem geschwornenn Meister machet, dennoch beÿ seinem bruder speißen und schlaffen könne, Mghh. geruhen wolten den Appellanten mit seinem wider Ordnung lauffenden begehren Ref. Expensis abzuweißen.
Auff geschehene Weißung habe der Appellant petitum wiederhohlet, Nahmens des Appellanten seÿen erschienen Johann Gottlieb Dittmann, Joseph Caspar Eckel und Johann Caspar Jost, Welche geantwortet, Sie beruffen sich auff deren Articul, nach welchem der Gegner sein Meisterstück beÿ einem geschwornen Zu machen, anzuweißen seÿe. Auff seithen der Herren Deputirten Vermeine man daß die Sententia â quâ Zu confirmiren, und der Appellant mit seinem begehren Ref. Exp. abzuweisen seÿe. Die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erkandt, Bedacht gefolgt.

(p. 262) Sambstag d. 8. Junÿ 1743.
Bescheid – Sambstag d. 18. May 1743. In Sachen Johann Jacob Liechtenfelder des burgers und Schloßers, Appellanten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. Handwerckh der teutschen Schloßer Appellaten, am andern theil, Auff producirte Underthänige Appellations Schriff, mit beÿlag Sub Lit. A. und angehencktem bitten, dispensando Zu erlauben, daß Er, Appellant, deßen Zu Verfertigen habendes Meisterstück beÿ seinem bruder Gottfried Liechtenfelder dem Schloßer und burger machen dörffe. Exceptiones, juncto petito dem Appellanten mit seinem wider Ordnung lauffenden begehren abzuweißen Ref. Expensis. Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, und all übriges angehörte Vor: und Anbringen, Ist, der Herrn Deputirten abgelegten Relation nach, Erkand, Wird die Sententia â quâ confirmirt, und der Appellant mit seinem begehren abzuweisen Ref. Expensis.
Zu Mgh. stellend, ob Sie diese 4 Auffsätz also genehm halten und erkennen wollen, daß dieselbe in dieser formb expedirt und denen petenten Zugestellet werden sollen. Erkand, quod sic.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Bœufs, sans doute celles des parents de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 101 livres, ceux de la femme à 334 livres.
1743 (20.11.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 57) n° 1321
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Vorgeachte Meister Johann Jacob Lichtenfelder, der Schloßer und die Ehren und tugendsahmen frau Margaretha Barbara Lichtenfelderin gebohrne Breßelin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringene Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 2. Novembris Anno 1743.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Ochßengäßlein gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Abzug in gegenwärtig zugebracht Nahrungs Inventarium gehörig. Des Manns ohnverändert in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 60, Sa. Werckzeug Zum Schloßer handwerck gehörig 53, Sa. Silbers 5, Summa summarum 120 lb – Schulden 50, Nach solchem abzug 70 lb, Dießer Summ ist nun beÿzufügen inhalt auffgerichteter heuraths Verschreibung pt° 6.to den halben theil denen verehrten haussteuren 31 lb. Belaufft sich also des Manns Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 101 lb
Der Frauen ohnverändert in die Ehe gebracht guth, Sa. haußraths 186, Sa. Silbergeschmeids 17, Sa. guldener Ring 11, Sa. baarschafft 88, Summa summarum 302 lb, Hierzu sut nun ferner beÿzusetzen der halbe theil ane denen Verehrten haussteuren 31, der Frauen genant in die Ehe gebracht guth dem billigen werth nach 334 lb

Jean Jacques Lichtenfelder meurt en 1773 en délaissant six enfants dont l’un est présumé mort. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 635 livres. La masse propre aux héritiers de 21 livres. L’actif de la communauté s’élève à 673 livres, le passif à 898 livres

1773 (2.4.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 816) n° 646
Inventarium über Weiland Mr Joh: Jacob Lichtenfelders, des geweßenen Schloßers und burgers alhier Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1773. – nach seinem Sambstags den 23.ten Januarÿ dießes lauffenden 1773.sten Jahrs, aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren Frauen Margarethä Barbarä Lichtenfelderin, geb. Preßlein der hinterbliebenen Wittib, beiständlich H. Friderich Samuel Fröreißen, des drähers und burgers dahier, wie auch des Verstorbenen seel. mit Vorgemelter der hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Sechs Kinder und ab intestato Verlaßenen Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 2.ten Aprilis Anno 1773.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen als folgt. 1.mo Mr Johann Jacob Lichtenfelder, den leedigen Schloßer allhier, welcher in selbst eigener Persohn dießer Verlaßenschafft Inventur abwartete, In den Ersten Sechten Stammtheil,
2.do Joh: Daniel Lichtenfelders, d. leedigen Schloßers Gesellen Von deßen Aufenthalt seit A° 1769. nichts mehr wißend und Wie verlautet, solle derselbe in Batavia im Hospithal gestorben seÿn, weilen man aber seithdem, aller aufwandeten Mühe ohnerachtet, dannoch Keinen Todesschein hat erhalten Können, als ist dießem Sohn Zu einem Vogt geordnet worden Mr Joh: Gottfried Lichtenfelder, der Schloßer u. b. alh. welcher in deßen Nahmen beÿ dieser Verlaßenschafft Inventur erschienen und seinen Nutzen besorgte, in den Zweÿten Sechsten Stammtheil
3.tio, Jfr. Margaretham Salome Lichtenfelderin, so beÿ nahem 23. Jahr alt, dahero ohnbevögtigt in den dritten Sechten Stammtheil,
4. Jfr. Mariam Dorotheam Lichtenfelderin, so 21. Jahr alt und gleichfalls ohnbevögtigt, in den vierten Sechten Stammtheil, dieße beede töchter waren beÿ gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventur mit vorgedachtem Mr Joh: Gottfried Lichtenfelder dem Schloßer u. b. alh. verbeÿstandet, und hiebeÿ Zugegen,
5.to Joh: Georg Lichtenfelder, so 11 Jahr zurückgelegt, in den fünfften Sechsten Stammtheil und dann 6.to Mariam Elisabetham Lichtenfelderin, so beÿ nahem 9 Jahr alt in den sechßten und letzten Stammtheil, dießer beeder Jüngern Kinder geordneter Vogt ist schongedachter Mr Joh: Gottfried Lichtenfelder, der Schloßer u. b. alh. welcher beÿ dero Nutzen besorgte. Alle 6 sind des verstorbenen seel. mit eingangs gedachter der hinterbliebenen Wittib ehelich erzielte Kinder und ab intestato Zu gleichlingen portionen und antheilern Verlaßene Erben
Copia beder nun Zertrennter Eheleuthe d. 9. 7.br A° 1743. vor weil. H. Notario Johann Lobstein seei. mit einander errichteter Heuraths Verschreibung
Copia des d. 23. Januarÿ Anno 173. errichteten Codicilli

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuth staden gelegenen und in dieße theilbaren Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt
(f° 9) Eigenthum ane einer Behaußung. (T.) Nemlich eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuth staden, jenseith der Neuen Bruck, an dem sogenannten Kupferschmids Gäßlein, I, s. neben H, Schubard dem handelsmann v. b. alh. 2. s. neben Joh: Jacob Härtelmeÿer dem Maurermr. u. b. alh. hinten auf Gedachten H. Schubard stoßend, so gegen männiglichen freÿ, leedig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzung Zeduls v. 3. Martÿ h. a. gewürdiget, pro 600 lb. Uber dieße behaußung meldet ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff mit der Stadt Straßb. anhangenden Insiegel verwahrt, dd. 28.ten 9.bris 1752. weißend wie der verstorbene seel. solche behaußung damals aus weil. Mr Joh: Jacob Rhein, des geweßenen Schloßers u. b. alh. falliments Massa Kaufl. ane sich auf allh. Stadt Ganth. ersteugert hat. Ferner sagt darüber i. alter teutscher pergamentener in allh. C. C. Stub gefertigter Kauffbrieff, mit dero anhangendem größern Insiegel verwahret dd. 28. Maÿ 1725.
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib wegen ihrem wehrend. dießer Ehe abgegangen ohnveränderten Guth. Inhalt des über beeder nun zertrennter Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, durch weil. H. Notarium Johann Lobstein seel. in A° 1740. errichteten inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Guth. Sa. haußrath 13, Sa. Silbers u. dgl. geschmeids 1, Sa. goldener Ring 2, Sa. Schulden 25, Sa. des Ergäntzungs rests 592., Summa summarum 635 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 15, Sa. des Ergäntzungs Rests 31, Summa summarum 46 lb – Sa. Schulden 25, Detrahendo 21. lb
Das Theilbare Guth, Sa. Haußraths 17, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zum Schloßer Handwerck gehörig 43, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 11, Sa. des goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 600, Summa summarum 673 lb – Schulden 898 lb, In Vergleichung 225 lb
Stall Summ 432 lb

Mentions de Jean Jacques Lichtenfelder dans le registre de la tribu des Serruriers. Il est élu préposé adjoint à la caisse en 1761, préposé en titre l’année suivante, maître adjoint de la tribu en 1767 et maître de tribu l’année suivante
Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
1758 – Mr Johann Jacob Lichtenfelder, allmoßen Caissier, 9-v
1759 – Mr Karchel ca Mr Joh. Jacob Lichtenfelder und Mr Johann Daniel Steiner, 18
1761 – Mr Johann Jacob Lichtenfelder, Unterladenmeister, 34
1762 – Mr Johann Jacob Lichtenfelder, Oberladenmeister, 38
1765 – Obermeister contra Joh Jacob Lichtenfelder, 51-v
Mr Joh Jacob Lichtenfelder ca Joseph Hollsziegel, Gesell, 52-v
1767 – Mr Johann Jacob Lichtenfelder, Untermeister, 61-v
1768 – Mr Johann Jacob Lichtenfelder, Obermeister, 65
1769 – Amtentlassung Mr Johann Jacob Lichtenfelder, 73-v
(f° 48) Mittwochs d. 30. Januarÿ 1765 – Mr Johann Jacob Lichtenfelder clagt nomine seiner beeden Söhne, Joh: Bernhard Schrod von Kalb, reparation d’honneur
(f° 67) Sambstags den 4.ten Martii 1769 – Mr Johann Jacob Lichtenfelder, Articul

Marguerite Barbe Bresslé loue une partie de sa maison à son gendre Jean Frédéric Baur lors de son mariage avec Marguerite Salomé Lichtenfelderin. Originaire de Wasselonne, il passe un contrat de mariage en août 1774 puis se marie en juin de l’année suivante.

1774 (5.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 386
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Johann Friderich Baur der leedige Schloßer weil. Mr Mathis Baur des geweßenen Schreiners und burgers in Waßlenheim seel. nachgelaßener Sohn so majorennis und ohnbevögtigt als hochzeiter ane einem, und die viel Ehren: und tugendsame Jungfer Margaretha Salome Lichtenfelderin, weil. Mr Johann Jacob Lichtenfelder, des gewesenen Schloßer und b. allhier seel. nachgelaßene tochter, so gleichfalls majorennis und ohnbevögtigt, beistand. Mr Johann Gottfried Lichtenfelders des Schloßers und burgers allhier Ihres Oncle als Jgfr. hochzeiterin, ane dem andern theil< Achtens hat vorgedachte Fr. Margaretha Barbara geb. Breßlein der Jgfr. hochzeiterin geliebte Mutter, beiständl. wie vorgedacht sich liebreich erkläret beeden hochzeitlichen Persohnen vom tag dero Copulation angerechnet auf Neun Jahr lehnungsweis zu überlaßen in der Ihro theils eigenthümlich und theils in lebenslänglichem Wÿdemb gehörigen behausung allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuthstaden jenseith der Neuen bruck ane dem sogenanden Kupfferschmids Gäßel, 1.s neben H. Schubard dem handelsmann und burgern allhier, 2; s neben Johann Jacob Härtelmeÿer dem Maurer und b. allhier hinten auf gedachten H. Schubard stoßend gelegenen, die Werckstatt und das Kohlen kämmerlein auf dem boden den Völligen ersten Stock, die gemeinschafft der Kastenkammer auf dem zweÿten Stock die Gesellen Cammer auf dem dritten Stock, ein Kämmerlein auf dem Vierten Stock, wie auch platz im Keller und Platz für holtz Zu legen, und einen jährl. Zinnß von Fünffzig Gulden welche Lehnung beede hochzeitliche Persohnen alßo angenommen haben auf Freÿtag den 5. Augusti A° 1784 [unterzeichnet] Johann Friedrich Baur Alls hochzeitern Margaretha Salome Lichtenfelderin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 181, n° 16) 1775
Mittwoch den 18. brach Monath sind nach ordentlich geschehenen ausruffungen in der Kirch Zu St Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Friderich Bauer der ledige Schloßer Meister alhier, weÿland Matthias Bauer geweßen Schreiner Meisters und burgers Zu Waßlenheim mit deßen hinderlaßenen wittib Anna Barbara gebohrner Schwartzin, ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Margaretha Salome Liechtenfelderin weÿland Johann Jacob Liechtenfelder, gewesenen Schloßer Meisters und burgers alhier mit deß. hinterlaßenen wittib Margaretha Barbara gebohrner Breßlerin ehelich erzeugte tochter, [unterzeichnet] Johann Friesrich Baur als hochzeiter, Margaretha Salome Lichtenfederin als Hochzeitterin (i 84)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison. Les apports du mari s’élèvent à 181 livres, ceux de la femme à 223 livres.

1775 (10.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 820) n° 724
Inventarium über Meister Joh: Friderich Baur, des Schloßers u. Fr. Margarethä Salome geb. Lichtenfelderin, beeder Eheleuth und b. alh. zu Straßburg einander für ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen errichtet in Anno 1775. – welche der Ursachen aldieweilen in ihr beeder Eheleuthe vor mir Notario d. 5. Aug. 1774. mit einander errichteter heüraths verschreibung §° 3° expresse enthalten, daß eines jeed. in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn u. bleiben solle (…) Actum alhier Zu Straßb. in beÿsein H. Joh: Michel Weber des Seid. Knöpffmacher u. b. alh. Zu Strasb. der Ehefr. erbettenen beÿstands auf Montag d. 10. Julii 1775.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Schifleuth staden gelegenen und in diese zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 11, Sa. Weins 6, Sa. Werckzeugs Zum Schloßer handwerck gehörig 45, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 23, Sa. baarschafft 50, Sa. Eigenthums ane einem halben Acker Reeben 15, Summa summarum 152 lb – Adde die dem Ehemann crafft der Ehepacten §° 3° gebührige helffte ane dene Verehrten haußsteuren 28, Des Ehemanns gesambten in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 181 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth beschrieben, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 14, Sa. goldenen Rings 9, Sa. baarschafft 81, Summa summarum 195 lb – Dazu gelegt die helffte ane dene bald hernach beschriebenen haussteuren, 28, der Ehefrau in die Ehe gebracht Gut in vero pretio 223 lb

Marguerite Barbe Bresslé hypothèque la maison au profit de l’éclusier Philippe Jacques von Zabern

1774 (29.12.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 494-v
Fr. Margaretha Barbara Liechtenfelderin geb. Breßlein weÿl. Mr. Johann Jacob Lichtenfelder des schloßers wittib, beÿständlich H. Friedrich Samuel Fröreißen des drehers
in gegensein Philipp Jacob von Zabern des schließenmeisters am Rhein – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane dem Schiffleuthstaden jenseits der neuen bruck ane dem sogenannten kupfferschmidts gäßlein, einseit neben H. Schubart dem handelsmann, anderseit neben Mr Händelmeÿer dem maurer, hinten auff besagten H. Schubart

Jean Frédéric Baur et Marguerite Salomé Lichtenfelder font dresser un inventaire de faillite dans la maison. Les biens propres de la femme s’élèvent à 215 livres. L’actif du mari s’élève à 122 livres, le passif à 366 livres

1781 (13.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 828) n° 920
Inventarium über Mr Joh: Friderich Bauer, des Schloßers und Fr. Margarethæ Salome geb. Lichtenfelderin beeder Eheleuthe und burgere alh. zu Straßburg, Activ: et Passiv Nahrung, auffgerichtet in Anno 1781 – welcher der Ursachen alldieweilen sein des Ehemanns Vermögen mit Zieml. Passiv: Schulden behafftet, dahero die Ehefrau um Salvirung ihres unveränderten und eigenthüml. Vermögens, beÿ E. E. Kleinen Rath um das beneficum Cessionis und der Ehemann um das beneficium flebile Cessionis in Unterthänigkeit eingekommen, inventirt (…) So beschehen alh. Zu Straßburg auf freitag den 13. Julii 1781.
Copia beeder Eheleuthe vor mir unterschriebenen Notario den 5. Aug. 1774. mit einander errichteter Heüraths Verschreibung
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden gelegenen und in dieße Activ et Passiv Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 7) Ergäntzung der Ehefraun wegen Ihrem wehrend dießer Ehe abgegangenen ohnverändertem Guth. Vermög des über beeder Eheleuth zugebrachte Nahrungen, durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1774. errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefraun ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 58, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 9, Sa. goldenen Rings 7, Sa. Schuld 37, Sa. des Ergäntzungs rests 103, Summa summarum 215 lb
Des Ehemanns ohnverändert theilbahr Guth, Sa. haußraths 52, Sa. Werckzeugs auch Eißen und Waar zur Schloßer Profession gehörig 56, Sa. Silbers 12 ß, Sa. Schulden 13, Summa summarum 122 lb – Schulden 366 lb, In Vergleichung 243 lb

Marguerite Salomé Lichtenfelder veuve de Jean Frédéric Baur meurt en 1796 en délaissant deux enfants.
1796 (24 ventose 4), Strasbourg 7 (8 b), Not. Stoeber n° 1228
Inventarium über Weÿl. frauen Margaretha Salome Bauer geb. Lichtenfelderin auch weÿl. b. Joh: Friedrich Bauer gewesenen Schloßers Wittib so den 17. ventose letzthin mit tod abgegangen Verlaßenschafft – die abgeleibte hat zu Erben hinterlaßen 1. Margaretham Salome Bauer so den 18. Augusti 1777 zur Welt gekommen und 2. Joh: Friedrich Bauer so den 18. Octobris 1789 geboren worden, beede der abgelebten mit dero Ehemann erzeugte Kinder, bevögtigt mit dem burger Joh: Georg Bauer dem ältern Schloßer alhier, deren Oncle
hausrath, activ mass 240 livres, passiva 100 livres, Nach deren abzug 140 livres
Verkauf Register den 28. ventos 4
(enregistré le 1 germ. 4)

Marguerite Barbe Bresslé loue une partie de sa maison au serrurier Henri Wagner

1781 (15. 8.br), Not. Lacombe (6 E 41, 184) n° 23
Marguerite Barbe Bressler veuve de Jean Jacques Liechtenfelder serrurier en cette ville assitée du Sr Georges Frédéric Zimmer praticien, Bail de 3 années à commencer aux fetes de Noel prochaine
à Henri Wagner serrurier
la boutique de serrurier qui appartient à la bailleresse en sa maison sise au quai des batteliers, plus le premier étage consistant en un poel, chambre à côté et la cuisine et aux mansardes deux chambres, Plus et enfin la cave entière qui regne sous ladite maison a l’exception d’une petite place que la bailleresse se réserve pour y loger ses cuves – 70 florins

Marguerite Barbe Bresslé hypothèque la maison au profit du brasseur Dieuloué Fischer (Gottlob Fischer)

1786 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 165-v
Fr. Margaretha Barbara Liechtenfelderin geb. Breßlerin weÿl. Johann Jacob Liechtenfelder des schloßers wittib beÿständlich Christian Gottlob Baumgarten des paßmentirers ihres tochtermanns
in gegensein H. Gottlob Fischer des bierbrauers – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden am Schiffleuthstaden, einseit neben H. Dietsch, anderseit neben der Härtelmeÿerischen wittib, hinten auff besagten H. Dietsch

Marguerite Barbe Bresslé hypothèque la maison au profit du cordonnier Pierre Schnertzel

1786 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 298
Fr. Margaretha Barbara Lichtenfelderin geb. Breßlerin weÿl. Johann Jacob Lichtenfelder des schloßers wittib beÿständlich Johann Daniel Jung des fischkäuffers
in gegensein Peter Schnertzel des schuhmachers – 150 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane dem Schiffleuthstaden, einseit neben H. Dietsch dem handelsmann, anderseit neben der verwittibten Fr. Härtelmeÿerin, hinten auff ein Allmendgäßlein

Marguerite Barbe Bresslé loue une partie de la maison au maître serrurier Jean Gaspard Roser

1788 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 412-v
Fr. Margaretha Barbara geb. Breßlerin weÿl. Johann Jacob Liechtenfelder des schloßer meisters wittib beÿständlich Philipp Jacob Burckhard des schneider meisters
in gegensein Johann Caspar Rooßer des schloßermeisters
lehnungsweiße, in der ihro verlehnerin zuständigen ane dem Schiffleuthstaden gelegenen behausung, eine vollständige wohnung bestehend aus einer werckstätt, im ersten stock eine stub und kammer samt küch, weiters auf der bühn eine gesellen cammer und einem unterschlagenen keller – auff 3 nacheinander folgenden jahren auff künfftigen weÿhnachten anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 74 gulden

Marguerite Barbe Bresslé loue une partie de la maison au maître serrurier Jean Geoffroi Bley

1792 (1.9.), Strasbourg 4 (12), Not. Greis n° 176, altes 303
erschienen persönlich Frau Margaretha Barbara geborene Breßlerin, weiland Herrn Johann Jacob Lichtenfelders, geweßenen Schloßermeisters und burgers allhier hinterbliebene Wittib, beÿständlich Herrn Johann Daniel Webers des Seidenhändlers und Knopffmachers auch Burgers allhier
in gegensein Herrn Johann Gottfried Bleÿ, des hiesigen Burgers und Schloßermeisters
entlehnt, in ihr Frauen Lichtenfelderin eigenthümlicher Behaußung an dem Schiffleutstaaden hießiger Stadt gelegen mit N° 21 bezeichnet, einseit neben Herrn Dietsch dem Handelsmann, anderseit neben Herrn Wiedemann dem Gipßer, Unten auf dem Boden die Schloßer Werckstaat, ferner eine Stiege hoch das ganze erstere Stockwerk, in Stub, Stubkammer und Kuchen bestehend, weiter auf dem vierten Stock eine Kammer für die Gesellen, wie auch eine schwartz Getüchkammer, welche letztere aber der Entlehner jeedesmal vom Soldaten in diese Behausung einquartirt werden müßten, zu räumen verbunden ist, so dann der gantzen in dißortiger Behaußung sich befindlichen Keller. Und ist diese Lehnung getroffen worden auf 6 nacheinander folgenden Jahre von nächstkünfftigen Michaelis angehend – um einen jährlichen Zinns von 148 Livres tournois
acp 12 f° 7 du 1. 7.bre

Marguerite Barbe Bresslé veuve de Jean Jacques Lichtenfelder meurt en 1796 en délaissant quatre enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison dont elle a été propriétaire. L’actif de la succession s’élève à 202 livres, le passif à 104 livres.
1796 (2 ventose 4), Strasbourg 7 (8 a), Not. Stoeber n° 1210
Inventarium über Weiland fraun Margaretha Barbara geb. Breßler, auch weil. Johann Jacob Lichtenfelder des ältern gewesenen Schloßers Wittib, so den 25 pluviose diesen Jahrs mit tod abgegangen Verlaßenschafft, die abgeleibte hat zu Erben verlaßen 1. des verstorbenen Sohns weÿl. Joh: Jacob Lichtenfelder gew. Schloßers mit fr. Magdalena geb. Dietrich erzeugte tochter Magdalenam Lichtenfelder, welche mit dem b. Burghard Lauf, Seiler bevögtiget, 2. der nun auch verstorbenen tochter weil. Margarethä Salome geb. Lichtenfelder mit auch weÿl. Joh: Frid. Bauer gew. Schloßers erzeugte beede Kinder Margaretha Salome und Johann Friedrich, so minderjährig, mit dem b. Joh: Georg Baur dem alten Schloßer bevögtiget sind, 3. die noch lebende tochter Mariam Dorotheam geb. Lichtenfelder b. Christian Gottlob Baumgarten des Paßmentirers in Kehl Ehefrau, 4. der verstorbenen weÿl. Mariä Elisabethä geb. Lichtenfelder, Georg Kübler des Ohlmanns in Kehl verlaßene Ehefrau erzeugtes minderjähriges Söhnlein Christian Kübler, bevögtiget mit b. Joh: Daniel Weber
in der am Schffleutstaden an dem sogenannten Kupferchmids gäßl. N° 21 gelegenen und von dem b. Weißer Schloßer lehnungsweiße besitzender Wohnung
hausrath 133 und 27 livres, baarschafft 41 livres, Summa 202 livres – Schulden 104 livres, Nach solchem Abzug 97 livres
Abrechnung vom 15 germinal (enregistré le 15 germ.)

Marguerite Barbe Bresslé veuve de Jean Jacques Lichtenfelder vend la maison à Charles Simon, portier aux Enfants trouvés, moyennant 12 000 livres tournois

1793 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 670 n° 701
bu. Margaretha Barbara geb. Preßlerin weil. bu. Johann Jacob Lichtenfelder des schloßers wittib beiständlich bu. Frantz Antoni Wiedemann des gipsers
an bu. Carl Simon portners in dem hiesigen findling haus
eine behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Schiffleuthstaden ane dem Kupferschmidgäßlein, mit N° 21 bezeichnet, einseit neben obgedachten bu. Wiedemann, anderseit und hinten bu. Dietsch – mit dem beding jedoch daß die verkäuferin die bis dato innen gehabte wohnung dreÿ stegen hoch um 20 gulden jährlichen zinß, von angeregten Michaelis tag anzufangen (scih vorbehaltet) – um 12.000 livres
acp 17 f° 124-v du 6.8.

Charles Simon épouse vers 1783 Reine Lantz native d’Ottrott-le-Haut. Elle meurt de fièvre chaude en 1806 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans la Maison de travail. La succession comprend une maison quai du Brochet.
1806 (20.8.), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 470
Inventaire de la succession de feue De Reine Lantz épouse du Sr Charles Simon, portier à la Maison d’Ecole de travail, ancienne maison des enfants trouvés, décédée le 29 mai 1806 – à la requête du veuf, tuteur aux 7 enfants nommement Charles 20 ans, Jean Joseph âgé de 18 ans, Marguerite 15 ans, Thérèse 9 ans 6 mois, Marie Françoise 2 ans 6 mois, Cecile 15 mois et François Simon, décédé après sa mere le 6 juillet dernier, et à la requête d’Antoine Simon, garçon cordonnier, majeur fils ainé de la défunte, et de Nicolas Barthelemy Parmentier cabaretier tuteur subrogé – Observation, aucun titre
dans la maison de travail
propres du veuf, meubles 44 fr – propres des enfants, mobilier 120 fr
communauté, meubles 212 fr
Propriété d’une maison. Sçavoir une maison cour puits avec ses appartenances et dépendances scize en cette ville proche le pont des Brochets marquée N° 31 d’un côté les héritiers Wetzel, d’autre Georges Loeffler, derrière sur le jardin du Sr Ehrhard jardinier. Propriété constatée par acte reçu Dinckel le 11 prairial 6, acquise de Jean David Meyer Capitaine des pontonniers, estimée 1800 fr
total général 2012 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 f° 129-v du 25.8.

Décès, Strasbourg (n° 1733)
L’an 1806, 20° jour du mois de mai (…) sont comparus Charles Simon, âgé de 50 ans, portier à l’Ecole de travail Epoux de la défunte (…) que Reine Lantz agée de 58 ans native d’Oberottrott, fille légitime de feu Georges Lantz, vigneron, & de feüe Reine Flock, Epouse dudit Charles Simon, est décédée Cejourd’huy à six heures du matin en la maison située à l’Ecole du travail – Fièvre chaude (i 215)

Charles Simon se remarie en 1806 avec Marie Madeleine Mætz veuve du journalier Michel Wolfart
Mariage, Strasbourg (n° 458)
L’an 1806 le 17° jour du mois de novembre (…) sont comparus Charles Simon, âgé de 49 ans, portier à l’école de travail de Strasbourg, né en cette ville le 2 novembre 1757, y domicilié, majeur, fils de feu Claude Simon, portier de la maison des enfants trouvés de cette ville et de feue Marie Anne Hanne, veuf de Reine Lantz, décédée en cette ville le 29 mai dernier, comme il est constaté par son acte de décès, et Marie Madeleine Maetz, âgée de 45 ans, domiciliée en cette ville depuis 25 ans, née à Rosheim, Département du Bas-Rhin le 23 juin 1761, majeure, fille de feu Jean Maetz, vigneron audit lieu, et de feue Anne Müller, veuve de Michel Wolfart, journalier décédé en cette ville le 16 janvier dernier (signé) Charles Simon, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 34)

Charles Simon meurt en 1832 dans sa maison rue de l’Argile
Décès, Strasbourg (n° 2024)
Déclaration le 11 novembre 1832 du décès de Charles Simon, âgé de 75 ans, né à Strasbourg, ancien Portier à l’éole de Travail, veuf en premières noces de Reine Lantz et époux en secondes noces de Marie Madeleine Maetz, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le 11 du mois courant à quatre heures du matin dans la maison située N° 13, rue de l’Argile, fils de feu Jean Claude Simon, Portier de la maison des Enfants trouvés, et de feu Marie Anne Hanne – pneumonie (i 15)

Registre de population 600 MW 44, rue des Aveugles n° 17, p. 769 (i 36)
Simon, Charles, 1768, (auparavant) rue Nuée bleue 23, E. av. 1830, décédé le 11 9.br 1831
id. née Metz, Madeleine, 1761, ép, Strasbourg, décédée août 1833
id. Cécile 1806 f. m. Strasbourg, dél. r. du Bouclier 1
id. Thérèse, 1827 f. n. Strasbourg

Registre de population 600 MW 36, rue de la Nuée bleue n° 23, p. 324 (i 152)
Simon, Charles, 1768, Portier, (auparavant) rue de l’Académie 56, E. juin 1826, dél. rue des aveugles 17
id. née Metz, Madeleine, 1761, ép, Strasbourg,
id. Marie 1803 f. m. Strasbourg,, dél. Pl. du dome 31
id. Cécile 1806 f. m. ouvrière Strasbourg,, dél. faubourg de Pierre 51, E. août 1827
id. Thérèse, 1827 f. n. Strasbourg, dél. rue des aveugles 17

Charles Simon vend la maison au maçon François Antoine Wiedenmann, déjà propriétaire de la maison voisine sur la gauche, moyennant 13 000 livres tournois

1795 (29 floreal 3), Strasbourg 11 (3), Not. Anrich n° 295
der bürger Carl Simon thorschließer im hiesigen spithal der Vaterlands Kinder
in gegensein des bürgers Frantz Antoni Widemanns Maurers
Eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier am Schiffleuth staden ane dem Kupferschmidgäßlein, einseit neben dem Käufer selbsten anderseit und hinten auf den bürger Dietsch stoßend und mit N° 21 bezeichnet – um 8200 livres capital (verhafftet), als ein Vermög Cantzleÿ Contract Verschreibung de 3. Augusti 1793 Von Johann Jacob Lichtenfelders des schloßers Wittib erkaufftes guth eigenthümlich zuständig – um 13.000 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 33 F° 135-v du 2 pr. 3

François Antoine Wiedenmann revend la maison un an plus tard au serrurier Jean Weisser

1795 (18 fruct. 3), Strasbourg 11 (3), Not. Anrich f° 299
bürger Frantz Antoni Wiedemann Maurer
in gegensein des bürgers Johannes Weisers schloßers und Maria Anna geb. Flachin
eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, Weiten, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen am Schiffleuthstaden ane dem Kupferschmid gäßlein, einseit neben dem Verkäufer selbst, anderseit und hinten auf den bürger Dietsch tuch fabricanten stoßend und mit N° 21 bezeichnet, ihme Krafft eines Vor unterschriebenen Notario am 29. floreal jüngst passirten Kauf contracts Von dem bürger Carl Simon thorschließer im hiesigen Spithal der Vatterlands Kinder erkaufftes Guth eigenthümlich zuständig – 4400 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 36 F° 197-v du 21 fru. 3

Originaire de Hornberg, le compagnon Jean Weisser qui travaille chez Jean Georges Baur fait ses années d’épreuve de 1774 à 1778.
1774, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 90-v) Montags den 11. Julÿ 1774 – Vertröstung zu denen Muthjahren
Johannes Weißer, der leedige Schloßer Gesell Von Hornberg gebürtig, beÿ Meister Johann Georg Baur in Arbeit, stehet Vor und bittet man wolle ihn, sobald der Articul und die tour erlaubt, in die Muthjahr einschreiben.
Erkandt, wann derselbe in allen Puncten dem Articul gemäß Zur Zeit eines Einschreibung sich wird Verhalten haben, so solle ihm alsdann Vorzuglich in seinem begehren willfahrt werden. (Aufflaggeld, dt. 7 ß)

(f° 105-v) Donnerstags d. 27. Augusti Anno 1778 – Ausgethaner auß denen Muthjahren
Johannes Weißer, der leedige Schloßer Gesell Von Aÿstain gebürtig, bei Mr Joh. Georg Bauer in Arbeit, stehet vor und bittet man wolle Ihne aus denen Muthjahren austhun, seine Zeit hat sich geendet d. 22.ten hujus mensis et anni. Vide die Einschreibung vom 22.ten Augusti 1774. Erkand, Willfahrt (Aufflaggeld, dt. 7 ß)
Eodem die stehet derselbe ferner vor und bitt man wolle Ihme den Riß des Mr st&ucks aufgeben. Erkand, Willfahrt (Aufflaggeld, dt. 7 ß)

Requête de Jean Weisser auprès des Quinze (registre lacunaire)
1778, Protocole des Quinze (2 R 188)
(p. 428) Idem nomine Johannes Weißers in actis Contra E E Meisterschafft der Schloßer Obermeister recessit und bitt wie vor. Claus producirt unterthänige exceptiones jucto petito bitt auch in hac causa deputationem. Erkandt, Deputatio.

Originaire de Hornberg (Aischtsein) en Wurtemberg, Jean Weisser épouse en 1779 Marie Madeleine Flach, fille du marchand de vins Jean Flach : contrat de mariage, célébration
1779 (18.5.), Not. Lung (6 E 41, 1528) n° 14
Eheberedung – persönlich erschienen Hr. Johannes Weißer, der ledige Schloßer von Aÿchstein in dem Hertzogthum Würtenberg gehörig, weiland H. Antoni Weißer gewesenen Müllers und burgers daselbst mit Fraun Catharina Barbara gebohrner Mohrin, ehelich erzeugt und hinterlaßener Sohn, als Hochzeiter ane einem
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte Jungfrau Maria Magdalena Flachin, H. Johannes Flach hießigen Burgers mit weiland Fraun Maria Salome gebohrner Schwartzin ehelich erzeugte tochter, beÿständlichen ihres H. Vaters als Jgfr Braut ane dem andern Theil
auf Dienstag den 18. Maji im Jahr der Gnaden 1779 [unterzeichnet] Johannes Waisser als hochzeiter, Maria Magdalena Flachin Als Hochzeitrin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 94, n° 10)
1779. Dienstag d. 17. Augusti mittag um dreÿ uhren sind nach der Zweÿmal nach einander geschehenen proclamation Zur Ehe eingesegnet worden Johannes weißer lediger burger und schloßer meister alhier weÿl. Antonius weißers geweßenen burgers und müllers Zu Aÿstaig in Würtenberg. hinterlaßener ehelich erzeugter Sohn und Jgfr. Maria Magdalena Flachin H. Johannes Flach burgers und weinhändlers alhier ehel. dochter [unterzeichnet] Johannes Weißer als hochzeiter, Maria Magdalena Flachin Als Hochzeiterrin (i 96)

VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780) [p. 8] Johannes Weißer

Jean Weisser devient tributaire le 26 septembre 1779 après être devenu bourgeois (voir ci-dessus)
1779, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 110) Sambstags d. 25. 7.bris 1779 – Meisterrecht
Johannes Weißer der Schloßer und Burger allhier stehet Vor und bitt weilen Er sein Mr stück schon längstens nach ordnung Verfertiget als möge man Ihme das Meister Recht Zukommen laßen.
Erkandt willfahrt und seind Ihme sogleich die Articul abgeleßen worden (dt 3 l 15 ß 9 d, Auffaggeld dt 7 ß d)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison rue des Bouchers. Les apports du mari s’élèvent à 3 217 livres, ceux de la femme à 905 livres.
1780 (2.7.), Not. Lung (6 E 41, 1522) n° 28
Inventarium über Herrn Johannes Weißer, des Schloßermeisters und Fr. Mariä Magdalenä gebohrener Flächin, beeder Eheleute und Burgere alhier einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1780 – in ihren den 17.den Augusti des verfloßenen 1779. angetrettenen Ehestand einander Zugebracht, und kraft der vor mir Notario den 18. Maji ejusdem anni errichteter Eheberedung in deren dritten Puncten für unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer ane dem Metzgergießen gelegenen, dem Ehemann Zuständigen und herach beschriebenen behaußung auf Freÿtag den 2. Junii Anno 1780.

(f° 7) Eigenthum ane einer Behausung. (M.) Näml. eine Behausung bestehend in Vorder: und Hinterhauß, Hoff, Stallung, Bronnen und Hoffsätten, mit allen deren übrigen Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen (…)
Wittums Verfangenschaft, Welche H. Johannes Flach der Ehefrauen leiblicher Vater von weil. Fr. Maria Salome Flachin gebohrner Schwartzin gewesenen Eheliebstin seel. Vermög ihres vor H. Notario Dautel alhier den 4. Junii 1735. auffgerichteten Testamenti nuncupativi lebenslänglich Zu genießen hat, und inhalt des über ihre Verlaßenschafft den 21. Sept. A° 1751 durch H. Acker den Amtschreiber Zu Waßlenheim errichteten Invent. fol. 212.a sich belaufen solle auf 3709. fl.
(f° 10) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes vermögen, Sa. Hausraths 25, Sa. Werckzeugs Zum Schloßer handwerck gehörig 35, Sa. Silbers 29, Sa. goldenen Rings 3, Sa. baarschafft 5, Summa summarum 99 lb – deme beÿzurechnen die Ihme Zufolg der Eheberedung zuständigen Hälfte ane den Haussteuren 21 lb, Solchemnach trift des Ehemann für unverändert in die Ehe gebrachte Nahrung sammenthaft 120 lb, Schulden 3338 lb, Mithin ergibt sich, daß des Ehemanns Passiva deßen Activ Nahrung ohne die behaußung und Kleidung berechnet übertreffen würden um 3217 lb
Diesemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebracht Guth beschrieben, Sa. hausraths 145, Sa. Silbers 23, Sa. goldener Ring 22, Sa. Baarschafft 755, Eigenthum ane einem Gültguth (in den bännen Zeinheim, Rangen und Mittelkurtz), Summa summarum 947 lb – Wann nun hiezugerechnet wird ihre eigenthümliche Hälfte ane den Haussteuren 21, So kommt der Ehefrauen für unverändert Zugebracht Vermögen und Haussteuren Antheil auf 968 lb – Schulden 63, Nach deren abzug 905 lb

Jean Weisser et Marie Madeleine Flach hypothèquent la maison au profit du marchand François Geoffroi Ensfelder

1803 (6 Ventose 11), Strasbourg 7 (42), Not. Stoeber n° 1268 (4155)
erschienen Br. Johannes Weißer Schloßer allhier und deßen Ehefrau Maria Magdalena gebohrne Flach, von ihme authorisirt
welche in gegensein Br. Frantz Gottfried Ensfelder, Handelsmanns dahier (…) schuldig worden seÿen 1200 Francken
Verlegt, ihre Behausung und Hoffstadt mit allen deren begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten gelegen allhier Zu Straßburg am Schiffleutstaden an dem Kupferschmidt gäßlein N° 21, 1.s neben Frantz Antoni Wiedemann Maurer allhier, 2.s. neben b. Dietsch Tuchfabricanten hinten auf eben denselben Ziehend
Sodann das der Ehefraun und Schuldnerin Zuständigen Gültgut in denen Bännern Zeinheim, Rangen und Mittelkurtz gelegen

La maison revient au fils unique des précédents, Jean Jacques Weisser qui fait exposer infructueusement la maison aux enchères

1810 (31.3.), Strasbourg 10 (51), Not. Zimmer n° 2880, 4379
Geofroi Frédéric Flach employé à la Prefecture du Département du Bas Rhin au nom de Jean Jacques Weisser ouvrier au Corps Impérial d’Artillerie a l’armée d’Espagne
vente d’une maison sise à Strasbourg quay des Bateliers à la rue des Chaudronniers n° 21 donnant des deux côtés et derrière sur M Dietsch fabricant de draps – échu audit Weisser dans la succession de Jean Weisser, serrurier, et Marie Madeleine Flach ses père et mère qui sont délaissé Jean Jacques Weisser pour seul enfant – les conjoints Weisser ont acquis l’immeuble par acte reçu Anrich le 18 fructidor 3, mise à prix 7500 francs
n° 4454 du 26 mai personne ne s’est présenté
n° 4499 du 23 juin puis surenchères n° 4520 du 7 juillet par Georges Frédéric Gachstetter, serrurier demeurant quartier de la Krautenau n° 13 pour 10.700 francs

Le serrurier Jean Jacques Weisser épouse en 1819 Catherine Barbe Flach, originaire de Wasselonne
1819 (20.3.), Strasbourg 10 (34), Not. Zimmer n° 605, 6472
Contrat de mariage – Jean Jacques Weisser, serrurier, né le 21 mai 1782 fils de feu Jean Weisser, serrurier, et de feu Marie Madeleine Flach
Catherine Barbe Flach fille mineure née à Wasselonne le 14 brumaire 7 (4 novembre 1798) de Jean Jacques Flach, ancien tanneur, et de feu Catherine Barbe Rothhahn
communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement de Strasbourg, acp 142 f° 98 du 23.3.

Inventaire d’une locataire, Marie Madeleine Kromer, femme du cabaretier Jean Frédéric Bischoff

1832 (17.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 65), Me Hickel n° 4351
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Kromer, femme de Jean Frédéric Bischoff, cabaretier, décédée le 5 mai 1832 – à la requête de 1. le veuf commun en biens en vertu du contrat de mariage reçu Hickel le 6 novembre 1819, père et tuteur légal d’Auguste Frédéric & Charles Edouard les deux enfants de la défunte – en présence de Jacques Kromer, boulanger, subrogé tuteur desdits mineurs
dans une maison que le Sr Bischoff tient à bail quai des Bateliers n° 21
garde robe 81 fr, meubles 410 fr
Titres et papiers, Contrat de mariage Me Hickel, 6 novembre 1819, Inventaire de Jean Jacques Kromer père, vigneron à Strasbourg, dressé par Me Hickel le 14 octobre 1832, terres à Mittelhausbergen 900 fr
communauté garde robe 491 fr, tonneaux 572 fr, vignes 300 fr, passif 781 fr, totalité de la masse active 2263 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 213 F° 180 du 24.11.

Jean Jacques Weisser meurt en 1839 en délaissant trois enfants

1839 (20.9.), Strasbourg 10 (96), Me Zimmer n° 3306
Inventaire de la succession de Jean Jacques Weisser – dressé à la requête de 1. Catherine Barbe Flach, mariée sous le régime de la communauté réduite aux acquets suivant contrat de mariage reçu Me Zimmer le 21 mars 1819, veuve de Jean Jacques Weisser, serrurier décédé le 14 juin dernier, usufruitière de la moitié de la succession de ses enfants mineurs Henriette, née le 8 décembre 1827, Emile né le 8 janvier 1830, Emilie née le 24 octobre 1832 – en présence de Frédéric Stammler, faiseur de vrilles, subrogé tuteur
masse propre aux héritiers, une maison sise à Strasbourg quai des Bateliers n° 21, d’un côté Jean Jung marchand de bois, d’autre M Dietsch fabricant, derrière les mêmes
Enregistrement de Strasbourg, acp 271 f° 65-v du 25.9.

Catherine Barbe Flach veuve de Jean Jacques Weisser loue une partie de la maison au serrurier Frédéric Edouard Kessel

1839 (21.9.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 75 F° 97 ssp du 21 septembre
Bail de de 3 années à commencer à la St Michel prochaine – Catherine Barbe Flach veuve de Jean Jacques Weiser, propriétaire
à Frédéric Edouard Kessel, serrurier, les deux demeurant à Strasbourg
les localités dans une maison sise à Strasbourg quai des Bateliers n° 21 moyennant un loyer annuel de 304 francs


Catherine Barbe Flach loue une partie de la maison au serrurier Frédéric Mainhardt et à sa femme Sophie Geyer

1854, Enregistrement de Strasbourg, ssp 116 (3 Q 31 615) f° 89-v du 28.3.
ssp du 28 mars 1854 -Bail immobilier, Entre nous soussignés Catherine Barbe Flach veuve de Jean Jacques Weisser propriétaire d’une part
et le sieur Frédéric Mainhardt, serrurier conjointement avec sa femme née Sophie Geyer d’autre part a été convenu de qui suit.
Moi Catherine Barbe Flach veuve Weisser donne par ces présentes à loyer pour six années entières et consécutives à commencer de la St Jean Prochaine à M. Frédéric Mainhardt serrurier une maison sise à Strasbourg Quai des bateliers n° 21. Cette maison se compose d’une boutique au rez de chaussée donnant sur le quai et de trois étages donnant également sur le quai avec cave, chambre à linge sale et dépendances que les preneur déclare bien connaître pour les avoir vus et visités. Le bail est fait moyennant la somme de 560 francs de loyer annuel

Catherine Barbe Flach et ses enfants vendent la maison à leur voisin Jean Conrad Hochapfel qui la réunit à sa propriété

1867 (26.4.), Not. Becker (Geoffroi), actes en déficit
Vente – 1) Catherine Barbe Flach veuve de Jean Jacques Weisser, serrurier à Strasbourg 2) Henriette Weisser, majeure à Wasselonne, 3) Emile Weisser professeur à Breslaun 4) Emilie Weisser épouse de Michel Zwilling instituteur à Plobsheim
à Jean Conrad Hochapfel, négociant à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg quai des Bateliers n° 24, moyennant 10.300 francs
jouissance et intérêts du 25 septembre 1867, héritage de Jean Jacques Weisser décédé en 1839
acp 562 (3 Q 30 277) f° 77 du 25.4.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.