6, rue d’Austerlitz


Rue d’Austerlitz n° 6 – IX 73 (Blondel), P 1515 puis section 16 parcelle 34 (cadastre)

Reconstruite avec un balcon en 1741 par le cordier Jean Jacques Kammerer


Façade – Rez-de-chaussée et balcon dont les ferronneries sont à distance des voisins (images Fabien Romary, 2022, Archi-wiki)

La maison du sellier Jacques Walter porte un auvent (30 pieds de long, saillie de 5 pieds ½) d’après le Livre des loyers communaux (1587). Le voisin André Cuntz qui s’en rend ensuite propriétaire la revend en 1597 au marchand de chevaux Georges Reitschuh en stipulant que l’acquéreur n’est pas propriétaire du pignon mais qu’il est autorisé à y poser des poutres et des corbeaux et qu’il doit tolérer le conduit débouchant dans sa fosse d’aisance. Ces clauses sont confirmées en 1653 par le cordier Jean Lautenschlager et son voisin. La propriété passe à son gendre Ulric Kammerer, aussi cordier. Jean Jacques Kammerer reconstruit à neuf sa maison en 1740. Il est autorisé en janvier 1741 à remettre un auvent de mêmes dimensions que l’ancien mais préfère quelques mois plus tard remplacer l’auvent par un balcon dont la ferronnerie devra être à un pied des voisins. Le boulanger Jean Jacques Reitter l’achète en 1763 mais la vente définitive n’est passée qu’en 1767 à cause d’un procès intenté au vendeur. Elle est ensuite propriété des confiseurs Jean Guillaume Schuler (1768) et Jean Frédéric Schmidt (1783).


Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt), troisième à partir de la maison d’angle à droite

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 253 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée, deux étages en maçonnerie et balcon. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve en (l-m) : quatre arcades au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour T représente en (1-2) la partie nord de l’arrière du bâtiment.
La maison porte d’abord le n° 22 (1784-1857) puis le n° 6.


Cour T – Plan des Ponts-et- Chaussées (1856, ADBR cote 2 SP 52) – Maison Chevalier N° 22, à deux étages en pierre de taille, solide (2 E PT S)

La maison appartient ensuite au fourbisseur Dominique Georges Ritzenthaler (1828-1844), au chapelier Pierre Victor Chevallier (1844-1861) puis au charcutier Jean Georges Franck. Son fils Georges Franck fait remplacer en 1897 l’ancienne devanture par une nouvelle. Le rez-de-chaussée est loué à un commerce d’alimentation. Jacqueline Kœgel (magasin Pingouin Stemm) fait transformer en 1969 la devanture en dégageant le cintre des arcades. La charpente menace de s’écrouler après un incendie qui endommage gravement le bâtiment, en novembre 1989. La Société Civile de Placements Immobiliers (S.C.P.I.) Logivalor 3 confie à l’architecte Benoît Peaucelle la restauration, terminée début 1992.


Nouvelle devanture en grisé (1897)

Elévation en 1969 (le cintre des arcades est masqué par l’enseigne)
Façade avant et après travaux, coupe (1991, architecte Benoit Peaucelle, dossiers de la Police du Bâtiment)

février 2023

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1596 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Walter, sellier, et (1566) Anne Illhock, d’abord (1551) femme de Conrad Seitz puis (1555) de Sebald Rosenzweig, (1585) Gertrude Rietel, veuve du meunier Michel Reinfleisch, puis Barbe Lacher – luthériens
1590* v André Cuntz, huilier, et (1574) Sara Wencker – luthériens
1597 v Georges Reitschuh, marchand de chevaux, et (1582) Lucie, veuve du sellier Gaspard Hartmann, puis (1593) Ursule Seckler, d’abord (1575) femme du menuisier Georges Fressel puis (1583) du coutelier André Zeiss – luthériens
1626 v Jean Lautenschlager, cordier, et (1613) Apollonie Roth – luthériens
1665* h Ulric Kammerer, cordier, et (v. 1639) Marie Lautenschlager – luthériens
1676* h Jean Ulric Kammerer, cordier, et (1667) Barbe Hack – luthériens
1711 h Jean Jacques Kammerer, cordier, et (1711) Susanne Rosset puis (1718) Anne Marguerite Saum – luthériens
1757 h Jean Michel Kammerer, tonnelier, et (1764) Catherine Dorothée Gerold – luthériens
1767 v Jean Jacques Reitter, boulanger puis farinier, et (1745) Frédérique Dorothée Gœbel – luthériens
1768 v Jean Guillaume Schuler, confiseur, et (1767) Marguerite Barbe Vogt – luthériens
1783 h Jean Frédéric Schmidt, confiseur, et (1783) Marguerite Barbe Vogt, veuve de Jean Guillaume Schuler – luthériens
1828 v Dominique Georges Ritzenthaler, fourbisseur, et (1814) Marguerite Elisabeth Schuler, remariée (1850) avec le cordonnier Mathias Sins, veuf d’Anne Hœrterer
1844 v Pierre Victor Chevallier, chapelier, et (1830) Marguerite Salomé Gangloff
1861 v Jean Georges Franck, charcutier, et (1857) Elisabeth Groth
1906* h Edouard Georges Franck et Auguste Frank
1926* h Georges Franck rentier
1931* h Elisabeth Georgette Louise Poidevin-Franck
1947* h Charles Bisch, maître boulanger à Ostwald

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1714, 525 livres en 1717, 500 livres en 1718, 750 livres en 1755, 500 livres en 1767, 1 000 livres en 1780

(1765, Liste Blondel) IX 73, Jean Jacques Kammerer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Schuler, 4 toises, 2 pieds et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1515, Ritzenthaler, Dominique Georges – maison, sol – 0,68 are

Locations

1621, Georges Kesselmeyer, sellier
1622, Jean Lautenschlager, cordier (futur propriétaire)
1630, Wolffgang Drexel, tailleur
1664, Jean Træher, marchand épicier
1722, Blaise Lantelme, sellier
1741, Frédéric Dieuloué Saupé, chirurgien
1762, Dominique Berbarat, cordeur et graissier, et Marie Jeanne Valat
1763, Jean Jacques Reitter, boulanger (futur propriétaire)
1880, Jacques Gangloff, boucher

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450)
Le sellier Jacques Walter règle 6 sols 8 deniers pour sa maison sise grande rue des Bestiaux, à savoir un auvent (30 pieds de long, saillie de 5 pieds ½), deux étaux (12 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds) et un autre étal (5 pieds ½ de long, saillie de 2 pieds ½).

Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.
Jacob Walther der Sattler hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxx schu lang, v= schu herauß, Mehr vnden vor der Werckhstatt Zwen Laëden xii+ schu lang, iij schu herauß, Aber ein Laden v+ schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, vj ß viij d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1740, Préposés au bâtiment (VII 1399)
Les préposés autorisent en octobre 1740 le cordier Jean Jacques Kammerer à poser et façonner rue des Bouchers le bois de la maison qu’il fait reconstruire à neuf. Ils l’autorisent en janvier 1741 à remettre un auvent de mêmes dimensions que l’ancien (30 pieds ½ de long, saillie de 4 pieds) et une marche devant sa maison puis en août 1741 à remplacer l’auvent par un balcon à condition qu’il soit suffisamment haut et que la rambarde soit à un pied des voisins.

(f° 71) Dienstags db 11. Ejusdem [Octobris 1740] – Joh: Jacob Kammerer
Johann Jacob Kammerer der seÿler Bittet umb erlaubnus das Holtz Zu einem Neu Bauenden Häuslein in der Viehegaß, auf das Allmendt in dem Metzgergießen Zu legen und allda Zimmern Zulaßen. Erkandt, gegen 3 fl. Zinß Willfahrt. dt. den 5. Aug. 1741.

(f° 90) Eodem die 7. Januarÿ 1741. wurden augenschein eingenommen – Johann Jacob Kammerer
Ferner an H. Johann Jacob Kammerers des Seÿlers Hauß in der Viehegaß, welches er abbrechen, und Neu auffbauwen Laßet, Mghh. Unterthänige Bitten jhme Zuerlauben Anstatt des daran befindlichen 30 ½ schuhe Lang, und 4. schuhe breitten Wetterdachs, wieder ein Anders an das Neue Hauß machen Zulaßen, Auch eine steinere staffel Vor die thür, ein schuhe weit Vor das Hauß Herauß Zulegen.
Erkant in Beeden Stucken Willfahrt, solle aber von der Staffel 1 lb Zinß für den augenschein, oder für alles für ein und alle mahl 3. lb d Zahlen. dt. Eodem 3. lb.

(f° 140-v) Sambstags den 5. Ejusdem [Augusti 1741] folgende augenschein eingenommen worden – Johann Jacob Kammerer
An Johann Jacob Kammerers des Seÿlers neuerbautem Hauß in der Viehegaß, welcher um erlaubnus gebetten, anestatt das Vorhin daran Gehabten 30 ½ schuhe Lang und 4 sch. breites Wetterdachs, einen Balcon oder gang Von gleicher größe Zumachen.
Erkannt Allein auf 3. schuhe in der Breite Willfahrt, mit dem Beding, daß Zu beeden seithen der Nachbaren Heußern er mit dem gerembs einen schuh Zurückbleibe, und das gerembs in Ziemlicher höhe machen solle, damit Man nicht darüber steigen Könne.

Description de la maison

  • 1713 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux boutiques et une cave sous solives, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1717 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux boutiques et une cave sous solives, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1 050 florins
  • 1755 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois boutiques, deux poêles, deux chambres et deux cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1873 (police d’assurance) (maison à) rez-de-chaussée, deux étages, mansardes, grenier, construite en pierres, briques et pan de bois, couverte de tuiles

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Dauphine (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 6 / 22
Schmitt
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie et balcon
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 461 case 3

Ritzenthaler, Dominique Georges
Chevalier Pierre Victor (subst. pr. 1847) rue des hallebardes 52

P 1515, maison, sol, rue d’Austerlitz 22
Contenance : 0,68
Revenu total : 144,35 (144 et 0,35)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 881 case 1

Chevalier Pierre Victor, Rue des grandes arcades 91
1863 Franck, Jean Georges, Charcutier
1892/93 Franck Johann Georg, Wurstler die Kinder

P 1515, maison, sol, cour, Rue d’Austerlitz 6
Contenance : 0,68
Revenu total : 144,35 (144 et 0,35)
Folio de provenance : (461)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre allemand, registre 29 p. 186 case 4

Parcelle, section 16, n° 34 – autrefois P 1515
Canton : Metzgerstraße Hs. N° 6
Désignation : Hf, Whs, u. NG e T (Skizze 21)
Contenance : 0,72
Revenu : 2500 – 4100 – 4900
Remarques : 1906 Umbau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1947), compte 393
Frank Georg und August
1906 Frank Eduard u. August
1926 Frank Georges rentier
1931 Poidevin-Frank Elisabeth Georgette Louise
1947 Letz Charles coiffeur / Letz Charles cheminot épouse divorcée née Poidevin
(2624)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1947), compte 6300
Bisch Charles maître boulanger à Ostwald et son épouse
(851)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 313 Rue Dauphine

22
Pr. Schmidt, Jean Frédéric, Confiseur – Miroir

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Metzgerstraße (Seite 105)

(Haus Nr.) 6
Konsumgeschäft, Filiale v. Pasquay & Lindner. 02
Louis, Rentnerin. 1
Paulus, Büglerin. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 29)

Rue d’Austerlitz n° 6 (dossier I, 1883-1991)

Le locataire principal Jacques Gangloff fait constater en 1883 que des poutres entre le sous-sol et le rez-de-chaussée sont pourries. Georges Franck fait remplacer en 1897 l’ancienne devanture par une nouvelle. Le commerce d’alimentation Sadal occupe le rez-de-chaussée (1943-1969). Jacqueline Kœgel (magasin Pingouin Stemm, de 1969 à 1982) fait transformer la devanture en 1969. La charpente menace de s’écrouler après un incendie qui endommage gravement le bâtiment, en novembre 1989

Commerces – Magasin d’alimentation Pasquay et Linder (1897) puis Sadal (1943, jusqu’en 1959), vêtements Pingouin Stemm (1969-1982), Horlogerie le Comptoir d’Austerlitz (1982)

Sommaire
  • 1883 – Plainte de J. Gangloff locataire principal de la maison qui appartient à la veuve Franck. La visite montre que certaines poutres entre le sous-sol et le rez-de-chaussée sont pourries mais qu’il n’y a pas de danger immédiat puisque des poutres en bon état supportent le plancher. Le pourrissement semble être dû à un tuyau d’eaux usées qui fuit.
  • 1884 – Le maire notifie Catherine Franck (demeurant 20, place Broglie) de faire ravaler la façade du 6, rue d’Austerlitz – La maison a été repeinte à l’huile, novembre 1884.
  • 1887 – E. G. Franck (demeurant sur place) demande l’autorisation de faire deux embranchements aux canalisations municipales – Autorisation délivrée selon l’arrêté du 22 janvier 1863 relatifs aux tuyaux de gaz et d’eau – Dessin sur calque
  • 1893 (mai) – Le maire notifie Georges Franck (demeurant 20, place Broglie) de faire ravaler la façade du 6, rue d’Austerlitz – Rappel en octobre – Le maire accorde un délai jusqu’au printemps suivant – Dossier classé, avril 1894
  • 1895 – Un feu de cheminée s’est déclaré le 27 juin 1897. La cheminée est en bon état, l’incendie est dû à la suie qui s’est enflammée.
  • 1897 – Georges Franck (demeurant 20, place Broglie) demande l’autorisation de remplacer l’ancienne devanture par une nouvelle. Le maire transmet la demande au commissaire de police qui donne son autorisation – Dessin – Travaux terminés, décembre 1897.
  • 1897 (décembre) – La société Pasquay et Linder (magasin d’alimentation, Saint-Jean-sur Sarre, gérant Fritz Pasquay, entrepôt à Strasbourg 2, Ponts-Couverts) demande l’autorisation de poser deux enseignes sur le balcon – Le maire transmet la demande au commissaire de police.
    1898 (janvier) – Le maire constate que deux enseignes sur balcon ont été posées sans autorisation. Il demande au commissaire de police si l’autorisation a été accordée. L’inspecteur d’arrondissement répond que non mais demande un rapport. Le maire fait état des droits réglés – Dossier classé, juillet 1898.
  • 1901 – Louise Henlé qui va transférer son magasin (commerce de plumes D. Wiedenpesch, successeur d’Adèle Liehr) du 3, rue du Fossé des Tailleurs, troisième étage) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne n’est pas posée parce que le transfert n’a pas lieu
  • 1902 – Le maire notifie Charles Müller (2, rue du Dôme) de faire ravaler la façade du 6, rue d’Austerlitz – Il répond qu’il est propriétaire du n° 16 – Nouvel envoi à Franck – Travaux terminés, novembre 1902
  • 1907 – La Police du Bâtiment constate que Nicolas Augustin a posé sans autorisation une enseigne plate en bois (saillie de 40 centimètres) – Demande – Autorisation
  • 1907 (mai) – Le maire notifie Georges Franck (demeurant 20, place Broglie) de faire ravaler la façade du 6, rue d’Austerlitz – Travaux terminés, octobre 1907
  • 1911 – Rapport suite à un incendie qui s’est déclaré dans une pièce – Il n’y a pas de dégâts.
  • 1930 – Le boucher Knoderer (4, rue d’Austerlitz) informe la Police du Bâtiment que des pierres tombent du n° 6 – La Police du Bâtiment constate que la plainte est exagérée, quoique quelques pierres se sont détachées devant la panne faîtière. Elle écrit au propriétaire (veuve Franck, 5, place Broglie) pour qu’elle fasse réparer le pignon. – Travaux terminés, janvier 1931
  • 1933 – Le maire notifie la veuve Franck (demeurant 20, place Broglie) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, mai 1934
  • 1943 – Une locataire se plaint de l’humidité. La visite des lieux ne constate rien d’anormal dans le logement mais constate qu’Albert Keller qui exploite le commerce d’alimentation Sadal élève des lapins près du magasin. Les clapiers sont bien tenus. Il n’y a plus de lapins, avril 1943.
  • 1963 – Frédéric Ungerer, propriétaire du 8, rue d’Austerlitz (demeurant 24, rue du Moulin-Kœssler au Neudorf) se plaint du tas d’ordures qui se trouve à l’arrière du n° 6 – La plainte est traitée avec d’autres pour la même raison dans le même îlot sinistré
  • 1963 (mai) – Le maire notifie Alphonse Grussi (rue de la Gare à Ingwiller) de faire ravaler la façade
    1963 (août) – La veuve Alphonse Grussi est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, octobre 1963
  • 1969 – Mme J. Kœgel demande l’autorisation de poser deux enseignes (libellés Pingouin, Stemm) – Dessin (les enseignes se trouvent dans la partie supérieure des arcades) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation – Les enseignes sont posées
    1969 (avril) – Jacqueline Kœgel (demeurant 7, rue Albert Calmette à Schiltigheim) demande l’autorisation de transformer la façade (propriétaire, Louise Grussi, place de la Mairie à Molsheim). Parcelle 44 de la section 16, frappée d’alignement. Plan cadastral de situation qui représente l’alignement de la route nationale – Dessin d’une arcade – Elévation, enseigne Sadal – L’entreprise Bourriot (installation de magasins, 83, route nationale à Denney près de Belfort) expose les travaux – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées donne son accord – Le maire délivre le permis de construire le 22 septembre 1969
    La façade du rez-de-chaussée a été décapée par sablage, les cadres métalliques des devantures sont posés, le magasin est ouvert au public, septembre 1969.
  • 1975 – Paul Haberstroh (17, rue du Marché à Obernai) demande l’autorisation de peindre la façade (blanc cassé), la corniche et le fer forgé du balcon (gris foncé) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à la condition que les pierres soient décapées, les menuiseries peintes en blanc et la corniche de la même couleur que la façade – Travaux terminés, octobre 1975
  • 1979 – Le maire notifie le magasin Pingouin-Stemm de faire ravaler la façade. Le magasin qui est seulement locataire principal renvoie l’affaire au propriétaire, Mme Grussi (1, rue Jenner à Molsheim)
    1979 (août) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. Le propriétaire est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est terminé, avril 1980.
  • 1982 – Jacqueline Kœgel (magasin Pingouin-Stemm) informe la Police du Bâtiment qu’elle cesse son activité – L’enseigne est déposée, novembre 1982
  • 1982 – Le Comptoir d’Austerlitz demande l’autorisation de poser des enseignes lumineuses en caisson. Le projet est modifié pour que les enseignes ne dépassent pas de la façade – Dessin (enseignes Horlogerie – Comptoir d’Austerlitz – Cadeaux), photographies de l’enseigne Pingouin Stem) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à condition de réduire la taille des lettres – Le maire autorise le Comptoir d’Austerlitz à poser trois enseignes lumineuses plates le 16 novembre 1982 – Les enseignes sont posées, janvier 1983
  • 1989 – Rapport de la Commission de sécurité (magasin Comptoir d’Austerlitz, directeur Bismuth) suite à un sinistre aux étages. Prescriptions en cinq points.
    1989 (novembre) – Rapport du 28 novembre 1989. L’incendie a gravement endommagé le bâtiment, la charpente menace de s’écrouler. Le seul logement, dans les mansardes, est inhabitable. Le deuxième étage est vide, le premier sert d’annexe au commerce du rez-de-chaussée qui n’est plus exploitable.
    Le maire prend le 29 novembre un arrêté qui interdit la circulation des véhicules dans la rue
    Le maire notifie le propriétaire, Louise Grussi née Hanss, de faire faire sans délai les travaux pour éviter que la charpente endommagée par l’incendie ne s’écroule. – Les travaux d’urgence (échafaudage, filet protecteur) sont terminés, la rue est rouverte à la circulation le 2 décembre 1989. – Pas de changement, juillet 1990. – Une nouvelle protection recouvre la précédente, novembre 1990 – Pas de changement, mai 1991
    1991 (novembre) – La toiture est réparée
  • 1990 – Gilles Collet, notaire à La Petite Pierre, sollicite une notice d’urbanisme

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 892 W 366)

Rue d’Austerlitz n° 6 (dossier II, 1990-1996)

La Société Civile de Placements Immobiliers (S.C.P.I.) Logivalor 3 s’engage en décembre 1990 à faire restaurer les bâtiments. Elle adhère en octobre 1990 à l’Association Foncière Urbaine Libre (A.F.U.L.) Saint-Médard-Saint-Etienne, constiuée en 1987. Elle confie les travaux à l’architecte Benoît Peaucelle (les menuiseries des fenêtres seront refaites suivant la modénature du XVIII° siècle, la dalle du balcon sera conservée pour ne pas porter atteinte à la stabilité du bâtiment). Le maire délivre le permis de construire en mai 1991, les travaux intérieurs sont presque terminés, les logements en partie occupés en avril 1992.

Sommaire
  • 1990 (10 octobre) – L’assemblée générale de la copropriété 6 rue d’Austerlitz nomme un syndic et adhère à l’Association Foncière Urbaine Libre (A.F.U.L.) Saint-Médard-Saint-Etienne
    1990 (4 décembre) – L’A.F.U.L. Saint-Médard-Saint-Etienne approuve la candidature de l’Immobilière Schrœder, représentée par son gérant Freddy Schroeder.
  • 1990 (décembre) – Les conseillers juridiques et fiscaux Arcil, Marsaudon et Fischer (23. avenue Bosquet à Paris VII) informent la préfecture que la S.C.P.I. Logivalor 3 adhère à l’Association Foncière Urbaine Libre (A.F.U.L.) Saint-Médard-Saint-Etienne
    1990 (décembre) La Société Civile de Placements Immobiliers (S.C.P.I.) Logivalor 3 s’engage à faire restaurer les bâtiments sis 6, rue d’Austerlitz à Strasbourg
  • Constitution de l’Association Foncière Urbaine Libre (A.F.U.L.) Saint-Médard-Saint-Etienne par acte passé le 9 novembre 1987 devant Sylviane Haguenauer-Plantenin, notaire à Saint-Germain-en-Laye. Immeubles détenus par l’association, 5, rue Saint-Etienne, 12, place Saint-Etienne, 4, rue de Zurich, 5-6, place Saint-Etienne
  • Procès verbal de l’assemblée générale ordinaire du 29 octobre 1990. La S.C.P.I. Logivalor 3 adhère à l’Association Foncière Urbaine Libre (A.F.U.L.)
  • 1991 – Benoît Peaucelle déclare au nom de la société d’architectes Levy, Peaucelle et associés (17, avenue Victor-Hugo à Paris XVI) que les travaux dureront six mois. Propriétaire, A.F.U.L. Saint-Médard-Saint-Etienne (8, place des Halles à Strasbourg)
  • 1991 (février) – L’architecte Benoît Peaucelle présente un tableau des travaux dans les différentes pièces. Les menuiseries des fenêtres seront refaites suivant la modénature du XVIII° siècle. La dalle du balcon sera conservée pour ne pas porter atteinte à la stabilité générale
  • 1991 (mars) – Logivalor 3 S.C.P.I. du Crédit Chimique, domiciliée 20, rue Treilhard à Paris VIII, représentée par Pierre Faivre, dépose une demande de permis de construire
    Plan de situation, sous-sol, rez-de-chaussée, 1° étage, 2° étage, 3° étage, combles, coupe, façade (ancien et nouvel état), porte intérieure, fenêtre, lucarne
    1991 (avril) – La société Logivalor 3 expose que les travaux sont financés par ses propres fonds, sans recours au crédit. Le commerce du rez-de-chaussée appartient à l’Immobilière Schrœder.
  • 1991 (avril) – Note du service des incendies
    1991 (avril) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour les travaux
    1991 (mai) – Le maire prend un arrête portant permis de construire
    Suivi des travaux. L’échafaudage est enlevé, février 1992. Les travaux intérieurs sont presque terminés, les logements en partie occupés, avril 1992.
    1992 (mars) – Déclaration d’achèvement des travaux
    1992 (décembre) – Le système de désenfumage n’est pas conforme au code de la construction. L’accès au sous-sol et celui au local des poubelles doivent être munis de ferme-portes. L’architecte rapporte que la société Logivalor 3 a ordonné de poser les ferme-portes et justifie le système de désenfumage par la disposition des lieux et par le précédent au 12, place Saint-Etienne.
  • 1994 – La bijouterie Austerlitz demande l’autorisation de faire poser une enseigne par la société Litewka (33, rue Saglio) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire autorise la bijouterie Austerlitz à poser trois enseignes lumineuses à libellé en lettres détachées
  • 1996 – Le maire autorise Djamila Bismuth (Comptoir d’Austerlitz) à vendre par liquidation avant transformation
    1996 – La société Rowastores (rue du Commerce à Vendenheim) demande au nom du Comptoir d’Austerlitz l’autorisation de poser trois stores en corbeille – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable, avril 1996 – Le maire autorise de poser les saillies mobiles

Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux au nom du sellier Jacques Walter. Originaire de Biberach, il épouse en 1566 Anne Illhock, fille de Jean Illhock, successivement veuve de Conrad Seitz (mariage en 1551) et de Sebald Rosenzweig (mariage en 1555)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 11-v, n° 42)
1551. vff den 25. Novembris sind Ehelich Ingesegnet worden Cunrath Seitz vnd Anna Hanns Ilhecks dochter (i 13)

Mariage, cathédrale (luth. f° 26)
1555. 14. Aprilis. Sebold Rosenzweig von Nürnberg vnd Anna Illhäckin Conradt seitz. s. witfraw. Eingesegnet den 22. Aprilis (i 29)

Originaire de Nuremberg, le pelletier Sebold Rosenzweig devient bourgeois par sa femme
1555, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 107
Seboldt Roßenzwÿg von nürnbergk hatt d. burgkrecht empfang. von annen weÿlandt hanßen Ilhocks Docht. seiner ehefrawen vnnd dient Zu den Kirßnern Zinstag den vij.t Maÿ a° & Lv.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 110-v, n° 7)
1566. Jacob Walter von Biberach, Anna Elheckin Sebaldi rosenzweigs Kirschner verlaß. Wittwe (i 123)

Le sellier Jacques Walter de Biberach devient bourgeois par sa femme
1566, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 267
Jacob Walther von Biberach d. sattler, hatt das burgkrecht Empfang. Von Anna weÿland Sebolds Rosenzweig des Kirßners sellig. wittwe seiner Ehfrawen vnd dient Zu den gerbwern actum donnerstag den 14.t. Februarj A° & 66

Le sellier Jacques Walter qui habite rue du Bétail se (re)marie avec Gertrude Rietel, veuve du meunier de Gambsheim Michel Reinfleisch
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 152, n° 17)
1585. den 22. tag Novemb. sind Ehelich eingesegnet worden Jacob Walther der Sattler in der Viehegaß vnd Gertrud Rietelin, weiland Michael Reinfleisch selig. des Müllers Zu Gamßheim hinderlaßene widwe (i 168)

Jacques Walter et sa femme Barbe Lacher engage sa maison au profit de son voisin l’huilier André Cuntz et de sa femme Sara Wencker en leur promettant un droit de préemption (l’acte est cité parmi les titres lors des inventaires ultérieurs)
1588 (vts [xij. tag Februarÿ]), Chancellerie, vol. 254 (Registranda Meyger) f° 34-v
(P. fol. 47) Erschienen Jacob Walther, der Sattler, burger Zu Straßburg, Vnd Barbell Lacherin sein eheliche haußfrauw, haben sich vnv. für sich & verschriben,
Geg. dem Ersamen Andres Cuntz, dem Ohlman, burgern Zu St. vnd Fr. Sara Wenckerin sein Ehelich. haußwürthin, so Zugegen. Inen Zu Zinsen 25 guldin gelts ablösig mit 500 gultin St. werung
von, vff vnd abe huß vnd hoffstatt, mit Ihren gebewen & geleg. In d. Statt St. beÿ dem Metzig. thor, Im Vyhe gaß. einsit nebent Andres Cuntzen obgedacht, Andersit nebent Jörg Heüßler dem Wÿßbecken, Hinden vff denselben Jörg Heußler stoßend, Dauon gond 3 schilling Vier Pfenning Reüth lehen Zins, Jr Hans Caspars Von Oberkirch selig. erben, Item Vier guldin gelts ablösig mit C guldin St. wrg. dem Platerhauß, Vnd dan sindt sie noch hafft vnd vnderpfanst für ein Schuld 50 drütthalben gulden St. Werung, Samuel Schlosser dem Grempen, burgern Zu St. so vff Johanns Bapt. des nechst abgeloffenen 87 Jars sollen* bezalt sein word. Wie man sagt, Zubezal. Alle Jar vff Mathie Apli. vnd vff deselben tag Ann. 89. den Ersten zins (…)
Erschienen Jacob Walther Vnd Barbell Lacherin & sein eheliche haußfrauw, haben vnv. für sich & vmb sondere güther wollen*, obermelten Ehegchd. Andres Cuntz vnd Saren v beden Erben verhosset* vnd zugesagt den Voorkhauff vff verschribene Behsg. wann dieselbig Jenner In khfftg. vber kurtz od. lang verkaufft, Als dan sie den Voorkauff daruff haben sollen Nach Voorkaufs Recht haben sollen

La maison revient effectivement au créancier. L’huilier André Cuntz épouse en 1574 Sara fille de Jacques Wencker

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 102-v n° 8)
1574. Eodem die [Den 12. Junÿ] Vmb 9 Vhren sind ehelich eingesegnet worden Andreß Cuntz der Ollman vnd Sara Webckerin weÿland Jacob Wenckers selig. nachgelaßene tochter von straßb. (i 118)

Le tuteur de Sara Wencker, veuve d’André Cuntz, vend la maison au revendeur Georges Reitschuh. Les clauses stipulent que le pignon est propriété de la venderesse mais que l’acquéreur est autorisé à y poser des poutres et des corbeaux sur une demi-pierre de largeur. L’acquéreur doit tolérer le conduit débouchant dans sa fosse d’aisance qui sera vidangée à frais communs. En marge, quittance accordée en 1630 au cordlier Jean Lautenschlager.

1597 (16. Martÿ), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 29-v
Kauff Geörg Reitschuher des grempen vber ein hauß Iin Vihegaß
Erschienen Christoff Benjamin Stipitius als vogt Saræ Wenckerin w. Andres Cuntz. deß ohlmans selig hinderlaßener wittwe, So dann Philips Schmids als vogt Andreß. Jacob. Geörg vnd Heinrich. all vier gebrüdere vnd obg.nten ehrgemechd ehelich. Kinder (haben verkaufft)
Geörg Geörg Reitschuher dem grempen vnd burg. alhie vnd Ursula Secklerin seiner ehelich. haußfrawen
ein behausung sampt Irer hoffstatt auch derselben gebewen begriffen. recht. vnd gerechtigkeiten geleg. In vihegaß geg. der herberg Zum Ochsen hinüb. einseit neben den v.keuffern and.seit vnd hinden vff Martin Seitz. den becken stoßend dauon gehnd 3 ß v 4 d reittleh. Zinß dem Edlen Besten Wolff Thoman von Oberkirch Jherlich vf Martini fallend, Mehr 2 lb 2 ß gelts vnd 200 fl. St. W. losig dem Blaterhauß alhie Jherlich vf Georgÿ sonst ledig v aig. Vnd daruf alles Recht vbergeben Vnd bekant das diser Kauff vber abzug obgesagten beschwerden Zugang vnd beschehen für vnd vmb 600 gulden
vnd bewilligt Nemlich vnd Zum ersten weil d. gebel (zwahr) vf Ir d v.keuffere vnd Jetzig. Keuffer behausung allein der verkäuffere aigenthumblich gehörig, so solle doch den keuffern vergnugt sein wann sie Trähm Inziehen od. kopffer Inlegen wollen, das sie in dieselb. eines halben steines dick brechen vnd legen mögen, Zum andern weil ein trechter vß Ir d. v.keuffer behaußung In Ir d. Keuffer behausung vnd demselben heimlich gemach gehet, so sollen sie die keüffer deßelbig zu dulden sollen schuldig sein, doch dergestalt wen sie die notturfft erstand. soll daßelbig durch Ir d. keüffere behausung In gemeinem costen vßgeführt werden.
Confessat (…)
[in margine :] Erschienen hanß Lautenschlager des Seÿler Burger Zu Straßburg alß ietziger besitzer dieser hierinn gemelt. Behausung an Einem, So dann Jacob Kuntz der Ohlman auch Burg. alhie am Andern theil Zeigten an, demnach er Lautenschlager, dise hierunden gemelte an hienebens stehendem Kauffschilling restirende 400 fl. Straßburger wehrung Ihme Cuntzen alß der sie von seinem vattern Andres Cuntz. seel. Ererbt den 2. 8.bris Anno 1622. an damals hohen den Rtler. nach Zu fl. gerechneten geld abgelegt (…) Actum den 3. Januarÿ Anno 1630.

Originaire de Binswangen en Bavière, Georges Reitschuh épouse en 1582 Lucie, veuve du sellier Gaspard Hartmann
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 138-v, n° 12) 1582. Den 23. Julÿ seindt Ehelich eingesegnet worden Georg Reidschuer von Bindwang. ein taglöner vnndt Lucia, Weilandt Caspar Harttmans deß sattlers selig. hinderlaßene widwe von Straßburg (i 155)

Il achète le droit de bourgeoisie quinze jours plus tard.
1582, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 389
Jorg Reüttscheütter von Brentzwangenn beÿ augspurg der dagner Hatt das burgrecht Kaufft Vnnd will Zuor bluomen dienen Acttum den 9. augusti 1582.

Le sellier Gaspard Hartmann, originaire de Francfort, fait baptiser une fille en 1567.
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 149 n° 58)
1567. den 21. Septembris ist getauffet worden Maria deßen vatter ist Caspar Hartmanns von Franckfurt ein sattler vnd ist gevatter gewesen Simon Keller die gottle Maria Gabriel von Köllen deß lederbereiters haußfrau die 2 Rachel Leonhard deß leüffers Zun Reüwern haußfraw (i263)

Georges Reitschuh épouse en 1593 Ursule, fille de Jean Seckler, successivement veuve de Georges Fressel (originaire de Turgovie, mariage en 1575) et du coutelier André Zeiss (mariage en 1583)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 111-v, n° 20)
1575. den 5. Septembris seindt ehelich eingesegnet worden Georg Freßel von Thorgaw vnnd Ursula Secklerin, Hanß Secklers sellig hinderlaßene tochter von Straßburgk i 129)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 390 n° 14)
1583. Invocavit. Andres Zeiss der Messerschmidt vnnd Ursula Gerg Fussels des schreiners nachgelaßene wittwe. Eingesegnet Zinstag den 22. Februarÿ (i 163

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 24 n° 19)
1593. den 12. Junÿ (…) Mit diesen sind Ehelich eingesegnet word. Jörg Reitschuher d. Roßkam Burg. alhie vnnd Ursula Secklerin Andres Zeusen gewesenen Meßerschmidts selig. hind.laßene Widwe (i 29)

Le passementier Jean Georges Fressel, le fils d’Ursule Seckler cité dans les actes ultérieurs, épouse en 1609 Anne, fille du cordier Michel Dürr
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 216 n° 34)
1609. Domin. Iubilate 7. Maÿ. Hans Jorg Fressel d. paßmentmacher Jerg Fressel des schreiners hind.lassener Sohn, Anna Michel Dürren des seilers tochter, Eingesegnet Mont. d. 15. Maÿ.

Le marchand de chevaux Georges Reitschuh qui travaille depuis trente ans au haras (Kuppelhoff) sollicite un emploi municipal de marchand de chevaux à Francfort. Il est nommé et prête serment.
1612, Conseillers et XXI (1 R 91-92)
Georg Reitsche Roß underkauffer. 88. [soll nach Franckfurt ziehen]
Georg Reitsche so nun viel Jar beim Roßhandel herkommen u. 30 Jar im Kuppelhoff gewessen bitt Ime Zum Roßvnderkeuffer anzunehm. *ndt ange*dt d. mhr* ein gerechtigkeit haben d. Zu Franckfurt der hieig. vnd. keuffer *er geduldet word. welches nit Zuuersch*tz. den solt es ein Mans verpleiben, werde mans hernach nit mehr Zulaß. Woll. wie in andern sachen auch beschehen. Obern Stall Hn refer* d. sie am Montag dis geschefft herein bring. wollen vnd hetten sie auch auf dem Georg* gedacht, der nit Zuuerbessern vernemen* man soll Ime den dienst vertrewen.
Erk. Man soll Ine Zum vnd.keuffer anehmen und nacher Franckfurth heissen Ziehen. iurauit

Le revendeur et marchand de chevaux Georges Reitschuh et Ursule Seckler vendent la maison à l’arquebusier Georges Krauss. La vente est annulée un mois et demi plus tard

1613 (22. Januarÿ), Chancellerie, vol. 400 (Imbreviaturæ Contractuum 1612. 1613) f° 48-v
Khauffverschreÿbung Georg Krausen Buchsenschmidts vber sein Behaußung in der Statt Straßburg In Viehgassen
Erschienen Herr Georg Reyttschuh der Gremp vnd Burg. alhie vnd Ursula Secklerin bede ehegemecht
haben in gegenwerttigkheÿt Georg Krausen Buchsenschmidts auch Burg.s alhie verkaufft
Hauß vnd hoffestatt mit allen derselben begriffen weÿthen Rechten vnd Zugehörden gelegen In diser Statt Straßburg Jenseÿt der Schindprucken In vieh Gassen einseÿt neben weÿland Andres Cuntzen des Ohlmans seligen Erben, anderseÿt vnd hinden auff Georg dem weÿßbecken stoßend gelegen, davon gehnd Jarlichs treÿ schilling vier Pfenning Reÿttlehen Zinß dem Edlen vhesten wolff Thoman von Oberkirch auff Martin gefallende, Item Zweÿ pfund Zwen schilling gelts auff Georgÿ dem Blaterhauß alhie In hauptgut mit 115 pfund abzulösen vnd dann 20 gulden Straßburger wehrung weÿland obgemelten Andres Enntzen des Ohlmans seligen erben Jarlichs auff Ostern gefallend vnd In hauptgut Zu acht mahlen mit vnderpfands gulden geruerter wehrung widerlosig, sonst allerdings Zinß freÿ, ledig vnd eÿgen, Vnd were der verkhauff vnd Kauff Zugegen vnd beschehen für vnd vmb 600 gulden mehrgedachter werung
[in margine :] Erschienen Georg Reütschuh der Roß Vnderkeüffer mit beÿstand H Philipp Leüprandts des weißenschaffners vnd hatt in gegenwertigkheit Georg Kraußen des Buchsenschmidts bekhandt, d. hierin gemelter kauff gentzlich Zurück vnd cassirt werd. solle (…) Actum den 6. Martÿ 1613.

Ursule Seckler veuve de Georges Reitschuh, assistée de son tuteur Jacques Grisell et de son fils Georges Fressel, hypothèque la maison au profit d’André Dieffenbecher

1619 (xx. Maÿ), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 287-v
(Inchoat. in Prot. fol. 180.) Erschienen Ursula Secklerin, wÿland Jörg Reitschuch des Vnderkhoüffers Alhier selig witwe, mit beÿstandt & Jacob Greÿsell burgers Zu Straßburg Ihres geschwornen vogts, vnd hannß Jörg Fressell passamentmachers Ihres Sohns, Auch Anthoni Spach schneÿders Ihres vettern
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. Andres Dieffenbechers burgers Zu Straßburg offentlich Verÿeh. – schuldig seÿe 50 pfund pfenning Straßburger
Zum recht. vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß, Vnd hoffestatt mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. Jenseit d. schind bruck. Inn d. Vÿhe gaß. geg. dem Ochsen vber, einseit neben Andreß Cuntz des ohlmanns erb. And. seit vnd hind. vff Jörg Zimmer dem Weißbeck. stoßend, dauon gend. Jahrs iij ß iiij d Reuthlehen zinß J. Wolff Thoman von Oberkirch, Item ij. lb ij ß d gelts loßig mit Lij. lb x ß vff Georgÿ Ins platt. hauß, So dann seind sie verhafftet vmb ij C lb d ermelts Andreß Cuntz. selig. erb. sunst eÿg.
[in margine :] Erschienen h. Andreß Tieffenbecher hatt in gegensein hannß Georg Fresells deß paßmentmachers ihr der Schuldbekennerin see: sohns (…) den 25. Aprilis 1626.

Autre hypothèque au profit du sellier Georges Kesselmeyer

1621 (ut spâ [xx. Novembris]), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 638-v
(Inchoat. in Prot. fol. 465.) Erschienen Ursula Secklerin, wÿland Jörg Reitschuch des Roß Vnd. Kheüffers burgers Zu Straßburg selig witwe mit beÿstand & Jacob Geÿsell burgers Zu Straßburg Ihres geschwornenn vogts vnd hannß Georg Fressell passamentmachers Alhier Ihres Sohns
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Geörg Kesselmeÿer Sattlers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen L lb
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß hoffestatt mit Allen Ihren geb. & ggl. Inn d. St. St. Jenseit d. Schindbruck Inn d Vÿhe gaß. geg. d. herrberg Zum Ochßen einseit neben Jacob Cuntz dem ohlmann, Ans. seit d. Geörg Zimmer den Weÿßbeck. hind. vff ermelt. Georg Zimmer stoßend, dauon gnd. ij lb x d gld Abloß. mit L lb Hn Andreß Dieffenbech. Mehr x lb x ß d gld loßig mit ij C x lb ermelt Jacob Cuntz, So dann iiij gl gld loßig mit j C gl werung Ins platt. hauß

Ursule Seckler loue le même jour la maison au même Georges Kesselmeyer

1621 (ut spâ [xx. Novembris]), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 639
(Inchoat. in Prot. fol. 465.) Erschienen Georg Kesselmeÿer d. Sattler burg. Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In in gegensein Ursulæ Secklerin wÿland Jörg Reitschuch des Roß Vnd. Kheüffers selig witwe, mit bstnd vt spâ [Jacob Geÿsell burgers Zu Straßburg Ihres geschwornenn vogts vnd hannß Georg Fressell passamentmachers Alhier Ihres Sohns] offentlich verÿehen
das er Ime von ermelt. Ursula Secklerin Sechs Jahr lang nacheinand. volgend so vff Mariæ verkhndung Jetznechstkfftg Aller erst soll vnd nit fürbaß desselb. Ursulæ Seckinn hauß vnd hoffestatt Alhie Inn d. St. St. d Vÿhe gaß. geg. d. herrberg Zum Ochßen vber Entlehnn hette für vnd umb ein Jahrlich Zinß xvj lb x ß

Ursule Seckler veuve de Georges Reitschuh vend au cordier Jean Lautenschlager la moitié de la maison, à savoir des parties à chaque niveau. La vente est résolue l’année suivante parce qu’André Dieffenbecher a un droit de préemption sur la maison

1622 (s.d. [1/2 Nov.]), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 132
Kauffverschreybung Hans Lautenschlagers des Seÿlers
Erschienen Jacob Greÿsel burg. alhie als vogt Ursula Secklerin weÿland Georg Reutschuh Roß vnd.keufflers seligen hind.lassener wittwen mit beÿstand Hanß Georg Fressels Ihres eheleiblichen Sohns
hatt in gegensein Hans Lautenschlagers Seÿlers vnd Burg.s alhie
bekant das er demselben einen halben theyl ane einer Behausung für ohngetheilt daran d. vberige halbe theyl Ir d. verkeufferen Zugehörig, benantlich ane der obern Binen* den halben theyl gegen Georg Zimmern den Becken vff den andn. boden ein Cammer hinden auch geg. Georg Zimmern auff den dridten boden die Stuben vnd Zwo Kammern, sampt der Kuchen, soll der verkeufferin pleyben, auff den vierden boden dem keuffer ein Stuben 2 Kammer* vnd ein Kuchen vnd vnden ein Gaden, vnd den halben Keller geg. Jacob Cuntz dem ohlman wie d.halb vnd.scheyden,vnd gend. von d. gantz. behausung erstlich Zwanzig gulden wehrung auff Mariæ Verkündung Saræ Jacob Cuntzen wid* In hauptgut mit 400 gl, Item vier gl w auff Georgen den Blatterhauß In hauptgut mit 100 guld. Item zweÿ pfund 10 schilling auff ostern Andres dieffenbech. In hauptgut mit 50 lb vnd 2 lb 10 auff Joh. Bapt: Georg Kesselmeyer den Sattlern für den halb. theil, sonst eÿg. vnd were diser Kauff Zugang. vnd bescheh. für freÿ ledig eÿg. für vnd vmb 850* lb
[in margine :] diser Kauff Ist durch die Parteyen wid. cassirt weyl Andres Tieffenbachs haußfr. ein vorkauff darauf hatt auff d. gantz. behaußung, Act. 28. Julÿ 623.
(vide Nachtrag in Imbreviaturis Cancellariæ de A° 1597. fol. 30.)

Jean Lautenschlager passe un accord avec Ursule Seckler sur les sommes qu’il lui a payées pour la vente résolue. Il a le droit d’habiter la moitié de la maison moyennant les intérêts de la somme payée jusqu’à ce que le procès soit terminé. L’acte est résilié par la vente passée en 1626.

1623 (23 Julÿ), Chancellerie, vol. 451 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 161-v
Vertrag Zwischen Hanß Lautenschlag. vnd Ursula Secklerin Georg Reytschohs wittwen
Erschienen Jacob Greysel Burg. alhie als vogt Ursulæ Secklerin weÿl. Georg Reyttschuh selig hind.laßene Frawen mit beÿstand Hans Georg Fressels Ires eheleiblichen Sohns an einem
Vnd dann Hanß Lauttenschlagern der Seyler vnd Burg. alhie am andern theyl
haben in gegenwertigkeyt des hochgelehrten H Andreæ Schollen der Rechten Doctors vnd procurators des Kleinen Raths vnd Hanß Guntzers Burgs. alhie bekant und Zu erkennen geben haben
Nach dem ernanter Hans Lautenschlag. vor dießem von obermelter Wittwen auff der halben theÿl Ihrer Behausung In viegaßen 400 pfund pfenning wegen* eines Kauffs so mit Ir des halben hofes halben getroffen erlegt, solcher Kauff aber weg. d. Ansprach so Andres Tieffenbechers 400 gulden dafur* Ime der gantzen behausung verpfandet cassirt vnd sie also vor dem Kleinen Rhat In Rechtfertigung geratten also er seines außgelegten gelts nit genugsam gesichert* sein vermeint*, des wegen sich geg. Ime dem vogt vnd sohn beschwerdt, hetten sie sich durch Jetzernand beder herren beÿstand mit einand. dahin Verglich.
das er Lautenschlag. fürhin wie bißh. dem halben theyl des hauses vmb dem verglichenen Jährlich. Zinß biß* Zu end angeregter Rechtfertigung bewohnen vnd der ermelter wittib der sach wid. Tieffenbach erhelt derselb. bey h* getroffenen Kauff verpleyben vnd geruerd 400 lb auff der gantzen behausung versetzt* pleyben d. er aber die sach verlieren werde er Lautenschlag. Zweÿ Jar In der behausung seine wohnung vmb den Zinß haben vnd Ime nach außgang der Zweÿen Jaren Ime seine außgelegt 400 lb Zuerstatten schuldig
[in margine :] Cassirt wegen deß Kauffs so der Lautenschlager getroffen wie in der contractstuben in aô 1626. v.schrib.

Le passementier Jean Georges Fressel hypothèque la moitié de la maison au profit de Jean Lautenschlager

1625 (ut spâ. [xxix. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 114-v
(Inchoat. in Prot. fol. 151.) Erschienen hannß Jörg Freßell baßement mach. burger Zu Straßburg
in gegenwärtigkeit hannß Lautenschlagers des Seÿlers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe Lb lb
Zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt denn halbentheil sein Ane einer behaußung mit Allen seinen gerechtigkeit. geleg. inn der Stat St: Inn der Vieh gaßen, einseit nebent Jörg Zimer dem weÿßbecken, anderseit Andresen Cuntzen Witwen hinden Vff Jörg Zimer stoßendt, davon gend iiij fl. geldt lößig mit 100 guldin werung dem Blatterhauß, Mehr 3 ß 4 d bod. Zinß Sunst eÿgen

Jean Georges Fressel vend la maison au cordier Jean Lautenschlager

1626 (25. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 385
(P. fol. 175.) Erschienen hannß Geörg Freßel der Paßmentirer burger Zu Straßburg mit beÿstand H. Menradt Waldecken kleinen Raths verwanthen
hatt in gegensein hannß Lautenschlagers deß Seÿlers auch burgers alhie (verkaufft) mit beÿstand H Paul Rosenbrechers Notÿ auch Eines Ers. Kleinen Raths Beÿsitzers ihme festiglich kaufft hat
Ein behausung samt deren hofstat vnd allen andern Zugehörd. alhie in der Viehgaß neben Georg Zimmern dem weißbecken 1. v. 2 seit neben Andreß Kuntzen deß ohlmans s. wittib vnd erb. hind. vff vorgenten Zimmern stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß vff Georgÿ 4. fl. wer. dem Blaterhauß alhie in Capital mit 100. gld. besagt. wer., So dann 3 ß 4 d Jahrß vff Martini Bod. Zinß Jrn. Oberkürcher sonst eÿg. Vnd ist der Kauff vber die beschwd. so der Käuffer vff sich genomen Zugang. per 547 Pfund

Originaire d’Aurach, Jean Lautenschlager épouse en 1613 Apollonie Roth, fille du tailleur de pierres Georges Roth.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 100 n° 17)
1613. den 19. Julÿ seindt ehelich eingesegnet worden Hanns Lauttenschlager von Aurach der Seÿler, Weÿland Hanns Lautenschlagers des Seÿlers vnndt Burgers seligen daselbst nachgelaßener Sohn, vnndt Jungfraw Appollonia Rothin, Weÿland Jörg Rohten des Steinmetzen Vnndt Burgers seligen ahie nachgelaßene dochter (i 109)

Jean Lautenschlager devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1613, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 965
Hanß Lauttenschlag. der Seÿler Von Auwrach Empfahet d. Burg.recht Von Apolonia weÿlandt Jörg Roth. deß Steinmetz. selig. dochter Vnd wüll Zu Mörin dienen Actum den 3 Augusti Ao 1613

Jean Lautenschlager loue une partie de la maison au tailleur Wolffgang Drexel

1630 (ut spâ [30. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 265-v
Erschienen Wolffgang Drexel der Schneider Burger Zu Straßburg
hatt in gegensein hans Lautenschlagers deß Seÿlers auch burgers Alhier
daß er vom demselben Entlehnet und bestanden, wie dann er Lautenschlager Ihme drexels vf ein Jahr lang von Michaelis nechstkünfftig anzurechnen verliehen hat, In seiner Behaußung alhie gegen dem Gasthauß Zum Ochsen über, neben Georg Zimmern dem Weißbecken ein und 2. seit neben Jacob Kuntzen dem Ohlmann, hind. vf Thoman Deüblern stoßend gelegen, die obere stub. 2. Cammeren, j. Küchen sambt dem Gad. vnd halben Keller, für vnd vmb ein Jährlichen Zinß Nemblichen 20. lb
[in margine :] Erschienen beede Parten, Zeigten An, daß sie dise Lehnung gutwillig gegen einander vffgehebt und abgethan, dahero auch solche zu cassiren befohlen. Act. den 28. Martÿ 1631.

Jean Lautenschlager et David Beuter passent un accord qui confirme les clauses du contrat passé en 1597. Les poutres et les corbeaux posés dans le pignon se sont pas une tolérance mais une servitude perpétuelle. David Beuter a le droit de conserver les ouvertures déjà pratiquées ou à pratiquer dans le pignon, il se charge en outre de régler les deux tiers des frais pour vidanger la fosse d’aisance.

1653 (25. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 44-v
Erschienen hannß Lautenschlager der Saÿler mit beÿstand Ulrich Kammerers deß Seÿlers seines dochtermanns, an einem,
So dann David Beuter der Saÿler und ohlmann am andern theil,
Nach dem Zwischen weÿl. Andreß Kuontzen deß ohlmanns seel: wittibin und Erben Vögten alß Verkäuffern an einem, So dann Georg Raitschuchern dem Grempen und Ursula seiner ehelich. haußfrawen alß Käuffern am andern theil, in der am 16. martÿ a° 1597. in der Cancelleÿ vffgerichteter Kauff Verschreibung außtruckhlich bedingt word. ist, daß, wiewohl. der Gäbel so zwischen der damahlig. Verkäuffer /:ietzt David Beuters:/ Behaußung, und der damahlig Käuffer /:ietzt hannß Lautenschlagers:/ Behaußung stehet, allen den Verkäuffern gehört, dannoch den Käuffern vergönnet sein solle, in solch. Gäbel eines halben Steins dickh ein Zu brech., und Köpffer od. Tröhm darinn Zu leg., und daß fürs Eine, Zum andern, Weilen ein Trächter auß der Verkäuffern Behaußung in ihr der Käuffer Behaußung und deroselben Cloac gerichtet ist, daß Sie die Käuffer solch. Zu duld. schuldig sein, wann es die Nothurfft erfordert, daß Cloac durch ihre der Käuffer Behaußung außgeführt werd. solle, und daß in gemeineren Cost.
Als hetten Sie sich mit einand. dahien gütlich. verglich. daß es beÿ diß. den benachbahrten häußern respectivé erworbenen Gerechtigkeiten und auffgebürdeten dienstbarkeit. allerdingß und Zwar mit nachgeschriebener Erläuterung und Erweiterung verbleiben solle,
Nemblich und Zum Erst., daß obschon so viel die Einlegung der Tröhm und Köpffer betrifft, in der obangezogenen Kauffverschreibung daß wort vergönnt gebraucht word. ist, daßelbe iedoch nicht für eine nachbarliche Vergönnung, sondern für eine ewige befugte Gerechtigkeit des Lautenschlagerisch. haußes und immer schuldige Dienstbarkeit deß Beuterisch. haußes, beÿdes soviel die ienige Köpffer und Tröhm so albereit in den Beüterisch. Gäbel eingelegt word. seind, alß auch die ienige so noch darein gelegt werd. möchten, anlangt, verstand. und gehalten werd. solle, dergestalten es auch bißhero nicht anderst verstand. word. ist, Andern, weilen David Beuter in seinem vorerwehnt. eigenen Gäbel, an der heimligkeit Zweÿ taglöcher, in der obern Kammern Zweÿ Fenster neben einander, und underhalb im hauß Ehren ein fenster hatt, so soll solche treÿ Fenster, Wie auch die ienige so Beuter od. seine Nackhommen ins künfftig über kurtz od. lang noch ferners in solch. Gäbel durchbrech. werd., inmaß. ihren dann daßelbe in alle weg bevor und freÿ stehet, mit eisen vergittert, und vff sein Lautenschlagers od. seiner Nachkommen Begehren entwed. vergrämbst od. verglaßt werd., welcherleÿ Sie erfordern möchten, und also die wahl vff Lautenschlagerisch. seit. stehen, auch deren, wie auch der vorbemeldt. taglöcher keines, durch hannß Lautenschlagern od. seine Nachkommende hauß Besitzer nimmer mehr verbauen werd.
Trittens so soll den Trächter auß dem Beutelischen hauß, daß Lautenschlagerische hauß in sein Cloac für und für Zu duld. Auch die ieweilige Besitzer daß cloac auß dißer Lautenschlagerischen Behaußung außführen Zu laß., hiengeg. aber ahne dem Costen mehr nicht alß einen tritten theil Zu leiden, Und die iedesmahlige Besitzer der Beuterisch. Behaußung die übrige Zwo tertz. beÿzutragen, So offt aber am Gewölb deß Cloacs und deß lufft Rohr:/ so auß dem Cloac Zwisch. beÿden häußern in die höhe geführt:/ etwaß Zu bawen sein wirt, Ahne solchen Costen iedes Hauß die helffte Zu erstatten schuldig sein, und deßelbe für und für also gehalten werd. solle, es vermehre sich gleich deß einen Nachbahrn haußweß., und verringere sich deß andern Nachbarn haußhaltung.
Endlich und fürs Vierte, so soll Jeder Nachbahr seinen Sitz und Trächter Zum Cloac, wie auch deß Tächlin darüber, in seinem eigenen Costen Zu erhalten, So dann hannß Lautenschlag. und seine Nachkommen, daß waßer von den Tächlin Zu empfang., und entwed. wie bißhero auß zutrag. oder aber durch einen Nach auff die Gaß Zu laÿsten verbunden, auch in dißem letztern fall den Beuterisch. Gäbel der nothdurfft nach, darzu zu gebrauchen befugt sein, Inmaß. dann beÿde Parten für sich und alle ihre Nachkommen dißes aller mit dem darüber gelaÿstetet. mund: und hand Verspruch becräfftiget haben

La maison revient au cordier Ulric Kammerer qui épouse la fille de Jean Lautenschlager. Le mariage ne figure pas dans les registres de Strasbourg. Le cordier Ulric Kammerer fait baptiser à partir de 1640 des enfants de sa femme Marie. Il est le frère de Michel Kammerer, donc le fils du cordier Ulric Kammerer
Baptême, Sainte-Aurélie (luth. p. 347, n° 9)
1640. Dominica Invocavit 23. Febr. Hans Ulrich Kammerer d. seÿler, M. Maria, F. Susanna (i 177)
Baptême, Sainte-Aurélie (luth. p. 357, n° 25) 1641. Sonnt. 25. Aprilis. Hans Ulrich Kammerer d. seÿler, M. Maria, F. Hans Ulrich (i 182)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 123, n° 3)
1648. Michel Kammerer d. seyler, Ulrich Kammerers s. sohn, J. Maria Hanß Baumeisters s. Tochter, 24. Jan. zu St. Aurelien, Mont. (i 64)
1650 (18. febr:), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 197
hatt in gegensein Michael Kammerers deß Saÿlers und Mariæ Bawmaÿsterin beÿder Eheleuth mit beÿstand hannß Georg Stängers deß huffschmidts ihres Stieff Vatters und hannß Ulrich Kammerers deß Saÿlers ihres resp. Bruders und Schwagers

Ulric Kammerer agissant au nom de son beau-père Jean Lautenschlager loue une partie de la maison au marchand épicier Jean Træher

1664 (29. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 543-v
Erschienen hannß Ulrich Kammerer der Saÿler, alß, seiner Anzeig nach, mündlich Befelchhaber hannß Lautenschlagers deß Saÿlers seines Schwähers
in gegensein Johann Trähers deß Specereÿ händlers
verlüh. haben, in seiner alhie in der groß. Viehegaß. geg. der herberg. Zum Ochßen hienüber gelegenen Behaußung, den Gaden, sampt treÿ vierden theilen vom Keller, Inmaß. der Entlehner den Vnderschlaag in seinem Costen mach. sollen vff Vier Jahr lang von nechst künfftig. weÿhenachten angerechnet, um einen jährlich. Zinß benantlich. Acht Pfund pfenning
Dabeÿ insonderheit bedingt worden ist, daß
Erstlich, weilen der entlehner den entlehnen Gaden, in seinem Costen Zum Specereÿladen Zu accomodiren gewillt ist, der solle nach geendeter lehnung, daß Jenige, so Er darinn und dem Keller hatt mach. laß. wid. hienweg nehmen möge.

Anne Marie Lautenschlager vend aux enfants de Jean Ulric Kammerer le neuvième qui lui revient de la maison dont les autres portions appartiennent déjà aux acquéreurs.

1665 (15. April), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 192
(Prot. fol. 13.) Erschienen Anna Maria Lautenschlagerin, mit assistentz hannß Jacob Trähers des Saÿlers ihres Vogts, und hannß Henrichs deß Schreiners ihres Stieff Groß Vatters
in gegensein Veltin Diemars deß Saÿlers alß vogts hannß Ulrich Kammerers deß Saÿlers eheleiblich. Kind. mit beÿstand sein deß Vatters
einen neunten theil ihro Annæ Mariæ für ohngetheilt gebührend ahne einer Behaußung und allen deren Gebäwen Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der groß. Viehgaß. beÿ der herberg zum Ochß. einseit neben H Hannß Hammen dem Weißbeckh. anderseit neben David Beuthen dem ohlmann, hinden uff ermelten Hammen stoßend geleg. ahne Welch. Behaußung die übrige 8/9.t theil denen Kauffend. Kindern vorhien eigenthümlich gehörig seÿen, Vnd gehen von der gantz. Behaußung iährlich. termino Georgÿ 4 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl gedachter wehr. dem Blaterhauß alhie, Item 3 ß 4 d iährlich. termino Martini den Edlen von Oberkirch – umb 50 lib

Susanne Kammerer, femme du cordier Georges Bertsch, et Jean Michel Kammerer vendent deux 8° de la maison à leur frère Jean Ulric Kammerer

1671 (16. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 753-v
(Prot. fol. 40.) Erschienen Susanna Kammererin, gewesen Georg Bertschen des Saÿlers Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, und hannß Michael Kammerer der Saÿler beede Geschwisterdte
in gegensein hannß Ulrich Kammerers deß Saÿlers ihres eheleiblichen bruders und Barbaræ deßen eheweibs
Zween Achte theil Ihnen für ohnvertheilt gebührend ahne Hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit alhier an der Viehegaßen, einseit neben herrn hannß Hammen E.E. Großen Rhats beÿsitzern, anderseit neben David Beuther dem Ohlmann, hinden uff ermelten H. Hammen stoßend gelegen, davon gehend iährlichen uff Martini 3. ß 4. d bodenzinß Jr. Niclaus Von Oberkirch, so seÿe solche gantze behaußung auch noch umb 100. fl. straßburger wehrung dem Blatterhaus Verhafftet (Zu Zween Achten theil übernohmen) – umb 75 pfund

Jean Ulric Kammerer épouse en 1667 Barbe, fille du fabricant de chausses Barthelémy Hack : contrat de mariage joint à l’inventaire de 1714, célébration
(Contrat de mariage sur parchemin) zwischen dem Ehrengeachten Meister Hanß Ulrich Cammerern dem Jüngern Seÿlern deß Ehrenhafften Meister Hans Ulrich Cammerers auch Seÿlers und Burgers alhier Zu Straßburg eheleiblichem Sohn alß dem Bräutigamb an einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Barbara Hackin Weÿl. deß Ehrenhafften Bartholomäi Hacken gewesenen Hosenstrickers und Burgers Zu gedachtem Straßburg seeligen nachgelaßenen Tochter alß der Jungfrau hochzeiterin am andern theil (…) Zum dritten hat Frau Anna Maria Dornin der Jungfrau Hochzeiterin vielgeliebte Mutter Ihrer Tochter Zu einer Ehesteur (…) So beschehen und Zugangen in deß heiligen Reichß Freÿen Statt Straßburg Mittwochs deb 24. Monatstag Aprilis Anno 1667. Johann Georg Rdtslob, Notarius publicus.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 89 n° 25)
1667. n° 25. Domin: Rogationum. Zum 2. mahl Hanß Ulrich Cammerer, der Jüngere Seiler Bürger Hanß Ulrich Kamerer auch Seilers undt Burgers alhier ehel: Sohn, Jfr. Barbara Bartholomæi Hockin hosenstrickers ehel: Tochter. Donnerstags der 23.ten Maji Münster (i 91)

Jean Ulric Kammerer et sa femme Barbe hypothèquent deux 8° de la maison au profit de Salomé, veuve du cordier Jean Charles Schrag pour en régler le prix d’achat.

1671 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 759-v
Erschienen hannß Ulrich Kammerer der Saÿler und Barbara deßen Eheweib und Zwar Sie Barbara mit beÿstand hannß Daniel Froschhammers deß Meßerschmidts und Ulrich Haasen deß Kieffers beeder ihrer Schwäger alß deroselben hiezu insonderheit erbettener nechster Verwanther
in gegensein Salomeen, weÿl. hanns Niclaus Weÿsen des Saÿlers nunmehr seel. nachgelaßene wittibin mit beÿstand hannß Carl Schragen des Saylers ihres Vogts – schuldig seÿen 50. Pfund pfenning, daß Sie damit Zwen Achte theil ahne nach beschriebene behaußung erkauffen und Völlig bezahlen Können
Unterpfand sein solle, Zween Achte theil den Schuldbekennenden Eheleuthen für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt und allen deren Gebäwen, begriffen, Rechten und Zugehördt. alhier an der Viehegaßen, einseit neben H. hannß Hammen E.E. Großen Rhats beÿsitzern, anderseit neben Davidt Beuthern dem Ohlmann, hinden uff ermelt. Herrn Hammen stoßend geleg., davon gehend iährlichen uff Martini 3. ß 4. d bodenzinß Jr. Niclaus Von Oberkirch, so seÿe die gantze behaußung auch noch umb 100. fl. straßb. wehr. dem Blatterhaus Verhafftet

Marie Kammerer femme du blanchisseur Jean Koch et Balthasar Kammerer vendent deux 8° de la maison à leur frère Jean Ulric Kammerer

1676 (25. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 373
Maria Kammererin, hannß Kochen deß Plaichers Eheweib, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts und Balthasar Kammerer der Saÿler
in gegensein Hannß Ulrich Kammerers deß Saÿlers ihres eheleiblich. bruders
Zwen achte theil, denen Verkäufferen für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoffstatt und allen deren Gebäwen und Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie ahn der Viehe Gaß, einseit neben Lorentz Hammen dem Weißbeckhen, anderseit neben David Beuther dem Ohlmann, hinden uff gedachten Hammerer stoßend gelegen, davon gehend iährlichen uff Martini 3 ß bodenzinß Jr Niclaus Von Oberkirch, so seÿe solche gantze behaußung auch noch umb 100. fl. Straßburg. wehrung dem blatterhauß Verhafftet – umb 75. lb

Jean Ulric Kammerer hypothèque cinq 8° indivis de la maison au profit du sellier Georges Brosamlé.

1676 (25. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 374-v
Hannß Ulrich Kammerer der Saÿler
in gegensein Georg Brosamle deß Sattlers – schuldig seÿe 75. lb
unterpfand, fünff achte theil, dem Schuldnern für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoffstatt und allen deren Gebäwen und Zugehördten alhie in der Viehe Gaß, einseit neben David Beuther dem Ohlmann, anderseit neben Lorentz Hammen dem Weißbeckhen, hinden auff denselben stoßend gelegen, von welcher gantzen Behaußung gehend iährlichen 3 ß bodenzinß Jr Niclaus Von Oberkirch, so seÿe solche gantze behaußung auch noch umb 100. fl. Straßburg. wehrung dem blatterhauß Verhafftet

Ursule Kammerer femme du vitrier Laurent Fügner vend sa part de maison à son frère Jean Ulric Kammerer

1677 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 321
Ursula Kammererin, mit beÿstand Lorentz Fügners deß Glasers ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Ulrich Kammerers deß Saÿlers ihres Eheleiblichen bruders
der Verkäufferin für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt und allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhie in der Viehe Gaß einseit neben Lorentz Hammen dem Weißbeckh anderseit neben David Beuter dem Ohlmann, hinden uff gedachten Hammen stoßend gelegen, davon gehend iährlichen term. Martini 3. ß bodenzinß Jr Niclaus Von Oberkirch, so seÿe solche gantze behaußung auch noch umb 100. fl. straßb. wehrung dem blatterhauß Verhafftet – umb 37. lb

Jean Ulric Kammerer hypothèque six 8° de la maison au profit de Georges Brosamlé.

1677 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 328-v
Johann Ulrich Kammerer der Seÿler
in gegensein Georg Brösamle des Sattlers – schuldig seÿe 50. lb
unterpfand, Sieben Achte theÿl dem Schuldnern für ohnvertheilt gebührend ahne hauß undt hoffstatt und allen deren gebäwen undt Zugehördten alhie in der Viehgaßen, einseit neben David Beüther dem Ohlmann, anderseit neben Lorentz Hammen dem Weißbeckhen, hinden auch uff denselben stoßend gelegen, Von welcher gantzen behaußung gehendt Jährlichen 3. ß 4. d Jckhr Niclaus Von Oberkirch

Jean Georges Kammerer vend un 8° de la maison à son frère Jean Ulric Kammerer

1682 (2. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 343-v
Hannß Georg Kammerer der Sailer
in gegensein Hannß Ulrich Kammerers deß Saÿlers seines eheleiblichen bruders
Einen Achten theil dem Verkäufern für Ohnvertheilt gebührend, ahne hauß hoffstatt und allen deen gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten undt gerechtigkeiten, alhier in der viehe Gaßen, einseit neben Lorentz Hammen dem Weißbeckhen, anderseit neben weÿl. Davidt Beuters deß Ohlmanns nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und Erben, hinden uff gedachten Hammen stoßend gelegen, davon gehendt jährliche, term. Martini 3. ß bodenzinß Jr. Niclaus Von Oberkirch, so seÿe solche gantze behaußung auch noch umb 100 fl. Straßburger wehrung dem blatterhauß Verhafftet – umb 37 lb.

Jean Ulric Kammerer est élu échevin à la tribu de la Mauresse
1697 Conseillers et XXI (1 R 180)
Herr Joh: Ulrich Kammerer würd Schöff Zur Möhrin. 243.

Jean Ulric Kammerer hypothèque la maison au profit du boulanger Laurent Hamm

1709 (19.11.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 645
hr Joh: Ulrich Kammerer seÿler
in gegensein H. Lorentz Hamm weißb: – schuldig 150 lb
unterpfand, sein hauß c. appert: allhier in der viehgass, einseit neben Georg Kuhn anderseit neben Georg Jacob Duppert handelsmann gelegen, darvon gibt mann jährlich 2 lb 2 ß zinß dem blatter hauß, Item 3 ß 4 d bodenzinß

Jean Ulric Kammerer meurt en 1713 en délaissant trois fils. Les biens dont la veuve a la jouissance viagère sont décrits en une seule masse. Les experts estiment la maison à la somme de 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 998 livres, le passif à 7 livres.

1714 (20.3.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 100) f° 907
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. der Wohl Ehrenvest, Vorgeacht und Weiße, Herr Johann Ulrich Cammerer d. ältere, geweßener Vornehmer Seÿler und E: E: Kleinen Raths alten wohlverdienter beÿsitzer, auch burger allhier zu Straßburg nunmehr seel., nach seinem Montags den 27.ten Novembris des Zurückgelegten 1713.t jahrs aus dießer welth genommenen tödlich. hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren d. Ehren: und vorgeachten Hn Johann Ulrich Cammerers des jüngern und Hn Johann Jacob Cammerers, beed. Seÿlere, so dann Hn Lorentz Cammerers des ledig. Sattlers, aller dreÿ burgere allhier Zu Straßburg, als des abgeleibten Hn Cammerer seel. mit d. Viel Ehren und Tugendreichen frauwen Barbara Cammerer geb. Hackin, seiner hinderbliebenen Frau Wittib ehl. erziehlter Söhne u. ab intestato verlaßener Erben inventirt, dh. Sie die hind.bliebene Fr. Wittib mit beÿstand des wohl Ehrenvest, vorgeachten u.weißen H Johann Niclaus Mannbergers deß ältern vornehmen Meßerschmidts u. E. E. Kleinen Raths jetzig. Beÿsitzers d° geordneten Herrn Vogts, wie auch Sie die Erb. selbst. ingleichem Jgfr. Margarethen Schneiderin d. Dienstmagd von hier gebürtig (…) So beschehen in Straßburg den 20.t Martÿ Anno 1714.
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Es ist Zu wißen als mann Zu d. inventation des seel. Hn Cammerers verlaßenschafft geschritten auch die Eheberedung gebührend abgelesen, daß darauff, bevorab d. abgelebte Herr seel. mit u. beneben seiner hind.bliebenen Fr. Wittib vor mir Not° ein Codicill auffricht. wollen auch selbiges mir Not. würcklich angegeb. wld* Er H. Cammerer plötzlichen überfallene Kranckheit selbiger in beÿsein einiger Herren Gezeugen in* stand Zusetz. verhind.t worden u. crafft deßelben Sie die hind.blibene Fr. Wittib die gantze v.laßeschafft Zeit lebens, mit vorbehalt. d. Söhne Legitimæ wÿdembs weiß Zu genieß. berechtiget, auch die gantze Verlt. vor theilbahr gehalt. und daran d. Fr. Wittib ein dritter theil undt des Hn seel. Erb. Zwen dritte theil eig.thumblich gebührig sein sollen (…)

In einer in der Statt Straßburg ane der Viehegaß liegenden und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In d. Cammer A, In d. obern Stub, In d.selben Stub Cammer, In d. Cammer B, In d. Wohnstub
Eigenthumb ane einer behausung. Eine Behausung hoffstatt sambt allen d.en begriffen weith. recht. Zugehörd. und gerechtigkeit. geleg. allh. in Straßb. in d. Viehegaß einseit neb. H. Hannß Georg Kuhnen dem Weißbecken and.seit neb. Hn Johann Jacob Duppert dem Meelhändlern hind. auf vorgedacht. Hn Kuhnen den weißbecken stoß. davon Jährl. auf Martini 3 ß 4 d denen Edlen von Oberkirch Zu bod. Zinnß Zu reich. sonst freÿ ledig. eig. und diße beschwerde dh. H. Jacob Staudackern Werckmeist. des Maurhoffs vermög Abschatzungs Zeduls vom 18.t Xbris 1713. angeschlagen pro 743. lb. Darüber vorhand. ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Stadt Straßb anhangendem Cancelleÿ Conctract Insiegell verwahret datirt d. 15. Aprilis Anno 1665, Mehr ein teutsch. pergamenten Kauffbrieff mit vorgemeltem Cancelleÿ Conctract Ins. bekräfftiget deß. datum der 16.te Novembris Anno 1671. Weiter j. teutsch. perg. Kffbrieff mit mehrermeltem Cancelleÿ Contract Ins. corroborirt de dato 25. Martÿ Anno 1676. Ferner ein teutsch. perg. Kffbrieff mit dickermeltem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget dat. den 9.t Aprilis Anno 1677. Item ein teutsch. perg. Kffbrieff mit vielbemeltem Cancelleÿ Contract Ins. bekräfftiget deß. datum d. 2.ten Novembris Anno 1682. Dabeÿ ferner j. alt teutscher pergamentener Zinßbrieff daran d. Statt Straßb. Raths Insiegel gehang. ab. abgerissen befindlich, datirt d. 15. Aprilis Anno 1532. üb. 4. fl. geldts Straßb.wehrung besagd. mit altem N° 139. signirt, Mehr j. alt teutsch perg. Zßbrieff auff hiebevor mit allhießig. Statt Kleineren Ins. bekräfftiget welches abgeschnitten u. dabeÿ à parte lig. befindlich, üb. 2. fl. geldts ane 4. fl. geldts so dem blatterhauß allh. v.kaufft word. besag. deß. datum den 11.te Februarÿ Anno 1545. auch mit altem N° 139. notirt. Und dann ein teutsch. pergamentener Zinnßbrieff über 25. fl. geldts Straßb. wehrung Jährl. Zinnßes auf besagt. behaußung stehd. so mit 200 fl. abzulößen waren, meldend dh. Hn Heinrich Meÿern Contractuum Notm. instrumentirt mit allh. Statt Contract Ins. v.wahret mit altem N° 1 alles aber mit Jetzigem N° 3 signirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 118, Sa. Werckzeugs Zum Seÿler handwerck gehörig 22, Sa. Seÿler wahr 115, Sa. wein und lähren Vaßen 33, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 12, Sa. Goldener Ring 10, Sa. baarschafft 482, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 743, Sa. Schulden 9, Summa summarum 1998 lb – Schulden 7, Nach deren Abzug 1991 lb
(Contrat de mariage sur parchemin) (…) Johann Georg Redtslob, Notarius publicus.
Abschatzung den 18. Decembris 1713. Weÿlandt deß Ehren hafften und bescheidenen Herrn Hannß Ulrich Kammerer Seÿler seel. hinderlaßene Fraw Wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Vieh gaßen Gelegen, einseith neben herrn hannß Georg Gantzen dem Weißbeckh, Anderseith neben herrn hannß Jacob Dubert dem Meelmann, hinden auff Vorgedachten herrn Gantzen stoßendt, Welche behaußung Zweÿ laden, gebälckter Keller sambt aller Ihrer recht. undt Gerechtigkeit sich in der besichtigung befunden und durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhleuthe Jetzigem Preiß nach angeschlagen Wird Vor und umb Eintausendt und Fünff hundert Gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg Geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hofs.

Barbe Hack meurt en juin 1717. Les experts estiment la maison à la somme de 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 881 livres

1717 (16.6.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 111) f° 1000
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so Weÿland die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Barbara Cammererin gebohrene Hackin auch Weÿl. des Wohl Ehrenvest Vorgeacht und Weisen Herrn Johann Ulrich Cammerers des ältern geweßenen Seÿlers undt E: E: kleinen Raths allhier zu Straßburg alten wohlverdienten beÿsitzers seel. hinterbliebener Frau Wittib nunmehr ebenmäßig seelige, nachdeme dieselbe den 8.ten dießes Monats das Zeitliche mit dem ewigen verwechßelt, hinder sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Ulrich Cammerers des jüngern und Herrn Johann Jacob Cammerers, beeder Seÿler, so dann Herrn Lorentz Cammerers des ledigen Sattlers, aller dreÿ Burgere allhier Zu Straßburg, als der abgeleibten Frauen seeligen mit vor ehrenbedeutetem dero herrn Eheliebsten seeligen ehelich erziehlter Söhne und ab intestato verlaßener Erben inventirt, durch den wohl Ehrenvest, Vorgeachten und Weißen Herrn Niclaus Mannbergern den ältern Meßerschmidt und E. E. Kleinen Raths alten Beÿsitzern als der Frauen seeligen geweßenen Herrn Vogt, nicht weniger Sie die Erben wie auch dero Eheweiber selbsten ingleichem Barbaram Goßerin von Speÿr gebürtig die Dienstmagd (…) So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 16.ten Junÿ Anno 1717.
Publicatio Codicilli

In einer in der Statt Straßburg ane der Viehegaß liegenden und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, Vor dießem Gemach, In der obern Stub, In der Wohn Stub Cammer, In der Cammer B, Vor dießem Gemach, In der Wohnstub, In der Kuchen
Eigenthumb ane einer behausung. Eine Behausung, hoffstatt sambt allen deren begriffen weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten geleg. allhier Zu Straßb. in der Viehegaß einseit neben Hn. Hannß Georg Kuhnen, dem Weißbecken anderseit neben Hn Joh. Jacob Duppert, dem Meelhändlern, hinden auf vorgedachten Herrn Kuhnen, den Weißbecken stoßend, davon Jährl. auf Martini 3 ß 4 d denen Edlen von Oberkirch Zu boden Zinnß Zu reichen, sonsten freÿ, ledig und eig. und über diße beschwerde durch (die) Werckleuth vermög abschatzungs Zeduls vom 17.t Junÿ dießes Jahrs angeschlag. pro 525. lb. Darüber besagt j. teutsch. perg. Kfbr. mit der Stadt Straßb anhang. Conctract Ins. verwahret dat. den 15. April A° 1665, Mehr ein teutsch. perg: Kaufbrieff mit Vorermeltem Canc: Conct: Ins. bekräfftiget deßen datum der 16.te 9.bris A° 1671. Weiter j. teutsch. perg. Kfbr. mit mehrermeltem C. C. Ins. corroborirt d.d. 25. Martÿ Anno 1676. Ferner j. teutsch. perg. Kaufbr. mit dickermeltem Canc. Contract Ins. bekr. dat. den 9. April A° 1677. Item j teutsch. perg. Kaufbr. mit vielbemeltem Canc. Contr. Ins. bekräfft. deßen datum d. 2.te 9.bris A° 1682. Dabeÿ ferner j. alter teutsch perg: Zinßbrieff daran d. St. Straßb. Raths Ins. gehang. aber abgerißen dat. den 15. April A° 1532. über 4. fl. geldts Straßb. wehrung besagd. mit altem N° 139. signirt, Mehr j. alter teutsch. pergam. Zßbr: hiebevor mit allhießig. Statt Kleineren Ins. bekräfft. so aber abgeschnitten und dabeÿ à parte liget, über 2. fl. geldts ane 4. fl. geldts so dem blatterhauß allhier verkaufft word. besag. deßen dat. d. 11.te Febr. Anno 1545. mit altem N° 139. notirt. Und dann i. teutsch. perg: Zßbrief über 25. fl. Geldts Straßb. wehrung Jährlich Zinnßes auf besagter behaußung stehend, so mit 200 fl. abzulößen waren, meldend durch Hn Heinrich Meÿ. Contractuum Notm. instrumentirt, mit allhießig. Statt Contr. Insiegel corroboriret dat. d. 27. febr: aô 1588 mit altem N° 1 bemerckt, sampt noch 3. alten pergamentinen brieffen, alle mit altem N° 3 bemerckt und dißmahlen ncah beschehener besichtigung wied. dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 147, Sa. Werckzeugs Zum Seÿler handwerck gehörig 20, Sa. Seÿlerwahr 3, Sa. Lährer Vaß 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 14, Sa. Goldener Ring 10, Sa. baarschafft 61, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1125, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 525, Sa. Schuld 3, Gantze Verlaßenschafft, Conclusio finalis Inventarÿ 1881 lb
Copia Codicilli. 1717 (…) auff Mittwoch den 21. Monatstag Aprilis in einer allhier Zu Straßburg ane der Schloßer und Dornesgaß gelegenen mit Zu diesem Actui insonderheit beruffenem notario eigenthümlich zuständigen Behausung dero undern vordern Scheibstuben mit den fenstern in ermelter Schloßergaß sehend (…) persönlich kommen und erschienen die Viel Ehren: und Tugendreiche Fraw Barbara Cammerein gebohrne Hackin, Weÿland des Wohl Ehrenvest, Vorgeachten und Weißen herrn Johann Ulrich Cammerers des ältern geweßenen vornehmen Seÿlers und E. E. Kleinen Raths allhier Zu Straßburg alten wohlverdienten Beÿsitzers auch burgers allhier seligen hinderbliebener Frau Wittib, Zwar Alters halben etwas blöden und baufälligen Leibs, jedoch aber durch die Gnade des Grundgütigen Gottes annoch gehend und stehend (…) Johann Reinhard Lang, Notarius
Abschatzung d. 17. Junÿ anô: 1717. Weÿlandt, der Ehr vnd Tugendtsamen Frau: Barbara Kammerein, Seillerin: Seel: hinder Lassenen Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, in der Viehgassen gelegen, Ein seith Neben, H: hannß Görg Kuhnen Weißbeckh, Ander seith Neben H: hannß Jacob Duppert Mellman, hinden Auff Vorgedachten: H: Kuhnen stossendt, Welche behaußung, hoffstatt, Zweÿ Lathen, Ein gebälckhter Keller sambt Aller Ihrer Recht. vndt Gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg Geschwohren werckhleüth sich in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigenn Preiß Nach, angeschlag. Wiert, Vor und Vmb: Ein Tausendt, Fünffzüg Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohren Werckhleüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters

La maison revient à Jean Jacques Kammerer suivant la donation que lui en fait son père lors de son contrat de mariage avec Susanne Rosset, fille du maréchal ferrant Jacques Rosset. La minute du contrat n’est pas conservée mais il est copié à l’inventaire après décès.

Copia der Eheberedung. entzwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Cammerer dem ledigen Seÿler, des Wohl Ehrenvest, Vorgeachten und Weißen Herrn Johann Ulrich Cammerers des älterin E: E: Kleien Rahts alten beÿsitzers wie auch vornehmen Seÿlers und burgers alljier ehelich erzeugtem Sohn, alß dem Bräutigamb ane einem, So dann der Tugendsamen Jungfr, Susannæ Rosettin des Ehren und Vorgeachten Herrn Jacob Rosetts des Huffschmidts und Burgers allhier ehelich erziehlter Jgfr. tochter alß der Jgfr. hochzeiterin am andern Theil
Drittens hat eingangs ehrenerwehner Herr Johann Ulrich Cammerern der älter, des Herrn Bräutigambs hertzgeliebter Vatter, Ihme Herrn Johann Jacob Cammerer deßen Sohn, eine Behauß. mit allen deren Begriffen, Weithen, Recht. Zugehörden und Gerechtigkeiten neb. Georg Kuhnen dem Weißbecken anderseit neben Herrn Duppert dem Mehlhändler Ehevögt: weiße, hint. auff vorgedachten Georg Kuhnen den Weißbecken stoßend, davon jährl. auf Martini denen Edlen von Oberkirch 3 schilling und vier pfenning zu Bodenzinß Zu reichen, auf ihr des Herrn Bräutigambs beder Eltern tödtl. hintritt dergestalten eigenthümbl. Zu überlaßen sich erklärt daß derselbe über besagten Bodenzinß in gemeiner Vätterl. Erbschafft 2000 Gulden (…) vor solche Behausung mit dero Zugehörden auf ihr deßen beeder Eltern seel. Absterben außzuthun schuldig auch dann Zur Zeit solche Behauß. allererst eigenthümbl. zu besitzen befugt (…)
als lang die behausung in dem jetzigen Baw begriffen, Herrn Lorentz Cammerern den Sattlern und burgern allhier des herrn hochzeiters Brudersn den jenigen Laden under solcher Behaußung, welchen Er anjetzo würkl. innhatt umb 12 gulden järl. Zinnßes Lehnungsweiße besitzen Zu laßen (…) Würde aber Herr Lorentz Cammerer solche behauß. von seinem Bruder Herrn Johann Ulrich Cammerern dem Jüngern oder deßen Kindern vorstehender maßen Käufflich. überlaßen werden (…) So beschehen in Straßburg in obgedacht Herrn Jacob Rosets der Jgfr. hochzeiterin herrn Vatters Wohn behauß. ane der Weißenthurnstraß gelegen auff Sonntag den 23. Monatstag Novembris im Jahr alß mann nach Christi unsers einigen Erlösers und Seeligmachers Gnadenreichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1710, Johann Reinhardt Lang

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 23)
Anno 1711. Eodem [d. 25. Febr:] sind Ehelich eingesegnet word. Johann Jacob Cammerer der ledige Seiler Hn Johann Ulrich Cammerers des ältern Burgers und Seilers auch E. E. Kleinen Raths Beÿsitzers Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Susanna H Jacob Rossets Burgers vndt Huffschmidts allhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Kammerer Alß hochzeiter, Susanna Rosetin als hochzeiterin (i 25)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Bouchers. Les apports du mari s’élèvent à 194 livres, ceux de la femme à 374 livres.
1711 (2.7.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 90) f° 821
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren: und Vorgeachte Meister Johann Jacob Cammerer, Seÿler und die Ehren und Tug.same Fraw Susanna Cammererin, geb. Rosettin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, welche d. ursachen, alldieweilen in ihr beeder Eheleuthe mit einander. auffgerichteten heuraths verschreibung expresse versehen, daß eines jeden Ehegemächt in die Ehe bringende Nahrung reservirt sein und bleib. solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein d. Ehren und Tug.samen Frauen Annæ Mariæ Rosettin geb. Raspin Hn Jacob Rosetts des hueffschmidts und burger. allhier haußfrau, d. Frauen eheleiblichen Mutter, auf Donnerstag d. 2.t Julÿ Anno 1711.
In einer in d. Statt Straßburg im Metzgergießen liegenden und in diße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befund. word. wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 56, Sa. Werckzeugs Zum Seÿler handwerck gehörig 7, Sa. Hanffs 100, Sa. Silber geschmeids 15, Summa summarum 179 lb – Wann nun solcher Summ beÿgefügt wird des Manns Ehesteur 15 lb anreffend, so belaufft sich deßelben gesambtes in den Ehestand gebrachtes Vermögen in allem auff 194 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 116, Sa. Wein und lähren Vaß 7, Sa. der baarschafft 200, Summa summarum 223 lb
Der Frauen übrige in die Ehe gebrachte Rubricen, Sa. haußraths 95 lb, Sa. Meels 3, Sa. Silbers 17, Sa. Goldener Ring 16, Sa. baarschafft 18, Summa summarum 151 lb – Der Frauen gantze in die Ehe gebrachte Nahrung 374 lb

Jean Jacques Kammerer et Susanne Rosset hypothèquent la maison au profit de Jean Rosset, aubergiste à l’Hommelet rouge

1717 (19.7.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 410
Joh: Jacob Kammerer Seÿler und Susanna geb. Rossetin beÿständlich Joh: Georg Varrenschon Caminfegers und Joh: Georg Kauffmann seÿlers
in gegensein Joh: Rosset würts zuem rothen männel – schuldig seÿen 700 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: in der viehgass, einseit neben Joh: Jacob Tuppert anderseit neben Johann Georg Kuhn hinten auff ihn Kuhn, davon gigt man 3 ß 4 ane bodenzinß

Susanne Rosset meurt en 1717 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison à la somme de 500 livres. La masse propre au veuf est de 753 livres, celle de l’héritière à 338 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 226 livres, le passif à 1 493 livres

1718 (15.2.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 112) n° 1010
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güethere, ligend und vahrender, verändert und unveränderter, so Weÿland die Ehren und Tugendsame Fraw Susanna Cammererin gebohrene Rosettin, des Ehren: und Vorgeachten Herrn Johann Jacob Cammerers des Seÿlers und Burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seelige nachdem dieselbige den 28.ten Novembris des letzt verwichenen 1717.ten Jahres dießes Zeitliche mit dem ewigen verwechselt hinder sich verlaßen so auf ansuchen erfordern und begehren des Ehrenvest vnd Vorgeachten Herrn Johann Roßets des Gastgebers Zum Rothen Männel und burgers allhie alß geschwornen Vogts Mariæ Barbaræ Cammererin der abgeleibten Frauen seeligen hinderlaßenen mit oberwehntem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehel. erzielten einigen Töchterleins und ab intestato verlaßener einiger Erbin inventirt, durch den hinderbliebenen Wittiber, wie auch ([biffé] Jgfr. Mariam Salome Cammererin sein Herrn Cammerers eheleibl. Bruders Tochter) ingleichem Philipp Krapfen Seÿlerknecht, Margaretham Fecklerin beede von hier gebürtig, die Deinstmagd (…) So beschehen in Straßburg, in fernerm beÿsein der Viel Ehren und Tugendsamen Fr. Annæ Mariæ Rosettin gebohrner Raspin der Frauen seel. eheleibl. Mutter, und Frauen Annæ Mariæ Rosettin gebohrner Kochin, der Frauen seeligen Geschweihern und des Töchterleins Vogts frauen wie auch Fr. Mariæ Salome Cammererin gebohrner Guthmännin, herrn Johann Ulrich Cammerers des Seÿlers und Burgers allhier ehel. haußfrauen als des Wittibers Geschweih. Dienstags den 15.ten Februarÿ 1718

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Höltzen und Schreinwerck, In der Soldaten Cammer, In der Knecht Cammer, In der obern Stub, In dießer Stub Cammer, In der Wohn Stub, Im obern Haußöhren, Im Laden, Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Eine Behausung, hoffstatt sambt allen deren gebäuen, begriffen weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Viehegaß, einseit neben Hannß Georg Kuhnen, dem Weißbecken, anderseit neben Herrn Joh. Jacob Duppert, dem Melhändler, hinden auf vorgedachten Herrn Kuhnen stoßend, davon Jährl. auf Martini 3 ß 4 d denen Edlen von Oberkirch Zu Boden Zinnß Zu reichen, sonsten freÿ, ledig und eig. und über diße beschwerde durch (die) Werckleuth angeschlag. pro 525. lb.
Pro Nota. Es ist Zwar der Hr: Wittiber seinen Geschwisterden, beÿ annahm solchen haußes etwas wie in dem Mütterl. abtheil: Concept Zusehen heauß schuldig verblieben, so seithero bezahlt, Alleweilen aber hingegen auch dißeitige Theilbare Verlaßenschafft in deßelben Mütterl. Nahrung vor baar in der Ehe auffgenommenen geld schuldig, so Ihme dem wittiber ane seinem Mütterl. Erbrati abgezogen worden, so ist das jenige was die theilbare Nahrung schuldig war dem herrn Wittiber in die Ergäntzung seines ohnveränderten guths, dasjenige aber, was derselbe auß theilbarer Nahrung wegen seines ohnveränderten Guths bezahlen in Ergäntzungs abzug gesetzet worden, So seind auch stehender Ehe von Herrn Johann Roßet dem Gastgeber Zum Roht. Männel und Burgern allhier auff dieße Behauß. 700 lb. d. auffgenohmen, und selbige davor verpfändet worden, Allweilen aber solches geldt Zu bezahl. der theilbarn erkauft. Behausung verwendet worden, Als werde selbige hernach als eine theilbare Schuld auß dem Erbe Zu bezahlend, eingetragen, also daß von obgem. anschlag dißohrts nichts ab Zu Ziehen.
Darüber besagt j. teut: perg. Kbrief. mit der Stadt Straßb anhang: C. Ctradt Ins: v.wahret dat. 15. Aprilis 1665, Mehr ein teut. perg: Kfbrief mit Vorermeltem C: Ctract: Ins. bekräf: deßen datum der 16.te 9.br A° 1671. Ferner j. teut. perg. Kbrief. mit mehrermeltem C. Ctract. Inns. corroborirt dd. 25.t Martÿ 1676. Weiter j. teut. perg. Kbrief. mit dickernandtmeltem C. Ctract Ins. bekr. dat. den 9. April A° 1677. Item j teut. perg. Kbrief. mit vielbesagtem C. Ctract. Ins. bekräft. deßen datum der 2.te Nov: 1682. Dabeÿ ferner j. alt. teut. perg: Zinßbrieff daran allhießig: Statt Raths Innsigel. gehangen aber abgerißen dat. d. 15.t April A° 1532. über 4. fl. geldts Straßb: wehrung besagend mit altem N° 139. signirt, Mehr j. a: teut: perg. Zb: hiebevor mit allhieß: Statt Kleineren Ins. bekr: so aber abgerißen und dabeÿ à parte liget, über 2. fl. geldts ane 4. fl. geldts so dem blatterhauß allhier verkaufft worden. melden, dat. d. 11.te Febr ; 1545. mit altem N° 139. notirt. Und dann i. teut: perg: Zßb: über 25. fl. Straßb. wehr. Jährl. Zinnßes auf besagter behaußung stehend, so mit 200 fl. abzulößen waren, besagend, durch Hn Heinrich Meÿer Contract: Notm: instrumentirt, mit allhießig. Statt Ctract: Ins: corroboriret dat: d: 27. Febr: A° 1588 mit altem N° 1 bemerckt, sampt noch 3. pergam: brieffen, und dißmahlen darbeÿ gelaßen.
(T) Item eine Behauß. und Hoffstatt in dem Metzgergießen (…)
Ergäntzung deß Wittibers ohnveränderten Guths. Crafft eines über beeder eingangs ehrenrwehnter Eheleuthe in den Ehestand Zusammen gebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenenen Notarium in Anno 1711. auffgerichteten Inventarÿ
Copia der Eheberedung. (…) So beschehen auff Sonntag den 23. Monatstag Novembris 1710, Johann Reinhardt Lang
Copia beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Codicilli Reciproci. 1712 (…) auff Sonntag den 14. Tag des Monats Februarÿ (…) persönlich kommen und erschienen der Ehren: und vorgeachte Herr Johann Jacob Cammerer, Seÿler und mit und beeben Ihme die Ehren: und Tugendsame Fraw Susanna Cammererin gebohrne Rosettin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zu Straßburg durch des Allgütigen Gottes sonderbahrer Gnade gesunder gehender und stehender Leiber
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths des Wittibers ohnverändert 38, Sa. Werckzeugs Zum Seÿler handwerck gehörig 22, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 11, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 525, Sa. Ergäntzung (675, Abzug 521, Rest) 155, Summa summarum 753 lb
Der Erbin ohnverändert Guth Sa. Haußraths 99, Sa. lährer Vaß 7 ß Sa. Silbergeschmeids 7, Sa. Goldener Ring 5, Sa. Ergäntzung (213, Abzug 2, Rest) 210, Summa summarum 338 lb
Theilbar Guth, Sa. hausraths 32 Sa. Lährer Vaß 5, Sa.Wahren Zul Seÿler handwerck gehörig 428, Sa. Silbers 1 ß, Sa. gold. Ring 4 ß, Sa. Eigenthum ane einer Behausung 500, Sa. Schulden 259, Summa summarum 1226 – Schulden 1493 lb, Theilbar passiv onus 267 lb
Abschatzung, d. 24.ten Januarÿ anô 1718. Auff begehren deß Ehrenhafften Vnd bescheÿten H: Johann Jacob Kammer Seÿler ist Eine behausung Alhier in der Statt Straßburg in dem Metzger Güessen Gelegen Ein seÿth neben H. Hannß Jacob Schaurerr Sadtlern Ander seÿth Neben hanß Jacob Mell, becken, hinten Auff, Vor gedachten H; schaurer stoßend, Welche behaußung, hoff, Hoffstatt, Werckstatt, gebälckten, Sampt anner Ihrer Gegerrh Wie socjes durch der Statt geschwogenen Werkhleüthe sih in der besichtigung befundt Vnd dem Jetzigen preiß Nach geschlagen wirdt Vor und umb Ein Taussendt Gullten, Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren Werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la défunte acquittait des impôts sur une somme de 600 florins alors que l’inventaire constate une fortune de 1 600 florins. Ils ne demandent aucun paiement d’arriéré parce que la mère réglait les sommes correspondantes.
1718, Livres de la Taille (VII 1175) f° 283-v
Möhrin F. N° 2073 – Weÿl. Fr. Susannæ gebohrner Roßettin, Hannß Jacob Kammerers Seÿlers und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Reinhard Lang.
Concl. fin. Inv: ist Fol. 103.b, 824 lb 1 ß 4 d, die machen 1600 fl. derselbe verstallte Zwahr allein 600 fl. alldieweilen aber deßen Mütterl. Erb, so Fol. 70. 617 lb 19 ß 1 ½ d erträgt mit under obiger Summ begriffen, so Ihme derzeit auf Statt Stall noch nicht Zugeschrieben worden, sondern die verstorbene Mutter biß dato unter Ihrer verstallung gehabt, alß hat man dißorts keinen Nachtrag deßelben ansetzen noch abfordern können, so hier Zum Bericht gemeldet wird.
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 1 lb 12 ß 6 s – Summa 1 lb 14 ß 6 s
dt. 21. Septemb. 1718

Jean Jacques Kammerer se remarie avec Anne Marguerite Saum, fille du cordier Christophe Saum : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Wohl Vorgeachten herrn Johann Jacob Cammerer dem Seiler und burgern allhier Zu Straßburg als dem Bräutigam ane einem, So dann der Tugendsamen Jungfrawen Anna Margaretha Saumin, Weÿland des auch Ehren und Wohl Vorgeachten Herrn Christoph Saumen des Seÿlers und gewesenen burgers allhier nunmehr seeligen hinderlaßene ehelich erzielter Tochter als der Jungfrauw hochzeiterin am andern theil (…) in beÿsein mit gutem Consens, Wißen, Willen und belieben deß Wohl Ehren Vesten Wohlvorgeacht auch Kunst erfahrenen hern Johann Ulrich Cammerers des Seÿlers, des Herrn Bräutigambs eheleiblichen Bruders und hern Johann Rosets des gastgebers Zum rothen Männel deßelben Schwagers auch seines Töchterleins erster Ehe geschwornen Vogts, auff des Bräutigambs, So dann auff der Jungfrauwen hochzeiterin seithen Frauen Aureliæ Saumin gebohrner Rencherin weÿland Herrn Christoph Saumen gewesenen Seÿlers und burgers allhie seligen hinderbliebenen Wittib der Jungfrauwen hochzeiterin eheleiblichen Mutter, herrn Alexander Müllers des Goldarbeiters deroselben geschwornen Vogts, herrn Christoph Saumen des Seÿlers ihres eheleiblichen bruders und herrn Johann Friderich Füeßingers, des Seÿlers, ihres Schwagers, auch herrn Johann Caspar Ehrlenholtz des Sattlers gleichfalls deßen Schwagers, aller Burgern allhier Zu Straßburg (…) So beschehen in der Königlichen freÿen statt Straßburg in einer, ane der Weißenthurnstraß ohnfern St. Aurellien Kirchen gelegenen der Jungfrauen hochzeiterin eheleiblichen Mutter eigenthümlich gehörigen behaußung auff Freÿtag den Zweÿten Septembris im Jahr nach Christi Geburth gezahlet 1718 Johann Reinhardt Lang, Notarius

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 86-v)
1718. Mittw. d. 5. Octobr: wurden nach Zweÿmalig. Ausruffung Ehl. copulirt v. Eingesegnet Johann Jacob Kammerer der Wittwer, Burger Seiler alh. Vndt Jgfr. Anna Margaretha, weil. H. Philipp Saumen alh. burgers v. Seilers hinterl. Ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Kammerer Als hochzeiter, Anna Margaretha Saumin als hochzeiterin (i 88)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison appartenant au mari. Les apports du mari s’élèvent à 226 livres (actif 1748, passif 1531), ceux de la femme à 751 livres.

1719 (6.3.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 114) n° 1031
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so der Ehren: und Wohlvorgeachte Hr: Johann Jacob Cammerer der Seÿler und die Viel Ehren: und Tugendsame Fraw Margaretha, gebohrne Saumin, beede Eheleuthe und Burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe Zugebracht, welche der ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Eheberedung expressé verglichen, daß einem jeeden Ehegemächd seine in die Ehe Zubringende Nahrung ein freÿ, vorbehalten und ohnverändert guth seÿen (…) So geschehen in Straßburg in fermerem Beÿsein der Wohl Ehrenvest, Wohl Vorgeachte auch Kunsterfahren Ehren und Vorgeachten H. Johann Rosetts, des Gastgebers Zum Rothen Männel, sein H. Joh: Jacob Cammerers Schwagers und Kindts erster Ehe geschwornen Vogts auf sein H. Cammerers: So dann auf Ihro Fr. Cammererin seithen Fr. Aureliæ Saumin gebohrner Rencherin, Weÿl. H: Christoph Saumen geweßenen Seÿlers und Burgers allhier seel. hinderbliebener wittib, dero eheleibl: Mutter, H. Alexander Müllers des Goldarbeiters, der Fr: noch ohnertledigten Vogts und H. Christoph Saumen des Seÿlers, Ihres eheleibl: Bruders aller Burgere allhier Zu Straßburg, auf Montag den 6. Martÿ Anno 1719.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der obern Stuben, In deren Stubcammer, In der Wohstub, In dem Haußöhren, In der Neuen Stub
(f° 20) Eigenthum ane Häußern. (M.) Eine behaußung, hoffstatt, samt allen deren gebäuen, begriffen, weithen rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Viehegaß einseith neben Hannß Georg Kuhnen, dem Weißbecken, anderseit neben Herrn Johann Jacob Duppert, dem Melhändler, hinden auff gedachten Hannß Georg Kuhnen stoßend, davon jährlichen auf Martini 3 ß 4 d denen Edlen von Oberkirch Zu Boden Zinnß Zureichen, sonsten freÿ ledig und eigen. darüber sagen die Documenta in dem über weÿlandt Frauen Susannæ Cammererin gebohrner Rosettin, des herren ersterer Frawen Eheliebstin seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium auffgerichtet. Inventario de A° 1718 fol: 42. fac: 2.da biß fol. 44. fac: 2.da sub N° 1 registrirt
(M.) ferner eine Behauß. und Hoffstatt in dem Metzgergießen (…)
(f° 22) Wÿdemb Welch. eingangsgedachter Herr Johann Jacob Cammerer wegen Mariæ Barbaræ Cammererin seines Töchterleins ersterer Ehe mit gewißer Condition Zugeniß. Vermög mehrangezogenen Inventary über weÿland Frauen Susannæ Cammererin gebohrner Rosettin, sein herrn Johann Jacob Cammerers ersterer Frauen Eheliebstin seelig Verlaßenschafft auffgerichtet und demselb. a fine einverleibt. Vertrags vom 22. 8.brus 1718. (…)
Wÿdembs Verfangenschaft, So Fraw Anna Maria Rosettin gebohrne Raspin weÿlandt Herrn Jacob Rosetts gewesenen hueffschmidts und burgera allhier Zu Straßburg seeliger hinterbliebenen wittib als Herrn Cammerers ersterer abgeleiben Frawen seel. eheleibliche Mutter
(f° 23) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 315, Sa. Werckzeug Zum Seÿler handwerck gehörig 25, Sa. Wahren Zum Seÿler handwerck gehörig 704, Sa. Frucht 8, Sa. Wein und lährer Vaß 39, Sa. silber geschirrs und geschmeids 26 Sa. goldener Ring 2, Sa. Baarschafft 90, Sa. Schulden 135, Sa. activ Schulden (in beeder herren Cammerer bißhero geführte gewerbs gemeinschafft Zugeltend 978, daran Ihme hern Johann Jacob Cammerern vor deßen daran participirende helffte gehörig) 489, Summa summarum 1748 lb – Schulden 1531, Nach deren Abzug 226 lb
Ehesteuer, Sa. vorgerbeschriebener Posten, welche die Frau von dero geliebten Fraw Mutter zu einer Ehesteur empfangen und in diese ihre Ehe gebracht, thut 532
Übrige Nahrung, so die Fraw Vorhingehabt und in die Ehe gebracht, Sa. haußraths 151, Sa. Kuhe 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 23, Sa. goldener ring 20, Sa. baarschafft 17, Summa summarum 219 lb – Der Frauen in die Ehe gebracht gantze Substanz 751 lb

Jean Jacques Kammerer loue une partie da la maison au sellier Blaise Lantelme

1722 (20.8.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 498
Johann Jacob Kammerer Seÿler
in gegensein H. Blaise Lantelme des Sattlers und burgers allhier
In seiner ahne der Vieh gaß gegen der gastherberg zum ochßen über gelegenen Behausung Einen Laden, Ferner auf dem zweÿten stock Eine Stub zwo Kammern eine Kuche, Mehr auff der bühn eine mit Latten zugemachte Kammer, so dann den gemeinschaftlichen gebrauch der obersten bühn und endlichen platz im Keller auff eine jedem theil zu allen zeiten zu thun erlaubte vierteljährige aufkündigung – um einen jährlichen Zinß nemlich 22 pfund

Jean Jacques Kammerer loue une partie de la maison au chirurgien Frédéric Dieuloué Saupé

1741 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 215-v
H. Johann Jacob Cammerer der seÿler
in gegensein H. Friedrich Gottlob Saupe Chirurgi
entlehnt, Eine neu erbaute behausung samt allen deroselben Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, davon die helffte des kellers welche der verlehnt so vorbehaltet ausgenommen, ane der Viehgaß, einseit neben Hutter dem weißbecken, anderseit neben Fröhner dem ohlmann hinten auff ermeldten Hutter – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Michaelis – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund

Litige entre la maîtrise des huiliers et le cordier Jean Jacques Kammerer. Les Quinze décident que chaque partie réglera la moitié des frais en litige.
1747, Protocole des Quinze (2 R 157)
(p. 613) Sambstags d. 9. Decembris
In Sachen E. E. Handwercks derer Ohlleuth Obermeisters Klägerin, an einem, entgegen und Wieder Joh: Jacob Kammerer, den Seÿler, Beklagten, am andern theil, Auff producirten Unkosten Zedel deßen betrag sich auff 4 fl. 4 ß beloffen juncto petito, demselben Zu taxiren, quo facto mit schein und urkund ad exequendum, ref. noviter factis expensis zu willfahren,
des Beklagten gethane protetation und angehenckes bitten, Klägerin mit seinem wiederrechtlichen gesuch in ipso limine Judicy ref. exp. abzuweißen,
Ex officio erkanndte deputation, auch all übrig derer Parthen angehörtes vor: und anbringen, ist derer Hhn deputirten angelegten relation nach Erkandt, daß der producirte Unkosten Zedel à 4 fl. 4 ß Taxmäßig, deßen bezahlung sowohl als die in hac causâ gehaltene conferentz von dem Kläger und Beklagten, jedem Zur helffte entrichtet werden solle, Zu dem Ende mit begehrtem Schein und Urkundt ad exequendum hiermit willfahrt wird. Als Wir hirmit erkennen, und die übrige Unkosten unter denen Parten compensiren und auffheben.

Jean Jacques Kammerer meurt en 1755 en délaissant une fille de son premier mariage et cinq enfants du deuxième. Les experts estiment la maison 750 livres. La masse propre à la veuve est de 1 938 livres, celle propre aux héritiers de 158 livres. L’actif de la communauté s’élève à 13 577 livres, le passif à 2 263 livres

1755 (16.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 74) n° 1601
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. der Ehrenvest und Großachtbahre Herr Johann Jacob Kammerer, der geweßene Seÿler und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. alß derselbe Donnerstags d. 5.ten dieses Monats Junÿ dießer Zeitl mit dem ewigen Verwechßelt nach solch seinem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt hinter sich Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des abgeleibten Herrn seel. in Zwoen Ehen ehevogt erziehlten Herren Söhne, Frauen und Jungfrauen töchtere, auch dere Ehe: und H. Theil: vögte, aller gleich nach dem Eingang dieses Inventarÿ insonderheit benamset, inventirt, durch die Viel Ehren: und tugendreiche Frau Annam Margaretham Kammererin gebohrne Saumin, die hinterbliebene Frau Wittib mit beÿstand der Ehrenvesten und Großachtbahren Christoph Saum Seÿlers und burgers allhier, Ihres H Bruders (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 6. Junÿ et seqq. A° 1755.
Der verstorbene Herr seel. hat ab intestato Zu seinen rechtmäsigen Erben Verlaßen wie folgt 1.mo Frau Mariam Barbaram Froschhammerin gebohrne Kammererin, H. Johann Froschhammers des Lang Meßerschmidts und burgern allhier Ehegattin, so beneben Ihrem Ehemann den Geschäfft persönlich beÿgewohnt, in den Ersten Sechsten Stammtheil, dieße des Abgeleibten seel. in erster Ehe mit auch weÿl. Frauen Susanna gebohrner Rosettin erzielhte Tochter
2.do Frau Annam Margaretham Wernerin gebohrne Kammererin, H. Johann Werners des Huffschmidts und Burgers allhier Eheliebsten, welche ebenmäßig mit beÿhülff ged. Ihres Ehevogts in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden, in den 2. Sechsten Stammtheil, 3.tio H. Philipp Jacob Kammerer den Seÿler und Burgern allhier welcher gleicherweiße in Persohn Zugegen ware, in den 3.ten Sechsten Stammtheil, 4.tio Johann Michael Kammerer, Leedigen Kieffer so in der Frembde sich auffhaltet in den 4. Sechsten Stammtheil, 5. Jungfrau Mariam Magdalenam Kammererin, in den 5. Sechsten Stammtheil, So dann 6.to Jungfrau Mariam Salome Kammererin, in den sechsten und letzten Stammtheil, dießer dreÿen letzten geschworner Vogt ist vorged. Herr Philipp Jacob Kammerer der Seiler und burger allhier, dieweilen Er aber selbsten interessirt, als ist in seinem Nahmen Zu einem Theilvogt erbetten worden S. T. Herr Johann Rudolph Dinckel Notarius publicus und berühmten practicus auch burger allhier welcher letzt beÿ E. E. Großen Rath das Jurmentum würckl. abgeleget und in Persohn beneben seiner 3. Vogts Persohnen dem Geschäfft abartete, Dieße Fünff letztere des seel. Verstorbenen in Zweiter Ehe mit Eingangs ged. Frauen Anna Margaretha Kammererin geb. Saumin der hinterbl. Frauen Wittib ehelich erziehlte Herren Sohne Frau und Jgfr. töchtere
Copia Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane der Viehegaß gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer Lit. A, In der obern Stuben, In der Wohn Stuben
Eigenthum ane einer Behaußung, Scheur, Speicher und Keller. (E.) Erstl. eine behaußung, Hoffstatt, samt allen deren Gebäuen, begriffen weithen rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Viehegaß einseith neben Johannes Huder dem Weißbecken, anderseit neben H Niclaus Ottmann den Ohlmann, hinden wieder auff vorged. H. Johann Huder stoßend, davon gibt man Jährl. auff Martini 3. ß 4 d denen Edlen von Oberkirch Zu Bodenzinß, sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 23.ten Junÿ 1755. æstimirt und angeschlagen word. pro 743 lb 6 ß. Darüber sagt ein alter teutscher perg. Zinßbrieff, daran allhießiger Statt raths Insiegel gehangen aber abgerißen datirt d. 15. Aprilis A° 1532 über 4. fl. Geldts Straßb. Währung besagend mit altem N° 139. signirt. Mehr ein alter teutscher perg. Zinßbr. hiebevor mit allh. Statt Cleinern Insiegel bekräfftiget, so aber auch abgeriß. über 2 fl. Geldts ane 4. fl. so dem Blatterhauß allh. verkaufft word. meldend, datirt den 11. febr. 1545 mit altem N° 139. notirt Und dann ein teutsch. perg. Zinnßbrieff über 25. fl. Straßb. währung Jähr. Zinnses auf besagter behausung stehet so mit 500 fl. abzulößen ware besagend durch H. Heinrich Meÿer Contractuum Notarium instrumentirt mit allh. Statt Contract Insiegel corroborirt datirt d. 27.ten febr. 1585 mit altem N° A bezeichnet samt noch verschiednen andern pergamentenen brieffen, alle aber mit Jetzigem N° 54 marquirt
It. 1. Scheur, Speicher und Keller gegen der Kirch Zu St Louis über (…)
Wÿdemb Welcher der seel. verstorbene von auch Weÿl. Frauen Susanna geb. Rosettin seiner gew. erstern Ehefrauen so ebenmäßig seel. biß Zu sein seel. Ende genoßen. Es hat erstged. weÿl. Frau Susanna Kammererin geb. Rosetin des Def. geweßene erstere Ehegattin seel. Ihme Ihrem hinterbliebenen Wittiber in dem mit und beneben demselben den 14. febr. A° 1712 vor weÿl. H. Not. Johann Reinhard Langen seel. auffgerichteten Codicillo Reciproco (…)
Ergäntzung der Fraw Wittib abgegangenen ohnveränderten guths, Vermög Inventarÿ über der hinterbliebenen Frau wittib zu eingangs gedachtem Ihrem Eheherrn seel. in die Ehe gebrachten Nahrung durch Herrn Johann Reinhard Langen bot. Publ. seel. auffgerichteten in Anno 1719 concipirt aber in Anno 1742. durch seinen Sohn Johann Daniel Langen expedirt
(f° 25-v) Abzug In gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Silbers 5 ß, Sa. Goldener Ring 5, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (1861, Abzug 4, Nach solchem abzug) 1857, Summa summarum 1938 lb
Der Erben ohnverändert guth, Sa. haußraths 20 Sa. Lähren Vaß 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Goldenen Rings 5 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 700, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 743, Sa. Ergäntzung (1606, Abzug 2602, zuergäntzen 995), Summa summarum 1475 lb – Schulden 1633, In Compensatione 158 lb
Das Theilbahr guth, Sa. haußraths 215, Sa. Wein und Lährer Vaß 98, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 171, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 21, Sa. Baarschafft 876, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 399, Sa. Eigenthumbs an einer Scheur 375, Sa. Schulden 7824, Summa summarum 13.577 lb – Sa. 2263, In Vergleichung 11.314 lb
Stall Summ 11.764 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptguth so der Frau Wittib ohnverändert 17 – Zweiffelhaffte und verlohren Pfenningzinß hauptgüter so theilbar 97 – Zweiffelhaffte vnd verlohrene Schulden in das Erbe Zugeltend 1380 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen auff Freÿtag den Zweÿten Septembris im Jahr nach Christi Geburth gezahlet 1718 Johann Reinhardt Lang, Notarius
Copia Codicilli. 1749 (…) auf Montag den 12. Monathstag Maÿ Nachmittag Zwischen 2 und 3 Uhren in ziner allhier Zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegenen und von mir Notario bewohnenden behausung deren Obern Schreibstub mit denen fenstern Zum theil in einem hoff und Zum theil auf die gaß außsehend (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrenvest und großachtbahr her Johann Jacob Kammerer der Seÿler und burger allhier Zu Straßburg von der gnade des grundgütigen Gottes gesunden, gehend und stehenden Leibes (…) Johann Lobstein Notarius juratus
Abschatzung Vom 23. Junÿ 1755. Auf Begehren weÿl. Herrn Joh: Jacob Kammeer seel: hinterlaßenen Wittib und Erben ist eine Behausung allhier in der Stadt Straßburg in der Vieh Gaß gelegen, ein Seits neben Hanß Huder dem Weißbecken, anderseit neben Nicola ottman und Hinden auf erst bemelten H. Huder stoßend, Solche Behausung bestehet in dreÿ Boutiquen, in zweÿ Stuben, zweÿ Kammeren und Zweÿ Küchen, darûber ist der dachstuhl mit Breitziglen belegt Hat auh einen getrömten Kellern Von und den unterschriebenen der Stadt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach Vorherig beschehener Besichtigung mit aller ihrer Gerechtigkeit em jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb Fünff Zehen Hundert Gulden
Der zweÿte Begriff (…) [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Samuel Werner, Werckmeister deß Maurhoffs

Le bureau de la Taille dispense les enfants d’Anne Marguerite Saum de faire dresser un nouvel inventaire après sa mort le 28 mars 1757. Les quatre enfants font procéder à la liquidation.
1757 (3.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 791) n° 115
Auslüffer: Vergleich: und Abtheilung Über Weÿland der viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Annæ Margarethæ Kammererin gebohrener Saumin, auch weÿl. des Ehrenvesten und großachtbahren Herrn Johann Jacob Kammerers, geweßenen Seÿlers und Burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßener Frauen Wittib, nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1757.
Zuwißen seÿe hiemit, demnach der dem lieben Gott fegallen wollen weÿl. die Viel Ehren: und Tugendreiche Frau Anna Margaretha Kammererin geb. Saumin, auch weÿl. des Ehrenvest: und großachtbahren Herrn Johann Jacob Kammerers, geweßenen Seÿlers und Burgers allhier zu Straßburg, so d. 5. Junii A° 1755 bereits seel. verschieden, nachgelaßene Frau Wittib d. 28.ten Martÿ hujus anni ebenmäßig aus dießer Zeitlichkeit seel. abzufordern, daß hierauf deroselben ab intestato zu Erben hinterlassene Herren Sohn auch Frau und Jfr. Töchter (…) vor guth befunden auf löbl. Statt Stall dispensationem Inventationis zu Sollicitiren, so Ihnen dann auch nach vorher gegangener Reproducirung des über herrn schon Ehrenerwähnten w. Herrn Joh. Jacob Kammerer seel. Verlaßenschafft durch Herrn Johann Lobstein, Not. publ. allhier in A° 1755 errichteten Inventarii hochgeneigt willfahrt worden, deßen Zufolg nun wurde gleichbalden die Abtheil, Vergleich und Außweißung dießer Verlaßenschafft Vorgenommen, nach deme zuvor nun wl. fr. Mariä Barbarä Froschhammerin gebohrener Kammererin, Herrn Johann Froschhammers, des langmeßerschmids und burgers allhier ehel. Haußfrauen, der Tochter erster Ehe, nun seel. nachgelaßene Kinder, wegen demjenigen Wÿdemb so die verstorbene ad dies vitæ von ihme H. Johann Jacob Cammerer seel. genoßen hatte, ausgewießen und vergnüglich contentirt worden (…) zu Straßburg d. 3. Maji A° 1757.
Die verstorbene Frau Kammererin seelige hat ab intestato zu Ihren Erben Verlaßen, als folgt, 1.mo Frau Annam Margaretham Wörnerin, gebohrne Kammererin, weÿland Herrn Johann Wörners, geweßenen Huffschmids und Burgers allhier seel. hinterbliebene Frau Wittib, welche mit Zuziehung S. T. Herrn Frantz Heinrich Dautels Notarii Publici und berühmten practici allhier Ihres erbettenen Herrn beÿstands dießen Geschäfft abwartete, in den Ersten Vierten Stammtheil, 2.do Herrn Philipp Jacob Kammerer, den Seÿler und burgern allhier, Welcher ebenfalls in Persohn dießem Geschäfft beÿwohnete, in den Zweÿten Vierten Stammtheil, 3.tio Herrn Johann Michael Kammerer, ledigen Kieffer, welcher gleichergestalten beÿ dießem Geschäfft Zugegen war, in den dritten Vierten Stammtheil, So dann 4. Jungfer Mariam Magdalenam Kammererin, welche ebenmäßig zugegen war, in den vierten und Vierten Stammtheil, dießer beeden letztern geschwohrner Vogt ist vorgedachter Herr Philipp Jacob Kammerer der Seÿler und Burger allhier, dieweilen Er aber selbsten beÿ dießem Geschäfft interessirt und Sie die beede jüngerer Kinder Ihre Majorennitæt beÿ nahem erreichet und würcklichen 20 Jahr passiret, als haben dieselbe keinen Theilvogt begehret, sondern seÿen nur verbeÿstandet mit Herrn Johann Christoph Saum, dem Seÿler und Burgern allhier ihrem H. Oncle, welcher beneben denselben dem Geschäfft abgewartet und ihr Interesse bestmöglichst besorget hat. Also alle Vier der Verstorbenen Frauen seel. ehelich erzielhte Herren Söhne, auch Frau und Jfr. Töchtere und ab intestato zu vier gleichlingen portionen und Antheileren hinterlaßenen Erben

Le tonnelier Jean Michel Kammerer loue toute la maison à Dominique Berbarat, cordeur et graissier, et à Marie Jeanne Valat

1762 (16.3.), Not. Laquiante (6 E 41, 1011)
Bail de 12 années consecutives à commencer de la St Jean prochaine – Sr Jean Michel Kammerer bourgeois tonnelier et marchand de vin
au Sr Dominique Berbarat cordeur et graissier et De Marie Jeanne Valat
La maison entiere et dépendances a luy appartenante en cette ville scize dans la rue des Bestiaux aboutissant sur le devant a lad. rue vis à vis Du bœuf rouge derrière et de la gauche au Sr Huth boulanger et de la droite au Sr Nicolas Ottmann huiliier sans en rien reserver ny excepter tel qu’il l’a luy même occupé jusqu’icy – moyennant un loyer annuel de 320 livres tournois

Jean Michel Kammerer vend la maison au boulanger Jean Jacques Reitter par un acte provisoire dressé devant notaire

1763 (1.10.), Not. Lobstein (6 E 41, 840)
Interim-Kauff – herr Johann Michael Cammerer der Weinhändler ane einem
herr Johann Jacob Reitter der Weißbeck als Käuffer
seine ane der Viehgaß gelegenen eigenthümliche behaußung, 1.s neben H. Huth dem frantzösischen becken, anderseit neben . Nicolao Ottmann dem Ohlmann gelegen, so außer 3 ß 4 d so man jährlich denen Edlen von Oberkirch ane bodenzinß zu reichen hat freÿ ledig und eigen – um 4500 Gulden

La maison revient à Jean Michel Kammerer qui épouse en 1764 Catherine Dorothée Gerold, fille de l’aubergiste Jean Gerold : contrat de mariage, célébration (les actes ultérieurs figureront à la notice de leur maison)

1764 (28.4.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 205
Eheberedung – zwischen den Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Michael Kammerer, dem leedigen Kiefer und Weinhändler, auch burgern allhier Zu Straßburg, weiland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahrn Herrn Johann Jacob Kammerers des geweßenen Seilers und Burgers allhier seeligen nachgelaßenem ehelichem Sohn, als dem Hn Bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Jungfrauen Catharina Dorothea Geroldin, des Wohl Ehrenvest : und Großachtbahrn, auch Wohlweißen Herrn Johann Gerold wohlangesehenen Gastgebers und E. E. Großen Raths allhier dermahligen wohlverdienten herrn beÿsitzers ehelich erziehler Jungfer Tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen alhier Zu Straßburg auff Sambstag den 28. Aprilis Anno 1764 [unterzeichnet] Johann Michael Kammerer als Hz&, Catharina Dorothea Geroldin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 18-v, n° 38)
1764. Mittwoch den 6. Junii wurden nach gewohnlichem Aufbieten ehelich getraut herr Johann Michael Kammerer der ledige Kiefer, weinhändler u. burger allhier, weil. Hn Johann Jakob Kammerer Seilers u. burgers allhier, mit weil. Fr. Anna Margareta geb. Saumin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Katharina Dorothea Geroldin, H. Johannes Gerold EE grosen Raths wircklichen beisitzers u. Gastgebers allhier, mit. Fr. Katharina Dorothea, geb. Ottin, ehelich erzeugte Tochter welches hiermt bezeugen [unterzeichnet] Johann Michael Kammerer als Hochzeiter, Catharina Dorothea Geroldin als Hochzeiterin (i 21)

Jean Michel Kammerer laisse la jouissance de la maison à Jean Jacques Reiter jusqu’à ce que le procès qu’a intenté la femme du marchand Venino soit terminé et que la vente définitive soit passée.

1765 (15.1.), Not. Lobstein (6 E 41, 840)
hr Johann Michael Kammerer der Weinhändler ane einem
hr Johann Jacob Reither der weißbeck ane dem andern theil, die zeigten an
daß den Er H. Kammerer Ihme Reither vermög interims Kauff vor mir Notario d. 1. 8.br 1763 passirt seine behaußung ane d. Viehgaß zu kauffen gegeben, biß dahero aber Venino des handelsmanns Verlaßene Ehefrau unterschiedene contestationes deßfals formirt, nunmehro aber ein arrest sur requete au Conseil souverain d’Alsace ergangen, Vermög deßen Er H. Kammerer (w)ieder in die possession solchen haußes biß zu endlicher finirung solchen Processus gesetzet word. als wolten sie sich nunmero biß dorthin folgdender maßen miteinander vergleichen daß nembl.
Er H. Reitter von dato an und biß zu endlichen finirung solchen processus dieße behaußung bewohnen solle und dagegen aber auch biß dorthhien von dato an die Interesse (…) allein leiden und zu bezahlen solle

Jean Michel Kammerer vend la maison à Jean Jacques Reiter

1767 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 29-v
Johann Michel Kammerer weinhändler
in gegensein Johann Michel Reuter des meelhändlers
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, weither zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, ahne der Viehgaß, einseit neben Johann Huter dem französischen becken, anderseit neben H. Nicolaus Ottmann dem ohlmann, hinten auff gedachten Huter – davon gibt man denen Edlen von Oberkirch 3 ß 4 d ane bodenzinß – 1200 pfund

Fils du cultivateur Jean Reitter d’Ottenheim en Bade, Jean Jacques Reitter épouse en 1745 Frédérique Dorothée Gœbel, fille du serrurier Frédéric Gœbel : contrat de mariage, célébration
1748 (5.11.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 24) n° 253
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Johann Jacob Reitter dem ledigen becken Johannes Reitters deß ackermann vndt burgers Zue Ottenheim über Rhein ehelichem Sohn, hochzeitern ane Einem
So dann der Ehr: undt Tugendbegabten Jungfr. Friderica Dorothea Göbelin, H. Johann Friderich Göbels deß Schloßers undt burgers alhier Zu Straßburg ehelicher Tochter der Jfr: hochzeiterin andern theils
Actum Straßburg auff dienstag d. 5. novembris A+ 1748 [unterzeichnet] Johann Jacob reitter Als hoch Zeiter, friderica dorothea Göbelin Als hoch Zeitrin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 94-v, n° 20)
1748. Mittw. den 20. Nov. sind nach Zweÿmahl vorhergeschehener Proclamation in der Evangelischen Kirche Zu St. Nicolai in den Stand der Heiligen Ehe eingesegnet worden Johann Jacob Reiter der Weißbeck und Burg. allhier, Johannes Reiter des Ackers Manns und Burgers Zu Otenheim ehel. Sohn und Jungfr. Friderica Dorothea Goebelin Joh: Friderich Goebel des Schloßers und Burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob reitter Als hoch Zeitter, Friderica Dorothea Göbelin Als hochzeitterin (i 97)

La tribu des Boulangers délivre une promesse d’admission à Jean Jacques Reitter pour qu’il puisse devenir bourgeois
1748, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 171) Dinstags den 27. Aug. 1748 – Johann Jacob Reitter der ledige becker von ottenheim gebürtig, bitt umb schein undt urkundt, daß man Ihne dahier beÿ dieser Ehrsmaen Zunfft, alß Einen mitzünfftigen annehmen wolle.
Erkandt seÿe ihme mit gebettenem schein Zu willfahren.

Jean Jacques Reitter devient bourgeois par sa femme
1748, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 366
Johann Jacob Reuter der beck Von Ottenheim gebürtig, Erhaltet das burgerrecht von seiner Ehefrawen Friderica Dorothea, Joh: Friderich Göbel des burgers vnd& Schloßers tochter vmb den alten burger schilling vnd will dienen Zu E. E. Zunfft der Becken. Juravit d. 16. Decembr. 1748.

Jean Jacques Reitter est reçu tributaire chez les Boulangers
1749, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 179) Dinstags den 18. februarÿ 1749 – Frembder Neuzünfftiger (dt. 4 lb 6 ß)
Johann Jacob Reitter der beckh Von Ottenheim producirt Burger Urkundt undt Stallschein, mit bitt Ihne alß einen Zünfftigen anzunehmen, Will Weißbecken. Erkandt Kan ihme gegen der gebühr nach ordnung Wilfahrt seÿn.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Madeleine. Les apports du mari s’élèvent à 321 livres, ceux de la femme à 764 livres.
1749 (18.4.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 20) n° 490
Inventarium über die Jenige Nahrung so der Ehrengeachte Johann Jacob Reitter, Weißbeckh undt die Tugendt begabte fr. Friderica Dorothea Reitterin gebohrene Göbelin, beede Eheleuthe und Burgere dahier Zu Straßburg Einandter in den Ehestandt Gebracht, Auffgerichtet Ao. 1749.
(…) Actum Straßburg in fernerm beÿsein H. Joh: Friderich Göbels Schloßers der Ehefr. Vatters undt Hr Joh: Christoph Schölll adel. Schaffners deri H. Curatoris auff Freÿtag d. 18.ten Aprilis 1749.
Inn Einer dahier Zue Straßburg in der Uttengaß gelegener Weißbecken behaußung hat Sich befunden, alß volgt
deß Ehemanns Nahr. Sa. haußraths 17, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 300, Summa summarum 321 lb
Der Ehefr. Nahrung, Sa. haußraths 90, Sa. Silber undt geschmeids 14, Sa. goldener Ring 4, Sa. baarschafft 5, Sa. Pfenningzinß hg. 800, Summa summarum 914 lb – passivum 150, rest 764 lb

Jean Jacques Reitter sollicite auprès des Quinze à être relevé d’une amende (registre lacunaire)
1749, Protocole des Quinze (2 R 159)
(p. 46) Sambstags d. 8. februarÿ – Idem [Freund] nôe Jacob Reuther, des burgers und weißbecken, prod. memor: und bitten pt° erlaßung der Straff. Erk. Ober Umbgelts Hhn

Les contrôleurs font grief à Jean Jacques Reitter d’entretenir 27 cochons au lieu des vingt réglementaires. Le défendeur répond qu’il en est propriétaire en commun avec le remueur de grains Joseph Graff. L’amende est réduite de 7 livres à une livre 15 sols, il doit en outre se défaire sous quinzaine des cochons en surnombre.
1759, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 114-v) Dienstags den 19. Junÿ 1759 – Iidem [Michael Grieß v. Joh: Georg Schäffer dieser Ehrs. Zunfft geschw. Riegere klagen] Cra. Joh: Jacob Reuter den Weißbecken deß derselbe in den Schwein ställen vor dieser Statt, statt erlaubter 20. dermalen 27. v. also 7. über die erlaubte Anzahl halte, bitten ihne den Articul nach à 1 lb d Vom stück in 7 lb d Straff ref. Exp. Zu condemniren.
Bekl. Zugegen sagt Zur Verantwortung daß die 27 Schwein nicht allein gehörig sondern er stünde derenthalben mit Joseph Graff dem Kornwerffer in Gemeinschafft, bittet dahero ihne Von angesetzter Klag zu renvoyiren.
Nach angehörter Klag v. Verantwortung ist Erk. seÿe aus sonderbarer Gnad Bekl. vor dieses als das erste mahl statt 7. lb d nur in 1 lb 15 ß Straf v. 2. ß Gerichts Cösten Zu condemniren, v soll Er in Zeit 14 tagen die 7 Zu Viel haltende Schein abschaffen.

Jean Jacques Reitter est condamné à une amende pour avoir vendu publiquement des pains aux œufs un jour de pain sec.
(f° 150-v) Dienstags den 17. Februarÿ 1761
Iidem [Stephan Franck, dieser Ehrs. Zunfft geschw. Rieger Klagt] Cra. Joh: Jacob Reuter den Weißbecken, daß derselbe am Neuen Jahrs tag, so sein trockener tag geweßen, frisch gebachen Eÿerbrod offentl. feil gehabt v verkaufft.
Bekl. Zugegen sagt Zur Verantwortung faß Eÿerbrod beÿ Ihme bestellt geweßen, da habe er etwas mehreres gebachen
Erk. seÿe derselbe in 10 ß Straff v. 2. ß Gerichts Cösten zu condemniren.

Jean Jacques Reitter passe du métier de boulanger à celui de farinier
(f° 191-v) Donnerstags den 15. Decembris 1763 – Handwercks Veränderung
Joh: Jacob Reuter bißheriger Weißbeck will d. handwerck ändern v. Meel Mann werden, bittet um gerichtl. Permission. Erk. Willfahrt ut supra [gegen erlag der gebühr] dt. 1 lb

Jean Jacques Reitter meurt en délaissant pour héritiers ses trois frères ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 500 livres. La masse propre à la veuve est de 935 livres, celle propre aux héritiers de 361 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 719 livres, le passif à 2 469 livres

1767 (7.11.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 860) n° 32
Inventarium über Weil. Hn Johann Jacob Reuter, des geweßenen Meelhändlers und Burgers allhier nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in anno 1767.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen so liegend als fahrenden unverändert, verändert und theilbaren Haab und Vermögenschaft, so Weil. H. Johann Jacob Reuter, der geweßene Meelhändler und Burger allhier nunmehro seel. nach seinem Dienstag den 13.ten 8.bris dieses laufenden 1767.sten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen hintritt nach sich Verlaßen. Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetzten dato Auf freundliches Ansuchen und Begehren des Verstorbenen seel. ab intestato verlaßener und hernach benandter Erben, wie auch deren respê geordnet und geschworenen Vogts, so dann der Ehren und Tugendsamen Frauen Susanna Dorothea Reuterin gebohrner Göbelin der hinterbliebenen Fraun Wittib beÿständl. H. Joh: Jacob Beckert des geschwornen Hagknechts und burgers alhier nach Ordnung ersucht und inventirt worden. Zuvorderist aber haben erstgemelte die hinterbliebene Frau Wittib und Erben, wie auch Jgfr. Catharina Sophie Stielmännin mehrgemelter Fr. Wittib beÿ sich habende Baaß so dann Catharina Schwartzin die von Barr gebürtige Dienstmagd (…) ane Eÿdestatt angelobt (…)
So geschehen alhier Zu Straßburg in einer an der Viehegaß gelegener hiehero eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerm veschriebenen Behaußung in Beÿsein S. T. H. Christian Ludwig Bäcker J.V. Lti und E. E. Kleinen Raths alhier wohlverdienten beÿsitzers, als des aus deßen Mittel Zu dieser Verlaßenschafft Geschäfft ernannten Hn Deputati, Sambstag den 7.. Novembris 1767.
Benennung der Erben. Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu seinen rechtmäsigen Erben Verlaßen. 1. Johann Adam Reuter, der Burger und Ackersmann zu Odenheim, 2. Johann Friderich Reuter, den ebenmäßigen burgern und Ackermann daselbst. 3. Diebold Reuter, den Burgern und Wurth Zum Wolf zu Nonnenweÿer, welcher persönlich zugegen, sowohl seine eigene als auch erstgemelter seiner beeder brüder Interresse in Kraft (…) Vollmacht, hiebeÿ bestens besorget und 4. Johannes Reuter den verschollenen Ackersmanns und burgern Zu geachtem Odenheim, oder im fall derselbe nicht mehr hiehero käme oder gar nicht mehr beÿ Leben wäre, nachgemelte deßen ehelich erzeugte dreÿ Kindern, Namens und 1° Anna Maria in den 18.den Jahr ihres Alters stehend, 2.do Johannes, so 16 Jahr zurückgelegt und 3.tio Maria Magdalena in den 14.de Jahr ihres alters stehend, Als in welcher Namen H. Diebold Reißer der frantzösische Beck und burger alhier, deroselben geordnet und geschworenen Vogts, sothanem Erbgeschäft persönlich beÿgewohnet und deroselben interesse dabeÿ bestens beobachtet, Alle vier des verstorbenen seel. hinterlaßene leibl. Brüdere und respe. Bruders Kindere und ab intestato Zu vier gleichlingen portionen und Stammtheil. hinderlaßenen Erben

Eigenthum ane einer Behausung. Nämlich eine Behaußung und Hoffstatt it allen deren Gebäuden, begriffen,, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Viehgaß, einseit neben Johannes Huter dem frantzösischen Becken, anderseit neben Niclaus Ottman dem Ohlman, hinten auf gedachtem Huter stoßend, davon gibt man jährlich den Edlen von Oberkirch 3 ß 4 d ane Bodenzinß sonsten aber und außer den darauf hafftende und hernach passivé eingetragenem Capitali gegen männiglichen freÿ ledig eigen und Zufolg der beÿ dem Concept befindlichen unterschriebenen Abschatzung vom 9.ten Novembris 1767. durch (die Werckmeistere) abgeschätzt und angeschlagen worden vor und um 1000 lb. Wird nun davon im Abzug gebracht obigen Bodenzinßen doppelter Capitals betrag. mit 6. 6. 8, So verbleibet von obigem Anschlag hier auszuwerfen annoch übrig 991. 13. 4. Hierüber ist besagend vorhanden ein deutscher pergamentener in allhiesiger Cantzleÿ: Contract stub gefertigter und mit deroselben aufgetrucktem kleinerem Innsiegel verwahrter Kauffbrieff de dato 19.ten Jan. 1767. ausweißend, wie daß beede nun zertrennte Ehepersonen sothane Behausung von H. Johann Michael Kammerer dem Weinhändler und B. alhier käuflichen an sich gebracht. Ansonsten sind auch noch verschiedene alte Pergamentene Kaufbrief vorhanden, welche darüber Meldung thun.
Ergäntzung der Hinterbliebenen Fraun Wittib währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Beÿ Durchgehung des über beeder nun Zertrenten Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachten Vermögenschaften durch nun Weil. H Notarium Abraham Kolb den 18. Aprilis auffgerichteten Inventarii (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Hinterbliebenen Frauen Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 28, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 8, Sa. der goldenen Ring 80, Sa. der Ergäntzung 899, Summa summarum 935 lb
Demnach wird auch der Erben unveränderte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 90, Sa. der Ergäntzung 320, Summa summarum 411 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 361 lb
Endlichen so wird auch die gemein und Theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 252, Sa. früchten und Meel wie auch Schiff und geschirrs zum Meelhandel gehörig 105, Sa. Weins und leeren faß 81, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. Eigenthums ane einer behausung 991, Sa. Schulden 251, Summa summarum 1719 lb – Schulden 2469 lb, In Vergleichung, Theilbares passiv onus 750 lb
Beschluß summa nach dem wahren werth 546 lb – Beschluß Stall Summa 349 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen auf Dienstags den 5.ten 9.bris 1748, Abraham Koln, Notarius juratus
Copia Codicilli nuncupativi – persönlich kommen und erschienen der Ehren und Vorachtbare Herr Johann Jacob Reutter der Weißbeck und Burger alhier Zu Straßburg von Verleÿhung göttlicher Gnade aufrichten gesund gehend und stehenden Leibes,auch guter berständiger Sinnen (…) Zweÿtens will der H Codicillatpr hiemit seiner hertzgeliebten Ehegattin Fraun Friderica Dorothea Reiterin gebohrner Göbelin (…) den general usum fructum Nutz und Nießung aller seiner nach tod über abzug bekannter Schulden Verlaßender Haab Nahrung und Güthere bestimmet und anverschafft habe (…) So beschehen auf Donnerstag den 12. Junii Abends Zwischen Acht und Neun Uhren

La veuve fait vendre des effets mobiliers
1768, Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 860) n° 33
Verkauf: und Erlöß: Register über Verschiedene hausräthliche Effecten und andere Mobilien, welche der Viel Ehren: und tugendsamen Fraun Fridericæ Dorothæ Reuterin gebohrner Göbelin Weil. H. Joh: Jacob Reuter des gewesenen Meelhändlers und burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterlaßener Wittib eigenthümlich Zugehörig waren

Les héritiers de Jean Jacques Reitter cèdent la maison à la veuve moyennant 2 250 florins (1 125 livres)

1767 (12.11.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 860) Joint au n° 32 du 7 nov. 1767
(f° 5) Eigenthum ane Einer Behausung so theilbar betreffend. Solches ist wie in dem Inventario fol: (-) zusehen von den H Werckmeistern abgeschätzt und angeschlagen worden um 1000 lb. Es ist aber dieselbe dermalen der hinterbliebenen fraun Wittib von den samtichen Erben und deren respê Vogt wie in die hernach stehende Cession Zusehen cedirt und abgetretten worden um die Summa der 2250 pfund
Cessio vorstehender Behausung – Vor dem unterschriebenen geschwohrnem Notario als dem Verfaßer und Besitzer Weil. H. Joh: Jacob Reuter des gewesenen Meelhändlers und Burgers alhier seel. Verlaßenschafft Geschäfft und heutigem Zu End gesetztem Dato persönlich erschienen Johann Adam und Johann Friderich Reuter, beede burgere und Ackersmännern zu Odenheim, ferner Diebold Reuter der Burger und Würth Zum Wolf Zu Nonnenweÿer, dieser dreÿ leibiche Brüeder und Zu dreÿ gleichen Stammtheilen verlaßene Erben, so dann H. Diebold Reißer der frantzösische Beck und burger alhier als geordnet und geschwohrner Vogt Johannes Reuter des verschollenen Burgers und Ackersmanns Zu gedachten Oderheim ehelich erzeugter dreÿ Kinderen als Zu dem vierten und letzten Stammtheil obgemelten Hn Joh: Jacob Reuter seel. Verlaßenschafft ab intestato verlaßener Erben, welche vier Comparenten
in gegensein der Viel Eren und Tugendsamen Fraun Fridericæ Dorotheæ Reutterin gebohrner Göbelin, der dißorts hinterbliebenen fraun Wittib (…) wie daß sie ihro Frauen Reuterin und Wittib in Erbsweiße cedirt abgetretten und überlaßen, welche auch beÿständl. H. Joh: Jacob Beckert des geschwornen Haagknechts und burgers alhier also acceptirt und angenommen zu haben bekannte
die ihren Comparenten und Cedntin tam proprio quam Curatorio Nomine Erb und eigenthümlich gehörige Zwen Dritte Theil vor unvertheilt von und ane einer Behausung und Hoffstatt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Viehgaß, 1.s.t neben H. Johannes Huter dem frantzösischen Becken, anderseit neben Hn Niclaus Ottman dem Ohlmann, und hinten auf gedachtem Hn Huter stoßend, wovon man jährlich denen Edlen von Oberkirch 3 ß 4 d ane Bodenzinß zu reichen pflichtig (…) die gantze behausung Zu 2225 Pfund gerechnet, vor und um 816 pfund – So geschehen alhier Zu Straßburg (…) Straßburg den 12.ten Novembris Anno 1767.
copie, 94 Z 4 – Enregistré à la Chambre des Contrats, vol. 642, 6 février 1768 f° 86 – auf Ansuchen Fr. Dorotheæ Fridericæ Reuterin geb. Göbelin, nachstehende Erbscession

Frédérique Dorothée Gœbel vend la maison au confiseur Jean Guillaume Schuler et à sa femme Marguerite Barbe Vogt ; vente préliminaire devant notaire puis vente définitive à la Chambre des Contrats

1767 (26.11.), Not. Schaeff (6 E 41, 875) n° 20 (I)
Praeliminar Kauff – Frau Friderica Dorothea Reuterin geb. Göbelin weil. H. Joh: Jacob Reuter des gewesten Meelmanns wittib beÿständlich H Joh: Jacob Bieckert des geschwornen haagknechts
an H. Johann Wilhelm Schuler dem Zuckerbeck und Fr Margarethæ Barbaræ geb. Vögtin beiständlich H Joh: Jacob Vogt des Lang Meßerschmidts deroselben leiblichen H. Vaters
eine ane der sogenannten Viehegaß gelegene behausung und hoffstatt mit allen deoselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten samt denen ligerlingen in dem Keller, einseit neben Johann Hüther dem frantzösischen becken anderseit neben H Nicolaus Ottmann dem ohlmann, hinten auff gedachten Hüther, welche behausung der Fraun Verkäuferin aus ihres Ehemanns seel. theilbaren Verlaßenschafft herrürhig daran ihro als participantin sothaner theilbaren Verlaßenschafft ein dritter theil eigenthümlich zuständig ware, die übrige zween dritte theil aber ihro von ihres Ehemanns seel. Erben zufolg der vor mir den Notario aufgerichteten Erbs Cession cedirt und abgetretten worden um 1000 pfund – davon gibt man 3 ß von dem herausgehenden Altan so H. von Oberkirch jährlich zu empfangen hat – um 1611 pfund
(Chambre des Contrats, vol. 642 f° 46)

1768 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 46
Fr. Friderica Dorothea geb. Göbelin weÿl. Johann Jacob Reuter gewesten meelhändlers wittib mit beÿstand Johann Jacob Bickert des haagknechts
in gegensein H. Johann Wilhelm Schuler des Zuckerbäckers
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Viehgaß, einseit nebenJohann Hüther dem becken, anderseit neben Nicolaus Ottmann dem ohlmann, hinten auff gedachten Hüther davon gehen den Edlen von Oberkirch 3 ß 4 d ane bodenzinß – um 2250 pfund

Fils du boucher Jean Schuler de Tubingue, Jean Guillaume Schuler épouse en 1767 Marguerite Barbe Vogt, fille du coutelier Jean Jacques Vogt : contrat de mariage, célébration
1767 (19.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 261
Eheberedung – persönlich erschienen der Wohl Ehren vnd wohlachtbahrr herr Johann Wilhelm Schuhler, der ledige Zuckerbeck und burger dahier, Hn Johann Schuhler des Metzigers und burgers zu Tübingen ehelichem Sohn, als hr. hochzeiter ane einem,
und die Viel Ehren: und Viel Tugendbegabte Jungfer Margaretha Barbara Vogtin, des Wohl Ehren Vest und Kunst Erfahrnen herrn Johann Jacob Vogt, des Lang Meßerschmidts und burgers alhier ehelich erziehlte Jungfer tochter, als Jungfer Hochzeiterin ane dem andern theil
Actum allhier Zu Straßburg (…) auf Sambstag deb 19. Septembris Anno 1777. [unterzeichnet] Johann Wilhelm Schuler als Hochzeitern Margaretha Barbara Vogtin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 66, n° 24)
1767. Mittwoch den 14. Weinmonath sind nach ordentlich geschehenen Ausruffungen in der Kirch Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Wilhelm Schuler, der ledige Zuckerbeck alhier, Johannes Schuhler des Metzgers und Burgers Zu Tübingen mit deßen Ehefrauen Maria Dorothea geborner Rödenbachin, ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Margaretha Barbara, Hn Johann Jacob Vogt, des Lang Meßerschmidts und burgers alhier mit deßen Ehefrauen Catharina Margaretha geborner Hattin, ehelich erzeugter tochter [unterzeichnet] Johann Wilhelm Schuler als Hochzeiter, Margaretha Barbara Vogtin als Hohzeiterin (i 69)

La tribu du miroir délivre à Jean Guillaume Schuler une proomesse d’admission
1767, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 248-v) Samstags den 11. Julii 1767 – Vertröstung
Hr Johann Wilhelm Schuler, der ledige Zuckerbeck, des Johannes Schulers, burgers und Metzgers Zu Tübingen ehl. Sohn, producirt glaubwürdigen Lehrbrieff von H. David Friderich Ammermüller den 26. februarii 1763. ertheilt, mit bitte Ihn Schein an E. E. großen Raht zu geben, daß man ihn nach gnädig erlangtem Burgerrecht dißorts leibzünfftig als Zuckerbeck aufnehmen wolle.
Nach eingesehenem producto und daraufhin gehaltener Umbfrag Erkannt, Willfahrt.

Jean Guillaume Schuler devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 130-v
Johann Wilhelm Schuler, Zuckerbeck von Tübing. geb. erhalt dass burgerrecht von seiner Ehefr. Marg. Barbara, Johann Jacob Vogt des lang Meßerschmidts und burgers allhier ehel. tochter um de alten burger schilling, sill dienen beÿ E.E. Zunddt Zum Spiehel, Jur. eodem [4. Xbr 1767]

Jean Guillaume Schuler devient tributaire au Miroir le 19 décembre 1767.
1767, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 259-v) Sambstags den 19. Decembris 1767 – E. Leibzünfftiger
Hr. Johann Wilhelm Schuler ist nunmehr auf producirten Burger: und Stallschein vom 3. & 5. hujus gegen Erlag drei pfund Zehen Schilling dißorts leibzünfftig als Zuckerbeck aufgenommen worden. prom: obed. (dt. 3. lb 10 ß, 3 ß Findl.)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Bouchers. Ceux du mari s’élèvent à 311 livres, ceux de la femme à 868 livres.
1767 (3.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 809) n° 474
Inventarium über des Wohl Ehren: und Wohl vorachtbahren Herrn Johann Wilhelm Schuhler, des Zuckerbecken und der Viel Ehren: und Viel tugendbegabten Frauen Margarethä Barbarä Schuhlerin geb. Vogtin, beeder Eheleuthe und burgere dahier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet, in Anno 1767. – welche der Ursachen, aldieweilen in ihr beeder Eheleuthe Vor mir Notario d. 19.ten 7..brus 1767. mit einander errichteter heuraths Verschreibung Ppho 3.tio expresse enthalten, daß eines jeeder in die Ehe bringen Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle
So beschehen allhier Zu Straßburg in fernerem beisein Hn Johann Jacob Vogt, des lang Meßerschmids und burgers dahier, der Ehefrauen gebiebten H. Vatters und dißorths beistandts, auf Donnerstag den 3.ten Decembris Anno 1767.

In einer allhier Zu Straßburg beÿ dem Metzger Gießen neben dem gasthauß Zum (-) gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behausung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Haußraths 19, Sa. Silbers 6, Sa. golds 30, Sa. baarschafft 169, Summa summarum 225 lb – helffte an denen Haussteuren 86, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 311 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. haußraths 177, Sa. Silbers und dgl. Geschmeids 30, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 52, Sa. Baarschafft 522 lb, Summa summarum 782 lb – helffte an denen Haussteuren 86, der Ehefrauen in die Ehe gebracht Gut in vero pretio 868 lb.

Jean Guillaume Schuler meurt en 1780 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison à 1 000 livres. La masse propre à la veuve est de 732 livres, celle des héritiers de 242 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 610 livres et le passif à 1 891 livres.

1780 (9.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 827) n° 884
Inventarium über Weiland H. Johann Wilhelm Schuhlers, des geweßenen Zuckerbecks und burgers allhier Zu Straßburg nun seeligen Verlaßenschafft errichtet in Anno 1780. – nach seinem Freÿtags den 17.ten Martÿ dießen lauffenden 1780.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft inventirt worden auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Frn Margarethæ Barbaræ Schuhlerin, geb. Vögtin der hinterbliebenen Fr. Wittib, beiständlich Hn Friderich Von Zabern, des Glaßers und burgers allhier, Wie auch Hn David Voltz des Caffeesieders und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä, Johann Wilhelm, Johann Jacob, Louisæ Saræ, Johann Friderich und Gottlob, der Schuhler, des Verstorbenen Hn seeligen mit Vorgemelden seiner hinterbliebenen Fr. Wittib ehelich erziehlter Sechs Kinder und ab intestato Zu Sechs gleichlingen portionen und antheilern Verlaßener Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Dienstag den 9. Maÿ 1780.
Copia Beeder Zertrennten Ehepersohnen vor mir Notario d. 19.ten Septembris 1767. mit einander errichtetes heuraths: Verschreibung

In einer allhier zu Straßburg ane der Dauphine Gaß gelegenen und in dießer Verlaßenschafft gehörigen behausung befunden worden als folgt.
(f° 13-v) Ergäntzung der Hinterbliebenen Wittib wehrend dißer Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths ; Zufolg der über beeder Zertrennter Ehepersohnen einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen dh. mich unterschriebenen Notarium in aô 1767. errichteten Inventarÿ
(f° 15) Eigenthumb ane einer behausung. (T.) Nembl. eine behaußung und hoffstatt mit allen Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Dauphinegaß, 1. s. neben weil. Johann Huter, des geweßenen frantzösischen becken vnd burgers allhier seel. nachgelaßenee Wittib, 2. s. neben Niclaus Ottmann, dem Ohlmann und E. E. Großen Raths allhier altem beisitzern hinten auf gedachte huterische wittib und Erben stoßend, davon gibt man jährl. denen Edlen von Oberkirch 3 ß 4 d ane bodenzinß sonsten aber außer hernach eingetragenen daroben hafftenden Passiv: Capitalien gegen männiglichen freÿ, leedig, eigen und durch löbl. Statt Straßburg geschwohrnen werckheuthe vermög des Zum Concept geliefferten Abschatzung Zeduls vom 29.ten Aprilis 1780. gewürdiget pro 1000 lb. Abgezogen der darüber hafftende beeden Zinnß von 3. ß 4 d so Zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 8. lb 6 ß 8 d, restiret noch auszuwerffen 991. 13. Dießerwegen ist vorhanden einen in allhiesiger CC stub gefertigter teutscher pergamentener Kauffbrieff mit dero fürgedruckten Insiegel Versehen sub dato 19.ten Januarÿ 1767.
(f& 16) Series rubricarum Hujus Inventarii. Der Fr. Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Hßraths 42, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 10, goldener Ring und dergleichen Geschmeids 10, Sa. der Schuld 75, Sa. der Ergäntzung 594, Summa summarum 732 lb
Der Erben Guth, Sa. Haußraths 63, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 2, Sa. Goldener Uhr 7, Sa. der Ergäntzung 243 – Summa summarum 317 lb – Schuld 75, Nach solchem abzug 242 lb
Das theilbahre Guth, Sa. Haußraths 168, Sa. Gewerbs Waaren 235, Sa. Weins und leerer Faß 40, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 77, Sa. goldener Ring 13, Sa. Baarschafft 81, Sa. Schuld 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 991 – Summa summarum 1610 lb – Schulden 1891, In Vergleichung, Passiv onus 281 lb
Stall Summ 693 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 200 florins (600 livres) sur un total de 1 700 florins
1780, Livres de la Taille (VII 1180) f° 274-v
Spiegel N° 4897 – Weÿl. Johann Wilhelm Schuhlers des geweßenen Zuckerbecks und Burgers allhier Verlaßenschafft invent. H. not. Lobstein
Concl. final. Invent. Ist fol. 93.b, 693 lb 7 ß 4 ¾. d adde die in vorigen Jahr angelegte a 4 pro Cento angelegte 109. lb so thut dießelbe 862. lb die machen 1700 fl. verstalte 500 fl. Zu wenig 1200. fl.
Wovon nachtrag 8. Jahr in duplo a 3 lb 12 ß – 20 lb 16 ß
und 6. Jahr in simplo – 10. 16
Ext. Stallgeldt 1779 – 2. 2.
Geb. 2 ß 10 d
Abhandlung – 1. 12. 6. Summa 41 lb 9 ß 4 s
die helffte ane dem nachtrag gelaßen verbleibt 22 lb. 13 ß 4 s
dt. 17. Julÿ 1780.

Marguerite Barbe Vogt se remarie en 1783 avec le confiseur Jean Frédéric Schmidt, natif de Hermaringen près de Heidenheim en Wurtemberg et fils du bailli Louis Ferdinand Schmidt : contrat de mariage, célébration
1783 (29.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 530
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und Wohlvorgeachte herr Johann Friderich Schmidt der leedige Zuckerbeck weil. H Ludwig Ferdinand Schmidt, des gewesenen amtmanns in Düemeringen hertzog. Würtenbergischer Herrschafft nachgelaßener Sohn, als Hochzeiter ane einem
und die Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Fr. Margaretha Barbara Schuhlerin, geb. Vogtin, weil. H. Johann Wilhelm Schuhlers, des geweßenen ehemaligen Zuckerbecken und b. allhier seeligen nachgelaßenen Wittib beiständlich Hn Jacob Friderich von Zabern des glasers und burgers allhier dero Schwagers als hochzeiterin, ane dem andern theil, die Zeigten beederseiths an, wie daß Seis ich mit Consens des H. Hochzeiterers auch ohnentledigten Vogts H. Hehr des Stattschreiber in Tübingen
So beschehen (…) auf Freÿtag den 29. Augusti a° 1783 [unterzeichnet] Johann friderich Schmidt als Hochzeiter, Margaretha Barbara Schulerin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 78-v, n° 29)
1783 Montag den 22. Septembris sind nach ordentl. geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St. Nicolai ehel. eingesegnet worden H. Johann Friedrich Schmidt, lediger Zuckerbecker allh. weil. H. Ferdinand Ludwig Schmidt gewesenen Amtmanns in Hermaringen Heidenheimer Ober Amts nachgelaßener ehel. Sohn, und Fr. Margaretha Barbara geborne Vogtin, weil. H. Johann Wilhelm Schuler gewesenen Zuckerbeckers u. Burgers allh. nachgelaßne Wittib, [unterzeichnet] Johann Friderich Schmidt als Hochzeiter, Margaretha Barbara Schulerin als Hochzeiterin (i 83)

La tribu du Miroir délivre une promesse d’admission à Jean Frédéric Schmidt pour qu’il puisse devenir bourgeois
1783, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 306) Dienstags, den 9. Septembris 1783 – Vertroestung
Joh: Friderich Schmid, der Von Hermaringen bei Heidenheim gebürtige herzoglich Würtembergische Ambtmanns Sohn, stehet vor producirt ein d. 3. hujus von H. Joh: Georg Hehl, dem Kaiserl. Not° in Tübingen ausgesteltes und von dasigem löbl. Magistrat legalisirtes glaubwürdiges Attestat, kraft deßen er die Conditorei und Spezereihandlung bei H. Elias Gottfried Fischer allda gelernet, bittet um Ertheilung des Zu Erlangung des hiesigen Burgerrechts erfordetlichen Vertröstungscheins
Nach eingesehenem producto erkannt, willfahrt als Zuckerbäker.

Jean Frédéric Schmidt devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1783, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) p. 26
Joh. Friederich schmid der Zuckerbeck von herrmaring. auß dem Württenberg. gebürtig weÿland H Ludwig Ferdinand Schmidt gesesten ambtmans daselbst hinterlaßener ehl. sohn, verheurathet mit fr. Marg. Barbara geb. Vogtin, Johann Wilhelm schuhlers burgers Barbar Zuckerbecken allher hinderlaßen. wittib erhalhet das Burgerrecht ab uxore Umb d. alt. burger schilling Will dienen Zur E. E. Zunfft Zum spiegel juravit d. 6. 9.bris 1783.

Jean Frédéric Schmidt devient tributaire au Miroir le 20 décembre 1783.
1783, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 310) Samstags, den 20. Decembris 1783 – E. Leibzünfftiger
Joh: Friderich Schmid wurde nunmehr auf producirten Kanzlei- u. Stallschein vom 5. 9.br. letzthin gegen Erlag 3. lb. 10. ß leibzünfftig als Zuckerbäker angenommen. prom (dt. 3. lb. 10. ß, 12. ß Findl.)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient pour moitié à l’épouse et pour moitié à ses enfants du premier lit. Les apports du mari s’élèvent à 621 livres, ceux de la femme à 6 446 livres.

1783 (29.10.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 830) n° 985
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren Hn Johann Friderich Schmid, des Zuckerbecks und der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frauen Margarethä Barbarä Schmidin, geb. Vogtin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1783 – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder wohlgedachter Ehepersohnen vor mir Notario den 29.ten Augusti dießes mauffenden 1783.sten Jahrs mit einander errichteter Heuraths: Verschreibung Ppho 3.tio expresse enthalten, daß eines jedem in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen allhier Zu Straßburg angefangen auf Mittwoch den 29. Octobris und complirt den 31.ten Ejusdem Anno 1783.

In einer allhier zu Straßburg ane der Dauphine Gaß gelegenen und in der Ehefr. ohnveränderte Nahrung Zur Helffte gehörigen behausung befunden worden als folgt.
(f° 10) Antheil ane einer behausung. (F.) Nembl. die helffte Vor ohnvertheilt Von: und ane einer behaußung und hoffstatt, mit allen Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Dauphinegaß, 1. s. neben weil. H: Dahler dem Schreiber, 2. s. neben weil. Hn Nicolai Ottmann, des geweßenen Ohlmanns und E. E. Großen Raths allhier alten beisitzer nachgelaßener Wittib, hinten auf gedachte Dahlerische behaußung stoßend, davon gibt man jährlichen denen Edlen von Oberkirch und Zwar von der gantzen behaußung 3 ß 4 d. ane boden Zinß, sonsten aber außer hernach eingetragenen daroben hafftenden passiv: Capital gegen männigl. freÿ, leedig, eigen und ist die völlige behausung ohnpræjudicirlich gewürdiget, wie selbige beÿ Vergleich: Erörter: und Wittumbs: Aufrichtung über weil. Hn Johann Wilhelm Schuhlers des geweßenen Zuckerbecks und b. allhier Zu Straßburg der Ehefrauen Ersten Eheh. seel: in sothanen durch auch unterschriebenen Notarium gefertigtem und Vor dem Parten unterschriebenen Summarischen Calculo de dato 8.ten Augusti 1780. in rechnung gebracht worden pro 2612. lb, macht die hiehero gebührige helffte 1306. Und ist die übrige heffte den noch lebenden Fünff Kindern Erster Ehe gebührig, unter hernach sub rubrica Wittums: berechnung ein meherers. Über solche Völlige behaußung ist vorhanden eine in allhiesiger CC stub gefertigte teutsche pergamentene Kauffverschreibung mit dero fürgedruckten Insiegel Versehen sub dato 19.ten Januarÿ 1767.
(f° 14) Wittumb So die dißortige Ehefrau von weil. H. Johann Wilhelm Schuhler dem gewesenen Zuckerbeck und b. allhier Zu Straßburg, Ihrem Ersten Ehemann seel. theils lebens länglich und theils biß Zu der mit demselben erziehlter noch lebenden Fünff Kinder 20.jährigen Alter oder vorhergegangener Verheurathung gegen dero gebührigen Education und Alimentation zu genießen berechtiget (…) Erstl. mit der helffte der behausung (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Eheheren in die Ehe gebracht Guts, Sa. Haußraths 7, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 23, Sa. Golden Geschmeids 30, Sa. Schuld 527, Summa summarum 588 lb – Dazu gelegt die Helffte verehrter Haussteuren 33 lb, des Eheh. in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 621 lb
Der Ehefr. in die Ehe gebracht Guth, Sa. Haußraths 948, Sa. Gewerbswaaren 704, Sa. Weins und leerer Faß 76, Sa. Victuatien 49, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 104, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 65, Sa. Baarschafft 275, Sa. Pfenningzinß hauptguths 500, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1306, Sa. Schulden 5057 – Summa summarum 9137 lb – Schulden 2651, Nach solchem abzug 6446 lb

Marguerite Barbe Vogt meurt en 1828 en délaissant une fille et les enfants d’une autre fille.

1828 (22.1.), Strasbourg 2 (63), M° Weigel n° 5155
Inventaire de la succession de Marguerite Barbe Vogt, veuve en en premières noces de Jean Guillaume Schuler, confiseur, et en secondes de Jean Frédéric Schmidt, confiseur, décédée le 5 janvier dernier – à la requête de ses enfants petits enfants
I. Madeleine Barbe Schuler veuve de Jean Daniel Fischer, marchand de vins
II. 1. Auguste WolIenweber, confiseur demeurant à Leipzig représentant Jean Frédéric WolIenweber, confiseur, 2. Jean Frédéric WolIenweber, en son nom personnel, 3. Jean Daniel WolIenweber, confiseur tuteur naturel de 1. Julie, 2. Charles, enfants issus du mariage avec Louise Salomé Schuler
dans une maison rue Dauphine n° 12
Observations préliminaires, la défunte a recueilli la succession de Jean Frédéric Schuler son mari qui l’a institué légataire universelle par testament olographe du 11 mai 1819 enregistré le 30 juin 1827 F° 151, et inventaire dressé par M° Weigel le 19 décembre 1827
garde robe 145 fr – mobilier dans une chambre au second étage, dans le corridor, dans un petit cabinet à côté de cette chambre, dans une petite cuisine, dans la chambre de la servante, au grenier, au second grenier, au premier étage, dans une chambre à balcon, dans la chambre à côté, à la cave, dans la cuisine, dans les armoires au second étage 953 fr
Enregistrement, acp 187 F° 191 du 1.2.

Les héritiers vendent par adjudication la maison au fourbisseur Dominique Georges Ritzenthaler moyennant 10 600 francs

1828 (17.5.), Strasbourg 2 (64), Me Weigel n° 5371
Cahier des Charges, 10 avril n° 5289 – Adjudication préparatoire n° 5352 du 8 mai – Adjudication définitive sur surenchère – 1. Madeleine Barbe Schuler veuve de Jean Daniel Fischer, marchand de vin, 2. Marie Frédéric Wollenweber, confiseur, mandataire d’Auguste Wollenweber, son frère confiseur demeurant à Leipsig en Saxe, 3. Jean Daniel Wollenweber, confiseur à Strasbourg, père et tuteur légal de 1. Julie, 2. Charles ses enfants procréés avec Louise Salomé Schuler – Madeleine Barbe Schuler héritière pour moitié de de Jean Guillaume Schuler, confiseur, et de Marguerite Barbe Vogt décédée le 5 janvier 1828 veuve en premières noces du Sr Schuler et en secondes de Jean Frédéric Schmidt, confiseur
à Dominique Georges Ritzenthaler, fourbisseur
Désignation de l’immeuble. La maison à vendre est située à Strasbourg rue Dauphine n° 22, d’un côté M Bieth boulanger, d’autre M Zimmermann huilier devant la rue Dauphine, derrière le Sr Bieth – La propriété sera établie plus amplement lors de l’adjudication définitive – mise à prix 8000 fr
[pas d’indication de propriété à l’Adjudication définitive] 10.600 fr
Enregistrement, acp 189 F° 129 du 24.5.

Natif de Genève, Dominique Georges Ritzenthaler épouse en 1814 Marguerite Elisabeth Schuler, fille du farinier Jean Jacques Schouler
Mariage, Strasbourg (n° 327)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de cille de Strasbourg à six heures du matin, le 2 novembre 1814. Dominique George Ritzenthaler, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 avril 1789 à Genève (Léman) domicilié à Strasbourg, Garçon fourbisseur, fils de Martin Ritzenthaler, tailleur à Genève et de feu Jeanne Pernette Collet, décédée à Genève le 7 fructidor an VII, Marguerite Elisabeth Schouler, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 novembre 1792 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Jacques Schouler, farninier en cette ville et de Louise Marguerite Kalpfell, ci présente et consentante (signé) Dominique George Ritzenthaller, Margaretha Elisabeth Schuler (i 1)

Acte de notoriété
1844 (15.7.), M° Zeyssolff
Notoriété constatant l’identité de Georges Dominique Ritzenthaler, marchand de fayence à Strasbourg, et qu’il est décédé le 12 juillet 1844, qu’il n’a pas été dressé d’inventaire et qu’il a laissé sa seule héritière et légataire universelle Marguerite Elisabeth Schuler sa veuve suivant Testament enregistré et déposé en l’étude Zeyssolff le 12 du courant
acp 325 (3 Q 30 040) f° 76 du 16.7.

Acte de décès qui mentionne que le défunt est mort d’apoplexie.
Décès, Strasbourg (n° 1216)
Déclaration faite à l’hôtel de ville de Strasbourg le 12 juillet 1844 du décès de Dominique George Ritzenthaler, âgé de 55 ans, né à Genève, marchand de fayence, Epoux de Marguerite Elisabeth Schuler, domicilié à Strasbourg, mort et cette mairie le 12 du mois courant à une heure du matin dans la maison située 22, rue d’Austerlitz, fils de feu Martin Ritzenthaler, tailleur, et de feu Jeanne Pernette Collet, Premier déclarant, Jean Jacques Schuler, agé de 79 ans, ancien farinier, beau-père du défunt [in margine :] apoplexie (i 15)

Elisabeth Schuler se remarie en 1850 avec le cordonnier Mathias Sins, veuf d’Anne Hœrterer
1850 (11.1.), Strasbourg 15 (86), Not. Lacombe n° 6978
Contrat de mariage – Mad. Elise Schuler, veuve sans enfants en premières noces de Georges Ritzenthaler, vivant commerçant à Strasbourg où ladite dame demeure et est domiciliée, fille légitime de Jacques Schuler, farinier, et Marguerite Kalbfeld, son épouse, les deux décédés à Strasbourg, agissant et stipulant pour elle personnellement, comme future épouse
Et M. Mathias Sins, Cordonnier veuf sans enfants en premières noces de Anne Hoerterer, décédé à Strasbourg où ledit Sieur Sins demeurr & est domicilié, fils légitime de Jacques Sins, Cultivateur et de Marguerite Holtzinger, les deux décédés à Schallbach canton de Phalsbourg, agissant et stipulant pour lui personnellement, comme futur époux
acp 389 (3 Q 30 104) f° 71-v – Regime de la communauté de biens réduite aux acquêts
Les apports du futur époux consistent en un mobilier non estimé et une somme de 300 francs argent comptant
Les apports de la future épouse consisitent 1) en une somme de 700 francs argent comptant, 2) créances 1300, 3) un mobilier détaillé en l’acte, non estimé
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession du prémourant

Elisabeth Schuler, propriétaire de la maison entière suite au legs universel que son mari à fait en sa faveur, vend la maison par adjudication au chapelier Pierre Victor Chevallier moyennant 17 200 francs

1844 (11. Xbr), Strasbourg 9 (92), Me Becker n° 2546
Cahier des charges – fut présente Mad. Marguerite Elisabeth Schuler veuve de M. Dominique Georges Ritzenthaler, de son vivant fourbisseur à Strasbourg où elle demeure, agissant en son nom personnel tant comme ayant été commune en biens avec son dit mari défunt qu’en qualité de légataire universelle de ce dernier aux termes du testament olographe du dit défunt en date à Strasbourg du premier janvier 1836 (…) et déposé en l’étude de M° Zeyssolff notaire à Strasbourg en exécution de l’ordonnance de Mr le Président dudit tribunal (civil de Strasbourg). Le testament en question portant la mention suivante, enregistré à Strasbourg le 15 juillet 1844 fol. 54. Ladite Dame Ritzenthaler envoyée en possession de la succession de son dit mari, ainsi qu’il résulte d’une ordonnance de mondit sieur le Président du Tribunal civil de première instance de Strasbourg en date du 17 décembre 1844 (…)
Désignation. Une maison avec cave, puits et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue d’Austerlitz N° 22, tenant d’un côté à Mad. veuve Bieth et aux héritiers de son mari, de l’autre à Mme veuve Herrmann par derrière à la propriété desdits veuve et héritiers Bieth.
Etablissement de la propriété. L’immeuble cidessus désigné dépendait de la communauté qui a existé entre la D° comparante et son mari défunt en vertu de l’acquisition que ce dernier en avait faite pendant ladite communauté de Mad° Madeleine Barbe Schuler veuve de Mr Jean Daniel Fischer, en son vivant marchand à Strasbourg où elle demeure, 2° de Mr Jean Frédéric Wollenweber, confiseur, demeurant en la même ville, agissant tant en son nom que comme mandataire de Mr Auguste Wollenweber, son frère confiseur demeurant à Liepsig en Saxe, 3° et de M. Jean Daniel Wollenweber, aussi confiseur demeurant à Strasbourg ayant agi en qualité de tuteur légal de Julie Wollenweber et Charles Wollenweber, ses deux enfants alors encore mineurs, suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel, notaire à Strasbourg le 17 mai 1828, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques le 7 juin 1828 volume 212 N° 120 avec inscription d’office du même jour volume 101 N° 485 et 486. Le prix de cette acquisition était de 10.100 francs (…)
Lesdits veuve Fischer et enfants Wollenweber étaient propriétaires du même immeuble comme l’ayant recueilli dans les successions de M. Jean Guillaume Schuler, de son vivant confiseur à Strasbourg et de D° Marguerite Barbe Vogt, son épouse, leurs père et mère, ayeul et ayeule respectifs dont ils étaient héritiers savoir la D° Fischer pour une moitié et le enfants Wollenweber ensemble pour pareille moitié par représentation de D° Louise Salomé Schuler leur mère décédée épouse dudit Sr Jean Daniel Wollenweber, le tout ainsi qu’il est constaté quant à la succession de la D° Schuler née Vogt par l’inventaire qui en a été dressé par ledit M° Weigel le 22 janvier 1828.
Lesdits époux Schuler étaient eux-mêmes propriétaires de cette maison en vertu de l’acquisition qui ledit Jean Guillaume Schuler en avait faite pendant la communauté qui avait existé entre ces époux de D° Frédérique Dorothée Göbel veuve de feu Jean Jacques Reuter, de son vivant marchand de fer à Strasbourg, elle y demeurante suivant contrat de vente passé en la Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg le 22 janvier 1768 moyennant le prix de 2250 livres pfenning ancienne monnaie de Strasbourg (…)
Charges, clauses et conditions (…) Article deuxième. Sont compris dans la vente deux chaudières à lessive, les doubles fenêtres garnnissant la maison (…)
N° 2548. Adjudication provisoire, 12 décembre 1844 – Mise à prix de 16.000 francs
Mr Jean Gapp, instituteur de la paroisse de Sainte Madeleine à Strasbourg qui a porté le prix dudit immeuble à la somme de 16.100 francs
N° 2553, 19 décembre 1844. Surmise. – Jacques Frédéric Richshoffer, propriétaire, 16.300 francs
N° 2558, 23 décembre 1844, Surmise – Pierre Victor Chevallier, chapelier, 16.500 francs
N° 2559, 24 décembre 1844, Adjudication définitive – Pierre Victor Chevallier, chapelier, 17.200 francs
acp 330 (3 Q 30 045) f° 123-v du 18.12. cahier des charges – acp 330 (3 Q 30 045) f° 173-v, adjudication

Natif de Paris, Pierre Victor Chevallier épouse en 1830 Marguerite Salomé Gangloff
1830 (8.7.), Strasbourg 3 (81), Me Schreider n° 4559
Contrat de mariage – Pierre Victor Chevallier, chapelier à Strasbourg, fils de feu Jean Noel Chevallier, cuisinier, et de feu Emilie Mignon conjoints demeurant à Paris d’une part
Et Marguerite Salomée Gangloff, fille majeure de feu Jacques Gangloff, farinier à Strasbourg, et de Madeleine Proquer sa veuve d’autre part
Enregistrement acp 200 (3 Q 29 915) f° 45 du 10.7. – portant réserve d’apports et des habillemens et linges propres à chacun d’eux, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé
Le futur se constitue en dot une valeur mobilière de 4000 francs Et la future en pareille valeur 3000

Marguerite Salomé Gangloff meurt en 1850 en délaissant trois enfants

1850 (18.6.), Strasbourg 4 (105), Not. Lauth n° 4107
Inventaire de la succession et communauté délaissée par Marguerite Salomé Gangloff épouse de Pierre Victor Chevallier
A la requête de M. Pierre Victor Chevallier, chapelier, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre lui et dame Marguerite Salomé Gangloff, son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Schreider, alors notaire à Strasbourg, le 8 juillet 1830, dont une expédition sera ci après analysée, 2° à cause des reprises qu’il aura à exercer contre la dite communauté, 2° comme donataire en usufruit de la moitié de la fortune de sadite épouse aux termes du même contrat, 4° enfin comme père et tuteur légal de 1° Emilie Chevallier agée de 19 ans, 2° Victorine Chevallier agée de 14 ans, et 3° Victor Chevallier âgé de 3 ans & demi, ses trois enfants mineurs issus du mariage avec la dite défunte, Lesdits Emilie, Victorine et Victor Chevallier habiles à se dire et porter héritiers chacun pour un tiers de ladite Dame Chevallier née Gangloff leur mère. En présence de M. Jean Geistodt, marchand de draps demeurant et domicilié à Strasbourg, au nom et comme subrogé tuteur lesdits mineurs
ainsi que le tout se trouvera en une maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes N° 56 où la défunte est décédé le 2 mars dernier

Titres de la maison rue d’Austerlitz N° 22. Cote deuxième, trois pièces qui sont
La première est l’extrait d’un procès verbal dressé par M° Becker, notaire à Strasbourg, le 23 décembre 1844 à la requête de dame Marguerite Elisabeth Schuler veuve de M. Dominique Georges Ritzenthaler, de son vivant fourbisseur à Strasbourg, & contenant adjudication au profit de M. Chevallier d’une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue d’Austerlitz Numéro 22 pour le prix de 17.200 francs (…) transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 janvier 1855 volume 427 N° 40 & qu’il a été formalisé une inscription Volume 418 N° 267.
La secode pièce est l’expédition d’un acte reçu par ledit notaire Becker le 25 mars 1845 et contenant quittance (…). Les 15° à 18° pièces sont d’anciens titres de propriété de la maison
acp 392 (3 Q 30 107) f° 18-v (succession déclarée le 17 août 1850) Il dépend de la communauté 1) divers objets mobiliers et marchandises, le tout estomé 10.631
garde robe 164
acp 393 (3 Q 30 108) f° 27 – argent comptant 105, créances diverses 15.970, garde robe 164 – Passif 527 francs

Pierre Victor Chevallier vend la maison au charcutier Jean Georges Franck et à sa femme Elisabeth Groth moyennant 20 000 francs

1861 (5.12.), M° Noetinger
Vente par Pierre Victor Chevallier, chapelier à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel que comme mandataire d’Emilie Chevallier épouse d’Emile Boutrais Négociant à Paris, Victorine Chevallier, célibataire à Strasbourg agissant tant en son nom que comme se portant fort de Victor Chevallier, mineur
à Jean Georges Franck, charcutier, et Elisabeth Groth, sa femme à Strasbourg
d’une maison sise à Strasbourg rue d’Austerlitz n° 6 moyennant 20.000 francs dont 10.000 francs payés des deniers des acquéreurs et 10.000 francs des deniers d’Amélie Jundt, rentiète à Strasbourg
acp 505 (3 Q 30 220) f° 15 du 11.12.

Originaire de Calmbach en Wurtemberg, Jean Georges Franck épouse en 1857 Elisabeth Groth, native de Willstätt en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 558)
Du 24° jour du mois de novembre l’an 1857 à neuf heures du matin. Acte de mariage de Jean Georges Franck, majeur d’ans, né en légitime mariage le 27 septembre 1831 à Calmbach (Wurtemberg), domicilié à Strasbourg, Charcutier, fils de Jean Frédéric Franck, boucher domicilié à Calmbach, ci présent et consentant, et de Catherine Theurer, sans état, demeurant à Calmbach, et de Elisabeth Groth, majeure d’ans, née en légitime mariage le 10 juin 1828 à Willstett (grand duché de Baden) domiciliée à Strasbourg, servante, fille de feu Jacques Groth, brasseur décédé à Willstett le 14 août 1839 et de feu Barbe Fey, décédée à Willstett le 3 janvier 1853 (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage (i 22)

1857 (14.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 126 (3 Q 31 625) f° 28 du 19.11.
Consentement par les époux Jean Franck de Calmbach (grand duché de Bade) au mariage de leur fils Georges Franck avec Elisabeth Grotte de Wildstaett (Bade) les deux domiciliés à Strasbourg

Jean Georges Franck et Elisabeth Groth hypothèquent la maison au profit du marchand de vins Louis Auguste Bucherer. L’origine de la propriété est la même qu’aux actes précédents en version allemande. La police d’assurance jointe à l’obligation indique les matériaux de construction.

1875 (31.12.), Strasbourg 4 (144), Not. Charles Lauterbach n° 2750
Obligation – Erschienen Herr Johann Georg Franck, Metzgermeister und dessen von ihm hierzu ermächtigte gewerblose Ehefrau Elisabetha Groth, beide zu Straßburg wohnend, dieselbe erklären hiermit aufrichtig und rechtlicher Weise schuldig geworden zu seyn
An den hier anwesenden und acceptirenden Herrn Louis Auguste Bucherer, Weinhändler zu Straßburg wohnend, die Hauptsumm von 20.000 Franken oder 16.000 Mark
Verpfändung. Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und zwei Stockwerke, Keller, Brunnen, Rechten und Zubehörden gelegen zu Straßburg, Metzgerstrasse N° 22 alt und N° 6 neu, begrenzt einerseits von H. Bentz, anderseits Erben Bientz, hinten H.Bentz und Erben Bientz und vorn die Metzger Straße.
Nachweis des Eigenthums. I. Eheleute Franck erwarben dieses Anwesen von 1. Peter Viktor Chevallier, Hutmacher zu Straßburg wohnend, 2. Emilie Chevallier, Ehefrau von Emil Boutrais, Kaufmann, beide zu Paris wohnend und 3. Viktorine Chevallier, ledig, ohne Gewerbe zu Straßburg wohnhaft, laut Aktes errichtet durch den früheren Notar Viktor Noetinger zu Straßburg den 5. Dezember 1860 registrirt und transcribirt.
II. Dieses Immöbel gehörte zu der zwischen dem gedachten Peter Viktor Chevallier und dessen verstorbenen Ehefrau Margaretha Salome Gangloff bestehender Gütergemeinschaft und wurde von denselben erworben von Margaretha Elisabetha Schuler, Wittwe von Dominikus Ritzenthaler, zu Straßburg wohnend laut eines Versteigerungs-Protokolles des Notars Becker zu Straßburg vom 23. Dezember 1844, transcribirt im Hypothekenamte von Straßburg den 11. Januar des folgendes Jahres Band 427 N° 40 und von Amtswegen eingeschrieben am nämlichen Tage Band 419 N° 267.
III. Die bemeldete Frau Chevallier starb zu Straßburg den 2. März 1850 hinterlassend als einzige Erben an den obigen Eigenthum, woran ihr die Hälfte zustand, ihre gedachte Kinder, wie dies erhellt, zufolge Inventar des früheren Notars Lauth in Straßburg den 18. Juni und 23. Juli 1850.
IV. Obige frau Ritzenthaler wurde Eigenthümerin vorberührten Hauses wie folgt. a) eine Hälfte gehörte ihr schon in der zwischen ihr und ihrem bemeldt. verstorbenen Manns bestandenen Gütergemeinschaft, b) die andere Hälfte erhielt sie als eingesetzte Universal Legatarin ihres Mannes, laut dessen eigenhändigen Testaments de dato Straßburg den 1. Januar 1836, hinterlegt in der Schreibstube des Notars Zeysolff zu Straßburg in Vollziehung einer Ordonnanz erlassen durch den Präsidendten des Civilgerichts zu Straßburg vom 13. Juli 1745. Frau Ritzenthaler wurde eingewiesen in den Nachlass ihres Ehegatten, gemäß Ordonnanz des Präsidendten des Civilgerichts zu Straßburg den 7. Dezember 1845.
Wie hier oben gemeldet, gehörte das Pfandobjekt zu der zwischen den gewesenen Eheleuten Ritzenthaler Schuler bestehenden Gütergemeinschaft. Herr Ritzenthaler erwarb das obige Immöbel von 1) Magdalena Barbara Schuler, Wittwe von Jean Daniel Fischer, zu Straßburg wohenend 2) Jean Friderich Wollenweber, Zuckerbäcker daselbst wohnhaft, 3) August Wollenweber, Zuckerbäcker zu Leipzig wohend n° 4) Jean Daniel Wollenweber, Zuckerbäcker zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Vater und Vormund seiner zwei noch minderjährigen Kinder Julie und Carl Wollenweber, zufolge Versteigerungs Protokoll des früheren Notars Weigel zu Straßburg vom 17. Mai 1828, transcribirt im Hypothekenamte von Straßburg den 7. Juni darauf Band 212 N° 120. mit amtlicher Eintragung Band 191 N° 485 & 486.
V. Frau Wittwe Fischer und die gedachten Kinder Wollenweber waren Eigenthümer deselben Eigenthums indem sie dieselbe erhielten in der Verlaßenschaft von Jean Wilhelm Schuler lebend Zuckerbäcker zu Straßburg und von Margaretha Barbara Vogt, dessen Ehefrau ihre Eltern respective Großeltern von welcher sie Erben waren wie folgt. Frau Schuler-Fischer zur Hälfte und die Kinder Wollenweber zusammen für gleichen Antheil durch Repräsentation ihrer Mutter Louise Salomea Schuler verstorbenen Ehefrau von Jean Daniel Wollenweber, wie dies erhellet laut Inventar errichtet durch den frühern Notar Weigel den 22. Januar 1828.
VI. Eheleute Schuler-Vogt erwarben das obige Haus während ihrer Ehe von Friederika Dorothea Gobel, Wittwe des verlebten Mehlhändlers Johann Jakob Reuter zu Straßburg wohnhaft laut eines Kauffvertrages errichtet durch Chambre des Contrats der Stadt Strassburg den 22. Januar 1768.
Erklärung. Eheleuthe Franck erklären 1). daß sie verheurathet sind unter dem Rechtsverhältnisse des Gütergemeinschaft (…)
Im Jahre 1875 den 31. Dezember und 1876 den dritten Januar
(Police d’assurance) Compagnie du Soleil, Franck, Jean Georges, 20 avril 1873 n° 26.830, remplacement du N° 18.822. Prime annuelle 22,40
1° 40.000 francs sur une Maison d’habitation que Monsieur Franck occupe avec des locataires sise à Strasbourg Rue d’Austerlitz N° 6 sur cave, de Rez de chaussée, deux étages, mansardes, grenier construite en pierres, briques & pan de bois, couverte de tuiles
2° 20.000 francs pour la garantie du recours des voisins

Jean Georges Franck loue la maison au boucher célibataire Jacques Gangloff

1880 (2.9.), M° Pierron
Vermiethung – Johann Georg Franck, Metzger und Wurstler zu Straßburg
an Jacob Gangloff ledig Metzgerbursche zu Straßburg
ein Haus mit Brunnen, rechten und Zubehörden zu Straßburg Metzgergasse N° 6 mit Laden, Werkstätte im Erdgeschoß und drei Stockwerken, auf die Dauer von neun Jahren vom 25. September l. J. ab, um jährlich 2240 Mark
acp 705 (3 Q 30 420) f° 42 n° 1999 du 6.9.

Jean Georges Franck meurt en janvier 1882. La succession comprend deux maisons, l’une rue des Bouchers (rue d’Austerlitz) et l’autre place Broglie

1882 (12.4.), M° Lauterbach
Inventar über den Nachlaß des dahier am 14. Januar letzthin verlebten Johann Georg Franck
auf Ansuchen von 1. dessen Wittwe Elisabeth Groth, 2. des Nebenvormundes Johann Fürchtegott Theurer, Stationsassistent hier
acp 724 (3 Q 30 439) f° 98-v n° 172 du 12.4. (Sterbefall erkl. 13.7.82 Bd. 139 N° 204)
Immobilien der Gütergemeinschaft 1) Haus mit Zubehör dahier Broglieplatz N° 20 und Brandgasse N° 7
2) Haus mit Rechten & Zubehör dahier Metzgerstraße N° 6
Mobilien der Gemeinschafft geschätzt 4955, Kleider des Verlebten 148, Geschuldete Zinsen 708.

Donation de Jean Georges Franck en faveur de sa femme
1882, M° Lauterbach
13. Januar 1882 – Schenkung zwischen Ehegatten in welcher Georg Franck, ehemals Metzger hier zu Gunsten seiner Ehefrau Elisabeth Grott verheupt* über
1) das Eigenthum seines Antheil an den hausmobilien* der zwischen ihnen bestehenden Gütergemeinschaft
2) die lebenslängliche Nutznießung seines weiteren Nachlaßhälfte
Gestorben am 14 Januar 1882
acp 721 (3 Q 30 436) f° 85 n° 3609 du 19.1. (Sterbefall erkl. 13.Juli 82 Bd. 139 N° 204)

Elisabeth Groth meurt en délaissant deux fils

1885 (5.6.), M° Lauterbach
Inventar des Nachlasss der am 12. April 1885 hier verlebten Elise Groth Wittwe von Johann Georg Franck
Erben sind die beiden Kinder 1. Eduard Georg Franck, Eigenthümer hier 2. August Franck, minderjährig
acp 763 (3 Q 30 478) f° 87-v n° 1080 du 10.6. (Sterbefallerk. vom 9.10.85 Bd 148 N0 307)
Nachlass. Die Hälfte des gütergemeinschaftlichen Vermögens laut Inventars Lauterbach vom 12. April 1882 begreifend Ein Wohnhaus Broglieplatz N° 20 und Brandgasse N° 7
Ein Wohnhaus Metzgerstraße N° 6
Mobilien noch vorhanden 1645 – Passiva 141.055
Mobilien & Kleider 261, Passiva 2180 – Miethzins 176


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