8, quai des Bateliers


Quai des Bateliers n° 8 – IX 124 (Blondel), O 722 puis section 17, parcelle 26 (cadastre)

Maison zum Schnabel (au bec, à l’éperon). Maître d’ouvrage Xavier Berneck (étages, 1861) – Démolie en 1973


Le n° 8 est la maison la plus basse au milieu de l’image (vers 1970, AMS, cote 1 Fi 147) – Aspect en mars 2022

Appelée zum Schnabel (au bec, à l’éperon) en 1601, la maison à encorbellement est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du serrurier Paul Fischer. Une impasse qui mène aux maisons arrière la sépare du Chant des Oiseaux (zum Vogelgesang) à l’ouest. Paul Fischer s’endette, vend en 1603 à son voisin Noé Culmann la maison arrière qui sera à nouveau réunie au bâtiment avant en 1746. Originaire de Montbéliard, Pierre Bartol est le premier propriétaire fabricant de pâtés en 1617. L’affaire est reprise par son gendre Claude Marion. Le marchand Jean Martin Grimm rembourse le capital de plusieurs rentes assises sur l’immeuble, les préposés l’autorisent en 1661 à réparer son encorbellement. Les fabricants de pâtés sont ensuite Jean Haubenstricker (1689), Jean Thierry Herrmann (1692), Jean Guillaume Knoderer (1698) et Jean Adam Allheilig (1722). Le marchand de cuirs Jean Thiébaud Hetzel l’achète en 1727 et la cède à son fils Jacques Frédéric une douzaine d’années plus tard. Elle appartient ensuite au tonnelier Philippe Henri Kreider (1768-1798).
La maison arrière appartient aux fourbisseurs Georges Reimschüssel (1635), Geoffroi Reimschüssel puis Gérard Becker. propriétaire de la maison avant, Jean Guillaume Knoderer l’achète et la conserve après avoir vendu les bâtiments avant. Elle sera vendue par adjudication judiciaire à l’ingénieur du roi Bon de Billy et finalement réunie aux bâtiments avant en 1746.


Plan-relief de 1727. La maison est la deuxième à droite de la ruelle au centre de l’image (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 210 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve en (z’-a’’) : trois portes et une fenêtre au rez-de-chaussée (la porte de droite donnant accès à l’impasse qui dessert les bâtiments arrière), trois étages aux ouvertures irrégulièrement réparties, toiture à un niveau de lucarnes. La cour E montre une cour commune à l’arrière de la parcelle : côté à gauche de 5, côté est 5-6 et sud 6-7.
La maison porte d’abord le n° 43 (1784-1857) puis le n° 8.


Cour E

Le limonadier Xavier Berneck achète en 1859 la maison qu’il réunit à la voisine, l’ancien poêle des Bateliers dont elle partage ensuite la destinée. Il la fait en partie démolir en 1860 et reconstruire l’année suivante, le revenu passe de 225 à 354 francs. Les dessins préparatoires au plan-relief (1862) représentent la nouvelle maison : le rez-de-chaussée est identique mais les étages ont été reconstruits.
La démolition du bâtiment et la construction d’un nouveau sont traitées au n° 9.

mai 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Paul Fischer, serrurier, et (1587) Anne Schwartzkopff, d’abord (1567) femme de l’éperonnier Christophe Grünewald, puis Anne Appich – luthériens
1612 v Jean Müller, serrurier, et (1593) Salomé Mock puis (1611) Susanne Acker, d’abord (1608) femme du pasteur Wolffgang Sibenhorn – luthériens
1617 v Pierre Bartol, fabricant de pâtés, et (1595) Anne Sicard – luthériens
1631 h Claude Marion, fabricant de pâtés, et (1631) Catherine Barthol – luthériens
1649 h Jean Martin Grimm, marchand, et (1640) Catherine Barthel veuve de Claude Marion puis (1643) Marguerite Simon – luthériens
1689 v Jean Haubenstricker, fabricant de pâtés, et (1684) Anne Marie Wagner – luthériens
1692 v Jean Thierry Herrmann, fabricant de pâtés, et (1693) Marie Elisabeth Schudler – catholiques
1693 v Melchior Schwanfelder, fourbisseur, et (1673) Anne Ursule Baldner – luthériens
1698 v Jean Guillaume Knoderer, fabricant de pâtés, et (1696) Anne Marie Werner – luthériens
1716 v André Nuss, fournier, farinier, et (1688) Anne Marie Maag – luthériens
1722 v Jean Adam Allheilig, fabricant de pâtés, et (1707) Anne Marguerite Schlehenacker – luthériens
1727 v Jean Thiébaut Hetzel, tanneur, et (v. 1700) Julienne Elisabeth Mahler – luthériens
1739 h Jacques Frédéric Hetzel, tanneur, et (1731) Madeleine Helmstætter – luthériens
1768 v Philippe Henri Kreider, tonnelier, et (1742) Marie Marguerite Horchheimer d’abord (1739) femme du boutonnier Jean Garnier Antoni – luthériens
1789 v Georges Mehn, employé aux équipages militaires, et (1798) Anne Marguerite Dietrich
1820 v Louis Benjamin Desormes, marchand de fer, et (1802) Marie Salomé Korn, femme (1791) en premières noces du marchand Jean Hausser
1844 h Ernest Auguste Nestler, pharmacien, et (1822) Sophie Louise Desormes
1859 v Xavier Berneck, limonadier, et (1848) Marie Joséphine Frey puis (1880) Valentine Catherine Hœlg

Maison arrière (1603-1746)

Paul Fischer, serrurier, et (1587) Anne Schwartzkopff, d’abord (1567) femme de l’éperonnier Christophe Grünewald, puis Anne Appich – luthériens
1603 v Noé Culmann, brasseur, et Catherine Müller – luthériens
1615 v Ambroise Schneller, cordonnier, et (1607) Marthe Franck, d’abord (1599) femme du cordonnier Jean Frœreisen
1635 v Georges Reimschüssel, fourbisseur, et (1623) Chrétienne Herbst
1660* h Geoffroi Reimschüssel, fourbisseur, et (1659) Catherine Crassel
1690* h Gérard Becker, fourbisseur, et (1680) Anne Chrétienne Reimschüssel puis (1703) Anne Catherine Fesch
1713 v Jean Guillaume Knoderer, fabricant de pâtés, et (1696) Anne Marie Werner – luthériens
1720 v Bon de Billy, ingénieur du Roi, et Ursule Margueritte Madeleine Battaincourt – catholiques
1726 v Jean Jacques Eckert, batelier, et (1708) Anne Marguerite Stœrckel, (1728) Marie Cléophée Kuntz puis (1748) Marie Madeleine Kutz veuve de Bernard Bender, sergent municipal – catholiques
1746 v Jacques Frédéric Hetzel, tanneur, et (1731) Madeleine Helmstætter

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1050 livres en 1761
Maison arrière, 250 livres en 1713

(1765, Liste Blondel) IX 124, Jacques Fréderic Hetzel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Greiter, 3 toises, 5 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 722, Desormes, veuve – maison, sol – 2,25 ares

Locations

1611, Mathias Vogt, musicien
1641, Jean Michel Wolff, fabricant de pâtés
1642, Pierre Matthes, fabricant de pâtés, manant
1644, Nicolas Billinger, fabricant de pâtés
1688, Jean Haubenstricker, fabricant de pâtés (ensuite propriétaire)
1826, François Boitin, pensionnaire de l’Etat
1834, Jean Jacques Geng, tonnelier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 390-v
La maison appartient au serrurier Paul Fischer qui régle 5 sols pour un encorbellement (25 pieds de long, saillie de 3 pieds), un auvent (10 pieds de long, saillie d’un pied), un étal devant son atelier (7 pieds de long, saillie de 3 pieds). Les enquêteurs notent qu’il faut établir si l’impasse qui mène aux maisons arrière est terrain privé ou communal. Paul Fischer paie en outre deux sols pour poser des dalles de pierre, du sable et des gravats

Aber Vornen an dem Staden.
Paulus Vischer der Schloßer hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxv schu lang, iij schu herauß, Dar auff ein Wettertächle x schu lang, j schu herauß, Ein Laden vor der Werckhstatt vij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen v ß d.

Derselb Paulus Vischer hatt hinden ane disem noch Zweÿ Heüser alle en einander In dem Allmendschlpff neben dem Vordern Hauß, Vndt Ist derselbige Allmendtschlupff durch hin mit sochen 3. Heüsern /:allen:/ über bawen Ist, Zu Rechtfertigen ob solcher Schlupff Allmend seÿe od. Aÿgentumb, Vndt hirüber Er Vischer Zu beschickhen, Waß Er darumb vfzulegen, bessert.
[in margine :] zu beschicken vnd zufragen, ob diser Schlupff Allmendt seÿe oder nit ?

Er hatt sonsten auch daß Allmend vor seinem Hauß mit steinen Platten, Sand und Geröhr verschlagen, bessert darfür ij ß d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1661, Préposés au bâtiment (VII 1357)
Les préposés autorisent Jean Martin Grimm à réparer son encorbellement et à poser une nouvelle poutre au-dessous.

(f° 49-v) Sambstags den 18. Maÿ – Augenschein eingenommen vff begehren hanß Martin Grimmen, welcher entschlossen, an dessen behausung am Stad. neben der Zunfftstuben Zum Encker vnd dem Bierhauß Zum Vogelgesang, die Vorder Riegelwandt vnd vberhang Zu repariren vnd vnder dem Überhang neben d. alte gebälcke Newe getröme ein Zu Zieh. vnd ein Zu legen, Erkand, Würd Ihme in seinem begehren willfahrt.

Description de la maison

  • 1761 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est sous solives, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 2 200 florins.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Bâteliers

nouveau N° / ancien N° : 40 / 43
Maehn
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages mauvais en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 203 case 2

Desormes Louis veuve Marché aux poissons 16
Nestler Louise Sophie née Desormes à Strasbourg (1852)

O 722, maison, sol, quai des Bateliers 43
Contenance : 2,25
Revenu total : 226,17 (225 et 1,17)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 898 case 1

Nestler Louise Sophie née Desormes, rue du Vieux Marché aux poissons 16
1861. Berneck, Xavier, limonadier Quai des Bateliers 9
1891/92 Berneck Franz Xaver, die Kinder
1902 Berneck Franz Xaver Hÿpolit Maria, S. v. Franz Xaver in Häusern

O 722, maison, sol, Quai des Bateliers 8
Contenance : 2,25
Revenu total : 226,17 (225 et 1,17)
Folio de provenance : (203)
Folio de destination : 898, Démolition partielle
Année d’entrée :
Année de sortie : 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 6

O 722, maison
Revenu total : 137,17 (136 et 1,17)
Folio de provenance : 898
Folio de destination : 898, aug. de c.on
Année d’entrée : 1861
Année de sortie : 1864
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 7< 1861, Augmentations – Berneck Xavier limonadier f° 898, O 722, Maison, revenu 136, Démolition partielle en 1860 (voir ci-contre) , imposable en 1861, imposée en 1861
Diminutions – Nestler Louise Sophie f° 898, O 722, Maison, revenu 225, Démolition partielle en 1860, supp.en 1861

O 722, maison
Revenu total : 355,17 (354 et 1,17)
Folio de provenance : 898 aug.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1864
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 63 / 48
fenêtres du 3° et au-dessus : 38 / 34
1864, Augmentations – Berneck Xavier f° 898, O 722, Maison, revenu 354, Aug.on de C.on, achevée en 1861, imposable en 1864, imposée en 1864
Diminutions – Berneck Xavier f° 898, O 722, Maison, revenu 136, Aug.on de C.on, supp. en 1864

Cadastre allemand, registre 29 p. 194 case 6

Parcelle, section 17, n° 26 – autrefois O 722
Canton : Schiffleutstaden Hs N° 8
Désignation : Hf, 2 Whs
Contenance : 1,76
Revenu : 2500 – 2700
Remarques

(Propriétaire), compte 182
Berneck Fr. Xaver Hippolyt S. v. Fr. Xaver
1927 Zimmermann David et son épouse née Rab
(4468)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 315 Quai des Bateliers p. 504

43
Pr. Kreuter, Marie Marg., veuve – Tonneliers
Loc. Kreuter, Henri fils – Tonneliers
Loc. Kreuter, Fred. Jacq. adj. aux Archives
Loc. Kübler, Erneste Frederic – Cordonniers
Loc.Guimmeme, Catherine – Manante
Loc. Conrad, Louis – Manant
Loc. Fuchs, J. Jacques – Manant
Loc. Müller, Mathis – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schiffleutstaden (Seite 144)

(Haus Nr.) 8
Haupt, Tagner. 0
Schaub, Spezereihandlg. 0
Siegel, Rentner. 1
Birry, Wwe. 2
Hessler, Buchhalter. 2
Hopf, Fussgendarm. 3
Költze, Maler. H 1
Maus, Fortif.-Arbeiter. H 1
Kraemer, Schreiner. H 2
Schyry, Schlosser. H 2
Cornet, Büglerin. H 3
Keil, Tagner. H 3
Kleiner, Wwe. H 3
Stefan, Telegr.-Leitungsaufseher. H 3
Diemer,Tagner. H 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 223)

8, quai des Bateliers (1873-1969)

Le dossier contient les pièces ordinaires (ravalements, Commission contre les logements insalubres). Certaines ont trait au numéro 9 qui appartient au même propriétaire.
La société Crémo (Crédit mobilier, magasin d’ameublement) quitte en 1936 le 12, Faubourg National pour s’installer dans les locaux qu’elle quitte en 1957. E. Schlingermann (magasin d’alimentation) fait poser un store en 1942. La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 11 août 1944. La S.C.I. Bateliers-Rohan achète l’immeuble le 4 avril 1966.

Sommaire
  • 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom de M. Berneck que le plombier Ohl soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs
  • 1900 – Le maire notifie le gérant Werlé (demeurant à Logelbach près de Colmar) de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique aux numéros 8 et 9. Les volets du n° 9 ont été modifiés mais pas ceux du n° 8 – Le gérant déclare qu’il a fait modifier tous les volets. La Police du Bâtiment constate qu’il y a des volets pliants, novembre 1901.
  • 1900 (décembre) – Rapport suite à un feu de cheminée
  • 1902 – Le maître maçon Ludæscher (6, rue du Coq) demande l’autorisation de poser un chaudron devant la maison pour asphalter la cour. – Accord – Travaux terminés, juin
  • 1908 – Rapport suite à un feu de chambre – La Police du Bâtiment note que la construction n’en a pas souffert.
  • 1912 – Le maire notifie Xavier Berneck (demeurant 31, rue Sleidan, corrigé en 2, rue Murner) de faire ravaler la façade
    Le peintre en bâtiment Auguste Schuler (5-7, rue du Soleil) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – Travaux terminés, juin 1912
  • 1917 – Dossier ouvert suite à un courrier de la direction des pompiers de la garnison qui demande des renseignements sur la maison (gérant A. Lidy, 48, Faubourg de Pierre) – La Police du Bâtiment répond que le conduit de cheminée est fermé par un clapet en tôle
  • 1924 – La Fabrique de jouets et de souvenirs d’Alsace (7, impasse de l’Ancre) est autorisée à poser une enseigne à l’angle du bâtiment 8-9, quai des Bateliers – Le propriétaire, le notaire Charles Knauer, demeurant à Molsheim, donne son accord.
  • Commission contre les logements insalubres (1898) 9, quai des Bateliers (restaurant au Buffle), propriétaire, les héritiers Berneck, gérant Wœhrlé à Logelbach près Colmar – Remarques sur le logement du garçon de café, sur l’écoulement des urinoirs)
    1925 (propriétaire, Knauer, notaire à Molsheim, gérant Kampt, sur place – Les logements Risch et Stuber sont désormais bien tenus. Les locataires ont quitté les lieux, le dossier est classé
  • 1931 – Rapport suite à un feu de chambre. Le passage du tuyau dans le mur en bois était mal fait
  • 1933 – Le maire enjoint le propriétaire Zimmermann (demeurant 40, Faubourg National) de faire ravaler la façade
    L’entrepreneur Joseph Spetti (8, rue du Chêne (Neudorf) est autorisé à poser des matériaux dans la rue de l’Ancre pour réparer le mur et le peindre
  • 1936 – Le magasin d’ameublement Crédit Office informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré son enseigne 12, Faubourg National.
    1936 – La société Crémo (Crédit mobilier) demande l’autorisation de poser deux enseignes plates sur le balcon du premier étage – Autorisation – Les enseignes sont posées, juillet
    Autre demande pour une enseigne perpendiculaire
  • 1942 – E. Schlingermann (magasin d’alimentation) déclare avoir fait poser un store – Autorisation
  • 1942 – La Brasserie à l’Espérance est autorisée à poser une enseigne (Hoffnung Bier, Bière à l’Espérance) – L’enseigne est posée, janvier 1943
  • 1944 – Daniel Zimmermann (demeurant 11, rue Trübner) demande une exemption à l’interdiction de faire des travaux pour remettre en état une cheminée qui menace de s’écrouler (restaurant au Buffle). – Devis de entreprise Luft et Simon – Travaux terminés – Certificat du ramoneur Schleiffer.
  • 1945 – La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 11 août 1944. Certificat accordé à Charles Elichinger (3° étage), Charles Reinbold, Jules Zapp, Louis Schmitt (3° étage) Lucien Haupt (2° étage) , Claire Kinzelmann (bombardement du 25 septembre)
  • 1949 – La Police du Bâtiment constate que le magasin d’ameublement Cremo a posé sans autorisation une enseigne plate – Demande – Autorisation
    1951 – La société Cremo demande l’autorisation de poser l’enseigne en forme de lanterne telle qu’elle existait avant guerre – L’enseigne non autorisée est inscrite à triple taxe.
    1957 – La société dépose les enseignes. Les droits sont dus pour l’année en cours.
  • 1959 – Le locataire Gustave Chartrin se plaint de la toiture défectueuse (propriétaire, Suzanne Lapp née Zimmermann, 26, rue de la Première Armée) – La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée, le propriétaire charge l’entreprise Barbier de la Robertsau de faire les travaux.
    1959 – Plainte du locataire Michel Lapp – La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée – Travaux terminés, mai 1960.
    1962 – La locataire Weber se plaint des fumées provenant du logement voisin – Rapport illustré d’un croquis – L’entreprise Huber a fait les travaux
  • 1963 – Rapport d’incendie dû à une cheminée – Réparations terminées,
  • 1961 – Le maire demande au propriétaire Pierre Funke (21, rue de la Première Armée) et son gérant (la Fiduciaire régionale, 5, rue du Dôme) de faire ravaler la façade – Devis de l’entreprise générale de peinture et de vitrerie Bonset, de l’entreprise de construction E. Santesso et Fils – La Chambre des métiers informe ses membres qu’ils peuvent dresser un devis pour différents ravalements – Devis des établissements Luck (7, rue Jeanne d’Arc à la Robertsau)
    1963 – Comme il a fallu faire des travaux d’urgence, le propriétaire ajourne le ravalement
  • 1964 (mai) – Le locataire Michel Lapp (par la Fédération des locataires du Bas-Rhin) se plaint d’infiltrations d’eau – La Police du Bâtiment constate que la plainte est justifiée – Rappel adressé au propriétaire, juin 1965 – Suzanne Lapp estime que les remises en état sont faites en toute perte et qu’il vaudrait mieux démolir les bâtiments vétustes. – Nouveau rappel, mars 1966
    Suzanne Lapp informe la Police du Bâtiment qu’elle a vendu l’immeuble à la S.C.I. Bateliers-Rohan par acte passé devant M° Haumesser le 4 avril 1966 – Le maire adresse un rappel au nouveau propriétaire – Travaux en cours, octobre 1966 – La société civile immobilière est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique.
  • 1969 – M. Zeher déclare cesser son activité. La redevance pour le store reste due pour l’année en cours
  • 1969 – Le maire demande à S.C.I. Bateliers-Rohan, propriétaire, de faire ravaler la façade. Le propriétaire répond qu’il a déposé un permis de construire.

899 W 140, demande de travaux (double vitrage) sans suite, 1994-1995
1688 W 214, changement des menuiseries aux fenêtres d’un studio, 2011-2012
1688 W 636, affaissement du mur pignon, 2011-2012


Relevé d’actes

Propriétaire inscrit en 1587, le serrurier Paul Fischer originaire d’« Erisheim » épouse en 1587 Anne, veuve de l’éperonnier Christophe Grünewald

Mariage, cathédrale (luth. p. 271)
1576. Sonntag den 14. Octob. Paulus Fischer, Schloßer von Erisheim, Anna, Christoff Grunewald des sporers hind.lassne witwe. wonet am stad. beim Encker. Eingesegnet Montag d. 22. Octob: (i 138)

Originaire de Brunswick, Christophe Grünewald épouse en 1567 Anne, fille de l’éperonnier André Schwartzkopff
Mariage, cathédrale (luth. p. 163)
1567. Suntag den 13. April. Christoff Grunewald von Braunschweig ein Sporer, Anna Andres Schwartzkopfs deß Sporers selig. witwe, zu find; am staden Neben dem Encker. Eingesegnet Montag den (21) Aprilis hora 9 (i 84)

Paul Fischer devient bourgeois par sa femme dix jours après son mariage
1576, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 422
Paulus Vischer der schloßer von Erestheim hatt das burgkrecht Empfang. von Anna Ottingerin weÿland Cristoph grienwaldin des sporrers sellig. wittwen und dient Zu den schneidern. Act. den 3.ten 9.bris a° 76

Paul Fischer se remarie avec Anne Appich.
Sa veuve introduit une demande auprès des Conseillers et Vingt-et-Un en 1618.

1618 Conseillers et XXI (1 R 100) Paul Fischers des Schloßers wittib Anna vmb Gaden. 332.

Les éperonnniers font grief à Paul Fischer de pratiquer leur métier. L’affaire n’a pas de suite
1594, Protocole des Quinze (2 R 23)
Paulus Vischer. 12. 25. 41. 57.
(f° 12-v) Sambstag den XXVI Januarÿ – Sporer Ca. Paul Vischer
Die Meister Spoorer handwercks Caspar Richart vnd mittconsorten übergeben p. L. Hüenerer ein splon. C. Paulum Vischer dem schloßer so verlese darin sÿ clag Wie er Ihnen eingriff Inn Ihr handwerck thue, Wie er Ihnen beÿ einer gewiß. pöen darvon abzuhaltten, Vischer p Lt Trausch dieweil er gegenbericht thun muß, bitt er abschrifft, will sein notturfft fürbring. Zu nechst meiner Hn Zusammenkunfft Sporer lassens Zu Ihr ohnvmbgefragt Zugelaßen.

(f° 25) Donnerstag den XXI Februarÿ – Sporer Ca. Paul Vischer
Die Meister Spoorer handwercks mitt namen Caspar Reichardt, Fabian Rhoter, Adam Völckman vnd Hanns Voltz p. Dachtlern gebiett. laßen Paulo Vischern dem schloßer, begeren antwortt vff Ihr eingebrachte Splôn. Paul Vischer p. Lt Trausch übergibt Vnderthenig. gegenbericht vnd demütiges begeren, Sporer begeren Copeÿ Zu Bleibt dabeÿ vnd Zeig. Ihnen bescheidt an Bede Mr.

(f° 39-v) Mittwoch den XVII Aprlis – Sporer Ca. Paul Vischer
Vier Meister Spoorer handwercks p. Peter Knörer übergeben C. Paulum Vischer Wohlbegründten Nachbericht handlten vnd pitten wie darinn Paulus Vischer begert abschrift, Sporer stellens Zu meiner h. erkandtnuß. Erkandt ist abschrifft Zugelaßen. Zeig. Ihnen an h. Städel h Fürst quasi Mr.

(f° 57) Sambstag den 25. Maÿ 91. – Sporer Ca. Paul Vischer
Vier Sporer per Peter Knörer gebietten lassen Paulo Vischern begeren proceß vff den Nachbericht Vischer p. Lt. Trausch es seÿ gleichwol Inn seinen nammen ein Beschlußschrifft angestellt hab Ihme aber nicht fürgehalten noch mundiert werde können, Erpeütt sich die schrifft bitz Zinstag Inn die Cantzleÿ Zulüffern. Sporer p. Knörer begeren besichtigung vnd Zeitt bitz ad proximam. Ist kein frag gehaltten.

Paul Fischer hypothèque la maison à trois bâtiments dite zum Schnabel (au bec, à l’éperon) au profit de l’arquebusier Georges Meyer

1601 (xiij tag Julÿ), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 236-v
(Inchoat. in Proth. fol: 277.) Erschienen Paulus Fischer der Schloßer Burger Zu Straßburg, Hatt sich für sich Verschriben
Geg. Georg Meÿern dem Buchsenschmÿtt, Burgern Zu St. so auch Zugeg. demselbig Vnd seine Erben Zu Zinsen 2 guldin gelts, ablösig mitt 40 guldin St. werung
vonn vff vnd abe dreÿen Heüsern Einem Vordern Mittlern vnd hindern, Mit Iren hoffestatten Vnd höfflin, Ouch Allen Andern gebeuwen & genant Zum Schnabell, gelegen Inn der Statt Straßburg Jhenseit Am gestaden, Obwendig der Neuwen brucken, Einsit neben der Zunfft stuben Zum Encker, Vnd Andersit neben einem Hauß Zum Vogell gesang genannt Jetz Noe Cullman dem Bierbrüger Zuständig, Hinden auch vff dieselbig Zunfft stub Zum Encker stoßend, Davon gend sammenthafft Acht Vntz Pfenning vnd Zwen Cappen den Edlen Von Mülnheim Empfahet Niclaus Spengler

Paul Fischer hypothèque la maison au profit du fourbisseur April Brosier. Le boulanger Jacques Riegel, gendre du débiteur, est présent à l’acte.

1602 (22. Martÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 163
(Inchoat. fo: 165.) Erschienen Meÿster Paulus Vischer der Schloßer
Hatt Inn gegensein Aprilis Prossiers Schwerdtfegs. Inn nammen Frauwen Catharinen Wÿland Ott Rÿgels des Brtotbeckens seligen Witwe seiner lieben Schwÿg. – schuldig sige 100 gulden Straßburger werung
Zum vnderpfand ÿngesetzt, dreÿ Heüßer, ein vord.s mittels vnd hinders, mit Iren Hoffstätten Zweÿen Höfflin, sampt allen and. gebeuwen gelegen In d. St. St. am gestaden, obwendig der neüwen brucken, einsit neben der Zunfftstuben Zum Encker, and.seit Noe Culman dem Biersied. stoßend hinden vff die Encker Zunfft, Davon gnd xiij ß iiij d vnd ij cappen bodenzins den Edlen von Müllenheim, Item Acht goldguld. geltts ablößig mit 200 guldguld. H. Reimbold Meÿern, Item achthalb guld. gelts ablösig mit 150 guld. Herr Heinrich Obrecht, Item iij gld gelts ablosig mit 50 guld. Straßburg. Fr. Annen Andres Brand. des Scherers Witwe
Hiebeÿ gewesen Jacob Rÿgel d. Brottbeck des Schuldbekenners dochterman
[in margine :] Erschienen Aprilis Prossier In namen Fr. Catharinen Ott Rigels seligen Witwe Hatt in gegensein Noæ Culman des Bierbrügers dem nun hie eingeschribene Verunderpfändte Behaußung durch die Gant zustendig worden (…) Quittiert. Actum den 26. Feb. 1607.

Paul Fischer et sa femme Anne hypothèquent la maison à trois bâtiments au profit d’Adam Kolb. Le brasseur Noé Culmann se porte garant des débiteurs.

1602 (viij tag Decembris), Chancellerie, vol. 342 (Registranda Meyger) f° 432-v
(Inchoat. in Proth. fol: 396.) Erschienen der Ersam Paulus Fischer Schloßer burger Zu Straßburg Vnd Anna sein eheliche haußfrauw
Haben bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit des Würdig vnd Wolgelerten herrn Magistri Adami Kolbÿ Burgers Zu Straßburg – schuldig sigent 100 Pfund Pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt, dreÿ heüser, einn Vorders, Mittell vnd Hinders, mit Iren hoffestetten vnd höfflin, Ouch allen Andern Iren gebeuwen & geleg. Inn der Statt Straßburg, Jhenseit Am gestaden, Obwendig der Neuwen bruck, einseit neben der Zunfft stuben Zum Encker gnt. und Andersit nebent einem hauß Zum Vogell gsang genant,, Noe Culman dem Bierbrüger Zustendig, hinden auch vff denselbig Zunfft stuben stoßend, dauon gehnd samenthafft xv ß h Ewigs gelts Boden Zins den Edlen Von Mülnheim, deren schaffner Niclaus Spenglern, Mehr Acht guldin gelts, Losig mit CC guldin H Rheimboldt Meÿern, Item Achthalben guldin gelts, Widerkheuffig mit C L guldin empfangt H Heinrich Obrecht der Jünger, Item dritthalben guldin gelts, stond Inn Hauptgutt L guldin, Annen Osterin wÿland andres Branden, des Ballbierers seiig Witwen Alle Jahr
Vnd Zu noch mehrer vorgewisserung Ist auch Persönlich Erschienen Noë Culman der Bierbrüher, burger Zu st. Hatt sich für sich & mit sampt Inen den Bekhennern, Zu einem Recht. Bürg. mit: und und selbst schuldnern Vnversch. gesetzt v. g.cht.

Paul Fischer vend la maison arrière à son voisin Noé Culmann en 1603.
Paul Fischer et sa femme Anne Eppich hypothèquent la maison à deux bâtiments au profit du serrurier Jean Müller

1607 (vt spâ [26 tag Januarÿ]), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 30
(Inchoat. fo: 39.) Erschienen Paulus Vischer d. Schloßer burg. alhie Vnd Anna Eppichin sein eheliche hußfrauw
haben in gegensein hannß Müller auch Schloßers – schuldig sige 100 guldin
dafür Vnderpfand sein soll Zweÿ heüßer ein Vorders Vnd ein hinders, sampt höfflin darzwüschen, mit allen andern Iren gebeüwen gelegen Inn der St. St. Ane dem gestaden, die einseÿt d. Zunfft Zulm Encker Anderseit Noe Culman stossend hinden vff denselben, dauon gondt Acht Vntz Vnd Zwen Cappen Bodenzinß Niclaus Spenglern Inn Schaffners wÿß, Item Acht gold guldin gelts ablösig mit 200 goldguldin herren Reÿmboldt Meÿgers seligen erben, Item Achthalben guldin gelts St. W lösig mit 150. guldin d.selben Wehrung, Heÿnrich Obrechten Vögtlicher wÿß, Mehr dritthalben guldin gelts losig mit 50 guldin St. Annen Osterin
(Cassirt wegen einem newen Verschreibung den 26 Aprilis 1608. darüber vffgericht fol: 153.)

Nouvelle obligation qui remplace la précédente. L’armurier Jean Arnnold le jeune se porte garant des débiteurs.

1608 (26 Aprilis), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 153-v
(Inchoat. fo: 153.) Erschienen Paulus Vischer d. Schloßer burger alhie Vnd Anna Eppichin sein eheliche hußfraw
haben in gegensein deß Ehrenhafften hannß Müller Schloßers – schuldig sigen 100 guldin St. w. pfund pfenning Straßburger für verkaufft leder
dafür Vnderpfand sein sollen Zweÿ heußer ein Vorders Vnd ein hinders, mit Ihren hofestätten Vnd höfflin, dar Zwischen auch allen andern Iren gebäuwen gelegen Inn d. St. St. Ane dem gestaden, nÿdwendig d. Schindtbrucken ein seÿt neben d. Zunfftstuben Zum Encker, and.seÿt neben Noe Culman den Bürbrüg. stoßend hinden Vff denselben, davon gondt Acht Untz Vnd Zwen Cappen boden Zinß Niclaus Spenglern, In Schaffners weÿß, Item 8 goldgulden gelts ablösig mit 200 goldguldin herrn Reÿmboldt Meÿgers seligen erben, Item Achthalben guldin gelts, Wid. Khöuffig mit 250 guldin St. W. hr heÿnrich Obrechten Vögtlicher Wÿß So dann dritthalben guldin abzulösen mit 50 guldin St. Annen Osterin, Andreß Grauen deß Balbierers seligen witwe, Sunst freÿ ledig eÿgen
Vnd Zu noch mehrern Versicherung ist auch Persönlich Erschienen Hannß Arnold d. Jüng. waffenschmidt burg. alhie hatt sich für sich & mit sampt dem hauptschuldner Unuer: dafür Zum rechten bürgen, mit: vnd selbst Schuldner ernant und ÿngesetzt

Paul Fischer hypothèque une nouvelle fois la maison au profit de Jean Müller

1610 (xv Januarÿ), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 21
(Inchoat. fo: 23.) Erschienen Paulus Vischer der Schloßer
hatt in gegensein des Ehrenhafften M hans Müller Schloßers – schuldig sein 25 guldin
dafür Vnderpfand sein soll Zweÿ heüsser ein vorder v. ein hinders mit Ir hoffestatt V hoffl, auch all Iren gebeu geleg. Inn d. S S ane dem geßl. einseyt der Zunfft stuben Zum Enckher andersit Nohe Culmann selig. erben stoßend hind. vff dieselbe erb. dauon gnd 8 vntz 10 Cappen den Edlen von Mülnheim empf. Urban Spengler der Schaffner Mehr Acht gold. guld. losig mit 200 goldguld. H Reymold Meygers selig. erben, Mehr Achthalb gold gld SW loßig m 150 guld. derselb. werung herr Heinrich obrecht Zinß meyster, Item dritthalb guld. loßig m. 50 gulden SW Anne Oßerin Andres Bendern Scherers selig Witwe, So dann ij lb x ß losig mit 100 guld. zu xv batz obmlt Hans Müller d. Schuldgläubiger v den xiij ß m dreÿh. pfund auch bmlt w.

Paul Fischer hypothèque la maison au profit des enfants de Noé Culmann

1610 (Ersten Augusti), Chancellerie, vol. 390 (Registranda Meyger) f° 316-v
(Inchoat. in Proth. fol: 254.) Erschienen Paulus Fischer der schloßer burger Zu Straßburg vnnd Anna sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vnndt In gegenwertigkheit Peter Ermellhauß des Küeffers burgers Zu Straßburg als geschwornen vogts wÿland Noe Culmans des Bierbrühers Alhie seligen Khindern – schuldig sigent 76 pfundt 12 schilling
Zum vnderpfand eingesetzt, hauß, hoffestatt, Höfflin Vnnd Hinderhauß mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Jhenseit Am staden, obwendig d. neuwen brucken, einsit nebent dem bierhauß Zum Vogelgesang, Andersit nebent der Zunfftstuben Zum Encker Hinden auch vff ein behausung Zum vogelgesang gehörig so würcklicher Zeit vonn Ihnen dem bekhennern erkhaufft, dauon gend 13 schilling vnd 4 pfenning vnd zwen Cappen boden Zinß den Edlen von Mülenheim, Mehr 8 guldin gelts Ablösig mit 200 goldguldin Rheimboldt Meÿer, Item Achthalben guldin gelts wider Kheüffig mit 150 guldin Straßburger werung Heinrich Obrecht dem Jüngern, Item dritthalben guldin gelts Lösig mit 50 guldin derselbigen werung Annen Osterin wÿland Andres Branden des Balbierers seligen witwe, So dan 2 pfund vnd 10 ß pfenning gelts Lösig mit 50 pfund d Hannß Müller dem schloßer Alhier
[in margine :] Erschienen Peter Ermellhauß Als vogt Noe Culmans Khind. hatt in gegensein hannß Müller des schloßers Als Jetzig. besitzer des vnd.pfandts (…) Act. 13. octo. 1613

Paul Fischer loue la maison avant au musicien Mathias Vogt et à sa femme Ursule

1611 (7. Octobris), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 324
(Inchoat. fo: 333.) Erschienen Sind Mathÿs Vogt Spylman vnd Ursula sein eheliche gemahell
hatt in gegensein M. pauli vischer Schloßers freÿ guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen
das sie Innen vnd Iren erben dreÿ Jar lang die nechsten nachend. volgenden Vnd vff Sant Michels tag nechstverschÿnen angefangen von gedachtem Meyster Paulo Vischer vnd Annen deßelben vorder Behaußung mit deren Zugehörd. geleg. Inn der S. S. Zwüschen der Schind vnd Neuwen brucken ane dem gestaden einseÿt der Zunfftstuben Zum Encker andersÿt der Behaußung Zum Vogelgesang genannt stosst hind. vff den verlÿher nach der S S Bruch Entlehnet für vnd vmb ein Jährlichen Zinß Nemblich 20 guldin Zu 15 batzen
[in margine :] Cassirt vonn wegen der vbergab der Behaußung so hannß Müllerin Vbergeb. vermög besonderer Verschreibung 612. vffgericht.

Paul Fischer et Anne Appich hypothèquent la maison au profit du serrurier Jean Müller

1612 (sd [8/9. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 6-v
(nil act.) Erschienen Paulus Vischer Schloßer vnd Anna Appichin sein eheliche gemahell
haben in gegensein der Ehrenhafften M. hanns Müller schlosser – schuldig seÿen 50 pfund pfenning
dafür Vnderpfand sein soll zweÿ heüßer ein Vorder V ein hinder mit Iren hoffestetten vnd hefflin auch all and. Iren gebewen gelegen Inn der SS ane dem gestaden & vide 610. fo. 21. dauon wie daselbst in specie Zubefünden
[in margine :] In regist uide 608 fo: 154, 609 fo: 154, 610 fo: 23

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1612 (ut spâ [xiij Januarÿ]), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 12
(Inchoat. fo: 14.) Erschienen M Paulus Vischer Schloßer vnd Anna Appichin sein eheliche gemahell
haben In gegensein des Ehrenhafften M. hannß Müller Schloßer – schuldig seÿen 50 pfund
dafür Vnderpfand sein sollen Zweÿ heüsser ein Vorder v. ein hinder mit Iren hoffstetten v hefflein auch allen ander Ir gebeuwen geleg. Inn d. S S ane dem gestaden & uide 610 fo: 21, dauon ged daßlb In specie Zulaßend, wyther verhafftet für 25 Pfund pfenning bemeltem Schuldgläubiger auch mit gebürendem Zinß vnnd dann 153 guldin Nohe Culman obgedacht
(vide in Regist. 608. fo: 154. 609 fo: 154, 610 fo: 21)

Paul Fischer et Anne Eppich (ici Œttich) vendent la maison au serrurier Jean Müller (leur créancier)

1612 (ut spâ [xxj. August.]), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 234-v
Erschienen Paulus Vischer Schloßer vnd Anna Öttechin sein eheliche hußfr.
haben in gegensein der Ehrenhafften M hanns Müllers Schuemachers bekhant das sie vmb des willen, damit sie der Zinß v. beschwerden dar für nachgeschribene Behaußung hafft vnd vnderpfd. freÿ quitt ledig v looß würden (…)
vorgenant hanns Müllern allen seinen erben und nachkommen
Zweÿ heüßer ein vorder vnd ein hinder mit Iren hoffestetten v hefflin auch all and Iren gebew geleg. in der S S ane dem Gestad. einseyt neben der Zunffstuben Zum Encker andersyt Nohe Culmans selig. erben stosst hind. vff dieselb, dauon gnd Acht Vntz Zwen Cappen Boden Zinß der Edlen von Mülnheim empfh. dißer Zeÿt Andres Schöll alls Schaffner, Mehr * goldin gelts vff Johannis Baptistæ lößig mit 200 goldguldin perr* Stück, *selben Zinß vff Johannis Baptistæ nechstverschÿnen (acht gold guld.) Mehr Acht lb gold gelts S auch vff Johannis Baptistæ lößig mit 150 gulden bemelt werung h. Heinrich obrecht Zinßmeÿstern vögtlicher wÿß, Wÿther dann vor*selben Zinß 611 & 612 funff guld SW, So dann wyther verhafftet für 76 pfund 12 schilling 6 pfenning *selbst. So dann für 3 Zinß ged. Michaelis 610. 611. v 612. xj lb ix ß ij d. Nohe Culmans selig. erben V dann 112 pfund 10 schilling pfenning vorgenannt hannß Müller, V. dann verhafftet für 50 pfund pfenning Jacob Rygell Brottbeck V Marx Vogel Scherer für schadloßhaltung der Bürgschafft geg, d. Herrn d. Müntz, Wyth. für 3 Jar lang dauon zinß (…) Sunst für ledig eygen V were diß Vbergab Zugang v bescheh. Inn weÿß nemblich das obgdch. hanß Müller alls hieringe* Zinß sampt den selb hauptgutt versessen (…)

Le serrurier Jean Müller épouse en 1593 Salomé, fille du boulanger Thiébaut Mock
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 183 n° 581)
1593. Hans Müller, der Schloßer vnd Salome Theobald Mocken des becken nachgelaßene dochter (i 197)

Codicille par lequel Salomé Mock fait des legs à ses trois filles Jacqueline, Salomé et Marie ainsi qu’à son fils Jean. Jean Müller assure à son fils Jean le droit d’habiter la maison à côté de la sienne rue de Serruriers tant que sa femme vivra.
1608 (19. oct.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 59)
Not. Strintz (Daniel, 58 not 58, A) n° 57 Codicill vnd Letzter will des Ehrenhafften Meister Hannß Müllers deß schloßers vnd frauwen Salome Mockin beed. ehegemächt
1608 vff Mittwochs den 19. Octobris (…) Zum dritten So Verschafft vnd Prælegirt fraw Salome Mockin die Codicillirerin Ihren dreÿen döchtern mit Nahmen Jacobe Salome vnd Marien (…)
Aber weÿl sie einen Sohn mit Nahmen Johannes vnd so sie deren auch noch mehr nach todt hind.lassen möchte
Zum Vierdten Ist hannß Müllers des Codicillarius befelch will und meinung daß sein sohn Johannes seine Unveränderte behausung Inn der Statt Straßburg Inn der schlossergassen vff einer seittenn neben Bartholome Linckhen dem glaßmahler vff der and.seithen aber neben einer behausung so Ihnen beed. Codicillirenden ehegemechten Zustendig vnd sie bewohnen so lang Allein sein haußfrau Im leben vnd nicht lenger Zu bewohnen gelassen werden für ein Järlichen Zinß Nemlichen 25 guldin Straßburger Werung
(minute en texte intégral) – minute en résumé, Not. Strintz (Daniel, 58 not 59)

Jean Müller se remarie en 1611 avec Susanne Acker, veuve du pasteur d’Ittenheim Wolffgang Sibenhorn assistée de ses deux frères Nicolas Acker, docteur en médecine, et Jean Acker, barbier ; contrat de mariage, célébration
1611 (30.9.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 52, Prothocollum, n° 39) f° 127
Eheberedung Zwischen dem Ehrenhafften Meister Hannß Müller dem schloßer
vnd frauwen Susannen Ackerin beed. Versprochene Eheêrsonen vffgericht
Zwischen dem Ehrenhafften Meister Hannß Müller dem schloßer, burgern Zu Straßburg Ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen frauwen Susannen Ackerin Weÿland deß Ehrwürdigen vnd wolgelerten herrn Magistri Wolffgang Sübenhorns gewesenen Pfarrers Zu ÿttenheim seeligen Wittwe Am Andern theÿl
in persönlicher gegenwärtigkeit Wissen Willen vnd Consens (…) vff der frawen hochzeitterin seitten meister Diebold schwendten schneiders, herrn Nicolai Ackers der Arzneÿ doctoris Johann Ackers Barbierers, Jacob und hanß Sÿbenhorn beed. Müller Ihro d. Hochzeiterin vogts brüder vnd schwäger, Aller burgere Zu Straßburg
Beschehen und verhandelt Inn deß heÿligen Reichs feÿen statt Straßburg Sontags den Letsten Septembris Inn del Jar deß herrn Alß man Zaltte 1611.
Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) n° 405, minute signée

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 314 n° 943)
1611. Sonntag den 6. Octobris Hans Müller der Schloßer vndt Susanna M. Wolffgangi Sibenhorn gewesenen Pfarrers Zu Ittenheim Nachgelaßene dochter. Eingesegnet Montag 14. Octobris (i 323)

Wolffgang Sibenhorn épouse en 1608 Susanne, fille du pasteur d’Ittenheim Nicolas Acker
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 113-v, n° 53)
1608. M. Wolffgang Sibenhorn Pfarrer Zue Ittenheim. J. Susanna, H. Nicolai Acker gewesenen Pfarrerrs daselbst tochter (i 116)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 75-v n° 36) 1608. Dominica XVII Trinit. 18° Septemb. Magister Wolffgang Siebenhorn Wolffgang Siebenhorn des Müllers seligen hinderlaßenen Sohn, Pfarrherr Zue Ittenheim. J. Susanna, des Ehrwürdigen Herren Nicolai Ackern, elttern pfarrherrs Zu Ittenheim, tochter. eingesegnet Zum Jungen S. Peter (i 78)

Jean Müller et Susanne Acker vendent la maison au fabricant de pâtés Pierre Bartol et à sa femme Anne Beck. En marge, quittance remise en 1622 à Claude Marion, gendre des acquéreurs

1617 (12. feb.), Chancellerie, vol. 424 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 10-v
Kauffverschreÿbung Petri Barto Pasteten Becken alhie vber sein Behausung neben der Zunfft Zum Encker
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1617 folio 18.) Erschienen Meyster Hanß Müller d Schloß. vnd Burger vnd Susannæ Ackerin sein eheliche haußfr. vnd
hatt in gegenwertigkeyt Peter Barto Pasteten Beck vnd burg. alhie vnd Anna Beckin sein eheliche haußfr. vnd Hanß Rucken becken (verkaufft)
sein Behausung Jhenseyt d. Preuschen am Stad. nidwendig der Schindprucken einseyt oben an d. Zunfft Zum encker and.seyt neben Noe Kulman dem Biersied. hinden uff gemelte Zunfftstub geleg. davon gehnd Jarlichs auff Johannis vnd weÿhenachten Jedes mahl vier vuntz gelt vnd ein Cappen wÿland Jungkh. Wilhelm von Mulnh. deßen Schaffner Andres Scholl dieselben empfahen hat Boden Zinß, Item acht guldgulden auff Johannis Baptistæ Peter Fricken in hauptgut mit 200 goldguld. welche in diesem Kauff nicht angeseh. abzulosen, Item achthalben gulden gelts Straßburg auff Johannis Esiæ Johann Schierlein den handelßmann ehevögtlich weÿß In hauptgut mit 150 gulden, It. 2 ½. f gulden gelts auff Pauli bekerung Jacob Lottend* selig. Tochdmann N Strehlmach. mit 50 gld Straßburg werung abzulosen, sonst eyg. vnd were diser Kauff geschehen vber vorgemelte beschwerd. welche Zusammen mit dem goldgulden welche hierinn nit wixiert sind zusammen für 250 pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Meyster Hans Muller der Verkeuffer hatt in gegensein Claude Marion als des Keuffers Tochterman (…) den 9. Julÿ Aô 1622.

Originaire de Montbéliard, le fabricant de pâtés Pierre Barthel épouse en 1595 Anne, fille du revendeur Jacques Sicard, de Metz
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 37 n° 87)
1595. Dominica paschatis 20. Aprilis. Peter Barthel von Mumpelgardt d. pastetenbeck vnd Anna Jacob Sickardt des Krämers Zu Metz tochter, Eingesegnet Zinstag den 6. Maÿ (i 39)

Pierre Barthel de Montbéliard achète le droit de bourgeoisie un mois avant son mariage.
1595, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 591
Peter Barthell Von Mümpelgart der Pastettenbeckh, khaufft mit beÿstandt Velthen Blinßners deß Schuhmachers daß burgerecht, vnndt will Zun Beckh. diennen Actum denn 7. Aprilis 95.

La maison revient à son gendre Claude Marion qui épouse Catherine Barthel en 1631
Mariage, cathédrale (luth. p. 121)
1621. Dominica 11 Trin: den 12. August. Clade Marion der pastetenbeck, vnd J Cätherin peter Barthel des pasteten becken n. tochter, eingesegnet Montag 20. Augusti (i 65)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le fabricant de pâtés Claude Marion à devenir bourgeois. Né en Lorraine, il a beaucoup voyagé en Allemagne et en Grèce. Il a l’intention d’épouser la fille du fabricant de pâtés Pierre Barthel et d’embrasser la religion luthérienne.
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
Claudius Marion Ist Zum burger angenommen. 173.
(f° 173-v) Montag den XXX Julÿ – Pastetenbeck Zum burg. angenohmen
Claudius Marion ein Pastetenbeck auß lotharinng. so vil Jar in deutschland gewesen auch hie etlich Jar gedient Zu Wien u Griechanlandt vermög Passwort vbergibt supplôn sambt ehelich. geburt u. dabeÿ Zuvernehmen d. er willens were * er d burg.recht haben Kont mit weÿlandt Peter Bartels Pastetenbechen dochter Catharine Zu verheuraten, will sich auch Zur Evangelisch. Religion thun und daher in Lotharing. sein sach Zusammen gemacht und außehenlich Pargelt bey hand. hat d. burger. recht von d. frawen Zugenohm. Erk. Man soll Zur annahm Jedoch d er d. burg. recht Kauff vnd damit wid. für Rhtt wiesen. H. Baur H Isenheim

Originaire de « Lemare » en Lorraine, Claude Marion achète le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu des Boulangers
1621, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 807
Claude Marion Von Lemare In Lottringen d. Pastetten beckh, khaufft d. Burgerrecht mit beÿstandt hanß Marcus deß hosenstrickers vnd Wull Zu den Beckh. dienen Signatum den 30. Julÿ 1621.

Les préposés généraux à l’accise font grief au fabricant de pâtés Claude Marion de faire acheter des grains par sa famille au marché aux grains, ce qui est contraire au règlement. Les Quinze limitent l’amende à 15 livres.
1627, Protocole des Quinze (2 R 55)
Claude Marian. 297. 310.
(f° 297) Sambstags 24. 9.bris – Claude Marian Pastetenbeck Zum Vogelgesang
Oberungelth. referiren Claude Marian den Pastetenbeck beim Vogelgesang seÿ angeben, daß Er vf einen Marckt tag biß in 20. frtl. fruchten erkaufft, der seÿ darüber v.nommen gestehet daß Er durch sein Muter, haußfr. undt etwan and. seine diener biß In 12 oder 14. frt. erkaufen laßen, Er für sein Persohn gehe dem weinmarckh nach. hab einen Vorrath Zu etlichen Märckten hero, an sich bracht, müeß schöne früchten Zu seiner handtierung haben, hoff nit daß er vndt wider ordtnung habe, & Es wüßen aber M. H. daß biß dahero meheren nicht geclagt word. Allß daß mit vßleßung der Zeichen so großer betrug getrieben würdt, die ordnung gebe 4. frtl Zu vndt verbietet nit darüber Zu kaufen, beÿ straf 30 ß für Jedeß wider ordt. erkaufft frtl. stehe beÿ H. h. wie Sie dißen delinquenten ansehen, wollen, Erkandt Oberungeltherren sollen durch ein Kornwerffer die früchten ankauffen nemme laßen, die befundenheit wider referiren & obere herren thun darauf Relation, daß vf deß beclagten Costen biß In 7. frt. weitzen befund. Erkandt Soll gehört wden In Wievil Zeit vnd mahlen Er solche früchten Zusammen bracht vnd ob Sie alle vff den Marckh erkaufft seÿen & vfrichten vorige H.

(f° 310) Sambstag 8. Xbris – Claude Marian der Pastetenbeckh beim vogellgesang Erschienen, vberrricht per dr. Knaf. vnd.thänig Supplicat. So verlesen, beschwert sich darin daß er von den oberungeltherren mit 25. lb d straf darumb belegt, weÿlen Er wider die Korn Marckhß ordnung p.erciert haben soll, Nun hab Er vf kein mehrschatz einkauff sondern sich deß Regirenden herren Ammeisters admonition so Jährlich vf den Zünfften geschiht er Innert vnd dahero Zu rechter Zeit einkaufen wollen, v.brauch die früchten Zu sein handtwerckh vndt In die haußhaltung & Pitt beÿ so bewandten sachen, sich der straf Zuerlaßen oder Jedoch Zumiltern & vfgeschlagen, waß fol. 297. seinet wegen tractiert, fündt sich daß er vf einen Marckh tag durch s. Personen Nemlich sein Mutter, haußr. vndt Knecht früchten erkaufen laßen & Erkandt Soll beÿ 15. lb d gelaßen sein In 3. Tagen Zuerlegen
[in margine :] Straff 15. lb d Erlegt Ego, Sambt den 16. febr. vff 623 vff den Pfenningthurn gelüffert.

Claude Marion verse un complément de paiement à Ernest Heus au nom de sa mère Susanne Schœtterlin pour avoir rembousé un capital lors de la dévaluation.

1630 (22. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 786-v
Erschienen Clade Marian d. Pastetenbeck burger Zu St. an einem,
So dann der Ehrenvest hochgelehrt herr Ernst Heüß beeder Rechten Doctor auch burger alhie, Innamen vnd von wegen Fr. Susannæ Heüßin, gebohrner Schöterlerin, seiner Fr. Muter Am And. theil
Zeigten an und bekannten gegen einander, demnach Er Marian, ihro Fr. Susanna Heüßin 150. gld. Capital St. w. so Er von, vff vnd Abe seinem hauß Jenseit der Preüschen am Stad. Zwischen der Schindt vnd Newen Brucken, neben der Encker Zunfftstuben & neben dem Vogelgesang gelegen, vermög eines den 3. Octobris A° 1560. vnder deß Bischofflichen hoffs Insigel vffgerichten Brieffs, Zuuerzinsen schuldig gewesen, den 13. Januarÿ Anno 1623. in damahligen hohersteigerten gelt, Abgelegt, Alß heten sie sich nach maß alhieiger vber die Nachtrag v.fassten instruction mit einand. güetlichen dahin verglichen, daß Er Marian ihro Fr. Heußin an gutem ietzig. Zeit gäng vndt gibigen geld 75 gld. nachzutragen (…)

Catherine, veuve de Claude Marion, épouse en 1640 le marchand Jean Martin Grimm, fils du marchand Thomas Grimm de Kreuznach (en Palatinat)

Mariage, cathédrale (luth. p. 438)
1640. Hans Martin Grimm der Handelßmann, Thomas Grimmen deß gewesenen Handelßmanns vndt Burgers Zu Creutzenach nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vndt Catharina Cladi Marions gewesenen Bastetenbecken vndt Burgers allhie nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Im Münster Mont. den 27. Julÿ (i 224)

Jean Martin Grimm devient bourgeois par sa femme.
1640, 4° Livre de bourgeoisie p. 194
Hannß Martin Grimm von Creitzenach der Handtelsmann empfangt das burgerrecht von Seiner haußfrawen Catharina, weÿl. Claudi Marios des Pastetenbecken nachgelaßene wittib vmb 8 gold. fl. Ist noch ledigen Standts gewesen vnd würd Zu den Spieglern dienen. Jur. den 8. Julÿ 1640.

Jean Martin Grimm, veuf de Catherine Barthol, auparavant femme de Claude Marion, et l’héritier Abraham Barthol de Montbéliard, hypothèquent la maison au profit de l’aumône comme ayant-droit de Claude Marion. En marge, quittance remise à Marguerite Simon, veuve de Jean Martin Grimm

1641 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 395-v
Erschienen Weÿl. Catharinæ Bartholin, auch Weÿl. Clade Marions geweßenen burgers und Pastetenbeckh. alhie hinderbliebener wittib, nunmehr auch hinderlaßener wittiber hannß Martin Grimm der handelßmann burg. alhie und ihr Catharinæ Erb Abraham Barthol Pastetenbeckh Zu Mumpelgart mit beÿstand Samuel Boy seines dochter Manns, wie auch H Joh: Georg Kürschners und H Joh: Peter Gündels beed. Notariorum und burg. Zu Straßburg an einem, So dann H Leonhard Metzger alß vß E. E. groß. Rhats mittel verordnete Pfleger deß großen gemeinen Allmosens Zu St. Marx, und H Georg Rehm Schaffner daselbst am andern theil, beÿd Parten aber mit beÿstand der Ehrenvesten H Johann Gollen H Jacob Baum, H Joh: Rheinhard Kreßen und H Joh: Jacob Müegen aller vier alß von wohlgedachtem Rhat hierzu auß dero mittel insonderheit deputirter, haben bekannt und gegen einander veriähen,
daß Sie die Bartholische Wittib und Erb. ernanndten Allmosen alß erblich Successor obgedacht. Clade Marions (…) schuldig seÿen 100. lib
dafür Und.pfand sein soll hauß, hoffstatt, mit allen & alhie am Stad. nidwendig der Schindbrucken, neben der Zunfftstuben Zum Enckher ein und anderseit neben dem Bierhauß Zu Vogelgesang, hind. vff ermelte Zunfftstub stoßend gelegen, davon gehndt 13. ß 4 s und 2. Kappen bodenzinß H Andreß Schellen dem Schaffnern iahrs vff Joh. Bapt: und weÿhenachten, Item 8. gold fl. verkäuffer ermeldt. Joh. Bapt: weÿl. Isaac Frickh. seel. Erben lößig mit 200. gold fl.
[in margine :] Erschienen Herr hannß Georg Rhem Oberschreiber deß Allmosens Zu St. Marx hierin gemeldt (…) hatt in gegensein H Abraham Herffen deß handelßmanns alß Vogts Fr. Margarethä gebohrner Simonin hieringedachts H Hannß Martin Grimmen nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin mit beÿstand H Daniel Grimm ihres eheleiblich. Sohns alß ietziger Possessorin der hierinn hÿpothecirten Behaußung (quittung) Actum den 25. Julÿ Anno 1674.

Jean Martin Grimm loue la maison avant au fabricant de pâtés Jean Michel Wolff

1641 (30. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 620
Erschienen H Hannß Martin Grimm der Handelßmann und burger alhie
in gegensein Hannß Michel Wolffen deß Basteten beckhen und burgers alhie
entlehnte, den gantzen fordern stockh an einer Behaußung alhie am Staden neben dem Bierhauß Zum Vogelgesang && der Enckher Zunfftstub gelegen für und umb 55 fl. zinßes

Jean Martin Grimm hypothèque la maison au profit du charpentier Laurent Schmid

1641 (11. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 787-v
Erschienen Herr hannß Martin Grimm der Handelßmann burger zu Straßburg
hatt in gegensein Lorentz Schmiden deß Zimmermanns auch burgers alhie und Susannæ Ursulæ seiner ehelichen haußfrawen – schuldig seÿe 100 Pfund
dafür in specie Vnderpfand sein soll der halbetheil, Ihme für Ungetheilt gebühren ahne einem vordern Und hinderhauß hoffstatt und höfflein, auch allen andern deren gebäwen, & alhie Jenseit der Breuschen, Zwischen der Schindt: und Newen brucken einseit neben dem bierhauß zum Vogelgesang, anderseit neben der Zunfftstub Zum Encker hinden Vff Georg Rheinschüßel den Schwertfeger Zum theil und theils vff ermelte Zunfftstub stoßend gelegen, welche gantze Behaußung zuuor Verhafftet umb 200 gold gld. herrn Isaac Frickhen Kauffhauß Verwalters see. Erben, So gehen auch Jährlich dauon 13. ß 4 d Undt Zwen Cappen Bodenzinß H. Andreß Schellen dem Schaffner vff Johannis Baptistæ – der vberig. halbe theil an Vorbeschriebener Behaußung ist Abraham Bartholn Zue Mumpelgard deß Debitoris Schwagern Zuständig

Jean Martin Grimm loue la maison au fabricant de pâtés manant Pierre Matthes

1642 (22. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 741-v
Erschienen H. hannß Martin Grimm der handelsmann Undt burger Zu Str.
hatt in gegensein Peter Mattheßen deß Pastetenbecken, Schirms Verwanthen alhie, Vndt Clar Annæ Schneiderin seiner ehelichen haußfr.
Zweÿ jahr lang Von nechstkommend. Martini anzurechnen Verlühen, Inmaßen Sie Eheleuth auch bestimmte Jahracht Entlehnt zu haben geständig weren die gantze Bastetenbecken Behaußung mit allen deren gebäwen und Zugehördten, nichts dauon alß den Platz im Keller zu sein Verleÿhers ietz darinn habend. faßen, außgeschloßen, an Welcher Behaußung Zwar Abraham Bartholn Pastetenbecken Zur Mümpelgardt der halbe theil gehörig, es hatt aber Er Verleÿher hiebeÿ angezeigt daß derselbe ihne Gevollmächtigt habe, Und ligt solche Behaußung alhie Jenseit der Preuschen am Stad. einseit neben dem Vogelegsang, and.seit der Encker Zunfftstub, diße Lehnung ist zu gang. Vmb ein Jährlich Zinnß benantlich 20. lb

Jean Martin Grimm se remarie en 1643 avec Marguerite, fille du marchand Daniel Simon, d’Otterberg (en Palatinat)
Mariage, cathédrale (luth. p. 453)
1643. Domin: Septuages. Herr Johannes Martinus Grimm der Hinterlassen vnd Burger allhie, Jungfr. Margaretha Herrn Daniel Simon deß geweßenen Handelßmanns von Otterberg eheliche tochter. Eingesegnet Zinst den 15. febr. Im Münster (i 231)

Jean Martin Grimm loue pour lui et pour Abraham Barthol de Montbéliard la maison au fabricant de pâtés Nicolas Billinger

1644 (16. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 690
Erschienen H Hannß Martin Grimm d. handelßmann
hatt in gegensein Niclauß Billingers deß Pastetenbeckh. bekannt, daß Er H Grimm für sich und vff Befelch Abraham Bartolß deß Pastetenbeckh. Zu Mümpelgart
vffrecht verlüh. habe, daß Pastetenbeckhenhauß, alhie am Stad. Zwisch. der Zunfftstuben Zum Enckher und dem Bierhauß Zum Vogelgesang geleg. mit allen deß. Gebäwen, nichts davon vßgenohmen, vff Zweÿ Jahr lang, von nechstkünfftig. Mariæ Verkündigung angerechnet um einen iährlich. Zinß benantlich. 20. Pfund

Susanne Barthol, femme du brasseur Samuel Bohy de Montbéliard, vend le quart qui lui revient de la maison à Jean Martin Grimm, déjà propriétaire de la moitié

1649 (29. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 748
(Protocoll. fol. 191.) Erschienen Fr. Susannæ Bartholin in crafft eines Zu Mümpelgart am 10. Octob. nechsthien gefertigt. von Ihro Susanna wie auch H. Daniel Megnin dem Notario Zu Mümpelgart Underschriebenen hiebeÿ Vorgelegten Gewalts gevollmächtigter Befelchhaber Vnd Ehevogt Samuel Bohÿ Burger und Biersieder Zu Mümpelgart mit beÿstand H. Johann Burniers deß handelßmanns alhie
hatt in gegensein H Hannß Martin Grimmen auch handelßmanns vnd Burgers Zu Straßburg
seiner haußfrawen Vierten theil ahne der Bastetenbeckhen behaußung neben einem allmendgäßel am Vogelgesang alhie ein Vnd and.seit neben der Zunfft stuben Zum Enckher gelegen ahne welcher Behaußung Ihme dem käuffer Zu Vor der halbe theil Zuständig ist, und gehen Von solcher gantz. Behaußung Jahrs vff Joh. Bapt: 5. fl. 5. ß ablößig mit 110. fl. dem Stifft St: Marx, Mehr 8. gold fl. Jährlich. vff Joh. Bapt: widerlößig mit 200. Goldtgulden H. Johann Jacob Meÿern dißer Statt alten Ammeÿstern, Sio dann giobt mann auch Jahrs vff Joh. Bapt: Und Weÿhenacht. 13. ß 4 d Und Zween Cappen, welch. Zinnß anietzo H. Andreß Schell de Schaffner empfangt (übernohmen) – umb 108. fl. 7 ß 6 d

Jean Martin Grimm remet 50 livres au receveur André Schell en se libérant d’un cens de 13 sols 4 deniers et deux chapons assis sur la maison

1662 (8. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 166-v
Erschienen H Andreas Schell der Schaffner
in gegensein H hannß Martin Grimmen deß handelßmanns
bekannt, daß Er, H. Grimm, Ihme, H. Schellen, 50 Pfund pfenning erlegt, Und dadurch die Jenige 13. ß 4 d und 2. Cappen so besagter H Grimm gedachten H Schellen iährlich von vff und abe der Pastetenbeckhen behaußung alhier Jenseit deß Stadens underhalb der Schindbruckh. neben dem Bierhauß Zum Vogelgesang geleg. Zu Zinnß Zu raÿchen schuldig

Marguerite, veuve de Jean Martin Grimm, se libère d’un autre cens établi par un acte de 1528 en remettant 200 livres à Jean Philippe Friderich

1667 (11. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 413-v
Erschienen der Edel- From- und wohlwaÿs Herr Johann Philipß Friderich deß beständigen Regiments der Herren Fünff Zeh.
in gegensein Fr. Margarethæ weÿl. H Hannß Martin Grimmen deß handelßmanns nunmehr seel. hinderbliebener wittibin, mit assistentz H. Abraham Herffen deß handelßmanns ihres Curatoris
daß Sie Fr. Margaretha, ehrengedachtem H fünffzehnern Friderich, 200 Pfund pfenning in bahrem Gelt erlegt, und damit die ienige 80 golt fl.. iährlich Zinnßes, so sie demselben ehevögtlich. weiße ied. Jahrs termino Joh. Bapt: vermög eines latinisch. pergamentinen sub dato 5. Id. Junÿ a° 1528. mit deß Bischoff. hoffs anhangenden Contract Innsigel außgefertigten Zinnßbrieffs und deß. transfixes, von vff und ab ihrer alhie am Schiffleuth Stad. Zwisch. der Zunfftstuben zum Encker und dem Bierhauß zum Vogelgesang gelegener Behaußung, zu raÿchen schuldig geweßenen ist abgelößt

Marguerite Simon veuve de Jean Martin Grimm meurt en 1687 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison sur le quai à 480 livres, celle au Vieux-Marché-aux-Poissons à 1 330 livres. La succession sans passif s’élève à  6831 livres.

1687 (6.5.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 8) n° 9*
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung vnd Güttere, so weÿl. die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Margaretha Grimmin, Gebohrne Simonin, auch Weÿl. deß Ehrenvest und Wohlgeachten Herrn Hannß Martin Grimmen, Geweßenen handelßmanns und burgers alhier zu Straßburg nachgelaßene Wittib nunmehr beede seel. nach Ihrem den 14. Aprilis Jüngsthien Genanntem seeligen hienscheiden, Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenvest vnd Vorachtbahren herrn Johann Jacob Saltzmanns, vornehmen handelßmann vnd burgers alhier als Geordnet und Geschworenen Curatoris vnd Vogts Jungfr. Annæ Margarethæ vnd Herrn Matthiæ der Grimmen, beeder Lediger Geschwüsterd, so dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt Undt dann der Viel Ehren: und Tugendreichen Frawen Mariæ Helenæ Grimmin Herrn Nicolai Hoffers, auch handelßmanns vnd Burgers allhier Geliebter haußfrawen, mit beÿstandt erstgedachtes Ihres haußwürths aller dreÿ der Abgeleibten frawen seel. Sohns vndt Tochter, auch nechster ab intestato nachgelaßener Erben, vorgenommen, ersucht vnd inventirt – Actum Dienstags den 6. Maÿ A° 1687.
Copia der abgeleibten frawen seel. mit eingener hand geschriebener Disposition

In einer alhier Zu Straßb. ane dem Fischmarckt gelegenen in dieße verlaßenschafft gehöriger behaußung befund. word. wie folgt.
Auff der obern Bühn, Auff der andern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B,, In der Cammer C, Auff dem obern hindern Bühnel, Auff der Truckeneÿ, In der Cammer D, In der Cammer E, In der Obern Vorder stub, Im Hauß öhren, Im hindern Stübel, In der Küchen, In d. Magd Cammer, In der undern Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In dem undern hinder oder sogenandten Soldaten Stübel, In der Stubcammer, Vor dieß Stuben, Im Conthor, Im undern haußöhren, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane häußern. Item Ein Gewerbs behausung mit allen deren Gebäuwen, begriffen, weith. Rechten Zugehörd. v. Gerechtigkeiten, Geleg. in der St. St. ane dem Undern Fischmarckh, einseith neben H. Philipp Wilhelm Liechtenbergern dem huethstaffierern anders. neben H. Christian Gallus dem Barbierer allhier, hind. auff dem Ulber Graben stoßend, davon Gehen Jahrs 3. lb 10 ß d Zinnß auff Pfingsten, weÿl. H Hannß Philipp Spießen deß Specereÿ händlers seel. Erben in hauptgut abzulößen mit 70. lb d sonsten freÿ ledig vnd eigen, Vnd ist dieße Behaußung durch der Statt Str. Geschworne Werckhleüth vermög überreichter v. beÿ dem Concepto befindlicher Abschatzung, über vorgedachte beschwerdt hiehero æstimirt worden umb 1330. lb. Darüber besagen 2. teutsche perg. Kbr. mit d. St. St. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt, deren der Erste den 28. Xbr Aô 1653. v. der andere den 1. Julÿ aô 1654. datirt (…)
Item hauß v. hoffstatt, mit allen deßen Gebäuwen, Begriffen, weith. rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten, Gelegen in der Statt Straßburg ane dem Staden Zwischen der Schindt: v. Newen brucken, eins. neben d. Zunfft stueb Zum Encker, Anderseith neben dem Bierhauß Zum Vogelgesang, hind. vff ermelte Zunfftstub stoßend, so allerdings ledig eigen, und durch vorgedachter Werckmeistere abgewürdiget für 960. fl. th. 480. lb. Hierüber meldet j. teutsch. perg. Kb. mit d. St. St. anhangedem Kleinern secret Insigel verwahrt de dato den 12. febr. 1617. Ferner über einen halben theil dieß. behaußung seind vorhanden Zween teutsche perg. Kbr. mit d. St. Str. anhagendeem Contract Insiegel deren der eine den 29. 8.br aô 1649. der andere aber den 17. Xbr aô 1657 datirt vnd mit N° 4 signirt. Darbeÿ 15. alte perg. Kauff: abgenlöste Zinnß vnd hüttenbr. mit N° 2. quotirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, 1) haußrath 352, 2) Wahren 3843, 3) Wein vnd Lehre vaß 14, 4) Silber geschirr und Geschmeid 112, 5) Guldene Rind, Kett. v. dg. geschmeid 57, 6) baarschafft 417, 7) Eigenthumb an häusern 1810, 8) Pfenningzinß h.gutt 225, Summa summarum, Conclusio 6831 lb
Abschatzung Mitwochs d. 11. Junÿ 1687. Weillandt deß Ehrenhafften Vnd beschaidenen herrn Johann Martin Grim geweßner burger vnd Handelsmanns See. hinderlaßene Erben behaußung alhier in der Statt Straßburg auff dem Fischmarckh (…)
Die Zweite behaußung auch alhie in der Statt Straßburg ane dem schiffleut Staden, Ein Seitzs Neben E E Zunfft Zum Enckher, ander seitzs Neben herrn Johann petter Monfort dem biersieder Zum Vogel gesang, hinden auff J Gottfriedt Reinschißell Stoßent, Welche Vorder vnd hindere behaußung bachoffen vnd bachstub vnd ein gemeiner bronnen auch aller dero begriffen recht Vnd gerechtigkeit wie solches durch die geordnete Werckleite befunden vnd dem Jetzigen preiß vnd Wehrt Nach angeschlagen Vor vnd vmb Neinhudert Vnd Sechztig Gulden. Bezeÿgens der Statt Straßburg geschwohrne Werckh Leite, Joseph Lauttenschlager alter Werckmeister, Johann Feÿlotter Werck Meister deß Zimmerhoffs, Madtiß Schmaßmann Werckmeister deß Maurhoffs

Mobilier qui revient au fils commis négociant Mathias Grimm
1687, Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 9)
Verkauff und Looß Register über die Jenige Mobilia, Silber undt Goldt, so H. Mathias Grimm lediger handelßdiener von Weÿl. der Viel Ehren und Tugendreichen frawen Margaretha Grimmin auch weÿl. Herrn hannß Martin Grimmen Geweßenen Handelßmanns und burgers Zu Straßburg seel. nachgelaßener wittib, Als seiner Lieben Mutter auch seeligen Erblich bekommen
Vergleich und Abtheilung der Wahren demnach H. Johann Niclaus Hoffer sich resolvirt Jungfr. Annæ Margarethæ Antheil aller Vorhandenen Wahren deß Inventarÿ Anschlag nach Anzunehmen, H Joh: Jacob Saltzmann dero Curator auch darein consentirt
Specification der Jenigen wahren welche H Johann Jacob Saltzmann als Vogt H Mathiæ Grimmen mit Cons. H. Nicolai Herffen an H. Joh: Tomann Frölich certis cum conditionibus verkaufft

Inventaire des biens de Mathias Grimm, copropriétaire des immeubles décrits ci-dessus, dressé dans la maison au Vieux-Marché-aux-Poissons. L’actif de la succession s’élève à 2 211 livres, le passif à 2 323 livres.

1688 (12.5.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 10) n° 11
Inventarium und beschreibung aller der Jeniger Haab, Nahrung und Güttere, so weÿl. der Ehren vorgeachte H. Mathias Grimm, geweßener Lediger Handelsmann auch weÿl. deß Ehrenvest und wohlgeachten herrn hannß Martin Grimmen, geweßenen Vornehmen handelßmanns und burgers alhier Zu Straßb. nunmehr beed. seel. nachgelaßener Ehelicher Sohn nach seinem den 27. Martÿ dießes 1688.sten Jahrs genommenen seel. ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und Tugendreichen Frawen Mariæ Helenæ Hofferin gebohrner Grimmin, H. Nicolai Hoffers des von hier verzogenen handelßmanns vnd Burgers allhier ehelicher haußfr. mit assistentz deß Ehrenvest und hochachtbahren herrn Johann Niclauß Herffen Vornehmen Handelßmanns vnd burgers alhier ihres geordnet und geschworenen Vogts, So dann deß Ehren vnd wohlgeachten H Johann Jacob Saltzmanns, Vornehmen handelßmanns v. burgers alhier alß Geschworenen Curatoris Jungfr. Annæ Margarethæ Grimmin, obehrengedachts H Hanß Martin Grimmen seel. hinderlaßener Ehelicher dochter beeder deß nunmehr in Gott Verschiedenen Eheleiblicher Schwestern vnd rechtmäsiger ab intestato nachgelaßener Erbin (…) Actum Mittwochs den 12. Maÿ A° 1688.

In einer alhier Zu Straßb. ane dem Fischmarckt gegen dem Lungen gäßlein gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft Zum theil gehöriger behaußung befund. worden wie volgt
Ane Haußrath und dergleichen Vahrender haab. Obenauff in einer Cammer
Sa. haußraths 24 Wahren Zum Eißenhandel gehörig 1250, Lehre Vaß 3, Silbergeschmeid 3, Guldener Ring 1, Baarschafft 267
Eÿgenthumb ane häußern. Item ein dritter theil für ungetheilt von vnd ane einer Gewerbs behausung mit allen deren Gebäuwen, begriffen, weith. Rechten Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten, Geleg. in der St. St. ane dem Undern Fischmarckh (…)
Item ferner ein dritter theil für ungetheilt von vnd ane hauß vnd hoffstatt, mit allen deßen Gebäuwen, Begriffen, weiten, Zugehörden v. gerechtigkeiten, Gelegen in der St. St. ane dem Staaden Zwischen der Schind: v. Newen bruckh &&,so auch ledig eigen, und durch alhiesige Werckhleüth angeschlagen pro 450 lb, thut der hiehero gehörige dritte theil 160 lb
Dieße beede behaußungen seind in Vielberührtem Mütterlichem Inventario fol: 188.b, 189, 180, 191 et 192.a weitläuffiger beschrieben, wie auch die darüber sagende Doc.ta ordentlich registrirt zu befinden
Sa. Eigenthums ane häußern 626 lb, Pfenningzinß hauptgüter 33, Summa summarum 2211 lb – Schulden auß den Erb Zubezahlendt 2323, Mehr Schulden als gutt 111 lb

Anne Marguerite Grimm et Marie Hélène Grimm, femme du marchand Jean Nicolas Hoffer, louent la maison au fabricant de pâtés Jean Haubenstricker

1688 (30. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 672
H. Johann Jacob Saltzmann der Handelßmann, alß Vogt Jfr. Annæ Margarethæ Grimmin, So dann Joh: Niclaus Herff, der Handelßmann alß Vogt Mariæ Helenæ auch gebohrner Grimmin, Johann Niclaus Hoffers deß außgetrettenen handelßmanns Ehefrauen
in gegensein Johann Haubenstrickers deß Pastetenbecks, mit beÿstand Johann Jacob Kammen, deß Gerbers seines Vettern
entlehnt, Eine Behaußung, bestehend in vord. und hind.hauß, sambt einen höffel dar zwischen, mit allen deren Gebäuen begriffen. und zugehörd, allhier am Schiffleuthstad. einseit neben d. Zunfftstub Zum Äncker, anderseit neb. dem Bierhauß Zum Vogelgesang, hind. auff Gottfried (-) d. Meßerschmid stoßend gelegen, auff vier jahr lang von künfftig Ostern 1689. an Zu rechnen, Umb 25 pfund pfenning jährlich. Zinß

Les mêmes vendent la maison au fabricant de pâtés Jean Haubenstricker moyennant 400 livres. En marge, quittance remise en 1693 à Jean Melchior Schwanfelder

1689 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 37-v
Jfr. Anna Margaretha Grimmin so majorennis, mit beÿstand herrn Johann Jacob Saltzmanns, deß Ältern handelßmanns Ihres Vogts, So dann Fr. Maria Magdalena auch gebohrne Grimmin, Johann Niclaus Hoffers deß außgetrettenen handelßmanns Ehefrau, mit beÿstand Hn Johann Niclaus Herffen, deß handelßmanns Ihres Vogts
in gegensein Johann Haubenstricker deß Pastetenbecks, mit beÿstand H Christmann Röderers deß Rothgerbers
Eine Pastetenbecken behaußung mit allen deren Gebaüen, Begriffen, weithen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier jenseit am Staden oberhalb der Neuen brucken, einseit neben einem Allmendgäßlein am Vogelgesang anderseit neben der Zunfftstub zum Äncker, hind. auff Gottfried Reinschüßel den Meßerschmid, stoßend gelegen – geschehen umb 400 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Johann Melchior Schwanfelders deß schwerdfegers als jetzmahligen Possessoris hierinn gedachten underpfandts – quittung den 2. Octob. A° 1693

Jean Haubenstricker vend la maison au fabricant de pâtés Jean Thierry Herrmann

1692 (22. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 615
Johannes Haubenstricker der Pastetenbeck, mit beÿstand H. Georg Wagners E.E. großen Raths beÿsitzers
in gegensein Johann Dietrich Herrmanns, deß Pastetenbecks, mit beÿstand Johann Carl Kuntz, deß Büttels beÿ E.E. Zunfft der Freÿburger
Eine Pastetenbecken behaußung, mit allen deren Gebäuen, begriff., Recht. Zugehördt. und Gerechtigkeit, allhier am Staden, oberhalb der Neuen brucken, einseit neben einem allmendgäßlein, am Vogelgesang, and. seit neben der Zunfft stuben zum Äncker hinten auff Gottfried Reinschüßel, der Meßerschmid stoßend gelegen, welche behaußung umb 300 lb Capital Kauffschillings Rest, wie in d. C C stub Registr. d. A° 1689 fol. 30 in marg. zu befind. So dann umb 50 lb Capital (…) – umb 340 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Johann Melchior Schwanfelders deß Schwerdfegers, als jetzmahligen besitzers hierinn gem. behaußung (quittung), den 2. oct. A° 1693

Jean Thierry Herrmann hypothèque le même jour la maison au profit de l’horloger Abraham Habrecht

1692 (21.7.bris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 616
Johann Dietrich Herrmann, der Pastetenbeck
H, Abraham Habrecht, deß Klein Uhrenmachers – schuldig 250 pfund Zu Erkauffung hernach beschriebener hypothecirt. Behaußung
unterpfand, Eine Pastetenbecken behaußung, mit allen & perge auß immediate Vorstehed. in der Vorstatt

Né à Molsheim fils du maréchal ferrant Bernard Herrmann, Jean Thierry Herrmann achète le droit de bourgeoisie en janvier 1693
1692, 3° Livre de bourgeoisie p. 1103
Joh: Dietrich Hermann, Von Molßheim, der Pastetenbeck, weÿl. Bernhard hermanns des gewesten huffschmidts daselbst nachgelaßener sohn, erkaufft empfangt das burgerrecht p. 6 Gold fl. 16 ß. so Er bereits auf dem Pfenningth: erlegt hat, ist noch ledig. standts Vnd Wird Zu E.E. Zunfft der becker dienen. Jur: d 7. Jan: 1693

Jean Thierry Herrmann épouse en 1693 Marie Elisabeth Schudler
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 141)
1693. Die 30 May solemniter ac in facie Ecclesia matrimonii iuncti sunt Joannes Dietrich Herman Civis et Maria Elizabeth Schudlerin quorum proclamationes iam dudum factæ fuerunt (signé) Johann dietrich Herrmann, + signum sponsæ (i 71)

Jean Thierry Herrmann vend la maison au fourbisseur Melchior Schwanfelder.

1693 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 332-v
Johann Dietrich Herrmann, der Pastetenbeck, mit beÿstand Johann Georg Kuntz, dollmetsch am Metzger thor
in gegensein hans Melchior Schwanfelders, deß Schwerdfegers, mit beÿstand Hn Johann Jacob Hirschel, deß Fischhändlers und EE großen Raths beÿsitzers, seines Schwagers
Eine Pastetenbecken behaußung, mit allen denen Gebaüen, begriffen, rechten, Zugehördt und Gerechtigkeiten allhier am Staden, oberhalb der Neuenbrucken, einseit neben einem allmendgäßlein am Vogelgesang, anderseit neben der Zunnft stub Zum Äncker, hinten auff Gottfried Reinschüßel den Schwerdfeger stoßend gelegen, welche behaußung umb 300 lb Capital allen Kauffschillings rest, wie in d. C. Cont. Stb Reg. de A° 1689 fol. 38 in marg. Zu befind. So dann umb 50 lb Capital (So dann umb 250 lb Capital verhafftet), umb 200 pfund

Jean Melchior Schwanfelder et Anne Baldner hypothèquent la maison au profit du marchand de poissons Jean Jacques Hirschel. En marge, quittance remise en 1698 à Jean Guillaume Knoderer

1693 (2. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 662-v
Hans Melchior Schwanfelder, der Schwerdfeger, und Anna und gebohrne Baldnerin, und zwar dieselbe mit beÿstand H. Carl Baldners, deß goldarbeiters ihres bruders, und Johann Jacob Borsten, deß Meßerschmids, Ihres Vettern
in gegensein H. Johann Jacob Hirschels, deß Fischhändlers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, Ein Pasteten becken behaußung, mit allen deren gebäuen, rechten und Zugehördt, allhier am Stad. oberhalb der Neuen brucken, einseit neben einem Allmendgäßlein am Vogelgesang, and. seit neb. d. Zunfftstub Zum Ancker, hind. auff Gottfried Reinschüßel den Schwerdfeger stoßend gelegen
[in margine :] vorged. H. Hirschel der Creditor, in gegensein Joh: Wilhelm Knoderers, des Pastetenbecks als jetzigen besitzers des hierinn Verpfändeten am Staden gelegenen Pastetenbecken haußes (quittung), dieweilen aber die Vorlag ged. 300 lb Zur helffte von fr. Ursula gebohrner Kleinin weÿl. H. hans Conrad Werners, des Stattschmids sel. hinterlassener wittib, sein Knoderers Schwieger Mutter zur andern helffte aber Von Johann Wilhelm Heilen, ietzigen Stattschmid seinem schwager – den 30. 7.bris 1698

Jean Melchior Schwanfelder vend la maison au fabricant de pâtés Jean Guillaume Knoderer moyennant 800 livres

1698 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 355
Hans Melchior Schwanfelder der Schwerdfeger
in gegensein Johann Wilhelm Knoderers des Pastetenebecks, Und Annæ Mariæ geb. Wernerin mit beÿstand H. Johann Wilhelm Heilen, des Statt Schmids, ihres Schwagers [unterzeichnet] Johann Wilhelm Knotterer, Anna Ursula Knotterin, Johann Winemar häÿll
Eine Pastetenbecken behaußung, mit allen deren Gebaüden, begriffen, rechten, zugehördten Und gerechtigkeiten allhier am Staden oberhalb der Neuen brucken, einseit neben einem Allmend Gäßlein am Vogelgesang anderseit neben der Zunfft Stub zum Acker, hind. auff Gottfried Reinschüßel, den Schwerdfeger stoßend gelegen, welche behaußung umb 300 lb Capital (verhafftet) geschehen umb 500 pfund

Fils du marchand de pâtés du même nom, Jean Guillaume Knoderer épouse en 1696 Anne Marie Werner, fille du maréchal ferrant municipal Jean Conrad Werner
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 42, n° 10)
Mittwochs den 13. Junÿ A. n. 1696. seind nach zweÿmahliger Außruffung in der Pfarrkirchen Zu St. Niclaus in Straßb. copulirt und außgeruffen worden Johann Wilhelm Knoderer der ledige Pastetenneck und burger alhier, weÿl. Johann Wilhelm Knoderers, geweßenen Pastetenbecks und burgers alhier nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfer Anna Maria Wernerin weÿl. H Johann Conrad Wernerß, geweßenen Stadthuffschmidts und burgers alhie nachgelaßene eheliche Tochter und Johann Wilhelm Knotterer Pasten becker alß hochzeiter, Anna Maria Wernerin als hochzeiter (i 58, proclamation Temple-Neuf p. 56 n° 303)

Jean Guillaume Knoderer et Anne Marie Werner hypothèquent la maison au profit de la veuve du passementier Georges Christophe Hofflinger. En marge, quittances remises à André Nuss et Anne Marie Martin en 1717 puis au tanneur Jean Thiébaut Hetzel en 1729.

1702 (16.6.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 251
Joh: Wilhelm Knoderer pastetenbecker u. Anna Maria geb. Wernerin mit beÿstand Johann Willhelm Haÿlen Statthuefschmids u. Eliæ Greichels metzgers [unterzeichnet] Johann Wilhelm Knotterer, Anna Maria Knodererin, Johann Wilhelm haÿll
in gegensein Susannæ Cath: Weÿl. Georg Christoph Hoffingers geweßenen Paßmentirers wittib mit beÿstand J: Georg Deublers Einspennigers Dero Curatoris – 100 pfund
unterpfand, der debitirenden behaußung allhier ahm Staden einseit neben einem allmend gäßlein ahm Vogelgesang anderseit neben der Zunftstueb Zuem ancker hinten auf die Reinschußelische EE. stoßend gelegen
[in margine :] in gegensein Andres Nußen des Haußfeurers Und Anna Maria Martin alß nunmahliger proprietariorum hierinn Verpfändeten hauß, den 15. julÿ 1717
[in margine :] in gegensein Joh: Theobald Hetzel Rothgerbers als proprietarÿ hier verpfändeter behaußung, den 24. mart. 1729

La tribu des Maçons inflige une amende à Jean Guillaume Knoderer dont le locataire, l’ingénieur Billy, a fait poser du mastic dans son séchoir par un maçon de Kehl. Le prévot de la tribu déclare que Jean Guillaume Knoderer a déjà été prévenu deux ans auparavant pour une affaire semblable et q’uil ne pouvait donc ignorer le règlement. La commission estime que l’affaire peu d’imporante justiferait d’exonérer le pétitionnaire de l’amende qui est cependant maintenue à cause de son refus d’obtempérer. Les Quinze délivrent une expédition de leur sentence.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
(f° 43-v) Sambstags den 11.t Februarÿ 1708. – Saltzm. noîe Johann Wilhelm Knoderer deß Pastetenbeckers Zum Vogelgesang der ist von E. E. Zunfft der Maurer in 3 lb condemnirt worden weilen Einen in seinem Hauß sich auffhaltenden Ingenieur namens Billy eine truckeneÿ vergittern laßen, wozu der Maurer Langer Zeit nicht gebraucht werden können bittet deßweg. Deputation vnd nachlass der straff. Erk. Ahne die Obere Handwercks Herren.

(f° 56) Freÿtags den 2. Martÿ 1708 – Johann Wilhelm Knoderer Ca E. E. Zunfft d. Maurer
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen durch herrn Friden referiren daß Johann Wilhelm Knoderer der Pastetenbeck wider E. E. Zunfft der Maurer geklagt daß Sie ihne vmb 3 lb. d. gestrafft hetten vnd vmb deputation gebetten, daß man ihne ferner darüber gehört habe Er beditten, daß vor dießem herren Rhatherr Böhmen vnd Meister Zäpffel gebraucht hette, anjetzo aber dieselbe nichtt haben können, vmb nur etwas weniges in seinem hauß verkitten Zulaßen, dahero Mons. Billi der Ingenieur zu Kaÿl, so beÿ ihme logirt, sich eines Maurers von Keÿl bedient vnd unwißend seiner es verkitten laßen, dabeneben einen schein von ged. Mons. Billy vom 40. Febr. 1708. producit welcher abgeleß. word. worauff H Frantz Heinrich Städel alß alter Zunfftmeister geantwortet daß diese sach schon vor Zweÿen jahren beÿ E E Zunfft gericht vorgekommen were, vnd dermahlen gegner eben das was er anjetzo gedacht beÿgebracht habe, weilen Er aber wohlgewußt daß man sich der stimbler nicht bedienen solle, so hette man ihn die 3 lb d straff angesetzt, welche in der den 17. Junÿ 1701. beÿ Mhh. den XV. ergangener Erkandnuß enthalten, nach solchem were ihme 5 biß 6 mahl wider für gericht gebotten worden aber Er were nicht nur nicht erschienen sondern hette das erste mahl auch sehr böße wortt außgestoßen, wie Herr XV. König alß Oberherr selbsten werde attestiren können. Auff seith der herren Deputirten habe man darvor gehalten, daß was das Kitten betrifft, weilen es eine geringe sach ist Er mit der straff verschohnt, wegen ohngehorsams vndt verlohrnen respecti aber ihme die helffte der 3. lb d angesetzt werden könte.
Herr Prætor Regius haltet davor, daß er beÿ den 3. lb d gelaß. werden könte. Erk. herrn Prætori Regio gefogt.

(f° 88-v) Sambstags den 24. Martÿ 1708. – G. nôe E. E. Zunfft der Maurer Ersch. herr Frantz Heinrich Städel alß Zunfftmeister, bittet vmb schrifftliche communication deß In Sachen gtra H. Wilhelm Knoderers, Johann Haßlers vnd hannß Georg Bürmele Philipp Wentzen et Consorten ergangenen bescheiden. Erk. Willfahrt.

(f° 95-v) Freÿtags den 2. Martÿ 1708. – Joh. Wilh. Knoderer Ca E. E. Zunfft d. Maurer Bescheidt
In Sachen Johann Willhelm Knoderer des burgers vnd Pastetenbecks Allhier Kläger an einem, entgegen vnd wider E. E. Zunfftgericht der Maurer, beklagte am andern theil ist pt° angesetzter 3 lb. strafft erkandt, Soll Kläger dieße 3. lb d völlig Zu erlegen schuldig vnd verbunden sein.

Jean Guillaume Knoderer et Anne Marie Werner hypothèquent la maison au profit du marchand de fruits et légumes Christophe Spæth

1712 (ut ante [16.9.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 558
Joh: Willhelm Knoderer pastetenbeck und Anna Maria geb. Wörnerin beÿständlich Joh: Jacob Bahmeÿers metzgers und Willhelm heÿl Stattschmidts
in gegensein Christoph Späth fastenspeishändlers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: ahm Staden einseit neben dem vogelgesang anderseit neben der Schiffleuth stueb hinten auff Gerhardt Becker

Anne Marie Werner meurt en 1718 en délaissant des héritiers collatéraux qui renoncent à la succession. L’inventaire est dressé à la Citadelle dans la maison de l’ingénieur Billy. Les experts estiment la maison dans l’impasse à 150 livres. La masse propre à la veuve est de 362 livres. Le passif excède l’actif de 612 livres.

1718 (31. 8.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 2) n° 59 (55)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren und tugendsahme frau Anna Maria Knoderin gebohrene Wörnerin H. Joh: Wilhelm Knoderers Pastetenbecks und burgers allhier Zu Straßburg seelig geweßene haußfrau nunmehr seel. nach Ihren vor ohngefähr einem halben Jahr genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg d. 31. 8.br. 1718.
Bericht Gegenwärtigen Inventarÿ. Obwohlen die Verstorbene einige Geschwüsterde, welche rechtmäsige Erben ab intestato weren, oder seÿn Könten, so begehren Sie sich demnach dießeitiger Erbschafft im geringsten nicht an zumaßen, Vornehmlich der Ursachen, weilen weit mehrer schulden als nahrung vorhanden, Aus eben dießer Ursachen nun habe weder vor nötig eracht die Zwischen beeden geweßene Eheleuth auffgerichtete Eheberedung und Codicill weilen solche Documenta der Wittiber auch nicht weiß wo Sie seÿe auch am gelt hat solche Zu löß. noch einige denominatioen hæredum Zu dressiren würd demnach solchergestalt die gantz Massam dem wittiber heimfallet hingegen aber auch so weith sich selbe erstreckt die schulden Zu bezalen hab.

In einer in der Citadell gelegenen: und Von Mons. Billy Ingenieur bewohnend. behaußung sich folgendermaßen befunden
Eigenthumb ane häußern. Erstl. i. behaußung mit allen deren gebäuen, begriffen, weit. Zugehörd. Rechten v. gerechtigkeit allhier an dem Schiffleutstad. 1. seit neben dem Volgelsgesang dem bierhauß and.seit Andres Nußen dem schwartzb. hinten vf E E Zunfft der Äncker stoßend, Und ist solche behaußung durch der St. St. geschworne werckleute Crafft dero Zu mein des Not. Cocnept gelüffert. schrifftl. Abschatzung de dato 28. Octob. 1718 æstimirt worden pro 150. lb. Darüber hat sich dißmahlen nichts schrifftliches befund.
It. i. behaußung, s. Stall und garten, in der Ruprechtsau in der Niederau geleg. (…)
Wann nun die samptliche passiva von der gesampten Activ Nahrung defalcirt und abgezogen werden solt. werden soclhe die Activa dem Stalltax nach übersteigen vmb 612. lb

Jean Guillaume Knoderer et sa femme Anne Marie Werner échangent avec le farinier André Nuss et sa femme Anne Marie Mack la maison sur le quai contre une autre à la Robertsau

1716 (12.9.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 499-v
Joh: Willelm Knoderer pastetenbecker und Anna Maria geb. Wörnerin einsen
und andern theils Andres Nuss meelmann und Anna Maria geb. Mackin
(übergeben die Eheleuthe) Knoderer ihnen Nussischen Eheleuthen, ihre behausung höffel hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ahm staden, einseit neben der Schiffleuth stub anderseit neben dem bierhaus zuem vogelgesang hinten auf die Knodererische eheleuth – um 100, 400, 250, 150, 150 und 50 capitalien verhafftet
Dahingegen, (übergeben sie) Nussische Eheleuthe ihnen Knodererischen eheleuthen ihr hauß hoff hoffstatt stallung Garthen mit allen deren gebäuden, rechten und gerechtigkeiten in Ruprechtsau in der niderau, einseit neben Georg Wurtz darzwischen ein weeg anderseit neben dem hundtswasser hinten aufs allmendt, daran gibt mann jährlichen 1 lb ane bodenzinß – geben die Nussische Eheleuthe ihnen Knodererischen annoch 125 lb

André Nuss et Anne Marie Mack vendent la maison au fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig et à sa femme Anne Marguerite Schlehenacker

1722 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 467
(1750) Andreas Nuß haußfeurer und Anna Maria geb. Mackin
in gegensein Johann Adam Allheilig Pastetenbecks und Annæ Margarethæ geb. Schlehenackerin
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Staden, einseit neben der Schiffleuth Zunfftstub anderseit neben dem bierhauß zum Vogelgesang hinten auff Sr Billy den Ingenieur
([in margine :] 950 ausmachende capitalien und 800 pfund

Fils du fabricant de pâtés du même nom, Jean Adam Allheilig épouse en 1707 Anne Marguerite Schlehenacker, fille de l’aubergiste Jean Thierry Schlehenacker  : contrat de mariage, célébration
1707 (2. Julÿ), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 9)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen H Johann Adam Allheilig dem jüngern, Pastetenbeck und burger alhier, als hochzeitern an einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Annæ Margarethæ Schlehenackerin H Dietrich Schlehenackers, Bierbrauers und Burgers alhier mit weÿl. frawen Maria Magdalena gebohrner Schmittin deßsen erstern Haußfrawen seel. ehelich erzeugter Tochter als hochzeiterin andern theils
Actum in der Königl. freÿen Statt Straßburg Sambst. den 2. Julÿ A° 1707 [unterzeichnet] Johann Adam Allheilig als hochzeiter, Johann Adam Allheilig Alß Vatter, Anna Margaretha Schlenackrin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 112 n° 639)
Anno 1707. den 7. Septembr. seind nach geschehener doppelter ausruffung in der Kirch Zu St Thomas eingesegnet worden Johann Adam Allheilig der ledige Pastetenbeck H Johann Adam Allheilig deß burgers und Pastetenbecks alhie ehelicher Sohn und Jungfr. Anna Margaretha H Dietrich Schlehenackers deß biersieders und burgers alhie eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Adam Allheilig als Hochzeiter, Anna Margareth Schlenackrin als hochzeiterin (i 115)

Jean Adam Allheilig devient tributaire le 4 octobre 1707
1707 (4. 8.br), Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 32-v) Dienstags, den 4.ten Octobris – Neuzünfftiger
Johann Adam Allheilig der ledige Pastetenbeck erscheint mit Vorweißung Stattscheins, bittet umb seines Vatters Recht, Erkannt, soll 1 lb 11 ß d Zur Gebühr erlegen, alß dann willfahrt.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 128 livres, ceux de la femme à 399 livres.
1707 (19. 8.br), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 5)
Inventarium über des Ehrenhafft und Achtbahren Hn Johann Adam Allheiligs des jüngern Pastetenbecks und der Ehren und tugendsahmen Frawen Annæ Margarethæ Schlehenackerin, beeder Eheleuth und Burgere alhier Zue Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1707. – vermög der Zwischen Ihnen Zuvor auffgerichteten Heuraths Pacten, in ihren ohnlängst mit Gott angetrettenen Ehestand einander für ohnverändert, Zugebracht – Actum in der Königl. Freÿen Statt Straßburg in fernerem Gegensein der Ehrenvest und Vorgeachten Hn Dietrich Schlehenackers Bierbrauers Zum Störckel der Frawen leibs Vatters und H, Joh. Phil. Brandhoffers, Biersieders Zum guld Löwen, deroselben noch ohnentledigten Vogts, Mittw. d. 19.ten Octobr. A° 1707.
Sa. haußraths M 93, der Frawen Zugebrachten haußraths 178, Sa. Silbergeschirrs M 6, F 7, Sa. Guldener rings F 19, Baarschafft F 194, Schiff und geschirr zum Pastetenbecken handwerck gehörig M 24
Des Manns Nahrung 128 lb, Der Frawen in die Ehe eingebrachte ohnveränderte Nahrung 399 lb
Haussteur M 43, F 21

Jean Adam Allheilig et Anne Marguerite Schlehenacker font dresser l’inventaire de leur actif et de leur passif
1726, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 550
Inventarium über Johann Adam Allheilig Pastetenbecks und fr. Anna Margaretha geb. Schlenackerin Activ v. passiv Nahrung

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Adam Allheilig à rester à l’hôpital jusqu’à ce qu’il soit guéri
1728, Conseillers et XXI (1 R 211)
(p. 172) Sambstag d. 15. Maÿ – Mr Gug Nomine Joh: Adam Allheilig des hiesigen burgers und Pastetenbecks producirt unterthänig und demüthigstes Memoriale und bitten, sambt beÿlag N° 1 handelt inhalts. Ist Erkandt, Wird Implorant an die Hh. Pflegere des Mehrern Hospitals, umb dessen Petitum dahin gehend, daß er noch länger darinnen und Zwar biß Zu erlangter Völliger gesundheit möchte behalten Werden, Zu untersuchen und darüber eine umbständlichen Relation abzulegen Verwießen. Deputati H. Rth. Brackenhoffer und H. Rht. Zäpffel.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent Jean Adam Allheilig à l’hôpital si ses six enfants n’ont pas les moyens de l’entretenir
1729 Conseillers et XXI (1 R 212)
(p. 65) Montag d. 7. Februarÿ – Lt. Mosseder Nomine Johann Adam Allheÿlig des hiesigen burgers und geweßenen Pastetenbecks producirt fußfällig flehentliches Memoriale und bitten, mit beÿlag Lit. min. a umb gnädige Auffnahm in den Hospithal handelt inhalts. Ist Erkandt, Wird das geschäfft an die Herren Pflegere dieses Stiffts Verwießen umb zu untersuchen, ob des Imploranten haußfrau und noch lebende sechß Kinder ihne Zu unterhalten im stand seÿen oder nicht. Mithin Wohlgedachten Herrn Pflegere nach befindung der umbständ selbigen in den Spithal auffzunehmen oder mit seinem begehren abzuweÿßen hiemit die hand geöffnet. Deputati H Rht. Richßhoffer und H Rht. Desgeorges.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent à l’orphelinat les trois enfants cadets de Jean Adam Allheilig après enquête.
1730, Conseillers et XXI (1 R 213)
(p. 140) Mittwoch d. 3. Maÿ 1730. – Lt. Mosseder Nomine Weÿl. Joh: Adam Allheilig geweßenen Pastetenbecks und burgers allhier hinterlaßener sechs Kinder Vogts Johann Jacob Meÿers auch burgers und biersieders producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿlagen sub Lit. A B C et D umb gnädiges Auffnahm der dreÿ iüngsten Von gedachten Kindern in das Wäÿßenhauß handelt inhalts. Ist Erkandt, Wird dieses geschäfft an die Hh Pfleger des Wäÿßenhauß Verwießen und zu untersuchen, ob der Kinder Mutter Vermittelst des von St Marx geniessenden Wochentlichen Allmosens und ihrer handarbeit selbige Zu unterhalten im stand seÿe oder nicht und Wohlgedachten Hh. Pflegere nach befindung der umbständ, besagte dreÿ Kinder oder einige davon in das Wäÿßenhauß auffzunehmen Zu laßen hiemit die hand geöffnet. Deputati H Johann Cristoph Richßhoffer und H Rht. Desgeorges.

Compte que rend le brasseur Jean Jacques Meyer de la gestion des biens qui appartiennent au sachetier Jean Adam Allheilig, fils du fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig et d’Anne Marguerite Schlehnacker
1737, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 34) n° 1069 (1022)
Rechnung Mein Johann Jacob Meÿer bierbrauers Zum Storcken vnd burgers allhier Zue Straßburg, alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Adam Allheÿlig leedigen Säcklers weÿlandt Johann Adam Allheÿlig, geweßenen Pastetenbecks vnd burgers allhier mit nunmehro auch weÿland Annæ Margarethæ Allheÿligin gebohrner Schlehnackerin seiner hinterbliebenen Wittib Ehelich erzeugten und Verlassenen Einen Sohns, Innhaltend vnd außeißend, was ich vom 30. 9.bris 1731. biß auf dem 20. Februarÿ 1737. so dieswegen Eingenommen und wieder Außgegeben haben Zweÿ Rechnung dießer Vogteÿ.

Jean Adam Allheilig et Anne Marguerite Schlehenacker vendent la maison au tanneur Jean Thiébaut Hetzel

1727 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 358
Johann Adam Allheilig der Pastettenbeck und Anna Margaretha geb. Schlehenackerin
in gegensein Johann Theobald Hetzel des Rothgerbers unter dem 13. maÿ jüngst vorgenomenen und zu folg dem 14. ejusdem obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung höfflein gemeinschafft des bronnens und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Schiffleuthstaden, einseit neben der Schiffleuth Zunfft Stueb anderseit neben dem Bierhauß zum Vogelgesang und neben einem gemeinschafft nicht durchgängigen gäßlein hinten auff Philipp Ecker den Schiffmann – stiegschilling von 1510 pfund nach inhalt in des mitverkaüffers falliments sachen (…) ertheilten collocations bescheids ahn dies daselbst collocirten creditores (…) zu bezalen

Jean Thiébaut Hetzel cède la maison à son fils Jacques Frédéric Hetzel et à sa femme Madeleine Helmsetter contre la moitié indivise d’une autre au Bain-aux-Plantes. Le fils renonce au bénéfice de l’habitation contenu au contrat de mariage (voir ci-dessous)

1739 (4.8.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 356
Johann Theobald Hetzel der ältere Rothgerber lederbereiter an einem
und deßelben sohn Jacob Friedrich Hetzel des Lederhändlers und Magdalena geb. Helmstätterin
(übergibt) Hetzel der vatter seinem sohn, eine Behausung, Höfflein, hindergebäu, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt mit allen übrigen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Schiffleuthstaden, einseit neben der Schiffleuth zunfft stub anderseit neben dem bierhaus zum Vogelgesang weÿl. Hieronymus Hatt des Biersieders wittib modo Philipp Willhelm Milius auch bierbrauers Ehefrau und ged. Hatten erben /:wie auch neben einem gemeinschaftlichen nicht durchgängigen gäßlein:/ hinten auff Willhelm Eckert den schiffmann – seith den 9. junÿ 1727 da er selbige erkaufft hat eigenthümlich zuständig
dahingegen Hetzel der sohn seinem vatter, die helffte für ohnabgetheilt ahne einer Behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der Pflantzbadergaß, einseit neben H. Jacob Pasquay dem Lederhändler anderseit neben weÿl. Fr. Susanna geb. Kastin auch weÿl. H. Rathh. Johann Ludwig Kob des handelsmanns wittib und erben hinten auf die Ill – 250 und 200 pfund capitalien auff das gantze haus – als ein am 28. maÿ 1736 erkaufftes guth zu einer zur andern helffte aber eintauschendem Hetzel heutigen tags erkaufft hat seinem bruder Jacob Friedrich Hetzel dem Lederhändler angezeigte 450 und 75 pfund – das cedirte haus helffte für das ihme eingetauschte und erkauffte haus 1000 pfund
anbeÿ auch Hetzelischen eheleuthe auff die Ihnen in ihrem vor H. Lt. Vaudin damaligen Ambtschreiber des ambts Illkirch am 9. julÿ 1731 errichteten Ehepacten ihme Johann Theobald Hetzel und deßen ehefrau Juliana Elisabetha geb. Mahlerin auff gewiße zeit die bewohnung des vorderhaußes der am Schiffleuthstaden liegenden behausung verzug gethan

Jacques Frédéric Hetzel épouse en 1731 à Schiltigheim Madeleine Helmstætter, fille de l’aubergiste à la Couronne Jean Georges Hemstætter : contrat de mariage, célébration. Les parents du marié assurent leur vie durant à leur fils le logement dans la maison quai des bateliers.
Copia der Eheberedung – zwischen herrn Jacob Friderich Hetzel dem leedigen Rothgerber burgern Zu Straßburg Herrn Johann Diebold Hetzels Rothgerbers lederbereiters vnd burgers dselbsten und seiner Ehefrauen Juliana Elisabetha gebohrner Mahlerin ehelich erzeugtem Sohn, alß hochzeitern an einem, So dann Jungfrauen Magdalena Helmstätterin, Herrn Johann Georg Helmstätters des Cronenwürths und burgers alhie Zu Schiltigheim, mit Frauen Magdalena gebohrner Steinbachin ehelich erzeugten dochter, alß hochzeiterin am andern theil (…) Fünfftens obligiren sich des H Hochzeiters geliebte Eltern das ihnen gehörige in der Statt Straßburg an dem Staaden zwischen dem bierhauß Zum Vogelgesang und E. E. Zunfft der äncker gelegene samtliche Vordere Hauß und Laden, samt denen, Zu dem in dem vordern hauß abgesonderten Wohnungen bißhero gewesenen Kelleren beeden Verlobten Zinnßfreÿ in Wohnung zu überlaßen, dergestallten, daß Sie beeder Verlobte gedachter Vorder hauß samt Laden und Keller so lang deßen Eltern leben in genuß haben (…) So beschehen Zu Schiltigheim auf Montag den 9. Julÿ Anno 1731 [unterzeichnet] Vaudin Ambtschreiber

Mariage, Schiltigheim (luth. p. 502)
A° 1731. den 18. Septbrs seind auff ertheilte Erlaubnus des Herren Amtmanns sub dato 30. Aug. und Zweÿmahliger ordentlicher Außruffung ehlich copulirt und eingesegnett worden H Jacob Friderich Hetzel, Burger, Rothgerber und Lederhändler in Straßburg, Herren Theobald Hetzels, Burgers und Rothgerbers in Straßbg. ehl. Sohn & Jgfr. Magdalena Helmstätterin Joh: Georg Helmstetters, burgers und Gastgebers Zur Cronen allh. ehl. Tochter [unterzeichnet] Jacob Friederich Hetzel als hochzeiter, Magdalena helmstetterin als hochzeiterin (i 256, proclamation Saint-Thomas p. 222 n° 1259)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 762 livres, ceux de la femme à 736 livres.
1731 (20. 8.br), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 25 Not 134, fonds Lang) n° 198
Inventarium über Herrn Jacob Friderich Hetzels Lederhändlers und Frauen Magdalenæ gebohrner Helmstätterin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1731. – sich vermög auffgerichteter Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen in Straßburg auff Sambstag den 20. 8.bris A° 1731.
Des Ehemanns vor unverändert in den Ehestand gerbachtes Verheurathet mit, Sa. haußraths 166, Sa. Silbers 41, Sa. baarschafft 554, Summa summarum 762. lb
Dießemnach folget auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 344, Sa. Frucht 11, Sa. Silbers 45, Sa. goldener Ring 35, Sa. baarschafft 300, Summa summarum 736 lb

Jacques Frédéric Hetzel et Madeleine Helmstætter hypothèquent la maison sur le quai et une maison ruelle de l’Ancre au profit de Marie Salomé Sachs, femme de l’assesseur au Grand Sénat Jean Sébastien Gambs

1744 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 382
Jacob Friedrich Hetzel der lederhändler und Magdalena geb. Helmstetterin mit beÿstand ihres vatters Johann Georg Hetzel des Cronenwürths zu Schiltigheim und ihres vettern H. Bernhard Schlegel des küblers
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Sachsin H. Licentiat Johann Sebastian Gambs E.E. großen Raths alten und E.E. Kleinen Raths dermaligen beÿsitzers Ehefrau – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung bestehend in vorder und hinderhaus, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis am Schiffleuthstaden einseit neben der Enckerzunfftstub anderseit neben dem bierhauß zum Vogelgesang hinten auff ermelte Zunfft
mehr eine behausung und hoffstatt im Enckergäßlein einseit neben Lorentz Clees dem Sandführer anderseit neben dem Fridischen stammhaus hinten auff daßelbe

Madeleine Helmstætter meurt en 1761 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison sur le quai à 1 050 livres. La masse propre au veuf est de 2 338 livres, celle propre aux héritiers de 3 319 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 154 livres, le passif à 11 046 livres.

1761 (22.12.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 399) n° 923
Inventarium über Weÿland der Wohl Ehren und Viel tugendbegabten Frauen Magdalenä Hetzelin gebohrner Helmstätterin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbaren herrn Jacob Friedrich Hetzels, des ältern Lederhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1761. – nachdem dieselbe Sambstag den 6. Junÿ dießes Zu end eilenden 1761. Jahrs durch einen seeligen tod von dießer Welt abgefordert worden (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 22. Decembris et sequentibus Anno 1761.
Die Abgeleibte Frau seelige hat Zu Ihren Erben sowohl per Testamentum als ab intestato verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Magdalenam Kolbin gebohrene Hetzelin H Johann Daniel Kolb des handelsmanns und burgers allhier Frau Eheliebstin Welche mit beÿhülff Wohlbesagten Ihres geliebten Eheherren und mit fernerer Assistentz S. T. herrn Johann Carl Ficke, Notarii jurati publici und berühmten Practici Ihres erbettenen Hn Beÿstand in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden. 2.do Herr Jacob Friderich Hetzel den jüngern Lederhändler und burgern allhier, welcher ebenmäßig in selbst eigener Persohn dem geschäfft beÿgewohnt, So dann 3.tio Herrn Johann Theobald Hetzel Lediger handelsmann welcher 23 Jahr alt, dahero nach hießigen Stattrechten Majorennis und ohnbevögtigt mithin in selbst eigene Persohn Zugegen war. Also alle dreÿ der in Gott seelig entschlaffenen Frauen Hetzelin mit eingangs ernanntem Ihrem hinterbliebenen herrn Wittiber ehelich erzielhte Herren Söhne und Frau Tochter und sowohl ab intestato als auch per Testamentum Zu dreÿen portionen und Stammtheilern Verlaßene Rechtmäsige Erben

In einer allhier Zu Straßburg jenseit dem Staden Zwischen der Schind: und Neuen brucken neben E. E. Zunfft der Encker zunfft Stub gelegen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
In Schiltigheim im Würthshaus Zur Cron
(f° 18) Eigenthum ane Häußern (T.) Erstl. eine behaußung, höfflein, hindergebäu und Hoffstatt samt noch einer darzu erkaufften Hinder behaußung samt höfflein und Hoffstatt, auch einen brunnen welcher Zu beeden häußern gemeinschafftlichen gehörig, gelegen allhier Zu Straßburg am Schiffleutstaden einseit neben der Schiffleuth Zunfftstub, anderseit neben dem bierhauß Zum Vogelgesang, H Johann Jacob Saur, dem bierbrauer gehörig, wie auch neben einem gemeinschaftlichen nicht durchgängigen Gäßlein, hinden auf vorgedachte Schiffleuth Zunfftstub stoßend so vor freÿ ledig und eigen durch (die Werckmeister) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 28.ten Decembris 1761. angeschlagen pro 1050.
Hierüber und Zwar über die vordere behausung hindergebäu höfflein und Gemeinschafft des bronnens ist vorhanden ein teutscher pergamentener tauschbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contractstub auffgerichtet und mit dero anhagendem Insiegel corroborirt, dedato 4. Augusti A° 1739. weißend wie solche behaußung von H. Johann Theobald Hetzel dem ältern Rothgerber und Lederbereiter auch burgern allhier des Hn Wittibers eheleiblichem Hn Vater nunmehr seeligen gegen der Helfte ane einer behaußung ane der Pflantzbadergaß gelegen, eingetauscht und darbeÿ von dißortigen beeden geweßener Eheleuthen auf die in hieoben eingetragener Eheberedung denen selben auch gewiße Zeit Versprochene Zinßfreÿe bewohnung des Vordrhaußes Verzug gethan worden
Die hintere behaußung aber ist von Johann Wilhelm Eckert dem Schiffmann und burgern allhier erkaufft und in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub verschrieben, der Kauffbrieff darüber aber dißorts nicht befunden worden. Es ist aber dißorts darüber verschiedene alter in allhießiger Cancelleÿ Contractstub errichteter teutscher pergamentener Kauffbrieff, de dato 20.ten Julÿ Anno 1726.
(T.) It. eine Stallung samt einer heubühn mit deren Gebäuen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden im Enckergäßlein (…)
(f° 20) Antheil ane einer Lohmühl (W.)
(f° 21) Wÿdemb, Welche die seelig verstorbene von Weÿland herrn Johann Georg Helmstätter dem gewesenen Gastgeber Zur Cron und burgern in Schiltigheim und Frauen Magdalenæ gebohrner Steinbachinn Seiner nachgelaßenen Wittib Ihren geliebten Eltern seeligen Lebtägig genoßen hat (…)
Ergäntzung des Herrn Wittibers angegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über Eingangs gedachter beeder geweßenen Ehepersohnen einander in die Ehe gebrachte Nahrungen, durch Weÿland herrn Notarium Johann Philipp Liechtenberger seeligen in Anno 1731. auffgerichtet
(f° 32) Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Eheberedung – Copia Testamenti – Copia Nach Disposition
Des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 23, Sa. Lährer Faß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. antheils ane einer Loh Mühl 8, Erg. Rest 2641, Summa summarum 2688 lb – Schulden 350, Nach deren Abzug 2338 lb
Dießemnach wird nun auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 137, Sa. Schiffmanns Zum Ackerbau gehörig 5, Sa. Silbers 18 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1300, Sa. Erblehens guths 50, Sa. Liegender Lehengüether Nihil, Sa. Schuld 100, Erg. Rest 1726, Summa summarum 3319 lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändert und Theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 105, Sa. Wahren Zum Lederhandel 298, Sa. Gutschen 32, Sa. Pferd und Rind Viehes 37, Sa. Gartengewachßes 39, Sa. Tabacks 10, Sa. brechhanffs 5, Sa. Saamens im Feld 4, Sa. Wein und Läherer Faß 44, Sa. Silbergeschmeids 17, Sa. goldener Ring 43, Sa. baarschafft 268, Sa. Eigenthums ane häußern 1150, Sa. Antheils ane einer Lohe Mühl 41, Sa. Eigenthums ane Liegenden Güethern 20, Sa. Erblehenguths 25, Sa. Liegender Lehengüether Nihil, Sa. Schulden 5009, Summa summarum 7154 lb – Schulden 11.046, In Vergleichung 3892 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 2785 lb – Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in das Erbe Zugeltend 3460
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Zu Schiltigheim auf Montag den 9. Julÿ Anno 1731 [unterzeichnet] Vaudin Ambtschreiber
Copia Testamenti – Hiermit gebe ich Magdalena gebohrne Helmstätterin Herrn Jacob Friderich Hetzel des Lederbereiters Handelsmanns und burgers allhier Ehefrauen männiglichen Zu erkennen (…) Sambstags den 6. Octobris 1759
Abschatzung Vom 28.ten Dec. 1761. Auff begehren Herrn Jacob Friderich Hetzell Sinor ist eine behausung Allhier in der Statt Straßburg An dem oberen Schieffleit Staden Gelegen Einseits Neben Dem bierhauß Zum Fogell Gesang genant, Anderseits und hienden Auff die schieffleut Zunfft, stosent Gelegen solche behausung bestet in Etliche stuben, Kammeren vnd Kichen, dar jber ist der dachstull mit breit Ziglen hat auch ein Getrembten Keller vnd brunnen Von uns unterschriebenenen der Statt Straßburg geschwornen Werck Meister Nach Vorher geschehener besichtigung mit Aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Vmb Zwäÿ thaus Ein Hundert Gulden. Werner, Huber

Jacques Frédéric Hetzel vend la maison à Marie Marguerite Horchheimer, femme du tonnelier Philippe Henri Kreider

1768 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 413-v
H. Jacob Friedrich Hetzel der rothgerber
in gegensein Fr. Mariæ Margarethæ geb. Horchheimerin weÿl. Philipp Heinrich Kräuter des kieffers wittib
eine behausung, zweÿ höffel, bronnen und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Schiffleuthstaden, einseit neben der Schiffleuth zunfftstub, anderseit neben Fr. Helmstätterin geb. Saumin hinten auff ged. Zunfftstub – umb 2000 pfund

Originaire de Francfort, Marie Marguerite Horchheimer épouse en 1739 le boutonnier Jean Garnier Antoni : contrat de mariage, célébration
1739 (25.2.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 53) n° 213
Eheberedung zwischen Herrn Johann Wernert Antoni, dem Knöpffmacher alhier Wittiber und burger, allhier, als hochzeitern, mit beÿstand Herrn Paul Christoph Heÿdenmann Chirurgo und Burgers allhier ane einem
So dann Mariæ Margarethæ Horchheimerin, weÿl. Hrn Johann Hartmann Horschheimer, gewesenen Steindecker und burgers Zu Franckfurth am Mäÿn nachgelaßenen ehelichen Tochter, als hochzeiterin mit beÿstand& Hrn Johann Michael Horchmann biersieder und burgers allhier ihres bruders am andern theil (…) Sigl. Straßburg den 25. Februarÿ Anno 1739 [unterzeichnet] Johann Werner Anthoni als Hochzeiter, Maria Margaretha Horchheimerin alß hoch Zeiterin

Mariage, Illkirch (luth.)
1739. d. 8. Martÿ siend auf Erlaubnus Ihro hoch adelich. Excellenz H. Prætoris Regÿ Zum 1 et 2 mal Zugleich ausgeruffen und p.clamiret worden und d. 10. ejusdem ehl. copulirt und eingesegnet H Johann Werner Anthoni burg. u. Knöpffmach.in Strasb. jetzig. Zeit wittiber und Jgfr. Maria Margaretha H Joh: Hartman Horchheimers des gewesenen burg. und schiffdeckers in franckfort hind.laßne ehl. tochter, beide Luther. Religion laut außag H. Amtweßers u. H. Zeißolffen goldarbeiters bede Luther. religion [unterzeichnet] Johann Werner Anthoni als hochzeiter, Maria Margaretha Hörchheimer Als bruter (i 145)

Fils du cocher Jean Georges Kreider, Philippe Henri Kreider épouse en 1742 Marie Marguerite Horchheimer, veuve de Jean Garnier Antoni : contrat de mariage, célébration
1742 (21. 7.br), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 54) n° 284
Eheberedung Zwischen Hrn Philipp Heinrich Kreider lediger Kieffer, Johann Geörg Kreider, Gutschers beÿ Ihro hochfürstl. durchlaucht Zu Darmstatt ehelichen Sohn, als hochzeitern, mit beÿstand hrn Johann Philipp Astheimer weinhändlers und herrn Joh: Jacob Meÿer biersieders Zum Störckel beeder burgere allhier seiner Vettern ane einem
So dann Frauen Mariæ Margarethæ Anthoniin gebohrner Horchheimerin, weÿl. herrn Johann Werner Anthoni, geweßenen Knöpffmacher und burgers allhier nachgelaßenen wittib als der Frau hochzeiterin mit beÿstand hrn Johann Niclaus Horchheimer, biersieders Zum Strauß und burgers allhier ihres bruders ane dem andern theil
Straßburg Freÿtags den 21. Septembris Anno 1742 [unterzeichnet] Philipps Heinrich Kreider als hochzeiter, Maria Margaretha Anthon Als hoch Zeitern

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 58 n° 10)
1742. Mittwoch d. 2. Oct. sind nach Zweÿmahl. geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St Niclaus in den Ehestand eingesegnet word. Philipp Heinrich Greuter der ledige kiefer und Burger allhier auß darmstatt, Joh: Georg Greuters deß hochfürstl. Hofkutschers daselbst ehl. Sohn und Frau Maria Margaretha Weÿl. Joh: Werner Anthoni geweß. Knöpfmachers und Burgers alhier hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Philipp Heinrich Kreider als hochzeiter, Maria Margaretha Anthoni Als Hoch Zeiterin (i 60)

Philippe Henri Kreider devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1742, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 107
Ph. Heinrich Gräuter der Kieffer von Darmstatt gebürtig erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefraun Maria Margaretha weÿl. Johann Werner Anthoni gewesenen Burgers undt Paßmentmachers Wittib, um den alten burger schilling und Wird beÿ E. E. Zunfft der Kieffer dienen. jur. eod. [3. 9.br. 1742]

Philippe Henri Kreider présente son chef d’œuvre en septembre 1742. Il est reçu maître mais doit régler une livre à cause des défauts de son travail.
1742, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 434) Montags d. 6. aug. 1742 – Philipp Heinrich Kräutler der ledige Kieffer stehet vor, meldet daß seine muthjahr verstrichen, bittet demnach ihne Zum meisterstück einzuschreiben. Erkandt wie gebetten, dt weckstatten Zinß 30 ß pro protoc. 2 ß 6 d
Ille bathe sogleich auch, wann der platz Lähr seÿn wirdt, ihme zu erlauben daß mstrstück Zu machen. Erkandt wurde in sein begehren willfahrt, und zugleich erlaubt ihm ein Zunfftschein Zugeben.

(f° 435-v) Mittwochs d. 19. 7.bris 1742 ist Philipp Heinrich Kräuters des Ledigen Kieffers meisterstück Zum Letztenmahl besichtiget und von den Hh Schauern referirt worden, daß die 1.te S[ch]au Zimmlich wohl ausgefallen, außer deß sich etliche däschen undt Bückel daran befundten in d. 2.te Schau aber ware daß faß sehr schlecht geendet, also das die Eck an der seith umb ein starcken meßerrucken Zu lang waren, die Köpff aber überhaubt zu kurtz im fordern boden ein wüste einfug und der hinter boden umb 1 ½ Zoll Zu viel gesenckt, in der 3.ten schau befandt sich daß faß ein gar schlechtem gebändt, auch noch böße und wüster außfühen in den Böden deßen ohnerachtet würdt Er doch vor ein meister Erkandt, jedoch daß Er dießer fehlern halben 1 lb s straff erlegen solle, welches auch von H obmann also Confirmirt worden.

Philippe Henri Kreider devient tributaire le 20 novembre 1742.
(f° 437-v) Dienstags d. 20. 9.bris 1742 – Mstr Philipp Heinrich Kräuter der Küeffer erhalt auff prod. schein das Zunfftrecht undt Zahlt als ein frembder 2 lb 1 ß 8 d pro feuer eimer 10 ß pro protoc. 2 ß 6 ß. Derselbe extra werckstatten Zinnß 15 ß

La tribu inflige une amende à Philippe Henri Kreider qui a travaillé sans avertissement chez un client d’un autre tonnelier.
1773, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 296)
(f° 324) Donnerstags den 16. Decembris 1773 – Klag
Mstr Johann Michael Dörffer der Kieffer klagt Contra Mstr Philipp Heinrich Kräuters des Kieffers Wittib, daß da er Kläger schon Lange zeit Kieffer beÿ H. Lt Ehrmann ist, so habe beklagte durch ihren Sohn demselben Wein in den Keller thun Laßen ohne Klägern davon Zu avertiren, bittet beklagten dem Articul gemäß Abzustraffen und in die Unkosten Zu Condemniren
Beklagte zugegen ist der Klag soweit geständig, sagt aber Sie habe die Ordnung nicht gewußt. bittet absolutionem, refusis Expensis.
Erkannt seÿe beklagte in die Straff des Articuls mit 1 lb und in die Unkosten Zu condemniren. Zahlt prot. 3 ß

Marie Marguerite Horchheimer veuve de Philippe Henri Kreider meurt en 1796 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants, un de son premier mariage et les autres issus du veuf. La succession comprend deux maisons, l’une rue des Couples l’autre quai des Bateliers.

1796 (28 nivose 4), Strasbourg 7 (8 a), Not. Stoeber n° 1194
Inventarium über weÿl. Fraun Maria Margaretha Kreuter geb. Horchheimer weiland brs Philipp Heinrich Kreuter gewesenen Kiefers alheir Wb. so den 9 nivose lezthin mit tod abgegangen Verlaßenschafft, aufgerichtet den 16. nivose 4
die abgeleibte hat zu dero rechtsmäßigen Erben hinterlassen 1. weÿl. Fr. Maria Margaretha geb. Antoni auch weÿl. Johann Reinhard Krafft gew. Gastgebers alhier Ehefrau hinterlassen beede töchter als Enckelinnen [en marge :] (Wohnort Streinstraß) a) Margaretha Salome geb. Kreuter brs Philipp Paul Rätz gastgebers Ehefrau, (Steinstraß) b) Catharinam Elisabetham geb. Kreuter brs Daniel Mechling beckers Ehefrau, Solche beede Enckelinnen hat die verstorbene in erster Ehe mit br Joh: Werner Antoni gew. Seidenknopffmacher ihrem den 4. Martii 1740 Verstorbenen Ehemann gezeugt, 2. weÿl. Fraun Margaretha Catharina geb. Kreuter verlaßenen Kinder als Enckel nahmentlich (à l’armée du 3. Reg. husasrd) a) Philipp Jacob Daßau den led. so 20 Jahr alt, (quai des Bouchers) b) Catharina Magdalena Dassau die leedige so 18 Jahr auf sich hat, (mort) c) Johannes Dassau so 17 Jahr alt und (rue de Madeleine N° 19) d) Margaretha Salome Dassau so 16 Jahr alt, dieße 5 mit b Joh: Gottfried Bleÿ dem Schloßer ihrem Oncle bevögtigt, zum theilvogt b. Ludwig Conrad Beer Schumacher, (grande rue de la grange) 3. Frau Maria Susanna geb. Kreuter bs Johann Friedrich Buob Goldarbeiters Ehefrau, (rue des bouchers) 4. Fr. Mariam Elisabetham geb. Kreuter obigen bes. Joh: Gottfried Bleÿ Schloßers Ehefrau und (rue des Couples N° 5) 5. br. Friedrich Jacob Kreuter archivarium beÿ hies. Commune in dem 5.t haupttheil, solche mit ihrem den 29. jan. 1764 verstorbenen Ehemann weil. Philipp Heinrich Kreuter gezeugt

in einer am holzstaden gelegenen und in diese Verl. gehörigen behaußung N° 43
Eigenthum an häußern. Nemlichen eine behaußung bronnen und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Rechten zu Straßburg an der Kuppelgaß N° 5, 1.s neben der Gastherberg zum rothen Männel, 2.s neben dem kleinen Kuppelhof hinten auf die Gastherberg zum Raben ziehend, (angeschlagen) 12.000, hierüber besagt ein Kaufbrieff aus der Cantzleÿ Contract Stub vom 10. julÿ 1788, dabeÿ ferner 3. ältere in solcher vormaligen Con. Stub passirte Kaufbrieff de 9. 8.br 1766, 14. maÿ 1712 und 8. Julÿ 1760, So dann ein Vergleich sous seing privé vom 18. 7.br 1769 krafft deßen der Weg von dißortiger Stegen Mauer 4 deutsche Schuhbreit hinter wie vornen ist und auch so Verbleiben, wann schon der Nachbar ein neues Gebäude dahin setzt
Und eine behaußung bestehend und Vorder: Mittler und hindergebäu samt höflein und bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen und zugehörden an dem holtz oder Schifleuthstaden N° 43 1.s neben dem bierhauß zum Vogelgesang 2.s dem vormahligen Schiffleuthzunftstub hinten auf erstbesagte Zunftstub ziehend, hierüber besagen zweÿ Kaufbrieff aus C.C. Stub vom 11. Julÿ 1746 und 4. Aug. 1739, Es hat aber die Verstorbene solche behaußung den 20. junÿ 1768 von Jacob Friedrich Hezel dem Rothgerber vor 800 erkauft, worüber die abschriift des Kaufbrieffs noch nicht ausgeliefert worden, 20.000 livres
Berechnung gegenwärtigen Mass, hausrath 945 lb, silbers 30 lb, Wein und faß 2586 li, Eigenthum an häußern 20.000 li, Emprunt volontaire 12.000 li, Summa summarum 35.562 livres
Enregistrement, acp 39 F° 16 du 7 plu. 4

Les héritiers exposent la maison aux enchères sans l’adjuger

1796 (20 pluviose 4), Strasbourg 7 (33), Not. Stoeber n° 698
auf Ansuchen weiland Fraun Maria Margaretha Kräuter geb. Horchheimer auch weÿl. bs Philipp Heinrich Kräuter gew. Kiefers alhier Wb. hinterlassenen 2 Enckel, zur öffentlichen und freÿwilligen Steigerung geschritten
einer in solcher succession gehörigen behaußung bestehend in Vordere Mitter: und hintergebäude samt Höfflein und bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen und Zugehörden an dem Holzstaden N° 43, 1.s neben dem bierhauß zum Vogelsgesang, 2.s neben der Vormaligen Schiffleutzustub hinten auf erstbesagte Zunftstub ziehend
4100 fl. Wilhelm Rehn – den 24. pluviose, 5000 fl. Wilhelm Renn – den 4. ventose, 6025 fl. b Renn

Les héritiers vendent la maison à Georges Mehn moyennant 10 000 francs

1798 (29 ventose 6), Strasbourg 10 (38), Not. Zimmer n° 410
1. weÿl. Fraun Margaretha Kraft geb. Antoni des bs Johann Reinhard Kraft in Holland sich aufhalten sollenden Gastgebers Ehefrau Kindern benandlich a) Fr. Margaretha geb. Kraft des burgers (Philipp Paul) Reitz Gastgebers auf der ehemaligen Gartnerstub ane Steinstraß geschiedene Ehefrau beiständlich hernachgemelten ihres Schwagers, b) Fr. Elisabetha geb. Kraft des burgers Daniel Mechling bierbrauers zum Rappen an der Steinstraß Ehegattin, 2. weÿl. Fraun Catharina Dassau geb. Kreuter mit auch weÿl. dem bürger Johann Jacob Dassau Gastgebers erzeugt und hinterlaßene 4 Kinder benandl. Jacob, Catharina, Salome, Johannes der Daßau geordneter theilvogt der b. Conrad Behr, Schumacher, angesehen derselben ordentlicher Vogt b. Johann Gottfried Bleÿ der schloßer hiebeÿ selbst Ehevögtl. weise interessirt, 3. weÿl. Fr. Susanna Buob geb. Kreuter mit dem burger Friedrich Buob hinterlassenen 5 Kinder benandlich a) Jungfrau Susanna Buob ledigen Standes aber volljährigen alters, b) der b. Friedrich Buob lediger Goldarbeiter allhier wohnhaft, c) der b. Carl Buob lediger Goldarbeiter, d) Wilhelm und Carolina die Bueb so minderjährig in deren Namen deselben vater und b. Johann Wilhelm Brehm Peruckenmacher als bestelter theilvogt, 4. Frau Maria Bleÿ geb. Kreuter des burgers Johann Gottfried Bleÿ Schloßers Ehegattin, 5. der bürger Friedrich Jacob Kreuter Archiv: beamter beÿ hießiger Municipal Verwaltung, alle sambt als von weÿl. Fraun Margaretha Kreuter geb. Horchheimer in erster Ehe mit längst weÿl. b. Antony Paßmentirer und in letzter ehe mit auch weÿl. b. Philipp Heinrich Kreuter kiefer erzeugte Kinder zu Stammtheilen, deren Eigenschaften und Erbechte in dem über gedachte Mutter und Großmutter durch Notarium Stöber vor etwa 3 Jahren aufgerichteten Inventario
daß Sie nach mehreren vor dem Civil Gericht des Niederrheinischen Departement durch Urthel vom 12. frimaire jüngst verordneten offentlichen Versteigerungen vor dem Friedensrichter des 4.ten hiesigen Gerichtsbezircks als durch ermelten Urthel hiezu ernannter Commissarii auch Kraft des von gedachem Tribunal den 19. Ventos jüngst erfolgten adjudication und homologation Urtels
burger Georg Mehn
Eine behaußung bestehnd in Vorder: Mittel: und hintergebäuden hofflein und hoffstatt sambt allen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten an dem Schiffleutstaden N° 43, einseit neben der ehmaligen Schiffleut: zunft anderseit neben b. Georg Helmstetter bierbrauer zum Vogelgesang, vornen auf gemelten Staden hinten auf erwehnte ehemalige Zunft – um 10.000 francken
Enregistrement, acp 59 f° 70 du 29 ventose 6

Officier d’équipage originaire de Breuschwickersheim, Georges Mehn épouse en 1798 Anne Marguerite Dietrich, fille de l’apprêteur de tabac David Dietrich.
Cejourd’hui 11° Pluviose, l’an Six de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Georges Mehn, agé de 25 ans, haut-le-pied dans les équipages des vivres depuis passé quatre ans, natif de Breuschwickersheim, canton de Molsheim, département du bas-rhin, fils de Georges Mehn le jeune, laboureur audit lieu, et de Barbe Diebold,d’autre part Anne Marguerite Dietrich, âgée de 26 ans, née et domiciliée en cette Commune, fille de David Dietrich, apprêteur de tabac, et de feue Anne Catherine née Dietrich (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 4 février 1771 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 16 février 1771 (i 121)

Registre de population 600 MW 85 (1808 sqq) Quai des Bâteliers N° 43
Maehn, George, 31 ans, Marchand de vins, Cn actif, Breyschwickersheim (à Strasbourg depuis) 1790
id. née Dietrich, Anne Marguerite, 28, sa femme, Strasbourg
id. George, 1, fils, id.

Georges Mehn et Anne Marguerite Dietrich exposent la maison aux enchères puis l’en retirent.

1819 (18.2.), Strasbourg 7 (60), Not. Stoeber jeune n° 4529
21 janvier. Cahier des charges et retrait – Georges Mehn, employé, et Anne Marguerite Dietrich
une maison se composant de bâtiments de devant, de milieu et de derrière, petite cour, belle cave, pompe, appartenances et dépendances située à Strasbourg quai de Bateliers n° 43 d’un côté le propriété du Sr Vogt brasseur, de l’autre celle du Sr Bader cafetier – acquis de Marguerite Kraft née Antoni femme de Jean Régnard Krafft aubergiste en Hollande et consorts suivant contrat de vente dressé par M° Zimmer le 29 ventose 6 – mise à prix 8000 francs
surenchère Jean Grundler maître charpentier 9500 fr
Adjudication définitive n° 4561 du 4 février à Georges Meyer maître maçon demeurant rue de Schiltighiem n° 12 pour 13.000 fr
n° 4590, 18 février résiliation
Enregistrement, acp 142 F° 43 du 26.2.

Vendue par expropriation forcée dirigée contre Georges Mehn, la maison est adjugée au marchand de fer Louis Benjamin Desormes

1820 (1.2.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 126, n° 20
Jugement du Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par expropriation forcée de la maison réellement saisie sur Georges Maehn, propriétaire – Cahier des Charges M° Klauhold avoué du Sr Jean Neulinger, huilier, que son commettant est créancier de Georges Maehn de 200 francs
à M° Rauter avoué – Déclaration de command du 7 janvier, pour Louis Benjamin Desormes, marchand de fer
Désignation de l’immeuble et mise à prix, 1. maison sise à Strasbourg quai des Bateliers n° 43, d’un côté la ci devant trribu des Bateliers, de l’autre le Sr Vogt brasseur, devant le quai, derrière la propriété du Sr Vogt
mise à prix 4000 fr, 3 août 1819 – Adjudication préparatoire le 14 octobre, Adjudication définitive le 6 janvier – 8000 fr

Inventaire dressé dans la maison après la mort du pensionnaire de l’Etat François Boitin

1826 (11.12.), Strasbourg 2 (61), Me Weigel n° 4500
Inventaire de la succession de François Boitin, pensionnaire de l’Etat, et Gertrude Kalborn veuve en premières noces de Jacques Heitz, cocher, et en secondes de François Boitin décédé le 1 décembre courant – à la requête de la veuve assitée d’Angélique Heitz et Antoinette Heitz ses enfants en premier mariage, de Barbe Boitin fille majeure sans profession issue du mariage du Sr Boitin avec Catherine Hilmer sa première femme
la veuve Boitin qui n’a pu signer à cause de sa cécité
dans la maison mortuaire quai des Bateliers n° 43
mobilier 168 fr, créances 1600 fr, total 1894 fr, garde robe 28 fr, passif 250 fr
Enregistrement, acp 181 F° 162 du 18.12.

Louis Benjamin Desormes vend à l’Etat une bande de terrain le long de la rivière devant sa maison

1831 (21.7.), M. Champlouis
Louis Benjamin Desormes, propriétaire
à l’Etat
une parcelle de terrain en avant de la maison du vendeur sise à Strasbourg quai des Bateliers n° 43 longeant la rivière de l’Ill de la contenance de 1 m 72 cm carrés pour 10,38 frabcs – approuvé le 9.8.
acp 205 (3 Q 29 920) f° 21 du 18.8.

Inventaire dressé dans la maison après la mort du tonnelier Jean Jacques Geng

1834 (17.11.), Strasbourg 1 (71), Me Rencker n° 10.832
Inventaire de la succession de Jean Jacques Geng, tonnelier décédé le 5 juin dernier, à la requête de Joséphine Arn la veuve – mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquets suivant contrat reçu M° Stoeber le 21 avril 1832, mère et tutrice légale de Joséphine Caroline Geng sa fille mineure âgée de 2 ans – 2. Jean Doll, tailleur d’habits, subrogé tuteur
dans la demeure de la veuve Geng quai des Bateliers n° 43
actif de la communauté 1200 fr, passif 1350 fr
Enregistrement, acp 228 f° 145 du 24.11.

La maison revient à sa fille et unique héritière Sophie Louise Desormes qui épouse le pharmacien Ernest Auguste Nestler Elle vend en 1859 la maison au limonadier Xavier Borneck, propriétaire de la maison voisine (actuel n° 9)

1859 (14. Xbr), M° Noetinger
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 794 (2934) n° 120. Ce jourd’hui 4 janvier 1860 a été présenté en ce bureau pour être transcrit l’acte de mutation dont la teneur suit
a comparu Dame Sophie Louise Désorme, rentière demeurant à Strasbourg, veuve de Monsieur Auguste Nestler en son vivant ancien pharmacien en chef de l’hôpital civil et profeseur à l’école de pharmacie de Strasbourg, laquelle éclare avoir vendu (…)
à Monsieur Xavier Borneck, limonadier demeurant et domicilié à Strasbourg acquéreur ci présent et acceptant,
L’immeuble ci après désigné. Une maison ise à Strasbourg quai des Bateliers nouveau N° 8 à rez de chaussée surmonté de trois étages consitant en trois bâtiments séparés par deux petites cours avec ses droits, appartenances et dépendances d’un côté l’acquéreur lui-même, de l’autre M. Lobstein, brasseur par devant le quai des bateliers, par derrière propriété de M. Berneck, Telle que cette maison se poursuit et se comporte en ce moment sans réserves ni exception (…)
Origine de propriété. La dame venderesse déclare que l’immeuble présentement vendu est sa propriété par suite de l’héritage qu’elle en a fait dans les successions de ses père et mère Mr Marie Louis Benjamin Désormes, en son vivant marchand de fer à Strasbourg y décédé en l’année 1735 et Dame Marie Salomé Korn décédée le 19 octobre 1844, veuve en premières noces de Jean Hauser et en deuxièmes dudit M Désorme dont elle est la seule et unique héritière ainsi qu’il résulte de deux inventaires l’un de la succession de M. Désorme dressé par M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 22 septembre 1835 et l’autre de Madame Désorme passé devant M° Zimmer notaire en ladite ville le 11 février et 11 avril 1845. Cette maison dépendait de la communauté de biens qui a existé entre les époux Désorme Korn par l’acquisition par eux faite aux termes d’un procès verbal d’adjudication sur expropriation forcée tenue après l’accomplissement des formalités voulues par la loi à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 2 janvier 1821 par suite de la saisie immobilière pratiqueé par le Sr Jean Neulinger, huilier à Strasbourg contre le sieur Georges Maehn de ladite ville propriétaire de la maison en question. Une grosse de cette adjudication a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le premier février 1820 et inscite d’office le même jour volume 135 numéro 236. Après cette transcription il a été procédé entre les créanciers du S. Maehn par M Charles François Xavier Thieriet de Luyton, juge au tribunal civil de première instance de Strasbourg à l’ordre du prix d’adjudication montant à 8000 francs (…) La présente vente est faite pour un prix de 17.000 francs
acp 484 (3 Q 30 199) f° 11-v du 22. Xbr


Maison arrière dans l’impasse (1603-1746)

Paul Fischer et sa femme Anne vendent la maison arrière, entre l’impasse et le poêle des Bateliers, à leur voisin Noé Culmann et à sa femme Catherine Müller. Les vendeurs prennent sur eux tous les cens assis sur l’immeuble. Le puits et les latrines restent communes.

1603 (Letzten tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 68
(P. fol. 63.) Erschienen Paulus Fischer Schloßer burger Zu St. Vnd Anna sein eheliche haußfrauw, haben (verkaufft)
dem Ersamen Noe Culman den Bierbruher burger Zu Straßburg Vnd Catharinen Müllerin seiner ehelich. haußwürthin
Hauß, hoffestatt vnd höfflin, Mit allen Iren gebewen & gelegen Inn der Statt Straßburg, Jhenseit dem gestaden, Obwendig der Neuwen brucken dahinden, Inn einem gemeÿnen gäßlin, Einseit nebent dem Verkheuffern selbst Vnd Andersit nebent der Zunfft Zum Encker Hinden auch vff den Encker stoßend, Vornen uffs gemeÿn gäßlin, gegen des Khöuffern Behausung, Inn Welches gäßlin sie auch einen vßgang haben, für freÿ ledig vnd eÿgen & vnd alles Recht & Also d & Vnd Ist disser Khauff mit nachuolgender Beredung vnd geding Zugang. vnd beschehen Für vnd vmb 140 Pfund pfenning
Vnd sindt diß die Beredung vnd geding, Davon eben meldung geschiht, Nemmlich Zum Erst. Wiwol das hieuorgeschribene Jetzuerkhaufft Hauß, mit sampt der Verkhoüffere Zweÿen Heüsern, Vornenher gelegen, noch hafft vnd gemeÿnlichen Vor vnderpfändet, für xiij ß iiij d vnd Zween Cappen Boden Zinß, den Edlen Von Mülnheim, Mehr für 8 guldin gelts mit 200 goldguldin ablösig Herrn Rheimboldt Meÿern, Item viij gulin gelts Losig mit C L guldin St Werung, Heinrich Obrecht dem Jüngern, vnd dann dritthalben guldin gelts Widerkhöuffig mit 50 guldin St. W Annen Osterin, Wÿland Andres Branten des Balbierers seligen Witwe, So haben doch mehr genante Verlhöuffere Vnuer. für sich, alle Ire Erben vnd nachkhommende besitzer Verwilligt, solche jetzerzehlte beschwernuß allein vff Ire beede Vorderen Zweÿ heüsern Vber sich Zu nemen (…)
Item das auch bede theil Zum gemeÿnen Profeÿ, Wie auch Vornen her Zum Brunnen den Zugang Vnd gerechtigkeit haben sollen

Les enfants et héritiers de Noé Culmann vendent la maison au cordonnier Ambroise Schneller moyennant 150 livres.

1615 (ut spâ [Letsten tag Julÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 358-v
(Inchoat. in Proth. fol. 314.) Erschienen Noe Culmann der Bierbrüher, hannß Culmann der Küeffer desselben brudern deßgleichen Daniel Fidell Auch küeffer burger Zu Straßburg vnd Catharin Culmännin auch obgedachten gebrüderen schwester sein haußfr. So dann hannß Heinrich Haack gasthalter Zue Bischen Zum hohensteg, vnd Magdalen Culmännin sein eheliche haußwürthin, So dann Peter Ermelßhauß d. Kueffer als ein geschworner Vogt Marien vnd Salomeen geschwisterden wÿland Noe Culmans selig. des Biersieders Zweÿen jüngsten Khindern vögtlicher weiß Innammen Jetz gemelter seiner vogts Khinder Auch vmb solches beÿ seinen vogts pflichten behielte (verkaufft)
Ambrosio Schneller dem schuomacher burgern Zu Straßburg vnd Marthæ seiner haußfr. So bede Zuegegen Ihnen & vestiglichen Khauffen
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. Jensit Am gestaden obwendig der Neüwenbrucken dahinten Inn einem gemeinen gäßlin, einseit nebent hannß Müller dem schloßer, Andersit nebent der Zunfft Zum Encker, vornen vffs gemein gäßlin gegen den Verkheüfern behaußung Zum vogelgesang genant, da sie Auch einen vßgang haben stoßend für freÿ ledig eÿgen, Vnd Alles recht Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 150 pfund pfenning

Ambroise Schneller épouse en 1607 Marthe Franck, veuve du cordonnier Jean Frœreisen, chargée de deux enfants (Jean âgé de 5 ans et Anne âgée de 4 ans) : contrat de mariage, célébration

1607 (26. 9.br), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54)
Zuwissen daß ein ehelich. heürath s. d. begeben Zwüschen Ambrosio schnellern dem Jüngern schuhmacher Zu Straßburg gebürtig Meister Ambrosio schnellers des eltern schuhmachers burgers zu Straßburg sohn Ane einem
So dann der tugendsame, Frawen Marthæ fränckin Weÿland hannß frör Isins wittwdeß schuhmachers burgers zu Straßburg seeligen witwe Als der hochzeiterin Am Andern theÿl
Zum Andern hatt sie die Hochzeiterin noch Zweÿ Kind. mitt nahmen hanßen v Anna so sie mit vorgedachtem hanß frör Isen Ihrem vorig. haußwürth seelig. Erzielet In leb. vnd d Knab vff fünff d. döchterlin Aber vff Vier Jar alt also noch jung und unerzogen (…)
Actum Inn Straßburg vff der schuhmacher Zunfftstub ane Donnerstags den 26.ten Novembris 1607.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 74 n° 18)
1607. den 17. Decemb. seindt ehelich eingesegnett worden, Ambrosius Schneller Von Straßburg dem Schumacher Ambrosÿ Schnellers des Schuhmachers Vnndt Burgers allhier Sohn Vnndtt Martha Fränckin Weÿland Hanß Fröreÿsen des Schumachers Vnnst Burgers seeligen alhier nachgelaßene Wittwe (i 81)

Jean Frœreisen épouse Marthe Franck en 1599
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 46-v n° 14)
1599. den 17 Julÿ sind ehelich eingesegnet word. Hans Fröreÿßen von Straßburg d. Schumach. vnd Jungfr. Martha Frenckin Anthoni* Francken deß kiefern vnd Burg. selig. alhie nachgelaßene tochter (i 54)

Ambroise Schneller et Marthe Franck hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Beuchel

1617 (xxx. Octobris), Chancellerie, vol. 427 (Registranda Kügler) n° 251-v
(Inchoat. fo: 231) Erschÿnen Ambrosius Schneller vnd Martha Frenckin sein eheliche gemehall
Haben In gegensein des Ehrenhafften Johann Beüchels handelßmann – schuldig seÿen 200 guldin
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt vnd hefflin mit allen and. Ihren gebeud geleg. Inn der S. S. ane dem gestaden Zwüschen dem Rappen vnnd der Zunfftstuben Zum Encker einseit neben (-) dem Bastetenbeck die anderseyt Nohe Culman Burbrugern stoßend hinden vff der Zunfftstub Zum Encker dauon gend Zwar Zweÿ pfund Zehen schilling pfenning gelt loßig mit 50 pfund pfenning Peter Ermel huß Chuffer vogticher Wÿß, Mehr verhafftet für 25 guldin Zu xv batzen bemeltem Nohe Culmann

Les deux enfants de Marthe Franck (Jean Frœreisen, cordonnier, et Anne veuve du secrétaire municipal de Wibolsheim Emanuel Holtzwart) vendent la maison au fourbisseur Georges Reimschüssel

1635 (31. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 472 (expéditions) f° 52-v
Wir ut spâ [Clauß Ludwig Wormbser der Meister &] erschienen vnser Burger Hanß Fröreisen der Jünger Schuhmacher und Anna weÿ: Emanuel Holtzwarten gewesenen Gerichtschreibers see: Zu Wÿbelßheim nachgelaßene witib mit beÿstand ihres bruders und von vnß geordneten Vogts erstgedachten Hanß Fröreisens (verkaufft)
auch vnserm Burger Georg Rheimschüssel dem Schwerdtfeger
hauß, hoffstat vnd höfflin, mit allen anderen ihren gebäwen & gelegen in vnserer St. St. Jenseit der Breüschen, Zwischen der Herberg Zum Rappen vnd der Zunfftstuben Zum Encker, in einem nicht durchgehend. gäßlin, einseit neben Georg Strobel dem Biersieder zum Vogelgesang, and.seit neben Claude Maria dem Pastetenbecken, hinden vf die Encker Zunfftstub stoßend, so noch verhafftet vmb 21. pfundt d Zinß und Capital Andreß Gering dem Seÿler (…) So dan vmb 119. pfund d hanß Büchel dem Lederbereiter (…) – vber die beschwerde so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen und beschehen für und umb 60 Pfundt

Originaire de Jeltsch près de Breslau en Silésie, Georges Reimschüssel épouse en 1623 Chrétienne, fille du barbier de Bischwiller Laurent Herbst : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
(Copia der Eheberedung) Zwischen dem Erbaren vndt bescheidenen Georg Reimschüßel dem Schwertfeger vpn Preßlaw auß der Schlesi an einem So dann d. Ehren und Tugendsamen Jungfrawen Christinæ Herbstin weÿl. Lorentz Herbsten Geweßenen Barbierers v burgers Zu Bischweiler seel. Eheleiblichen dochter am andern Theil (…) Beschehen d. 4. Tag deß Monats 8.bris Im Jahr alß man von d. gnad. reichen geburth vnßers einig. Erlößers v. Seeligmach.s Jesu Christi 1623. Zahlte

Mariage, cathédrale (luth. p. 160)
1623. Geörg Reimschüssel von breslau der schwerdtfeger vnd J. Christina Lorentz Herbst des barbierers zu bisweyler n. tochter, eingesegnet Montag 13. 8.bris (i 85)

Georges Reimschüssel achète le droit de bourgeoisie en septembre 1623.
1623, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 820
Georg Reinschoßel Von Jeulßdorff In d. Schleßien der schwärdtfäger Erkhaufft d. burgerrecht vmb Zwantzig goldtgulden vnd Will Zu den Schmiden Zünfftig sein Signatum den 7.bris 1623.

Chrétienne Herbst s’accorde avec le tailleur Jacques Fischer après la mort de sa mère Ursule Hamm, remariée avec Jacques Fischer

1642 (6. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 608-v
Erschienen Christina Herbstin, Georg Rheinschüßel deß Schwerdtfegers eheliche Haußfrau, mit beÿstand ersternandts ihres Ehevogts wie auch H Paul Hellwigß E. E. groß Rhats Beÿsitzers und H Christoph Kernstockhß deß Notarÿ an einem,
Andern theilß aber Jacob Fischer der Schneid. mit beÿstand H Balthasar Wildermörs alt. Groß. Rhats Verwanthen, und H Johann Georg Kürschners deß Notarÿ und Statt Gerichts Beÿsitzers
demnach beede Part. nach ableiben Ursulæ Hammin, ihr Christinæ Mutter und sein Fischers haußfrawen, alle dero Verlassenschafft hießig. Constitution gemäß inventiren, anschlag. und darüber durch vorgedacht. H. Not. Kürschnern ein ordentl. Inventarium vffrichten laßen (…)

Georges Reimschüssel meurt en 1657 en délaissant une fille et un fils qu’il réduit à la légitime pour être parti sans son consentement à la guerre. L’actif de la succession s’élève à 339 livres, le passif à 75 livres.

1657 (16. 9.br), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 1) n° 10
Inventarium Vndt Beschreibung Aller vnd Jeder Haab, Nahrung vndt Güettere, ligender vndt Vahrender, So weÿl. der Ehrengeachte Meister Georg Reimschüßel geweßter Burger undt Schwerdtfeger alhie Zue Straßburg Nachdem derselbe den 12. Octobris dieses Zu end lauffenden 1657.ten Jahrs diese Weldt gesegnet, verlaßen, Welche auf beschehenes fleißig und freündlich ansuchen erfordern vndt begehren des Ehrengeachten Christoph Wanners des Meßerschmidtts vndt Burgers alhier alß geordnet und geschworenen Vogts Gottfrieds, so sich Jetzo In den bohlnischen Krieg enthaltet Vndt Ursula des Verstorbenen mit hernach bemelter seiner hinderlaßenen Wittiben ehelich erzeigten Sohns vndt dochter vnd rechtmäsiger Ab intestato Erben, inventit durch die Ehren: vnd Tugendsame Fr. Christina Herbstin die Wittiben mit beÿstandt des auch Ehrengeachten Mr Paul Schwannfeldern des Schwerdtfegers v. burgers alhie ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen In ermelter Statt Straßburg Montags den 16. 9.bris A° 1657.

In einer In der Statt Straßburg In einem gäßlin am Staden, neben dem Vogelgesang gelegenen behaußung welche In diese Verlaßenschafft gehörig ist befunden worden wie Volgt
Auff der Obern bühnen, Inn der Cammer A, Vor dieße Cammer, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Küchen, Im Keller
Eigenthumb Ahne Einer Behaußung. Item ein hauß, hoffstatt hofflin mit allen and. Ihren gebeüen v. Zugehördten alhie am statten Zwischen dem Rappen v. d. Zunfftstuben Zum Enckher In einem nicht durchgehend. gäßlin Einseit neben weÿl. Jerg Strobels geweßenen bürsieds. Zum Vogel gesang seel. nachgelaßener Wittiben v Erben and.seith neben H Hanß Martin Grimmen dem burg. v. handelßman alhier hind. vff die Enckher Zunfftstub stoßend gelegen, so allerdings freÿ ledig v. Eÿgen, hiehero dem Jetzmahligen Werth nach angeschlag. word. pro 125. lb. Hierüber Weißet ein Teutscher Pergamentiner Inn alhiesiger Cancelleÿ Contractstuben verfertigter Kauffbrieff mit d° anhangendem Insigel verwahret deßen datum d. 31. Julÿ A° 1635. Signirt mit N° 2.
Abzug In dießes Inventarium gehörig. Sa. haußraths 97, Sa. Werckzeugs vndt Wahren Zum Schwerdtfeger handwerckh 14, Sa. Frucht 6, Sa. Weins und lähren Vaßen 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. Guldelen Ring 5, Sa. Bahrschafft 4,, Sa. Pfenningzinß hauptguths 35, Sa. Eigenthumbs ane Einer Behaußung 125, Sa. Schulden 22, Summa summarum 339 lb – Schulden 75, Restirend Guth 254 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 339 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen d. 4. Tag deß Monats 8.bris Im Jahr alß man von d. gnad. reichen geburth vnßers einig. Erlößers v. Seeligmach.s Jesu Christi 1623. Zahlte
(Copia Testamenti) vff Montags d. 5.t 8.bris Alten Calenders (…) Persönlich erschienen Ist d. Ehrsame b bescheidene Meister Geörg Reihmschüßel Schwerdtferer v. burg. In Straßburg kranckhen v Schwach. leibs halben vff Einem bette sich lagerhafft enthaltente (…) Und weilend drittens die Einsatzung Erben Eines Jedem Testaments Fundament und hauptstückh ist (…) als woll Er Testator hiemit Zue seinen Wahren Rechten vnd ungezweiffelten Erben Ernant hiemit eingesetzt haben dieß auch ohne daß ab intestato seine Nathürliche Erben weren Benantlichen Gottfriedt Reimschüßlin seinen Sohn, Welcher nuhn ettlich Jahr hero wider seinen willen mii höchstem betrawern bei außfallenden Kriegsweßen nach Ziehet, ob er annoch Im Leben Ihme ohnbewußt, vmb Gewüßer beÿ Ihme wohlerwogenen Ursachen In ein Mehres nicht alß ellein In Legitimam, So dan seine liebe tochter Ursula Reimschüßelin Welche Ihme biß dahero allen kindlich. gehorsamb geleistet (…) In alle übrige seine Verlaßenschafft (…) Laurentius Dreüttel (…) Notarius

La maison revient au fourbisseur Geoffroi Reimschüssel qui épouse en 1659 Catherine, fille du marchand François Crassel

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 38-v)
1659. Dnâ XXIV d. 13. Nov. Gottfrid Reimschüßel der Schwertfeger, Weiland Geörg Reimschüßel auch Schwertfeger vnd burger allhie hinderlaßener Ehelicher Sohn, und J Catharina Herrn Frantz Crassel Handelsmann vnd Burgers allhie Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 21. Novembris Zu St. Thoman (i 42)

Assistée de son fils Geoffroi Reimschüssel, Chrétienne veuve de Georges Reimschüssel hypothèque sa maison en garantie du prix de la pension à régler pour l’admission de sa fille Ursule à l’hôpital

1664 (2. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 2-v
Erschienen Christina weÿl. Georg Reinschüßels deß Schwertfegers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit assistentz Paul Schwanfelders deß Schwertfegers ihres Curatoris, Und Gottfried Reinschüßels ihres eheleiblich. Sohns
in gegensein H Johann Paul Graseckhs der Statt Renthmaÿsters alß Vogts Fr. Einbeth Kellerin wittibin seiner eheleiblich. Schwester – schuldig seÿen 75 Pfund, Ihro, Zu erkauffung ihrer eheleiblich. dochter Ursulæ Reinschüßelin lebtagig. Hospital Pfrund bahr gelühenen Gelts
Unterpfand sein soll hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffenn Zugehördten und Gerechtigkeiten, Jenseit deß Stadens underhalb der Schindbruckh. in einem Gäßlin, einseit neben Enckher Zunfftstuben, anderseit neben dem Pastetenhauß, hind. auch uff die Enckher Zunfftstub stoßend gelegen

Geoffroi Reimschüssel et Catherine Crassel hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Christophe Gambs

1694 (24.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 473-v
Gottfried Reinschüßel, der Schwerdfeger und Catharina, gebohrner Graßin, deßen Haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand Johann Jacob Ernsten, des Schloßers und Johann Georg Ernsten des Nagelschmids ihrer beeden Vettern und nechsten verwanthen
in gegensein Hn Johann Christoph Gambßen, des Handelßmanns, im Nahmen Hn Christoph Gambßen, auch Handelßmanns seines leiblichen Vatters – schuldig 50 pfund
unterpfand, Hauß, Hoffstatt, und Höfflein, sambt übrig. deren Gebäuen, begriffen, und Zugehördten, allhir jenseit der Breusch, zwischen der Herberg Zum Raaben und der Zunfftstuben Zum Encker, in einem nicht durchgehenden gäßlein, einseit neben dem Bierhauß Zum Vogelgesang, anderseit neben Melchior Schwanfelder dem Schwerdfeger, hinten auff ged. Encker stub stoßend gelegen

Autre hypothèque au profit de l’aumône Saint-Marc

1700 (30. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 507
Gottfried Reinschüßel der Schwerdfeger Und Catharina geb. Graßin mit beÿstand Johann Jacob Ernsten des Schloßers und Hans Georg Lutzen des Schneiders, Ihres respect. Vettern Und Schwagers
in gegensein /:tit:/ Hn Johann Jacob Richshoffers XV.ers als Pflegers, Und Hn Stephan Cornelÿ Saltzmanns Not. Publ. als Schaffners des großen gemeinen allmosens zu St Marx – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Hauß, Hoffstatt, Höfflein sambt übrigen deren Gebaüen, begriffen Und Zugehörden, allhier jenseit der Breüsch zwischen der Herberg Zum Raben, Und der Zunfft Stuben zum Enckern in einem nicht durchgehen. Gäßlein, einseit neben dem Bierhauß zum Vogelgesang anderseit neben Johann Wilhelm Knoderer dem Pastetenbeck hind. auff ged. Encker Stub stoßend gelegen

La maison revient à leur fille Anne Chrétienne qui épouse en 1680 le fourbisseur Gérard Becker, originaire de « Hellersleben » près de Brunswick

Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 81 n° 27) 1680. Dom Rogationem -Zum 2 mahl Gerhard Becker der Schwertfeger (-)ers Zu Hemenßleben* (Sohn) Anna Christina (-) Rheinschüßels (-) den 24 Mai (i 82)

Gérard Becker devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1680, 4° Livre de bourgeoisie p. 472
Gerhardt Becker der Schwerdfeger von Hellersleben aus Braunschweig, empfangt das burgerrecht vor seiner haußfr. Anna Christina Gottfried Reinschüßels des Schwerdfegers ehelichen dochter, p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzletiers erlegt hatt ist ledigen standts gewesen, vnd wird Zu den Schmiden dienen. Jur. 14. Junÿ 1680.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse
1680 (5.6.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 1) n° (6)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, So der Ehrsam und bescheidene Gerhard Becker Schwerdtfeger und die Ehren und tugendsame Frau Anna Christina Rheinschüßelin beede Ehegemächt und nunmahlen burger alhie Zu Straßburg einander in ihrem allererst den 27. Maÿ Jüngst angetrettenen Ehestand Krafft auffgerichteter Eheberedung für unverändert Zugebracht (…) Actum Straßburg in beÿsein H Gottfried Reinschüßel Schwerdtfegers und Fr. Catharinä Kraßelin beed. Ehegemecht und burgere Zu Straßburg d. fr. lieben ältern Sambstags den 5. Junÿ Anno & 1680.
[In einer neben dem] Vogelgesang in einem gäßel gelegen vnd d. Fr. lieben Eltern gehörig. behausung befunden worden wie volgt.
Haußrath M 32, F 87, Silbergeschmeid M 2, F 16 Guldin Ring, F 7, baarschafft M 21, F 60
Summa summarum M 141, Schulden 16, Nach deren Abzug 124 lb

Gérard Becker se remarie avec Anne Catherine Fesch, fille du tondeur de draps Paul Fesch, bourgeois de Bâle
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 133 n° 634)
1703. Mittw. 27. Mart. wurd. nach ordentlicher außruff. copulirt Gerhardt Becker d. schwerdtfeger v. B. allhier vnd J Anna Catharina Pauli Feschen des tuchscherers vnd Burgers Zu Baßel ehl. Tochter [unterzeichnet] Gerhardt becker alß hochzeiter, x der hochzeiterin Zeich. (ii 132)

Catherine Fischer qui devient bourgeoise en 1705 est peut-être la même qu’Anne Catherine Fesch
1705 (4° Livre de bourgeoisie) p. 762
Catharina Fischerin, empfangt d. burgerrecht gratis, wird beÿ E.E. Zunfft der schmid dienen, Promis. d. 14. Dito [9.br:] 1705

Gérard Becker et Gérard Geoffroi Becker hypothèquent la maison au profit de la Chartreuse

1709 (4.1.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 3 [page abîmée côté reliure et en haut côté bord]
Gerhard Becker schwerd[feger], Item Gerhard Gottfried Be[cker] auch Schwerdfeger majorennis und unbevögtigt beÿständlich Christoph Hillenbrandts feigelha[uers]
in gegensein S.T. Jr Philipp Heinrich von Wickersheim stättm: und XIII. alß Pflegers der Carthauß beneben H Joh: Bechtold Schafnern daselbst, – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, hauß c. appert: allhier [ahm St]aden zwischen dem vogelgesang [und] dem Postenbecker, einseit neben Hieronimus hatt biersieder anderseit neben (-) dem pastetenbeck. hinten auf die Schiff leuth stueb stoßend,
Item der laden ahn der Schindbruck einseit neben H. Hornus anderseit ist die bruck, darvon gehen jährlichen 1 lb bodenzinß

Gérard Becker pose un étal à l’entrée de l’impasse. Les voisins se plaignent auprès des préposés au bâtiment que la ruelle est obstruée. Gérard Becker devra retirer l‘étal.

1711, Préposés au bâtiment (VII 1384)
(f° 135-v) Dienstags den 24. Martÿ – Gerhard Becker
Gerhard Becker der Schwerdtfeger, Ward Von seinen Nachbaren dem Biersieder zum Vogelgesang und dem Pastetenbechen Verklagt, daß Er einen standt Vor das allda befindlichen Allmend gäßlein gesetzt habe vnd dadurch den auß und eingang versperrte, mit bitt solchen hinweg Zu Erkennen. Erk. Soll Becker dieser standt, weilen Er denselben ohn erlaubnuß MGhh. dahin gesetzt hatt wider hinwegthun.

Déposition devant notaire au sujet d’une porte entre la maison de Gérard Becker et celle qui a appartenu à Jean Melchior Schwanfelder. Un châlit est posé devant la porte qui semble n’avoir pas été condamnée pour pouvoir servir d’issue en cas d’incendie

1713 (5.3.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 318
Auff Requisition Gerhard Beckers deß Schwerdtfegers vnd burgers alhier Zu Straßburg haußfrauen, habe ich Unterzeichneter notarius Fraw Annam Ursulam Schwanfelderin, Gebohrne Baldnerin, Herrn Johann Melchior Schwanfelders deß Schwerdtfegers zu Durlach Eheliche Haußfrau vor mich kommen laßen vnd weilen sich dieselbe alhier nicht auffhalten, sondern nechstens wider Abzureißen vorhabens,
befragt Ob Sie nicht noch einige hiehero Nachricht von den Zwischen sein Beckers vnd Wilhelm Knoderers häüßern sich befindenten thür, hätte vnd Geben können, die eröffnete mir Gleich alsbalden freÿ Gutwillig offentlich daß Sie vor dießem die Pastetenbecken behaußung neben dem Vogelgesang, so hinden Auff Gerhard Beckers Behaußung stoset, beÿ ohngefehr 5. oder Sechs Jahr lang eigenthümlich Inngehabt vnd bewohnt, hernachmals aber ahn Wilhelm Knoderer den Pastetenbecker verkaufft, Sie hätte aber diejenige thür deren ausgang hinden auff Gerhard Beckers Gänglein gehet, niehmahlen Zubrauchen begehrt, sondern eine Bethlad darvor gestellt, umb auch dem gesind den Außgang dadurch Zu verhindern vnd dem becker, als einem Nachbahren keine ungelegenheit Zuverursachen, Wie Sie dann Auch niehmahlen Gewußt, Ob Sie die Gerechtigkeit daselbst Auß vnd einzugehen hätte, dießes aber wäre Ihr vnd Ihres haußwürths meinung Jederzeit Geweßen, daß solche thür Allein Zu dem ende Allda erhalten worden, damit wann etwan eine feuers nothe entstünde, Mann Zusammen kommen, vnd einander desto fürgleicher Zuhülff kommen möchte, daß auff dem Gänglin Geweßene dielenwändlein, hätte sie auch Zu Jederzeit, ohne einige Verhinderung durch Beckers Schehrvattern Gottfried Rheinschößel, seel. Anthung vnd das Gesindt daselbst arbeiten laßen, würde es auch noch auff dieße Zeit also observirt wann Ihro das hauß noch Zustünde, Warmit Sie Ihre Declaration Geendet und nach dem Ich der Notarius dieselbe wieder Verständig abgeleßen hat sie selbig nochmals mit deutlichem Ja daß es nemblich sich also warhafftig verhalte, becräftiget hierauff hat mich oberwehnten Becker haußfrau nochmals requirirt dieße declaration vnd außsag fleißig ad notam Zu nehmen (…)
Beschehen in Straßburg den 5. Martÿ A° 1713.

Gérard Becker et Catherine Fesch hypothèquent la maison au profit de Claude Capitaine, aubergiste à la ville de Lyon

1713 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 771-v
Gerhardt Becken Schwerdtfeger und Catharina geb. Feschin mit beÿstand Adam Graffen und hn Johann Braunen Med. doctoris beede auß mittel E.E. Kl. Raths in ermanglung verwanther deputiret
in gegensein hn Claude Capitaine Würth à la ville de Lion alß Vogt Chochetischen Kinder – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behaußung cum appertinentÿs allhier im Schlupff ahm Stadten, einseit neben dem bierhauß zum Vogelgesang anderseit neben Philipp Knoderer Pastetenbeck hinten auff die äncker zunfftstueb
[in fine :] fernerem beÿsein Elisabetha Humair der Kinder Göttel und baaß

Gérard Becker meurt en 1713 en délaissant trois fils issus de son mariage avec Anne Chrétienne Reinschüssel. Les experts estiment la maison à 425 livres. La succession s’élève à 202 livres

1713 (12.7.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 37) n° 22
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab und nahrung so Weÿl. der Ehrengeachte herr Gerhard Becker geweßener Schwerdtfeger und burger alhie zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 17. Junÿ Jüngsthien aus dießer welt genommenen tödtlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren herrn Gerhard Gottfried Beckers, Schwerdfegers und burgers allhier so vor sich selbsten zugegen und herrn Johann Ulrich Meÿers Glaßers vnd burgers alhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Christoph Beckers, Ledigen Schwerdfegers und Christian Beckers, aller dreÿ deß Verstorbenen seel. in Erster Ehe mit weÿl. Fr. Annam Christinam gebohrner Rheinschüßelin seel. Ehelich erzeügter Söhn und Zu dreÿen gleichen portionen und Antheilen ab intestato nachgelaßene Rechtmäsiger Erben, Vorgenommen; Ersucht und inventirt, durch die Ehren und tugendsame fraw Catharinam Beckerin gebohrne Feschin die hinterbliebene Wittib mit assistentz deß Ehrenvesten herrn Zachariæ Rohren Stuck und Glocken gießers auch burgers alhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Curatoris – Actum Straßb. Mittwochs den 12. Julÿ A° 1713.
Copia Heürathsverschreibung (…) pge in den über die Wincklerische Acta führend. prtoc: fol: et seqq.
Copia Codicills, perge in Prot. C.
Weilen die wittib alhier nicht verburgert Zumahlen Gleich anfangs der Inventation sich vernehmen laßen, daß Kein theilbahr gutt vorhanden, deßwegen dieselbe mit consens Ihres H. Vogts auff das theilbar Gutt verzug Gethan (…)

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuth Staden, im Schlupff gelegener und in dießer Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden wie volgt
Auff der bühn, In der Cammer A, In der Cammer B
Eÿgenthumb an einer behausung. Item ein alte behauß. hoffstatt v. höffl. mit allen dero gebäuwen begriffen Zugehörden u. gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßburg Jenseith dem Gestad. Zwischen der herberg Zum Raaben und der Encker Zunfft stub, hinden in einem neben dem bierhauß Zum Vogelgesang gelegenen Gäßl. 1.s. m. gedacht bierhauß 2.s n. N. Knoderer dem Pastetenbecker hinden auff die Encker Zunfftstub stoßend davon gehen Jahrs auff den 29. 7.bris 5. lb d. Zinnß dem Stifft St. Marx alhier Lößig in hg. m. 100. lb sonst eigen und ist dieße behaußung durch d. St. St. geschworne Werckhleuth Vermög einer apud conceptum befindlicher Abschatzung vom 20.ten Julÿ 1713. hiehero gewürdiget umb 150. Darüber sagt i. perg. Kbr. m. d. St. St. anh. C. Insiegel Verw. u. datirt den 31.t Juklÿ A° 1635. m. alt. N° 2 notirt, so sich aber beÿ dießer Inventar nicht befunden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 40, Sa. Wahren Zum Schwardtfeger handwerck gehörig 6, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Eigenthums an einer Behaußung 150, Sa. der Schulden 500, Summa summarum 698 lb – Schulden 664 lb, Nach deren Abzug 33 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 202 lb
Abschatzung den 20.t Julÿ anô 1713. Weiland deß Ehren hafften vnd bescheiten: Erhart Beckher, Seel. hinder Laßnene Fraw Witin vnd Erben Ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg am Statten, Neben dem Vogel gesang, gelegen Ein Seitz Neben Hieronimus hart biersieder ander seith auff die schiffleut Stuben Stossent, Welche behaußung hoffstatt Sampt aller Ihrer Recht vnd gerechtigkeit durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleüthe in der besichtigung, befunden Vnd Jetzigem preiß nach angeschlagen Wirt Vor vnd vmb Fünff hundert gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworene werckh Leüthe; [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hoffs

Gérard Geoffroi Becker et Jean Chrétien Becker vendent les deux tiers qui leur reviennent de la maison à leur voisin Jean Guillaume Knoderer

1713 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 434-v
(266) Gerhardt Gottfried und Joh: Christoph gebrüder die Becker beede Schwerdtfegerer
in gegensein Joh: Willhelm Knoderer pastetenbeckers und Annæ Mariæ geb. Wörnerin
ihre zweÿ dritte theil für unvertheilt ahn hauß höfflein hoffstatt mit begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahm Stadten, einseit neben dem Vogelgesang anderseit neben Kaüffern selbst hinten auff die Schiffleut stueb – 100 und 100 capital pro rata und 200 pfund

L’acquéreur hypothèque le même jour la maison achetée et celle dont il est déjà propriétaire au profit du marchand Martin Jacques Euth

1713 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 435
ut immediate supra stehende Kaüffere [Joh: Willhelm Knoderer pastetenbecker und Anna Maria geb. Wörnerin] und zwar die Frau beÿständlich Joh: Will Heÿl stattschlidts und Joh: Jacob Bameÿers metzgers
in gegensein Martin Jacob Euth handelsmann alß vogt Ludwig Philipp Euth – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, perge ut immediate supra ibi zweÿ dritte usq. ad verhafftet seÿe
Item ihre behaußung c. appert: ahm Staden einseit neben dem vogelgesang anderseit neben dem ancker hinten auff obiges hauß

Chrétien Becker vend le dernier tiers à Jean Guillaume Knoderer qui devient propriétaire de la maison entière

1714 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 33-v
(133) Johann Friedrich Meÿer glaßer alß vogt Christian Beckers
in gegensein Joh: Willhelm Knodterers paßetetenbeckers [unterzeichnet] Knotterer
seines curandi dritten theil für unvertheilt ahn hauß höffl hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahm Staden, einseit neben dem Vogelgesang anderseit neben dem Käuffer selbst hinten auff die Schiffleuth stueb – um 100 und 100 pf. verhafftet, geschehen um 66 pfund

Jean Guillaume Knoderer et Anne Marie Werner hypothèquent la maison au profit du maître des rentes Jean Philippe Bœckler

1714 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 221
Wilhelm Knoderer pastetenbecker und Anna Maria geb. Wörnerin beÿständlich Elias Greichel u. Joh: Jacob Baameÿers
in gegensein H. Joh: Philipp Böckler rentmeisters – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behaußung cum appert: ahm Staden, einseit neben dem Vogelgesang anderseit neben deren debitoribus hinten auff die Schiffleuth stube

Autre hypothèque au profit de Susanne Catherine Hoffinger née Baltz

1717 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 30-v
Joh: Willhelm Knoderer pastetenbecker und Anna Maria geb. Wörnerin beÿständlich Joh: Willhelm heÿ Stattschmidts und Elias Geichel metzgers
in gegensein Susannæ Cath: Hoffingerin weÿl. geb. Baltzin beÿständlich Joh: Georg Deiblers Einspennigers ihres Curatoris – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier ahm staden zwischen der Schiffleuth stueb und beckenhauß
Item ihr Guth in der Ruprechtsau cum appertinentÿs so sie von Andreas Nuss bekommen 1 lb auf den Pfthrn

Autre hypothèque au profit du notaire Jean Adam Œsinger

1717 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 60
Johann Willhelm Knoderer Pastetenbecker und Anna Maria geb. Wörnerin beÿständlich Johann Willhelm heÿl stattschmidts und Johann Jacob Bahmeÿers Metzgers
in gegensein hrn Johann Adam Ösingers Not. publico – schuldig seÿen 34 pfund
unterpfand, ihre behausung cum appertinentÿs ahn Schiffleuthstad. hinter dem bierhauß zu Vogelgesang im Schlupff gelegen

Jean Guillaume Knoderer vend la maison à Bon de Billy, ingénieur du roi à la Citadelle et capitaine à la suite du régiment de Piémont. Le puits est commun avec la maison avant (propriété d’André Nuss) à proportion d’un tiers.

1720 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 352-v
(325) h. Johann Willhelm Knoderer, Hr Frantz Wörner und H Joh: Peter Gambs beede E.E. Kl. Raths beÿsitzer nahmens Joh. Willhelm Knobloch pastetenbeckers
in gegensein H. Bonitus de Billi Chevalier de L’Ordre de St Louis Ingenieur ord: du Roy à La residence de La Citadelle et Capitaine à la suite du Régiment de Piemont infanterie
die hinter dem bierhauß zum Vogelgesang gelegene behausung höfflein hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ahm staden, einseit neben dem Vogelgesang anderseit neben Andreas Nuß dem haußfeurer hinten auff die Schiffleuth stueb
und hat der käuffer und Andres Nuß haußfeurer hierbeÿ zugegen sich verglichen daß Er Nuß zweÿ dritte theil und er Käuffer ein dritten theil ahm brunnen – um 325 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Bon de Billy à conserver la maison qu’il a acquise par expropriation forcée sur Jean Guillaume Knoderer

1720 Conseillers et XXI (1 R 203)
(p. 171) Sambstag d. 27. Julÿ – H. Bonitus de Billy erlangt Erlaubnuß mit gewißen Conditionen ein in der Ganth ihme adiudicirtes hauß Zu behalten
L. Gug Nôe des Wohlgebohrnen Herrn Bonitus de Billy Chevalier de L’Ordre de St Louis Ingenieur à La residence de la Citadelle et Capitaine à la Suitte du Régiment de Piemont infanterie producirt gehorsamstes Memoriale und bitten sambt beÿlag Num. 1. handelt innhalts, ist Erkandt Wird die in gegenwart E. E. Kleinen Raths H. Deputirten d. 24. huius dem Imploranten alß meistbietenden Creditori geschehener admodiation Weÿland Johann Wilhelm Knoderers geweßenen Pastetenbecks und burgers allhier hinter dem Bierhauß Zum Vogel gesang gelegener Behaußung umb 1300 livres sambt über nehmung Pfund Zolls und unlosten mit diesem expressen anhang und beding obrigkeitlichen approbirt daß dieselbe in Gegenwart Herrn XXI. Nauendorffs und H. Rathherrn Von Stöcken alß Welche hierzu absonderlich abgeordnet, in der Contract Stub solle verschrieben und Implorant sich allen in denen ordnungen ertheiltten oneribus und beschwerden daselbst Zu submittiren schuldig seÿn. Deputati ÿdem umb den Bescheid Anzuzeigen.

Ursule Margueritte Madeleine Battaincourt, femme de Bon de Billy, fait son testament
1715 (29 janvier), Not. Humbourg (6 E 41, 37)
Testament – fut presente Noble Dame Ursule Margueritte Madeleine Battaincourt Espouse de Messire Bon de Billy Chevalier de l’ordre Militaire de St Louis, Ingénieur ordinaire du Roy en La residence de la Citadelle de Strasbourg estant au Lict malade de Corps mais parfaitt. saine d’esprit d’entendement
voulant et entendant que son corps mort soit inhumé dans l’Eglise de Lad. Citadelle de Strasbourg (…) Donne et legue aux Enfans de Messire Auguste de Böckel de Böcklinsau Chevalier de La Noblesse de basse Alsace demeurant à Strasbourg La moitié d’une Maison située à Landau ensemble les terres qui en dépendent Lesquelles Maison et terre seront vendues et partagées entre lesdits Enfants ses petits nepveux et Mondit Sr de Billy son espoux auquel elle fait don de l’autre moitié desdites Maison et terres en reconnaissance des grosses depenses qu’il a faiutes pour établir Ladite Maison et celle de Mertzheim (…)
Et Quant au résidu de tous les autres biens immeubles dont elle n’a point disposé et ne disposera cy après Ladite D° Testatrice en a jnsititié son héritier universel la Personne de Messire Maximilien Daniel de Battaincour Capt. de Cavalerie au Regt de Vilquier son nepveu fils de feu Messire Georges Louis de Bataincour vivant Colonel d’un Reg. d’Infanterie pour le service de S. A. Elect. de Hanover
Fait d’un acte Continue en La Citadelle de Strasbourg dans Un poele qui prend jour d’un Costé sur la Cour de la Maison dud. Sr. de Billy et de l’autre vers la tour d’argent Ce 29° de janvier 1715
(signé) Ursule margriethe magdalena De Billy ne de Battincour

Les héritiers de Bon de Billy vendent la maison au batelier Jean Jacques Eckert

1726 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 359
H. Jacques de Tachet Ecuyer Sr de la Bossiére als mandatarius seiner Schwiegermutter Fr: Agnes geb. de Billy H: Jacques le grands Sr du Fay hinterlassenen wittib, vor H. Louis et le Boeuf Notarÿs regÿs zu L’aigle en Normandie den 30. maÿ 1726 aufgerichteter procuration, Ferner H. Charles de Riverson Ingénieur en chef in allhiesiger Citadelle als bevollmächtigter H. Jean Odille Tarade Ecuyer Conseiller du Roy en son Chatelet de Paris und H. Loüis de Grandmont mestre de Camp de Cavalerie Chevalier de l’ordre Militaire de St Louis als Curatoris H. Sebastien Tarade Ecuyer Officier des Dragons von selbigen Krafft einer vor H. Bapleu und Balot Notarÿs regÿs zu paris ahm 23. maÿ jüngst aufgerichteter procuration
in gegensein Hannß Jacob Eckert des Schiffmanns und Annæ Margarethæ geb. Störckelin
Eine allhier hinder dem Bierhauß zum Vogelgesang gelegene Behausung höfflein und hoffstatt gemeinschaft des Bronnens mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen und zugehörden activ: und passiv: rechten und gerechtigkeit ahm Staden, einseit neben vorerwehnter Bier behausung zum Vogelgesang anderseit neben Johann Adam Allheilig dem Pastetenbeck hinten auff die Schiffleuthstueb – ihro le Grandischer wittib als Erbin ex semisse ihres bruders seel. weÿl. H. Bonitus de Billy Chevalier de l’orde de St Louis Ingenieur ordinaire du roy a la residence de la Citadelle zu einer helffte und denen Tarradischen beÿden gebrüdern erst bemendten H. Billy schwester Söhnen und deßen haeredibus ab intestato ex semisse zur andern helffte – 220 pfund

Jean Guillaume Eckert, fils du précédent, vend la maison au marchand de cuir Jean Frédéric Hetzel, propriétaire de la maison avant.

1746 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 521-v
Johann Wilhelm Eckert der schiffmann
in gegensein Johann Friedrich Hetzel des lederhändlers
eine behausung, höfflein, gemeinschaft des bronnens und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, Zugehörden und rechten am Schiffleuthstaden hinder dem brauhauß zum Vogelgesang, einseit neben solchem bierhauß, anderseit neben dem käuffer, hinten auff E. E. Zunfft der Encker – als ein elterliches erbguth – um 375 pfund


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.