7, rue du Faubourg de Pierre


Rue du Faubourg de Pierre n° 7 – II 150 (Blondel), N 205 puis (1872) N 77, section 71 parcelle 20 (cadastre)

Faubourg de Pierre 1-9 (juillet 2014)
Le numéro 7 est la maison blanche (juillet 2014)

Jacques Neumeyer qui acquiert la maison en 1642 la transforme en une teinturerie qui y sera exploitée jusqu’en 1728. La valeur de la maison fait l’objet d’un litige entre les héritiers à la mort de Marie Madeleine Mauss en 1692. Les propriétaires suivants sont des cordiers puis divers artisans, à plusieurs reprises des charcutiers. L’arrière de la maison donne sur le cimetière de l’oratoire de la Toussaint. Le voisin au sud cède en 1703 son bâtiment arrière, ce qui donne à la parcelle une forme en L qu’on peut voir sur le plan Blondel et sur le cadastre de 1838. La maison comprend plusieurs bâtiments, celui sur la rue, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière.

37 Elévations d-k
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 37, entre la rue de la Toussaint (d) et la rue des Mineurs (k)

L’Atlas des alignements daté de 1829 signale un rez-de-chaussée et un étage mauvais en bois et avance. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères f et g, légèrement en arrière des maisons voisines, les murs e-f et g-h correspondant au retrait. Elle a un rez-de-chaussée à porte cochère, porte ordinaire et deux fenêtres, surmonté d’un étage et d’un comble à deux niveaux de greniers. La cour allongée (S) représente l’arrière du bâtiment sur rue (3-4), le bâtiment latéral à deux étages (4-5-6), suivi de trois petits bâtiments, respectivement (6-7-8), (8-9-10) et (10-11-12), et d’un quatrième (12-1) dans l’angle sud de la cour. Le bâtiment (1-2) forme l’arrière de la cour, la partie nord (2-3) représente la propriété voisine. Le rapport d’experts contemporain (1828) décrit les différents bâtiments.

37 Cour SFauourg de Pierre 6-11 (5 K 123)
Cour S – Extrait du Plan d’alignements de la traverse de la route nationale N° 63 de Strasbourg à Wissembourg et à Landau dans la ville de Strasbourg, dressé en 1851 (ADBR, cote 5 K 123)

Le plan de la route nationale (1851) montre que la maison qui porte alors le n° 9 a été reconstruite, sans doute dans les années 1830 avant l’ouverture du cadastre  : elle a deux étages et ne se trouve plus en arrière des maisons voisines mais en avant. Le propriétaire transforme sa maison en l’agrandissant en 1867. Le siège de 1870 endommage les bâtiments qui sont remis en état les années suivantes sur une plus petite surface d’après le cadastre (le retour en L suite à l’achat de 1703 disparaît).
La maison est occupée par des artisans et par une crémerie depuis 1922. La parcelle est partagée en 1987 en partie A (maison avant, parcelle 64) et en partie B (maison arrière, parcelle 65) qui est réaménagée en 1992.

Cadastre 1990 (789 W 138)Elévation 1990 (789 W 138)
Plan cadastral après le partage, élévation des bâtiments arrière, 1990 (dossier de la Police du Bâtiment)

novembre 2014

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1642 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Huber, jardinier et huilier – luthérien
1642 v Jacques Neumeyer, teinturier, et (1638) Chrétienne Illinger veuve du satineur Pierre Vœlck – luthériens
1645 v Georges Merckel, teinturier, et (1643) Madeleine Mauss – luthériens
1691 h Elie Nachbaur, teinturier, et (1690) Salomé Merckel puis (1711) Marie Catherine Holdermann – catholiques, luthérienne convertie
1721 h François Mathias Zæpffel, marchand de vins, et (1722) Marie Catherine Holdermann veuve d’Elie Nachbaur – catholiques
1725 v Jean Jacques Acker, teinturier, et (v. 1720) Anne Marie Emmerich puis (1723) Marie Salomé Papelier – luthériens
rétrocession aux précédents pour défaut de paiement
1728 v Chrétien Seltzer, cordier, et (1723) Susanne Müller puis (1725) Salomé Hohlwein – luthériens
1756 h Chrétien Seltzer, cordier, et (1756) Catherine Salomé Bleyfuss – luthériens
1780 v Jean Jacques Vix, remueur de grains, et (1764) Marie Barbe Bleyfuss – luthériens
1787 v Chrétien Meiler, saucissier puis marchand de bestiaux et marchand de houblon, et (1775) Elisabeth Spreng puis (1805) Catherine Frédérique Hartschmitt veuve du boucher Thiébaut Zimmer – luthériens
1828 h Frédéric Meiler, boucher, et (1813) Sophie Caroline Müller
1837 v Jean Charles Jæger, vitrier, et (1830) Marguerite Schwartz 1830
1862* Kopp Louis Charles, charcutier
1881* Laurent Cordan, la veuve née Oberle
1884* Michel Lorentz, commerçant
1901* Théophile Maisenbacher, charcutier, et Salomé Reitenbach
la veuve et Frédéric Guillaume Maisenbacher, juge à Sarrebourg
1921* v Eugène Weil, négociant, et Léonie Mathis
1953 h Marguerite Weil femme d’Eugène Galli

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 500 livres en 1692, 1 250 livres en 1708, 1 350 livres en 1721, 1 300 livres en 1748, 600 livres en 1776

(1765, Liste Blondel) II 150, Christian Seltzer
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 205, Mauler, Frédéric – maison, sol – 3,9 are, puis Jaeger Jean Charles veuve

Locations

1743, Jean Georges Feltz, tamisier
1757, Jean Daniel Reith
1828, Auguste Molitor, passementier
1831, 1833, Georges Daniel Schœttel, tonnelier
1834, Catherine Elisabeth Hechler

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Directeurs fonciers (Bauherren)

1781, Directeurs fonciers (VII 1419)
Chrétien Mailer et Jean Schwebel, tous deux charcutiers, portent devant les Directeurs fonciers leur différend à propos de leur commerce. Ils rejettent la demande de Chrétien Mailer qui prétend un peu plus tard que Jean Schwebel n’a pas le droit de faire de saucisses mais seulement celui de vendre des aliments maigres. On consulte les représentants des bouchers et des aubergistes qui n’apportent pas des réponses concordantes. Si Chrétien Mailer persiste à faire des saucisses, il faudra lui assigner un endroit où il les vende, dans le cas contraire les deux parties n’entrent pas en concurrence

(f° 176) Dienstags den 16. Januarii 1781. Christian Mailer, bratwürstmacher. Johannes Schwebel, frantz. bratwürstmacher – Christian Mailer, der bratwürstmacher bittet ihme zu erlauben in der Steinstras vor dem beckenhaus, so neben der von ihme in Lehnung gehabten behausung gelegen Würst feil zu haben. Johannes Schwebel, der frantzösische Würstmacher durch deßen Ehefrau erscheinend bittet weilen er Christian Meÿers Wohnung bezogen, und er grosen Schaden an seiner Nahrung leiden müßte, wann ihme erlaubt würde neben ihme feil zu haben, implorirenden Meÿer mit seinem begehren abzuweisen. Nach Herrn Inspector Striedbeck gethanen Vortrag, daß vor dem Beckenhaus nicht wol feil zu haben ohne die Passage zu hemmen, wurde Erkannt, Seÿe Christian Meÿer mit seinem begeren abzuweisen, demselben dennoch Zu erlauben auf Herrn Inspector Striedbeck Anweisung in der nemlichen Straas an einem andern Platz feil zu haben.
(f° 183-v) Dienstags den 30. Januarii 1781. Christian Mailer, Bratwürstmacher – Christian Mailer, der Bratwürst Macher erscheint mit Hn Ignatius Mathis, dem Metzger, als nunmaligem Zunft Meister Eines Ehrsamen Zunfft Zur Blum vorstellend, daß Johannes Schwebel das recht nicht habe brat: und Knack: Würst zu machen, sondern das Fastenspeishandel Recht habe, wie ihme dann erst in weniger Woch auf das nachdrücklichste verbotten worden brat: oder Knack Würst zum Verkauf zu machen, da es ihme gar keine Schaden an seiner Nahrung ursachen könne, Zu erlauben fernerhin an dem beckenhaus in der Steinstras seine Würst feil zu haben. Erkannt, Seÿe dem Supplicanten in seinem Begehren zu willfahren.
(f° 186) Dienstags den 6. Februarii 1781. Johannes Schwebel Ca. Christian Mailer, beede Wurstmacher – Johannes Schwebel, der Französische Wurtsmacher, klagt wider Christian Maÿler, den Wurstmacher, daß er nicht nur vor seiner inhabenden behausung sondern auch neben sein des Imploranten Laden, beede ane der Steinstras gelegen nicht nur teutsche sondern auch französische Würst feil habe, wodurch ihme seine Nahrung völlig entzogen werde, Mit bitten beklagtem Zu untersagen neben Klägers Laden Künftighin feil zu haben. Erkannt, Seÿe Beklagter sowol als beede Herrn zunft Meister E.E. Zunft Zur blum und E.E. Zunft der Freÿburger ad proximam ad causam Zu citiren.
(f° 189) Dienstags den 13. Februarii 1781. Johannes Schwebel Ca. Christian Mailer – Johannes Schwebel, der Französische Wurstmacher wiederholet seine den 6.ten hujus wider Christian Mailer, den Wurstmacher eingeführte Klag, daß beklagter neben ihme in der Steinstras aus Bosheit feil habe und ihme seine Nahrung auf alle Ort Zu entziehen suche, mit bitten beklagten anzuhalten seinen Wurststand neben ihm weg zu räumen. Beklagter auf gegebene Assignation benebst Hrn Ignatius Mathias, dem Zunft Meister Einer Ehrsamen Zunft Zur Blum erscheinend bittet ihne in dem Besitz zu laßen, und Klägern mit seiner unbefugten Klag abzuweisen, in deme er Klägern, wann er beÿ seinen Grempen Waaren verbleibt, keinen Schaden zu fügen könne. Hr Ignatius Mathias berichtet es habe beklagter Von Einer Ehrsamen Zunft Zur Blum das Recht Brat: und Knack würst Zu machen, welches aber Klägern auf das nachdrücklichste verbotten, da nun Kläger solche Würst nicht Zum Verkauf machen dörfe, als sehe er nicht, wie beklagter dem Kläger Schaden an seiner Nahrung verursachen könne. Ego referire, Ich habe dieser Streit Sache wegen die Ehre gehabt mit SS. TT. Herrn Ammeister Lamp, als Hochverordnetem Oberherrn Einer Ehrsamen Zunft der Freiburger Zu reden, welcher mir aus seinem Zunft büchel gewiesen, daß sowol Johannes Schwebel als auch Christian Mailer das recht habe sogenannte Französische Würst Zu machen, dahero Hochdieselbe mir benachtigen, um hochdenenselben Zu weisen, daß würcklichen einer dem andern an seiner Nahrung Schaden thun könne, da nun Herr Zunft Meister Einer Ehrsamen Zunft der Freiburger nichts weiters hätte berichten können, als wurde derselbe auch nicht an causam citiret. Nach angehörter Klag und Verantwortung wie auch übriges Vor und Anbringen, wurde Erkannt, Wird beklagter Christian Mailer beÿ Einer Ehrsamen Zunft der Freiburger auf das Recht sogenannte französische Würst Zu machen, also daß er nur das Wurstmacher recht, so Eine Ehrsame Zunft Zur Blum zu vergeben beibehaltet, Verzug thue, so seÿe ihme erlaubt den Stand neben Klägern Zu haben. Solte er aber auf das Französische Wurstmacher Recht nicht Verzug thun, so solle ihme Verbotten seÿn neben Klägern feil zu haben, in welchem Fall jedoch dem beklagten durch Herrn Inspector Striedbeck ein anderer Platz Zu einem Ständel in einer gewißen Entfernung von Klägern, damit keiner dem andern Schaden an seiner Nahrung thun könne, angewiesen werden solle, wovon als dann der Zins zu reguliren vorbehalten wird.

Description de la maison

  • 1748 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un atelier et un petit poêle, une petite boutique, un poêle, une cuisine et petite chambre, au premier étage deux poêles, deux chambres, une cuisine et un vestibule, le comble couvert de tuiles plates renferme un grenier dallé séparé en plusieurs chambres par des cloisons en lattes, il y a un puits commun dans la cour et deux caves dont l’une est voûtée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2600 florins.
  • 1776 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique de cordier, trois poêles, trois chambres et plusieurs dépenses. Le comble est couvert de tuiles plates, il y a aussi une cave en partie voûtée et un puits commun, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1200 florins.
  • 1828, rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Faubourg de Pierres

nouveau N° / ancien N° : 17 / 9
Moenler
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 62 case 3

Jaeger Jean Charles veuve, à Strasbourg

N 205, maison, sol, faubourg de pierre 9
Contenance : 3,90
Revenu total : 218,03 (216 et 2,03)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 276 case 1

Jaeger Jean Charles veuve
1862 Kopp Louis Charles, charcutier

N 205, maison, sol, Faubourg de Pierre 7
Contenance : 3,90
Revenu total : 218,03 (216 et 2,03)
Folio de provenance : (62)
Folio de destination : 276.2 agrand.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :

N 205, maison
Revenu total : 236,03 (234 et 2,03)
Folio de provenance : 276 agrand.
Folio de destination : theilw. zerst.
Année d’entrée : 1870
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 38
fenêtres du 3° et au-dessus : 8

Kopp Louis Charles f° 276, N 205, maison, revenu 234, addition de construction, achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
Kopp Louis Charles f° 276, N 205, maison, revenu 216, addition de construction en 1867, supp. en 1870

N 205, Haus
Contenance : 2,76
Revenu total : 201,03
Folio de provenance :
Folio de destination : Berichtigung, theilw. zerst.
Année d’entrée : 1871
Année de sortie : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :

Maisons détruites pendant le blocus – Zerstörung des Hauses in Folge der Blokade
Kopp Louis f° 276, N 205, revenu 234

N 205, Haus
Contenance : 2,76
Revenu total : 211,44
Folio de provenance : 276
Folio de destination :
Année d’entrée : 1873
Année de sortie : 1873

1875 – Kopp Carl Ludwig f° 276, N 205, maison, revenu 24, Berichtigung

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 331 case 2

Kopp Ludwig Carl
1881 Cordan, Lorenz, We. geb. Oberle
1884 Lorentz Michael, Kaufmann
1901 Maisenbacher Gottlieb, Wurstler und Ehefrau Salome geb. Reitenbach in Gütergemeinschaft / Wittwe und Maisenbacher Friedrich Wilhelm, Kaiserl. Amtsrichter in Saarburg

N 77, Hofraum, Haus, Steinstrasse 7
Contenance : 2,76
Revenu total : 235,44 (234 et 1,44)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 38 / 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6

Cadastre allemand, registre 32 p. 612 case 4

Parcelle, section 71, n° 20 – autrefois N 77
Canton : Steinstraße, Hs. Nr. 7
Désignation : Hf, Whs. u. N.G.
Contenance : 1,93
Revenu : 2300 – 3600
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1921), compte 2874
Maisenbacher Gottlieb Wwe. u. Maisenbacher Friedr. Wilh.
rayé 1924

(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 4340
Weil Eugène négociant et son épouse Léonie née Mathis en communauté de b.
(4254)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 44 Faubourg de Pierre (p. 49)
(maison n°) 9

Pr. Meuler, Chrétien, Chaircuitier – Bouchers
lo. Schleifer, Thiebault, farinier – Lanterne
lo. Dehm, Jean frederic, Serrurier – Manant

Registres de population

(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Steinstrasse (S. 172)

7
Lobstein, Wurstgesch. 0
Schläffer, Schuhwarenh. 0
Ernst, Schneidermstr. 1
Hamm, Verkäuferin. 2
Zbiene, Wwe. 2
Braun, Wwe. 3
Houchard, Stickerin. H 1
Dietrich, Wwe. H 2
Vetter, Tagner. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 789 W 138)

La maison est le lieu d’exercice du tailleur Fridolin Ernst (1894), du bottier Georges Schleicher (1910), du cordonnier Henri Bauer (1923) puis Eugène Bauer (1940). Une crèmerie est signalée depuis 1922 (Henri Feldbau, Charles Roedel, Joseph Zinck en 1927, Beunat en 1947, Reymund en 1966, Levi en 1988 puis Gaston Fender en 1993).
Un rapport technique dressé en 1966 indique que la date approximative de construction est 1770. La maison a un rez-de-chaussée et trois étages, des fondations en moellons, une élévation en brique et bois, des refends en briques, des revêtements extérieurs en crépi bâtard, une charpente à double couverture en tuiles plates.
La parcelle est partagée en 1987 en partie A (maison avant, parcelle 64) et partie B (maison arrière, parcelle 65). Le propriétaire de la maison arrière modifie en 1992 la façade et réaménage l’intérieur qui comprend six logements.

Sommaire
  • 1886 – Dossier à la préfecture. Le sieur Mertz demande l’autorisation de ravaler la façade des n° 7 et 17 – Travaux terminés, mai 1886
  • 1891 – La Police du Bâtiment notifie Michel Lorentz (domicilié 3, Faubourg de Pierre) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre
  • 1894 – Dossier de la préfecture. Fridolin Ernest Schneider demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Accord
  • 1907 – La Police du Bâtiment notifie la charcutière Salomé Meisenbacher (domiciliée 2 marché aux Cochons de lait) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre
  • 1910 (février) – Le bottier Georges Schleicher demande l’autorisation de transférer son enseigne du 4, rue des Echasses au 7, Faubourg de Pierre – Autorisation – L’enseigne est posée, mars
    (mai) – Le même demande l’autorisation de poser une vitrine – Autorisation – La vitrine est posée, juillet – Transmis au directeur de l’octroi
  • 1911 – L’entrepreneur Rossi et Leja (40 rue Geiler) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade de la maison qui appartient à la veuve Maisenbacher – Transmission à la préfecture – Autorisation
  • 1912 – La Police du Bâtiment constate que le charcutier Théophile Maisenbacher a installé sans autorisation un store roulant – Demande – Autorisation – Inscrit à la cartothèque
    1912 – La Police du Bâtiment constate que le cordonnier Georges Schleicher a posé sans autorisation une vitrine. L’intéressé répond qu’il a déjà été autorisé – Nouvelle autorisation – Transmission au directeur de l’octroi
  • 1922 – Henri Feldbau (œufs et beurre en gros, 16, rue Sainte-Barbe) informe la Police du Bâtiment que l’enseigne de M. Bursztyn doit être inscrite à son nom – Autorisation
    1929 – H. Fedbau retourne un avis de paiement pour sa succursale qui n’existe plus depuis plusieurs années. En remarque, le droit sera imputé à Charles Roedel
  • 1923 – Le cordonnier Henri Bauer demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation de poser l’enseigne à 2,70 m au lieu des 3,00 m réglementaires
  • 1924 – L’entrepreneur en peinture Albert Kornwachs (13, place du Marché neuf) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade – Autorisation de la préfecture
  • 1903 – Commission contre les logements insalubres. Etage, Metzger, rien à signaler. Idem 1905
    1904 – Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Maisenbacher, rentier, 2, marché aux Cochons de lait – Travaux à faire (en 5 points), pas d’observation particulière les années suivantes
    1915 – Commission des logements militaires. Propriétaire, Maisenbacher, juge cantonal. Remarque sur un plafond et la cage d’escalier à plâtrer – Visite de 1917, remarques en 9 points. Les travaux peuvent attendre la fin de la guerre
  • 1927 (août) – La Police du Bâtiment constate que le marchand d’œufs et de beurre en gros Joseph Zinck a posé un store sans autorisation – Demande – Autorisation
    (octobre) – Idem, au sujet d’une enseigne – Demande – Autorisation
  • 1928 – La Police du Bâtiment constate que Rodolphe Ernst a posé une enseigne à l’étage
  • 1933 – La Police du Bâtiment envoie un avis au charcutier Alfred Meissenbacher (2, marché aux Cochons de lait), Réponse de son successeur, A. Lobstein – Alfred Meissenbacher est autorisé à poser une enseigne perpendiculaire
  • 1937 – La Police du Bâtiment notifie Eugène Weil de faire ravaler la façade – Travaux terminés, décembre 1938
    1938 (juin) – L’entrepreneur Emile Moser (27, rue de l’Arc-en-Ciel) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade
  • 1940 – Maison du cordonnier Eugène Bauer. La Police du Bâtiment juge que l’enseigne est inesthétique et qu’elle représente un mauvais exemple. Le cordonnier fait poser une nouvelle enseigne – Travaux terminés, décembre
    1943 – Eugène Bauer retire l’enseigne
  • 1947 – La Ville envoie un avis de paiement au crémier Beunat. Il répond qu’il n’a jamais eu d’enseigne
  • 1955 – M. Reymund est autorisé à occuper la voie publique pour faire peindre la devanture
  • 1966 – La Police du Bâtiment constate que la Crèmerie du Faubourg de Pierre a posé une enseigne sans autorisation – M. Reymund fait une demande – Autorisation
  • 1965 – La Police du Bâtiment notifie Marguerite Galli, propriétaire du 7, Faubourg de Pierre, de faire ravaler la façade
    1966 – Elle est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1966 – Le propriétaire fournit des pièces pour bénéficier d’une aide financière concernant le ravalement
    (1953) Certificat d’hérédité. Marguerite Weil divorcée d’Eugène Galli est seule et unique héritière de Léonie Mathis veuve de François Joseph Weil
    (1966) Mode d’occupation et revenu du 7, rue du faubourg de Pierre
    Habitation au 3° étage, occupé par le propriétaire depuis 1927
    Local commercial au rez-de-chaussée, charcuterie Claire Jacob depuis 1932
    Local commercial au rez-de-chaussée, laiterie Paul Walter depuis 1940
    Habitation au 3° étage, Eugène Schwœrer depuis 1933
    Habitation au 2° étage, Anne Marie Thaler depuis 1963
    Bâtiment II
    Habitation au 1° étage, Marcelle Bohnert depuis 1963
    Habitation au 2° étage, Mario Bellucci depuis 1960
    Bâtiment III
    Habitation au 2° étage, Di Marssimo depuis 1960
    Habitation au 2° étage, Marguerite Anthony depuis 1964
    Habitation au 3° étage, M. Scheidel depuis 1962
    Revenu total 6491 francs

    (1966) Rapport technique dressé par l’architecte Hugues Meyer
    Date approximative de construction, 1770, rez-de-chaussée et trois étages. Fondations en moellons, élévation en brique et bois, refends en briques, revêtements extérieurs en crépi bâtard. Planchers en bois. Charpente à double couverture en tuiles plates
    Ravalement des façades imposé par le service de la Police du Bâtiment en application de la circulaire ministérielle du 28 III 1959.

    (1966) Devis des entreprises Mario Brentel (crépi, 20, rue de La Wantzenau à Schiltigheim) et Georges Bartholomé (peinture, rue du Regard à Bischheim)
    (1966, août) – Le ravalement est terminé
  • 1969 – Claire Jacob retire son enseigne
    1987 – La Ville notifie Claire Jacob de régler la taxe de son store. Philippe Marchand, propriétaire, déclare ne pas connaître le domicile de l’intéressée
  • 1986 – Le notaire Michel Reeb (Seltz) demande des renseignements d’urbanisme sur l’immeuble qui appartient à M. Scheyder, section 71, parcelle n° 20
    1987 – Jean Jacques Renaux demande des renseignements d’urbanisme concernant un terrain provenant d’une propriété bâtie, partie A (maison avant), partie B (maison arrière). Le maire émet un avis favorable à la division. La partie B n’a pas d’accès carrossable
    1987 – Le notaire Mischler (Soultz-sous-Forêts) demande des renseignements d’urbanisme
  • 1988 – L’entreprise Stores Tecsol (rue Leiterpserger) demande l’autorisation de poser un store pour le compte de la crémerie Levi – Idem, entreprise Lucien Walter (à Brumath). Schéma, images – La crémerie Levy est autorisée à poser un store – Travaux terminés, octobre 1988
    1988 (octobre) – La brasserie Heineken et Pelforth (à Schiltigheim) retire l’enseigne qu’elle possède au magasin d’alimentation
    1988 (juin) – La brasserie Adelshoffen demande l’autorisation de poser une enseigne à la crèmerie gérée par Mme Schlenter – Photographie – Autorisation
  • 1988 (mai) L’entreprise Kratzeisen (9-a rue des Roses à Brumath) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade
  • 1990 – L’entreprise Obernai Construction (route d’Ernolsheim à Dachstein) est autorisée à poser une benne à gravats sur la voie publique
    1990 – Jacques Grenier (demeurant à Oberhausbergen) demande l’autorisation de poser un vasistas, de modifier la façade, de réaménager l’intérieur au 7, Faubourg de Pierre, section 71 n° 65/20 (bâtiment arrière) – Description des travaux, le bâtiment comprend 6 logements, surface habitable totale 180,65 m² – Plans
    Déclaration de travaux exempts de permis de construire, avril 1990
    Suivi des travaux. Le gros œuvre est achevé, janvier 1992, l’aménagement intérieur est achevé, décembre 1992
  • 1993 – La crémerie Levy a été vendue à Gaston Fender en octobre

Relevé d’actes

Les héritiers du jardinier et huilier Jean Huber vendent 466 livres la maison au teinturier Jacques Neumeyer

1642 (17. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 679-v
(Prot. fol. 224. & seq.) Erschienen hannß Kuontz Gartner ahne Steinstraß für sich selbst. und alß Vogt weÿl. Mariæ Kuntzin mit Augustin Trennßen Gartnern ahne Steinstraße, ehelich erziehlter Zweÿer Kinder hannßen und Mariæ, Item Barthol Matzing. Gartner ahne Steinstraß alß Vogt weÿl. Hannß Kuontzen deß ältern Gartners ahne Steinstraß sel. hinderlaßenen Sohns, Georgen, diße Zum Zweÿten theil, So dann Sebastian Kugler der Kupfferschmid für sich selbst. Zum tritten theil, alle Weÿl. hannß Huebers deß ohlmanns und Gartners ahne Steinstraß nachgelaßene Erben, mit beÿstand H Pauli Ansorgß alß dreÿers ahne der Statt Müntzen, wie auch mit beÿstand der Ehrenvest H Hannß Goll. und H Adam Burckhardts beed. alß vß E.E. groß. Rhats mittel hierzu verordneter
Jacob Neumeÿer dem Schwartzferber
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, sampt allen derselben gebäwen & Wie auch die gerechtigkeit eines gemeinen bronnens, alhie ahne Steinstraß, neben hannß Götzen dem Weißbeckh. ein: und anderseit neben Weÿl. Michaelß hannß. Georg. deß Schultheiß. Zu Bischoffsheim nachgelaßenen Erben, hind. vff der Stifft Allerheilig. Garten stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Weÿhenacht. 8. lb. 6. ß 6 s lößig mit 166. lib. 13. ß 4. d hannß Adam Nageln dem buchkrämer vögtlich. weise, So dann ist diße Behaußung annoch verhafftet obgedachter Müntz, umb 300. lib. (vff sich genohmen), und damit der Kauffschilling, so vff 466. lib 13 ß 4 d alß solviel diße beede Beschwärdt sich belauffen, gesetzt ist

Originaire de Kenzingen en Bade, Jacques Neumeyer épouse en 1638 Chrétienne Illinger veuve du satineur Pierre Vœlck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 2-v)
1638. Eadem [Domin. XI. Trinit:] Jacob Niemeyer der Ferber Hannß Niemeyer von Kentzingen ehelicher Sohn, Vnndt Christina Peter Fölcken deß Mangmeisters e. Wittib. Eingesegnet Mont. 13. Aug. JSP. (i 4)

Jacques Neumeyer devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1638, 4° Livre de bourgeoisie p. 180
Jacob Neüwmeÿer der Schwartzfärber Empfangt d. burgerrecht von Christina weÿl. Peter Völcken Schwartzferbers Vnd burgers alhie seel: wittib seiner haußfrawen vmb 8 goltR. ist noch ledigen Standes gewesen wird Zu dem Tuchern dienenn Jur. den 8 9.bris 1638.

Acte de vente qui indique que Jacques Neumeyer a quitté la ville en abandonnant sa femme, paralysée au moment du contrat
1648 (18 9.br), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 665
(Prot. fol. 171) Erschienen Hannß Völckh der Schwartzferber Burger Zu Straßburg im nahmen Christinæ Illingerin weÿl. Peter Völckhen deß Schwartzferbers Vnd Burgers alhie seel. nachgelaßene Wittib anietzo aber Jacob Newmeÿers deß Von hier verzogenen Schwartzferbers hinderlaßene haußfraw, alß welche der Lämme halben nicht auß Zugeh. Vermag, mit beÿstand herrn Hannß Christmann Merckhlins Vnd herrn Georg Müllers beÿder alß vß E. E. großen Rhats hierzu insonderheit Deputirter
hatt in gegensein Bernhard Walden deß Schneiders vnd Burgers alhie mit beÿstand Jacob Räubels Gartners Vnd. wagner
hauß vnd hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie in der obern Straßen neben Vorgemelten Räubeln ein: Vnd anderseit neb. weÿl. hannß Schmiden Von Waßlenheim Erben, hinden zum theil vff gedacht. Räubeln vnd theils vff gemelter Schmidischer Erben Schür stoßend geleg. so zuvor verhafftet vmb 75. lb
Jacob Newmeÿers deß Von hier verzogenen Schwartzferbers

Jacques Neumeyer vend 466 livres la maison dans laquelle il a construit une calandre au teinturier Georges Merckel et à sa femme Madeleine Mauss

1645 (10. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 405-v
(Prot. fol. 194.) Erschienen Jacob Neumeÿer der Schwartzferber und Burger Zu Straßburg, mit beÿstand H Johann Jacob Kuglers alß dreÿers ahne der Müntzen
hatt in gegensein Georg Merckhelß deß Schwartzferbers und Burgers alhie, und Magdalenæ Maußin, beÿd. Eheleuth, mit beÿstand Gall Dilgen Salpetersieders ihres resp. Stieff Schwähers und Stieff Vatters, H Hannß Christmann Merckhelß deß Schwartzferbers und Sibner Gerichts Beÿsitzers ihres resp. Bruders und Schwagers und Christoph Otten deß thuchscherers ihres Schwagers, aller Burg alhie
hauß, hoffstatt, hoff, Stallung, und die gerechtigkeit deß gemeinen Bronnens, Zusampt der darein erbawenen Mang und waß darzu gehört, mit allen deren Gebäwen & alhie ahne Steinstraß, neben hannß Götzen dem Weißbeckh. ein: und anderseit neben Weÿl. Michaelß hannß. Georg deß Schultheiß. Zu Bischoffsheim nachgelaßenen Erben, hind. vff deß Stiffts Alleilig. Garten stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Weÿhenachten 8. lb. 6. ß 6 s lößig mit 166. lib. 13. ß 4. d hannß Adam Nageln dem Buchkrämern, vögtlich. weise, So dann ist diße Behaußung annoch verhafftet obgedachter Müntzen umb 300. lib. daran alle Jahr vff Michaelis und a° 1646. Zum erst. mahl 25. lib. bißher Zue völlig. Bezahlung iederzeit mit sampt dem Zinnß abgerichtet werd. sollen (übernohmen), Zugang. umb 75. lib

Georges Merckel, fils du pasteur d’Offwiller, épouse en 1643 Madeleine Mauss, fille de salpêtrier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 62)

1643. Dnca. Sexag. 5. Febr. Görg Mercklin Schwartzferber M. Christmann Mercklin pfarrers zu Offweiler Ehelicher Sohn, J. Magdalena Görg Mausen des Salpeter sieders hinterlassene tochter. Dienst. 14. febr. (i 63)

Georges Merckel meurt en 1677 en délaissant sept enfants. Les experts estiment la maison 541 livres. La masse propre à la veuve est de 550 livres, celle des héritiers à 145 livres. L’actif de la succession s’élève à 929 livres, le passif à 747 livres.

1677 (27.8.), Me Schübler (Christophe, 55 Not 16) n° 16 (756)
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen haab Nahrung vndt Güether, so weÿl. der Ehrenhafft vndt Achtbar H. Georg Merckhlin, gewesener Schwartz v. Schönferber, burger Zu Straßb., welcher den 25. Maÿ dießes instehenden Jahrs tödlichen Verblichen, hinderlaßen, so vff erfordern v. begehren des verstorbenen H. seel. mit nachgemelter seiner hinderlaßenen fr. Wittib, ehelich erzeugter vndt ane nachgemeldtem folio benambßter döchter vndt Sohn auch ab intestato nachgelaßener Erben Inventirt, durch die viel Ehren vndt tugendreiche fr. Magdalenam gebohrne Maußin, die hinterbliebene Wittib vff zuvorbeschehene Errinnerung Vndt Vorhaltung des Articuls auch Würcklich abgelegter handtgelübt, mit beÿstand des Ehrenhaffte, H. Gißbrecht Verÿ Schwartz undt Schönferbers burgers allhier, Ihres geschwornen Undt geordneten Vogts geeigt vndt gezeigt – Actum Straßburg Montags den 27. Augusti Anno 1677.
Der Verstorbene H. seel. hatt zu Erben ab intestato Verlaßen Wie volgt. 1. die Viel Ehren undt tugendreiche fr. Annam Mariam Merckhlinin, Axel Ludwig Mentzingers, Schwartz v. Schönferbers, geweßenen burgers Zu Straßb. verlaßene haußfraw, dero geordneter und geschworener Vogt der Ehrenhafft v. bescheidene H Johannes Lentz, Schumacher v. burger allhier, mit beÿstand deßelben. 2. den Ehrenhafften v. bescheidenen Hannß Georg Merckhlin, Schwartz v. Schönferbern, burgern allhier vor sich selbsten. 3. den Ehrenvesten v. Wohlgelehrten H. Christmann Merckhlin Theologiæ studiosum, 4. die Viel Ehren undt tugendreiche Jgfr. Barbaram, 5. die Viel Ehren undt tugendreiche Jgfr. Magdalenam, 6. die Viel Ehren undt tugendreiche Jgfr. Salomeam Merckhlinin, welche Vier ledigen Standts, deroselben geordneter und geschworener Vogt, der Ehrenveste H. Johannes Schwert, handelsmann v. burger Zu Straßb. so dem geschäfft beneben den Vogts Persohen beÿgewohnt, 7. die Viel Ehren undt tugendreiche Fr. Elisabetham Merckhlinin, des Ehrenhafften v. bescheidenen H. Johann Lentzen Schuhmachers v. burgers allhier haußfr. mit helff deßelben, Alle Sieben des Verstorbenen H. seel. mit vorgedachter seiner hinderlaßenen Fr. Wittib ehelich erzeugter Sohn v. döchter, auch ab intestato nachgelaßener Erben.

Inn einer in d. St. Straßb. In der Stein Straaßen in die Erbschafft gehörigen behausung Ist befunden worden wie volgt
Vff der obersten bühnen, In der Cammer A, In der Stub Cammer, Im haußehrin, In des H Sohns Studirstub., Vff dem Gang, In der Undern Wohnstuben, In der Kuchen
Eÿgenthumb ane einer behaußung (T.) It. i. hauß hoffstatt hoff Stallung v. die Gerechtigkeit des gemeinen bronnens m. ihren gebäwen, begriffen, Rechten, Zugehördten v. Gerechtigkeiten in der vorstatt Steinstraaßen gelegen einseit neben weÿl. hannß Götzen des gewesenen weißbeckhen hinderlaßenen Erben, anderseit neben Michael hanßen des Schultheißen Zu Bischoffsheim Erben hinden vff das Stifft Allheÿligen Garten stoßendt, so allerdings freÿ ledig undt eÿgen, hiehero æstimirt per 541 lib 13 ß 4 d. Darüber sagt j. perg. Kbrieff mit der St. Str. Contract Insieg. Verwahrt, deßen datum d. 10. Junÿ Anno 1645. Dabeÿ ferner j. alt pergam. Kbrieff mit d. St. Str. Contract Insieg. Verwahrt deßen datum den 17. 7.bris Anno 1642. beedes N° A notirt.
Ergäntzung der fr: wittib unveränderten guths. Vermög theilbuchs über weÿl. fr. Catharinæ Müllerin der wittib Mutter seel. Verlassenschafft abtheilung durch Christoph Schüblern Not: In Anno 1662. gefertigten special theilbuch ist Ihro Zuergäntzen wie volgt
Ergäntzung der Erben Unverändert guths. Vermög theilregisters Vber Weÿland H Christmann Merckhlein geweßenen Pfarrers Zu offweyler des Verstorbenen H Vatters seel. Verlassenschafft In Anno 1658. Zu offweÿler aufgerichtet, hat man den Erben Zuergäntzen wie volgt. (…) It. von weÿl. Elisabetha Merckhlinin, des Verstorbenenn Mutter seel. Verlassenschafft In Anno 1675. durch herrn Valentin Marstellen Rattschbrn. Zu Ingweiler aufgerichtet. Inventarÿ
Abzug Zu dießes Inventarium. Der Wittib unverändert Guth. Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Guldener Ring 7, Sa. Guths Ergäntzung ist (543, abzuziehen 6, Pleibt noch übrig) 536, Summa summarum 550 lb
Volgt nun der Erben unverändert guth, so allein In hernach geschriebener Ergäntzung begriffen, 145 lb
Theilbar Guth, Sa. haußraths 159, Sa. der früchten 34, Sa. der Wein und lähren Vaß 16, Sa. Werckzeugs Schiff und geschirr, fahrbzeug und gefärbte wahren ist 94, Sa. Silbergeschirrs 38, Sa. der baarschafft 45, Sa. der behaußung 541, Summa summarum 929 lb – Sa. der Schulden 747 lb, Nach deren Abzug 182 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 862 lb
NB. dieweilen die Erben allerseits ihrer lieben Mutter vermög vffgerichteten Codicilli ihrs Vatters seeligen Verlassenschafft ad dies vitæ wÿdembßweiß genießen Zulaßen resoluirt, dahingegen die fr. wittib sich expresse vernehmen laßen, nicht allein der noch ledige vndt vnverheurathete Sohn und döchter dem Letsten willen gemäß Zu alimentiren, sondern auch (…)

Les enfants cèdent les outils et la maison à leur mère

1689 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 560 n° 273
Johannes Lentz der Schuhmacher, alß Ehevogt Elisabethæ Mercklinin, und alß Vogt Annæ Mariæ Mercklinin, Axel Ludwig Mentzingers, deß außgetrettenen Schwartz und Schönfärbers verlassener haußfrau, hans Georg Mercklin, der Schwartz und Schönfärber, für sich selbsten, Samuel Christoph Flechner, der Schneider, alß Vogt weÿl. Barbaræ gebohrner Mercklinin, mit weÿl. H. Peter Flechner gewesenen Amtschreiber zu Lichtenau erziehl. und nachgelaßenen töchlerleins Annæ Barbaræ, H. Joh: Hermann Schwerd der Handelßmann, alß vogt Salome Mercklinin, noch ledigen Stands, Und Sie alle auch im nahmen H. M. Christmann Mercklin, Pfarrherrs zu Wittenweÿer, von dem Sie hierzu mündlich befehlt seÿn, wie hernachgenandten Herrn Deputirte hierbeÿ anzeigten, alle alß Weÿl. Georg Mercklins, gewesenen Schwartz und Schönfärbers nachgelaßene Kinder und Erben an einem,
So dann Magdalena, gebohrne Maußin, erstged. Mercklins sel. hinterlaßene wittib, mit beÿstand Johann Michael Freunds, E.E. großen Raths beÿsitzers Ihres Vogts am andern und beede theÿle mit assistentz Hn Sebastian Röderer und H. Johann Georg Ehrlen, beede alß auß E.E. Großen Raths Mittel ad contractus min. ins gemein, hierzu aber insonderheit Deputierter,
haben angezeigt und bekandt, demnach nach absterben vorged. Georg Merckels beÿ d. bereits A° 1677 beschehenen Inventaôn, nicht allein der in den von weÿl. H. Christoph Schüblern gewesenen Notario fol. 38.b biß 39.b incl. beschriebene werckzeug, wahren, schiff und geschirr, sondern auch des fol. 42.b & seq. beschriebene hauß, hoffstatt, hoff, Stallung und Gerechtigkeit deß gemeinen bronnens mit allen den Gebäuen Recht und Zugehördt allhier in der Vorstatt Steinstraß geleg. einseit neben weÿl. hans Götzen geweßen Weißbecken hind.laßenen Erben, and. seit neben Meinrad Moser dem Seÿler & cons. hind. auff deß Stiffts allheÿligen Gartten stoßend, so gantz freÿ ledig und eÿg. alß unvertheÿlt außgesetzt, auch Ihro der Mutter den daran alß einen theÿlbaren Guth ein dritter theÿl, wie auch an übrig. Zweÿ dritten theÿlen ein siebend. theÿl alß von ihren verstorbenen tochter Magdalena ererbt, zuvorhin eÿgenthümblich, zumahlen alles unden dem Usufructu omnium bonorum Zu genüßen gehörig. Alß hätten Sie Mutter und Kind. durch Vermittlung obherneged. Heerrn Deputiert. sich folgender maß. deßweg. mit einander verglichen, Nemblich d. Sie die Mutter obbemeldte Zwo rubricquen deß werckzeugs und haußes & umb 2000 guld. baaren gelds welche in die mit einander vorhabende völlige Abtheÿl: und Abrechnung gesetzt und darauff bezahlt werd. sollen, maßen dann auch Sie die Kind. sambt und sonders und Zwar auff E.E. Großen Raths confirmation und ratification deroselb. übergaben und überliß.

Madeleine Mauss vend la teinturerie Merckel à son gendre Elie Nachbaur et à sa fille Salomé Merckel en s’y réservant l’habitation

1691 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 563, f° 79
Magdalena gebohrne Mausin, weÿl. hans Georg Mercklins, gewesenen Schwartz und Schönfärbers nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Johann Michael Freunds, E.E. großen Raths alten beÿsitzers, ihres Hn Vogts
Elias Neubaurs, deß Schwartz und Schönfärbers, Ihres tochtermanns und Salome gebohrner Mercklinin deßen haußfrau, und Ihr Magdalenæ leiblich. tochter – zufolgt deß in deroselben mit einander durch H. Notar. Johann Friderich Redwitzen gemacht. Eheberedung § vor das Sechsten beschehenen Verspruchs eÿgenthümlich cedirt habe und hiermit cedire
die Mercklinische Farb behaußung mit allen deren Gebaüen Recht. und Zugehördt. allhier in der Vorstatt ane Steinstraß einseit neben hans Jacob Heckmann, dem Weißbecken and. seit neben Meinrad Moser dem seÿler, hind. auff Allheÿligen Leichthöffel stoßend gelegen, zu sambt der darin befindlich. Mang, Keßeln, Schiff und geschirr, und in summa allen dem was Zur Färbereÿ und Mangen gehörig und daselbst befindlich, alßo und dergestalt daß Er der tochtermann daran Zwen, die tochter aber einen dritten theil haben, besitzen, nutzen und genießen
Jedoch mit dem außtrucklich. anhang und condition, daß Erstlich Sie beede Eheleuthe Sie Ihre respect. Schwieger und leibliche Mutter, so lang sie das leben haben wird, in dem hindern Stübeln auff den gang sambt der Zunächst daran befindlich. Cammer ohne Entgeld und ohne hindernuß wohnen laßen,, (…) endlich aber und wann sie die Mutter dießes Zeitliche Gesegnen wird, 600 pfund in derer Verlassenschafft baar einschießen und erleg. sollen und wollen

Salomé Merckel se convertit en juillet 1690 et épouse le même jour le teinturier Elie Nachbaur originaire de Moravie (Zlawins à l’acte de mariage, Glaubnitz eu registre de bourgeoisie) qui devient bourgeois quelques jours plus tard
Jésuites (1 AST 305, p. 213) Salome Mercklin, 1690 Juillet 20

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. 55)
1690. 20. Julÿ a R.D. Simone de Viller parochi S. Laurentii in Cathedrali Ecclesiæ Argentinæ, matrimonio juncti sunt, omissis Bannis ex Dispensatione Reu. Dni Vicarÿ Generalis honestus Adolescens Elias Neubaur, Tinctor Schön undt Schwartzferber, annorum circiter 34. ex Zlawins in Moravia, filius Georgÿ Neubaur etiam Tinctoris et Ursulæ Läberin Coniugum defunctorum legitimus, et Pudica puella Salome Mercklin, Georgii Mercklin Ciuis Argentinensis etiam Tinctoris defuncti et Magdalenæ Mausin coniugum, annorum circiter 26. conuersa (i 31)

1690, 4° Livre de bourgeoisie p. 574
Elias Neubawr der schwartz Vnd schönfärber Von glaubnitz aus Möhren, weÿl. Georg Newbaurs geweßenen schwartz Vnd schönfärbers auch burgers daselbst nachgel. sohn, empfangt das burgerrecht Von Salome Mercklerin seiner jetzigen haußfr: pro 2. goldR. 16. ß. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor ledig. standts gewest, V. wird beÿ E: E: Zunfft der Tucher dienen. Jur: d 2. Aug. 1690

Marie Madeleine Mauss qui meurt en 1692 est enterrée par le pasteur de Saint-Pierre-le-Jeune. Elle laisse cinq enfants et une petite-fille issue d’un sixième enfant. Trois d’entre eux sont réduits à la part légitime par disposition testamentaire. L’actif de la succession se monte à 1 135 livres, le passif à 108 livres. La défunte a particulièrement avantagé sa fille cadette, Salomé Merckel femme d’Elie Neubaur, chez laquelle elle a passé ses dernières années. Elle lui a d’abord légué sa maison avant de la lui vendre moyennant 600 livres et le logement le restant de sa vie. Les héritiers désavantagés attaquent le testament. Le Grand Sénat rend le 21 mars 1693 un jugement qui statue sur la part légitime et oblige la fille cadette avantagée à restituer à la succession la valeur des biens cédés à dire d’experts. La maison est estimée 1 500 livres d’après le billet joint.

1692 (26.8.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 16) n° 20
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenig. Haab und Nahrung, so weÿland die Ehren und tugendsahme fraw Maria Magdalena Merckelin, gebohrne Maußin, auch weÿl. H. hannß Georg Merckels, geweßenen Schwartz und Schönfärber, burgers alhier Zu Straßburg, nunmehr beede seel. nachgelaßene Wittib, nach Ihrem den 12.ten Julÿ Jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft, auf erfordern und begehren ihr der Abgeleibten frawen seelig. Kinder Und Enckel, Auch sowohlen ab intestato, als per Testamentum instituirter Erben, wie nicht weniger dero Ehr: und Geschwornen Vögte (…) ersucht und inventirt, durch die Ehren und tugendsahme Fraw Salome Newbaurin Gebohrne Merckelin und dero haußwürth H Eliam Newbauren, Schwartz und Schönfärbern, burgern alhie, als welche die Verlassenschafft biß anhero underhand. v. in Verwahrung gehabt – Actum in fernerem beÿsein deß Ehrenvest, fürsichtig Und wohlweiß. herrn Johann Michel Freünden E. E. Großen Raths Alten beÿsitzers, als der Verstorbenenn Frawen seeligen noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, Dienstags den 26. Augusti Anno 1692.
Die Abgeleibte Fraw seel. hat so wohlen ab intestato, als auch per Testamentum Zu Erben Verlaßen, wie Volgt. 1. Fraw Annam Mariam Merckelin, Axel Ludwig Mentzingers deß von hier entwichenen Ferbers Geschiedene fraw, deren Geschworner Vogt Johann Lentz der Schuhmacher Und burger alhier, dieweilen aber derselbe beÿ dießem Geschefft uxorio nomine interessirt, so hat in deßen nahmen beÿgewohnt der Ehrenvest und rechtsgelehrt H Johann Reinhard Lang Nots. als Ihr der geschiedenen Mentzingerischen frawen Geschworner Theil Vogt, Vor ein sechßten Stammtheil, 2. Hannß Georg Merckeln, Auch Schwartz und Schönfärbern, burgern alhier, aber allein in Legitimam, das ist ein Völligen Zwölfften theil, 3. Hn Christmann Merckel, Pfarrherrn Zu Wittenweÿer, auch burger, alhier, ebenmäßig allein in Legitimam oder einen Zwölfften theil, 4. Fraw Elisabetham Lentzin, Gebohrne Merckelin, deß Ehrengeachten Johann Lentzen, Schuemachers und burgers Alhier Ehewürthin auch allein in Legitimam od. ein Zwölfften theil, dieße dreÿ mit assistentz deß Edel Vest und hochgelehrten herrn Johann Martin Dautels J. U. Ddi. Und Vornehmen Practici alhier, 5. Weÿland Frawen Barbaræ Merckelin, mit auch Weÿl. Herrn Peter Flechnern geweßenem Stattschreiber Zu Liechtenau, beeden seelig, nach todt Verlaßenes döchterlein Annam Barbaram Flechnerin, vor ein Völligen Sechsten Theil, In dero Nahmen dem Geschäfft abgewart der Ehrenvest, fürsichtig und Wohlweiße Hr Johann Wilhelm Reichart, E. E. Großen Raths Alter, anjetzo aber E. E. Kleinen Raths ane eines Constofflers statt beÿsitzer, als auß wohlgedachten raths mittel hierzu insond.heit deputirter herr, So dann H Samuel Christoph Flechner, der St. Straß. Käuffler derselben Geschworner Vogt, 6. Fraw Salomeam Newbaurin Gebohrne Merckelin, deß Ehrenhafften Eliæ Newbauren, Schwartz und Schönfärbers burgers Alhier Ehewürthin, beÿständlich erstgedachts ihres haußwürths, Mehr deß Edel, Ehrenvest, fromb, fürsichtig und hochweißen herrn Johann Georg Heckers deß Geheimen Regiments der herren Dreÿ Zehen wohlansehnlichen beÿsitzers, und dann deß Ehrenvest und Rechtsgelehrten herrn Johann Friderich Redwitzen Notarÿ publ. und Practici alhier, in die übrige fünff Zwölffte theil, Alle Sechß Ihr der Verstorbenen frawen seeligen Söhn, döchter und Enckel.

Copia Testamentum nuncupativi, pge. in Prot. C. fol. 328 et seqq.
Copia Nach Disposition, perge in protoc. C. fol. 334. et seqq.
Resolutio über Vorbeschriebenes Testamentum und Nach: Disposition. Zuwißen demnach Ich der Inventir Nots. vorherbegriffenes Testamentum nuncupativum, beneben der Nach Disposition in præsentia gesampter Vorbenambßter Interessenten deütlich abgeleßen, Und darauff dieselbe befragt, ob Sie mit dem jenigen was die Verstorbene fr. seel. darin disponirt, Zu friden und sich damit Vergnügen wolten, oder nicht, haben Sich dieselbe, und Zwarn ein Jeder Insonderheit ercläret und vernehmen laßen, wie Volgt.
1. Frawen Annæ Mariæ Merckelin Theil Vogt H Nots. Johann Reinhard Lang meldet daß Gleich wie er vor ohngefehr 14 tagen alß das Testamentum Und nach disposition per H. Notm. Redwitzen publicirt worden, sich ehe v. Zuvor die Nahrung inventirt und mann einen gewißen Statum derselben Zur hand geben hat, auff nichts Gewißes resolviren könten, Also wolte er seine erclärung annoch dahien eingerichtet haben. 2. 3. 4. In nahmen Mr Hannß Georg, H. Mri. Christmanni und frawen Elisabethæ Mercklin, welche allein in Legitimam instituirt, meldet H Ddus Dautel dero respeê. Mandatarius und Assistent, daß seine principales weder dießen in fraudem Legitimæ auffgerichtete Testamentum inofficiosum v. Nach Disposition alle Mittel Rechtens bester maßen reservirt haben, Vor das eine, Zum Andern, weilen seine Principalen in angeregtem Testamento hefftig injurirt, und als ungerathene Kinder titulirt worden, wolten Sie deßelben probationem sehen, Und drittens Verlangen dieselbe, daß fraw Salome Newbaurin die dochter, diejenige Schanckungen so sie von der Mutter seel. Zeit lebens empfangen, Crafft gegebener handtreu, ordentlich angeben solle, damit die Völlige Legitima ersucht werden, mithien die Inventation ohngehindert fortgehen möge.
5. H. Rathh. Reichart v. H. Flechner nê. Annæ Barbaræ Flechnerin erclären sich, Mann solte Vorderist der Inventation ihren lauff laß. wann dann selbige in standt, so wolten Sie Ihre Völlige resolution Zuthun sich nicht erschwehren.
6. H. Elias Newbaur und deßen haußfrau erclären sich, daß Sie mit dem auffgerichteten Testamento nuncupativo und der Nach Disposition Allerdings und wohl Zufrieden, vnd das Jenige, so ihnen darinn Zu Gutem Geordnet, danckbarlich annehmen wolten, hoffen darbeneben auch, daß ihnen ein solches gedewen und nicht entzogen werden, darbeneben seÿen sie nicht obligirt, das jenige so ihnen die verstorbenen Mutter und Schwiger seel. geschenckt anzugeben, wie sie dann wider dieselbe und all andere weitläuffigkeit protestirt haben wolten.
In einer alhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß gelegener Und in dieße Verlassenschafft nicht gehöriger behausung befund. word. wie Volgt.
Hültzenwerckh. In der obern Hinderstub, In der Gang Cammer, Im Haußöhren
Rubrices hujus Inventarÿ, haußrath 216, Silber 10, Guldener ring 7, baarschafft 145, Activ Schulden 756, Summa summarum 1135 – Schulden 108 lb, Rest der inventirter Verlassenschafft 1027 lb
Auß dem Testamento (…) Item Für das Vierte legirte Sie Hn Eliæ Neübauren et uxori die farb behaußung ane der Steinstraß in gewißem pretio, alldieweilen Sie aber solche behaußung nachgehends denen Legatarÿ verkaufft Und der Kauffschilling supra fol: (-) und. denen Activ Schulden eingetrag. so wird deßwegen auch nichts in Abzug Zubring. (…) Summa Legaten 74 lb. Nach Abzug deren, wird noch ane der inventirten Verlassenschafft dem werth anschlag nach im Rest verpleiben umb 953 lb
(…) Alldieweilen Aber, als mann das Jenige was die abgeleibte ihrer dochter Salomeæ Neubaurin so wohlen Zur Ehesteur als auch sonsten gegeben wie nicht weniger die ane der Vorstatt Steinstraß gelegene Und ane dieselbe und Ihrem haußwürth verkauffte farb behaußung cum appertinentÿs, nach anleüthung eines beÿ E. E. Großen Rath am 21. Martÿ 1693. dießer Erbschafft Vnd in speê. der Legitimæ halben ergangener Definitiv Urthel ersucht, Und sich ducto calculo in maßen hernach befindlich, eräugnet, daß die dreÿ Allein in Legitimam instituirte Kinder Vor dero Pflichttheil ein mehreres Zugewarten haben, so hat Ihro Annæ Barbaræ Flechnerin H. Deputatus, wie auch dero Curator, sich ercläret, daß Sie dann ebenmäßig die Legitimam ergreiffen und sich auff den fueß demselben außweißen laßen wolten, weßweg. dieselbe volgender Gestalt Zuersuch.
Die Restirende inventirte Verlassenschafft belaufft sich aber fol. (-) nach abzug der passivorum dem werth anschlag nach auff 1027.
Hierzu kombt das Jenige so Fr. Salome Neübaurin Gebohrne Merckelin, die Jüngere dochter Innhalt vorangeregten Großen Raths bescheides vom 21. Martÿ 1693. ratione Legitimæ als ein geschenckt und sonsten empfangenes Gutt, widerumb in die Verlassenschafft einzuschießen pflichtig, als ane haußrath vermög dero Inventarÿ Zugebrachter Nahrung, à fol. 10.a biß 15. inclusive 114, (…)
Item die Mercklinische in d. Vorstatt Steinstraß gelegene Farb behaußung sampt der Mang, welche Sie Fraw Salome und deo haußwürth Elia Newbaur von der abgeleibten frawen seel. certis cum conditionibus erkaufft, ist obangeregtem bescheid Gemäs durch der statt Straßburg geschworne Werckhleuth Vermög einer apud conceptum befindlicher Abschatzung taxirt worden umb 1500 lb.
Item die farbkößel und der Gleichen mit verkaufften werckzeug (…)
Summa aller so wohl inventirten als auch von frawen Salome Neübaurin der Jüngern dochter raté legitimæ Zu conferiren v. einzuschieß. schuldiger nahrung, ist dem rechten werth nach 2380 lb
Davon ist, Lauth viel allegirten Raths bescheidts ab zu ziehen, Ihr frawen Salome Neübaurin Vätterlich Gutt, welches oberwehnter v. apud conceptum befindlicher der herren Commissariorum Calculation nach erträgt 117. lb, Nach abzug deßen Verbleibt noch ane der Gantzen Massa raté Legitimæ 2263 lb, (…)
Conclusio 951. lb
– Abschatzung Dinstags d. 2.ten Junÿ 1693. Weillandt fraw Maria Magdallene Merckhlerin der ferbbehaußung alhier in der statt Straßburg in der Stein Straß, Ein Seitzs Neben Meister hannß Georg Heckmann dem Weißbeckhern ander seitzs Neben Meiradt Moßer dem Seiller, hinden auff daß Stifft allenheilligen Leicht höfflein, stoßent Welche behaußung Sampt Neben Und hinder gebeÿe hiltzene Mang Werckh oder ferb hauß Vnd das Maurwerckh Zu Siben Keßell, Steinerer trog, Zweÿ Keller hoff Vnd ein gemeiner bronnen auch übrigen begriff recht Vnd gerechtigkeit, Wie Solches in der besichtigung durch die geordnete Werckh leithe befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Vnd Wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Dreÿ Taußent Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleithe. [unterzeichnet] Bezeichnis der Statt Straßburg geschworne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawenwerckhs, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.
– Species facti, In Sachen Hannß Georgen, H. Christmannni und Elisabethæ der Merckelin Ca. Salome Merckelin und dero haußwürth Eliam Neübaur. Fr. Mariæ Magdalenæ Merckelin verlassenschafft betr.

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1687-1700, f° 64)
1692. Freÿt. d. 12. Julÿ Starb Magdalena weÿl. Georg Mercklin deß schönferbers nachgel. Wittwe ætat. 71. iahr Ihr Vatter war weÿl. Joh: Georg Mauß, geweßener pulvermacher alhier ihr mutter Weÿl. Catharina Müllerin Anno 1642. hatt sie sich verheürathet ahn Obgemelt. Georg Mercklin. Nach deßen absterben ist sie im wittwenstandt geblieben, wurde Mont. d. 14. Julÿ begraben Nach S. Helenen Undt ihr alda parentirtet von mir Johann Heupelio Past. Neopetr. [unterzeichnet] Johann Georg Mercklin Als Sohn, Johannes Lentz Als dochter Mann (i 70)

Jean Henri Merckel et Marguerite Schell, propriétaires de la maison voisine du sud, vendent un bâtiment accessoire à l’arrière de leur propriété à Elie Neubaur, assesseur au Grand Sénat. Cette vente explique que la parcelle 150 (plan Blondel) s’étend à l’arrière de la parcelle 149, ce que représente aussi le cadastre de 1838

1703 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 9-v
(162) andres Vix gartner in Steinstraß v. diebold Hoh auch Gartner daßelbst noe. Joh: Heinrich Merckels kiefers u. Marg: geb. Schellin seiner haußfrn.
in gegensein Hn Eliæ Neubauers E.E. Großen Raths alten beÿsitzers
den ahn der verkäufer allhier in der Steinstraß einseit neben dem kaüfer anderseit neben Hn David Kleinen huefschmid hinten auf deß Stifts allerheÿligen leichthöffel stoßend gelegenen behaußung sich befindlichen nebens stock welchen gebau anjetzo durch eine maur Von der verkäufer behaußung separirt u. von ihm Käufer zu einem stall gemacht worden auch auf besagtes leichthöffel stoßet, geschehen bereits den 9. Octobris 1700 – um 162 pfund

Salomé Merckel meurt subitement en 1708. Le notaire Redwitz dresse l’inventaire après décès dont la minute n’est pas conservée. Le veuf a déclaré un revenu supplémentaire quelques jours avant la mort subite de sa femme

1708, VII 1174 – Livres de la Taille f° 59
(Tucher, F., N. 100) Weÿl. Frauen Salome, Hn Eliæ Neubauren Schwartz: und Schönfärbers E.E. Großen Rahts alten und anjetzo E. Löbl. Vogteÿ Gerichts beÿsitzers, auch burgers alhier gewesener Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Redwitz.
Concl. fin. Inv. ist fol. 75., 5105. lb 8 ß 10 d. Darzu gelegt die für Zweiffelhafft eingetragene Capitalien, welche für guht und giebig gehalyten werden, Zu mahlen da keine Zinße davon außstehen 527 lb 3 ß, Summa 5632 lb 11 ß 10. d, die machen 11 200 R, Verstallte nur 11 100 R. alßo Zuwenig 100 R
Von welchen zu wenig berstallte 100 Gulden der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs jahr in duplo macht à 6 ß d, 1 lb 16 ß
Und aucg auff Vier jahr in simplo thut à 3. ß d, 12 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 1 ß 4 d
Abhandlung, 5 lb 15 ß 6 s, Summa 8. lb. 4 ß 10. s
Es Hat Zwahr der Wittwer Zehen tag vor seiner frauen ableiben sich Zweÿ taußend Gulden zuschreiben, auch darvor Zugleich die Gebühr erlegen laßen, welches man dermahlen nicht attendiren sondern den Nachtrag davon ebenmäßig abfordern wollen, all dieweilen aber derselbe genungsame Versicherung gegeben, daß die verstorbene Zu selbiger Zeit weder kranck noch gefährlich gelegen, sondern nachgehendts ohnvermuthet durch einen fluß plötzlichen dahien gerißen worden, alß hat man es beÿ obigem bewenden und sich mit seiner entschuldigung begnügen laßen.
dt. 15. Decembr. 1708.

Sépulture, Saint-Marc (cath. p. 83)
1708. Salome, uxor Dni Eliæ Neubaur assessoris, quadragintaa octo annis mense minus nata e vivis secessit in febri pedechiali die 15 Septembris post meridica 1708 omnibus sacramentis præmunita. die 17 hujus solemnissimé inhumulata est ad S. Helenam prope cathedram (i 45)

Elie Nachbaur épouse en secondes noces Marie Catherine Holdermann en 1711. L’inventaire de leurs apports décrit la maison de la même manière qui figurait à l’inventaire de Salomé Merckel pour une valeur de 1 250 livres. Le veuf en possède les deux tiers, le derniers tiers appartenant à son fils en premières noces.

1711 (10.6.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 26)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so dem Ehrenvest, vorachtbahren und weißen herrn Eliä Newbauren, Schwartz: und Schönfärbern, auch E. E. großen Raths alten Wohlmeritirten beÿsitzern, und der wohl Ehren: und tugendsamen frauen Mariæ Catharinæ Newbaurin gebohrnen Holdermännin, beeden Eheleuthen eigenthümlichen zuständig, Vnd dieselbe einander Crafft dero Ehepacten alß ein Unverändert Guth in den Ehestand zugebracht – Actum in der Königlichen Statt Straßburg, in præsentia herrn Johann Georg Holdermanns federhändlers und EE. Kleinen Raths alten beÿsitzers der Ehefrauen geliebten Vatters Und hierzu in specie erbettenen beÿtandts, Mittwochs den 10.ten Junÿ Anno 1711.

In einer alhie Zu Straßburg In d. Steinstraßen gelegener dem Eheh. Zuständiger farb behaußung hat Sich befunden wie volget
(f° 11-v) Eigenthumb ane Einer behaußung. It. Ein farb behaußung sambt i. Mang, auch Nebens und Hind. gebaw, Hoff Und gerechtigkeit Eines bronnens, mit allen deren Rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg in der Steinstraßen, Einseith neben Hannß Peter Hetzhenn, dem Weißbecken, anderseit neben fr. Margaretha Mercklerin gebohrner Schellin, hinden auff allerheÿligen leichthöffel Stoßend, so freÿ ledig Und Eigen, durch die geschwornen werck Mstre. in Anno 1708. beÿ fr. Salome Mercklerin des H. Rathh. Erster haußfr. Verlassenschaffts Inventation æstimirt, darbeÿ auch dißorts, doch ohne pæjuditz und salvo jure quovis gelaßen worden per 1250. lb. daran gebühren dem H. Rathh. Zwo tertzen Eigenthümlich thun, die Übrige tertz ist deßen Sohn Joh: Daniel in dem Vertrag ausgesetzt worden. Über Vorstehendes farbhauß cum appertinentiis ist Vorhanden i. Pergamentener Kaufbr. m.der Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract stuben Insigel und datirt d. 30.ten Jan. 1701.
(f° 12) Eigenthumb ane Liegende güther (im bann Rappoltsweÿler)
(f° 21) Series Rubric. Des Ehemanns Unverändert Guth, Sa. haußraths 218, Pferd 45, Sa. der außgemachten Wahr, farbzeug, wie auch Schiff und geschirr Zur färbereÿ und Mengen gehörig 162, Sa. der Frucht und Meels 65, Sa. der Wein und Vaß 2987, Sa. des Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. der baarschafft 382, Sa. d. Pfenningzinß hauptgüter 2079, Sa. Eigenthums Ane Einer behauß. 833, Sa. Eigenthums ane Ligend. Güth. o, Sa. der Schuld. 81, Summa summarum 6961 lb – Schuld per se, Nach deren Abzug 4611 lb
Der Frawen Unverändert Nahrung, Sa. haußraths 92, Sa. der Vaß 2, Sa. des Silbers 34, Sa. d. Gulden Ring 63, Sa. der baarschafft 130, Summa summarum 323 lb

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 220)
Die 28 mensis aprilis ao. 1711 (…) sacro matrimonii vinculo copulati sunt scilicet præclarus dnus Elias neübaur viduus nec non maioris senatus argentinensis assessor et pudica virgo maria Catharina Holdermännin argentinensis et filia Legitima Joannis Georgii Holdermann assessoris in minimi senatu argentinensi et Catharinæ opster steckin (signé) Elias Neu baur, maria chadarina holldtermenin (i 133)

Elie Nachbaur meurt en 1721 sans délaisser d’enfant après avoir institué sa femme légataire universelle. Les experts estiment la maison 1 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 427 livres, le passif à 61 livres.

1721 (5.8.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 45)
Inventarium und beschreibung aller haab und Nahrung so weÿland der Ehrenvest, Vorachtbahr und Weiße Herr Elias Neubaur, geweßener Schwartz: und Schönfärber auch E.E. großen Raths alte wohlmeritirte beÿsitzer nunmehr seel. nach seinem Freÿtags den 9. Maÿ Jüngsthin aus dießem mühesamen Leben genommenen tödlichen ableben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Viel Ehren und tugendreich. frauen Mariæ Catharinæ Neubaurin gebohrner Holdermännin alß des Abgeleibten Herrn Rathh. seel. hinterlaßener frau Wittib und Crafft deßen auff gerichteten u. von E.E. großen Rath vermittelst des den 4. Maÿ 1720. ertheilten Indulti Testandi Confirmirten Testaments Instituirter einiger Erbin, Inventirt, durch Sie die frau Wittib und Erbin mit beÿstand des Ehren vorgeacht: und wohlachtbahren Herrn Mathiæ Breßels Kieffers und burgers Zu Straßburg ihres geschwornen, Curatoris (…) geeigt und gezeigt – So beschehen in Straßburg, Dienstags den 5. Augusti Anno 1721.
Bericht wegen der Eheberedung. Derenthalben ist zu Wißen, daß weilen die Zwischen eingangs gemelten beeden Eheleuthen Zur Zeit ihres mit einander getroffenen heüraths auffgerichtete Ehe pacta durch des Verstorbenen, herrn Rathh. seel. Stante Matrimonio außgesprochene Testament darinnen er die Wittib krafft erhaltenen Indulti Testandi Zur Universal Erbin alle seiner Verlaßenen Nahrung instituirt, auffgehaben Mithin Ihre seel. Wittib allen eigenthümlich. gehörig, alß ist selbige hiehero Zu inseriren, vmb weitlaufftigkeit abzuschneiden von ohn nöthig erachtet word.
Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhie Zu Straßburg in der Steinstraßen gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehöriger behaußung ist befund. word. wie folgt.
Auff dem Garn boden, In der Magd Cammer, In der Cammer A, in dem Officiers Stübl., In der Gesellen Cammer, Im Hauß Öhren, In der Soldaten Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, Im untern Stübl., Im Unt. hauß öhren, Im Hintern Stübl., In der Küchen
Eigenthum ane einer behaußung Zu Straßb. Item eine farb behaußung sampt einer Mang auch Nebens u. hind. Gebäu, Hoff, Hoffstatt u. gemeinschafft eines bronnens, mit allen deren Gebäwen, begriffen, Weit. Recht. Zubehörd. u. gerechtigkeit. geleg. alhier Zu Straßb. in d. Steinstraßen einseit neb. Hannß Peter Hetzhennen des Weißbecken Erben, Anderseit neb. fr. Margarethæ Mercklerin gebohrner Schellin, hinten auff Allerheilig. Leichhöfflin stoßend. So freÿ Ledig und Eig. durch s. St. Straßb. geschwohren Werckmeistere alhie vermög überschickt. und beÿ mein des Notarÿ Concept befind Schatz Zeduls de dato 7. August. 1721. æstimirt und angeschlag. vor 1350. lb. Und besagt über vorstehende behaußung i. teutsch. Perg. Kbrieff m. d. St. Straßb. Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt, datirt den 30. Januarÿ 1701.
Eigenthumb ane einer behaußung wie auch Zugehörigen liegende güthern Zu Rappoltzweiler vnd in selbigem bann gelegen
Series Rubricar. Sa. haußraths 447, Sa. der Früchten 12, Sa. der Wein und Vaß 710, Sa. Schiff und geschirrs wie auch außgemachter Arbeit Zur Färbereÿ und Mang gehörig ist 86, Sa. des Pferds 5, Sa. des Silbers 49, Sa. der Guldenen Ring und dergleichen Geschmeid 48, Sa. der baarschafft 99, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 112, Sa. des Eigenthumbs ane einer behaußung Zu Straßb. 1350, Sa. des Eigenthumbs ane einer behaußung wie auch Zugehörigen liegende güthern Zu Rappoltzweiler 1485, Sa. der Schulden 10, Summa summarum 4427 lb – Schulden 61, Nach solchem abzug Conclusio finalis Inventarÿ 4366 lb

Marie Catherine Holdermann se remarie avec François Mathias Zæpffel, marchand à Neuf-Brisach, originaire de Dambach-la-Ville. Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports

1722 (14.4.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 47)
Inventarium über der Viel Ehren und tugendbegabten frauen Mariæ Catharinæ Zäpffelin gebohrner Holdermännin zu dem wohl Ehrenvest und Vorachtbahren herrn Frantz Matthiæ Zäpffels vornehmen handelßmanns zu Neu Breisach ihrem geliebten Eheherrn in d. Ehestand zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1722. – auf ansuchen, Erfordern und begehren besagt. Ehefrau in persönlicher Geg. warth ersternannts ihres Eheherrn und H.Matthiæ Breßle, Kieffers und burgers allhier dero noch ohnentledigten Curatorio – Actum Straßburg Dienstags d. 14. Aprilis Anno 1722.

In einer alhie Zu Straßburg in der Steinstraßen gelegener und in dieße Nahrung gehöriger behaußung ist befund. word. wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung Zu Straßburg. Item Hauß und Hoffstatt m. allen deren gebäuen, begriff. weit. recht. Zugehörd. und Gerechtigkeit. geleg. alhier Zu Straßb. in der Steinstraß, einseit neb. Hanß Pet. Hetz.hennen des weißbeck. Erb. anderseit neb. fr. Margarethæ Mercklerin gebohrner Schellin, hint. auff Allerheilig. Leich höfflin stoßend. So freÿ Ledig und Eig. und zu vermeidung künfftiger Præjuditz ohn angeschlagen gelaßen word. Darüber besagt ein Teutsch. perg. Kbrieff m. d. St. Stb. Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt, datirt d. 30. Januarÿ 1701.
Eigenthumb ane einer behaußung und Zugehöriger liegender Güther Zu Rappoltßweiler
Series Rubricar. Sa. haußraths 1042, Sa. der Wein und Vaß 1674, Sa. Schiff und geschirrs Zur Färbereÿ gehörig ist 173, Sa. Silbers 141, Sa. der Guldenen Ring und Geschmeids 123, Sa. der baarschafft 408, Eigenthumb ane einer behaußung Zu Straßb. o, Eigenthumb ane einer behaußung wie auch Zugehörigen liegende güthern Zu Rappoltzweiler o, Sa. der Schulden 366, Summa summarum 3929 lb

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 45)
Hodie 15. Februarii anni 1722 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt ingenuus Franciscus Zäpfel Mariæ Piller viduus Mercator civisque Neobrisacensis et virtuosa Maria Catharina Holderman vidua Dni Eliæ Neuburg quondam Consiliarii Magistratus argentinensis in hac parochia commorans, testes adfuerunt (…) honestus Joannes Georgius Holderman Consiliarius senatus argentinensis pater sponsæ (signé) fr. Zäpffel, Maria chadtarina holdtermennin (i 26)

François Mathias Zæpffel fait vendre des objets mobiliers apportés de Neu-Brisach devant la maison de son frère Jean Nicolas Zæpffel rue du Faisan
1722 (14.7.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 31) n° 806
Verkauff und Erlöß Registerlein in sich begreiffend, Was abe S. T. Herrn Frantz Matthiæ Zäpffels deß handelsmanns und burgers zu Neü Breüsach hiehero geschickten haußräthlichen in Weiber Kleÿdern und Weisen Gezeüg bestandenen Mobilien, welche durch herrn Johann Niclauß Zäpffeln Kieffern Ober Cran Meisters und burgern allhier zu Straßburg seinen brudern in seiner allhier ahne der bruderhoffs und Faßanen gaßen gelegenen und bewohnenden Eckbehaußung zu offenem Marck feÿl gethan – Straßburg dienstags den 14. Julÿ A° 1722

Le marchand de vins François Mathias Zæpffel devient bourgeois par sa femme et s’inscrit à la tribu des maçons
1724, 4° Livre de bourgeoisie p. 912
H. Frantz Math. Zepfell d. weinhändler Von Dambach geb. erhalt das burgerrecht von seiner ehefr. Maria Cath/ Holdermännin umb die tertz d. alt. b.will beÿ E.E. Zunfft d. Maurer dienen Jur. d. 7.t xb. 1724.

François Mathias Zæpffel s’inscrit à l tribu des Maçons
1724, Protocole de la tribu des Maçons (XI 235)
(f° 133) Dienstag den 12.ten Decembris 1724.
Neu Zünfftiger – Hr. Frantz Mathias Zäpffel der Weinhändler Von Dambach gebürtig, so dießes gericht gekaufft, vnd die gebühr deßelben mit 15. ß Zahlt, producirt Cancelleÿ: vnd Pfenningthurn schein Vom 7.t et Stallschein vom 9.t decembris mit bitte Ihne vor einen Zünfftigen auff Vnd anzunehmen.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
Dt. vor den Pfenningthurn 1 lb, vor das Zunfft recht 1 lb 5 ß, einschreibgeldt 4 ß

Marie Catherine Holdermann vend la maison et les outils de teinturerie au teinturier Jean Jacques Acker et à sa femme Marie Salomé Papelier

1725 (28.4.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 259
Fr: Maria Catharina geb. holdermännin H. Frantz Mathias Zäpffel EE. kleinen Raths alten beÿsitzers Ehefrau
in gegensein Johann Jacob Acker des Schwartz und schönfärbers und Fr. Mariæ Salome geb. Papelierin
Eine Farbbehausung bestehend in Vorder: Mittel: und hinderhauß hoff hoffstatt samt daselbst befindlicher Mang auch schiff und geschirr zum Färber handtwerck gehörig auch übrigen zugehörden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Vorstatt Steinstraß, einseit neben weÿl. hannß Peter hetzhenn weinhändlers weißbecken Kinder und erben anderseit neben weÿl. Johann Heinrich Merckel gewesten kieffers wittib und erben hinten auff des Stiffts zu Allen heÿligen Leichthöffel – um 1750 pfund

Jean Jacques Acker et Marie Salomé Papelier hypothèquent la maison au profit du menuisier Paul Würtz

1725 (20.9.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 474-v
Johann Jacob Acker Schwartz und schönfärber und Maria Salome Ackerin geb. Papelierin mit beÿstand Johann Carl haderer des Rothgerbers ihres stieffvatters und Christian Andreas Papelier weinhändlers in geschwistrig Kindts maßen ihr bruder Johann david Papelier der handelsmann und ihres vatters bruders H. Zacharias Papelier auch handelsmann von hier verreÿßt seÿen
in gegensein Paulus Würtz des Schreiners – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Farbbehausung bestehend in Vorder: Mittel und hinderhauß hoff und hoffstatt sambt daselbst befindlichen mang und übrigen zugehörden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Vorstatt Steinstraß, einseit neben die hetzhennischen Erben, anderseit neben der Merckelischen Wittib und Erben hinten auff des Stiffts zu allen heÿligen Leichthöffel

Jean Jacques Acker et Marie Salomé Papelier hypothèquent la maison au profit du coutelier Christophe Bœgner

1725 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 473
Johann Jacob Acker Schwartz und schönfärber und Maria Salome geb. Papelierin mit beÿstand ihres vatters bruders H. Zacharias Papelier handelsmanns und ihres geschwistrig Kindts Christian Andreas Papelier des weinhändlers
in gegensein Christoph Bogner des Meßerschmidts – schuldig seÿen 125 pfund
hypothecirt, Eine Farb: Behausung bestehend in Vorder: Mittel und hinderhauß hoff und hoffstatt sambt daselbst befindlichen mang auch Schiff und geschirr zum Färber handwerck gehörig und mit allen übrigen zugehörden, begriffen, gebäuden und gerechtigkeiten ahne der Vorstatt Steinstraß, einseit neben weÿl. hannß Peter hetzhenn gewesten Wittiben Erben anderseit neben weÿl. Johann Heinrich Merckel Kieffers hinterlassenen Wittib und Erben hinten auff des Stiffts zu allen heÿligen Leichthöffel

Lors de la vente judiciaire du 12 juillet 1728 (non conservée, référence aux inventaires ultérieurs), la maison de Jean Jacques Acker est attribuée aux anciens propriétaires, François Mathias Zæpffel et Marie Catherine Holdermann qui la revendent quelques jours plus tard au cordier Chrétien Seltzer et à sa femme Salomé Hohlwein

1728 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 342-v
H. Frantz Mathias Zäpffel E.E. großen Raths beÿsitzer und Fr. Maria Catharina geb. holdermännin
in gegensein Christian Seltzer des Seÿlers und Mariæ Salome geb. holweinin
Eine Farbbehausung bestehend in Vorder: Mittel und hinderhauß hoff und hoffstatt sambt Schiff und geschirr zum färber handwerck mit allen übrigen dero gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten außer den Farbkeßeln als welche Johann Jacob Acker dem schwartzfärber zugehören, welche behausung in der Vorstatt ahne Steinstraß, einseit neben weÿl. hannß Peter hetzhenn gewesten wittiben nachgelaßenen erben anderseit neben weÿl. Johann Heinrich Merckels Kieffers hinterbliebenen wittib und Erben hinten auff des Stiffts und Oratorÿ zu Aller heÿligen Leichthöffel stoßend, Fener sind in diesem kauff begriffen die Liegerling im mittleren Keller und ein 20. öhmig Faß – um 1500 pfund

Originaire de Bischwiller, Chrétien Seltzer épouse en 1723 Susanne Müller, fille de cordier, et devient bourgeois quelques semaines plus tard
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 102, n° 21)
1723. Domin: XIX et XX. Trinit. seind außgeruffen und Mittwochs darauff als den 13. octob. Ehelich eingesegnet worden Christian Seltzer der ledige Seÿler von Bischweiler Johannes Seltzers geweßenen burgers Undt Seÿlers zu gedachtem Bischweiler Nachgel. ehl. Sohn Undt Jungfr. Susanna Maria Müllerin, Johann Daniel Müllers des burgers undt seÿlers alhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] Christian Seltzer als hochzeiter, Maria sanna Müllerin als hochzeiterin (i 104)

1723, 4° Livre de bourgeoisie p. 903
Cristian Seltzer d: Saÿler Von bischweiler geb. erhalt das burgerrecht von seiner ehefr: Susanna Maria Johann Daniel Müllers b: undt saÿlers eheliche dochter umb die tertz d. alt. burgerschillings will beÿ E. E. Zunfft d: Möhrin dienen, Jur. d. 9.ten xb. 1723.

Chrétien Seltzer est en procès contre la maîtrise des selliers. Il a été reçu maître à Bischwiller mais ne répond pas aux conditions d’admission que stipule le règlement des selliers de Strasbourg. La commission estime qu’il faut rejeter la demande du pétitionnaire, les Quinze se rangent à cette proposition
1724, Protocole des XV (2 R 129)
(p. 27) Sambstag d. 5. Februarÿ 1724. Christian Seltzer Ca. E.E. Handwerck der Seÿler – Obere Handwerck herren laßen durch H Secret. Kleinclaus referiren daß Christian Seltzer der burger und Seÿler, contra E. E. Handwerck der Seÿler /:pt° Zumuthung daß es das Meisterstück, ohnerachtet er bereits Zu bischweiler præstitis præstandis, nach erlerntem Seÿler Handwerck in die Seÿler Zunfft, besag attestati von denen hochfrstl. Pfaltz bürckenfeldischen hoff: und Regirungs rathen de dato bischweiler d. 27. Julÿ 1723. auffgenommen worden, noch einmahl machen solle:/ d. 27. 9.br jungst ein Undtges. Memoriale und bitten mit beÿlagen sub N. 1 et 2. und die beklagte Meisterschafft den 11. des darauff gefolgten Monaths Decembris dero Verantwortung mit beÿlag Lit. A /:so ein Extract E.E. Zunfft Zur Mörin Articul buch fol. 231.b dahien gehend daß im fall ein Frembder, nach Verscheinung der Sechß Jahr, so Er Lehrjungen und Knechtsweis beÿ dem handwerck gewesen, anderso in einer Statt Zweÿ oder dreÿ Jahr bürgerlich und haußhäblich Meistersweis geseßen, derselbig, woferner er seinen redtlichen abschied bringen, und beÿ E. E. Rath allhier Zum burger angenommen wird, auch auff dem handwerck Zum Meister auffgenommen werden solle:/ und dann Kläger d. 18.0 ged Monaths Decembris seine replicas eingelegt, Ille ließt solche producta ab, undt berichtet darauff ferner daß auff geschehene Remission der Implorant sein petitum wiederhohlt, nahmens der Imploranten seÿen erschienen H Ulrich Kammerer, Noe Weber, alß Ober Meister, Johann Jacob Kammerer, undt Christoph Saum, Welche noch mündlich beÿgeführt, daß sie Undtg. gebetten haben wolten es beÿ ob allegirtem articul zu laßen, laßen der Implorant so gar nicht 8 oder 4 Jahr, wie ged. Articul es erfordere alß Meister gearbeithet, daß er Vielmehr erst den letzt Verwichenen Sommer sein Meisterstück Zur bischweiler gemacht, undt seÿe nicht einmahl ein halb Jahr allda alß Meister geweßenen, neben deme wolle auch der in der Mörin articulbuch fol. 233. jnserirte Articul de A° 1629. haben, daß der so hier Meister werden wolle das Meisterstück machen solle, auch die 2. muth jahr Verarbeithen, und habe Gegner nicht eine stundt daran Verarbeithet, auch wann er angenommen werden solte, würden alle Seÿlerknecht Von hier weg gehen, Keiner mehr anhero Kommen, und darneben die hießige Kinder im Teutschland nicht mehr passiren. Auff seithen der H. Deputirte finde man daß des Imploranten behegren dem von denen Imploranten allegirten Articul schnur stracks Zu wider lauffe, dahero davon gehalten daß es beÿ Ordnung Zu laßen, und der Implorant mit seinem begehren abzuweißen seÿe. Erkandt, abgewießen.

Chrétien Seltzer obtient le droit de vendre de l’eau de vie et du vinaigre
1724, Protocole des Tonneliers (XI 394)
Dienstags den 25.ten Julÿ Anno 1724
(f° 59) Christian Seltzer, der Seÿler und burger allhier, prod. Schein Von E.E. Zunfft der Mörin Sub dato 22.ten Junÿ 1724. bittet Ihme das Zunfftrecht, wegen brandenwein undt Eßigschanckhs Zu gönnen. Erkandt, willfahrt v. gebühr 2 lb 10 ß 6 d. et pro inscriptione 2. ß 6 d.

Susanne Müller meurt en 1724 en délaissant une fille qui meurt peu de temps après de sorte que le veuf est héritier universel. L’actif de la succession s’élève à 193 livres, le passif à 162 livres.
1724 (18.7.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 56) n° 1850
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab v. Nahrung, so Weÿland die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Susanna Seltzerin gebohrne Müllerin, des Ehrengeachten Herrn Christian Seltzer Seÿler und burgers allhier geweßte liebe Haußfrau nunmehro seel. nach Ihrem den 9.ten Julÿ diß lauffenden 1724.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hienscheiden Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Sein des Wittibers selbsten angesehen derselbige weilen Catharina Barbara das in dießer Ehe erzeugte Töchterlein bald auff der Mutter seel. tödl. hintritt, auch dießes Zeitliche gesegnet, dermahlen allein Zu Erbe gehet, fleißig inventirt – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff dienstag den 18.ten Julÿ Anno 1724.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen Herrn Johann Daniel Müller dem Seiler der abgeleibten Frauen seel. gel. Vater eÿgenthümblich zuständigen behaußung sich volgender maßen befundten
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. Haußraths 126, Sa. Wahren und werckzeug Zum Seÿler handwerck gehörig 60, Sa. Silber 5, Sa. Goldene Ring 2, Summa summarum 193 lb – Schulden 162 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 30. lb
Wÿdumbs Verfangenschafft Herr Johann Daniel Müller der in Gott ruehenden Frauen geliebter Vatter geneußt annoch von deroselben Zuerfordern Gehabtem Mütterl. Guth nach abzug bereits darauff gelüfferte 162. lib in wÿdumb, welches nach deßen todt und alßo finito usufructu dißorts wittibern als Erben eÿgenthümbl. anheim falle per rest 106. lb

Chrétien Seltzer se remarie avec Marie Salomé Hohlwein, fille de cordier : contrat de mariage, célébration
1725 (29.1.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 122
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Vorgeachten Meister Christian Seltzer, dem Seÿler und burgern allhier Zu Straßburg, Wittibern, als hochzeitern ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Salome Hohlweinin, des Ehren: und Vorgeachten herrn David Hohlweins des Seÿlers und burgers allhier ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen in Straßburg in beÿsein Hrn Daniel Müllern des Gastgebers Zum guldenen vaß als des Hochzeiters Schwährs auf des bräutigambs, So dann auf Ihr der Jungfer hochzeiterin seithen Hrn Davidt hohlweins des Seÿlers obgedacht. deroselbe, eheleiblichen Vatters vnd herrn Michael Bonert des Sattlers deroselben eheleiblichen Schwagers alle burgere allhier Zu Straßburg auf Montag den 29. Januarÿ Anno 1725. [unterzeichnet] Christian Seltzer als hoch Zeitter, Maria Salome hohlwein Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 72, n° II)
1725. Dominica Sexagesima et quinquagesima proclamati sunt Christian Seltzer der Seÿler und burger alhie v. Jfr. Maria Salome, David Hohlwein deß Seÿlers v. burgers alhie Ehel. tochter. Copulati Mittw. d. 14. februar. [unterzeichnet] Christian Seltzer als hochzeiter, Maria Salome hohlweinin als hochzeiterin (i 76)

Inventaire des apports dressé dans une maison au Faubourg de Pierre
1725 (24.3.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 91) n° 296
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so der Ehren und Vorgeachte Meister Christian Seltzer der Seÿler und die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Seltzerin gebohrne Hohlwenin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, Welche der ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander aufgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 24.ten Martÿ Anno 1725.

In einer allhier zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen und in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung, befunden worden, Wie Volgt.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Herr Johann Daniel Müller der Gastgeber Zum Rothen Väßel und burger allhier Von seiner Verstorbenen haußfrauen seel. ad dies vitæ Zu genießen und finito usufructu auf den Ehemann, wegen seines mit seiner geweßenen Erstern Haußfrauen ehelich erziehlten, aber nach deroselben Wider verstorbenen und Von Ihm dem Ehemann ererbten töchterleins eigenthümlich anheim fällt. Nach besag einer beÿ Herrn Notario Daniel Rohren befindlichen abrechnung (…)
Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe Gebracht Vermögen. Sa. haußraths 246, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Seÿler handwerck gehörig 194, Sa. des Meels 4, Sa. brandenweins und Lährer Vaß 2, Sa. Silbers 10, Sa. baarschafft 35, Sa. Schuld 15, Summa summarum 508. lb – Schulden 162 lb, Nach solchem Abgang 345 lb, Hierzu kombt ferner die helffte ane denen haussteuren 12, belaufft sich demnach des Manns völlig in die Ehe gebracht Guth 358 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Gut, Sa. haußraths 159, Sa. Silbers 7, Sa. Goldener Ring 7, Sa. baarschafft 84, Summa summarum 58 lb – Dazugelegt ane denen Haussteuren der halbe theil 12 lb, Ist alßo der Frauen Völligen in die Ehe gebracht Guth in allem 371 lb

Chrétien Seltzer loue une partie de la maison au tamisier Jean Georges Feltz

1743 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 43-v
Christian Seltzer der seÿler
in gegensein Johann Georg Feltz des sippmachers
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörig in der Vorstatt Steinstraß, einseit neben Johann Georg Zwicker dem weißbeckecken, anderseit neben Philipp Bleÿfuß dem kübler gelegenen behausung, den laden rechter hand des eingangs, ferner auf dem ersten stock vornen heraus eine stub, stubkammer, kuchen und kammer, so dann platz im keller – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 32 gulden

Marie Salomé Hohlwein meurt en 1748 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 1 300 livres. La masse propre au veuf s’élève à 760 livres, celle des héritiers à 494 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 732 livres, le passif à 2 689 livres

1748 (30.5.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 65) n° 1477
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güethere, so weÿl. die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Seltzerin geb. Hohlweinin des Ehren: und wohl vorgeachten herrn Christian Seltzers, des Seÿlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seelige, als dieselbe Sambstags den 2.ten Ma[ÿ] dießes lauffenden 1748.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitl. verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Johann Daniel Pfählers, des ohlmanns und burgers allhier, ams geordnet und geschworenen Vogts Jfr. Catharinä Salome, Christians und Gottfrieds der Seltzer, der abgeleibten fr. seeligen mit vorgemeltem Ihrem hinterbliebenen H. Wittiber ehelich erziehlrer Kinder und ab intestato Verlaßener Erben – So beschehen in Straßburg auf donnerstag den 30.ten Maÿ 1748.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung, befunden worden, wie Volgt.
(f° 9) Eigenthumb ane einer behaußung. (T.) Eine behaußung besteh in Vorder Mittel und hinterhauß m. allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten V. gerechtigkeiten, geleg. allhier Zu straßb. in der Vorstatt ane Steinstraß 1.s neben Mr Joh: Georg Zwicker, dem Weißbecken, 2.s neben Mr Joh: Philipp Bleÿfuß dem Kübler hinten auf d. Stifft und oratorÿ Zu Allerheÿligen allhier leichthöffel, stoßend, so freÿ, leedig, eigen und dh. H. Joh: Jacob Biermeÿer, Stattlohner, Hn Johann Michael Erlacher Werckmeister des Münsters und Hn Samuel Werner, Werckmeister des Maurhoffs, laut Abschatzungs zeduls vom 28.ten Maÿ 1748. angeschlagen pro 1300. lb. Darüber sagen 2. teutsch papÿren Kff Verschreibungen in allh. C. Contractstub auffgerichtet und mit dero Kleinen Insigel verwahrt de datis 8.ten Januarÿ 1703. et 22.ten Julÿ A° 1728. Dabeÿ ferner j. ganth Kauffbrieff E.E. Kleinern Raths anh. Insigel corroborirt, de dato 12.ten Julÿ 1728.
– Abschatzung Vom 28.ten Maÿ 1748. Auff begehren deß Ehrengeachten herrn Christian Seltzer deß Seÿlers und burgers allhier, ist eine behaußung allher in der Statt Straßburg in der Stein straßen, einseit neben Johann Georg Zwicker dem Weißbecken, anderseiths neben Philipp bleÿfuß dem Kübler, hinten auff allheÿligen stoßend gelegen, Es befindet sich vornen in dem Eingang eine Werkstatt und Stüblin, Ferner ein Kleines lädlein, Stübel, Küchel und Kämmerlein, auff dem Ersten stock Zwo Stuben, Zwo Kammern, ein Küchen und ein hauß öhren und eingang, darüber ein alter tachstuhl mit breit Ziegeln bedeckt, Worunter ein besetzte bühn, sambt etlichen Verschlagenen Kammern, im höffel hat es einen gemeinschaftlichen bronnen und Zweÿ Keller darunter einer gewölbt, Von uns den unterschriebenen Werckmeistern nach vorher beschehener besichtigung, mit allen Ihren gerechtigkeiten, dem Jetzigen Preiß nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb Zweÿ Tausend und Sechs Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Michael Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister des Maurhoffs
(f° 11) Ergäntzung ds Wittibers angegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ (…) in den Ehestand zugebrachte Nahrungen on Anno 1725. durch mich Notarium aufgerichtet
(f° 14) Abzug gegenwärtig Verlassenschafft gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Silbers 1, Erg. Rest 796, Summa summarum 798 lb – Schulden 37, Nach solchem abzug 760 lb
Der Erben ohnverändert guth. Sa. haußraths 27, Sa. Tabackß 2, Sa. Silbers 4 ß, Goldenen Rings 1, Sa. Activ Schulden 37, Er. Rest 425, Summa summarum 494 lb
Theilbahres Vermögen, Sa. haußraths 82, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeit Zum Seÿler handwerck gehörig 235, Sa. Lährer Vaß 2, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 86, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1300, Sa. Schulden 22, Summa summarum 1732. lb – Schulden 2689 lb Theilbahres Passiv onus der Stalltax nach 957 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 494 lb – Stall Summ 297 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in des Erben Zugeltend 146 lb

Chrétien Seltzer meurt en 1752. Comme il n’y a eu aucune réparation, la maison est estimée à la même valeur qu’en 1748. L’actif de la communauté s’élève à 1746 livres, le passif à 1917 livres

1752 (15.3.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 72) n° 1573
Inventarium und beschreibung derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland der Ehrengeachte Meister Christian Seltzer der gewesene Seÿler und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Sonntags den 6.ten Februarÿ dießes 1752.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Daniel Pfählers des jüngern ohlmanns und burgern allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jfr Catharinæ Salome, Christian und Gottfried der Seltzer des abgeleibten seel. mit auch weÿland der Ehren und tugendsahmen frauen Maria Salome gebohrnen hohlweinin seiner gewesenen Ehefrauen nun seel. ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zu gleichlingen portionen und antheilern Verlaßenen Erben – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 15.ten Martÿ 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie Volgt.
Eigenthumb ane einer behausung. Eine behaußung, bestehend in Vorder: Mittel: und hinterhauß, mit allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß 1.s neben Mr Johann Georg Zwicker, dem Weißbecken, 2.s neben Mr Joh: Philipp Bleÿfuß dem Kübler, hinten auf des Stiffts und Oratorÿ Zu Allerheÿligen allhier leichthöffel, stoßend, so über hernach beschriebene beschwärden freÿ, leedig, eigen und in frauen Mariä Salome Seltzerin geb. hohlweinin des Verstorbenenn frauen seel: Verlassenschafft Inventario de Anno 1748. fol. 102.b durch H. Joh: Jacob Biermeÿer, Stattlohner, Hn Johann Michael Erlacher Werckmeistern des Münsters und Hn Samuel Werner, Werckmeistern des Maurhoffs, laut Abschatzungs zeduls vom 28.ten Maÿ 1748. angeschlagen worden, dabeÿ man es auch wider gelaßen, maßen wehrender solcher Zeit nicht das geringste ane solcher behaußung reparirt worden pro 1300. lb. Darüber sagen 2. teutsche papÿrene Kauff Verschreibungen in allhießiger C. C. tstub aufgericht und mit dero Kleinerm Insiegel Verwahrt d. d. 8.ten Januarÿ 1703. et 22.ten Julÿ A° 1728. Dabeÿ ferner j. ganth Kffbrieff mit E: E: Kleinen Raths anhangendem Insiegel corroborirt, d. d. 12.ten Julÿ A° 1728.
Abzug In Gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 153, Sa. Werckzeugs auch gemachter Wahr Zum Seÿler handwerck gehörig 129, Sa. Lährer vaß 1, Sa. Silbers 7, Goldenen rings Perse 1, Sa. baarschafft 92, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1300, Sa. Schulden 61, Summa summarum 1746 lb – Schulden 1917 lb, Mehr Schulden als Nahrung dem Stall tax nach 170. lb
Conclusio finalis Inventarÿ dem Stall tax nach 510 lb – Stall Summ 340 l
Wÿdemb, Welchen der Verstorbene seeliger Von auch weÿl. Frauen Maria Salome Seltzerin gebohrner Hohlweinin seiner frauen seel. wegen seiner hinterlaßenen dreÿen Kinder, biß an seinen tödlichen hintritt genoßen hat

Compte de tutelle rendu après la mort de Jean Daniel Pfæhler. La fille est mariée à Kehl
1758 (Joh: Bapt.) Me Hüttel (6 E 41, 859)
Rechnung Weÿl. Hn. Johann Daniel Pfähler des geweßenen ohlmanns und burgers allhier zu Straßburg seel. als geordnet und geschworenen Vogts Gottfried Seltzer des leedigen Seilersgesellen, weÿl. Mr Christian Seltzer, des geweßenen Seilers mit auch weÿl. Frauen Maria Salome, gebohrner Hohlweinin seiner geweßenen Ehefrauen längst seel. ehelich erziehlen und nach tod verlaßenen Sohns, inhaltend alles dasjenige, was so wohl der Verstorbene Vogt als deßen hinterlaßene Frau Wittib und Erben vom 22. Maji 1748. bis Joh. Bapt: 1758. für denselben eingenommen und ausgegeben auch sonsten vögtl. weiße verhandelt worden – Erste und letzte Rechnung dieser Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Es ist außenbenahmbster nun weÿl. Herr Johann Daniel Pfähler der geweßene ohlmann und burger alh. zu Straßburg auf absterben weÿl. Fraun Mariæ Salome Seltzerin gebohrner hohlweinin auch weÿl. Meister Johann Christian Seltzer, des geweßenen Seilers und burgers allhier Ehefrauen seel. deroselben ehelich erziehlten und nach tod Verlaßenen gesamten dreÿ Kindern nahmentlich der damaligen Jungfrauen Catharinæ Salome, so anfänglichen an nun weÿl. Mr Georg Friderich Dörner den becken, Würth und burgern in dem hornwerck Kaÿl verheurathet ware, nunmehr aber mit Mr Georg Baldner, dem ebenmäßigen becken Würt und burger allda in Zweÿter Ehe lebet, Mr Christian Seltzer dem dermaligen Satler und burgern allhier, so dann außenbemercktem Gottfried Seltzer dem ledigen Seilergesellen von E. Löbl. Vogteÿ Gericht d 27. Maji 1748. Zu einem Vogt nominirt (…)

Compte de tutelle que rend Chrétien Seltzer de la gestion des biens qui appartiennent à son frère Geoffroi
1761 (30. 8.br), Me Hüttel (6 E 41, 859) n° 2
Rechnung mein Christian Seltzer, des Seilermeisters und burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Gottfried Seltzer, des leedigen Seilers Gesellen, weÿl. Mr Christian Seltzer, des geweßenen Seilers und burgers allhier mit auch weÿl. Frauen Maria Salome gebohrner Hohlweinin, seiner geweßenen Ehefrauen beeder längst seel. ehelich erziehlten und nach tod verlaßenen Sohns, meines eheleiblichen bruders, inhaltend alles dasjenige, was Ich vom 2. 7.bris 1758. bis den 30.ten 8.bris 1761. eingenommen und ausgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße verhandelt habe – Erste und letzte Rechnung dießer Vogteÿ

Les héritiers Seltzer cèdent leurs parts de maison à leur frère Chrétien Seltzer

1756 (11. 8.br), Me Lobstein (Jean, 31 Not 72), Joint au n° 1573 du 15 mars 1752
Zuwißen seÿe hiemit daß auff heut zu Ende stehendem dato vor mir unterschriebenem als zu Weÿl. Meister Christian Seltzer des geweßenen Seÿlers und burgers allhier Zu Straßburg nun seel. Verlassenschafft Inventation und Separations Concepts persönlich kommen und erschienen seÿnd, Frau Catharina Salome gebohrne Seltzerin, Hern Georg Friderich Dörners des Becken, Gastgebers und burgers im Hornwerck Kaÿl eheliche Haußfrau, Von dießem Ihrem Ehemann genugsam authorisiret und verbeÿstandet, und Herr Johann Daniel Pfähler der Ohlmanns und burger allhier, als geordnet: und geschworener Vogt Gottfrid Seltzers, Eingangs gedachten weÿl. Meister Christian Seltzers nachgelaßenen jüngern minorennen nachgelaßenen jüngern minorennen Sohns
die haben in Gegenseÿn Mr Christian Seltzers des leedigen Seÿlers Ihr der beeden Seltzerischen Kinder ältern bruders
die zwischen Ihme und seinen beeden geschwüsterden gemeinschaftlich ohnvertheilt ausgesetzt geweßene Elterliche behaußung, bestehend in Vorder: Mittel: und Hinter Hauß, mit allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß einseit neben Meister Johann Georg Zwicker, dem Weißbecken, anderseith neben Meister Johann Philipp Bleÿfuß, dem Kübler, hinten auf das Stifft und Oratorii Allerheÿligen allhier Leichthöfflein, stoßend, Wovon man jährlichen auf Johannis Baptistæ 50 Pfund Pfenning Herrn Johann Heinrich Pettmeßer J. V. Lto und Oberschreiber auf der Statt Straßburg Pfenningthurn ane Zinnß richet, ablößig in Haubtguth mit 1250 Pfund, sonsten (…) freÿ leedig und eigen (…) Zugegangen Vor und umb 250 Pfund – Actum Straßburg den 11.ten Octobris 1756. Johann Friderich Lobstein

La cession de part est transcrite à la Chambre des Contrats en 1766
1766 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 640 n° 119-v, J. Friedrich Lobstein 11 octobre . 1756

Le compagnon Chrétien Seltzer obtient le droit d’exercer son métier mais sans avoir d’aide
1752, Protocole de la Mauresse (XI 260)
Mittwochs den 23.ten Februarÿ Anno 1752
(f° 61-v) Neuer Leibzünfftiger Seÿler, E. R. – Christian Seltzer, der Seÿler Gesell Weÿland Meister Christian Seltzers des gewesenen Seÿlers und dißorts Leibzünfftigen burgers hinterlaßener Ehelicher Sohn producirt Stall Schein vom 15.ten Februarÿ 1752., bittet um ertheilung des Zunfft und Seÿler Rechts.
Erkanndt, auf Hn Johann Philipp Höllbeck des Seÿlers und dißortigen Ehrsamen Zunfft Gerichts dermahliger beÿsitzers gethane Versicherung, daß solches von handwerck wegen wohl angienge, mithien von dem selben nichts darwieder eingewendet werden wird, und Zwar, so weilen er das Meisterstück noch nicht verfertiget, ohne Gesind, einfolglichen allein mit seinem hand die profession treiben könne, auf solch art gegen Erlag der Gebühr willfahrt. Zahlte vor des Vatters Recht der Zunfft 6 ß, vor die Feür Eÿmerere 3 ß 4 d, und Einschreib Geld 2 ß, Zusammen 11 ß 4 d – dt. Vor das Findinghauß 3 ß 8 d

Chrétien Seltzer obtient le droit de vendre des aliments maigres, en particulier du fromage
1752, Protocole de la Mauresse (XI 260)
Sambstags den 19.ten Augusti Anno 1752
(f° 80-v) (Fastenspeis Recht) Christian Seltzer, der dißorts Leibzünfftige Seÿler, Weÿland Christian Seÿlers, geweßenen Seÿlers und Grempen allhier hinterlaßener Ehelicher Sohn, bittet um ertheilung des fastenspeishandelrechts.
Erkandt, Seÿe dem Imploranten in seinem begehren nach Inhalt der Von Gnädigen herren den Fünffzehen den 17.ten Junÿ 1752. ertheilter Erkandnus mit dem Grempen Recht dergestalten Zu willfahren, daß er sich mit dem Käßhandel en detail wie auch übrigen Kleinigkeiten so nicht unter der gesaltzenen und Fetten Waar begriffen, allein begnügen, Ihme aber verbotten seÿn solle mit gesaltzener und Fetter Waar zu handlen.
Zahlte vor das Grempen Recht 10 ß, Und Einschreib Geld 2 ß (zusammen) 12 ß

Chrétien Seltzer épouse Catherine Salomé Bleyfuss, fille d’apprêteur de tabac : contrat de mariage, célébration
1756 (30. 8.bris), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 71
(Eheberedung) persönlich kommen und erschienen der Ehren und wohlvorachtbahre Mr Meister Christian Seltzer, der ledige Seÿler, weÿland Mr Christian Seltzers des auch gewesenen seÿlers und burgers allhier seeliger nachgelaßener Sohn, so majorennis und ohnbevögtigt, als hochzeiter ane einem, und die Viel Ehren und tugendsahme Jungfer Catharina Salome Bleÿfußin, Mr Johann bleÿfuß, des tabackbereiters und burgers allhier ehelich erziehle tochter, beÿständlich deßelben, als hochzeiterin – So beschehen allhier Zu Straßburg (…) auf Sambstag den 30.ten Octobris 1756. [unterzeichnet] Christian Seltzer als hochzeiter, Catharina Salome Bleÿfußin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 213, n° 23)
1756. Sonnt. XXI. XXII. post Trinit. p.clam. Mittw d. 17. Novembr. copulati Christian Seltzer d. ledige seiler u. b. h. l. weÿl. Christian Seltzer gew. seilers u. b. allh. ehl. soh, u. Jgfd. Catharina Salome Johannes bleÿfuß tabacber. u. b. h. l. ehel. tochter [unterzeichnet] Christian Seltzer als hochzeiter, Catharina Salome bleÿfußin Hochzeiterin (i 217)

Chrétien Seltzer loue une partie de sa maison à Jean Daniel Reith
1757 (26.3.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 88-v
Christian Seltzer der seÿler
in gegensein Johann Daniel Reith
verlühen, in seiner ane der Steinstraß gelegenen behausung unten auf dem boden die samtliche wohnung darunter einen unterschlagenen keller, den gemeinschafftlichen gebrauch der bauchküchen, auf dem zweÿten stock eine kammer – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff verfloßenen Annunciationis Mariæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 28 pfund

Chrétien Seltzer hypothèque la maison au profit de son voisin, le boulanger Jean Adam Zwicker

1766 (21.1.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 44-v
Christian Seltzer der seiler
in gegensein Johann Adam Zwicker des weißbecken – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Steinstraß, einseit neben gedachten Zwicker, anderseit neben Philipp Bleÿfuß hinten auff das Stifft Allerheyligen

Chrétien Seltzer hypothèque la maison au profit d’Anne Marie Pfæhler née Bohnert

1774 (11.10.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 410-v
Mr Christian Seltzer der seiler
in gegensein Fr. Annæ Mariæ Pfählerin geb. Bohnertin schuldig seÿe 200 gulden
unterpfand eine behausung samt zugehörden zu Straßburg dero Vorstadt Steinstraß, einseit neben H. Adam Zwicker, anderseit neben der verwittibte, Fr. Weißhaarin, hinten auff eine dem Stifft Allerheiligen zuständige behausung

Chrétien Seltzer meurt en 1776 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 63 livres. Comme elle renonce à la communauté, les biens des héritiers et de la communauté sont décrits en une seule masse dont l’actif s’élève à 634 livres et le passif à 1 876 livres.

1776 (22.5.), Me Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 924) n° 8
Inventarium über Weiland Meister Christian Seltzer, des geweßenen Seilers und burg. alh. Zu Strasb. nunmehr sel. Verlassenschaft aufgerichtet Anno 1776. – nach seinem d. 20. apr. 1776. genommenen tödl. hientritt hie zeitl. verlaßen hat. Welche Nachlaßenschaft auf Ansuchen disortiger Wb. Frauen Catharina Salome geb. Bleifusin und der KK. Vogts hernach gemelt, inventirt – So geschehen alh. Zu Straßburg und einer daselbst an der Vorstadt Steinstras gelegenen hernach beschriebener behausung, in fernerer Gegenawart H Joh: Jacob Fix des Kornwerffers der Wittib Schwagers und hierzu erbettenen beistandts, auf Mittwoch den 22. May 1776.
Der verstorbene hat ab intestato Zu Erben verlaßen, hernach benamste seine 4 mit Eingangs gemelter seiner hinterbl. Wb. ehelich erzeugte KK. Zu 4. gleichen Antheiler, 1°) Catharina Salome, so bis lengst künftig Joh. Bapt: 13 ½ Jahr alt wird, 2.do) Maria Barbara so bald 11 Jahr alt, 3.tio) Marg. Magdalena so 8 ¾ Jahr alt und 4°) Christian so bald 7 ½ Jahr alt, dieser 4 KK geordnet und geschworener Vogt ist Mr Joh: hohlwein der b. u. Seiler alhie

Eigenthum ane einer behausung. Nemlich eine behaußung, bestehend in Vorder und hinterhaus, hoff und hoffstatt samt allen übrigen dero gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Recht u. d gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Strasburg ane der Vorstatt Steinstras, einseit neben weil. H. Georg Frid. Weishaar des gewesenen Kiefers u. Weinhändlers hinterl. Fr. Wb. ander Seit neben Adam Zwicker dem becken, hinten auf des Stifts und Oratorÿ allerheÿligen alhier leichthöffel, so außer der darauf haftenden hernach eingetragenen passiv Capitalien frei, ledig, eigen und durch die Herrn Werckmeistere Huber, Götz und Kaltner, vermög deroselben schriftlich eingelieferter bei dem Concepto hujus Inv. sich befindl. Abschatzung æstimirt u. angeschl. worden pro 1200. R. od. 600 lb. Wie nun der disorts verstorbene Mr Seltzer beÿ seines Vaters weiland Mr Christian Seltzer des gewesenen Seilers u. b. alh. Verl. Erörterung sothane behausung Völlig von seinen Geschwisterig. und deren resp. Vogt, Cessionsweis ane sich gebracht hat, Zeiget die s. 11. oct. 1756. Vor H. Not° Joh: Frid. Lobstein paßirte Cessions-Verschreibung. Übrigens besagt über solche bhßg. ein teutsch. perg. Kfbr. in alh. C.C. Stb. gefertiget, d. d. 22. Julÿ 1728
– Abschatzung Vom 22.ten Maÿ 1776. Auff begeren Weÿland Christian seltzer des geweßenen seÿler sällig hinderlssene frau Wittib und Erben ist eine behausung alhie in der statt straßburg in der steinstraß gelegen Ein seÿts neben frau Weißharin Wittib anderer seÿts neben adam Zwicker dem weißbeck und hinden auff das stifft allerhailligen stoßend gelegen solche behausung bestehet in Einem seÿlers laden, ferner in dreÿ stuben dreÿ Kuchen und Etliche hauß Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breid Zigel belegt hat auch theils gewölbter und theils getremter Keller hoff und gemeinschafftlichen brunen. Von uns unterschriebenen de statt straßburg geschworenen Werck Meister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Tausend Zweÿ Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Götz Wmstr. des Münsters, Kaltner W:Mstr.
Series Rubric. hujus Inv. Copia der Eheberedung
der Wb. ohnveränderten Vermögens, Sa. haußraths 17, Sa. silbers 1, Sa. Erg. 17, Sa. der Activ- schuld 25, Summa summarum 63 lb
Dießemnach wird auch die übrige Verl. sub una maßa et Titulo als der Benefic. Erben ohnverändert u. theilbar beschrieben, Sa. hßraths 24, Sa. Waar und Werckzeug 8, Sa. silbers 1, Sa. Eigenthums ane eine bhß. 600, Summa summarum 634 lb – Schulden 1876, compensando erhellet, daß der Benef. Erben ohnverändert u. theilbar actv-Maß von denen passiv schlden übertreffen werde um 1242 lb
Endl. passiv onus loco der Stall summ 1179. lb
Copia der Eheberedung (…) den 30. Octobris Anno 1756, Johann Friderich Lobstein

Catherine Salomé Bleyfuss meurt en l’an VIII en délaissant une fille
1800 (5 vend. 8), Strasbourg 13 (12), Me Bremsinger n° 38
Vente de meubles délaissés par feu la Cit. Catherine Salomé Bleyfus veuve de feu Chrétien Selzer, Cordier, devant la maison N° 89 Faubourg de Pierres
in weÿl. Catharina Salome geb. Bleÿfus auch weÿl. burgers Christian Seltzer gewesten Seilers wittib auf ansuchen burgers Johannes hohlwein des seilers als geordneter und geschworener vogts der bürgerin Maria Magdalena Seltzer der verstorbenen einiger tochter und erbin
loosung 658 fr, nach abzug der Kösten 622 fr

Catherine Salomé Bleyfuss expose la maison aux enchères sur la mise de 2 100 livres

1780 (23.6.), Me Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 924), Joint au n° 8 du 22 mai 1776
Anno 1780, Freÿtags den 23. Junÿ nachmittag um vier Uhr wurde auf Ansuchen Catharinæ Salome gebohrner Bleÿfußin, Weiland Meister Christian Seltzer, des gewesenen Seilers und burgers alhier hinterlaßener Wittib, beiständlich ihres Schwagers Meister Johann Jacob, des Kornwerfers und hiesigen burgers,
ihre ane der Vorstatt Steinstras stehende behaußung in Vorder: mittel und hinter gebäud bestehend und einem daran liegenden Gärtel, samt hoff und hoffstatt auch allen übrigen dero begriffen, weithen, Zugehörden, Recht u. gerechtigkeiten, gelegen einseit neben Weiland Meister Georg Friedrich Weishaar des gewesenen Kiefers und burgers allhier hinterlaßene Wittib anderseit neben Adam Zwicker dem Weisbecken, hinten auf des Stiffts und Oratorÿ Allerheÿligen alhier leichthöffel stosend, auf Vorher beschehene Kundmachung durch das hiesige Wochen blättel und mittelst des Ausruffens Publication in dem Gasthaus Zu denen dreÿ lilien durch mich unterschriebenen Notarium (…) zu einer freÿwilligen Versteigerung ausgesetzt (…)
Straßburg den 23. Junÿ 1780
Dießemnach wurde zur Versteigerung selbsten geschritten und diese behaußung samt zugehörden aus gerufen pro 4200 R
darauff gebotten H Heiligenstein 4210 R. Da Fr. Seltzein die von H Heiligenstein gethane Mise von 4210. R nicht hienlänglich alß will sie sich des falls auf den Inhalt des sechsten articuls dieses Proces verbal berufen und allenfalls eine fernere weite Versteigerung sich Vorbehalten haben
Montags den 3. Julÿ 1780 (…) aus gerufen pro 4200 R. da nun anheute niemand erschienen der ein mehrers auf diese behausung gebotten, als wurde außgesetzt deß sothane behaußung bis Mittwoch d 12.t Julÿ zum dritten und letztenmal solle versteigert werden

Catherine Salomé Bleyfuss vend la maison 1 750 livres à son beau frère le remueur de grains Jean Jacques Vix et à sa femme Marie Barbe Bleyfuss : vente provisoire devant notaire et acte définitif à la Chambre des Contrats

1780 (12.10.), Me Roessel (6 E 41, 938), 53, Interims: Verschreibung
Fr Catharina Salome geb. bleÿfußin weÿl. Mr Christian Seltzer des Seilers Wittib beiständlich ihrer Kinder geschwornen Vogts Mr Johannes Hohlwein auch Seilers
in gegensein Mr Johann Jacob Vix der Kornwerfer
die ihro theils eigenthümlich zuständige theils von obgemelten dero Kinder Vogt zufolg des am 24. maÿ 1780 errichtet und gehöriger richterlicher Orten confirmirt und enregistrirten Summarischen Calculi Ihro überlaßene an der Vorstatt Steinstras stehende behaußung in Vorder: Mittel und hintergebäud bestehend, ein daran liegende Gärtel samt hof und hoffstatt /:gemeinschaftlichen brunnen:/ auch all übrigen dero begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, einseit neben Weÿl. Georg Friedrich Weißhaar gewesenen Kiefers und Weinhändlers hinterlassenen Wittib anderseit neben Adam Zwicker dem Weißbecke, hinten auff des Stifts und Oratorium allerheiligen leichthöffel stoßend – um 2500 R und 200 R verhafftet – geschehen um 3500 gulden

1780 (17.10.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 404-v
Fr. Catharina Salome geb. Bleÿfußin weÿl. Mr Christian Seltzer des seilers wittib beÿständlich H. Not. Johann Georg Rößel – freÿwillige versteigerung
in gegensein Mr Johann Jacob Vix des kornwerffers ihres schwagers und Mariæ Barbaræ Bleÿfußin ihrer schwester unter assistentz Johann Daniel Strohl des kieffer meisters und Philipp Jacob Lederle des glaßschneiders beede burger alhier
in ihres ehemanns seel. massam gehörig gewesten und ihro laut erbsvergleich so den 31. martÿ jüngsthin beÿ EE. Großen Rath confirmirt worden eigenthümlich zugefallene behausung aus vorder mitel und hinter gebäu bestehend, nebst dem gärtlein, hoff und hoffstatt gemeinschafft des bronnens mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt steinstraß, einseit neben weÿl. Georg Friedrich Weißhaar des kieffers und weinhändlers wittib, anderseit neben Adam Zwicker dem weißbecken, hinten auff das oratorium oder stifft Allerheiligen leicht höfflein – um 2500 R und 200 verhafftet, geschehen um 3500 gulden worunter die capital summen begriffen

Jean Jacques Vix épouse Marie Barbe Bleyfuss en 1764
1764, Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 21, n° 7)
Anno 1764 Sonntags den 29. Aprilis wurden beÿ uns Zum ersten mal (…) ausgeruffen, auch am Mittwoch darauff ams den 9. Maji beÿ uns copulirt Joh. Jacob Vix lediger Kornwerffer und burger allhier des H. Joh: Daniel Vix Kornwerffers und burgers allhier ehelicher Sohn und Jgfr. Maria Barbara Bleÿfußin des Johannes Bleÿfuß tubackbereiters und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Vüx Als hochzeiter, Maria Barbara Bleÿfußin Als hoch Zeiterin (i 23)

Jean Jacques Vix et Marie Barbe Bleyfuss vendent la maison 3 000 livres au saucissier Chrétien Meiler et à sa femme Elisabeth Spreng

1787 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 54
Johann Jacob Vix der kornwerffer und Maria Barbara geb. Bleÿfußin
in gegensein Christian Meiler des bratwurstmachers und Elisabethæ geb. Sprengin unter assistentz Johann Jacob Spreng des schumachers ihres leiblichen bruders und Johann Heinrich Köehler ebenmäßigen schumachers
eine behausung aus vorder mittlern und hinter gebäude bestehend, hoff, hoffstatt, gärtlein, gemeinschafft des bronnens mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg dero vorstatt Steinstraß einseit neben weÿl. Georg Friedrich Weißhaar des weinhändlers und kieffers wittib, anderseit neben Adam Zwicker dem weißbecken, hinten auff des oratorium Allerheiligen leuchthöffelin – als ein von Seltzerischer wittib den 17. Octobris 1780 erkaufftes haus
das sie als verkäuffer in der verkaufften behausung inhabenden wohnung, bestehend aus dem gantzen ersten stock im vordern haus, einer kammer auf dem gang zwischen dem mittlern und hintern hauß, dem gemeinschafftlichen gebrauch der bauchküchen in waschzeiten, ferner zweÿ bühen cammern im vordern hauß, platz vor holtz und einem unterschlagenen keller im vordern hauß, auff 9 jahr hindurch von besagten Frauen tag um 36 gulden jährlichen zinß (zu bewohnen) – um 5000 guden verhafftet, ferner 1000 gulden

Originaire de Hirschbach et juridiction de Nuremberg, Chrétien Meiler épouse en 1775 Elisabeth Spreng, fille de fabricant de tabac : contrat de mariage, célébration. Les registres de bourgeoisie manquent entre 1762 et 1777
1775 (25.2.), Me Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 969) n° 172
(Eheberedung) persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Christian Meÿler, der leedige Metzger, Weÿl. Georg Meÿler, des gewesenen Ackersmann und burgers Zu hirschbach Nürnbergischer Jurisdiction ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich H Adam Fettingers des Metzgers und Kuttlers allhier, als bodenzinß ane einem,
So dann die Ehren und tugendsame Jgfr. Elisabethä Sprengin, Weÿl. David Spreng, des geweßenen taback Müllers und burgers allhier hinterlassene ehelich erzeugte tochter, beÿständlich H. Johann Daniel Kreß des Metzgers und burgers allhier und H. Johann Christoph Regelin des Schneiders und burgers allhier, als Hochzeiterin ane dem andern theil – Actum Straßburg den 25. Februarÿ Anno 1775 [unterzeichnet] Christian Meiler, Elisabeth Sprengin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 191-v, n° 9)
Im Jahr 1775 seind auf Erlaubnus des Regierenden Herrn Ammeisters Dominica Misericordias Zum ersten und andern mal zugleich proclamirt und folgenden zweÿten Meÿ copulirt worden Christian Gustav Philipp Meiler lediger Metzger weil. Georg Meilers gewesenen Ackersmanns in Hirschbach Nürnberger Herrschafft und Barbarä gebohrner Winterin ehelicher Sohn und Elisabetha weil. David Spreng gewesenen tabacmüllers und burgers allhie und auch weil. Barbarä gebohrner Morÿin hinterlassene tochter [unterzeichnet] Christian Meiler, Elisabeth sprengin als hochzeiter (i 195)

Les contrôleurs constatent que Chrétien Meiler vend du houblon sans autorisation. Il répond qu’il s’agit de la récolte de sa mère et de la sienne sur un terrain à Hausbergen. Le conseil du Miroir l’exempte d’amende en l’invitant à cesser ce commerce et le rappelle à l’ordre en octobre. Comme il a cédé son commerce à Jean Daniel Zittel, les Quinze lèvent l’amende que lui a infligée le conseil en décembre
1783, Protocoles du Miroir (XI 279)
(f° 297-v) Dienstags, den 4. Februarii 1783. bei gehaltenem Kaufgericht
Hopfenhandel verboten – Christian Meiler, der hies: b. u. bratwürstmacher, ex officio Vorgestelt und angeklagt, daß er mit fremden Hopf handle. Zum beweis deßen in seinem Haus laut durch den XVV. Bott Zitzenzer den 31. Januarii jüngsthin niedergeschriebenen processus verbalis zwölf Säck voll Hopfen saisirt worden.
Concludirt, dieselben Zum Nutzen dieser ehrs. Zunft zu confisciren ref: exp:
Beklagter ist der Anklage geständig. Sagt, er seÿe aus Hirschbruck, als dem eigenth. Hopfenland gebürtig. Er selbst laße allda einen eigenen halben Acker, und seine 75. jährige Mutter mehrere Felder damit pflantzen. Man schicke ihn ihm als dann hieher. Schon seit sieben Jahren gehe solche Waar auf seinen einegen Namen hier ein. Er beziehe ihn aus dem hiesigem Kauffhaus ohne Widerrede und ohne Scheu. Er halte den Hopfenhandel vor frei. Er habe von H. Schlenacker, dem hies. bierbrauer ein Viertzel Felds in Hausberger bann abgeliehen, darauf pflantze er selbst Hopfen.
Übrigens wisse er deßfalls von keinem Verbott. Er bitte derohalben, um Aufhebung der angelegten saisie, um Entladung von der Anklage und Unkosten.
Nach eingesehenem producto und daraufhin gehaltener Umfrage erkannt, Seÿe beklagter der dieses mal aus Nachsicht Zwar von der Confiscation zu erschonen, gleichwol in alle angeloffene Unkosten nebst fünffzehen Schilling vor fen Rüger fällig zu erachten, demselben anbei von heute an Zween Monate Frist Zu geben, innerhalb welcher er sich von seinem Hopfen habenden zu entledigen schuldig, sonsten und bei wiederholtem Uebertrettungsfall derselbe mit wirklicher Confiscation und annoch einer Geldstrafe ohnnachläßig belegt werd. wird.
(f° 308) Dienstags, den 14. Octobris 1783. Straf Wegen Hopfenhandel – Christian Meiler, der hies: b. u. bratwürstmacher, welcher mit Hopfel zu handlen fortführt, abermalen ex officio vorgestalt und ihm auferlegt, bei seinem Handwerck zu bleiben, das Hopfenhandel dergestalt müssig Zu gehen, daß er nicht nur keinen Hopfen auf seinem Namen hieher kommen laßen, sondern auch keinen aus dem Kaufhaus beziehen, noch viel weniger in der Stadt zu verkaufen sich interstehen soll, bei Confiscation der Waar und sieben Pfund zehn schilling Geldstrafe.
(f° 311) Samstags, den 20. Decembris 1783. Hopfenhändler gestraft – H Christian Meiler, der bratwürstmacher, zum dritten mal ex officio vorgestallt und angeklagt, daß er wider das ihm erst den 14. 8.bris jüngsthin eingeschärfte Verbott dennoch nicht aufhöre mit Hopfen Zu handlen. Derselbe auch wircklich vor drei Wochen H. Brandhoffer dem Strauß biersieder Hopfen im Kaufhaus von den seinigen angetragen und verkauft habe.
Concludirt, der selben gebühren abzustrafen, ref. exp. Frantz Delai, der hiesige Kaufhausgard, versichert das nemliche.
Beklagter Zugegen ist geständig, Hopfen Zwar angetragen Zu haben, sagt aber zu seiner Verantwortung, er hätte es im Namen H. Joh: Daniel Zittelin, des hiesigen Handelßmann, als welchem er seinen ehemalige Hopfenhandel gäntzlich übergeben, getan. Bittet also um Entladung von der Anklage und Unkosten.
Nach eingesehener Zween diesortigen bescheiden vom 4. febr: und 14. 8.bris dieses laufenden Jahrs und gehaltenen Anfragen erkannt, daß beklagter dermalen nur in Fünff Pfund Pfenning Straf und in die Unkosten fällig zu erachten, bei widerholtem Übertretungs fall aber in doppelte Stafe zu condemniren.
[in fine :] Von Ghh. den XV. absolvirt.

Inventaire des biens de Chrétien Meiler et d’Elisabeth Spreng, dressé suite à la demande en séparation. Les biens du mari s’élèvent à 50 livres, ceux de la femme à 52 livres. L’actif de la communauté est de 3 176 livres, le passif de 300 livres. On estime la maison 3 000 livres

1789 (14.7.), Me Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 923) n° 64
Inventarium über Christian Meiler, des bratwurstmachers u. Fraun Elisabethæ gebohrner Sprengin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg dermalen besizende Activ et passiv-Nahrungen, aufgerichtet Anno 1789. – Welch alles auf Ansuchen ihr der Ehefrauen, aldieweilen triftige Ursachen vorhanden wären, daß sie sich genöthiget sähe, um die Separationem quoad Bona à marito, richterlich ein Zukommen – So geschehen alh. Zu Straßburg und einer daselbst ane der Steinstras gelegener mit N° 9 bezeichneter und hernach beschriebener behaußung, in fernerer Gegenwarth Mr Joh: Jacob Spreng des burg. u. Schuhmach. hieselbst, der Ehefr. bruders und beÿstandts, auf dienstag den 14. Julii Anno 1789.

Eigenthum ane I. behaußung (T.) Neml. eine bhßg. aus Vorder- Mittel- u. hintergebäu bestehend samt hof, hofstatt, Gärtl. u. gemeinschaft des Bronnens, mit all derselben übrig. begriffen, weiten, Zugehörd. Recht. u. gerechtigkeit alh. Zu Straßburg a. d. Vorst. Steinstr. i.s neben weil. Georg Frid. Weißhaar gewesten Kiefers hinterl. Wb. anders. neb. Adam Zwicker dem Weisbecken, hint. auf. d. Oratorium löbl. Stift Allerheÿl. leichthöfl. stosend, so außer dem Vingt° u. Einq. mit Keinem real onera beladen wohl ab. mit den hernach eigetragenen pass. Capital. beschwehret und hier ohnnachtheilig ausgeworffen wird pro 3000 lb. Hierüb. bes. Kfbr. in alh. C.C. Stb. geferitget dedato 12.feb. 1787.
Series rubricarum huj. Invent. Kleidung dem Ehemann gehörig 50
dießemnach wird auch der Ehefr. ohnv. Gith beschrieben so allein bestehet in Hausrath, Kleidung und silber Posten, 52
Endlich wird auch die theilb. maß beschrieben, Sa. haußrath 95, Sa. Eigenth. a. I. bßg 3000, Sa. activa 81, Summa summarum 3176 lb – Passiva 300 lb Nach deren Abzug 2876 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum Straßburg den 25. febr. a° 1775, Georg Friderich Nenter, Not. publ.

Elisabeth Spreng, femme du marchand de bestiaux Chrétien Meiler, meurt en l’an VIII en délaissant cinq enfants. La maison est estimée 3 000 francs, soit environ 1500 anciennes livres strasbourgeoises

1800 (18 germ. 8), Strasbourg 4 (31), Me Roessel n° 286 – Enregistrement de Strasbourg, acp 73 F° 79 du 19 germ. 8
Inventarium über und und beschreibung allderjenigen so liegend als fahrender beweg und ohnbeweglicher haab und Nahrung und Güther so weÿl. Elisabetha Meiler geb. Spreng bürgers Christian Meiler des Viehhändlers und Innwohners zu Straßburg nach ihren den 10. laufenden monats Germinal 8.t Jahr genommenen tödlichen hintritt auf ansuchen der wittib
die nun verstorbene hat ab intestato zu erben verlaßen ihre mit ihrem Wittiber erzeugte noch lebende KK. zu 6 gleiche antheilen 1. Christian Meiler garde im frantzösisch. zoll ledig aber majorennen standts so abwesend, In deßen Namen b. Michel Bandli Seÿler als curator, 2. Jacob Meiler lediger metzger und volontaire, major., 3. b. Elsiab. Meiler ledigen Standts alters, 19 Jahr, 4. Friedrich Meiler 17 Jahr alt in der Lehr der mezger profession, 5. David 14 jahr alt und 6. Michel 12 jahr alt diesen 5 minorennen Kinder zum streitvogt b. Christoph bader mezger

im Sterbhaus ane der Steinstras N° 9
Eheberedung den 25. feb. 1775 aufgerichtet
der erben ohnveränderten schuld 100 fr, effecten 180 fr,
die gemein verändert und theil. verlassenschafft, effecten 329 fr, activ schulden 1152 fr
Eigenthum ane einer behausung. Nemlich eb aus Vorder: Mttel u hintergebäu bestehend samt hoff hoffstatt Gärtel und gemeinschafft des bronnens mit all derselben begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg an der Verstorbene Steinstraß N° 9, einseit neben weÿl. Georg frid. Weishaar kiefers hinterbliebenen wittib anderseit neben Adam Zwicker becker hinten ehemals auf das oratorium stifft allerheilig. Lichthöffel modo b. Bronnes den Schaffner, ohnpræjudicirlich æstimirt pro 12 000 fr, hierüber besagt Kaufbrieff in vormaliger Contract stub passirt d. d. 12. feb. 1787
Summa 13 481 fr

Chrétien Meiler se remarie en l’an XIV avec Catherine Frédérique Hartschmitt veuve du boucher Thiébaut Zimmer
1805 (24 brum. 14), Strasbourg 9 (26 n.c.), Me Bossenius n° 220 – Enregistrement de Strasbourg, acp 98 F° 4-v du 28 brum.
(Contrat de mariage) sont comparus le Sieur Chrétien Maeuler, Marchand de houblon en cette ville veuf de Dame Marie Elisabethe Spreng d’une part
Et Dame Catherine Frédérique née Hartschmitt veuve de feu le Sieur Thibaut Zimmer Boucher à Strasbourg, y demeurante assistée du Sieur Jean Geofroy Hartschmidt, marchand confiseur en ladite ville son frère – Fait, lû, passé et interprété en allemand audit Strasbourg (…) ce 24 Brumaire an quatorze (signé) Miler, Friedericke Zimmer

Elisabeth Meiler, femme du boucher Jean Adam Helmreich, cède sa part de la maison à son père

1806 (27.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 31), Me Bossenius n° 2156, 3037 – Enregistrement de Strasbourg, acp 101 F° 81-v du 1.12.
Elisabeth Maeuler femme de Jean Adam Helmreich le jeune boucher
à Chrétien Maeuler marchand de houblons son père
un sixième dans le tiers ou 1/18 par indivis appartenant à la venderesse dans une maison appartenances et dépendances et communauté de puits sise à Strasbourg fauxbourg de Pierre n° 9, d’un côté la veuve de Georges Frédéric Weishaar tonnelier d’autre Adam Zwicker boulanger derrière succession du Sr Bronner ci devant receveur – avenu à la venderesse comme héritière pour autant dans la succession d’Elisabeth Maeuler née Spreng sa mère, l’acquéreur est cô-propriétaire pour 12/18 dont les 10/18 restant appartiennent à Chrétien, Jacques, Frédéric, David et Michel les Maeuler cinq enfants du premier lit, acquis à la Chambre des Contrats le 12 février 1787 – moyennant 666 francs

Inventaire des apports de Chrétien Meiler et de Catherine Frédérique Hartschmidt

1806 (4.12.), Strasbourg 9 (anc. cote 15), Me Bossenius n° 330, 3044 – Enregistrement de Strasbourg, acp 101 F° 92 du 8.12.
Inventaire des apports de Chrétien Maeuler, marchand de houblons, et de Catherine Frédérique Hartschmidt, assitée de Jean Geofroi Hartschmidt Raffineur son frère – Contrat de mariage passé devant le souss. le 24 brumaire 14
en la maison faubourg de Pierres appartenant audit Sr Maeuler
la femme meubles 1989 fr, argenterie 225 fr, total 2214 fr, passif 144 fr

Lors de son mariage avec Marguerite Madeleine Schiff en 1808, Jacques Meiler habite la maison

1808 (14.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 16), Me Bossenius n° 378, 3608 – Enregistrement de Strasbourg, acp 105 F° 89 du 22.4.
Inventaire des apports de Jacques Maeuler boucher et Marguerite Madeleine Schiff, mariés le 19 mars courant, Contrat de mariage passé devant le souss. notaire le 19 janvier 1808
dans la maison fauxbourg de Pierre n° 9 occupée en partie par lesdits conjoints
le mari : meubles 94 fr, argenterie 41 fr, numéraire 779 fr, total 914 fr, présents de noces 162 fr, total 1077 fr
la femme : meubles 804 fr, argenterie 98 fr, numéraire 1212 fr, total 2114 fr, présents de noces 162 fr, total 2277 fr

Le marchand de houblon Chrétien Meiler meurt en 1827 en délaissant trois enfants ou leurs représentants

1827 (24.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 53), Me Hickel n° 2593 (référence de la liquidation n° 2652 du22.11.) – Enregistrement de Strasbourg, acp 186 F° 170-v du 27.11.
Inventaire de la succession de Chrétien Meiler, marchand de houblon décédé le 6 août dernier, à la requête de 1. Catherine Frédérique Hartschmidt la veuve en secondes noces assistée de Philippe Jacques Bloechel, professeur à la faculté de droit, commune par contrat de mariage dressé par Me Bossenius le 24 brumaire 14, et les enfants du premier lit, 2. Frédéric Meiler, journalier, 3. Michel Meiler, serrurier à Heilsberg en Prusse, 4. Marguerite Madeleine Schiff veuve de Jean Jacques Meiler, saucissier, femme en secondes Georges Lotz, tuteur légal de Jacques Meiler, Charles Auguste Meiler, Martin Philippe Meiler, Marie Madeleine Meiler, Dorothée Sophie Meiler, Julienne Meiler, 5. Jean Adam Helmreich, charcutier, subrogé tuteur

dans une maison rue du Faubourg de Pierre n° 9
Par acte passé à la Chambre des contrats le 12 février 1787 les conjoints Meiler et Spereng ont acquis de Jean Jacques Vüx, blatier, et Marie Barbe Bleyfuss, une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg Faubourg de Pierres n° 9 pour 6000 florins, par acte Me Bossenius le 27 novembre 1806, Meiler père a acquis d’Elisabeth Meiler sa fille épouse du Sr Helmreich le 18 de la maison ci dessus dont elle avait hérité de la De née Spreng, estimée 9031 francs
Par contrat Me Stoeber le 22 avril 1817 acquis de Marie Salomé Reibel veuve de Thiébaut Lix, ministre du culte protestant un jardin avec appartenances et dépendances situé hors la porte des Juifs de la contenance d’environ 9 ares, estimé 1200 fr – créances
la veuve reprend 151 fr ; meubles 976 fr, avec argent partagé 2176 fr
Titres et papiers, Contrat de mariage en premières noces avec Elisabeth Spreng, Me Nenter le 25 février 1775, Inventaire Spreng Me Roessel le 18 germinal 8, dépendait de la communauté une maison rue du Faubourg de Pierre n° 9

Catherine Frédérique Hartschmidt meurt sans enfant en 1835 dans une maison rue des Orfèvres
1835 (28.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 69), Me Hickel n° 5171 – Enregistrement de Strasbourg, acp 236 F° 44-v du 3.12.
Inventaire de la succession de Catherine Frédérique Hartschmidt veuve de Chrétien Meiler, marchand de houblons – à la requête de Charles Ehrhardt Hartschmidt, confiseur, légataire universel sous bénéfice d’Inventaire suivant testament olographe du 5 avril 1834 déposé Me Hickel, enreg. le 19 novembre 1835 F° 33
dans le logement que le défunt occupait à titre de locataire dans une maison sise à Strasbourg rue des Orfèvres n° 27 où elle est décédée le 18 novembre courant

Les héritiers Meiler cèdent leurs part de maison à leur frère Frédéric Meiler pour 10 400 francs. Un rapport d’experts est joint à l’acte de vente

1828 (28.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 54), Me Hickel – Enregistrement de Strasbourg, acp 189 F° 55 du 29.4.
Cahier des charges, n° 2728 Enchère – 1. Frédéric Meiler, journalier, 2. Catherine Frédérique Hartschmidt veuve de Chrétien Meiler, ancien marchand de houblon, mandataire de de Michel Meiler, serrurier à Heilsberg en Prusse, 3. Marguerite Madeleine Schiff veuve de Jean Jacques Meiler, saucissier femme en secondes noces de Georges Lotz, mère et tutrice légale de Jacques Meiler, Charles Auguste Meiler, Martin Philippe Meiler, Marie Madeleine Meiler, Dorothée Sophie Meiler, Julien Meiler, en présence de Jean Adam Helmreich, charcutier, subrogé tuteur – suivant jugement du 13 décembre dernier, rapport d’experts et jugement du 7 février dernier
la maison à Frédéric Meiler pour 10 400 francs
le jardin à Jean Henri Mercklé, maître maçon des fortifications demeurant à la Robertsau – Déclaration de command du 29 avril n° 2769 pour Anne Mathias Boyé, trésorier du train d’artillerie en garnison à Strasbourg, pour 417 francs
Désignation des immeubles à vendre. 1. une maison à rez de chaussée & un étage, cour avec puits mitoyen, écurie & étables, appartenances & dépendances situé à Strasbourg rue du Faubourg de Pierres n° 9, d’un côté le Sr Schoettel marchand de vin, d’autre le Sr Zwicker boulanger, par derrière les Sr Siegfried & Schützenberger
2. un jardin de la contenance d’environ 9 ares avec gloriette situé hors la porte des Juifs près la promenade appelée Contades. Ce jardin est entouré de haies vives, d’un côté la De Lotzbeck, d’autre le Sr Dannenberger, devant le chemin conduisant sur les glacis, derrière le Sr Elles
Etablissement de la propriété, 2/3 à Frédéric et Michel, un tiers aux enfants mineurs de Jean Jacques, échus à Frédéric et Michel 2/18 de la succession d’Elisabeth Spreng épouse en premières noces de Chrétien Meiler leur mère, elle même propriétaire d’un tiers comme ayant participé à la communauté, 6/288 de la succession de Chrétien Meiler leur frère décédé le 13 février 1812, 19/571 de la succession de leur frère Jean David décédé le 10 juillet 1812, 289/576 de la succession de leur père savoir 2/3 de la communauté, 1/18 acquis d’Elisabeth Meiler sa fille décédée épouse du Sr Helmreich comparant par acte Me Bossenius le 27 novembre 1806, 16/1152 de la succession de Chrétien Meiler son fils, 19/1152 de la succession de David, total 768/1152 ou 2/3 – aux enfants mineurs de Jean Jacques 95/1150 de la succession de leur père, 1/18 de la succession d’Elisabeth Spreng leur mère, 3/288 de leur frère Chrétien, 19/1152 de David Meiler leur frère et Chrétien Meiler leur grand père 289/1152 – acquis par Chrétien Meiler et Elisabeth Spreng, la maison de Jean Jacques Vix, blatier, et Marie Barbe Bleyfuss, par acte passé à la Chambre des Contrats le 12 février 1787
le jardin acquis de Marie Salomé Reibel veuve de Thiébaut Lix, ministre du culte protestant par acte Me Stoeber le 2 avril 1817, inventaire de la De Meiler par Me Roessel le 18 germinal 8, inventaire de Chrétien Meiler le 24 septembre 1827 – Rapport d’experts du 28 janvier 1828 la maison estimée 8000 francs et le jardin 800 francs – Bail devant Me F. Grimmer le 8 juillet 1723 aux conjoints Lotz, résilié
Adjudication préparatoire n° 2327 du 14 avril – Adjudication définitive n° 2768
Rapport d’experts du 28 janvier – Daniel Reybel fils Abraham, André Lix fils de l’ainé, jardiniers cultivateurs, Philippe Jacques Henneberg, architecte (…) Le rez de chaussée en murs sur cave en [sic] voutée contient deux boutiques, derrière une chambre un vestibule et la cage d’escalier, le seul étage construit en galandure et en saillie contient vers la rue deux chambres dont la petite avec alcove et vers la cour une cuisine, la cage d’escalier et chambre pour soldats surmonté d’un comble à trois greniers dont l’inférieur contient deux chambres au linge sale, la couverture est en tuiles doubles. L’aile gauche en entrant dans la cour est construite en partie sur une cave voutée avec deux chambres et une cuisine, au rez de chaussée à l’étage en saillie avec galerie ouverte au corridor aussi deux chambres dont une avec alcove sous l’escalier du grenier et une cuisine surmontée d’une toiture en appentis ayant deux greniers dont le plus grand contient trois chambres. Contre ce bâtiment sont adossés deux petits dont l’un contient une cuisine au rez de chaussée avec une étable surmontée d’un comble à la mansarde et un petit grenier au dessus le deuxième une écurie et étable à porcs avec doubles lieux d’aisances adjacents sur une fosse aux fumiers. Au fond un bucher et étables à moutons surmonté d’un grenier. Ces constructions sont en galendures et leurs couverture en tuiles simples. Dans la cour plantée avec quatre arbres se trouve un puits mitoyen avec le Sr Zwicker, boulanger, et garni d’une pompe et auge de chaque côté.
Ensuite nous nous sommes rendus dans le jardin. Ce terrain de la contenance d’environ 9 ares planté d’arbres fuitiers et de vignes entouré de haies vives au fond se trouve un puits avec pompe et auge à côté une gloriette ouverte mais couverte en planches, estimés 8000 et 800 francs

Le boucher Frédéric Meiler a épousé Sophie Caroline Müller en 1813
1813 (23.8.), Strasbourg 9 (anc. cote 33), Me Bossenius n° 402, 5913 – Enregistrement de Strasbourg, acp 123 F° 66-v du 26.8.
Contrat de mariage – Frédéric Meiler, boucher, fils majeur de Chrétien Meiler, marchand de houblon, et de feu Elisabeth Spreng
Sophie Caroline Müller fille majeure de Jean Vite Müller, boucher, et de feue Susanne Salomée Hoeffler

Frédéric Meiler et Caroline Müller louent une partie de la maison au passementier Auguste Molitor

1828 (24.7.), Strasbourg 7 (77), Me Stoeber n° 10 923 – Enregistrement de Strasbourg, acp 190 F° 117 du 29.7.
Bail de 12 années à commencer à la St Michel prochaine – Frédéric Meiler, journalier, Caroline Müller
à Auguste Molitor, passementier
les localités suivantes dans la maison Faubourg de Pierre n° 9 appartenant aux bailleurs par Adjudication définitive passée devant Me Hickel le 28 avril courant, savoir, la boutique au rez de chaussée à gauche en entrant par le Faubourg, la chambre derrière, tout le premier étage de la maison de devant consistant en deux pièces, une cuisine et une chambre de domestique à côté une chambre à linge sale au dessus du logement loué, la cave au dessous de la boutique enfin la jouissance commune de la pompe et de la buanderie – moyennant un loyer annuel de 400 francs

Autre bail entre les mêmes parties

1831 (18.2.), Strasbourg 9 (60), Me Hickel n° 3696 – Enregistrement de Strasbourg, acp 203 f° 2-v du 22.2.
Bail de 39 trimestres à commencer le 29 décembre dernier – Frédéric Meiler, journalier, et Caroline Müller
à Auguste Molitor, passementier
une chambre au rez de chaussée du bâtiment latéral à gauche en entrant dans la cour faisant partie de la propriété du Sr Mailer situé à Strasbourg Faubourg de Pierre n° 9, ladite chambre se trouvant entre la cuisine et l’escalier conduisant au premier étage – moyennant un loyer annuel de 34 francs

Frédéric Meiler loue une partie de la maison au tonnelier Georges Daniel Schœttel

1831 (11.10.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 60 F° 108-v, acte sous seing privé du 1er courant
Bail – Frédéric Meiler, propriétaire
Georges Daniel Schoettel, tonnelier, pour trois années à commencer le 29 septembre dernier
les localités ci après désignées se trouvant dans la maison appartenant au Sr Meiler situé à Strasbourg au Fauxbourg de Pierre n° 9, d’un côté la propriété du Sr Schoettel preneur, d’autre celle du Sr Zwicker boulanger, savoir la moitié qui se trouve sur la gauche en entrant dans un magasin situé au fond de la cour donnant par derrière sur la propriété du Sr Schützenberger, ladite moitié louée est séparée du reste du magasin par un lattis, Plus une petite écurie qui donne immédiatement sur le bâtiment de derrière du Sr Schoettel – moyennant un loyer annuel de 40 francs

Auguste Molitor cède ses droits au bail à Catherine Elisabeth Hechler

1834 (4.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 67), Me Hickel n° 4807 – Enregistrement de Strasbourg, acp 225 F° 194 du 9.7.
Cession de bail à loyer de 6 ans 6 mois – Auguste Molitor, passementier
à Catherine Elisabeth Hechler, majeure
les droits compérant au Sr Molitor pour le temps qui lui reste à courir à compter d’aujourd’hui aux baux qui lui ont été faits jusqu’au 29 septembre 1840 par Frédéric Meiler, journalier, et Caroline Müller de différentes parties d’une maison sise à Strasbourg Faubourg de Pierre n° 9 par baux Me Stoeber le 4 juillet 1828, le notaire soussigné le 18 février 1831 – moyennant un loyer annuel de 434 francs

Nouveau bail entre Frédéric Meiler et Georges Daniel Schœttel

1833 (9.10.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 63 F° 97, acte sous seing privé du 9.10.
Bail de 4 années – Frédéric Meiler, propriétaire
au Sr Jean Georges Schoettel, tonnelier
à commencer le 29 septembre dernier, les localités ci après désignées se trouvant dans la maison appartenant au Sr Meiler située à Strasbourg au Faubourg de Pierre n° 9 entre la propriété du Sr Schoettel preneur et celle du Sr Zwicker boulanger savoir : La moitié qui se trouve sur la gauche en entrant dans un magasin situé au fond de la cour donnant par derrière sur la propriété du Sr Schützenberger, laquelle moitié est séparée du reste du magasin par un lattis. Plus une petite écurie qui donne immédiatement sur le bâtiment de derrière du Sr Schoettel. Enfin une cave voutée qui est située sur le même côté du [sic] maison du Sr Schoettel et qui se trouve sous la maison qui donne dans la cour
(Charges, clauses et conditions), 3. le preneur est de plus autorisé à faire percer à ses frais le pignon qui sépare sa propriété de la petite écurie louée comme aussi du [sic] cave et du sienne en sorte qu’il pourra être établi une porte de communication pendant la durée de ce bail entre les deux propriété avoisinantes – moyennant un loyer annuel de 80 francs

Caroline Müller femme de Frédéric Meiler meurt en 1835

1835 (13.4.)
Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit), Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 231 F° 53 du 7.4
Inventaire de la succession de Caroline Müller épouse de Frédéric Meiler, propriétaire – à la requête de de Frédéric Meiler, père et tuteur légal de 1. Frédéric, 2. Auguste, 3. Gill, 4. Charles, 5. Guillaume, 6. Edouard ses enfants spocréés avec la défunte

Frédéric Meiler vend la maison 10 000 francs au maître vitrier Charles Jæger

1837 (12.7.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 322, n° 31 – Me F. Grimmer du 30.6. ; Enregistrement de Strasbourg, acp 251 f° 35 du 5.7.
Frédéric Meiler, ancien boucher
à Charles Jaeger, maître vitrier
une maison sise en cette ville rue du Faubourg de Pierres n° 9 consistant en bâtiment de devant à rez de chaussée et un étage et en bâtiment de derrière également à rez de chaussée et deux étages avec caves, cour, puits mitoyen, écurie, étables, jardinet, droits, appartenances et dépendances, d’un côté le Sr Zwicker boulanger, d’autre le Sr Schoettel, derrière la propriété des Sr Siegfried et Schützenberger – suivant adjudication par licitation ordonnée par Jugement du Tribunal Civil en date du 7 février 1828, adjudication par devant Me Hickel le 28 avril 1828 ladite maison a été acquise par le co licitant, inventaire Roessel le 18 germinal 8 dressé après le décès d’Elisabeth Spreng femme en premières noces de Chrétien Meiler père du comparant ancien marchand de houblons, inventaire ce dernier devant Me Hickel le 24 septembre 1827 – la maison a été acquise par Chrétien Meiler avec Elisabeth Spreng, ses père et mère, de Jean Jacques Vix, blâtier, et de Marie Barbe Bleyfuss par acte passé à la Chambre des contrats le 12 février 1787. Catherine Frédérique Hartschmidt, veuve en secondes noces de Chrétien Meiler par acte Me Hickel le 22 novembre 1837 a renoncé à tous droits succession de son mari sur la communauté de biens de manière que la succession du défunt est devenue seule propriétaire de la maison dont s’agit – locations notamment celui consenti au profit du Sr Bouhey et qui finit à la St Michel 1840 – moyennant 10 000 francs

Jean Charles Jæger épouse Marguerite Schwartz en 1830
1830 (11.2.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit), Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 198 F° 73 du 17.2.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Charles Jaeger, vitrier, fils de Pierre Jaeger, vitrier, et de Marie Kaeschner
Marguerite Schwartz, majeure fille de défunt Jacques Schwartz, marchand de grains, et d’Anne Fritsch de Strasbourg
la future épouse se constitue le tiers d’une maison rue du Fort n° 8 en cette ville

1830 (12.2.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit), Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 198 F° 59-v du 12.2.
Consentement – Pierre Jaeger, vitrier, au mariage de Jean Charles Jaeger vitrier son fils procréé avec Marie Kaeschner avec Marguerite Schwartz majeure fille de défunt Jacques, marchand de grains, et Anne Fritsch de Strasbourg


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.