50, rue du Jeu-des-Enfants


Rue du Jeu-des-Enfants n° 50 – IV 162 (Blondel), P 519 puis section 58 parcelle 28 (cadastre)


Le n° 50 occupe la moitié gauche de l’image (vers 1912, AMS cote 1 Fi 22, n° 21)
Vers 1977 (le n° 50 est le deuxième bâtiment, dossier de la Police du Bâtiment)
Etat actuel (mai 2014, l’ancien n° 50 est à l’emplacement du bâtiment gris)

Déjà propriétaire de la voisine (ensuite n° 52), Jean Sébastien Zeissolff acquiert en 1636 la maison qui revient ensuite à sa fille, épouse de Jean Joachim Frantz, secrétaire au Grand Sénat et auteur du Récit exact des causes qui ont déterminé la ville de Strasbourg à se mettre sous la protection française. A sa mort, les deux maisons redeviennent indépendantes, la plus petite revient à l’employé de la halle Jean Michel Barbenès, aux notaires Jean Wolfgang Courtz (1709-1711) et Jean Chrétien Winterling (1713-1714) puis au juriste Jean Gérard von Stœcken qui la conserve jusqu’à sa mort. La maison comprend alors (1746) un bâtiment avant à rez-de-chaussée et deux étages ainsi qu’un bâtiment arrière. Elle devient la propriété du tonnelier et marchand de vin Jean Bresslé (1738-1787) puis de l’ancien brasseur à l’Agneau d’Or Jean Georges Beyer. On y trouve quatre poêles et trois cuisines en 1787.

49 Elévations f-i
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 49

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et premier étage en maçonnerie, deuxième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la quatrième à droite du repère f (troisième à gauche du repère g) : porte d’entrée suivie de trois fenêtres, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à un niveau de fenêtres et un niveau de lucarnes. La cour (I) représente la façade arrière (3-4) du bâtiment sur rue, le bâtiment (2-3) latéral à l’ouest de la cour. La remise (1-2) forme le fond de la cour, la remise (1-6) le côté oriental. La saillie (4-5-6) se trouve à l’angle de cette remise et du bâtiment sur rue. L’ordonnance générale de la façade donne à penser qu’elle pourrait dater des premières décennies du XIX° siècle, avant l’ouverture du cadastre.
La maison porte d’abord le n° 11 (1784-1857) puis le n° 50.


Cour I – Plan du rez-de-chaussée et de l’étage en 1894 (dossier de la Police du Bâtiment)

Philippe Auguste Hürstel ajoute un troisième étage et modifie en 1865 le rez-de-chaussée, ce qui fait passer le revenu de 216 à 297 francs. Sa veuve réunit en 1894 les deux magasins sis aux n° 48 et 50 par une ouverture dans le mur coupe-feu. Cerf Israel fait en 1903 une ouverture comparable au premier étage qui sert à entreposer des couvertures en laines. Armand Blum transporte tous les entrepôts dans le n° 50 et couvre la cour d’un toit vitré en 1908. La société S. et A. Blum installe en 1914 un atelier de couture dans un bâtiment arrière de la maison voisine (n° 52). Déjà propriétaire des n° 52 et 54, la Brasserie du Pêcheur (enseigne à l’Ours blanc) acquiert la maison au début des années 1930, elle y fait divers aménagements au titre des dommages de guerre. Le rez-de-chaussée est occupé par un magasin de meubles (ébénisterie Fodor puis Cuir Center de Roche-Bobois). La Brasserie du Pêcheur demande en 1978 puis en 1985 un certificat d’urbanisme pour construire de nouveaux bâtiments à la place des n° 18, 20, 22 rue du Fossé des Tanneurs et 50, 52, 54 rue du Jeu-des-Enfants.


Élévation en 1908, devanture en 1950, devantures avant et après transformations en 1977 (dossier de la Police du Bâtiment)

décembre 2017

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1621 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Louis Damm et (1598) Marie Graff – luthériens
1636 v Jean Sébastien Zeissolff, assesseur des Quinze, et (1611) Marguerite Heiss – luthériens
1660* h Jean Joachim Frantz, juriste, secrétaire au Grand Sénat, et (1655) Eve Barbe Zeissolff – luthériens
1698 v Michel Oswald Scheffmacher, avocat, et (1695) Marie Marguerite Jenner – catholiques
1698 v Jean Michel Barbenes, employé de la halle, et (1669) Ursule Dietrich puis (1688) Catherine Bœhler, veuve de Jean Pierre Müller – luthériens
1706 éch Chapitre Saint-Pierre-le-Vieux (cession annulée)
1709 v Jean Wolfgang Courtz, notaire, et (1705) Marie Elisabeth Mockel puis (1715) Marie Susanne Schatz – luthériens
1711 v Jean Kien, marchand, et (1706) Anne Catherine Memminger – catholiques
1713 v Jonas Bentz, marchand de vins, et (1702) Barbe Erhard – luthériens
1713 v Jean Chrétien Winterling, notaire, et (1701) Marie Barbe Veil – luthériens
1717 adj Jean Gérard von Stœcken, juriste, et (v. 1706) Marie Rosine Hüen – luthériens
1738 v Jean Breslé, tonnelier, et (1729) Marie Barbe Loger, (1734) Marie Ursule Braun, (1746) Marie Anne Isabelle Arnold puis (1756) Marie Catherine Pertois – catholiques
1787 v Jean Georges Beyer, brasseur, et (1759) Marie Salomé Milius, veuve de l’aubergiste Georges Guillaume Blessig, puis (1767) Anne Marie Greiner – luthériens
1797 h Georges Frédéric Beyer, brasseur, et (1793) Marie Madeleine Dieterlin
1802 v Jean Rœderer, percepteur, et (1788) Marie Barbe Fischer
1805 v François Xavier Hürstel, marchand, et (1797) Catherine Elisabeth Bronner puis (1802) Marie Thérèse Kieffer
1823 h Philippe Auguste Hurstel, huissier, et (1851) Marie Joséphine Weiss
1901 * v Israel Cerf, commerçant, et Eve Salomon
1931 * Brasserie du Pêcheur, société anonyme

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 800 livres en 1736, 2 000 livres en 1746, 1 000 livres en 1755, 1 500 livres en 1787

(1765, Liste Blondel) IV 162, au Sr Bresler
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 519, Hirschel, (François Xavier), veuve du tonnelier – maison, sol, cour – 2,1 ares

Locations

1714, Jean Biot et Claude Biot, officiers
1795, Aaron Meyer, préposé général de la Nation juive en Alsace
1813, Joseph Jaccoud
1825, Daniel Tuchmann, commerçant, et Reine Berr
1835, David Aron, propriétaire, et Mélanie Lévy

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1768, Préposés aux affaires foncières (VII 1413)
Le tonnelier Jean Breslé est autorisé à remplacer le linteau d’une croisée à côté de la porte d’entrée

(f° 24-v) Dienstags den 7.ten Junÿ 1768 – H Johannes Breßle
H. Johannes Breßle der Kieffer bittet um erlaubnuß an seinem hauß in der Kinderspielgaß einen neuen sturtz über ein fenstergestell neben der haußthür zu machen. Erkannt, willfahrt.

1787, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Le maçon Osterrieth est autorisé au nom du propriétaire Beyer à abaisser les appuis de fenêtre et à repeindre la façade

(f° 309) Dienstags den 10. Julii 1787 – Hr. Beÿer, Bierbrauer
Idem [Mr Osterrieth der Maurer] nôe Herrn Beÿer, des bierbrauers, bittet zu erlauben an deßen behausung in der Kinderspiel Gaß gelegen N° 11 die Fenster bänck erniedrigen und die façade anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

Description de la maison

  • 1746 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un poêle, une cuisine, deux chambres et une cave voûtée, deux étages où se trouvent un poêle, des chambres, cuisine, vestibule, le bâtiment latéral comprend un poêle, une chambre à cheminée, un vestibule, un comble à la Mansard comportant une chambre à cheminée et deux cabinets, des greniers dallés, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 000 florins
  • 1755 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, les mansardes sont couvertes de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la cour, le puits et autres appartenances et dépendances à la somme de 4 000 florins
  • 1787 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent quatre poêles, trois cuisines, quatre chambres à cheminée à la française et plusieurs autres chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est en partie solivée et en partie voûtée, le tout estimé avec la cour, le puits et autres appartenances et dépendances à la somme de 3 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Jeu des Enfants

nouveau N° / ancien N° : 17 / 11
Hirschel
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois médiocre état
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 214 case 4

Hirschel, François Xavier, Ve du tonnelier
Hürstel, Philippe Auguste (substitution p. 1861)

P 519, maison, sol, Rue du Jeu des enfants 11
Contenance : 2,10
Revenu total : 217,09 (216,09 et sol 1,09)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 10

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 806 case 2

Hurstel, Philippe Auguste
1901 Cerf, Israel, Kaufmann und Ehefrau Eva geb. Salomon in Errungenschaft gemeinschaft
(ancien f° 554)

P 519, maison, sol, Rue du Jeu des enfants 50
Contenance : 2,10
Revenu total : 217,09 (216 et sol 1,09)
Folio de provenance : (214)
Folio de destination : 554
Année d’entrée :
Année de sortie : 1868
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 10

P 519,, maison,
Revenu total : 298,09 (297 et 1,09)
Folio de provenance : 554, add°
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1868
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 20
Année 1868, Augmentations – Hurstel Philippe Aug.te f° 554, P 519, maison, revenu 297, addition de construction, achevée en 1865, imposable en 1868, imposée en 1868
Diminutions – Hurstel Philippe Aug.te f° 554, P 519, maison, revenu 216, addition de construction en 1865, supp. en 1868

Cadastre allemand, registre 30 p. 324 case 3

Parcelle, section 58, n° 28 – autrefois P 519
Canton : Kinderspielgasse Hs N° 50
Désignation : Hf, Whs u. N. G.
Contenance : 2,15
Revenu : 2300 – 6500 – 5500
Remarques : 1910 Berufung

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1913), compte 2551
Israel Cerf u. Ehefrau in Errungenschaft gemeinsch.
gelöscht 1913

(Propriétaire à partir de l’exercice 1913), compte 255
Israel Cerf u. Ehefrau in GG.
rayé 1931

(Propriétaire à partir de l’exercice 1931), compte 77
Bierbrauerei zum Fischer A. G. Schiltigheim
1927 Brasserie du Pêcheur J. Ehrhard
1931 Brasserie du Pêcheur société anonyme
(91) corrigé en (115)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 3, Rue 56 du Jeu des Enfans, Kindersspielgaß

(maison n°) 11
Pr: Beÿer, Joh: Georg – Kieffer
Loc: Dumonchot, Charles – Musicien

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 56 au Jeu des Enfants f° 145

11
Pr: Beyer, Jean George – tonneliers
Loc: Dumonchot, Charles, Musicien

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kinderspielgasse (Seite 78)

(Haus Nr.) 50
Israel, Leinenwarenhdl. E 01
Mayer, Reisender. 2
Novis, Buchhalter. 2
Novis, Damenschneiderin. 2
Weil, Kassierer 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 1223)

Rue du Jeu-des-Enfants 50

Le propriétaire Hürstel modifie en 1865 le rez-de-chaussée et ajoute un troisième étage. La maison est raccordée en 1885 aux canalisations de la Ville.
La veuve Hürstel ouvre en 1894 une communication dans le mur coupe-feu entre les deux magasins sis aux n° 48 et 50. Ancien locataire devenu propriétaire, Cerf Israel fait transformer en 1903 le rez-de-chaussée et le premier étage qui sert à entreposer des couvertures en laine. Il ouvre une porte dans le mur coupe-feu au premier étage entre les n° 48 et 50, interdite par la Police du Bâtiment mais ensuite autorisée par le ministère pour l’Alsace-Lorraine. Après un premier projet en 1906, Armand Blum, gérant de la société Cerf Israel, transporte tous les entrepôts dans le n° 50 et couvre la cour d’un toit vitré en 1908. La société S. et A. Blum installe en 1914 un atelier de couture dans un bâtiment arrière de la maison voisine (n° 52)
Les locaux sont occupés par les tissus en gros D. Weil et Compagnie (1922-1932) puis la société anonyme Veith-Lecordier et Compagnie (outils et fournitures d’horlogerie et de bijouterie, encore en 1962 sous le nom de Velci).
La Brasserie du Pêcheur charge en 1948 l’architecte J. E. Steger d’aménager au titre des dommages de guerre deux devantures qui sont transformées en 1953 pour l’ébénisterie Fodor. Elle poursuit à partir de 1961 les travaux dans les locaux servant d’atelier d’horlogerie, le gros œuvre est terminé début 1967.
Le magasin de meubles Fodor prend en 1977 l’enseigne Cuir Center de Roche-Bobois. La nouvelle enseigne relève d’un aménagement de façade. Le magasin est transféré en 1987 avant la transformation des bâtiments.

Sommaire
  • 1865 – Le propriétaire Hürstel demande l’autorisation de modifier le rez-de-chaussée et d’ajouter un troisième étage. L’agent voyer note que la façade sans avance est alignée, que le rez-de-chaussée et les deux étages sont en maçonnerie. La hauteur du bâtiment ne devra pas dépasser 15,05 mètres
  • 1865 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier soit autorisé au nom du propriétaire Hürstel à faire une prise pour environ deux becs
  • 1885 – Le maire notifie la veuve Hürstel de raccorder la maison aux canalisations que la Ville installe. L’entrepreneur en bâtiment Schoop et Mayer demande l’autorisation selon le croquis joint. L’entrepreneur qui prévoyait un raccord aux canalisations du voisin (n° 52) devra établir un raccord direct à celles de la Ville. – Autorisation – Dessin
  • 1886 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissariat central. Aloÿse Frey demande l’autorisation de suspendre des chaussures – Accord
  • 1890 – Les locataires Heintz, Blum et Frey se plaignent des mauvaises odeurs – Les services de la ville estiment que les odeurs proviennent des canalisations et proposent d’installer un siphon – Le propriétaire charge l’entrepreneur Matter de faire les travaux
  • 1894 octobre) – La Police du Bâtiment constate que la veuve Hürstel ouvre sans autorisation une communication entre les deux magasins dans le mur coupe-feu qui sépare les n° 48 et 50 – Autorisation – Dessin
    1894 (novembre) – L’entrepreneur E. Matter (rue Kageneck) demande au nom de Cerf Israel de modifier le local commercial
    1894 (décembre) – Cerf Israel demande l’autorisation de placer une grille métallique dans l’ouverture. Les services de la Ville répondent qu’une porte est indispensable – Travaux terminés, mars 1895
  • 1902 – L’entrepreneur Th. et Ed. Wagner (14, rue de la Fontaine) demande l’autorisation de ravaler les façades des n° 50, 52 et 54 qui appartiennent au sieur Ehrhardt – Autorisation
  • 1903 – Le maire notifie Cerf Israel de faire ravaler la façade – A la demande du propriétaire, la Police du Bâtiment accorde un an de délai jusqu’à ce que le pavage de la rue soit terminé – Travaux terminés, novembre 1904
  • 1903 – Cerf Israel (48-50, rue du Jeu-des-Enfants) est autorisé à transformer le rez-de-chaussée et le premier étage du n° 50 – Calcul statique de l’architecte Wolf – L’ouverture dans le mur coupe-feu au premier étage ne peut être autorisée. Le propriétaire répond que comme il a obtenu du commissariat que les locaux ne relèvent pas des magasins au sens des prescriptions du 7 janvier 1900 et du 14 février 1901, il a conclu que l’ouverture était autorisée d’autant que le local sert à entreposer des couvertures en laine peu inflammables – La Police du Bâtiment renvoie à l’autorisation et confirme qu’il ne doit pas y avoir d’ouverture au premier étage. Cerf Israel argue qu’il doit faire face à la concurrence de Berlin et de Francfort et s’engage à poser une porte en fer – La Police du Bâtiment envisage en février 1904 d’accorder sous conditions une autorisation temporaire jusqu’au premier octobre 1909
    1904 (janvier) – Le tribunal commercial inflige une amende à Cerf Israel pour avoir contrevenu au règlement de la Police du Bâtiment – Cerf Israel porte l’affaire devant le préfet qui conclut le 16 mars 1904 qu’il a contrevenu à l’autorisation. – La Police du Bâtiment notifie en mars le propriétaire de murer l’ouverture
    1904 (7 août) – Le ministère pour l’Alsace-Lorraine autorise Cerf Israel à poser une porte à fermeture automatique au premier étage de son établissement de commerce – La porte métallique est posée, novembre 1904, le dossier classé
  • 1906 – Rapport des pompiers suite à un incendie que s’est déclaré dans une pièce
  • 1906 – Cerf Israel qui possède le n° 50 comme propriétaire et le n° 48 comme locataire occupe tout le bâtiment qui ne sert plus d’habitation. Il envisage de réunir le bâtiment latéral au bâtiment avant en supprimant les bâtiments à gauche de la cour et en couvrant d’un toit vitré une partie de la cour pour assurer un bon éclairage – Plan de situation, coupes établis par les architectes Falk et Wolf
  • 1908 – Suite à la vente de la maison voisine n° 48, Armand Blum (demeurant 12, place Kleber), gérant de la société Cerf Israel, transporte tous les entrepôts dans le n° 50 qui ne servira plus à l’habitation. Il souhaite couvrir la cour d’un toit vitré à titre précaire suivant les plans des architectes Falk et Wolf – La Police du Bâtiment donne un accord de principe au toit vitré et à l’installation d’un escalier en fer au deuxième étage du bâtiment arrière – Armand Blum soumet un jeu de plans – Après s’être réunis, l’adjoint Emmerich et l’inspecteur Nebelung donnent leur accord de principe – Armand Blum soumet un nouveau jeu de plans – Calcul statique et complément
    1908 (avril) – Armand Blum argumente pour être dispensé d’établir un couloir de dégagement dont la surface serait supérieure à l’espace gagné par le toit vitré. Les arguments tiennent à l’usage des locaux (entrepôt de marchandises en gros) et à la disposition des lieux (larges allées, escaliers de dégagement, toit vitré sur le pourtour duquel on peut marcher)
    1908 (mai) – Les architectes Falk et Wolf sont autorisés au nom du propriétaire Cerf Israel à faire des transformations intérieures et à couvrir la cour d’un toit vitré en supprimant une ancienne remise – Plan de situation, élévation – Note des architectes sur les piliers
    1908 (23 juin) – Réception du gros œuvre. La Police du Bâtiment relève deux différences par rapport aux plans
    1908 (août) – Réception finale. Le certificat est remis en septembre quand les défauts auront été corrigés
  • 1908 – Le peintre en bâtiment Levy Frères demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissariat qui transmet au maire. Autorisation
  • 1909 – L’entrepreneur de construction Fridolin Huber (8, rue Julien, ensuite rue Sellenick) demande l’autorisation d’étayer la façade et de poser des matériaux sur la voie publique au préfet qui transmet au maire – Autorisation
  • 1914 – S. et A. Blum demandent l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (Vereinigte Wäsche, Industrie Gebrüder Lemmel) – Autorisation – La distance jusqu’au bâtiment voisin est inférieure à celle qu’exige le règlement mais l’enseigne est posée pour le compte du voisin (n° 52, brasserie du Pêcheur)
  • 1914 – La société S. et A. Blum demande l’autorisation d’installer un atelier de couture – Autorisation d’installer des machines à coudre bien que l’atelier ait 2,45 m et 2,20 m de hauteur au lieu des 2,80 mètres réglementaires – L’inspecteur du travail indique les conditions à respecter – Dessin (l’atelier se trouve aux deuxième et troisième étages dans le bâtiment arrière du voisin, n° 52) – La société demande en octobre 1915 un délai pour satisfaire à la deuxième condition de l’autorisation concernant l’escalier parce que l’un des sociétaires est sous les drapeaux et l’autre malade – La Police du Bâtiment note que le quatrième étage sert aussi d’atelier – La société renonce à exploiter le quatrième étage – Le maire enjoint le propriétaire de l’atelier à prendre les mesures pour que l’escalier soit à l’épreuve du feu
    1916 – L’entreprise Kirchenbauer et Waltz (5, quai Dietrich) demande l’autorisation de surélever la cage d’escalier à l’épreuve du feu – Autorisation de transformer la cage d’escalier dans le bâtiment arrière 50-52 rue du Jeu-des-Enfants – Dessin – Déclaration d’ouverture des travaux, février 1916, devis – Les travaux sont terminés, avril 1916
  • 1919 – La société Levy Frères (140, Grand rue) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade – Accord
  • 1922 – La maison de tissus en gros D. Weil et Compagnie transfère ses magasins et son enseigne au 50, rue du Jeu-des-Enfants à compter du premier juillet – Autorisation de poser une enseigne
  • Commission contre les logements insalubres, 1900. Locataire principal, Cerf Israel. Le cabinet d’aisance à l’étage mansardé qui donne à l’extérieur doit être supprimé ou pourvu d’une cloison pour qu’il ne soit plus visible du dehors. 1901, le locataire qui est devenu propriétaire supprime le cabinet.
    1906, Remarques en trois points
    1915, Commission des logements militaires, rien à signaler
  • 1932 – Le liquidateur judiciaire de l’entreprise D. Weil et Compagnie informe la Police du Bâtiment que l’enseigne a été supprimée
  • 1932 – La société anonyme Veith-Lecordier et Compagnie (outils et fournitures d’horlogerie et de bijouterie) transfère ses locaux du 17, rue des Francs-Bourgeois au 50, rue du Jeu-des-Enfants et demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
  • 1938 – Le préfet délivre un récépissé de déclaration concernant un établissement de troisième classe à la société Mathieu Dreyfuss pour entreposer une réserve d’hydrogène
  • 1948 – L’architecte J. E. Steger (17, rue Charles Grad) demande l’autorisation de faire pour le compte du propriétaire (Brasserie du Pêcheur) les travaux autorisés le 5 juillet 1948 par le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. Le directeur général Frédéric Matter dépose un permis de construire pour réparer le bâtiment (aménager deux devantures) – Arrêté portant permis de construire, juillet 1948 – Travaux terminés, septembre 1948 – Plan de situation, dessins – Le maire délivre un certificat de conformité, avril 1952
  • 1953 – Le directeur général de la Brasserie du Pêcheur dépose une demande de permis de construire pour modifier la devanture du locataire Fodor, architecte J. E. Steger. Plan de situation, dessin – Arrêté portant permis de construire, juin 1953 – Les travaux sont terminés conformément aux dessins, octobre
  • 1962 – La société anonyme Veith-Lecordier et Compagnie qui occupe les étages demande l’autorisation de remplacer son enseigne par une nouvelle qui représente une montre (Horlogerie Velci) – Accord du propriétaire (Brasserie du Pêcheur) – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire lumineuse – L’enseigne est posée, janvier 1963.
    1964 – La même demande l’autorisation de repeindre son enseigne pour laquelle elle ne paie plus de droit depuis la guerre – Autorisation de poser une enseigne au néon en lettres détachées
  • 1966 – L’ébénisterie G. Fodor (50-52, rue du Jeu-des-Enfants, exposition et vente de meubles) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Autorisation – L’enseigne est posée, septembre 1966
  • 1961 – Le directeur général de la Brasserie du Pêcheur dépose une demande de permis de construire un atelier d’horlogerie, augmentation de surface 10 m², architecte J. E. Steger – Plan de situation, dessins (premier, deuxième et troisième étages, coupes, façade arrière) – Permis de construire délivré par le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. L’entreprise C. Nocera et Compagnie (37, route du Polygone au Neudorf) réalise les transformations. Les travaux sont interrompus une fois la cage d’escalier terminée. Ils reprennent en novembre 1966, le gros œuvre est terminé, janvier 1967. Le crépissage de la façade arrière est terminé, octobre 1968
  • 1963 – Le maire demande à la Brasserie du Pêcheur de faire ravaler la façade puis accorde un an de délai. Rappel en octobre 1966
    1969 – La Brasserie du Pêcheur est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique. Le ravalement est terminé, mai 1965
  • 1969 – La Brasserie du Pêcheur demande l’autorisation de poser trois enseignes (Ours blanc, 50-52, rue du Jeu-des-Enfants) – Photographie – Autorisation
  • 1976 – Le maire autorise les meubles Fodor à vendre par liquidation avant travaux
  • 1977 – L’entreprise de construction Douglas Muller (rue de l’Unterelsau à la Montagne-Verte) est autorisée à occuper la voie publique 50, rue du Jeu-des-Enfants – La palissade est enlevée une fois la transformation du magasin terminée, février 1977
  • 1977 – G. Fodor (Home du cuir) demande l’autorisation de poser une enseigne (libellé, Cuir Center) – Maquette (Abraham et Rol, à Meudon), photographie de l’ébénisterie Fodor – Le projet qui relève d’un aménagement de la façade est refusé parce qu’il contrevient au règlement – L’enseigne est posée malgré le refus
    1977 (avril) – Le conseiller général Joseph Reiffsteck fait part au maire sur papier à lettres de l’Office du tourisme de ses remarques sur le refus de l’enseigne qui aurait fait l’objet d’un accord verbal de principe
    1977 (juin) – G. Fodor (Home du cuir, Roche-Bobois) dépose une demande de permis de construire – Dessins – La Police du Bâtiment demande qu’un permis de construire soit déposé
    1977 (novembre) – Le Home du cuir ou Cuir Center est autorisé à poser deux enseignes lumineuses
    1977 (novembre) – Pierre Debès dépose au nom de la société Cuir Center une demande de permis de construire – Plan cadastral de situation, dessins, maquette en couleurs, photographies – Arrêté portant permis de construire – La réception des travaux en décembre 1977 ne soulève pas d’objection
  • 1987 – La société Roche-Bobois est autorisée à vendre par liquidation avant transfert de commerce
  • 1988 (mars) – Le notaire Jean-Pierre Krantz de la Wantzenau demande des renseignements d’urbanisme concernant les 50, 52, 54 rue du Jeu-des-Enfants et 18, 20, 22 rue du Fossé des Tanneurs (section 63, parcelles, 28, 29, 7, 8, 9), propriétaire, Brasserie du Pêcheur à Schiltigheim
    1988 (mai) – Même demande par le notaire Francis Hoffmann de Wasselonne

Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1620 à Jean Louis Damm qui a épousé en 1598 Marie Graff

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 94 n° 243)
1598. Sonnt. Jucunditatis 21. Maÿ. Johann Ludwig Damm vndt Maria Pauli Graffen des gartners Nachgelaßene tochter, Eingeseiget Zinstag 30. Maÿ (i 96)

Les héritiers de Jean Louis Damm et de Marie Graff vendent la maison à Jean Sébastien Zeissolff, assesseur des Quinze

1636 (22. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 61-v
(Prot. fol. 148. & seqq.) Erschienen weÿl. Maria Gräfin hanß Ludwig Damen wittiben see: nachgelaßene Erben, mit namen herr Johann Caspar Mockel vice procurator beÿ E. E. Grossen Rhat an stat sein mit Anna Maria Damin see: erziehlten und verstorbenen, Also von ihme Mockel ererbten töchterlins Maria Elisabethen see: herr D. Nicolaus Philippus Scheidt, Alß vogt Pauli, vorgedachter damin mit hanß Paul Mattenmeÿer see: in erster Ehe erzeügten söhnlins, Item hanß Valentin Wanger Alß Vogt Maria Salomeen, sein H. Mockels noch lebend. Töchterlins, Mehr Wilhelm Carle Schmlidt d. goldt Arbeiter und hanß Friderich Linck d. Meelmann, beede Alß Ehevögt Salome und Sara der Damin geschwestern (verkaufft)
dem Ehrenvesten Frommen und wohlweisen herrn Johann Sebastian Zeißolffen XV.ers alhie, welcher Zugegen ihme v. kauffe
Ein vorder und hinderhauß, hoffstat, höfflin und gärtin, mit allen and.en ihren gebäwen & alhie vffm Alten Weinmarckt neben dem H. Käuffer selbsten & neben der Carthäuser Zu Molßheim behaußung, hind. vff Rudolff Schoten see: Nachkommen, zum theil auch vff den H Käuffer selbsten, dauon gehen Jarß vf Urbani 3 ß 6 d ablößig. Zinß dem Stifft S. Thoman alhie hiehero für 8* lb 10. ß hauptgut gerechnet, Item 4. lb 4 ß d Zinß vff Joh.is Baptstæ der samblung Zur driten Regul in hauptgut mit 105. lb Item fünffhalben gulden gelts St. w. vff Thomæ weÿl. Adam Mechlers see. Erben mit 52. lb 10 ß Abzulösen, so seind diese häuser auch noch verhafftet umb 100. lb H. Theodosio Seüblin, Mehr umb 50. lb H Rupert und hanß Paul Reichard, Item umb 149. lb 12 ß 10 d. Herrn Bernhard Branden, Und were diser Kauff vber die beschwerde so der H Käuffer vf sich genommen geschehen per 385. lb

Fils du receveur de l’auberge des Pauvres passants, Jean Sébastien Zeissolff épouse en 1611 Marguerite Heiss, fille d’un assesseur des Quinze
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 93 n° 42)
1611. den 11. Novemb. seindt ehevogt eingesegnet worden Herr Johannes Sebastianus Zeÿsolff von Straßburg, Weiland Herrn Hannß Jacob Zeÿsolffs gewesenen Burgers vndt Schaffners in der elendt Herberg alhie seligen nachgelaßener Sohn, Vnndt Jungfraw Margaretha Heißen, Herrn Hannß Michael Heißen Beÿsitzers des beständigen Regiments der Herrn Fünffzehen allhie eheliche dochter (i 102)

La maison passe ensuite à sa fille Eve Barbe Zeissolff qui épouse en 1655 Jean Joachim Frantz, docteur en droit et secrétaire au Grand Sénat, qui a été chargé de diverses missions diplomatiques, auteur en 1681 d’une relation intitulée Récit exact des causes qui ont déterminé la ville de Strasbourg à se mettre sous la protection française

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 76, n° 37)
1655. Herr Johann Joachim Frantz beeder Rechten doctorandus undt Grosen Raths Schreiber, H. Johann Joachim Frantzen XV. Schreibers alhie Ehelicher Sohn, und Jungfr. Eva Barbara Weÿland des Edlen Ehren Vesten fürsichtig. und Hochweisen H Johann Sebastian Zeissolffs des beständigen. Regiments der Herrn XIII. see. hinderlaßene eheliche Tochter, Copulabant Dienst. d. 30. octobris Zum J S Peter (i 87)

Jean Joachim Frantz devient prévot des Pêcheurs et administrateur du collège Saint-Guillaume (1682) puis assesseur des Treize (1684)
1682, Conseillers et XXI (1 R 165)
Herr Johann Joachim Frantz würd XV. und Oberherr beÿ den Fischern. 128. Pfleger beÿ dem Collegio Wilhelmit. 181.
1684, Conseillers et XXI (1 R 167)
Herr Johann Joachim Frantz wird XIII. 193.

Jean Joachim Frantz meurt à l’âge de 71 ans le 29 avril 1697.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 16-17, f° 121)
1697. d. 29. Aprilis Starb Hr. Joh: Joachim Frantz I. Ctus deß geheimen Regiments der Hrn XIII alhie geweßener beÿsitzer, Undt beÿ d. Universität Scholarcha, auch Ober Kirch pfleger Zum Jung. S. Peter ætat. 71. iahr 3 monath v. 17. tag: Sein Hr Vatter war weÿl. hr. Joh: Joachim Frantz XV.ner alhier, die fr. Mutter weÿl. fr. Dorothea Dachslerin p. m. Ao 1655. d. 30. 8.bris hatt er sich verheurathet an Jfr Evam Barbaram Hr. Joh: Sebastian Zeyßolff hießig XIII XIII.ners ehl. tochter, nach dem solche aô 1677. d. 2. Junÿ gestorben, ist er in dem Wittwen stand geblieben, biß an sein Seel. Endt, wurde Mittw. d. 2. Maÿ begraben nach S. Gallen nach dem ihm Zuvor i d. Kirch Zum Jungen S. Peter (i 128)

Ses héritiers vendent la maison et sa voisine à l’est à l’avocat Michel Oswald Scheffmacher et à sa femme Marie Marguerite Jenner
1698 (21.1.) Chambre des Contrats, vol. 570 f° 47
Erschienen Weÿl. /:tit:/ Hn Johann Joachim Frantzen, gewesenen XIII.ners sel. nachgelaßene Erben respect. Erbens Erben, Nahmentlich weÿl. Fr. Margarethæ geb. Frantzin sel. mit p H. Bernhard Wagnern, SS. Theol. Doctore et Professore erzielten töchterleins Margarethæ Curator, H. Johann Georg Beÿerbach, Schaffner Zum alt. St. Peter weÿl. Fr. Mariæ Dorotheæ auch geb. Frantzin mit salv. tit. Hn. Johann Christoph Artopoeo, Fürstl. Saxen Naunburgischen Cantzlers erzielt. töchlerleins, Mariæ Dorotheæ Curator, H. Johannes Boecler, Med. Doctor et Professor, H. Johann Philipp Frantz, der ledige Handelßmann Und H. Johann Joachim Frantz, Jur. Cand. beede majorennes und ohnbevögtigt, für sich selbst. mit beÿstand H. Johann Jacob Bechten, J.U. Lti und E. E. großen Raths Procuratoris & Advocati vicarÿ
in gegensein /:salv. titl:/ herrn Michael Oßwald Scheffmachers, JCti hiesiger Statt Raths und Advocati, und Fr. Mariæ Margarethæ Elisabethæ geb. Jennerin
Eine Vorder: und hind. hauß, hoffstätte, höfflein, und Gärttlein, mit allen ihren gebaüen, begriffen, weithen, zugehördt, recht. und gerechtigkeit. allhier auff den alt. Weinmarck, einseit neben hernach beschriebener Nebensbehaußung, und Zum theil mit dem Gartten neben der Cartheüser von Molßheim behaußung, anderseit neben der alt. brackenhofferischen behaußung anietzo Zum würthshauß zum tieffen Keller eigenthümlich gehörig, hind. auff H. Johann Caspar Böringer den Gerber zum theil, zum theil auff hanß Georg Beÿern auch Gerbern, stoßend gelegen,
So dann ferner eine Nebens behaußung, hoff, und deren hoffstätte, mit allen deren Gebaüen, recht. Und Zugehördt, einseit neben vorbeschriebenen behaußung, anderseit neben obged. Carthaüser behausung, hind. auff vorbeschriebene behaußung gartt. stoßend gelegen – umb 2000 pfund

Michel Oswald Scheffmacher et Marie Marguerite Jenner revendent aussitôt la plus petite des deux maisons 425 livres à l’employé de la halle Jean Michel Barbenes et à sa femme Catherine Bœhler

1698 (21.1.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 48-v
(Prot. fol. 76) Erschienen /:tit:/ H. Michael Oßwald Scheffmacher, Jltus dießer Statt Rath und Advocatus, und Fr. Maria Margaretha Elisabetha geb. Jennerin
in gegensein Johann Michael Barbenes, deß Kauffhauß bedient. und Catharinæ geb. Böhlerin deßen Ehelicher außfr.
Eine behaußung höfflein, hoffstette, mit allen übrig. deren Gebaüen, recht. und zugehördt. allhier am alt. Weinmarck, einseit neben einer größern behaußung, welche die Verkauffende Eheleuthe heut dato sambt d. ietz verkaufften von weÿl. H. XIII. Joh: Joachim Frantzen sel. Erben erkaufft, jener aber sich expresse reservirt hab. anderseit neben der Carthaüser von Molßheim behaußung, hinden auff eine Maur, welche die verkauffende beede Eheleuthe überzwerch deß hoffs von demjenig. durchbruch, welcher biß hero die communication der beed. haußer gemacht + /:+ d. verkaüffern gantz verbleib* solle:/ grad geg. der Cartheüser gemeinen Maur + /:+ und zwar durch des an ged. Maur stehende Gebaü auch so weit d. ged. gebaü gehet, so hoch d.selbe ist:/ auff Ihren Cost. Zu führen versprochen, stoßend geleg. – umb 425 pfund
darbeÿ ist insond.heit verglich., daß keine theil dem a,dern hinfüro d. licht noch lufft in einige weg zu verbauen macht hab. solle

Originaire de Sainte-Marie-aux-Mines, le tisserand en laine Jean Michel Barbenes épouse en 1669 Ursule Dietrich, fille de pelletier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung Zwischen hannß Michael Barbenes dem Ledigen Wüllenweber und Tubackhmacher und Jungfrawen Ursulæ Dietrichin seiner Verlobten Gespons. (…) zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Hannß Michael Barbenes dem Ledigen Wüllenweber und Tubackhmacher deß Ehrenhafften Matthis Barbenes Wullenwebers burgers Zu Mariæ Kirch und Jetzigen Schirms Verwanthens alhier Zu Straßburg ehelichen Sohn alß hochzeiter an eim, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrawen Ursulæ Dietrichin, weÿland herrn hannß Jacob Dietrichs geweßenen Kürßners und burgers Zu Straßburg seeligen hinderlaßener Ehelicher dochter als Hochzeiterin am andern Theil – So beschehen und Zugangen In deß Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg vff Pfingst Montag den 31. tag deß Monats Maÿ im Jahr deß Herrn als mann Zahlte 1669. Johann Georg Lang, Notarius – Daß Gegenwärtige Heüraths Verschreibung auß Vorgedachts Notarÿ Johann Georg Langen, Als meines Lieben Vatters seeligen Verfaßtem Protocollo Extensivo fideliter Geschrieben (…) Actum Straßburg de 7.ten Octobris Stil. N. Anno 1688. Johann Heinrich Lang Nots. Publ.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 192 v°, n° 19)
1669. Sonntag Trinitatis 6. Junÿ. Hanß Michael Barbanes der Tubackmacher, Matthiß Barabanes deß Wollen Webers Undt Schirms Verwandten allhier Ehelich. Sohn, Und Jfr. Ursula Weÿl. Hanß Jacob Dietrich gewesenen Kürschners Undt Gr färber auch Burgers allhier nachgelaß. eheleibt Tochter – Copulati Mont. 14. Junÿ (i 207)

Jean Michel Barbenes devient bourgeois quelques mois plus tard en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1670, 4° Livre de bourgeoisie p.

Johann Michael Barbanes, der Tabackmacher, Mathÿß Barbanes deß Wollenwebers Von Marien Kirch Sohn, empfangt daß burgerrecht Von seiner Haußfrauen Ursula, Weÿl. Hannß Jacob Dietrichs, geweßenen Kürschners und burgers alhie dochtern umb 8. gold. fl. so er beÿ der Cantzleÿ erlegt. Ist zuuor ledigen standts gewesen, und will beÿ E. E. Zunff der Möhrin dienen. Jurav. den 14. Martÿ A° 1670.

Jean Michel Barbenes se remarie en 1688 avec Anne Catherine Bœhler, veuve de Jean Pierre Müller
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 12 v°)
1688. Domin. 10 et 11 Adventus seindt proclamirt undt außgeruffen word. Hr. Johann Michael Barbeneß der burger undt Kauffhauß bediente allhier Undt fr. Anna Catharina weÿl. Johann Peter Müllers allhier Nachgelaßene Wittib. Seind copulirt worden Mittwoch d. 8. 10.bris [unterzeichnet] Johan Michael Barbenes als hochzeiterer, Catarina Müllerin hochzitrin, Balthasar Grünwaldt als Schwager (i 197)

Jean Michel Barbenes et Catherine Bœhler hypothèquent la maison au profit du pelletier Balthasar Grünwald

1698 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 60-v
Johann Michael Barbenes, Kauffhauß bedienter, und Catharina geb. Böhlerin
in gegensein Hn Jacob Grünwalds deß Goldarbeiters im Nahmen Hn Balthasar Grünwaldts deß Rauch waarhändlers und E: E: kleinen Raths alten beÿsitzers seines leiblich. Vatters – schuldig seÿen 250 pfund, zu erkauffung hernach gemeldten haußes
unterpfand, Eine behaußung höfflein, hoffstatt, mit allen übrig. deren Gebaüen, recht. und zugehördt. allhier am alt. Weinmarck, einseit neben H. Michael Oßwaldt Schöffmachern, J. U. Lti und der Statt Raths und Advocati behaußung, anderseit neben der Carthaüser von Molßheim behaußung, hinden auff ged. Hn Schöffmachern stoßend gelegen (…) wie in der Cancelleÿ Contractstub. und. obig genanndt den 21. Jan. diß jahrs zu befind.
[in margine :] Erschienen H. Johann Ludwig Scheerer Not. publicus alß Vogt Weÿl. Hn Johann Grünwalds gewesenen Notarÿ publici nun seel. nachgelaßener 2. Kinder, alß Enckeln hierinn bemeldten Hn Balthasar Grünwalds (…), den 23. mart. 1705

Ursule Dietrich meurt en 1688 en délaissant six enfants. La succession s’élève à 170 livres
1688 (9. 8.br), Not. Winckler (Elie, 61 Not 10) n° 29
Inventarium über Weÿland Frawen Ursulæ Dietrichin Herrn Johann Michael Barbenes, Kauffhauß bedienten und burgers Zu Straßburg gewesener Ehewürthin seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1688. – nach Ihrem Sambstags den 28. Monatstag Augusti Jüngst ane dießem mühesamen traur: und kummervollen Leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen, Welches alles auf gebührendes ansuchen und begehren deß Ehren: und vorgeachten Herrn Samuel Trechslers Küeffers und burgers Zu gedachten Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Michaels, Johann Jacobs, Johann Philipßen, Margarethæ Ursulæ, Johann Friderichs vnd Anæ Salomeæ, alles Sechs geschwüsterdt und der verstorbenenn frawen seligen mit vor: und nachgemeltem Ihrem hinderbliebenen wüttwern ehelich erziehklter Kinder und nach tod verlaßener ab intestato nächster Erben ersucht – Actum Straßburg Sambstags d. 9. Monats tag Octobris Newen Calenders Anno 1688.

[-] befunden worden. Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, Vor dießer Cammern In der wohnstuben, In der Stub Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, Im haußöhren, In der [-], In der andern Kuchen, Im under haußöhren, Im Keller
Sa. haußraths 85, Sa. Silbergeschmeid 5, Sa. Guldiner Ring 4, Sa. baarschafft 12, Summa summarum 107 lb
Eheberedung (…) Actum Straßburg de 7.ten Octobris Stil. N. Anno 1688. Johann Heinrich Lang Nots. Publ.

Jean Michel Barbenes hypothèque la maison au profit de l’épicier Chrétien Engelhard

1705 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 237-v
H. Joh: Michel Barbenes beampter im Kaufhauß
in gegensein Hn Christian Engelhard specirers – schuldig seÿe 250 pfund
unterpfand, deß debitoris behaußung Cum appertinentiis allhier auf dem alten Weinmarckt, einseit neben H. Advocat Scheffmacher anderseit neben denen herren Cartheüßeren von Moltzheim hinten auf besagten H. Advocaten stoßend gelegen

Jean Michel Barbenes et le Chapitre Saint-Pierre-le-Vieux échangent la maison au Vieux-Marché-aux-Vins contre une autre au Bain-aux-Plantes. La vente devra être ratifiée par l’évêque. L’acte est barré et annulé par la suite

1706 (20.5.) Chambre des Contrats, vol. 579 f° 407
Erschienen S.T. Hr. Carolus Anthonius Lebegue Canonicus beÿm alten St. Peter allhier wie auch hr. Philipp Dorschner Schaffner daßelbst, hierzu von wohlgdachtem Capitulo ihrer außsag nach deputiret einßen
u. anderen theils Joh. Michael Barbenes Kauffhauß bedienter u. Catharina geb. Bölerin deßelben haußfr:
haben angezeigt und bekandt, daß sie nachfolgenden tausch aufrichtig u. redlich mit einander getroffen haben
Erstlichen so übergibt wohlerwehntes Capitulum (…) ihnen Barbenischen Eheleuthen (…) tauschweiß eine behaußung hoff darinnen ein Gärtlein wie auch ein groß steineres gebäu mit allen begriffen, weithen, Zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier ohnweit dem Pflantzbad einseit neben bernhardt Branden weißgerbern, anderseit neben Daniel Ingel fischern, H. Wintherers Pfarrers zu Lipßheim, hinten auf die Breusch stoßend gelegen, so freÿ ledig und eÿgen
So dann übergeben Sie Barbenische Eheleuthe wohlgedachtem Capitulo (…) tauschweiß ihre behaußung höfflein hoffstatt mit allen übrigen deren Gebaüen, rechten u. Zugehörden allhier ahm alten Weinmarckt eins: neben H. Michael oßwald Schöffmachern Gemeiner Statt Rath u. Advocaten anderseit neben deren Carthaüßer zu Molßheim behaußung, hinten auf ihn H. Advocaten stoßend gelegen, so freÿ ledig und eÿgen (…) Hingegen d. Capitulum annoch 625 pfund baaren geldts ihnen Barbenischen Eheleuthen herauß geben solle
Worbeÿ ferners erschien S.T. Hr Joh. Ludwig Dutruc Canonicus daßelbst welchen obiges vertauschte Hauß genußlichen zugestanden, der hat auf solchen genuß renunciret
Endlichen ist versprochen worden Ihro hochfürstlichen Durchleucht daß H. Bischoff allhier Consens annoch auß zu würcken [acte barré]

Jean Michel Barbenes meurt le 12 avril 1712, Son inventaire après décès non conservé est connu par le répertoire
1712, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über weÿl. h: Joh: Michael Barbenes gew: Kauff: hauß bediente alh: Verl: samt deren Abtheilung

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth., reg. pasteur 1701-1716, f° 117)
1712. Dienstag d. 12.ten Aprilis umb 10 Uhr vormittag starb und wurd donnerstags d. 14. Aprilis hor. 2. pom. Zu St. Helenæ begraben H. Johann Michel Barbenes der beÿ allhiesigem Kauffhauß beampte und Burger allhier u. Æt. 67. jahr. 4. woch. 1. tag Sein Vatter ist gewesenen Matthias Barnabas Burger und wollenweber Zu Markirch die Mutter fr. Susanna Schmidin von Jverdun auß der Schweiz, war ehelich verheÿrathet an Jfr. Ursulam dieterichin, Johann Jacob dieterich gewesenen Kürßners und burgers ehl. Tochter. Nachmalen an fr. Catharinam gebohrne Böhlerin weÿl. Johann Jacob Müller kieffers und Burgers allhier nachgel. wittib mit welcher er gelebet biß an sin Seel. Ende – [unterzeichnet] Johann Jacob barbennes alß Sohn, Johann fridtrich barbennes alß Sohn (i 120)

Jean Michel Barbenes et Catherine Bœhler vendent la maison 1 500 livres au notaire Jean Wolfgang Courtz et à sa femme Marie Elisabeth Mockel

1709 (4.5.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 290
(1500) Joh: Michael Barbenes Kauffhauß bedienter u. Cath: geb. Böhlerin
in gegensein H. Wolffgang Curtz Not publ: u. adelischen Schaffners wie auch frn: Mariæ Elisabethæ geb. Mocklerin beÿständlich S.T. H. frid: Reichard Mockels XXI.gers
eine behaußung höfflein hoffstatt und allen übrigen deren gebäuen rechten u. zugehörden allhier ahm alten weinmarckt, einseit neben H. Michael Oßwaldt Scheffmachern G. St. R. u. Advocaten anderseit neben der Cartheüßer von Molßheim behaußung hinten auff ihn H. Advocaten stoßend geegen – um 250 pfund verhafftet, geschehen um 1250 pfund

Jean Wolfgang Courtz et Marie Elisabeth Mockel hypothèquent la maison au profit du boulanger Jean Herrmann

1709 (3.10.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 552-v
Hr Wolffgang Curtz Not: publ. auch adelicher Schaffner und fr: Maria Elisabetha geb. Mockelin beÿständlich S.T. H. frid: Reichard Mockel XXI.gers u. H. Joh: Ernst Beck beampten beÿ der Carthaus allhier
hatt in gegensein Joh: Herrmanns weißbeckers – schuldig 500 lb
unterpfand, ihr hauß c. appert: ahm alten weinmarckt, einseit neben H. Advocat Scheffachers anderseit neben der Carthaus von Molßheim guth hinten auf ihn H. advocaten

Jean Wolfgang Courtz et Marie Elisabeth Mockel vendent la maison 1 650 livres au marchand Jean Kien, assesseur au Petit Sénat

1711 (ut supra [28. Apr.]), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 237
(1650) hr Wolffgang Kurtz Not: publ: und frau Maria Elisabetha geb. Mocklerin
in gegensein H Joh: Kuhn handelsmanns und E. E. Kl. Raths beÿsitzers
eine behaußung höfflein hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, rechten und zugehörden ahm alten Weinmarckt, einseit neben H. Advocaten Scheffmacher anderseit neben der Carthäußer von Molßheim behaußung hinten auf ihn H. Advocat – um 500 pfund verhafftet, geschehen um 1150 pfund

Originaire de Sélestat, le marchand Jean Kien épouse en 1706 Anne Catherine Memminger : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire des biens, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen den Wohm Ehrenvesten Herrn Johann Kienen dem ledigen Handelsmann des Hoch Ehrn Vest und Großachtbarn Herrn Johann Kienen des Rathß und Gastgebs Zum Bock Burgers Zu Schlettstatt mit weÿl. det Viel Ehren und tugendbegabten Frawen Anna Catharina gebohrner Mannin seiner ersten geweßenen Fraw Eheliebsten nunmehr seeligen erziehlten Herrn Sohn als Hochzeiter ane einem, So dann der Viel hren und Tugendgezierten Jungfrauen Anna Catharina Weÿl. des Wohl Edlen, Großachtbar und weißen Herrn Edmund Memmingers E. E. Großen Rathß geweßenen aklten beÿsitzers und Weißbeckns alhier Zu Straßburg nunmehr seel. mit der hoch Ehr: und Tugendreichen Frawen Maria Magdalena gebohrner Ilteßin deßelben Frawen Eheliebsten und nunmehr nachgelaßener Frawen Wittiben ehelich erzeugter Jungfraw Tochter als Hochzeiterin andern Theil – den 13. Decembris Anno 1706 [unterzeichnet] Johanneß Kien alß Hochzeiter, Anna Catharina Memigerin als hochzeiterin – Johann Friderich Schatz Notarius publ: jurat:

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 177)
Die 13 Xbris 1706. (…) copulati sunt honestus ac præclarus Dominus Joannes Kien mercator hujatis & Selestadiensis solutus et ætatis suæ 29 annorum Et pudica ac præclara virgo Anna Catharina Memmingerin Argentinenis ac filia Legitima domini Edmundi Memminger senaoris ac assessoris in maiori senatu argentinensi & Mariaæ Magdalenæ Iltissin at ætatis suæ 17. annorum (signé) Jean Kien, Anna Catharina Memmingerin (i 110)

Il devient bourgeois quelques semaines plus tard en s’inscrivant à la tribu des Boulangers
1707, 4° Livre de bourgeoisie p. 765
Johannes Kühn V. Schletstatt, empfangt d. burgerrecht V. s. Fr: Catharina Memmingerin P. 2. gold fl. 16. ß. Wird beÿ den Becken dienen, Jur: d. 26. Dito [Febr.] 1707

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 4096 livres, ceux de la femme à 875 livres
1707 (25.1.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 9)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güther, so der wohl Ehren und Großachtbare Herr Johann Kien, der Handelßmann und die viel Ehren und tugendsahme Fraw Anna Catharina gebohrne Memmingerin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe zugebracht, welche Crafft der Zwischen ihnen beeden vor der hochzeit mit einander auffgerichteten Eheberedung vom 13.ten Decembris deß Jüngst zurückgelegten 1706. Jahrs, ihnen nemblich einem Jeden und seinen Erben, alßo ein freÿ, ohnverändert und vorbehaltenen guth sein und bleiben.
Geschehen Straßburg den 25.sten Januarÿ 1707 in fernerem beÿsein deß Hoch Edel Gestr. fromb fürsichtig hochgelehrten und hoch weißen herrn Joh: Reinbold Friderici hochmeritirt alten amstrs. undt hohen Membri unserer alten gnädigen herren die dreÿ Zehen genannt dießer Löblichen Statt, ferner S.T. Herrn Johann Schweitzers E.E. Großen Raths alten beÿsitzers, der frawen annoch ohnentledigten herren Curatoris wie auch der frawen Kienen geehrten frawen mutter.
Summa hujus Inventarÿ, des herrn 1. haußrath 109. 2. wein 26, 3. Silber geschirr und geschmeid 17, 4. baarschafft 750, 5. Activorum 3194, S.S.a. 4096 lb
der frawen 1. haußrath 259, 2. waß und bütten 1, 3. Silber geschirr und geschmeid 51, 4. Gold. Ring und geschmeid 63, 5. baarschafft 500, S.Sa. 875 lb
Additio illatorum 4972. lb

Jean Kien devient tributaire chez les boulangers le 30 mai 1707.
1707, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 25-v) Montags, den 30.ten Maÿ – Neuzünfftiger Zudiener gratis
Johannes Kühn, Von Schlettstatt producirt Burger: vndt Stallschein bittet umbs Zunfftrecht. Erkant, soll etwas in die Allmoßen Büchß erlegen undt sonsten gratis recipirt seÿn.

Jean Kien et Anne Catherine Memminger font dresser un état de leurs biens dans le logement qu’ils occupent aux casernes derrière les Ponts couverts. Ils sont propriétaires d’une cense à Illkirch. L’actif du mari s’élève à 3 845 livres, le passif à 3 207 livres
1716 (9.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 35)
Inventarium und Beschreibung aller Haab, Nahrung und Güetere, So Herrn Johann Kienen Und Frawen Annæ Catharinæ gebohrner Memmingerin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg zuständig, welche auß Erkandtnuß E. E. Kleinen Raths Vom 2.ten Martÿ Jüngsthin auß Vorhergegangenes Unterthäniges Ansuchen Sein des Ehe Manns Vnd der gedachtem Ehrsamen Rath beÿgebrachter Ursachen halber (…) inventirt – Actum Straßburg, den 9.ten Martÿ 1716.

In einer Wohnung Hinder den allhießigen Thürnen, in der Casernes gelegen hat sich befunden wie volgt
Summa summarum des Manns unveränderter und respectiue theilbarer Nahrung 3845 lb – Sa. der Schulden 3207 lb, Übertreffen also die Passiva des Manns unverändert : und theilbahr Guth vmb 362 lb
Eÿgenthumb ane einem Meÿerhoff Zu Illkirch, sambt darzu gehörigen ligend. Güthern
Copia der Eheberedung – (…) Johann Friderich Schatz Notarius publ: jurat:

Jean Kien et Anne Catherine Memminger vendent la maison 2 100 livres au marchand de vins Jonas Bentz et à sa femme Barbe Erhard

1713 (3.3.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 135-v
(2100) hr Johann Kühn handelsmann und Cath: geb. Memmingerin [unterzeichnet] Kien, Kienin
in gegensein Jonæ Bentz weinhändlers und Barb: geb. Erhardtin seiner haußfrauen
eine behaußung höfflein hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, rechten und zugehörden alhier ahm alten weinmarckt, einseit neben H. Advocat Schefmacher anderseit neben neben der Carthäußer von Molßheim behaußung hinten auf ihn H. Avocat – um 500 und 500 pfund verhafftet, geschehen um 1100 pfund

Fils d’aubergiste, le commis Jonas Bentz épouse en 1702 Barbe Erhard, originaire d’Eckbolsheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 83)
1702. Eodem die [den 3. Maj] seind Ebenmäßig christlich Copulirt und Ehelichen Eingesegnet Worden Jonas Bentz der ledige Hauß knecht, Jonas Bentzen des burgers v gastgebers allhier Ehelicher Sohn, Vndt Jungfr. Barbara Michael Ehrhardts des burgers v. Weißbecken Zu Eckbolsheim Eheliche Tochter [unterzeichnet] Jonaß bentz Alß hochzedter, m dises Zeichnet hat die Jungfr. Hochzeiterin an statt ihres nahmens vorgesetzt (i 85)

Originaire de Quatzenheim, Jonas Bentz (ici enregistré sous le prénom de Jean) et sa femme Barbe Erhard deviennent bourgeois en s’inscrivant à la trbu des Fribourgeois
1703, 3° Livre de bourgeoisie p. 1241
Johannes Bentz von Quatzenheim der würth V. sein Fr: Barbara Ehardin, erkauffen das burgerrecht p. 6. gold fl. Vnd 16 ß. so auf d. Pfenningth. erlegt worden, wird beÿ E.E. Zunfft der Freÿburg dienen, Jur: d. 28. Dito [9.br] 1703

Jonas Bentz et Barbe Erhard vendent quelques mois plus tard la maison au notaire Jean Chrétien Winterling et à sa femme Marie Barbe Veil

1713 (ut ante [2. Sept.]), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 496-v
(2100) Jonas Bentz Weinhändler und Barbara geb. Erhardin
in gegensein H. Joh: Christian Winterlin Not: publ: und Mariæ Barb: geb. Veihelin
eine behaußung höffl hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuen, rechten und zugehörden ahm alten Weinmarckt, einseit neben H. Advocat Scheffmacher anderseit neben der Carthäuser von Molßheim behaußung hinten auff ihn H. Advocat – um 500, 500, 250 und 600 pfund verhafftet, geschehen umb 250 pfund

Jean Chrétien Winterling et Marie Barbe Veil hypothèquent la maison au profit des enfants Schœpff au nom desquels leur tuteur le boucher Jean Philippe Steinbach

1713 (ut ante [20. oct.]), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 582
hr Johann Christian Winterlin Not publ: und Maria Barb: geb. Weilin beÿständlich Joh: Peter Friedel perg: und Philipp Jacob Kopp Knöpffmachers
in gegensein Joh: Philipp Steinbach metzgers alß Vogts Schöpffische KK – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: ahm alten weinmarckt, einseit neben H Aduocat Schöffmacher anderseit neben dem Carthaüßer hoff hinten auf ihn H Aduocat

Jean Chrétien Winterlin loue sa maison aux officiers Jean Biot et Claude Biot

1714 (29. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 935-v
Jean Chrétien Winterlin Notaire (signé) Jean Christien Winterlin
bail aux Srs Jean et Claude Biot l’un officier du Commandant de La maison du Roy et l’autre employé pour le service de Sa Majesté chez M L’Intendant
sa maison tout entiere sçituée icy au vieux marché au vin tenant d’un côté au Sr Scheffmacher d’autre a une maison appartenant aux Chartreux aboutissant par derrière audt. Sr Scheffmacher, pour un an a commençer a noel 1714
Les parties sont convenues que le propriétaire fera aggrandir La porte de sorte qu’une petite chaise y pourra entrer il mettra l’ecurie en état et fera raccomoder les vitres – moyennant un loyer annuel de 300 livres tournois
[in margine :] continué 8 mois à commencer à noel 1715 pour le même loyer, le 27. juil. 1715

La maison a été adjugée par enchères judiciaire le 31 mars 1717 (date qui figure à l’inventaire de 1737) à Jean Philippe Steinbach (voir l’obligation de 1713) qui la cède quelques jours plus tard à Jean Gérard von Stœcken, ancien assesseur au Sénat

1717 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 244-v
Joh: Philipp Steinbach metzger
in gegensein H Joh: Gerhardt von Stöcken Exs:
hauß hoff hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ahm alten weinmarckt, einseit neben H. Advocat Schöffmachern anderseit neben einem hauß denen herren Carthaußeren zue Molßheim gehörig hinten auff sein H. Advocat hauß darzwischen eine schiedmaur – um 500, 54, 600, 50, 250 und 37 pfund verhafftet, geschehen um 36 pfund

Le juriste Jean Gérard von Stœcken épouse vers 1706 Marie Rosine Hüen. Leur fils aîné naît en avril 1707
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 166)
1707. Sontag d. 10.ten Apr. ist H. Johann Gerhard von Stöcken und fr. Mariæ Rosinæ gebohrner Hünin beeden Eheleuthen ein Söhnlein mit Nahmen Johann Gerhard getauffet worden. Susceptores waren der Hoch Edelgebohrne Herr H. Johann Ludwig von Kehlenbach, gebürtig von Eisenach, daßen H. Vatter ist der Hoch Edel gehohrne herr Philipp Heinrich von Kehlenbach, H. Johann Heinrich Feltz U. I. D. Pandect. et Juris Canonici Prof. Publ. die Hoch Edelgebohrne Fraw, Fraw Sybilla Christina Zornin, deß Weÿl. Wohl Edelgebohrnen H. H. Wolff Heinrich von Zorn deß beständigen Regiments der H. XV. Wohlmeritirten Beÿsitzers hinderlaßene Fr. Wittib gebohrne von Flitschburg. (i 168)

Jean Gérard von Stœcken devient échevin de la tribu des Pêcheurs
1707, Conseillers et XXI (1 R 190)
H. Joh: Gerhard von Stöcken würdt Schöff beÿ den Fischern. 215.

Jean Gérard von Stœcken et sa femme meurent en 1736, le mari à l’âge de 64 ans et sa femme à l’âge de 51 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 3 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 191 livres, le passif à 1 392 livres.

1737 (29.8.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 62) f° 552
Inventarium über Weÿl. des hoch Edel Vest, Fromb, Fürsichtig, hochgelehrt und hochweißen herrn Johann Gerhard Von Stöckken, des beständigen Regiments derer Herren XV. geweßenen hoch verdienten Assessoris und beÿ der Evangelischen Gemeinde zum alten St. Peter hochverordneten Obern Kirchenpflegers wie auch Weÿl. der hoch Edlen und hoch tugendgezierten Frauen Annæ Mariæ Rosinæ von Stöckken gebohrner Hüenin deßelben geweßter Frauen Eheliebstin beeder nun seeliger Verlaßenschafft – nach deme die Frau XV.in den 14.ten Novembris des Verwichenen 1736.ten Jahrs, der Herr XV. aber den 21.ten dießes Jetzt lauffenden Monats augusti Von dem lieben Gott nach seinem ohnerforderlichen Heÿl. Rath und Willen auß dießem Vergänglichen Welt wesen in die immerwehrende seelige Ewigkeit versetzt worden, Zeitlichen verlaßen hinder sich verlaßen haben – So beschehen in der königl. Statt Straßb. auff donnerstag den 29. Aug. et seqq. A° 1737.
Der in Gott ruhende herr XV.r und deßen seelige Frau Eheliebstin ins gemein haben ab intestato zu Erben verlaßen wie Volgt. 1. S.T. Herrn Johann Gerhard Von Stökken vortrefflichen Juris Consultum und beÿ löbl. Freÿen Reichs Statt Speÿr hochbelobten Syndicum und Raths Consulenten, welcher sich ohnlängsten ane S.T. Frau Margaretham Catharinam Feinin, S.T. Herrn Ernst Friderich Feinen vornehmen Banquier und hochfürstl. Marggräfflich Baden durlachischen Hoff factors frau Tochter ehelich Vermählet, deme aber der begangene fehler des Verheÿrathens ratione deßen allhießigen Civilegÿ Vermög Extractus allhießigen Großen Raths Memoriali Von 28.ten aug. 1727 ex speciali gratia dispensando condoniret und erlaubt worden, die Inventur dißer Verlassenschafft wie beÿ anden burgern üblich, Vorzunehmen, Jedoch mit dem beding daß Er Hr. Syndicus Von Stökken sich übrigens denen hießigen Ordnungen in allen stücken submittiren solle, welcher dann mit und beneben obwohlernanndter deßen Fr. Eheliebstin persönlich zugegen geweßen, 2. T. Frau Mariam Elisabetham Hoffmännin gebohrne Von Stökken S.T. Herrn Philipp Christian Hoffmanns Vornehmen handelsmanns in Löbl. Freÿen Reichs Statt Wormbs Frau Eheliebstin, deren auß Erkandnus E.E. Großen Raths alhier Vom 27.ten Maji A° 1737 das burgerrecht ex speciali gratia dispensando und ohne præjudiz auff ein Jahr gegen Verspruch des angegebenen bürgen, Herrn Johann Daniel Unselts, wohlmeritirten Schaffners des Collegÿ Wilhelmitani undt Ambtschaffners des ambts Dorlißheim continuiret worden, der auch den 28.ten augusti und alßo gestrigen tages die behabung gethan, welche ältere frau tochter mit und beneben Ihrem Herrn Eheliebsten dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, und dann 3. S.T. Jungfrau Mariam Salome Von Stökken, die jüngere noch ledige tochter, deren S.T. Herr Johann Daniel Wetzel Vornehmer Handelsmann und E.E. Großen Raths alter wohlmeritirter Assessor auch Jetziger Wohlverordneteer dreÿer des allhießigen Pfenningthurns und Vornehmer burger allhier zu einem Vogt constituirt worden, auch Von Ihro Gnaden dem Jetzig Wohl regirenden Herrn Ammeister Krafft Extractus deßen Hauß memorialis Vom heutigen dato, die Erlaubnus erhalten hat, daß mit dem angestellten Inventations Geschäfft fortgefahren werden möge (…), Alßo alle dreÿ eingangs hoch Edelerwehnten H. XV.rs und deßen fr. Eheliebstinin beeder nun seel. ehelich mit einander erzeugte H. Sohn, frau und Jgfr. Tochter auch ab intestato Verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behausung befund. worden wie volgt
(f° 12-v) Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der Bühn, In der Cammer A, Im obern Haußöhren, Auff der Truckeneÿ, In der seel. H. XV. Stuben, In der Jgfr. Tochter Stuben, Im mittl. haußöhren, In der Küchen, In der wohnstub, In der Cammer darneben, In der hindern Stub, Im unteren Haußöhren, In der untern Stub, (f° 7) Ferner Holtzwerckh. In der bauch Küchen, In der Magd Cämmerl., Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. Erstlichen Eine behaußung Hoff und Hoffstatt, sambt allen übrigen gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden undt Gerechtigkeiten, geleg. allhier zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt, einseith neben H. Advocat Holden, 2. seit neben einem hauß, denen H Cartheüßern Zu Moltzheim gehörig, hinden auff hoch Edelgedachten herrn Advocat Holden stoßend, so freÿ, ledig und eigen und durch (…) die Werckmeistern des Maurhoffs vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftl. Abschatzung vom 28.ten Augusti 1737. æstimirt pro 3600 fl. oder 1800 lb. Wie der seelige H. XV. dieße behaußung von Johann Philipp Steinbach dem Metzger an sich erkaufft, weißet ein teutsch perg. Kauffbr: in allh. Cantz. Contr. Stub gefert. und mit deroselb. anhang. Innsiegel verw: datirt den 16. Aprilis Anno 1717, worauff a tergo ein Ablößung der dar oben gestandener Capitalien notirt zubefinden. Dabeÿ ein teutscher perg. Gant Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths anhang. Innsiegel bekräfft. datirt den 31. Martÿ 1717. Weiter 2. teutsche perg. Kauffbrieff, in allhieß. Cantz. Contr. Stuben gefert. und mit deroselb. anhang. Contract Innsieg. verw. davon der jüngere datirt den 4. Martÿ 1713. der ältere aber den 21. Januarÿ 1698. alle Vier mit jetzigem N° 9 signirt
Item, eine behaußung in der Vorstatt Crautenau ane der überzwerchen neuen Gaß, beÿ der neuen Cazern gelegen (…)
(f° 30) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia des Herrn XV.ern selbsthändig geschrieben und unterschriebener letzten willens Disposition, Straßburg den 19.ten Junÿ Anno 1737
(f° 31) Sa. hausraths 233, Sa. Weins und leerer Faß 49, Sa. silber geschirr und Geschmeids 127, Sa. Goldenen Geschmeids 18, Sa. baarschafft 75,Sa. Pfenningzinß hauptgüter 795, Sa. Gülthen von liegende güthern 88, Sa. Eigenthums ane häußern 2800, Sa. Schulden 3, Summa summarum 4191 lb – Sa. Schulden 1392 lb, Verbleibt 2798 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 2798 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Pfenningzinß hauptgüter 50, Zweiffelhaffte und ungewiße Schulden 92 lb

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1716-1783, f° 127-v)
1736. Mittw. den 14. Novembr. morgens frühe um 5 uhr starb alhier S. T. Fr. Anna Maria Rosina Stoeckin gebohrner Hüenin S. T. Herrn Johann Gerhard von Stöcken des Beständigen Regiments derer Herrn Fünff Zehen allhier hochansehnlichen Assessoris und beÿ der Evangelischen Gemeinde Zum Alten St. Peter Hochverordneten Ober Kirchen Pfleger geweßene Frau Eheliebste wurde Mittw. d. 16. Ejusd. nach von mir unterschriebenen Pfarrer in der Kirche Zum Jungen St Peter gehaltenen Leichen Predigt auf dem Gottes St. Helenæ Christlichem Gebrauch nach begraben, Ihres alters 51. Jahr 8 monath und 5 Tage (i 132)

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1713-1736, f° 138 n° 13)
1736. Mittw. den 21. Augusti morgens gegen 10. uhr starb S. T. Herr Johann Gerhard von Stöcken deß beständigen Regiments der Herren XV. In allhiesiger löblichen Statt Straßburg geweßenen hochmeritirten assessoris auch beÿ der Evangelischen Gemeinde Zum Alten St. Peter hochverordneten Ober Kirchen Pfleger, hat gelebt 64 Jahr 10 Monath weniger 3 Tag und ist Freÿt. den 23.sten ejusdem Zu St. Helenæ Christlich begraben Worden [unterzeichnet] Joh: Gerhard von Stoekken syndicus Zu Speÿer als Sohn (i 141)

Les héritiers von Stœcken vendent la maison 2 250 livres au tonnelier municipal Jean Breslé et à sa femme Marie Ursule Braun, propriétaires d’une maison rue des Sœurs.

1738 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 135-v
weÿl. S.T. H. Fünffzehners Johann Gerhard von Stöcken hinterlassener sohn H. Johann Gerhard von Stöcken J.V.Lti und Consulent beÿ der Freÿen Reichstatt Speÿer, ferner H. XXI. Johann Daniel Wetzel als curator Fr. Mariæ Elisabethæ geb. von Stöcken H. Philipp Christian Hoffmann des handelsmanns zu Worms Eheliebstin, wie auch Jfr. Maria Salome von Stöcken von dem selben und ged. Hoffmann (…) bevollmächtigt
in gegensein Johann Preßlé des Stattkieffers und Mariæ Ursulæ geb. Braunin
Eine Behausung, hoff, Bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am alten Weinmarckt in der Kinderspielgaß, einseit neben S.T. H. Frantz Anthoni Hold J.cti gemeiner Stadt Rath und Advocato anderseit neben einem denen H. Cartheißern zu Molßheim gehörigen hauß hinten auff besagten H. Advocat Hold darzwichen ein Schiedmaur ist stosend gelegen, welchem Holdischen hauß zufolg am 21. jan. 1698 errichtete Kauffbrieff weder Liecht noch Lufft in einigen weg verbaut werden mag – als ein von ihrem H. Vatter seel. der selbige am 16. Aprilis. 1717 erkaufft hat ererbtes guth – um 2250 pfund

Jean Breslé épouse en 1729 Marie Barbe Loger, fille de menuisier puis en 1734 Marie Ursule Braun.
Marie Ursule Braun meurt en 1746 en délaissant trois enfants. Plusieurs maisons font partie de la communauté. La masse propre au veuf s’élève à 1 515 livres, celle des héritiers à 1 865 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 871 livres, le passif à 5 301 livres

1746 (14.3.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 2) n° 49
Inventarium über weÿland der viel Ehr: undt tugendsamen frauen Mariæ Ursulæ Breßle gebohrner Braunin des Ehrenhafften und wohlachtbaren Herrn Johann Breßle vornehmen burgers undt Statt Kieffer allhier Zu Straßburg geweßenen Haußfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1746. – nach ihrem den 3.ten jüngst verwichenen Monats Februarÿ aus dießem jammervollen Leben genommenen tödlichen hintritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren vorgedachten Herrn wittibers selbsten, so dann Herrn Johann Martin Eckels des burgers undt Kieffers auch weinhändlers allhier als der verstorbenenn seel. mit vorerwehntem H. Wittiber Ehel. erzeugter dreÿer Kindter undt ab intestato verlaßener Erben Mariæ Magdalenæ, Johannis Baptistæ und Francisci Ignatii derer Breßle geschwornen Curatoris fleißig ersucht – So beschehen Zu Straßburg den 14.ten tag des Monaths Martÿ et seq. in dem 1746. Jahr.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiehl gaß gelegenen in dieße verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden
Eigenthumb ane Häußern. (T.) Erstlichen eine behaußung höfflein und Hoffstatt, sambt allen deren gebäuden, weithen, rechten undt Gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg ane der Kindterspiehl gaß gelegen, einseith neben S. T. H. Frantz Anthoni Hold juris Consulto Statt rath und advocato allhier, anderseit neben dem Cartheüßer hoff, hinten Zum theil auff wohlgedachten H. Advocat undt Zum theil auff erwehnten Cartheüßer hoff stoßend, so freÿ, Ledig undt eigen und von der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern vermög deren Concept beÿliegenden Abschatzungs schein vom 5.ten Martÿ 1746. æstimirt und angeschlagen vor 4000 gulden, 2000 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stuben gefertiget und mit dero kl. Anhangenden Secret insigel verwahret, so datirt d. 3. martÿ 1738. mit N° 2 notirt. Ferner i. teutsch. Perg. Ganthbrieff de dato d. 30. Martÿ 1717. mit der Statt Straßb. anhangendem größern Sigillo verwahrt mit altem N° 9 notirt und dabeÿ gelaßen. So dann noch 3. alte Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contr. Stuben gefertiget und mit dero anhangenden Secret Insiglen verwahret, deren der eine den 16. apr. 1717. der andere d. 4. martÿ 1713. u. der 3.te d. 21. jan. 1698. datirt, alle 3. mit altem N° 9 not. und darbeÿ gelaßen
(T.) It. die helffte für ohnvertheilt ane der Gast behaußung zum grünen jäger
vor dem Spitthal thor ane der Illkirchheimer Straß gelegen ohneit dem Wickhäußel, der Schachenmühl gießen (…)
(E.) Item die Gast behaußung Zur Cron in der Vestung Kehl gelegen (…)
Abschatzung dem 5. Martzÿ: 1746. Auff begehren deß Wohll achtbahren und bescheitnen H. Johanneß brëßler dem Statt Küffer, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, auff der Kindterspiell gasen gelëgen, so ein seitß an herrn atvocat holten, anderseitß Neben dem Cartißer hoff, hinten Zum theill auff H. holten und Carthæußer hoff Stoßend, welche behausung unden ein gangß das haus Ehren Neben daran ein Stuben, Kuchen und 2. Cammern gewölbter Keller und 2. Stock ein Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren, Ihm seiten gebäu ein Stube, Cammin Cammer hauß Ehren, worüber dero tachstull mit einer Mansart darinen ein Camin Cammer und 2. Nebenß Cammer besetzte bienen sambt aller gerëchtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preiß nach angeschlagen Wirdt vor und Umb Vier Taisent Gulten
Der 2.te begrief ist auch allhier (…)
bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen werck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Zuvolg des über beeder nunmehro Zertrennten Eheleuthen Zugebracht Nahrungen den 28. Julÿ 1735. durch mich Notarium auffgerichteten Inventarÿ
Series rubricarum. Des H. Wittibers unveränderten Guths, Sa. haußraths 23, Sa. Werckzeugs 28, Sa. Silbers 1, Sa. Golden Geschmeids 14 ß, Sa. Eigenthumb ane einem bandplatz 17 ß, Ergäntzungs rest 1534, Summa summarum 1590 lb – Passiva 75, Nach deren Abzug 1515 lb
Volget nun auch die beschreibung der Erben unveränderter Nahrung, Sa. hausraths 79, Sa. Silbers 4, Sa. Goldenen ringen 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 87, Sa. Activa 75, Sa. Ergäntzung 1613, Summa summarum 1865 lb
Endlichen wirdt auch das theilbare Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 153, Sa. Werckzeug gemacht etc. 109, Sa. Wein et Lährer faßen 953, Sa. Pferdts 9, Sa. Silbers 45, Sa. baarschafft 44, Sa. activorum 204, Sa. Eigenthumbs ane häußern 2352, Summa summarum 3871 lb – Schulden 5301 lb, Theilbares passiv onus 1430 lb
Stall Summa 1947 lb
Copia der Eheberedung (…) Mittwochs den 20. Januarÿ 1734, Johann Jacob Oelinger Notarius juratus

Jean Breslé se marie en troisième noces avec Marie Anne Isabelle Arnold, native de Ladenburg en Palatinat  : contrat de mariage, célébration

1746 (24. Xbr), Not. Claus (Adam, 7 not 13, protocole) n° 466-v
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest und wohlachtbaren Herrn, Herrn Johann Breßle dem wittiber burger weinhändler und der Zeit wohlverordneten Statt Kieffer allhier Zu Straßburg als Hochzeitern ane Einem,
So dann der Viel Ehren undt tugendsamen Jfrauen Maria Anna Isabella Arnold von Ladenburg gebürtig, weÿl. des wohl Edel Vest und vorachtbaren Herrn H. Michaelis Caroli Adam Arnold geweßenen Hochfrstl. Churpfaltzischen Leib regiments bestmeritirten rittmeisters mit auch weÿl. der viel Ehr undt tugendbegabten Fr. Anna Margaretha Endtlich Ehelich erzeugter Majorenner Jgfr. tochter als Hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen Sambstags den 24.t Xbris in den 1746. Jahr, [unterzeichnet] Johanneß Breßle alß hochzeiter, Maria Anna jssabela Arnold als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 253)
Hodie 28 Mensis Decembris anno 1746 duabus proclamationibus in Ecclesia nostra ac tribus proclamationibus in ecclesia collegiatâ parochiali ad sanctum Archangelum michaelem in Klingenminster diœcesis spirensis (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Breslé Civis et vietor primarius huius Civitatis viduus in secundis nuptiis defunctæ Mariæ Ursulæ Braunin, et honesta puella Maria Anna Isabelle Arnoldin oriunda ex ladenburg diœcesis spirensis (signé) johanneß Breßle, Maria Anna jsabele Arnold (i 133)

Marie Anne Isabelle Arnold devient bourgeoise quelques mois plus tard
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 308
Fr. Maria Anna Isabelle Arnoldin, Von Ladenburg, Erhalt das burgerrecht Von ihrem Ehemann Joh. Breßle dem burger und Statt Kieffer vmb den alten burger schilling u. will beÿ E. E. Zunfft der Kieffer dienen. prom. eodem [11.ten 7.bris 1747]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari rue du Jeu-des-Enfants. Ceux du mari s’élèvent à 5 095 livres, ceux de la femme à 1 113 livres

1748 (28.5.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 9) n° 58
Inventarium über des Ehrenvest: und vorachtbaren Herrn Herrn Johannes Breßle des Kieffers undt Weinhändlers auch vornehmen burgers allhier, Sodann der Viel Ehr und tugendsamen frauen Mariæ Annæ Isabellæ Arnold beeder Eheleuthen in die Ehe zusammen gebrachte Nahrungen auffgerichtet im jahr 1748. – welche nahrungen der ursachen halben damit man sich künfftiger Zeit der in ihrer d. 24.ten Xbris 1746. vor mir notario errichteter Eheberedung stipulirten ergäntzung wegen darnach Zu reguliren haben möchte – So beschehen in der Königl. freÿen statt Straßburg in beÿseÿn undt Persönlichen gegenwarth S. T. H. Frantz Joseph Schloßers des Greffier in der Einquartierungs stub und burgers allhier als d. Ehefr. beÿstands d. 28. maÿ et seq. an. 1748.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiehl gaß gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. (M.) Erstl. i. behaußung höfflein und Hoffstatt, s. allen dero gebäuden, weithen, rechten undt Gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßb. ane der Kindterspiehl gaß gelegen, i. seit neben S. T. H. Frantz Anthoni Hold Juris utriusque Consulto Statt rath und advocato allhier, anderseit neben dem Cartheüßer hoff, hinten Zum theil auff wohlgedachten H. Advocat undt Zum theil auff erwehnten Cartheüßer hoff stoßend, so freÿ, Ledig undt eigen, so vermög Kunder Vertrags zwischen dem Eheherrn und der Kindern 1.ter Ehe vogten d. 16. Maÿ 1746. vor EE. Vogteÿgericht errichteten und den 8.ten Jan. 1747. Von E. E. Großen Rath Confirmirten Kinder Vertrag ohnpræjudicirlich angeschlagen worden umb 3000 lb. Darüber besagt i. teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stuben gef. und mit dero anhangenden Kleinen Secret insigel verwahret, so datirt d. 3. martÿ 1738. mit N° 2 signirt und dabeÿ gelaßen. Ferner i. teutsch. Pergamentener Ganth Kauffbrieff de dato d. 30. Martÿ 1717. mit der Statt Straßb. anhangendem größern Insigel verwahrt mit altem N° 9 notirt und auch dabeÿ gelaßen. So dann noch 3. alte dito in allhießiger Cantzleÿ Contr. Stuben gefertiget und mit dero anhangenden Secret Insiglen verwahret, deren datum ist der eine den 16. apr. 1717. des anderen d. 4. martÿ 1713. u. des 3.te d. 21. Januarÿ 1698. datirt, alle 3. mit altem N° 9 notirt und darbeÿ gelaßen
(M.) Item die helffte für ohnvertheilt ane der Gast behaußung zum grünen jäger (…) vor dem Spitthal thor ane der Illkirchheimer Straß gelegen ohneit dem Wickhäußel, der Schachenmühl gießen (…)
Eigenthumb ane Häußern. (F.) 1/3 ane 2. behaußungen, trotthauß, Stallung und deren weithen (…) gelegen Zu Forst im Speÿrer bissthumb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unveränderten Vermögen, Sa. haußraths 486, Sa. Werckzeugs 266, Sa. Wein et Lährer faßen 1657, Sa. Pferdts 15, Sa. Silbers 128, Sa. Goldenen rings 50, Sa. baarschafft 995, Sa. Eigenthumbs ane häußern 3500, Sa. bandplatzes 50, Sa. activorum 982, Summa summarum 8137 lb – Schulden 3037 lb, Nach deren Abzug 5095 lb
solchem nach Folget auch die beschreibung der Ehefrauen unveränderten Gutts, Sa. haußraths 100, Sa. der Weinen 650, Sa. Silbers 138, Sa. Goldener ringen 189, Sa. baarschafft 35, Sa. Eigenthumbs ane häußern ohne anschlag, Eigenthum ane liegenden güthern ohne anschlag, Summa summarum 1113 lb

Marie Anne Isabelle Arnold meurt en 1754 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 1 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 2 150 livres, celle des héritiers à 1808 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 281 livres, le passif à 5 338 livres

1755 (9.4.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 5) n° 100*
Inventarium über Weÿland der Viel Ehr: und tugendsahmen Frauen Maria Anna Isabella Breßlerin gebohrne Arnoldin deß Ehrenvest und Wohl Achbahren Herrn Johann Breßle, Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier zu Straßburg geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1755. – nach ihrem den 19. Aug. des abgewichenen 1754.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren sein des hinterbliebenen Wittiber wie auch H, Pierre Bugens des Schneiders und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts der abgeleibten frauwen seel. mit erstgemeltem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt und nach todt Verlaßener 4. Kinder und Erben, Nahmentlichen Frantz Gottfriedt, Mariä Franciscä, Josephi Fulgenti und Frantz Bernhardt der Breßle, inventirt und ersucht durch ihne den hinterbliebenen H. Wittiber wie auch Mariam Elisabetham Schönin von Ultingen im Obern Elsaß gebürtig die dienst magd – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Mittwoch den 9.ten Aprilis Anno 1755.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiel gaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstl. eine behaußung höfflein und Hoffstatt, samt allen dero gebäuden, weithen, Rechten undt Gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg ane der Kindterspiehl gaß gelegen, eins. neben S. T. H. Frantz Anthoni Hold Juris Consulto Statt advocato allhier, 2. seit neben dem Carthaußer hoff, hinten Zum theil auff wohlgedachten H. Advocati hoff undt Zum theil auff gedachten Carthaußer hoff stoßend, so freÿ, leedig undt eigen, und dem Concept beÿliegenden Abschatzungs Zedul vom i. hujus von der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern æstimirt und angeschlagen worden vor und um 2000 fl. oder 1000 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stuben gefertiget und mit dero anhangenden Kleinen Secret insigel verwahret, so datirt den 3. Martÿ 1738. mit altem N° 2 signirt und dabeÿ gelaßen. Ferner i. teutscher Pergamentener Ganth Kauffbrieff vom 30. Martÿ 1717. mit der Statt Straßburg anhangendem größern Insiegel verwahrt mit altem N° 9 notirt und auch dabeÿ gelaßen. So dann noch dreÿ alte Kauffbrieff in allhießiger C. Contract Stub gefertiget und mit dero anhangenden Secret Insigel verwahret, deren der 1. datirt den 16. apr. 1717. der andere d. 4. martÿ 1713. der 3.te d. 21. Jan. 1698. alle 3. mit altem N° 9 notirt und ebenfalls darbeÿ gelaßen.
Item eine behaußung zum grünen Jäger genannt (…)
Series rubricarum. Des Herrn Wittibers unveränderten Guths, Sa. haußraths 155, Sa. Werckzeugs 20, Sa. Lährer faßen 86, Sa. Silbers 49, Sa. Gold 6, Sa. Eigenthums ane häußern 1277, Sa. Eigenthumbs ane einem bandplatz 1, Sa. activi 4, Sa. Ergäntzungs rest 3520, Summa summarum 5150 lb – Schulden 3000 lb, Nach deren Abzug 2150 lb
Solchem nach Folget auch der Erben unveränderte Nahrung beschreibung, Sa. haußraths 59, Sa. der Silbers 41, Sa. Goldener ringen 19, Sa. Gültguths 32, Sa. Activi 1000, Sa. Ergäntzungs rests 656, Summa summarum 1808 lb
Endlich Folget auch die beschreibung der verändert und theilbare Vermögens, Sa. haußraths 28, Sa. der weinen und Lährer Faß 636, Sa. Silber 2, Sa. baarschafft 24, Sa. Eigenthums ane einer behaußung und Garten 277, Sa. activorum 313, Summa summarum 1281 lb – Schulden 5338 lb, theilbares passiv onus 4057 lb
Stall Summa 1902 lb
Abschatzung vom 7. Martÿ 1755. Auff begehren Herrn Johannes Bresle ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der Kinder Spiel Gas Gelegen, ein seÿts neben dem Cartheüßer hoff, anderseÿts und hinden auff Herrn Advocat Holden stoßend, solche behausung bestehet in einem Vorder und Nebens Gebäu, worinn etliche Stuben, Kammer und Kuchen darüber ist ein Mançarde mit Breithzieglen belegt, hatt auch einen Gewölbten Keller, Hoff und bronnen, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrnen Werckmeistern Nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtig Keith dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿtausend Gulden
Der zweÿte begrieff Ist Vor dem Metzger thor (…)
[unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister

Jean Baptiste Breslé se marie en quatrièmes noces avec Catherine Pertois : contrat de mariage, célébration

1756 (3.2.), Not. Claus (Adam, 7 not 13, protocole) n° 710
(Contrat de mariage) Du 3° fevrier 1756. furent présens Le Sr Jean Baptiste Breslé marchand de vin et bourgeois de Strasbourg
et Dlle Catherine Pertois fille légitime du Sr Nicolas Pertois serrurier et bourgeois de cette ville de Strasbourg assistée du sieur sondit pere – (Signé) jean Baptiste Breslé, marie catherine Pertois

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 257)
Hodie 9 Februarii anni 1756 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Baptista Bresslé civis et vietor hic, viduus defunctæ Maria Anna Elisabethæ Arnold, Et Maria Catharina pertois filia Legitima Nicolai pertois civis et fabri serrarii et Elisabethæ Dorivalle coniugum (signé) jean Bresle, pertois (i 136)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 3 769 livres, ceux de la femme à 375 livres

1759 (17.10.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 10) n° 99
Inventarium über des Wohl Ehrenvest und Vorachtbaren Herrn Johannes Breßle des Weinhändlers und E. E. Großen Raths alhier würcklichen beÿsitzers und der viel Ehr und tugendgezierten Frauen M. Catharina gebohrner Pertois beeder Eheleuthen und burgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1759. – Welche Nahrungen der Ursachen halbe damit man sich künftiger Zeit der in ihren Ehepactis Stipulirten Ergäntzung wegen darnach zu reguliren haben möge, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren beeder Eheleuthn fleißig ersucht und inventirt (…) So beschehen in fernerer beÿseÿn Herrn Nicolas Pertois des burgers und Schloßers allhier derer Ehefr. Herrn Vatters als beÿstands Zu Straßburg d. 17.ten Octobris 1759.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiel Gaß gelegener Eingangs bemeldtem Eheherrn eigenthümlich zuständigen hiernach beschriebenen behaußung befunden worden
Eigenthumb ane Häußern. Erstl. eine behaußung höfflein und hoffstatt, samt allen dero Eingebäuden, Zugehörden, weithen, Rechten undt Gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg ane der Kinderspiehl gaß gelegen, ein s. neben S. T. H. Frantz Anthoni Hold Juris Consulto der Statt Straßburg Rath und Advocat, 2. s. neben dem Carthaußer hoff, hinten Zum theil auff wohlgedachten H. Advocaten hoff und Zum theil auff besagten Carthaußer hoff stoßend, so freÿ, Ledig und Eigen, Welcjje behaußung vermög Von der Statt geschwornenn Werckmeister, außgestellten Abschatzungs Scheins unterm 7. Aprilis 1755. auff der Statt Stall æstimirt worden umb 2000 fl. und dermahlen jedoch ohnpræjudicirlich auch darbeÿ gelaßen macht 1000 lb. Darüber besagt i. teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract stuben gefertiget und mit dero anhangenden Kleinen Secret Innsigel verwahret, so datirt den 3. Martÿ 1738. mit altem N° 2 signirt und dabeÿ gelaßen. Ferner i. teutscher Pergamentener Ganthbrieff vom 30. Martÿ 1717. mit der Statt Straßburg anhangendem größern Insiegel verwahrt, mit altem N° 9 notirt und auch dabeÿ gelaßen. So dann noch dreÿ alte Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget u. mit dero anhangenden Secret Insigel verwahret, deren der eine d.n 16. apr. 1717. der andere d. 4. martÿ 1713. der dritte d. 21. Januarÿ 1698. datirt, alle mit alten N° 9 bezeichnet undt darbeÿ gelaßen.
Item eine behaußung zum grünen Jäger genannt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unveränderten Vermögen, Sa. haußraths 653, Sa. Werckzeugs und Materialien 73, Sa. Wein et Lährer faßen 3323, Sa.. Silbers 342, Sa. Goldenen rings 37, Sa. baarschafft 830, Sa. Eigenthumbs ane häußern 1555, Sa. Pfenningzinß hauptgüter und Haubt Guths 1000, Sa. activorum 1106, Summa summarum 8823 lb – Schulden 5053 lb, Nach deren Abzug 3769 lb
Solchem nach Folget auch die beschreibung der Frauen Zugebrachten Vermögens, Sa. Silbers 47, Sa. Goldener ringen 78, Sa. baarschafft 250, Summa summarum 375 lb
Conclusio finalis. des Eheherrn Eigenthum 3769, und deßen wÿdtum 5053, So dann der frauen zugebrachte Nahrung 375, Summa finalis 9199 lb

Issu du troisième mariage, François Geoffroi Breslé épouse en 1777 Louise Françoise Marguerite Madeleine Lex
1777 (11.7.), Not. Lacombe (6 E 41, 167) n° 17
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – M François Godefroi Broeslé, avocat aud. Conseil (Conseil souverain d’Alsace) et Greffier des baillages de Dan et Magdebourg, fils majeur Jean Baptiste Broeslé, ancien assesseur au Grand Sénat de cette ville, et de feu Marie Isabele Arnold
Dlle Louise Françoise Marguerite Madeleine Lex fille mineure de feu François Antoine Lex, receveur des Dames Religieuses penitentes au Monastère de la Madeleine, et de Marie Catherine Kubler

Jean Breslé et Catherine Pertois hypothèquent la maison au profit du coutelier Jean Frédéric Bogner

1785 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 281-v
H. exsenator Johann Breßle der weinhändler und Catharina geb. Pertois unter assistentz Johann Breßle des kieffer meister ihres stieffsohns und Sr Johann Baptista Pertois des schloßermeisters ihres bruders
in gegensein H. Johann Friedrich Bogner des kurtzmeßerschmidts – schuldig seÿen 1500 lb
unterpfand, ihre eigenthümlich zuständig. ane der Kinderspielgaß gelegene behausung), einseit neben SS. TT. H. general advocat Hold, anderseit neben der Carthaußer hauß, hinten auff vorgedachte Carthaus

Issue du quatrième mariage, Marie Caroline Breslé épouse Pierre Augustin Guyot
1797 (27 thermidor 5), Strasbourg 13 (9), Not. Bremsinger n° 679
Contrat de mariage – Citoien Pierre Augustin Guyot, Emploïé des Vivres a l’armée du Rhin, fils majeur de feu le Cit. Didier Guyot négociant à Pondichery avec Cit. Marie Anne Boudet, assisté du Cit. Alexandre Didier Goyot Inspecteur des Vivres a ladite armée son fere
la Cit. Marie Caroline Breslé fille majeure de feu le C. Jean Baptiste Breslé, négociant, avec la Cit. Catherine Pertois
(enregistrement, revenu les appointements à l’armée)
Enregistrement de Strasbourg, acp 53 F° 182-v du 5 therm. 5

Jean Breslé meurt en 1787 en délaissant dix enfants issus de ses trois derniers mariages. Les experts estiment la maison 1 500 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 5 126 livres. L’actif de la communauté s’élève à 207 livres, le passif à 9 361 livres.

1787 (4.5.), Not. Becker (6 E 41, 1395) n° 43
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, liegend undt fahrenter, keinerleÿ davon ausgenommen, reservirt noch vorbehalten, so weÿl. der Ehrenvest undt Wohlachtbare Hr Johann Breslé, im Leben geweßter Kiefer und Weinhändler auch burger und Exsenator allhier zu Straßburg nach seinem Sambstags den 24. Martÿ dieses laufenden 1787.sten Jahrs beschehenen Absterben hie zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf freundliches Ansuchen Erfordern und begehren der Viel Ehr: und tugendsamen Fraun Mariä Catharinæ geb. Bertois der hinterbl. Fr. Wb. beÿständlichen Mr Christoph Görner bgrs. u. Schlossermeisters allhier (…) ersucht durch Sie die hinterbl. Fr. Wb. die im Haußwohnende Söhn und töchtere auch die dienst Magd – So beschehen zu Straßburg den 7. Maÿ 1787.
Der Verstorbene Sel. hat ab intestato zu Erben verlaßer als folgt, 1. die tugendsame Fr. Maria Magdalena geb. Breslé, H. Johannes Bertois bgrs. und Schloßer meisters allhier ehel. Haußfrau unter beÿstand gedacht ihres H. Eheliebsten, 2. Hr. Johann Baptiste Breslé brg. u. Kiefer mr. alhier, diese 2. des verstorbenen mit Weÿl. Frau Maria Ursula geb. Braun in 2.ter Ehe erzielte Kindere
3. H. Frantz Gottfried Breslé, Wohlbesteller Amtschreiber des Amts Artzheim, so abwesend, 4. die tugendsame Jgfr. Maria Francisca Breslé, leedig. u. großjährigen Standtes unter beÿstand H. Charles Christiani Inspecteur principal des Ponts et chaussées allhier wohnhaft, 5. H. Frantz Bernhard Breslé großjährig. u. ledigen Standtes, diese 3. mit Weÿl. Fr. Maria Anna Isabella geb. Arnold in 3. Ehe erzielte Kindere
6. H. Nicolaus Breslé großjährig. Standes abwesend und sich dem vermuthen nach in England befinden solle, 7. H. Johann Stephan Breslé, Eleve des Ponts et Chaussées so verheurathet, 8. H. Ludwig Breslé, abbé au Seminaire allhier, 9. H. Anton Breslé ungefehr 21 Jahr alt, 10. Jgf. Carolina Breslé ungefehr 15 Jahr alt, diese 5 des verstorbenen seel. mit Fr. Maria Catharina gebohrne Bertois in 4. u. letzter Ehe erziehlte Kindere. Vor die 2 abwesende H. Söhne (…) ist als deputatus gegenwartig Mr Michael Murr E.E. Kl. Raths beÿsitzer u. deren 2. Minorennen Kinderer aber, als geordnet und geschworner vogt ist Mr Frantz Heÿd brs. u. Kiefermr. allhier. Alle 10 Kindere und Erben des verstorbenen Hn Rathh. Johann Breslé ihres Vatters seel. Zu gleichen Portionen und antheilern
auf begehren, ob eine Eheberedung oder sonstiger letzter wille vorhanden seÿe hat die Wb. declarirt daß ihr Verstorbene Eheherr und Sie beÿ ihrer Ver Ehelichung zwar eine Eheberedung vor Weÿl. H. Not. Joh. Adam Claus Not. publ. allhier hätten errichten laßen, dieselbe aber ohnerachtet aller in denen Schreibstuben gethanen Recherchen nicht hat ausfindig gemacht werden können, dahero die Wittib eingewilligt, daß dieses geschäft nach hiesiger Stadt Ordnung und Statuten vorgenommen werde

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinder spielgaß gelegener in diese Verlaßenschafft eigenthümlich gehöriger behausung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Fr. Wb. währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Zufolg des über beeder nun Zertrennten Eheleuthen Zugebrachten Nahrungen durch H. Joh. Adam Claus Notm. publ. Juratum unterm 17. 8.bre 1759 errichteten Inventarÿ
Behaußung, So der Erben ohnverändert. Neml. I. behausung, Höflein und hoffstatt samt allen deren Eingebauden, Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten dahier in der Stadt Straßburg ane der Kinderspiel gaß gelegen 1.s neben S.T. M. Frantz Antoni Holdt Juris Consulto der Stadt Straßburg Rath und advocat anderseit neben dem Carthauser hof, hinten zum theil auf wohlermelten H. advocaten hof und zum theil auf besagten Carthauser hof stosend, so auser denen in denen theilbaren Passivis bemerckte 2. Capitalien sonst leedif und Eigen, Welche behaußung vermög hiesiger Statt geschwornen H. Bau Inspectore und Werckmeistern ausgestellten Abschatzungs Scheins unterm (-) so dem Concept gegenwärtig. Inventarÿ angeheftet verblieben æstimirt und angeschlag. worden vor 3000 fl. oder 1500 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff in allhiesiger Cantzleÿ Contract stub gefertiget und mit dero anhangendem kleinern secret Insigel verwahret so datirt den 3. Martÿ 1738 mit altem N° 2 signirt und dabeÿ gelaßen. Ferner ein teutscher pergamentener Ferner ein ganth brief vom 30. Martÿ 1717. mit der Statt Straßburg anhangendem größern Insiegel verwahrt, mit altem N° 9 notirt u. auch dabeÿ gelaßen. So dann noch 3. alte Kauffbrief in allhießiger Cantzleÿ Contract stub gefertiget und mit dero anhangenden Secret Insigel verwahret, deren der eine dnn 16. Aprilis 1717. der andere den 4. Martÿ 1713. der 3.te den 21. Jenner 1698. datirt, alle mit alten N° 9 bezeichnet undt darbeÿ gelaßen.
– Abschatzung Vom 12.ten Maÿ 1787. Auff begeren Weÿland Herr Rathherr johannes Breßler dem geweßenen Kieffer Meister ist Eine behausung alhier in der statt strasburg in der Kinterspiell gaß gelegen Ein seÿts neben dem Kartieser Hoff anderer seÿts und Hinten auf Herr General advocat Hold stoßend gelegen, solche behausung bestehet in forder und Nebens gebäu worinen Vier stuben, dreÿ Küchen Vier fransösche Kamin Zimer und Etlichen Kammeren, darüber seÿn die dachstühl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter und Ein getremter Keller Hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero gewesener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Dreÿ tausend gulden, [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner W:Mstr, Klotz WMstr.
Series rubricarum. der Frau Wb. unverändert Guth, Ergäntzung 562 lb
der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. Kleidungen 2 lb, Sa. Eigenthum ane einer behausung 1500 lb, Sa. Ergäntzung 7914 lb, Summa summarum 9416 lb – Schulden 4290 lb, Nach deren Abzug 5126 lb
das Theilbare Guth, Sa. hausraths 124 lb, Sa. leerer Fäßen 67 lb, Sa. Silber geschmeids 14 lb, Summa summarum 207 – Schulden 9361 lb, Compensando, passiv onus 9183 lb – Conclusio finalis, mehr Schulden dann Guth 3494 lb

Les héritiers Breslé vendent la maison 3 060 livres au brasseur Jean Georges Beyer

1787 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 278
H. Frantz Heÿd der kieffer meister als geordneter vogt weÿl. H. exsenatoris Johann Breßle des weinhändlers und Maria Catharina geb. Pertois in vierter Ehe erziehlten minderjährigen zween kindern nahmentlich Antoni und Catharina, H. Lt. Johann Joseph Solff Procurator vicarius als curator ad actum vor und innahmen H. Nicolaus Breßle, so in London sich auffhalten soll, und H. abbé Ludwig Breßle, De Maria Magdalena Pertois geb. Breßle H. Johann Baptist Pertois des schloßer meisters Ehegattin, H. Lt. Johann Nicolaus Wilhelm E. E. großen Raths Procurator et advocatus ordinarius vor und innahmen H. Lt. Frantz Gottfried Breßle des amtschreibers der ämbter Fahn und Madgenburg zu Artzheim wohnhafft, Mademoiselle Maria Francisca Breßle großjährigen alters beÿständlich ihres bruders H. Johann Baptist Breßle des kieffer meisters, so auch zugleich vor sich selbst, Frantz Bernard Breßle großjährig diese fünff letztere kinder 3. ehe
in gegensein H. Johann Georg Beÿer des bierbrauers
die in weÿl. H. Breßle dißortigen H. vatter verlassenschafft gehörige behausung, höfflein und hoffstatt, bronnen mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kinderspielgaß, einseit neben S. T. H. general advocat Holff, anderseit neben der Cartheußer hoff, hinten zum theil auff wohlermelten H. Holff zum theil ged. Catheuser hoff – um 6120 gulden meistgebotten

Fils du pasteur d’Entzheim, Jean Georges Beyer épouse en 1759 Marie Salomé Milius, veuve de l’aubergiste Georges Guillaume Blessig : contrat de mariage, célébration
1759 (15.6), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 565) n° 46
(Eheberedung) persönlich kommen und erschienen seÿen der Ehren: und vorgeachte Herr Johann Georg Beÿer, lediger biersieder, weÿland S. T. Herrn Mag. Johann Jacob Beÿer, geweßenen treueiferigen Pfarrherrn der Evangelischen Gemeinde Zu Entzheim und burgers allhier Zu Straßburg, längst seeligen hinterlassener ehelicher Sohn, als Hochzeiter, ane einem
So dann die Viel Ehren: und tugendsahme Frau Maria Salome Pleßigin gebohrne Miliußin, Weÿland Herrn Georg Wilhelm Pleßig, geweßenen biersieders und burgers allhier seeligen hinterlaßene Frau Wittib als Hochzeiterin am andern Theil
So beschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 15. Junii Anno 1759. [unterzeichnet] Johann Georg Beÿer als Hochzeiter, Maria Salome Bleßigin als hochzeiterin, Pillipp Wilhelm Millius als Vatter

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 24)
1759. Mittwoch d. 27. Jun: Wurde nach zweÿmahlige Ausruffung in der Evangelischen Pfarr irch Zu St Nicolai Ehelich eingesegnet Hr. Joh: Georg Bäyer, biersieder und burger allhier weÿl. H. M. Joh: Jacob Beÿer geweßenen Pfarrers un Ensisheim hinterlassener Ehelicher Sohn, v. Fr. Maria Salome geb. Miliußin weÿl. H. Georg Wilhelm Bleßig geweßenen bierbrauers und burgers alhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johann Georg Beÿer als Bräutigam, Maria Salome Bleßigin als Hochzeiterin (i 186)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la brasserie à l’Agneau d’Or. Les apports du mari s’élèvent à 586 livres, ceux de la femme à 1 536 livres
1759 (6.7.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 551) n° 78
Inventarium über des Ehren: und wohlgeachten Herrn Johann Georg Beÿers, des Bierbrauers, und der viel Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Salome gebohrner Mÿliußin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburgn einander vor ohnverändert und in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1759. – welche der Ursachen, dieweilen in Ihr beeder Ehepersonen vor mir Notario d. 15. Junii hujus anni aufgerichteter Eheberedung §° 2.do austrucklich enthalten, daß jedem beeder Eheleuth und deßen Erben die in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle
So beschehen allhier Zu Straßburg, in beÿseÿn Herrn Philipp Wilhelm Mÿlius, des bierbrauers und burgers alhier, der Ehefrauen gel. Herrn Vaters, mit deme Sie hierzu Verbeÿständet, Freÿtags den 6.ten Julii 1759.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Diehlen Gaß gelegenen und zum theil der Ehefrauen eigenthümlich zuständigen hernach mit mehrerem beschriebenen behausung befunden worden, wie folget
(f° 18) Eigenthum ane einer Behausung (F.) Neml. Eine Bierbrauer-Behausung Zum goldenen Lamm genannt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Guths, Sa. Hausraths 96 lb, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 28 lb, Sa. eines goldenen Rings 12 lb, Sa. der Baarschafft 382 lb, Summa summarum 519 lb – darzugelegt die Ihme gebührige helffte ane denen haussteuren 68 lb, Des Ehemanns eigenthümlich. Vermögens 586 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe zubrachtes Guth beschrieben, Sa. Hausraths 533 lb, Sa. des brenn holtzes 36 lb, Sa. des Schiff und Geschirrs zum Kiefer-handwerck und der bierbrauereÿ gehörig 49 lb, Sa. des Hopff und Maltzes 373 lb, Sa. des biers, brandenweins und lährer Faß 238 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 48 lb, Sa. Goldener Ring und dergl. Geschmeids 69 lb, Sa. der baarschafft 319 lb, Sa. Eigenthums ane einer behausung 6000 lb, Summa summarum 7669 lb – Schulden 6200 lb, Nach deren abzug 1468 lb, darzugerechnet die deroselben Zukommende helffte ane denen haussteuren 67 lb, Der Ehefrauen Eigenthüml. Vermögen 1536 lb
der Ehefrauen Kinder erster ehe vätterlichen Prælegaten, Friedrich Willhelm, Johann david, Margaretha Salome

Jean Georges Beyer devient tributaire chez les Tonneliers en juillet 1759
1759, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 110) Dienstags d. 24. Julÿ 1759 – N. Leibz.
Joh: Georg Beÿer der Biersieder erhaltet auff producirten Stallschein vom 15.ten Junÿ das Zunfftrecht, und Zahlt als eines hießigen burgers Sohn, so sich an eines Zünfftigen witt. verheÿrathet 1 lb 10 ß, p. fewreÿmer 10 ß, p. prot. et büttel 5 ß, p. find. 1 ß

Marie Salomé Milius meurt en 1766 en délaissant deux fils de son premier mariage et deux enfants du deuxième avec le veuf. L’inventaire est dressé dans la brasserie à l’Agneau d’or. La masse propre au veuf s’élève à 491 livres, celle des héritiers à 852 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 026 livres, le passif à 2 229 livres
1766 (23. 7.bris), Not. Schweighæuser (6 E 41, 553) n° 167
Inventarium über weÿl. der viel Ehren und Tugendbegabten Fr. Mariæ Salome Baÿerin gebohrner Miliusin, Herrn Joh. Georg Baÿer, des bierbrauers und burg. allh. Zu Straßburg im Leben geweßener Ehefr. nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1766. – nach ihrem den 21. letztabgewichenen Monaths Augusti aus dießer Welt genommenen tödl. Hientritt hier Zeitl. Verlaßen, Welche Nahrungs Verlaßenschafft Dato Zu End stehend auf Ansuchen und begehren sowohl erst benandten des Hinterbliebeneen H. Wittibers mit Zuziehung H. Joh: Friderich Lobstein Not. jurati publ. und practici allh. seines hierzu erbettenen H. Assistenten (…) nach deme Er der Herr Wittiber beneben Joh. Philipp Haffner von Aßenheim, Joh: Jacob Schätz von Franckfurt, und Joh: Heinrich Magelin von Sindringen, aller dreÿen bier Knechten, So dann Fr. Susannä Salome Steinbachin, geb. Römußin, der Warterin, Dorotheä Dürrbachin beede von hier und Mariä Salome Kuntzin, von Achenheim gebürtig, beÿde letztere dienstmägden – So geschehen allhier Zu Straßburg auf Dienstag den 23.ten 7.bris Anno 1766.
Die Verstorbene seel. hat ab Intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Friedrich Wilhelm Pleßig, welcher den 5.ten Martii 1754. zur Welt gebohren worden, 2. Joh: David Pleßig, so den 30.ten Xbris 1755, das Licht dießer Welt erblicket hat. Beede der Fr. Erblaßerin seel. in erster Ehe mit weÿl. H. Georg Wilhelm Pleßig dem gewesenen Biersieder und burgern hieselbsten erziehlte Kinder, welche mit H. Johannes Pleßig dem Gastgebern und auch b. allh: bevögtigt seÿnd, der auch in solcher Qualitæt mit Beÿhülff H. Joh: Carl Fické Not. jur. publ. u. practici allh. seines hierzu erbettenen Hn Beÿstands dießem Geschäfft abgewartet und besagter seiner Curanden Interesse beobachtet hat.
Ferner 3. Georg Friedrich Baÿer, welcher den 30.ten 7.bris 1762 und 4. Maria Salome Baÿerin, die A° 1765 den 28. Xbris zur Welt gebracht wurde, dieße beÿde hat die Verstorbene Fr. Baÿerin seel. in letzter Ehe mit Eingangs benandtem ihrem hinterlaßenen H. Wittiber erzeugt, und ist in deren Nahmen Hr. Philipp Willhelm Milius, der Bierbrauer und ebenfalls Burger hieselbst, ihr Hr Oncle und geschworner Vogt Zu besorgung ihres Nutzens anbeÿ persönlich erschienen.
Alle Vier der abgeleibten seel. zu gleichen Antheilern ab intestato Hinterlaßene Erben.
Copia der Eheberedung, vide unter meinen Notariats acten sub Rubrica Eheberedungen N° 46

In einer allhier Zu Straßburg ane der Dielengaß gelegenen zum guldenen Lamm genandten und in dieße Verlaßenschafft gehörigen, deßwegen hernacher mit mehrerm beschrieben befindl. Bier: Behaußung befunden worden wie folgt
Ane höltzen: und Schreinerwerck. Neben der Schwartz getüch Cammer, In der Meel: Cammer, In der Kindts: stub, Neben der Kindts: stub, Im Schlaf-zimmer, In der obern Küchen, Im obern Hauß-Ehren, In der Eckstub, Neben der Eckstub, Neben der untersten Küchen, In der hindersten Stub auf dem Boden, Im tapezirten Zimmer, In der untern Küchen, In der Bierstub, Im Hoff, In der Knecht Cammer, In dem Keller
(f° 16) Eigenthum an einer behausung. (E.) Nemlichen fünff Neunte theil für ohnvertheilt von und ane einer Bierbehausung zum goldenen Lamm genannt (…)
(f° 17-v) Eigenthum an einem Gärthlein und Gartenhäußlein. (E.) Nemlich ein Klein Gärthlein m. einem lebendig. haag umgeben samt dem darinn stehenden alten Gartenhäußlein, außerhalb hießiger Statt, Vor dem weißen thurn oberhalb St: Arbogast ane dem sogenannten Fahr-Garthen gelegen (…)
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths/ Vermög Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für& ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 6. Julÿ 1759 aufgerichet
(f° 28-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des herrn Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. hausraths 28 lb, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 9 lb, Sa. des goldenen Rings 5 lb, Schulden (o), Sa. der Ergäntzung 448 lb, Summa summarum 491 lb
Dießemnach wird auch der Kinder und Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. hausraths 284 lb, Sa. des Schiff und geschirrs zum Kiefer handwerck und der bierbrauereÿ gehörig 10 lb, Sa. der leeren Faß 72 lb, Sa. des Silbers und dergleichen Geschmeids 20 lb, Sa. goldener Ringe dergleichen Geschmeids 20 lb, Sa. Pfenning-Zinß hauptgüter 500 lb, dergleichen Geschmeids eigenthümlichen Antheils ane I. behausung 1346 lb, Sa. Eigenthums ane einem Gärthlein 72 lb, Sa. schulden 1900 lb, Ergäntzung (o), Summa summarum 4227 lb – Schulden 3374 lb, Detrahendo verbleibt 852 lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändet und theilbahrer Guth beschrieben, Sa. hausraths 141 lb, Sa. des Schiff und geschirrs zum Kiefer handwerck und der bierbrauereÿ gehörig 17 lb, Sa. hopff und Malten 96 lb, Sa. des brennholtzes 46 lb, Sa. des daubenholtzes und diehlen 20 lb, Sa. Weins, bier und brandenwein wie auch leerer Faß 141 lb, Sa. des Silbers und dergleichen Geschmeids 18 lb, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 27 lb, Sa. der baarschafft 213 lb, Sa. Schulden in die theilbahre Verlassenschafft zugeltend 3304 lb, Summa summarum 4026 lb – schulden 2229 lb, Nach deren abzug 1797 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 3141 lb Stall summ 1452 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 400 florins (1 200 livres) sur un total de 3 500 florins
1766, Livres de la Taille (VII 1180) f° 38-v
Kieffer N° 1781 – Weÿl. Frauen Mariæ Salome geb. Milliußin Johann Georg Beÿer des bierbrauers und burgers allhier gew. Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft Invent. H. Not. Schweigheußer.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 287. 2141 lb 17 ß 9 d, adde die Vor Inventier kösten und anderes abgezogene 285. lb, so thut dießelbe 3426. lb 17 ß 9 d davonn gehet aber wieder ab wegen dem a 4 pro Cento Angelegtem Capital und dasjenige was schon in Computum gebracht seÿn soll 1689. lb 6 ß 8 d, Verbleibt 1737 lb 11 ß 1 d die machen 3500 fl. Verstallte 1110 fl. Zu wenig 2400 fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo a 7 lb 4 ß, 43 lb 4 ß
und 4 Jahr in simplo, 10 ß 16 ß
Ext. Stall geld 1706, 3 lb
geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 6 lb, 2 ß 6 (Summa) 63 lb 5 ß
das simplex nachgelaßen, restirt 52 lb 9 ß
dt. 13. Xbris 1766.

Jean Georges Beyer se remarie avec Anne Marie Greiner, originaire de Hunawihr, dont le frère Jean Greiner habite Strasbourg : contrat de mariage, célébration
1767 (5.5), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 566)
(Eheberedung) Herr Johann Georg Beÿer der Wittiber, biersieder und burger in Straßburg
und Jungfrau Anna Maria Greinerin weÿl. H. Johann Michael Greiner geweßenen Gastgebers Weinstichers und burgers in Hunnaweÿher längst seel. mit fr. Margaretha Barbara gebohrner Binderin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzielte tochter
So geschehen Hunnaweÿher den 5. May Anno 1767. [unterzeichnet] H. Georg Beÿer als Hochzeiter, Johann Philipp Beyer Diac. in Münster als bruder, Philipp Wilhelm Mÿlius als schwager, Anna Maria Greinerin als hochzeiterin, Johann Michael Greiner als Bruder, Joh: Jacob Greiner als bruder
(Hinterlegung) Straßburg auf Sambstag den 9. Maÿ Anno 1767

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 13)
1767 Mittwoch den 20. Maÿ sind nach ordentlich geschehenen Ausruffungen ehelich eingesegnet worden H. Johann Georg Beÿer, der biersieder, Wittwer und burger alhier und Jungfer Maria Annan weÿland H. Johann Michael Greiner, gewesten Gastgebers und burgers Zu Hunnaweÿer mit deßen hinterlaßener Wittib Frau Margaretha Barbara gebohrner Binderin ehelich erzeugte Tochter, wie solches bezeugen Johann Georg Beÿer als Hochzeiter, Anna Maria Greinerin als hochzeiterin (i 65)

Anne Marie Greiner devient bourgeoise quelques mois après son mariage
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 130
Anna Maria Greinerin, von Hunnewÿr geb. erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Johann Georg Beÿer, dem biersieder und burger allhier erhalt das burgerrecht umb den alten burger schilling will dienen beÿ E. E. Zunfft der Kieffer, prom. den 29. 9.bre. 1767.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la brasserie à l’Agneau d’Or. Les apports du mari s’élèvent à 4159 livres, ceux de la femme à 952 livres
1767 (30.6.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 553) n° 173
Inventarium über des Ehren: und vorachtbahren Hn. Johann Georg Beÿers, des Kiefer Mstrs v. bierbrauers, wie auch der viel Ehren u. Tugendreichen Fr. Annæ Mariæ gebohrner Greinerin beeder Eheleuthe und b. allhier Zu Str: einander für unverändert in die Ehe gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1767 – in ihren den 20.ten Maÿ lauffenden 1767.ten Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich in der den 5. gedachten Monaths und jahrs aufgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten haben – So Beschehen in beÿseÿn Herrn Johannes Greiner des Weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg, der Ehefrauen leiblichen bruders und hierzu erbettenen beÿstands, Straßburg auf Dienstag den 30. Junÿ Anno 1767.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Dielengaß gelegenen Zum guldenen Lamm genandten Zum theil in des Ehemanns Mass gehörigen und hernach mit mehrerm beschriebenen Bier: Behaußung befunden worden wie folgt
(f° 11-v) Eigenthum an einem Gärthlein und Garten-häußlein. (M.) Nemlich ein Gärthlein mit einem lebendigen haag umgeben, samt dem darinn stehenden Garten-häußlein außerhalb hießiger Statt vor dem weißen thurn oberhalb St: Arbogast an dem sogenannten Fahr-Garthen gelegen (…)
(f° 16) Wÿdem So der Eheherr aus weÿl. Frauen Mariæ Salome Beÿerin geb. Miliußin seiner gewesten erstern Ehefraun seel. Verlaßenschafft in crafft der mit ihre errichteten Eheberedung §° 7.mo und in Gefolg des den 19. Januarÿ 1767. unterschriebenen Vergleichs lebtägig zu besitzen und zu genießen hat – der 12.te theil für ohnvertheilt ane der bier-behausung zum goldenen Lamm genannt, samt hoff und hoff-statt beneben dem darzu gehörigen Schiff und geschirr bestehend (…)
(f° 18) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Zugebrachten unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 736, Sa. Schiff und geschirrs zum Kiefer handwerck und der bierbrauereÿ gehörig 60, Sa. brennholtzes 60, Sa. leerer Faß wie auch bier Wein und brandenwein 1025, Sa. Hopffen, Maltz v. Gerst 418, Sa. Daugenholtzes u. diehlen 56, Sa. Silber Geschirrs und dergleichen Geschmeids 72, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 67, Sa. der baarschafft 687, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1222, Sa. Eigenthums ane einem Gärthlein 225, Sa. Schulden 536, Summa summarum 5189 lb – Sa. schulden 1220 lb, In Compensatione 4068 lb – dazu gelegt die ane denen haussteuren gebührige Helffte antreffend 90, Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Nahrung 4159 lb
Solchemnach wird auch der Ehefrauen für unverändert in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 148 lb, Sa. Silber geschmeids 37 lb, Sa. goldener ring und dergleichen Geschmeids 76 lb, Sa. der baarschafft 600 lb, Summa summarum 861 lb – darzugerechnet die ane denen nechsthernach folgenden Haussteuren besag vorallegirter Eheberedung §° 5° hieher gehörige übrige Helffte anlangend 90 lb, der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth 952 lb

Anne Marie Greiner meurt en 1790 en délaissant un fils. La maison est estimée d’après son prix d’achat. La masse propre au veuf s’élève à 10 519 livres, celle des héritiers à 3 289 livres. L’actif de la communauté s’élève à 23 366 livres, le passif à 2 422 livres

1790 (14.9.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 564) n° 496
Inventarium über Weÿland fraun Annæ Mariæ Beÿerin gebohrner Greinerin, Herrn Johann Georg Beÿer, des hiesigen Notable im Leben gewesener Ehefrauen Verlaßenschaft auffgerichtet im Jahe 1790 – nach ihrem den 14. Marty laufenden 1790.sten Jahr erfolgten Absterben, hier Zeitlichen verlaßen hat. Welche Nahrung Verlaßenschaft dati Zu End stehend, auf Ansuchen Johann Daniel Beÿer der Defunctæ mit ihrem nunmaligen herrn Wittiber ehelich erzeugten 15. jährigen Sohns, und ab intestato nachgelaßenen Universal Erbs geordnet und geschworenen Vogts herrn Johann Christian Schott des bierbrauers und burgers alhier inventirt und ersucht

So geschehen in einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspielgas gelegene mit N° 11 bezeichneten in gegenwärtige Verlaßenschaft gehöriger, daher hernach mit mehrerm beschriebenen behaußung, auf Dienstag den 14.ten Septembris et seqq. Anno 1790.
Eigenthum an einer Behausung. Nemlichen eine Behausung, hof, hofstatt und bronnen, mit all deren Gebäuden, begrifen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Kinderspielgas, 1 s. neben H. Burchard dem Gastgeber, 2.s neben dem Carthäußer hof, hinten Zum theil auf ermeldten H Burchard, und Zum theil auf gedachter Carthäußer hof stoßend, so außer dem Vingt° u. der Einquartierung mit keiner andern Real Beschwerde beladen, auch sonsten freÿ leedig eigen, Und Zu berechnung des hierseitigen Sohns und Erben Legæ sonsten aber ohnpræjudicirlich und mit ausdrucklichem Vorbehalt deßen daran participirenden Eigenthums Rechts, Zwischen dem H. Wittiber und dem H. Vogt hier anzuschlagen abgeredt vnd Verglichen worden, nach dem Ankaufpreis antrefend 3025. lb. Mit beifügung derer daran verwandter Baukösten, nach beschehener Untersuchung evaluirt vor 750 lb, zusammen pro 3775. lb.
Über sothane behaußung besagt und ist vorhanden I. deutschen pergamentener in allh. C. C. Stub ausgefertigter Kaufbrieff sub dato 10. Julÿ 1787.
Eigenthum an einem Gärthlein und Gartenhäuslein. (W.) Nemlichen ein Gärtlein mit einem lebendigen Haag versehen, samt dem darinn stehenden Garten häuslein außerhalb hiesiger Stadt vor dem Weisenthurnthor oberhalb St. Arbogast ane dem sogenannten fahrgarten gelegen, 1.s neben Johannes Renchert Gartner Unterwagnern, anderseit wie auch hinten auf den Weeg stoßend, so freÿ leedig eigen und hier ohnpræjudicirlichen angeschlagen wird um den Preiß, wie der hr. Wittiber solch Gärtlein beÿ w. fraun Maria Salome gebohrner Miliusin seiner erstern Ehefraun Verlaßenschaffts: Abtheilung in Lieferg. seiner zu fordern gehabten Ergäntzung aus ohnvertheiltem Erb eigenthümlichen übernommen hat und ihme abgetreten worden ist pro 225 lb. Darüber besagt und ist vorhanden eine vor wl. Hn Notarii Thenn A° 1765 den 21. 8.bris verschriebene Erbs Cession, ausweisend, wie dieses Immobile cum appertinentiis des H. Wittibers Vorbemelter ersterer Ehefraun Von ihren Geschwüstern und Mit Erben in ohnvertheiltem Elterlichen Erb cedirt worden.
Witten so der H. Wb. aus weÿl. Fr. Mariæ Salome geb. Miliußin seiner gewes. erstern Ehefr. Verl. Vi pact. Dotal. ad dies vitæ zu genießen hat (…) davon gebührt des H. Wbers beeden Stief Söhnen Wilhelm u. David Bleßig die Hälfte antreff. 662.
Ergäntzung des H. Wittibers manglenden unveränderten Guths. Laut Invent. illatorum de anno 1767
Series Inventarii Rubricarum. Copia der Eheberedung, perge unter meinen Notariats-actes sub Rubrica Eheberedungen N° 122
Des herrn Wittibers unverändert Guth. Sa. hausraths 192, Sa. Silbers 42, Sa. gold. Ring 33, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 14 450, Sa. des Eigenthums ane I. gärthlein 225, Summa summarum 14 942 lb – Schulden 4423 lb, Nach Abzug solcher Schulden bleibt 10 519 lb
Dießemnach wird auch des Sohns und Universal Erben unverändert Mütterl. Guth beschrieben, Sa.s hausrath 285 lb, Sa. Silbers 25 lb, Sa. gold. Ring 63 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 292 lb, Sa. Schulden 250 lb, Sa. Ergäntzung 2372 lb – Summa summarum 3289 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbahre Guth beschrieben, Sa. hausrath 544 lb, Sa. der Wein und leeren faß 1530 lb, Sa. Silbers 217 lb, Sa. gold. Rings 19 lb, Sa. baarschafft 2100 lb, Sa. Pfzß.-hauptgüther 10 500 lb, Sa. Eigenthums Ane I. behausung 3775 lb, Sa. Schulden 4679 lb, Summa summarum 23 366 lb – Schulden 2422 lb, Nach Abzug solcher schulden 20 944 lb
Beschluß summa 35 791 lb
Zweiffelhaffte schulden in die theilbahre Verl. zugeltend 100 lb

Ancien préposé général de la Nation juive en Alsace installé depuis peu à Strasbourg, Aaron Meyer de Mutzig meurt dans la maison le 4 pluviose III

1795 (17 floreal 3), Strasbourg 7 (8 a), Not. Stoeber n° 1223
Inventarium über Weil. bürgers Aaron Meÿer so den 4. Pluviose lezthin gestorben Verlassenschafft, aufgerichtet den 19. floreal 3, der Abgeleibte hat zu deßen rechtsmäßigen Erben verlaßen 1. br. Lazard Aaron den Sohn hier wohnhaft, 2. br. Meÿer aaron den Sohn, 3. b. herdel aaron b. Meÿer Nätter Von Rosheim Ehefrau, 4. weÿl. b. Fromet Aaron br. Daniel Levÿ hier wohnhaft erstern Ehefrau des Verstorbenen tochter erzeugte 2 Kinder als enckel a) b. Emanuel Levÿ hier wohnhaft, b) händel Levÿ Götschel Weil zu Sulzburg im Breisgau Ehefrau dero Curatoris ist ihr leiblicher Vater bs Daniel Levÿ, alle 4 sind des abgeleibten in erster Ehe mit weÿl. der b. Kendel erzeugte Söhne und tochter, auf Ansuchen deren wie auch der Wb. Breinel Daniel beÿständlich b. Antoine Chaveheid öffentlichen Notaire in Bischheim wohnhaft

in der an der Kinderspielgaß N° 11 gelegenen von dem b. Johann Georg Beÿer bierbrauer lehnungsweiße besitzenden behaußung
(f° 11) Eigenthum ane Häußern und Schulplätzen, Neml. Eine behaußung hoff hoffstatt bronnen Stallung samt Garten ohngefähr 1 Vrzel. gros mit allen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen zu Mutzig ane der Straß mit N° (-) bezeichnet (…)
Und eine behaußung im Schulhoff Höfflein hoffstatt und Gemeinschafft I. bronnens zu gedachtem Mutzig (…)
ein Platz in der Männerschul, ein Platz in der Weiberschul, diese beede Plätz Spricht Meÿer Aron der sohn allein an, vorgebend der verstorbene Vater habe ihme solche durch eine lezte Willens Verordnung zugegangen wogegen aber die übrige Erben und die Wittib protestiren – den 24 floreal 3
Series rubricarum hujus Inventarÿ, beschreibung der alhier zu Straßburg sich vorgefunden und angebenen Activ Massæ, hausrath 18 972 livres, Silber 23 211 li, Golds 49 580 li, baarschafft 17 050 li, Capitalien und Activ Schulden 130 301 li, summa summarum 239 115 li, schulden & – den 24. floreal 3 enregistré 29 floréal
Continuation du 7 prairial 3, enregistré le 18 mess. – (Documenta)

Jean Georges Beyer meurt en 1798 en délaissant trois enfants de ses deux mariages

1798 (21 nivose 6), Strasbourg 3 (2), Not. Schweighaeuser n° 575
Inventarium und beschreibung aller und jeeder Haab Nahrung und gütheren so weÿl. der burger Johann Georg Beÿer nach seinem den 1. Ergäntzungs-tag des abgewichenen 5 Jahrs jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen hat
der Verstorbene burger Beÿer hat ab intestato zu Erben hinterlassen Seine in zween Ehen erzeugte 3 Kinder welche alle majorenne Nahmentlichen 1. burger Georg Friedrich Beÿer Gastgeber, 2. bürgerin Maria Salome Greiner des burgers und becken Johannes Greiner des jüngern Ehegattin, diese zweÿ in ersteter Ehe mit weÿl. fraun Maria Salome geb. Miliusin erzeugt, So dann 3. bürger Johann Daniel Beÿer buchdrucker, welcher in zweÿter Ehe mit weÿl. Fr. Anna Maria geb. Greinerin erzeugt worden

in einer an der Kinderspielgaß gelegenen mit N° 11 bezeichneten zum theil in gegenwärtigen Verlassenschafft behaußung, angefangen den 26. vend. 6
(f° 7) Eigenthum ane einer behaußung. Nemlichen zween dritte theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung hof hoffstatt und brunnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten davon der übrige dritte theil dem hieseitigen Sohn und Mit Erb vor Mütterlich Guth zuständig ist gelegen an der Kinderspielgaß mit N° 11 bezeichnet, einseit neben b. Gimpel anderseit neben neben br fontaine Capitaine de Gensdarmes und hinten auf eben diese beede bürger, Hierüber besagt C. C. Stub Kaufbrieff de dato 10. Julÿ 1787 ausweisend wie der Erblaßer diese behaußung währender seiner zweÿten Ehe erkauft hat, diese zween dritte theile hat der sohn Georg Friedrich an sich ersteigt vor 13 600 livres
Mobilar Verkauf – (f° 12 v) Berechnung und Außlüfferug, burger Georg Friedrich Beÿer dem sohn erster Ehe ist gebuhrig zufolg der Mütterlichen general Erbschaffts Abrechnung de 30. mart. 1767 und Nach-Rechung über den mehrern Erlöß des Verkaufften bierhaußes zum Lamm vom 11. dec. 1788, 8110, vom Vater empfangen 9911 Compensando Georg Friedrich soll in vätterlicher mass 1610 livres
Maria Elisabetha Beÿer zu empfangen 8310 li, hat aber schon vom vater bezogen 9317, in Compensatione 1007 livres
Joh. Daniel Beÿer für mütterlich gut 41 063, hat empfangen 26 274, forderung 14 789 livres
(Enregistrement. Masse mobiliere, pour ce qui a été inventorié 74 912 livres, pour ce qui est cédé 1816 livres, immeubles au ban de Duppigheim resté indivis)
Enregistrement de Strasbourg, acp 57 F° 50-v du 21 nivose 6

Les héritiers Beyer cèdent leurs parts de maison à leur frère et demi-frère respectif Georges Frédéric Beyer

1797 (22 frimaire 6), Strasbourg 3 (5), Not. Schweighaeuser n° 315
die bürgerin Maria Salome geb. Beÿerin weÿland des bs Johannes Greiner gewesenen becken hinterbliebenen Wittib hierzu mit dem bürger Johann Michael Greiner dem handels-Mann allhier verbeÿstandet und der bürger Johann Daniel Beÿer buchdrucker
dem burger Georg Friedrich Beÿer Gastgeber
Sie frau Greinerin ihre Vätterlichen zweÿ 9.te theile und er burger Johann Daniel Beÿer seine Mütterliche dreÿ 9.te und vätterliche zween 9.te theile, macht beÿder fünff 9.te theile und beÿde Verkäufere zusammen 7/9.te theile vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, Hoff, Hoffstatt, Keller und bronnen mit all deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten davon die übrige zween 9.te theile dem Käuffer als ein Vätterliches Erbguth schon eigenthümlich zuständig sind, gelegen an der Kinderspielgaß mit N° 11 bezeichnet einseit neben br Gimpel dem ehemaligen biersieder, anderseit neben burger fontaine Capitaine des Gensdarmes und hinten auf eben diese zween bürger stoßend
(Joint) Auf heute den 12. Brumaire im 6. Jahr auf beschehenes Ansuchen Weÿland des burgers Johann Georg Beÿers hinterlassen dreÿer Kinder und Erben Nahmentlichen des burgers Georg Friedrich Beÿers Gastgebers, der bürgerin Maria Salome geb. Beÿerin nun weÿland des burgers und gewesenen becken Johannes Greiner des jüngern hinterbliebenen Wittib und des burgers Johann Daniel Beÿers hiesigen buchdruckers
zur Versteigerung aufgesetzt und angebotten, die Ihnen deren Beÿerischen ins gesamt majorennen Erben zu ungleichen theilen eigenthümlich zuständige behaußung Hoff, Hoffstatt und bronnen mit all deren Gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen an der Kinderspielgaß mit N° 11 bezeichnet einseit neben br Gimpel anderseit neben br fontaine Capitaine des Gensdarmes und hinten auf eben diese zween bürger stoßend, ausgesetzt um die summ von 15 000 Livres Welch der Miteigenthüler burger Johann Daniel Beÿer gebotten hat
den 3. Frimaire 6, 2. Versteigerung 20 300 Johann Daniel Beÿer – 17 frimaire VI burger Johann Georg Häffner handels-Mann 20 400 Livres, den 18. des Vorgedachten Monaths, im Nahmen des burgers Georg Friedrich Beÿers des Mit eigenthümer 15 866 Livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 56 F° 95 du 27 fri 6

Georges Frédéric Beyer épouse en 1793 Marie Madeleine Dieterlin, fille d’un boulanger de Lahr
1793 (2 7.br), ssp, Enregistrement de Strasbourg, acp 30 F° 111 du 21 nivose 3 et Strasbourg 3 (3), Not. Schweighaeuser n° 307
Eheberedung – persönlich erschienen der burger und hiesige Einwohner Georg Friderich Beÿer, Welcher das Original seines mit der burgerin Maria Magdalena Dieterlin den 2.ten Septembris 1793 alten Stils unter privat Unterschrifren auffgerichteten den 21. Niovose jüngst behörig enregistrirten Ehe-Contracts vorgelegt – Straßburg den 16. Ventose im dritten Jahr der Ein ! und untheilbahren Fränckischen Republick
Zuwißen Seÿe Heiermit, daß Zwischen dem leedigen Majorennen Burger und Biersieder allhier Zu Straßburg Georg Friderich Beÿer, Ane einem,
und der auch leedigen Majorennen bürgerin Maria Magdalena Dieterlin von Lahr gebürtig, des dasigen burgers und Beckers Johann Friderich Dieterlin mit fraun Maria Magdalena gebohrner Makin ehelich erzeugten tochter, beiständlich des burgers Diebold Rimbach hiesigen Schiffers am andern theil [unterzeichnet] Georg Friderich Beÿer, Maria Magdalena Dieterlnin
(enregistrement, revenu industriel 500 livres)

Le cafetier Georges Frédéric Beyer meurt en août 1812 en délaissant un fils
1813 (20.2.), Strasbourg 5 (37), Not. F. Grimmer n° 8111
Inventaire de la succession de Georges Frédéric Beyer caffetier décédé le 27 août dernier – à la requête de Marie Madeleine née Dieterlin la veuve tutrice naturelle de Georges Frédéric Beyer étudiant en théologie, âgé de 19 ans, en présence du tuteur subrogé Jean Daniel Beyer imprimeur place des moulins n° 16
dans la demeure place du Temple Neuf n° 13 ; meubless 499 fr, passif 324 fr, reste 174 fr
Contrat de mariage sous seing privé passé le 2 septembre 1793 enreg. le 21 nivose 3 déposé au rang des minutes du notaire Schweighaeuser le 16 ventose 3
Enregistrement de Strasbourg, acp 121 F° 157-v du 24.2.

Georges Frédéric Beyer et Marie Madeleine Dieterlin vendent la maison au percepteur Jean Rœderer et à sa femme Marie Barbe Fischer

1802 (12 nivose 10), Strasbourg 10 (42), Not. Zimmer n° 1031, 1043
br. Georg Friedrich beÿer bierbrauer und Maria Magdalena geb. Dieterlin
an Johannes Roederer Percepteur vom ersten bezirck und fraun Maria Barbara geb. Fischer
Eine behausung hof hoffstatt bronnen samt allen deren begriffen, gebäuden, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten an der Kinderspielgaß N° 11, einseit neben br Gimpel Weinhändler, anderseit neben br Fontaine retiriren Officier hinten auff gemelten br. Gimpel, um 17 182 francken
Enregistrement de Strasbourg, acp 83 f° 44 du 14 nivôse 10

Fils de brasseur, l’aubergiste Jean Rœderer épouse en 1788 Marie Barbe Fischer, fille de l’aubergiste au Sauvage
1788 (13. 7.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 300
(Eheberedung) persönlich erschienen Herr Johannes Röderer, der ledige Gastgeber und Kiefer meister, weiland herrn Johann Röderer des gewesenen Kiefers und bierbrauers Zum Morenkopf auch burgers allhier, mit gleichfalls weiland Fraun Anna Maria gebohrner Raÿbelin ehelich erziehler Sohn so großjährigen alters als hochzeiter, ane einem
und Jungfer Maria Barbara Fischerin weiland Herrn Johannes Fischer des gewesenen Gastgebers Zum Wildenmann und burgers alhier mit Fraun Maria Magdalena Fischerin gebohrner Heÿdelin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzielte tochter als braut unter authorisation Herrn Johann Joachim Fischer des Gastgebers Zum Lamm und burgers dahier ihres Oncle und geschwornen Vogts am andern theil
Straßburg Sambstags den 13. Septembris Anno 1788 in der von Jgft. brauth Fraun Mutter dermalen innhabenden Wohnung an der Weisenthurnstraße [unterzeichnet] Johannes Röderer als Hochzeiter, Maria Barbara Fischnerin als Braut

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient au boucher Lemp au Finckwiller. Les apports du mari s’élèvent à 2 132 livres, ceux de la femme à 466 livres
1789 (3.4.), Not. Stoeber (6 E 41, 1256) n° 698
Inventarium über herrn Johannes Röderer Kiefermeisters und Weinhändlers wie auch Fr. Mariæ Barbaræ Rödererin geb. Fischerin beeder Ehegatten einander in die Ehe zugebracht Nahrungen – in ihrem den 28. jan. jüngst angetrettenen Ehestand den 13. 7.br vorigen Jahrs aufgerichteten Eheberedung
in einer an dem Finckweiler ohnfern der Muck gelegenen H. Lemp dem Mezger zuständigen und dißorts zum theil lehnungsweiße bewohnenden behausung, in gegensein Fr. Maria Magdalena Fischerin geb. heÿdelin weÿl. H. Johann Fischer Gastgebers zum wildenmann Wittib der Ehefrau geliebten Mutter
Norma hujus inventarii. des M. Vermögen, hausrath 129 lb, werckzeug zur Kiefer Profession gehörig 16 lb, taubenholz 154 lb, leerer Faß 50 lb, Silbers 28 lb, goldene Uhr 26 lb, baarschafft 200 lb, pfenningzinß hauptgüter 1505 lb, summa summarum 2109 lb, haussteuren 23 lb, des Manns Vermögen 2132 lb
der Ehefrau zugebrachtes Guth, hausrath 137 lb, silbers 7 lb, goldenen Ring 26 lb, baarschafft 272 lb, summa summarum 443 lb, haussteur 23 lb, der F. Guth 466 lb

Jean Rœderer et Marie Barbe Fischer exposent la maison aux enchères

1803 (28 pluviose 11), Strasbourg 7 (36), Not. Stoeber n° 4112, 2094
auf ansuchen bs. Johannes Roederer und deßen geschiedener Ehefrau Maria Barbara geb. Fischer
zur öffentlicher Versteigerung geschritten, Einer behausung hof hoffstatt bronnen samt allen begriffen, Gebäuden, zugehörden und Gerechtigkeiten an der Kinderspielgaß N° 11, 1. s. neben br. Gimpel Weinhändler, 2.s. neben br. fontaine Officier retiré hi. ged. br. Gimpel, ausegebotten 13 000 fr
n° 4240, den 30. ventose, an br. Xavier hürstel weinhändler um 14 400 fr
n° 4248, den 2. germinal, an Friedrich Geisler buchhändler

L’employé des contributions Jean Rœderer vend la maison au marchand de vins François Xavier Hürstel

1805 (20 floreal 13), Strasbourg 12 (7), Not. Wengler n° 1239
Jean Roederer employé au bureau de la perception des Contributions du premier arrondissement de cette ville
à François Xavier Hürstel Marchand de vin domicilié vieux Marché au vin N° 98
Une maison cour tréfonds fontaine avec toutes ses appartenances Droits et Dépendances sise à Strasbourg rue du Jeu des enfants N° 11 d’un côté le Sr Gimbel Caffetier, d’autre le Sr fontaine Officier retiré, devant lad. Rue, derrière aud. Sr Gimbel, y compris six fourneaux avec tuyaux et pierres (…) – acquis de Georges Frédéric Beyer, Brasseur, et Marie Madeleine Dieterlin par acte reçu Zimmer le 12 nivose 10, transcrit au bureau des hypothèques volume 5 n° 167 – moyennant 15 308 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 96 f° 124 du 21 floréal 13

Originaire d’Ebersmünster, François Xavier Hürstel épouse en 1797 Catherine Elisabeth Bronner dont les parents assurent pendant deux ans l’habitation aux futurs conjoints dans leur maison rue Thomann
1797 (4 brumaire 6), Strasbourg 2 (10), Not. Knobloch n° 16
(Eheberedung) br. Frantz Xavery Hürstel, der leedige Mehrjährige brs Frantz Xavery Hürstel Weinhändlers mit Francisca Rohmer beede zu Ebersheim münster wohnhaft, erzeugter Sohn
so dann Jungfrau Catharina Elisabetha Bronner die leedige Großjährige, br Johann Joseph Bronner mit Elisabetha Ringelspurgerin erzeugte tochter
7. versprechen der hochzeiterin Vater obgemeldt denen Jungen hochzeitsleuthe eine Wohnung in seiner in dem thomä loch N° 24 gelegenen Eigenthümlichen behaußung auf dem Ersten stock, bestehend in einer Wohnstub und vier Kammeren einer Kuchen Keller und holtzhauß so wie sie ihnen schon angewießen und bekandt zweÿ Jahr lang von letzterm Michaelis ziel angerechnet
Enregistrement de Strasbourg, acp 55 F° 45 du 6 brum. 6 brum. 6

Catherine Elisabeth Bronner meurt en 1801 en délaissant deux enfants.
1802 (19 floréal 10), Strasbourg 2 (17), Not. Knobloch n° 1277
Inventarium über weÿl. Frau Catharina Elisabetha geb. Bronner bürgers Xaverÿ Hürstel Weinhändlers Vermögens, nach ihrem den 22. brumaire letz aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen des wittibers und b. Andreas Schott als vogt der Kinder
Denominatio haeredum, die Verstorbene hat zu ihren erben ab intestato verleßen Ludwig Joseph Xaverÿ so 3 jahr alt und Frantz Joseph Augustin so 10 Monath alt, in deren Nahmen br. Andreas Schott
Eheberedung vor unterschriebenem Notario den 4. brumaire 6 auffgerichtet [copié]
ergäntzung der erben, 6300 fr
des wittibers unveränderte und theilbarer vermögen 2657 fr, schulden 2481 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 94 du 21 flor. 10

François Xavier Hürstel se remarie avec Marie Thérèse Kieffer native de Kertzfeld
1802 (18 brumaire 11), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 3766, 991
Eheberedung – erschienen burger Xaveri Hürstel, Handelsmann alhier
und deßen Ehefrau Maria Theresia Kieffer, von ihme hierzu authorosirt, freiwillig anzeigend daß Sie sich seit einem Jahr in den Ehestand begeben, nun aber seÿen Sie gesonnen wegen Ihres beederseitigen Vermögen folgende Ehe pacta vestzusetzen
unterschrieben Straßburg den 18. rumaire Eilf [unterzeichnet] Xavier Hürstel, Therese Kieffer
Enregistrement de Strasbourg, acp 86 F° 18-v du 20 bru 11

Mariage, Strasbourg (n° 311 f° 157)
Du 15° jour du mius de Germinal l’an X de la République française. Acte de mariage de François Xavier Hürstel, âgé de 29 ans, marchand de vin, domicilié en cette ville depuis quatre ans, né à Ebersmünster Département du Bas Rhin le 24 novembre 1772 fils légitime de François Xavier Hürstel, marchand de vin audit lieu et de Françoise Romer, veuf de Marie Catherine Elisabeth Bronner, morte en cette ville le 22 brumaire dernier
Et de Marie Thérèse Kieffer, agée de 28 ans, née à Kertzfeld, Département du dit, le 18 juillet 1773, y domiciliée, fille légitime de feu Matthias Kieffer, cultivateur audit lieu, et de feüe Marie Madeleine Andlauer (signé) François Xavier Hürstel, therese Kieffer

Xavier Hurstel loue une partie de la maison à Joseph Jaccoud

1813 (10.4.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 35, acte ssp du 1 crt.
Bail de deux années par Xavier Hurstel de Strasbourg
au profit de Joseph Jaccoud
d’un Logement cave cuisine rüe du Jeu des enfants N° 11 pour un canon annuel de 109 francs

François Xavier Hürstel meurt en 1823 en délaissant un fils

1823 (2.7.), Strasbourg 12 (42), Me Rencker n° 2671
Inventaire de la succession de François Xavier Hürstel, marchand de vin décédé le 5 janvier dernier – à la requête de Marie Thérèse Kieffer la veuve mère et tutrice légale de Philippe Auguste 14 ans et demi – en présence de François Joseph Martha, greffier du Tribunal de Commerce, subrogé tuteur du mineur
Contrat de mariage dressé par Stoeber le 18 brumaire 11

dans la maison mortuaire rue du Jeu des enfants n° 11
immeubles, une maison avec cour, remise, écuries, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Jeu des Enfants n° 11, d’un côté le Sr Gimbel, d’autre le Sr Fontaine officier retiré, devant la rue, derrière ledit Gimbel – acquis de Jean Roederer, employé au bureau de la recette des contributions directes, par acte reçu Wengler le 20 floréal 13, transcrit au bureau des hypothèques volume 24 n° 67, estimée 12 000 francs
communauté mobilier 2797 fr, vins dans la cave Vieux Marché aux Vins n° 40, dans la cave sous la maison 3656 fr, numéraire 1300 fr, créances 1846 fr
garde robe 215 fr, immeubles à Ebersmunster 5000 fr et 200 fr, à Ebersheim 250 fr et 400 fr, Scherwiller 50 fr ensemble 6115 fr
dettes actives 1705 fr, ensemble 21 599 fr, passif 18 979 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 163 f° 153 du 4.7.

Inventaire après décès d’un locataire, le commerçant Daniel Tuchmann

1825 (21.2.), Strasbourg 15 (37), Me Lacombe n° 7026
Inventaire de la succession de Daniel Tuchmann, commerçant, décédé le 2 décembre dernier – à la requête de 1. Regine Berr la veuve, 2. Rose Willar veuve de Salomon Tuchmann, commerçant, mère du défunt, 3. Nathan Tuchmann commerçant frère germain, en son nom et mandataire d’Isaïe Dreÿfuss, instituteur à Francfort sur le Mein, frère utérin
la De Tuchmann héritière pour un quart, Nathan Tuchmann pour moitié des trois quarts ou 9/16, Isaïe Dreÿfuss pour moitié des trois quarts affectés à la ligne maternelle ou 3/16
dans une maison rue du Jeu des Enfants n° 11
mobilier, dans la chambre au rez de chaussée, cuisine, machandises dans un petit cabinet à côté de la chambre sur le devant 640 fr, passif 715 fr
Titres et papiers, contrat de mariage reçu Lacombe le 18 février 1822
déclarations actives 137 fr, rapports de la femme 2200 fr, totalité du passif 2915 fr, déficit de 2138 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 172 F° 30-v du 25.2.

Inventaire après décès d’une locataire, Mélanie Lévy femme de David Aron

1835 (22.9.), Strasbourg 12 (137), Me Noetinger n° 7586
Inventaire de la succession de Mélanie Lévy femme de David Aron, propriétaire, décédée le 15 avril 1835 – à la requête de 1. David Aron à cause de la communauté mariés avant promulgation du Code civil, père et tuteur légal de Jacques Aron, étudiant en théologie, et Henriette Aron les deux enfants mineurs,
2. Rose Aron femme d’Isidore Levy, 3 Eliacin Aron licencié en droit tant pour lui que mandataire de de Lazare Aron, commis négociant à Paris, 4. Madeleine Aron femme de Bruno Bernard commerçant à Mutig, 5. Jeannette Aron, majeure, 6. Esther Levy, majeure, seuls et uniques héritiers pour 1/8, 8. Baruch Levy, fabricant de bourses subrogé tuteur – Procuration, Lazare Aron à Paris rue St Martin n° 161
dans la maison mortuaire rue du Jeu des enfants n° 11
Enregistrement de Strasbourg, acp 234 f° 45 du 24.9.

L’huissier Philippe Auguste Hurstel épouse en 1851 Marie Joséphine Weiss originaire de Truchtersheim

1851 (29.9.), Me Ritleng
Contrat de mariage – Philippe Auguste Hurstel, huissier à Strasbourg, fils de feu Xavier Hürstel marchand de vins et de Thérèse Kieffer, vivants conjoints en ladite ville d’une part
et Marie Joséphine Weiss fille majeure de François Joseph Weis et Anne Marie Riehl demeurant à Truchtersheim
contenant 1) stipulation de communauté d’acquêts avec réserve des propres par nature, d’apports et d’héritages
2) Apports du futur, a) une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue du Jeu-des-Enfants n° 11
b) Effets et meubles estimés à 3600 francs c) son office d’huissier
Donation à la future acceptant par ses père et mère a) en argent 12 000 francs, b) un trousseau estimé 984 francs
Donation mutuellement à l’époux survivant a) en cas d’inexistence d’enfant savoir le futur de la propriété de toute la succession du futur et au futur époux de l’usufruit de la succession de la future, b) en cas d’existence d’enfant, de l’usufruit de la part du prémourant dans la communauté
acp 403 (3 Q 30 118) f° 72-v du 1.10.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.