10, rue Hannong


Rue Hannong n° 10 – IV 108 (Blondel), P 620 puis section 58 parcelle 49 (cadastre)

Démolie en 1969

Hannong 10-12 (1 Fi 24, n° 19)
Le n° 10 est la maison de droite
(vers 1912, AMS, album coté 1 Fi 24, image 19)

La maison qui comprend un bâtiment avant sur rue et un bâtiment arrière sur cour appartient à de petits artisans (tisserands, cordonniers, parfois manants) du XVII° au XIX° siècle. Sa valeur vénale augmente régulièrement au cours du XVIII° siècle (200 livres en 1705, 450 en 1743, 675 en 1775, 800 en 1786) ce qui laisse supposer qu’elle a été agrandie. L’Atlas des alignements clos en 1829 signale un rez-de-chaussée et deux étages médiocres en bois.


Le n° 10 est la troisième maison à partir de la droite.

Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue a deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée. Chacun des deux étages a trois fenêtres. La toiture abrite deux niveaux de greniers. La cour D’ permet de voir entre (2) et (3) la façade arrière du bâtiment sur rue, entre (3) et (4) le bâtiment latéral et entre (4) et (1) le bâtiment arrière qui s’appuie sur un bâtiment de l’impasse du Jeu-des-Enfants Tous les bâtiments ont la même hauteur que celui qui donne sur la rue. Le mur (1)-(2) sépare la cour de la propriété voisine au nord, le numéro 8.

145 Cour D'
Cour D’

Les deux fenêtres du rez-de-chaussée sont transformées en porte en 1866 comme le montre la photographie prise vers 1912. Le n° 10 appartient au même propriétaire que le n° 12 à partir de 1899 et en partage la destinée, voir en particulier les dossiers de la Police du Bâtiment. La maison est démolie en septembre 1969.

avril 2014

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1660 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Henri Schwartz, maître d’école puis notaire, et (1666) Catherine Briel puis (1668) Susanne Beyer – luthériens
1678 v Jean Jacques Stoll, remueur de grains et gardien à la tribu de la Lanterne, et (1670) Susanne Voltz, remariée (1695) au meunier Jean Thiébaut Augst – luthériens
1697 v Ursule Klein veuve du forgeron municipal Jean Conrad Werner (1670) – luthériens
1705 v Jean Henri Kieffer, tisserand en laine, et (1699) Catherine Elisabeth Ottmann qui a épousé (1694) le tisserand en laine Philippe Rothfuss, puis (1714) Elisabeth Carol veuve du serrurier Jean Jacques Ernst, puis (1726) Anne Keller veuve du cordonnier Jean Henri Krafft – luthériens
1726 h Valentin Schœff, tisserand en laine, et (1725) Marie Salomé Kieffer – luthériens
1743 v Georges Schmidt, cordonnier, et (1728) Marie Catherine Jünger qui a épousé (1718) le cordonnier Jean Pierre Kappel – luthériens
1754 v Georges Frédéric Hertzog, cordonnier, et (1714) Catherine Voltz – luthériens – luthériens
1758 h Georges Frédéric Hertzog, cordonnier, et (1741) Marie Catherine Kappel – luthériens
1773 v Jean Frédéric Hansmetzger, mesureur de bois (prête-nom du suivant)
1773 v Jean Stiedel, tailleur de pierres, manant, et (v. 1659) Anne Catherine Unckel – luthériens
1786 v André Kuntz, apprêteur de laine, manant, et (1783) Catherine Joré, puis (1805) Anne Marie Arnold et (1810) Elisabeth Meyer – catholiques
1833 v Antoine Knodel, cordonnier, et (1811) Marguerite Schock
1866 Georges Verlasen, marchand de charbons
1899* héritiers substitués de David Waffenschmidt
1905* v Charles Guillaume Freysz, propriétaire de brasserie, et Catherine Lobstein
1927 h Robert Kuhn, docteur en médecine, et Juliette née Freysz
1931* Emile Bauer et son épouse née Levy
1939* Emile Schmidt et son épouse

(1765, Liste Blondel) IV 108, George Frederic Hertzog
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 620, Knodel, Antoine, cordonnier – maison, sol, cour – 0,66 are

Locations

1777, Jean Jacques Hertzog, cordonnier, et Catherine Wehrler
1784, Jean Georges Moritz, garçon maçon

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Préposés aux affaires foncièress (Bauherren)

1787, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Le propriétaire est autorisé à réparer, blanchir et peindre sa maison

(f° 267-v) Dienstags den 17. Aprilis 1787. Andreas Kuntz Wollenweber – Idem [Mr. Fäßler, der Maurer,] nôe Andreas Kuntz, des Wollenwebers bittet zu erlauben, deßen behausung im Stampf Gäßel gelegen, außbeßern, weisen und anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt

Atlas des alignements

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Foulon (f° 13 v)

nouveau N° / ancien N° : 19 / 10
Kuntz
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 196 case

Knodel Antoine, cordonnier

P 620, maison et cour, sol, rue fu foulon 10
Contenance : 0,66
Revenu total : 58,34 (58 et 0,34)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 830 case 1

Knodel Antoine, cordonnier
1868 Verlasen Georges marchand de charbons
1899/1900 Waffenschmidt David Würth und Nacherben
1905 Freysz Karl Wilhelm Bierbrauereibesitzer und Ehefr. Katharina geb. Lobstein in Gg.
(ancien f° 578)

P 620, maison, sol, Rue du Foulon 10
Contenance : 0,66
Revenu total : 58,34 (58 et 0,34)
Folio de provenance : (190)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre allemand, registre 31 p. 330 case 4

Parcelle, section 58, n° 49 – autrefois P 620
Canton : Stampfgasse Hs N° 10
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 0,67
Revenu : 550 – 600 – 900
Remarques : 1913, Minder.

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1927), compte 399
Freÿsz Karl Wilhelm (u. Ehefr)
1931 Erbs Victor agent d’affaires et son épouse née Horchenecker*
(1345)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1927), compte 5126
Kuhn Robert docteur en médecine, épouse Juliette née Freysz
1951 Clauss Alphonse restaurateur et son épouse
(1079)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1931), compte 2189
Frick Eduard
1924 Bauer Emile et son épouse née Levy
(688)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1939), compte 1939
Schmitt Johann Georg und Ehefr. / die Erben
1921 Schmitt Emilie sans profession
1929 Ottlé Charles Alfred et son épouse née Kauffmann
1938 Schmidt Emile et son épouse
(3638)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 95 Rue du Foulon (p. 221)
(maison n°) 10

loc. Kuntz André, fileur de laine – Manant
loc. Köttner, Georges, Cordonnier – Cordonniers
loc. Sottele, Celestin, garçon charp. – Manant
loc. Heck, Joseph, garç. Cordier – Manant
loc. Scholl, Madeleine, Ve de bourg.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Stampfgasse (S. 170)

(Haus Nr.) 10
Föhr, Tagner. 1
Müller, Tagner. 1
Ohleyer, Kaminfeger. 2
Rössler, Tagner. 2
Dieterle, Maler 3
Kuhmüller, Tagner. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 815 W 192)

Les deux fenêtres au rez-de-chaussée sont transformées en porte en 1866. Voir le dossier du n° 12


Relevé d’actes

Le brodeur en soie Tobie Mey vend la maison 200 livres à Catherine, veuve du musicien Jean Georges Beyer

1630 (13. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 51-v
(Protocollat. fol. 19.) Ersch. Tobias Meÿ seÿd.sticker burg. alhie
hatt in gegensein Catharinä weÿ: hanß Jörg Beÿers deß Spielmanns gewesenen burgers alhie witiben mit beÿstand hanß Jacob holtzmeisters deß schuhmachers ihres vogts (verkaufft)
hauß vnd hoffstat sampt höfflin und allen & alhie in der Stampffgaß. neben Mathiß Breÿ. & Gangolff Lorentz* Weinsticher hind. vff weÿ: Lorentz Schultheiß gewesenen würths Zum Stall witib vnd Erben, so ledig eig. und ist der Kauff gescheh. p. 200. lb

Le maître d’écoleJean Henri Schwartz et sa femme Susanne hypothèquent la maison au profit du receveur de la Haute Ecole Balthasar Frédéric Stœsser

1675 (22. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 487
H. Henrich Schwartz Schulmaÿster Zum alten St. Peter und Susanna beÿde Eheleuth und Zwar Sie Susanna insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Johann Philipp Schmidts und herren Lorentz Ahlenschlagers beÿder alß aus E.E. Großen rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter
in gegensein herrn Balthasar Friderich Stößers, Schaffners der Hohen Schul – schuldig seÿen 55 pfund
Unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in dem Stampffgäßlein, anderseit neben-anderseit – hinden uff die Herberg Zum Stall stoßend gelegen

Henri Schwartz, comptable, et Susanne hypothèquent la maison au profit du farinier Henri Biecher. La quittance en marge est au nom du propriétaire ultérieur, Jean Conrad Werner

1677 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 291-v
Henrich Schwartz der Rechenmaÿster und Susanna beÿde Eheleuth, und Zwar Sie Susanna insonderheit mit beÿstand Hannß Jacob Wipffen deß ältern Leinenwebers und hannß Henrich Biechers deß Mehlmanns beÿder Ihrer Vettern
in gegensein Jacob Graffen deß weißbeckhen – schuldig seÿen 50. lb
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren gebäxen alhier im Stampffgäßlein einseit neben – hinden uff daß Würthß hauß Zum Stall stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein H. Georg Sigmund Braunsmentels des Zinngießers Und E.E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers, alß Curatoris fr. Ursulæ gebohrner Kleinin weÿl. H. hannß Conrad Werners gewesenen Stattschmids hinterlaßener wittib als ietzmahliger besitzern der hierin beschriebenen Behaußung mit beÿstand Johann Weinemer haim ietzmahlig. Huffschmids Ihres Tochtermanns (quittung) act. den 3.ten Sept. 1697.

Henri Schwartz et sa femme Susanne hypothèquent la maison au profit du cordier Chrétien Kamm

1677 (19. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 749-v
Henrich Schwartz und Susanna sein Eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand Balthasar Hühle deß Schwartzbeckhen, und hannß Jacob Wipffen deß ältern halb Leinenwebers beÿder ihrr Vettern
in gegensein Christmann Kammen deß Saÿlers im nahmen hannß Conrad Wörners deß hueffschmidts – schuldig seÿen 50 lb
unterpfand, hauß, hoffstatt und höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, und Zugehördten alhier im Stampffgäßlein, anderseit neben Martin Grimmer dem Kürschner, anderseit neben Carl Meÿer dem Schuhmacher hinden uff die Gastherberg zum Stall stoßend gelegen

Susanne, femme de Henri Schwartz vend 165 livres la maison au remueur de grains Jean Jacques Stoll et à sa femme Susanne

1678 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 93-v
Susanna, Henrich Schwartzen Eheweib, mit beÿstand ietzt gemelts ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Jacob Stollen, deß Kornwerffers und Susannæ beÿder Eheleuthen und Sie beÿde mit assistentz Hannß Volzen deß Karchel Ziehers ihres resp. Schwäher: und eheleiblichen Vatters
hauß, hoffstatt, und höfflein, mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier im Stampffgäßlein, einseit neben Martin Grimmen dem Kürschner, anderseit neben Carl Meÿer dem Schuhmacher, hinden uff die Gastherberg Zum Gaul stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 50. lb Herrn Balthasar Friderich Stößern Schulschaffnern, Item umb 50. lb Johann Graffen dem Weißbeckh, So dann umb 50. lb hannß Conrad Wörner dem Hueffschmidt verhafftet – umb 15 lb

Jacques Stoll épouse en 1670 Susanne Voltz, fille de charretier, qui devient bourgeoise par son mari quelques mois plus tard
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 8, n° 29)

1670. Dom. Quinquag. et quadrag. den 13. v. 20. febr. Jacob stoll der Kornwerffer undt burger allhier, Jfr. Susanna gewesen Voltzen des kärchel Ziehers tochter. eingesegnet Montag Zu St. Thomæ den 21. febr (i 6)

1670, 4° Livre de bourgeoisie p. 381
Susanna, Hannß Voltzen deß Kärchelziehers dochter empfangt das burgerrecht Von ihrem Ehemann Jacob Stollen, dem Kornwerffer umb 8. Gold fl. so beÿ der Cantzleÿ erlegt worden den 16. Febr. eingeschrieben aber den 12. 9.bris A° 1670.

Devenue veuve, Susanne Voltz se remarie à Olwisheim où son mari Jean Thiébaut Augst est meunier
Mariage, Olwisheim (luth. p. 7)

1695. d: 22. Febr: Zu Olv: ehl: copulirt Word. Hannß diebold Augst ein ledig. müller alß Straßb. mit Susannæ Weÿl. Jacob Stollen burgers u. Kornwerffers zu Straßb. hind. Wittib, nach Vorher zugangener 2.fach proclamation (i 4)

L’inventaire des biens de Jean Thiébaut Augst, manant, et de sa femme Susanne Voltz, bourgeoise, est dressé au Finckwiller dans une maison proche de Saint-Marc
1701 (11.2.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 3) n° 60
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so Mstr. Hannß Diebold Augst Müller und Schirms Verwanthen alhier und fr. Susanna gebohrne Voltzin burgerin beede Eheleüth active und passivé Eigenthümlich zuständig – Actum in der König. freÿen Statt Straßburg auf donnerstag d. 11. febr: in fernerm beÿsein Mstr Johannes Rheinen Schuhmachers und burgers alhie ihr der frn. erbettenen beÿstandt Anno 1701.

Inn einer alhie in der Statt Straßb. ohnfern St: Marx im finckweiler alhier ligende und von beed. Eheleuthen Lehnungsweiß bewohnenden behaußung, ist befund. word. wie volgt.
Nota. Es berichteten beede Eheleüthe (…) deß Sie wehrenden ihres Ehestands Hannß Jacob Stollen ihrem Stief: und Rechten Sohn über sein gelüfertes göttel und geschenckt gelt, tabackh und etwan Zue haußsteür gegebenes annoch zu deßen Nothurfft baar vorgelühen und gegeben in Underschiedlich. mahlen Nembl. Zehen gulden, woran weder Er deßen Stief Vatter noch deßen mutter etwas mehr zu prætendiren Verlangen sondern ihne auch eigenthubl. Verehret haben wollen

Susanne Voltz, femme de Jean Thiébaut Augst, meunier à Olwisheim, vend 164 livres la maison qui lui a été attribuée dans la succession de son premier mari Jean Jacques Stoll, remueur de grains et gardien à la tribu de la Lanterne, à Ursule Klein veuve du forgeron municipal Jean Conrad Werner

1697 (3. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 435
(prot. fol. 42.b) Erschienen Susanna gebohrne Voltzin, hans diebold Augst, deß Müllers auff der Bruch Mühl beÿ Olwisheim eheliche haußfrau, mit beÿstand Ihres Ehevogts [unterzeichnet] S A, H D A
hat in gegensein H. Georg Sigmund Brausmäntels, E:E: Kleinen Raths alt. beÿsitzers, alß Curatoris Fr. Ursulæ gebohrner Kleinin, weil. Hn Johann Conrad Werners gewesenen Stattschmids sel. nachgelaßener wittib, mit beÿstand H. Johann Weinemmer Heÿls deß ietzig. Stattschmids, Ihres tochtermanns [unterzeichnet] Georg Sigmund Braunßmändl
hauß, hoffstatt und höfflein mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeit allhier im Stampffgäßlein einseit neben Martin Grimmen, den Kirschner and.seit neben Carl Meÿer dem Schuhmacher modo Joh: Georg Gebhard Schneid. hinden auff die Gastherberg zum Gaul stoßend, geleg. welche behaußung annoch umb 50 lb Capital und 2 lb 10 ß Zinß weil. Hn Balthasar Friderich Stößers, geweßenen Schaffners im Spitahl sel. Erben, modo Gotthard Remers Geln*hauische Kirchen Schaffner deß ambts Liechtenau, Ehevögtlicher weiß, Item umb 50 pfund pfenning Capital sambt 7 lb Zinß und Unkost. etwan Jacob Graffen, modo lienhard Maurern d. weißbeck auch Ehevögtlicher weiß, So dann umb 50 pfund Capital und 5 lb Zinß der Käufferin selbst verhafftet, welche solche behaußung beneben weil. hans Jacob Stollen, dem Kornwerffer und büttel Zur Lucernen ihrem Ehm. sel. laut Kauffbrieff vom 4. febr. 1678. erkauffft, beÿ ged. Ihres Manns sel. Verlassenschafft an Ergäntzung völlig überlaß. word. – geschehen umb 164 pfund also und dergestalt daß Sie die Käufferin die obangegebene frembde beschwerd. sambt den Ihrig., welche zusammen gleiche summ, nunmehr auch 164. ln außwerffen, repect. übernohmen und auff sich selbst. leid. und compensiren solle

Ursule Klein, fille de tonnelier, épouse en 1670 Jean Conrad Werner, fils de maréchal ferrant
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 13)

1670. Die Pentecost: et fest. Trin: den 22. et 29. Maÿ. Joh. Conrad Werner der ledige huffschmidt Weÿl. H. Joh. Werners gewesen. huffenschmidts burg.s u. huffßmidts allhier hind.lassener ehelich. sohn, Jfr. Ursula, Michael Kleinen deß Burgers v. Kieffers alhier eheliche Tochter. Eingesegnet Donnerstag den 2. Junÿ St. Thomæ (i 8)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. p. 284, n° 9) 1670. Domin: Pentecostes u. Trin: Johann Conraht Werner der Ledige huffschmidt weÿl. hrn: Johann: Werners gewesenen huffenschmidts und Burger alhie hinterlassenr Ehelicher Sohn, Und Jungfr. Ursula, Michaelis Kleinen, deß Kieffer und burg. alhie eheliche Tochter. Copulirt Zu St: Thoman

Ursule Klein veuve de Jean Conrad Werner meurt en 1716 dans une maison rue d’Or qui appartient à la succession en délaissant cinq filles. L’actif de la succession est de 2 497 livres, le passif de 80 livres.
1716 (29.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 1) n° 28
Inventarium und beschreibung aller der jenigen haab, Nahrung und güthere, so Weÿland die Viel Ehren und Tugendreiche frau Ursula Wernerin, gebohrne Kleinin, auch weÿlandt des Wohl Ehren Vest und Großachtbahren herrn Johann Conrad Wörners geweßenen Stattschmidts und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlassene frau Wittib, nun ebenmäßig seel. nach deme dieselbe Sambstag den 16.ten Maÿ dießes Lauffenden 1716.ten jahr aus dießer welth genommenen tödlich. hintritt Zeitlichen verlaß. welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der abgeleibten frauen seel. per Testamentum Verlaßener und gleich nach dem Eingang dießes Inventarÿ benahmster Erben auch dero Ehevögt inventirt durch Sie die Erben selbsten wie auch Jungfrau Catharinam Braunin Von hier gebürtig, die dienstmagt, (…) geäugt und gezeigt – So beschehen in Straßburg auff freÿtag den 29.ten Maÿ Anno 1716.
Die in Gott ruhende Frau seelige hat zu ihren Erben par Testamentum S.is ubiq. T.is Verlaßen wie Volgt. 1. Frau Annam Barbaram Haÿlin gebohrene Wernerin herrn Johann Wennemar Haÿlen, Stattschmidts und burgers allhier eheliche haußfrau, welche mit beÿstand deßelb. Zugeg. War, in einem fünfften Stammtheil. 2. Frau Mariam Ursulam Kräuchelin gebohrene Wernerin, Hn Eliæ Kräuchels des Metzgers und burgers allhier Ehefrau, Welche mit und beneben Ihrem Ehevogt præsens war, in dem andern fünfften Stammtheil, 3. frau Annam Mariam Knodererin, gebohrene Wernerin, Hn Johann Wilhelm Knoderers des Pastetenbecken und burg.s allhier Ehegattin so mit und beneb. d. haußwürth dem Geschäfft erschienen, in dem dritten fünfften Stammtheil, 4. Vorgedachten Herrn Johann Wennemar Haÿlen den Stattschmidt und frau Annam Barbaram Haÿlin gebohrene Wernerin, beede Eheleuthe und burgere allhier, ins gemein, ane statt frauen Margarethæ Reinhardtin gebohrner Wernerin, Hn Wolffgang Jacob Reinhardts, Gastgebers Zum Weißen Schwahnen in der hochfürstl. Würtenbergisch Residenz Statt Stuttgarth frau Eheliebstin so beede wie vorgemelt dem geschäfft in Persohn abwartet in den Vierdt. fünfften Stammtheil, und dann 5. Frau Mariam Cleophe Bahmeÿerin gebohrene Wernerin Hn Johann Jacob Bahmeÿers, des Metzg.s und burgers allhie frau Eheliebstin, so beneben Ihrem Ehemann gegenwärtig war, in dem fünfften und Letzten Stammthei, Alßo alle der in Gott seelige entschlafenen frauen mit eingangs gedachtem Hn Johann Conrad Wörnern dero haußwürth seel. ehelich erziehlte frau Töchter und ältesten Hn Tochtermann und per Testamentum Verlaßene Erben

In einer in der Statt Straßburg ane dem Goldtgießen gelegenen und in dieße Verlassenschafft eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, Auff dem gang, Auff dem und.n gang, In d. Wohnstub, In d. Wohnstub Cammer, In der Kuchen, In Hn Johann Wennemar Haÿlen, des Tochtermanns behaußung
Eigenthumb ane einer Behaußung. Die Erblehnungs Gerechtigkeit und beßerung auf Zweÿen häußern, jenseit des Stadens im goldgießen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 143, Sa. Silbers 4, Sa. guldener Ring 15, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1700, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 540, Schud 93, Summa summarum 2497 lb – Schulden 80 lb, In Vergleichung 2417 lb – Stall summ 2417 lb
Copia Testamenti – (…) im Jahr 1712 (…) auf Montags als den 6. Monatstag Junÿ newen Calenders, abends Zwischen fünff und sechs Uhren Inn dieser Königlichen Statt Straßburg und Einer inn dem sogenannten Finckweiler gelegenen herrn Niclaus Struwe des gartenmanns und burgers allhie Ehelicher haußfrawen und denen Kindern Eigenthümlich Zuständigen Garten behaußung inn dem obern stock werckh, Einer Stuben mit sechs fenstern inn den Gartnen auß sehendt die Viel Ehren und tugendreiche fraw Ursula Wernerin gebohrne Kleinin, weÿland des Ehrenvesten und wohlvorgeacht, herrn Johann Conrad Werners geweßenen Statt hueffschmidts und burgers allhier inn besagtem Straßburg seeligen hinterlaßene Fraw wittib beÿ hohem Erreichtem alter – Christoph Eberhard Bär, Nots: jur: ac requisitus

Ursule Klein vend 200 livres la maison au tisserand en laine Jean Henri Kieffer et à Catherine Elisabeth Ottmann

1705 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 36
(200) fr: Urßula Wernerin geb. Kleinin wittib mit beÿstand Joh: Willhelm heÿlern Stattschmids weilen unbevögtigt
in gegensein Joh: Heinrich Kiefers wollenwebers u. Cath: Elisabethæ geb. Ottmännin
Hauß Hoffstatt u. Höfflein mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier im Stampfgäßlein, einseit neben Martin Grimmen Kürßnern, anderseit neben Johann Georg Gebhard schneidern hinten auf den Gaul stoßend gelegen – um 200 pfund

Fille de batelier, Catherine Elisabeth Ottmann épouse en 1694 le tisserand en laine Philippe Rothfuss
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 210)

Heut den 24. Martÿ A° 1694. ist (…) nach ordentlicher p.clamation eingesegnet worden Philippus Rothfuß der wollenweber und burger allhier undt Jfr. Catharina Elisabetha weÿl. Johann Ottmanns des burgers undt schiffmanns allhier nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Philippus Rottfus als hoh Zeiter, d. Jfr. Hochzeiterin + (i 42)

Philippe Rothfus meurt en 1698 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans une maison au Marché aux Chevaux. La masse propre à la veuve s’élève à 9 livres, celle de l’héritière à 20 livres. L’actif de la communauté est de 69 livres, le passif de 7 livres.
1698 (7.6.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 1) n° 37
Inventarium und Beschreib. aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte Meist. Philipps Rothfueß Geweßener wollenweber unnd burger alhier, nach seinem den 7.ten Martÿ jüngsthi, dießes lauffenden 1698.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten und achtbahren herrn Christoph Friderich Bieners tuchscherers und burgers alhie Zu Straßburg als geschwornen Vogts Catharinæ Elisabethæ deß Verstorbenen seel. mit seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugten hinderlaßenen und ab intestato einigen Erbens, inventirt und ersucht durch Sie die hinderbliebene wittib fr. Catharina Elisabetham Rotfueßin gebohrne Ottmännin mit beÿstand Hn Theobald Ernsten büchßenschiffters auch burgers alhie ihres geschwornen Curatoris – Actum in der königl. freÿen Statt Straßb. auff Sambstag den 7. Junÿ Anno 1698

Eheberedungs Copia – Pro Nota. Obwohlen in vor ein Ver leibten Eheberedung Versehen, daß Jedem die Ergäntz. hatte gesucht werd. solle, So hat dennoch weilen beede Eheleuthe in deß in die Ehe Inventirt ein mehrers nicht als was nich in Natura vorhand. Zu sein gezeigt word. Jedem wid. als unverändert zu geschriben werd. können
Inn einer alhier in der Statt Straßburg auf dem Roßmarckh gelegenen Zum läml. genannt v. in dieße Verlassenschafft Zur helffte widembs weiß Joh: David Bergmüllern dem ledig. Schwester eigenthümlich gehörig. behaußung ist befund. word. wie volgt
In der Soldaten Cammer, Inn der Cammer A, Im Nebens Cämmerlein
Hültzen werkch. In der Wohnstuben, Im Keller
Norma hujus inventarii, der wittib unverändert Vermögen, Sa. hausraths 1, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. goldenen Ringen 4, Summa 9 lb
hierauff wird auch deß Erben Unverändert Gutt beschrieben Sa. haußraths 17,Sa. Silbers 6 ß, Werckzeug zum wullen weber handwerck gehörig 2, Summa summarum 20 lb
Theilbare Maß, Sa. haußraths 11, Sa. Wahren Zum wullen weber handwerck 36, baarschafft 19, Activ: Schulden 2, Summa 69 – passiva 7 – Rest theilbaren gutts 61 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 159 lb
Wÿdembs Verfangenschaft so der abgeleibt. von seiner ersten haußfr., biß in sein tod sel. absterben genoßen. Vermög Inventarÿ über Weÿl. Frawen Agathæ Felicitatis gebohrner Schielerin deß Verstorbenen ersten haußfr. seel. Verlassenschafft auf gerichtet

Devenue veuve, elle se remarie en 1699 avec Jean Henri Kieffer, fils de manant : célébration, accession à la bourgeoisie
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 97-v)

1699. Mittw. d. 20. Maj wurd. nach ordentl. außruff. copul. Johann Heinrich Kieffer, der ledige wollenweber v. B. allhier weil. Heinrich Kieffers geweß. wollenwebers schirmers allhier nachgelaß. ehl. sohn, v. fr. Catharina Elisabetha weil. Philipp Rothfuß geweß. wollenwebers v. B. alhier nachgelaß Wittwe [unterzeichnet] hans henrich Kieffer mas hoch Zeiter, + ist d. fr. hochzeiterin Zeich (i 97)

1699, 4° Livre de bourgeoisie p. 712
Joh: Heinrich Kueffer der Tuchmacher Von hier, Weÿl. Heinrich Küeffer gew. schirmers hint. sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Frawen Catharina Elisabetha Rothfüeßin p. 2. golt fl. Vnd 16. ß .Vnd wird beÿ E.E. Zunfft der Tucher dinen. Jur. d. 16. Dito. [7.bris] 1699. (Kieffer)

Inventaire des apports dans une maison au Marché aux Chevaux
1699 (7.7.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahr. so Meister hannß Heinrich Kieffer, wullenweber und Fr. Catharina Elisabetha gebohrne Ottmännin beede Eheleuthe und burgere alhier vor unverändert einander zusammen in den Ehestand gebracht, welchen auf freundliches Ansuchen beeder Eheleuth auch ihr selbst eig. und Zeüg beÿständlich auf seiten deß Man Hn Christoph Pfanners Einspennigers: und auf der frn. Seiten Mstr. diebold Feisten büchßen schiffters ihres geweßenen Vogts – So bescheh. in der Königl. freÿen Statt straßb. in fernerem beÿsein Mstr Christoph Friderich Berners wullenwebers der Fr. Kind. ersterehe geschwornen Vogts, auf dinstag den 7. Junÿ A° 1699.

Inn einer alhier in der Statt Straßb. auff dem roßmarck gelegen und von vorher benand. beed. Eheleüthen lehnungsweiß bewohnend. behauß. ist befund. word. als volgt
Norma hujus inventarÿ, und zwar Erstl. Was dem Mann als unverändert zuständig, Sa. weißen gezeügs und Kleider 14, Sa. Werckzeugs Zum wullenweber handwerck gehörig 4, Sa. silbers 11 d. Summa summarum 18 lb
Nun wird auch der fr. zugebrachte Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 96, Sa. wahren Zum Wullenweber handwerck gehörig 75, Sa. Silbers 8, Sa. guldenen Ring 6. Sa. der baarschafft 15, Sa. der activ: Schulden in die Nahr. Zugeldend 19, Summa summarum Vorherbeschriebenen gantzen Zugebrachten Nahr. so der fr. unverändert 221 lb – Hievon ist nachstehende passiv: Schuld abzuziehen 57 lb, Nach deren Abzug 169. lb

Jean Henri Kieffer se remarie en 1714 avec Elisabeth Carol veuve du serrurier Jean Jacques Ernst ;contrat de mariage, célébration
1714 (15.11.), Not. Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 6) n° 29
Eheberedung zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Meister Johann Heinrich Kieffer Wollenweber vndt Burger allhier in Straßburg Wittiber alß hochzeiter beÿständlich deß auch Ehrsamen undt bescheidenen Abraham Wörners Schuhmachers ane einem
So dann der Ehren undt tugendsamen Frawen Elisabethæ gebohrner Carlerin Weÿl. Johann Jacob Ernsten geweßenen Schloßer und burgers allhier nachgelaßene wittib als hochzeiterin auch beÿständlich deß Ehrenachtbahren Meister Johann Joachim Köppigen Schloßer Und Meister Philipp Jacob Heÿder Schneiders aller burgern allhier andern theils
So beschehen Donnerstags den 15.ten Novembris Anno 1714. (unterzeichnet) Hans Henrich Kieffer Als hoch Zeitter, Elisabeth Carlerin Als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 267 n° 1150)
1714. Mittwoch den 12.ten ejusdem Sind nach 2. mähl. Proclamation ehelich copulirt worden M. Joh: Heinrich Kieffer der wollenweber, b. und Wittwer allhier und Fr. Elisabetha weÿl. Hanß Jacob Ernsten gewesenen b. und Schloßers allhier, pp furtum suspensi, nachgelaßene wittib (unterzeichnet) Hans Henrich kieffer Als hoch Zeiter, Elisabetha Kieferin als hochzeitrin, Philip Jacop heÿder Alß Schwager (i 266)

Inventaire des apports dressé dans la maison rue du Foulon dont l’estimation, 175 livres, est reprise de l’inventaire non conservé de Catherine Elisabeth Ottmann

1715 (19.6.), Not. Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 2) n° 60
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab undt Nahrung so der Ehrsam undt bescheidene Mstr. Johann Heinrich Kieffer Wollenweber undt die tugendsahme Fraw Elisabetha gebohrne Carolin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einand. in den Ehestandt Zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor ohnverändert Vorbehalten haben – So beschehen in der königl. Statt Straßburg in fernerem geg.sein Hr. Philipp Jacob Hewers Krempen Und burgers allhier der Ehefr. leibl. Schwager. Mittwochs d 19.t Junÿ 1715.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Stampff gäßlein gelegenen dem Ehemann Eÿgenthümblich zuständig. behaußung sich volgender Maßen befund.
Annæ Elisabethæ der Ehefr. Tochter – Susannæ Mariæ
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung (M.) It. eine behaußung hoffstatt, höffel, hinderhäußel, gebalckten Keller, s. allen zugehörung. rechten v. gerechtigkeiten geleg. allhier in der Statt Straßburg in dem Stampffgäßel 1.s. neben Georg götzen dem becken, a.s. neben Meister gall wantzen dem Schmid. hind. vff Jacob Fischern dem Stall Würth, stoßend, Undt ist solche behaußung beÿ dem jenig. anschlag gelassen Word. wie beÿ der Verlassenschafft æstimirt Word. nembl. pro. 175. lb. davon gehet ab 4. lb. Zinß so man Jahrs uff d. 24. 10.bris Meister hannß Georg Feßenmeÿer dem glaßer v. burgern allhier ablößig m. 100. lb. Nach abzug dießer beschwerde Verbleibt noch in Außwurff zubring. 75 lb. Darüber solle ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contractstuben gefertiget besagen, welcher aber beÿ dießer Inventation nicht beÿ handen geweßen.

Elisabeth Carol meurt en 1725 en délaissant trois enfants de son premier mariage avec Jean Jacques Ernst. L’inventaire est dressé dans une maison de location face au Chapelet (rue du Parchemin). La masse propre de la succession s’élève à 106 livres. L’actif de la succession est de 87 livres et la masse de la communauté 135 livres

1725 (7.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 10) n° 366 (336)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung so weÿl. die Ehren: V. tugendsahme Fr. Elisabetha Kiefferin gebohrne Carolin deß Ehrsahm: V. bescheidenen Mstr. Joh: Heinrich Kieffers Wollenwebers V. burgers allhier Zu Straßburg geweßene Ehefrau Nunmehr seel. nach Ihrem Vor 14. tagen genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft Auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren deß Ehrsamen V. bescheidenen Mr. Hß. Geörg Ernsten, Nagelschmidts: V. burgers Allhier als geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Annæ Elisabethæ v. Susannæ Mariæ der Abgeleibten seel. in Erster ehe mit weÿl. Joh: Jacob Ernsten geweßenen Schloßern V. burgers Zu ermeltem Straßb. Ehelich erziehlter KK. und ab intestato hinterlaßener rechtsmäßiger Erben fleißig Inventirt und ersucht durch Ihne den Wittib und die Erben selbsten – Actum Straßburg den 7. Maÿ 1729.
Copia der Eheberedung
Copia Testamenti nuncupativi
Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Dieweilen nach so beschehener dießortiger Inventation sich so gleich her vorgethan, daß wed. die theilbahre Nahrung, welche gar Klein und gering ist, noch auch deß Wittibers natural posten Zu abtragung des theilbahren Schuldenlasts Sufficent, alß hab mann Vor unnötig ermeßen deß Wittibers Ergäntzung & Zu ersuchen, würd demnach wie hernach zu sehen, des Wittibers und die theilbahre Nahrung Unter einem Titul alß theilbar beschrieben werd. In specie wilen er H Vogt vf die Theilbahre Nahrung tam active quam passive renunciert Und sich alle in mit seiner Curanden Unverändertem Mütterlichen Guth contentiren laß. will.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Rooßen Krantz gelegenen Und Lehnungs weiß bewohnenden behaußung sich befunden als Volgt.
Ergäntzung der Kinder Undt Erben ermanglenden Unveränderten Mütterlichen guts. Nach besag Inventarÿ (…) durch weÿl. Hn Notm. Johann Friderich Ölingern aufgerichtet
Series rubricarum Der Erben Nahrung, Sa. haußraths 48, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener ring 3, Sa. Schulden in die Nahrung 46, Sa. Ergäntzung 90, Summa summarum 190 lb – Schulden 84 lb, Der Erben restirend. Vermög. 106. lb
Des Wittibers und die Theilbar Verlassenschafft anl. Sa. haußraths 10, Sa. Silbers 1, Sa. Schulden in die Nahrung Zugeltendt 75 – Summa summarum 87 lb – Schulden 135, Theilbar passiv onus 48 lb

Jean Henri Kieffer se remarie avec Anne Keller veuve du cordonnier Jean Henri Krafft : contrat de mariage, célébration
1726 (14. 8.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 48
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Heinrich Kieffer wollenweber und burger alhier alß brätigam ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Frau Annæ Krafftin gebohrner Kellerin, weÿland Johann Heinrich Krafften gewesten Schuhmachers und burgers alhier sel. nachgelaßener wittib alß hochzeiterin am andern theÿl – Vorstehende Puncten seind abgehandelt worden Straßburg den 14. 8.bris Anno 1726

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 44, n° 22)
1726. Freit. d. 23. 8.br. sind nach Zweÿmaliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Heinrich Kiefer der wullen weber, wittiber v. b. alhier v. fr. Anna weÿl. Georg Heinrich Krafften gewes. b. v. schuhmachers nachgel. Wittib [unterzeichnet] hans henrich kieffer als hochzeiter, o Anna Krafftin als hochzeiterin mit ihrem Zeichen (i 47)

Jean Henri Kieffer cède la maison à sa fille unique Marie Salomé Kieffer femme du tisserand en laine Valentin Schœff en remplacement des biens de sa mère

1726 (19.10.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 534
Johann Heinrich Kieffer wollenweber
seiner einigen eheleiblichen tochter Mariæ Salome geb. Kiefferin Valentin Schöff des wollenwebers ehefrauen mit beÿstand ihres vormahligen Vogts Johann Philipp Zimmer tabackbereithers, daß er Kieffer seiner tocher in solutum ihres mütterlichen zufolg des ahm 22. oct. 1714 aufgerichetem von Löbl. Vogteÿ gericht ratificiten Vertrags auff 200 lb determinirten guths cedirt (…) davon der vatter Krafft vor weÿl. Not. Johann Peter Kolb ahm 19. maÿ 1699 aufgerichteten Eheberedung lebtägig zu genießen hat
Eine Behausung und hoffstatt und höfflein mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Stampffgäßlein, einseit neben Johann Georg Götz dem Kauffhauß knecht anderseit neben gallus wantz dem Schneider hinden auff die gastbehausung zum stall – solche cesssio über angegebene 100 pfund

Valentin Schœff, originaire de Wetzlar, épouse Marie Salomé Kieffer en 1725 : il fait dresser l’état de sa fortune pour devenir bourgeois, un contrat de mariage et se marie à Saint-Thomas, devient bourgeois
1725 (8.6.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 68) Designationes
Designatio und Verzeichnuß, Was Valentin Schöff der ledige Tuchmacher aus Wetzlar gebürthig, so verlobt an Jgfr. Mariam Salomeam gebohrne Kiefferin, hannß Henrich Kieffer des Wullenwebers und burgers allhier eheligen tochter, eÿgenthümblich in Vermögen, darüber er nur dem Notario die handtrew abgestattet.
In allerhand Sorten Geld 160. lb
Sig. Straßburg den 8.ten Junÿ Anno 1725.
[unterzeichnet] Valdein Scheff

Contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire de 1738
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Meister Valentin Schöff leedigen tuchmachern und burgern alhier, als bräutigamb ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfer Mariæ Salomeæ Kiefferin des Ehrengeachten Meister hannß Heinrich Kieffer wollenweber undt burgern (alhier ehelich erziehlte tochter) – So beschehen und Verhandelt in Persöhnlicher gegenwärtigkeit der Ehren: und Vorgeachten, auff der Jungfer Hochzeiterin seithen Meister hannß Heinrich Kieffer des tuchmachers Ihres Leiblichen Vatters und Meister Johann Philipp Zimmers des tabackbereiters Ihren annoch ohnentledigten Vogts beeder burgern alhier – In der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 28. Maÿ Anno – Christoph Michael Hoffmann Nots.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 193 n° 1098)
1725, den 11. Julÿ seind nach geschehener ordentl. ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Valentin Schöff der ledigge wollen weber alhie, weiland Johann Jacob Schöff des gewesenen burgers Zu Wetz[lar] hinderlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Maria Salome Johann Heinrich Kieffer des burgers und thuchscherers alhie ehel. tochter [unterzeichnet] Valendein Scheff als hochzeiter, + vorstehendes Zeichen machte Jungfrau Maria Salome Kiefferin (i 197)

1725, 4° Livre de bourgeoisie p. 920
Valentin Scheff d wollen weber erhalt das burgerrecht Von seiner ehefr. Maria Salome Johann Heinrich Kiefers b. und wollenwebers tochter umb die tertz d: alt. b. will beÿ E.E. Zunfft d: Kiefer dienen. Jur. Eodem [20.t Aug. 1725]

La femme fait dresser l’inventaire de ses apports
1726 (31. 8.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 23) n° 761
Inventarium über der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annæ Kiefferin gebohrner Kellerin, Zu Meister Johann Heinrich Kieffer dem Wollenweber ihrem lieben Ehemann beeder burgere alhier zu Straßburg für ohnverändert eingebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1726. – und crafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung Ihro und Ihren Erben als ein unverändert und vorbehalten Guth mmithien die Ergäntzung deßelben expressé reservirt, conditionirt und bedungen – So beschehen Straßb. den 31. 8.bris Anno 1726.
Sa. Haußraths 71, Sa. Silbers 2, Sa. Guldener Ring 1, Sa. baarschafft 10 – Haussteuren 92 lb

Valentin Schœff et Marie Salomé Kieffer hypothèquent la maison au profit de Marie Catherine Mustinger veuve du pasteur de Boofzheim, Jean Jacques Lohrer

1729 (20.10.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 485
Valentin Scheff der wollenweber und Maria Salome geb. Kiefferin mit beÿstand ihres vatters Johann Heinrich Kieffer auch wollenwebers und ihrer Mutter schwagers Johann Philipp Zimmer tabackbereithers
in gegensein H Johann Caspar Mustinger Med: D: und pract: als mandatatii seiner schwester Fr. Mariæ Catharinæ geb. Mustingerin H. Johann Jacob Lohrer des evangelischen Pfarrers zu Boffzheim ehefraun – schuldig seÿen 150 pfund zu nothwendiger reparation und melioration hiernach beschriebenen haußes
unterpfand, Eine aus jetzigem vorschuß zu repariren und zu melioriren vorhabende Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Stampffgäßlein, einseit neben Johann Georg Götz dem Kauffhaußknecht anderseit neben Gall Wantz dem Schneider hinten auff die gastbehausung zum Stall
obged. Johann Philipp Zimmer (…) verbürgt (…) unterpfand, Eine Behausung hoff gärttlein und hoffstatt cum omnibus appertinentiis im Thomanloch im langen gäßlein, einseit neben Daniel walter dem garttenmann anderseit neben Heinrich Lorentz dem tabackbereither hinten auff H. Lt. Faust Schaffner des Mehrern hospitals

Valentin Schœff et Marie Salomé Kieffer hypothèquent la maison au profit de Susanne Barbe Kratz

1730 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 292-v
Valentin Schöff der Wollenweber und Maria Salome geb. Kiefferin mit beÿstand ihres Vatters Johann Heinrich Kieffer auch wollenwebers und ihrer mutter seel. schwagers Johann Philipp Zimmer des tabackbereithers
in gegensein H. Rathh. Johann Sebastian Kratz Chirurgii als Vogts Jfr. Susannæ Barbaræ Kratzin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Stampffgäßlein, einseit neben Johann Georg Götz dem Kauffhauß Knecht und deßen Kindern anderseit neben Gall Wantz dem Schneider hinten auff die gastbehausung zum Stall
obged. Zimmer (…) verbürgt (…)hypothecirt Eine Behausung hoff gärttlein und hoffstatt cum omnibus appertinantis im Thoman: loch im Langen: gäßlein, einseit neben Daniel Walter dem garttenmann anderseit neben Heinrich Lorentz dem tabackbereither hinten auff H. Lt. Faust den Schaffner des mehrern hospithals

Valentin Schœff et Marie Salomé Kieffer hypothèquent la maison au profit de leur fille unique Anne Elisabeth Schœff

1737 (12.12.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 841-v
Valentin Schöff der wollenweber und Maria Salome geb. Kiefferin mit beÿstand ihres vatters Johann Heinrich Kieffer des wollenwebers und dießes letztern bruders Johann Philipp Kieffer des Lichtermachers
in gegensein ihres noch lebenden einigen Kindts Annæ Elisabethæ Schöffin geschwornen vogts Jeremias Krafft des Schuemachers – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ahne dem Stampfgäßlein einseit neben Friedrich Hertzog dem schuhmacher, anderseit neben Lorentz Geißtodt dem hohldräher, hinten auff die gastbehausung zum Stall Johann Jacob Fischer gehörig – als ein am 19. Octobris 1726 erkaufftes guth

Le drapier Valentin Schœff et Marie Salomé Kieffer font dresser l’inventaire de leur fortune. La maison est estimée 450 livres. La masse propre à la femme s’élève à 369 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 26 livres, le passif de 250 livres.

1738 (26.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 50) n° 1610
Inventarium über Valentin Schöff des Thuchmachers und frauen Mariä Salome Schöffin gebohrner Kiefferin, beeder Eheleuthe und burgers allhier Zu Straßburg dermahlen besitzender activ und passiv Nahrung – welche der Ursachen alldieweilen die Ehefrau willens und Vorhabens ist beÿ E.E. Kleinen rath umb Salvirung ihres ohnveränderten und Eigenthümlichen Guths underthänig einzukommen – so beschehen in beÿseÿn und persönlicher gegenwarth Meister Georg Schmidt Schuhmachers und burgers allhier der Ehefrauen geschwornen Curatoris ad Lites wie auch obigen Valentin Schöffen des Ehemanns selbsten, Straßburg Sambstags den 26. Julÿ Anno 1738.
Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig. Es haben zwar beede Eheleuthe in nechst Vorhero copeÿlich einverleibten Eheberedung §° 3.tio unter andern das einander in den Ehestand Zubringendes Guth sich und ihren Erben reservirt dergestalten deß das manglende ergäntzt werden solle, Weilen aber Klein Inventarium illatorum auffgerichtet worden, so hat mann Zwar der Ehefrauen Ihro Vor ohnverändert angesprochene und Von dem Ehemann ihro solchergestalten eingestandene posten Ihro vor ohnverändert zu beschrieben das übrige alles aber mit außnahm der Ehefr. Ihrer helffte ane denen noch Vorhandenen haussteuren des Manns ohnverändert und theilbar Zu seÿn considerirt und also unter einer mass beschrieben.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Stampfgäßel gelegenen : und unten beschriebenen behaußung befunden worden, wie volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung (F.) Nemlichen eine behaußung, hoffstatt und Höfflein, mit allen derselben gebäwen begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg am Stampffgäßlein, 1.seith neben Mstr. Joh: Georg Friderich Hertzog dem Schuhmacher 2.seith neben mstr. Lorentz Geißtodt hohlträher hinten auff H. Johann Jacob Fischer dem Stallwürth stoßend gelegen, so über hernach gemelte passiv capitalia gegen männiglich freÿ leedig eigen und dermahlen anzuschlagen beliebt worden pro 450. lb. Darüber besagt ein teutsche pergamentene Cession in allh. S.S. Stub gefertiget, mit dero anhang: Innsiegel Verwahrt datirt 19.ten Octobris 1726. Crafft dero Johann Heinrich Kieffer der wollenweber und burger allhier der Ehefrauen eheleiblicher Vatter Ihro solche behaußung zu Zahlung mütterlichen Guths gegeben und cedirt hat. Dabeÿ fernerer ein alter pergamentiner Kauffbrieff in erwehnter C.C. Stub gefertiget sub dato 3. 7.bris 1697. gleicherweiße mit anhangendem Innsiegel Verwahrt. So dann noch weiter j. dergleichen pergamenter Kauffbrieff dedato 16.ten Januarÿ 1705.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 17, Sa. einer behaußung 450, Sa. Schulden 35, Sa. Ergäntzung 16, Summa summarum 519. lb – Schulden 150 lb, Nach deren Abzug 369. lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns ohnverändert und Zugleich das gemein verändert und Theilbar Guth unter einer Mass consignirt und beschrieben, so nur allein in hausrath bestehet, Sa. haußraths 26, Sa. Schulden 250. lb, In Vergleichung beeder Summen 223 lb
Copia der Eheberedung (…) den 28. Maÿ Anno – Christoph Michael Hoffmann Nots.

Marie Salomé Kieffer femme de Valentin Schœff vend 450 livres la maison au cordonnier Georges Schmidt et à sa femme Marie Catherine Jünger

1743 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 107
Fr. Maria Salome geb. Kiefferin Valentin Schöff des wollenwebers ehefrau [unterzeichnet] Valedin Scheff, +
in gegensein Georg Schmidt des schuhmachers und Maria Catharina geb. Jüngerin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Stampfgäßlein, einseit nebenGeorg Friedrich Hertzog dem schuhmacher, anderseit neben Lorentz Geÿßtod dem holdreher, hinten auff gastbehausung zum Stall – als ein am 19. Octobris 1726 ihro von ermeldtem ihrem vatter in solutum cedirtes guth – um 200, 50, 50 und 25 pfund verhafftet, geschehen um 125 pfund

Georges Schmidt et Marie Catherine Jünger hypothèquent la maison au profit du tourneur en argent Jean Samuel Blanck

1746 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 769
Georg Schmidt der schuhmacher und Maria Catharina geb. Jüngerin mit beÿstand ihres bruders Johann Friedrich Jünger und ihres schwagers Johann Güthel beede schuhmacher
in gegensein Johann Samuel Blanck des silberdrehers – schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis am Stampffgäßlein, einseit neben Georg Friedrich Hertzog dem schuhmacher, anderseit neben Lorentz Geÿßtod dem holdreher, hinten auff die gast behausung zum goldenen pferd – als ein am 16. martÿ 1743 erkaufftes guth

Georges Schmidt et Marie Catherine Jünger vendent la maison 650 livres au cordonnier Georges Frédéric Hertzog, propriétaire de la maison voisine, IV 109)

1754 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 13
Georg Schmidt der schuhmacher und Maria Catharina geb. Jüngerin
in gegensein Georg Friedrich Hertzog des schuhmachers
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, und rechten am Stampffgäßlein, einseit neben dem käuffer, anderseit neben der Geÿstodischen wittib, hinten auff die gastbehausung zum Stall – um 200 lt, 225 pfund verhafftet, geschehen um 225 pfund

Georges Frédéric Hertzog, lègue la maison à son fils Georges Frédéric comme l’indique son inventaire après décès

Georges Frédéric Hertzog, dont les parents sont devenus bourgeois après sa naissance, fait dresser l’état de sa fortune pour devenir bourgeois en février 1740
1740 (27.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 68) Designationes
Designation und Verzeichnüs Was der Ehrengeachte Meister Georg Friderich Hertzog der Ledige Schumacher, Georg Friderich Hertzog ebenmäßigen Schuhmachers und burgers alhier in das alhiesige burgerrecht gebrachte und beÿ ordnung gelaßener ehelicher Sohn, Verlobt an Jungfer Mariam Catharinam gebohrne Kapplerin, weÿland Meister Johann Peter Kapler geweßenen Schuhmachers und burgers alhier hinterlassenen ehelicher Tochter, würcklich eÿgenthümblich in Vermögen, auff vorhien von ihme angelegte Handtreü geäugt und gezeigt
Sa. Hausraths 53, Sa. Gemachter Waaren, leder und Werckzeug Zum Schuhmacher Handwercks gehörig 24, Sa. Silbers und Goldener Ringe 16, Sa. der baarschafft 169, Summa summarum 264 lb

1741, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 56
Georg Friderich Hertzog der Schuhmacher Von Schiltigheim gebürtig erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefraun maria Catharina weÿl. Johann Peter Kappel gewesenen burgers und Schuhmachers allhier tochter um den alten burger schilling, und wird dienen beÿ E.E. Zunfft der Schuhmacher, jur: eod. [14. Junÿ]

Il se marie l’année suivante avec Marie Catherine Kappel
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 198-v, n° 754)
Anno 1741. Eod. [Mittw. d. 12. April.] seind nach ordentl. außruffung Ehl. copul. u. eingesegnet word. Georg Friederich Hertzog der led. schuhmacher u. b. allhier, Georg Friderich Hertzogs schuhmach. u. b. allhier ehl.Sohn u. J. Maria Catharina weÿl. Johann Peter Kappels geweß. schuhmach. u. b. allhier nachgelaß. ehl. tochter [unterzeichnet] Georg Friderich Hertzog als hochzeiter, Maria Catharina Kapplerin als hochzeiterin (i 203)

Inventaire des apports dressé dans une maison rue du Maroquin
1741 (19.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 12) n° 569
Inventarium über des Ehrsam: und bescheidenen Meister Georg Friederich Hertzogß des Schuhm. Und Frauen Mariä Catharinä gebohrner Kappelin beeder nunmahliger Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – So auß der Ursachen weilen Sie in der mit einander auffgerichtet und Vorbehalten hab en daß alles das so von einsen oder deß andern Guth abgehen möchte auf begebend. fall wieder ergäntzt Und guth gethan werden solle – Actum in fernerem beÿseÿn der ehefr. leiblich. Mutter und Georg Schmidts deß Schuhmachers alß Stieff Vatters wie auch Gottfried Werners des Schuemachers ihres Vogts auf deß Ehemanns seithen aber Joh: Bekcen deß Schreiners Undt burg. alhie seines Vettern, Straßburg d. 19. Aprilis 1741.

In einer allhier Zu Straßburg in der Urbansgaß gelegenen hiehero Zum theil gehörigen behaußung hatt sich befunden wie volgt
Series rubricarum – Sa. haußrath 38, Sa. Schuh leder und Werckzeug Zum Schuhmacher handwerck gehörig 17, Sa. Silber 4, Sa. Baarschafft 4 – Summa summarum des Ehemanns in den Ehestand gebrachten Vermögens 64 lb
Dießem nach wird auch der Ehefrauen Zugebrachte unverändert Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 116, Sa. Silber 10, Sa. Guldener ring 5, Sa. der baarschafft 59, Summa summarum 192 lb

Accord entre Georges Schmidt et sa belle-fille Marie Catherine Kappler, femme de Georges Frédéric Hertzog, au sujet de la succession de leur femme et mère respective Marie Catherine Jünger
1770 (2.5.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 588) n° 183
erschienen persönlich, weiland der tugendsamen Fraun Mariæ Catharinæ Schmittin gebohrner Jüngerin seel. hinterbliebener Wittiber Meister Georg Schmitt der Schuhmacher und burger allhier, ane einem,
So dann gedachter Frau Schmittin seel. in erster Ehe erzeugte Tochter und ab intestato nach Tod verlassene einzige Erbin Nahmens Frau Maria Catharina Hertzogin gebohrne Cappelin, unter autorisation ihres Mariti Meister Georg Friderich Hertzog des burgers und Schuhmachers, und annoch mit assistentz ihres Schwagers Meister Johannes Lausterer des ebenmäßigen Schuhmachers und burgers dahier am andern theil,
Diese zeigten an, wie daß Sie sich ratione ihrer vorbenamsten Verstorbenen Ehegattin und respectivé leiblicher Mutter seel. Verlassenschafft in Erbs Vergleichs: und Cessions: weise dergestalten gütlich und freÿwillig, auch wissend und wohlbedächtlich für sich, ihre Erben und Nachkommen, mit einander gesetzet und abgefunden haben
Erstlich, betreffend der Defunctæ seel. hinterlassene Natural Posten, welche einig und allein in der wenigen und schlechten um und an dero Leib gewesenen Kleidung und weißgezeug bestanden und vermög des am 2. Juny 1769. durch H Notarium Georg Friedrich Nenter aufgerichteten Verlassenschaffts Inventarÿ fol 24. Fac. 2.a den Stalltax nach ad 5. lb geschätzt worden (…)
Zweÿtens, da aus der vor allegirten Verlassenschafts Inventario ersichtlich, daß die Frau Erbin und Ergäntzung (…) per rest 1251. lb nach abzug dero Passiv Schuld., annoch in allem 1233 Pfund an des Wittibers unverändert und theilbare Massam zu prætendiren hat, so überläßt und tritt er Meister Schmitt der Wittiber hiemit würcklich in Erbs-cessions weiß gesagter seiner Stief tochter der universal Erbin auf abschlag in solutum eigenthümlich ab
1° die in mehrangeführten Verlassenschaffts Inventario de anno 1769. beschriebenen dritten Theil vor unvertheilt von und ane einer behausung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Stampfgäßlein, einseit neben H Georg Hatzung dem Metzger, anderseit neben obgemelten Johannes Lausterer dem Schuhmacher, hinten auf gedachten H Hatzung stoßend, so der dißortige Wittiber um Monat May 1766. von nun weiland fraun Maria Catharina Hertzogin gebohrner Voltzin wittib, der dißeitigen vorernanten Erbin Schwiger Mutter seel. vor 100. lb erkauft und über abzug 50. lib d so man Isaac Haffner dem Rathsbotten tutorio nomine in Hauptgut so dann 28. lb. 4 ß welche mann gedachter Herzogischer wittib modo den Erben ane restirenden kauffschillings Capital (welche) die Frau Erbin und Cessionaria hiemit über sich nimmt (…) annoch um den Preiß von 21. Pfund
2° die in berührten Verlassenschafts Inventario fol. 52. Fac: 1.a Rubrica Pfenningzinß hauptguths (…)

Georges Frédéric Hertzog et Marie Catherine Kappel hypothèquent la maison au profit de Jean et Marie Catherine Hertzog

1772 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 554
Georg Friedrich Hertzog der schuhmacher und Maria Catharina geb. Kapplerin unter assistentz Johann Georg Jockers und Mathis Götz beede schuhmacher
in gegensein Georg Weber des schuhmachers als geordnet und geschworener vogt Johann und Mariæ Catharinæ derer Hertzog – schuldig seÿen 80 gulden
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Stampfgäßlein, einseit neben Bartholomeus Oberreuter dem steinhauer, anderseit neben Caspar Bolender dem schuhmacher, hinten auff die gastbehausung zum goldenen pferdt – alß ein von seinen eltren ererbtes guth

Georges Frédéric Hertzog et Marie Catherine Kappel hypothèquent la maison au profit du tanneur Jean Daniel Friedel

1773 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 42-v
Georg Friedrich Hertzog der schuhmacher und Maria Catharina Kapplerin unter assistentz Georg Weber des schuhmachers und Johann Georg Jockers
in gegensein H. Johann Daniel Friedel des rothgerbers – schuldig seÿen 107 gulden
unterpfand ihre zuständige ane dem Stampfgäßlein gelegenen behausung samt Zugehörden, einseit neben Bartholomeus Oberreuter dem steinhauer, anderseit neben Caspar Bolender dem schuhmacher, hinten auff gastbehausung zum goldenen pferd

Georges Frédéric Hertzog et Marie Catherine Kappel vendent 680 livres la maison au mesureur de bois Jean Frédéric Hansmetzger qui agit comme prête-nom du manant Jean Stiedel et de sa femme Anne Catherine Unckel

1773 (28.12.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 504
(680 lb) Erschienen Georg Friedrich Hertzog der burger und Schuhmacher alhier und mit Ihme seine Eheliche haußfrau Maria Catharina gebohrne Kapplerin
in gegenseÿn Johann Friedrich Hannßmetzger des burgers und holtzlägers alhier
eine behausung hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeit. allhier zu Straßburg ane dem Stampffgäßlein einseit neben Bartholome oberreuther dem Steinhauer, anderseit neben Caspar Bolender dem Schuhmacher und hinten auff die gastbehaußung zum goldenen pferdt stoßend gelegen, welche behaußung denen hübßmännischen Kindern um 450 R, Philipp Jacob Keller dem glasser uxorio nomine um 400, so dann derer Verkäuffern zweÿer minderjährigen Kinder Nahmentlich Johann und Maria Catharina um 140 fl. (…) ane Capital verpfändet – zugangen um 369 gulden
[in margine :] Erschienen Johann Friedrich hannßmetzger der burger und holtzläger allhier, dießer hat in gegensein Johann Philipp glaß des zimmergesellen und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts weÿl. Johannes Stiedel gewesten Steinhauers gesellen und schirmers dahier seel. nachgelaßenen Kindern und deßen auch hinterbliebenen wittib Annä Catharinæ gebohrner äckelin beÿständlich besagten Glaß angezeigt und bekannt, daß schon zu der Zeit als er von Georg Friderich Hertzog dem burger und schuhmacher allhier und deßen Ehefrau Mariä Catharinä gebohrner Kapplerin der letztern zuständig innen beschriebene ane der Stampfläßlein gelegene behaußung samt zugehördten gegen übernahm dreÿer Capitalien so da 994 fl. 6 ß außgeworffen, annoch um die summ der 369 gulden erkaufft, er solchen Kauff im nahmen besagter Comparenten Erblaßers alß welchen damahlen im leben ware gethan, Von demselben auch in wahrheit das geld zu dem bereits bezahlten Kauffschilling der 369. fl. (…) baar erhalten (…), als was die wahrheit obigen Vortrags betrifft zu laisten Verspricht welche übergab sie Stiedelische Erben alß schirms Verwandte nach zuvor gesucht und besag bekantnnuß angenomen zu haben (…), Wobeÿ sie Stiedelische wittib und er glaß nahmens deren Curanden in gegenseÿn S.T. H. XXI. Frantz Carl Barth und Herrn Rathherr Beatus Ignatius Lachausse Medicinæ Doctoris und Practici allhier beeder auß Edel besagten gnädig. Hh. Räth und XXI. Mittel besag oballegirten Decreto hierzu insonderheit abgeordneten Herrn angezeigt und bekannt, daß sie sich allen denjenigen beschwerden denen die hier unverburgerte persohnen so einiges immobile in hießiger Statt oder dero burgbann gelegen käufflich an sich bringen wollen zu unterwerffen schuldig sind, hiemit gleichermaßen unterworffen (…), actum Straßburg d. 12. Martÿ 1774. [unterzeichnet] Anna Catharina stiedelin

Le tailleur de pierres Jean Stiedel, manant natif de Mittelbergheim, meurt en 1774 en délaissant cinq enfants de sa femme Catherine Unckler, native de Bischoffsheim à la Haute-Montée en Bade. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Jardin-aux-Roses. La masse propre au défunt s’élève à 9 livres. L’actif de la communauté s’élève à 875 livres, le passif à 436 livres

1774 (15.2.), Not. Beguin (6 E 41, 1461) n° 179
Inventarium über Weiland Johann Stüttel des gewesenen Steinhauers und Schirmers Verlassenschafft, nach seinem den 7. jan. jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlich verlaßen hat, auf Ansuchen Fraun Catharina geb. Unglerin der hinterbliebenen Wittib beÿständlich Johann Friedrich Hans: Metzger des Holzlegers
der Verstorbene hat ab intestato zu Erben hinterlassen wie folgt 1. Johann Daniel so 12 Jahr alt, 2. Anna Catharina so 9 Jaahr erreichet, 3. Anna Maria so 7 Jahr am leben, 4. Johann Jacob so 3 Jahr zurückgelegt, 5. Margaretha Salome so 6 Monat am Leben, alle 5 des Defuncti mit der Wittib ab intestato hinterlassenen Erben, deren geordnet und geschworener vogt ist Johann Philipp Claß der zimmermann und burger
Bericht, weder eine Eheberedung aufgerichtet noch dero eingebraches Vermögen inventiret worden

In einer ane dem Rosen: Gärtlein gelegenen Mr Specht dem Woll: Spinner und burger alhier gehörigen behausung
Eigenthum ane einer behausung. T. Nemlichen eine behausung Hoff und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Stampff Gäßlein einseit neben Bartholome Oberreuter dem Steinhauer anderseit neben Caspar Bolender dem Schuhmacher und hinten auf die Gastbehausung zum Goldenen Pferd stoßend, ohnpræjudicirlich ausgeworfen wird wie solche den 28. Decembris jüngst wäre erkaufet worden pro 609, Wie nun berührte behaußung von eingangs gedachtem Johann Friedrich Hanßmetzger erkauft worden weiset eine C.C. Stub Kauffverschreibung sub dato 28. dec. 1773 mit einer darüber befindlichen in C.C. Stb passirten Cession wodurch gemelter Hanßmetzger dißortiger Wittib und Erben vorgemeltes Hauß eigenthümlich überlaßen, de dato 12. mart. 1774
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Erben ohnverändert Vermögen, Kleidung 9 lb
die übrige Verlassenschafft und zwar nach obeingetragenem bericht als theilbar beschrieben, hausrath 32 lb, silbers 2 lb, baarschafft 18 lb, behaußung 609 lb, Pfenningzinß hauptgüter 50 lb, Schulden 163 lb, Summa summarum 875 lb – Schulden 436 lb, Nach deren Abzug 438 lb

Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. du pasteur f° 27, n° 53)
Im Jahr 1774, Freÿtag den 7. Januarÿ Morgens zwischen sechs und sieben uhr starb Johannes Stidel, gewesener Steinhauer und Schirmer allhier, Sein Vater war weiland Jonas Stidel burger und Rebmann in Mittelbergheim, die Mutter aber war auch weiland Elisabetha gebohrne Gressendorfin. Er war gebohren den 4. Julÿ im Jahr 1724, und also seines Alters 49 Jahr 6 Monat und 3 Tage. Er lebte in der Ehe mit Frauen Catharina Unklerin von bischoffsheim Zum hohen Steg gebürtig, mit welcher er sechs Kinder gezeuget, und sie als Wittib hinterlassen. Sein entseelter Leichnam wurde Sonntags den 9. eiusdem auf dem Gottes: Acker St. Helenæ Christlich Zur Erden bestattet [unterzeichnet] Johann Jacob stidel als bruder, Hannß Jacob Unkel als Schwager (i 29)

Anne Catherine Unckel hypothèque la maison au profit du maçon Philippe Ketterer

1776 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 285-v
Anna Catharina geb. Äckelin weÿl. Johann Stiedel des steinhauers wittib beÿständlich H. Johann Georg Rößel notarius publicus juratus ac practicus
in gegensein H. Philipp Kötterer des maurer und steinhauers in deßen nahmen seine ehefrau Magdalena geb. Louis – schuldig seÿen 150 gulden
unterpfand, ein dritter theil vor unvertheilt von und ane einer behausung samt zugehörden ane dem Stampffgäßlein, einseit neben Bartholomeus Oberreuter dem steinhauer, anderseit neben Caspar Bolender dem schuhmacher, hinten auff die Gastbehausung zum goldenen pferd

Catherine Unckel loue la maison au cordonnier Jean Jacques Hertzog et à Catherine Wehrler en s’y réservant un logement

1777 (16.12.), Not. Lacombe (6 E 41, 168) n° 29
Bail – Bail pour 9 années qui commencent a courir de la St Jean prochaine – fut presente Catherine Ungler veuve de feu Jean Stidel vivant tailleur de pierres de cette ville y demeurante, assitée du Sr Marie Louis Descombes Juriste demeurant en la même ville, laquelle a cédé et donné à bail et loyer d’argent pour 9 années qui commenceront à courir aux fetes de noel prochaines – (signé) stidelin
à Jean Jacques Hertzog bourgeois cordonnier de cette ville y demeurant et à Catherine Wehrler sa femme
scavoir la Maison qui appartient à la bailleuse en cette ville Rue ditte Stampffgässlein, aboutissant d’un côté à Bartholmé Obereiter, d’autre Bolender Cordonnier, sans rien excepter ni reserver si ce n’est un logement a son usage qui consistera en trois chambres sur la cour et la cuisine y attenante – moyennant un loyer annuel de 72 livres tournois
[in margine :] Cejourd’hui 12. février 1779, fut presente Catherine Ungler veuve Stiedel bailleuse assitée du Sr Jean Antoine Petit praticien demeurant en cette ville qu’elle en a requis cy present laquelle a dit et declaré consentir ainsi que par les présentes ette consent à ce que Jean Philippe Class bourgeois charpentier de cette ville tuteur établi par la justice aux quatre enfants mineurs délaissés par son mari touche et perçoive de Joseph Hertzog preneur dénommé le loyer annuel de 72 livres tournois , lequel commencera à courir aux fetes de Noel prochaines (…) consentant aussi la comparante à ce que led. Hertzog occupe le logement qu’elle s’etoit reservée dans la maison louée au moyen de le loyer annuel de 20 livres, payables de quartier et quartier et pour la première fois à la St Jean prochaine (…) ne se réservant la comparante qu’une chambre aux mansardes qu’elle occupera sans rétribution

Catherine Unckel loue la maison au garçon maçon Jean Georges Moritz en s’y réservant un logement

1784 (12.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1093) n° 26
Bail pour 9 années qui commencent a courir de la St Jean prochaine – Catherine Ungler veuve de Jean Stidel tailleur de pierres assitée de Sr Jean Daniel Kuhff Courtier
au Sr Jean Georges Moritz garçon maçon
la maison qui appartient a la bailleuse en cette ville Rue ditte Stampfgäßel, d’un côté Bartolome Obereiter d’autre le nommé Bolender cordonnier sans en rien excepter ny reserver si ce n’est un petit poel Cuisine et une petite chambre y attenante donnant le tout dans la cour, le tout au second étage – moyennant un loyer annuel de 30 florins

Anne Catherine Unckel meurt en 1785 en délaissant quatre enfants, le cinquième étant mort après son père. La maison est estimée d’après son prix d’achat. L’actif de la succession s’élève à 429 livres, le passif à 414 livres. A l’inventaire sont joints un compte des recettes (en particulier les loyers), une version en allemand du bail passé devant le notaire Laquiante, le contrat de tutelle et une lettre du fils Jean Daniel Stiedel, datée de Hanau, dans laquelle il demande qu’on lui envoie de l’argent

1785 (1.8.), Not. Übersaal (6 E 41, 656) n° 124
Inventarium über Weiland Fraun Annä Catharinä Stiedelin gebohrner Unckelin, auch weil. Johann Stiedel, des gewesenen Steinhauer-Gesellen und Schirmers alhier Zu Straßburg hinterbliebene nun auch verstorbenener Wittwe Verlassenschaft – nach ihrem den 13. Julÿ jüngsth aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt hinterlassen hat – So beschehen alhier zu Straßburg in einer ane dem Stampfgäßlein gelegenen in diese Verlassenschafft zum theil gehöriger und hernach eingetragener behaußung auf Montag den ersten Augusti im Jahr 1785.
Die verstorbene hat mit Eingangsgedachtem ihrem gewesten Eheman ehelich erzeugt und ab intestato zu Erben hinterlassen wie folgt, 1° Johann Daniel Stiedel, den ledigen Schreiner Gesellen, so geboren den 30. 7.bris 1760, 2° Jungfr. Annam Catharinam Stiedelin geboren d. 29. 7br. 1762, 3° Jungfr. Annam Mariam Stiedelin so geboren den 9. 9.bris 1764, diese beede beiständlich Hn Johann Daniel Kuhff, des geschwornen Courtier und burgers allhier, und 4. Margaretham Salome Stiedelin geboren den 25. Aug. 1773, dieser letztete geordnet: und geschworener Vogt ist Joh. Georg Moritz, der Steinhauer und Schirmer alhier

Eigenthümlicher Antheil an einer behausung. Nämlich sieben fünffzehende Theil vor unvertheilt von und ane einer behausung, Höflein und Hofstatt, mit allen übrigen derselben Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden u. Rechten gelegen alhie zu Straßburg ane dem Stampf: Gäßlein, eins. neben Martin Weber dem Gipser, anders. neben Caspar Bolender, dem Schuhmacher, beeden burgern, und hinten auf die Gastbehausung zum goldenen Pferd stosend, so auser denen darauf haftenden und hernach passive eingetragenen Capitalien frei, ledig eigen und hier ohnpræjudicirlich dem Ankauf nach, die völlige behausung zu 1360 fl. gerechnet, ausgeworfen worden pro 317 lt 6 ß 8 d. Diese behausung ist während der Verstorbenen Ehe erkauft worden, und daher derselben eine Tertz, denen nach ihres Ehemanns Absterben vorhanden gewesenen fünf Kindern aber die übrige zween dritte Theile zuständig gewesen, Von welcher Joh. Jakob verstorben und Von der Defuncta seiner Mutter desselben 2/15.de Theile geerbt worden. Darüber besagt eine teutsche perg. Kaufverschreibung in alhies. C.C. Stube de Dato 28. Decembr: 1773 Vermög welcher Joh: Friedrich Hannsmetzger, der Holtzleger u. burg. alh. diese behaußung von Georg Friedrich Herzog, dem Schuhmacher u. Maria Catharina geb. Kapplerin, beeden Eheleuten u. Burgere alhier vor 1360 fl. erkaufet hat. Welcher annectirt eine von ihme Hannsmetzger in bemelter C.C. Stube d. 12. Mart. 1774 gethane Declaration, daß er solcher Kauf im Nahmen des verstorbenen Johann Stiedels, welcher damals noch im Leben ware, gethan u. von demselben zu dem bezahlten Kaufschilling von 369. fl. 3 ß 3 1/3. d wie auch Zu bestreitung des Pfundzolle und der Verschreibung Gebür das Geld empfangen und daher der Stiedel’schen Wittwe u. Erben bemelte Behaußung eigenthümlich abgetreten hat. Ferner sind vorhanden Cessions: Verschreibung Vom 19. Octobr. 1726 u. 2 perg. Kaufbrieffe vom 16. Mart. 1743 u. 10. Januar. 1754, alle in bemelter Contr. Stube aufgerichtet u. mit derselb. anhangendem Insigel verwahret
Widum, Welchen die Verstorbene von ihrem abgelebten Ehemann gegen er 4. Kinder Education und Alimentation zu Erreichung derselben 20. jährigen Alters zu geniesen berechtiget. Zufolg der Zwischen der Defunctæ und Mutter an einem, Sodann Joh: Philipp Claß dem Zimmer: Gesell und burger alhier, als ehemals geweßten geschwornenm Vogt der Von dem Verstorbenen Johann Stiedel hinterlassenen 5. Kinder an dem andern Theil den 16. Junÿ 1774 bei E. Löbl. Vogtei: Gericht gepflogenen d. 7. 7.bris dicti Anni bei Em. En. Gros. Rath confirmirten u. in alhies. C.C. Stube dem Kindervertrags Protocollo den A° 1672. fol. 194.a et sequenti einverleibten Vertrags (…) Darunter sind begriffen 8/15.de Theile vor unvertheilt Von u. an der hieoben beschriebenen an dem Stampfgäßlein gelegenen behausung samt Zugehördten als welche pro 609. lb 10. ß in Calculum begr. worden, betragen bemelte 8/15.de theole 325. lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. hausraths 15 lt, Sa. des eigenth. Antheil an vorher beschriebener behausung 317 lt, Sa. Schulden 97 lt, Summa summarum 429 lt – Schulden 414 lt, nach deren Abzug 15 lt
– Rechnung Was Johann Georg Moritz der Steinhauer und Schirmer alhie als curator der disortigen Vier Kinder und Erben eingenommenen und hingegen wider ausgegeben hat.
Einnahme. Erstlich wurde die in der Curanden elterliche Verlassenschaft gehörig geweßte alhier an dem Stampfgäßlein gelegene behausung (…) Andreä Kuntz dem Wollspinner und Schirmer alhie als letzt und meistbietenden eigenthümlich überlaßen auch demselben den 14. Decembris 1786 in alhiesiger C.C. Stube zugeschrieben vor 1610 fl. (…), Item empfienge der Rechnungsgeber von Johannes Langenbuch del Invalide alhier an haus Zinns so unter vorallegirter Lehnung nicht begriffen, von Joh. Baptistæ 1785 bis Weihenachten 1786. vor anderthalb Jahr à 4. fl. das quartal, 24 fl.
Item von ihme Langenbuch ferner vor eine zu seiner Wohnung erhaltene Kammer von Weihenachten 1785 bis dahin 1786. Vor ein Jahr 2 fl.
– Abrechnung zwischen Meister Johann Jacob Hertzog dem Schuemacher und Fraun Catharina gebohrner Wehrlen, beeden Eheleuthen und burgeren alhier an einem, So dann Weiland Fraun Annæ Catharinæ, gebohrnre Unglerin, auch weiland Johannes Stiedel gewesenen Steinhauers gesellen und hiesigen Schirms Verwannten hinterlaßener Wittib Erben, am andern Theil gepflogen
Fraun Stiedelin Erben fordern an Hertzogische Eheleute, 1° an restirendem Haus Zinns bis Joh. Bapt: 1784. gerechnet, 5 lb
(…) 8° dem hiesigen Wasenmeister das S.V. Privet auszuführen, mit zubegriff gelieferter Lichter, Brod und Weins
– (Lehnung Not. Laquiante) erscheint frau Catharina Ungler weÿlandt Johannes Stiden gewesten Steinhauers dahier hinterbliebenee Wittwe, Verbeÿständlichen H. Johann Daniel Kuhff des geschwornen Courtier hieselbst, diese hat bekannt und angezeigt auf neun nacheinander folgende jahr so von Künfftiger Johanni ihren anfang nehmen und sich nach Verfließung derselben auf nemliches fest wieder endigen werden Verlehnt und in Lehnung gegeben zu haben dem H. Johann Georg Moritz dem Steinhauer gesellen dahier wohnhaft (…) benantlich die, der Verlehnerin Zuständige und in dem Stampfgäßel dahier gelegene behaußung einseit neben bartholme Obereiter, anderseit neben Bollender dem Schuemachern nichts davon ausgenohmen außer jedoch eine Kleine stub, Kuchen und die dabeÿ gelegene Kammer auf dem Zweÿten stock in den Hof aussehend, welche stub, Küchen und Kammer sich Verlehnerin Vorbehaltet – um einen jährlichen Zinß von 30 Gulden – Zu Straßburg den 12. junÿ 1784
– Copie du bail Lacombe, 16 décembre 1777
Daß Endes unterschriebenener bekenne Kraffr meiner damaligen mit Frauen Catharina Stiedelin getroffenen lehnung derer 9 Jahren vom 16. Decembris 1777. beÿ Monsieur La combe Königl. Notarÿ Contrahiret worden, denselben lehnungs Contract von heut dato wohlbedächtlich Vollkommen in beÿseÿn H Kuhff ohne widerruff un oder außer Gericht auch mit frau Stiedelin verglichen Annullirt und bis Künfftige Johanni Baptista abzutretten, mich gäntzlich verpflichte (…) den 6. Maÿ 1784
– Vertrag Zwischen Frauen Catharina Stüthelin gebohrner Unglerin beiständlichen Johann Jacob Schaub, Steinhauers und burgers allhier, als Wittib und Mutter ane einem, So dann Johann Philipp Claß dem Zimmermann und burgern allhier, als geschwornen Vogt weiland Johann Stüttels geweßenen Steinhauers und Schirmers allhier mit vorgemeldter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Fünff Kinder Namens Johann Daniel, Annä Catharinä, Annä Mariä, Johann Jacob und Margarethä Salome am andern theil – Actum Straßburg den 16. junÿ 1774
– Hanau, d. 29. Jener 1786. Werthgeschätzte Geschwister, Ich Kan nicht unterlaßen, an euch zu schreiben, den Nothwendigkeit zwinget mich dazu, da ich von Straßburg weggereiset ist es mit sehr conträr ergangen da ich 6 wochen alhier in Arbeit gestanden, habe ich ein hitziges Fieber bekommen, so mich ganz miserabel gemachtich muste demnach alhier auf die herberg gehen um mich curiren zu laßen, in dem Kein Spital, als wie in Frankfurt ist wo die handwerckhs bursche Unterhalt haben Selbst auf der herberge habe wegen der Kranckheit 12. fl. Schuldig machen müßen und bin vorjezo fremb. Ich will auch also gebeten haben, mir doch das Geld anher zusenden indem ich sonst meine Kleider aus Noth verkauffen muß, weil die herberg von den Ort wo anders hinkomt. Ich wurde auch die Voll macht übersendet haben allein aus Mangel des Geldes habe solches nicht thun können wenn ich das Geld erhalten werde, so will ich die Vollmacht schicken und wenn das haus schon verkauft ist, so brauch ich die Vollmacht nicht. Ihr könt auch das Geld bei den, wo das hauß gekauft geben laßen und es eine so dann abziehen den ich brauche es sehr nöthig, in dem ich bald von hier abreißen werde, ich warte nur noch auf das Geld. Erbet wohl ich bin, Euer getreuer bruder, Johann Daniel Stiedel
NB. die Addrese ist abzugeben, auf der alten Herberg, in der großen Kronen in Hanau

Les héritiers Stiedel vendent 800 livres la maison au manant André Kuntz, apprêteur de laine, et à sa femme Catherine Joré

1786 (14.12.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 450
Johann Georg Moritz der schirmer und steinhauer als curator Johann Daniel Stiedel des abweßenden schreiner gesellen, Jfer Anna Catharina, Anna Maria und Margaretha Salome Stiedel alle vier als kinder und erben ihres vatters weÿl. Johann Stiedel gewesten steinhauers und schirmers und auch weÿl. Fr. Annæ Catharinæ Stiedel geb. Eckelin ihrer muter
in gegensein Andreæ Kuntz des schirmers und wollbereiters und Catharinæ geb. Schoorin unter assistentz H. Georg Daniel Hirtz des drehers und Johann Georg Peter des wollenwebers
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Stampffgäßlein, einseit neben Mr Martin Weber dem gipßer, anderseit neben N. Wolff dem hauptkandten EE zunfft der spiegel, hinten auff die wirthsbehaußung zum goldenen pferdt – um 1600 gulden

André Kuntz, natif d’Oberschæffolsheim, fait dresser un état de sa fortune pour devenir manant.
1782 (16.8.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 920) n° 41
Designatio desjenigen Vermögens, so Andreas Kuntz der ledige Wollspinner von Oberschäfolsheim gebürtig, dermalen eigenthümlich besitzet, Welch Vermögen auf deßen ansuchen der Ursach halben, aldieweilen er beÿ gnädiger Obrigkeit um das Schurm Recht unterthänig einzukommen willens, inventirt und ersucht durch ihne selbsten – Actum Straßburg und einer daselbst ane dem Laimen Gäßel gelegener Mr Kiefer dem huthmach. Zuständiger behaußung auf Freÿtag den 16.ten Aug. 1782.
Sa. haußraths 122, Sa. Silbers 5, Sa. der baarschafft 37, Summa summarum 164 lb

André Kuntz se marie avec Catherine Joré, native de Huningue en Haute-Alsace : contrat de mariage, célébration
1783 (16.6), Not. Roessel (6 E 41, 936) n° 77
Eheberedung – persönlich erschienen Andreas Kuntz, der ledige Wollspinner u. Schirmer alhie, majorennen Alters, weiland Martin Kuntz geweßenen Schuhmachers Zu Oberschäffolsh. mit Anna Maria geb. Wöhrlerin ehelich erz: sohn, als hochzeiter,
Und Jgfr. Catharina Schore, die ledige aber majorenne dienstmagd derùalen beÿ Hn Milhaut Schuhmach. zu Hüningen in Obern Elsaß, mit weÿl. Fr. Catharinæ geb. Gobat ehelich erzeugt und hinterl. Tochter – Actum Straßburg und einer daselbst in der siebenmannsgaß geleghenen; von mir Not. bewohnenden behaußung und meiner gewohnlich. Schreibstub auf Mittwoch den 16. Junÿ Anno 1783. [unterzeichnet] Andreß Kuntz hochzeiter, caterine jorie

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 407)
Hodie 6. octobris Anni 1783 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Andreas Kuntz tutelaris hujas lanificus oriundus ex Ober Schaffolsheim hujus Dioecesis filius Solutus et majorennis defuncti Martini Kuntz Sutoris et Cibis et Mariæ Wehrel conjugum a septem annis in hac parochia commorans, et Catharina joré oriunda ex Hüningen Diocesis Basiliensis filia soluta defunctorum joanniss Georgii joré Sutoris et Catharinæ Gobert conjugum a quindecim annis un hac Parochiâ commorans (signé) Kuntz, joré (i 210)

Catherine Joré meurt en l’an XII en délaissant trois filles, La conclusion de l’inventaire s’élève à 3 810 francs

1804 (16 germinal 12), Strasbourg 2 (21), M° Knobloch n° 2107 – Enregistrement de Strasbourg, acp 91 F° 17-v du 19 germ. 12
Inventarium über Catharina geb. Schore burgers Andreas Kuntz Wollspinners Ehefrau, den 6. pluviose letzt mit todt abgegangen – Benennung der Erben, Louisa so 18 und ein halb jahr, Maria Anna so 16 jahr, Catharina so 14 jahr, derselben Nahmens br. Peter Mistle der zimmermann als subrogirter Vogt

hausrath 490 francken, baarschafft 300 fr
Eigenthum an einer behausung, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg in dem Stampfgäßlein einseit neben Martin Weber dem Gipser anderseit neben br. Wolf hinten auff die Wirthsbehausung zum goldenen Pferdt, angeschlagen 3320, hierüber beweißt herüber kauffbrief in der C.C. Stb d. den 14. dec. 1786
Summa summarum 4010 fr, passiv schulden 200 fr, abgezogen 3810 fr
der verstorbenen Kleidung 85 fr
Copia der Eheberedung (…) 16. Junÿ Anno 1783. Not. Roessel

André Kuntz se remarie avec Anne Marie Arnold de Sondernach dans la vallée de Munster
1805 (8 prai. 13), Strasbourg 2 (23), M° Knobloch n° 2541 – Enregistrement de Strasbourg, acp 96 F° 150-v du 9 pr. 13
Contrat de mariage – André Kuntz fileur de laine veuf avec trois enfants
Anne Marie Arnold fille majeure de feus Joseph Arnold et Elisabeth Gigot conjoints a Soundernac dans la vallée de Munster département du Haut Rhin

Il se remarie une deuxième fois avec Elisabeth Meyer
1810 (27.8.), Strasbourg 2 (33), M° Knobloch n° 4747 – Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 94 du 28.8.
Contrat de mariage – André Kuntz fileur de laine veuf en premières noces de Marie Arnold
Elisabeth Meyer célibataire fille de feu Jean Meyer, tonnelier, et de feu Marie Elisabeth Weidling

Elisabeth Meyer meurt en 1833 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs

1833 (14.2.), Strasbourg 2 (74), M° Weigel n° 7922 – Enregistrement de Strasbourg, acp 215 F° 152 du 18.2.
Inventaire de la succession d’Elisabeth Meyer femme en secondes noces d’André Kuntz fileur de laine décédée le 4 février 1833 – à la requête de I. le veuf, commun en bien en vertu du contrat de mariage, M° Knobloch le 27 août 1810, II. des héritiers de la De Mayer décédée ab instestat, ces héritiers sont 1. Anne Marie Meyer femme de Florent Schneider, cordonnier, 2. Philippe Jacques Mayer tonnelier à Nancy rue St Nicolas réprésenté par Frédéric Grimmer notaire, 3. feu Nicolas Mayer, tonnelier à Andlau réprésenté par 1) Thérèse, 2) Anne Marie célibataire à Strasbourg, 3) Georges apprenti cordonnier, 4) Bernard mineurs, frères et sœurs, gemains neveux et nièces, 4. Georges Mayer, cordonnier à Paris rue des deux écus n° 18, 5. Odile Mayer femme de Maurer meunier à Sarrebruck, 6. Barbe Mayer célibataire majeure à Sarrebruck, 7. Louise Mayer, célibataire à Sarrebruck, 8. Elisabeth Mayer femme d’André Fischer, maçon à Mittelbergheim, les 5 derniers frères et sœurs consanguins

en la demeure de la défunte rue du Foulon n° 10 au second étage dans une chambre prenant ses jours par trois croisées sur ladite rue du Foulon
immeuble, la moitié d’une maison située à Strasbourg rue du Foulon n° 10, d’un côté Meckel, maçon, d’autre le Sr Mizeran, derrière sur le Chval d’or [sic], la totalité évaluée à 100 fr de revenu estimée 1000 fr
garde robe 48 fr, remplois 600 fr
propres du veuf mobilier 199 fr, totalité de l’actif 1199 fr, passif du veuf pour mémoire
communauté, meubles 31 fr, créances actives 511 fr, passif de la communauté 951 fr

André Kuntz et ses trois filles issues de son premier mariage vendent 3 450 francs la maison au cordonnier Antoine Knodel

1833 (4.6.), Strasbourg 2 (75), M° Weigel n° 8069 – Enregistrement de Strasbourg, acp 218 F° 39 du 12.6.
Cahier des Charges du 22 avril n° 8002, Adjudication définitive – I. André Kuntz, fileur de laine, II. 1. Louise Kuntz, célibataire majeure, 2. Marie Catherine communément appelée Marie Anne Kuntz veuve d’Alexandre Waltersperger, tailleur d’habits, 3. Catherine Kuntz célibataire seuls et uniques héritiers de feu Catherine Schoré leur mère femme d’André Kuntz
à Antoine Knotel, cordonnier, pour 3450 francs
Désignation de l’immeuble, une maison et des dépendances sise à Strasbourg rue du Foulon n° 10, d’un côté le Sr Mechoir, d’autre le Sr Merckel, derrière l’auberge au au Cheval d’Or – acquis de la communauté d’André Kuntz et de feu Catherine Schoré, suivant l’inventaire derssé après le décès de cette dernière par M° Knobloch le 16 germinal 12, acquis à la Chambre des Contrats le 24 décembre 1786 – adjudication préparatoire le 23 mai

Antoine Knodel natif de Kœnigsbach en Bade a épousé en 1811 Marguerite Schock de Strasbourg. Il meurt en délaissant un fils unique. La veuve et son fils font une déclaration tenant lieu d’inventaire

1850 (30.5.), Strasbourg 9 (99), M° Becker n° 4629
Etat de fortune – furent présents 1) De Marguerite Schock veuve du Sr Antoine Knodel, en son vivant cordonnier, demeurant à Strasbourg, agissant en son propre nom tant à cause de la communauté de biens légale qui avait existé entre elle et feu son mari que comme donatrice de l’usufruit pendant sa vie de la moitié des biens composant la succession du défunt aux termes d’une donation passée devant le dit Mr Becker le 13 février 1849,
2) Et le Sr Antoine Chrétien Knodel, cordonnier, demeurant à Strasbourg, Ledit Sr Antoine Chrétien Kodel seul et unique héritier d feu medit Sr Antoine Knodel son père défunt.

Lesquels comparants, voulant faire constater par acte authentique la fortune délaissée par feu le Sr Antoine Knodel ont requis ledit M° Becker de dresser sur leur déclaration l’état de l’actif et du passif desdites communauté et succession.
A cet effet ils ont fait préalablement les observations suivantes.
Observations préliminaires. La de Knodel comparante et feu le Sr Knodel se sont mariés à Strasbourg dans le courant de l’année 1811 sans avoir fait de contrat de mariage. Leur association se trouve par conséquent régie par les dispositions de la première partie du chapitre deux du titre cinq du troisième livres du code civil, traitant de la communauté légale. La De Knodel possédant lors de son mariage avec le défunt 1/18 indivis dans une maison sise à Strasbourg, grand’rue N° 56 formant sa part immobilière dans la succession de feur de Catherine Françoise Walther en son vivant épouse du sr Jean Georges Schoen, graissier à Strasbourg, sa mère dont elle était héritiere pour un sixième ainsi qu’il résulte de l’inventaire après le décès de ladite de Schoen dressé par M° Bossenius en date au commencement du 22 octobre 1806
Total de la masse active mobilière de ladite succession 5552 francs, immeuble 9366, Total de la masse active de la succession du Sr Schoeck père 14 918 (…) les reprises de la de Knodel à raison de la succession de son père se rédusient à une somme de 890 francs
Communauté d’entre les époux Knodel. Masse active, 1) objets mobiliers, 104
2) Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du foulon N° 8 autrefois N° 10, tenant d’un côté au Sr Ringelmeyer, de l’autre au Sr Schirmann et par derrière à la propriété de M° Schwab, ledit immeuble estimé d’après un revenu annuel de 250 francs à 5000 francs. Les comparants déclarent que feu le Sr Knodel a acquis ledit immeuble du Sr André Kuntz fileur de laine, de delle Louise Kuntz, de de Marie Anne Kuntz veuve d’Alexandre Valtersperger en son vivant tailleur d’habits et de dlle Catherine Kuntz tous demeurant à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Weigel notaire à Strasbourg le 4 juin 1833 moyennant le prix de 3450 francs
3) la somme de 65 francs, Total, 5170
Masse passive 4852 – Balance, 318 francs
Succession de feu le Sr Knodel, Masse active 1759 francs, Masse passive 84, Balance 1675 francs

Décès, Strasbourg (n° 2360)
Le onze décembre 1849, ont comparu Antoine Chrétien Knodel agé de 37 ans, cordonnier, fils du défunt domicilié à Strasbourg et Jacques Sieffer, agé de 31 ans cordonnier, Voisin du défunt, Lesquels nous ont déclaré que Antoine Knodel agé de 69 ans, né à Koenigsbach (Grand duché de Bade), cordonnier, époux de Marguerite Françoise Schock, domicilié à Strasbourg, fils de feu Jacques x Knodel, tisserand et de feu Marie Barbe Francklin, est décédé le 10 décembre 1849 à cinq heures du (matin) en la maison rue du Foulon N° 8 (i 60)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.