119, Grand rue


Grand rue n° 119 – IV 298 (Blondel), N 950 puis section parcelle (cadastre)

Nouvelle façade (1776) par le marchand de tabac Philippe Jacques Lefevre – Balcon (1792, supprimé en 1895) par le marchand de tabac Jacques Louis Lefevre – Troisième étage (années 1830) par le marchand épicier Jean Jacques Müller


Façade (mai 2022), vue de l’est (juillet 2014) – Etages XVIII° siècle (mai 2022)

La maison inscrite au nom du tailleur Melchior Dossinger dans le Livre des communaux (1587) comprend une avance de vingt-et-un pieds de long. Le bâtiment arrière est cité pour la première fois en 1637. La maison appartient ensuite aux notaires Martin Scherbaum et à son fils Joseph Scherbaum puis aux tonneliers Michel Klein, Daniel Klein et Georges Guillaume Butz (1650-1722). Le marchand épicier originaire de Montbéliard Jean Frédéric Feschott l’achète en 1722, modifie la même année l’arcade en pierre et rehausse de deux pieds l’encorbellement au deuxième étage pour agrandir les fenêtres. Il fait percer en 1723 une fenêtre à barreaux vers l’est mais est condamné à remettre les lieux dans leur état initial suite à l’opposition de son voisin. A la mort du marchand Chrétien Mentzel en 1748, le billet d’estimation indique que la boutique se trouve à gauche du rez-de-chaussée. Le marchand de tabac Christophe Koblentz est propriétaire à partir de 1748.


Plan-relief de 1725.La maison est la deuxième après la rue sur la gauche, à deux arcades au rez-de-chaussée et deux étages à trois fenêtres (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Sainte-Barbe-Fribourgeois (VI 586)150 Plan (c)
L’îlot sur le plan Blondel (1765, cahier de planches coté VI 586)
Même îlot, dessins préparatoires au plan-relief de 1830

Aussi marchand de tabac, Philippe Jacques Lefevre achète la maison en 1770. Il est autorisé la même année à la reconstruire sur les anciennes fondations mais demande en 1772 au maître maçon Louis Müller de réparer l’encorbellement. Les préposés refusent et ordonnent de supprimer l’encorbellement. Le maçon André Müller est autorisé en 1776 à refaire une façade verticale et à tailler les pierres place Saint-Thomas pour construire la maison. Les travaux doivent se limiter à remplacer la façade puisque le maître maçon ne communique pas de travaux intérieurs aux Préposés aux feux. La nouvelle façade à parement de grès a des chaînages latéraux, un cordon entre les étages et des appuis galbés au premier étage. Le fabricant de tabac Jacques Louis Lefevre demande en 1792 l’autorisation de faire un balcon comme à la maison voisine.

150 Elévations a-b
Elévations pour le plan-relief de 1830 et cour A, îlot 150 (Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en pierres et un balcon. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (a) : trois ouvertures jusqu’au sol au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour A représente l’arrière (3-4) de la façade sur rue, le bâtiment (1-2) au fond de la cour, le bâtiment (1-4) à l’ouest et le mur (2-3) qui sépare la cour de celle du voisin).
La maison porte d’abord le n° 145 (1784-1857) puis le n° 119. Le cadastre qui cite des ouvertures au troisième étage ne mentionne aucun changement entre 1843 et 1895. On en conclut que le troisième étage a été ajouté entre le moment où les élévations ont été dessinées et l’ouverture du cadastre, soit dans les années 1830 quand la maison appartenait au marchand épicier Jean Jacques Müller.


Ancienne et nouvelle devanture (1895, dossier de la Police du Bâtiment)

Le libraire Vomhoff supprime un balcon en pierre à garde-corps en fer et fait poser une devanture en 1895. On constate en janvier 1920 lors de la démolition du n° 121 que la poutre horizontale du n° 119 est dépourvue d’appui au deuxième étage. Le négociant William Lipson (vêtements Royal) fait aménager en 1949 un magasin de confection sous la direction de l’architecte Henri Saval. Le bâtiment dépasse de l’alignement légal (de 0,50 à 1,20 mètre). William Lipson est autorisé à percer le mur mitoyen au rez-de-chaussée et au premier étage entre les n° 119 et 121, propriété de la Ville. L’architecte en chef des Bâtiments de France exige que le premier étage soit entièrement conservé. Le commerçant Jules Bær fait transformer en 1954 les devantures sous la direction de l’ingénieur René Westermann.


Aménagement non réalisé qui cache le premier étage (1949) – Alignements légaux (1954) – Vue en 1954 (dossier de laPolice du Bâtiment)

juillet 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Melchior Dossinger, tailleur, et (1562) Elisabeth Ruhlmann, (1567) Susanne von Luterburg puis Susanne Koch – luthériens
v Martin Scherbaum, notaire, et (1593) Sabine Kayser – luthériens
1637* h Joseph Scherbaum, notaire, et (1620) Madeleine Ursule Lehr puis (1627) Sara Stock, d’abord (1611) femme de Martin Metzger – luthériens
1637 v Antoine Spach, tailleur, et (1619) Madeleine Klopffer – luthériens
1647* adj Jean Richshoffer, marchand, consul, et (1623) Agnès Guichard puis (1634) Susanne Ringler – luthériens
1650 v Michel Klein, tonnelier, et (1640) Anne Marie Wittich – luthériens
1678 h Daniel Klein, tonnelier, et (1675) Apollonie Meyer – luthériens
1680 h Georges Guillaume Butz, tonnelier, et (1680) Apollonie Meyer veuve de Daniel Klein, puis (1710) Marie Cléophée Brand – luthériens
(héritier pour 1/6) Jean Georges Butz, tonnelier, et (1704) Anne Catherine Zengler, d’abord (1675) femme de Loup Philippe Fimpel puis (1702) de Jean Vernier Schmitz, remariée (1714) avec l’aubergiste Jean Wittmann – luthériens
1722 v Jean Frédéric Feschott, marchand épicier, et (1710) Marie Salomé Saltzmann – luthériens
1737 h Chrétien Mentzel, marchand, et (1724) Marie Salomé Lochmann puis (1737) Marie Salomé Saltzmann veuve de Jean Frédéric Feschott – luthériens
1748 v Christophe Koblentz, marchand de tabac, et (1740) Marie Marthe Ott – luthériens
1770 v Philippe Jacques Lefevre, marchand de tabac, et (1748) Marie Marguerite Müller – catholiques
1784 h Jacques Louis Lefevre, marchand de tabac, et (1784) Elisabeth Wilhelm – catholiques
1816 v Jean Jacques Müller, peignier puis marchand épicier, et (1804) Marie Madeleine Kœbelé
1844 v Charles (Louis) Vomhoff, marchand de laine, et (1819) Sophie Kolb
1857 h Caroline Vomhoff et Julie Vomhoff
1871 h Charles Auguste Vomhoff, libraire, et (1857) Barbe Caroline Frühinsholtz
1907* h Paul Georges (Nathanael) Vomhoff, libraire, et (1891) Pauline Berthe Wendel
1950* v Wilhelm dit William Lipson, commerçant, et Rose Dymont

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1100 livres en 1733, 1500 livres en 1748, 1000 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) IV 298, Christophe Koblentz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Lefevre, 3 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 950, Müller, Jean Jacques, épicier – maison, sol – 0,52 / 0,94

Locations

1781, Barbe Herel femme du sergent-major Ignace Lody
1802, conjoints Wilhelm
1805, Nicolas Aimé, entrepreneur du spectacle français, et Marie Heloyse Bernardy
1810, Thiébaut Mæchling. marchand épicier, et Marguerite Salomé Kolb

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 183
Le tailleur Melchior Dossinger règle 11 sols 6 deniers pour sa maison, à savoir une avance (21 pieds de long, saillie de 3 pieds 3 pouces), une porte de cave non couverte pourvue d’un mur (7 pieds 3 pouces de long, saillie de 3 pieds ½), une plate-forme (12 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds 9 sols), une plate-forme dallée (5 pieds ½ de long, saillie de 15 pouces)

Oberstraßen
Melchior Dossinger der Schneider hatt vor seinem hauß, Oben ein Vsstoß xxj schu lang, Vndt iij schu iij Zoll h.auß, Ein offene Kellerthüer mit ij Meürlin vij schu iij Zoll lang vnd iii+ schu herauß, Ein besetzter Tritt xii+ schu lang und iij schu ix Zoll herauß, Mehr besetzter Tritt v= schu lang, Vnd xv Zoll breÿt, Bessert für das Niessen, xj ß vj d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1722, Préposés au bâtiment (VII 1390)
Propriétaire d’une maison Grand rue proche de la rue Sainte-Barbe, le marchand épicier Jean Frédéric Feschott demande le 6 juin l’autorisation de modifier l’arcade en pierre, de rehausser de deux pieds l’encorbellement au deuxième étage pour y agrandir les fenêtres. Les préposés l’autorisent à modifier l’arcade quelques jours plus tard. Ils autorisent les travaux sur l’encorbellement à ses risques et périls mais en conservant les anciennes poutres.

(f° 49-v) Sambstags den 6. Ejusd. [Junÿ] 1722. – H. Joh: Friderich Feschot pt° bauens
Augenschein eingenommen beÿ Herrn Johann Friderich Feschot des Specerierers, in der langen Straßen, ohnfern St. Barbaræ gaßen liegenden Behaußung, welcher unten den Steinen bogen Ändern, den überhang im Zweÿten Stockwerck umb Zween Schuh erhöhen, und also die Fenster in der Außladung durch auß höher machen Zu laßen gesinnet ist. Erk. Bedacht.

(f° 51-v) Dienstags den 9.ten Junÿ 1722. – H. Joh: Friderich Feschot pt° bauens
Herr Johann Friderich Feschot, der Specereÿhändler erholt jüngst gethanes ersuchen wegen änderung des Bogens und erhöhung des überhangs an Seiner ohnfern St. Barbaræ gaßen liegenden Behaußung. Erk. wird demselben mit änderung des Steinern Schwibbogens willfahrt, was aber den überhang anbelangt, solle Er damit noch Zur Zeit einhalten, indeßen die Ordnungen wegen der überhäng, dafern einige vorhanden, aufgesucht und als dann auch darin der bescheid ertheilt werden.

(f° 59) Dienstags den 30.ten Ejusd. [Junÿ] – Herr Joh: Friderich Feschot pt° bauens
Herrn Johann Friderich Feschot, dem Handelßmann, ist nach eingenommenem Augenschein angezeigt worden daß auß purer Consideration und auf Seine gefahr Ihme erlaubt seÿe, den obern überhang Zuerhöhen, jedoch daß Er Keine newe Balcken einlege, sondern sich allein der alten bediene, welches Er Zu thun verprochen, Mr Kiel Sein Maurer auch solchemnach Zukommen ernstlich ermahnt worden.

1723, Préposés au bâtiment (VII 1390)
Le maître maçon Berga demande le premier septembre au nom de Jean Frédéric Feschott l’autorisation de percer une fenêtre (5 pieds de haut, deux pieds ½ de large) vers la maison Würtz (à l’est). Les préposés ordonnent au chef de chantier de se rendre sur place et de s’assurer que le voisin n’y voit pas d’inconvénient. Jean Frédéric Feschott souhaite le 26 octobre conserver la fenêtre pourvue de barreaux en fer. Les préposés ordonnent une nouvelle visite des lieux comme le voisin manifeste son désaccord en alléguant qu’on pourrait voir et entendre ce qui se passe chez lui. Les préposés ordonnent au propriétaire de supprimer la fenêtre et de remettre les lieux dans leur ancien état

(f° 196) Mittwoch den 1. Sept. 1723 – Herr Joh: Friderich Feschot pt° bawens
Herr Johann Friderich Feschot, der Handelsmann, laßt durch Herrn Berga, den Maurer, Mghh. ersuchen, ob ihme nicht könte vergönt werden, in den Steinern Gäbel an seiner beÿ St. Barbaræ gaß liegenden Behaußung, auf Seithen der Würtzischen wohnung ein fünff schuh hoch und dritthalben schuh breiten fenster brechen laßen. Erk. Solle Zuvorderist der Herr Werckmeister das begehren examiniren, weilen solche Maur auf dem überhang stehet, vnd Zugleich sehen ob es dem Nachbarn nicht beschwerlich ist, vnd als dann referiren.

(f° 208-v) Dienstags den 26. Octob. – H. Joh: Friderich Feschot pt° fenster
Herr Johann Friderich Feschot, der Handelsmann, ersucht Mghh. unterth. vmb die erlaubnus, daß das in Seinem überhang vff der seithen gemachte und mit eisern stangen versehene fenster verbleiben möge, angesehen Er solches, wie Er vermeinte mit verwilligung Mghh. machen laßen. Erk. weilen Herr Daniel Würtz der Nachbar sich höchstens darüber beklagt, alß soll nochmahlen solches in Augenschein genommen werden.

(f° 210) Mittwochs den 27. 8.br 1723 – H. Joh: Friderich Feschot pt° bauens
Augenschein eingenommen vor Herr Johann Friderich Feschot des Handelsmanns beÿ St. Barbare gaß in der langen Straßen liegenden Behaußung, welcher auf der seithen derselben, gegen Herrn Daniel Würtzen Wohnung, Ein fünff Schuh hoch vnd dritthalben Schuh breites, mit eisen stangen Versehenes fenster brechen laßen, dar wieder aber ged. Herr Würtz sich opponirt, vorgebens, daß mann Ihme in Sein wohnung sehen, vnd alles was mann darinnen redete, hören Könne. Erk. Bedacht.

(f° 215) Dienstags den 9.ten Nov. 1723 – H. Johann Friderich Feschot pt° fensters
Herrn Johann Friderich Feschot, dem Handelsmann, ist nochmahlen angezeigt worden, daß Er, alles protestirens ohnerachtet, das unerlaubte fenster an Seiner ohnfern St. Barbare gaß liegenden Wohnung wieder Zu mauren und alles in den vorigen stand setzten solle, und Zwar innerhalb Acht tagen, wiedrigen falls gewärtig sein solle, daß es durch der Statt Werckleuth, auf Seinen Cösten, geschehen werde.

(f° 222-v) Donnerstags den 25. Ejusd. [9.bris] – H. Johann Friderich Feschot pt° fensters
Auf erhaltenen bericht, daß Herr Johann Friderich Feschot, der Handelsman, vermög der den 9.ten dießen ergangenen Erkandnus das unerlaubte Fenster an Seiner beÿ St. Barbaræ Gaß liegenden Wohnung nicht Zu mauren laßen, wurde Erk. daß Ihme nochmahlen durch Herrn Johann Jacob Biermeÿer, den Werckmeister des Zimmerhoffes angezeigt werden solle, beÿ 3. lb d Straff innerhalb Acht tagen dieses vf seiten der würtzischen behaußung befindliche fenster Zumauren und alles in dn vorigen stand setzen Zulaßen, wiedrig. falls, auf Seinen Costen solches durch der Statt arbeits Leuth ohnfehlbar geschehen werde.

1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le fabricant de tabac Philippe Jacques Lefevre est autorisé à reconstruire sa maison sur les anciennes fondations

(f° 41) Dienstags den 18. 7.bris 1770. – Philipp Jacob Lefevre
H. Philipp Jacob Lefevre dem tabacfabricant wird erlaubt sein hauß in der langen Straß auff dem alten fundament auffzuführen.

1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le maître maçon Louis Müller demande au nom du fabricant de tabac Lefevre l’autorisation de réparer l’encorbellement puisque sa suppression ouvrirait la maison voisine. Les préposés refusent et ordonnent de supprimer non seulement le chenal mais aussi l’encorbellement.

(f° 77) Dienstags den 7. Julii 1772. – Hr. Lefevre Tabackhändler
Mr Ludwig Müller, der Maurer nôe. Hrn. Lefevre des Tabackhändlers, bittet ihme zu erlauben an deßen behausung in der Langenstraas gegen der Schu Macher Gaß über gelegen den Überhang zu repariren, weilen beÿ deßen Wegmachung deß Nachbarn Haus geöffnet würde. Erkannt, Abgewiesen solle nicht nur der Vornaach sondern auch der Überhang weggemacht werden.

1776, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le maçon André Müller demande au nom du fabricant de tabac Lefevre l’autorisation de refaire une façade verticale. Les préposés l’y autorisent après avoir fait dresser un plan des alignements. Il est en outre autorisé à tailler des pierres place Saint-Thomas pour construire la maison.

(f° 18-v) Dienstags den 5. Martii 1776. – Sr Lefevre Taback: händler
Mr Andreas Müller, der Maurer nôe. Sr Lefevre, des Tabackhändlers bittet zu erlauben deßen behausung ane der Langen Straß gelegen auf dem alten Fundament grad aufzuführen. Erkannt, Bedacht, Seÿe anvorderist über dasiges Alignement ein neuer Plan zu entwerfen.

(f° 27) Dienstags den 12. Martii 1776. – Sr Lefevre Tabackhändler
Mr Müller, der Maurer nôe. Sr Lefevre des Tabackhändlers bittet nochmalen Zu erlauben deßen ane der Langen straas gelegene Behausung auf dem alten Fundament grad auf zu bauen. Erkannt, Willfahrt.
Idem bittet Zu erlauben die Stein zu solcher behausung auf dem Thomans Plan zu hauen. Erkannt, Seÿe dem Implorant durch Herrn Striedbeck ein Platz alda anzuweisen.

1792, Préposés au bâtiment (VII 1424)
Le maçon Burger demande au nom du fabricant de tabac Lefevre l’autorisation de faire un balcon comme à la maison voisine. Les préposés le renvoient au conseil municipal qui devra statuer sur les conditions d’une éventuelle autorisation.

(f° 111) Montags den 19. Martii 1792. – Sr Lefevre Tabackhändler
Herr Burger, der Maurer, nomine Sr Lefevre, des Tabackhändlers, bittet zu erlauben an deßen in der langen Straß gelegenen behausung N° 145 Einen Altan des Nachbarn Hauses Überhang Zugleich nach beigelegtem Plan machen Zu laßen. Da aber hierbei die Fragen entstanden, 1° Ob man heutiges Tages an den Häusern Altane Zu machen erlauben solle oder nicht ? 2° Wann erlaubt werden solten, Ob man nicht eine gewiße Höhe von dem Boden und eine gewiße breite annehmen solte ? 3° Ob nicht vor deßen Vergünstigung wie bei der vorigen Administration geschehen, ein jährlich abzustattender Zins angesetzt werden solte ? Als wurde nach Anhörung des Prokurators de Gemeind Verordnet, Seÿe die Sach dem Corps municipal geziemend vorzutragen um deßfalls die nötige Ausweisung zu erhalten.

Description de la maison

  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, plusieurs poêles et chambres, cendrier, boutique, bureau, cave voûtée, puits à pompe, abreuvoir, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2200 florins
  • 1748 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à gauche du rez-de-chaussée une boutique, un petit poêle à l’arrière, un étroit vestibule, le premier étage un poêle, vestibule et petite chambre, le deuxième étage deux chambres et un étroit vestibule, le troisième étage sous les combles consiste en chambres dallées à cloisons en planches, le grenier supérieur est aussi dallé, la toiture est couverte partie de tuiles plates partie de tuiles creuses, le bâtiment arrière à demi-toit comprend un petit poêle, petite chambre, cuisine, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits la cour, appartenances et dépendances à la somme de 3000 florins
  • 1784 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent une boutique, arrière boutique, trois poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits la cour, appartenances et dépendances à la somme de 2000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Grand’Rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 34 / 145
Lefèvre
Rez de chaussée et 2 étages en pierre de taille et balcon
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 276 case 3

Müller Jean Jacques épicier à Strasbourg
Vomhoff, Charles md. de laine à Strasbourg (1846)

N 950, maison, sol, grand’rue 145
Contenance : 0,94
Revenu total : 162,49 (162 et 0,49)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 893 case 1

Womhoff Charles, Marchand de laine
1859 Womhoff Charles Louis les héritiers
1868 Vomhoff Caroline, Julie & Charles Auguste Libraire
1872 Vomhoff Charles Auguste Libraire à Strasbourg
1907 Vomhoff Paul Georg, Buchhändler

N 950, maison, sol, Grande rue 119
Contenance : 0,94
Revenu total : 162,49 (162 et 0,49)
Folio de provenance : (276)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre allemand, registre 32 p. 408 case 3

Parcelle, section 60, n° 104 – autrefois N 950
Canton : Langstraße Hs Nr 119
Désignation : Hf, Whs / sol, maison
Contenance : 1,11
Revenu : 1900 – 2800
Remarques

(Propriétaire), compte 3635
Vomhof Paul Georg Nathanael / sa veuve
1950 Lipson Wilhelm dit William, commerçant et son épouse
(2693)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grande Rue, Depuis le fossé des tanneurs jusqu’aux Petites Arcades p. 203

145
pr. Lefebure, Louis – Miroir
loc. Knapp, George, Musicien – privilégié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 99)

(Haus Nr.) 119
Vomhoff, Buchhandlg. 01
Hinners, Kaufmann. 2
Egli, Zuschneider. 3
Bierlein, Händlerin. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 220)

119, Grand rue (1864-1982)

Le libraire Vomhoff fait poser un miroir sur la façade en 1891. Il charge en 1895 les entrepreneurs Greiner et Peter de poser une devanture. L’agent voyer note que la maison n’a pas d’encorbellement mais un balcon en pierre à garde-corps en fer, supprimé le jour même (12 mars 1895).
On constate en janvier 1920 lors de la démolition du n° 121 que la poutre horizontale du n° 119 est dépourvue de poutre d’appui au deuxième étage. Le libraire Vomhoff (vente, édition, salle d’exposition) déclare en 1923 que des crevasses se forment dans le mur pignon mis à nu. La Police du Bâtiment demande en 1928 au propriétaire Vomhoff de s’entendre avec les architectes Riegel et Wolff, chargés de construire le nouveau bâtiment (n° 121).
Le négociant William Lipson (vêtements Royal) fait aménager en 1949 un magasin de confection sous la direction de l’architecte Henri Saval. Le bâtiment dépasse de l’alignement légal (de 0,50 à 1,20 mètre). William Lipson est autorisé à percer le mur mitoyen au rez-de-chaussée et au premier étage entre les n° 119 et 121, propriété de la Ville. Le bâtiment étant inscrit à l’inventaire des sites, le maire transmet la demande à l’architecte en chef des Bâtiments de France qui exige que le premier étage devra être entièrement conservé. Le commerçant Jules Bær, propriétaire de l’immeuble, fait transformer en 1954 les devantures sous la direction de l’ingénieur René Westermann.
(Autres commerces) Le facteur d’instruments de musique C. Schütze pose en 1920 une enseigne en forme de violon.

Sommaire
  • 1864 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé à faire une prise pour deux becs au nom de M. Vonhof au 119, Grand rue
  • 1891 – Les services municipaux constatent que le sieur Vomhoff fait des travaux sans autorisation – Le libraire Vomhoff demande l’autorisation de poser un miroir sur la façade – Autorisation – Le miroir est fixé à 2,50 mètres de haut alors que l’arrêté du maire en date du 2 août 1855 stipule que les saillies doivent se trouver à au moins trois mètres du sol. Le maire renonce à sa demande de rehausser le miroir si le propriétaire s’engage à le retirer à première réquisition. – C. Vomhoff s’y engage par écrit, mars 1892. – Paul Nathanael Vomhoff supprime le miroir, novembre 1894.
  • 1895 (mars) – Les entrepreneurs L. Greiner et F. Peter demandent au nom du libraire Vomhoff l’autorisation de poser une devanture. En marge, le trottoir a 1,60 mètres de large, la rue 8,35 mètres. La maison n’a pas d’encorbellement mais un balcon en pierre à garde-corps en fer, supprimé le jour même (12 mars 1895) – La veuve Greiner (8, boulevard de la Porte blanche, aujourd’hui boulevard de Nancy) est autorisée à transformer le rez-de-chaussée de la façade pour poser une devanture – Dessins (ancien et nouvel état) – Travaux terminés, mai 1895.
    1895 (avril) – La Police du Bâtiment constate que la veuve Greiner a posé sans autorisation des étais sur la voie publique – Demande – Accord
  • 1904 – La Police du Bâtiment constate que le libraire Vomhoff a posé une enseigne plate sans autorisation – Demande (C.A. Vomhoff, Buch- und Kunsthandlung, Langestrasse 119) – Autorisation
    1905 – La Police du Bâtiment constate que le libraire Paul Vomhoff a posé une enseigne sur l’encorbellement. Paul Vomhoff répond que l’autorisation lui a été accordée et qu’il règle des droits. L’enquête montre que l’enseigne plate est posée sur le bâtiment voisin (n° 117). Paul Vomhoff retire l’enseigne mais doit régler les droits pour l’année courante.
  • Commission contre les logements insalubres. 1899. Propriétaire C.A. Vomhoff, demeurant au deuxième étage. Le bâtiment est occupé par trois ménages, au total huit personnes. Un cabinet d’aisance se trouve dans le bâtiment arrière. La fosse devra avoir une aération
    1905 – Rapport. Les logements sont bien tenus. Le cabinet d’aisance dans la cage d’escalier n’a pas d’aération directe
    1905 – Paul Vomhoff déclare qu’il raccordera sa maison aux canalisations dès que son voisin l’aura fait. Il se plaint que sa fosse se remplit régulièrement des eaux usées et des matières fécales provenant de son voisin. La Police du Bâtiment estime que l’affaire ne peut être réglée que lorsque le procès du voisin avec la ville sera terminé. Le procès est toujours en cours, 1907. – Demande de délai d’un an, 1908
    1914 – La maison touche au n° 121 à démolir pour la Grande percée
    1917 – A. Pfohl se plaint de son logement. La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée mais que le propriétaire fait réparer la toiture, 1920.
    1916. Rapport de la Commission des Logements militaires,travaux à faire en cinq points – 1917. Le propriétaire Vomhoff demande un délai pour faire les travaux – Papier à lettres, C.A. Vomhoff, Buch- & Kunsthandlung. Verlag, Koettgé, Bastian (…). Kunst, Permanente Ausstellung im ersten StocK (…). Sortiment – Travaux terminés, juillet 1917.
  • 1912 – Le maire notifie Paul Vomhoff (demeurant 77, Grand rue) de ravaler la façade du 119, Grand rue
    1913 – L’entrepreneur de construction R. Gfrœrer exploitée par Mæchling et Franck (11, route de la Wantzenau à la Robertsau) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade de la librairie Vomhoff – Accord – Travaux terminés, mars 1914
  • 1920 – Le facteur d’instruments de musique C. Schütze demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation de poser une enseigne en forme de violon
  • 1920 (janvier) – On constate lors de la démolition du n° 121 qu’au n° 119 la poutre horizontale est dépourvue de poutre d’appui au deuxième étage. La Police du Bâtiment déclare que la partie supérieure du pignon doit être refaite. La poutre horizontale est étayée sans que d’autres travaux soient faits (mars).
    Le pignon étayé est resté stable. La partie restante du pignon faisant partie de la maison démolie a été recouvert de béton pour éviter l’humidité entre les deux pignons. L’affaire est classée, octobre 1922.
  • 1923 – Le propriétaire Vomhoff déclare que des crevasses se forment dans le mur pignon mis à nu. La Police du Bâtiment se rend sur place et constate que du plâtre se détache du plafond au rez-de-chaussée et au deuxième étage où les fentes sont assez importantes. Elle estime qu’il n’y a pas lieu de prendre de mesures particulières.
  • 1927 – Rapport sur un incendie qui s’est déclaré à cause d’une cheminée défectueuse. La cheminée est réparée
  • 1928 (août) – Rapport sur le pignon endommagé du 119, Grand rue après viste du terrain bordant la rue des Francs-Bourgeois entre la Grand rue et la rue de la Demi-lune. « La partie supérieure du pignon de ce dernier immeuble (n° 119) dépassant de la silhouette de la maison démolie semble reposer sur une sous-poutre, en tout cas il n’est pas en aplomb avec la partie inférieure. Des fentes plus ou moins grandes sont visibles à plusieurs endroits. Une grande fente se montre surtout dans la façade sur cour du bâtiment sur rue de l’immeuble Vomhof. Le pignon s’est complètement détaché à cet endroit de la façade et menace de s’écrouler. »
    La Police du Bâtiment demande à Vomhoff de s’entendre avec les architectes Riegel et Wolff, chargés de construire le nouveau bâtiment.
    1928 (octobre) – La société Urban a commencé à creuser les fondations du nouveau bâtiment et a étayé le pignon.
    1928 (décembre) – Le pignon démoli de la maison Vomhoff est remplacé par un coffrage en planches – Les fondations du nouveau bâtiment sont terminées à côté du n° 19, avril 1929. – Le pignon du nouveau bâtiment en est au premier étage, août 1929, aux combles, décembre 1929. – Les travaux de plâtrage sont terminés dans la maison Vomhoff, décembre 1929.
  • 1930 – Les architectes Riegert et Wolff demandent au nom d’Isidore Cahn l’autorisation de fixer une vitrine contre le mur pignon du n° 19 en avant du nouveau bâtiment n° 121. – Autorisation – Dessin
  • 1931 – L’entrepreneur Hembach (11, boulevard de Nancy) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique.
  • 1941 – Catherine Winckel se plaint de son logement. La suie provient du ramonage.
  • 1949 (avril) – William Lipson est autorisé à poser des panneaux provisoires pour cacher la façade qui sera transformée. – La société Liptex (Vêtements Royal) est autorisée à poser un drapeau provisoire (texte, Ouverture)
    1949 (février) – Le négociant William Lipson (demeurant 9, rue Boussingault) dépose une demande de permis de construire pour aménager un magasin de confection dans le bâtiment dont il est propriétaire sous la direction de l’architecte Henri Saval (21, rue de la Nuée bleue) – La Division VI note que l’immeuble (bâtiment) dépasse de l’alignement légal (de 0,50 à 1,20 mètre)
    1949 (15 mars) – Le commerçant William Lipson et son épouse Rose Dymont renoncent à toute indemnisation due à la plus-value des travaux si la Ville acquérait l’immeuble pour réaliser l’alignement.
    1949 (avril) – William Lipson est autorisé à percer le mur mitoyen au rez-de-chaussée et au premier étage entre les n° 119 et 121, propriété de la Ville. La Ville renonce à acquérir le terrain qui dépasse de l’alignement puisqu’il est entièrement surbâti.
    1949 (mai) – Le maire transmet la demande à l’architecte en chef des Bâtiments de France puisque le bâtiment est inscrit à l’inventaire des sites. L’architecte émet un avis défavorable, le premier étage devra être entièrement conservé.
    1949 (juillet) – William Lipson transmet un nouveau plan pour transformer la devanture avec l’accord de l’architecte des Bâtiments de France – Autorisation, 13 juillet 1949 – Travaux terminés, septembre 1949.
    William Lipson est autorisé à poser un drapeau publicitaire pendant six jours.
    1949 (août) – L’entreprise Heiss-Hesch (44, chemin du Heyritz) est autorisée à occuper la voie publique
    1949 (septembre) – William Lipson (Vêtements Royal) est autorisé à poser un volet roulant sous la marquise puis une enseigne au néon en lettres détachées sur la façade principale.
  • 1949 (novembre) – Emile Ertlé (Maison du textile, 121, Grand rue) déclare avoir retiré la vitrine fixée au mur du n° 119
  • 1949 (novembre) – William Lipson (Vêtements Royal) est autorisé à poser un drapeau publicitaire pendant quinze jours.
    1949 (décembre) – Le même est autorisé à poser une enseigne au néon au-dessus de la marquise sur la façade latérale
    1950 (mars) – Le même est autorisé à peindre une enseigne sur la façade latérale
    1950 (décembre) – Le même est autorisé à poser un arbre de Noël sur la marquise
    1951 (décembre) – Le même est autorisé à poser un drapeau publicitaire pendant quinze jours
    1952 (février) – Le même est autorisé à poser une enseigne lumineuse (dessin), autorisée par l’architecte des Bâtiments de France
  • 1954 – Le commerçant Jules Bær, propriétaire de l’immeuble, demande l’autorisation de transformer les devantures sous la direction de l’ingénieur René Westermann (20, rue des Pontonniers) – Plan de situation (avec les alignements légaux) – Photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation (10 août 1954) – Travaux terminés, liste des entreprises qui sont intervenues, septembre
  • 1954 – Plusieurs locataires sont incommodés par des fumées. Îl n’est pas possible de retirer la suie parce qu’il n’y a pas de porte de ramonage. La Police du Bâtiment avertit le gérant de l’immeuble (A. Bintz, 9, rue de la Haute-Montée) – Travaux terminés, octobre
  • 1959 – L’entreprise Mæchling et Franck (11, route de la Wantzenau) est autorisée à occuper la voie publique devant le 119, Grand rue
  • 1963 – L’entreprise Fluorest (enseignes lumineuses) informe la Police du Bâtiment que l’enseigne Vêtements Royal sera remplacée – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour la nouvelle enseigne – Autorisation – Dessin (lettres métalliques, néon)
  • 1966 – La Police du Bâtiment constate que les Vêtements Royal ont posé sans autorisation une enseigne sur lambrequin – Demande – Accord
  • 1974 – Le Service des incendies informe la Police du Bâtiment que la chaufferie au sous-sol ne satisfait pas aux prescriptions en vigueur. Propriétaire de l’immeuble, Roger Bær, magasin de confection – La chaufferie a été transformée, novembre 1975.
    1978 – Le Service des incendies informe la Police du Bâtiment que les mauvaises odeurs constatées au n° 121 sont dues à une chaudière qui a un mauvais tirage au n° 119. – Nouveau constat de même nature, novembre 1979.
  • 1979 – Le maire notifie le propriétaire Bær de faire ravaler les façades 23, rue Sainte-Barbe et 119, Grand rue. Le propriétaire refuse de faire des travaux rue Sainte-Barbe tant que les camions de livraison emprunteront la rue Sainte-Barbe en endommageant la façade – La mairie interdit aux poids lourds de quitter la rue Sainte-Barbe par la Grand rue
    1982 – L’agence Andrée Wieser demande au nom de Roger Bær l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade et sollicite une subvention. – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour ravaler la façade du 117, Grand rue – Autorisation – Factures des travaux (117 et 119 Grand rue), menuiserie Roser, entreprise de construction Brentel et fils, peinture et vitrerie Bonset, installations sanitaires G. Laruelle et Compagnie – Les travaux sont terminés, décembre 1982, la subvention versée.

Autres dossiers
939 W 336 – Grand rue 117-119 : transformation de devanture DT 067 482 98 V 00583 refusée (photographies). – 1998
1687 W 767 – Grand rue 119 : ADS-PC-482 10 V 0340. Peinture de l’encadrement de la devanture, refus. – 2010-2011
1687 W 1013 – Grand rue 119 : ADS-PC-482 11 V 0094. Peinture des menuiseries de trois fenêtres. – 2011


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom du tailleur Melchior Dossinger dans le Livre des communaux (1587)

Melchior Dossinger épouse en 1562 Elisabeth, fille du vitrier Georges Ruhlmann, puis en 1567 Susanne, fille de Guillaume von Luterburg. Susanne Koch est sa veuve (1606, Susanna Köchin, derselbig. schwester, wÿland Melchior Dossingers Alt Rathswandt seelig. wittwe, Chancellerie, vol. 366 f° 78-v)
Mariage, cathédrale (luth. p. 100)
1562. Suntag den 4. Octobris Melchior Dossinger der Schneider Elizabeth Jorg Rulman deß Glasers selige docht. Eingesegnet den 13. Octobris (i 53)

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 567 n° 1003)
1567. Dnic Misericordia Melchior Dossinger, Susanna Wilhelms von Luterburg tochter Zum ersten *l sind zu Kirchen gangen Zinstag nach jubilate (i 286)

La veuve et les enfants de Melchior Dossinger demandent au Magistrat d’intercéder pour entrer en possession de la succession délaissée par leur sœur Susanne Dossinger, femme de l’administrateur palatin des bois Jean Metz.
1600, Conseillers et XXI (1 R 79)
Melchior Dossingers wittib und Kinder vögt Ambrosius Spigler und Niclaus Spengler vmb fürschrifft. 128.
Ambrosius Spiegel Niclaus Spengler alß vogt Melchior Dossingers wittib und Kinder vbergeben supplôn dorin sie meld. d. A° 96. Johann Metz Chur Pfaltz holtzverwalter mit Susanna sein Dossingers dochter verheurathet ein eheberedung laut copey auffgerichtet vnd deß baldt hernach gestorben ein vergleichung mit Ime Metzen aufgericht lautt* der andern copey des antrags. Der er Metz auch* nach* gesetzt liß auff 300 fl. die ir Susannæ Erbin eigenthümlich gehert, er aber die tag seines lebens Zuniesen gehabt. demnach er nun an auch gestorben hetten sie bei seiner Metzen Mutter alß eintzig. Erbin vmb verfolg der 300 fl. angesucht aber anders nichts in antwort empfang. den d Ires Sohns Verlaßenschafft arrestirt. D. dan deren Verzug beschwerlich sie auch Irer vogtspersonen wegen andere auf solchen aufstandt* vertröstet. Bitten sie vmb fürschrifft an Chur Pfaltzgrau Friderichen domit sein desto eher mochten geluffert werden. Erkant, Ir Jensen* willfahrt.

La maison appartient ensuite au notaire Martin Scherbaum

Originaire d’Ochsenfurt en Franconie, Martin Scherbaum achète le droit de bourgeoisie en août 1590 en s’inscrivant à la tribu des Pêcheurs
1590, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 530
Martinus Scherbaum der Notarius von Ochsenfurtt Kauff das Burckrecht vnd will Zu den vischern dienen Act. 11 Augusti A 90.

Le notaire Martin Scherbaum épouse en 1593 Sabine, fille du brasseur Sébastien Kayser
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 183 n° 552)
1593. 9. Trinit. Martin Scherbaum von Ochsenfurt, der Notarius vnd Sabina, Bastian Kaÿser des biersieders nachgelaßene dochter (i 197)

Références de Martin Scherbaum chez les Conseillers et les Vingt-et-Un
1608 Conseillers et XXI (1 R 87)
Martin Scherbaum contra Eberhard Beeren Sibnergerichts schreiber. 287. 296.
1609 Conseillers et XXI (1 R 88)
Sibner Gericht contra Martin Scherbaum. 93.
1618 Conseillers et XXI (1 R 100)
Martin Scherbaum contra Daniel Kaysser. 97. 144. 178.
Daniel Kaysser contra Martin Scherbaum. 138. Inhibitio erkandt. 139.
1625 Conseillers et XXI (1 R 107)
Martin Scherbaum Ca Hanß Icharten. 77.

Assistée de son fils et unique héritier Joseph Scherbaum, Sabine femme de Martin Scherbaum hypothèque la maison au profit de Marie Kœbel, veuve de Bernard Schmidt

1626 (1. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 399
Erschienen Fr. Sabina Keÿserin H Martin Scherbaums deß Notÿ. eheliche haußfr. mit beÿstand H. M. Joseph Scherbaums auch Notÿ. ihres eheleiblich. Sohns vnd künfftig. eintzigen Erbens,
hatt in gegensein H Georg Schwartz deß Notÿ. alß vogts Fr Maria Köbelin weÿ: H. Bernhard Schmidts s: witib – schuldig seÿ. Lxxv lb
Vnderpfand hauß vnd hoffstat an der obernstraß alhie einseit neben H Jacob Schilling XV.er 2. seit Ludwig Schlehenacker dem Grempen hind. vff hanß Ichardten den Schreiner stoßend gelegen vnd ist solch hauß zuuor hafft vmn 400. fl. h hannß Adolff Grüenwaldt 3.er an der Müntz.
[in margine :] Erschienen Barthel Hock der Hoßenstricker der hierinn vorgemelden Schuldgläubigerin Eintziger Erbin Mariæ Dorinin Ehevogt, hatt in gegensein H. M. Josephi Scherbaums Notarÿ (…) q.tirt den 6. febr. Anno 1636

Le notaire Joseph Scherbaum et sa femme Sara Stœrck hypothèquent leur part de maison au profit du docteur en droit Sébastien Leitersperger

1628 (28. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 235-v
Erschienen H M. Josephus Scherbaum Nots. vnd Sara Störckin sein eheliche haußfr burgere alhie
haben in gegensein deß Edlen Ehrenv. hochgelehrten H Sebastian Leiterspergers beeder Rechten Doctoris vnd d. St. St. Rhats vnd Advocaten – schuldig seÿen 100. pfund
dafür Vnderpfand verlegt seinen deß Debitoris ererbten Antheil ane einem Meÿerhoff vnd güteren in Rupertsaw vnd dem Beltzwörth geleg.
Item seinen ererbten Antheil Ane einer behausung in der Obern straß alhie einseit neb. Ludwig Schlehenacker hind. vf Hanß Ichard. so zuuor noch verhafftet vmb 250. lb etlich. Personen vnd dann vmb 100 lb ihne Creditor selbst vnd dann sollen auch hafft sein 787 fl. An 3150 fl. Capital so die St. St. Jarß vf Margretæ mit 5 p. c. v.zinßen soll, crafft brieffs vnder d. St. St. Kleinen Insigeln datirt den 13. Julÿ1622. deßen original H Sebastian Brand Alter grossen rhats verwanter hinder sich hat

Sabine Kayser, veuve de Martin Scherbaum, et son fils Joseph Scherbaum hypothèquent la maison au profit des enfants du marchand Claude Guichard

1636 (5. Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 105
Erschienen Fr. Sabina Keÿserin weÿ: Martin Scherbaums deß Notÿ see: wittib mit beÿstand H M. Joseph Scherbaums auch Notÿ. ihres eheleiblichen sohns und künfftigen eintzigen Erben, wie auch Er H Joseph für sich selbst
haben in gegensein weÿ: Claudi Guischardten gewesenen handelßmanns see: nachgelaßener Kindern Vogts H Johann Reichshofers deß handelßmanns auch burgers alhie – schuldig seÿen 100. pfund
dafür Vnderpfand verlegt und eingesetzt hauß und hoffstat mit allen Andern ihren gebäwen & alhie An der Obern straßen neben H hanß Gollen dem handelßmann & Ludwig Schlehenacker dem Gremppen hind. vf hanß Ichardts deß Schreiners s: Erben stoßend gelegen, so zuuor verhafftet umb 400. fl. H Hanß Adolff Grüenwalden XV.

Joseph Scherbaum devient seul propriétaire de la maison après la mort de sa mère

Le notaire Joseph Scherbaum épouse en 1620 Madeleine Ursule, fille du receveur Jean Lehr. Le pasteur porte en marge que l’épouse a accouché sept semaines après le mariage
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 431, n° 1375)
1620. Dominica 18. Trinitatis. M. Joseph Scherbaum der Notarius, vndt Jungfrau Maria Magdalena Ursula Weÿland Johannis Lehr d. Schaffner Zur Ketten nachgelaßene Tochter. NB. peperit post 7 septimanas (i 449)

Joseph Scherbaum se remarie en 1627 avec Sara, fille du jardinier Jean Stock, qui a épousé en premières noces Martin Metzger en 1611
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 309, n° 178)
1611. Sontag den 20. Januarÿ. Martin Metzger vnd Sara, hannß Stocken deß gartners alhie nachgelaßene tochter, Eingeseg. Montag den 28. Januarÿ Im frühgebett (i 318)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 42-v)
1627. H. M. Josephus Scherbaum der Notarius und burger alhie und Fr. Sara Martin Metzigers des burgers alhie nachgelaßene wittib. Ruprechtsau [Februarÿ] (i 49)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent que le mariage ait lieu à la Robertsau
1627 Conseillers et XXI (1 R 109)
(f° 29-v) M. Joseph Scherbaum vmb erlaubnus auserhalb hochzeit Zuhalten
M. Joseph Scherbaum bericht supplicando Er wäre Vorhabens sich mit Sara Störtzin Martin Metzgers Wittiben Zu verheurathen, Seÿe Ihme vnlengst sein lengst, seiner hochzeÿtern ein nah verwanter gestorb. Wolte also ein eingezogene hochzeÿt halten in Ruprechtsaw auff seinem gutt pitt Erlaubnus. Erk. Wilfahrt.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le notaire Joseph Joseph Scherbaum à se présenter à l’examen pour devenir rédacteur d’inventaires
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
(f° 329) Beneficium Inventandi. Mittwoch den XIXI Decemb. – M. Joseph Scherbaum d. Notarius vbergibt selbs ein supplôn darin er seine studia anzeicht v. d. er offt Zu Inventation erfordert aber andern Zuweysen muß d. er d. beneficium inventandi nit hatt. Bitt derwegen ad examen. Erk. Ist bewilligt.

Joseph Scherbaum est secrétaire à la tribu du Miroir
1625, Préposés au bâtiment (VII 1340)
(f° 244) Zunfftgelt von frembden Eingenommen
Spiegell, die Zunfft lüffert hanß Jacob Brand Zunfft. vnd Joseph Scherbaum Zunfftschreiber so sie vor frembden newen Zünfftig eingenommen N. 139, 18 lb 3 ß 6 d

Joseph Scherbaum sollicite les archives de feu le notaire Georges Stillkraut
1625, Conseillers et XXI (1 R 107)
(f° 100-v) Sambstag den VII. Maÿ – M. Joseph Scherbaum vmb Protocolla Georg Stillkrauten
Josephus Scherbaum vbergibt supplôn dorin er vermeldet wie Georg Stillkraut d. Notarius verstorben und begraben vnd bey seine lebzeitten befohlen d. man Ime seine Proti. geben soll wie dann Jo: Paul Mattenmeyer der wittib bruder solches genugsam restificiren kan. erbeitt sich dabey alles fleisses u. redlichkeit und bitt die Proti. Ime Scherbau. folg. Zulaßen In der umbfrag beschiht meldung d. er Stillkraut ein eintzige Erbin, so auch ein dochterman dessen ankunfft man billich zuerwarten. Erk. *ist itz verwalter Ursach soll mans gegen Scheerbaum Zu bedacht Ziehen vnd das dochtermans erwart. J Gruenwaldt, J Schweber.

1628 Conseillers et XXI (1 R 110)
Hans Friderich Seÿpel contra Joseph Scherbaum [die Stillkrautische Notariat geschäfft betreffend]. 84. 95.

Joseph Scherbaum vend la maison au tailleur Antoine Spach

1637 (21. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 732-v
(Prot. fol. 100) Erschienen H M. Josephus Scheerbaum Nots. Immatriculatis burg. Zu St.
hatt in gegensein Anthoni Spachen deß Schneiders Auch burgers alhie (verkaufft)
Ein Vord: und hinder hauß vnd hoffstatt mit allen and. ihren gebäwen & alhie An d. Obernstraß. neben hanß Gollen dem handelßmann hanß Georg Hering dem Gremppen hind. vff hanß Ichards deß Schreiners see: Erben, dauon gehen Jährlich vff Johs. Bptsæ 10. lb gelts H Hanß Adolff Grünwald XV.er in hauptgut mit 400. fl. a 15. bz abzulösen, So ist diß hauß auch noch v.hafftet vmb 100. lb. d weÿl. Claudi Guischard. see. Kind. So dann 50. lb. H Adam Schiffmann – per 150. lb

Antoine Spach hypothèque la maison au profit de David Ittelheusser et de sa femme Marie, de la Robertsau

1639 (ut supra [8. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 317-v
Erschienen Anthoni Spach Schneider und burg. Zu St.
hatt in gegensein Dauidt Itelheüßers und Mariæ deß. haußfr. vß Rupertsaw – schuldig seÿ 50. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstatt alhie an der Obern Straß neb. hanß Gollen dem handelsmann & hanß Georg Hering dem Grempen hind. vff besgten Gollen stoßend so Zuuor verhafftet umb 200. lb herrn hanß Adolff Grüenwaldt XV.r Mehr vmb 100. lb d Claudi Guischardt see. Kindern, Item vmb 50. lb H Adam Schiffmann

Antoine Spach hypothèque ses deux maisons au profit du barbier Frédéric Steeg

1640 (ut supra [9. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 196-v
(vide sub dato 14. martÿ Ex promissionem residui) Erschienen Anthoni Spach d. Schneid.
hatt in gegensein Friderich Steeg deß Barbierers – schuldig seÿen L. lb par gelühenen gelts
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstatt alhie An der Obern Straß, neben H Hannß Gollen & hannß Georg Hering. hind. vf ern.ten Gollen stoßend, so Zuuor verhafftet vmb 400. fl. weÿ. H. hannß Adolff Grünwalds & see: Erben, & vmb 200 fl. Frantz Guischards see. Kind. So dann 100. fl. H. Adam Schiffman, sonst eigen,
Item auch hauß undt hoffstatt in S. Johanns gaßen, neben Anthoni N. gewesenen Pfisters see. Zu S. Margreten Erben & ein hauß dem Closter S. Johann Zuständig hiend. vff d. St. St. Inneren Graben so zuuor verhafft vmb 100. fl. hannß Bitzen, So dann vmb 100. fl. weÿ. Magdalenæ Sÿboldtin d. hebamen see: Erben,

La maison revient (par une adjudication judiciaire non conservée) au marchand Jean Richshoffer qui la vend en 1650 au tonnelier Michel Klein le jeune, assisté de son père Michel Klein l’aîné

1650 (11. Novembr.), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1002-v
(Protocoll. fol. 208.) Erschienen Johann Reichßhoffer der Handelßmann Und alter Treÿer deß Pfenningthurns
hatt in gegensein Michael Kleinen deß Jüngern Küeffers mit beÿstand deß jüngern Küeffers mit beÿstand Michael Kleinen deß ältern auch Küeffers alhie seines Vatters wie auch H Hannß Caspar Wolffen E.E. großen rhats beÿsitzers
hauß, hoffstatt, höfflin sampt dem Hinderhauß mit allen deren Gebäwen & alhie in der Obern straßen an St. Barbeln gaßen neben weÿl. H hannß Gollen groß. Rhats Verwanthens seel. Erben neben hannß Georg Häring dem Grempen zue Waßlenheim wohnhaft, hind. vff Ludwig Schlehenackhern dem Grempen zum theil und theils vff weÿl. d Johann Georg Leiterspergers seel. Kind. vnd Erben stoßend geleg. so Zuvor Verhafftet seind vmb 200. lb H Hannß Carl Stören Schaffnern der Fabric deß Münsters – zugangen Vmb 125. lb

Michel Klein épouse en 1640 Anne Marie, fille du boucher Martin Wittich : contrat de mariage, célébration
1640 (25. Aug.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 242
Eheberedung Zwischen Michael Kleinen dem Ledig. Küeffer alß Bräutigam ahn einem Vndt Jungfr. Annæ Mariæ weÿl. Martin Wittichs, gewesenen Metzgers alhie selig. nachgelaßene Tochter, alß hochzeiterin Andern theils
Zwischen dem Erbaren vnd bescheidenen Michael Kleinen dem Jüngern Küeffer alß Bräutigam ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfr. Annæ Mariæ weÿl. Martin Wittichs, gewesenen Metzgers alhie Zue Straßb. selig. nachgelaßene Tochter, alß hochzeiterin Andern theils
in Persönlich gegenwertigkeit der Ehrnuesten wolgeachten vnd weÿßen auch Ersamen Achtbaren vnd bescheidenen H. Michel Kleinen des Eltern Küeffers des Hochzeiters Vatters vnd hanß Caspar Wolffen E. E. Raths beÿsitzers seines lieb. vettern Vff sein des Breütigambs, So dann vff der Jungfr. hochzeiterin seith. Samuel Ruoppen des Schuhmachers und burgers alhie der hochzeiterin geschwornen vogts, und Hanß Oßwaldt Brantzÿ des Musterschreibers auch burgers alda
So beschehen Zinstags den 25. Augusti A° 1640 [unterzeichnet] Ich Michel Klein der Jenger Als hoch Zeiter bekenn wie Obsteth, Michell Kleÿn alss vatter

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 110)
1640. Domin. XIII. Trinitatis 30. Augusti. Michael Klein der Küffer, Michel Kleinen des Kieffers Vnndt Burgers ehelicher sohn vndt Jungfr. Anna Maria Martin Wittich, deß Metzgers Vnndt burgers z. tochter. Eingesegnet 7. Septembris JS Peter (i 14)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 252) 1640. Domin. XIII. 30. Aug. Michel Klein der Küeffer Michel Kleinen Burgers alhie v. Küeffers Ehelicher Sohn, J. Anna Maria Martin Wittichs deß Metzgers nachgel. tochter, Eingesegnet Montag d. 7. Sept: Jung. St. Peter (i 258)

Jean Klein meurt en 1672 en délaissant sept enfants. La masse propre à la veuve est de 185 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 285 livres, le passif à 316 livres

1672 (5.6.), Not. Oesinger (David, 37 Not 23) n° 10
Inventarium undt Beschreibung aller v. Jeder Haab vnd Nahrung So weÿland der Ehrengeachte Meist. Michael Klein d. Elter burger und Küeffer alhie Zu Straßburg nach seinem d. 1. Aprilis Jüngsthien aus dießer welt genommenen Abschied verlaß. (…) durch die tugendsame Fr. Annam Mariam Wittichin die hinderlaßene Wittib mit beÿstandt des Ehrenvest vnd vorgeachten H. Johann Caspar Wolff. deß Lauttenmachers vnd burgers alhie Ihres geordneten Vogts (…) So bescheh. Mittwoch d. 5.ten Junÿ Anno 1672.
Der Verstorbene sel. hat nach seinem tödtlich abschied Zu Erb. hinterlaß. seiner Söhn v. töcht. Benantlich 1. Fr. Ursulam hans Conrad Werners deß huffschmidts vnd burgers alhie Eheliche haußfr. 2. Michael Klein burger, v. Kieffern alhie, H. M. Martin Kleinen, Jgf. Susannam, Daniel, Mariam, Georgen die Kleinen, deren geschworner vogt Melchior Wehrle burger vnd Kürßner alhie.

In Einer In der St: Str: ane der Straß. gelegenen behaußung so hernach beschrieb. würdt, vnd in dieße Verlaßenschafft gehörig ist befunden worden wie volgt.
Auff d. vndern Bienen, In der Cammer A, In der Cammer B, In dem hindern Stübl. In der Cammer C, In der Cammer E, In der Wohnstub, Im Konthörlin, Im hauß Ehren, In dem hindern vndern stübl., Unden im hauß, Im Keller
Eigenthumb Ane Einer behausung (T.) j. Behausung hoffstatt, vnd höffl. sampt dem hinderhauß mit all. andern deren gebäuen begriffen. weith. recht. Zugehördt v. Gerechtigkeitn ane d. obern straß ane St. Barbare gaß, mit j seith neb. Hannß Adam Zieglern dem Küblern vnd burgern alhie, Anders. neb. H. Matthiæ Strohmen hind. auff hanß Ludwig Schleen Ackhers Wittib stoßend, davon gegen Jährlich 10. lb d auff Johannis Baptistæ H Balthasar Fischers des Raths bott. alhie Ehelich haußfr. alhie, Ablößig mit 200 lb. Vnd dann ist die behausung noch verhafftet vmb 75. lb d restirenden Kauffschillings weÿl. deß wohl Edel vest fürsichtig v. hochweiß. H. Johann Reichshoffers alt. Ammeisters sel. Fr. wittib vnd Erb. falt d. Zünß davon Jährlich auff weÿhenacht. So dann ist diße behaußung Über Jetzgehörte beschwerdt Angeschlagen für vnd vmb 75. Darüber sagt j. Teutsch Pergament. Khauffbrieff mit d. Statt Straßburg anhangend. Contract Insiegel verwahrt deß datum d. 11.t Novembris anno 1650. signirt mit N° 1.
Ergäntzung der Wittiben unverändert Guths. Vermög Samuel Rupp gewesenen Schuhmachers vnd d. wittiben geweßenen Vogts sel. Vogteÿ Rechnung von Anno 1635. (…) Inhalt eines über weÿl. Martin Wittichs des geweß. Metzg. Knechts alhie Ihres bruders sel. Verlaßensch. in Anno 1649. d, 30. Junÿ
Der Wittib ohnveränderte Nahrung 185 lb
Demnach solte nun der Erben ohnverändert guth beschrieben werden Weilen aber nach geendten Inventation in überschlagung der Verlaßenschafft befunden daß die Theilbare Zu bezahlung der Passiv schuld. nicht sufficient als hat man selbige Zu verhütung weitläuffigkeit zusammen geschrieben, Sa. haußraths 89, Sa. lehren faß 1, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerckh gehörig 76, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 22, Sa. Gulden Ringk 4, Sa. de Behaußung 75, Sa. Schulden 16, Summa summarum 285 lb – Schulden 316 lb, In Compensatione 31 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 154 lb
Testamentum nuncupativum – Persönlich erschienen ist der Ehrbare und bescheidene Michel Klein der Jünger Küffer und burger alhie, gesunden gehendt und stehenden leibs, auch guten richtigen Verstandts, anzeigenden, demnach Anna Maria Wittichin seine liebe haußfrau in Ihrem heut Zu endtgesetztenm Dato, auffgerichtem Testamento nuncupativo, alle Ihre hinderlaßene haab und Nahrung Zeit lebens wittembs weiß, Zugenießen verschafft (…) Inn einer behaußung, Inn dem Finckhweiler, nahe beÿ dem Blater hauß gelegen, von seiner haußfr. Zum theil eigenthümlich zuständig ist, derselben vndern wohnstuben, wornen auff die gaß außsehendt, Zinstag den 3. 9.br. A° 1640. Abendts zwischen 6. v. 7. Uhren, David Ösinger Senior, S. Imp.iali authoritate Notarius juratus

La veuve vend la maison à son fils Daniel Klein. En marge, quittance remise à Georges Guillaume Butz

1678 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 79
Anna Maria Weÿl. Michael Kleinen deß Kieffers nunmehr seel. nachgelaßene wittib, mit beÿstandt Hannß Caspar Wolffen, deß Lautenmachers Ihres Vogts undt hannß Conradt Wörners deß Schmidts Ihres dochtermanns
in gegensein Daniel Kleinen des Kieffers Ihres Eheleiblichen Sohns
Ein Vorder: undt hinder: hauß, höfflein hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, rechten und gerechtigkeiten alhier ahne der Obern straßen ahn St: Barbaræ gaß, einseit neben H Mathæo Strohmen, anderseit neben Hannß Adam Ziegler dem Kübler, hinden uff Weÿl. Ludwig Schlehenackhers des Grempen nunmehr seel. nachgelaßene wittib undt Erben stoßend gelegen, davon gehendt Jahrs 8 lb lößig mit 200. lb Weÿl. hannß Carl Stören Schaffners der Fabric des Münster nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, so seÿe solche behausung auch noch umb 150. fl. obged. hannß Conrad Wörnern Verhafftet – umb 375 lb
darbeÿ insonderheit bedingt worden ist, daß der Sohn seine Eheleibliche Mutter der Zeit übigen Ihres lebens, beÿ sich in oberwehnter behausung zu behalten, und in dem hindern Stockh die Stub, die Kammer darüber, das Stübel darneben, und Platz Zum Brenholtz legen, ohne einigen gelt undt hauß Zinnß einraumen
[in margine :] (…) in gegensein Georg Wilhelm Butzen, deß Kieffers alß Ehe Nachkommen hierinn bemelten Daniel Kleinen deß Küffers und also Ehevögtl. weiß besitzers hierin Verkaufften ahne d. obern straßen gelegenen haußes (quittung) act. d. 28.ten Junÿ 1706.
[in margine :] Erschienen H. Georg Sigmund Brauns Mäntel, der Zinngießer und E.E. Kleinen Raths alter beÿsitzer alß Vogt Ursulæ gebohrner Kleinen, H Johann Conrad Wörners deß Stattschmidts sel. nachgelaßener wittib, Johann Werner Renther der Kieffer alß vogt weil. H. M. Martin Kleinen, gewesenen Pfarrers Zu Westhoven sel. nachgelaßener Kinder, Ferner obgem. H Braunsmäntel auch alß Deputatus weg. Susannæ Kleinin mit H. Tobiæ Gäcklern d. haubtmann ehelich erzeugter Kind., Mehr Daniel Schnitzler der Hueffschmid, alß Ehevogt Annæ Mariæ Klein, so dann hans Georg Klein der Küffer für sich selbst., alle alß der hierinn gemeldten verkäufferin Annæ Mariæ Kleinin nun sel. nachgelaßener Kind. und Erben (quittung) Act. d. 10. May 1694

Daniel Klein épouse en 1675 Apollonie, fille du chapelier Jean Meyer
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 49, n° 314)
1675. Dom. Quinquag. et Invoc. den 14. u. 21. febr. Daniel Klein der ledige Kieffer weÿl. Michael Kleinen burgers vnd Kieffers allhier hinderlaßen. Ehelich. Sohn, Jfr. Apollonia Johann Meÿers deß burgers und huttmachers Allhier eheliche tochter. Cop. St. Thomæ den 25. febr. (i 26)

Veuve, Apollonie Meyer se remarie en 1680 avec le tonnelier Georges Guillaume Butz, originaire de Neustadt an der Haardt en Palatinat (Neustadt an der Weinstrasse) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung (…) Zwischen dem Ehrsam: und bescheidenen Meister Georg Wilhelm Butzen, dem noch ledigen Küefer, der Zeit Spital Küeffern allhier, Weÿland des Ehrenhafften Hannß Jacob Butzen Burgers in der Newstatt ane der Haard, eheleiblichem Sohn, als Hochzeitern, anbe Einem, Sodann der Ehrn: und tugendreichen Frawen Apolloniæ Kleinin gebohrner Meÿerin, Weÿland des Ehrenhafften meister Daniel Kleinen Küeffers und burgers allhier seel. hinterlaßener Wittwen, als hochzeiterin, am andern theil (…) So beschehen und verhandelt in des Heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg auf Donnerstag den 29. Aprilis alten Calenders in dem Jahr des Herrn als man Zalte 1680. Johann Christoph Stöffel, Notarius publicus

(N.B. L’acte suivant porte par erreur qu’Apollonie est fille et non veuve de Daniel Klein)
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 92 n° 544)
1680. Fest. pentecost. Et Trin. 30. maÿ et 6. Junÿ Geörg Willhelm Butz der ledige Kieff. weÿl. Johann Jacob Butz. von Neüstatt an d. hart ehelicher Sohn, fr: Appollonia weÿl. Daniel Kleinen burg.s v. Kieffers eheliche tochter. Cop. S. Thomæ d. 10. Junÿ (i 48)

Georges Guillaume Butz devient bourgeois par sa femme neuf jours après son mariage
1680, 4° Livre de bourgeoisie p. 473
Georg Wilhelm Butz der Küffer von der Newstatt an der hart, empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Appolonia, weÿl. Daniel Kleinen gewesten Küeffers seel. wittib p. 8. golt fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist Zuvor ledigen standts geweßen, vnd wird Zu den Küffern dienen. Jur. 19. Julÿ 1680.

Georges Guillaume Butz fait établir un état de fortune pour accéder à la bourgeoisie. L’acte est dressé dans le logement du tonnelier attaché à l’hôpital
1680 (25.5.), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 3) n° 18
Designatio und Verzeichnus der Jenigen Haab Nahrung vnd güethere, so dem Ehrenhafften Georg Wilhelm Butzen, Spital Küeffern alhie eigenthümlich gehörig (…) Actum dienstags den 25. Maÿ 1680.
In deß Mehrern Spithals Zue Straßburg bewohnend. und Inhabend. Spithal Küeffers wohnung ist befund. word. wie volgt
haußrath 22, Silber 3, Baarschafft 46, Summa summarum 72 lb

Georges Guillaume Butz demande aux Quinze l’autorisation de prendre un nouvel apprenti avant la fin des deux ans de vacance. La décision doit avoir été rendue en 1687, année dont le registre manque.
1686, Protocole des Quinze (2 R 91)
(f° 33) Sambstag den 7. Xbris – Georg Wilhelm Butz Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Georg Wilhelm Butz, des Kieffer, Vnd Diebold Rinck, der Gartner, noîe seines Bruders David Rincken, per Marbach, Weilen jener deßen jnn denen, jm stillstand geordneten 2. jahren Noch ruckständigen 9. Monathen Zum jungen Annehmen will, daßelbe aber ohn Mghh. dispensation Nicht thun darff, so bitten pl.en gantz Unterth. zu proponiren ihrer Motiven, einige Deputation gn. Zu erlauben, Geiger E. E. Zunfft der Kieffer Herr Zunfftmeister hierzugegen acceptirts utiliter, daß jmplorirend Meister selbst bekennet, daß er Noch 9. Monath zu warthen haben Und weilen erst jüngsthin jnn sach. E. E. Meisterschafft Ca. Isaac Wagemann erkandt word. daß die zugelaßene exempel jnn Kein præjuditz gezog. werden solle, als bitt die Meisterschafft Und.th. zu stabilirung der Ordnung, so sonsten gantz überein haufen Fiehle, dermahlen eins ein exempel Zu stauiren, Und das Unordentliche begehren abzuschlagen. Marbach Weilen die Von gegenth. allegirte rationes die ordnung Und Nicht die dispensation betreffen, Und pl.en beÿ Mghh. als beÿ welchen solches stehet, Underth. beruffen* als bitten sie Zu examinirung dißeits bezogener Motiven, wie gebetten, ein genaden Zu erkennen. Geiger gnlia, Und priora. Erk. Deputation willfahrt. Herr XV.er Schmidt, Herr XV. Metzger.
(1687 manque)

Apollonie Meyer meurt en 1707 en délaissant six enfants (l’inventaire lui donne le nom de son premier mari, Klein). La masse propre au veuf est de 210 livres, celle propre aux héritiers de 400 livres. L’actif de la communauté s’élève à 392 livres, le passif à 303 livres.

1708 (25.1.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 20)
Inventarium und Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿland die Ehren: vnd tugendsame Fraw Appollonia Butzin gebohrne Kleinin, des Ehren: vnd Vorachtbahren H. Georg Wilhelm Butzen, Küeffers vnd burgers alhier geweßene eheliche haußfraw nun mehr seel. nach ihrem Mitwochs den 23. 9.bris des nechstabgelegten 1707.ten Jahrs aus dießem Kummervollen leben genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg, Mitwochs den 25.ten Januarÿ 1708.
Die Abgeleibte Fraw seel: Hat ab intestato Zu Erben verlaßen 1. Herrn Johann Georg Butzen, Küeffer, vnd burger, alhier, vor sich selbsten, 2. Fraw Mariam Margaretham Wagnerin gebohrne Butzin, des Ehrenhafften Mr Philipp Wagners Küeffers vnd Burgers alhier Ehewürtin mit assistentz deßelben, 3. 4. 5. et 6. Friderich, Johann Daniel, Susannam, Salome vnd Georg Wilhelm die Butzen, so alle noch ledig. stands, dero geschworner Vogt der Ehrenhafft vnd vorachtbare H Daniel Schnitzler Huffschmid vnd burger alhier, welcher im Nahmen erstgemelter Seiner Curanden, davon die 2. ältere abwesend, vnd auff der Wanderschafft begriffen, dießer Inventation Persönlich beÿgewohnt. Alle Sechs der Abgeleibten Frauen seel. mit Hievorernandtem dero hinterbliebenen Wittwer ehelich erzeugte Kinder vnd ab intestato zu 6. gleich. Theilen verlaßene Erben.

In einer alhie zu Straßburg in der Straßen gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt.
Hültzenwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstuben, Im haußöhren , Im vndern Stübel, In der Soldaten Cammer
Ergäntzung der Erben Unveränderte, Guths, Lauth eingangs gemelter beeder Eheleuthe in den Ehestand Zugebrachten Nahrungs Inventarii vom 7. Januarÿ 1681. durch H Johann Christoph Stöffeln seel. geweßenen Notarium gefertiget
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Ein vorder: vnd Hinderhauß, höfflin v: hoffstatt, mit allen andern deren gebäwen, begriffen, weiten, Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten, gelegen alhie inn der Statt Straßburg, Ane der obern Straßen, ane St. Barbaræ Gaßen, einseit neben Hn Anthoni Füeßel dem Kupfferschmid, anderseit neben weÿl. Herrn Mathei Stromen seel. Erben vnd resp° Erbens Erben, hinten auff Gregorium Böris den Schloßer stoßend. Davon geben Jahrs 3. lb 15 ß gelts Herrn Julio Reichelten Prof: Mathem: et Canonico Thomano, alß usufructuario weÿl. frawen Catharinæ Reicheltin gebohrner Kohlöffelin seiner Zweiten haußfrawen seel: Verlaßenschafft, welche dießes Capital Zu außweißung weÿl. herrn Johann Conrad Werners des Huffschmidts seel. auff dießer behaußung Insonderheit Zu erfordern gehabter 100. rthlr. hergeschoßen vnd damit in deß. Recht gestanden, volgendts Mr Georg Wilhelm Butzen dem Wittwer Crafft dero auffgerichteten Testamenti legirt, doch dergestalten, daß er solches obgemeltem Hn Professori Reichelten ihrem Eheherrn so lang er im leben sein würd, à 5. pro Cento in deßen Wÿdemb verzinßen, nach sein des Wÿdumbsnießers tod aber ihme solches als ein unverändertes legat eigenthümlich gebühren, vndt auff dießer Behaußung assignirt werden solle, thut 75. lb.
Item 10. lb d gelts auff Michaelis obgemelts H Johann Conrad Werners des huffschmidts seel. hinderlaßener Wittib vnd Erben weiters, weilen die übrige Kleinische Interessenten, welche an dießem Capital auch zu prætendiren gehabt, laut einer in allhießiger Contractstuben den 10.° Maÿ 1694. auffgerichteter Verschreibung von ihme Werner alle außgewießen Worden, ein restirenden Capital ablößig mit 250. lb. Sonsten freÿ ledig vnd eigen, durch der Statt Straßburg Geschworne Werckmeistere über vorgeschriebene beschwerd. Crafft eines beÿ mein des Notarÿ Concept befindlich. Schatz Zeduls annoch æstimirt p. 575. lb. Vnd besagt über hievorgeschriebene Behaußung ein t: Perg: Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contractstuben anhang: Insigel verwahrt datirt den 1. Febr: Anno: 1678. Inhaltend welchergestalten weÿl. M. Daniel Klein, der verstorbenen Frawen erster haußwürth seel. dieselbe von auch weÿl. Frawen Anna Maria Kleinin seiner Mutter seel: ane sich erhandelt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittwers Unverändert guth, Sa. Zinnengeschirrs 1, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Pfenningthurn Capital 30, Sa. Ergäntzung 147, Schulden 50, Summa summarum 230 lb – Schulden 20, Nach deren Abzug 210 lb
Dießem Nach würdt auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. Werckzeugs, Schiff und geschirr Zum Küeffer handwerck gehörig 12, Sa. Guldener Ring 5, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 575, Sa. Schulden 20, Summa summarum 642 lb – Schulden 242, Nach deren Abzug 400 lb
Endlichen würd auch das gemein, Verändert vnd theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 50, Sa. Frucht 4, Sa. Wein vnd Vaß 104, Sa. Holtzes, Schiff und geschirrs wie auch werckzeug Zum Schuhmacher handwerck gehörig 29, Sa. Silbers 8, Sa. guldenen Ring 3, Sa. Schulden 192, Summa summarum 392 lb – Schulden 303, Nach deren Abzug 89 lb
Beschluß summa 699 lb
Eheberedung (…) auf Donnerstag den 29. Aprilis alten Calenders in dem Jahr des Herrn als man Zalte 1680. Johann Christoph Stöffel, Notarius publicus

Acte de sépulture d’Apollonie Meyer. Le pasteur donne le nom de ses parents mais ne cite pas son premier mari.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. 1687-1711 f° 124 n° 141)
Anno 1707. den 28. Novembris Morgens frühe gegen 3 vhren ist gestorben fr. Apolonia butzin gebohrne Meÿerin Georg Wilhelm Butzen deß Burgers und Kieffers alhie gewes. Ehefrau weÿl. Johann Meÿers des gewesenen burgers und huthmachers alhier und fr. Agnes geb. Bodemerin tochter ihres alters 56 Jahr 5 Monath 20 tag ist darauf den 25. ejusdem in dem gottes Acker St Galli begraben und von mir M Philipp Strohl ein leich Sermon gehalten word. [unterzeichnet] GWB der hinterlaßener Wittwer konte nicht schreiben, hanß Georg Butz als Sohn (i 130)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 1400 florins
1708, Livres de la Taille (VII 1174) f° 26
(Kieffer, F., N 1910) Weÿl: Fr. Apolloniæ Geörg Wilhelm Butzen des Kieffers und Burgers alhier geweßener Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol: 80.b, 699. lb 16 ß 11 d, die machen 1400. fl. Verstallte nur 1100 fl, also Zu wenig 300 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs jahr in duplo macht à 18 ß, 5 lb 8 ß
und auff vier jahr in simplo macht à 9 ß, 1 lb 16 ß
Extat das Stallgeltt pro 1708, 3 lb
Gebott, 1 ß 4 d
So dann ist vor die Abhandlung, 16 ß 6 d – Summa Sa. 11. lb 1 ß 10 d
Auff suppliciren gehet ab eines in duplo und eins in simplo macht zusammen 1 lb. 7. ß, Restiert 9. lb. 14. ß. 10. d
dt. 27. Junÿ 1708

Georges Guillaume Butz se remarie avec Marie Cléophée, fille du préposé à la douane Jean Philippe Brand : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – Zwischen dem Ehrenhafften und Vorachtbahren Herrn Georg Wilhelm Butzen küeffern und burgern zu Straßburg alß dem bräutigamb, ane einem, So dann der viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Mariæ Cleophe gebohrner Brandin, weÿland des Wohl Ehrenvesten und Vorachtbaren Herrn Johann Philipp Branden, geweßenen wohlbestellten verwalters des allhiesigen Zollkellers, und burgers zu mehrermeltem Straßburg, nun längst seel: nachgelaßener eheleiblichen dochter, alß der Jungfraw hochzeiterin andern Theils – So beschehen den 27. Junÿ Im Jahr des Herrn alß mann Zahlte 1710. [unterzeichnet] Geörg Wilhelm Butz als hochzeider, Maria Cleophe Brändin als hochzeiterin, Jacob Christoph Pantrion, Notarius

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 124, n° 708)
Anno 1710. den 16 julÿ seind in der Kirch Zu St Thomas nach geschehener ordenlticher ausruffung eingesegnet worden Georg Wilhelm Butz der burger und Kieffer alhie und Jungfr. Maria Cleophe weÿl. H. Johann Philipp Brand, gewesenen Zoll Keller verwalters und burgers alhie hinderlaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] G W B der hochzeiter Georg Wilhelm Butz Konte nicht schreiben machte vorstehenes Zeichen, Maria Cleophe Brandin als hochzeiterin (i 126)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au marié. Ceux du mari s’élèvent à 756 livres, ceux de la femme à 881 livres.

1710 (15. 7.bris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 22)
Inventarium und Beschreibung aller Haab Vnd Nahrung, so der Ehrenhaffte und Achtbahre Herr Georg Wilhelm Butz Küeffer und Weinhändler, Und die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Maria Cleophe Gebohrne Brandin, beede Eheleuthe Und burgere alhier Zu Straßburg Crafft Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung als ein Unverändert Guth in den Ehestand Zusammengebracht (…) Actum jn der königlichen Statt Straßburg den 15.ten 7.bris 1716.

In einer alhie Zu Straßburg in der Straßen gelegener, des Ehemanns Kinder erster Ehe Zuständiger behaußung ist befund. word. wie volgt
Hültzen und Schreinerwerckh. Auf der bühn, In der Knecht Kammer, In der Hindern Kammer, Im Hindern Stübel, In der Obern Stub, Im Haußöhren, In der Soldaten Kammer, Im undern Stübel, In der Werckstatt, Im Keller In der obern Kammer
Bericht wegen der behaußung in der Straßen, so des Ehemanns Kinder, erster Ehe gehörig. Die von dem Ehemann bewohnende, vnd seinen Kindern erster Ehe Zuständige Behaußung alhier Zu Straßburg inn der obern Straßen, ane St. Barbaræ Gaßen, eins. neben Hn Anthoni Füeßel, dem Kupfferschmid, anders. neben Herrn Johann Daniel Wurtzen dem handelßmann gelegen, hinten auff Gregorium Böris den Schloßer stoßend. ist durch die Geschworne Werckmeistere in Anno 1708 æstimirt worden pro 900 lb. Davon geben Jahrs 3. lb 15 ß gelts H. Julio Reichelt Professori Mathem: et Canonico Zu St. Thomæ alß usufructuario weÿl. frawen Catharinæ Reicheltin gebohrner Kohlöffelin seiner Zweiten haußfr. seel: Verlaßenschafft, welche dießes Capital Zu außweißung weÿl. H. Johann Conrad Werners des Huffschmidts seel. auff dießer behaußung Insond.heit Zuerfordern gehabter 100. Reichßthaler hergeschoßen, vnd damit in deßen Recht gestanden, volgendts H. Georg Wilhelm Butzen dem Ehemann Crafft dero auffgerichteten Testamenti legirt, doch dergestalten daß er solches obgemeltem Herrn Professori Reichelt. ihrem Eheherrn so lang Er leben würd, à 5. pro Cento in deßen Wÿdemb verzinßen, nach sein des Wÿdumbsnießers tod aber ihme Butzen solches als ein unverändertes legat eigenthümlich. gebühren, vndt auff dießer Behaußung assignirt werden solle, thut 75. lb.
Item 10. lb d gelts auff Michaelis obgemelts Herrn Johann Conradt Werners des huffschmidts seel. hinderlaßener Wittib vnd Erben, Weiters weilen die übrige Kleinische Interessenten so ane dießem Capital auch zu prætendiren gehabt, laut einer in der Contractstuben den 10. Maÿ. 1694. auffgerichteter Verschreibung von ihme Wernern alle außgewießen Worden, in restirendem Capital ablößig mit 250. lb.Item 3. lb 18 ß 4 d H Georg Wilhelm Butzen dem Ehemann selbsten so deßen Kinder erster Ehe ihm laut des beÿ E. Vogteÿgericht den 17.ten Julÿ 1708 auffgerichteten Vertrags herauß schuldig worden, vnd ihnen vff dieße ihre unveränderte behaußung versichert, in Capital ablösig mit 95 lb 2 ß 3 d. Item 6. lb 8 ß den vier Butzischen Jüngsten resp° Söhnen vnd dochter soll man restirende Mütterliche Ehesteür, so wohl in Geld alß haußraths Posten, laut des den 12° Martÿ 1709 : mit dero vogten getroffenen Vergleichs, so gleichfalls vff dieße behausung verwießen à 40 lb d Zusammen 160. lb. Item Johann Georg Butz fordert noch wegen Mütterlicher Ehesteür, die hausraths Posten Welche er nicht empfangen gleich seiner Verheürathet. Schwester 15. lb. Thun vorstehende Posten Zusammen 595. lb 2 ß 3 d. Restirte also noch an obigem Anschlag allein, so des Manns Kindern erster Ehe vor Mütterlich Guth s: außer Was Sie vorher weg. dr Ehesteür noch zuerfordern gebührt 304. lb 17 ß 9 d. Seind deroselben Sechs macht Jdem prorato 50. lb 16 ß 3 ½. d. Derentwegen sich der Vatten mit denenselben verglichen, Ihnen biß auff weitere verordnung Jedem sein vorher außgeworffenes ratum weilen er die behaußung bewohnt, à 4 pro Cento Zuverinteressiren vnd dearneben wie bilich die Jährliche widerzinß von denen vorher specificirten Capitalien ohne der Kind. entgeld abzurichten.
Wÿdembs Verfangenschaft. Es hat H. Julius Reichelt Professor Mathematices et Canonicus Thomani alhier von weÿland Frauen Catharina Kohllöffelin seiner zweiten haußfrauen seel. noch ein Gewißes auff hernach fol: – beschriebener stehendes Capital lebtägig zu genießen
Series Rubricarum. Des Ehemanns unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 183, Sa. Holtzes, Reiff undt band 260, Sa. des Silbers 15, Sa. der Guldenen Ring 8, Sa der Pfenningthurns hauptgüther 80, Sa. der Schulden 233, Summa summarum 781 lb – Sa. der Schulden 25 lb, Nach solchem abzug 756 lb
er Ehe Frawen unveränderte Nahrung, Sa. des Haußraths 192, Sa. des Silbers 22, Sa. der Guldenen Ring 44,, Sa. der Baarschafft 16, Sa. Pfenningz. haubt Güther 531, Sa. der Schulden 75, Summa summarum 881 lb

La maison appartient pour partie au fils aîné Jean Georges Butz qui épouse en 1704 Anne Catherine Zengler, mariée en premières noces (1675) avec Loup Philippe Fimpel et en secondes noces (1702) avec Jean Vernier Schmitz

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 146-v n° 687)
1704. Mittw. d. 30. Jul. wurd. nach Ord.tl. außruff. copulirt Johann Georg Butz d. ledige Kieffer v. B. allhier Georg Wilhelm Butz. des Kieff: v. B. ehl. Sohn v. Fr. Anna Catharina weil. Werner Schmitz. des geweß. Kauffhauß Kieffers v. B. allhier nachgel. W. [unterzeichnet] Johan Georg Butz als hochsteitter Anna Catharina All hoch Zeuterin (i 146)

Jean Georges Butz et Anne Catherine Zengler font dresser un inventaire de séparation
1712, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über Joh: Georg Butzen des Kiefers und Fr: Anna Catharina geb. Zenglerin beed. Separirter Ehel. habende Nahrung samt darüber getroffenen Vergleich

Jean Georges Butz porte plainte devant le conseil des Tonneliers contre sa femme Anne Catherine Zengler dont il est séparé de corps et de biens parce qu’elle refuse de lui donner des douves pour qu’il puisse terminer une commande passée par les marchands associés Saltzmann et Bemberg.
Saltzmann et Bemberg demandent en mars 1713 d’expertiser les tonneaux terminés après la mort de Jean Georges Butz par son beau-frère Christophe Wagner. Les experts concluent que les tonneaux sont mal faits. Les clients paieront quatre florins la mesure au lieu de cinq.

1712, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 168-v) Montags den 5. Septembris Anno 1712
Meister Johann Georg Butz der Kieffer Klagt wieder Annam Catharinam gebohrne Zängelin seine Von Ihm Zu tisch und bett geschiedene haußfraw, meldet daß Er Saltzmann und herr Bemberg beede handelßgemeinere gedachter seiner geschiedenen haußfrawen Zu einem faß groß daugenholtz abgekaufft und Ihm solch faß Zu Verfertigen Committirt hätten, nun habe Er solch Faß Würcklichen in der Arbeith und mangelten Ihme noch 2. daugen und am bodenstück darzu, welche Er Ihro habe fordern laßen, Sie aber Wägerte sich solche herauß Zugeben in deßen aber werde Er in solcher Arbeith gehindert, bittet Sie darzu an Zuhalten Ihme solche ohnverzüglich Zu geben, Meister Johann Peter Gerlach so beÿ der beklagtin in Arbeith stehet antwortet hierüber im nahmen seiner Meisterin, dieselbe habe Vorgedachten beeden herren* nur Zu einem faß holtz Versprochen so sie Ihnen auch gelüffert, nemlichen 47. daugen nun habe Er nur 41. daugen im faß und fehlten Ihme noch Zwo daugen vnd habe Er also ja noch daugen übrig, Kläger meldet es seÿe Ihro alles holtz zu solchem faß gehörig seind überhaupt abgekaufft worden, welches er Klägerin Knecht negirte.
Erkandt, daß geklagte Klägerin noch so viel daugen geben solle daß Er das faß vollendt außmachen Könne, hiengegen aber solle Kläger Ihro die Zwo ohntaugliche daugen wieder Zurück geben, die Gerichts Kosten betreffendt solle daran jede parth die helffte leiden, Zahlt 10 ß d Vors Kauffgericht und pro Zunfftschreiber und nüttem 3 ß 6 s.

(f° 187) Dienstags den 14. Martÿ Anno 1713
Herr Johann Saltzmann der handelßmann stunde Vor und berichtet, daß Er und Herr Bemberg als Handels Consorten mit dem verstorbenen Joh: Georg Butzen dem Kieffer in seinem Leben einen Accord hätten getroffen 600. Ohmen Faß dreÿen stucken zu machen, es seÿe aber gedachter Butz, ehe und bevor solche faß gantz außgemacht waren gestorben, derowegen solche Joh: Philippß Wagner sein schwager Vollendts außgemacht habe, Sie bitten etliche unpartheÿische Meister abzuordnen und solche in augenschein zunehmen auch daß hernachmahlen solche nach befindung der sachen taxirt werd. möchten. Erkandt Willfahrt seind abgeordnet herr Rathh. Erhard und Hr Löchner.

(f° 188-v) Dienstags den 25. Aprilis Anno 1713 – Johann Jacob Häußler der bediente beÿ herren Bemberg und Saltzmann beeden handelß consorten alhier bittet im Nahmen Principalen daß wegen derwegen derjenigen Faß so weÿl. Mstr. Joh: Georg Butz ihnen gemacht die beeden herren abgeordnete relation abstatten mögen, darauff dieselbe nemlichen herr Rathh. Erhard und herr Löchner referirten, daß Sie quæstionirte Faß in augenschein genommen und gefunden daß Sie sehr ohnfleißig gemacht wären auch unterschiedliche einfugen hätten also daß Sie auff solche Weiß nicht kecklich zu brauchen Wären doch aber Könnten solche mit vielen mühe wieder in guthen stand gesetzt Werden. Actor bittet die Arbeith Zu taxiren Meister Georg Willhem Butz und Joh: Philipp Wagner als des verstorbenen Butzen Vatter und schwager submittiren sich E. E. Gericht Erkandtnuß. Warauff per Majora Erkandt, weilen die faß in so schlechten stand seÿnd, daß Sie Hh Handels Consorten ahne statt der Veraccordirte 5 ß für den ohmen 4 ß Zahlen sollen.

Jean Georges Butz meurt en janvier 1713 chez sa belle-mère. Le sixième de maison qui lui appartient est porté à l’inventaire. L’actif de la succession s’élève à 172 livres, le passif à 188 livres.

1713 (3.2.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 29)
Inventarium und Beschreibung aller Haab, Nahrung und Güthere, so weÿland Mr Johann Georg Butz Küeffer vnd burger alhier seel. nach seinem Mitwochs den 11 Januarÿ jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des Ehren und vorgeachten herrn Georg Wilhelm Butzen, Kieffers vnd burgers alhier alß des Verstorbenen seel. Vatters vnd ab intestato verlaßenen einig. Erbens, inventirt (…) durch Ihne den Vatter vnd Erben, wie auch Seine haußfraw die Ehren vnd tugendsahme Fr. Mariam Cleophe Butzin, gebohrne Brandin die Stieff Mutter, beÿ welchen der abgeleibte seel. biß in sein Absterben sich vffgehalten (…) Actum Straßburg, Freÿtags den 3. Februarÿ. 1713.

Eigenthumb ane einer Behaußung. 1/6. theil vor vngetheilt von vndt ane einer Behaußung, hoff, hoffstatt vnd Zugehörd. mit allen übrigen ihren gebäwen, begriffen, weiten, rechten vnd Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg, In der Straßen gelegen, beÿ St. Barbaræ Gaßen, eins. neben H. Hanß Jacob Trehern dem Specerirer, and. s. neben H. Daniel Wurtzen dem handelßmann, hinden auff Gregorium Wurtzen den Schloßer stoßend. Daran die übrige 5/6.te theile Herrn Georg Wilhelm Butzen des Erben vnd vattern übrig. Kindern erster Ehe, als des verstorbenen seel. Geschwüsterden vor unvertheilt gehörig. Und ist die gantze Behaußung beÿ weÿl. Frauen Appolloniæ Butzin gebohrne Kleinin des abgeleibten Mutter seel. Verlaßenschafft Inventation de Anno 1708. durch die geschworne Werckmeistere alhier æstimirt worden p. 900. lb.
Hingegen stehen auch vff solcher behausung volgende onera. Erstlich 3. lb 15 ß gelts Herrn Julio Reichelt. Mathem: Prof: et Can: Thomano alß usufructuario weÿl. frawen Catharinæ Reicheltin gebohrner Kohlöffelin seiner Zweiten haußfrawen seel: Verlaßenschafft, welche dießes Capital Zu außweißung weÿl. herrn Johann Conrad Werners des Huffschmidts seel. auff dießer behaußung Insonderheit Zu erfordern gehabter 100. Reichßthaler hergeschoßen, vnd damit in deßen Recht gestand. volgendts obgemeltem H. Georg Wilhelm Butzen dem Wittwer Crafft dero auffgerichteten Testamenti legirt, doch dergestalten, doch dergestald. daß er solches obgemeltem Hn Professori Reichelten ihrem Eheherrn so lang er im leben sein würd, à 5. pro Ct° verzinßen, nach deßen tod aber ihme eigenthümlich. gebühren, vndt vff dießer Behaußung assignirt werden solle, thut 75. lb.
Item 10. lb d gelts auff Michaelis H Johann Adam Nageln dem Küeffer vögtlicher weiße, so hiebevor denen Wernerischen Erben verzinßt word. in Capital ablößig mit 250. lb.
Item hat obernandter Herr Georg Wilhelm Butz der Vatter noch vff dießer behaußung in Capital zuerfordern So ihme Gedachte seine Kinder, laut des den 19.ten Julÿ 1708 beÿ E. Löbl. Vogteÿgericht vffgerichteten Vertrags schuldig worden, wie daselbsten vmbständlichen Zubefinden 95 lb 2 ß 3 d. Thun vorstehende beschwerden Zusammen 420. lb 2 ß 3 d. Solchem nach restirte noch ane obigem Anschlag 179. lb 17 ß 9 d. Daran ist hiehero von 1/6. theil aus Zu werffen 79. lb 19 ß 7 d. Vnd besagt über hievorgeschriebene gantze Behaußung ein t: Perg: Kbr. mit d. Statt Straßb. anhang: Cancelleÿ Contractstuben Insigel de dato 1. Febr: 1678.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 33, Sa. Vaß 4, Sa. Werckzeugs 2, Sa. Silbers 4, Sa. guldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane i. behausung 79, Sa. Schulden 46, Summa summarum 172 lb – Schulden 188, Übertreffen also die Vorhandene Passiva die gantze Verlaßenschafft vmb 15 lb
Auß EE Kleinen Raths der Statt Straßburg Memorial de A° 1714. Donnerstag d. 1. febr. Weÿl. Johann Georg Butzen des gewesenen Kieffers und Burgers allhier Credit geschäfft betreffend, In sachen deßen nachgelaßener Wittib Curatoris in actis benant, Kläger, Contra die übrige Butzische Creditores beklagte, Ist auff eingelegte Eheberedung und übrige forderung pt° Liquidationis erfolgten beschluß (…)

Jean Georges Butz meurt le 11 janvier 1713 à l’âge de trente ans.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1728 f° 167 n° 1044)
Anno 1713. Mitwoch den 11. Januarÿ ist gestorben und Freÿtags darauf nach st. Galli begraben worden, nach gehaltener leichpred. in der Pred. Kirche M. Joh: Georg butz b. vnd Küffer allhier ætat. 30. jahr [unterzeichnet] Johann Philibs wagner als schwager, Johann friedirich butz alß bruder (i 168)

Sa veuve sollicite auprès des Quinze une réduction des droits (taille) à payer dans la faillite de son défunt mari. Les préposés rapportent que le bureau de la Taille refuse de délivrer quittance à la veuve qui souhaite se remarier. Les Quinze réduisent de moitié la somme à régler.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
(f° 170-v) Sambstags den 23. Junÿ 1714
Saltzm. noîe Johann Georg Butzen deß geweßenen Kauffhauß Kieffers wittib Anna Catharina principalin hat von ihres Manns außständigen Stallgelt beÿm falliment 20 fl. Zu bezahlen vbernohmen, wann aber lauth Stallscheins 22 lb. 15 ß 2 d ihr abgefordert werden, vnd ihr Mann vor 2 jahren gestorben, vnd Sie in vorigen Wittwenstand die Sie noch nicht mittel gehabt nur 1 lb bezahlt, alß bittet vmb moderation Erk. ahne die Obere Stall herren gewießen.

(f° 195) Sambstags den 22. Julÿ 1714. – Johann Georg Butzen Wittib und Erben pt° Stallgebühr
Iidem [Obere Stall herren] laßen durch Herrn Secretarium Friden referire, daß Johann Georg Butzen deß geweßenen Kauffhauß Kieffers Verlaßenschafft der Statt Stall annoch 23 lb 15 ß 2 d schuldig weren deren bezahlung man ahne die hinderbliebene Wittib namen Anna Catharina geborne Sengerin gefordert und derselben, alß die anderwerths Zu heürathen willens kleinen schein geben wollen ehe vnd bevor Sie die Extantzen bezahlt, worauff hien dieselbe suupplicando eingekommen vnd gebetten diese forderung vmb ein erklocklichen Zu moderiren vnd alß man Sie ferner gehört habe Sie beditten, daß Sie beÿ der Inventation 20 fl. Zu bezahlen über nohmen hette, weilen der Mann wenig hinderlaßen Sie nicht wißen könte, worinn ihr vermögen eigentlich stünde, es konte nicht groß sein, weilen Sie nach absterben ihres ersten Manns Wolffgang Philipp Fimbels mehr nicht alß 1 lb 10 ß Stallgelt geben hette, vnd seithero habe das gelth* noch abgenohmen, auff seith der Hh. Deputirten stelle man dahin ob man gethane forderung auff die helffte moderinen wolle. Erk. beliebt.

Anne Catherine (Zengler) se remarie en 1714 avec l’aubergiste Jean Wittmann.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 262-v, n° 1132) Catharina
1714. Mittwoch den 15. Aug. Seind nach 2. mähl. Proclamation ehl. copulirt worden Herr Johann Wittmann, der Gastgeber vnd burger allhier v. wittwer und Fr. Anna Catharina weÿl. Johann Georg Butzen gewesenen burgers vnd kaufhauß Kieffers hinderlaßene wittib [unterzeichnet] Johannes Wittman als hochzeiter, Anna Chatharina butz all hochzeiterin (i 262)

Les créanciers de Jean Georges Butz vendent le sixième de la maison à Georges Guillaume Butz.

1714 (25.9.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 691
(130) Erschienen hr Philipp von Zabern und hr Niclaus Mannberger bede E.E. Kleinen Raths beÿsitzer auß deßen mittel zu weÿl. Joh: Georg Butz Kiefers credit geschäfft deputiret
in gegensein Georg Willhelm Butz Kiefers
denjenigen 6.t theil ahn einer behaußung höfflein hoffstatt hinterhäußlein mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Straß, einseit neben H. Daniel Würtz anderseit neben Rubi hinten auff Böres den schlosser stoßend, so ihme Butz seel. zuständig geweßen – 130 lb

Georges Guillaume Butz meurt en 1716 en délaissant cinq enfants. La masse propre à la veuve est de 807 livres, celle des héritiers de 585 livres. L’actif de la communauté s’élève à 258 livres et le passif à 735 livres.

1716 (22. 8.bris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 37)
Inventarium undt beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der Wohl Ehrengeachte Und Vorachtbahre H. Georg Wilhelm Butz, gewesener Küeffer Und burger alhier nunmehr seel. nach seinem Donnerstags den 3.ten 7.bris Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren, des abgeleibten seel. hinderlaßener Kinder, und ab intestato Verlaßener Erben, wie auch dero Ehe und Vögte, inventirt, durch die Ehren und Tugendreiche Fraw Mariam Cleophe Butzin gebohrne Brandin die hinderlaßene Wittib, mit beÿstandt des Ehren Vorgeacht: und Wohlachtbahren herrn Ambrosÿ Kornen Küeffers und burgers alhier, Ihres geschwornen Vogts – Actum Straßburg, Donnerstags den 22.ten 8.bris 1716.
Der abgeleibte seelige hat ab intestato Zu Erben verlaßen, 1. Meister Johann Friderich Butzen Schneidern und burgern alhier, vor ein Fünfften Stammteil, welcher auch dießer Inventur Persönlich beÿgewohnt, 2. Fraw Annam Margaretham Wagnerin gebohrne Butzin, Mr Johann Philipp Wagners Küeffers und burgers Zu Flohnheim In der Pfaltz haußfraw, inn deren Nahmen Weilen Sie abweßend, auch ohnverburgertn der Ehrenvest, fürsichtig und weiße Herr Caspar Schmidt, E.E. Kleinen Raths Jetzmahliger beÿsitzer, alß auß wohlermelts Kleinen raths mittel hierzu dießem Geschäfft Insonderheit verordneter Herr Deputatus der Inventur assistirt, vor den Zweiten fünfften Stammtheil, 3. 4. et 5. Johann Daniel, Jungfr. Susanna Salome und Georg Wilhelm Butzen so noch ledigen Stands, Und davon die beed. Söhne Küeffer handwercks, und auff der reÿße und wanderschafft begriffen, dießer dreÿer Geschworner Vogt der Ehren Geacht v: wohlachtbare H. Daniel Schnitzler, hueffschmid und burger alhier, welcher auch benebens vorernandter deßen Curandæ dem Geschäfft Persönlichen abgewartet, vor die 3. übrige fünffte theil. Und also alle fünff des abgeleibten seel. mit weÿland frawen Apolonia gebohrner Meÿerin in erster Ehe ehelich erzeügte Kinder und ab intestato Zu fünff gleiche theilen Verlaßene Erben.

In einer alhie Zu Straßburg In der obern Straßen gelegener behaußung, Ist befunden worden, wie volgt.
Hützenwerckh. Auff der obern bühn, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, Im Hindern Stübel, In dem Hindern Stub Cäm:, In der Cammer C, In der Cammer D, Im vndersten Stübel, In der Soldaten Cammer
Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths, Auß dem über deroselben in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch mich Notarium den 15° 7.bris 1710. gefertigten Inventario hat man zu ergäntzen
Eigenthumb ane einer behaußung. Ein Sechster theil vor ungetheilt von und ane einer Behaußung, hoff, hoffstatt vnd Zugehörd. mit allen übrigen ihren gebäwen, begriffen, weiten, rechten Zugehörden vnd Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg, in der Straßen, beÿ St. Barbaræ Gaßen, eins. neben H. Johann Daniel Wurtzen dem handelßmann anders. Mons. Vannum dem würth Zum Artischock, hinden auff Gregorium Böris den Schloßer stoßend. Daran die übrige fünff Sechste theil eingangs gemelten Butzischen Kindern vnd Erben, alß Mütterlich Guth gehörig. Von der gantzen behaußung gehen Jahrs 3. lb 15 ß gelts Herrn Julio Reichelt Mathem: Prof: alhier alß usufructuario weÿl. frawen Catharinæ Reicheltin gebohrner Kohlöffelin Seiner Zweiten haußfr. seel: Verlaßenschafft, welche dießes Capital Zu außweißung weÿl. H. Johann Conrad Werners des Huffschmidts seel. auff dießer behaußung Insonderheit Zuerfordern gehabter 100. Reichßthaler hergeschoßen, vnd damit in deßen Recht gestand. volgends dem Verstorbenen seel. Crafft dero auffgerichteten Testamenti legirt, doch dergestalten, doch dergestald. daß er solches obgemeltem Herrn Professori Reichelten Ihrem Eheherrn Zeit lebens à 5. pro Ct° verzinßen, nach deßen tod aber Ihme Herrn Butzen seel. oder deßen Erben eigenthümlich. gebühren und auff dießer Behaußung assignirt werden solle, thut 75. lb. d.
Item 10. lb d gelts auff Michaelis Herrn Johann Adam Nageln dem Küeffer vögtlicher weiße, so hiebevor denen Wernerischen Erben verzinßt word. in Capital ablößig mit 250. lb.
Item hat der verstorbenen seel. noch vff dießer behaußung ein Capital zuerfordern, so Ihme gedachte sein Kind., laut des, den 19.ten Julÿ 1708 beÿ E: E: Löbl. Vogteÿgericht auffgerichteten Vertrags schuldig worden, wie daselbsten vmbständlichen Zubefinden 95 lb 2 ß 3 d. Thun vorstehende beschwerden Zusammen 420. lb 2 ß 3 d. Daran dißseitiger Sechstetheil beÿzutrag. 70. lb 4 ½ d. Solchemnach ist vorstehender Antheil von obgeschriebener Behaußung über Abzug nechst pecificirter beschwerden, angeschlagen wie solche den 25° 7.bris 1714 erkaufft worden pro 130. lb. Vnd besagt über dießen erkaufften Sechstentheil ein teutsch Perg : Kauffbrieff, in allhießig. Cancelleÿ Contractstuben gefertigt, datirt den 25° 7.bris 1714. inhaltend welcher gestalten dießer Sechstetheil von weÿl. Johann Georg Butzen des geweßenen Kauffhauß Küffers Creditoren erhandelt word.
Series rubricarum Erstlich der Wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 61, Sa. des silbers 17, Sa. der Guldenen Ring 36, Sa. der Pfenningzinß hauptgüther 231, Sa. der Schuld 50, Sa. der Ergäntzung 410, Summa summarum 807 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 110, Sa. Holtzes, Reiff undt bandt etc. Zum Küeffer Handwerck gehörig 36, Sa. des Silbers 12, Sa. der Guldenen Ring 8, Sa. des Pfenningzinß hauptguths 30, Sa. der Schulden 156, Sa. d. Ergäntzung 280, Summa summarum 635 lb – Sa. der Schulden 50 lb, Nach solchem abzug 585 lb
Das Theilbahr Guth, Sa. des Haußraths 33, Sa. der leeren Vaß 13, Sa. des holtzes, Reiff und Bandt etc. 64, Sa. des Silbers 1, Sa. des Eigenthumbs ane einer behaußung 130, Sa. d. Schuld. 15, Summa summarum 258 lb – Sa. der Schulden 735 lb
Conclusio finalis Inventarÿ dem Stall tax nach 1194. lb
Bericht, Wegen der behaußung In der Straßen so des Verstorbenen seel: Kindern und Erben maß Mütterlich Guth gehörig, Sie aber dem Vatter seel. Zeit lebene Zu bewohnen In besitz gelß. und nunmehr denenselben eigenthümlich heimgefallen (…)
Wÿdembs Verfangenschaft. Es hat Herr Julius Reichelt Professor Mathem: alhier von weÿland Frauen Catharina Kohlöffelin seiner zweiten haußfrauen seel. noch ad dies vitæ Zugenießen so vff vorernandten behaußung In der Stras versichert stehet, vnd demselben Jährlich à. 5. pro Cento verzinßt würd.
Eheberedungs Copeÿ (…) So beschehen den 27. Junÿ Im Jahr des Herrn alß mann Zahlte 1710

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 2 400 florins. Sa fille Anne Madeleine, femme de Jean Philippe Wagner tonnelier à Flonheim, doit en outre régler le droit de détraction.
1716, Livres de la Taille (VII 1175) f° 208
(Kieffer, F. N° 1792) Weÿl. Geörg Wilhelm Butzen geweßenen Kieffer und burgers alhier Verlassenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol. 95, 1194. lb, die machen 2400. fl, Verstallte 2100. fl., Zu wenig 300. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechß Jahr in duplo a 18 ß th. 5 lb 8 ß
Und auff Vier Jahr in simplo à 9 ß th. 1 lb 16 ß
Extat kein Stallg.
Gebott, 1 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 7 ß 6 s
Summa 8 lb 12 ß 10 d
Abzug. Anna Magdalena geb. Butzin Johann Philipp Wagners Kieffers Zu Flohnheim in der Pfaltz Ehel. Haußfrau soll von angefallenem Vätter: und Mütterl. Erbe der 39. lb. 14. ß 2. d. den Abzug erlegen mit 2. lb
dt. omnia d. 11° Jan. 1718.

Marie Cléophée Braun meurt en 1726 dans une maison rue des Frères en délaissant pour héritières testamentaires ses deux sœurs.

Les enfants de Georges Guillaume Butz vendent la maison au marchand épicier Jean Frédéric Feschott et à sa femme Marie Salomé Saltzmann moyennant 975 livres

1722 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 17-v
H. Daniel Schnitzler huffschmidt als Vogt weÿl. Georg Wilhelm Butzen gewesten Kieffers dreÿ Kinder nahmens Daniel, Georges Wilhelm und Susanna Salome der Butzen, ferner Johann Friedrich Butz Schneider, So dann erstgem. Schnitzler und Butz im nahmen Margaretha Butzin Peter Wagners des kieffers zu Mannweiler wohnhaft ehefrauen
in gegensein H. Johann Friedrich Feschot Specierers und Fr. Mariæ Salome geb. Saltzmännin
Eine behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten /:auch der servitute eines aus dem würtzischen hauß geleiteten Nachs:/ allhier ahne der Straß, einseit neben Daniel würtzen dem handelsmann anderseit neben Johann Friedrich Dürrbach dem Kupfferschmdt, hinten auff Hieronymi Berus des Schloßers seel. Wittib und Erben – um 975 pfund

Jean Frédéric Feschott, originaire de Montbéliard, fait dresser un état de fortune pour devenir bourgeois
1709 (27.4.), Not. Goldtbach (6 E 41, 229) n° 46
Summarische designation der Jenigen Nahrung, so herrn Johann Fridrich Feschotte, dem ledigen Handelßmann Von Mümpelgart gebürdig, Eigenthümlichen Zuständig
Sa. haußraths 50
Item bekandte derselbe handtreulichen, Welches auch herr Daniel Bernhardt, wohlbestellter dreÿer deß alhießigen vhmgeltes bezeiget, daß ihne sein herr Vatter ein weitmehrers als er hierzu nötig, theils in wahren, theils in baarem geltt überschicken wird, damit er die hadlung anfangen kan.
Actum Straßburg den 27. Apr. 1709.

Jean Frédéric Feschott achète le droit de bourgeoisie le 13 mai 1709.
1709, 3° Livre de bourgeoisie p. 1273
Joh: Friderich Feschotte derspecirer V. Mümpelgard, erkaufft das burgerrecht p. 6. gold fl. 6 ß wird Zum Spiegel dienen, Jur. d. 13. May 1709.

Tributaire au Miroir, Jean Frédéric Feschott cotise à la tribu des Tonneliers pour vendre du vinaigre
1710, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 91) Dienstags den 11.ten february Anno 1710 – H Johann Friderich Feschott der Handelsmann Empfieng das Zunfftrecht als Zudiener mit gelt wegen deß Eßigschancks gegen 2 lb 10 ß d gebühr vnd pro Zunfftschreiber und bittel 2 ß 6 d.

Fils du marchand Georges Pierre Feschotte, Jean Frédéric Feschotte épouse en 1710 Marie Salomé Saltzmann, fille de l’avocat Jean Raoul Saltzmann : contrat de mariage, célébration
1710 (10.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 70)
Eheberedung – der Wohl Ehrenveste vnd vorachtbahre Herr Johann Friderich Feschotte, der ledige Handelsmann, des Wohl Ehrenvesten, Hochachtbahre, und Wohlweiße Georg Peter Feschotte, Handelsmanns und burgers Zu Mumpelgart, auch beÿ löblicher Evangelischer Gemeinde alda wohlverdienten Eltister, Ehelicher Sohn, einen besonderen Ehelichen willen, lieb und affection
Zu der hoch Ehren und Viel Tugendreichen Jungfrawen Mariæ Salome Saltzmännin, des Wohl Edel vesten und Hochgelehrte, Herrn Johann Rudolph Saltzmanns, J. U. Ddi und E. E. großen Raths wohlverdienten Procuratoris et Advocati ordinarii Ehelich erzeugter Jungfrauen dochter gewonnen
Beschehen und verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg Dienstags den 10. Junii 1710.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 214-v n° 946)
1710. Mittwoch den 25. Junÿ Seind nach 2.mähl. Proclamation ehl. copulirt worden H. Joh: Friedrich Feschott der ledige Handelsmann H Peter Feschott burgers und Handelsmanns auch Kirchenpfl. Zu Mumpelgart ehl. Sohn, und J. Maria Salome, H. Joh: Rudolph Saltzmann U. J. Ddt und E. E. großen raths Procurat. und Advocati ehl. dochter [unterzeichnet] Johann Friderich Feschott als hochzeiter, Maria Salome Saltzmännin als hochzeiterin (i 214)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue près de la rue de la Lanterne. Ceux du mari s’élèvent à 413 livres, ceux de la femme à 576 livres. L’acte porte une date antérieure au contrat de mariage.
1710 (28.5.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 22)
Inventarium über Johann Friderich Feschotte Handelßmanns und Frauen Mariæ Salome gebohrner Saltzmännin, beeder Eheleuthe vnd burgere zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1710. (…) Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung alß ein unverändert guth in den Ehestand Zugebracht – So beschehen in Straßburg, den 28. Maÿ 1710.
In einer alhie Zu Straßburg ane der obern Straßen Am Lucernen gäßel gelegener Behaußung so beede Eheleüthe lehnungs weiße bewohnen, ist befunden worden wie volgt
(f° 12) Series Rubricarum . Des Ehemanns unveränderte Nahr. Sa. haußraths 106, Sa. wahren zun Specereÿhandel gehörig 250, Sa. Silbers 23, Sa. guldener Ring 34, Summa summarum 413 lb
Der Frawen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 144, Sa. Silbers 56, Sa. Guldenen Ring 115, Sa. der baarschafft 260, Summa summarum 576 lb

Jean Frédéric Feschott meurt en 1733 en délaissant ses frères et sœurs pour uniques héritiers. Les experts estiment la maison à 1 100 livres. La masse propre à la veuve est de 2 263 livres, celle propre aux héritiers de 502 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 873 livres, le passif à 4 453 livres.

1733 (16. 9.br), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 47) n° 416
Inventarium über Weÿl. des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Friderich Feschotts, geweßenen vornehmen Burgers und Handelsmanns allher nun mehr seel. Verlaßenschafft Auffgerichtet Anno 1733. – Nach deme derselbe den 30. Augusti dießes jetztlaufenden 1733.ten Jahrs Von dem lieben Gott aus dießer welt seelig abgefordert worden, Zeitlichen hinder sich Verlaßen (…) durch die Viel Ehren und tugendgezierte Frau Mariam Salome Feschottin gebohrne Saltzmännin, deß defuncti geweßene frau Eheliebste und nun malige Wittib wie auch Mariam Salome Schnitzlzein die dienstmagd im hauß (…) geäugt und gezeigt – So beschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 16. 9.br. et seq. anno 1733.
Der seelig Verstorbene herr Feschott hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie folgt 1. H. David Feschott, den webern und Burgern Zu Mumpelgard, deßelben eheleiblichen brudern, welcher seine stelle hiebeÿ selbten vertretten, 2. Frau Mariam Magdalenam Rosselln gebohrne Feschottin, H Peter Rossell, Metzgers v. Burgers Zu gedachtem Mumpelgard ehegattin, deßen eheleibl. Schwester, in deren Nahmen Jgf. Anna Catharina Roßell deroselben leedig. bereits majorenne tochter Zugegen ware, 3. Frau Catharinam Elisabetham Reyau geb. Feschottin H. Leopold Friderich Reyau, Ferbers und burgers Zu ermeltem Mumpelgard ehewürthin, in deren Nahmen erstgedachter ihr Ehevogt dem geschäft in Persohn beÿgewoht. Zu Welcher dreÿen Frembden allhier ohnverburgerten Erben Nahmen hiebeÿ Ferner Persönlich erschienen den wohl Ehrenvest und Großachtbahre Herr Ernst Friderich Mollinger Vornehmer Banquier und E: E: großen Raths alten auch E. E. Kleinen raths jetzmahliger wohlverordneter Assessor als aus wohl Ermelten Kleinen raths Mittel Krafft Extractus Memorialis Vom 10. Novembris 1733. hierzu inspecie abgeordneter Herr.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gegen der Schuhmacher gaß hinüber Gelegenen, in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck (…) In der untern Stub, In dem Keller, In dem Gewölb
(f° 11) Antheil ane einer Bibliothec (W.) Die von der Frau Wittib Hern Vatters längst seel. hinderlaßenen Bibliothec, auff absterben deroselben frauen Mutter, nun auch seel. annoch vorhanden geweßene Bücher (…) darzu Kommet der Vierdte theil welchen die Fr. Wittib Von weÿl. Jgfr. Annæ Margarethæ Saltzmännin Ihrer ledigen standts verstorbenen Schwester seel. fünfften theil ererbt hat
(f° 17-v) Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Ein Vorder und hinderhauß, höfflin und hoffstatt gelegen allhier Zu Straßburg ane der langen Straßn, ohnfern St. Barbaræ Gaßen, einseith neben Friderich Dürbach, dem Kupfferschmid Zum theil undtheils neben Joh: Philipp Börißen, dem Schloßer, anderseith neben weÿl. H. Joh: Philipp Leiterspergers gewesenen einigen Söhnlein und Erben, Vornen auff die straß gegen der Schumachergaß hinüber auß sehend und hinden theils auff obgemelten Mstr Börißen v. Zum theil auff das Leiterspergische hauß stoßend, so eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftl. Abschatzung vom 17. 9.bris 1733 angeschlagen pro 2200. fl. oder 1100 lb.
Davon gefallen Jährlichen auff den 1.t Januarÿ 8. lb d Zu 4 pro Cento gerechneten Geldzinßes Joh: Friderich Butzen dem Schneider und burgern allhhier et Consorten, wiederlößig im restirenden Kauffschillings Capital mit 200 lb. Ferner reicht man davon Jährl. auff Annunciationis Mariæ et Michaelis und also von halb Jahr Zu halb Jahr 12. lb. macht vor d. gantze Jahr 24. lb s Zu 4. pro Ct° gerechneten Gedzinßes H. Joh: Niclaus Würtzen, dem reformirten Handelsmann allhier, redimibel in hauptgut mit 600 lb. Welche beede auff dem hauß hafftende Capitalia Zusammen antreffen 800 lb Nach deren Abgang Verbleibt ane obigem Abschlag annoch per rest übrig v dißorts außzuwerffen 300. lb.
Dieße Behaußung ist wehrender Ehe Von denen Butzischen Interessenten erkaufft und A° 1722. in allhießiger Cancelleÿ Contractstuben behörig verschriben worden, davon sich aber der Kauffbrieff dißorts nicht befunden. Hiengegen ist Vorhanden ein alter teutscher pergament. Kauffbrieff in allh. C Contractstuben gefert. und mit dero Anhang. Ins. Verw. dat. den 25. Sept. A° 1714. weisend wie Georg Wilhelm Butz der Küeffer allhier einen sechsten theil dißer behaußung ehedeßen Kaufflichen ane sich gebracht, dat. den 25. Sept: A° 1714. Dabeÿ noch 2 alte teutsche pergam: Kauffbrieff in ermelter Contractstuben gefert. v. mit dero anhang. Ins. corrob: davon der eine datirt den 1. febr. A° 1678 und der andere den 11.ten Nov. A° 1650. beede über die völlige Behaußung besagend, mit altem N° 1 notirt v. dabeÿ gelaßen.
Pro Nota. Die Zinnß Von denen beeden auf dem hauß hafftenden Capit. seind und Zwar von denen Butzischen biß den 7. Januarÿ 1733. und Von deren Würtzischen bis Mich. 1733. einschließlichen gerechnet, bezahlet.
(f° 33) Ergäntzung der Frau wittib abgegangenen Unveränderten guth. Vermög Inventarÿ über Ihro der Frauen Wittib und dero Verstorbenenn Eheherrn seeligen einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen durch Herrn Notarium Jacob Christoph Pantrion in A° 1710. gefertiget
(f° 36) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der hinderbliebene, Frau Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 154, Sa. Antheil ane einer Bibiothec 7, Sa. lährer Vaß 7, Sa. Silberg. v. geschm. 203, Sa. gold. Ketten, Ring, Peerl. v. dergl. geschm. 207, Sa. baarschafft 17, Sa. Pfenningzinß hauptguths 76, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung (1997, Abgang 558, verbleibt) 1438, Summa summarum 2263 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 106, Sa. lähren Vaßes 14 ß, Sa. Silbergesch. 40, Sa. Gold. geschmeid 29, Sa. Ergäntzung (494, Abgang 18, Verbleibt) 475, Summa summarum 652 lb – Schulden 150, Nach deren Abgang 502 lb
Endl. wird auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 308, Sa. Schiff und geschirr Zur Specereÿ handlung gehörig 45, Sa. Gewerbs wahren 2021, Sa. Wein, Brandwein v. Vaß 235, Sa. Silbergsch. 45, Sa. gold. Ring 21, Sa. baarschafft 1459, Sa. Eÿgenthbs. ane einer behaußung 300, Sa. Schulden 434, Summa summarum 4873 lb – Schulden 4453, In Compensatione 420 lb
Stall Summa 1941 lb
(f° 42) Copia der Eheberedung (…) Beschehen und verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg Dienstags den 10. Junii 1710.
Copia Codicilli reciproci. 1731. (…) auff Donnerstag den 8. Martÿ Abends zwischen Sechs, Sieben und Acht Uhren, beÿ zweÿe, hellbrenenden liechtern (…) persönlich erschienen der wohl Ehren Veste und Großachtbahr herr Johann Friderich Feschott, vornehmer burger und handelsmann allhier, auch mit und beneben Ihme, die Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria Salome Feschottin gebohrne Saltzmännin, deßelben Frau Eheliebstin (…) Johann Daniel Lang Notarius publicus
Abschatzung d. 17. 9.bris Aô 1733. Auf begehren Weÿ: des Ehren Vesten und vorachtbahren Herrn Johann Friderich Fechotte gewesenen handelsmann seel. hinter laßene fraw Wittib und Erben, ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg in der langen Straß gegen dem bierhauß Zur Ketten über gelegen; eiseits neben H. XIII. Leÿdersperger seel. hinderlaßenen Fr. Wittib anderseits neben Friedrich dirrbach Kupfferschmidt hinden auf Mstr Philipps Beris schloßers stosend, welche behausung, hinder gebäw, Stuben, Kammern, Küchen Esch: Kasten, laden, Contor, gewölbter Keller, höffel, gumpff bronne, und tränckstein sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werck leüthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ Tausend und Zweÿ Hundert gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 700 florins (850 livres) sur un total de 4 300 florins. Les héritiers non bourgeois doivent en outre régler le droit de détraction.
1734, Livres de la Taille (VII 1177) f° 338-v
(Spiegel F. N° 6332) Weÿl. H. Johann Friderich Feschotte gewesenen Handelßmann und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H . Not. Lang.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 256. – 1941. 11. 6. Darzu gelegt die auf den Wahren abgezogene Besserung mit 673. 15. 5., Summa 2615. 6. 11.
Hiengegen werden umb ersuchung des Nachtrags willen abgezogen die außständige nicht genoßene activa thun 434, rest 2181. 6. 4. die machen 4300 fl. Verstallte 2600 fl. Zu wenig 1700. fl.
Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 5 lb 2 ß – 30. 12
Und Vier Jahr in simplo à 2 lb 11 ß – 10. 4.
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 3 ß
Abhandlung – 2 lb 15 ß 6 d – Summa 43. lb 14 ß 5
Weilen die Wahren dem vero pretio und nicht dem Einkauff nach angeschlagen worden, alß haben die Herren dreÿ erkannt daß deßhalben 700 fl. passirt werden sollen, geht also ab 16 lb 16 ß – Rest 26 lb 18 ß 6 d
dt. 9. Aug 1734.
Abzug. Samtliche Erben Von Montbeliard haben Von Finito usufructu anfallenden 410. lb 2 ß 1 s den Abzug zu erlegen mit 41 lb 2 ß
dt 31. Augusti 1737.

Les héritiers Feschott cèdent leurs droits à la veuve, notamment ceux sur la maison

1737 (19.11.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 791-v
weÿl. H. Johann Friedrich Feschott gewesten handelsmann hinterlassenen geschwisterden und hæredes ab intestato David Feschott des leinenwebers und burgers zu Mömpelgard, Maria Magdalena geb. Feschott Peter Rossel gewesten Metzgers allda ohnbevögtigt wittib und dann Catharina Elisabetha geb. Fechott Leopold Friedrich Rayot des färbers daselbst ehefrau und deren ehevogt mandatarius Heinrich Eberlin der Seÿler in ged. Mömpelgard
anfangs benannten H. Fechott hinterlassener Wittib Fr. Mariæ Salome geb. Saltzmännin anjetzo H. Christian Mentzel des handelsmanns eheliebstin als usufructuariæ universalis ad dies vitæ ihres verstorbenen erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft, vor H. Not. Johann Daniel Lang am 8. Martÿ 1731 errichteten Codicillo reciproco §° 3. den lebtägigen wÿdum seiner samtlichen Verlaßenschafft, mit ausnahm des den haußarmen geordeten legats
die proprietatem nudam des sambtlichen von benannten H. Fechott (…) in dem A° 1733 durch H. Not. Lang darüber errichteten Inventario beschriebenen vermögens
und besonders zween dritte theile einer in der langen straß, einseit neben Friedrich Dürrbach dem kupfferschmidts zum theil und theils Johann Philipp Böres dem schloßer, anderseit neben weÿl. S.T. H. Johann Philipp Leitersperger gewesten Fünffzehners Fr. wittib Fr. Maria Salome geb. Leiterspergerin, hinten auff theils ebendieselbe theils ged. Böres, gegen der Schuhmachergaß hinüber gelegen in Vorder und hinder hauß, höffelin und hoffstatt cum appertinentis bestehend, währender Ehe erkaufften behausung – um 750 pfund

La veuve Marie Salomé Saltzmann se remarie en 1737 avec le marchand Chrétien Mentzel : contrat de mariage, célébration. L’épouse stipule que la maison qu’elle compte acquérir des héritiers de son premier mari restera son bien propre quoiqu’il aura été acquis pendant la communauté
Copia der Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvesten und Großachtbaren Herrn Christian Mentzel Wittibern, Vornehmen Burgern und Handelsmann allhier, alß dem Herrn Bräutigamb, ane Einem, So dann der Viel Ehren und hoch tugendgezierten Frauen Mariæ Salome Feschottin, gebohrner Saltzmännin, Weÿland des Wohl Ehren Vest und Großachtbaren Herrn Johann Friderich Feschotts, geweßenen Vornehmen burgers und handelsmanns allhier, nun seeligen hinterlaßener Frau Wittib als der frauen Hochzeiterin, ane dem andern theil
Und demnach Siebendens, die Frau Hochzeiterin Eingangs Wohl Ehren gedachten Herrn Johann Friderich Feschotts Ihres ersten Eherherrn seeligen Verlaßenschafft vermög deroselben mit einander auffgerichteten Codicilli reciproci, lebtägig wÿdumsweise zu genießen berechtiget, wegen solcher Erbschaft aber mit sein Herrn Feschotts seeligen Erben von Mömpelgard sich abzufinden und selbige eigenthümlichen an sich Zu erhandlen gesinnet ist, wie sie dann würcklichen deßhalben mit einander die Tractaten stehen, alß hat Sie die Frau Hochzeiterin, mit Consens und Genehmhaltung des Herrn Bräutigambs, sich hierbeÿ ausdrucklichen vorbehalten, daß was dieselbe durch sothanen mit Ihres erstern Eheherrn seeligen Erben vorhabenden Vergleich ane Nahrung warunter dann auch in Specie die zween drittetheil ane der in die Feschottische theilbare Mass gehörigen Vorder und hinder behaußung, Höfflein und Hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen und Zugehörden, gelegen allhier Zu Straßburg ane der langen Straß, ohnfern St. Barbaræ Gaßen, einseith neben Friderich Dürrbach dem Kupfferschmid Zum theil, und theils neben Joh: Philipp Berußen, dem Schloßer anderseit neben Frauen Fünffzehnerin Leiterpergerin, hinden Zum theil wider auf dieselbe und theils auff gemelten Berußen stoßend, mitbegriffen und Zuverstehen seÿn solle, in Eigenthumbs weiße erlangen wird, Keines Wegs als ein in wärender Mentzerlischen Ehe erkaufftes Guth angesehen, noch Künfftig Vor theilbar geachtet, weniger der Herr Bräutigamb oder die seinige, zween dritte theil daran zu prætendiren berechtiget, sondern viel mehr alles das jenige, waß von gemelter Feschottischer Succession herrühret, mithien auch insonderheit die Zween dritte theil Haußes, alß ein von der frauen Hochzeiterin in die Ehe bringendes oder wehrenden Ehestands von Ihrer Seithen her erlangtes Guth angesehen, einfolglich auff begebenden fall Ihro oder Ihren Erben vor ohnverändert und eigen Zugeschrieben werden, auch gebührig seÿn und verbleiben, hingegen aber auch was sie die Frau Hochzeiterin denen Feschottischen Erben deßhalben heraußgeben und bezahlen wird, auß dem Ihrigen alleine Zuleÿen und von deroselben ohnveränderten Guth sich behörig abziehen Zu laßen, schuldig und verbunden seÿn sollen – Beschehen und verhandelt seind dieße Ding in der königlichen Statt Straßb. auff Donnerstag den 12. Septembris Anno 1737. Johann Daniel Lang, Notarius publicus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 165, n° 622)
1737. Eodem [25. Sept.] sind nach ordentlicher ausruffung ehelich eingesegnet worden H. Christian Mentzel der Ledige handelsmann burger und Wittwer alhier und Frau Maria Salome weÿl. H. Joh: Friderich Feschott deß burgers und Handelsmanns hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Christian Mentzel als Hochzeiter, Maria Salome Feschottin als hoch Zeiterin (i 169)

Fils du teinturier Raoul Mentzel de Sorau en Lusace, Chrétien Mentzel épouse en 1724 Marie Salomé Lochmann, fille du marchand Jean Frédéric Lochmann : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1724, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 465
H Christian Mentzel, ledigen Kauffmanns
und Jungfrauen Mariä Salome Lochmännin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 26 n° 102)
1724. Eod. [Mittw. d. 6. Xbr] Sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. H. Christian Mentzel der ledige Handelsmann von Sorau in Sachsen, weÿl. H. Rudolph Mentzel gewesenen Burgers Kunst v. schönfärbers daselbst nachgel. ehl. Sohn, v. Jgfr. Maria Salome weÿl. H Johann Friderich Lochmanns gewesenen b. v. handelsm nachgel. ehl Tochter [unterzeichnet] Christian Mentzel als Hochzeiter, Maria Salome lochmannin als hochzeiterin (i 29)

Chrétien Mentzel devient bourgeois deux mois après son mariage
1725, 4° Livre de bourgeoisie p. 915
H. Christian Mentzell d. Handelsmann Von Sorau in Nidersachsen Geb. erhalt das burgerrecht Von sein ehefr. Maria Salome Lochmänin weÿl. Geörg Friderich Lochlans gewes: b. undt handelßmann allhier Hinterl. tochter umb die tertz d. alten burgersch. will beÿ E E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur d. 10.t feb 1725.

Marie Salomé Lochmann meurt en octobre 1725. Les biens du mari s’élèvent à 275 livres, ceux de son héritière à 366 livres.
1725 (28. Xbris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 22) n° 724
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und Tugendtreichen Frawen Mariæ Salome Mentzelin gebohrner Lochmännin, des Ehren und vorgeachten herrn Christian Mentzel Kauffmanns und burgers allhier gewester Ehelichen Haußfrawen nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1725. – nach ihrem am 28. 8.bris Jüngsthien ohne Kinder und leibes Erben genommenen tödlichen hientritt, hie Zeitlichen verlaßen, wie solche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der viel Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Salomeæ Justin gebohrner Kürschnerin Herrn Gregorÿ Justen des Handelsmanns und burgers allhier geleibten Ehegattin alß doßorts leiblichen Mutter und Einiger Erbin (…) So beschehen Straßburg den 28. Xbris 1725.
Copia der Eheberedung
Summa summarum des Wittibers ohnverändert Vermögen 275 lb
Summa summarum der Erbin sambtlich ohnveränderter Nahrung 366 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 641. lb
Wÿdums Verfangenschaft. Es hatt H. Sebastian Gerlach der Kauffmann und burger alhier weÿland Frauen Evæ Barbaræ Gerlachin gebohrne Lochmännin seiner verstorbenen Frawen seel. sambtliche Verlaßenschafft Zu einem lebtägigen Genuß, an welcher verlaßenschafft die abgeleibte Frau Mentzelin seel. als instituirte mit Erbin ein vierten Stammtheÿl participirt (…)

Chrétien Mentzel passe un accord avec sa belle-mère Marie Salomé Kürschner et son beau-père Grégoire Just avec lequel il est associé.
1726 (27.7.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 12) n° 412 (378)
Zuwißen seÿe hiemit, demnach auf tödliches ableiben weÿlandt frauen Mariæ Salome Mentzelin gebohrene Lochmännin H. Christian Mentzel handelßmanns Undt Burgers allhier geweßener Ehefrauen seel. so in absteigender linie ohne Kinder und Notherben verstorben, sich Zwischen Ihme H. Mentzeln alß Wittibern Vnd Frauen Mariæ Salomeæ Justin gebohrner Kürschnerin, H. Gregori Justen auch Handelsmanns und burgers allhier Eheliebstin Vnd der Verstorbenen Fr. Mentzelin Eheleiblichen Mutter vnd iin linea ascendenti eintzig ab intestato hinterlaßener Erbin pt° Ihr Fr. Mentzelin Verlaßenschafft vnd den Zwischen Ihme H Justen vnd H Mentzeln der handlung halber gehabten Societæt, einiger Zwietracht, streit und differentien erhoben, so Ist zu abstellung derselben wie auch Zu Erhaltung Christliebender friedt und Einigkeit, wie auch Zu Erhaltung fernerer freundschafft, vnd Zwahr vf seithero der Fr. Justin bloß vnd allein auß sonderbahrer gegen Ihme H Mentzeln tragend: vnd habender incination halben (…)

Chrétien Mentzel obtient le droit de revendeur à la tribu de la Mauresse
1737 (23. 8.br), Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 332-v) Mittwochs den 23. Octobris 1737 – Neuer Großer Gremp
H. Christian Mäntzel, der handelsmann, welcher weÿland H. Johann Friderich Fechotte geweßenen handelsmanns Wittib geheÿrathet, bittet um das Große Grempen Recht. Erkand, gegen Erlag der Gebühr willfahrt. Zahlte Vor den Pfenningthurn 2 lb, Vor der Zunfft gebühr 2 lb 10 ß, Und Einschreib geld 2 ß

Il cotise à la tribu des Tonneliers pour pouvoir vendre du vinaigre
1737, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 380) Dienstags den 3. 10.bris 1737 – Hr Christian Mentzer der Specierer erhalt den Eßig schanck und Zahlt 2 lb 6 s prot. 2 ß 6 d.

Chrétien Mentzel meurt en 1747 en délaissant des héritiers collatéraux en Lusace et en Silésie. Les experts estiment la maison Grand rue à 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 3 515 livres, celle des héritiers de 2 457 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 580 livres et le passif à 4 914 livres.

1748 (16.2.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 480) n° 386
Inventarium über Weÿl. des Wohl Edlen Wohl Ehren Vest v. groß Achtbahren Herrn Christian Mentzels gewes. vornehm. handelsmanns v. b. allh. Zu Straßburg nunmehr seel. Verlt. auffgerichtet Anno 1748. – nach seinem d. 11.t Decembris des nächst hingelegten 1747. Jahrs geschehenem tödl. Ableiben hie Zeitl. Verlaßen, Welche Verlt. auf freundliches Ansuchen v begehr d. ane hernach folgendem fol° benandter Erben, inventirt vnd ersucht dh. die Wohl Edle Viel Ehren und tugendbegabte Frau Mariam Salome Mentzelin geb. Saltzmännn die hinterbliebene frau Wittib beÿstandl. des Wohl Edel vnd Wohlgelehrt vnd Hochachtbahren Herrn M. Joh: Jac. Dieterlin berühmten Organisten v. vornehmen burg: alhier dero herren Schwagers – So geschehen v. angefangen in d. Königl. St. Strb: auff Montag d. 26.ten des Monaths febr: Anno 1748.
Der Verstorbene Herr seel. Hat ab intestato Zu Erben Verlas. als Volgt 1° T. Fr. Annam Elisabetham Stahnin, geb. Mentzelin, weÿl. T. H. N. Stahn geweßenen Handelsmanns Zu Goldberg in Schlesien nachgelas. fr Wittib, 2° Jgfr. Mariam Eleonoram Mentzel Wohnhaft Zu Sorau in der Oberlaußnitz, 3° T. H. Siegmund Mentzeln den Schwartz und Schönfärber v. b. zu ged. Sorau, Alle dreÿ des Verstorbenen H. seel. Geschwister v. Erben, Zu dreÿ gleichen Antheilern, in dero Nahmen Von Seithen E. E. Kl. Raths allh. S. T. H. Joh: Carl Spielmann J. U. Ltus v. E. E. großen Raths Alter v. jetzmahliger Wohlverdienter beÿsitzer E. E. Kl. Raths zu diesem Geschäfft abgeordnet wor. Wie dann auch vorgedachte Jgf. Maria Eleonora Mentzelin, in ihrem beÿ dem Concept befindlichen Schreiben de dato d. 22.ten Januarÿ jüngstin declariret, daß obwohlen sie und ihre Geschwistrige dem Geschäfft nicht in Persohn abwarten können, sie jedannoch mit allem dem was in dem geschäfft vorgenommen wird, vollkommen zufrieden seÿen

In einer allhier Zu Straßburg ane der lang. Straß ohnfern St. Barbarä Gaß geleg. hiehero eigenthümlich gehörigen behaus. ist befund. worden, als folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, In dem gang vor der Magd Cammer, In der Cammer Lit. A., In der Magd Cemmer, Im Cammerlein Lit. B., In dem Meel Cämmerl., In der Waaren Cammer, In der obern Cammer mit den fenst. auff die gaß sehend,, In dem Hintern Stüblein, Vor vorgemeltem Stübel, In der obern vordern Stub, In dem Nebens Cämmerlein, In der untern Stub, In der Kuchen
(f° 22) Eigenthum ane Häußern (W.) Ein Vorder: v. hinterhauß, höffl. v. hoffstatt mit allen übrigen deroselben Begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten Zugleich auch mit der servitute eines aus dem Leiterspergischen Hauß geleiteten Nachs geleg. allh. Zu Straßb. ane d. Langen Straas geleg d. Schuhmacher Gaß hinüber, einseit neben Mr. Friderich Dürbech dem Kupfferschmidt zum theil v. theils neben Joh: Philipp Boris dem Schloßer, andersit neben Hn Dumesnil, dem Königl. Commissario, vornen auff die Straas, v. hinten theils auff vorgemelten Mr Boris v. Zum theil auff gedachten Hn Dumesnil stoßend, so leedig v. eigen, v. dh. (die Werckmeistere) nach Inhalt des beÿ dem Concept befindl. Abschatzungs Zeduls d.d. d. 14.en febr. jüngst hiehero angeschlagen word. pro 3000 fl. oder 1500. Diese Behaußung hat Weÿl. H. Joh: Friedr. Feschotte, gewesener Handelsmann v. b. allhier d. Fr: Wittib Erster Eheliebster seel. beneben ihro in dero Ehe Von denen Butzischen Interessenten an sich erkaufft v. A° 1722 in alllhies. C C stb. behörig verschrieben laßen, wie d. darüber errichtete, mit gemeiner Statt anhangendem Cantzleÿ Contr. Ins. Verwahrte perg. Kbr. d d. d. 15. Jan: A° 1722 mit mehrerem außweißet. Wie aber sein Hn Feschotte seel. Erben ihre an dieser Behauß. Von ihrem H. Brud. v. resp° oncle ererbte Zwo Tertzen zusamt deßen übrigen Verlaßensch. dh. alle v. jede Rubr: mit vorbehalt seiner Kleidung (…) d. nunmahligen Fr. Wittib als nutznießerin der gantzen Mass eigenthüml. cedirt b. überlaßen mithin d. Eigenthum mit dem Wÿdum vereiniget haben, Weißet 1. teut. perg. Kbr. in allhies. C. C. stb. gef. m. d°selb. anh. C. C. Ins. Verw. dat: d. 19. 9.br. A° 1737. worin unter anderen auch versehen, daß (…) Darbeÿ noch 3. a. teut. perg. Kbr. in ermelter C. C. stb. gef. v. mit d°sell. anh. Ins. verwahret dat. d. 25. 7.br. A° 1714. d. 1.t febr: A° 1678 v 11. 9.br. A° 1650. alle Zum theil mit altem v: theils mit neuerem N° 1 bemerckt
(T.) Eine Behaus.ane d. Westhaußer od. Schuhmacher Gaßen (…)
Copia der Eheberedung (…) Beschehen und verhandelt seind dieße Ding in der königlichen Statt Straßb. auff Donnerstag den 12. Septembris Anno 1737. Johann Daniel Lang, Notarius publicus
Ergäntzung der Frau Wittib währender Ehe abgegangenen ohnveränderten guths, Vermög Inv. über beeder nunmehr dh. d. Zeitl. Tod getrenner Ehepers. Einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrunge, besagend durch Herr Joh: Daniel Lang Not. publ. & pract A° 1738 gefertiget
Series rubricarum hujus Inv. Der Frau Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 313, Sa. Schiff und geschirrs zum Specereÿ handel 25, Sa. Silbergeß. 131, Sa. Gold. Ketten, Ring, Perl. v. d. gl. Geschmeids 222, Sa. Pfenningzinß hauptguths 76, Sa. Eigenthums ane einer behaus. 1500, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzung (2341, Abgang 571, Nach deren Abzug) 1770, Summa summarum 4115 lb – Schulden 600, Nach solchem abzug 3515 lb
Dießemnach wird auch der Erben Eigenthümliche Nahrung beschrieben, Sa. Haußraths 145, Sa. Schiff und geschirr Zum Specereÿ handel gehörig 6, Sa. Silber geschirrs 23, Sa. Gold. Ketten, ring v. dergl. geschmeid 33, Sa. der Ergäntzung (2324, Abgang 2, verbleibt) 2322, Summa summarum 2534 lb – Schulden 75, Compensando 2457 lb
Endlichen Wird auch das gemein verändert v. Theilb. Guth beschrieben, Sa. haußraths 105, Sa. Wein vnd lähre faß 119, Sa. Schiff und geschirr Zum Specereÿ handel 8, Sa. Gewerbs Wahren 2396, Sa. Silbergeschirrs 4, Sa. Baarschafft 2086, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 700, Sa. Schulden 161, Summa summarum 5580 lb – Schulden 4914, In Vergleichung 666 lb
Beschluß und Verstallungs summa 6193 lb
Abschatzung Von 14.ten Februarÿ 1748. Auff begehren Weÿland deß Ehrengeachten Herrn Christian Mentzels deß geweßenen Specierers und burgers allhier hinterlaßenen fraw Wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß gelegen Einseith neben herrn Dumini dem Commissaire anderseit neben N. Dirrbach dem Kupfferschmid, Hinden auff N. Böris den Schloßer stosend, unten im Eingang befindet sich ein laden rechter hand, und hinden ein Klein Stüblein und Schmahl Haußöhren Auff dem Ersten stock befindet sich ein Stub haußöhren und Kämmerlein, auff dem Andern stock Zwo Kammeren und ein Schmahl haußöhren, auff dem dritten stock Zwo dach Kammeren mit dielen unterschlagen so besetzt, der obere boden auff dem gebälck ist auch besetzt, darauff ein alter dachstuhl mit hohl und breit Ziegeln gedeckt, das hinter gebäuwlein hat nur ein halbes dach darunter ein Stüblein ein Kämmerlein, Küchen, höfflein und bronnen sambt einem gewölbten Keller, sambt aller gerechtigkeit, Solches ist durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe in der besichtigung befunden und dem Jetzigen Preiß nach angeschlagen worden Vor und umb Dreÿ Tausend Gulden
Der Andere begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Schuemacher gaßen (…)
[unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer stathuhner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters

Marie Salomé Saltzmann meurt en 1766 en délaissant des héritiers testamentaires. L’actif de la succession s’élève à 4 109 livres, le passif à 323 livres.
1766 (24.4.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 580) n° 85 (signé Nenter)
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Mariä Salome gebohrner Saltzmännin, längst weiland H. Christian Mentzel, des gewesenen Handelsmanns und Burgers allhier Zu Straßburg seel. hinterbliebene Wittib, nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1766. – nach ihrem den 8.ten Mertz dieses lauffenden 1766.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, Zurückgelaßen (…) sowohl durch sie die Vier Erben als auch an des ersten Ehegattin Frau Catharinam Barbaram gebohrne Bühlerin und Christinam Albrechtin von Saarbrücken, die dienstmagd (…) geäugt und gezeigt
So geschehen alhier in der Königl. Stadt Straßburg und einer daselbst an dem Roßmarckt gelegenen S. T. H. Professore Johann Michael Lorentz uxorio nomine zuständigen und von der Verstorbenen seel. lehnungs weiß Zum theÿl ingehabten behausung auf Donnerstag den 24. Aprilis im Jahr 1786.
Die Verstorbene seelige hat zu ihren Erben hinterlassen wie folgt 1. H Johann Jacob Dieterlin, den Handelsmann, Taback Fabricant und burger alhier, 2. Jgfr. Susannam Magdalenam Dieterlinin, 3. Jgfr. Dorotheaù Dieterlinin Sodann 4. Jgfr. Sabinam Mariam Dieterlinin, alle vier weiland H Mag: Johann Jacob Dieterlin, des gewesenen hiesigen burgers und Organisten, mit auch weiland Fr. Anna Maria gebohrner Saltzmännin, seiner Ehegattin seel. ehelich erzeugt und nach tod verlaßene, dermalen großjährige Kinder, als der Verstorbenen Fr. Mentzelin seel. per Testamentum, davon gleich hernach Copia eingetragen, zu gleichlingen portionen und Antheilen eingesetz und hinderlaßene Erben, welche allesamt und die 3 Jungfrauen unter assistentz H Andreas Huth, des Handelsmanns und burgers alhier, dieser Inventation persönlich beÿgewohnt.
Copia der Verstorbenen seel. auffgerichteter Letzten Willens verordnungen. Copia Præsentationis Testamenti solennis in Scriptis – Zuwissen seÿe hiermit, daß die wohl Edle, Viel Ehren und tugendbegabte Frau Maria Salome Mentzelin geborne Saltzmännin, weiland des wohl Ehrenvest und Großachtbahren Hn Christian Mentzel, gewesenen Specereÿhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg seeligen hinterbliebene Frau Wittib (…) Zu sichin dren Wohnbehaußung an den Roßmarckt gelegen, beruffen laßen, welche wie auf unser Erscheinen in deren Wohnstube auf dem ersten Stock mit denen Fenstern auf gedachten Markt außsehend, aufrechten gesunden, gehend: und stehenden Leibs (…) Sambstags den 19. Februarii Anno 1763, Johann Richard Häring Notarius. – Copia Testamenti clausi
Series rubricarum hujus Inventarii, Sa. haußraths 145, Sa. Silbergeschirrs 43, Sa. goldenen Ketten, Ring und dergleichen Geschmeids 67, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1906, Sa. Schulden 1946, Summa summarum 4109 lb – Schulden 323, Nach deren Abzug 3786 lb – Stall Summ 3786 lb
Pfenningzinß hauptgüter so zweiffelhafft 289, Zweiffelhaffte Schulden 100

1766, Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 941-1, répertoire)
1766, Mentzelin, Fr. Maria Salome geb. Saltzmännin weÿl. Christian Mentzel des gew. handelsmanns und burgers alhier verlassenschafft, (de dato 24. apr. 1766), Pro Nota befindet sich in H. Not. Philipp Jacob Greis Schreibstub

Vente de meubles dépendant de la succession
1766 (2.6.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 580) n° 87
Verkauff: und Erlöß: wie auch Erb: und Abtheil: Erörter: und Außlüfferungs Register über Weiland der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Mariä Salome Mentzelin geborner Saltzmännin, längst weiland Herrn Christian Mentzel, des gewesenn Handelsmanns und Burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterbliebener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1766

Marie Salomé Saltzmann veuve de Chrétien Mentzel vend la maison au marchand de tabac Christophe Koblentz moyennant 3 000 livres

1748 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 426
Fr. Maria Salome geb. Saltzmännin weÿl. H. Christian Mentzel des handelsmanns wittib mit beÿstand ihres schwagers H. M. Johann Jacob Dieterlin des organisten
in gegensein Johann Christoph Koblentz des tabachändlers
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der obern straß, einseit neben H. Dumesnil directeur des vivres, anderseit neben Johann Friedrich Dürrbach dem kupfferschmidt, hinten auff Johann Philipp Böriß den schloßer – als ein theils am 15. Januarÿ 1722 erkaufftes guth, theils von ihrem ersten Ehemann weÿl. H. Johann Friedrich Fechot des handelsmanns erben durch einen vergleich erhaltenes guth – 3000 pfund

Le revendeur Christophe Koblentz devient tributaire à la Mauresse (le livre de bourgeoisie manque pour cette année)
1738, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 379) Donnerstags den 24.t Julÿ Anno 1738 – Neuer Leibzünfftiger Gremp
Christoph Coblentz der ledige bediente Von Eßlingen gebürtig, producirt Cantzleÿ Pfenningthurn und Stallschein dedato 21. Julÿ 1738. bittet um das Zunfft und Grempen Recht. Erkand gegen Erlag der Gebühr willfahrt. Erlegte Vor den Pfenningthurn 1 lb, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Grempen recht1 lb 10 ß, Vor die Feur Eÿmerer 3 ß 12 d Und Einschrieb Gebühr 2 ß (zusammen) 2 lb 4 d.

Christophe Koblentz résigne son droit de revendeur
(f° 417) Mittwochs den 25.t Februarÿ Anno 1739 – Resignans
Christoph Coblentz, der dißorts Leibzünfftige Burger und Gremp bittet um erlaßung seines gehabten Zunfft: und Grempen rechts daher schuldig mit gebettener Dimission willfahrt.

Christophe Koblentz s’adresse aux Quinze après que la tribu du Miroir l’a condamné pour exercer le métier de marchand qu’il n’a pas appris. Christophe Koblentz fournit la liste des marchandises qu’il vend (tabac à fumer et à priser, pommades, poudre à cheveux, résilles, savonnettes, eau de Hongrie, cire à cacheter, plumes d’écriture, encre et papier, liqueurs, cartes à jouer et articles de quincaillerie). La commission estime que le pétitionnaire pourra être autorisé à poursuivre son commerce s’il renonce à son droit de revendeur et s’inscrit à la tribu du Miroir. Les Quinze adoptent la proposition et délivrent une expédition de leur sentence.
1739, Protocole des Quinze (2 R 148)
Christoph Koblentz Ca. E. E. Zunfft zum Spiegel
(p. 38) Sambstag d. 17. Januarÿ 1739. – Moss. Nôe Christoph Koblentz burgers allhier Ca. E. E. Zunfft zum Spiegel H. Zunfftmeister prod. E. E. Zunfft Gerichts bescheidt wovon Impl. an Mghh: appellirt, Bitt Deput. et facta relatione gn. Zu erlauben daß der Implorant einen kleinen Krahm führen dorfe. Christ: bitt auch Deput. Erk. Ober Kauffhauß Herren.

(p. 44) Sambstag d. 24. Jan. 1739. – Christoph Koblentz Ca. E. E. Zunfft zum Spiegel
Obere Kauffhauß Herren laße, per me proponiren daß Christoph Koblentz der allhiesige burger den 15. hujus beÿ E. E. Zunfft Gericht zum Spiegel vorgestellt undt angeklagt Worden, daß er, alß Welcher beÿ E E. Zunfft Zur Mörin Leibzünfftig, ohne Erlaubnus poudre pomade, vngarisch Waßer und dergleichen waaren verkauffe, mithin Krämereÿ treibe da er doch die Handlung nicht erlernt habe, da auff deßen Verantwortung daß er der Anklag geständig, er hätte aber nicht gewußt daß Ihme nicht erlaubt dergleichen waahren Zu verkauffen und Krämereÿ Zu treiben, und wolle er deßwegen beÿ Hn Hh den XV. Supplicando einkommen, die Erkantnuß dahien außgefallen, wird dem Beklagten obige waahren Zu Verkauffen und Krämereÿ Zu treiben, in ansehung er die Handlung nicht erlernet, gäntzlichen Verbotten, mithien derselbe an die Ordnung Verwiesen Welcher bescheid Koblentz den 17. Ejusd. contra E. E. Zunfft Zum Spiegel Herrn Zunfftmeister beÿ Mghh. Vorgelegt, davon an dieselbe appellirt, vmb deputation gebetten, et Facta relatione gn. Zu erlauben, daß er einen Kleinen Krahm führen dörfe, worauff ged. E. Zunfft auch Deputation begehrt, welche dann Willfahrt und beseßen werden, da der Appellant petitum Wiederhohlet und eine Specification desjenigen was er in seinem Krämlein halten und Verkauffen wolle Vorgelegt, nemlichen Allerhand Sorten Rauch tabac; Wie auch garottes undt Holländischen Schnupff Tabac, Jasmin und pomaden, Poudre, Seiffen kuglen, Ungarisch Waßer, Siegel wachs, Federn, papier und dinten, Haarbeuthel, Liqueurs, Karten sambt ein und andern quincaillerie waahren. Nahmens E. E. Zunfft Zum Spiegel seÿe vorgestanden H Georg Friderich Engelhard der jetzmahlige Zunfftmeister, welcher gebetten E. E. Zunfft beÿ Ordnung und Articul Zu manuteniren Zumahlen die Eingriff in die Handtlung und die Stimpeleÿen allzu Viel über hand nehmeten. Wann aber je Mghh dem Appellanten favorabel sein wolten, so were seine demüthige bitt denselben anzuhalten beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel Leibzünfftig Zu machen, Ihme etwas pro dispensatione anzusetzen, anbeÿ aber beÿ der von dem Appellanten Vorgelegten Specification reflexion darauff Zu machen daß der Frembde Rauch Tabac denen Specirern Zu Verkauffen allein, die Liqueurs denen Caffetiers, und die Haarbeüthel denen Hutstaffirern Zu Verkauffen Zukommen, auch die quincaillerie waahren alß welche eine à parte Handlung, dem Appellanten nicht könten willfahret werden.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeinet man, daß Wann der Appellant auff das Krempen: weesen renunciren und beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel Leibzünfftig werden würde, Ihme ein Kleines Krahmlein Von allerhand Sorten Hiesigem Rauch Tabac wie auch Garottes und Holländischem Schnupff Tabac, Jasmin und pomaden, Haarpoudre, Seiffen kuglen, Ungarisch Waßer, Siegel wachs, Federn, Papier und dinten, Wie auch Karten zu halten, dispensando Zu erlauben, jedoch daß er 1. lb pro dispensatione erlege, und E. E. Zunfft Zum Spiegel die unkosten wieder erstatte. Die genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkant, Bedacht gefolgt.

(p. 47) Sambstag d. 31. Januarÿ 1739. – Moss. nôe Christoph Koblentz Ca. E. E. Zunfft zum Spiegel bitt comm. des erhaltenen G. Bescheidts, Ego berichte daß selbiger bereiths wie folgt Zu papier gebracht worden
Bescheid – Sambstag d. 24. Jan. 1739. – In Sachen Christoph Koblentz des allhiesigen burgers Appellanten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. Zunfft zum Spiegel H. Zunfftmeister, Appellaten, am andern theil, Auff eingeführte Appellations Klag mit angehenckter bitt Deputation Zu Willfahren, et Facta relatione gnädig Zu erlauben, daß er, Appellant, einen Kleinen Krahm führen dörffe, des Appellanten hinüber gethane Verantwortung, bewilligt, und beseßene Deputation, und dabeÿ angehörtes beederseithige fernern Vor: und Anbringen, Ist der Herren Deputirten abgelegten Relation nach, Erkandt, daß wann der Appellant auff das Krempen: weesen renunciren, und beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel Leibzünfftig werden würde, Ihme eine, Kleinen Krahm, Von allerhand Sorten Hiesigem Rauch Tabac wie auch Garotten und Holländischen Schnupff Tabac, Jasmin und Pomaden, Haar: poudre, Seiffen kuglen, Ungarisch Waßer, Siegelwachs, Schreibfedern, papier, und dinten, Wie auch Karten, Zu halten, dispensando Willfahrt sein solle, jedoch daß er pro dispensatione Ein Pfund d. halb der Statt und halb E. E. Zunfft erlege, und dem Appellaten die unkosten wieder erstatte.

Fils du tailleur Christophe Koblentz d’Esslingen en Wurtemberg, Christophe Koblentz épouse en 1740 Marie Marthe Ott, fille de l’orfèvre Jean Daniel Ott : contrat de mariage, célébration
1740 (10.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 79
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Wohl Vorgeachten Herrn Christoph Koblentz Ledigen Handelsmann und burgern alhier zu Straßburg, weÿland des Ehrengeachten Herrn Christoph Koblentz geweßenen Schneiders und Burgers in der Kaÿßerlichen freÿen Reichstatt Eßlingen nunmehro seel. nachgelaßenen ehelichen Sohn, alß Hochzeittern ane einem,
So dabb der Ehren und tugendsahmen Jungfer Mariæ Marthæ Ottin, des Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Otten, Silberarbeiter geschwornen Gewichtfechers und burgers alhier eheleiblichen Jungfer Tochter als Hochzeitterin am andern Theÿl
Beschehen und abgehandelt seind dieße dinge in der Königlichen Statt Straßburg Mittwochs den 10. Februarÿ Anno 1740
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 187-v n° 709)
1740. Mittw. den 9.ten Mart. seind nach ordentl. außruffung Ehl. copulirt u. eingesegnet worden H. Christoph Coblentz led. Handelsm. u. b. allhier weÿl. Christoph Coblentz geweßenen schneiders u. b. zu Eßlingen hinterl. Ehl. Sohn und J. Maria Martha H Johann Daniel Otten silberarbeiters u. b. allhier Ehl. tochter [unterzeichnet] Christoph Koblentz als hochzeiter, Mara Martha Ottin als hochzeiterin (i 192)

Le marchand de tabac Christophe Koblentz et Marie Marthe Ott hypothèquent la maison au profit de Marie Catherine Eckel, veuve du tanneur Georges Frédéric Ott

1759 (28.12.), Chambre des Contrats, vol. 633 n° 380
H. Johann Christoph Koblentz der tabachändler und Maria Martha geb. Ottin mit beÿstand ihres vatters H. Johann Daniel Ott des stadt gewichtfegers und ihres oncle H. Johann jadn& Ott des rothgerbers
in gegensein Fr. Mariæ Catharinæ geb. Eckelin weÿl. H. Georg Friedrich Ott des rothgerbers wittib – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung mit allen deren begriffen und rechten ane der Langenstraß, einseit neben Johann Friedrich Dürrbach dem kupfferschmidt, anderseit neben N Fabi dit S. Paul dem aubergisten, hinten auff die Börißischen erben

Christophe Koblentz et Marie Marthe Ott hypothèquent la maison au profit du pasteur Jean Daniel Büttner

1764 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 n° 511
H. Christoph Coblentz der tabackhändler und Maria Martha geb. Ottin mit beÿstand Johann Leonhard Haaß des zimmermeisters und Johann Philipp Beuttelstetter des schreiners
in gegensein H. M. Johann Daniel Büttner des pfarrers zu Bläßheim – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Langenstraß, einseit neben H. Longho dem handelsmann, anderseit neben N. Dürrbach dem kupferschmidt, hinten auff N. Groß dem kübler

Ancien marchand de tabac devenu suisse au service du général de Waldner, Christophe Koblentz expose en octobre 1768 la maison aux enchères puis l’en retire parce qu’il estime qu’elle n’a pas été portée à sa juste valeur

1768 (11.10.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 971) n° 55 (2° série)
Anno 1768 den Eilfften Octobris wurde auf Ansuchen H. Johann Christoph Koblentz, des geweßenen Tabackhändlers und nunmahigen Schweitzers beÿ Ihro Gnaden H. General Von Waldner und burgers allhier,
seine eigenthümliche Behaußung gelegen ane der langenstraß einseitn neben Johann Friedrich Dürrbach dem Kupferschmidt anderseith neben H. N. longho dem handelsmann allhier hinten auff Mstr N. Groß den Kübler und burger allhier stoßend, mit allen deren Weithen, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, nach deme diselbe Zuvor Zum verkauff ordentlich affigirt und außgeruffen worden (…) ausgeruffen Vor und um die Summam der 6200 Gulden an den letst und Meistbietenden außgebotten Zwar unter folgenden Conditionen (…)
als ist solches obgedachtem H. Käuffer als H. Johann Lorentz Götz, dem Werckmeister des Münsters darum entschlagen worden und Zwar um 6210 Gulden, dieweilen aber der H. Verkäuffer ein solches hauß nicht um solchen Preiß zu entschlagen Vermögens, als hat auch gedachter H. Götz sich seine gethane Steigerung wieder entzogen

Christophe Koblentz fait vendre des effets mobiliers
1771 (14.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 730) n° 818
Verkauf und Erlös Register über H. Joh: Christoph Koblentz geweßten Portners beÿ Ihro Excellenz H. Graffen von Waldner und burgern allhier Zu Straßburg gehörige dermalen verkauffte hausräthliche Mobilien (…) auf Mittwoch den 14. Aug: 1771.

Marie Marthe Ott meurt en 1772 en délaissant son mari pour héritier testamentaire. L’inventaire est dressé dans une maison proche du Marché Neuf. L’actif de la succession s’élève à 46 livres, le passif à 370 livres.
1772 (14. 7.bris), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 731) n° 858
Inventarium über Weÿland Fraun Mariä Marthä Koblentzin geb. Ottin Hn Joh: Christoph Koblentz Tabackhändlers und burgers allhier geweßener Ehefraun nun seel. Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1772. – nach ihrem den 7. 7.bris jüngst beschehenen seel. Absterben hie Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den 14. 7.bris A° 1772.
Die Verstorbene seel. hat per testamentum Zu Ihrem einig. und universal Erben verlaßen, Hr. Joh: Christoph Koblentz den hinterbliebenen Wittiber so Zufolg deroselben errichteten durch weÿl. Hn Notm Lang seel. den 23. febr. 1740. vergriffenen testament der einigen und universal Erb Ihrer gesampten Verlaßenschafft
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Pfaffen Gäßlein ohnfern dem Neuen Markt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen Behaußung befunden Worden Wie folgt.
Summarischer Calculus, Sa. der gesamten Activ Nahrung 46 lb, Schulden 370 lb, Mehr Schulden als nahrung 323 lb
Eheberedung (…) Beschehen und abgehandelt seind dieße dinge in der Königlichen Statt Straßburg Mittwochs den 10. Februarÿ Anno 1740 [unterzeichnet] Christoph Koblentz als Hochzeitter, Maria Marth Ottin als Hochzeitterin

Suisse chez le comte de Waldner, Christophe Koblentz et sa femme Marie Marthe Ott vendent la maison au marchand de tabac Philippe Jacques Lefevre et à sa femme Marie Marguerite Müller moyennant 2 450 livres

1770 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 447
H. Christoph Koblentz der schweitzer beÿm H. Graff von Waldner und Maria Martha geb. Ottin
in gegensein H. Philipp Jacob Lefebre des tabachändlers und Mariæ Margarethæ geb. Müllerin
eine behausung bestehend in vorder und hinter haus, höfflein und hoffstatt mit allen derenselben übrige begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Langesstraß, einseit neben H. Stättmeister von Neuenstein, anderseit neben Johann Daniel Dürrbach dem kupfferschmidt, hinten auff (-) Groß den kübler – als ein d. 21. maÿ 1748 erkaufftes guth – um 2450 pfund

Fils de Christophe Lefevre, le marchand Philippe Jacques Lefevre épouse en 1748 Marie Marguerite Müller, fille du jardinier François Müller : contrat de mariage, célébration
1748 (11. Octobris), Not. René (6 E 41, 547) n° 1
Eheberedung – persönlich zugegen geweßen, Herr Philipp Jacob Lefebvre der leedige handelsmann und burger allhier vor sich und in seinem nahmen ane Einem
und die Ehr und Tugendbegabte Jungfrau Margaretha Müllerin, Weÿl. H Frantz Müllers geweßten arbeithers in dem Königl. Zeughauß und Schirmbs Verwandten alhier und auch weÿl. Frawen annæ gebohrner Meÿerin hinterlaßene Ehel. Tochter auch vor sich und in jhrem Nahmen am andern theÿl
So beschehen Straßburg den 11. Octobris 1748 mit Zuziehung auff sein des H, hochzeiters seithen H Christoph Philipp Lebevre Burgers und Bildhawers allhie und Frawen Johanna Francisca gebohrne sch(eiblin) des Hochzeiters respective H. Vatters und Fraw mutter und H. Johann Christoph Leÿß burgers und wächters beÿ Ihro Gaden regierenden herrn ammeisters audience, als respectivé oncle, auff Jhr d. jungfr. hochzeiterin seithen aber H. Georg Michael müller burgers und Steinmetzen allhier als dero oncle (…) [unterzeichnet] Philipp Jacob Lefebever, Christoph Le Febure, + margarethæ müllerin Zeichen

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 368)
Hodie 14. mensis octobris anni 1748. (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Jacobus Philippus le febvre filius Christophori Le febvre civis hujatis et Mariæ Franciscæ Scheiblin Conjugum parochianus noster et Margaretha Müller filia defunctorum Francisci Müller hortulani et Annæ Meyerin, Parochiana ad prædictum S Stephanum (signé) Jacob Philipp Lefebever, + nota sponsæ (i 188 – Proclamation, Saint-Etienne (cath. p. 105) i 107)

Cafetier au Vieux Saumon, Philippe Jacques Lefevre devient tributaire chez les Fribourgeois pour pouvoir vendre des liqueurs au détail
1748, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166, XI 168)
(f° 389) Dienstags den 30.ten Apr: A° 1748. – Philipp Jacob Lefebvre der hiesige burger vnd dermahliger Caffetier in dem Alten Salmen, Erscheine dato und bittet Ihne wegen verkauffung Liqueurs en détail einen Caffetier geldt Zünfftig Zu recipiren, mit dem beÿsatz, daß Er von Gn. Herren denen XV. auch Liqueurs mit sich führender weine en détail zu verkauffe, die Erlaubnus Erhalten habe
Hierauff ist Erkandt worden daß derselbe gegen Erlang der 2. lb 4 ß d vnd 6 ß Stubengeldt pro hoc Anno alß Zudiener Zu recipiren Ihme aber auch nicht wieder Ordnung Zu handeln beÿ Straffe zu injungiren. dedit et prom. eodem.

Le marchand de tabac Philippe Jacques Lefevre résigne ce droit en 1765
1765, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 271) Donnerstag den 26. deß Monaths Septembris in Anno 1765 – Hr Philipp Jacob Lefebvre, der Thabackhändtler und burger allhier sowegen verkauffung Liqueurs und Liqueurs wein en détail in A° 1748: dießorts alß Geldt Zünfftig recipirt worden, Erscheint vndt berichtet daß er Künfftighin Keine Liqueurs noch Liqueurs mit sich führendt weinen mehr halten, noch en détail verkauffen wolle, wäre alßo gesonnen, Sein erhaltenes Zunfftrecht dießorts Zu resigniren vndt omni meliori modo darauff verzug zu thun.
Erkandt, wirdt deßen geschehene Resignation allhier schrifftlichen Verzeichnet undt demeselben auff begehren davon acte zu Ertheilen willfahrt dahero solle derselbe gehöriger Orthen außgethan werden.

Marguerite Müller devient bourgeoise par son mari en 1767.
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 131
Margaretha Müllerin eines hiesig. schreiners tochter, erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Jacob Philipp Lefebure, burger und tabackhändler allhier, umb den alten burger schilling, will dienen beÿ EE. Zunfft Zum Spiegel. Prom. eod. [7. 7.br 1767]

Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Barbe Herel femme du sergent-major Ignace Lody

1781 (22.2.), Not. Roederer (6 E 41, 914) n° 13
Inventarium über Weiland der Ehren : und tugendsamen Fraun Barbarä Lodÿ geb. Herlin, H. Ignatius Lodÿ des gew. abwes. sergent Major unter dem Königl. Frantzös. Fußgänger Regiment Anhalt geschiedener Ehefrau der hew. Bürgerin alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1781- nach ihrem Montags den 15.ten Januarii dieses 1781.ten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen alhier in der Königl. Statt Straßburg und einer daselbst ane der langen Straß gegen der bierbehausung Zur Kett über gelegenen H. Philipp Jacob Lefebure, dem burger und Handelsmann hieselbst eigenthümlich zuständigen und disorts Zum theil lehnungsweiße bewohnenden Sterbbehausung, Donnerstags den 22.sten Februarii 1781.
Die verstorbene hat ab intestato sowol per testamentum clausum Zu Erben verlaßen wie folgt, 1° Fr. Annam Margaretham Knappin geb. Lodÿ, Herrn Georg Knapp, des hiesigen burgers und harpfenmeisters Ehefrau, welche auch unter assistentz dero Mariti deisem Geschäfft beigewohnet, in den ersten halben Stammtheil, jedoch mit dieser §° 7.mo hernach eingetragenen Testamenti clausi verordneten bedingung, daß Falls diese ohne Kinder oder leibserben vor ihrem Ehemann mit tod abginge, all dasjenige, was ihro krafft der Willens verordnung als mütterliches Guth zukommen und als dann noch vorhanden seÿn wird, denen samtlichen Johann Jacob Lodi des bruders hinterlaßenden Kindern substitutions weiße anheim fallen, wovon jedoch deren Vatter der Genuß allemal vorbehalten und ohnbenommen, derselbe auch eben sowenig als der Zusetzende Substitutions Vogt einige Bürgschafft diesfalls an Sie Fr. Knappin Zu fordern berechtiget seÿn solle, Und seind von den substituirten erben dermalen am leben 1° Catharina, 2° Anna Maria und 3° Johann Jacob die Lodÿ, alle H. Joh. Jacob Lodÿ hernachgemeldt mit Fr. Anna Maria geb. Sitt bereits ehelich erzeugte und die noch ferner etwa ehelich erzeugende und hinterlassende kinder, denen ane heutigem Tag Zu einem subtitutions vogt gegeben und eodem bei E. E. Groß. Rath alhier confirmirt u& beeidigt wurde H. Philipp Jacob Lefebure der hiesige burger und Handelsmann, der auch in solcher sualitär dieser Inventur persönlich abgewartet
2.do H. Johann Jacob Lodÿ den burger und Zinngieser in Ruffach, welcher in Ehe lebet mit vorbesagter Fr. Anna Maria geb. Sitt und diesem Geschäfft auch gegenwärtig war, in den Zweiten und letzten halben S, Beede der verstorbenen mit Eingangs gedachten dero hinterlaßenem aber separirtem und abwesendem Wr. ehevogt erzeugte Kinder und ab intestato sowol per Testamentum clausum vorgedachter masen instituirte Erben
Series rubricarum hujus Inventarii. Abschrift des von der Entseelten am 8.ten Martii1780 verschloßen errichteten und eodem bei dem königl. Not° H. Frantz Antoni Lacombe deponirten, sofort em 16. Januarii 1781 eröfnet und publicirten Testaments (…)
Sa. Hausrath 43, Sa. Silbers 14, Sa. Schuld 225, Summa summarum 285 lb – Schulden 78, Nach welchem abzug 207 lb
Prælegata 379 – Satll Summa 207 lb – Zweiffelhafft velornes pfenningzinß 637

Philippe Jacques Lefevre renonce à sa fonction de vice-huissier au Miroir
1783, Protocole de la tribu du Miroir (XI 280)
Montags, den 14. Octobris 1783
Unterbittel resignirt – Philipp Jacob Lefebvre

Philippe Jacques Lefevre meurt en 1784 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à la somme de 1 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 210 livres, le passif à 6 559 livres.

1784 (18.5.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 606) n° 487
Inventarium über Weiland H. Philipp Jacob Lefebvre, des gewesenen Handelsmanns und Burgers alhier Zu Straßburg Verlaßenschaft, aufgerichtet A° 1784 – nach seinem den letztverfloßenen 6. Februarii aus dieser Welt genommenen seligen Abschied zurückgelaßen hat. Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen sowol der hinterbliebenen tugendsamen Wittwe Fraun Maria Margaretha geb. Müllerin, beiständlich ihres bruders H. Andreas Müller, des hiesigen Burgers, Maurers und Steinhauers, als auch des abgelebten mit derselben ehelich erzeuhten Sohns und ohntestirt hinterlaßenen einigen Erben Herrn Jacob Ludwig Lefebvre, des seit dem 7. laufenden Monats das 24. Jahr seines Alters zurückgelegten ledigen Handelsmanns (…) So geschehen in Straßburg in hienach inventirter an der langen Strasse gelegener Sterbbehausung auf Dienstag den 18. Maj in dem Jahr 1784.

Vorbericht. Es haben zwar bede gewesene Eheleut in dem vierten Satz ihrer hievornen einverbeibten Eheberedung unverändert Gut und Ergäntzung des mangelnden bedungen, gleichwol die Zu deßen Untersuchung erforderliche Ehe-Inventur unterlaßen (…)
Eigentum an einer Behausung (C N°, 20° 43 lb 19 s 9, logt 19. 4.) Nämlich eine in Vorder- u. Hinter-haus bestehende Behausung, Hofstatt, Höflein und Gumpbronn mit allen übrigen deren Begriffen, Weiten, Zugehörden u. Rechten, gelegen in hiesiger Stadt ane der untern langen Strasse, 1. S. neb. Ihro Gnad. H. Stättmeister u. XIII. Juncker Philipp Leopold Andreas von Neuenstein, 2. S. weil. Johann Daniel Dürrbach, des Kupferschmids Erben, hinten auf Johann Gottfried Gros, den Kübler, stosend, so frei u. eigen, sofort durch (de Werckmeistere) laut deren zu diesem Concept geliefert Abschatzung-Zedels d. 19. März 1784. angeschlagen word. um 2000 fl. oder 1000 lb. Darüb. sind 2. perg. in hies. C.C.St. verf. u. m. der anh. Ins. verw. perg. teutsche Kbr. v. 15. Januarii 1722. u. 21. maji 1748. vorh. Wie aber hierortige gewesene Ehel. dieses Haus von weil. H. Christoph Koblentz. dem Tabackkrämer, u. Frau Maria Marta geb. Ottin, bed. verst. Ehegatten u. b. dahier erkauft haben, solches beweiset i. ähnl. Kb. v. 10. 7.br 1770.
Sa. Hausraths 93 lb, Sa. Fäßer u. Weins 4 lb, Sa. Schiffs u. Geschirrs 3 lb, Sa. Tabacks u. Puders 80 lb, Sa.Silbergeschirr u. dgl. 18 lb, Sa. goldener Ringe 12 ß, Sa. Baarschafft 210 lb, Sa. Eigentums an i. behausung 1000 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 8000 lb, Summa summarum 2210 lb – Schulden 6559 lb, In Vergleichung, Schulden last 4349 lb. – Zweiffelhaffte und verlohrne schulden 156 lb
Abschrifft der d. 11. 8.br. 1748 vor H. Not. Peter Frantz René errichteten Eheberedung (…)
Codicill. Sambstag den 31. Januarii anno 1784 vor mir Notario auffgerichtet (…) in deren auf dem ersten Stockwerck des Vorderhauses sich befindlichen mit den Fenstern in berührte Strasse aussehende Stube – Saltzmann Notarius
– Abschatzung vom 19.t. Mertz 1784. Auf begeren Weÿland Herr philipp jacob Lefebre dem Handelsmann, ist Eine behausung alhie in der statt straßburg in der langen stras gelegen, Ein seÿts neben Herrn Stettmeyster Von Neustein, anderer seÿts neben Herr streußguth und hinten auf Meister Groß dem Kübler stoßend gelegen, solche behausung bestehet in forder und Hinter gebäu, worinnen Ein ladten und Ladtenstube ferner in dreÿ stuben Zweÿ Küchen und Etliche Kammeren darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt hat auch Ein gewölbter Keller Hoff und brunen, Von uns unterschriebenen der sttt strasburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit del jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿ tausend gulden [unterzeichnet] Boudhors archi. Kaltner Wmster, Götz Wmster /:thut nichts auf löbl. statt Pfenningthurn, Ferber

Philippe Jacques Lefevre meurt à l’âge allégué de 58 ans. Son corps est inhumé au cimetière Saint-Gall
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 148)
Anno Domini 1784 die 7. Februarii mortuus est Philippus Jacobus Lefevre Civis et Mercator hujas annum ætatis 58 agens, ss sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et Extremæ unctionis rité munitus, Maritus dum viveret Superstitis Mariæ Margarithæ Müller qui Hodie 8. ejusdem mensis et anni a me infra scripto sepultus est in Cœmeterio S. Galli (i 78)

Jacques Louis Lefevre demande à être exempté de produire un inventaire des biens de sa mère morte quelques mois après son père.
1784 (23.12.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 869) n° 337
Bericht und respe. Declaratio loco Inventarii betreffend Weil. der Ehr: und tugendsamen Fraun Mariæ Margarethæ Lefebvre gebohrener Müllerin ohnlängst Weil. Hn Philipp Jacob Lefebvre, des gewesenen Handelsmanns und Burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterlaßener Wittib nunmehro auch seel. Verlaßenschaft auffgerichtet in Anno 1784.
Heutigem Zu End gesetztem Dato ware vor dem unterschriebenen geschwornen Notario und Inventir schreiber gegenwärtig H Jacob Ludwig Lefebvre, der Handelsmann und burger alhier, welcher declarirt und angezeigt, daß von Seiten der Wohlverordneten Herren dreÿ Löbl. Stadt Stalls ihme der befehl Zugekommen seÿe, über obgedachter des Hn Comparenten Fraun Mutter seel. Verlaßenschaft nach Ordnung ein Inventarium zu liefern Weilen aber erst den 18.den Maji gegenwärtigen 1784.sten Jahrs durch H Notarium Joh: Daniel Saltzmann über auch obgemelten des H. Comparenten Vaters seel. Verlaßenschaft ein ordentlich Inventarium errichtet worden, so glaube Er, daß es heutigen tags ohnnöthig seÿn würde über ebendiese objecta ein abermaliges Inventarium zu errichten, als welches Zu nichts weiters als Zur Vermehrung der Unkösten dienlich seÿn würde (…)
So beschehen alhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 23.ten Decembris Anno 1784.

Jacques Louis Lefevre épouse en 1784 Elisabeth Wilhelm, fille du marchand de vins Joseph Wilhelm et de Marie Thérèse Gillioth. La mère du marié, assistée de son frère le maître maçon André Müller, fait donation de ses biens à son fils en se réservant un logement au deuxième étage de la maison arrière. Le mariage est célébré à Wingersheim.

1784 (6.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 172
Eheberedung – persönlich erschienen H. Jacques Louis Lefebure, leediger tabackhändler und burger alhier, Weil. H. Philipp Jacob Lefebure, des gewesenen ebenmäßigen Tabckhändlers und burgers alhier ehel. Sohn, so majorennis und seiner Rechten selbsten genieset, als Bräutigam ane einem,
So dann die Viel Ehr und Tugendbegabte Jungfrau Elisabeth Willhelmin H. Joseph Willhelm, des Weinhändlers und burgers alhier mit Weil. Fraun Maria Theresia gebohrner Guilottin ehelich erzeugte Tochter, beiständlich erstgedachten ihres Hn Vaters als die Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
Achtens will Frau Maria Margaretha Lefebure gebohrne Müllerin, des H. Hochzeiters Frau Mutter unter beistand Hn Andreas Müller des Maurer Meisters und Steinhauers auch burgers alhie, ihres eibl. bruders, H. Jacob Ludwig Lefebure, dem Sohn und Bräutigam ihr gesamtes sowohl unverändert als auch etwa vor dero antheil ane dem ausfälligen theilbaren sowohl in liegendem guth ams fahrender Haabschaft bestehender Vermögen, wie solches in dem über Weil. Hn Philipp Jacob Lefebure Eingangs gedachten ihres geweßenen Eheherrn seel. Verlaßenschaft durch H. Notarium Saltzmann am 19.den Maji jüngst aufgerichteten Inventarii umbständlich beschrieben und specifice enthalten ist, nichs das geringste davon ausgenommen, sampt allem deme so in gedachten ihres Eheherrn seel. Verlaßenschafft gehörig, aber etwa Zu inventiren vergeßen worden, hiemit und in Kraft dieses freÿwillig wißend und wohlbedächtlichen eigenthümlichen cedirt, abgetretten und überlaßen haben (…) Soweiters behaltet sich die Frau Cedentin Zu ihrer freÿen und lebenslänglichen benutzung bevor Ein Stübel auf dem Zweÿten Stock des Hinterhauses samt den Zu ihrem unterhalt vor ihro Persohn allein benöthigten höltzenwerck, Bettwerck und getüch, wie auch den jährlichen Zinß von dem auf M: Kreß dem Zundelmacher haftenden Capital der 1600 fl. samt dem Zinß von der Wohnung auf dem Zweÿten Stock des Vorderhaußes, welche dato H Knapp der harpfenist bewohnet, welches alles der H Cessionarius und Sohn ihro der Fr. Cedentin und Muter also lebensänglich auch zu benutzen und Zu genießen überlaßen
auf Dienstag den 6.ten Julii Anno 1784. [unterzeichnet] Jacob Louis Lefebure als Hochzeiter, Elisabeth Wilhelmin als hochzeterin

Mariage, Wingersheim (cath. p. 3)
Anno Domini 1784 die 26 mensis Julii una tantem proclamatione accedente dispensatione legitima super duabus in in Ecclesiis parochialibus ad S Stephanum et ad S Petrum Seniorem intra Argentinam publice facta (…) sacro matrimonii Vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Jacobus Ludovicus Lefebure solutus argentinensis defuncti Philippi Jacobi Lefebure Civis olim et mercatoris argentinensis et superstitis Conjugis Mariæ Margarethæ Müller filius legitimus et Elisabethæ Wilhelm Soluta argentinensis Josephi Wilhelm Civis argentinensis et defunctæ Conjugis Mariæ Theresiæ Gillot filia legitima parochiana ad præfatum S Stephanum intra Argentinam (signé) Jaque Louis Lefebure, Maria Elisabett Wilhelm, Forst parochus (i 3, proclamation Saint-Pierre-le-Vieux i 220, Saint-Etienne i 64)

Elisabeth Wilhelm fait dresser un inventaire de ses apports (898 livres)
1784 (13.11.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 869) n° 333
Inventarium über der Ehr: und tugendsamen Fraun Elisabethæ Lefebvre, gebohrner Wilhelmin, H. Ludwig Lefebure, des Tabackhändlers und burgers alhier Ehefraun, in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaft aufgerichtet in Anno 1784. – in den mit gedachtem ihrem Ehemann vor etlichen Monaten angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu und eingebracht hat (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beisein obgemelten der Ehefraun Ehemanns wie auch Hn Joseph Wilhelm des Kiefers, Weinhändlers und burgers alhier deroselben leiblichen Vatern und hierzu erbettenen beistands, in einer ane der langen Straß gelegenen von beeden Ehepersohnen bewohnender und des Ehemanns Eltern herrühriger Behausung auf Sambstag den 13. Novembris Anno 1784.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 225, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 44, Sa. goldener Ring 7, Sa. baarschafft 600, Summa summarum 876 lb – Wird auch darzu gelegt die ihro gebührige helfte ane denen haussteuren antreffend 22 lb, So kommet der Ehefraun völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft in allem Zustehen auf 898 lb

Jacques Louis Lefevre qui a fait son apprentissage chez le marchand épicier Dangelo devient tributaire au Miroir en décembre 1784 en déclarant faire commerce de tabac
1784, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 325) Mittwochs, den 15. Decembris 1784 – Leibzünfftiger
Hr Jacob Ludwig Lefebvre, welcher die Hdl. bei H. d’Angelo alhier erlernte als Hdlsm: u. als eines diesorts leibzünfftigen Sohn gegen Erlag 1. lb d auf vorgedachten Stallschein von vorgestern. Handelt mit taback. Prom.
den 14. Jul: 1788. wurde demselben ein Schein erlernten Specereihandels gelüfert um denselben bei E. E. Zunfftgericht der Kiefer wegen dem Eßig halten vorzulegen.

Jacques Louis Lefevre cotise à la tribu des Tonneliers pour pouvoir vendre du vinaigre (voir ci-dessus)
1788, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 397)
(f° 81) Dienstag den 15. Juli 1788 – N. geld Zünfftig
H Jacob Ludwig Lefebre, der handelsmann alhier prod: Schein von E. E. Zunfft Zum Spiegel Kraft desen ihme der Specereÿ handel Zugestanden worden, bittet ihn als geld Zünfftiger aufzunehmen.
Erkannt Willfahrt, dt. pro recept. 3 lb 15 ß, prot. 3 ß, Findl.6 ß

Jacques Louis Lefevre hypothèque la maison au profit de Susanne Caroline Dimmler

1788 (1.12.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 496-v
Jacob Ludwig Lefebure der handelsmann
in gegensein Jfr. Susannæ Carolina Dimmler in dero nahmen H. Johann Georg Schertz des handelsmanns – schuldig seÿe 1500 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Langen straß, einseit neben S.T. H. Stättmeister von Neuenstein, anderseit neben Mr Streisguth dem kupfferschmidt

Jacques Louis Lefevre et sa femme louent une boutique aux conjoints Wilhelm

1802 (26 nivose 10), Enregistrement de Strasbourg, ssp 9 f° 122 du 26 niv. 10
Bail de 9 ans par les conjoints Lefevre de Strasbourg
aux conjoints Wilhelm
une Boutique et ustensiles sise en cette ville g.de Rue N° 145, pour 500 francs par an

Inventaire dressé après la mort d’un locataire, l’entrepreneur de théâtre Nicolas Aimé

1805 (19 nivose 13), Strasbourg 2 (22), Not. Knobloch n° 2395
Inventaire de la succession de Nicolas Aimé, entrepreneur associé du spectacle français, décédé le 29 messidor 12 – à la requête de Marie Heloyse Bernardy, la veuve assistée de Joseph Momy, avoué près le Tribunal Civil de Strasbourg, en présence de Leopold Marco, avoué près le tribunal civil, mandataire de Charles Aimé père rentier, Charles Nicolas Aimé fils négociant, Barbe Aimé épouse de Benjamin Lacombe négociant demeurant à Metz, plus Pierre Aimé médecin demeurant à Carignan, François Nicolas Aimé capitaine au 94° régiment d’Infanterie de ligne (Procuration, à l’armée à Hannover le 6 vendémiaire 13), héritiers présomptifs savoir Charles Aimé père pour un quart, les frères et sœurs pour trois quarts
Avis, il n’a pas été passé de contrat de mariage, mariés à Dunkirch sans contrat de mariage (Joint : Dunkerque le premier messidor 13, exposant la coutume de Bruges)
Testament. Nicolas Aimé demeurant grand rue n° 145 Maison du Sr Lefebure, le 27 messidor 12
habits 212 fr, argenterie, numéraire, différents objets, linge 133 fr, total des meubles 345 fr, numéraire 8402 fr, dettes actives 704 fr
Observation réclame sur le prix de vente de son habitation a L’Isle de Demerey, attendu que les anglais occupent depuis quelque tems ladite Isle, pour mémoire, total 9451 fr, passif 7684 fr, reste 1766 fr
Enregistrement, acp 95 F° 114-v du 29 niv. 13

Marie Elisabeth Wilhelm meurt en 1809 en délaissant deux fils

1809 (23.9.), Strasbourg 5 (29), Not. F. Grimmer n° 5825
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth née Wilhelm épouse de Jacques Louis Lefebvre, ci devant négociant – à la requête de Charles Alexandre Lefebvre, négociant fils de la défunte, M° Felix Caspar Lex notaire, tuteur établi par la justice de Joseph Louis André Lefebvre, sergeant major au service de france présentement prisonnier de guerre en Angleterre aussi fils de la défunte

dans une chambre au premier étage donnant sur la cour de la rue de l’arc en ciel n° (-)- appartenant dans ladite succession, occupée par les ci devant conjoints mais ladite épouse et mère étant décédée dans son voyage a Lion le 27 août dernier (…) dans une chambre au premier étage donnant sur la rue, dans la première chambre en entrant, dans la chambre a alcove, dans la chambre a alcove donnant sur la rue, au second étage, cusine au Mansard, au corridor, chambre a linge sale, au rez de chaussée, dans la cave
dans la maison appartenant à la succession grand rue n° (-)
Titres et papiers. Inventaire de la succession de Philippe Jacques Lefebvre, négociant père du veuf, dressé par M° Saltzmann en l’année 1784 – Contrat de mariage reçu Schaef notaire à Strasbourg le 10 juillet 1784 – Inventaire des apports dressé le 13 novembre 1784 – Contrat d’acquisition de la maison dans la grande rue ) la Chambre des contrats le 10 septembre 1770 – Contrat d’acquisition de la maison rue de l’Arc en ciel n° 9 devant M° Dinckel le 9 messidor 3
Immeubles, Une maison avec deux cours, tous ses bâtiments, appartenances, droits, aisances et dépendances située en cette ville rue de l’arc en Ciel n° 9, d’un côté le Sr Malabert, d’autre le Sr Godier derrière contre la maison du Sr Schaeffer – occupée par le Sr Dumont coiffeur pour un loyer de 200 fr, le restant occupé par les conjoints 200 fr, total 400 fr de revenu faisant en capital 8000 fr, acquis par contrat susallégué
Plus une maison, cour, appartenances, droits, aisances et dépendances en cette ville grand rue N° (-), d’un côté le Sr Besson d’autre le Sr Streisguth, derrière le Sr Gros louée en entier au Sr Maechling épicier pour 600 fr de revenu, faisant en capital 12.000 fr, Titres de propriété, acte passé à la Chambre des contrats le 10 septembre 1770 et d’autres le 21 mai 1748 et 15 janvier 1782 et inventaire de la succession du père du veuf ci dessus allégué
le 24 février 1810 n° 6131 ; mobilier propre 801 fr
communauté, meubles 2698 fr, argenterie 719 fr, créances 1320 fr, ensemble 4738 fr
propres du veuf, mobilier (non estimé), maison grand rue 12.000 fr, passif 12.300 fr, compensation faite 300 fr
prpores de la défunte, garde robe 511 fr, remploi 13.595 fr, créances 300 fr, total 14.406 fr, et meubles prélevés
communauté, mobilier 1881 fr, créances 72, 706, 100, 1549 fr, maison 8000 fr, total 12.229 fr, passif 14.034 fr, compensation faite 1804 fr
Enregistrement, acp 113 F° 73 du 30.9.

Jacques Louis Lefevre meurt deux ans plus tard

1811 (13.9.), Strasbourg 5 (33), Not. F. Grimmer n° 7174
Déclaration tenant lieu d’inventaire de Jacques Louis Lefevre, habitant de cette ville, décédé le 10 mai dernier – dressé à la requête de Joseph Wilhelm, marchand de vins mandataire de son petit fils Joseph Louis André Lefevre, sergent major au service de France présentement prisonnier de guerre en Angleterre, et mandataire de Charles Alexandre Lefevre, commis négociant à Lyon fils et héritiers de leur père
mobilier 358 fr
immeuble, une maison, cour, appartenances, droits, aisances et dépendances située à Strasbourg dans la grande rue n° (-), d’un coté le Sr Besson d’autre le Sr Streisguth derrière les héritiers Gros, louée au Sr Maechling épicier 600 fr de revenu faisant en capital 12.000 fr
Plus la moitié par indivis dont l’autre moitié appartient aux cohéritiers comme bien maternel d’une maison avec deux cours, appartenances, droits, aisances et dépendances située à Strasbourg rue de l’arc en ciel n° 9, entre le Sr Malapert et me Sr Gauthier derrière le Sr Schaefer, estimée à 400 fr, de revenu faisant en capital 8000 fr, la moitié 4000 fr
total des immeubles 16.000 fr, fait en la maison susdite rue de l’arc en ciel

Inventaire dressé après la mort du locataire Thiébaut Mæchling. Le bail est joint à l’inventaire

1813 (26.4.)n Strasbourg 3 (36), Not. Übersaal n° 1297, 6382
Inventaire de la succession de Tibaut Maechling marchand épicier décédé le 19 avril dernier – à la requête de Marguerite Salomé Kolb la veuve, mère et tutrice légale de 1. Salomé Sophie âgée de 2 ans 9 mois, 2. Frédéric Théodor âgé de 1 an, 3. un posthume – en présence de Jacques Maechling cultivateur à Hoerth, subrogé tuteur
Contrat de mariage dressé par le soussigné notaire le 16 février 1809 (joint)
(Joint) mariages de la ville de Strasbourg 20 février 1809. Thiebaud Maechling âgé de 22 ans, épicier, né à Hoerdt le 3 septembre 1788 y domicilié fils de Jacques Maechling cabaretier et de Marie née Maechling, Marguerite Salomé Kolb âgée de 21 ans née en cette ville le 12 mai 1787 fille de Jean Frédéric Kolb, boulanger et de Marie Salomé Kuntz
dans une maison près de l’homme de fer n° 69 appartenant au Sr Faudel marchand de fer dans le logement du défunt
propres de la veuve, apports meubles 1083 fr
propres du défunt, meubles 599 fr, marchandises 7521 fr, dettes actives 1140 fr, total 9261 fr, passif 19 568 fr
(Joint) ssp. 19 janvier 1810 : Sr Jacques Louis Lefebre veuf et Sr Joseph Wilhelm marchand de vin le dernier en qualité de grand père et mandataire se portant fort pour les Srs Charles Alexandre et Joseph Louis André Lefebre ses deux petits fils, bailleurs,
le Sr Maechling négociant preneur d’autre part
Le bail de 6 ans, 1. la maison et dépendances située en cette ville dans la grande rue N° (-) côté Sr Besson d’autre Sr Streusguth, ensemble le mobilier suivant savoir : un comptoir (..), Lesdites maison et mobilier appartiennent en propre auxdits père et fils, pour 6 années à commencer le 25.3. prochain, 987 fr
(Joint) Mieth Contract zwischen Jos: Krick miether und Maechling vermiether haus N° 145 in de langen Straß, art 1) H. Maechling vermeithet an herrn J: Krick den ertsen stock des oben bemelden hauses bestehend in einem zimmer auf der Straße samt Cabinet, einem Zimmer in den hof mit Alkoven auf ebener Erde die Kuche zu alleinigem Gebrauch im dritten Stock eine Kammer für die mägde, auf der Bühne eine andere für schwartze wasche und im keller zweÿ verschlluge unter Schloß nebst allen sonst häuslichen bequemlichkeiten als den Gebrauch des bronnens, des Abtrits und der bühne &la &la wofür H. Krick 12 louis d’or oder 288 livres (bezalt), 6 Februar.1810
(Joint) Bail, Tibaut Maechling marchand épicier à Jean Geoffroi Hartschmidt marchand confiseur preneur à titre de sous bail pour 4 années consécuties qui commencent le 25.3.1812, la maison avec appartenances et dépendances situés en cette ville grand rue n° 145
Sr Besson d’autre Sr Streisgut y compris le mobilier ci après, 1. un comptoir en bois de chêne avec plusieurs tiroirs (..), le Sr Maechling est en droit de jouir en vertu du bail ssp entre lui et Srs Lefebre père et fils propriétaires de ladite maison le 19.1.1810 pour 1200 fr
Enregistrement, acp 122 F° 67-v du 29.4. – vacation du 4.6. (acp 122 F° 127 du 5.6.)

Les deux fils Lefevre vendent la maison au peignier Jean Jacques Müller moyennant 18 400 francs

1816 (4.12.), Strasbourg 10 (62), Not. Zimmer n° 4558, 7492 du 27.11.
Joseph Aimé Louis Lefevre, adjudant sous officier dans la légion du Bas rhin tant pour lui qu’au nom de Charles Alexandre Lefevre son frère commis négociant domicilié à Lyon, adjudication publique
à Jean Jacques Müller, peignier demeurant rue de l’Argile n° 15
désignation de l’immeuble à vendre, une maison avec cour droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg grand’rûe n° 145, entre la maison du Sr Besson et celle du Sr Streisguth chaudronnier, derrière celle des héritiers Gross baquetier, échu de la succession de Jacques Louis Lefevre négociant et Marie Elisabeth Wilhelm, leurs père et mère dint ils sont seuls enfants uniques héritiers, suivant inventaire dressé par M° Grimmer de la succession paternelle, clos le 13 septembre 1811, de la succession maternelle le 21 mai 1810 – mise à prix 18.000 fr, personne ne s’est présenté – n° 7499 du 4 décembre
n° 7520, à Jean Jacques Müller et Marie Madeleine Koebelé le 23 décembre pour 18.400 francs
Enregistrement, acp 132 f° 69-v du 5.12. – acp 132 f° 107-v du 24.12.

Originaire de Michelstadt en Hesse, Jean Jacques Müller épouse Marie Madeleine Kœbelé en 1804
1804 (5 nivose 13), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 466, 2663
Contrat de mariage – Cit. Jean Jacques Müller, peignier, fils de feu Jean Jacques Müller, brasseur a Michelstadt au Comté d’Erbach en Allemagne, avec Sophie Benigne Lehr
Dlle Marie Madeleine Koebelé, fille majeure du Cit. Isaac Koebelé, peignier avec C. Marie Madeleine Bernhard
Enregistrement, acp 95 F° 74 du 6 niv. 13

Marie Madeleine Kœbelé meurt en 1834 en délaissant pour héritiers son père, ses frères et sa sœur

1834 (15.3.), Strasbourg 7 (86), Me Stoeber n° 15.156
Inventaire de la succession de Marie Madeleine née Koebele épouse de Jean Jacques Muller, marchand épicier et propriétaire, décédée le 16 octobre 1833 – à la requête 1. du veuf comme usufruitier de la succession suivant contrat de mariage reçu Ubersaal notaire à Strasbourg le 5 nivose 13, 2. Isaac Koebele, propriétaire, père de la défunte procréé avec Marie Madeleine Bernhard pour trois 12°, 3. Isaac Koebele, peignier, frère germain pour trois 12°, 4. Louis Koebele, tourneur, frère germain, 5. Salomé Koebele veuve de Louis Rathgeber, instituteur, sœur germaine

dans une maison Grand rue n° 145
maison, une maison avec cour, petite maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg d’un côté la maison du Sr Besson, d’autre celle du Sr Streisguth chaudronnier, derrière la propriété des héritiers Gross – acquis de Joseph André Louis Lefevre, adjudant sous officier dans la légion du Bas Rhin et son frère Charles Alexandre Lefevre, commis négociant à Lyon, suivant adjudication reçue Zimmer notaire à Strasbourg les 27 novembre et 4 décembre 1816 et contrat de vente du 23 décembre de ladite année transcrit au bureau des hypothèques volume 88 n° 110 – échue de la succession de Jacques Louis Lefevre, négociant, et Marie Elisabeth Wilhelm, suivant inventaire dressé par Grimmer, notaire, de la succession paternelle le 13 septembre 1811 et maternelle le 29 mai 1810, plus trois contrats Chambre des contrats les 10 septembre 1770, 20 mai 1748 et 15 janvier 1722 – occupée par le veuf, estimée 10.000 fr
garde robe 53 fr, apports de la défunte suivant inventaire dressé par Ubersaal notaire 345 fr, remplois, apports 726 fr, héritage recueilli pendant le mariage 1120 fr, fonds de commerce d’épicerie 798 fr, passif 1257 fr
Enregistrement, acp 224 f° 8 du 24.3.

Le marchand épicier Jean Jacques Müller meurt en 1844 en délaissant des héritiers collatéraux

1844 (17.6.), Strasbourg 10 (103), Me Zimmer substitué par Roessel n° 5248
Inventaire de la succession de Jean Jacques Müller épicier à Strasbourg veuf de Marie Madeleine Koebelé, décédé en cette ville le 4 juin 1844
L’an 1844 le 17 juin à trois heures de relevée, à la requête de 1. M. Jean Michel Müller ancien drapier demeurant à Michelstadt (grand duché de Hesse-Darmstadt), 2. M. Bartholmé Schmerkert, drapier demeurant au même endroit, agissant en qualité d’administrateur légal des biens de sa femme Susanne Catherine Müller demeurant avec lui ainsi qu’il le déclare, 3. M. Pierre Müller, épicier demeurant également à Michelstadt, agissant au nom et comme se portant fort de sa mère Marie Christine Müller, demeurant au même endroit veuve du Sr Bernard Müller, cordonnier, (…) habiles à se dire et porter héritiers de leur frère Jean Jacques Müller en son vivant épicier à Strasbourg où il est décédé le 4 juin 1844 (…)
M° Roessel substituant M° Louis Frédéric Zimmer présentement absent

en la maison mortuaire sise à Strasbourg grand rue N° 145
Chambre au premier étage donnant sur la cour, Dans une petite chambre aux mansardes, Corridor, Au second étage sur le devant, Chambre à linge sâle et petite chambre à côté, au grenier, (le 20 juin) Dans la cave, Dans le magasin
La moitié indivise dans une la maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue N° 145 entre M Besson et le Sr Streissguth, donnant par derrière sur la propriété des héritiers Gross. Le défunt avait acquis cette maison de Joseph André Louis Lefèvre, adjudant sous officier dans la légion du Bas Rhin demeurant à Strasbourg et Charles Alexandre Lefevre commis négociant suivant deux procès verbaux d’adjudication 27 novembre et 4 décembre 1816 et contrat de vente passé du 23. décembre suivant, les trois actes dressés par M° Zimmer père alors notaire en cette ville, et ce pendant la communauté de biens qui a existé entre entre le défunt et sa défunte épouse Marie Madeleine Koebelé ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé après le décès de cette dernière par M° Théophile Stoeber le jeune, alors notaire à Strasbourg le 15 mars 1834 et de quatre autres titres inventoriés sous la cote B. Par son testament reçu par le même notaire Stoeber le 19 mars 1832, ladite défunte Dame Müller avait légué à son mari l’usufruit viager de toute sa succession, de manière que de dernier est resté en possession de toute la masse mobilière et immobilière de la succession de son épouse, par suite il y a lieu d’établir ici de décompte de ce qui revient aux héritiers de cette dernière (…)
acp 324 (3 Q 30 039) f° 90 – Ladite succession se compose 1° de meubles, objets mobiliers, marchandises évalués à 1406 francs, 2° des créances 259,3° de la moitié d’une maison grande Rue N° 145. Le passif s’élève à 655
Le défunt a légué par testament reçu Arbogast notaire le 30 mai dernier à Salomé Gerhardt sa ménagère une somme de 500 francs

Les héritiers de Jean Jacques Müller et de Marie Madeleine Kœbelé vendent par adjudication la maison au marchand de laine Charles Vomhoff

1844 (9.8.), Strasbourg 10 (103), Me Zimmer n° 5316
Ont comparu 1. M. Isaac Koebele, peignier, 2. Mme Salomé Koebelé veuve du Sr Louis Rathgeber en son vivant instututeur, les deux demeurant à Strasbourg agissant tant en leur nom personnel que comme se portant fort solidairement de M. Louis Charles Koebelé, ouvrier menuisier demeurant à Strasbourg où il est né le 19 juillet 1825 du légitime mariage de M. Jean Louis Koebelé en son vivant tourneur et de feur Sophie Madeleine Ihmé, conjoints de la même ville, émancipé par son conseil de famille (…), 3. Mr Philippe Charles Wenger, jurisconsulte demeurant à Strasbourg, agissant et qualité de mandataire général de 1) M. Jean Michel Müller ancien drapier, 2) Mme Marie Christine Müller veuve du Sr Bernard Müller en son vivant cordonnier, 3° Mme Susanne Catherine Müller épouse dûment autorisée du Sr Bartholmé Schmerkert drapier, tous demeurant à Michelstadt (grand duché de Hesse-Darmstadt), lesquels comparans désirant vendre par adjudication publique une maison avec ses dépendances sise à Strasbourg grande rue N° 143 plus amplement désignée ci après ont requis ledit M° Zimmer et son collègue de recevoir au présent acte leurs déclarations sur la désignation, la mise à prix, l’établissement de la propriété et l’état hypothécaire (…)
Désignation de la maison à vendre et mise à prix. Une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue N° 145 entre M Besson et le Sr Streissguth, donnant par derrière sur la propriété des héritiers Gross. Elle sera mise à l’enchère sur la mise à prix de 15.000 francs
Etablissement de la propriété. Cette maison dépendait de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre Jean Jacques Muller marchand épicier et Marie Madeleine Koebelé, conjoints demeurant à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé par M° Chrétien Théophile Stoeber, alors notaire à Strasbourg le 15 mars 1837. La Dame Müller décédée en cette ville le 16 octobre 1833 laissa pour seuls et uniques héritiers 1. son père Mr Isaac Koebelé propriétaire en cette ville, 2. M Isaac Koebelé comparant son frère 3. M. Louis Koebelé tourneur demeurant à Strasbourg, également son frère, 4. et Mme veuve Rathgeber comparante sa sœur et ce chacun pour un quart. Le Sr Louis Koebelé décédé à Strasbourg le 18 février 1841 laissa pour seul enfant et unique héritier son fils ledit Louis Charles Koebelé, ainsi que les deux premiers comparans le déclarent. M. Isaac Koebelé père est lui-même décédé laissant pour seuls enfant ou descendans et uniques héritiers le Sr Isaac Koebelé et la Dame Rathgerer comparants, et ledit Louis Charles Koebelé ainsi qu’il résulte d’un acte de liquidation dressé par M° Grimmer notaire à Strasbourg le 12 mai dernier. Enfin Mr Jean Jacques Muller est lui-même décédé en cette ville le 4 juin dernier laissant pour seuls et uniques héritiers ses trois frères et sœurs les mandants de Mr Wenger susnommés ainsi qu’il est établi dans un inventaire dressé par M° Zimmer soussigne en date au commecement du 17 juin 1844. De manière que la maison à vendre appartient aujourd’hui à Mr Isaac Koebelé pour un 6°, à Mme Rathgeber pour un 6°, au mineur Louis Charles Koebelé pour pareille fraction, au Sr Jean Michel Muller également pour un 6°, à la Dame Marie Anne Christine Muller pour pareille fraction et à la veuve Schmerkert pour le dernier 6°
Le défunt Sr Jean Jacques Müller avait acquis cette maison avec son épouse de M Joseph Louis Alexandre Lefèvre, adjudant sous officier dans la légion du Bas Rhin demeurant à Strasbourg et de M. Charles Alexandre Lefevre commis négociant domicilié à Lyon, en vertu 1. d’un cahier des charges dressé par M° Georges Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 27 novembre1816, 2. d’un procès verbal d’adjudication dressé par le même notaire le 4 décembre 1816, 3.et d’un contrat de vente passé devant le même notaire le 23. décembre 1816 pour la somme de 18.400 francs. Cette somme a été payée (…)
L’an 1844 le 4 septembre. M. Charles Vomhoff, marchand de laine a enchéri ledit immeuble à la somme principale de 20.000 francs
L’an 1844 le 4 septembre. ratification
acp 326 (3 Q 30 041) f° 68-v du 13.8. (cahier des charges), acp 328 (3 Q 30 043) f° 61 (adjudication définitive)

Le teinturier Charles Louis Vomhoff épouse Sophie Kolb en 1819
1819 (9.9.), Strasbourg 4 (49), Not. Stoeber aîné n° 4788
Contrat de mariage – Charles Louis Vomhoff teinturier à Strasbourg fils de Georges Louis Vomhoff, sellier, et de Marie Madeleine Carl demeurant rue du bain aux Plantes n° 32
Sophie Kolb fille de feu Georges Kolb, aubergiste, et de Marguerite Barbe Saenger demeurant fossé des Tanneurs n° 17
Enregistrement, acp 144 F° 114-v du 18. 7.bre – communauté d’acquets partageable par moitié

Louis Charles Vomhoff meurt en 1845 en délaissant trois enfants

1845 (13.12.), Strasbourg 8 (68), Me Zeyssolff n° 2939
Inventaire de la succession de feu M. Louis Charles Vomhoff, marchand de laines à Strasbourg où il est décédé le 22 août 1845
L’an 1845, samedi 13 décembre à neuf heures du matin en la maison mortuaire, à la requête et en présence de Sophie Kolb, veuve de Mr Louis Charles Vomhoff vivant marchand de laines à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée, agissant tant en son nom personnel à cause la communauté universelle de biens qui a existé entre elle et feu son mari en vertu de son contrat de mariage ci après analysé et en raison des droits et avantages de survie qu’il lui a assurés, qu’en qualité de mère et tutrice légale de ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec son époux défunt nommés 1° Julie Vomhoff, âgée de 19 ans dix mois, 2° Charles Auguste Vomhoff, commis négociant âgé de 16 as, 2. Dlle Caroline Vomhoff, majeure demeurant et domiciliée à Strasbourgl lesdites Dlles Caroline, Julie et Mr Charles Auguste Vomhoff habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers de M Louis Charles Vomhoff leur père susnommé, 3. En présence de Mr Charles Frédéric Kammerer, Commis principal à la recette de la fondation de St Thomas à Strasbourg où il demeure et est domicilié, agissant en qualité de subrogé tuteur desdits enfants mineurs
(…) décédé en sa demeure à Strasbourg grand’rue N° 145 où se fait le présent inventaire

expédition de son contrat de mariage passé devant M° Stoeber l’aîné lors Notaire à Strasbourg le 9 septembre 1819
Titres et pièces. I. L’expédition du contrat de mariage analysé en l’intitulé du présent inventaires
II. L’expédition d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Zimmer notaire à Strasbourg le 4 septembre 1844 enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 octobre 1844 volume 423 N° 61 et inscrit d’office au Volume 415 N° 223, par lequel les héritiers de Mr Jean Jacques Muller, peignier et de Marie Madeleine Koebelé époux à Strasbourg ont adjugé à Mr Charles Vomhoff marchand de laines en la même ville Une maison sise à Strasbourg grand rue N° 145 moyennant le prix de 20.000 francs (…). A cette pièce se trouvent joints 1° l’expédition d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Zimmer père, lors notaire à Strasbourg le 23 décembre 1816 enregistré, par lequel le sieur Jean Jacques Müller et Marie Madeleine Koebelé susnommés se sont rendus adjudicataires de ladite maison sur Mr Louis Lefèvre de Strasbourg, 2° la grosse d’une obligation (…), 7° l’expédition d’un acte de vente passé à la ci devant chambre des contrats à Strasbourg le 15 janvier 1782, 8° l’expédition d’un acte de vente passé à la susidte chambre le 21 mai 1748, 9° l’expédition d’un contrat de vente passé à cette même chambre des contrat le 10 septembre 1770, 10.° la police d’assurance, adjudant sous officier dans la légion du Bas Rhin demeurant à Strasbourg et Charles Alexandre Lefevre commis négociant suivant deux procès verbaux d’adjudication 27 novembre et 4 décembre 1816 et contrat de vente passé du 23. décembre suivant, les trois actes dressés par M° Zimmer père alors notaire en cette ville, et ce pendant la communauté de biens qui a existé entre entre le défunt et sa défunte épouse Marie Madeleine Koebelé ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé après le décès de cette dernière par M° Théophile Stoeber le jeune, alors notaire à Strasbourg le 15 mars 1834
Communauté. Immeuble. Une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue N° 145 entre M Besson et le Sieur Streisguth, donnant par derrière sur la propriété des héritiers Gross. Les titres de propriété sont inventoriés sous la cote deux pièces une à dix
acp 342 (3 Q 30 057) f° 18-v (déclaration du 7 février 1846 N° 20) Marchandises pour une valeur de 4372, meubles 970, garde robe du défunt 170
La communauté comprend un immeuble consistant en une maison sise à Strasbourg grande rue 145, des créances pour 3760 – Le passif est de 18.000 francs

Le négociant Charles Erckmann vend à Jean Conrad Hochapffel la clientèle attachée à son commerce de pipes établi au 145, Grand rue

1851 (9.7.), Becker (minutes en déficit)
Vente par Charles Erckmann, négociant à Strasbourg
à Jean Conrad Hochapffel, négociant audit lieu
de la clientèle attachée à som commerce de pipes établi grand’rue N° 145 moyennant 230 francs
acp 401 (3 Q 30 116) f° 82-v du 10.7.

Charles Auguste Vomhoff vend sa part de maison à ses deux sœurs Caroline Vomhoff et Julie Vomhoff

1857 (12.5.), Strasbourg 10 (134), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.023
Par devant M° Georges Louis Frédéric Grimmer et son collègue, notaires à Strasbourg, soussignés, M° Grimmer substituant pour cause d’absence M° Louis Frédéric Zimmer, a comparu Mr Charles Auguste Vomhoff, commis négociant, non marié, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel (a vendu)
à Mlles Caroline Vomhoff et Julie Vomhoff, sans état, en jouissance de leurs droits, demeurant et domiciliées à Strasbourg acquéreuses
le sixième indivis d’une maison avec appartenances et dépendances, située à Strasbourg, grand rue N° 145, entre M. Besson et M. Streisguth, donnant par derrière sur la propriété des héritiers Gross (…). La maison ci-dessus désignée dépendait de la communauté universelle qui a existé entre entre feu Mr Louis Charles Vomhoff et dame Sophie Kolb, sa veuve survivante, pour avoir été acquise par eux des héritiers de M. Jean Jacques Müller, peignier et d Marie Madeleine Koebele vivant conjoints à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Zimmer, notaire soussigné le 4 septembre 1844, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 janvier suivant volume 423 N° 61. Après le décès du dit Sr Louis Charles Vomhoff, la moitié du dit immeuble est échu à sa veuve susnommée comme ayant participé pour pareille quotité à la communauté universelle qui avait existé entre ele et son défunt mari et l’autre moitié est échue à ses trois enfants et seuls et uniques héritiers qui sont les Sr et Dlles Vomhoff comparans, ainsi que le tout est établi dans l’inventaire dressé après le décès de M. Louis Charles Vomhoff par M° Zeyssolff notaire à Strasbourg le 13 décembre 1845. Duquel établissement de la propriété les acquéreuses déclarent se contenter, sans exiger d’autre justification. Le vendeur certifie sous les peines de droit, que ladite part d’immeuble lui appartient encore en toute propriété et qu’elle n’est grevée d’aucune dette, rente, privilège nu hypothèque, à l’exception de l’usufruit viager qui compète à Mme veuve Vomhoff susnommée sur la moitié de la part de maison présentement vendue en vertu de son contrat de mariage passé devant M° Stoeber, alors notaire à Strasbourg le 9 septembre 1819, usufruit auquel Mme veuve Vomhoff renoncera ci-après
(transcrit au bureau des hypothèques le 23 Mai 1857 vol. 688 N° 150)
acp 460 (3 Q 30 175) f° 14 du 13.5.

Sophie Kolb veuve Charles Louis Vomhoff lègue sa part de maison à ses deux filles

1866 (23.3.), M° Zimmer
Dépôt du testament olographe de Sophie Kolb veuve Charles Louis Vomhoff
acp 553 (3 Q 30 268) f° 10-v du 24.3.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 143 (3 Q 31 642) f° 87-v du 24.3.1866
Testament, 5 mai 1859 – Je soussigné Sophie Kolb veuve de M. Charles Louis Vomhoff donne par les présentes, par voie de legs, à mes deux filles Caroline et Julie Vomhoff, la moitié indivise à moi appartenante d’une maison située à Strasbourg grand rue N° 9, à condition de payer à leur frère Charles Auguste Voomhoff pour sa part ladite maison la somme de 3000 francs
Pour traduction con forme, le traducteur juré signé Butterlin
dècès du 19 février 1866

Caroline Vomhoff et Julie Vomhoff vendent la maison à leur frère libraire Charles Auguste Vomhoff et à sa femme Barbe Caroline Frühinsholtz

1871 (15.7.), Strasbourg 10 (166), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 2099
Vente. 15 juillet 1871. Ont comparu 1) Mlle Caroline Vomhoff 2° Mlle Julie Vomhoff les deux en jouissance de leurs droits, demeurant et domiciliées à Strasbourg lesquellent ont vendu
à Mr Charles Auguste Vomhoff, libraire et à dame Barbe Caroline Frühinsholtz son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Désignation, une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, petite cour, puits, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, Grand rue N° 119 autrefois N° 145 entre M. Besson et Meyer, par derrière le sieur Mann boucher
Etablissement de la propriété. Cet immeuble dépendait de la communauté universelle qui avait existé entre feu M Louis Charles Vomhoff négociant et feue dame Sophie Koll vivant conjointss à Strasbourg pour avoir été acquis durant celle-ci de 1) Ignace Koebele, peignier, 2) Marie Salomé Koebelé veuve de mesure Rathgeber vivant instituteir 3) Louis Charles Koebelé menuisier, ces trois demeurant à Strasbourg 4) Jean Michel Müller ancien drapier, 5) Anne Christine Müller veuve de Bernard Müller vivant cordonnier, 6) Susanne Catherine Müller épouse de Bartholomé Schmerckert drapier, ces trois derniers demeurant à Michelstadt (grand duché de Hesse-Darnstadt), ainsi qu’il résulte d’un procès verbal d’adjudication dressé par M. Louis Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg, prédécesseur immédiat de M° Koerttgé notaire soussigné, le 4 septembre 1844 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 octobre de la même année volume 423 n° 61 et inscrit d’office le même jour volume 415 n° 223
acp 599 (3 Q 30 314) f° 57 du 17.7.

Le commis négociant Charles Auguste Vomhoff épouse Barbe Caroline Frühinsholtz en 1857
1857 (9.6.), Strasbourg 10 (134), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.067
Contrat de mariage 3 juin 1857 – Ont comparu 1° Mr Charles Auguste Vomhoff, commis négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, né en cette ville le 13 juin 1829 du légitime mariage de feu M Charles Louis Vomhoff et de dame Sophie Kolb sa veuve survivante, futur époux d’une part
2° Mlle Barbe Caroline Fruhinsholtz, sans état, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née en cette ville le 23 janvier1830 du légitime mariage des époux Fruhinsholtz ci après nommés, future épouse d’autre part
3° Mr Charles Fruhinsholtz, tonnelier, et dame Anne Barbe Baer,son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, agissant ès présentes à cause de la constitution de dot qu’ils vont faire ci après en faveur de la dlle future épouse leur fille
acp 460 (3 Q 30 175) f° 87 du 11.6. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent en une valeur de 3847
Ceux de la future épouse consistent en deux cents serviettes estimées à 25
Donation par les conjoints Fruhinsholtz à la future épouse leur fille ce acceptant 1° d’un mobilier estimé à 2032 francs 2) 11 ares 31 terres ban de Schiltigheim section E 80 au canton à Hengelwegn d’un revenu de 45
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession du prémourant

La maison revient à leur fils Paul Georges Vomhoff qui épouse en 1891 Pauline Berthe Wendel, fille naturelle de Frédérique Pauline Wendel née à Ludwigsburg

Mariage, Strasbourg (n° 622)
Strassburg am 27 August 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Buchhändler Paul Georg Nathanael Vomhoff, evangelischer Religion, geboren den 19 Juli des Jahres 1863 zu Strassburg, Sohn des Buchhändlers Carl August Vomhoff und dessen Ehefrau Barbara Caroline Frühinsholtz, beide wohnhaft zu Strassburg 2. die gewerblose Pauline Bertha Wendel, evangelischer Religion geboren den 1. August des Jahres 1867 zu Ludwigsburg (Württenberg), wohnhaft zu Straßburg, uneheliche Tochter der gewerblosen Friederike Pauline Wendel, wohnhaft zu Göppingen (Württenberg). Als Zeugen waren zugezogen und erschienen 3. der Buchhändler Carl August Vomhoff, 22 Jahr alt, wohnhaft zu Straßburg, 4. der Kaufmann Ernst Wendel, 48 Jahr alt, wohnhaft zu Straßburg (i 147)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.