16, rue des Veaux


Rue des Veaux n° 16 – VI 373 (Blondel), O 530 puis section 24 parcelle 25 (cadastre)

Bâtiment latéral ouest surélevé par Jean Frédéric Saum (vers 1773)
Bâtiment sur rue détruit en 1944, reconstruit en 1957 (architectes Charles Edouard Mewès et Gaspard Kœnig)


Façade sur rue (reconstruite en 1957 et rehaussée en 1998-2000, vue en août 2021)
Cour, bâtiment latéral droit et gauche, arcade derrière laquelle on voit le bâtiment vers la rivière (juin 2010)
Façade vers l’Ill (août 2021)
Bâtiment vers la rue (1966, dossier du n° 18, cote 709 W 59)

La maison dont le pavillon vers la rivière est soutenu par des pieux en chêne est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom du gentilhomme Bernard de Lützelbourg. Ses deux fils, l’un au service du prince de Lorraine l’autre à celui du prince électeur de Saxe, la vendent en 1616 à Henri Vagius. Jean Philippe Schatz dont la femme est héritière testamentaire de Henri Vagius cède à titre d’antichrèse la maison au capitaine Adolphe Dümmler et à sa femme Anne Dorothée Glaser qui en devient propriétaire. Le gentilhomme Philippe Albert de Bernhold l’achète en 1667, il est autorisé la même année à faire une avance de trois pieds de large le long du bâtiment arrière vers la rivière qui a 50 pieds. Sur le plan-relief de 1727, le bâtiment vers la rivière est celui qui est le plus clair au milieu de l’image. Le bâtiment latéral à gauche de la cour (à rez-de-chaussée et un étage) est bien visible, de même que sur la vue depuis l’est de l’îlot (haut de l’image). Une tourelle se trouve à la jonction de ce bâtiment et de celui qui longe la rue.
Le capitaine Sigefroi de Bernhold remplace en 1729 deux des pieux qui soutiennent le pavillon d’été. Il aligne sa risberme avec celle de son voisin en 1761. Le marchand de cuirs Jean Frédéric Saum devient propriétaire en 1761. Il charge en 1770 le maître maçon Jean Lingenhœlin de travaux dans le bâtiment latéral gauche puis en 1774 dans le bâtiment latéral droit et dans le bâtiment principal. Il surélève le bâtiment latéral droit puisque des travaux y ont lieu au deuxième étage en 1774 et au troisième an 1777.


Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 203 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (p-q) : porte d’entrée vers l’ouest, suivie de quatre fenêtres, cinq fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour M représente l’arrière (2-3) de la façade sur rue, l’aile gauche (1-2) vers l’ouest, l’aile droite (4-5-6) vers le fond de la cour, le bâtiment (1-6) qui donne sur la rivière et dont la façade sud est représentée à la cour D.
La maison porte d’abord le n° 40 (1784-1857) puis le n° 16.


Cours M et D, plan

Le chirurgien dentiste Albert Burghard fait aménager en 1931 un garage puis réparer l’année suivante le bâtiment arrière dont une partie s’affaisse. Le bombardement aérien du 11 août 1945 endommage fortement le bâtiment avant et l’aile latérale. L’aile latérale droite est reconstruite en 1946 puis le bâtiment avant en 1956 sous la direction des architectes Mewes et Kœnig. Le gros œuvre est terminé en août 1957. Le nouveau bâtiment a un rez-de-chaussée dont les quatre arcades rappellent celles qui se trouvent dans la cour et deux étages à sept fenêtres chacun. La façade est rehaussée entre 1998 et 2000 pour prendre son aspect actuel.


Bâtiment latéral gauche (image Falkenstein, vers 1930, AMS, 1 Fi 99, 365)
Façade vers l’Ill (image Spehner, vers 1930, AMS, 1 Fi 99, 365)
Même bâtiment, vers 1960 (AMS, 1 Fi 155, 459)
Veaux 10 sqq (1003 W 1 n° 549)
Au premier plan, le n° 10, le n° 16 est la quatrième maison (vers 1942, AMS, cote 1003 W 3 n° 549)
Escalier dans l’aile ouest (Rapport de fouille n° 5247, P.A.I.R., mai 2011) – Façade arrière du bâtiment sur rue – Bâtiment latéral ouest (juillet 2022)
Bâtiment à deux étages dessiné par les architectes Mewes et Kœnig en 1956 (dossier de la Police du Bâtiment)


Relevé de la tourelle, 1948, Charles Czarnowsky
Linteau remployé sur la façade du bâtiment ouest (juillet 2022)

août 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Bernard de Lutzelbourg et Véronique de Landsperg puis (1590) Lucie de Reinach veuve de Guillaume Bœcklin de Bœcklinsau – luthériens
1592* h (indivision) Gautier de Lutzelbourg, gouverneur pour le prince de Lorraine à Sarrebourg, et Anne de Wiltz puis Claude Beyer de Boppart
Garnier de Lutzelbourg, veneur et chambellan du prince électeur de Saxe, et Anne de Zetritz puis Odile de Lœzer – luthériens
1616 v Henri Vagius, et (1601) Elisabeth Wolfarth, d’abord (1594) femme de Matthias Roth – luthériens
1631* h Jean Philippe Schatz, marchand, et (1610) Agnès Meyer puis (1629) Anne Botz – luthériens (héritière testamentaire des précédents)
1660 v Adolphe Dümmler, capitaine de cavalerie. et (v. 1641) Anne Dorothée Glaser – luthériens, manants
1667 v Philippe Albert de Bernhold et (1660) Anne Eléonore Zorn de Plobsheim – luthériens
1680* h Sigefroi de Bernhold, capitaine, et (1691) Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre – luthériens
1741 h (indivision) Octavie Sabine de Bernhold, et (1723) Samson Ferdinand de Landsperg
Philippe Geoffroi de Bernhold, colonel, († 1747)
Antoine Sigefroi de Bernhold, colonel, et (1747) Charlotte Sophie Wurmser de Vendenheim Sundhouse – luthériens
1761 v Jean Frédéric Saum, marchand de cuir, et (1758) Susanne Dorothée Rœderer – luthériens
1801 v Frédéric Rodolphe Saltzmann, juriste, libraire, et (1779) Marguerite Salomé Müller – luthériens
1807 v Joseph Arroy, négociant, célibataire († 1840)
1814 b Charles Adam de Lewenhaupt, officier retiré, et (1811) Christiane Charlotte Louise de Strahlenheim
1832 v Jules César Saum, propriétaire, et (1832) Marie Louise Pauline Hecht
1887* h Georges Roth, professeur à l’université, et (1887) Marie Cécile Hecht
1908* Guillaume Weibel
1914* Emile Ruffenach, avocat
1919* Frédéric Emile Jules Schaller, directeur de banque et sa femme née Pabst
1920* Marie Félix Braun, directeur de brasserie, et Anne Marguerite Schaller
1931* Alfred Burgard, chirurgien dentiste

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 5100 livres en 1747, 3000 livres en 1779

(1765, Liste Blondel) VI 373, Jean Fréderic Saum
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Saum, 8 toises, 1 pied et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 530, Saum, Jules César, rue des Veaux 20- maison, sol – 7,2 ares

Locations

1650, Adolphe Dümmler, capitaine de cavalerie (ensuite propriétaire)
1662, (cave) Daniel Eyrer, aubergiste à la Couchette
1675, (cave) Jean Georges Asfalck, marchand
1763, Jean Frédéric Ritzhaub, banquier
1775, Anne Marguerite Rœmer veuve de l’officier Paul Belin Desmarais
1801, Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart, juriste, et Salomé Gombault
1810, 1831, Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs, et Marie Catherine Schmitz
1815, Sophie d’Ichtratzheim épouse de l’officier Balthasar de Schauenbourg
1818, Bernard Michel Jacquet, jurisconsulte veuf de Marguerite Petit
1820, Marie Louise d’Esebeck, veuve de Charles de Closen de Heydenbourg puis de Gustave Henri comte de Strahlenheim

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450), f° 79

Kalbs Gaß Ein seit nach dem Closter Sanct Stephan hinab
Juncker Bernhard von Lützelburg hatt ein Heüßel hinden vff dem Wasser vff zwenen Aichenen Pfäelen 7 ½ schu breÿt und 7 schu herauß, Item Vnden ein Brütsch 9 schu lang und 9 schu breÿt, Item Vornen In Kalbsgassen Lehenende Kellerthür 7 ½ schu breÿt und 3 schu herauß, Soll Allmendt sein und bleiben, Bessert für das Niessen, j lb xiii ß 4 d

Rue des veaux, d’un côté en descendant vers le monastère Saint-Etienne
Le gentilhomme Bernard de Lutzelbourg a une maisonnette sur deux pieux en chêne (7 pieds ½ de long en saillie de 7 pieds) par-derrière vers la rivière, De même en bas un lavoir (9 pieds de long en saillie de 3 pieds), De même une porte de cave inclinée (de 7 pieds ½ de long en saillie de 3 pieds) à l’avant sur la rue des Veaux, Est communal et doit le rester, doit pour la jouissance 1 livre 13 sols 4 deniers

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1667, Préposés au bâtiment (VII 1360)
Les préposés autorisent Philippe Albert Bernhold à faire une avance de trois pieds de large sur les 50 pieds que fait le bâtiment arrière vers la rivière, moyennant 30 florins réglés en capital sur la Tour aux deniers. Il est en outre autorisé à ajouter un étage au même bâtiment.

(f° 72) Donnerstags den 1. Aug. – Jr Stettmstr. Stettmeistr. Bernolt. Ußstoß
Augenschein eingenommen in Jr Stettmstr. Philipp Albrecht Bernolts erkauffter in der Kalbßgassen gelegener Behaußung da er begehrt, d. Ihme erlaubt werden möchte in deßen hindern stock gegen dem Wasser Welcher 50. schue lang ist, einen Vßstoß zue machen 3. Werckschue hienauß vber d. Wasser. Weilen er entschlossen bessern wohlstandts halben solchen hindern stock oder gebauw umb ein stockwerckh Zuerhöhen. Weilen nun sich befunden d. gesuchte Vßstoß gegen dem Wasser Niemand hinderlich, vnd die erhöhung dießer Stockwercks eine mehrere Zierat, Alß ist Erkandt wie hernacher fol. (-) Zuseh.

(f° 77-v°) Dinstags den 13. Eiusdem [Augusti] – Jr. Bernholdt. Ußstoß
In sachen Jr Philipp Albrecht Bernholdts stettmstr. ist vff eingenommenen und referirten augenschein Erkandt, würdt Ihme in seinem begehren deß Außstoßes halben gegen dem Wasser hiemit Willfahrt, doch d. Er dafür dem fisco 30. fl. Zubezahlen schuldig sein solle. – Seindt mit Pfthrns. Zinßen compensirt den 13. febr. 1668

1729, Préposés au bâtiment (VII 1393)
Les préposés autorisent le menuisier Jean Georges Zimmermann, au nom de Sigefroi de Bernhold, à remplacer par de nouveaux deux des pieux qui soutiennent le pavillon d’été et que les glaces ont emporté

(f° 192) Donnerstags den 30. Ejusd. [Junÿ 1729] – Herr General Sigfrid von Bernold wegen allmends
Herr General Sigfrid von Bernold laßt Mghhn. durch Meister Johann Georg Zimmmern, den Zimmermann ersuchen, weilen das eiß an Seinem hinter Seiner in der Kalbsgaßen liegenden wohnung befindlichen Sommerhäußleins, so auf pfählen stehet, Zween davon weggenommen, Ihme zu erlauben an deren platz, zween andere schlagen zu laßen. Erk. gebettener masen willfahrt.

1761, Préposés au bâtiment (VII 1409)
Les préposés autorisent Sigefroi de Bernhold à ravancer sa risberme selon le même alignement que son voisin Jean Jacques Rœderer (futur n° 14) à condition de ne pas y construire de bâtiment sans autorisation

(f° 118-v) Dienstags den 10. 9.bris 1761 – Jr Sigfridt von Bernholdt
Jr Sigfridt von Bernholdt Läßet durch Johann Jacob Röderer dem Rothgerber umb erlaubnuß bitten mit seiner Landvest hinter seinem an der Kalbs: gaß gelegenen hauß in der nemblichen flucht wie H. Röderer seine darneben gemacht auff die Preusch herauß zu fahren. Erkannt, gegen einmahliger bezahlung willfahrt, sub conditione daß er Kein Gebäu darauff setzen solle ohne erhaltene erlaubnus Von Mghh. und soll H. Werner der Bau Inspector die flucht außstecken.

1762, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Les préposés autorisent Sigefroi de Bernhold à construire la risberme en pierres de taille moyennant un loyer annuel de cinq sols

(f° 2-v) Sambstag den 16. Ejusdem [Januarÿ 1762] – Jr. Sigfried von Bernholdt u. Joh: Jacob Röderer
An Jr. Sigfried von Bernholdts hauß an der Kalbsgaß alwo Joh: Jacob Röderer der Rothgerber mand. nôe. um erlaubnus gebetten eine Landvest von quadersteinen hinten auff das waßer in der nemblichen flucht von seiner Röderers oben darneben auffzuführen und zu solchem end auff die breusch hinauß zu fahren Erkannt, gebettener maßen willfahrt gegen erlag 5 ß d jährlichen bodenzinßes.

1771, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le marchand de cuir Saum est autorisé à ouvrir de nouvelles croisées et à en modifier d’autres.

(f° 71) Dienstags den 5. Martii 1771 – Hr. Saum, der Lederhändler
Hr. Saum, der Lederhändler, bittet zu erlauben an seinem haus in der Kalbs gaß gelegen Kreutzstöck ausbrechen und verändern zu dörfen. Erkannt, Willfahrt.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Jean Lingenhœlin expose les travaux que le marchand de cuirs Jean Frédéric Saum a l’intention de faire dans le bâtiment latéral gauche à l’arrière de sa cour : fourneau dans la cuisine au rez-de-chaussée, cheminée à la française dans la chambre du premier étage vers la cour

(p. 210) Mittwochs den 14. Junii 1770. – H Johann Friderich Saum der Lederhändler will in seiner in der Kalbsgaß gelegenen behausung hinden im hof lincker hand im flügel au rez de chaussée eine Kuchen gegen dem hoff neben der Steeg mit herd und Caminschoß machen, das rohr am steinen gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im nemlichen flügel im ersten stock eine Cammer gegen dem hof mit einem französischen Camin und Gewölb wohl versehen setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt – Mr Linckenhölin

Jean Frédéric Saum charge le maître maçon Jean Lingenhœlin de faire des travaux dans l’aile droite en plaçant des fourneaux dans le poêle à l’étage, dans les cuisines au premier et au deuxième étage, dans le poêle du deuxième étage. Dans le bâtiment principal, dans les deux poêles et dans une chambre au deuxième étage.
(p. 306) Freÿtags en 22.ten Aprilis 1774 – Herr Johann Friderich Saum, der Lederhändler will in seiner in der Kalbsgaß gelegenen behausung in dem flügel rechter hand im ersten stock eine Stube mit einem runden ofen setzen, hinden daran im Vor Camin auf ein gewölb Wohl versehen, das rohr mitten durchs gebäu, von allem holtz entfernt. Der Zweÿte stock ist diesem gleich.
In dem ersten und Zweÿten stock im nemlichen flügel jedes mal eine Kuchen Gegen dem hof mit Herd und Camin Schoß machen, die rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im Zweÿten stock im nemlichen flügel eine Stube gegen dem hof, hinden daran im Vor Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
In dem haupt gebäu im Zweÿten stock Zweÿ Stuben gegen der gaß, hinden daran ein Vor Camin auf ein gewölb ruhend, wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im nemlichen stock im haubt gebäu eine Cammer gegen der gaß mit einem frantzösischen Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf, von allem holtz entfernt. Erkandt, durch aus Willfahrt, mit dem anhang alß alle Vor Camin thürlein mit Eisenblech beschlagen werden. – Mr Linckenhölin

Jean Frédéric Saum charge le maître maçon Jacques Ferdinand Hertelmeyer de travaux dans la cuisine au troisième étage de l’aile droite
(p. 436) Mittwochs den 11.ten Junii 1777. – H Saum der Lederhändler will in seiner ane der Kalbsgaß gelegenen behaußung in nebens gebäu Rechter hand im Hoff im dritten stock eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen machen das Rohr an steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkand willfahrt – Mstr Härtelmeÿer

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue des Veaux

nouveau N° / ancien N° : 22 / 20
Loewenhaupt
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 186 case 3

Saum Jules Cesar rue des veaux N° 20

O 530, maison, sol, R. des veaux n° 20
Contenance : 7,20
Revenu total : 575.75 (572 et 3,75)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 90 / 72
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 16 case 1

Saum Jules César
1887/88 Hecht Marie Cäcilie, Fräulein
1889/90 Roth Georg Universitätsprofessor & Frau Maria Cäcilia Hecht

O 530, maison, sol, Rue des Veaux 16
Contenance : 7,20
Revenu total : 575.75 (572 et 3,75)
Folio de provenance : (186)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 90
fenêtres du 3° et au-dessus : 8

Cadastre allemand, registre 30 p. 315 case 5

Parcelle, section 24, n° 25 – autrefois O 530
Canton : Kalbsgasse Hs. Nr. 16
Désignation : Hf, 2 Whs u NG
Contenance : 7,22
Revenu : 4600 – 4300
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 1015
Roth Georg Ehefrau
1908 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 1418
Weibel Guillaume
1935 clos

(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 4095
Ruffenach Emil Rechtsanwalt
1919 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1919), compte 4238
Schaller Friedr. Emil Julius Bankdirektor und Ehefr. geb. Pabst in Gg.
1920 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1920), compte 4293
Braun Marie Felix Dr. jur. Brauereidirektor Ehefrau Anna Margaretha geb. Schaller
1931 Burgard Alfred chirurgien dentiste et son épouse
(1028)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, Rue 189 des Veaux

20
Prop. Saum, Joseph, frederic, negociant – Marchands
Loc. Jacquet, Jean Michel, Repetiteur en droit – ni b. ni m.
Loc. D°. Blain, anne, veuve – ni b. ni m.
Loc. Stridbeck, Jean geofroid, graveur – Echasses
Loc. Dlle Le Riche, fille – ni b. ni m

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 189 des Veaux p. 336

20
Pr. Saum, Joseph, frederic, Negociant – Miroir
Lo. Jacquet, Jean Michel, repetiteur en droit
Lo. Belain de Marais D° Anne, veuve
Lo. Stridbeck, Jean Geofroid, graveur – Echasses
Lo. Le Riche, fille

Registres de population

(1795) 7° section, Rue des Veaux N° 20 (registre 600 MW 7) – légende

Jn. Frederic Saum, 66, Marchand de Cuir, Strasb.
M. Madeleine Granau, 30, Servante, id
P. Stanislas Commart, 62, homme de lettres, Valenciennes, 1756
Salomé Gombault, 49, Epouse, Strasb.
Eugenie Commart, 24, file, id
Joséphine Commart, 23, fille, id
Hipolyte Commart, 20, fils, id
Louis Commart, 15, fils, id
Louis Commart, 14, fils, id
Barbe Gombault, 57, belle sœur, id
Louis Gombault, 55, id, id
Catherine Gombault, 42, id, id
Marie Anne Satler, 43, Servante, Ruffach, 1786
Cecile Braun, 20, Servante, Strasb.
Bernard M.el Jaquét, 58, Juge de Paix, Guebwilller, 1759
Anne Marie Rothann, 66, Cuisiniere, Strasb.
Salomé Bieth, 40, Servante, id
M. Madeleine Müller, 35, Epiciere, id
Fred. Guillaume Müller, 13, fils, id
M. Madeleine Lehmann, 40, Servante, Vesthoffen, 1783
Auguste Gremp, 35, Veuve, Stuttgardt, 1789
Louis Gremp, 14, fils, id
Frédéric Gremp, 12, fils, id
Louise Steckiner, 30, Servante, Andlau, 1791
Catherine Seldner, 37, Servante, Oberotterbach, 1787

Registres de population

(1798) 4° Arrondissement, VII° Section, rue des Veaux n° 20 (registre 600 MW 19) – légende

Jacquet, Michel, homme de loi, 60
Rothan, Marie, Cuisiniere, 67, Strasbourg
Bieth, Salomé, Servante, 43, id – [les trois précédents] delogés
Jean Leonard Roederer, march. tanneur, 21 ½, Strasbourg
Marie Elisabeth née Roederer sa femme, 24, Wasselonne, 3 ans
Leonard Charles Roederer son fils, 1
Jean Pierre Beniere*, son Compagnon, 17, de Paris, 9 mois
Marie Agathe Treiber, Servante, 24, de Stouttgardt, 5 [mois]
Joseph Guilain Commart, homme de loi, 63, Strasbourg
Salomé Gombault, sa femme, 51, id
Eugenie Commart, (leurs enfants), 27, id
Joséphine Commart, (leurs enfants),fille, 24, id
Hipolite Commart, (leurs enfants),22, 6 mois, id
Louis Commart, (leurs enfants),17, 6 M, id
Alexandrine Commart, (leurs enfants),16, id
Barbe Gombault, (leurs Belles sœurs), 59, id
Louise Gombault, (leurs Belles sœurs), 57, id
Catherine Gombault, (leurs Belles sœurs), 42, id
Magdeleine Kirtzing, Cuisiniere, 30, id
Marie Chopinet, Servante, 20, id – [les deux précédents] delogées
Ignace Scharenberger, Jardinier, 42, de Sultz
Catharina Schultz, sa femme, 25, Strasbourg
Teres Scharenberger, (leurs enfants), 3 ½, id
Françoise Scharenberger, (leurs enfants), 1 ½
Teres Rieffer, leur niece, 13, de Sultz
(25)
[verso]
Schremling, Marg.te, Servante, 44, Strasbourg – E. le 1. nivose 7, Est allé Finckweiller 3
Baudouin, Elisabeth, Servante, 25, Sarrebourg – id.
Wiver, Jn. Nicolas, Artiste, 66, Noenes* – id.
Laugier, Amélie, Enseigne, 47, Marlenheim – id.
Biotte, f.ois Antoine, Quart. Me. des Gendarmes, 25, Strasbourg – id.
Biote, Xavier, 35, Strasbourg – id.
Herrenschneider, Cath., Domestique, 16, Fegersheim – id.
Dusauget, Louis, Conduct. d’artill., 52, Pontamousson
Hugot, Adelaide, sa femme, 39, Vesly
Dusauget, Louis, leur fils, 18, Abbeville
Dusauget, Adelaide, leur fille, 15, Joinville
Dusauget, Edme, leur fille, 15, Perthes
Dusauget, Henriette, leur fille, 6, Momel
Gross, Off. de santé du 3° C.e, 22, Sarrebourg – E. le 27 Frim.
Houchard, Eleve du Génie, 18, Sarrebourg – id.
Reboulat, Bernard, Employé militaire, 31, Dijon – E. le 14 G.al 7 de la rue des Echasses 3
Litty, Catherine, sa femme, 23, Strasbourg – id.
Reboulat, Victor, fils, 4 mois, id – id.
Litty, Joseph, leur frere, 15 mois, id – id.
Litty, Martin, leur frere, 11 mois – id.
Huy, Marie Anne, Ouvriere, 26, Erstein – id.
Wamst, Marie Anne, Servante, 46, Niederbronn – id.
Kuhn, Elisabeth, femme divorcée, 39, Lichtemberg – id.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kalbsgasse (Seite 74)

(Haus Nr.) 16
Lau, Schuhmachermstr. 0
Breitenstein, Pfarrer. 1
Dr. Nöldeke, Univ. Prof. 01
Frhr. v. Bibra, Ministerialrat a. D. 02
Frhr. v. Bibra, Reg.-Ass. 2.
Frhr. v. Bibra, Refer. 2.
Schneider, Rentnerin. 2.
Dorn, Oberpostschaffner. H 0
Kühnen, Rentnerin. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (947 W 33)

Albert Burghard fait aménager en 1931 un garage dans un des bâtiments par les entrepreneurs P. Guri et E. Meyer qui réparent l’année suivante le bâtiment arrière dont une partie s’affaisse. Le bombardement aérien du 11 août 1945 endommage fortement le bâtiment avant et l’aile latérale. L’aile latérale droite est reconstruite en 1946 puis le bâtiment avant en 1956 sous la direction des architectes Mewes et Kœnig, le gros œuvre étant terminé en août 1957 sans que la corniche corresponde aux plans.

Autres dossiers
1198 W 2414, demande de renseignements, 1998
1198 W 1378, AP, 1998
1308 W 836, ravalement, 2000
1331 W 210, extension, 1998-2001
1687 W 316, ravalement, 2010-2011

Sommaire
  • 1867 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Saum l’autorisation de faire une prise de gaz pour deux becs
  • 1883 – Le maire notifie le propriétaire de faire faire une fosse au lieu de rejeter les excréments humains dans l’Ill – Décembre, le conduit vers l’Ill ne sert plus qu’aux eaux de pluie et à des eaux usées
  • 1891 – Le maire notifie le propriétaire, Mme Hecht, de faire ravaler les façades.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence les volets du rez de chaussée et de la cave – Les modifications ont été faites, juillet 1896
  • 1907 – Les peintres Beck et Schmidt demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
  • 1912 – La chute d’une cheminée a endommagé le toit du n° 18 – Réparations
  • 1913 – L’avocat Ruffenach demande l’autorisation de poser une plaque professionnelle – La plaque sans saillie est posée.
  • 1915 – Rapport de la Commission militaire des logements. Les travaux de raccordement aux canalisations sont en cours. Travaux terminés, août 1915
  • 1917 – La marchande de modes Eugénie Streicher demande l’autorisation de poser une enseigne émaillée – Accord
  • 1917 – Modification de la cheminée après un incendie – Les modifications ont été faites, octobre 1918
  • 1922 – Des fragments de crépi tombent du mur mitoyen vers l’Ill sur la propriété du n° 18 – Le propriétaire, le directeur de brasserie Braun, demande l’autorisation de poser un échafaudage
  • 1931 – Albert Burghard (propriétaire demeurant 1, rue de Zurich) demande l’autorisation d’aménager un garage dans un bâtiment existant (entrepreneur, P. Guri et E. Meyer, 4, rue des Balayeurs) – Autorisation. Calcul statique, plan de la parcelle, dessin – Travaux terminés, juin 1931 – Permis d’occupation, juin 1931
  • 1932 – La Police du Bâtiment constate que le propriétaire Burghardt fait faire des travaux sans autorisation – Demande d’autorisation – L’entrepreneur P. Guri et E. Meyer expose que la façade du bâtiment arrière s’est en partie affaissée, il y a des champignons au fond de la cour – Autorisation – Extrait du plan cadastral – Calcul statique – Le voisin Henri Bertrand qui n’a pas donné à l’entrepreneur l’autorisation de faire les travaux sur son terrain propose un compromis – Gros œuvre terminé, octobre 1932 – Permis d’occupation à délivrer, mars 1933, n’a pas été délivré, idem
  • 1945, 1947 – Les bâtiments ont été endommagés par le bombardement aérien du 11 août 1945. Certificats de sinsitré délivrés à Charles Lœgel (deuxième étage, maison entièrement détruite), Albert Blæs, Gabrielle Felzinger (premier étage, inhabitable), Jeanne Herrmann (premier étage, maison entièrement détruite), Keser (premier étage, inhabitable), A. Burghard, Joseph Muller
  • 1946 – Le maire fait part au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme que l’aile latérale droite du bâtiment avant menace de s’écrouler, le bâtiment arrière étant intact (rapport du 2 juin 1946). Le M.R.U. répond que le retard est dû à l’architecte du propriétaire – Les travaux de reconstruction de la maison arrière sont terminés et correspondent aux prescriptions de la Police du Bâtiment, novembre 1946
  • 1956 – L’entreprise de construction Barbier-Kientz est autorisée à occuper la voie publique pour le compte du propriétaire Burghard
  • 1956 – Projet de reconstruction de l’immeuble sinistré (partie sur la rue) par les architectes Mewes et Kœnig – Extrait du plan cadastral – La corniche de la toiture devra se retourner du côté latéral pour éviter que le mur pignon ne soit trop haut, une servitude de gouttière est donc nécessaire – Permis de construire délivré par le Ministère de la Reconstruction et du Logement – Gros œuvre terminé, août 1957 – La corniche de la toiture n’a pas été exécutée comme prévu (croquis) – Commentaires de la Police du Bâtiment, compte tenu que le pignon est en arrière de l’alignement légal et que l’école est volontairement à distance de l’alignement légal – Certificat de conformité délivré par le directeur départemental du ministère de la reconstruction, 8 septembre 1959.
  • 1961 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire ravaler le pignon qui donne vers l’école voisine – Le propriétaire répond qu’il a consenti à détruire un débarras en saillie moyennant que la ville crépisse le mur – La Ville propose de poser un treillis à garnir de plantes – Travaux achevés, juillet 1962
  • 1969 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire ravaler le mur sur l’Ill – Demande adressée au nouveau propriétaire, Herrmann Frères
    1970 – Projets du nouveau propriétaire, Edouard Helwig
    1971 – Autorisation d’occuper la voie publique par un échafaudage – Travaux intérieurs. Façade ravalée, septembre 1971
  • 1982-1984 – Le propriétaire Edouard Helwig demande l’autorisation de réparer le toit, crépir et peindre les murs – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le propriétaire demande une subvention à la Ville – La ville acccorde une subvention pour la peinture parce que la cour est visible de la rue – Coupure de journal – Factures

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2265)

Alfred Burghard déclare les dommages dus aux bombardements du 11 août 1944. Sept des onze appartements sont inhabitables (bâtiment avant et aile latérale)

Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 47
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Kalbsgasse 16
Burghard Alfr.
Quartier : Place de la Cathedrale

Stadt Straßburg, Amt für Sofortmassnahmen bei Bomben- und Brandschaden
Ortsgruppe : Ums Münster
Anwesen : Kalbsgasse Nr. 16
Fliegerschaden vom 11. 8. 1944

Anmeldung von Fliegerschaden an Gebäuden
Der Unterzeichnete meldet hiermit den nachstehenden Fliegerschaden an und bittet um dessen Feststellung
Anwesen : Kalbsgasse Nr. 16
Eigentümer : Burghard Alfred Kalbsgasse 16
1. Gebäudebeschrieb : Vorderhaus, Seitenbau, Hinterhaus
2. Beschädigte Gebäudeteile : Vorderhaus, Seitenbau
3. Durch welche Kriegeinwirkungen ist der Schaden verursacht worden ? Sprengbomben
4. Art der Schäden : Totalschaden
5. Anzahl der vorhandenen Wohnungen usw.
Wohnungen : 11, bewohnbar 4, unbewohnbar 7
Geschäfte –
Werkstätten –
Garageräume –
Stallungen –
Grund, weshalb unbrauchbar bezw. unbenutzbar : Einsturzgefahr
Ich versichere, die obigen Angaben nach bestem Wissen und Gewissen gemacht zu haben. Es ist mir bekannt, dass falsche Angaben bestraft werden.
Strassburg, den 17 8. 1944
Unterschrift : Alfred Burghard
Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 46
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Kalbsgasse 14
Schuster Otto
Quartier : Place de la Cathedrale


Relevé d’actes

Bernard de Lutzelbourg est propriétaire de la maison dans le Livre des communaux de 1587. Il épouse Véronique de Landsperg puis (1590) Lucie de Reinach veuve de Guillaume Bœcklin de Bœcklinsau. Il meurt en délaissant deux fils et deux filles (voir les actes suivants) La maison revient à ses fils Gautier, successivement marié avec Anne de Wiltz et Claude Beyer de Boppart, et Garnier, successivement marié avec Anne de Zetritz et Odile de Lœzer.

Mariage, cathédrale (luth. p. 177)
1590. Dominica 11. post Trinitatis. 28. Junÿ. Der Edel und Vest Bernhard von Lüzelburg, So die Edel Ehrn vnd tugendreiche fraw Lucia Böcklerin von Böcklinsaw, Ludwigen von Reinach selig. tochter weiland des auch Edlen vnd Vesten Wilhelm Böcklin von Böcklinsaw nachg. wittfraw. Eingesegnet Montags den 13.t Julÿ (i 92)

Bernard de Lützelbourg épouse Véronique de Landsperg, fille de Sébastien de Landsperg et d’Anne de Rathsamhausen Ehnwihr, dont
Gautier, épouse Anne, fille de Jean de Wiltz, gouverneur de Thionville et de Claude Beyer de Boppart
Garnier, grand veneur de l’électeur de Saxe
Béatrice, épouse (1576) Jean Schweickart de Sickingen
(Lehr, L’Alsace noble, p. 330)

1) Elisabeth, † 1614. Sie heiratete im Jahre 1581 den Oberamtmann und Rat zu Saarbrücken Johann Nikolaus von Hagen, † 14. Aug. 1622, Sohn von Johann von Hagen und Beatrix Zandt von Merl;
2) Friedrich erwähnt 1589;
3) Werner, verheiratet in 1. Ehe mit Anna von Zetritz und in 2. Ehe mit Odilia von Loezer;
4) Beatrix, † 22. Febr. 1610 in Ebernburg. Sie heiratete am 27. Mai 1575 Ernst Johann Schweikhard den Älteren von Sickingen, † 13. Sept. 1589 zu Ebernburg, Sohn von Franz Konrad von Sickingen und Maria Luzia von Andlau;
5) Walther, verheiratet in 1. Ehe mit Anna von Wiltz, noch 1621 erwähnt und in 2. Ehe mit Anna Margarethe von Eltz. (référence)

1592, Protocole des Quinze (2 R 21)
On découvre dans la maison du défunt Bernard de Lutzelbourg trois grands coffres qui doivent contenir de l’argent. Le gentilhomme Bœcklin en fait part aux Quinze pour éviter que cet argent sorte de la ville. Le gentilhomme Prechter demande en avril la conduite à tenir pour encaisser au mieux les droits qui reviennent à la ville si les héritiers, dont l’un habite en Saxe, se partagent la succession. Les héritiers font dresser l’inventaire réglementaire mais les fils s’opposent à ce que les titres qui se trouvent dans la maison Landsperg soient inventoriés, en alléguant qu’ils ont trait à des possessions lorraines dont leur père leur a fait donation. Les fils se sont accordés à ce sujet avec leurs sœurs et leur neveu (Sickingen et Rumroth). L’inventaire est suspendu jusqu’à ce que les héritiers aient produit la donation. Bœcklin rapporte en septembre que les héritiers s’efforcent de fournir tous les documents. L’affaire sera close seulement quand les héritiers auront réglé les droits de détraction.
J Bernhardt von Lützelburg. 40. 49. 72. 129.
(f° 40) Sambstag den IIII Martÿ – J Bernhard von Lützelburg
J. Böcklin Zeigt an, Nach dem Bernhardt von Lützelburg mitt todt abgang. seÿ er alß vogt seiner stieffdochter Zu Bernhard von Kageneckh vnnd Friderich Bocken erfordert, alles versecretiren helffen, haben Inn einem gewölb dreÿ große eÿßere trög vnd Zween eÿsen stöck befunden, vermeint man sÿ seÿen voll geltts, hab ers mein herren wöllen anzeigen, ob vff mittel Zu gedencken, das solch geltt nicht auß der Statt ettwan Inn Lothring. geführt vnd wider vnns od. vnsere Religions verwandte gebraucht werden möchte, ob villeicht mein H, das geltt vff dem pfenningthurn Zunehmen vnnd ein Jar Zweÿ anstatt des Abzugs vergebens brauchten. Item hab er auch mitt H. Beinheimen daruon geredt, dieweil Lützelburger seliger ein Zehenden vnnd Zoll Zu Waßlenheim hatt, so zwischen mein herren vnnd Ime Zu Zeitten spann gegeben, Ob man Jetzo vmb solchen Zehenden handlen möchte vnnd denselben Zu der Statt handen pring. der ein Sohn wohnt Zu Sarburg, der ander ist am Säxischen hoff, könte auch des Abzugs halben bedacht werden.
Erkandt das geltt belangendt soll J. Hans Conrad Böcklin der sachen wahrnehmmen, so die theilung fürgenohmmen was man mitt dem geltt wollte fürnehmen, solches mein Hn berichten vnnd dieweil sÿ ohn Zweiffel auch des abzugs halben werden ansuchen, soll man des Zolls vnd Zehenden Zu Waßlenheim eingedenck seÿn, ob man darumb könte Inn handlung kommen.

(f° 49) Sambstag den Ersten Aprls. – Bernhard von Lützelburg
J. Prechter Zeigt an, dieweil er Inn erfahrung pracht das Bernhardt von Lützelburg selig. erben vff den 26. diß hiehör beschriben, auch ohn Zweiffel abtheilen werden, mein h. auch ein feder von der ganss möcht werden, dieweil einer Im landt Zu Sachßen wohnet, Hatt er für gutt gehaltten, das mans möchte dahien richten, das es Zuuor bedacht, vnnd dieweil meiner H. Aduocaten von beden theilen sollen darzu erpetten seÿn, das Ihnen möcht Zugesprochen werden, wie auch D Gerbelio, das die Aduocaten nichts thäten so mein h. Zu nachtheil gereichen möcht, Item D Gerbelius auch, der Inn Doctor Keÿsers abzug die erben soll angewißen haben, vmb milterung des abzugs anzusuchen, die sonst weren guttwillig gewesen, den Zehenden pfenning Zuerstatten, dann so deß ortts ettwas nachgegeben würde, möchten die Grempischen erben mein Hn auch wider ein unrhue machen.
Erkant, B Mr. sollen die dreÿ Aduocaten vnnd D Gerbelium erfordern, Ihnen den casum anzeig. vnnd beuelhen sich Zuberhatschlag. was Zuthun, damitt mein Hn kein unrhue gemacht vnnd d. Statt werde was Ihr gebürt, D. Gerbelius würdt wissen nach zusuchen beÿm Cleinen Rhat.

(f° 72) Sambstag den XXVIII Maÿ – J. Bernhart von Lützelburg
Der Rhatschreiber bringt für, die Lützelburgischen erben haben Ihme vor dißen durch D Steffan laßen ansprechen, sich Zur Inventation gebrauchen Zulaßen, er erstlich abgeschlag. letstlich bewilliget, souil er seiner Amptgeschefft halb. berichten könne, Wie sÿs auch Zur selbig. Zeitt fürgenohmen, vnd nach dem man Zusammen kommen, daruon geredt, wie die Inventation fürzunehmen, seÿ Ime durch Emanuel Goldern Im Lützelburger hoff angezeigt, daß Mathiß von Gotteßheim vnnd noch ein herr Ime bevolhen anzuzeig. das meine Hn Rhät vnnd XXI erkandtnuß seÿ, das die Lützelburgischen erben ein ordentlich Inventarium sollen vffrichten alles was darein gehört, darein bring. vnd den erbfall vor dem Cleinen Rhat außnehmen denen es angezeigt, die sich erpotten, der Erkandtnuß nachzusetzen, ein ordenlich Inventarium vff zurichten, dabeÿ ers müßen bewenden laßen haben daruff die Inventation fürgenohmmen haußrhat, silbergeschirr, barschafft, ligende güeter, Zinß vnd gültten alles ersuchen laßen vnnd alß man auch Im Landsperger hoff die brieff ersuchen sollen, habens die Söhne nitt bewillig. wollen, gesagt, das es die brieff so über die Lottringische lehen, die Ihr vatter Ihnen per modum donationis inter vivos übergeben, seÿen nuhn dreÿ Jar Inn poßeß, Doctor Sturtz beuelchhaber der Sickingischen vnd Rhumroth es widersprochen, wie auch J. Böcken von weg. seiner Vogtsdochter einredt gehabt, müßen die donation besichtig. Jene es bestritten, das sÿ nicht Inns Inventarium gehörig, daruff man sich verglichen, die Inventation einzustellen, bitz die donation exhibirt vnd besichtiget, Item schaffner alle Ire Rechnung. vff Johannis gethan, damitt das Inventarium ergentzt. Dieweil man sÿ dann nicht weitters treiben können, hab ers müß. pleiben laßen. Inn mittels von Bittelbron gehört, das die brüder mitt den schwestern vnnd schwester Kindt verglichen, wie der vertrag soll vor Rhat bestetigt werden. J. Böckel Ihne bericht, das die Lützelburgischen nicht willens, die Inventation ferner Zu continuiren, habs mein H. sollen anzeig., stells Zu mein Hn was sÿ erachten, das man ferners Zuthun schuldig, sollen billich das Inventarium ergentzen, das mein Hn Ihr abzug mög werden Ob mein h wöllen content seÿn, od. Ihnen vffleg. [f° 73] dem Jenig. so Ime beuohlen, nach Zukommen, vnnd ein vollkomlich Inventarium Zumachen, od nicht, das stehe Zu mein herren.
J. Böckel referirt wie d. Rhatschreiner, Item wie die Vergleichung beschehen mitt den schwestern vnd Rhumrath, durch nidergesetzte vom Adel vnd die Doctores. Were die donatio Zubesichtig. ob sÿ crefftig od. nicht, dann mein H vnnd sein vogts dochter Ihr Interesse dabeÿ, seÿ Vil gutts dings Inn den Kösten, nicht allein von lehen, sonder auch eigenthümliche dörffer vnd anders Inn Lottring. das vonnöthen solches Zuersuchen, Item so greiffen die brüder Inn die baarschafft, Zalen darauff die schwestern vnnd den Rhumroth, gleichwol wöllen sÿ gutt darfür seÿn, so man abzug dauon schuldig.
Erkandt, dieweil mein Hn Inn geringer anzal, die sach beÿ Rhät vnd XXI tractirt, Soll man deù Rhatschreiber sag. das er sein fürpring. per modum supplicationis enstelle, vnd für Rhät vnd XXI pringe, wöll man sehen, das er audientz bekomme, Inn mittelst nichs von handen laßen.

(f° 129) Sambstag den IX Septembris – J. Bernhart von Lützelburgs erben
J. Böcklin Zeigt an, das die Lützelburgische Erben allen fleiß anwenden, brieffliche verkhünden vnnd was noch hie ist, hienweg Zupring. wo es geschiht, so werdt mein herren nichts oder wenig für den abzug, were den schaffnern (.Friderich Zornen, Jacob Meÿern, Johann Edling.) Zugebietten, beÿ Ihren burgereÿden nichts von handen zugeben, bitz vff meiner herren weitteren bescheidt.
Erkandt Bede Mr. sollen die schaffner fürderlich beschicken vnnd Ihnen beÿ Ihren burgereÿden gepietten nichts auß handen volg. Zulaßen, bitz die Lützelburgische erben des abzugs halb mitt mein h. verglichen, vnnd soll man nichts überstehen, damitt die Grempischen erben nicht ursach sich Zubeclagen.

1605, Protocole des Quinze (2 R 33)
Veneur du prince électeur de Saxe, Garnier de Lutzelbourg va venir à Strasbourg. Les Quinze fixent le droit de manance à huit livres, ce qu’il trouve trop élevé. Il estime pouvoir donner six livres et une livre en sus, ce qu’acceptent les Quinze.
J Werner von Lützelburg. 89. 97. 99.
(f° 89) Sambstag den 20. Aprilis. – J. Werner von Lützelburg
Frantz Piering Schaffner J. Werner von Lützelburg Churf. Sachsischen Jägermeisters p. Disdorpium, Er hab seinen Junckern das Mandat saltzgelts halb überschickt, der sich erclärt, das er Inn kurtzem seiner nottwendigen geschefft halb herkommen werde, wöll er sich alß dann mitt mein herrn Vergleichen, das sÿ content seÿn werden, dieweil er aber Inn seinem hoff werd. einköhren, hab er des Junckern erclärung mein Hn. fürpringen sollen, Wöll verhoffen, man werd sich den einzüg nicht laßen Zuwider seÿn.
Erkandt, dem Schaffner anzeig. man laß den Junckern beÿ seinem erpietten verpleiben, er mög Inn seinem hoff ein Zieh. Wann er aber herkombt, Soll es d. schaffner anzuzeig. schuldig seÿn Mr.

(f° 97, 97-v) Mittwoch den VIII Maÿ
(D. Steffan) dann er werd. ein tag oder ettlich nicht hie seÿn,; muß den Marckttag Zu Meurßmünster Inn namen J. Werner von Lützelburg der den vierten Stamtheil besuchen, seÿ vergleichung Zutreffen, hab er bitzhero Inn der sachen gedient.
J. Werner von Lützelburg – Daruff entstehet ein frag, dieweil gedachter Werner von Lützelburg Churfürstlicher Sachsischer Jägermeister Jetzo allhie vnd sich seines einzugs halb begert mitt mein herren Zuvergleichen, was Ime für ein Schutz vnd Schirmgeltt Zubestimmen.
Erkandt Ime viij ln vfflegen vnd soll man Ime Zu muthen, fidelitatem Zuversprechen, hören was er darzu sag. will, Solls Ime D. Stephan anzeig. Sagen Ime B. Mr.

(f° 99-v) Sambstag den XI Maÿ – J. Werner von Lützelburg
H Stettmr. Büchßner referirt, demnach er auß bevelch meiner herren von J. Werner von Lützelburg den Verspruch fidelitatis angenohmmen, hat er sich beschwert 8 lb Zugeben, dieweil er seinem Gnedigsten Churfürsten vnd Herrn von einem hauß so er Ime geschenckt, nicht mehr dann 6 lb gebe, aber sich erpotten mein herren j lb weitters Zu geben, vnd heb gar gern versprochen auch sich erclärt, das er Ime Inn seiner Bestallung geg. dem Churfürsten vorbehaltten, wider sein vatterlandt vnd die Statt Straßburg nicht Zudienen.
Erkandt, Ine beÿ seinem erpieten der vij lb pleiben laßen, Kan mans dem Schaffner anzeigen dieweil d. Juncker hiein Inns Westerich reÿßt. Mr.

1615, Conseillers et XXI (1 R 96)
Garnier de Lutzelbourg écrit de Dresde qu’il est trop âgé pour continuer à voyager. Il demande à être relevé de son droit de manance aux Conseillers et aux Vingt-et-Un qui renvoient l’affaire aux Quinze. Les Quinze donnent leur accord mais les fils du demandeur, jusqu’à présent logés chez les Landsberg, devront à l’avenir être logés chez des aubergistes.
(f° 331) Sambstag den II Decembris. – Werner von Lützelburg sagt sein Schirm auf
Werner von Lützelburg schrb. auß Dreßden darin mherren Zur augenschaw, d. er aber alters halben disser ort nit bald mehr reisen würd, od. feur v Rauch halten, Bitt er Ime des Schirms wid. Zuerlassen sonderlich weil auch die Jar nun mehr foruber, mit erbetten. Erk. Ist für mein H. die XV gewisen, die komme Ine des Schirms erlassen.

1615, Protocole des Quinze (2 R 43)
(f° 215). Montag den 4. Decembris – Jr Werner von Lützelburg. Schirms vffsag
Ein schreiben vonn Jr Werner von Lützellburg, Churfürstlichen Sächßischen Jägermeistern vnd Cammer Junckern, sub dato Dreßden den 28. Augusti 1615. ahn Hrn Meister vnd Rhat allhie gerichtet, so verschienen Sambstag beÿ Hrn Rhat vnd XXI abgeleßen vnnd für mein Hrn die fünffzehen gewissen, Ist fürgelegt aber nicht verleßen worden, weÿl es allein den schutz vnd schirm belangt, darinnen der Junckher bißhero gewesen, den er aber Jutzunder, wegen seines altters, meinen Hrn vffschreibt, vnd den Hrn solcher Inhalt noch wohl bewußt ware, sonndern allßo balf vmbgefragt vnd Erkant, Man soll solche abkündung vonn Ime vff vnnd annehmen vnd einem Schaffner Frantz Peüring im Landspergischen Hoff beschicken, Ime solches anzeigen, mitt bevelch des Junckhern söhn, so bißhero Jr vffkehr beÿ Ime gehapt, ferner nicht Zubeherbergen, sondern ahn ein feÿlen würth Zuweißen, Item wahfern es noch nicht geschehen, die sachen vfm Stall vollendts richtig Zumachen, dessen dann die Vfm Stall auch Zu avisiren. Mr
[in margine :] Ist bereits verricht. den 16. Xbr. 1615.

Autres références sur Garnier de Lutzelbourg dans les mêmes registres
1599 Conseillers et XXI (1 R 78) Werner von Lützelburg vmb Einspänniger. 281.
1619 Conseillers et XXI (1 R 101) Johann Georg Churfürst zu Sachsen intecedirt p. Werner von Lützelburg. 27.
1627 Conseillers et XXI (1 R 109) Johan Rudolph vnd Sebastian Schenck maturanda sententia [umb beforderung bescheids] in causa contra Werner von Lutzelburg. 9.

Garnier de Lutzelbourg, veneur et chambellan chez le prince électeur de Saxe, et Gautier de Lutzelbourg, gouverneur pour le prince de Lorraine à Sarrebourg, vendent la maison à Henri Vagius et à sa femme Elisabeth Wolfart moyennant 1 125 livres

1616 (2. Martÿ), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger), Scheda ad fol. 132
(P. fol. 121.) Erschienen der Ehrenvest hochgelehrte herr Sebastian Leüttersperg beder Rect. doctor vnd der St. St. advocat deß gleichen herr Frantz Beüring burger Zu Straßburg, bede Als vollmächtigter gewalthaber der Woledlen vnd Gestreng Werner Von Lützelburg Churfürstl. Sächsisch. hoff Jägermeÿster vnd Cammer Juncker vnd Walther von Lützelburg Fürst. dhlt. Zu Lottring.Gubernator Zu Sarburg gebüder (haben verkaufft)
Heinrich Vagio vnd Elisabeth Wollfarthin seiner ehelichen haußfrauwen burgern zu Straßburg
hoff, hauß, hoffestatt, Stallung vnd brunnen mit Allen Ihren gebeüwen, begriff. weÿth. Recht. vnd Zugehördden wie die von Lützelburg bitzanhero beseß. gelegen Inn der St. St. Inn der Kalbßgaßn einseit neben h. Johann Mock. And.seit neben J. hanß Philipß Zugkmantells hoff, hind. vff die Breusch stoßend, für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht, besetzung, eÿgenthumb od. herrschafft od. derergleich. (…) Zugang. vnd beschehen Für Vnd Vmb 1125 pfund

Fils du receveur de l’Eglise rouge Thiébaut Vagius, Henri Vagius épouse en 1601 Elisabeth Wolfarth, veuve de Matthias Roth
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 64, n° XXIII)
1601. den 16. Novembr. sind Ehelich eingesegnet worden herr Henricus Vagius vonn Straßburg, weiland herrn Theobald vagÿ Schaffners Zur Rotenkirchen vnd Burgers alhier selig. nachgelaßener Sohn, vnd Fraw Elisabeth Wolffhartin weiland herrn Hans Matthis Rothen seligen nachgelaßene widtwe (i 61)

Matthias Roth épouse en 1594 Elisabeth Wolfarth, fille du parcheminier Laurent Wolffart
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 11-v, n° 39)
1594. H. Hanns Matthiß Roth, vnndt Elisabeth Lorentz Wolfarten des pergamenters tochter. Eingesegnet Zu Illkirch den 18. Junÿ (i 12)

Henri Vagius acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme neuf mois après son mariage
1602, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 815
Herr Heinrich Vagius empfahet d. B: Vonn seiner Haußfrawen Elßbethen w: Herrn Mathis Rothen selig. witib will Zun Gartnern Inn Crautenaw dienen, Vnnd sein Nahrung für 5000 fl. angeben. Act. 24. Aug:

Jean Mathias Roth a institué l’hôpital bourgeois pour héritier universel. Henri Vagius a versé les sommes en argent de mauvais aloi, soumises à un complément de paiement. L’acte se termine par une question juridique ayant trait aux droits à verser sur ces compléments
1633, Protocole des Quinze (2 R 59)
(f° 136-v) Sambstag den 22. Junÿ – Hanß Philipp Schatz, Joseph Arhard Schaffner im mehren Spittahl – Hanß Matthiß Rothen Erbschafft – Henrich Fagÿ Erben – Pfundtzoll in käuffen und Cessionen verfallen – Ob man von Nachträgen pfundt Zoll schuldig
Hanß Philipp Schatz, vnd Joseph Arhard des mehren spittals schaffner Erschienen berichten p. N Eggen, daß weÿland Hanß Matthiß Rothen erbschafft den armen im Spittal, alß instituirten Erben heimgefallen, daran weÿland Heinrich Fagius in schlechtem gelt ettwas abgestattet, solches aber nun mehr dem Spittahl an reducirtem capital gut gethan worden, vnnd weilen hievor, so wol vom schafer des Spittahls, als auch herrn Schatz ehvögtlicher weiß der pfundt Zoll abgefordert wird, solches aber beeden supplicanten, weilen sie für sich kein interresse dabeÿ beschwerlich, auch sonsten nicht herkommens, das von dergleichen donationen ad pias causas derselb. gefordert werde, Alß haben sie es an diesem orth anbringen, vnnd sich davon Zu absolviren betten wollen, produciren Zu mehrern bericht Ein memorial, so verlesen, deß Innhalts das herr Heinrich Fagius in gedachter H Hanß Matthiß Rothen Erbschafft gut gelt schuldig verpliben 623. lb, dargeg. haben seine Erben dem Mehrern Spittal ein Zinnßbrieff vff den Pfenningthurn, welcher schlecht. gelt 1500 lb. aber an reducirten capital 409 lib. d thut über geben, darvor werde der pfundt Zoll gefordert. herr Kügler alß oberpfrundt Zollh. wie auch h. Frantz berichtet, das Contractuum Notarÿ instruction weise auß, das was von käuffen oder Cessionen hier in der Contractstub verschrieben werde, davon auch der pfund Zoll verfallen seÿe, Nun seÿe dieße handlung Zwischen dem mehrern Spittahl und Fagÿ Erben in der Contractstub verschrieben, begehre dannenhero d. pfund Zoller außweisung weßen Er sich in diesem fall Zu verhalten. Beÿ der vmbfrag ward dafür gehalten, scheine vnbillich das der, der nachtragt oder dem auch nachgetrag. wird, solte pfundt Zoll geben, weilen es an ledige bezahlung ist, dahero vermuthlich beede Supplicanten in diesem fall werden Zu absolviren sein, doch weilen vff die bahn kommen, das fast ein gleichförmiger Casus in vorig. Protocollis werde Zu finden sein, Ist Erkanndt worden das solcher Zuvordrist vffgeschlag. inmittelst das geschefft geg. supplicaten zu bedacht genommen sein solle.

L’hôpital bourgeois donne quittance à Anne Botz, femme de l’assesseur au Grand Sénat Jean Philippe Schatz et héritière testamentaire de Henri Vagius et d’Elisabeth Wolfarth

1631 (17. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 426
Erschienen die woldel, Gestreng, Ehrenveste, fürsichtige vnd wolweise herren Bernhard von Kageneck, ietzregirender Stettmeister, vnd herr Daniel Ringler Alt. Ammeister dr St. St. alß verordnete Pflegere deß Mehren Spitals, vnd herr Joseph Erhard alß Schaffner daselbsten, An einem,
So dann weÿ: H Henrich Vagÿ see: eingesetzter Testaments Erbin Anna Botzin Ehevogt H Johann Philipp Schatz, Großen Rhats Verwanther, Wie auch seine Vagÿ haußfrawen Elisabeth Wolfahrtin see. Erben wegen der Ehrwürdig wolgelert herr M. Johannes Georgius Schüring Diaconus Zu S. Wilhelm alhie, innamen Barbaræ Wolfartin seiner Schwiger und Lazarus Wolfahrt für sich selbst, vnd alß geschworner Vogt Anna Wohlfahrtin seiner Schwestern An andern theil
Zeigten An, vnd bekannten gegen einand. demnach dem Spital, vermög der auch in der Contractstuben den 18. Septembris Anno 1628. vber hanß Mathiß Rothen see: Verlaßenschafft vffericht. verschreib: vnd Lüfferung (…)

Le marchand Jean Philippe Schatz épouse en 1610 Agnès Meyer puis en 1629 Anne Botz, fille de Louis Botz, administrateur de la tuilerie dite untere Ziegeloffen
Mariage, cathédrale (luth. p. 240)
1610. Dominica Quinquagesima hans philips schatz der handels man vnd Junchfraw Agnes h. hans heinrich meÿer n:g: tochter (i 124)

Mariage, cathédrale (luth. p. 276)
1629. H Hans Philips Schatz der Handelsmann, Vnd J Anna Ludwig Botz verwalters auf dem vndern Ziegeloffen n. tochter, eingesegnet montag 26. 8.bris (i 143)

Références de Jean Philippe Schatz dans les registres
1627 Conseillers et XXI (1 R 109)
(f° 27-v) Sambstags den 17. Febr. – Hanß Philipp Schatz ist H. Werner Gambßen, so ihn Rhatt khommen, auff den Stall für dises Jahr substituirt. d. schwört auff die ordnung
1628, Protocole des Quinze (2 R 56) Hannß Philipp Schatz. 236. 265. [wegen Hannß Michael Reimbolds]
1631, Protocole des Quinze (2 R 57) H. Hanß Philipp Schatz. [Abloßung] 27. [Stand am Vischmarckh] 127.
1636, Protocole des Quinze (2 R 61) Adam Bott et consorten Ca. H. Hanß Philipp Schatzen. 229. Conrad Müller Ca Hanß Philipp Schatzen. 229. [Stand am Vischmarckh]
1638 Conseillers et XXI (1 R 121) Johann Philipp Schatz. 82. [platz gegen dem mittlern Ziegeloff über]

Philippe Ulmann Bœcklin de Bœcklinsau (propriétaire de l’actuel n° 14) aménage un four à pain dans son bâtiment arrière et demande l’autorisation de poser des poutres dans le mur qui appartient en propre à son voisin Jean Philippe Schatz. L’autorisation est accordée à titre révocable.

1637, (ut supra [9. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 718
Erschienen Jrn Philipps Vlman Böckle von Böcklinsaw
hatt in gegensein H Johann Philipps Schatzen grossen Rhats v.wanthen alhie bekant
demnach Er Jr. Böckhle in seinem Adelichen alhie in der Kalbßgaßen und neben ihme Schatzen gelegenen hoff einen Bachoffen in der vndern Kuchen deß hinderhauses setzen und machen, vnd zu desselben besserer habung dreÿ höltzer vnderhalb, darauff der Rost ligt, in sein H Schatzen eigenthümliche Maur, vff vngefohr ein halb werckhschuh tieff legen lassen, daß solche Einlegung ihme H Schatzen und alle seinen Nachkommenden, wed. vber kurtz noch lange Zeit, im geringsten an seiner dißohrts habend. gerechtigkeit nit præiudicirlich und nachtheilig sein, sondern einig vnd allein für ein Nachbarliche Gonnung inmaß es auch an ihm selbsten ist, gehalten werd., auch Er Jr. Böckel vnd seine Nachkommende vf ihren costen, vff sein H Schatz. od. deß. Nachkommenden begehren, solche höltzer wider herauß thun und sein Schatz eigene Maur wid. in vorig. stand richten zulaß. schuldig sein sollen

Agnès Schatz femme du marchand Balthasar Louis Künast, le marchand Jean Schatz et l’étudiant Jean Henri Schatz louent la maison au capitaine de cavalerie Adolphe Dümmler

1650 (28. Decemb.), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1140-v
Erschienen H. Balthasar Ludwig Küenast der Handelsmann Und alter großen Rhats Verwanther alß Ehevogt Fr. Agneß Schatzin, Item H. Johann Schatz der handelßmann Vnd dann H. Johann Heinrich Schatz L.L. Studiosus, beede für sich selbsten
haben in gegensein H. Adolph Dümler deß Rittmaÿsters
Verlühen haben hauß, hoff, hoffstatt, hinder hauß Stallung, Gärtlin Keller Und die darinn ligende vf (-) fud. haltende faß mit allen deren Gebäwen, nichts davon alß eine Cammer außgeschloßen, welche Sie die Schatzische Ihnen außtruckhlich vorbehalten haben, Alhier in der Kalbßgaßen, neben Jrn. Philipß Uhlmann Böckhlin & neben dem Zillerisch. hoff gelegen, also Vnd dergelstalten daß Er H. Rittmaÿster dümler, Ihnen denen Schatzischen hingegen so bald Er die Behaußung bezog. haben wird 900 Pfund lüffern, vndt solche Behaußung ahne statt deß Von dem Vorgeschoßenen 900. lb Jährlich gefalenden Zinnßes Lehnungs weiß inn haben und bewohnen
(cassirt und anderwerts verschrieben wie in registrand. de a° 1651. fol. 294. fac. 2 & fol. seqq. zu befind. ist)

Les mêmes engagent à titre d’antichrèse la maison à Adolphe Dümmler, manant de Strasbourg. En marge, quittances dont celle qu’accorde la veuve Dümmler en 1660.

1651 (5. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 294-v
(Lect. & confirmat. beÿ Rhat den 9. april. a° 1651.) Erschienen H Johann Schatz d handelßmann, H Johann Heinrich Schatz L.L. Stud. und Fr. Agneß Schatzin H Balthasar Ludwig Küenasts deß handelßmanns eheliche haußfr. und Sie Fr. Agneß insonderheit mit beÿstand H Valentin Jägers und H Daniel Steinbockhß beed. alß vß E. E großen Rhats mittel, vff Ihr Fr. Agneßen am 16. Jan: iüngsthien wohlerwehntem Rhat überraichte demüetige s[up]p[lica]tôn. ahne statt der nechst. Verwanth. hierzu insonderheit Deputirte, an einem,
So dann H Adolph Dümler Rittmaÿster Schirms Verwanther alhie mit beÿstand H Johann Jacob Seiberts Med. Doct. am andern theil (…) einen vffrechten und redlich Contractum antichreseos vff folgend weiß mit einand. getroffen hetten,
Nemlich es hetten Sie die Schatzische Geschwisterd ohnverscheidentlich ihme H Rittmaÿster Dümlern ihrer alhie in der Kalbßgaßen gelegene Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeit. nichts davon alß eine einige Camer außgenohmen, vff nechstverschienenen Mariæ Verkündigung (…)
hiengeg. so hette Er H Rittmaÿster Dümler ihnen den treÿen Schatzisch. Geschwisterd. ohnverscheidentlich 900 Pfund pfenning in bahrem Gelt auch guten groben vff den fuß deß Reichßthalers zu 15. ß gerechnet. Sorten vorgeschoß. Also und dergestalt daß Er H Rittmaÿster Dümler die berührte Schatzische Behaußung entwed. selbst. bewohnen od. anderwerts verleÿhen nutz. und nieß. solle und möge neun Jahr lang und also biß Annunciationis Mariæ a° 1660. beständig (…)
(f° 297) Und wiewohl. die obbeschriebene Behaußung noch umb 600. lib. H Daniel Thomaß dem handelßmann von St. Lamprecht und umb 300. lib. H M. Joh: Mägerlin Diacono Zu St. Thoman verhafftet ist, so sollen iedoch solche beede Capitalien mit dem obernannt. eben Zu dem Ende dargeschoßenen und vffgenohmenen dümlerisch. 900. lib obgelegt werd. also daß diße Behaußung, außerhalb mehr ermelts H Rittmaÿster Dümlers, sonst. niemandts alß Lazari wohlfahrts seel. Erb. umb 186. lib. 2 ß d verhafftet bleibe
[in margine :] Erschienen Fr. Anna Dorothea obedelgemelts H. Adolph Dümlers nunmehr seel. hinderlaßene Fr. Wittib, mit beÿstand deß Freÿ Raths wohl Edelgebohrnen Gestreng H Wolff Jacob Böckle von Böcklinsaw und deß Edel- Vesten hochgelehrten H Johann Henrich Wÿlandts V. I. D. und der freÿen Reichß Ritterschafft im undern Elsaß Rhats und Sÿndici, beede alß ihr Fr. Annæ Dorotheæ und ihres eheleiblich. döchterlins Dorotheæ Elisabethæ Vögte, hatt in gegensein obehrenernannter treÿ Schatzisch. Geschwisterd H Johann, H Johann Henrichs und Fr. Agneßen, mit beÿstand der Ehrenvest und weÿsen H Jonæ Andreß. von Veßenheim und H. Paul Friderich Marbachs, alß aus E.E . groß. Rhats mittel ahne statt nächster Verwanther, alß aus E. E. Groß. Rhatt mittel , ahne statt rechter Verwanther, Ihro Fr. Agneß insonderheit beÿgeordnet, bekannt, daß Sie Dietriche Fr. wittib, von Inen den Schatzisch. Geschwisterd. ahne deren in vorstehender Verschreibung benambsten 900 Pfund pfenning 300 Pfund pfenning in bahrem Gelt Zugenüg empfangen habe, dieselbe dafür sofernen quittiren, So viel die übrige 600 Pfund pfenning betrifft, soll die dümmlerische Fr. wittib, die obgeschribene Behaußung und Zugehörd noch Vier Jahr lang von Jüngst verschinen Mariæ Verkündung angerechnet, ahne statt d. Interessen Zu genieß. haben, Es were dann daß inmittelst solche Behaußung, welche dann nunmehr feil ist, verkaufft würde, welch. falls die dümlerische wittib, gleichwohlen vff eine vorhergehende vierteljährige vffkündung diße Behausung, Jedoch geg. Satisfaction der hinderständig. 600. lib abzutretten schuldig sein (…) den 7. Aprilis a° 1660

Compte que rendent les héritiers de Jean Philippe Schatz aux héritiers de Jean Lantzenberger sur le prix de la maison Schatz rue des Veaux
1651 (28. Julÿ), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 19) n° 19
Underschidliche Abrechnungen Zwischen weÿl. H. Johann Lantzenberg.s deß Älttern Erben
Abrechnung wegen der Schatzischen Behaußung In der Kalbsgaßen Alhier. Weÿland H Johann Philipp Schatzen geweßenen handelßmanns cit. E. Ehrs. Großen Raths inn Straßb. seel. Erben seindt weÿl. H Johann Lantzenbergers deß Älttern seel. Erben vff obgemeler Behaußung in Capital schuldig geweßen lauth Lantzenb. haupt buchs fol. 193.

Agnès Schatz femme du marchand Balthasar Louis Künast, le marchand Jean Schatz l’aîné et le juriste Jean Henri Schatz vendent la maison à Anne Dorothée Glaser veuve Dümmler (créancière)

1660 (4. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 702-v
(Prot. fol. 59 – 1200. lib) Erschienen H Balthasar Ludwig Küenast der handelßmann alß Ehevogt Fr. Agneßen Küenastin gebohrner Schatzin H Johann Schatz der älter, handelsmann, und H Johann Henrich Schatz U.I. Doctorandum und EE Kleinen Rhats Advocatus & Procurator, Geschwistrige
in gegensein Frawen Annæ Dorotheæ Dümmlerin, gebohrner Glaserin mit beÿstand deß Freÿ hochwohl Edelgebohrnen Gestreng H Wolff Jacob Böckhle von Böckhlinsau Und deß Edel- Vest- hochgelehrt. H Johann Henrich Wielandts V.I.D. und der freÿen Reichß Ritterschafft im undern Elsaß, Rhats und Sÿndici, ihre und ihrer einig. dochter herrn Vormünder – vff unserer g. Herrn Rhät und Ein und Zwantzig. am 9. Julÿ iüngsthien obrigkeitlich ertheilten Consenz
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Rechten, Zugehördten und deren im Keller ligenden Faßen, alhie in der Kalbßgaß. einseit neben dem Böckhelisch, anderseit neben dem Zugmantelisch. hoff hind. vff die Preusch stoßend gelegen, Welche behaußung umb 372. fl. weÿl. Lazari Wohlfahrts seel. Erben und umb 300. fl. weÿl. H M. Johann Mägerlins geweßenen Diaconi Zu St Thoman nunmehr seel. nachgelaßenen Erben verhafftet (übernohmen) – umb 728 Guld.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la vente des héritiers Schatz à la veuve Dimler

1660, Conseillers et XXI (1 R 143)
(f° 136) Montag d. 9. Julÿ – Dimlerische Wittib vm consens
Dimlerische Fr. Wittib, Bericht per Bitsch d. sie d. Schatzisch. Erben Ihre Wohnbehaußung aberkauff. Bitt vm ratification deß beschehenen Kauffs. Erk. Willfahrt word.

Ancien capitaine de cavalerie entré au service du roi de Suède, Adolphe Dümmler meurt le 30 novembre 1658 en délaissant une fille issue de sa veuve Anne Dorothée Glaser (fille du juriste Josias Glaser et de sa femme Marie Dorothée Mock, voir plus bas). L’inventaire est dressé rue des Veaux dans la maison de feu Jean Philippe Schatz. La succession s’élève à 8 806 livres.

1658 (30. Dec.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 11) n° 24 (603)
Inventarium vnd Beschreibg. aller Hab und Nahrung v. gütere so weÿland des Reichts freÿ wohl Edel gestreng dapffen und Mannhafft. herr Adolph Dimler geweßenen Rittmstr. vnd Ihro Königl. Maÿt. In Schweden Bram*, welcher den 20. Novembr. Jüngst *and. Jahres tödlich v.plichen hinderlaßen So auff Erfordern v. begehren des reichts freÿ wohl Edelgebohrnen gestrengen herr Wolff Jacob Böcklin von Böcklinsaw, welcher von dem verstorbenen Hn Ritt meister sel. In seinem auffgerichteten Testamento hernach gemelter seiner Einigen hinderlaßenen dochter und Testaments Erbin Zu einem vogt nominirt und Erbetten, So dann des Edlen v. hochgelehrten herren Johann Heinrich Wielanden JV Doctoris löbl. Nider Elsaßischen Ritterschafft wohlbestellt. raht und Syndici, alß welcher von wohl Edel gedacht Nider Elsaßischen raichts ritterschafft herrn dirctoren räth und Außschüß, benebem Ob Edelgedachtem herrn Wolff Jacob Böcklin von Böcklinsaw obberührt einigen dochter Zue einem Curatori vnd vormund adiungirt (…) durch die wohl Edle viel Ehren und tugendreiche fraw Annam Dorotheam dimlerin gebohrne glaßerin die hind.plibene fraw wittib Mit beÿstandt des Edlen und vest Herrn Wolfgangs Sigels geweßenen Amptmans Zu Durcastel so sann des Ehrenvesten vndt vorgeachten herren Paul Reichardys burgers In Straßb. der fraw wittib, nahen Gewantens geeÿgt und gezeigt (…) Actum Donnerstags d. 30. Decembt. A° 1658.

Inn einer Inn der Statt Straßburg Inn der Kalbsgaßen gelegenen undt weÿl. herrn Johann Philipß Schatz gewesenen handelsmanns v. E.E groß. Rahts beÿsitzers hinderlaßenen Erben Zuständig. beh. ist befund. wie folgt
Auff den underen Bühnen, Cammer A, Cammer B, Inn der Obern stuben, Inn den Stubkammer, vor dieser Cammer, Cammer C, Inn der wohnstuben, Inn d. schwartz thuch kammer, Stubkammer, Im obern haußohren, Kuchen, In des herrn Rittm. sel Stuben, Stubkammer, Inn den rüst Kammern Inn dem hinderst. Cämmerlin aufs waßer sehend, Im Saal, Im gewölb, Inn d. Kuchen, Im keller
Ane Liegenden Güttern. Item hauß, hof, scheür, Ställ, gartt. in der Ruprechtsaw in dem beltzwört (…)
Abzug in dießes Inventarium, Sa. haußraths 1082, Sa. früchten 163, Sa. weins vnd Leeren vaß 159, Sa. vyhes schiff und geschirrs 155, Sa. silber geschirr vnd Geschmeids 709, Sa. Anschlags guldener Ketten, Ring undt geschmeid 1072, Sa. baarschafft 241, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2392, Sa. Liegende güther 70, Sa. Schulden 443, Summa summarum 8806 lb
Sa. der ungewißen vnd Zweiffelhafften Pfenningzinß hauptgüter 1543 lb, Sa. der Ungewißen Zweiffelhafften vnd verlohrenen Schulden 1800 lb

1642 Conseillers et XXI (1 R 125)
(f° 53) Sambstag d. 14. Maÿ – Adolph Dimler vberreicht p. Knauffel. vdthg. supplication vmb intercessionales an die Statt Nürnberg. Erk Willfahrt. H. XV. Dieffenbecher v. H. Steinbeck
1645, Protocole des Quinze (2 R 66) H. Adolph Dümbler. 209. [der Rittmeister, umb Fruchtkauff]

Adolphe Dümmler qui paie 3 livres de droit de manance est dispensé des impositions extraordinaires parce qu’il est immatriculé au Directoire de la noblesse
1657, Protocole des Quinze (2 R 75)
(f° 56-v) Schirmgerichts wegen erhöhung ettlicher Schirmgeltter
Adolph Dumler für die 2. lb 5 ß d ietz 3. lb d bleibt Extra ordinari Fr. gellts befreÿt weÿlen Er beÿ der Ritterschafft immatriculirt

La veuve d’Adolphe Dümmler demande que son droit de manance (12 livres 10 sols) soit réduit. Les quinze la renvoient aux préposés de la manance.
1659, Protocole des Quinze (2 R 77)
(f° 100-v) H. Adolph Dümmlers Rittmeisters seel. Wittib per Dr. Bitsch, t. Supplication, pro moderatione ihrer bißherig. Jährlich 12. lb. 10 ß Schirmbgelt. Erkandt, Für Schirmbherren gewieß.

Sommes qui reviennent à Anne Dorothée Glaser veuve Dümmler dans la succession de sa mère Marie Dorothée Mock suivant l’inventaire dressé en 1641, où est mentionnée la faillite de Josias Glaser
1659, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 1) n° 7
Die Edle viel Ehren undt tugendreiche Fraw Anna Dorothea Dümmlerin, gebohrne Glaßerin, hat zwar nach inhalt Inventarÿ über Fr. Mariæ Dorotheæ Mockin, ihrer lieben Mutter seel: Verlassenschafft den 15. Martÿ A° 1641. durch H. Christoph Schüblern Notarium Vffgericht, wie fol: 91: fac. 1.a ermelten Inventarÿ Zusehen für ererbt Mütterlich guett allein Zuerfordern inn Summa 3319 lib. (…)
Summa deßen So Fr. Anna Dorothea Dümmlerin inn mangel stehet vnd Zuvor auß H: Josiæ Glasers Nahrung, weilen Ihme wie nachher Zusehen die theilbar Verlaßenschafft sampt den Passivis cedirt vnd übergeben Worden, Zuerstatten were, Ist Vndt thuet 915 lb. Von dißen großen Vndt Zimmlichen fehler nun hat H: Rittmeister Adolph Dümler seel: Vndt Sie Fraw Anna Dorothea Glaßerin beede Eheleuth Zu Zeit alß es H. Josiæ Glaßers Verlaßenschafft ad concursum Creditorum gerathen, noch nichts gewußt, sondern es ist H: Notario Scheüblern den Calculum, waß Ihme H: Dümlern Vndt seiner haußfrauen ane die Glaserische Verlaßenschafft gebühren möchten Zufüehern, anvertrawet gewesen (…)
Solche Summ davon abgezogen wer übrig verplieben nemlichen 1883 lib. davon H. Josiæ Glaßern für 2/3 theil 1255 lib, Vnd Ihro Fraw Annæ Dorotheæ Dümmlerin Zur Tertz gebühret 627 lib.

Anne Dorothée Glaser loue une cave à Daniel Eyrer, aubergiste à la Couchette

1662 (4. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 9-v
Erschienen Johann Vincato Ritterschafft Bott, im Nahmen Fr. Annæ Dorotheæ Dümlerin, wittibin gebohrner Glaserin
in gegensein H Daniel Aÿrers deß Gastgebern Zum Spanbeth, bekannt, daß Sie Fr. Dümlerin Ihme H. Aÿrern verlühen habe
in ihrer in der Kalbßgaßen gelegener Behaußung den Keller, Inmaß. derselbe mit latten underschlag. sampt denen darinn ligend. faß. ohngefährdt treÿßig Fuder zusammen haltend, vff 9 Jahr lang Von Jetzt verwichenen weÿhenacht. angerechnet, um einen iährlich. Zinß benantlich. Zehen Pfund pfenning

Extrait de l’inventaire d’Anne Dorothée Glaser veuve d’Adolphe Dümmler, dressé en 1718.
1718, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 112) n° 1012
Extractus Auß Weÿland S. T. Frawen Annæ Dorotheaæ Dümmlerin gebohrener Glaserin auch weÿl. S. T. Herrn Adolphi Dümmlers der Königlichen Cron Schweden gewesenen Ritt Meisters, auch E. Hochlöbl. Freÿen Ritterschafft des Undern Elsaßes incorporirten Mitglieds, seeligen hinderlaßener Fraw Wittib auch seeligen Verlaßenschafft Inventario, durch ebenmäßig weÿland Herrn Johann Christoph Wincklern Notarium gleichfalls sele in A° 1667 auffgerichtet gefertiget

Les héritiers testamentaires d’Anne Dorothée Glaser veuve d’Adolphe Dümmler vendent la maison au gentilhomme Philippe Albert Bernhold, préteur et assesseur des Quinze

1667 (27. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 504-v
(Prot. fol. 33.) Erschienen der Edel- From- und wohlweÿs Herr Johann Philipß Mülb deß beständig. Regiments der herren Fünffzehn für sich selbst., Item H Johann Andreas Mergelett E.E. Siebner Gerichts Actuarius alß Vogt Annæ Catharinæ, Josiæ, Johann Wilhelms und Tobiæ, H Josiæ Städels deß Buchführers und anietzo Treÿers der Statt Pfenningthurns mit weÿl. Fr. Fr. Anna Magdalena gebohrner Huoberin nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind., mit assistentz erstermelts ihres eheleiblich. Vatters, Item H Anthoni Flach E.E Kleinen Rhats Beÿsitzers, alß aus deß wohl gedachten Rhats mittel ahne statt H Wolff Jacob Schultzen LL. Stud. von Nürnberg und H Johann Jacob Butzen Gräffl. Leining. Dachßburgischen Gerichtsschreibers zu Falckhenburg, mit weÿl. Fr. Annæ Ursulæ Glaserin seel. ehelich erziehlte Zweÿen Kind. Deputirter, Item Fr. Anna Catharina Schmuckhin hannß Peter Bürckhels würths zu Hunnenweÿher eheliche haußfrau mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, Friderich Wilhelm Schmuckh Gewerbßdiener für sich selbsten, H Ernst Friderich Gambß alter Gräv. Rappolsteinisch. Cancelleÿ verwanther, und Anna Catharina gebohrne Stüdelerin beÿde Eheleuthen im nahmen Mariæ Elisabethæ, hannß Wilhelms, Annæ Margarethæ, Annæ Dorotheæ, Annæ Magdalenæ, und Annæ Rosinæ der Schmuckhisch. Geschwisterd., ihr Fr. Annæ Catharinæ mit weÿl. H Hannß Wilhelm Schmuckh. geweßenen gräv. Rappolsteinisch. Stattschreiber Zu Rappolßweÿher nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind. mit assistentz d. Ehrenvest fürsichtig und weÿse H Johann Philipß Zeißolff und H Paul Friderich Marbachß, beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, So dann H Gambß und Sie Anna Catharina weÿl. Catharinæ Agathæ Gambßin ihrer mit einander ehelich erziehlten und abgeleibten döchterlins Erben, alle alß weÿl. Fr. Annæ Dorotheæ Dimmlerin wittibin gebohrner Glaserin nunmehr seel. testamentliche Erben und resp. Erbens Erben
in gegensein deß Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen H Philipß Albrechts Bernholdts dißer Statt alten Stättmaÿsters und Fünffzehners
demnach vorernannte Fr. Dümmlerin in ihrem vffgerichteten Testamento solemni in scriptis underschiedliche starcke Legata verordnet, und damit selbige außgerichtet werd. möchten, in solchem Testamento Vnd damit zum treÿzehend., neben dem Gut in Ruprechtsaw auch hernach beschriebene Behausung Zu versilbern befohlen, So hetten Sie die instituirte Erben, dißer der Fr. Testatricis letzt. willen Zu vollziehen, und sonderlich auch der Städelische Vogt vff obwohlgedachts EE. groß. Rhats gestrig. Tags obrigkeitlich interponirte Decretum alienandi
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten auch denen im vordern Keller ligend. Faßen, in der Kalbßgaßen einseit neben der adelich. Böckhelisch: anderseit neben d. adelich Zugmantelisch ietzt Zÿhnhardisch. Behaußung hind. vff die Preusch stoßend geleg. – umb 1125 Pfund pfenning

Philippe Albert Bernhold dans les différents registres
1654 Conseillers et XXI (1 R 137) Philipp Albrecht Bernholdt. 51. 56. [Zinß]
1654 XV (2 R 72) Jr Philipp Albrecht Bernhold. 54-b. [Zinß]
1657 Conseillers et XXI (1 R 140)
(f° 182-v) Sambstag d. 12. Septembr. – Philipp Albrecht Bernholdf Hoffmeister Ihrer fr. gd. H Christian Ernsten Marggraffenß Zu Brandenburg, Bitt Mh. wollen seinem gd. h. die Ehr thun vnd Ihnen d. Licent. vnd Accises freÿ laß. Erk. Soll bedacht werd.
188)
1658 Conseillers et XXI (1 R 141) Jr. Philipp Albrecht Bernholdt. 71. [Zinß].
1658 XV (2 R 76) Jr. Philipp Albrecht Bernhold. 74 [zinß]. [Johann Jacob Bernhold] 127.
1659 Conseillers et XXI (1 R 142) Philipp Albrecht Bernholdt. 131. [Zinß].
1659 XV (2 R 77) Jr. Philipp Albrecht Bernhold. 128 [Zinß].

Philippe Albert Bernhold demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un à devenir bourgeois. L’assemblée le renvoie aux Quinze. Il est nommé quelques jours plus tard assesseur des Quinze
1660 Conseillers et XXI (1 R 143)
Philipp Albrecht von Bernoldt. 85. 92. 94. [Bernhold]
(f° 85) Sambstag d. 14. April – Philipp Albrecht von Bernoldt vberreicht per Bitsch Und.ges anbringen, Bericht d. Er sich in daß Burgerrecht begeben, Bitt Mh. woll. ratione deß Stall geldts per deputatos mitt Ihme tractiren laßen. Erk. Ist mitt dem begehren an Mh. die XV. gewiß. Word.
(f° 94) Sambstag d. 28. Aprilis – Philipp Albrecht von Bernoldt wird XV.er
1660 XV (2 R 78) Jr. XV. Philipp Albrecht Bernhold. 65 [pt° Stallgelts]. 110 [additional Seckel].
(f° 70) Sambstag den 28. Aprilis – Philipp Albrecht Bernhold wird XV.
1663 XV (2 R 80) H. von Bernhold. 113. deßen Adel. Haußfrau. 184 [Philipp Albrecht von Bernholdt, Abloßung].
1666 XV (2 R 83) Herr Stättmeister Philipp Albrecht Bernhold. 185. 90. [wein]
1677 Conseillers et XXI (1 R 160)
(f° 33) Mittwoch d. 24. Januarÿ 1677 – Herr Philipp Albrecht] Bernhold geht mit todt ab.
1679 Conseillers et XXI (1 R 162)
(f° 31) Sambstags den 15. Februarÿ 1678 – Johann Hartmann von Westerburg Ersucht MGHh. umb assistentz inn seines an die Bernholdische Erben habenden Forderung

Fils de Philippe Jacques Bernhold, Philippe Albert Bernhold acquiert le droit de bourgeoisie le 4 février 1660.
1659, 3° Livre de bourgeoisie, p. 961
Juncker Philipp Albrecht Bernholdt, weÿl. Jr. Philipp Jacob Bernholdts Ehelicher Sohn, erkauft d. burgerrecht Vmb 4. Goldfl. die er auff dem Pfenningthurn erlegt, Ist noch ledigen Standts Jurav: 4. febr. 1660.

Philippe Albert Bernhold épouse en 1660 Anne Eléonore Zorn de Plobsheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 106, n° 4)
1660. Ohne erlaubnus und erkantnus E. E. Grosen Raths Haben sich im Hauß durch H M. Kolben einsegnen lassen Juncker Philipps Albrecht Bernold Weÿland Jr: Philipp Jacob Bernolds & gewesenen Obrist. und Guverneur in Rheinfelden Hinderlaßener ehelich. Sohn, mit Jungfr. Anna Eleonora Zornin Weÿland H. Wolff Dietrich Zornen von Plobsheim, gewesenen Stättmeisters und XIII. alhier hinderlassene eheliche tochter. Dienstags d. 21. Februarÿ (i 117)

Philippe Albert Bernhold loue une cave au marchand Jean Georges Asfalck

1675 (4. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 503
der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne Herr Philipp Albrecht Bernhold dießer Statt alter Stättmaÿster und fünff Zehner
in gegensein herrn hannß Georg Aßfalckhen deß handelsmanns
Verlühen haben den Vordern Keller sambt darinn ligenden faßen allhier in seiner in der Kalbßgaßen gelegenen Wohnbehaußung, uff Neun Jahr lang Von bevorstehend Michael angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 24. fl.

Philippe Albert Bernhold meurt le 22 janvier 1677 en délaissant deux fils, Philippe Thierry et Sigefroi. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 12 849 livres. La succession se monte à 9 055 livres.

1677 (12.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 10) f° 402
Inventarium v. Beschreibung Aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güther, ligender Vndt Vahrender, Verändert undt vnveränderten keinerleÿ außgenommen, so weÿland der Reichß: Freÿ: Hochwohl Edelgebohrne Herr Herr Philipp Albrecht Bernholt, hochmeritirt Stettmeÿster, auch deß bestendigen Geheÿmen Regiments der Herren dreÿ Zehen beÿ dießer deß H Reichß freÿen Statt Straßburg hochansehnliche Assessor, beÿ seinem am 22. Januarÿ diß Lauffenden 1677.sten Jahrs, beschehen seeligen Absterben, Zeittlichen Verlaßenschafft, So vff erfordern, vndt begehren, deß auch Reichß freÿ hoch edelgebohren herrn herrn Geörg Dietrich Zornen von Plobßheim ebenmäßig Stettmeisters vnd erstedelgemelten Collegÿ d. Herren XIII. beÿsitzers, Alß erst edelgemelten Collegÿ d. Herren XIII.beÿsitzers, Alß nechst Anuerwanthers v. vormundts, beeder deß seel. verstorbenen Herrn Stettmeisters mit hernach gelemelten seiner höchstbetrübten hoch Adelich. Fraw wittibin ehelich gezeügten Herrn Söhn, nahmentlich Herrn Philippß Dietrich vndt Herrn Sigfridt Bernholden, inventirt, durch die Reichß Freÿ hochedelgebohrne Fraw, Fraw Annam Eleonoram Bernholdtn gebohrene Zörnin von Plobßheim, die höchstbetrüble Fraw wittib, mit assistetz deß wohl Edel Vest hochweiß vndt hochgelehrten herrn Johann Ulrich Friden, J. Cti. der Statt Straßburg hochmeritirten Raths vndt hochansehnlich. Sÿndici ihres erbettenen herrn Curatoris, gezeÿgt vndt ahngegeben (…) Ahngefangen dinstags den 12.ten Junÿ A° 1677.

Erstlichen, Ane Haußrath, So in Einer alhier Zu Straßburg, ane Kalbß Gaßen gelegenen, v. in dieße Verlaßenschafft behörigen Behaußung befunden word. wie volgt.
Vff dem obern Kast. Vff den and Kast. In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. obern Stuben, In d. Stub Cammer, Im hauß öhren, Vff dem Bühnel, In d. Wohnstub, Im Contörl. In d. Stub Cammer, In d. Kuch. Im haußöhren, In d. Speiß Cammer, In d. Studier Stub, In d. Stub Cammer, In G. Sttettm. Zorn Cammer, Im Kleinen Sommerheußel, In deß Hrn Studier st., In d. Hoff, In d. Kuch,
(f° 23) Häußer So in dieß v.laß. behörig. (E.) Erstlichen Ein schloß Zu Plobßh die alte burg genant (…) æstimirt 1500 lb
(T.) It: hauß, hoff, hoffstatt, mit allen seinen gebäuwen, begriffen, Zugehördt. Rechten v. Gerechtigkeiten gelegen inn d. St. Straßb. inn d. Kalbßgaß, j.s neben d. Adelich. Böckhlischen behaußung, 2.s. neben dem Zÿlnhardisch. hoff, hind. vff die Preüsch stoßend, ist ledig eÿgen,æstimirt p. 3000 fl. th. 1500. lb. Darüb. sagt j. perg. Kauffbr. Krafft deß. d. H.Stett: seel: diße behauß. v. denen Schmuckischen Erben & Cons. p. 1025. ln Zu eÿg erkh. Dabeÿ noch 6 alte Kauffbrieff v. 2. spruch brieff alle üb. diß hauß sagend, so beÿsammen gebund. befindlich.
Volgen die Stammgüetter, den beeden Adelichen Söhnen vnd Erben Zugehörig. Stammhäußer v. höff. Hoffstatt Zu Liechtenaw. Stamhoff Kalenburg
Summarischer Calculus der Erben gutt, Sa. Silbers 660, guldiner Ketten 379, Pfenningzinß hauptgüter hauptgüettr 3948, gülten v. Ligenden güettern 2462, Eÿgenthumbb Einer behaußung v. Rebhoff 2000, Eÿgenthumb ane Liegende güthern 787, Schuld ins Erbe Zugeltend 60, Ergäntzung (4411, Abfang 1859, Pleibt) 2551, Summa summarum 12.849 lb
Theilbares Guett, Sa. haußraths 731,Früchten 511, weinß v Lähren vaßb 243, Silbers 228, baarschafft 2709, Pfenningzinß hauptgüter 2915, Eÿgenthumbs ane einer behauß. 1500, Schulden 217, Summa summarum 9055 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 21.099 lb

La maison revient à Sigefroi de Bernhold qui épouse en 1691 Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre, fille de Georges Geoffroi de Rathsamhausen et d’Eléonore de Venningen : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
(f° 28-v) Copia der Eheberedung – zwischen dem hoch Edlegebohrn und gestrengen Herrn Sigfrid von Bernold, Rittmeistern, des Weÿland in Gott ruhenden hoch Edelbegohren und gestrengen Herrn Philipp Albrecht von Bernold, der Statt Straßburg geweßenen hochansehnlichen Stättmeisters, mit der hoch Edelgebohren Viel Ehrenreich: und tugendgezierten Frauen Anna Eleonora von Bernold gebohrener Zornin von Plopßheim erzeugtem Sohn, So dann der auch hoch Edelgebohrn, Viel Ehrenreich und Tugendgezierten Fräulein Charlotta Magdalena Elisabetha von Rathsamhausen zum Stein, Weÿland des hoch Edelgebohren und Gestrengen Herrn Georg Gottfried von Rathsamhausen zum Stein nunmehr seeligen, mit der hoch Edelgebohrnen Viel Ehrenreich: und tugendbegabten Frauen Eleonora von Rathsamhausen gebohrnen Von Venningen ehelich erziehlt und nachgelaßener Tochter, am andern Theil – Welches beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg dienstag den Eilfften Decembris St: N: in dem Jahr als man nach der gnadenreichen Geburth Jesu Christi unsers Einigen Erlößers vnd Seeligmachers Zahlten 1691

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 32-v)
1691. Dinstags d. 11. 10.bris deß Abendts seindt zu Hauß copulirt Undt eingesegnet Worden der hoch Edelgebohrne Herr Sigfridt Bernholdt rittmeister Weÿl. deß hoch Edelgebohrnen hrn. Philipp Bernholdt beÿ hießiger statt geweßener Stättmeisters & ehl. Sohn, Undt die hoch Edelgebohrne fräulein Charlotta Magdalena, deß Weÿl. hoch Edelgebohrnen Georg Gottfriedt Von Rathsamhaußen Zum Stein nachgel. ehl fräulein [unterzeichnet] Sigfrid Von Beernholt Rittmeister als hochzeiter, charotta Magdalen von ratzamhausen zul steun als hochzeiterin (i 35)

Capitaine au régiment d’infanterie Quad, Sigefroi de Bernhold hypothèque la maison au profit du marchand Jean Guillaume Reichard

1689 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 36-v
der hoch Edelgebohrne Herr Sigfrid von Bernhold Capitain und. den Königlichen. Quadischen Regiment Zu Pferd, mit beÿstand Hn Sebastian Goldbachs * Bernoldisch. Schaffners [unterzeichnet] Sigfrid de Bernhold
in gegensein Hn Johann Wilhelm Reichards deß handelßmanns und E:E: Kleinen Raths beÿsitzers – schuldig seÿe 100 Pfund
unterpfand, Eine Behaußung mit allen deren Gebäuen Rechten und zugehördten allhier ane der Kalbsgaß einseit neben /:tit:/ Hn Johann Philipß Johamen von Mundolßheim dießer Statt Stättmeistern und dreÿ Zehenern anderseit neben /:tit:/ Fr. Evæ Jacobe von Lützelburg Wittib gebohrne Böcklin von Böcklinsau hind. auff die Breusch stoßend gelegen
deßen Zu noch mehrer Versicherung, so ist hierbeÿ persönlich erschienen, die hoch Edelgebohren auch hoch tugendbegabte Fr. Anna Eleonora Bernholdin, gebohrne Zornin wittib, deß herrn Debitoris leiblich. Fr. Mutter mit beÿstand /:tit:/ herrn Christoph Güntzers JCti Königl. Raths und Syndici auch dießer Statt Cancelleÿ Directoris Ihres Hn curatoris, die hat sich für obige Schuld, und biß dieselbige bezahlt sein wird, verbürgt
[in margine :] Fr. Maria, gebohrne Bratfischin, deß hierinn gemeldten Hn Reichards sel. nachgelaßene wittib, so ohnbevögtigt mit beÿstand Hn Philipp Jacob Erhards Schaffners der Rothen Kirchen, So dann Sie Fr. Reichardin und Er H. Erhard auch im nahmen Fr. Johanna, gebohrner Reichardin, Hn Christoph Bernhard Wienthel deß handelßmanns eheliche haußfrau ihrer leiblich. tochter, in gegensein (…) – den 26. April. 1701

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties. Anne Eléonore Zorn se porte garante de son fils.

1695 (12. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 653-v
/:salv. tit:/ Herr Sigfrid von Bernhold Obrister
in gegensein Herrn Johann Wilhelm Reichards, deß handelsmanns und E.E. großen Raths alten beÿsitzers, Ihme Herrn Reichard über die am 26.t Januarÿ 1689 in der C. Contract stuben verschriebener 1000 pfund Capital annoch ferner schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, die in vorbemeldter Verschreibung vom 26. Januarÿ 1689 auch hypothecirte Bernholdische an der Kalbsgaßen gelegene Behausung – deßen Zu mehrer Versicherung ist hierbeÿ persönlich erschienen /:salv. tit:/ Fr. Anna Eleonora von Bernhold geb. Zornin deß herrn debitoris leibliche Fr. Mutter, so ohnbevögtigt, mit beÿstand Hn Johann Jacob Heinrici, Med. Doctoris & Practici, die hat sich für solche Schuld verbürgt

Brigadier des armées du roi et colonel au Régiment d’Alsace, Sigefroi de Bernhold hypothèque la maison au profit de Marie Bratfisch veuve Reinhard

1715 (29.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 831
Sal: Tit: herr Sigfridt von Bernhold Brigadier des armées du Roy et Colonel du Regiment d’Alsace
in gegensein H. Joh: Hetz der handlungs bedientens nahmens frauen Mariæ Reinhardtin wittib geb. Bratfischin – schuldig seÿen 300 und 200 pfund
unterpfand, sein adelich wohnhauß cum appert: allhier ahn der Kalbsgass

Sigefroi de Bernhold et Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Jacques Sachs, et du greffier à la Chambre des Contrats François Œsinger

1728 (3.11.), E 764
der freÿ hochwohlgeborne Herr Herr Sigfrid von Bernhold Königl. General Feldmarschall und Obrister beÿ Ein. löblichen Ellsäßischen Regiment und die freÿhochwohlgeborne fraw fraw Charlotta Magdalena von Bernhold geb. von Rathsamhausen zum Stein mit assistentz des freÿhochwohlgebornen H. H. Antoni Sigfrid von Bernhold Hauptmann beÿ Ein. Löbl. Regiment von Lenck ihres H. Sohns
in gegensein hochwohl und hochgelehrten H. H. Johann Jacob Sachsen Medicinæ Doctoris et Professoris Publici Capituli Thomani Canonici und hochberühmten practici auch burgers alhier und H. Francisci Ösingers J.U.Lti beÿ löbl. Stadt Straßburg Cantzleÿ wohlbestelten Contractuum Actuarÿ – schuldig seÿen 2000 gulden
unterpfand, eine Wohnbehausung, welche dem Debitirenden H. General eigenthümlich zuständig, bestehend in einem Vordern, nebens und hinderhauß, hoff, hoffstatt mit allen derselben zugehörden, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane der sogenanten Kalbsgaß, einseit neben denen hochad. Johamischen Erben anderseit neben Christmann Röderer dem Rothgerber mit dem hindern hauß auff die breusch

Sigefroi de Bernhold meurt le 21 août 1741 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Veaux, non décrite bien qu’elle fasse partie de la succession à laquelle la veuve renonce. L’actif de la succession s’élève à 21 933 livres, le passif à 8 402 livres.

1741 (17.8.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 72 et 73) n° 651
Inventarium über Weÿland des Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn H. Sigfrids von Bernhold geweßenen hochansehn. Marechal des Camps et des Armées du Roy Wohl seeligen Andenckens eigenthümliche Verlaßenschafft und Stammgüthere – nachdeme der allerhöchste Gott denselben vor 12 tagen, nemblich den 2.t dießen Monats Augusti aus dießem Vergängl. Welt weßen in die seel. Ewigkeit Versetzet Zeitl. hinter sich Verlaßen hat, welche Verlaßenschafft auf Requisition sein des seel. Hern Generalen mit der hochwohlgebornen Fr. Fr. Charlotta Magdalena Elisabetha von Bernhold gebohrner Von Rathsamhaußen zum Stein deßen geweßter Ehegemahlin und nunmahligen fraw Wittib ehelich erzeugter hochadel. Zweÿer Söhnen und Frauen tochter (…) So beschehen allhier zu Straßburg in beÿseÿn und Persönlicher gegenwarth des hoch Edel vest und hochgelehrten H: Lazari Christiani Sahlers J. U. Lti und beÿ hochlöblich erwehnter Löbl Ritterschafft des Untern Elsaßes Wohlmeritirten Advocati v. vornehmen burgers allhier won dem freÿ hochwohl gebornen herrn H. Samson Ferdinand von Landsperg vor hochwohl gedachter Fr. Generalin von Bernhold der doßeitigen hochadel. Fr. Wittib gerodneten H. Curatore, schrifftlich constituirten Mandatarÿ, ingl. der Wohl Edlen v. hochst wolgelehrter H Joh: Sigfrid Breuen des seel. H Generalen geweßten Schaffner auf donnerstag den 17.ten Augusti et seqq. Anno 1741
Der in Gott ruhende Herr General hat zu Erben verlaßen wie folgt 1. den Freÿhochwohlgeb. Hn Philipp Gottfried von Bernhold Hochbestellten Capitaine des grenadiers unter dem Löbl. Elsasischen Regiment, so persönlich zugegen gewesen, 2. den Freÿ hochwohlgeb. Hn. Hn. Sigfrid Anthoni von Bernhold hochansehnlichen Capitaine des grenadiers unter dem Löbl. Regiment Appelgrohn, so seine stelle hierbeÿ selbsten Vertretten, und dann 3. die Freÿ hochwolhgebohrne Fr. Fr. Octaviam Sabinam Von Landsperg gebohrne von Bernhold des Freÿ hochwohlgebohren Hn Hn. Sambson Ferdinands Von Landsperg Fr. Ehegemahlin, welche mit zuziehuung des Freÿ hochwohlgeb. Herrn Carl Ferdinand Zorns von Bulach hochverdienten XV.ers des beständigen Regiments allh. Ihres hier Zuerbetten hochgeehrten H Assistenten dem Geschäfft persönlich abwartete, Also alle dreÿ des in Gott ruhenden Hn. Generalen mit eingangs hochgedachter deßen hoch Adel. Fr. Ehegemahlin ehelich erzeugte H. Söhne und Fr. tochter auch ab intestato Zu dreÿen gleichen Antheilen Verlaßene hochadel. Erben.

In einer allhier ane der Kalbsgaß gelegener in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 13) Ane Höltzen und Schreinerwerck. Im vordern hauß auff dem 3.ten Stock, In der Cammer N° 1, In der Cammer N° 2, In der Cammer N° 3, Auff der Heubühn N° 4 – Im mittlern Stockwerck, in der vordern Stub N° 5, In dem Gemach oder Zimmer N° 6, Im Cabinet N° 7, Im Cabinet N° 8, In der Camin Cammer N° 9, In der Camin Cammer N° 10, In der Cammer N° 11, Im untern Haußehren, Im Zimmer N° 12, Im Zimmer N° 13, In der Cammer Magd Cammer N° 14, In der Cammer neben der Cammer Magd Cammer N° 15, In der Kuchen, In der Magd Cammer N° 16 – Im Lincken gebäude, Im Zimmer N° 17, Im Zimmer N° 18, Im der Gesinds Stub N° 19, In der Laquayen Cammer N° 20, In der Cammer N° 21
(f° 54-v) Stammgüthere so denen beeden Herren Söhnen nunmehro zukommen, Kallenberg und Roßsteeg
(f° 62-v) Rathsamhausisches Stammguth. Fidei Commiss und Stammguth zu Westhaußen
(f° 68-v) Dombrouckisch. Eigenthumb ane einer Behaußung allh. zu Straßburg. Eine behaußung allhier zu Straßburg ane der Brandgaßen geleg. der Adelich Rathsamhaußische Hoff genand, (…)
(f° 88-v) Dombrouckisch. Eigenthumb ane eine Mühl v. liegende güther beÿ Mollkirch
(f° 89) Dombrouckisch. Antheil ane dem Herrschafftl. Dorff Niederottenrott
Series rubricarum hujus Inventarÿ, In Ansehung die hinterbliebene hochadeliche Frau Wittib von der theilbahren Nahrung abgestanden und sich derentwegen mit einer gewißen Summ gelds außweißen lassen, so wird selbige ohne fernere besondere Untersuchung unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 1203, Sa. Bibliothec 62, Sa. Tafflen 84, Sa. Gutsch und Geschirrs 140, Sa. Pferd 144, Sa. brennholtzes 125, Sa. Anckens und Liechter 26, Sa. Frucht, Melles und Kleÿen 131, Sa. Wein und Lährer Faß 214, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 1375, Sa. Goldenen Rings, Ketten, Peerlein und dergleichen Geschmeids 385, Sa. Gülthen von liegende güthern 5494, Sa. Matten, Capital: Boden: und anderer Geld zinnß 233, Sa. Eigenthum einer behaußung 5100, Sa. Schulden 7210, Summa summarum 21.933 lb – Sa. Schulden 8402 lb, Detrahendo verbleibt 13.530 lb
(f° 28-v) Copia der Eheberedung (…) Straßburg dienstag den Eilfften Decembris 1691
(f° 33) Copia letzten Willens Disposition (…) So geschrieben und befohlen in meinem Hauß zu Straßburg den 16. Februarÿ 1739

Philippe Geoffroi de Bernhold, colonel au régiment d’Alsace, et Sigefoi Antoine de Bernhold, colonel au régiment Royal suédois, hypothèquent deux tiers de la maison au profit de l’Œuvre Notre Dame

1745 (15.11.), E 770
die freÿ wohlgeborne H. Philipp Gottfried von Bernhold hochbestellter Obrist und Commandant d’un bataillon beÿ E. löbl. Ellsäßischen regiment und freÿ hochwolhgebohrne H. Sigfried Antoni von Bernhold auch hochadelischer Obrist und commandant d’un bataillon beÿ E. löbl. Regiment royal suedois beede gebrüdere anjetzo abweßend
in gegensein löbl. stifft Unser Lieben Frawen Werck allhier in deßen nahmen ST H. Johann Valentin Beyerle beÿ löbl. statt löbl. stifft Unser Lieben Frawen Werck allhier in deßen nahmen S.T. H. Johann Valentin Beyerle beÿ löbl. Statt Straßburg hochmeritiert. alten Ammeisters und XIII.r als pfleger und H. Lt. Mauritius de Vaudin als schaffner ged. Stiffts – schuldig seÿen 6000 gulden
unterpfand, 1. die ihnen eigenthümlich zuständig zwo tertzen ane einer freÿadelischen wohn behausung ane der Kalbs gaßen, einseit neben gewesten hochad. Johamischen behausung modo N. Meynau dem handelsmann anderseit neben H. Christian Röderer dem rothgerber hinten auf die Breusch vornen die Kalbsgaß, sambt vorder, nebens und hinterhauß und dazu gehörigen rechten und gerechtigkeiten, wie solche zwo tertzen von weÿl. H. general von Bernhold ihres H. vatters ane sich gebracht, so annoch die gantze behausung um 2000 gulden daran aber die hochadel. Fr von Landsperg geb. von Bernhold ihrer Fr. schwester eine tertz schuldig, H Dr Sachßen schuldig
item ein gültgut zu Kirrweiller (…)

Philippe Geoffroi de Bernhold meurt à Sarrebruck le 16 février 1747 en délaissant pour héritiers son frère et sa sœur. L’actif de la succession s’élève à 9006 florins, le passif à 24 094 florins.

1747 (20.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 90) n° 763
Inventarium und beschreibung aller derjenigen eigenthümlichen Haab, Nahrung und Güthere, auch Activ und Passiv schulden, so weiland der freÿ Hochwohlgeborne Herr, Herr Philipp Gottfried von Bernhold, geweßter Obrister der Infanterie und Commendant eines Bataillon in dem löblichen Regiment Elsaß nun seelig, nach seinem den 16. Februarÿ dieses lauffenden 1747. Jahrs, in der Statt Zweÿbrücken beschehenen tödlichen hintritt, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des hochedel Vest und hochgelehrten Herrn Latzari Christiani Sahlers, Juris utriusque Licentiati und einer löbl. Ritterschafft des untern Elsaßes hochmeritirten Advocati auch consulenten beÿ einer hochlöblichen Ortenauischen Ritterschafft, alß von obhochgemeltem Nider Elsäs&ischen Ritter Directorio (…) ex officio constituirten Curatoris Massæ (…) inventirt, durch Herrn Johann Caspar Rohlin* den hoch Adelichen von Bernholdischen Schaffner, so beÿ des seel. H. Obrist Absterben in Zweÿbrucken zugegen ware, wie auch durch Herrn Wilhelm Kramer, deßelben geweßten Cammerdiener (…) So beschehen Zu Straßburg, in der hochadlichen von Bernholdischen behausung, ane der Kalbsgaß gelegen ; auff Sambstag den 20. ten Maji Anno 1747.
Copia declarationis und darauff ertheilten Decreti. Nachdeme (…) mein werthester H. bruder den 16. febr. 1747 in der statt Zweÿbrucken nach seiner außgestandenen hitzigen kranckheit dieses zeitliche gesegnet, die freÿhochwohlgeborne Fr. Eleonora von Bernhold wittib geb. von Rathsamhaußen zum Stein meine Fr. Mutter nebst meiner Schwester Fr. Octavia von Landsperg geb. von Bernhold (…) (unterschrieben) Antoni Sigfried von Bernhold curatorio noe.

(f° 8-v) Antheil an einer behausung so zwischen dem seeligen Herrn Obristen und deßen zweÿen noch lebenden hochadelichen Geschwüsterden ins gemein außgesetzt, Nemblichen eine vorder und hinderbehausung, Hoff, hoffstatt, bronnen und Stallung mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg an der Kalbsgaßen, einseit neben dem hiebevorigen Adelich von Johamischen jetzt (-) anderseit neben Herrn Christmann Röderer dem Gerber, vornen auff gedachte Kalbsgaß und hinten auff das Waßer die Preusch stosend, so über hernach gemelte daroben hafftende Capitalia eigen und beÿ weÿl. Herrn Generalen Sigfridts von Bernhold des Herrn Obristen Herrn Vatters seeligen Verlaßenschafft Inventur, den 6.ten novembris 1741. durch Herrn Johann Quirinum Berga den Steinhauer und Maurermeister, Wie auch durch Johann Michael Osterrieth, den zimmermann, beede burgere alhier, nach Zuvor abgelegter handtreu für freÿ ledig und eigen angeschlagen, so dermalen auch Zu Ersparung der unkosten, Wie Wohl ohn einigen Præjuditz, weilen die dißortige tertz doch Zur Versteigerung kommen wird, dabeÿ Zulaßen, beliebet worden, nemblichen umb 20.400 Livres oder 10.200 fl, Auff dießer Behaußung hafften folgende gemeinschaftliche Passiv Capitalia (6840 fl. der antheil) 2280 fl. die übrige Zwo tertzen seind Herrn Obristen Antoni Sigfried von Bernhold und Frauen Octavia Sabina von Landsperg gebohrner von Bernhold vor ohnvertheilt Auständig. Die über die völlige behausung besagende Documenta und brieffschafften, seind in des abgeleibten herrn Obristen seeligen Vätterlichen Güther Designation, durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet, à fol: 72. fac 2.de biß ad fol: 76. fac. 2.da, umbständlichen beschriben, Wohin man sich dißorts beleibter Kürtze halben beziegen Wollen
(f° 19-v) Wÿdembs verfangenschaft, So die freÿ hochwohlgebornen Frau Frau Charlotta Magdalena Elisabetha von Bernhold gebohrne von Rathsambhaußen Zum Stein, von dem weÿland freÿ hochwohlgebornen herrn herrn Sigfrid von Bernhold geweßten hochasnehnlichem Marechal de Camps et des Armées du Roy Ihrem herrn Ehegemahl seel. Andenckens Zeit leben Wÿdembs weiß Zugenießen hat
(f° 20-v) Extractus aus Weÿland der freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Annæ Louisæ Claudinæ gebohrner von Rathsamhausen zum Stein, auch weÿl. des freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Johann Christian von Dombrouck geweßten hochfürstl. Straßburg bischöflichen und thomb capitulischen Oberjägermeisters längst seeligen hinterbliebener Frauen wittib (…)
hausrath 397 fl., f° 21 silber 472 fl., gold 60 fl., baarschafft 1285, 2400 (zusammen) 3685 fl.
Schulden 2112 fl., Summa summarum 9006 fl., Schulden 24.094 fl., In Vergleichung 15.087 fl.

Antoine Sigefroi de Bernhold épouse en 1747 Charlotte Sophie Wurmser de Vendenheim Sundhouse, fillle de François Jacques Wurmser de Vendenheim Sundhouse et de Sophie de Landsperg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Anthoni Sigfrid von Bernholdt, Herrn Zu Westhausen, Roßeteeg und Rodern Erlach und Berolstein & Ihro Allerchristlichsten Königlichen Majestät unsers allergnädigsten Königs und Herrn Obristen der Infanterie & Weiland des auch freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Sifgrid von Bernholdt, Herrn Zu Westhausen, Roßsteeg, Rodern Erlach und Berolstein & Ihro allehöchstgedachten aller christlichsten Majestät geweßenen Marechal des Camps & Armées und der auch freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Charlottæ Elisabethæ von Bernhold gebohrner Freÿin von Rathsamhausen zu Stein ehelich erzeugten Sohns, als hochadelichen Herrn bräutigam an Einem und der auch freÿ hochwohlgebornen Fräulein Fräulein Charlottæ Sophiæ Wurmserin von Vendenheim zu Sundhausen des auch weil. freÿ reichs hochwohlgebornen Herrn Herrn Frantz Jacob Wurmser von Vendenheim zu Sundhausen, Herrn zu Mißenheim und anderer Orten & Ihro Königl. Kaÿßerl. Majestät Rath auch der ohnmittelbaren freÿn Reichs Ritterschaft in Schwaben Viertels am Neckar und Schwartzwald des Ortenauischen bezircks gewesenen hochverdienten Directorial Rath und Ausschußes auch eines hochlöbl. Nieder Elsasischen Ritter Diretcorii hochansehnlichen Zugeordneten und Truchenmeisters und der auch freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Friderica Sophia Wurmserin von Vendenheim zu Sundhausen gebohrner von Landsperg erzielt und hinterlaßener ehelicher Fräulein tochter, als hochadelicher Fräulein braut (…) So geschehen Straßburg den 4. Septembris 1747

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 87-v n° 16)
1747. Mittw. den 6. Sept.sind auf eine, mir, Von Ihro Gnaden dem regirenden herrn Ammeister ertheilte Erlaubnuß im Hauß in den Stand der Heil. Ehe eingesegnet worden, der Freÿ Hochwohlgeborne Herr Antonius Sigfrid von Bernhold, hochbestellert Obrister beÿ dem frantzösischem König. Schwedischen Regiment Zugeordneter beÿ einem hoch Löbl. Ritter Directorio im Untern Elsaßn Herr Zu Westhaußen Rodern & des weÿl. Freÿ Hochwohlgebornen Hern Herrn Sigfrid von Bernhold geweßten Marechal des Camps és Armées du Roy, Zugeordneten beÿ dem Hochlöbl. Ritter Directorium Untern Elsaß, Herrn Zu Westhaußen, Rodern & Hinterlaßener ehelicher Herr Sohn und die freÿ Hochwohlgebornen Fräulein Fräulein Charlotta Sophia Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhaußen, des Weÿl. Freÿ Hochwohlgebornen Herren Herren Frantz Jacob Wurmser von Vendenheim Zu Sundhaußen und Missenheim Löbl. freÿ unmittelbarer Reichs Ritterschafft in der Ortenau geweßten Hochansehnlichen Directorial Rath und Außschuses auch Zugeordneten beÿ Löbl. freÿ umittelbarem Ritter Diretorio im Untern Elsaß nachgelaßene ehel. erzeugte Fräulein tochter [unterzeichnet] Anton Sigfrid Von Bernhold alß Bräutigamb, Charlotta Sophia Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhauden alß Hochzeÿderin (i 90)

Antoine Sigefroi de Bernhold meurt en 1775 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison de location Grand rue. L’actif de la succession s’élève à 26 670 florins, le passif à 34 640 florins
1775 (9. 9.br), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 612
Inventarium über Weiland des Hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Anthon Siegfried Freÿherrn von Bernhold, Ritters des Königlichen Ordens von dem Kriegs Verdienst, wie auch des hochfürstlich Landgräflich Heßen Caßelischen haußordens vom goldenen Löwen, hochbestellten Obristen zu Fuß, vice Directoris E. hochlöbl. Ritterschaft in Schwaben des Cantons Ortenau, wie auch Zugeordneten Ritter Raths Es. hochlöbl. Ritter Directoris im Untern Elsaß, herrn zu Westhausen, Rodern, Niederotterott, Rooßsteeg, Kalenburg und andern Orten nunmehro hochseel. Vermögens Nachlaasaenschaft auffgerichtet im Jahr 1775. – nach hochderoselben Sambstags den 14.ten Octobris dieses 1775.ten Jahrs dahier Zu Straßburg aus dießer Zeitlichkeit erfolgten tödlichen hintritt velaßen haben. Welche Vermögens Nachlaasaenschaft auf hohes Erfordern und begehren der Freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Charlottæ Sophiæ Bernhold, gebohrnen Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhausein, des hoch seel. Hn hinterlaßenen hochadel. Frau Wittib beÿständl. des hochwohlgebornen Hn Hn Friderich Ludwig Reinhard freÿh. von Wurmser Zu Vendenheim hochverdienten Obristen des hochlöbl. Provincial Regiments Colmar, Ritters des hohen königl. Ordens vom Kriegs Verdienst, auch des beständigen geheimen Regiments der Hn XV. Zu Straßburg hochadelichen Hn beÿsitzers auch Hn Benedict Heinrich Marbach des allhies. Waÿsenhaußes Schaffners auf die bereits von des hochaelichen Hn Defuncti zu Beneficial Erbinnen verlaßener hochadelichen Frauen Töchtern beschehene Renunciation, (ersucht) die Domestiquen aber, nahmentl. Jungfr. Charlotta Vogelin die Kammerjungfer, Susanna Margaretha und Catharina die beeden Siefermännin hierortige Köchin und Stubenmagd, Friderich Giffar, die dreÿ bedienten und dann Joseph Heiligenstein, der Kutscher (…) So beschehen und angefang alh. Zu Straßburg den 9. 9.bris im Jahr 1775.
Des Hochseeligen Herrn Hochadeliche Erbinnen wären zwar 1° die Freÿ hochwohlgeborne Frau, Frau Carolina Christina Wilhelmina geb. von Bernholdn des Freÿ hochwohlgebornen H. H. Joh: Leopold, Freÿherrn von Dettlingen, Rittern des hohen Ordens vom Kriegs Verdients und hochmeritirten Obristen Zu Fuß, Hn zu Scharrachbergheiln Gerstheim und anderer Orten Frau Ehe Gemahlin, 2° die Hochgeborne Frau, Frau Paulina Charlotte Henriette geb. von Bernhold, des freÿ hochwohlgebornen Hn Hn Friderich Ludwig Reinhard Freÿherrn von Wurmser, Zu Vendenheim, Rittern des hohen Ordens von Kriegs Verdienst hochverdienten Obristen des hochlöbl. Provincial Regiments Colmar, und des beständigen geheimen Regiments gnädiger herren deren XV.ner dahier Zu Straßburg, hochad. Hn Beÿsitz. Hn Zu Sundhausen, Vendenheimn Mißenheim auch anderer orthen Frau Eheliebstin, Beÿde des hoch seel. Hn mit eingangs hoch Ehrenermelter hochderoselben hintel. hochadel. Fr. Wb. ehel. erzeugten Fr. Töchter

In einer alhier Zu Straßburg an der mittlern Langenstraß gelegenen hierorts in Lehnung bewohnender behaußung hat sich befunden, wie folgt
Ergäntzung der Hochadelichen Frauen Wittib stante matrimonio in Abgang und Veränderung gekommenen unveränderten Vermögens. (…) Vermög Special Theil-Register über dasjenige was sie hochadel. nunmehrige Fr. Wb. beÿ Erörterung und Abtheilung weÿl. (…) Herrn Frantz Jacob Wurmsers von Vendenheim, Zu Sundhausen (…) ihres Herrn Vatters hochseeligen Andenckens eigenthüml. Verlaßenschaft vor einem 4.ten Stammtheil erblich überkommen hat, besagend durch nun weil. Hn Notarium Joh: Daniel Lang im Jahr 1746. agefangen
Summarischer Calculus, des Hochadelichen Herrn unveränderte und theilbare Verl. betreffend, Sa. haußraths 3993 fl. Sa. bücher 12, Sa. brennholtzes 60, Sa. der Kutschen und Chaisen 443, Sa. der Pferd 140, Sa. des Weins und der leeren Faß 1111, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 3535, Sa. Golgs u. dergl. Geschmeids 652, Sa. baarschafft 4018, Sa. pro Anno 1775 giebig und beÿ dem Concept angegebenen Revenuen 8674, Sa. der Activ Schulden 4018, Summa summarum 26.670 fl. – Passiv Schulden 34.640 fl. In Vergleichung 7970 fl
Copia der Eheberedung (…) So geschehen Straßburg den 4. Septembris 1747
(Inventarium illatorum, Laquiante, Notaire Royal, 24 décembre 1772)

Partage des biens sis aux bans de Richtolsheim et Saasenheim
1777 (22.1.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 630) n° 70
Revisio Abschatz: und Abtheilung über Die in den Bännen Richtolßheim und Saßenheim gelegene in das ehemalige Freÿherrlichen Bernholdische Stamm: und Substitutions Guth gehörige güther so nach absterben weiland des hochwohlgebornen herrn Siegfrid Antoni Freÿherrn von Bernhold seel. deßen hinterlassenen zween Frauen töchteren nehmlich Frauen Carolinä Wilhelminä Christinä von Dettlingern geb. Freÿin von Bernhold und Frauen Paulinä Henriettä Charlottä von Wumser geb. Freÿin von Bernhold vor ledig und eigen zuständig sind

Autre partage
1777 (30.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 630) n° 77
Zuwißen seÿe hiemit daß persönlich erschienen seind die hochwolgeborne Frau Catharina Wilhelmina Carolina geb. Freÿin von Bernhold des hochwolgebornen herrn Johann Leopold Baron von Dettlingen Obristen zu Fuß, Ritters des Königlichen Ordens von Kriegs Verdienst, herrschafft zu Scharrachbergheim, Gerstheim, Rosteeg und andern Orten Frau Ehegemahlin und die gleichfalls hochwolgeborne Frau Paulina Henrietta Charlotta geb. Freÿin von Bernhold des hochwohlgebornen herrn Friderich Ludwig Reinhard Baron Wurmser von Vendenheim Obristen zu Fuß, und hochgeachten Ordens Ritters herrschafft Zu Vendenheim Rosteeg und anderer Orten Frau Ehegemahlin (…) diese haben zu erkennen gegeben, daß nachdem Ihnen auf absterben weÿland des hochwohlgebornen Hern Sigfrid Antoni Freÿherrn von Bernhold gewesenen Obristen Zu Fuß, Ritters des Königl. frantzösischen milit. meriten ordens, herrschafft Zu Westhaußen und anderer Orten, ihres herrn Vaters und letzten dieses Manns Stammens und Namens seeligen unter anderen ehemaligen Freÿherrlich von Bernholdischen Stamm und Susbtitutions Gütheren, auch die herrschaft Kalenburg oder Roßteeg (…)

Octavie Sabine de Bernhold épouse en 1723 Samson Ferdinand de Landsperg dans son château à Nidernai
Mariage, Goxwiller (luth. p. 48)
1723. Sonnt. d. 24. 8.b. abends um 6. uhr ist in den hochadel. Landspergischer Schloß Zu Nider Ehenheim von mir und.schriebenen Pfarrer Ehelich copulirt worden der wolgeborne Juncker und Herr Herr Samson Ferdinand von Landsperg, des wohlgebornen Juncker und Herrn Herrn Joh: Sigmund von Landsperg v. der wolgebornen Frauen Frauen frä Susannä geb. Böcklin von Böckelsau Ehl. Sohn, Und die wolgeborne fräulin Octavia Sabina des freÿ- hochwohlgebornen Herrn Herrn Sigfrid von Bernholdt Ihrer Königl. Majestät von franckreich feld-marchalen und der freÿ hochwohlgebornen frauen frauen Elisabethä Charlottæ geb. von Rathsamhaußen Ehl. fräulein tochter [unterzeichnet] Samson Ferdinandt Von Lanssperg, Octavia Sabina Von Bernhold (i 25)

Octavie Sabine de Bernhold meurt en 1775 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Brûlée. L’actif de la succession s’élève à 28 235 florins, le passif à 13 396 florins
1779 (4.2.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 632) n° 99
Inventarium über Weiland der Hochwohlgebornen Frauen Octaviæ Sabinæ Freÿin von Landsperg geb. Freÿin von Bernhold auch Weiland des Hochwohlgebornen Herrn Samson Ferdinand Freÿherrn von Landsperg geweßenen Herrn zu Nieder Ehenheim, Lingolßheim, Meistratzheim und anderen Orten hochseeligen Andenckens hinterbliebener Frauen Wittib nunmehro auch hochseeligen Vermögens Nachlassenschafft – nach Ihrem den 16.den decembris des jüngst abgewichenen 1775.ten Jahrs alhier zu Straßburg genommenen tödlichen Vonhinnenscheiden hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl herrn Frantz Antoni Matern Humbourg Advocati et Procurat. ordinarii eines hochlöbl. Königlichen freÿohnmittelbaren Ritter directorii im Untern Elsaß (…) Gewalthabers derer hochwohlgebornen Herren Herrn Siegfrid Johann Samson freÿhern von Landsperg des heiligen Ludwig Ordens Ritters eines hochlöbl. Königlichen Ritter-Directorii des freÿohnmittelbaren Adels im Untern Elsaß Directorial Raths Mit-Herrschaft zu Nieder Ehenheim, Meistratzheim, Lingolßheim und anderen Orten und Herrn Friderich Heinrich Carl Baron von Landsperg des hohen deutschen Ordens Ritters Mit Herrschafft an erstbesagten Orten als auch Herrn Tobias Schumachers löblicher Stadt Straßburg offenbar geschwornen Notarii und beÿ hochgedachter Ritterschafft imatriculirten Inventirschreibers als (…) ernannten Mandatarii der hochwohlgebornen Freÿfrauen Octaviæ Franciscæ Fridericæ von Glaubitz gebohrner Freÿin von Landsperg Weiland des hochwohlgebornen Herrn Christian Sigismund Freÿherrn von Glaubitz geweßenen General Lieutenant der königlichen Armeen Inspectoris über den Rheinfluß und die daselbst angelegte Wercker, des hohen königlichen Ordens vom Kriegs Verdienst Ritters hoch seel. hinterbliebener frauen Wittib und des hochwohlgebornen Herrn Frantz Maria Freÿherrn von Landsperg Mit-Herrschafft an vorbesagten Orten inventirt und ersucht durch Frau Christiana Goldschmidin gebohrne Greckelin von Wurmß gebürtig die haushälterin /:angesehen die Zwo Mägde schon üner einiger Zeit aus dißortigen dienst gegangen:/ (…) geäugt und gezeigt – So geschehen alhier Zu Straßburg in der ane der brand-Gaß gelegenen hieunten beschrienenen Sterb behaußung (…) auf donnerstag den 4 februarÿ und folgende täge im Jahr 1779.
Ernennung der Erben. Der hochseeligen Freÿfrauen von Landsperg Krafft Ihres den 23.ten Aprilis 1777. verschloßen errichteten und den 29.ten besagten Monaths beÿ herrn Notario Johann Rudolph Dinckel deponirten den 22.ten Decembris 1778. aber eröffnet und publicirten testaments eingesetzte rechtsmäßigen Erben sind, hoch deroselben im eingang dieses Inv: schon benannte herren Söhne und Frau Tochter als 1.mo die hochwohlgeborne Freÿfrau Octavia Francisca Friderica verwittibte von Glaubitz gebohrne freÿin von Landsperg, 2.do der hochwohlgeborne Herr Sigfrid Johann Samson Freÿherr von Landsperg, 3.tio der hochwohlgeborne Herr Friderich Heinrich Carl Baron von Landsperg Und 4.to der hochwohlgeborne Herr Frantz Maria Freÿherr von Landsperg

In einer allhier zu Straßburg ane der Brand Gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung folgendermaßen befunden worden
Höltzen: und Schreinwerck, Im wohnzimmer, Im Schlaff Zimmer darneben, In der Cammer Jungfer Schlaffzimmer, In dem Toilette zimmer, Auff des Herrn Städtmeisters Gang, Im Haußöhren, Im rothen Zimmer (…)
(f° 14) Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich eine behaußung allhier zu Straßburg ane der Brandgaß gelegen, ehemahlen der Adelich Rathsamhaußische und jetzo der Landspergische Hof genannt, (…)
Norma Nach deren dieses Inventarium zu expediren, Sa. haußraths 1872 fl., Sa. silber geschirr und Geschmeids 292, Sa. Golden Geschmeids 1, Sa. baarschafft 368, Eigenthum ane eiber behausung 18.000, Eigenthümliche Gült Güther &, Sa. Schulden 7700, Summa summarum 28.235 fl. – Schulden 13 396 fl, Nach deren Abzug 14.838 fl.
Copia Weÿland der Freÿ hochwohlgebornen Frauen Octaviæ Sabinæ Freÿin von Landsperg gebohrne Freÿin Von Bernhold Weÿland des Hochwohlgebornen Herrn Samson Ferdinand Freÿherrn von Landsperg geweßenen Herrn zu Nieder Ehenheim, Lingolßheim, Meistratzheim und anderen Orten hochseeligen Andenckens hinterbliebener Frau Wittib aufgerichteten Testamenti Solennis in Scriptis (…) Zweÿtens verordne Ich und ist mein Will, daß Herr Stätt Meister Frantz Samuel Freÿherr von Berckheim in der mir zuständigen ane der Brandgaß allhier gelegenen behaußung das gantze hinderhauß, den Keller, die Remise, Stallung, heubühn, das Holtz: und hünerhauß die Ein: und außfahrt in den hoff, überhaupt alles das, was derselbe biß dato besseßen, genoßen und bewohnt hat, fernerhin und biß an das Ende seines Lebens freÿ (genießen solle) – So geschehen in Straßburg den 23. Aprilis Anno 1777. – Copia Actus Depositionis, auf dienstag den 29. Aprilis 1777, Johann Rudolph Dinckel

Biens que la baronne de Bernhold née Wurmser a laissés à Strasbourg après son départ, dans l’hôtel de Zuckmantel
1781 (24. Oct.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 633) f° 141
Verzeichnuß Derjenigen Effecten welche in die Reichs freÿwohlgebohrne verwittibte Freÿfrau von Bernhold geb. Freÿin von Wurmßer beÿ deeo Abreise von Straßburg in dem freÿherrlich von Zuckmantelischen Hôtel in den langen Straß alhier zurückgelaßen
als In der Kammer Jungfer Zimmer, Im haußehren und Bedienten Zimmer, Im garde des Meubles, In der gnädigen Frauen Zimmer, In dero Schlaf Zimmer, In der obern küchen – Summa 1602 fl.

Vente de meubles après la mort de Charlotte Sophie de Wurmser veuve de Jean Sigefroi de Bernhold
1792 (20.4.), Not. Ensfelder – acp 10 f° 53 du 20 avril 1792
Vente de meubles de la succession Dame Charlotte Sophie de Wurmser veuve de feu le sieur Jean Sigfrid de Bernhold décédée le 27 mars dr. à la requête des Dames Caroline Christine de Bernold épouse de M. Jean Leopold de Dettlingen et autres enfant de la défunte héritiers sous bénéfice d’inventaire, montant le 17 du courant à 1945 livres, le 18 à 1198 livres

Sigefroi de Bernhold et sa sœur Octavie, femme de Samson de Landsperg, vendent la maison au marchand Jean Frédéric Saum moyennant 4 000 livres

1761 (24.12.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 375
der hochwohlgeborne Jr. Sigfrid von Bernhold oberst von der infanterie und deßen schwester Fr. Octavia geb. von Bernhold des auch hochwohlgebornen Jr. Samson von Landsperg beÿständlich des hochwohlgebornen Jr. Johann Reinhard von Buch
in gegensein Johann Friedrich Saum des lederhändlers
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kalbsgaß, einseit neben H. Johann Jacob Röderer dem gerber anderseit neben H. Pierre Mayno dem tabacfabricanten hinten auf das waßer – als ein elterliches erbguth – um 4000 pfund

Fils du cordier Christophe Saum, le tanneur Jean Frédéric Saum devient tributaire chez les Tanneurs le 30 avril 1755
1755, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 30) Mittwoch den 20. Augusti Anno 1755 – Johann Friderich Saum, der Rothgerber und Lederbereiter, Christoph Saum des ältern seÿler und burgers allhier ehelicher Sohn, stunde Vor mit producirung Stallscheins de dato 30. Aprilis 1755. und bate um das Zunfftrecht.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt
[in margine :] Zunfft 2 lb 16 ß é s, Pfgthrn 13 ß 4 d, scribæ 2 ß, büttel 1 ß, (zusammen) 3 lb 12 ß 6 d, Spendirte 15 ß, S. 4 lv 7 ß 6 d

(f° 62) Freÿtag den 12. Decembris A° 1755 – Johann Friderich Saum, der Rothgerber und ledenhändler allhier so den 20. Augusti jüngsthien zünfftig worden, stunde Vor und hielte um den Lederschnitt an.
Erkannt, gegen erlag der Gebühr willfahrt.

Jean Frédéric Saum cotise en outre à la tribu du Miroir pour avoir le droit de vendre du cuir.
1755, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 207) Donnerstags den 11. Septembris 1755 – Geldzünfftiger
Johann Friderich Saum der Rothgerber und Burger allhier, ist wegen frembden Lederhandels gegen Erlaag 2 pfund13 schilling 4 pfenning geldzünfftig auff und angenommen worden, Ihme anbeÿ alle andere handlung inhibirt, dt. et prom. obed.

Jean Frédéric Saum fait appel chez les Quinze d’une amende de 45 livres que lui a infligée la tribu des Cordonniers pour avoir vendu des peaux de cheval sans les avoir fait préalablement inspecter. La commission estime que le contrevenant n’avait pas d’intention maligne et que l’amende est disporportionnée au délit. Les Quinze ramènent l’amende à 3 livres.
1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
(p. 107) Sambstags den 16. Februarÿ 1757 – Faust nôe Johann Friderich Saum des burgers und Lederhändlers allhier, pplis will von einem beÿ E E Zunfft der schuemacher wieder ihne ergangenen bescheid appellirt und um Verzeichnus gebetten haben, Cum oblato sothanen bescheid ad acta zu lieffern. Erkannt, Verzeichnus.

(p. 171) Sambstags den 26. martii – Fuchs nôe E E Zunfft der schumacher Hn Zunfftmeister Ctra Johann Friderich Saum, gegner hat Von einem beÿ derseitigen Zum gericht ertheilten bescheid an mghhrn appellirt, dieße appellation aber nicht prosequirt, bitt dahero ob instantes ferias dem gegner Zu Vorlegung seiner Vermeintlichen appellations Klag Zeit ad proximam Sub ipsa præclusione anzusetzen. Christmann pro faust bitt d proximam. Erkandtn Zeit ad proximam zugelaßen.

(p. 213) Sambstags den 23. aprilis – Faust nôe Johann Friderich Saum des Lederhändlers in actis ctra E E Zunfft der schuemacher Hn Zunfftmeister, producirt unterth. appellats Klag juncto petito mit beÿlag Sub N° 1 bitt deput. Fuchs bitt Cop. et term. ord. obtinuit.

(p. 410) Sambstags den 19.ten Novembris 1757 – Saum ctra die Schuemacher
Obere Handwercks Herren laßen per Hn Secretarium Städel referiren, es habe H. Joh: Friderich Saum der Lederhändler den 23.t aprilis jüngst ctra E. E. Zunfft der schuhmacher H. Zunfftmeister, eine unterthänige appellations Klag juncto petito mit beÿlag Sub N° 1 producirt und darinn Exponirt, was maßen Er durch die sub N° 1 mitkommende Sententiam â quâ un dreÿmahl 15. lb d von E. E. Zunfft gerichts der schuemacher, dießer erheblichen ursachen halben Condemnirt Worden, daß Er aber so viel stück frembde roßhäut ohne daß Er solche Zuvor schauen laßen obgleich an hießige schuemacher Verkaufft habe, Weilen appellant aber in dem lederhandel noch nicht lang Etablirt, und so gleich man ihne Von der Existentz eines wiedrigen articuls Vermeintliche nachricht gegeben, sich der schau Zumahlen solche nur 21 sols gekostet, Welche (klei)nigkeit allen argwohn eines Vorsatzes be(-) zu unterwerffen, Freÿmüthig erklähret, alls an mghh das unterthänige bitten, dieselbe geruheten den appellanten Von der in der sententia à quà ihme aufgebärdeten straffe derer 45. lb d gnädig Zu absolviren ref. in Contestationem Expensis.
Eodem habe der Appellatische H Zunfftmeister per recessum um deputationem gebetten et facta relatione den Zunfft bescheid gnädig zu Confirmiren ref: noviter factis Expensis.
Auff geschehene Weißung habe der appellant præsens sich auf Contenta seines producti bezogen, mit nochmahliger Versicherung daß dießes Versehen nicht auß Vorsatz sondern aus unvorsichtigkeit, wegen Vielen anderen geschafften geschehen seÿe, bitt unterth. solches in Consideration Zuziehen.
H Johann Martin Meÿer, H Johann Martin Schwing und H Johann Michael Saltzmann alle 3 schuemacher, sodann Johann Daniel Fridel und Emanuel Reffolt beede gerbere und artickel beruffen mit dem beÿsatz, daß sie nicht davon hatten abweichen können, Es seÿe wahr daß der appellant bald nach dem verkaufft der ohngeschauten häute Zu denen schauern gegangen, solche angezeigte und das schaugelt Zu Zahlen offerirt wollten übrigens die Decision dießer sache mghhen überlaßen haben.
Auff seiten derer Hrn Deputirten habe man eingesehen, daß Er in der that scheme, daß der fehler des appellanten mehr aus übereilung und unvorsichtigkeit als aus Vorsatz herkomme, mithin keine proportion in ansehung der angesetzten straff der 45. lb mit dem Crimen, so Er begangen vorhanden, da nun über dießes die appellation selbst gestehen müßen, daß der appellant solches, obgleich zu Späth angezeigte, als hätten die Hrn Deputirte dafür gehalten, daß eine moderation der straff platz haben könne mithin der meinung seÿn wolle, daß die in erster instantz angesetzte straff auff dreÿ pfund zu moderiren seÿe ref. exp. Erkandt, bedacht gefolgt.

Jean Frédéric Saum épouse en 1758 Susanne Dorothée Rœderer, fille du tanneur Jean Jacques Rœderer : contrat de mariage, célébration
1758 (13.10), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 305
Eheberedung – entzwischen dem ehrenvest und wohlvorgeachten Herrn Johann Friderich Saum, em Ledigen Rothgerber und Lederhändler auch burgern allhier Zu Straßburg, des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren Herrn Christoph Saum, des ältern, Seÿlers und burgers allhier, mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Maria gebohrner von Fridolßheim ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dannder Viel Ehren: und Tugendgezierten Jungfrauen Susanna Dorothea Rödererin, des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Röderersn des Rothgerbers und Lederhändlers auch burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Susanna Dorothea gebohrner Ulrichin ehelich erziehlter tochtern als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auf Montag den 30. Octobris Anno 1758. [unterzeichnet] Johann Friderich Saum als Hochzeiter, Susanna Dorothea Rödererin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth., f° 218-v)
Anno 1759. d. 14. februarÿ Seind in der Kirche zu S. Wilhelm nachdeme Sie daselbsten und in der Kirche zu S Aureliæ Dom. V.ti post Epiphanias und Dom. Septuagesima Zweymahl porclamirtt waren, Zur Ehe eingesegnet worden Herr Johann Friderich Saum, lediger Lederhändler u. burger allhier, Herrn Christoph Saum des ältern Seilers und burgers allhie ehelicher Sohn, und Jungfrau Sußanna Dorothea, Herren Johann Jacob Röderers Rothgerbers, Lederbereiters und burgers allhier und Frauen Susannæ Dorotheæ Ulrichin ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Saul als hochzeiter, Susanna Dorothea Rödererin als hochzeiterin (i 224)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue des Veaux dans la maison qui appartient aux parents de la femme. Ceux du mari s’élèvent à 2 630 livres, ceux de la femme à 1 370 livres.
1759 (17.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 394) n° 801
Inventarium über des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Friderich Saum, des Rothgerber lederhändlers, wie auch der Wol Ehren und Tugend gezierten Frauen Susannä Dorotheä Saumin, gebohrner Rödererin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1759. – alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle
So beschehen in Straßburg in fernerer beÿsein des Ehrenvest und Wohl vorachtbahrn herrn Johann Christoph Saum des ältern und Seÿlers und der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ gebohrner von Frodolßheim, beeder Eheleuth und burgere allhier des Eheherrn vielgeliebter Eltern, wie auch des Ehrenvesten und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Röderers, des Rothgerbers und Lederhändlers und der Viel Ehren und tugendbegabten Frauwn Susannæ Dorotheæ gebohrner Ulrichin, beeder Eheleuthe und burgere allhier der Ehefrauen hertzlich geliebter eltern auf Sambstag deb 17. Martÿ Anno 1759.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kalbsgaß gelegenen der Ehefrauen hertzlich geliebten H Vater eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 448, Sa. Wahren Zum Lederhandel gehörig 2470, Sa. der Frucht 15, Sa. Weins 7, Sa. Silbergeschmeids 78, Sa. baarschafft 503, Sa. liegender Güther nihil, Sa. Schulden 2176, Summa summarum 5700 lb – Schulden 218 lb,, Detrahendo verbleibt 149 lb, Hierzu ist ferner Zurechnen der Ihme zuständige halbetheil ane denen verehrten haussteuren antreffend 149 lb, des Eheherrn völlig in die Ehe gebracht Guth 2630 lb
Diesemnach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 462, Sa. Silbergeschmeids 38, Sa. Guldener Ring 204, Sa. der baarschafft 515, Summa summarum 1220 lb – Darzu kombt ferner die Ihro gebührige helffte ane denen verehrten haußsteuren ertragen 149, Der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen dem billichen Werth nach 1370 lb

Jean Frédéric Saum fait appel chez les Quinze d’une amende de 66 florins que lui a infligée la tribu des Cordonniers pour avoir vendu des peaux de cheval sans les avoir fait préalablement inspecter. La commission estime que plusieurs circonstances plaident en faveur du contrevenant qui a subi un préjudice comme les peaux ont été confisquées. Les Quinze annulent l’amende. Ils délivrent une expédition de leur jugement.
1761-1762, Protocole des Quinze (2 R 173, 174)
(p. 507) Sambstags d. 19. Decembris – Faust nôe Johann Friderich Saum des Lederhändlers und Burgers allhier Ca. E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister prod wiedrigen Zunfft berichts bescheid Vom 10.ten hujus Von welchem principalis an E. G. appellirt, bittet appellationis Verzeichnuß. Erk. Verzeichnuß.

(p. 43) Sambstags den 30. Januarii – Schumacher ctra Saum
Froereisen nôe gedachten Hn Zunfftmeisters ctra Johann Friderich Saum den burger und Leder händler, werden gegner Von einem gerichts bescheid de dato den 19. 7.bris Jüngst an mghn appellirt, die appellations Klag aber noch nicht producirt, bitt dieselbe pro deserta Zu halten ref. Exp.
Faust dieße appellation ist beÿ meiner Ghh protocollo angegeben worden, werde man aber ohne dem über den Casum quæstionis besagenden Zunft artickel der appellations Klag nicht verfertigen Können und der herr Zunft schreiber dießeitigen sollicitirens ohngeachtet deßen Copiam erschweret als bitt die Communication gegen erlag der gebühr anzubefehlen, und indeßen term. ord. gnädig Zuzulaßen. Froereisen setzt.
Erkandt, daß Von H Zunftschreiber die Copia articuli quæstionis gegen erlag der gebühr ausuzulieffern seÿe.

(p. 101) Sambstags den 13. Martii 1762 – Saum Ca. die Schuhmacher
Osterrieth pro Faust nôe Friderich Saum des Lederhändlers in actis contra E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister wie auch Salomon Meÿer des Lederschauers auch in aîs prod. unterthänige appellations Klag junctis petitis bitt unterth. Deputationem. Froereisen bitt Copiam et T O obt.

(p. 193) Sambstags d. 83. Maÿ 1762 – Saum Ca. Schuhmacher
Idem [Faust] nôe Friderich Saum in aîs c. Eundem [E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister] erholt appellations Klag vol 13. Martii j. und bitt deputationem. Froereisen prod. u,nterth. Exceptiones juncto petito und bitt similiter. Erk. ut ante [Deputatio]

(p. 252) Sambstags den 15.ten Maÿ 1762. Saum Ca. Schumacher zunfft
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen per Eundem [Hn Secretarium Stædel], Es seÿe Friderich Saum der Lederhändler und Burger allhier durch bescheid E. E. Zunfft Gerichts der Schumacher de dato 10. Decembris 1761. weilen er von einem Lederhändler, sage Gerber von Hagenau nahmens Loyson, 83 stuck Roßleder, ehe es auf die Zunfft Stub Zur schau gelüffert, wieder Ordnung abgekaufft in conformitæt des articuls vom 29. Xbris 1619. und 21. 7.bris 1636. in die darinnen enthaltene straf der 8 ß von jeder haut, so 66 fl 4 ß ausmacht und in die Gerichts: Kösten ad 3 fl. 3 ß liquidirt condemnirt worden.
Von diesem bescheid habe derselbe d. 19. ejusdem an mghh. appellirt, appellations Verzeichnis gebetten und erhalten, sofort den 13.ten Martii jüngst seine unterthänige appellations Klage junctis petitis überreichet, Hochdieselbe geruheten Zu Erkennen und aus Zusprechen, daß beÿ E. E. Zunfft Gericht der Schuemacher übel gegen ihn gesprochen, folglich von diesem Spruch wohl appellirt worden, demnach die Sententia à quà vor nichtig und wiederrechtlich Zu erklären, die angesetzte Straf aufzuheben, dem appellanten aber das Leder quæstionis cum omni causâ in 24 stunden und S. I. E. sowohl von denen in primâ instantia Klägerin als E. E. Gericht, so durch jenes übel bedachte Urthel litem suam gemacht, solidarie Zu repræsentiren, in entstehung deßen dem appellanten gegen sie samtlich solidarie die forderung aller Kosten Schaden und interesse, so er appellant auf 1200. lb æstimirt, vor gehörigem Richter Zu suchen vorzubehalten seÿe, idque refusis expensis.
Hierwieder habe appellatischer Zunnft H Zunfftmeister den 8. hujus seine unterthänige Exceptiones übergeben und Gebetten Mgghh geruheten in Rechten Zu erkennen und auszusprechen daß in prima instantia wohl gesprochen übel davon appellirt, infolglichen der von appellatischem E. Gericht de dato 10. Xbriis anni elapsi ertheilte bescheid Zu confirmiren und ad judicem à quo ad exequendum Zu remittiren seÿe, idq. refusis appellationis expensis.
Auf geschehene Weißung habe der appellant præsens sich auf contenta seine appellations Klag bezogen.
Nôe appellatischer Zunfft seÿen die in vorgehender Streitsache benambste 3. Hh Schöffen vorgestanden, Welche wiederumb das jenige, was in ihren Exceptionibus enthalten, repetirt und umb manutenentz des artickels gebetten.
Die Hh. Depp. hätten Zwar beÿ untersuchung des quæstionirten artickels wahrgenommen, daß allen hießigen sowohl als frembden Gerbern verbotten, das in allhießiger Statt befindliche oder vor auswarts herein gebrachte Leder Vor Verlauff anderthalb tagen an jemand anders als die hießige schumacher Zu verkauffen, Es befänden sich aber in der heutigen Sache verschiedene umbstanden, welche in favor des appellanten militiren 1° So seÿe gewiß und werde nicht contestirt, daß der appellant seinen jungen, umb die Partheÿ Roßleder Zu Kauffen expresse auf Hagenau geschickt, 2° seÿe auch wahr, daß der frembde Gerber den appellanten von hier abgeholt, und ohnfern den Guthleuthhauß der Kauff geschloßen worden, sodann und 3° welches vermutlich Zu mercken wäre, der appellant durch die andicirte Straf, Wann er auch dem artickel clar entgegen gehandelt hätte, allzuviel gravirt, in dem ihme erstlich die Roßheüt Von den Schumachern weg genommen, und derselbe über dieses in die straf des artickels fällig erachtet worden, Wobeÿ aber auch die Hh. Depp. befunden, daß der appellant in forderung seiner Dommages und interêts wie auch der restitution des ihme hinweg genommenen Leders Zu weith gegangen, Weßwegen die H. Depp. dafür gehalten, daß dem appellanten die in erster instanz angesetzte Straf aus bewegenden ursachen nachzulaßen übriges aber die Parthen außer Gericht und Recht setzen seÿen, idque compensantis expensis. Erkanndt bedacht gefolgt.

(p. 273) Sambstags den 15. Maÿ 1762. – Bescheid
In Sachen Friderich Saum, des Burgers und Lederhändlers allhier appellanten ane Einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister appellaten am andern theil, Auf prod. Zunfft Gerichts bescheid vermög welches der appellant, weilen er von einem Gerber von Hagenau 83 stuck Roßleder, ehe es auf die Zunfft Stub Zur Schau gelüffert werden, und eehe die erlaubte Zeit worüber wer, allhier wieder ordnung abgekaufft, in conformitæt des artickels in die darinnen enthaltene Straf der 8 ß von jeder haut und alßo in 66 fl 4 ß und in die Gerichts: Kösten ad 3 fl. 3 ß liquidirt condemnirt worden, interponirte und Verzeichnete appellation, übergebene unterthänige appellations Klag junctis petitis, Wir geruheten Zu erkennen und aus Zusprechen, daß beÿ E. E. Zunfft der Schuemacher übel gesprochen, wohl aber appellirt worden, demnach die Sententia à quà vor nichtig und wiederrechtlich Zu erklären, die angesetzte Straf aufzuheben, dem appellanten aber das Leder quæstionis cum omni causa in 24. stunden und Sub ipsa Executione sowohl von denen in primâ instantia Klägerin, als E. E. Zunfft Gericht, so durch jenes übel bedachte urthel litem suam gemacht, solidarie Zu repræsentiren, in entstehung deßen dem appellanten gegen Sie samtlich solidarie die forderung aller Kosten, Schaden und interesse, so er appellant auf 1200. livres æstimirt, vor gehörigem Richter Zu suchen vorzubehalten seÿe, idque refusis expensis.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, des appellatischen H Zunfftmeisters vorgelegte Exceptiones sampt beÿgefügtem Bitten, Wir geruheten in Rechten Zu erkennen und aus Zusprechen, daß in primâ instantiâ wohl gesprochen, übel davon appellirt, infolglich die sententia a quâ Zu confirmiren und ad judicem à quo ad exequendum Zu verweißen seÿe, idq. refusis appellationis Expensis, auch alla übrig der Parthen anhehörtes Vor: und anbringen, ist es Herrn Deputirten abgelegten relation nach Erkanndt, daß dem appellanten aus bewegenden Ursachen die in erster instanz angesetzte Straff nachzulaßenn übriges aber die Parthen außer Gericht und Recht setzen seÿen, idque compensantis expensis.

Jean Frédéric Saum loue au banquier Jean Frédéric Ritzhaub l’appartement qu’occupait jusqu’à présent la demoiselle Quad
1763 (21.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 109)
Bail – Sr Jean Frédéric Saum Marchand de cuirs
au Sr Jean frideric Rutzhaub Banquier, bail 9 années à compter du jour que Mademoiselle de Quadt aura évacué les appartements ci après mentionnés
Sçavoir de tous les appartements et dépendances que Mademoiselle de Quadt occupe présentement comme Locataire dans la maison du Sr Bailleur en cette ville rue des veaux sans la moindre réserve ni exception si ce n’est des écuries de la remise pour la voiture du grenier a foin dont des greniers de la maison – moyennant un loyer annuel de 750 livres

Susanne Dorothée Rœderer meurt en 1774 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 3000 livres. La masse propre au veuf est de 10 614 livres, celle des héritiers de 1 032 livres. L’actif de la communauté s’élève à 10 941 livres, le passif à 14 954 livres.

1775 (24.1.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 592
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und Tugendbegabten Fraun Susannæ Dorotheæ Saumin gebohrner Roedererin, Herrn Johann Friderich Saum des Rothgerbers lederbereiters und burgers alhier Zu Straßburg auch Erben geweßener Frau Eheliebstin nunmehro seeligen Vermögens Nachlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1775. – nach ihrem Freÿtags den 21.ten Januarii des Verfloßenen 1774.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetztem Dato auf Veranstalten und begehren Herrn Johann Carl Röderern des Biersieders Zu Straßburg und burgers dahier, als geordnet und Verpflichteten Vogts der Fraun Defunctæ mit hieoben ermelten ihren Eheherrn und nun hinterlaßenen Wittiber ehelich erzeugter Zu Erben verlaßener und gleich hiernach benamßter Vier Kinder (…) So beschehen Straßburg auf Dienstag den 24. Januarii Anno 1775. Der Verstorbenen Fraun Saumin seel. ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder sind nahmentl. und 1° Joh: Friderich, 2° Johannes, 3° Maria Dorothea, 4° Anna Maria die Saumen Welche die Frau Defuncta mit eingangs ermelten H Joh: Friderich Saum Ihrem Eheliebsten und nun hinterl. H. witibber ehel. erzeuget und wie ged. zu intestats Erben verlaßen

In einer alhier Zu Straßburg ane der Kalbsgaß gelegenen hiehero eigenthümlich gehörigen behaußung sich befunden hat als
(f° 11-v) Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine behausung, bestehend in Vorder und Hinter hauß auch Seith. Gebäu samt deren hoffstätten und einem hoff, mit allen übrig. deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Kalbs Gaß, eins. neben Weild. herrn Johann Jacob Roederern des gewesenen Rothgerbers lederh. und burgers alhier nachgelaßener frau Wittib und Erben, anders. neben Weil. herrn Pierre Maino, des gewes. Taback fabricanten und Burgers alh. seel. hinterlaßenen herren Söhnen und Erben, hinten auf das Waßer stoßend, Von seinem Zur Landveste von Seithen löbl Stadt Pfenningthurn erlangten Allmend Plätzel, so Zu einem Gärtel angelegt worden, reicht man aljärlich 5 ß an Allmend Zinß, Sonsten aber ist solche behausung cum appertinentiis keines wegs verpfändet sondern gegen mänigl. freÿ ledig eigen und solcher Art, durch (die Werckmeistere) vermög deroselben vorgenommenen und bereits schon unterm 12. ohnvertheilt anno præterito schriftl. ausgetheilten und beÿ dem Concept dieses Inventarii verwahrl. liegenden Abschatzung gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 3000 lb. Wird nun davon abgezogen jenem Allmend Zinses doppelten Capitals beträgt mit 10 lb, So verbleibt an solchem anschlag hier auszuwerfen übrig 2990 lb. Über diese Behausung so seithero in die gebäuen verbessert worden, besagt und ist vorhanden eine in alhiesiger C C Stub den 24. Xbris 1761. vorgegangene auch auf Pergament ausgefertigte und mit deren anhangenden größern Insigel verwahrte Kauf Verschreibung hiebeÿ mit Lit. A notirt ausweisend, wie dieselben von J. G. Herrn Siegfried von Bernhold Obrist von der Infanterie und der hochwolgeb. frau Octavia Sabina von Landsperg geb. von Bernholf, beeden hochadel. geschwüsterden erkauft worden
Item eine kleine behausung vor dem Fischerthor in Ruprechtsau (…)
(f° 14) Eigenthum ane Gärten und liegende gütheren
(f° 19) Ergäntzung des Herrn Wittibers wehrender Ehe angegangen unveränderten Guth. Vermög des über beeder gewesener Ehe Persohnen einander vor unverändert zu und eingebrachte Vermögenschaft durch Herr Notarium Joh: Rudolph Dinckel sub dato 17. Martii 1759. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers unveränderten Guths, Sa. haußraths 47, Sa. Silber und dergl. geschmeids 26, Sa. Ergäntzung 10.690, Summa summarum 10.764 lb – Schuld 150, Nach deren Abzug 10.614 lb
Diesemnach so wird auch der Kinder und Erben anerstorben mütterlich Erbguth in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 153, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 11, Sa. guldener Ring und dergleichen Geschmeids 43, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung 674, Summa summarum 1032 lb
Endlich wo wird die gemein und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 176, Sa. Waaren Zum Lederhandel gehörig 1355, Sa. leeren faß 269, Sa. Chaise 37, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 5, Sa. baarschafft 823, Sa. Eigenthums ane Gärten und liegenden güthern 811, Sa. beßerung oder Schaufel rechts von Lehen güthern (-), Sa. Eigenthums ane häußern 3350, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2850, Sa. Schulden 1262, Summa summarum 10.941 lb – Schulden 14.954, In gegeneinander haltung beeder Sullen, 4012 lb
Beschluß und Stall summa 7634
Grosse 94 Z 87 – Lect. auff der Statt Stall den 13. Aprilis 175. – Prod. beÿ löbl. Vogteÿ gericht d. 17.ten apr: 1765.
(ex 53 10-10-2570, ex 63 06-03-01)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 12 500 florins (6 250 livres) sur un total de 14 800 florins
1775, Livres de la Taille (VII 1180) f° 189
(Gerber N° 3624) Weÿl. Fr. Susannæ Dorotheæ geb. Roedererin Joh: Friedrich Saum des Rothgerbers Lederbereiters und burgers allhier gew. Fr. Eheliebstin verlaßenschafft jnventirt H Not. Ficke
Concl. Final. jnvent. ist fol. 188-b 11.646 lb 18 ß 10 ½ d davon gehet aber wieder ab wegen dem Jenigen so der Verstallung nicht underworffen geweßen 4224. lb 6 ß ½ Verbleibt 7422 lb 12 ß 10 ½ d die machen 14.800 fl. Verstallte 2300 fl. allßo Zu wenig 12.500. fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo a 38 lb 2 ß – 288 lb 12 ß
und 4 Jahr in simplo – 76 lb 4 ß
Ext. Stallgeld 1775 – 23 lb 17 ß
Geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 23 lb 10 ß 9 d – Summa 252 lb 6 ß
Vermög Erkanndtnus derer Oberen Stallherren Vom 19. juny 1775 Ist der nachtrag auf 228 lb 12 ß moderirt worden, restiert 276 lb 2 ß
dt. den 20. Junÿ 1775.

Jean Frédéric Saum loue un appartement à Anne Marguerite Rœmer veuve de l’officier Paul Belin Desmarais

1775 (26.1.), Not. Lacombe (6 E 41, 157)
Bail – Jean Frédéric Saum négociant
à Anne Marguerite Roemer veuve de M. Paul Belin desmarais ancien officier des trouppes de Saint dominique assitée de M Paul Louis Seignette desmarais docteur en médecine à Strasbourg
scavoir, L’apartement du premier étage dans la maison qu’il possede en cette ville rue des Veaux consistant en une antichambre ayant jour sur la cour, Un cabinet attenant à ladite antichambre prenant jour sur l’escalier,
Une chambre à cheminée et deux croisées donnant sur la rue avec alcove garnie de papier,
Un grand salon a trois croisées donnant sur la rue ou il se trouve un fourneau de fonte,
Un cabinet avec alcove tapissé de papier donnant sur la rue,
une garde robe sombre garnie d’une tablette et portemanteau,
une chambre à cheminée prenant jour sur la cour,
Un cabinet a côté prenant jour sur lad. cour,
Un grand balcon Regnant tout le long de l’appartement dont l’usage a la De preneuse,
Plus au premier étage en face du susd. appartement,
une grande sale a manger a trois croisées sur la cour avec fourneau de fonte,
Une grande chambre a cheminée sur ladite cour attenante à la sale a manger,
Une cuisine au rez de chaussée avec garde manger et petit poel de domestique ou Il se trouve un fourneau,
Un petit caveau attenant au poel de domestiques,
Ue chambre pour un domestique a côté du second escalier,
Une écurie pour quatre chevaux,
Une remise pour deux voitures,
Un buffet sous l’escalier derrière la chambre de domestique fermant à clef,
Une portion de la cave voutée qui regne sous le devant de la maison séparée par des lattes munie de chantiers,
Une chambre au second étage prenant jour sur une gallerie,
L’usage commun des greniers et de la buanderie pour la lessive,
Enfin une chambre au grenier pour le linge sale fermant à clef,
Et finalement le droit de faire entrer son bois dans la cour d’y entrer et sortir a toute heure avec équipages, pour 600 livres tournois

Jean Frédéric Saum livre aux peigniers de la corne pour 728 florins
1778, Miroir (XI 298, Protocole du corps des peigniers (1778-1791)
(f° 22) Montags den 5. Maji 1783. Hornschuld
Hr Johann Friderich Saum, der hiesige burger und Lederhändler, stehet vor und meldet, daß er den 6. Augusti 1781. dieser ehrsamen Meisterschafft an Horn geliefert habe vor 728 fl. (…)

Jean Frédéric Saum meurt en 1797 en délaissant trois enfants.

1797 (26 frim. 6), Strasbourg 3 (2), Not. Schweighaeuser n° 573
Inventarium und beschreibung all deßjenigen zeitlichen Vermögens Welches weiland der burger Johann Friedrich Saum lederhändler nach seinem den 19 vendemiaire lauffenden Jahrs genommenen tödlichen hintritt hinterlassen hat
der Verstorbene hat ab intestato zu Erben hinterlassen Seine mit längst weÿl. fraun Salome Dorothea Rödererin erzeugte zweÿ großjährige Kinder Mit Nahmen 1. burger Johann Friedrich Saum handelsmann in Lyon (procuration Jean Frédéric Saum négociant a Lyon y demeurant rue Pizay N° 120), 2. burger Johannes Saum Lederhändler allhier und 3. Fr. Maria Dorothea Saintmartin geb. Saumin hern Frantz Andreas Saintmartin des Kammer herrn beÿ Ihro hochfürstlichen durchlaucht den regirenden hern Marggraffen von Baden Ehegattin (procuration signée François St Martin chambellan de Mgr le Margrave de Baden)

in einer an der Kalbsgaß gelegen in diese Verlaßenschafft gehörigen mit N° 20 bezeichneten behaußung worinn der Erb: laßer verstorben ist
Hausrath, Im mitlern Zimmer des Hinter Haußes auf das Waser aussehend, In dem Cabinet darneben, Im ersten Zimmer neben der Kuchen in den Hoff aussehend, Im Zimmer darneben, Im ersten Zimmer im Hinterhauß auf das Waßer aussehend, In dem Zimmer des Lincken Flugels im hinterhauß, Im Gartenhäußel, In der Soldaten Kammer, In der untern Kuch im hoff, In der kleinen remise, Im laden, In der Magazin, In der Nebens Magazin, Auff der großen bühn
(f° 6 v°) Eigenthum ane einer behaußung, Nämlichen Eine behaußung Hoff hoffstatt und Gärtlein auch Stallung in Vorder: Nebens: und hintergebäuen bestehend mit allen übrigen begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in der Kalbsgaß N° 20 bezeichnet einseit neben dem br. Philipp Jacob Knoderer lederhändler anderseit neben b. Peter Maino dem tabackhändler hibten auf das waßer stoßend, wovon mann der hiesigen Comune jährlich einen Livre bodenzinß zu entrichten hat, ohnpræjudicirlich æstimirt vor 25 000 livres, darüber besagt Kauffbrieff in der ehemaligen Contract Stub gefertiget de dato 24. Decembris 1761, Ferner sind vorhanden 3 Augenschein Procès verbaux und Extracten aus der XV. Kammer Memoriale de datis 14. Junÿ 1770, 22. Aprilis 1774 und 9. Junÿ 1777.
(f° 7) Eigenthum ane einer behausung und Garthen in Ruprechts-Au gelegen, Nämlichen eine behaußung Hoff Stallung und Scheuer, Weÿher und baumgarthen 3 viertzel groß blumen und gemüßgarthen Ein acker so dann 11 und 3 quart acker gebauenen grund mit allen übrigen gebäuden, Weithen, Rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen Außerhalb hiesiger Statt Vor dem Fischerthor unterhalb der Aubruck an den so genannten Muhrgießen beÿ der Schiff: Matt es. neben dem Muhrgießen as. neben der öffentlichen promenade hinten auf die burger Ostertags Wittib und Erben, davor reicht mann der hiesigen Commune jährlichen pro recognitione domini directi in 5 articklen 11 livres 12 s 8 d, hier ohnpræjudicirlich angeschlagen vor 12 000 li, Hierüber besagt ein Steigerungs procès verbal und Adjudication in der Cantzleÿ des ehemaligen Ritter-directorii sub dato 7. oct. 1771
(f° 7 v°) Eigenthümlicher Antheil an einer Loh: und taback: Mühl, Nämlichen 19/90.te theile vor ohnvertheilt von und ane einer Loh: und taback: Mühl, Mühlbehausung, Schopffen, Rinden: Scheuer, Waßerbau, Hoff und hoffstatt auch allem allda befindlichen lauffenden geschirr mit allen übrigen daselbst befindlichen Gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten außerhalb dieser Stadt zwischen dem Juden und Fischerthor unten am teich Kopff zwischen denen Waßeren nahe beÿ dem Neßelsteeg es. neben dem burger Joh: Daniel Saum jun: as. neben einem Acker grund der hiesigen Commune gehörig vornen auf den Allmend weeg und hinten auf das Waßer stoßend, von welcher gantzen Mühl und zugehörden der hiesigen commune jährlich 2 livres zu reichen sind, ohnnachtheilig æstimirt vor 1000, über diese 19/90. besagt Kaufbrieff C.C. Stub de dato 15. maÿ 1783, Wobeÿ ein ältere dergleichen brief vom 4. apr. 1735 und eine Kauff-Verschreibung über 2/30 theile de dato 9. jan. 1771
Mobilien Verkauf
(f° 14 v) Abrechnung, summa der Mobiliar Mass so unter denen Erben zu vertheilen ist 5197 livres
Enregistrement, acp 56 F° 121-v du 4 nivose 6

Les héritiers exposent la maison aux enchères. Le cohéritier Jean Saum fait la mise la plus élevée

1797 (28 frimaire 6), Strasbourg 3 (5), Not. Schweighaeuser n° 318
den 28. frimaire im 6. Jahr erschienen der burger Johann Friedrich Saum Handels-Mann in Lyon, ferner der burger Johanns Saum Lederhändler allhier und Frau Maria Dorothea Saum herrn François St. Martin Kammer Herrn in Marggräfflich badischen diensten fr. Eheliebste crafft procuration s. d. Marburg den 25. Novembris 1797, alle dreÿ Comparenten als Erben ihres Verstorbenen Vaters weÿland des brs Johann Friedrich Saum ehemaligen Lederhändlers
steigerungs: weiße ausgeruffen und angebotten wird Eine ihnen denen requirenten Erblich angefallene behaußung Hoff Hoffstatt, Stallung und Gärthlein in Vorder: Nebens: und Hintergebäuen bestehend mit all übrigen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier an der Kalbsgaß mit N° 20 bezeichnet einseit neben dem br Philipp Jacob Knoderer dem Lederhändler anderseit neben br Peter Maino dem taback Fabrikant hinten auf das Waßer stoßend, Wovon mann der hiesigen commune jährlichen Einen Livre boden-zinnß zu entrichten hat, zum steigeren ausgeruffen vor 40.000 L. darauf gebotten br. Ludwig Klotz hiesiger burger Maurer und Steinhauer 41.000 Livres
den 14. Nivose 6, burger Johann Jacob Warth zimmermann 42.000 Livres
den 24. Nivose 6, br Johannes Saum Lederhändler 44.200 Livres

Inventaire après décès d’un locataire, le juriste Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart

1801 (16 frimaire 10), Strasbourg 1 (22), Not. Lacombe n° 2350
Inventaire de la succession du Cit. Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart, homme de lettres à Strasbourg, décédé le 10 prairial 9, à la requête de Mde Salomé Gombault la veuve, Dlles Barbe Eugénie Petronille Commart, Marguerite Joséphine Commart, les Cit. Ignace Hypolite Commart, Louis Nestor Casimir Commart fils et filles Et du Cit. Jacques Antoine Tobie Gombault chef de bureau des logements de cette ville en qualité de curateur et la De veuve Commart en qualité de tutrice nommée par la justice a Dlle Sophie Eugenie Alexandrine Commart fille mineure du défunt
en son logement maison rue des veaux n° 20
Chambre a coucher à gauche, salon, seconde chambre à coucher, antichambre, décharge, vestibule, chambre sur le derrière, deuxième chambre, troisième chambre, vestibule au second, première chambre au troisième étage, chambre, cuisine, Grenier Cour, Cave
total des meubles 3065 fr, total de la masse mobilière 3133 fr, passif reprises de la veuve 9600 fr, dettes 7787 fr, ensemble 17.387 fr, déficit 14.254 fr
Enregistrement, acp 83 f° 18-v du 26 fri 10

Les héritiers vendent la maison à Marguerite Salomée Müller épouse du juriste Frédéric Rodolphe Saltzmann, provisoirement rayé de la liste des émigrés

1801 (26 therm. 9), Strasbourg 6 (25), Not. Laquiante n° 187
cit. Jean Saum marchand thanneur en cette ville agissant tant en son nom et qu’au nom de De Marie Dorothée Saum épouse de Me François de St Martin chambellan du Margraff de Bade demeurant a Rastadt, Cit. Jean Daniel Mannberger fabriquant de tabac mandataire du Cit. Frédéric Saum négociant à Lyon (Procuration Lyon demeurant rue Pisai maison N° 20)
à De Marguerite Salomée Müller épouse du cit. Frédéric Rodolphe Saltzmann homme de Lettres – Autorisation d’acheter par le Tribunal civil, son mari a déclaré qu’il estoit pret a l’autoriser à cet effet mais comme il a eu le malheur d’être porté sur la liste des Emigrés dont il n’a été rayé que provisoirement (…)
une maison Cour Ecurie remise petit jardin appartenances et dépendances scize rue des Veaux N° 20, d’un côté le cit. Maino négociant d’autre le cit. Knoderer marchand de Cuirs derrière la rivière d’Ill devant la rue – pour 34.000 francs
Enregistrement, acp 80 F° 4 du 26 ther. 9

Fils unique du diacre Jean Rodolphe Saltzmann, Frédéric Rodolphe Saltzmann épouse en 1779 Marguerite Salomé Müller, fille de l’aubergiste au Dauphin Jean Georges Müller : contrat de mariage, célébration
1779 (30. 9.br), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 196
(Eheberedung) S.T. Herr Friderich Rudolph Saltzmann, beder Rechten Licentiat und Hertzoglich Sächsisch Koburg- Meininigischer geheimer Legations- Rahr auch burger alhier, des S. T. Herrn Johann Rudolph Saltzmann treuiferigen Diaconi und Selsorgers bei der Prediger Gemeinde auch burgers alhier, mit weiland S.T. Frau Maria Elisabet gebohrner Saur, ehelich erzeugter einziger, anjetzo großjähriger Sohn,
So dann die woledle und tugendgezierte Jungfrau Margareta Salome Müller, des weiland ehren- und wol-achtbaren H. Johann Georg Müller, gewesenen hiesigen burgers und bierbrauers zum Delphin in erster Ehe mit weiland Frau Margareta Salome gebohrner Voltz erzielte einzige Tochter
Straßburg auf dienstag den 30. Wintermonats in dem Jahr nach Christi Geburt 1779. [unterzeichnet] Johann Rudolph Saltzmann als Bräutigam, Franciscus Walter als Schwager, Margaretha Salome Müllerin als Braut, Johannes Müller als oncle, Philipp Jacob Lauth junior als Stief Vatter

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 5, n° 1)
Im Jahr Christ 1780 Mittwoch den 12. Jenner seindt nach ordentlicher proclamation (…) copuliret undt eingesegnet, herr Friderich Rudolph Saltzmann juris utrisque Licentaitus, Hertzoglich-Sachsen-Coburg-Meinungischer Geheimer Legations-Rath und burger alhier herren Johann Rudolph Saltzmann, diaconi beÿ dießer Evangelischen Prediger-Kirch auch burgers allhier und weÿland Frauen Mariä Elisabethä gebohrner Saurin ehelicher Sohn und Jungfrau Margaretha Salome Müllerin weÿland herrn Johann Georg Müllers gewesenen bierbrauers und burgers allhier und auch Weÿland Frauen Salome von Friedolsheim gebohrner Voltzin eheliche tochter [unterzeichnet] Friderich Rudolph Saltzmann als Hochzeiter, Margaretha Salome Müllerin als hochzeiterrin, Johannes Müller als oncle (i 109)

Conseiller de la légation ducale de Saxe-Cobourg-Meiningen, Frédéric Rodolphe Saltzmann devient tributaire au Miroir le 12 juin 1781.
1781, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 262-v) Dienstags, den 12. Junii 1781 – Leibzünfftiger
Hr Lt Friderich Rudolph Saltzmann, hertzoglich- Sächsisch- Koburg- Meiningischer geheimen Legations Raht, des H. Joh: Rudolph Saltzmann, Helfer bei der Prediger Kirche u. b. alhie einziger ehl. Sohn, wurde auf zu Lieferen Versprochenen Stallschein gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d Leibzünfftig als ein Zudiener angenommen. Hat angelobet.

Il quitte le Miroir en novembre 1783
(f° 310-v) Dienstags, den 18. Novembris 1783 – Resignans
Hr Legationsraht Friderich Rudolph Saltzmann stehet Vor und bittet, ihn gegen Erlag der Gebühr seines diesortigen Zunftrechts Zu erlaßen. Erkannt, willfahrt.

Frédéric Rodolphe Saltzmann s’inscrit à la tribu des Cordonniers puis à celle de l’Echasse
1784, Registres annuels de la Taille (VII 1277) f° 366, Schuhmacher
Saltzmann, Lt. Frid. Rudolph, ins. 16. Jun. 1781. – 48 lb 3 ß
Vide Spiegel F., dt. 7. Julii
modo Steltz T.

Frédéric Rodolphe Saltzmann devient tributaire à l’Echasse le 13 juillet 1784. Il demande l’autorisation de reprendre la librairie d’Albert Frédéric Bartholomæi. Il est reçu tributaire mais renvoyé aux Quinze au sujet de la librairie.
1784, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 551) Dienstags den 13. Julÿ 1784. – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
H. Friderich Rudolph Saltzmann beÿder Rechten Licentiat und Burger allhier, stehet vor und producirt Erlaß bescheid von Er. En. Zunfft der Schmid Vom 3.ten Julÿ 1784. und Stallschein vom 5.ten ejusdem, sodann eine Erkantnus Gnädiger Herren der dreÿzehen Vom 19.ten Julÿ 1783. Krafft deren ihm als Commendataire Hn Albrecht Friderich Barthomomäi, dem Buchhändler aber als Buchhändler selbst erlaubt worden ist inter denen Von ihnen beeder selbst vorgeschlagenen Bedingungen den Nahmen Academische Buchhandlung Zu führen, bittet nunmehro ihr disorts als Zünftiger anzunehmen, ihne anbeÿ Zu erlauben auf seinen eigenen Nahmen obige Buchhandlung führen Zu dörfen.
Erkanndt, seÿe Zwar Implorant disorts als Zünftig anzunehlen, betreffend aber dessen begehren auf seinen eigenen Nahmen obige Buchhandlung führen Zu dörffen so seÿe er desfalls an den gehörigen Herren Richter zu Verweißen, um solches in unterthänigkeit Zu sollicitiren. Dt 5 ß 5 ß pro Zunftrecht Juravit eodem.

Les Quinze consultent les règlements sans y voir rien qui s’oppose à ce que Frédéric Rodolphe Saltzmann reprenne la librairie.
1784, Protocole des Quinze (2 R 194)
H Johann Friderich Rudolph Saltzmann eine buchhandlung zuführen
(f° 248) Sambstags den 17.ten Julii 1784. – Ostrerrieth nomine H. Joh: Friderich Rudolph Saltzmann des hiesigen Burgers und Juris utrisuqye licentiati producirt unterthäniges memoriale juncto petito samt beÿlag sub litt. A puncto Rechts eine buchhandlung Zuführen.
Erkandt, Obere Handwercks H und denenselben Zugleich die hände eröfnet nach untersuchung der sache sogleich definitive Zu sprechen.
Nachdene hierauf die H Deputirte sich zusammen gethan und sowohl H Örtel E E Zunfft Zur Steltz H Zunfftmeister als auch H Stein den buchhändler vorberufen lassen um deren Erklärung über des H. Imploranten begehren Zu vernehmen, diese aber solche dahin ertheilet, das weder artickel noch ordnungen vorhanden, welche einige formalitæten Zu aufnahm der buchhändler erforderen solche also leediglich von der willkuhr hoher Oberen abhangen, Sie die H. Deputirte auch in nachschlagung der in annis 1753 et 1772. der buchhandlung wegen von MGHh. ertheilten verordnungen nichts gefunden welches des H Imploranten begehren hinderlich seÿn könte, als haben sie Erkand daß H Implorant mit dem Recht unter seinem eigenen nahmen eine buchhandlung Zuführen Zu willfahren seÿe.

Le juriste Frédéric Rodolphe Saltzmann et Marguerite Salomé Müller vendent moyennant 27 654 francs la maison au négociant Joseph Arroy fils, propriétaire de la maison voisine (n° 18)

1807 (22.5.), Strasbourg 10 (48), Not. Zimmer n° 2213, 3178
Frédéric Rodolphe Saltzmann homme de lettres et Marguerite Salomé Müller demeurant rue de la Chaine n° 2
à Joseph Arroy fils négociant demeurant rue des Veaux n° 19
Une Maison avec tous ses Bâtiments cour Ecurie remise petit jardin appartenances et dépendances scise a Strasbourg rue des Veaux n° 20, entre le Sr Knoderer marchand de cuirs et led. M Arroy acquéreur devant rue des Veaux derrière riviere – acquis devant Me Laquiante le 26 thermidor 9 – pour 27.654 francs
Enregistrement, acp 102 f° 155 du 22.5.

Inventaire après décès de la locataire Marie Catherine Schmitz, épouse de Jean Ignace Scharrenberger, maître ouvrier à la fabrique de tabac Arroy

1810 (21.5.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1183, 5386
Inventaire de la succession de Marie Catherine Schmitz épouse de Jean Ignace Scharrenberger, maître ouvrier à la Fabrique de tabac de M Arroy à Strasbourg, décédée le 4 décembre dernier – à la requête du veuf tuteur naturel des quatre enfants Marie Thérèse née le 11 germinal 3, Marie Sophie née le 29 prairial 7, Caroline Elisabeth née le 28 fructidor 9 et Jean Jacques Ignace né le 14 mars 1808, en présence d’Antoine Wescher cordonnier subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 20 thermidor 2
dans une maison rue des Veaux n° 20 appartenant à M Arroy négociant
meubles 959 fr, argenterie 12 fr, capitaux 6912 fr, maison à Osthoffen 2400 fr, total 10.281 fr
Enregistrement, acp 114 F° 160 du 21.5.

Joseph Arroy vend la maison et des effets mobiliers à l’officier retiré Charles Adam de Lewenhaupt. Des clauses règlent les droits des deux voisins

1814 (2.11.), Strasbourg 12 (57), Not. Wengler n° 8517
Joseph Arroy négociant domicilié rue des Veaux n° 19
à Charles Adam, comte de Lewenhaupt officier retiré demeurant autrefois à Bouxwiller actuellement en ladite ville sous l’assistance de Louis Dischbein notaire à Saar-union son conseil judiciaire
1. une maison consistant en bâtiments de devant, de derrière et latéraux, cour, écurie, remise, magasin, pompe et petite terrasse sur la rivière avec toutes ses appartenances, droits et dépendances sise en cette ville rue des Veaux n° 20, d’un côté la propriété du Sr vendeur d’autre la maison du Sr Knoderer marchand de cuirs devant ladite rue des Veaux derrière la rivière de l’Ill – acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann et de Marguerite Salomé Müller par acte reçu Zimmer le 21 mai 1807, la D° Saltzmann née Müller l’a acquise de Jean Saum, marchand tanneur, et de Marie Dorothée Saum épouse St. Martin à Rastatt et Frédéric Saum négociant à Lyon par acte reçu Laquiante notaire à Strasbourg le 26 thermidor 9 (14 août 1801)
Charges, clauses et conditions, 4. les murs pignons séparatifs qui se trouvent entre la maison du Sr vendeur et celle du Sr Knoderer resteront mitoyens entre ces propriétés, 5. la porte de communication entre la maison vendue et celle du Sr vendeur doit subsister aussi longtemps que les deux parties le jugeront à propos pour s’en servir réciproquement en cas d’événement ou d’accident urgent en s’avertissant cependant l’une l’autre jusqu’à ce qu’elle restera fermée par serrure et verroux et sera entièrement confisquée et murée à frais communs dès que l’une ou l’autre des parties l’exigera, 6. l’acquéreur est tenu de griller les fenetres et ouvertures qui donnent sur la terrasse dans la maison du Sr vendeur aussitôt que celui ci en fera la demande, 7. Le Sr vendeur en cas de batise de sa maison n° 19 ne pourra pas avancer le bâtiment de derrière vers la rivière et ce bâtiment doit commencer et rester dans sa direction et position actuelle
Désignation des effets mobiliers rue des Veaux n° 20, Logement du côté de l’eau. Salle à manger au rez de chaussée, cuisine, gloriette, buanderie – premier étage : sallon, chambre du mileu, chambre à coucher, chambre à droite, chambre attenante ; mansardes première chambre, chambre à coucher, troisième chambre, cuisine, quatrième chambre à coucher, 5° chambre, chambre à droite, premier, deuxième, troisième logement au troisième, logement de M Jacquet, logement de M Mathieu, office, salle à manger – Au second, première chambre, deuxième chambre, troisième chambre, logement sur la rue à droite première chambre, deuxième chambre, chambre à coucher, salon, chambre à côté – pour 38.000 fr, savoir la maison 34.000 francs et les effets mobiliers 4000 francs – 38.000 fr, savoir la maison 34.000 fr et les effets mobiliers 4000 fr
enreg. manquant f° 32 du 4.11.

Charles Adam de Lewenhaupt épouse en 1811 Christiane Charlotte Louise de Strahlenheim
Mariage, Bouxwiller (n° 1)
Acte de mariage célébré à cinq heures du soir le 14 janvier 1811. Charles Adam Lewenhaupt, âgé de 50 ans, né le 10 novembre 1760 ) Strasbourg, rentier à Bouxwiller, fils majeur de feu Adam Compte de Lewenhaupt, décédé à Paris suivant l’cte mortuaire du 17 juin 1775, lequel nous a été déposé, et de feue Caroline Christine Anne Louise née Sinclaire, décédée à Strasbourg le 5 mai 1809, Christiane Charlotte Louise Strahlenheim âgée de 27 ans 11 mois, née le 7 février 1783 à Carsbronne département de la Sarre, domiciliée à Deux-Ponts, fille majeure de feu Gustave Hening comte de Strahlenheim, décédé le 9 janvier 1788 suivant d’acte mortuaire, laquelle nous a été Déposee, et Marie Louise née Essebeck, ses père et mère (…) et Vû l’opposition à nous signifiée le 15 septembre 1810 pat M° Derot huissier Imp. près le tribunal de Saverne au nom de Madeleine Lewenhaupt domiciliée à Strasbourg, par laquelle elle nous a déclaré s’opposer à ce qu’il soit procédé à la Célébration du mariage de Charles Adam Lewenhaupt son frère, laquelle opposition a été levée par jugement du Tribunal de Saverne en date du 26 septembre 1810. confirmé par arrêt de la Cour d’appel de Colmar du 15 décembre suivant (signé) Charles de Lewenhaupt, Charlotte Louise Christianne Stralenheim (i 3)

Charles Adam Comte de Lewenhaupt loue une partie de la maison à Sophie d’Ichtratzheim épouse de l’officier Balthasar de Schauenbourg

1815 (22.2.), Strasbourg 12 (59), Not. Wengler n° 8888
Charles Adam Comte de Lewenhaupt officier retiré domicilié rue des Veaux n° 20, bail de 6 années à commencer le 25 mars prochain (signé) Charles Lewenhaupt
à Sophie née d’Ichtratzheim épouse de Balthasar Baron de Schauenbourg lieutenant général des Armées du Roi et demeurant à Strasbourg rue Elisabeth n° 24 (Sophie Jchtersheim Schauenbourg)
toutes les localités ci après détaillées qui se trouvent dans la maison de mondit Sr comte de Lewenhaupt sise à Strasbourg rue des Veaux n° 20 savoir 1. tout le premier étage de la maison de devant composé de 7 pièces y compris l’antichambre, dans l’une desquelles pièces se trouve une hollandaise sur la cour, dans l’autre un trumeau à cheminée avec une peinture, dans le salon deux grands trumeaux (…) dans la chambre à coucher a alcove aussi un trumeau à cheminée et dans tout le logement se trouvent deux tringles d’alcove et 8 tringles de fenetres, 2. une petite salle à manger une chambre à côté et la cuisine le tout a plein pied au premier étage du bâtiment latéral a droite en entrant donnant sur la cour avec trois tringles et une tourne broche dans la cuisine, 3. Un bucher au dessous du logement mentionné au premier article, 4. les armoires murées dans le corridor en montant l’escalier, 6. enfin une cave séparée en lattes au dessous de ladite maison – pour 1000 francs par an
enreg. f° 84 du 24.2.

Inventaire après décès d’un locataire, le jurisconsulte Bernard Michel Jacquet, veuf de Marguerite Petit

1818 (27.4.), Strasbourg 15 (23), Not. Lex n° 4378
Inventaire de la succession de Bernard Michel Jacquet, jurisconsulte décédé le 18 avril courant, veuf en premières noces de Marguerite Petit – à la requête de 1. Marie Anne Grundler veuve de François Joseph Ehekirch le jeune domiciliée à Bühl tutrice naturelle de ses 6 enfants mineurs 1) Marie Anne âgée de 20 ans, 2) Joseph âgé de 19 ans, 3) Jean Baptiste âgé de 15 ans, 4) Rose âgée de 12 ans, 5) Charlotte âgée de 7 ans, 6) Madeleine âgée de 5 ans, représentés par Jean Baptiste Grundler capitaine d’artillerie retraité, 2. Dominique Ehekirch majeur propriétaire à Bühl tant en son nom et que subrogé tuteur des enfants mineurs procréés avec Barbe Gissy leur mère et feu Jean Baptiste Ehekirch maître d’école à la vallée de St Amarin lesdits enfants nommés Joseph âgé de 19 ans, Barbe âgée de 18 ans, Madeleine âgée de 16 ans, Jean Baptiste âgé de 20 ans héritiers représentant Madeleine Jacquet sœur du défunt, formant la première branche,
4. Joseph Sisson doreur à Guebwiller, 5. Reine Soehnlen femme de Maurice Fröhliger de Soultz représentée par Jean Baptiste Grundler, 5. Marie Anne Soehnlen femme de Léonard Klausnitzler bonnetier à Schnersheim, Reine et Marie Anne Soehnlen filles d’Ursule Sisson femme de Joseph Soehnlen tonnelier à Soultz, cette dernière fille de Joseph Sisson fils de feu Catherine Jacquet sœur du défunt pour la deuxième branche,
7. Jacques Jehlen propriétaire à Guebwiller & 8. Barbe Jehlen femme de Georges Joseph potier de terre, 9. Marguerite Jehlen femme d’Augustin Marckert fabricant de fourneaux, 11. Anne Marie Jehlen femme d’Antoine Ackermann propriétaire tous domiciliés à Guebwiller représentés par ledit Grundler héritiers conjointement avec Joseph Jehlen leur frère par représentation de Barbe Frey femme de Jacques Jehlen le vieux propriétaire à Guebwiller et fille d’Anne Marie Jacquet troisième sœur du défunt procréée avec Michel Frey à Guebwiller pour la troisième branche,
12. François Joseph Rimlin tourneur en bois, 13. Barbe Rimlin veuve de Jean Baptiste Mittler menuisier, 14. Sébastien Rimlin tourneur en bois, 15. Françoise Rimlin femme de François Joseph Munsch, 16. Catherine Vogelweyd veuve de Michel Rimlin tourneur en bois tuteur de 1) Rose 9 ans, 2) Michel 8 ans, 3) Catherine 5 ans par représentation de leur mère et ayeule Françoise Jacquet quatrième sœur du défunt veuve de François Joseph Rimlin à Guebwiller, pour la quatrième branche – déclaré par Thérèse Fenderich fille majeure domestique au service du défunt –
dans le logement qu’occupoit en cette ville rue des Veaux n° 20
Titres et papiers, Contrat de mariage avec Marguerite Petit devant Me Lacombe le 28 août 1772, Inventaire de Louis Petit exsénateur père de la De Jaquet, Not. Dinckel le 30 juin 1777 (Partage Me Lex 1. 7.bre 1818 n° 58)
mobilier dans la chambre à coucher, première chambre sur le devant, au vestibule, dans la chambre de décharge, dans la seconde chambre sur le devant, dans la 3è chambre sur le devant, au grenier, 47.481 fr
provenant succession de la De Jaquet 9041 fr, total du passif particulier 1916 fr
récapitulation : mobilier 483 et 243 fr, numéraire 1170 fr, créances chirographaires 120.208 fr, dettes douteuses 10.366 fr, dettes hypothécaires 27.010 fr, total 49.481 fr, passif 10.689 fr
Enregistrement, acp 138 F° 171 du 2.5.

Inventaire après décès de Marie Louise d’Esebeck, veuve en secondes noces de Gustave Henri comte de Strahlenheim (belle-mère du propriétaire)

1820 (29.11.), Strasbourg 12 (81), Me Wengler n° 12.098
Inventaire de la succession de Marie Louise Esebeck veuve en secondes noces de Gustave Henri comte de Strahlenheim, lieutenant général des armées du Roi décédée à Achenheim le 18 juillet dernier – à la requête de 1. François Louis Klauhold avocat avoué près le Tribunal civil mandataire de Charles baron de Hohenfels, commissaire royal bavarois près l’administration du district de Deux Ponts et de Mde Amélie baronne de Hohenfels épouse de Charles Edouard baron de Hruby, envoyé impérial d’Autriche près la cour de Münic y résidant, 2. Me Antoine François Thomas Lacombe, notaire royal pour représenter les enfants héritiers de feu Henri Gustave comte de Strahlenheim, domicilié à Freysingen en Bavière, petits enfants de la défunte et 3. Charles Auguste comte de Strahlenheim, chef d’escadron retiré du deuxième régiment des grenadiers à cheval, officier de la Légion d’Honneur et chevalier de l’ordre rotal et militaire de St Louis demeurant à Strasbourg tant en son nom que comme fondé de pouvoir de Caroline Louise Henriette comtesse de Strahlenheim sa sœur épouse de Charles d’Almosy, inspecteur des forêts royales bavaroises domicilié à Langen-Candel (procuration à Landau), 4. Mde Christiane comtesse de Strahlenheim épouse de Charles Adam comte de Loewenhaupt officier retiré à Strasbourg, héritiers de leur mère et ayeule, le baron de Hohenfels et la De Hruby par représentation de Mde Frédérique née Closen leur mère veuve de Chrétien de Hohenfels conseiller privé de S.A.S. le duc de Deux Ponts fille de la défunte en premier mariage Charles de Closen de Heydenbourg, maréchal des camps des armées du roy pour 1/5, les enfants de Henri Gustave de Strahlenheim pour 1/5, Charles Auguste de Strahlenheim et Mde d’Almosy et C.tese de Loewenhaupt pour 1/5, tous ces derniers issus du mariage avec Gustave Henri comte de Strahlenheim
dans la maison que la défunte a habité cette ville rue des Veaux n° 20
mobilier 740 fr, numéraire 115 fr, ensemble 855 fr, passif 31 505 fr, corps de biens à Soultz sous Forêts non estimé
Enregistrement, acp 150 F° 60-v du 7.12. – vacation du 16.1. (acp 150 F° 178 du 17.1.)

Charles Adam comte de Lœwenhaupt meurt en 1822 en délaissant un fils

1822 (3.12.), Strasbourg 12 (84), Me Wengler n° 12.494
Inventaire de la succession de Charles Adam comte de Loewenhaupt, propriétaire officier retiré à Strasbourg décédé à Achenheim le 4 septembre dernier – à la requête de Christine Charlotte Louise comtesse de Strahlenheim, mère et tutrice légale de Charles Auguste de Loewenhaupt son fils 10 ans, en présence de Philippe Daniel Ottmann, négociant, subrogé tuteur – Contrat de mariage devant Me Morel à Bouxweiller le 13 janvier 1811, communauté légale
biens immeubles acquis pendant la communauté. Ville de Strasbourg. 1. une maison consistant en bâtiment de devant, de derrière et latéraux, cour, écuries, remises, magasin, pompe et petite terrasse sur la rivière avec tous les droits, appartenances et dépendances sise en cette ville rue des Veaux n° 20, estimée 30.000 fr, d’un côté M Arroy d’autre M Knoderer marchand de vins devant la rue derrière l’Ill – acquis de Joseph Arroy, négociant, par acte reçu par le soussigné notaire le 2 novembre 1814, le Sr Arroy l’a acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann, homme de lettres, et Marguerite Salomé Müller suivant acte reçu Zimmer notaire à Strasbourg 21 mai 1807, ledit Saltzmann l’a acquis de Jean Saum et de Marie Dorothée Saum épouse de François St Martin et Frédéric Saum le premier à Strasbourg, les seconds à Rastatt le troisième à Lyon par acte reçu Laquiante le 26 thermidor 9
dans la maison de campagne à Achenheim 4519 fr – à Strasbourg dans la maison rue des Veaux n° 20, au rez de chaussée du bâtiment de derrière donnant sur la rivière, dans le salon, dans le cabinet à côté, dans la cuisine – bâtiment latéral à droite dans la cour, première chambre, dans la chambre à côté, dans le salon du bâtiment de derrière donnant sur le quai, dans la chambre à droite à côté, dans le grand salon donnant sur le quai, dans la première chambre du bâtiment latéral à gauche, dans la chambre à côté, première chambre aux mansardes donnant sur l’Ill, dans la chambre à côté, chambre à servante aux mansardes, cour et greniers 5906 fr, créances 70.960 fr, numéraire 8815 fr, campagne à Achenheim 44.600 fr
rente foncière à Wildengutt 1585 fr, ensemble de la communauté 166.386 fr, passif 18.064 fr
propre du fils, garde robe 625 fr, biens à Oberbronn 8460 fr, Gundershoffen 20.820 fr, Mertzwiller 28.196 fr, Gumbrechtshoffen 33.183 fr, Uttenhoffen 2034 fr, Uhrwiller 8486 fr, Niederbronn 3720 fr, Zinswiller 8293 fr, Rauschenbourg 31.280 fr, forets 20.963 fr, Zittersheim 29.000 fr, Wildenguth 25.414 fr, ensemble 220.476 fr, passif 2673 fr
vacation du 2.4. (acp 157 F° 29-v du 9.4.)

Inventaire après décès d’un locataire, Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs

1831 (5.2.), Strasbourg 15 (49), Me Lacombe, sans num.
Inventaire de la succession de Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs, décédé le 29 janvier, à la requête des enfants petits enfants I. Jean Plumeret, jardinier fleuriste père et tuteur légal de Thérèse, Jean Baptiste, Xavier ses trois enfants issus de Thérèse Scharrenberger, II. Sophie Scharrenberger femme d’André Weyer maître maçon, III. Ignace Scharrenberger, ecclésiastique, héritiers de leur père et grand père, en présence dudit Ignace Scharrenberger subrogé tuteur des mineurs
en une maison rue des Veaux n° 20 au troisième étage d’un bâtiment latéral
acp 202 (3 Q 29 917) f° 182-v du 14.2. – La masse active se compose savoir garde robe du défunt 143 fr, mobilier 371 fr, numéraire 125 fr, créances 11.265 fr, ensemble 11 904 fr, sans passif

Christiane Charlotte Louise de Stralenheim vend en son nom et en celui de son fils la maison à Jules César Saum, rentier à Lyon, pour 47 500 francs

1832 (12.7.), Strasbourg 10 (86), Me Zimmer n° 1307
Christiane Charlotte Louise comtesse de Stralenheim veuve de Charles Adam comte de Lewenhaupt vivant officier, tant pour elle que comme mère et tutrice légale de son fils Charles Auguste comte de Lewenhaupt né le 4 avril 1812
à Jules César Saum, rentier à Lyon rue de l’Arbre sec n° 30
une maison consistant en bâtiments de devant, latéraux et de derrière, cour, écurie, remises, magasins, pompe et petite terrasse sur la rivière de l’Ill avec toutes ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Veaux n° 20, d’un côté la maison appartenant à M Rist ci devant M Arroy, d’autre la maison du Sr Knoderer fabricant de cuir derrière la rivière d’Illl, et divers effets mobiliers et autres objets dont le détail est inséré dans un état que les parties ont fait dresser aujourd’hui – acquis de Joseph Arroy, négociant, par acte reçu Wengler notaire à Strasbourg le 2 novembre 1814 – Contrat de mariage passé devant M° Morel à Bouxwiler le 13 janvier 1811, inventaire par M° Wengler le 3 décembre 1821, appartenait audit Arroy pour l’avoir acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann et de Marguerite Salomé Müller suivant acte reçu Zimmer le 21 mai 1807, appartenait à la De Saltzmann née Müller de Jean Saum, marchand tanneur et Marie Dorothée Saum épouse de François de St Martin et Frédéric Saum, négociant à Lyon père du Sr acquéreur, par acte reçu Laquiante le 14 août 1801 (26 therm. 9)
Etat du logement au premier étage, occupé par M Gerard percepteur. Cuisine, petite pièce à côté de la cuisine, salle à manger, anti-chambre, chambre à coucher, salon, chambre à côté du salon, pièce communiquant au salon, pièce donnant sur l’antichambre, corridor, cave – II. logement au second étage occupé par M Claude, docteur en médecine, antichambre, chambre, chambre qui donne dans la cour, salon, chambre du milieu, chambre à alcove, première chambre qui donne sur la cour, deuxième chambre qui donne sur la cour, cuisine, petite pièce à côté de la cuisine, grenier à linge, caves – III. logement au troisième étage, bâtiment latéral occupé par M. Lapaille, officier en retraite, 1. chambre à droite en montant l’escalier donnant sur la cour, grenier se trouvant au dessus dudit logement, chambre du portier, 12 juillet 1832 – pour 47.500 francs
Enregistrement, acp 211 f° 86 du 14.7.

Jules César Saum épouse en 1832 Marie Louise Pauline Hecht
1832 (24.12.), Strasbourg 10 (86), Me Zimmer n° 1427
Contrat de mariage – Jules César Saum, propriétaire, fils de Jean Frédéric Saum, négociant, et de Claudine Fonbonne
Marie Louise Pauline Hecht, fille de Louis Hecht, professeur à l’école de pharmacie, et de Marie Salomé Lix
Enregistrement, acp 214 f° 138-v du 28.12. régimé de la communauté sous réserve d’apports

Accord entre les voisins, conformément aux clauses de la vente de 1814 (ci-dessus)

1834 (26.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 3, ssp du 6.2.
Transaction – Jean Louis Rist, docteur en médecine, comme se portant fort de son fils Edouard Michel Geofroi Rist, substitut du procureur du Roi près le tribunal de première instance de Schlestadt et Charles Daniel Rist, propriétaire d’autre part
propriétaires des deux maisons n° 19 et 20 de la rue des Veaux, c’est à dire M. Rist de la maison n° 19 et M Saum de la maison n° 20
suite à diverses sommations et actes qu’ils se sont signifiés réciproquement au sujet de la cloture d’une porte existante dans un mur qui sépare les propriétés respectives et donnant d’un côté dans la cour de M Saum et de l’autre dans une écurie appartenant à MM Rist on arrête ce qui suit savoir,
le Sr Saum en vertu de l’art. 5 du contrat de vente passé devant M° Wengler le 2 novembre 1814 ainsi conçu « la porte de communication entre la maison vendue et celle du vendeur doit subsister aussi longtemps que les deux parties le jugeront à propos pour s’en servir réciproquement, en cas d’événement et accident urgent en s’avertissant cependant l’une l’autre jusqu’à ce qu’elle restera fermée par serrure et verroux et sera entièrement confisquée et murée à frais communs dès que l’une ou l’autre des parties l’exigera » Demande que la porte en question soit entièrement confisquée et murée à frais communs. Les Sr Rist par contre conformément à l’art. 662 du Code civil désirent conserver et pratiquer un enfoncement au même endroit où se trouve l’ouverture de la porte et au besoin de faire admettre et régler leur demande juridiquement et par experts suivant les loix. Les parties contractantes au lieu de faire décider leurs prétentions réciproques par les tribunaux ou par un expert sont convenus de ce qui suit,
2. L’ouverture résultante de l’enlèvement de cette porte sera entièrement fermée et murée du côté de M. Saum, 1. la porte de communication sera enlevée. Le mur entier ayant en cet endroit une épaisseur de 11 pouces ou 30 cm afin de laisser du côté de MM Rist une niche également de 11 pouces ou 30 cm de profondeur. 3. L’enfoncement résultant d’une part des travaux indiqués ci dessus du côté de M. Saum et de l’absence de travaux pareils du côté de M Rist ne pourra jamais nuire à la mitoyenneté du mur ni aux droits qui competent aujourd’hui aux parties en vertu de l’art. 5 du contrat du 2 novembre 1814 et de l’art. 662 du Code civil

Marie Louise Pauline Hecht meurt en 1866 en délaissant des héritiers collatéraux

1866 (23.6.), Strasbourg 10 (156), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.659
Inventaire de la succession de Marie Louise Pauline Hecht épouse de M. Jules César Saum, propriétaire à Strasbourg où elle est décédée le 12 mars 1866.
L’an 1866 le Samedi 23 juin à neuf neures du matin, à la requête I. de Monsieur Jules César Saum, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant 1° à cause de la Communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre lui et Madame Marie Louise Pauline Hecht sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire soussigné le 24 décembre 1832, 2° comme donataire de l’usufruit viager de la totalité ddes biens meubles et immeubles composant la succession ed feu son épouse en vertu du même contrat
II. de Monsieur Louis Auguste Jules Hecht, Juge de paix du Canton sud de la Ville de Strasbourg où il demeure, agissant en son nom personnel, III. de Monsieur Louis Emile Hecht, docteur en médecine agrégé de la faculte de médecine de Strasbourg demeurant en cette ville, agissant aussi en son nom personnel, IV. de Madame Salomé Wilhelmine Mathilde Hecht, épouse de M. Henri Eugène Rosssel, notaire à la résidence de Strasbourg demeurant ensemble en cette ville, agissant également en son nom personnel sous l’autorisation de son mari présent
M. Louis Auguste Hecht habiles à se dire et porter héritier pour moitié de feu Mad. Saum née Hecht sa tante germaine sus-nommée,, M. Louis Emile Hecht et Mad. Roessel habiles à se dire et porter héritiers ensemble pour l’autre moitié de la même défunte leur tante, par représentation de M. Louis Emile Hecht leur père en son vivant docteur en pharmacie à Strasbourg et par suite de la renonciation faite à la succession de la défunte par M. Louis Frédéric Alfred Hecht leur frère élève en droit en cette ville, suivant renonciation faite au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 16 mai dernier
Fait et dressé en la maison appartenant à M. Saum sise rue des Veaux n° 16 où Mad° Saum est décédée le 12 mars 1866. (signé) Jules Saum

Meubles. Salle à manger, Cabinet à côté, Cuisine, Salon, Chambre d’habitation ; Chambre à Coucher, Dans une Chambre, Dans les Chambres aux mansardes
acp 555 (3 Q 30 270) f° 17 du 26.6. (succession déclarée le 11 7.bre 1866)
Communauté. Mobilier 5414, argent 5000, cinq actions Klose & Cie 5000, reprises de la défunte 48.987, Maison 6210, créances 17
1/3 de deux actiona dans la filature de Hüttenheim
4 ha 79. 70. terre à Ittlenheim
4 ha 42 53 terre à Rohr
4 ha 35 97 terre à Hilsenheim
3 ha 51 96 herres à Booftzheim
1/3 d’une maison rue Ste Barbe N° 16
1/3 d’une maison rue des arcades N° 42

Jules César Saum meurt le 17 août 1870 après avoir fait un testament qui comprend plusieurs legs et par lequel il institue pour ses héritiers son beau-frère et ses neveux, déjà héritiers de sa femme
1870 (17.8.), M° Koerttgé
Dépôt du testament olographe de Jules César Saum
acp 590 (3 Q 30 305) f° 178-v du 18.8.

Enregistrement de Strasbourg, ssp 154 (3 Q 31 653) f° 88 du 18.8. (M° Koertgé, décès di 17 août 1870)
Testament du 12 mars 1868 – Je soussigné Jules César Saum propriétaire à Strasbourg étant sain de corps et d’esprit déclare faire les dispositions testamentaires suivants.
Je lègue A° à Mlle Antoinette Schmaltz demeurant à Lyon place neuve St Jean N° 2 et 3 une rente annuelle et viagère de 400 francs (…)
2° à Dlle Joséphine Madeleine Koebellin actuellement cuisinière à mon service, une somme en capital de 4000 francs plus le lit complet (…)
3° à Sophie Rodenberg Couturière une rente annuelle et viagère de 200 francs
4° à Marie Barth pensionnaire (maison Ste Barbe) une rente annuelle et viagère de 100 francs
5° à Dlle Eugénie Hoppé rentière à Strasbourg une somme en capital de 1500 francs
6° au Sr Frey présentement portier chez moi (s’il este ncore à mon service) une somme de 250 francs
7° au St Louis Diebold cocher de M. de doyen Stoltz pareille somme de 250 francs
8° à Joseph Brassel et Jean Berbi cultivateurs à Westhausern (canton de Marmoutier) mes fermiers un corps de biens (…)
9° aux pauvres protestants de Lyon une somme de 500 francs
10° à l’église protestante de St Nicolas à Strasbourg pareille somme de 500 francs
J’institue pour les légataires universels 1° Jule Auguste Hecht maon beau-frère présentment juge de paix à Strasbourg pour les deux tiers de ladite succession, 2° Louis Hecht docteur en médecine à Strasbourg mon neveu et sa sœur ma nièce Md. Mathilde Hecht épouse du Sr Eugène Roessel notaire conjointement pour le troisième tiers (…)

Lors de la liquidation de la succession, la maison rue des Veaux reste indivise.

1874 (31.12.), Strasbourg 10 (175), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 9595
Liquidation und Theilung der Gütergemeinschaft zwischen Julius Cesar Saum und Maria Louise Pauline Hecht
sind erschienen I) Herr Ludwig August Julius Hecht, ehemaliger Friedensrichter, wohnhaft in Straßburg, II) Herr Ludwig Emil Hecht, Doktor der Medizin wohnhaft in Nanzig, III) und Frau Salome Wilhelmine Mathilde Hecht, hierzu gehörig ermächtigte und verbeiständete Ehefrau des Herrn Heinrich Eugen Roessel, ehemaligen Notar hierzu gegenwärtig, beide mit einander in Straßburg wohnhaft (…)
Vorläufige Bemerkungen. Erste Bemerkung. Tod der Frau Saum, Inventar.
Frau Marie Louise Pauline Hecht Ehegattin des Herrn Julius César Saum ist kindenlos in Straßburg den 12. Märtz 1855 gestorben und hat als einzige Erben hinterlassen, ihren leiblichen bruder Herrn Ludwig August Julius Hechty vorgenant für eine Hälfte oder zwei viertel und für die andere Hälfte oder jedes einen vierten theil Herrn Ludwig Emil Hecht und Frau Roessel schon oben genannt ihr Neffe und Nichte (…) Das Inventar der Gütergemeinschaft (…) ist durch H Ludwig Friderich Zimmer damals Notar in Straßburg en 23. Juni 1856 errichtet worden (…)
Zweite Bemerkung. Verkauf des Hauses in Straßburg am Eck der Gewerbslaub Straße gelegen
Dritte Bemerkung. Tod des Herrn Saum, Testament.
Herr Saum ist ebenfalls in Straßburg dden 17. August 1870 gestorben. Laut seinem eigenhändig geschriebenen Testament von Straßburg den 12. Märtz 1858 datirt (…) hat der Verstorbene als Universal erben eingesetzt 1) Herr udwig August Julius Hecht vorganant für 2/3 theil, 2) und herrn Ludwig Emil Hecht und Frau Roessel zusammen für den letzten drittel (…)
Vierte Bemerkung. Verwaltungs-Rechnung
Fünffte Bemerkung. Plan der Operationen
Erste Abtheilung. Liquidation der Gütergemeinschaft welche zwischen den Ehegatten Saum bestanden hatte
Zweite Abtheilung, Thheilung der Hinterlassenschaft der Frau Saum
Dritte Abtheilung, Theilung der Hinterlassenschaft des Herrn Saum. Activ Masse
2) in einem Haus in Straßburg Kalbsgaße N° 16 gelegen zwischen ehemaligem Eigenthumb Rist und H. Knoderer hinten auf die Ill stoßend.
Die Parteien sind übereingekommen dieses Haus in den Unvertheiltheit zu lassen, deßenwegen hier nur Meldung pour mémoire geschieht
Vierte Abtheilung, Abrechnungen zwischen den Parteien und Ueberlieferungen
acp 636 (3 Q 30 351) f° 3 du 8.1.

La maison est inscrite au cadastre à partir de 1887 au nom de Marie Cécile Hecht, fille du juge de paix Louis Auguste Jules Hecht, et de son mari Georges Roth, professeur à l’université, fils du cultivateur Georges Roth, de Hohfranckenheim

Mariage, Strasbourg (n° 499)
Straßburg am 9. August 1886. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Professor an der Kaiser-Wilhelm’s Universität Georg Roth, evangelischer Religion geboren den 26. Januar des Jahres 1845 zu Hohfrankenheim (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg Sohn der verstorbenen Eheleute Georg Roth, Ackerer und Anna Urban, zuletzt wohnhaft un Kirweiler (Uner-Elsaß), 2. die Marie Caecilia Hecht, ohne Beruf, evangelischer Religion geboren den 4. October des Jahres 1860 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter des verstorbenen Friedensrichters außer Dienst Ludwig August Julius Hecht, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, und der Marie Friederike Kern, Rentnerin wohnhaft zu Straßburg (i 104)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.