6, rue du Parchemin (ancien n° 8)


Rue du Parchemin n° 6 – VI 14 (Blondel), O 363 puis section 25 parcelle 68, nouveau bâtiment 106/69 (cadastre)

Partie qui correspond à l’ancien n° 8 – Démolie en 1903
Maîtres d’ouvrage du nouveau bâtiment, Albert Wieger et Georges Graff (1903)


Vue en août 2017
Angle de la rue du Parchemin et de la rue des Pucelles vers 1900. L’ancienne maison se devine à l’arrière-plan (publié dans Strasbourg, Passé et présent sous le même angle)

Inscrite en 1587 au nom du tailleur de pierres Georges Hacker dans le Livre des communaux, la maison a un encorbellement de vingt-quatre pieds de long et trois pieds de large. Elle a en outre un petit bâtiment arrière. Elle appartient ensuite au facteur d’instruments Mathias Gech originaire de Füssen en Allgäu puis au batelier Georges Elbel, déjà propriétaire de la maison voisine. Le fabricant de chandelles Michel Rettich l’acquiert en 1625 et en transmet la propriété à son gendre graveur sur cuivre Pierre Aubri. Comme il meurt sans postérité, l’immeuble revient à son demi-frère relieur Jean Tscherning qui en fait une maison de rapport. Originaire d’Elgg en Suisse, le cordonnier Jean Othon Vogel l’achète en 1705. Il est autorisé l’année suivante à agrandir les trois fenêtres de son encorbellement ; au lieu de 3 pieds 4 pouces de haut et 3 pieds et demi de large, elles auront quatre pieds de haut et 4 pieds et demi de large. Il répare en 1719 son encorbellement en remplaçant le pan de bois endommagé au premier et au deuxième étage. Le tonnelier Jean Hügel achète la maison en 1751. A sa mort en 1775, la maison a quatre poêles, quatre cuisines et quatre chambres, la cave est solivée. Elle revient en 1788 au cordonnier Martin Stoll qui n’est pas autorisé en 1791 à remplacer le pilier de son encorbellement. Les propriétaires suivants sont des boulangers, Jean Zimmermann (1802-1809) puis Daniel Kayser (1809-1821)



Plan-relief de 1725. La maison est au milieu de l’alignement, la première au toit plus bas à partir de la droite (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 78 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en pan de bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la troisième à gauche du repère (b) : deux portes séparées par une fenêtre au rez-de-chaussée, trois fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour D montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4) à l’est de la cour, la remise (1-2) à l’ouest et le bâtiment arrière (4-1), les trois derniers à un seul étage.
La maison porte d’abord le n° 24 (1784-1857) puis le n° 8.


Cour D

Le cordonnier Jean Chrétien Dorsch achète la maison en 1821. Son fils relieur la vend en 1868 au serrurier Frédéric Meinzer qui l’agrandit en 1869 en y ajoutant un troisième étage ; le revenu passe alors de 81 à 140 francs. La Ville achète les bâtiments de l’alignement en 1900 pour élargir la rue. Propriétaires des terrains, les entrepreneurs Albert Wieger et Georges Graff y construisent les maisons actuelles en 1904.

avril 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1599 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Gaspard Kuhn
1599 v Mathias Gech, facteur d’instruments, et (v.1596) Walburge Megler – luthériens
1608 v Josse Müller, mercenaire, et (1606) Marie Eberlin – luthériens
1608 v Georges Elbel, batelier, et (1594) Elisabeth Hack – luthériens
1612 h Georges Roth, cordonnier, et (1612) Elisabeth Hack, veuve de Georges Elbel – luthériens
1625 v Michel Rettich, chandelier, et (v. 1605) Chrétienne Conrad – luthériens
puis indivise entre Anne Marie Rettich, et (1632) Michel Jost, pasteur – luthériens
Marthe Rettich, et (1636) Pierre Aubri, graveur sur cuivre – luthériens
1675 h Pierre Aubri, graveur sur cuivre, et (1636) Marthe Rettich – luthériens
1692 h Jean Tscherning, relieur, et (1654) Anne Marie Mock puis (1694) Catherine Salomé Schwartz – luthériens
1705 v Jean Othon Vogel, cordonnier, et (v. 1695) Anne Marie Düringer puis (1715) Catherine Grohberger, remariée (1731) avec David Schnell, péager, puis (1739) avec Philippe Ramsperger, cordonnier – luthériens
1748 v Gabriel Meyer, batelier, et (1723) Marie Salomé Braun puis (1739) Marie Salomé Grohberger d’abord (1730) femme du pêcheur Jean Artzner – luthériens
1751 v Jean Hügel, tonnelier, et (1745) Anne Marie Meyer – luthériens
1783 h Martin Stoll, cordonnier, et (1776) Catherine Salomé Roos – luthériens
1800 v André Frédéric Gross, boucher, et (1795) Susanne Barbe Rapp puis (1804) Elisabeth Ober
1802 v Jean Zimmermann, boulanger puis cabaretier, et (1797) Marie Salomé Jost
1809 v Daniel Kayser, boulanger, et (1788) Marie Salomé Lauffenburger puis (1808) Anne Marie Schmitt d’abord (1796) femme du boucher Jean Baltzinger – luthériens
1821 v Jean Chrétien Dorsch, cordonnier, et (1794) Catherine Odile Bürckel
1852 h Jean Chrétien Dorsch, relieur, et (1835) Barbe Cécile Guillaumette Geissler
1868 v Frédéric Meinzer, serrurier, et (1844) Salomé Rosenstiel
puis indivise entre Emile (Charles Emile) Meinzer, restaurateur puis serrurier, et (1874) Frédérique Louise Lina Oschmann puis (1887) Sophie Emilie Kiefer
Caroline Emilie Meinzer et (1874) Prosper Etienne Cromer, restaurateur, puis (1889) Alfred Henri Raoul Abel, horloger
1900 v Ville de Strasbourg
1902* v Albert Wieger, Georges Graff

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1705, 350 livres en 1714 et en 1730, 650 livres en 1748, 400 livres en 1778, 450 livres en 1783.

(1765, Liste Blondel) VI 14, Jean Hügel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Hügel Wittib, 3 toises, 5 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 363, Dorsch, Jean Chrétien, rue du Parchemin 24 – maison, sol – 1,2 are

Locations

1619, Louis Decker, potier
1755, Jean Mahlfurth, cordonnier
1757, Philippe Herth, dégraisseur
1800, Jacques Lang, cordonnier, et Eve Stoll

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 102-v
La maison appartient au tailleur de pierres Georges Hacker qui paie 4 sols pour un encorbellement de 24 pieds de long et 3 pieds de large

[am Rosencrantz]
Georg Hacker des steinmetzen Wittib hatt vor Irem hauß, Oben ein Vsstoß 26 schu lang vnd 3 schu herauß, Soll p, Bessert für das Niessen iiij ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1706, Préposés au bâtiment (VII 1382) f° 47
Les préposés autorisent Jean Othon Vogel, propriétaire d’une maison rue des Juifs près de la brasserie au Chapelet, à agrandir les trois fenêtres au-dessus de son encorbellement. Au lieu de 3 pieds 4 pouces de haut et 3 pieds et demi de large, elles auront quatre pieds de haut et 4 pieds et demi de large

(f° 47) Dienstags den 4. Maÿ 1706 – Johann Ottmann Vogel vmb vergrößerung seiner fenster in dem Überhang
Johann Ottmann Vogel, der Schuhmacher, ersucht MGhh. underthänig, Ihme gnd. Zuerlauben, daß Er die in seiner in der Judengaßen ohnfern des Bierhaußes Zum Rosen Crantz gelegenen behausung in dem Überhang befindliche dreÿ fenstern umb etwas Vergrößern laßen möchte, der Statt Werckmeister referiren, daß die Fenster anietzo 3. schuhe undt 4. Zoll Hoch und 3 ½ schuhe breit wären und Vogel solche vier schuhe hoch und Vier und einen Halben schuhe breit machen laßen wolte. Erk. Würdt dem Imploranten in seinem begehren auff seine gefahr Willfahrt.

1719, Préposés au bâtiment (VII 1388), f° 162
Les préposés autorisent Jean Othon Vogel à remplacer le pan de bois endommagé de son encorbellement au premier et au deuxième étage

(f° 162) Joh: Ottmann Vogel pt° bawens
Johann Ottmann Vogel ist willens an seiner beÿ dem Rosen Krantz liegenden behaußung die in dem ersten Stockh befindliche Riegelwand zu ändern auch in dem andern Stockh Seines überhangs ein neu außladung machen Zulaßen. Erk. Soll ein augenschein eingenommen werden.

(f° 175-v) Dienstags den 25. Ejuds. [Apr. 1719] – Joh: Ottmann Vogel pt° bawens
Johann Ottmann Vogel, der Schuhmacher, will gleichfalls die obere Vorwand im überhang an deßen beÿ dem Rosen Krantz liegenden behaußung, welche Zimlich schadhafft ist, ändern und new machen laßen. Erk. bedacht.

(f° 178) Dienstags den 2. Maÿ 1719. – Joh: Ottmann Vogel pt° bawens
Johann Jacob Kiel der Zimmermann, nomine Johann Ottmann Vogel, welcher die obere Vorwand im überhang an Seiner beÿ dem Rosen Krantz liegenden behaußung, so sehr schadhafft, ändern und new machen laßen will, bittet Mghh. vmb deßen erlaubnus. Erk. Willfahrt.

1791, Préposés au bâtiment (VII 1424)
Le charpentier Jean Ferdinand Altmeyer demande au nom du cordonnier Martin Stoll l’autorisation de remplacer le pilier à l’angle de son encorbellement puisqu’il n’a pas les moyens de rebâtir sa façade. Les préposés refusent en le renvoyant au règlement.

(f° 89-v) Sambstags den 16. Julii 1791 – Martin Stoll, Schumacher
Johann Ferdinand Altmeÿer der Zimmermann, nomine Martin Stoll, des Schumachers, bittet zu erlauben an deßen Behausung bei dem Rosen Krantz gelegen N° 24. einen neuen Eck Pfosten an den Überhang ein zu ziehen, indem Er das Vermögen nicht hat eine neue facade aufzuführen. Nach Anhörung des Prokurators der Gemeinde wurde Erkannt, Seÿe der Implorant noch Zur Zeit an die Ordnung zu Verweisen.

Description de la maison

  • 1725 (billet d’estimation traduit) 1704 La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral et une cour, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 550 florins
  • 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, cuisines, vestibules, petite cave sous solives, petite cour, puits à pompe, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
  • 1775 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, quatre cuisines et quatre chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, estimée avec la cour, le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 820 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton Est – Rue du Parchemin (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 46 / 24
Kayser
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 129 case 4

Dorsch, Jean Chrétien, R. du parchemin N° 24
Dorsch, Jean Chrétien, relieur, rue du parchemin N° 24, Subst° pour 1854

O 363, maison, sol, R. du parchemin 24
Contenance : 1,20
Revenu total : 81,62 (81 et 0,62)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 140 case 2

Dorsch, Jean Chrétien, relieur
1870 Meinzer, Frédéric
1901 Strassburg die Gemeinde

O 363, maison, sol, Rue du parchemin 8
Contenance : 1,20
Revenu total : 81,62 (81 et 0,62)
Folio de provenance : (129)
Folio de destination : aug. 140
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870 (sol 1876)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 363, maison
Revenu total : 70,62 (70 et 0,62)
Folio de provenance : augm. 140
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1870
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus :
1870, Augmentations – Meinzer Frédéric f° 140, O 363, Maison, revenu 70, démolition partielle, achevée en 1870, imposable en 1870, imposée en 1870
Diminutions – Dorsch Jean f° 140, O 363, Maison, revenu 81, Démolition partielle, supp. en 1870

O 363, maison
Revenu total : 142,62 (142 et 0,62)
Folio de provenance : 140
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1876
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27
fenêtres du 3° et au-dessus : 4
1876, Augmentations – Meinzer Friderich f° 140, O 363, maison, revenu 142, Vergroesserung, achevée en 1869, imposable en 1872, imposée en 1876
Diminutions – Meinzer Friderich f° 140, O 363, maison, revenu 70, Vergroesserung

Cadastre allemand, registre 30 p. 331 case 5

Parcelle, section 25, n° 68 – autrefois O 365
Canton : Pargamentergassse Hs N° 8 (1/04)
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,25
Revenu : 1100
Remarques : 1903 Abbruch
ab 1904 Seite 334

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

Cadastre allemand, registre 30 p. 334 case 10

Parcelle, section 25, n° 106/69 – autrefois O 363.p O 364.p
Canton : Pargemantergasse N° 6 / rue du Parchemin
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 1,26
Revenu : 3400 / 3100
Remarques : Neubau 1905

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1916), compte 1419
Wieger Albert et son épouse et Graff Georges et son ép.
clos 1925

(Propriétaire à partir de l’exercice 1916), compte 4174
Graff Georg Bauunternehmer und Ehefrau Elisabeth geb. Dubesi die Erben
1929 Heini Georges Albert rentier et son épouse
1942 Heini Georg Albert Witwe
(1873)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, (147) Rue des Parcheminiers, au bas de celle des Juifs

24
Porp. Stoll, Martin, Cordonnier – Cordonniers
Loc. Filckenshoffer, François Antoine, Imprimeur – ni B. ni M.
Loc. Goppert, Michel, Potier – maçons
Loc. Gallhiser, Louis, Imprimeur – Echasses

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue des Parcheminiers au bas de celle des Juifs

24
Prop. Stoll, Martin, Cordonnier – Cordonniers
Loc. Filckenshoffer, François Antoine, Imprimeur – ni B. ni M.
Loc. Goppert, Michel, Potier – maçons
Loc. Gallhiser, Louis, Imprimeur – Echasses

Annuaire de 1905

Nouveau bâtiment

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 795 W 105)

Dossier du nouveau numéro 8 qui commence par les pièces concernant l’ancien numéro 8

La maison appartient en 1893 à E. Meintzer et A. Abel qui la font ravaler. La Ville devenue propriétaire de la maison pour la faire démolir annule la notification de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique.

Sommaire
  • 1893 – Le maire notifie Emile Maintzer de faire ravaler la façade du 8, rue du Parchemin – E. Meintzer et A. Abel demandent de reporter les travaux d’un an – Les étages ont été lavés, le rez-de-chaussée repeint à l’huile, avril 1894
  • 1895 – Le service d’hygiène constate que la plaque qui recouvre la fosse d’aisances est mal ajustée, ce qui ne permet pas de se servir des cabinets d’aisance sans danger – Le maire écrit au propriétaire – Le propriétaire répond que la fosse est commune et que le couvercle se trouve sur la propriété voisine de la veuve Rauch (n° 10) – Travaux terminés, décembre 1895
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence un volet au rez-de-chaussée et un soupirail – Rappel en 1898, annulé parce que la ville a acheté la maison pour la démolir.
  • 1897 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Vogelgesang l’autorisation de faire une prise pour environ 5 becs – Autorisation – Travaux terminés, avril 1898

Relevé d’actes

Gaspard Cun, fils de Gaspard Cun, vend en 1599 au facteur d’instruments Mathias Gech et à sa femme Walburge la maison comprenant un petit bâtiment arrière, sise rue du Parchemin près de Saint-André. L’acte est cité au XVIII° siècle parmi les titres de propriété alors qu’il n’est pas question des ventes suivantes.

1599 (vts. [8. tag Octobris]), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Meyger) f° 255
Erschienen Caspar Cun wÿland Caspar Cunen burgern alhier selig. Sohn Mit beÿstand herrn hans Cunen seines geschwornen vogts, verkaufft
Mathÿs Gech luthenmachers vnd Walpurg seiner ehelich. hußfr. Ime
huß hoffestatt hefflin v hinderheuslin m. all Ir gebeud geleg. Inn der SS bey S Andres Inn Pergament Gaß einsyt neb. Georg Fenten* des verkeuffers schwager and.sit neb. Georg N. dem schiffman stosst hind. vff H hannß Conrad Gretzingern, Dauon gonth Ein guldin gelts vff (-) losig mit 25 guld. SW dem Closter Zu S Margred V Agneßen Mehr v ß viij d bodenzinß den herren Vicarien hoher stifft S vß Sunst für ledig eÿg. den Khauff vber dieß beschwerd. für 440 guld.

Originaire de Füssen en Allgäu, le facteur d’instruments Mathieu Gech achète le droit de bourgeoisie le 3 octobre 1594 en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers. Il épouse ensuite Walburge Megler. Leur fille Anne Marie est baptisée à la cathédrale en 1599 (les mariages de la cathédrale manquent de 1591 à 1596)
1594, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 586
Matheus Gech von Fießenn auß dem Algeÿ der Lauttenmacher kaufft mit beÿstandt Heinrich Heusch. daß burgerrecht, will Zun Zimmerleutth. dienen. Actum vf supra [3.ten Octob. 94]

Baptême, cathédrale (luth. f° 30)
1599. Dominica 1. Adventus den 2. Octobris. Mattheus Gech lautenmacher M. Walpurg I. Anna Maria, patrinis H Jacob Widt, Sophia hans Gottinngers fraw, Salome hans Lonnder* dochter (i 32)

Mathias Gech et Walburge Megler vendent la maison au mercenaire Josse Müller, bourgeois

1608 (3. tag Maÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 218-v
(Inchoatum in Proth. fol: 188.) Erschienen Mathÿß Gech der Lauthenmacher burger Zu Straßburg, Vnnd Walpurg Meglerin sein Ehelichen Hausfrauw haben (verkaufft)
Jost Müller dem Soldner burger zu Straßburg
Hauß, Hoffestatt, höfflin sampt dem Niderheüßlin mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der Statt Straßburg beÿ Sant Andressen Inn der Parmenter Gassen, einseit Peter Müller dem Küeffer, Anderseit nebent Geörg Elble dem Schiffmann, hinden vff Conradt Cretzinger stoßend, davon gendt 10 schilling pfenning Ablößig mit 10 Pfund pfenning dem Closter Zu Sant Margreden Zu Straßburg, So dann 6 schilling vnd 8 Pfenning bodenzinß den herren Deputaten Im Gürtlerhoff Sunst Ledig vnd Eÿgen Vnd Alles Recht & Also das, Vnd Ist disser Khauff Über vorbestimpte beschwerden Zugangen vnnd beschehen für vnd vmb 287 Pfund vnd 10 schilling pfenning Straßburger

L’acquéreur doit être le messager Josse Müller qui épouse en 1606 Marie Eberlin, fille du tailleur Gaspard Eberlin.
Mariage, cathédrale (luth. p. 174, n° 37)
1606. Dominica exaudi. Jost müller der einspenniger und Maria Caspar Eberlin des schneiders Zu hagenauw* tochter (i 91)

Josse Müller revend quelques mois plus tard la maison au batelier Georges Elbel et à sa femme Elisabeth Hack, propriétaires de la maison voisine (à l’ouest)

1608 (vt spâ [21. tag Octobris]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 454-v
(Inchoat. in Proth. fol: 357. postea pthm. fol: 462) Erschienen Jost Müller der Soldner burger Zu Straßburg Hatt (verkaufft)
Geörg Elbel dem Schiffmann burger Zu Straßburg vnnd Elizabeth Häckin seiner Ehelichen haußwürthin So bede Zugeg.
Hauß, Hoffestatt, Höfflin sampt dem hinderheüßlin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg beÿ Sant Andreßen Inn d. Parmenter Gaßen einseit nebent Peter Müller dem Küeffer Andersit nebent Inen den Khoüffern selbst, hinden vff Cunradt Kretzingern stoßend, dauon gend Sechs schilling vnd 8 Pfenning Bodenzinß den Herren Deputaten Im Gürttler Hoff, So dann 10 schilling pfenning gelts ablößig mit 10 pfund pfenning Vff Mariæ Verkündigung fallend dem Closter Zu Sant Magreden Zu St: Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 300 pfund pfenning Straßburg.

Originaire de « Fridburg », le garçon batelier Georges Elbel acquiert en novembre 1594 le droit de bourgeoisie par sa femme Elisabeth, fille du tailleur de pierres Georges Hacker, en s’inscrivant à la tribu de l’Ancre. Leur fils Georges naît fin 1595 (les mariages de la cathédrale manquent de 1591 à 1596)
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 719
Jörg Elbell von Fridtburg der Schiffknecht empfangt daß burgerrecht von Elisabethenn Wf. Jörgh Hackhers deß Steinmetzen s. dochter Vnndt will Zum Enckher dienen, Actum denn 119. Novemb: 94.

Baptême, cathédrale (luth. f° 48-v, n° 68)
1595. Dominica I. Adventus. P. Jerg Elbel schiffmann, M. Elisabetha, I. Jorg Hans. Compatres Mathias Kreutziger Notarius, Bernhard Weh der Schiffmann, Thristens Andres schötterlins fraw (i 51)

Originaire de Lohr sur le Main en Franconie, le cordonnier Georges Roth épouse en 1612 Elisabeth, veuve de Georges Elbel.
Mariage, cathédrale (luth. p. 279, n° 25)
1612. Reminiscere. Georg Rott der schumacher von Lohr in franckenlandt vnd Elisabetha Jerg Elber des schiffmanns n :g : witwe

Il devient bourgeois quelques jours après son mariage
1612, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 948
Georg Roht d. Schumach. von Lohr Im Landt Zu franck, Empfahet d. Burg.recht von Elisabetha weÿlandt Georg Eberlins deß Schiffmanns hind.laßener wittib, wüll zu den Schumach. dienen. Actum den 4.. Aprilis Aô 1612.

Georges Roth et sa femme Elisabeth louent une partie de la maison au potier Louis Decker

1619 (ut spâ [xj. Junÿ]), Chancellerie, vol. 436 f° 315
(Inchoat. in Prot. fol. 203.) Erschienen Ludwig Decker der Kachler burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Geörg Roth. des schumachers burgers Zu Straßburg vnd Elisabeth seiner ehelichen haußfr. offentlich verÿehen
das er Ihme & von & vier Jahrlang bestendig nach einander volgend so vff Michaelis Jetznechst künfftig Allererst Angehen sollen vnd nit fürbaß Inn derselben beden Ehegemechden behaußung Inn der statt Straßburg beÿ Sanct Andreßenn gelegen, das vndergemach sampt dessen Stub und Kammer entlehner hatt, für vnd vmb einen Jehrlichen Zinß Zehen pfund pfenning Straßburg Zubezahlen

Georges Roth et Elisabeth Hack vendent en 1625 la maison au chandelier Michel Rettich et à sa femme Chrétienne Conrad

1625 (ut spâ. [2. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 257-v
(Inchoat. in Prot. fol. 263 – Protocollat. fol. 560) Erschienen Geörg Roth der schuemach. burg. zu Straßburg vnd Elisabeth Hackin sein eheliche haußfr. haben (verkaufft)
Michell Rettich dem liechtermach. burger Zu Straßburg vnd Christinæ Cunradtin seiner ehelich. haußwürthin
hauß, hoffstatt, höffell vnd schöpfflin, mit Allen ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. vnd. beÿ Sant Andreß, Inn d. pergamenter gaß einseit neben Peter Aubrÿ dem Kupfferstech. anderseit neben Geörg N. d. Statt Kübler, hind. vff Cunrad Kretzingers erb. stoßend, dauon gnd v gô gld Abloß. mit C gl. Werung vff die vffech* phests* Ins Weÿßen hauß vnd dann xij ß d Bod. Zinß Inn deßelbig. hauß, Sunst led. eÿg. Vnd Ist disser Khauff vber obgehärtte beschwd. Zug. v. besch. für vnd vmb vj C Lxxxij lb
Vber solchs bekhenn. die Kheuffer weg. gethanen Khauffs vnu: schuldt. die gantz Khauffsumm, vnd Ist deßhalb. verwisen Ahne die stieffkind. von wÿland Geörg Elbell den schiffman (…) [in margine :] vide in Regist. 1637. fol : 194.

Le premier enfant de Michel Rettich et de Chrétienne (Conrad) naît en mars 1606
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 270-v, n° 38)
1606. Donnerst. d. 6. Martÿ. P. Michel Rettich, M. Christina, I. Anna, Comp. Lucas Spies d Weber, Margaretha, Michel Botzen fraw, Ursula, Jerg Lung* des Weißbeck. fraw (i 141)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un notifient Michel Rettich de réclamations provenant du Magistrat de Nuremberg
1626, Conseillers et XXI (1 R 108)
Michel Rettig contra Alexander Doßen. 88.
Michael Rettich contra Georg Zollner. 193.
(f° 88) Mittwoch den III Maÿ – Nurnbergisch schrb. abgehort antworten auf ein intercession für Michel Rettig C. Georg Dosen wegen seines Sohns Alexander vberschicken sein dosen bericht, wollen * nit sehen wie sie den vatter Zu weitterer bezalung dan er schon gethan treiben konnen, wie auß den angeschlossenen bericht Zusehen. Erk. Man soll dem Rettig Zustellen.

(f° 193-v) Sambstag den XIV Octobris – Nurnbergisch schrb. abgelesen darin sie antworten auf fürschrifft für Michel Rettich C. Georg Zolner ordinary botten uberschick. seinen bericht und meldet d. sie Ine dawid. nit treiben Konnen. Erk. Man soll Rettich Zustelen, J Schoner

Michel Rettich et sa femme Chrétienne hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Paul Œlinger. L’aubergiste au Lion d’Or Jean Huber se porte garant.

1627 (17. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 437
Erschienen Michel Rettich vnd Christina sein ehefr.
haben in gegensein H Paul Ölingers deß goldschmidts auch burgers alhie, schuldig seÿen 100. lb.
Vnderpfandt Ein hauß vnderhalb dem Hennenberger hoff, einseit neben Peter N. dem Kupffertruckern 2. seit neben Georg N. dem Statt kübler hind. vff weÿ: hanß Conrad Gretzingers s. witib vnd erb. etwan stoßend gelegen, vnd ist Zuuor v.hafft. vmb 980. fl. Georg helmelns s: kindern, vnd dann vmb 100. fl. dem Weisenhauß, sonst eÿg, Zu noch mehrer & ist auch erschienen Hannß Hueber Würth Zum Guldin Löwen der hat sich für sich für & Zu rechtem Bürg. Mit: und und selbst schuldner selbst Zahler darfür gesetzt

Michel Rettich et sa femme Chrétienne hypothèquent la maison au profit de leur gendre Michel Joch, pasteur à Boofzheim

1634 (21. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 298-v
Erschienen Michel Rettich der Liechtermacher, vnd Christina sein eheliche haußfr.
haben in gegensein herrn M. Michel Jochen, Pfarrer zu Bofftzheim, ihres dochtermanns, auch Burgers alhie – schuldig seÿen LXV. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit llen And.en ihren gebäwen alhie in der Pergamentgaß beÿ S. Andressen, einseit neben Peter Aubri gewesenen Kupferstechers wittib, anderseit neben herrn Johann Thoman Obrechten jurisconsulto, hind. vf weÿl. Conrad Gretzingers see. Erben stoßend gelegen, so zuuor verhafftet vmb 100. fl. werung dem Waisenhauß alhie, It. vmb 490. lb Jörg Elbels deß Schiffmanns Kindern, so gehen auch Järlich dauon 12. ß d bod. Zinß besagtem weißenhauß
(vide cess. vom 2. Maÿ dißes Jars)

Accord sur le paiement du prix convenu lors de la vente passée en 1625, revenant pour moitié à Daniel Elbel et pour moitié à Catherine Elbel femme de Georges Hoffmann, pasteur à Eberstadt en Hesse
1637 (24. Feb., Chambre des Contrats, vol. 477 f° 194
Erschienen Michel Retich d. Liechtermach. burger alhie und Christina sein eheliche haußfr. An einem, So dann Elisabethen Hackin mit weÿ: Georg Elbel dem Schiffman see: erzeügter dochter Catharinæ Ehevogt H Georg Hoffman Pfarrer Zu Eberstat Landgräffischer heß. darmbstatischer jurisdiction, mit beÿstand Georg Rohten deß schuhmachers alhie, seines Stieffschwehers Am and. theil, Zeigten An,
damnach Er Retich beÿ seiner von erstbesagten Rohten und deß. haußfr. obgedachten Hackin den 2. Julÿ A° 1625. erkaufften behaußung auch und. and. beschwerd 490. lb so sein H Pfarrers hauß frawen und dero Brud. Daniel Elbel Jedem daran der halbe theil Zustehet, vber sich daran alle Jahr vff weÿhenachten 50 lb sampt dem Zinß Zuerlegen, genommen, welche 490. lb. Zwar ob. und mehr ermelte Elisabetha Hackin ad dies vitæ widembsweiß Zugenüeß. hat, Vnd aber Er H. Pfarrer anietzo, wed. d. fast nie erhörten Kriegs belästig: und Lands v.derbung mit weib vnd Kindern in höchste leibs bedörffigkeit gesetzt word. dahero Er beÿ E. E. groß. Raht alhie den 22. diß ein Vnd.thenige Supplication, ihme von seiner haußfr. halbentheil der Verfangenschaft An obigen 490. lb d 122. lb 10 ß d. Zuentschlag. und verfolgen zulaßen übergeben (verglichen)

Chrétienne, femme de Michel Rettich, assistée de ses deux gendres Michel Joch et Pierre Aubri, hypothèque la maison au profit du capitaine Jean Régnard Haas

1638 (17. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 479 f° 309
Erschienen Christina, Michel Rettichen deß Liechtermachers undt burgers Zue Straßburg eheliche Haußfraw, mit beÿstand deß Ehrwürdigen wohlgelehrten herrn M. Michael Jochen Pfarrers Zue Illkirch und Peter Aubri, Kupfferstechers ihrer dochtermännern, alß beeder hier zu insonderheit erpetener nechster verwanthen
hat in gegenwärtigkeit herrn Johann Reinhardt Hasen, Capitains burgers alhie – schuldig seÿen 50 Pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß, hoffstat, höfflin undt Schöpfflin mit allen andern ihren gebäwen und Zugehörden gelegen in der statt Straßburg, vnden beÿ Sanct Andreßen, in der Pergamenter gaßen, einseit neben obgemelten Peter aubri anderseit neben herren Johann Thomæ Obrechten see: Erben hinden vff Cunrad Erentzingers Erben stoßend, So Zuuor verhafftet vmb 100. fl. Str. w. dem Waÿsenhauß, Item vmb 490. fl. a 15. bz. Georg Elbels deß Schiffmanns see. Erben rest am Kauffschilling So dann gehen auch Jährlich dauon zwölff schilling pfenning Bodenzinß vorgedachten Weisenhauß

Copropriétaire pour moitié, Anne Marie Rettich épouse en 1632 Michel Joch, pasteur à Boofzheim
Mariage, cathédrale (luth. f° 307)
1632. doîca 50. 12. Februar: H. M. Michael Joch, pfarrer Zu boffzheim und J Anna Michel Rettich des grempen tochter eingesegnet Zinstag 21. februar: (i 158)

Leur fils Jean Joch est pasteur à Wangen. Il est nommé diacre à Saint-Nicolas en 1678.
1671 Conseillers et XXI (1 R 154)
Johann Joch pfarrer zu Wangen. 179.
(f°179) Montags d. 24. Junÿ aô 1671 – M. Johann Joch Pfarrer zu Wangen bitt [-] seinem Antecessor herren M. Heinrici [-] für Jetz vndt ins künfftig fren[-] befreÿen. Erk. Willfahrt.
1675 Conseillers et XXI (1 R 158) H. M. Johann Jochen. 233. [Nomination zur helffet auffstellung Zum Jung. St Peter]
1678 Conseillers et XXI (1 R 161)
Diaconats Stell Ersetzung Zu St Niclauß. 17. H. Joch. 52.
H. M. Johann Joch wirdt diaconus Zu St Niclaus. 52.

Copropriétaire de l’autre moitié, Marthe Rettich épouse en 1636 le graveur sur cuivre Pierre Aubri

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 220-v)
1636. Dom. VII. Trinit. 31. Julÿ. Peter Aubri d. Kupfferstecher, Peter Aubri weÿland deß Kupfferstechers v. burgers alhier nachgelaßener Sohn, v. Marthan Michael Rettich deß burgers v. liechtermachers tochter. Cop. 8. Aug. Zu J. St. Peter (i 112)

Pierre Aubri porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose au corps des relieurs. L’affaire se termine par accord entre les parties.
1664, Protocole des Quinze (2 R 81)
Peter Aubrÿ Ca Buechbinder
(f° 73-v) Sambst. den 4. Junÿ – Peter Aubrÿ Kupfferstecher und burger allhier Ca. hießige buchbind. E per Reiß. underth. Suppl. und Pitten, wlers nôe Christoph Schertzen und Ubriger Meisterschafft pitt und erhalt Copeÿ et Zeit der Ordn.

(f° 78-v) Sambst. den 11. Junÿ – Buchbinder Ca. Aubrÿ
Buchbinder per R. Ca. Peter Aubrÿ, prod. Gegen bericht mit beÿlaag Sub Lit. A. Dr. b[itt]. cop[ia]: vnd ZdO [Zeit der Ordnung] erh.

(f° 135) Sambstag den 17.t 7.br – Buchbinder Ca. Aubrÿ
Buechbinder per W. c. Peter Aubry bitt Erklärung Vom 11. Junÿ Dr Bitsch Cit. noch ad prox. erh.

(f° 144) Sambst. den 1.ten 8.bris – Peter Aubry per Dr. B. contra Buchbinder prod: Schlußschrifft. W. pro Citat. cop : undt ZdO erh.

(f° 168) Sambst. den 19.ten 9.bris – Buchbinder Ca. Peter Aubry
Buchbinder per Wild Ca. Peter Aubry prod. Vndts. Schlußbericht, Dr. Bitsch nom. citati pittet copia vnd ZdO erhalt.

(f° 176) Sambst. den 10. 10.bris – Peter Aubrÿ Ca. Buechbinder
Peter Aubrÿ per Dr. Bitschen Ca. Buechbinder Meisterschafft repetirt generalia vnd beschleüßt. Wild nom: d. buechbinder wid. holt alles dienliche beschleißt gleichfals. Erkant würdt die Sach für beschloßen angenommen, Vnd bedenckens H. XV Brackenhouer vnd Herr XV. Mülb

Jean Joch, pasteur à Oberhausbergen, et Pierre Aubri hypothèquent un capital provenant de la grand-mère du premier au profit du receveur Jean Gaspard Erhard. Le capital est garanti sur la maison d’après un partage reçu par le notaire Gaspard Medler.

1666 (1. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 145
Erschienen Herr M Johann Joch Pfarrer Zu Oberhaußbergen mit beÿstand herrn Peter Aubrÿ deß Kupfferstechers seines noch ohnentledigten Curatoris
in gegensein Herrn Johann Caspar Erhardts Schulschaffners für sein eÿgene Person – schuldig seÿe 50. Pfund pfenning
Unterpfand sein sollen, die Jenige 50. lb. Capital so Ihme dem Debitori, Von weÿl. Christina Conradin seiner Großmutter seel. Vermög der am 2. Martÿ A° 1638. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter Verschreibung legirten und hernach uff daß, in der Pergamentiner Gaß Zwischen Johann Scherningß des buchführers und der Mollingerischen Behaußung, gelegenes Hauß, nach besag deß durch weÿl. H. Caspar Medlern den Notarium den 6. Junÿ A° 1649. für Fr. Anna Rettichin deß Debitoris Mutter seel. ußgefertigten Theil Registerleins fol. 5. Verwißen worden ist, item alles übrige, so Ihme dem Schuldnern Jure dominÿ ahn oballegirter behaußung gebühret

Jean Joch, pasteur à Wangen, cède ledit capital au receveur Jean Gaspard Erhard

1671 (ult. mart.), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 303-v
Erschienen H Mr Joh: Joch Pfarrherr Zu Wangen
in gegensein H Johann Caspar Erhardts Schulschaffners für sein Person
daß Er demselben, ahne statt der, aus der am j. Martÿ a) 1666. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter obligation schuldig. 50. lb Capital, vffrecht redlich und ohnwiderrufflich cedirt und übergeben habe die Jenige 50. lb welche Weÿl. Christina Conradin sein H. M. Jochen Großmutter seel. vermög der am 2. Martz a° 1638. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteten Verschreibung ihme legirt habe, und hernach vff die in der Pergamenter Gaßen Zwischen Johann Scherningß und denen Mollingerischen gelegene Behaußung, nach besag deß durch weÿl. H Caspar Medlern Not. seel. den 6. Junÿ A° 1649. für weÿl. Anna Rettichin sein H M. Joch. Muter seel. ausgefertigten theil Registerlin fol. 5. verwiß . word. sein H Erhardts special Unterpfand ist, Alßo d. d. h. Cessionarius mit solchem in solutum cedirten Capital seines Gefallens Zu thun und Zu ligen befugt

Le messager Jean Pierre Joch et sa femme Jeanne hypothèquent au profit du syndic Jean Jacques Frid un quart de la maison dont les trois autres quarts appartiennent au pasteur Jean Joch et à Pierre Aubri

1672 (19. 7.br:), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 483-v
Hannß Peter Joch der Cancelleÿ bott und Johanna sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿse herren Jonæ Andreßen Von Veßenheim und herren Abraham Gollen, beede alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt ihrer nechster Verwanther hierzu Deputirter – schuldig deÿen 25. lb
dem Edel- Vesten- hochgelehrten herren Johann Jacob Fridten Jcto. et Reipubl. Patriæ Syndico et Consiliario
Unterpfand, Ein Vierter theil dem Debitori für ohnvertheilt gebühren, ahne Hauß, hoffstatt höfflin und allen übrigen deren Gebäwen begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der Pergamentiner Gaßen ohnfern deß bierhaußes Zum Rosen Crantz einseit neben Johann Schering dem buchbinder, anderseit neben denen Mollingerischen Erben, hinden uff den Rhatsamhaußischen hoff stoßend gelegen, daran die übrige dreÿ Vierte theil herren Peter Aubrÿ dem Kupfferstecher und herren M. Johann Jochen Pfarrern Zu Wangen eÿgenthümblich Zuständig

Le graveur sur cuivre Pierre Aubri hypothèque la maison entière au profit des enfants mineurs du fournier Laurent Schmidt

1677 (16. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 533-v
Erschienen H. Peter Abrÿ der Kupfferstecher
in gegensein Diebold Hummels deß Weißbeck. alß Vogts Lorentz Schmidts deß haußfeurers nunmehr seel. nachgelaßener kinder – schuldig seÿe 50. lb
in specie unterpfand sein solle, hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier beÿ dem Bierhauß Zum Rosenkrantz, einseit neben Johann Gerning dem buchkrämer, anderseit neben herrn Ursino U. I. Ddo und Stallschreibern ehevögtlidner weiße gelegen, welche behaußung annoch vmb 100 fl. dem Waÿsenhauß alhier, Item umb Herrn Andres Fischern Fünffzehnern, so dann umb 100 fl. Herrn Johann Caspar Erhardt alten Schulschaffnern verhafftet

Pierre Aubri hypothèque la maison au profit de Jean Georges Nürnberger, chef de la Monnaie à Nuremberg, et de sa femme Dorothée Marie. La femme du débiteur se porte garante.

1682 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 155
Erschienen Herr Peter Aubrÿ der Kupfferstecher
hatt in gegensein deß Ehrenvest- hochgelehrten Herrn Christian Breuningß U.I. Ddi und E.E. Großen Rhats Advocati et Procuratoris alß herrn Georg Nürnbergers deß Müntzmeÿsters und frawen Dorotheæ Mariæ, beÿder Eheleuth in deß heÿligen Reichß Statt Nürnberg wohnhaft (…) hierzu constituirten befehlhabers – demnach Er Aubrÿ in weÿl. herrn Christoph Enders Buchführers für außgeborgte wahren und bücher so über die Jenige 27. fl. 21. Cr. so herr Georg Andres Dollhopff der buchführer Zu bezahlen habe
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen begriffen rechten und Zugehördten alhier in der pergamenter Gaß ohnfern deß bierhaußes Zum Rosenkrantz, einseit neben H. Johann Vrsino U.I. Ddo und Stall schreibers, anderseit neben herrn Hannß Jacob Haubenstrickher E.E. Großen Rhats beÿsitzer gelegen, welche behaußung noch umb 100. fl. Andres Fischers XV. nachgelaßener Wittib, Item umb 100. fl. H. Hanß Jacob Erhardten alten Schulschaffnern jährlichen 6. fl. Zinß dem Waÿßn hauß
Und deßen Zu noch mehrern Versicherung so ist auch persönlich erschienen fraw Martha deß Debitoris Eheweib mit beÿstand des Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Johann Daniel Braunen und herrn leonhardt Baldners beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter, die hatt sich für obige schuld und biß dieselbe Völlig bezahlt sein wird, ohnverscheidentlich verbürgt

Pierre Aubri hypothèque la maison au profit de Jean Daniel Braun assesseur au Grand Sénat

1682 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 195-v
Herr Peter Aubrÿ der Kupfferstecher
in gegensein deß Ehrenvest- fürsichtig undt weÿsen Herrn Johann Daniel Braunen E.E. großen Rhats beÿsitzers – demnach Er Aubrÿ Herrn Frantz Cardon dem handelßmann Zue Augspurg in Gehaltener Abrechnung, bekanntlich 97 fl. für außgeborgte wahren schuldig und Er Herr Braun dafür bürg worden (…)
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen begriffen rechten und Zugehördten alhier in der Pergamentinen Gaß ohnfern deß Bierhaußes Zum Rosenkrantz, einseit neben H. Johann Vrsino U.I. Ddo und Stall schreibers, anderseit neben herrn Hannß Jacob Haubenstrickher obwohlgedachten Rhats beÿsitzern gelegen
Und deßen Zu noch mehrern Versicherung so ist auch persönlich erschienen fraw Martha deß Debitoris Erkannt Willfahrt mit beÿstand des Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Abraham Büchels und herrn Lienhardt Baldners, beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter, die hatt sich für obige schuld und biß dieselbe Völlig bezahlt sein wird, ohnverscheidentlich verbürgt

Donataire de sa femme Marthe, Pierre Aubri passe un accord avec Jean Joch (son neveu) au sujet de la donation

1684 (16. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 399
Herr Peter Aubrÿ der Kupfferstecher, mit beÿstand H. Johann Scherningß deß buchhändlers an einem,
So dann Herr M. Johann Joch Diaconus der Pfarr Kirch zu St Niclaus am andern, und beÿde theil mit assistentz Herren Daniel Lienhardts und Herren Mathæi Schmidts alß aus E.E. Großen Rhats mittel, bereits in vorigem Jahr hier Zu insonderheit Zu beÿder Parten güttlichen Vergleichung deputierter
Demnach beÿde theil in einiger differenz, betreffend die ienige Donatio und legata, so weÿl. fraw Martha Aubrÿ eingangß gemeldt Herren Aubrÿ haußfrau, nunmehr seel. in dero uffgerichteten und per Mortem confirmirten Testamento Verordnet gestandten, alß hetten sich beÿde Parten durch ehrengedachter Herren Rhats deputirter Vermittlung und darauff den 28. Junÿ Vorigen Jahrs erfolgter Obrigkeitlicher Ratification deß Vorhien getroffenen und beÿ wohlgedachtem Rhat den 23. ejusd. producirten Vergleichs dahier mit einander ein für alle mahl Verglichen
(…) Fünfftens, bleibt es beÿ der in der Pergamentiner gaß ohnfern deß Rosengrantzes gelegener und in gemeinschafft mit einander habender behaußung durchauß

Les Conseillers et les Vingt-et-Un exemptent Pierre Aubri du logement militaire à cause de son grand âge

1685, Conseillers et XXI (1 R 168)
(p. 38) Sambstags den 10.ten Martÿ 1685 – Peter Aubri umb liberation der Einlogirung.
G. nôie Peter Aubry, des Kupferstechers, Weilen er ein alt[er] und über 80 jahr erlebter Mann ist, Und Nicht mehr, als wal[-] seiner, und seiner Magd underhalt nöthig, übrig hatt ihme a[-] zweÿ soldaten inquartiert werden und selbige nicht aco[-] Kann, als bitt Unterth. Umb Liberation der Einlogirung [Erkant] An die Herren Deputirte der Einquartierung. Herr XXI. Mockel, Herr Gilig

Pierre Aubri a institué légataires Anne Elisabeth Schmidt pour un tiers, Jean, Jean Pierre et Jean Jacques Zesenmacher (ses neveux, fils d’Anne Marie Aubri et de Georges Zesenmacher) pour un quart et pour le dernier quart Jean Tscherning (son demi-frère). Jean Tscherning devient seul propriétaire de la maison après avoir réglé les capitaux dont elle était grevée.

1692 (29. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 817-v
Jgfr. Anna Elisabeth Schmidtin so majorennis mit beÿstand H. Lorentz Hammen deß Weißbecken und E:E: kleinen Raths beÿsitzer Ihres Vogts
Hn Johannis Tschernings, deß buchhändlers
angezeigt und bekandt demnach auß weÿl. Hn Peter Aubry gewesenen Kupfferstechers sel. Verlaßenschafft unden beschriebene behaußung Ihro Annæ Elisabethæ Zu einem dritten, Ihme Tscherning Zu einem dritten, und Johann, Johann Peter und Johann Jacob Zeßenmachern dreÿen Brüdern zum übrig. dritten theil erblich zugefallen, Er Tscherning aber die darauff gestandene Capitalien bezahlt und ferner zu bezahlen allein übernomm. So habe Sie Anna Elisabetha bereits vor ohngefähr einem jahr in beÿsein E.E Kleinen Raths damahls ernannten HHn Deputirt. sich mit Ihme Tscherning Ihrer portion halben dahin verglich. daß Sie Ihme Ihre portion daran guthwillig überlaßen und eÿgenthümlich cedirt maßen Sie demselb. hiermit nochmahl übergeb. hab. wolle – erlegt 7 pfund 10 schilling Und ist dieß die behaußung darvon oben meldung geschieht, Nemblich hauß, höfflein, sambt allen übrig. deßen Gebäuen, Recht und Zugehörd. allhier in der Pergamenter Gaß, Oberhalb deß bierhauß Zum Rosen Crantz, geg. über einseit neben hans Jacob Schäffen, dem Kübler and. seit neben hans Georg Leÿbold, dem Kirßner hind. auff Hn Jean Loyson Schultheiß zu Wingerßheim

Le relieur Jean Tscherning épouse en 1654 Anne Marie Mock, fille du tailleur Jean Sébastien Mock : contrat de mariage passé à la Chambre des Contrats, célébration
1654 (14. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 594
(Eheberedung) Erschienen Johann Scherning der Buchbind. und Burg. Zue Straßburg amß hannß an einem,
So dann Jungfr. Anna Maria, hannß Bastian Mockh deß Schneiders und Burgers alhier, eheliche dochter, alß hochzeiterin mit beÿstand erstermelts ihres Vatters am andern theil

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 70)
1654 Dominica XXVI Trinitatis. Johann Tscherning der Buchbinder, Herr Johann Tschernings gewesenen burgers vndt buchhändlers alhier hinderlaßener Ehelich. Sohn, Vnd Jungfr. Anna Maria Johann Sebastian Mockhen des Schneiders Undt Burgers alhie eheliche Tochter. Copulabantur Mont. d. 27.t 9.bris Zum JS Peter (i 81)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 566, n° 13) 1654. Eodem [Sonnt. 26. Trin: 19. 9.br]. Johann Tscherning der buchbinder, weiland Joh: Tscherning des burgers vnndt buchhändlers alhier hinderlaßenen Ehelichen Sohn Unndt J. Anna Maria, Sebastian Mockhen des burgers vnndt schneiders alhie Eheliche dochter. Mont. 27. 9.br J. St. Peter, weinsticher stub (i 315)

Le notaire Etienne Corneille Saltzmann dresse en 1693 l’inventaire des biens d’Anne Marie Mock (voir l’inventaire de 1705). Jean Tscherning se remarie en 1694 avec Catherine Salomé Schwartz, fille du secrétaire au bureau de la manance Jean Adam Schwartz : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenvesten und wohlachtbaren Herrn Johann Tscherning buchhändlern und burgern allhier Zue Straßburg, alß dem herrn hochzeiter ane Einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrawen Catharinæ Salome gebohrner Schwartzin Weÿl. des auch wohlachtbahren und wohlvorgeachten herrn Johann Adam Schwartzen geweßenen wohlbestellten Schirmgerichts Actuarÿ allhier hinderlaßener ehelichen dochter der Jungfrauw hochzeiterin ane dem andern theil (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Sonntag den Ersten Monaths tag Augustei newen Calender Im Jahr deß herren alß man Zalte 1694, [unterzeichnet] Joh: Tscherning Sen; alß hochzeiter bekenne wie obsteht, Catharina Salome gebohrne Schwartzin als hochzeiterin bekenne wie obsteht

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 47-v, n° 289)
Eodem [Dom. XIII post Trinit.] seÿnd Zum II mahl außgeruffen worden h. Johann Tscherning der ältere buchbinder und burger Jfr. Catharina Salome, weÿl. hr. Johann Adam Schwartzen geweß. Secretarii beÿ allhsiger Statt Pfenningthurn nachgel. ehl. tochter, Seÿndr gleichfalls copulirt word. den 15. Septembr. [unterzeichnet] Johann Tscherning alß hochzeitter, Catharina Salome schwartzin (i 48)

Jean Tscherning meurt en 1704 dans sa maison place Saint-Thomas en délaissant six fils et une fille. Les experts estiment la maison rue du Parchemin à 225 livres. La masse propre à la veuve est de 539 livres, celle des héritiers de 937 livres. L’actif de la communauté s’élève à 899 livres et le passif à 421 livres.

1704 (21.8.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 12) n° 476 (abtheilung n° 484)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, Liegender: vnd Vahrender Keinerleÿ außgenommen, so weÿland der Ehrenvest: und Wohlvorgeachte Herr Johann Tscherning der ältere geweßene buchhändler und buchbinder auch burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 20.ten Septembris instehenden Zu end lauffenden 1704.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten herr, seel. hinderlaßener Kinder und per Testamentum instituirter Erben, deren geschwornen herrn Vogts auch E.E. Kleinen Rhats hierzu deputirten herrns, alle nach dießem titulo Inventarÿ ordentlich benahmsten fleißig inventirt und ersucht durch die viel Ehren und tugendsahme fraw Catharinam Salomeam gebohrne Schwartzin die hinterbliebene fr. Wittib, mit beÿstand des Wohl Edel, Vest und hochgelehrten herrn Johann Philipp Hecker J. U. Ddi und derzeit wohlverordneten Actuarÿ allhießigen Accises auch vornehmen burgers Zu Straßburg als ihres geordnet und geschworenen H. Curatoris – so beschehen alhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg dienstags den 21. Octobris Anno 1704.
Der Verstorbene Herr seelig hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Tscherning Jun: buchhändler und buchbinder auch burgern allhier Zu Straßburg, welcher auch der Inventation von anfang biß Zu end persönlich beÿgewohnt, 2. den auch Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Peter Tscherning gleichfalls buchhändler und buchbinder auch burgern allhie, so ebenfalls in persohn Zugegen geweßen. 3. den Ehrenhafften Andreß Tscherning gleichfalls buchbindern, welcher sich aber derzeiten außerhalb Königlich frantzöißen diensten enthält, in deßen wie auch seines hernachbenanten bruders Emanuels Nahmens, als welche beede allhier ohnverburgert, der Wohl Edel, Vest fürsichtig und wohl weiße herr Philipp Caspar Leitersperger, vornehmer burger und E.E. großen rhats alte: anjetzo aber E.E. Kleinen rhats alhier ane Constofflers statt höchstmeritirte Assessor als auß wohlermelten Rhats Mittel darzu in specie deputirter herr beÿ dem geschäfft erschienen, 4. den Ehrenachtbahren Johann Carl Tscherning, burgern und bedienten beÿ allhießigem Allmosen welcher ebenmäßig præsens war, 5. den Ehrengeachten Emanuel Tscherning buchbindern und Schirms Verwanthen allhier, so auch selbsten beneben deßen ob Edelerwehntem herrn Deputato der Inventation abgewartet, 6. den Ehrbahr und bescheidenen Johann Adam Tscherning leedigen buchbinder Gesellen so dermahlen sich in der fremdte vf der wanderschafft befindet, in deßen Nahmen als schrifftlich von Ihm constituirter Anwaldt der Wohl ehrenveste und Wohlvorgeachte herr Johannes Welper Jun. der Schreibereÿ befließene und burger allhier sich beÿ gegenwärtiger Inventur angemeltet undt derselben beÿgewohnt, So dann 7. die Ehren und tugendsahme Jungfrau Annam Mariam Tscherningin, welche dann ebenfalls beneben den wohl Ehrenvesten fürsichtig und Weißen herrn Johann Georg Stecher burgers und E. E. Großen rhats allhier alten wohlverdienten beÿsitzern, als Ihrem geordnet und geschworener herrn Vogt, biß Zu des Geschäffts endignung persönlich Zugegen geweßen. Also all Sieben des in Gott ruhenden herrn mit weÿl. der Ehren und Tugendsahmen frawen Annæ Mariæ gebohrner Mockin nunmehr seel. in erster Ehe erzeigte Kinder und Zugleichen theilen Erben
Copia der Eheberedung – Extractus Auß dem von dem abgelebten herrn und seiner Erstern Haußfrawen Annæ Mariæ gebohrner Mockin deel. den 19. Martÿ Anno 1693. auffgerichteten verschloßenen Testamento – Extractus Auß vorgemelyer beeden geweßenen Ehepersohnen auffgerichteten Nachdisposition vom 10.ten Maÿ Anno 1693. – Copia des von sem seel. Herrn Tscherning selbsthändig geschriebenen Testamentz Zeduls pder letstgestiffteter Nachdisposition – Publicatio Testamenti Clausi

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomas plahn gelegenen, vnd in dieße verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung, volgender maßen befunden worden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, In der obern Stuben, In der obern Stubkammer, Im obern haußöhren, In der Wohn Stub, In der Wohn Stub Cammer, Il Mittlern haußöhren, In der Undern Stuben, In der vndern Kuchen, Im Keller
(f° 15) Eÿgenthumb ane Haüßern. (E.) Ertlcihen hauß vnd hoffstatt ane St. Thomans plahn (…)
(E.) It. hauß höfflin sambt allen vbrigen deßen gebawen rechten v. zugehörden allhier in der Pergamentergaß oberhalb des bierhaußes Zum Roßen Krantz gegenüber, einseith neben hans Jacob Schöffen dem Kübler, anderseith neben weÿl. Mstr hannß Georg Leÿboldt des Kürßners seel. Erben gelegen, hinden auff Jean Loyson den Schulthesen Zu Wingersh. stoßendt, davon gehen Jährlichen 2. lb d auff Assumptionis Christi dem Allhießigen Weÿßenhauß, widerlößig in Cap. mit 50. lb d. It. 12. ß d. bodenzinß gemeltem Weÿßenhauß Jährlichen dicto termino in Cap. ohnvergreifflich gerechnet lößig mit 12. lb. Undt ist soche behaußung vermög obangeregter Abschatzung allhießig. geschwornener Werckmeistere vber vorstehende beschwerde angeschlagen worden per 213.. Darüber vorhanden ein perg. Vergleich vnd respectivé cession in allhießiger C. C. stuben gefertiget, deren datum den 29. 10.br. 1692. mit wohlgemelter C. C. stuben anhangendem größern Insigel verwahrt, mit altem N° 3 signirt und darbeÿ gelaßen.
(f° 16) Ergäntzung der Fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögen. Vermög Inventarÿ über Ihr der Fr. Wittib in den Ehestand Zugebrachte Nahrung in A° 1694. durch herrn Johann Peter Kolben Notm. publ. auffgerichtet
Ergäntzung der Erben abgegangenen unveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über weÿl. frawen Annæ Mariæ Tscherningin gebohrner Mockin des abgeleibten herrn seel. erstern haußfrauwen Verlaßenschafft in Anno 1694 durch herrn Stephan Cornelium Saltzmann Notm. publ. et Academ. auffgerichtet
(f° 27) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib nahrung betr. Sa. Haußraths 32, Sa. Silbers 10, Sa. Guldener Ring 26, Sa. Pfenningzinß hauptgüttern 240, Sa. Eÿgenthumbs ane einem gülttguth 75, Sa. Ergäntzung 155, Summa summarum 539 lb
Der Erben Vermögen belangendt, Sa. Haußraths 135, Sa. Leerer Vaß 15, Sa. Silbers 4, Sa. Guldener Ring 13., Sa. Eÿgenthumbs ane Heußern 713, Sa. Activ Schulden 109, Sa. Ergäntzungs rests 122. Summa summarum 1114 lb – Schulden 177, Nach deren Abzug 937 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 42, Sa. Frucht 40, Sa. Wein und Leerer Vaß 94, Sa. Kupfferstuck 646, Sa. Silbers 8, Sa. baarschafft 66, Summa summarum 899 lb – Schulden 421, Nach deren Abzug 477 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1729 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Sonntag den Ersten Monaths tag Augustei newen Calender Im Jahr deß herren alß man Zalte 1694
Copia Testamenti (…) Straßburg den 27. Octobris Anno 1696. Johannes Tscherning der ältere bekenne wie obstehet
Abschatzung den 30. 8.bris aô 1704. Weÿland des Ehrhafften und bescheidenen Herrn Johann Scherning gewesenen buchbinders seel. hinder laßene Fr. Wittib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg auff dem thomas blohn gelegen (…)
Die andere behausung auch alhier in der Statt Straßburg in der Rosen Krantzgaßen gelegen einseits neben Anna Ursula Leopoldin anderseits neben Andreas huck holtzleger hinden auff den herren Schultzen Von Wingersheim stosend, welche behausung hoff hinder gebäudlein und Nebens gang sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen, Werckhleuthe sich in die besichtigung befunden undt Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Fünff Hundert und Fünffzig gulden. bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Les héritiers Tscherning vendent la maison au cordonnier Jean Othon Vogel moyennant 450 livres

1705 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 109-v
(450) Johann Tscherning buchbinder, J: Peter Tscherning auch buchbinder, Johann Carl Tscherning allmoßen knecht, ferner S.T. Hr Philipp Caspar Leitersperger XXI.ger nahmens Emanuel Tscherning buchbinders u. andres Tschernings gleicher profession, Item hr. Joh: Welper Ju: scribent nahmens Adam Tschernings deß ledigen buchbinders u. dann hr Joh: Georg Stecher E.E. Großen Raths alter beÿsitzer alß vogt Anna Maria Tscherningin
in gegensein Joh: Ottmann Vogels schuemachers
Hauß u. höfflein sambt allen übrigen deren gebaüen, begriffen, rechten u. zugehörden allhier in der Pergamenter gass oberhalb deß bierhauß zuem roßen Crantz gg. über, einseit neben Joh: Jacob Schäffer küblers anderseit neben Hanß Georg Leÿbold Kürßnern hinten auf Jean Loyson Schultheiß zu Wingersheim stoßend gelegen, von welcher behausung gehen jährlichen 12 ß d bodenzinß dem Waÿßenhauß (um 50 pfund und 400 pfund capitalien verhafftet) welche der Käufer kraft eines von Hn Daniel Rohren Not: publ: beÿ der Tscherningischen verlaßenschaffts inventation gebrauchet worden

Originaire d’Elgg dans le canton de Zurich, le cordonnier Jean Othon Vogel (Jean Omer Vogel, le prénom étant écrit soit Ottmann soit Ottmar mais la signature est Ottmann) devient bourgeois avec sa femme Anne Marie, fille de l’officier Jean Jacques Düringer le 11 septembre 1698. Leur enfant suit la coutume et ne devient pas bourgeois avec ses parents
1698, 3° Livre de bourgeoisie p. 1212
Hanns Ottmar Vogler Von Elg, Zürcher gebieths, der schuemacher erkaufft das burgerrecht p. 2. gold fl. 16 ß so bereits auf den Pfenningthurn erlegt worden, Anna Maria Hannß Jacob Düringers gew. constablers tochter seiner haußfrauen aber empfangt es durchaus gratis mit ihrem Kind ist es beÿ ordnung Gelaßen worden vnd werden beÿ E. E. Zunfft der schumacher dienen. Jur: d. 11. 7.bris 1698.

Anne Marie Düringer meurt en 1715 en délaissant un fils qui meurt peu de temps après elle, de sorte que le veuf est seul héritier. Les experts estiment la maison 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 118 livres.

1715 (24.4.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 21) n° 526
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und güther, liegender undt fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. die Ehren: undt tugendsahme Fraw Anna Maria Vogelin gebohrne Düringerin deß Ehrenhafften undt Bescheidenen Meister Johann Ottmar Vogels Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche Haußfrau nach ihrem den 17. febr: gegenwärtigen 1715.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hieintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern undt begehren obgedachten ihres hinterbliebenen Wittibers Weilen Weÿl. Johannes Vogel deroselben mit ihme Wittibern ehelich erzeugter hinderlaßener Sohn und gewesener einiger Erb den 21.ten febr. Vorberührten Jahrs dießes Zeitliche auch geseegnet und demnach deßelben Mütterlich Verlaßenschafft auff Ihne per modum successionis erblichen gekommen, inventirt undt ersucht (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 24.ten Aprilis Anno 1715.

In einer in der Statt Straßburg ahne der Pergamenter gaßen gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden Worden, Wie folget
Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Wohnstub, In der Cammer B, Im haußöhren, In der Soldaten Cammer, In der Kuchen
Eigenthum ahne Einer Behaußung. Hauß, Hoffstatt Vnd höfflein samt allen übrigen gebäwen begriffen weithen rechten Zugehördten Vnd gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Strßb. ahne der Pergamenter gaßen, 1.s neben Weÿl. Joh: Georg Leybold des gewesenen Kürschners hinderlaßenen Eckheln, 2.s. neben Joh: Jac: Rothen dem Schreiner und hinden auff Weÿl. herrn Johann Loyson de geweß. Schultheißen Zu Wingersheim hinderlaßene Wittib stoßend, davon gehen dem Stifft Waÿßenhauß auff den Auff fahrts Tag Jährlichen 3. lb 4 ß Zinß So in Capital abzulößen mit 64. lb, Item 6 lb 5 ß d Zinnß gibt mann Jährl. auff faßnacht Fr. Catharinä Salomeä Tscherningin so in Capital ablößig mit 125 lb. Undt dann 3 lb 15 ß d Zinß Jahr sauff den 21. febr : Herrn Joh. Philipp Heckern E. E. Großen Raths Verwanthen so in hauptguth abzustatten mit 75. lb. Summa der beschwehrden macht 264. lb. Sonsten freÿ ledig und eigen und über obige beschwehrden annoch durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister Vermög ihrer Zu dem Concept gelüfferten Schrifftlichen Abschatzung sub dato 25.t Aprilis Anno 1715. annoch æstimirt pro 86. lb. Darüber ist vorhanden 1. teutscher pergam. Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertigt und mit dero anh. Kleinen secret Insiegel verwahrt, datirt den 7. febr : 1705.
Series rubricarum, Sa. Haußraths 24, Sa. werckzeugs und leder Zum schuemacher handwerck gehörig 4, Sa. Lährer faß und bütten 3, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung 86, Summa summarum 118 lb – Verstallung und Beschluß summa hujus Inventarÿ 118 lb

Anne Marie Düringer meurt à l’âge de 55 ans. Son beau-frère Jean Pierre Bickelhaub signe l’acte
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1715, f° 238-v, n° 14)
1715. Mont. d. 18. febr. frühe Morgens Zwischen 4 u. 5. Uhr starb u. wurde Mittw. darauff beÿ gehaltener Leich Pr. auf dem Gottesacker S Helenen begraben fr. Anna Maria Vogelin, gebohrne Thüringerin, Mr. Joh: Ottmar Vogels, deß burgers v. schuhmachers gewesene ehl. haußfr. Ihres alters 55. Jahr [unterzeichnet] Johann ottman vogel als witwer, Johann Peter bickelhaub alß schwager (i 244)

Son fils Jean Vogel meurt cinq jours plus tard à l’âge de 19 ans d’une maladie qui n’a duré qu’un jour. Est témoin de l’acte son cousin Christophe Charles Düringer
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1715, f° 238-v, n° 15)
1715. Sambst. d. 23. febr. frühe morgens umb 1. Uhr ist Johannes Vogel nach einer außgestandenen Nur einen tagen kranckheit seiner Mutter Vorstehender Anna Maria Vogelin georherner Thüringerin, durch einen seelig. tod Nachgefolgt, Wurde (Mont.) darauf Zu S Helenen beÿ gehaltener Leich Pr ehrlich begraben, seines alters 19 Jahr weniger 7 tag, [unterzeichnet] Johann ottman vogel schumajcer alß vater, Christoph Carrl dirringer als fetter (i 244)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que l’héritier non bourgeois doit régler le droit de détraction. La somme déclarée au fisc (400 florins) est supérieure à celle constatée lors de l’inventaire (200 florins)
1715, Livres de la Taille (VII 1175) f° 126
(Schuhmacher, F. N° 1501) Weÿl. Frauen Annæ Mariæ gebohrner Dürningerin Hannß Ottmar Vogels des Schuhmachers und burgers alhier geweßener Ehel. Hausfraueb Verlaßenschafft inventirt H. Not. Ösinger.
Concl. fin. Inv. ist fol. 19.b, 188. lb, 18 ß 7 ½ d
die machen 200. fl, derselbe verstallte hiengegen 400. fl.
Extat das Stallgeltt pro 1714. mit 1 lb 19 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung 5 ß 6 d – Summa 2. lb. 6 ß 10 d
Abzug. Johannes Vogel der ohnverburgerte Sohn, soll von seinem Mütterl. Erbe der 45. lb. den Abzug entrichten mit 4. lb 10 ß 4 d
Machen Vorstehende beede Summen zusammen 6. lb 17 ß 2 d
dt. 18° Maÿ 1715.

Jean Othon Vogel se remarie en 1715 avec Catherine Grohberger, fille de tisserand : contrat de mariage par lequel le mari lègue la jouissance viagère de sa maison à la future épouse, célébration

1715 (2 Junÿ), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 40) n° 418
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Ottmann Vogeln, Wittibern und Schuhmachern Burgern allhier Zu Straßburg, alß dem Bräutigamb ane Einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrawen Catharinæ gebohrner Grobergerin, deß Wohl Ehrsammen und Vorachtbaren herrn Johann Grohbergers Leinenwebers und Barchethändlers mit Weÿl. der ehren und tugendbegabten frawwen Barbara gebohrner Kraußin ehelich erzeugten in erster Ehe tochter, alß der hochzeiterin am andern theil
Zum fünfften Verordnet der hochzeiter wan Er vor seiner hochzeiterin mit tod abgeh. thäte, deroselben zu einem lebtägig. doch aber alßd. wied. fällig wÿdumb seine alhier ane der Pergamenter gaß ohnweit dem bierhauß Zum roßen Krantz gelegene wohnbehauß. sampt undt sonders mit dem anhang daß sie schuldig seÿn solle, solche die Zeith über in gutem baw undt ehre zu erhalten
Beschehen und verhandelt seÿnd dieße dinge in der Königl. Statt Straßb.. (…) Sontags den 2.ten Junÿ Anno 1715. [unterzeichnet] Jan otman vogel als hochzeiter, Catharina Grobergerin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 19-v, n° XI)
1715. dominica I et II post Trinitatis proclamati sunt Johann Ottmann Vogler der Schuhmacher und Burger allhier und Jfr. Catharina H Johannes Groberger deß Leinenwebers und burgers allhier ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. 3.t Julÿ [unterzeichnet] Johann otman vogel als hochzeiter, Catharina Grobergerin Als hoch Zeiterin (i 24)

Jean Othon Vogel meurt en 1730 en délaissant pour héritière sa veuve après avoir fait divers legs à ses frères et sœurs demeurant à Elgg et à Albisrieden près de Zurich. Les experts estiment la maison 350 livres. La masse propre à la veuve est de 199 livres, la masse propre aux héritiers de 68 livres. L’actif de la communauté s’élève à 514 livres, le passif à 72 livres.

1730 (31.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 4) n° 181 (1553)
Inventarium und Beschreibung aller derjenig. Haab und Nahr., so Weÿl. der Ehrs. und bescheid. Mstr. Johann Ottmann Vogel geweß. Schuhmacher v. burger alhier nunmehro seel. nach seinem d. 9. Martÿ lauffenden 1730. Jahrs aus dießer Zeit und welt genommenen tödl. ableiben hier Zeitl. Verlaßen, Welche Nahrungs Verl. dato zu end stehen auf freundl. Ansuchen Erfordern undt Begehren der Tugends. fr. Catharinä Vögelin geb. Grohbergerin der hinterbl. Wb. sowohl vor sich alß auch ihrer künfftighin nach todt Verl. Erben, alß welche der abgel. hr. Vermög seines auffger. hernach inserirt. Test. nuncup. Zu gleich auf ad æquales partes zu seinen Erben denominirt instituirt und eingesetztet hat, ersucht v. Invent. nach deme sie die ged. Wb. mit assistentz H Joh: Philipp Gerhardts ihres constituirten vogts in solches alles (vorgewiesen) – Actum Straßburg d. 31. Maÿ 1730.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßenkrantz gelegenen und in dieße Verl. gehörigen Behaußung Hat sich befunden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck In der Cammer A, In der untern Wohnstubn In der Stub Cammer, Auf der Hintern Bühn
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Eine Behaußung Hoff, Hoffstatt sampt allen übrig. gebeüen, begriffen, weithen, Rechten Zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßb. ane der Pergamenter gaß, ohnfern dem Roßen Krantz 1. s. neb. H. Joh: Peter Pflug Werckmeister des Maurhoffs, 2.s. neben hanß Jacob Rothe dem Schreiner, hinten auf N.N. so freÿ Leedig und eig. und durch die geschwornen Hh. Werckmeister Zufolg eines beÿ mein des Not. befindtl. Scheins de dato 29. martÿ 1730. æstimirt und angeschlagen Vor und Vmb. 350. lb. Darüber bes. 1. teutscher perg. Kbf. in alhieß. C C Stub gefert. und mit dero anhangend. Innsiegel Verwahrt datirt 7. febr. 1705. Ferner noch Zweÿ andere respect. Kauf, Cessions v. Vergleichs Brieff auß ges. C. C. Stub gef. denen der eine datirt d. 29. dec. 1692. derandere aber d. 8. Octobr. 1599.
Ergäntzung der Wittib währender ehe abgegang. ohnveränderten guths. Inventarÿ über ireo dero Verstorb: Ehemann eel. Zugebrachte Nahrung in Anno 1719. d. 7. Aug. durch nunmehro weÿl. H Joh: Adam Ösinger gew. Not. und Burg. alhie auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 12, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 106, Sa. Ergäntzung 72, Summa summarum 199 lb
Der Erben Unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 16, Sa. Weins und Leerer Faß 2, Sa. Werckzeugs 1, Sa. des haußes 350, Sa. Ergäntzung (22, abzug 264, verbleiben sie annoch schuldig 241) Summa summarum 370 lb – Schulden 281, Nach solchem abzug 88 lb
Das Unverändert und Theilbahre Guth, Sa. Haußraths 31, Sa. Weins 28, Sa. Waahren 1, Sa. Silbers 3, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 193, Sa. Activorum 256, Summa summarum 514 lb – Schulden 72, Nach solchem abzug 441 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 770 lb
Ergäntzung wegen des von des Verstorbene Nahr. wehrender Ehe abgegang: ohnv. Guths, Lauth Invent. über weÿl. Fr. Annæ Mariæ Vogelin gebohrner Düriningerin deß Verstorb. erstern haußfr. sel. Verlaßenschafft in Anno 1715. durch weÿl. H. Joh: Adam Ösinger Not. seel. auffgerichtet
Copia der Eheberedung, vide beÿlag sub dato 2 Junÿ 1715. (…)
Copia testamenti vide beylag de dato 1 Sept 1719. (…) in einer alhier in der Königl. Statt Straßburg ane der Pergamenter Gaß gelegenen, dem testirer eigenthümlich zuständigen und bewohnenden behaußung dei untern Wohnstuben mit Zweÿen fenstern auf bemelte Gaß und mit dreÿen in den Hoff außsehend, (…) persönlich kommen und erschienen ist der Ehrsahme und bescheidene Mstr Johann Ottmann Vogel Schuhmacher v. burg. alhier Zu Straßburg Zwar Krancken Leibes auff einem bette Liegend (…) Auch dem dritten (…) so setzt der testirer wann er ohne hinterlaßung Ehelich erziehlte Leibes Erben, Vor siener Ehefrauen mit Todt abgehen würde, weilen er sonsten Keine Noth Erben hat, über Abzug hernach Verschaffter Legaten zu seinem wahren, rechten und ohngezweiffelten Erben ein, (…) seine geliebte Ehefrau
Vierdtens Legirt Er seinen Vier Geschwistrichen nahmentlich Elisabethæ, Johann Wörners des Schneiders und Burgers Zu Illick Ehefrau, Ferner Annä Mariä, Martin Geßmanns burgers zu Albißrithen v. Maurers daselbsten haußwürthin, weither Annä Christian Mantels Schuhmachers v. burg. in Illick Ehefrauen und dann Johann Jacob Vogeln dem Schneider und burg. zu mehrgesagtem Illick Viertzig Gulden
Abschatzung d. 29. Marty Aô 1730. Auff begehren Weÿl. des Ehrenvesten und Vorachtbahren H Johann Ottman Fogel gewesenen Schumachers seel: hinterlaßene fraw Wittib ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg beÿ dem Bierhauß Zum Rosen Krantz. gelegen, einseits Neben herrn Johann Peter Plug Werck Meister des Maurhoffs, anderseits Neben hannß Jacob Roth Schreiner, hinden auf ein hauß der frau (‘-) Zugehörig, stosend, welche behausung hinder gebäulein, Stuben Cammern, Soldaten Cammer, Küchen, hauß Ehren, gebälcktes Kellerl. höffel und gumpff bronne sampt aller gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßb. geschwornene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen Wird Vor und Umb Sieben Hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 500 florins et que les légataires non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1730, Livres de la Taille (VII 1177) f° 26-v
(Schuhmacher F, N° 5190) Weÿl. Hannß Ottmar Vogel geweßenen Schuhmachers und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Brackenhoffer
Concl. Fin. Inv. ist fol . 68-b, 770 lb 1 d, die machen 1500 fl. Verstallte nur 1400 fl alßo Zu wenig 100 fl.
Nachtrag 6. Jahr in duplo à 6 ß -1 lb 16 ß
Und 4 Jahr in simplo à 3 ß macht – 12 ß
Ext. Stallgeltt pro 1730 – 3 lb 9 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 17 ß 6 d, Sulla 6 lb 16 ß 6 d
Auf Bitten haben die Herren dreÿ nachgelaßen 1 lb 4 ß, Rest 5 lb 12 ß 6 d
Abzug. des Verstorbenen ohnverburgerte Geschwüsterde haben Von 20. lb d Finito usufructu anfallendem legat den abzug Zu erlegen mit 2 lb
dt. 16. Aug. 1730.

La veuve fait un testament en octobre 1730.
1730 (19. 8.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) f° 208
Testament – Persönlich erschienen ist die Ehr und Tugendsame fraw Catharina Vogelin gebohrne Grohbergerin weÿl. des Ehrsahmen und bescheidenen mstr. Johann Ottlann Vogels Schuemachers vnd burgers alhier seel. nach tod. verlaßene Wittib, auffrecht gehend vndt stehend. leibs (…)
Actum d. 19. octobr. 1730. [unterzeichnet] Catharina Vogelin

La veuve Catherine Groberger se remarie en 1731 avec David Schnell, péager à la Porte Blanche : contrat de mariage, célébration
1731 (23. 8.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 236
Eheberedung – zwischen den Wohl Ehren vesten v. großachtbahren H. David Schneller Zollern am weißen thurn vnd burg. alhier alß wittibern vndt hochzeithern ane einem
so dann der Ehr v: tugendsahmen fr. Catharina Vogelin gebohrner Grohbergerin weÿl. H Otten Vogelß geweß: schumach: v. burg. alhier hinterlaßenen wittib alß hochzeitern andern theilß
Actum Straßb. d. 23. octobr. 1731. [unterzeichnet] david Schnell alß hohzeiter, Catharina vogelin als hochzeiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 141-v, n° 32)
1731. Domin. XXVII. Trinit. et I. Advent. seind außgeruffen vndt Mittwochs darauff als den 5. 10.bris Ehelich eingesegnet worden H Davidt Schneller Burger Vndt Zoller an weißenthurn allhier und Frau Catharina Grobergerin weÿl. Johann Ottman Vogels geweßenen Burgers vndt Schuhmachers allhier Nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] David Schneller als Hochzeitern Catharina hoch Zeiderin (i 144, proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune f° 110)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un permettent à David Schnell de se remarier pendant son deuil à titre gracieux.
1731 Conseillers et XXI (1 R 214)
David Schneller der Zoller erhalt Dispensation in der Zeit der Trauer. 290.
(p. 290) Sambstag d. 3. 9.bris 1731. Römer Nomine David Scheller des hiesigen burgers und Zollers am Weißen Thurn, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten sambt beÿlag sub Lit. A. pro gratiosa Dispensatione temporis luctus, handelt innhalts, Ist Erkandt, Wird dem Imploranten in ansehung der in dem producirten Memoriali enthaltenen trifftigen bewegnussen, sich wiederumb anderwertig Zu verheurathen Obligkeitlich Erlaubt, und ihme die dazu nöthige Dispensation gratis Wegen seiner gemeiner Statt Straßburg geleisteten diensten ertheilt.
Dep. H. Rht.. Cristman und H. Städel.

La femme fait dresser l’inventaire de ses apports dans la maison de fonction qu’elle occupe avec son mari. La maison rue du Parchemin dont elle a la jouissance figure à l’inventaire. Ses biens s’élèvent à 1 414 livres.

1731 (19. Xbris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 6) n° 238 (1610)
Inventarium und beschreibung aller derjenig. Haab vndt Nahrung, so die Tugendsahme fr: Cath: Schnellin gebohrene Grohbergerin, zu H. David Schnellen burg. v. Zollern am Weißenthurn allhier in die Ehe gebracht (…) in erwegung Sie sich in der mit ihrem marito getroffenen Eheberedung ein ohnverändert guth v: die erg. deren abgehend. stück reservirt vnd vorbehalt. (…) Straßb. d. 19. Xbris 1731.
In dem Zollhauß alhier Zu Straßburg am weisenthurn gelegenen behaußung befunden
Eigenthumb ane einer Behauß. Eine Behauß. hoff, hoffstatt samt allen übrigen gebeüen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen alh. in der Statt Straßburg ane der Pergamenter gaß, ohnfern dem roßen Crantz 1. s. neb. H. Johann Peter Pflug werckmeister des Maurhoffs, anderseit neben Joh: Jacob Roth dem Schreiner, hinten auf N.N. so freÿ leedig und eigen. und beÿ weÿl. H. ottmann Vogels, ihres erstern Ehemanns Verl. Inventation durch die Werckmeister æstimirt und angeschlagen pro 350. Die darüber besagende Documenta sind in ged. Verl. Inventario allegiret, dahin man sich Kurtze halben beziehet
Sa. des haußraths 211, Sa. des Weins und leerer faßen 52, Sa. der Silb: gesch: u. geschm. 43, Sa. der Gold. Ringen 51, Sa. der baarschafft 309, Sa. Eigenthumbs an i. beh. 350, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Activorum 96, Summa summarum 1414

David Schneller meurt en 1734 en délaissant trois enfants de son premier mariage avec Marie Elisabeth Baudenmann. La maison dont la veuve a la jouissance viagère figure à l’inventaire. La masse propre à la veuve est de 1 072 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 851 livres, le passif à 608 livres.

1734 (16.2.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 14) n° 308
Inventarium über Weÿl. Herrn David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1734. – nach seinem den 6. dieses Monats genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft, so gleich nach deßen todt von E.E. Kl. Rath allhier secretirt dato aber reserirt, Zugleich auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und Tugendsamen Frauen Catharinæ gebohrner Grohbergerin, der hinterbliebenen Frau wittib beÿständlich H. Philipp Gerhard, Leinenwebers und burgers allhier, Ihres goerdneten Vogts, Ferner herrn Lt Johann Thomæ Frölichs, nunmahligen Wohlverdienten Schaffners Zu St. Marx und burgers allhier Ihres erbettenen Hrn beÿstandts (…) So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 16. Februarÿ Anno 1734.
Denominatio hæredum. 1. Hr Andreas Schneller, Chirurgius und burger allhier so persönlich beÿgewohnt. 2. Frau Sabina Magdalena Schläberin gebohrne Schnellerin, hrn Johann Philipp Schläbers des Müllers auff der achträdermühl und burgers allhier Ehegattin, so beÿständlich Ihres Eheherrn Zugegen war, dieße vorgemelte beede Erben haben Herrn Johann Lobstein, berühmten Notarium publicum und Practicum allhier Zu Ihrem beÿstand erbetten, dahero derselbe auch diesem Geschäfft von anfang biß Zu end abgewart, 3. hr Johann Jacob Schneller auch chirurgius und burger allhier, beÿständlich hn Johann Daniel Bruder Lederhändlers und burgers allhier seines Schwagers præsens gewest, alle dreÿ des verstorbenen seel. mit weÿl. Frauen Maria Elisabetha gebohrner Baudenmännin seiner erstern Ehegattin seel. ehelich erzeugte Kind Zu Erben verlaßene Zweÿ Söhe und Tochter

Eigenthum ane einer Behaußung. (W.) Nemlichen i. Behaußung, hoff, hoffstatt samt allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Pergamenter Gaß, ohnfern dem Roßen Crantz 1. s. neben H. Johann Peter Pflug werckmeister des Maurhoffs, 2.s. neben Johann Jacob Roth dem Schreiner, hinten auf (-) stoßend, so freÿ leedig und eigen, und solches hauß in dem in Anno 1730. über weÿl. Joh: Ottmann Vogel gewesenen Schuhmachers und burgers allhier der Wittib vorigen Ehemanns seel. verlaßenschafft. Die darüber besagende Documenta seind in weÿl. Johann Ottmann Vogels Ihres ersten Ehemannseel. Verlaßenschafft Inventario allegirt zu befinden
Ergäntzung der Wittib angegangenen unveränderten Vermögens, Vermög Inventarÿ über Ihre deren Verstorbenen Ehemann seel. zugebrachte Nahrung den 19. Sept. A° 1731. durch Herrn Johann Brackenhoffer Notarium auffgerichtet ist der wittib also abgegangen Zuergäntzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 63, Sa. leerer faß 2, Sa. der Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. goldener Ring 97, Sa. Sa. Eigenthumbs ane i. behaußung 300, Sa. Ergäntzung rests 230, Summa summarum 1072 lb
Dießemnach wird die übrige Verlaßenschafft weilen die Wittib auf die theilbare Nahrung tam active quam passive gegen der Ihro vor den abstand accordirten Summ überlaßen, mithin der Erben Ihr unverändert vätterlich Guth in einer Massa zufleußt, unter dem Titul alß denen Erben gehörig beschrieben, Sa. haußraths 178, Sa. Wein und Leerer Faß 83, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 80, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 493, Sa. Activ schulden 11, Summa summarum 851 lb – Schulden auß der Erben Nahrung zu bezahlend 608 lb, Nach deren Abzug 242 lb
Stall Summ 1352 lb – Zweiffelhaffte Schulden in der Erben Nahrung zugeltend 16 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum Straßburg den 23. Octobris Anni domini 1731, Johannes Brackenhoffer, Notarius juratus

La veuve fait deux testaments successifs après la mort de son deuxième mari
1735 (20.1.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 334
Testament – Persönlich erschienen ist die Ehr und Tugendsame frau Catharina Schnellein gebohrne Grohbergerin weÿl. Herrn David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier hinterlaßene wittib auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs
Donnerstagß d. 20. Monats tag Januarÿ Anno 1735 [unterzeichnet] Catharina Schnellerin

1736 (29. 8.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 440
Testament – Persönlich erschienen ist die Ehr und Tugendsame frau Catharina Schnellein gebohrne Grohbergerin weÿl. Herrn David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier hinterlaßene wittib auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs
Montagß d. 29 Octobris Anno 1736 [unterzeichnet] Catharina Schnellerin

Catherine Grohberger épouse en troisièmes noces le cordonnier Philippe Ramsperger : contrat de mariage, célébration
1739 (23. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 20
Eheberedung Zwischen dem Wohl Ehrenvesten fürsichtig und weißen H. Philipp Ramsperger, Schuhmacher und E. E. kleinen Raths allhier alten Wohlverdienten beÿsitzer, Wittiber und burger allhier Zu Straßburg alß hochzeiter, ane Einem
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten frauen Catharinæ gebohrner Grohbergerin letztmahlen Hn David Schnellers des gewesenen Zollers ane dem weißenthurn und burgers allhier seel. hinderlaßener Fr. Wittib beÿständlich H Philipp Geerhard Leinenwebers und burgers allhier ihres geschwornenn Hn Curatorio als der Fr. hochzeiterin ane dem adern theil, gepflogen
So beschehen Straßburg Mittwoch den 23. Septembris A 1739. [unterzeichnet] Philipp Ramsperger als Hochzeiter, Catharina Schnellerin als hogzeidterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 185-v n° 699)
1739. Mittw. den 7.ten Oct. seind nach ordentl. außruffung Ehel. copul. u. eingesegnet worden H. Philipp Ramsperger, schuhmacher, wie auch E. E. Kl. Raths alter beÿsitzer u. wittwer allhier u. Fr. Catharina geb. Grobergerin weÿl. H. David Schnellers geweßenen Zollers am weißen thurn u. b. allhier hinterl. wittib. [unterzeichnet] Philipp Rumsperger als hochzeiter, Catharina Schnellerin als hochzeitterin (i 189)

Codicille de Catherine Grohberger
1740 (21.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 579.b
Nachdisposition – die ehren: undt tugendbegabte Frau Catharina Ramspergerin gebohrne Grohbergerin H. Philipp Ramspergers des Schuhmachers und E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzers Eheliebstin (…) gesunden gehend und stehenden Leibß, auch guten richtigen verstandts
[unterzeichnet] Catharina Ramspergerin

Catherine Grohberger meurt en 1747 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison du veuf face aux Petites Boucheries. Les experts estiment la maison dont la défunte avait la jouissance viagère 650 livres. La masse propre au veuf est de 666 livres, celle des héritiers de 342 livres.

1747 (21.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1141) n° 505
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Catharinä Ramspergerin gebohrner Grohbergerin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren H. Philipp Ramspergers, Schuhmachers undt E: E: kleinen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1747. – nach ihrem Sambstags den 10. Junÿ instehenden 1747.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßburg Mittwochß den 21. Junÿ et Seqq. Anno 1747.
Die Verstorbene seel. hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie folgt. Erstlichen weÿland Mstr: Johann Philipp Grohberger geweßenen Leinenwebers und burgers allhier seel. nach todt Verlaßene dreÿ Kinder benantlichen 1.mo Frau Mariam Salome Meÿerin gebohrner Grohbergerin Gabriel Meÿer des Schiffmanns und burgers allhier Ehefrau, 2.do Mstr Johann Philipp Grohberger den Leinenweber und burger Zu Lahr im Preißgau, 3.tio Jgfr. Mariam Elisabetham Grohbergerin des bereits 25. Jahr auf sich haben solle und ohnbevögtigtet ist, solche dreÿ in den ersten dritten Stammtheil
Zweÿtens nunmehro auch weÿland Frauen Mariä Ursulä Wÿhriin gebohrner Grohbergerin mit David Wÿhri den Marck Knecht und burgern allhier ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlten Zweÿ etwa noch lebende Kinder und Verstorbenen Sohns Verlaßene Kind als 1.mo Frau Mariam Salome Meÿerin gebohrne Wÿhtiin Tobiä Meÿers des Schreiners und burgers allhier eheliche Haußfrau, 2.do weÿland Johann Jacob Wÿhri des geweßenen Musicanten und burgers allhier hinterlaßenes Söhnlein Johann Jacob Wÿhri genand, dessen geordnet und geschworenen Vogts ist Mstr Johann Friderich Butz der Schneider und burger allhier, 3. tio Johann Friderich Wÿhti welcher Vor ohngefähr 18 Jahren auf seinem erlernten Schuhmacher Handwerck von hier auf die Wanderschafft begeben, Von welchen man aber seithero nichts erfahren, ob Er annoch am Leben seÿe oder nicht, in Zwischen aber hat in deßen Nahmen sein noch ohnentledigter Vogt Mstr Johann Martin Weber der Schuhmacher und Meelwäger ane dem Weißenthurn auch burgers allhier dießem geschäfft beÿgewohnet, dieße dreÿ respe. Schwester Kinder und Schwester Enckel in den Zweÿten dritten Stammtheil
Drittens nun auch weÿland Mstr David Grohberger des gewesenen Schuhmachers und burgers allhier in Zwoen Ehen erzeugte dreÿ Kinder benantlichen 1.mo Mstr Johannes Grohberger, der Schreiner und burger Zu Wachenheim in der Pfaltz, 2.do Mstr Johann Daniel Grohberger den Schuemacher und burgern in einem dorff so eine halbe stund von erstgemeltem Wachenheim in der Pfaltz gelegen ist, Welche beede Verstorbenen bruder Vorgemelter David Grohberger in erster Ehe erzeuget hat, So dann 3.tio deßen in letzter Ehe mit Frauen Catharina gebohrner Kleinin seiner hinterbliebenen Wb. dermahlen Jacob Baur des Faßziehers und burgers allhier Ehefrauen ehelich erziehlter Mägdlein Nahmens Rosinam Catharinam Grohbergerin so bevögtigt mit Joh: Albrecht Conradi dem hießigen Brieffträger und burgern allhier, Solche dreÿ in den letzten dritten Stammtheil instituirte Erben

In einer allhier Zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über gelegenen den H. Wittiber Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obern Bühn, In der Soldaten Cammern In der Schuhknecht Cammer, In der Haußleuthen Cammer, In der untern Stub, In der Küchen, In der Wohn stub, Auff dem Gang, In der untern gang Cammer, Im untern haußöhren, Im Hoff
(f° 16) Eigenthumb ane Häußern. (Zwischen dem H. Wittiber und einen beeden Kindern erster Ehe gemeinschaftlich) Nembl. eine Behausung, Hoffstatt und Höfflein mit allen deren gebäuden, begriffen, beÿ der Kleinen Metzig (…)
(E.) Nembl. eine Behaußung, hinter gebäu, Höffein und Hoffstatt in der Regenbogen oder Anthonier gaß (…)
(der Verstorbenen seel Wÿdem von erster Ehe) Nembl. eine Behaußung Hoffstatt und höfflin sambt allen übrigen gebäuden begriffen weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Pergamenter gaß ohnfern dem rooßen Crantz, 1.s neben den Löwischen Erben, 2.s neben weÿl. Mstr Balthaßar Auffderbruck des geweßenen Schuhmachers W. hinten auf H. Rathh. Joh: Marx Martin Irßlinger stoßend gelegen so gegen männiglichen freÿ leedig eigen und durch den H. Lohner und die Hh. Werckmeister taxirt pro 650. Darüber besagt 1. teutsch perg. Kfbr. in allh. C.C. stub gefertiget mit dero anhangendem Ins. Verw. datirt de 7. Februarÿ 1705. Ferner noch Zween andern resp. Kauff Cession und Vergleich brieff ais gedachter C. C. Stub gefertiget deren der eine datirt den 29. Decembris 1692. der anderer aber den 8. 8.bris A° 1599.
(f° 17) Eigenthumb ane Metzig Bäncken ane der kleinen Metzig dermahlen mit N° 9 bezeichnet (…)
(f° 18) Wÿdemb Welchen der H. Wittiber aus erster Ehe von weÿland frauen Maria Ursula Ramspergerin gebohrner Wagnerin seiner geweßenen erstern Ehefrauen seel. lebtägig genißen berechtiget ist. Nemblichen den dritten theil ot ohnvertheilt Von und ane der behausung ane der Kleinen Metzig über (…)
Wÿdemb, Welchen der H. Wittiber Von Weÿland Frauen Anna Salome gebohrner Waldeckin seiner geweßten Zweÿten Ehefrauen seel. die tag seines lebens Zu genießen hat. In Craff eines den 5. 8.bris 1746. zwischen demselben und deroselben zufolg des in Einem hohen königlichen Rath Zu Collmar ertheilten arrêt ab intestato Erben und respe. Erbinnen Erben vor mir Notario gepflogenen Vergleichs
Ergäntzung derer Erben ermanglenden ohnveränderten guths, Nach anleÿtung des über beeder geweßene Eheleuthe einander in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich Notm. den 6. 9.bris 1739. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 23) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des H. Ws. eigenthümlich guth, Sa. haußraths 139, Sa. Werckzeugs leder und gemachten Arbeith Zum Schuhmacher handwerck gehörig 30, Sa. Weins und faß 140, Sa. Silbers 61, Sa. goldener ring 12, Sa. der baarschafft 19, Sa. Pfenningzinß hauptgüter und deren hauptgüther 165, Sa. Eigenthums ane 1. behaußung 500, Sa. Eigenthums ane Metzig bäncken 329, Sa. der activ schulden 557. Summa summarum 1959 ln – Schulden 1289 lb, Nach deren Abzug 666 lb
Dießemnach wird auch derer Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 139, Sa. lährer faß 3, Sa. Silbers 24, Sa. goldener ring 31, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Erg. 279., Summa summarum 878 lb – Schulden 536 lb, Nach deren Abzug 342 lb
Stall Summ 3551 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßburg Mittwoch den 23. Septembris 1739, Johann Daniel Stöber Notarius
Copia Testamenti nuncupativi – 1736 (…) auf Montag den 29. Octobris Morgens zwischen Neun und Zehen Uhr Vor mir (Notario) persönlich kommen und erschienen ist die Viel Ehr und tugendbegabte Frau Catharina Schnellerin gebohrne Grohbergerin weÿland H. David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier hinterlaßene W. auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs (…) Johannes Brackenhoffer Notarius juratus
Copia Nachdisposition. 1740 (…) Dienstag den 21. Junÿ morgens zwischen Neun und Zehen Uhren die Ehr und tugendsame Frau Catharina Ramspergerin gebohrne Grohbergerin H. Philipp Ramspergers des Schuhmachers und E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzers Eheliebstin auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs (…) Johannes Brackenhoffer Notarius juratus

Les héritiers de Catherine Grohberger cèdent au batelier Gabriel Meyer et à sa femme Marie Salomé Grohberger leur cohéritière la maison rue de l’Arc-en-Ciel et celle rue du Parchemin.

1748 (9.3.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 245-v
Fr. Maria Elisabetha Grohbergerin mit beÿstand H. Not. Johann Brackenhoffer, mehr Fr. Maria Salome geb. Wihriin Tobias Meÿer des schreiners Ehefrau, mehr Johann Friedrich Butz der schneider als vogt Johann Jacob Wihri, ferner Johann Martin Weber der schuhmacher und meelwäger als vogt Johann Friedrich Wihri des schuhmachers, mehr Johann Albrecht Conradi der brieff träger als vogt Rosinä Catharina Grohbergerin, so dann H. Johann Georg Wild E. E. großen Raths und E. E. kleinen raths dermahliger beÿsitzer als gerichtlich constituirter negotiorum gestor Johann Philipp Grohberger des leinenwebers zu Lahr, Johann Grohberger des schreiners und burgers zu Wachenheim in der Pfaltz und Johann Daniel Grohberger des schuhmachers daselbst
in gegensein Gabriel Meÿer des schiffmanns und Mariæ Salome geb. Grohbergerin, – versteigerung, als letzt und meistbietenden
erstlich 8 neuedte theil ane einer behausung, hinder gebäuden, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, Zugehörden und rechten ane der Anthonier oder Regenbogen gaß gegen der Anthonier kirch über, einseit neben weÿl. H. Johann Peter Pflug gewesenen Stadt Lohners Erben anderseit neben Valentin Pfister dem leinenweber hinten auff H. Johann Marx, Martin Irßlinger E. E. großen Raths alten beÿsitzer
so dann 8 neuedte theil ane einer behausung, höfflein und hoffstatt samt dero zugehör und rechten ane der Pergamener: gaß ohnfern dem roosencrantz einseit neben den adelischen Löwischen erben anderseit neben Balthasar Auff der bruck des schuhmachers wittib, hinten auff vorgedachten H. Rathh. Irßlinger – als ein von weÿl. Fr. Catharina Ramspergerin geb. Grohbergerin ererbt guth, der übrige 9.te theil an beeden häußer aber gehört der käufferin – umb 671 pfund

Compte rendu d’adjudication délivré par le Sénat avec ordre de passer contrat à la Chambre des Contrats
94 Z 3 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkandtnuß E. E. Großen Rhats der Statt Straßburg vom 20. januarii 1748. Ist die weÿl. Fr. Catharinæ Ramspergerin gebohrene Grohbergerin hinterlaßenen Erben Zuständige, allhier ane der Pergamenter gaß gelegene Behaußung sambt allen Ihren Zugehörden Frau Mariæ Salome gebohrner Grohbergerin, Gabriel Meÿers des burgers und schiffmanns ehefrauen beÿst. Thobias Meÿers des burgers und schreiners alß plus offerenti umb 1710. fl. mit übernahmb aller unkosten obrigkeithlich adjudicirt, anbeÿ Verordnet worden, daß der Kauff und Verkauff in Acht Tagen in der Contract stub solle Verschrieben werden. publ. d. 31.ten ejusdem mensis et anni [unterzeichnet] Kien Rathschrein.
decret. alienandi ertheilt d. 9.t Septembris 1747)

Fils de batelier, Gabriel Meÿer épouse en 1723 Marie Salomé Braun, fille du boulanger Jean Christophe Braun : contrat de mariage, célébration
1723 (22.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 74) n° 247
Eheberedung Zwischen dem Ehrsahmen und bescheidenen Mstr Gabriel Meÿer, weÿl. H. Gabriel Meÿers geweßenen Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg seel. Ehelich nachgelaßenem Sohn beÿständlich H, Friderich Gloren Schuemachers auff seiten des Hochzeiters an Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariæ Salome Braunin, weÿl. H Christoph Braunen geweßenen Weißbecken und burgers allhier seel. ehelich nachgelaßener tochter, mit assistentz H Friderich Braunen auch weißbecken Ihres geordneten undt geschwornenn vogts, So dann H Anne Marie Braunen haußfeurers Ihres bruders vf seiten derselben andern theils
Act. Straßb. Monntags den 22. Martÿ 1723. [unterzeichnet] CM des hochzeiters gemachter handzeichen, X der hochzeiterin hdz., Johann friderich klohr

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 237-v, n° 7)
Mittwochs d. 19. Maj. 1723. seind nach 2 maliger außruffung Dom. Exaudi et Pentecost in der Kirch zu S Wilhelm ehelich eingesegnet worden Gabriel Meÿer der ledige Schifknecht v. b. Weiland Gabriel Meÿers Schiffmanns v. b. v. Annæ Ursulæ Riemin ehl. Son v. Jfr. Maria Salome Weiland Christoph Braunen weißbecken v. burgers v. Catharina Wehnerin eheliche dochter [unterzeichnet] GM deß hochzeiterers handzeichen, B Handzeichen der hochzeiterin (i 245)

Salomé Grohberger épouse en 1730 le pêcheur Jean Artzner : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée mais copié à l’Inventaire de succession, célébration
1730, Not. Goll (Jean Elie, répertoire 65 Not 42) n° 9
Johann Artzner, Fischer, und Salome Grohbergerin
Copia der Heuraths Verschreibung – zwischen dem Ehrs: und bescheidenen Johann Artznern, Fischer und burgern allhier, weÿl. Johann Georg Artzners, geweßenen Fischers und burgers allhier hinterlaßenem ehelichem Sohn, alß Bräuttigamb ahne einem, und der Ehrsamen Salome Grobergerin, weÿl. Joh: Phil: Grobergers, gewesenen leinenwebers und burgers allhier hinterlaßener ehelichen tochter, alß brauth andern theils – So geschehen Straßburg Donnerstags den 9. Novembris 1730. Johann Elias Goll

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 217-v, n° 1236)
Anno 1730. den 22 Nov. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Artzner der Ledige fischer Weÿland Johann Georg Artzner deß burgers und fischers alhie hinderlaßener ehelicher Sohn und Salome weÿland Johann Philipp Groberger deß gewesenen burgers und leinenwebers alhie hinderlaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Ziechen des Hochzeiters, Zeichen der Hochzeiterin (i 222)

Testament par lequel Jean Artzner institue pour héritière sa mère pour la part légitime et sa veuve pour le reste de sa succession
1736 (10.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 411
Testament – Persönlich erschienen der Ehrenhaffte und bescheidene Johannes Artzner, Fischkäuffern, und die tugendsahme frau Maria Salome gebohrne Grohbergerin beede Eheleuth und burgere alhier Zu Straßburg von der Gnade Gottes auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leiber
Dritten, weilen die Institutio hæredum oder Einsetz und benennung der Erben eines Jed. in rechten beständigen testaments fürnembstes fundament und grundveste ist (…) so will Er auf solchen fall zu seinen wahren und ungezweiffelt Erben hiemit instituirt haben Fr. Margaretham Artznerin gebohrne Edelin weÿl. hannß Georg Artzners gewesenen fischhandlers und burg. alh. nachgel. wittib seine leibl. Mutter jedoch nur in legitimam oder pflichttheil, in den überrest aber, oder da ged. seine Mutter auf seinen tod nicht in Leben seÿn würde, in sene völlige verlaßenschafft alldiejeniger welche seine Ehefrau Maria Salome gebohrne Grohnergerin die mit testirerein auch Zu ihren Erben dereinsten Verlaßen wird
Sie die Ehefrau (…) Fr. Maria Salome Pfahlerin gebohrne heckenauerin, weÿl. Johann Michel Pfahlers gewes. Leinenweber u. burg. alh. nach tod verl. wittib jedeoch ebenfalls nur in die Legitimam oder pflichttheil, in den überrest aber ihrer Verlaßenschafft aber alle diejenige, welche obbesagter ihr Ehemann auch zu seinen Erben verlaßen wird
Sambstags den 10. Martÿ A° 1736 [unterzeichnet] IA ; +

Salomé Grohberger fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 150 livres
1738 ( 6.6.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 14) n° 199
Inventarium über die Jenige Haabe undt Nahrung so frau Salome Artznerin, gebohrene Grohbergerin des Ehrs. Joh: Artzners, fischers vndt burgers allhier Ehefr. zu gedachtem Ihrem Ehemann vor Ohnv: in den Ehestand gebracht, Auffgerichtet Anno 1738. – in Ihrem coram Not. Joh: Eliæ Gollen unterm 9. des Monats Nov. 1730. auffgerichteten Ehe Pacten §° 3.tio vor ohnverändert sich Reserviret und vorbehalten hat (…) So beschehen allhier in der Koeniglichen Freÿ Statt Straßb. Freÿtags den 6. des Monats Junÿ A° 1738.
In einer allhier Zu Straßb. ahne dem Schiffleut-Stad. gelegenen in denen Badenisch.* Erbs Interessenten eÿgenthümblichen Zuständig. Behaußung, alß volget befundet
Norma hujus inventarii, Sa. Hausraths 49 lb, Sa. Silbers 18 lb, Sa. Goldenen Ringe 8 lb, Sa. Baarschafft 75 lb, Summa summarum 150 lb

Jean Artzner meurt sans postérité en 1738. L’inventaire est dressé dans la maison Lux quai des bateliers. La masse propre à la veuve est de 118 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 85 livres, le passif à 199 livres
1738 (7.8.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 14) n° 205
Inventarium über Weÿl. Mr Johannes Artzners, geweßenen Fischers undt burgers zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet Anno 1738. – nach Seinem dienstags den 29.ten rückgelegten Monats Julii 1738. fortlauffenden 1738. Jahrs genommenen tödlichen hintritt, hinter Ihme zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf geschehenes ansuchen, Erfordern undt Begehren, sowohlen der dißorths Erben alß auch der Wittib, beeder hernacher gemeldet, ahne hieunten gesetzten Dato Ordnungs mäßig invenirt, vorgenommen und ersuchet, durch die viel Ehr und tugend begabte Frau Mariam Salome Artznerin gebohrne Grohbergerin, die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt deß Ehrengeachten H Joh: Heinrich Burckhard des Schneidern undt burgers Zu Straßburg (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßb. Donnerstags den 7.t des Monats Aug. A° Dni 1738.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato In Ermanglung Descenenten zu Erben Verlaßen Nahmentlichen die viel Ehr undt tugendsame Fr. Maria Marg: Artznerin gebohrne Ötelin weÿl. Mr Joh: Georg Artzners, geweßenen fischers undt burgers allhier zu Straßburg nachgelaßene wittib, alß des abgeleibten eheleiblichen seel. eheleibliche Mutter, welche mit beÿstandt deß Ehrs. Mr Joh. fried: Ötels des Kammachers und burgers alhier Zu Straßburg, Ihres eheleiblichen bruders und geschwornenn vogten

In einer ahne dem Schiff leut staaden Gelegenen denen Luxischen erbs Interessenten eÿgenthümlichen zuständigen behaußung befunden hat, wie volget
Ane Höltzen und Schreinwerck, In dem Cämmerlin, Auff dem Altan, In der Stub Cammer, In der Wohn Stuben, In der Kuchen
Schiff und geschirr Zum Fischer Handwerck gehörig
Ergäntzung des Wittib abgegangenen ohnv. Vermögens, Nach Anleitung deß über der Wittib zu dem den verst. seel. vor ohnv. in den Ehest. gebrachten Vermögen vor unterschri. Not. unterm 6. Junÿ 1738 auffgerichteten Inv:
Norma hujus inventarÿ. Copia der Eheberedung coram Not Joh: Elie Gollen auffgerichteter Heuraths verschreibung. Der Wittib ohnv, Vermögen, Sa. Hausrath 10 lb, Sa. Silbers 6 lb, Sa. Gold. Rings 1 lb, Sa. Schuldt 20 lb, Ergäntzung 80 lb, Summa summarum 118 lb
Dießemnach wird die überige samtliche Verl. wegen dem obhandenen Schulden last unter einem Titul alß der Erbin ohnv: und T: inventiret, Sa. hausraths 59 lb, Sa. Schiff und gesch. zum fischer handwerck 7 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. Schulden 14 lb, Summa summarum 85 lb – Schulden 199 lb, der Erben ohv. Passiva übersteig. dero Activ Nahrung dem Stall tax nach 114 lb – Conclusio finalis und Stall: Summ 4 lb
Copia der Heuraths Verschreibung (…) So geschehen Straßburg Donnerstags den 9. Novembris 1730. Johann Elias Goll

Gabriel Meyer se remarie avec Marie Salomé Grohberger veuve du marchand de poissons Jean Artzner : contrat de mariage, célébration
1739 (3.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 12
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Gabriel Meÿer, dem Schiffmann, wittiber und burgern allhier Zu Straßburg, als dem bräutigamb, ane einem, So dann der Ehren: und tugendsamen Frauen Maria Salome Artznerin, gebohrner Grohbergerin, weÿland des Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Artzners, des geweßenen Fischkäuffers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlassener Wittib als der Frauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in beÿsein Johann Jacob Meÿers, des Schiffknechrs, des hochzeiters eheleiblichen bruders, auf sein des Bräutigambs, So dann auf ihr der frauen hochzeiterin Seithen Johann Caspar Endries ehemaligen Becken, beeder burgere allhier, als von beeden theilen hierzu insonderheit erbettener beÿständer, auf Sambstag den 3. Januarÿ Anno 1739. [unterzeichnet] CM des bräutigambs handzeichen, MSA der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 87, n° 5)
aô 1739. den 4. Februarÿ Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dominica septuagesima et sexagesima in der Kirch Zu S Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Gabriel Meÿer der Schiffmann wittwer und burger allhier und Fr. Maria Salome, Weÿl. Johann Artzners deß Fischkäuffers und burgers allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] GM, des Hochzeiters Zeichen, + der Hochzeiterin eichen (i 89)

Salomé Grohbergerin fait son testament en 1757
1757 (6.2.), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Testament – auff Donnerstag den 6. Monats tag Februarÿ Vormittag zwischen Neun und Zehn Uhren in einer allhier Zu Straßburg ane der Goldschmidtgaß gelegenen H. Cladi dem Zuckerbeck und burger allhier eigenthümlich zuständigen, Von mir Notario lehnungsweiße besitzenden behaußung auf dem Zweÿten stock befindlichen mit denen fenstern auf den Neuen Marck aussehenden Schreibstuben, Vor mir (…) Persönlich erschienen die Tugendsamen Frau Maria Salome Grohbergerin H. Gabriel Meyer des Schiffmanns und burgers allhier fraw Eheliebstin, aufrecht, gesund gehend und stehenden Leibs (…) – [unterzeichnet] +

Gabriel Meyer meurt en 1771 en délaissant deux enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans sa maison à la Krutenau près du pont Sante-Catherine. La masse propre à la veuve est de 313 livres, celle des héritiers de 779 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 079 livres et le passif à 1 705 livres.
1771 (21.10.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 415) n° 1244
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Gabriel Meÿer, des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1771 – ndahdeme derselbe Freÿtags den 11. dießes Monats Octobris dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem seeligen absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Mariä Salome Meÿerin gebohrner Grohbergerin der hinterbliebenen Wittib, mit assistentz des Wohl Edlen Großachtbahr und Rechtsgelehrten herrn Johann Daniel Saltzmann Notarÿ jurati publici und berühmten Practci Ihres erbettenen herrn beÿstands, wie auch des selig verstorbenen in erster Ehe ehelich erzielhter Tochter und Enckel als deßelben per Testamentum nachgelaßener Erben auch respectivé deren Ehevogts und geschwornenr Vögte (…) ingleichem Friderich Daniel Mauderer den Schiffer und Frau Mariam Salome gebohrner Grohbergerin, beede Eheleuth und burgere allhier der Wittib nahe anverwanthe, Welche in der Sterb behaußung wohnen (…) So geschehen in Straßburg auf Montag den 21.. Octobris et sequentibus Anno 1781.
Der seelig verstorbene hat Zu seinen Erben per Testamentum verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Margaretham Salome Schneiderin gebohrner Meÿerin Hern Johann Adam Schneider, des Schuemachers und burgers allhier Ehegattin, Welche mit beÿhilff gedachten Ihres Ehevogts in Persohn dem geschäfft abwartete, dieße allein In die Legitimam oder den dritten theil eines Zweÿten Stammtheils, In die übrige Zween dritte theil solchen Zweÿten Stammtheils aber deroselben ehelich erziehlte nach tod hinterlaßende Kinder, deren anjetzo mit besagtem Ihrem Ehemann ehelich erziehlt Fünff im Leben, mit Nahmen 1° Jungfer Mariam Salome, 2° Jungfer Annam Mariam, 3° Johann Daniel, 4° Johann Friderich und 5° Johannem die Schneider, denen zu einem Vogt sich freÿwillig dargestelt Herr Johann Georg Wagner, der Schumacher und burger allhier (…)
So dann 2.do weÿland Herrn Gabriel Meÿers, des Jüngern geweßenen Schiff: und Steurmann auch burgers allhier nunmehr seeligen hinterlassene, mit Frauen Maria Salome gebohrner von Zabern, seiner hinterbliebenen dermahlen ane Herrn Simon Häß den auch Schiff: und Steurmann und burgern allhier verheuratheten Wittib ehelich erziete noch Lebende dreÿ Kinder, Nahmenlich 1° Jungfer Mariam Salome, 2° Jungfer Mariam Elisabetham, 3° Jungfer Margaretham Sophiam die Meÿerin, diese In den Völligen Zweÿten und Letztern Stammtheil, deren geschwornenn Vogt ist vorgedachter Herr Johann Adam Schneidern der Schumacher und burger allhier, weilen aber derselbe hiebeÿ uxorio nomine selbsten interessirt, als hat sich ane deßen statt Zu einem Theilvogt freÿwillig dargestelt Herr Johann Riebel der geschwornene Holtzleger und burger allhier (…). Also alle der Abgelebten seeligen in Erster Ehe mit Weÿland Frauen Maria Salome gebohrner Braunin seeligen ehelich erziehlte Tochter und Enckel und per Testamentum nachgelaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Catharinen bruck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach eingetragenen behaußung befuden worden wie folgt.
(f° 9) Eigenthum ane einer Behausung (T.) Nemblichen eine behaußung ane der Vorstatt Krautenau ane der Catharinen bruck (…)
(f° 12-v) Ergäntzung der Wittib angegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, durch mich Notarium in Anno 1742. auffgerichtetet
(f° 16-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli – Copia Testamentum nuncupativi
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Schulden 25, Erg. Rest 283, Summa summarum 313 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung und Weißengezeugs 17, Erg. Rest 888, Summa summarum 906 lb- Schulden 127 lb, Detrahendo verbleiben 779 lb
Endlichen Wird nun auch das Gemein verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. haußraths 178, Sa. Schiff und geschirr Zur Schiffarth gehörig 190, Sa. Brennholtzes und Wellen 223, Sa. Ein und Lährer Faß 134, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 37, Sa. Goldeer Ring und geschmeids 23, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 375n Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 900, Sa. Schulden 16, Summa summarum 2079 lb – Schulden 1705, Nach solchem abzug 373 lb
Gantze Verlaßenschafft und Conclusio finalis Inventarÿ 1568 lb – Stall Summ 1508 lb
Wÿdemb Welchen der Abgelebte seeliger von seiner verstorbenen tochter erster Ehe Weÿland Jungfrauen Mariä Barbarä Meÿerin seeligen Mütterlichen Guth ererbt und biß an seinn seeliges Ende genoßen, Inhalt einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen Ersuchung de dato 7. Novembris Anno 1771.
Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe zugelten, so theilbar 302 lb

Gabriel Meyer et Marie Salomé Grohberger vendent la maison au tonnelier Jean Hügel et à sa femme Anne Marie Meyer moyennant 975 livres

1751 (11.10.), Chambre des Contrats, vol. 625 n° 500
Gabriel Meÿer der schiffmann und Maria Salomé geb. Grohbergerin
in gegensein Johann Hügel des küblers und Annæ Mariæ geb. Meÿerin mit beÿstand Johann Georg Bader des haupt kandten beÿ E. E. Zunfft der becker und Johann Caspar Otterbein des haffners beede ihrer vettern
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ohnfern dem Roosen: crantz, einseit neben den adelischen Löwischen erben, anderseit neben Balthasar auff der Bruck des schuhmachers wittib, Abraham Fr. Rischin geb. Irßlingerin – als ein theils am 9 Mertz 1748 erkaufft theils ererbtes guth – um 175 pfund, 175 pfund und 150 pfund verhafftet, geschehen um 475 pfund

Fils de tonnelier, Jean Hügel entre en apprentissage en 1729 chez Jean Jacques Deubler. Il passe en 1730 chez Philippe Jacques Haichel chez qui il le termine en 1732
1729, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 230-v) Dienstags den 3.ten Maÿ 1729 – Mstr Hannß Jacob Deübler Sen: der Kübler unndt burger allhier nimbt vermög scheins vom 4.ten april 1729 Zum Lehrjungen an Johannes Hügel weÿl. Joh: Hügels deß geweßenen burgers und Kieffers hinterbliebenen Ehelichen Sohn, umb ihme von gesetztem 4.ten april an auff dreÿ nacheinander folgende Jahr daß Kübler handtwerckh Zu Lehren, vor Lehr Geldt ist Verglichen 40 Guldten und der frawen dreÿ Gulden pro discretione, de helffte soll gleich, der Rest aber nach geendigter Lehrzeit erlegt werden, deß Jungen bürgen seÿndt Geörg Samuel Mosseder der Kieffer unndt H Johann Joachim Fischer der biersieder,welche gelobt wie gebührlich D. p. inscriptione 10 ß et pro Zunfftschreiber et Büttel 2 ß 6 d

(f° 255) Dienstags den 14.t Martÿ 1730 – Mstr Philipp Jacob Haichel der Kübler stehet vor mit Johann Hügel, den beÿ mstr Joh: Jacob Deübler Sen. geweßenen Lehrjungen, mit vermeldten, daß er selbigen das handwerck vollendts außlehren wolle, die Lehrzeit aber soll von dato biß d. 4.ten Aprilis 1732. gerechnet und vermög scheins der Obern handwerckh herren auff besagten 4 lb Aprilis geendiget worden, vor das Lehrgelt ist accordirt worden 33 gulten und der frauen pro discretione 3 fl.worvon die helffte gleich die andere helfte aber beÿ geendigter Lehrzeit Zu Zahlen deßen bürgen seÿnd Joh: Friderich Barbenes der Kupfferschmidt und H Joh: Joachim Fischer dt. 2 ß 6 d pro inscriptione.

(f° 300) Dienstags den 17. Junÿ 1732 – Mstr Philipp Jacob Haickel der Kübler stellet vor Johann Hügel seinen ad contiuandum gehabten Lehrjungen bitt außthuung. Erkandt soll Looßseÿen, dt. 10 ß und Zum protocoll 2 ß d

Jean Hügel s’inscrit en août 1743 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente en septembre. Les examinateurs relèvent quelques défauts mais sont satisfaits du candidat qui devient maître
(f° 447) Dienstags d. 6. aug. 1743 – Johannes Hügel der ledige Kübler, bittet ihme so baldt der platz Lähr seÿn wirdt das meisterstück Zu machen. Erkandt wann Johannes Lobstein fertig, solle ihme solches erlaubt seÿn, gabe anbeÿ fernern werckstatt Zinnß 30 ß d et pro protoc. 2 ß 6 d. zum meisterstück

(f° 448-v) Freÿtags d. 13. 7.bris 1743 – ist Johann Hügels des ledigen Küblers verertigtes mstrstück besichtiget und von den Hh Schauern referirt worden, das die bütt durch die handthaben Löcher Zu lang, auch unten über Eck sich em schnitzer rucks* Zu lang befände, item hätte 3 kleine einfugen daselbsten auch wären im boden ein einfügel sonsten ware Sie Sauber außgearbeithet, wid. den Eÿmer undt Gölt wäre nichts einzuwenden, weßhalben Er vor ein mstr Erkandt und auch von H. obmann Confirmirt worden.

Fils de Jean Hügel et de Marie Salomé Fischer, Jean Hügel épouse en 1745 Anne Marie Meyer, fille du cordonnier Nicolas Meyer et de Marguerite Rasp : contrat de mariage, célébration
1745 (6.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 225
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Hügel, leedigem Kübler, weÿland des Ehrengeachten Meister Johann Hügels, geweßten burgers und Küffers allhier seel. mit der tugendsamen Fr. Maria Salome gebohrner Fischerin deßen hinderlaßener Wittib ehelich erziehltem Sohn als dem hochzeiter ane einem
So dann weÿl. des Ehrengeachten Meister Niclauß Meÿers gewesenen Schuemachers und burgers allhier mit auch weÿland der tugendsamen frauen Margaretha gebohrner Raspin beeder längst seel. ehelich erzeugter tochter, Nahmens Anna Maria Meÿerin, als der hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen (…) auff Donnerstags den 6. Maji 1745 [unterzeichnet] Johannes Hügel als hochzeiter, + der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 177)
1745. die eodem [Mittw. 23. Jun.] wurd. nach 2.mahl. ordent. proclamation beÿ uns, Zu Mundolsh. copulirt Johannes Hügel, lediger Kübler u. b. h. l. weÿl. Joh: Hügel gew.Kiefern u. b. h. l. nachgel. sohn u. Anna Maria weÿl. Niclaus Meÿer gew. schuhm. u. b. h. l. nachgelaßene tochter (i 18, Mundolsheim, registre en déficit1

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Charpentiers qui appartient à la mère du mari. Ceux du mari s’élèvent à 151 livres, ceux de la femme à 291 livres.
1746 (26.7.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 86) n° 733
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Hügels, Küblers wie auch der Ehren und tugendsamen fr. Annä Mariä gebohrner Meÿerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier einander in die Ehe Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1745. – und in Ihrer den 6. Maÿ disese lauffend 1745. Jahrs Vor mir Notario mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 4.to sich vor ohnverändert vorbehalten haben, (…) So beschehen Zu Straßburg in beÿseÿn und Persönl. gegenwarth des Ehren und vorgeachten Mr Johann Caspar Otterbein, haffner und burgers allhier der Ehefr. hierzu erbettenen beÿstandts auf Montag den 26.ten Julÿ Anno 1745.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß des Ehemanns ehel. Mutter wie derselbe hiebeÿ anzeigte Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Ehemanns Zugebrachte Mittel, Sa. Silbers 19, Sa. Capitalien 107, Summa summarum 127 lb – Wann nun hierzu gerechnet werden die ane denen haussteuren Ihme gebührige Zwen dritte theil ertragen 24 lb, So belauffet sich sein des Ehemanns Völlige in die Ehe gebrachte Nahrung auff 151 lb
Dießem nach wird auch der Ehefrau in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 101, Sa. Silbers 20, Sa. Goldenen Ring 14, Sa. der baarschafft 29, Sa. Capitalien 113, Summa summarum 279 lb – Deme beÿzufügen die ane den haussteuren gebührige tertz anlangend 12 lb, Welchem nach der Ehefrauen gesamtes in die Ehe gebrachtes Guth, auff 291 lb

Jean Hügel loue une partie de la maison au cordonnier Jean Mahlfurth

1755 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 76
Johannes Hügel der kübler
in gegensein Johann Malfort des schuhmachers [unterzeichnet] Mahlfurdt
entlehnt, in seiner ane der Pergementergaß unten am Roßencrantz gelegenen behausung, unten auf dem boden ein lädel, darunter einen unterschlagegen keller, auf dem 1. stock eine stub und stubkammer nebst zweÿ anderen kammer – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Annunciationis Mariæ anfangend um einen jährlichen Zinß nemlich 18 pfund

Jean Hügel hypothèque la maison au profit du cordonnier Jean Egelus

1756 (30.4.), Chambre des Contrats, vol. 630 f° 111
Johannes Hügel der kübler
in gegensein Johannes Egulus des schuhmachers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Pergamenergaß, einseit neben den adelischen Löwischen erben, anderseit neben der Bruckerischen wittib, hinten auff Fr Rischin

Jean Hügel loue une partie de la maison au dégraisseur Philippe Herth

1757 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 200
Johannes Hügel der kübler
in gegensein Philipp Härth des seidenwaschers
entlehnt, in seiner ane dem Roßencrantz gelegenen behausung den gantzen zweÿten stock, ein unterschlagenes kellerlein nebst dem darüber befindlichen bühn und den gemeinschafftlichen gebrauch der übrigen bühnen – auff 6 nacheinander folgenden jahren, von bevorstehenden Michaelis anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Jean Hügel hypothèque la maison au profit du cordonnier Jean Mahlfurth

1767 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 n° 427
Johann Hügel der kübler
in gegensein Johann Mahlfert des schmumachers – schuldig seÿen 150 pfund [unterzeichnet] Mahlfürdt
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Pergamenergaß ohnfern dem Roßen crantz, einseit neben adelische von Joham, anderseit neben Philipp Hart dem seidenstrumpfmacher, hinten auff die Le Richeischen erben

Jean Hügel est cité à comparaître au conseil des Fribourgeois pour avoir transmis un certificat d’hébergement non-conforme. Il déclare ne pas l’avoir écrit ni logé les personnes citéés mais que l’étudiant Joseph Lebrun a faussement écrit son nom. Le conseil renvoie l’affaire à la chambre de police.

1770, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 399-v) Dienstags den 25. mensis Septembris in Anno 1770 – Johannes Hügel der Kübler in der Judengaß allhier wohnhaft, citiert ex officio daß derselbe 2: Weibs Persohnen von Westhoffen den 6. Maÿ 1770 logiret, aber in dem Ihro Gnadem dem Regirendden Herrn Ammeister derselben überschickten Nacht Zedul das datum undt Jahr Zahl Maßer herr Roth der Statt fourrier solches darauff notiret außgelaßen hat.
Citatus præsens, Sagt Er hatte den Nachtzedul weder geschrieben, noch die Persohnen quæstionis vber Nacht behalten, sondern Joseph Lebrune, der Studiosus hätte solchen Nacht Zedul fälschlich auff seinen Nahmen geschrieben die Leuth aber waren beÿ Einem in seinem Hauß wohnendtem Maurer Gesellen Nahmens Joseph Ernst über Nacht geweßen.
Hierauff Erkandt worden, Seÿe diese Sache ahne Ein Löblich Policeÿ Gericht Zu verweißen.

Jean Hügel meurt en 1775 en délaissant pour héritière testamentaire Catherine Vogel femme du chirurgien Georges Philippe Clausing qui renonce à la succession. Les experts estiment la maison 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 421 livres, le passif à 1 165 livres.

1775 (9.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 419) n° 1312
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Hügels des geweßenen Küblers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1775 – nach deme derselbe Freÿtags den 13. Januarÿÿ dießes lauffenden 1775 Jahres dieses zeitliche mit dem Ewigen verwechselt nach solch seinem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Annä Mariä Hügelin gebohrner Meÿerin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehren und wohlvorachtbahren Herrn Johann Jacob Roß des Schuhmachers und burgers allhier Ihres hierzu erbettennen beÿstands wie auch der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Catharina Clausingin gebohrner Vogelin des Ehrenvest und Kunsterfahrnen herrn Georg Philipp Clausing des Chirurgi und Burgers allhier Frauen Eheliebstin des seelig verstorbenen per Testamentum instituirter Beneficial Erbin, mit assistentz gedachten Ihres Eheherrn (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 9. Februarÿ Anno 1775

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem Roßen Crantz gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Neml. 1. Behaußung höffl. u. hoffstatt samt bronnen mit alle übrigen deroselben Gebäuen begriffen Weithen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane der Pergamenter gaß ohnfern der Roßen Crantz 1.s neben Mstr Joseph Fremicourt dem Schreiner 2. s. neben N Herr dem Seidenwascher hinten auf H. Joh: Kaspar Löw den bierbrauer Zum Roßencrantz stoßend so vor freÿ ledig und eigen dh. (die Werckmeistere) vermög überschickter schrifftlcih. Abschatzung vom 8. febr: 1775. angeschlagen pro 400. Darüber besagt 1. teutsch. perg. Kfbr. in allhieß. C. C. Stub gefertigt Mit dero anhang. Insiegel corroborirt de dato 11. 8.bris 1751.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuth einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrung durch weÿland Herrn Notarium Johann Daniel Lang seeligen in Anno 1745. auffgerichtet
Bericht und Respectivé Vergleich wegen dießer Verlaßenschafft. Zuwißen seÿe hiemit, nach deme gegenwärtige Verlaßenschafft völlig inventirt gewesen und aus dem darüber gezogenen Calculo sich hervorgethan, daß des Verstorbenen seeligen gesampte ohnverändert und theilbare Activ Massa von denen Zu bezahlen habenden Passiv Schulden mit Einbegriff der Wittib Zuerfordern habender Ergäntzung dem Stalltax nach übertroffen werde umb 743. lb, dergestalten, daß, wann gleich auf die vorhandene sehr wenige Mobilien die Beßerung auf dem höchsten Werth beÿgesetzt und die behaußung durch vornehmende Versteigerung auf den höchsten Preiß gebracht werden solte, jedannoch Keine Erbschafft ausfallen würde, als hat des Defuncti per Testamentum instituirte Erbin (…) sich erkläret, daß Sie dieße Erbschafft gäntzlichen abandoniren und darauff tam active quam passive renunciren und verzug thun (…) So beschehen in Straßburg den 9. Februarÿ Anno 1775.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung. Copia Testamenti nuncupativi
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 12, Erg. Rest 242. Summa summarum 255
Dießemnach Wird nun auch der Erbin ohnverändert und theilbar Nahrung unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 21, Sa. Werckzeugs Zum Kübler handwerck gehörig 7 ß, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 400, Summa summarum 421 lb – Schulden 1165 lb, In Vergleichung, passiv onus 743 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 255 lb – Mehr Schulden als Nahrung dem Stall tax nach 488 lb
Abschatzung Vom 8 febÿ 1775. Auff begehren Weil. Johannes Higell des gewesenen Kiblers hinder Lasener Frau witib und erben ist Eine behausung alhie in der Statt Straßburg in der Juden gas gelegen Ein seits Neben Joseph Frimegur dem Schneider ander seits Neben H Hartt dem Seidenwescher und hienden auff Joh Kaspar löb dem biersieder Stosend Gelegen Solche behausung besteht in Vier Stuben Vier Kichen und Vier Kammern der jber ist der dach Stuhl mit breitzilein belegt hat auch ein getrembter Keller Kleinen hoff und brunen. Von uns unterschriebene der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister nach vorhero geschehen besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Acht Hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Hueber

La veuve Anne Marguerite Meyer meurt en 1788 après avoir institué pour héritière Catherine Salomé Roos femme du cordonnier Martin Stoll. Les experts estiment la maison 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 874 livres, le passif à 424 livres.

1788 (27. 8.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 664
Inventarium über Weiland Fraun Annä Margarethä Hügelin, gebohrner Meÿerin auch weÿl. Meister Johannes Hügel, des gewesenen Kublers u. brs. allhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1788 – nach ihrem d. 9.t 8.br jüngst aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt verlaßen hat, Welche Succession auf gebührendes Ansuchen u. begehren Frau Catharinä Salome Stollin, gebohrner Roßin Mr Martin Stoll des Schumachers u. brs. allhier jetzmaliger Ehefrau als zufolg Testamenti Nuncupativi instituirter und verlaßener Universal Erbin, inventirt und ersucht worden (…) declarirte dieselbe daß die Verstorbene bei ihr schon seit verschiednen Jahren her in Kost und Verpflegung gewesen und nichts an Mobilien hinterlaßen habe, auch seÿe dero Kleidung so alt und gering den armen ausgetheilt (…) So geschehen Straßburg Montags den 27. Octobris Anno 1778.
Copia des von der Abgeleibten vor weil. H. Notario Johann Friedrich Lobstein gestiffteten Testaments

Eigenthum an einer behausung. Neml. I. Behausung, Höflein u. Hoffstatt samt einem brunnen mit allen dero Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten u. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg an der Pergamener Gaß ohnfern dem Rosen Crantz 1.s. neben H. Harr dem Seidenwäscher, 2.s. neben Mr Joseph fremicourt dem Schneider hinten auf weil. H. Johann Caspar Löw gew. bierbrauers Zum Rosencranz Wb. u. Erben Ziehend, so über hernach folgende Passiv Capitalien u. die gewohnliche beschwerden ledig u. eigen. Es wurde aber diese behh. s. Zugehörd durch (die Werckmeistere) ausweislich deren Zu diesem Concept übergebener Abschatzung vom 30. 8.br 1788 taxirt pro 450. Hierüber besagt i. deutsch. perg. Kbr. in allhies. C. C. Stb. gefertigten sub dato 11. Octobris. A° 1751
Sa. Eigenthums ane einer behausung 450 lb – Sa. Schulden aus der Verlaßenschafft zu bezahlend 874 lb, Mehr schulden dan Guth 424 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (450 livres) sur un total de 900 florins
1788 (11. Junii), Livres de la Taille (VII 1181), f° 63-v
Ancker N° 1173 – Weÿland Fr. Mariä Salome gebohrner Grohbergerin weiland Gabriel Meÿer, des gewesenen Schifmans und burgers alhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschaft inventirt Hr Not. Saltzman.
Concl. fin: Invent; ist fol 29. dem wahren werth nach 21. lb 18 ß 3 d, darzugelegt der lebtägig geweßene Wÿdem fol. 41. anlangen 464 lb 13 ß 6 1/6 d macht Zusammen 486 lb 11 ß 6 1/6 d dieß thun 900 fl. verstallte 200 fl. also Zuwenig 700 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 2 lb 2 ß – 16 lb 16 ß
Und Sechs Jahr in simplo à 1 lb 1 ß d – 6 lb 6 ß
Ext: Stallgelt pro 1786. 1787. et 1788. à 6 ß – 18 ß
Gebott – 3 ß 10 d
Abhandlung – 16 ß, Summa 24 lb 19 ß 10 d
Besag Erkandtnus derer Hoch: und Wohlverordneten Herren Obern Stall Herren vom 14. Aprilis 1788. ist der samtliche Nachtrag auf 7 lb 10 ß d moderirt worden, gehet dahero ab 15 lb 12 ß. Restiret 9 lb 7 ß 10 d
dt. 11. Junii 1788.

Les Quinze autorisent Martin Stoll à présenter son chef d’œuvre avant la fin de l’année malgré le règlement
1775, Protocole des Quinze (2 R 186)
(p. 563) Sambstag den 18.ten Novembris 1775. – Idem [Wilhelm] nôe Martin Stoll des schuhknechts Von Hördt C. E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister prod. unterth. Memoriale und Bitten samt beÿl. N° 1 umb gnädiger Zulaßung noch dieses jahr das Meisterstück Zu verfertigen. Claus der Zunfftmstr gegenwärtig setzt gegentheilig petitum Zu Ew: Gn: bitt aber refusionem expensarum.
Erkandt, Wird der Implorant dispensando von der ordnung gegen ersetzung der uncosten und Erlag Ein pfund Zehen schilling Implorarischer Zunft allein heimbfällig annoch gegenwärtigem jahr Zu Verfertigung des Meisterstücks gelaßen.

Originaire de Hœrdt, le cordonnier Martin Stoll épouse en 1776 Catherine Salomé Roos, fille du cordonnier Jean Jacques Roos : contrat de mariage, célébration
1775 (25.9.), Not. Schatz (6 E 41, 1302) n° 21
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Martin Stoll, leediger Schuhmacher Von Hördt gebürtig Martin Stoll, des Burgers und Ackersmanns daselbst mit weil. Frauen Anna Maria gebohrner Briefin ehelich erzeugter Sohn, beyständl. Hn Joh: Daniel Gebhard des Schuhmacher Meisters und Burgers dahier, als Hochzeiter ane einem
Sodann die Ehr und Tugendreiche Jgfr. Catharina Salome Rooßin Hn Joh: Jacob Rooßen des Schuhmacher Meisters und bs. hieselbsten mit weÿl. Fr. Margaretha gebohrner Meÿerin ehelich erziehlte Tochter unter assistentz erstged. ihres Leibl. Vaters, als Hochzeiterin, ane dem danern Theil
So geschehen Straßburg auf Montag den 25. Septembris Anno 1775 [unterzeichnet] Martin Stoll Als Hochzeiter, Catharina Sallomea Roosin als braut

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 15, n° 29)
Im Jare 1776, Dienstag den 30. Januarÿ sind nach vorhergegangener zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausruffung Zu St. Thomas und Zum Jungen S Peter in der Stiffts Kirche Zu St. Thomæ auf erlaubnus der Herren Ober Kirchenpflegers ehelich copulirt und eingesegnet worden Martin Stoll, der ledige Schuhmacher, Martin Stoll des Ackersmanns und burgers Zu Hört ehelicher Sohn und Jungfrau Catharina Salome Rosin Johann Jacob Ros des Schuhmachers und burgers allhier eheliche Tochter,[unterzeichnet] Martin Stoll alls Hochzeiter, Carina Salome Roosin alls hohzeiterin (i 18)

Martin Stoll devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage. Le registre d’inscription le dit originaire de Wœrth mais le registre de traitement des demandes porte bien Hœrdt
1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 145
Martin Stoll der Schuhmacher von wörth gebürtig, erhalt das Burger Recht von seiner Ehefrauen Catharina Salome Joh: Jacob Rooß des Schuhmachers und burgers allhier ehel. Tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E =. E. Zunfft der Schumacher Jur. den 3.ten febr. 1776.

(VI 286 bis, p. 305) schuhmacher. N° 7. de, 24.ten januar. 1776.
Martin stoll der Ledige schuhmacher Meister Von Hördt, Martin stoll gewesenen schneiders daselbst ehelicher sohn Verlobt an jfr. Cath. Salome joh. jacob Rooß des Hiesigen burgers und schuhmachers eheliche tochter.
Dieser Producirrt Nöthiger schein, aus welchen essen eheliche geburth augs. Conf. beÿpflichtend ersichtig, wie auch das bede Verlobte auf Löbl. statt stall Vermög der ordnung gehöriger Præstanda Præstirt, und der Sponsus des Zunfft rechts beÿ E. E. Zunfft der schuhmacher Vertröstet seÿe.
3500 fl. baarschafft Hat implor. als ein Zu dem burger recht bekräfftiget, auch 100 fl. Zu bestreitung des Burger schillings ad Prot. Deponirt, Euen gnaden unterthänigst bitten demselben gerührten ihnen a Sponâ um den alten burger schilling in das burger recht gnädigst Zu Recipiren.
Receptus a Sponsa um den A. B. schilling

Déclaration par laquelle le tailleur de Pierre Gaspard Flasshoff renonce à sa qualité d’héritier universel de Catherine Salomé Roos

1789 (26. 8.bris), Not. Stoeber (6 E 41, 1257) n° 729
Declaratio über Weiland Fraun Catharinæ Salome Stollin gebohrner Roosin, Meister Martin Stoll, des Schumachers und Brs. allhier gewesener Ehefrau Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1789. – den 3.t Septembris diesen Jahres mit tod abgegangen, und in ihrem vor mir Not° und sieben Zeugen Notario den 15. Augst 1789. gestiffteten testament §° 7.mo Meister Peter Caspar Flaßhoff, den Schneider und b. allhier zum Universal Erb instituirt hat, daß an Zu End gemeltem tag erst besagter Meister Peter Caspar Flaßhoff vor mir unterschriebenem Notario persönlich erschienen, welcher in Gegenseÿn des hinterbliebenen Wbers freiwillig anzeigte, daß er nach reifer Untersuchung und mit vorbedacht auf das ihme Von der Verstorbenen Zugedachte Erbrecht Zu gunsten des Wbers ein für alle mal Verzicht thue (…) Straßburg Montags den 26. Octobris 1789.
Auslieferung der Legaten. Jungfer Sophiam Dorotheam Wilhelm, Frau. Maria Magdalena Gäcklerin geborener Großin, Abraham Gäckers des burgers und Meßerschmidts zu Bischweiler Ehefrau, Catharina Salome Flaßhoffin, Fr. Evä Stollin der ledigen Diebold Stoll des ackersmanns zu hört Tochter

Martin Stoll meurt en 1799 en délaissant des héritiers collatéraux. L’actif de la succession s’élève à 6 176 francs, le passif à 2 427 francs.

1800 (28 germ. 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Not. Dinckel n° 684
Inventarium über weÿl. des bürgers Martin Stoll gewesten Schumachers Verlaßenschafft den 18 frimair jüngst verstorben, auf ansuchen 1. weÿl. Jacob Stoll Martins Sohns des defuncti vollbändigen bruders hinterlassenen 7 Kinder mit Nahmen a) Martin Stoll großjährigen alters und dermalen sich in der Republick Kriegs diensten befindend, b) Maria Stoll auch großjährigen alters und ledigen Standtes, c) Anna Maria Stoll ebenfalls großjährigen alters und ledigen Standes, d) Diebold Stoll gleicherweise mehrjährigen alters und in der Republik Kriegs diensten stehend, e) Rosina Stoll 20. jährigen alters, f) Eva Catharina Stoll ungefehr 16 jährigen alters und g) Anna Maria Stoll 13 Jahr alt,
2. weÿl. Catharina Stoll des diesortigen Erblaßers halbschwester mit Diebold Stoll Jacobs Sohn gleich erzeugte und nachgelaßene 7 Kinder a) Maria Stoll Jacob Grell Ehefrau, b) Catharina Stoll Martin Stoll Diebold Sohns Ehefrau, c) Eva Stoll großjährigen alters und ledigen Standes, d) Anna Stoll ebenfalls mehrjährigen alters und leedigen standes, e) Rosina Stoll gleichweise großjährigen alters und ledigen Standes, f) Eva Catharina Stoll 21.jährigen alters und g) Salome Stoll so 14 Jahr alt,
3. weÿl. Anna Stoll des Defuncti einbändiger Schwester mit Georg Arlen dem Schuemacher erzeugte und nachgelaßene 4 Kinder a) Anna Arlen Georg däfler des jungen ehefrau, b) Georg Arlen beck, c) Maria Arlen großjährigen alters und ledigen Standes, d) Eva Catharina Arlen 19 Jahr alt,
4. Maria Stoll weÿl. Jacob Ottmann des ackersmanns hinterlassenen wittib des Verstorbenen halb-Schwester
5. Diebold Stoll des Erblassers halbbruder so als simpel durch den burger Johannes Brand des ackersmanns desselben Curator

in einer an der Pergamentergaß gelegen mit N° 24 bezeichneten behausung
Eigenthum an einer behausung. Nemlich eine behausung höfflein Gumpbronnen und hoffstatt samt allen den mit allen deren übrigen Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg an der Pergamenter gaß N° 24 einseit neben Joseph Fremicour des Schneiders wittib und Erben anderseit neben dem bu. Heid jäger und hinten auff den bu. Lenz ackersmann – an hauszinnns jährlich erträgt die Wohnung so der verstorbene auf dem ersten stock bewohnt 70 fr, Jene so Joh. Baptist Galliser auf dem zweÿten stock inne hat 72 fr, die welche Johannes Rigaut gartner auf dem boden vornen heraus besteht 72 fr, Und die welche Michael Koppert der Kachler auch auf dem boden im hoff geniest 48 fr zusammen 262 fr., amcht in capital 5240 fr, Diese behausung reichet von weÿl. Anna Margaretha geb. Meyer auch weÿl. Johannes Hügel gewesenen küblers hinterlaßener Wittwe, des Erblaßers verstorbenen Ehefrau tante, von deren sie es laut des durch Notarium Stöber alhier über sotane Verlaßenschafft errichteten Inventarii vom 27. oct. 1788 ererbet, sie die Stollische Ehefrau selbst aber hat zwar durch ihr vor ermelten Notario am 15. Octobris 1789 gestiftetes Testament den bürger Caspar Flaßhoff Schneider dahier zu ihrem Erben eingesetzet, allein da dieser vermög einer am 4. oct. 1789 passirten deklaration auf sotane Erb und Verlaßenschafft förmlich Verzicht geleistet und solche dem damaligen Wittwer und diesorgem Defuncto tam active quam passive überlassen, Übriges besagen auf dieser behaußung zweÿ in der allhiesigen C. C. Stube auffgerichteten Kaufverschreibungen de datis 9. Martÿ 1748 und 11. Octobris 1751
mobiliar mass 936 fr, behausung 5240 fr, summa activa 6176 fr, passiva 2427 fr, Nach deren hinwegrechnung 3748 fr
(vente de meubles n 509, 7 niv. 8)
Enregistrement de Strasbourg, acp 73 F° 114 du 28 ger. 8

Les héritiers vendent la maison au boucher André Frédéric Gross moyennant 3 825 francs

1800 (8 floreal 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Not. Dinckel n° 705
Maria Stoll und Anna Maria Stoll beede ledigen Stands und großjährigen alters, ferner hans Schultz der jung dieser teils als ernannter Curator und teils als vogt Martin, Diebold, Rosina, Eva Catharina und Anna Maria Stoll, alle weÿl. Jacob Stoll Martins Sohns ackersmanns hinterlassenen Kinder, mehr Maria Stoll Jacob Grell Ehefrau, Catharina Stoll Martin Stoll Diebold Sohns Eheweib, Eva, Anna und Rosina Stoll diese dreÿ ledigen Standes und großjährigen alters, wie auch Martin Faullimmel ackersmann als vogt Eva Catharina und Salome der Stoll nächsvorhergemelt 7 aber als weÿl. Catharina Stoll mit Diebold Stoll Jacobs Sohn eheleich erzeugte zurückgelassene Kinder, weiter Anna Arlen Georg Däfler des jungen Ehefrau, Georg Arlen der beck, Maria und Eva Catharina Arlen diese vier als weÿl. Anna Stoll mit Georg Arlen dem Schumacher erzeugte und nachgelaßene Kinder, wovon letztere minderjährigen alters, noch ferner Maria Stoll weÿl. Jacob Ottmann des ackersmanns hinterlassene wittib, so dann Johannes Brand gleichmäßig ackersmanns, letztere in der Eigenschaft als Curator Diebold Stoll so halb simpel, sämtliche aber von Hörd als weÿl. Martin Schott gewesten Schumacher zu Straßburg ihres respective bruder und oheims zu 5 Stammtheilen ohntestirt hinterlassenen Erben
an burger Andreas Friedrich Groß Metzgers
auf vorangegagenen bei dem Friedensrichter des hiesigen 4.t Gerichtsbezirks vorgewesene verschiedene öffentliche Versteigerungen und des daraufhin unterm 11. germinal jüngst beÿ dem Civil Tribunal des Niederrheinischen departement bestatigten Adjudication Procès verbal
eine behausung höfflein Gumpbronnen und hoffstatt samt allen den mit allen deren übrigen zugehörden, weithen, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg an der Pergamenter gaß N° 24, einseit neben Joseph Fremicour des Schneiders wittib und Erben, anderseit neben dem bu. heid jäger und hinten auff den bu. Lenz ackersmann – als ein aus gemelten Martin Stoll Verlaßenschafft erblich anerwachsenes Eigenthumb zuständig – um 3825 franken
Enregistrement, acp 73 F° 155 du 12 flo 8

Inventaire des apports de locataires, le cordonnier Jacques Lang et sa femme Eve Stoll

1800 (11 mess. 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Not. Dinckel n° 793
Inventarium über bürgers Jacob Lang Schumacher und Fraun Eva gebohrner Stoll gegenseitiges Einbringen, die Ehefrau beiständlich des burgers Joh. Bapt. Gallißer buchdruckers – in ihrem am 20. floreal miteinander angetrettenen Ehestand eingebachten Vermögens, vor mir Notario den 11. floreal gemelten Jahrs errichteten Eheberedung
in einer an der Pergamenter gaß gelegen dem bürger Andreas Friedrich Groß Metzger hieselbst gehörig und disorts zum teil lehnungsweiße bewohnenden mit N° 24 bezeichnten behausung
des Manns einbringen, silber 52 fr
der Frau einbringen, hausrath, silber, baarschafft (1400 fr), summa 2320 fr
Enregistrement, acp 74 F° 106 du 13 mess 8

André Frédéric Gross qui habite rue de la Fontaine vend la maison pour 4 000 francs au boulanger Jean Zimmermann et à sa femme Marie Salomé Jost demeurant rue du Foulon

1802 (6 vend. 11), Strasbourg 13 (15), Not. Bremsinger n° 753
burger Andreas Friedrich Gross Wurstmacher an der Pickergaß N° 8
an burger Johannes Zimmermann beck im Stampfgäßlein N° 1 wohnhaft und burgerin Maria Salome geb. Jost
eine behausung höfflein gumpbronnen und hoffstatt samt allen deren mit allen deren übrigen gebäuden, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg an der Pergementergaß ohnfern dem Rosencrantz mit N° 24 bezeichnet einseit neben br. Moll Gastgeber vormals weÿl. Joseph fremicour gewesenen Schneiders Wittib und Erben, anderseit neben br. Nißle dem Gastgeber vormals br. Heid jäger und hinten auff burger Lentz ackersmann – als ein aus Martin Stoll verlassenschafft ersteigtes Guth eigenthümlich zuständig in gefolg Kaufcontrat vor weÿl. Notario Dinckel den 8. floreal 8.t jahr – um 4000 Francken
Enregistrement, acp 85 F° 155-v du 15 vend. 11

Originaire d’Echterdingen en Wurtemberg, Jean Zimmermann épouse en 1797 Marie Salomé Jost, fille du serrurier Jean André Jost
Mariage, Strasbourg (n° 480)
Cejourd’hui 4° Messidor l’an V de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Zimmermann âgé de 25 ans, boulanger, domicilié en cette ville depuis 6 ans, natif d’Echterdingen dans le duché de Wirtemberg, fils de Georges Sébastien Zimmermann, tisserand au sit lieu et de feu Anne Barbe Renz, de l’autre part Marie Salomée Jost, âgée de 24 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de feu Jean André Jost, serrurier, et de Susanne Madeleine Birckler (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 26 octobre 1771 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 24 may 1773 (signé) Johannes Zimmermann, Maria Salome Jostin (i 46)

Le cabaretier Jean Zimmermann meurt en 1833 en délaissant trois enfants
1833 (4.6.), Strasbourg 4 (77), Me Hatt n° 7412
Inventaire de la succession de Jean Zimmermann, cabaretier décédé le 29 mai dernier, en la maison mortuaire place de l’Homme de Fer n° 71 – à la requête de 1. la veuve Salomé Jost, mère et tutrice légale de Jean son fils mineur, 2. Daniel Zimmermann, tonnelier, 3. Marie Salomé Zimmermann femme de Charles Théodore Strohl, débitant de vin, 4. Caroline Zimmermann, célibataire, en présence du Sr Strohl subrogé tuteur – mariés le 4 messidor 5 sans contrat de mariage
meubles 721 fr, comptant 107 fr, dépot 1000 fr, passif 3443 fr, mobilier se trouvant dans une cave rue des Hallebardes 1423 fr, total général mobilier 2144 fr, total de l’actif 3251 fr
Enregistrement, acp 218 F° 31 du 11.6.

Jean Zimmermann et Marie Salomé Jost vendent la maison au boulanger Daniel Kayser et à sa femme Anne Marie Schmitt de Barr moyennant 4 000 francs

1809 (16.10.), Strasbourg 13 (30), Not. Bremsinger n° 4856
Jean Zimmermann boulanger et Marie Salomé née Jost domiciliés rue du Soleil n° 21 précédemment rue foulon n°1
à Daniel Kayser boulanger et Anne Marie née Schmitt domiciliée à Barr rue dite am Veyelthor sous n° 36
la propriété d’une une maison, petite cour, puits avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue des Parcheminiers près de la brasserie au Chapelet sous n° 24, d’un côté le Sr Moll cordeur de bois précédemment la veuve et héritier Joseph Frémicour tailleur d’habits, d’autre le Sr Nisslé cabaretier précédemment Sr Heid chasseur, derrière le Sr Lentz cultivateur – acquis du Sr André Frédéric Gross, chaircuitier, pat contrat passé devant le soussigné notaire le 6 vendemiaire 11 et Dinckel le 8 floreal 8 – y compris cinq fourneaux- moyennant 4000 francs
Enregistrement, acp 113 F° 94 du 17.10.

Fils de boulanger, Daniel Kayser natif de Barr épouse en 1788 Marie Salomé Lauffenburger, fille d’un cultivateur d’Obenheim.
Mariage, Obenheim (luth. p. 147)
1788. Dienstags den 13. des Maÿ: Monaths wurden mit Einwilligung der beiderseitigen Eltern nach Zweÿmaliger Proclamation ehelich eingesegnet Daniel Kayser drr ledige becker von Barr seines Alters 21 Jahr, Daniel Kayser des burgers und beckenmeisters in Barr ehelich erzeugter Sohn, und Maria Salome Lauffenburgerin, weÿl. Mstr Leonhard Lauffenburger des burgers und ackersman alhier ehelich erzeugte ledige Tochter ihres alters 25 Jahr [unterzeichnet] Daniel Kaÿser als Hochzeiter, Maria Salome Lauffenburgerin als hochzeiterin (i 78)

Il se remarie en 1808 avec Anne Marie Schmitt, native de Gertwiller et veuve du boucher Jean Baltzinger
Mariage, Barr (n° 18)
L’an 1808 le 19° jour du mois de juillet (…) sont comparus Daniel Kayser, âgé de 48 ans, né et domicilié en cette ville de Barr, fils majeur de feu Daniel Kayser, en son vivant boulanger audit Barr, y décédé le 27 frimaire de l’an XIII ainsi qu’il est constaté par l’acte de décès, et d’Anne Marie Rehberger et veuf de feüe Marie Salomé Lauffenbourger décédée audit Barr le 28 thermidor de l’an XIII ainsi qu’il est constaté par l’acte de décès,, boulanger et ci présent du consentement de sa mère, Et Anne Marie Schmidt âgée de 36 ans, née et domiciliée à Gertweiler, Département susdit fille majeure de feus Jean George Schmidt en son vivant Meunier audit Gertwiller et de Catherine Dietsch y décédés (…) veuve respective de feu Jean Baltzinger en son vivant boucher audit lieu y décédé le 14 septembre 1807 (signé) Daniel Kaÿser, Anna Maria schmidt (i 10)
(Décès, Barr, n° 85, An XIII, Marie Salomé Lauffenburgern âgée de 40 ans et quatre mois née à Obenheim)

Le boucher Jean Baltzinger épouse en 1796 Anne Marie Schmitt, fille de meunier, tous deux de Gertwiller.
Mariage, Gertwiller (f° 2-v)
Heute den 6. Pluviose im IV. jahr der Francken Republique nachmittag um zweÿ uhr erschien (…) um eine Heurath zu schließen zwischen dem Ledigen Bürger Johannes Baltzinger Metziger von hier seines alters 28 jahr, deß Weÿhland Christmann Baltzingers geweßenen Burgers und rebmans von hier hinterlaßener ehelich erzeugter Sohn, welchen er mit Frau Chatharina einer gebohrnen Siegel gezeuget, hat, und Jungfrau Anna Maria schmidtin des gegenwärthigen Johann Georg schmidts, burger und geweßenen ober Müller Von hier eheliche ledige tochter, Welche er mit frau Chatarina eine gebohrner Dietschin im leben geweßener eheliche haußfrau ehelich mit ihr erzeuget hat, ihres alters 24 jahr [unterzeichnet] Johannes Baltzinger als Hoh Zeitter, Anna Maria schmidt als Hoch Zeitterin (i 33)

Daniel Kayser est trouvé noyé à Greffern près de Rastatt. Il délaisse quatre enfants de son premier mariage et deux du deuxième

1817 (3.12.), Strasbourg 12 (69), Not. Wengler n° 10.556
Inventaire de la succession de Daniel Kayser boulanger décédé le 12 juin dernier – à la requête de 1. Anne Marie Schmitt veuve en secondes noces de Daniel Kayser ci devant boulanger à Barr, ensuite marchand farinier à Strasbourg, trouvé noyé à Greffern outre Rhin, mère et tutrice légale de Daniel âgé de 9 ans et Julie âgée de 2 ans
2. Marguerite Salomé Kayser épouse de Michel Grad boulanger, 3. Catherine Kayser majeure, le susdit Sr Grad tuteur de Philippine âgée de 20 ans 6 mois et Caroline Kayser âgée de 16 ans 6 mois, en présence de Jean Jacques Dietz le second chamoiseur à Barr et Didier Halbin instituteur à Strasbourg subrogé tuteur des deux enfants du premier lit – Contrat de mariage devant Me Rieffel à Barr le 16 février 1808

immeuble, une maison à deux étages, cour et puit avec ses aisances, appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue des Parcheminiers n° 24, d’un côté le Sr Moll cordeur de bois, d’autre l’enfant Nesslé, devant la rue, derrière le Sr Lentz cultivateur – acquis de Jean Zimmermann, boulanger, et de Marie Salomé Jost par acte reçu Bremsinger le 16 octobre 1809, estimée 4000 francs
dans une maison rue des Parcheminiers n° 24 – propres, meubles créances 936 fr, immeubles à Barr 500 fr, ensemble 1436 fr Il est observé que les quatre enfants du premier lit, par liquidation de la succession de Marie Salomé Lauffenburger leur mère première femme du défunt dressé par Me Rieffel à Barr le 15 juillet 1811 ont à prétendre 5884 francs
communauté meubles 1547 fr
ensemble actif 5547 fr, passif 13 504 fr (remploi de le veuve 7019 fr, 4 enfants du premier lit 5884 fr, dettes 600 fr)
Enregistrement, acp 136 f° 176 du 6.12.

Marguerite Salomé Kayser, Catherine Kayser et Philippine Kayser acquièrent les parts de maison par adjudication à la barre du tribunal civil le 5 mars 1821 et déclaration de command du 17 mars (acte non transcrit). Elles revendent la maison entière trois mois plus tard au cordonnier Jean Chrétien Dorsch et à sa femme Catherine Odile Bürckel moyennant 3 800 francs

1821 (5.6.), Strasbourg 12 (82), Me Wengler n° 12.285
Michel Grad, boulanger, et Marguerite Salomé Kayser, Catherine Kayser, majeure, Philippine Kayser, majeure
à Jean Chrétien Dorsch, cordonnier, et Catherine Odile Bürckel
une maison à deux étages cour et puits avec ses autres appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue des Parcheminiers n° 24, d’un côté la maison du Sr Moll cordeur de bois, d’autre les enfants de feu le Sr Nessté, devant la rue, derrière le Sr Lentz. Elle se compose d’un rez de chaussée ayant boutique et une chambre, d’un premier étage ayant cinq chambres et une cuisine et d’un second étage renfermant également cinq chambres avec une cuisine y compris le lit de soldat et cinq fourneaux de fonte – acquis à la barre du Tribunal civil dans la vente par licitation sur Anne Marie Schmitt veuve de Daniel Kayser, boulanger, belle mère des vendeurs, Caroline Kayser leur sœur et les vendeurs eux mêmes avec Daniel Kayser et Julie Kayser, frères et sœurs consanguins, suivant adjudication définitive dressée le 15 mars 1821 et déclaration de command le17 mars. Recueilli dans la succession de Daniel Kayser leur époux et père respectif suivant Inventaire dressé par Me Wengler le 3 décembre 1817 – Daniel Kayser l’a acquis pendant la communauté d’Anne Marie Schmitt femme de Jean Zimmermann boulanger et de Salomé Jost suivant acte reçu Bremsinger le 16 octobre 1809. Ledit Jean Zimmermann l’a acquis d’André Frédéric Gross, charcutier, par acte reçu Bremsinger le 6 vendemiaire 11 – moyennant 3800 francs
Enregistrement, acp 152 F° 179-v du 6.6.

Originaire d’Oggersheim en Palatinat près de Ludwigshafen, Jean Chrétien Dorsch épouse en 1794 Catherine Odile Bürckel, native d’Obernai
Mariage, Strasbourg (f° 44-v, n° 1005)
Cejourd’hui le 21 Prairial l’an second de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Chrétien Dorsch, cordonnier, âgé de 29 ans, domicilié en cette commune depuis six ans, natif d’Ogersheim en Palatinat, fils légitime de feu Jean Georges Dorsch, cordonnier et de Barbe Ostermann, de l’autre part Catherine Odile Bürckel, agée de 28 ans, domiciliée en cette commune depuis 7 ans, native d’Oberehenheim Département du Bas-Rhin, fille légitime de François Ignace Bürckel, vigneron et d’Anne Marie Lengelin (…) 1° de l’acte de notoriété dressé par Marchand juge de Paix du second arrondissement de cette commune en date du 13 du courant, constatant que le futur a atteint l’âge requis pour contracter mariage, 2° de l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 15 décembre 1775 (vieux style) (signé) Johann kristian dorsch, Catharina ottilia bürckel (i 48)

Testament de Jean Chrétien Dorsch, mort en 1851 en délaissant deux enfants
1851 Enregistrement de Strasbourg, ssp 111 (3 Q 31 610) f° 77 du 7.11.
ssp du 24 mai 1849. Testament dont la teneur suit. Par mon présent testament je révoque le précédent. Ma dernière et unique volonté est et doit être que personne n’ait à élever des prétentions sur ma succession à l’encontre de mes deux enfants. Le fils et la fille devront seuls la partager par parts égales. Je signe de ma propre main, signé Chrétien Dorsch
[in margine :] M° Lacombe, notaire – décès du 28 octobre 1851. à Strasbourg rue du parchemin n° 24)

Registre de population 600 MW 62, Rue du Parchemin N° 24 (p. 157) i 160
Dorsch, Jn Chrétien, 1761, Md de ferraille, Oggersheim, (à Strasbourg depuis) 1780, (auparavant) V. M. Vins 49, Entré 9.br 1831
id née Bürckel, Cath: Odile 1764, épouse, Obernai
id Cath: Elisabeth, 1799 f. m., Strasbourg
id Jn Chrétien, 1799, Strasbourg

Registre de population 600 MW 209, Rue du Parchemin N° 24 (p. 133) i 44
Dorsch, Jean Chrétien, 1761, Oggersheim, Bavière Rh., Propriétaire, (à Strasbourg depuis) 1780, (auparavant) V. M. aux Vins 49, Entré 19 9.br 1831, décédé 28 8.bre 1851
(p. 135) Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur, (auparavant) rue de l’Ail n° 10, entr 25 mars 1852
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg ép.

Catherine Elisabeth Dorsch femme de Jean Nicolas Noël cède par licitation sa part à son frère relieur Jean Chrétien Dorsch et à Barbe Cécile Guillaumette Geissler sa femme

1852 (22.6.), M° Burtz
22 juin 1852 – Cahier des charges, clauses et conditions pour parvenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue du Parchemin n° 24 dressé à la requête de Jean Chrétien Dorsch fils, relieur à Strasbourg
22 juin 1852 – Adjudication définitive – à la requête de 1) Jean Chrétien Dorsch fils, relieur à Strasbourg, et Barbe Cécile Guillaumette Geissler, sa femme à Strasbourg, 2) Jean Nicolas Noël, ancien Militaire et Catherine Elisabeth Dorsch sa femme à Strasbourg
au profit du Sr Dorsch fils colicitant pour moitié, moyennant 10.050 francs, soit la moitié 5025 francs
rue du Parchemin n° 24 – Origine, héritage de Jean Chrétien Dorsch père des vendeurs
acp 411 (3 Q 30 126) f° 22 du 28.6. (cahier des charges), f° 20 du 28.6. (adjudication définitive)

Jean Chrétien Dorsch épouse en 1835 Barbe Cécile Guillaumette Geissler, fille de relieur
Mariage, Strasbourg (n° 230)
Du 29° jour du mois de juin 1835. Acte de mariage de Jean Chrétien Dorsch, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 Messidor en X à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Relieur, fils de Chrétien Dorsch, Cordonnier, et de Catherine Odile Birckel, domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et de Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler, majeure, née en légitime mariage le 9 prairial an VI à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de feu Ernest Frédéric Geisler, Relieur, décédé en cette ville le 10 juin 1817 et de feu Catherine Marguerite Bierlin décédée en cette ville le 24 thermidor an XIII (signé) Jean Chrétien Dorsch, Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler (i 37)

Domiciles successifs de Jean Chrétien Dorsch
Registre de population
600 MW 50, Grand rue n° 150 (p. 100.b) i 127
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur M, (auparavant) rue du parchemin 24, E. juillet 1835. dél. Pl. St. Thomas 1
id. née Geissler, Wilhelmine Barbe Cécile Charlotte, 1799, Strasbourg, Ep.

Registre de population 600 MW 163, Place St. Thomas n° 1 (p. 46) i 29
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur marié, (auparavant) grand’rue 150, entré 1. 8.bre 38 sorti St Jn 1844, Pl. St. Thomas n° 10
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg, épouse.

Registre de population 600 MW 163, Place St. Thomas n° 10 (p. 71) i 47
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur marié, (auparavant) Pl. St. Thomas n° 1, entré Juin 1844, sorti 30 mai 1851, rue de l’Ail 10
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg, Ep.

Registre de population 600 MW 234, Rue de l’Ail N° 10 (p. 178) i 87
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, mr relieur et portier, M., (auparavant) Pl. St. Thomas n° 10, entré 30 mai 1851, sortie 25 mars 1852 r. parchemin 24
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg, Ep.

Jean Chrétien Dorsch et Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler hypothèquent la maison au profit du tonnelier Jacques Kayser, à la Robertsau

1864 (17. 9.bre), Strasbourg 3 (106), Not. Weiss (Emile) n° 964
Obligation – Ont comparu M. Jean Chrétien Dorsch, fils relieur et Dame Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler son épouse autorisée à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels déclarent devoir
A M. Jacques Kayser, tonnelier, domicilié à la Robertsau, banlieue de Strasbourg, la somme de 2400 francs
Affectation hypothécaire. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, d’un côté la veuve Hipp, de l’autre la veuve Schaub, devant la rue, derrière M. Boyé.
Etablissement de propriété. Les conjoints Dorsch déclarent être devenus propriétaires de la maison affectée de la manière suivante, savoir. Ledit Sr Dorsch et D° Catherine Elisabeth Dorsch épouse du Sr Jean Nicolas Noël, ancien militaire à Strasbourg, l’ont recueillie dans la succession et comme seuls et uniques héritiers de leurs père et mère Jean Chrétien Dorsch, ancien cordonnier, et D° Catherine Odile Bürckel conjoints à Strasbourg où ils sont décédés. Lesdits Sr Dorsch et ladite Dme Noël ont sous la date du 22 juin 1852 fait procéder à une licitation amiable de ladite maison par M° Burtz, lors notaire à Strasbourg, en suite de laquelle le codébiteur susnommé en est devenu seul et unique propriétaire. Les dits défunts en avaient fait l’acquisition sur le Sr Michel Grad, boulanger, et De Marguerite Salomé Kayser, sa femme, Dlle Catherine Kayser et Dlle Philippine Kayser, demeurant à Strasbourg, par contrat passé devant M° Wengler lors notaire à Strasbourg le 5 juin 1821 moyennant 3800 francs (…)
Les conjoints Grad et les Dlles Kayser étaient propriétaires de la maison vendue au moyen de l’adjudication qui en avait été faite à leur profit à la barre du tribunal civil de Strasbourg suivant un procès verbal d’adjudication définitive dressé le 15 mars 1821 et une déclaration de command faite au greffe le surlendemain. Cette adjudication a eu lieu en conséquence de la vente par licitation à laquelle il a été procédé judiciairement entre D° Anne Marie Schmidt veuve de feu le Sr Daniel Kayser, boulanger à Strasbourg ayant agi tant en son nom personnel que comme tutrice de Daniel Kayser et Julie Kyaser, ses deux enfants mineurs, 2° les trois adjudicataires susnommés, 3° et Dlle Caroline Kayser mineure sous la tutelle du Sr Grad. La maison dépendait de la communauté qui avait existé entre ladite D° veuve Kayser et son mari défunt, lequel avait laissé pour ses seuls et uniques héritiers ses enfants colicitants ci-dessus nommés ainsi que cela résulte de l’inventaire de sa succession dressé par M° Wengler le 3 décembre 1817. Les conjoints Kayser l’avaient acquise du Sieur Jean Zimmermann boulanger et Dame Marie Salomé Jost, conjoints à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Bremsinger lors notaire à Strasbourg le 16 octobre 1809. Elle avait été vendue par le S. André Frédéric Gross, charcutier à Strasbourg, suivant un contrat reçu aussi par M° Bremsinger le 6 vendémaire an XI et un autre contrat passé devant M° Dinckel, notaire à Strasbourg le 8 floréal an VIII
Situation hypothécaire – Etat civil des vendeurs. Déclarent en outre les époux Dorsch (…) qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable

Jean Chrétien Dorsch et Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler vendent la maison au serrurier Frédéric Meinzer et à Salomé Rosenstiel moyennant 16 000 francs

1868 (22.12.), Strasbourg 3 (111), Not. Weiss (Emile) n° 2522
Vente du 22 Xbre 1868 – Ont comparu M. Jean Chrétien Dorsch, fils, relieur, et D° Barbe Cécile Charlotte Guillemette Geisler son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg (vendent)
à M. Frédéric Meinzer, serrurier, & Dame Salomé Rosenstiel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Objet de la vente. Ville de Strasbourg. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, d’un côté la veuve Hipp, de l’autre la veuve Schaub, devant la rue, derrière M. Boyé.
Origine de propriété. Les conjoints Dorsch déclarent être devenus propriétaires de la maison vendue ès présentes de la manière suivante, savoir. M. Dorsch comparant et D° Catherine Elisabeth Dorsch, sa sœur, épouse du Sr Jean Nicolas Noël, ancien militaire à Strasbourg, l’ont recueillie dans la succession de Jean Chrétien Dorsch, ancien cordonnier, et D° Catherine Odile Bürckel conjoints à Strasbourg où ils sont décédés, leurs père et mère dont ils étaient seuls et uniques héritiers ainsi que ledit M. Dorsch le déclare. Lesdits Sr Dorsch et ladite Dme Noël ont sous la date du 22 juin 1852 fait procéder à une licitation amiable de ladite maison par M° Burtz, lors notaire à Strasbourg, en suite de laquelle M. Dorsch comparant en est devenu seul et unique propriétaire. Lesdits défunts conjoints Dorsch en avaient fait l’acquisition sur le Sr Michel Grad, boulanger, et De Marguerite Salomé Kayser, sa femme, Dlle Catherine Kayser et Dlle Philippine Kayser, tous de Strasbourg, par contrat passé devant M° Wengler lors notaire à Strasbourg le 5 juin 1821 moyennant 3800 francs (…)
Les conjoints Grad et les Dlles Kayser étaient propriétaires de la maison vendue au moyen de l’adjudication qui en avait été faite à leur profit à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 15 mars 1821 et d’une déclaration de command faite au greffe dudit tribunal le surlendemain. Cette adjudication a eu lieu en conséquence de la vente par licitation à laquelle il a été procédé judiciairement entre D° Anne Marie Schmidt veuve de feu le Sr Daniel Kayser, boulanger à Strasbourg ayant agi tant en son nom personnel que comme tutrice de Daniel Kayser et Julie Kyaser ses deux enfants mineurs, les trois adjudicataires susnommés et Dlle Caroline Kayser sous la tutelle du Sr Grad. La maison dépendait de la communauté qui avait existé entre ladite Dame veuve Kayser et son mari défunt lequel avait laissé pour ses seuls et uniques héritiers ses enfants colicitants ci-dessus nommés ainsi que cela résulte de l’inventaire de sa succession dressé par M° Wengler le 3 décembre 1817. Les conjoints Kayser l’avaient acquise du Sr Jean Zimmermann boulanger et D° Marie Salomé Jost, conjoints à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Bremsinger lors notaire à Strasbourg le 16 octobre 1809. Elle avait été vendue à ces derniers par le Sr André Frédéric Gross, charcutier à Strasbourg suivant vente passée devant ledit M° Bremsinger le 6 vendémaire an XI et un autre contrat passé devant M° Dinckel notaire à Strasbourg le 8 floréal an VIII. – Prix 16.000 francs
Etat civil des vendeurs. Les vendeurs déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable à cette union.
acp 579 (3 Q 30 294) f° 71-v du 29.12.

Fils de maçon, Frédéric Meinzer épouse en 1844 Salomé Rosenstiel, fille d’un cultivateur de Schiltigheim
Mariage, Strasbourg (n° 64)
Du 13° jour du mois de février 1844. Acte de mariage de Georges Frédéric Meinzer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 3 novembre 1822 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, serrurier, fils de feu Georges Frédéric Meinzer, Maçon décédé en cette ville le 17 septembre 1839 et de feu Marie Dorothée Komig décédée en cette ville le 3 février 1843, et de Salomé Rosenstiel majeure d’ans, née en légitime mariage le 3 juin 1819 à Schiltigheim, domiciliée à Schiltigheim, fille de feu Laurent Rosenstiel, cultivateur décédé à Schiltigheim le 19 mai 1823 et de Salomé Riehl domiciliée à Schiltigheim ci présente et consentante (signé) G F Meinzer. S Rosentiehl (i33)

Frédéric Meinzer et Salomé Rosenstiel hypothèquent la maison au profit du marchand de farine Jacques Schwebel

1868 (29.12.), Strasbourg 3 (111), Not. Weiss (Emile)
Mutation d’hypothèque – Ont comparu I. M. Jacques Schwebel, marchand de farine, demeurant et domicilié à Strasbourg d’une part
II. Et M. Georges Frédéric Meinzer, serrurier, & Dame Salomé Rosenstiel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg d’autre part
Lesques ont dit et arrêté ce qui suit. Aux termes d’une obligation passée devant M° Grimmer lors notaire à Strasbourg le 2 août 1862 contenant quittance subrogatoire, M & Mme Meinzer se sont reconnus débiteurs de M. Schwebel d’une somme de 2373 francs (…)
hypothèquent, Ville de Strasbourg. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, d’un côté la veuve Hipp, de l’autre le Sr Schilder, devant la rue, derrière succession de M. Boyé.
Origine de propriété. M. & Mme Meinzer déclarent qu’ils sont devenus propriétaires de l’immeuble pour l’avoir acquis de M. Jean Chrétien Dorsch, fils, relieur, & Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler son épouse demeurant à Strasbourg aux termes d’une vente passée devant M° Weiss soussigné le 22 de ce mois pour la somme de 16.000 francs dont 6000 francs se trouvent quittancés dans le contrat (…)
Cession d’indemnité d’assurance (…) Etat civil des débiteurs. M. & Mme Meinzer déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable à cette union.

Frédéric Meinzer et Salomé Rosenstiel hypothèquent la maison au profit du rentier Louis Clément Harley

1869 (29 7.bre), Strasbourg 3 (112), Not. Emile Weiss n° 2876
Obligation – Ont comparu M. Frédéric Meinzer, serrurier et Dame Salomé Rosenstiel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg (déclarent devoir)
A M. Louis Clément Harley, rentier demeurant et domicilié à Strasbourg présent et acceptant, la somme principale de 6000 francs
Affectation hypothécaire, Ville de Strasbourg. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, entre la veuve Hipp et la veuve Schaub, devant la rue, derrière M. Boyé.
Origine de propriété. M. et Mme Meinzer déclarent qu’ils sont devenus propriétaires dudit l’immeuble pour l’avoir acquis de M. Jean Chrétien Dorsch, fils, relieur et Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler son épouse de Strasbourg, aux termes d’une vente passée devant M° Weiss soussigné le 22 décembre dernier, transcrit au bureau des hypothèques le 6 janvier suivant vol. 1186 N° 58. Quant à l’origine de propriété antérieure, elle se trouve amplement décrite en ladite vente à laquelle les parties déclarent s’en référer
Cession d’indemnité d’assurance (…) Etat civil des débiteurs. Les emprunteurs déclarent sous les peines de droit (…) et qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable à leur union.

Frédéric Meinzer met en garantie sa maison pour obtenir la libération de son fils Emile prisonnier de guerre à Rastatt

1870 (7.12.), Strasbourg 3 (113), Not. Emile Weiss n° 3242
Déclaration du 7 décembre 1870. A comparu M. Frédéric Meinzer, serrurier demeurant et domicilié à Strasbourg, propriétaire d’une maison renfermant attelier de serrurier, sise en cette ville rue du parhemin N° 8
Lequel déclare avoir un fils prisonnier de guerre à Rastatt, faisant partie de la garde mobile de Strasbourg. Que son fils se nomme Emile Meinzer, interné à Rastatt, bastion XII, quatrième bataillon cinquième compagnie, Qu’il voudrait avoir son fils chez lui à Strasbourg pour soigner ses affaires aux termes de la loi édictée par S. M. le Roi de Prusse, M. Meinzer comparant met en garantie sa fortune immobilière que son fils une fois rentré chez lui ne reprendra plus de service militaire pendant la présente campagne contre la Prusse
Dont acte en brevet, sur modèle présenté & rendu
acp 590 (3 Q 30 305) f° 198 du 9.12.

La maison est ensuite indivise entre les deux enfants Meinzer. Emile (Charles Emile) Meinzer épouse en 1874 Frédérique Louise Lina Oschmann native de Bischwiller dont il divorce deux ans plus tard puis en 1887 Sophie Emilie Kiefer

Mariage, Brumath (n° 39)
Den 10. Septembrer 1874. Heirathsurkunde von Meinzer, Karl-Emil, geboren zu Schiltigheim den 18. Juli 1847, Gastwirth wohnhaft zu Straßburg, großjähriger Sohn von Meinzer, Friedrich Georg, 52 Jahr, Schlossermeister, wohnhaft zu Straßburg hier anwesend und einwilligend, und von dessen Ehefrau Rosenstiel Salome, 54 Jahr, wohnhaft zu Straßburg, hier anwesend und einwilligend, und von Oschmann, Frederike-Luise-Lina, geboren zu Bischweiler den 28. Mai 1846, Beruf keine, wohnhaft zu Brumath, großjährige Tochter von Oschmann, Friedrich, alt 58 Jahr, Verwalter, wohnhaft zu Brumath, hier anwesend und einwilligend, und von dessen Ehefrau Wahl Magdalena alt 54 Jahr, beruf keine, wohnhaft zu Brumath, hier anwesend und einwilligend
[in margine :] die Ehe zwischen Friederile Louise Lina Oschùann und Carl Emil Meinzer, Schlosser, ist am 19 August 1876 vor dem Standesbeamten der Stadt Straßburg aufgelöst worden (i 21)

Divorce, Strasbourg (n° 466)
Strassburg am 19. August 1776 Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Ehescheidung die Friederike Louise Lina Oschmann,, evangelischer Religion, geboren zu Bischweiler (Unter-Elsass) wohnhaft zu Straßburg, Ehefrau von Carl Emil Meinzer, 29 Jahr alt, Schlosser wohnhaft zu Straßburg, welche mir erklärte, daß sie die zwischen ihr und ihrem Ehemann Carl Emil Meinzer unterm 10. September 1874 zu Brumath (Unter-Elsass) abgeschlossenen Ehe auflösen lassen wolle. Dieselbe behändigte mir eine contradictorisch vom kaiserlichen Landgericht zu Strassburg erlassenes Urtheil vom 29. März dieses Jahrs, welches sie ermächtigt, die Scheidung aussprechen zu lassen. Nach Einsicht des mir behändigten Urtheils ausfertigung, so wie der Zustellungsurkude, wonach das Urtheil dem Carl Emil Meinzer am 25. Aprilis dieses Jahrs zugestellt wurde(…) i 105

Mariage, Strasbourg (n° 607)
Straßburg am 8. October 1887. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schlosser Carl Emil Meinzer, evangelischer Religion, geboren den 18. Juli des Jahres 1847 zu Schiltigheim (Unter Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, geschiedener Ehemann von Friederike Luise Lina Oschmann zu Straßburg geschieden den 19. August 1876, ehelicher Sohn des verstorbenen, Schlossers Friedrich Emil Meinzer, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Salome Rosenstiel, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg 2. die gewerblose Sophie Emilie Kiefer, evangelischer Religion, geboren den 1. juli des Jahrs 1859 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg eheliche Tochter des verstorbenen Eigenthümers Johann Gottlieb Kiefer, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, und der Marie Sophie Kopf, ohne Berug, wohnhaft zu Straßburg (i 65)

Caroline Emilie Meinzer épouse en 1874 le restaurateur Prosper Etienne Cromer qui meurt en 1876 puis en 1889 l’horloger Alfred Henri Raoul Abel

Mariage, Strasbourg (n° 153)
Den 12. März 1874, Heiraths-Urkunde von Prosper Stephan Cromer, geboren zu Maursmünster (Unter-Elsass) den 16. Mai 1847, Restaurateur, wohnhaft zu Strassburg volljähriger ehelicher Sohn von Jacob Cromer, Tischler und von Caroline Schuster, Eheleuhe zu Maursmünster wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend und von Caroline Emilie Meinzer, geboren zu Schiltigheim (Unter-Elsaß), den 3. März des Jahres 1849 ohne Gewerb, wohnhaft zu Straßburg, volljährige eheliche Tochter von Friedrich Emil Meinzer, Schlosser und von Salome Rosenstiel, Eheleuthe zu Straßburg wohnhaft, hier gegenwärtig und einwilligend (i 6)

Mariage, Strasbourg (n° 284)
Straßburg am 7. Mai 1889. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Uhrmacher Alfred Heinrich Rudolf Abel, evangelischer Religion, geboren den 14. Maerz des Jahres 1848 zu Straßburg, zu Molsheim (Unter Elsass) wohnhaft, Wittwer von Pauline Müller, gestorben zu Molsheim den 28. Februar 1888, Sohn der verstorbenen Eheleute Constantin Abel, Uhrmacher, und Marie Octavie Blaedel der Vater wohnhaft zuletzt zu Fulda (Preussen) und die Mutter zu Molsheim, 2. die gewerblose Caroline Emile Meinzer, evangelischer Religion, geboren den 3. Maertz des Jahres 1849 zu Schiltigheim (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Restaurateurs Prosper Stephan Cromer, gestorben zu Straßburg den 3. October 1876, eheliche Tochter des verstorbenen, Schlossers Friedrich Emil Meinzer, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und der Salome Rosenstiel, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg (i 19)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.