8, rue Saint-Marc


Rue Saint-Marc n° 8 – VIII 161 (Blondel), P 1228 puis section 4 parcelle 47 (cadastre)

Cour Lumbart (Lumbarts hoff), ensuite appelée à l’Ordre teutonique (zum teutschen Herrn) et auberge des Pauvres passants (Elende Herberg)
Jardin du chevreuil (zum Rehgarten, 1758 et suiv.), façade reconstruite vers 1770 (maître d’ouvrage, Jean Frédéric Pfeffinger, boucher)
Couvent du Bon Pasteur (1838) puis école du Bon Pasteur (1871), aujourd’hui collège Lucie Berger – anciens bâtiments démolis en 1966


Façade rue Saint-Marc (on reconnaît le numéro 8), angle de la rue des Greniers (panneau Speichergasse), bâtiments le long de la rue des Greniers (vers 1942, AMS, cotes 1003 W 1599, 1609, 1608)

La cour Lumbart (Lumbarts hoff), ensuite appelée à l’Ordre teutonique (zum teutschen herrn) et auberge des Pauvres passants (Elende Herberg), comprend plusieurs bâtiments entourés d’un mur. D’après la description de 1718, le bâtiment avant est dit à l’Ange (zum Engel) et la petite maison vers l’enclos Saint-Marc au Four (zum Bachoffen). Un partage a lieu après la mort de l’aubergiste Jean Georges Fritsch en 1713 : la partie est (n° 160 à droite ci-dessous) en est détachée, les bâtiments à l’ouest (n° 161 à gauche) sont représentés sans changement sur le plan Blondel (1765).
Le gantier Daniel Schœffel vend en 1588 la cour Lumbart qui comprend douze bâtiments au drapier Balthasar Stœsser. Auguste Frédéric Fettich s’en rend adjudicataire en 1635, elle est louée à plusieurs reprises pendant la minorité de son fils Georges Sigismond Fettich qui la vend en 1697 à l’aubergiste Jean Georges Fritsch. La propriété est partagée à sa mort en 1713. Sa fille Anne Salomé Fritsch vend en 1736 sa part, située à l’ouest, au confiseur Jean Certain qui habite au Marché aux Herbes. La maison est appelée zum Rehgarten (jardin du chevreuil) quand le boucher Jean Frédéric Pfeffinger l’achète en 1758. Les préposés refusent de lui céder un terrain communal à l’angle des rues. Jean Frédéric Pfeffinger ajourne les constructions prévues puisque le plan Blondel représente les mêmes bâtiments qu’en 1727. Il est autorisé à modifier les croisées en 1776 et en 1782. Il doit alors construire à neuf le bâtiment avant dans le style de l’époque : portail caractéristique du XVIII° siècle, fausses clés des linteaux au premier étage reliées par une moulure ondulée.


Plan-relief de 1725 (Musée historique), même endroit représenté sur le Plan Blondel (1765, exemplaire AMS cote 1 PL 675)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : élévations sur rue (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la rue Saint-Marc se trouve entre les repères (s’-t’) : une porte, trois fenêtres et une porte cochère au rez-de-chaussée, six fenêtres à l’étage, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’angle arrondi (t’-v’) n’a pas d’ouverture. Les bâtiments (v’) à (z’) longent l’impasse du Haras.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 8.


Cour D, partie de la cour E
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : plan
Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt). La maison comprend le bâtiment à tourelle et ceux qui donnent sur sa cour.

Le cadastre ne signale pas de transformation après 1843. C’est donc entre les années vingt et quarante que l’étage mansardé est converti en étage ordinaire et que les autres bâtiments le long de l’impasse du Haras (ensuite rue des Greniers) sont surélevés d’un étage. Les héritiers du boucher Jean Georges Freysz passent en 1835 avec leur voisin Jean Daniel Grœtzinger (ensuite n° 10) un accord relatif aux ouvertures dans le mur mitoyen. L’établissement du Bon Pasteur acquiert en 1838 la maison qu’il vend en 1865 à l’établissement des Diaconesses. Les bâtiments auxquels sont ensuite adjointes les maisons voisines (n° 10 à 14) servent d’école de jeunes filles (au Bon Pasteur). L’établissement des Diaconesses charge en 1894 l’architecte Emile Salomon de construire dans le jardin un préau et une salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée.


Terrain que Jean Frédéric Pfeffinger demande d’acquérir (1758,AMS cote VII 1408 f° 34)
Plan et élévation de la salle de gymnastique (dessins d’Emile Salomon, dossier de la Police du Bâtiment)

L’architecte Marcel Strohmenger rédige le 14 avril 1964 un devis descriptif pour remplacer des bâtiments vétustes par un bâtiment neuf à rez-de-chaussée et quatre étages, de sorte que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’établissement des Diaconesses s’engage en juin 1966 à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement rue Saint-Marc (parcelle 55/47, 176 m²) et rue des Greniers (parcelle 56/47, 169 m²). Le maire accorde le 15 avril 1966 le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Saint-Marc. Le préfet accorde en mai 1966 l’autorisation de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers (rez-de-chaussée et deux étages, en maçonnerie et briques, toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates).


Elévations sur rue et sur cour (Marcel Strohmenger, 1966, dossier de la Police du Bâtiment) – Plan sur lequel sont représentés les terrains à céder à la voie publique
Façade rue Saint-Marc (août 2021), rue des Greniers (juin 2023)

juin 2023

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier 1866-1964, dossier 1966-1987Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Daniel Schœffel, gantier, et (1572) Barbe Schramm – luthériens
1588 v Balthasar Stœsser, drapier, et (1584) Barbe Übelhœr – luthériens
1610 v Jean Philippe Scheer et (1603) Anne Kirchhoffer, remariée (1640) avec le pasteur Juste Arcuarius – luthériens
1616* adj Sigismond Flach et (1595) Marie Hochfelder puis (1606) Marguerite Fettich – luthériens
1619 v Jean Jacques Riep, docteur en droit, et (1606) Anne Flach d’abord (1590) femme du docteur en droit Paul Graseck, puis (1611) Jeanne Marie Wolff dite Schœneck – luthériens
1635 adj Auguste Frédéric Fettich et (1624) Marie Flach – luthériens
1648* h Georges Sigismond Fettich et (1663) Anne Barbe Acker puis (1680) Marie Félicité Bittlinger, d’abord (1669) femme du pasteur Mathias Rœsch – luthériens
1697 v Jean Georges Fritsch, aubergiste, et (1667) Barbe Niclaus, (1678) Anne Marie Wolff puis (1688) Ursule Wolff, d’abord (1659) femme du teinturier Georges Frédéric Merckel – luthériens
1713 h Jean Rœsch, tanneur, et (1699) Anne Salomé Fritsch – luthériens
1720 h Laurent Rhein, boucher à Schiltigheim, et (1720) Anne Salomé Fritsch veuve du tanneur Jean Rœsch – luthériens
1736 v Jean Certain, confiseur, et (1719) Anne Marie Cladi puis (1745) Marie Rose Blondel – catholiques
1741 h Jean François Certain, confiseur, et (1741) Marie Salomé Pflug – catholiques
Joseph Certain, conseiller du roi († 1792), catholique
1758 v Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et (1743) Anne Barbe Pfeffinger puis (1752) Marie Marguerite Knoderer – luthériens
1798 v Jean Georges Freysz, boucher, et (1774) Marguerite Simon puis (1786) Marie Marguerite Rœsch, d’abord (1785) femme du boulanger Isaac Schiff – luthériens
1811 h Jean Georges Freysz, boucher, et (1811) Marie Dorothée Hæberlé
1838 v Etablissement du Bon Pasteur
1865 v Etablissement des Diaconesses

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1825 livres en 1715, 1475 livres en 1718, 1540 livres en 1740, 2250 livres en 1752, 1650 livres en 1757

(1765, Liste Blondel) VIII 161, Henri Pfeffinger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Henri Pfeffinger, 28 toises, 4 pieds et 2 pouces
son jardin 14 toises, 1 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1228, Freyss Georges boucher ½, Freyss Jean boucher ½ – maison, sol, cour, bâtiment – 7,8 ares

Locations

1648, Nicolas Hansmetzger, boucher et Jean Speich, de Kork
1651, Sigismond Frédéric Scheid, avocat
1661, Marie, femme du boucher Balthasar Krauss
1664, Jean Ernest Rinck
1670, Jean Kamm et Jean Frédéric Kamm, boucher
1681, Georges Henri Metzger, boucher
1689, Jean Henri Hansmetzger, boucher
1693, Jean Paul Tromer, secrétaire en chef de Saint-Marc
1705, Agnès Kopp (maison dite à l’Ange)
1722, Abraham Esdras, horticulteur
1727, Anne Barbe Schumann veuve de Jean Kieffer
1730, Jean Conrad Kieffer, tonnelier
1734, (cave) Jean Daniel Euler, brasseur
1737, (jardin), Jean David Klugshertz, jardinier
1741, Jean Baptiste Joseph Visterini, sculpteur
1744, Jean Albert Ungerer
1745, Jean Adam Sebastian, vice-messager de la Taille
1746, Joseph Colard, manant, blanchisseur
1760, (jardin) Adam Mattern, jardinier, et Catherine Bierel, manants
1813, Jean Jacques Kammerer, boulanger, et Marie Madeleine Michel
1815, Chrétien Erdmann Laad, charpentier, et Marguerite Salomé Strub

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1751, Préposés au bâtiment (VII 1404)
La grange de la propriété Certain s’appuie par des arcades sur un mur qu’il faut démolir sur le terrain du nouveau haras. Après visite des lieux, les préposés concluent que la Ville se chargera de reconstruire la partie démolie de la grange.

(f° 62-v) Donnerstag den 21. Januarÿ 1751. Reitschul – In dem Zur Reitschul erkaufften Bürckenwaldischen Hoff auff St. Elisabethen Gaß, in welchem eine An weÿl. Jean Certain des geweßenen Zuckerbeckers Scheur stehende Maur sich befindet, welche wegen der Gedeckten Reitbahn, so dahin gebauen werden solle, nothwendiger weiß abgebrochen werden muß, und weilen gedachte Scheur Keine eigene Maur hat, sondern Allein Vermittelst gesprengter Bögen an dieseithige Maur angebauen, und daher Zubesorgen, daß selbige, wann sothane Maur abgebrochen werden wird, möchte einstürtzen, als ist Erkannt, solle solches H. Certain des Verstorbenen Sohn angezeigt werden, damit er seine Vorsorg dargegen nehmen und sich Vor schaden Hüten möge. quod factum.

(f° 89) Donnerstag den 13. Ejusdem [May 1751]. Neue Reitschul. Certain – Augenschein eingenommen in dem sogenannten Schäffolsheimer oder Bürckenwaldischen Hoff auf Elisabethen Gaß wo Sr Jacques Gallay der Maurer und Entrepreneur geweßen, daß er die fundamenten Zur Neüen Reitschul auf einer seithe 5. schuhe tieff gegraben, und nichts als sand angetroffen, dergleichen auch noch beßer Unten sich befindet, also daß Kein Vestes fundament Kan angelegt werden, wofern Man nicht fundament diehlen Unter un den boden Legen und darauf mauren wird. weilen auch wegen grabung der fundamenten die bögen an Certain des Zuckerbeckers scheür, worauf dieselbe ruhet Hinweggebrochen werden müßen, und die Statt solche wieder auffzuführen Haben wird, als Haben Mghh. für nötig erachtet in gegenwahrt H. Certain das Meß Von den Pfeilern nehmen Zulaßen, deren einer 3. schuhe 6. Zoll, der Andere 2. schuhe 3. Zoll, der dritte 3. schuhe 10. Zoll und der Vierte 2. schuhe 3. Zoll breit und ein jeder ein halben stein dick /:und biß unter die Maurlatt 12. schuhe hoh:/ ist, je einer 7. schuhe 3. Zoll Von dem Andern stehend, ferner befindet sich in der Lini dießer Pfeiler eine 9. schuhe 9. Zoll Lang und nur 3. Zoll dicke Maur, welche ebenfalls Hinweggebrochen werden muß. Erkannt, sollen die fundament diehlen und Holtz zu den Rippen Von der Statt fournirt, und was Certain abgebrochen wird Von der Statt wieder auffgemaurt werden.

1758, Préposés au bâtiment (VII 1408)
Le boucher Jean Frédéric Pfeffinger a l’intention de construire un nouveau bâtiment dans sa propriété dite zum Rehgarten. Il souhaite acquérir un terrain communal à l’angle des rues. Le receveur de Saint-Marc qui veut conserver son accès à la boulangerie ne s’y oppose pas si le propriétaire ne pose pas de pierre devant son bâtiment. Le boucher Jacques Klein estime qu’il sera gêné pour entrer dans sa maison sise en face. Les préposés refusent de donner l’autorisation, décision qu’ils confirment trois semaines plus tard.

(f° 34) Sambstags den 26. Augusti 1758. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Joh: Friderich Pfeffinger
An Johann Friderich Pfeffingers des Metzgers Hauß im Rehegarten genannt im Finckweiler, welche ein neu gebäud allda auffzuführen willens, und etwas Allmendt darzu begehrt, worüber aber, weilen es am eck der gaß ist, sowohl H. Lit. Frölich der schaffner Zu St Marx wegen der Zufuhr Zu dießes Stiffts Pfistereÿ, die dardurch gehemmet, als auch Jacob Klein der Metzger, welcher An der einfahrt in seinen Hof gegen über gehindert wird, sich beschwehren doch sagte H schaffner, daß wann Kein eckstein für das Hauß gesetzt werden solle er sich weiter nicht opponiren wolte. Erkant, abgewießen. (Plan)

(f° 37) Dienstags den 5.ten Ejusdem [Septembris] – Joh: Friderich Pfeffinger
Johann Friderich Pfeffinger der Metzger wird nochmahls mit seinem begehren abgewießen. Vid. Supra fol: 34

1776, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le maître maçon Jean Lingenhœl est autorisé à ouvrir plusieurs croisées dans la maison du boucher Jean Frédéric Pfeffiger au Finckwiller.

(f° 46) Dienstags den 16. Aprilis 1776 – Friedrich Pfeffinger Metzger
Idem [H. Johannes Lingenhölin der Maurer] nôe. Friedrich Pfeffinger, des Metzgers bittet zu erlauben an deßen in Finckweiler gelegenen behausung Creutzstöck durch zu brechen. Erkannt, Willfahrt.

1782, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître maçon Walther est autorisé à ouvrir une fenêtre dans la maison du boucher Jean Frédéric Pfeffiger au Finckwiller.

(f° 58-v) Dienstags den 23. Aprilis 1782. – H. Friderich Pfeffinger, Metzger
Mr Walther, der Maurer, nôe Hrn. Friderich Pfeffinger, des Metzgers, bittet zu erlauben an deßen Stallung beÿ St Marx gelegen ein Fenster machen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1707 (billet d’estimation traduit) (avant partage) La maison comprend deux bâtiments accessoires, deux cours, trois puits, une écurie et une grange, le tout estimé à une somme de 3 300 florins
  • 1714 (billet d’estimation traduit), Idem, 3 600 florins
  • 1718 (billet d’estimation traduit) (après partage) La maison comprend deux bâtiments accessoires, une salle, un bâtiment accessoire, trois caves sous solives, une écurie, au fond du jardin deux petites maisons, une remise, un pavillon d’été, deux puits, estimé avec la cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 2 950 florins
  • 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, dépenses, caves sous solives, à l’étage poêle, chambre, une cuisine et un vestibule, le comble a deux greniers dallés, le bâtiment latéral sur la droite comprend une cave sous solives, poêle, chambre, cuisine, vestibule, le comble a un grenier dallé, le bâtiment latéral sur la gauche sert de logement militaire, le toit est vieux et délabré, le bâtiment latéral où se trouve une alcôbe, une petite cuisine et un vestibule, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 3 000 florins
  • 1752 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux bâtiments latéraux et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres, cuisines, une cave voûtée et une cave solivée, écurie pour l’officier, les combles ont une double couverture de tuiles plates, il y a en outre une remise et au-dessus un fenil dont le comble a une simple couverture de tuiles plates, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 4 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Marc

nouveau N° / ancien N° : 13 / 4
Freis
Rez de chaussée et 1° étage bon en maçonnerie

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 349 case 1

Les Dames du Bon Pasteur
Gourichon Anne Marie, Religieuse de la maison du Bon Pasteur, Substitution 1850

P 1228, sol, maison bat. et cour, rue St Marc 4
Contenance : 7,80
Revenu total : 470,58 (450, 16,52, 4,06)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 125 / 100
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1227, jardin
Contenance : 24,30 (total 32,10)
Revenu total : 16,52

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 378 case 1

Gourichon Anne Marie (1867)
1867 Diaconesses (les Dames protestantes)

P 1228, maison, sol, cour, rue St Marc 8
Contenance : 7,80
Revenu total : 470,58 (450, 16,52, 4,06)
Folio de provenance : (349)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 125
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1227, jardin
Contenance : 24,30 (total 32,10)
Revenu total : 16,52

P 1581, sol, Gestütgaesschen
Contenance : 1,11 (total 33,20)
Revenu total : 0,57 (total 471,15)
Folio de provenance : von Wege
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1878
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 205
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 117 case 5

Parcelle, section 9, n° 47 – autrefois P 1227, 1228, 1581
Canton : Speicherstraße Hs Nr 1, Marxgasse Nr 8 / rue des Greniers 1 et rue St Marx 8
Désignation : Hf, 2 Whs
8/08, 343 Marxgasse Nr 8, Turnsaal u. Whs e.n.a.T.
Contenance : 37,81 – 43,17 – 34,36 – 43,17
Revenu : 11.400, 11.450
Remarques : ab 1908 S 101 F 4, S 117 F 50 – Zug. S 117 F 2-4
1937,aug. c. 2

(Propriétaire), compte 61
Evangel. Diakonissenanstalt
1927 Etablissement des Diaconesses
(154) corrigé en (175)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 280 Finckweiler Derrière la Mouche p. 435

4
pr. Pfeffinger, Fred. Caffetier – Bouchers
loc. Griesbach, veuve de Notaire – Tailleurs
loc. Hetzel, Jean George, jardinier
loc. Wicker, Rosine veuve tiss. – Drapiers
loc. Wicker, fils de la pré. tisserand – Drapiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Marxgasse (Seite 109)

(Haus Nr.) 8
Höhere Töchterschule der Diakonissenanstalt.
Affolter, Diakonissin. 0
Affolter, Diakonissin. 0
Baquol, Diakonissin. 0
Bentz, Diakonissin. 0
Egers, Diakonissin. 0
Favre, Diakonissin. 0
Hartmann, Diakonissin. 0
Klein, Diakonissin. 0
Lindinger, Diakonissin. 0
Müller, Diakonissin. 0
Schlochow, Diakonissin. 0
Tribolet, Diakonissin. 0
Vetter, Diakonissin. 0
Berger, Vorsteherin. 1
Eppel, Lehrerin. 1
Dubried, Lehrerin. 1

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2033)

Saint-Marc (rue) N° 8, 10, 14 (1866-1964)

L’entrepreneur Arnold déplace en 1866 deux croisées, ouvre dix nouvelles croisées, une porte et treize soupiraux vers l’impasse du Haras et ravale la façade. L’agent voyer note que la façade en maçonnerie dépasse de l’alignement dans la rue Saint-Marc mais n’a pas d’avance, que la façade dans l’impasse suit l’alignement et n’a pas non plus d’avance. L’entrepreneur Schlagdenhauffen ouvre en 1866 quatre croisées vers l’impasse et en agrandit sept. L’architecte Emile Salomon fait en 1894 les plans de la salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée et un préau à construire dans le jardin de l’école de jeune filles au Bon Pasteur. Les entrepreneurs A. et P. Brion signent les dessins de l’appentis qui n’était pas prévu.

Sommaire
  • 1866 – L’entrepreneur Arnold demande l’autorisation de déplacer deux croisées, d’ouvrir dix nouvelles croisées, une porte et treize soupiraux vers l’impasse du haras et de ravaler la façade – L’agent voyer note que la façade en maçonnerie dépasse de l’alignement dans la rue Saint-Marc mais n’a pas d’avance, que la façade dans l’impasse suit l’alignement et n’a pas non plus d’avance
    1866 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé à faire une prise pour environ dix becs dans l’établissement des Diaconesses
  • 1884 (avril) – L’entrepreneur Schlagdenhauffen (25, rue du Faubourg national) demande l’autorisation d’ouvrir quatre croisées vers l’impasse, dont une au premier étage et trois au deuxième étage – Autorisation – Travaux terminés, mai 1894
    1884 (juin) – Le même demande l’autorisation d’agrandir sept croisées vers l’impasse – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1894
  • 1884 – Le maire demande à l’établissement des Diaconesses (2-4, rue Sainte-Elisabeth) de faire ravaler le bâtiment sis 8, rue Saint-Marc – Travaux terminés, novembre 1884
  • 1894 – L’architecte E. Salomon (demeurant 21, rue du Finckwiller) demande l’autorisation de construire une salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée et un préau dans le jardin de l’école de jeunes filles au Bon Pasteur – Autorisation – Plan de situation, plans
    Les murs sont terminés, on commence à poser le toit, juillet 1894. Les plâtriers travaillent. Un appentis a été ajouté sans autorisation
    Autorisation délivrée pour l’appentis, septembre 1894. Dessin des architectes entrepreneurs A. & P. Brion – Tous les travaux sont terminés
  • 1907 – Rapport d’intervention des pompiers, feu de cheminée
  • 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1940 – La Police du Bâtiment constate que le peintre Camille Wagner a fait sans autorisation une enseigne plate

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 290)

8, rue Saint-Marc, collège Lucie Berger (1966-1987)

L’architecte Marcel Strohmenger rédige le 14 avril 1964 un devis descriptif pour remplacer des bâtiments vétustes d’externat par un bâtiment neuf d’internat (rez-de-chaussée et quatre étages). Le nouveau bâtiment sera construit de manière à ce que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’ancien escalier servira à l’internat, le nouveau à l’externat. L’accès se fera entre deux bâtiments et non sous un bâtiment pour pouvoir adjoindre ultérieurement d’autres bâtiments. L’établissement des Diaconesses s’engage en juin 1966 à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement rue Saint-Marc (parcelle 55/47, 176 m²) et rue des Greniers (parcelle 56/47, 169 m²). Le maire accorde le 15 avril 1966 le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Saint-Marc.
Le maire transmet au préfet en avril 1965 la demande de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers (rez-de-chaussée et deux étages, en maçonnerie et briques, toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates). Le préfet accorde en mai 1966 l’autorisation de démolir.

Sommaire
  • Plan de situation, section 9, parcelle 55/47 (176 m²) à céder à la voie publique rue Saint-Marc et 56/47 (169 m²) rue des Greniers
  • 1966 – Le Collège Lucie Berger est autorisé à occuper la voie publique à l’angle de la rue Saint-Marc et de celle des Greniers
    Le président du Conseil d’administration Daniel Hamm demande à être exempté des droit de voirie en arguant que le chantier dépasse de très peu le sol qui était occupé par les anciens bâtiments et que la municipalité n’a versé aucune subvention – Le maire accorde l’exemption à titre exceptionnel.
  • 1965 – La directrice transmet à la Police du Bâtiment le dossier pour le nouveau bâtiment scolaire destiné à en remplacer d’anciens trop vétustes.
  • 1965 (mars) – Demande de permis de construire, parcelle 47 de la section 9, appartenant à l’établissement des Diaconesses, Collège Lucie Berger
    Devis descriptif par l’architecte M. Strohmenger (14 avril 1964) pour remplacer des bâtiments vétustes d’externat par un bâtiment neuf d’internat. Le nouveau bâtiment sera construit de manière à ce que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’ancien escalier servira à l’internat, le nouveau à l’externat. L’accès se fera entre deux bâtiments et non sous un bâtiment pour pouvoir adjoindre ultérieurement d’autres bâtiments. Le sous-sol comprend une chaufferie, une grande salle de réunion et deux petites, le rez-de-chaussée quatre salles pour le jardin d’enfants, deux petites salles, une lingerie, un bloc sanitaire, le premier étage des salles d’administration (salle des professeurs, secrétariat, etc.), le deuxième étage quatre salles de classe et un bloc sanitaire, le troisième étage deux dortoirs de douze lits, deux blocs sanitaires, salles de surveillantes, le quatrième étage des logements (notamment celui de la direction). La structure sera en béton, les murs extérieurs en briques de 25 centimètres d’épaisseur, les murs intérieurs en briques de 12 centimètres d’épaisseur. Toiture en ardoises, murs extérieurs revêtus de pierre naturelle.
  • 1965 (juin) – Procès verbal de la Commission auxiliaire de sécurité
  • 1965 (avril) – Rapport de la Division I sur l’alignement légal. Plan de situation, section 9, parcelle 55/47 (176 m²) à céder à la voie publique rue Saint-Marc et 56/47 (169 m²) rue des Greniers. Le nouveau bâtiment ne devra pas dépasser de l’alignement alors qu’il dépasse d’un mètre celui de la rue des Greniers selon le projet.
    1966 (juin) – L’établissement s’engage à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement
    1965 (octobre) – Le directeur départemental de la construction autorise les travaux sous réserve de respecter les conditions énoncées (prescriptions de la commission de sécurité notamment)
    1966 (15 avril) – Le maire accorde le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Sain-Marc, après que le préfet a autorisé les démolitions le 3 mai 1965 et que la Commission auxiliaire de sécurité a fait son rapport le 26 juin 1965
    1966 (août) – L’architecte Marcel Strohmenger demande de déroger au règlement des constructions pour quatre puits circulaires servant de fondation qui dépassent de 70 centimètres de l’alignement à trois mètres sous le niveau du trottoir. – Le maire accorde la dérogation
  • 1965 (mars) – Demande d’autorisation de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers
    Constat. Les immeubles prévus à la démolition sont des anciennes constructions à rez-de-chaussée et 2 étages, en maçonnerie, en briques et toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates. Ces constructions ne menacent pas ruine, or le remplacement des constructions est projeté, création de locaux modernes, plus adaptés à l’usage scolaire. Comme les immeubles de remplacement sont déjà projetés, l’avis favorable à la démolition envisagée peut être donné.
    1965 (avril) – Le maire transmet au préfet la demande de démolition avec avis favorable
    1966 (mai) – Le préfet accorde l’autorisation de démolir
  • 1967 (janvier) – L’établissement des Diaconesses transmet par son directeur A. Mary une demande d’avenant au permis de construire

Autres dossiers
954 W 144 – 8-10 rue Saint-Marc, collège Lucie Berger (volume II, 1991-1994)
802 W 203 – 8-10 rue St Marc et 1 rue des Greniers, collège Lucie-Berger (1973-1980)


Relevé d’actes

Le titre ci-dessous (1588) est l’un des titres mentionnés à l’inventaire dressé en 1679
La maison dite cour Lumbart (Lumbartshoff) appartient au gantier Daniel Schœffel qui épouse en 1572 Barbe fille de Georges Schramm de « Granen »

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 48 n° 115)
1572. Dominica III. Daniel scheffel der handtschuhmacher Barbara Gorg schrammen von Granen dochter 4 Februarÿ (i 50)

Le fabricant de chausses Daniel Schœffel, les enfants de sa sœur Elisabeth femme du fabricant de pâtés Jean Krebs, Daniel et Catherine Schœffel vendent la cour Lumbart à Balthasar Stœsser

1588 (xiij Junÿ), Chancellerie, vol. 256 (Registranda Kügler) f° 306
Erschienen Daniel Schöffell der hosenstricker für sich, Item Caspar Reychart Sporer v. Peter Schnyder hosenstricker alls geschworner Vogt Elizabethen, hansen v. Jacobs geschwüsterden Wÿland hanns Krebßen d pastetenbeck. selig Kinder mit Elizabeth seiner hußfr. bemelt. Daniel Schöffells schwester selig ehelich. erzielet, So dann Barthell Ferck* hosenstricker alls geschworner vogt Daniels v Catharinen geschwüsterden bemelten Daniel schöffells selig Kinder all dreÿ vögtlich. weys Irer Vogtkinder für dieselb. vnd Iren erben (haben) verkhaufft
d. Achtbaren v fürnemm. Herr Balthazar Stosser Ime v. seinen Erben
den lumbhart hoff mit Zwelff heüser Iren hoffstätten hoff Gartten vnd Ställ m all andern Iren gebeuwen alle bey v. einander In der S S Im Finckwÿler beÿ dem platerhuß einseyt ein eck ane der vÿhegaß gegen der platterhuß scheuren hinuber, andersyt herr paulo hochuelder Stattschreyber stossen hinden vff herr Jacob Wolffen, Dauon gnd 24 guld. glts Straßburger vff Johannis Baptiste falld losig mit 600 guld. bemelt werung d. Werck vnser Fr. Münster, Mehr 12 guldin gelts vff bemelt S Johans tag losig mit 300 gld. SW Diebold Kretz* dem gartner, Item 6 schilling 8 pfenning v 6 Kappen hieher Inn hauptgut für xix lb gerechnet dem Thumbherrn hoher stifft Straßburg vnd S Martins tag, So dann 1 pfund 5 schilling vff Martini fallend den herren Vicarien hoherstifft Straßburg In hauptgut für 37 pfund 10 schilling Nechstegende m* seyen einen bodenzinß Erschetzig fürbietig mit geld oder Münß ablösig wie solche die hauptbrieff dvffgerecht vßwÿßd. also hatte der H kheüffer vff sich genommen & Alles recht & der Kauff vber solche beschwerden Zugang für 696 pfund pfenning SW

La maison est vendue en 1610 à Jean Philippe Scheer (voir la référence lors de la vente de 1619) qui épouse en 1603 Anne, fille d’Adolphe Kirchhoffer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 185 n° 522)
1603. Sonntag 13. Novembris. Hanss Philips Scheer v. J Anna h. Adolff Kirchhoffers alhie Nachg. tochter. Eingesegnet 21 Novemb. (i 187)

Jean Philippe Scheer hypothèque au profit de Sébastien Blanck de Strasbourg, demeurant à Haguenau, la cour Lumbart, déjà grevée d’une dette envers les enfants de Sigismond Flach

1613 (ut spâ [xwvij. tag Aprilis]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 233-v
(Inchoat. in Proth. fol. 213.) Erschienen herr hannß Philipß Scher burger zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Sebastian Blanckhen vonn Straßburg wonhafft Zu Hagenauw – schuldig seÿe 300 pfund pfenning Straßburger
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd v.legt, hoff, hauß, hoffestatt vnd garten, sampt Sechs nebentsheüßlin mit Allen Ihren gebeüwen & der Lumbarts hoff genant, Inn der St. St. Im Finckhweÿler beÿ dem Platterhauß gelegen einsit nebenn dem Allmendt seg, Andersit neben herrn Geörg Ringler, hinden Auch vff denselben Geörg Ringler stoßend, dauon gend vier guldin gelts Ablößig mit 100 guldin Straßburger Werung der Cartheußer Alhier, Item Aber vier guldin gelts widerlößig mit j C guldin werung der Samlung Zum Thurn, item xxiiij guldin gelts stendt Inn hauptgutt mit vj C guldin Straßb. werung abzulößen dem werck vnser frauwen Münster, Item xij gudlin gelts widerkheüffig mit iij C guldin werung hannß hammerer dem gartner v. seinen Consorten, So dann seind sie noch verhafftet für ein Schuldt Lvj lb v ß d herrn Sigißmundt Flachen Khindern Zuerlegen Sunst ledig vnnd eÿgenn

Le tuteur d’Anne Kirchhoffer, femme de Jean Philippe Scheer, dépose un capital à la Tour aux deniers
1611 XV (2 R 39) Hanns Philips Scheer. 224. [Kühe kauffs, H. Wolff Grienwaldts stieffsohn]
1620 Bauherren (VII 1335) Sambstag den 8. Aprilis 1620.
(f° 82) Vogteÿ geldt angelegt – Herr Hanns Bastian Zeißolff, als Vogt frawen Annæ Kirchhofferin, Hannß Philipp Scheren haußfrawen Hatt erlegt 50 lb. Haben Ihn darumb Zu kauffen geben 21 lb 10 ß Jherlich vff Annunciationis Mariæ fallend. Zugeschrieben folio 11

Marc Kirchhoffer, frère d’Anne Kirchhoffer, demande l’intercession du Magistrat pour établir que Jean Philippe Scheer a été enterré à Vienne
1625, Conseillers et XXI (1 R 107)
(f° 102) Montag den IX Maÿ. – Hans Philips Scheer ob er noch lebt erkundig.
Marx Kichhoffer vogt seiner schwester Hanß Philips Scheeren hausfrawen vbergibt supplôn dorin er mhn. er Innert wie er hienweg gezog. vnd seithero wenig Zeittung seines verhaltens gehabt ausser dem d. Gorg Bodecker en Jr Adolph Falcken gschrb vnd Zu wissen gemmacht d. er A° 1622 gestorb. u beim Schotten thor auf der Evang. begrabnus begraben worden wan sie aber kgren* ein satten bericht haben möchten Alß bitt er Mhn. wollen Iren Agenten zu Wien Zuschb.en Zuerkundig. ob er al Zell* bey Hn Mollart sich aufgehalten was sein verrichtung gewessen vnd ob er etwas verlaßen. Erk Man soll durch p.tnden an Agenten schbn. vnd begeren lassen. J. Ingoldt.

Anne Kirchhoffer, veuve de Jean Philippe Scheer, se remarie en 1640 avec Juste Arcuarius, pasteur à Lahr : contrat de mariage, proclamation à Saint-Thomas, célébration à Eckbolsheim
1640 (ut supra [2. 8.bris]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 511
(Eheberedung) Erschienen der Ehrwürdig und wohlgelehrte herr M. Justus Arcuarius Pfarrer Zu Lohr alß hochzeiter mit beÿstandt herrn M. Daniel Kecken diaconi Zu S. Niclaus alhie und herrn hannß Marx Mappus handelßmann seines dochtermanns und Schwagers ane einem,
und dann die viel Ehre: und tugendreiche fr. Anna Kirchhofferin weilandt herren hanß Philipß Scheeren burgers Zu Straßb. seeligen hinderlaßene fr. wittib alß hochzeiterin mit beÿstandt H Johann Geörg Salatins Kleinen Raths bewanthen und H Gottfried Stößers Allmendschreibers ihres geschwornen vogts und Schwägere ane andern theill

Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 252-v)
1640. Domin. XVIII Trinit.. 4. Octon. M. Justus Arcuarius Alter Pfarrer Zu Lahr, Fr. Anna weÿl. Johann Philipp Scheeren burgers alhie nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Montag d. 17. Octob. Eckoltzheim (i 259)
Mariage, Eckbolsheim (luth. n° 9) 1640. d. 12. octob. M. Justus Arcuarius Pastor Zu Lahr, Vnd Fr. Anna Kirchhoferin, Johann Philipp Scheer hinterlassene Wittib. (i 120)

La maison revient aux héritiers du créancier Sigismond Flach qui épouse en 1595 Marie, fille du greffier Paul Hochfelder puis en 1606 Marguerite, fille de Georges Fettich

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 39, n° 111)
1595. Dominica 16. Trinitat: 5. Octob. H Sigismundus Flach. Vndt Jungfr. Maria H. Paul hochfelder des Alten Stattschreybers alhie tochter Eingesegnet montag den 3. Novemb. (i 41)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 231-v n° 630)
1606. Sonntag den 13. Julÿ. H. Sigmund Flach vnnd J Margreth H Geörg Fettichs Alhie tocht. Eingesegnet Zinstag 22. Julÿ (i 237)

Malade et alité, Sigismond Flach fait son testament le 14 juin 1615. Il fait un legs à sa femme Marguerite Fettich et à chacun des trois enfants de son deuxième mariage (Jean Georges, Antoine et Frédéric) pour les égaliser avec ses quatre enfants issus de son premier mariage.
1615, Chancellerie, vol. 414 (Gemein Contract Buch) f° 78-v
Codicill vätterliche Dispositio vnd verordnung Sigmund Flachen zwischen seinen Kindern vnd ehelich. haußfr. (Ingross. den 23. Julÿ An. 1616)
vor unserm Cancelleÿ verwandten verordneten Actuario vnd Registratori Laurentio Klussrhat in weÿland vnsers gewesenen Burg.s Sigmund Flachen seligen Behausung alhier dahin er beruffen ist, Jetzernanter Sigmund Flach leybs halben gleychwol seher schwach Kranck vnd abkommen vnd dernhalben In einem Bett ligend aber sonsten darneben guter ohnverletzter gesund. vernunfft (…)
daß er der vielfaltigen ehelich. Trew vnd freundschafft, so seine Jetzige geliebte haußfrau Margaretha Fettichin Ime die Zeyt Ihrer ehelichen beywohnung (…) bewisen vnd erzeÿgt (…)
Am andern, dieweÿlen auß erster Ehe vier Kinder noch In leben, welche nhunmehr Gott lob Zimlich erwachsen vnd auch für sich selbst Ir eygen Großvätter vnd mütteliche Nahrung ererbt vnd in handen, darneben aber Ine biß er sie so weÿt gepracht ein ehrlich vnd ansehnliches gecostet, dahergegen seine treÿ Jüngere Kinder, die er In gegenwertiger seiner andern Ehe mit obgedachter seiner geliebten haußfrawen erzeüget, vnder Ihren Jaren vnd noch ohnerzogen, so were sein lieber wil vnd meinung, das denselben seinen Treÿen Jüng. Kind. und Söhnen mit Nahmen Hanß Georgen, Anthonio vnd Friderichen nach seinem ableÿben auß seiner verlaßenschafft Jedem ein Thausend gulden Zu einem vorauß gelufert vnd erstattet werden solle (…)
auff Mittwoch den 14. tag Monats Junÿ Als man nach Christi vnsers Herren erliches vnd seligmachers gepurt Zalete 1615. Jar

Jacques Schilling dépose 400 livres à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Jean Georges et Antoine, issus du mariage de Sigismond Flach avec sa deuxième femme Marguerite Fettich
1620, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1335)
(f° 77) Sambstag den 1. Aprilis 1620. – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Jacob Schilling XXI als vogt Hanns Georgen vnd Anthoni weÿland Herrn Sigmund Flach mitt frawen Margrethen Fettichin seiner andern haußfrauwen, ehelich erzeügter Söhn, Hatt erlegt 400 lb. d.
Haben Ihnen darumb Zu Kauffen geben 20. lb d Jhärliches Zinß vff Annunciationis Mariæ fallend, Zugeschriben folio 9.

Le curateur de Marguerite Fettich, veuve de Sigismond Flach, dépose 450 livres à la Tour aux deniers
1622, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1337)
(f° 152) Montag den 8. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Doctor July Friderich Procurator ahm kleinen Rhat alß Vogt De. Margareth Fettichin, weÿland Hn Sigmund Flachen Wittib, hat ins Vogteÿgeld angelegt 450 lb. d. Vnnd haben Ihro darumb Zu Kauffen geben 22. lb 10 ß vff Joh. Baptistæ fallend, Ingr. fol. 149.

Jacques Schilling dépose 500 livres à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Jean Georges et Antoine, issus du mariage de Sigismond Flach avec Marguerite Fettich
(f° 161-v) Sambstag den 13. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Jacob Schilling XV. als Vogt Hanns Georgen vndt Anthoni Weÿland Hn Sigmund Flachen mit fr. Margrethen Fettichin seiner ehern haußfr. ehelich erzeügter Söhn, hatt hat ins Vogteÿgeld angelegt 500 lb. d. Vnndt haben Ihnen darumb Zu Kauffen geben 25. lb vff Jacobi jährlich fallend, Ingr. fol. 165.

François Raoul Ingold dépose des capitaux à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Paul, Sigismond et Marie, issus du mariage des défunts Sigismond Flach et Marie Hochfelder
(f° 300-v) Mittwoch den 11. Decemb. 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Frantz Rudolff Ingold Vorbemelt, alß Vogt Pauli Weÿland Hn Sigismundi Flachen mit fr. Maria Hochvelderin beeder Seel. ehelich erzeügten Sohns, haben angelegt 250 h. haben Ihr darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend, Ingr. fol. 281.

(f° 300-v) – Vogteÿ geldt angelegt
Ehrengedachter Frantz Rudolff Ingold, alß Vogt Sigismundi, Weÿland Hn Sigismundi Flachen mit fr. Maria Hochvelderin Seel. erzeügten Sohns, hat ins Vogteÿgeld angelegt 250 h. haben Ihme darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend.

(f° 300-v) – Vogteÿ geldt angelegt
Ehrengedachter Herr Ingold, alß Vogt J. Mariæ gemelter beÿder Ehegemecht Seel. hinderlaßener Tochter, hat ins Vogteÿgeld angelegt 250 h. haben Ihro darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend.

François Raoul Ingold vend au nom de ses pupilles Paul, Sigismond, Marie et Anne Ursule, issus du mariage de Sigismond Flach et de Marie Hochfelder, au docteur en médecine Jean Jacques Riep et à sa femme Jeanne Marie la cour Lumbart (Lumpartshoff), aussi dite à l’Ordre teutonique (zum Teutschenherren) à l’angle de la rue des Bestiaux face à l’hospice des Vérolés, la maison voisine dont le bâtiment avant est appelé l’auberge des pauvres passants (Elende Herberg) et la maison suivante. La vente à Jean Philippe Scheer passée en 1610 a été annulée pour défaut de paiement.

1619 (26 Julÿ), Chancellerie, vol. 434 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 41
Kauffverschreÿbung d Johann Jacob Rÿpen über den Lumberts hoff
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1619 folio 43. Zubefinden.) Erschienen Herr Frantz Rudolph Ingold dreÿ Zehener als geschworner Curator vnd Vogt Paulÿ, Sigismundi, Mariæ vnd Ann Ursulen weÿland Herrn Sigmund Flachen mit Frawen Marien Hochfelderin beede seeligen ehelich erzielter Söhn vnd Tochter (verkaufft)
Hn Johann Jacob Riepen beed. recht. doctoren vnd frauwen Johannam Mariam deßelben ehelig. haußfrauwen
Einen Hoff, Jetzo der Lumbarts hoff Vor Zeiten aber Zu den Teutschen herren gnt. mit dem darzu gehörigen, einem neuwen vordern vnd Zweÿen alten neben heusern Schewr hoffstetten, Gärten vnnd Ställen, sambt allen begriffen, weiten, Zugehörd. recht. vnd gerechtigkeit. aller beÿ und neben einand. alhie In dieser Statt Straßburg Im Finckweiler beim Platerhauß geleg. einseit ein Eck ahne der Viehgaßen gegen gedachtes blaterhauß Scheuwren hienüber anderseit neben weiland Hn Jacob wolffen seeelig. gartens auß ganngk hind. vf gedacht Hn Wolffen genand Schonegkers garten stoßend, davon gehn Jahrs 24 fl. Str. w. vff Joh. Bapt: loosig mit 600 fl. hauptguths s.selbig. w. unser frawen werck alhie, Mehr 12 fl gelts vff blmt. Joîs deß Teufferstagh, Jacob Schewr* dem gartner, In hauptgut loosig mit 300 fl. Sw.
Mehr sind in disen Kauff gehörigk Zweÿ heuser ein vorders vnd ein hinderes, sambt deren hoff vnd garten, vnd allen andern Ihren gerechtigkeÿten, heist das vorders die elend herberg, auch alhie In dieser Statt In gedachtem Vinckweiller vnd. den vischern, einseit neben vorgemeltem Lombartshoff, andersit neben dem hauß Zum Engel gelegen, freÿ ledig vnd eÿgen
Item vnd eine behausung vnd hofestatt, Ställ vnd heußlin, sambt andern Ihren gebeuwen begriffen Zugehörden rechten vnd gerechtigkeiten auch alhie In dieser Statt Im Finckweiler vnder den vischern, Einseit Zum theil neben obgedachter Hn Jacob wolfen genandt Schoenecker seelig. garten, anderseit neben vorgedachter behaußung der alten elend. herberg, hind. abermals Ist mehrbesagter Schoenecker seelig. garten Ziehend, davon gehen Jährlichen vff Martini vier guld. Str: w. wid loosig mit 100 fl. gerüerter Str: w. Zu Zweÿen mahlen, der Carthausen alhier, Mehr 4 gld. goldts vff Joh. Bapt: wid. loosig mit 80 fl. Str. w. Zu Zweÿen malen der Samblung Zum Thurn, welche alle und Jede vorher beschriebene heuser vnd darzu gehörige stuck, ehrengedachter H verkeuffer, In dem vorschienenen 1610.ten Jahr, Inhalt darüber bey der Cancelleÿ beschehener verschreibung, hannß Philips Scheeren Zu kaufen geben, dieselben aber nach. wegen der nicht Zalung vnd vßgeschlagener würcklicher beschwerd. nothwendig mit recht wid. erlangen vnd ahn sich Ziehen müßen, Vnd wehre dieser verkaufft vnnd Kauff aller vnd Jeder dieser zu vorgemeldter stuck, vber abzugk obbeschriebener darauff von alters stehender beschwerden vnd dann noch weiler 500 pfund von gedacht. hannß Philips Scheeren vff geschlagener Zinnß vnd loßen (…) Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 1133 pfund
[in margine :] Erschienen Herr D Johann Jacob Riepp der in diesem Kauffbrieff keüffer vnd hat die Zinß verschreibung vber die auch in diesem Kauff angebene 12 fl. Jährlich gelts vnd 300 fl. cap. alles Str. werung, besagend, mit deß Bischofflichen hoffs Insigel v.wahrt vnd datirt den 26. Maÿ A° 1557. vorgewießen (…) Act. 14. Jan. 625.
[in margine :] Erschienen herr D. Johann Jacob Riepp vnd Fr. Johanna Maria sein Ehegemahlin mit beÿstand H Georg Friderich Wolfen vnd H Georg Friderich Ringlers ihrer negster v.wanten an einem, So dann Augustus Friderich Fettich alß Ehevogt Fr Maria Flächin am andern theil (…) Act. den 9. Maÿ Anno 1628.

Originaire de Stuttgart, Jean Jacques Riep épouse en août 1606 Anne Flach veuve du docteur en droit Paul Graseck et devient bourgeois en juillet 1607.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 232 n° 639)
1606. Sontag den 24. Augusti. Johannes Jacobus Riep d. Rechten doctor vnd Anna doctoris Pauli Grasecks Nachgelaßene wittib, Eingesegnet Dinstag den 9. Septemb: (i 237)

1607, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 886
Johann Jacob Riep von Stuttgarth der Rechten Doctor, Empfahet daß Burger Recht Von Anna Weÿland herrn Pauli Graseckhen der Rechten doctor hinderlaßene wittib, Wüll Zu Steltz Zünfftig sein Actum den 22 Julÿ Aô 1607.

Fille de Sigismond Flach, Anne Flach épouse Paul Graseck en 1590.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 122, n° 411)
1590. 15. Trinit. Paulus Graseck der Rechten Doctor vnd hiesigen Schul professor, vnd Anna h . Sigmund flachen nachgelaßene dochter (i 132)

Jean Jacques Riep se remarie en 1611 avec Jeanne Marie Wolff dite Schœneck
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 309, n° 877)
1611. Sontag den 20. Januarÿ. J. Joannes Jacobus Riepp d. Rechten Doctor vndt Johanna Maria weÿland H. Jacob Wolffen genant Schöneckers Alhier Nachgelaß: tochter. Eingeseg. Zinstag 29. Januarÿ (i 318)

Vente où est cité Jean Jacques Riep, issu du mariage entre Jean Jacques Riep et Anne Flach
1614 (xxvij. Junÿ), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 162
Erschienen der Ehrenvest Fromm herr Sigmund Flach vnd Dauid Essinger alls geschworne ober V wid* vndervogt Wÿland der Erentreych Fr. Annen gebohrner Flächin sein herrn Sigmund Flachen schwester In erster V anderer ehe erzieler seelig Kinder verkaufft mit beÿstand und bewilligung des Ehrenuesten hochgelehrten herrn Johann Jacob Riep der Rechten doctor alls vatter hanns Jacobs, So er mit bemelter Fr. Annen Flächin selig ehelich erzielt
dem auch Ehrenvesten hochgelehrten herrn Philipp Scheÿden der Rechten doctor (verkaufft)

Accord que passe Jean Jacques Riep après la mort de son fils Jean Jacques avec Antoine Graseck, Ursule Graseck femme de Charles Gambs et Odile Graseck femme de Michel Stemmler, demi-frère et demi-sœurs du défunt.
1628 (7. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 433
Erschienen der Ehrenvest hochgelehrtt herr Johann Jacob Riepp, beeder Rechten Doctor, An eim,
So dann herr Anthoni Graseck für sich selbst, herr Carol Gambß alß Ehevogt Fr. Ursulen, herr Johann Michel Stembler alß Ehevogt Fr. Ottilien, aller Grasecken vnd geschwisterden am andern theil,
Zeigten An, Waß maßen sein G. D. Rieppen mit weiland Frawen Anna Flächin erzielter Jünger Sohn, auch hannß Jacob Riepp vnd ihr der Grasecken geschwisterden Muter halben Bruder in anno a 1618. verstorben, vnd dahero so wohl wegen seines, alß seiner geliebten Eltern vnd Großeltern, weiland herrn Sigißmund Flachen vnd Frawen Annæ Schmaltzin, Fr. annæ Leÿmerin, herrn Pauli Grasecken deß altern fünffzeheners vnd beeder abgeleibter gebrüedere Pauli vnd Caroli Grasecken, aller nunmehr seeligen, Zu gewißen Antheilen anheimb gefallene Erbsportionen, Zwischen ihnen allerhand differenten vnd Mißverständ (…)

Jean Jacques Riepp délivre à Nicolas Fürich un complément de paiement, le capital établi par un titre de 1557 ayant été remboursé pendant la dévaluation en 1623.

1629 (ut spâ [19. 7.bris]), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 594
Erschienen herr D. Johann Jacob Riepp an einem,
So dann weÿ: Niclauß Furichs deß Schreibzeügmachers vnd burgers seel. alhie wittiben vnd Erben vögt Peter Robidet der handelsmann, vnd herr M. Georgius Würmblin præceptor Classicus am 2. theil, Zeigten An,
demnach er Herr D. Riepp 300. fl. Capital St. w. so er mit 12. fl. besagter werung von vf vnd abe seiner behausung alhie im Finckhweiler gelegen, der Lumpartshoff genannt, vermög einer vnd. deß Bischofflichen hoffs alhie anhangendem Insigel durch Notar. Cornelius Kegel den 26. Maÿ A°. 1557. vfgerichten v.schreib. v.zinßt, in A° 1623. den 8. Januarÿ in dem damahls hochgangbar gerechnetem gelt obgedachtem Furichen erlegt, Alß heten sie sich mit einander dahin güetlich. v.glichen, daß er H D Riepp ermelter witib vnd erben 150 gld. (…) nachzutragen

La maison revient le 28 décembre 1635 par adjudication judiciaire à Auguste Frédéric Fettich (voir la référence à l’inventaire dressé en 1679).
Fils de Georges Fettich, Auguste Frédéric Fettich épouse en 1624 Marie, fille de Sigismond Flach

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 2-v)
1624. Dominica I. pt. Trinit. den 30. Maÿ. Augustus Friderich Fettig H. Georgÿ Fettigs hind.laßener Sohn vnd Jungfr. Maria H. Sigmund Flachen hinderlaßene tochter. Montag den 7. Junÿ Eingesegnet (i 5)

Baptême en 1635 de leur fils Auguste Frédéric
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 127-v n° 1334.)
1635. Donnerstag d. 18. Junÿ. P. H Augustus Fredericus Fettich, M. fr. Maria, I. Georg Sigmundt. P. h. D. paul Friderich Advocat Im Kleinen Rath,, h Anton flach, Fr. Dorothea, H Augusti Gollen handelßmans witwen (i 184)

Auguste Frédéric Fettich délivre à l’Œuvre Notre Dame un complément de paiement pour un capital garanti sur la cour Lumbart, le capital établi par un titre de 1555 ayant été remboursé pendant la dévaluation par Jean Jacques Riepp.

1636 (ut spâ [11. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 635-v
Erschienen deß Wercks vnser Frawen Münster allhier underschreiber H Johann Rhem An einem,
So dann H Augustus Friderich Fetich burger Zu Str. Am and. theil
Zeigten An, demnach die 600. fl. Capital, so dem besagten werckh vermög einer vnd. deß Bischofflichen hoffs alhie Insigel durch Hilarium Meÿgern den Notm. den 29. Maÿ A° 1555. vffgerichten brieffs Jährlich mit 24. von vff und Ane dem Lumbardts hof alhie im Finckweiler gelegen vff Johannis Baptæ verzinßt, durch H D. Johann Jacob Rieppen alß damalen erstbesagts hoffs Besitzer, in hohen dem Reichßthaler nach Zu 6. fl. gerichteten gelt abgelegt word. daß sie sich, nach maß Alhieiger vber die Nachträg v.faßten instruction güetlichen dahin v.glichen, daß Er Fettich Alß Jetziger possessor obberührten hoffs mehrgedachten werck An gnten ietziger Zeit gang vnd gibigen gelt 300. fl. St. w. nachzutragen, solchen Nachtrag fürohin vff Michaelis mit 15. fl. besagter Wehrung zuuor zinßen schuldig sein

L’inventaire du receveur Philippe Jacques Ebersperger est dressé dans la maison qu’Auguste Frédéric Fettich a acquise par adjudication judiciaire des héritiers de Jean Jacques Riep et de sa femme
1646 (9.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 16) f° 6
Inventarium undt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so H Philipp Jacob Eberspergern, Landtspergischem Schaffner und Frau Annæ Mariæ Tornarium beeden Eheleuthen burgern alher Zu Straßburg zuständig
Inn einer alhie Inn der statt Straßburg beÿ dem Blatherhauß gelegener Behaußung welche H Augustus Friderich Fettichs Burger alhie von H. Johann Jacob Riepen undt seiner hfrau. seel. Erben, ane der Ganth erhaltten, beede Eheleuth aber Lehnungsweiß bewohnen

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Nicolas Hansmetzger, sauf la partie louée à Jean Speich, de Kork.

1648 (16. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 573-v
Erschienen H Anthoni Flach alß Vogt Georg Sigmund Fettichß,
hatt in gegensein Niclauß Hannß Metzgers deß Metzgers
verlühen habe hauß, hoff, Garten mit allen deren Gebäwen nichts davon so hannß Speich von Korckh lehnungß weiß innhatt außgenohmen, alhie im Finckhweiler beÿm Blaterhauß ist einseit ein Eckh anderseit auch neben deß Vogts sohns Behaußung gelegen, vff ein Jahr lang von nechst verwich. Michaelis angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 25. Pfund
(…) und kein Viehe in den Garten gehen Zu laß. dadurch die Bäum Köndten beschädigt werd.

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison à l’avocat Sigismond Frédéric Scheid

1651 (8. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 299-v
Erschienen H Anthoni Flach E.E Kl. Rhats Beÿsitzer alß Vogt Georg Sigmund Fettichß
hatt in gegensein H Sigmund Friedrich Scheid. V.I.D. & Advocati
verlühen habe sein Fettichß Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen und Zugehördten alhie im Finckhweiler gegen dem Blaterhauß hienüber gelegen, vff sechß Jahr lang von nechst verschienenen Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß behausung 27. lib. 10. ß

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison à Marie, femme du boucher Balthasar Krauss

1661 (24. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 365
Erschienen H Anthoni Flach Alter Groß Rhats Verwanther alß Curator Georg Sigmund Fettichß
in gegensein Mariæ, Balthasar Kraußen, deß Jüngern Metzgers, ehelicher Haußfrawen, mit beÿstand Georg Bronnen deß Weißbeckhen ihres geordneten Vogts
Verlühen habe, seines Vogts sohns alhie im Finckhweiler ohnfern dem Platterhauß, Zwischen dem Verleÿhnern gelegene behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten sambt dem daran gelegenen Garten, uf Zweÿ Jahr lang Von nechst Künfftig Joh. Bapt: angerechnet für und umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 22. lb 10. ß

Georges Sigismond Fettich épouse en 1663 Anne Barbe Acker, fille du docteur en médecine Nicolas Acker et de sa femme Susanne Marie Trausch : contrat de mariage, célébration

1663 (14.9.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 739
Eheberedung Zwischen H Geörg Sigmund Fettich als Brauttigam & vnd Jfr. Annæ Barbaræ Weÿl. H. Nicolaj Ackhers Medicinæ Doctoris dochter als hochzeiterin
zwischen dem Ehrenvesten v. wohlvorgeachten H Geörg Sigmund Fettich burgern alhier des Weÿland Ehrenvesten vnd hochachtbaren H Augusti Friderich Fettichs Vornehmen burgers alhier Zu Straßb. mit der Vil Ehren v. Tugendreich. Frawen Mariæ Fettichin gebornen Flächin ehelich erzeügtem Sohn als Braütigam ab Einemn
So dann der Vil Ehren v. Tugendreichen Jfr. Annæ Barbaræ weÿl. des Wol Edel Vest v hochgelehrten H Nicolai Ackers Weitberümbten Medicinæ Doctoris alhie selig. vnd der vil Eren: v Tugendreichen Fr. Susannæ Mariæ Ackerin geborner Trauschin eheleiblich. Tochter alß hochzeiterin Andern theils
So beschehen in Straßb. Montags den 14. Septembris A° 1663.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 53-v)
1663. Dn. 1. Adventus 29. Novembr. H. Geörg Sigmund Fettich, weiland H. Augusti Friderich Fettich Vnd Burger allhier hinderlaßener Ehelicher Sohn, J. Anna Barbara, Weiland H. Nicolai Aggerii Medic. Doctoris et Practic. allhie hinderlaßene eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 8. Decembris Zum Spiegel (i 58)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Georges Sigismond Fettich à se marier au poêle du Miroir
1663 Conseillers et XXI (1 R 146)
(f° 188) Montags den 16.ten Novembr. 1663. Georg Sigmund Fettich
Georg Sigmund Fettich bitt per Dr. Bi. vmb consens sich mit Jgfr. Anna Barbara weÿl. Dr Nic. Ackers dochter vff der Zunfftstub Zum Spiegel vopuliren zu laßen. Erk. willfahrt vnd soll 3. lb d in das Allmußen geben. Hr XXI. Schütterlin et H Walter.

Mentions de Georges Sigismond Fettich dans les registres du Magistrat
1649 XV (2 R 68) August Friderich Fettichß Sohns Vogt. [drucht, wein] 20. [Zinß] 172. [Zinß] 232.
1650 XV (2 R 69) Georg Sigmund Fettichs Vogt. 235. [Früchten, Wein]
1657 XV (2 R 75) Georg Sigmund Fettich. [wein] 168.
1659 XV (2 R 77) H. Georg Sigmund Fettichs Vogt. 76 [Zinß].
1660 XV (2 R 78) H. Georg Sigmund Fettich. 71 [Wein, 247 id.].
1662 XV (2 R 79) Georg Sigmund Fettichs Vogt. 59 [Wein]. 206 [Frucht und Wein]. 128 [abloßung].
1663 XV (2 R 80) H. Georg Sigmund Fettich. 119 [wein]. 143 [compensation]. 209 [wein]. 213.
Würth Zum Geÿst. 231 [H. Georg Sigmund Fettich]
1664 XV (2 R 81) H. Georg Sigmund Fettich. 112. [wein]
1666 XV (2 R 83) Georg Sigmund Fettich. 106. [zinß]
1674 XV (2 R 90) Georg Sigmund Fettich. 244. [zinß]

Anne Barbe Acker fait dresser l’inventaire de ses apports (2565 livres) dans la maison de ses parents rue Sainte-Barbe
1665 (1.6.), Not. Oesinger (David, 37 Not 18) n° 9
Inventarium und beschreibung aller vnd Jeder Haab und Nahrung, So die Viel Ehren und tugendreiche fraw Anna Barbara Fettichin gebohrne Aggerin dem Ehrenvesten und hochachtbahren H. Geörg Sigmund Fettichen ihrem geliebten Eheherrn in die Ehe Zugebracht (…) So beschehen in Straßburg den 1. Junÿ Anno 1665.
In Einer In derStatt Straßb. In St Barbara Gaßen gelegenen behaus. So Weÿl. deß Wohl Edlen vndt hochgelehrten H Nicolai Aggerÿ Medicinæ Doctoris seel. hinderlaßenen Fr. Wittwe Zuständig Ist befund. worden wie volgt
Abzug In dießes Inventarium. Sa. haußraths 495, Sa. Silbern Geschirr vnd Geschmeidts 238, Sa. Guldenen Ringen und dergleichen Geschmeids 296, Sa. der Baarschafft 984, Sa. Pfenningzinß hauptgüter Hauptguths 550, Summa summarum 2565 lb

Georges Sigismond Fettich loue la maison à Jean Ernest Rinck

1664 (4. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 71
Erschienen H Georg Sigmund Fettich
in gegensein H Johann Ernst Rinckh
verlieh. Eine Behaußung sampt allen deren Gebäwen Garten und Zugehördten alhie im Finckhweÿler beÿm Blaterhauß geleg. und der Lumbarts hoff genannt vff fünff Jahr lang von Joh. Bapt: dießes Jahrs angerechnet umb einen iährlich. Zinnß benantlich p. a° 1665 und 1666 Jedes mahlß 20. lb, so dann p. a° 1667. 68. v. 69 Jedes mahl 21. lib

Georges Sigismond Fettich loue la maison, autrefois appelée cour Lumbart, à Jean Kamm, assesseur au Grand Sénat, et à son fils boucher Jean Frédéric Kamm

1670 (20. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 n° 308-v
Erschienen Georg Sigmund Fettich E.E. Kleinen alter Beÿsitzer
in gegensein H Hannß Kammen E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers und hannß Friderich Kammen deß Metzgers, vatters und sohns
entlehnt, Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, auch Garten, Begriffen und zugehördten alhie im Finckhweÿler beÿm Blaterhauß geleg. und von alters der Lumbarts hoff genannt, treÿ Jahr lang von Mich. dießes Jahrs angerechnet, umb einen iährlich Zinnß benantlich. 21. Pfund pfenning

Georges Sigismond Fettich rembourse au béguinage à la Tour un capital assis sur la maison d’après un titre de 1564.

1671 (2. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 349-v
Erschienen Herr Johann Schmidt alß Schaffner der Samblung Zum Thurn
in gegensein Herrn Georg Sigmundt Fettichs E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers
bekannt, daß derselbe, Ihme herren Schmidten 100. fl. staßb. wehrung erlegt und damit die Jenige 4. fl. besagter wehrung termino Joh. Bapt: Von uff und ab einer im finckhweÿler ohnfern dem blatterhauß und dem Lumpartshoff gelegenen behaußung vermög der durch weÿl. herrn Hÿlarium Meÿern alß deß bischofflichen Hoffs damahlig. geweßenen Contractuum Notarium nunmehr seel. am 28. Januar. a° 1564. uffgreichteter Verschreibung in Zweÿen Posten fallenden Zinnßen widergekaufft, abgelöst

Anne Barbe Acker meurt en 1679 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison principale, dite cour Lumbart (Lumparts hoff) et ensuite à l’Ordre teutonique (Zum teutschen herrn) à la somme de 1 300 livres, deux petites maisons voisines dites auberge des Pauvres passants (die Elende Herberg) à 100 livres et une autre à 50 livres. La succession comprend d’autres maisons rue Sainte-Barbe, rue du Bouclier et à la Krutenau. La masse propre au veuf est de 8 325 livres, celle propre aux héritiers de 3 840 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 357 livres, le passif à 3 342 livres

1679 (10. 9.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 1) n° 10
Inventarium vnd Beschreibung aller vnd jeder Haab, Nahrung vnd Gütter, liegender vnd vahrender, verändert und vnveränderter, so weÿland die Edle Viel Ehren: vnd Tugendreiche Anna Barbara Fettichin, gebohrne Ackerin des Edlen, Wohl Ehrenvesten Weißen vnd hochachtbaren herrn Georg Sigmund Fettichs E. E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers vndt vornehmen burgers allhier geweßene Ehelich geliebt. haußfr. nunmehr seel. nach Ihrem den 3.to Septembris dießes Zu end lauffenden 1679.sten Jahres beschehenen todtlichem Ableiben Zeitlichen verlaßen, welches auf fr. ansuchen, erfordern vnd begehren des wohl Ehrenvesten vnd hochachtbaren herrn Christoph Gambßen, vornehmen Handelßmanns vnd burgers in Straßburg, als geschwornen Tutoris Jungfr. Annæ Ursulæ, Georg Friderichs, Nicolai Daniels vnd Johann Philippßen, aller vier der verstorbenen frawen seel. mit vor wohl Edelernanntem Ihrem hinterpliebenen Herrn Wittibern, ehelich erzeügter Kinder vnd ab intestato hinderlaßener Erben (…) Actum in der H. Reichs St. Str. in noch fernerem gegenwertigkeit der Edlen hochedlen vnd Viel Tugendreichen Fr. Annæ Salome Kniebßin gebohrner Ackerin, Weÿl. des Wohl Edlen Vest vnd hochweÿßen H. Matthiæ Kniebßen des beständig. Regiments der H. XXI. hochansehnlicher beÿsitzers vnd vornehmen handelßmanns allhier hinderlaßener Fr. Wittib, So dann der hoch Ehren vnd Tugendreichen frawen Claræ Annæ Gambßin gebohrne Ackerin Vorwohlgemelts H Gambß. Eheliebsten der Frauen seel. Vielgehrter Fr. Schwester, Montags den 10. Novembris Ao 1679.

Eÿgenthumb Ane Häußern. (W.) Item hauß, hoff, hoffstatt, jetzo der Lumparts hoff, vor zeiten aber Zum teutschen herrn genadt mit den darzu gehörigen einem Vordern vnd Zweÿen alten Nebens häußlein, Ihren hoffstätten, Einem Garten Schewer, Ställen auch annen anderen begriffen, weithen, rechten Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, alle freÿ* vnd*kenen, allhier in der Statt Straßburg im Finkhweiler beÿ dem Blatterhauß gelegen, einseit Ein Eck ane der Viehegaßen, gedachtes Blatterhaußes Scheuren hienüber, anderseit neben H. Joh: Reichßhoffers XV. Außgang vff ged. garten stoßend, so freÿ ledig Eigen vnd ist das größere vmb 1300 lb, die 2 nebens haußlin p. 87 lb 10 ß vnd d. Kleine vord. Eckhäußlein p. 25 lb. d. die werckm. angeschlagen thut Zusammen 1412. lb 10 ß
It. 2. Häußlein Ein vorders v Ein hinders, sampt dero hoff v. gärtlein auch allen ihren gerechtigkeit. heißt das vorder die Elende Herberg in obgedachtem Finckweÿler geleg. vnder den fischern, einseit neben vorgemelte Lumpartshoff, anderseit neben dem hauß Zum Engel, so freÿ ledig vnd Eig. vnd hiehehro angeschlagen 100 lb
It. Eine Behaußung vnd hoffstatt, ställ v. häußlein sampt allen andern Ihren Gebäwen, begriffen, Zugehördt. vnd Gerechtig Keiten, auch allhier in der St. Str. im finckhweÿler vnder den fischern gelegen, einseit Zum theil neben obwohl Edelernandts H. XV. Richßhoffers Garten Ziehend, davon gibt mann Jahrs vff Martino vier Guldin Straßb. wehrung wider Käuffig mit 100 fl. besagter wehrung der Carteußern allhier, sonsten freÿ ledig vnd Eigen vnd hiehero angeschlagen über die daruff stehender beschwerd vmb 50 lb
([biffé] It. Ein alt Klein häußlein, mit Seinen begriffen weithen vnd Gerechtigkeiten allhier in der St. Str. im finckhweiler vnder den fischern geleg. beÿ dem blatter hauß, And. seit neben obgemeltem Lumparths hoff Einseit ane der Viehe gaß geg. des blatterhaußes Scheüren hinüber stoßend, so freÿ ledig v. eig. vnd angeschlagen vmb 25. lb)
Über alle dieße häußer im finckweiler gelegen sagt i teutscher Perg. Ganth Kauffbrieff mit des Stattgerichts Zu Str. anhangendem Innsigell verwahrt geben den 28. tag Xbris A° 1635. Mehr Ein teutscher Pergam. brief über den Lumparthshoff häußer v. Garthen besagend mit der St. Str. Contract Innsigel datirt d. 13. Junÿ aô 1588. mit altem N° 16. jetzt newem Lit. A. notirt, darbeÿ noch 18. vnderschiedlich Per. brief vnd andere brieffliche Documenten mit altem N° A notirt v. dabeÿ gelaß.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (W.) Item hauß, hoff, hoffstatt, mit allen deren ebäuwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden vnd gerechtigkeit in Sr Barbaræ gaßen (…)
(E.) hauß, hoff, vnd hoffstatt, sampt einem hinderhauß ane S. Barbaræ gaßen, Zur Tauben genant (…)
(T.) It. hauß, hoff, hoffstatt
(T). It. hauß, hoffstatt vnd Stall am Roßmarckh in der Schiltsgaß geleg. (…)
(T.) It. hauß hoff hoffstatt in der Vorstatt Krautenau im hammengäßlin
Ergäntzung der Erben Unveränderten Gutts. Innhalt des üer der abgeleibten frauwen Seel. in den Ehestand Zugebrachter Nahrung auffgerichteten Inventarÿ A° 1665. durch herrn David Ösingern seniorem Notarium auffgerichtet
Innhalt des über weÿl. Annæ Ursulæ Greinerin Wittiben Zeit lebens wÿdembs weiß genoßenen Fidei Commiss vnd Eygenth. unveränderte Nahrung durch herrn David Ösingern Notm. sen. in aô 1671. auffgericht. Theilbuch
Abzug in dieses gegenwärtig gehörig, Haußrath 250, Bibliothec 50, Lährer vaß 13,Silbergeschirr 96, Guldene Ring 26, Pfenningzinß hauptgütter 4031, Weinzinß 8, häußer 1962. Liegende gütter 275, Ergäntzung (2113, gehet ab 370n verpleibt) 1743., Summa summarum des H Wittibers unveränderten guths 8456 lb – Schulden 131, Nach deren Abzug 8325 lb
Der Erben unverändert guth, Sa. haußraths 238, Bibliothec 5, Pfeffer 108, Lähre vaß 5, Silber 169., Goldene Kettlin, Ring perlein und dergleichen geschmeid 361. baarschafft 12, Pfenningzinß hauptgüter 639, Ergäntzung (1608, abzug 8, Rest) 1599, Summa summarum 3840 lb
Volgt dann auch endlichen das Gemein Verändert und theilbar Vermögen, Sa. haußraths 184, Sa. Bibliothec 50, Sa. Früchten 87, Sa. Wein vnd lärer vaß 133, Vieh, Schiff v geschitt Zum Ackher baw 42, Silbergeschirr 108, Guldene Rigen 4, Baarschafft 306, Pfenningzinß hauptgüter 125, Eigenthum ane häußern 800, Schulden i das Erb Zugeltend so ein Pfenningthurn Zinnß bestehen 1545, Summa summarum 3357 lb – Schulden 3342 – per Rest übrig 44 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 12.210. lb

Georges Sigismond Fettich se remarie en 1680 avec Marie Félicité, veuve du pasteur de Kehl Mathias Rœsch
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 90 n° 530)
1680. Dom. Reminisc. et oculi d. 7. u. 14. Martÿ H. Geörg Sigismund Fettich, alter beÿsitzer eines Ehrsam. kleinen Raths allhier, fr. Maria Felicitas weÿl. H. M. Mathiæ Röschen gewesenen pfarrers Zu Kaÿl, hind.lassene wittib. Cop. d. 18. Zu St. Thomas

1680 (10. 7.bris), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 1) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller und Jeder haab Nahrung und gütter, liegender und fahrender, so die Edle viel Ehren und tugendreiche Fraw Maria Felicitas gebohrne Büttlingerin zu dem Edlen Wohl Ehren vesten weißen und hochachtbaren herrn Georg Sigmund Fettich E.E. kleinen Raths alten beÿsitzers und vornehmen burgern allhier in den Ehestand Zugebracht und vermög mit einander auffgerichteter Eheberedung für unverändert reservirt und vorbehalten durch sie die Fraw selbsten In gegensein des Edlen Wohl Ehren vesten hochgelehrten und hochachtbaren herrn Johann Heinrich Hertensteins J.U. Ddi und beÿ allhießiger St. Str. Wohlverordneten Fiscalis alß geschwornen vogts Matthiæ Röschen der Frawen in erster Ehe mit Weÿl. H. Mathiæ Röschen geweßenen Pfarrers Zu Kaÿl nunmehro sel. Ehelich erzeugtem Söhnleins angeben, H Johann Peter Müllern einen diießer Statt gewesenen käufflern (…) Actum in vor Wohlgemelyer Statt Straßburg Mittwochs den 10.ten 7.bris A° 1680.

Fils du tanneur Mathias Rœsch de Barr, le pasteur Mathias Rœsch épouse en 1669 Marie Félicité, fille du bailli Ulric Bittlinger
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 5, n° 17)
1669. Herr M. Mathias Rösch Pfarrer Zu Keil H. Mathiæ Röschen Rothgerbers und lederbereiters Zu Barr ehelicher Sohn Jfr. Maria Felicitas weÿland H. Ulrich Bittlingers gewesenen J. U. Licent. v. hoch Gräfflich Leining. dachspurgisch. Amptmanns eheliche tochter. Eingesegnet den 30. Sept. Donnerstag zu St. Thomæ (i 4 proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 195-v n° 134)

Georges Sigismond Fettich fait des dispositions de dernière volonté le 11 décembre 1680. Il lègue à sa femme l’usufruit viager de la maison provenant de la succession Greiner rue Sainte-Barbe
1680 (11.12.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
H Georg Sigmund Fettich Codicill
persönlich kommen und erschienen ist der Edel, Ehrenvest fürsichtig und wohlweiß herr Georg Sigmund Fettich, E E Kleinen Raths alter beÿsitzer und vornehmer burger alhier Zwar sehr krancken vnd schwachen leibs auff einen bett liegend, vnd sehr schwacher Zungen , brachte mit mit heÿßeriger Stimen vor
3. weilen die ältere Tochter vor Ihren dreÿ brüder alß Jüngern geschwistern bereits viel guthaten genoßen (…)
fürs vierdt Verordnet dersembe seinem jüngsten Sohn Niclaus Daniel ebenmäßig Zu einem Prælegat 300 Reichßthaler
Zum Fünfften Seinem Jüngst. Söhnlein Johann Philippßen, welcher noch gar Jung vnd unerzogen (…)
Zum Sechsten vnd Letzten will Er der Herr Codicillator seiner lieben haußfrawen felicitas fettichin Gebohrner Pettligerin ferner im besten Zugedancken zu dem jenigen wÿdemb so Er Ihro In Ihrer ohnlängst mit einander auffgerichteten Eheberedung verordnet hatt annoch ferner zu einem lebtägigen wÿdembssitz wohlbedächt vnd freÿwilliglich verschrieben Seine in St. Barbara Gaß liegenden Ihme in Fr. Dr. Greinerin sel. Erbschafft angefallene sogenandte Greinerische Behaußung dieselbe nach Ihrem Guten belieben in wÿdembßweiß habend Zu genießen (…)
So beschehen in der H. R. fr. St. Straßburg in einer in dem Finckhweiler nahe dem blatterhauß gelegenen Ihme herrn Eigenthümlich zuständig. bewohnend. behausung in der Mittlern stuben auf der seiten, im hoff sehend (…) Sambstags den 11.ten Decembris A° 1680

Georges Sigismond Fettich meurt le 16 décembre 1680
Sépulture, Saint-Thomas (luth. p. 778)
1680. H. Geörg Sigmund Fettich starb seines alters 45 Jahr 6 monat den 15. Xbris int 6 et 7 vesp. wardt begrab. den 18. ejusd. X.bris Zu St. Galli

Le tuteur des enfants de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Georges Henri Metzger

1681 (15. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 512-v
Herr Christoph Gambs der Specerirer alß Vogt Weÿl. herren Georg Sigmundt Fettichs E.E. Kleinen Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Georg Henrich Metzgers des Metzgers, mit beÿstand Friderich Senckheÿßens deß Metzgers
die gantze Fettichische behausung aus maaß und wie herr Fettich solche bewohnt hatt, nichts alß die undere Newe Stuben, undt den Keller under der grünen Stuben außgenohmen, alhier in dem finckhweÿler gelegen, auff 9. Jahr lang Von nechst Verwichen Michael: angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 60. fl.

Le tuteur des enfants de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Jean Henri Hansmetzger

1689 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 420
H. Johann Christoph Gambß, der handelßmann, im nahmen Hn Christoph Gambßen deß handelßmanns seines leiblich. Vatters, alß vogts Weÿl. H. Georg Sigmund Fettichs sel. hind.laßener kinder
in gegensein hans Henrich Hans Metzgers, deß Metzgers
verlühen, eine behaußung mit allen deren gebäuen und zugehördt., allhier im Finckweiler, Zwisch. Zweÿen andern dem Verleihen. vogts Kind. auch gehörig. behaußung, hinden auff d. Fettich. Gart. stoßend, in maß. Er Entlehner d.selbe bereits ein Jahr lang beseßen, auff zweÿ jahr lang von Johannis Bapt. diß Jahrs anzurechnen, umb Zehen pfund Jährlich. Zinß

Le tuteur de Nicolas Daniel et Jean Philippe Fettich loue la maison au secrétaire en chef de Saint-Marc Jean Paul Tromer. Le bail est reconduit pour six nouvelles années en 1696.

1693 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 67-v
H. Christoph Gambß, der Haußfeurer alß Vogt H. Niclaus Daniels und Johann Philipß Fettichische jüngern Gebrüder, beeder Handelß diener
H. Johann Paul Tromers, Notar. Publ. und Oberschreibers zu St Marx
verlühen, maßen zwar die Fettichische im Finckweiler einseit geg. der Pfistereÿ zu St Marx über and.seit neb. d. Fettich. Kleinen haüßern gelegen behaußung, hind. auff den Elsenheimischen hoff und gartten stoßend, mit allen Gebaüen, gartten und zugehörung, wie solche H. Paul Flach Oberschreiber deß Mehrern Hospitalß bißhero in gehabt, außgenommen der Scheuren, welch d. Verleiher seinen Vogts söhnen vorbehaltet, auff dreÿ Jahr lang von Annunciat. Mar. dieß Jahrs anzufang. umb einen jährlich. Zinß nemblich 50 pfund
[in margine :] (…) daß Sie die hierinn verschriebene behaußung mit allen deren gehengt. Condition und Clausula auff 6. fernere Jahr continuirt – den 26. Jan. 1696

Marie Félicité Büttlinger meurt en 1714 en délaissant trois héritières testamentaires. L’actif de la succession s’élève à 409 livres, le passif à 101 livres.
1714 (26.4.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 100) n° 909
Inventarium und Beschreibung aller d. jenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. die Edle, Viel Ehren und Tugendbegabte frau Maria Felicitas Fettichin, gebohrne Büttlingerin, weÿl. des wohl Edel vnd hochgelehrten Hn Georg Sigmund Fettichs, gewesenen J.U. Candidati u. E: E: kleinen Raths allhier Zu Straßburg alt. wohlverdienten beÿsitzers nunmehr seel. hinterbliebene fr. wittib, nunmehr auch seel. nach ihr ane den 11.ten dießes Monats Aprilis aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlich v.laßen (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 26.ten Aprilis Anno 1714.
Die abgeleibte fraw seelige hat per Testamentum Zu ihren Erben verlaßen wie volgt. 1. die Hoch Edle und hoch tugendbegabte Frau Margaretham Leÿterspergerin gebohrne Reißeißin, des hoch Edel vest fromm fürsichtig hochweiß und hochgelehrten Hn Philipp Caspar Leÿterspergers des geheimen beständig. Regiments d. Herren XV.en in allhießig. löbl. Statt Straßb. hochansehnlich Assessoris frau Ehegemahlin, welche beÿ dießem Geschäfft in deme d. hochgeehrter H Eheherr Ambts geschaffts halb. dießmahlen nicht beÿwohnen Können, hiebeÿ allein erschienen
2. die Hoch Ehren und Tugendbegabte Frau Einbetham Silberradin geb. Kolbin des hoch Ehrwürdig hochachtbahren und hochgelehrten Hn M. Samuel Silberrads beÿ d. Evangelisch. Gemeinde in allhießig. sogennadten Predig. od. Neuen Kirch. hochverdienten Pfarrherren auch vornehmen burg. allhie frau Eheliebstin, so in dem e d. hochgeehrter hr Eheliebstine eb.maßig wichtiger Ambts geschäffts halben dießer Inventation nicht in Person abwarten Können, hiebeÿ allein geg.wärtig war und dann
3. die Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Mariam Magdalenam Bochin gebohrne Juntin, des wohl Ehrenvest und Großachtbahren H Johann Conrad Bochen, vornehmen handelsmanns u burgs allhier wehrtgeehrten Eheherrn, sich beÿ dießem Geschäfft eingefund. Alßo alle dreÿ d. angeleibt. fr. seel. per Testamentum Zugleich. antheilen instituirte Erb.

In einer allhier Zu Straßburg d. sogenandten barbaragaß gelegenen und von d. Fr. seel. Wÿdembs weiß bwohnenden behausung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obern bühn, In d. obern Stub, In d.selb. Stub Cammer, In der Cammer A, In d. Wohnstub, Im Contor, In d. Wohnstub Cammer, Im haußöhren vor d. wohnstub, In des Knechts Cammer
Publicatio auffgerichteten Testamenti solemnis in Scriptis und Nach Disposition
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 112, Sa. Lähren vaß 12, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. Goldenen Ring 30, Sa. baarschafft 221, Sa. Schuld 6, Summa summarum 409 lb – Schulden 101 lb, Nach solchem abzug 302 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1557 lb
Wÿdemb, welchen die Verstorbene Frau seelige von eingangsgedachtem H Georg Sigmund Fettichen Ihrem gewesenen herrn Eheliebstin und auch selig Zeit lebens Zugenißen gehabt, 1250 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 33, Zweiffelhaffte Schulden 80 lb
Copia Testamenti (…)

Le commis négociant Nicolas Daniel Fettich, demeurant à Morges en Suisse, et le marchand Jean Philippe Fettich vendent au marchand de vins Georges Fritsch la maison appelée anciennement la cour Lumbart, l’Ordre teutonique et l’auberge des Pauvres passants, entourée d’un mur, moyennant 1 900 livres

1697 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 69-v
H. Johann Christoph Gambß der handelsmann alß vermög eines von hernach genanten seinem ppalen eÿgenhändig auß Morsé beÿ Geneve an Fr. Annam Salome geb. Ackerin weil. H. Matthiß Kniebßen XXI. seel. hind. laßene Fr. Wittib, sub dato 26.t Januarÿ jüngst geschriebenen Missivs, constituirter special Mandatarius H. Niclaus Daniel Fettichs, deß handelßdieners zu ged. Morsé sich auffhaltend, welcher majorennis und ohnbevögtiget, So dann H. Johann Philipp Fettich auch ledig. Handelßmann, ingleichem majorennis und ohnbevögtiget
hans Georg Fritschen, deß weinhändlers
Eine behaußung, etwan der Lumportshoff, vor Zeiten aber Zum teutschen Herrn genandt, Ferner die alte Elent Herberg, und alle andere daran und darbeÿ gelegen den Fettichischen bißhero gehörige häußer sambt dero hoffen, hoffstätten, gartten, gebaüen, begriff. Recht. und Zugehördt. wie solches alles rings umb mit einer Maur beschloßen, und geleg. in ged. Finckweiler, Under d. Fischern, ohnweit dem alt. Blaterhauß, oder neuen Schaffneÿ zu St Marx, so einseit ein Eck an der Viehgaß. hind. den Mauren geg. ged. St. Marx Pfistereÿ über, anderseit ists vorn auch ein Eck, weiter hin aber neb. Melchior Sebizio Med. Doctoris et Professoris Ehevögtlich weiß besitzenden Gartten, hind. auff den Freÿherrlich Elßenheimisch. hoff und Gartten, der Schäffoltzheimer hoff genandt, stoßend geleg. von welcher behaußung einen nebens hauß gehen jährlich auff Martini Vier gulden, Straßburger wehrung, wid. lösig mit 100 gulden ged. wehr. der Carthaus allhier – umb 1800 pfund

Fils de l’aubergiste à la Cave profonde Jean Fritsch, Jean Georges Fritsch qui est alors aubergiste à la Cave au Faucon épouse en 1667 Barbe, fille du boucher Georges Niclaus
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 63-v)
1667. G. Paschatos d. 7. Aprilis. Johann Geörg Fritsch, Würth Zum Falckenkeller, Johann Fritschen Würths Zum Tieffen Keller alhie Ehelicher Sohn, v. J. Barbara, weiland Johann Georg Niclaus, der Metzger allhie, nachgelaßene Eheliche Tochter, Copulavit Donnerst. d. 18. Aprilis Zu St. Thomæ (i 68)

Ancien aubergiste à l’Aigle noir, Jean Georges Fritsch se remarie en 1678 avec Anne Marie, fille du marchand de vins Frédéric Wolff de Barr
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 76-v n° 452)
1678. Ostern v. Quasimodogeniti d. 31. Martÿ v. 7. Aprilis. H. Joh: Geörg Fritsch burger vnd gastgeber allhier, Jfr. Anna Johann Friderich Wolff burgers v. Kieffers Zu Barr eheliche tochter. Cop. zu Barr d. 9. Aprilis (i 40)
Mariage, Barr (luth. n° 15) 1678. Zinst. den 9. April. sind nach Zweÿmaliger Außruffung eingesegnet worden Hans Georg Fritsch gewesener Gastgeber Zum Schwartzen Adler v. b. Zu Straßb. vnd Jfr. Anna Wölffin H Friderich Wolffen b. v. Weinhändlers alhie ehl. Tochter (i 129)

Le marchand de vins Jean Georges Fritsch se remarie en 1688 avec Ursule Wolff, fille de l’aubergiste Georges Wolff de Barr et veuve du teinturier Georges Frédéric Merckel
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 3-v n° 11)
Dom. 4. et 5. Epiph. alß den 1. v. 8. febr. 1688. seind Zu St Thomæ proclamirt word. H. Johann Geörg Fritsch burger und weinhändler allhier, undt Fr. Ursula weÿl. Geörg Friderich Merckels gewesenen Burgers und ferbers Zu Barr wittib. die Einsegnung ist geschehen Zu Barr Dienstag den 10. febr. 1688. (i 4)
Mariage, Barr (luth. n° 5) 1688. Eodem tempore [Domin. III et IV Epiphan.] wurden allhier außgeruffen v. Dienstags darauff als den 10. febr. copulirt herr hanß Georg Fritsch, burger b. handelsmann in Straßburg v. Fraw Ursula Wolffin weÿl. herrn Heinrich Fridrich Mercklins gewesenen Gerichtsverwander wie auch schwartz v. schönferbers allhier hinterl. wittib (i 147)

Mariage, Barr (luth. n° 11)
1659. Dominicâ VI. et VII. Trinitatis Wurden Zu Zweÿmahlen proclamirt und dann Montags darauf als den 18. Julÿ eingesegnet Geörg Fridrich Mercklein, der ferber allhier, Weÿlanndt Geörg Friderich Mercklins burger und gastgebers Zu Ofweÿler Hanauischer herrschafft unndt jungfr. Ursula Herr Geörg Wolff des Wurth und gastgebers Zum rindsfus eheliche tochter (i 213)

Ursule Wolff acquiert le droit de bourgeoisie par son mari deux ans plus tard
1690, 4° Livre de bourgeoisie p. 570
Ursula Wolffin Von Barr gebürtig, weÿl. Georg Wolffen geweßenen weißbecken V. burgers daselbst nachgelas. tochter, empfangt das burgerrecht Von Hannß Georg Fritschen dem Weinhändler Ihrem Ehemann p. 2. Gold fl. 16. ß. so sie bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor schon Verheurathet gewest V. wird beÿ E: E: Zunfft der Freÿburger dienen. Prom: d 10. May 1690

Le marchand de vins Jean Georges Fritsch qui est bourgeois depuis vingt-cinq ans s’adresse aux Conseillers et aux Vingt-et-Un pour ne pas régler d’impôts fonciers à la fois à Strasbourg et à Barr sur des biens que sa femme possède à Barr. Le préteur Obrecht déclare qu’il n’y a pas double imposition mais ordonne d’écrire au bailli de Barr pour expliquer l’inégalité entre contribuables. L’assemblée renvoie Jean Georges Fritsch à son jugement quand il réitère sa demande dix mois plus tard.
1692, Conseillers et XXI (1 R 175)
(f° 332) Sambstagß den 13.ten Xbr 1693. – Hannß Georg Fritsch der Weinhändtler pt° auf seine Barrer güther
G. nôe Hannß Georg Fritschen burgern und der Weinhändtlers alhier, prod. memor. mitt beÿl. sub N° 1 et 2, berichtet, Er seÿe beÿ 25. Jahren burger alhier, Habe vor 5 Jahren an Ursulam weil. Joh: Friderich Merckhelß geweßenen burgers und Schwartzfärbers Zu Barr hint. wittib sich verheurathet, Ihr Vermögen auf 3000 fl. darunter mehr nicht alß 4. Ackher Reeben im Barrer Bann begriffen, auf der Statt Stall declarirt, um laut scheins biß dato ordnungs mäßig verstallt, und seÿe Ihme weg. seiner frawen liegender güther im Ampt Barr niemahlen nichts abgefordert worden, vor wenig Monaten Habe man Ihme beÿliegend Forderung sub N 1. Zu geschicktgleich wie Er aber unter diejenige Barrer vnterthanen, welche sonsten mit dergleichen beschwärden belegt Zu werden pflegen, nicht gerechnet werden Kann, sondern verhoff wie andere hiesige burgere so considerable guther in besagtem ampt besitzen, und weder der gemeidte noch der Herrschafft etwas beÿtragen exempt seind, Er auch also gehalten und freÿ gelaßen werden solle damit Ihme nicht doppelt aufgelegt werde, was Er hier in Stallgeld Zahle, darauß unter dem nahmen gewerf noch ein mahl Zahlen müße. Wolle also umb gleichhaltung und resp: billiche exemptio bitten.
Herr prætor Obrecht, wan das gewerf Zu Barr hiesigen Stallgeld gleich gehalten werde, könne implorant nicht doppelt belegt werden. Es scheine, es gehe eine Ungleichheit vor, wie implorant auch deutlichen darauff sich beziehet, umb eÿgentl: nachricht Zuhaben, wie die burger wegen ihrer güther alda angelegt werden, können Hrr Amptmann solches außfürlich berichten und eine Listen schicken, wer, wie und von was güthen die anlaage geschehen, darauff beÿ den V.O. Herren die sach bedacht werden.
Erkandt man solle an Herrn Amptmann schreiben, seinen außführlichen bericht begehren wie es mit anlaagen gehalten werd. und dann die gleichheit Zu wißen, derselbe ein Vollständig estat machen Von allen güthern so hießigen burgere im Ampt haben, wie sie angelegt, und was von Ihren bezahlt werden. H. XV. Brand, H. Daniel Dietrich.

1693 Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 207) Sambstags de, 28. 9.bris 1693 – Johann Georg Fritsch pt° aufflag. zu Barr
G. ersch. Johann Georg Fritsch burger und Weinhändler alhier p.ducirt nochmaliges Underth. Memoriale und b. pt° ihme Zu Barr geford.ten aufflag.
Erk. Soll implorant Zur ruhe gewießen werd. in deme die sach schon einmahl judiciret
H. XXI. Brackenhoffer, H Pfeiffer.

Jean Georges Fritsch hypothèque la maison au profit de l’étudiant en droit Albert Mappus

1701 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 576
Joh: Georg Fritsch der weinhändler
in gegensein Hn Alberti Mappus studiosi juris so unbevögtigt, schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, deß debitoris im finckweiler liegende haüßer, sambt dem garthen und allen übrigen Zugehörden, wie selbige Vom dem debitore erkauft u. in der CContract Stub unterm 11.ten Febr. 1697 umständlich beschrieben seind

Jean Georges Fritsch loue la maison dite à l’Ange à Agnès Kopp

1705 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 611-v
Joh: Georg Fritsch weinhändler
in gegensein S.T. Hn Daniel Andres König banquiers u. XV.ners alß vogts frn. Agnes koppin geb. (-)
entlehnt, ahn seinem hauß allhier beÿ St marx d. häußlein zuem Engel genant auf deß verleihers Hoff stoßend gelegen, nichts darvon außgenommen, auf 9 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1705 – um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund

Jean Georges Fritsch hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Marc Mappus

1709 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 507
Joh: Georg Fritsch weinhändler
H. Marcus Mappus Med: Dris und Practici 500 pf
unterpfand, seine Häußer u. Garten daran c. appert: allhier im finckweiler, einseit aufs allmend anderseit neben dem heffenbachischen Garten hinten auf den Schäffoltzheimer hoff

Jean Georges Fritsch meurt en 1714 en délaissant deux enfants issus de ses deux premiers mariages. Le billet d’estimation établit en 1707 estime la cour Lumbard à 1 650 livres, celui établi en 1714 à 1 825 livres.

1714 (5.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 1) n° 85
Inventarium über Weÿland H. Johann Georg Fritschen geweßenen Weinhändlers und Burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1714.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Gütter, Ligender und vahrender nichts davon außgenommen, so weÿland Hn Johann Georg Fritsch, geweßener Weinhändler und Burger alhier nach seinem den 24. Xbris des nechstabgelegten 1713.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Wie Solche auf freund fleißiges ansuchen erfordern und begehren H. Georg Fritschen des Metzigers und burgers alhier vor sich selbst so dan frauen Annæ Salomeæ gebohrner Fritschin H Johannes Röschen des Rothgerbers und Lederbereiters auch burgers alhier gel. Ehegattin mit beÿstand deßelben, welche beÿde der Verstorbene herr seel. in erster und 2.ter Ehe ehelich erzielte und per Testamentum Zu Kinder und Erben Verlaßen heut dato ordnungsmäßig inventirt – So beschehen in dießer Königlichen freÿen Statt Straßburg den 5. Januarÿ Anni 1714.
Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiller gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig und deßwegen hernach fol: (-) beschriebenen behaußung und sonsten befund.
Schreinwerckh. Auff dem Casten, Im obern Stübel, Im obern Sahl, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Magd oder Nebens Cämmerl. Im Hausöhren, In der Understen stub, Im undern Saal, In der Cammer darneben, In der officier Knechts Kammer (…)
Sa. hausraths 178, Taback 7, Vaß und Wein 622, Guldene Ring 3, Baarschafft 144, Schulden 3263, Eÿgenthum ane Häußern 2200
Passiv Schulden 1645, Nach deren defalcirung bleibt noch übrig 1617
Stall Summ 2692 lb
Eÿgenthum ane Häußern und Gartten. Eine behaußung, etwann der Lumpartisch hoff genant, ferner die Alte elende herberg, und alle andere daran und darbeÿ gelegen, und darzu gehörige Häußer, sambt dero höffen, hoffstätten, Garthen, Gebäuen, begriffen und Zugehörden, wie solches alles ringsumb mit einer Maur beschloßen und gelegen im finckweiller, under den fischern, ohnweit dem alten Bladerhauß, oder neüen Schaffneÿ St. Marx, so i. seit ein Eckh ane der Viehegaß, hinter den Mauren, gegen gedachter St: Marx Pfistereÿ hinüber, 2.s ist Vornen auch in Eckh, weitershin aber neben einem Garten etwann denen Sebitziusischen Erben gehörig, hinten auff den freÿherrlich Elsenheimischen Hoff und Garten oder Schäffoltzheimer hoff genant, so allerdings freÿ ledig und eÿgen Zumahlen die behaußung Von denen geschwornen Hh. Werckmeistern Crafft dero Abschatzung vom 4. Januarÿ 1714. umb 1825. lb d. der Garten aber durch Hn Abraham Heÿdeln den Schätzer Vermög deßen Abschatzung v. 5.ten Januarÿ gemelten Jahres gewürdiget umb 375. lb d machen beede außwürff Zusammen 2200 lb. Darüber besagt ein Pergamentiner Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contractstub anhagendem Insigel Verwahrt und datirt den 11. Februarÿ Anno 1697. mit altem lit A. bezeichnet und dabeÿ gelaßen
[annexé à l’inventaire n° 83] Abschatzung d. 5. Junÿ aô 1707. Auff begehen des Ehrhafften und bescheidenen herren hannß geörg Fritsch Weinhändler ist eine behausung allhier in der statt Straßburg im Finckweÿler beÿm bladter hauß gelegen, einseits neben Niclaus Strobier blumen gärdtner anderseits ein Eck gegen dem bladter hauß übern hinden auff dem Elsenheimiger hoff stosendt Welche behausung Zweÿ Nebens Mittel gebäw zweÿ höfflein, dreÿ brünnen stallung und Scheyr sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschworne Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor undt Um Dreÿ tausendt undt dreÿ hundert gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
[annexé à l’inventaire n° 83] Abschatzung den 4. Januarÿ anô 1714. Weilland des Ehrenhafften vnd bescheidenen H: hannß Görg Fritsch. Weinhändler hinderlaßene Seelig Erben ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg im Finckh Weÿler, beÿ dem bladter hauß gelegen, Ein seids Neben Nicolaus Strobier, blumen gärtner ander Seids Ein Eck, gegen dem blater hauß über, hinden auff dem Elsenheimeger hoff Stosendt, Welche behaußung Zweÿ Nebens vnd Mittel gebeÿ, Zweÿ höfflein, dreÿ brunen, stallung vnd scheüren, sambt aller Ihrer Recht vnd gerechtigkeÿt, wie solichs durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleüth sich in der besichtigung befundten, vnd dem Jetzigem preiß nach angeschlagen Wirdt, Vor undt Umb Dreÿ tausendt undt Sechs hundtert Fünffzig gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs

Fils de l’aubergiste Jean Fritsch et de Marguerite Mornhinweg, le marchand de vins Jean Georges Fritsch meurt à l’âge de 67 ans. Son fils Jean Georges et son gendre Jean Rœsch sont témoins de l’acte.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1712-1741, f° 18 n° 110)
Anno 1713. den 24. decembr. Nachts Zwischen 10. und 11 Uhren ist gestorben Johann Geörg Fritsch der burger und weinhändler alhie seines alters 67 Jahr 3 Monath deßen Eltern waren Johannes Fritsch der burger und würth Zum tieffen Keller alhie und seine Ehefr. Margaretha geb. Mornhinweg, ist darauf den 27. ejusd. auf dem Gottes Acker S. Galli begraben und von mir M Philipp Strohl ein leich Sermon gehalten worden [unterzeichnet] hanß georg fritsch als sohn, Johann Rösch Als tochterman (i 20)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la légataire non bourgeoise doit régler le droit de détraction. Le défunt payait ses contributions sur un pied de 3 400 florins, l’inventaire établit une fortune de 3 100 florins
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 79
(Gerber, F. N° 1259) Weÿl. Fr. Mariæ Felicitas gebohrne Bühttingerin, auch Weÿl. Hn Geörg Sigmund Fettich geweßten J.V.C. und burgers alhier Hinderlaßener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Reinhard Lang.
Concl. fin. Inv. ist fol. 75.b, 1557. lb 17 ß 2. d, die machen 3100 fl., dieselbe verstallte Hingegen 3400 fl.
Extat kein Stallgeltt
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 17 ß 6 d – Summa 1. lb 18 ß 10 ß
Abzug. Anna Catharina Claußin von Schopfheim aus der Marggraffschafft Durlach gebürtig die dienstmagd soll von anverschafftem legat so 21. lb 6 ß auswirfft den Abzug erlegen mit 2. lb
(rub.) Vermög Erkantnus gnäd. Herrn der Fünff Zehen vom 2.° Jan. 1714. ist vorstehender Abzug in gnäd. nachgelaßen word.
dt. obige Summam der 1. lb. 18. ß 10. d sambt 10. lb 4 ß Stallgeltt pro 1714. et 1715. so seithero der abhandlung verfallen d. 28° Septembris 1715.

L’héritière Anne Salomé Fritsch se marie en 1699 avec le tanneur Jean Rœsch& : contrat de mariage, célébration
1699 (7.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 128
Eheberedung Zwischen H Johann Röschen Rothgerber und Lederbereiter burgern allhier als den Hochzeiter, beÿständlich Herrn Geörg Röschen auch Rothgerber vnd Lederbereiters Burgers Zue Straßburg des hochzeiters Vattern v. H Andreæ Dietzen weißgerbers v burgers Zu Barr deßelben vogts ane einem
So dann Jgfr. Annæ Salome, Herrn Johann Geörg Fritschen Weinhändlers und burgers allhier mit Weÿl. Frawen Annæ gebohrner Wolffin seiner haußfrawen seel. ehelich erzeugten dochter, ams der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand erstgedachts Ihres H. Vatters und Herrn Matthæi Lambrechts au Weinhändlers vnd burgers ammhier deroselben geschwornen Vogts andern theils
Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Sambstags den 7. febr. Anno 1699 [unterzeichnet] Johannes Rösch Als Hochzeiter be Kene Wie on stehet, anna Salome fritschin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 70-v n° 381)
Heüt den 4. Martÿ 1699. sindt auff geschehene ordentliche proclamation Copulirt worden Johannes Rösch der ledige Rothgerber undt lederbereiter H Geörg Röschen burgers undt Rothgerbers allhier ehelich. Sohn, undt Jfr. Anna Salome Fritschin, H Johann Geörg Fritschen burgers und Weinhändlers alhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Rösch als hochzeiter, anna Salomea als hochzeiterin (i 73)

Jean Rœsch et Anne Salomé Fritsch hypothèquent la maison au profit de l’étudiant en droit Albert Mappus

1716 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 645
Johann Rösch rothgerber und Anna Salome geb. Fritschin beÿständlich Joh. Georg Fritsch metzgers und Abraham Schott weißgerbers
in gegensein H. Albertus Mappus Jurium Candidati – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, ihr hauß höfflein hoffstatt nebens häußer zum großen hoff gehörig mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten im Finckweiler auch der Garten daran, einseit neben Straub dem Kunstgärtner anderseit neben dem Schäfoltzh: hoff hinten auf ihn Straub vornen aufs allmend

Le tanneur Jean Rœsch meurt en 1718 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Dentelles. La maison appelée cour Lumbart puis auberge des Pauvres passants comprend un bâtiment avant dit à l’Ange (Zum Engel) et une petite maison dite au Four (Zum Bachoffen), le tout entouré d’un mur ; elle est estimée à 1 475 livres et le jardin à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 1 501 livres, celle propre aux héritiers de 3 974 livres. L’actif de la communauté s’élève à 846 livres, le passif à 3 410 livres.

1718 (24.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1425
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte herr Johannes Rösch geweßene Rothgerber, Lederbereiter und burger allhier zu Straßburg nun mehr seel. nach seinem den 19. Martÿ innstehenden 1718.ten Jahrs aus dießer welt genommenen Tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Großen Weißbecken und burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Mariä Salome, Johann Friderichs, Annä Mariæ, Susannæ Mariæ und Johannis der Röschen, aller fünff des abgeleibten seel. mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Fraw Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben fleißig inventirt und ersucht durch die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Annam Salome gebohrne Fritschin die hinderbliebene Wittib beÿständlich des Ehren und Vorgeachten Herrn Andreas Keller Pfisters Zu St. Marx u&é auch burgers allhie Ihres geordneten Curatoris (…) So beschehen allhier in Königl. St. Str. Dienstags den 24. Maÿ Anno 1718.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane der Spitzengaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der öbersten bühn, In der Cammer A, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, Vor dießen Gemachen, In der Wohnstub, In Christian Schotten Wohnstuben, In dem Haußöhren, In der officier Stub, In der Soldaten Küchen, In der Wohn Küchen, Im Keller – Im Hauß im Finckweiler
Ergäntzung der fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens, Innhalt Inventarÿ über deroselben in den Ehestand zu dem Verstorbenen seel. gebrachte Nahrung in A° 1699. durch H Notarium Johann Friderich Redwitz expedirt
Wÿdumbs Verfangenschafft Fraw (-) gebohrne (-) weÿland herrn Friderich Wolff geweßenen Weinhändler und alten heimburgers auch Kirchenpflegers Zu Barr hinderbliebene Wittib und dießoths großmutter
Wÿdumbs Verfangenschafft Geörg Reichenbach der Schwartz und Schönfärber burger Zu Barr geneußt von weÿl. Frawen Margaretha gebohrner Röschin seiner erstern haußfrauwen der abgeleibten schwester seel.
Eÿgenthumb ane Häußern und Lohe Mühl. (W.) Eine behaußung, etwann der Lumpartisch hoff genannt, ferner die alte elende herrberg sampt dem daran gelegen und darzu gehörigen Vorderhauß Zum Engel genannt, und dem Zum Bachoffen genannten häußlein mit dero höffen, hoffstätten, garthen, gebäwen, begriffen und Zugehörden, wie solches alles rings herumb mit einer Maur beschloßen und gelegen im finckweiller, under den fischern, ohnweit dem alten Bladerhauß, oder neüen Schaffneÿ St. Marx, so einseit ein eck ane der Viehegaß, hinter den Mauren, gegen gedachten St: Marx Pfistereÿ hinüber, anderseit ist Vornen auch in eck weitershin aber /:theils neben einer weÿl. georg Fritschen geweßenen Metzger v. burgers allhier der Wittib bruders seel. Kindern Zuständigen behausung so wor Zeiten auch zu dießem hoff gehörig war, theils:/ neben einem Garten etwann denen Sebitziusischen Erben gehörig hinden auff den freÿ herrlich Elsenheimischen Hoff und Garthen oder Schäffoltzheimer hoff genannt, so allerdings freÿ ledig und eÿgen+ Zumahlen die behaußung Von denen allhießig geschwohrnen Werckmeistern crafft dero abschatzung vom 21 Maÿ 1718 umb 1475. lb d. der garthen aber durch Hn Abraham Heÿdel E. E.Großen Raths allhier alten beÿsitzern und geordneten Schätzer beÿ E E Zunfft der Garttner Underwagner gewürdiget Vor 325. lb d. Machen alßo beede außwürff Zusammen 1800 lb. Darüber /:und über Vorberührte Zu dießem hoff gehörig geweßene behaußung:/ besagt ein pergamentiner Kbr. mit der St. Str. anhangenden Innsiegel Verwahrt, datirt den 11. Febr : A° 1697.
(E.) It. Hauß und hoffstatt in der Spitzengaß (…)
(T.) It. Zwen neuntetheil für unvertheilt an einer Lohmühlen von Zween gängen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ Der Fraw Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 100, Sa. Leeren vaß 110, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 76, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 1800, Sa. eÿgenthümblich Liegender Güther 279, Sa. Schuld 75, Summa summarum 2444 lb – Schulden 942, Nach deren Abzug 1501
Der Erben unverändert Guth belangend, Sa. haußraths 84, Sa.Leerer Vaß 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 625, Sa. eÿgenthümblich Liegender Güther 552, Sa. Eÿgenthumbs ane einem hauß 475, Sa. Ergäntzungs rests 2600, Summa summarum 4349 lb – Schulden 375, Verbleiben 3974 lb
Das Theilbahre Guth betreffend, Sa. haußraths 103, Sa. Werckzeugs Zum Rothgerber handwerck gehörig 7, Sa. Wein und Leerer Vaß 317, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. goldenen Ring 2, Sa. Eigenthums ane einer Lohmühl 147, Schulden 248, Summa summarum 846 lb – Schulden 3410 lb die Theilbare Passivva übertreffen das Theilbar Guth 2563 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2887 lb – Verlohrene Schulden der Fraw Wittib unverändert 7, Zweiffelhaffte und Verlohrene Pfenningzinß hauptgütere 94 lb, Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in der Erben unverändert Nahrung 53 lb
Abschatzung d. 21.ten Mäÿ Anno 1718. Weÿlandt, deß Ehrenhafften, vnd bescheÿten H: Johannes Rösch Rothgerber, Seel hinder laßene Frau Wittib vndt Erben ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg in dem Finckhwiller gelegen, Ein seÿth Neben dem Schaffelser hoff, Ander seith Neben H: Strobier garten hinden Auff Vor gedachten Strobier stoßend Welche behaußung, hoffstatt, Zweÿ Nebens gebeÿ, Einen sall, Mehr, Ein Neben gebeÿ dreÿ gebälckte Keller Stall, hinden im garten Zweÿ Nebens häußlein schopf vnd Ein Sumer haüßel, hoff vnd Zweÿ brünen Sampt Aller Ihrer gerechtigkeit, wie solches durch der Statt geschwornen werckhleüthen in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach Angeschlagen Wirt Vor und umb Zweÿ tausent Nein Hundert vnd Fünfftzüg Gulten
der Ander begriff Ist Auch Alhier in der Statt Straßburg inn der spitzen gaßen (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren werckh Leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters

Anne Salomé Fritsch veuve de Jean Rœsch hypothèque la maison au profit de Jean Bechtold, receveur des fondations de la Chartreuse et de Saint-Nicolas-aux-Ondes

1720 (30.11.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 549-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Johann Röschen gewesten Rothgerbers wittib mit beÿstand dero gewesten Vogts andres Kellers Pfisters zu St Marx
in gegensein Hn Johann Bechtolds der Stifftungen Carthauß und St Nicolai in Undis allhier Schaffners – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, der Fr: debitricis eigenthümliche behausung und gartten sambt allen dero gebäuden, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in dem Finckweiler, einseit neben dem Straubischen garthen anderseit neben dem allmend hinten auff den so genannten Schäffoltzheimer: hoff garthen

Anne Salomé Fritsch se remarie en novembre 1720 avec le boucher Laurent Rhein, de Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1720 (5.11.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1001
Eheberedung Zwischen Herrn Lorentz Rheinen, Metzgern und burgern Zu Schiltigheim als dem bräutigamb, beÿständlich herrn hanß Georg Rheinen burgern und Würth Zum Schlößlein Zu Schiltigheim und H. Christian Schotten, Rothgerbern und Burgern allhier Zu Straßburg an einem
So dann Frauen Anna Salome Röschin gebohrner Fritschin, weÿl. H Joh: Röschen geweßenen Rothgerbers und Burgers allhier Zu Straßb. seel. hinterbliebene Wittib als der Fr. Hochzeiterin mit assistentz H Andreæ Kellers, Pfisters Zu Marx deroselben geschwornen Curatoris und H Johann Großen, Weißbecken der Fr. Hochzeiterin in erster Ehe erzeugtuer Kinder Vögten, beeder burgere zu gedachtem Straßburg andern theils
Actum Straßburg Dienstags den 5. Novembr. A° 1720. [unterzeichnet] Lorentz Rhein als hochzeiter, anna Salomea röschin gebohrne fritschin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 172-v n° 989)
Anno 1720. den 4. Novembr. seind nach geschehene ordentliche ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden, Lorentz Rein, der burger und Metzger Zu Schiltigheim und Fr. Anna Salome weil. Johannes Rösch, deß gewesenen burgers und Gerbers alhie, nachgelaßene wittib gebohrne fritschin [unterzeichnet] Lorentz Rhein als Hochzeiter, anna Salomea röschin als hochzeiderin (i 176)

Laurent Rhein et Salomé Fritsch louent le jardin à l’horticulteur Abraham Esdras

1722 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 690
Lorentz Rhein der Metzger zu Schiltigheim und burger daselbst und Salome geb. Fritschin
in gegensein Abraham Esdras des Blumergärttners
Ihr der mitverlehnerin eigenthümlichen allhier im Finckweiler ahn ihrer Behausung einseit neben dem Struvischen anderseit neben dem Schäffholtzheimer gartten gelegenen gartten mit deßen zu bodengewächßen, bäumen, blumen, zwiblen, espaliers und über darinn befindlichen gewächßen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 pfund

Laurent Rhein et Anne Salomé Fritsch louent une partie de la maison à Anne Barbe Schumann veuve de Jean Kieffer

1727 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 464
Fr. Anna Salome geb. Fritschin Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim
in gegensein Fr. Annæ Barbaræ geb. Schuemännin weÿl. Joh: Jung kieffers wittib mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Georg Bürckel des kieffers
In ihrer allhier im Finckweiler einseit neben weÿl. hannß Georg Fristch gewesten metzgers Erben anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ des Stiffts St Marx über gelegenen behausung Einen auff der lincken handt des eingangs gedachtes hauß befindlichen gewölbten Keller sambt 6 Faßen, deren jedes 100 ohmen haltet, wie auch dazu gelegenen Liegerlingen – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von auff Michaelis fürwährenden Jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Laurent Rhein et Anne Salomé Fritsch hypothèquent la maison au profit de Catherine Merckel, veuve du marchand épicier Abraham Büchel

1727 (22.12.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 657
Lorentz Rhein Metzger und burger zu Schiltigheim und Anna Salome geb. Fristchin beÿständlich ihres tochtermanns hannß Jacob von Zabern Schreiners und ihres vettern Christian Schott Rothgerbers
in gegensein Fr. Catharinæ geb. Merckelin weÿl. H. Abraham Büchel Specierers wittib beÿständlich ihres Curatoris S.T. H. Johann Frantz Oeßsinger Jcti. und EE. kleinen Raths referendarÿ – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler gegen dem Stifft zu St Marx über, einseit neben weÿl. Georg Fritschen Erben anderseit ist ein eck ahm allmend hinten auff den Schäffolßheimer hoff – ihro Rheinin eigenthümlich zuständig

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Elisabeth Bechtold

1730 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 367-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein metzgers zu Schiltigheim hinterl. hier verburgerte wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Daniel grießbach des Rothgerbers und Lederbereithers
in gegensein H. Johannes Silberrad Beÿsitzers und Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung als curatoris Jfr. Mariæ Elisabethæ Bechtoldin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: Mittel: und hindergebäu hoff gartten Scheur und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit neben dem Struvischen gartten Nicolaus Struve dem Doctor: gärtter gehörig, anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über hinten auff den sogenannten Schäffoltzheimer hoff

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein loue une partie de la maison au tonnelier Jean Conrad Kieffer

1730 (28.8.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 386
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein metzgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich ihres Vogts H. Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereithers
in gegensein Johann Conrad Kieffer des kieffers
In ihrer eigenthümlichen im Finckweiler einseit neben dem Struvischen gartten Nicolaus Struve dem Doctor: gärtter gehörig, anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über, hinten auff den sogenannten Schäffoltzheimer hoff gelegenen Behausung unter der von Titotischen Fr: wittib besitzenden und entlehnten wohnung lincker handt, einen gewölbten Keller sambt 6 ohngefähr 600 ohmen haltenden Faßen und dero liegerlingen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkommend Michaelis fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Jean Spielmann, receveur de Saint-Marc

1731 (1.6.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 241
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers und burgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich Johann Daniel Grießbach Rothgerbers und Curatoris
in gegensein H. Johannes Spielmann Schaffners zu St Marx – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß Scheur Stallung hoff gartten weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit ist ein eck ahm Allmend gegen des Stiffts zu St Marx Pfistereÿ über anderseit neben theils ihres bruders weÿl. hannß Georg Fritsch gewesten Metzgers erben theils Struve dem Doctor: gärttner hinten auff S.T. H Præsident von Klinglin

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit des enfants mineurs du boucher Abraham Kamm

1731 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 101-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene Wittib beÿständlich ihres Curatoris Daniel Grießbach Rothgerbers und Lederbereiters
in gegensein Gerhard Zentler des Metzgers als vogts weÿl. Abraham Kamm gewesten Metzgers hinterlassenen 5 Kinder Abraham, Friedrich, Susanna, Cleophea und Salome der Kammen – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß Scheur Stallung hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit ist ein eck ahm Allmend gegen dem Allmoßen zu St Marx über, anderseit neben weÿl. Johann Georg Fritsch gewesten Metzgers, der Schuldenerin bruders seel. Erben hinten auff S.T. H. Præsidenten von Klinglin
wobeÿ ferner erschienen der debitricis tochtermann hannß Jacob von Zabern Schreiner, verbürgt unterpfand, Einen dritten theil für ohnvertheilt ane einer behausung und hoffstatt cum appertinentis einseit ist ein eck ahm Steingäßel anderseit neben Emanuel Brantz dem versilbert Knopff und Pferdzeugmacher hinten auff H. Not. Adam Clauß dem haagschreiber – ihme zu einem, seinen beeden geschwisterden aber zu denen übrigen zween dritten theilen

Anne Salomé Fritsch ratifie le legs d’une des maisons (celle à l’est) que son père a fait à son fils Jean Georges Fritsch

1733 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 213-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Johann Rösch Rothgerbers allhier und nachgehends weÿl. Lorentz Rhein Metzgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich ihres Curatoris Johann Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereiters, Ferner dero in erster ehe mit obged. Röschen erzeugte annoch lebende Kinder Maria Salome geb. Röschin Johann Jacob von Zabern des Schreiners Ehefrau, Johann Friedrich Rösch der Rothgerber, Susanna Maria geb. Röschin Johannes Borst des küblers eheweib, weither weÿl. Anna Maria geb. Röschin Johann Adolph Rhein des Metzgers zu Schiltigheim Ehefrauen hinterlassenen einigen Kinds Johann Adolph Rhein geschworner vogt Michael Fleischmann auch Metzgers allda, so dann Johannes Groß der Weißbeck als vogt Johannes Rösch des Rothgerbers Lehrjungen, weither ihr Rheinische wittib in letzter ehe erzeugten einigen Kind Maria Magdalena Rheinin geordneter vogt Johann Michael Rhein adlerwürths zu Schiltigheim alle dieße an einem
und weÿl. Johann Georg Fritsch gewesten Metzger hinterlassenen Kinder Maria Dorothea geb. Fritschin Friedrich Kreuchel des Kieffers Ehegattin beÿständlich ihres hauswürths und hannß Peter Scheppler des Schneiders und erstgedachter Kreuchel als gewalthaber Johann Georg Fritsch des ledigen sich zu Collmar auffhaltenden Blumengärttners am andern theil
demnach ihr Rheinische wittib und dero bruders weÿl. Johann Georg Fristchen vatter seel. weÿl. Johann Georg Fritsch der weinhändler allhier in seinem vor weÿl. Johann Friedrich Redwitz Notario am 18. Aprilis 1710 auffgerichteten Testamento Nuncupativo §° 4° bemeltem einem Sohn Johann Georg Fritsch das Undere hauß im Finckweiler beÿ dem Stifft St Marx einseit neben Nicolaus Struve den Doctor: gärttner anderseit neben der Reinischen wittib hauß hinten auff eben denselben und gedachten Struven gartten stoßend gelegen, samt 6 mit eißen gebundenen Wein Faßen (…) umb 1000 gulden jedoch mit dem anhang prælegirt, daß ihme verbotten sein und er nicht macht haben solle obbenambstes hauß zu verkauffen oder zu versetzen, sondern solches auff seine Kinder und Kindes Kinder immerfort in mangel aber oder auff absterben des letztern Fritschen wieder zurück auff obbenamste Fr. Salome Röschin oder dero Kinder und linie kommen und erwachßen solle
verglichen daß sie Reinische wittib und dero Kinder wie auch enckel (…) verzug thun, mithin mehrerwehnte behausung und capital denen Fritschischen Kindern und dero erben als ein völliges ohnverfangene so* eigenthümlich entschlagen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Jacqueline Bæhr, veuve du secrétaire Geoffroi Samuel Werner

1733 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 248
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Daniel Grießbach des Rothgebers, Ferner dero einer Sohn erster ehe Johann Friedrich Rösch des Rothgerbers
in gegensein Fr. Mariæ Jacobæ geb. Bährin weÿl. Gottfried Samuel Wörner des haagschreibers hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Rudolph Schranckenmüller des vormaligen weißbecken – schuldig seÿen 300 pfund wovon die mutter 200 und der sohn 100 pfund
unterpfand, eine Behausung bestehend in Vorder hinder: und Nebens gebäuden hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben zugehörden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit neben weÿl. Johann Georg Fristch Metzgers erben anderseit ist ein eck am allmend gegen der Pfistereÿ des stiffts zu St Marx hinten theils auff H. von Bürckwaldt theils auff Nicolaus Struve des Doctor: garttners gartten
Einen fünfften ohnvertheilt antheil ahne Einer Behausung und hoffstatt mit zugehörden und rechten ahne der Spitzengaß, einseit neben weÿl. Johann Jacob Hornus Rothgerbers erben anderseit neben Gottlob Nödtel dem haffner hinten auff den Gerbergraben – ihme zu einem und seinen geschwisterden zu vier 5.te theilen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein loue une cave au brasseur Jean Daniel Euler. Le bail est reconduit par Jean Certain en 1737

1734 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 20
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib beÿständlich Johann Daniel Grießbach des Rothgerbers ihres Curatoris
in gegensein Johann Daniel Euler des Bierbrauers
In ihr der verlehnerin eigenthümlich im Finckweiler einseit neben Nicolaus Struve dem Doctor: gärttner anderseit am Allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über gelegene behausung Einen gewölbten lincker hand des eingangs befindlichen hindersten Keller sambt 6 Faßen ; anfangend am heutigen tag, um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund
[in margine :] Jean Certain Marchand Confiseur als dermaliger proprietarius der beschriebenen Behausung, Johann Daniel Euler auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstbevorstehenen Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund, den 9. sept. 1737

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit du consul régent Jean Frédéric Œsinger

1734 (31.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 201
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib beÿständlich ihres Curatoris Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereiters und dero eine Sohn erster ehe Johann Friedrich Rösch der Rothgerber
in gegensein S.T. H. Johann Friedrich Oesinger Jcti. und regierenden H. Ammeisters – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, die Rheinische wittib, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinder haus, Scheur, Stallung, hoff, Gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten im Finckweiler einseit ist ein eck am Allmend gegen dem Stifft zu St Marx über anderseit neben weÿl. Johann Georg Fritsch metzgers der Rheinischen wittib bruders seel. erben hinten auff. H. Præsidenten von Klinglin
Er Rosch aber Einen 5.ten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt cum appertinentis ahne de Spitzengaß, einseit neben weÿl. Johann Jacob Hornus des Rothgerbers Erben anderseit neben Gottlob Nödtel dem hafner hinten auff dem Gerbergraben
Item einen 5.ten von Zweÿ 9° theilen ahne einer Lohmühl vor dem weißenthurn beÿ St. Arbogast beÿ der grießbachischen walckmühl gelegen — die übrige hausantheilen aber seinen geschwisterden, die andre lohmühl theiler auch theils eben derselben theils Samuel Hetzel und Consorten zuständig
wobeÿ auch ferner erschienen ged. Rheinische tochter und tochtermann Maria Salome geb. Röschin Johann Jacob von Zabern des schreiners ehefrau mit beÿstand ihres bruders Johann Friedrich Rösch und ihres stiefbruders schwagers Johann Adolph Rhein des Metzger zu Schiltigheim (bürgschafft)
Er von Zabern Einen dritten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt sambt zugehörden ahne St Stephans Plan einseit neben ein eck am Steingäßel anderseit neben Emanuel Brantz versilbert Knopff und Pferdzeugmacher hinten auff H. Not. Adam Clauß den haag schreiber, seine beeden geschwisterden zu zwo tertzen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Elisabeth Bechtold

1735 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 27-v
Fr. Anna Salome geb. Fristchin weÿl. Lorentz Rhein des ältern Metzgers und burgers zu Schiltigheim hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres curatoris Daniel Grießbach Rothegrbers und lederbereiters
in gegensein H. Joseph Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung und dreÿers hiesigen Pfenningthurns als vogts Mariæ Elisabethæ Bechtoldin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff, gartten und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler gegen dem Stifft zu St Marx über einseit neben hannß Georg Fritsch dem Blumengärtthner und Friedrich Greichel dem Kieffer ehevögtl. weiß anderseit ist ein eck am Allmend hinten auff den Schäffelsheimer hoff

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein vend au marchand confiseur (confiturier) Jean Certain la maison comprenant deux bâtiments avant, un grand bâtiment arrière, un jardin et des bâtiments accessoires

1736 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 42
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim hinterlassenen hier verburgte wittib mit beÿstand ihres curatoris Daniel Grießbach Rothgerbers und Lederbereiters
in gegensein Jean Certain des Confiturier und Anna Maria geb. Cladÿn
Eine Behausung bestehend in zweÿen vorder häußern, einen großen hindergebäu, hoff, zween brunnen und gartten mit deren hoffstätten, scheur, stallung und allen übrigen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten etwann der Lumpartshoff vor zeithen aber zum Teutschen herrn genannt allhier im Finckweiler under den Fischern ohnweit dem alten Blatterhauß oder der neuen schaffneÿ zu St Marx, einseit ist ein eck ahne der Viehgaß, hinder der Mauren gegen ged. Stifft St Marx Pfistereÿ über anderseit neben Johann Georg Fritsch dem Blumengärttner zu Collmar und deßen schwester Maria Dorothea geb. Fr. Friedrich Kreuchel dem kieffer ehefrauen zum theil theils Sebitziußischen modo Nicolaus Struvé dem Doctor gärttner zuständigen hauß und gartten hinten auff S.T. H. Christoph von Klinglin zweÿtem Præsidenten des hohen Raths zu Colmar zugehörigen freÿherrlich Elsenheimischen hoff und gartten der Schäffoltzheimer hoff genannt – als ein von ihrem verstorbenen vatter weÿl. Hannß Georg Fritsch dem weinhändler krafft deßen vor weÿl. H. Not. Redwitz am 18. apr. 1710 auffgerichteten Testamenti Nuncupativi § drittens erhaltenes prælegat. Ist alßo der verkauff und kauff vorsbeschriebener häußer davon das große der Lumpartshoff, das zweÿte gegen St Marx über zum Bachoffen und das dritte zum Engel genannt, des garttens und übrigen zugehörden, mit auch 6 ohngefähr 600 ohmen haltender Faß und deren Liegerling, kuppfernen bauchkeßels – um 3150 pfund

Fils de Pierre Certain demeurant à Huningue, Jean Certain entre en apprentissage chez le marchand épicier Georges Frédéric Mappus
1697 (10.1.), Not. Contz (6 E 41, 30)
(Breuet d’apprentissage) fut present En personne Le S. Georges Frederic Mapus Bourgeois et Marchand Epicier icy aud. Strasbourg, Lequel a reconnu et Confessé
auoir pris En apprentissage Chez luy dans sa maison Jean Certain fils du Sr Pierre Certain demeurant à huningen pour quatre années Cosecutifes, finies et accomplies à Commencer du deux° octobre dernier de L’année passée et à finir au meme jour à La fin du present siecle, quand on comptera 1700 (…) pour le prix d’apprentissage la somme de 300 livres et 30 livres pour Damlle Mappus En Consideration du Blanchissage

Jean Certain entre au service du marchand confiseur Paul Tribert
1708 (11.1.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 16)
Obligé – xi janvier – est comparu deuant moy No° Royal, Jean Certain Jeune garçon Confiseur de profession, Lequel s’est obligé
envers le Sr paul tribert marchand confiseur Bourgeois e Lad. ville present et acceptant de Le seruir bien et fidellemt. pendant un an qui a Commencé au premier du mois de Januier et qui finira a pareille Jour de l’année prochaine en qualité de garçon de Boutique

Fils du bourguemestre Pierre Certain de Huningue, Jean Certain achète le droit de bourgeoisie le 26 mai 1716 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1716, 4° Livre de bourgeoisie p. 822
Jean Certain der Zuckerbeck Von Huningen, Weÿl. Pierre Certain gew: burgermeisters daselbst h. Sohn emp: das burgerrecht gratis, Wird beÿ E E Zunfft Zum Spiegel dienen, Jur: d. 26. Dito [Maÿ] 1716.

Fils du greffier de Huningue Pierre Certain, Jean Certain épouse en 1719 Anne Marie Cladi, fille du graveur Henri Cladi : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest vnd Vorgeachten Herrn Jean Certain Marchand Confiturier und burger allhier Zu Straßburg Weÿland S. T. Herr Pierre Certain burger Martin und Statt schreibers zu Hüningen seligen hinderlaßenem ehelichem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ Cladi, weÿland S. T. Herrn Heinrich Cladi, gewesenen Kupfferdruckers und burgers allhier seeligen hinterbliebener ehelich erziehlter Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin, am andern theil (…) in herrn Gottfried heüpels des Handelsmanns behaußung und deren obersten Eckstuben mit den fenstern auff den Münsterplatz sehend, auff Montag den 5. Junÿ im Jahr als man nach Christi unsers einigen Erlößers heÿlandt und Seeligmachers gnaden und trostreichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1719 (…) expedirt auff Montag den 31. Januarÿ Anno 1729. Johann Daniel Lang Notarius publicus

Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 39-v)
Hodie 26. Mensis Junÿ Anni 1719. (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Certain ab Hiningen oriundus Confiseur suæ p.fessionis ac Civis Huiatis. Et Anna Maria Cladin Argentinensis Defuncti Joannis Heinrici Cladi Civis Huiatis filia legitima (signé) Jean Certain, Anna Maria cladin (i 40)

Jean Certain loue le jardin au jardinier Jean David Klugshertz

1737 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 91
H. Jean Certain der Confisseur
in gegensein Johann David Klugshertz des garttenmanns
entlehnt, in einer dem verlehner eigenthümlich zuständig im Finckweiler einseit ist ein eck am Allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über anderseit zum theil neben Friedrich Kreichel dem kieffer theils neben dem Sebitziußischen Nicolaus Struwe dem Doctor: gärttlner gehörigen gartten hinten auff den Schäffolsheimer S.T. H. Præsident von Klinglin in der H. von Bürckenwald zuständigen hoff gelegenen behausung, In dem hoff eine stiege hoch Eine Stub, Stubkammer und haußöhren über der stueb die Bühn soweith sich selbige erstrecktet, einen unterschlagenen Keller über der Officiers stueb, eine unterschlagene kleine bühn, ferner einen schweinstall mit einer steinernen kripff die grueb mitten im hoff um beßerung dahin zu legen, den gantzen unter dem steinernen hauß gelegenen Saal umb gewächß dahin zu stellen, den halben undern theil der scheur jedoch daß zu der zeith da der entlehner seine früchten dreschen laßen wieder sich des gantzen underen theils der scheur bedienen möge, so dann den ganzen gartten sambt darin stehende 105 stücken ahne Roßen und Johannes trauben hencken, 42 espaliers von Möllen Pfiersing: äpffeln und Bieren, 52 stücken allerleÿ gattung hohen obstbäumen und einer von der scheur an biß an den Birckenwaldi gartten sich erstreckenden Reebhäldt – auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend von jüngst verfloßnene weÿhnachten um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund
[in fine] die thenn in der Scheur muß beÿ der lehnung durch den entlehner ohnbeschädigt abgetrenen werden (…)

Anne Marie Cladi meurt en 1740 en délaissant deux fils et une fille morte peu de temps après elle. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 9 793 livres, le passif à 2 049 livres.

1740 (18.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 51) n° 1670
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Certain gebohrner Cladiin Sieur Jean Certain, Marchand Confisseur und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauw nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1740. – nach ihrem Dienstags den 8.ten Xbris des zurückgelegten 1739.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen vnd ihr Verlaßenschafft auff gebührendes ansuchen erfordern undt begehren erstgedachten H Johann Certain des hinterbliebenen Wittibers, als welcher Jgfr. Franciscam Certain die nach derer abgeleibten seel: auch verstorbenene dochter in dießer ihrer Mutter Succession repræsentiret und dann H. Johann Baptista Zapffen des glaßers und burgers alhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Frantz Certain, des ledigen Zuckerbeckers dermahlen in der Frembde sich auffhaltend und H Joseph Certain Stud. Redoricæ beeder noch lebender herren Söhne und Von der Verstorbenen sel. Zu Zwen dritten haupttheilen ab intestato Verlaßener rechtmäsigen Erben Inventirt (…) So beschehen Straßburg Donnerstags den 18.ten Februarÿ Anno 1740.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstl. eine behaußung an St Martins platz oder dem sogenannten Garthners Marckt (…)
It. eine Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem hindergebäu, Hoff, bronnen und Garthen, mit deren hoffstätten Scheür Stallung und allen übrigen denselben gebäuden begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten, etwan der Lumpards Hoff Vor Zeithen aber zum teutschen herren genant, alhier im finckweiler ohnweith dem alten bladerhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, 1.seith ein eck an der Vieh gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx pfistereÿ über, j. s neben Maria Dorothea geb. Fritschin Abraham weÿhel des metzgers und b. allh. Ehefr. zum theil theils aber neben Niclauß Struve dem Doctor gärthner Zustendigen hauß und Garten, hinten auf den S. T. H. Christoph Von Klingling 2.ten Præsidenten des hohen Raths Zu Collmar zugehörigen freÿherrlich Elsenheimischen hoff und garthen der Schäffolßheimer Hoff genannt stosend gelegen, so gegen Miethvertrag freÿ leedig eigen und so viel die gebäu betrifft davon das große der Lumpards hoff das zweÿte gegen St. Marx über Zum bachoffen und das 3.te Zum Engel genannt wird, durch Vorenannte Hh. Experts laut erwehnter schrifftlichen abschatzung taxirt pro 1500 lb. das darab gelegene garthen aber so ungefähr 1 ¼ acker groß durch H. Theobald Von Fridolßheim GVW wie auch E. E. Großen raths alten beÿsitzer alß von seithen gnädigen Hh. den XV.en ernanten Schätzer taxirt pro 250. lb daß alßo in allem außzuwerffen 1750. Über solche behaußung gebäu und garthen meldet in teutscher perg. Kffbr. in allh. C.C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. 1736. mit Lit. F. Dabeÿ ferner i. dergl. perg. Kffbr. Vom 11. febr. 1697. mit altem Lit. A. und dermahligem Lit. G. bemerckt.
Eÿgenthumb ane einem Garthen Häußlein. Nembl. ein Garthen so ungefähr ein Acker grund in sich begreifft sambt einem wohnhauß Vornen gegen dem weeg wie auch einem Kleinen auff das waßer gehenden Sommerhäußlein
außerhalb hießiger Statt vor dem fischer thor und Vor dem sogenandten Fort Mutin (…)
Eÿgenthumb ane einem Land Guth in der Ruprechts au gelegen. Nembl. ein landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 597, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau gehörig 16, Sa. Pferd und rind Viehs 18, Sa. Waaren zum Zuckerbeckereÿ gehörig 715, Sa. Weins und faß 51, Sa. Silbers 39, Sa. goldener Ring 13, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 4250, Sa. Eigenthum ane einem garthen 150, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2875, Sa. Eigenthum ane einem Landguth 957, Sa. Schulden 110, Summa summarum 9793 lb – Schulden 2049 lb, Nach deren Abzug 7744 lb
Stallsumm 7047 lb
Copia der Eheberedung (…) expedirt auff Montag den 31. Januarÿ Anno 1729. Johann Daniel Lang Notarius publicus
Abschatzung dem 2: Januarÿ: 1740. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheidenen H: Johann Serting dem Zucker backer ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem fischmarck gelegen (…)
Der 2.t begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg hinder der Mücken gegen st: Marÿx über gelegen, Ein seitß an die frau Kreichelin, anderseitß ein Eck gegen der schafneÿ st: Marÿx hinden auff dem Pürckwaltischen hoff stoßend welche behausung, ein stuben Cammer Kuchen hauß Ehren Nebenß Cammer geträmbten Kellern, oben dar über ein stuben Cammer Kuchen und hauß Ehren dar über daß tach mit 2 besetzten bünen, daß seiten gebeü rechter handt worinen unden ein getrembter Keller, oben darüber ein stuben Cammer Kuchen haußöhren war über daß tach mit einer besetzten bienen, daß seiten gebeu Lincker handt so under einen gewölbten Kellern oben darüber der gantzen Stock Vor die ein loschirung war über daß tach welches alt und baufellig ist daß Neben gebaw worinnen ein stuben Cammer küchell und hauß Ehren worüber daß tach der hoff und bronen sambt aller gerechttig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und umb Dreÿ Tausent Gulten
Der 3.te begrieff (…)
bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und bau Meÿster, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 300 florins (1 150 livres) sur un total de 13 800 florins
1740, Livres de la Taille (VII 1178) f° 427-v
Spiegel F. N. 8082. – Weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Cladiin, H. Jean Certain Marchand Confisseur und burger alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Hoffmann
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 127.b 7744. 2. 6. Gehet ab wegen Zu 3 ½ pro Cento angelegter capitalien, nicht gnossenen activis und beÿtrags der Gemeind in Ruprechtsau 822. 14, restirt 6921. 13. 6., die machen 13.800 fl. Verstallte allein 11.500 fl, Zu wenig 2300. fl
Nachtrag Sechß Jahr in duplo à 6 lb 18 ß – 41 lb 8 ß
Und Vier Jahr in simplo à 3. ln 9 ß – 13 lb 16 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 3 ß
Abhandlung – 8 lb 2 ß 6 d, Summa 63 lb 9 ß 6 d
Von denen Herren dreÿen nachgelaßen 13 lb 16 ß, rest 49 lb 13 ß 6 d
dt. 21. Martÿ 1740.

Jean Certain loue une partie de la maison au sculpteur Jean Baptiste Joseph Visterini

1741 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 150-v
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein H. Jean Baptiste Joseph Visterini des bildhauers (signé) visterinÿ
Entlehnt, In einer in dem Finckweiler gelegen ihme dem verlehner zuständigen behausung folgende wohnung nemlich in dem hinderhauß, eine stub auf dem estern stock, Camin Cammer, zweÿ andere Kammeren samt einer Kuchen, buhn und keller – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nachstinstehende Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Jean Certain dépose son testament
1742, Not. Laquiante (6 E 41, 994)
Du 3 août 1742, Testament – fut present en personne le sieur Jean Certain Marchand Confiseur Bourgeois en Cette ville y demeurant sain d’esprit même Jugement et entendement, mesme de corps (…) a présenté et Exhibé le présent Cahier clos à Lacet bleu et muni de son cachet
Je soussigne Jean Certain marchand Confiseur Bourgeois de Strasbourg y demeurant au marché aux herbes
quatrièmement Je donne et prelegue à Joseph Certain mon fils cadet la somme de 2000 livres tournois (…)
cinquièmement Je nomme fais et institue pour mes successeurs et héritiers Jean François et Joseph mes deux fils d’entre feüe marie cladi ma femme et moi

Jean Certain loue une partie de sa maison à Jean Albert Ungerer

1744 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 68
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Johann Albrecht Ungerer
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen im Finckweiler einseit neben Nicolaus Meÿer dem brüher im schlaghauß, anderseit ist ein eck ane einem Allmend gäßlein gelegenen behausung, im eingang des hoffs rechter hand auff dem ersten stock eine kuche, stub und stubkammer und die darüber befindliche bühn, so dann im hinderhauß einen kleinen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff instehenden Annunciationis Mariæ um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden

Jean Certain se remarie avec Marie Rose Blondel, originaire de Dijon et sœur d’un prébendier de la cathédrale : contrat de mariage, célébration
1745 (25.2.), Not. Humbourg (6 E 41, 73)
Mariage – furent presens Le Sieur Jean Certain marchand Confiseur Bourgeois de cette ville, faisant stipulant et agissant pour lui et en son nom d’une part
Et dem.le Marie Rose Blondel fille majeure d’ans usante et jouissante de Ses droits de feu le Sr Pierre Blondel en son vivant marchand tapissier de la ville de Dijon et defunte damle Claudine Cenzé son Epouse demeurante aussi en cette ville, faisant stipulant et agissant pour elle et en son nom d’autre part
Fait lû et passé et interpreté en allemand audit Straßburg le 25° Fevrier 1745 En presence et de l’assistance de la part du futur époux des Sr Jean Baptiste Zapff son beau frère vitrier Bourgeois et Bernard Fugat Employé pour le roy ey de celle de la future épouse des Sr Pierre Blondel son frere pretre beneficier de la Cathedrale, Claude Henry Grimont ancien garde d’artillerie et François audran ancien greffier de villé (signé) Jean Certain Le Pere, M. R. blondel

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 72)
Hodie 2 Martÿ Anni 1745. sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Dnûs Joannes Certain, Civis ac Mercator hujas, viduus defunctæ Mariæ Annæ Clady Parochianus dicta Eccl. Parochialis Ad. .S Ludovicum intra argentinam et Dna Maria Rosa Blondel oriunda ad Sacntum Joannem urbis Divionensis filia defunctorum Conjugum Petri Blondel ac Cla(udiæ) Sansé, Parochiana supradictæ Ecclesiæ Parochialis ad Stum Laurentium (signé) Jean Certain le Pere, Marie rose blondel, Blondel capallanus (i 38)

Marie Rose Blondel fait dresser l’inventaire de ses apports rue des Echasses dans la maison au Grand Turc où elle habitait avant son mariage
1745 (17.3.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 9) n° 35
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab undt Nahrung, So die Ehren undt tugendsame frau Maria Rosa Certain gebohrne Blondelle, des Ehrenhafft undt wohlachtabren Herren Johann Certain vornehmen burgers undt Zuckerbeckers allhier Eheliche Haußfr. Zu vorwohlgedachtem jhrem Eheherrn für unverändert in den Ehestandt mitgebracht, welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehrender Ehefrauen Zu verhütung künftigen streits und weiß verständtnuß der in ihrer vot H. Notario Hombourg auffgerichteten Eheberedung stipulirten Ergäntzung wegen – so beschehen in der köigl. freÿen Statt Straßburg Mittwochs d. 17.ten Martÿ 1745.
In einer allhier Zu Straßburg in dem Steltzen gäßel gelegenen Zum Großen turcken benannten Behaußung, allwo Eingangs gedachte Frau biß Zu ihrer verheurathung wohnhaft war, ist befunden worden wie folget
haußrath 365, Silber 8, Goldene Ring, baarschafft 113, Summa 508 lb

Marie Rose Blondel devient bourgeoise une semaine après son mariage
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 202
frau Marie rose gebohrne Blondelle Verheurathet an Jean Certain den burger und Zuckerbecken allhier erhaltet das burger recht wegen hoher recommendation gratis, und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum spiegel, promis. eodem [10. Martÿ 1745.]

Jean Certain loue sa maison, sauf les localités qu’occupe Albert Unger au vice-messager de la Taille Jean Adam Sebastian
1745 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 817-v
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Johann Adam Sebastian des unter Stallbotten
entlehnt, Eine ihme dem verlehner eigenthümlich gehörigen im Finckweiler gegen der Pfistereÿ zu St Marx einseit ist ein eck am Allmend anderseit zum theil nebenJohann Nicolaus Meÿer dem brüher im Schlaghauß theils neben Nicolaus Struve dem gärtner des Horti Medici, hinten auff das Bürckenwaldische hauß, mit ausnahm derjenigen wohnung so dermalen Albrecht Unger der metzger inne hat, als welche der verlehner sich vorbehaltet, eine stub stubkammer neben dem großen Saal unten auff dem boden eines kleinen gewölbs mit einer eisernen thür der obern wohnung bestehend in einer großen stub zweÿ Kammeren und kleinen stübel, welche letztere wohnung aber nur in dem fall vorbehalten wird wann der verlehner selbige selbsten besizten und genießen wolte wovon als dann von dem zinß jährlich 36 gulden abgehen sollen – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Weÿhnachten
der in dem vorderhauß wohnende Wascherin ist erlaubt wochentlich zween täg nemlich dienstags und Mittwochs sich der bauch Küche, zu bedienen – um einen jährlichen Zinß nemlich 220 gulden

Jean Certain loue une partie de sa maison au blanchisseur manant Joseph Colard

1746 (4.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 865
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Joseph Colard des schirmers und waschers und Evæ geb. Englerin
verlühen In der dem verlehner eigenthümlich gehörig im Finckweiler gelegenen behausung das gantze kleine hauß am eingang, den gebrauch der bauch küchen vor alle montag, dienstag und Mittwoch jeder wochen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen weÿhnachten 36 gulden (alle 14 täg wasche [mit einem verzeichnus])

Jean Certain fait dresser l’inventaire de ses apports (11 713 livres) dans sa maison au Marché aux herbes
1748 (26.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 50
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Certain, des Zuckerbeckers und Burgers allhier zu Straßburg, zu Frauen Marie Rose Blondel seiner jetzigen Ehegattin vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1748. – welche der ursachen beschrieben worden alldieweilen Er Herr Certain in dem mit gedachter seiner Ehefrauen Vor Hrn Humbourg dem Königl. Notario den 25.ten Februarÿ 1745. auffgerichteten Ehevertrag sein Zugebrachtes Vermögen reservirt und vorbehalten hat (…) Actum Straßburg in beÿsein und persönlicher gegenwart vorgedachter Frauen Certain und Hn Frantz Certains des Zuckerbeckers und burgers hieselbsten sein H. Certains ältesten Sohns, auf Montag den 26.ten Februarÿ Anno 1748.
In einer allhier Zu Straßburg auf dem St. Martinsplatz oder sogenannten Gartners Marck gelegenen in dieße Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Eine Behaußung in Vorder und Hintergebäu ane dem St. Martinsplatz oder sogenannten Gartners Marck (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 198, Sa. Wein und Lehrer Faß 64, Sa. Silbergeschmeids 25, Sa. baarschafft 250, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4175, Sa. Eigenthum an einer behausung 7000, Sa. Schulden nullum, Summa summarum 11.713 lb

Jean Certain meurt en mai 1748 en délaissant deux fils de son premier mariage. La masse propre à la veuve est de 121 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 7 464 livres, le passif à 1 541 livres.
1748 (21.6.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 54
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Ligend und Fahrender, verändert und ohnverändert, nichts savon ausgenommen, so Weÿl. der Ehrenveste Herr Johannes Certain geweßener Zuckerbecker und Burger allhier Zu Straßburg, nach seinem den 19.ten Maÿ dießes instehenden 1748.sten Jahrs beschehenen tödlichen Hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen Hn Certain seel. ab hernach folgendem folio benambster und per Testamentum verlaßener Erben, inventirt und ersucht durch die Ehren und Tugendbegabte Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel die hinterlaßene Wittib und des abgeleibten geweßene Zweÿte Ehefrau mit beÿstand des Ehrengeachten Hn Johannes Dupuis des Schneiders und burgers hieselbsten (…) Actum Straßburg auf Freÿtag den 21.ten Junÿ Anno 1748.
Der Verstorbene Herr Certain hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt 1. Hr Johann Frantz Certain den Handelsmann und burgern allhier, welcher in Persohn dem Inventations geschäft beÿgewohnt, So dann 2. Hn Josephe Certain J. U. Ltum und burgern Hieselbsten, welcher über 25. Jahr alt dahero Majorennis und in Persohn der Inventur abgewartet, Alle beÿde des abgeleibten Hn Certain mit Weÿl. frauen Annæ Mariæ gebohrner Cladÿn seiner geweßenen erstern Ehefrauen ehelich erzeugter Hn Söhne und per Testamentum verlaßene Erben Zu gleichlingen portionen und Antheileren
Copia der Eheberedung, Copia Testamenti Clausi, Copia Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg auf dem St Martins Platz oder sogenannten Garthners Marck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 10) Eigenthumb an einer Behaußung. Eine Behaußung in Vorder undt Hintergebäu bestehend, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem St. Martins Platz oder so genannten Garthners Marck, einseit neben Weÿland Hn Rathherr Dietrichs des gewesenen Handelsmanns allhier hinterlaßene Erben, anderseit neben einer der fabric des Hiesigen Münsters eigenthümlich zuständigen behaußung Hinten auf Hn Jean Hervé Marchand Confiseur stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig und eigen und ist dieße behaußung durch H (die Werckmeistere) vermög einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung vom 19.ten Junÿ 1748. angeschlagen worden vor 2750 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget, ausweißend wie dieße behaußung von Frauen Anna Margaretha Ludin gebohrne Kiefferin erkaufft worden, de dato 11.ten Julÿ 1722. mit Lit. A. bemerckt. Dabeÿ ferner ein frantzösischer Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub errichtet außwießend wie erstgemeldte Frau Anna Margaretha Lundin gebohrene Kirschnerin dieße Behaußung Von Hn Antoine Paudiere mr d’hotel du Roy Stanislas und deßen Ehefrauen aberkaufft dedato 11.ten Septembris 1720. und mit der Stadt Cantzleÿ Contract Insigel vewahrt mit Lit. B. signirt. (…)
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach inhalt des durch Herrn Notarium Adam Claus in anno 1745. auffgerichteten Zugebrachten Nahrungs Inventarÿ
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 3, Sa. baarschafft 12, Sa. Ergäntzung 101, Summa summarum 121 lb
Der Erben unverändert und theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 83, Sa. Wein und Lehren faß 243, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. baarschafft 36, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4175, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 2750, Sa. Schulden 161, Summa summarum 7464 lb – Schulden 1541, Nach solchem abzug 5923 lb
Stall Summ 5958 lb
Copie du Contrat de mariage, Humbourg
Copie du testament – Je soussigné Jean Certain Marchand confiseur Bourgeois de Strasbourg y demeurant au marché aux herbes (…) dans la Maison dudit Sieur Certain sur le Marché aux herbes à Strasbourg dans une chambre au Second étage prenant jour par deux grandes fenêtres sur ledit Marché l’an 1748 le 29° mars, Euth, Notaire

Jean Certains cède à ses deux fils la maison au Finckwiller et le bien de campagne à la Robertsau en conservant la maison au Marché aux Herbes

1748 (22.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 49
Transactio Vergleich: und Abtheilung zwischen Herrn Johann Certain dem Zuckerbecken und burger alhier ane einem
und Herrn Frantz Certain wie auch Herrn Lt. Joseph Certain deßelben beeden herren Söhnen am andern theil, und zwar über deroßelben völlig ausgeliefferte Mütterliche Guth und was ihrem Herrn Vatter an Vermögen zuständig, besagend, auffgerichtet Anno 1748.
Zu Wißen seÿe hiemit (…) persönlich kommen und erschienen seÿe, Herr Johannes Certain der Zuckerbecker und burger allhier, der hat mit beÿhülff Herrn Claude Guirot, burgers und hießigen Chirurgi seines hierzu expresse berufenen herrn Assistenten freÿ offentlich angezeiget, was gestalten derselbe auß freÿen willen zu beförderung H. Johann Frantz Certain des allhießigen handelsmanns, wie auch H. Joseph Certain, J.U. Licentiati seine beeden herren Söhne nutzens, und damit dieselne beßer Subsistiren und außkommen mögen, sich entschloßen habe, gedachter seiner beeden herren Söhne Mütterliches Guth, welches derselbe salva Legitima Zeit lebens Zu genießen berechtiget ist, außzulieffern, und alßo auff den davon habenden Genuß zu renunciren Zu dem ende dann Er H. Certain der vatter ahn Einem, und deßen vorgemeldte herren Söhne am andern theil, ratione gedachten Mütterlichen Guths /:nach deme dieselbe Zuvor unter sich nach innhalt des Mütterlichen Kindervertrags vom 16.ten Aprilis 1740. einen überschlag gemacht, und alles in reiffe und genaue überlegung gezogen, auch zu verhütung größerer weitläuffigkeit:/ dahin übereingekommen seÿnd, daß bemeldte Certainische herren Söhne vor ihr völlig Mütterlich guth nichts davon außgenommen, die behaußung sambt Garten und aller Zugehörden gelegen allhier Zu Straßburg in dem Finckweÿler, weiter das in der Ruprechts Au befindliche Landguth, in hauß, Hoff, Scheur, Stallungen, Äckeren, Garthen, sambt allen Zugehörden und Gerechtigkeiten, ohn außnahm, benebst noch einigem haußrath silber und dergleichen geschmeid, so H. Certain der Vatter denen Kindern bereits in einem Kasten verwahrt, dargewießen, worunter einiges bettwerck, so Wohl allhier Zu Straßburg, als auch auff dem Guth in der Ruprechts Au befindlich, mitgebriffen, haben auch erb und eigenthümlichen behalten sollen, Welche behausung, Landguth und Mobilien dann die Certainische herren Söhn von gedachtem ihrem herrn Vatter, nicht nur allein dann ki*sch acceptiret und vor Ihre völlig Zuerforderen habendes Mütterliche Guth angenommen, mithin dero H Vatter davor völlig und gäntzlichen loß und ledig Zahlen, auch deßwegen die geringste forderung, wie die nahmen haben mag, zu thun, weder jetzo noch in das Künfftige nicht berechtiget seÿn Können noch mögen, sondern auch das übrige vorhandene, so gesucht als ungesuchte Vermögen, das unter besonders die behaußung auff dem Gartners Marck allhier gelegen, die völlige dermahlen angelegte Capitalia und überhaupt alles andere Vermögen, nichts außgenommen, begriffen, Ihme H Certain dem H Vatter cediren auch erb und eigenthümlichen überlaßen (…)
So beschehen Straßburg den 22.ten Februarÿ 1748. [unterzeichnet] Jean Certain Le Pere, Jean François Certain, Josephe Certain Lt

Le confiturier Jean François Certain épouse en 1741 Marie Salomé Pflug, fille du chef des travaux Pierre Pflug : contrat de mariage, célébration

1741 (8.2.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 198
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und Wohlachtbaren Herrn Johann Frantz Certain, ledigen Confiturier, des Wohl Ehren und Wohlachtbaren herrn Johann Certain auch Confiturier und Burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Anna Maria Certain gebohrner Cladiin deßen gewester Frauen Eheliebstin nun seel. ehelich erzeugten ältern Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann die Wohl Ehren und mit Vielen Tugenden gezierten Jungfrauen Maria Salome Pflugin, des Wohl Ehrenvest, Großachtbaren und Kunsterfahrenn herrn Johann Peter Pflugen, nunmahligen wohlmeritirten Stattlohners und Burgers allhier mit weÿl. der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Catharina Pflugin gebohrner Dumungin, seines geweßenen Frauen Eheliebstin längst see. ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
auff Mittwoch den 8. Februarÿ Anno 1741. [unterzeichnet] Jean François Certain, Comme Marié, Marie Salome Pflugin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 165)
Hodie 12 die junÿ anni 1741 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus juuenis joannes franciscus Sertin filius joannis Sertin dulciaris et civis et annæ mariæ gladin Conjugum in parochia ad Stum Ludovicum commorans, et pudica ac virtuosa virgo Maria Salome Pflug filia Dni joannis petri Pflug architecti huius urbis et Catharinæ Dimonin p: m: conjugum ex hac parochia (signé) Jean François Certain, Maria Salomea Pflugin (i 173)

François Certain cotise à la tribu des Fribourgeois après que les Quinze l’ont autorisé à vendre des liqueurs
1743, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
Dienstags den 3. Dec. A° 1743 – Schöffen Wahl de 1743
(f° 188-v) Hr François Certain der Zuckerbeckh und burger allhier Erscheinet dato vor denen Hh Schöffen, und berichtet, wie daß Er von Gnäd. H. denen XV. Liqueurs undt dergleichen mit sich führend wie auch burgunder und andere Frantzösisch. weinen en detail Zu verkauffen die Erlaubnus Erhalt. bittet dahero Ihme alß einen Zud. zu recipiren.
Erkand, derselbe wird gegen Erlag der 3. lb 4 ß d alß Zudiener recipirt, dabeÿ aber auch verordnet, daß von Seithen Er. En. Zunfft solches nicht mehr Erlaubt werd. solle.

François Certain hypothèque sa bibliothèque
1749 (21.2.), Not. Laquiante (6 E 41, 998)
Cession du 21 février 1749 – fut present le sieur François Certain Marchand confiseur Bourgeois de cette ville, lequel a cedé et transporté
au Sieur Pierre Batailhe interessé dans les affaires du Roy
La somme de 800 livres due audit Cedant Par le sieur François Maury assesseur de la marechaussés d’alsace par lettre de change du 18 juillet 1748 (…) moyennant pareille somme de 800 livres
hypothèque speciale Sa Bibliotheque Composée des livres Contenus en l’Etat demeuré ci joint
Liste de mes livres

La tribu de la Mauresse inflige une amende à François Certain qui a vendu fruits et légumes sans en détenir le droit
1751, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 12-v) Dienstags den 16.ten Martÿ Anno 1751
H. Johann Conrad Rudolph, der Fastenspeishändler klagt wieder herrn François Certain den handelsmann allhier, deß derselbe ohnlängsten Fastenspeiß Waaren en gros verkaufft, ohnerachtet Es das Recht darzu nicht gehabt noch würcklich habe, bittet abstraffung.
Beklagter Zugegen ist der Anklag geständig, sagt aber, es seÿe per commissionem geschehen und excusirt sich, daß er von dem articul nichts gewußt hätte.
Erkandt, Weilen sich der Herr Beklagte deßfalls Vorher einkündigen sollen, alß seÿe Er in die geordnete Straff der 5 Pfund zu condemniren.

Marie Salomé Pflug fait dresser l’inventaire de ses apports (2 764 livres)

1752 (10.3.), Not. Lang le jeune (Jean Daniel, 26 Not 3) f° 40
Inventarium über der Viel Ehren und tugendgezierten Fraun Mariæ Salome Certain gebohrner Pfluegin des Ehrenvest und Vorgeachten Hn Francisci Certain Handelsmanns und burgers allhier Fr. Eheliebstin zu demselben in die Ehe gebrachter Nahrung auffgerichtet Anno 1752. – welche der Ursachen, allweilen in ihr beeder Ehepersohnen vor Hn Joh: Daniel Langen Seniore den 8.ten Februarÿ 1741. auffgerichteten Eheberedung §° 4.to ausdrücklichen versehen, daß beederseits einander Zubringende Nahrungen vor ohnverändert vorbehalten und was davon wehrender Ehe verkauft vertauscht oder sonsten in anderer Weege alienirt worden (…) wiederumb ergäntzt werden sollen – So beschehen Zu Straßburg in beÿsein und persönlicher Gegenwarth der Ehefrauen Eheh. obgemelt wie auch des wohl Ehrenvest und wohlweisen H Francisci Petri Pflugen E. E. großen Raths jetzigen wohlverdienten Assessoris der Ehefr. H. Bruders und hierzu erbettenen H Assistenten, auff Donnerstag den 10. Martÿ Anno 1752. erschienen
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen von dem Ehe H. und deßen herrn bruders eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefraun in den Ehestand Zugebrachter Nahrung vor und ane sich selbsten, Sa. Haußraths 677, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 123, Sa. gold. Ring, Ketten peerlein und dergl. geschmeid 464, Sa. baarschafft 1500, Summa summarum 2764 lb – Und wan hierzu gelegt wird Ihro der Ehefraun ane hernach beschriebenen Haussteuren vi pactorum dotalium §° 6.to gehörige Helffte, antreffend 91 lb, So belaufft sich offt wohlgedachter frauen Mariæ Salome Certains gebohrner Pfluegin samptlich in die Ehe gebrachtes Vermögen dem billigmäßigen Werth und Anschlag nach auff 2855 lb

Etat de la fortune de François Certain et Salomé Pflug après que le mari a quitté la ville. Les experts estiment la maison 1 740 livres. L’actif du mari s’élève à 8 242 livres, le passif à 28 721 livres. Les biens de la femme s’élèvent à 4 154 livres

1752 (10.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 375) n° 484
Inventarium über Herrn Francisci Certain, des Handelsmanns und Frauen Salome Certain gebohrener Pflugin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzende Activ: und Passiv: Nahrung auffgerichtet Anno 1752. – welche der Ursachen Alldieweilen Er Herr Certain ohnlängstens von hier ausgetretten und deßen habende Nahrung mit Zimlichen Passivis bemaden, und nach dessen austritt Von Seithen E: E: großen Raths allhier Secretiert, anjetzo aber auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sowohl der Ehefrauen mit assistentz S.T. Herrn Frantz Peter Pflug vor Ehrengedachten großen Raths jetzig Wohlansehnlichen beÿsitzers Ihres geliebten Herrn Bruders und geschwornen Herrn Curatoris umb Salvirung Ihres ohnveränderten guths willen, als auch Herrn Philipp Friderich Kuhff des handelsmanns und burgers allhier als derer Herren Creditorum Zufolg einer Vor herrn René J.V. Lt° et Notario Jurato allhier unterm 29.ren Maji jüngst ausgestellten und unterschriebenen Procuration ernannten Assistenten (…) inventirt durch die Frau Salome Certain gebohrne Pflugun die Ehefrau ingleichem Johann Michael Leventz von Wißloch aus der Pfaltz gebürtig, den handelsdiener (geäugt und gezeigt), So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein Sis Tis Johann Friderich Röderers, Goldarbeiters und Herrn Johann Philipp Dorßners JUL beeder E. E. Großen Raths jetzig wohlansehnlicher beÿsitzer, als hierzu in specie abgeordneter herren Deputirten, auf Sambstag den 10.ten Junÿ et sequentibus Anno 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Nahrung eigenthümlich gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 26) Eigenthümliche Antheiler ane Häußern. (F.) Erstl. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Antoniergaß (…)
(F.) It. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung (…)
(M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane dem St Martins Platz oder dem sogenannten garthners Marckt (…)
(f° 28) (M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem Hindergebäu, hoff, bronnen und einem Garthen, mit deren hoffstätten Scheür Stallung und allen übrigen deroselben gebäuden begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler, ohnweith dem alten blaterhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, ist einseith ein Eck an der Viehe gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx Pfistereÿ über, anderseit neben Niclaus Meÿer dem brüher im der allhiesßigen Metzig zum theil und zum theil neben Weÿland herrn Nicolai Struve, gewesenen Doctorgärthners hinterlassener Wittib und Erben, hinten auf den vormahlig Freÿherrlich Elsenheimischen hoff und garthen, der Schäffolßheimer Hoff genannt, so anjetzo die neue Reith Schuhl ist, stosend gelegen, warvon das große gebäu etwa der Lumpards hoff vnd Vor zeithen zum teutschen Herren, das zweÿte gebäu gegen St. Marx über Zum bachoffen und das dritte gebäu Zum Engel genand worden, davon seind die sambtliche gebäu mit deren Zugehörden durch obernannte der Statt Straßburg herren Lohner und geschwornen Werck Meistere inhalt angezogenen Abschatzung Zeduls vom 2.ten Julÿ 1752. æstimirt vor 2250. lb
Der Garthen aber so ohngefähr ein und ein quart acker Groß, ist sambt denen darinn befindlichen Reeben und alten bäumen durch herrn Johann Theobald von Fridolßheim, Garthner Underwagnern und E. E. großen Raths alten beÿsitzern auch geschwornen Schätzern Laut Schrifftlicher Abschatzung vom 1.ten Julÿ 1752. angeschlagen umb 900 lb. Macht beedes und alßo der völlige anschlag dießer behaußung und Garthens Vor freÿ Ledig und eigen 3150 Und daran der hierero gehörige halbe theil 1575.
Die andere helffte ist Vorgedachtem herrn Joseph Certain J.V. Lt° des Ehemanns Herrn Bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über dieße Völlige behaußung gebäu und Garthen meldet in teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. Anno 1736. mit Lit. F. Dabeÿ ferner i. dergl. perg. Kffbr. Vom 11. febr. 1697. mit altem Lit. F. signirt. Dabeÿ ferner ein alter dergleichen pergamenter Kauffbrieff vom 11.ten Februarÿ Annp 1697. mit altem Lit. A et G. bemerckt
(M.) der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einem landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises
in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
(f° 35) Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel, Weÿland Herrn Johann Certain geweßenen Zuckerbeckers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßene Wittib des Ehemanns stieffmutter von gedachtem Ihrem verstorbenen Ehemann, alß deßen eheleiblichem Vatter, solang dieselbe in wittibstand verharren wird, zugenießen hat
(f° 43) Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der heuraths verschreibung
Der Ehefrauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 503, Sa. Lähren Faßen 7, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 92, Sa. antheils ane Häußern 492, Sa. Schuld 100, Erg. Rest 2646, Summa summarum 4154 lb – Zweiffelhaffte vnd verlohrne Schulden 185 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns ohnverändert und theilbahe Nahrung unter einer Masse beschrieben, Sa. haußraths 192, Sa. Schiff und geschirr Zur handlung gehörig 20, Sa. Gewerbswaahren 1864, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau 3, Sa. Kühe 5, Sa. Wein und Lährer Faß 14, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 52, Sa. Eigenthümlicher Antheil ane häusern Gärten und einem Landguth 5202, Sa. Schulden 886, Summa summarum 8242 lb – Schulden 28.721 lb, In Vergleichung 20.478 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 723 lb
Copia der Eheberedung (…) den 8. Februarÿ 1741, Johann Daniel Lang Notarius

1751 XV (2 R 160) Mörin contra François Certain 362
1752 XV (2 R 162) Spiegel contra François Certain, 59, Table-45

Salomé Pflug meurt en 1753. Les biens de son mari lui ont été attribués le 19 décembre 1752 par un contrat d’atermoiement à condition de satisfaire les créanciers hypothécaires. L’actif de la succession s’élève à 7 839 livres, le passif à 8 646 livres. L’estimation des maisons que les experts ont faite en 1752 est annexée à l’inventaire.

1754 (4.9.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 382) n° 595
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin, des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren H. Francisci Certain, des handelsmanns und burgers allhier geweßener Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1754. – als dieselbe Mittwochs den 5. Decembris des Zurückgelegten 1753.sten Jahrs durch einen seeligen Tod von dießer Welt abgefordert worden, nach solch Ihrem seeligen absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft band nach Ihrem tödlichen hintritt nemblich den 8.ten ejusdem Mensis Decembris Anno 1753. Zufolg Ihro Gnaden des damahlig Wohlregierenden Herrn Ammeÿsters Erkandnus ab eodem dato auf requisition des herrn Procuratoris Fisci durch die aus E: E: Großen Raths Mittel darzu abgeordnete Herren Deputirte und den herrn Rathschreiber secretirt heut dato aber ad effectum Inventandi vermög Ehrengedachten großen Raths Erkandnus vom 22.ten Augusti jüngst (…) committirt – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 4.ten Septembris et sequenti Anno 1754.
Bericht Wegen dießer Verlaßenschafft. Weilen die Verstorbene selige nach Ihres Ehemanns beschehenem Außtritt und erfolgtem Concursu mit deßen ohnversicherten Creditoribus den 19.ten Decembris Anno 1752. den hieoben verbotenus inserirten Contract d’attermoyement auffgerichtet, welcher den 23.ten ejusdem beÿ E. E. großen Rath alhier Salvo Jure tertÿ Obrigkeitlichen confirmirt und den 19.ten Januarÿ Anno 1753. beÿ herrn Humbourg Königlichem Notario allhier ad effectum hypothecæ und worzu es sonsten nothig und dienlich seÿn möchte, deponirt worden, worinnen Sie Ihres Ehemanns Massam völlig übernommen und hingegen denen ohnversicherten Creditoribus den dritten theil Ihrer Forderungen zubezahlen sich obligirt selbige auch soviel deren gedachten Contract d’attermoyement mit Ihro eingegangen und unterschrieben haben würcklichen befriediget hat (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Zum theil eigenthümlich gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 26) Eigenthümliche Antheiler ane Häußern, Gärthen und einem Landguth. Erstl. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Antoniergaß (…)
It. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Creutzgaß (…)
(M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane dem St Martins Platz oder dem sogenannten garthners Marckt (…)
It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem Hindergebäu, hoff, Zweÿen bronnen und einem Garthen, mit deren hoffstätten, Scheür, Stallung und allen übrigen deroselben gebäuden begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler, ohnweith dem alten blaterhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, ist einseith ein Eck an der Viehe gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx Pfistereÿ über, anderseit neben Niclaus Meÿer dem brüher im der allhiesßigen Metzig zum theil und zum theil neben Weÿland herrn Nicolai Struve, gewesenen Doctorgärthners hinterlaßener Wittib und Erben, hinten auf den vormahlig Freÿherrlich Elsenheimischen hoff und Garthen, der Schäffolsheimer Hoff genannt, so anjetzo die neue Reith Schuhl ist, stosend, warvon das große gebäu etwa der Lumpards hoff vnd Vor zeithen zum teutschen Herren, das zweÿte gebäu gegen St. Marx hinüber Zum bachoffen und das dritte gebäu Zum Engel genand worden, davon seind die sambtliche gebäu mit deren Zugehörden durch vorallegirtem beeder geweßener Eheleuthe Activ: und Passiv: Nahrungs Inventario de Anno 1752. fol. 267. fac: 2.da durch der Statt Straßburg herren Lohner und geschwornen Werck Meistere inhalt vorangezogenen Abschatzung Zeduls vom 2.ten Julÿ 1752. æstimirt vor 2250. lb
Der Garthen aber so ohngefähr ein und ein quart acker Groß, ist sambt denen darinn befindlichen Reeben und alten bäumen in ermeltem Inventario fol ; 268. fac: 2.da durch herrn Johann Theobald von Fridolßheim, Garthner Underwagnern und E. E. großen Raths alten beÿsitzern auch geschwornen Schätzern Laut Schrifftlicher Abschatzung vom 1.ten Julÿ 1752. angeschlagen umb 900 lb. Macht beedes und alßo der völlige anschlag dießer behaußung und Garthens Vor freÿ Ledig und eigen 3150 Und daran der hierero gehörige halbe theil 1575.
Die andere helffte ist Vorgedachtem herrn Joseph Certain J.V. Lt° und Procureur du Roy de La Monnoye allhier des Wittibers eheleiblichem Herrn Bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über dieße Völlige behaußung gebäu und Garthen soll besagen in teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. Anno 1736. mit Lit. F. signirt. Dabeÿ ferner ein alter dergleichen pergamentener Kauffbrieff vom 11. Februarÿ Anno 1697. mit altem Lit. A et G.. bemerckt.
It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einem Landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises
in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
Abschatzung vom 2. Julÿ 1752. Auff begehren Herrn Rathherrn Pflug alß Vogten deß außgetrettenen Frantz Certain geweßenen Hauptmanns und burgers allhier Ehefrauen ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem Gartners Marckt (…)
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg Im Finckweiler, einseits neben Nicolao Meÿer dem brüher in der Großen Metzig, anderseits neben dem Allmend, und hinten auff die newe Reitschuhl stosend gelegen, Welcher begriff bestehet in zweÿen nebens und einem hintergebäw, worinnen etliche Stuben, Kammeren und Kuchen, hat auch einen gewölbten und geträhmten Keller hoff bronnen und Stallung vor den Officier, die tach stühl darüber seind mit breit Ziegeln doppelt belegt, Ferner befindet sich ein Schopff Worüber die Häuwbühn, der tachstuhl darüber ist mit breit Ziegeln einfach belegt, auch von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere nach vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb VierTaußend und Fünff Hundert Gulden
Dritte begriff (…)
[unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Samuel Werner, Werckmeister
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel, Weÿland Herrn Johann Certain geweßenen Zuckerbeckers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßene Wittib des Ehemanns stieffmutter von gedachtem Ihrem verstorbenen Ehemann, alß deßen eheleiblichem Vatter, solang dieselbe in wittibstand verharren wird, zugenießen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der heuraths verschreibung
Sa. haußraths 368, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau 2, Sa. Kühe 3, Sa. Lähren Faßen 3, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 67, Sa. Goldener Ring 119, Sa. baarschafft 114, Sa. antheiler ane Häußern, Gärthen und einem Landguth 5624, Sa. Schulden 1596, Summa summarum 7839 lb – Schulden 8646 lb, In Vergleichung 806 lb
Dahingegen hätte die verstorbene seelige ane Ihrem Maritum nunmahlen hinterbliebenen Wittiber für dero ohnverändert in der Eheberedung reservirt Vermögen Zuerfordern gehabt 4154 lb – Zweiffelhaffte vnd verlohrne Schulden 1022 lb
(Etat des loyers – Gravamina)

François Pierre Pflug rend compte de la tutelle des biens appartenant aux trois enfants de François Certain et de Marie Salomé Pflug. Le compte contient une liste des loyers.
1756, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 386) n° 667
Rechnung Mein Frantz Peter Pflug E: E: großen Raths Jetzigen beÿsitzers, als geordnet und geschworenen vogts Johannis, Johann Peters und Mariä Salome der Certain weÿland Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin nunmehr seeligen mit Herrn Francisco Certain dem Handelsmann und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter dreÿer Kinder, inhaltend alles dasjenige, Was Ich Vom 10.ten Decembris Anno 1753. alß da Ich Zu dießer Vogteÿ gekommen biß Johannis Bapt: Anno 1756. besagter in einer Curanden halben Eingenommenen und hiengegen wieder Außgegeben auch sonsten vögtlicher weiße verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ.

Bericht gegenwärtiger Rechnung. Zuwißen seÿe hiemit, daß auf tödliches ableiben Weÿland Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin, herrn Francisci Certain, des von hier abweßenden handelsmann und burgers alhier geweßener Ehegattin nunmehr seeligen, So dan 5.ten Decembris Anno 1753. beschehen, deroselben Verlaßenschafft auf requisition des Procuratoris Fisci Von Seithen E: E: Großen Raths den 8.ten ejusdem secretirt und daraufhien Ihren hinterlaßenen ehelich erziehlten dreÿen Kindern außwendig benahmbst (…)
Corpus der dreÿen Curanden ins gemein Jährlich fallen habender häußer und Gärthel Zinnß.
Erstl. 15. lb 12. ß 6 d das ist der Vierte theil Von und ane 72. lb 10. ß Jährlichen Zinnßes solle Sieur Duportail von der seit Weÿhenachten 1754. exclusivé Ihme Verlühenen ane der Anthonier gaß allhier liegenden zwischen denen Pflugischen Vier Stamm Erben annoch ohnvertheilten behausung, so in der Curanden mütterlichem Verlaßenschafft Inventario sub. Lit. A. fol. 110. fac: 2.da abe 840. lb d hiehero Zum Viertentheil angeschlagen pro 235.
It. 12. lb. 10. ß d. das ist der Viertetheil Von und abe 50. lb. d. Jährlichen Zinnßes gibt Weÿland Herrn Johann Thomä Römers E: E: grossen Raths allhier geweßenen Advocati et Procuratoris ordinarii seel. nachgelaßene Fraw Wittib, Von der in Lehenung habenden ane der Creutzgaß allhier Liegenden Zwischen denen Pflugischen Vier Stamm Erben annoch ohnvertheilten behaußung, so Zu dißseitigem Viertentheil besagte Invent° fol. 113. fac: 2.da abe 747 lb. d æstimirt Vor 186. 15. Auf Joh. Bapt: 1756. aber ist dieselbe ausgezogen und stehet nunmehro solche behaußung Lähr, in deme selbige reparirt werden muß (…)
ane St. Martins Platz
it. aus der gemeinschafftlich Certainischen behaußung und Garthen ane dem Finckweÿler allhuer gelegen sollen Jährlichen ane Zinß reichen Anfänglichen Collard 18 lb, Ferners Heller 8 lb, Mehr Unger der Metzger 12 lb, Weiter Hartman 18 lb, Ferner herr Burgard aus einer wohnung, so vormahls Wehrle biß Joh. Bapt: 1753. ingehabt, von solcher Zeit an aber biß Michaelis 1755. Lähr ht gestanden sambt noch einigen Ihme darzu gegebenen gemachen anjetzo 24 lb, So dann der gartenmann vom Garthen 50 lb, Macht in allem 130. lb
It. von dem gemeinschaftlich Certainischen Ruprechtsauer guth (…)

La tribu du Miroir propose des tuteurs aux trois enfants de François Certain qui a quitté la ville
1759 Miroir (XI 278) (f° 55) Dienstags den 20. Martii 1759 – Anderwärtiger Ausschuß Zur Bevögtigung
Zufolg producirten Scheins E löbl. vogteÿ Gerichts vom 12.ten hujus, wegen Anderwärtigen Bevögtigung Jean François Certain des von hier abweßenden handelsmann und burgers dreÿer Kinder, seind als tüchtig Subjecta catholischer religion in den Ausschuß gebracht worden Jean Claude Gaillard, Jean Baptiste Henry, Jean Julien Gounion

Malade, Joseph Certain institue pour ses héritiers testamentaires son frère et sa belle-sœur.

1748 (17 août), Not. Humbourg (6 E 41, 80)
Testament – fut present le Sr Joseph Certain Licentié ès droits, Bourgeois de cette ville, lequel gisant au Lit malade de corps dans un Poële et chambre à cheminée au Second Etage de la maison dependante de la succession de feu le S Jean Certain, Confiseur aussi Bourgeois de cette ville Scise marché aux herbes et prenant Jour sur ledit marché, Sain toutes fois d’Esprit (…)
institue pour son héritier et pour son héritiere par egale moitié led. Jean François Certain son frere et lad° Damle Marie Salomé Pflug sa belle sœur

Joseph Certain cotise à la tribu des Tanneurs. Il résigne son droit en septembre 1754
1751 Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 7-v) Sambstag den 18. Decembris A° 1751 – Hr Joseph Certain, weil. Herrn Johann certain gewesenen burgers und Zuckerbeckers allhier hinterlassener ehelicher Sohn stunde vor und producirte Stallschein de dato 16. Decembris 1751. mit bitte, ihm als einem Zudiener das Zunfftrecht gedeÿen Zu laßen. Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
(Zunfft 1 lb 16 ß 2 d, Spend. 15 ß 10 s, Summa 2 lb 12 ß, Scribæ 2 ß, büttel 1 ß, findl. haus 5 ß, summa 3 lb)

(f° 45-v) den 3.ten Septembris Anno 1754 ist Herr Joseph Certain, J U. Ltis und nunmahliger Conseiller du Roy et son Procureur à la monoye, beÿ dem Protocolli erschienen und hat das Zunfft Recht aufgegeben, wie deßen unterschriebener Schein außweißet.

Joseph Certain meurt célibataire le 28 septembre 1792 sans héritiers connus dans la maison du négociant Robert rue de l’Ail
1793 (17 frimaire 2), Strasbourg 11 (1), Not. Anrich n° 367
Inventaire de la succession de Joseph Certain – L’an 1792 le 13. nov. en exécution d’un decret rendu le 31. oct. dernier par le Tribunal du district de Strasbourg en vertu duquel le Notaire soussigné a été nommé pour dresser Inventaire de la succession de de feu le Citoyen Joseph Certain cy devant employé à la Monnoye de cette ville et de veiller aux interets des héritiers absens et inconnus – iceux meubles et papiers montrés et enseignés par Ursule Lescher de Kertzfeld ménagere du défunt
dans la maison du Citoyen Robert Négociant rue de l’ail N° 8 ou ledit Certain est décédé le 28. sept. aussi dernier, au troisième étage de ladite maison
Meubles meublans, dans le Poel à manger, Chambre a coucher, Cabinet à côté avec une porte vitrée, Chambre, Cuisine, Chambre de la menagere, Total 151 lb, Dettes actives 9025 lb, Total général 9177 – Dettes passives (aux Citoyens les freres Roberts Négociants pour loyer de l’appartement occupé par le défunt depuis le St Jean 1789 Jusqu’à Noël 1790 pour trois ans 6 mois à raison de 144 livres par an, 504 livres) 4407 livres – le 17 frimaire 2
acp 19 f° 125 du 18 frim. 2

Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 22)
Anno domini 1792 die 28 Septembris mortuus est Joseph Certain solutus, olim Procurator Regis in officiæ monetaria argentinensis, filius legitimus Defunctorum Joannis Certain civis hic et negotiatoris et Mariæ Rosæ Blondel, annos circiter 68 natus, et die sequenti (…) sepultus est in Coemeterio ad stum Urbanum (i 64)

Lors du partage, la maison au Finckwiller et le bien de campagne reviennent aux enfants de François Certain et de Salomé Pflug

1757 (2.3.), Not. Humbourg (6 E 41, 97) Partage
M Joseph Certain Conseiller du Roy et son procureur en la Jurisdiction de la Monnoye de Strasbourg en qualité de fils et héritier pour une moitié de feu le Sr Jean Certain Marchand confiseur
Et le Sr Pfloug assesseur au grand sénat de cette ville en qualité de tuteur des enfants mineurs de défunte De Salomé Pfloug décédée épouse du Sr François Certain Marchand Confiseur fils et héritier du défunt pour l’autre moitié, lesd. enfants et héritier représentans lad. défunte D°. leur mere qu’etoit cessionnaire de la Masse des Créanciers du Sr Certain
Lesquelles parties ont dit qu’ayant des immeubles indivis entre eux faisant partie de la succession dudit défunt Joseph Certain Elles auroient été en procès au Grand Sénat de cette ville au sujet du partage desdits immeubles sur lequel différents seroit intervenue sentence audit Grand Sénat les 18. juin 1755 et 10. mars 1756 qui auroit ordonné le partage desdits immeubles pour quoy parvenir leds. parties auoient nommé des experts Jurés qui auroient fait la visite prisée et Estimation desd. immeubles en conséquence Il auroit été reconnu que lesd. immeubles pouvoient se partager ainsi qu’il s’en suit
que le premier lot demeureroit composé de la Maison et Jardin Scitué au finckweiller et dépendances consistant en trois corps de bâtiment Grange Ecurie et Jardin faisant coin d’une part vis à vis la Boulangerie de S Marc Nicolas Meyer Boucher et les Veuve et héritiers de Nicolas Struve Jardinier d’autre par devant sur la rue dite le quartier du Finckweiller et par derrière le Nouveau Manege
Et le bien de Campagne Scituée à la Ruprechtsaw consistant en une maison de Campagne une autre pour le fermier Remises Grange Ecurie et Jardin avec les terres labourables y attenant consistantes en environ de 14 arpens a Eux appartenante en propriété et 12 arpents qu’ils tienent par bail a femme ledit Bien de Campagne scitué au Canton dit in der Oberaw im hintern Ort les héritiers de feu Sr Heiss d’une part David Kiener d’autre part pardevant sur le Communal et parderrière sur lesd. terres labourables et sur Jean Georges Beck avec toutes les voitures bestiaux outils et autres effets servans au labourage appartenante à ladite succession
Et le second lot sera composé de la Maison Située au Marché aux herbes en cette ville consistant en deux corps de logis le S Jean Nicolas Dietrich ancien assesseur au Grand Sénat d’une part la fabrique de la Cathedrale de cette ville d’autre pardevant sur led. Marché aux herbes et par derrière le Sr Jean Gaspar Hervé Marchand épicier Et comme ce dernier lot n’est estimé qu’a la somme de 17.000 livres et que les 2 immeubles du premier lot ont été portés pour la somme de 18.500 livres
Le 1° lot à Pfloug, le 2° lot à Certain

1760 (12.7.), Not. Humbourg (6 E 41, 104)
Transaction entre le Sr Certain et ses neveux – M Joseph Certain Conseiller du Roy et son Procureur en la Jurisdiction de la monnoie de cette ville
et le Sr Jean claude Gaillard Marchand en qualité de tuteur établi par la justice aux enfants mineurs de D° Salomé Pfloug décédée épouse du Sr François Certain Marchand et le Sr André Lichtenberger Secrétare à la chancellerie curateur ad lites établi par justice
(annexé) Déclaration par rapport aux loyers percus par le Sr Certain et par le nommé Pfloug depuis la liquidation du 30 mars 1758 – Recette de M Certain
Loyers percus de la maison et Jardin indivis Scituée au finckwiller, le loyer de Cotard jusqu’à la Notre Dame de mars 1757, cet appartement a reste vuide jusqu’à la St Michel de ladite année auquel terme il a été loué au nommé teubler à raison de 60 li. par année,
le loyer de hartmann,
le loyer de Unger,
les loyers du nommé heller,
les loyers du jardinier,
Maison de campagne scituée à la Roberceau, le canon de ce fermier (…)
Maison scituée au Marché aux herbes, demeurée vuide de locataires jusqu’à Noel 1757 terme auquel le premier étage a été Loué au Sr Gaillard a raison de 200 li par année
(…) Laurent Mühl fermier de la Roberceau doit pour le restant de son Canon

Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent de recevoir à l’orphelinat Marie Salomé Certain, fille de François Certain, âgée de quinze ans
1760, Conseillers et XXI (1 R 243)
Jean François Certain des außgetrettenen Handelsmanns tochter Mariæ Salome Certain Vogt H. Claude Gaillard wird pt° gesuchter auffnahm ged. seiner Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß abgewießen. 239.
(p. 239) Sambstags den 20. Decembris 1760. – Freund nê Jean François Certain des außgetrettenen Handelsmanns Verlaßener tochter Mariæ Salome Vogt Sr Claude Gaillard des handelsmanns, prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. sub litt. a. b. c. et d. pt° gnäd. reception ged. Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß.
H. Syndicus Regius Meldeten es hätten die Hh Pflegere des Waÿßenhaußes wegen der Vorgestandenen Curanda auffnahm deswegen anstand genommen, weilen selbige schon über 15 Jahr alt ist, und auß eben dießer ursach den Implorirenden Vogt an MHhn verwießen, umb hochdenselben seiner Curandæ dürfftigkeit vortragen Zu können, und fernerer Erkant, aus gewärtig Zu seÿn, Nun seÿe beschienen daß dießelbe nicht das geringste in vermögen erhalten, auch keine anverwandte habe, die sie Zu erhalten schuldig oder im stand wären, dero gemüths beschaffenheit noch nicht Zuläßt daß man sie in einen dienst thun könnte, in erwegung solcher umbstände vermeinte er H. Syndicus Regius, daß des Imploranten Curanda vor 6 Monath oder ein Jahr lang in das waÿßenhauß auffgenommen und darinnen verpflegt werden könnte, da inzwischen Imploranten obliegen wird, vor seiner Curandæ ferneren unterhalt oder einigen dienst Zu sorgen.
Nach angehörtem voto des HN Prætoris Regii und auff anspruch des auf dem Obern banck Vorstitzenden H. Stättmleisters Von Bock wurde Erkand, wird implorirender Vogt pt° gesuchter auffnahm seiner Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß mit seinem begehren abgewießen. Deppi. H Rathh. Dr Ottmann, H. Rathh. Rondouin.

Le tuteur des trois enfants de François Certain vend par enchère la maison au boucher Jean Frédéric Pfeffinger

1758 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 235-v
H. Rath. Peter Pflug als vogt Frantz Certain des gewesten Zuckerbecken 3 kinder Johann, Peter und Salome der Certain
H. Johann Friedrich Pfeffinger des metzgers, versteigert
eine behausung, hoff, hoffstatt und garten samt allen deren übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zum Rehegarten genannt im Finckweiler einseit ein eck am allmend, anderseit neben Nicolaus Meÿer dem metzger, hinten theils Nicolaus Struwe dem Doctor garter theils die Königl. reithschuhl – als ein elterliches erbguth – um 1800 pfund

Fils du boucher du même nom et de Susanne Dorothée Beck, Jean Frédéric Pfeffinger épouse en 1743 Anne Barbe Pfeffinger, fille d’un autre boucher du nom de Jean Frédéric Pfeffinger : contrat de mariage, célébration
1743 (27.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1030
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und achtbahren Herrn Johann Friderich Pfeffinger, ledigem Metzger weÿland deß Ehrenvesten vndt wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Pfeffinger auch gewesenen Metzgers nun seel. mit der wiel ehren und wohl tugendbegabten fraun Susanna Dorothe gebohrner Beckhin Ehelich erzeugtem vnd nach tod verlaßenem Sohn, alß dem H. bräutigamb ane Einem,
sodann der wohl Ehren und tugendreÿchen Jungfraun Annæ Barbaræ Pfeffingerin des Ehrenvest vnd wohlvorachtbaren Herrn Johann Friderich Pfeffinger, ebenmäßigen Metzgers mit weÿland der Viel Ehren und tugendgezierten frauen Annæ Barbaræ gebohrner Keckin seel. Ehelich erziehlten vnd hinterlaßener Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern Theil
Actum in der Königlichen Statt Straßburg den 27. Martÿ als man Zalte 1743

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 174)
1743. Mittw. den 29. Maji sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H Johann Friderich Pfeffinger lediger Metzger u. burger allhier weÿl. H. Johann Friderich Pfeffinger burgers v. Metzgers allhier nachgelaßene ehel. Sohn v. Jgfr. Anna Barbara H. Friderich Pfeffinger burgers und Metzgers ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Fridrig Pfeffinger als hochzeiter, Anna Barbara Pfeffingerin als hochzeiterin (i 177)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Madeleine et Derrière les murs. Les apports du mari s’élèvent à 1 219 livres, ceux de la femme à 888 livres.
1743 (12. Xbris), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 44) n° 1282 [restitué, page abîmée] (1238)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so herr Johann [Friderich] Pfeffinger der Jüngere und der Viel Ehren und tugendbegabte frauen Anna Barbara gebohrner Pfeffingerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich deren In des Vermög Ihrer auffgerichteten Eheberedung Vor unverändert vorbehalten (…) Actum In der Königlichen Statt Straßburg in fernerer gegewart Frauen Susanna Dorothea gebohrner [-des] Ehemanns Eheleiblichen [-] und Herrn Johannes [-]gers deßelben annoch [ohnentledigten] Vogts, ferner herrn [-] Pfeffinger des ältern [-] der Ehefrauen Vatter und herrn Johann Friderich Kecken biersieders, derselben Curatoris, Donnerstags den 12.ten Decembris 1743.

In einer allhier Zue Straßburg theils ane der Ruthengaß und theils hinter den Mauren gelegenen behaußung sich befunden wie folgt
Series Rubricarum, deß Ehemanns Vermögen, Sa. haußraths 313, Sa. Rindvieh und schwein 200, Sa. Heu, Stroh und beßerung 20, Sa. Silbers 70, Sa. Goldener Ring 11, Sa. Baarschafft 133, Sa. Schulden 364, Summa summarum 1113 lb – Dazu gelegt die helffte ane den hernach beschriebenen haussteuren so macht 106, Solchemnach belaufft sich deß Ehemanns Samptlich in den Ehestand gebrachten unveränderten Vermögens auf 1219 lb
Der Ehefrauen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 318, Sa. Silbers 31, Sa. Goldener Ring 85, Sa. baarschafft 350, Summa summarum 782 lb – Darzu kombt die Ihro ane den hernach beschriebenen haussteuren gebührige helffte mit 106 lb, Der Ehefrauen Vermögen 888 lb

Anne Barbe Pfeffinger fait son testament au Faubourg Blanc dans la maison de sa grand-mère
1749 (5.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 290) n° 253
Codicillus Frauen Annæ Barbaræ Pfeffingerin geb. Pfeffingerin Johann Friedrich Pfeffingers des metzgers
persönlich erschienen seÿe die Ehren und tugendsame Frau Anna Barbara Pfeffingerin, Herrn Johann Friedrich Pfeffingers des metzgers und burgers allhier Zu Straßburg Eheliebstin, Zwar gesunden gehend und stehenden, ber dabeÿ hochschwangeren Leibes
(…) und wann auch wider verhoffen geschähe, daß die frau Codicillantin weder eheliche Kinder noch ihren liebeb Vattern nach tod verlißen, so will dieselbe anerwogen ihr geliebter Ehemann als dann ihre völlige verlaßenschafft Zeit lebens Zugenießen haben
beschehen allhier zu Straßburg und einer daselbst ane der Weißenthurnstraß liegenden Frauen Keckin der Frauen Codicillantin frauen Großmutter Zugehörigen behausung, deren obern von vorbemeldeten beeden Ehepersonen bewohnenden Stocks Stuben mit denen fenstern in die Straß außsehen auff Donnerstag den 13. Novembris Anno 1749

Anne Barbe Pfeffinger meurt en 1749 en délaissant pour héritier son père. La masse propre au veuf est de 2 079 livres, celle propre à l’héritier de 591 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 227 livres, le passif à 2 561 livres
1750 (16.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 252) n° 429
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die viel Ehren: und Tugendbegabte Fr. Anna Barbara geb. Pfeffingerin, des Ehrenvest v. vorachtbaren H. Johann Friderich Pfeffingers des jüngern Metzgers v. burgers allhier Zu Straßb. gewesene Fr. Eheliebstin seel. nach ihrem den 18.ten Xbr des letztabgewichenen 1749.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. ableiben, Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundl. Ansuchen Erfordern v. begehren des Wohl Ehrenvesten v. Wohlborachtbaren H. Johann Friderich Pfeffingers, des ältern ebenmäßigen Metzgers v. burgers allhier, der verstorbenen seel. leibl. lieben Vatters, und deroselben alldieweilen Sie ohne ehelich erzeugte Kinder dießes Zeitliche gesegnet, ab intestato ncah tod verlaßenen Erbens fleißig inventirt (…) So geschehen alhier in der Königl. Stadt Straßburg auf Donnerstag d. 16.ten tag des Monats Aprilis A° 1750.
Copia der Eheberedung
Copia der verstorbenen Fr. seel. errichteten Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraß gelegenen Keckischer Frauen Wittib eigenthümlich gehörigen behaußung folgendermaßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der obern vordern Cammer, In der Knecht Cammer, In der Magd Cammer, In der mittlerin vordern Cammer, In der vordern obern Stub, In deren Kuchen, Im obern haußöhren, In der untern Wohnstub, In deren Kuchen, Im Keller
Ergäntzung des Wittibers manglenden ohnveränderten Guths, Vermög der über beeder Eingangs gemeldeter nun zertrennter Eheleuth einander in die Ehe gebrachte Nahrung durch H Joh: Jacob Ölinger Not. publ. jur. et pract. allh. auffgerichteten Inv. den A° 1743
Wÿdumbs Verfangenschaft welche Fr. Susanna Pfefingerin geb. Fruthin wittib Zeit lebens geneußt (…) dißortige Fr. Großmutter vätterl. seithen
Wÿdumbs Verfangenschaft welche Frau Margaretha Keckin gebohrne Heÿdelin zeit lebens Zu genießen hat, Nehml. vermög der zwischen weÿl. H Michael Kecken dem geweßenen bierbraueren Zum goldenen Hirsch burgern allh. nunmehr seel. (…) der verstorbenenn Groß Eltern
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers Vermögen, Sa. haußraths 78, Sa. Silbergeschmeids 31, Sa. goldene ring, kett v. dgl. geschmeids 76, Sa. baarschafft 22, Sa. Eigenthumb an einem Ar Reben 54, Sa. Ergäntzung (2511, Abgang 416, Rest) 2095, Summa summarum 2357 lb – Schulden 277, Nach deren Abzug 2079 lb
Des Erben guth, Sa. haußraths 85, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. goldenen rings 8 ß, Sa. baarschafft 26, Sa. Ergäntzung (468, Abgang 2,Rest) 466, Summa summarum 591 lb
Die theilbare Nahrung, Sa. haußraths 118, Sa. weins v meeren faßes 33, Sa. Pferds 24, Sa. Viehes 95, Sa. Häuth 101, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. gold. Rings 1, Sa. baarschafft 451, Sa. Schulden 1397, Summa summarum 2227 lb – Schulden 2561, Theilbar Passiv rest 333 lb
Stall Summa 2336 lb
Eigenthum ane Häußern. Erst. die Helffte von und ane einer behaußung hinter St. Niclaus Kirchen

Jean Frédéric Pfeffinger se remarie en 1752 avec Marie Marguerite Knoderer, fille du marchand Jean Charles Knoderer, de Westhoffen : contrat de mariage, célébration
1752 (15.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 294
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvesten und Wohlvorachtbaren H. Joh: Friederich Pfeffingern, dem Wittwern metzgern und b. allhier Zu Str. als dem H. Hochzeitern ane Einem
sodann der viel Ehren und Tugendgezierten Jungfr. Maria Margaretha Knodererin, des Wohl Ehrbarn und Großachtbaren herrn Johann Carl Knoderers, vornehmen handelsmanns und der viel Ehren und tugendreichen Fr. Margarethæ geb. Karcherin beeder Ehepersonen und b. Zu Westhoffen, hochfürstl. Heßen Hanauischer Herrschafft ehel. erzeugter Jgfr. Tochter als der Jungfr. Hochzeiterin am andern theil
Das zwischen inngemeldten hochzeit, nunmahlen aber Eheleuthe Sub Signatura privata errichtete original (…) Von H Notario Dautel dem Jüngern als beÿsitzer seines H Vatters seel. Notariats acten weilen noch Zur Zeit Kein Actus Depositionis darüber gahalten worden noch werden solle (…) Straßburg den 15. Septembris 1783

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 115-v n° 2)
1752. Mittw. den 19. Jan. 1752. seÿnd nach Zweÿmahl Vorhergeschehener Proclamation in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu St Nicolai in den Stand der H Ehe eingesegnet worden H Johann Friderich Pfeffinger, Metzger und burger allhie wittwer und Jungfr. Maria Margaretha Knodererin H Johann Carl Knoderer des Handelsmanns und Gerichtsschöffens Zu Westhoffen eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Pfeffinger als Hochzeiter, Maria Margaretha Knoderin als hochzeitterin (i 118)

Marie Marguerite Knoderer devient bourgeoise deux mois après son mariage
1752, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 485
fr. maria margaretha Knodererin Von westhoffen gebürtig erhalt das burgerrecht von Ihrem Ehemann Johann friederich Pfeffinger dem burger und metzger umb den alten burgerschilling und will dienen beÿ E E Zunfft Zur blum juravit d 13. Martÿ 1752.

Jean Frédéric Pfeffinger loue le jardin et un logement au jardinier Adam Mattern et à sa femme Catherine Bierel, manants

1760 (18.1.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 971) n° 43 (1° série)
persönlich kommen und erschienen der Ehren achtbare herr Johann Friedrich Pfeffinger, Metzger und burger allhie, anzeigend, wie daß er miterschienenen
Adam Matthern dem Gartenmann und Frauen Catharinä gebohrner Bierelin beeden Eheleuthen und Schirmern allhier [unterzeichnet] Aadam Madtern, Fr. Cat. geb. bierlerin Zeichen +
seinen an seiner Wohnbehausung nahe beÿ dem Stifft S Marx liegenden Garten beneben einer Wohnung, bestehend in einer Stub, zweÿen Cammern und einem Gewölb von Martini 1759 biß dahien 1760 vor und um einen jährlichen zinß der 70 gulden
Actum Straßburg d. 18. Januarii Anno 1760.

Jean Frédéric Pfeffinger et Marie Marguerite Knoderer hypothèquennt la maison au profit du capitaine d’infanterie Philippe Jacques Joham de Mundolsheim

1777 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 189
H. Johann Friedrich Pfeffinger der metzger und Maria Margaretha geb. Knodererin unter assistentz Johann Leonhard Rinck des glaßers und Georg Friedrich Walter des maurer meisters
in gegensein weÿl. ST. Johann Reinhard Dietrich freÿherr von Buch subtitutionis verlaßenschaft nahmens deren der freÿwohlgeborne Philipp Jacob Freÿh. Joham von Mundolßheim, hauptmann unter dem löbl. Infanterie regiment royal alsace, als universal erb und auf substitution graviter nutznießer, ferner H. Johann Daniel Ensfelder notarii publici ac practici als gerichtlich bestellten substitutions curatoris – schuldig seÿen 200 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane dem Finckweiler, einseit neben der Reitschuhl, anderseit neben den Meÿerischen erben, hinten auff besagte reith schuhl

Inventaire (non conservé) dressé en 1798 après la mort de Jean Frédéric Pfeffinger en 1798 et de Marie Marguerite Knoderer en 1794

1798 (14 thermidor 6), Strasbourg, Not. Greis (minute en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Pfeffinger décédé le 26 pluviose dernier et de Marie Marguerite Knoderer décédée le 15 germinal 2
Enregistrement, acp 62 F° 107 du 17 ther 6

Acte de décès de Jean Frédéric Pfeffinger
Décès, Strasbourg (n° 489)
Cejourd’hui 27° Pluviôse l’an six de la République française une et indivisible (…) que Jean Frédéric Pfeffinger agé de 76 ans, Boucher, né en cette Commune fils légitime de feu Jean Frédéric Pfeffinger, Boucher et de feüe Susanne Dorothée Beck, veuf de Marguerite Knoderer est mort hier 26 puviôse à huit heures du soir en sa demeure située à la pomme de Pin sur la place d’armes [in margine :] vieillesse (i 125)

Compte que rend Georges Daniel Widt de la tutelle des enfants Pfeffinger
1799 (25 thermidor 7), Strasbourg 9 (anc. cote 6), Not. Dinckel n° 322
Rechnung Inhaltend all das jenige was b. Georg Daniel Widt handelsmann dahier Namens weÿl. b. Johann Friedrich Pfeffinger gewesenen Metzgers dahier hinterlassenen samtlicher Erben (…) mit deßen auch verstorbenen Ehegattin weÿl. b. Maria Margaretha Knoderer hinterlassenen liquiden Vermögens seit besagten 3. frimair jüngst biß den 19. thermidor nachgehends
Einnahm, Erst. den 27. vent. 7 gienge auf b. diefenbach metzger dahier der auf den 27. pluvios vorhin vor ein Jahr verfallene schudlige banckzins ein mit 340
Item zalte b. Milius den 23. ger. 7 den vierteljährigen hauszinns vom Tanzapffen auf d. 1 Mess. 7 verfallen zu voraus 600

Les cinq héritiers Pfeffinger vendent la maison dite zum Rehgarten (au jardin du chevreuil) au boucher Georges Freysz en confirmation d’une adjudication faite le 24 messidor précédent devant le juge de paix du deuxième canton, confirmée le 29 par le tribunal civil

1798 (19 thermidor 6), Strasbourg 4 (14), Not. Greis n° 1466 Altes N° 828
erschienen persönlich 1° die burgerin Maria Salome geborne Pfeffinger, burgers Georg Heinrich Leicht des Metzgers Ehefrau, beiständlich desselben, 2° burgerin Maria Barbara geborne Pfeffinger, weiland burgers Rudolph Friderich Ferber, gewesenen Rechtsgelehrten alhier Wittib, ihrer Rechte selbst geniesend, 3° burger Johann Friderich Pfeffinger, Metzger, 4° burger Georg Daniel Widt der Handelsmann als ernant und beeidigter Vormund weiland der Burgerin Susanna Dorote geb. Pfeffinger mit burger Abraham Leicht dem Metzger, dero hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt hinterlassener vier Kinder, mit Namen Georg Heinrich, Maria Salome, Johann Abraham und Luise Carolina derer Leicht, so dann 5° burgerin Margareta Elisabet geborne Pfeffinger, burgers Abraham Eichborn, des Metzgers Ehefrau, unter dessen Verbeiständung, samtliche fünff weiland burgers Johann Friderich Pfeffinger gewesenen Metzgers und auch weiland burgerin Maria Margareta geb. Knoderer beider gewesener Eheleute und Inwoner alhier ehelich erzielte Kinder und respective der einen verstorbenen Tochter mit vorgenannt dero Wittiber ehelich erzeugte auch vorerwänte vier Kinder als Enkel, allesamt Zu fünff gleichen Theilen verlassene Erben ab intestato und Inwonere hieselbsten, diese haben insgesamt
in beiseÿn burgers Georg Freÿß, des Metzgers und hiesigen Inwohners freÿ und offentlich angezeigt und bekannt (…) auf die durch Gutachten der bei dem Friedensrichter des alhiesigen Zweiten Gerichts bezircks versammelt gewesener Verwandten und Freunde am 12. Ventose jüngst erhaltene Autorisation, so am 19. ejusdem beim Civil Tribunal des departements Niederrhein alhier resideirend homologirt und behörig enregistrier worden, nach vorhergegangenen bei dem Friedensrichter des alhiesigen dritten Gerichts Bezirks vorgenommenen Neunmaligen offentlichen Versteigerungen (…) verkaufft und zu kauffen gegeben (…)
benantlich Eine enen fünff vorerwänten Pfeffingerischen Kinderen und Enkeln als respective Elter- und Großelterlich Erb Zu gleichen Theilen eigenthümlich angefallene, allhier Zu Straßburg ane der Marxgaß gelegene mit N° 4 bezeichnete behaußung, Zum Rehgarten genannt, samt Hoff, Hoffstatt, Bronnen, Stallung und einem etwa Zween Acker grosen Garten, ein seit ein Eck an einem nicht durchgehenden Gässel ander seit neben Burger Niclaus Meÿer, hinten auf die Struverische Erben und die ehemalige Reitschul stosend, so auser der jährlichen Grundsteur der Verkäufern Versicherung nach gegen männiglich frei, ledig eigen (…) vor und umb die bei dem Steig procès verbal am 19. Messidor jüngst gethane und am 24. ejusdem bei vorgehabter Neunten und letzten offentlichen Gerichtlichen Versteigerung, so bei dem Civil Tribunal des departements Niederrhein am 29. gesagten Monats Messidor jüngst confirmirt und am 12. gegenwärtigen Monats Thermodor enregistrirt
Geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst unten am Waffen Platz gelegenen in obgemeldte Pfeffinger(‘sche Verlaßenschafft gehörigen Zum Tannzapfen geschildeten behaußung, den 19. thermidor im 6. Jahr der einen und unzertrennlichen frantzösischen Republick

Originaire de Bischheim, le boucher Jean Georges Freysz achète le droit de bourgeoisie le 29 janvier 1774 : inscription et registre des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 96-v
Johann Georg Freÿß d. ledige Metzger von Bischheim am Saum gebürtig erhalt das burger recht um den Neuen burger schilling, will dienen beÿ EE Zunft Zur Blum, Jur. eod. [29. Januarÿ 1774]

p. 31 (VI 286 bis) Joh: Georg Freÿß der ledige Metzger Zu bischheim am Saum weÿl. Georg Freÿß b. u. ackersmanns daselbst ehel. sohn.
durch vorgelegter schein erweißet er die Ehel. geburt aug. conf. bepflichtet, die gewohnliche stadt stall caution geleistet, u. beÿ E. E. Zunfft der Metzger des Zunft rechts vertrsotet word.
500 fl. baaren geldt hat Er vorgewiß. deß Eigenth. mit Eÿd erhärtet auch 100 fl. 5 ß beym b. Prot deponirt
Impl. bittet E. G. unterthänig ihn um d. N. b. ß das b recht gnadigst zuv. trösten
Receptus um d. B. b. ß

Jean Georges Freysz épouse Marguerite Simon, fille du tanneur Jean Adam Simon de Barr : contrat de mariage, célébration
1774 (11. 9.bris), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) n° 149
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Georg Freiß, der leedige Metzger und burger allhier Zu Straßburg weiland H Johann Georg Freiß, des gewesenen Weis becken zu Bischheim am Saum mit auch weiland Fr. Catharinæ geb. Metzgerin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Margaretha Simonin H. Johann Adam Simon zu Barr mit auch weiland Fr. Catharina geb. Hefftstetterin ehelich erzeugt annoch minderjährige Tochter, als hochzeiterin ane dem andern theil
auff Freÿtag den 11. Novembris Anno 1774 [unterzeichnet] Johann Georg freÿß als hochzeiter, Margaretha Simonin als Junfer hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 81-v)
Im Jahr 1774 Dienstags den 22. Novembris Nachmittags nach vier Uhr sind (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Georg Freÿß der leedige Metzger und burger allhier, weÿland Johann Georg Freÿß gewesenen weißbecken und burgers Zu Bischoffsheim am Saum und auch weÿland Catharinä gebohrner Metzgerin nachgelaßener ehelicher Sohn und Margaretha Simonin von Barr gebürtig, weÿland Johann Adam Simons geweßenen Rothgerbers und burgers Zu Barr und auch weÿland Catharinæ gebohrner Helmstätterin nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] H. Georg freÿß als hochzeiter Margaretha Simonin als hochzeiterin (i 134)

Marguerite Simon devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage : inscription et registre des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 120
Margaretha Simonin von barr gebürtig erhaltet das burgerrecht von ihem Ehemann Johann Georg Freÿß dem Metzger und burger allhier umb den alten Burger schilling will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Blum. Prom. den 10. X.bris 1774.

p. 148 (VI 286 bis) Blum N° 11 d. 17. 9.br 1774.
Jgf. Margaretha Simonin Von Barr geb. weÿl. adam Simon des gew. b. u. Rothgerbers daselbst ehel. Tochter Verlobt an Joh: Georg Freÿß d. Metzger u. b. alhie, die Schein geben an die ehel. geb. aug. conf. deßen Sponsi stall gebühr in richtigkeit
Vermög Zweÿ passirten obligation vor dem ambtschreiber des ambts Barr beweist sie ihr Vermögenschafft so über 300 fl. betrifft deßen wahren u. ohnveränd. Eigenthumb sie mit einer Handtreu bekräfftiget durch 100 fl. 5 ß beÿm b. Prot. deponirt
Impl. bittet E. G. unterthänig sie a Sponso um d. a. b. ß des b rechts zuvertröst.
a sponso um d. a. b. sch

Marguerite Simon meurt en 1785 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue Saint-Marc, sans doute la maison Weiler dans laquelle la défunte a fait son testament. La masse propre à l’héritier est de 2 877 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 520 livres, le passif à 3 428 livres.
1785 (6.12.), Not. Zimmer (6 E 41, 1435) n° 712
Inventarium über Weiland Fraun Margarethä Freÿsin geborner Simonin, Herrn Johann Georg Freÿß des Mezgers und Burgers dahier geweßener Ehegattin Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1785. – nach ihrem den 19.den Augusti Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie zeitlichen verlaßen hat (…) So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg den 6. Decembris Anno 1785.
Die Verstorbene Hat ab intestato Zu ihrem einigen Erben hinterlassen, benantlich Johann Georg Freÿß, so 6 Jahr alt, Ihr der Defunctæ mit dem hinterbliebenen Wittwer ehelich Erzeugten Söhnlein, deßen geordnet und geschworener Vogt ist Johann Friderich Kreuchel der Metzger und burger alhier

In einer alhier ane dem Marx Gäßlein im Finckweiler gelegenen hiehero gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane liegenden Güthern in dem Barrer Bann gelegen
(f° 8) Eigenthum ane einer Metzigbanck (…)
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschaft. Es haben zwar bede Zertrennte Eheleuthe der mit einander errichteten und vorher einverleibten Eheberedung §° 3.° derselben sich also verabredet und verglichen, daß das von beden theilen in die Ehe bringende und während derselben ererbende Vermögen, jedem theil und seiner Erben ein freÿ eigen und unverändert Guth seÿn (…) Wie aber der hinterbliebene Wittiber hiebeÿ anzeigte so wäre über ihr bederseitiges zubehöriges Vermögen kein Inventarium errichtet worden
(f° 7) Ergäntzung des Kinds und Erben abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Extractus aus Johannes Dietz des Zingießers Zu Barr ihr der verstorbenenen Frau Freÿßin geschwornen geordneten Vogts abgelegter, approbirter und unterschriebener Rechnung (…)
(f° 12-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der vor mir Notario und Zeugen den 11. Novembris 1774 zwischen beden nun Zertrennten Eheleuten auffgerichteten Eheberedung
Copia der Verstorbenen vor mir Notario den 15. Augusti 1785. errichteten Codicilli
Des Erben unveränderten Guths, Sa. Kleidung und weisen Gezeugs 44, Sa. Silbers 6, Sa. golener Ring und dergleichen Geschmeids 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 850, Sa. Eigenthumb ahe liegenden Güthern 77, Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzung 2353, Summa summarum 3377 lb – Schuld 500, Nach deren Abzug 2877 lb
Diesemnach wird auch sowol des Wittibers unverändert als theilbar Guth unter einem Titul als in des Wittibers Nahrung gehörig beschrieben, maßen des Kinds und Erben geordneter Vogt auf die theilbare Mass gäntzlich Verzug thut, Sa. haußraths 69, Sa. Brandweins 225, Sa. Silbers 18 ß, Sa. Eigenthums ane einer Metzigbanck 375, Sa. Schulden 850, Summa summarum 1520 lb – Schulden 3428 lb, In Vergleichung 1908 lb
Stall Summ 869 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Freÿtags den 11. Novembris Anno 1774, Zimmer Nots.
Copia Codicilli nuncupativi (…) So geschehen alhier zu Straßburg in einer in dem Finckweiler an dem Marxgäßlein gelegene, Herrn Weiler Zuständigen behausung und dem auf dem zweÿten Stock derselben sich befindlichen Wohnstub mit denen Fenstern an gedachtes Gäßlein aussehend (…) den 18. Augusti Anno 1785, Zimmer, Nots.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 1 700 florins
1786 (20. Martii), Livres de la Taille (VII 1181) f° 26-v
Blum N° 725 – Weÿland Fr: Margarethä gebohrner Simonin, Joh: Georg Freÿß des Metzgers und Burgers alhier gewesener Ehefr: Verlaßenschaft inventirt H. Not. Zimmer. Concl: fin: Inv: ist fol: 84.b, 869 lb 11 ß 7 d die machen 1700 fl. verstallte 1000 fl. also Zuwenig 700 fl.
Wovon Nachtrag, als von in die Ehe gebrachtem Gut, Acht Jahr in duplo à 2 lb 2 ß d – 16 lb 16 ß
und Sechs Jar in simplo à 1 lb 1 ß – 6 lb 6 ß
Ext. Stallgelt pro 1786 – 2 lb 17 ß
Gebott – 2 ß 6 d
Abhandlung – 2 lb 9 ß – Summa 28 lb 10 ß 6 d
Auf fürgebrachte triftige motiven ist ane dem samtlichen Nachtrag die Helfte nachgelaßen worden mit 11 lb – Rest 16 lb 19 ß 6 d
dt. 26. Martii 1786.

Jean Georges Freysz se remarie en 1786 avec Marie Marguerite Rœsch, veuve du boulanger Isaac Schiff : contrat de mariage, célébration
1786 (17.8.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 13
Eheberedung – erschienen der Ehrengeachte Hr Johann Georg Freiß verwittibter Burger und Metzger dahier, als Hochzeiter ane einem
Sodann die Ehren und tugendbegabte Frau Maria Margaretha Schiffin geborne Röschin, weil. H. Isaac Schiff, gewesenen Burgers und Schwartzbecken auch dahier nachgelaßene Frau Wittib, beiständlich H Lorentz Blind, Burgers und Huefschmids auch Mitschöffen auf E. E. Zunfft der Schmidt ihres Vettern, als hochzeiterin am andern Theil
So geschehen (…) Straßburg den 17. Augusti 1786. Johann Georg Freÿß alß hochzeiter, Maria Margaretha schiffin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 130 n° 23)
1786. den 28. Augusti sind nach ordentl. geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicol. ehel. eingesegnett word. H Johann Georg Freÿß der Metzger und Burger allh. weil. Fr. Margaretha gebohrner Simonin nachgelaßener Wittiber, und Fr. Maria Margaretha geborne Röschin weil. Johann Isaac Schiff gewesenen Schwartzbecken u. burgers allh. nachgelaßene Wittib wie solches bezeugen [unterzeichnet] Joh: Georg Freÿß als hochzeitter, Maria Margaretha schiffin als hochzeiterin (i 135, proclamation Temple-Neuf f° 222 i 223)

Fils de boulanger, Isaac Schiff épouse en 1785 Marie Marguerite Rœsch, fille du tanneur Jean Michel Rœsch de Barr : contrat de mariage, célébration
1785 (7.2.), Not. Schaaff (6 E 41, 919)
Eheberedung – erschienen der Ehrsam und bescheidene Hr Isaac Schiff, lediger burger und Beckenmeister dahier zu Straßburg, weil. H. Johann Niclaus Schiff, gewesenen auch Schwartzbecken und burgers hieselst mit längst weil. Catharinä Margarethä gebohrner Kochin ehelich erzeugt nach tod hinterlassener großjähriger Sohn, als hochzeiter ane Einem
So dann die Ehr: und Tugendsameen Jungfrau Maria Margaretha Röschinn weil. H. Johann Michael Rösch, gewesenen Burgers und Rothgerber Zu Barr mit auch weiland Fr. Mariä gebohrner Dietzin ehelich erziehlt nachgelaßene majorenne Tochter, beiständlichen H. Andreas Dietz des auch burgers und Rothgerbers zu ermelten Barr Ihres würcklich alhier sich befindenden annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeitein am andern Theil
Straßburg Montags den 7. Februarÿ Anno 1785 [unterzeichnet] Johann Isaac Schiff als Hochzeiter, Maria Margaretha Röschin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 109 n° 14)
1785. Montag den 18. Aprilis sind nach ordentlich geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Isaac Schiff der ledige becker und burger allhier, weÿland Niclaus Schiff geweßten beckers und burgers allhier mit weÿland Frau Maria Margaretha gebohrner Kochin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Maria Margaretha Röschin weÿland Johann Michael Rösch geweßenen Rothgerbers und burgers in Barr mit Frau Maria gebohrner Dietzin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Isaad Schiff als Hochzeiter, Maria Margaretha Röschin als Hochzeiterin (i 113)

Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Jacques Kammerer

1813 (2.3.), Strasbourg 3 (36), Not. Übersaal n° 1291, 6333
Inventaire de la succession de Jean Jacques Kammerer boulanger, à la requête de Marie Madeleine Michel la veuve et 1. Jean Jacques Kammerer horloger, 2. Jean Michel Kammerer boulanger 32 ans, absent depuis environ 6 ans duquel on n’a aucune connnaissance où il se trouve, en son nom M° Chrétien Geoffroi Bossenius, notaire impérial, 3. Marie Madeleine Kammerer épouse de Jean Frédéric Glock, sacristain de l’Eglise de St Pierre le Vieux de la confession d’Augsbourg, 4. Marie Caroline Kammerer épouse de Léonard Laurent Haertelmeyer boulanger, 6. Dorothée Frédérique Kammerer fille majeure – Contrat de mariage M° Dautel le 6 août 1778
dans une maison sise en cette ville rue St Marc n° 4 appartenant à la veuve du Sr Freÿss
propres de la veuve 2445 fr – propres des enfants, meubles 45 fr
propriété d’une maison apportée en mariage par le défunt, sçavoir une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Veau n° 14, d’un côté la maison de la famille Loewenhaupt, d’autre celle du Sr Keller derrière brasserie à l’enseigne de l’Espérance – évaluée à 400 fr de revenu en capital 8000 fr, cédée au défunt par sa mère à l’art. 7 du Contrat de mariage – Dans l’inventaire des apports, il est dit que la propriété est constatée par acte de la Chambre des subhastations du 28 février 1771
total 8045 fr, passif 696 fr, reste 1176 fr, remploi, les héritiers doivent tenir compte à la succession de 2721 fr
communauté, meubles 207 fr, argenterie 18 fr, dettes actives 2721 fr, total général 2946 fr, passif 4548 fr
Enregistrement, acp 121 F° 169 du 3.3.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marguerite Salomé Strub femme du charpentier Chrétien Erdmann Laad

1815 (18.10.), Strasbourg 8 (12), Not. Roessel n° 2730
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Laad née Strub, décédée le 20 avril dernier – à la requête de Chrétien Erdmann Laad charpentier le veuf père et tuteur légal des quatre enfants procrés avec la défunte nommés Marguerite Salomé âgée de 7 à 8 ans, Georges Chrétien âgé de près de 7 ans, Marie Madeleine passés 5 ans, Frédérique Aldegonde près de 3 ans – en présence de Jacques Ohl ouvrier en tabac subrogé tuteur – mariés en 1806 sans contrat de mariage
dans une maison rue St Marc n° 4 appartenant au Sr Freys boucher
actif 3893 fr, passif 2650 fr
enreg. f° 193 du 19.10.

Lors de la liquidation, la moitié de la maison revient à la veuve, l’autre moitié appartenant à son fils Jean Georges Freysz

1834 (7.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 66), M° Hickel n° 1706
Liquidation et Partage – 1. Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freisz, boucher décédé le 29 juin 1799, 2. Jean Georges Freisz, boucher, 3. Jean Freisz, boucher
Contrat de mariage dressé par M° Schaaff notaire à Strasbourg le 17 août 1886, Partage, inventaire et liquidation s.s.p. le 1 février 1811 déposé au rang des actes de M° Bossenius le 21 février 1811, sont restés indivis 1. une maison sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 de la communauté, 2. un étal de boucher aux Grandes Boucheries n° 41 de la succession de M Freisz
la veuve : la moitié de maison art. 1 de la masse active
lot de Jean Georges Freisz fils la moitié de l’étal de boucher, 800 fr, la moitié de maison
lot de Jean Freisz, boucher, l’autre moitié de l’étal de boucher
Communauté, masse active 1. une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le harras royal et la propriété de M. Ott, évaluée à la somme de 24.000 francs. Acquise par adjudication des héritiers Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et de Susanne Marguerite Knoderer suivant adjudication définitive et déclaration de command devant le juge de Paix du troisième arrondissement de la ville le 24 messidor 6, homologué par jugement du Tribunal Civil le 29 même mois et acte reçu Greiss ;notaire le 19 thermidor 6, confirmée – la quatrième portion de maison de la communauté
Succession, 2. un étal de boucher situé à Strasbourg dans les Grandes Boucheries n° 41 pour 1 600 fr – acquis de Jean Valentin Schneegans, boucher, à la Chambre des Contrats le 22 janvier 1778
passif 4089 fr ; succession de M Freisz ; succession, total 11.596 fr, passif 11.554 fr
Enregistrement, acp 223 F° 147 du 12.3.

Accord entre les héritiers Freysz et leur voisin le boucher Jean Daniel Grœtzinger relatif à des ouvertures dans le mur mitoyen

1835 (24.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), M° Hickel n° 5007
Transaction – Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freysz, boucher, assistée de Jean Freysz son fils boucher ; et Jean Georges Freysz fils boucher
Jean Daniel Groetzinger, boucher, et Dorothée Schär
aux termes d’un partage devant M° Hickel le 7 mars 1834, Mde Freysz et M Freysz sont propriétaires par indivis de la moitié d’une maison avec jardin, autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4, d’un côté celle des conjoints Groetzinger, de l’autre le cul de sac St Marc
Qu’il y a environ 24 ans que la veuve Freysz a permis par pure tolérance à l’ancien propriétaire de la maison contiguë à l’immeuble ci dessus indiqué et situé en ladite ville même rue n° 3 qui appartient aujourd’hui aux conjoints Groetzinger de pratiquer dans le mur mitoyen qui sépare les propriétés des parties deux croisées éclairant le premier étage de l’un des bâtiments ds conjoints Groetzinger et donnant vers le jardin dépendant de la maison n° 4. Que les propriétaires de cette dernière maison pour consever leurs droits au sujet de la tolérance dont il s’agit ont réclamé à plusieurs reprises soit des conjoints Groetzinger soit des précédents propriétaires de la maison n° 3 une reconnaissance écrite constatant les droits des premiers et portant l’engagement formel de la part des propriétaires de ce dernier immeuble de faire disparaitre et murer à leurs frais et à première réquisition les croisées en question sans pouvoir prétendre par la suite à une servitude. Les parties n’ayant pas pu se concilier ont été envoyées devant le juge compétent (…) procès verbal de non conciliation devant le Juge de Paix le 27 janvier dernier. Pour éviter le procès, Lesdits conjoints Groetzinger ont déclaré et reconnu que c’est par pure tolérance de la part de la veuve Freysz que les croisées dont il est question ci dessus ont été pratiquées dans le mur mitoyen qui sépare les propriétés ci dessus désignées.
Enfin les parties déclarent que tout ce que dessus est fait sans préjudice des droits des conjoints Groetzinger au sujet de deux ouvertures qui existent dans ledit mur mitoyen et dont l’une a 59 cm environ (22 pouces) de largeur et l’autre 70 cm (environ 19 pouces) de hauteur et 58 cm (environ 21 pouces et demi) munies d’un treillis de fer dont le mailles auront 1 décimètres (environ 3 pouces 8 lignes) d’ouverture au plus de largeur. Les parties étant convenues à cet égard que les propriétaires de la maison n° 3 pourront conserver ces ouvertures tant et aussi longtemps qu’ils jugeront à propos sauf à les tenir constamment grillées
Enregistrement, acp 230 F° 196-v du 28.3.

Marie Marguerite Rœsch veuve de Jean Georges Freysz vend sa moitié de maison à Anne Gourichon, religieuse de la maison du Bon Pasteur

1838 (27.12.), Strasbourg 2 (82), M° Tinchant n° 899
Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freysz père vivant boucher à Strasbourg
à Anne Gourichon dite en religion Marie de Ste Victoire, religieuse de la maison du Bon Pasteur à Strasbourg, caution François Xavier Mertian, propriétaire à Strasbourg
Objet de la vente, la moitié indivise d’une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances, dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 au Finckwiller, d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le terrain de l’administration du Haras et la propriété du Sr Ott
Propriété, à la venderesse suivant partage et liquidation entre elle et son mari défunt devant M° Hickel le 7 mars 1834, l’autre moitié à Jean Georges Freysz fils – Freysz père est devneu propriétaire par adjudication prononcée au profit du mari par les héritiers Jean Frédéric Pfeffinger, ci devant boucher et Suzanne Marguerite Knoderer, suivant adjudication et déclaration de command par le Juge de Paix du sixième arrondissement de la ville de Strasbourg le 24 messidor 6, homologué par jugement du tribunal de Strasbourg le 29 même mois, par acte reçu M° Greiss le 19 thermidor 6 la vente a été confirmée – enfin Sr Pfeffinger a acquis leit immeuble à la Chambre des Contrats sur les héritiers Certain le 8 août 1758 – moyennant 15.000 francs
Enregistrement, acp 264 F° 89 du 2.1.

Jean Georges Freysz, boucher, et Marie Dorothée Hæberlé vendent l’autre moitié de maison à la même

1838 (28.12.), Strasbourg 2 (82), M° Tinchant n° 901
Licitation – Jean Georges Freysz, boucher, et Marie Dorothée Haeberlé
à Anne Gourichon dite en religion Marie de Ste Victoire, religieuse de la maison du Bon Pasteur à Strasbourg, caution François Xavier Mertian, propriétaire à Strasbourg
Désignation de l’immeuble, la moitié indivise d’une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances, dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 au Finckwiller, d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le terrain de l’administration du Haras et la propriété du Sr Ott – Origine de la propriété, avenu au vendeur dans le partage des biens ayant appartenu à Jean Georges Freyss père, boucher, et Marguerite Roesch, par M° Hickel me 7 mars 1834, ladite Anne Gourichon est déjà propriétaire de l’autre moitié acquise de la veuve Freysz par acte devant le soussigné notaire le 27 du présent mois – moyennant 23.000 francs
Enregistrement, acp 265 F° du 4.1.

Anne Gourichon a acquis la maison avec les fonds de l’établissement du Bon Pasteur

1857 (14. 7.br), M° Noetinger
Notoriété constatant que 1) l’acquisition faite par Anne Gourichon religieuse du couvent de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur d’Angers sur Jean Georges Freysz, boucher à Strasbourg, d’une maison rue St Marc, par acte Tinchant Nre le 27. Xbr 1838
2) l’acquisition faite par Florence Baudin, supérieure dudit couvent sur Joseph Reussel* propriétaire à la Robertsau de 1 hectare de terre à la Robertsau par acte Noetinger Nre le 14 août 1846
3) l’acquisition faite par la même d’un hectare 23 ares à la Robertsau par acte Noetinger Nre le 11 février 1848
4) l’acquisition faite par la même d’une campagne à la Robertsau Noetinger 17 novembre 1846
5) acquisition campagne à la Robertsau 23. février 1857
que lesdites acquisitions ont été faites des deniers appartenant à l’établissement du dit Bon Pasteur
acp 463 (3 Q 30 178) f° 24-v du 21. 7.br

L’établissement du dit Bon Pasteur vend la maison à l’établissement des Diaconesses

1865 (21.12), M° Noetinger
Le 5 décembre 1865 – Dépôt du cahier des charges en date du 11 9.br 1865 enregistré aujourd’hui et d’un décret impérial autorisant la vente d’une maison rue St Marc N° 8
acp 548 (3 Q 30 263) f° 77-v du 11.12.
Le 21 décembre 1865. Adjudication définitive à la requête de Marie Louise Pigé, supérieure du refuge du Bon Pasteur à la Robertsau, en qualité de mandataire de Virginie Pellerin, supérieure de la Congrégation hospitalière [des Sœurs de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur] dont le siège se trouve à Angers
au profit de Frédéric Edouard Moeder, propriétaire à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue Saint Marc n° 8, moyennant 81.100 francs
Déclaration de command par ledit Sr Moeder, qu’il a enchéri ladite Maison pour le compte de la supérieure de l’Etablissement des Diaconesses. Ladite adjudication ne sera définitive qu’après l’autorisation du Gouvernement
acp 549 (3 Q 30 264) f° 17 du 22.12.

1866 (11.7.), M° Noetinger
Dépôt par le mandataire de Virginie Pellerin, supérieure de la Congrégation hospitalière et enseignante des Sœurs de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur à Angers, et par Frédérique Boeswilwald veuve d’Emanuel Traugott Bein, en qualité de membre du Comité d’administration de l’établissement des Diaconesses protestantes de Strasbourg
de la copie d’un décret impérial en date du 13 juin 1966 autorisant l’acquisition d’une maison rue Saint Marc N° 8 à Strasbourg et adjugé audt établissement suivant acte reçu Noetinger Nre le 21 décembre 1865 au prix de 81.100 francs
acp 555 (3 Q 30 270) f° 55 du 16.7.

Article sur le collège Lucie Berger


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.