3, place Kleber


Place Kleber n° 3 – IV 366 (Blondel), N 711 puis section parcelle (cadastre)

Troisième étage en 1732 par le chirurgien Daniel Théophile Ziegenhagen – Etages nouveaux en pans de bois, 1815 – Démolie en 1907


Vue vers 1890 (troisième maison après celle à l’angle de la rue des Grandes Arcades, sur la gauche, carte postale de la collection Strasbourg disparu)

La maison qui a dix-huit pieds et demi de long appartient en 1587 au barbier Gaspard Silberrad ; elle a un encorbellement et une avance au-dessous de la toiture. Elle appartient de 1600 à 1614 au cordonnier Jacques Schlachtmann puis à nouveau à des chirurgiens barbiers jusqu’en 1815 : Sébastien Mack, Philippe Leuprand puis Philippe Hess que l’oculiste et chirurgien Jean Frédéric Beza désigne en 1644 pour lui succéder dans les fonctions, Philippe Robert Messerschmidt, Jean Christophe Engel. Auguste Krieg fait élargir en 1711 d’un pouce les fenêtres dans l’encorbellement et en retirer le meneau central. Daniel Théophile Ziegenhagen qui vient d’acheter la maison charge en 1732 le charpentier Jean Georges Zimmer de construire un deuxième bâtiment latéral. Il transforme la même année l’encorbellement et ajoute un étage. Le dernier chirurgien à être propriétaire de la maison est Daniel Frédéric Masské (1761-1815).


La place des Cordeliers entre la rue du Pilot à droite et les Grandes Arcades à gauche. La maison est la troisième de l’alignement central à partir de la gauche (Plan-relief de 1725, Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 192 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages neufs en bois, ce qui correspond à la description donnée en 1815 (maison à rez-de-chaussée, trois étages, mansardes, greniers, cave voûtée, petite cour avec puits, petit bâtiment arrière à rez-de-chaussée et deux étages, couverte de tuiles). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (k) : rez-de-chaussée à deux petites fenêtres et porte d’entrée, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à un étage mansardé et deux niveaux de lucarnes. le mur (h-k) précède les deux dernières maisons (g-k), en retrait de l’alignement des autres.
La maison porte le n° 3 aussi bien selon l’ancienne (1784-1857) que la nouvelle numérotation.

La maison appartient pendant vingt ans (1824-1843) au tailleur Jean Antoine Bichy puis aux tourneurs Jean Chrétien Roth et Jacques Roth. Le brasseur Georges Guillaume Müller (1871-1890) va habiter à Schiltigheim puis vend la maison à son voisin Israël Goldschmidt qui la fait démolir en 1907 pour construire un nouveau bâtiment (voir la notice du n° 1).

juillet 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1599 à 1891 (date de sa réunion aux n° 1 et 2). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Gaspard Silberrad, barbier, et (1571) Véronique Graseck puis (1603) Susanne von Saltzburg – luthériens
1600 v Jacques Schlachtmann, cordonnier, et (1585) Véronique Grodler, (1598) Odile Schenck puis (1606) Marie Rummelsperger – luthériens
1614 v Sébastien Mack, barbier, et (1603) Jacqueline Mentzer – luthériens
1619 v Philippe Leuprand, barbier, et (1620) Eve Kalt puis (1638) Marie Speccerus, d’abord (1626) femme du tailleur Jean Martin Kitsch – luthériens
1640 h Philippe Hess, barbier, et (1640) Marie Speccerus veuve de Philippe Leuprand, puis Esther Riehl – luthériens
1675 v Philippe Robert Messerschmidt, barbier, et (1664) Susanne Klinger, (1678) Anne Marie Meyer puis (1680) Marguerite Bartu – luthériens
1683 v Jean Christophe Engel, barbier, et (1683) Anne Barbe Dürninger – luthériens
1696 v Auguste Krieg, barbier, et (1696) Marie Ursule Pastorius puis (1706) Anne Marie de Gottesheim – luthériens
1732 v Daniel Théophile Ziegenhagen, chirurgien, et (1732) Jacqueline Rubin veuve de Jean Jacques Bruder, marchand de cuir, puis (1751) Marie Marguerite Schwartz – luthériens
1761 v Daniel Frédéric Masské, chirurgien, et (1761) Catherine Barbe Petzel – luthériens
1815 v Jean Michel Wilcké, batteur d’or, et (1814) Marie Madeleine Lœchner
1824 v Jean Antoine Bichy, tailleur et (1814) Marie Barbe Streicher puis (1840) Catherine Weccheider, remariée à François Raphaël Guyon
1843 v Jean Chrétien Roth, tourneur, et (1815) Dorothée Rhein
1853 h Jacques Roth, tourneur, et (1853) Dorothée Caroline Ludwig
1870 h Charles Roth, caissier à Paris
1872 v Georges Guillaume Müller, brasseur, et (1864) Augustine Deschenes puis (1884) Anne Marie Maier
1891* v Israël dit Edouard Goldschmidt, et (v. 1880) Jenny Wollstein

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 900 livres en 1728
Valeur vénale, 1 100 livres en 1732, 2 500 livres en 1761

(1765, Liste Blondel) IV 366, Daniel Fréderic Masckel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Masqué, 2 toises, 4 pieds et 8 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 711, Bichy, Jean Antoine, tailleur – maison, sol – 0,75

Locations

1665, Philippe Frédéric Horb, barbier
1669, Anne Marguerite veuve Eisenstern, femme du barbier Jean Bernard Gorius
1847, Jean Georges Roth, tourneur, et (1842) Dorothée Caroline Rhein

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 161-v
Le barbier Gaspard Silberrad doit 8 sols 8 deniers pour sa maison, à savoir un encorbellement (18 pieds ½ de long, saillie de 4 pieds), item en haut une avance (18 pieds ½ de long, saillie d’un pied), une porte de cave inclinée (5 pieds 8 pouces de large, saillie de 3 pieds 3 pouces), une échoppe (8 pieds de long, 1 pied ½ de large) avec une pierre à aiguiser.

Uff dem Barfüeßer Platz am Eck deß feürgaëßlins hinder der Kürßner Stuben der grossen Stadelgassen Zugemessen
Caspar Silberrad der Scherer hatt vor seinem Hauß oben ein Vsstoß 18 ½ schu lang vnd iiij schu herauß, Mehr oben noch ein Staucher xix= schu lang, vnd j schu herauß, Ein lehenete Kellerthüer v schu viij Zoll breit, vnd iij schu vnd iij Zoll herauß, Ein Laden viij schu lang, vndt i+ breit, sampt einem Schleiffstein, Bessert für das Niessen ix ß viij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1711, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Le barbier Auguste Krieg est autorisé à élargir d’un pouce les encadrements des fenêtres dans l’encorbellement et à retirer le meneau central

(f° 196-v) Mittwochs den 14. Octobris 1711. – Herr Augustus Krieg pt° erweitterung seiner fenster gestell
Herr Augustus Krieg, der Barbierer, ersucht Mghh. umb erlaubnus, daß Er die fenster gestell in seiner auff dem Baarfüßer Platz ligenden behausung in dem Überhang auff jeder seithen ein Zoll breit außhauwen und die mittlere pföstlein gar heraußthun dörffe. Erk. Willfahrt.

1732, Préposés au bâtiment (VII 1395)
Le charpentier Jean Georges Zimmer est autorisé en juin au nom de Daniel Théophile Ziegenhagen à construire un deuxième bâtiment latéral aussi large et aussi haut que le premier. Daniel Théophile Ziegenhagen demande en juillet l’autorisation de remplacer les fenêtres de l’encorbellement par des croisées et d’ajouter un étage. L’autorisation lui est accordée après visite des lieux. Il devra s’adresser à l’autorité compétente pour le pignon.

(f° 53-v) Dienstags den 17. Junÿ – H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen weg. bauens
Johann Georg Zimmer, der Zimmermann, sucht im nahmen Herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen, des barbierers, erlaubnus, neben das auf Seiner am Barfüser platz liegenden wohnung habendes Querhäußlein, noch ein anderes in gleicher breite und höhe bawen Zu laßen. Erk. Willfahrt.

(f° 57-v) Montags den 7. Julÿ – H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen wegen bauens
Herr Daniel Gottlieb Ziegenhagen, der Barbierer, ersucht Mghh. daß Ihme möchte vergönt werden, an Seiner auf dem Barfüser platz liegenden wohnung die außladung an denen fenstern in dem überhang hinweg und an deren stelle Creutzstöck machen, auch oben dieße wohnung mit einem Stöcklin erhöhen Zu laßen. Erk. Solle ein augenschein deßwegen eingenommen werden.

(f° 57) Eodem die, seÿen folgende Augenschein eingenommen worden
Daniel Gottlieb Ziegenhagen – In Herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen, des barbierers Hauß auf dem Baarfüßer Platz, welches es mit einem Stöcklein Zuerhöhen, wie auch die Außladung an deren Fenstern im Überhang Hinwegzuthun, und Creützstöck darein Zu machen willens.

(f° 59-v) Dienstags den 15. Julÿ – H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen wegen bauens
HerrnDaniel Gottlieb Ziegenhagen dem Barbierer, ist nach eingenommemem Augenschein willfahrt worden, Seine auf dem Baarfüßerplatz liegende Behaußung mit einem Söcklein Zu erhöhen, wie auch die außladung an denen Fenstern im überhang hinweg Zu thun, vnd Creütz Stöck darein machen Zu laßen. Er solle aber auch was die Gäbel anlangt, sich gehörigen orthen anmelden.

1755, Préposés au bâtiment (VII 1406)
Les préposés autorisent Daniel Théophile Ziegenhagen à ouvrir une porte de communication vers la maison voisine de la veuve de Claude Wilhelm où il loue une pièce pour loger ses enfants, en déclarant qu’il n’usera pas longtemps de ce droit parce qu’il cherche à acheter une plus grande maison.

(f° 76) Dienstags den 3.ten Junÿ 1755. – H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen
Herr Daniel Gottlieb Ziegenhagen der Chirurgus remonstrirt Mhh Unterthänig, daß er in seinem hauß ane Baarfüßer Platz Zu eng logirt, und sich benöthiget befunden, beÿ Cladi Wilhelm des sattlers Wittib seiner Nachbarin ein Zimmer Zulehnen seine Kinder darinn Zu logiren, Bittet dahero um erlaubnus, eine Communications thür Von einem Hauß in das andere Zubrechen, und dießes nur auf eine Kurtze Zeit, weilen er willens ist, ein größeres Hauß Zukauffen. Erkannt Allein auf seine Person Willfahrt, und Ohne Consequentz ratione seines Nachkömmerlings in dem Hauß.

1766, Préposés au bâtiment (VII 1412)
Les préposés autorisent Daniel Frédéric Masské à repeindre et chauler l’encorbellement à condition de n’y faire aucune réparation

(f° 11) Dienstags den 11. Martÿ 1766. – H. Daniel Friedrich Masqué
H. Daniel Friedrich Masqué der Chyrurgus allhier läßt umb erlaubnus bitten sein hauß auff dem barfüßer platz so einen überhang hat neu anzustreichen und Zu weißen. Erkannt, willfahrt soll aber Keine reparationen und veränderungen an dem überhang machen.

Description de la maison

  • 1679 (billet d’estimation traduit) La petite maison étroite est estimée à la somme de 800 florins
  • 1728 La maison comprend un poêle, une boutique de barbier, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, une cave voûtée, le tout estimé avec les aisances et dépendances à la somme de 1 800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes

nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Bichy
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages neufs en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 202 case 3

Bichy Jean Antoine, tailleur à Strasbourg
Roth Jean Chrétien, tourneur place Kleber N° 3 (1845)
Roth Jacques Tourneur place Kleber N° 3 (subst. 1854

N 711, maison, sol, place d’armes 3
Contenance : 0,75
Revenu total : 171,39 (171 et 0,39)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 15 / 12
fenêtres du 3° et au-dessus : 10 / 8

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1048 case 1

Roth Jacques tourneur
1871 Roth Charles caissier à Paris
1873 Müller Georg Wilhelm Bierbrauer
1891/92 Goldschmidt Israel gen. Eduard, Kaufmann und Ehefrau Jenny geb. Wollstein in Gütergemeinschaft
(ancien f° 796)

N 711, maison, sol, Place Kleber 3
Contenance : 0,75
Revenu total : 171,39 (171 et 0,39)
Folio de provenance : (202)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 15 / 12
fenêtres du 3° et au-dessus : 10 / 8

Cadastre allemand
Voir le n° 1

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 98 Place d’Armes p. 158

3
Prop. – Maské, Daniel Frederic, Chirurgien – Lanterne

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 727 W 5)

Pièces dans le dossier du 1-3, place Kleber

Sommaire
  • 1886 – La Division Iii-b (Stieffel) informe l’architecte municipal Nebelung qu’une canalisation s’est rompue dans la nuit du 24 au 25 janvier au troisième étage du 3, place Kleber (propriétaire, Müller à Schiltigheim) en inondant les étages inférieurs. – Les planchers ont séché, 2 février
  • 1890 – Le maire notifie la veuve Müller de faire ravaler la façade du 3, place Kleber
    J. Goldschmidt vient d’acheter la maison qu’il déclare avoir l’intention de transformer l’année suivante et demande un délai. Le maire refuse parce que la façade est sale – Travaux terminés, novembre

Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du barbier Gaspard Silberrad.

Gaspard Silberrad épouse en 1571 Véronique, fille de Jean Graseck
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 200 n° 460)
1571. D. Quasimodogeniti. Caspar Silberrhat der scherer, Veronica Graseckin, Hans grasecken nachgelaßene dochter, 15 April. (i 204)

Il se remarie en 1603 avec Susanne, fille d’Antoine von Saltzburg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. 162-v n° 3)
1603. Dominica 1 post Epiphan: 9. Jan. Caspar Silberaht d. scherer, Fr. Susanna H. Anthoni von Saltzburg hind.lassene Tochter (i 86)

Susanne, fille d’Antoine von Saltzburg passe avec les héritiers de sa belle mère un accord relatif au don matutinal que lui a promis Jacques Richshoffer
1602 (24. 7.bris), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 401
(Inchoat. fo: 402.) Erschienen die Ehrengeachten vnd Fürnemmen herrn Florian Rÿsshoffer, Wurtzhändler, Johann Rÿsshoffer, beÿd. gebrüd.n Bernhard Brand Thuchhändler als Ehevogt Frauwen Marien Rÿsshofferin, bemelter gebrüder Schwester, So dann Daniel Rÿsshoffer auch vorgemelter geschwüsterd. brud., mit beÿstandt hn Gregorÿ Kolben seines geschwornen Vogts, Alle als Erben Irer lieben Muter seligen,
Haben Inn gegenwertigkheit Frauwen Susannen Wÿland Herrn Anthoni von Saltzburgs seligen dochter, mit beÿstand Herrn Hannß Martin Herlins Ires geschwornen Curators Ouch Herrn Heinrich München Ires Vettern vnd herrn Johann Peter Büttelbruns, frey guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen,
Nach dem Jacob Rÿsshoffer gedachter Frawen Susannen seiner geweßenen haußfrauwen, 100 guldin Straßburger werung für Ir versprochene Morgengaab, Welche vff Ostern Anno 1601, Ferners 200 guldin bemelter werung Zugesagten Wÿdem die nach Iro der Übergebere Mutter vnd Schwÿder seligen tödtlichem abgang, vßer derselben Verlaßenschafft haben sollen erlegt werden, Vermög besondern Vertrags beÿ der Cantzleÿ v.zeichnet, am dato den 29. 9.bris a° 600, Vnd dahero für obgemelte bede hauptgüter, dauon verfallenen Zinsen vnd martzals Inn allem sammenthafft, on* den vffgeloffenen Gerichtscosten, welcher auch gerechnet werd. 337 guldin (…) schuldig worden (…)

Le Magistrat de Hausach dans la vallée de la Kinzig écrit au Magistrat de Strasbourg au sujet de la convocation dans l’affaire qui oppose Susanne von Salzburg et Gaspard Silberrad.
Gaspard Silberrad qui produit des lettres impériales prouvant son innocence est autorisé à séjourner à Strasbourg chez son parent Jean Melchior Silberrad

1607, Conseillers et XXI (1 R 86)
(f° 120-v) den XXIII Maÿ. – Hausen im Kintzigerthal Zeug verhören in sach. Susanna Saltzburgerin contra Caspar Silberad
Hausen im Kintzigerthal schrbn. u. antworten auf mherrn Compaßbrieff in sachen Susanna Saltzburgerin contra Caspar Silberaden benemmend* den Partheÿen den 7. Junÿ new Cal. und Mittwoch Zuuor einzu kommen ob sie interrogatoria vbergeben wollen. Erk. man soll beden Parteÿen für halten sich darnach haben zu richten.

(f° 122) den XXIII Maÿ. – Caspar Silberad vmb erlaubnus hie Zuwohnen.
Caspar Silberad vbergibt supplôn neben Kayss. gleit brieff in originali cum Copia wie auch Keyss. copeylichen schben an Statt Offenburg. Erzelt darin wie er für unschuldig von Jr Mait. so wol vermög gleits brieffs als auch schben an Rhatt zu offenburg erkant vnd Ime daß einem alten man* mehr souir sachen dahin Zu*ren angeleg. d. er ohne streit sich wid. burgerlich setzen mög So ist sein bitt mherren wollen Ihme erlauben bey seinem vettern Hanß Melchior Silberad biß sein sach außgefühet sich aufzuhalten Und in Schutz vnd Schirm Anzunehmen. Erk. Ist Ime bewilligt Jedoch d. er dem Hn Amt. verspreche fidelitatem.

Mentions de Gaspard Silberrad dans les registres des Conseillers et Vingt-et-Un, en particulier l’affaire qui conduit à son emprisonnement en 1604.
1587 Conseillers et XXI (1 R 64) Lorentz Seybel bischofflicher Paderbornischer Cantzler contra Caspar Silberrad den Scherer pt° verwundung. 495. 501. 515. 525.
1589 Conseillers et XXI (1 R 66)
Caspar Silberrad contra L Laurentium Seiblin (Paderbornischer Cantzler). 59.
1590 Conseillers et XXI (1 R 67)
Caspar Silberrad contra Magdalen Balthasar Schmidts wittwe. 615. 644. 662.
1591 Conseillers et XXI (1 R 68)
Caspar Silberrad contra Magdalena Balthasar Schmiden wittwe. 50. 80. 97. 185. 368. 394. 405. 414.
1593 Conseillers et XXI (1 R 72)
Caspar Schmidts wittib Magdalen contra Caspar Silberradt. 347.
1595 Conseillers et XXI (1 R 74)
Jacob Becken haußfrau Elisabeth contra Caspar Silberrad. 505.
1601 Conseillers et XXI (1 R 80)
Magdalen Schmidin contra Caspar Silberrad. 352.
1603 Conseillers et XXI (1 R 82)
Hans Georg Reinrodt von Offenbach contra Caspar Silberad. 274.
Johann Frentz contra Caspar Silberad (Schlettstatt schreiben). 4.
1604 Conseillers et XXI (1 R 83)
Caspar Silberrad contra Johann Frantz. 324. Offenburg vmb Einziehung Caspar Silberrads. 334. Caspar Silberrad entschuldigt sich. 340. 343. wegen Kayserl. Maiestet berichten (bis). 357. vmb Erledigung. 358. vmb Erlassung der gefangnus. 364. soll in hafft pleiben. 369. 370. Kayserl. Maiestet begert Caspar Silberrad folgen zulassen. 381. 387. (bis) 396.
1605 Conseillers et XXI (1 R 74)
Caspar Silberad der gefangene entschuldigt sich. 5. 11. 17. vmb erledigung. 49.52. 74. 115. ledig. 130. 131. 135. 136. 162. 170. 171.
Kayserl. Maiestet begert Caspar Silberad. 15. entschlagt den gefangenen. 130.
1625 Conseillers et XXI (1 R 107)
Caspar Silberad vmb Exemtion Tax Ampts und Kleinen Rhats Urtheilen. 123. contra Hans Fausten. 207. 210.

1616 (21. Decembris), Chancellerie, vol. 419 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 69-v
Vergleichung Zwischen Casparn Silberad vnd Melchiorn vattern vnd Sohn Ihres Handwercks vnd vnderhaltung wegen
Caspar Silberad, Melchior Silberad

Susanne von Saltzburg est veuve de Gaspard Silberrad dont elle était séparée
1628 (ut spâ. [26. Septemb.]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 506
Erschienen Susanna Saltzburgerin wÿland Caspar Silberadts gescheÿdene Witwe mit beÿstand & h. Caspar Schropffen des Notarÿ Ihres geschwornen Vogts, vnd Georg Vlmers Rentmeÿsters Ihres schwagers

1636 (24.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 5) n° 6
Inventarium und Beschreibung Aller und Jeder liegender und fahrender Haab, Nahrung und Güettere, So weÿland die Ehren und Tugendreiche Fraw Susanna Saltzburgerin auch weÿland Herrn Jacob Reichshoffers gewesenen burgers und handelßmanns aalhie Zu Straßb. seligen nachgelaßene witwe selige

Gaspard Silberrad vend la maison au cordonnier Jacques Schlachtmann et à sa femme Odile Schenck

1600 (vt sp. [xxix tag Aprilis]), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 133-v
(P. fol: 146.) Erschienen Herr Caspar Silberrath Balbierer vnnd Burger Zu Straßburg mit beÿstand H Veltin Schawen auch Burg. alhie (hatt verkaufft)
Jacob Schlachtmann dem Schuhmacher vnd Burg. Zu St. vnnd Otilg. Schenckin seiner Ehelichen haußfrauwen, Wÿland Hannß Schencken des Rothgerbers s. dochter, So auch gegenwärtig wahr, Iren vnd Iren Erben, Vestiglich Khaouffenn
hauß, hoffestatt vnd höfflin, Mit allen Iren gebeuwen & geleg. alhie vff dem Barfüsser Blatz, Einseit nebent Hannß Beinheim dem Eltern Fünffzehenern, Vnnd Anderseit neben hanns stichen dem Plattner, stoßt hinden vff gemelten hannß sticher, Davon gohnd Zwen guldin gelts Ablößig mit 50 guldin St. werung Zur Rothen Kirchen, alhie, Item aber Zwen guldin gelts ablösig mit 40 guldin St H. M. Philips Bergern Zu Offenburg, Mehr 5 guldin gelts, stoßend Jnn hauptgut 100 guldin St. Werung H: Fabiano Cunio Schaffnern Im gürttler hoff, Sunst freÿ ledig vnd eÿg. wie man sagt & v alles recht & Also das & Vnd Ist der Khouff Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb, vber hievorbestimpte beschwerden, 638 gulden

Fils du cordonnier Etienne Schlachtmann, Jacques Schlachtmann épouse en 1585 Véronique, fille de Gall Grodler de Mackenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 263, n° 2)
1585. Jacob Schlachtman, Stephan Schlachtman schuhmachers Sohn, J. Veronica Gall Grodlers von Mackenheim hinterlaßene tochter. Eingesegnet 2. Februarÿ (i 141)

Assisté du tuteur de ses enfants, Jacques Schlachtmann se remarie en 1598 avec Odile, fille du tanneur Jean Schenck : contrat de mariage, célébration
1598 (9.10.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 53, Prothocollum 1597-1605)
Eheberedung – zwüschen dem Erbarn Vnd bescheidenen Jacob Schlachtman dem Schuhmacher vnnd burger Zu Straßburg Ane einem
So dann am andern theil der Tugendsammen Jungfrauen Otilien Schenckhinn, Wÿland deß Ehrenhafften Hannß Schenckhenn deß Rothgerbers burgers Zu Straßburg seligen hind.lassenen dochter
Inn beÿsein vnnd persönlicher gegenwertigkeÿtt der Ehrengeachten Fürnemen weÿsen vnd bescheidenen Nemblichen vff deß Hochzeiters seÿtten herren Ruprecht Schwencken, beÿsitzer der Herren deß grossen Raths, Steffann Schindenn verpfrüners Im Spittal alhie, Heinrich Engells Küffers seiner Kinder Vogts vnd Jacob Sesenneck Silberarbeiters
So dann vff der Jungfrauwenn seÿttenn herr Marzolff Roß thuchmans Ihres vogts vnnd dann hanß wegmans Rothgerbers der hochzeiteron Mutter vogts, Alle burgere Zu Straßburg
Beschehen vff Montag denn 9. Monats tag Octobris (…) 1598

Mariage, cathédrale (luth. p. 42)
1598. Dominica 18 post Trinitatis. Jacob Schlachtman der schumacher J. Utilia Hans Schenckhen des Rottgerbers n. g. tochter (i 24)

Odile Schenck lègue à son mari l’usufruit de ses biens
1601 (29.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 59)
Codicill – Otilia Schenckhinn Jacob schlachtmanns deß schuemachers haußfrau
Daniel Strintz, Protocole16 Not. 58 not 61, I fol. 72-v
Codicill – vff Mittwoch den 29. Aprilis Zwüschen Zehenn vnnd Elff vhren (…) persönlichen erschienen Ist die Erbare Otilia Schenckin, deß Ehrenhafften Meÿster Jacob schlachtmanns Schumachers vnd burgers Zu Straßburg haußfrauw Zugestandener leibß blödigkeitt halben (…)
wie daß sie nun etlich Jar lang mit gemelttem Jacob schlachtman Ihrem haußwürth ehelichen gelebt, vonn Ihme Alle eheliche lieb treuw vnd gutthaten empfangen, vnd* Kheine Kinder von Ihme erzeüget, inn leben hette (…)
Alle Ihre Haab vnd güttere (…) seinen lebenlang wÿdems weüß Zunutzen, Zunießen, Zu besitzen und Zugebruachen
In Ihro der Codicilliererin vnd Ihreß haußwürths bewonend. behausung Ane dem Parfüsserplatz gelegenen, oben auff inn einer Cammer vff die gassen sehendt

Jacques Schlachtmann se remarie en 1606 avec Marie, fille du corroyeur Jean Rummelsperger : contrat de mariage, célébration
1606 (26.1.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54) n° 184
Eheberedung Zwischen Meister Jacob Schlachtman schuemacher burger Zu Straßburg Ane einem
so dann Jungfrauwen Marien weÿland hannß Rümmelspergers lederbereÿters Zu Straßburg seeligen dochter Anderntheÿl
darbeÿ sein H Ruprecht schwencken schuhmacher, Rathherrens, Heinrich Engelß Küffers seiner Kind. auß erster ehe vogtts, So dan vff der brautt seÿtten hanß Jacob Rümmelspergers lederbereiters, Ihres bruders, Ulrich Ritters Pastetenbecken, hanß dietherich kürßners, v. Isaac Rümmelspergers Ihres bruders (…)
Actum sontags d. 26.ten Januarÿ 1606.
Not. Strintz (Daniel, 58 not 53, Prothocollum 1597-1605) f° 262-v

Mariage, cathédrale (luth. p. 167)
1606. ehelich 4 post Epiphanias. Jacob schlachtman der schumacher J Maria hans Jacob Rumenschberger deß leds hendlers n. g. dochter. dise al* in Cantzleÿ den 18. Februarÿ (i 87)

Jacques Schlachtmann hypothèque la maison au profit du notaire Georges Schwartz

1606 (vt spâ [j. tag Maÿ]), Chancellerie, vol. 366 (Registranda Meyger) n° 150
(Inchoat. in Proth. fol: -) Erschienen Jacob Schlachtman der schuomacher burger Zu Straßburg mit Heinrich Engell des Küeffers burgers Zu Straßburg seiner khind. Vogts
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herr, Georg Schwartzen Notarÿ burgers Zu Straßburg offentlich verÿeh. das er demselbig. einer vffrechten & schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß vnd hoffestatt, mit Allen Iren gebeüwen & geleg. Alhie In d. St. St. Vnd. Am Parfüsser platz, einsit neben h. Jacob Beinheim wachtschild and.sit hannß Stich dem plattner, hind. vff gemelt. hannß Stichen stoßend, dauon gond v. guldin gelts Ablösig mit j C gl. Straßburger werung, wÿland Feliciani Cunÿ geweßenen schaffners Im gürtler hoff selig witwen, Item ij guldin gets Lösig mit Xl. gl. den sond.siech. Zur Roth. Kirch, Item ij gl. gelts wid.khoüffig mit xl. gl einem Zu Offenburg, Vnnd dann sind sie noch hafft vnd vnderpfandt für ein schuldt 200 guldin Aller Straßburg werung Zu Zÿlen Zuerleg. Caspar Silberath dem Balbierer

Jacques Schlachtmann hypothèque la maison au profit du meunier Jacques Siebenhorn

1609 (ut spâ [vij tag Januarÿ]), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 15-v
(Inchoat. in Proth. fol: 40.) Erschienen Jacob Schlachtman der Schuomach. burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit Jacob Sübenhorn des Müllers vff der Blumen Müelen burgers Zu Straßburg – schuldig sige 100 Pfund Pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Hauß, hoffstatt vnd Höffelin mit Allen & gelegen Inn d. Statt Straßburg vff dem Parfüßer Platz einsit neben herrn hannß Beinheim selig. Witwe, vnd Andersit nebent hannß Stichen dem Plattner, hinden vff gemeltenn hannß Stichen stoßend, Dauon gend Zwen gultin gelts Lößig mit 50 guldin St. Werung Zur Rothen Kirchen Alhie, Item Aber Zwen guld geltts lößig mit Viertzigk guldin St. Werung Philippß Bergern Zu Offenburg, So dann 5 guldin gelts, stend In hauptgutt j C gl Felicianÿ Crunÿ Schaffners Inn Gürttler selig Erben Vnnd Obgehörte behaußung noch hoff vnd vnderpfand für ein schult bitz Johannis Baptæ Jetznechst künfftig Zu erleg. Caspar Silberrath dem Balbierer Vonn dem sie erkaufft

Jacques Schlachtmann hypothèque la maison au profit de l’armutier Jean Stich

1610 (xx Decembris), Chancellerie, vol. 390 (Registranda Meyger) f° 433-v
(Inchoat. in Proth. fol: 345.) Erschienen Jacob Schlachtmann der Schuomacher burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Hannß Stich des Plattners burgers Alhie – schuldig sige 100 pfund pfenning Straßburg
Zum vnderpfand eingesetzt Hauß, Hoffestatt vnd Höfflin mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der St: St: Am Parfüßer platz einseit neben Hannß Stichen dem gloübig. obgedacht, Andersit h. Jacob Beinheim Cantzleÿ verwanthten, Alhie, hinden vff obgenannten Hannß Stichen stoßend, Dauon gend v lb d gelts Ablösig mit 100 pfund pfenning vff weÿhenachten fallend Jacob Subenhorn dem Müller burgern Alhie, Mehr 5 guldin gelts Ablösig mit 100 guldin St: werung herrn Steffan Cleinle Alhie So dann v gl gelts ablösig mit j C gl gemelter werung Gall Pfitzers seligen witwe, Item für xix lb d den Sondersiechen Zur Rothen Kirchen Alhie

Jacques Schlachtmann hypothèque la maison au profit du mineur Jean Schmidt, fils du pensionnaire à l’hôpital Etienne Schmidt

1612 (xxiiij tag Novembris), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 512
(Inchoat. in Proth. fol: 504.) Erschienen Jacob Schlachtmann der Schuomacher burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vnd Inn gegenwertigkheit Ludwig Schlehenackers des gremppen Als geschwornen vogts Hannß Schmÿdt Steffen Schmÿdten des pfründers Im spittal seligen Sohns offentlich verÿehen – schuldig sigen 30 pfund pfenning
Zum vnderpfand verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Alhie vff dem Parfüsser platz einseit nebent Hannß Stichen dem eltern Plattner, anderseit neben h. Jacob Beinheim fünffzehen schreiber, hinden vff ermelten Stichen stoßend, dauon gend Fünff guldin gelts Lösig mit j C gl St. werung des Alten Schaffners im gürtlerhoff seligen witwen, Mehr fünff guldin Lößig mit j C gl St: w. herren Steffan Cleinen, Item ij gl gelts Lösig mit xxxx gl dem Stifft Zur rothen Kirchen, Weÿther ij gl gelts Ablösig mit xxxx gl N. N. Zu Offenburg, Item v lb d gelts stend j C lb d Jacob Sübenhorn, Item v lb d gelts Lösig mit j C lb d Hannß Stichen dem plattner sunst ledig vnd eÿgenn

Jacques Schlachtmann qui a sept enfants dont cinq à sa charge sollicite auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un une aide pour entretenir son vieux père âgé de 86 ans
1616, Conseillers et XXI (1 R 97)
(f° 76-v) Sambstag den XVI Martÿ – Jacob Schlachtman der Schumacher vmb Steur sein vatter zuerhalten
Jacob Schlachtman der Schumacher laßt p. L. B. fürbring. d. er ein vatter hab der sey 85 Jar alt vnnd 63 Jar burg. auch vest blindt d. man Ine fuhren Anniß* vnd vor 20 Jahren andern Meistern für ein knecht gearbeitet u. itzo wid 14 Jar bey sich aber nit weitter Zuerhalten d. er 7 Kind. deren 5 noch bey sich hatt bitt vmb steur, Seindt angeregt d. er Jacob mit wein *tten Augen hr Meichser geclagt d. er seinen vatter so lang nemblich 14 Jar alß Ine sein vatter erzog. den er Ine 14 Jar gewandert. Erkant Ist für die Almusen Pfleger gewisen word sich aller gepüet wissen Zuerzeug. H. Meichnser, H Oberle.

Jacques Schlachtmann et Marie Rummelsperger vendent la maison au barbier Sébastien Mack et à sa femme Jacqueline Mentzer

1614 (ut spâ [4. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 64-v
(P. fol. 54.) Erschienen Jacob Schlachtmann der schuomacher burger Zue Straßburg vnd Maria Rumelspergerin sein eheliche haußfrauw (verkaufft)
Bastian Macken balbierer Alhie vnd Jacoben Mentzerin seiner ehelichen haußwürthin So beede Zuegegen
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Iren gebeüwen & gelegen Inn der St St. vff dem Parfüsser blatz, einseit nebent Jacob Beinheim fünffzehen schreiber Anderseit nebent hannß Stichen dem Platner hind. vff bemelten Stichen stoßend, dauon gendt zwen guldin gelts, ablößig mit L. guldin werung vff Sanct Gallen tag fallendt, den Sondersiech. Zur Rothen Kirchen Alhie, Item Zwen guldin gelts lößig mit xxxx guldin Straßb. werung herrn Philipß Bergern Zue offenburg, Item fünff guldin gelts stendt Inn hauptgutt mit j C guldin werung Abzulößen h Ludwig Eÿßenheim Cantzleÿ v.wandten alhie vff Johannis Baptistæ, Item fünff guldin gelts ablößig mit j C. guldin werung vff Joh. Bapt: alhie Steffan Cleinle Allhie, Item fünff pfund pfenning gelts ablößig mit j C lb d vff weÿhenachten Jacob Sübenhorn Müller vff der bluomen Müel, Mehr v lb d widerlößig mit j C. lb s vff Johannis Baptistæ fallendt hannß Stichen dem plattner Alhie, So dann sind sie noch verhafftet für ein schuldt xxx lb hannß Schmidt dem schreiner gesellen deßen Vogt Ludwig Schlehenacker der Gremp Alhie, Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obbestimpte beschwerd. so die Kheüffere vber sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 90 pfund

Fils de Laurent Mack, Sébastien Mack épouse en 1603 Jacqueline, fille du revendeur Etienne Mentzer
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 163 n°18)
1603. Doîca Quadrages. Sebastian Mack d scherer Lorentz Macken Son, Jacobe Steffan Mentzers des grempen Tochter. Eingesegnet Zinst. d. 29. Martÿ (i 86)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le barbier Sébastien Mack à habiter à Barr pendant un an
1609, Conseillers et XXI (1 R 88)
(f° 278) Sambstag den XXIIX Octobris – Bastian Mack der Barbierer vmb Zu Barr Zuwohnen.
Bastian Mack Barbierer bitt Ime etliche Jar Zu Barr Zuwohnen Zuerlauben will er alle beschwerde abrichten. Erk. Ist ein Jar erlaubt nach welchem er soll schuldig sein d. burg.recht vnd. zubesitzen od. aufzusag. H Schatz, H Kun

Sébastien Mack hypothèque la maison au profit de Melchior Knab, assesseur au Petit Sénat

1614 (xxix. Augusti), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 423
(Inchoat. in Proth. fol. 364.) Erschienen Bastian Mack d. Balbierer burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. Melchior Knaben klein Raths uerwandt – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. vff dem parfüsser platz einsit n. Jacob Beinheim fünffzehner And.sit hanß Stich dem plattner, hind. vff gemelt. hannß Stich stoßend, dauon gend ij gl gelts Loß. mit L gl. den Sond. sich. Zur Roth. Kirch, Item ij gl gelts Lösig mit xxxx gl Philipß Berger Zu offenburg, Item v gl. gelts Loß mit j C lb Ludwig Eÿsenheim, Item v gl gelts Loß. mit j C gl Steffen Cleinle, It. v lb d gl Loß mit j C lb hanß Stich. obgcht & So dann sind sie noch verhafftet Vmb xxx lb d hannß Schnÿd. dem schnÿder gesellen

Sébastien Mack hypothèque la maison au profit de son beau-père Etienne Mentzer

1615 (ut spâ [xxiiij. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 94
(Inchoat. in Proth. fol. 81.) Erschienen Bastian Mack der Balbierer burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Steffann Mentzer des krempen burgers Zu Straßburg seines schwähers – schuldig seÿe 100 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt St. vff dem parfüßerplatz einseit nebent herrn hannß Beinheim seelig witwe, Anderseit nebent hannß Stichen plattner, hinden vff gemelten hannß Stichen stoßend, dauon gendt Zwen guldin gelts Ablößig mit L. guldin Straßburger werung den Sondersiech. Zur Rothen Kirchen Alhie, Item Aber Zwen guldin gelts widerlößig mit L guldin werung Philipß Bergern Zue offenburg, Item 50 gulden gelts stend Inn hauptguttt j C guldin werung Felicianÿ Cunÿ schaffners Im gürtler hoff seelig. erben So dann Ist solche behaußung Zuuor noch verhafftet vnd vnd.pfandt für j C. guldin Steffan Cleinle Alhie

Sébastien Mack qui a dû vendre sa maison et s’installer près de la porte de Spire dans celle dite au Mouton demande aux Quinze le droit de reprendre le droit de débiter la bière. Il ne parvient plus à subvenir aux besoins de sa famille et argue qu’il a servi pendant son compagnonnage chez des maîtres qui étaient à la fois barbiers et débitants de bière. Les Quinze refusent d’accorder le droit au pétitionnaire qui n’a pas appris le métier de brasseur
1620, Protocole des Quinze (2 R 48)
(f° 25) Sambstag den 12. Februarÿ – Sebastian Mack vmb Bierschanck Zum Guldenen Schaaff
Sebastian Mack der barbierer vnnd burger allhier erscheint, vnnd übergibt p. Tromern ein vnderthänige Supplication, so verleßen worden, darinnen berichtet er, das er sein bißhero gehapte behaußung verkaufen, vnd ein andere nechst vor dem Speÿerthor gelegen, Zum Schaaff genant, bestandt weiß ennehmen müeßen, in welcher die gerechtigkeit des biersieders erhalten, vnd seithero gepraucht worden, gibt für das er in seiner wanderschafft sich inn die 6 Jar lang in bierländen vffgehalten, vnd ein gute Zeÿt bei solchen meisteren gedienet, welche auch neben den barbierstuben sich Zugleich des biersieders vnd außschenckens angenohmen, daruff er sich dann auch neben dem handwerck befließen, vnd dieselbe kunst des biersieders erlernt. Were, wegen seiner schwehren haußhaltung, ohnangsehen er sein handwerck fleißig getrieben, in abgang seiner nahrung gerathen, damit er aber mit den seinigen sich desto besser ernehren möchte, so bette er Underthänig Mein Hrn wollen seinen betriebten Zustand in g. behertzigen vnd Jene Zulaßen, daß er neben seinem erlernten barbier handwerck, sich dießer, des Haußes Zum Schaaff albereit habenden gerechtigkeit, des biersieders vnd außschbeckens gebrauchen möge, Will sich hierinnen aller gebüre Verhalten. Unnder der Umbfrag Ist H. Falck hienauß geschickt worden. Vonn Supplicanten Zu vernehmen, Ob er auch des biersieders halben einen Lehrbrieff habe. Kompt wider herein vnnd referirt, Supplicant erclere sich. Er habe zwahr keinen Lehrbrieff aber inn Sachßen Meichßen & schencken die berbierer auch bier auß, da hab er des biersieders halben beicht empfangen. Erkant, Ist Inn sein behgehren abgeschlagen.

Assisté de son beau-père Etienne Mentzer, Sébastien Mack vend la maison au barbier Philippe Leuprand, fils du secrétaire général à la Tour aux deniers Chrétien Leuprand

1619 (ut spâ [xxiij. Novembris]), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 597
(P. fol. 435.) Erschienen Bastian Mack d. Balbierer burger Zu Straßburg mit beÿstandt & Steffan Mentzers burgers Zu Straßburg seines schwähers (verkaufft)
Philipß Leüprandt dem Balbiere Hrn Christoff Leüprandt Oberschreiber des pfenning thurns Sohn
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allenn Ihren gebeüwen geleg. Inn d. St. St. vff dem parfüsser platz, einseit neben hanß Stich dem plattern And.seit hanß Plancken dem Beck. hind. vff gemelt. hanß Stich stoßend, dauon gnd. ij gl gelts loßig mit 50. gl. Werung d. so,d. siech. Zur Roth. Kirch vff Mariæ empfang. muß, Mehr i lb j ß d gelts ablösig mit xxj lb vff Galli Philipß Berger Zu Offenburg, It. v. gld glts loßig mit j C gl werung vff Johannis Bptæ Elisabeth Waltherin wÿland Gall Pfitzers s. witwen It. v gl gls loß. mit j C gl werung vf Johannis Bptæ, Steffan Cleinle deß gleich so seind sie verhafftet vmb j C lb hannß Stich obgedacht, vff johis. d Zinß dauon verfallend, Mehr vmb L lb Melchior Knab so vff Galli der Zinß fallend, So dann vmb j C xxv lb d obermelten Steffan Mentzer vff Johis d. Zinß fallend, Sunst ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere zuuerzinsen vnd zubezahl. vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb j C xxij lb
Hiebeÿ seind gewesen h. Johann Seüppell Alt Rahts verwandt. Heinrich Leüprand. d. schneÿd.

Philippe Leuprand épouse en 1620 Eve, fille du marchand Adam Kalt
Mariage, cathédrale (luth. p. 100)
1620. Dominica 50. den 27. febr. Philips Lewbrand der barbirer, H Christoph Lewbrand schreibers aufm Pfenningthurn sohn, vnd J. Eva Adam Kalten des Handelsmanns n. tochter, eingesegnet zu Illkirch montag d. 20. Martÿ. (i 55)

Il se remarie en 1638 avec Marie, veuve du défunt Jean Martin Kitsch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 1)
1638. Dominica Quasimodogeniti 1. Aprilis. Hr Philippus Leubrand der Barbierer Vnnd Wundartzt, Maria Hannß Martin Kitschen deß schneiders nachgelaßene Wittib. Eingesegnet d. 10. Aprilis.

Fils du tailleur Jean Kitsch, Jean Martin Kitsch épouse en 1626 Marie, fille du pasteur Ambroise Speccerus
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 145-v, n° 24)
1626. Domin. XIII. Trin. 1. vice. Hanß Martin Kitsch der schneid. Hanß Kitschen deß schneiders vnd burgers alhier ehelicher Sohn, Vndt Jungfr. Maria, Herrn Mag. Ambrosÿ Specceri gewesenen Pfarrers Zu S. Aurelien hinderlaßene eheliche tochter (i 159)

Barbe Leuprand veuve du tonnelier Abraham Pfetzer a institué pour légataires ses frères Philippe et Paul Leuprand. la mention marginale de 1642 indique que Philippe Leuprand est mort entre temps sans descendance.
1636 (15. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 646
Erschienen weÿ: Barbaræ Lewbranden Abraham Pfetzers deß Küeffers witiben see. legatarÿ Philipp Lewbrand der Barbierer burger Zu Str. und deß. Bruder Paulus Lewbrand
haben in gegenwärtigkeit weÿ: Heinrich Lewbranden Alten Kleinen Rhats Verwanthen see. Kinder, H Johann Sebastian, Heinrichen der Lewbrand gebrüdern für sich und ihre Schwester Maria Martin Kernen deß Küeffers haußfrawen bekannt, demnach sie Barbara in ihrem den 6. Martÿ dieses 1636. Jarß von Caspar Medler den Not. vfgerichteten Testament ihme Philippßen und Paulo Lewbrand. Jedwedern insonderheit 100. fl. mit dießem Anhang legirt (…)
in specie zu Vnderpfand v.legt hauß und hoffstat mit allen And.en ihren gebäwen & alhie vffm Parfüeßer platz neben Steffan Stichen dem Not° & Esaias Knewlin, hind. vff besagten Stichen stoßend, so Zuuor v.hafftet umb 40. fl. w. den Gutenleüthen vnd 40. fl. hanß Michel Solern Statschreiber Zu Offenburg
Dabeÿ gewesen H Balthasar Kohler Großen Rhats v.wanther Alß der verstorbenen Testamentarius
[in margine :] Erschienen H Johann Sebastian Lewbrand Juris Candidatus für sich und innamen seiner Schwester Maria Lewbrandin weÿl. Martin Kernen deß Küeffers see. Wittib für welche Er in dießem fall cauirt vnd gut sprechen thut, hatt in gegensein hannß Hammerlins deß Meelmanns alß weÿl. H Philipp Lewbrandts deß barbierers see. instituirt. Testaments Erbens bekant, demnach gedachter Philipps Lewbrandt Ohne Leibserben mit todt abgang. dahero die hierinn vermeldte 100 fl. so derselbe Philips Lewbrand vermög gegenwärtig. Quittung empfang. wider auff obbemelten H Johann Sebastian vnd deßen Schwester alß Weÿl. Heinrich Lewbrandts s. Kind. kommen vnd gefallen (…) Actum den 16. Aprilis Anno 1642.
[in margine :] Erschienen obgemeldter H Johann Sebastian Lewbrand für sich selbst und Conrad Stöckel der Schuhmacher alß Ehevogt Mariæ Lewbrandin, haben in gegensein Johann Friderich Wohlfahrts (…) d. 18. 9.br. A° 1646.

Marie Speccerus se remarie en 1640 avec le barbier et chirurgien Philippe Hess, originaire de Kronberg près de Francfort-sur-le-Main : contrat de mariage, célébration

1640 (6.6.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 44) f° 32-v
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften vndt Kunstreichen Herrn Herrn Philips Heßen, Barbierern vndt wundtartzt, weÿland deß Ehrenuesten vndt fürgeachten Herrn Nicolai Heßen, geweßenen burgers Zue Cronberg beÿ Franckfurth am Maÿn seeligen Hinderlaßenem Sohn, ane einem,
vndt der Ehren vndt tugendsammen Frauen Mariæ Speccerin, weÿlandt deß Ehrengeachten vndt Kunstreichen Herrn Philips Lewbrandts, auch geweßenen Barbierers vndt wundtartzts burgers Zu mehr berührtem Straßburg seeligen Hinderlaßener Wittwen, am Andern theil
auch darbeÿ in beÿsein vndt auff vndterhandlung der Edlen Ehrenvesten Ehrwürdigen hoch vndt wohlgelehrten hochachtbahren Wohl fürgeachten vnd Ehrenhafften Herrn Johann Küeffers, der Artzeneÿ Doctoris vnd fürstlichen Pfaltzgräuischen Württenbergischen vndt Marggräuischen Leib Medici, Herrn Jost Heinrich Westerfeldt von Cronberg, der Zeit Pfarrherrs Zu Hangenbiethen, vndt Herrn Hannß Hemmerlins Meelmanns, auffs ein deß Hochzeiters, So dann auff Ihr der Frauw Hochzeiterin seithen, Herrn Pauli Beckers, gleichergestalt Barbierers vndt wundtartzts, vnd Herrn M. Johannis Christophori Schillings, Pfarrers Im Münster, Aller (.außerhalb Herrn M. Westerfeldts.) burgere alhie zu Straßburg
So beschehen vndt verhandelt in deß Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Auff Sambstag den 6. tag deß monaths Junÿ Im Jahr deß Herrn Alß man Zahlte 1640.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 213, n° 12)
1940. Dom. 1. Trin 7. Junÿ 1. vice, Dom. 2. Trin. 14. Ejusdem 2. vica. Philipps Heß von Cronburg der Balbierer Niclaus Heßen gewesenen Burgers daselbst hinderlaßener Sohn Und Maria Speccerin Philipps Leubrandts des Balbierers und burgers alhier hinderlaßene Wittib .Mont. den 15. Junÿ Zu S. Claus (i 228)

Philippe Hess devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1640, 4° Livre de bourgeoisie p. 193
Philipps Heß Von Cronenburg der Barbierer Empfangt d. Burgerrecht von Seiner haußfrauwen Maria, weÿl. Philips leibrandt deß Barbierers Seel. wittiben, vmb 8 gold fl. Ist noch ledigen Standts geweßen vnd würd Zu den Luzernen dienen.. Jur. den 21. Junÿ 1640.

Jean Hæmmerlin, héritier testamentaire de Philippe Leubrand, et sa veuve Marie Speccerus remariée à Philippe Hess hypothèquent la maison en garantie du legs de Barbe Leubrand veuve d’Abraham Pfitzer

1642 (23. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 690
Erschienen Herr Paul Lewbrand, burger Zu Straßburg, Vnd Anna Maria Schellin sein eheliche haußfraw, vnd Sie Anna Maria Insonderheit mit beÿstand H. Georg Friderich Schellen Undt H. hannß Jacob Römers, beed. burgern alhie, ihrer respectivé von beed. und einem Band gebrüdern, alß hierzu sonderlich erbettener nechsten Verwanthen
haben in gegensein hannß hämmerlins deß Meelmanns alß eintzig. instituirten Erbens Weÿ: Philip Lewbrandten deß Barbierers see: Vnd Philips heßen deß Barbierers gedachten Philip Lewbrandten Wittiben, Mariä Speccerin alß deßelben usufructuariæ ietzigen Ehevogts freÿ guthwillig bekannt, demnach weÿ: Barbara Lewbrandin Abraham Pfitzers deß Küeffers wittib see: ernannten Paul Lewbranden Vnd dem verstorbenen Philip Lewbranden see: in ihrem Vor H Not°. Caspar Medlern, den 6. Martÿ Anno 1636. vffgerichteten Testament Jedwedern insonderheit 100. fl. mit dem Anhang legirt und Verschafft, wofern einer od. der Ander, Under ihnen beeden Legatarÿs ohne Leibs Erben mit tod abgehen würde, alß dann deßelben legierte 100. fl. vff weÿl. H. Henrich Lewbranden Alten Kleinen Rhats Verwanthen see: Kind. Kommen Vnd fallen solten, Ob nun wohl Sie beede Legatarÿ Vermög der auch in der Cancelleÿ Contractstuben am 15. Julÿ Anno 1636. Vffgerichteten Verschreibung, ihre legata empfangen, So hette Jedoch gedacht Philipp Lewbrand nunzumahl seel: dazumahlen auff obangeregte wid.fall nit allein für seine: Sondern auch eingangs besagten Paul Lewbrand. legirte 100. fl. Vnd also samptlichen für die 200. fl. seine Behaußung mit allen deren Zugehördten alhie am Parfüeßer platz, einseit neb. Stephan Stichen deß Notarÿ see: Wittib und Erben, anderseit neben Daniel Schmid dem Stat küeffer geleg. Zum Vnderpfandt eingesetzt vnd verlegt,
Damit aber mehr gerüerten Philip Lewbrandts see: Wittib Und Erben wegen sein Paul Lewbrandts nicht Zuschaden gelangen, sondern vff allen fall auch eine Ruck bürgschafft haben möchten, Alß wolte derselb beneben seiner lieben haußfrawen obgedacht, Ihnen hiemit, neben ihren überigen haab vnd hüetern in spe. Zue gewißen assecuration ernannt vnd Hÿpothecirt haben, Eine Behaußung Vnd hoffstatt, mit allen deren gebäwen, alhie, gegen der Rothgerber Zunfftstuben hienüber, einseit neben Adam Schneid., and.seit ist ein Eck am gang Zum Wasser, hind. vff den Gerber graben stoßend, so Zuvor v.hafft vmb 181. lb. 4 ß 4 d

Le docteur en médecine, oculiste et chirurgien Jean Frédéric Beza désigne Philippe Hess pour lui succéder
1644 (3. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 5
Erschienen H Joh: Friderich Beza Med: Doct: Chirurg. Oculist, Stein und Wund Artzt an einem, So dann Philipß Heß Barbierer und Wundartzt am andern theil, beede Burgere Zu Straßburg, die haben einen mit einand. getroffenen und schrifftlich verfaßten Contract und handlung verlegt, mit begehren selbigen Ihnen offentlich vorzulesen ihr Erclärung darüber anzuhören und den Verspruch anzunehmen, welcher von wortt zu wortt also lautet.
Zu wißen, demnach der Ehrenvest und hochgelehrte H Johann Friderich Beza Medicinæ Doctor, Chirurgus, Oculist, Stein und Wundartzt, auß erheb: und beweglich. Vrsach, Ihme fürgenohmen, und sich dahin resolvirt und entschloßen seine erlernte Chirurgiam und Schneid Kunst nicht ferners zu practiciren, darbeneben aber gleichwohl auß Liebe deß Nechsten denselben nicht Zu wid. daß solche nothwendig- und berühmbte Kunst under einer ehrliebenden Burgerschafft alhie mögen conservirt und erhalt. und nicht etwann erst frembde Persohnen adhibirt eingeholt und darzu angezogen werd. müß., darumben und dieweilen d. auch Ehrenhafft und Kunstreiche Philipß Heß Barbierer und Wundzratzt Burg. alhie Zu Straßburg, sein H Dris guter Freund, beraits aich etwaß Wißenschafft von solcher Bruch: und Steinschneid. Kunst hatt, dene Er auch darzu alß ein bereits approbirt. Maÿster der gestalt quaificirt und tauglich befund. (…) Mittwochß d. 27. decembris a° 1643

Marie Speccerus meurt en délaissant un fils de son deuxième mariage. La masse propre au veuf est de 4 livres, celle propre aux héritiers de 367 livres. L’actif de la communauté s’élève à 618 livres, le passif à 346 livres.

1644 (14. 9.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 14) n° 20
Inventarium Über Weÿlandt der Ehrn: und viel tugendsamen frawen Maria Speccerin, deß Ehrengeachten vndt Kunstreichen Herrn Philips Heßen, Barbierers undt Wundtartzts, burgers Zu Straßburg haußfrawen seel. Verlaßenschafft auffgerichtet 1644. – Welche auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften vndt Achtbahren herrn Hannß Hemmerlins, Meelmanns vndt burgers alhie, als Philippi der ietz abgeleibten fren seel. mit obernanntem Ihren ietz hinderlaßenem Wittwer ehelich erziehlen Söhnlins vndt ab intestato hinderlaßenen eintzigen Erben geschwornen vogts (…) So beschehen vff Donnerstag den 14.d 9.bris A° 1644.

In einer alhie in derStatt Straßburg auff dem Barfüeßerplatz gelegenen vnd in dieße nahrung gehörtig. behaußung Ist befunden worden wie volgt
Auff d. obern Cast. In d. Cammer A. In d. Cammer B, vor dießen Cammern. In d. Cammer C. In d. Cammer D, Vor dießer Kammer, Im obern haußöhren, Inn der vndern Stuben
Werckzeug Zum Barbierer handwerckh gehörig
Eigenthumb vndt Besserung ane Einer Behaußung (th.) Item Hauß, hoffstatt vndt höfflin, sampt allen andn Ihren gebeuwen, begriffen, weith. rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten geleg. alhie in d. St. Straßb. vff dem Barfüeßerplatz, j.s neben Stephan Stichen deß Notÿ Creditoren 2. s neben H Daniel Schmiden dem ietzig. Stattkieffer, hind. vff gemelts Stephan Stichen Creditores stoßend, dauon gehen Jahrs 2. fl. Straßb. w. geltts, ablößig mit 50. fl. gemelt. Wehrung, d. Rothen Kirchen alhier Zue Straßb. vff Maria Empfangnus fallendt, Mehr 2. fl. geltts ablößig mit 40. fl. St. w. vff Galli H Michael Sohlern Stattschrber Zu Offenburg sonst freÿ ledig v. eigen angeschlagen p. 200. lb.
Darüber sagt j. t. Perg. br. mit d. St. Str. Contract Insigel v.wahrt, dessen dat. den 28. 9.bris A° 1629. mit altem N° 1 sign. v. dabeÿ gelaßen. Darbeÿ noch 5. Perg. Khauff: hütten: v. abgelöste Zinnßbrieff Zubefind. alle auch mit N° 1. sign. darbeÿ gelaßen.
Ergäntzung deß Erben unverändert. Auß dem vber weÿl. H. Philips Lewbrndts der ietz abgeleibten Frn vorig. haußwürths seel. v.laßenschafft auffgerichtetem Inventario
Volgt nun die Beschreibung der Verlaßenschafft vnndt Erstlichen deß Wittwers unverändert Gutt, so allein in guldenen Ringen bestehet 4 lb
Deß Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 124, Sa. Silbergeschmeids 66, Sa. Guldener Ring 18, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 35, Sa. Liegend. Güetter 30, Sa. Ergäntzung 129, Summa summarum 403 lb – Schulden per se, Nach solchem abzug 367 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 89, Sa. Werckzeugs Zum Barbierer Handwerck 29, Sa. Silbergeschmeids 40, Sa. Guldenen Ring 4, Sa. Baarschafft 76, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Behaußung 200, Sa. Schulden 27, Summa summarum 618 lb – Schulden 346 lb, Nach deren Abzug 261 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 718 lb
Wÿdem, so die ietz abgeleibte fr. sel. biß in Ihr absterben noch genoßen, Item Wie in dem vber weÿl. H. Philips Lewbranden der ietz abgeleibten Fraw vorigen haußwürth (…) Item H Paulo Lewbranden seinem Bruder nunmehr auch seel. (…) Item H Christoph Lewbrand. seines bruds. seel.

Vente de meubles après le départ de Philippe Hess
1646 (3.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 15) n° 2
Verkauff und Erlöß Register. Darinnen Waß abe Philips Heßen, deß außgetrettenen Barbierers vndt Wundartzts, burgers alhie, vndt seines Söhnleins verkaufftem haußrath, Silbergeschirr Geschmeidt, vndt Guldenen Ringen erlößt worden, Zubefilden. 1646. (…) welches alles In beÿsein vndt vff begehren Herrn Hannß Hemmerlins Meelmanns burgers allhier Zu Straßburg, als obgedachts Söhnlins geschwornen vogts (…) so beschehen auff dinstag, Mittwoch vndt Donnerstag den 3. 4. vnd 5.ten tag Februarÿ A° 1646.

Philippe Hess se remarie avec Esther Riehl
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth.) p. 393, 1650 Zinst. 5. Martÿ. P. Philippus Heß der Barbirer und Esther, I. Johannes (i 205)
p. 418, n° 61. 1651, Philippus Heß der Barbierer vnndt Ester Riehlin sein eheliche haußfrauwj Johannes Daniel ihr sohn war getaufft Donnerst. den 3. Maÿ (i 219)
p. 616, n° 84, 1657. Donnerst. 23. Octobris. Par. Hr Philippß Heß der Barbirer vnd Esther Rühlin, Inf. Anna Maria (i 322)

Le barbier et oculiste Philippe Hess s’engage à enseigner son métier au compagnon barbier Jean Georges Schweighart, originaire d’Augsbourg
1663 (10. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 88-v
Erschienen H Philipß Heß der Barbier Oculist Schneid und Wund: Artzt alhier an einem,
So dann Johann Georg Schweighart von Augspurg der Barbier gesell, am andern
und beÿde theil mit beÿstand Georg Schweickharts deß Biersieders und hannß Michael Brüllen beeder Burger Zu Straßburg
dahien vereinbahret haben Nemlich es wolle und solle H Heß, Ihme Johann Georg Schweighart in der Bruch: und Schneid: Wund: und Artzeneÿen Kunst auch allem deme, waß darzu gehört und zu wiß von nöth. ist, wohl und trewlich (…) informiren und underweÿsen – umb 40 Reichßthaler

Les Quinze sont saisis d’un différend entre Philippe Hess et la maîtrise des barbiers à propos du règlement qui stipule que les barbiers doivent attendre un an avant de prendre un nouvel aprpenti. Philippe Hess répond qu’il est le seul à donner l’enseignement en question. Les Quinze lui accordent l’autorisation.
1663, Protocole des Quinze (2 R 80) et (2 R 81)
(f° 210) Sambstag den 21. 9.bris – Philipp Heß Barbierer per W. Contra Meisterschafft besagten Handwercks prod. Supplicat. Dr. Bitsch pro Citati cop.vnndt Z. d. O. erh.

(f° 217-v) Sambstag de, 5. Xbris – Barbierer Per Dr. Bitsch Cont. Philipp Heß. prod; bericht W. pro Citat. cop: vndt Z. d. O. erh.

(f° 220-v) Sambstag den 12. Decembris – Philipp Heß per W. ca. Barbierern prod: beschluß Dr. B. pro Citat. copias vndt Zeit d. ordnung, erh.

1664, Protocole des Quinze (2 R 81)
(f° 4),Sambstag den 16. Januarÿ – Barbierer per Dr. Bitsch Contra Philipp Heßen sagt wid. ggth. beschluß gen: vnd concludirt, Wildt per Citat, quoque Erkandt Würdt die Sach für beschloß. angenohmen, bedencken solche H. Schütterlin vnd H. Brackenhoffer

(f° 5) Freÿtag den 22. Januarÿ – Heß Ca. Barbierer
H. Schütterlin vnd H. Brackenhoffer laßen per H. Frantz referiren, die Sach Philipp Heßen deß Barbierers, Wie auch Schneidartzts im Spittal allhie, Contra die Barbierer Meisterschafft auch allhier, bestehe Vornemlich darinn, daß beclagte Meisterschafft Clägern difficultirt, Ein od. den andern Barbierer Gesellen od. Jungen, vmb ihne die Schneidkunst Zu lehren, anzunehmen, Weilen es nicht allein wider ihre Articull §° 85 et 95 laufft, sondern auch Er solchenfalls Vor ihnen Einen großen vortheil haben köndte, in deme Er solche Gesellen vnd Jungen auch zu seinem Barbierer handt werckh brauchen würde, demnach aber d. 95. §.us der Barbierer ordnung, wegen j. Jahr stillstandts allein vf die Jungen so daß Barbierer handwercks erlehrnen wollen, vnd dannenhero beÿ gerichtt eingeschrieben werden müß. Zuverprechen, Clagender Heß hingegen sich erklärt, allein Ein od. den andern Gesellen so ihne anstehet vnd der bereits sein handwerckh erlehrnt vnd gewandert, anzunehmen vnd Zu erfördern, auch da Er Lust hat, ihne vmb die gebühr, et pro bono Publico, die Schneidkunst zu lehren vndt Im übrig. ohne daß keinem Barbierer Verbotten, so Viel gesellen als er fürdern Kann und will, anzunehmen, also durch information seiner Schneidkunst, übrigen seinen Mit meistern alß die es nicht können, kein eintrag beschüht, Zumahlen Er auch schon alt vnd ohnvermöglich, dahero wohlgethan, daß auch andere in solcher Kunst vnderwieß. werd. alß vermeinen die Herren deputirte es were ihme in seinem nicht ohnbillichen begehren zu gratificiren, Vnd da auch Künfftig Ein Gesell, so vermög oballegirrt. §.i 85 Ein halb Jahr auß d. Statt solte, Zu ihme sich in dienst begeben vnd dabeÿ auch die Schneidkunst erlehrnen wolte, hette Er sich beÿ Mhg. vmb dispensation anzumeld. da ihme dann auch in nach befindung gratificirt wd. Köndte, refusis expensis.
Erkandt, Würdt der bedacht allerdings placidirt
[in margine :] Donnerst. den 23. dito per h Deputirte den Parth. bescheid angezeigt.

Le tuteur des enfants de Philippe Hess demande l’autorisation de louer la boutique de barbier au compagnon Jean Frédéric Horb

1665, Protocole des Quinze (2 R 82)
(f° 181) Sambstag den 7. 8.bris – Philipp Heßen Kinder Vogt Joh: Thoman Tromer per Wildten producirt unterthäniges anbringen, pittet darinen die Scheerstub den pupillen zum besten offen Zuelaßen, daß sie Johann Friderich Harben einen ledigen barbier gesellen, so noch nicht meister, mag verliehen.
Erkandt, So lang der Monath werth, welchen die Meisterschafft Zuegegeben, soll die Stub offen pleiben.

(f° 195) Sambstag den 21. 8.bris – Notarÿ Tromers Straff erlaßung
Philipp Heßen des Barbierers Vogt Johann Thoman Tromer per Wildten, producirt Supplication vndth. pittend, Ihme die 5. lb Straff, weil er nichts anders dan seiner Vogts Kind. nutzen gesucht, In gnad.; Zuerlaßen, Herr XV. Frantz referirt dabeÿ alß Ihme Tromern der bescheid angezeigt worden, seÿen also bestützt geweßen, daß er nit gewußt woher gestanden, er hab kein geschenck gesucht, wie er sagte, aber mit großen leüthen Zuthun gehabt, daß Er baldt nit mehr gewußt, wie er daran. Herr Faust annectirt dießes beÿ der relation, Tromer gestehe Zwar, daß seiner Frawen Vom Meßerschmidt ein Verehr Versprochen worden. Erkandt, Supplicant Ist der Straff erlaßen, soll ihme doch ein Verwiß geschehen, daß er nit gantz Vnschuldig

Le notaire Jean Thomas Tromer, tuteur des enfants de Philippe Hess, loue la maison de barbier à Philippe Frédéric Horb, assisté de son frère boucher Jean Charles Horb

1665 (12. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 525
Erschienen Herr Johann Thomas Tromer Notarius alß Vogt weÿl. herrn Philipß Heßen deß Barbierers Schneider: und Wund Artzts nunmehr seel. nachgelaßener Kinder, mit beÿstand Lorentz Günthers deß Ohlmanns
in gegensein Philipß Friderich Horben deß Barbierers mit assistentz hannß Carl Horben deß Metzgers seines eheleiblichen Bruders
entlehnt, daß Heßische Barbier hauß alhie am Baarfüßer Platz gelegen, sambt den Aderlaßbeckhen und übrig. Instrumenten, so in die Barbier stub gehören, anietzo darinn behausung seÿen und ordentlich specificirt werden sollen, uff Vier Jahr lang Von dato dießen angerechnet, umb einen Jährlich. Zinnß benantlichen treÿsig Pfund pfenning

Le même loue la maison à la veuve Anne Marguerite Eisenstern (Anne Marguerite veuve Eisenstern, femme du barbier Jean Bernard Gorius)

1669 (30. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 75
Erschienen H Johann Thomas Tromer Notarius alß Vogt weÿl. H Philipß Heßen deß Barbierers Schneid: und Wund: Artzts nunmehr seel. nachgelaßener Kindern
in gegensein Fr. Annæ Margarethæ Eisensternin, wittibin, mit assistentz H Michael Boschen deß duchhändlers ihres Curatoris
entlehnt, die Heßische Barbier behaußung alhie am Barfüßer Platz gelegen, samt deren Aderlaßbeckhen und übrigen Instrumenten so in die Barbierstub gehörig, anietzo darin befindlich seÿen, und ordentlich specificirt werd. sollen, vff Vier Jahr lang von bevorstehend. Matthiæ apostoli angerechnet um einen jährlich. Zinß benantlich 20. Pfund
[in margine :] Erschienen H Johann Thomas Trämer Not. der verleÿende Vogt an einem, wie auch Johann Bernhard Gorig der Jüng. Barbierer alß ietzig. Ehevogt Fr. Annæ Margarethæ Eisensternin der Entlehnerin mit beÿstand H Johann Georg Bernhard Gorÿ deß Barbierers und Kleinen Rhats Verwanthens seines eheleiblich. Vatters am andern (…) daß Sie den hierinn bestimpten iährlich Zinnß der 20. lib. vff 18. lib. reducirt – Act. 13. 9.br. a° 1669

Philippe Hess meurt à l’âge de 60 ans le 7 septembre 1665
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 63) 1665, September. Hr Philippß Heß der Barbirer Schnidt vndt Wundartzt, bürtig von Cronberg in Hessen, ætat. 60. ann. 7. Mens,, starb Mont. 11.t intra 3. et 4. postmerid., Ward begraben Donnerst. 14. ad Lepros. (i 36)

Compte que rend le tuteur de la fille cadette de Philippe Hess et d’Esther Riehl
1689, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 25) n° 237
Rechnung Inhaltend Was Weÿland Herr Johann Philipp Reichardt gewesener adelicher Schaffner und burger allhier zu Straßburg, nunmehr seeliger, wegen Jungfrauen Annæ Mariæ Heßin, weÿland herrn Philipp Heßen, geweßenen Barbierers auch Schnitt und Wundartzts allhier und auch weÿland Frawen Esther, gebohrner Riehlin beeder Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg seelig. ehelich erzeugter jüngster Tochter Vögtlicher weiß vom 14. Augusti A° 1684. biß auff deßen tödliches ableiben den 9. Aprilis A° 1689. beschehen, und nach deß. tödlichen hintritt deßelb. hind.bliebene wittib biß Joh: Baptistæ gedacht. 1689.st. Jahrs, ihrentwegen eingenommen, außgegeben und sonsten verhandelt hat. – Erste und letzte Rechnung dießer Vogteÿ

Jean Thomas Tromer, tuteur des enfants de Philippe Hess, vend la maison au barbier Philippe Robert Messerschmidt

1675 (15. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 80
Herr Johann Thoman Tromer Notarius alß Vogt weÿl. herrn Philipp Heßen deß Schneid. und Wundartzts auch Barbierers nunmehr sel. nachgelaßener Kinder /:darunder Johann Daniel Heß Oberschreiber deß Großen Gemeinen Allmosens Zu St Marx selbst Zugegen war:/
in gegensein Philipp Ruprecht Meßerschmidts deß barbierers
die Heßische barbier behaußung, hoffstatt, höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier ahn dem Barfüßer Platz, einseit neben herrn Daniel Schmidten altem Großen Rhats Verwanthen, anderseit neben hannß Gartners deß Kornwerffers nunmehr seel. nachgelaßener Wittib und Erben, hinden auch uff dieselbe stoßend gelegen, davon gehend iährlichen uff Mariæ Empfängnus 2. fl. Straßburger wehrung widerlößig mit 50. fl. besagter wehrung der Rothen Kirchen allhier, so seÿe solche behaußung auch noch umb 50. lb H. M. Christoph Leubrandts geweßenen Schulmaÿsters Zum Jungen St. Peter nunmehr seel. nachgelaßenen Erben Verhafftet – umb 300. lb

Fils de Philibert Louis Messerschmidt, commandant de la place de Brisach, Philippe Robert Messerschmidt épouse en 1664 Susanne, fille du barbier Mattieu Klinger : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwüschen dem Ehrenhafften vnnd Kunstreichn Herrn Philipp Ruprecht Meßerschmiden dem Ledigen Barbierer des Ehrenvesten vndt Mannhafften Herrn Philipert Ludwig Meßerschmidts gewesenen Statt Majors Zu Breÿsach, auch burgers Alhie, nuhnmehr seeligen nachgelaßenen Ehelichen Sohne, Alß dem Brauttigamb, ahne Einem, So dann der Rhern, Zeüchtigen vnd tugendreichen Jungfrauwen Susannæ des auch Ehrenvesten wohl Achtbaren vnnd Kunstreichen Herrn Matthæi Klingers Ebenmäßigen Barbierers vnd geschwornen wund Artzten auch E. E. Statt Gerichts Allhie Alter beÿsitzers Ehelich geliebten dochter, Alß der Jungfrauw Hochzeiterin Andern theÿls (…) So Beschehen vndt verhandelt In des Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Montags den 4. Aprilis Anno 1664.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 270, n° 7-b)
1664. Domin: Rogation: et Exaudi od. den 15. vnd 22. Maÿ seind Zum erst und andern mahl außgeruffen worden Herr Philippus Rubrecht Meßerschmidt der Balbierer vnd Wundartzt auch Burger alhie, Weÿl. Herrn Philippi Ludovici Meßerschmidts gewesenen Burgers allhier, Vnd Statt major in Breÿsach hinderlaßener ehelicher Sohn, Vnd Jugfr. Susanna Herrn Mathis Klinglers, deß Burgers vnd Chÿrurgÿ alhie eheliche Tochter, Copulirt Zu S, Niclaus 26 Maÿ nach der Bett (i 289)

Philippe Robert Messerschmidt devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1664, 4° Livre de bourgeoisie p. 341
Philipß Ruprecht Meßerschmid der Barbierer empfangt d. burgerrecht Von seiner haußfr. Susanna Klinglerin vmb 8. gold fl. so er bereits beÿ d. Cantzleÿ erlegt, ist zuvor ledigen Stands geweßen, will Zu E E Zunfft d. Lucernen dienen. Jurav. den 30. Junÿ 1664.

Philippe Robert Messerschmidt rembourse un capital constitué en 1545 au profit de l’Eglise rouge

1676 (4. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 666
der Edel- fürsichtig und hochweÿse herr Franciscus Reißeißen deß Geheimen Regiments der herren dreÿ Zehn alß Pfleger der Rothen Kirch, und H. Philipp Jacob Erhardt alß Schaffner daselbst daselbst
in gegensein Philipp Ruprecht Meßerschmidts deß barbierers
daß besagter Meßerschmidt gedachter Rothen Kirch 50. fl. Straßburger wehrung erlegt und da durch die iährlichen. term. Concept. Mariæ Von seiner alhier an dem barfüßer platz Zwischen herrn Daniel Schmidten E.E. Großen Rhats beÿsitzers und hannß Gartners deß Kornwerffers nunmehr seel. nachgelaßener wittibin Vermög eines Latinisch. pergamentinen sub dato 6. Id. Decembr: a° 1545. mit deß bischofflichen hoffs anhangenden Insigel uffgerichteten Zinnßbrieffs Zu Zinnß Verfallene j lb. j. lb abgelöst, wider gekaufft und dadurch seine behaußung dießer beschwärd allerdingß liberirt habe

Philippe Robert Messerschmidt rembourse un capital de 50 livres aux enfants du maître d’école Christophe Leuprand

1676 (28. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 714
Erschienen Herr Matheus Schmidt Adelicher Schaffner alß vogt weÿl. herrn M. Christoph Leubrandts geweßenen Schulmaÿsters Zum Jungen St. Peter nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
hat in gegensein herrn Philipp Ruprecht Meßerschmidts deß barbierers
bekannt, daß derselbe die Jenige 50. lb d, so uff seiner alhier am Baarfüßer platz Zwischen herrn Daniel Schmidten E. E. Großen Rhats beÿsitzern, und weÿl. hannß Gartners deß Kornwerffers nun auch seel. nachgelaßenen Erben gelegener behausung gehafftet, abgelöst und bahr erlegt habe, auch alle davon Verfallene Zinnße richtig abgestattet worden

Philippe Robert Messerschmidt et sa femme Susanne hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Samuel Geudelin

1676 (10. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 731
H. Philipp Ruprecht Meßerschmidt der barbierer undt Susanna beÿdte Eheleuth und Zwar Sie Susanna insonderheit mit beÿstand H Johann Michael Gilgen undt H Jonæ Stören beÿde also auß E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechtser Verwanther hierzu deputirter
in gegensein H Samuel Geüdelins Med: Doct: et Pract: – schuldig seÿen 300. lb
unterpfand, die barbier behausung hoffstatt, höfflin mit allen deren gebäwen undt Zugehördten alhier am baarfüßerplatz einseit neben herrn Daniel Schmidten alten großen Rhats Verwahnten, anderseit neben hannß Gartners deß Kornwerffern nunmehr seel. nachgelaßener Wittib undt Erben hinden auch Uff diselbe stoßendt gelegen
[in margine :] Erschienen Hr Johannes Wörner der Schuhmacher alß Vogt weÿl. hierinn gedachts herrn D. Geudlins nunmehr seel. nachgelaßene Kinder erster ehe, hatt in gegensein Johann Christoph Engels deß barbierers alß ietzigen Possessoris hieringedachter behaußung (quittung) Act : den 15. Maÿ a° 1684.

Susanne Klinger meurt en 1678 en délaissant quatre enfants. La masse propre au veuf présente un déficit de 74 livres, celle propre aux héritiers s’élève à 388 livres. L’actif de la communauté est de 171 livres, le passif de 239 livres.

1678 (6.2.), Not. Reeb (Nicolas, 44 Not 4) n° 397
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsahmen frauwen Susannæ Klinglerin, des Ehrenvest: vndt Kunsterfahrnen Herrn Philipp Ruprecht Meßerschmidts, Barbierers Wundartzten Vnnd Burgers Alhie zu Straßburg Ehelich geweßter haußwürthin Seeligen Verlaßenschafft vffgericht in Anno 1678. – nach ihrem dinstag den 30. Octobris nächst Abgerichten 1677. jahr aus dießem müheseeligen Leben genommenen Tödlichen hientritt hinderlaßen, Welches Alles vff freündliches erfordern, vnd begehren des Ehrenvesten vndt rechtsgelehrten Herrn Johann Ulrich Chunen vice Procuratoris beÿ E. E. Stattgericht vnd Burgers Alhier, Alß geschwornen vogts Philipp Ludwigs, Johannis Friderichs vnnd Johann Thomanns Aller Vier [sic] geschwüsterdten, der verstorbenen, frauw Seeligen mit Vor: vnd nach gemeltem ihren hinterpliebenen wüttwern Ehelich erzeügter Kinder vnd hinderlaßener ab intestato nächster Erben Ersucht (…) Actum in des Heÿligen Reichts freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 6. Februarÿ Anno 1678.

Copia der Eheberedung (…) So Beschehen vndt verhandelt In des Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Montags den 4. Aprilis Anno 1664.
Copia Codicilli, So die abgeleibte Frauw Seelig Auffgerichtet. 1677 (…) Montags den 29. Octobris Alten Calenders Nachmittag zwüschen Zwölff vndt ein Uhren (…) in einer Vff dem Baarfüßer platz gelegenen Vnnd Von hernach bemelten beeden Eheleuthen wehrender Ehe mit einander erkaufften Wohnbehaußung deren Obern Stuben, mit denen fenstern vff die gaß Außehend (…) Persönlich erschienen ist, die viel Ehren: und tugendsamme Frauw Susanna Klinglerin des Ehrenvest Vndt Vorgeachten Herrn Philipp Ruprecht Meßerschmidts, Barbierers vnd Burgers Zu Straßburg haußfrauw, Zwar wegen Zugestandener beschwehr: vndt gefährlicher Kranckheit sehr Matten vnd Crafftlocsen Leibs, auch etwas schwachlichen gesprächs, dannenhero vff einem bette Liegend (…) Philipp Conrad Rauch von Strassburg gebürtig vnd burger daselbsten (…) Notarius
Inn Einer in der Statt Straßburg Ahne dem Baarfüßer platz gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen vndt hieunden Eingetragenen behaußung befunden wie volgt
Inn der obernbühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der obern Stuben, Im obern haußöhren, Inn der untern Stuben, Inn der Kuchen, Im Keller
Sa. deß Herrn Wüttwern unveränderten haußraths 9, der Erben 32, Theilbar 47
Werckzeug Zum Barbierer Handwerck gehörig deß Herrn Wüttwers unverändert 8 lb, Theilbar 2 lb
Schulden in das Erbe Zugeltend, E. 100
Ergäntzung der Erben Unveränderter Nahrung, Auß einem den 17. Maÿ Anno 1672. über weÿland herren Matthæi Klinglers der Abgeleibten frauwen geliebten Vatters seeligen Nahrung, 239
Sa. der Erben unveränderter Nahrung 389 lb – Schulden 1, Nach deren Abzug 388 lb
Eigenthum ane einer behaußung So Theÿlbahr. Item ein barbier behaußung hoffstatt, höfflin mit allen deren gebäuen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen In alhiesiger Statt Straßburg ahne dem baarfüßer platz, j seith neben H Daniel Schmiden E: E: großen raths altem beÿsitzern, 2. seith neben hanß Georg Gartnern dem Kornwerffern und burger, allhier hinden auch vff dieselben stoßend davon gond Jährlichen vff Johannis Baptistæ 12. lb d H Samuel Geidelin Medicinæ Doctori so in haubtguth abzulößen mit 300 lb d, sonsten freÿ ledig eigen vnd hiehero angeschlagen für 76 lb 5 ß. Darüber sagt ein Pergamenen Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel verwahrt, deßen datum den 15. febr. 1675. signirt mit N° 1. Ferner ein Pergamenin hütten brieff datirt den 24. 8.bris 1555. weiter ein Pergamenin hütenbrieff datirt den 14. Martÿ 1561. beede signirt mit altem N° 1 und nach beschehener Vorlegung dabeÿ gelaßen, So dann ein pergamenin Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Kleinen Insiegel verwahrt datirt den 27. Aprilis 1580. signirt mit alten Nis 1 et 7. dabeÿ noch fünff alte fernere Pergamentene abgelöste Zinß und haußbrieff Zubefinden. Summa 76. lb
Silber Geschirr und Geschmeid W 1, E 9, T 32, Guldene Ring W 6, E 7, T 18 ß, baarschafft T 12
Summa summarum deß Herren Wüttwers unveränderten Vermögens 25 lb – Schulden 100 lb, Übertreffen also vorstehende Schulden auß dem Erbe zubezahlend den Anschlag unveränderten Vermögens vmb 74 lb
Summa summarum Theÿlbahren Guths 171 lb – Schulden 239 lb, Theilbar passiv Schuld übertrifft den Anschlag solchen guths vmb 68 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 245 lb – Ungewiß Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter Hauptgut des Herrn Wüttwers unverändert 300, theilbar 97

Susanne, femme de Philippe Robert Messerschmidt, meurt à l’âge de 38 ans.
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 68-v n° 11)
1677. Octobris. den 24. ist Susanna Hn Philippi Ruprecht Meßerschmidt deß Balbierrs alhie, Haußfrau aô ætatis 38 mens..8 gestorben vnd nach gehaltener Leichenpredigt auff S. Helenen begrabnus begraben worden (i 71)

Philippe Robert Messerschmidt se remarie avec Anne Marie, fille du meunier Georges Meyer
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 182)
1678. Dom 1. et 2. Trinit. Hr Philipp Ruprecht Meßerschmidt der Burger vnd Balbierer alhier Vndt Jungfrau Anna Maria, weÿland Georg Meÿers deß Burgers vnd 8. Räder: Müller alhie nachgelaßene eheliche tochter. Copul. Zu S. Aurelien Donnerst. 13. Junÿ (i 4)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 3 n° 15) 1678. Donnerstag den 13. Junii St: Aurelien, H. Philips Ruprecht Messerschmidt, Balbierer vnd Wundartzt vnd Jfr Anna Maria, H. Georg Meÿers, 8. red. Müller nachgel. Tochter. (i 4)

Anne Marie Meyer meurt en 1679 après avoir institué son mari pour son héritier

1679 (25. 9.br), Not. Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 1) n° 8
Inventarium vnd Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung vnd Güttere, Liegender vnd vahrender, Keinerleÿ ausgenommen, So Weÿland die viel Ehren vnd tugendsahme Fraw Anna Maria Meÿerin, deß Ehrenvesten vnd Kunstreichen, Herrn Philipß Ruprecht Meßerschmidts Barbierers vnd Wundartztes und burgers alhier Zu Straßburg Geweßene Hausfrau, nunmehr seel. nach Ihren am 3. Febr. dießes Jahres genommenen tödlichen hintritt hinder Ihro verlaßen, Wie soche vff Ansuchen vnd erfordern, obgemelten Herrn Meßerschmidts des Wittibers als ex testamento eingesetzten Universal Erbens (…) So beschehen Zu ermeltem Straßburg in beÿsein des Wohl Ehrenvesten vnd rechtsgelehrten Herren Johann Ulrich Kuhnen, J. U. C. vnd Nunmahligen substituti des Stattgerihts alhier, als sein Herrn Meßerschmidts in erster ehe erziehlten Kinder geschwornen vogts vff Dienstag den 25. 9.br Ao. 1679.

Bericht Ahne Statt der Eheberedung. Weÿlen, wue aus eingangs gedachten vnd hernach inserirten Testamento nuncupativo buchtäblich erhellet, der hinterbliebene H. Wittiber der verstorbenen frauen seel. sambtlich vnd Gäntzliche Verlaßenschafft einig und allein ererbt, und mann, über vielfältiges Sollicitation die Zur Zeit Ihrer mit einander gehaltenen heüraths abred, durch H, Nicolaum Reben Notarium vffgerichtete Ehepacta, nicht bekommen oder erlangen können (…)
Copia Testamentum nuncupativi, So die abgeleibte Frau Seelig noch ledigen Standts vffgerichtet – 1678 (…) vff dienstag den 11. Monats tag Junÿ alten Calenders, zwischen 3 und 4 Vhren Nachmittag (…) Persönlich erschienen seindt der Ehrenvest vnd Kunstreiche Herr Philipp Ruprecht Meßerschmidt, der barbierer vnd Wundartzt auch burger alhier vnd mit Ihme die Viel Ehren vnd Tugendreiche Jungfrauw Anna Maria Meÿerin beede mit einander Ehelich Verliebte vnndt Verlobts (…) Ich Johann Friderich Redwitz von Straßburg vnd burger daselbsten (…) Notarius
Inn Einer alhier ahne dem Baarfüßer Platz gelegenen, vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen, deßwegen hernach fol: (-) beschriebenen behaußung befunden
Uff der Obern Bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Vor dießer Cammer, Inn der obern Stub, Vor dießer Stub, Inn der Barbirtstub, Inn der Kuch
Werckzeug Zum Barbierer Handwerck gehörig
Sa. haußraths 91, Sa. Wein und leere Vaß 4, Sa. Werckzeugs Zum barbierer handwerck gehörig 12, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 79, Sa. Guldener Ring 21, Sa. baarschafft 61
Eigenthumb ane einer behaußung. Item ein barbier behaußung, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebäuen, begriff. weiten, recht. Zugehördten, vnd gerechtigkeit. geleg. In alhiesiger Statt Straßb. ahne dem baarfüßer platz, j s. neb. Joh: Jacob Schellen Kieffer vnd weinhändlern, 2. s. neb. hanß Geörg Gartnern, dem Kornwerffern v. burger, allhier, hind. auch uff die selbe stoßend, davon gehen Jährlichen uff Joh. Bapt: 8. lb d H Samuel Geidelins Wittib und Erb. so in haubtguth abzulößen mit 200 lb d, sonst. freÿ ledig eigen, vnd hiehero durch die geschworne werckhmeistere über solche beschwerd æstimirt vnd angeschlag. pro 100 lb. Darüber sagt ein Perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhangend. Contract Insiegel verwahrt, datirt den d. 15. febr. 1675. signirt mit N° 1. Ferner j Perg. hütten brieff, datirt d. 24. 8.bris A° 1555. weiter j Perg. hüttenbrieff, datirt den 14. Martÿ 1561. beede signirt mit altem N° 1 v. nach beschehener Vorlegung dabeÿ gelaßen, So dann j Perg. Kauffbr. mit d. Statt Straßb. anhangendem Kleinen Insiegel, verwahrt datirt d. 2. Aprilis A° 1580. signirt mit alt. Nis 1 et 7. dabeÿ ferner 5. alt. abgelöste Zinß v. haußbrieff Zubefind. Summa per se.
Summa summarum 368 lb
Pro Nota. Darunder ist begriffen, so der H Wittiber seinen Vier Kindern Erster Ehe für anerstorben mütterlich Gutt schuldig (…) 432 lb
Sa. vngewissen Zweiffelhaffte vnd besorglich gar verlohrnen Schulden ins Erbe 97 lb
Abschatzung Mittwochs den 3. Decembris 1679. Deß Ehrsahmen Vndt bescheidenen Herrn Philip Ruoprecht Messerschmidts, balbierers vndt Wundtartzs behausung, auff dem barfüserplatz, beÿ dem Ruoben loch, welches ein Kleine schmahle behausung, Vndt nach der befindung vff den herren Stall angeschlagen Vor Vndt Vmb 800 guldten Bezeugens Underschribene der Statt Straßburg geschworne Werckhleüth, [unterzeichnet] hannß Georg Heckheler Werckmeister beÿ dem Münster, Jacob Loßii Werckmeister deß Zimmer hoffs, Andres Schmidt Werckmeister des Maurhoffs

Philippe Robert Messerschmidt se remarie à Colmar avec Marguerite, fille de Louis Bartu, assesseur au Sénat de cette ville
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 12, n° 31)
1680. Domin. X. et IX Trinit. Hr Philippus Ruprecht Meßerschmidt der Burger Barbierer vnd Wund Artzt alhie vndt Jungfr. Margaretha weÿland Hr Ludwig Bartu E. E. Raths Zu Colmar Beÿsitzers vnd Waißen*chts daselbst nachgelaßene Eheliche Tochter. Diese 2 personen sind auch iidem Domin: in der Statt Colmar proclamirt vnd d. Dienst. 24. Augusti dasebst offentlich copulirt worden (i 13)

Marguerite Bartu devient bourgeoise par son mari un mois après son mariage
1680, 4° Livre de bourgeoisie p. 474
Fr. Margaretha Barthu von Collmar empfangt des burgerrecht, von ihrem Ehemann Philip Ruprecht Meßerschmidt dem barbierer pro 8. gold fl. welche Erleg. seind, ist ledigen standts gewesen, vnd wird Zur Lucernen dienen, promis. 27. 7.br.

Philippe Robert Messerschmidt vend la maison au barbier Jean Christophe Engel

1683 (20. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 381
Philipp Ruprecht Meßerschmidt der barbierer
in gegensein Johann Christoph Engel auch barbierers
hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördt. Rechten undt gerechtigkeiten alhier am baarfüßer platz, einseit neben Johann Jacob Schellen dem Kieffer, anderseit neben hannß Georg schimpffen dem Schuhmacher, hinden auch uff Ihne Schimpffen stoßend gelegen, welche behaußung umb 200 lb den Geüdelinischen Kindern Verhafftet – umb 800 fl.

Originaire de Landau, Jean Christophe Engel épouse en 1683 Anne Barbe, fille du marchand Daniel Dürninger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 118-v n° 62)
1683. Zum 2 mahl Hr Johann Christoph Engel, der burger Barbirer Hr Joh: Christoph Engels burgers Zu Landaw ehel: S. Jfr. Anna Barbara Weiland Hr Daniel Dürningers gewesenen handelßm: v. Burgers alhie nachgelaß: ehel. T. Mont. den 22.ten 9.br. Zur Predigern (i 120)

Jean Christophe Engel devient bourgeois avant son mariage au tarif des acquisitions par mariage
1683, 4° Livre de bourgeoisie p. 494
H. Johann Christoph Engel, der ledige Barbierer, von Landaw, empfangt das burgerrecht, dafern Er eine burgers dochter heurathen wird, pro 8. Gold fl. /:widrigen fallß Er noch 12. Gold fl. nachzutragen schuldig:/ welche Er bereits beÿ d. Cantzleÿ erlegt, wirdt Zur blumen dienen. Jur. eod. [7. april. 1683]

Jean Christophe Engel hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Charles Hammerer

1684 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 212-v
H. Johann Christoph Engel der barbierer
in gegensein deß Edel- hochgelehrten herrn Johann Carl Hammerers Med. Practici – schuldig seÿe 200. lb
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rehten und Gerechtigkeiten alhier am barfüßer platz einseit neben Johann Jacob Schellen dem Kieffer anderseit neben Hannß Georg Schrimpffen dem Schuhmacher, hinden auch uff ihne Schrimpffen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Hn Augusti Kriegen, deß barbierers und wundartzts alß ietzmahlig. besitzers deß hierin gemeldt. hypothecirt. haußes (quittung), den 16. Febr. 1696

Jean Christophe Engel et Anne Barbe Dürninger hypothèquent la maison au profit de Martin Bitsch, maître de la Monnaie

1686 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 153
Johann Christoph Engel, der Barbierer und Anna Barbara Dürningerin deße eheliche haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand Hn Johann Hermann Schwerd deß handelßmanns und hans Philipps Kammen deß Jüngern, Metzgers,
in beÿsein hans Martin Bitschen deß Müntzmeisters – schuldig seÿen 400 Gulden à 15. btz.
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein, mit allen deren gebäuen, begriffen, & allhier am baarfüßerplatz einseit neben weil. Johann Jacob Schellen deß weinhändlers sel. witt. und Erben, anderseit neben hans Georg Schrimpffen dem schuhmacher hinden auff erstged. Schrimpffen stoßend gelegen

Jean Christophe Engel autorise en 1686 son voisin Jean Georges Schrimpff à poser une partie d’une de ses arcades sur son mur. La convention est annulée le 6 février 1688

Tuteur des enfants de Jean Christophe Engel, le barbier Chrétien Lancke demande que ses deux pupilles soient admises à l’orphelinat.
1697, Conseillers et XXI (1 R 180)
(p. 129) Sambstags den 20.ten Julÿ 1697 – Christoph Engel, wegen Recipirung seines Curanden in d. Waÿßenhauß
Saltzm. Ersch. Christoph Engels geweßenen barbierers 2 Kinder Vogt H. Christian Lancke pt° auffnahm seiner beeden Curanden in d. Waÿßenhauß prod. vndth. anbring. vnd bitten, Erk. würdt die sach an die Herren Pfleger deß Waÿßenhaußes recommendirt, H. Daniel Dietrich vnd H. Rauch deputirt.

La veuve et le tuteur des trois enfants de Jean Christophe Engel vendent la maison au barbier célibataire Auguste Krieg

1696 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 101
(prot. fol. 15.b) Erschienen H. Christian Lancke der barbierer und Wundartzt alß vogt weil. Hn Johann Christoph Engels, auch gewesenen barbierers und Wundartzts sel. hind.laßene 3 Kinder, mit beÿstand H. Wolffgang Reinhard von Avenheim, Notar. Immatriculati, alß Vogts der Kind. leiblich. Mutter, Annæ Barbaræ geb. Dürningerin, wie auch Herrn Johann Philipp Kammen, E.E. großen Raths alt. beÿsitzers alß Verwanth.
hatt in gegensein H. Augusti Kriegs, deß ledigen aber deß burgerrechtens vertrösteten burgers barbierers und Wundartzts
hauß, hoffstatt, höfflei mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, zugehördet. Recht. und gerechtigkeit. allhier am barfüßer Platz, einseit neben weil. Johann Jacob Schell gewesenen Kieffers sel. Erb. anderseit neben weil. hans Georg Schrumpffen gewesenen Cancelleÿ botten, sel. wittib und Erben, hind. auff ged. Schrimppffischen Behaußung stoßend gelegen, welche behaußung umb 200 lb Capital Hn Joh: Carl Hammerern Medic. Doctori und E.E. großen Raths alten beÿsitzern verhafftet, dann obwol ged. d. Verkauffenden Vogts Kind. leibliche Mutter weg. ihres obgem. Engeln ihrem Ehemann zugebracht. guths ein Zimmliches an Ergäntzung zufordern, deßen Calculus aber noch nicht richtig, so hat sich noch deren Vogt und Schwager obged. in ihrem Nahmen hierbeÿ erkläret, daß Sie solches zu vord.ist gehörig liquidiren, und was es sein wird, nicht wol an d. hauß, alß hernach gemeldt darauff stehen bleibend. Kauffschillings rest erfordern wolle – umb 600 pfund

Auguste Krieg hypothèque la maison au profit du secrétaire à la Tour aux deniers Jean George Wetzel pour pouvoir en régler le prix d’achat

1696 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 103
Erschienen H. Augustus Krieg, der barbierer und Wundartzt
hatt in gegensein H. Johann Georg Wetzel Secretarÿ deß Pfenningthurns – schuldig seÿe 100 pfund, damit hernach beschriebene behausung erkaufft vnd d. angeld damit völlig bezahl. könne
unterpfand, hauß, hoffstatt p perge auß immediate vorstehende verschreibung & geleg. welche behaußung vmb 150. lb Capital weil. Joh: Baumen deß Paßmentmachers sel. Kind. vnd vmb 50. lb. Capital ogbed. H. Wetzeln ingleich. recht mit f. baumischen, so dan vmb 400 lb Kauffschillings Rest weil. Hn Joh: Christoph Engels gewes. Barbierers sel. Kindern verhafftet

Fils du marchand David Krieg de Krothendorf ou Brettendorf en Misnie, Auguste Krieg épouse en 1696 Marie Ursule, fille de l’imprimeur Jean Pastorius
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 61)
1696. Domin: Jubilate et Cantate proclamati sunt Hr Augustus Krieg der Barbierer b. Wundtartzt alhier, Hrn David Krieg, des handelsmanns v. Burgers Zu Krothendorff in Meissen ehel. Sohn, V Jfr. Maria Ursula Weÿl. Hrn Johann Pastorÿ geweßenen Buchtruckers v. Burgers alhier, auch beÿ d. Kirch. Zum Jung. S Peter, Verordneter Kirchen Pflegers Nachgel. ehl. Tochter, Copulati sunt Mittw. d. 23. Maÿ [unterzeichnet] Augustus Krieg als Hochzeiter, Maria Ursula Pastoriusin aks hochzeiterin (i 70)

Auguste Krieg devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1697, 4° Livre de bourgeoisie p. 692
Augustus Krieg, der balbierer Von Brettendorff, David Kriegen, handelßmann daselbst Ehl. sohn, empfangt das burgerrecht Von Maria Ursula Pastoriussin, seiner jetzmahl. haußfrawen p. 2. gold fl. 16 ß so sie Bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, vnd wird beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern dienen. Jur. d. 23. Dito. [Junÿ] 1696.

Marie Ursule Pastorius meurt en 1703 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à 475 livres. La masse propre au veuf est de 605 livres, celle propre aux héritiers de 1 803 livres. L’actif de la communauté s’élève à 592 livres, le passif à 1 637 livres.

1703 (3. X.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 6) n° 140
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender: und fahrender, Veränderter und vnveränderter Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die Wohl Ehren und tugendbegabte fraw Maria Ursula Kriegin gebohrne Pastoriußin, deß Wohl Ehren Vesten Kunsterfahrenen und großachtbahren Herrn Augusti Kriegen, barbierers und Wundartztens und burgers allhier zu Straßburg geweßene eheliebste seelig nach Ihrem den 28. Octobris dießes Zu end lauffenden 1703.ten Jahrs beschehenen tödtlichen Hienscheiden Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Wohl Ehren Vesten großachtbahr, und Kunsterfahrenen Herrn Johann Pastorÿ Buchtruckers und burgers alhier als geordnet und geschworenen Tutoris Annæ Margarethæ, Mariæ Salomeæ und Catharinæ Dorotheæ die Kriegin alle dreÿ der verstorbenen seeligen mit vorbemeltem Ihrem hinterbliebenen H Wittiber ehelich erzeugter Kinder und ab intestato rechtmäsiger Erben inventirt und ersucht (…) Actum in fernerm beÿsein der Viel Ehren und Tugendreichen frawen Annæ Margarethæ Dünckelin gebohrner Pastoriußin, S. T. Herrn Johann Daniel Dünckels, Paßmentirers vnd Seidenhändlers Burgers alhie haußfrauwen, der Kinder vnd Erben Mutter seel. Schwester in der Königlichen Statt Straßb. Montags den 3.ten Decembris Anno 1703.

In einer in der Statt Straßburg ane dem Barfüßer Platz gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befund. worden Wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auf der Obern bühn, In der Soldaten Cammer, Vor dießer Cammer, In der Cammer C, In der obern Stub, Vor dießer Stub
Ergäntzung deß Herrn Wittibers Unveränderte, Abgegangenen Guths. Vermög Inventarÿ (…) durch Herrn Stephan Cornelium Saltzmann Notarium publicum in Anno 1697. auffgerichtet
Eigenthumb ane einer Behaußung so deß Herrn Wittiber Unverändert. Hauß, Hoffstatt und höfflein sampt allen anderen begriffen, Weithen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten, gelegen alhier in der Statt Straßburg, ane dem Baarfüßer Platz, einseit neben Heinrich Seÿlers deß Raths Botten alhier eheliche Haußfr. anderseith neb. Mstr. Andreas Stumpffen dem Statt Kieffer, Hinden auch auf vorbemelten Heinrich Seÿlers Haußfr. stoßend, so freÿ Ledig und eigen und vermög dießer Statt Straßb. geschworne Hh. Werckmeistere Zu dem Concept gelüfferter schrifftlichen Abschatzung sub dato 28.t Novembris Anno 1703. hiehero æstimirt umb 475 lb Darüber ist vorhanden ein teutsche pergamentene Kauffbrieff in alhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertiget und mit dero anhangendem Secret Innsigell verwahrt datirt den 16.ten febr. aô 1696. außweißen Welcher gestalten der dißorths H Wittiber solche behaußung Von Joh: Christoff Engels deß Barbierers seel. hinderlaßene Wittib erkaufft hatt.
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Deß Herrn Wittibers Unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 19, Sa. Vasen und Instrumenten zu der Barbierkunst gehörig 17, Sa. Silbergeschieds 16, Sa. Guldener Ring und geschmeids 14, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 475, Sa. der Ergäntzung (212, gehet ab 150, Restirt) 62, Summa summarum 605 lb
Der Kinder und Erben Mütterliche unveränderte Verlaßenschafft, Sa. haußraths 122, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 40, Sa. Guldener Ring 35, Sa. baarschafft 98, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 59, Sa. Gülth von liegenden güthern 18 ß, Sa. der Ergäntzung 1471, Summa summarum 1828 lb – Schulden 25, Nach deren Abzug 1803 lb
Das Gemein Verändert und Theilbare Gueth, Sa. Haußraths 33, Sa. frucht auf dem Kasten 13, Sa. Wein und Lähern Vaßen 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 41, Sa. Guldener Ring 4, Sa. baarschafft 474, Sa. Schulden 10, Summa summarum 592 lb – Schulden 1637, die Theilbare passiva übertreffen die Theilbare Activ Nahrung umb 1044 lb
Verstallungs Summa Inventarÿ 1363 lb
Abschatzung den 28. 9.bris ao: 1703. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen herrn Augustinus Krieg balbierer ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg auff dem baarfüßer Platz gelegen, einseits neben Herrn Heinrich Seiller Rathsbotten, anderseits Neben Herrn Andreas Stumpffs Statt Kieffer, hinden auff vorgedachten Seÿler stoßend, Welche behausung undt Hofflin sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen wirdt Vor vndt Umb Neun Hundert undt Füffzig gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Auguste Krieg se remarie avec Anne Marie, fille du préposé au sel Philippe Frédéric de Gottesheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 124-v)
1706. Dominica XXV. et XXVI post Trinit. proclamati sunt H. Augustus Krieg Wund Artzt und Barbierer auch burger allhier und Jfr. Anna Maria H. Philipp Friderich von Gottesheim gewesenen Saltzverwalters und burgers allhier nachgelaßene Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. den 19. Novembr. [unterzeichnet] Augustus Krieg Hochzeiter, Anna Maria Gottesheimin hoch Zeiterin (i 129)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à Auguste Krieg. Ceux du mari s’élèvent à 3469 livres, ceux de la femme à 170 livres.

1706 (29.3.), Not. Mader (6 E 41, 665) n° 5
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung so der Wohl Ehrengeachte, Großachtbahre undt Kunsterfahrene Herr Augustus Krieg berümbter barbirer und wundartzt undt die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Anna Maria gebohrne von Gottesheim beede Eheleüthe undt burgere allhier einander in den Ehestand zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten (…) Actum und angefangen in der König. freÿen Statt Straßb. in fernerem gegensein deß Hoch Edelvest und hochgelehrten herrn Philipp Ludwig Künasts E.E. Großen Raths alhier Wohlbestellten Procuratoris et Advocati der frawen erbettenen beÿstandts, auff Dienstag den 29. Martÿ 1706.

In einer in der Statt Straßburg ane dem Barfüeßer Platz gelegenen undt dem H. Eigenth. Zuständigen behausung ist befunden worden alß Volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf der Obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Obern Stub, In der Undern Stuben
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (M.) Item ein Hauß, Hoffstatt, höfflein mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten, allhier am Baarfüßer Platz, einseit neben weÿl. Johann Jacob Schellen geweßenen Kieffers seel: Erben /.jetzo Andres Stumpff Statt Kieffer./ anders. weÿl. Hanß Georg Schrimpffen geweßenen Cancelleÿ botten seel: W : vnd Erben /:nachgehends Christoph Wilsenand Schumacher jetzo Heinrich Seiler Raths Botten, hinden vff ged. Schrimpffische behaußung stoßend, so gegen jedermänniglich freÿ ledig und eigen. Welche behaußung sub dato 16. febr: 1696. umb 800 lb. Erkaufft , anjetzo aber anzuschlagen beliebt 900 lb. Darüber sagt ein perg. Kauffbr. i, allhies. C. C. Stuben gefertiget und mit dero anhangendem Innsigel Verwahrt, datirt d. 16. febr: 1696.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 303, Sa.Früchten und Mehl 18, Sa. Wein vnd lährer Vaß 36, Sa. Bibliotheca 28, Sa. Vasa et Instrumenta 39, Sa. des Müntz Cabinetts 301, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 164, Sa. GuldenerRing und dergl. geschmeidt 151, Sa. der Baarschafft 540, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 985, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 900, Sa. Gülth von liegenden güthern 10 ß, Summa summarum 3469 lb
Der Frawen in den Ehestand gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 68, Sa. Goldener Kett, Ring und geschmeidt 59, Sa. der Baarschafft 25, Summa summarum 170 lb

Auguste Krieg meurt en 1727 en délaissant trois filles de son premier mariage et deux enfants issus de la veuve. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre à la veuve est de 296 livres, celle propre aux héritiers de 1065 livres. L’actif de la communauté s’élève à 469 livres, le passif à 706 livres.

1728 (29.1.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 55)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so Weÿland der Wohl Ehren Vest und Kunsterfahrene Herr Augustus Krieg geweßener berühmter barbierer und Wundartzt auch burger allhier zu Straßburg unmehr seel. nach seinem den 12. Novembris des ohnlängst abgelegten 1727.sten Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des in Gott ruhenden Herrn seel. in zweÿen unterschiedenen Ehen erzeügter resp° Töchter und Sohns, auch ab intestato verlaßener Erben, wie solche ane folgendem folio ordentlich benamßt, ersucht, durch die Viel Ehren: und tugendreiche Frau Annam Mariam Kriegin gebohrne von Gottesheim, die hinterbliebene Frau Wittib, mit assistentz des Wohl Ehrenvesten und Kunsterfahren Herrn Josiæ Weÿhen, Barbirers u. wundartzts auch burgers allh. dero geordneten H Curatoris (…) So beschehen in Straßburg den 29.ten Januarÿ Anno 1728.
Der in Gott ruhende Herr seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1. Die Viel Ehren und Tugendreiche Frau Annam Margaretham Mosesin gebohrne Kriegin, des Ehren Vesten und Kunsterfahrenen H. Johann Heinrich Moses, barbierers und wundartzts auch burgers allh. Ehefrau mit beÿstand erstgedachtern Ihres Ehe Vogts, 2. Die Ehren: und Tugendreiche Frau Mariam Salome Kuglerin gebohrne Kriegin, des Ehrenhafften und Vorachtbahren H Gottfried Kuglers Kupfferschmids und burgers allh. gel. Ehewürthin, beÿständlich erstgedachten Ihres Ehe Manns, 3. Die auch Ehren: und Tugendreiche Frau Catharinem Dorotheam Bognerin gebohrne Kriegin, des Ehren vorgeachten H Christoph Bogners Meßerschmids und Burgers allh. haußfrau, auch mit beÿstand erstgemelten Ihres Mariti, Ferner samt obgemelten Ihren beeden Schwestern mit Assistenz des Wohl Ehrenvesten, Rechtsgelehrten und hoch Achtbahren H Johann Lobsteins Vornehmen Notarÿ jurati et Practici auch burgers allh. so Persönlich zugegen war, Vorstehende dreÿ Töchtere hat der abgeleibte Herr seel. in erster Ehe mit Weÿl. de Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Maria Ursula gebohrner Pastoriusin ehelichen erzeugt
4. et 5. Herrn Augustum Kriegen noch lediger Barbierer Gesell, und Mariam Elisabetham Kriegin, deren geschworner Curator der Wohl Ehren Vest und Kunstgelehrte Herr Christoph Stricker, Vornehmer Barbierer und Wundartzt auch burger allh. so dießer Inventur beneben seinen Curanden in Persohn assistirt, Dieße beede letztere des abgeleibten Herrn seel. mit hievor ernandter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Sohn und Tochter. Und also alle Fünff deßelben ab intestato Zu gleichen portionen und antheilen verlaßene Erben
Eheberedungs Copeÿ – Copia Codicilli
Bericht dießer Verlaßenschafft halber. Zuwißen demnach auff vollendete Inventur dereselben, ein unvergreifflich Summarischer Calculus, umb die Vires gegenwärtigen Geschäffts Zuerkundig. auffgerichtet worden, hat sich befund. daß auß ursachen, des in des verstorbenen Herrn seel. verlaßenen Codicillo H Augusto Krieg dem Sohn verschafften starcken legats ratione des Müntz Cabinets, wie auch des in denen Ehepactis der Fraw Wittib geordneten vor wÿdembs, die legitima einig. maßen gravirt vnd beschwert word. mithin eine wunderbahre berechnung, auch mercklicher Process zwischen denen Interessenten vorgeschienen (…)

Inn einer allhier Zu Straßburg ane baarfüeßer Platz gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der obersten Bühn, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Soldaten Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, Im hauß Ehren, In der Barbier stub, In der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung. (E.) Eine Behaußung, Hoffstatt und Höfflin mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßburg ane dem Baarfüeßer Platz, einseit neben H Wilhelm Cladj dem Sattler, 2.s. neben H Jacob Stempel dem Weinhändler hinten auff erstgedachen H Cladi stoßend, so freÿ ledig und eigen durch der Stat Straßburg geschwohren Werck Meistere Vermög überschickten und beÿ mein des Notarÿ Concept befindlicher Abschatzung de dato 28. Jan. 1728. æstimirt pro 900. lb. Darüber bes. 1. teutsch: perg: Kffbr. in allhießiger Cantzleÿ Contr: Stuben gefertiget und mit dero anhangendem Ins. Verwahrt, datirt den 16. febr. Anno 1696. Ferner i alt perg. Kffbr. gleichfalls in allh. C. C. Stuben verfertiget und dero anhang. Ins. bekräfftiget de dato 26. 7.br. 1683.
Wÿdemb,So der abgeleibte Herr seel: von Weÿland Frauen Maria Ursula gebohrner Pastoriusin seiner ersten Haußfr. seel. ad dies vitæ zu genißen gehabt. Seilbiger hat nach inhalt des über dero verlaßenschafft in Anno: 1704. auffgerichteten Inventarÿ (…)
Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths, Laut Inventarÿ über eingangs gemelter beeder Eheeüthe in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen den 29. Martÿ. 1706: durch H Philipp Jacob Mader Notarium auffgerichtet
Norma et Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib unveränderte Nahrung, Sa. Hausraths 34, Sa. Silbers 14, Sa. Guldenen Ring 57, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 67, Sa. Schulden 50, Sa. der Ergäntzung 84, Summa summarum 307 lb, Passiva, Per se, Nach solchem abzug 296 lb
Dießem nach würd auch der Erben unverändert guth beschrieben, Sa. Haußraths 63, Sa. leeren Vaß 2, Sa. Vasen et Instrumenten wie auch Schiff und geschirr Zur barbier Kunst gehörig 8, Sa. Silbers 42, Sa. der guldenen Ring 49, Sa. des Müntz Cabinets 24, Sa. der baarschafft 146, Sa. des Eigenthums ane einer behausung 900, Sa. der Ergäntzung 477, Summa summarum 1715 lb – Schulden 650, Nach deren Abzug 1065 lb
Endlichen volgt auch die Consignation der Gemeinen, veränderten vnd theilbaren verlaßenschafft, Sa. Vasen, Instrumenten und wahren zur Chirurgie gehörig 2, Sa. der Bibliothec 12, Sa. Silbers 75, Sa. Guldene Ring 14, Sa. Müntz Cabinets 157, Sa. der baarschafft 88, Sa.Activorum 64, Summa summarum 469 lb – Schulden 706 lb. Übertreffen also die Theilbarhr Passiva die theilbar verlaßenschafft vmb 236 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1724 lb
Abschatzung d. 28.ten Januarÿ aô 1728. Auff begehren Weÿland des Ehrenhafften und vorachtbahrn Herrn Augustini Krieh gewesenen Chirurgi seel. hinter laßene frau wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg auf dem baarfüßr platz gelegen, bestehet in einem balbier hauß einseits Neben Cladi Wilhelm Sattler anderseit neben Johann Jacob Stempffel hinden auch auf schon Ermelten Stempffel und Cladi stoßend, Welche behausung, Stub, Balbier stube, Cammern Kuche, hauß Ehren mit herd und waßerstein, und gewolbter Keller sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung bedunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausendt und achthundert gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Le barbier Auguste Krieg rachète les parts de ses sœurs et devient seul propriétaire de la maison dont la veuve Anne Marie de Gottesheim a la jouissance viagère

1730 (24.12.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 55), Joint à l’inventaire du 29 janvier 1728
Abtheilungs Concept Über Weÿland Herrn Augusti Kriegen geweßener Barbierers und burgers alhier seel. Verlaßenschafft auffgerichtet den 5. Aprilis Anno 1728.
Nota. Waß die denen beeden Jüngsten Kindern verordnete 100. ducaten betrifft, seind selbige derentwegen auff die vätterlich Barbier behausung ane dem Barfüeßerplatz gelegen, weilen sonst Keine Mitte mehr übrig, verwießen worden, so Sie finito usufructu nach ihrer Mutter absterben Zuempfang. haben,
Under deßen Verbleibt der Kriegischen Fraw Wittib besagte behaußung lebtägig Zum genußn Zu künfftigem bericht.
Es hat aber bald nach dießem die Fraw Wittib sich anders erklärt, vnd die barbier stub denen samtlichen Erben vmb solche vnd. sich Zu vertheilen vnd Zu verloßen, weilen ihro die barbierstuben fortzuführen alzukosybar vnd nicht nahe anständig, entschlagen, doch mit dießem Außtrucklichen beding, daß dieselbe den darauß erlösten Kauffschilling Zeit lebens nach dem Inhalt deßen de meliori reservirt haben wolle, welche gethane Erklärung die Erben daran auch für bekhandt angenommen, vnd volglich sich mit einander wißent vnd wohlbedächtlichen in præsentia mein unterschriebenen Notarÿ verglichen angeregte behaußung Vordrist under sich unanimiter vmb 2700 gulden anzuschlag. volgends darumb ohnpartheÿisch Zu loßen laßen auch bescheh. (…)
Herrn Augusto Kriegen dem Sohn, durch solches freÿe ohnpartheÿische loß erblich. vnd eigenthümlichen Zugefallen für und umb 1350. lb (…) beschehen den 24. Decembris 1730.

Les héritiers Krieg louent la maison et la boutique de barbier à l’étudiant en chirurgie Daniel Théophile Ziegenhagen, originaire de Steinwehr près de Kœnigsberg en Marche de Brandebourg. La location devra être confirmée à la Chambre des Contrats.

1731 (15. 9.br), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 46) varia
Lehnungs Auffsatz. das Kriegische auff den Baarfueßer Platz allhier gelegene Barbier Hauß betr. den 15. Novembris Anno 1731
Zuwißen seÿe Hiermit, daß ahne Zu end gesetztem dato zwischen weÿland Herrn Augusti Kriegen, gewesenen Chyrurgj undt burgers zu Straßburg, seel. hinterbliebener Wittib Nahmentlichen Fr. Annæ Mariæ gebohrner von Gottesheimin, beÿständlichen unter gemeldten dero Herrn Curatoris, mit Genehmhaltung obgedacht H. Kriegen seel. sowohl in erst: alß 2.ten undt Letztern Ehe erziehlten: undt nach Todt Verlaßenen Kinderen undt Zwar mit Zuziehung deroßelben Ehe: und respectivé geschwornen Vogten ahne Einem,
So dann dem Ehrengeachten undt Kunsterfahrnen Hn Daniel Gottlieb Ziegenhagen, dem Ledigen Chyrurgiæ studioso, Von Steinwehr beÿ Königsberg in der Marckt Brandenburg gelegen gebürtig, dermalen allhier sich auffhaltend, am and. Theil,
nachvolgender Vergleich wohlbedächtlichen mit einander abgeredet, getroffen und ohnwiderruffliche Zu halten mit Mundt und Handt gelobet, und versprochen worden, Nembl. und Zum Ersten, so thun obbenahmte Kriegische fr. Wittib undt Erben, Ihme Hn Daniel Gottlieb Ziegenhagen Ihre: ahne dem baarfüßer Platz allhier 1. seit neben H Clade Wilhelm, dem sattler, 2. seit neben Hn Joh: Jacob Stempel Sen. gelegene: vornen auf dem Baarfueßer Platz undt hinten auff ersterwehnten Hn Clader Wilhelm stoßende balbier behaußung mit allen deren rechten, Zugehördten und Gerechtigkeit, umb solche Zu nutzen undt andern seinem Eigenthumb Zu gebrauchten, von Nächstkünfftig. Weÿhenachten 1731. auff Neun nach einander Volgende Jahre, mithin biß ermeldten Termin 1740. hiemit in rechter Lehnungsweiß überlaßen, hiengegen aber verspricht Er Ihnen Jeedes Jahr 80 Goldten hießig current (…)
Dritten aber, ist außtrucklichen Verglichen daß gegenwärtige Lehnung, so auff der Parten Ansuchen In zwischen nur projectirt worden, in allhießiger C. C. stuben, alß wohin alle hießiger Löbl. ordnung nach gehörig, Zu beeder Seiths Sicherheit *rdersambß verschrieben werden solle (…) Act. Straßburg den 15.ten Nov: 1731.
Nachdeme Weÿland H Augustj Kriegen, geweßenen Chyrurgj undt Burgers allhier Zu Straß. seligen im Leben Verbliebene Fr. Wittib und Erben mit assistenz deroselben geschwornen Ehe: undt Vögten, mir Daniel Gottlieb Ziegenhagen Chyrurgiæ studioso, Endes unterschrieben die in gedacht Verlaßenschafft gehörige Barbier Stub, sambt allen darinn befindlichen Werckzeug, Schiff und geschirr vnd anderen Zur Barbier Kunst gehörigen darinnen befundenen Instrumenten, und überigen davon nichts außgenommen eÿgenthümblichen überlaßen, So gelobe undt verspreche ich hiemit, daß wann von Gn. Hh. denen XV. die auff dem verstorbenen H Kriegen seel. auß gnaden conferirte Gerechtigkeit wegen der barbier stub, auff mich devoluirt und transferiret werden werden, denenselben vor solchen Abstand die Summam von 260 und 5 gulden à 15 batzen oder 60. Xr. gerechnet, als balden baar anheim Zu bezahlen (…) So beschehen Straßburg den 15. Nov: 1731.

Auguste Krieg vend la maison à Daniel Théophile Ziegenhagen moyennant 1100 livres. Anne Marie de Gottesheim renonce à l’usufruit viager.

1732 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 57
Augustus Krieg Barchethändler
in gegensein H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen Chirurgi
Eine Barbier: behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten am Baarfüßer platz einseit neben Willhelm Cladi dem sattler anderseit neben Jacob Stempel dem weinhändler, hinden eben denselben
Fr. Anna Maria geb. von Gottesheim weÿl. Augustus Krieg gewesten Chirurgi hinterlassene und hiebeÿ erschienene wittib (hat) auff den lebtägigen natural wÿdums genuß gedachten haußes als welcher crafft ihr auffgericheten Ehepacten durch ihren ehemann geordnet worden mit beÿstand ihres Curatoris H. Josias Friedrich Weÿgen Chirurgi verzug gethan als ein zwischen ihne und seinen Miterben verloßt: und ihme zugeloßtes guth Krafft vor H. Not. Patrion ertheiltes attestati – um 250 pfund verhafftet, geschehen umb 1100 pfund

La maison figure à l’inventaire des apports dressé en 1732
Daniel Théophile Ziegenhagen et Jacqueline Rubin hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Faust, receveur à l’hôpital bourgeois.

1740 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 434
H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen der Chirurgus und Fr. Jacobea geb. Rubinin mit beÿstand ihres sohns H. Johann Daniel Bruder studiosi Theologiæ und ihres tochtermanns H. Johann Friedrich Schueler des seidenhändlers maßen ihr anderer Sohn H. Johann Andreas Bruder der lederhändler sich dermahlen in der Sursacher Meß befindet, so dann Johann Friedrich Bruder der Müller so mehrjährig
in gegensein des Mehrern Hospitals Schaffners H. Johann Friedrich Faust – schuldig seÿen 2250 lt
unterpfand, Eine behausung, höfflein, hindergebäu und hoffstatt mit allen derselben gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne dem baarfüßer Platz, einseit neben H. Daniel Friedrich Färber dem handelsmann, anderseit neben Cladi Willhelm dem sattler, hinten auff ged. Färber,
mehr eine Behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis am Korn marckt einseit neben Johann Daniel Diebold EE. kleinen Raths alten beÿsitzer, anderseit neben Georg Friedrich Zeÿßolff hinten auff H. Hoffrath Heuß
so dann eine MahlMühl mit zweÿen gängen und eine Reÿbe im bann Plobßheim (…)

Daniel Théophile Ziegenhagen vend la maison et le droit de barbier qui y est attaché à Daniel Frédéric Masské moyennant 2 500 livres

1761 (25.6.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 193
H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen der chirurgus
in gegensein H. Daniel Friedrich Maßke
eine barbier behausung und hoffstatt wie auch der barbier gerechtigkeit, mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten auf dem Baarfüßerplatz, einseit neben H. Lt. Johann Friedrich Sachs dem Cancellariæ Contractum protocollist, anderseit und hinten auf Wilhelm Cladi dem sattler – umb 2500 pfund

Originaire de Greifenhagen en Poméranie, Daniel Frédéric Masské fait son apprentissage auprès de Daniel Théophile Ziegenhagen de 1755 à 1757
1755, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 253-v) den 3. Maÿ 1755 – Herr Daniel Gottlieb Ziegenhagen Chir. hatt zum Lehrjungen Daniel Friderich Masské Von Greiffenhagen gebürtig Im Pommern bittet Ihme so* weÿllen Er schon Lange Zeith beÿ Ihme in Condition stehet vom 24. 7.bris 1754. bis solche Zeith 1757. die Chirurgie gratis Zu Erlernen zu zuschreiben. Erkandt Willfahrt.

(f° 267-v) Gericht Gehalten den 9. Jan. 1758 – Daniel Friderich Masské Chirurgus Von Greifenhagen in Pommern bittet Ihme seine beÿ Hn Ziegenhageb außgestandene 3 Lehrjahr Vonsuschreiben. Erkandt Willfahrt

Daniel Frédéric Masské est admis à la tribu de la Lanterne
(f° 286) Kauffgericht Gehalten den 6. Junÿ 1761 – H Daniel Friderich Maßke der Leedige Chit. prod. statt stall und Pfenningthurns schein Crafft deßen Er Burger worden, bittet Ihme dießorthß als Zünfftig unter denen Barbieren Zu recipiren. Erkandt, seÿe dem Imploranten in favorem artis vor die Helffte der gewöhnlichen gebühr Jedannoch ohne præjudice anderen Wilfahrt.

Né à Greifenhagen en Poméranie (aujourd’hui Gryfino) fils du chirurgien Jean Frédéric Masské et de sa femme Sophie Ziegenhagen, Daniel Frédéric Masské épouse en 1761 Catherine Barbe Petzel, fille du marchand Georges Adam Petzel : contrat de mariage, célébration
1761 (12.11.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1489)
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Daniel Friderich Maßke, Kunsterfahrenen Chirurgo und Burgern allhier Zu Straßburg, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahrn Herrn Johann Friderich Maßke, auch Kunsterfahrenen Chirurgii und Burgers Zu Greiffenhaagen in Preußisch Pommern mit weÿland der Ehren und tugendreichen Frauen Sophia gebohrner Ziegenhagin, ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigam ane einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Catharinä Barbarä Petzelin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbare, Herr Georg Adam Petzel, vornehmen Handelsmanns und burgers allhier, mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Maria Salome gebohrner Lauthin ehelich erzielhlen Tochter, alsdes Jungfrau Braut ane dem andern Theim
So beschehen und verhandelt in der Königlichenen Stadt Straßburg auf Donnerstag den 12. Novembris Anni 1761
Daß dise pacta dotalia Vorhervergriffenermaßen abgehandelt und vor beliebig angenommen werden attestirt mit eigehändiger Namens unterschrifft und fürgestrucktem gewohnlichem Notariat Insigel, Straßburg ani et die ut supra, Philipp Heinrich Heuß Notarius publicus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 108-v n° 898)
Anno 1761 Mitwoch den 25. Nov. sind nach zweÿmaliger ordentl. proclamation und Außruffung Zu St. Thomæ copulirt und eingesegnet worden Herr Daniel Friderich Maske, Lediger Chirurgus, Hrn Johann Friderich Maske Chirurgi und burgers Zu Greiffenhogen in Preusisch Pommern ehel. Sohn, und Jungfrau Catharina Barbara Petzelin Hrn Georg Adam Petzel handelßmanns und Burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Daniel Friederich Masské als hochzeiter, Catharina Barbara Petzelin als Hochzeiterin, Daniel Gottlieb Ziegenhagen als Verwandter (i 111)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à Daniel Frédéric Masské. Ceux du mari s’élèvent à 264 livres, ceux de la femme à 1 266 livres.

1762 (8.1.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1483) n° 5
Inventarium über des Wohl Ehren und Vorachtbahren Herrn Daniel Friedrich Maßke Kunsterfahrenen Chirurgi und der Viel Ehr und Tugendreichen Frauen Catharinæ Barbaræ gebohrner Petzelin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1762. – Welche der Ursachen halben alldieweilen in ihr beeder Ehepersohnen den 12.ten Novembris Anno 1761. mit einander auffgerichteter Eheberedung paragrapho 5.to ausdrucklichen Versehen, daß einem jeeden derselben und seinen Erben seine in die Ehe bringende Nahrung ein freÿ eigen, ohnverändert und vorbehlten Guth seÿn (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg in fernerer gegenwarth des Wohl Ehrenvest und großachtbahren Herrn Georg Adam Petzel, Vornehmen Handelsmanns und Burgers allhier der Ehefrauen Leiblichen Hn Vatters und hierzu inspecie erbetten Hn Assistenten, auf Freÿtag den 8. Februarÿ Anno 1762.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegener dem Eheherrn eigenthümlich zuständiger und hernach beschriebener Behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (H.) Nemblichen eine Behausung, Höfflein und Bronnen sambt der Barbier Gerechtigkeit auch allen übrigen darzu gehörigen Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane em Baarfüßer Platz, einseit neben H Lt Johann Friderich Sachs, Contractuum Actuario, anderseit neben H Wilhelm Clady, dem Sattler, und hinten wieder auf erstgedachten H Lt Sachs und H. Clady stoßend, so außer hernach passivé eingetragenen darauf hafftenden Capital freÿ, Leedig und eigen, und hiehero ohnpræjudicirlichen anzuschlagen beliebet worden pro 3200. lb. Wie der dießortige Eheherr diese Behaußung von H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen, Chirurgo allhier, ane sich erkaufft, weiset ein teutscher pergamentener in allh. C. C. stuben gefertigter, und mit deri anhang. Insiegel corrob. Kauffbrieff sub dato 25. Junÿ 1761.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehe Herrn in die Ehe gebrachtes Vermögen. Sa. Haußraths 187, Sa. Bibliothec (-), Sa. Silbers 20, Sa. Instrumenta Chirurgica 51, Sa. der baarschafft 25, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung sambt Barbier gerechtigkeit 3200, Summa summarum 3483 lb – Schulden 3345, Nach deren Abzug 138 lb, Und ann hirzu gerechnet wird die ane Hieunten beschriebenen Haussteuren Vermög der Ehepacten § 7.mo Ihme gebührige helffte anlangend 126 lb, Des Eheherren sambtl. eigenthümbl. Vermögen 264 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 205 (darunter Ehesteur 200), Sa. Silber geschirr und Geschmeids 61, Sa. Goldener Ring und geschmeids 86, Sa. baarschafft 787 (darunter Ehesteur 300), Summa summarum 1140 lb – Deme beÿzufügen, die ane denen haussteuren Ihro Zukommende Helffte ausmachend 126 lb, Der Ehefr. völlig eigenthümbl. Guth 1266 lb

Daniel Frédéric Masské et Catherine Barbe Petzel hypothèquent la maison au profit de Marie Marguerite Schwartz, veuve de Daniel Théophile Ziegenhagen

1774 (19.9.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 379
H. Daniel Friedrich Maßke der chirurgus und Catharina Barbara geb. Petzelin unter assistentz H. Johann Leberecht Rausch des handelsmanns und H. Heinrich Wilhelm Wunschold des handelsmanns
in gegensein Fr. Mariæ Margarethæ Ziegenhagin geb. Schwartzin weÿl. H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen wittib – schuldig seÿen 500 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane dem Baarfüßerplatz, einseit neben H. Rathh. Simon, anderseit neben Kronische erben hinten auff dieselbe

Catherine Barbe Petzel meurt en 1814 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants.

1814 (8.3.), Strasbourg 4 (44), Not. Stoeber aîné n° 2791
Inventaire de la succession de Catherine Barbe Petzel veuve de Daniel Frédéric Masské, chirurgien, décédée le 16 février dernier – à la requête de Georges Henri Nagel, horloger, se portant fort François Nagel son fils majeur chirurgien au 5° régiment de chasseurs à cheval et tuteur naturel de Sophie Nagel, héritiers conjointement pour un 5°, chacun pour un 10° de leur grand-mère, procréés avec Marie Barbe Maské, 3. Marie Elisabeth Cunégonde Masské, veuve de Jean André Zabern, Louise Frédérique Christine Hochstetter veuve de Chrétien Philippe Masské, chirurgien, tutrice naturelle de Caroline Sophie Louise Masské âgée de 13 ans et Charles Théodore Masské âgé de 11 ans, 4. Jean Théophile Masské, commissaire de police du canton Est demeurant rue Brulée n° 18, 5. Charles Auguste Masské chirurgien, héritiers pour un 5°, en présence de Geofroi Schuler avoué près le tribunal de première instance, subrogé tuteur
en la maison sise place d’armes n° 3
meubles 768 fr, argenterie 236 fr, total 1005 fr ; passif 629 fr
Papiers contrats, titres passés à la Chambre des Contrats le 27 juin 1741 et le 25 juin 1761 concernant une maison sise en cette ville sur la place d’Armes n° 3, d’un côté le Sr Ehrlenholtz d’autre le Sr Hildebrand sellier. ll appartient aux requérants comme provenant de la succession de leur père et grand père
Enregistrement, acp 124 F° 80-v du 12.3.

Les héritiers Masské vendent la maison au batteur d’or Jean Michel Wilcké par licitation au tribunal civil

1815 (18.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 79, n° 74
Cahier des charges de la vente par licitation de l’immeuble ci après par devant M. Baehr, juge commissaire en cette partie, nommé par jugement du 22 septembre dernier, des immeubles appartenant par indivis à 1. Elisabeth Cunégonde Masské veuve de Jean André Zabern batelier pour 1/5, 2. Théophile Masské commissaire de police du canton Est pour 1/5, 3. Charles August Masské chirurgien pour 1/5, 4. François Nagel majeur chirurgien au 22° régiment de chasseurs à cheval demeurant à Strasbourg pour 1/10, 5. Georges Henri Nagel horloger père et tuteur légal de Sophie Nagel fils mineur de son mariage avec Marie Barbe née Masské pour 1/10, 6. Louise Frédérique Christine née Hochstaetter veuve de Chrétien Philippe Masské chirurgien mère et tutrice légale de Caroline Sophie Louise et Charles Théodore Masské ses deux enfants pour 1/5
à M° Laemmermann pour 12.000 francs – Déclaration d’enchère, pour Jean Michel Wilcké batteur d’or
Désignation de l’immeuble, Une maison sise à Strasbourg sur la plade d’Armes n° 3, d’un côté le Sr Hildenbrand, d’autre la succession Ehrlenholtz, devant la place d’Armes, derrière led. Hildenbrand. Cette maison est composée d’un rez de chaussée, de trois étages, mansardes, greniers, cave voutée, petite cour avec puits, petite maison de derrière à rez de chaussée et deux étages, couverte de tuilles
mise à prix 10.000 fr (…) Propriété constatée par deux contrats de vente passés à la Chambre des contrats les 17 février 1732 et 25 juin 1761 – fait le 22 octobre 1814
Adjudication préparatoire le 8 décembre, adjudication définitive le 22 janvier 1815 par devant Antoine Herrmann Louis Baehr

Jean Michel Wilcké épouse en 1814 Marie Madeleine Lœchner
1814 (29.12.), Strasbourg 9 (anc. cote 23), Not. Bossenius n° 418, 6334
Jean Michel Wilké le cadet, batteur d’or, fils majeur de Jean Michel Wilcké l’ainé batteur d’or et de feue Marguerite Dorothée Hübschmann
Marie Madeleine Loechner, fille majeure de Theophile Benjamin Loechner, batteur d’or, et de feue Marie Madeleine Hartschmitt
enreg. F° 181 du 3.1.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari.

1815 (3.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 20), Not. Bossenius n° 622
Inventaire des apports de Jean Michel Wilcké fils batteur d’or et de Marie Madeleine Loechner, mariés le 30 décembre 1814, Contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 29 du même mois
le mari – meubles 248 fr
Une maison, petite cour et puits avec toutes autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 3 d’un côté le Sr Hildenbrand sellier, d’autre le Sr Doldé praticien, derrière le Sr Hildenbrand – acquis au tribunal civil le 2 décembre 1814 déclaration de command du lendemain, autres titres, contrats passés à la Chambre des contrats le 7 février 1732 et 25 juin 1761
corps de biens à Wiwersheim, Batzendorf – dettes actives 876 fr, passif 12.000 fr
la femme – meubles 1464 fr, or 560 fr, marchandises 1077 fr, outils 2112 fr, numéraire 1200 fr
Un jardin de la contenance d’eniveau 30 ares avec une gloriette hors la porte des pêcheurs, d’un côté le Sr Reuss négociant, d’autre M Ensfelder adjoint au maire, devant la grand route, derrière la Bruche -; acquis par acte daté de St Petersbourg du 12/24 mai 1810 par lequel Jean Henri Loechner son oncle assesseur au collège impérial à St Petersbourg lui en a assuré la propriété par forme de donation entre vifs enreg. le 15 décembre 1810 déposé au tang des minutes de M° Grimmer le 24 du même
passif 620 fr
enreg. F° 115 du 13.3.

Jean Michel Wilcké et Marie Madeleine Lechner exposent la maison aux enchères puis l’en retirent

1823 (30.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 45), M° Hickel n° 1326
Jean Michel Wilcké, batteur d’or, Marie Madeleine Lechner
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison à rez de chaussée & trois étages ayant corps de logis de devant & de derrière petite cour, cave voutée, pompe & autres aisances, appartenances & dépendances située à Strasbourg place d’Armes n° 3, d’un côté la propriété du Sr Masské, d’autre et derrière le Sr Hildenbrand sellier – Etablissement de la propriété, acquis des héritiers Daniel Frédéric Maské, chirurgien, suivant adjudication sur licitation devant M Baehr, juge au tribunal civil de première instance, commis à ce nommé le 22 décembre 1814 et déclaration de command le lendemain, transcrit au bureau des hypothèques volume 79 n° 74. ledit Maccké l’avait acquis à la Chambre des contrats de Daniel Théophile Ziegenhagen, chirurgien, le 25 juin 1761 qui l’a lui même acquis à ladite Chambre le 7 février 1732
sans mise – le 18 octobre n° 1342 à Pierre Clotilde Burguburu pour 9050 fr
Les propriétaires déclarent retirer l’immeuble de l’enchère

Ils vendent la maison au tailleur d’habits Jean Antoine Bichy et à sa femme Barbe Streicher moyennant 6 000 francs

1824 (19.2.), Strasbourg 1 (43), M° Rencker n° 3034
Louis Martin Leysz, orfèvre bijoutier, mandataire de Jean Michel Wilck, batteur d’or, et de Marie Madeleine Lechner
à Jean Antoine Bichy, tailleur d’habits, et Barbe Streicher
une maison consistant en bâtiment de devant & de derrière, petite cour, pompe, appartenances & dépendances située à Strasbourg place d’Armes n° 3, d’un côté Charles Auguste Masské, d’autre Frédéric Hildebrand, derrière les deux – acquis des héritiers Masské par licitation devant M. Behr juge au tribunal civil de première instance le 22 décembre 1814 – pour 6000 fr
Enregistrement, acp 166 f° 185-v du 23.2.

Jean Antoine Bichy épouse Marie Barbe Streicher en 1814 : contrat de mariage, célébration
1814 (8.9.), Strasbourg 14 (53), Not. Lex n° 241
Contrat de mariage – Jean Antoine Bichy, fils de feu Jean Bichy, tailleur d’habits, et de Françoise Brunst
Marie Barbe Streicher, fille mineure de Louis Streicher et de Barbe Americus
Enregistrement, acp 125 F° 117 du 17.9. – stipulation de communauté d’acquets partageable par moitié

Mariage, Strasbourg (n° 309)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg le 20 octobre 1814. Jean Antoine Bichi, majeur d’ans, né en légitime mariage le 16 septembre 1788 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, tourneur, fils de feu Jean Bichi, tailleur décédé el cette ville le premier mai 1790 et de Françoise Joséphine Brunst, ci présente et consentante, Marie Barbe Streicher, mineure d’ans, née en légitime mariage le 8 messidor an II de la République française à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Louis Streicher, fripier en cette ville et de Barbe Americus, ci présents et consentants (signé) Jean Antoines Bichÿ, Marie Barbe Streicher (i 42)

Marie Barbe Streicher meurt en 1840 en délaissant trois enfants

1840 (18.1.), Strasbourg 12 (151), M° Noetinger n° 11.984
Inventaire de la succession de Marie Barbe Streicher, épouse de Jean Antoine Bichy, maître tailleur, décédée à Strasbourg le 28 octobre 1839 – à la requête du veuf à cause de la communauté suivant contrat de mariage reçu Lex notaire à Strasbourg le 8 septembre 1814, père et tuteur légal de ses deux enfants 1. Jean Charles Eugène âgé de 19 ans, 2. Célestine Valérie âgée de 9 ans, 2. Françoise Adèle Bichy, majeure, enfants de la défunte, héritiers pour un tiers, En présence de Jean Louis Streicher, maître tailleur à Strasbourg, subrogé tuteur
une maison avec bâtiment de derrière, petits cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 3, d’un côté Charles Auguste Maské, d’autre Frédéric Hildenbrand, derrière tous les deux – acquise sur Jean Michel Wilké, batteur d’or, et Marie Madeleine Locherer, suivant contrat de vente reçu Rencker, notaire à Strasbourg le 19 février 1824, transcrit au bureau des hypothèques volume 165 n° 166, estimé à un revenu de 500 fr, capital de 10.000 fr
Enregistrement, acp 275 f° 16 du 24.1

Jean Antoine Bichy se remarie en 1840 avec Catherine Wegscheider, native de la Broque dans la vallée de la Bruche
1840 (1.8.), Strasbourg 12 (152), M° Noetinger n° 12.514
Contrat de mariage – Jean Antoine Bichy, maître tailleur, veuf avec trois enfants de Marie Barbe Streicher
Catherine Wegscheider majeure de feu Joseph Wegscheider, piqueur des Ponts et Chaussées, et Catherine Fery
Enregistrement, acp 280 f° 45 du 4.8. – régime de communauté d’acquets

Mariage, Strasbourg (n° 320)
Du 9° jour du mois d’août l’an 1840. Acte de mariage de Jean Antoine Bichi, majeur d’ans, né en légitime mariage le 16 septembre 1788 à Strasbourg domicilié à Strasbourg, tailleur, veuf de Marie Barbe Streicher, décédée en cette ville le 28 octobre 1839, fils de feu Jean Bichi, tailleur décédé en cette ville le premier mai 1790 et de feu Françoise Joséphine Brunst décédée en cette ville le 4 mai 1823
et de Marie Catherine Weccheider, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 décembre 1811 à Labroque (Vosges) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Joseph Weccheider, cantonnier trouvé noyé dans le Rhin près de Greffern, dans Duché de Bade le 20 août 1835 et de Catherine Ferry, domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) J A Bichy, Mari Catherine Weccheider (i 29)

Lors de la vente par licitation, Jean Antoine Bichy se rend propriétaire de la maison entière

1842 (29.3.), Strasbourg 12 (157), M° Charles Noetinger n° 14.280
Ont comparu M. Jean Antoine Bichy, maître tailleur, demeurant à Strasbourg, agissant tant en son propre nom qu’en qualité de père et tuteur légal de 1° Jean Charles Eugène Bichy & 2° Célestine Valérie Bichy, ses deux enfants mineurs procréés de son légitime mariage avec feue D° Marie Barbe Streicher son épouse, Melle Françoise Adème Bichy, majeure demeurante à Strasbourg & M. Jean Louis Streicher, maître tailleur demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des deux enfants mineurs Bichy (…) Lesquels comparans, ès qualités, qu’ils agissent, pour parvenir à la vente par licitation de la maison ci après désignée, ont requis les soussignés notaires d’en dresser le cahier des charges
Enonciation du jugement qui a ordonné la vente. Melle Françoise Adèle Bichy, pour parvenir à la vente par licitation de la maison ci après désignée, assigne M. Jean Antoine Bichy, ès dites qualités, & M. Streicher devant le tribunal civil de Strasbourg, lequel par jugement en date qu premier mars courant a ordonné que par le ministère de M° Noetinger, notaire soussigné, il sera procédé à la vente par licitation (…)
Désignation de l’immeuble, Une maison avec petite cour, bâtiment de derrière & dépendances, sise à Strasbourg place Kleber N° 3, d’un côté M Masské, de l’autre la veuve Hildenbrand, par derrière les mêmes
Etablissement de la propriété. M. Jean Antoine Bichy a acquis cette maison pendant la communauté qui a existé entre entre lui & D° Marie Barbe Streicher son épouse, de M. Jean Michel Wilcké, batteur d’or & de D° Marie Madeleine Lechner, conjoints, domiciliés à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Rencker & son collègue notaires à Strasbourg le 19 février 1824 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 mars même année vol. 165 N° 166. Par suite du décès de la Dame Bichy sa part dans ladite maison est avenue à la Delle Françoise Adème Bichy & aux deux mineurs Bichy comme seuls et uniques héritiers chacun par tiers de leur mère, ainsi que le constate l’inventaire dressé après le décès de cette derniète par M° Noetinger notaire soussigné le 18 janvier 1840. Le prix de l’acquisition dont il est parlé ci-dessus était de 6000 francs (…). Il est observé qu’aux termes d’un contrat de mariage passé devant M° Lex Notaire à Strasbourg le 8 septembre 1814 M Bichy père a l’usufruit viager de la moitié des biens dépendans de la succession de feue son épouse la Dame Bichy née Streicher. Les conjoints Wilcké ont acquis cette maison des héritiers Masské de Strasbourg suivant licitation faite devant M. Behr, juge au tribunal civil de Strasbourg le 22 décembre 1814.
Mise à prix. Aux termes du jugement susrelaté les enchères seront ouvertes sur la mise à prix de 12.000 francs. Charges, clauses et conditions (…)
N° 14.481. Cejourd’hui 10 mai 1842 (…) Enchérie pendant la durée de différent feux à la somme de 19.500 francs par M. Charles Gerhardt, marchand de bois demeurant à Strasbourg. (…) A l’instant M Gerhardt a déclaré avoir enchéri pour & au nom de M. Jean Antoine Bichy l’un des colicitans, ce acceptant
acp 296 (3 Q 30 011) f° 74, cahier des charges – acp 298 (3 Q 30 013) f° 58, adjudication

Jean Antoine Bichy meurt en 1843 en délaissant ses enfants nés du premier mariage et sa veuve légataire d’une part d’enfant

1843 (6. 8.br), Strasbourg 12 (162), M° Noetinger n° 16.302
Inventaire après le décès de Jean Antoine Bichy, en son vivant maître tailleur à Strasbourg où il est décédée sa demeure le 7. 7.bre 1843.
L’an 1873 le vendredi 6 octobre à neuf heures du matin, à la requête de 1° Dame Catherine Wegscheider, veuve en secondes noces de Mr Jean Antoine Bichy, vivant maître tailleur à Strasbourg, agissant en son nom personnel, 1° à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre elle et led. feu S. Bichy, son mari, suivant leur contrat de mariage passé devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés qui en a gardé la minute et son collègue, le premier août 1840, enregistré, laquelle communauté ladite D° Bichy se réserve d’accepter ou de répudier par la suiten ainsi qu’elle avisera, 2° à cause des reprises & créances qu’elle peut avoir à exercer sur lad. communauté ou même sur la succession de son mari, 3° comme donataire de toute la portion de biens dont la loi permettait au défunt de disposer à l’époque de son décès tant en propriété qu’en usufruit, en vertu de la donation que led. feu Sr Bichy son mari lui a faite aux termes du contrat de mariage ci-dessus énoncé,
2° D° Françoise Adèle Bichy, épouse de M Jacques Théodore Merckel, employé de la poste aux lettres de Wissembourg, y demeurant, de son mari ici présent dûment autorisée, 3° M. Merckel cidessus nommé qualifié et domicilié, agissant en qualité de mandataire de M. Jean Charles Eugène Bichy, ouvrier tailleur demeurant à Paris, rue Chabannais N° 13, son beau-frère (…) et en outre mondit S. Merckel agit en qualité de tuteur datif de Delle. Célestine Valérie Bichy, enfant mineure issue du mariage de feu le S. Bichy avec feue Marie Barbe Streicher, son épouse en premières noces (…) En présence de Mr Aloyse Streicher, tailleur d’habits demeurant à Strasbourg, au nom et comme subrogé tuteur de lad. mineure Bichy (…) Les susd. D° Merckel, M. Jean Charles Eugène Bichy & la mineure Bichy, frères et sœurs germains habiles à se dire et porter héritiers conjointement avec pour le tout ou chacun d’eux pour un tiers de feu le Sr Bichy leur père comme étant nés de son premier mariage avec lad. feu D° Marie Barbe Steicher (…)
le tout étant & trouvé dans les lieux ci après désignées faisant partie d’une maison sise à Strasbourg place Kléber N° 3 dépendant de la succession du défunt & dans laquelle il est décédé le 7 septembre 1843.

Succession de feu le Sr Bichy. Immeuble. 2. Une Maison avec petite cour, bâtiment de derrière et dépendances, sise à Strasbourg, place Kleber N° 3, d’un côté à M Masské, de l’autre la veuve Hildenbrand, par derrière les mêmes, par devant la place. Cette maison est exploitée par lad. succession même & les parties l’évaluent à un revenu annuel de 800 francs & ce sans distraction des charges, formant au denier vingt un capital de 16.000 francs. Led. feu Sr Bichy est devenu propriétaire de lad. maison par suite de la licitation qui en a été poursuivie contre led. Sr Bichy qui en était copropriétaire pour une moitié & ses enfants du premier lit propriétaires de l’autre moitié, aux termes du procès verbal d’adjudication ci-dessus énoncé dressé par M° Noetinger qui en a la minute et un de ses collègues notaires à Strasbourg le 10 mai 1842, enregistré. L’expédition du procès verbal d’adjudication ainsi que (-) autres pièces qui sont des titres relatifs à lad. maison ont été cotés et paraphés par première et dernière & inventoriée sous la présente cote sixième
acp 314 (3 Q 30 029) f° 94-v. (vacations des 6 et 7 octobre) La succession se compose savoir, Communauté, un maison et marchandises évalués à 2143 francs, argent comptant 45, créances 3310, créances douteuses 770
garde robe du défunt 156. Description des titres et papiers
acp 316 (3 Q 30 031) f° 36-v (vacation du 14 novembre) – L’actif de la communauté s’élève à 5651, le passif à 5470
Les reprises de la veuve s’élève à 3000, celles du défunt à 26 francs. Les récompenses dues par la communauté à la succession s’élèvent à 9210.
L’actif de la succession du défunt 16.156, le passif à 15.214

Liquidation de la succession
1844 (8.8.), M° Noetinger
Liquidation et partage de la succession délaissée par Louis Antoine Bichy tailleur d’habits à Strasbourg, décédé en cette ville le 7 septembre 1843, entre I. Françoise Adèle Bichy, femme de Jacques Théodore Merckel, employé de la poste aux lettres de Wissembourg, II. Jean Charles Eugène Bichy, ouvrier tailleur à Paris, III. Célestine Valérie Bichy, mineure à Strasbourg, tous trois enfants du défunt issus de son premier mariage avec Marie Barbe Streicher, sa femme défunten héritiers chacun pour un quart
IV. Catherine Wegscheider, veuve en secondes noces du défunt, héritière pour le dernier quart de la succession aux termes de son contrat de mariage reçu M° Noetinger le premier août 1840. Aux termes du dit contrat de mariage le défunt était marié en secondes noces avec la D° Wegscheider sa veuve survivante sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts, mais suivant déclaration faite au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 31 janvier 1844 ladite veuve a renoncé à la communauté pour s’en tenir à sa donation. Inventaire de la succession du défunt a été dressé par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 6 octobre 1843

acp 326 (3 Q 30 041) f° 65-v du 2.4. – La maison sise à Strasbourg place Kleber N° 3 dépendant de la succession a été vendue à Jean Chrétien Roth, tourneur à Strasbourg suivant acte reçu Noetinger le 23 janvier 1844 moyennant 20.010 francs. Sur cette somme l’acquéreur a été délégué de payer aux créanciers hypothécaires de la succession la somme de 13.420 francs, reste dû 6589.
Il a été payé différentes dettes pour 1782 parmi lesquelles M. Bichy et Mad. Merckel figurent pour la somme de 1476 francs. Montant des prétentions qu’ils avaient à exercer sur la succession de leur père du chef de leur mère aux termes d’un acte de liquidation reçu Noetinger le 21 septembre 1842, 1476 francs, laqulle somm ils ont touchée
Succession. Masse active. Elle se compose 1) du prix de vente du maison 2500, 2) de la somme due par la veuve Bichy pour meubles par elle enchéris 610, Ensemble 3110 francs, 3) dû par Mad. Merckel 338, 4) reste du prix de la maison vendue 4920, 5) argent comptant 82, 6) créances 2545, &toé 10.997.
Masse pasive 9692, reste à partager 1304. Dans la masse passive figure une somme de 280 francs pauée au notaire rédacteur pour frais d’actes
Abandonnements (…)

Les héritiers de Jean Antoine Bichy vendent la maison par enchère au tourneur Chrétien Roth

1843 (22. Xbr), Strasbourg 12 (162), M° Noetinger n° 16.470
Cahier des charges, 22. Xbre 1843 – Ont comparu 1° Dame Catherine Wegscheider, veuve en secondes noces de Mr Jean Antoine Bichy, vivant maître tailleur à Strasbourg où mad. Dame demeure agissant en son nom personnel, 1° à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre elle et led. feu S. Bichy son mari suivant leur contrat de mariage passé devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés qui en a gardé la minute et son collègue le premier août 1840, enregistré, 2° à cause des reprises et créances qu’elle peut avoir à exercer sur lad. communauté ou même sur la succession de son mari, 3° comme donataire de toute la portion de biens dont la loi permettait au défunt de disposer à l’époque de son décès tant en propriété qu’en usufruit, en vertu de la donation que ledit feu Sr Bichy son mari lui a faite aux termes du contrat de mariage ci-dessus énoncé, lad. portion disponible formant, par suite de l’existence d’enfants du premier mariage du S Bichy au nombre de trois, le quart de la succession dudit défunt.
2° M. Jean Jacques Fischer, commissaire priseur demeurant audit Strasbourg, agissant 1° en qualité de mandataire de M Jacques Théodore Merckel employé des postes et de D° Françoise Adèle Bichy son épouse demeurant ensemble à Wissembourg, 2° et comme mandataire substitué de M. Jean Charles Eugène Bichy, ouvrier tailleur demeurant à Paris, rue Chabannais N° 13 (…) M. Merckel 1° au nom et comme tuteur datif de Mad. Célestine Valérie Bichy, enfant encore mineure issue du mariage du S. Antoine Bichy père avec feue Marie Barbe Streicher son épouse en premières noces (…) 2° au nom et comme mandataire de M. Jean Charles Eugène Bichy, ouvrier tailleur (…) 3° Mr Aloyse Streicher, tailleur d’habits demeurant à Strasbourg, au nom et comme subrogé tuteur de la Dlle mineure
Enonciation du jugement qui autorise la vente. La maison qu’il s’agit de vendre dépend de la succession de feu led. M. Antoine Bichy père ainsi qu’il est a voir en l’inventaire qui a été dressé après son décès par led. M° Noetinger le 6 octobre dernier, dûement enregistre. Or après led. décès les ayans-droit désirant sortir de l’indivision, d’un autre côté la dite maison était reconnue impartageable, Mr Merckel susnommé en sa prédite qualité de tuteur de ladite mineure convoqua le conseil de famille de cette dernière aux fins d’obtenir son adhésion à la vente dont s’agit (…)
Désignation de l’immeuble à vendre, Une maison avec petite cour, bâtiment de derrière et dépendances, sise à Strasbourg, place Kleber N° 3, d’un côté à M Masské, de l’autre la veuve Hildenbrand, par derrière les mêmes, par devant la place (…)
Etablissement de la propriété. Ledit immeuble appartient aujourd’hui aux vendeurs dans les proportions suivantes, savoir 1° à la veuve Bichy pour un quart (…) 2° et aux trois enfans de M. Bichy pour les trois quarts restans ou chacun pour un quart . Feu M. Bichy père est devenu propriétaire de la cette maison par suite de la licitation qui en a été poursuivie contre lui qui en était déjà propriétaire pour une moitié et ses enfants du premier lit propriétaires de l’autre moitié aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Noetinger qui en a la minute et un de ses collègues notaires à Strasbourg le 10 mai 1842, enregistré, cette adjudication fut consentie au profit du Sr Bichy pour le prix de 19.500 francs (…) La totalité de la Maison avait été acquise durant la communauté du Sr Bichy avec sa première femme et ce de M. Jean Michel Wilcké, batteur d’or et D° Marie Madeleine Lechner, sa femme, suivant contrat Rencker notaire à Strasbourg le 19 février 1824 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 mars même année vol. 165 N° 166. Lesd. Epoux Wilcké avaient acquis cette maison des héritiers Masské de Strasbourg suivant licitation devant M. Behr, juge au tribunal civil de Strasbourg le 21 décembre 1814. Charges, clauses et conditions (…) Mise à prix. Aux termes du dispositif du jugement susrelaté les enchères seront ouvertes sur la mise à prix de 12.000 francs
N° 16.527. Et cejourd’hui 23 janvier 1844 (…) adjugée au Sr Chrétien Roth, tourneur à Strasbourg pour le prix de 20.010 francs
acp 318 (3 Q 30 033) f° 10-v, cahier des charges – acp 319 (3 Q 30 034) f° 37-v, adjudication

Originaire de Trebur en Hesse, Jean Chrétien Roth épouse en 1815 Dorothée Rhein à Schiltigheim
Mariage, Schiltigheim (n° 144) Acte de mariage célébré en la Maison commune de Schiltigheim (…) le 4 avril 1815, Jean Chrétien Roth, majeur d’ans, né en légitime mariage le 23 janvier 1789 à Trebur, grand duché de Hesse, domicilié à Schiltigheim, tourneur en bois, fils de feu Jean Chrétien Roth, homme de justice audit Trebur, y décédé le 13 janvier 1812 et d’Elisabeth Agathe Kammerin* ci présente et consentante, et Dorothée Rhein, majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 novembre 1790 à Schiltigheim, domiciliée à Schiltigheim, fille de feu Jean Daniel Rhein boulanger en cette mairie, y décédé le 2 juin 1809, et de Catherine Lintz ci présente et consentante (signé) Johann Christian Roth Gatte, Dorothea Rhein Gattin (i 7)

Jean Chrétien Roth et Dorothée Rhein hypothèquent la maison au profit du pasteur Frédéric Guillaume Edel

1844 (5.2.), Strasbourg 12 (162), M° Noetinger n° 16.554
Obligation – Ont comparu M. Jean Chrétien Roth, tourneur & D° Dorothé Rhein sa femme, qu’il autorise, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels ont reconnu devoir légitimement
à M. Frédéric Guillaume Edel, inspecteur ecclésiastique, président du Consistoire du temple neuf, pasteur à la même église, chevalier de la Légion d’honneur, demeurant à Strasbourg, la somme principale de 2500 francs pour prêt de pareille
hypothèque. Une Maison avec petite cour, bâtiment de derrière & dépendances, sise à Strasbourg, place Kleber N° 3, d’un côté à M Masské, de l’autre la veuve Hildenbrand, par derrière les mêmes, par devant la place. M. Edel est autorisé à prendre inscription sur cet immeuble dont les débiteurs sont propriétaires pour l’avoir acquis de la veuve et des héritiers de Jean Antoine Bichy, vivant maître tailleur à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par led. notaire Noetinger le 23 janvier dernier. Les débiteurs déclarent qu’ils sont mariés en premières noces, qu’ile ne sont chargeés d’aucune tutelle ni recette de deniers publics (…) A l’instant sont intervenus aux présentes 1. D° Catherine Wegscheider, veuve de M. Jean Antoine Bichy, vivant tailleur à Strasbourg où elle demeurait, actuellement demeurant à Paris (…)

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1844 (3.8.), Strasbourg 10 (103), M° Zimmer n° 5307
Obligation & Subrogation. 3 & 6 août 1844 – Ont comparu M. Jean Chrétien Roth, tourneur & Dame Catherine Dorothé Rhein sa femme, qu’il autorise dûment à l’effet des présentes, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels reconnaîssent devoir bien & légitimement
à Mr Frédéric Guillaume Edel, inspecteur ecclésiastique, président du consistoire du temple neuf, pasteur à la même église, chevalier de la Légion d’honneur, demeurant à Strasbourg, la somme principale de 12.000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque. Une Maison avec petite cour, bâtiment de derrière et dépendances, sise à Strasbourg, place Kleber N° 3, d’un côté à M Masské, de l’autre la veuve Hildenbrand, par derrière les mêmes, par devant la place. Les débiteurs ont acquis cet immeuble de 1° Dame Catherine Wegscheider, veuve en secondes noces de M Jean Antoine Bichy, vivant maître tailleur à Strasbourg, 2° Dame Françoise Adèle Bichy demeurant à Wissembourg épouse de M Jacques Théodore Merckel employé des postes, 3° M. Jean Charles Eugène Bichy, ouvrier tailleur demeurant à Paris, 4° & Célestine Valérie Bichy, enfant mineure issue du mariage de M. Antoine Bichy susnommé & de feue Marie Barbe Streicher son épouse en premières noces, ainsi que cela résulte d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Noetinger, notaire à Strasbourg, le 23 janvier 1844, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 10 février suivant volume 410 N° 36 inscrit d’office le même jour volume 398 N° 124.

Jean Chrétien Roth et Dorothée Rhein louent la maison à leur fils Jean Georges Roth et leur bru Dorothée Caroline Rhein

1847 (27.2.), Strasbourg 10 (108), Not. Zimmer n° 6465
Bail, 27 février 1847 – Ont comparu Mr Jean Chrétien Roth, père, tourneur et Dame Dorothée Rhein sa femme de lui dûment autorisée à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont donné à titre de bail à ferme pour 20 années entières et consécutives qui commenceront le 25 mars prochain pour finir à pareil jour de l’année 1867
à Mr Jean Georges Roth, fils, tourneur demeurant et domicilié à Strasbourg, et à Dlle Dorothée Caroline Rhein, majeure, sans état, demeurant et domiciliée à Schiltigheim, futurs époux, preneurs solidaires, ci présens et acceptant
Les localités suivantes situées dans une maison à Strasbourg, place Kléber N° 3, savoir
1) Le magasin situé au rez de chaussée er servant également d’atelier, le tout destiné à l’exercice de la profession de tourneur, avec le matériel de l’éclairage au gaz, y établi & que les preeurs auront à tenir en bon état,
2) La cuisine se trouvant au rez de chaussée sous la réserve pour les autres habitans de la maison de pouvoir y faire la lessive,
3) Le premier étage avec cuisine,
4) La chambre de domestique située au deuxième étage,
5) Le grenier
6) Et deux compartimens dans la cave, dont l’un sert actuellement de cave au bois
Desquelles localités les preneurs pourront prendre possession dès le 13 Mars prochain dans l’état où elles se trouveront à ladite époque. le présent bail est fait et accepté moyennant un loyer annuel de 700 francs
Le présent bail est en outre fait sous les charges, clauses et conditions suivantes (…)
acp 358 (3 Q 30 073) f° 40

Le facteur d’instruments de musique Jean Georges Roth épouse en 1842 Caroline Rhein
1842 (19.8.), Strasbourg 10 (100), M° Zimmer n° 4442
Contrat de mariage, 19 août 1842 – Ont comparu 1° M. Jean Georges Roth, Facteur d’instruments, demeurant à Strasbourg, né à Schiltigheim le 24 janvier 1816 du légitime mariage du Sr Jean Chrétien Roth, tourneur, & de D° Dorothée Rhein conjoints demeurant à Strasbourg futur époux d’une part
2° Mlle Caroline Rhein, fille majeure, demeurant à Schiltigheim où elle est née le 28 décembre 1813 du légitime mariage de M. Benjamin Rhein, adjoint au maire de Schiltigheim & de D° Anne Marie Blanckenhorn conjoints demeurant ensemble à Schiltigheim, future épouse d’autre part

acp 301 (3 Q 30 016) f° 43 – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié avec réserve d’apports et de tout ce qui leur aviendra durant la communauté.
Le futur ameublit et met en communauté une maison lui appartenant à Strasbourg plce Kleber N° 18.
Les apports du futur époux consistent 1° en meubles et objets mobiliers évaluée 536, 2° en argent comptant 2320, 3° en un fonds de facteur d’instruments 15.935, ensemble 18.791
mais ils sont grevés d’un passif de 4563, reste 14.228, dans cette somme se trouve comprise une somme de 2500 francs que le futur époux a reçu de ses père et mère par avancement d’hoirie et dont ces derniers les conjoints Roth susnommés comparants lui font donation
Les apports de la future épouse consistent dans sa dot constituée par les époux Rhein comparans par avancement d’hoirie mais avec dispense de rapport, se composant 1° de meubles et objets mobiliers 750, 2° de 11 ares 35 ca de terre au canton dit im Hengstweeg banlieue de Schiltigheim et de 53 ares 41 ca de terres en trois pièces en la même banlieue, ces immeubles évalués à un revenu annuel de 1800
Donation éventuelle par les futurs de l’usufruit viager et gratuit de tous les biens meubles et immeubles qui composeront la succession du prémourant

Jean Georges Roth meurt sans enfant en 1848
1849 (2.4.), Strasbourg 10 (113), Not. Zimmer n° 7733
Inventaire de la succession de M. Jean Georges Roth, tourneur, en son vivant demeurant à Strasbourg où il est décédé le 21 décembre 1848 & de la communauté qui a existé entre entre lui & Dame Dorothée Caroline Rhein sa veuve survivante.
L’an 1849 le lundi 2 avril à neuf heures du matin, à la requête de 1° Dame Dorothée Caroline Rhein demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Jean Georges Roth, tourneur, agissant 1) comme ayant été commune en biens avec ledit feu son mari en vertu de son contrat de mariage passé devant M° Zimmer soussigné le 27 février 1847, 2) à cause des reprises qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés pendant le mariage, 3) à cause des reprises qu’elle peut avoir à exercer de ses biens propres non existants en nature, 4) comme usufruitière à vue de la succession du défunt son mari en vertu de l’article 5 dudit contrat de mariage
2° M. Jean Chrétien Roth père, tourneur, et Dame Dorothée Rhein sa femme de lui dûment autorisée, les deux demeurant à Strasbourg, agissant 1) comme ayant droit en retour successoral légal des objets par eux constitués en dot au défunt leur fils suivant ledit contrat de mariage, b) comme habiles à se porter héritiers pour moitié ou chacun pour un quart du restant de la succession de ce dernier 3° M. Jean Chrétien Rth fils, facteur d’instruments, demeurant et domicilié à Strasbourg, 4. M. Charles Roth, clerc de notaire, demeurant et domicilié en cette ville, agissant tant en son nom que comme mandataire de son frère M. Jacques Roth, facteur d’instruments actuellement à Paris (…) lesdits Sieurs Jean Chrétien, Jacques & Charles Roth frères germains du défunt et habiles à se dire héritiers chacun pour un sixième ou ensemble pour moitié (…) De tout quoi a été dressé le présent procès verbal à Strasbourg en la maison mortuaire place Kleber n° 3
acp 381 (3 Q 30 096) f° 43 (succession déclarée le 11 avril 1849 n° 39) Communauté, meubles et marchandises évalués à 2623, garde robe 396, argent comptant 135, plus 273 payés des fonds de la communauté pour l’enterrement et le deuil, créances et extances 1730 – Passif 4984
La masse propre au défunt s’élève à 2068, la masse passive du défunt s’élève à 500 francs

Liquidation et partage des successions délaissées par Jean Chrétien Roth, tourneur, et Dorothée Rhein
1863 (23.7.), Strasbourg 10 (149), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 15.192
Liquidation et partage des successions délaissées par Jean Chrétien Roth, tourneur, et Dorothée Rhein
Ont comparu I. Monsieur Jean Chrétien Roth, facteur d’instruments de musique, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’au nom & comme mandataire de Monsieur Charles Roth, son frère, caissier, demeurant et domicilié à Paris (…), II. Monsieur Jacques Roth, tourneur, demeurant et domicilié à Strasbourg, lesquls comparants, ès noms qu’ils agissent, ont déclaré que M. Jean Chrétien Roth, père, tourneir, et Dame Dorothée, Rhein, conjoints à Strasbourg, sont décédés en cette ville le mari le 23 novembre 1856 & la femme le 3 juillet 1863. Que lesdits défunts ont laissé pour seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers, les deux comparans & M. Charles Roth, leurs trois fils. Que ces derniers étant majeurs, ils n’ont pas jugé à propos de faire constater les successions de leurs père et mère par un inventaire, les présentes devront en tant que besoin y tenir lieu
acp 523 (3 Q 30 238) f° 90-v du 24.7. (successions déclarées le 1 avril 1857, le 25 juillet 1863) Masse active, mobilier 318, argent 3872, deux livrets de caisse d’épargne 557, total 4728
Masse passive 411, reste 1439 – Attributions (…)

Registre de population 600 MW 194, p. 96. Place Kleber N° 3
Roth, Jn Chrétien, 1789, Tribur (Hessisch Darmst.), à Strasbourg depuis 24 juin 1823, admis à domicile en may 1823
id. née Rhein, Dorothée, 1790, Schiltigheim (B. Rhin
id. Jn Georges, 1819, id. tourneur, 13 May 47, porté ci bas
id. Charles, 1 juin 1825, Strasbourg clerc de notaire
Roth, Jn Georges, 1819, Schiltigheim, tourneur, (à Strasbourg) ab infantia, (entré) 21 Xbr 1848, décédé 12 May 47, même rue N° 18, resté erreur
id. née Rhein, Dorothée Caroline, 1822, Schiltigheim, (entrée) 13 May 1847

Jean Chrétien Roth et Dorothée Rhein font donation de la maison à leur fils tourneur Jacques Roth

1853 (6.7.), Strasbourg 10 (125), Not. Zimmer n° 10.142
Donation à titre de partage anticipé – Ont comparu Mr Jean Chrétien Roth, père, ancien tourneur et dame Dorothée Rhein sa femme de lui dûment autorisée à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg
Lesquels, par les présentes, font donation entre vifs par forme de partage anticipé conformément au articles 1075 et 1076 du Code Napoléon en faveur de leurs trois fils ci après nommé, leurs seuls enfants et uniques héritiers précomptifs, savoir 1) M. Jean Chrétien Roth fils, facteur d’instruments de musique, 2. M. Jacques Roth, tourneur, 3) M. Charles Roth, clerc de notaire, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg ci présent et acceptant
d’Une maison avec puits, petite cour, bâtiment de derrière et dépendances, sise à Strasbourg place Kleber n° 3, tenant d’un côté à la propriété des veuve et héritiers Masské, de l’autre à celle de M. Moriz ci devant Hildenbrand par derrière aux mêmes propriétés, donnant par devant sur la place Kléber appelée autrefois place d’armes. Tel et en l’état où ledit immeuble se trouve actuellement (…)
Etablissement de la propriété. Ladite maison dépend de la communauté de biens exisant entre les conjoints Roth donateurs pour l’avoir acquise durant celle-ci des veuve et héritiers de Mr Jean Antoine Bichy vivant maître tailleur à Strasbourg savoir 1) Dame Catherine Weccheider ou Wegscheider veuve en premières noces de ce dernier et actuellement épouse en secondes noces de M. François Raphael Guyon, Maréchal des logis de gendarmerie, demeurant à Paris, 2° Dame Françoise Adèle Bichy épouse autorisée de Mr Jacques Théodore Merckel employé des postes, demeurant alors à Wissembourg, représentée par M Jean Jacques Fischer, commissaire priseur à Strasbourg leur mandataire, 3° M. Jean Charles Eugène Bichy, ouvrier tailleur, célibataire demeurant à Paris représenté par ledit sieur Fischer comme mandataire substitué par ledit M Merckel dans les pouvoirs conférés à ce dernier, 4° et Demoiselle Célestine Valérie Bichy alors encore mineure étant née à Strasbourg le premier août 1830, représentée par ledit sieur Fischer comme mandataire du sieur Merckel, tuteur datif de la Demoiselle Bichy et par M Aloyse Streicher tailleur d’habits demeurant en cette ville, subrogé tuteur de cette dernière, ainsi que le tout résulte d’un procès verbal d’adjudication définitive sur licitation dressé par M° Noetinger, notaire à Strasbourg, à ce commis par justice, le 23 janvier 1844, en suite d’un cahier des charges dressé par le même notaire le 22 décembre 1843, le tout transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 février suivant volume 410 N° 36 et inscrit d’office le même jour volume 598, N° 244. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 20.010 francs (…). Ladite maison était échue à la veuve Bichy née Weccheider, actuellement épouse Guyon, et aux dames Merckel, sieur Bichy fils & Demoiselle Bichy dans la succession dudit sieur Jean Antoine Bichy père décédé à Strasbourg le 7 septembre 1843, savoir la première en qualité de donataire de ce dernier pour la quotité disponible et aux trois autres qui ont accepté ladite succession sous bénéfice d’inventaire comme enfants et héritiers du défunt issus de son mariage en premières noces avec feue Dme Marie Barbe Streicher, ainsi que le tout résulte du cahier des charges & de l’acte de liquidation et partage susallégué et de l’inventaire de la même succession dressé par ledit M° Noetinger le 6 octobre 1843. Le sieur Bichy était propriétaire de la moitié e ladite maison pour avoir acquis ledit immeuble conjointement avec sa femme en premières noces la Dame Marie Barbe Streicher susnommée pendant la communauté de biens qui avait existé entre eux. Quant à l’autre moitié M Bichy s’en est rendu acquéreur sur ses enfants du premier lit la Dame Merckel, sieur Bichy fils & Demoiselle Bichy ainsi qu’il résulte d’un cahier des charges en date du 29 mars 1849 et d’un procès verbal d’adjudication définitive en date du 10 mai de la même année, les deux actes dressés par M° Noetinger, à ce commis par justuce après que lesdits enfants avaient eux mêmes recueilli ladite moitié dans la succession de leur mère la Dame Bichy née Streicher susnommée dont ils étainet héritiers chacun pour un tiers, ainsi que le constate l’inventaire dressé après le décès ce cette derniète par ledit M° Noetinger le 18 janvier 1840. Le prix de cette licitation montait à 19.500 francs (…)
Les conjoints Bichy-Streicher avaient fait l’acquisition dudit immeuble du mandataire du sieur Jean Michel Wilcké, batteur d’or et de Marie Madeleine Lechner, conjoints domiciliés à Strasbourg suivant contrat reçu par M° Rencker notaire en cette ville le 19 février 1824 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 mars suivant vol. 165 N° 166 et inscrit d’office vol. 16. N° 132. Le prix de cette acquisition qui était de 6000 francs (…). Le sieur Wilcké avait acquis ladite maison des héritiers Masské suivant licitation devant M. Behr, juge au tribunal civil de Strasbourg le 22 décembre 1814 et déclaration de command faite au greffe le lendemain, le tout transcrit au bureau des hypothèques le 18 janvier 1815 volume 79 N° (-). A l’appui de la propriété dudit immeuble il existe encore deux contrats de vente passés à la ci devant Chambre des contrats de la Ville de Strasbourg le 25 juin 1761 par le sieur Daniel Théophile Ziegenhagen au profit de Daniel Frédéric Masské, les deux chirurgiens demeurant à Strasbourg e le 2 janvier 1732 par feu Auguste Krieg marchand de toile à Strasbourg au profit dudit sieur Ziegenhagen – Etat hypothécaire (…)
Attribution. Attendu l’impartageabilité de la maison donnée le donataire l’attribue en entier au sieur Jacques Roth l’un de donataires, ce acceptant moyennant le prix de 22.000 francs (…)
Les conjoints Roth se réservent expressément la faculté d’occuper jusqu’au décès du dernier vivant d’eux le logement qu’ils habitent actuellement dans la maison donnée et comprenant le troisième étage y compris la cuisine qui en fait partie et le bûcher au-dessous de celle-ci,la chambre au linge sale sur l’arrière du quatrième étage, les deux compartiments par eux occupés dans la cave, l’usage commun, pour la lessive, du grenier, de la buanderie et de la petite cour
acp 421 (3 Q 30 136) f° 4-v du 7.7.

Jacques Roth épouse en 1853 Dorothée Caroline Ludwig
1853 (3.2.), Strasbourg 10 (124), Not. Zimmer subst. par Grimmer n° 9913
Contrat de mariage, 3 février 1853 – Ont comparu 1) Mr Jacques Roth, tourneur et fabricant de pipes, demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Schiltigheim le 28 mars 1823 du légitime mariage de Mr Jean Chrétien Roth, père, tourneur, et dame Catherine Dorothée Rhein, conjoints demeurant à Strasbourg, futur époux, d’une part
2) Mlle Dorothée Caroline Ludwig, sans état, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née audit Schiltigheim le 14 janvier 1827 du légitime mariage de feu Mr Jean Daniel Ludwig, cultivateur, et dame Barbe Rhein, vivans conjoints, future épouse d’autre part
acp 416 (3 Q 30 131) f° 136 du 4.2. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura en outre l’usufruit viager de la moitié des biens du prédécédé dans ladite société d’acquets
Les apports du futur consistent en une valeur de 6308, le tout grevé d’u passif de 1288
Les apports de la future consistent en une valeur de 4430, grevé d’un passif de 1335 et dans 88 ares 28 de terre ban de Schiltigheim, de la moitié indivise de deux pièces de pré ban de la Wantzenau et de Kilstett
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession réductible en cas d’existence d’enfants issus du futur mariage

Jacques Roth meurt sans enfant en 1870
1870 (28.4.), Strasbourg 10 (164), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1641
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu M. Jacques Roth, en son vivant tourneur & fabricant de pipes, demeurant à Strasbourg, (…) qu’il est décédé en cette ville le 30 janvier 1870, qu’après son décès il n’a point été fait d’inventaire & qu’il a laissé pour seuls héritiers chacun pour moitié ses deux frères germains nommés M. Jean Chrétien Roth, facteur d’instruments de musique demeurant à Strasbourg Et M. Charles Roth, caissier demeurant à Paris
acp 590 (3 Q 30 305) f° 76 du 29.4.

Lors de la liquidation, la maison revient à son frère Charles Roth, caissier à Paris

1870 (28.4.), Strasbourg 10 (164), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1642
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre entre Jacques Roth, tourneur, et Dorothée Caroline Ludwig
Ont comparu I. Madame Dorothée Caroline Ludwig, demeurant à Strasbourg, veuve de M. Jacques Roth, en son vivant tourneut et fabricant de pipes en cette ville où il est décédé le 30 janvier 1870. Agissant a) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts & partageable par moitié qui a existé entre entre elle & son défunt mari, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Grimmer, notaire à Strasbourg, ayant substitué M° Zimmer, notaire en la même ville, le 3 février 1853, b) en qualité de créancière de cette communauté & même de la succession de son mari pour raison de ses reprises & créances qu’elle peut avoir à exercer résultant de son contrat de mariage soit de tous autres titres, d’une part
II Monsieur Jean Chrétien Roth, facteur d’instruments de musique demeurant à Strasbourg, II Monsieur Charles Roth, caissier demeurant à Paris, ces deux derniers agissant en qualité de seuls héritiers chaun pour moitié de M. Jacques Roth leur frère germain susnommé, ainsi que’il est constaté par un acte de notaire passé aujourd’hui devant M° Koerttgé notaire soussigné, d’autre part

Masse active de la succession. Elle consiste (…) 2° dans Une maison avec puits, petite cour, bâtiment de derrière, droits & dépendances, sise à Strasbourg place Kleber n° 3, tenant d’un côté à la propriété des veuve & héritiers de M. Masské, de l’autre à celle de M. Moriz ci devant Hildenbrand par derrière aux mêmes propriétés, donnant par devant sur la place Kléber appelée autrefois place d’armes. Font partie de cette maison & seront compris dans l’attribution ci-après, cinq poêles dont quatre en faïence & un en fonte avec leurs tuyaux, pierres & accessoires, six trumeaus & six consoles aux premier, quatrième et second étages, les appareils à gaz, le compteur & les verrières placées au magasin du rez de chaussée, les doubles fenêtres, enfin tour ce quiy a de droit ou par destination nature immobilière. Le défunt est devenu propriétaire de cet immeuble pour lui avoir été attribué par M. Jean Chrétien Roth, ancien tourneur, & Dame Dorothée Rhein ses père et mère conjoints décédés à Strasbourg, aux termes d’un acte de partage anticipé, fait par ces derniers, entre le défunt & ses deux frères survivants, devant M° Zimmer notaire à Strasbourg en présence de M° Roessel jeune, notaire en la même ville le 6 juillet 1853, transcrit au bureau des hypothèques le 24 août suivant volume 572 N° 8. L’origine de propriété antérieure se trouve consignée dans l’acte de partage anticipé qui vient d’être relaté, auquel les parties déclaerent se référer à cet égard. Pour les opérations de partage qui vont suivre l’immeuble sus désigné est estimé par les co-partageants à 28.000 francs
acp 593 (3 Q 30 308) f° 15-v du 2.5. (succession déclarée le 13 juillet 1870)
Communauté, mobilier 3985, argent 560, total 4546
à déduire reprises de la veuve 5683, reprises du défunt 4907, autre passif 3641, total 14.282 – déficit 9696
Succession, garde robe 216, une maison Place Kleber N° 3, 28.000, total 28.216, moitié 14.108 – Passif 24.543, reste 3672, moteur 1836
Droits des parties en abandonnements. Mad. veuve Roth a droit 1) reprises 5683, 2) passif par elle payé 971, total 6655. Elle reçoit (…)
La veuve déclare renoncer à l’usufruit lui revenant sur la succession de son mari
II. Chrétien Roth reçoit (…)
III. Charles Roth reçoit la maison estimée 28.000 francs

Charles Roth vend la maison au brasseur Georges Guillaume Müller et à sa femme Augustine Deschenes

1872 (22.6.), Strasbourg 10 (169), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 2711
Vente, 22 Juin 1872. a comparu Mr Jean Chrétien Roth, facteur d’instruments de musique demeurant à Strasbourg, place Kleber N° 18, agissant au nom et comme mandataire de Monsieur Charles Roth, cuisinier demeurant et domicilié à Paris, rue Amelot N° 138, aux termes d’une procuration passée devant M° Turquet notaire à Paris le 20 avril 1872 (a vendu)
à Mr Georges Guillaume Müller brasseur, et à dame Augustine Deschenes son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Désignation. une maison avec puits, petite cour, bâtiment de derrière, droits et dépendances, sise à Strasbourg place Kleber N° 3, tenant d’un côté à la propriété des veuve et héritiers de M Masské, de l’autre à celle de M. Moritz, par derrière aux mêmes propriétés, donnant par devant sur la place Kleber appelée autrefois place d’armes.
Etablissement de la propriété. Cet immeuble appartient à M. Charles Roth, vendeur, pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de partage des biens et valeurs dépendant de la succession de Mr Jacques Roth, vivant tourneur et fabricant de pipes en cette ville où il est décédé sans postérite le 30 janvier 1870. Cet acte fait à la requête de dame Dorothée Caroline Ludwig veuve du dit Sr Jacques Roth comme ayant été commune en biens avec son dit mari et de M. M. Jean Chrétien Roth et Charles Roth susnommés en qualité de seuls héritiers chacun pour moitié du dit défunt leur frère germain a été dressé par M° Koerttgé notaire soussigné le 28 avril 1870. Par cet acte Mr Charles Roth a été délégué de payer (…). Feu Mr Jacques Roth est lui-même devenu propriétaire de cet immeuble pour lui avoir été attribué par M. Jean Chrétien Roth ancien tourneur et dame Dorothée Rhein ses père et mère décédés à Strasbourg, aux termes d’un acte de partage anticipé fait par ces derniers entre feu M Jacques Roth et MM Jean Chrétien Roth et Charles Roth ses deux frères susnomés, devant le dit M° Zimmer et en présence de M° Roessel jeune notaire en la même ville le 6 juillet 1853, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 août suivant volume 572 N° 8. Cette attribution a eu lieu à charge par Mr Jacques Roth de payer (…). Le même immeuble dépendait de la communauté de biens qui avait existé entreles dits épous Roth père et mère pour l’avoir aquis durant celle-ci de 1) dame Catherine Wegscheider veuve de Mr Jean Antoine Bichy vivant maître tailleur à Strasbourg et les trois enfants de ce dernier nommés Françoise Adèle Bichy épouse de Mr Jacques Théodore Merckel employé des postes demeurant alors à Wissembourg, Jean Charles Eugène Bichy ouvrier tailleur célibataire demeurant à Paris et Célestine Valérie Bichy alors encore mineure demeurant à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un procès verbal d’adjudication définitive sur licitation dressé par M° Noetinger, notaire à Strasbourg à ce commis par justice le 23 janvier 1844 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 février suivant volume 410 N° 25 et inscrit d’office le même jour volume 598, N° 244. Le prix d’acquisition qui s’élevait à 20.010 francs (…). Pour l’établissement de la propriété antérieure du même immeuble les parties se réfèrent à un cahier des charges en date du 29 mars 1842 suivi d’un procès verbal d’adjudication en date du 10 mai de la même année et à un inventaire en date du 18 janvier 1840, ces trois actes reçus par M° Noetinger notaire susnommé. (…) Etat civil et hypothécaire. M° Roth comparant, au nom de son mandataire, certfie que ce dernier n’est et n’a jamais été marié, qu’il n’est ni tuteur de mineurs ou d’interdits ni chargé d’aucune autre fonction emportant hypothèque légale et que l’immeuble présentement vendu lui appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente privilège ni hypothèque. Prix, 36.000 francs
acp 606 (3 Q 30 321) f° 6-v du 24.6.

Originaire de Laimen en Bade, le brasseur Georges Guillaume Müller demeurant à Chaville épouse en 1864 Ursule Augustine Deschenes, demeurant à Versailles
Mariage, Versailles (n° 144)
Le jeudi 12 mai 1864 à deux heures du soir, acte de mariage de Georges Guillaume Müller, brasseur demeurant à Chaville (Seine & Oise) né en la paroisse & commune de Leimen (Grand duché de Bade) le 10 mars 1837 fils majeur de pierre mathias Muller brasseur et de Barbara Klever son épouse demeuré à Carlsruhe (Grand duché de Bade) et demeurant maintenant à Villeneuve Saint Georges (Seine & Oise) tous deux ici présents et consentants
Et Ursule Augustine Deschenes, sans profession demeurant à Versailles chez ses père et mère rue jouvencel 23 née à Passy (Seine) le 28 février 1841 fille majeure de Jules Alfred Deschenes, brasseur & de Cécile Hemery son épouse aussi présens te consentants (…) publications faites sans opposition en l’église évangélique de Carlsruhe le 24 avril dernier (…) contrat de mariage devant M° Finot notaire à Versailles (i 91)

Ursule Augustine Deschenes meurt en 1882 en délaissant quatre enfants

1882 (30.12.), M° Pierron
Erbverzeichnis über dem Nachlass der hieselbst am 3. November 1882 verlebten, in Schiltigheim wohnhaft gewesenen Ursula Auguste Deschenes, gewesene Ehefrau des Baumeisters Georg Wilhelm Müller, sowie der zwischen diesen Eheleuthen bestandene Gütergemeinschaft. Erben sind die 4 noch minderjährigen Kinder Maria Antonie, Georg Clemenz, Friderich Wilhelm und Wilhelm August Müller, gemäß Ehevertrag vor Notar Finot in Versailles vom 12. Mai 1864 bestagend eine auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft und ist der Wittwer Schenknehmer des lebenlänglichen Nutznießung der Nachlasshälfte
acp 733 (3 Q 30 448) f° 76 du 5.1. n° 3422 – Sämtliche *schaftes sind in Schiltigheim gelegen
Gemeinschafftsmasse, Mobilien geschätzt zu 4760
Nachlass, Kleider 404
acp 737 (3 Q 30 452) f° 24-v du 28.4.1883, n° 458 (Sterbfall Erklärung 28.4.83 n° 47, Bd 68 Bl 33 N° 93 (vacation du 26 avril) Liegenschaften 1) ein hier am Kleberplatz 3 gelegenes Wohnhaus mit Zugehör, zu jährlich M 2080
2) ein an der Bischweilerstraße 63 zu Schiltigheim gelegenes Wohnhaus mit Zugehör C 603, 604 auf einer Fächeninhalt von 34,06 Ares
3) Ein in Schiltigheim an der Gartengasse gelegenes Wohnhaus mit Zugehöt C 591, 592.b der sogenante Franziskaner Keller
4) C 651, 6,62 Aren Feld Schlittweg im Bann von Schiltigheim
Ersetzforderingen des Wittwers für Einbringen 396, des Nachlasses für desgleichen 1996. Die Passiva betragen M 63.636.

Georges Guillaume Müller se remarie en 1884 avec Anne Marie Maier, originaire de Lichtenthal en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 29)
Strassburg am 19. Januar 1884. Auf Grund einer amtlichen Einwilligung des Standesbeamten zu Baden-Baden vom 5. dieses Monates erschienen heute Vor dem Standesbeamten zum Zwecke der Eheschließung 1. der Fabrikant Georg Wilhelm Müller, evangelischer Religion, geboren den 10. März des Jahres 1837 zu Leimen (Baden), wohnhaft zu Schiltigheim (Unter-Elsass) Wittwer von Ursula Augustine Deschenes zu Straßburg gestorben den 3. Novembrer 1882, Sohn der verstorbenen Eheleute Peter Mathäus Müller, Bierbrauer, und der Barbara Klever, der Vater zuletzt zu Schiltigheim und die Mutter zu Straßburg, 2. Anna Maria Maier, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 6. Mai des Jahres 1852 zu Lichtenthal (Baden), wohnhaft zu Baden (Baden) Tochter des verstorbenen, Eheleute Ignatz Maier, Bierbrauer und der Catharina Zachmann, zuletzt weÿl. zu Lichtenthal (i 29)

La maison figure à partir de 1891 dans le cadastre au nom d’Israël dit Edouard Goldschmid, propriétaire de la maison voisine (n° 1 et 2).


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.