2, place Kleber


Place Kleber n° 2 – IV 365 (Blondel), N 710 puis section parcelle (cadastre)

Troisième étage ajouté en 1735 par le sellier Claude Wilhelm – Démolie en 1907


La maison en 1868 (à droite de l’image, carte postale de la collection Strasbourg disparu)
Même endroit en 1978 (enseigne des magasins Goldschmidt, cliché Jean Jungmann)

La maison qui est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de l’armurier Jean Stich comprend un bâtiment avant dont l’encorbellement a 15 pieds 9 pouces de long et une saillie de 3 pieds 2 pouces et un bâtiment arrière. Elle appartient ensuite à son fils notaire Etienne Stich, au tonnelier municipal Daniel Schmidt (1646), au remueur de grains Jean Gartner (1649) puis au cordonnier Jean Georges Schrimpff qui agrandit la maison en 1686. Son voisin l’autorise à titre précaire à poser une de ses arcades sur son mur ; la convention est annulée deux ans plus tard. Le sellier Claude Wilhelm l’achète en 1714. Il est autorisé en 1722 à remplacer le bord de son encorbellement par une corniche, en 1734 à faire un toit à la hollandaise puis à ajouter un étage et à surélever son encorbellement pour qu’il soit à la même hauteur que ceux de ses voisins. Les actes du milieu du siècle mentionnent que la façade a seulement 14 pieds de large. Son fils Jean Frédéric Wilhelm renonce en 1753 à ses éventuels droits sur une ouverture au premier étage de son bâtiment arrière. Les propriétaires suivants Jean Jacques Croner et Jean Rœssler (1764-1795) sont des fripiers. La maison comprend en 1765 une boutique, deux poêles, deux cuisines, plusieurs chambres et une cave voûtée.


La place des Cordeliers entre la rue du Pilot à droite et les Grandes Arcades à gauche. La maison qui a deux étages est la deuxième à partir de la gauche de l’alignement (Plan-relief de 1725, Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 192 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à gauche du repère (h) : une porte et une arcade au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun, un étage mansardé surmonté de deux lucarnes. La cour N montre l’arrière (1-4) du bâtiment avant, le bâtiment latéral (4-3) à galeries vers l’ouest, le bâtiment arrière (3-2) à deux étages et la bâtiment voisin (2-1) vers l’est.
La maison porte le n° 2 aussi bien selon l’ancienne numérotation (1784-1857) que la nouvelle.


Cour N

Le tailleur François Jacques Moritz achète en 1842 la maison qu’il réunit au n° 1 dont il est propriétaire depuis 1832.

juin 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1842 (réunion avec le n° 1). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Stich, armurier, et (1570) Marguerite Schultheiss – luthériens
1620/ h Etienne Stich, notaire, et (1622) Salomé Franckenburger, d’abord (1610) femme du notaire Jacques Schell – luthériens
1642* adj Georges Beyerbach, secrétaire, et (1632) Barbe Hæhnel, veuve du prévôt de Dorlisheim Nicolas Maurer – luthériens
1646 v Daniel Schmidt, tonnelier, et (1623) Elisabeth Schœner, d’abord (1618) femme du marchand Paul Berger, (1658) Judith Fischer, d’abord (1649) femme d’Aristarque Olter puis (1654) du vitrier Jacques Gesell, et (1662) Ursule Schübler, d’abord (1639) femme de Michel Burger puis (1641) de Nicolas Olter – luthériens
1649 v Jean Gartner, remueur de grains, et (1633) Marguerite Marx – luthériens
1668* h Jean Georges Gartner, remueur de grains, et (1666) Marguerite Fessmann – luthériens
1682 v Jean Georges Schrimpff, cordonnier, et (1682) Anne Catherine Œlinger – luthériens
1690 h Christophe Wilschnack, cordonnier, et (1682) Anne Catherine Œlinger veuve de Jean Georges Schrimpff – luthériens
1700 h Henri Seiler, potier puis messager, et (1666) Salomé von Hipsheim puis (1700) Anne Catherine Œlinger veuve de Jean Georges Schrimpff puis de Christophe Wilschnack – luthériens
1714 v Claude Wilhelm, sellier, et (1711) Marie Esther Barbet – luthérien et réformée
1749 h Jean Frédéric Wilhelm, sellier, et (1751) Marie Madeleine Reiff, (1752) Jacqueline Steinmetz puis (1755) Eve Salomé Flach – luthériens
1764 v Jean Jacques Croner, fripier, et (1745) Marie Salomé Lutz – luthériens
1786 h Jean Rœssler, fripier, et (1765) Marie Salomé Lutz, veuve de Jean Jacques Croner, puis (1769) Marie Salomé Ott – luthériens
1795 v Jean Hickel, tailleur, et (1795) Marie Madeleine Saltzmann puis (1805) Marie Marguerite Günther
1809 v Frédéric Hildenbrand, sellier, et (1795) Catherine Salomé Geyler
1842 v François Jacques Moritz, tailleur, et (1829) Aimable Joséphine Mornave

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 375 livres en 1702, 1 050 livres en 1747, 1 000 livres en 1764.

(1765, Liste Blondel) IV 365, Fréderic Wilhelm
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bronnerische Erben, 2 toises, 1 pied et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 710, Hildebrand, Jean Frédéric – maison, sol – 0,67 are / Moritz François Georges

Locations

1687, Jean Daniel Schrimpff, cordonnier
1700, Jean Michel Dürr, cordonnier
1702, Jean Guillot, boutonnier
1702, Jean Pugens, tailleur
1704, Jean Jacques Zeltner, aubergiste
1705, Georges Frédéric Thommer, coutelier
1755, Daniel Théophile Ziegenhagen, chirurgien
1819, Jean Frédéric Pfister, débitant de tabac, et Emilie Simon

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 161-v
L’armurier Jean Stich régle 2 sols 8 deniers pour sa maison qui a un encorbellement (15 pieds 9 pouces de long, saillie de 3 pieds 2 pouces), item une échoppe (7 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds)

Uff dem Barfüeßer Platz am Eck deß feürgaëßlins hinder der Kürßner Stuben der grossen Stadelgassen Zugemessen
Hans Stich der Blattner hatt darneben vor seinem Hauß, oben ein Vsstoß xv schu ix Zoll lang, Vnd iij schu ij Zoll herauß, Mehr ein Laden vii+ schu lang, vndt iij schu herauß, Bessert für das Niessen ij ß viij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1722, Préposés au bâtiment (VII 1390)
Les préposés autorisent le sellier Claude Wilhelm à remplacer le bord de son encorbellement par une corniche.

(f° 19) Dienstags den 3. Ejusdem [Martÿ 1722] Clade Wilhelm wegen Veränderung des Überhangs
Clade Wilhelm der sattler Bittet MGhh. Ihme zu erlauben die Leisten An einem Überhang seiner behaußung auf dem baarfüßer Platz Abzuheben, und ein Gesimbs an deßen Platz Zumachen. Erkannt, Willfahrt.

1734, Préposés au bâtiment (VII 1396)
Le sellier Claude Wilhelm demande en juin l’autorisation de faire un toit à la hollandaise pour agrandir sa maison. Son voisin déclare une semaine plus tard n’y faire aucune objection si son pignon en pierre ne subit aucun dommage. Les préposés demandent que son autre voisin donne aussi son consentement. Claude Wilhelm est autorisé en août à ajouter un étage à sa maison et, avec l’assentiment de ses voisins, à surélever son encorbellement pour qu’il ait la même hauteur que ceux de ses voisins, à condition de ne pas y mettre de nouvelles poutres.

(f° 45-v) Mittwochs den 2. Junÿ, folgende Augenschein eingenommen worden – Clade Wilhelm
An Clade Wilhelm des Sattlers Hauß am bearfüßer Platz, welcher umb erlaubnus gebetten auf besagtes sein Hauß, so einen Überhang hat, umb etliche Cammeren* mehr Zuhaben, ein Holländisch dach machen Zulaßen.

(f° 47-v) Dienstags den 8. Junÿ 1734. – Clade Wilhelm
Clade Willhelm, der Sattler, præsentirt Mghh. wegen vorhabenden Bawes, Mr Christoph Bognern, den Meßerschmid, Seinen Nachbarn, bittet Ihme Zu vernehmen, ob Er nichts dar wieder einzuwenden, welcher declarirte, daß wann Ihme an Seinem steinern Gäbel durch eine Riegelwand Kein schaden geschiht, Er Seines orts solches nicht Hindern wolle. Erk. Solle Herr Ziegenhagen der andere Nachbar auch darüber gehört werden.

(f° 60) Montags den 9. Augusti 1734. – H. Clade Wilhelm
H. Clade Willhelm, der Sattler ersucht MGHh. Underthänig jhme Zuerlauben, anestatt des Holländischen dachs, so ihme Bereits erlaubt worden, noch ein Stöckel auf sein Häußel am Baarfüßer Platz ohnfern dem Rubenloch Zubawen, wie auch seinen Überhang umb selbigen mit den benachbarten Häußern in eine Gleichheit Zubringen, umb etwaß in die höhe Zuwinden,. Auf eingenommenen Augenschein und declaration der Nachbaren, daß Sie nicht nur nichts Hierwieder einzuwenden haben, sondern im gegentheil jhrem Nachbarn Gern allem Vorschub Gönnen, Ist Erkannt, wird dem Imploranten in Beeden Puncten Willfahrt, doch daß er keine Neue Balcken in den Überhang Ziehen solle.

Description de la maison

  • 1699 (billet d’estimation traduit) La maison comprenant un bâtiment arrière, un bucher, une cave est estimée avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
  • 1765 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la petite cour, le puits et autres appartenances et dépendances à la somme de 2 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes

nouveau N° / ancien N° : 3 / 2
Hildenbrandt
Rez de chaussée et 3 étages mauvais en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 202 case 2

Moritz, François Jacques, tailleur à Strasbourg

N 710, maison, sol, place d’armes 2
Contenance : 0,67
Revenu total : 162,35 (162 et 0,35)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 10 / 8

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1047 case 2

Moritz, François Jacques
1875 Hoffmann Christian, Transportunternehmer
1890/91 Goldschmidt Israel gen. Eduard, Kaufmann und Ehefrau Jenny geb. Wollstein in Gütergemeinschaft
(ancien f° 795)

N 710, maison, sol, place Kleber 2
Contenance : 0,67
Revenu total : 162,35 (162 et 0,35)
Folio de provenance : (202)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 10

Cadastre allemand, registre case 2
Voir le n° 1

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 98 Place d’Armes p. 158

2
Pr. – Roesler, Jean, Frippier – Moresse
loc. – Wittmann, Mathieu, reçu par la police Canton IV, Rue 98 Place d’Armes
loc. – Renard, Jean, faiseur de Baromètre


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de l’armurier Jean Stich. Originaire d’Obern Sundhoffen (Sonthofen en Alläu) Jean Stich épouse en 1570 Marguerite, fille du serrurier Antoine Schultheiss

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 130-v)
1570. Dnicâ prima post epiphanie. Hanns Stÿg von Obern Sundhoffen vnd Margreth Anthoni Schultheissen deß schloßers dochter. Sind eingesegnet auff montag den 23. Januarÿ h. g. Außgang In Anthoni Schultheiß des schloßers hauß (i 70)

Jean Stich devient bourgeois par se femme quelques jours après son mariage
1570, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 333
Hans Steich von obernsundhoffen, der blatter hatt das burgkrecht Empfangen von Margrethen Anthoni schultheiß des schuemachers dochter seiner ehfraw, Und dient Zu den schmid. Eod. die [26.ten Januarÿ]

La maison revient à son fils notaire Etienne Stich qui épouse en 1622 Salomé, veuve du notaire Jacques Schell

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 351)
1622. Dom: 8. Trinitatis. Stephan Stich ein Notarius Hans Stichen des Blattners Ehelicher Sohn, Salome Jacob Schellen des Notarÿ hinderlaßene Wittwe. Eingesegnet Montag 21. Augusti (i 180)

Le notaire Jacques Schell épouse en 1610 Salomé, fille du forgeron Jean Franckenburger
Mariage, cathédrale (luth. p. 242) 1610. auf Quasimodo. Jacob Schel notarius und Salome hans Franckenburger deß gew. schmidts tochter. (i 125)

Il se remarie en 1637 avec Marie, fille de l’ancien bailli de Marlenheim Jean Henri Œttel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ zwischen hieuorgemelten beeden Ehegemächdter vffgericht – zwischen Stephan Stichen, Nots. v. burger alhie Zu Straßb. an einem, So dann der Ehren: vnd tugendreichen Jfr. Mariæ Öttellin weÿl. des Ehrenuesten Vorgeachten herrn Johann Heinrich Öttels, gewesenen Amptmanns Zu Marlenh. v. burgers Zue Straßb. seel. hinderlaßener ehelicher dochter, andern theils (…) So geschehen in deß Heÿligen Reichs Freÿen Statt Straßburg den 27.ten Februarÿ Anno 1637

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 237)
1637. Dom. Jubilate 30 April. Stephan Stich der Notarius v. burg. alhie vnd J Maria H Johann Heinrich Oettels gewesenen Amptmans Zu Marlenheim Straßburgischen gebiets tochter. Cop. 9. Maÿ Zu J St Peter (i 120)

Etienne Stich meurt en 1641 en délaissant pour héritières ses deux sœurs, Ursule Stich, veuve du débitant de vin Georges Spehner, et Marguerite Stich, femme de Jean Adam Weinecker. Sa femme est grabataire. La succession comprend, outre la maison place des Cordeliers, une autre au Marais vert et une maison à Marlenheim propre à la veuve. La masse propre à la veuve est de 544 livres. L’actif des héritiers s’élève à 536 livres, le passif à 669 livres.

1641 (29.6.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 11) n° 13
Inventarium vndt beschreibung aller Haab vndt nahrung, so weÿland der Ehrenhafft vndt wohlgelehrt herr Stephan Stich, Notarius Publicus, burger alhie Zu Straßburg, nunmehr seel. nach seinem aus dießer weltt tödlichen hinscheÿden hinder ihme verlaßen, welche vff freundliches ansuchen erfordern vndt begehren Ursulæ Stichin, weÿl. Georg Spehners deß geweßenen Weinschenckens burgers alhier Zu Straßburg seel. hinderlaßene wittib, mit noth hülff vndt beÿstandt H Samuel Freudenbergers des (scri)benten burgs. alhier Zu Straßburg, Ires geschwornen vogts, Ferners Margarethæ Stichin, Hannß Adam Weineckers, burgers alhier hfren, beede deß ietz abgeleibten seel. Schwestern vndt ab intestato hind.laßener nechster Erben, durch Sie die Erben selbsten weilen Fr. Maria Öttlerin, die Wittib nun Jahr vndt tag bettlägerig, In beÿsein H Georg Kretschmans E. Ers. Zunfft Zur Steltzen Hauptkannens burg. alhie ihres geschwornen vogts vndt Herrn Philippi Mangoldts auch Notÿ Publici, burgers alhier ihres Schwagers, geeugt vndt gezeigt (…) So beschehen vff dinstag den 29. Junÿ A° 1641.

Eheberedungs Copeÿ (…) So geschehen in deß Heÿligen Reichs Freÿen Statt Straßburg den 27.ten Februarÿ Anno 1637
Inn einer alhie in d. Statt Straßburg vff dem Barfüeßer platz gelegenen Behaußung, so in dieße Erbschafft gehörig, Ist befunden worden wie volgt
Vff dem Obern Casten, Inn der Kammer A, Vor dießer Kammer, Inn der Cammer B, Vor dießer Kammer, Im haußöhren, Inn der Wohnstuben, Im undern haußöhren, Im Keller
Eigenthumb ane Einer Behaußung (E.) Item Zweÿ Heußer, ein Vorders vnnd ein hinders, mit Ihren Hoffstätt.v. höfflein darzwisch. sampt einem Bronnen Auch allen andern gebeuwen, begriff. weith. rechten v. gerechtigkeiten, geleg. inn der Statt Straßb. beÿ dem Barfüßer Platz, einseit neben Anthoni Füeßlins erb. 2.s neben Philips Leubrandts des Barbirers seel. erben, hind. vff H. Daniel Schmid. den Jetzig. Statt Küeffer stoßend, dauon gehen Jahrs 4 fl. geltts vff den heÿl. weÿhenachttag dem Blatterhauß alhie loßig inn Capital mit 100 fl. Mehr 4 fl. gelts vff Joh. Baptæ: der Samblung Zum Thurn *h in hauptgutt abzuloß. mit 100 fl. Item 9 fl. gelts Jahrs vff Michaelis H Dr Joh: Rudolph Saltzmann so inn hauptgut ablößig mit 225. lb vnd dann 3 fl. gelts vff Mariæ Verkündung fallendt, den Stiffts herren Zum Alten St. Peter in Capital gerechnet p. 30. lb d So dann ist dieße behaußung auch noch v.hafftet vmb 10. lb 5 ß 4 d Ziehlgeltt, weÿland Thoman Stichen döchterlin, wegen seines daran gehabten 7.benden antheils, Sonst ledig eig. Vber hieuor geschriebene beschwerd. angeschlagen p. 247 lb 4 ß 8 d. Darüber sagt ein Perg: Kauffbr: mit der Statt Straßburg Contract Insigel, dedato 28. Febr. A° 1576. sign. mit alt. Nis 1 et 7 vnd darbeÿ gelaßen
Item Zweÿ Heüßer neben einand. vnd. einem dach sampt j. gärthelin hind dem Bollwerckh in d. St. St. vorstatt vorm Speÿrthor (…)
(W.) Item j. drittertheil für vnvertheilt von v. ane hauß, hoff, Scheür, Ställ, Keller, Trott, Trotthauß v. j. Garten (…) Im Flecken Marlenheim beÿ dem Burckgraben gelegen (…)
Schluß und Abzug in dießes Inventarium. I. Der Fr. Wittib unverändert guth, Sa. haußraths 26, Sa. Silbergeschirrs 26, Sa. der Guldenen Ring 15, && Eigenthumbs ahne heüßern 244, Sa. der Liegenden güther 190, Sa. Ergentzung Ihres unveränderten Guths 20,Sa. Schulden 20, Summa summarum 544 lb
2. Der Erben unverändertes Guth, Sa. haußraths 51, Sa. Gulden Rings 1, Sa. Pfenningzinß hauptguth 111, Sa. Anschlags der behaußung 247, Sa. Schulden 124, Summa summarum 536 lb – Schulden 669, Übertreffen demnach die Schulden Auß dem Erbe Zu bezahlend, der Erben gantze unveränderte Nahrung Benantlichen vmb 133 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 385 lb

La maison revient, sans doute par adjudication judiciaire, à Georges Beyerbach. Originaire d’Öhringen, il est en 1630 secrétaire du receveur de Saint-Pierre-le-Vieux. Il épouse en 1632 Barbe, veuve du prévôt de Dorlisheim Nicolas Maurer

1630 (10. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 441-v
(…) hatt in gegensein H. Johann Müllers Schaffners deß Stiffts Zum Alten St. Peter auch Burgers Alhie Scribenten Georg Beÿerbachs von Öringen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 13-v)
1632. Dominica Paschatos. Görg Beurbach Von Oering. d. Schreiber Simon* Beurbach deß Kieffers daselbst ehelich Sohn, Barbara weiland Niclaus Maurer gewesenen Schultheißen Zue Dorlißheim hinterlaßene wittib 17. Apr. (i 15)

Alors secrétaire à Dorlisheim, Georges Beyerbach devient bourgeois avec sa femme Barbe Hæhnel en apportant trois enfants
1637, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 876
Georg Beÿrbach geweßener Gerichts schreiber Zu Dorlißh. Erkhaufft daß burgerrecht für sich vnd sein haußfr. Barbaram Hähnlin vmb 8 gold fl. bringt mit sich dreÿ Kinder Barbara, Maria vnd Susanna welche noch kein Eien* gutt Haben wirdt Zu den Freÿburgern dienen. Jur: den 6. Martÿ 1638.

Baptêmes à Strasbourg à partir de 1641.
(B. SPV 1641 f° 508 Magdalena (i 299), 1643 f° 594 Ursula (i 337), 1648 f° 126 Johann Georg (i 66, mère Barbara Henlin), 1650 f° 195 Salome (i 103)

Receveur de Saint-Pierre-le-Vieux, Georges Beyerbach vend la maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière au tonnelier municipal Daniel Schmidt

1646 (18. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 305
(Prot. fol. 103.) Erschienen H Georg Beÿerbach Schaffner der Stifft alt. St Peter alhie,
hatt in gegensein H Daniel Schmidts Statt Kieffers, bekannt, daß Herrn Probst dechant und Capitul besagter Stifft
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders, mit dero hoffstätten, höfflin, und alle ihren Gebäwen alhie vff dem Parfüßer Platz, neben H Anthoni Füeßeln alt. dreÿern deß Pfenningthurns, ein und anderseit neben Weÿl. Philipß Leubrandts deß Barbierers seel. Erb., hind. vff den Käuffern stoßend geleg. davon gehnd iahrs vff Joh. Bapt: 4 ß Straßb. wehr. lößig mit 100. fl. wehr. der Samlung Zum thurn, It. 4 fl. wehr. vff Weÿhenachten widerkäuffig mit 100 fl. wehr. dem Blaterhauß alhie, It. 4 lib. 14 ß 6 d. vff Michaelis lößig mit 94 lb 10 ß H Johann Rudolph Saltzmann dem ältern Med. Doct. & Profess., Vnd dann j. lib 10 ß vff Mariæ Verkündigung lößig mit 30. lib obgedachtem Stifft alt S. Peter selbst. (vff sich genohmen) – umb 95. lib

Fils du receveur au service des margraves de Bade Philippe Schmidt, Daniel Schmidt épouse en 1623 Elisabeth, veuve du marchand Paul Berger : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ Zwischen eingangs gemeltten beeden Eheleüth auffgericht. (…) zwischen dem Ehrengeachteen und vornehme Herrn Daniel Schmiden, Weÿl. des Ehrenfesten Wohlvornehmen H Philippi Schmids gewesenen Schaffners und Burgers Zu Straßburg seel. hinderlaßenen Sohne ane einem, so dann der Ehren vnd Tugendreicher Frauen Elisabethen Schonerin, weÿl. deß Ehrengeachten vnd vornehmen H Paul Bergers auch Burgers und handelsmanns in ehegedachter Statt Straßburg seel. hinderlaßener Wittiben, anderntheils (…) Actum Straßburg in der Kleinen Raths Stuben auff Dienstag den 28. Octobris A° 1622

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 470 n° 1560)
1623. Daniel Schmid ein Küffer h. Philipps Schmid Margräffischen schaffners hind.laßener Sohn, Elisabeth pauli Bergers des handelsmanns alhie nachgelaßene wittib. Montag den 1. 10.br (i 494)

Originaire de Sélestat, le marchand Paul Berger épouse en 1618 Elisabeth, fille du boucher Jonas Schœner
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 116-v n° 17)
1618. den 25. Augusti seind ehelich eingesegnet word. Paulis Berger von Schletstatt der handelsmann Hn Tobiæ Bergers, burgers und handelsmanns Zu Schletstatt Sohn, vnnd Jungfr. Elisabeth, weÿland herrn Jonæ Schonern, geweßenen burgers sel. alhie nachgelaßene tochter (i 127)

Daniel Schmidt et Elisabeth Schoner contractent une obligation au profit d’Ursule Sauler et de son frère Michel Sauler, en service à Strasbourg
1628 (25. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 453-v
Erschienen Daniel Schmidt burger Zu St. vnd Elisabetha Schonerin sein eheliche haußfr. mit beÿstand H. hannß Jacoben vnd hanß Georgen der Schonen ihr Elisabethen Brüedern alß hierzu insonderheit erpetener nechsten verwanthen,
haben in gegensein Ursulæ Saulerin von Gerlenfingen, sich anietzo alhie beÿ H D. Johann Gustel in diensten vfhaltendt, So dann Michel Saulers des noch ledigen Baderknechts daselbsten, ihr Ursulæ Bruders deßwegen Zugegen Margreth Vischerin Verpfrüenderin in der Samblung Zum Creütz alhie, ihr der Saulerischen Geschwisterten Mueter schwestern – schuldig seÿen Lxxv lb

Daniel Schmidt est nommé tonnelier municipal en 1639.
1639 XV (2 R 63) Daniel Schmid würd statt Kieffer. 86. 108. vid: plura Statt Kieffer d. New.
1655 XV (2 R 73) Daniel Schmid, vid. Stattkieffer. [47]

Elisabeth Schoner meurt en 1657 en délaissant une fille de son premier mariage avec Paul Berger et une autre issue du veuf. L’inventaire dressé dans une maison place des Cordeliers comprend plusieurs maisons. La masse propre au veuf est de 1 010 livres, celle propre aux héritiers de 784 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 789 livres, le passif à 1 351 livres.
1657 (9. 7.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 25) n° 24
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so weÿlandt die Ehren: vndt tugendsame Fraw Elisabetha Schönerin, deß fürgeachten vndt weÿsen Herrn Daniel Schmiden, Alten Statt Küeffers vndt der Zeitt E: Ehrs. Großen Raths alhier zu Straßburg Beÿsitzers eheliche haußfrauw nunmehr seel. Welche Sambstags den 27.ten Junÿ Jüngsthin Göttlichen wollen nach Zeittlichen todts verblichen nach Ihrem aus dießer weltt tödlichen hinscheÿden hind. Ihro verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren der Ehren vndt Vil tugendsammen Frawen Mariæ Salomeen Bergerin deß Ehrenhafften vndt Achtbahren herrn Philips Würtzen, Metzgers undt Burgers alhier haußfrauwen mit beÿstandt desen selben, # der ietzt abgeleibten Fren seel. mit weÿl. dem Ehrengeachten vndt vornehmen H Paul Bergern geweßenen handelßmanns vnd Burgern alhie Ihrem Ersten haußwürth seel. ehelich erzeugter dochter vndt ietzmahlen (-) Wie auch der Ehren: vndt vier tugendreichen Frn Elisabethæ Schmidin, auch ihr d ietz abgestorbenen frn. seel. mitt obehrenernandtem Herrn Daniel Schmiden Ihrem ietz hinderplibenen herrn Wittwern ehelich erzeugter dochter vndt ietzmahlen deß Ehrenvesten vndt fürgeachten herrn Johann Jacob Schellen Handelßmanns vndt Burgers alhie hfrn., ebenmäßig mit beÿstandt deßelben, beeder ietz abgeleibten frn seel. in Zwohen vnd.schiedlichen Ehen ehelich erzeugter döchtern, vndt ab intestato hinderlaßener nechster Erben (…) So beschehen auff Mittwoch den 9.ten 7.bris A° 1657.

Eheberedungs Copeÿ (…) Actum Straßburg in der Kleinen Raths Stuben auff Dienstag den 28. Octobris A° 1622
Copia Codicilli – 1639 (…) Persönlich erschienen ist die Ehren: und Tugendreiche Fr. Elisabeth Schonerin H Daniel Schmids Burgers und Stattküfers zu Straßburg eheliche haußfr. vff einem bett liegend, Zwar schwaches und Kranckes leibs (…) in der Codicillirend. Wohn behaußung auf dem Stefansplan gelegen, Zu dem Regenbogen genant, in der undern Stuben uff die faß sehend (…) Vnd dieweil dann Ich Johann Georg Kirchner Von Weißenburg am Rhein außer Römischer Keÿserlicher Majestatt (…) ein Offenbahrer geschworner Notarius und Burger Zu Straßburg
Bericht Wegen deß H Wittwers undt d. Erben unveränderten Haußraths (…)
Inn einer alhie Inn der Statt Straßburg auff dem Barfüeßerplatz gelegenen behaußung so auch in dieße Verlaßenschafft gehörig, vndt hernach beschrieben, Ist befunden worden wie volgt.
Im vordern Stockh auff dem obern Casten, Auff dem And.n Casten, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Vor dießen Cammern, Im Bütten Keller, Im vndern Haußöhren, Inn der Brandtweinkammer, Inn der werckstatt, Im Wein Keller, Im Closter auff dem Barfüßplatz, Oben am Schnecken, Inn der Wohnstuben, Inn dießer Stubkammer, Im Obern Haußöhren, Inn der Kuchen
Im Hindernstock. Inn der Stuben, Inn dießer Stubkammer, Inn der Schwartzen thuch Cammer, Im Nebens hauß, In der Knecht Cammer, Inn der Stubkammer, Inn d. Stuben, vor d. Stuben, Und. im hauß
Eigenthumb und Beßerung ane einer Behaußung vndt Brennhütten. (th.) Erstlichen Ein vor: hind ; vndt Nebens hauß aneinandet
in der Statt Straßb. ane dem Barfüeßer platz (…)
(th.) Item j. Brennhütt sampt 4 kl. brennkeßeln (…)
Wÿdembs Verfangenschaft, So Maria Marxin ietz Hannß Schweigheußers Metzgers vndt Burgers alhie haußfraiw ad dies vitæ wÿdembs weiß Zugenießen hatt, davon d. H. Wittwer and.halbe 4.te theil gehörig.
Item eine Behaußung in d. Statt Straßburg vorstatt in Crauthenauw ein seith ein Eckhauß an dem Breuschgäßlin (…)
Eigenthumb vndt Beßerung ane Heüßen so der Erben unverändert. Erstlichen ein fünffter theil für ungetheilt von und ane hoff, sampt dreÿen heußern
genandt Rothhoff, od. Musterhoff, jetzt Kuppelhoff genandt (…)
Itel noch 1/5.ter theil von v. ane hauß (…) beÿ vorgemeltem hauß gelegen
Ergäntzung der Erben unverändert Gueth. Auß dem üver Weÿland H Pauli Bergers geweßenen Weinhändlers vndt Burgers alhie, d. ietz vstorbenen frau vorigen Ehe, vndt haußwürths seel. den 2.ten 7.bris A° 1620. durch weÿl. H. Andream Kauffman den Notm. seel. auffgerichteten Inventario
Deß Herrn Wittwers unveränderte Nahrung betreffend, Sa. Silbergeschirrs vnd Geschmeids 4, Sa. Guldener Ring 32, Sa. Liegender güther o, Sa. Schulden 26, Sa. Ergäntzung 904, Summa summarum 1010 lib
Der Erben unveränderte Nahrung anlangend, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. Guldinen Kettlinc 21, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 25, Sa. Eigenthums vnd beßerung ane Heüßern 300, Sa. d. Ergäntzung 433, Summa summarum 784 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 335, Sa. holtzes, reÿff, bandt, daugen vnd außgemachter Arbeith 43, Sa. früchten 877, Sa. Brandt vndt Trinckwein 677, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 186, Sa. Guldinen Ring 9, Sa. Bahrschafft 565, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 326, Sa. Eigenthumbs vnd Beßerung ane einer behaußung und Brennhütten 665, Sa. Schulden 93, Summa summarum 3789 lb – Schulden 1351 lb, Nach deren Abzug 2429 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4189 lb

Daniel Schmidt se remarie en 1658 avec Judith fille du marchand Nicolas Fischer, qui a épousé en 1649 Aristarque Olter et en 1654 le vitrier Jacques Gesell
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 91 n° 4)
1658. Dominica III. Epiphanias Herr Daniel Schmidt, Eines Ehrsamen Grosen Raths Wohlverordneter Beÿsitzer Undt Fr. Judith H Jacob Gsellen gewesenen burgers und Glasers auch Eines Ehrsamen Grosen Raths alten beÿsitzers hinderlaßene Wittib. Copulabantur Magistratus jussu Auf der Weinstich. Stuben 1. Febr (i 102)

Mariage, cathédrale (luth. p. 522)
1649. Dom. 10. Trinit. Aristarchus Olter der Fünffzehen Knecht vnd Burger allhier, J. Judith herrn Niclaus Fischers deß gewesenen Handelßmanns Vnd Burgers allhier Nachgelaßene Eheliche dochter. In der Ruprechtsaw. Zinst. dar. (i 271)

Mariage, cathédrale (luth. p. 564 n° XLIV)
1654. Sonnt. 16. Trin. 10. 7.br H Jacob Gesell der burger Vnndt Glaßer alhier auch E. E. Großen Raths beÿsitzer Vnndt F. Judith weilandt Aristarchi Olters des burgers vnd fünffzehen Knechts alhie hinderlaßene Wittib. Mont. 18. 7.br. Münster, Maurerstub. Thiergarten (i 315)

Judith Fischer meurt en 1662, femme de l’assesseur au Grand Sénat Daniel Schmidt. Elle délaisse pour héritiers testamentaires les enfants de Jean Georges Fischer, le fils d’Emanuel Fischer et la fille de Marthe Fischer. L’actif de la succession s’élève à 497 livres, le passif à 23 livres
1662 (5.2.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 3) n° 5 (358)
Inventarium vndt beschreibung aller undt ieder haab undt Nahrung, so weÿland die viel ehren vndt tugendsame fr. Judith Schmidin gebohrne Fischerin, des Ehrenvesten fürsichtigen Vndt weißen herren Daniel Schmidt, E. E. großen Raht beÿsitzers haußfrau, welche den 16.ten Januarÿ Instehend. Jahrs tödlichen verblichen, hinderlaßen So vff erfordern und begehren der Ausgelebten frawen per Testamentum (instituirte Erben)
Actum den 5.ten Februarÿ Anno 1662.
Diie Abgeleibte fraw seelige hatt inn ihrem vffgerichteten Testamento Zu Erben verlaßen wie volgt. den Ehrwürdigen vnd wohlgelehrten Herrn H. Abrahamum Fischern dießer Zeit wohlbestellte, Pfarrern Zu Barr, Ferner die viel ehren vndt tugendreiche Fr. Barbaram Reißnerin gebohrne Fischerin des Ehrenvesten vnd wohlgelehrten herrn H. Johannis Conradi Reusnern beÿ alhiesigem Gymnasio quinta Classis wohlbestellten Præceptoris haußfr. beede weÿland Herren Johann Georg Fischers geweßenen Huetstaphierers der Abgeleibten frauen seeligen Brueders seeligen hinderlaßenen Sohn undt dochter Zu einem Stammtheÿl
2. Weitter weÿland Emanuel Fischers geweßenen huetstaphirers und burgers alhie hinderlaßenen Sohn Nahmens herrn Emanuel Fischern huetstaphirern undt burger Alhier vor sich selbsten Johannes undt Daniel so beed. ledigen standts derer geordneter vogt den Ehrenthafft herrn Johann Adolff Huckh biersieders Zur Sonnen undt burgers In Straßburg so dem geschefft beÿ gewesen,
So dann In den dritten Stamtheil weÿland frawen Marthæ Fischerin mit auch weÿland herrn Daniel Schiele gewesenen Goldtschmiden vnd Burgers alhier ehelich erzeugten dochter Nahmens Jungfr. Barbaren dero geordnet und geschworenen Vogts den Ehrenhafften Herrn Michael Zentgraffen Goldtarbeiter undt Burger alhier welchen den geschefft beygewohnt, vndt Ursulam Schielin mit beÿstand des Ehrsamen und vescheidenen Hanß Jacob Lochbeülers Krämers undt burgers alhie Ihres haußwürths, Alle obehrengedachter Frawen seeligen Inn Ihrem vffgerichtenen testamento instituirten Erben

Inn einer Inn der Statt Straßburg auff dem Paarfüßer Platz gelegenen undt H. Daniel Schmiden den Wittiber eÿgenthümblich gehörigen behaußung ist befunden worden Wie Volgt
Ergentzung der Erben unveränderten guett
Abzug in dießes Inventarium, Sa. haußraths 109, Sa. Silbergeschweidt 29, Sa. Guldener Ring 33, Sa. der baarschafft 31, Sa. Schulden 63, Sa. Ergäntzung 229, Summa summarum 497 lb – Abzuziehen 23, Verbleibt 473 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 697 lb
Wÿdembs Verfangenschafft welche die Abgeleibte frau seelige von weÿlandt herrn Aristarcho Oltern XV. botten Ihrem ersten haußwürt (genoßen)
Wÿdembs Verfangenschafft, so die Abgeleibte frau seel. von Weÿl. Herrn Jacob Gesellen Glaßeren vndt E. E. Großen Raths Alten beÿsitzern Ihrem Andern haußwürth sel. ad dies vitæ Widembs weÿs Zugenießen gehabt. Lautt Inventartÿ über ob Ehrengemelts H Jacobi Gesellen Verlaßenschafft in A° 1655. durch Christoph Schüblern Notum auffgerichtet (…)

Les héritiers de Judith Fischer portent devant les Quinze l’affaire de la succession. La commission déclare que le bureau de la Taille n’a pas d’intérêt dans la succession, que le veuf a d’ailleurs demandé à être exempté d’inventaire mais que les héritiers demandent légitimement qu’un inventaire soit dressé.
1662, Protocole des Quinze (2 R 79)
H. Daniel Schmidts Wittib Inventur. 42. 43.
(f° 42) Sambstag den 1. Martÿ – Fr. Judith Vischerin Erben per Wilden übergibt Supplication so verleß. bitten einverleibter ursach wegen, daß Sie ermelter Vischerin bereits Inventirte Verlaßenschafft vertheilen mög. in deme H Daniel Schmidt d. wittiber sich Zu inventiren difficultirt. Erk. Für Obere Stall Herren gewieß.

(f° 43-v) Freÿtag den 7.ten Martÿ – Obere Stallherren Laßen per H. Frantz referiren, vf Erkantnuß supra fol. 42. hetten Sie von Judith Vischerin H Daniel Schmidts geweßenen haußfrawen Seel. Erben begehren geredt, Vnd nach angehörtem der H. Dreÿ deß Stalls bericht vf belieben Mgh. darfür gehalten, weilen ermelter Vischerin verlaßenschafft bereits inventirt, die gantze Zeit, Wie wohl nur 2. Jahr gewehrter Ehe, iederweilen Separat geblieben, v. der wittiber Ihro für die errungenschaft in pactis Dotalibus Jährlichen ein gewißes verschafft auch im übrigen der Stall Kein ferner interesse dabeÿ hat, sondern dieße Separation vnd vertheilung nur darumb difficultirt, damit H Schmidt desto ehender zu seiner Inventation gebracht* werden möchte, Vnd aber derselbe vmb solcher befreÿung beÿ den Herren dreÿeren auch Schrifftlichen einkommen, Es solte dem hero Zuvorderst den supplicirend. Erben, In ihrem begehren gratificirt, H. Schmid aber sein petitum propter malam consequentiam vnd weil. dergleichen erst kürtzlich H. XXI. Kawen wegen seiner Frn Mutter seel. Verlaßenschafft, und andern mehr auch nit verstattet werden abgeleint undt es beÿ ordnung gelaßen werd. stellens. Erkandt, Würdt d. bedacht placidirt.

Daniel Schmidt obtient une dispense pour se marier avant la fin de son deuil.
1662, Conseillers et XXI (1 R 145)
(f° 166-v) Sambstag d. 20. Septembr. – H. Daniel Schmidt pro dispensatione
H. Daniel Schmidt Bittet per Wild. Mh. wollen Vorhabende copuation Weylen Er in dem leidt begriffen auff d. Weinsticher stuben verstell. Erk. Willfahrt word.

Daniel Schmidt se remarie en 1662 avec Ursule, veuve du barbier Nicolas Olter. Fille du notaire Euchaire Schübler, Ursule Schübler épouse en 1639 Michel Burger, assesseur au Grand Sénat, puis en 1641 Nicolas Olter, aussi assesseur au Grand Sénat.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 125-v n°40)
1662. Eâdem Dominica [XVII Trinitatis] Hn. Daniel Schmidt E. E. Großen Raths alten Beÿsitzern Vndt Fr. Ursula, Weÿl. Hrn Niclaus Olthen Barbierers vndt Wundartzten auch E. E. Großen Raths alten Beÿsitzers, nachlel. Wittib. Ex Amplissimi Magistratus Indulti Copulavi auff den Weinstichen Zunfft Stub, Zinst. 30. Septembris (i 138)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 56)
1641. Dnca 3. Trin: 11 Julÿ Herr Niclaus Oltter E. Ersamen Großen Rath beÿsitzer fr. Ursula H Michael Burgers E. E. grosen Rhats beÿsitzer hind.lassene Wittib (i 57)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 45-v)
1639. Eodem [Dncâ Paschatis 14 Aprilis] Herr Michael Burger, E. E. Großen Rhats beÿsitzer, J. Ursula H. Eucharÿ Scheublers Not. nachgelaßene tochter (Mont 22 April: Zu Eckboltzh. (i 47)

Ursule Schübler fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 171 livres.
1662 (13. Nov.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 31) n° 32
Inventarium Über Frawen Ursulæ Schueblerin Zu H Daniel Schmiden Alttem Statt Küeffern und der Zeit E. Ehrs. Großen Raths Allher, Alttem Beÿsitzern in den Ehestandt Zugebrachte Kleÿder, Silberin Meßer, Gürttel vndt Guldine Ring auffgerichtet 1662. (…) als Crafft irer mit einand. auffgerichteter Eheberedung, ein Unverändt. Gueth in den Ehestand Zugebracht (…) So geschehen, auff Donnerstag den 13. Novembris A° 1662.
Summa summarum 171. lb

Daniel Schmidt vend la maison au remueur de grains Jean Gartner

1649 (16. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 26
(Prot. fol. 15.) Erschienen H Daniel Schmid der Statt Küeffer
hatt in gegensein hannß Gartners deß Kornwerffers
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit dero hoffstätten, höfflin, und allen ihren Gebäwen alhie vff dem Parfüßer Platz neben H Anthoni Füeßel groß. Rhats Vewanth. ein und anderseit neben weÿl. Philipß Leubrandts deß Barbierers seel. Erb: hind. vff den Verkäuffern stoßend geleg. davon gehnd iahrs vff Joh. Bapt: 4 fl. Straßb. wehr. lößig mit 100. fl. wehr. der Samlung zum Thurn, Item 4. fl. wehr. vff weÿhenachten lößig mit 100. fl. ermeldter wehr. der Blaterhauß alhie, Item 4 lib 14 ß 6 d vff Michaelis lößig mit 94 lb 10 ß H Johann Rudolph Saltzmann dem älten Med. Doct. Profess. (übernohmen) – umb 163. lib

Fils de Jean Gartner, le journalier Jean Gartner épouse en 1633 Marguerite, fille du jardinier Louis Marx
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 151)
1633. Dom. I. Adventus 1. 10.bris. Hans Gartner der tagner alhie Hans Gartners deß tagners v burgers alhie nachgelaßener sohn und Margaretha Ludwig Marx deß Gartenmans vndt burgers alhie eheliche tochter. Cop. 9. 10.bris zu J. St. Peter (77)

Jean Gartner est remueur de grains à partir de 1643 dans les registres de baptêmes
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 5, n° 28) 1638. 21 Junÿ. P. Hannß Garttner vndt Margaretha Marxin, I. Catharina, C Georg Lix der garttner, Aurelia Rinckin Anna hannß Caspar Hemmerlen fr. (i 4)
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 25, n° 96) 1639. Dominica Trinitatis XVI Sonnt. 6. tag Oct. P. Hannß Garttner vndt Margaretha Marxin, I. Anna, C Abraham von Fridolsheim der Jünger, Anna Caspar Hammerers Fr. Jungfr. Catharina Benedict Hirten tochter (i 15)
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 113, n° 37) 1643. Dominica Judica. 21. Martii P. Hannß Garttner der Korn Werffer Vnd Margaretha, I. Johann Georgois C. Georg Müller der Kornwerffer, Johannes Götz der Weißbeck, Aurelia Andres Renchert des Garttners (-) (i 61)

Le remueur de grains Jean Gartner meurt en 1668. La maison revient à son fils Jean Georges Gartner qui épouse en 1666 Marguerite Fessmann

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 86, n° 3)
1668. Januarius. Hn Johann Gartner, der Kornwerffer, Scabinus beÿ E. Ehrs. Zunfft Zur Lucern Vndt Statt: Gerichts alten Beÿsitzer, (begraben) Freÿt. 10. ad Lepros. (i 48)

Jean Georges Gartner et sa femme Marguerite hypothèquent la maison au profit du cordier Chrétien Kamm. En marge, quittance remise en 1684 à Mathias Blessig, second mari de la débitrice.

1679 (16. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 907-v
Hannß Georg Gartner der Kornwerffer und Margaretha sein Eheweib, und Zwar Sie Margaretha insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest, fürsichtig und weÿsen Herrn Hannß Jacob Fritzen und herrn Abraham Gollen beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein Christmann Kammen des Saÿlers, im nahmen deß Edel- hochgelehrten herrn Gerhard Von Stöckhen H.I. D. et Pandectarum Profess. publici beÿ hießiger wohllöblichen Universität – schuldig seÿen 300. fl.
unterpfand, Hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier uff dem Barfüßer platz einseit neben anthoni füesell dem Kandten Gießen, anderseit neben hannß ruprecht Meßerschmidt dem barbierer, hinden uff hannß Jacob Schellen den weinhändler stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Mathis Bläsigs alß ietzigen ehevogts hierinn gedachter Gartnerischen Wittibin (quittung) Act. 12. Aug. ao. 1684

Les députés chargés de vendre les biens qui appartiennent à Jean Georges Gartner cèdent la maison au cordonnier Jean Georges Schrimpff

1682 (28. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 293
Herr Johann Henrich Bischoff undt herr Johann Willhelm Reichardt beÿdte alß auß E.E Kleinen Rhats mittel Zur distraction Hanß Georg Gartners des Kornwerffers nunmehr seel: Verlassenschafft insonderheit Deputirte, mit beÿstand Herrn Johann Philipp Kasten V.J.D. undt ged. Rhats Actuarÿ et Referentis
in gegensein Hannß Georg Schrimpfen des Schuhmachers
Ein Vorder: und hinder behaußung sampt einen höfflein dar Zwischen, hoffstätt undt allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier ahne dem baarfüßerplatz einseit neben Anthoni Füßel dem Kantengießer anderseit neben Philipp Ruprecht Meßerschmidt hinden uff hannß Jacob Schellen den Kieffer stoßend gelegen, welche behaußung umb 100 fl. der Samblung Zum Thurn, Item umb 100 fl. dem blatterhauß alhier, so dann umb 155. fl. den Gartnnerischen Geschwisterdten verhafftet – umb 660 fl.
[in margine :] (…) in gegensein Annæ Catharinæ gebohrner Öhlingerin deß hierin gemeldt. Kaüffers hinderlaßener wittib mit beÿstand Georg Christoph Nonnenmanns deß Paßmentirers (quittung) Act. d. 4.ten Mart. 1689

Jean Georges Schrimpff et sa femme Anne Catherine hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit d’Israël Dieterlin, enseignant au lycée

1682 (12. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 316-v
Hannß Georg Schrimpff der Schuhmacher und Anna Catharina beÿdte Eheleuthe, und zwar dieselbe insonderheit mit beÿstandt Herrn M. Johann Friderich Öhlingers Pfarrers zu Schiltigheim undt Abraham Öhlingers des Zollers am Steinstraßer thor Ihres resp. eheleiblichen bruders undt Vettern alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein Herren Israel Dieterlins Præceptoris Classici Jnferioris Gÿmnasÿ – schuldig seÿen 150 fl. à 15. bz.
unterpfand, Eine vordere und hindere behausung mit allen deren gebäwen und zugehördten alhier ahne dem baarfüßerplatz einseit neben Anthoni Füßel dem zinngießer anderseit neben Philipp Ruprecht Meßerschmidt dem barbierer, hinden uff hannß Jacob Schellen den Kieffer stoßend gelegen

Fils du cordonnier du même nom, Jean Georges Schrimpff épouse en 1682 Anne Catherine Œlinger, fille de l’orfèvre Frédéric Œlinger
Mariage, cathédrale (luth. f° 103, n° 28)
1682. Dom. 7. post Trinitatis.Zum 2 mahl hanß Georg Schrimpff der Schumacher Weiland Hanß Georg Schrimpffen Schuhmachers u. Burgers alhier nachgelaßener ehel. S. Jfr. Anna Catharina Weiland Friderich Ölingers gewesenen Silberarbeiters Burger alhier nachgelaßene ehel. T. Donnerstag den 23.t Junÿ Zun Predigern (i 104)

Jean Georges Schrimpff est ensuite messager de la Chancellerie
1686, Protocole des Quinze (2 R 91) Mr Hannß Georg Schrimpff der Cantzleÿ Bott pt° Holtz 49-v, Johann Georg Schrimpff der Cantzleÿbott umb einen Mantel 281-v

Jean Georges Schrimpff agrandit sa maison. Son voisin l’autorise à titre précaire à poser une partie d’une de ses arcades sur son mur. La convention est annulée le 6 février 1688

1686 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 252
Johann Christoph Engel der Barbierer an einem
und hans Georg Schrimpff der Schuhmacher am andern theÿl
daß nach dem Er Schrimpff den eingang an seinem allhier auff dem Baarfüßerplatz legene eÿgenthümblichen Hauß umb etwaß Vergrößern laßen, und deßwegen mit dem gehauenen Stein deß Schwibbogens umb einen Maursteins breÿte, auff sein H. Engels alß Nachbarn Maur eingeruckt seÿe, daß Zwar Er Engel auß guten willen solches vergönstiget habe, doch mit außtrucklichen beding daß solches anderst alß eine Vergönstigung und freÿer will nicht solle angenommen und länger nicht dann es Ihme oder seinen nachkommen belieben wird, dergestalten gelaßen, sondern auff deren begehren in vorigen stand wieder setzt und gestellt werd.
[in margine :] hierinn gemeldte beede Engel und Schrimpff haben angezeigt d. Er Schrimpff hierin Versprochener maßen alles wid. in vorig. stand gesetzt und sie die hierin beschriebene Vergönstigung wid. auffgehob. hab., Act. d. 6.ten Febr. 1688.

Jean Georges Schrimpff loue une partie de sa maison à son frère cordonnier Jean Daniel Schrimpff

1687 (25.4.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 239
Erschien Johann Georg Schrimpff, der Schuhmacher und Cancelleÿ Knecht [unterzeichnet] hanß Görg Schrimpff Cantzleÿ bött
hatt in gegensein hans Daniel Schrimpffen auch Schuhmachers seines leiblich. bruders
entlehnt, in seinem am baarfüßerplatz gelegen einseit neben Johann Adam Schwaben dem Zinngießer, anderseit neben Christoph Engel dem barbierer gelegenen hauß, den gantzen vordern Stock, außgenomm. die undste stub, welche b* dem hind. Stock an H Picard dem Perucken macher verlehnt ist, sambt den gemeinen Genuß deß hoffs, und einen theil holtzhaußes und. Kellers wie solches und.schlag. ist, auff Vier jahr lang von Michaelis dießes 1687.st. jahrs an zu rechenen umb einen jährlich. Zinß nemblich 15 pfund pfenning

Le messager de la Chancellerie Jean Georges Schrimpff hypothèque la maison au profit de Jean Georges Wetzel, secrétaire à la Tour aux deniers

1687 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 386
hand Georg Schrimpff der Cancelleÿ Knecht
in gegensein H. Johann Georg Wetzels, Secretarÿ auff dem Pfenningthurn – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, Ein vordere und hindere behaußung sambt einem höfflein dar zwischen, und denen hoffstätten, auch allen deren Gebaüen, begriffen Recht. und Zugehördten, allhier an dem baarfüßerplatz, einseit neben hans Georg Schwaben dem Zinngießer, anderseit neb. Johann Ludwig Engel dem barbierer, hinden auff weÿl. hans Jacob Schellen deß Kieffers hind.laßene Erben stoßend gelegen, welche behaußung umb 100 guld. wehrung d. Samlung zum thurn (Item umb 100 fl, Item umb 155 fl. So dann umb 335 fl. verhafftet), Zu deßen mehrer Versicherung ist hierbeÿ persönlich erschienen Anna Catharina gebohrne Öhlingerin, deß debitoris eheliche haußfr., mit beÿstand H. M. Johann Friderich Öhlingers Pfarrherrs zu Schiltigh. und H. Johann Conrad Wittichs, deß Speciereirers ihres respect. leiblich. bruders und Vettern, die hat sich für obige Schuld (…) verbürgt
[in margine :] (…) in gegensein Annæ Catharinæ gebohrner Öhlingerin, deß in ged. Verschreibung gemeldt. hanß Georg Schrimpffen alß debitoris hinderlaßene wittib und bürgin (quittung) den 21. Jan. 1689

Anne Catherine Œlinger se remarie en 1690 avec Christophe Wilschnack, fils de Zacharie Wilschnack à « Neidengall » dans le duché de Mecklenburg-Güstrow : contrat de mariage, célébration

1690 (1.4.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 2
Heuraths Verschreibung Zwischen Meister Christoph Wilschnackh Von Nidengall Mecklenburgerlandts, nunmehro Burgers undt Schuhmachers alhier Zu Straßburg mit beÿstand Christian H Schreiners v. burgers alhier an einem, So dann
Frawen Annæ Catharinæ gebohrner Öhlingerin, Weÿl. hannß Georg Schrimpffen geweßenen Schuemachers vndt beÿ hiesiger Statt Straßburg Cancelleÿ ordinari Bottens vndt burgers nunmehr seel. hinderlaßenen Wittib, mit beÿstandt herrn Georg Christoff Newmanns Paßamentierers undt burgers alhier Ihres annoch ohnentledigten vogts, andern theilß
Actum Straßb. den 1. April Anno 1690. [unterzeichnet] Christo wilschnack als hoch Zeitter

Mariage, cathédrale (luth. p. 172)
1690. Dom. Exaudi. Zum 2 mahl Christoph Wilßneck, der Schumacher vnd Burgers Weiland Zacharias Wilßneck auch Schuemachers und Burgers Zu Neudergall im Fürst: Mecklenburg Güstrau: Lini nachgel. S. Anna Catharina Weiland hanß Georg Schrimpffen geweßenen Cantzleÿ-Boten und Schumachers W. Mittw. den 27.ten Maji. N. Kirch (i 17)

Christophe Wilschnack acquiert le droit de bourgeoisie en 1688 (registre des acquisitions par mariage). L’acte est biffé, sans doute pour le reporter dans le registre des acquéreurs par achat mais le report n’a pas été fait.
1688, 4° Livre de bourgeoisie f° 542
[biffé] Christoph Wilßnach d. Schuhmacher von Nigengall, auß dem Mecklenburgischen, empfangt das burger recht p. 1. golt fl. und acht schilling, so Er beÿ dem Pfenningthurns erlegt, ist ledig. standts gewesen undt wirder Zünfftig beÿ d. Schuhmachers, Jur. 2. Junÿ [in margine :] feÿereÿmers freÿ

Christophe Wilschnack et Anne Catherine Œlinger hypothèquent la maison au profit de Marguerite Willich, veuve de l’administrateur du sel Jean Gross.

1691 (2.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 187-v
Christoph Wilschnack, der Schuhmacher und Anna Catharina, gebohrne Öhlingern, und Zwar dieselbe mit beÿstand Georg Christoph Neumanns, deß Paßmentirers ihres geweßnen Vogts, und Christian Hahn d. Schreiners, Ihres Schwagers
in gegensein Fr. Magdalenæ gebohrner Willichin, weÿl. Hn Johannis Großen, gewesenen Saltz verwalthers und dreÿers deß Umbgelds nachgelaßene wittib mit beÿstand Johann Henrich Kaüffers deß Schreiners ihres Vogts, schuldig seÿen, 50 pfund
unterpfand, Ein vord. und hindere behaußung, sambt einem höfflein dar zwischen, und deren hoffstätten, auch allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier an dem Baarfüßer Platz, einseit neben hans Adam Schwab dem Zinngießer, anderseit neben Johann Christoph Engel dem Barbierer, hinten auff weil. hans Jacob Schellen deß Kieffers Wittib und Kind. stoßend gelegen

Christophe Wilschnack et Anne Catherine Œlinger hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Adam Œsinger

1699 (14.7.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 374
Erschienen Christoph Wilschnack, der Schuhmacher und Anna Catharina, gebohrner Öhlingerin, deßen Eheliche haußfrau, vnd Zwar dieselbe mit beÿstand Christian Hahn, deß Schreiners, vnd hans Martin Rhiel, deß Schuhmachers, ihres Vettern [unterzeichnet] christoff wil nakh
in gegensein H. Johann Adam Ösingers, Notarÿ Publici, schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß und höfflein, sambt dero hoffstätt. und allen deren Gebäuen, rechten und Zugehördt. allhier am Baarfüßerplatz, einseit neben Isac Stierel, dem Kantengießer anderseit neben H. Augusto Krieg den barbierer hinden auff eine behaußung den Schellischen Kindern gehörig stoßend geleg.

Christophe Wilschnack meurt en 1699 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison à la somme de 375 livres. L’actif de la succession s’élève à 184 livres, le passif à 67 livres.

1699 (18. 9.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 3) n° 60
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegend. und Vahrender, Veränderter und Unveränderter, so weÿl. der Ehrsam und bescheidene Meister Christoph Wilßnackh, geweßenen Schuhmacher und burger alhier Zu Straßburg nach seinem den 4. Augusti dießes 1699.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen seeligen Hinnenscheiden zeitlichen Verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Edel, Wohl ehrenvest Rechtsgelehrten und großachtbaren herrn Daniel Rohren Notarÿ publici und berühmbten practici alß geordnet und geschwohrnen Vogts Annæ Margarethæ Wilßnackin, deß Verstorbenen mit hernach gemelter hinderbliebenen Wittib ehelich erzeugten töchterleins und hinderlaßenen ab intestato einzigen Erbin (…) Actum in der Königlichen Statt Straßb. Mittwochs den 18.ten Novembris Anno 1699.
Es ist eine Eheberedung vorhand. welche H. Nots. Daniel Rohr in Anno 1690. in duplo verfertiget
NB Vide Hernach den Vergleich Welchen die Wittib Annæ Margarethæ Wilsnackin ihres töchterlin alß dißorths Erbin herrn Vogten Wegens eines Vätterlich. Gueths auffgerichtet hat

In einer in der Statt Straßburg ahne dem Baarfüßerplatz gelegenen hernach beschriebene der Wittib eigenthümlich zuständig behaußung befunden worden Wie volgt
Höltzen und Schreinerwerck. In der Knecht Cammer, Vor dießer Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der obern Stub, Vor dießer Stuben, In der Wohnstuben, On der Wohn Kuchen, Im haußöhren, Im Höffel, Im Keller
Eigenthumb ahne einer Behaußung. Ein Vorder und ein hinderhauß, sampt seinem höfflin, hoffstätten wie auch allen anderen deren gebewen begriffen Weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhie in der Statt Straßburg ahne dem barfüßer platz einseith neben Mr Isaac Stierlin dem zinngießer, anderseith neben herrn Augusto Griegen dem Barbierern, Hinden auff Weÿl. hannß Jacob Schallen deß Kieffers seelige Erben stoßend, davon gehen Jährlichen auff Joh. Bapt: der Samblung Zum thurn 2 lb 2 ß d Zinß, so in hauptgut ablösig mit 52 lb 10 ß d, Fernerer 2 lb 2 ß d Jahrs auff Weÿhenachten, dem Blatterhauß alhier, Wieder Käuffig in Capital mit 52 lb 10. ß d. Weiter 3. lb 1 ß 2 d geldts dem Mehrern Hospithal alhier Termino Michaelis so in hauptguth abzulößen mit 77. lb 10 ß d. Item 6 lb weÿl. S: T: Herrn XV.er Balthasar Friderich Krautter frau Wittib Jährl. auff den 16.ten Octobris ist in Capital abzustatten mit 150. lb d, Sodann 2 lb 10 ß d Jahrs auff den 13 Augusti Johann Adam Ösingern Notario publico alhie Widerkäuffig in hauptguth mit 50. lb, sonsten freÿ Ledig und eigen und durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere Vermög Ihren Zu dem Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung Sub dato 24.ten 9.bris aô 1699. æstimirt pro 375. lb. d. Dahin gegen thun die Hievor benambste darauff hafftende Capitalia 382 lb 10 ß. In Conferirung dißer beeden Summen befindet sich, daß dieße behaußung mehr onerirt dann æstimirt, welches hernach vnder die passiva Zubring. nemblichen umb 7 lb 10 ß. Über dieße Behaußung meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contractstub anhangenden Innsigel Verwahrt de dato 28.ten Septembris Anno 1682. mit altem Litt. A. signirt und nach beschehener besichtigung dißes mahl wieder dabeÿ gelaßen.
Vergleich wegen Annæ Margarethæ Wilßnackin der dißorths Erbin Vätterlichen Guths (…) der vogt (…) mithinn anfallende prætensiones so sein Vogts Kindt Wegen seiner Vätterlich Verlaßenschafft haben möchte Würcklichen renuncirt hat (…) Straßburg den 20.ten febr. Anno 1700.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 89, Sa. Werckzeugs Leder Und gemachter arbeith Zum Schuhmacher handwerckh gehörig 12, Sa. Silber geschmeidts 33, Sa. Guldener Ring 10, Sa. Eigenthumbs ahne einer behausung, Nullum, Sa. Gültt von liegenden güthern 13, Sa. Schulden 55, Summa summarum 184 lb – Schulden 67, Nach deren Abzug, Beschluß vnd Verstallungs summa 117 lb
Abschatzung Dienstags d. 24.ten .bris 1699. Weillandt deß Ehrbahren Vnd beschaidenen Maister Christoff Willdschnackh burger Vnd Schuch Machers See: hinderlaßene fraw wüttib Vnd Erben Behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem barenfießer platz Ein seitzs Neben H Isacc Sterling dem Zinngießen ander seitzs Neben herr Augustus Grieg dem balbier hinden auff die schellischen Erben Stoßend, Welche behaußung Sampt hinder Gebeÿ holtz hauß Vnd höfflein vnd Gutten Keller auch überigen begriff Zu gehöhr vnd gerechtig Keit wie Solches in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen Vor vnd vmb Siben hundert vnd Vinfftzig Guldin. Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleithe, [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager Werck Maister deß Münsters, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.

Anne Catherine Œlinger se marie en troisièmes noces en 1700 avec le messager du Conseil Henri Seiler
Mariage, cathédrale (luth. f° 108, n° 534)
1700. Mittw. d. 9. Jan. Wurden nach ordentl. außruffung copulirt Heinrich Seiler d. Burger v. älteste Raths Bott allhier, b. Fr. Anna Catharina, weil. Christoph Wilßnacks des geweßenen B. v. schuhmachers allhier nachgelaß. Wittwe, [unterzeichnet] Heinrich Seÿler asl hochzeiter, + der hochzeiterin Zeich. (i 107)

Le potier Henri Seiler épouse en 1666 Salomé von Hipsheim, fille du chapelier François von Hipsheim
Mariage, cathédrale (luth. f° 78 n° 34)
1666. Dom: 6 post Trin. Zum 2 mahl Heinrich Seiler der ledige haffenmacher Weilandt Sontag Seilers gewesenen Soldners u. Burgers alhier nachgelaß: ehel. Sohn, Jfr. Salome Frantz Von Hipsen hutmachers undt Burgers alhie ehel: Tochter. Montags den 30.t Julÿ, Münster (i 80)

Le messager Henri Seiler obtient en décembre 1695 un adjoint pour le temps des élections où il y a beaucoup de travail parce que son collègue ne l’assiste pas. Il obtient en 1697 la même rétribution que ses prédécesseurs. Les préposés règlent en 1705 un différend avec son collègue Trawitz.
1695, Obere Cancelley Herren, 1692-1725 (4 R 33)
Heinrich Seÿler b. umb adjunction. p. 15. Ipsi wird der genuß von der Schaarwächter hauß adiudicirt p. 21.
Heinrich Seÿler dem Rhatbotten würdt sein fehler pardonnirt 65.

(p. 16) Mittwochs den 28.ten 10.bris 1695. – Herr XV. Joham proponirt, es seÿe Heinrich Seÿler der Rhatsbott beÿ ihme geweßen und habe ihme remonstrirt daß er Von seinem camaraden nicht secundirt würde, bitte demnach Zuerlauben, daß Weilen beÿ der Churnacht Viel zuthun wäre, der Umbgeltsbott ihnen helffen und er ad interim angenommen werden möchte, und wolten sie sich alß dann schon mit ihme abfind. Erk. placet.

(p. 21) Freÿtags en 10. Maÿ 1697 – Lect. ein Memoriale von Heinrich Seiler dem Rhatsbotten, Krafft deßen ers Unterth. bittet, ihn seiner Vorfahren ane dienst gleich Zuhalten, und gdig. Zu concediren, daß ihme die jenige emolumenta, welche sie gehabt, Zukommen möcht. mit dießem anhang, daß ihme gar viel, maßen sie das Schaar wächter hauß genoßen, holtz und liechter empfangen, und die brodschau welche jährlich auch 4 ß außgetrag. hätte, bedienet hätten, Dergleichen entgang. Wären und könte er Wohl sag. daß er in einem nachstand von 276. p seither aô 88. da er der erste Rhatsbott worden, stünde.
Erk. Soll dem imploranten in betrachtung seiner guthen dienst der hauß Zinß welchen der besitzer und entlehner deß Schaarwächters hauß dem Pfenningthurn bezahlet, seither dem 1. Januarÿ jüngst von darauß gelüffert, und darmit biß auf anderwerthige Verordnung continuirt werd. die übrige puncten verbleiben in suspenso.

(p. 65) den 14. Julÿ 1703. – Es sind auch die Zwischen denen beeden Raths botten Heinrich Seÿler und NN Trabitzer entstandene streittigkeiten beygelegt vnd gd. Heinrich Seÿler seinen fehler auf die beÿ herrn Amr. Wencker beschehen deprecation vnd bezeügte were vnd vbereilung* auch versprechen sich ins künfftig beßer in acht zu nehmen pardonnirt worden.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison place des Cordeliers, propriété de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 269 livres, ceux de la femme à 471 livres.

1700 (13. 8.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 4) n° 72
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ davon außgeschloßen, so der Ehren und vorgeachte Herr Johann Heinrich Seÿler der Rathsbott, und die Viel Ehren und tugendsamme fraw Anna Catharina Wilßschnackin gebohrene Ölingerin, weÿl. deß Ehrsammen und bescheidenen Mr Christoph Wilßschnacks geweßenen Schuhemachers und burgers alhier seeligen nachgelaßene Wittib, Alß beede Eheleuthe einander in Ihren Ehestand Zugebracht, und sich vermög Ihrer mit einander auffgerichteter Heüraths abrede für unverändert Vorbehalten haben (…) Atum in der Königlichen Stadt Straßburg in auch beÿsein deß Ehrengeachten und bescheidenen Meister Johann Martin Riehlen Schuhmacher vnd Burgers alhier, obgemelder Ehefrauen annoch ohnentledigten geschwornen Vogts, Mittwochs den 13.ten Tag deß Monats Octobris Anno Christi 1700.

In einer in der Statt Straßburg under der großen Gewerbs Lauben gelegenen herrn Johann Heinrich Schadenmann Specirern und burgern alhier eigenthümlich Zuständigen vnd Zum theil Von eingangs gemelden beeden Ehepersohnen Lehnungs Weiße bewohnenden behaußung befunden worden
Eigenthumb ahne einer Behaußung. (F.) Ein Vorder und ein hinderhauß: darzwischen ein höfflin, hoffstätten sampt allen anderen ihren Weithen, rechten Zugehörden Und gerechtigkeiten, gelegen alhier in der Statt Straßburg ahne dem barfüßer Platz 1. seith neben Meister Isaac Stierlin dem Zinngießer, anderseith neben herrn Augusto Grügen dem Barbierern, hind. auff weÿl. hannß Jacob Schallen deß Kieffers seel. Erben stoßend, davon gehen Jährlichen auff Johan. Bapt: der Sammlung Zum thurn 2 lb 2 ß d Zinß, so in hauptgut ablösig mit 52 lb 10 ß, Fernerer 2 lb 2 ß d Jahrs auff Weÿhenachten dem Blatterhauß alhier, wiederkäuffig in Capital mit 52 lb 10. ß d. Weiter 3. lb 1 ß 2 d geldts dem mehrern Hospithal alhier Termino Michaelis so in hauptguth abzulößen mit 77. lb 10 ß. Item 6 lb weÿl. S: T: Herrn XV.er Balthasar Friderich Krautter frau Wittiben, Jährlichen auff den 16.ten Octobris ist in Capital abzustatten mit 150. lb d, So dann 2 lb 10 ß d Jahrs auff den 13 Augusti Johann Adam Ösingern Notario publ. alhie wider käuffig in hauptguth mit 50. lb d, Summa der uff solcher behaußung hafftender Capitalia macht 382 lb 10 ß d. Sonsten freÿ Ledig und aigen und über die darauff hafftende Capitalia dem Werth annoch nach æstimirt worden per 367 lb 10 ß. Über dieße Behaußung meldet ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contract Stuben anhangenden Insigel Verwahrt d. d. 28.ten Septembr. 1682. mit altem Lit. A. signirt undt nach beschehener besichtigung dißmahlen wieder dabei gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 91, Sa. Werckzeugs zum Nadler handwerckh gehörig 2, Sa. der Frucht 9, Sa. Weins vndt Lährer Vaß 57, Sa. Silbergeschirrs vnd geschmeidts 78, Sa. Guldener Ring 3, Sa. der Baarschafft 202, Summa summarum 444 lb – Schulden 175, Compensando 269 lb
Der Ehefrawen unverändertes Vermögen Sa. haußraths 88, Sa. lähren Vaß 3 ß, Sa. Silbergeschirrs 5, Sa. Guldener Ring 29, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthumbs ahne einer behausung 367, Sa. Gültt von liegenden güthern 26, Sa. Schuld 2, Summa summarum 523 lb – Schulden 52, Nach deren Abzug 471 lb

Henri Seiler et Catherine Œlinger louent une partie de la maison au cordonnier Jean Michel Dürr

1700 (19. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 529-v
Heinrich Seÿler, der älteste Rathsbott allhier, alß Ehevogt Fr. Catharinæ geb. Ölingerin
in gegensein Hannß Michel Dürren, deß Schuhmachers
entlehnt, Eine behaußung mit allen Gebaüen, und Zugehördten, nichts darvon ausgenommen, alß die oberste Stub im Vordern stock, sambt dem Haußehren darbeÿ, so sich der Vereleiher expressé reservirt, gelegen allhier am Baarfüßerplatz, einseit neben Hn Augusto Kriegen, Barbiereren anderseit neben Isaac Stierel dem Zinngießer hinde, auff die Schellische Erben, stoßend, auff vier jahr lang Von Weÿhnachten dieses 1700.sten Jahrs angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß Nemblich 40 pfund

Henri Seiler loue une partie de la maison au boutonnier Jean Guillot

1702 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 297
Heinrich Seÿler Rathsbott
in gegensein Jean Guillot marchand boutonnier
entlehnt, in sein, Seÿlers, allhier auf dem baarfüßer platz liegendem hauß in deßen forderen Hauß im mittlern stock eine stub u. Kuchen daran, ferners im hintern hauß eine Cammer im mittlern stock, beneben dem hühner hauß u. einem platz im keller, u. platz im halt. hauß auch vor der thür zu seinem Krahm auf ein jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1702 – um einen jährlichen Zinß nemlich 22 pfund

Henri Seiler loue une partie de la maison au tailleur Jean Pugens

1702 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 295-v
Heinrich Seÿler Rathsbott
in gegensein Jean Pugens schneiders und schirms Verwandten allhier
entlehnt, in sein, Seÿlers, allhier auf dem baarfüßer platz gelegenen hauß eine in vorderen hauß unten auf dem boden sich befindliche stueb, holtzhauß u. einem unterschlag im Keller, wie auch die Soldaten Cammer, doch soviel dieße letztere betrift, mit dießem unterschied, daß sie der entlehner allein wann keine einquartirung dar seÿn wird genießen solle, auf ein jahr lang anfangend auf Mich: 1702 – um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund

Anne Catherine Œlinger, femme de Henri Seiler, loue une partie de la maison à l’aubergiste Jean Jacques Zeltner

1704 (12.9.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 440-v
Anna Catharina geb. Öhlingerin Heinrich Seÿlers des rathsbotten Haußfrau mit beÿstand deßelben
in gegensein Johann Jacob Zeltners des Würths mit beÿstand Johann Braunen de Schneiders seines Schwehrvatters
entlehnt, Eine behaußung mit allen dero gebäuen, begriffen, Weithen Und zugehördten allhier am baarfüßerplatz einseit neben Weÿl. Isaac Stierle des Zinngießers seel. Wittib anderseit neben Hrn. Augustus Kriegen dem barbierer Und Wundartzt hinten auf andres Stumpffen dem Stattküffer stoßend gelegen, auff zweÿ jahr lang Von Weÿhnachten dieses lauffenden 1704. Jahres angerechnet – darbeÿ expresse bedungen Und Verglichen, daß der Entlehner zeit wehrender lehnung keine Würthschafft od. Macquatendereÿ in dem entlehnten Hauß treiben oder Biliars darin halben solle – um einen jährlichen Zinß nemlich 55 pfund
[in margine :] cassirt, den 20. oct. 1705

Henri Seiler loue une partie de la maison au coutelier Georges Frédéric Thommer

1705 (23. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 841-v
Heinrich Seÿler rathbott
in gegensein Georg Friderich Thommers messerschmids [unterzeichnet] Gergfricht htommer
entlehnt, seine behaußung allhier ahn dem baarfüßer platz einseit neben Isaac Stierlen Zinngießers wittib anderseit neben Hn Augustus Kriecken Chirurgo gelegen auf dreÿ jahr lang anfangend auf Mich. 1705
Worbeÿ verglichen daß falls der verleiher d. hauß selber bewohnen wolte oder solte dieße lehnung aufgehoben seÿn u. ihm entlehnern eine andere wohnung in dem untern gemach um einen billichen zinß wie hier der brauch oder bißher schon verlehnt gewesen gegeben worden solle, auch soll der Entlehner Kein würths oder Caffehauß in dem bestandenen Hauß machen – um einen jährlichen Zinß nemlich 55 lb

Henri Seiler meurt en 1726 en délaissant un fils dans la maison de son gendre par alliance, le barbier Christophe Stricker qui a épousé Anne Marguerite Wilschnack. La masse propre à la veuve est de 1 073 livres, celle des héritiers de 280 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 034 livres et le passif à 1 331 livres.
1727 (30.1.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 37) n° 947
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güettere, Liegender und Vahrender, Verändert und Unverändert, Keinerleÿ davon außgenommen noch hindersetzt, so Weÿl. der Wohl Ehrenhaffte und Vorachtbahre Herr Heinrich Seÿler beÿ dieser Löblichen Stadt Straßb. Viel Jährig geweßener ältister Rathsbott und Burger allhier, nach seinem den 31. Xbris deß ohnlängst abgewichenen 1726. Jahrs, aus dießer mühesammen Kummer Vollen und Zergänglichen welt genommenen tödlichen hintritt, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrsammen und bescheidenen Balthasar Seÿlers, toftenträgers und Burgers allhier, deß Verstorbenen seeligen hinterlaßenen Ehelichen Sohns, und ab intestato einigen rechtmäsigen Erbens, inventirt (…) durch die Ehren undt Wohl tugendhaffte Frau Annam Catharinam Seÿlerin gebohrne Öhlingerin, die dißorts witt. und vorgedachten Sohn, als Erben, wie nicht Weniger Tit. H. Christoph Strickern, Barbieren und Wundartzten und die Ehren und Wohl Tugendbegabte Frau Annam Margaretham gebohrne Wilschnackin beede Eheleuthe und burgere allhier, deß Verstorbenen nun seeligen Stief tochter und tochtermann geeugt und gezeigt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg Donnerstag d. 30. Jan. A° 1727.

In einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg ane der Schloßergaß gelegenen und Vorgedachtem Hn Strickern eigenthümlich zuständigen Barbier behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der obern bühn, In der Cammer A, Im obern haußöhren, Im untern haußöhren, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im Keller
(f° 12) Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten guths. Inhalt Inventarÿ über der Wittib und Ihres verstorbenen Ehegatten seel. mit einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, durch mich Vor und nachvenannten Notarium in Anno 1700 auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 13, Sa. Goldebner Ringen 7, Sa. Gülth von liegenden Güthern 11, Sa. Ergäntzung (1495, Abgans 454, rest) 1041, Summa summarum 1073 lb
Deß Erben Eigenthümliche unveränderte Verlaßenschafft, Sa. haußraths 33, Sa. Werckzeugs Zum haffenmacher handwerck gehörig 1, Sa. Lährer faßen 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 26, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. Ergäntzung (384, Abgang 174, rest) 210, Summa summarum 280 lb
Das gemein Veränert und Theilbar Guth, Sa. haußraths 80, Sa. der Frucht 12, Sa. Wein und Lährer faßen 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 18, Sa. Goldner Ringen 6, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1910, Summa summarum 2034 lb – Schulden 1331, Nach solchem abzug 692 lb
Verstallungs v Beschluß summa Inventarÿ 2057 lb

Le pasteur indique que le défunt aurait eu 82 ans treize jours plus tard
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1705-1740, f° 122 n° 650)
Dienst. d. 31. Dec. 1726. ist nachts um 10 Uhr H Heinrich Seÿler gewesener burger und Raths: bott allhiier seelig Verstorben vnd darauff Mittw d. 3. Jan. 1727. ad d. Hel. ehrlich begraben worden seines alters 82 Jahr weniger 13 tag dieses bezeugen [unterzeichnet] Christoff Stricker als tochter Mann, M Joh: Friderich Oelinger P Wil. am Schwager (i 123)

Anne Catherine Œlinger, femme de Henri Seiler, vend la maison au sellier Claude Wilhelm et à sa femme Marie Esther Barbet.

1714 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 463-v
(1500) Anna Cath geb. Ohlingerin beÿständlich Heinrich Seÿler Rathsbotts ihres mariti
in gegensein Cladi Willhelm sattlers und Mariæ Ester geb. Barbetin
ein vordere und hintere behaußung sambt einem höffein darzwischen hoffstatt und allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahn Baarfüßer platz, einseit neben Joh: Bogner dem messerschmidt anderseit neben Augustus Krieg Chirurgo hinten auf Joh: Jacob Stempel – (um 100 fl. und 100 fl. verhafftet) geschehen um 1400 pfund

Claude Wilhelm et Marie Esther Barbet hypothèquent quatre mois plus tard la maison au profit de l’orfèvre André Altenburger

1714 (23.10.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 756
Cladi Willhelm sattler und Maria Ester geb. Barbetin beÿständlich Joh: Niclaus Barbet goldarbeiter u. Joh: Daniel Bozon seÿdenhändler
in gegensein Andreas Altenburgers silberarbeiters alß vogts Joh: Niclaus Barbet – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert. allhier ahm Baarfüßer platz, einseit neben Joh: Bogner anderseit neben Augustus Krieg hinten auf Joh: Jacob Stempel

Claude Wilhelm s’adresse aux Quinze pour pouvoir présenter son chef d’œuvre en faisant une selle française et non une selle allemande. Les représentants de la tribu objectent que son tour de compagnon n’a duré que deux ans au lieu des quatre réglementaires. Claude Wilhelm produit l’attestation d’un médecin qui justifie son retour par la maladie. Les Quinze l’autorisent à faire une selle française moyennant une taxe d’une livre.
Claude Wilhelm s’adresse à nouveau aux Quinze au début de l’année suivante parce qu’il a pris du cuir de bœuf et non de cheval comme le stipule le règlement, son travail ayant par ailleurs été satisfaisant. Les Quinze accordent la dispense.

1710, Protocole des Quinze (2 R 114), XV (2 R 115)
Cladi Wilhelm Ca. E. E. Zunfft der Sattler
(f° 258-v) Sambstags den 15. Novembr. 1710. – G. nôe Cladi Wilhelm des Ledigen Sattlers mit beÿstand seines vatters auch burgers vndt Sattlers alhie Cit. per Sched. E. E. Meisterschafft der Sattler ober Mr Implorant hat isch umb d. Meisterst. Zumachen beÿ ged. Meisterschafft angemeldet, welche Ihne aber weiß nicht aus w. von ursachen, nicht admittiren wollen, bittet unterth. Ihne dazu Zu Admittiren, undt anstatt der teutschen pusch Frantzösische zu machen gn. Zu erlauben. S. Citatus prd. weilen das petitum wid. articul undt Kläger anstatt 4 Jahr nur 2 Jahr auff der Wanderschafft geweßen, als setzt die dispensationis Zu Mghh. iedoch daß dabeÿ der laden in bestem gedacht werden möchte. Erk. an die Oberen Handwerckhshh. gewißen Vndt denenselben die händt geöffnet, die sach nach guth befindens außzumachen

(f° 275-v) Sambstags den 29. Novembr. 1710. – Cladi Wilhelm Ca. E. E. Zunfft der Sattler
Iidem [Obere Handwerckhshh.] per Herrn Friden, es habe Cladi Wilhelm der ledige Sattler C. E. E. Meisterschafft der Sattler geklagt, daß Sie Ihne, wegen nicht verwanderten Zeit Zu dem Meisterstück nicht admittiren wollen, anbeÿ umb gnd. dispensation vndt anbeÿ umb erlaubnus gebetten, daß Er, anstatt der teutschen, Frantzösisch püsch machen dörffe. Alß man darauff die Parthen angehört, Habe kläger so neben seinem Vatter erschienen nichts weiter beÿgesetzt, Worauff noîe der Meisterschafft H. Rathh. Hünell & cons. geantworttet, daß Kläger anstatt vier jahr, nur 2. jahr gewandert, deßwegen Sie nicht hetten dispensiren können, mit dem beÿfügen daß anderen pro dispensatione 3. lb. weren angesetzt worden, vndt daß andere, auch frantzösische Püsch gemacht hetten. Auff welches Cläger replicirt daß kein articul vorhanden, daß Einer 3. lb geben solle, vnd (2) were Er eines Meisters Sohn, dabeneben derselbe ein Attestation von H. Dr Saltzmann vom 10. 9.bris jüngst producirt, daß Er wegen leibs blödigkeit vnd Kranckheit wider her gemüßt hette, vndt weilen beÿ anderen dispensirt worden, auch 8. andere frantzösische püsch gemacht, so verhoffe Er gleicher gnad Zu genießen. Auff seithen der Herren Deputirten habe man davor gehalten daß gegen erlag 1 lb beÿ dem Imploranten dispensirt vndt im übrigen demselben frantz. Püsch zu machen erlaubt werden könte. Erk. Bedacht gefolgt.

Protocole des Quinze (2 R 115)
(f° 40-v) Sambstags den 21. Februarÿ 1711 – G. nôe Cladi Willhelm gtra EE Meisterschafft der Sattler Herrn Ober meister, Implorant hat sein verfertigter Meisterstück nach ordnung auff die Schau gelüffert, allwo er auch in allem für just befunden worden außgenohmen daß Principalis ahne statt deß in dem articul enthaltenen roßleders, rindleder, welches doch nutzlicher, dazu gebraucht, deßwegen man ihne hiehero gewießen, bittet derselben unterthänig gn. Zu erkennen, daß sein Meisterstück für genehm gehalten werden möchte. Kun. noîe der Meisterschafft Zu Ewer Gnaden. Erk. würdt das Meisterstück dispensando für genehm gehalten.

Fils de l’aubergiste Claude Wilhelm, le sellier Claude Wilhelm épouse en 1711 Marie Esther, fille de l’orfèvre Jean Nicolas Barbet.
Mariage, cathédrale (luth. f° 225, n° 986)
Eodem [Mitwoch den 11. Martÿ 1711] sind nach 2.mahl. Proclamation ehl. copulirt word. Cladi Wilhelm der ledige Sattler, H. Cladi Wilhelm des b. vnd Gastgebers ehel. Sohn vnd J Maria Esther H Joh: Nicl. Barbet burgers und Goldarbeiters ehl. tochter [unterzeichnet] Claudi Willhelm als hochzeiter, Maria Esther Barbettin alß hochzeiterin (i 224)

Claude Wilhelm s’adresse aux Quinze pour pouvoir prendre un nouvel apprenti avant une vacance de deux ans en arguant que l’apprentissage du précédent a été écourté. Les Quize accordent la dispense à condition que la vacance suivante dure deux ans trois trimestres.
1716, Protocole des Quinze (2 R 120)
Cladÿ Willhelm Ca. E. E. Meisterschafft pt° Lehrjungen
(f° 17) Sambstag den 1.ten Februarÿ – G. noê Cladÿ Willhelms des sattlers Ca. E. E. Meisterschafft der Sattler, principalis ist Willens einen Lehrjungen anzunehmen. Weilen aber sein bestimpte Zeit noch nicht vorbeÿ, als bittet dispensationem. G. setzt. Erk. ut ante [an Ober Handwercks Hh]

(f° 41-v) Sambstag den 15.ten Februarÿ – Cladÿ Willhelm Ca. E. E. Meisterschafft pt° Lehrjungen
Iidem [Obere Handwerckhshh.] per Eundem [secretarium] laßen refriren, daß Cladÿ Willhelm der sattler Ca. E. E. Mstrschafft der Sattler geklagt, daß sie nicht Zu geben wolten daß er einen Lehrjungen annemmen dörffe, beÿ der deputation habe kläger beÿgefügt, daß es Zweiffels freÿ deßwegen geschehen, Weilen vermög articul er 2 jahr still stehen solte. der letstere jung, den er jüngsthin außthun laßen, seÿe Zwar vor 4 jahr lang in die lehr eingeschrieben word. allein hette er ihme das 4.te jahr geschenckt, und ietz wolte die Meisterschafft haben, daß er ane statt 2. 3 Jahr lang still stehen, neben dem es bereits 5. viertel jahr weren daß sei letzter jung looßgesprochen worden seÿe, und weilen beÿ andern alß beÿ mstr Heuschen und Cladÿ Willhelm seinem Vatter seel. vor dießem dispensirt worden, er auch dieße gnad Zu erhalten verhoffe.
Worauff nôe der mstrschafft, Johann Frantz Frantz und Hans Georg Brösamle geantwortet, das sie einen articul hetten vom 7.ten May 1656. so sie auch vorgelegt davon sie ihres orths nicht weichen könten, und Clar dahin gienge, daß nach der looßsprechung deß letstern jungens der Meister Keinen andern annemmen, sondern 2. jahr warthen solte, 2° Zu besorgen were, daß andere eben solches prætendiren werden. 3° beÿ deßen Vatter Zwar dispensirt aber auch obligirt worden were, daß er nach der handt nicht nur die 2 jahr, sondern die dispensations Zeit über hette still stehen müßen, 4° er gegen seinem geweßenen jungen das 4.te jahr wohl hette schencken können, weilen er ihme daß herr Syndicus Hatzel ihme einen von seinen Laquaÿen gegeben hette, den er lehren, und küfftighin die dispensations Zeit nachtragen wolte, dieße requirirten, daß er gegner nicht einmal vor daß handtwerdk gekommen were, sondern gleich die sach an dießem hohen orth angebracht hette, da doch 1° es vor sie gehörte.
Auff seithen der herren deputirten habe man davor gehalten, daß gegen erlag 2 lb d beÿ Klägern dispensirt werden könte, mit dem anhang daß künfftighin er seinem erbieten nach ane statt 2. jahr völlig 2 ¾ jahr stillstehen, auch ihme ein redsatz, daß er sich nicht erstlichen beÿ dem handwerck angemeldet, gegeben werden Könte, die genehmhaltung Zu MGHherren stellendt. Erkandt, beliebt.

Les passementiers font grief à Claude Wilhelm de vendre des rubans pour ses clous. Il convient des faits mais déclare ignorer qu’ils sont répréhensibles. Le Conseil lui inflige une amende qui est ensuite levée.
1738, Miroir. Passmentmacher (XI 287) 1738-1766
Cladi Wilhelm der Sattler
(f° 12.a) Montag den 19. Januarÿ 1739 – Cladi Wilhelm der Sattler Vorgestellt und angeklagt daß Er in dießen Handwerck eingrieff thut, indeme Er grüne Nagel schnür verkauffe, und werden deßhalben Zweÿ Stuckhlen Solcher schnur So beÿ Ihme auff die Prob ohnlängst erkaufft worden vorgelegt alße derselbe wider ordnung gehandelt.
Angelagter ist der Klag durchaus gestendig und erkennet die vorgelegte waar vor die jenig So Ihme erkaufft worden, hätte nicht gewußt, daß Solches etwas auff Sich hätte.
Erkand, daß die beÿ abgeklagten erkauffte waar Zu confisciren mithien derselbe daß da*r außgelegte Zu bezahlen derselbe anbeÿ weilen Er in dießes handwerck eingriff gethan in ein Pfund Pfg straff und in die heutige Costen Zu condemniren auß Ime beÿ Zehen Pfund Pfg Straffe und verbietten fürorhin in dießen handw. eingriff Zu thun
Nota, die Straff ist Ihme wider erlaßen word.

Marie Esther Barbette meurt en janvier 1757. L’inhumation est faite par le pasteur réformé. La minute de l’inventaire n’est pas conservée

1747, Not. Lichtenberger (Jean Philippe, rép. 65 not 21) f° 68 n° 846
Inventarium über weÿl. Frauen Mariæ Ester Wilhelmin gebohrner Barbetin, Herrn Claudius Wilhelm des Sattlers gewesener Ehegattin seel. Verlassenschafft

Sépulture (réformés, f° 66-v)
Maria Ester Wilhelmin, hrn Cladi Wilhelm Sattlers Ehefr. begr. Zu St. Helen. 11. Jan. 1747

Claude Wilhelm et ses trois enfants hypothèquent la maison au profit du receveur du collège Saint-Guillaume

1749 (9.1.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 11
Claudius Wilhelm der sattler und deßen kinder Jfr. Catharina Barbara Jfr. Susanna Dorothea und Johann Friedrich Wilhelm dieser lediger sattler, beede schwester mit beÿstand ihres bruders
in gegensein des Collegÿ Wilhelmitani schaffners H. Lt. Johann Ernst Keck – schuldig seÿen, 750 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt ane der Baarfüßerplatz, anderseit neben H. Gottlieb Ziegenhagen dem chirurgi, anderseit neben Christoph Bogner dem meßerschmidt, hinten auff Daniel Friedrich Färber den handelsmann

Claude Wilhelm meurt en 1749 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 1 050 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 467 livres, le passif à 1 312 livres.

1749 (11.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 43) n° 919
Inventarium über Weÿland Herrn Claudius Wilhelm, gewesenen Sattler und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1749. – nach seinem den 1. dieses Monats und Jahrs genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Verstorbenen seel. nachgelaßener nach dem Titulo dieses Inventarÿ benannter Kinder und Erben fleißig inventirt und ersucht (…) So beschehen Straßburg auf Mittwoch den 11.ten Junÿ Anno 1749.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Jgfr. Catharinam Barbaram Wilhelmin, so mit beÿstand herrn Joh: Jacob Botzon, Seidenhändler und burgers allhier ihres Vettern dieser Inventation persönlich beÿwohnete, 2. Frau Susannam Dorotheam Finckbohnerin gebohrne Wilhelmin, herrn Joh: Friderich Finckbohner, Gastgeber und burgers allhier Ehegattin, so sich mit beÿstand deßelben hiebeÿ eingefunden, 3. Johann Friderich Finckbohner, ledigen Sattler, so mit beÿstand S. T. Herrn Johann Rudolph Dinckel Notarÿ publici und berühmten practici allhier, gegenwärtig war ([in margine :] Nota deßen beÿstandt ist einmahl erschienen aber hernach außgeblieben), Alle dreÿ des Verstorbenen seel. mit weÿl. Fr Maria Ester gebohrner Barbettin seiner abgelebten Ehegattin seel. ehelich erzeugte und nunmehr in der Majorennitæt stehende Kinder und Erben

Hierauff wird nun die Verlaßenschafft wie sich solche in hernach inventirter ane dem baarfüßer platz gelegenen behaußung befunden, vor und ane sich selbsten beschrieben
Höltzen und Schreinwerck. Auff der obersten bühn, In der gesellen Cammer, In der Soldten Cammer, In der obern Stub, Im obern haußöhren, In des Sohns Cammer, In der Mittlern Stub, In der untern Stub, In dem untern Haußöhren, In der Kuchen, In dem untern Hindern hauß Ehren
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlichen eine Behaußung so nur 14 Schuh breit und keinen Gebell hat, bestehend in einem Vorder und einem alten hinder gebäu samt einem höfflein, hoffstatt und allen deren Begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt ane dem Barfüser Platz, ein Seith neben Christoph Bogner, dem Meßerschmidt, anderseith neben herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen dem Chirurgo gelegen, hinden auf herrn Daniel Friderich Färber den handelßmann stoßend, so über abzug hernach eingetragener passiv Capitalia freÿ ledig und eigen und beÿ der Erben mütterlicher Verlaßenschafft Inventation durch die allhiesig geschworne Herren Werckmeistern Vermög deren außgestallten schrifftlichen Abschatzung de dato 9. febr. 1747 æstimirt worden vor 1050. lb. Darüber besagen Vier teutsche pergamente Kauffbrieff in allhiesieger Contract Stub gefertiget, so datirt den 30. Junÿ A° 1714. den 18. Junÿ 1646, den 16. Jan 1649 und den 18. Sept. 1682.
d/ (-) 175(-) ist v. Höfl. von Frau Maria magdal. Sachsin geb. Färberin erkauft u. in hies. St. verschrieb. word.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 98, Sa. gemachter Sattler arbeit und leders 25, Sa. Werckzeugs Zum Sattler handwerck gehörig 15 ß, Sa. Wein und leerer Faß 22, Sa. Silbers 18, Sa. goldener Ring 9, Sa. baarschafft 125, Sa. Anschags der behaußung 1050, Sa. Activ schulden 115, Summa summarum 1467 lb – Schulden 1312 lb, Nach deren Abzug 154 lb

Le sellier Jean Frédéric Wilhelm rachète de ses deux sœurs leurs parts de maison dont il devient seul propriétaire. Le prix de la maison entière est de 3 000 livres

1749 (10.7.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 43) Joint au n° 919 du 11 juin 1749
(Inventarium über Weÿland Herrn Claudius Wilhelm, gewesenen Sattler und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft)
Erschienen beÿ dem Concept Frau Susanna Dorothea Finckbohnerin gebohrne Wilhelmin, mit beÿstand ihres Mariti herrn Joh: Friderich Finckbohner, Gastgeber und burger, anzeigend, demnach Sie in Gemeinschafft ihrer Zweÿ Geschwistrigen durch absterben ihrer beeden eltern eine behausung so 14 Schuh breit und keinen Gebell hat, bestehend in einem Vorder und einem alten hinder gebäu, samt einem höfflein, hoffstatt und allen deren Begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt ane dem Barfüser Platz, ein Seith neben Christoph Bogner, dem Meßerschmidt, anderseith neben herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen dem Chirurgo gelegen, hinden auf herrn Daniel Friderich Färber den handelßmann stoßend, ererbt, Sie aber nicht vor rathsam befindet, in der gemeinschafft solchen haußes Zu bleiben daß Sie Zu beforderung ihres Nutzens ihren an erstgedachter behaußung ererbten dritten theil alß freÿ ledig und eigen
ihrem bruder H Joh: Friderich Wilhelm dem ledigen Sattler
die gantze Behaußung zu 6000 gulden gerechnet, umb 2000 gulden eigenthümlichen cedirt und überlaßen hätte, wie dann Sir Fr. Finckbohnerin ihren dritten theil ane vorbeschriebener Elterlichen behausung und hoffstatt ie auch ane denen in denen Zweÿ obern Stuben befindlichen tapecereÿen, ane dem in der obern Stub stehenden runde eißernen Offen und Zweÿen Offenthürlein ihrem vorernannten Bruder um Vorgemelten Preiß entschlägt (…) Actum Straßburg den 20. Julÿ Anno 1749.
Ferner Erschienen Jgfr. Catharina Barbara Wilhelmin, die ältere tochter mit beÿstand Hn Joh: Jacob Botzon, des Seidenhändler allhier, declarirend und bekennend, deß Sie gleichwie ihre Schwester Fr. Susanna Dorothea Finckbohnerin ihren an der an vorher enthaltener Cession beschriebenen Elterlichen ane dem Baarfüser Platz gelegenen behaußung ererbten dritten theil als freÿ ledig und eigen ihrem Bruder Johann Friderich Wilhelm dem ledigen Sattler die gantze Behaußung zu 6000 gulden gerechtnet, umb 2000 gulden eigenthümlichen entschlagen und überlaßen hätte (…) Sigl. Straßburg den 10. Julÿ Anno 1749

Jean Frédéric Wilhelm doit à sa sœur une partie du prix de cession

1749 (21.11.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 683
Susanna Dorothea geb. Wilhelmin H. Johann Friedrich Finckbohner des gastgebers eheliebste
in gegensein ihres bruders Johann Friedrich Wilhelm des sattlers demnach besagter ihr bruder von H. Not. Johann Philipp Lichtenberger ertheilten attestati
der in vätterlichen erb angenomenen alhier ane dem Baarfüßerplatz, einseit neben Christoph Bogner dem meßerschmidt, anderseit neben H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen dem chirurgo, hinten auff H. Daniel Friedrich Färber, gehörigen behausung ane cessionsschilling 576 lb schuldig worden

Jean Frédéric Wilhelm épouse en 1751 Marie Madeleine Reiff, fille du marchand de bois Clément Reiff : contrat de mariage, célébration
1751 (8.2.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 1
Eheberedung – persönlich erschienen seÿen der Wohl Ehren v. vorachtbare herr Johann Friderich Wilhelm, der leedige Sattler v. burger allhier, weÿl. des Ehren v. Wohlvorgeachten H. Claudii Wilhelm auch geweßenen burgers v. Sattlers allhier seel. mit auch Weÿl. der Ehren v. tugendgezierten frauen Esther geb. Paravettin seel. ehel. erzeugter Sohn, beÿständlich der Ehren v. vorachtbahren herrn Johann Jacob Bozon des Handelsmanns v. herrn Christoph Bogners des Meßerschmidts und bs. allhier ane einem,
So dann die Ehren v. tugendgezierte Jungfrau Maria Magdalena geb. Reiffin des Wohl Ehren Vst v. vorachtbahren herrn Clemens Reiff, Vornehmen b. v. Holtzhändlers allhier mit der Wohl Edlen v. tugendgezierten frauen Susanna Margaretha geb. Merckelin ehel. erziehte Tochtern beÿständlich erstged. ihrer geehrten Eltern v. herrn Johann Philipp Schäckhers, Vornehmen bierbrauers
So geschehen v. verhandekt in der Königl. Statt Straßburg auf Montag den 8. februarii 1751 [unterzeichnet] Johann Friderich Wilhelm als Hochs Zeiter, maria Magdalena reiffin als Hoch Zeiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 199 n° 6)
1751. Dom. v.quages. et Invoc. proclam. Mittw. d. 3. Martii copul. H Friderich Wilhelm lediger sattler u. b. h. l. weÿl. Hn Claudius Wilhelm gew. sattler u. b. h. l. ehel. sohn, u. Jgfr. M. Magdalena Hn Clemens Reiff, holtzhändlers u. b. h. l.ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Fridrich Wilhelm als hochzeiter, maria magdalena Reiffin als hoch zeiderin (i 203)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à Jean Frédéric Wilhelm. Ceux du mari s’élèvent à 1 242 livres, ceux de la femme à 483 livres.

1751 (24.5.), Not. Elles (6 E 41, 1323) n° 1-b
Inventarium über des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Friderich Wilhelm des Sattlers und der viel Ehren und tugendbegabten frauen Mariä Magdalenä Wilhelmin geb. Reiffin beeder Eheleuth v. b. allh. Zu Straßb. einander vor unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1751. – v. sich vermög der, mit einander auffgerichteten Eheberedung vor unverändert Vorbehalten haben (…) So geschehen in der König. Statt Straßb. in fernerem Gegenseÿn Hn Clemens Reiff b. v. holtzhändlern allhier, der Ehefrauen Vatter, und hierzu erbettenen Beÿstand, auff Montag den 24.ten Maÿ 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem baarfüßer Platz gelegener v. hiernach beschriebener behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Neml. eine Behaußung so nur 14. Schuh breit v. keine Gebell hat, bestehend in einem Vorder und einem alten hinder Gebäu s. i. höfflein, hoffstatt v. allen deren Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt ane dem Baarfüßerplatz, i.s. neben Christoph Bogner dem Meßerschmidt, 2.s. neben herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen dem Chirurgo gelegen, hinden auf H. Daniel Friderich Färber den handelßmann stoßend, so über abzug hernach eingetragener passiv Capitalien. Darüber besagt ein teutscher perg. Kbr. mit allh. Cantzl. Contract stub anh. Ins. verwahrt d.d. 30. Junÿ 1714. Ferner 3. Kbr. in allhiesiger Contr. stub gef. so datirt den 18. Jun. 1646, 16. Jan 1649 v. 18. 7.bris 1682. Vorstehende Behaußung samt Zugehörden sind beÿ weÿl. Herrn Claudii Wilhelm gewes. b. v. Sattlers des Ehemanns Vatters seel. Verl. Separation v. Abtheilung, ihme dem diseitigen Ehemann angeschlagen v. überlaßen worden für vnd umb die Summ von 3050. lb. Beÿ Welchem Anschlag es dermalen doch ohne einige præjuditz gelaßen worden.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 106, Sa. Lährer Faß 2, Sa. Wahren v. Werckzeug Zum Sattler handwerck gehörig 444, Sa. Silbers 14, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 3050, Sa. Schulden 16, Summa summarum 3637 lb – Schulden 2452, Nach deren Abzug 1185. Hierzu gelegt sein Antheil ane den Haussteuren so th. 57, Sofort erstreckt sich des Manns völlig vor unverändert Vermögen 1242 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 134, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 31, Summa summarum 426 lb lb – Dazu komt ferner derselben gebührige helffte and denen Haussteuren so thut 57 lb, Solchemnach belauffe sich der Ehefrau sambtl. in den Ehestand gebrachtes Guth, dem billigen Anschlag nach auff 483 lb

Marie Madeleine Reiff meurt en 1752 en délaissant une fille qui meurt peu après, de sorte que le veuf est héritier de sa femme.

1752 (9.6.), Not. Elles (6 E 41, 1323) n° 6
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendgezierten Frauen Mariä Magdalenä geb. Reiffin des Ehren v. vorgeachten Hn Joh: Friderich Wilhelm des Sattlers v. b. allhier Zu Straßb. gewesener Ehefrauen seel. Verlt. auffgerichtet Anno 1752. – nach ihrem den 8. Aprilis dieses lauffenden 1752. Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßburg auf Freÿtag den 9. Junii Anno 1752.
Die Verstorbene seel. hab Zwar nach ihrem Absterben, Zur eintzigen Erben ab intest. hinterlaßen Mariam Magdalenam, das mit Eingangs ged. Wr. ehel. erzielten Töchterlein, weilen solches aber seithero seiner Mutter see. in die ewigkeit nachgefolgt, als fällt nunmehr die samtl. Nahrung dem hinterbl. Wbrs anheim, weßwegen dermahlen alles unter einer Massa beschrieben worden

In einer allhier Zu Straßburg ane dem baarfüßer Platz gelegener v. hiernach beschriebener behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung. Neml. Eine Behaußung so nur 14. Schuh breit v. keinen Gebell hat, bestehend in einem Vorder v. alten hinder Gebäu, samt einem höfflein, hoffstatt v. allen deren Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt ane dem Baarfüßer Platz, i.s. neben Christoph Bogner dem Meßerschmidt, 2.s. neben H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen dem Chirurgo gelegen, hinden auf H. Daniel Friderich Färber den Handelßmann stoßend, so über abzug hernach eingetragener passiv Capitalien freÿ, leedig v. eigen. Und beÿ des Wrs. Mutter seel. Verl. Inventation durch die allhesige geschworne Hh. Werckmeistere, Vermög deren außgestellten schrifftl. Abschatzung d. d. 9. febr. 1747. æstimirt worden vor 1050 lb. Beÿ welchem Anschlag auch, es dermahlen auf Vorher, beÿ denen hoch v. Wohlverordneteen Hh. dreÿ der Statt Straßb. Stall, eingehohlte Erlaubnus, gelaßen word. Und besagten über vorstehende behaußung, vier teutsche perg: Kauffbr. in allh C. C. stub gefertigt so datirt den 30. Jun: 1714. 18. Junii 1646, 16. Jan 1649 v. 18. 7.bris 1682. so aber dermahlen nicht vorgewießen worden.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. Haußraths 110, Sa. Lehrer Faß 1, Sa. Silbers 10, Sa. Goldene Ring 13, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1050, Summa summarum 1226 lb – Schulden 2555, Compensando 1328 lb

Jean Frédéric Wilhelm se remarie en 1752 avec Jacqueline Steinmetz, fille d’un marchand de Barr : contrat de mariage, célébration

1752 (28.6.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 2
Eheberedung – persönlich kommen v. erschienen ersönlich erschienen seÿen der Wohl Ehren v. vorachtbare herr Johann Friderich Wilhelm, der b. v. Sattler allhier, beÿständlich der Ehren v. Wohl vorachtbahren Herrn Clemens Reiff des Holtzhändlers seines Schwiegervattters, H. Johann Friderich Schäffers des Seidenhändlers seines Schwagers, Wie auch H. Christoph Bogners des Meßerschmidts v. H. Philipp Jacob Schützenbergers des Käufflers samtl. burgern allhier ane einem,
So dann die Ehren v. tugendgezierte Jgf. Jacobea geb. Steinmetzin, weÿl. des Wohl Ehren v. vorgeachten herrn Johann Leonhard Steinmetz des gewesenen b v. Handelsmanns Zu Barr, nun seel. mit der Viel Ehren V. tugendgezierten Frauen Susanna geb. Heßin ehel. erziehte Jgfr. tochter, mit assistentz erstged. ihrer Fr. Mutter wie auch H. Reichhard Böckel des Rothgerbers und Burgers Zu ged. Barr, ihres Vogts
in der Königlichen Statt Straßburg auf Mittwoch den 28.ten Junii 1752. [unterzeichnet] Johann Friderich Wilhelm als Hochzeiter, Jacobea Steinmetzin als hochzeitrin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 308 n° 1132)
1752. d. 23. Aug. sind nach orentl. proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H Johann Friderich Wilhelm Sattler Wittw. undt b. allh. und Jfr Jacobe weÿl. Leonhard Steinmetz b. Zu Barr ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Wilhelm als hochzeiter, hochzeitrin Jacobea Steinmetzin (i 313)

Jean Frédéric Wilhelm et Jacqueline Steinmetz font dresser un inventaire à cause des dettes du mari. Les biens de la femme s’élèvent à 935 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 3 214 livres, le passif à 2774 livres

1753 (26.2.), Not. Elles (6 E 41, 1323) n° 8
Inventarium über H. Johann Friderich Wilhelm des Burgers v. Sattlers v. der viel Ehren v. tugendgezierten frauen Jacobeæ Wilhelmin geb. Steinmetzin beeder Eheleuth allhier Zu Straßburg würckl. besitzende Nahrungen, auffgerichtet Anno 1753. – Welche der Ursachen halben, alldieweilen des Ehemanns Nahrung mit vielen v. starcken Passivis onerirt v. dahero die Ehefrau ihr ohnverändert Guth Zu samt deme was ihro sonsten vermög der Ehe Pacten gebührig, Zu salviren, trachtet, inventirt – So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Montag den 26. Februarii 1753.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem baarfüßer Platz gelegener v. hiernach beschriebener behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane Behaußungen und Mahl Mühl zu Barr. (F.) Erstl. Zweÿ 21. theil als ohnvertheilt ane einer Behaußung (…) ane der Wieden Gaß Zu Barr gelegen (…)
(F.) It. Zweÿ 21.te theil als ohnvertheilt von ohngefehr einem 5.t theil auch als ohnvertheilt ane einer behaußung (…) Zu Barr in der Becken gaß gelegen (…)
(F.) It. Zweÿ 21.te theil als ohnvertheilt ane einem auch ohnvertheilten Vierten theil ane einer Mahl mühl, die Macken Mühl gennnt in St. Ulrichs Thaal gelegen (…)
Zu Straßburg. It. Eine Behaußung so nur 14. Schuh breit v. keinen Gebell hat, bestehend in einem Vorder v. alten hinder Gebäu, samt einem Höfflein, Hoffstatt v. allen deren Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten, in allhiesiger Statt ane dem Baarfüßer Platz, i.s. neben Christoph Bogner dem Meßerschmidt, 2.s. neben H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen dem Chirurgo gelegen, hinden auf H. Daniel Friderich Färber den Handelßmann stoßend, so über abzug hernach eingetragener passiv Capitalien freÿ, leedig v. eigen. Darüber besagt ein teutscher perg. Kbr. in allhiesiger Cantzleÿ Contract stub gefertiget mit dero anhangendem Insiegel verwahrt d.d. 30. Junii 1714. Ferner 3. Kbr. daselbsten gefertiget, so datirt d. 18. Jun. 1646, 16. Jan 1649 v. 18. 7.bris 1682. Welche aber samtl. dermahlen nicht vorgewießen worden. Und ist diese behaußung samt Zugehörden beÿ weÿl. H. Claudii Wilhelm geweßenen b. v. Sattlers des Ehemanns Vatters seel. Verl. Separation v. Abtheilung, ihme dem dißseitigen Ehemann angeschlagen v. überlaßen worden, für v. umb die Summ von 3050. lb. Beÿ Welchem Anschlag es dermalen, doch ohne einige præjuditz, gelaßen worden.
Wÿdums Verfangenschaft, So Frau Susanna Steinmetzin geb. Heßin Wittib, der Ehefrauen Mutter zi genießen. Nach besag der von dem verstorbenen Herrn Joh: Leonhard Steinmetzen gewesen brandten Wein Händler v. altem gerichts Verwanthen Zu Barr, der Ehefr. Vatter seel. auffgerichteten v. in deßen Verls. Inv. copialiter eingetragenen Test. Nunc. §° 2.do (…)
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg vorangezogenen durch H. Andream Schmidt Notm. v. Ambtschreiber, zu Bar in A° 1752. gefertigten theil Registers (…)
Series rubricarum hujus Inv. Der Ehefrauen unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 144, Sa. Weins, Lährer faß v. Bütten 36, Sa. Silbers 22, Sa. Goldener Ring 26, Sa. Eigenthums ane behaußungen v einer Mahlmühl 62, Sa. Eigenthums ane Liegenden güthern 231, Sa. Schulden 213, Sa. Ergäntzung (204, abzuziehen 3, verbleibt) 200, Summa summarum 938 lb – Schuld 2, Compensando 935 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns unverändert v. die theilbare Nahrung unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 73, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Sattler handwerck gehörig 56, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 3050 lb, Sa. Schulden 34, Summa summarum 3214 lb – Schulden 2774 lb, Compensando 440 lb

Accord entre Jean Frédéric Wilhelm et sa belle-mère après la mort de Jacqueline Steinmetz
1753 (21.12.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 257) n° 560
Vergleich zwischen Herrn Johann Friederich Willhelm dem Wittwern, Sattlern und burgern allhier, ane einem
So dann Frauen Susanna gebohrner Heßin, weÿl. H. Johann Leonhard Steinmetzen, geweßenen burgers und Handelsmanns in Barr seel. nachgelaßener Wittib, als ab intestato Erbin, nun Weÿl. Frauen Jacobæ Willhelmin gebohrner Steinmetzin respe. sein H. Wilhelms geweßener Ehegattin und ihrer tochter seel. Verlaßenschafft

Jean Frédéric Wilhelm renonce à ses éventuels droits sur une ouverture au premier étage de son bâtiment arrière au profit de l’adjoint à la Chancellerie Jean Frédéric Sachs

1753 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 136
Johann Friedrich Wilhelm der sattler an einem,
H. Lt. Johann Friedrich Sachß Cancellariæ Contractuum substitutus am andern theil
demnach die parthen in ihrer ane dem baarfüßerplatz gelegene behausung eine gemeinschaftliche maur haben in welcher er Wilhelm und seines hinderhaußes erstem stock ein Liecht oder Oeffnung eines quadrat schuhes groß hat durch welches der tag in das haußöhren fällt und sie beede in zweiffel stehen ob solches licht ein recht oder bloß vergünstigung seÿe, als haben sie sich des halben dergestalten miteinander verglichen, daß er Wilhelm auß solchem licht vor sich seine erben und nachkommende renunciren solle, so daß er H. Lt Sachs sothane öffnung nach belieben zu zumauren – vor welche renunciation er Lt Sachs ihme H. Wilhelm 6 gulden gegeben

Jean Frédéric Wilhelm loue le premier étage de sa maison avant au chirurgien Daniel Théophile Ziegenhagen

1755 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 217
H. Johann Friedrich Wilhelm der sattler
in gegensein H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen des chirurgi
entlehnt, den erstern stock im vordern hauß in seiner alhier ane dem barrfüßerplatz gelegenen behausung – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend auf innstehenden Johannis Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Jean Frédéric Wilhelm se remarie en 1755 avec Eve Salomé Flach, fille de Jean Flach de Wasselonne
Mariage, Wasselonne (luth. f° 163-v) A. 1755. Majus. Auf Erlaubnus Gnädig gebietenden regirenden Herrn Ammeisters seind d. 19.ten dießes als am Pfingstmontag nach Zweÿmaliger Proclamation in hießigem Pfarrhaus weil die Kirche abgebrochen ist, Copulirt worden Herr Johann Friderich Wilhelm, verwittibter burger u. Sattler Zu Straßburg und Jgf. Eva Salome Herrn Johannes Flachen hießigen und Straßburgischen burgers und weil. Fr. Mariä Salome geb. Schwartzin eheliche Tochter, [unterzeichnet] Johann Friderich Wilhelm als Hochzether Eva Salome Flachin als hochzeiter (i 166)

Eve Salomé Flach fait dresser l’inventaire de ses apports (335 livres) dans la maison de son mari.
1760 (20.2.), Not. Elles (6 E 41, 1327) n° 109
Inventarium über der Viel Ehr: v. tugendgezierten Frauen Evä Salome Wilhelmin geb. Flachin, des Ehrengeachten H. Joh: Friedrich Wilhelm des Sattlers v. b. allhier Zu Strb. ehel. Hausfrauen zu erstged. ihrem Ehemann in den Ehestand gebrachte Nahrung, auffgerichtet anno 1760. – vermög ihrer mit einand. errichteten Ehevogt vor unverändert vorbehalten (…) So beschehen in der Königl. Statt Straßburg, H. Johannes Ebels des b. v. Rothgerbers Zu Waßlenh. ihr Frau Wilhelmin noch ohnentledigten Vogts, auf Mittwoch den 20. Februarii 1760.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegener dißortigem Ehemann Vor unverändert gehöriger Behaußung befunden worden wie folgt
Sa. haußraths 32, Sa. Silbers 24, Sa. Goldener Ring 18, Sa. baa& 282, Summa summarum 335 lb

Frédéric Wilhelm meurt en 1764. La minute de l’inventaire n’est pas conservée

1764, Not. Fické (Répertoire 6 E 41, 664-6) n° 250
Wilhelm, weil. H. Johann Fried. gewes. Sattl. u. b. allh. seel. Verl. Invent. (Friderich Wilhelm)

Eve Salomé Flach meurt veuve en 1766 en délaissant pour héritier son père Jean Flach, marchand à Wasselonne. L’actif de la succession s’élève à 243 livres, le passif à 65 livres.
1766 (27.4.), Not. Fické (6 E 41, 759) n° 315
Inventarium über Weiland der Ehren und tugendsamen Fraun Evä Salome Willhelmin gebohrner Flachin längst Weiland Herrn Johann Friedrich Willhelm, des gewesenen Sattlers und burgers alhier Zu Straßburg hinterlaßener Wittib nunmehro auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1766 – nach ihrem Dienstags d. 12. dieses Monaths und Jahr aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hientrit verlaßen habe. Welche Vermögens Nachlaßenschaft, heutigen zu End geseztem dato, auf Veranstalten und begehren Herrn Johannes Flach des ehemaligen Handelsmanns Zu Waßlenheim und nun hier wohnhaften burgers der Frauen defunctæ seel. leiblichen Vaters und ab intestato verlaßenen einzigen Erben, nach Ordnung ersucht, und inventirt worden. Wobeÿ dann allforderist dieser Herr Flach als Erb, und Jungfrau Maria Magdalena Flachin, deßen Tochter, wie auch Friderich Zapper der von Braunschweig gebürtige Gesell und Anna Maria Witberin die von Müllenheim gebürtige Dentsmagd, den über das getreue Augen und Zeigen besagender (…) Articul (…) würcklich vorgewiesen und angezeiget haben (…) So beschehen Straßburg auf Mittwoch d. 27. Augusti Anno 1766.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt ohnfern das Speirthors gelegener dißorths lehnungs weis bewohender Behaußung hat sich befunden als
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 75, Sa. Waaren und vorhandenen Werckzeugs 78, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. goldenen Ringen 4, Sa. Schulden 78, Summa summarum 243 lb – Schulden 65, Nach deren Abzug, Stall Summa 177 lb – Zweiffelhaffte Schulden 227 lb

Héritière de son frère, Catherine Barbe Wilhelm femme du marchand de soie Jean Frédéric Schæffer vend la maison au fripier Jean Jacques Croner moyennant 3 000 livres

1764 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 408
Fr. Catharina Barbara Wilhelmin H. Johann Friedrich Schäffer des seidenhändlers ehefrau
in gegensein Johann Jacob Croner des frippier
eine behausung bestehend in vorder und hinter hauß, höffelin und hoffstatt mit allen begriffen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfüßerplatz, einseit neben H. Maské dem chirurgo, anderseit neben H. Bogner dem meßerschmidt, hinten auff H. Lt. Sachß – als ein von ihrem bruder Johann Friedrich Wilhelm dem sattler ererbtes guth – um 3000 pfund

Jacques Croner fait dresser un état de fortune avant de demander le droit de bourgeoisie dans la maison du marchand de nouveautés Sarrez, rue du Dôme
1745 (14.8.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 316) n° 384
Designatio desjenigen Vermögens so Jacob Kroner, der leedige Schneider, von Ilbesheim, hochfürstl. Pfaltz zweÿbrückischer Herrschafft gebürtig, dermahlen eigenthümlichen besitzet, welches der ursachen, allweilen derselbe beÿ E: Hoch Edlen Magistrat allhier, um Gn. Conferirung des allhießigen Burger rechts unterth. einzukommen gesinnet ist, daß solches ihme eigenthümlich zuständig seÿe, und Er nichts anderwerts dazu entlehnet habe (…) So beschehen Zu Straßburg auff Sambstag den 14.ten Augusti Anno 1745.
In einer allhier zu Straßburg ane der Münstergaß gelegenen H Sarez dem Galanterie händler eigenthümlich zuständigen behaußung, darinnen eingangs gedachter Jacob Kroner sicht aufhaltet ist befunden worden wie folgt/
Ane Waaren Zum frippier handel gehörig

Fils du boucher Jérémie Croner, à Ilbesheim près de Landau en Palatinat, le revendeur Jacques Croner épouse en 1745 Marie Salomé, fille du tonnelier Jean Lutz
Mariage, Illkirch (luth. f° 33) 1745. d. 13. 10.bris sind auf pmisson schein Hoch Adel. Obrigkeit alhier nach vorher gegangenen Zweÿmalig. Proclamation in Strasb. Zum jungen S. Peter alhier ehl. copulirt und eingesegnet Word. H. Jacob Croner der ledige Kremp und burg. In Stras. weÿl. Jeremiæ Croners geweßenen metzigers und bug. in Illwish. hinterl. ehl. Sohn, Und Maria Salome weÿl. Johanes Lutz deß geweßenen Küblers und burg. in Strasb; hinterl. ehl. tochter [unterzeichnet] Jacob Croner als hoßzeitter, Maria Salome Lutzin als hoschzeitrin (i 185) Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune f° 179 (i 183)

Jacques Croner devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse.
1746, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 245
Jacob Cromer Von Illveßheim geb. der Kremp erhalt das burger Recht Von seiner Ehefraun Salome Lutzin, weÿl. Johann Lutz geweß. burgers und Küblers allhier tochter um d. alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Möhrin, jur. d. 24. Jan. 1746.
[Jacob Croner]

Jacques Croner devient tributaire à la Mauresse le 27 janvier 1746.
1746 (27.1.), Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 259)
(f° 121-v) Donnerstags den 27.ten Januarÿ – Neuer Leibzünfftiger Fripper ER
Jacob Kroner, der Schneider von Illwesheim, hochfürstlich Pfaltzzweÿbrückischer Herrschafft in dem Amt Bergzabern gehörig, producirt Cantzleÿ, Pfenningthurn und Stall schein vom 24.ten Januarÿ 1745. bittet um Ertheilung des Zunfft: und frippier Rechts
Erkandt, in ansehung durch weÿland Joseph Schillings wittib welche einen zimmermann geheÿrathet, mithin ein frippier Platz vacirend worden, gegen Erlag der gebühr willfahrt.
Zahlte vor den Pfenningthurn 1 lb, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Altgewänd recht 1 lb 5 ß, Vor die Feuer Eÿmerer 3 ß 4 s, Und Einschreib geld 2 ß (summa) 2 lb 15 ß 4 d

Jacques Croner meurt en 1765 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 1000 livres. La masse propre à la veuve est de 43 livres, celle propre aux héritiers de 32 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 899 livres, le passif à 90 livres.

1765 (13.5.), Not. Haering (6 E 41, 1365) n° 272
Inventarium über Weiland des Ehrengeachten Herrn Joh: Jacob Croner, im Leben gewes. frippier u. brs. alh. Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft aufgerichtet anno 1765. – nach seinem freÿtags den 22.ten Martii jüngst aus dieser Welt genommenen tödtl. von hinnen Scheiden, hie Zeitl. verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen nicht nur allein der Ehren und tugendsamen Fr: Mariä Salome Cronin geb. Lutzin, der diesorts hinterbliebenen Wittib, beÿständ. des Ehrengeachten Herrn Joh: Michael Bartels, frippier u. burg. allh. sondern auch auf begehren des Verstorbenen seel. mit erstged. deßen hinterbliebener Wittib ehel. erzeugt und nach Tod verlaß. dreÿ minderjähriger Kind. geordnet und geschworenen Vogts (…) So beschehen, Straßburg Montags den 13.den May 1765.
Den Verstorbenen seel. ab intestato Zu erben sind fähig. Seine mit Eingangsgedachter deßen hinterbliebener Wittib ehel. erzeugte und nach tod verlaßene dreÿ Kinder benandlich 1. Maria Salome, welche den 21.ten Jenner 1751 getauft worden, 2. Maria Magdalena, welche den 1.ten Tag des 1755.ten Jahrs das Licht dieser Welt zum ersten mal erblicket hat, So dann 3. Johann Friedrich, so zu End des Merzmonats 1758 auf die Welt gekommen, dieße dreÿ Cronerische Minderjährige Kinder sind mit dem Ehrenachtbaren H. Johann Philipp Riehl dem br. und Schneider alh. bevögtigt, welcher von Anfang bis zu End dießer Inventur beÿgewohnet hat.

Bericht. Es haben beede nun durch den Zeitl. Tod getrennte Eheleuthe Zur Zeit ihrer Verheirathung Keine Eheberedung aufgerichtet (…)
In einer alhier zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegenen, hiehero eigenthüml. gehörigen behausung befunden worden, wie folgt
(f° 9) Eigenthum an einer Behaußung. Neml. eine Vorder und hinterbehausung, samt einem höfl. dazwischen, u. hoffstätten auch allen deren mit allen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier am Baarfüßer Platz, 1.s. neb. H. (-) Bogner dem Meßerschmidt, 2.s. neb. H. N. Maßke dem Wundratzt, hinten auf H. Actuarÿ Sachsen Kind I.r Ehe stoßd. geleg. so freÿ leedig, eigen u. durch (die Werckmeistere) Zufolg deren Zu mein Not° Concept schriftl. gelief. abschatzung vom 15.d april 1765. angeschlag. worden pro 2000 fl. d h hier 1000. lb. Darüb. bes. i. deutscher perg. Kffbr. aus alh. C.C. Stb vom 19.den Junÿ 1764.
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ. Der Wittib unveränderten Guths. Sa. hausrath 20 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. gold. ring u. Geschmeids 17 lb, Summa summarum 43 lb
Dießemnach wird auch der dreÿ Kinder und Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. Kleÿdg. und weißen Gezeugs 26 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. goldenen Rings 16 ß, Summa summarum 32 lb
Endlichen wird auch das gemein und theilbare Guth beschrieben, Sa. Hausraths 46 lb, Sa. Waar zur frippier Profession gehörig 527 lb, Sa. leerer Faß 21 lb, Sa. Silbers 10 lb, Sa. baarschafft 45 lb, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1000 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguths 250 lb, Summa summarum 1899 lb – Schulden 90 lb, Nach deren Abzug 1809 lb – Stall summ 1885 lb
Abschatzung Vom 15.t april 1765. Auff begehren Weil: Jacob Gruner Sel: hiender Lasener Fr: Witib vnd Erben ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg auff dem barfieserblatz gelegen, Einseits Neben H. bogner ander seits Neben H. Masieg Und Hienden auff H Atiwarius Sax Stosent gelegen Solche behausung besteht in einem Laden Ferner in Zweÿ Stuben Zweÿ Kichen Und Ettliche Kamern Dar jber ist der dach Stuhl mit breitziglein belegt, hat auch ein Gewelbten Keller Kleinen Hoff und brunnen. Von uns Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtig Keit dem Jetzigen wahren werth nach æstimirt Und angeschlagen worden Vor und Vmn Zweÿ Thausent Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 600 florins (800 livres) sur un total de 3 800 florins
1765, Livres de la Taille (VII 1180) f° 5
(Mörin N° 1455) Weÿl. Johann Jacob Kroner geweßenen frippier und burgers allhier Verlaßenschafft invent. H. Not. Häring
Concl. final. jnvent. Ist fol. 53 – 1885 lb 13 ß 6 ¼ d. die machen 3800 fl. Ane so mehr als 50. lb Vor jnventir Kösten abgezogen, Verstallte 2200 fl. Zu wenig 1600 fl.
Wovon Nachtrag 6 Jahr in duplo à 4 lb 16 ß – 28 lb 16 ß
und 2 Jahr in simplo à 3 lb 8 ß – 9 lb 12 ß
Ext. Kein Stallgeldt
geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 3 lb 5 ß 6 d (Summa) 41 lb 16 ß
das simplex ane dem nachtrag nachgelaßen, restirt 32 lb 4 ß
dt. 22. junÿ 1765.

Marie Salomé Lutz est autorisée à se remarier avant la fin de son deuil après avoir présenté un certificat d’après lequel elle n’est pas enceinte.
1765, Conseillers et XXI (1 R 80)
Johann Jacob Croners geweßten burgers und fripier hinterl. wittib Maria Salome geb. Lutzin wird p° gebettener Erlaubnus tempore luctus Heurathen Zu dörfen anvorderist sich durch eine geschworne Amme besichtigen Zulaßen, verwießen. 258. es erhält dießelbe sofort die gebettene erlaubnus gegen erlag 1. lb in das Allmoßen. 264.

(p. 258) Sambstags den 23.sten 9.bris 1765. – Froereis. nê Mariæ Salome gebohrner Lutzin weiland Johann Jacob Croners geweßten burgers und fripier hinterlaßener wittib prod. unterth. Memoriale und bitten, sampt beÿm sub n° 1 puncto gnädiger Erlaubnuß tempore luctus heurathen Zu können.
Nach angehörtem voto des H. Syndici Regii in welchem hochderselbe erwehnet, daß der Implorantin Ehemann bereits über acht Monath verstorben, doch daman nicht versichert, ob während solcher Zeith dießelbe nicht mit andern sich etwa fleischlich vermischt, die Königlichen verordnung die 2.ten Ehen betreffend außdrucklich befiehlt, in dergleichen vorfällen mit möglichster behutsamkeit Zuverfahren, als wäre er der ohnvergreifflicher Meinung daß Implorantin sich fordersamst durch eine geschwohrne hebamm visitiren laßen solle, damit auf beÿzubringenden schein desto sicherer gesprochen werden möge.
Wurde auff hohen anspruch Excellentissimi domini Prætoris Regii von Gayot und des auff dem obern banck vorsitzenden H. Stättmeisters von Gail vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, solle Implorantin durch eine geschwohrne Amme anvorderist sich besichtigen laßen, damit auff beÿzubringenden schein das weitere so dann geprochen werden möge.
Deppi. H. Rathh. Vaudin, H. Rathh. Weyher.

(p. 164) Mittwochs den 27.sten Novembris 1765. – Froereisen nê Mariæ Salome Cronerin in actis Zufolg E. G. Erkantnus vom 23.sten hujus producirt attestat von Catharina Barbara Seupelin der geschwornen Hebamm alhier, bitt demnach unterth. Zu erkennen wie in Memoriale vom 23.sten hujus gehorsambst gebetten worden.
Nach angehörtem voto des H. Syndici Regii in welchem hochderselbe, nach eingesehenem Hebammen attestat woraus erhellet, daß Keiner schwangerschafft beÿ der Implorantin vorhanden, dahin angetragen, daß dermahlen der Implorantin mit gebettener dispensatione à tempore luctis umb desto sicherer Zu wilfahren seÿn wird, jedoch gegen erlag etwa eines kleinen thalers oder ein pfund d. in alhießigen allmoßen.
Wurde absente Excellentissimo Domino Prætore Regio von Gayot auff anspruch des auff dem obern banck vorsitzenden H. Stättmeisters von Gail vermitelst gehaltener umbfrag unanimiter erkandt, wird der Implorantin mit gebettener erlaubnuß pendente tempore luctus heurathen Zu können, jedoch mit dem anhang wilfahrt, daß dieselbe pro gratiosa dispensatione ein pfund d in alhiesiges Allmoßen erlegen vnd deßen erlag durch behöriger orthen vorzulegende quittung bescheine. Deppi. H. Rathh. Weiler, H Rathh. Sadoul.

Marie Salomé Lutz se remarie avec le fripier Jean Rœssler, fils de Tobie Rœssler, tisserand à Friedelsheim en Wurtemberg (près de Dürkheim) : contrat de mariage, célébration
1765 (28. 9.bris), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 124
Eheberedung – in Person gegenwärtig, der wohl Ehren: und achtbahre Herr Johannes Rösler, der frippier: und vertröstete Burger alhier, Weÿland H Tobiä Röslers, gewesenen Weebers: und Burgers Zu Frölsheim, Hochfürstlich Würtembergischer Herrschafft, ehelich erzeugt hinterlaßener Sohn, eines, und
andern Theils, die viel Ehren und Tugendsame Frau Mariæ Salome gebohrne Lutzin Weÿl. Herrn Johann Jacob Kröner des gewesenen Frippier: und Burgers alhier seel. hinterlaßene Fr. Wittib, hiebeÿ mit H. Johann Martin Bernner, dem Schneider und b. alhie, verbeÿstandet
auf Donnerstag den 28. Novembris 1765 [unterzeichnet] Johannes Rößler, mari Salome Crorin Als Hochzeÿter

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 57-v, n° 25)
Anno 1765. (…) am Mittwoch darauff als auff den eilften ejusdem [Decembris] copulirt worden Johannes Rößler lediger Kleiderhändler und burger allhier von Fridolsheim Würtenbergischer herrschafft gebürtig des weÿland Tobias Rößlers gewesenen Ackersmanns und burgers Zu Fridolsheim hinterlaßener ehelicher Sohn, und Frau Maria Salome gebohrne Lutzin des Weÿland H Johann Jacob Croners gewesenen Kleiderhändliers und burgers allhier hinderlaßene wittwe [unterzeichnet] Johannes Rössler als hochzeÿter, maria Salome Crorin als hochzeiterin (i 60)

Jean Rœssler devient bourgeois un mois après son mariage
1766, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 82-v
Johannes Rößlin, frippier von fridolsheim würtenberg. herrschafft, erhaltt das burgerrecht von seiner Ehefr. Maria Salome, weÿl. Joh: Jac. Croner gew. frippier und burger allhier hinterl. wittib ullb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin. Jur. eod. [15. Jan. 1766.]

Il devient tributaire à la Mauresse le 13 février 1766 en acquerrant un droit de fripier
1766, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
(f° 597-v) Donnerstags den 13.ten Februarÿ Anno 1766 – Neuer Leibzünfftiger Frippier ER
Johannes Rößler, der ehemalige Schneider: Gesell, Weiland Tobias Rösler, gewesenen Webers Zu Fridolsheim, Herzoglich-Würtembergischer Herrschaft, hinterlassener ehelicher Sohn, welcher an Johann Jacob Kroner, des gewesenen Frippier und burgers allhier hinterlassener Wittib geheirathet, producirt Schein Von alhiesiger Cantzleÿ und Stall, beede vom 15. Januarÿ 1766, bittet um Ertheilung des Zunft: und Frippier-Rechts
Erkandt, gegen Erlag der Gebür willfahrt. Promisit et dedit für den Pfenningthurn 1 lb, Für das Zunft-Recht 5 ß, Für das Altgewänder: Recht 1 lb 5 ß, Für die Feur: Eimerer 3 ß 4 d, Protocoll und Gebott Geld 2 ß (summa) 2 lb 15 ß 4 d

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 354 livres, ceux de la femme à 2 242 livres.

1766 (6.3.), Not. Fické (6 E 41, 759) n° 306
Inventarium über des wohlehren und achtbaren Herrn Johannes Rößler, des Frippier und der Ehr: und tugendsamen Fraun Mariæ Salome gebohrner Lutzin, beeder Eheleuthe einander vor unverändert in die Ehe zugebrachte Vermögenschaft auffgerichtet in Anno 1766. – in ihren am 11.ten Decembris des vergangenen 1765.ten Jahrs angefangenen Ehestand Zu: und eingebracht haben. Welche beederseits Vermögenschaften in Gleichförmigkeit der in ihrem auffgerichteten Ehe: Contract § 4.to gethanen Versehung daß solche ein unverändert und voebehalten Guth seÿn und bleiben solle (…) So beschehen Straßburg in fernerer persönlichen Gegenwarth Herrn Johann Martin Bernner des Schneiders und Burgers alhier der Ehefraun erbettenen Beÿstands auf Donnerstag den 6.ten Martii Anno 1766.

In einer alhier Zu Straßburg am Baarfüßer Platz gelegenen Zum theil eigenthümlich gehöriger Behaußung hat sich befunden als (…)
Eigenthum ane einer Behaußung (F.) Nemlich ein dritter theil vor unvertheilt von und ane einer Vorder: und Hinder behausung samt einem darzwischen gelegenen höfl. und Hoffstätten, auch allen deren Gebäuden, Begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier am Baarfüßer platz 1.s neben H Joh: Fried. Bogner, dem Meßerschmid, 2.s. neben H. N. Maske, dem Wundarzt, hinten auf H. Actuarii Sachsen Kinder erster Ehe stoßend gelegen, so gäntzlich frei, leedig, eigen und dermalen bei dem ein Kindervertrag ohnpræjudicirlich angesetzten Preis gelaßen worden, das ist 3000. lb. Also Zu dißortigem 3.ten theil 1000 lb. Die gantze Behaußung ist in der Ehefrauen erster Ehe mit H. Joh: Jacob Croner geweßenen Frippier und burger alhier in Kraft vorhandener Verschreibung aus allhiesiger C. C. Stuben vom 19.ten Junii 1764. erkauft worden. dahero sind die übrigen Zween dritten theil dero 3. Kinder solcher Ehe naturaliter und eigenthümlich Zuständig, auch hieunten fol. (-) solcherweis beschrieben.
Widem, Welchen die dißortige Ehefrau gegen Education und alimentation ihrer drei Kinder erster Ehe bis Zu Erreichung deren 20. jährigen alters zu genießen hat. Ausweißl. des Zwischen ihre der dißortigen Ehefrauen als dermaliger Wittib eines, und andern Theils H. Joh: Phil. Riehl dem Schneider und Burger alhier als geordnetem Vogt derer drei Kinder am 20. Julÿ 1765. bei löbl. Vogtei Gericht errichteten und am 19.trn Sept. dicti anni bei E. E. Großen Rath confirmirten Kinder Vertrags (…)
Anfänglich ertragen die Ihnen eigenthümlich vorbehaltene und also naturaliter Zuständige Zween drittetheil vor unvertheilt von und ane einer am barüßer Platz gelegenen Vorder: und hinder Behaußung, höflein und Hofstätten cum appertinentiis wie bereits hievorn fol. (-) mit mehrerm beschrieben, dem im Calculo angesetzten Preis nach 2000 lb.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachter Haabschaft, Sa. Haußraths 19, Sa. goldener Ringe und dergleichen Geschmeids 34, Sa. baarschafft 300, Summa summarum 354 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 223, Sa. leerer Faß 7, Sa. waaren und zugehörde Zur Frippier Profession gehörig 1335, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 117, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 41, Sa. baarschafft 36, Sa. Eigenthums an einer Behaußung 1000, Sa. Schulden 481, Summa summarum 3242 lb – Schulden 1000, Nach deren Abzug 2242 lb

Marie Salomé Lutz meurt en 1768 en délaissant deux enfants de son premier mari. L’estimation de la maison (1 000 livres) est reprise de l’inventaire précédent. La masse propre au veuf est de 777 livres, celle propre aux héritiers de 1 022 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 428 livres, le passif à 2 416 livres.

1768 (14.10.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 761) n° 383
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und tugendsamen Fraun Mariæ Salome Rößlerin gebohrner Lutzin herrn Johannes Rößler des Frippier und Burgers allhier zu Straßburg letztmals geweßener Ehefraun nun seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1768. – nach ihrem Dienstags den 27. Septembris dieses 1768.sten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen von hinnenscheiden, verlaßen hat, Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem zu end gesetztem Dato auf Veranstalten und begehren H Johann Philipp Riehl dermaligen Employé beÿ löbl. Stadt Pfenningthurn, als geordnet und geschworenen Vogts hienach ermelter der Frauen Defunctæ in erster Ehe erzielter und ab intestato Zu Erben verlaßener Zweÿer Kinder eines und andern theils, schongedachter H Johannes Rößler des hinterbliebenen Wittibers (…) So beschehen Straßburg den 14. Octobris 1768.
Der verstorbenenn Fraun Rößlerin ab intestato verlaßene Erben sind mit Nahmen 1° Jf. Maria Magdalena Cronerin, so 14 Jahr erreicht und dann 2° Johann Friderich Croner, in das 11. Jahr gehend Classis quinta Discipulus, beÿde deroselben mit weiland H Johann Jacob Croner dem gewesenen frippier und Burgern allhier, ihren ersten Ehemann ehelich erzeugte hinterlaßene Kinder

In einer alhier Zu Straßburg ane dem baarfüßer Platz gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 11-v) Eigenthum ane einer Behaußung (E.) Nemlich ein dritter theil vor unvertheilt von und ane einer Vorder: und Hinder behausung, samt einem darzwischen gelegenen höflein und hofstätten, auch allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier am Baarfüßer Platz 1.s neben Hn Joh: Friderich Bogner, dem Meßerschmid, 2.s. neben H. Daniel Friderich Maske, dem Wundarzt, hinten auf H. Actuarii Sachsen Kinder erster Ehe zugehörige Gebäude stoßend gelegen, so gäntzlich gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und im Jahr 1765. am 15. Aprilis zu Weil. H. Johann Jacob Croners der verstorbenen Frauen ersten Ehemanns seel. Verlaßenschaft Inventur durch (die Werckmeistere) zufolg schriftlich ausgestelter Abschatzung æstimirt worden pro 1000 lb. Dabeÿ es dann auch die wohlverordnete Hh Dreÿ löbl. Stadt Stalls dermalen Zu belaßen grosgünstig vergönnt haben, und beträgt daran die hiehero gehörige Terz 333. Die ganze Behaußung ist in der Fraun Defunctæ mit schon ged. H. Croner geführten erster Ehe Krafft vorhandener Verschreibung aus allhiesiger C. C. Stuben vom 19.ten Junii 1764. erkauft worden. Es sind dahero die übrige Zween dritten theil denen diesortigen Zweÿ Kindern und Erben für sich und als Erben Jfr. Mariæ Salome Cronerin ihrer Verstorbenen Schwester seel. naturaliter und eigenthümlich zuständig, auch hieunten fol. (-) beÿ der repræsentation ihres anererbten Väterl. Guts solcher weis beschrieben.
(f° 12-v) Ergäntzung des Hn Wittibers abgegangenen unveränderten Guts. Ausweislich des über beeder gewesener Ehepersohnen einander in die Ehe zugebracht Vermögenschaften, durch mich Notm sub dato 6. Martii 1766. errichtet
(f° 13) Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgegangen unverändert mütterlichen Guts. Nach Anleitung der vorher schon gedachten über beeder nun Zertrenten Ehepersohnen einander in die Ehe Zugebrachte Vermögenschaften am 6.ten Martii 1766. durch mich Notarium auffgerichteten (…) Inventarii
(f° 17-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Abschrift der Eheberedung, Copia Codicilli
Des hinterbliebenen Hn Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ringe und dergleichen Geschmeids 9, Sa. schuld 500, Sa. Ergäntzung 341, Summa summarum 852 lb – Schulden 75, Nach deren Abzug 777 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unveränderte mütterliche Erbschaft in beschreibung gebracht, Sa. haußraths 134, Sa. leerer Faß 3, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 43, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 15, Sa. Eigenthums an einer Behaußung 333, Sa. Ergäntzung nach abzug 1917, Sa. Schulden 75, Summa summarum 2522 lb – Schulden 1500, Nach deren Abzug 1022 lb
Endlichen wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschaft beschrieben, Sa. haußraths 71, Sa. Weins und leeren Faß 46, Sa. Waaren zur frippier handlung 734, Sa. Silbers 10, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 10, Sa. baarschafft 126, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 120, Sa. Schulden 309, Summa summarum 1428 lb – Schulden 2416 lb, In Vergleichung 987 lb
Conclusio finalis und Stall summa 3533 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 300 florins (650 livres) sur un total de 7 100 florins
1768, Livres de la Taille (VII 1180) f° 76
(Mörin N° 2236) Weÿl. Fr. Mariæ Salome geb. Lutzin, Johannes Rößler des frippier und Burgers allhier letztmahls geweßener Ehefrauen Verlaßenschafft jnvent. H. Not. Fické.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 166 – 3533 lb 8 ß 6 d. die machen 7100 fl. Verstallte 5800 fl. Zu wenig 1300 fl.
Wovon Nachtrag 4 Jahr in duplo, 15 lb 12 ß
und 2 Jahr in simplo, 3 lb 18 ß
Ext. Kein Stallgeldt
geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 6 lb 2 ß 6 d (Summa) 25 lb 15 ß
der nachtrag auff die helffte moderirt, restirt 16 lb
dt. 12. 9.bris 1768.

Le tuteur des enfants Croner loue deux tiers de la maison à Jean Rœssler qui a la jouissance viagère du tiers restant

1768 (16 Nov.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 761) Joint au n° 383 du 14 oct. 1768
Verkauf und Erlös auch respectivé Abtheil: Erörter: und Liefferungs Register über Weÿland Fraun Mariæ Salome Rößlerin, gebohrner Lutzin, herrn Johannes Rößler des Frippier und Burgers allhier zu Straßburg letztmals gewesener Ehefraun, nun seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1768.
erschienen Herr Johann Philipp Riehl, der Employé beÿ löblicher Stadt Pfenningthurn, in qualitate geordnet und geschworenen Vogts Jungfraun Mariæ Magdalenæ Kronerin und Johann Friderich Kroner, der Fraun Erblaßerin in erster Ehe ehelich erzeugter Kindere, der hat
in gegensein vorgedachten Herrn Johannes Rößler des Frippier und Burgers allhier zu Straßburg (verlehnet)
Nämlich Zween dritte Theil vor unvertheilt von und ane einer Vorder: und Hinder behausung gelegen alhier Zu Straßburg an dem Baarfüßer Platz einseit neben Hn Johann Friderich Bogner, dem Meßerschmid, anderseit neben Herrn Daniel Friderich Maske, dem Wundarzt, hinten auf die S.T. H. Sachs Contractuum actuarii Kinder erster Ehe zugehörige Gebäude stoßend gelegen, um solche der Curanden Vätterlich zween dritte theil mit dem ihnen Wÿdems weise Zu geniesen angehörigen überigen dritten Theil habend Zu bewohnen und Zu benutzen. Diese Lehnung ist verabredet und vestgesetzt worden vor dreÿ einander nachfolgende Jahre von instehende Weÿhenachten 1768 anfangend (…) um einen jährlichen Zinß von 160 Gulden Straßburger – Straßburg den 16. Novembris Anno 1768.

Jean Rœssler se remarie avec Marie Salomé Ott, fille du tanneur Georges Frédéric Ott : contrat de mariage, célébration
1769 (5.12.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 188
Eheberedung – erschienen der Wohl Ehren und achtbare Herr Johannes Rößler, frippier, Wittiber und Burger alhier Zu Straßburg eines
und andern theils die Viel Ehren und Tugendsame Jungfrau Maria Salome Ottin, Weiland Herrn Georg Friderich Ott gewesenen Rothgerbers, Lederbereiters und Burgers dahier, mit Frauen Anna Catharina gebohrner Pickin ehelich erzeugt hinterlaßene Jgfr. tochter, unter beÿstand Herrn Jacob Klein, des Metzgers und ebenmäßigen Burgers alhier ihres geordneten Herrn Vogts
auf Dienstag den 5. Decembris Anno 1769. [unterzeichnet] Johanne Rößler als hochzeiter, Maria Salomea Ottin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 140-v n° 1)
Im Jahr Christi 1770 sind nach Zweÿmal vorhergeschhener offentlicher proclamation Dom: I & II Epiph. auff schrifftl. erlaubnuß Regirenden Herrn ammeisters an den tag der Zweÿt proclamation gleich nach der Amtpredigt in unßerer Evang. Kirche Zur Ehe eingesegnet word. H. Johannes Rößler fripper und burger alhier wittwer mit Jungfrau Maria Salome Ottin weÿl. Georg Friderich Ott des Jüngern Burgers und Rothgerber alhie hinderlaßener ehelicher dochter [unterzeichnet] Johanns Rößler als hochteiter, Maria sa&&a Ottin Las Hochzeiterin (i 145)

Compte que rend Jean Philippe Riehl de la tutelle des deux enfants Croner, dont 80 livres proviennent de la location à Jean Rœssler
1770, Not. Fické (6 E 41, 783) n° 158
Rechnung Mein Johann Philipp Riehl des Dreyerknechts und burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Weiland Fraun Mariæ Salome gebohrner Lutzin, letztmals Herrn Johannes Rößler, des frippier und Burgers dahier gewesener Ehefrau, in erster Ehe mit längst weiland Herrn Johann Jacob Kroner dem gewesenen ebenmäßigen Frippier und Burgern alhier ihrem ersten Ehemann erzeugt und zu Erben verlaßener Zweÿ Kinder nahmentlichen Jungfraun Mariæ Magdalenæ Kronerin und Johann Friderich Kroner, Inhaltend und ausweisend alles dasjenige, was ich für dieselbe seit dem Absterben ihres Herrn Vatters behandelt, sonderlich aber von Michaelis 1768. als nach dem mütterlichen Absterben bis den 19.ten Februarÿ 1770 eingenommen und hingegen außgegeben auch sonsten besorgt habe – Erste Rechnung dieser Vogteÿ

Corpus der beeden Curanden jährlich fallenden hauß Zinses. Näml. 80. lb d bedungenen Zinses gibt hr Johannes Rößler, der Frippier und br. alhier, der Curanden Stiefvater, aljährl. auf Weihenachten und A° 1769. Zum erstenmal in Kraft einer beÿ dem mütterl. Erbgeschäft errichteten 3.jährigen auf Weihenachten 1771 zu End gehenden Lehnung vor denen zween dritten Theilen, so Ihnen Curanden als väterl. Guth Zuständig worden, an einer dahier Zu Straßburg an der Baarfüßer Platz gelegenen behausung cum appertinentiis und beträgt solcher haus Zins à 4 pro Cento in Capital 2000. Pro Nota, der überige eine dritte theil an solcher behausung ist denen Curanden ebenmäßig und zwar für mütterl. Erbguth gehörig aber ihrem Stiefvater vorhergd. H Johannes Rößler Zum lebtägigen Wÿdems Genuß verfangen.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 2 284 livres, ceux de la femme à 586 livres.
1770 (23.1.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 763) n° 423
Inventarium über des Wohl Edlen und achtbaren Herrn Johannes Rößler des Frippier und der viel Ehren und tugendsamen Fraun Mariæ Salome gebohrner Ottin, beeder Eheleuthe und Burger alhier Zu Straßburg einander vor unverändert in die Ehe Zu: und eingebrachte Vermögens Haabschaften auffgerichtet im Jahr 1770. – in ihren den 15.ten Januarÿ jüngst angetrettenen Ehestand Zu: und eingebracht haben (…) So beschehen Straßburg in ferner Gegenwart Hn Johann Daniel Grießbach des Rothgerbers Lederbereiters und burgers alhier der Ehefraun Herrn Schwagers und hierzu erbettenen beÿsitzers auf Dienstag den 23.ten Januarÿ 1770.

In einer alhier Zu Straßburg an dem Baarfüßer Platz gelegenen und dießorts Zum theil Wÿdems und Zum theil Lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden, wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns eingebrachten Vermögens, Sa. haußraths 242, Sa. Waaren und Zugehörde zur frippier Profession gehörig 1721, Sa. Weins und leeren Faß 135, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 133, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 85, Sa. baarschafft 336, Sa. Schulden 390, Summa summarum 3034 lb – Schulden 750, Nach deren Abzug 2284 lb
Diesemnach so wird auch der Frauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 146, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 28, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 120, Sa. baarschafft 291, Summa summarum 586 lb
Haussteuren 50 lb, Conclusio finalis Inventarÿ 2921 lb
Wÿdem So der dißortige Ehemann lebtägig Zu geniesen berechtiget ist. Es hat nämlich Weiland Frau Maria Salome Rößlerin gebohrne Lutzin sein des Ehemann erstere Ehefrau seelige ihme in dem mit einander errichteter Ehe Contract §° 7.mo den ihro vor unvertheilt eigenthüml. gehörigen dritten theil vor und an der hienach mit mehren beschriebenen behausung cum appertinentiis Zum lebtägigen natural Wÿdems genuß verschrieben angesichert (…) Näml. ein dritter theil vor unvertheilt von und ane einer Vorder: und Hinder behausung samt einem darzwischen gelegenen höflein und hofstätten, auch allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier am Baarfüßer Platz einseit neben Hn Joh: Friderich Bogner, dem Meßerschmid, anderseit neben H. Daniel Friderich Maske, dem Wundarzt, hinten auf H. Actuarii Sachsen Kinder erster Ehe zugehörige Gebäude stoßend gelegen, so gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und ohngefehr im Werth an 3000lb d antreffen kan, 1000 lb. Die gantze behausung ist in der Fraun Wÿdems Stifterin erster mit längst Weÿland H. Joh: Jacob Kroners geführter Ehe zufolg vorhandener Verschreibung aus alhiesiger C. C. Stuben vom 19.ten Junii 1764. erkauft worden, als daher ihro solcher 3.te theil zugekommen und sind die überige Zween 3.te theil daran deroselben mit gedachtem H. Kromer erzeugten Kindern für anererbt väterl. Guth gebührig

Autres comptes
1772, Not. Fické (6 E 41, 783)
N° 178. Rechnung Mein Johann Philipp Riehl des Dreyerknechts und burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Weiland Fraun Mariæ Salome, gebohrner Lutzin, letztmals Herrn Johannes Rößler, des frippier und Burgers hieselbst gewesener Ehefraun, in erster Ehe, mit längst Weiland Herrn Johann Jacob Kroner, dem gewesenen ebenmäßigen Frippier und Burgern alhier, ihrem ersten Ehemann erzeugt und nach Todt zu Erben verlaßener Zweÿ Kinder, nahmentlichen Jungfraun Mariæ Magdalenæ Kronerin und Johann Friderich Kroner, Classis 2.da Discipuli, Inhaltend und ausweisend alles dasjenige, was ich für dieselbe seit dem 19.ten Februarii 1770. als dem Beschluß meiner 1.ten Rechnung bis zum 19.ten Februarÿ 1772. eingenommen und hingegen ausgegeben habe – Zweÿte Rechnung dieser Vogteÿ

Corpus der beeden Curanden jährlich fallenden hauß Zinses. Näml. 80. lb d bedungenen Zinses, gibt hr Johannes Rößler, der Frippier und br. alhier, der Curanden Stiefvater, auf den Fuß der am Weihenachten 1771 beendigten Lehnung, Zur Continuation nach mündl. Verabschiedung, von denen zween dritten Theilen, so Ihnen Curanden, als väterl. Guth Zuständig worden, an einer dahier Zu Straßburg an dem Baarfüßer Platz gelegenen behausung cum appertinentiis und beträgt solcher haus Zins à 4 p. Cto in Capitali 2000. Pro Nota, der überige eine dritte theil an solcher behausung ist denen Curanden ebenmäßig und zwar für mütterl. Erbguth gehörig aber ihrem Stiefvater vorhergd. H Johannes Rößler Zum lebtägigen Wÿdems Genuß verfangen.

N° 201. Rechnung Mein Johann Philipp Riehl, des Dreyerknechts und burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts, Weiland Fraun Mariæ Salome, gebohrner Lutzin, letztmals Herrn Johannes Rößler, des frippier und Burgers hieselbst gewesener Ehefraun, in erster Ehe, mit längst Weiland Herrn Johann Jacob Kroner, dem gewesenen ebenmäßigen Frippier und Burger alhier, ihrem ersten Ehemann erzeugt und nach Todt zu Erben verlaßener Zweÿ Kinder, nahmentlichen Jungfraun Mariæ Magdalenæ Kronerin und Johann Friderich Kroner, Philosophiæ Studiosi, inhaltend und ausweisend, alles dasjenige, was ich für dieselbe seit dem 19.den febr. 1772 als dem beschluß meiner zwoten Rechnung, bis zum 3.ten febr. 1774 eingenommen und hingegen ausgegeben habe – Dritte Rechnung dieser Vogteÿ.

Corpus der beeden Curanden jährlich fallenden hauß Zinses. Nämlich 80. lb d bedungenen Zinses, reicht hr Johannes Rößler, der Frippier und burger alhier, der Curanden Stief Vater, auf den Fuß der am Weihenachten 1771. beendigten Lehnung, Zur Continuation nach mündlicher Verabschiedung, von denen zween dritten Theilen, so Ihnen Curanden, als väterlich Guth Zuständig worden, an einer dahier Zu Straßburg an dem Baarfüßer Platz gelegenen behausung cum appertinentiis und beträgt solcher haus Zins à 4 pro Cento in Capitali 2000. lb. Pro Nota, der überige eine dritte theil an solcher behausung ist denen Curanden ebenmäßig und zwar für mütterl. Erbguth gehörig, aber ihrem Stiefvater vorhergedachtem Herrn Johannes Rößler Zum lebtägigen Wÿdems Genuß verfangen.

Nouveau compte, Marie Madeleine Croner s’est mariée avec le diacre Georges Geoffroi Issler
1776, Not. Fické (6 E 41, 785)
N° 224. Rechnung Mein Johann Philipp Riehl, des Dreyer: knechts und burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Weiland Fraun Mariæ Salome geb. Lutzin, letztmals Herrn Johannes Rößler des Frippier und burgers hieselbst gewesener Ehefraun, in erster Ehe mit längst weiland Herrn Johann Jacob Kroner dem gewesenen ebenmäßigen Frippier und burger allhier ihrem ersten Ehemann erzeugt und nach tod zu Erben verlaßener zweÿ Kinder, nahmentlichen Jungfraun der nunmalig Fraun Mariæ Magdalenæ Ißlerin geb. Kronerin S.T. Hn Georg Gottfried Ißler, Diaconi und Schuhllehrers zu Dorlißheim Fraun Eheliebstin und Hn. Johann Friderich Kroner, Phil: Studiosi, inhaltend und ausweisend, alles dasjenige, was ich für dieselbe vom 3.ten Febr. 1774. bis d. 2. Febr. 1776 eingenommen und hingegen ausgegeben habe – dieser Vogteÿ die Vierte und für die Fr. Curandam zugleich letzte Rechnung.

Corpus der beeden Curanden jährlich fallenden hauß Zinses. Nämlich 80. lb d bedungenen Zinses, reicht hr Johannes Rößler, der Frippier und b. alhier, der Curanden Stief Vater, auf den Fuß der am Weihenachten 1771. beendigten Lehnung, Zur Continuation nach mündlicher Verabschiedung, von denen 2.en 3.ten Theilen, so Ihnen Curanden, als väterl. Guth Zuständig worden, an einer dahier Zu Straßburg an dem Baarfüßer Platz gelegenen behausung cum appertinentiis und beträgt solcher haus Zins à 4 pro Cento in Capitali 2000. lb. Pro Nota, der überige eine 3.te theil an solcher behausung ist denen Curanden ebenmäßig und zwar für mütterl. Erbguth gehörig, aber ihrem Stiefvater vorhergedachtem Herrn Johannes Rößler Zum lebtägigen Wÿdems Genuß verfangen.

Compte rendu à Jean Frédéric Croner, étudiant en philosophie
N° 243. Rechnung Mein Johann Philipp Riehl, des Dreyer: Knechts und burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts weiland Fraun Mariæ Salome geb. Lutzin, letztmals Herrn Johannes Rößler des Frippier und burgers hieselbst gewesener Ehefraun, in erster Ehe mit längst weiland Herrn Johann Jacob Kroner dem gewesenen ebenmäßigen Frippier und burger allhier ihrem ersten Ehemann neben der nun Majorennen Fraun tochter ehelich erzeugt und zur helfte ihrer Verlaßenschaft hinterlaßenen Sohns herrn Johann Friderich Kroner Philosophiæ Studiosi, Inhaltend und ausweisend, alles dasjenige, was ich für denselben vom 12.ten Februarii 1776. als den beschluß meiner annoch für beede Geschwister gemeinschaftlich abgelegten vierten Rechnung dieser Curatel bis in den Monath May 1778 fernerhin und ins besondere für den selben besorgt eingenommen und hingegen ausgegeben habe – Fünfte und letzte Rechnung dieser Vogteÿ

Corpus des Herrn Curanden jährlich fallenden hauß Zinses. Nämlich 40. lb d Zu des Herrn Curandi helfte an 80 lb d bedungenen Zinses, gibt Herr Johannes Rößler, der Frippier und b. alh. deßelben Stiefvater, auf den Fuß der am Weihenachten 1771. beendigten Lehnung, Zur Continuation nach mündlicher Verabschiedung, von dem ohnverfangenen 3.ten Theil, so Ihm del Herrn Curanden, als väterlich Guth Zuständig ist, von und an einer dahier Zu Straßb. an dem Baarfüßer Platz gelegenen behausung cum appertinentiis und beträgt solcher haus Zins à 4 pro Cento in Capitali 1000. lb. Ein gleicher ohnverfangener 3.ter Theil hieran ist der Fr. Pfarrerin Ißlerin geb. Kronerin des H. Curanden Fr. Schwester solcher Art gebührig, der überige 3.te theil ist beeder Geschwisterden vor mütterlich Guth anerstorben, Es hat aber selbig. Herr Johannes Rößler der frippier u. b. alh. deroselben Steifvater lebtägig Zu geniesen

N° 245. Schluß oder Nach Rechnung Mein Johann Philipp Riehl, des Dreyer Knechts und burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts, weiland Fraun Mariæ Salome geb. Lutzin, letztmals Herrn Johannes Rößler des Frippier und burgers hieselbst gewesener Ehefraun, in erster Ehe mit längst weil. Herrn Joh: Jacob Kroner dem gewesenen ebenmäßigen frippier und burger allhier ihrem ersten Ehemann neben der nun Majorennen Fraun tochter erzeugt und zur helfte ihrer Verlassenschaft hinterlaßenen Sohns herrn Joh: Friderich Kroner Philosophiæ Studiosi, Inhaltend das dasjenige, was ich für denselben vom Monat May als den beschluß meiner 5.ten und lezten Haupt Rechnung bis 16. 7.bris 1778 fernerhin und ins besondere für den selben besorgt eingenommen und dagegen ausgegeben habe

Le candidat en théologie Jean Frédéric Croner vend sa moitié indivise de la maison à son beau-père Jean Rœssler

1786 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 244-v
H. Johann Friedrich Croner SS. Theologiæ candidatus so großjährig
in gegensein H.Johann Rößler des frippier seines stieffvatters
die helffte vor unvertheilt von und ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfüßerplatz, einseit neben H. Bogner dem meßerschmidtn anderseit neben H. Maske dem chirurgo, hinten auff H. Rathh. Simon – zur tertz in dem käuffer mit lebenlänglichen wÿdum genuß verfangen – um 2000 gulden

Jean Rœssler et Marie Salomé Ott hypothèquent leur part de maison au profit de l’orfèvre Jean Chrétien Walch

1786 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 335
H. Johannes Rößler der frippier und Maria Salome geb. Ottin unter assistentz H. Johann Jacob Ott des rothgerbers ihres bruders und H. Johann Brandhoffer des bierbrauers
in gegensein H. Johann Christian Walch des goldarbeiters – schuldig seÿen 700 gulden
unterpfand, die ihme zuständig ane dem Baarfüßerplatz gelegene behausung einseit neben H. Bogner dem langmeßerschmidt, anderseit neben H. Maske dem chirurgo

Jean Rœssler hypothèque sa part de maison au profit de Marguerite Salomé Ott veuve Nonnenmann

1788 (8.4.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 148
Johannes Rößler der frippier
in gegensein Fr. Margarethæ Salome verwittibter Nonnenmännin geb. Ottin – schuldig seÿen 1200 gulden
unterpfand, die ihme zuständig ane dem Baarfußerplatz einseit neben H. Rathh. Bogner dem meßerschmitt, anderseit neben H. Maßke dem chirurgo hinten auff weÿl. H. Rathh. Simon wittib gelegene behausung
(in gegensein) des debitoris Eheliebstin Fr. Maria Salome geb. Ottin beÿständlich H. Johann Jacob Ott des rothgerbers ihres bruders und Johann Jacob Jost des weißbecken geschwisterd kind

Jean Rœssler meurt en 1794 en délaissant six enfants. La masse propre à la veuve est de 2 826 livres tournois. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 5 239 livres, le passif à 9 256 livres

1794 (3 messidor 2), Strasbourg 4 (20), Not. Roessel n° 278
Inventarium und Beschreibung all derjenigen Haab Nahrung und Güthere so weÿland Johann Rösler, der geweste frippier u. B. alh. zu Straßb. nach seinem d. 26.ten Germinal jüngsthin aus dießer welt genommenen tödl. hintritt verlaßen hat. Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen der disortigen Wittib Maria Salome Rösler gebornen Ott und der Kinder und Benef. Erben Vogts hernach benannt
Denom. hæred. Der nun verstorbene Burg. Rösler hat ab intestato Zu Benef. Erben hinterlaßen seine mit eingangs gedachter wb. ehel. erzeugte noch lebende 7. KK. 1° Cathar. Salome Rösler Zugegen und majorennen alters auch annoch ledig. Standts, 2° Johannes Rösler lediger Schneider und als volont. bei der armées sich befindlich ohngef. 19 Jahr alt, 3° Philipp Carl, led. Schreiner abwes. als volontaire bei ged. armée sich aufhaltend, 18 Jahr alt, 4° Catherine Dorothé 16 Jahr alt, 5° Joh: Gottfried 14 jahr alt, 6° Tobias Christian 11 jahr alt und 7° Margar. Elisalb. 6. Jahr alt dieser 6 minorennen Rösler’scher KK. geordnet und geschworener Vogt ist dero oncle Joh: Jacob Ott, Rothgerber u. b. alh. Zu Strasb. welcher auch in solcher dieser seiner Vogts qualität sowol als auch Zugleich als Beistand der obgedachter majorennen Röslerischen tochter bei disem Geschäft erschienen ist

Eigenthum ane einer Behaußung (T.) Nemlich die helfte für ohnvertheilt von und ane einer behausung, höflein u. hofstat, mit allen deren übrigen begriffen, weiten, zugehörden, recht. und gerechtigkeiten, alh. zu Strasb. auf dem Paraden Platz 1.s neben dem B. Bogner Meßerschmid, anders. neben dem B. Maucke, chirurgo, hinten auf Erlenholtz den Sattler stosend (N° 2) Welche behaußung außer den Impositionen u. darauf haftenden passiv: capital. für ledig eigen und bei disortiger fallim. Inventar in anno 1789 dem Kaufpreis nach ausgeworffen worden pro Zur helft 5000 li. Wie disorts verstorbener Ehemann Joh: Rösler vorbemeldte haus helfte von seinem Stiefsohn der vormaligen Pfr. Zu Landau Johann Frid. Croner ane sich erkauft und Er Rösler auf der zur tertz darauf gehabte lebenslängl. Genuß verzug gethan, darüber besagt Kf.verschrbg. in hies. Contr. Stb. passirt d. d. 26. Junii 1786. die übrige helfte solcher behaußung ist weil. maria magd. geb. Cronerin Georg Gottfried Isler gewest. Schullehrers zu Dorlish. Ehefr. hinterl. 3. Kk. und Erben eigenthümlich zuständig aber dem nun verstorb. Rösler annoch mit 1/6. theil Wittum verfangen gewesen u. Zwar aus seiner erstern Ehefr. maria sal. geb. Lutz längst weil. Jacob Croner, gew. frippier alh. hinterl. Wb. Verl. herrührig. Sonsten besagt über diese beßg. Kfbr. in d. Contrr. stb. pass. sub dato 19. Jun. 1764. benebst andern alten Kfbriefen und briefschaften
Series Rubric huj. Inv. Zuerst der Wittib ohnv. Vermögen, Sa. haußraths 56, Sa. activ schuld 600 Sa. Erg. 2169. Summa summarum 2826 livres
Diesemnach wird auch die übrige Verlaßenschafft sub una massa et titulo als der Benef. Erben ohnv. u. theilb. beschrieben, Sa. haußrath fahrende haab 239, Sa. Eigenth. ane I hßhelfte 5000, Summa summarum 5239 livres – Schulden 9256 livres, Compensando 4016 livres
Enregistré à Strasbourg le 2 thermidoe an 2
Déposé le présent inventaire sous seing privé (…) en l’étude du soussigné notaire, Strasbourg le 28 Messidor an 2
Acte ssp des 3 et 28 mess. (acp 24 f° 188-v du 2 thermidor 2)
Inventaire de la succession de feu Jean Roessler fripier à Strasbourg décédé le 7 Germinal dernier, à la requête d Marie Salomé Roessler sa veuve née Ott, de Catherine Salomé Roessler sa fille majeure et de Jean Jacques Ott tanneur à Strasbourg comme tuteur des six autres enfants du défunt qui sont encore mineurs
masse active mobiliere montant à 296 livres
depend une maison à Strasbourg place d’armes n° 2 estimée 5000 livres

Salomé Ott veuve de Jean Rœssler et les enfants de Marie Madeleine Croner vendent la maison à Jean Jacques Ott (qui cède ses droits à Jean Hickel)

1794 (11 frimaire 3), Chambre des Contrats, vol. 672 n° n° 156
cit. Marie Salomé Ott veuve en secondes noces du cit. Jean Roesler fripier assitée de cit. Jean Chrétien Pick brasseur et cit. David Frédéric Redslob relieur comme tuteur des trois enfants mineurs Marie Madeleine Kroner vivante épouse de Georges Godefroi Isler de Dorlisheim
au cit. Jean Jacques Ott le second employé à l’armée du Bas Rhin
une maison avec toutes ses appartenances, droits et dépendances place d’Armes N° 2, d’un côté le cit. Bogner, d’autre le cit. Maské chirugien, derrière le cit. Ehrenholtz – aux enfants Isler la moitié et aux enfants Roesler l’autre moitié – moyennant 28.800 livres tournois
Extraits de la requête du District de Strasbourg, 5 enchères, 16 brumaire 3 – enreg. 17 frimaire

Jean Hickel vend la maison au sellier Frédéric Hildenbrand

1809 (8.5.), Strasbourg 12 (25), Not. Wengler n° 3989
Jean Hickel propriétaire
à Frédéric Hildenbrand sellier
une maison a rez de chaussée et trois étages avec tréfond Pompe toutes ses autres appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg place d’armes n° 2, d’un côté le Sr Bogner marchand coutelier, d’autre le Sr Maské chirurgien, devant la rue, derrière les héritiers Ehrlenholtz et Hoeltzel – acquis des veuve et héritiers Jean Roesler, frippier, à la Chambre des Contrats le 11 frimaire 3 – 9876 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 111 f° 84-v du 9.5.

Fils de Jean Christophe Hildenbrand, sellier à Halberstadt, Frédéric Hildenbrand épouse en 1795 Catherine Salomé Geyler, fille du boulanger Matthias Geyler
1795 (19 mess. 3), Strasbourg 5 (6), Not. Grimmer n° 201
Eheberedung – bürger Johann Friedrich Hildenbrand der ledige Sattler, Johann Christoph Hildenbrand des Sattlers zu Halberstadt mit Maria Elisabetha geb. Heidecken großjähriger alhier wohnhafter Sohn
Jungfrau Catharina Salome Geÿler des bürgers Mathias Geÿler beckers mit der bürgerin Sara geb. Schneider erzeugte Tochter beiständlich ihres Vaters
Enregistrement, acp 35 F° 93 du 23 mess. 3 – revenu industriel 300 livres

Contrat de mariage du locataire Jean Frédéric Pfister avec Emilie Simon

1819 (14.8.), Strasbourg 3 (64), Not. Schreider n° 283
Contrat de mariage – Jean Frédéric Pfister, majeur débitant de tabacs demeurant place d’Armes n° 2
Emilie Simon fille majeure de Jean Frédéric Simon, professeur de langue allemande à Paris, et de feu Anne Marie Meyer, assitée de François Dominique Detschevery huissier à Strasbourg, son oncle par alliance du côté maternel
Enregistrement, acp 144 F° 39 du 18.8. – communauté d’acquets partageable par moitié

Catherine Salomé Geyler, veuve de Jean Frédéric Hildebrandt, et sa fille Marie Frédérique Salomé épouse du sellier Philippe Spæth exposent la maison aux enchères.

1841 (10. 7.br), Strasbourg 12 (155), M° Noetinger n° 13.815
Cahier des charges – Ont comparu D° Catherine Salomé Geyler, veuve du Sr Jean Frédéric Hildebrandt, en son vivant sellier carossier à Strasbourg où elle demeure & D° Marie Frédérique Salomé Hildebrandt épouse du Sr Philippe Spaeth, sellier, les deux demeurant en ladite ville, Ladite D° Spaeth née Hildebrandt séparée quant aux biens de son mari & dûment autorisée à l’effet des présentes par ledit Sr Philippe Spaeth (…) Lesquelles ont exposé, qu’étant intentionnées de vendre aux enchères publiques la maison ci après désignée, elle se présentaient devant les notaires soussignés pour donner la description de la maison à vendre, en établir la propriété ainsi que les clauses et conditions sous lesquelles elle sera vendue.

Description de la maison à vendre. Une maison à rez-de-chaussée & trois étages, avec pompe, cour, appartenances & dépendances, le tout situé à Strasbourg place d’armes N° 2, tenant d’un côté à M. Bichy, de l’autre à M. Moritz, par devant à la dite place, par derrière à M. Masské.
Etablissement de la propriété. Cette maison a été acquise par la veuve Hildebrandt & son défunt époux durant la communauté qui avait existé entre entre eux, de M. Jean Hickel, propriétaire à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Wengler, lors notaire à Strasbourg, le 8 mai 1809. M. Hickel l’avait lui-même acquise des héritiers du Sr Jean Roessler, vivant frippier à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Dinckel, notaire à Strasbourg le 12 frimaire an trois. Il est observé que la D° Spaeth est la seule et unique héritière de son père ledit Jean Frédéric Hildebrandt.
Charges, clauses et conditions (…) 19. L’adjudication sera fixée à dix heures du jeudi 14 octobre prochain. 20. La mise à prix sera de 16.000 francs
acp 290 (3 Q 30 005) f° 84

Marie Frédérique Salomé Hildebrandt, femme du sellier Philippe Spæth, vend la maison à François Moritz et à sa femme Aimable Mornave qui la réunissent à la voisine (n° 1)

1842 (29.4.), Strasbourg 13 (57), M° Arbogast n° 891
Vente pour 14.000 f. – A comparu D° Frédérique Hildebrandt épouse séparée quant aux biens du Sr Philippe Spaeth, sellier, de son mari & dûment autorisée à l’effet des présentes (…) Laquelle a (vendu)
à M. François Moritz, propriétaire et Dame Aimable Mornave son épouse de lui dûment autorisée à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs
Une maison avec cour, puits, maison du fonds, droits & dépendances, sise en cette ville place Kléber N° 2, d’un côté les acquéreurs eux-mêmes, d’autre le Sr Bychi, donnant par derrière sur la propriété du Sr Maské. Ainsi que l’immeuble se trouve en ce moment avec tout ce qui y tient à mur, clous & chevilles, avec les jalousies & volets qui garnissent les fenêtres des premier, second & troisième étages sur le devant, ainsi que celles des premier & second étage dans la cour & en général avec tout ce qui en droit est réputé de nature immobilière, sans en rien excepter, si ce n’est les fourneaux en fonte & en fayence, ainsi que la Chaudière en cuivre qui se trouvent dans ladite maison et dont la venderesse fait réserve.
La venderesse déclare être légitime propriétaire de l’immeuble présentement vendu pour l’avoir recueilli dans la succession de Jean Frédéric Hildebrandt, vivant sellier carossier à Strasbourg & de Catherine Salomé Geyler ses père et mère dont elle dit être seule et unique héritière. Ces derniers en ont fait l’acquisition durant leur mariage de M. Jean Hickel, propriétaire à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu M° Wengler, Notaire à Strasbourg le 8 mai 1809 enregistré. Et le Sr Hickel en avait fait l’acquisition des héritiers du Sr Jean Roessler, vivant frippier à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Dinckel, lors Notaire en cette ville le 12 frimaire an trois. La venderesse déclare que la maison susdécrite est hypothécairement grevée d’un capital de 7000 francs (…) – Prix de vente, 14.000 francs
acp 297 (3 Q 30 012) f° 97


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.