4, rue d’Austerlitz


Rue d’Austerlitz n° 4 – IX 72 (Blondel), P 1514 puis section 16 parcelle 33 (cadastre)

Reconstruite par le boulanger Jean Georges Zimmer en 1623


Façade, encadrement de fenêtre à volutes, porte (images Jocelyne Boes et Fabien Romary, publiées sur Archi-wiki)

La maison inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du boulanger Georges Heussler comprend notamment un auvent en bois de 15 pieds de long en saillie de 5 pieds. Le bâtiment arrière où se trouve le fournil est chargé d’un cens de 7 sols 2 deniers au profit de la famille d’Oberkirch. Le boulanger Jean Georges Zimmer fait venir en 1622 du bois de la vallée de la Kinzig et reconstruit sa maison l’année suivante. Il est autorisé à y remettre un auvent de mêmes longueur et largeur que l’ancien mais un ou deux pieds plus haut, moyennant un loyer annuel de quatre sols. Les boulangers suivants sont Jean Hamm, gendre de Jean Georges Zimmer, Laurent Hamm puis Jean Georges Kuhn qui fait remplacer en 1723 deux marches pavées devant sa maison par deux marches dallées. Le boulanger catholique Jean Huther achète la maison en 1735. Il en supprime l’auvent en 1768 et la cède en 1774 à sa fille Gertrude Thérèse lors de son mariage avec le boulanger François Joseph Jægy. Les héritiers qui s’estiment lésés par les conditions d’une nouvelle vente passée en 1782 seront en procès pendant plusieurs années avant de céder la maison à Anne Marie Kœhren, l’une des héritières, et à son mari François Xavier Wassmer. Propriétaire depuis 1816, Michel Bieth n’est pas autorisé à y ajouter un étage puisqu’elle dépasse de l’alignement de la route nationale.


Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt), troisième à partir de la maison d’angle à droite

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 253 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve en (m-n) , porte et fenêtre au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour T représente le bâtiment latéral (4-1), celui (3-4) au nord de la cour et celui (2-3) au sud de la cour, (1-2) est l’arrière du bâtiment voisin (actuel n° 6).
La maison porte d’abord le n° 23 (1784-1857) puis le n° 4.


Cour T
Plan du bâtiment arrière acquis de Jacques Schuler en 1829 (ADBR, acte Hickel, cote 7 E 57, 9-63)

Le boulanger Michel Bieth agrandit sa maison en achetant en 1829 de Jean Jacques Schuler son bâtiment arrière (actuel 3, rue des Bouchers). Le boulanger Georges Fuchs construit un nouveau four à pain en 1890. Le boulanger Hermann Scherwitz fait poser en 1903 une nouvelle devanture. Le boulanger Jacques Knoderer transforme le fournil en 1924. La devanture de la boulangerie est modifiée par René Hatton en 1948 puis Patrick George en 1995. L’immobilière Schrœder fait réaménager en 1994 les logements (sept studios et trois appartements de deux pièces).


Plan des Ponts-et- Chaussées (1856, ADBR cote 2 SP 52) – Maison Bieth N° 23, à deux étages en pierre de taille, solide (2 E PT S)
Nouvelle devanture (1903) – Plan cadastral portant les alignements (1948), dossier de la Police du Bâtiment

Store (1995) – Plan du rez-de-chaussée, façades sur cour (1994, Police du Bâtiment)

décembre 2022

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1597 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Heussler, boulanger, et (1565) Einbeth von Zabern – luthériens
v Martin Seitz, boulanger, et (1575) Susanne Wetz puis (1601) Anne Wagner – luthériens
1612 v Georges Zimmer, boulanger, et (1602) Marguerite Widmann puis (1621) Madeleine Müller – luthériens
1637 v Jean Hamm, boulanger, et (1633) Madeleine Zimmer – luthériens
1673 h Laurent Hamm, boulanger, et (1668) Barbe Graff, puis (1672) Marie Salomé Haubenstricker – luthériens
1708 v Georges Kuhn, boulanger, et (1687) Salomé Stiegler, (1695) Marguerite Bœs puis (1703) Susanne Henning, remariée (1721) avec le boulanger Jean Jacques Hitschler – luthériens
1720* h Jean Georges Kuhn, boulanger, et (1718) Marie Ursule Schmidtmeyer – luthériens
1727 v Jean Conrad Karcher, boulanger, et (1712) Marie Susanne Koch – luthériens
1735 v Jean Huther, boulanger, et (1732) Anne Marguerite Meltzheim puis (1735) Marie Anne Ledée – catholiques
1774 h François Joseph Jægy, boulanger, et (1774) Gertrude Thérèse Huther – catholiques
1782 h Philippe Jacques Daller, maître de calligraphie, et (1774) Odile Huther – catholiques (vente résolue en 1787)
1795 h François Xavier Wassmer, boulanger, et (1778) Marie Jeanne Kœhren – catholiques
1816 v Michel Bieth, boulanger, et (1814) Marie Madeleine Eberlin
1854 h Charles Auguste Bieth, boulanger, et (1855) Caroline Emma Best
1873 v Jean Georges Fuchs, boulanger, et (1866) Barbe Caroline Starck
1901* v (Théodore) Herrmann Scherwitz, boulanger, et (1875) Marie Frey
1925* v Jacques Knoderer, boulanger pâtissier, et (1903) Eugénie Rust

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 700 livres en 1702, 1500 livres en 1734, 1600 livres en 1735, 500 livres en 1778

(1765, Liste Blondel) IX 72, Jean Hutter
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Joh: Huter, 2 toises, 1 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1514, Bieth, Michel, veuve du boulanger – maison, sol, cour, bâtiment – 1,52 are

Locations

1631, Pierre Nonnenmann, boulanger
1702, 1708, Isaac Jund, boulanger
1716, Jean Michel Seitz, boulanger
1732, Jean Huther, boulanger (futur propriétaire)
1770, Jean Jacques Stehling, boulanger
1781, Jean Michel Munsch, boulanger
1782, Jean Michel Münch l’aîné, boulanger
1809, Marie Elisabeth Dubs femme du revendeur Jean Valentin Koehren
1810, Jean Jacques Seltz, boulanger
1818, Susanne Caroline Kobelt femme du docteur en médecine Jean Rodolphe Frey

Livres des communaux


1587, Livre des loyers communaux (VII 1450) f° 378

Le boulanger Georges Heussler règle 8 sols 6 deniers pour sa maison, à savoir un auvent en bois (15 pieds de long, saillie de 5 pieds), un gradin en pierre devant la porte (5 pieds de long, 1 pied de large) et un étal de boulanger muré (9 pieds 3 pouces de long, saillie de 3 pieds 3 pouces)

Viehegaßen, in der großen Vÿhegaßen genandt, die Eine seÿtten nach dem Metzger Thor Zu Hienauff.
Georg Heüßler der Weißbeckh hatt an seinem Hauß ein hültzin Wettertach xv schu lang, v schu herauß, Vnden Vor der Thüeren ein Steinen Tritt v schu lang j schu breit, ein Ingemaurten Beckenladen ix schu ij Zoll lang, iij schu iij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, viij ß vj d.

1652, Livre des loyers communaux (VII 1461 (1652-1672) f° 76
Le boulanger Jean Hamm doit 4 sols pour l’auvent de sa maison rue des Bestiaux (voir plus loin la décision des préposés au bâtiment en 1623)

Hanß Hamm der Weißbeck, Soll gemeiner Statt Von einem Wetterdach, seines Haußes in der Viehgaßen neben Hanß Lautenschlagern, Jahrs vf Purfic. Mar. 4 ß
Ext. 1651 et 52
Man. f. 42 b
New fol. 67
(Quittungen, 1653-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 67-v
Même loyer reporté dans le registre suivant. Les contribuables sont ensuite Jean Georges Kiehn (Kuhn) puis Jean Huther

Hanß ([corrigé en] Lorentz) Hamm der Weißbeckh, Soll vom Wetterdach seines haußes in der Viehe gaßen, Jahrs vff Purificat: Mariæ, 4 ß
St. Zinnßb. p. 76
Jetzt Joh: Georg Kiehn Vid. 564
Jetzt Joh: Hutter
(Quittungen, 1673-1741)

1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 741-b
Report dans le registre suivant. L’auvent est supprimé en 1768

alzb. 67-b
Joh: Hutter der Weißbeck solle vom Wetterdach seines haußes in der Viehe gaßen, Jahrs auf Purif: Mar: 4 ß
(Quittungen 1741-1768)
Ist in A° 1768. hinweggemacht worden

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1622, Préposés au bâtiment (VII 1337)
Les préposés au bâtiment délivrent à Georges Zimmer un sauf-conduit pour importer de la vallée de la Kinzig trois cents pièces de bois qui lui serviront à transformer sa maison rue des Bestiaux près du fossé des Bouchers

(f° 243-v) Montag den 7. Octobr. 1622 – Erkaufft Holtz im Küntzigerthal
Georg Ziemer der Beck Pitt Ihme 300 Stuck holtz, so er Zu Verbeßerung seines bawfelligen hauses in der Vihe gaß im Metzgergießen gelegen erkaufft, ohn theil passieren Zulaßen. Ist Willfahrt Unndt ein Zedul ertheilt worden.

1623, Préposés au bâtiment (VII 1338)
Les préposés vont voir la maison que Georges Zimmer a l’intention de démolir pour en reconstruire une nouvelle. Il demande l’autorisation d’y remettre un auvent de mêmes longueur et largeur que l’ancien mais un ou deux pieds plus haut. Ils constatent que l’auvent a 16 pieds de long et une saillie de 5 pieds ½. Georges Zimmer obtient l’autorisation contre un loyer annuel de quatre sols. Il devra aussi régler les frais de visite qui se montent à douze sols.

(f° 20-v) Donnerstag den 23. Januar. 1623. Haben Bawherren vndt dreÿ nachvolgende Augenschein fürgenommen – Wetterdächlin an Becken Behausung
Vff Georg Zimmer des Becken begehren seint Bawherren vndt dreÿ vor sein behausung im Metzgergießen in der Vihe gaß neben Hanß Beckenstein dem Seÿler gelegen, gefahren vndt Ihne angehört, der Zeigt an, demnach er gedacht sein hauß weg Zu brechten vnd ein anderes vffzubawen gewillt, Pitt er Ihme Zu Vergönnen ahn daßelbige ein Wetterdächlin in der lenge undt braite, wie das ietzige alte ist, iedoch vmb ein schu oder Zwen höher hinauff Zumachen, darauff abgemeßen vndt 16 schu lang vndt 5 ½ schu herauß vff die Allmend gehend befunden, Werckmeistere darüber gehört, vndt Ihme stohende hoüßer dergleichen haben willfahrt, soll jährlichen davon wegen vffschürtzens 4 ß Zinßen, dagegen beÿ ersuchung der Allmenden freÿ gehalten Werden, vndt für den augenschein erstatten 12 ß

(f° 27-v) Montag den 27.ten Januar. 1623. – Georg Zimmer
Georg Zimmer den nächstverschinnen Donnerstag Von Bawherren wegen seines wetterdächlins gefaßten bescheÿdt angezeigt, hat den danckbarlich angenommen, vndt für den augenschein erlegt 12. ß.

1723, Préposés au bâtiment (VII 1390)
Le maître maçon Samuel Zanger est autorisé au nom du boulanger Jean Georges Kuhn à remplacer deux marches pavées par deux marches dallées de mêmes dimensions. Le chef de chantier les mesure pour s’assurer que les nouvelles ont les bonnes dimensions.

(f° 129-v) Dienstags de, 5. Januarÿ 1723. – Joh: Georg Kuhn der Beck wegen Veränderung Staffelen
Meister Samuel Zanger der Maurer nôe Johann Georg Kuhnen des schwartzbecken in der Viehegaß bittet gleichfalls umb eine solche Änderung der Staffelen. Erkannt Wilfahrt ut ante [die vor seinem Haus befindliche Zweÿ Staffelen Von Pflaster hinwegthun und an deren Statt Zweÿ andere von steinen platten machen Zulaßen. Erkant wird dem imploranten Willfahrt, doch daß der Werckmeister Zuvor das Meß nehme, damit die Neüe Staffelen nicht breiter noch Länger als die alte gemacht werden)

1790, Préposés au bâtiment (VII 1424)
Les voisins de la maison qui fait l’objet d’un procès entre François Joseph Jægy et Philippe Jacques Daller craignent le risque d’incendie si François Joseph Jægy y exerce à nouveau son métier de boulanger puisque le four et la cheminée sont en mauvais état. Les préposés constatent que le four qui n’a pas servi depuis plusieurs années est en mauvais état mais qu’il se trouve dans une voûte maçonnée. Jægy déclare qu’il le réparera s’il s’en sert à l’avenir. Quant à la cheminée, les préposés ordonnent qu’un ramoneur la vérifie pour calmer les esprits

(f° 54) Dienstags den 14. Septembris 1790. – Frantz Joseph Jägÿ
Idem [H. Pfaudt der Maurer] nomine H. Kobelt des Chirurgi und anderer in der Dauphine Gaß befindlichen einwohnern klagt contra Frantz Joseph Jägÿ den Becken daß derselbe willens in deßen Zwischen seiner Ehefrauen und ihrer Schwester H. Philipp Jacob Dahlers Ehefrauen in indivisio zuständigen und in rechts streit befangenen Becken behaußung sein Becken handwerck treiben wolle, da jedoch das Backoffen den einsturtz drohet, auch das zu selbigem gehörige Camin nicht recht verwahret, also Feuers gefafr Zu befürchten. Erkannt, Augenschein

(f° 57-v) Dienstags den 21. Septembris 1790. Wurden die den 14.ten hujus eingenommene Augenscheine eingenommen und darauf erkannt als folgt – Frantz Joseph Jägÿ
An Frantz Joseph Jägÿ Behaußung in der Dauphine Gaß, allwo die benachbarten, weilen derselbe sein beckenrecht treiben wolle, das Bachoffen aber sehr schlecht und das Camin nicht wohl verwahret, Feuers gefahr befürchten, Allwo befunden, daß der seit etlichen jahren nicht gebrauchte Bachoffen Zwar in sehr schlechten Umstände aber in einem gemaurten Creütz gewölbe stehet, da dann gedachter Jägÿ so gleich declarirt, daß es ihm wann er sein Becken handtierung treiben wolle, am vorzüglichsten aufliege seinen Bachoffen in guten stand Zu stellen, er alßo nun sein brod Zu verdienen so gleich anstalt treffen werde denselben erbauen Zu laßen. Pt°des Camins wurde befunden, daß daßelbe in gutem stand, auch der Balcken von dem man beförchtet, daß er durch das Camin gehet auf beiden Seiten des Camins abgeschnitten und Zwar gut einen schuh davon, jedannoch wurde in loco H Jägÿ anbefohlen, das Camin, ahne derselbe sein becken handwerck Zu treiben anfängt, um jedermann Zu beruhigen durch einen Caminfeger meister besteigen und wohl untersuchen zu laßen, welches derselbe Zu befolgen versprochen. Erkannt, Confirmation und seÿe die sache sonsten auf sich selbsten zu laßen.

1818, Voirie (283 MW 357)
Le propriétaire Bieth n’est pas autorisé à ajouter un étage à sa maison qui dépasse de l’alignement. Il pourra par contre ravaler et blanchir la maison, supprimer l’avant toit pour y placer une corniche et abaisser les appuis des croisées

Préfecture du Bas Rhin. Extrait du registre des Arrêtés du Prefet du Département du Bas-Rhin du 24 avril 1818, Vu la pétition présentée par le Sr Bieth boulanger, propriétaire de la Maison située à Strasbourg rue Dauphine faisant partie de la route Royale de première Classe N° 5 par laquelle il demande la permission de surmonter sa maison d’un Etage, de changer les croisées des étages inférieurs et de ravaler et blanchir la façade
L’estimation de l’ingénieur de l’arrondissement du 16 de ce mois et l’avis de M. l’Ingénieur en Chef du 19
Considérant que la façade de la Maison dont il s’agit n’est point dans l’alignement arrête pour cette rue partie de la traversée de la Route royale que par conséquent la Surélévation d’un étage demandée ne peut être tolérée, Considérant cependant que les autres réparations projettées à la même façade ne tendent point à prolonger la durée de la Maison qui lors de sa reconstruction pour cause de vetusté devra recevoir un nouvel alignement
Arrêtons art. 1. La demande de permission formée par le Sr Bieth de surmonter d’un tiers la maison sise rue Dauphine N° 23 est rejettée, quant au ravalement et au blanchissage de sa maison à la Suppression de l’avant toit pour y placer une corniche et aux abaissements projettés dans les appuis des croisées il est autorisé à exécuter ces réparations

Description de la maison

  • 1702 (billet d’estimation traduit) La maison, le fournil, le four, le puits et la cave solivée sont estimés avec les appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins
  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, chambre à cheminée, chambre pour l’officier et pour son domestique, un bâtiment accessoire à demi toit dont le rez-de-chaussée comprend le fournil et la boulangerie voûtés et l’étage la resserre à farine, en outre un bûcher et une cave solivée, estimés avec les appartenances et dépendances à la somme de 3000 florins
  • 1778 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un fournil et une boulangerie voûtés, item deux poêles, une cuisine et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la cour, le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Dauphine (en partie)

nouveau N° / ancien N°: 4 / 23
Wasmer
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie (Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 461 case 4

Bieth Michel V° du boulanger
1856. Bieth Charles Auguste, boulanger

P 1514, sol, maison bât, rue d’Austerlitz 23
Contenance : 1,52
Revenu total : 153,79 (153 et 0,79)
Folio de provenance :
Folio de destination : D.on du 4 juillet 1844
Année d’entrée :
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2
1845, Bieth Michel f° 461, P 1514, Maison, revenu 9, Réd.on du revenu par D.on du 4 Juillet 1844, suppression en 1845

P 1514, maison
Revenu total : 144,79 (144 et 0,79)
Année d’entrée : 1845
Année de sortie :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 881 case 2

Bieth Charles Auguste, boulanger
1874 Fuchs Johann Georg, Becker und Ehefrau Karoline geb. Starck in Gütergemeinschaft

P 1514, maison, sol, Rue d’Austerlitz 4
Contenance : 1,52
Revenu total : 144,79 (144 et 0,79)
Folio de provenance : (461)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 2

Cadastre allemand, registre 29 p. 186 case 3

Parcelle, section 16, n° 33 – autrefois P 1514
Canton : Metzgerstraße N° 2
Désignation : Hf, Whs u. N.G. / sol, maison et bât. acc.
Contenance : 1,73
Revenu : 1500 – 1900 – 1700
Remarques : 1906, Umbau

(Propriétaire), compte 422
Fuchs Johann Georg, d. Erben u. Ww.
1905 Scherwitz Hermann u. Ehefrau
1925 Knoderer Jacob et son épouse Eugénie née Rust
(2415)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 313 Rue Dauphine p. 477

23
Pr. Hutter, Joseph – Boulangers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Metzgerstraße (Seite 115)

(Haus Nr.) 4
Scherwitz, Bäckerm. 01
Kastera, Schneiderin. 1
Bolsche, Maurerpolier. 2
Gerlach, Pensionär. 2
Hille, Maurer. 2
Berger, Schriftsetzer. 3
Burgund, Büglerin. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 892 W 364)

4, rue d’Austerlitz (1873-1996)

Le maître boulanger Georges Fuchs construit en 1890 un nouveau four à pain. L’entreprise strasbourgeoise de constructions (Strassburger Baugesellschaft, anciennement K. et E. Klein, 6, rue Fritz) pose en 1903 une nouvelle devanture pour le maître boulanger Scherwitz. Le propriétaire du n° 6 se plaint en 1911 du toit vitré de son voisin qui remonte à plus de quatorze ans. Le boulanger Hermann Scherwitz fait installer en 1911 une machine à pétrir dans la partie gauche du bâtiment arrière. Le maître boulanger Jacques Knoderer rehausse la cheminée en 1919, remplace une partie de son toit vitré en 1922 et transforme le fournil en 1924. René Hatton transforme en 1948 la devanture de sa boulangerie sous la direction de Charles Heupel et A. Mœmersheim. Les boulangers suivants sont J. Steinmetz (1954), Ch. Kobler (1969) puis (1988) Patrick George qui fait poser un store pliable et modifier la devanture en 1995.

Sommaire
  • 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du plombier Rhein l’autorisation de faire une prise pour environ deux becs dans la maison Fuchs sise 4, rue d’Austerlitz
  • 1887 – G. Fuchs demande l’autorisation de raccorder la maison aux canaux municipaux – Autorisation – Dessin
  • 1888 – Le maire notifie J. Fuchs (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1888, mais il reste une inscription en français – Dossier classé, octobre 1889
  • 1891 – Remarque sur la contenance de la fosse d’aisances qui serait de 3,50 mètres cubes. Elle a en fait 4,20 mètres cubes.
  • 1890 – Le maître boulanger Georges Fuchs demande l’autorisation de construire un nouveau four à pain – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1890. – Dessin
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets des soupiraux qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappel, 1897 – Travaux terminés, juin 1898
  • 1901 – Le vérificateur de l’octroi Edouard Stoll, propriétaire du 3, rue d’Austerlitz, informe la Police du Bâtiment que le boulanger Scherwitz, propriétaire du 4, rue d’Austerlitz, a fait remplacer la cheminée du bâtiment arrière par un simple tuyau. – La Police du Bâtiment constate les faits et demande au propriétaire de se conformer au règlement – Rappel, avril 1901 – Le fourneau et le tuyau ont été supprimés, mai 1901
  • 1902 – Le maire notifie la veuve Fuchs (demeurant 6, Montagne Verte) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1902
  • 1903 – L’entreprise strasbourgeoise de constructions (Strassburger Baugesellschaft, anciennement K. et E. Klein, 6, rue Fritz) demande l’autorisation de poser une nouvelle devanture pour le maître boulanger Scherwitz – Le service d’architecture note que la parcelle dépasse de l’alignement légal (entre 1,50 et 1,90 mètre) – Calcul statique – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1903 – Dessin (devanture en bois)
  • 1905 (décembre) – Les pompiers interviennent pour un feu dans une pièce
  • 1906 – Dossier suite au courrier du commissaire de police. Le boulanger Scherwitz demande l’autorisation de continuer à exploiter sa boulangerie – La Police du Bâtiment constate que la boulangerie a 2,60 mètres de haut – L’inspecteur Nebelung n’a pas d’objection à faire – Le préfet accorde en avril 1907 dérogation au règlement du 20 août 1906.
  • 1907 – Le maire notifie Hermann Scherwitz (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1907
  • 1911 – G. Franck, propriétaire du 6, rue d’Austerlitz et demeurant 20, place Broglie, déclare que les deux fenêtres de cuisine au premier et au deuxième étage qui s’ouvrent dans la cour du n° 6 n’ont plus assez de lumière ni d’air depuis que son voisin a recouvert la cour d’un toit vitré. – La Police du Bâtiment se rend sur place et constate les faits (croquis en marge). Le propriétaire déclare que le toit vitré est en place depuis qu’il est propriétaire de la maison, soit 14 ans. – Stadelhofer note le 20 décembre qu’on peut transformer à peu de frais les pièces de la propriété Franck pour qu’elles reçoivent l’air et la lumière. – Deutschmann note le 21 décembre que les transformations exigent de reconstruire toute la maison – Le maire répond à Franck qu’il ne peut rien contre un état de fait qui remonte à plus de 14 ans.
  • 1911 – L’architecte Ch. Krebs (20, rue des Jardins) demande au nom du boulanger Hermann Scherwitz l’autorisation d’installer une machine à pétrir – Requête de Hermann Scherwitz, la machine est fournie par la société Lamparter de Metzingen en Wurtemberg – L’inspecteur du travail donne un avis favorable et les conditions à respecter – Autorisation, décembre 1911 – Dessin (la machine se trouve dans la partie gauche du bâtiment arrière) – Travaux terminés, février 1912
  • 1919 – G. Bruck (demeurant 3,rue d’Austerlitz) se plaint d’être incommodé par les fumées provenant du n° 4. Le maire demande à Hermann Scherwitz de rehausser la cheminée de trois mètres – Le propriétaire est maintenant le maître boulanger Jacques Knoderer qui répond que la cheminée existe depuis plus de 50 ans mais que son prédécesseur n’avait pas de bonnes relations avec son voisinage – La Police du Bâtiment répond que les travaux sont nécessaires mais donne un délai supplémentaire – La cheminée a été rehaussée d’un mètre au lieu de trois. – Dossier classé
  • 1922 – E. Bruck, propriétaire de la maison voisine (3, rue d’Austerlitz) déclare que son voisin a fait poser un toit vitré. Elle déclare que le propriétaire précédent a dû enlever trente ans auparavant le toit vitré qu’il avait fait poser – La Police du Bâtiment constate qu’il s’agit d’un simple remplacement d’un toit vitré qui ne contrevient pas au règlement. L’affaire remontant à trente ans n’est pas relatée dans le dossier de la Police du Bâtiment.
    Le propriétaire Knoderer est autorisé à remplacer une partie de son toit vitré.
  • 1924 – La préfecture autorise l’entreprise de construction Guri et Meyer (4, rue des Balayeurs) à occuper la voie publique pour transformer le fournil du boulanger Knoderer
    Autorisation de faire des transformations dans la cour, septembre 1924 – Calcul statique, le fournil est prolongé vers la chambre à farine élevée sur cave. Le plancher du fournil sera supporté par une poutre métallique – Dessin – Réception finale, novembre 1924 (l’escalier n’a pas de rampe, il n’y a pas eu de demande pour autoriser les machines) – La rampe est posée, l’autorisation des machines est de la compétence du préfet.
  • 1933 – Le maire notifie le boulanger Jacques Knoderer de faire ravaler la façade
  • 1940 – Jacques Knoderer déclare que le crépi se détache de la propriété Heupel sise rue des Bouchers, ce qui obstrue sa gouttière. La Police du Bâtiment constate qu’il n’y a pas de danger public, l’affaire relève du litige entre voisins
  • 1948 – La Police du Bâtiment constate que René Hatton a fait transformer sans autorisation sa façade en avant de l’alignement – René Hatton demande l’autorisation de transformer la devanture de sa boulangerie sous la direction de Charles Heupel et A. Mœmersheim (9, rue du Bouclier) – Le terrain dépasse de l’alignement (de 1,60 à 2,15 mètres, huit mètres carrés tombent dans l’élargissement de la rue, route nationale n° 4) – Plan cadastral et alignement légal – Dessin de la devanture
    L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées donne son autorisation (point kilométrique 49,990, côté droit – Autorisation
  • 1954 – La Police du Bâtiment constate que le boulanger J. Steinmetz a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation
  • 1959 – La société S.A.D.A.L. (102, route des Romains à Kœnigshoffen) occupe la voie publique. Elle règle une double taxe pour ne pas avoir demandé d’autorisation
  • 1963 – Le maire notifie Jacques Knoderer (demeurant 50, avenue Jean-Jaurès au Neudorf) de faire ravaler la façade – Rappels adressés à la veuve Knoderer en octobre 1963 et janvier 1964
    1964 – Joseph Joachim (6, Petit Heyritz) est autorisé à occuper la voie publique pour peindre la façade – Travaux terminés, mai 1964
  • 1969 – La boulangerie pâtisserie Kobler demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Dessins de l’enseigne
  • 1972 – Changement de débiteur pour droit d’enseigne. Ancien débiteur, Emile Munsch (7, rue d’Austerlitz), nouveau débiteur, Benoît Massé (13, rue des Peupliers à Lingolsheim)
  • 1979 – Le maire notifie Jeanne Terrisse de faire ravaler la façade – La veuve Charles Lentz (3, rue Fred Vlès) demande une subvention, devis de l’entreprise de crépissage Fernand Motz (11, rue de Lucerne) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation de ravaler la façade dans le secteur sauvegardé
    Facture de Fernand Motz – La Ville verse la subvention
  • 1988 – Avis de paiement adressé à la boulangerie pâtisserie P. George (enseigne lumineuse et enseigne perpendiculaire)
    1988- Changement de débiteur. Ancien débiteur, Ch. Kobler, nouveau débiteur, P. George
  • 1995 – Le boulanger Patrick George (demeurant 2-a rue de la Liberté à Lingolsheim) demande l’autorisation de faire poser un store pliable (3 mètres de long, deux mètres déplié) par la société Stores Caspar (à Molsheim) – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Patrick George est autorisé à poser un store en banne dont le lambrequin porte une inscription – Le store est posé, octobre 1995
    1995 (août) – L’entreprise Univers du bois (rue du Doubs) est autorisée à occuper la voie publique
    1995 (mai) – Patrick George demande l’autorisation de modifier la devanture (propriétaire, Immobilière Schrœder, 7-a, rue du Tribunal à Schiltigheim) – Extrait du plan cadastral – Plan du magasin, photographie – Rapport de la commission de sécurité – Autorisation du propriétaire – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Arrêté portant prescription à une déclaration de travaux, septembre 1995 – Travaux terminés, décembre 1995 – Rapport de la commission de sécurité, février 1996.

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 1561)

4, rue d’Austerlitz (1994-1997, déclaration de travaux, DT 482 94 v 0122)

L’immobilière Schrœder fait réaménager en 1994 les logements en dix lots (sept studios et 3 appartements de deux pièces)

Sommaire
  • 1994 – L’immobilière Schrœder dépose une déclaration de travaux pour percer une porte, poser un vasistas et un escalier qui assure la sécurité des logements à l’arrière du bâtiment, sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau. Pas de changement au rez-de-chaussée, nouvel escalier dans un appentis pour pouvoir évacuer les logements au fond de la cour, logements réaménagés en dix lots (sept studios et 3 appartements de deux pièces) – Dessins
    1994 (mai) – Le maire autorise les travaux
    1994 (avril) – Le notaire Pierre Kalck (rue Jules Rathgeber au Neudorf) informe la Communauté urbaine qu’une somme de 60.107 francs sera déposée à la Caisse des dépôts et consignations pour compenser les emplacements de stationnement
    Travaux en cours, avril 1996, travaux terminés, mars 1997

Autre dossier
1601 W 43 – 4, rue d’Austerlitz (réfection de la façade, 2004 (ads-dt-482 04 v 0401)


Relevé d’actes

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du boulanger Georges Heussler. Il épouse en 1565 Einbeth, fille de Martin von Zabern.

Mariage, cathédrale (luth. p. 144)
1565. Suntag de 21. Octob. Jorg Heusler, Beck, Einbeth Martin von Zabern dochter, Zinstag den 6. Novembris hor. 10. (i 75)

Elle appartient ensuite au boulanger Martin Seitz qui épouse en 1575 Susanne (fille) d’Ulric Wetz.

Mariage, cathédrale (luth. p. 256)
1575. Sonntag den 28. August. Martin Seitz, Beck, Susanna Ulrich Wetzen Schumachers hind.laßen (*). Ist bei Hans Weller Zuerfrage. Eingesegnet Montag den 12Sept. (i 131

Martin Seitz se remarie en 1601 avec Anne, fille de Jean Wagner, de Westhoffen.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 53-v n° 19)
1601. den 28. Julÿ sind Ehelich eingesegnet word. Martin Seitz der Weißbeck vnd Burger alhie, vnd Anna Wagnerin weiland Hans Wagners gewesenen Burgers Zu Westhoven selig nachgelaßene dochter (i 61)

Le boulanger Martin Seitz hypothèque la maison au profit du teinturier Georges Grasmann

1602 (vt spâ [xxvij. Julÿ]), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 353
(Inchoat. fo: 356.) Erschienen Meÿster Martin Seÿtz der Brottbeck
hatt Inn gegensein Georg Graßman Ferber bekhant – schuldig sein 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt v. hofflin mitt all Iren gebeu & gelegen Inn der S S Inn Vÿhgaß gegen der herrberg Zum ochßen hinüber einseyt neben Jacob Erharts Kannengiesser selig. erben andersyt Andres Cuntzen des Olmans selig erben stoßend hind. vff dieselb. erb. davon gnd 15 guld. glts loßig mit ij X guld. SW dem großen Spittal, Mehr v lb viij ß vij d ablösig mit ij C L guld. SW Jacob Erharts seligen witwe So dann vij ß vj d bodenzinß Junckher Wolff Thoman von Oberkirch

Martin Seitz et Anne Wagner hypothèquent la maison au profit de l’enseignant Adam Kolb. En marge, quittance accordée en 1620 au boulanger Georges Zimmer, alors propriétaire

1602 (16. Octobris), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 425
(Inchoat. fo: 420) Erschienen Martin Seÿtz Brottbeck, burger alhie, vnnd Anna Wagnerin sein eheliche haußfrauw
Haben in gegensein des Würdigen Wolgelerten Herrn Adam Kolben, Collegÿ Prædicatorum Pædagogÿ – schuldig sigen 300 guldin zu xv batzen
Zum vnderpfand ÿngesetzt Hauß, hoffstatt vnnd Hofflin, mit allen and. Iren gebeüwen, gelegen Inn d. St. St. Inn vÿhegassen, einseit neben Jacob Erharts des Kannengießers seligen Wittwe vnd erben, and.seit Andres Cuntzen des Olmans seligen wittwe vnnd Erben, stoßend hinden vff Niclauß Hanns Metziger den Kuttler, Dauonn gondt fünffzehen guldin gelts ablößig mit 300 guldin Straßburg dem mehrern Spittal alhie, Item 10 guldin gelts Wid.khöuffig mit 200 gudin Straßburger obbemelts Jacob Ehrharts selige Wittwe vnd Erben, Sonst ledig eÿgen wie man sagt
[in margine:] Erschienen Hannß Friderich Leoparth Alß Substitut herren Andreæ Schellen Schaffners vnd beuelchabers Weÿlandt herrn Adami Kolben seeligen Erben, Hatt in gegensein Geörg Zimmers des weÿßbeckhen Als Jetzigen besitzers des vnderpfandts (…) quittirt vff d. 19. Julÿ 1620.

Le pasteur Adam Kolb qui a engagé une procédure pour vendre la maison par adjudication judiciaire la suspend quand le marchand Barthelémy Spiess se porte garant des débiteurs Martin Seiz et Anne Wagner. Une clause stipule que seuls les débiteurs ont le droit d’exercer le métier de boulanger dans la maison

1607 (xx. tag Junÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 272
(Inchoat. in Proth. fol: 254.) Erschienen Martin Seÿtz der Weißbeck burger Zu Straßburg vnd Anna wagnerin sein eheliche haußfrauw Ane eim,
So dann h. Bartholome Spieß d. handelßmann burger Zu Straßburg Am Andern theil
Demnach herr Magister Adamus Kolbius pfarrer Zu Birckenveldt im Westerich gedachter ehegemechd Martin Seÿtz. vnd Annen Behausung Inn d. Statt Straßburg Inn d. vÿhegaß nebent gedachtem herrn Spießen geleg. weg. 1. C xxv lb d hauptgutt Ane die ganth gebracht, vnd wid. sie Also verfahren, das der dritte Ruff Albereith hatt sollen beschehen Damit Aber sie die ehegemechd beÿ Ihrer Behausung noch lenger verpleib. möcht. So hatt hierauff obgedachter Bartholme Spieß angeregtes hauptgutt der j C xxv lb d vff sich genommen vnnd vonn Ihr d. ehegemechden weg. obgenantem Magistro Kolbio Zu den getroffenen Zÿelen Zuerleg. verwilligt vnd bezahlen doch Also vnd dergestalt was Jetzgenant Spieß von Ihrentweeg. würdt erstatten müssen, das obangeregte Ihro Behausung Inn d. Vÿhe gaß. geleg. Auch Aller meß. wie sie ermeltem M Kolbio Verpfandt gewesen, ohne einige novation vnd erneuwerung demselben herrn Spießen verhÿpotheciret vnd versichern sein vnd pleib. solle
Dageg. vnd für Jetz erzeugte vnnd bewissene nachbarschafft, So haben mehrgesagte ehegemechd hinwiderumb Zugesagt vnd verwilligt, Das Ihre Behausung Kheinem Becken so das handtwerck darin Zutreiben begehrt, nimmermehr weder durch sie selbß noch Ihre erben vnnd nachkommen soll Verkaufft werdenn, Wann Aber sie die ehegemechd, Ihre Khind. od. daselbige eheliche leibs erb. für sich selbß solche Zum Beckenwerck Zugebrauch. würd. erhaltt. khönnen, das Inen dasselbig handtwerck Inn d. Behaußung zu führen freÿ vnd vnbenommen sein solle. Da Aber ehegesagte ehegemechd od. Ihre erben die Behausung einem Andern so d. Becken handwerck mit zutreiben begerth, Verkhouffen vnd feÿl thun wolten, das ermelt. h.Bartholme Spieß, sein haußfraw vnd Inhaber Ihrer vordern Behausung den Vorkhauff vnd fürgebott vff Ihr d. ehegemechd. Behausung vff solch, fahl Jed. Zeit haben sollen, Endlichen Im fahl Auch obgehörtte j C xxv lb d ermeltem Spiesen seiner haußfr. vnd Ihrer bed. erb. wid. durch sie die ehegemechd, Ihre erben vnd nachkommen od. Inhabern Ihrer Behausung erstattet werd. solte, das es nit desto wenig. beÿ obgesezten pactis des vorkhauffs vnd das solche Behausung kheinen Andern so d. Beck. handtwerck darinn Zutreib. begert, verkaufft werd. solle, Jederzeit Verpleib. vnd demselben stracks nachgelebt werden

Martin Seitz et Anne Wagner hypothèquent au profit de Barthelémy Spiess la maison chargée notamment d’un capital dû à Marie Seitz, fille en premières noces du débiteur

1607 (vt spâ [xx. tag Junÿ]), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 273
(Inchoat. in Proth. fol: 254.) Erschienen Martin Seÿtz d. Weißbeck vnd Anna Wagnerin bede obgcht.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. Bartholome Spieß des handelßmanns burgers Zu Straßburg – schuldig sigent xxv lb d Straßburger
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Hauß, hoffestatt vnd höfflin, Mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. Inn d. vÿhegaß, einseit neb. herr Bartholome Spießen dem gl*er, And.sit neben Jörg Ritschuhe, hind. vff Thoman N. den Kübler stoßend, dauon gond. xv gl. gelts Ablösig mit iij C gl Straßburg dem mehrern Spittal, Mehr x gl. gelts Ablosig mit ij C gl derselb. werung h Heinrich Vagio, Item j lb v ß d gelts Lösig mit xxv lb d Thoman Bügle dem Bronnmeister vffm Reinoffen, It. dann noch weÿther verhafftet für vij lb Marien Seÿtzin sein des Bekhenners dochter Inn d. ersten ehe erzielet, Vnd dann noch ferner für j C xxv lb d dem gloubiger obgedacht hievor, Von Magistro Adam Kolbio den pfarrern zu Birckenveldt herrührend

Barthelémy Spiess fait vendre par adjudication judiciaire au boulanger Georges Zimmer la maison de Martin Seitz dont le Grand Sénat l’a mis en possession

1612 (23.t Septembris), Chancellerie, vol. 400 (Imbreviaturæ Contractuum 1612. 1613) f° 33-v
Khauffverschreÿbung Georg Zÿmmers des Wey[ß]becken vber sein Behausung In viehgassen
(Extendirt wie In dem Contractbuch de Aô 1612. fol. 123. Zusehen) Erschienen Bartholomæus Spieß Burg. vnd Wurtzkramer alhie für sich vnd seine eheliche haußfraw so leybsblodigkeit halben nit erschienen konte (…) mit beÿstand Herrn Johann Baw*ern, Johann Meychsners vnd Martin Gerlach beÿsitzer des Grossen Rhats hat Bekhant vnd verjahen, nachdeme er wegen seines außstandts auff Martin Seytzen des Becken seligen Behausung alhie Jenseyt d. schindbrucken In Viehgassen geleg. dieselb ane der Ganten vnd auch m execution vor einem Ers: Grossen Rhat souil erhalten das Ime Jetzgemeldt sein erkauff vnd.pfand eingeraumpt worden dergestalt das er sich seines anstands daran erholen vnd sich bezalt machen mög. das er darauff für sich seine erben vnd nachkommen mit beÿstand wüssen willen vnnd handlung obernante Herren
angeregten Behausung so einseyt neben Ine den Kauffer and.seyt neben Georg Reutschuh dem Grempen, hinden auff Lorentz Kleinen den Schneÿd. vnd Thomen Trebten* den Kubler stoßend gelegen eines anrechten redlich vnd imerwerden. Kauffs verkaufft vnd Zukauffen gen Georg Zimmern den Weÿßbecken vnd Burg. alhie so zugegen Vnd Ime vnd seinen Erben Kauffte obermelte Behausung, davon gend zuvor 7 schilling 6 pfenning Bodenzinß den Edlen von Oberkirch auff Martini, Item 5 Pfund 5 schilling Jarlichs Zinß auff Maria Leichtmeß H. Henrico Vagio In hauptgut mit 105 pfund wid. losig, Item 7 Pfund17 schilling 6 pfenning dem Mehrern Spittal auff Weÿhenachten In hauptgut mit 157 Pfund 10 schilling, Item 6 Pfund 5 schilling Jarlichs auff Galli Ime den Kauffern selber Inerhalb Jars frist mit vor* hand 25 abzulosen vnd solle auch vff Jetzgemeld Behausung für auffgeschwellte vnd vßstendige Zinß daruf den Keuffer in massen er Zuthun auff sein genueg abge*ß vnd bezalt werden 130 Pfund biß dato gerechnet vnd werde der Kauff Zugang. vnd beschehen vor vorangemelte beschwerden Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 58 pfund

Le boulanger Georges Zimmer épouse en 1602 Marguerite, fille du pileur d’épices David Widmann
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 168, n° 430)
1602. Domin: 3. post Epiphan 24. Januarÿ. Georg Zimmer d. Weÿßbeck vndt Margreth, David Widmann des Wurtzstoßers alhie tochter, Eingeseg. Montag 8. Februarÿ (i 170)

Les boulangers Jacques Werner et Georges Zimmer s’adressent aux Quinze après que les préposés aux feux ont autorisé Josse Edelmann à ouvrir une nouvelle boulangerie alors qu’il y en a déjà cinq à proximité. Les préposés font observer que le pétitionnaire n’aurait pas sollicité ce droit s’il craignait de ne pouvoir gagner sa vie. Les Quinze se rangent à l’avis des préposés.
1615, Protocole des Quinze (2 R 43)
(f° 40-v) Sambstag den 11. Martÿ. – Jacob Werner, Georg Zimmer Ca. Jost Edellman, Beckenhauß
Jacob Werner der Weißbeck, vnd beneben Ime Georg Zimmer sein nachbaur auch ein Weißbeck, erschienen, haben gebieten laßen Jost Edellman dem Weißbecken, vnd p. Tromeren erhohlen sie vff meiner Hrn erkandtnus, die Jüngst vonn Ime Werneren einkommene Supplication, vnnd geben mein. Herren vber vorige beschwerden noch ferner Zuerkennen das fast beÿ einem Steinwurff in dißer nachbarschafft 6. Beckenhäußer beÿeinand. welche nottwendig einander verderbenn müeßen, So pleibe auch, wann Jost Edelman willfahrt werden sollt. Zwischen sein vnd Werners bäncken, nicht vber 4. schuh platz vff der gassen, Item würden sich ohnwiderpringliche schaden vnd Zänck Zwischen Inen erheben, Wahferr es mein Herren nicht dardurch fürkommen, das dem ggt. sein begehren abgeschlagen werde, betten derentwegen Wir in Supplicatione gebetten werden, Edellmann bitt Ime beÿ albereit von den Feürherren gegebenen bescheÿdt Verpleiben Zu lassen, begehr vff der Supplication nicht Zuhandlen. Tromer setzt es der weitteren beschwerden halben Zu meiner Herren erkandtnus, weÿl sie Villeicht davon noch kein wissens gehapt. Feürherrn referiren, Sie hetten befunden, das disse behaußung darumb der streit, mitt einem gewölb allso versehen werden Khan, das kein schaden darbeÿ Zubefahren, vnnd ob sie auch schon in acht genommen, daß noch vil becken Häußer vmb die gegner, halten sie darfür, wann Edelman schaden besorgte, würde er sich nicht dahero begeben. Darumb sie Ime in seinem begehren willfahrt. Erkant, Vnndt laßt man es bey der Feürherren gegebenen bescheÿdt verpleiben. Jr. Berstett und Mr. [-]

Georges Zimmer se remarie en 1621 avec Madeleine, fille du messager Othon Müller
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 442 n° 1408)
1621. Dominica 9. Trinitatis Görg Zimmer des Weißbeck Vnd Jungfrau Magdalena Otto Müller des Rathbotten nachgelaßene Tochter (i 463)

Georges Zimmer est mis à l’amende pour vendre du pain au-dessous de son poids
1626, Protocole des Quinze (2 R 54)
(f° 111-v) Sambstags den 13. May. – Geörg Zimmer, Jacob Katzenstein, vide fol: 114
H. Riehl laßt Zweÿ Creützer Laden brodt vorlegen, so von Zwoen Frawen in daß umbgelt gebracht worden, vnder welchen daß Eine, von Geörg Zimmern vmb 1 ½ loth leichter allß der Sätz vßweéyéset gebacken, daß and. aber an Jacob Katzensteins laden erkaufft vnd vmb ein halb loth Zuring erfund. word. C. wie beede delinquent. anzustraffen & Erkandt, Georg Zimmer soll 5. lb, Katzenstein 3. lb d Zur straff erlegen.

(f° 114) Montags den 15. May. – Jacob Katzenstein, Geörg Zimmer
Oberungelt Hh. haben Jacob Katzenstein undt Geörg Zimmer den Zween weißbecken so v.schinen Sambstag abgestrafft worden, Jedem j lb d. ane der vferlegten straff nachgelaßen, hatt allso Katzenstein 2 lb d Zimmer 4 lb d richtig gemacht
[in margine:] beede Straffen vff den Pfenningthurn gesendet, Freit. 11. Augusti 626.

Georges Zimmer hypothèque la maison en garantie d’un complément de remboursement au profit d’Anne Botz, veuve de Henri Vagius, le capital ayant été acquitté lors de la dévaluation monétaire

1629 (26. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 534
Erschienen Georg Zimmer der Weißbeck burg. Zu St.
hatt in gegensein deß Ehrwürdig. wolgelerten herren M. Johann Georgÿ Schürings Diaconi Zu S. Wilhelm alß Vogts Jgfr: Anna Botzin weÿ: H Heinrici Vagÿ auch burgers see: alhie instituirter Erbin bekannt, demnach er Zimmer den 25.ten 9.bris 1622. erstbesagtem Vagi 200. fl. Capital St. wer. in hohem gelt dem Reichßthaler nach zu 6. fl. abgelegt, vnd aber er Zimmer sich wolcher schlechten beschehenen bezahlung hett, zum (…) Nachtrag schuldig (…)
für sie Zum Nachtrag schuldige 50. lb d verkaufft 2 lb 10 ß d Zinses solchem Alle Jar vnd in anno 1630. Zum erstenmahl vff Michaelis Zuhand reichen, von vff vnd abe hauß hofstat höfflin hinderhauß mit allen andern deren gebawen & geleg. alhie an der Vÿhegaß. gegen der herberg Zum ochsen vber neben hanß Beckenstein Ein vnd 2. seit hanß Lautenschlager beeden seÿler, hind. Zum theil vff Jacob Cuntzen dem ohlman, vnd Zum theil vff Thoman den Kübler stoßend, davon gehen Jarß 15. gld. wehrung vff weÿhenachten dem Mehren Spital alhie in hauptg. mit 300. fl. besagter w. abzulösen, So dann 7 ß 2 s bod. Zinß den Edlen von oberkürch, vnd 4 ß d Allmend gelt d. St. St. sonst eÿg.

Le boulanger Georges Zimmer l’aîné loue une partie de la maison au boulanger Pierre Nonnenmann

1631 (ut spâ. [14. Novembris]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 571
Erschienen Peter Nonnenmann d. Beck burger Zu St.
hatt in gegensein Georg Zimmers deß eltern auch becken vnd burgers alhie
bekannt, daß Er von demselben zweÿ Jahr lang, die nechsten von schierist Kommend. Andreæ an nach einander. folgend. vffrecht & entlehnet vnd bestand. in sein Zimmers behaußung den gantzen hindern stock, außgescheiden einer Cammern beÿm Beütelgaden, vnd im Vordern hauß den gantzen vndern Boden, vnd daß hinderste Kellerlin, sampt dem mitelsten Keller in gemein, So dann oben in der Vordern behausung ein groß vnd ein Kleine Cammer vff dem driten Bod., auch den vndersten frucht Kasten allein, die vberige Kästen aber ins gemein, item Zwo Multen, die Brotdielen vnd brotcasten, für und vmb einen wochentlichen Zinß, Nemblich 18. ß d

Georges Zimmer et Madeleine Müller vendent à leur gendre boulanger Jean Hamm la maison chargée d’un cens de 4 sols envers la Tour aux deniers pour un auvent, outre l’ancien de 7 sols 2 deniers dû à Jean Henri d’Oberkirch

1637 (ut supra [20. Feb:]), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 180-v
(Protocollat. fol. 30.) Erschienen Georg Zimer der Elter Weißbeck, burger Zue Str. und Magdalena Müllerin sein eheliche haußfr.
haben in gegensein Ihres dochtermanns hanß Hamman auch Weißbecken alhie (verkaufft)
Ein Vorder: vnd hind.hauß, Hoffstatt, höfflin und bronnen, mit Allen andern Ihren gebäwen & alhie in der Vÿhegaßen, neben hanß Bockensteins deß Seÿlers see: Wittib & Hanß Lautenschlager dem Seÿler, hinden vff Jacob Kutzen Ohlman Vnd Christoff Deübler den kübler stoßend, dauon gehen Jährlich vff Weÿhenachten 15. fl. gelts Straßburger Wehrung dem Mehrern Spithal alhie in Hauptgut mit 300 fl. w. abzulösen, Item 7 ß 2 d. Bodenzinß Jr. Hannß Henrich Von Oberkürch, Item 4 ß Almend gelts vom Wetterdächlein auch noch Verhafftet umb 50. lnn Lazaro Wolfahrten Alten Guthelütschaffner alhie – vber die beschwerden geschehen per 1900 fl. a 15 bz.
Dabeÿ geweßen Dauid Müller Poßmentmacher, Philipps Pauli Weißbeck und Georg Zimmer der Verkäuffern Sohn Burgere alhie
[in margine:] Erchienen Georg Zimer der Sohn und Philipß Pauli der dochtermann haben in gegensein deß Käuffers ihres schwagers (quittung) Actum d. 3. 9.br. a° 1645.

Originaire de Wolschheim en pays de Hanau, Jean Hamm épouse en 1633 Madeleine, fille du boulanger Georges Zimmer
Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 321)
1633. Doîca 2. Epiphan: 20. Jan: Hanß Ham der beck Von Wolscheim im Hanawerlandt und J. Magdalena Jörg Zimmer deß Weißbecken tochter Eingesegnet Montag 28. Jenner (i 165)

Jean Hamm devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage. L’acte porte par erreur qu’il est originaire de Molsheim.
1633, 4° Livre de bourgeoisie p. 129
Hannß Hamm Von Molsheim Beckh Empfangt d. Burg.recht Von Magdalena Georg Zimmers deß Weißbeckh Tochter, will Zu den Beckh. dienen den 2 Februarÿ Aô 1633.

La maison revient vers 1673 à son fils Laurent Hamm qui épouse en 1668 Barbe Graff, fille du farinier François Graff : contrat de mariage, tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Lorentz Hammen Weißbecken handwercks, deß Ehrenuesten, Fürsichtig V. Weiß herren Hanß Hammen E. E. Kleinen rhats alhier Altten Beÿsitzers Ehelichem Sohn, alß hochzeitter an Einem
So dann d. Tugendsamen Jungfr. Barbaræ Gräfin, deß auch Ehrenvesten Vnd Weißen Herrn Frantz Graffen, Meelmanns V. burgers alhier Eheleiblichen dochtter, alß hochzeitterin anderen theils (…) Beschehen Vnd Verhandelt seindt dieße ding in deß heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg Dienstags den 24. 9.bris Anno 1668.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 144 n°13)
1669. Lorentz Hamm der weißbeck H. Hanß Hammen des weißbecken v Burgers * Ehel. Sohn und Jfr Barbara H Frantz Grafen des B. Vndt Meelmans allhie Ehel Tochter. Mont. 8 febr. (i 145)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 111-v n° XIII)
1669. Dom: 3. post Trin. Zum 2.mahl Lorentz Hamm der Weißbeck Johann Hamm auch Weißbeck u. Burgers alhie ehel. Sohn, Jfr. Barbara, Hr Frantz Graven Mehlmans u. Burgers alhie ehel. T. Montags den 8.tr, Febr. Alt St Peter (i 114)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père de Laurent Hamm
1669 (18.2.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 5) n° 115
Inventarium V. Beschreÿbung deß jenigen, so der Ehrsame Lorentz Hamm d. Weißbeck alhier deß Ehrenvesten Fürsichtig Und Weisen H Hannß Hammen, E.E. Kleinen Rhats Alten Beÿsitzers Ehelich. Sohn, ane Kleÿder, Welßen gezeügs, holtz Werck v. Baarschafft seiner nunmahligen haußfr d. Tugendsamen Barbara Gräffin, deß auch Ehrenvesten Vndt Vorgeachten herrn Frantz Graffen, Meelmanns V. Burgers alhier Ehelich. dochter in den jüngst mitt einand. angefangenen Ehestand, alß Unverändert Zuegebracht (…) in beÿsein Ihr Barbara Gräffin v. dero beÿstands des Ehrengeachten Mstr Hanß Jacob Kochen, haußfeurers V. burgers allhier ihres Schwagers, so in nahmen H. Frantz Graffen befelcht laß. beÿgewohnt (…) Actum Straßburg in fernerm beÿsein Mstr Philippß Pauli, Weißbecken v. burgers alhier sein Lorentz noch ohnentledigt. Vogts, Vndt H. Hieronimi Hatten biersieders Zur Carthauen alß Schwagers, Donnerstags den 18.ten Februarÿ Anno 1669.
Summa 254. lb
Volgend Sachen Hatt Lorentz Hamm von seinem Vattern H. Hanß Hammen den 18. febr: A° 1669. Käufflich angenommen
Eheberedung (…) Beschehen Vnd Verhandelt seindt dieße ding in deß heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg Dienstags den 24. 9.bris Anno 1668.

Barbe Graff meurt en 1672 en délaissant pour héritier son père. L’inventaire est dressé rue des Bestiaux dans la maison des héritiers Hamm. La masse propre au veuf est de 204 livres, celle propre aux héritiers de 239 livres. L’actif de la communauté s’élève à 270 livres, le passif à 278 livres

1672 (12.2.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 7) n° 174 – 189
Inventarium vndt Beschreibung aller Vnd ieder Haab und Nahrung, So Weÿlandt die Tugendsame Fraw Barbara Gräffin, deß Ehrsamen v. bescheidenen Mstr Lorentz Hammen, Weißbecken und burgers Zue Straßburg geliebte haußfr. nach ihrem d. 15. Jan: dieses Zeit End gemelten jars aus dießer Zergänglichen Welt genommenen selig. hinscheid. hinder ihro Verlaßen,Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern V. begehren deß Ehrenvestes v. Wohlvorgeachten herrn Frantz Graffen, Meelmanns Vndt burgers alhier auch E. E. Sibnergerichts nunmaligen beÿsitzers der v.storbenen fr. seel. leiblich. Vatters V. ab intestato hinderlaßenen eintzig. Erben, durch obgemelt Mstr. Lorentz Hammen d. hinderblieben Wittiber mit beÿstand deß auch Ehrenvest Vorgeachten herrn David Beütters ohlmanns burgern alhier (…) Actum Straßb. den 12. Februarÿ A° 1672.

In einer d. Statt Straßburg in d. Viehgaß gelegenen, herrn Rhathh. Hanß Hammen seel. hinderlaßenen Erben Zueständlig. behaußung ist befund. word. wie volget
Ane Haußrhat. In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, Auffm Gang am mittlern Haußöhren, Im Hindern Stock Vor d. Meel Cammer, In dem undern Stöblein, Im vndern Haußöhrn, Im Keller, W 2, Erb. 86 ; Th. 50
Schiff und geschirr Zum becken hand Werck gehörig, Th. 11
Früchten, Th 140 – Silber und geschmeid W 1, E 17 – Ahne Guldinen ringen E 8, T 3 – Ane baarschafft E 16, T 55
Sa. des Wittibers unverändert guts 204 lb, Sa. des H. Erben unverändert Vermögens 239 lb – Sa. Theilbaren Nahrung 270 lb, schulden 278, passiv onus 8 lb
Des Wittibers Wÿdems 133 lb, Conclusio finalis Inventarÿ 436 lb
Ergäntzung deß H. Erben unveränderten guts, Aus dem über d. jetzt verstorbenen Fr. seel. in die Ehe A° 1669. b. 13. febr. durch H. Johann Georg Lang Notarium auffgerichtet. Inventario
Eheberedung [unterzeichnet] – Copia Codicilli
N° 189 Lieffer Register, Actum Straßb. d. 21. 7.bris A° 1672 – Vegleich 31. Augusti Anno 1672

Laurent Hamm se remarie en 1672 avec Marie Salomé, fille de l’aubergiste Jacques Haubenstricker : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Vndt Bescheidenen Meister Lorentz Hammen Weißbecken Vndt Burgern allhier amß hochzeitter, an Einem, So dann der Ehren ; Vndt Tugendsamen Jungfrawen Mariæ Salome Haubenstrickerin, deß Ehrenvesten Vnd Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Haubenstrickers Würth vndt Gastgebers Zum Ochßen auch E: E: Kleinen Rhats alhier ietzmahligen wohlmeritirten Beÿsitzers Eheleiblichen dochter, alß der Jungfrauen hochzeiterin Andern theils (…) Welches beschehen in Straßburg Montags den 12. Augusty Anno 1672 [unterzeichnet] Lorentz Hamm Als Hochzeiter bekenne wie obsteehte, Hieronÿmus Hatten alß schwaer, Michael Bielger als schwager, Maria Salome Haubenstrickerin Als Hochzeiterin bekenne wie obsteht

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 259 n° 17)
1672 Domin: 12 et 13. Trin: i. et altera vice, Laurentius Hamm der Burger und weißbeck alhue vnd Jungfrau Maria Salome, herrn Joh: Jacobi Haubenstricker, eines Ehrs. Kleinen Rahts beÿsitzer vnd gastgeber Zum Ochsen alhie, eheliche Tochter, Copul. ad. D. Nicol. 2. Septemb: (i 308)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont Laurent Hamm a racheté les parts de ses frères et sœurs. Les apports du mari s’élèvent à 1 127 livres, ceux de la femme à 321 livres.

1672 (16. 8.bris), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 7) n° 194
Inventarium vndt Beschreibung aller vndt jeder Haab Nahrung V. gütter, so der Ehrsam V. bescheidene Mstr. Lorentz Hamm Weißb. v. Burger alhier, der Tugendsamen Frawen Mariæ Salome Haubenstrickerin seiner ietztmalig. geliebt. haußfrawen, Vndt hiengegen Sie Ihme für Unverändert würcklich in die kürtzlich miteinander angetrettene Ehe Zugebracht (…) Actum Straßburg in beÿsein ob Ehrngemelter Frawen Maria Salome geliebt. Eltern deß Ehren Vesten V. Vorgeachten H Johann Jacob Haubenstrickers berühmt. Würths V. Gastgebs Zum Ochß. auch E. E. Kleinen Rhats alten jetzmahligen Wohlmeritirt. beÿsitzers V. Fr. Salome Kärlerin, Mittwochs den 6. 8.bris A° 1672.

In einer d. Statt Straßb. in d. Viehefaß gelegenen Mstr. Lorentz Hammen Eigenthümlich zuständig. behaußung ist befund. Word. Wie volgt
Frau, Sa. haußraths 136, Silbergeschmeid 14, Guldener Ring 15, baarschafft 132, Activ Schulden 22, Summa summarum 321 lb
Mann, Schiff und geschirr zum Beckenhandwerck gehörig – haußrath 266, Schiff und geschirr 23, Frucht und Meel 459, Wein u. Lehre vaß 8, Silb. geschirr und Geschmeid 10, G. ring 3, Baarschafft 47, Eig. an i. Behauß. 225, Pfenningzinß hauptguth 100, Gülth 6, Schulden 13, Summa summarum 1162 lb – Passiva 35, restirt 1127 lb
(M.) Eigenthumb an einer Behaußung. It. Ein Vord. V. hind.hauß, hoffstatt, höfflein V. Bronnen, mit allen andern ihren gebäuwen, begriffen, Weitten, Zugehörden, Recht. V. gerechtigkeitten, geleg. in d. Statt straßb. in d. Viehgaß, eins. neb. Hanß Martin Daudeln dem Ohlmann V. burg. alhier, and.s. Weÿl. Hanß Lauttenschlagers deß Seÿlers seel. hind.laßenen Enckeln seelig, hind. auch H. David Beütter d. ohlmann, Georg Brösamle d. jüngern Sattlern alhier V. Niclauß Laggeuen* deß liechttermachers v.storbenen haußfr. seel. alhier hinderlaßene Erben stoßend
Davon gehen 7 ß 2 d bodenzinß jars auf Martini nunmehr Jr. Johann Wolff von Oberkirch, Weiter 4 ß d Allmendgeltt Von Wetterdächlein über d. thier d. Statt Straßb. jars auf Liechtmeß, Welche Behaußung dißmalen beÿ dem anschlag, Wie Es* Mstr. Lorentz solche von seinem H. Vattern seel. überkommen hatt gelaßen worden, nemlichen pro 750. lb. d.
Davon gehet aber ferner hinweg Waß Er Mstr Lorentz darauff seinen Geschwisterd. Erblich anoch hienauß Zuelieffern schuldig ist also, Item V.mög special Theil Registers üb. Mstr Lorentz, an weÿl. H. Hanß Hammen E. E. Groß. Raths altt. Beÿsitzers seines geliebt. Vatters seel. Verlaßenschafft pro rato Erblich Zuegefall. begriffen hat Er Mstr Lorentz wie fol: 28. fac b. Zusehen seiner Schwester Magdalena Hammin Mstr Johann Kilians deß Säcklers V. burgers alhier haußfr. lieb. Kindern so Sie Ehelich erzielt in Capital schuldig 200 lb d. welche Mstr. Lorentz järlich auf d. 27. febr. v. A° 1673 Erstenmahls gedacht. Kind. Zu Zinßen (…) Ferner soll Er nach außweißung angeregt. Theil Registers wie Fol: 30. fac. a befindlich Fr. Margarethæ Hammin H. Hieronimi Hatt deß biersieders Zur Carthauen Ehelich. haußfr. So dann Fr. Annæ Mariæ Hammin Mstr. Michael Bilgers deß Wbeck V Burgers alhier Eheweib ist Er wie fol: 30 fac b. Zueseh. in Capital noch schuldig 200. lb (…) freÿ ledig V. eig: V. also ane obig. 750. lb d außzuwerffen übrig 225. lb. Darüber besagt j. teutsch. pgam. brieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Contract Insigel v.wahrt, dat. d. 20. febr. A° 1637 Not. mit altem N° 3 v. dabeÿ gelaßen.
Legat Ihr Frawen Mariæ Salome gehörig. Zuewißen demnach die Viel Ehren Vndt Tugendreiche Fraw Anna H. Matthæi Schmiden E: E: Groß. Rhats alhier altten beÿsitzers Eheliche haußfr. dießes Zeittlichen leben A° 167[-] gesegnet (…) ein Legat von 100 fl.

Laurent Hamm hypothèque la maison au profit de Jean Michel Gilg, assesseur au Grand Sénat

1678 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 296
Lorentz Hamm der Weißbeckh
in gegensein des Ehrenvest, fürsichtig undt Weÿßen herren Johann Michael Gilg E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers mit beÿstand herrn David Beüthers des Ohlmanns und E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers – schuldig seÿe 500. lb
unterpfand, Hauß undt hoffstatt mit allen gebäwen, undt zugehördten, alhier in der Viehegaßen, anderseit neben Martin Daudel dem Ohlmann, anderseit neben Hannß Ulrich Kammen hinden uff Georg Brösamle den Sattler stoßend gelegen, davon gehendt Jährlichen 4 ß d. Allmendt Zinnß gemeiner Statt, Item 7 ß 2 d herrn Niclaus Von Oberkirch

Marie Salomé Haubenstricker meurt en 1701 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à la somme de 700 livres. La masse propre au veuf est de 763 livres, celle des héritiers de 748 livres. L’actif de la communauté s’élève à 6 576 livres, le passif à 1 894 livres

1702 (4.4.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 23) n° 8
Inventarium Weÿland der viel Ehren und tugendsamen Frawen Mariæ Salome Hammin gebohrner Haubenstrickerin ,deß Ehrenvest Fürsichtig und Weißen Herrn Lorentz Hammen Weißbecken, E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers und burgers zu Straßburg geweßenen Ehewürthin seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet in Anno 1702. – nach Ihrem Sambstags den 10. Decembris deß Zurückgelegten 1701. Jahr aus dießem mühesamen trauw und kummervollen Leben genommenen tödlichen hientritt hinderlaßen (…) Actum Straßburg, Dienstags den 4. Monatstag Aprilis Anno 1702.
Die Verstorbene fraw seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen, Wie folgt. 1. Die Viel Ehr und Tugendreiche Fraw Mariam Salomeam Scheererin gebohrner Hammin, deß Ehrenvest und Rechtsgelehrten Herrn Johann Ludwig Scherers Notarÿ Regÿ Practici burgers alhier Zu Straßburg Eheliebste, welche beÿständlich erstgedachts Ihres Eheliebsten die Inventation in Persohn abgewartet
2. die Ehrenzuchtig und tugendreiche Jungfrau Annam Margaretham und 3. Jungfrau Annam Mariam Hammin, welche Zworn mit obgedachtem herrn Notario Johann Ludwig& Scheerern Ihrem Schwagern bevögtigt, weilen aber derselbe Ehevögtlicher weiß selbsten interessirt, ost derenselben Zu einem Theilvogt verordnet, der Wohl Ehrenvest, fürsichtig und wohlweiß herr Philippus Küblern E: E: Großen Raths aller beÿsitzer und burger alhier, weclher der Inventation in Persohn beÿgewohnt. Alle dreÿ Eheleibliche geschwisterde, und der verstorbenen Frauen seel. mit vor Ehrengedachtem hinterbliebenen Wittwern hinderbliebenen Wittwern ehelich erzeugte döchter, und ab intestato nächste Erben

In hernach eingetragener, ane der Vÿhegaß gelegenen dem herrn witwer für unverändert gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Holtz: und Schreinerwerck, Auff der obern Bühn, Auff der undern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Auff dem nebens Bühnel, In der Meel Cammer, Im obern Haußöhren, In der Cammer C, In der Knechts Cammer, In der mitlern stuben, Im Mittlern haußöhren, In der undern Stuben, In der Kuchen, Ins officrers Stub, Im gartten häußel
Eÿgenthumb ane Haüßern. (W.) Item ein Vorder und hinderhauß, hauß, hoffstatt, höfflein und bronnen mit allen andern gebäwen begriffen weithen Zugehörden rechten und gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßb. ane der Fühegaßen, Einseith neben herrn H. Friderich Schäffern dem specierer vnd Anderseith neben herrn Ulrich Kammern den Seÿler hinden auff herrn Georg Breßamle den Sattler stoßend, Davon gehnd jährlich zween pfenning Bodenzinß den Edlen von Oberkirch, Ferner vier Schilling Pfenning von etterdächel über der thür auf allhiesiger Statt Pfenningthurn sonsten freÿ ledig und eÿgen Und ist dieße behaußung durch der Statt Straßb. geschwohrner Werckmeistere inhalt der beÿm Concept in gegenwärtigen Inventarÿ befindlicher Abschatzung sub dato den 1. Februarÿ Anno 1702. für freÿ ledig und Eÿgen angeschlagen für 1400 gulden, thut über abzug hieoben gemelter und für doppelt Capital geachter beschwerden hiehero außzuwerffen 727 lb 10 ß 10 d. Darüber besagt ein teutscher Pergamenin Brieff mit der Statt Straßb. anhanged. Contract Insiegel verwahret datirt deb 20. Februarÿ Anno 1637. Notirt mit altem N° 3* signirt und darbeÿ gelasen
Item die helffte ane d. hiebevor genanten Schachischen Mühl außer halb der Statt Straßb. beÿm Wickheüßel gelegen (…)
(T.) Item die Erblehens gerechtigkeit ane Zweÿ Häusern neben einander ane dem Metziger gießen (…)
(T.) Item eine Behaußung so den Schweinställen und einem garten (…)
Ergäntzung deß Herrn Wittibers unveränderten guths. Vermög Inventarÿ über deß Herrn Wittibers in die Ehe gebracht Vermögen den 16. Octobris Anno & 1672 durch Herrn Philipp Heinrich Theum dem Notario seel. auffgerichtet
Abzug Inventarium, deß Herrn Wittiber unverändert Vermögen, Sa. Silbergeschmeids 7, Sa. fruchtgültt 6, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 727, Sa. Ergäntzung (883, Abzug 788, verbleiben) 94, Summa summarum 835 lb – schulden 72 lb, Nach deren Abzug 763 lb
Der Erben unverändert Nahrung, Sa. Kleidung und Weißen gezeugs 61, Sa. guldiner Ring 2, Sa. Silbergeschleids 10, Sa. Baarschafft 21, Sa. Activ Schulden 72, Sa. Guths Ergäntzung 579, Summa summarum 748 lb
Theilbahr Gutt, Sa. 347, Sa. Früchten 493, Sa. Weins und Faß 416, Sa. Werckzeugs oder Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig 4, Sa. Pferd, Vÿhe, Schiff und geschirr auf der Mühlen 38, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 111, Sa. guldiner Ring 13, Sa. Baarschafft 454, Sa. Eigenthum und Beßerung ane heüßern 2719, pfenningzinß hauptgüter 1978, Summa summarum 6576 lb – Schulden 1894 Nach deren Abzug 4671 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 6193 lb
Abschatzung Mittwoch d. 1. febr. 1702. Auff begehren deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Lorentz ham, burger und Weiß beckh behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Vieh Gaß Einseith Neben herrn Friderich Schäffer dem Wurtz Krämer, Adner seitz Neben herr Johann Uhlrich Kammerer Seiller, hinden auff H. Jerg Brößemle dem Sattler stoßendt, welche behaußung sambt backh stuben backh offen hoff und bronnen gebelckten Keller auch übrige begriffen Zugehör und Gerechtigkeit wie solches in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen, Vor und umb Ein Taussendt Fünff hundtert Gulden
Die Andere behaußung alhie in der Statt Straßburg im Metzger Gießen (…)
Bezeichnüß der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleuth, [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager, Werck Maister deß Münsters, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Eheberedung (…) Welches beschehen in Straßburg Montags den 12. Augusty Anno 1672

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 000 florins (1 000 livres) sur un total de 14 700 florins
1702, Livres de la Taille (VII 1173) p. 141
(Becker, N° 543) Weÿl: Fr: Mariæ Salome Hammin gebohrner Haubenstrickerin Herrn Lorentz Hammen deß Weißbeckens und burgers alhie, geweßener Haußfrauen Verlaßenes Vermögen, jnventirt Herr Notarius Winckler.
Concl: fin: Inv: ist fol: 121-b invent. 7370. lb, 11 ß 4 d, die thun 14.700. fl. hiengegen verstallt dieselbe 12.700 fl. und also 2000 fl. Zuwenig.
Davon wird nun der Nachtrag gerechnet auf fünf jahr in duplo macht à 6 ß d
Und in simplo auf (-) jahr thut à 3 lb
Darzu kombt daß Stallgelt pro 1702 – 20 lb 8 ß
Item so thun die Gebott – 2 ß
So dann ist pro die Abhandlung – 8 lb 12 ß 6 d, Summa (-)
(…) Sa. 8 lb

Le notaire Jean Louis Scherer loue la maison an nom de son beau-frère Laurent Hamm au boulanger Isaac Jund

1702 (21.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 522-v
Hr. Joh: Ludwig Scherer Notarius publ. noe. Hn. Lorentz Hammen weißbeckers seines Schwähers
in gegensein Isaac Jundt auch weißbeckers
entlehnt, sein, Hammen, gantze becken behaußung cum appertinentiis allhier in der Viehgaß einseit neben Hn. Hanß Ulrich Kammerer Sen: seÿlern, anderseit neben Hn. Joh: frid: Schäfer speceriren hinten auf Melchior Keller Einsp: stoßend gelegen, auf sechs jahr lang anfangend auf Liechtmeß 1703 – um einen wochentlichen zinß nemlichen alle woch ein pfund und alle weiche tag für einen schilling brod, Wobeÿ ferners verglichen daß d. Schiff und geschirr zuem becken handwerck gehörig mit zu dießer lehnung gehören (…), 2.do verspricht der verleiher in solchem hauß zu laßen zween häng Kästen oben auf die zween brod Kästen, auch hopp: u. bauch Keßel im bachhauß, den brodkasten u. Kensterlein unten im hauß u. d. tröglein in der Stuben, 3.tio promittirt Hr. Hamm d. gewölb am bachoffen jederzeit zuerhalten u. den herd d. erste mahl wann es von nöthen neuzubelegen

Laurent Hamm vend la maison au boulanger Georges Kuhn moyennant 2 100 livres

1708 (24.9.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 561
(2100) hr Lorentz Hamm weißbecker
in gegensein Georg Kuhn weißbecken
eine behaußung Hoff hoffstatt Hinterhauß mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier an der viehgass, anderseit neben H. Joh: Joachim Haubenstrickern weinhändler anderseit neben H. Joh: Ulrich Kammerer sen: seÿlern hinten auf Georg Brößamle den sattler theils auf fr: Tuppertin stoßend, darvon gehen jährlichen 7 ß 2 ß bodenzinß denen Edlen von Oberkirch so gehen auch 4 ß jährlichen allmend geld wegen deß wettertachs auf dem Pfthrn – um 2100 pfund

Georges Kuhn loue la maison au boulanger Isaac Jund

1708 (19.11.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 646
Georg Kuhn weißbecker
in gegensein Isaac Jundt weißb:
entehnt, seine behaußung alhier ahn der viehgassen so Er ohlängst von H. Hammen erkaufft um einen jährlichen zinß nemlichen 65 lb, auf 4 jahr lang anfangend auf Annunciationis Mariæ 1709

Originaire de Hürtigheim, Georges Kuhn épouse en 1687 Salomé, fille du boulanger Jean Stiegler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 2 n° 2)
1687. Auff heut Mittwoch den 19. Octobris Aô Christi M XC LXXXXII. sind von Mihr M. Johann Jochen Diaconi Zu St. Niclaus in Straßburg Georg Kuhn der ledige Weißbeck Von Hurtigheim weÿland Valentin Kuhnen des Burgers und Landmanns daselbst Nachgelaßener Ehelicher Sohn und Jungfrau Salome wÿland Johann Stieglers des Burgers vnd Weißbecken alhier Zu Straßburg nachgelaßene Eheliche Tochter copulirt worden [unterzeichnet] Ich Görg Kuhn als hochzeiter, Ich Junfraw sallome Alls hochterin (i 3)

Il devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 535
Georg Kuhn Von hürtigheim der weißbeck empfangt das burgerrecht von seiner haußfr Salomeen Stiglerin p. 2. gold fl. vndt 16. ß d so Er beÿ die Cancelleÿ erlegt, ist ledigen standts gewesen vnd wird Zünfftig beÿ den becken Jur 6. 9.br.

Georges Kuhn se remarie en 1695 avec Marguerite, fille du batelier Léonard Bœs
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 58 n° 27)
1695. Mittwochs d. 5. octob. sind copulirt word. Georg Kuhn der Wittiber Weißbeck vnd B. allhier vnd Jfr. Margaretha Hr Leonhard Bösen deß Schiffmanns v. b. alh. Tochter Vnd fr. Margarethæ Kleinin eheliche Tochter [unterzeichnet] georg Kun als hochzeiter, Anna Margaretha als hochtzeiterin (i 60)

Georges Kuhn se remarie en 1703 avec Susanne, fille du boulanger Frédéric Henning : contrat de mariage, célébration
1703 (25.10.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 9)
Eheberedung Zwischen Hn Georg Kuhnen dem Weißbecken und Jfr: Susannæ Henningin, Donnerst. d. 25.ten Octobris 1703
zwischen den Ehren: und Vorgeachten Hn Georg Kuhn, Weißbecken und burgern alhier alß hochzeitern an einem
So dann der Viel ehrn: und tugendsamen Jungfrawen Susannæ weÿl. des Ehrengeachten Meister Friderich Hennings geweßenen Weißbecken und burgers alhier undt frawen Anna Salome gebohrner Zippin, beeden eheleuthen ehrlich erzeugter Tochter, als hochzeiterin, am andern theil
So geschehen in der Königl. Freÿen Statt Straßburg, Donnerst. d. 25.ten Octobris Anno 1703. [unterzeichnet] Görg Kuhn als hochzeiter, friederich Egnerr Allß der kinder fogtt, susanna henningin als hochzeitererin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 80-v n° 24)
1703. Eodem [Mittwochs den 14. Novemb. 1703] seind copulirt worden Georg Kuhn der Weißbeck und burger alhier und Jfr. Susanna Henningerin weÿland Fridrich Henningers, geweßenen weißbecken und burgers alhie nachgelaßene eheliche tochter, welche auch neben mir unterschrieben haben [unterzeichnet] Görg Kuhn als hochzeiter, susan hennigerin als hochzeiterin (i 85)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari qui comprennent plusieurs maisons s’élèvent à 2 433 livres, ceux de la femme à 246 livres.
1704 (17.3.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 2)
Inventarium über Herrn Georg Kuhnen Weißbecken und burgers alhier Zu Straßburg und frawen Susannæ Henningin, beeder Eheleuthe für ohnverändert Zusammen gebrachte Nahrung. auffgerichtet in Anno 1704. – crafft jhrer ohnlängst mit einander auffgerichteter heüraths Verschreibung, einander für ohnverändert in den Ehestand zugebracht, (…) Actum in der Königl. freÿen Statt Straßburg jn fernerem beÿseÿn des Ehrenhafften vnd Achtbahren H. Joh: Cuntzen weißbecken und burgers alhier der frawen Stieff Vatters und erbettenen assistenten, Montags d. 17.ten Martÿ A° 1704.

Schrein und Höltzerwerck, In d. obern Cammer A, Cammer B, Soldat. Cammer, Kuchen, In d. obern Stuben, In der und. Stub
Sa. haußraths M 362, D 107, Sa. Weins, Lehrer faß undt bütten M 34, Sa. früchten, Meels und Kleÿen M 152, Sa. schiff und geschirr Zim becken handwerck gehörig M 20, Sa. Brennholtz 1, Sa. Silber geschirr und Geschmeids M 88, F 20, Sa. goldener ring 37, Sa. Baarschafft M 162, F 80
In der Kuchen, Ins officiers Stub, Im gartten häußel
Eÿgenthumb ane Behausungen. (M.) Eine Vordere und hindere Behauß: sampt i. höffl. bachoff. u. bronnen mit allen dero begriffen, weith. Zugehörd. und Gerechtig Keiten, geleg. in d. St. St. am Metzger Gießen (…)
(M.) Item i. Vorder u. hinderhauß:, bachoff., höffl. bronnen mit deren hoffstatt, begriff. weith. Zugehörd. u. Gerechtig Keiten alhier in d. St: St: auch im Metzg. gieß. geleg. (…)
Sa. Eigenthumbs ane behausung. M 761 lb
Eigenthumb ane einem Gärtlein (M) (…)
Summa M 150 lb, Pfenningzinß hauptguth M 700
Summa summarum M 2433 lb, F 246 lb

Georges Kuhn est mis à plusieurs reprises à l’amende pour vendre trop de pain derrière la cathédrale (au marché du pain rassis)
1706, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 5-v) Mittwochs, den 16.ten Junÿ 1706. – Straff
Georg Kuhn welcher Zuviel Brod hinder das Münster geschickt und auff Zweÿ mahl angelegte Gebott nicht erschienen soll beeder Verbrechen halben ohnnachlößig 30 ß d Zur Straf entrichten

(f° 24-v) Donnerstags, den 28.ten Aprilis 1707 – Straff
Georg Kuhn hatt den 18. Februarÿ Zu Viel brod hinder das Münster geschickt, deßen Er geständig. Erkant, soll den Articul mit 3. lb. d. beßern, aff gebettene Gnad bleibts beÿ 2. lb ohnnachläßig.

Affaire d’injures avec Jean Philippe Blanck
(f° 48-v) Dienstags, den 1. Maÿ 1708 – Idem [Hannß Philipp Blanck] contra Georg Kuhnen clagt, daß des beclagten Magd Ihne den 14. dito sehr mit Injurien beschmitzet und auff offentlicher Gaßen an seinem Laden geschmähet, bittet, Ihme satisfaction Zu verschaffen. Kuhn sagt, Er Blancken sagen laßen, Kein ehrlicher Mann thue Ihme Waß Cläger Ihme erwießen indeme Er mit Gewalt Ihme eines andern Brod vfftringen wollen, so Ihme als einem Mit Meister nicht wohl angestanden, bittet Ihne Von der Clag zu absolviren.
Erkant sollen einander verzeihen und seÿen die injuria ex officio auffgehaben. Factum.

Georges Kuhn se plaint que ses employés tirent trop de vin dans sa cave
(f° 78-v) Dienstags, den 18. Februarÿ 1710 – Georg Kuhn der Weisbeck clagt, daß als Martin Rosenstiel der Benckenknecht von Schiltigheim und Frantz Braun von Oppenaw beÿ Ihme gearbeitet haben in solcher Zeit Viel Wein ja wenigstens Ein halbes Fuder abgetragen, wie Er seithero Von seinem jetzigen Knechten Vernommen, bittet Ihne gerichliche hülff gedeÿen Zulaßen.
Hannß Schmitt Von Kappell, Kuhnen nunmahliger Knecht, bekannt offentlich, daß Er von Frantz Braunen den gekrümten Nagel damit er allezeit das Schloß eröffnet, beÿ seiner abreiße in Verwahrung bekommen, auch öffters mit Braunen von dem entwendeten Wein getruncken endlich aber den Nagel in Bronnen geworffen welchen der Meister gestern heraus schöpffen laßen und jetzt vorgewießen.
Erkant, weil Braun nicht hier, als soll Ihnen vorderist die Clag notificirt werden, umb sich Zu verantwortten oder bestmöglichst Zu Vergleichen, Zu welchem letztern dann der Herr Zunfftmeister beneben etlichen Herren undt mit gezogen werden sollen, umb E. E. Zunfft interesse dabeÿ bestend Zu Observiren.

(f° 79-v) Sambstags den 22. Martÿ 1710 – Joseph Braun Von Oppenau, obigen Frantz Braunen Bruder erscheint, mit Kuhnen und seinem Knecht, Johannes Schmitt, darauff haben die Parthen sich Verglichen, das Frantz Braun und Johannes Schmitt Ihme Kuhnen jeder Neun Gulden Vor seiner prætension entrichten und über dießes soll jeder 3. lb d Straff E. E. Zunfft erlegen auff gebettene Gnad blieb jeder beÿ 2 lb

Georges Kuhn est mis à l’amende pour faire moudre trop de farine (149 quartauts en moins de six mois)
(f° 143-v) Anno 1713, Mittwochs den 4. Januarÿ – Georg Kuhn ist accusirt daß Er schon eine geraume Zeit hero neben seinem erlaubten wochenguth, auff andere Zeichen löse, oder solche von Ihnen erhandle, gestalten Er, crafft einer Zum protocoll gelüfferten Designation, Vom 27.ten Junÿ, biß 26.ten Novembris des letzt Verstrichenen 1712.ten Jahrs, auff Friederich Willmanns des Mehlmanns Nahmen 101. Fiertel uff Johannes Cuntzen, den Weisbecken seinen Schwäher, vom 4.ten Julÿ biß 4.ten Novembris 38. Fiertel und den 10.ten Decembris 10. Fietel auff Johannes Wolffen den Mehlmann, und alßo in fünff und einem halben Monatt 149. Fiertel Zuviel gemahlen. Er will wegen seines Schwähers sich excusiren, sagend, seine Knecht hätten die Früchten Vor selbigen selbsten gemahlen. Von Willmann und Wolffen aber wölte Er im geringtsen nichts gestandig seÿn, Friderich Willmann läugnete, unter Kuhnen genommenem Abtritt, anfänglichen, doch auff ernstes Befragen und under Betrohung, die Sach an höheres Orth zu bringen, gestuend Er, daß Er Kuhnen 4 oder 5. Zeichen â 8. Fiertel gegeben hätte, Von übrigen aber wiße Er nichts, wie Kuhn selbige bekommen haben nach deß, Abtreten sagte Johannes Cuntz, daß Kuhnen Knecht Ihme einmahl 5. Fiertel auff der Schachen Mühl gemahlen hätten, Von denen anderen Zeichen aber habe Er niemahlen nichts gehört, noch gewußt, welches Er Zu behaupten erbiethig. Alß nun Kuhn wieder eingelaßen, und Ihme beeder Vorigen Declaration angezeigt wurde, gestund Er nur 1 oder 2 Zeichen Von Willmann empfangen zu haben. Wolff aber war Ohnpäßlichleit halben absens, derohalben wirder Erkandt, Willmann soll von jedem Zeichen den Articul mit 30. ß d beßern, Kuhn aber von jedem Fiertel nach unßerer ghh. der XV. Erkandtnus 1 lb 10 ß d Zu straf erlegen, auff gebettene Gnad bleit Willmann beÿ 4. lb

Les Quinze réduisent d’un tiers l’amende infligée par le conseil des Boulangers à Georges Kuhn pour désobéissance
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(p. 37) Montag d. 1. feb. 1717 – E. E. Meisterschafft der Weißbecken Ca Johann Georg Kuhn pt° Ungehorsams
Obere Umbgeltherren laßen durch H. Secretarium Kleinclaus referiren, es habe E. E. Meisterschafft der Weißbecken, Joh: Georg Kuhn den Weißbecken alß ungehorsam geschrieben geben, auff gebetten ‘willfahrt’ und besßene Deputation seÿe auff seithen der Meisterschafft erschienen, Joh: Jacob Jundt Joh: Jacob Kiffel, und Georg Matzinger die Weißbecken, Welche berichtet daß diesem Georg Kuhn laut Ihres protocoll d. 21. Sept. 18 Fiertel, vom 20. 8.bris 6 Frtl vndt vom 26. 9.bris alles jüngst Wiederum 6 Frtl. über erlaubtes wochenguth gemahlt, und seÿe Ihme deßweg. 7. lb 10 ß straaff angesetzt word. welche Zu erlegen er erschwehre, deßwegen sie sich genöthiget gesehehn Ihne alß ungehorsam geschrieben zu geben. Beklagter seÿ selbst erschienen und des Vortrags nicht in abred gewesen, undt habe nur umb gnad gebetten, und giengen der herr Deputirten gedancken dahien, daß dem Kuhnen Könten die Tertz an dießer Straff nachgelaßen anbeÿ aber mit nachtruck angezeiget werde in das künfftige der Ordnung nachzugeleben. Erk. beliebt.

Georges Kuhn loue la maison au boulanger Jean Michel Seitz

1716 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 400
Georg Kuhn weißbecker
in gegensein Joh: Michel Seitz weißbeckers
entlehnt, seine behausung c. appert: allhier in der viehgass einseit neben Joh: Michel Demuth anderseit neben H. Kammerer hinten auffi. auf heller, auf 2 jahr lang anfangend auf Mich. 1716, um 1 lb 7 ß wochentlichen zinß

Georges Kuhn et Susanne Henning hypothèquent la maison au profit du fournier Jean Georges Michel

1717 (9.11.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 602
Georg Kuhn der Weißbeck und Susanna geb. Henningin mit beÿstand Johann Kuntzen Weißbecken und Johann Georg Michels haußfeurers
in gegensein H. Johann Jacob Schuerers Sattlers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine weißbeckenbehausung cum appertinentÿs allhier in d. Viehgaß, einseit neben Joh. Michel Demuth dem weinhändler anderseit neben Johann Jacob Kammerer dem Seÿler hinten auff d. alt Wagenmannischen hauß – davon gibt man 5 ß ane bodenzinß nach Oberkirch, Item 4 ß ane allmend zinß dem Pfenningthurn

Jean Georges Kuhn meurt en décembre 1719 en délaissant deux enfants de son deuxième mariage et cinq du troisième. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Bouchers. La masse propre à la veuve est de 521 livres, celle propre aux héritiers de 2 722 livres. L’actif de la communauté s’élève à 915 livres, le passif à 3 065 livres
1720 (29.1.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 12) n° 284
Inventarium undt beschreibung aller undt Jeeder Liegendt undt fahrendter Haab, Nahrung undt güttere so weÿl. der Ehrengeachte herr Johann Geörg Kuhn der ältere geweßter Weiß beckh undt Burger alhier seel. nach seinem den 28.ten Xbris deß abgelegten 1719.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welches alles auf freundliches ansuchen erfordern undt bgehren deßen ane nechst folgendem folio Benambster und ab intestato nachgelaßeneer Erben herren Vogt undt Theils deßen nachgemelter hinderbliebener wittib, inventirt und Ersucht durch Sie die Viel Ehr: undt tugendsamee Fr. Susannam gebohrene Henningerin die hinderbliebene wittib mit assistentz deß Ehrenvest undt vorgeachten herrn Frantz Wernern Pastetenbecks und Burgers allhier auch E. E. Kleinen Raths Jetzmahligen beÿsitzers ihres geschwornen herrn Curatoris (…) Actum Straßburg den 29.trn jahr alt Anno 1720.
Der Verstorbene seel: hat ab intestato Zu Erben verlaßen, alß volgt
1. den Ehrenhafften undt bescheidenen Johann Geörg Kuhnen, den weißbeckh undt Burgern allhier so diesem geschäfft in Persohn beÿgewohnt, 2. Jacob Kuhnen den ledig. weißbeckh in deßen Nahmen H. Johann Friderich Egner der Metzger undt burger alhier als sein geordnet undt geschworener Vogt gegenwärtig war, mit Zue Zieh. H Joh: Martin Brieffen Notarÿ publ. et practici allhier, Beede mit auch weÿl. Fr. Margaretha Gebohr. Bößin in 2.ter Ehe ehelich erzeigter undt hinderlaßener beeder Söhne
2. 3. 4. 5. et 6. Jfr. Susannam, Dorotheam, Mariam Magdalenam und Johann Daniel Kuhnen, dieße 4 mit eingangs gemelter wittib in 3.ter Ehe erzeugter Kinder beÿständlich H Jacob Mähnen deß weißbecken auch burgers allhier ihres verordneteen vogts. Also alle Sechs sein deß Verstorbenen i beeden Lesten Ehen laßen Er von erster Ehe keine Erben verlaßen ehelich erzeugter undt hinderlaßener ab intestato Erben

In einer allhier in der Statt Straßburg undt Einer daselbst in dem Metzger gießen gelegenen undt hernach beschriebener behaußung befundt. word. alß volget
Hültzenwerckh. Auff der obersten Bühn, Cammer A, Im obern haußöhren, Cammer B, In der obern Kuchen, In der obern stub Cammer, In der obern stub, Cammer C, In der Knechten Cammer, Im obern haußöhren
(f° 18) Eigenthumb ane Einer behaußung und Garthen. (E.) Eine behaußung sambt dem hind. gebäu, höfflin, bachofen und bronnen mit allen dero begriffen, weithen. Rechten, Zugehörden undt Gerechtig Keiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg am Metzger gießen (…)
(E.) Item ein gärthlein in dem sogenannten Beckhenwäldtlein außerhalb der Statt Straßburg neben dem Juden thor (…)
Theilbare Baucöst. (…)
Ergäntzung der Wittib Ermanglend ohnv. Guths Crafft des Inv: über des Verstorb. seel. u sein anjetzo hind. blieb.e Wittib in d. Ehest. Zugebr. Nahr. Vor weÿl. Hn: Noto. Joh: Ludw. Scherern in Aô 1704. d. 17.ten Mart: Auffgerichtet v. verf.
Norma hujus Inv: d. Wit: Ihr ohnv: Eig.th. Verm. haußraths 11, Silbers 8, sold. Ring 11, Capital 200, Activorum 120, Erg. rest 171, Summa summarum 521 lb
Auff solches Volgt nun auch s. sambt Kind. v. Erb. erebt ohn.. Vät; g; haußrath 165, leer Faß 9, Schiff und geschirr Zum Wb. Handwerck geh. 5, Silb. geschm. 48, Sihth. ane i. Behausung 782, Eig.th ane i Gärtl. 80, Erg. 2395, Summa summarum 3486 lb – Passiva 404, Nach solchem abzug 2722 lb
Endtl. v. letstl: so wird nun auch d. gemein: v.ändt v: T: guth beschrieben, haußraths 133, meels v kleÿen 20, Schiff und gesch: Zum Wbeck hdw. 1, silbergesch. v. geschm. 70, gl. ring 10, Composants 350, Activor. 91, bawcösten 239, Summa summarum 915 lb – Passiva 3065 lb, T. Schulden Nachstandt 2149 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1614 lb
Copia der Eheberedung (…) Donnerstags den 25.ten Monatts tag Octobris Anno 1703, Johann Ludwig Scherer Nots. jurat: publ:
Copia Codicills. 1719. (…) auff Freÿtag den 1. tag des Monatgs Septembris Nachmittag zwischen Vier und Fünff Uhren in der königlichen Statt Straßburg und einer daselbst inn dem Metzgergießen gelegener, Von Ihme herrn Disponenten Eÿgenthümblich bewohnender behaußung deßen obern mit den fenster auff die gaß außehenden Stuben, der Ehren Vorgeachte Herr Georg Kuhn, der Weißbeckh und Burger alhier (…) zwar etwas Krancken und auff einem Stuhl sitzenden Leibs (…) Johann Heinrich Lang, Jun: Nots req.situs

Susanne Henning se remarie en 1721 avec le boulanger Jean Jacques Hitschler, originaire de Landau : contrat de mariage, célébration
1720 (11.7.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 106
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen undt bescheidenen Johann Jacob Hitschler, dem ledigen Weißbecken Von Landaw gebürtig alß hochzeitern ane Einem
So dann der Ehr: undt tugendsamen Fr. Susanna gebohrner Henningin weÿl. herrn Geörg Kuhnen deß eltern auch gewesten Weißbecken undt burgers allhier Zu Straßburg seel. hinterbliebener wittib der Fr. hochzeiterin andern theils
So beschehen Straßburg auff Donnerstag den 11.ten Julÿ 1720. [unterzeichnet] Johann Jacob hitschler Als hochzeiter, Susanna Kunin, Johannes Kuntz als Stieffvatter
uhnen

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 171-v n° 16)
Mitwoch den 25. Sept. 1720. seind nach Zweÿmahliger offentlichen Außruffung in der Evangelischen Pfarrkirch St Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt und eingesegnet worden Johann Jacob Hitschler der ledige Weißbeck von Landaw, weÿl. Stanislaus Hitschlers, geweßenen Rothgerbers vnd burgers daselbst hinterlassener Ehel. Sohn, vnd Fr. Susanna Kuhnen,weÿl. Görg Kuhnen geweßenen Weißbecken vnd burgers alhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johann Jacob Hitschler als hochzeiter, n der hochzeiterin Handzeichen (i 176)

La maison revient à son fils aussi nommé Jean Georges Kuhn qui épouse en 1718 Marie Ursule Schmidtmeyer, fille du pelletier Jean Matthias Schmidtmeyer : contrat de mariage, célébration

1718 (19.1.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 365
Verglichene Heuraths: Puncten Zwischen dem Ehrbahrren Johann Georg Kuhnen, Ledigen Weißbecken, Herrn Georg Kuhnen, auch Weißbecken vnd burgers Zu Straßburg Ehelichen Sohn, Als Hochzeitern, an einem,
So dann der Ehrn: und Tugendreichen Hfr. Mariæ Ursulæ Schmidtmeÿerin, weÿl. Herrn Johann Matthiæ Schmidtmeÿers Geweßenen Kürßners und Rhauwahrhändlers, auch E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers Alhier seel. nachgelaßenen Ehelichen dochter, als der Hochzeiterin Am Andern theil
Actum Straßburg in præsentia H. Georg Kuhnen deß Hochzeiters Vattern vnd Frawen Susannæ gebohrner Henningerin, deßen Stieffmuatter, H. Friderich Egners Metzgers deßelben Vogten vnd H Johann Jacob Schurers Sattlers seines Vettern auff sein deß Bräuttigambs, So dann auff der Jungfr. Hochzeiterin seithen H Johann Winnemar Heÿlen Stattschmidys Ihres geschwornen Vogten und H Johann Matthiæ Schmidtmeÿers Rhauwahrhändlers Ihres Bruders, Aller Burgere alhier, als Assistenten, Mittwochs den 19.ten Januarÿ Anno 1718. [unterzeichnet] Johan georg Kuhn als hohzeider, Maria Ursula schmidtmeÿerin als Hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 37-v n° IX)
1718. Dominica Jubilate et Cantate proclamati sunt Johann Georg Kuhn der ledige Weißbeck vnd burger alhier Georg Kuhn deß burgers vnd Weißbecken alhie Ehel. Sohn, und Jgfr. Maria Ursula weÿl. Hn Johann Matthias Schmidt Meÿers gewes. Kürßners v. Rauh Wahr händlers auch E. E. Kleinen Raths beÿsitzers hinterlaßene Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 18. Maÿ [unterzeichnet] Johann Georg Kuhn als hochzeiter, Maria Ursula schmidtmeÿern als hoch Zeiterin (i 42)

Jean Georges Kuhn termine officiellement son apprentissage auprès de son père en mars 1713
(f° 152) Dienstags den 21. Martÿ 1713 – Siegelgeltt
Georg Kuhn, der Weibeck mit hannß Georg Kuhnen seinem Sohn erscheint und bittet, weilen deßen Lehrzeit bereits Längst vorbeÿ selbigen nun greichtllichen ledig Zusprechten. Erkant, Willfahrt, dederunt Vor alle Gebühr 11 ß d.

Il devient tributaire chez les Boulangers le 23 mars 1718
1718, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(p. 272) Mittwochs den 23. Martÿ 1718 – Neuzünfftiger
Johann Georg Kuhn Von hier H. Georg Kuhnen des Weißbecken alhier ehelicher Sohn stehet vor, und bittet umb das Zunfftrecht, will Weißbacken. Erk. soll vor Vatters Recht 1 lb 5 ß d und 6 ß Nebens gebühr, auch 10 ß Zur Feürspritz bezahlen, Alls dann willfahrt.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison acquise durant la communauté. Les apports du mari s’élèvent à 558 livres, ceux de la femme à 857 livres.

1718 (8. 7.bris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 44) n° 17
Inventarium über deß Ehrengeachten Mr Johann Georg Kuhnen deß Weißbecken vnd Frawen Mariæ Ursulæ Kuhnin, gebohrner Schmidtmeÿerin, beeder Eheleuth und Burgere zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1718. – Welche Nahrungen der ursach halben, damit mann sich Künfftiger Zeit der in Ihrer mit einander auffgerichteten Heüraths Verschreibung Verglichenen Ergäntzung wegen darnach Zu regulien haben möchte, vorgenommen (…) Actum Straßburg in fernerer præsenz Hn Friderich Egners, Metzgers und H Johann Winemar Heÿlen, Hueff: und Stattschmidts beeder burgere Alhier Als des Ehemanns v. der Ehefrauwen noch Zu Zeit ohnentledigter Vögten Dienstags den 8.ten Septembris Anno 1718.
Nota. die Zwischen Eingangs gemelter beÿen Eheleüthen auffgerichte Eheberedung ist den 19. Januarÿ A° 1718. vor mir Notario verschriben Zubefinden

In einer alhier Zu Straßburg ane der Viehe Gaß gelegenen und in beed. Eheleuth Gemein Theilbare Nahrung gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt
Im Obern haußöhren
Eigenthumb an einer Behaußung (F.) Item Zween Neünte theil für ungetheilt von vnd ane einer behaußung under der Großen Erbslaub (…)
Wÿdumb Welchen fraw Susanna Margaretha Schmidtmeÿerun Gebohrne Spangenbergerin der Ehefrauen Stieffmutter ad dies vitæ Zugenießen hat: wavon das Eÿgenthumb der Ehefrauen für unverändert Gehörig und verfangen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unverändert Gutt betr. Sa. Haußraths 106, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 10, Sa. der Baarschafft 3, Sa. Schuld 500, Summa summarum 619 lb – Schulden 60, Nach solchem abzug 558 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauwen Zugebracht unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 263, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 48, Sa. Guldener Ring 26, Sa. baarschafft 64, Eigenthum ane einer behausung (-), ß Schulden 455, Summa summarum 857 lb

Jean Georges Kuhn et Marie Ursule Schmidtmeyer hypothèquent la maison au profit d’Agnès Wessner

1721 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 472
Johann Georg Kuhn Weißbeck und Maria Ursula geb. Schmidtmeÿerin beÿständlich H. Johann Mathias Schmidtmeÿers ihres bruders des Fechhändlers und H. Johann Jacob Schmidtmeÿers Studjosi Theologiæ auch ihres bruders
in gegensein H. Jacob Wenckers J. V. Ddi und archivarÿ als Curatoris Jfr Agnes Weßnerin – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine weißbecken behausung hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Vieh gaß, einseit neben Joh. Michael demuth kieffer, anderseit neben Jacob Kammerer dem Seÿler hinten auff Brösamle den Stattsattler zum theil theils auff H. Duppert handelsmann ux. nôe, davob gibt man 7. ß0 ane bodenzinß denen Edlen von Oberkirch, ferner 4. ß. ane allmend zinß dem Pfenningthurn

Jean Georges Kuhn et Marie Ursule Schmidtmeyer font dresser un état de leur fortune après avoir vendu la maison. La masse propre à la femme est de 1 431 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 667 livres, le passif à 972 livres

1727 (4.9.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 3) n° 57
Inventarium über Mr Johann Georg Kuhnen, des Weißbecken und Frauen Mariæ Usrulæ gebohrner Schmittmeÿerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg derzeit besitzende und revidirte Nahrung, auffgerichtet Anno 1727. – welche auff Ihr der Ehefrauen und Mr H. Theurkauffs Kürschners und burgers allhier alß Ihres angenommenen Curatoris ad lites begehren, weilen Selbige in Abgang gerathen, damit man sehen Können, in Was Stand die Nahrung stehen und Wie viel die Ehefrau ane dero unveränderten Guth eingebuset, fleißig inventirt (…) So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 4. Septembris Anno 1727.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Strasen liegenden H Christoph Goldbach dem Seidenhändler allhier Zuständigen Von beeden Eheleuthen Zum theil Lehungs weiße bewohnenden behaußung sich folgender maßen befunden
Ergäntzung der Ehefrauen ermanglenden unveränderten Guths, Nach besag des über beeder Eheleuthe einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen in A° 1718 durch herrn Noyarium Johann Heinrich Langen sen: auffgerichteten Inventarÿ hat sich ane der Ehefrauen Guth mangenld unverändertn dahero Zu ergäntzen befunden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen unverändert guth betr. Sa. haußraths 188, Sa. Silbers 44, Sa. goldener Ring 26, Sa. Pfenningzinß haubtguths 200, Sa. der Ergäntzung 867, Sa. Activ schuld 105, Summa summarum 1431 lb
Solchemnach wird auch die übrige Nahrung, weilen die Ehefrau consensu Curatoris auff das theilbare guth tam active quam passive jedoch salvo regessu renuncirt, under einem Titul nemlichen alß theilbar beschrieben, Sa. haußraths 179, Sa. Silbers 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Activ schuld 175, Summa summarum 667 lb – Schulden 972 lb, In Compensatione 304 lb
Wÿdum, Welchen Frau Susanna Margaretha Schmidtmeÿerin gebohrne Spangenbergerin der Ehefrauen Stieffmutter ad dies vitæ zu geniesen hat, Wavon das Eigenthum der Ehefrauen Zum Sechsten theil für unverändert gehörig und verfangen
Copia der Eheberedung (…) Mittwochs den 9. Januarÿ Anno 1718, Johann Heinrich Lang Sen. Notarius juratus

Jean Georges Kuhn et Marie Ursule Schmidtmeyer vendent la maison au boulanger Jean Conrad Karcher et à sa femme Marie Susanne Koch

1727 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 30
Johann Georg Kuhn weißbeck und Maria Vrsula geb. Schmidtmeÿerin beÿständlich ihres bruders Johann Mathias Schmidtmeÿer Rauchwaarenhändlers
in gegensein Johann Conrad Karcher des weißbecken und Fr. Mariæ Susannæ geb. Kochin
Eine weißbecken behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, einem bronnen und übrigen zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auch dem zum becken handwerck nöthigen allda vorhandenen Schiff und geschirr, welche becken: behausung allhier ahne der Viehgaß einseit neben Michael Demuth dem weinhändler anderseit neben Jacob Kammerer dem Seÿler hinten theils auff Bresamle den Sattler theils auff Fr. Duppertin theils le Sage den Bildschnitzler – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins 4 ß ane allmend zinß und denen Edlen von Oberkirch von dem hinderhauß 7 ß 2 ahn ewigem etwann bodenzinß – um 1300 pfund

Ils hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit de leur frère et beau-frère respectif Jean David Karcher

1727 (9.10.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 563-v
Johann Conrad Karcher Weißbeck und Fr. Maria Susanna geb. Kochin mit beÿstand ihres bruders Samuel Koch des meelhändlers und ihres schwagers Johannes von hipßhen des Musici
in gegensein ihres respective bruders und schwagers H. Johann David Karcher Diaconi beÿ der evangelischen Gemeinde zu denen Predigern – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, Eine weißbecken: behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Viehgaß, einseit neben Michael Demuth dem Weinhändler anderseit neben Jacob Kammerer dem Seÿler hinten theils auff Brösamle den Stattsattler theils auf Fr. Duppertin theils auf Lesage den Bildschnitzeler – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins 4 ß ane allmend zinß und denen Edlen von Oberkirch von dem hinderhauß 7 ß. 2 d. ahne ewigem etwann bodenzinß

Fils du boulanger Laurent Karcher, Jean Conrad Karcher épouse en 1712 Marie Susanne Koch, fille du pileur d’épices Gall Koch : contrat de mariage, célébration
1712 (28.4.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 9)
Eheberedung Conrad Karchers, ledigen Weißbecken undt Jfr: Mariæ Susannæ Kochin, Donnerst. d. 28.ten Aprilis A° 1712.
zwischen dem hrenachtbahren Mstr. Conrad Karcher, ledigem Weißbecken und Burgern alhier Zue Straßburg H. Lorentz Karchers des ältern weißbecken ehel. Sohn, als Bräutigamb, an einem
So dann der Ehren: und Tugendsamen Jgfr. Mariæ Susannæ Kochin, H. Gall Kochen des Meelmanns und geschwornen Wurtzstößers alda eheleibl. Tochter, ams Hochzeiterin am andern theil
Actum Strassburg Donnerst. d. 28. Aprilis [unterzeichnet] Conrad Karcher alß hoch Zeiter, Maria susanna Kochin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 131 n° 7)
Mitwoch den 11. Maÿ 1712. seind nach Zweÿmahliger Außruffung in der Pfarrkirch Zu St. Nicolai in Straßburg Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden Johann Cunrad Karcher der ledige Weißbeck H. Lorentz Karchers deß Weißbecken Vnd burgers alhier Ehelicher Sohn Und Jfr. Maria Susanna Kochin Gall Kochen deß Meelmanns vnd burgers allhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Conrad Karcher alß hochzeitern Maria susanna Kochin als hochzeiterin (i 35)

Jean Conrad Karcher devient tributaire chez les Boulangers en 1712
1712, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 127-v) Montags, d. 11. Aprilis – Neuzünfftig. (1 lb 5 ß. dt.)
Conrad Karcher, Herrn Lorentz Karchers des Weisbecken ehelicher Sohn, producirt Stallschein und bittet umb seines Vatters Recht, will das Weisbacken treiben. Erkant, nach Erlegung 31. ß d. für alle Gebür willfahrt.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Dentelles
1712 (19.5.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 6)
Inventarium über des Ehrenhafften und Achtbahren H. Johann Conrad Karchers, Weißbecken und der Ehrn und tugendsamen Frawen Mariæ Susannæ gebohrner Kochin, beeder Eheleuthe und Burgere Zue Straßburg, in dero Ehe für ohnverändert gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1712. – Vermittelst der Zwischen Ihnen beden auffgerichteten Heüraths Verschreibung einander für ohnverändert in jhren Ehestand Zugebracht (…) Actum in der Königl. freÿen Statt Straßburg in fernerem persönlichen Beÿweßen H: Lorentz Karchers des ältern, weißbecken u. B. des Ehemanns Geliebten Vatters undt H Gall Kochen, Mehlmanns, der Frawen leibl. Vatters, ihrer beederseitigen erbettenen Assistenten, Donnerst. d. 19. Maÿ A° 1712.
In der, ane der Spitzengaß alhier Zu Straßb. gelgenen Weißbecken Behausung sich befund. hatt
Sa. haußraths M 156, F 149, Sa. Schiff und geschirrs Zum Wbecken handwerck gehörig M 9, Sa. Brennholtz L 3, Sa. Silbers M 13, F 9, Sa. goldener Ringe 23, Sa. baarschafft M 121, F 75 – Schulden M 315, F 257 lb

Jean Conrad Karcher et Marie Susanne Koch hypothèquent la maison au profit du farinier Jean Georges Kuhn et de Marie Ursule Schmidtmeyer

1730 (4.5.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 211-v
Johann Conrad Karcher der weißbeck und Maria Susanna geb. Kochin mit beÿstand ihres bruders Samuel Koch des Meelmanns und ihres schwagers Johannes von Hipßen des Musici maßen ihr zweiter bruder Gall Koch der Schloßer nicht hiebeÿ erscheinen konnte
in gegensein Johann Georg Kuhn des meelmanns und Maria Ursula geb. Schmidtmeÿerin – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine weißbecken behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Viehgaß, einseit neben Michael Demuth dem weinhändler anderseit neben Johann Jacob Kammerer dem Seÿler hinten auff Johannes Breßamlé den Stattsattler – davon gibt man denen Edlen von Oberkirch 7 ß. 2 ß. ane bodenzinß und 4 ß ane allmend zinß hiesiger Stadt Pfenning Thurn

Jean Conrad Karcher loue la maison au boulanger Jean Huther

1732 (12.1.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 17
Johann Conrad Karcher der weißbeck
in gegensein Johann Hueter Weißbecken beÿständlich H. Rathh. Johann Nicolaus Meltzheim Sen: Rothgerbers
entlehnt, Eine Weißbecken behausung bestehend in vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten nichts davon ausgenommen ahne der Viehgaß, einseit neben Michael Demuth dem weinhändler anderseit neben Jacob Kammerer dem Seÿler hinten auff Johann Georg Bösamle den Statt Sattler – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von allererst verfloßenen weÿhnachten

Jean Conrad Karcher meurt en 1733 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue Thomann. Les experts estiment la maison rue des Bestiaux à 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 362 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 128 livres, le passif à 792 livres

1734 (25.2.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 13) n° 308
Inventarium über Weÿl. deß Ehrengeachten herrn Johann Conradt Karchers des gewesten Meelmanns undt Burgers allhier Zu Straßburg nun mehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet anno 1734. – nach seinem den 22.ten Xbris deß abgelegten 1733.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen herrn Johann Geörg Scheer auch Meelmanns undt burger allhier des abgelebten mit nach ermelter seiner hinderbliebener Wittib Ehelich erzielter undt hinderlaßener Zweÿer Kindter namhenlich Jfr. Mariæ Susannæ so beÿ 20. Jahr undt Johann Jacob Karchers deß ledig. beckhen Jungen, welcher beÿ 16. Jahr alt, geschwornen Vogts, so aber diesr seiner Curanden vätterlich Erb: undt Verlaßenschafft andersten nicht dann Cum beneficio legÿ et Inventarÿ angetretten haben will, inventirt durch die tugendt begabte fr. Mariam Susannam Karcherin gebohrner Kochin die hinderbliebene wittib beÿständlich H. Johann Carl Härlins deß Haußfeurers auch burgers allhier Curatoris (…) Straßburg den 25.ten febr: anno 1734.

Inn Einer allhier zue Straßburg ane dem Thoman Loch gelegener aber nicht hieher gehöriger behaußung hat sich befunden, alß vogt
Ane hültzenwerck, Cammer A, cammer B, Soldaten cammer, Im haußöhren od. Kuchen, Inn der Stub, Inn der Stub Cammer, Im Keller, Im Beckenhaus
Eigenthumb ane Einer Behaußung so theilbar. Ein Weißbeckhen u. hinder behaußung, hoff, hoffstatt mit aller Zugehört, Weithen, Rechten undt Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Viehe faß, i.s neben Hn Michael Demuth dem Schreinen, 2.s. neben herrn Jacob Kammerer dem Seÿller hinden auff obgedachten H. Demuth und N. Brösamle den sattler stoßendt, welche Crafft der Abschatzung vom 13. Feb. 1734. durch der Statt Straßb. geschworne herrn Werckmeister vor ledig undt Eigen angeschlagen wordt. umb 3000 fl. oder 1500 lb. Davon gibt man Jars dem allhies. Pfenningthurn wegen einem wetterdächell ane Allmendt Zinß 4 ß macht in Capital 4. lb und denen Edlen von Oberkirch von dem hind. hauß ane Ewigen bodenzinß 7. ß 2 s trifft Zu doppeltem Capital gerechnet 4 lb 6 ß 8 d. It. 30. lb d Zinß à 4. pro Ct° reicht mann H. Rathh. Brackenhoffer, dem Apothecker alhie uxo; nôe Jahrs auff d. 16. Jenner, alblößig in Capital mit 750. lb. It. H. Rittmeister Reichshoffer allhier Jährl. den 1. maÿ 18. lb d zu 4 ½ peo Ct° widerkäuffig mit 400 lb. It: 20. lb d. Zu 4. pro Ct° zinß gibt mann H. Diacono Karcher allhier Jahrs auff (-) widerlößig mit 500 lb, It; Joh: Geörg Kuhn dem gewesten weißb. allhier uxo: nôie 12. lb 15 ß d zu 4 ½ pro Ct° redimible mit 150. lb, summa abgangs ist 1818. Übertreffen also vorstehende beschwerden den Anschlag umb 318 lb. Über sothane behaußung meldet
Ergäntzung der Wittib Ermanglenden ohnveränderten Gueths, Nach inhalt beederseits zugebrachten Nahrungs Inventarÿ durch weÿl. Herrn Notm: Johann Ludwig Scherern in annp 1712. auffgerichtet undt verfertigt
Norma hujus inventarii, Copia der Eheberedung
Der Wittib noch vorhandene unveränderte haußrath 16, Sa. Silbers 15 ß ß activorum 75, Sa. der Ergäntzung 269, Summa summarum 362 lb
Demnach wirdt auch der Erben unverändert undt die Theilbahre Nahrung unter Einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 94, Sa. Meels, Kleÿen undt gekörns 19, Sa. Silbers 5, Sa. goldenen ringen 3, Sa. behaußung o, Sa. Schulden 6 Summa summarum 128 lb – Schulden 792 lb, die passiva übertreffen der Erben unveränderte undt theilbahre activ Nahr. 664 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Donnerstags den 28. Aprilis im Jahr Christi 1712, Johann Ludovicus Scherer Notarius jurat: publ:
Abschatzung dem 13: Februarÿ 1734. Auff begehren weilandt deß achtbahren und bescheiten Conradt Karchers deß geweßenen weißbeckers seel. hinder Laßenen Frau wittib und Erben ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Vieh gaßen gelegen, einseits neben H. Johann Michell Demuht dem weinhändler anderseit Neben H Jackob Kammerer sel seiller, hinden auf ob gedachten Hn Demuht Stoßendt welche behaußung Stuben, Cammren, Kuchen Hauß Ehren Camin Cammer Vor dem officir Cammer vor dem Knecht, nebenß hauß mit einem halben tach, worunder die Back Küchen backstuben alleß gewölbt, oben darüber die Mëhl Kammer, hoff bronen holtz hauß getrëmbter Keller sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werckleuthe sich in dero besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierd vor und Umb Treÿ Tausent Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Veuve depuis dix-neuf ans, Marie Susanne Koch sollicite un certificat pour pouvoir bénéficier de l’aumône Saint-Marc à cause de ses infirmités – elle déclare être presque sourde
(f° 5) Donnerstags den 26. Septembris 1754 – Allmoßen Schein
Maria Susanna geb. Kochen weÿl. Conrad Karchers des geweßenen b. v. Weißbecken allhier nachgel. Wittib, ihres alters 55 Jahr, bringt Vor, daß sie seit ihrem 19. Jährigen Wittwenstand in äußerster Armuth lebet v. sich wegen Leibes Blödigkeit, Zumahlen Sie auch das Gehör fast Völlig verlohren, nicht mehr im Stand befindet, mit ihrer Hand Arbeit sich zu ernehren, bittet dahero Ihro Schein v. Urkund zu ertheilen daß sie des Allmoßens würdig.
Erk. seÿe ihro mit gebettenem Schein Zu wilfahren, maßen man dieselbe des Allmoßens würdig erachtet.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’admettent en mars 1769 pensionnaire à l’hôpital où elle meurt le 19 juin 1774 à l’âge de quatre-vingt-un ans.
1769, Conseillers et XXI (1 R 252)
(f° 29) Sambstag den 11. Martÿ 1769. – Froereisen Nê. Mariæ Susannæ gebohrner Kochin weild. Conrad Karchers geweßten weißbecken und burgers hinterl. Wittib producirt unterth. memoriale juncto petito puncto gnädiger aufnahm und respectivé beÿbehaltung in dem Hospithal.
Nach angehörtem voto des Hn Syndici Regii und gleichformlichen anspruch des auf dem obernbanck vorsitzenden H. Stättmeisters von Oberkirch wuden samtliche Vorbemelte Imploranten puncto gebettener aufnahm und respective beÿbehaltung in dem mehrern Hospithal ane die daselbstige hochansehnlche Herrn Pflegere umb gegen einbringung ihres sowohl gegenwärtigen als erwa in Zukunft überkommenden Vermögens alda aufgenommen, respectivé beÿgehalten und verpflegt Zu werden, gewießen. Deppi. H. Rathh. Fulgraff und H. Rathh. Philippi

Sépulture, Hôpital (luth. f° 178)
Im Jahr 1774. dingstag den 19. Heu Monates Morgens um Vierthel Vor Vier uhr starb in dem alhiesigen deutschen Hospitale Frau Maria Susanna Karcherin gebohrne Kochin von hier gebürtig und Zu St: Nicolai getaufet, weÿl. Meister Johann Konrad Karchers gewesenen Weißbeckers und burgers alhier hinterlaßene Witwe auch weÿl. Meister Galli Kochen geweßenen Meehlhändlers und Burgers alhier und Weÿl. Frauen Marthä gebohrner Stieglerin hinterlaßene eheliche Tochter, seit dem Eilften Märzen des Jahres 1769 Hospitals Pfründerin ihres Alters 81 Jahr weniger dreÿ Monate und Vier Tage, und wurde dieselbe Mittwochs darauf als den 21. Heu Monates nach einer Morgens um Sieben uhr im Hospitale von mir Johann Unselt dem Evangelisch lutherischen Pfarrer des Hospitales gehaltener Leichenpredigt auf die begräbniß St: Urban beÿ einer ehrlichen begleitung Zur Erde bestattet (i 182)

La veuve et les enfants de Jean Conrad Karcher vendent par adjudication la maison au boulanger Jean Huther moyennant 1 875 livres

1735 (8.2.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 67
weÿl. Johann Conrad Karcher des weißbecken wittib Susanna geb. Kochin geschworner Curator Johann Carl Hördter der haußfeurer, ferner ged. Karchers mit deßen hinterbliebenen wittib erzeugter beeder Kinder Susannæ und Jacob der Karcher geordneter vogt Georg Schär der Meelmann
in gegensein Johannes Huter des weißbecken – am 15. Decembris 1734 ergangen und obrigkeitlich confirmirten versteigerung [unterzeichnet] hueder
Eine Weißbeckenbehausung bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein, Bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten an der großen Viehgaß, einseit neben Johann Michael Demuth dem weinhändler, anderseit neben Johann Jacob Kammerer dem Seyler, hinten auff Johannes Bresamlé den Stattsattler und hinden theils annoch auff Helckische wittib geb. Ambergerin als erbin Duppertischer wittib theils auff Andreas Rueff den Nagleschmidt – von dem hinderhauß giebigen ewigen etwann ane bodenzinß wie auch denen Edlen von Oberkirch 7 ß. 2 d. ane bodenzinß und 4. ß. ane allmend zinß wegen eines wetterdächleins hiesiger Stadt Pfenning Thurn – um 750, 400, 150 und 500 pfund verhafftet – seith den 15. Januarÿ 1727 da sie mit dem verstorbenen Karcher käufflich ane sich gebracht – umb 1800 pfund ausmachende capitalien und 75 pfund

Jean Huther achète le droit de bourgeoisie en septembre 1731
1731, 4° Livre de bourgeoisie p. 973
Johann Huther d. ledige beck von fortlouis erhalt d. b. umb die tertz d Neuen b. will bey E E Zunfft d. Becker dienen Jur d 3.ten Sept. 1731.

Fils de Gaspard Huther de Fort-Louis, Jean Huther épouse en 1732 Anne Marguerite Meltzheim, fille du tanneur Jean Nicolas Meltzheim : contrat de mariage, célébration
1732 (17.1.), Not. Rith (6 E 41, 951)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamb: und bescheidenen Johannes Hutter, dem burger und Weißbecken allhier, Weÿland des auch Ehrsamb und bescheidenen Caspar Hutters geweßenen burgers und seÿlers zu Fort: Louis mit auch Weÿland frauen Margaretha Schmidtin Seiner Ehelichen Haußfrauwen seelig Ehelich erziehltem Volljährigem Sohn, als Hochzeiter ane Einem mit beÿstand der auch Ehrsam und bescheidenen Jacob Bermantier des metzgers und auch burgers zu gedachtem fort Louis seines Leiblichen Schwagers, Wie auch Johann Georg Rÿßen des burgers und Beckerstuben vatters hieselbsten, So dann der viel Ehr und Tugendsammen Jungfrauen Anna Margaretha Melßheimin, Herrn Johann Niclaus Melßheims des burgers und Rothgerbers wie auch Es Ehrsamen Kleinen Raths alten beÿsitzers allhier mit der auch Viel Ehr: und tugendsamen frauen Anna Margaretha Schandingerin Seiner Ehelichen Haußfrauen ehelich erzielhlter Jungfer tochter als hochzeiterin andern Theÿls, beÿständlichen erstgedachten dero Leiblichem Herren Vatters Wie auch Herrn Frantz Joseph Melßheims auch burgers undt Rothgerbers hieselbsten, dero leiblichen herrn Bruders (…) So beschehen Straßburg auff St. Anthoni Tag als den 17. monaths tag Januarii Im Jahr 1732,

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 246)
Hodie die 12 mensis februarÿ anno 1732. (…) in facie Ecclesiæ conjuncti sunt honestus juvenis joannes hueter oriundus ex arce fortalitiæ et honesta virgo Margaretha Meltzheimin filia joannis nicolai Meltzheim coriarii (signé) Johannes Hueder, Ana Marga Meltzheim (i 130 – proclamation Saint-Louis (cath. p. 6,i 5)

Inventaire des apports dressé en partie dans la boulangerie rue des Bestiaux et en partie dans la maison Meltzheim au Fossé des Tanneurs
1732 (26.2.), Not. Rith (6 E 41, 951)
Inventarium und beschreib. aller derjenig. haab und güetter so Johannes Huetter der weißbeck und fraw Aa. Margaretha Melßheimin bede eheleuthen einander für ohnverändert in den ehestand zugebracht, welches alles der ursachen, damit mann sich Künfftig ratione der Ergäntzung desto beß. darnach Zu reguliren, auff ihr bederseitiges begehren ordnungs mäßig ersucht, durch die bede eheleüt selbsten mit Zuziehung H Niclaus Melßheims b. v. Klein Raths alten beÿsitzers als der ehren frauwen leibl. H. Vatters (…) so beschehen Straßburg den 26.ten feb. 1732.
Höltzen und Schreinwerck so sich in dem beckenhauß in der Viehe Gaß befunden
In H. Meltzheims behaußung ahne gerber graben hat sich befunden als folget

Anne Marguerite Meltzheim meurt en 1735 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison 1 600 livres. La masse propre au veuf est de 135 livres, celle propre aux héritiers de 487 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 905 livres, le passif à 2 110 livres.

1735 (3.5.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 698) n° 103
Inventarium undt beschreibung All der Jennigen Haab, Unndt Nahrung, So Weÿl. die Ehr. und tugends. fraw Anna Margaretha gebohrne Meltzheim seel. deß auch Ehrb. und bescheid. Johannes Hutter, Weißbeckh. und burgers alhier Zu Straßburg geweste Haußfr. nach Ihrem, gegebenem bericht nach, den 6.ten Januarÿ Jüngsth. aus dießer Welth genommenen tödlichen Hinscheiden, hier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft aauf gebührentes ansuchen Erfordern und begehren H. Frantz Joseph Meltzheim Rothgerber und Burgers alhier, alß geschw. und Verordneten. Vogts Annæ Margarethæ der abgeleibten seel. mit Vor und nachged. Wittiber Ehelich Erziehlten döchterleins Unndt dieß orths ab intestato Einiger Erbin, Ersucht und Inventiret (…) So gescheh. vndt Zugang. Zu Straßburg auff Dienstag den 3. Maÿ Anno 1735.

In Einer alhier Zu Straßburg ahne der großen Viehegaß gelegenen vnndt hiehero gehörig. hieunden beschrieb: behaußung Erfunden worden
In der officier Cammer, In deß officiers K. Cammer, In der unteren Cammer
Eigenthb. ahne Einer behausung. i. Weißbeckhen behaußung bestehendt in Vorder: und hindter hauß, höfflin, bronnen und hoffstatt, mit allen deren gebäwen, weith. Zugehörth. recht. und Gerechtigkhten. alhier in der großen Viehe gaßen geleg. i. s Joh: Michel Demuth dem Weinhändler, 2. s. Joh: Jacob Kamerer Säÿler hinden auff Joh: Brosamble den Statt Sattler, davon gibt man Jahrs den Edeln von Oberkirch 7. ß 2 d. bodenzinß, u. dann wegen dem Wetter dächl. auff unß. H. Pfenningth. 4 ß Allmend Zinß, sonsten über nach gedachten Capitalien leedig und Eigen und Vermög Einer ad Concept überl. Von d. hießig. Werckmeister underschb. abschatzung dedato 21.ten Maÿ a° 1735. æstimirt vndt über abzug obig. Bodenz. angeschl. 1578 lb d. Hierüber besagt Ein teutscher pergament Kauffbr. auß hieß C. C. stuben gefert. und dero anhang. Insigel bekhräfftiget de dato den 8. Februarÿ 1735. mit N° 1 notiert,
Ergäntzung deß Wittibers abgang. Unverändterten Vermögens. Innhalt Inventarÿ Illatorum durch H. Georg Philipp Rith Notm. alhier dedato den 26.ten Februarÿ aô. 1732. auffgerichtet Ergibt sich daß der Wr. in die Ehe zugebracht, So seitehero abgang. und in gemeine haußhaltung Verwendtet worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Erbin Unverändert Vermögen, Sa. haußraths 60, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Erg. 336, Sa. activ Schulden 75, Summa summarum 487 lb
Solchemnach volgt auch deß Wittibers Unverändert Guth, Sa. haußraths 7, Sa.. Silbergeschmeid 1, Sa Erg. 201, Summa summarum 209 lb – Davon gehet für die der Erbin modo Schuldiger Morggb. 75, Compensnado 135 lb
Endtlich wirdt auch beschrieben das theilbahre Guth, Sa. haußrath 31, Sa. früchten und Kleÿ. 111, Sa. baarschafft 145, Sa. Eigenthum ahne behßg 1578, Sa. active Schulden 40, Summa summarum 1905 lb – Sa. passivorum 2110 lb, Passiva übersteigen pro 204 lb – Stall Summ 417 lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsamb: und bescheidenen Johannes Hutter, dem burger und Weißbecken allhier, Weÿland des auch Ehrsamb und bescheidenen Caspar Hutters geweßenen burgers und seÿlers zu Fort: Louis mit auch Weÿland frauen Margaretha Schmidtin Seiner Ehelichen Haußfrauwen seelig Ehelich erziehltem Volljährigem Sohn, als Hochzeiter ane Einem mit beÿstand der auch Ehrsam und bescheidenen Jacob Bermantier des metzgers und auch burgers zu gedachtem fort Louis seines Leiblichen Schwagers, Wie auch Johann Georg Rÿßen des burgers und Beckerstuben vatters hieselbsten, So dann der viel Ehr und Tugendsammen Jungfrauen Anna Margaretha Melßheimin, Herrn Johann Niclaus Melßheims des burgers und Rothgerbers wie auch Es Ehrsamen Kleinen Raths alten beÿsitzers allhier mit der auch Viel Ehr: und tugendsamen frauen Anna Margaretha Schandingerin Seiner Ehelichen Haußfrauen ehelich erzielhlter Jungfer tochter als hochzeiterin andern Theÿls, beÿständlichen erstgedachten dero Leiblichem Herren Vatters Wie auch Herrn Frantz Joseph Melßheims auch burgers undt Rothgerbers hieselbsten, dero leiblichen herrn Bruders (…) So beschehen Straßburg auff St. Anthoni Tag als den 17. monaths tag Januarii Im Jahr 1732, Collationirt Rith, Not.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 800 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 58-v
(Becker. F. N. 6717) Weÿl. Fr. Annæ Margarethæ gebohrner Melßheim Johannes Huder Weißbecken und Burgers alhier Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Schmidt
Concl. Fin Inv. ist Fol. 54.b 417 lb 13 ß 2 d, die machen 800 fl. Verstallte nur 500 fl. Zu wenig 300 fl.
Nachtrag auff Vier Jahr alß lang Sie in der Ehe geweßen in duplo thut à 18. ß – 3. lb. 12. ß
Und auff Zweÿ Jahr in simplo â 9 ß – 18 ß
Extat Stallgeltt pro. 1735. mit – 2 lb 2 ß
Gebott – 2 ß 4 d
Abhandlung – 12 ß 6 d – Summa 7. lb 6 ß 10 d
Von denen Herren dreÿen nachgelaßen – 2 lb 5 ß, rest 5 lb 7 ß 10 d
dt. 13. Jul. 1735.

Jean Huther se remarie en 1735 avec Marie Anne Ledée, fille du revendeur Pierre Ledée : contrat de mariage, célébration
1735 (29.6.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 702) n° 76
Mariage – furent present le Sr Jean Hueteur Boulanger et bourgeois de ladite Ville d’une part
et Marianne Ledée fille legitime du Sr Pierre ledée, Marchand graissier et bourgeois dud. Strasbourg, et de Marguerite Rousseaux sa femme assistée desdits ses Pere et Mere d’autre part
fait et passé du Coté dudit Epoux en presence du Sr Jean Nicolas meltzheim tanneur et Jean Ignace Hüguel tous deux assesseurs du grand sénat de cette ville, et de la part de ladite Epouse du sieur David Benois M° cartier bourgeois de Cette dite ville (…) à Strasbourg ce 29° Juin 1735. (signé) Johannes Huder, Marianne Ledée

Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 171)
Hodie 21 Mensis Augusti anni 1735 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Hueder civis Argentinensis nec non viduus defunctæ Margarittæ Meltzheimin commorans in dictâ Parochiâ ad Stum Ludovicum et Maria Anna Ledée filia legitima Petri Ledée civis et mecatoris et Margarethæ Rousseaux conjugum commorantium in hac Parochiâ meâ (signé) Johanne Hueder, Mariane Ledée (i 173)

Native de Strasbourg, Marie Mechtilde Ledée devient bourgeoise par son mari trois mois après son mariage
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1027
Maria Mechtildis gebohrne Ledé Von hier geb. erhalt d. b. Von ihrem ehemann Johann Huder b. und weißbecken alhier umb d. alt. b. will beÿ E.. E. Zunfft d. becker dienen. Prom. eodem [5. Xb 1735]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Les apports du mari s’élèvent à 695 livres, ceux de la femme à 380 livres.

1735 (10. 7.br), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 699) n° 117
Inventarium vnndt Beschreibung All der Jennigen Haab, Vnndt Nahrung, So der Ehrb. und bescheidtene Johannes Hueder der Weißbeckh und Fr. Maria Anna geb. Lethée beede Eheleüthe und Burgere alhier Einander in Ihren Jüngsth. angetrettenen Ehestand für Unverändert in die Ehe Zugebracht, welche Nahrung auff begehren Unndt ansuchen Erstgedt. beeder Eheleüthen der ursach halben, damit mann Sich der in Ihrer Vor mit underschr. Not° auffger. Eheberedung Stipulirten Ergäntzung halben Zu reguliren wüße, Inventiert Undt Ersucht (…) So gescheh. in fernerem beÿsein und Zwar auff seithen des Ehemanns fr. Margareth H. Joh: Niclaus Meltzh. E. E. gr. Raths alhier dermahligen assess. Ehefr. deßen Schwiger mutter Von Erster Ehe, So dann auff Ihr der frawen seithen Maria Duval dero Steffgroßmutter, weillen Ihre Eltern andterer habende geschäfften halben nicht beÿwohnen Können, alß Von Beeden seithen hierzu gebetten, Zu Straßb. auff Sambstag den 10.ten Septembris A° 1735.

In Einer alhier Zu Straßburg ahne der großen Viehegaß gelegenen und dem Ehemann Unverändertt gehörig. behaußung Erfunden worden alß
In deß officiers Cammer
Eigenthb. ahne behausung (M.) i. Weißbeckhen behaußung besteh. in Vorder: und hind. hauß höfflin, bronn und hoffstatt, mit allen deren gebäwen, weith. Zugehördt. recht. und Gerechtigk. alhier Zu Straßb. in der großen Viehe gaßen gelegen i. s neben Joh: Michel Demuth dem Weinh. 2. s. Joh: Jacob Kamerer dem Säÿler hinden auff Joh: Brosamble den Statt Sattler, davon gibt man Jahrs denen Edeln v. Oberkirch 7. ß 2 d. bodenzinß, und dann wegen dem Wetter dächel auff unß. Hh. Pfenningthurn 4 ß Allmend Zinß, sonsten aber über hernach beschb. Capitalia leedig und Eigen. Darüber besagt i teutsch pergament Kauffbr. auß der C. C. stuben und mit dero anhangen Ins. Verwahrt de dato den 8. Februarÿ aô 1735. mit N° 1 notiert, v deßwegen Ist abgeredt allenfalls dieße Behaußung wehrender Ehe solte Verkaufft werden, solche mit dem darauff Erlößende Wert Zu Erg.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Deß Ehemanns Unverändertes Guth, Sa. haußraths 180, Sa. meel und Kleÿen 249, Sa. Silbergeschmeid 20, Sa Gold. Rung 3, Sa. baarschafft 104, Sa. activ Schuldt 51 Summa summarum 612 lb – Passivorum 1308, Deducendo 695 lb
Dießem nach wirdt auch beschrieben der Ehefr. unverändertes Vermög. Sa. haußrath 108, Sa. Silbergeschmeid 9, Sa. Gold. Ring 9, Sa. baarschafft 253, Summa summarum 380 lb

Jean Huther et Marie Anne Ledée hypothèquent la maison au profit du chef de cuisine Antoine Chauveau

1756 (13.7.), Chambre des Contrats, vol. 630 f° 172
Johann Huether der weißbeck und Maria Anna geb. Le Dez beÿständlich ihrer schwäger H. Jean Joseph Lassiat employé pour le roy und H. Jean Baptiste Benoist des cartenmachers
in gegensein H. Antoine Chauveau, chef de cuisine de M. Le Chevalier de St André commadant la province d’Alsace – schuldig seÿen 3500 gulden
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Viehgaß, einseit neben der Kammererischen Fr. wittib, anderseit neben N. Mamberger dem weinhändler, hinten theils auff N. Ottmann den ohlmann theils auf H. Mammberger

Le boulanger français Jean Huther loue la maison au boulanger Jean Jacques Stehling

1770 (31.12.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 613-v
Johann Huther der frantzösische beck
in gegensein Johann Jacob Stehling des ledigen frantzösischen becken
verlehnt, die ihme zuständige beckenbehausung in der Dauphins gaß – auf 4 nacheinander folgenden jahren auf Philippi Jacobi anfangend, um 4 gulden wochentlichen zinß
hat sich der verlehner expresse reservirt und vorbehalten primo den ersten stock auff die gaß außsehend in einer stub und kuchen, so dann eine kammer in den hoff außehend ferner den zweÿten stock gleicher maßen auf die gaß aussehend, eine kammer und dann die bühnen im vorderen haus wie auch die helffte des kellers

Jean Huther cède la maison boulangerie moyennant 6000 florins à sa fille Gertrude Thérèse lors de son contrat de mariage passé avec le boulanger François Joseph Jægy, originaire de Marckolsheim

1774 (30.10.), Not. Lauth (6 E 41, 652) n° 7
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen der Vorachtbahre Herr Franz Joseph Jägÿ, grosjähriger lediger Becker von Marckoltzheim gebürtig, weil. Michael Jägÿ gewesenen Würths, Ackersmanns und Burgers allda mit auch weil. Fr. Anna Maria gebohrner Fischerin ehelich erzeugter Sohn, unter verbeÿständung deß. Bruders Hn Johannis Adami Jägÿ, des berühmten Musici in alhiesigem Münster, als Hochzeitern ane einem,
Sodann die Ehr und Tugendreiche Jungfrau Gertrud Theresia Hutherin Hn Johannes Huthers, des ehemaligen frantzösischen Weisbecken und Burgers dahier mit Frauen Maria gebohrner Ledée ehelich erzielte Tochter, beiständlichen erstged. ihren beeden Eltern, wie auch H Philipp Jacob Thaler des hiesigen wohlerfahrenen Schreibmeisters und Burgers derselben Hn Schwahers, als Hochzeiterin, am andern Theil

Siebendens cedirt und übergibt der Jgfr. Hochzeiterin Leibl. Herr Vater dieser seiner Tochter seine für unverändert in deßen Ehe gebrachte und ane der Dauphine Gaß gelegene Becken: Behaußung, bestehend in Vorder und Hinder: Gebäud, Hoff, Hoffstatt und Bronnen, samt allen dero Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten Einseit neben Hn Michael Mannberger dem Kiefer, Weinhändler und burger hieselbsten, anderseit neben N. Schuler dem Zuckerbeck auch hiesigem Burger und hinden auf Hn Rathh. Johann Niclaus Ottmann den Ohlmüllern Zum theil und Zum theil auf gedachten Hn Mannberger stoßend, gelegen, für freÿ leedig und eigen vor und um die Summ von 6000 Gulden hiesig Current eigenthümlichen. Und welchen Preis der 6000 fl. die Jgfr. Braut als Cessionaria auch also und zwar auf nachfolgende Conditionen, so hernach im 8. 9. und 10. Artickel deutlich begriffen sind, von ihrem Hn Vater als Cedenten angenommen Zu haben bekantlich ist
So geschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 31. Octobris Anno 1774. [unterzeichnet] frantz jospeh Jägÿ als hoch Zeitter, Gerdudt theresia huderin als braut
Enregistré à la Chambre des Contrats, vol. 650 f° 21, 22 janvier 1776 – auff ansuchen Franz Joseph Jägÿ des beckenmeisters, nachstehende paragraphi in einer unterm 31. Octobris 1774 coram Not. Johann Daniel Lauth zwischen ihme Mr Jägÿ und Jgfer Gertrud Theresia Hutherin errichteten Eheberedung

Célébration du mariage
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 23)
Hodie 27 Mensis Decembris Anni 1774 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Franciscus Josephus Jegÿ, oriundus ex Marckolsheim hujus Diœcesis, Filius legitimus et Majorennis Michaelis Jegÿ Cauponis et Annæ Mariæ Fischerin, Professione suæ Pistor, Commorans in parochia ad S. Petrum Seniorem hic Et Gertrudis Theresia Houter, Argentinensis, Filia legitima et minorennis Joannis Houter, civis hic, et professione suâ pistoris et Mariæ Annæ Ledé, commorans in hac parochiâ (signé) Frantz Joseph Jägÿ, terisia hueder (i 14)

François Joseph Jægy devient bourgeois par sa femme dix jours après son mariage. Inscription au registre de bourgeoisie, registre de traitement des demandes
1775, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 121-v
Frantz Joseph Jäggÿ der beck von Marckols. verheurathet mit gertrud theresia, Johann huter des becken und burgers allhier ehel tochter erhalt das Burgerrecht aus recommendation gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der becker. Jur. eod. [den 7. Januarii 1775]

(VI 286 bis, f° 168) Becker N° 36 d. 19. xbre 1774
Frantz Joseph Jägi der beck gebürtig von Marckolsheim weÿl. Michael Jägi des gewes. b. u. Würth daselbst ehel. Sohn Verlobt mit theresia, Joh. Hüter des b. u. frantzösischen becker alhier
durch die Schein bewehrt die ehrl. geburt cath. Rel. die gehörig stadt stall caution geleistet u dessen sponsæ stallgebühr in richtigkeit
5000 fl baaren Geldt hat er bescheiniget deßen eigenthumb er mit Eÿdts erhärtet auch 100 lb ß beym b. Pol deponirt.
impl. bittet EG unterthännig ihn wegen hoher recommendation von seiten ihro G. H. stättmeistr von Gail grats in E. G. b. recht auff und anzunehmen
per Recom. gratis gegen Erlag 12 ß ins Armen hauß

François Joseph Jægy devient tributaire en décembre 1774, l’inscription sera définitive quand il aura produit son certificat de bourgeoisie
1774, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 78) Sambstags den 17. Decembris. – Fremder Neuzünfftiger dt. 4. lb 6 ß
Frantz Joseph Jägÿ, leediger becker Von Marckolsheim gebürtig, stehet Vor und bitt, weilen er sich mit H. Hanns Huthers eines dißortigen Meisters Tochter ehelichen Versprochen, und mit derselben ein Beckenhaus bekommt auch würcklichen um das burgerrecht hat anrufen lassen Ihme als Leibzünfftigen frantzösischen Becken Meister auf und anzunehmen.
Erkanndt, Seÿe Implorant in seinem begehren Zu willfahren jedoch mit dem Beding, daß er sein Burger: Urkund und Stall; Schein dem Protocoll beÿzubringen hat. Solche zum Protocoll gebracht den 7.ten Jan. 1775.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui leur a été cédée et dont le prix sera réglé après la mort des cédants. Les apports du mari s’élèvent à 60 livres, ceux de la femme à 114 livres.

1775 (28. 9.br), Not. Lauth (6 E 41, 646) n° 20
Inventarium über Herrn Frantz Joseph Jägÿ, des Frantzösischen Becken und Frauen Gertrud Theresiä gebohrner Hutherin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnveränderte in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1775. – einander in ihrem den 26.ten Decembris Anno 1774. angetrettenen Ehestand zugebracht und sich in der vor mir unterschriebenem Notario den 31. Octobris d: a: aufgreichteten Ehe: beredung §° 5.to für unverändert vorbehalten haben (…)
So geschehen in præsentia auf Seithen des Ehemanns H. Johannis Adam Jægy, des berühmten Musici in allhiesigem Münster, deßen leiblichen Bruders und auf der Ehefrauen Seithen, Hn Johannes Huthers, des hiesigen burgers und ehemaligen frantzösischen becken, deroselben Leibl. Vaters beÿderseiths hierzu erbettener Herren beÿstandern, Straßburg auff Dienstag den 28.ten Novembris Anno 1775.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Dauphine: Gaß gelegenen Eingangs; ged. Ehefr: zufolg vorallegirter Ehe: beredung §° 7 Von ihrem H. Vater cedirt und Hernach mit mehrerm beschriebenen Becken: Behausung befunden worden, Wie folgt
Eigenthum an einer Behausung. Nemlichen eine Becken: Behausung ane der Dauphine: gaß gelegen, bestehend in Vorder und Hinder: Gebäud: Hoff, Hoffstatt und Bronnen samt allen dero Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, einseit neben H. Michael Mannberger dem Kiefer Weinhändler und Burger hieselbsten, anderseit neben N. Schuler dem Zuckerbeck, auch hiesigen Burger und hinten auf H. Rathh. Joh. Nicolaus Ottmann dem Ohlmüllern zum theil und Zum theil auf gedachten Hn. Mannberger Sonntag, Diese Behausung ist vermög oft: angezogener Ehe: Verschreibung und deren 7.ten Paragraphi Ihro der Ehefr. von ihrem Leibl. Vater für frei ledig u. eigen vor und um die summ von 6000 fl. eigenthümlichen cedirt worden. Was die Hierüber besagen sollende Documenten betreffen, so befinden sich solche annoch in der Elterlichen Verwahrung. Der 7..te, 8.te u. 10.te Artickel der Vor mir passirten Ehe: Bered. ist dem Contr: Prot° de A° 1776 f° 21 et seqq. sub dato. d 22.ten Jan. d: a: in allh: in C: C: St;. einverleibt zu finden. Weilen nun vorherbemelten Cessions; Schillings Ausweisung erst nach beider Eltern todt besch. soll u. bis dahin derselbe auf der Behausung stehen Verbleibt, Als habe ich das Eigenthum hier nur Berichts: weiß: pro Memoria anmercken wollen.
Folgt nun hierauf die Beschreibung nächst vorher erwehntner beeder Eheleuthe einander für unverändert in dero Ehestand gebrachten Nahrungen an: u vor sich selbsten
Des Ehemanns für unverändert zugebr: Vermögens, Sa. Kleidung u. weisen Gezeugs 43, Sa. Silber Geschmeids 2, Summa summarum 46 lb – Aber nach Beirechnung der haussteuren (…) 14 lb, Des Ehemanns in die Ehe gebr. Vermögen 60 lb
Continuatio Series rubricarum hujus Inventarii. Solchemnach werden auch der Ehefraun für unverändert in die Ehe gebr. Mittel berzeichnet, Sa. Hausraths 85, Sa. Silber: Geschmeidt 13, Sa. gold Rings 1, Die becken; behausung ist über den Bruch zu schreiben und Keine Summa darzu zu setzen, Summa summarum 100 lb – Darzugelegt deroselben ane denen (…) Haussteuren gebührige Zweite oder übeige helffte anlangen 14 lb, Bestehet demnach der Ehefraun gesamptes für unverändert in die Ehe gebrachte Gut 114 lb

Jean Huther meurt en 1778 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à 500 livres. La masse propre à la veuve est de 4 269 livres, l’actif des héritiers de 499, le passif de 868 livres. L’actif de la communauté s’élève à 917 livres et le passif à 4 788 livres.

1778 (21.3.), Not. Anrich (6 E 41, 1504) n° 187
Inventarium über Weiland Hrn Johann Huthers des geweßenen burgers und ehemaligen frantzösischen becken allhier Zu Straßburg nunmehro seeligen Verheurathet mit auffgerichtet anno 1778. – nach seinem Mittwochs den 25.ten letzthin gelegten Monaths februarÿ aus dießer Zeit und welt genommenen tödlichen hintritt dahier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, Erfordern und begehren fraun Mariæ Annæ Hutherin geborner Ledée deßen hinterbliebener Wittib, so von Hrn Georg Sturm dem thorschließer in dem allhiesigen mehrern Hospithal und burgern dahier verbeÿständet (…) So Geschehen allhier Zu Straßburg in einer ane der Dauphine gaß gelegener in gegenwärtige Verlaßenschafft gehöriger und hernach beschriebener Behaußung, auf Sambstag den 21 ?ten Martÿ anno 1778.
Des abgelebten seeligen rechtmäsige und ab intestato Zurückgelaßene Erben sind nachbenamßte deßen mit der hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte dreÿ Kinder mit Nahmen und 1.mo Frau Maria Anna Catharina Kehren geborne Hutherin, Valentin Kehren des hiesigen burgers und becken in Bonis geschiedene Ehefrau, so bereits schon in die 13. Jahr von dießem ihrem Ehemann abgesondert ihre wohnstatt haltet und dahero Von Johann Georg Held dem hiesigen burger und Schneider verbeÿständet zugegen, 2.do Frau Ottillia Dallerin geborne Hutherin, H. Philipp Jacob Dallers des schreibmeisters und burgers dahie Ehegattin so unter dießes ihres Mariti assistenz gegenwärtig und 3°. Frau Gertrud Theresia Jägÿ geborne Hutherin Hrn Frantz Joseph Jägÿ des frantzösischen beckens und burgers hieselbsten Ehefrau so von dießem ihrem Ehemann Verbeÿständet zugegen

Eigenthum an einer Behausung. (E.) Nemlich eine weißbecken behaußung bestehend in einem Vorder: und hinder hauß, einem höfflein, bronnen und hoffstatt, mit allen deren gebäuden, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Dauphine Gaß gelegen 1.s. n. Hn Johann Michael Demuth dem Weinhändler, 2.s. n. Joh. Jacob Kammerer dem Sailer hinten auf Johann Bresamle dem Statt sattler stosend, davon man jahrs denen Edlen von Oberkirch 7. ß. 2. d. ane Boden Zinnß Zu reichen pflichtig, sonsten aber ist dieße behaußung außer dem hernach unter denen theilbaren Schulden eingetragenen passiv Capital der 300 lb d freÿ leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) Zufolg deroselben unterm 1. Aprilis 1758. schrifftlich Verfaßen und Zu dießem Inventarÿ Concept gelüfferten abschatzung gewürdigt und angeschlagen worden für und um 500 lb. Wovon aber wegzurechnen Vorgedachte Boden zninß beschwerde der 7 ß. 2. d. zu doppeltem Capital gerechnet antreffend 14 lb. 6.ß 8. d, Nach deren Abzug Verbleiben an beregter Abschlags Summ der 500. lb d hier noch auszuwerffen übrig 485 lb 13 ß. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kaufbrieff in der Cantzleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt de dato 8. Februarÿ 1735. so mit altem N° 1 bezeichnet
Ergäntzung der wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung des über die von beeden eingangs gemelten Ehe persohnen einander in die Ehe gebrachte Nahrungen durch nun weiland Hrn Notariun Andreas Schmid in anno 1735. den 10.ten Septembris auffgerichteten Inventarÿ
Norma hujus Inventarÿ. Der hinterbliebenen Wittib unverändertes Vermögen. Sa. hausraths 11, Sa. Silber geschirrs 15. Sa. golden geschmeids 8 ß, Schulden 75 lb, Ergäntzung 4166 lb, Summa summarum 4269 lb
Diesemnach so wird der Kinder und Erben ohnverändert Guth beschrieben. Sa. haußraths 12. Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 1. Sa. Eigenthums ane einer behausung 485. Sa. Ergäntzung &&, Summa summarum 499 lb – Schulden 868, Compensando 368 lb
Endlichen so wird auch die gemein: und theilbare Nahrung beschrieben. Sa. Hausraths 54. Sa. leere, faßen und des Kirschenwaßers 36. Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 33, Schulden 793, Summa summarum 917 lb – Schulden 4758 lb, In Vergleichung 3841 lb – Stall summa 59 lb, Zweiffelhaffte schulden in die theilbare nahrung 22 lb
Copia der Eheberedung (…) le 29. juin 1735 André Schmidt Not. pub: et juré de la ville de Strasbourg
– Abschatzung Vol 1.t. apprill 1778. Auf begeren Weÿland Herr johannes Huter dem Welschbeck ist Eine behausung alhie in der statt straßburg in der Dauphins gaß gelegen Ein seÿts neben Herr Mamberger dem Weinhändler, anderer seÿts neben Herr schuhler dem Zuckerbeck und hinten Ebenfals auf obbeschriebenen Herr Mamberger stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer bachstube und bach Kuchen welche gewölbt ferner in zweÿ stuben Eine Kuchen und Etlichen Kammern darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller hoff und brunen. Von uns unterschriebene der statt straßburg geschwohrnen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Tausend gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMstr

François Joseph Jægy et Gertrude Thérèse Huther hypothèquent au profit de Georges Riedinger 300 florins dus à l’épouse sur la maison

1778 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 241-v
H. Franz Joseph Jagÿ der frantzösischer beck
in gegensein H. Georg Riedinger – schuldig seÿen 700 gulden
der schuldner sich verbindlich machet seine Ehefrau Gertrud Theresia geb. Hutherin diese obligations acte als unverscheidentlich mitschuldnerin (zu bestätigen)
unterpfand 300 fl. so sie von guths Ergäntzung an ihres ehemanns weÿl. Johann Huther gewesten frantzösichen becken Verlaßenschafft zu erheischen hat und auff der ane der Dauphine gaß gelegenen behausung

François Joseph Jægy loue la maison au boulanger Jean Michel Münch

1781 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 147
Frantz Joseph Jagÿ der frantzösische beck
in gegensein Johann Michael Münch des ledigen frantzösischen becken
entlehnt, in der ihme verlehner zuständigen ane der Dauphine gaß gelegenen beckenbehaußung eine vollständige wohnung, bestehend auff dem boden aus einer stub und küche, bach stub, bach haus und bach offen, weiters zweÿ zimmer oder cammer über dem bachhaus, weiters im zweÿten stock auff die gaß außehend eine stub, küche hausehren zwo kleinen cammer, mehr die meel cammer, die bühn darüber nebst einer anderen bühn, mehr der vordere große keller, so dann platz zum holtz – auff 3 nacheinander folgenden jahren den 24. dieses ihren anfang nehmend – um 23 sols täglichen zinß, ferner 36 gulden quartaliter zahlbar

Gertrude Thérèse Huther femme du boulanger François Joseph Jægy vend la maison à sa sœur Odile Huther, femme du maître de calligraphie Philippe Jacques Daller moyennant 3 000 livres

1782 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 68-v
Fr. Gertruda Theresia geb. Hutherin Frantz Joseph Jagÿ des frantzösischen becken Ehefrau
in gegensein Fr. Ottilia geb. Hutherin H. Philipp Jacob Dahler des schreibmeisters ihrer leiblichen schwester
eine becken behausung bestehend in vorder und hinter gebäud, hoff, hoffstatt und bronnen mit allen deren übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der ehemaligen Vieh und der mahlen Dauphine gaß, einseit neben Fr. Mamberger geb. Demuthin, anderseit neben der Schulerischen wittib und erben, hinten zum theil auff H. exsen. Nicolaus Ottmann den ohlmüller zum theil zum theil besagt. Mambergerin – davon gibt man der edlen von Oberkirch 7 ß 2 pf. ane bodenzinß – von ihrer Fr. mutter Maria Hutherin geb. Ledée mit einem wohnsitz und ein täglichen gehalt von 23 sols lebens verfangen – als ein von ihren eltern in einem vor H. Not. Lauth unterm 31. Octobris 1774 auffgerichteten Ehecontract § 7, 8, 9 & 10 überlaßenes haus – um 6000 gulden worunter die capital summen begriffen

Odile Huther et Philippe Jacques Daller louent la maison au boulanger Jean Michel Münch l’aîné

1782 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 75
Fr. Ottilia geb. Hutherin H. Philipp Jacob Dahler des schreibmeisters Ehegattin
in gegensein Johann Michael Münch des älteren weißbecken, so sein Sohn Johann Michael Münch den nach nicht großjähriges frantzösischen becken representiret
lehnungs weiß, in der ihro eigenthümlich zuständigen ane der Dauphine gaß gelegenen behausung ihme Mr Münch dem vatter, so nahmens seines sohns, eine vollständige wohnung verlehnet, bestehend auf dem boden aus einer stub und küch bachstub bachhaus und bachoffen, weiters zwo cammern über dem bachhaus, mehr im zweÿten stock auff die gaß außsehend eine stub, haus öhren, ewo kleinen kammern, mehr ein meel cammer, die bühn darüber, nebst einer anderen bühn, mehr den kleinen keller so dann platz zum holtz – auff 4 nacheinander folgenden jahren auff d. 25. dieses aluffenden monats anfangend, um einen täglichen zinß von 26 sols und 1 verling kohlen wochentlich vor verwittibte Fr. Hutherin, ferner 36 gulden quartaliter mit 9 gulden (zu zahlen)

Fils du brasseur Jacques Christophe Daller, de Rattenberg en Tyrol, Philippe Jacques Daller épouse en 1770 Odile Huther : contrat de mariage, célébration
1770 (25.1.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 190
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und vorachtbaren herrn Philipp Jacob Daller, dem ledigen Kunsterfahrenen Schreibmeister alhier, Herrn Jacob Christoph Daller, des bierbrauers zu Hoffgarten im /:Erzbistum Salzburg gehörig:/ ehelich erzeugten Sohn,
sodann der Viel Ehren: und tugendbegabten Jungfraun Utiliæ Hutherin, Herrn Johannes Huthers des frantzösischen Becken und Burgers dahier Zu Straßburg ehelich erzielter Jungfer Tochter
Straßburg den 25.ten Januarÿ anno 1770 [unterzeichnet] Philipp Jacob Daller Hochzeiter, odile huetre als braut

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 289)
Hodie 20. mensis februarii anno 1770 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Jacobus Daller solutus majorennis oriundus ex Ratterscheid dioecesis Salisburgenis filius Jacobi Daller et Catharinæ hienerspichler conjugum a duobus annis in parochia Sti petri junioris commoratus a duabus circiter mensibus in parochia Sti Stephani hujus urbis commorans, et odilia Hutter, soluta minorennis filia Joannis Hutter ciuis et pistoris et mariæ annæ Ledeez conjugum (signé) Philipp Jacque Daller, odile huetre (i 148)

Philippe Jacques Daller devient bourgeois par sa femme dix jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Drapiers. Il est reçu à titre gratuit à cause de son métier – registre d’inscription et traitement des demandes.
1770, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 6-v
Philipp Jacob Daler, schreib meister von Rattenbach in Tÿrol verheurathet an Ottilia, N Hueter des frantz. becken ehel. Tochter erhalt das burgerrecht ex spciali gratia gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der Tucher. Jur. den 3. Mars 1770.

(VI 286 bis) f° 82. Tucher N° 22 – den 19.ten febr. 1770
Hr Phillipp Jacob Daller der schreibmeister von Rattenberg gebürtig Verlobt mit jgfr. Odilia Joh: Huters deß frantzösischen becken und burgers alhier ehelicher dochter Erweißet durch scheine seine ehrliche geburt, Catholischer religion, die richtigkeit der Sponsæ stall gebühr, seines orts alda geleisteten Caution und Vertröstung deß Zunfftrechts beÿ E. E. Zunfft der Tucher.
500 fl. baar hat derselbe Vorgelegt, den aÿd deß Eigenthumbs abgeschworen und nach ordnung 100 fl. beÿ dem burger proth. deponirt.
Bitt ob favorem artis und a Sponsam gratis in das hießige burger recht auffgenommen Zu werden – Gratis

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue d’Or. Les apports du mari s’élèvent à 80 livres, ceux de la femme à 1 041 livres.
1770 (22.3.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 763) n° 429
Inventarium über der Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Jacob Dallers kunstberühmten Schreibmeisters, und der viel Ehren: und tugendbegabten Fraun Utiliæ gebohrner Hutherin, beeder Eheleuthe und Burgere alhier Zu Straßburg einander vor unverändert in die Ehe Zu und eingebrachte Vermögenschaften, aufgerichtet im Jahr 1770. – einander in ihrem dm 20.ten Februarÿ jüngst angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu und aingebracht haben (…) So beschehen Straßburg in fernerer Gegenwart Herrn Antoni Reinbolt des Practici und Rechen meisters auch burgers alhier, der Ehefraun zu diesem Geschäfft besonders erbettenen Herrn beistands, auf Donnerstag den 22.ten Martÿ 1770.
In einer alhier Zu Straßburg an dem Goldgießen gelegener dißorts Zum theil Lehnungsweis bewohnenden behausung hat sich befunden als
Series rubricarum. Des Eherrn zugebrachten Vermögen, Sa. haußraths Posten 79, Sa. Silbers 1, Summa summarum 80 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefraun eingebrachte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 616, Sa. Silbers 90, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 84, Sa. baarschafft 250, Summa summarum 1041 lb
Haussteuren 35 lb

Philippe Jacques Daller demande à être reçu au Miroir en quittant les Drapiers puisqu’il a appris le métier de marchand à Fulda. Il doit se procurer son certificat d’apprentissage et sollicite le droit de vendre du tabac dans l’intervalle. Il est reçu tributaire en mars 1774 mais doit attendre son certificat avant d’ouvrir boutique. Il est reçu marchand le 3 mars 1775.
1773, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 109) Mittwochs, den 14. Decembris 1773 – Vertröstung
Hr Philipp Jacob Daller, der hiesige Burger und Schreibmeister, stehet vor und meldet, daß Er bei H. Hildebrand in Fuld die Handlung ordnungs mäsig erlernt, aber bisher keinen Gebrauch davon zu machen, mithin auch seinen Lehrbrief deßfalls nicht verlanget habe.
Als er jedoch ohnlängst darum geschrieben, und laut vorgewiesenen Missivs Zur Antwort erhalten, wegen seines Lehr H. Schulden halben genommenen Austritt dermal nicht so geschwind den Lehrbrief bekommen Zu können, so bitte er ihn inzwischen und bis Zu deßen Vorlegung geneigt Zu erlauben, einen kleinen Tabackkram anzufangen, unter dem Verspruch, sein bisheriges Zunftrecht bei den Tuchern unverzuglich aufzusagen und diesorts leibzünfftig zu werden.
Erkannt, dem H. Implorant unter Erfüllung seines Anerbietens dergestalten willfahrt, daß derselbe einen glaubwürdigen Lehrbrieff sobald möglich verlangen soll, anbei diesortigen Zunfftrecht vertrösten.
[in margine:] das Missiv d. 17. Martii 1774. nebst dem Lehrattestat erhoben, Daller

(f° 116) Donnerstags, den 10. Martii 1774 – C. Leibzünfftiger
Hr Philipp Jacob Daller wurde nunmehr auf vorgelegten Stallschein von heutigem Tag gegen Erlag 2. lb 13 ß 4 d dergestalt als Tabackbereiter leibzünfftig aufgenommen, daß er gleichwol seinen Laden nicht eher, bis er den Lehrbrief Vorgelegt haben wird, öfnen soll.
(dt 2 lb 13 ß 4 d und 4 ß 8 Findl.)

(f° 238) Dienstags, den 3. Martii 1775 – Lehrattestat vorgelegt
Hr Philipp Jacob Daller, der disorts leibzünfftige Tabackbereiter, legt nunmehr ein von dem hochfürstl. Vice-Dom-Amt in Fuld d. 17. Januarii jüngsthin gesiegelt ausgefertigtes Lehrattestat vor, bittet um dessen Verzeichnis.
Erkannt, gegen Erlag 25. lb d wegen nicht in hiesiger Stadt erlernter Handlung willfahrt, sofort als handelsmann angenommen.

Marie Anne Ledée meurt en 1783 après avoir réduit à la légitime ses filles Catherine Marie, femme séparée du boulanger Valentin Kehren et Getrude Thérèse, femme de François Joseph Jægi, aubergiste à Plobsheim, et institué pour héritière des sept neuvièmes de la succession sa fille Odile, femme du maître de calligraphie Philippe Jacques Daller.

1783 (10. X.br), Not. Lederlin (6 E 41, 905) n° 246
Inventarium über Weiland Frn. Mariæ Annæ gebohrner Ledée, auch Weiland H. Johann Huthers, geweßenen beckers und Burgers alhier in Straßburg geweßener Ehefraun und hinderlaßener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1793. – nach ihrem d. 5.ten Decembris dieses lauffenden 1783. Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hinscheiden Zeitl. verlaßen (…) So geschehen allhier in Straßburg auf Mittwoch den 10.ten Decembris 1783.
Die Verstorbene Seelig hat per Testamentum in Scriptis Solenne Clausum zu Erben verlaßen folgende Persohnen 1.mo Catharinam Mariam gebohrne Huther Valentin Köhr, des beckers längst geschiedene Ehefrau, so unter beÿstand nachgemelten ihres Schwagers (…), in die ihro von Rechts wegen gebührige Legitima oder in den Neunten theil dießer Erbschaft, 2.do Frau Gertrudam Theresiam gebohrne Huther, Frantz Joseph Jaggi des Wirths Zu Plobsheim Eheliche Haußfrau, und weilen dieselbe von hier abweßend, als ist in deren namen beÿ dieser Inventur erschienen Herr Frantz Georg Burgard E: E: Kleinen Raths dahier jetzig Wolverdienter beÿsitzer, als Zufolg Extractus (…) de dato (-) Decembris jüngst ernannter H. Deputatus, so auch dießer Inventur in Persohn beÿgewohnt hat, in den Zweiten Neunten theil dießer Verlt. oder aber auch nur in die Ihro von Rechts wegen gebührige Legitima, So dann Frau. Odiliam gebohrne Huther, Herrn Philipp Jacob Dallers des Schreibmeisters und Burgers dahier Eheliebstin, so unter assistentz ihres Ehegatten dießer Inventur abgewartet hat, in den Überrest dießer Verlaßenschafft oder in die restirende 7/9.te theil

In einer allhier Zu Straßburg ane der Dauphine Gaß Herrn Phil. Jacob Dahler dem dißortigen Eingangs gemelten uxorio nomine Mit Erben Zuständigen Behausung folgender maßen sich befunden als
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Es ist mir berichtet vorlauffig Zumelden, daß nach deme ich der unterzogene Notarius sowol von Frauen Odilia Dallerin gebohrner Hutherin und deren Ehemann, als auch den Eingangs ermeldten Herrn Deputato zur Inventation dießer Verlaßenschafft unter der Von H. Daller mit gethaner Declaration, daß Kehrische Ehefrau sie eine in Legitima eingesetzte Erbin meiner Requisition wegen in Vollkommene Kenntnuß habe, erfordert worden bin, dieße Verlaßenschafft Zu inventiren, sich nach abgenommenen ohnverletzt befundenen Insiegel, wamit dieße Vnd belegt ware, mit dressirung des Introitu und benamßung der Erben den anfang dießer Inventur gemacht habe, (…) Und Donnerstag d. 11.ten Decembris des 1783. Jahrs erschiene in der Sterbbehaußung samtliche vorherbenannte ErbsInteressenten und die Kehrische Ehefrau beÿständ. Frantz Joseph Jäggÿ ihres Schwagers neben auch vorgemeldtem H Deputato um theils eine Kürtzliche Revision und teils die Continuation dieser Inventation vorzunehmen (…)
Sa. hausraths 102, Sa. Silbers 7, Sa. golds 2, Summa summarum 113 lb – Schulden 86 lb, In Compensatione 26 lb
Copia des von Kehrischer und Jäggischer Ehefrau mir unterschriebenem Notario durch H. Toussaint dem königl Huissier significirten Acts
Copia der Verstorbenen Seeligen vor Herrn Lacombe Notaire Royal errichteten, Testamenti Clausi, Straßburg den 28. Augusti anno 1783 – Cejourd’hui 28 août 1783 (…) fut presente Marie Anne Ledée Veuve de Jean Huter vivant Bourgeois Boulanger de Strasbourgn saine d’Esprit Jugement et Entendemet mais malade de corps gisant au lit dans le poël du premier de la Maison qu’elle occupe Rüe Dauphine à Strasbourg Laquelle a presenté et exhibé aux dits temoins la présente Enveloppe Close de Cinq empreintes d’un cachet (…)

Le notaire Anrich dresse un nouvel inventaire, les filles réduites à la légitime n’ayant pas assisté au précédent. L’héritière des sept-neuvièmes renonce à la succession. Ses sœurs qui s’estiment lésées par le règlement du prix de la maison par une rente viagère demandent que la vente soit résolue. La vente de 1782 est résolue le 15 mars 1787, la maison exposée aux enchères. La femme Jægi s’en rend propriétaire le 19 mai suivant.

1784 (3.3.), Not. Anrich (6 E 41, 1509) n° 263
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Annä Hutherin geborne Ledée auch weiland Herrn Johannes Huthers des geweßenen burgers und ehemaligen frantzösischen beckens allhier Zu Straßburg hinterbliebene Wittib nunmehro seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet anno 1784. – nach ihrem am 5.ten Decembris des letzthingelegten 1783.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt allhier Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft nach deme solche bereits am 10.ten Vorgedachten Monats Decembris Zum theil schon durch Hrn Notarium Johannes Lederlin inventirt worden, die ältere und jüngere dißortige töchter aber bald hernach benamsset so dabeÿ nicht erschienen, damit keines weegs zufrieden wären, auf dießer beeder töchter Ansuchen Erfordern und begehren ane heut nachgesetztem Dato, nach deme Hr Johann Georg Burghard, Es En Kleinen Raths dermaliger wohlverdienter beÿsitzer, welcher Zu denen Zimmeren, worin sich die Effecten befanden, die Schlüßel in handen und Verwahrung hatte, selbige außgelüffert, frischer dingen ersucht und inventiret (…) So geschehen allhier zu Straßburg in einer ane der Dauphine gaß gelegenen und Hrn Philipp Jacob Daller, dem hiesigen burger und Schreibmeister eigenthümlich zuständigen Behausung auf Mittwoch den 3.ten Martÿ 1784.
Die verstorbene seelig hat vermög des hernach copialiter eigetragenen Testamenti mistici Zu ihren erben Verlassen ihre dreÿ mit Vorermeltem ihrem längst abgelebten Ehemann Hrn Johannes Huther ehelich erzeugte Töchter, als 1. Frau Mariam Annam Catharinam Kehren geborne Hutherin, Valentin Kehren des hiesigen burgers und Beckens in Bonis geschiedene Ehefrau und zwar nur biß zum belauf des ihro von Rechswegen Zukommenden Pflichttheils,welche zumalen sie bereits schon iin die 19. Jahr von gedachtem ihren Ehemann abgesondert, und ihre besondere Wohnstatt haltet, Von Francisco Xaverio Waßmer dem Meelmann und burger allhier ihrem tochtermann verbeÿstandet zugegen, 2.do Fr. Odiliam Dallerin geborne Hutherin Herrn Philipp Jacob Dallers des schreibmeisters und burgers dahier Ehegattin in die nach abzug der denen anderen beeden frauen Töchtern gebührigen Legitimæ übrig bleibende gesamte Vermögens Nachlaßenschafft, so aber Zufolg eines Vor obernanntem Hrn Notario Johannes Lederlin den 24.ten Januarÿ jüngst passirten und am 3.ten Februarÿ auch jüngst significirten Renunciations actus tam active quam passive auf dieße ihre mütterliche Erbschafft für ein und alle mal Verzug gethan und solche denen anderen beeden töchteren Zur freÿen Disposition überlaßen, sich mit ihrer erhaltenen Ehesteur einig und allein begnügend, dahero auf den unterem 1.ten hujus mensis Martÿ erhaltener Sommations acte, beÿ dießer Inventur nicht erschienen, 3.tio Frau Gertrud Theresiam Jägÿ geborne Hutherin Hrn Frantz Joseph Jägÿ des hiesigen Burgers und Vormaligen beckens nunmehro aber wirths Zu Plobsheim Ehefrau auch nur wie die älteste tochter Vor dem ihro ohnehin Zukommenden Pflicht theil, welche unter bemeldeten ihres Ehemanns asistentz gegenwärtig

Copia des von der abgelebten seeligen errichteten testamenti mistici de dato 28.ten Augusti 1783. so eodem die beÿ Herrn Lacombe dem hieisgen Königlichen Notario deponirt und den 9.te, Decembris ejusdem anni von demselben eröffnet worden. (…)
Declaratio demnach nun Frau Othiia Dallerin geborne Hutherin Hrn Philipp Jacob Dallers des hiesigen burgers und Schreibmeisters Ehegattin nach besag des Vorher beÿ der Erben benennung angezogenen Renunciations actus
Rubricarum series, Sa. Hausraths 64, Sa. Silbers und Geschmeids 4, Sa. Goldenen Ringen 18 ß, Sa. Schulden 69,
Wie die dißortige beneficial erbin Gertrud Theresiam Jägÿ gebohrne Hutherin Zu vernehmen gibt, so hat in dem Zwischen ihro und ihrem Ehemann den 31.ten Octobris 1774. getroffenen Ehe Contract paragrapho 7.mo dero abgelebter Hr. Vatter ihro seine unveränderte an der Dauphine gaß hieselbst gelegene becken behausung um 6000 fl dergestalten übertragen, daß in Gefolg des 8.en §.i sie an dem Cessions schilling die helffte mit 3000 fl. auf Abschlag Vätterlichen Guths behalten (…) Gelegenheitlich dießes Vor Sie Jägÿsche Ehefrau höchst nachtheiligen Verkauffs, so hatte Dallerische Ehefrau hierseitige Defunctam also Zu bereden und einzunehmen gewußt, daß Sie ihre diejenige 3000 fl. welche Sie an berührtem Kauffschilling der 6000 fl. Zu ersuchen hatte, gegen eine jährliche Leibs Renth Von 156 fl. mithin nur gegen 6 fl. mehreren Zinß dann sonsten nur gemeines Capital zu fünff pro cento erträgt, als ein abgetötetes Capital überlaßen. Wann nun also dießer in favor dallerischer Ehefrauen beschehene Verkauff mit der Capitalls Abtödung, wobeÿ so wenig die Verkäufferin, als die dißorts Verstorbenen Mutter der ordnung nach Verbeÿstandet gewesen, beÿ seiner Kräfften erlaßen werden solte, so würde hierseitigen Zwöen Beneficial Erbinnen insonderheit ihre Jägÿscher Ehefraun ein empfindlicher Verlust Zuwachßen derowegen ab hanc Læsionen enormem sie sich darwider gehöriger Orten Vorsehen, sothanen Verkauff mit der Capitals abtödung für null und nichtig erklären auch Jägÿsche Ehefrau in integrum restituiren laßen wollen, quo facto und nachdeme mehr erwehnte behausung ihro Jägÿscher Ehefrau gegen restitutio des allenfalls darauff behalten wider abzutretten solte richterlich Verordnet worden seÿn, dießer letztern alß dann obliegen wird die vornen gedachte helffte des Cessions schreibens in dießer Verlaßenschafft mit 3000 fl. einzuschießen woraus jedoch nachgehends Vor berührtes Silbermännische Capital der 600 fl, so die cedirende eltern schuldig waren und Jägÿsche Ehefrau auf die cedirte behaußung nicht angewießen worden zu tilgen (…)
Summa der schulden 975 lb, Summa summarum 1044 lb – Schulden 145 lb, Compensando, Stall summa 899 lb
– Summarische Berechnung – Eigenthum ane einer behausung in einem allhier zu Straßburg ane der Dauphine gaß gelegene und mit N° 23 bezeichnete Weißbecken behausung ohngeachtet selbige hierseitiger tochter fraun Jäggi in dero Ehe Contract vom 31. 8.bris 1774 verschrieben und nachher an die andere tochter fraun Dalerin zufolg Kauf Contracts vom 11. Februarÿ 1782 verkauft war, ist vermög eingangs allegirten Cammer gerichts bescheids von dem 15. mart. 1787 die Parthen in integrum restituirend und ohne auf beregte Contracten rucksicht zunehmen unter ihnen denen Erben gegen conferirung der abseiten frn. Jäggi darauf aufgenommenen 2400 fl. und restitution der durch Sie von frn. Dalerin empfangenen 300 fl. als theilbar erklärt (…) den 4.ten, 12.ten und 19.ten Maÿ jüngst auf der Becker zunfftstub offentlich versteigert worden und endlichen den 26. ged. Monats in der 4.ten und letzten Versteigerung außweißlich des von mir Notario darüber errichteten steigerungs processus verbalis besagter fraun Jaggi eigenthümlich verblieben um die meist gebottene summ von 6750 fl.

François Joseph Jægy et Gertrude Thérèse Huther font dresser un état de leurs biens. Ceux de la femme s’élèvent à 999 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 8 088 livres, le passif à 7 852 livres.

1792 (26.1.), Strasbourg 4 (25), Not. Roessel n° 71
Inventarium über Frantz Joseph Jägÿ, des Burgers und Becken alhier zu Straßburg und deßen Ehefrau Gerthruta Theresia gebohrner Hutherin dermalen besitzende Activ Nahrungen und hingegen wieder zu bezahlen habender Passiv Schulden, Welch alles auf deroselben Ansuchen (…) Auf den 26. Januar 1792. angefangen und den 10. Februarÿ d. A. geendigt.
Sa. Haußraths 71, Sa. Silbers und Golds 24, Sa. Früchten 144
Der Ehefr. ohnveränderte Vermögenschaft, Sa. gold. ring 4, Sa. activ schuld 600, Sa. Ergäntzung 395 Summa summarum 999 livres
Dießemnach wird auch des Manns ohnv. und theilbare mass unter einem titel beschrieben, Sa. haußraths 71, Sa. Früchten 144, Sa. Silbers 20, Summa summarum 225 livres – Passiv Schulden 8088 livres, Passiv onus 7852 livres
Copia der Eheberedung (…) Zu Straßb. auf Montag den 31. Octob. Anno 1774. J. D. Lauth, Notarius

Odile Huther et Gertrude Thérèse Huther exposent la maison aux enchères. Joseph Jægy s’en rend propriétaire

1791 (4.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1519) n° 223
Versteigerung der in weÿl. fraun Anna Maria Hutherin geb. Ledé längst weÿl. hrn Johannes Huthers gewesenen frantzösischen beckens verstorbenen Wittib Nachlaßenschafft gehörigen und nun fraun Odilia Dallerin geb. H. hrn Philipp Jacob Dallers des Schreibmeisters Ehegattin und fraun Gertrud Theresiä Jäggÿ geb. Hutterin hrn Frantz Joseph Jäggÿ des frantzösischen beckens Ehefraun auf mehrer entschiedenen Rechts streits
zu zweÿen gleichen theilen zuständigen ane der Dauphine gaß gelegenen mit N° 23 bezeichneten Weisbecken behaußung, in einem Vorder: und hinter gebäud wie auch hoff bronnen und hoffstatt samt allen dero übrigen zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten bestehend, einseit neben hrn Kobelt dem Wundartzten, anderseit neben hr. Schmid den zuckerbeck gelegen, hinten zum theil auf hrn Ottmann und zum theil auf Mr Musculus den Schumacher stoßend, wovon man jährlich denen Edlen von Oberkirch ane bodenzinß 7 schilling 2 pfund zu reichen pflichtig, um 1400 fl. und 1100 fm. (capitalien beladen)
ausgeruffen worden um 6000 fl. Johann Georg Steck der geschworne Courtier 6010 fl.
12. maÿ niemand – 19 et 26. maÿ, 6500 fl. Frantz Joseph Jäggÿ, 6750 fl. Frantz Jäggÿ [unterzeichnet] Jägÿ
enregistré le 4.6.

Gertrude Thérèse Huther hypothèque la maison au profit du marchand de vins Jean Schott

1793 (24.9.), Chambre des Contrats, vol. 669 n° 944
bu. Gertrud Theresia geb. Huther des bu. Frantz Joseph Jägÿ des becken ehefrau
in gegensein bu. Frantz Wiedemann des schneiders namens bu. Johannes Scholl des weinhändlers – schuldig seÿen 2985 livres
unterpfand, eine ane der Dauphine gaß gelegen mit N° 23 bezeichnete behausung, einseit neben bu. Kobelt dem chirurgo, anderseit neben bu. Schmitt dem zuckerbecker
enreg. 2.10.

Odile Huther, Odile Thérèse Kœhren et Jean Valentin Kœhren vendent leur part de maison à leur cohéritière Anne Marie Kœhren, femme du boulanger François Xavier Wassmer

1795 (2 therm. 3), Strasbourg, Not. Saltzmann, (rép. 6 E 41 449-5) n° 220
Cession – Odile Huter femme de Philippe Jacques Thaler négociant a Lauterbourg, Odile Thérèse Koehren femme du Cit. Leroy demeurant Paris, Jean Valentin Koehren demeurant à Strasbourg, Marguerite Koehren et Eve Koehren aussi de Strasbourg
à Anne Marie Koehren femme de François Xavier Wassmer boulanger
une maison rue des Bestiaux N° 23, l’acquéreuse possede une portion dans lad. maison – moyennant 45.500 livres
(Répertoire: Enchere de la maison de Gertrude Thérèse Jaegy née Hutter boulanger le 9 messidor – vente de la maison des héritiers Jaegy à Anne Marie Koehren femme de François Xavier Wassmer)
Enregistrement, acp 36 F° 30 du 2 ther. 3

Originaire de Staufen en Brisgau dans le diocèse de Constance, François Xavier Wassmer épouse en 1778 Marie Jeanne Kœhren, fille de Valentin Kœhren et d’Anne Marie Huther
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 137)
Hodie 9 mensis Octobris Anni 1778 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Franciscus Xaverius Wasmer, Pistor, oriundus ex dicto Staufen (ad Stum Martinum in Staufen Diœcesis Constantiensis) Fiilius legitimus Josephi Wasmer et Anna Maria Zieglerin, a quatuor annis in parochiâ nostrâ Commorans, Et Maria Joanna Kœhren, Argentinensis Filia legitima et Majorennis Valentini Kœhren civis hic et Pistoris et Annæ Mariæ Hutherin, pariter ab aliquot annis in hac parochia commorans (signé) frantz xaueri wasmer, + Nota sponsæ (i 72)

François Xavier Wassmer est admis à la tribu des Boulangers en septembre 1780 (le registre de bourgeoisie manque à cette époque)
1780, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 125-v) Donnerstags den 21.ten Septembris – Fremder Neuzünfftiger (dt. 4 lb 6 ß)
Frantz Xaverius Waßmer, der ledige Becker, Von Staufen im Breisgau gebürtig, weiland Joseph Waßmer des gewesenen Löwenwürths und Burgers allsa seel. nachgelaßener ehelicher Sohn, stehet Vor und bittet man möchte ihne, da er schon auf diesorts den 28.ten Aug. h: a: erhaltenen Vertröstungs: Schein bei E: E: Gr. Rath um das Burger: recht hat anrufen laßen, gegen Erlag gewohnlicher Gebühr als leibzünfftigen Meelhändler, nebst Angedeÿhung Meel: und Gries: Rechts, bei diesortiger Zunft auf: und annehmend.
Erkandt, Seÿe Imploranten in seinem Begehren mit dem Beding Zu willfahren, daß sobald er bei E: E: Gr: R: den Burger: Eid wird abgelegt, und darauf die Burger: Urkund und respê Stall: Schein erhalten haben, solchen as Protocollum Zu liefern. Solches den 2.ten Januarii 1781. ad Protoc. gebracht.

Anne Catherine Kœhren femme de Jean Etienne Antoine Volont cède sa part de la maison à sa sœur
1796 (17 nivôse 4), Strasbourg, Not. Saltzmann, (rép. 6 E 41 449-5) n° 232 ad 220
Anne Catherine Koehren femme de Jean Etienne Antoine Volont.
à Anne Marie Koehren sa sœur femme de François Xavier Wassmer
la 12° partie dans une maison à Strasbourg rue des Bestiaux – N.B. l’acquéreuse est déjà propriétaire des portions restantes par indivis – pour 4550 livres
Enregistrement, acp 38 F° 157-v du 18 nivose 4

Inventaire dressé après la mort de Catherine Jægy, femme du concierge Joseph Perrin, où est mentionné le capital dû par Anne Marie Kœhren, femme de François Xavier Wassmer, pour lors demeurant à Westhoffen, suivant la vente de la maison rue des Bestiaux, passée en 1794
1802 (4 floréal 10), Strasbourg 4 (32), Not. Roessel n° 648
Inventarium und beschreibung all derjenige haab und Nahrung so weÿl. b. Catharina Jägÿ des bürgers Joseph Perrin Portners allhier Ehefrau nach ihrem den 27. germ. laufenden X.t jahr verlaßen hat, die verstorbene hat ab intestato in ermanglung KK zu erben verlaßen ihre beede leib. brüder als Anton Jägÿ ledigen majorennen Invalide unter der comp. zu Lützelstein und Frantz Joseph Jägj vormaligen beck und hiesigen burger
in einer in der sogenannt. allerheilig. gaß stehenden mit N° 3 bezeichneten Sterbbehausung
Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 534 fr, activ schulden 106 fr, Capital 1400 fr, summa 2040 fr – passiv schulden 3000 fr, Compensando 959 fr
n° 653, Sumarische berechnung, So hat Anna Maria Köhren b. Frantz Xaver Wassmer des bäckers zu Straßburg ehefrau modo er zu Westoffen wohnhaft bei der den 3. messidor 2.ten Jahrs vor Not. Saltzmann geschehenen Verschreibg. der in hiesiger stadt ane der Viehgas stehenden in die falliments-mass der Eheleuteh Jägj et consorten gehörigen mit N° 23 bezeichneten bäckerbehausung übernommen 2400 lb capital
Joint: Contrat de mariage, Joseph Perrin natif D’aubure fils majeur de Joseph Perrin, marechal dud. lieu et Marguerite Valentin et cathrine Jaegin fille majeure demeurant à Strasbourg de Michel Jaegin laboureur de Marckolsheim et d’Anne Marie fischer – Lacombe notaire royal le 16 janvier 1783
Enregistrement, acp 84 F° 62 du 6 flo 10

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Elisabeth Dubs femme du revendeur Jean Valentin Kœhren

1809 (25.11.), Strasbourg 12 (28), Not. Wengler n° 4439
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Dubs femme de Jean Valentin Koehren, marchand graissier, décédée le 1 du présent mois – à la requête de 1. Chrétien Geofroi Bossenius, notaire public pour la représentation de Joseph Dubs, cordonnier absent depuis de longues années sans avoir de ses nouvelles, ledit Joseph Dubs frère germain de la défunte pour un quart, 2. Thérèse Dubs veuve de Gervais Deharbe, négociant à Strasbourg sœur germaine de la défunte, 3. Thérèse Willmann femme de Joseph Antoine Bucchetty, employé aux messageries, Madeleine Willmann femme d’Antoine Hertzog tailleur à Oberehenheim et Anne Marie Willmann fille majeure les trois enfants feue Anne Marie Dubs sœur germaine de la défunte procréés avec Jean Adam Willmann vigneron, 4. Mathieu Dubs cordonnier et Thérèse Dubs majeur, les deux enfants de feu Mathieu Dubs frère utérin de la défunte, ensemble pour un 12°, 5. Xavier George, voiturier à Mühlbach, Antoine Kapps cultivateur aud lieu celui ci comme poursuivant les droits d’Ottilie George sa femme, les deux enfants de Catherine Dubs sœur utérine de la défunte, procréés avec Jean Jacques George, instituteur à Mühlbach pour un 12°, 6. Xavier George se faisant fort d’Ottilie Dubs célibataire majeure à Mühlbach sœur utérine pour un 12° – Contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 31 mars 1788
dans une maison appartenant à François Xavier Wassmer rue du bétail n° (-)
meubles, garde robe, argenterie 13 fr, créances 4714 fr, numéraire 476 fr, total 6028 fr – passif 3196 fr
Enregistrement, acp 113 f° 143-v du 1.12.

François Xavier Wassmer loue la maison au boulanger Jean Jacques Seltz

1810 (23.5.), Strasbourg 12 (31), Not. Wengler n° 4811
Bail de 6 années à commencer à la St Jean prochaine – François Xavier Wassmer propriétaire
à Jean Jacques Seltz boulanger
la maison appartenant au bailleur et à ses enfants sise à Strasbourg rue du bétail n° 23 entre les Sr Kobelt chirurgien et Schmitt marchand confiseur, à l’exception des logements qui s’y trouvent au second étage tant des bâtiments de devant que de derrière plus haut grenier de la maison de devant, place dans la cave et pour le bois de chauffage destiné à ce logement – moyennant un loyer annuel de 1008 francs
Enregistrement, acp 114 f° 164 du 24.5.

Les trois filles de François Xavier Wassmer vendent quatre cinquièmes de la maison au boulanger Michel Bieth et à sa femme Marie Madeleine Eberlin

1816 (12.7.), Strasbourg 8 (15), Not. Roessel n° 3401
Anne Marie Wassmer femme de Georges Schmidlin tailleur d’habits, Salomé Wassmer femme de Gall Steyert, aubergiste, Rosine Wassmer majeure, Madeleine Wassmer femme de Jacques Ruhlmann, employé, et avec le consentement de François Joseph Wassmer leur père boulanger
à Michel Bieth boulanger et Marie Madeleine Eberlin son épouse
quatre cinquièmes par indivis de la maison et de ses dépendances sise en cette ville où les acquéreurs demeurent rue du Bétail n° 23 d’un côté le Sr Kobelt chirurgien, de l’autre le Sr Schmidt confiseur, derrière en partie le Sr Schuler farinier en partie la veuve et héritiers du Sr Ottmann fabricant d’huile – de laquelle maison le dernier cinquième appartient à Pierre Xavier Wassmer militaire absent, avenu aux venderesses et à ce dernier par le décès d’Anne Marie Koehren, femme dudit François Xavier Wassmer, qui en a hérité un 12° de Gertrude Thérèse Hutter décédée femme de François Joseph Jaegy boulanger, et s’en est rendu acquéreuse devant Saltzmann, notaire à Strasbourg, le 30 messidor 3 et 7 nivose 4 – moyennant 14.400 francs

Originaire de Gimbrett, Michel Bieth épouse Madeleine Eberlin en 1814
1814 (6.9.), Strasbourg 8 (9), Not. Roessel n° 1986
Contrat de mariage, communauté d’acquets – Michel Bieth boulanger en cette ville fils de feu Jean Bieth, laboureur à Gimbrett, et de Marguerite Klein
Madeleine Eberlin fille mineure de Jacques Frédéric Eberlin, boulanger, et de Marie Madeleine Altmann
Enregistrement, acp 125 f° 95 du 8.9.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1815 (4.8.), Strasbourg 8 (12), Not. Roessel n° 2644
Inventaire des apports de Michel Bieth boulanger et de Madeleine Eberlin, suivant contrat de mariage dressé devant nous le 6 septembre 1814
dans la demeure des conjoints fauxbourg de Saverne n° 6
mari 7214 fr, déduire 2400 fr, reste 4816 fr
l’épouse 2839 fr
enreg. f° 139 du 7.8.

Inventaire des apports de Susanne Caroline Kobelt femme du docteur en médecine Jean Rodolphe Frey, dressé dans la maison

1818 (11.6.), Strasbourg 7 (59), Not. Stoeber jeune n° 3924
Inventaire des apports de Susanne Caroline Kobelt femme de Jean Rodolphe Frey, docteur en médecine, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg le 28 mai dernier, contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 16 avril de l’année courante
en la demeure des époux rue Dauphine n° 23
apports de la Damee 18.589 fr, mobilier 558 fr, linge literie 1083 fr, argenterie 470 fr, créances 14.477 fr, numéraire 2000 fr
apports du mari, rien, son bien maternel épuisé par ses études
Enregistrement de Strasbourg, acp 139 F° 82-v du 20.6.

Michel Bieth et Marie Madeleine Eberlin achètent la maison arrière des héritiers Schuler (voir le plan en début de notice)

1829 (12.2.), Strasbourg 9 (63), M° Hickel n° 3023
furent présens Mr Jean Jacques Schuler, père, farinier, Mr Jean Jacques Schuler, fils, aussi farinier, et Marie Elisabeth Dessecker son épouse qu’il autorise, Dame Marguerite Elisabeth Schuler, femme de Mr Georges Dominique Ritzenthaler, marchand de fayence, Dame Salomé Concorde Schuler, femme de M. Jean Louis Stiedel, maitre armurier au bataillon des pontionniers en garnison à Strasbourg, lesdites Dames Ritzenthaler et Steidel de leurs maris aussi présens dûment autorisées à l’effet des présentes, Et Demoiselle Madeleine Sophie Schuler, majeure, tous demeurant à Strasbourg , Lesquels ont (vendu)
à Mr Michel Bieth, boulanger, et à Dame Marie Madeleine Eberlin, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg
Une maison de derrière avec cave, petit bâtiment latéral contenant étable à porcs, lieux et fosse d’aisances, et cour y attenant, tenant d’un côté à Mad° veuve Flieschhauer, de l’autre au Sr Bieth acquéreurn par derrière au Sr Ottmann et par devant aux vendeurs, le tout ayant fait partie d’une maison de devant avec appartenances et dépendances, située à Strasbourg quartier des Bouchers n° 2. Ainsi que ladite maison de derrière, ses dépendances et un chaudron à lessive y placé qui est compris dans la présente vente, se trouvent, poursuivent et comportent
L’immeuble présentement vendu dépend de la communauté de biens qui a existé entre M. Schuler père et feu Dame Lucie Marguerite Kalbfell, décédée son épouse, dont lesdits Sr Schuler fils, Dames Ritzenthaler et Steidel et la Dlle Schuler comparans sont seuls et uniques héritiers. M. Schuler père a acquis durant son mariage lesdites maisons de devant et de derrière de M. Jean Geoffroi Trommer et de George Kuntz, boulanger, les deux de Strasbourg, ce dernier ayant agi en qualité de subrogé tuteur de Frédérique Salomé Trommer, fille mineure, issus du mariage dudit Sieur Trommer avec Marie Philippine Hertzwiller, suivant contrat passé devant M° Wengler, notaire à Strasbourg, le 25 pluviôse an 12 enregistré le même jour et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le lendemain volume 16, N° 64 et d’office volume 31 N° 286. Cette acquisition a été faite moyennant le prix de 5950 francs (…), En sus dudit prix M. Schuler a été chargé 1. d’acquitter une rente foncière annuelle d’un franc 60 centimètres assise sur lesdites maisons et due à la famille Oberkirch. Cette rente a été rachetée dès longtempss, ainsi que les vendeurs le déclarent. 2) Et de laisser jouir gratuitement le Sr Jean Jacques Musculus, cordonnier, sa vie durant, d’un logement dans la maison vendue, cette charge est éteinte par le décès du Sr Musculus. Le Sr Trommel et feue Marie Philippine Hertzwiller sa première femme dont ladite Dlle Trommel était seule et unique héritière avaient acquis lesdites maisons et dépendances dudit Sr Musculus suivant contrat passé devant ledit M° Dinckel le 25 pluviôse an 3, enregistré le lendemain et convention reçue par le même notaire le 24 Messidor an dix, enregistré le lendemain. (…)
Pour fixer la limite de la propriété de M Schuler et de ses enfants et de celle des conjoints Bieth, et pour déterminer les droits respectifs des propriétaires des deux maisons, les parties sont convenues entr’elles et s’obligent réciproquement à ce qui suit. 1. La ligne qui séparera la propriété des conjoints Bieth d’avec la maison Schuler sera celle du nu extérieur du mur de la façade de derrière de cette maison, laquelle ligne est indiquée par les lettes AB sur un plan desdites propriétés que les parties ont fait dresser (…) 2. Pour bien établir cette ligne de séparation les conjoints Bieth feront construire dans le délai de trois mois à dater de ce jour, sur toute la longueur de ladite ligne AB, un mur qui touchera immédiatement la façade de derrière de la maison Schuler. Ce mur bouchera une porte qui conduit dans la cave de la maison Schuler, ainsi qu’un jour de l’escalier de cette maison qui prend sur la cour vendue. 3. Il sera pratiqué dans le mur à constuire et à l’endroit correspondant à la porte actuellement existante se trouvant au fond du corridor de la maison Schuler, et indiqué au plan par les lettres DE, une ouverture d’un mètre 38 centimètres (ou quatre pieds trois pouces de Paris ancienne mesure) sur 32 centimètres (ou environ un pied de Paris, ancienne mesure) de hauteur, en partant de la partie supérieure de ladite porte. Cette ouverture sera garnie de barreaux de fer de 12 centimètres (ou environ 4 pouces) d’espacement d’axe en axe. 4. Au moyen de la construction dudit mur les vendeurs Schuler ou leurs ayant droit ne pourront jamais être contraints à clore leur maison dans la longueur de ladite ligne indiquée par les lettres DE. 5. La hauteur du mur de séparation à construire ne pourra dépasser l’appui des croisées existantes dans la façade du derrière de la maison Schuler. 6. Les frais de construction de ce mur étant à la charge des conjoints Bieth, et ce mur se trouvant assis dans toute sa longueur sur le terrain par eux presentement acquis, ils en seront aussi seuls propriétaires, néanmoins sous les charges contenues dans le présent acte. 7. Pour remplacer aux vendeurs Schuler les lieux d’aisance qui existent dans cour vendue, lesdits conjoints Bieth s’obligent de faire construire dans le délai de trois mois à dater de ce jour, dans dans la maison Schuler un cabinet d’aisance qui sera pratiqué dans l’épaisseur du mur de la façade de derrière de cette maison. sur la largeur de 90 centimètres (ou environ 3 pieds) indiquée sur le plan par la ligne CB. La profondeur de ce cabinet indiqué au plan par la ligne FK ne pourra être que de 90 centimètres, à cet effet et pour obtenir la moindre saillie possible sur la propriété des conjoints Bieth, la partie de ce cabinet qui dépassera le mur de séparation à construire devra être close en planches seulement, cette saillie ne pourra être que de 30 centimètres (ou environ 1 pied de Paris) sur toute la largeur du cabinet. La hauteur du cabinet d’aisance ne pourra dépasser, y compris le toit, 4 mètres 15 centimètres (ou environ 13 pieds de Paris) à partir du plancher du corridor de la maison Schuler au point indiqué par la lettre I. L’entrée de ce cabinet sera pratiquée sur l’escalier de la maison Schuler et devra corresponde à l’une des marches se trouvant sur la ligne indiquée au plan par les lettres FG. Le cabinet sera établi de manière à verser les immondices dans la fosse d’aisances présentement acquise par les conjoints Bieth. Les vendeurs Schuler ou leurs ayant droit ne pourront prétendre à aucune part dans le bénéfice résultant de la vente de ces immondices. Les frais d’établissement de ce cabinet seront à la charge des conjoints Bieth, mais ceux d’entretien et de répation seront supportés par les propriétaires de la maison Schuler. 8. Le balcon qui établit la communication du premier étage de la maison Schuler, avec la maison de derrière vendue aux conjoints Bieth sera démoli sur toute la longueur de la façade de derrière de la maison Schuler. Les frais de cette démolition qui devra être achevée dans ledit délai de trois mois sont à la charge des conjoints Bieth qui profiteront par contre des matériaux en provenant. 9. Les eaux pluviales et celles éviers des cuisines de la maison Schuler devront toujours être reçues par un seul corps pendant qui les déverse au point indiqué par la lettre H du plan, dans le conduit déjà exisant dans le corridor de cette maison, pour la traverser et faire écouler toutes ces eaux, ainsi que celles que la cour reçoit actuellement et pourra recevoir par la suite, dans la rue des Bouchers. Le conduit actuellement existant alors qui déverse les eaux pluviales du toit de la maison Schuler dans la cour vendue sera remplacé, aux frais des conjoints Bieth, et à leur diligence par un autre conduit qui déverse ces eaux dans celui déjà existant au premier étage de ladite maison. 10. Les conjoints Bieth et leurs ayants droit ne pourront jamais contraindre les propriétaires de la maison Schuler à boucher ou à garnir de barreaux ou de treillis les croisées actuellement existantes dans cette maison. Ils ne pourront également jamais diminuer par aucune construction sur leur propriété les jours que ces croisées prennent actuellement dans la cour vendue. 11. Et enfin toutes ces charges de construction et de démolition imposées aux conjoints Bieth sont évaluées pour faciliter la preception des droits d’enregistrement à la somme de 100 francs. La présente vente est faite en outre pour et moyennant le prix de 3000 francs
Enregistrement, acp 193 f° 78 du 13.2.

Michel Bieth et Marie Madeleine Eberlin acquièrent le dernier cinquième de cohéritiers Wassmer

1829 (10.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 56), Me Hickel n° 3054
1. François Xavier Wassmer, ancien boulanger, 2. Robert Hauswirth, serrurier, et Rosine Wassmer, ledit Hauswirth mandataire de Marie Anne Wassmer épouse de Georges Schmidlin, tailleur d’habits à Delémont canton de Berne, 3. Gall Steyert, menuisier, fondé de pouvoir de Jérôme Steyert son enfant issu ainsi que Dlle Steyert de Salomé Wassmer, 4. Marguerite Stayert, 5. Madeleine Wassmer veuve de Jacques Ruhlmann, employé à Strasbourg
à Michel Bieth, boulanger, Marie Madeleine Eberlin
le cinquième par indivis avec les acquéreurs d’une maison et dépendances située à Strasbourg rue du Bétail ou rue Dauphine n° 23, d’un côté M. Boeswillwald boulanger, d’autre le Sr Ritzenthaler, derrière l’acquéreur en partie le Sr Ottmann – l’acquéreur est déjà propriétaire des quatre cinquièmes pour en avoir recueilli un cinquième dans la succession de Pierre Xavier Wassmer, militaire, qui a laissé pour héritiers savoir le Sr Wassmer son père pour un quart, la D° Hauswirth, Schmidlin et Ruhlmann pour trois 16°, lesdits Steyer ensemble pour trois 16°. Pierre Xavier Wassmer l’avait recueilli dans la succession d’Anne Marie Köhren sa mère épouse du Sr Wassmer dont il était héritier pour un cinquième, les quatre dames ont vendu leurs portions aux conjoints Bieth par acte reçu Roessel notaire le 12 juillet 1816 – pour 3600 francs
Enregistrement, acp 193 F° 154 du 11.3.

Michel Bieth meurt en 1832 en délaissant six enfants

1832 (19.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 63), Me Hickel n° 4141
Inventaire de la succession de Michel Bieth, boulanger, décédé le 29 février dernier, dressé à la requête de Madeleine Eberlin, veuve de Michel Bieth, en qualité de commune en biens suivant contrat de mariage reçu M° Roessel le 6 septembre 1814, de mère et tutrice légale de 1. Charles Auguste, 2. Frédérique Julie, 3. Sophie Caroline, 4. Madeleine Louise, 5. Michel Théodore & 6. Eugène Emile – en présence d’André Bieth, cultivateur à Gimbrett subrogé tuteur
dans une maison dépendant de ladite communauté rue d’Austerlitz n° (-)
garde robe 346 fr, meubles 2424 fr, argent 400 fr
Inventaire de la succession de Jean Bieth, père du défunt, par M° Chable à Wiwersheim le 27 février 1812 – totalité de l’indemnité due par la communauté 3800 fr
Titres de propriété. M° Roessel le 12 juillet 1816, Marie Anne Wassmer femme de Georges Schmidlin, tailleur d’habits, Salomé Wassmer femme du Sr Gall Stegert, aubergiste, Rosine Wassmer majeure, Madeleine Wassmer femme de Jacques Ruhlmann, employé, vente des quatre cinquième d’une maison sise à Strasbourg rue d’Austerlitz ci devant rue du bétail n° 23 où il est présentement procédé
M° Hickel le 10 mars 1829, vente par François Xavier Wassmer, ancien boulanger, aux conjoints Bieth du dernier cinquième indivis de la maison ci dessus formant la part qui appartenait autrefois à Pierre Frédéric Wassmer, militaire absent
M° Hickel 11 et 12 février 1829, Jean Jacques Schuler père, farinier, et les héritiers et représentants de Lucie Marguerite Kalbfell sa femme défunts a vendu aux conjoints Bieth une maison avec cour, autres appartenances par derrière la maison ci dessus désignée et faisant autrefois partie de la propriété desd. conjoints Schuler sise à Strasbourg rue des Bouchers n° 2. La requérante déclare qu’au moyen des constructions que son mari a fait faire en 1829 les immeubles faisant l’objet des ventes dont les expéditions ont été inventoriées ont été réunies dans un seul corps de bâtiment. Le second étage en est loué au Sr Diss pour 96 fr, le surplus occupé par veuve Bieth et ses enfants
Enregistrement, acp 209 F° 173-v du 27.4.

Acte de notoriété dressé après la mort de Marie Madeleine Eberlen en 1854
1854 (24.8.), Strasbourg 10 (127), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.695
Notoriété – (…) 1. qu’ils ont parfaitement connu dame Marie Madeleine Eberlen, veuve de Mr Michel Bieth vivant boulanger, 2. que ladite dame est décédée ab intestat à Strasbourg le 2 août courant, 3. qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire et 4) qu’elle a laissé pour seuls héritiers habiles à se dire et porter ses héritiers ses six enfants ci après nommés, issus de son mariage avec son défunt époux susnommé, savoir 1) Mr Charles Auguste Bieth boulanger, 2) Mlle Frédérique Julie Bieth, non mariée, 3) Mlle Caroline Bieth, non mariée, 4) dame Marie Louise Bieth, épouse de M. Jean Daniel Michel, serrurier, 5) Mr Michel Théodore Bieth, marchand de vins et 6) Mr Eugène Emile Bieth, boulanger, tous majeurs demeurant et domiciliés à Strasbourg
acp 432 (3 Q 30 147) f° 71-v du 26.8.

Les six enfants Bieth se partagent la succession. La maison revient au boulanger Charles Auguste Bieth

1854 (30.12.), Strasbourg 10 (128), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.848
Partage de la succession délaissée par Marie Madeleine Eberlen veuve de Michel Bieth vivant boulanger
Ont comparu 1) Mr Charles Auguste Bieth boulanger, 2) Mlle Frédérique Julie Bieth, en jouissance de ses droits, 3) Mlle Sophie Caroline Bieth, aussi en jouissance de ses droits, 4) Mme Marie Louise Bieth, épouse dûment autorisée à l’effet de ce qui suit de son mari M. Jean Daniel Michel, serrurier ci présent, 5) Mr Michel Théodore Bieth, marchand de vins 6) Mr Eugène Emile Bieth, boulanger, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg. Lesquels comparans voulant faire entre eux le partage des biens et valeurs dépendant de la succession de Mme veuve Bieth née Eberlen, leur mère ci après nommée, ont préalablement exposé ce qui suit. La dame Marie Madeleine Eberlen, veuve de Mr Michel Bieth en son vivant boulanger à Strasbourg est décédée en cette ville où elle avait son domicile le 2 avril 1844 en laissant pour seuls et uniques héritiers ab intestat chacun pour un 6° ses enfants susnommés issus de son mariage avec feu son mari ainsi que cette qualité se trouve constatée par un acte de notoriété dressé par M° Zimmer soussigné qui en a la minute le 24 avril dernier. Après le décès de cette dame il n’a pas été dressé d’inventaire de sa succession les présentes devant en tenir lieu en tant que besoin.
Lex comparans reconnaissent que Mme Bieth leur mère leur a délivré la fortune mobilière de feur leur père s’élevant aux termes de l’inventaire de la succession du défunt dressé par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 19 avril 1832 et d’un contrat de vente passé devant M° Boersch alors notaire en la même ville le 18 décembre 1839 pour chacun de ses enfants la somme de 1170 francs

Succession de Mme Bieth (…) 6) et de la moitié indivise d’une maison de devant avec boulangerie et d’une maison de derrière avec appartenances et dépendances, sises à Strasbourg rue d’Austerlitz N° 23 entre Mr Boeswillwald et Mr Chevalier. Cette moitié indivise est évaluée sans distraction des charges à raison d’un revenu annuel de 500 francs à un capital de10.000 francs
Ladite maison que les héritiers de Mme Bieth ont recuillie moitié dans la succession de leur mère et moitié dans celle de leur père a été acquise par les défunts durant la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre eux, savoir 1) quatre cinquièmes indivis de la maison de devant de Marie Anne Wassmer femme de Georges Schmidlin tailleur d’habits, de Salomé Wassmer femme de Gall Steyert ,aubergiste, de Rosine Wassmer, fille majeure et de Madeleine Wassmer femme de Jacques Ruhlmann employé, tous de Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M° Roessel père lors notaire à Strasbourg le 12 juillet 1816, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 18 du même mois volume 36 N° 29. et inscrit d’office le même jour volume 105 N° 591. Le prix de cette acquisition était de 14.400 francs que les conjoints Bieth ont payé (…)
2) un cinquième indivis de ladite maison, du Sr François Xavier Wassmer père, ancien boulanger, de la Dame Rosine Wassmer femme du Sr Robert Hauswirth, tanneur, de ladite dame Schmidtlin, de ladite dame Ruhlmann, de dlle Marguerite Steyert majeure et du Sr Gall Steyert, ayant agi au nom de Jérôme Steyert son enfant mineur issu, ainsi que la dlle Steyert de son mariage avec dame Salomé Wassmer, sa femme défunte déjà susnommée, aux termes d’un contrat passé devant M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 10 mars 1829 pour le prix de 3600 francs qui se trouve quittancé partie dans ce contrat et le surplus dans l’acte du 10 mai 1839 susallégué.
3) et la maison de derrière du Sr Jean Jacques Schuler père farinier, du Sr Jean Jacques Schuler fils, farinier, et de dame Marie Elisabeth Dessecker son épouse, de dame Marguerite Elisabeth Schuler femme du Sr Georges Dominique Ritzenthaler, marchand de fayence, de dame Salomé Concorde Schuler épouse de Jean Louis Stiedel, maître armurier et de dlle Madeleine Sophie Schuler majeure ous de Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant ledit M° Hickel les 11 et 12 février 1829 pour le prix de 3000 francs payé comptant, suivant quittance contenue audit contrat dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 février 1829 volume 221 N° 6.
Fixation des droits des parties et abandonnements. 1) Mr Charles Auguste Bieth a droit à la comme de 8910 für. Pour l’en remplir, les autres parties lui abandonnent
4°) la maison avec outils et ustensiles de boulangerie et autres droits, appartenances et dépendances moyennant son prix d’estimation de 20.000 francs
acp 436 (3 Q 30 151) f° 32 du 3.1.1855 ((succession déclarée le 2 janvier 1855) La succession se compose d’une valeur de 53.562 y compris la moitié d’une maison rue d’Austerlitz N° 23 provenant de la succession du père, 1/6 8910

Charles Auguste Bieth épouse Caroline Emma Best en 1855 et apporte en mariage la maison qu’il ameublit

1855 (10.1.), Strasbourg 10 (128), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.862
Contrat de mariage – ont comparu 1) M. Charles Auguste Bieth, boulanger, demeurant et domicilié à Strasbourg, fils né le 20 avril 1815 du légitime mariage de M. Michel Bieth, en son vivant boulanger à Strasbourg & de D° Marie Madeleine Eberlen son épouse défunte, futur époux, d’une part
2) Madlle Caroline Emma Best, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille née le 20. octobre 1831 du légitime mariage de M. Jean Jacques Best en son vivant brasseur à Strasbourg & D° Marie Elisabeth Lauth sa veuve, future épouse, d’autre part
3) Et ladite D° Marie Elisabeth Lauth, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de feu M. Jean Jacques Best susnommé, agissant pour assister la Dlle future sa fille & à cause de la dot qu’elle va lui constituer ci après de troisième part

acp 436 (3 Q 30 151) f° 55 du 11.1. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura en outre l’usufruit de la moitié des biens du prédécédé dans ladite communauté d’acquêts
Les apports du futur consistent 1° dans divers objets mobiliers et marchandises estimés à 8813 francs, 2) Une maison rue d’Austerlitz N° 23. Le tout grevé d’un passif estimé à 21.000 francs
Les apports de la future épouse consistent 1) argent comptant 3500, 2) le 6° d’un pré ban de Strasbourg au canton Langhaag
Donation par le V° Boersch à la future épouse sa fille ce acceptant d’un mobilier estimé à 2000 francs dont 500 francs lui sont délivrés sur la succession paternelle et 1500 en avancement d’hoirie sur la succession de la donatrice/
Donation réciproque par les futurs époux au survivant deux de l’usufruit viager de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfant. Le futur époux déclare ameublir et mettre en communauté la maison par lui apportée en mariage

Charles Auguste Bieth meurt en 1865 en délaissant une fille

1866 (20.2.), Strasbourg 10 (155), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.482
Inventaire de la succession de Mr Charles Auguste Bieth, en son vivant boulanger à Strasbourg, décédé le 10 octobre 1865
L’an 1866 le 20 février à onze heures du matin, à la requête de Mad° Caroline Emma Bieth, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Charles Auguste Bieth, en son vivant boulanger en la même ville, agissant I. en son propre nom 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié qui a existé entre elle et son mari défunt, 2) à cause des reprises en deniers qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés durant son mariage, 3) comme usufruitière sa vue durant de tous les biens meubles et immeubles composant la part du défunt dans ladite société d’acquets et de la moitié de tous les autres biens composant la succession de feu M. Bieth, le tout aux termes du contrat de mariage de M & Mad° Bieth, dressé par M° Zimmer soussigné el 10 janvier 1855.
II. et comme mère et tutrice légale de son enfant mineure Caroline Emma Bieth, née le 19 octobre 1855, de son mariage avec son défunt mari, ladite mineure Bieth habiles à se dire et porter seule et unique héritière de M. Charles Eugène Bieth sus nommé son père, décédé le 10 octobre 1865. Et en présence de M. Michel Théodore Bieth, marchand de vins demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant somme subrogé tuteur de la mineure Bieth (…). De tout quoi a été dressé le présent procès verbal à Strasbourg rue d’Austerlitz n° 4
acp 552 (3 Q 30 267) f° 20 du 21.2. (succession déclarée le 1° mars 1866) Communauté, maison er créances 7173
une maison rue d’Austerlitz N° 4
Succession, mobilier pour 1253, garde robe 272 francs

La veuve et la fille de Charles Auguste Bieth vendent la maison au boulanger Jean Georges Fuchs et à sa femme Barbe Caroline Starck

1873 (1.9.), Strasbourg 10 (172), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 3648
Vente, 1 septembre 1873. a comparu dame Caroline Emma Best, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Charles Auguste Bieth en son vivant boulanger en la même ville, laquelle a par les présentes vendu (…)
à M. Jean Georges Fuchs boulanger, et à dame Barbe Caroline Starck son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg, acquéreurs solidaires ci présens et acceptant
Désignation. une maison boulangerie avec droits, préparation et dépendances sise à Strasbourg rue d’Austerlitz N° 4 autrefois N° 23 entre M.M. Frantz et Stiefvater, donnant par derrière sur M.M. Stoll et Hatt. Cet immeuble est vendu tel et en état qu’il se trouve actuellement (…) y compris les poêles et le chaudron à lessive mais à l’exception des outils et ustensiles de boulanger
Etablissement de la propriété. Cet immeuble dépendait de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui avait existé entre feu M. Michel Bieth vivant boulanger en cette ville et feue dame Marie Madeleine Eberlin son épouse également décédée pour avoir été acquise durant celle-ci savoir 1) quatre cinquièmes indivis de la maison de devant de Marie Anne Wassmer femme de Georges Schmidlin tailleur d’habits, de Salomé Wassmer femme de Gall Steyert aubergiste, de Rosine Wassmer, fille majeure et de Madeleine Wassmer femme de Jacques Ruhlmann employé, tous de Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M° Roessel père lors notaire à Strasbourg le 12 juillet 1816, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 18 du même mois volume 36 N° 29. et inscrit d’office le même jour volume 105 N° 591. Le prix de cette acquisition était de 14.400 francs que les conjoints Bieth ont payé (…)
2) un cinquième indivis de ladite maison de devant, du Sr François Xavier Wassmer père, ancien boulanger & de Dame Rosine Wassmer femme du Sr Robert Hauswirth tanneur, des dites dames Schmidtlin et Ruhlmann, de dlle Marguerite Steyert fille majeure et du dit Sr Gall Steyert ayant agi au nom de Jérôme Steyert son enfant mineur issu, ainsi que la dlle Steyert de son mariage avec dame Salomé Wassmer sa femme défunte déjà susnommée, aux termes d’un contrat passé devant M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 10 mars 1829 pour le prix de 3600 francs qui se trouve quittancé partie dans ce contrat et le surplus dans l’acte du 10 mai 1839 susallégué.
3) et la maison de derrière du Sr Jean Jacques Schuler père farinier, du Sr Jean Jacques Schuler fils, farinier, et de dame Marie Elisabeth Dessecker son épouse, de dame Marguerite Elisabeth Schuler femme du Sr Georges Dominique Ritzenthaler, marchand de fayence, de dame Salomé Concorde Schuler épouse de Jean Louis Stiedel maître armurier et de dlle Madeleine Sophie Schuler majeure ous de Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant ledit M° Hickel les 11 et 12 février 1829 pour le prix de 3000 francs payé comptant, dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 février 1829 volume 221 N° 6.
Après le décès des époux Bieth Eberlen, cet immeuble échut à leurs six enfants et seuls héritiers M, Charles Auguste Bieth, boulanger, M. Michel Théodore Bieth marchand de vins, M. Eugène Emile Bieth boulanger, Mlle Frédérique Julie Bieth, Mlle Sophie Caroline Bieth les deux filles majeures et dame Marie Louise Bieth épouse de M. Jean Daniel Michel armurier, tous demeurant à Strasbourg, ainsi que ces qualités d’héritiers se trouvent constatées par un acte de notoriété dressé par M° Louis Frédéric Zimmer, alors notaire à Strasbourg, prédécesseur immédiat de M° Koerttgé notaire soussigné le 24 avril 1854 et pat un ace de partage dressé par le même notaire le 30 décembrede la même année. Par ce dernier acte, la totalité de la maison présentement vendue fut attribuée à M. Charles Auguste Bieth susnommé, moyennant une soulte de 16.000 francs qu’il est resté devoir à ses deux sœurs lesdites dlles Frédérique Julie Bieth et Sophie Caroline Bieth.
Aux termes de l’article 7 de son contrat de mariage passé avec dame Caroline Emma Best sa veuve comparante, devant ledit M° Zimmer le 10 janvier 1855, M. Charles Auguste Bieth a mis en communauté à titre d’ameublissement la maison formant l’objet de la présente vente avec convention que le survivant des époux Bieth Best aura le droit de conserver la dite maison en toute propriété pour en faire, jouir et disposer comme bon lui semblera à partir du jour du décès du prémourant d’entre eux, à charge par lui d’en tenir compte à la dite communauté d’une somme de 20.000 francs pour prix dudit immeuble. Mr Charles Auguste Bieth est décédé à Strasbourg le 10 octobre 1865 en laissant pour seule et unique héritière sa fille Dlle Caroline Emma Bieth issue de son mariage avec la veuve comparante ainsi que’il est constaté par l’inventaire de sa succession dressé par ledit M° Zimmer le 20 février 1866. Par le même acte Mde veuve Bieth comparante, en faisant usage de la clause de l’article sept de son contrat de mariage susallégué a déclaré conserver la maison en question en toute propriété et a tenu compte à la masse de la communauté de la somme de20.000 francs (…)
Etat civil et hypothécaire. La venderesse certifie qu’elle est veuve en premières noces avec une fille encore mineure Caroline Emma Bieth née le 19 octobre 1855 de M° Charles Auguste Bieth, que l’immeuble présentement vendu lui appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque à l’exception de l’hypothèque légale de sa fille mineure – Prix et mode de paiement. La présente vente est faite et acceptée moyennant le prix de 38.000 francs (…) – Assurance contre l’incendie (…)
acp 620 (3 Q 30 335) f° 3 du 2.9.

Originaire d’Auenheim près de Kehl, Jean Georges Fuchs épouse en 1866 Barbe Caroline Starck
1865 (22.9.), Strasbourg 10 (154), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.254
Contrat de mariage, 22 septembre 1865 – ont comparu Mr Jean Georges Fuchs, boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Auenheim grand duché de Bade le 3 février 1838 du légitime mariage de M. Michel Fuchs & de D° Catherine Heidt en leur vivant conjoints à Auenheim, stipulant comme futur époux
Et Melle Barbe Caroline Starck, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliés à Strasbourg, née en cette ville le 11 juillet 1835 du légitime mariage de M. Geoffroi Starck, ébéniste et de D° Salomé Barbe Kaetzel sa femme demeurant ensemble dans la même ville, stipulant comme future épouse
acp 546 (3 Q 30 261) f° 26-v du 23.9. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura en outre l’usufruit de la moitié des biens de la communauté d’acquêts
Les apports du futur consistent dans une somme de 4500 francs, ceux de la future épouse en la somme de 2274 francs
Donation réciproque par les futurs époux au survivant deux de l’usufruit viager de la succession réductible à moitié en cas d’enfants

La maison est portée à partir de 1905 au nom de Herrmann Scherwitz dans le cadastre.
Originaire de Rheinbischofsheim en Bade, le boulanger Théodore Herrmann Scherwitz épouse en 1875 Marie Frey, originaire de Heiligenstein

Mariage, Strasbourg (n° 486) Den 20. Juli 1875, Heiraths-Urkund von Theodor Hermann Scherwitz, geboren zu Rheinbischofsheim (Baden) den 13. Januar 1850, Bäcker, wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn von Carl Ludwig Schwerwitz Metzger zu Rheinbischofsheim, gestorben den 7. November 1861 und von Barbara Bürkel daselbst gestorben den 6. Janurar 1662, und von Marie Frey geboren zu Heiligenstein (Unter Elsass) den 25. Januar 1853, ohne Gewerb, wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter von Johann Georg Frey, Zimmermann zu Heiligenstein wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend und von Maria Magdalena Goepp zu Heiligenstein gestorben den 25. Marirz 1871 (…) der Bräutigam legt die Auszüge über den Tod seiner Eltern und Großeltern vor Johann David Scherwitz, Metzger zu Rheinbischofsheim gestorben den 17. August 1836, Margaretha Barbara Scherwitz geborne Käser daselbst gestorben den 11. Juni 1841, Philipp Bürkel, Wirth daselbst, gestorben den 25. September 1836 und Barbara Bürkel gebornene Wabnitz daselbst gestoben den 22. Juni 1807 – das den 21. Juni dieses Jahres vor Herrn Zimmermann Notar zu Barr (Unter Elsass) wohnhaft ein Ehevertrag geschlossen worden ist (i 31)

La maison est portée à partir de 1925 au nom de Jacques Knoderer dans le cadastre.
Originaire de Westhoffen, le boulanger pâtissier Jacques Knoderer, domicilié boulevard de Pierre (aujourd’hui boulevard Clémenceau) épouse en 1903 Eugénie Rust, originaire de Strasbourg, domiciliée rue de Wasselonne

Mariage, Strasbourg (n° 651)
Strassburg am 4. Juni 1903 Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Bäckermeister und Konditor Jakob Knoderer, evangelischer Religion, geboren am 19. Oktober des Jahres 1876 zu Westhofen, Unter-Elsass, wohnhaft zu Strassburg, Steinring 55, Sohn des Ackerers Friedrich Knoderer wohnhaft zu Westofen und seiner verstorbenen Ehefrau Magdalena gebornen Mack, zuletzt wohnhaft zu Westhofen, 2. die Verkäuferin Eugenie Rust, evangelischer Religion, geboren am 31. Dezember 1882 zu Strassburg, wohnhaft un Strassburg, Wasselnheimerstraße 9, Tochter des verstorbenen Schreiners Michael Rust und seiner verstorbenen Ehefrau Eva, gebornen Huck, beide zuletzt wohnhaft in Strassburg (i 176)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.