Charles Victor Holtzapffel, notaire, et (1869) Anne Molk


Charles Victor Holtzapffel naît à Strasbourg le 23 juillet 1834 de l’avocat Jean Charles Holtzapffel et de sa femme Sophie Holtzapffel. Il accomplit de 1853 à 1856 un stage dans des études de seconde classe, il est ensuite second clerc pendant treize mois chez le notaire Mouchet à Paris puis chez M° Zimmer à Strasbourg. Il acquiert en 1861 l’office de Chrétien Charles Auguste Rœssel à un prix inférieur à celui auquel il a été acquis. Il est nommé notaire à la résidence de Strasbourg par décret du 12 avril 1862. Son étude se trouve au 20, rue de la Mésange qui appartient à ses parents puis à sa sœur.
Charles Victor Holtzapffel épouse en 1869 Anne Molk, originaire de Colmar. Il meurt le 24 janvier 1885 en délaissant deux enfants.

Maison en propriété
Rue des Frères (VI 64, actuel n° 39)

Enfants

  • Jean Daniel épouse (1904) Marcelle Elisabeth Kernen, habite à Lyon
  • Marie Anne épouse Lucien Auguste Délu, ingénieur civil des mines à Paris


Signature au traité d’office (1861)


Chrétien Charles Auguste Rœssel cède son office de notaire à Charles Victor Holtzapffel

1861 (23.12.), Strasbourg 9 (122), M° Becker n° 9265
N° 9265. 23 Décembre 1861. Traité d’office – Par devant M. Becker et son collègue, notaires à Strasbourg soussignés ont comparu M. Chrétien Charles Auguste Roessel, notaire à Strasbourg, y demeurant rue du vieux marché aux vins N. 48 d’une part,
M. Charles Victor Holtzapffel licencié en droit, clerc de notaire demeurant à Strasbourg rue de la mésange N. 20 d’autre part, lesquels ont fait et arrêté entre eux ce qui suit
M. Roessel cède à M. Holtzapffel en acceptant L’office de notaire à la résidence de Strasbourg dont M. Roessel a été pourvu par ordonnance royale du dix sept avril mil huit cent quarante trois, Ensemble toutes les minutes et répertoires chronologiques et alphabétiques composant son étude et celle de ses prédécesseurs, Tel que le tout se poursuit et comporte et dont M. Holtzapffel déclare avoir connaissance, notamment en ce qui concerne les produis dud. office.
M. Holtzapffel fera toutes les démarches nécessaires pour se faire agréer par Sa Majesté l’Empereur comme successeur de M. Roessel dans ses fonctions de notaire à Strasbourg et il jouira à compter du jour de sa prestation de serment de tous les émolumens que produira ledit office.
M. Roessel se réserve le montant des recouvremens, déboursés et honoraires qui pourraient lui être dus à l’époque de l’entrée en fonctions de son successeur et M. Holtzapffel s’engage à lui faciliter la rentrée desd. recouvremens autant que cela dépendra de lui. M. Roessel remettra immédiatement à M. Holtzapffel sa démission de ses fonctions de notaire à la résidence de Strasbourg, avec présentation à sa Majesté de M. Holtzapffel comme son successeur.
M. Roessel s’engage à remettre à M. Holtzapffel le jour de sa prestation de serment toutes les minutes et répertoires tant de son exercice que de ceux de ses prédécesseurs, les pièces et renseignements relatifs aux affaires communes et toutes autres pièces dépendant de lad. étude.
En outre cette cession est faite et acceptée moyennant la somme de cinquante cinq mille francs, que M. Holtzapffel s’engage à payer à M. Roessel en sa demeure à Strasbourg dans les deux mois de la prestation du serment. Pour la perception de l’enregistrement les parties déclarent que le cautionnement attaché aud. office s’élève à la somme de neuf mille six cents francs.
Pour l’exécution des présentes les parties font élection de domicile en leurs demeures susindiquées.
Dont acte fait et passé à Strasboug en l’étude.
L’an mil huit cent soixante un le vingt trois Décembre
et ont les parties signé avec les notaires après lecture faite.
Roessel, Holtzapffel, Becker.
[en marge : Expédié. fait une seconde expédition. fait une 3e expédition]
acp 505 (3 Q 30 220) f° 54 du 24.12.

Dossier établi par l’administration allemande sur les notaires en fonction en 1870.
Charles Victor Holtzapffel a accompli de 1853 à 1856 un stage dans des études de seconde classe. Il a ensuite été second clerc pendant treize mois chez le notaire Mouchet à Paris et chez M° Zimmer à Strasbourg. Il acquiert l’office Rœssel à un prix inférieur à celui auquel il a été acquis, ce qui donne lieu à un rapport au garde des sceaux.

108 AL 171 (notaires), dossier de Charles Victor Holtzapffel
fait le 2 avril 1862
Garde des Sceaux,
J’ai l’honneur d’adresser à V. Exc., avec les pièces justificatives à l’appui, la demande du Sr. Holtzapffel, Charles Victor, clerc de notaire, qui sollicite sa nomination aux fonctions de notaire à la résidence de Strasbourg, en remplacement et sur la présentation de M° Roessel.
Le candidat me paraît avoir fourni toutes les justifications exigées par les règlements ; il est licencié en droit, mon substitut n’a reçu que des renseignements favorables sur sa moralité, sa capacité et ses opinions politiques. Il possède des ressources suffisantes pour faire face aux engagements résultants de son traité.
Le Sr. Holtzapffel a accompli un stage continu de plus de neuf années : du 7 janvier 1853 au 13 novembre 1856, il a été employé à différents * dans des études de seconde classe et pendant les dix sept derniers mois de cette période en qualité de principal clerc. Il est entré ensuite dans une étude de première classe, à Paris, où il a rempli pendant plus de treize mois la fonction de second clerc.
([biffé] Mon substitut s’est d’ailleurs assuré que les notaires Mouchet de Paris et Zimmer de Strasbourg, chez qui l’aspirant a travaillé en qualité de s. clerc pendant quatre ans, 11 mois & 27 jours, étaient pourvus de l’autorisation de se faire assister de plus de quatre clercs conformément à l’art. 35 de l’ord.ce du 21 janvier 1843.)
Le prix stipulé est de 55.000 francs, et le produit moyen de l’office pendant les cinq dernières années n’a été que de 4969 f : il ressort de la comparaison de ces deux chiffres l’espoir d’un revenu annuel de 9.03 pour cent seulement.
Je sais que cette proportion est inférieure à celle d’ordinaire en matière de cession d’office ; néanmoins je crois devoir proposer à V. Exc. de maintenir le prix convenu entre les parties.
M° Roessel, le titulaire cédant, a acquis son office en 1843, au prix de 121.000 francs. Le revenu annuel était alors de 13.919 francs. Dans les premières années de l’exercice de M° Roessel cette étude se maintint à peu près dans la même situation, en 1849 et 1850 même, les produits s’élevèrent à un chiffre sensiblement supérieur. Mais à partir de 1850, l’amoindrissement devint continu, et on vit progressivement descendre l’émolument de l’office jusqu’aux chiffres constatés par le relevé joint au dossier.
J’ai dû chercher à m’éclairer sur les causes de cette déchéance ; il importait de savoir si elle ne s’était pas produite par la faute du titulaire actuel.
Jusqu’en 1850, M° Roessel était assisté dans son étude par son frère qui y remplissait les fonctions de premier clerc. A cette époque, ce frère a acquis lui même une étude à Strasbourg. Il paraît qu’une portion notable de la clientèle de M° Roessel passa alors dans l’étude de son frère, qui en sa qualité de premier clerc s’était trouvé en rapport plus ou moins immédiat avec les clients. Il résulta de cette désertion un préjudice considérable pour l’office de M° Roessel. ([in margine :]* que M° Roessel, fortement ébranlé par la concurrence inattendue que lui a fait son frère n’était ** courage * tour de réagir contre cette situation non seulement plus grave, plus tragique aura sans doute plus **). La conduite de ce notaire n’a d’ailleurs jamais donné lieu à aucun reproche, et la perte de 66.000 francs qu’il éprouve en cédant son office aux conditions actuelles est considérable eu égard à sa fortune.
J’estime donc qu’il y a lieu d’accueillir la demande du Sr. Holtzapffel er de maintenir le prix arrêté entre les contractants.
V. Exc. me permettra d’invoquer un précédent à l’appui des conclusions de ce rapport : un décret du 21 avril 1861 a nommé notaire à Strasbourg M° Weiss en remplacement de M° Burtz, et à raison de circonstances analogues à celles que j’ai indiquées, V. Exc. a bien voulu autoriser la cession à un prix qui ne promettait, comparé au produit des 5 dernières années, qu’un revenu inférieur au taux de 12 %.

(17 mars 1862, le Procureur général demande au procureur impérial le produit moyen de l’étude en 1843 et les causes de l’amoindrissement)

Parquet du procureur impérial à Strasbourg, 24 mars 1862
Monsieur le Procureur Général
Par votre dépêche en date du 17 de ce mois, vous m’avez exprimé le désir de connaître quel était le produit moyen de l’office de M° Roessel aîné au moment où celui-ci l’a acquis de M° Tinchant et de savoir en même temps si cet office dont le rendement a si fort diminué depuis lors, n’avait pas déchu par la faute du titulaire.
Voici les renseignements que j’ai recueillis à ce sujet.
Lorsqu’en mars 1843 M° Roessel acquit au prix de 121.000 fr l’office qu’il cède aujourd’hui pour 55.000 francs, l’étude avait produit en moyenne pendant les cinq années antérieures 13.919 francs, ainsi que le constate l’état que j’annexe à ce rapport. L’étude était donc vendue à un taux inférieur à 12 % (11,50), ce qui était un prix défavorable à l’acheteur et tel paraît avoir été le sentiment général du notariat, sentiment qui se justifie par cette considération que plus une étude est occupée et moins le titulaire peut espérer de la maintenir au même niveau, aussi voit-on constamment que ce sont les études qui produisent le plus, que l’on cède avec un rendement proportionnel supérieur aux études placées dans des conditions de travail intermédiaires. J’ai recherché dans les statistiques civiles quel avait été le sort de l’office dont nous nous occupons, depuis l’entrée en fonction de M° Roessel, et j’ai trouvé que de 1843 à 1849, cette étude après avoir été pendant trois ans à un niveau un peu inférieur à celui du titulaire précédent, s’était relevée en 1847, 48, 49 et 50, de manière à dépasser sensiblement, dans ces deux dernières années, le chiffre d’actes obtenus par M° Tinchant. A cette époque 1850, l’étude commença à décliner et alla s’amoindrissant jusqu’au chiffre de 210 actes, représentant la moyenne des cinq dernières années.
Voici autant que je puisse le savoir les causes de cette situation. M° Roessel a eu pendant un certain nombre d’années pour premier clerc son frère, et alors son étude était en voie de prospérité très grande puisqu’en 1849 il aurait fait 1011 actes, et en 1850, 848 actes : cette année-là son frère lui-meme devint notaire à Strasbourg et alors la clientèle de l’office dont nous nous occupons, s’est tout à coup amoindrie en déclinant depuis. On est donc porté à croire, que soit par suite de relations de famille, soit à raison de la confiance personnelle qu’inspirait M° Roessel jeune, les clients ont en partie abandonné l’étude de M° Roessel ainé, lequel trop préoccupé peut-être de cet état de choses pénible pour lui, au lieu de redoubler d’efforts, pour maintenir son étude, a été pris de découragement, ce qui n’était pas de nature à relever ses affaires.
Il faut ajouter que sur les 15 notaires de Strasbourg, il y en a cinq qui laissent loin derrière eux la plupart de leurs autres collègues (MM. Zimmer, Momy, Noetinger, Ritleng père, Rencker aujourd’hui Ritleng fils) et en outre que le nombre des actes que faisaient tous les notaires de Strasbourg en 1841 et 1842 dépassait 8000 (8298) tandis que de 1854 à aujourd’hui le nombre des actes a varié de 6800 à 7236, il y a donc 1000 actes de moins.
Les évènements politiques ont été autant que je puisse le savoir étrangers aux fluctuations qu’a éprouvées l’étude Roessel, je dois dire enfin que la perte de 66.000 francs à laquelle se résoud M° Roessel est énorme pour sa fortune.
J’estime en conséquence qu’on peut l’autoriser à céder pour le prix de 55.000 frs.
Veuillez agréer, Monsieur le Procureur général, l’expression de mes sentiments les plus respectueux.
Le procureur impérial
Malenques*


Revenus de l’étude Tinchant et de l’étude Rœssel pour établir le prix auquel sera cédé l’office

Charles Victor Holtzapffel naît à Strasbourg le 23 juillet 1834 de l’avocat Jean Charles Holtzapffel et de sa femme Sophie Holtzapffel. Il épouse en 1869 Anne Molk, originaire de Colmar.

1869 (23.8.), Strasbourg 10 (163), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1260
Contrat de mariage, 23 août 1869 ont comparu I. Monsieur Charles Victor Holtzapffel, notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, né en cette dernière ville le 23 juillet 1834 du légitime mariage de Mr Jean Charles Holtzapffel avocat et de dame Sophie née Holtzapffel son épouse, stipulant comme futur époux
II. Mademoiselle Anne Molk, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Colmar, née en cette dernière ville le 23 juin 1842 du légitime mariage de feu Jean Conrad Molk, docteur en médecine et de feue dame Caroline Marguerite Adème Ehrlen, stipulant comme future épouse
Etat des apports en mariage de Charles Victor Holtzapffel notaire à Strasbourg. A) Cabinet, Etude, Chambre à coucher, Bibliothèque (…) B) La charge de notaire à Strasbourg à laquelle le futur époux a été nommé par décret du 12 avril 1862. C. Le cautionnement montant à 9600 francs ainsi qu’il est constaté par un certificat d’inscription en date à Paris du 28 mai 1862, registre 11, folio 50, N° 189, D. Les droits à une assurance en cas de décès (…)
acp 586 (3 Q 30 301) f° 15 du 24.8. Stipulation du régime de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura l’usufruit des biens de la communauté
Lea apports du futur époux sont contatés par deux états ssp en date du 23 août 1869 enregistré aujourd’hui
Donation réciproque de l’usufruit de la moitié de la succession du prémourant

Charles Victor Holtzapffel meurt le 24 janvier 1885 en délaissant deux enfants. Il est propriétaire de la moitié de la maison héritée de ses parents rue des Frères ainsi que d’une maison près de la place de l’Empereur (actuelle place de la République), d’une autre route du Polygone au Neudorf et d’un bien de campagne à la Robertsau.

1885 (5.5.), Strasbourg 8 (128), Not. Gustave Edouard Loew n° 16.915
Inventar Sowohl von der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, welche zwischen dem zu Straßburg am 24. Januar 1885 verlebten Notar Herrn Carl Viktor Holtzapffel und deßen überlebenden Wittwe Frau Anna Molk bestehenden hatte als dem Nunmehr des genannten Herrn Holtzapffel
Im Jahr 1885, den 5. Mai um zwei Uhr, Nachmittags im Sterbhause gelegen zu Straßburg, Auf Ansuchen von Frau Anna Molk, Gutsbesitzerin zu Straßburg wohnhaft, Wittwe des allda verlebten Carl Viktor Holtzapffel, handelnd eigenen Namens 1) Wegen der auf die auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verlebten Ehemann bestanden hat, auf Grund Ehevertrags des ehemaligen Notars Koerttgé zu Straßburg vom 23. August 1869, 2) Wegen der durch Vereinbarung in gesagten Ehevertrag zu ihren Gunsten ausbedungenen lebenslänglich Nutznießung des Antheils ihres verlebten Ehegatten am sämmtlichen beweglichen und unbeweglichen Vermögens der Errungenschaft, 3) Wegen der Schenkung welche ihr durch ihren verlebten Ehegatten in mehrerwähnten Ehevertrag gemacht wurde, von dem lebenslänglichen und unentgeltlichen Nutznießung von der Hälfte des sämmtlichen beweglichen und unbeweglichen Vermögens, welches seinen Nachlass bilden wird, Welche Gütergemeinschaft Nutznießung und Schenkung von Nutznießung Frau Wittwe Holtzapffel in der Folge anzunehmen oder auszuschlagen sie sich vorbehält, 4) Wegen der Ersatzansprüche und Forderungen, welche Sie gegen die besagte Gütergemeinschaft oder den Nachlass ihres Ehegattin etwa geltend zu machen hat, 5) und als gesetzliche Nutznießerin des Vermögens ihrer nach genannten minderjährigen Kinder bis zu ihrem erfogten 18. Lebensjahr, 6) Und noch im Namen und als Mutter und gesetzliche Vormünderin ihrer minderjährigen aus ihrer Ehe mit ihrem verlegten Ehegatten entsproßenen Kinder nämlich 1. Johann Daniel Holtzapffel geboren am 16. August 1876, 2. Maria Anna Holtzapffel geboren am 4. Juni 1879. (…) Wellcher Nachlass im Namen der genannten Minderjährigen und unter der Rechtswohlthat des Inventars wurde zufolge Erklärung abgegeben durch ihre Mutter und Vormünderin auf dem Sekretariat des kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg am 17. Februar 1885. (…) Und In Gegenwart von Herrn Heinrich August Aimé Mathey, Rentner zu Straßburg Neukirchgasse N° 4 wohnhaft, Handelnd als Nebenvormund der oben genannten Minderjährigen

A. Möbel. Im Speisezimmer, Im Schlafzimmer, Im Kinder Zimmer, Cabinet de toilette, Im Gast Zimmer, Im Vorzimmer, In der Küche, Office, Im Arbeitszimmer der Kindern, Im Corridor, Im Keller, In der Küche vom Pfoertner, In der Waschküche, In der Schreibstube, Im Magden Zimmer
Einbringen des Bräutigams. b) die Stelle als Notar zu Straßburg zu welcher er durch Dekret vom 12. April 1862 ernannt wurde, v) die Amtscaution im Betrag vom 9600 francken
Immobiliarmasse. Die Hälfte unvertheilt von einem Wohnhaus gelegen zu Straßburg Bruderhofsgasse N° 39 vormalig N° 24, bestehend aus einem Hauptgebäude zu drei Stöcke auf die Gasse, kleinem Hof mit Thor auff die Himmelsgass und Hintergebäude zu zwei Stöcken. Diese Hälfte Behausung wurde dem verlebten Herrn Holtzapffel durch die väterliche Theilung vom 12. April 1873 zugewiesen.
acp 763 (3 Q 30 478) f° 30 n° 624 du 13.5. (Sterbfallerklg. vom 24. Juli .85 Bd. 147 N° 191, Tabl. Bd. 71 Bl. 63 N° 3) Gütergemeinschaft, Mobilien 7697.
acp 766 (3 Q 30 481) f° 4 n° 1468 du 24.7. (vacation du 23 juillet) Gütergemeinschaft, baares Geld 400
Werthpapiere 1) 100 Actien der Banque d’escompte de Paris über 500 frs, wovon jedoch noch die Hälfte einzubezahlen ist Zins 548 frs, 23.900, 2) 25 Actien des Credit foncier de France, Zins am Todestage 1320 frs, 26.400, 3) 2 Stück 5% Obligationen zu 500 frs des Gesellschaft Mines & manufactures de Plancher les Mines et dépendances, Werth 800 (Zusammen 51.100)
Forderungen, Geschäfftsaustand 48.150
Versicherungssumme bezahlt 1) durch die Gesellschafft Le Phénix in Paris 800, 2) durch Gesellschafft Assurances générales de Paris 8000 (Zusammen 16.000), Amtskaution
8. vier % Elsass Lothringische Landes Obligationen zu 1000 frs nebst Zins 6416.
Forderung an die Caisse de retraite pour la vieillesse in Paris für verfallenem Zins einer Leibrente 72, Verfallene Pachtzinse 533
Saldo Forderung an Heiser laut Obligation vor Notar Ritleng sen. vom 29. März 1873 nebst Zins 406.
Immobilien 1) Ein Besitzthum dahier gelegen beim Kaisersplatz bestehend aus neuerbautem Hause, Keller, Erdgeschoß & drei Stockwerck, Stallung, Garten, Straße noch unbenannt
2) Ein Wohnhaus mit Stallung & Remise, Hof, Rechten etc. gelegen Neudorf Gewann Kiesgruben section G 597, 4,16 Ar an der Polygonstrasse N° 72
3) section D 3222, 3223, 3224 Ein Landgut gelegen onn der Ruprechtsau, Hinterort, Gewann Romterwoerth Spitzgasse N° 109 nun N° 23 bestehend aus Wohnhaus, Hof, Schuppen, Stallung, Garten etc. 25,75 ar
4) section D 3127 circa 14,80 ar Feld Bann Straßburg in der Ruprechtsau, Westergarten oder Wutzgarten & Groß*ort
5) Ein Terrain von circa 4,87 Ar mit einem neu erbauten Wohnhause, Schuppen, Zugehörden, Grünenwarth bei der Mühle genannt Juliengarten, section M 558, 561
6) Bann Vendenheim. Ein Wohnhaus gelegen in n der Gasse genannt am Feld, bestehehnd aus Keller, Bodengeschoß & Speicher, Stall, 12 ar
7) Bann Eckwersheim. Section D 578 6,25 Ar Feld Iffenrain
Ersatzforderungen der Wittwe 40.824
Ersatzforderungen des Nachlasses 239.045 – 36.964
Nachlass, Kleider 712
11 drei % Obligationen der frantzösischen Nordbahn, Zins 382 frs 3204
Lebens Versicherungssumma geschulde durch National in Paris 8000
Forderungen der Caisse d’assurance geschätzt zu 160
Forderungen der Caisse de retraite pour la vieillesse in Paris 1012
Ein Loos oesterreichischer Anleihe vom Jahre 1864, 80
die Hälfte unvertheilt an einem Wohnhause gelegen dahier Bruderhofsgasse N° 39 früher 24, bestehend in Hauptgebäude & 3 Stockwerken, Kleinem Hof mit Thor und Hintergebäude mit 2 Stockwerken
acp 766 (3 Q 30 481) f° 39 n° 1811 du 7.8. (vacation du 1 août) Gütergemeinschaft, Passiv 243.553 – Nachlass, Passiv Leichenkosten

1885 (17.2.), M° Loew
Offenkunde bestätigend, daß Karl Viktor Holtzapffel Notar in Straßburg den 24. Januar 1885 gestorben, daß nach seinem Ableben ein Inventarium nicht errichtet und daß er als einzige Erben seine beiden minderjährigen Kinder 1) Johann Daniel Holtzapffel und 2) Maria Anna Holtzapffel hinterlassen hat.
acp 757 (3 Q 30 472) f° 91 n° 3706 du 18.2.

Anne Molk dépose un déclaration faite au greffe du tribunal civil par laquelle elle accepte la succession au nom de ses enfants mineurs

1885 (26.2.), M° Loew
Hinterlegung wonach Anna Molk, Wittwe des zu Straßburg verlebten Notars Karl Viktor Holtzapffel folgende Schriftstücke
1) eine Abschrift aus der im Sekretariat des kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg berührende, Anschrift vom 17. Februar 1885 nach welcher obengenannte Wittwe Holtzapffel handelnd im Namen und als Vormünderin ihrer Kinder den Nachlaß ihres am 24. Januar 185 verstorbenen Mannes unter der Rechtswohlthat des Inventars annimmt
2) einer Uebersetzung dieser Abschrift in frantzösischer Sprache bei nachbenanntem Notar Loew niedergelegt hat, damit dieselben unter dessen Anschriften aufgenommen wurden
acp 760 (3 Q 30 475) f° 14 n° 3970 du 27.2.

Anne Molk renonce à l’usufruit viager qui lui était assuré à l’article 5 de son contrat de mariage

1885 (23.7.), M° Loew
Verzicht durch Anna Molk Gutsbesitzerin zu Straßburg, Wittwe des Notars Karl Viktor Holtzapffel auf die lebenslängliche Nutznießung an dem halben Nachlasse ihres verstorbenen Ehegattin, welche dieser Letztere ihr zufolge Artikel 5 ihres vor Notar Koerttge dahier am 23. August 1869 errichteten Ehevertrag vermacht hat.
acp 765 (3 Q 30 480) f° 25-v n° 1490 du 24.7.


Enfants

Jean Daniel Holtzapffel
Jean Daniel Holtzapffel épouse Marcelle Elisabeth Kernen le 20 août 1904 à Aigle (canton du Valais en Suisse) – référence. Il habite rue Alfred de Musset à Lyon en 1921 (acte de décès de Sophie Eugénie Holtzapffel)

Marie Anne Holtzapffel
Marie Anne Holtzapffel épouse Lucien Auguste Délu, ingénieur civil des mines. Propriétaire de la maison rue des Frères, elle habite à Paris.



8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains


Rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 8 – IV 354 (Blondel), N 877 puis section 60 parcelle 57 (cadastre)

Reconstruite en 1757, maître d’ouvrage Antoine Duclo, cafetier – Troisième et quatrième étages ajoutés en 1870, maître d’ouvrage Charles Auguste Dœrffer – Détruite lors du bombardement aérien du 11 août 1944.
Nouveau bâtiment à l’emplacement des n° 4, 6 et 8, maître d’ouvrage Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen, architecte Charles Heitz (1961)


Le restaurant Dœrffer tenu par Adolphe Jehl, vers 1910 (AMS, 1 Fi 25 n° 12)
Bâtiment actuel à l’emplacement des anciens numéros 6 à 8 (juillet 2023)

Brasserie Au Romain suivie du restaurant Dœrffer (n° 4, 6 et 8, AMS, 1 FI 25 n° 13) – Même endroit en 2021 (image Wilfred Helmlinger, Archi-Wiki)

Le commissaire priseur Jean von Miltenberg construit un auvent en 1556. La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de son gendre barbier Jacques Kopp qui en transmet la propriété à son fils et à son petit-fils, tous deux barbiers et nommés Jean Kopp. Le sellier Tobie Stephan achète la maison en 1702, les Quinze l’autorisent à agrandir la partie de l’auvent entre la ruelle et la porte d’entrée, soit sur seize pieds alors que sa longueur totale est de vingt-deux pieds et demi. La maison est estimée à une valeur minimale de 1600 livres en 1721 puis de 800 livres en 1733 à cause du bâtiment accessoire en mauvais état. Le sellier Augustin Güntzer en est propriétaire par sa deuxième femme. Ancien manant, le cafetier Antoine Duclo l’achète en 1757 et la reconstruit à neuf la même année en supprimant l’auvent. Le nouveau bâtiment est estimé à la somme minimale de 1900 livres (1762) et 2000 livres (1778, 1789). Les héritiers d’Antoine Duclos le vendent en 1787 à l’horloger Jean Frédéric Liebold qui fait poser un nouveau fourneau au rez-de-chaussée et faire une cheminée à la française au premier étage. Ses descendants en restent propriétaire jusqu’en 1869.


Plan-relief de 1725. Façades entre la rue de la Lanterne à gauche et la rue des Pelletiers à droite. La maison à pignon sur rue (quatrième à partir de la droite) se trouve à droite de la ruelle du Saumon (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 189 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers le Vieux-Marché-aux-Grains se trouve à droite du repère (k) : porte et fenêtre en arcade au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toit à un seul versant. La façade (h-k) vers la ruelle du Saumon a deux fenêtres, une porte puis quatre autres fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à sept fenêtres chacun, toiture à sept lucarnes. La cour F représente l’arrière (3-4-5).
La maison porte d’abord le n° 17 (1784-1857) puis le n° 8.

189, Plan
Cour F, Plan, la rue du Vieux-Marché-aux-Grains est en bas (1830) – Ajout de deux étages en 1870 – Façade en 1940 lors du changement d’enseigne (dossier de la Police du Bâtiment) – Le n° 8 au premier plan (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains) en 1944 (AMS, 1 Fi 114 n° 144)

Le négociant Auguste Dœrffer est autorisé en avril 1870 à surélever de deux étages le bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Les modifications ne sont pas portées au cadastre bien que les travaux aient été réalisés comme le montrent les photographies ultérieures. Le maître maçon Emile Widmann pose en 1891 une devanture pour le compte du propriétaire Henri Edmond Schnitzler. L’architecte Emile Kieffer transforme en 1923 le rez-de-chaussée et le premier étage pour la Brasserie Kronenbourg, locataire principal, qui change en 1940 la dénomination Restaurant Dœrffer en Gasthaus zum Alten Kornmarkt (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains). Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement le bâtiment. Le terrain est entouré d’une barrière en 1948.
La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen (Schiltigheim) fait élever en 1946 un baraquement provisoire à l’emplacement du Restaurant au Romain (4-6, rue du Vieux-Marché-aux-Grains). Propriétaire des terrains sis 4, 6 et 8 de la rue du Vieux-Marché-aux-Grains, elle dépose en février 1955 une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Charles Heitz. Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre en septembre 1955 le permis de construire qui est périmé sans que les travaux aient commencé. La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen dépose une nouvelle demande de permis de construire en janvier 1959. Les terrains à réunir à la voie publique sont cédés à la Ville, le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire en novembre 1959. La hauteur sous corniche est portée à 15,10 mètres par dérogation accordée par le préfet en janvier 1960. La baraque provisoire est démolie en février 1960. Le gros œuvre est achevé en janvier 1961, les travaux sont entièrement terminés en février 1962.


Baraquement provisoire (1946) – Nouveaux alignements (1955)


Elévations rue du Vieux-Marché-aux-Grains et rue du Saumon, dessins 1959 et de 1961 (architecte Charles Heitz, dossier de la Police du Bâtiment)

La brasserie Au Romain, façade rue du Vieux-Marché-aux-Vins vers 1965 (publié par Christian Lamboley, Strasbourg bombardé, éd. Contades, 1988) – Façade rue du Saumon (juillet 2023)

août 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1593 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean von Mültenberg, tailleur et commissaire priseur, et Barbe
1580* v Jacques Kopp, barbier, et (1570) Anne von Mültenberg – luthériens
1612 h Jean Kopp, barbier, et (1601) Madeleine Baumwel puis (1627) Marie Cléophée Greiner, auparavant (1609) femme de Louis Ruckhard, maître des forêts – luthériens
1660* h Jean Kopp, barbier, et (1655) Catherine Pastorius, (1664) Reine Steg puis (1676) Anne Ursule Guckelius – luthériens
1702 v Tobie Stephan, sellier, et (1700) Marie Madeleine Brecht, d’abord (1688) femme du sellier Jean Daniel Heusch – luthériens
1733 h Jean Philippe Heusch, sellier, et (1723) Marie Cléophée Marheinigen puis (1733) Jeanne Marguerite Klauhold – luthériens
1735 h Augustin Güntzer, sellier, et (1726) Marie Catherine Bœrus, (1735) Jeanne Marguerite Klauhold, veuve de Jean Philippe Heusch, puis (1743) Marie Ursule Wachenheim, d’abord (1731) femme du tailleur Chrétien Müller – luthériens
1757 v Antoine Duclo, cafetier, et (1733) Anne Barbe Kisser – catholiques
1778 h François Gascard, portier, et (1765) Marie Anne Wepffer puis (1770) Anne Marie Lalanne – catholiques
1787 v Jean Frédéric Liebold, horloger, et (1785) Marie Salomé Klein, remariée (1790) avec l’aubergiste Jean Georges Teutsch – luthériens
1818 h Jean Frédéric Liebold, propriétaire, et (1814) Amélie Saum
1869 v Charles Auguste Dœrffer, tonnelier, et (1861) Marie Emma Matern
1884 v Henri Edmond Schnitzler, négociant, et (1872) Marie Emilie Ehrhard
1898 v Jacques Klein, aubergiste, et (1886) Marguerite Brandt
1909* v (Martin) Adolphe Jehl, hôtelier, et (1892) Joséphine Osel – catholiques
1939* h Adèle Lucie Jehl et cohéritiers

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1600 livres en 1721, 800 livres en 1733, 1900 livres en 1762, 2000 livres en 1778 et en 1789

(1765, Liste Blondel) IV 354, Antoine Duclos
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Duclot, 13 toises, 3 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 877, Liebold, Jean Frédéric – maison, sol – 1,15

Locations

1703, François Palousse, perruquier
1759, Jean Peter
1774, (café) Pierre Rinquenet de la Toulinière, cafetier
1774, Pierre Binder, cafetier
1784, Jean Jacques Kolb, caffetier, et Marie Salomé Schneider
1790, Charles Friedel, horloger
1810, Alexandre Bayer, sellier, et Louise Dorothée Dürr
1857, Charles Auguste Schnitzler, négociant
1877, Henri Edmond Schnitzler (futur propriétaire)
1877, Georges Diehl, marchand de vins, et Marie Emilie Einholtz

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 144
Le barbier Jacques Kopp règle 17 sols 8 deniers pour sa maison sise à côté du Saumon à l’angle de la ruelle du Saumon, à savoir un auvent (21 pieds de long, saillie de 5 pieds dont il paie 1 sol), une porte de cave inclinée (6 pieds 3 pouces de long, marge de 7 pied ½) et un aiguisoir – Comme l’auvent est soumis à un cens communal d’un sol, les huit sols lui sont remis

Am Eck ane dem Barfüsser Platz beÿ dem brunnen an, Vnd dem Ganthauß der Zunfft Stuben Zur Lutzernen Zugemessen
Jacob Kopp der Scherer neben dem Salmen hatt vor seinem Hauß so ein ortthauß am Salmen geßlin Ist, oben ein Wettertach 21 schu lang, 5 schu herauß, Daruon gibt Er 1 ß d. Zinß, Darunder ein ligende Kellerthüer 6 schu 3 Zoll lang, vnd 7 ½ schu breit, sampt einem schleiffstein, Bessert für das Niessen, xvij ß viij d
[in margine :] Das wettertächlin zinßt vorhin der Statt j ß d. Alßo seint ihme die 8 ß d nachgelassen worden

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 137-v
Le commissaire priseur Jean von Miltenberg paie 1 sol pour l’auvent à sa maison à côté du Saumon au chemin dit Holweg pour la première fois à la Chandeleur 1556. Le contribuable est ensuite le barbier Jacques Kopp. Le cens est de 2 sols lors de la révision le premier mars 1627.

Item 1 ß gibt Hanns von Mÿlttenberg der Koÿffler von Einem wettertächlin An seÿnem huß neben dem Salmen Am holwig vnnd gefallet der Erst Zinns vff vnnser frawen Liechtmeß tag Anno &. xv. C Lvj°
gibt Jetz Jacob Kopp der scherer
(rub.) Jetzt Jacob Kopp Balbirer 2 ß d, 1. Martÿ 1627.
Neü 485.

1652, Livre des loyers communaux VII 1461 (1652-1672) f° 485
Même cens porté dans le registre comptable ouvert en 1652

Hannß Kopp, der Barbierer beÿm Salmen, Soll gemeiner Statt, vom Wetterdächlein des haußes neben dem Salmen Jahrs vf liechtmeß, 2 ß d
Ex. 53
(rub.) Alt D. f. 137
New fol. 368.
(Quittungen, 1660-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 368
Les héritiers de Jean Kopp, puis Jean Kopp, ensuite Tobie Stephan et Augustin Güntzer doivent un cens pour un auvent et pour une porte de cave.

Hannß Koppen Erben ([corrigé en] Hannß Kopp) Soll(en) vom /: 5 Schuh breit: v. 21. Schuh langen:/ Wetterdach des Barbier haußes neben dem Salmen vff Liechtmeß, 2 ß ([corrigé en] 1 lb 1703. i.mo)
St. Zinnßb. 485 – Und einer 6 Schuh 3. Zoll lang Und 7. Schuh 6. zoll breiten ligenden Kellerthür
jetzt Tobias Stephan d. Sattler
Augustin Güntzer
(Quittungen 1674-1741)
Neuzb fol 223-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 223-b
Mêmes cens reportés au registre suivant. Ils s’éteignent en 1757 quand Augustin Güntzer reconstruit à neuf sa maison en supprimant les objets imposés

alzb. 368
Augustin Güntzer soll vom 5 schuh breit undt 21. schuh langen Wetterdach des Barbier haußes neben dem Salmen, und einer 6 schuh 3. Zoll lang und 7. schuh 6. Zoll breiten Liegenden Kellerthür, Jahrs auf Johann: Bapt: 1. lb.
(Quittungen, 1741-1757)
ist das Haus neugebauen und sowohl das Wetterdach als Kellerthür hinwegethan also der Zinß auffzuthun, Vid. Prot: 1757 fol: 61.b

Préposés au bâtiment (Bauherren), Protocole des Quinze

1702, Préposés au bâtiment (VII 1380)
Le sellier Tobie Stephan qui a acheté la maison des héritiers du barbier Jean Kopp demande l’autorisation de remplacer l’ancien auvent par un nouveau. L’ancien auvent a une saillie de trois pieds et une longueur de 22 pieds 6 pouces, le nouveau aurait une saillie de 6 pieds 3 pouces. Comme son voisin l’aubergiste au Saumon soulève des objections, il se contenterait d’ajouter deux pieds à la saillie pour que la pluie ne pénètre plus dans sa cave. Les préposés refusent parce que le seul but est de suspendre des marchandises, que l’auberge voisine serait assombrie et que le passage serait étréci.

(f° 39-v) Mittwochs den 14. Junÿ 1702 – Tobias Stephan der Sattler, wegen eines Wetterdachs
Augenschein eingenommen auff dem Kornmarckt an Herrn Johann Koppen, des Barbierers hinterlaßener Erben neben dem Würths: hauß Zum Salmen gelegenen behausung, welche Tobias Stephan der Sattler gekaufft und gesinnet ist das daran befindliche Wetterdach hinweg brechen Zulaßen und ein newes, so 6 schuhe 3. Z. breit und 22. schuhe 6. Zoll lang werden solle, an deßen stell machen Zulaßen. Erk. Bedacht.

(f° 48-v) Mittwochs den 19. Julÿ 1702. – Tobias Stephan der Sattler, umb erlaubnus sein Wetterdach Zuvergrößern
Tobias Stephan der Sattler, ersucht MGhh. underthänig Ihme gnädig Zuerlauben daß Er sein Wetterdächel an seiner auff dem Kornmarckt neben dem Würths: hauß Zum Salmen gelegener behausung, welches aniezo 3 schuhe breit und 22 schuhe 6 Zoll lang ist, seinem am 14. Junÿ jüngst beÿ dem vor Mghh. eingenommenen augenschein gethanem begehren nach 6. schuhe und dreÿ Zoll breit machen Zulaßen, oder Weilen Er vernommen, daß sein Nachbaur der Würth Zum Salmen sich darüber beschwäret, allein umb 2 schuhe breiter alß es anietzo ist, Zu bedeckung seiner Keller thür, damit Ihme das Regenwaßer vom tachtrauff nicht in den Keller lauffen könte, verferttigen Zu laßen. Erk. Weilen dieses begehren bloß und alllein dahin Zwecket, daß Er einen stand unter dieses Wetterdach machen könte, umb solchen mit Satler Wahren zu behencken, dardurch dann nicht allein dem Würt seine Gaststub umb etwas Verfinstert, sondern auch der Zugang und das allmend versperrt werden würde, alß ist das begehren abgelainet worden.

Tobie Stephan demande aux préposés de réduire le cens pour son auvent que les Quinze ont autorisé. Les préposés consultent le Livre des communaux de 1587 dans lequel la saillie est de cinq pieds et ramènent le cens d’une livre dix sols à une livre.
(f° 134) Mittwochs den 16. Maÿ 1703. – Tobias Stephan der Sattler pt° eines Wetterdachs
Tobias Stephan, der Sattler, welcher das Wetterdächel vor seiner auff dem Kornmarckt neben dem Würths: hauß Zum Salmen gelegenen behausung, so 3 schuhe breit war, auß erlaubnus der Herren fünff Zehen umb 1 ½ schuhe breiter machen laßen, erscheint umb den Zinß darvon Zu reguliren, deme auß dem Allmend buch de Anno 1587. fol. 144. vorgelesen worden, daß dieses Wetterdach 5. schuhe breit und 21 schuhe lang sein solle, und daß Er darvon, wie auch der darunder ligenden Kellerthür so 6 schuhe 3 Zoll lang vnd 7. schuhe 6 Zoll breit anietzo jährlichen 1. lb 10 ß d Allmend Zinnß geben solle Mghh. Erkandt hätten, Welcher sich über diesen großen Zinnß beschwäret und umb deßen moderation angehalten. Erk. Würd derselbe auff 1. lb d moderirt.

1702, Protocole des Quinze (2 R 106)
Tobie Stephan sollicite auprès des Quinze l’autorisation d’agrandir son auvent. Il déclare que son prédécesseur l’a raccourci pour avoir davantage de lumière dans sa boutique et souhaite lui redonner l’ancienne saillie malgré la décision des préposés au bâtiment. Il se contenterait d’agrandir l’auvent d’un à deux pieds pour pouvoir exercer son métier, en ajoutant que les auvents de ses voisins ont six pieds de saillie voire davantage. Son précécesseur a posé devant la cave des planches qui n’empêchent pas la pluie d’entrer, ce qui l’a obligé à la louer pour y entreposer du tabac. Le préposé Wetzel a du mal à croire que l’auvent aurait eu six pieds de saillie sans qu’il soit inscrit dans les registres. La visite des lieux établit que l’auvent qui a 22 pieds et demi de long a été coupé sans qu’on puisse savoir de combien. Le pétitionnaire ne l’agrandirait que sur seize pieds, de l’angle de la ruelle jusqu’à sa porte, de sorte qu’il garderait ses dimensions actuelles entre sa porte et le Saumon. Thierry Schlehenacker, propriétaire du Saumon, voit d’un mauvais œil que son voisin accroche des marchandises. Christophe Henning qui exploite l’auberge s’oppose lui aussi au changement qui nuirait à la vue. Les préposés au bâtiment reprennent les arguments qui les ont amenés à ne pas accorder l’autorisation, 1) le passage est étroit à cet endroit du marché aux grains, 2) les baquets de farine y sont nombreux, 3) la ruelle qui mène aux écuries du Saumon est étroite, on risquerait de se heurter aux selles suspendues, 4) la Tour aux deniers ne conserve aucune trace que l’auvent ait été raccourci. Comme le pétitionnaire ne souhaite plus agrandir son auvent autant que lors de sa première demande, les préposés s’en remettent à la décision du Magistrat. Le syndic royal estime que l’agrandissement pourrait être accordé puisque Tobie Stephan est revenu sur sa première demande, d’autant que les voisins ont des auvents de même taille et que le propriétaire du Saumon ne bénéficie d’aucune servitude, sans quoi il l’aurait fait valoir. L’assemblée adopte l’avis du syndic.

(f° 278) Freÿtags den 1. Septembr. 1702 – Tobias Stephan pt° Wetterdächels
Obere Bawhh. per herren Friden, es habe Tobias Stephan burg. vnd Sattler alhie den 29. July jüngsthin, ein unterthäniges Memoriale, so abgelesen worden, übergeben, und darinnen remonstrirt, welcher gestalten Er ohnlängst d. barbier hauß neben der Gastherberg Zum Salmen gelegen, an sich erhandelt, umb solches Zu seiner profession Zu genießen, nachdem aber das vor dem haus hangendes Wetterdächlein à 3 schuh breit, so vor dießem 6. Schuh breit gewesen Er, wider in Vorigen alten stand Zusetzen willens war, angesegen sein Vorfahr, solches umb mehrere Helle in der Stub Zuhaben abgeschitten, wodurch die vor dem haus liegende Kellerthür in gäntzlichen Ruin gekommen, vnd Er sich beÿ den Obern Bawherren auff dem Pfenningthurn deßweg. angemeldet, Selbige ihm aber sein begehren gäntzlich angeschlagen, vnd ihne an Mghherren gewießen, alß wolte Er unterth. gebetten haben, einen Augenschein gn. Zu erkennen, vnd Ihme in seinem begehren Zu willfahren.
Auff beschehener Remission habe man vor nöthig erachtet den Imploranten selbsten auch anzuhören, welcher beditten daß Er sich auf dem Pfthurn angemeldet, und umb erlaubnus gebetten habe, sein wetterdächel dreÿ schuh breiter machen Zu dörffen anietzo aber verlange Er nur einen, biß Zweÿ schuh breiter Zu haben, widrigen falls Er sein handtwerckh nicht treiben Könne, und begehre Er nicht mehr als w. seine nachbaren auch hetten, deren Wetterdächlein wohl 6. und mehr schuhe breit weren, Neben dem seine Kellerthür immer im regen stehen müßte, und obzwar sein Vorfahr solche mit dreÿ diehlen belegt, so habe doch das waßer dadurch getrungen, daß Er den Keller nicht mehr gebrauchen können, sondern einem Andern Zum tabac Verlehnen müßen. Solchemnach habe man dem Hn Wetzel auch darüber vernommen, welcher gesagt er könne nicht glauben, daß dieses Wetterdächel Sechs schuhe breit geweßen, weilen in den Pfenningthurns Büchern, davon nichts stehe vndt sonsten die Wetterdächlin von solcher breite, jährl. Ein Pfundt d. und mehres Zu erlegen haben, hingegen dießen hiebevor und Zwar aô 1560. nur 1 ß. gegeben, so aber in anno 1627. auff 2 ß gesetzt worden seÿe. Womit man sich nicht contentirt, sondern den Augenschein selbsten eingenommen, und gefunden, daß etwan davon geschnitten word. seÿ, wieviel aber, und wer es gethan, wiße man nicht, maßen auff dem Pfthurn sich nichts davon befinde undt stehe man an, ob d. Jenige, so der Implorant vorgebe, sich alßo verhalte, Worauff man durch die Werckmeister die länge des dächels abmeßen Laßen, und gefunden daß er 22 ½ schuh lang seÿe, allein verlange Er Implorant es nur von dem Eckh des Gäßels, bis an seine hußthür so 16. Schuh außtrage, alßo das der platz von seiner haußthür bis an den Salmen, am alten Wetterdächel nicht geändert werde, auff seithen der Herrn Deputirten habe man vor nöthig gefunden, Dietrich Schlehenacker den Eigenthumbs H. der gastherberg Zum Salmen auch hierüber anzuhören, welcher gesagt, daß solches hauß Ihne viel gelostet, vndt es ohne dem, einen schmahlen begriff habe, daß am freÿtag der platz wegen vielen Fuhren sehr eng seÿe, vndt wann Implorant eine Stallage machen, und Sättel daran hencken wolte, es noch mehr platz wegnehmen würde, anbeÿ gebetten, das dächel in dem ietzigen standt Zu laßen.
Auff welches man Christoph Henning den ietzigen würth alda auch darüber vernommen, der vermeldet, daß Er Jährl. 200 fl. hauß Zinß geben müßte, und wan Gagnern in seinem begehren willfahrt werden solte, Ihme der prospect gäntzlich benommen, und die Gäst entzogen werden würden.
Nach dem man solches alles angehört und davon geredt seÿen von den Oberen Bawherren selbsten, die rationes, welche Sie bewogen, dem Imploranten, auff dem Pfthurn abzuweißen, angebracht worden als (1) wegen der Situation deßelben hauß, welches hart am Kornmarkt gelegen, alwo der platz eng seÿe, (2) daß die mehlbütten dagegen Zu stehen kommen, (3) die passage durch das gäßel in den Stall Zum Salmen auch eng seÿe, und wann man an deßen Sättel stoßen solte, es leichtlich allerhand streit abgeben dörffe, vnd (4) auf dem Pfthurn sich nichts befinde, daß etwas von gedachtem dächel abgeschnitten worden seÿe, deßwegen auch die oberen Bawherren ihrem bescheidt Zu änderen bedenckens getragen hetten, Weilen der Implorant aber anjetzo sich anderst erklärt und beditten, daß er bemeltes dächel nicht mehr so breit verlange, alß werde Zu Mghherren stehen, ob Sie demselben etwas willfahren oder es beÿ dem Pfthurns bescheidt, wo durch Er abgewießen worden, Laßen wollen.
Herr Syndicus sagt, weilen der Implorant sein petitum geändert, vnd ane statt verlangter augmentaôn von 3. schuhen, anietzo nur einen od. 2. schuh Weiters begehre, so halte Er davor daß den Obern Bawherren Committirt werden könte, demeselben in seinem petito, mit anderthalben schuhen, Zu willfahren, in deme sein ansuchen vmb so viel mehr favorabel seÿe, als deßen nachbaren auch dergleichen Wetterdächlein hetten, vnd der Würth Zum Salmen kein jus Servitutis habe, maßen Er sonsten seinen titulum hette produciren sollen, so aber nicht geschehen seÿe, Neben dem der Implorant auch in der länge mehr nicht als 16. schuhe verlange. Erkandt, dem herrn Syndico gefolgt.

1757, Préposés au bâtiment (VII 1407)
Les préposés rayent de leur registre l’auvent et la porte de cave que le cafetier Antoine Duclo supprime parce qu’il reconstruit à neuf la maison

(f° 61-v) Dienstags den 1. Martÿ 1757. – Antoine Duclo, Augustin Güntzer
Antoine Duclo der Cafetier Zeigt an, daß er Augustin Güntzers Hauß neben dem alten Salmen beÿm ganthauß gekaufft, wovon wegen eines Wetterdachs und Kellerthür Laut Statt Zunßbuch fol: 223. jährlich auf Joh: Baptistæ 2. fl. Zinß auf den Pfenningthurn bezahlt werden, und weilen er das Hauß Völlig neü Zubauen, und beÿdes das Wetterdach und die Kellerthür Vom Allmendt hinweg Zuthun willens, als bittet er um nachlaß der 2. fl. Zinß, und daß selbiger in dem Zinßbuch möchte außgethan werden. Erkannt, solle die Marzahl für dreÿ Viertel jahr nachgetragen und der Posten im Zinßbuch außgethan werden.

1788, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Les préposés autorisent le maître maçon Gruber à abaisser les croisées de fenêtres au rez-de-chaussée et à repeindre la maison de l’horloger Jean Frédéric Liebolt le jeune.

(f° 24) Dienstags den 19. Februarii 1788. – Hr Johann Friderich Liebold, Jun. Uhrenmacher
Herr Gruber, der Maurer, nôe Herrn Johann Friderich Liebold, des Jüngern, Uhrenmachers, bittet zu erlauben an deßen behausung am Salmen Gäßel gelegen au Rez de chaussée den Fenster Banck erniedrigen, und die Behausung anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 92)

Le maître maçon (Jean Michel) Gruber déclare les travaux qu’il fait dans la maison de l’horloger Liepold ruelle du Saumon, au rez-de-chaussée vers la rue, à savoir poser un fourneau dans le pignon en pierre et faire une cheminée à la française dans le poêle du premier étage. Les préposés approuvent en ajoutant qu’il faudra poser soit une dalle verticale soit une tôle derrière le fourneau dans le poêle du bas

(p. 1) Montag den 21.sten Julius 1788 – Liepold
H. Liepold der Uhrenmacher will in seiner an dem Salmengäßlein gelegene Behaußung à rez de chaussée in der vordern Stube auf die Straße herumb einen Ofen vor ein in dem steinernen Giebel sich befindliches, mit brustgetäfel verkleidetes Blindloch auf eine steinerne Platte setzen, davon das blechene Rohr durch die Stubendecke und ein alda angebrachtes Gewölblein in das auf dem ersten Stock erbaute frantzösische Camin von allem Holz entfernt gerichtet seÿn soll.
Auf den ersten Stock will derselbe in der vordern Stube ein neues frantzösisches Camin auf ein Gewölb setzen, davon das Rohr an eine steinernen Giebel hinauf Ziehet von allem Holz entfernt.
Erkannt Willfahrt mit dem Anhang daß das brustgetafel hinter dem Ofen in der untern Stuben (entweder mitt einer aufrecht stehenden steinernen Platte oder mit Eisenblech wohl verwehret wurde) ausgeschnitten werden übrigens facta Insp. gut befunden. – Mstr. Gruber

Description de la maison

  • 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule où se trouve un fourneau, atelier de sellier, caves voûtées, bâtiment arrière, écuries couvertes d’un vieux comble, comprenant deux poêles, chambres, écuries, cave voûtée, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 3200 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment accessoire délabré, plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, cuisine, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, puits, boutique et deux caves voûtées, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1600 florins
  • 1762 (billet d’estimation traduit) Le débit de café comprend une salle de débit, plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 3800 florins
  • 1778 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une salle de café et une salle de billard, en outre quatre poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 4000 florins
  • 1789 (billet d’estimation traduit) 1789 La maison comprend une boutique, deux poêles, deux cuisines, une chambre à cheminée à la française et plusieurs autres chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 4000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue du vieux marché aux Grains

nouveau N° / ancien N° : 17 / 17
Teutsch
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 253 case 3

Liebold, Jean Frédéric à Strasbourg, Gd. rue 10

N 877, maison, sol, vieux marché aux grains 17
Contenance : 1,15
Revenu total : 198,60 (198 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien N 877, registre 23 f° 1043 case 2
Remarque – Les deux étages ajoutés en 1870 ne sont pas portés au cadastre bien que les travaux aient été réalisés comme le montrent les photographies ultérieures.

Liebold Jean Frédéric grand rue 136
1871 Doerffer Charles Auguste tonnelier
1885 Schnitzler Heinrich Eduard
98/99 (3009) Klein Jakob Wirth /und Ehefrau (Wittwe) Margareta geb. Brandt in Gg.
(ancien f° 791)

N 877, maison, sol, Rue du vieux marché aux grains 8
Contenance : 1,15
Revenu total : 198,60 (198 et 0,60)
Folio de provenance : (253)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 32 f° 394 case 1

Parcelle, section 60, n° 57 – autrefois N 877.p
Canton : Alter Kornmarkt Hs. N° 8 / Rue du VieuxMarché aux Grains
Désignation : Hf, Whs / sol, maison
Contenance : 1,21
Revenu : 3100 – 4300
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1910), compte 2657
Klein Jakob Wittwe
(2365)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1910), compte 3837
Jehl Adolf und Ehefr.
1935 Jehl Martin Adolphe les héritiers et sa veuve
1939 Jehl Adèle Lucie & cohéritiers
(2171)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 108 Vieux Marché aux Grains p. 155

17
Prop. – Liebold, Marie Salomé, veuve d’horloger – Marechaux
Loc. – Klein, Michel, ancien Boulanger – Boulangers
Loc. – Ulrich, Jean Daniel, Employé à la Douane – point tributaire

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Alter Kornmarkt (Seite 84)

(Haus Nr.) 8
Klein, Wirt. E 01
Lorentz, Kaufmann. 2
Trilling, Kaufmann. 3
Gottweiss, Melior.-Techn. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 709 W 225)

Vieux-Marché-aux-Grains 8 puis 6-8 (1870-1987), voir aussi le n° 6 et le dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme

Le négociant Auguste Dœrffer est autorisé en 1870 à surélever de deux étages le bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Les deux étages supplémentaires donnent sur le Vieux-Marché-aux-Grains et les quinze premiers mètres de la rue du Saumon, après quoi il y aura un troisième étage supplémentaire en retrait. Le maître maçon Emile Widmann pose en 1891 une devanture pour le compte du propriétaire Schnitzler. Il aménage la même année un puits de lumière devant la maison. L’architecte Emile Kieffer transforme en 1923 le rez-de-chaussée et le premier étage au nom de la Brasserie Kronenbourg. Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement le bâtiment. René Rohmer demande en 1945 au nom de Victor Schmitt, ancien locataire du Restaurant Dœrffer, s’il est possible de reconstruire, ne serait-ce que provisoirement, un bâtiment pour reprendre son commerce. Le terrain est entouré d’une barrière (1948).

Exploitants du restaurant Dœrffer – Adolphe Jehl (1909), Emile Dorschner (1923), Albert Haslauer (1924), Fernand Burger (1936), Victor Schmitt (1940).
La Brasserie de Kronenbourg change en 1940 la dénomination Restaurant Dœrffer en Gasthaus zum Alten Kornmarkt (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains).

Nouveau bâtiment n° 8 à l’emplacement des anciens n° 4, 6 et 8
La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen (Schiltigheim) fait élever en 1946 un baraquement provisoire à l’emplacement du Restaurant au Romain (4-6, rue du Vieux-Marché-aux-Grains) sous la direction de l’architecte Charles Heitz. Les caves qui se trouvent en partie sous la voie publique menacent ruines en 1946 parce que les voûtes sont fissurées.
La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen, propriétaire des parcelles 55, 56 et 57 de la section 60 (numéro 4 à 8 de la rue du Vieux-Marché-aux-Grains) dépose en février 1955 une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Charles Heitz. Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire en septembre 1955. Le permis de construire est périmé sans que les travaux aient été commencés. L’architecte Charles Heitz demande en avril 1958 de proroger le permis de construire, les travaux ayant été retardés à cause de la façade de la pharmacie voisine dont la conservation était pendante au service des Monuments historiques.
La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen dépose une demande de permis de construire en janvier 1959. Les terrains à réunir à la voie publique seront cédés par voie de remembrement. Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire en novembre 1959. La hauteur sous corniche est portée à 15,10 mètres par dérogation accordée par le préfet en janvier 1960. La baraque provisoire est démolie en février 1960. Le gros œuvre est achevé en janvier 1961. Les travaux sont entièrement terminés (février 1962). Le rez-de-chaussée est aménagé en restaurant de 320 m², les trois étages en logements.

Exploitants du restaurant Au Romain – Léon Maschino (1970), Charles Sengel (1972), Roger Sengel (1983)

Sommaire
  • 1870 (avril) – Le négociant Auguste Dœrffer demande l’autorisation de surélever de deux étages le bâtiment sis 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains et 3, rue du Saumon – Coupe
    L’agent voyer note que les deux façades sans avance qui suivent l’alignement ont un rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Elles auront deux étages de plus vers le Vieux-Marché-aux-Grains et sur les quinze premiers mètres de la rue du Saumon, après quoi il y aura un troisième étage supplémentaire en retrait. La hauteur totale ne dépasse pas la hauteur maximale prévue par le règlement.
  • 1886 (mai) – Le maire notifie Mathilde Dœrffer, demeurant sur place, de faire ravaler la façade vers le Vieux-Marché-aux-Grains
    1886 (juillet) – Le maître maçon Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Schnitzler l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1886
  • 1891 (avril) – Le maître maçon Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Schnitzler l’autorisation de poser une devanture – Autorisation de transformer en partie le rez-de-chaussée pour aménager des devantures – Les travaux sont entièrement terminés depuis huit jours, 28 juillet 1891. – Plan
    1891 (juillet) – Emile Widmann demande l’autorisation de transformer un soupirail – Autorisation de faire un puits de lumière devant la maison
  • 1900 – Le maître maçon Louis Adé (37, rue Finckwiller) demande au nom du propriétaire Klein l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant six volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – D. Schnitzler (marchand de vins, 136, Grand rue) déclare en décembre 1895 que les travaux sont faits, sauf les volets qui ne demandent pas de réparation. L’agent voyer note que les volets n’ont pas été transformés
    1898, 1900 – Rappels – Travaux terminés, octobre 1900
  • 1907 (mai) – Le maire notifie Jacques Klein, demeurant sur place, de faire ravaler la façade vers le Vieux-Marché-aux-Grains – Travaux terminés, novembre 1907.
  • 1909 – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II. Adolphe Jehl demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons sis 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains – Les locaux du rez-de-chaussée et du premier étage servant au débit de boissons correspondent aux prescriptions, sauf le rez-de-chaussée qui a 3,10 mètres de hauteur au lieu de 3,50 mètres et les portes qui s’ouvrent vers l’intérieur. La fenêtre entre la cuisine et le cabinet d’aisance devra être murée. Les cabinets d’aisance au rez-de-chaussée et à l’étage ne reçoivent pas la lumière du jour – Rapport de l’inspecteur Nebelung – La Police du Bâtiment est d’avis d’accorder l’autorisation puisqu’il s’agit d’un ancien bâtiment si les cabinets d’aisance sont transformés.
    1909 (août) – Le commissaire de police demande si les travaux ont été faits.
  • 1909 (juillet) – Le maire notifie Jacques Klein, demeurant sur place, de faire ravaler la façade – Klein est mort, le nouveau propriétaire est Adolphe Jehl – Adolphe Jehl demande un délai en juin 1910.
    1911 – Le peintre Ch. Werner (59, rue de Zurich) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant le 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains appartenant à A. Jehl – Autorisation de poser un échafaudage et de ravaler la façade – Travaux terminés, juin 1911
  • 1916 – Commission des logements militaires – Travaux à faite en trois points (repeindre le local et les murs de la cage d’escalier, supprimer l’humidité dans une chambre) – Les travaux ne sont pas faits, ils ne sont pas urgents, 1918
    1923, remarque qu’Hélène Tresch est morte de tuberculose
  • 1921 – Le maire notifie Adolphe Jehl, demeurant sur place, de faire ravaler les façades – Le peintre Ch. Werner (59, rue de Zurich) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet la requête au maire qui donne son accord – Travaux terminés, juillet 1921
  • 1923 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Emile Dorschner demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons – L’agent ne peut visiter les lieux qui sont en cours de transformation
    Rapport, mai 1923. Les locaux correspondent aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 sauf la hauteur des locaux (3,10 au lieu de 3,50 mètres) et les portes qui s’ouvrent vers l’intérieur. Le débit de boissons comprend une salle et des toilettes au rez-de-chaussée, une salle à manger, une cuisine et des toilettes au premier étage.
  • 1923 – L’architecte Emile Kieffer (4, rue Sabine) demande au nom de la Brasserie Kronenbourg l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée et le premier étage – Travaux terminés, juin 1923 – Dessin du rez-de-chaussée et du premier étage
  • 1924 – La Police du Bâtiment constate que le restaurateur Albert Haslauer a fait poser sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Autorisation
  • 1930 – La Police du Bâtiment constate que la gouttière est bouchée – Le maire écrit à la Brasserie Hatt (66, route d’Oberhausbergen), locataire principal, de faire réparer la gouttière – La Brasserie de Kronenbourg (anciennement F. G. Hatt) répond que les travaux incombent au propriétaire – Le maire écrit au propriétaire Jehl, demeurant 12, rue Aubry et Rau – Travaux terminés, novembre 1930
  • 1931 – L’entreprise Dentzer et Gramling (5, rue des Frères) demande au nom de la Brasserie Hatt l’autorisation de poser une enseigne au néon pour le restaurant Hasslauer (libellé, Tigre Bock) – Dessin – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1937 (avril) – Les locataires Bœsch et Maurer se plaignent des cabinets d’aisance – La Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas justifiée
    1937 (septembre) – Le service d’hygiène déclare que le restaurateur Burger a fait réparer les cabinets d’aisance mais qu’ils sont à nouveau détériorés – Travaux terminés, octobre
    Réponse de Fernand Burger (papier à lettre Restaurant Dœrffer, propriétaire Fernand Burger), successeur de Hasslauer (1936)
  • 1940 – La Brasserie de Kronenbourg demande l’autorisation de changer la dénomination Restaurant Dœrffer en Gasthaus zum Alten Kornmarkt (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains) – Dessin
    1940 – Les conjoints Victor Schmitt demandent l’autorisation d’exploiter le débit de boissons. Rapport comme les précédents. Le puisard dans la cave doit être pourvu d’une plaque en pierre ou en métal.
    1942 – Avis de paiement pour une lampe
  • 1945 – Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement le bâtiment. Certificats de sinistré remis à Louise Bœsch (troisième étage), Marcel Brocher (4° étage), Jeanne Schmitt (4° étage), Eugénie Boesch (troisième étage).
  • 1945 (août) – René Rohmer demande au nom de Victor Schmitt, ancien locataire du Restaurant Dœrffer, s’il est possible de reconstruire, ne serait-ce que provisoirement, un bâtiment pour reprendre son commerce – Plan cadastral
    1945 (septembre) – L’architecte principal (Division VI) répond que les alignements pourront être modifiés mais que rien ne s’oppose à une reconstruction provisoire
    1948 – Le terrain est entouré d’une barrière
  • 1946 (septembre) – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen demande l’autorisation de poser un baraquement provisoire à l’emplacement du Restaurant au Romain (4-6, rue du Vieux-Marché-aux-Grains) – Dessin de l’architecte C. Heitz (rue de Verdun à Bischheim)
    1946 (septembre) – L’entrepreneur Scharwart (rue du Tivoli) construit sans autorisation le baraquement préfabriqué – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen renvoie à son précédent courrier et ajoute que le M.R.U. a fourni le baraquement dont l’architecte surveille le montage.
    1946 (octobre) – Le maire donne son accord à titre précaire – Le baraquement est monté, octobre 1946. Les travaux intérieurs sont terminés, janvier 1947
    1946 (novembre) – Les caves se trouvent en partie sous la voie publique. Elles menacent ruine parce que les voûtes sont fissurées. Il faudra les combler.
  • 1955 (février) – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen (67, route de Bischwiller à Schiltigheim), propriétaire des parcelles 55, 56 et 57 de la section 60 dépose une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Charles Heitz (42, rue de Wissembourg à Schiltigheim) – Plan cadastral selon le nouvel alignement
    Remarques de la Division VI. Réduire la dimension des ouvertures dans le trottoir pour les fûts. Mieux séparer le bâtiment principal et le premier étage de la façade arrière. Supprimer la marquise rue du Saumon, ne la conserver que sur 7,20 de la façade rue du Vieux-Marché-aux-Grains
    1955 (mai) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1955 (septembre) – Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire
    1958 (février) – Le permis de construire est périmé sans que les travaux aient été commencés.
    1958 (avril) – L’architecte Charles Heitz demande de proroger le permis de construire. Les travaux ont été retardés à cause de la façade de la pharmacie voisine dont le conservation était pendante au service des Monuments historiques.
    1958 (décembre) – Le préfet demande à la Commission de sécurité son avis sur le futur restaurant Au Romain qui accueillera plus de cent personnes – Le projet ne donne lieu à aucune observation.
  • 1959 (janvier) – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen dépose une demande de permis de construire – Dessins
    Remarques de la Division VI. Rehausser la toiture jusqu’à la corniche du terrasson de la pharmacie, ce qui permettra d’aménager les combles
    1959 (mars) – Les terrains à réunir à la voie publique seront cédés par voie de remembrement.
    1959 (1 avril) – Remarques de la Division VI sur les plans rectifiés. Il serait souhaitable de prévoir partout des portes-fenêtres, sauf aux deux extrémités
    1959 (13 avril) – La Division VI émet un avis favorable sur la nouvelle proposition et à une dérogation relative à la hauteur du bâtiment
    1959 (octobre) – Pas de mise en chantier. Le local provisoire n’est pas démoli
    1959 (novembre) – Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire (dossier N° 6181 et 6182 Z). Les versants de la toiture seront couverts de tuiles plates vers la rue, les enduits seront lisses, leur teinte fera l’objet d’un accord.
    1960 (janvier) – Le préfet accorde dérogation, la hauteur sous corniche est portée à 15,10 mètres
    Suivi des travaux. 1960 (février), la baraque provisoire est démolie, entreprise Hœllé-Matter. 1960 (avril), les murs de la cave sont coulés, le coffrage de la dalle haute est en cours. 1960 (juin), le gros œuvre se poursuit au rez-de-chaussée, piliers en béton armé, briques cellulaires. 1960 (septembre), le gros œuvre se termine, la corniche est réalisée. 1961 (janvier), le gros œuvre est achevé. L’aménagement intérieur commence. Le bâtiment suit l’alignement de la rue du Saumon, il est en arrière de celui rue du Vieux-Marché-aux-Grains de 22 à 24 centimètres. 1961 (mai), le bâtiment ne correspond pas entièrement aux plans. 1961 (octobre), l’aménagement intérieur est en voie d’achèvement. 1962 (février), les travaux sont entièrement terminés. La réception finale n’a donné lieu à aucune objection. Rez-de-chaussée, restaurant de 320 m². Premier étage, entrée rue du Vieux-Marché-aux-Grains, deux logements de deux pièces, un logement de trois pièces, deuxième et troisième étage, idem. Premier étage entrée rue du Saumon, un logement de deux pièces, deuxième et troisième étage, idem.
    1961 (juin) – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen dépose une demande de permis de construire – Le Ministère du Logement et la Reconstruction délivre le permis de construire (avenant), 15 septembre 1961
    1962 (mars) – Les installations sanitaires sont conformes au règlement de la Ville – Le maître ramoneur René Arnold de Schiltigheim délivre un certificat de conformité
  • 1961 – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen demande l’autorisation de poser des enseignes au néon (libellé Au Romain et deux enseignes Bière Adelshoffen)
    Même demande par la société Ott Frères – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à condition de déposer une enseigne posée sur la façade arrière – Dessin
  • 1962 – Récépissé de déclaration. Dépôt non souterrain de mazout (12.000 litres) au restaurant Au Romain – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen demande l’autorisation correspondante pour alimenter une chaudière au sous-sol
  • 1970 – Le préfet autorise Léon Maschino, né en 1908, directeur général de la Société d’exploitation de la brasserie restaurant Maschino et Compagnie, à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Romain dans trois salles au rez-de-chaussée.
  • 1971 – Le préfet demande un rapport avant d’autoriser Charles Sengel à exploiter le restaurant – La Police du Bâtiment fait un rapport sur les locaux (salle de restaurant, salle à manger, cuisine, toilettes), elle n’a pas d’objection à formuler.
    Le préfet autorise le 17 février 1972 Charles Sengel, président du conseil d’administration de la Société d’exploitation de la brasserie restaurant Maschino et Compagnie, à exploiter le débit de boissons Au Romain.
  • 1974 – La Commission interurbaine de sécurité fait son rapport sur le restaurant Au Romain, 6-8 rue du Vieux-Marché-aux-Grains
    1975, idem. Exploitant, Sengel. Les mesures prescrites en 1974 n’ont pas été observées. Un nouveau contrôle en avril montre que les mesure sont appliquées. – Autorisation d’ouverture au public (effectif de 450 personnes), mai 1975 – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen fournit les plans des issues de secours.
    1976 – Nouveau rapport
    1977, 1979, 1980 – Idem
  • 1979 – Charles Sengel sollicite une autorisation d’ouverture tardive (3 heures du matin) – Le préfet accorde l’autorisation – Idem, 1980
  • 1979 – Le restaurant Au Romain demande l’autorisation de transférer l’enseigne dans la rue du Saumon et d’en poser de nouvelles rue du Vieux-Marché-aux-Grains et rue du Saumon – Photographies – Dessin
    La société Kappeler (enseignes, rue de la Première Armée) dépose une demande
    1980 – Le restaurant Au Romain demande l’autorisation de transférer l’enseigne dans la rue du Saumon et d’en poser une nouvelle rue du Vieux-Marché-aux-Grains – Photographies – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Les enseignes sont posées, octobre 1980.
  • 1980 (juin) – Les établissements Lucien Walter (à Mundolsheim) demandent l’autorisation de poser un store en corbeille à lambrequin comportant une inscription – Dessin, photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde l’autorisation
    1980 (août) – M. Sengel demande l’autorisation de remplacer la toile. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
    1980 (octobre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable au nouveau projet – Les objets sont posés, décembre 1980
  • 1981 – La Commission interurbaine de sécurité fait son rapport sur le restaurant Au Romain exploité par M. Sengel
  • 1980 – La Police du Bâtiment constate que le restaurant Au Romain a posé sans autorisation deux enseignes lumineuses à double face – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen déclare que les enseignes étaient provisoires et les a fait déposer.
  • 1981 – Charles Sengel demande de renouveler l’autorisation d’ouverture tardive
  • 1983 – Roger Sengel, demeurant 106, rue du Rebhof à Westhoffen, demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie en qualité de président du conseil d’administration de la société anonyme Société d’exploitation de la brasserie-restaurant Au Romain Charles Sengel. Le préfet demande un rapport sur les locaux. La Division II répond que les locaux ont fait l’objet d’une autorisation municipale d’ouverture le 14 mai 1975, la commission de sécurité émet un avis favorable
  • 1984 – L’entreprise générale d’électricité Schoro et Compagnie soumet un projet d’éclairage de la devanture (douze lampes) – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde l’autorisation – Les lampes sont posées, juillet 1984.
  • 1984 – La Commission de sécurité fait son rapport
  • 1985 – Roger Sengel demande l’autorisation de remplacer la toile des stores en corbeille – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable (les stores devront être en toile teintée et non blanche) – Note, la réalisation n’est pas satisfaisante mais peut être maintenue, septembre 1985.
  • 1987 – Roger Sengel demande l’autorisation de poser un auvent (15,40 de long, saillie de 3,50 mètres – Photographie – Même demande par la société Rowa (zone industrielle de Hœrdt) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable, sous réserve que le store n’empiète pas sur les piliers à chaque extrémité – Autorisation

Autres dossiers (anciens numéros 4 à 8)
1540 W 317 – 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains, modification de la devanture (2002)
1541 W 395 – magasin (2002)
1600 W 595 – modification de la devanture (2001-2004)
1601 W 909 – devanture (2003-2004)
1687 W 1639 – réfection de la toiture (2010-2011)
1689 W 517 – réfection de la toiture, zinguerie (2012-2013)


Relevé d’actes

Le commissaire priseur Jean von Miltenberg fait construire un auvent en 1556. Le tailleur Jean von Miltenberg fait baptiser sa fille Anne le 3 janvier 1552. Il est commissaire priseur lors du baptême en 1557 de Jacqueline issue de sa femme Barbe

Baptême, cathédrale (luth.) 1552. Ianuario d 3. Hans von Multenburg schneid. baptizabat puella Anna (i 11)
Baptême, cathédrale (luth. p. 155) 1557. den 28. feb. Hans von Multenberg der Keuffler, M. Barbara, I. Jacobe (i 50)

La maison est inscrite au nom du barbier Jacques Kopp dans le Livre des communaux (1587). Fils de Jean Kopp de Blaubeuren en Wurtemberg, Jacques Kopp épouse en 1570 Anne, fille du commissaire priseur Jean von Mültenberg. Remarque – Jacques Kopp n’est pas porté au livre de bourgeoisie

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 130-v)
1570. Dnca Prima post Epiphanie. Jacob Kopp Hans Koppen Son von Blawbeuren, Anna Hans von Mültenburg des Keüfflers dochter. Sind Eingesegnet vff Zinstag 31. Januarÿ h. 9. (i 70)

Il est barbier au Marché aux Grains au baptême de sa fille Barbe en 1575
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 271)
1575. Am Donnerstag den 18 Octobris. p. Jacob Kopp scherer am Kornmarkt, M. Anna, I. Barbara (i 141)

Jacques Kopp l’aîné hypothèque la maison au profit de Jonas Metzger. Son fils Jean Kopp se porte garant.

1607 (vt spâ [xix. tag Septembris]), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 392
(Inchoat. in Proth. fol: 311.) Erschienen Jacob Kopp der elter Balbierer burg. Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Jonas Metzigers burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen schuldig sige 50 guldin Straßburger werung
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Ein Vorder vnd hind. hauß mit Ihrenn hoffstett. Auch Ihren gebeüen & geleg. Inn d. Statt Straßburg Am Kornmarck einsit neben der herrberg Zum Salmen vnd And.sit ein Eckhauß Am Salmen gäßlin hinden vff gemelte herrberg stoßend Dauon gond xij guldin gelts Ablösig mit 300 guldin werung H. Georg Nagel pfarrer Zu Doroltzh. Sunst eÿg.
Vnd Zu noch mehrer vorgewüsserung, So Ist Auch persönlich erschienen, Hannß Kopp auch Balbierer burg. Zu Straßburg sein des Bekhenners Sohn hatt sich für sich & Mit sampt Ime dem Bekhenner Zu einem bürg. mit: und und selbst schuldner Vnver: gesetzt und gemacht

Le barbier Jean Kopp et sa femme Anne, fille du commissaire priseur Jean von Mültenberg, vendent à leur fils Jean Kopp et à sa femme Madeleine Bauwel une maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière au Vieux-Marché-aux-Grains

1612 (xxiij Junÿ), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 168-v
Erschienen Jacob Kopp der Balbierer vnd Anna wÿland hannß von Mültenberg des Keüfflers vnd burg. alhie seeligen dochter sein eheliche haußfrau haben (verkaufft)
Hannß Koppen dem Balbierer Ihrem Sohn vnd Magdalena Bauwelin seiner ehegemahlen
Zweÿ heüser ein förders vnd ein hinders mit Iren hoffestatten auch allen and Iren gebeuwen & gelegen In der Statt Straßburg gegen dem Kornmarck einsit ein Eck am Salmengäßlein andersyt neben der Herberg Zum Sallmend stoßend hinden Vff bemelte Herberg, Dauon gendt Zwölff guldin gelts Straßburg werung H Georg Nagel Pfarrherren Zu Dorlesheim Alle Jar vff Johannis Bptiste Ablosig mit 300 guldin derselb. werung, Mehr 10 guldin gelts auch Vff Johannis Baptiste Widerkäuffig mit 200 guldin Straßburger Johann Strohäcken handelßmann Vogtlicher weÿs, Item 5 guldin gelts S vff d. xviij Martÿ loßig mit 100 gulden bemelter werung den Closter Frauwen Zu den Reuerein, Mehr verhafftet für j lb v ß d gelts vff S Michel tag V 25 pfund pfenning hauptgutts Margreden Jonas Metziger seligen witwe, So dann für 25 pfund pfenning den Kheüffern auch hanns Merckel holtzhändlern als Burgen gegen herrn der Munßen mit gebürend Zinß Zu legen Sunst für freÿ ledig eÿg. V alles Recht & der Khauff vber obbestimpte beschwerden für 400 pfund
Vnd Ist beredt das die verkheuffer so lang sie beyde Inn leben auch Ir dochter Barbell alls dieweÿl sie vnuer. für sich Inn obgeschrib. behußung, sonderlich der vatter v. die Mutter die Stub v Cammer daran ob die Scherstub auch der hauß ohr. v Kuchen dauor Ir wonung haben soll. Der Kheufer soll auch allen der (…)
(Vide Registrand. de Anno 1631. fol. 561. fac. 2.

Fils du barbier Jacques Kopp, Jean Kopp épouse en 1601 Madeleine Bauwel, fille du forgeron Laurent Bauwel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 53 n° XV)
1601. den 14. Julÿ sind Ehelich eingesegnet word. Johann Kopp von Straßburg d. Balbirer, Jacob Koppen deß Balbierers vndt Burgers alhie Sohn, vnd Jungfrau Magdalena Bauwelin, Lorentz Bauwels deß Schmidts vnd Burgers alhie dochter (i 60)

Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Louis Fehrler, beau-fils du fabricant de papier Isaac Jeckelmann
1602 (Ersten Julÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 311-v
(Inchoat. fo: 322.) Erschienen Hannß Kopp der Scherer burger alhie ane eim,
So dann Isaac Jeckelman Papÿrer, auch burger alhie, Inn nammen und als Stieffvatter Ludwigs, Wÿland Ludwig Fehrlers des Soldners seligen Sohns am and.n theÿl
Haben beÿde Partheÿen gegen einand. bekhandt vnd offentlichen verÿehen, das Sie sich von bemelts Ludwigs mit einander wegen freundlichen v.einbart vnd v.glichen wie hernach volgt, Namlich, Das bemelter Hans Kopp gedachten Ludwigen Zu seinem handwerck für einen gesellen vff vnd annemmen soll Ein Jar lang so vff Johannis Baptistæ nechst verschinnen angefangen In solcher Zeit des Barbierer handwercks beÿ welchem handwerck er Zuuor auch Zweÿ Jar gewesen (…)

Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Simon, fils de feu le notaire Simon Schrottlinger
1604 (xxj Augusti), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 247
(Inchoat. fo: 258.) Erschienen der Ersame Meyster Hanns Kopp der Scherer an eim
So dann Herr Johanns Reyth Notarius alls geschwornenn Vogt Simons wÿland Simon Schrottlinger Notarÿ seligen Sohns am andern theyl
haben sich beyde parthey mit einander von wegen bemelts Vogts Sohn mit einander freündlich vereinbart vnd verglichen Inn diße weÿß, Namlich soll v will Mayster Hanns Kopp bemelten Simon den vogt vff v anemen Zwey Jar lang die nechsten nach.der volgend v vff Sanct Ohßwaldts nechstverschÿnen angefangen (…) das Scherer handwerck (…) lernen v vnderrichten

Jean Kopp demande de ne pas perdre son droit de bourgeoisie alors qu’il va séjourner à Willstett pour surveiller une construction. Le pêcheur Nicolas Roser et le maçon Jean Brohl se portent garants.
1605, Conseillers et XXI (1 R 84)
(f° 115-v) Montag den XXIX Aprilis – Hans Kopp
Hans Kopp hab Zu Willstett ein baw angenohmen, dem er dissen Sommer abwarten will auch so er Ime gefalt sein burg: Recht hernach aufsag. Bitt Ime Schein mit Zutheilen d. er 2 wegen mit hausrecht mog hienaus fahren. Erkant, Ist willfahrt und soll burgen stellen wie herkommen.
NB hatt herren burg, Claus Roser fischer vnd Hanns Brol den Maurer gestelt den 30. diß Mnh* Ime ein Zedul *en geben.

Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Daniel, fils de feu l’aubergiste au Loup Daniel Gassger
1605 (2 Decembris), Chancellerie, vol. 357 (Registranda Kügler) f° 296
(Inchoat. fo: 359.) Erschienen der Ehrenhafft Hanns Kopp der Scherer ane eim
So dann Herr Caspar Schröpfer offner Notarius alls geschworner Vogt Daniel, Daniel Gassger geweßenen würtths Zum Wolff Sohn am andern theil,
Haben beÿde Partheÿen gegen einander bekhant Vnd offentlich verÿehen, das sie sich von wegen bemelts Daniels Inn diße wÿß Nemblich Soll Vnnd will Maÿster Hanns Kopp, bemelten Daniel den Vogt Sohn vff vnd annemmen, Zweÿ Jahr lang die nechsten nach einander Volgendt vnnd Vff Wÿhenachten nechst Khünfftig anefangen sollen, Ine Zuuorderst Zur ehr vnd furcht Gottes vfferziehen, mit essen drincken vnd gelÿger Versehen, das Scherer handwerck Inn bestimpter Zeÿt mit allem Vleÿß Vnnd ernst nach seinem besten wissen, lernen vnd vnderrichten

Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Jean Conrad Rœsch, fils de feu le receveur Conrad Rœsch
1607 (1. tag Augusti), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 213
(Inchoat. fo: 226.) Erschienen der Ehrenhafft Hannß Kopp der Balbierer burger Zu Straßburg ane einem
So dann Hannß Roth d. Schneÿder burg. alhie, alls geschworner Vogt, Hannß Conrad Röchen, Wÿland Conrad Röchen deß geweßenen Kuchen schaffner Im mehren Spittal alhie seligen Sohn, Mit beÿstand h. Daniel Anthoni Voli burg. alhie seines Stieffvatters Vnd Catharinen Märxin seiner lieben Mutter am andern theÿl
haben beÿde Partheÿen gegen einander bekhant, Vnnd offentlich verÿehen, daß sie sich Vonn bemelts hannß Conrad Röchen deß Vogtsohns wegen freündtlich Verglichen Vnd Vereÿnbart Inn dißen Wÿß Nemlich, Will erstgenanter Hanß Copp bemelten Hannß Conrad Röchen zu seinem handwerck Vff Vnd Annemmen, Zweÿ Jahr lang die nechsten nach einander Volgendt vnd vff Johannis nechst verschinen angefangen

Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Marx Letzmann, beau-fils de Nicolas Gœpffer, de Friesenheim près de Lahr
1608 (21. Xbris), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 374
(Inchoat. fo: 403.) Erschienen Hanß Kopp Scherrer burger Zu Straßburg ane eim
So dann Claus Göpffer von früeßenheim In die herrschafft lohr gehörig, In nammen Marx Letzman seines Stieffsohns am and. theil
Haben bede Partheÿen gegen einander bekhandt vnd offentlich verÿehen, das sie sich nachuolgenden bedings halben freündtlich V.glichen In dise weÿß, Nemmlich Soll vnd will obgemelter M. Hans Kopp Ime Marx Letzman Zu seinem Lehr Jung. Zweÿ Jahr lang so vff den heÿligen Weÿhenachten Jetz nechst Khünfftig anfahen sollen, vff und angenomen

Jean Kopp rembourse à Sébastien Jung et Odile Burger un capital de 200 florins garanti sur sa maison

1614 (11. Novembris), Chancellerie, vol. 409 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 73
Kauffverschreÿbung Hanß Koppen Barbierers vber 10 g. w. Zinß mit 200 g. abzulosen
(Extendirt wie in Volum: Contr. de Anno 1614 folio 132.) Erschienen Sebastian Jung Soldat vnd Otilia Burg. alhie
hatt in gegenwertigkeyt Hanß Koppen des Barbierers auch burg. alhie (verkaufft)
Zehen gulden Jährlichs gelts Straßburg. wehrung Jährlichs auff Johannis Baptistæ gefallend welche er Hanß Kopp Innhalt einer vnd. dato den 24. Januarÿ Anno & 1587. auffgerichtet. Zinßverschreybung wie In der Cancelleÿ In d. imbreviaturæ de Anno & 1587. folio 13. Zubefind. biß dahero von 200 gulden hauptguts von vnd abe seiner Behaußung alhie neben dem Salmen Geßlein vnd d. Herberg Zum Salmen geleg. als den bahr vorlegt. vnd.pfandt Zureychen schuldig geweß. vnd were d. Kauff geschehen für vnd vmb 160 guld.

Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Daniel, fils de feu le vitrier Paul Bischoff et de Susanne Rœderer
1614 (8. Junÿ), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 151
(Inchoat. fo. 147.) Erschienen Frantz Ysenheim Notarius alls geschworner vogt hanns Daniels wÿland Pauli Bischoffs glaßer seligen Sohn Mit beÿstand Fr. Susanna Reddererin Sein Mutter auch herrn Johann Strohecker alls verwandten ane eim
So dann des Ehrenhafft hanns Kopp Balbirer andern theyls
haben beyde parteÿen gegen einander bekhant vnd offentlich verÿehen, das sie sich vonn bemelts Daniel der vogt Sohn sonderlich verglichen Inn diße wÿß, Namlich das bemelter hanns Kopp Ine Danieln Zu seinem leerjungen vff vnnd annemmen soll Zweÿ Jar lang die nechsten nacheinand volgend So vff Johannis Baptistæ nechskhünfftig anefahen sollen (…)

Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Laurent Hertzog, fils de feu Laurent Hertzog d’Oberweier près de Lahr
1612 (7. Junÿ), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 153-v
(Inchoat. fo: 168.) Erschienen Lorentz Herrtzogk wÿland Lorentz hertzogen zu oberwÿher Inn lahrer herrschafft Oberweyr gehörig seliger Sohn mit beÿstand vnd bewilligung Jacob Sigele wohnhaft daselbs seines geschwornen vogts, Mehr Claus Göpferts vonn Frießenheim seines vettern ane eim
So dann des Ehrenhafften hannß Koppen Balbierer burgers Zu Straßburg am andern theyl
haben beÿde Partheÿen gegen einander bekhant vnd offentlich verÿehen, das die partheyen sich vonn sein Lorentz herzogks wegen freundlich vff heut dato mit einander verglichen Inn diße wyß Nemblich soll unnd will bemelter hans Kopp vorgedachtem Lorentz herrtzogen zu seinem Lehrjungen vff vnd annemen Zweÿ Jar lang die Nechsten nach einander volgendt So vff Johannis Baptistæ nechstkhünfftig anestehen sollen In der Balbier handwerck (…)

Jean Kopp et Madeleine Baumwol hypothèquent la maison au profit du vitrier Georges Ruhlmann et de ses sœurs Marie et Ursule

1626 (ut spâ. [7. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 472-v
Erschienen hannß Kopp der balbierer burg. Zu Straßburg Vnd Magdalena Baumwolin sein eheliche hauß frauw
haben in gegensein Jörg Rulmann des glaßers Marien Vnd Ursulen, aller dreÿen geschwistern – schuldig seÿen 25 Pfund
zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß hoffstatt Vnd hinderhauß, mit & geleg. Inn d. St: St: vff dem kornmarck einseit ein eckhauß Ane dem Salmengäßell, And. seit der herberg Zum Salmen, hinden vff gemelte herberg stoßend, dauon gend. 12 guld. in gelts lößig mit 300 guld. wehrung weÿland Geörg Nagell seligen Witwen vnd erben, Vnd dann v. gld. geltd lößig mit j C gulden gelts werhrung dem Schaffner Zur Reweren

Jean Kopp se remarie en 1627 avec Marie Cléophée, veuve de Louis Ruckhard, maître des forêts au service de Nassau à Friesenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 66)
1627. Dom: LX 28. Jan: Johann Kopp burger vndt barbierer allhie Und Maria Cleophe weiland Ludwig Ruckhardts gewesenen Nassawischen forstmeisters vndt schaffners s. Zu Frießenh. nachgelaße. wittw. (i 35)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 228) 1627. Dominica 60, 28 Jenner. Johan Kopp der barbirer vnd Maria Cleophe Ludwig Rückhards forstmeisters Zu Frießenheim n. wittwe, eingesegnet Zum J. S. P. (i 119)

Originaire de « Weyernach » en Wetterau, Louis Rückhard épouse en 1609 Marie Cléophée, fille du pasteur de Saint-Guillaume Henri Greiner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 87 n° 18)
1609. Dominica Misericordias 30. Aprilis. Ludowich Rückhardt von Weÿernach aus der Wetteraw J. Maria Cleophe hern Mag. Heinrich Greiners altten pfarhers dißer Kirchen tochter. Eingesegnet 16. Maÿ auf einen Zinstag hora 10. (i 91)

Jean Kopp verse un paiement complémentaire à Marguerite Roser, veuve de son frère Jacques Kopp, après avoir versé le capital lors de le dévaluation. En marge, quittance remise en 1672 au barbier Jean Kopp

1631 (8. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 561-v
Erschienen hanß Kopp der Barbierer burger Zu St. An einem,
So dann herr Tobias Städel alter groß. Rhats verwanter alß Vogt Margreth Roserin weÿ: Jacob Koppen gewesenen Barbierers auch burgers alhie, sein hanß Koppen Bruders see: witiben, am 2. theil
Zeigten an und bekannten gegen einander demnach er hanß Kopp, besagter Vogts frawen 60. lb. so er, vermög der beÿ H Jacob Küglern alß der St. St. Contractuum Not° den 24. Junÿ Anno 1612. vfgerichten v.schreibung Järlich von, vff vnd abe seinem alhie am Kornmarckt gelegenen hauß zu v.zinsen schuldig gewesenen in Anno 1623. mit damaligem höchsten gelt abgelegt, Alß heten sie sich, nach maß alhieiger vber die Nachträg v.faßten instruction mit einander gütlichen dahin v.glichen, daß Er Kopp an gutem ietziger Zeit gäng vnd gibigen geld ihro Roserin XXX lb nachzutragen (…)
[in margine :] Erschienen er Edel- fromm und Wohlweÿs- herr Johann Philipp Mülb deß geheimen Regiments der herren dreÿzehen, hatt in gegensein H Johann Koppen deß barbierers alß iezigen Possessoris hierinn gedachter behaußung (…) Act. den 17. Aug. A° 1672.

Jean Kopp hypothèque la maison au profit des enfants mineurs de son fils Daniel Kopp

1636 (15. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 791
Erschienen Hanß Kopp d. Barbierer
hatt in gegensein weÿ: Daniel Koppen seines sohns see. Kinder vogts ut spâ [Jonæ Wagners deß Guldenschreibers] – schuldig seÿe 125. lb Sr. daran & ut spâ.
dafür Vnderpfand sein soll Ein Vorder: vnd hind.hauß höfflin und hoffstat mit allen And.en ihren gebäwen & Alhie vffm Kornmarckt neben der herberg Zum Salmen & neben den Salmen gäßlin, hind. vff besagten Salmen so zuuor v.hafftet vmb 300. fl. H. Johann Wencker XV. It vmb 100 fl. dem Closter Zun Rawern alhie Mehr umb 25. lb d. Margreth Roserin, So dann vmb 248. lb Annæ Margarethæ Jacob Füessels s: wittiben sein Koppen dochter
[in margine :] Erschienen Johann Carl Kopp der Barbierer für sich selbsten Und Margaretha Hannß Bernhard Branden deß Glaßers Eheweib, mit beÿstand ersternannts ihres Ehevogts, Geschwisterdt alß deme, ihrer Anzeig hach die hierinn beschriebene Schuld forderung gebühre, haben in gegensein Johann Koppen deß Jüngern Barbierers und Catharinä seiner Eheweibs (…) Actum den 24. Junÿ A° 1658.

Jean Kopp hypothèque la maison au profit du barbier Georges Œrtel

1651 (8. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 541
Erschienen hannß Kopp der Barbierer
hatt in gegensein Georg Örtelß deß Barbierers – schuldig seÿen 25. lib.
Underpfand sein soll Zwo neben einand. gelegener Behaußung mit allen deren Gebäwen, alhie am Kornmarckh seind einseit ein Eckh und anderseit neb. d. herberg Zum Salmen geleg. davon gehnd iahrs 12. fl. wehr. lößig mit 300. fl. wehr. H. Johann Wenckhern alt. Ammaÿstern, Item 2 lib. 10. ß lösig mit 50. lib. dem Closter Zun Rewerin, Item 15. ß lößig mit 15. lib. Jacob Koppen seel: wittib, und 15 ß lößig mit 15. lib. Michael Glitzen dem Seckhlern, Item 1 lib 10 ß lößig mit 30. lib. hannß Jacob Engelhardts Kindern

Fils de Jean Kopp, le barbier Jean Kopp épouse en 1655 Catherine, fille du diacre Michel Pastorius
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 72 n° 10)
1655. Eodem Paschalis Festo. H Johannes Kopp der Barbierer H. Johannis Koppen des Barbierers vndt burgers alhie ehelicher Sohn, Vndt Jungfr. Katharina H. M Michaelis Pastorÿ dießer unserer Kirchen diaconi eheliche tochter. Copulabantur Eod. die eodemq in loco [Zinst. d. 24.t. Aprilis Zum JSPeter] (i 83)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 197 livres, ceux de la femme à 415 livres.
1655 (30.4.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 26) n° 1486
Inventarium undt beschreibung aller undt ieder haab, nahrung undt güettere, so die viel Ehren und tugendreiche fr. Catharina Pastoriusin, Zu dem Ehrenhafften Herrn Johann Koppen barbierern ihren geliebten ehemann Inn den ehestandt gebracht, welche der ursachen, dieweilen inn Ihre beeer mit einand. vffgerichten Eheberedung v.sehen d. einem Jeden sein Inn den Ehestandt Zubringende Nahrung ein reservirt vndt unverändert guet sein solle (…) Act. In fernerer gegenwart Zugleich des Ehrwürdig vndt wohlgelehrten H M: Michaelis Pastorÿ, Diaconi Zum Jung. S. Peter d. et deßen geliebten haußfr. beede d. fr. geliebter Eltern, Montag den 30. Aprilis Anno 1655.
Abzug in dißes Inventarium. Des Herren Zubringende Nahrung, Sa. haußraths 92, Sa. werckzeugs 18, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. goldener ring 8, Sa. schulden Inns erbe zugeltend 65, Summa summarum 201 lb – Schulden 4, Pleibt 197 lb
d. fr. Nahrung, Sa. haußraths 190, Sa. Silbergeschmeidts 19, Sa. goldener ring 15, Sa. baarschafft 190, Summa summarum 415 lb

Jean Kopp hypothèque la maison au profit de Jean Régnard Mader, secrétaire aux affaires criminelles et à la Chancellerie

1662 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 595-v
Erschienen Johann Kopp der Barbierer
in gegensein H. Johann Reinhard Maders Vergichtschreibers und Cancelleÿ Verwanthens – schuldig seÿe 25. lb
Unterpfand sein solle, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, und Zugehördten alhie an dem Kornmarckh, einseit neben der Gastherberg Zum Salmen anderseit ist ein Eckh am Salmen Gäßlein, hinden uf g. Herberg stoßend gelegen

Les préposés généraux de la Taille soumettent aux Quinze l’inventaire dressé après la mort de Catherine Pastorius. Jean Kopp régalt ses impôts sur une somme qui n’attaignait pas la moitié de la fortune constatée lors de l’inventaire. L’enquête montre que la succession est grevée de dettes. Les Quinze renvoient l’affaire aux préposés qui fixeront l’amende.
1663, Protocole des Quinze (2 R 80)
(f° 98) Freÿtag den 5. Junÿ – Stall Ca. Johann Kopp
Obere Stallherren per H. Frantz referiren laßen, demnach die herren dreÿ deß Stalls Johann Koppen deß Barbierers haußfrawen Catharinæ Pastoriußin seel. Inventarium eingelüffert so hetten Sie selbiges examinirt befund. daß die Schlußsumm 800 fl. Er aber nit gar die helffte verstallet, dahero für Nachtrag 13. lb 2 ß 6 d gefordert Würdt, die straff aber Zu Mgh. gestelt & Wann aber solche nahrung in Zimblich schlechten mitteln bestehet, absonderlich daß hauß so gleichsamb daß beste Stück davon sein solte, mit starcken wid. Zinß beschwerdt, alß vermeinen Sie Obere Stallherren es were daß geschäfft auch puncto mulctæ wid.umb ane die Herren dreÿer Zu remittiren. Erkandt, würdt placidirt.

Jean Kopp se remarie en 1664 avec Reine, fille du barbier Frédéric Steg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 138-v n° 6)
1664. Eâd. Dominicâ [IV. Epiphaniæ 31 Januar.] H Johannes Kopp der Barbirer Vndt Wundartzt auch Burgern allhie Undt Jfr. Regina weÿl. Hrn Fridrich Stegen gewesenen Barbirers Vndt Wundartztes allhie, auch E. E. Großen Raths alten Beÿsitzers nachgel. ehm: Tochter. Eingesegnet J. S. P. eod.die [Zinst. 9. Febr.] (i 151)

Jean Kopp se remarie en 1676 avec Anne Ursule, fille du pharmacien Jacques Guckelius de Schorndorf
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 265-v n° 40)
1676. Dom. V. Trinitatis 25. Junÿ H. Johannes Kopp Barbirer Vndt Wundartzt allhie, Vnd Jfraw Anna Ursula Hn Jacob Gückelius Apotheckern v. Gerichts Verwandten Zu Schorndorff hinderlas. ehl. Tochter. Eingesegnet J. S. P. Donnerst. 6. Julÿ (i 279)

Anne Ursule Cuculius devient bourgeoise un mois après son mariage.
1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 431
Anna Ursula weÿl. Jacob Cuculi gewesenen Apotheckers von Schondorff dochter, empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann Johann Koppen dem barbierer p. 8. golt fl. welche Er auff der Cantzleÿ erlegt hatt, ist Zuuor ledigen standts gewesen, promis. d. 3. aug. 1676.

Les enfants Kopp (Marie, Marie Salomé, Daniel, Marie Dorothée et Philippe Jacques) vendent la maison au sellier Tobie Stephan. Anne Ursule Guckel, mère et belle-mère respective des vendeurs, renonce à la jouissance viagère de la maison vendue.

1702 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 217-v
(1100) Joh: Pastorius buchdrucker alß Vogt Mariæ Koppin, ferners Barth: Erasmus Allbrecht Kupferschmidt alß Vogt Mariæ Salome u. Daniels geschwisterd der Koppen, u. dann Maria Dorothea Koppin so majorennis u. ohnbevögtiget, für sich u. nôe. Philipp Jacobs Knöpffmachers ihres bruders anjetzo in der frembde u. gleichfalls majorennis auch unbevögtiget
in gegensein Tobiæ Stephans sattlers
ein Vorder u. hinterhauß mit ihren hoffstätten u. allen anderen ihren gebaüen, begriffen, zugehörden, u. gerechtigkeiten, allhier gg. dem Kornmarckt einseith ist ein eck ahm salmengäßel anderseit neben der Herberg zuem Salmen hinten auch darauf stoßend gelegen – davon gibt mann jährlichen 2 ß Vom Wettertächel auf der Statt Pfthrn. – Worbeÿ ferners erschienen Anna Urßula geb. Guckelin der Curandin Stieff u. rechtmutter mit beÿstand u. consens Joh: Caspar Dechen haußfeurers ihres Curatoris, die hat in obigen Verkauf consentiret, mithien sich erkläret, daß pto. auf sothanen hauß habenden Wÿdembs, keine ansprach mehr ahn d. hauß, sondern allein ahn obigem Kaufsch. machen, einfolglich sich die zinß Von erwehntem Kaufß. pro rato reserviren wolle – um 150 und 50 pfund Capitalien verpfändet, geschehen um 900 pfund
[in margine :] hierinnen gemelde Maria Dorothea Koppin in gegensein hierinnen besagten Emptoris, Stephans, (quittung) 180 lb, Worbeÿ ferners geweßen Anna Urßula geb. Guckelin Dero mutter mit beÿstand u. consens Joh: Caspar Dechen haußfeurers ihres Curatoris, die hat in solche heutige handlung consentiret, u. dahero auf den wÿdumsgenuß renunciret, den 23. Maÿ 1702
[in margine :] Anna Urßule Koppin geb. Buckelin noe. Philipp Jacob Koppen hierinnen gemeldet, Kraft eines Vor H. Joh: Heinrich Jungen Notario sub dato franckfurt ahm Maÿn den 19. Maÿ jüngst gegebenen, Von ihme Koppen unterschriebenen gewalts mit beÿstand u. consens Joh: Caspar Dechen Haußfeurers ihres Curatoris (quittung) 8. junÿ 1702

Fils d’Elie Stephan, de Waltersdorf près de Schweidnitz en Silésie, Tobie Stephan épouse en 1700 Marie Madeleine, veuve du sellier Jean Daniel Heusch.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 99)
1700. Eodem die [Dominica VIII et X. post Trin.] proclamati sunt Tobias Stephan der Ledige Sattler gesell H Elias Stephan E* v. gerichts schultz Zu Wißden Waldersdorf in Schlesien hinderlaßener Ehelich. Sohn, vndt Maria Magdalena Weÿland Johann Daniel Heischen burgers v. Sattlers allhier Hinderlaßene Wittib Copulati sunt d. 18. Augusti Zu Jungen St: Peter (unterzeichnet) Tobiaß Stephan Alß Hochzeitter, maria magdalena Heÿschin als hochzeiterin, Andreas stumpff als schwager (i 101)

Fils du sellier du même nom, Jean Daniel Heusch épouse en 1688 Marie Madeleine, fille de Jean Régnard Brecht, diacre à Saint-Pierre-le-Jeune : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – zwisch. dem Ehrengeachten mstr. Johann Daniel Heÿschen, leedigem Sattler, als dem H. Hochzeith. ane einem, So dann d. tugendsamen Jfr Maria Magdalena, deß weÿl. wohl Ehrwürdig v. Wohlgelehrt. H M. Johann Reinhard Brechten, geweßene, treweÿfferig. Diaconi Zum Jung. St. Peter allhier in Straßb. m. d. auch weÿl. Ehr. v. tugendreich. Fr. Catharina gebohrner v. d. Straß beed. Eheleuth. nunmehr seel. ehelich erziehlt. docht. als d. Jfr hochzeiterin andern theils
darbeÿ in beÿsein (…) d. Ehrengeachten auch Zu Ehrsam v. bescheidenen Mstr Daniel Heÿschen, Sattlers, als deß Hochzeithers Vatters, mstr. Philipp Heÿschen auch Sattlers deß hochzeithers Vatters bruders (…) auff Sein deß Hochzeithers, So dann auff Ihro d. Jfr. hochzeitherin Seithen der Ehren Vest v. Vorgeachten H. Joh: Caspar Emmerichs Weinhändlers d. Hfr. hochzeiterin H Vogts, H. M. Johann Reinhard Brechten freÿpredigers v. præcepr: Clas. als d. Jfr. hochzeiterin H. Bruders (…) So beschehen in Straßburg Dienstags d. 21. 7.br Anno Christ. 1688. Benedictus Groß, Nots. publ. juratus

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 17)
1688. Domin. XVI et XVII. post Trinit. seindt proclamirt vndt außgeruffen worden Johann Daniel Heüsch der Sattler alhier, Daniel Heüschen deß satlers v. burgers alhier ehl. sohn Vndt Jfr. Maria Magdalena weÿl. Hrn M. Joh: Reihardt Brechten geweßten Wohlverdient. Diaconi vndt Helfers beÿ dieser Kirch Zum Jung. S. Peter alhier Nachel. ehl. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13. 8.bris (unterzeichnet) Johann Daniel Heÿsch als Hochzeiter, Maria Magdalena brechtin als hochzeiterin (i 13, proclamation Saint-Nicolas f° 42 n° 20)

Jean Daniel Heusch meurt en 1699 en délaissant deux enfants et un posthume. L’inventaire est dressé dans la maison du boulanger David Stiegler au Vieux-Marché-aux-Grains. La masse propre à la veuve est de 282 livres, celle des héritiers de 50 livres. L’actif de la communauté s’élève à 322 livres et le passif à 295 livres.
1699 (13.8.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 5) n° 215
Inventarium und Beschreibung aller der Jeniger Haab, Nahrung vnd Güthere, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ außgenommen, so weÿl. der Ehren und Vorgeachte herr Johann Daniel Heÿsch, geweßene Sattler und burger alhier zu Straßburg nunmehr seel. nach Seinem den 19.ten Julÿ instehenden 1699.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, deß Wohl Ehrenvesten, Großachtbahren vnd Rechtsgelehrten H. Johann Andreas Käufflins, J. U. Candidati und Vornehmen Burgers allhier, als geordnet und geschwohrnen Vogts Mariæ Magdalenæ v Johann Philipßen deß abgeleibten mit deßen hinterlaßenen hernach benannten Wittib ehelich erzeigter Kinder und nebst einem annoch under Mütterlichem Hertzen Liegendem Posthumo ab intestato nachgelaßener Erben, fleßig inventirt, und ersucht durch die Viel Ehren und tugendsahme fraw Mariam Magdalenam Heüschin gebohrene Brechtin die Hinterbliebene Wittib, beÿständlich deß Ehrenachtbahren Herrn Andrea Stumpffen, Kieffers vnd burgers allhier Zu Straßburg, deroselben geschwohrnen Curatoris (…) So beschehen in der Königlichen freÿen St. St. in fernerem gegensein, deß Wohl Ehrwürdig vnd Hochgelehrten Herren M. Johann Reinhardt Brechten, Præceptoris inf. Gymnnasÿ, der Fr. Wittib geehrten herrn Bruders, Donnerstags d. 13. Aug. Anno 1699.

In einer allhier Zu Straßburg, nechst dem Kornmarckh genegenen: H David Stieglerin weißbecken vndt Burgern allhier eigenthümlich zuständigen behaußung befunden woden wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Auff der Bühn, In der Wohn Stub, In der Stub Cammer, In der Cammer A, In der Kuchen, Im haußöhren, In der Bauch Küchen, Im Laden
Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Gueths. Vermög deß über Beeder geweßener Ehepersohnen einander in die Ehe zusammengebrachte Nahrung, durch Weÿl. H. Notm. Benedictum Großen concipirten und H. Johann Peter Kolben auch Notm. publ. in Anno 1692. expedirten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib Vermögen betr. Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 2, Sa. Guldener Ring 3, Sa. baarschafft 3, Sa. Ergäntzung 258, Summa summarum 282 lb
Der Erben Guth belangend, Sa. haußraths 13, Sa. Silbergeschmeids 3 ß, Sa. Ergäntzung 36, Summa summarum 50 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 53, Sa. gemacht arbeith 146, Sa. Frucht 12, Sa. Wein v. Vaß 6, Sa. Silber 14, Sa. baarschafft 75, Sa. Activ schulden 12, Summa summarum 322 lb – Schulden 295 lb, Nach deren Abzug 27 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 360 lb
Copia Eheberedung (…) So beschehen in Straßburg Dienstags d. 21. 7.br Anno Christ. 1688. Benedictus Groß, Nots. publ. juratus
Copia Codicilli reciproci. 1689. (…) auf Sontag d. 5. Junÿ (…) Benedictus Groß, Nots. publ. requisitus

Originaire de Schweidnitz en Silésie (aujourd’hui Świdnica en Pologne), Tobie Stephan s’adresse aux Quinze pour pouvoir faire son chef d’œuvre. Les certificats de baptême et d’apprentissage tardent à venir, il n’a pas appris à faire les courroies comme l’exige le règlement de Strasbourg. Les Quinze l’autorisent le 29 mars à présenter son chef d’œuvre en lui donnant trois mois pour produire les certificats. Il devra apprendre à faire les courroies chez un maître d’après un accord passé en avril avec la maîtrise. Il présente en mai son chef d’œuvre que les examinateurs lui demandent de parfaire. Il n’est pas autorisé à présenter les courroies en même temps que la selle. Les examinateurs relèvent encore des défauts en juin mais le candidat est reçu maître. Tobie Stephan participe pour la première fois au conseil le 4 août 1700.
1700, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 74) Montags den 7. Martÿ Anno 1700 – Tobias Stephan der Ledige Sattler gesell gebürtig von Schweidnitz auß der Schleßing, stehet vor, bittet Ihne Zu erlauben das Meister Stück aufzunehmen vnd Zu verferigen, producirt anbeÿ ein Schreiben auß Schweidnitz sub dato den 5. Januarÿ Ano 1700, in welchem enthalten, daß wann Implorant nach Ordnung ein authentisch attestatum, daß er allhier Meister Zu werden, verstiglich gesonnen würd übermachen, man Ihme deßen Geburths und Lehr brieff als dann überschicken werde. Erkand, soll vorderist die benöthigte Schein, als geburth vnd Lehrbrieff produciren, da dann fernee ergehen wurd, was recht ist.

(f° 79) Montags den 29. Martÿ Anno 1700 – Hr Niclaus Hünel der Handwercks Meister proponirte, es seÿe dato beÿ Unsern Gnädigen Herren der XV.er Erkand worden, daß Tobias Stephan der Ledige Sattler gesell sein Meisterstück auffnehmen vnd verfertigen, anbeÿ aber innerhalb 3. Monath seine Brieff von hauß kommen laßen solle. Erkand sollen ehister tagen die Wohlverordnete Obere handwercks herren erbetten vnd Ihnen der Meisterschafft anlegen, vnd was vor Unheil es dem gantzen handwerckh Zuziehe, so solcher bescheidt exequirt würde, vorgebracht, mitin die Sach zu hindertreiben alles ernstes gesucht werden.

(f° 79-v) Mittwochs den 31. Martÿ Anno 1700 – H. Handwercks Meister proponirt, Tobias Stephan der Sattler Gesell hätte E. E. Meisterschafft auf den Morgenden Tag wider vor Unßere Gn. herren die XV. citiren laßen, verlangt also Zu wißen, was hiebeÿ Zuthun seÿe. Erkand, wird Zu anhörung der Klag der handwercks Meister vnd Johann Conrad Hertzog deputirt.

(f° 80-v) Sonntags den 17. Aprilis Anno 1700 – Tobiæ Stephan des Ledigen Sattler gesellen pt° auffnahm des Meisterstücks ist dato Zwischen Imploranten vnd E. E. Meisterschafft gütlich abgered und verglichen worden, daß weilen derselbe nicht nach allhießigem Lehrbrieff das schwartz vnd weiße Riehmwerckh gelernt, er Zwar so viel die Sättel Kunst und Hulfftern betrifft Jetzo geich auffnehmen vnd verfertigen möge, deß Rhemwercks halben aber vorderist sich ein Jahr lang Zu Meister hanß Erhard Meÿern in die lehr einschreiben Zu laßen, als dann nach dessen verfließung auch das benöthigte Rehmwerckh schawmäßig Zu fertigen schuldig sein, wabeÿ ferner bedungen, daß er Stephan in Zeit solchen Jahrs, Zwahr gesind und gesellen fördern mithin das handwerck, wie ein anderer Meister treiben, aber nichts desto weniger keinen Lehrjungen annehmen oder informiren soll.

(f° 82) Donnerstags den 13.ten Maÿ Anno 1700 hat in beÿsein S. T. Herrn Abrahamb von Friedolßheim XV. als Obmanns, vnd der Vier Schaw Meister, wie auch des Handwercks Meisters, Tobias Stephan sein, Meisterstück behawen Vorgestellt vnd vmb die besichtigung gebetten.
Wurde volgends durch die Schawer referirt. Den Fuhr Sattelbaum betreffend, seÿen die Grumb Fliegel gar zu niedrig vnd der eine Lappen länger als der andere auch beede Zu dickh, der vörder gegen hinden Zu seucht die orth stuckh studen hinden Zu weilt hinauß, das eine äffter stuck ist gegen dem andern Zubreit vnd der Kopff ohnfleißig gefügt, auf die dritte Maß wäre er vornen Zu weith gegen hinden, die stütz am äffter etwas Zu seücht, vnd der Widerriß vornen ein wenig krumb Auch habe das eine gestell ein Ästel, den Ruth Sattelbaum anlangend derselbe habe über rucks Zu viel holtz, vnd wäre die steig ohnfleißig eingefügt, auch ane den gestellen und am Vorder inwendig Zu viel holtz außgekrebt, der eine bausch, stehe Zu weit hinaus gegen dem andern, und liege der eine steg vornen höher als der andere, auch seÿe er vornen auf die dritte Maß Zu weit. Hierauff wurden in gehaltener Umbfrag beede bäum über besagte fehler vor passierlich und auß Zu machen Erkändt.

(f° 83) Dienstag den 26.ten Maÿ Anno 1700 – Tobias Stephan stehet Vor bittet Ihme Zu erlauben beÿ Verfertigung deßen Meisterstücks auch das Rhiemwerckh gleich it Zu machen, Erkandt verbleibt beÿ vorigem bescheidt.

(f° 83-v) Donnerstags den 16. Junÿ Anno 1700 hat in beÿsein herren XV. von Fridolßheim Tobias Stephann denen geschwornen Schaw Meistern vnd den Handwercks Meister seine Meisterstück, ohne das Riehmwerckt, vorgewießen vnd vmb die besichtigung gebetten. Befande sich daran nach der Schaw Meistern Relation wie volgt
Den Fuhr Sattel betrifft, habe beede seits an den hinder bauschen Viel falten, wäre unsauber gespättelt, vnd der eine Vorder bausch höher als der andere, an den Kißen seÿe der Wiederriß Zu eng vnd wäre wegen all zu vielen thuchs voller fallten.
den Reit Sattel belanged, der Sitz ist beÿ 2. finger breit Zu kurtz, vnd hat im äffter ein Loch ein hinderbausch stehe mehr vorwarths als der ander, die taschen seÿen in die länge hinden Zu Kurtz, beder *an das Küßen nicht völlig, das Küsse gehe den taschen gleich Vnd wäre die arbeit voller falten, vnd ohnsauber genehet auch ahne den hulfftern die näht ungleich. Das Kummet betr. seÿe klein vnd Zu rund wäre einer seiths dicker als auff der andern, der ranfft oben auff zuschmahl vnd durchaus ohngleich gefüllt.
Hierauff Erkant, werden die stück vber besagte fehler, dannoch vor passirlich angenommen.

(f° 89) Mittwochs den 4. Augusti Anno 1700 – Tobias Stephan der leedige Sattler stehet vor, repetirt nochmahlen sein voriges petitum betr. den Meistersitz. Erkant wird Zwar demselbigen der Sitz gegen erlag der gewohnlichen gebühr per Majora willfahrt, er soll aber Implorant, weilen er annoch in der Lehr wegen des Riehmwercks stehet, dafern über kurtz oder lang dem handwerckh dadurch solte einige Verantworttung vnd nachtheÿl Zu kommen angeloben dafür gut Zu sein, vnd das handwerckh deßwegen schadloß zu halten, hats gegen dem Handwerck Meister vnd herrn Schultheißen handgebig versprochen ferner weilen sich beÿ verfertigung des Meisterstücks Zimlicher fehler hervorgethan, sonderlich aber in dem Sitz des Rit sattels ein Loch geweßen, als soll er derentwegen 1. lb Zur Straff erlegen. Hats zu geben verwilligt.

(f° 93) Montags den 20. Junÿ Anno 1701 – Tobias Stephan stunde vor bat Ihme, das Zu seinem Meisterstück annoch gehörige Riehmwerckh, vollend in seiner behaußung fertigen Zu dörffen, Zu erlauben. Erkannt Willfahrt.

(f° 113-v) Dienstags den 30. Octobris Anno 1703
(sein geweßener Gesell nahmens Christoph Krähmer Von Preßlau gebürtig auff Mümpelgarth die frantzösische Sprach Zu erlernen, zu Tobiä Stephan seinem Landtsmann (f° 115, Dienstags den 6. Novembris Anno 1703 – Montags den 11. Novembris Anno 1703, f° 117 Mittwoch den 13. Novembris Anno 1703, Sonntags den 18. Novembris Anno 1703) (f° 137-v) Mittwochs den 29. Decembris Anno 1706 (pt° Irrden gesellen)
(f° 184) Mittwoch den 11. Octobris Anno 1713 (Johann Samuel Schall klagt Tobias Stephan)
(f° 195) Montag den 6. Augusti Anno 1714 (Hanß Georg Brösamle clagt Tobias Stephan)

Procédure chez les Quinze. Quoique la demande de Tobie Stephan ne satisfasse pas au règlement, Samuel Schübler et les autres maîtres selliers reconnaissent les qualités du candidat. Les Quinze accordent la dispense eu égard (1) à sa bonne réputation, (2) qu’il va épouser la veuve d’un maître, (3) qu’il va faire son chef d’œuvre, (4) qu’il n’établira pas un nouvel atelier et (5) qu’il s’est montré un compagnon honnête auprès de ses maîtres, à condition qu’il fournisse les certificats.
1700, Protocole des Quinze (2 R 104)
(f° 104) Sambstags den 20.ten Martÿ – Tobias Stephan Ca. E. E. Meisterschafft der Sattler
G. noîe Tobiæ Stephan des Ledigen Sattlers von Schweinitz, Cit. per Sched. E. E. Meisterschafft der Sattler Obermeister, Prplis. Clagt das Citirte, Ihne, aus ursach er die gewiße und bestimpte Zeit noch nicht verarbeitet, Zum Meisterstück nicht admittiren wollen, bittet deßwegen unterth. Zu einziehung mehreren berichts, Deputationem et Relatione factâ, Ihme dispensando das Meisterstück machen, Gn. Zu willfahen, angesehen Er mit einer Meisters Wittib sich zu verheurathen Gesinnet. Heck noîie Cit. man mag deputationem wohl leiden, bittet aber gegentheiliges begehren abzuschlagen. G. setzts. Erkandt, Gebettene Deputation, auff die obere Handwercks herren willfahrt.

(f° 111) Freÿtags den 26. Martÿ 1700. – Tobias Stephan Ca. E. E. Meisterschafft der Sattler
Iidem [Obere Handwercks herren] per Herren Friden, Es habe Tobias Stephan der ledige Sattler in einem gehaltenen Receß wider E. E. Meisterschafft der Sattler geklagt, daß dieselbe Ihne Zu Verfertigung des Meisterstücks nicht admittiren wollen, deßweg. vmb einer deputation gebetten, wo auch willfahrt worden, vndt alß man Ihne ferners angehört, den ged. receß nichts weiters begehret habe, Auff seithen der Meisterschafft aber Herren Samuel Schübler & Consorten beditten, daß Sie wider den Imploranten, der ein feiner Mensch seÿe, und sein handwerckh wohl verstünde, nichts einzuwenden hetten, allein gehe der articul dahin, daß keiner Zu dem Meisterstückh gelaßen werden solte, er habe dann Zuvor seinen Geburths: vnd lehrbrieff vorgelegt, (2.) derselbe das Schwartz und weiß Riemwerckh gelernt haben, vnd (3.) Zweÿ Jahr in arbeit alhie gestanden seÿn solle, welches letztere Sie iedoch alleine Mghheren überlaßen wolten, weilen schon mehrmahlen deßwegen dispensirt worden seÿe, Worauff Kläger replicirt, daß er Vor einiger Zeit an die Meisterschafft nach Schweinitz geschrieben, vndt seinen Geburths: vnd Lehrbrieff begehrt habe, die ihme aber geantworttet, daß er Zuvor einen schein von den hießigen Meistern einschicken solte, daß Er sich beÿ denenselben vmb das Meister Recht angemeldet habe, So Er auch gethan, die ihme aber solchen Schein abgeschlagen, deßwegen Er beÿ E. E. großen Rhat vmb ein Attestatum angesucht, es auch Zu erhalten verhoffe, deme Er ferners beÿgesetzt, daß bekant seÿe, daß man beÿ ihme auff dem Schwartz vnd weiß leder nicht Zu arbeiten pflege, iedoch Er solches wohl zu machen getrawe. Auff welches die Meisterschafft regerirt, daß Sie es nicht anderst eingehen könten, weilen kein Frembder in der Bruderschafft befindlich, der nicht ein solches in seinem Lehrbrieff habe, dabeneben Sie einen Lehrbrieff von Georg Brösamle, der ein Frembder, vom 16.t Januarÿ 1634. producirt, in welchem alle dergleichen stuckh enthalten seÿen, mit bedeüten, daß wan Kläger ein solchen lehrbrieff auch einbringen werde, Sie damit auch zufrieden seÿn wolten. Es habe aber Kläg. darauff geantworttet, Er besorge, daß der Lehrbrieff nicht auff solche weiße eingerichtet werden dörffe, gleichwohlen hette er beÿ andern Meistern gearbeitet, welche Ihne in weÿl. H. Johann Daniel Heüschen hinterlassener Wtb. werckstatt gethan, die Er auch mit Zweÿen Kindern Zu heürathen willens seÿe
Auff seithen der HHn Deputirten habe man gefunden, daß der articul, so H Frid abgelesen, Zwar Clar seÿe und dahin Gehe, daß Einer dreÿ Jahr das handwerckh und das Schwartz vndt weiß Riehmwerckh gelernt haben solle, Andererseithen aber auch, daß Kläger ein Gutes Zeügnuß habe, (2.) eines Meisters wittib heürathen wolle, (3.) das Meisterstück, vnd gedachte arbeit, wohl Zumachen getrewe, (4.) kein newe werckstatt auffrichte, vnd (5.) allezeit als ein ehrlicher Gesell darauff gearbeitet vndt passirt worden seÿe, deßwegen man dafür gehalten, daß demeselben dispensirt werden könte, iedoch mit der condition daß er innerhalb dreÿen Monaten, einen geburts vnd lehrbrieff einbringen solle. Erkandt, bedacht gefolgt.

Fils du prévôt de Schweidnitz Elie Stephan, Tobie Stephan devient bourgeois par sa femme le 20 septembre 1700.
1700, 4° Livre de bourgeoisie p. 722
Tobias Stephan der sattler von Schweinitz, Weÿl. Elias gew. Schultheisen sohn, empfangt das burgerrecht von seiner Frawen Maria Magdalena Brechtin p. 2. gold fl. 10. ß. so beÿ der Cantzleÿ erleg. Worden Vnd wird beÿ E E Zunfft der Gerber dienen, Jur. d. 20. 7.br. 1700.

Tobie Stephan loue une partie de sa maison au perruquier François Palousse

1703 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 221
Tobias Stephan sattler (unterzeichnet) Tobiß Stephan
in gegensein Hn Frantz Paulus peruquenmachers (unterzeichnet) francois Palousse
enthehnt, in sein Stephan allhier gegen dem Kornmarckt über einseith ist ein eck ahm Salmengäßlein anderseit neben Hn Gallo chyrurgo gelegenen hauß d. vordere Hauß nichts darvon außgenommen, auf zweÿ jahr lang anfangend von Joh. Bapt: 1703 – um einen jährlichen Zinß nemlich 39 pfund

Tobie Stephan hypothèque la maison au profit du pelletier Jean Gaspard Hanser, fidéicommissaire de feu Nicolas Hanser de Francfort. En marge, quittance accordée en 1744 à Augustin Güntzer, alors propriétaire de la maison

1704 (22.8.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 422
Tobias Stephan Sattler
in gegensein Joh: Caspar Hanßers Kürßners alß Fidei Commissarÿ weÿl. Niclaus Hanßers sen: geweßenen burgers zu franckfort – schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, deß debitoris behaußung allhier gg. dem kornmarckt, welche Er ahm 15.ten Maÿ jüngst erkaufft, gibt man auch jährlichen 2 fl. vom Wetter Tächel
[in margine :] H. Johannes Schätzel burger und weinhändler allhier als mandatarius Mathiß Hanßer Corporals in Saltzburgischen diensten als dermalligen Nießers hiervor beschriebener 200 lb, in gegensein Augustin Güntzer des sattlers und burgers allhier als Co-proprietarÿ hievor verpfändter behaußung (quittung), den 13. 8.bris 1744

Tobie Stephan hypothèque la maison au profit des deux enfants mineurs du tailleur Jean Huffenbach

1704 (5.9.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 433
Tobias Stephan sattler
in gegensein Joh: Schmids schneiders alß vogts weÿl. Joh: Hufenbachs auch schneiders 2 KK. – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier gegen dem kornmarckt einseit neben dem würthshauß zuem Salmen anders. ist ein eck ahm Salmengäßlein hinten auf besagtes Hauß stoßend gelegen
[in margine :] Johann Peter Zopffen der Stattdreher alß nunmahliger Vogt hierinn bemelter Vffenbachischer 2. Kinder mit beÿstand Theodosÿ Reißners Schneiders ged. Kind. Stieffvatters (…) quittung den 14. Octobris 1706

Tobie Stephan hypothèque la maison au profit du libraire Jean Pastorius

1706 (13.11.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 819-v
Tobias Stephan sattler
in gegensein H. Joh. Pastorius buchführers – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, seine behaußung cum appert: allhier ahm Kornmarckt, einseit neben dem Salmen anderseit neben Froment gelegen

Tobie Stephan hypothèque la maison au profit des enfants mineurs Reichelt

1715 (6.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 358-v
Tobias Stephan sattler
in gegensein S.T. H. Philipp Caspar Leitersperger XV.ers als vogts Reicheldischer KK zweÿter ehe – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, seine behausung c. appert: gegen dem Kornmarckt über, einseit ist ein eck ahm salmengässlein anderseit neben dem würthshauß zum Salmen hinten auf den Salmen – davon gibt man 2 fl. ane bodenzinß

Tobie Stephan meurt en 1721 en délaissant pour héritier testamentaire son cousin Jean Frédéric Stephan, au service de la duchesse de Birckenfeld. Les experts estiment la maison à 1 600 livres. La masse propre à la veuve est de 697 livres, celle de l’héritier de 657 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 415 livres et le passif à 1 924 livres.

1721 (9. 10.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 52) n° 1689
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab und Nahrung, Liegender und Fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrengeachte Meister Tobias Stephan, geweßener Sattler und burger alhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem am 8.ten 9.bris dieses Zuend lauffenden 1721.sten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren H. Gottfried Glocken, Vöchhändlers und Hn Johann Fischer Gastgebers uff der Herrenstub, beeder Burgere alhier als durch hernach inserirt Testament bestellte Anwalden Johann Friderich Stephan, so dermahlen in diensten beÿ Ihro hochfürstl. Fr. durchleücht Hertzogin von Bürckenfeld, des Verstorbenen seel. Vetter und per Testamentum instituirten eintzigen Erbens in deßen Nahmen ferner, weilen Er ohnverburgert beÿ E: E: Kleinen Rath unterthänig erbetten und gnädig deputirt worden, S. T. Herr Daniel Von Friedolsheim Wohlgedachten E: E: Kl. raths wohlmeritirter beÿsitzer, so beneben beeden H. Anwalden dem Geschäfft in person abgewartet, fleißig inventirt und ersucht, durch Fr. Mariam Magdalenam gebohrne Brechtin: die hinterbliebene Wittib, mit hülff und beÿstand S. T. H. Johann Thomä Römers, Pract: und burgers allhier dero geordneten Curatoris (…) So geschehen in fernerem beÿseÿn S. Tit. H. Johann Andreæ Keifflins Jur. Pract. u. E. E. Kl. Raths wohlmeritirten Assessoris auch burgers alhier, der Wittib Kinder erster Ehe ohnentledigtenen Vogts, in der Königl. Statt Straßburg auff Dienstag den 9 Decembris Anno 1721.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli Reciproci – Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Kornmarck gelegenen in dieße verlaßenschafft gehörigen deßwegen hernach fol: (-) beschriebenen behaußung folgendermasen befunden als
Schrein: und Hötzenwercks. In der Wohnstub, Vor dießem Gemach, Cammer A, Cammer B, Auff der obern Bühn, Im Keller, Im Laden
(f° 13) Eigenthum ane einer Behaußung. Ein Vorder und Hinterhauß mit Ihren hoffstätten und allen andern Ihren Gebäuen weithen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg gegen dem Kornmarck einseit ist ein Eck am Salmengäßel, anderseit neben der Gastherberg Zum Salmen, hinten auch darauff stoßend und ist solche behaußung Tit. H. Johann Friderich Rebhan, wohlverordneten Substituto Contractuum alhier, auff Martini verfallend, umb 330. lb. 2 ½. d. It. S. T. H. Johann Strehlin jun: E: E: grosen raths jetzmaliger Bÿsitzer curatorio nomine H Johann Melchior Haußers von Zimmershaußen, Lieutenent von der Land Milice auff Michaeli um 200. lb. So dann H Johann Heinrich Seÿlern, dem geschwornen Rathsbotten alhier, auff den 4. 9.bris um 100. lb verhafftet und gibt man Jährlich auff der Statt Straßb. Pfenningthurn 1. lb d vom Wetterdächel, thut Zu doppeltem Capital gerechnet 40. lb, sonsten sofern freÿ ledig und eigen, Zumahlen durch der Stat Straßburg geschworne Werckkeüthe vermög dero schrifftlichen Abschatzung vom 26. 9.bris 1721. æstimirt und angeschlagen worden pro 1600. lb. Davon abgezogen obige onera der 670. lb 2 ½ d restirt annoch in außwurff Zu bringen 929. Darüber vorhanden ein pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cantzleÿ Contractstuben gefertiget und mit dero anhangendem Innsiegel verwahrt, de dato 15.ten Maÿ 1702. mi Lit. A signirt.
(f° 15) Ergäntzung der Erben abgangener unveränderter Nahrung. Innhalt Inventarÿ illatorum durch mich mehrbemelten Notm. unterm 4. 7.bris A° 1700. gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußrath 94, Sa. Werckzeug 5, Sa. Leerer vaß 16 ß, Sa. Silbergeschier 15, Sa. Goldener Ringe 14, Sa. Activ Schulden 100, Sa. Ergäntzungs Rest 542, Summa summarum 772 lb – Schuld 74, Compensado verbleibt 697 lb
Des Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußrath 4, Sa. Silbergeschirr 6, Sa. Ergäntzung 356, Summa summarum 367 lb – Schuld 100, In Compensatione 657 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußrath 70, Sa. Leder und Gemachte Arbeit 356, Sa. Pferd 30, Sa. Leere Vaß 12, Sa. Silbergeschir 8, Sa. Goldene Ring 6, Sa. Eigenthum ane I. behaußung 929, Summa summarum 1415 lb – Schulden 1924 lb, In Compensatione 509 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 319 lb
Abschatzung d. 26.ten 9.bris anô 1721. Weÿland deß Ehren hafften vnd bescheÿten HN Tobias Steffan Sattler, ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ dem Kornmarckh über, Ein Eckh hauß an dem Sallmen Geßell Ein Seÿth Neben H: Joh Jacob Stempffell, wirt Zu dem Salmen, Ander seÿth, Neben: vnd hinden, Auff vorgedachten Sallmen stossendt, welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammern, Küchen, hauß Ehren, darin Ein Härt Ein Sattler werckh statt, vnd hauß Ehren, darin Ein Härt und brunnen, Gewölbden Kellern hinder gebeÿ, Stall Mit Einem alten tachstull, Mit Zweÿ Stuben Kammern Stallung Gewölbter Keller, sampt Aller Ihrer gerechtigkeiten wie solches durch der Statt Straßburg geschwohren werckh Leüthen in der besichtigung befunden, vnd dem jetzigen preÿß Nach, Angeschlen Wirt, Vor, und umb Treÿ taussent Zweÿ Hundert Gulten Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschwohren Werckh Leüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Tobie Stephan meurt à l’âge de 47 ans et deux mois le 8 novembre 1721. Les témoins sont son beau-fils Jean Philippe Heusch et son gendre par alliance Philippe François Kast
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg 1716-1783 f° 40)
1721. Sambst. d. 8. Novembr. Vor mittag um halb 8. uhr starb Tobias Steffan der Sattler v burger alhier und wurde Sont. d. 9. Ejusd. auff dem Gottesacker St. Galli (allwo ich unterschriebener Pfarrer Ihme auch die Leichen Predigt gehalten) christichem Gebrauch nach begraben seines alters 47. Jahr 2. Monate (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als sohn, Philipp franß Kast als dochter Mann (i 43)

Marie Madeleine Brecht meurt en 1733 en délaissant deux enfants. Elle a légué la maison à son fils Jean Philippe Heusch. Les experts estiment la maison à 800 livres (soit moitié moins qu’à l’inventaire précédent). L’actif de la succession s’élève à 97 livres, le passif à 308 livres.

1733 (23.2.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 7) n° 258 (1635)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Schulden und gegenschuld., überall nichts davon außgenommen, so weÿl. die tugendsahme frau Maria Magdalena Stephanin gebohrne Brechtin weÿl. H. Tobiæ Stephans gewesenen Sattlers und burgers hieselbst verlaßene Wittib nunmehro seel. nach ihrem den 9.t Jan: h. a. aus dießer Zeit undt Welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen Verl., welche Nahrungs Verl. dato Zu End stehend auf freund. Ansuchen, Erfordern und Begehren der hinterl. Erben hernachbenamßten nachdeme der Erben einer H. Johann Philipp Heusch der Sattler und burger alh. wie auch deßen Ehefrau Maria Cleophe Gebohrne Marheinickin ein solches alles (…) geeigt gezeigt und gewießen (…) Actum Straßburg de, 23. Februarÿ 1733.
Die Verstorbene seel. hat ab intestato und per Testamentum Zu ihren Erben Verlaßen 1. Weÿl. Fr Mariä Magdalenä gebohrner Heuschin mit H. Philipp Frantz Kasten, bedienten im Kauffhauß und burgern alhier erzeügt, nach tod verl. 4. kinderen nahmentlichen Philipp Frantz, den leedigen sattler, Johann Daniel, Maria Magdalenam und Margar. Salome welche bevögtiget mit hernach gemeltem ihrer Mutter seel. Bruder und Miterben, dannenhero weil solcher selbsten im geschäfft interessirt ihnen zu einem geschwornen theil Vogt nominirt worden H Johann Michel Schneidern burg. und leinenweber alhier, so auch benebens dießer 4 Kinder vatter vorher benambst, dießen geschäfft beÿgewohnt, vnd dann 2. H. Johann Philipp Heuschen burger und Sattlen alhier so selbsten Zugegen, Beide der verstorbenen seel. in erster Ehe mit längst weÿl. H Johann Daniel Heuschen auch gewesenen Sattler alhier ehel. erzeugter resp° Sohn und nunmehro verstorb. dochter Kindern zu 2. gleich. Stammtheilen Verl. Erben.
Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhier Zu Straßb. ane dem Kornmarckt gelegenen und hiehero gehörig. behausung befund. hat
Eigenthumb ane einer Behaußung. I. Vorder vndt hinterhauß mit Ihren hoffstätten undt allen andern dero gebäwen, weithen, rechten Zugehörden undt Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg gegen dem Kornmarck 1.s. ist ein Eckh am Salmengäßlein, 2.s. neben der gastherberg Zum Salmen, hinten auch auff solche Herberg stoßend, davon gibt man Jährlich 1. lb d vom Wetterdächel auf der Statt Straßb. Pfenningthurn, tht. Zu doppeltem Capital gerechnet 40. lb, It. S.T. H. Joh: Friedrich Rebhans, geweß. Substituti contractuum alhier nachgel. Erben ist solche ane Capit. auf Martini verzinß. verhafftet vmb 330. lb. 2 ½. d. It. H. Stoßberger alß Schaffner H. Lieut. Haußers solle mann Jährl. 8 lb. d. Zinß ablöß. in Capit. mit 200. lb. It. H Joh: Philipp Heuschen des Sohns ehelicher haußfr. ist diese behauß. verhafftet vor vnd vmb 100 lb, d Capital, so vorhin H. Heinrich Seÿlern, der Rathßbott alhier, darauf zu erfordern hatte, aber vermögscheins vom 29. Januarÿ 1724 auß allhießiger Cantzl. Contr. Stuben auß ihr fraw Heuschin mittlen demeselben abgestoßen word. It: 12 lb d Zinß gibt mann Jährl. denen Reinboldischen Kindern, so biß dato Georg Abraham Endling der Paßmentirer Empfang. ablößig in capital mit 300 lb. Sonsten aber freÿ ledig vndt eigen, vndt vermög scheins von denen geschwohrnen Herren Werckleüth alhier vom 5.ten Martÿ h. a. æstimirt und angeschlag. vor vndt vmb 800. lb.
Übertreffen also die auf dem hauß hafftenden Capitalien und bodenzinß dero Anschlag derer Hh. Werckmeistere umb 170. lb, so hernach alß ein passivum eingetragen Zufinden. Darüber vorhand. ein Pergament. Kauffbrieff in allhieß. Cantz. contr: Stuben gefertiget, mit dero anhang. Innsiegel verwahrt, de dato 15. Maÿ 1702. mit altem Lit. A signirt.
Series rubricarum, Sa. haußraths 65, Sa. Vaß und bütten 4, Sa. Silbergesch: und Geschmeids 7, Sa. der Goldenen Ring 1, Sa. Eigenth. ane I. behaußung nihi, Sa. Activorum 19, Summa summarum 97 lb – Summa passivorum 308 lb, Übertreffen also die passiva die activ Nahrung dem Stalltax nach umb 211 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 319 lb
Copia Testamenti – 1724. (…) auf dienstag d. 7. Martÿ die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena Stephanin gebohrne Brechtin weÿl. Mstr tobiä Stephans, geweß. Sattlers und burg. alh. Zu Straßb. nachgel. Wb. weÿl. H Daniel Rohren gewesenen geschwornen Notarium alhier Zu sich in ihrer eigenth. ane dem Kornmarck gelegene behauß. beruffen laßen und ihme, als er vor ihro in der vorderen mittlern mit denen fenstern auf die Gaß aussehend wohnstuben abends zwischen 6 u. 7. uhren erschienen und dieselbe Zwar etwas kranckh und schwach. leibes dahero zu bett liegend (…) vors andere will die testirerin ihrem Sohn Johann Philipp Heuschen deroselben eigenthümlich gehörige ane dem Kornmarckt, neben der Gastherberg Zum Salmen gelegenen behausung cum appertinentÿs vor und umb 3000 gulden à 15 batzen gerechnet (…) Zu übernehmen prælegats weiße anverschafft haben (…) Expedirt den 20. Januarÿ 1733. Johann Philipp Liechtenberger
Abschatzung d. 5. Marty 1733. Auf begehren Weÿ. der Viel Ehren Tugendsahmen fraw Mariæ Magdalenæ Steffin seel. hinter laßene Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg gegen dem Korn Marck über gelegen, einseits ein Eckh gegen dem Sallmen gäßlein, anderseits wie auch hindten auf des Wirts hauß Zum Salmen stoßendt, welche behausung, Nebens gebäw so schlecht, Stuben Cammer, Soldaten Cammer, Kuchen, hauß Ehren, mit herdt und Waßerstein, bronnen, laden, stall und Zweÿ gewölbte Keller, sambt aller gerechtig Keit, Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach, angeschlagen Wirt, Vor und Um Ein Taüsent und Sechß Hundert Gulten, bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworenne Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauerhoffs

Marie Madeleine Brecht meurt le 9 janvier 1733 à l’âge de 74 ans,
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg 1716-1783 f° 107-v, n° IV)
1733 Freit. d. 9. Januarÿ Vormittag ein Viertel nach 8 Uhr starb fr. Maria Magdalena Stephanin geb. Brechtin weÿl. Tobias Stephan, gewesenen Sattlers v. burgers alhie hinterlassene Wittib v. wurde Sonnt. d. 11. Ejusd. auff dem Gottes: Acker St. Galli (daselbst ich unterschriebener Pfarrer Ihro auch die Leichen Predigt gehalten) Christichem Gebrauch nach begraben seines alters 74. Jahr und 27 Tage (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als sohn, Philipp franß Kast als dochter Mann (i 112)

Marie Cléophée Marheinickin meurt en 1733 en délaissant trois enfants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire dressé quelques mois plus tôt. La masse propre au veuf est de 405 livres, celle propre aux héritiers de 744 livres. L’actif de la communauté s’élève à 299 livres, le passif à 426 livres.

1733 (20.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 15) n° 271
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, nahrung und Güeteren, Schulden und Gegenschulden, nichts aus genommen, so weÿl. die Ehren und tugendsahme frau Maria Cleophe Heuschin gebohrne Marheinickin, des Ehrengeachten Herrn Johann Philipp Heuschen, Sattlers und Burgers alhie Zu Straßb. gewesene eheliche haußfrau nunmehro seel. nach ihrem den 1.ten Aprilis dießes lauffend. Jahres aus dießer zeith und welt genommenen tödl. hintritt, hie Zeitl. Verlaßen, welche Verlaßenschafft dato Zu End stehend. auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehrsamen und bescheidenen H. Johann Friderich Fruthen des Metzgers und Burgers hieselbst als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel, Gottfried und Mariä Barbarä der Heuschen, als der Verstorbenen seel. mit dem hinterbliebenen wittiber ehelich erzeugte annoch im Leben sich befindliche Kindern und ab intestato Erben, ersucht (…) Actum Straßburg Donnerstags den 20.ten Augusti A° 1733.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Kornmarck gelegenen dem Wittiber als ohnverändert gehörigen hiehero gehörigen behaußung hat sich befunden
Eigenthumb ane Einer Behaußung. (W.) Ein Vorder vndt hinterhauß mit ihren hoffstett. und all. anderen dero gebäuen, weithen, rechten Zugehördt. und gerechtigkeiten geleg. alh. Zu Straßburg gegen dem Kornmarckt, eins. ists ein Eck am Salmengäßlein, anders. neben der Gastherberg Zum Salmen, hinten auf solche herberg stoßend. Davon gibt man jährlich 1. lb d Vom Wetterdächel auf der Statt Straßb. Pfenningth., thut Zu doppeltem Capital gerechnet 40. lb. Item H. Johann Friedrich Rebhaans, gewes. Substituti In der hiesigen Cancelleÿ Contract Stub nachgel. Erben modo H. Kolben uxorio nomine, ist diselbe ane Capital verhafftet, so jährlich auf Martini verzinßlich vmb 330. lb. 2 ½. d. Item H. Stoßberger alß Schaffner Herrn Lieutenant Hannßers soll mann Jährl. 8 lb. d. Zinß ablößig in Capit. mit 200. lb. Item 12. lb d Zinnß gibt man jährlich denen Reinboldischen Kindern, so bis dato Georg Abraham Endling der Paßmentierer eingenommen, wiederlößig in hauptguth mit 300 lb. Sonsten aber freÿ, leedig vndt eigen und Vermög scheins von denen geschwornen H. werckmeistern Vom 5.t Martÿ 1733 als des nunmahligen wittibers Mutter weÿl. Frauen Mar: Magd: Stephanin, geb. Brechtin, auch weÿl. H Tobiæ Stephans gewes. Sattlers und burg. alh. nahchgel. Wb. Verlaßenschafft inventirt worden, æstim. und angesch. Vor und umb 800 lb. Übertreffen also die auf dem hauß hafftende Cap. und Zinß den Anschlag deren Hh. Werckmeistere umb 70 lb 2 ½ d. So hernach Von des Wittibers activ Nahrung fol. (-) abgezog. Zubefind. Darüber ist Vorhanden i. Perg. Kauffbr. in alh. C. C. gef. u. mit deß. anhang. Insieg. verw. ded: 15° Maÿ 1722. mit alt. Lit. A. sign.
Waaren und Werckzeug Zum Sattler handwerck gehörig
Ergäntzung des wittibes währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög einer von mir Notario über des nunmahligen wittibers inn der verst. seelb einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung vnterm 18.ten 8.bris 1723. auffgerichtete Inventarÿ
Series rubricarum. Copia der Eheberedung, vide beÿlaag. Copia Codicilli Reciproci, vide mein des notarÿ Extens: prot: N° 2
drs hinterbliebenen Wittibers ohnveränderten Vermögen, Sa. haußraths 27, Faß und bütten 2, Silbergesch. und geschmeid 6, Goldenen Rings 1, Eigenthum an Ir behaußung (-), Ergäntzung (-), Summa summarum 47 lb – Summa Passivorum 452, In Compensatione 405 lb
dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 44, Silbergesch. und geschmeid 6, Goldener Ring 4, Eigenthumbs ane einem Gültguth 13, Pfenningzinß hauptguths 200, Activa 87, Rest der Ergäntzung 382, Summa summarum 744 lb
Endlichen wird auch die theilbare Verlaßenß. consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 30, Faß und Bütten 7 ß, Waaren und Werckzeug zum Sattler handw. gehörig 168, Pferdt 10, Silbergeschmeids 2, Goldenen ring 1, Baarschafft 60, Activorum 26, Summarum 299 – Sa. passivor. 486, übertreffen alßo die passiva die theilb. activ Nahrung dem Stalltax nach umb 186 lb
Verstallungs Summ 152 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 14. Julÿ 1723. Daniel Rohr.

Le compagnon sellier Jean Philippe Heusch demande le 5 février 1723 de faire son chef d’œuvre qu’il présente le 11 mars. Les examinateurs lui demandent de le parfaire mais des défauts subsistent le 19 avril. Le candidat est reçu maître, en payant une amende.
1723, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 249-v) Freÿtag den 5.ten Februarÿ Anno 1723
Johann Philipp Heusch der ledige Sattler Gesell weÿland Daniel Heÿschen geweßenern Sattler und burgers allhier hinterlassener Sohn stehet vor, begehrt das Meisterstück auffzunehmen. Erkand, nach der Ordnung willfahrt. Sollen Ihme Hanß Jacob Schuhrers, Jacob Schellen und Josiä Christoph Kießels Werckstätte offen stehen. (dt. 11. ß.)

(f° 250-v) Donnerstag den 11. Martÿ 1723 hat in gegenwarth T. herrn XV. Richßhoffers als Obmanns, der vier Schau und handwercks meistere Johann Philipp Heusch Sein Meisterstück zu beschauen vorgestelt und umb die besichtigung gebetten.
Die vier Schaumeister referirten, Den Reuth sattel belangend, seÿe derselbe in der maaßen ungleich, der Äffter zu hoch und nach proportion zu kurtz, die schnautz vornen nicht recht außgebutzt, auch miteinander unsauber gefügt und zu plump, den großen Sattel betreffend ist solcher an etlichen Orten unsauber gefüegt, die krum Flügel zu dick und zu grad, einer wäre länger und weiter für sich als der andere der Äffter zu krumb und die Ortstück stünden ungleich. Erkandt werden die beÿ den bäum über solche fehler dannoch passirt, soll es aber im Außmachen verbeßern. (dt. 11. ß.)

(f° 252) Montag den 19. Aprilis 1723 hat Johann Philipp Heusch der leedige Sattler in gegenwarth hochverordneten herrn Obmanns sein völlig außgemachtes Meisterstuck vorgewießen und umb deßen besichtigung gebetten.
die vier Schaumeister referirten, nemlichen
(1) den reuthsattel belangend, so ist das genäh davon sehr unfleißig gemacht, der Sattel hinten zu schmahl, die hinterbeusch zu hart, die beeden beusch an sich selbsten ungleich, die schnühr darumb ungleich auffgesetzt, inwendig das Rinddecken unsauber und allzu geringe Strupffen daran auch die Grampen zu nahe beÿsammen, (2) die hulffter Kappen wären gleicher Weiß unsauber genähet, die Kappen ungeformbt indem die untersten blätter zu kurtz deßgleichen wid* eingestrengt, (3) den Fuhrsattel betreffend, wird derselbe an etlichen Orten faltecht befunden, die hinderbeüsch haben bückel, die deck ist unfleißig eingestrengt und die Rind deck unsauber. (5) das Reuthzeug auch unsauber genähet. Endl. (6) das Kummet berührend seÿe daßselbe unten zu dick und zu hart ausgefült nach hierüber gehaltener umbfrag ward Erkand, soll vor die daran befundene fehler 2. lb. d. Straff erlegen übrigens könne es vor passierlich angenommen werden. (dt. 18. ß. Pfleggelt, 4. ß. Scrib. 1. ß. büt.)

Jean Philippe Heusch épouse en 1723 Marie Cléophée Marheinigen, fille du chirurgien Ulric Marheinigen : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Philipp Heuschen, Leedigem Sattler, weÿl. des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Daniel Heuschen auch geweßenen Sattler und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen: mit der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Maria Magdalena gebohrner Brechtin ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Brauthigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Mariä Cleophe gebohrner Marheinigin, weÿland des Wohl Ehrenvesten Großachtbahr: und Kunsterfahrenen herrn Ulrich Marheinigen geweßenen berühmten Chirurgi und Vornehmen Burgers Zu ermeltem Straßburg mit auch weÿland der Hoch Ehren und Tugendbegabten frauen Maria Ursula gebohrne Metzgerin ehelich erzeugten tochter als der Jungfrau hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 14. Julÿ styli novi in dem Jahr als man nach vnßers Erlößers und Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1723. unterzeichnet Johann Philipp Heisch als hochzeittern Maria Cleöphe Marheinickin als hochzeitterin, Daniel Rohr.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 63-v n° XIX)
1723. Dominica XIV et XV. Trinit. proclamati sunt Johann Philipp Heusch der ledige Sattler v. burger alhie Weÿl. Johann Daniel Heusch geweß. Sattlers v. burg. alhier nachgelaß. ehl. Sohn und Jgfr. Maria Cleophe weÿl. H Ulrich Marheinicken geweß. Chyrurgi v. burg. alhie nachgelaß. Ehl. Tochter. Copulati sunt Mittw d. 9. Decembr. (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als hochzeiter, Johanna Margaretha Klauholdin hochzeiterin (i 125)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (non conservé)
1723, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 47
Inventarium über H. Johann Philipp Heüschen des Sattlers zu frauen Maria Cleophe geb. Marheinicken in die Ehe gebrachte Nahrung
Inventarium über frauen Maria Cleophe geb. Marheinicken zu H. Johann Philipp Heuschen dem Sattler in die Ehe gebrachte Nahrung

Ils se lèguent mutuellement leurs biens
1726 (26.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 100
Codicillus Reciprocus – persönlich kommen und erschienen seind der ehrsahme und bescheidene H. Joh. Philipp Heusch der Sattler, so dann die Ehren und tugendsahme Fr. Maria Cleophe gebohrne Marheinickin beede Eheleuthe vnd burgere alhier gehend v. stehender leiber (…)
Straßb. Montagß den 26.ten Augusti A° 1726. abend zwisch. sechß vnd sieben (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch, Maria Cleophe heischin

Jean Philippe Heusch se remarie en 1733 avec Jeanne Marguerite Klauhold, fille du pasteur de Vendenheim André Klauhold : contrat de mariage, célébration
1733 (19. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 288
Eheberedung – Zwischen dem ehrengeacht. vndt bescheidenen H. Joh: Philipp Heuschen dem Sattler burger vnd wittiber alhier,
so dan der ehr: vnd tugendbegabten Jfr. Johanna Margaretha Klawholdin, weÿl. deß Ehrwürdig vndt wohlgelehrten Herrn M. Andreæ Klawholdß geweßenen treweÿfferig. Pfarrers Zue Vendenheim vnd burg: alhier ehelich erzeugter hinterl. dochter alß hochzeitherin andern theilß
Actum Straßb. d. 19. Novembris 1733. (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als Hochzeiter, Johanna Margaretha Klauholdin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 120-v n° XXVI)
1733. Dominica I. et II Advent. Christi Proclamati sunt Herr Johann Phillipp Heusch der Sattler v. burger allhie v. Jfr. Johanna Margaretha weÿl. H M Andreas Klauhold geweßenen Wohlverdienten Pfarrers Zu Vendenheim v. burgers alhie nachgelaßene ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw d. 9. Decembr. (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als hochzeiter, Johanna Margaretha Klauholdin hochzeiterin (i 125)

Jean Philippe Heusch et Jeanne Marguerite Klauhold font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que le mari a héritée de sa mère.

1733 (30.12.), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 280-a
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und nahrung, Schulden und gegenschulden, überall nichts ausgenommen, so der Ehren und Vorgeachte H. Johann Philipp Heusch, der Sattler und die Ehren und tugendsahme frau Johanna Margaretha Heuschin gebohrene Klauholdin, beede Eheleuthe und burgere alhier, einander in ihren Ehestand zugebracht haben, so aus ursachen bede Eheleuthe inn ihrer Vor mir Not° auffgerichteten Ehepactis, ein ohnverändert Guth, auch die Ergäntzung dero, währender Ehe davon abgehender Posten, sich reservirt (…) Actum Straßburg in præsentia H Johann Heinrich Heitzen, des Buchdruckers und burgers alhier, des Ehefrauen Beÿstands, Mittwochs den 30.ten Decembris Ano 1733.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Kornmarckt gelegenen hiehero gehörigen Behaußung hat sich befunden
(f° 23) Eigenthumb ane Einer Behaußung. (M.) Ein Vordern und hintern hauß, mit all andern dero Gebäuen, begriff. weithen, recht. Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Straßb. geg. dem Kornmarckt, 1.s ists ein Eck am Sallmengäßlein, 2.s. neben der gast heerberg Zum Salmen hinten auf solche heerberg stoßend. davon gibt man jährlich 1. lb Vom Wetterdächel, auf der Statt Straßb. Pfenningth. thut Zu doppeltem Capital gerechnet, 40. lb. It. H. Joh: Frid. Rebhaans, geweß. Substituti Cancellariæ contractuum nachgelaßenen Erben modo H. Kolben dem handelsmann uxorio nomine, ist diselbe ane Capital verhafftet, so jährlich auf Martini verzinßlich vmb 330. lb. 2 ½. d. Item H. Stoßberger alß Schaffner H. Lieutenant Hannßers solle mann Jährl. 8 lb. d. Zinß ablößig in Capit. mit 200. lb. Item 12. lb d Zinnß gibt man jährlich denen Reinboldischen Kindern, so bis dato Georg Abraham Endling der paßmentierer eingenommen, wiederlößig in hauptgut mit 300 lb. Sonsten aber freÿ, leedig vndt eigen. Darüber Vorhanden ein pergamentener Kauffbrieff in alh. C. C. stub gef. und mit dero anhang. Insiegel verwahrt de dato 15. Maÿ 1722. mit altem Lit. A. signirt. Dieße behaußung und Zugehördt ist hier in Keinen anschlag gebracht, sondern beliebet word. wann dieselbe wied: verhoff Stante matrimonio alieniret würde der darauf erlöste werth Künfftig. fall wieder ergäntzt werden solle.
(f° 24) Des Ehemanns Kinderen erster Ehe Pfetter vnd göttel geld. Joh: Daniel gehörig – Joh: Gottfrid – Mariæ Barbaræ gehörig

Jean Philippe Heusch meurt en novembre 1734 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un posthume de la veuve. La maison est estimée au même prix qu’à l’inventaire précédent, soit 800 livres, parce qu’on n’y a fait aucune amélioration. La masse propre à la veuve est de 263 livres, celle propre aux héritiers de 215 livres. L’actif de la communauté s’élève à 631 livres, le passif à 958 livres

1734 (14.12.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 38) n° 322 (1899)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen liegend. und fahrender Haab und Nahrung, Schulden und Gegenschulden, verändert und unverändert, überall nichts davon außgenommen, so weÿl. der Ehrengeachte und bescheidene Herr Johann Philipp Heusch gewesener Sattler und burger alhier Zu Straßburg nunmehro seel. nach seinem den 5. 9.bris jüngst aus dießer Zeit und welt genommenem töd. hintritt verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu end stehend auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen seel. hinterlaßener Frau Wittib und Erben geschw. vögte hernachbenambßt ersucht und inventirt, durch fraw Johannam Margaretham Heuschin gebohrene Klauholdin die hinterbl. Wb. beÿständlich herrn Johann Cladi Wilhelms, des Sattlers und burgers alhier ihres geschwornen Vogts angegeben, geeigt und gezeigt (…) Actum Straßburg dienstags den 14. Decembris 1734.
Der verstorbene seel. hat ab intestato Zu seinen Erben verlaßen 1. Johann Daniel Heuschen und 2. Gottfried Heuschen, beede des verstorbenen, seel. mit Fr. Maria Cleophe gebohrner Marheinickin seiner ersten Ehefrauen seel. ehel. erzeugte Söhnlein in dero Nahmen H. Johann Friderich Fruth, der Metzger und burger alher ihr geschwornee Vogt hiebeÿ Zugeg.
3. ist die Frau Wittib gesegneten Leibes, dahero inn des posthumi Nahmen præsens war H Johann Heinrich Hoch der buchdrucker und burger alhier sein geschworner Vogt. Alle dreÿ /:wofern die frau wittib die Geburt glücklich und lebendig an dieße welt gebähren wird:/ des verstorbenen seel. Zu 3. gleihcen antheilen verlaßene Erben

In einer alhier Zu Straßburg am Kornmarck gelegenen hiehero gehörigen behaußung hat sich befunden
Höltzen und Schreinw. Auf der obern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer, Im untern stüblein, Im mittlern haußöhren, In der Wohnstub
Eigenthumb ane Einer Behauß. (E.) Ein Vorder vndt hinter hauß m. all. dero begriffen, weiten, Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg gegen dem Kornmarck über, einseit ist ein Eck am sallmengäßlein, anders. neben der Gastherberg Zum Salmen, Vornen auf die Straß am Kornmarckt, und hinten auf gedachte Gast Herberg stoßend. Davon gehen jährl. 1. lb d jahrs auf Johannis Baptistæ hießiger Statt Pfenningthurn Von einem Wetterdächlein, thut Zu doppeltem Capital gerechnet, antreffend 40. lb. Item 13. lb 4 ß ad 4. pro Ct° Gerechneten Zinß jahrl. auf Martini H. Johann Philipp Kolben dem handelsmann und burger alhier uxorio nomine, so in Capital abzulößen mit 330. lb. 2 ½. d. Item 8 lb. d. Zinß ad 4. pro C° gerechneten Zinß Lieutenant Haußers zu oberehenheim Jährl. in Capital mit 200. lb, Item 12. lb d Zinß ad 4. pro C° gerechnet H Georg Abraham Endling Paßmentirer und burger alhier als Vogt der Reinboldischen Kindern, so abzulößen in Cap. mit 300 lb. Sonsten aber leedig vndt eig. und beÿ Inventation weÿl. Frauen Mariä Magdalena Stephanin gebohrne Brechtin auch weÿl. H Tobiä Stephans, gewesenen Sattlers und burg. alhie nachgelaßener Wittib, des abgeleibten Mutter seel. Verlaßenschafft, Von den Geschwornen herren Werckmeistern hiesiger Statt laut ihres damahlen darüber ausgestellten scheins dedato 5.ten Martÿ 1733. æstimirt und angeschlagen dabeÿ es anjetzo auch weilen in dißer Zeit man im gerinsgten nichts hauptsächliches darinn meliorirt hat gelaßen word. umb 800 lb. d. Übertreffen also vorstehende auf dem hauß stehenden Capital und bodenzinß den Anschlag deren Hh Werckmeistere vmb 70 lb 2 ½ d. So hernach fol: (-) in des Verstorbenen, seel. ohnverändert passivis Zufinden seind. Darüber Vorhand. einen pergamentenen teutschen Kauffbrieff in alhießiger Cantzleÿ Contr. stub verfertiget und mit dero anhangend. größern Insiegel verwahrt de dato 15. Maÿ 1722. mit alt. Litera A. signirt
Ergäntzung der Frawen Wb. wehrender Ehe abgegang. ohnv. guthß. Laut Inventarÿ über ihres und ihres Verstorbenen Ehemanns seel. Einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich unterzogenen Not. sub dato 30. decemb. 1733. auffgerichtet
Series rubricarum. Wittibers ohnverändert, Sa. haußraths 56, Leerer Faß 12 ß, Rind vieh 4, Silber geschirr und Geschmeid 18, Goldener Ring 13, Baarschafft 17, Schulden in die Verlaßenschafft Zugeltend 114, Ergäntzung 37, Summa summarum 263 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 139, Leerer Faß und bütten 2, Pferd 10, Kutschen und darzu gehöriges geschirr 121, Silber geschirr und Geschmeid 20, Guldene Ring 2, Baarschafft 1, Eigenthum an Ir behaußung (-), Pfenning 200, Gülth von Eigenth. liegend güthern 4, Schulden 32, Ergäntzung 645, Summa summarum 1179 – Summa Passivorum 963, verbleibt 215 lb
Theilbahre Verlaßenschafft Sa. haußraths 11, Weins 6, Heu 10, waaren und Werckzeug 98, Baarschafft 395, Activorum 110, Summarum 631 – Summa passivorum 958, die passiv schulden die theilbare activ Nahrung dem Stalltax nach übertreffen umb 327 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 672
Copia der Eheberedung (…) Johannes Brackenhoffer

Catherine Marguerite Heusch, fille posthume de Jean Philippe Heusch, meurt le premier juillet 1735 à l’âge de vingt semaines. Il s’ensuit que sa mère Jeanne Marguerite Klauhold hérite de sa part d’héritage, soit le tiers de la maison.

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1716-1783 f° 120)
1735. Freÿt. d. 1. Julÿ vormittag zwischen 11 & 12 uhr starb alhier Catharina Margaretha Heuschin, weÿl. Johann Phillipp Heusch geweßenen Sattlers v. burgers alhier v. fr. Johanna Margaretha geb. Klauholdin beeder Eheleuthe erzeugtes töchterlein v. wurde Sambst. d. 2. Ejuds. auf dem Gottes Acker St. Galli (daselbst ich unterschriebener Pfarrer Ihme auch parentiret) christlichem gebrauch nach begraben, seines Alters 20 wochen wenniger 1 tag. Testes Augustin gintzer als stieff vatter, Claudius Wilhelm als pfetter (i 124)

Jeanne Marguerite Klauhold se remarie en 1735 avec le sellier Augustin Güntzer : contrat de mariage, célébration

1735 (1.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 362
Eheberedung – Zwischen dem ehrsahmen vndt bescheidenen H. Augustin Gintzer dem Sattler, burger vndt wittiber alhie alß hochzeithern ane einem
so dann der Ehr: vndt tugendbegabten frawen Johanna Margaretha Heuschin gebohrner Klauholdin, weÿl. deß ehrsahmen H. Joh: Philipp Heuschen geweßenen Sattlers vndt burgers alhier hinterbliebenen Wb. alß hochzeitherin andern theilß
Actum Straßb. d. 1. Junÿ 1735. (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, Johanna Margaretha heuschin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 133 n° 497)
1735. Mittw. d. 29. Jun. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt und eingesegnet worden, Augustin Güntzer der sattler, Wittwer v. b. alhier, v. frau Johanna Margaretha, weÿl. Johann Philipp Heuschen geweßenen b. v. Sattlers Nachgel. Wittib (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, Johanna Margartha heischin als hochzeiterin (i 137)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont l’épouse a la jouissance viagère. Le récapitulatif de l’inventaire est incomplet.

1735 (15.7.bris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 39) n° 365
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen liegend und fahrender Haab und nahrung, Schulden und Gegenschulden überall nichts davon ausgenommen, so der Ehren und vorgeachte Herr Augustin Güntzer, Sattler und die Ehren und tugendsame Frau Johanna Margaretha geb. Klauholdin beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand gebracht, so aus Ursachen dieselbe in Ihren mit einander auffgerichteten Ehepactis solche zugebrachte Nahrung sich als ein unverändert reservirt (…) Actum Straßburg in præsentia H. Claudii Wilhelms, sattlers und burg. alh. des Ehefr. geschw. noch ohnentledigten Vogts & hierzu vorhien erbettenen beÿstands, Donnerstags den 15.ten 7.bris Anno 1733.

In einer alhier Zu Straßburg am Kornmarck gelegenen zum theil hiehero gehörigen behaußung hat sich befunden
Eigenthumb ane Einer Behauß. (Fr.) Eine Vorder vndt hinder behaußung mit all. dero begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßb. gegen dem Kornmarck über, 1.s. ist ein Eck am Sallmengäßlein, 2.s. neben der Gastherberg Zum Sallmen, Vornen auf die Straß am Kornmarckt, und hinten auf ged. Gastherberg stoßend. Davon gehen jährlich Erstl. 1. lb d jahrs auf Joh. Bapt. Löbl. Statt Pfenningthurn Von einem Wetterdächlein Vor dem Laden, th. Zu doppelt. Capital gerechnet 40. lb. It. 13. lb 4 ß ad 4. pro Ct° gerechnet. Zinß jahrl. auf Martini H. Johann Philipp Kolben dem handelsmann und b. alhier uxorio nomine, so in Cap. abzulößen mit 330. lb. 2 ½. d. Item 8 lb. d. Zinß ad 4. pro C° gerechneten Zinß Lieutenant Haußers zu oberehenheim Jährl. in Capital mit 200. lb, It. 12. lb d Zinß ad 4. pro C° gerechnet H Georg Abraham Endling Paßmentirer und burger alhier als Vogt der Reinboldischen Kindern, in Capital mit 300 lb. Item 10 lb 2 ß auch à 4 rpo C° gerechneten Zinß soll man H Philipp Frantz Kasten, bedienten im Kauffhauß und burg. alhier in erster Ehe erzeugten 4. annoch lebenden Kindern nahmens Philipp Frantz, Johann Daniel, Magdalenä und Margarethä Salome geschwornen Vogt Johann Rheinen fastenspeishändler und burger alhier abzulößen mit 265 lb 1 ß d, Sonsten aber freÿ, leedig vndt eig. und wird anstell (*) ohnpræjudicirlich æstimirt und angeschlagen umb 2000 lb (…) Über dieße Behaußung besagt ein teutsch pergamentenen Kauffbrieff in allhießiger C C stub verfertiget und mit dero anhangedem Insiegel verwahrt de dato 18. Maÿ 1722. mit alter Litera A. signirt
Wÿdumb, so die Ehefrau lebtägig zu genießen hat. (…) so weÿl. H Johann Philipp Heußen der geweßene Sattler und burger alhier ihren erstern Ehemann seel. Crafft der mit ihro auffgerichteten Eheberedung §° 6° zu einem lebtäg. wÿdumbs genuß in seine hinterl. behausung am Kornmarckt alhier gelegen
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 292, Sa. Leerer Faß 2, Sa. Wahren 220, Sa. Silbers 38, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Baarschafft 150, Sa. Acivorum (-), Summa summarum (-), Passiva 365 lb
Der Ehefrauen, Sa. haußraths 331, Leerer Faß und bütten 3, Sa. Wahren und werckzeugs 68, Sa. Silbers55, Sa. Guldener o 198, Sa. Baarschafft 221, Sa. Eigenthumbs ane Ir behaußung 88, Sa. Gülth von Eigenth. liegend güthern (-),Sa. Activorum 88, Summa summarum 1010 lb – Passiva

Augustin Güntzer et Jeanne Marguerite Klauhold se lèguent mutuellement leurs biens
1735 (3. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 389
Codicillus Reciprocus – persönlich kommen und erschienen seind der ehrsahme und vorgeachte H. Augustin Güntzer, Sattler, und die Ehren und tugendsame frau Johanna Margaretha Güntzerin gebohrne Klauholdin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg, Er der Ehemann aufrecht gesund gehend und stehenden, die Ehefrau aber etwas Krancken Leibes, dahero zu bette liegend, jedoch dabeÿ guter richtiger Sinnen, vernunfft und verstands
Donnerstags den dritten 9.bris A° 1735. zwischen 7 und Acht Uhren (unterzeichnet) Augustin gintzer, Johanna Margaretha gintzerin

Fils d’Augustin Güntzer, aubergiste au Cep de vigne à Dorlisheim, Augustin Güntzer fait son apprentissage chez Samuel Schall de 1714 à 1717.
1714, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 192) Montag den 14. Maÿ Anno 1714 – Lehrjung eingeschrieben
Samuel Schall stehet vor, producirt Schein von beeden Obern Handwercks herren ertheilt de dato 14. Maÿ A° 1714 crafft deßen Er Zum Lehr Jungen angenommen Augustin Güntzer, weÿl. Augustin Güntzer geweßenen burgers vnd Gastgebers Zum Reebstock in Dolißheim seel. ehelichen Sohn, Ihne das Sattler handwerckh vf dreÿ Jahr lang trewlichen Zu Lehren gibt Lehr gelt 90 Gulden und der Frawen Sechs Gulden pro discretione woran gleich jetzo die helffte und die ubrige helffte Zu end der Lehrzeit, auch von seithen des Jungen, alle beÿm auffdingen vnd ledigsprechen erfordernde Unkosten allein bezahlt werden solle, gehet die Lehr zet an auff heut dato den 14. Maÿ A° 1714. und endet sich wider ermelten tags A° 1717 Bat umb die einschreibung.
Erkandt Willfahrt, Actum in præsentia Frantz Oberlins Kieffers des Jungen Vogts vndt Herrn Johann Ernst Becken Schaffners der hohen Schuhl allhier deßelben Pföttern gab vor die Zunfft 1. lb 10 ß d

(f° 219-v) Montag den 14. Junÿ Anno 1717 – Lehrjung außgethan
Samuel Schall stehet vor meldet es seÿe seines Lehr Jungen Augustin Gintzers Lehr Zeit bereits verfloßen wäre mit Ihme in allem wohl Zufrieden, bat also Ihne der Lehr halben freÿ zu sprechen.
Erkand Willfahrt, Actum in præsentia Frantz Oberlins Kieffers vnd burgers allhier des geweßenen Jungen Vogts. (dt 8 ß vfflaggelt, 2 ß Scrib. 1 ß Bittel)

Geoffroi Jorch de Gotha en Saxe déclare qu’Augustin Güntzer doit être porté sur la liste noire. Augustin Güntzer qui a été injustement mis en cause a rattrapé Jorch à Molsheim. Les frais de procédure sont supportés pour moitié par le maître du fugitif qui n’a pas assez surveillé son compagnon et pour moitié par Augustin Güntzer qui l’a laissé s’enfuir.
(f° 251) Montag den 15.ten Martÿ 1723
Der Handwercksmeister producirt dreÿ Schreiben von Gotha in Sachßen wegen Augustin Güntzers, welcher Gottfried Jorchen Außsag nach daselbst solle an der schwartzen Taffel stehen, die aber ein gantz anderers melden und nicht Ihne sondern einen andern Verstehen, der ursachen dann gedachter Augustin Güntzer Vorstehet und clagt es wäre der handwercksmeister schuldig daran daß Gottfried Jorch sein ancläger Von hier außgetretten, wie er dann deßwegen Ihme nachgesetzet Zu Moltzheim attrapirt und gegen Wärthigen Schein so mit seiner undettlicher Metzger unterschrifften corroborirt, annoch erhalten, worinnen Jorch selbsten bekennet, daß Ihn Meister Brösamle darzu angefrischet Ihnen auff Zutreiben, wie nicht weniger als er sein ungerechte sach vor augen sehe, heißen fortgehen und darzu noch 4 thaler mit auff den weeg gegeben, fordert deßwegen seine uncösten und satisfaction an den handwercksmeister.
Ille hingegen leugnet solches alles, Vorgebende Jorchen könne mann in dießem stuck Keinen glauben beÿmeßen weilen er bekantermaßen Clägern auch durch unwahrheit hinter das liecht geführet. Nach gehaltener umbfrag wurde Erkand, es solle nicht allein obgedachter Gottfried Jorch an die schwartze Taffel geschrieben, sondern auch nach Saxen Gotha und deßen heÿmath dieß action verkunbahret werden, der handwercksmeister anbeÿ weilen er den Gesellen nicht beßer beobachtet und deßen bindel Verwahret die helffte der Handwercks Costen die übrige helffte aber Cläger weilen er bemelten Gesellen Zu Moltzheim da er Ihn angetroffen nicht habhafft gemacht sondern gehen laßen zu leiden schuldig sein, doch daß Sie Ihren regress an Jorchen wann er wider anhero Käme, suchen mögen.

Augustin Güntzer est mis à l’amende pour avoir travaillé chez des maîtres français à l’encontre du règlement
(f° 263) Sambstag den 25. Novembris A° 1724 – Augustin Güntzer der Gesell von Dorrlißheim gebürtig welcher auch wider ordnung beÿ frantzöischen Meistern gearbeitet, stund vor, und wolte sich auch mit E. E. Meisterschafft deß wegen abfinden. Erkandt, soll 7 fl. erlegen, bat umb genad, verblieb beÿ 6 fl. die er dann Zu geben versprochen (dt. 11. ß Handtwercks Costen)

Augustin Güntzer s’incrit le 21 février 1726 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente le 18 mars. Les examinateurs lui demandent de le parfaire, il reste cependant des défauts lors de la nouvelle inspection le 24 avril. Augustin Güntzer est cependant reçu maître. Il prend part pour la première fois au conseil de la maîtrise le 29 avril.
(f° 269) Mittwoch den 21. Februarÿ 1726. – Augustin Güntzer der Leedige Sattlers Gesell, weÿl. Augustin Güntzer des geweßenen Gastgebers Zu Dorrlißheim nachgelaßener ehelicher Sohn, stehet vor und begehrt beÿ E. E. Handwerck das Meisterstück auff zunehmen. Erkandt wird Ihme nach Zuvor abgeleßnener ordnung willfahrt, und bekam die wahl solches in Mstr Kuntzen, Kießels oder Zÿsichs weckstätten solches zuverfertigen.

(f° 269) Montag den 18.ten Martÿ hatt in præsentia S T. H. XV. Richßhoffers als Obmanns, Augustin Güntzer Seine meisterstück bäum besichtigen laß.
die vier Schau Meister sagten auß 1. den Reith Sattel anlangend, träffe sich derselbe in den maaßen an ettlichen Ortten etwas ungleich, in den Gestellen, wäre eines ein wenig breiter als das andere, im übigen seÿe er passirlich.
2. den Krummen fliegel betreffend ist ein Flügel etwas höher als der Andere der Äffter in den Creutzmaaßen ungleich zwischen dem Kopff und der Grundvest ist die Fueg etwas unsauber, sonsten mag er auch vor gültig acceptirt werden. Erkandt, soll die Fehler im außarbeiten verbeßern.

(f° 270) Mittwoch den 24. Aprilis ließ in beÿsein des Herren Obmanns Augustin Güntzer seine völlig außgemachtes Meisterstück besichtigen.
die vier Schau Meistere referirten 1. den Reith Sattel anlangend so seÿen die Taschen formen beÿ anderhalben Zoll Zu Kurtz, der Sitz hart außgefüllt und hinten zu schmahl auch etwas Zu eng abgenähet, die hinterbausch sehen beÿm Äffter hieneinwarts die Latzlen an den hintern Bäuschen verkehrtn außgenähet und wären die Gallaunen an besagten hinteren bäuschen anzunähen vergeßen worden, die Hulfftern solten etwas Längr, und die Kappen gleich wie der Sattel gesteppt sein, das vorderzeug wäre zu schmahl und die Hulffter Schlauffen zu nahe beÿ einander gesetzt, so solle auch der Stuckmeister ein paar stärckere Steig Riehmen verfertigen.
2. Was den Krummenflügen anlangt, wäre er vor passierlich anzunehmen.
3. das Kummet berührend, wäre es ungleich außgefüllt und habe unten viel Falten, seÿe kein ungarische Riehmen daran, und die höltzer zu strack.
Erkand, soll vor jetzerzehlte begangene Fehler 1. lb d Straff erlegen. Nach gebettener Genadt und da sonderlich hochverordneter Herr Obmann seine dürfftigkeit und bißherige gute Aufführung vorgestellt, wurde Ihm die Straff wie wohl sine præjudicio alterius auß gnaden nachgelaßen, davor er sich gegen demselben und gesambter E. Meisterschafft bedanken, die fehler aber annoch möglichste Fleißen Zu verbeßern suchen solle.

(f° 270-v) Montag den 29.ten Aprilis – Augustin Güntzer stehet vor, bat umb den Meistersitz. Erkandt willfahret, hat wegen der Frantzöschen beusch am meisterstück nach ordnung Zu erlegen 1. lb

Augustin Güntzer est reçu tributaire chez les Tanneurs le 10 juillet 1726.
1726, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 163-v) Mittwoch den 10. Julÿ – Augustin Güntzer, der Sattler, weÿl. Augustin Güntzer geweßenen Gastgebers Zu Dorrlißheim und burgers allhier ehelicher Sohn, producirt Stallschein vom 3.ten Julÿ 1726. bitt ut ante [umb das Zunfftrecht] Erkandtn willfahrt soll davor 1 lb 5 ß, wegen befreÿung der Feÿr eÿmer 1 lb 5 ß, Zur Feÿrspritz 5 ß, Auff den Pfenningthurn 13 ß 4 d, Zu den Fenstern 5 ß (dt. 3 lb 13 ß 4 d)

Fils de feu Augustin Güntzer, aubergiste à Dorlisheim, Augustin Güntzer épouse en 1726 Marie Catherine, fille du marchand de fruits et légumes Jean Jacques Bœrus : contrat de mariage, célébration
1726 (14. 8.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 47
Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Augustin Güntzer Ledigen Sattlern Von dorrlisheim gebürtig und burger, alß brautigam ane einem
Sodann der Ehren und tugendsahmen Jungfer Mariæ Catharinæ Börußin weÿl. des Ehren und vorgeachten Hn Johann Jacob Böruß gewesten fastenspeishändlers und burgers alhier nunmehro seel. nachgelaßener ehel. tochter, alß Hochzeiterin am andern theÿl
So beschehen und Verhandelt in der Königl. Freÿen Statt Straßburg den 14. Octobris Anno 1726.
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 45, n° 176)
1726. Eod. die [Mittw. d. 6. 8.br.] nach Zweÿmaliger Proclamation ehelich Copulirt und eingesegnet word. Augustin Güntzer der ledige sattler v. b. alhier, weÿl. Augustin Güntzers Gewes. b. v. Gastgebers Zu dorlißh. Nachgel. ehel. Sohn v. Jgfr. Maria Catharina weÿl. Joh: Jacob Beres gewes. b. v. Fastenspeishänd. Nachgel. ehl. tochter (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, Maria Chatarina böresin als hochzeiterin (i 48)

Jeanne Marguerite Klauhold meurt en octobre 1742 en délaissant une fille issue du veuf. La maison appartient pour un tiers à la défunte (comme héritière de l’enfant posthume) et pour les deux autres tiers à son beau-fils Jean Geoffroi Heusch. La maison est estimée au même prix qu’à l’inventaire précédent, soit 800 livres. La masse propre au veuf est de 353 livres, celle propre aux héritiers de 337 livres. L’actif de la communauté s’élève à 475 livres, le passif à 992 livres.

1743 (24.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 16) n° 645
Inventarium über Weÿl. der Ehren und Tugendsahmen frauen Johannæ Margarethæ gebohrener Klauholdin, des Ehren und Vorgeachten herrn Augustin Güntzers Sattlers und burgers allhier Ehefrauen seel. Verl. auffgerichtet in Anno 1743. – nach ihrem den 31.ten Octobris 1742. aus dießer Zeith und welt genommenen tödtlichen hintritt hier Zeitlichen Verl. Welche Nahr. Verl. dato Zu End stehend. auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H: Phill: Jacob Dambachs b: und handelsmanns allhier als geordnet und geschworenen Vogts Maria Dorothea der verstorb. seel: mit dem hinterbl. Wittiber ehelich erzeugten döchterleins vnd ab intestato Verl: eintziger Erbin, ersucht (…) Actum Straßburg d. 24.ten Julÿ 1743.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Korn Marck gelegenen hiehero zum theil gehörigen behauß.
Auff der ersten bühn, In der Leder Kammer, In der Gesellen Kammer, In der Soldaten Kammer, Im obern haußöhren, In der hinteren stub, In der Stub Kammer
Ergäntzung deß Wittibers wehrend. Ehe abgegangen ohnv. guthß, Vermög Inventarÿ über deß Wittib. vnd seiner verstorb. ehefr. seel: einand. in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, sub dato d. 15. 7.br. 1735. durch mich unterzog. N°
(f° 29) Eigenthumb ane Einer Behauß. I. Vorder vndt hinter hauß m. all. dero begriffen, weithen, Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßb. gegen dem Kornmarck hinüber 1.s. ist ein Eckh ane dem Salmen Gäßl. 2.s. neben d. Gastherberg Zum Salmen genandt, Vornen auf die Straß am Kornmarck, u. hinten auf gedachte Gasten Herberg stoßend, davon gibt man jährlich 1. lb d Jahrs auff Baptistæ hießiger Statt Straßb. Pfenningth. Von i. Wetterdächl. thut Zu doppeltem Capital gerechnet, antreffend 40. lb, So dann ist solche annoch wegen verschiebene darauff hafftender Capitalien wie unter den Passivis eingetragen Zu befinden vnderpfands weiße verhafftet, sonsten aber ledig und Eigen undt Weilen der hinterbl. Wittiber berichtet, daß er deß wegen Von denen hochverordneten Hh. dreÿ der Statt Stall den Consens und Einwilligung erhalten gelaßen beÿ dem Jenigen Anschlag, wie solche auf Absterben weÿl. H. Joh: Phill: Heuschen geweßenen Sattlers und Burgers allhier seines Ehevorfahren gehabten erstern Ehefr. seel. l. Scheins vom 5. Martÿ A° 1733. æstimirt und angeschlagen Vor und umb 800 lb. Abgezogen wegen des darauff hafftenden bodenzinßes 40 lb, Restirt noch ane dem anschlag 760. lb. daran hiehero vor ein tertz eigenthümbl. gebührig auszuwerffen mit 253. die übrige Zwo tertzen seind Joh: Gottfried Heuschen des Wittibers Stieff Söhnl. eigenthüml. zuständig. Über dieße behauß. besagt j. teutscher pergamenter Kauffbrieff aus allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget m. dero anhangendem Insiegel verwahrt datirt d. 15.ten Maÿ 1722. mit alten Lit. A. signirt
(f° 37) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci
Des Wittibers ohnverändertes Vermögen, Sa. haußraths 42, Sa. Silbers 10, Sa. goldenen Rings 18 ß, Sa. d. Ergäntzung 687, Summa summarum 742 lb – Schulden 388, Nach deren Abzug 353 lb
Dießemnach wird auch der Erbin ohnverändertes Mütterliches Guth beschrieben, Sa. haußraths 93, Sa. Silbers 16, Sa. goldener Ring 16, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenth. an i. behauß. 253, Sa. Gültten 1, Sa. Activ schuld 25, Sa. Erg. 293, Summa summarum 702 lb – Schulden 365, Nach deren Abzug 337 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. Frucht 5, Sa. Wein und leerer Vaß 67, Sa. der Waaren und werckzeug 91, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 53, Sa. Activ Schuld 225, Summa summarum 475 lb – Schulden 992 lb, Übertreffen also die Passiva die das Activ Vermögen dem Stalltax nach umb 516 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 538 lb

Augustin Güntzer se remarie en 1743 avec Marie Ursule Wachenheim, veuve du tailleur Chrétien Müller : contrat de mariage, célébration
1743 (20. 7.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 672
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften H. Augustin Güntzer dem Sattler, burger vndt wittiber alhier als hochzeither ane einem
so dann der tugendsahmen Fr. Mariæ Ursulæ gebohrner Wachenheimin weÿl. Christmann Müllers geweßenen Schneiders vndt burg. alhier hinterbl. wittib alß hochzeitherin andern theils
daß darauffhin mit unterhandl. undt vermittelung auff seith deß hochzeithers H Phillipp Jacob Dambachß des handelßmanns vndt auch burgers alhier wie auch H Joh: Paul Buschen Schneider und auch burgers alhier seiner schwagere auff der fr. hochzeitherin seith. aber S.T. H. Johann Braunen vornehmen handelßmanns vndt E.E. großen raths dermahlig. beÿsitzers
Straßburg den 20. 7.br 1743. (unterzeichnet) Augustin güntzer als hoch Zeiter, + d. hochzt. handz.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 170-v n° XXIII)
1743. Sont. XV.et XVI. post Trinit. wurden proclamirt H. Augustin Güntzer Sattler und burger allhier, Fr. Maria Ursula geb. Wachenheimin weÿl. Christmann Müller hew. schneiders u. b. h.l. nachgelaßene wittwe, Copulirt Mittw d. 2. 8.br (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, x fr. hochzeiterin (i 175)

Le tailleur Chrétien Müller épouse en 1731 Ursule, fille du boulanger Daniel Wachenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 110 n° XXIII)
1731. Sont. XV. Dominica XXVII Trinit. et Advent proclamati sunt Herr Christmann Müller, Schneider v. burger alhier v. Jgfr. Ursula, weÿl. Daniel Wachenheim gewesenen Weißbecken v. burgers alhier nachgelaßene ehel. Tochter. copulati sunt Mittw d. 5. Decembr. (unterzeichnet) H. Christ Mann Müller Alß Hochzeiter, x ist der Jfr. hochzeiterin handzeichen (i 114)

Testament
1744 (26.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 696, 697
Maria Ursula Güntzerin gebohrne Wachenheimin H Augustin Güntzers burgers und sattlers haußfrau

Marie Ursule Wachenheim fait dresser l’inventaire de ses apports, soit 314 livres, dans la maison au Vieux-Marché-aux-Grains que possède en partie son mari.
1745 (7.Xbris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 20) n° 736
Inventarium über der Ehren und Tugendbegabten frauen Mariæ Ursulæ Güntzerin geb. Wachenheimin zu H. Augustin Güntzer dem Sattler u. b. allhier ihrem Ehemann in den Ehestand zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1745. (…) weilen Sie sich in denen mit ihrem Ehemann Zur Zeit ihrer Verheürathung auffgerichteten Ehepacten ein ohnverändert Guth reservirt und vorbehalten (…) Actum Straßburg d. 7. Xbris 1745.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarckh gelegenen dem Ehemann Zum theil eigenthümlich gehörigen behaußung hat sich befunden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 22, Sa. Silbers 32, Sa. goldenen Ring 10, Sa. baarschafft 235, Summa summarum 300 lb – Haussteuren 29, daran gebühret mehrbesagter Fr. Güntzerin in Krafft der Eheberedung 5.ten Punctens die helffte 14 lb

Lors du règlement de la succession délaissée par Jeanne Marguerite Klauhold, Georges Heusch, étudiant au collège des Guillaumites, rachète la part de sa demi-sœur Marie Dorothée Güntzer

1757 (20.1.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 16) Joint au n° 645 du 24 juillet 1743
Vor mir dem unterschriebenen offenbahren geschworneb Not° Löbl. Stadt Straßburg als dermaligen besitzers weiland H. Notÿ Johannes Brakenhoffers seel. Verlaßener Notariat acten, mithin auch des durch denselben über weiland frau Johannä Margarethä geb. Klauholdin H. Augustin Güntzers Sattlers und burgers alhier Ehefr. seel. Verlaßenschaft A° 1745. errichteten Invÿ. seind an unte stehendem Tag persönlich kommen und erschienen Herr Johann Friderich Kreß der Sattler und burger alhier als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrau Mariä Dorotheä Güntzerin, der hat
in gegenseÿn Herrn M. Gottfried Heuß alumni Collegii Wilhelmitani ihres Stieffbruders angezeigt und bekanndt, daß Er demselben in ohnvertheiltem Erb aufrecht Vest und ohnwiederrufflich abgetretten und überlaßen habe (…)
benandlich das Zwischen ihro Jgfr: Güntzerin Zu einer tertz und Ihme H.M. Heuschen zu d. übrigen tertzen gemeinschaft. Vorder und Hinterhauß mit allen deßen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg an dem alten Kornmarckt gelegen 1.s. ist es i. Eckh ane dem alten Salmengäßel 2.s. neben dem alten Salmen hinten auch auf erstged. Hauß dermalen H. Rathh. Großen dem Sattler Zugehörig stoßend, Von einem Wetterdächlein davon gibt man jährl. auf Joh. Bapt: hießiger Stadt Pfenningthurn 1 lb Zu bodenzinß, und ist die Jetzte cedirte tertz ihr Jgfr. Güntzerin als ein Von ihrer obged. seel. Mutter anerstorbenes Erbguth eigenthümlich zuständig, auch über angezeigte beschwerde, sonsten gegen männigl. freÿ, leedig und eigen, Zumalen ermelter Herr Augustin Güntzer der Cedentin Vater Vermög der Vor mir Not° am 8.ten hujus mit Herrn Antoine Duclo dem Caffeesieder und b. alhier errichteten Interims Verschreibung auf den natural Genuß des cedirten dritten theils an ged. behaußung Verzug gethan – um 1333 gulden 3 schilling 4 pfenning
Straßburg den 20.ten Januarÿ 1757. – T. Johann Richard Häring Not.

Augustin Güntzer meurt en 1765 en délaissant une fille de son premier mariage et une autre du deuxième. L’inventaire est dressé dans une maison près des Petites Boucheries. La masse propre à la veuve est de 261 livres. L’actif des héritières et de la communauté s’élève à 1 007 livres, le passif à 464 livres
1765 (15.2.), Not. Haering (6 E 41, 1365) n° 265
Inventarium über Weiland des Ehren und Wolgeachten H. Augustin Güntzer, im Leben gewesenen Sattler Meisters und burgers alh. Zu Straßburg nunmehr seel. Verl.t auffgerichtet Anno 1765. – nach seinem Montags den 21. Jenner laufenden 1765.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödt. von hinnen Scheiden hie Zeit. verlaßen, WelcheVerlt. auf gebührendes Ansuchen nur allein der Ehren: und tugendsamen Frau Mariä Ursulä Güntzerin geb. Wachenheimin der dießorts hinterbliebenen Wittib beÿständ. des Ehren und vorachtbaren H. Johann Friedrich Kreß Sattlermeisters und hiesigen Brs, sondern auch des Verstorbenen seel. in zween Ehen erzeugter nach Tod Verlaßener zwoen frauen Töchter (…) So beschehen Straßburg Freÿtags den 15.den Februarii 1765.
den Verstorbenen seel. ab Intestato zu erben sind fähig Seine in Zwoen Ehen erzeugte nach tod verlaßene zwo fr: Töchter. 1. die Ehren: und Tugendsame Fr: Catharina Salome Stammin geb. Güntzerin, des Ehrengeachten H. Johannes Stamm Weißgerb. und brs. alhie Ehefr: beÿstd. deßelben Zugegen, diese hat der verstorbene seel. in erster Ehe mit weil. Fr: Maria Catharina geb. Börußin, welche den 27. 8.bris 1734 im H. Seelig entschlaffen, erzeugt, 2.do die Ehren und Tugendbelobte Fr: Maria Dorothea Rothin geb. Güntzerin, unter der beÿhülfe ihres Eheliebsten H. Joh: Martin Roth, Weißbecken und Brs alhier, Ehegattin, diesem Geschäft abwartend, Welche der Verstorbene seel. mit Fr. Johannna Margaretha geb. Klauholdin, seiner am 31. 8.bris 1742. seel. verschied. Eheliebstin erzielet hat. Beede Zu gleichen Portionen und Antheilen

In einer alhier Zu Straßburg ane der Kleinen Metzig gelegenen, dießorts zum theil Lehnungs Weiße bewohnenden Behausung befunden worden, wie folgt
(f° 9) Eigenthum an einer Behaußung. Neml. eine behausg. höflein und hofstatt, mit allen deren Gebäuden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier an dem Spital Gäßel (…)
1.s Gottfried Kraußen dem bürstenbinder 2.s neben N. Milius dem Krempen hi. auf N. Geißtod des hohldehers Wb. und erben (lt) abschatzung vom 23. feb. 1765 angeschlagen worden pro 600 R oder 300 lb, hierüb: meldet Ganth Kaufbrieff vom 25. maÿ 1762 Nebst 2. ält. Kaufbr: aus C.C. Stb vom 25. maÿ 1747 und 21. maÿ 1695
(f° 11) Ergäntzung der Wittib eighen vorbehaltenen Guths. Außweißl. deroselbeen Invÿ. Illat. Anno 1745 durch H. Not. Johannes Brackenhoffer aufgerichtet
Ordnung gegenwärtigen Inventarÿ. Copia der Eheberedung (…) den 20. 7.br 1743, Johannes Brackenhoffer, Notarius juratus, Collat. Johann Richard Häring Notarius
Copia Codicilli – persönlich erschienen ist H Augustin Güntzer der Sattler und burger alhier durch Verleihung göttlicher Gnaden aufrecht gesunden gehend und stehenden Meibs (…) Donnerstags den 26. Martÿ 1744 , Joh. Brackenhoffer Not.
(f° 17) Folgt nun hierauf die Beschreibung gegenwärtiger Verlt. an und vor sich selbsten. der Wittib unverändert und eigen vorbehaltenen Guths, Sa. hausraths 3, Sa. Silbers 3, Sa. gold. Ring 2, Sa. baarschafft 3, Ergänzg. Rest 249, Summa summarum 261 lb
Diesemnach wird die übrige Verlaßenschaft in Conformitæt der Eheberedung 4.ten punctes als in des verstorb. seel. Nahrung gehörig, beschrieben, Sa. hausraths 61, Sa. leeren Faß 7, Sa. Waar zur Sattler Profession 58, Sa. Silbers 24, Sa. gold. Ring 8, Sa. Eigenthums an einer Behaußung 300, Sa. Pfenningzins hauptguths 197, Sa. Schulden 348, Summa summarum 1007 lb – Schulden 464, Nach deren Abzug 543 lb – Stall summ 1019 lb
Wÿdem den der Verstorbene seel. aus erster Ehe genoßen 168

Vente provisoire par laquelle Geoffroi Heusch et Marie Dorothée Güntzer vendent la maison au cafetier Antoine Duclo moyennant 2 000 livres.

1757 (8.1.), Not. Haering (6 E 41, 1379) n° 31
Interims Verschreibung – Herr M. Gottfried Heusch, alumnus Collegii Wilhelmitani wie auch Hr Johann Friedrich Kreß der Sattler für sich und im Nahmen Maria Dorotheæ Güntzerin H. Augustin Güntzers des Satters mit weÿl. frau Johannæ Magdalenæ geb. Klauholdin erzeugter tochter
in gegensein H. Antoine Duclo des Caffe Sieders
Eine Vorder und hinterhauß mit allen deßen begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gelegen an dem alten Kornmarckt, 1.s ist es ein Eck an dem Salmengäßel, anderseit neben dem alten Salmen hinten auch auf erstged. hauß, davon gibt man jährlich 1 pfund pfenning auf Joh: Bapt: hiesiger Stadt Pfenning Thurn von einem Wetterdächlein – um 4000 gulden

Vente ferme par Geoffroi Heusch à Antoine Duclo, dressé par le notaire royal Humbourg le 21 janvier et transcrite à la Chambre des Contrats le 18 février 1757.

1757 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 44-v, Not. Humbourg 21 janvier 1757 (6 E 41, 97)
auf ansuchen H. Johann Philipp Nicard Juris studiosus nahmens H. Antoine Duclo des caffesieders, nachstehende kaufverschreibung
Sr Godefroy Heüsch, Etudiant en théologie faisant membre du collège de St Guillaume
au Sr Antoine Duclos bourgeois caffetier
une Maison consistante en corps de logis sur le devant et sur le derrière sous un même toit avec ses appartenances, droits et dépendances scituée en cette ville Vieux Marché aux Grains faisant une part coin de la ruelle du Vieux Saumon, attenante d’autre part à la maison à l’enseigne du Vieux Saumon, aboutit par derrière sur la maison appartenant présentement au Sr Groos assesseur au Grand Sénat – échue savoir deux tiers des successions de feu le Sr Philippe Heüsch son père maître sellier et de Jean Daniel Heüsch son frère, et l’autre tiers par l’abandon qui lui en a fait sa sœur privigne Marie Dorothée Güntzer, fille du Sr Augustin Güntzer aussi maître sellier et de defunte Jeanne Marguerite Klauhold qui avait épousé en premières noces le père du vendeur, lequel abandon a été fait Pardevant le Sr Jean Rich. Häring not. le jour d’hyer, suivant inventaire de Jeanne Marguerite Klauhold dressé en 1743 par Jean Brackenhoffer – pour 4000 florins ou 8000 livres tournois

Ancien soldat au régiment d’infanterie Angoumois, Antoine Duclo originaire de Lafitole en Gascogne dans le diocèse de Tarbes épouse en 1733 Anne Barbe Kiser qui habite à Strasbourg depuis son enfance
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 270)
Die 16 Mensis februarii anni 1733 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie ecclesiæ Coniuncti fuerunt Antonius ducloux oriundus ex loco lafitolle in Casconia diœcesis tarbensis Miles dimissus es legione pedestri vulgo angoumois et anna Barbara Kiserin à Juventute in hac urbe Commorans et modo in nostra parochia præsentibus testibus laurentio Castel incola, Renato turquoy Cive et heinrico blanchard Cive et ludocivo finance cive et caupone (signé) sponsus lacro, sponsæ signum + (i 142)

Les Quinze autorisent Antoine Duclo à être revendeur français. Manant qui a servi pendant huit ans dans le régiment d’Angoumois et ancien cuisinier, il déclare qu’il n’a pas les moyens d’entreteir sa famille sans avoir un nouveau revenu. La tribu de la Mauresse s’en remet aux Quinze, bien que le nombre de revendeurs français, fixé à trente, soit déjà dépassé. Les Quinze délivrent une expédition de leur décision.
1745, Protocole des Quinze (2 R 155)
(p. 457) Sambstag d. 21. Aug. 1745. – Fuchß nôe Antoine Duclo des Schirmers und gewesenen Kochs Cit. E. E. Zunfft Zur Mörin, H. Zfft. M. prod. underth. Mem. sambt beylagen 1. et 2. Moss. bitt Deput. Fuchs bitt auch Deput. Erk. Deput. willfahrt

(p. 534) Sambstag d. 11. Septembris 1745. – Antoine Duclos Ca. E. E. Zunfft Zur Mörin
Iidem [Obere Handwerckh herren] lassen per Eundem [Hrn Secret. Kleinclaus] referiren, daß Antoine Duclos der Schirmer und gewesene Koch in einem den 21. Augusti jüngst, contra E. E. Zunfft Zur Mörin H. Zunfft Meister produciren underth. Memorial sambt beÿlagen Sub Nis 1. et 2. gehorsambst Vorgetragen, er Habe besag dem Sub N° 1 beÿliegendem Congé absolu vnßerm allergnädgsten König in die acht Jahr, under dem Regiment D’Angoumois gedient, sofort laut beylag N° 2 sich A° 1733 in allhiesigen Schirm begegen und sich und die seinige bißhero mit seiner Handarbeit unterhalten, welches es aber fernerhin mit diesem geringen Verdienst Zu continuiren nicht vermögend, & Mit demuthiger bitt Mghh geruhen wolten Ihme mit dem so genanten Frantz. Krempen Recht in ansehung seiner Königl. dienst, und daß Er bereits 12. Jahr in allhiesigem Schirm seÿe, in gnaden Zu willfahren, Auß welches die Citirte E. Zunfft umb Deputation gebetten, welche auch bewilligt und beseßen worden, da der Implorant petitum wiederhohlet, Nomine E. E. Zunfft Zur Mörin habe H. Rath. Cammerer geantwortet, des gegners begehren seÿe Zwahr wieder Ordnung in deme der Frantz. Krempen so Schirmer nur 30. sein solten, welche Zahl aber bereits weit übersetzt, es stehe abr Zu Mghh. was Sie hierüber erkennen wollen.
Auff seithen der Herren Deputirten Vermeine man, daß aus beygebrachten ursachen dem Imploranten in seinem begehren dispensando Zu Willfahren, die Genehmhaltung Zu Mghh stellend. Erkandt, Bedacht gefolgt.

(p. 578) Sambstag d. 18. Sept. 1745 – Bescheid.
Sambstag den 11. Sept. 1745. In Sachen Antoine Du Clos des Schirmers und gewesenen Kochs, Imploranten, ane einem, entgegen und Wider E. E. Zunfft Zur Mörin H. Zunfft Meister Imploratin, am andern theil, Auff producirten underth. Memoriale, sambt beÿlagen Sub Nis 1. et 2. und beÿgesetztem Bitten, dem Imploranten mit dem so genanten Frantzösischen Krempen Recht in ansehung seiner Königlichen diensten, und daß Er bereits 12. Jahr in allhiesigem Schirm seÿe, in gnaden Zu willfahren, des Imploraten darüber gethane Verantwortung, gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, und all übrigen angehörte Vor: undt anbringen, Ist, der Herren Deputirten ablelegten Relation nach, Erkand, Wird dem Imploranten in seinem begehren dispensando Willfahrt.

Antoine Duclo et sa femme née Kiesser deviennent bourgeois en 9 mai 1748, le mari à l’ancien tarif par recommandation, la femme à titre gratuit pour bon comportement
1748, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 342
Antoine Duclot der bisherige schirmer allhier und deßen Ehefrau gebohrne Kießerin erhalten das burgerrecht und zwar der mann wegen hoher recommendation umb den alten burgerschilling die Ehefrau aber wegen wohlverhaltens gratis, wollen dienen beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger jur. et promis. eodem [9. Maÿ 1748]

La tribu du Miroir demande au cafetier Antoine Duclo de devenir son tributaire. Il quitte la tribu des Fribourgeois pour celle du Miroir le 28 juillet 1750.
1750, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 6) Dienstags d. 3.ten Martÿ 1750 – Hr Antoine Duclos der Caffetier und burger allhier, so weder Leib noch geld Zünfftig beÿ dieser Ehrsamen Zunfft wurde Citirt und ermahnet, daß Er E E Zunfft der Freÿburger allwo er Leibzünfftig wegen dem Caffee schanck quittiren und dißorths leibzünfftig werden solle.
Citatus ist willig solches Zu thun und sich leibzünfftig beÿ dießer E Zunfft, beÿ dem ersthaltenden Gericht, Zu begeben.

(f° 22) Dienstags den 28. Julÿ 1750 – Leibzünfftiger –
Antoine Duclos der Burger und Caffetier allhier ist nunmehr auff produciren Stallschein vom 20. Aprilis jüngsthien, gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d leibzünfftig als Caffetier angenommen worden dt. et prom. obed. (d. 2 lb 13 ß 4 d)

Antoine Duclo résigne son appartenance à la tribu des Fribourgeois mais continue d’y cotiser
1750, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 56) Donnerstags den 19.ten Martji A° 1750 – Anthoine Duclo der hiesige Caffetier undt bißherige Leibzünfftig beÿ dieser Ehrs: Zunfft, Erscheint und remonstriret wie daß er Zu Er En Zunfft Zum Spiegel dießorts aber geldt zünfftig zu verbleiben vndt dahero Jährlichen 6 ß d Stubengeldt Zu Entrichten willens, bittet derwegen Ihme den behörigen Resignations Schein Ertheilen Zu laßen
Hierauff wurde Erkandt daß demselben in seinem Gesuch zu willfahren, derselbe aber dießorths geldt Zünfftig zu verbleiben undt derwegen Jährlichen 6 ß d Stubengelts zu entrichten anzuhalten.

(f° 61) Sr Anthoine Duclo – daß h. Anthoine Duclo der Caffetier und burger allhier beÿ Er En Zunfft der Freÿb. alle biß dato verfallene Schuldigkeit Abgerichtet, Solches wird, weilen derselbe beÿ Er En Zunfft Zum Spiegel sich Künfftighin Leibzünfftig zu machen, beÿ ob:gedachter Ehrs. Zunfft aber Geldt Zünfftig Zu verbleiben, Undt dahero Jährlichen 6 ß d ane Stubengeldt Zu Entrichten so willens alß schuldig auß Erkanntnus Es Ehrs: Zunfft Gerichts hiemit beschienen, Straßburg Donnerstag den 19. Martÿ 1750.

Antoine Duclo loue à Jean Peter une partie de sa maison dont la salle d’auberge

1759 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 217
H. Antoine Duclo der caffésieder
in gegensein H. Johann Peters des burgers
in seiner auf dem alten Kornmarckt neben H. Rathh. Joseph Groß des sattlers behausung zum Alten Salmen genannt gelegenen behausung, erstlich auf dem boden die gaststube in das hinder stüblein samt der kuchen und den halben keller, auf dem zweÿten stock eine stube, so dann auf dem dritten stock die gantze mansarde – auff 4 nacheinander folgenden jahren auff nächst kommenden 8. Octobris anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 100 pfund

Barbe Kisser (ici Kiner) meurt en 1762 après avoir institué son mari légataire universel. Les experts estiment la maison à 1 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 775 livres, le passif à 1 146 livres.

1762 (4.3.), Not. René (6 E 41, 546) n° 51
Inventaire de la succession delaissée par feu Dlle Barbe Kiner vivante Epouse du Sieur Antoine Duclos, Caffetier et bourgeois de la ville de Strasbourg dressé en l’année 1762. – fait à la réquisition dudit Sieur Duclos veuf en qualité d’héritier institué par ladite Defunte (…) Fait à Strasbourg le 4° mars 1762.
Copie du Testament de la Défunte – Aujourd’hui premier Decembre 1761 (…) est comparue Dle Barbe Kiner Epouse d Sr Antoine Duclos Caffetier Bourgeois de Cette ville y demeurant laquelle malade de Corps dans son lit dans le poële au second Etage de sa maison prenant jour dans la rûelle du saumon vis à vis les arcades, mais saine d’esprit (…)
meubles meublans, lesquels se sont truvé dans la maison mortuaire size audit Strasbourg faisant le Coin de la ruelle du vieux Saumon, appartenante à la présente succession comme s’ensuit
propriété d’une Maison. une maison avec ses appartenances Droits et Dépendances, située en Cette ville au vieux marché aux grains faisant d’une part le Coin de la ruelle du vieux Saumon, attenante de l’autre part à la maison à l’enseigne du vieux saumon, aboutissant par derrière à lad° maison appartenant au Sr Gross ancien assesseur au grand senat, ladite maison à la reserve des Capitaux y affectés franche quitte et libre est estimée par les architectes de la ville suivant leur procès verbal d’estimation en datte du 25° fevrier dernier, demeurant à la presente minutte d’inventaire, à la somme de 7600 livres. La propriété de lad° maison est Constatée par Contrat de vente expédié en parchemin passé pardevant m° Humbourg Notaire Royal le 21 Janvier 1757 et enregistré èz registres de la Chambre des Contrats de Cette ville le 18° febrier 1757 et munie du Sceau de lad. Chambre des Contrats.
Suite des rubriques du present Inventaire, Total de la prisée des meubles meublans 492, Total de l’estimation du vin et des tonneaux 81, Total du montant des effets et meubles d’argent 136, Total de la propriété d’une maison 7600, Total general 8310 livres – Dettes passives 4583 livres, reste 3727 – Somme finale 3123 livres
Abschatzung Vom 5.ten feb. 1762. Auff Begehren H Antonÿ Dicklo ist ein Caffee Haus Allhie in der Statt Straßburg Auff dem Alten Kornmarckt Gelegen Einseits Neben dem Salmen Geslein Anderseits vnd hienden auff H: Ratt Herren Gros Dem sadtler stosent Gelegen solches Caffee hauß bestet in einer *so Stuben ferner in Ettlichen Stuben, Kamern Vnd Kichen, dar jber ist der dachstuhl mit breitzieglein belegt Hat auch ein Gewelbten Keller und brunnen. Von uns underschriebnen der Statt Strasburg Geschworne Werck Meister Nach Vorhero geschehner besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt Und angeschlagen Worden Vor und Vmb Threÿ Thausent acht Hundert Gulden (unterzeichnet) Werner, Huber

Barbe Kissel meurt à l’âge d’environ 65 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 282)
Anno Domini 1762 die 17 januarii mortua est Barbara Küssel uxor antonii Duclo Liquoris caffé dicti et aliorum adustorum opificis ætatis suæ 65 circiter annorum SS: sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munita, postridie a me sepulta fuit in coemeterio Ecclesiæ nosträ collegiatæ Contiguo (i 145)

Le cafetier Antoine Duclo loue le droit de café et la salle de débit au cafetier Pierre Rinquenet de la Toulinière

1774 (29.9.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 393
H. Antoni Duclos der caffésieder
in gegensein H. Peter Rinquenet de la Toulinière des caffesieders
lehnungs weiße, 1. das caffe recht und deßen schanck,
2. die dem verlehener eigenthümlich zuständige behausung ane dem alten Kornmarckt neben H. Groß d. sattler meisters, nichts davon außgenohmen, auff 9 nacheinander folgenden jahren von dato anzurechnen – ohne nachtheil derer gerechtsame so H. Christian Lechner dem goldsticker und Barbara geb. Chenaut zuständig beseßen, welche eheleute H. Duclos sothanes cafferecht besag acte coram Not. Langheinrich löbl. policeÿ gerichts mit deßen decrets vom 13. Junÿ 1763 belehret cedirt und übertragen hat – 600 gulden

Antoine Duclo cède son droit de café au brodeur d’or Chrétien Lœchner et à sa femme Barbe Jenante
1763 (13.6.), Not. Langheinrich (6 E 41, 743) n° 183
Zuwißen seÿe hiemit daß auf heut Zu End gemeltes datum vor mir unterschriebenem geschwornem Notario persönlich erschienen Herr Antoine Duclot Caffesieder und Burger allhier Zu Straßburg, ane einem
So dann Herr Christian Löchner Goldsticker und frau Barbara Löchnerin gebohrne Jenante beede Eheleuth und auch Burgere allhier Welche folgendes guth und freundschafftlichen mit einander abgeredt und mich unterschriebenen Not. ersucht, solches gebühren Zu Verzeichnen und einen ordentlichen Acte darüber aufzurichten, so auch hiermit beschehen
Nemblich und Zum Ersten so Will Er Sr Duclot in Ansehung derselbe biß anhero Von Ihro Frauen Löchnerin und seith deme Sie Verehelichet auch von obgedachtem Ihrem Ehemann alle nur ersinnliche Treue und Freündschafft genoßen, solche auch fernerhin und in specie beÿ seinem Zunehmeden Jahren Zu genießen Verhoffet, Ihnen beeden Löchnerischen Eheleuthen auß pur lauterm freundschafftlichem Gegenbezeugen sein biß dato genoßenes Caffé Recht, dergestalten cedirt überlaßen und übergeben haben, daß Sie Solches treiben und exerciren Können und mögen, Wie Er solches biß dato exercirt und getrieben hat, Wobeÿ aber sich Er Sr Duclot expressé reservirt, im fall Sie beede Löchnerische Eheleuthe Vor Ihm mit todt abgehen solten oder auch die biß dato gegen Ihme hegende Liebe und freudschafft Ihme fenernhin Zu erweißen, unterlaßen würden, daß derselbe berechtiget seÿn solle und könne solches Ihnen hiemit übergenene Caffé recht Wieder an sich Zu ziehen (…) Straßburg d. 13. Junÿ 1763. (unterzeichnet) duclo, Lechner

Antoine Duclo loue sa maison au cafetier Pierre Binder

1774 (11.7.), Not. Laquiante (6 E 41, 1052) n° 24
Sr Antoine Duclos Caffetier
au Sr Pierre Binder Marchand caffetier, vente pour 9 années consecutives qui commencent a courir a la St Michel prochain
la jouissance et l’usage de Sa maison et dépendances sise en cette ville sur le vieux marché au grains a côté de celle du Sr Gross sellier ladite maison portant pour enseigne le Caffé Duclos, ensemble son droit Caffé – moyennant 10.800 livres tournois

Antoine Duclo meurt en 1778 en délaissant pour héritiers testamentaires les deux enfants de sa sœur remariée avec Pierre L’Estrade, Anne Marie Lalanne femme du concierge François Gascard et Dominique Lalanne, natif de Lafitole en Bigorre. Les experts estiment la maison à 2 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 214 livres, le passif à 827 livres. Il a acquis le droit de café le 13 juin 1763 de Chrétien Lechner.

1778 (20. 9.bris), Not. Becker (6 E 41, 1395) n° 19
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so liegend als fahrenden, Schulden in und aus dm Erbe keinerleÿ nichts davon ausgenohmen, reservirt noch vorbehalten, so weÿl. H. Anthonÿ Duclos im Leben geweßter W.br b.gr und ehemaliger Cafféesieder allhier Zu Straßburg nach seinem Donnerstags den 19.ten dieses laufenden Monaths Novembris aus dieser Welt genommenen töd. Hientritt hie zeitl. verlaßen, Solche Verlaßenschaft auf freundlich und geziemendes ansuchen Fr. Anna Maria geb. Lalanne, H. Frantz Gascard Portners in dem allhießigen zeughauß Eheliebstin, als eine der testamentarisch. Erben bald nach gedacht, So dann des wohlachtbaren H Peter Joseph Noel, bgrs. und vergulders auch E.E. kl. Raths dermahlig wolverdienten beÿsitzers allhier vor und im Nahmen des auch bald nachgemelten abweßebden Erben (…) So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg auf Freÿtag den 20.ten 7.bre 1778
Der Verstorbene seel. hat per testamentum zu seinen eintzigen und universal Erben eingesetzt und hinterlaßen 1° Annam Mariam Lalanne, Hn Frantz Gascard Portners in dem allhießigen Zeughauß eheliche haußfrau, eingangs gedacht unter dessen assistentz gegenwärtig und 2.do Dominique Lalanne aus dem dorf de la Fitole in Bigorre gebürtig, so abweßend, beÿde des Verstorbenen Hn Duclos schwester Kindern, welche Schwester ane Peter L’Estrade sonsten Cristau* genannt in 2.ter Ehe veheurathet und in dem dorf de la fitole nahe beÿ Vic en Bigorre im bistum von Tarbes wohnhaft war
Copia der durch den Verstorbenen unterm 25. April 1759 errichteten testamenti clausi. Je sousigné Antoine Duclos marchand Caffetier de cette ville (…)
Copia actus Suscriptionis, Aujourd’hui 28 avril 1759, Humbourg Not. royal

In Einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegener in dieße verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden als
Eigenthumb ane Zwo behaußungen. Erstl. I. behaußung in vorder und hinter hauß bestehend mit allen übrig. deren gebäuden, begriffen, zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßb. ane dem alten Weinmarckt (…)
Item Eine behaußung in vorder u. hinterhauß bestehend mit ihren hofstätten und allen anderen ihren gebäuen, begriffen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier gegen dem alten Kornmarckt 1.s ist ein Eck am Salmen gäßel, 2.s n. und hinten auf das großische hauß stoßend, so löbl. Stadt pfth. weg. dem ehemals vorragenden Wetter dächlein 1. lb. d. ane bodenzinß zalte und dermalen außer den darauf haftenden und beÿ den Passivis ausgeworfen. Capital freÿ, leedig und Eigen. über sothane behausung besagt ein auf papier geschr. Extract aus hies. C. C. stub, kraft deßen solche behaußung von Hn Gottfried Heisch, Theologiæ studioso erkauft, vor H. Not° regio Humbourg den 21. Jener 1750 verschrieben und den 18. febr. 1757. in ged. C. C. stub enregistrirt worden. Dieße behaußung samt ihren Zugehörden wie Sie hieoben beschrieben wurde durch die geschw. Hhn. Werckmeistere zufolg ad Conceptum Inventarii schriftl. eingeschickter Abschatzung de dato 25. 9.bris 1778. nach genauer besichtigung dem Jetzigen wahren Werth nach æstimirt und angeschlagen ad 4000 fl, 2000 lb
Des verstorbenen Hn Duclos seel. Caffée Recht betrefend. Das Caffée Recht so H. Duclo seel. von hießig. Löbl. Stadt erlanget und mehrere Jahre in seiner gegen dem alten Korn Marckt gelegener behaußung Exerciret, hat derselbe aus freundschaft. Gegenbezeugen vor alle und ersinnliche treuw und freundschaft die Er von H. Christian Löchner dem bn. u. goldsticker und Fr. Barbara geb. genant deß. Eheliebsten genoßen, gedachter Lechnerische Ehefrau durch einen vor H. Langheinrich Not° publ. seel. unterm 13. Juny 1763 passirten acte sub approbatione Judiciale also und dergestalt cedirt, überlaßen und übergeben, daß Sie ein solches, wie Er Cedens, Exerciren und treiben könne, welche Cession acte auch würckl. beÿ E. L. Policeÿ Gericht zufolg Extr. desfalßig. Protocolli vom neml. tag 13. Junÿ 1763 Confirmirt und bestättiget worden. Ohne nachtheil dieses acts aber und mit Einwilligung der Lechnerisch. Eheleuth hat der verstorbene seel. sothanes Caffée Recht samt seiner dazu bestimten behaußung zufolg in allhies. C. C. stub unterm 29. Sept. 1774 passirter 9. jährig. Lehnung, ane H. Peter Ringuenet de la Touilliniere bgr. und Caffésieder verlehnet, und die verfallene Zinse davon bis an sein seeligen Ende bezogen. Weilen nun dießes Caffée Recht nicht als ein fond, sondern nur als ein verstattenes Recht anzusehen als komt auch hiervon nichts in auswurfe gebracht werden, sondern alles nur hiehero zum Bericht.
hausrath 113 lb, Silber 11 lb, baarschafft 21 lb, behaußung 2000 lb, Schulden 68 lb, Summa summarum 2214 lb – Schulden 827 lb, Compensando bleibt 1386 lb
– Abschatzung vom 25.t Novembre 1778. Auff begeren Weÿland Herrn Anthonÿ Duclo des geweßenen Caffesieder ist Eine behausung alhir in der statt strasburg auf dem alten Kornmarck gelegen Ein seÿts Ein Eck auf das allmend, anderer seÿts und Hinten auf Herr Groß dem sattler stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer Caffee und biljard stube ferner in Vier stuben, zweÿ Küchen und Etlichen hauß Kammern darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller und brunnen, vor und um Vier Tausend gulden
Der zweÿte begriff (…) [unterzeichnet] Hueber, Kaltner W:Mstr

Antoine Duclo (ici Lestrade dit Duclo, d’après le deuxième mari de sa sœur) meurt le 19 novembre 1778 à l’âge de 78 ans. Son corps est inhumé dans le cimetière du couvent Sainte-Marguerite.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 336)
Anno Domini 1778 die 19 Novembris mortuus est Antonius lestrase Duclo dictus Annorum ætatis 78 agens civis et Maritus Barbaræ Kritzler SS: sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus cujus corpus die 20 ejusdem Mensis et Anni solito exequiarum ritu ad Ecclesiam nostram parochialem ad S: petrum seniorem intra argentinenam dictam (…) ulterius delatum fuit nempé ad Ecclesiam monialium vulgo ad S: Margaretham dictam intra argentinam in cujus coemeterio (…) sepultum fuit (i 173)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 800 florins (400 livres) sur un total de 2 800 florins
1779, Livres de la Taille (VII 1180) f° 250
Spiegel N. 4549 – Weÿl. Antoni Duclos gew. burgers und Caffeesieders alhier verlaßenschafft jnventirt H Not. Becker.
Concl. final. jnvent Ist fol. 62.b 1386 lb 14 ß d sie machen nahe 2800 fl. Verstallte 2000 fl. allso Zuwenig 800 fl. Weilen aber 68 lb 8 ß 4 s nicht genoßen worden, die wenige meubles dem wahren werth angeschlagen so wird nur von 600 fl. der nachtrag angesetzt thut vor 6 Jahr à 1 lb 16 ß – 10 lb 16 ß
und 4 Jahr in simplo – 3 lb 12 ß
Ext. Stall geldt 1779 – 4 lb 7 ß
Gb. und abhandlung – 2 lb 7 ß 6 d (zusammen) 21 lb 2 ß 6 d
das Simplex nachgelaßen, restirt 17 lb 10 ß 6 d
dt. 6. martÿ 1779.

Veuf d’Anne Marie Wepffer, François Gascard épouse en 1770 Anne Marie Lalanne, fille du laboureur Jean Lalanne, de Lafitolle dans le diocèse de Tarbes, et de Catherine Duclos. La fiancée est assistée de son oncle Antoine Duclos : contrat de mariage, célébration (le diocèse est par erreur celui de Toul et non de Tarbes)
1770 (10. X.br), Not. Laquiante (6 E 41, 1037)
Contrat de Mariage – furent presens en Personnes le sieur François Gascard Portier de l’Arsenal de cette ville veuf de deffunte Marie Anne Vephfer agissant, faisant et stipulant pour luy et en son nom d’une part du conseil du sieur Charles Vermandé portier de cette ville son ami ici present
Et Dlle Anne Marie Lalanne fille majeure du Sr Jean Lalane Bourgeois laboureur de Lafitolle Diocese de Tarbe en Bigorre, et de deffunte Catherine Lalanne née Duclos ses pere et mere agissant, faisant et stipulant pour elle sous l’assistance du Sr Antoine Duclos Bourgeois Caffetier de cette ville, son oncle Maternel ci present et aussi du sieur Joseph Palu Bourgeois marchand Epicier de cette ville et du sieur Christian Lechner Bourgeois Brodeur dud. Strasbourg d’autre part
2° les futur Epoux seront uns et communs en tous les conquets, meubles et immeubles qu’ils feront (…) partagés par moitié entre le survivant et les héritiers du prédécédé
(signé) François Gascard, Lalanne

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 16)
Hodie 27. Decembris anni 1770 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Franciscus Gascard, Nancejanus filius legitimus filius legitimus Francisci Gascard Et Margarithæ remy* defunctorum conjugum, Commorans in parochiâ ad S. Petrum juniorem Et Maria Anna Lalanne Ex Lafitole, Diocesis Tullensis Oriunda, filia legitima Di Lalanne et Catherinæ Duclos conjugum parochiana nostra. (signé) Gascard, Lalanne (i 12)

Fils du maître d’école de Laneuveville-devant-Nancy François Gascard épouse en 1765 Marie Anne Wepffer, servante originaire de Ribeauvillé, en service à Strasbourg puis à Nancy : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copie du Contrat de mariage – furent presens en Personne le Sr François Gascard, Jardinier et Portier de l’arsenal de cette ville, fils majeur de deffunt le Sr François Gascard en son vivant Mre d’Ecole de ma Neuve Ville près de Nancy et de Dlle Marguerithe Remy ses Pere et Mere, du Consentement de ladite Dlle sa mere (…) d’une part, Et Dlle Marie Anne Wepfer, demt. cy devant à Nancy, fille majeure de deffunt le Sr Jean Wepfer de son vivant vigneron de Ribauvillé et dle Marguerithe Schon ses Pere et Mre, agissant et stipulant pour Elle et en son nom, de l’avis et conseil du Sr Charles Vermandois Jardinier de M° Delord de St Victor commandant pour le Roy en cette ville et Vicaire portier dudit Strasbourg, a ce presens d’autre part – Fait, lu et passé audit Strasbourg le premier May 1765, M° Humbourg et Laquiante Not. Royaux

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 292)
Hodie 2. Maÿ Anno 1765 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Honestus Juvenis Franciscus Gascard Hortulanus Et Armorum *tari regii hujus urbis Custos ostiarius, Ex Neuveville les Nancy Diœcesis tullensis oriundus, filius defuncti D. Francisci Gascard, Ludimagistri, Et Margaritæ Remi Supersttis ejus uxoris legitimæ a 12 annis parochianus noster Et pudica virgo Maria Wepfer ex Rappolswihr Diœcesis Basiliensis oriunda, filia Joannis wepfer et Margarithæ Schoen conjugum defunctorum Nanceÿ in parochiana B. M. V. Commorata, anteâ quoque parochiana nostra (signé) Gascard, + signum sponsæ (i 152)

Marie Anne Wepffer meurt en 1769 en délaissant pour héritière sa sœur. L’inventaire est dressé dans une maison dépendant de l’Arsenal. La masse propre au veuf est de 150 livres, celle propre à l’héritière de 420 livres. L’actif de la communauté s’élève à 331 livres, le passif à 531 livres (les sommes dans l’acte sont exprimées en livres tournois).
1769, (21.11.), Not. Elles (6 E 41, 1338) n° 469
Inventaire de la Succession de feüe Damoiselle Marie Anne Gascard née Wepffert viv.te Epouse du sieur François Gascard, Jardinier et Portier de L’Arsenal Royal de cette Ville de Strasbourg, y demeurante et décédée, dressé l’An 1769. – après sa Mort arrivée Me[r]credy dernier 15° Jour du present Mois et Année (…) Fait et passé audt. Strasbourg Cejourd’huy Mardy 21° Jour du mois de Novembre l’An 1769, avant Midy.
Dénomination de l’heririère. La defunte Damlle Gascard a délaissé ab intestat pour sa seule et unique heritière Damlle. Catherine Wepffert sa sœur fille majeure d’ans usante et jouissante de ses Droits en Condition en qualité de Fille de Chambre à Nancy, de present en cette ville, et y présente assistée du Sr Antoine Fidelis Hürstel, Praticien demeurt. en cetted° Ville
Trouvé dans une maison sise au Marché aux Chevaux de cette Ville de Strasbourg attenante à L’Arsenal Royal
Rangée des Rubriques du preent Inventaire. – Copie du Contrat de mariage pardvt M° Humbourg et Laquiante Not. Royaux de cette ville le 1. May 1765.
Bien propre au Veuf, Remplacement des Apports 600 livres
S’ensuit aussy la Description des biens propres à la Def. de present à l’heritiere, Habits 180, Remplacement de Bien propre 1300, Total general 1680 livres
Enfin s’ensuit la Description du Bien de la Communauté, Meubles 284, Argenterie 65, Deniers 828, Dettes actives 148, Total general 1325 livres – Dettes passives 2125 livres, Reste passive de la Communauté 799 livres
Somme Finale 1480 livres
Copie du Contrat de mariage (…) Fait, lu et passé audit Strasbourg le premier May 1765, M° Humbourg et Laquiante Not. Royaux

François Gascard et sa femme deviennent bourgeois en 1778.
1778, VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780)
[p. 12] François gascard, ejus uxor anna Lalairé

Anne Lalanne femme de François Gascard hypothèque la maison au profit de Marguerite Bido, femme du tailleur Pierre Pugens

1779 (14.10.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 387-v
Anne Gascard née La Lanne épouse de Sr François Gascard portier à l’Arsenal
à D° Marguerite Pugens née Bido épouse de Pierre Pugens mre tailleur – devoir 1300 livres tournois
hypothèque, une maison au Vieux marche aux Grains d’un côté faisant le coin de la ruelle du Vieux Saumon, de l’autre la maison à l’enseigne du Vieux Saumon, derrière la maison appartenante présent. au Sr Gros mre sellier – à la débitrice en partie comme héritière d’Antoine Duclo caffetier son oncle qui lui aurait assigné par préciput 6000 livres

François Gascard et Anne Marie Lalanne louent la maison au cafetier Jean Jacques Kolb et à Marie Salomé Schneider

1784 (16.8.), Not. Lacombe (6 E 41, 195) n° 37
Bail de 9 années à commencer à la St Michel prochaine – Sr François Gascard et Anne Marie Lalanne
au Sr Jean Jacques Kolb caffetier et Marie Salomé née Schneider
Scavoir la maison entière qui appartient aux bailleurs en cette ville rue du saumont et qui en fait le coin sans en reserver ny excepter aucune partie que les bailleurs s’obligent à faire blanchir depuis le bas jusqu’en haut – pour 650 livres tournois
(Joint) Etat des frais

François Gascard et Anne Marie Lalanne hypothèquent la maison au profit de la Ville de Strasbourg

1786 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 238-v
De Anne Marie Gascard née Lalanne épouse de François Gascard portier de l’Arsenal assistée de M. Fabien Sébastien Dournay licencié ez loix et M Jean Michel Hirchel tous deux assesseurs au Petit Sénat
devoir à la ville de Strasbourg 1762 livres
hypothèque, une maison au Vieux Marché au bled que la débitrice a héritée du Sr Douclot caffetier

Anne Marie Lalanne meurt en 1795 dans sa maison rue Brûlée en délaissant quatre enfants
1795 (25 thermidor 3), Strasbourg 9 (2, nouv. cote 4), Not. Dinckel n° 840
Inventaire de la succession de feu la Cit. Anne Marie Lalanne, vivante épouse du Cit. François Gascard, jardinier en cette commune, décédée le 19 floreal de l’année derniere, à la requête du veuf et encore le Cit. Joseph Duchêne Cuisinier a Strasbourg en qualité de tuteur des enfants mineurs procréés avec le veuf, scavoir François Antoine agé de 19 ans, Nicolas Marie Anthoine agé de 17 ans, Marie Anne 15 ans et Pierre Antoine 12 ans

Propriété d’une maison, Savoir une maison cour puits ecurie avec tous ses droits appartenances et dépendances située a Strasbourg rue brulée N° 13 d’un côté le coin de la rue dite Maurhoffsgaesseln de l’autre la veuve Metzger née Augée, assembl par derrière sur la veuve Kuhnenberger, estimée suivant le revenu net porté à 75 sur la matrice de Role de la contribution fonciere de la ville de Strasbourg de 1793 à 1500 livres – acquise par les conjoints Gascard par acte passé à la Chambre des Contrats le 25 juillet 1792
Série des rubriques de cet inventaire, propres à la défunte, habits 212 li, remplacement 12.479 li, total 12.691 livres
remplacement des apports du veuf 4000 livres
description des biens de la communauté, meubles 1433 li, maison 1500 li, total 2933 li, dettes passives 18.990 li, reste passif 16.057 livres
Copie du Contrat de mariage, Me Laquiante le 10 décembre 1770, le Sr François Gascard Portier de l’Arsenal de cette ville veuf de deffunte Marie Anne Veptifer et Dlle Anne Marie Lalanne fille majeure de Jean Lalanne laboureur de Lafitolle diocese de Tarbe en Bigorre et de deffunte Catherine Lalanne née Duclos assitée du Sr Antoine Duclos caffetier de cette ville son oncle maternel
Enregistrement, acp 36 F° 149 du 3 fruct. 3

Anne Marie Lalanne femme de François Gascard et Dominique Lalanne vendent la maison à l’horloger Jean Frédéric Liebold le jeune et à sa femme Marie Salomé Klein

1787 (28.12.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 487-v
Fr. Anna Maria geb. Lalanne Frantz Gascard des portners in allhiesigen königlichen arsenal hausfrau, H. Lt. Johann Joseph Solff procurator vicarius als gerichtlich bestellter curator Dominique Lalanne in dem dorff de la fitole proche Vic en bigorre diocèse de Tarbes wohnhafft
in gegensein H. Johann Friedrich Liebold des jüngeren klein uhren machers als letzt und meistbietenden und Mariæ Salome geb. Kleinin
eine behausung bestehend in vorder und hinter haus, bronnen, hoff, hoffstätten mit allen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen dem alten kornmarckt, einseit ist ein eck am Salmengäßel, anderseit neben dem Grosische haus – als ein zu gleichen theilen und rechten von weÿl. Antoni Duclos dem caffesieder ererbtes hauß – um 7540 gulden

Fils de l’horloger du même nom, Jean Frédéric Liebold épouse en 1785 Marie Salomé Klein, fille du boulanger Jean Michel Klein : contrat de mariage, célébration
1785 (21. 8.br), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 270
Eheberedung – Erschienen der woledle und kunstreiche Herr Johann Friderich Liebold, ledige Kleinuhrenmacher, des H. Johann Friedrich Liebold, ebenmäßigen Kleinuhrenmachers und Burgers alhier mit weil. Fr. Maria Magdalena geb. Buschin ehelich erzeugter einziger mehrjähriger Sohn, als Bräutigam, an Einem Teil
So dann die viel Ehren und Tugend-begabte Jungfrau Maria Salome Kleinin, des H. Joh: Michael Klein, frantzösischen Bäckers und Fr. Anna Maria geb. Fuchsin, beder Eheleuth und unde alhier, einzige nach hiesigen Stadt rechten großjährige Tochter, als Braut, beiständlich dieses ihres Vaters, an dem andern Teil
(unterzeichnet) Johann Friderich Liebold, als Breutigam, Maria Salomea Kleinin als Braut

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 199-v)
Im Jahr 1786 dienst-tags den 31. Jenner Abends nach Vier sind (…) ehelich eingesegnet worden Herr Johann Friderich Liepold, leediger Klein-Uhren-macher und burger allhier, Herrn Johann Friderich Liepold, Klein-Uhren-machers und burgers allhier und weÿland Frau Mariä Magdalenä geborner Buschin ehelicher Sohn und Jungfrau Maria Salome Kleinin, Johann Michael Klein, frantzösischen Beckers und burgers allhier und Frau Annä Mariä geborner Fuchsin eheliche Tochter unterzeichnet Johann Friderich Liebold als Hochzeiter, Maria Salome Kleinin als Hochzeiterin (i 201)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Jean Geoffroi Schæffer, Grand rue et rue du Miroir. Les apports du mari s’élèvent à 1 648 florins, ceux de la femme à 2 443 florins.
1786 (19.3.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 608) n° 539
Inventarium über H. Johann Friedrich Liebold des jüngern Kleinuhrenmachers und Fr. Maria Salome geb. Kleinin, bede Eheleut u. b. alh. Zu Straßburg, in die Ehe gebrachtes vermögen, auffgerichtet anno 1786. – ([in margine :] geb. 27. 8.br 1760, geb. 15. 9.br 1766) in ihrem den letztverfloßenen 31. Jänner mit einander eingetretenen Ehestand gebracht, und Zufolg des 4. Puncts der den 21. Weinmonat 1785. vor unterschriebenem Notario gestifteten Eheberedung, sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in Straßburg in H. Johann Gottfried Schäffer, des Eisenhändlers an der langen Straß u. Spiegelgäßlein gelegener diesorts lehnungsweise bewohnenden Eckbehausung, in fernerem beiseÿn beder Ehepersonen geliebten Eltern auf Freitag den 19. Maj nachmittah in dem Jahr 1786.
Volgt nun hierauf die Beschreibung des bederseitigen Einbringens an sich selbst. Des Manns in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. hausraths 231. Silbers 79. Uhren u. Werckzeugs 200. Sa. gold. Ring u. Stock 38. Sa. baarschafft 22. Sa. Schulden 1075, Summa summarum 1648 fl.
Endlich wird der Ehefrau beigebachtes Vermögen verzeichnet, Sa. h.srats 640. Sa. Silbers u dgl. Schmeids 49. Sa. gold. Ringe u. dgl. Geschmucks 240. Sa. Baarschafft 1513, Summa summarum 2443 fl.
Wittums-Verfangenschafft des Ehemanns, Nämlich Zufolg des 2. Puncts des vor mir Not° d. 23. April 1767 durch des Ehemanns d. 4. Nov. 1781 verstorb. Mr. weil. Fr. Maria Magdalena Liebold geb. Buschin gesetzmäsig gestifteten offenen Codicills, 1075 fl.

Jean Frédéric Liebold meurt en 1789 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 2 000 livres. La masse propre à la veuve est de 1 119 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 3 785 livres, le passif à 7 461 livres

1789 (28.5.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 611) n° 631
Inventarium über Weiland H. Joh. Friedrich Liebold des jüngern, gew. Kleinuhrenmachers u. b. alh. zu Straßburg, Vermögen: Nachl. auffgerichtet 1789 Vermögens-Nachlassenschaft – nach seinem den 10. laufend. Monats aus dießer Welt genommenen seligen abschied verlaßen hat. Welches auff Ansuchen sowom dessen hinterbliebener Wittwe der viel Ehren u. Tugend-begabten Frau Maria Salome geb. Kleinin mit Beihilfe H. Lt Joh. Frid: Burger, des Procuratoris vicarii, als auch des Abgelebten mit derselben ehelich erzeugten u. nach Tod zurückgelaßenen einzigen Kindts Johann Friderich, als Intestatserben geordneteten u. in Pflichten genommenen Vogts H. Lt. Johann Ludwig Herrenschneider (…) auffgerichtet in Straßburg in hienach inventirter, an dem alten Kornmarckt gelegener Sterbbehausung auf Donnerstag den 28. Mai vormittag in dem Jahr 1789.
Abschrift der zwischen bed. dh. f. Tod nunmehr getrennter Ehepersonen d. 21. 8.br. 1785. Vor mir Not. errichteten Eheberedung

Ergäntzung der Frau Wittwe abgegangenen unveränderten Guts, Nach Anleitung des d. 19. Mai 1786. durch mich Not. auffgerichteten Inventariums
Wittums- Verfangenschaft des Beneficialerbs. Nämlich vorgemelter väterl. Hr Grosvater hat von seiner d. 4. Nov. 81. selig erbläßten vorgedachten Frau Eheliebste Vermögens-Nachlassenschaft, Zufolg der den 1. des disortigen Erb-lassers anerstorbenen müttel. Erbteil die Hälfte lebenslang zu geniesen
Eigentum ane einer behausung (E & T. – 4. C N° 94, 20° 23 lb 9 s 3 d, logt 32) Nämlich 1. unter 1. dach sich befindende, in Vorder- und Hinter- haus, Hofstätten und 1 Gumpbronn bestehende beh. m. all: ihren begriffen, Weiten, Zugehörd. Rechten u. Gerechtigke. an dem alten Kornmarckt, 1.S. vorn, ist 1. Eck an dem Salmengäßl. 2.S. neb. u. hinten f. weil. H. Rathh. Joseph Gros, Sattlers, We. u. Erben stosend, so auser denen darf. haften. u. hienach fol. (-) invent. Passivcap. frei u. eigen, sofort dh. (die Werckmeistere) in deren bei diesem Conc: liegenden Abschatzung d. (-) 1789. angeschlagen um (-). Wie der nun Verstorbene dies: Hs. von weil. Antoni Duclos, gew. hies. b. u. Kaffes. Erben erkauft hat, solches belehrt der d. 28. Dec. 1787 in hies. CCSt. errichtete u. f. Perg: ausgef. unt. H. Dinckel des Actuarii contractuum Substituti Unterschr: teutsche Kfbr. Dabei 2. ähnl. v. 24. Junius 1612. u. 15. Mai 1702, So dann 1. vor H. Humbourg dem Königl. Not: dah., d. 21. Jän. 1757 pass. d. 18. Febr. darf. hin in vorberührt. C.St. enregistr. m. der: fgedr. Ins. verw. u. mit H. Christiani, des Substit. Unterschr. aufgef. perg. franz. Kfbr.
Folgt nun hierauf die Beschreibung dieser Vermögens-Nachlasenschaft an sich selbst. Der Frau Wittwe unverändertes Gut, Sa. Hausrahts 92, Sa. Silbers u. dgl. Geschmeids 8, Sa. gold. Ringe u. dgl. Geschmeids 36, Sa. Schuld 200, Sa. Ergäntzung 782, Summa summarum 1119 lb
Nach diesem wird alles übrige Vermoegen weil keine Errungenschaft vorhanden, unter dem Titel, so des beneficialerbs unverändert und teilbar, verzeichnet, Sa. Hausrahts 206, Sa. Uhren u. Zugehörde 1074, Sa. Werckzeugs 23, Sa. Weins 4, Sa. Silbergeschirrs u. dgl. Geschmeids 11, Sa. Golds 6, Sa. Baarschafft 350, Sa. Eigenthums en i. Beh. 2000, Summa summarum 3785 lb – Schulden 7461 lb, In Vergleichung 3785 – Stall Summ 2666 lb
Abschrifft d. 21. 8. br. 1785 vor mir Notario errichteten Eheberedung (…)
Patengels des d. 12. dec. 1786 getauften Kinds
Abschatzung vom 19.t Juni 1789. Auf begehren Weiland Herr Johann Friedrich Liebold dem geweßenen uhrenmacher, ist eine behaußung alhier in der Stadt Strasburg ahne dem alten Kornmarckt gelegen ein Seits ein Eck auf dem Salmen gäßlein, ander Seits, und hinten auf die frau Großin wittib Stosend gelegen. Solche behauasaung bestehet in einer Boutique, ferner zweÿ Stuben, zweÿ Kuchen, und ein frantzösisch Kamin Zimmer, und etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch ein gewölbter Keller, und brunen, Von uns unterschriebenen der Stadt Strasburg geschwohrnen Werck Meister und Vorher geschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtig Keit, dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden, für und um die Summ von Vier tausend Gulden [unterzeichnet] Kaltner Wkmstr, Klotz Wkmstr [in margine:] thut nichts auf Löbl. Statt Pfenningturn, Ferber

Marie Salomé Klein veuve de Frédéric Liebold loue la maison à l’horloger Charles Friedel

1790 (2.3.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 63
Fr. Maria Salome Liebholdin geb. Kleinin H. Friedrich Liebhold des kleinen uhrenmachers wittib beÿständlich H. Lt. Johann Friedrich Burger
in gegensein H. Carl Friedel des klein uhren machers
ihr gesamtes waaren lager bestehend in (…), 7000 lit
in der ihre zuständig ane dem alten Kornmarckt gelegenen behausung ihme H. Friedel eine vollständige wohnung verlehnt bestehend in einem laden, zweÿ stuben und küch a plein pied au rez de chaussée einen kleinen keller und dreÿ kammer für gesend und schwartz getüch in dem dritten stockwerck – auff 4 nacheinander folgenden jahren von dato angerechnet – um einen jährlichen Zinß nemlich 300 livres

Marie Salomé Klein se remarie en 1790 avec Jean Georges Teutsch qui tient l’auberge du poêle de la Lanterne : contrat de mariage, célébration
1790 (9.1.), Not. Übersaal (6 E 41, 661) n° 105
Eheberedung – Erschienen der Wol: Ehrenvest und Großachtbare Herr Johann Georg Teutsch, lediger Gastgeber auf Er. En. Zunft zur Luzern und burger alhier, weiland Hn Joh: Friderich Teutsch, des auch gewesenen Gastgebers daselbst und burgers dahier mit Frau Sabina Magdalena gebohrner Dörferin ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigam, ane einem
Und die Vielehren: und Tugendbegabte Frau Maria Salome Lieboldin gebohrne Kleinin, weiland Hn Joh: Friderich Liebold des gewesenen Klein: Uhrenmachers und Burgers alhier seel. hinterbliebene Frau Wittib, beiständlich Hn. Joh: Michael Klein, des frantzösischen Bäckers und burgers hieselbst, ihres leiblichen Vaters, als Braut, an dem andern Teil
auff Sambstag den 9. Jänner im Jahr 1790 (unterzeichnet) Johann Georg Teutsch, Maria Salome Lieboldin Geb. Kleinin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 70, n° 15)
Im Jahr Christi 1790 sind so wohl in St Niclaus als in der Prediger Kirche Dominica Oculi Zum ersten mal und Dominica Lætare Zum andern mal proclamirt und so dann von unterschriebenem diacono beÿ der Prediger-Kirche auf Erlaubnus des Herrn Ammeisters den 6. Mertz in dem Hause der Braut Dienst-tags den 16. Märtz Abends um Vier Uhr Ordnungs-masig copulirt und ehelich eingesegnet worden Herr Johann Georg Teutsch, der ledige Gastgeber auf der Lucernen Stub und burger allhier, weÿland Herrn Johann Friderich Teutsch, gewesenen Gastgebers auch auf der Herren-Stub und burgers allhier und Frau Salome Magdalenä geborner Dörferin ehelicher Sohn Neun und dreÿßig Jahr alt und Frau Maria Salome Leiboldin geborne Kleinin, weÿland Herrn Friderich Liebolds gewesenen Klein-Uhren-machers und burgers allhier hinterlassene wittib und Herrn Johann Michael Kleins, ehemaligen Frantzösischen beckers und burgers allhier und Frau Annä Mariä geborner Fuchsin eheliche Tochter, vier und Zwantzig Jahr alt (unterzeichnet) Johann Georg Teutsch als Bräutigam, Maria Salome Lieboldin als Braut ( 59)

Marie Salomé Klein fait dresser l’inventaire des apports dont l’actif s’élève à 9 606 livres, le passif à 6 883 livres.

1790 (8.5.), Not. Übersaal (6 E 41, 660) n° 280
Inventarium über der Viel: Ehren und Tugendbegabten Frau Mariæ Salome Teutschin geborener. Kleinin zu dem Wol Ehrenvest: und Grosachtbaren Herrn Johann Georg Teutsch, Gastgebers auf Er. En. Zunfft zur Luzern und Burger alhier Zu Straßburg, ihrem Eheherrn vor unverändert in den Ehestand zugebrachtes Vermögen, auffgerichtet den 8. Maji Im Jahr 1790. – in dem d. 16. Martii jüngst angetretenen Ehestand zugebracht und sich in der vor mir den unterschriebenen Notario den. 9.ten Jänner dieses Jahrs aufgerichteten Eheberedung §° 4° (…) So geschehen alhier zu Straßburg theils auf Er En Zunft zur Luzern und theils in der Frau Requirentin hernach eingetragener Behausung, auf Sambstag den 8.ten Maji im jahr 1790.
Eigentum an einer Behausung. Nämlich eine Behausung, bestehend in Vorder: und Hinterhaus, einem Bronnen und Hofstatt, samt Zugehörden und Rechten, gelegen alhier an dem alten Kornmarckt, einseit ist ein Eck am Salmengäßlein, anderseit neben dem Grös’schen Haus, hinten auf eben dieses Haus, so auser denen darauf haftender und hernach passivé eingetragenen Capitalien frei, ledig, eigen und hier ohe Nachteil angeschlagen wird vor 8000 fl. Darüber sond vorhanden 3. pergamentene Kaufbriefe aus der C. C. Stube vom 24. Junii 1612, 15. Maji 1702 u. 28. Decembr. 1787. wie auch Kauf-Contract vor H. Humbourg dem ehemal. Königl. Notario den 21. Januarii 1757. passirt.
Norma hujus inventarii, Sa. Hausraths 1070, Sa. Silbers und dergleiche Geschmeids 8, Sa. goldene Ringe 341, Sa. des Eigentums an einer Behausung 8000, Summa summarum 9501 fl. – Dazugelegt die Ihr an denen Haussteuren gehörige Hälfte antreffend 104, (Summa) 9606 fl – Schulden 6883 fl., nach abzug Der Frau Teutschin restirendes Vermoegen 2722 fl.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Louise Dorothée Dürr épouse du sellier Alexandre Bayer

1810 (30.6.), Strasbourg 12 (31), M° Wengler n° 4917
Inventaire de la succession de Louise Dorothée Dürr épouse d’Alexandre Bayer, sellier carossier, décédée le 6 janvier 1810 – à la requête du veuf, tuteur naturel de Jean Charles Alexandre âgé de 8 ans, Louise Justine âgée de 7 ans, Guillemine âgée de 2 ans et Julie âgée de 6 mois, ses quatre enfants issus de la défunte, en présence de Jean Dürr, sellier carossier grand père et tuteur subrogé aux enfants mineurs – Contrat de mariage reçu Stoeber le 20 prairial 10
dans la maison mortuaire vieux marché aux grains n° 17 appartenant au Sr Teutsch marchand de vin
propres de la défunte, mobilier 2169 fr
communauté, meubles, voitures, argenterie, dettes actives 14.974 fr, passif 4958 fr, déduction faite 10.016 fr
Enregistrement, acp 115 f° 19 du 2.7.

La maison revient au fils Jean Frédéric Liebold qui épouse en 1814 Amélie Saum, fille du négociant Jean Daniel Saum

1814 (15.9.), Strasbourg 10 (53), M° Zimmer n° 536, 6483
Contrat de mariage – Jean Frédéric Liebold, propriétaire né le 10 décembre 1786 de feu Jean Frédéric Liebold, horloger et de Marie Salomé Klein présentement épouse de Jean Georges Teutsch, marchand de vin
Amélie Saum, fille de Jean Daniel Saum fils ainé négt. et de feu Catherine Dorothée Krauss, née le 27 vendemiaire 4 (19 octobre 1795)
Enregistrement, acp 125 f° 116-v du 17.9. – communauté avec réserve d’apports

L’inventaire après décès du tonnelier Jean Michel Dœrffer, père du propriétaire suivant, est dressé dans la maison

1850 (4. Xbr), Strasbourg 10 (117), M° Zimmer n° 8735
Inventaire de la succession de Mr Jean Michel Doerffer, en son vivant tonnelier
requête de Dame Caroline Specht
rue du vieux marché aux grains N° 17
acp 396 (3 Q 30 111) f° 98-v

Jean Frédéric Liebold loue la maison à rez de chaussée et deux étages au négociant Charles Auguste Schnitzler

1857, Enregistrement de Strasbourg, ssp 125 (3 Q 31 624) f° 8-v du 5.5.
du 29 janvier 1857, Bail – Le soussigné Sr Jean Frédéric Liebold, propriétaire à Strasbourg, loue par ces présentes pour neuf années, à partir du 25 juin 1856
au Sr Charles Auguste Schnitzler, négociant en ladite ville, ce acceptant
une maison à rez de chaussée et deux étages, située à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 17. Ce bail fait pour un loyer annuel de la somme de 1200 francs. Toutes les grosses réparations et les petites sans exception seront supportées par moitié entre MM. Schnitzler et Liebold ainsi que les contributions de toute nature. Il est cependant déclaré ici que dans le cas où la ville de Strasbourg exigeait que le devant de ladite maison fût badigeonné, les frais de ce travail seront à la charge du Sr Liebold seul. Les charges sont estimées pour l’enregistrement à 150 francs pour toute la durée du bail

Jean Frédéric Liebold meurt en 1859 en délaissant trois filles ou leur représentant

1859 (22.11.), Strasbourg 10 (140), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.298
du 22 novembre 1859. Déclaration tenant lieu d’inventaire de la succession de Mr Jean Frédéric Liebold, vivant propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 8 avril 1859.
Ont comparu 1. M. Edouard Michel Geoffroi Rist, ancien magistrat agissant a) en qualité de mandataire de Mad. Louis Amélie Gabrielle Rist, sa fille, épouse autorisée de M. Thimodé Charlier, ingénieur civil, demeurant et domiciliés à Strasbourg (…) b) comme père et tuteur légal de son fils mineur Charles Edouard Adrien Rist, né le 26 septembre 1841, Mad° Charlier & le mineur Rist représentant leur mère feu D° Amélie Valérie Liebold, épouse de M. Rist comparant
2° Mad° Louise Laure Liebold, épouse dûment autorisée & assistée de M. Frédéric Charles Rau, chevalier de la Légion d’Honneur & professeur à la faculté de droit à Strasbourg, ci présent, M. Rau agissant en outre en qualité de subrogé tuteur (…) dudit mineur Rist (…) b) & du mineur Schaaff ci après nommé (…)
3° M. Auguste Edouard Schaaff, docteur en médecine, agissant au nom & comme père & tuteur légal de M. Adolphe Frédéric Schaaff son fils encore mineur étant né à Strasbourg le 3 octobre 1855 de son mariage avec feu Mad° Frédérique Cécile Liebold
Les susnommés habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de feu M Jean Frédéric Liebold leur père et grand père respectif en son vivant propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 8 avril dernier, savoir Mad. Charlier & le mineur Rist par représentation de Mad. leur mère susnommée ensemble pour un tiers, Mad. Rau pour un tiers Et le mineur Schaaff par représentation de sadite mère pour le dernier tiers, tous les sus nommés demeurant et domiciliés à Strasbourg

Immeubles. I. La moitié indivise dont l’autre moitié appartient déjà aix héritiers de M. Liebold du chef de Mad. leur mère sus nommée d’une maison
grand’rue N° 136 nouveau, ancien N° 10 (…)
II. Une maison à rez de chaussée & deux étages, droits appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 8 autrefois N° 17, tenant d’un côté à une ruelle, de l’autre à M Hund, pardevant la rue du vieux marché aux grains, par derrière à divers particuliers. Quant à l’établissement de la propriété de et immeuble il sera consigné dans la liquidation qui sera dressée de la succession de feu M. Liebod
III. Une maison avec petite cour, lavoir, droits appartenances & dépendances située à Strasbourg, quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 (…)
acp 483 (3 Q 30 198) f° 18 du 23. 9.br (succession déclarée le 5 octobre 1859) Il dépend de ladite succession 1) produit du mobilier 1128, 2) créances et loyers 107.055, 3) argent 3782
4) moitié d’une maison à Strasbourg Grande rue N° 136
5) Une maison dite ville rue du vieux marché aux grains n° 8
6) Une maison dite ville Krutenau, rue de la Bruche n° 4
7) moitié de 2 ha 4 ares 23 terres, pré et vignes au ban d’Osthoffen
8) 91,12 terre même ban
Compte d’administration de M. Stromeyer Nre à Strasbourg en qualité de gérant de feu le Sr Liebold, ce dernier non présent, il a fait recette de 8784, il a fait dépense de 9132, il a en caisse 2782. Dans les dépenses faites par M° Stromeyer on lit, il a payé à Edouard Schaaff au nom de son enfant à valoir sur la succession une somme de 1000 francs, à M. Rist pour ses enfants la somme de 201 francs et à Mde Rau à valoir sur la succession 10.600 francs

Les immeubles restent indivis lors de la liquidation

1860 (26.1.), Strasbourg 10 (140), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.387
Liquidation et partage de la succession de Mr Jean Frédéric Liebold
Ont comparu I. M. Edouard Michel Geoffroi Rist, ancien magistrat agissant a) en qualité de mandataire de Mad. Louis Amélie Gabrielle Rist, sa fille, épouse autorisée de M. Thimothé Charlier, ingénieur civil (…) b) comme tuteur légal de M. Charles Edouard Adrien Rist son fils encore mineur, étant né le 26 septembre 1841, Mad° Charlier & le mineur Rist issus du mariage de M. Rist père avec Dame Amélie Valérie Liebold, son épouse défunte
II. Mad° Louise Laure Liebold, épouse de M. Frédéric Charles Rau, professeur à la faculté de droit à Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, Mad. Rau agissant en son nom personnel sous l’autorisation de son mari ci présent ci présent, Et M. Rau stipulant tant à cause de cette autorisation qu’en qualité de subrogé tuteur a) dudit mineur Rist (…) b) & du mineur Schaaff ci après nommé (…)
III. M. Auguste Edouard Schaaff, docteur en médecine, agissant au nom et comme tuteur légal de M. Adolphe Frédéric Schaaff, son fils encore mineur étant né à Strasbourg le 3 octobre 1855 de son mariage avec Dame Frédérique Cécile Liebold son épouse défunte
Tous les susnommés demeurant et domiciliés à Strasbourg. Lesquels comparants pour faciliyer l’intelligence de la liquidation avec partage qui fera l’objet des présentes ont préalablement exposé ce qui suit.

Observations préliminaires. Mad. Charlier, le mineur Rist, Mad. Rau & le mineur Schaaff possèdent par indivis dans la proportion indiquée ci après divers biens meubles & immeubles provenant 1° en partie de la communauté de biens qui a existé entre M Jean Frédéric Liebold, propriétaire à Strasbourg & Dame Amélie Saum son épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer, père, alors notaire en cette ville le 15 septembre 1814. 2° & pour le surplus des successions de ces deux époux.
Mad. Liebold est décédée le 3 mai 1851 laissant pour seuls héritiers Mad. Rist, sa fille aujourd’hui représentée par ses deux enfants pour un tiers, Mad. Rau, aussi sa fillen pour un autre tiers et le mineur Schaaff par représentation de Mad. sa mère, également fille de la défunte pour le dernier tiers. Aucun inventaire n’a été dressé après le décès de Mad° Liebold. L’administration des biens composant ladite communauté & la succession de la défunte a été laissée à Mr Liebold qui l’a confiée plus tard, avec la gestion de ses biens personnels, à M° Stromeyer, notaire à Strasbourg. Le denier compte de cette administration continuée par ce notaire jusqu’au mois de novembre écoulé sera établi ci après.
M. Liebold est aussi décédé le 8 avril dernier laissant pour seuls héritiers Mad. Charlier & le mineur Rist ses petits enfants ensemble pour un tiers, Mad. Rau sa fille pour un autre tiers & le mineur Schaaff son petit fils pour le dernier tiers (…)
Compte d’administration de M° Stromeyer (…)
Indivision. Les parties sont convenues de laisser dans l’indivision entre les copartageants sus-nommés
1. Une maison avec ses dépendances sise à Strasbourg grand’rue N° 136
2. Une maison avec ses dépendances sise en la même ville rue du vieux marché aux grains n° 8
3. Une maison avec ses dépendances sise en la même ville rue de la Bruche n° 4
4. Un corps de biens à Osthoffen, 5° Un autre corps de biens même ban
acp 485 (3 Q 30 200) f° 15 du 1.2. – Masse active. Créances et intérêts 112.612
Dans les créances il est porté une somme de 1500 francs due par Mr Rau sans titre, intérêts 133
Masse passive 13.363 – Reste 99.244, le tiers 33.081

Timothée Charlier et Gabrielle Louise Amélie Rist, copropriétaires, hypothèquent la maison au profit du Crédit agricole de Paris

1867 (10.10.), Strasbourg 7 (127), M° Edouard Stromeyer N° 5505
du 10 octobre 1867. Crédit – Ont comparu I. Monsieur Auguste Eugène Jundt, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme Directeur du Crédit agricole de Paris dont une Succursale est établie à Strasbourg dans les bureaux de M. Jundt rue d’Or n° 3 d’une part
II. Monsieur Jean Metzger, brigadier de gendarmerie en retraite demeurant et domicilié hors la porte d’Austerlitz de la Ville de Strasbourg et en sa banlieue, agissant comme mandataire de Monsieur Timothée Charlier, Ingénieur civil Directeur des ardoisières de Caumont, et Madame Gabrielle Louise Amélie Rist son épouse,demeurant et domiciliés ensemble en la commune de Caumont
Article premier. Crédit, Sa durée. M. Jundt ouvre un crédit en compte courant de la somme de 25.000 francs. La durée du crédit est fixée à un an à compter de ce jour
Article 9°. Hypothèque. Le 6° par indivis des Immeubles ci après désignés, situés à Strasbourg I. d’une Maison à rez de chaussée et trois étages, cour, Jardin, loge de concierge, bâtiments latéraux et de derrière
$ Grand’rue n° 136 à Strasbourg, d’un côté la rue de la Chaîne, de l’autre M. Goppert, devant la Grand’rue, derrière MM Kratz, Oesinger et autres, inscrit à la matrice cadastrale sous le N° 739 de la section P, d’une superficie de 11 ares 90 centiares, Sur la mise à prix de 150.000 francs
II. d’Une Maison avec petite cour, lavoir, droits et dépendances sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 (…)
III. d’une Maison à rez de chaussée et deux étages, bâtiments latéraux et de derrière, puits, cour, droits et dépendances, situé à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 8 où elle fait le coin de la ruelle du Saumon, d’un côté M. Fassoli, de l’autre la ruelle du Saumon, devant la rue du vieux marché aux grains, derrière divers propriétaires, inscrit à la matrice cadastrale sous la section N, N° 877 et 877 comme ayant une superficie de un are 15 centiares
Article deuxième. Origine de la propriété
III. M. Liebold était propriétaire de la maison désignée sous l’article trois pour l’avoir héritée dans les successions de ses père et mère feus M. Jean Frédéric Liebold, vivant horloger à Strasbourg où il est décédé le 10 mai 1789 et Mad. Marie Salomé Klein décédée en ladite ville le 14 mai 1818 desquels il était le seul et unique héritier. M. et Mad. Liebold avaient acquis cette maison d’Anne Marie Lalanne épouse de M. François Gascard, portier de l’Arsenal de Strasbourg aux termes d’une adjudication passée devant M° Frédéric Louis Reinhard Wurmser de Vendenheim Maître et conseiller de la Ville de Strasbourg le 28 décembre 1787 pour le prix de 7540 florins soit 15.080 francs, soldés le 19 Brumaire an VII de la République

Liquidation par laquelle les héritiers se partagent le prix de vente des immeubles
1869 (31.8.), Strasbourg 10 (163), M° Kœrttgé (Jean Théodore)
Liquidation et partage des successions délaissées par Frédéric Liebold et Amélie Saum
31 août 1869 – Ont comparu M. Charles Rau, avocat, professeur à la Faculté de droit de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, et Madame Louise Laure Liebold, son épouse de lui assistée et autorisée, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer alors notaire à Strasbourg le 15 juin 1840,
M. Jules Gérard, principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire spécial de Madame Gabrielle Louise Amélie Rist, épouse de M. Timothée Charlier, Ingénieur civil directeur des ardoisières de Caumont, demeurant et domicilié ensemble à Caumont (…) M. et Madame Charlier, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Keller notaire à Strasbourg le 12 août 1859,
M. Charles Rist, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire spécial de M. Charles Edouard Adrien Rist, majeur d’ans, demeurant et domicilié à Strasbourg se trouvant actuellement à Goettingue (…)
Mad. Charlier et M. Charles Edouard Rist par représentation de leur mère Amélie Valérie Liebeold épouse de M. Edouard Michel Geoffroi Rist, propriétaire à Strasbourg où elle est décédée et dont ils sont seuls et uniques héritiers ainsi qu’il résulte de l’intutulé de l’inventaire dressé après le décès de Madame Rist par M° Keller notaire à Strasbourg le 28 août 1857.
M. Adolphe Frédéric Schaaff, majeur d’ans, étudiant en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg
Madame Rau, Madame Charlier et M Charles Edouard Adrien Rist et M. Schaaff agissant en qualité de seuls et uniques héritiers de leurs parents et grands parents M. Frédéric Liebold, négociant et dame Amélie Saum conjoints décédés à Strasbourg, et ce dans les proportions suivantes, Madame Rau pour un tiers, M. Schaaff pour un tiers et Mad. Charlier et M. Rist ensemble pour le dernier tiers. Lesquels pour arriver à la liquidation qui fait l’objet des présentes ont exposé au préalable ce qui suit.

Observations préliminaires. Toutes les valeurs mobilières dépendant tant de la communauté de biens qui a existé entre M. Liebold susdit et Madame Liebold née Saum ont été liquidées entre les ayants droits ainsi qu’il résulte d’une liquidation dressée par M° Zimmer alors notaire à Strasbourg, prédécesseur du soussigné notaire Koerttgé le 26 janvier 1860. Le décès de Mad° Liebold née Saum est arrivé à Strasbourg le 3 mai 1851 et celui de M. Liebold le 8 avril 1859. Les immeubles dépendant des successions de M et Madame Liebold restèrent à cette époque d’un commun accord indivis entre leurs héritiers. Mais désireux de sortir enfin de l’indivision, ces derniers ont fait dresser sous la date du 17 août 1869 par le soussigné notaire Koerttgé le cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles devait avoir lieu la licitation de ces immeuble. Cette licitation eut lieu le 30 août 1859 (…)
acp 586 (3 Q 30 301) f° 39-v du 6.9. consistant dans le prix des immeubles indivis 1) dans la somme de 156.500, prix de la maison adjugée à Mde Rau et le Sr Schaaff, 2) le prix de la maison adjugée au Sr Doerffer 45.000, 3) le prix de la maison adjugée à la D° Roser 6025, 5) le prix d’immeubles adjugés au Sr Schaaff 5020, total 219.595

Les héritiers vendent aux enchères les immeubles de leurs parents. Cahier des charges

1869 (17.8.), Strasbourg 10 (163), M° Kœrttgé (Jean Théodore) N° 1248
17 août 1869, Cahier des charges – Ont comparu M. Charles Rau, avocat, professeur à la Faculté de droit de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, et Dame Louise Laure Liebold, son épouse de lui assistée et autorisée, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, M. Jules Gérard, principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire de Mad. Gabrielle Louise Amélie Rist, épouse de M. Timothée Charlier, Ingénieur civil directeur des ardoisières de Caumont, demeurant et domicilié à Caumont, M. Adolphe Frédéric Schaaff, majeur d’ans, étudiant en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel que comme se portant fort de M. Charles Edouard Adrien Rist, majeur d’ans, étudiant en médecine demeurant à Paris se trouvant actuellement à Goettingue (Allemagne) (…) Lesquels pour arriver au cahier des charges qui fait l’objet des présentes ont exposé ce qui suit.
Mad. Rau, Mad. Charlier et M. Rist et M. Schaaff comparant sont les seuls et uniques héritiers, Mad. Rau et M. Schaaff chacun pour un tiers et Mad. Charlier et M. Rist ensemble pour le dernier tiers de leurs parents et grands parents M. Frédéric Liebold, négociant et dame Amélie Saum conjoints décédés à Strasbourg. Des succession des époux Liebolt-Saum dépendent divers Immeubles qui sont restés indivis entre leurs héritiers vu qu’ils sont impartageables de leur nature. Voulant sortir de l’indivision, les parties sont résolu d’un commun accord de procéder à la licitation desdits immeubles

Désignation des Immeubles à liciter
1. Une Maison à rez-de-chaussée et trois étages, cour, jardin, loge de concierge, bâtiments latéraux et de derrière comprenant écurie à quatre chevaux, belles caves, droits, appartenances et dépendances, le tout sis Grand’rue n° 136 à Strasbourg, d’un côté la rue de la Chaîne, de l’autre M. Goppert, devant la Grand’rue, derrière MM Kratz, Oesiger et autres, inscrit à la matrice cadastrale sous le N° 739 de la section P, d’une superficie de 11 ares 90 centiares, Sur la mise à prix de 150.000 francs
2. Une Maison à rez-de-chaussée et deux étages, bâtiments latéraux et de derrière, puits, cour, droits et dépendances, le tout sis à Strasbourg rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 8, formant le coin de la ruelle du Saumon, d’un côté M. Fassoli, de l’autre la ruelle du Saumon, devant la rue du Vieux-Marché-aux-Grains, derrière divers propriétaires, inscrite à la matrice cadastrale sous les N° 877 et 877 de la section N, d’une superficie d’un are 15 centiares, Sur la mise à prix de 30.000 francs
3. Une Maison avec petite cour, lavoir, droits et dépendances sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 entre M. Diebold et M. Waltz devant la rue de la Bruche, derrière la rivière, inscrite au cadastre sous le N° 588 de la section O, d’une superficie de 40 centiares, Sur la mise à prix de 5000 francs
4. Un hectare (…) au ban d’Osthoffen (…)
Origine de la propriété. Tout l’immeuble désigné sous l’article premier appartenait primitivement à l’Emigré Flachslanden (…)
II. L’immeuble décrit sous l’article second a été hérité par ledit M. Frédéric Liebold dans les successions de ses père et mère M. Jean Frédéric Liebold, vivant horloger à Strasbourg où il est décédé le 10 mai 1789 et Mad. Marie Salomé Klein décédée en ladite ville le 14 mai 1818 desquels il était le seul et unique héritier. M. et Mad. Liebold avaient acquis cette maison d’Anne Marie Lalanne épouse du Sr François Gascard, portier de l’Arsenal de Strasbourg aux termes d’une adjudication passée devant M° Frédéric Louis Reinhard Wurmser de Vendenheim Maître et conseiller de la Ville de Strasbourg le 28 décembre 1787 pour le prix de 7540 florins soit 15.080 francs, soldés le 19 Brumaire an VII
III. L’immeuble décrit sous l’article trois (…)
Clauses, charges et conditions. (…) La grande propriété désignée sous l’article premier (…)
Dans la propriété désignée sous l’article second se trouvent cinq fourneaux en fonte et deux poêles en faience
b. que l’article second est loué verbalement audit M. Schnitzler pour un loyer annuel de 1498 francs jusqu’au 25 juin 1871
acp 586 (3 Q 30 301) f° 8-v du 18.8.

Vente des immeubles. Le tonnelier Charles Auguste Doerffer acquiert la maison au Vieux-Marché-aux-Grains

1869 (30.8.), Strasbourg 10 (163), M° Kœrttgé (Jean Théodore) N° 1271
30 août 1869, Adjudication – Ont comparu M. Charles Rau, avocat, professeur à la Faculté de droit de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, et Madame Louise Laure Liebold, son épouse de lui assistée et autorisée, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer alors notaire à Strasbourg le 15 juin 1840,
M. Jules Gérard, principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire spécial de Madame Gabrielle Louise Amélie Rist, épouse de M. Timothée Charlier, Ingénieur civil directeur des ardoisières de Caumont, demeurant et domicilié ensemble à Caumont (…) M. et Madame Charlier, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Keller notaire à Strasbourg le 12 août 1859,
M. Charles Rist, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire de M. Charles Edouard Adrien Rist, majeur d’ans, demeurant et domicilié à Strasbourg se trouvant actuellement à Goettingue (…) M. Adolphe Frédéric Schaaff, majeur d’ans, étudiant en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg
Lesquels ont exposé que sous la date du 17 août 1869 ils ont fait dresser par le soussigné notaire Koerttgé qui en a la minute et l’un de ses collégues notaires à la même résidence, le cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles seront vendus aux enchères les immeubles indivis entre les parties, dépendant des successions de leurs parents et grands parents M. Frédéric Liebold, négociant et dame Amélie Saum conjoints décédés à Strasbourg (…) Que c’est par erreur que l’immeuble désigné sous l’article second audit cahier des charges a été inscrit comme comprenant bâtiments latéraux et de derrière et cour
Que cet immeuble se compose uniquement d’une Maison à rez-de-chaussée et deux étages avec puits droits et dépendances (…)
Que dans le logement occupé par M. Schnitzler dans la maison grand rue 136 il n’y a que deux glaces-trumeaux qui sont à comprendre dans la présente enchère (…)
et déclaré les enchères ouvertes sur
Article premier. Une Maison à rez-de-chaussée et trois étages, cour, jardin, loge de concierge, bâtiments latéraux et de derrière comprenant écurie à quatre chevaux, belles caves, droits, appartenances et dépendances, le tout sis Grand’rue n° 136 à Strasbourg, d’un côté la rue de la Chaîne, de l’autre M. Goppert, devant la Grand’rue, derrière MM Kratz, Oesiger et autres, inscrit à la matrice cadastrale sous le N° 739 de la section P, d’une superficie de 11 ares 90 centiares, Sur la mise à prix de 150.000 francs et plusieurs bougies ayant été allumées les enchères ont été portées pendant leur durée à la somme de 156.500 francs par Mad. Rau et M. Schaaff sus-nommés, co-licitants
Article second. Une Maison à rez-de-chaussée et deux étages, puits, droits et dépendances, le tout sis à Strasbourg rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 8, formant le coin de la ruelle du Saumon, d’un côté M. Fassoli, de l’autre la ruelle du Saumon, devant la rue du Vieux-Marché-aux-Grains, derrière divers propriétaires, inscrite à la matrice cadastrale sous les N° 877 et 877 de la section N, d’une superficie d’un are 15 centiares, Sur la mise à prix de 30.000 francs et plusieurs bougies ayant été allumées les enchères ont été portées pendant leur durée à la somme de 45.000 francs par M. Charles Auguste Doerffer, tonnelier demeurant et domicilié à Strasbourg
Article troisième. Une Maison avec petite cour, lavoir, droits et dépendances sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 entre M. Diebold et M. Waltz devant la rue de la Bruche, derrière la rivière, inscrite au cadastre sous le N° 588 de la section O, d’une superficie de 40 centiares, Sur la mise à prix de 5000 francs et plusieurs bougies ayant été allumées les enchères ont été portées pendant leur durée à la somme de 7050 francs par M. Guillaume Alfred Schnell, capitaine d’état-major attaché à la 6° Division militaire, en garnison à Strasbourg où il demeure et est domicilié
Article quatrième. Un corps de biens au ban d’Osthoffen (…)
acp 586 (3 Q 30 301) f° 39 du 6.9.

Le tonnelier Charles Auguste Dœrffer épouse en 1861 Marie Emma Matern
1861 (9.4.), Strasbourg 14 (157), M° Ritleng père n° 12.173
Contrat de mariage, 9 avril 1861 1869-1861- Ont comparu Monsieur Charles Auguste Doerffer, tonnelier domicilié & demeurant à Strasbourg, fils majeur de feu le Sr Jean Michel Doerffer, en son vivant tonnelier & de D° Caroline Specht sa veuve, demeurant en la même ville d’une part
& Demoiselle Marie Emma Matern, fille majeure de feus Geoffroi Matern, marchand de vins & aubergiste & de feu Dame Louise Sophie Dettweiller son épouse domicilié & demeurant ensemble à Strasbourg, stipulant sous l’assistance et l’autorisation de son père, d’autre part
acp 497 (3 Q 30 212) f° 84-v du 11.4. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié
Les apports du futur consistent en une valeur de 3000
Les apports de la future consistent a) dans sa part dans la succession de feu sa mère, constatée par inventaire reçu Ritleng p le 26 février 1850, 2) créances 3265
Donation par le Sr Matern à la future d’une somme de 362 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la

Charles Auguste Dœrffer meurt en 1874 en délaissant trois filles. La description de la maison mentionne deux étages comme dans les actes précédents.

1874 (8.4.), Strasbourg 7 (144), M° Edouard Stromeyer n° 8986
Inventar von der Gemeinschaft, welche zwischen Hr Carl August Doerffer zu Lebzeiten Küfer und Weinwirth in Straßburg und seine überlebende Wittwe Maria Emma Matern bestanden hat, sowie von der Verlaßenschafft des H. Carl August Doerffer zu Straßburg den 23. Janvier 1874 gestorben.
Im Jahr 1874 am Mittwoch den 8. April an zwei Uhr Nachmittags, auf Anstehen 1° der Maria Emma Matern, Inhaberin einer Weinwirtschaft, Wittwe von Carl August Doerffer, zu Lebzeiten Küfer und Weinwirth in Straßburg und hier domizilirt, Sie allda wohnhaft, handelnd sowohl in ihren eigenen Namen als wegen der Gütergemeinschaft, welche zwischen Ihr und ihrem verlebten Gatte bestand, zufolge ihres durch Hr Ritleng Vater damals Notar zu Straßburg und einem seinem collegen am 9. April 1861 errichteten Ehevertrags, 2° wegen der Ergäntzungen und Forderungen, welche Sie gegen die besagte Gütergemeinschaft oder dem Nachlass ihres Gatten etwan gelten zu machen hat, 3. als Schenknehmerin des Nutznießes an der hälfte des Nachlasses dieses Letztern zufolge des angeführten Ehevertrags 4) als Mutter und gesetzliche Vormünderin ihrer aus der Ehe mit ihrel verstorbenen Ehemann erzogenen Kinder heute noch minderjährig A.) Maria Emma Doerffer geboren den 3. Septembre 1862, B) Caroline Emilie Doerffer, geboren den 16. Februar 1864, C) und Pauline Mathilde Doerffer, geboren den 15. Februar 1865, 5) wegen dem gesetzlichen Genuß der Ihr auf das Vermögen ihrer oben genannten minderjährigen Kinder zusteht (…), In gegenwart von H. Friedrich Eduard Ensfelder, Pfarrer zu Reichenweier, wo Er wohnhaft und domizilirt ist, verschwägerter Oheim der minderjährigen Kinder Doerffer, handelnd als Beivormund der hieoben genannten minderjährigen Kinder Doerffer
in einem Hause in Straßburg Alter Kornmarkt N°13 gelegen, befunden

Gütergemeinschaft. Salon, Chambre à coucher, Chambre à coucher des enfants, Salle à manger, Chambre à armoires, Première chambre des servantes, Deuxième chambre des servantes, Cuisine, Salle de débit, Vins
du 9 avril 1874. N° 8987. Immeuble. Ein Wohnbehausung, Erdgeschoß, zwei Stöck, Rechten und Gerechtigkeiten alles in Straßburg alter Kornmarkt 13 gelegen, erkauft von den Erben Liebolt, laut Steigerungs Protokoll durch H. Koertthé notar in Straßburg, den 30 August 1869 errichtet, davon ein Abschrift im Hypotheken amt von Straßburg den 20 novembre nachfolgend Band 1236 N° 56 eingetragen wurde und vom Amtswegen eingeschrieben den nämlichen Tag, Band 1034 N° 89. Der Steigpreis war von 45.000 Franken, heute ausbezahlt, bis auf derjenigen Summa von 14.402. (…)
acp 627 (3 Q 30 342) f° 20-v n° 1614 du 15.4. (Erklärt 2/7 1874) Gütergemeinschaft, Mobilien 4360,Geld 217, Ein Haus zu Straßburg alter Kornmarkt N° 13, Miethzinsen 136, Lebens Versicherung 10.000
Nachlass, Kleidung 394
Ergäntzungen des verstorbenen 3000, der Wittwe 3627

Marie Emma Matern loue à Henri Edmond Schnitzler une partie de la maison dont le rez-de-chaussée

1877 (19.12.), Strasbourg 8 (101), M° Gustave Edouard Loew N° 9874
Lehnung – Marie Emma Matern, Eigenthümerin zu Straßburg wohnhaft, Wittwe von Carl August Doerffer, auf die Dauer von 6, 9 oder 12 Jahre vom 25. März 1878 an bis 1884, 1887 oder 1889
an Heinrich Edmund Schnitzler, Eigenthümer zu Straßburg
von ihrem Hause alter Kornmarkt N° 8 früher N° 13 das Erdgeschoß als Weinschanck dienend, Küche & Keller & Wohnung im 4. Stock, bestehend aus 4 Zimmer
Bedingungen 1) die Steuer bleiben zur Last der Eigenthümerin, 2) Miether hat die auf die vermiethete Wohnung im 4. Stock treffende Militäreinquartierung zu tragen. Jahresmiethe M 2240
acp 674 (3 Q 30 389) f° 47-v n° 4616 du 28.12.

Henri Edmond Schnitzler sous-loue toutes les localités ci-dessus au marchand de vins Georges Diehl et à sa femme Marie Emilie Einholtz

1877 (19.12.), Strasbourg 8 (101), M° Gustave Edouard Loew N° 9875
Unterlehnung – Heinrich Edmund Schnitzler auf dieselbe Dauer und unter denselben Bedingungen wie oben angegeben
an Georg Diehl, Weinhändler und Frau Maria Emilie Einholtz, beide in Straßburg wohnhaft
oben beschriebene Räumlichkeiten, jährlich 2240 Mark
alter Kornmarkt N° 8 früher N° 13
acp 674 (3 Q 30 389) f° 47-v n° 6415 du 28.12.

Marie Emma Matern meurt le 29 juin 1881

1881 (2.11.), Strasbourg 8 (114), M° Gustave Edouard Loew n° 13.593
Inventar über den Nachlass der dahier am 29. Juni d. J. verlebten Maria Emma Matern, Wittwe des verstorbenen Karl August Doerffer, Küfer zu Straßburg
Auf Ansuchen von I. Friedrich Eduard Ensfelder, Pfarrer zu Reichenweier, handelnd als gerichtlich ernannter Vormund von a) Maria Emma Doerffer, b) Karoline Emilie Doerffer, c) Mathilde Doerffer, minderjährige Kinder der Eheleute Doerffer-Matern und Erben zu je 1/3, II. Heinrich Theodor Ruch, zu Straßburg, als Nebenvormund

acp 719 (3 Q 30 434) f° 24-v du 12.11. (Tab. Bd 67 Bl 117 Nr 127, Sterbf. Erk. 12.11.81 Bd 137 Nr 310) Nach Absterben des Doerffer wurde durch Notar Stromeyer von Straßburg ein Inventar aufgenommen lauth welchem die Gemeinschaft bestand in Mobilien & Vorräthe fr. 4350, baarem Geld 217, Miethzinsen 136
Wohnhaus alter Kornmarkt 13, jetzt 8, Passiv fr. 15.688.
Ersatz an dem Nachlass des Manns für fehlendes Einbringen 3000, Ersatz an die Wittwe für desgl. 3627
Die Lebensversicherung The Gesham hatte der Wittwe ein Kapital von 1000 fr. ausbezahlt
Nachlass des Herrn Doerffer, Kleider 394, Ersatzasprüche 3000
Wiederaufnahme des obigen Inventars mit Beifügung des heutigen Werthes, Es fand sich noch vor, Mobilien M. 2198, Wohnhaus alter Kornmarkt 8
Nachlass der Wittwe Doerffer, Kleider 134, Mobilien 188, baar 640
Forderung an Julius Albert Dettweiler 22.400, Zinsen 243, an Friderich Wilhelm Schroeder 3200, Zinsen 66, an Wittwe E. Borst & Wittwe H. Borst 1600, Zinsen 26, dieselbe 1600, Zinsen 26 – Passiv 348

Marie Emma Dœrffer, l’une des trois filles de la précédente, meurt en 1882 à Riquewihr chez son oncle et tuteur le pasteur Frédéric Edouard Ensfelder

1883 (8.1.), M° Loew
Erbverzeichnis auf Erklärung über den Nachlaß der am 17. Juli 1882 zu Reichenweier verlebten Maria Emma Doerffer, Tochter des hieselbst verlebten Eheleute Karl August Doerffer und Maria Emma Matern, und zur Zeit unter Vormundschaft des Pfarrers Friedrich Eduard Ensfelder in Reichenweier
Erben sind die Geschwister Karoline Emilie Doerffer, Pauline Mathilde Doerffer unter derselben Vormundschaft
acp 733 (3 Q 30 448) f° 95 n° 3567 du 15.1. (Tab. Bd 68 Bl 33 Nr 91, Sterbfall Erkärung. 15.1.83 Bd 148 N° 561) Nach Ableben der Elternwurde Erbverzeichnis errichtet durch durch Notar Stromeyer am 9. April 1874 und durch Loew handelnden Notar vom 2. November 1881. Besteht aus 1/3 an folgenden Wertschaften 1) Mobilien im Werthe von 2386, 2) Schuldforderungen a) Julius Albert Dettweiler hier laut Urkunde Ritleng sen. 2. Octob. 1576 und 30. Juli 1874, 22.400 b) Friderich Wilhelm Schroeder hier laut Urkunde Loew am 31. Januar 1881 und Pierron vom 22 December 1880, c) Wittwe E. Borst & Wittwe H. Borst zufolge Schuldschein 1600, d) dieselbe 1600 (zusammen) 31.186
3) Ein hier am alten Kornmarkt 8 früher 8 gelegenes Wohnhaus und Zugehör N 877, 877
Kassensaldo in Händes der Vormunds als Antheil zu 1/3, 340 – Kleider 97 – Die Passiva betragen 636 M

Liquidation des successions délaissées par Charles Auguste Dœrffer et Marie Emma Matern
1886 (2.8.), M° Loew
Theilung 1) der Verlaßenschafften der Eheleute Carl August Doerffer, Küfer und Maria Emma Matern is Straßburg, letzte gestorben die weÿl. den 29. Juni 1881 2) des Nachlasses der Tochter Maria Emma Doerffer, ledig gestorben den 12 Juli 1882 zu Reichenweier, 3) des den nachbezeichneten Interessenten aus ihrer Einkünften gemeinsam augf*en Vermögens
auf Anstehen von 1) Karoline Emilie Doerffer, 2) Pauline Mathilde Doerffer, beide ledig, ohne Stand in Straßburg, handend a) als einzige Erben ihrer ad 2. genanten Schwester, b) als einzige Erben mit genannter Schwester der Nachlasse ihrer ad 1. genannten Eltern. Inventar wurde errichtet a) nach Ableben von H. Doerffer vor Notar Stromeyer dahier den 9. April 1874, b) nach Ableben der Wittwe Doerffer durch den amt. Notar den 2 & 3 November 1881, c) nach Ableben der Schwester durch den amt. Notar den 8. Janar 1883. Letzteres Inventa enthaltend zugleich Verzeichnis des damals vorhandenen gemeinsamen Vermögens der Geschwister Doerffer sowie Rechnung des Vormunds. Die Vormundschafts Rechnung über die weitere Verwaltung wurde durch den Vormund durch Privaturkunde vom 22. Juli hinterlegt laut Urkunde des amt. Notars vom heutigen gelegt
acp 780 (3 Q 30 495) f° 38-v n° 1900 du 12.8.
Hiernach ergibt sich folgende. Theilungsmasse I. Mobilien der Gemeinschafft Doerffer 2198, des Nachlasses der Wittwe Doerffer 388 (zusammen) 2326, II. Handschriftsforderungen 3200, III. Hypothekenforderungen 22.400, 3200, 4000, 48.000, IV. Inhabertitel 1500,V. Erlös verkaufter Inhabertitel 2000 – Summa 86.686
Zutheilungen (…)

Le tuteur des filles Dœrffer vend la maison à Henri Edmond Schnitzler

1884 (27.3.), M° Loew
Karoline Emilie Doerffer und Pauline Mathilde Doerffer, minderjährige Kinder der hievor verlebten Eheleuthe Karl August Doerffer und Maria Emma Matern, unter Vormundschaft der Pfarrers Friderich Eduard Ensfelder in Reichenweier
an Heinrich Edmund Schnitzler, Eigenthümer hier
ein hier alter Kornmarkt N° 8, früher N° 13, Ecke des Salmengäßchens gelegenes Wohnhaus mit Zugehör auf einer Fläche von 1,15 Aren, N 877, 877, durch die Eltern erworben laut Urkunde Koerttge am 30. August 1869. Eine Schwester Maria Emma Doerffer gestorben am 17. Juli 1882 in Reichenweier
Besitz und Genußantritt vom 25. l. Mts, Steuern übernahm vom 1. April 1884 ab – Kaufpreis 54.400, hievon wurden baar bezahlt 3200
die gerechtliche Bestätigung bleibt vorbehalten binnen 3 Monaten von heute an
acp 748 (3 Q 30 463) f° 38-v n° 76 du 3.4.

Le négociant Henri Edmond Schnitzler épouse en 1872 Marie Emilie Ehrhard, fille de brasseur

1872 (31.1.), Strasbourg 8 (83), M° Gustave Edouard Loew N° 4115
Contrat de mariage, 31 janvier 1872 – Ont comparu M. Henri Edmond Schnitzler, négociant demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. Charles Auguste Schnitzler, ancien négociant à Strasbourg et de Madame Sophie Frédérique Lamp, son épouse défunte, futur époux stipulant en son nom personnel à cause du mariage dont il va être question, d’une part
1. Mad.lle Marie Emilie Ehrhard, sans état, demeurant à Strasbourg, fille majeure de M. Jean Ehrhard, brasseur, et de Madame Sophie Flach son épouse demeurant ensemble à Strasbourg, future épouse stipulant en son nom personnel d’autre part Et M. et Mad. Ehrhard susnommés avec indication de domicile, agissant tant pour assister leur fille à l’effet des présentes qu’à cause de la dot qu’ils vont lui constituer ci après de troisième part
acp 602 (3 Q 30 317) f° 99 du 6.2. Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C. C. Rücknahme des mitgebrachten und ererbten
Der Bräutigam bringt in die Ehe einen Werth von 131.437, die Braut bringt in die Ehe Mobilien, 1005
Schenkung von Johann Ehrhard und Sophie Falch ihrer Tochter, annehmend, 1) Mobilien abgschätzt zu 10.016, 2) Geld 40.000
Gegenseitige Schenkung dem überlebenden von der Nutznießung des samtlichen Nachlasses, vermindert zur Hälfte wann Kinder aus der Ehe da sind

La maison est inscrite au cadastre à partir de 1898 au nom de Jacques Klein. Originaire de Hœrdt, le domestique Jacques Klein épouse en 1886 Marguerite Brandt, servante originaire de Vendenheim

1886 (8.7.), M° Ritleng l’aîné
Ehevertrag – Jacob Klein, Stallknecht hier
Margaretha Brand, Köchin in Vendenheim
acp 778 (3 Q 30 493) f° 73 n° 1578 du 14.7. – Annahme der Errungenschafts gemeinschaft
Einbringen des Bräutigams in baar M. 4400, der Braut 1600
Mariage, Strasbourg (n° 433) Straßburg am 10. Juli 1886. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Hausknecht Jacob Klein, evangelischer Religion, geboren den 19. Juli des Jahres 1852 zu Hœrdt (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des verstorbenen Webers Jacob Klein, zuletzt wohnhaft zu Hoerdt, und der Marie Maechling, ohne Beruf, wohnhaft zu Hoerdt, 2. die Dienstmagd Margaretha Brandt, evangelischer Religion, geboren den 12. Mai des Jahres 1865 zu Vendenheim (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter der verstorbenen Eheleute Adam Brandt, Wagner, und Margaretha Kuhn, zuletzt wohnhaft zu Vendenheim (i 38)

La propriété passe en 1909 à Adolphe Jehl.
Originaire d’Elsenheim près de Marckolsheim, le garçon d’hôtel Adolphe Jehl épouse en 1892 Joséphine Osel, fille du confiseur Michel Osel de Haguenau

Mariage, Haguenau (n° 11) Hagenau am 6. Februar 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kellner Martin Adolph Jehl, katholischer religion, geboren den 15. September des Jahrs 1865 zu Elsenheim Bezirk Unter Elsaß, wohnhaft zu Hagenau, ledigen Standes, Sohn des zu Elsenheim verstorbenen Ackersmanns Andreas Jehl und dessen Wittwe Josephine geb. Schmitt, ohne Gewerbe wohnhaft zu Elsenheim
2. die gewerblose Josephine Osel, katholischer Religion, geboren den 13. August des Jahres 1871 zu Hagenau Bezirk Unter Elsaß, wohnhaft zu Hagenau, ledigen Standes, Tochter des Zuckerbäckers Michael Osel, und dessen Ehefrau Maria Anna geb. Beyler wohnhaft zu Hagenau (i 12)

Adolphe Jehl habite à plusieurs reprises à Strasbourg à partir de 1884. Il devient propriétaire en 1909 de la maison au Vieux-Marché-aux-Vins puis en 1923 d’une maison rue Aubry-et-Rau
Fichier domiciliaire (603 MW 389)
Jehl Adolph † 20.8.29, 16.9.65, Elsenheim
rue Aubry et Rau 12
voir Jehl née Osel Josephine 13.8.71 à Haguenau

Jehl, Hôtelier, Kellner
Adolph († 20.8.29), 16/9.65 Elsenheim Schlettstatt, (Religion) K,
Frau († 23.11.34) geb. Osel, Joséphine, 13.8.1871 Hagenau, (Religion) K,
Kinder Jehl Anna 13.4.93, Hagenau
Lea 29.8.96
Xaver
Adelheid Lucie 8.12.98 Straßburg
– von Schlettstat
12.4.84 Pariserstaden 5, Mathis
17.10.84 Elsenheim
21.3*.95 Halbmondg. 6
von Elsenheim
24.12.88 Kußstraße 19, Kientzli
2.9.89 v. Elsenheim lt Abm*
fremd Elsenheim
18.2.90 Thomangasse 5 (Lutz)
5.3.90 Blauwolkeng. 19, *ling
7.10.90 v Elsenheim (lt Abm*)
von Hagenau
4.6.97 u Bahnhofplatz 2, Maier
21.7.09 u Alter Kornmarkt 8 Jehl
1.4.23 rue de l’Aubry et Rau 12 Jehl



7, rue du Coq


Rue du Coq n° 7 – VII 173 (Blondel), P 908 puis section 1 parcelle 61 (cadastre)

Troisième étage ajouté en 1843 par l’emballeur Frédéric Charles Fausser
Démolie en 1957


Le numéro 7 en 1955, le rez-de-chaussée et les deux étages sont pareils qu’en 1830 (croquis dans le dossier de la Police du Bâtiment)
Le début du bâtiment est à l’emplacement de l’ancien n° 7 (août 2023)

La maison est inscrite au Livre des communaux au nom du barbier Thomas Küntzinger qui la loue à un tonnelier. Elle appartient ensuite au revendeur Adrien Dietrich puis (1593-1622) successivement aux tisserands Chrétien Sontag, Jean Metz et Jacques Hummel. Le marchand Jean Adam Hünerer l’achète en 1629 de son débiteur. Le manant Jean Trœscher s’en rend propriétaire (1653) avant de devenir bourgeois. Elle fait partie des nombreuses petites maisons dont Susanne Goll est propriétaire. Son fils la vend en 1704 à la femme de l’employé de l’Aumône David Hartmann. La maison appartient à partir de 1712 au tanneur réformé Daniel Dourbeau puis à son beau-frère charretier Jean Jacques Büry. La commission qui visite la maison en 1733 constate qu’elle comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un petit poêle, une cour et une écurie pour deux chevaux, chacun des deux étages comprend deux chambres, elle a un grenier à grains et une cave. Le remueur de grains Jean Jacques Frœlich la cède en 1786 au revendeur Jean Georges Schmitt qui la conserve jusqu’en 1818.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, face ouest de la rue du Coq, îlot 123 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à droite du repère (c) : fenêtre et porte au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à combles aménagés. La cour E représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, la remise (3-4) au fond de la petite cour, les murs au nord (1-4) et au sud (2-3).
La maison porte d’abord le n° 11 (1784-1857) puis le n° 7.


Cour E

Le cadastre porte que la maison a été reconstruite (transformée) en 1843 par Frédéric Charles Fausser, après quoi elle a des fenêtres au troisième étage, le revenu passant de 37 à 43 francs. Un rapport d’architecte constate en 1940 que la façade s’incline vers la cour à partir du deuxième étage et que les pans de bois sont en partie pourris. En 1955, le pignon menace de s’écrouler vers la voie publique et sur le n° 9 voisin. La maison est occupée par des sans-abri. En 1957, un étai qui tombe déstabilise la maison qui est démolie jusqu’au niveau du trottoir en laissant subsister une partie du mur de façade qui forme clôture.
Le terrain réuni à celui des maisons suivantes sert à construire un nouveau bâtiment.


La maison se trouvait à l’emplacement du bâtiment à l’arrière de la place où se trouvaient des maisons non reconstruites (avril 2016)

août 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Thomas Kentzinger, barbier, et (1577) Barbe Fritsch – luthériens
v Adrien Dietrich, revendeur, et (v. 1557) Claire, veuve du revendeur Jean Riel, puis (1574) Véronique Dirion – luthériens
1593 v Chrétien Sontag, tisserand en laine, et (v. 1584) Elisabeth Spring – catholique converti
1605 v Jean Metz, tisserand, et (1601) Marie Peter puis (1623) Rosine Mutterspach – luthériens
1615* Jacques Hummel, tisserand, et (1605) Elisabeth Schwartz, d’abord (1592) femme du coutelier Jacques Bessenet puis (1600) du serrurier Bernard Müller – luthériens
1622 v Jean Georges Meyer, chapelier, et (1615) Ursule Poppel, d’abord (1603) femme du receveur Martin Faber, puis (1619) Marie Ohler – luthériens
1629 v Jean Adam Hünerer, marchand, et (1621) Marguerite Hartung – luthériens
1638 v Daniel Kurbau, fabricant de chausses, et (1597) Marguerite Abel puis (1611) Ursule Hackfort, d’abord (1604) femme du tailleur Jean Deiss – luthériens
1653 v Jean Trœscher, musicien à Ostwald puis journalier († 1684), et Jeanne Mack – luthériens
1686 v Jean Raoul Bechtold, pasteur à Eckbolsheim, et (1671) Susanne Goll, remariée (1678) au docteur en médecine Frédéric Schilling puis (1680) au juriste Jean Jacques Gambs – luthériens
1690* h Jean Bechtold, receveur, et (1687) Anne Madeleine Saladin – luthériens
1704 v David Hartmann, mousquetaire puis fabricant de chausses et employé à l’Aumône, et (1671) Marguerite Lœs puis (1699) Anne Marguerite Scholl – luthériens (bien propre à la femme)
1712 v Daniel Dourbeau (Dorbo), tanneur, et (1708) Chrétienne Madeleine Büry – réformés
1733 v Jean Jacques Büry, charretier, et (1717) Anne Bolly veuve de Pierre Dalmann – réformés
1742 h Jean Melchior Büry, revendeur et (1745) Madeleine Zimmer – réformé et luthérienne
1778 v Jean Jacques Frœlich, remueur de grains, et (1760) Catherine von Bœrsch puis (1776) Eve Marguerite Schwab – luthériens
1786 v Jean Georges Schmidt, revendeur, et (1783) Madeleine Bronner – luthériens
1818 adj Georges Michel Gruber, architecte, et (1800) Catherine Elisabeth Redslob puis (1808) Marguerite Salomé Ottmann
1824 v Jean François Zerling, tailleur de pierres, et (1811) Sophie Frédérique Kaumann
1826 v Jean Nicolas Schaal, serrurier, et (1795) Marie Barbe Kniebiehler
1837 v Frédéric Charles Fauser, emballeur, et (1817) Barbe Schaffner
1872 v Jacques Ritt, journalier, et (1823) Catherine Lobstein
1876 v Raphael Weil et Emilie Weil
1877 v Maurice Bendelé, aubergiste, et (1873) Anne Marie Lutz
1890 v Philippe Merck, journalier puis marchand de charbon, et (1868) Madeleine Neff puis (1888) Marguerite Kalb, veuve du maçon Jacques Frantz
1899* v Lazare Levy, marchand de meubles, et (1865) Marie Heimann
h Henri Levy, fabricant de couronnes, et (1899) Palmyre Levi
1940* h Louis Roger Levy, avocat

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 150 livres en 1773
Valeur vénale, 350 livres en 1712, 425 livres en 1733, 335 livres en 1778, 375 livres en 1786

(1765, Liste Blondel) VII 173, Melchior Burÿ
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bürrische Erben, 2 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 908, Fausser, Frédéric Charles, emballeur – maison, sol, cour – 0,57 are

Locations

1587, Jean Hess, tonnelier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450)
Le barbier Thomas Küntzinger règle 8 deniers pour sa maison qu’il loue au tonnelier Jean Hess, à savoir un chenal en bois

Anderseit Hanengeßlins
Thoman Küntzinger der Balbierer hatt an seinem Hauß da Hannß Heß der Küeffer Innen sitzt, ein hültzenen Naach, Bessert &, viij d.

Description de la maison

  • 1733. La commission qui visite la maison constate qu’elle comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un petit poêle, une cour et une écurie pour deux chevaux, chacun des deux étages comprend deux chambres, elle a une cave et un grenier pour y conserver les grains
  • 1773 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, une cuisine et plusieurs chambres. Le comble est couvert de tuiles plates, la cave voûtée est délabrée. Le tout est estimé à la somme de 300 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du Coq

nouveau N° / ancien N° : 10 / 11
Schmitt veuve
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2 étages médiocresen bois
(à corriger en Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2° étage mauvais en bois, voir les élévations de 1830)
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 255 case 1

Fausser Frédéric Charles, Embaleur

P 908, sol, maison et cour, Rue du Coq 11
Contenance : 0,57
Revenu total : 37,30 (37 et 0,30)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1846
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 908, maison
Revenu total : 43,30 (43 et 0,30)
Folio de provenance : R.on
Folio de destination :
Année d’entrée : 1846
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
1846 Augmentations – Fausser Frédéric f° 255, P 908, Maison, revenu 43, nlle. constr., achevée en 1843, imposable en 1846, imposée en 1846
Diminutions – Fausser Frédéric f° 255, P 908, Maison, revenu 37, – suppression en 1846

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 534 case 1

Fausser Frédéric Charles emballeur
1873 Ried Jacob, Wittwe Christine geb. Lobstein
1877 Weill Michael Handelsmann
1879 Bendele Moritz, Schenkwirt
1891/92 Merck Philipp, Kohlenhändler
1899 Levy, Heinrich, durch den Nutznießer Levy, Lazarus

P 908, maison, sol, Rue du Coq
Contenance : 0,57
Revenu total : 43,30 (43 et 0,30)
Folio de provenance : (255)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 3

Cadastre allemand, registre 29 p. 6 case 2
Remarque – La Ville restitue l’immeuble a son propriétaire légitime, juif spolié de ses biens, sans que cette mutation soit portée au cadastre

Parcelle, section 1, n° 61 – autrefois P 908
Canton : Hahnengasse Haus N° 7
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 0,57
Revenu : 550 – 800
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1940), compte 761
Levy Lazarus – Wittwe
clos 1940

(Propriétaire à partir de l’exercice 1940), compte 2801
Levy Heinrich
1940 Levy Louis Roger
(2654)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1945), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 227 Rue du Coq p. 369

11
Pr. Schmidt, J. Georges – Moresse
loc. Buri, Melchior – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Hahnengasse (Seite 57)

(Haus Nr.) 7
Bardoli, Gypsfigurenhdlr. 1
Humbert, Installateur. 2
Sauter, Sesselflechterin. 2
Richert, Feilenhauer. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 924 W 640)

Rue du Coq, n° 7 (1884-1994)

Le sellier Jacques Fehrenbach est en 1884 locataire du logement en contrebas de la cour qu’un agent de police estime insalubre. La Commission contre les logements insalubres déclare en 1899 que le logement du rez-de-chaussée ne doit pas être occupé par plus de deux personnes. Le propriétaire fait régulièrement faire les travaux que demande la Commission. Un rapport d’architecte constate en 1940 que la façade s’incline vers la cour à partir du deuxième étage, le bois du colombage est en partie pourri. Le mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) fait poser des étais à l’intérieur du bâtiment. L’entreprise Th. et Ed. Wagner qui va démolir le n° 11 déclare en 1955 qu’il faut consolider le n° 7 qui perdra son appui. Le pignon menace de s’écrouler vers la voie publique et sur le voisin n° 9. Un incendie se déclare dans les combles du n° 7 occupé par une douzaine de sans-abri. Le juge cantonal nomme un expert qui constate que certaines parties de la maison se sont effondrées et que d’autres risquent de s’effondrer. Un étai qui tombe en 1957 déstabilise la construction. Le propriétaire ordonne de faire démolir les parties qui présentent un danger en laissant subsister les autres à cause du litige qui l’oppose au Ministère de la Reconstruction et du Logement. La maison est démolie en 1957 jusqu’au niveau du trottoir en laissant subsister une partie du mur de façade qui forme clôture.

Sommaire
  • 1884 – L’agent de police Jund, chargé d’une enquête par la Commission contre le choléra, signale que (1) le logement du rez-de-chaussée en contrebas de la cour est insalubre parce qu’il est privé d’air et de lumière, (2) la fosse d’aisances n’a pas de tuyau d’aération. La maison appartient à l’aubergiste Maurice Bendelé, demeurant 9, place du Fossé des Tanneurs. – Le sellier Jacques Fehrenbach, locataire du logement, en est notifié. – Le commissaire de police déclare que l’affaire n’est plus de sa compétence.
    Une visite des lieux montre que le logement est bien tenu et qu’il n’est pas humide. La fenêtre qui donne dans la petite cour est souvent nettoyée.
    Le maire notifie le propriétaire de pourvoir la fosse d’aisances d’un tuyau d’aération. – Travaux terminés, octobre 1884.
  • 1886 – Le maire notifie le propriétaire Maurice Bendelé, demeurant 9, place du Fossé des Tanneurs, de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare avoir fait un ravalement trois ans plus tôt. – Le maire accorde un an de délai – La façade qui a été lavée est propre, avril 1887.
  • 1890 – La fosse d’aisances de la maison Fehrenbach a seulement une contenance de trois mètres cubes.
  • 1893 – Le maire notifie Ph. Merk de faire ravaler la façade du 7, rue du Coq.
    Le maître maçon Xavier Matter (demeurant 7, rue des Aveugles) demande l’autorisation de repeindre la façade de la maison qui appartient à Ch. Merg. – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1893.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant le volet qui s’ouvre à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappels, 1898 et 1900 – Travaux terminés, septembre 1900.
  • 1901 – Le maire notifie Henri Levy (demeurant 32, rue du Fossé des Tanneurs) de faire ravaler la façade du 7, rue du Coq. – Le propriétaire qui déclare avoir fait ravaler cinq de ses maisons demande un délai. – Il charge l’entreprise Gruner et Vogt des travaux qui sont terminés en juillet 1902.
  • 1908 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police relatif à la fosse d’aisances. La visite montre que l’ouverture est assez grande mais que les parois intérieures doivent être entretenues. – Travaux terminés, mars 1909.
  • 1898 – Commission contre les logements insalubres. Rapport sur les logements 1) du rez-de-chaussée occupé par le journalier Gockel (7 personnes, loyer 40 marks), 2) du premier étage occupé par le tonnelier Sonnendrucker (3 personnes, loyer 60 marks). Propriétaire, Lazare Levy, demeurant 16, rue Sainte-Barbe
    1899 – La Commission déclare que le logement du rez-de-chaussée ne doit pas être occupé par plus de deux personnes et que la pièce donnant dans la cour ne doit pas servir de chambre à coucher.
    1902 – Les logements des premier et troisième étages sont rénovés. Pas de changement au rez-de-chaussée qui est à nouveau occupé par les anciens locataires
    1903 – Le rez-de-chaussée est en bon état
    1903 – La chambre sous les combles ne doit pas servir de chambre à coucher.
    1905 – La maison n’est pas raccordée aux canalisations
    Courriers de Henri Levy, fils du propriétaire
    1906 – Liste de travaux à faire en 6 points – Travaux terminés, août 1906.
    1908 – Rapport sur une famille de concubins (cinq personnes) qui occupe les combles.
    1910 – Rapport en cinq points
    1913 – Rapport en 8 points
    1914 – L’inspecteur de l’orphelinat fait un rapport sur le logement mal tenu de Félix Nichts (8 personnes)
    1915 – Commission des logements militaires. Rapport en 9 points
  • 1929 – Le locataire Jülg se plaint que la chasse d’eau ne fonctionne plus. La Police du Bâtiment constate aussi des traces d’humidité au plafond et sur les murs qui sont dues à des fuites de la toiture
  • 1927 – Le service d’hygiène informe la Division V que la famille polonaise qui occupe le rez-de-chaussée déverse toutes sortes d’ordures dans la cave. Le voisinage se plaint des mauvaises odeurs. Propriétaire, Levy, demeurant 8, rue de Sébastopol.
    L’enquête montre que la maison occupée par les familles Taterkowski, Bastler, Roth et Jülg est raccordée aux canalisations depuis 1912. Le propriétaire devra réparer la porte de cave qui s’ouvre dans la cour et veiller à ce que les locataires du rez-de-chaussée ne se servent plus de la cave comme dépôt d’ordures. – La Police du Bâtiment écrit au propriétaire. Rappel en 1928 – Travaux terminés, janvier 1928.
    1930 – Courrier d’Aloïse Julg sur papier à lettres (atelier électromécanique, 14, rue des Serruriers) pour les mêmes motifs – Travaux terminés, juin 1930
  • 1940 – Le mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) accuse réception du courrier envoyé par la Police du Bâtiment.
    La Police du Bâtiment a déclaré le 4 octobre 1940 que les bâtiments sis 7 et 9, rue du Coq sont inhabitables. Certains logements sont cependant toujours occupés fin octobre.
    1940 (2 octobre) – Rapport de l’architecte Adolphe Wolff sur le 7, rue du Coq, suite à la plainte du propriétaire du n° 9 (Jérôme Weibel, demeurant à Brumath). La façade s’incline vers la cour à partir du deuxième étage. Le bois du colombage est en partie pourri. L’entreprise Wagner a posé des étais à l’intérieur du bâtiment à la demande du mandataire général. L’architecte conclut que les n° 7 et 9 menacent de s’écrouler.
    1940 (4 octobre) – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire évacuer les locataires et de ne plus louer les logements
    Jérôme Weibel déclare avoir l’intention de démolir la maison. Il déclare que le risque d’écroulement est dû à la maison voisine n° 7, que la guerre en est la cause et que la remise en état est impossible.
  • 1949 – L’entreprise Th. et Ed. Wagner (14, rue Adolphe Seyboth) est autorisée à occuper la voie publique pour réparer la toiture.
  • 1955 (16 février) – L’entreprise Th. et Ed. Wagner qui va démolir le n° 11 appartenant à Pierre Schmitt comme le n° 9 déclare que le n° 7 qui menace aussi ruine repose sur le n° 11. Comme le n° 7 perdra son appui, il y a lieu de le consolider ou de le démolir.
    1955 (28 février) – Le maire écrit au juge cantonal sur l’affaire qui l’oppose à Roger Louis Levy, demeurant 8, rue de Sébastopol. Il demande au juge de nommer un expert chargé d’examiner le bâtiment menaçant ruine. Le juge nomme Cromback.
    1955 (18 février) – Rapport fait à la demande de l’entreprise Wagner, en présence de MM. Charlier et Sauer (Police du Bâtiment), Wagner et Fœrster (contremaître), Pierre Schmidt (propriétaire du n° 9, demeurant 36, Grand rue). Le pignon du n° 7, inhabité, menace de s’écrouler vers la voie publique et sur le voisin n° 9. Croquis. Il faudra prendre un arrêt de péril pour démolir le pignon nord et la partie postérieure de la cage d’escalier.
    1955 (23 février) – Certificat de notification à Roger Louis Levy
    1955 (11 mars) – Pierre Schmitt dépose 10.003 francs auprès du receveur municipal au cas où la Ville doive supporter les frais d’expertise
    1955 (5 avril) – Un incendie s’est déclaré le premier avril dans les combles du n° 7. – Article de presse (L’Humanité du 2 avril) d’après lequel une douzaine de sans-abri occupent les lieux, l’un d’entre eux y étant mort quatre mois auparavant. – Rapport du service des incendies
  • 1955 (6 avril) – L’architecte René Muller passe au nom de Roger Louis Levy commande à la maison Martin-Degoumois (2, rue de Kolbsheim à Strasbourg) de démolir le pignon nord jusqu’au niveau de l’ancienne toiture du n° 9, d’étayer les combles, de condamner l’entrée principale et de faire divers autres travaux.
    1955 (12 avril) – Rapport de l’expert Cromback qui joint une photographie publiée par les Dernières Nouvelles du 10-11 avril (non jointe au dossier)
    La partie haute du pignon nord situé vers l’immeuble n° 9 de la même rue et comprenant le triangle de la toiture et l’étage en dessous n’existe déjà plus. La partie inférieure jusqu’au niveau du plancher au rez-de-chaussée risque de s’effondrer, le bois de charpente de ce pignon étant vermoulu et surtout le pied d’un arbalétrier du côté de la façade manque d’appui, étant complètement rongé.
    Le reste du pignon n’est du reste plus d’aplomb et est incliné vers l’immeuble n° 9. Celui-ci ne comprenait qu’un rez-de-chaussée dont le toit s’est effondré sous le poids de la maçonnerie tombée du haut du pignon du n° 7.
    La partie postérieure de la cage d’escalier dont l’état d’ébranlement est mentionné dans la requête est complètement enlevée.
    L’ensemble de la maison, ouverte actuellement et latéralement et à l’arrière et exposé au vent, représente d’après mon avis un danger pour les passants dans la rue.

    1955 (13 avril) – L’architecte René Muller déclare au maire que les travaux sont terminés.
    1955 (22 avril) – La Police du Bâtiment note que le propriétaire fait démolir en partie le pignon nord. L’affaire engagée avant l’incendie sera poursuivie.
    Le maire écrit au propriétaire de faire étayer le bâtiment conformément au rapport de l’expert Cromback
  • 1957 (septembre) – Le pignon du n° 7 dont l’étaiement est tombé après la démolition du n° 11 menace de s’effondrer. « Dans l’intervalle de 24 heures, l’ensemble de la construction s’est détaché du mur de l’immeuble n° 5 d’environ 8 centimètres ».
    1957 (11 août) – Le maire ordonne au propriétaire de faire démolir les bâtiments dans les huit jours.
    1957 (18 septembre) – L’architecte René Muller (72, allée de la Robertsau) passe commande à l’entreprise Ketterer et Compagnie (16, rue des Petites Fermes à Kœnigshoffen) de démolir les bâtiments.
    Courrier de Roger Louis Levy. Il déclare que le voisin Schmidt a sciemment endommagé sa propriété en supprimant un étai. Il a ordonné de faire démolir les parties qui présentent un danger en laissant subsister les autres à cause du litige qui l’oppose au M.R.L. (Ministère de la Reconstruction et du Logement).
    1957 (25 septembre) – La partie avant est démolie jusqu’au niveau du plancher du premier étage, le deuxième étage de la partie arrière est en cours de démolition.
    1957 (3 octobre) – « L’immeuble a été arasé jusqu’au niveau du trottoir. Seule une partie du mur de façade formant clôture, d’une hauteur d’environ 1,50 m. subsiste. »
    1957 (23 octobre) – Roger Louis Levy demande au maire ce qu’il doit retenir de la déclaration verbale faite à son architecte de maintenir une partie de la façade sur rue et une grande partie du mur latéral gauche. – La Police du Bâtiment note que l’accord a été passé avec l’architecte, ce qui dispense de répondre au courrier du propriétaire (le mur avant sert de clôture, le mur gauche est maintenu jusqu’à la démolition du n° 5).
  • 1960 – La cour à côté du n° 5 sert de dépôt d’ordures au voisinage. – Le mur maintenu en 1957 comprend une brèche sans doute pratiquée par le voisin Schmidt quand il a construit des ateliers sur le terrain voisin.
  • 1979 – Le notaire René Rieger (13, rue Jules-Rathgeber) et les ayants droit de Roger Louis Levy demandent un certificat d’urbanisme – Le terrain tombe dans l’emprise réservée pour un ouvrage public d’après le Plan de sauvegarde et de mise en valeur
  • 1994 – Le notaire Jean-Paul Traband (à Weyersheim) demande un certificat d’urbanisme

Relevé d’actes

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du barbier Thomas Kentzinger. Originaire de Neuweiler, il épouse en 1577 Barbe, fille de Jacques Fritsch

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 85)
1577. Thoman Küntzinger w(eÿl.) Caspar Küntzingers von newÿler nachgelaßener Son, vnd Barbara Jacob Fritschen dochter

Le barbier Thomas Kentzinger devient bourgeois par sa femme Barbe, fille du chanvrier Jacques Fritsch, le 19 janvier 1577
1577, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 426
Thoman Kentzinger von Neuweiler der scherer hatt das burg recht von Barbara Fritschin Jacob Fritschen des Henffers dochter seiner Ehefrauen empfangen vnd will mit den scherern Zur Lucern dienen. Actum den 19. Januarÿ Ao & 1577

La maison appartient ensuite au revendeur Adrien Dietrich. Originaire de Pont-à-Mousson, il acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Claire, veuve du revendeur Jean Riel de Rosheim (il est probable que le mariage ait été célébré à Saint-Pierre-le-Vieux dont le registre est lacunaire de 1550 à 1560)

1557, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 126
Adrian diettrich von ponttemouson der Kremmer hatt d. brugkrecht empfang. von Clara hansen Rüehels von Roßheÿm des Kremers v.laßener wittwe seiner ehe Frawen vnd wÿll Zum spiegell diennen vff den 23.t Februarÿ a° & 57

Adrien Dietrich se remarie avec Véronique, fille du boucher Nicolas Dirion (Thirion), de « Bergart »
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 162)
1574. Adrianus Dieterich der Kremer von pontamont burg. Zu Straßburg vnnd J. feronica, Claus Dirion des Metzgers selig. nachgelaßene tochter von Bergart. Ist Zu S. thoman Zu Kirch gangen (i 164)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 100-v n° 265) 1574. Hadrian dieterich von ponto printi* der kremer Veronica Niclaus Diriuns von Bergart. nachgelaßene dochter. 1. Iunÿ (i 103)

Véronique, veuve du revendeur Adrien Dietrich, vend la maison au tisserand en laine Chrétien Sontag et à sa femme Elisabeth Spring. En marge, quittance donnée par Jean Ziegler, tuteur des six enfants d’Adrien Dietrich

1593 (16. Martÿ), Chancellerie, vol. 282 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 103-v
Kauffbrieff Christmann Sontags des Wullenwebers
Erschienen Veronica, Adrian Diettrichs des Landt Kremers burg. alhie seligen witwe, mit beÿstandt Frantz Thoman des Huttmachers Ires gewesenen Vogts vnd Hanns Ziegler der Kremer als vogt Mariæ, Abrahams, Daniels, Isaac, Hans Jacobs, vnd Christoffels geschwüsterd. alle sechs obgemelter veronice mit Adrian Diettrichs Irem ehern selig obgemelt ehelich erzielter Kinder vnd haben (verkaufft)
Christmann Sontag dem Wullenweber vnd Elisabeth Springin* seiner ehelich. haußfrauw burg. alhie
Ein Hauß Hoffstatt vnd höfflin mit allen seinen gebeuwen rechten vnd gerechtigkeiten geleg. alhie Im hanen geßlin, einsit neben Lutz von Marleÿ andersit neben Diebold N von Marleÿ hinden vff h Gabriel Blumen dem beckh. stoßend, dauon gehn Jarlich vff S Johans tag fünff guld. gelts Straßburg. werung mit 100 guld. derselbig. wehrung lösig Thoman Kintzing. dem scherern sonst Ledig vnd eig. (…) das der Kauff Zugeg. seÿ vber obgemelt. beschwerd. für vnd vmb 200 guld. Straß. werung
[in margine :] erschienen Frantz Thoman als vogt veron: Adrian Diettrichs witwe, vnd hatt in gegensein Christman Sontags des bekenners (…) quitirt Act 8 Maÿ 93.
Erschienen Frantz Thoman als vogt Veronicæ vnd ermelte sein Vogtspen. deßgleich. Hans Zieglers als verordneten Vogt Adrian Thiederichs s. hinderlaßenen sechs Kind. (…) Act. den 4. Feb. 94*

Chrétien Sontag sollicite le droit de bourgeoisie auprès des Conseillers et Vingt-et-Un. Il déclare avoir travaillé à Strasbourg pendant seize ans, qu’il a épousé cinq ans auparavant une servante de Jean Jacques Schütterlin, qu’il a habité pendant quatre ans à Fürdenheim. Comme il doit acheter ses marchandises à Strasbourg, il sera plus commode pour lui d’être bourgeois. L’assemblée accepte de le recevoir bourgeois à cause de son bon comportement.
1589, Conseillers et XXI (1 R 66)
(f° 82-v) XIX Februarÿ – Christman Sontag vmb d. Burgerrecht.
Christman Sontag der Wullenweber mit beÿstandt Thoman Vischers vbergibt & Bittelb. ein supplôn vnd bitt Ihne Zu einem burger anzunehmen, v.meldet d. er 16 Jar hie gearbeit, sich vor fünff Jaren mit einer dienstmagd so beÿ Hn Hanß Jacob Schötterlin gedient verheurhat und 4. Jarlang Zu Fürdenheim gewohnt, sich ehrlich gehalt. v.mög Abscheidt d. er aber alles Zu seinem handwerck gehörig alhie einkauffen müeß. welches Ihme gar unbequem, hat er m. Hn hiemit vmb d. burgerrecht vnd.thenig ersuch. wöllen, bericht h. Phil. Mösing d. er ein gutt Zeugnus, und wo es sein gelegenh. geweß lang drauß Zusein, das er Ihne hatte wol leid. mögen. Erkandt, Man soll Ihne vff sein wolhalten annehmen, H Schilling, H Schotterl.

Originaire de Méricourt, Chrétien Sontag achète le droit de bourgeoisie le 19 février 1589.
1589, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 499
Christmann Sontag von Mericort der wullen weber, Hatt mit beÿstandt Sontag Wirichs deß Wullen webers, das Burckrecht erkauft, vnd will Zu den duchern dienen Act. 19. Febr. 89.

Chrétien Sontag cède par échange la maison au tisserand Jean Metz

1605 (vt spâ [xx Septembris]), Chancellerie, vol. 357 (Registranda Kügler) f° 239-v
Erschienen hanns Metz der Wullenweber ane eim
So dann Christmann Sontag auch wulinweber am andern theyl
haben beyde partey. gegen einand. bekhant v. offentlich verÿeh. das sie ein Vfrecht redlich vertusch wie da einmutig urtels* getroffen vnd yngang.
Namlich vertuscht hanns Metz für sich v. sein. erb. gedch. Christian Sontag v sein erb. hauß v hoffestatt Sampt einem germeyn profey V der gerechtigkeyt der ÿn v vßgangs durch Lazari goldters witwe höfflin m all Ir gebeu geleg. In der S S vnd. am pflantzhoff einseyt neben bemeld. Lazar goldter andersyt hans Cleynen stosst hind. vffm Allmend + (+ doch so wyth sich der begriff Jetzverkhauffter Behausung des Almends gegen der damen* erstreckt Soll Christman Sontag fürbaß d Staden* Zu erhalten schuldig) davon gnd ij lb x ß gld All Jar vff d heylig. wÿhenachtag loßig mit L lb d (-) dem goldschmid sunst eÿg. So dan Achtzigh guld Zu xv batzen
Dagegen vertuscht Christian Sontag für sich v sein erben gedch. hans Metzen v sein erben huß hoffstatt v. hefflin m. den gebeu. & geleg Inn der SS Inn haanen gaß, ein seyt Melchior dick den Steinmetz ander seyt ([biffé] Christmann N.) Michel Khundt Scharachberckheim (+ stoßen hind. vff Gabriel Blumens erb.) dauon gend 5 gulden glt vff Johannis Baptistæ losig mit 100 guld. SW hans Ulrich Schultheÿß witwe In Altenh. Sunst eÿg.

Originaire de Seckingen an der Bergstrasse (Seckenheim), le tisserand Jean Metz épouse en 1601 Marie, fille du tisserand Barthelémy Peter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 75-v n° 36)
1601. Hans Metz Wullen Weber Von Seckingen an der bergstrasse, J. Maria Bartel Peter des Wullen Webers verlasene tochter 14. Julÿ (i 78)

Originaire de Seckenhein près de Heidelberg, Jean Metz devient bourgeois par sa femme Marie, fille de feu Barthelémy Peter
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 798
Hannß Metz der Wullinweber von Seckenh. beÿ Heidelberg empfahet d. B: von Maria Weÿland Barthel Peters wullinwebers selig. dochter will Zun tuchern dienen vnd sein Nahrung für 100 fl. angeben Act. 25. ditto [Julÿ 1601]

Le tisserand Jean Metz, originaire de Seckingen en Palatinat, (r)achète le droit de bourgeoisie le 24 mars 1604
1604, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 680
Hans Metz, der Wullinweber Vonn Seckingen vß der Churf. Pfaltz Kaufft mit beÿstandt Christoph Schawmann deß Rhatsbotten das Burg: will Zun Tuchern dienen, vnnd sein Narung für 300 fl angeben, Actum vt supra [24 Martÿ]

Jean Metz se remarie en 1623 avec Rosine, fille de Jean Georges Mutterspach, préposé à Haguenau
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 166-v) 1623. Dominica XI. post Trinit: hans Metz d. Wullenweber allhie, Rosina Hanß Gorg Muterspachs d. Landvogthei Zu Hagenau gewesenen Marschalcks hinderlaßene tochter. Calend, Septemb. im frühgebett (i 171)

Jean Metz demande au nom de sa femme Rosine, fille du préposé Jean Georges Mutterspach l’intercession du Magistrat pour entrer en possession de son héritage maternel. Il reste des biens à partager après que les créanciers ont été satisfaits.
1623, Conseillers et XXI (1 R 105)
(f° 254-v) Sambstag den XV. No.bris – Hans Metz ehevogt Rosinæ Mutterspachin umb fürschrifft. 254. R. 279
Hans Metz d. Wullenweber alß Ehevogt Rosinæ Hans Georg Mutterspachs Marschalcks Zu Hagenaw dochter vbergibt supplôn meldt wie Ir Mutterlich gutt dan d. geschwistert 3. von vogten erstlich verwaltet hernach L. Westermeyer vnd D. (-) Bosen beid. Sattlermeistern vbergeben worden von denen er Inventaria u. andere documenta begert damit d* gutt getheilt vnd sein hausf. Ir Antheil gehaben vnd gebrauch mög, aber nichts erlang. konnen, daher sie bey Rhatt angehalten vnd auf Kunfftig Montag bescheiden damit sie dan desto mehr befindet Bitten sie umb fürschrifft. Erk. Ist wilfahrt, h. Rathh. Seubel v. Nuss* fol. 86.

(f° 279) Sambstag den XIII Decemb. – Hans Metz Ca. Hagenauwische
Hagenauwisch. antwort schben abgelesen dorin sie auf ein fürschrifft für Hans Metz und Rosinæ Mietterspachin antworten beschweren sich ab den narratis solang. Irer Stettmeister L Philipp Otto Westermeÿer und D. Lorentz Bosens in hptal gestand. d. Innen unmht* domit geschehe seyen auch administratores der Mieterspachischen gutter geweßen, sonder allein underhandler, Item sein Metz beystand hatt schla* erzeugt d. sintemal ursach gehabt inder* gegen Ime anzunehmen, aber mhhn. weg. verschont u. doch mit maten* Zurkennen geben, hetten dißmal ursach sich gentzlich der sach Zuentschlagen wollen aber doch mann sich die interessenten dazu schicken werd. gern* d. best dabeÿ schein, wie dan Philipp Jacob Mutterspach selben würdt berichten Konnen an wann er bißher ermanglt Sey an sonst Conrad Grau u. Heinrich Zimmerer* verwalter geweßen u. Rechnung gethan. Erk. Man soll Metzen zustellen u. darüber horen H. Baur H Merckle*

1625 Conseillers et XXI (1 R 107)
(f° 199) Sambstag den III. Septemb. – Hans Metz vmb fürschrifft.
Hans Metz d. Wollenweber alß dochterman Hans Georg Mutterspachs burgers zu Hagenaw vbergibt supplôn meldt seinen Schwehr, verlaßenschafft und. die creditores getheit, aber noch etwas vbrig dazu aber weder er noch seine Schwager gelang. konnen, vnd will man auch keine Rechnung es sey dan sein Schwager Wolffgang Hecker Bamberg. furst Maler mhben* d. soll, der aber bitzher allerhand ursach wegen nit kommen konnen, und ob wol hrn des Raths Zu Hagenaw an seiner statt dobey sein konnen, hab er dahil* erlangen dazu ein Zukommen bitt er umb fürschrifft an Statthalter Cantzler und Rhatt Zu Zabern. Erk. Willfahrt v. niß A. fol. 73.

La maison revient d’une manière non établie au tisserand Jacques Hummel.
Originaire de Vöhringen près d’Ulm, il épouse en 1605 Elisabeth, veuve du serrurier Bernard Müller

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 105-v n° 24)
1605. Jacob Humel Weber von fehring. bej Ulm vnd Elisabeth Bernhart Müller des schlossers Hinderlaßene Wittwe. 13. Aprilis (i 108)

Le serrurier Bernard Müller épouse en 1600 Elisabeth, veuve du coutelier Jacques Bessenet
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 119 n° 24)
1600. Doîca Misericord. 6. April. Bernhart Müller d. schlosser Elisabeth Jacob pessonet des Messerschmids Hind.lassene witwe. Eingesegnet Mont. d. 14. April. (i 73)

Le coutelier Jacques Bessenet épouse en 1592 Elisabeth, fille de Nicolas Schwartz
>Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 27-v n° 31)
1592. Jacob Besenet der Messerschmid J. Elisabeth Claus Schwartzen des Zundelmachers verlasne tochter eingesegnet 9. Maÿ (i 30)

Originaire de Vöhringen, Jacques Hummel acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Elisabeth veuve du serrurier Bernard Müller deux ans après son mariage
1607, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 884
Jacob Hummel der Leinenweber von Föring. Empfahet d. Burgerrecht von Elisabetha weÿland Bernhardt Müllers des Schloßers seelig wittib, wüll Zu den Tuchern dienen vnd 100 fl verstalllen Geschehen den 9 Junÿ Aô 1609.

Jacques Hummel hypothèque la maison au profit de Barthelémy Kirchhofer en garantie d’une dette contractée par Bernard Müller, précédent mari de sa femme

1621 (5. 7.br.), Chancellerie, vol. 441 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 67
Schuldbekandtnus Barthel Kirchhofers vmb xj lib.
Erschienen Jacob hummel d. Leyneweber vnd burg. alhie vnd
hatt in gegenwertigkeyt Bartholomei Kirchhofers bekant, das er demselben von einer Schuld von Bernhard Muller seinem vorfahren herrührend schuldig worden 11 pfund
Zum vnderpfand verlegt sein Behausung alhie In d. Hanen Gaß einseyt neben Georg Serren hoßenstricker and.seyt neben Michel von Scharrenbergkh. hinden offere* becken huß davon gehnd Jährlichs 5 gl. Daniel Igeln selig. erb.

Jacques Hummel et Elisabeth Schwartz vendent la maison au chapelier Jean Georges Meyer

1622 (ut spâ. [xxv. Septembris]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 358
(P. fol. 266.) Erschienen Jacob hummell d. leinenweber burger Zu Straßburg vnd Elisabeth Schwartzin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
hannß Geörg Meÿer dem huotmacher burgern Zu Straßburg
hauß, hoffstatt vnd höfflin mit All Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. Inn der haanen gaß, Ane d. obern straß. einseit n. Andreß wassermann schuomach. And. seit n. eim Bauren Vonn Scharrachbergh. hind. vff Michell Schrancken den weÿßbeck. stoßend, Dauon gnd. v. gl. gld loß mit j C. gl Werungh vff Johannis Baptæ weÿland hanß Jacob Igells selig witwe, Mehr seind sie verhafftet vmb j C xxv lb hannß Jacob Rümmellsperg. vnd dann vmb xj lb Barthell Kirchhoff Sunst led. eÿg. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. v. besch. für vnd vmb j C Lx lv x ß

Le chapelier Jean Georges Meyer épouse en 1615 Ursule, veuve du receveur Martin Faber
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137-v n° 13)
1615. 18. Aprilis. Hans Jerg Mayr der Hutmacher, Ursula Martin Fabers Schaffners wittib (i 142)

Originaire de « Windenspach », Martin Faber épouse en 1603 Ursule, fille du pelletier Jacques Poppel
Mariage, cathédrale (luth. p. 122 n° 33.)
1603. Dominica 11. post Tinitatis. Martinus Faber von Windenspach und Ursula Jacob Poppel deß kürschners n: g: dochter (i 64)

Le chapelier Jean Georges Meyer se remarie en 1619 avec Marie, fille du tonnelier Martin Ohler
Mariage, cathédrale (luth. p. 93)
1619. dominica 24. Trinit. den 7. 9.bris. Hans Jörg Meyer der Hutmacher und J. Maria Martin Oler des Küeffers tochter. eingesegnet montag d. 1. 9.bris (i 51)

Jean Georges Meyer hypothèque la maison au profit du boulanger Jean Blanck. En marge, quittance en 1629 remise par Jean Blanck à Adam Hünerer, alors propriétaire de la maison

1626 (ut spâ. [xix. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 606-v
Erschienen hannß Georg Meÿer d. hutmacher burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Hannß Blancken des Weißbecken auch burgs. Zu St. – schuldig seÿen 20. Pfund
Vnderpfand, seine In der Hahnengaßen gelegene Behausung einseit neben Andres Waßermann dem Schumacher, anderseit neben Michel Cuntzen hinden vff Michel Schrancken stoßend, dauon gehen herrn Georg Nägele Pfarrern Zu Dorolßheim 100. lb d Capital
[in margine :] Erschienen hannß Planck hatt in gegensein H Johann Adam Hüenerers deß Handelßmanns auch burgers alhie Alß ietzigen Inhabers deß vnderpfandts (…) q.tirt den 2. Septembris A° 1629.

Jean Georges Meyer hypothèque la maison au profit de Jean Adam Hünerer et de son beau-père Melchior Hartung.

1627 (28. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 335
Erschienen hanß Jörg Meÿer hutmacher burg. Alhie
hatt in gegensein hn Johann Adam hüenerer für sich Vnd Innamen seines Hn Schwähers Melchior hartung – schuldig seÿe 60. Reichßthaler
Zu vnderpfand verlegt hauß hoffstatt höfflein Vnd schopff mit allen & geleg. In der obern Straß Inn d. hanengaßen, einseit Michell Kuntzen, and.seit Andreß Waßerman, hind. vff Micheli Schrancken Müller den Weißbecken stoßend, dauon gend 110 pfund hauptguett Wiland hn Jörg Nagell Pfarrers zu doroltzh. s. Erben, Item ist sie Verhafftet Vmb 70 pfund hanß Plancken Vnd dann Vmb 50. pfund Margredt fischerin

Jean Georges Meyer vend la maison au marchand Jean Adam Hünerer

1629 (23. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 467-v
(Protocollat. fol. 57.) Erschienen hannß Georg Meÿer d. hutmach. burger Zu St.
hatt in gegensein herrn Johann Adam Hüenerers deß handelsmanns auch burgers alhie (verkaufft)
hauß, hoff, hoffstat, sampt einem schöpflin vnd allen Andern deren gebäwen & geleg. alhie in der hanengassen neben Andreß Wassermann schuhmach. & neben Michel Kuntzen hind. vff Michel Schranckenmüller den Weißbecken stoßend, welche Zuuor v.hafftet vmb 110. lb d Capital (…) Georg Nagels deß Pfarrers s: Zu dorolßh. wittib vnd Erb. Item vmb 70. lb. d (…) hanß Planck dem Weißbecken, Item vmb 15. ß Capital (…) Jeremiæ Fischer dem Metzig. Item vmb 45. lb (…) H Melchior Hartung dem handelßmann sonst ledig, eÿgen, Vnd ist diser Kauff vber die beschwerd., so der Käuffer vff sich genommen, geschehen per 18. lb
(hanß Planck ist allerdings contentirt wie in Reg. 1626. fol. 607. zubefind.)

Fils de Jean Hünerer, au service des comtes de Falkenstein, le marchand Jean Adam Hünerer épouse en 1621 Marguerite, fille du marchand Melchior Hartung
Mariage, cathédrale (luth. p. 122)
1621. Dominica 19. Trin: 7. 8.bris. Johann Adam Hünerer der Handelsmann, H. Johann Hünerer gräfflichen Falckensteinischen Amptskeller auf newbambergk sohn, vnd J. Margreth hr. Melchior Hartung des Handelsmanns tochter, eingesegnet Zinstag 16. 8.bris (i 66)

Jean Adam Hünerer vend la maison au fabricant de chausses Daniel Kurbau

1638 (23. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 600
(Protocollat. fol. 114) Erschienen Herr Johann Adam Hüenerer der handelßmann burger Zue Straßburg (verkaufft)
Daniel Kurbaw dem Hosenstricker auch burgers alhie
hauß, hoff, hoffstatt und Schopfflin, mit allen andern ihren gebäwen & alhie in der Hanen gaßen, einseit neben Andreß Wassermann dem Schuhmacher, anderseit neben Thoman Burckharden dem Tagner, hinden vff Michel Schranckenmüller den Weißbecken stoßend gelegen, so gantz freÿ ledig eigen – vmb 175 Pfund
dabeÿ gewesen herr Hanß Jacob Meÿer handelßmann Zu Nürenberg an ietzo Schirbms Verwanther alhier vnd hans Salinus hosenstricker Burger Zue Straßburg

Jean Kurbau vend son tiers de la maison au chapelier Christophe Futterer, assisté de son père Georges Futterer

1649 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 390-v
(Prot. fol. 112.) Erschienen Hannß Kurbaw der Hosenstrickher Vnd Burger Zue Straßburg mit beÿstand Hannß Georg doni deß hosenstrickhers alhie seines Schwagers
hatt in gegensein Christoph Futerers deß hutmachers alhie mit beÿstand Georg Fueterer auch hutmachers seines Vatters
Einen tritten theil ahne hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen und Zugehördten gelegen alhie an der Obern Straß. in de Hanen gaßen neben Andreß Waßermann dem Schuhmachern ein: und anderseit neben Ambrosius Geiger dem Einspenniger hinden vff Michael Schranckhenmüllern d. Weißbeckh stoßend gelegen, daran die übrige Zwen tritte theil Daniel Kurbaw dem Hutmacher Vnd Daniel Avenheim dem hosenstrickhern so sich beÿde in der Wanderschafft auff halten, gehörig seind, vnd dißer ietzt Verkauffte 13. theil ohn verhafftet ledig und eig. seÿn – Verhafftet 25. lb

Les ayants droit de Daniel Kurbau vendent la maison à Jean Trœscher d’Ostwald

1653 (19. febr:), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 96
(Protocoll. fol. 152) Erschienen Melchior Reiff der Schuhmacher alß Vogt Daniel Kurbawers Zue einem tritten theil, Vnd Paulus Gandj der Hosenstricker burg. alhie alß Vogt Daniel v. Avenheims Zum einem Halben, Vnndt Niclaus Elles der Hosenstricker alß Vogt Margrethen Hannß Georg Donj deß Hosenstrickers eheliche dochter Zum übrigen halben tritten theil, Vnndt dann Christoph Fuoterer der Hutmacher Zum letztern tritten theil, Vnndt sie die obgemelte Vögt insonderheit mit beÿstand H. Johann Wolffgang Heßlers und H. Johann Peter Schmidts beeder Kinder Vertragß herren und auß E.E. großen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein hannß Tröschers Von Illwickerßheim
hauß v. höfflin mit allen deren Gebäwen vndt Zugehörden alhie in der hanen Gaß einseit neben Ambrosio Geÿer dem Soldner, and.seit neben Martha Waßermännin, hinden vff Michel Schranckenmüllern den Becken stoßend gelegen – umb 200 Gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent les héritiers de Daniel Kurbau à vendre au manant Jean Trœscher d’Ostwald la petite maison délabrée moyennant 100 livres
1653 Conseillers et XXI (1 R 136)
(f° 21) Montag d. 14. Febru: – Daniel Kurbawerß Erben
Daniel Kurbawerß Erben bericht. d. sie eine behaußung an Hanß Troscher Von Illwickerßh. Zu verkauffen Vorhabenß Bitt. vmb Decretum alienandi.
H. Heßler vnd H. Schmidt bericht. d. es Ein schlechtes Heüßlin so sie hienzugeben vorhabenß, Will nicht mehr gelt. als 100 lb Vermeinen Man konne d. Interesse d. Wohl gratificiren. Erk. Wilfarth word.

Jean Trœscher, musicien d’Ostwald, et sa femme Jeanne, manants de Strasbourg, s’obligent à entretenir Marthe Wassermann dont les biens inventoriés par le notaire Ursinus s’élèvent à moins de dix livres.
1655 (1. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 649
Erschienen Michael Loos der Büttel beÿ E.E. Zunfft der Beckh alß Vogt Marthæ Waßermännin mit beÿstand H Jeremiæ Ursini Notarÿ und E.E. Kleinen Rhats alten Beÿsitzers an einem,
So dann hannß Tröscher der Spielmann von Illwickherßheim Schirms Verwanther alhie und Johanna sein Eheweib, vnd beede theil mit beÿstand der Ehrenvest- Fürsichtig- und weÿsen H Johann Christmann Merckhlins und H Caroli Eggen beede E.E. groß. Rhats Beÿsitzer auß deßelben mittel verordneten Kinder Vertragßheren
bekannten freÿ gutwillig offentlich, wiewohl. einganß gemelter Marthæ Waßermännin restirende Nahrung vermög deß, durch vorgedachten H Not. Ursinum vffgerichtet. Inventarÿ über Abzug der gegenschuld. sich nur 9. lib 18 ß belauffen, hetten sich soch Sie beÿde Eheleuth für sich und ihre Erben dahien verbindlich erclärt, daß dieselbe besagte Martham waßermännin umb solchen rest die übrige Zeit ihres lebens versorgen verpflegen (…)

Le journalier Jean Trescher d’Ostwald et sa femme Jeanne Mack originaire de Lingolsheim acquièrent le droit de bourgeoisie. Ils n’apportent pas d’enfant, s’inscrivent à la tribu des Gourmets
1657, 3° Livre de bourgeoisie f° 955
Johannes Trescher der Tagner Von St: oßwaldt erkaufft das Burgerrecht für sich und sein Haußfrau Johanna Mackin von Lingelßheim gebürtig, vmb 20 golt fl. so er vff dem Pfen: thurn erlegt, haben Keine Kind. vnd will Zu E. E. Zunfft der Weinsticher dienen. Jurav: den 11. Aprilis A° 1657.

Jean Trœscher est emballeur en 1672
1672, Chambre des Contrats, vol. 532 f° 163-v (…) mit beÿstand Johann Tröschers deß Ballenbinders Burg.

Il meurt à l’âge de 72 ans en 1684
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 103, n° 1)
1684. Januarius. d. 9. H Joh Dröscher alt 72 Jahr (i 53)

Jeanne Mack, veuve de Jean Trœscher, vend la maison à Susanne Goll, femme du rapporteur Jean Jacques Gambs. La maison figure dans l’état de ses revenus dressé en 1684.

1686 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 176
Johanna Mackin, weÿl. Johann Tröschers gewesenen Sinners am Crahn allhier sel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand H. Tobiæ Rothen deß Ganth käufflers Ihres vogts
in gegensein Susannæ gebohrner Gollin, Hn Dr Johann Jacob Gambsen, E.E. Statt gerichts allhier Referenten haußfrauen mit beÿstand herrn Johann Stößers hießiger Statt Rentmeisters ihres tochtermanns und vogts
hauß und höfflein mit allen deren gebäuen, begriffen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Hahnengaßen, einseit neben diebold Örteln anderseit neben weil. H. Johann Friderich Gambßen gewesenen Pulverhändlers sel. Erben hinden uff Georg Pfister den Weißbecken stoßend gelegen – umb 300 fl. baaren gelds

Son fils Jean Bechtold vend en 1704 la maison à Anne Marguerite Scholl, femme de David Hartmann, employé à l’Aumône. En marge, quittance remise en 1721 à Madeleine Büry, femme du tanneur Daniel Durvo.

1704 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 186
(250) Joh: Bechtoldt saltz verwalter (unterzeichnet) Johannes Bechtold
in gegensein Annæ Marg: geb. Schollin David Hartmanns allmoßen Knechts beÿ Löbl. Policeÿ Gerichts allhier Haußfrn.
eine behaußung Hoff Hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier in der Hahnengass einseit neben Martin Kielen maurern anderseit neben weÿl. Diebold örtels Granknechts EE. hinten auf erwehnten Kielen stoßend gelegen – um 250 pfund
[in margine :] Quittung, hierin bemeldter H. Bechtold der creditor in gegensein Christinæ Magdalena Durwo geb. Bürgin Daniel Durwo Gerbers ehefrauen dero und ihrem ehemann hierinn beschriebene behaußung nunmehr eigenthümlich zuständig ist, den 18. aug. 1721

Fils de David Hartmann, aubergiste à la Hallebarde, le mousquetaire David Hartmann épouse en 1671 Marguerite, fille du revendeur Michel Lœs : contrat de mariage, célébration
1671 (20. febr:), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 170-v
(Eheberedung) Erschienen David Hartmann der Mußquetirer in alhießiger Guarnison und Burger alhier alß Hochzeiter mit beÿstand Daniel Nägelin deß Würthß zum thiergarten seines annoch ohnentledigtenn Curatoris an einem
So dann Jgfr. Margaretha Michael Lösen deß Grempen Burgers Zu Straßburg eheleibliche dochter alß hochzeiterin, mit assistentz erstbemelts ihres eheleiblichen Vatters und hannß Henrich Schnellers deß Hoßenstrickhers Burgers alhie ihres Vogts am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. f° 139-v n° 18)
1671. Dom: Quasimodogeniti. Zum 2.mahl David Hartman der Musquetirer unter Hr Capitain alhier, Weiland David Hartmans geweßenen Würths Zum Spieß alhier nachgelaßene ehel: Sohn: Jfr. Margaretha Michel Lößen, *ers Burgers alhier ehel. T. Montags den 8.ten Maji Münster (i 142)

Son frère passementier Philipp Hartmann qui sera témoin à son acte de sépulture épouse en 1676 Anne Catherine (Leopard), veuve du passementier Jean Jacques Treutel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 58-v n° 361)
1676. Dom. Sept. et Sexag. den 23. v. 30. Jan. Johann Philip Hartman der ledige passmantmacher, weÿl. David Hartmans gewesenen burgers u. Gastgebers allhier hind.lassener ehelicher Sohn, Fr. Anna Catharina Weÿl. Johann Jacob Treutels gewesenen passmantmachers undt burgers allhier hind.lassene wittib. St. Thomas den 3. febr. (i 31)

L’agent de police David Hartmann épouse en 1699 Anne Marguerite, fille du fabricant de chausses Jean Michel Scholl.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 94-v n° 481)
1699. Mittw. d. 11. febr. wurd. nach ordentl. außruf. copul. David Hartmann, d. schirmsv: fausthammer allhier v. Anna Margaretha, weil. Hanß Michael Schollen, des geweßenen Hoßenstrickers v. B. allhie nachgel. ehel. Tochter (unterzeichnet) Davidt hartman als hoch Zeidter, 8 dieses handzeichen hat die hochzeiterin mit eigener hand beÿgefügt, Johann Philippus Kugler als schwager (i 94)

Anne Marguerite Scholl meurt le 7 mars 1709 à l’âge de 52 ans. L’inventaire dressé après sa mort est seulement connu par le répertoire du notaire
1709, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über Weÿl. Fr. Anna Maria geb. Schollin David Hartmanns des hosenstrickers allmosen Knechts und schirmers alh. gew: Ehegattin Verlassenschafft

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1728 f° 140 n° 897)
1709. Donnerstag den 7.ten Martÿ ist gestorben v. Sambstag darauff nach gehaltener Leichpred. in der Prediger kirch, nach St. Helenen begraben word. Fr. Anna Margaretha, David Hartmans b. allhie ehel. haußfr. ætat. 52. jahr 16 wochen bezeug. solches neben mir (unterzeichnet) davidt hartman als Eman, Hans Caspar grutzer* als verwander (i 141)

Employé à l’Aumône, David Hartmann meurt à l’âge de 73 ans. Son frère Jean Philippe Hartmann est témoin.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1728 f° 165-v n° 1041)
1712. Freÿtags den 16.ten 10.mbr. ist gestorben und Sontag darauff nach St. Galli begraben worden David Hartmann b. und Allmoßen Knecht ætat. 73. jahr. Testant. (unterzeichnet) Johann Philip hartman alß bruder, hanß Bernhard Reher* als schwäger (i 167)

Les sœurs et héritières d’Anne Marie Scholl vendent la maison au tanneur Daniel Dubro et à sa femme Chrétienne Madeleine Birri. David Hartmann renonce à la jouissance viagère de la maison.

1712 (uts. [10. Xbr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 721
(350) Maria Magd: Schaffnerin wittib geb. Schollin beÿständlich Joh: Caspar Geigers sen: hoßenstrickers ihres Curatoris, Item Anna Rohrin wittib geb. Schollin beÿständlich H. Joh: Martin Rüegers schuem: und E.E. Kleinen R. B. weilen unbevögtigt
in gegensein Daniel Durbo gerbers und lederb: und Christine Magd: geb. Birri, daß sie zwo schwestern ihnen Durboischen Eheleuthen (Durbo zeichen, CD, Christina maglena dorboin)
eine behaußung hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der hahnengass, einseit neben frauen Rennerin anderseit neben örtelischen EE, hinten auf Sie Rennerin
Worbeÿ erschienen David Hartmann allmoßenknecht der hat auf den natural genuß deß haußes renunciret – um 175 pfund verhafftet, geschehen um 175 pfund

Fils du tanneur Pierre Dourveau, Daniel Dourveau épouse en 1708 Chrétienne Madeleine Buri de Kirchlindach dans le canton de Berne
Mariage (réformés, f° 125)
1708. den 2.ten Decembris seind eingesegnet worden (2) Daniel Dourveau burger und Gerber in Straßburg weÿl. Peter Dourveau gewesenen Burgers und Gerbers daselbst nachgel. ehel. Sohn, Jfr. Christina Magdalena Burin weÿl. hanß Michael Burin von Kilchlindach Bernergebiets nachgel. ehel. Tochter (i 135)

Chrétienne Madeleine Büry fait dresser un état de ses biens pour accéder à la bourgeoisie, dans la maison rue de la Fontaine (rue Adolphe Seyboth) qui lui appartient en partie (il n’y a pas d’inscription au livre de bourgeoisie).
1708 (15. Xbris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 21)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so der Ehren und tugendsammen frauen Christinæ Magdalenæ Dorbo gebohrner Bury, deß Ehrenhafften H. Daniel Dorbo Gerbers Undt burgers alhier haußfrauen eigenthümlich zuständig, welche aus Ursach dieselbe fürderich beÿ Unserer Gnädigen Obrigkeit Vmb das burger Recht anzuhalten, Vorhabens, auff Ihr fleißiges Ansuchen und erfordern (…) Act. Straßb. 15.ten Xbris 1708.
In einer alhie Zu Strassburg In der buchergaß gelegenen, der Fr. Mutter Zuständiger behaußung ist befund. word. wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Item ein drittertheil vor vngetheil, von vnd ane einem Zweiten Theil einer behaußung In der Büchergaßen (…)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du marchand de cuir Jean Bouchard au Bain-aux-Plantes
1710 (10.1.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 24)
Inventarium über H. Daniel Dorbo, Gerbers und Lederbereiters: und Frawen Christinæ Magdalenæ Dorboin gebohrner Burÿin, beeder Eheleuthe und burgere alhier einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1710. – Actum in der Königl. Statt Straßburg Freÿtags den 10.en Jan: 1710.
In einer alhier beÿ dem Pflantzbad gelegener H. Johann Bouschard dem lederhändler gehöriger und Von Ihnen beeden Eheleuthen lehnungsweiß bewohnter behaußung ist befunden worden wie Volgt
Des Manns Unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 113, Sa. Silbers 5, Summa 49 llb
Der Frauen Vermögen, Sa. Haußraths 115, Sa. Silbers 2, Sa. Guldenen Ring 5, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 222 lb

Le tanneur Daniel Durbo hypothèque la maison au profit de Susanne Stoll née Bouchard

1718 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 206-v
Daniel durbo gerber und lederbereiter
in gegensein Susannæ Stollin Wittib geb. Buschardin mit beÿstand Johann Salomon Weißgerbers Ihres Vogts – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, hauß hoffstatt cum appertinentÿs in der hahnengaß, einseit neben Rennerin anderseit neben öckelischen erben hinten auff gedachte Rennerin

Daniel Durbo et Madeleine Büry vendent la maison à leur beau-frère et frère respectif, le charretier Jean Jacques Büry et à sa femme Anne Bolly

1733 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 483
Daniel Dirveau der Rothgerber Lederbereither und Magdalena geb. Boury
in gegensein ihres bruders und schwagers hanß Jacob Bury des Fuhrmanns und Schirmers und Anna geb. Bollÿn /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI (unterzeichnet) +, +
Eine Behausung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der hahnen gaß, einseit neben Johann Jacob Bähr dem Paßmentirer anderseit neben Michael Gaß dem schuemacher hinten auff Johannes Stall den silberarbeiter behausung ehevögtl. weiß – als ein am 10. Decembris 1712 erkaufftes guth – geschehen um die angezeigte capitalien 200 pfund und 225 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent les propriétaires à vendre la maison à un manant. La commission qui visite la maison constate qu’elle comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un petit poêle, une cour et une écurie pour deux chevaux, chacun des deux étages comprend deux chambres, elle a un grenier pour y conserver les grains et une cave. La vente sera passée pour 425 livres.
1733 Conseillers et XXI (1 R 216)
(p. 387) Sambstag d. 14. 9.bris. Daniel Durbo et uxor bitten umb erlaubnuß ein hauß an Joh. Jacob Büri den schirmer Verkauffen zu dörffen.
Lt. Mosseder Nomine Daniel Durbo des hiesigen burgers und Rothgerbers et uxoris Magdalenæ gebohrner Buriin die bitten unterthänig umb gnädige permission ein in der Hahnengaß gelegenes häüßlein an Hanß Jacob Buri des schirmer und fuhrmann allhier umb 850 gulden, mit übernahm aller unkosten, verkauffen zu dörffen. Gug nomine erstgedachten Buri, bitt ebenfalls umb Obrihgeitliche erlaubnus sothanes häüßlein umb den ernandten preiß kauffen Zu dörffen.
Erkandt werden H. XV. Schenck und H. Rht. Ößinger abgeordnet, und den augenschein besagten häüßleins Vorläuffig einzunehmen, auff deren über deßen Zustand abgelegte Relation ferners ergehen soll, was recht ist.
Deputati ijdem umb den Bescheid Zuzeigen.

(p. 392) Montag d. 23. 9.bris 1733 – Daniel Durbo et uxor und Hanß Jacob Büri erhalten erlaubnuß resp.vé ein häüßlein zu Verkauffen und Zu Kauffen.
H. XV. Schenck referirte, Er habe beneben H. Rht. Ößinger, Mghh. am 14.ten huius ertheilten Interlocuto gemäß, das ienige häüßlein, Welches Daniel Durbo et uxor an Hanß Jacob Buri den schirmer und fuhrmann umb 850. fl. Zu verkaufften Willens seind, in augenschein genommen und befunden daß Selbiges in der sogenandten Hahnen: gaß liege, gleich im eingang ein Haußehren auch kleine Stub, höfflein und Stallung vor Zweÿ pferd habe, in iedem der Zweÿ darüber gebauten Stöcken wären Zweÿ Cammern befindlich, dabeneben hätte es auch ein bühnlein Zur Frucht: Schütt und kleinen Keller, der Kauffschilling bestünde in 850. fl. und seÿe der Käüffer erbietig, sich deren ordnungen Zu Submittiren. H. Rathh. Ößinger beruffe sich auff des H. Fünffzehners abgelegte Relation.
Erkandt, Wird Daniel Durbo und dessen haußfrauen, Wie auch Hanß Jacob Buri vorgemeltes häüßlein umb den gemelten preis respectiué Verkauffen und Zu Kauffen zu dörffen, Obrigkeitlicjh erlaubt, iedoch mit diesem außdrucklichen anhang und beding daß der Kauff in hiesiger Contract: Stub in gegenwart vorbenambster Herren Deputirten solle Verschriben und Hanß Jacob Buri der Käüffer sich daselbst deren in den ordnungen enthaltenen oneribus und beschwerden per Reversalen Zu submittiren angehalten Werden.
Deputati ijdem zu anzeigung des Bescheids.

Fils de Michel Bürry de Kirchlindach dans le canton de Berne, Jean Jacques Bürry épouse en 1717 Anne Bolly, veuve de Pierre Dalmann. Le pasteur note qu’Anne Bolly n’a jamais été mariée avec Pierre Dalmann, les certificats qu’elle a produits étant faux.
Mariage (réformés, f° 131-v)
1717. Aprilis. 4.t sind eingesegnet worden Johann Jacob Burri weÿl. Michel Burri von Kilchlindach berng. nachgel. ehel. Sohn, Fr. Anna Bollin weÿl. Peter Dalmann nachgel. wittib. NB. wurde niemals mit dem Peter dalman copulirt sondern Ihre Schein waren falsch deßweg. auch censurirt. (i 147)

Anne Bolly veuve de Jean Jacques Büry fait divers legs, notamment à la paroisse réformée, et institue pour ses héritiers ses trois enfants Jean Jacques, Anne et Jean Melchior
1742 (1.10.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 289) n° 113
Testamentum Annæ Burin gebohrner Bollin – persönlich zu sich kommen laßen und erschienen seÿe die Tugendsame Frau Anna Bürÿ gebohrne Bollin, weÿl. des Ehrsamen Johann Jacob Burÿ, gewesenen Tagners und Schirmers allhier Zu Straßburg, seeligen hinterbliebene Wittib, von Verliehung göttlicher Gnaden gesund, gehend und stehenden Leibes, auch guter richtiger Sinnen und Verstands (…)
vor das andere, so legirt die Testiererin (…) denen haußarmen beÿ der Reformirten Gemeinde zu Wolffisheim in baarem Geld 6 gulden
Ane dem gritten, so verordnet die Testiererin Reformirten Kirchen zu Wolffisheim in baarem Geld 150 gulden
Viertens (…) will Sie die Testiererin hiemit Zu ihren wahren und ungezweiffelten Erben aller ihrer nach tod verlaßender über Abzug Kundlicher dahier Schulden und vorher verschaffter Legaten restirender Haab, Nahrung und Güthere (…) ernennet, instituirt und eingesetzt haben 1° Johann Jacob Bürÿ ihrem ältisten Sohn, da er noch im Leben, in dem einen Völligen dritten Stammtheil,
2° Annam Bürÿ die Tochter, und Zwar dieße allein in die mütterliche Legitimam und in den überrest dießes Zweÿten dritten Stammtheils deroselben Künfftighin im Ehestand ehelich erzeugende Kinder (…)
So dann 3° Johann Melchior Bürÿ, ihrem jüngsten ledigen Sohn, in den letzten dritten Stammtheil
Beschehen allhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der Blindengaß gelegenen, Meister Johann Melchior Ehrismann, dem Fuhrmann allhier eigenthümlich zugehörigen Behaußung, deren von ihme Ehrismann bewohennden Wohnstuben mit denen fenstern auff die gaß außehen, auff Montag den Ersten Octobris vormittags zwischen zehen und Eilff uhren anno 1742 (unterzeichnet) +

La maison revient par licitation puis adjudication judiciaire prononcée le 17 octobre 1742 (référence à l’inventaire ci-dessous, 1773) à son fils cadet Jean Melchior Büry qui épouse en 1745 la luthérienne Madeleine Zimmer, fille du laboureur Jean Georges Zimmer de Bischheim : contrat de mariage, proclamation par le pasteur réformé et célébration à Bischheim par le pasteur luthérien

1745 (18.6), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 156
Eheberedung Zwischen dem Ehrsamen Johann Melchior Bürrÿ, dem Ledigen Kremer, weÿl. Johann Jacob Bürrÿ, des geweßenen Tagners und Schirmers allhier mit auch weÿl. Frauen Anna gebohrner Bollin, seiner geweßenen haußfrauen, beeder seel. ehelich erzeugten Sohn, als dem hochzeitern, mit beÿstand herrn Johann Melchior Ehrismann des Kutschers und Burgers allhier, seines biß dato annoch ohnentledigten vogts ane einem
So dann der tugendsamen Jungfrauen Magdalena Zimmerin des Ehrsamen Johann Georg Zimmer des Ackersmanns und Frauen Magdalenæ gebohrner Schlagdenhauffen beeder Eheleuthe und burgere Zu Bischoffsheim am Saum ehelich erzeugter Tochter als der hochzeiterin mit assistentz vorgedachts ihres leiblichen Vatters am andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 18.ten Junii Anno 1745. unterzeichnet Johann Melchior burri als hochzeiter, + der Hochzeiterin Handzeichen

Mariage (proclamation, réformés, f° 150)
1745. Oct. d. 24. seÿnd proclamirt und den 2. Nov. zu Bischofsheim am Saum, Eingesegnet worden Melchior Buri weÿland Jacobs geweßenen Schirmers und Fuhrmans in Straßburg hinterl. Ehel. Sohn, Jfr. Magdalen, Hanß Georg Zimmers des Burgers in Bischofsheim Ehel. Tochter (i 162)

Mariage, Bischheim (luth. p. 222)
Anno 745. d. 2. 9.bris. Seÿnd nach göttl ordnung v. zweÿmahlicher proclamation ehelich eingesegnet worden Melchior Buri der Ledige hüner händler Von Straßburg v. Jfr. Magdalena Hans geörg Zimmers b. v. ackersm. allhie mit Magdalena gebohrner schladenhauffin ehelich erzeugte Jgfr. dochter unterzeichnet Johann Melchior burri als hochzeitter, Magdalena Zimmerin als hochzeiterin (i 115)

Le marchand de volaille Jean Melchior Büry meurt le 4 août 1773 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 150 livres. La masse propre à la veuve est de 264 livres, celle propre aux héritiers de 9 livres. L’actif de la communauté s’élève à 466 livres, le passif à 896 livres

1773 (30.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 342) n° 1067
Inventarium über Weiland H. Johann Melchior Bürÿ des gewesenen Geflügel Grempen und Burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr sel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1773 – nach seiner d. 4. aug. jüngst aus dießer Welt genommenen tödl. hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen der hinterbliebenen Wittib, Fr. Magdalenæ gebohrner Zimmerin, des ältesten Sohns und der disortigen minorennen Kinder Vogts, hernach gemel, inventirt und ersucht durch sie die Wittib (…) So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der Hanen Gaß gelegenen, in disortige Nachlaßenschafft gehörigen Behausung, in fernerer Gegenwarth S. T. Herrn Lt. Joh: Philipp Grafenauer Proc. vic. und Burgers alhier, als der Wittib hierzu erbettenen beistandts auf Dienstag den 30. Novembris A° 1773.
Der Verstorbene sel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen seine 5. hernach gemelten mit Eingangs gedachter hinterbl. Wittib erzeugte Söhne Zu Fünff gleichen Antheilen als 1°) Melchior Büry den majorennen Geflügel Gremp und Brn alh. persönlich Zugegen, 2°) Joh: Georg Burÿ den Kübler gesell, so ohngefehr 24. Jahr alt und seit fünf viertel Jahr in Indien sich befinden soll (geb. d. 9. oct. 1749), 3°) Johann Gottfried Bury so beÿ nahe 22 jahr alt (geb. d. 7. oct. 1751), 4°) Joh: Michael Burÿ, so 20 Jahr alt seÿe die Metzger profession erlernet hat (geb. d. 25. oct. 1753) und 5°) Joh: Jacob Bürÿ, geboren d. 11. Juny 1757. Dieser 4 nechst gemeldter minorenner Kinder geordnet und geschworenen Vogts ist Joh: Daniel Wagner der Buttergemp und Burger alhier, welcher unter assistentz S. T. Herrn Joh: Carl Fické Notarÿ publici alhier sich beÿ diesem geschäfft eingefunden

Eigenthum ane Häuser. Erstlich eine behausung, höflein u. hoffstadt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, weithen, Zugehörden, Recht und gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßburg ane der hahnengaß einseit neben Georg Geÿer den Metzger, anderseit neben N. Haas den Schifman und hinten auf Joh: Fuchs den (-) stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capital frei, ledig, eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad Concept hujus Inventarÿ gelieferter schriftlicher Abschatzung d. d. 7. Dec. 1773. æstimirt u. angeschlagen word. pro 300 fl od. 150. lb.
Nota ane sothaner behaußung habe der Erblasser 1/3. theil von seinen Verstorbenen Eltern hannß Jacob Burÿ dem Fuhrmann und Anna gebohrner Bollÿin ererbt, die übrige 2/3 aber habe er nachgehends von seinen beed. Geschwüstrig. Annä Wolfin gebohrner Burÿn und Jacob Burÿ cessions weis ane sich eigenthümlichen gebracht. übrigens besagt über solche Behaußung ein pergam. in alh. C. C. stb geferiger Kfbr. d. d. 26. Nov. 1733. Ferner ein Ganth Kfbr. mit E. E. Kl. Raths Ins. Verwahrt datirt d. 17. 8.br. 1742.
It. eine Behaußung ane der Pickergaß gegen Pflantzhoff garten über (…)
Ergäntzung der Wittib währender Ehe ererbten, anjetzo aber sich mangenld befundenen unveränderten Guths. Zufolg Abtheilung aller derjenigen Haab, Nahrung und güthere, so weiland hans Georg Zimmer der sogenant Botten Geörg, Burger und ackersmann zu Bischheim am Saum hinterlaßen durch J Klein d Amtschreiber zu Bischheim am Saum den 12. Maj 1766. errichtet (…)
Series rubricarum hujus Invent. Copia der Eheberedung
Der Wb. ohnveränderten Vermögens, Sa. haußraths 1, Sa. Schuld. 33, Sa. Erg. rest 228, Summa summarum 264. lb
Diesemnach wid auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung 9 lb
Endlich wird auch die gemein Verändert und theilb. Verl. beschrieben, Sa. haußraths 41, Sa. Pferd und Fuhrgeschirr 8, Sa. geflügel 9, Sa. Schwein 2, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthum ane häusern 400, Sa. schuld 1, Summa summarum 466 lb – Schulden 896 lb, In Vergleichung 430 lb – Passiv onus loco der Stall Summ 157 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zugelten 14 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 18. Junii Anno 1745. Frantz Heinrich Dautel Notarius Jur.
Theil: Register inhalttend und außweißend alles daßienige Waß Magdalenæ Zimmerin deß Ehrengeachten Melchior Burÿ des burgers und hühner Krempen Zu Straßburg Ehelichen haußfrauen beÿ Weÿland des Ehrbahren undt bescheidenen Hannß Geörg Zimmer des sogenannen Botten Georgen, ihres Verstorbenen Vatters seel. Verlaßenschafft abtheillung (…) anheim gefallen
Abschatzung Vom 7. Dec 1773. Auff Begehren Weil. Meister Melchior Burÿ ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg in der Hanen Gas Gelegen Ein seit Neben hans Geiger ander Seit Neben Meister Klein und hienden auf Johannes Fux Stosent gelegen solche behausung besteht in Einer Stube eine kichen und Ettliche Kamern Dar jber ist Der Dach Stuhl mit breitziglein belegt hat auch ein baufelgigen gewölbten Keller Vor und Vmb Dreÿ Hundert Gulden
Der Zweÿte begriff (…) unterzeichnet Hueber, Werner

Madeleine Zimmer meurt en 1775 en délaissant cinq fils. L’évaluation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 907 livres, le passif à environ 800 livres.

1775 (20.11.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 967) n° 295
Inventarium über Weiland Frauen Magdalenæ geborner Zimmerin, auch weiland Joh. Melchior Bürÿ, des Geflügel Grempen und Burgers alhier, hinterlassener Wittib nunmehr auch sel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1775. (…) nach ihrem dienstags d. 7. Novembris dieses jahrs aus dießer welt genommenen töd. hientritt, Zeitlichen verlaßen – So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der hauer Gaß gelegenen in diese Verlt. gehörigen behausung, aug Montag den 20. Novembris A° 1775.
Die verstorbene Fr. Büriin hat ab intestato verlassen, ihre 5. mit Eingangsgedachtem ihrem Ehemann erzeugte Söhne, Zu gleichen Antheilen. 1°) Melchior Bürÿ, den majorennen annoch ledig. Geflügel grempen und Br. alh. persönlich zugegen, 2°) Joh. Georg Bürÿ, der Kübler gesellen, so d. 9. oct. 1749 geboren 3 Jahre in Indien sich befinden soll, 3°) Joh. Gottfried Bürÿ geb. d. 7. oct. 1751, 4. Joh. Michael Bürÿ, so die Metzger profession erlernet geboren d. 25. oct. 1753 und 5°) Joh: Jacob Bürÿ geb. d. 11. junÿ 1757, dieser 4. minorennen Söhn geschwohrner Vogt ist Joh. Daniel Wagner, der butter gremp u/ b. alhier, welcher auch in eigener Person seine Curanden Interesse beÿ deisem Geschäfft observieret.
Vorbericht. Hiebeÿ ist berichtsweis anzuzeigen daß beÿ der Benef. Erben vätterlicher Verlassenschaffts Erörterung kein vätterliches Vermögen ausgefallen, derwegen die damalen vorhandene Activ-Mass nach Ausweis einer vor H. Joh: Friderich Lichtenberger d. 22. febr. 1774. errichete und beÿ En En grosen Rathd. 30. apr. d. a. confirmirten Summarischen berechnung angemerckten conditionen entschlagen worden (…)

Eigenthum ane Haüßern. Eine behausung, höflein und hofstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, recht und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der hahnengaß, einseit neben Georg Geÿer dem metzger anderseit neben N. Haas dem Schifmann und hinten auf Joh. Fuchs den (-) stoßend, so ausser der darauf haftender und hernach passive eingetragenen Capitalien frei ledig und eigen, und wird sothane behausung um den, in der über väterl. verl. gepflogene summarisch. berechnung d. d. 22. feb. 1774 angesetzten Preis, hier ausgeworffen pro 300 lb. Die hierüber besagende Documenten und übrige berichte sind zufinden in dem väterl. Verl. Inv. de A° 1773 fol° 60 et seqq.
It. eine behausung, höflein und hofstatt mit allen Gebäuen, begriffen, Zugehörden, recht. und Gerechtigkeiten, alhie ane der Pickergaß gegen Pflantzhof Garten über (…)
Series rubricarum hujus Invent. Sa. hausrath 83, Sa. des Pferdts 3, Sa. geflügels 27, Sa. Silbers 6, Sa. baarschafft 50 lb, Sa. des Eigenthuls der beeden häuser 700, Sa. der activ schulden 36, Summa summarum 907 lb – Schulden [sine additio circa 800], zweiffelhaffte schulden 8 lb

Le tuteur des enfants Büry vend la maison au remueur de grains Jean Jacques Frœlich

1778 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 280-v
Mr Johann Daniel Wagner der schuhmacher als geordneter und geschworener vogt weÿl. Melchior Bury des hünerkremps hinterbliebenen 4 minderjährigen kinder nahmentlich Johann Georg und Johann Gottfried, Michael und Jacob
in gegensein Johann Jacob Frölich des kornwerffers
eine behausung, kleines höfflein und hoffstatt mit allen denen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Hahnengaß, einseit neben Georg Geÿer dem metzger, anderseit neben N. Schmidt, hinten auff Mr Jacob – um 550 fl. beladen, geschehen um 670 gulden worunter die capital summ begriffen

Fils de Jacques Frœlich, Jacques Frœlich fait son apprentissage de 1748 à 1751 chez Jean Philippe Schlæber puis chez François Henri Lauth, tous deux meuniers au moulin à Huit tournants
1748, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 209-v) Kauffgericht Gehalten den 19. Junÿ 1748
Joh: Phil. Schlaber der achträder müller stelt Zum Lehrjungen Jacob auch Jacob Frölich dahier Ehelichen sohn bittet Ihne solchen vom 4.den Junÿ letsts bis solche Zeit 1731. das müller handwerckh beÿ Ihme Zu Erlernen Zue Zuschreiben. Erkandt ist wilfahrt.

(f° 217-v) Kauffgericht Gehalten den 18. Junÿ 1749 – Hr Frantz Heinrich Lauth der achträder müller bittet Ihme Jacob Frölich, welcher von Phl. Schläber der von hier hinweggezogenen Eingeschrieb. worden, Ihne annoch 2 Jahr den Müller handwerck auszulernen Zu Zuschreiben. Erkandt willfahrt.

(f° 229-v) Kauffgericht Gehalten den 19. Maÿ 1751 – Jacob Frölich der Leedige müller bittet Ihne seine beÿ H. Phl Schläber und Hn Frantz Heinrich Lauth dem achträder müller außgestandenen 3 Lehrjahr vorzuschreiben.

Jacques Frœlich fait son apprentissage de remueur de grains auprès de Joseph Graff
(f° 280) Kauffgericht Gehalten den 17. apr. 1760 – Joseph Graff der Kornwerffer bittet Ihme Johann Jacob Frölich auch von hier Zweÿ Jahr lang das Kornwerffer Handwerckh beÿ Ihme Zu Erlernen Zu Zucourreiben. Erkandt willfahrt.

Il devient tributaire le 26 juillet 1760 (le livre de bourgeoisie manque entre 1754 et 1760)
(f° 281-v) Kauffgericht Gehalten den 26. Julÿ 1760 – Johann Jacob Fröhlich der Kornwerffer prod. statt Stall und burgerschein bittet Ihnen dießes orthß under denen Kornwerffern leibzünfftiger Zu recipiren. Erkandt Willfahrt.

Fils du meunier et manant du même nom, le meunier Jacques Frœlich épouse en 1760 Catherine von Bœrsch, fille du remueur de grains Jean Adolphe von Bœrsch : contrat de mariage, célébration
1760 (17.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1225) n° 667
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Johann Jacob Frölich, dem Ledigen Müller Johann Jacob Frölich, des Müllers und schirmers allhier mit weÿl. Fr. Margaretha Brisachin seel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter unter assistentz solch seines Vaters wie auch des Ehrenvesten und Vorachtbahren H. Frantz Heinrich Lauth, acht räder Müllers und der Evangelischen Kirch Zum alten S Peter älteren wohlverdienten Fabric Pflegers auch angesehenen Burgers allhier ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Catharina Von Börsch, weÿl. Hn Johann Adolph Von Börsch geweßenen Kornwerffers und beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern haupt Kanden auch burgers dahier mit nun auch weÿl. Fr. Catharina geb. Mehlin seiner hinterbliebenen Wb. nun beeder seel. ehelich erzeugten Tochter als der Jgfr. Hochzeiterin, beÿständlich H Johann Georg Voltz deß Schwartzbecken und Hn Johann Paul Dahlwitzer deß Bürstenbinders neede burgere allhier, ihrer Vettern, ane dem andern theil
So beschehen Straßburg Donnerstags den 17.ten Aprilis A° 1760. in Vorstehender der Jgfr. hochzeiterin eltern behaußung (unterzeichnet) Johann Jacob Frölich als hochzeiter, Catharina Von Börsch als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 220 n° 13)
1760. Sont. Rog. et Exaudi proclamati Mittw. d. 21. Maji copulati in ædibus sponsæ Joh: Jacob Frölich, lediger Müller u. b. h. l. Joh: Jacob Frölich, Müllers und schirmers h. l. H. Sohn u. Jungfr. Catharina weÿl. Joh: Adolph Von Börsch gew. Kornwerffers b. h. l. u. Büttels E. E. Zunfft Zur Lucern p. m. (unterzeichnet) Johann Jacob Frölich als hochzeiter, Catharina Von Börsch als hochzeiterin (i 224)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à l’épouse rue de l’Arc-en-Ciel. Les apports du mari s’élèvent à 150 livres, l’actif de la femme s’élève à 774 livres, le passif à 668 livres.
1760 (27.10.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1181) n° 1181
Inventarium über Des Ehrsam und bescheidenen Johann Jacob Frölich, Kornwerffers und der Ehren und tugendsamen Frauen Catharinä Frölichin gebr. von Börsch, beeder Eheleuthen und burgeren allhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet in Anno 1760. (…) welche der Ursachen, alldieweilen in Ihrer vor mir Notario den 7.ten Aprilis solchen Jahrs auffgerichteten Ehevertrag § 4.to wohlbedächtich abgeredt und verglichen worden, daß einem jeeden sein in die Ehe bringenes Vermögen Ihme und seinen Erben vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen on fernerem beÿseÿn S. T. Herrn Johann Christoph Germann hoch Adelichen Geilinischen Schaffners und brs alljier, der Ehefr. hierzu erbettenen Hn Assistenten, Straßburg Montag den 27.ten Octobris Anno 1760.
In einer allhier zu Straßburg ane der Regenbogen Gaß gelegenen in der Ehefraun zum theil zuständigen behausung befunden worden wie folgt.
Antheil ane einer Behaußung -F.) Neml. 7/9.te theil vor ohnvertheilt von und ane 1.r behaußung ane der Regenbogen Gaß (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Des Ehemanns ohnverändert Vermögen. Sa. Haußraths 14, Sa. Silbern geschmeids 30, Sa. der baarschafft 105, Summa summarum 150 lb
Diesemnach wird auch der Ehefraun in den Ehestand gebrachtes Guth beschrieben. Sa. haußraths 271, Sa. leeren Faß 15, Sa. Silbern geschmed 34, Sa. goldener Ring 15, Sa. der baarschafft 77, Sa. Antheil ane I. behaußung 330, Summa summarum 744 lb – Schuld 668 lb

Catherine von Bœrsch meurt en 1775 en délaissant trois héritières testamentaires. La masse propre au veuf est de 108 livres, celle propre aux héritiers de 537 livres. L’actif de la communauté s’élève à 341 livres, le passif à 238 livres
1775 (25.10.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 629) n° 50
Inventarium über Weiland Frauen Catharina Frölichin gebohrne von Börsch, herrn Johann Jacob Frölich des Kornwerfers und burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehefrauen seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1775. – nach ihrem Donnerstags den 12.ten gegenwärtigen Monats Octobris aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen hat (…) So geschehen in der königlichen Stadt Straßburg auf Mittwoch den 25. Octobris im Jahr nach Christi Geb. 1775.
Benennung der Erben. Der Verstorbenen seel. krafft des vor mir Notario und 7. Zeugen den 11.ten Octobris 1775. errichteten hernach Abschrifftsweise eingetragenen nämlich ausgesprochenen Testaments ernannt und eingsetzte Erben sind
1.mo Frau Catharina gebohrne Röschin, herrn Johann Heibold des alhier verbürgerten Metzgers Ehegattin unter dessen beÿstand anwesend, 2.do Jungfrau Saara Röschin so 23. Jahr alt, 3.tio Jungfrau Maria Magdalena Röschin, so in das 18.de Jahr ihres Alters gehet, Alle dreÿ Weiland H. Johannes Rösch gewesenen Kiefers u. b. alhier mit Frauen Maria gebohrner Braunin ehel. erzeugte nach todt hinterlaßene Frau und Jungfrau töchter, Ein jede vor Eine tertz berührend

In einer alhier Zu Straßburg ane der Reegenbogen Gaß gelegener in dißortiger Erbinin ohnveränderte Nahrung gehöriger Behausung ist befunden worden
(f° 11) Eigenthum ane einer Behaußung so der Erbinnen ohnverändert. Nemlich eine Behaußung höflein und hoffstatt auch allen deren Gebäuden
ane der Regenbogen Gaß (…)
Ergäntzung des Wittibers wehrnder Ehe abgegangenen unveränderten Vermögen. Nach Maaßgab des über beeder nun Zertrennter Ehepersohnen einander vor ohnverändert in den Ehestand Gebrachte Nahrungen durch herrn Johann Daniel Stöber Notarium publicum und Practicum alhier unterem 27. Octobris 1760. errichteten Inventarium
(f° 14) Series rubricarum hujus Inventarii – Copia Testamenti nuncupativi
Des Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 3, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 8, Sa. Ergäntzung ist per rest 122, Summa summarum 133 lb – Schulden 25 lb, Nach deren Abzug 108 lb
Diesemnach wird auch der Erben ohnverändertes Guth verzeichnet, Sa. haußraths 111, Sa. Faßen 6, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 3, Sa. goldener Ringen , Sa. baarschafft 16, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 400, Sa. Schuld 96, Summa summarum 662 lb – Schuld 125, Nach deren Abzug 537 lb
Endlichen folgt auch die gemein verändert und theilbare Nahrung, Sa. Hausraths 35, Sa. Weins 21, Sa. Silbers und dergl. Geschmieds 10, Sa. goldenen Rings 4 ß, Sa. baarschafft 275, Summa summarum 341 lb – Schulden 238, Nach deren Abzug 103 lb
Beschluß und bißherige Stall summa 748 lb – Præ und Legata 23, künfftig Zuverstallen 725 lb
Abschrifft der Heiraths Abrede (…) Johann Daniel Stöber

Le remueur de grains Jean Jacques Frœlich se remarie en 1776 avec Eve Marguerite Schwab, fille du charron André Schwab de Cosswiller : contrat de mariage, célébration
1776 (24.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 37
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Herr Johann Jacob Frölich, der Kornkäufer Wittiber und Burger alhier als Hochzeiter ane einem
sodann Jungfrau Eva Margaretha Schwabin Weiland Andreas Schwaab gewesenen Wagner und burgers zu Coßweiler mit frauen Anna Maria gebohrner Wengerin ehelich erzeugte Tochter großjährigen Alters beÿständlich Herrn David Robert Weißgerbers und burgers dahier als Braut ane dem andern Theil
auf Freÿtag den 24. May im Jahr nach Christi Geburth 1776. (unterzeichnet) Johann Jacob Frölich als hannß, Eva margretha schwabin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 46-v n° 15)
1776 sind nach Zweÿmal nacheinander Dom: Pent.es et Trin: geschehener proclamation Zur Ehe eingesegnet worden Johann Jacob Frölich burger Wittwer und Kornwerffer allhier mit Jgfr. Eva Margaretha Schwabin weÿl. Andreas Schwab geweß. burgers wagners und tabacmüllers Zu Coßweiler hinterlaßene ehel. Tochter, So geschehen den vierdt. Junÿ dienstag morgens um achtuhren (unterzeichnet) Johann Jacob frölich als hochzeitter, Eva margreda schwabin hochzeitin (i 49)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 131-v) Im Jahr Christi 1776 sind in unserer Prediger: Kirch Festo Pentecostes und Festo S. S. Trinitatis offentlich proclamirt worden Johann Jacob Frölich, Kornwerffer, Wittwer und burger allhier, welcher in der Ersten Ehe gelebt hat mit weÿl. Fr. Catharina gb. von Börsch, und Jgf. Eva Margaretha Schwabin, weÿl. Andreas Schwab gewesenen Tabackbereiters und Wagners auch burgers Zu Coßweiler, und Fr. Anna Maria, gb. Wengerin nachgelaßene eheliche Tochter. diese Persohnen sollen Dienstags den 4 Junii in der Kirche Zum Jungen St. Peter copulirt werden (i 184)

Eve Schwab devient bourgeoise par son mari dix jours après son mariage : inscription et registre de traitement des demandes
1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 153
Eva Schwabin von Coßweiler gebürtig erhalt das burgerrecht, verheurathet an Johann Jacob Frölich den Kornwerffer und burger allhier, wohlverhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern, prom. den 13. Junÿ 1776.

(VI 286 bis) p. 353. N° 26. den 23.ten Maÿ 1776. Lucern
Jfr. eva Schwabin weÿl. andreas schwab gewesenen tabac Müllers zu Coßweÿler ehel. erzeügte to, Verlobt mit joh. jacob frölich dem hiesigen burger und Kornwerffer, die Nöthig Producire schein erweisen das sie ehrl. gebohren augs. Conf. zugethan und das der Sponsus gehöriger orthen Satisfacirt.
das benöthigte Vermögen hat dieselbe in 300 fl baarschafft bestehend dargewiesen, dessen wahres eigenthum, sie handtreülich erhärtert, und 100 fl. ad Prot. Dep. implorantin beweiset ferner Vermög attestat das sie 7. jahr beÿ frau Marg. Salom. Brellin des Chirurgi und burgers allhier ehefrauen, treu und ehrlich gedienet dessen diese letztere mich handtreülich Versichert, es gehet sofort an Euren gnaden deroselben unterthäniges bitten, ihre mit dem burger recht gratis gnädigst zu willfahren.
Recepta wohl Verhaltens wegen gratis.

Jean Jacques Frœlich est nommé contrôleur du pain
1778, Conseillers et XXI (1 R 261)
(p. 85) Montag den 30.sten Martii 1778. – Joh: Jacob Frölich schwört als brodschauer.
Johann Jacob Frölich der burger und Kornkaufer, welcher laut Extractus E. E. Zunft der Lucern gerichts Memorialis an des Verstorbenen Joh: Friderich Huth stelle Zu einem brodschauer erwehlt worden, stehet vor und Legt auf die brodschauer ordnung den gewohnlichen Eÿd ab.

Eve Marguerite Schwab meurt en 1787 en délaissant trois enfants. La masse propre au veuf est de 66 livres, celle propre aux héritiers de 82 livres. L’actif de la communauté s’élève à 6 livres, le passif à 175 livres
1787 (11.9.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 638) n° 271
Inventarium über Weiland Fraun Eva Margaretha Frölichin gebohrener Schwabin Meister Johann Jacob Frölich des Kornkäufers und Burgers alhier zu Straßburg gewesener Ehefrauen nunmehro seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1787. – (…) nach Ihrem den 19. letztverfloßenen Monaths Julÿ aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat, Welche Vermögens Nachlaßenschafft auf Ansuchen und begehren sowohl des hinterbliebenen Wittibers als auch Philipp Jacob Schwab burgers und Gartenmanns ane Krautenau als geordnet und geschworenen Vogts der Defunctæ mit erstbesagtem Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato hinderlaßener Erben Nahmentlich Joh: Jacob so in das 11.te Jahr seines Alters gehet, Johann Gottfried, so 9 Jahr alt und Maria Magdalena sobald 4 Jahr alt, ane hieunten gemeldtem Tag ordnungsmäßig inventirt und ersucht durch Ihne den Wittiber wie auch Elisabetha Schmeltzin die dienstmagd (…) So beschehen alhie Zu Straßburg auf Dienstag den 11. Septembris im Jahr 1787.

Bericht. Es haben Zwar beede nun Zertrennte Ehepersonen in dem 4.ten Abschnitt dero errichteten bald hernach eingetragenen Heuraths Abrede ein ohnverändert Guth stipulirt und wegen dem Abgegangenen die Ergäntzung bedungen, allein Ihre einander Zugebrachte Vermögenschaften nicht verzeichnen noch in Anschlag bringen laßen. (…)
In einer alhier Zu Straßburg ane der Regenbogen Gaß gelegenen in des Wittibers Widtum aus erster Ehe gehörigen behaußung ist befunden worden.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des hinterbliebenen Wittibers unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 105, Sa. Silbers und dergl. geschmeids 10, Summa summarum 116 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 66 lb
Diesemnach kommt die Verzeichniß der Erben ohnver. Guths, Sa. Kleidung 29, Sa. gold. Rings 3, Sa. Schuld 50, Summa summarum 82 lb
Endliche wird auch die gemein verändert und theilbare Vermögenschaft verzeichnet, Sa. haußraths 1, Sa. Silbers u dergl. Geschmeids 1, Sa. Golden Geschmeids 3, Summa summarum 6 lb – Schulden 175 lb, Passiv onus 168. lb
Widtum Welchen der dißortige Wittiber Kraft 9. Punctens des vor mir Notario und 7. Zeugen den 1. Oct. 1775. errichteten testaments aus weiland Fraun Catharina Gebohrner von Börsch seiner erstern Ehefrau seel. Verlaßenschafft Zeit lebens Zu genießen berechtiget ist, 544 lb

Calcul sommaire tenant lieu d’inventaire des biens ayant appartenu à Jean Jacques Frœlich, mort le 23 mai 1788 en délaissant trois enfants de son deuxième mariage
1788 (12.6.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 639) n° 293
Summarische Berechnung loco Inventarii über Weiland Meister Johann Jacob Frölich, des den 23.ten maÿ 1788 verstorbenen Kornkäufers Wittibers und Burgers alhier zu Straßburg seel. Verlaßenschaft.
Deßen ab intestato hinterlaßene Erben sind Seine mit auch weiland fraun Eva Margaretha Schwabin in Zweiter Ehe erzielte Kinder, Nahmentlich Johann Jacob, so in das 12.te Jahr seines Alters gehet, Johann Gottfried, so 10 Jahr alt und Maria Magdalena in das 5.te Jahr gehend, mit Philipp Jacob Schwab dem hiesigen burger und Gartenmann ane Krautenau bevögtiget
Diese Verlaßenschafft allein in Effecten bestehend wurde den 4. Junÿ 1788. auf Zuvor erhaltene Großgünstige Erlaubnus der Wohlverordneten Herrn dreÿ Löbl. Stadt Stalls ofentlich versteigert, und darauf kraft Erlöß Registers erhaben 246 lb, die darauf haftende Beßerung thut Zur tertz 82, Nach deren Abzug 164 – Passiva 112 lb Nach deren Abgang 51. lb

Jean Jacques Frœlich et Eve Marguerite Schwab vendent la maison au revendeur Jean Georges Schmidt et à sa femme Madeleine Bronner

1786 (19.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1100)
Chambre des Contrats, vol. 660 F° 85 du 3.3.1786, Not. regio Laquiante, 19.1.1786
Johann Jacob Frölich der kornwerffer und Eva Margaretha Schwabin beÿständlich Philipp Jacob Schwab des gartenmanns ihres bruders und Johann Friedrich Roß des seÿlers ihres schwagers
in gegensein Johann Georg Schmidt des krämers und Magdalena Bronner
eine ane der Hahnen Gaß einseit neben Johann Georg Schmidt anderseit neben Johann Georg Geÿer vornen auf gedachte gaß, hinten auff Daniel Himberts eigenthum gelegene behausung nebst deren zugehörigen rechten, weithen, begriffen und gerechtigkeiten – um 750 gulden

Fils du marchand de chausses du même nom, Jean Georges Schmidt épouse en 1783 Marie Madeleine Brunner, fille de Nicolas Bronner, revendeur à Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1783 (8.3.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 81
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Georg Schmid, leediger Hoßenhändler, Johann Georg Schmid des hiesigen Burgers und Hoßenhändlers ehelich erzeugter Sohn unter assistentz dieses seines Vatters als Bräutigam an einem
So dann Jungfer Maria Magdalena Brunnerin, weiland Niclaus Brunners geweßenen Krempen und burgers Zu Schiltigheim hinterlaßene eheliche Tochter, beÿständlich Lorentz Dambach des Ohlmanns und burgers Zu gedachtem Schiltigheim ihres geordneten Vogts als Braut an dem andern Theil
Geschehen allhier Zu Straßburg in mein ds Notarii gewohnlicher Schreibstub, Sambstags den 8. Martii Anno 1783 (unterzeichnet) Johann Georg Schmidt als hochzeiter, Maria Magdalena Brunnerin hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 120-v n° 33)
Im Jahr Christi 1783, Dienstags den 15. Julii sind (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden, H. Georg Schmidt lediger Kremp und burger allhier, Johann Georg Schmidt Hasen: Fell: händlers und burgers allhier und Frau Anna Maria, gebohrner Münchin ehelich erzeugter Sohn, und Jgfr. Maria Magdalena Brunnerin, weÿl. Niclauß Brunners, gewesenen Krempen und burgers in Schiltigheim, und Frau Maria Magdalena gebohrner Regußin, ehelich erzeugte Tochter (unterzeichnet) Johan Georg Schmidt als hochzeiter, Maria Magdalena Brunnerin hochzeiterin (i 122)

Les deux maisons contiguës qui appartiennent à Madeleine Bronner veuve Schmitt et à Dorothée Schmitt épouse Mochel sont vendues par adjudication judiciaire. L’architecte Georges Michel Gruber se porte acquéreur du n° 11.

1818 (7.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 107, n° 19
Tribunal Civil de de Première Instance, adjudication de la maison sise en ladite ville de Strasbourg rue du coq n° 10 et 11 réellement saisie sur Madeleine Bronner veuve Schmitt et sur Dorothée Schmitt femme de Mockel – Cahier des Charges, M° Klauhold, avoué des administrateurs de la Course Maurice à Strasbourg, que Madeleine Bronner veuve de Jean Georges Schmitt, marchand de volaille, tant en son privé nom que tutrice naturelle de ses deux fils mineurs et Dorothée Schmitt femme de Valentin Mockel, serrurier, d’une somme principale de 2060 francs par obligation reçue M° Ubersaal le 16 février 1816
Surenchère du 26 décembre, M° Klauhold, art .1 porté par M. Schneegans à 760 fr et l’art 2 par M° Klauhold à 760 fr
Désignation des immeubles et mise à prix, 1. une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Coq n° 10, d’un côté la maison Gemberlin, de l’autre celle ci après, mise à prix 600 fr
2. une maison sise dans la même rue n° 11, d’un côté celle ci dessus n° 10, de l’autre celle de Michel Hollender, mise à prix 400 francs
Cahier des Charges du 12 août 1817
Adjudication définitive du 11 décembre, l’article 1 pour 600 et art. 2 à M° Bloechel pour 410 fr, Déclaration de command du 13 décembre pour Jean Michel Wachsmuth, baquetier, la maison n° 11 pour 410 francs
l’art. 1 par M° Schneegans au nom de Jean Frédéric Auffschlager, homme de lettres et l’art. 2 par M° Klauhold pour Michel Gruber, architecte

La maison figure à l’inventaire dressé quelques mois plus tard après la mort de l’architecte-maçon Georges Michel Gruber.
La vente par licitation des immeubles a lieu devant le tribunal civil en 1824. Le tailleur de pierres Jean François Zerling se rend propriétaire de la maison sise 11, rue du Coq

1824 (25.3.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 166, n° 105
devant M. Charles François Xavier Thiriet de Luyton juge au Tribunal Civil de Première Instance il a été procédé à la vente et adjudication par voie de licitation entre les héritiers de feu Gruber. Cahier des charges, licitation de la maison appartenant à la veuve et héritiers de Georges Michel Gruber, archictecte maçon, à la requête d’Elisabeth Louise Gruber épouse de Jean Jacques Redslob, propriétaire, en qualité d’héritière pour un 7° de Georges Michel Gruber son père, pour laquelle occupe Louis Auguste Eisen, avoué près le Tribunal Civil demeurant à rue du Vieux Marché aux Vins n° 88, Marguerite Salomé Ottmann veuve de Georges Michel Gruber en son nom et mère et tutrice légale de ses 5 enfants pour laquelle occupe M° Engelbach avoué demeurant rue du Broglie n° 1 – jugement du 18 août 1823, rapport d’experts du 15 septembre et jugement du 11 novembre – licitation de deux maisons acquises, savoir une maison rue Coq par expropriation forcée poursuivie contre Madeleine Bronner veuve de Jean Georges Schmitt marchand de volaille au Tribunal Civil le 26 décembre 1817 transcrit au bureau des hypothèques volume 101 n° 19
Désignation des immeubles, savoir 1. l’une dans la rue du Coq n° 11 d’un côté le Sr Hollender tourneur, de l’autre le Sr Riehl cordonnier, devant la rue, derrière le Sr Stoll boulanger, elle consiste dans un bâtiment sur la rue, petite cour et bâtiment du fond en entrant vestibule et une chambre dessus cave voutée, premier étage, cage d’escalier et deux chambre dessus comble renfermant deux greniers au premier deux chambre. Bâtiment du derrière bucher, lieux, le tout couvert de tuiles simples, ladite maison sise rue du Coq estimée 600 fr – Fait le 29 novembre 1823 – adjudication préparatoire 16 janvier 1830.
Adjudication définitive, M Eisen 1000 fr
Déclaration de command, 30 janvier, pour Jean François Zerling, tailleur de pierres

Originaire de Halberstadt en Westphalie, Jean François Zerling épouse Sophie Frédérique Kaumann en 1811 : contrat de mariage, célébration
1811 (10.12.), Strasbourg 12 (41), Not. Wengler n° 6263
Contrat de mariage – Jean François Zerling tailleur de pierres demeurant depuis deux années en cette ville natif de Halberstadt en Westphalie fils de feu (-) Zerling, caporal dans les troupes du Prince de Brunswick, et de Jeanne Rieben
Sophie Frédérique Kaumann, fille de feu Jean Kaumann, tailleur de pierres, et de Sophie Frédérique Gall, femme en secondes noces de David Beck, tailleur de pierres
Enregistrement, acp 118 f° 118-v du 11.12.

Mariage, Strasbourg (n° 414)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à neuf heures du matin le 14 décembre 1811. Jean François Zerling, majeur d’ans, né le 29 décembre 1783 à Halberstadt en Westphalie, domicilié à Strasbourg, tailleur de pierres, né hors le mariage de N Zerling, ancien militaire et de Jeanne Catherine Ribbe, non reconnu par le père, Sophie Frédérique Kaumann, mineure d’ans, née le 15 février 1793 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Henri Kaumann, tailleur de pierres décédé en cette ville le 3 janvier 1808 et de Sophie Frédérique Gahl, ci présente et consentante (signé) Johann Frantz Zerling, Sophie Friderika Kaumann (i 22)

Jean François Zerling et Sophie Frédérique Kaumann vendent la maison au serrurier Jean Nicolas Schaal moyennant 1 200 francs

1826 (1.6.), Strasbourg 12 (100), Me Wengler n° 14.367
Sophie Frédérique Kaumann épouse Jean François Zerling, tailleur de pierres, en son nom et mandataire de son époux
à Jean Nicolas Schaal, serrurier
une maison consistant en un bâtiment de devant et de derrière, cour très petite, appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue du Coq n° 11, d’un côté le Sr Hollender tourneur, de l’autre le Sr Riehl cordonnier, devant la ruen derrière le Sr Stoll boulanger – acquis à la barre du Tribunal Civil par licitation entre les héritiers Georges Michel Gruber, maçon, par devant M. Tierriet de Loyson, juge audit tribunal, commissaire en cette partie le 30 janvier 1824 et déclaration de command même jour, transcrit au bureau des hypothèques volume 166 n° 105 – pour 1200 francs
Enregistrement, acp 178 f° 188-v du 2.6.

Jean Nicolas Schaal épouse Marie Barbe Kniebiehler, originaire de Kientzheim près de Kaysersberg
Mariage, Strasbourg (n° 374)
Cejourd’hui 5° Germinal l’an III de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Nicolas Schall agé de 31 ans, serrurier, né et domicilié en cette commune, fils de feu mathias Schall, sellier, et de feue Elisabeth Schmitt, de l’d’autre part Marie Barbe Kniebiehler, agée de 31 ans, fille servante domiciliée en cette commune depuis douze ans, native de Kintzheim, département du haut Rhin, fille de Gaspard Kniebiehler, cultivateur audit lieu, et de feue Catherine Silberling (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 7 décembre 1763 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 26 janvier 1764 (signé) Johannes Nicolaus schaal, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 41)

Jean Nicolas Schaal meurt en 1836 en laissant pour héritière universelle sa veuve. La succession comprend deux maisons rue du Coq.

1836 (23.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 69), Me Hickel n° 5255
Déclaration tenant lieu d’Inventaire de la succession de Jean Nicolas Schaal, serrurier décédé le 3 octobre dernier – à la requête de Marie Barbe Kniebieler la veuve, légataire universelle par testament reçu M° Hickel le 10 décembre 1829 enregistré le 5 octobre dernier – communauté partageable à deux et un tiers, mariés suivant les anciens statuts de la ville de Strasbourg, par mariage célébré le 5 germinal 3
Art. 2. immeubles. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Coq n° 3 d’un côté le Sr Strauss de l’autre côté et derrière l’auberge du Coq Rouge, estimée 150 francs
une autre maison avec petite cour et autres appartenances et dépendances sise en la ville de Strasbourg rue du Coq n° 11, d’un côté le Sr Hollender tourneur, de l’autre Philibert Mathieu serrurier, estimée 1500 fr
Enregistrement, acp 239 F° 40 du 24.3.

Marie Barbe Knibihler meurt en 1836 en délaissant des héritiers collatéraux.

1836 (9.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 70), Me Hickel n° 5360
Inventaire de la succession de Marie Barbe Knibihler veuve de Jean Nicolas Schaal, serrurier, décédée le 2 juin dernier – dressé à la requête de 1. Barbe Utter épouse d’Antoine Wetterer, journalier à Gerstheim, 2. Georges Utter, journalier à Osthausen, 3. André Utter, maçon à Gerstheim en son nom et mandataire de François Joseph Utter son frère fusilier à la 6° compagnie du 18° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Lyon, 4. Martin Utter, soldat au 46° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Strasbourg, 5. Jacques Joseph Risterer, cordonnier à Strasbourg, mandataire de Françoise Anastasie Knibihler femme de Blaise Wirtner, cordonnier, et de Françoise Briska Knibihler femme de Joseph Decker, maçon, demeurant à Altdorf (Grand Duché de Bade), 6. Eléonore Dietrich femme de Jean Allheilig, chanvrier à Marckolsheim, 7. Marie François Aloise Weiss, avoué, mandataire de Madeleine Dietrich femme d’Antoine Heyberger vigneron à Gueberschwyr, 8. Anne Marie Knibihler femme de Jonathan Treis, journalier à Strasbourg, 9. Marie Louise Knibihler femme de Martin Antoni, cordonnier, 10. Madeleine Knibihler femme de Mathias Reinbolt, cultivateur à Kientzheim, 11. Jean Kniebieler, journalier à Strasbourg
La D° Wetterer, Georges Utter, André Utter, François Joseph Utter et Martin Utter ensemble pour 5/21 par représentation de leur mère Marie Anne Knibihler femme d’André Utter, journalier à Gerstheim, sœur germaine de la défunte, Les D° Wirtner & Decker ensemble 6/21 par représentation de leur père Georges Knibihler, journalier à Altdorf, frère germain de la défunte, les D° Heyberger & Allheilig ensemble 5/21 par représentation de leur mère Ursule Knibihler femme de Jacques Dietrich, journalier à Marckolsheim, les D° Treis, Antoni, Reinbolt & Sr Knibihler chacun pour 3/42 ensemble pour 6/21, frères et sœurs consanguins de la défunte

dans une maison appartenant à la défunte rue du Coq n° 3 où la défunte est décédée
Titres et Papiers. Cote 1, maison sise à Strasbourg rue du Coq n° 3. Par testament reçu M° Hickel le 10 décembre 1829, Jean Nicolas Schaal a légué à la veuve tous ses biens, contrat de vente reçu M° Triponé le 5 juillet 1821 transcrit au bureau des hypothèques volume 141 n° 106 acquis de Jean Saum, propriétaire, la maison sise à Strasbourg rue du Coq n° 3
Cote 2, maison même rue n° 11, contrat de vente M° Wengler le 1 juin 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 191 n° 31, acquis de Sophie Frédérique Kaumann épouse de Jean François Zerling, tailleur de pierres, en son nom et mandataire de son mari
Enregistrement, acp 242 f° 38-v du 12.7.

Les héritiers de Marie Barbe Knibihler vendent le 20 mars 1837 la maison à Frédéric Charles Fauser.

1837 (10.4.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 319 (2549) n° 9
Procès verbal d’adjudication définitive en date du 20 mars 1837 dressé par M° Hickel
à la requête 1° de Monsieur Marie François Aloïse Weiss, avoué près le tribunal civil séant à Strasbourg, demeurant en service ayant agi en qualité de mandataire de Dame Madeleine Dietrich femme du seiur Antoine Heyberger vigneron demeurant ensemble à Gueberschwyhr aux termes d’une procuration (…) dont le brevet est demeuré joint à la minute d’un inventaire dressé par ledit M° Hickel en date du commecement du 9 juillet même année, 2° en qualité de mandataire de a) Dame Barbe Utter femme du sieur Antoine Wetterer, journalier demeurant ensemble à Gerstheim, b) du sieur Georges Utter, journalier demeurant à Osthausen, c) du sieur André Utter, maçon demeurant à Gerstheim, d) du sieur Martin Utter soldat au 46° régiment de ligne en garnison à Strasbourg y demeurant, e) de Dame Eleonore Dietrich, femme du sieur Jean Allheilig chanvier demeurant ensemble à Marckolsheim, f) de Dame Madeleine Kniebihler femme du sieur Mathis Reinbold cultivateur demeurant ensemble à Kientzheim, g) et du sieur Jean Kniebieler, journalier demeurant à Strasbourg, le tout aux termes d’une procuration (…), 3° enfin en qualité de mandataire substitué par le sieur André Utter (…) dans tous les pouvoirs à lui conférés par le sieur François Joseph Utter, fusilier à la 6° compagnie du 3° bataillon du 18 régiment de ligne en garnison à Lyon (…)
2. de Monsieur Jacques Risterer, cordonnier domicilié et demeurant à Strasbourg, ayant agi en qualité de mandataire de Françoise Anastasie Kniebihler femme du sieur Blaise Wirtner, cordonnier, et de Françoise Briska Kniebihler femme du sieur Joseph Decker, maçon demeurant à Altdorff (grand duché de Baden) aux termes d’une procuration (…), 3. de Dame Marie Louise Kniebihler femme du sieur Martin Antoni, cordonnier demeurant à Strasbourg ayant agi sous l’autorisation de son mari 4. de Dame Anne Marie Kniebihler femme du sieur Jonathan Treis, journalier demeurant en ladite ville, ayant également agi sous l’autorisation de son mari à Strasbourg. Lesdits Dame Wetterer, sieur Georges Utter, sieur André Utter, sieur François Joseph Utter, sieur Martin Utter, Dame Decker, Dame Wirtner, Dame Allheilig, Dame Heyberger, Dame Antoni, Dame Treis, Dame Reinbolt et le Sieur Knibihler seuls héritiers sous bénéfice d’inventaire pour les parts et portions ci après indiquées de feue Dame Marie Barbe Knirbihler veuve du sieur Jean Nicolas Schaal, en son vivant serrurier à Strasbourg, leur sœur consanguine et tante respective, savoir
Lesdits D° Wetterer, sieur Georges Utter, sieur André Utter, sieur François Joseph Utter et sieur Martin Utter ensemble pour 5/21 chacun pour 2/42° par représentation de leur mère Dame Marie Anne Knibihler femme d’André Utter, en son vivant journalier à Gerstheim, sœur germaine de la défunte, Les Dames Heyberger & Allheilig ensemble 5/21 ou chacun pour 5/42 par représentation de leur mère Ursule Knibihler femme du sieur Jacques Dietrich en son vivant journalier à Marckolsheim, autre sœur germaine de la défunte. Les Dames Wirtner et Decker ensemble 5/21 ou chacun pour 5/42 par représentation de leur père sieur Georges Kniebihler, en son vivant journalier à Altdorff, frère germain de la défunte, Et les Dames Treis, Antoni, Reinbolt et les Sr Kniebihler chacun pour 3/42 ou ensemble pour les 6/21 restants comme frères et sœurs consanguins de la défunte. Ainsi que ces qualité d’héritiers se trouvent constatées par l’intitulé de l’inventaire dressé par ledit M° Hickel en date au commencement du 9 juillet 1736 et déjà allégué.
Il résulte que le sieur Frédéric Fausser, journalier demeurant à Strasbourg rue du bain aux plantes N° 29 s’est rendu adjudicataire d’une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du coq N° 11 tenant d’un côté au sieur Philippert Mathieu serrurier de l’autre au Dr Michel Hollender, tourneur, par devant à la rue et par derrière au sieur Stahl moyennant le prix de 2150 outre les charges. L’adjudication a eu lieu sous les charges, clauses et conditions ci après littéralement extraites du cahier des charges dressé par ledit M° Hickel le 19 janvier 1837 (…) Les adjudicataires ne pourront réclamer d’autres titres de propriété que ceux ci après relatés savoir, l’adjudicataire de la maison N° 11 la grosse du jugement du 30 janvier 1824, l’expédition du contrat de vente passé devant M° Wengler le premier juin 1826 et le quittance passé devant M° Bremsinger le 15 février 1829. (…) La maison rue du coq n° 11 avait appartenu au sieur Georges Michel Gruber en son vivant architecte à Strasbourg qui l’avait acquise lors de la vente par expropriation forcée poursuivie contre Dame Madeleine Bronner veuve du sieur Jean Georges Schmitt en son vivant marchand de volailles à Strasbourg suivant jugement rendu à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 26 décembre 1837 dûment enregistré. Le sieur Gruber étant décédé l’immeuble en question fut vendu par forme de licitation et adjugé du sieur Jean François Zerling, tailleur de pierres, à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un jugement d’adjudication définitive rendu à la barre dudit tribunal le 30 janvier 1824 et déclaration de command du même jour, le tout dûment enregistré. Par contrat passé devant M° Wengler notaire à Strasbourg le premier juin 1826 aussi enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 du même mois volume 191 N° 31 avec inscription d’office du même jour volume 177 N° 692. Dame Sophie Frédérique Kaumann épouse dudit sieur Zerling et qui avait agi tant en son propre nom que comme mandataire de son mari a vendu l’immeuble en question à feu ledit Sr Schaal moyennant le prix de 1200 francs (…). Ledit sieur Schaal étant décédé sans laisser d’acendans ni de descendans en instituant sa légataire universelle en pleine propriété ladite Dame Schaal née Kniebihler sa femme suivant testament reçu par ledit M° Hickel en présence de témoins le 10 décembre 1829, enregistré, la Dame Schaal née Kniebihler est devenue propriétaire de la maison dont s’agit
Extrait par ledit M° Hickel notaire soussigné de la minute dudit procès verbal d’adjudication définitive et du cahier des charges susénoncé

Le brouetteur Frédéric Charles Fauser épouse en 1817 Barbe Schaffner

Mariage, Strasbourg (n° 162)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 24 mai 1817. Charles Frédéric Fauser, majeur d’ans, né en légitime mariage le 29 janvier 1782 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Brouëtteur, fils de feu Evrard Fauser, cordonnier décédé en cette ville le 2 vendémiaire en trois de la République française et de Catherine Fischer, ci présente et consentant, Barbe Schaffner, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 octobre 1793 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Daniel Schaffner, chargeur à la douane en cette ville et de Marie Bellé, ci présente et consentant (signé) Carl Friedrich Fauser, Barbara Schaffnerin (i 11)

Barbe Schaffner, femme de l’emballeur Frédéric Charles Fauser, meurt en 1848 en délaissant trois enfants

1849 (5.2.), Strasbourg 9 (98), Not. Becker n° 4091
Inventaire après le décès de Mad. Barbe Schaffner, en son vivant épouse de Mr Frédéric Charles Fauser, emballeur à la douane, demeurant à Strasbourg où elle est décédée le 29 décembre 1848.
L’an 1849 le Lundi 5 février à quatre heures de relevée, à la requête de 1° M. Frédéric Charles Fauser, emballeur à la douane, demeurant à Strasbourg, agissant 1) en son nom à cause de la communauté de biens légale qui a existé entre entre lui et feu la dame Barbe Schaffner son épouse, leur mariage ayant été célébré à Strasbourg le 4 mai 1817 sans que les conditions civiles de leur union eussent été préalablement établies par un contrat de mariage, 2) au nom et comme tuteur légal de Caroline Fauser et Auguste Fauser, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec son épouse défunte, 2° et de Mr Frédéric Charles Fauser, fils, commis négociant demeurant en la même ville, agissant tant en son propre nom que comme subrogé tuteur des dits mineurs (…) Lesdits Frédéric Charles Fauser, fils, Caroline Fauser et Auguste Fauser, habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un tiers de la dite dame Fauser née Schaffner leur mère défunte (…) dans une maison sise à Strasbourg rue du Coq N° 11 où Mad° Fauser est décédée le 29 décembre dernier et dépendante de la dite communauté

Titres et papiers. Cote première. Maison dépendante de la communauté. Vingt cinq pièces sont la première est un extrait d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Hickel, notaire à Strasbourg le 20 mars 1837 par lequel les héritiers de dame Marie Barbe Kniebiler veuve du Sr Jean Nicolas Schaal en son vivant serrurier à Strasbourg ont adjugé à Mr Fauser, père, une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue du Coq N° 11 où il est présentement procédé, moyennant le prix de 2150 francs (…) ledit extrait transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 avril 1837 volume 319 n° 9. Il résulte du dit procès verbal que ladite dame Schaal a recueilli la dite maison dans la succession de son mari qui l’avait instituée sa légataire universelle suivant testament ar acte public en date du 10 décembre 1829, reçu par le dit M° Hickel. (…) La troisième pièce est une expédition d’un contrat passé devant M° Wengler notaire en ladite ville le premier juin 1826 par lequel feu ledit Sr Schaal était devenu par propriétaire du dit immeuble.
acp 379 (3 Q 30 094) f° 54 (Déclaration de suc. du 21 février 1849 N° 90) Communauté, Un mobilier évalué 364, argent comptant 72, loyers échus 3,20 – Passif 1357
Immeuble, une maison à Strasbourg rue du Coq N° 11

Son fils commis négociant Frédéric Charles Fauser épouse en 1848 Caroline Salomé Heldenstab
1848 (1.8.), Strasbourg 9 (97), Not. Becker n° 3888
Contrat de mariage – Furent présens M. Frédéric Charles Fauser, commis négociant, fils majeur du Sr Frédéric Charles Fauser, emballeur à la halle commerciale de Strasbourg et de D° Barbe Schaffner sa femme tous demeurant à Strasbourg, M. Fauser stipulant pour lui et en son nom à cause du mariage dont il va être question
Et Madlle Caroline Salomé Heldenstab, demeurant à Strasbourg, fille majeure du Sr Jean Etienne Heldenstab, coiffeur et de D° Marie Salomé Ludwig, sa femme demeurant en la même ville, Mlle Heldenstab stipulant également pour elle et en son nom à cause dudit mariage
acp 374 (3 Q 30 089) f° 30 – regime de la communauté de biens réduite aux acquêts
Apports. Ceux du futur consistent en mobilier prisé 200 francs et créances pour 2600 francs
Ceux de la future épouse consistent en mobilier d’une valeur de 785 francs et en argent comptant pour 155 francs
Les futurs époux se font réciproquement donation en cas de survie de l’usufruit viager de la succession du prémourant

Frédéric Charles Fausser meurt le 31 janvier 1871. Lors de la liquidation, chacun des trois enfants reçoit un tiers de la maison

1871 (28.7.) M° Becker (minutes en déficit)
Theilung des Nachlases von Friedrich Karl Fauser und Barbara Schaffner
Theilung zwischen 1) Friedrich Karl Fauser, Kaufmann in Straßburg, 2) Caroline Fauser, Ehefrau von Theodor Rossel in Straßburg, 3) Jacob August Fauser, Schuster in Mülhausen, von dem Nachlass von Friedrich Karl Fauser lebend Packer an der Douane von Straßburg und von Barbara Schaffner seiner Ehefrau, der Ehegatte gestorben den 31. Januar 1871 und die Ehefrau den 29. December 1848
acp 599 (3 Q 30 314) f° 85 n° 1522 du 1.8. – Actif Masse. Ein Haus in Straßburg Hahnen Straße N° 11 abgeschättzt zu 8000
Zinsen 176, Sparkassen Büchlein 481, Nachtrag von Karl Fauser 80, Nachtrag von Mde Rossel 80, Nachtrag von August Fauser 585, zusammen 9447
Passif Masse 1923, Rest 7521
Abtretung (…) Friedrich Karl August Fauser, 1/3 vom Haus
Mme Rossel, 1/3 des Hauses
Jacob August, 1/3 des Hauses

Les enfants et héritiers de Frédéric Charles Fauser vendent la maison à Christine Lobstein, veuve de Jacques Ried

1872 (28.3.), Strasbourg 5 (54), Not. Laurent Hoffherr, s.n.
28 mars 1872. Vente – Ont comparu 1° M. Frédéric-Charles Fauser, ancien négociant et Mme Caroline-Salomé Heldenstab, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés à Strasbourg rue des grandes arcades N° 47, 2° M. Théodore Rossel, cordonnier, et Mme Caroline Fauser, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés à Strasbourg, rue du coq n° 7, 3° Et M. Gaspard Herrmann, cordonnier, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue des cordonniers n° 16, agissant au nom et comme mandataire de M. Jacques-Auguste Fauser, employé du chemin de fer à la gare de Mulhouse et D° Adèle Coquelin son épouse demeurant et domiciliés à Mulhouse aux termes de la procuration (…) Lesquels ont par les présentes vendu
à Mme Christine Lobstein, sans profession, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de M. Jacques Ried, à ce présente et acceptant
Une maison située à Strasbourg rue du coq n° 7 consistant en rez-de-chaussée, trois étages, deux chambres au-dessus, grenier sur le tout couvert en tuiles, caves dessous, puits, aisances et dépendances, le tout tenant d’un côté à M. Arnaud, de l’autre M. Koebelé, devant la rue du coq et derrière M. Litt boulanger. Ainsi que cet immeuble se trouve, se poursuit et comporte (…)
Origine de la propriété. M. Frédéric-Charles Fauser, Mme Rossel et M. Jacques Auguste Fauser sont les propriétaires de l’immeuble dont il s’agit pour l’avoir hérité dans la succession de M. Frédéric-Charles Fauser, ancien emballeur à la douane et de Dlle Barbe Schaffner, conjoints à Strasbourg, leur père et mère, décédés le premier le 31 janvier 1871, l’autre le 29 décembre 1848, dont ils étaient seuls et uniques héritiers et comme leur ayant été plus spécialement attribué par le partage des dites successions, dressé par M° Becker, notaire à Strasbourg le 28 juillet 1871. M. et Mde Fauser, père et mère, en avaient été propriétaires au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de Mme Marie-Barbe Kniebihler, veuve de M. Jean-Nicolas Schaal, de Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 20 mars 1837. Cette acquisition eut lieu moyennant le prix de 2150 francs, complètement payé – Prix, moyennant la somme de 6000 francs. (…)
Etat civil des vendeurs. M. et Mme Fauser déclarent qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Becker notaire à Strasbourg le premier août 1848, M. et Mme Rossel qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté légale ainsi que M. et Mde Jacques-Auguste Fauser, leurs unions n’ayant été précédées d’aucun contrat de mariage.
acp 601 (3 Q 30 316) f° 121 du 4.4.

Originaire de Kittersburg en Bade, Jacques Ritt épouse en 1823 Catherine Lobstein, native de Mittelhausbergen. Les mariés reconnaissent deux enfants
Mariage, Strasbourg (n° 371)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 30 octobre 1823. Jacques Ritt, majeur d’ans, né en légitime mariage le 10 janvier 1798 à Kittersbourg, grand Duché de Bade, domicilié à Strasbourg, journalier, fils de Jacques Ritt, Cultivateur audit lieu et de feu Marie Marzloff, décédée à Kittersbourg le 17 mars 1806, et Christine Lobstein, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 brumaire an V à Mittelhausbergen /bas Rhin/ domiciliée à Strasbourg, fille de feu Michel Lobstein, Cultivateur décédé à Mittelhausbergen le 26 mars 1814 et de Marie Moll ci présente et consentante (…) Et aussitôt les dits Epoux ont déclaré reconnaître et légitimer Eve Lobstein, née d’eux à Mittelhausbergen le 11 mai 1817, inscrite ledit jour sur les registres de l’Etat civil de ladite Commune et Jacques Ritt né d’eux en cette ville le 18 juin dernier, inscrit le 19 suivant sur les registres de l’état civil de cette ville (signé) Jacob rith, Christina Lobsteinin (i 42)

Jacques Rith meurt en 1844 en délaissant trois enfants.
1844 (23. 9.br), Strasbourg 7 (101), Me Boersch n° 5097
23 novembre 1844. Inventaire de la succession du sieur Jacques Rieth, journalier demeurant à Strasbourg décédé en cette ville le premier juillet 1844 et de la communauté qui a existé entre entre lui et Dame Christine Lobstein son épouse.
L’an 1844 le 23 novembre à neuf heures du matin. A la requête de Dame Christine Lobstein veuve du Sieur Jacques Rieth, journalier demeurant à Strasbourg, journalier, demeurant et domiciliée à Strasbourg, agissant ès présentes 1° comme ayant été commune en biens avec son défunt époux, 2° comme créancière de la communauté qui a existé entre entre elle et son mari, 3° et comme mère et tutrice légale de Daniel Rieth âgé de 18 ans, Barbe Rieth âgée de 13 ans, Michel Rieth âgé de 7 ans, les trois enfants mineurs procréés avec son défunt époux, lesdits mineurs habiles à se dire et porter héritiers sous bénéfice d’inventaire chacun d’eux pour un cinquième de la succession du sieur Jacques Rieth leur père, 2° De Dame Eve Rieth épouse à ce autorisée du sieur Daniel Vix, journalier demeurant et domiciliés à Strasbourg rue des payens n° 16, 3° Et du sieur Jacques Rieth, journalier, demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens n° 16, agissant tous deux comme habiles à se dire et porter héritiers sous bénéfice d’inventaire chacun d’eux pour un cinquième de la succession du sieur Jacques Rieth leur père, En présence du Sieur Jean Bernhard, laitier demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens n° 15 en qualité de subrogé tuteur desdits trois enfants mineurs Rieth (…) Attendu que les conjoints Rieth n’ont point réglé par contrat de mariage leurs conventions matrimoniales ils se sont trouvés soumis au régime de la communauté légale qui servira de base à cette opération
en la maison mortuaire rue des payens N° 16.
Immeubles. Ville de Strasbourg. 1° La moitié indivise d’une maison sise à Strasbourg rue des payens N° 16 (…)
acp 330 (3 Q 30 045) f° 61-v – La succession du défunt se compose de sa garde robe évaluée 22
La communauté se compose activement, Mobilièrement de meubles et objets mobiliers estimés 368
Immobilièrement 1° La moitié divisée d’une maison sise à Strasbourg rue des payens N° 16 d’un revenu de 110 francs, 2° 48 ares 75 centiares de terre ban de Strasbourg en cinq pièces d’un revenu de 73 francs

Décès, Strasbourg (n° 1169)
Déclaration faite le 2 juillet 1844 du décès de Jacques Ritt, âgé de 46 ans, né à Kittersbourg /grand Duché de Bade/ journalier, Epoux de Christine Lobstein, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le premier du mois courant à 10 heures du soir dans la maison située N° 16, rue des payens, fils de feu Jacques Ritt, cultivateur, et de feu Marie Marzloff Premier déclarant, Jacques Ritt âgé de 21 ans, fils du défunt, Jacques Bernhardt, âgé de 40 ans, tailleur, voisin du défunt (i 3)

Christine Lobstein veuve de Jacques Rieth lègue par testament l’usufruit du rez-de-chaussée de sa maison à son fils Michel et du premier étage à son autre fils Jacques
1875, M° Hoffherr
26 mars 1872, Testament – Christine Lobstein Wittwe von Jakob Ried, lebend Gärtner zu Straßburg, durch welches sie 1) ihrem Sohne Michael Ried, Ackerer zu schreiner, die lebenslängliche Nutznießung vom Bodengeschoßes ihres Hauses Hahnengasse N° 7, platz im Keller und Speicher vermacht
2) ihrem Sohne Jacob Ried, Tagner zu Straßburg und an Salome Ernwein, seiner Ehefrau und dem überlebenden die lebenslänglich Nutznießung vom ersten Stock ihres Hauses Hahnengasse N° 7
3) ihrer Tochter Barbara Fried Ehefrau von Johann Bernhard, Mecker zu Bischheim eine Summe von 1000 Franken
4) ihrem Sohn Michael Ried das Eigenthum von einem zwei ständigen Waagen (…)
† 31. October 1875
acp 646 (3 Q 30 361) f° 4-v du 4.11.

Christine Lobstein meurt le 31 octobre 1875 en délaissant pour héritiers ses enfants Michel et Barbe ainsi que ses petits-enfants issus de son fils Jacques.

1876 (3.2.), Strasbourg 24 (15), Not. Joseph Allonas n° 2516
3. Februar 1876. Inventar nach dem Ableben von Christine Lobstein Wittwe des Ackergärtners H. Jakob Rith, im Leben zu Straßburg Hahnengasse 7 wohnhaft, wo sie den 31. October 1875 gestorben ist
Im Jahr 1876, Donnerstag den 3. Februar um acht Uhr Vormittags in dem Sterbehause in Strassburg Hahnengasse 7. Auf Anstehen I. des Hrn Michael Rith, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, II. der Frau Barbara Rith, ermächtigte und verbeiständete Ehefrau des hier gegenwärtigen H. Johannes Bernhard, Ackerer, beisammen zu Bischheim-am-Saum wohnhaft, III der Frl. Salome Rith, großjährig, ledig zu Straßburg wohnhaft, handelnd alle eigenen Namens, IV. der Frau Eva Rith ermächtigte und verbeiständete Ehefrau des hier gegenwärtigen H. Daniel Vix, Gärtner zu Königshoffen 14, Bann von Straßburg wohnhaft, V. des H. Daniel Rith, Schloßer in Straßburg wohnhaft, handelnd als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rith, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April letzthin verstorben, Namens 1) Sophie Rith geboren dahier den 23. Januar 1856, und 2) Emilie Valerie Rieth geboren dahier am 15. August 1860, hierzu ernannt (…), VI. Herr Adolph Beyer, Chef der Comptabilität der Civil Hospizien zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Special Bevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, ehemaliger Präsident des Handels Gerichts, Ritter der Ehrenlegion Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg, daselbst wohnhaft, (…) handelnd selbst als Vormund der in dem städischen Waisenanstalt aufgenommenen Kinder (…) Anna Maria Rith, geboren dahier den 15. November 1863 erzeugt aus der Ehe des besagten Herrn Jacob Rith und dessen genannten Ehefrau (…)
die genannten Hr Michael Rith, Frau Bernhard, Frau Vix, Daniel Rith, Salome Rith und die drei minderjährigen Rieth einzige Erberechtigten an dem Nachlasse ihrer Mutter und Großmutter Frau Christine Lobstein verlebte H Jacob Rith zu Straßburg, wo sie den 31. October letzthin gestorben ist, nämlich a) H Michael Rith ihr Sohn für ein fünftel, b) Frau Bernhard ihre Tochter für ein fünftel, c) Daniel Rith ihr Sohn für ein fünftel, d) Frau Vix ihre Tochter für ein fünftel, e) Frl. Salome Rith und die minderjährige Kinder Rith ihre Enkel, durch Vorstellung ihres genannten verlebten Vaters H Jacob Rith für das letzte fünftel, Und in Gegenwart des Herrn Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Frl. Sophia und Emilie Valerie Rith hierzu ernannt (…)
Inhalt eines testamentes der Verlebten aufgenommen von Hr Hoffherr damals Notar dahier am 26. März 1872 (…) Je donne et lègue par préciput et hors part à 1) M Michel Rith mon fils, cultivateur demeurant avec moi à Strasbourg la jouissance viagère et gratuite de tout le rez-de-chaussée de la maison que je possède à Strasbourg rue du Coq N° 7, d’une chambre dite des soldats, au premier étage de la même maison ainsi que de place suffisante dans la cave et au grenier de lad. maison, 2) M. Jacques Rith mon autre fils, journalier demeurant aussi à Strasbourg et à Mme Salomé Ernwein épouse de ce dernier et au survivant d’eux, la jouissance viagère et gratuite du premier étage de ma maison sise à Strasbourg rue du Coq N° 7 (moins cependant la chambre dite des soldats) et de place suffisante dans la cave et au grenier, 3) Mad. Barbe Rith ma fille épouse de Jean Bernhard laitier avec lequel elle demeure à Bischheim, la pleine propriété d’une somme de 1000 francs 4) Et audit Michel Rith la pleine propriété et jouissance d’une petite voiture à deux roues (…)
Liegenschaften, II. Diejenigen zum Nachlass der verlebten Frau Wittwe Rith gehoerend. Stadt Strassburg. 5) Ein Haus zu Straßburg Hahnengaß Nr 7 gelegen, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer, Speicher, Keller, Brunnen, Rechten und Dependenzien, Alles begrenzt einerseits durch Frau Osswald anderseits durch H Koebelé, vornen die Hahnengasse und hinten der Bäcker Hr Litt.
Erkauft durch Wittwe Rith von den Erben von Friedrich Carl Fauser, ehemaliger Packmeister bei der Verwaltung der Zölle und dessen Ehefrau Barbara Schaffner, im Leben Eheleute zu Straßburg, welche waren die drei nachgenannten Kinder nämlich Friedrich Karl Fauser, ehemaliger Kaufmann zu Straßburg, Karolina Fauser, Ehefrau von Theodor Rössel Schuhmacher beisammen zu Straßburg wohnhaft, Jakob August Fauser, Angestellter am Bahnhof zu Mülhausen, welchen Kindern gedachtes Haus außerdem speciell zugeschrieben wurden, in der Theilung der gedachten Nachlässe, errichtet durch H. Becker, damals Notar dahier am 18. Juli 1871. Laut Vertrag vor H. Hoffherr, damals Notar zu Straßburg, vom 28. März 1872 wovon eine Ausfertigung auf dem Hypothekenamte zu Straßburg den 15. April 1872 Band 1337 N° 71 überschrieben und von Amtswegen denselben Tag Band 1098 N° 116 eigeschrieben wurde. Dieser Kauf hatte statt mittels einem Preis von 6000 Franken (…). Eheleuthe Fauser wurden Eigenthümer desselben Hauses, so sie es erwaren steigerungsweise von Maria Barbara Kniebiehler, Wittwe von Johann Nicolaus Schaal zu Straßburg laut Protokoll errichtet durch H. Hickel, damals Notar dahier am 20. März 1837.
acp 649 (3 Q 30 364) f° 10 n° 526 du 9.2. (Sterbefalltafel B. 61 Fol. 104) Nachlass, Mobilien 97, Baares Geld 1906, Schuldforderung 800
Ein Haus Hahnengasse N° 7, Bann Mittelhausbergen 8 Ar Feld

Liquidation et partage de la succession de Christine Lobstein
1876 (15.7.), Strasbourg 24 (17), Not. Joseph Allonas n° 2897
Liquidation und Theilung Nachlasses der Frau Christine Lobstein Wwe. Jacob Rieth
sind erschienen 1°) H. Daniel Rieth, Schloßer in Straßburg wohnhaft, handelnd sowohl eigenen Namens, wie auch als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rieth, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier gestorben, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April 1875, nämlich a) Sophie Rieth dahier geboren amn 23. Januar 1856, b) und Emilie Valeria Rieth auch dahier geboren am 15. August 1860, hierzu ernannt (…), 2°) Hr Michael Rieth, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, 3°) Frau Barbara Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden H. Johannes Bernhard mit welchem sie zu Bischheim-am-Saum wohnhaft ist, 4°) Frau Eva Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden Ackergärtners Daniel Vix, mit welchem sie zu Königshoffen, Bannweile Straßburg wohnhaft ist, 5°) Fräulein Salome Rieth, großjährig, gewerblos zu Straßburg wohnhaft, 6°) Herr Adolph Beyer, Großer Rechnungsführer der Civil Hospizien der Stadt Straßburg in welcher er wohnhaft ist, handelnd als Specialbevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg, daselbst wohnhaft, (…) handelnd selbst als Vormund der in dem Straßburger Waisen-Anstalt aufgenommenen Kinder (…) also als Vormund von Anna Maria Rieth, geboren dahier den 15. November 1863 aus der Ehe des genannten verlebten Jacob Rieth und Salome Ernwein, die genannten 1°) Daniel Rieth, 2°) Michael Rieth, 3°) Frau Bernhard, 4°) Frau Vix und 5°) Fräulein Salome Rieth und die drei unmündigen Kinder Rieth, diese vier letztere durch Representation ihres Vaters der genannte verlebte Jacob Rieth einzige Erberechtigten an dem Nachlasse ihrer Mutter und Großmutter Frau Christine Lobstein verlebte Wittwe des schon früher verlebten Ackergärtners Jacob Rieth, nämlich Ihre vier Kinder je zu einem fünften Theil und ihre vier Enkel miteinander Zum letzten fünften Theil, so wie diese Eigenschaften durch das Inventar errichtet durch unterzeichneten Notar nach dem Ableben der Frau Wittwe Rieth am 3. Februar letzthin bestätigt sind, 7°) Und H. Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Frl. Sophia und Emilie Valerie Rieth hierzu ernannt (…)

Vorbemerkungen. I. Tod der Wittwe Rieth. Wittwe Rieth gebohrne Lobstein ist am 31. Oktober letzthin gestorben. II. Testament (…), III. Inventar (…), IV Versteigerung der Liegenschaften
acp 653 (3 Q 30 368) f° 40 n° 2428 du 19.7. – Rechnung des Notars dessen Einnahmen bestehen aus dem eingegangenem Steigpreise im Antrag vom M. 7453, Ausgaben für Kosten 1509, bleibt ein Ueberschuß von 5944
Liquidation. Activa 1) Ueberschuß der Rechnung des Notars 5944, 2) Werthschaften welche der Miterbe Michael Rieth schuldet 419, 3) Daniel Rieth hat zu verrechnen 2760, 4) Frau Bernhard hat zu verrechnen 2, 5) die minderjährigen haben zu verrechnen 4, 6) die andere Miteren haben zu verrechnen 168, 6) Steigpreis Rest geschuldet durch den Steigerer Weill 3733, 7) Fr. Salome Rieth verrechnet 56, Liegenschaft unvertheilt geblieben p. m., Summa der Masse 13.028
Passiva, 1) Beerdigungs & Krankheits Kosten 216, 2) ½ des Erlöses der Gemeinschafts Güter 1886, 3) de Frau Bernhard particular Legat 800, Summa 2902
Bleibt ein Ueberschuß von 10.185
Die Hälfte des Erlöses der Liegenschaften der Gütergemeinschaft beträgt 1866, abzuziehen für Kosten 168, bleiben 1717
Rechnungen und Anweisungen

Accord passé entre les héritiers préalablement à la vente des immeubles

1876 (18.3.), Strasbourg 24 (15), Not. Joseph Allonas
N° 2632 den 18. März 1876. Vereinbarung – Sind erschienen 1. Herr Daniel Rith, Schloßer zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rith, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April 1875 verstorben, Namens 1) Sophie Rith geboren dahier den 23. Januar 1856, 2) Emilie Valerie Rieth geboren dahier am 15. August 1860, hierzu ernannt (…)
2. Herr Adolph Beyer, Chef der Comptabilität der Civil Hospizien zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Special Bevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, ehemaliger Präsident des Handels Gerichts, Ritter der Ehrenlegion Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg daselbst wohnhaft (…) handelnd selbst als Vormund der in dem städischen Waisenanstalt aufgenommenen Kinder (…) Anna Maria Rith, geboren dahier den 15. November 1863 erzeugt aus der Ehe des besagten Herrn Jacob Rith und dessen genannten Ehefrau (…)
A. die drei minderjährigen Kinder Rieth und Fräulein Salome Rith großjährig gewerblos zu Straßburg erzeugt aus der besagten Ehe Rith Ernwein, B. H Michael Rith, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, C. Barbara Rith, Ehefrau des Ackermanns Johann Bernhard zu Bischheim am Saum wohnhaft D. Eva Rith Ehefrau des Gärtner Daniel Vix zu Koenigshoffen wohnhaft, E. der schon genannte H. Daniel Rith, als einzigen Erberechtigten an dem Nachlass ihrer Großmutter und Mutter Frau Christina Lobstein verlebten Wittwe des Ackergärtners H Jacob Rith zu Straßburg, wo sie den 31. October letzthin gestorben ist, nämlich
1) Fräulein Salome Rith und die minderjährigen Kinder Rith, ihre Enkel durch Vorstellung ihres genannten verlebten Vaters H Jacob Rith für 1/5
2) H Michel Rith für 1/5, 3) Frau Bernhard ihre Tochter für 1/5, 4) Frau Vix ihre Tochter für 1/5, 5) H Daniel Rith ihr Sohn für 1/5, so wie diese Erb Eigenschaften aus dem Eingang des nach Ableben der Wittwe Rith gebornen Lobstein durch unterzeichneten Notar am 3. Februar dahin errichteten Inventar bestätigt sind, Und Herr Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Sophia und Emilie Valerie Rith hierzu ernannt (…)

II. Immöbel zum Nachlass der verlebten Frau Wittwe Rith gehörend 1) Section P N° 908. Ein Haus zu Straßburg Hahnengaß N° 7 gelegen, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer Speicher, Keller, Brunnen, Rechten & Dependenzien alles begrenzt einerseits durch Frau Osswald anderseits durch H Koebele, vornen die Hahnengaße und hinten der Bäcker H. Litt.
Erkauft durch Wittwe Rith von den Erben von Friedrich Carl Fauser, ehemaliger Packmeister bei der Verwaltung der Zölle und dessen Ehefrau Barbara Schaffner, im Leben Eheleute zu Straßburg, welche waren die drei nachgenannten Kinder nämlich a) Friedrich Karl Fauser, ehemaliger Kaufmann zu Straßburg, b) Karolina Fauser, Ehefrau von Theodor Rössel Schuhmacher beisammen zu Straßburg wohnhaft, c) Jakob August Fauser, Angestellter am Bahnhofe zu Mülhausen, welchen Kindern gedachtes Haus außerdem speciall zugeschrieben wurden, in der Theilung der gedachten Nachlässe, errichtet durch Notar Becker zu Straßburg am 18. Juli 1871. Laut Vertrag vor H. Hoffherr, damals Notar zu Straßburg, vom 28. März 1872 wovon eine Ausfertigung auf dem Hypotheken Amte zu Straßburg am 15. April 1872 Band 1337 N° 71 überschrieben und von Amtswegen denselben Tag Band 1098 N° 116 eigeschrieben wurde. Dieser Kauf hatte statt mittels einem Preis von 6000 Franken (…). Eheleuthe Fauser erwarben dasselbe Eigenthum von Maria Barbara Kniebiehler wittwe von Johann Nicolaus Schaal zu Straßburg laut einem vor durch Notar Hickel dahier am 20. März 1837 errichteten Steigerungs protokoll.
(…) Bemerkung. Laut Testament vor Herrn Hoffherr, früher Notar zu Straßburg vom 26. März 1872 hat Wittwe Riehl zum voraus und vor aller Theilung ihrem Sohn dem Miterben H. Michael Rieth den lebenslänglichen und unentgeltlichen Genuß von deß Erdgeschoßes, der Einquartierungs Kammer im Ersten Stock, und des nöthigen Raumes im Keller und auf dem Speicher des oben beschriebenen Hauses vermacht. (…)
Dem obigen Ansuchen willfahrend, ist geschlossen worden wie folgt. Bec&&. Straßburger Bann (…)
Stadt Straßburg 5) Section P N° 908. Ein Haus zu Straßburg Hahnengaß N° 7 gelegen, bestehnd aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer Speicher, Keller, Brunnen, Rechten und Dependenzien alles begrenzt einerseits durch Frau Osswald anderseits durch H Koebele, vornen die Hahnengaße und hinten der Bäcker H. Litt. Flächen Inhalt 75 centiaren. Anschlagpreis 4800 Mark
acp 648 (3 Q 30 363) f° 59-v n° 898 – Lastenheft

Raphaël Weil se rend adjudicataire de la maison

1876 (15.4.), Strasbourg 24 (16), Not. Joseph Allonas n° 2748
N° 2748 den 3. Mai 1876. Steigerung – Sind erschienen 1°) Herr Daniel Rith, Schloßer zu Straßburg wohnhaft, sowohl eigenen Namens wie auch noch als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rith, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April 1875 verstorben, Namens 1) Sophie Rith geboren dahier den 23. Januar 1856, 2) Emilie Valerie Rieth geboren dahier am 15. August 1860, hierzu ernannt (…)
2°) Herr Adolph Beyer, Chef der Comptabilität der Civil Hospizien zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Special Bevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, ehemaliger Präsident des Handels Gerichts, Ritter der Ehrenlegion Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg daselbst wohnhaft (…) handelnd selbst als Vormund der in dem städischen Waisenanstalt aufgenommenen Kinder (…) Anna Maria Rith, geboren dahier den 15. November 1863 erzeugt aus der Ehe des besagten Herrn Jacob Rith und dessen genannten Ehefrau (…)
3°) Hr Michael Rieth, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, 4°) Frau Barbara Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden Ackersmanns Johannes Bernhard, mit welchem sie zu Bischheim-am-Saum wohnhaft ist, 5°) Frau Eva Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden Ackergärtners Daniel Vix, mit welchem sie zu Königshoffen, Bannweile Straßburg wohnhaft ist, 6°) Fräulein Salome Rieth, großjährig, gewerblos zu Straßburg wohnhaft und 7°) H. Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Frl. Sophia und Emilie Valerie Rieth hierzu ernannt (…) die obengenannten 1°) Daniel Rieth, 2°) Michael Rieth, 3°) Frau Bernhard, 4°) Frau Vix 5°) und Fräulein Salome Rieth und die drei unmündigen Kinder Rieth, diese vier letztere durch Representation ihres Vaters der genannte verlebte Jacob Rieth einzige Erberechtigten an dem Nachlasse ihrer Mutter und Großmutter Frau Christine Lobstein verlebte Wittwe des schon früher verlebten Ackergärtners Jacob Rieth, nämlich Ihre vier Kinder je zu einem fünften Theil und ihre vier Enkel miteinander Zum letzten fünften Theil, so wie diese Eigenschaften durch das Inventar errichtet durch unterzeichneten Notar nach dem Ableben der Frau Wittwe Rieth am 3. Februar letzthin bestätigt sind
dieselben Comparenten erklären, daß laut Urkunde vor unterzeichnetem Notar vom 15. des letzt verfloßenen Monats April, die Versteigerung der in einem Vereinbarungs Acte vor selbem Notar vom 18. März letzthin bezeichnet sind (…)
Stadt Strassburg. 4°) Section P N° 908. Ein zu Straßburg, Hahnengasse N° 7 gelegenes Wohnhaus mit Zubehörungen. Anschlagpreis 4800.
Mehrer Lichter wurden nach und nach angezündet und während der dauer mehrerer Gebote gemacht, wovon das letzte Gebot im Betrage von 5600 Mark geschah durch Herrn Raphaël Weill, Kaufmann zu Straßburg wohnhaft
acp 652 (3 Q 30 367) f° 6-v n° 1570 du 6.5.

Raphaël Weil vend l’année suivante la maison à l’aubergiste Maurice Bendelé, demeurant 3, rue des Dentelles

1877 (18.9.), Strasbourg 24 (21), Not. Joseph Allonas n° 3674
Ist erschienen Herr Raphael Weil, Handelsmann & Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft, derselbe verkauft (…)
dem hier gegenwärtigen und dies annehmenden H. Moritz Bendele, Schenckwirth zu Straßburg, Großspitzengaße N° 3 wohnhaft
Beschreibung. Section P N° 908 ein zu Straßburg Hahnengasse N° 7 gelegenes Wohnhaus, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer Speicher, Keller, Brunnen, Rechten & Zubehörungen zwischen Frau Osswald & H Koebelen vornen die Hahnengaße und hinten der Bäcker H. Litt. Sowie sich dieses Wohnhaus nebst Zubehörungen wirklich befindet (…)
Eigenthumsnachweis. H. Weil erklärt, daß er die soeben bezeichnete Liegenschaft von den Kindern und Erben der zu Straßburg am 31. Oktober 1875 verlebten Christina Lobstein, gewesene Wittwe des schon früher verlebten Jacob Rieth, erworben hat zufolge einem durch den unterzeichneten Notar am 3. Mai 1876 aufgenommenen Steigerungsprotokolle. Da aber bei dieser Versteigerung minderjährige Kinder betheiligt waren, wurde durch den unterzeichneten Notar, auf *estenheft der volljährige Erbbetheiligten & der Vormünder der minderjährigen Betheiligten am 19. März 1876 ein Vereinbarungsakt errichtet (…) Diese Erwerbung geschah mittelst einer Summ vob 5600 Mark (…)
Frühere Eigenthumsnachweis. Frau Wittwe Rieth geborene Christina Lobstein hat dieselbe Liegenschaft erworben von den Erben von Friedrich Carl Fausser, ehemaliger Packmeister bei der Verwaltung der Zölle & dessen Ehefrau Barbara Schäffner lebend zu Straßburg wohnhaft als a. Friedrich Carl Fausser, ehemaliger Kaufmann zu Straßburg, b. Carolina Fauser, Ehefrau von Theodor Rössel Schuhmacher beisammen zu Straßburg wohnhaft, c. H Jakob August Fausser, Angestellter am Bahnhofe zu Mülhausen, welchen gedachtes Haus außerdem speciall* zufiel, in der Theilung der gedachten Nachlässe, errichtet durch Notar Becker zu Straßburg am 18. Juli 1871. Laut Vertrag vor Notar Hoffherr, unmittelbarer Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars vom 28. März 1872 wovon eine Ausfertigung beim Hypothekenamte dahier am 15. April folgend Band 1337 N° 71 überschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah mittels (…) 6000 Franken. Eheleuthe Fauser haben die nämliche Liegenschaft erworben von Maria Barbara Kniebiehler Wittwe von Johann Nicolaus Schaal aus Straßburg laut einem durch H. Hickel damals Notar dahier am 20. März 1837 errichteten Steigerungsprotokoll.
Bemerkung. H. Weil bemerkt hier daß zufolge Testament vor genantem Notar Hoffherr vom 26. März 1872 die genante Wittwe Riehl ihrem Sohn Michael Rieth, ohne Gewerbe, zu Straßburg wohnhaft, zum Voraus & vor aller Theilung den lebenslänglichen unentgeltlichen Genuß von obenbezeichnetem Wohnhaus als, deß Erdgeschoßes, der Einquartierungs Kammer im ersten Stockwerke und des ihm nötigen Raumes im Keller und auf dem Speicher vermacht hat, und daß ihm die betreffende Liegenschaft unter Uebernahme dießer Lasten zugeschlagen wurde, zufolge den obenerwähten Steigerungs protokolle vom 3. Mai 1876. (…) Kaufpreis, 5600 Mark (…) Uebertrag des Brandentschädigungseanspruchs (…)
Auf den Hÿpothekenamte von Straßburg an 30. October 1877 Band 1728 N° 51 transcribirt. Band 1333 N° 13 eingeschrieben
Police d’assurance N° 30.911 Compagnie du Soleil, rue de Châteaudun N° 44 à Paris. 10 septembre 1877, durée 10 ans, Bendelé, Maurice, débitant de boissons
1° 12.000 francs sur la propriété de Monsieur Bendelé sise à Strasbourg, Rue du Coq N° 7, élevée sur cave, de rez-de-chaussée, trois étages et gerniers, construite en pierres, briques & bois, couverte en tuiles, y compris la valeur de la gage d’escalier, celle de la pompe, des lieux d’aisances et de tous les objets réputés immeubles par destination et dans laquelle il existe des chambres louées en garni.
2° 8000 francs pour la garantie du recours des voisins
acp 669 (3 Q 30 384) f° 67 du 21.9.

Natif de Still, le garçon da café Maurice Bendelé épouse en 1873 Marie Anne Lutz, originaire de Rosheim
Mariage, Still (n° 10) Den 17. November 1873 um sechs Uhr des Abends, Heurathsurkunde von Moritz Bendelé, geboren zu Still den 3. Aprilis 1842, Kellner, wohnhaft zu Still, ehelicher Sohn von Bendelé, Ignatz alt 65 Jahre, Bäcker wohnhaft zu Still hier gegenwärtig und einwilligend, und von Petrolf, Sophie alt 61 Jahre, wohnhaft zu Still hier gegenwärtig und einwilligend, und von Maria Anna Lutz geboren zu Rosheim den 17. Juli 1843, Stand keinen, wohnhaft zu Rosheim eheliche Tochter von Lutz Ludwig wohnhaft zu Rosheim und alldort gestorben (…) und von Scherer Franziska, bei lebzeiten wohnhaft zu Rosheim (unterzeichnet) Bendelé, Marie Lutz (i 8)

Registre domiciliaire (602 MW 43)
Bendele, Keller Wirth
Bendele Maurice, 3.4.42, Still, kath.
Frau Maria geb. Lutz, 43, Rosheim
Kinder, Heinrich 15.10.74, Straßburg, todt 29/9. 75 Rosheim
Kinderspielgasse N° 14
Metzgergasse, Zu den drei Königen
p 1. 74 Metzgerplatz, Nolff
24.6.76, Grosse Renngasse 36. Lohmiller
1.11.77, Münsterplatz 13, Lämmermann
1.10.81, Schwesterngasse 2, Lerchmann
27/.6 82.Gerbergrabenplatz 9, Miethe
27.6.94 Langestrasse 112, Wwe Schwartz
7.5.98, Rosheim

Maurice Bendelé réside à Strasbourg de 1875 à 1879 d’après les annuaires d’adresses
1875. Bendele Moritz, Schenkwirt, Metzgerplatz 14
1890, Bendele Moritz, Wirt, Gerbergrabenplatz 9
1895, Bendele Moritz, Gastwirt, Langestr. 112
1898, Bendele Moritz, Gastwirt, Langestr. 112

Maurice Bendelé et Anne Marie Lutz vendent la maison au marchand de charbon Philippe Merck et à sa femme Marguerite Kalb

1890 (22.7.), M° Charles Lauterbach
Verkauf durch Moritz Bendele, Gastwirt und Anna Maria Lutz dessen Ehefrau hier
an Philipp Merck, Kohlenhändler und Margaretha Kalb
P n° 908, Ein Wohnhaus hier Hahnengasse N° 7 mit Erdgeschoß und 3 Stockwerken, Speicher, Keller, Brunnen, erworben laut Kauf Allonas vom 18. September 1877. Besitz sofort, Genuß 29. IX. 1890, Steuren von da an. Preis 8000 Mark
acp 831 (3 Q 30 546) f° 52 n° 2014 du 1.8.

Philippe Merck épouse en 1868 Madeleine Neff de la Robertsau. L’épouse reconnaît sa fille née quelques mois plus tôt.
Mariage, Strasbourg (n° 329)
Du 11° jour du mois de juin l’an 1868 à dix heures du matin. Acte de mariage de Philippe Merck, majeur d’ans,né en légitime mariage le 3 mars 1845 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, journalier, fils de Conrad Merck, journalier domicilié à Strasbourg ci présente et consentant et de feu Anne Marie Schott décédée à Strasbourg le 9 janvier 1846, et de Madeleine Neff, majeure d’ans, née en légitime mariage le 28 avril 1838 à la Robertsau banlieue de Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, ouvrière en chapeaux de paille, fille de feu Michel Neff journalier décédé à la Robertsau le 18 mars 1858 et de feu Marie Madeleine Mathis décédée à la Robertsau le 20 août 1864 (…) Et aussitôt l’épouse a déclaré se reconnaître mère de Madeleine Merck née à Strasbourg le 12 avril 1868 et inscrite le 13 du même mois dans les registres de l’état civil de cette ville.

Marie Madeleine Neff meurt en 1888 en délaissant une fille. La succession comprend deux maisons à la Robertsau
1888 (17.7.), M° Gustave Loew
Erbverzeichniss nach den Ableben von Maria Magdalena Neff Ehefrau des Kohlenhändlers Philipp Merck in Strassburg wohnhaft wo die am 20. Juni 1888 gestorben ist. Auf Ansuchen von 1. Philipp Merck, obengenannt, handelnd eigenen Namens wegen der gesetzlichen Gütergemeinschaft die in Ermanglung eines Ehevertrags zwischen ihm und seiner Ehefrau bestanden hat, 2. Magdalena Merck, Ehefrau des Kohlenhändlers Georg Gutapfel in Straßburg, handelnd als einzige Erbin ihrer genannten Mutter, 3. der Firma Lamarche & Cie Kohlenhandlung in St Johann, Letztere steht bis zum Belaufe ihrer Forderungen in den Rechten der Eheleute Gutapfel auff Grund einer Privaturkunde vom 27. Junÿ 1888 registrirt eu Straßburg an denselben tag

acp 805 (3 Q 30 520) f° 5 n° 1744 du 25.7. (Sterbfallerk. Bd. 74 Vl. 127) Baares Geld am Todestag 70, Waarenvorrath 228.
Liegenschaften der Gemeinschaft 1. Ein Haus mit Hof, Brunnen, Garten vor und hinter dem Hause in der Ruprechtsau Bann Straßburg Hauptstraße N° 47, vorher Wenglerseck, rothes Quartier N° 73 früher N° 72
2. Ein Haus mit Erdgeschoß einem Stockwerk und Speicher nebst kleinem Stall, Remise, Hof, in der Ruprechtsau Bann Straßburg Hauptstraße N° 45, früher rothes Quartier N° 72 früher N° 89 in der Oberau und Wenglerseck
Passiv des Nachlasses 134 – Passiv der Gemeinschafft a) bezahltes 287, b) geschuldet 5230
Zur Gemeinschafft gehört ein Kohlenschuppen, welcher sich auf dem terrain von Benjamin Heydel befindet
Gute Geschäfts ausstände 165, schlechte 39, Geschuldete Miethzinsen 99, Schulden der Gemeinschaff 100, Mobilien der Gemeinschafft 234, Kleider der Erblasserin 33
Zur Gemeinschaff gehören noch weitere Mobilien zu 65

Les héritiers ne parviennent pas à un accord lors du partage. Le notaire les renvoie aux tribunaux.
1889 (13.4.), M° Gustave Loew
Theilung aufgestellt durch den amt. Notar 1) der gesetzlichen Gütergemeinschaft, welche zwischen Philipp Merck, Kohlenhändlers dahier, und dessen allda den 10. Juni 1888 verstorbenen Ehefrau Maria Magdalena Neff bestanden, 2) des Nachlasses der Letzteren
Die Theilung wird laut nachgeristrirtem Protocoll nicht genehmigt bzw. beanstandet.
acp 814 (3 Q 30 529) f° 92-v n° 288 du 23.4.
acp 814 (3 Q 30 529) f° 92-v n° 289 du 23.4. – 13. April 1889. Protocoll über die von der betheiligten Parteien durch allen zu vorregistrirter Theilung gemachten Beanstandungen, ins besondere bezüglich des Bestands der zu theilenden Gemeinschafft.
Der Wittwer erkennt an, daß er noch zwei Ringe seiner Frau und einen Karren geschätzt zu 10. Mark in Besitz hat, welche nicht inventarisirt worden.
Da die Parteien sich nicht einigen können werden dieselben durch den Notar auf den Processweg verwiesen.

Philippe Merck se remarie en 1888 avec Marguerite Kalb, originaire de Mundolsheim, veuve du maçon Jacques Frantz
Mariage, Strasbourg (n° 589)
Straßburg am 27. September 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kohlenhändler Philipp Merck, katholischer Religion, geboren den 3. Maerz des Jahres 1845 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Wittwer von Magdalena Neff, gestorben zu Straßburg den 20. Juli dieses Jahres, Sohn der verstorbenen Eheleute Conrad Merck, Tagner, und Anna Maria Schott, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, 2. die gewerblose Margaretha Kalb, evangelischer Religion, geboren den 4. Januar des Jahres 1848 zu Mundolsheim, Wittwe des Maurers Jacob Frantz, gestorben zu Straßburg den 15. Maerz 1887 Tochter der verstorbenen Eheleute Georg Kalb, Milchhändler und Margaretha Imhof, zuletzt wohnhaft zu Straßburg (i 72)

La maison est inscrite à partir de 1899 au nom de Lazare Levy pour la jouissance viagère et de Henri Levy pour la nue propriété.



25, rue des Juifs


Rue des Juifs n° 25 – V 63 (Blondel), N 1298 puis section 67 parcelle 15 (cadastre)

das Fasshaus (maison au tonneau)
Troisième étage sans doute ajouté au milieu du XVIII° siècle


Façade, étages (juin 2023)

La maison est inscrite dans le Livre des loyers communaux au nom du gentilhomme Thiébaut Joham de Mundolsheim qui la vend en 1594 au menuisier Jean Heberlin. Elle est appelée das Fasshaus (maison au tonneau, 1594, 1639, 1642, 1668). Son fils aussi nommé Jean Heberlin vend en 1620 le bâtiment avant au menuisier Georges Dœrner qui sera ensuite maître d’école à Ichenheim en Bade puis éducateur à l’orphelinat. Les deux bâtiments sont à nouveau réunis par l’adjudication judiciaire prononcée en 1639 au profit du secrétaire Pierre Camel. La maison appartient ensuite au maître maçon Georges Hauber puis à ses ayants droit (1642-1685). L’ancien bailli catholique Florian Rieden l’achète en 1702. Ses héritiers la vendent au pasteur du Temple-Neuf Samuel Silberrad en 1710. Le plan-relief (1727) représente un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages. Le juriste et sénateur catholique Joseph Gerber en est propriétaire à partir de 1731. Il est probable qu’il y fasse faire d’importants travaux, la maison étant estimée à une somme minimale de 1650 florins à sa mort en 1753, ce qui correspond peut-être à une surestimation puisque la valeur minimale est seulement de 900 florins en 1766 lors de l’inventaire dressé après la mort de la femme du propriétaire suivant, le cordonnier François Joseph Heim. La maison comprend trois poêles en 1783. Le doreur Sébastien Deck l’achète en 1786, il charge le maître maçon Jean Jacques Fæssler de faire des travaux dans le bâtiment arrière qui a alors un rez-de-chaussée et trois étages.


Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt). La maison est la partie droite du bâtiment d’angle sur la gauche.

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 81 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment neuf à rez-de-chaussée et trois étages. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la troisième à droit du repère (p) : quatre fenêtres et porte au rez-de-chaussée, trois étages à cinq fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour X montre l’arrière (1-2) du bâtiment avant, le bâtiment latéral (2-3), le bâtiment arrière (3-4) et le mur (4-1) du voisin.
La maison porte d’abord le n° 13 (1784-1857) puis le n° 25.


Ancienne et nouvelle façade (1967) – Plan cadastral (1991) dossier de la Police du Bâtiment

La maison n’est pas transformée au XIX° siècle alors qu’elle appartient au receveur des contributions Jean Faber (1843-1864), à son gendre l’agent de change Eugène Edouard Heydenreich (1864-1885) puis au comptable Auguste Gross à partir de 1893.
Les quatre baies du rez-de-chaussée sont remplacées en 1968 par deux devantures et une porte. Les pans de bois sont dégagés lors du ravalement de 1981. L’agence d’architecture Pierre et Nicolas Drexler remplace en 1991 la devanture par une nouvelle plus basse et fait abaisser le plancher du magasin.


Cour, façades nord, ouest et sud (mai 2023)

juillet 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1593 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Thiébaut Joham de Mundolsheim et (v. 1550) Ursule Ingold – luthériens
1594 v Jean Heberlin, menuisier, et (1575) Anne Brach puis (1598) Eve, veuve du serrurier Jean Müller – luthériens
1615 h Jean Heberlin, menuisier, et (1608) Madeleine Hein, d’abord (1605) femme du tisserand Jean Werner – luthériens
1626 h Charles Schrag, menuisier, et (1609) Marie Heberlin – luthériens
1627 v Jacques Kulin, menuisier, et (1627) Anne Geckler – luthériens
1639 adj Pierre Camel, secrétaire, et (1599) Anne Erhard – luthériens
1642 v Georges Hauber, maçon, et (1635) Marie Stoll d’abord (1630) femme du maçon Jean Flieher – luthériens
1668 h Georges Nussbaum, potier, et (1657) Barbe Hauber puis (1672) Elisabeth Ruff – luthériens
1674 h Martin Huber, tailleur de pierres, et (1670) Jeanne Kraus – luthériens
1685 v Jean Georges Heyl, pasteur, et (1667) Anne Marie Christ, remariée (1690) avec le blanchisseur Jean Meyer – luthériens
1697 v Jean Thiébaut Heinrici, pasteur, et (1658) Marguerite Knoderer puis (1667) Anne Ursule Lichteisen – luthériens
Jean Jacques Heinrici, marchand, puis celui-ci seul (1699) – luthérien
1702 v Florian Rieden, bailli, et (v. 1675) Marie Eve Geiss puis Marie Ursule Rothfuchs – catholiques
1710 v Samuel Silberrad, pasteur, et (1685) Einbeth Kolb – luthériens
1731 v Joseph Gerber, juriste, et (v. 1714) Marie Anne de Bellefond – catholiques
1754 h Joseph Albert Gerber, lieutenant de hussards – catholique
1765 v François Joseph Heim, cordonnier, et (1752) Anne Marie Mallain puis (1766) Françoise Hélène Kiessel – catholiques
1786 v Sébastien Deck, doreur, et (1774) Marie Madeleine Ritter dite Chevalier – catholiques
1831 h Marie Thérèse Deck, célibataire, († 1840)
1840 h Aloyse Alexandre Joseph Fritsch, enfant mineur († 1843)
1843 v Jean Faber, receveur des contributions directes, et (1819) Dorothée Salomé Hemmet
1864 h Eugène Edouard Heydenreich, agent de change, et (1845) Elodie Henriette Faber
1885 v Catherine Henriette Vonseel et (1907) Ernest Frédéric Stoll, marchand
1893 v Auguste Gross, comptable, et (1887) Emma Huber, d’abord (1878) femme du mécanicien Daniel Théodore Aron
1925* h David Charles Auguste Gross et Guillaume Gross
1938* Julien Weber et son épouse

Bâtiment avant (1620-1639)

1620 v Georges Dœrner, menuisier, et (1613) Chrétienne Hein d’abord (1597) femme du notaire Sixte Krafftberger – luthériens
1630 v Louis Frédéric Heckel, tonnelier, et (1629) Marie Spies – luthériens

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 475 livres en 1696, 550 livres en 1709, 1650 livres en 1753, 900 livres en 1766, 750 livres en 1783

(1765, Liste Blondel) V 63, M. Guerber
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Heim, 5 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1298, Deck, serrurier – maison, sol – 2 ares / Fritsch François Joseph

Locations

1624, Charles Schrag, cordonnier (futur propriétaire)
1635, Tobie Garing, potier
1723, François Œsinger, greffier de la Chambre des Contrats
1754, Jeanne Rosalie Brobeque, veuve de Georges Joseph Horrer, prévôt d’Obernai
1825, 1839, Alexandre César Hager, chanoine
1825, Pierre de Ricassoli, peintre
1826, Marie Madeleine Fichter veuve de Charles Fabien d’Inarre

Bâtiment avant (1620-1639)
1628, Gertrude Zorn de Plobsheim veuve de Hornberg

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 108
Le gentilhomme Thiébaut Joham règle 8 sols pour sa maison face à la cour Saint-Valentin, à savoir un chenal posé sur le communal

Das Ander Eck gegen Sanct Andresen über dem Hennenberger Hoff vnd wider der Judengaßen zu gemessen
Juncker Dieboldt Joham hatt daselbsten gegen Sanct Veltis Houe über ein Hauß, daruor ein hültzener Naach vff der Allmendt, Soll & Bessert & viij ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1626, Préposés au bâtiment (VII 1341)
Charles Schrag se plaint de la communication ouverte par Georges Dœrner vers la chambre de son bâtiment arrière. Les deux maisons n’en formaient autrefois qu’une seule. Georges Dœrner déclare que la cloison avait anciennement une porte qui n’a pas été agrandie. Les préposés ne prennent pas position.

(f° 174) Zinstags den 12. Sept. 626. – Carl Schrag contra Georg Dörner wegen durchbruchs
Haben H. XV. Collegialiter mit Zuziehung d. H. dreÿ Manß colleg. H. Glaserß vnd der beed. Bwh.* vff ansuch. Carl Schrag, der sich Einß durchbruchs contra Georg Dörnern seinen nachbarn den Schreiner Jn Jhrer vor alt. gewesenen gemeinen aber nuhnmehr von ein ander verkaufft. Behausung Inn Juden gaß geg. St. Veltinß Capell, beclagt, vnd gewiß. daß Er ob. vor d. Küch. ein haußehren, so Zuvor ein Winckell gestand. v. vffm Gänglen* gang., In seiner Schrag. Cammer Im hindern hauß richtenn, So dann ob & vff der Zienen Eine alte dielen wandt etlich schuh weit In sein hindere behausung ruck. laß. Bitt Ihme vffzuleg. alleß wider d altt. stand Zu richt. darvor* will beweiß. d die thur vor alt. da geweß. vnd allein nit breitter vermacht wd. wie dem die läd. daselbst noch alßo vermacht, vnd die Kauffbrieff außweiß. daß solche Cammer vnd Zienlen* darüber Zu seiner behausung gehörig vnd würcklich darinn begriff. Bitt handthabung. Ist dißmahl nichts Weitter gehandelt, Auch wie mich von Collega H Glaser bericht nicht referirt aber hernach für E. E. Kleinen Rhat dahien solche fäll gehörig gewiß w.

Protocole de tribus

Les contrôleurs constatent que le cordonnier Joseph Heim a fait faire des travaux (plâtrer une pièce, peindre le lambris et des portes en gris perle) par le plâtrier Joseph Hess et le compagnon maçon François Léonard Kühn, sans être sous les ordres d’un maître maçon. Joseph Hess déclare que le plâtrier lui a assuré être autorisé à faire les travaux. Le propriétaire est relaxé, le plâtrier mis à l’amende, l’affaire du compagnon absent remise à la session suivante.

1781, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(p. 580) Sambstags de, 9.ten Junii – Klag
Vorbenannte E: E: Meisterschaft der Steinmetzen Steinhauer und Maurer allhier pro hoc Anno geschworne Rügere, ließen citiren Joseph Heim, den Schuhmacher meister und burger dahier, wie auch Meister Joseph Heß, Gipser und hießigen Burger, und dann Frantz Leonhard Kühn, den Maurergesell alhier, klagen wider dieselben, und Zwar vordersamst wider Meister Joseph Heim, daß er in seiner ane der Judengaß gelegenen Behaußung den 1.ten hujus durch einen Gipsermeister und einen Maurergesellen, ohne unter einem Maurermeister Zu stehen, ein alt gegipst Zimmer hat ausweißlen und das Brustgetäfel samt Thüren Perlfarb anstreichen, mithin Maurer arbeit verrichten laßen, sodann wider bemelten Meister Joseph Heß und Frantz Leonhard Kühn, daß sie solche Arbeit ohne unter einem Maurermeister Zu stehen gemacht und also gepfuscht haben, so beedes wider Ordnung, produciren deswegen den dicta die durch Zitzanzer Fünffzehenbotten darüber errichteten Procès verbal, beziehen sich auf deßen Inhalt, mit bitten alle dreÿ beklagte den Articklen gemäß abzustrafen und soldiarie in die unkosten Zu condemniren.
Beklagten Meister Heim Ehefrau Namens ihres Ehemanns Zugegen, sagte Zur Verantwortung, weilen die Gipsdecket gebrochen war, so mußten sie einen Gipsermeister haben um das Zimmer Zu repariren, und der mitbeklagte Gipsermeister habe sie auf ihr befragen versichert, daß er solches machen darf, bitt deswegen um absolutionem.
Gedachter Meister Heß auch Zugegen gestunde Zwar ein, geweißelt und das Getäfel angestrichen Zu haben, sagt aber er habe ausgebeßert und der Maurergesell als einen Handlanger dazu genommen, glaube also nicht straffällig Zu seÿn, bitt ebenfalls von der Anklage absolvirt zu werden.
Frantz Bernhard Kühn der Maurergesell aber ist nicht erschienen, noch jemand in seinem Namen.
Es wurde dahier nach Einsehung von angezogenen Procès verbal und gehaltener Umfrag Erkannt, daß beklagter Meister Heß, weilen Er höltzenes Brustgetäfel und Thüren angestrichen, in doe beßerung des Artikels mit dreÿ Pfund Pfenning und Ersetzung der seinetwegen aufgegangenen Kösten ad Zweÿ Pfund Zween Schilling Vier Pfenning liquidirt Zu condemniren, mit bekagter Meister Heim aber, so durch diesen Gipsermeister übel berichtet worden, von der Klag zu absolviren, sodann der nichterschienenen Maurergesell, Namens Kuhn, beÿ fünf Schilling Straf auf nächste Gerichts: Session nochmalen vorzubescheiden seÿe, reservatis expensis.
[in margine :] hälfte Kaufgerichts 18 ß, Procesverbal 15 ß, Zeugen 6, 2. Citat: 1. 4., büttel 2 (Summa) 2 lb 2 ß 4 d)
(p. 610) Sambstags den 15. Decembris (maurergesell Kühn)

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1787. Le maître maçon Fæssler expose les travaux à faire chez le doreur Deck : une buanderie au rez-de-chaussée du bâtiment arrière et une cuisine à côté. Au premier étage une cuisine et un poêle chauffé depuis la cuisine. Le deuxième et le troisième étage sont pareils au premier.

(p. 639) Mittwochs des 30.ste Maÿ 1787. – Mstr Deck der Vergolder will in seiner ane der Judengaß gelegenen behaußung im hintergebäud auf dem rez de Chaussée eine bauchkuchen machen den ofen auf dem grundboden setzten Mit Camin schoß wohl versehen, das Rohr am gäbel hinauf von allem holtz entfernt, nebens eine stube in die aus dieser Kuche eingefeurt wird.
Im ersten stock eine kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen das Rohr am steinernen gäbel hinauf von allem holtz entfernt nebens eine stube in dem aus der Kuch eingefeurt wird.
der Zweite und dritte stock sind dem ersten durchaus gleich.
Erkandt, mit dem anhang willfahrt, daß nach vorschrifft der ordnung aschkästen auf geführt werden. – Mstr Fäßler.

Description de la maison

  • 1696 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière, deux caves, une entrée, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 950 florins
  • 1709 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1753 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble a une double couverture en tuiles plates, la cave est en partie voûtée et en partie solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 3 300 florins
  • 1766 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble a une double couverture en tuiles plates, la cave est en partie voûtée et en partie solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins
  • 1783 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent un atelier de cordonnier, trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Juifs (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 27 / 13
Hocker
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages en bois neuf
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 386 case 1

Fritsch François Joseph à Strasbourg
Faber, Jean, Percepteur, rue des Pucelles 9 (1845)
1858. Faber, Jean, percepteur, la veuve, rue des Pucelles 9 à Strasbourg

N 1298, maison, sol, rue des Juifs 13
Contenance : 2,00
Revenu total : 352,04 (351 et 1,04)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 51 / 41
fenêtres du 3° et au-dessus : 18 / 14

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1232 case 2

Faber, Jean, veuve, rue des Pucelles 10
1866 Heydenreich Eugène Edouard agent de change à Strasbourg
1874 Heydenreich Eugen Eduard Wittwe
1884 Vonseel Katharina Henritte
1895/96 Gross August Buchhalter und Huber Emma Eheleute

N 1298, maison, sol, rue des Juifs 25
Contenance : 2
Revenu total : 352,04 (351 et 1,04)
Folio de provenance : (386)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 51 / 41
fenêtres du 3° et au-dessus : 18 / 14

Cadastre allemand, registre 32 f° 513 case 4

Parcelle, section 65, n° 15 – autrefois N 1298
Canton : Judengasse Hs. N° 25 / Maurerstubgasse
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 2,29
Revenu : 2100 – 2500
Remarques

(Propriétaire), compte 2307
Gross August u. Ehefr
1913 Gross Karl August die Erben u. Wittwe Emma geb. Huber
1925 Gross David Charles Auguste & Gross Guillaume
1938 Weber Julien & son épouse
(4220)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 147 des Juifs p. 262

13
Pr: Deck Sébastien, doreur – Echasses
lo: Boillion, Mathieu, tapissier – Moresse
lo: Heim, François veuve – Cordonniers
lo: Dorssner Marie Madl. Veuve – Vignerons
lo: Dorsner, Jean Baptiste
lo: Dorsner Marie Françoise en tutelle

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Judengasse (Seite 68)

(Haus Nr.) 25
Paul, Näherin. 0
Hoffmann, Rentnerin. 1
Hert, Rentnerin. 2
Gross, Buchhalter. E 3
Schaible, Schuhmacher. H 0
Kreiss, Schuhmacher. H 1
Musculus, Magaz.-Aufs. H 2
Schuler, Wwe. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 934 W 247)

25, rue des Juifs (1886-1994)

Le Centre touristique d’Alsace fait remplacer en 1968 les quatre baies du rez-de-chaussée par deux devantures et une porte dans le bâtiment qui appartient à Julien Weber, après que le préfet a autorisé de désaffecter un local professionnel de quatre pièces pour y établir un bureau d’accueil. Roland Machin fait ravaler la façade en 1981 en dégageant les pans de bois. En 1991, l’agence d’architecture Pierre et Nicolas Drexler remplace pour le magasin Frédérique et Nicolas (vêtements et accessoires pour enfants) la devanture par une nouvelle plus basse et fait abaisser le plancher du magasin.
Autres occupants – Jacques Gottlieb, tailleur (1894), Claude Clementz, comptable (1965)

Sommaire
  • 1886 – Le directeur de l’usine à gaz Weill-Gœtz demande au nom du propriétaire Jean Treser l’autorisation de faire une prise pour environ 10 becs – Autorisation – Travaux terminés, mai
  • 1886 – Jean Treser demande au nom de sa fille majeure Catherine Henriette Vonseel l’autorisation de faire ravaler la façade – Autorisation de réparer le crépi et de repeindre la façade – Travaux terminés, avril 1886
  • 1894 – Le maire notifie Auguste Gross de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1894
  • 1894 – Le tailleur Jacques Gottlieb déclare qu’il a posé son enseigne. – Demande sur papier timbré – Autorisation – Le voisin déclare n’avoir pas d’objection à formuler contre l’enseigne suspendue près de sa propriété.
  • 1895 – Le voisin Hampelé (n° 23) se plaint que la fosse d’aisances de la maison Gross n’est pas étanche. La Police du Bâtiment constate les faits. Le maire demande au propriétaire de vider la fosse et de la faire crépir le cas échéant. – A. Gross déclare avoir réparé la fosse, ce que la Police du Bâtiment ne peut vérifier puisqu’elle est déjà pleine. – La Police du Bâtiment constate que la fosse est étanche, il n’y a plus de trace d’humidité dans la cave Hampelé.
  • 1900 – La Police du Bâtiment constate qu’il y a une porte qui s’ouvre vers la voie publique, ce qui est contraire au règlement – La porte est réglementaire, octobre 1900.
  • 1900 – Le maire notifie Auguste Gross de faire ravaler la façade – Il accorde un délai après avoir constaté que le façade n’est pas trop défraîchie. – Travaux terminés, juin 1901
    1901 – Le peintre en bâtiment Bœgelmann (10, rue des Charpentiers) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire transmet au maire – Autorisation – L’échafaudage a été enlevé, juin 1901
  • 1908 – L’installateur Ch. et E. Mœbs (7 et 9 rue des Aveugles) demande au commissaire de police l’autorisation de poser des gravats sur la voie publique – Le maire donne son accord.
  • 1913 – La femme Specht, locataire du rez-de-chaussée du bâtiment arrière, se plaint que les interstices du plafond de sa cuisine laissent passer la poussière – Le maire demande au propriétaire de faire faire les travaux nécessaires – Travaux terminés, juin 1914
  • 1915 – Commission des logements militaires – Rien à signaler
  • 1920 – Un locataire se plaint que le sieur Wernhardt a installé un atelier où il travaille le soir. La Police du Bâtiment constate qu’il n’y a pas de machine mais qu’il arrive que Wernhard termine un travail urgent chez son maître Fey.
  • 1954 – La locataire Kreiss, auparavant locataire du bâtiment avant, déclare que les émanations de fumée ne permettent pas de dormir dans son logement, par ailleurs humide, au rez-de-chaussée du bâtiment arrière – Lettre de la même au propriétaire Julien Weber dans laquelle elle lui demande de faire réparer la cheminée – La Police du Bâtiment constate que le logement (cuisine et deux pièces) n’est pas insalubre et qu’il ne serait pas humide s’il était aéré. Elle demande à la locataire d’avertir les pompiers dès qu’il y a de la fumée et au propriétaire de fournir un certificat de ramoneur. – Le ramoneur Théodore Bergmann (116, route de Colmar) établit un certificat (juin 1954). – Les sapeurs pompiers constatent des traces d’oxyde de carbone (cinq pour cent) dans la chambre de la locataire (mai 1954).
  • 1964 – Le propriétaire Weber est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1965 – Le comptable Claude Clementz demande l’autorisation de poser une plaque à son nom. – Autorisation
  • 1965 – Le propriétaire Weber se plaint que les travaux au n° 23 endommagent sa toiture et que des pierres tombent dans sa cour. – La Police du Bâtiment constate que les travaux sont terminés.
  • 1967 – La Société de Travaux et d’Etudes du Bâtiment (SOTEB, 26, rue de la Marseillaise) dépose un permis de construire au nom du Centre touristique d’Alsace, OCCAJ Organisation centrale des camps et activités de jeunesse et du tourisme populaire (section 65, parcelle 15, propriétaire Julien Weber) – Description des travaux et devis. Les quatre baies du rez-de-chaussée seront remplacées par deux devantures et une porte.
    Copie du bail d’un an passé le 15 décembre 1966 entre Julien Weber et l’association OCCAJ.
    1967 (mai) – Le préfet autorise le Centre touristique d’Alsace OCCAJ à désaffecter un local professionnel de quatre pièces pour y établir un bureau d’accueil.
    1967 (juin) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1967 (juillet) – Le directeur départemental de la construction donne son accord
    1967 (août) – Le maire délivre le permis de construire
    1968 (mars) – Les travaux commencent, l’entreprise Jockers perce les nouvelles ouvertures – Le cadre métallique est posé (mai) – L’aménagement intérieur est terminé, octobre 1968.
    1968 – L’entreprise Ernest Jockers (rue Jean Mentelin) est autorisée à occuper la voie publique devant la maison
  • 1968 (septembre) – Roland North demande au nom de l’OCCAJ l’autorisation de poser une enseigne – L’architecte des Bâtiments de France émet une avis défavorable (caisson perpendiculaire à la façade) puis favorable (caisson parallèle à la façade) – Le maire délivre l’autorisation, novembre 1968
  • 1970 – La société Est-lumière (Mulhouse) demande au nom de l’OCCAJ Loisirs et vacances l’autorisation de poser une nouvelle enseigne. – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable. – Il demande ensuite des pièces complémentaires au nouveau projet – L’enseigne est posée avant que l’autorisation ne soit délivrée – Le maire délivre l’autorisation le premier juin 1972
  • 1980 – Le maire notifie Julie Weber de faire ravaler la façade (juin) – Même courrier à Frédéric Weimer (août) – Le maire accorde un délai – Travaux terminés, avril 1981.
  • 1981 – Le maire remet à Corinne Delhay (rue des Aubépines à Molsheim) un certificat qui atteste que la maison construite au XIX° a plus de vingt ans.
    1981 – Le notaire Trienbach demande des renseignements d’urbanisme pour le 25, rue des Juifs appartenant à Roland Machin et son épouse, demeurant à Illkirch-Graffenstaden, anciennement aux héritiers Weber
    1981 – Roland Machin (26, rue du Moulin à Illkirch-Graffenstaden) demande l’autorisation de faire ravaler la façade (réparer le crépi, dégager les pans de bois, refaire la toiture) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le ravalement est terminé, décembre 1981.
  • 1987 – Le copropriétaire Arsène Hitier (2, rue Notre-Dame à Mosheim) demande des renseignements d’urbanisme (lots 9 et 19)
    1987 – Le notaire Eugène Schneider demande des renseignements d’urbanisme au nom d’Yves Quiniou (5, rue de Bruges à Strasbourg, propriétaire des lots 7 et 17)
  • 1991- Le notaire Bernard Martin de Bandonviller demande des renseignements d’urbanisme au nom d’Anne Marie Blum née Marty (3,rue de la Muhlmatt à Illkirch-Graffenstaden) – Extrait du plan cadastral
  • 1992 – La société Hagenstein (144, route de la Wantzenau à la Robertsau) demande au nom de Frédérique et Nicolas l’autorisation de poser un store en corbeille (65 centimètres de saillie) – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire délivre d’autorisation, 12 février 1992. – Les objets sont posés, mars.
  • 1991 – Marie-Paule Wirtz (demeurant rue du Général-Gouraud à Strasbourg) demande l’autorisation de modifier le rez-de-chaussée – Propriétaire, Agence Gare, 3, rue Turenne à Strasbourg
    L’agence d’architecture Pierre et Nicolas Drexler transmet les pièces du dossier. La devanture sera remplacée par une nouvelle plus basse, le plancher du magasin sera abaissé – Dessin, plan
    Dossier de la commission de sécurité. Vente de vêtements et accessoires pour enfants (70,98 m² dont 37,06 accessibles au public)
    La Direction départementale du travail n’a pas d’observation à faire
    1991 (octobre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Déclaration d’ouverture des travaux. L’ancienne devanture est déposée (décembre 1991), la nouvelle en place (février 1992) – Travaux terminés conformément au projet, avril 1992.
  • 1992 (mars) – La Police du Bâtiment constate que le magasin Frédérique et Nicolas a posé une enseigne sans autorisation – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable (le règlement interdit les caissons lumineux translucides)
    1992 (avril) – Nouvelle demande identique à la précédente
    1992 (mai) – L’agence d’architecture Pierre et Nicolas Drexler transmet une nouvelle demande (le caisson fait partie de la devanture, l’enseigne à texte et motif découpés est éclairée par l’arrière) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation le 17 juin 1992.

Autres dossiers

25, rue des Juifs (changement des menuiseries, 2002-2003) cote 1573 W 249
25, rue des Juifs (remplacement de la toiture) cote 1930 W 85


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom de Thiébaut Joham de Mundolsheim dans le Livre des communaux (1587).
Thiébaut Joham de Mundolsheim hypothèque la maison dite das Fasshaus au profit du jardinier Jean Reibel et de sa femme Marguerite Trens

1593 (6. tag Januarÿ), Chancellerie, vol. 285 (Registranda Meyger) f° 4-v
(P. fol. 2.) Erschienen der Edell Vnd Vest Theobald Joham Von Munoltzheim, Hatt sich für sich Verschriben
Gegen dem Ersamen Hansen Röübell gartner Vnder Wagnern, burgern alhie, so auch Zugeg. demselbigen Vnd Margreten Trensin seiner ehelich. haußfrouwen, Zu Zinsen 15 guldin gelts, Ablösig mit 300 guldin Wr. werung
von, vff vnd abe, hauß hoffestatt Vnd höfflin, Mit allen Iren gebuwen genant das Vaßhauß, gelegen alhie Inn der St. St. Vnden Inn der Juden gassen, Einsit nebent des Vesten Georg Vonn Sebachs seligen Erben, vnd Andersit nebent Christian Gaßner dem Schneider, hinden vff der Böcklin hoff stoßend, Dauon gehnd Zuuor Süben Pfund 10 schreiben pfenning gelts ablösig mit 150 Pfund pfenning, dietherich de Naÿß dem Handelßmann Burgern alhie Järlich Sunst ledig Vnd Eigen

Thiébaut Joham de Mundolsheim vend au menuisier Jean Heberlin et à sa femme Anne la maison, dite das Fasshaus, comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière

1594 (xxix tag Aprilis), Chancellerie, vol. 293 (Registranda Meyger), scheda
Ad fol. 172 (P. fol. 419.) Erschienen der Edell Vnd Vest Theobaldt Joham Von Munoltzheim, Hatt (…) Verkaufft
dem Erbaren Hannß Häberlin, Schreÿners, Burgern Zu Straßburg, so Zugeg. Ime vnd Annen seiner ehel. haußfrawen
hauß, hoffestatt, höfflin, Vnd hinderhauß, Mit allen Iren gebeuwen & genant das Vaßhauß, gelegen Inn der Statt Straßburg, Inn der Juden gasen, Einseit nebent Christmann Geßler dem Schneÿder, Vnd Andersit nebent des Vesten Philips Jacob Von Sebachs Hoff, hinden vff den Böcklin hoff stoßend, Dauon gohnd vij lb x ß d gelts, ablösig mit C L lb d vff Sontag Cantate Dietherich de Neÿß des handelßmans selig Erben, Mehr 50 guldin gelts Lösig mit 300 guldin St. werung vnd Mariæ Verkhündung, Hannß Raübell dem gartner burgern Zu St. vnd dann vij lb x ß d glts stond Inn hauptgut C L lb d vff Wÿhenachten Jacob Lampen In Vogts weiß Dietherich Brui, des Golttschmÿtts selig. Khinder, Welches hauptgut (…) vnd alles Rcht & Also & Vnd Ist dieser Khouff vber Vorbestimpte beschwerd. Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 50 Pfund Pfenning Straßburger

Jean Heberlin hypothèque un mois plus tard la maison au profit d’Antoine Baumann pour lequel agit son receveur Balthasar Junius

1594 (xxv Maÿ), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 182-v
(Inchoat. fo: 238.) Erschienen Meister Hanns Heberlin der Schreÿner
hatt Inn gegensein herr Balthazaren Junÿ alls Schaffnern der Edlen Vesten Anthoni Buwmans – schuldig sein 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand ernennt vnd ÿngesetzt huß hoffestatt v hofflein mit all Iren gebeu geleg. Inn der SS Inn Judengaß einseÿt neben J Philip Jacob v. Sebachs hoff die andersyt neben Christmann geßner Schnyd. stosst hind. vff J hans Philips Beckler hoff, Davon gnd vij lb x ß glts losig mit 150 pfund pfenning hanns dienst, Mehr 15 guld. glts losig m 300 guld. Straßburg hans Reubell den gartner So dann vij lb x ß glt losig m 150 pfund pfenning Jacob Lamben vögtlich wÿß Sunst eÿg.

Originaire d’Obernai, le menuisier Jean Heberlin achète le droit de bourgeoisie le 8 octobre 1573
1573, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 222
Hans Heberlin von oberehenheim d. schreiner hatt das burgkrecht kaufft und dient Zun Zÿmmerleüt. Act. den 8.ten 8.bris A° & 73

Le menuisier Jean Heberlin épouse en 1575 Anne, fille d’Abel Brach de Wolfach (en Bade)
Mariage, cathédrale (luth. p. 251) 1575. Sonntag den 20. feb: Inuocauit. Hans Heberle, Schreiner, Anna, Abel Brack Zu Wolffach hind.lasne dochter, wirt bei Simon Scheid Zuerfragen sein (i 128)

Jean Heberlin et sa femme Anne hypothèquent la maison au profit du tailleur Christophe Ried

1594 (xxviij tag August), Chancellerie, vol. 293 (Registranda Meyger) f° 276
(Inchoat in Proth. fol. 308.) Erschienen Hannß Heberlin der Schreÿner, burger Zu St. vnd Anna sein eheliche Haußfrouw Haben sich vnuer. für sich & verschriben
Geg. Christoffell Rid dem Schneÿder, Burgern Zu St. demselbig und seinen Erben Zu Zinsen ij x ß d gls. ablosig mit L lb d St.
von, vff & abe hauß, hoffestatt, Höflin vnd hinderhauß, Mit allen Iren gebeüsen & geleg. Inn der Statt St. Inn der Juden gassen, Einseit nebent Christman Geßler dem schneÿder vnd Andersit neben dem Vesten Philips Jacob Von Sebachs hoff, hinden vff das Böcklin hoff stoßend. Davon gnd vij lb x ß d glts ablosig mit CL lb d Wÿland Dietherich de Naÿß des handelßmans selig. Erben, Mehr xv guldin gls. Losig mit iij C guldin hanß Reinbolt dem garttner vnd dan xij lb x ß d glts, stnd In hauptgut C L lb d Jacob Lampen Inn vogts weis Jährl. Zubezalen vnver. für sich Alle Jar vf Sant Adolffs tag

Jean Heberlin hypothèque la maison au profit de Jean Conrad Gretzinger et de Jean Esel qui se sont portés garants pour lui envers la tribu des Tailleurs

1594 (14. Xbris), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 175
Versicherung H Hanns Conrad Gretzing.s vnd Hans Esels
Erschienen Hans Heberle der schreiner burg. alhie vnd
hatt Inn gegensein h hans Conrad Gretzing.s vnd Hans Esels des schreiners, freÿ offentlich bekhant v v.jeh.
Nachdem sie bede heutt dato v.mög hievorstehend. v.schreibung für Ine vmb 25 lb d hauptgut so ein Ersame Zunfft Ir dreÿ Jarlang gelüh. unverscheidenlich bürg. mitt vnd selbs schuldner word.
Zum vnderpfand ingesetzt vnd verlegt Sein Behaußung Hoffstatt hoff vnd hinderhauß mit Allen Iren gebewen geleg. alhie In Jud. gaß einseit neb. dem Seebachisch. hoff, andersit neben Christman Geßler dem schmid hind. vff herr hans Philipp Böcklins stettmeist. hoff stoßend, davon geht Jerlich 7 lb 10 ß d Jerlichs Zinß mit 150 lb d losig hans dienasts selig erb. Item 16 fl. werung mit 300 lb werung Losig Hans Reinboldt dem garttner, Item vij lb x ß mit 150 lb Losig h. Jacob Lauppen dem Oberschreib. vnser frawen wercks, Sonst Ledig eig.

Jean Heberlin se remarie en 1598 avec Eve, veuve du serrurier Jean Müller
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 113) 1598. Hans Heberlin der schreiner, vnd Eva Hans Müllers des schloßers hinterlassene witwe, eingesegnet Montag den 16. Januarÿ Außgang in des Silberaths hauß (i 60)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 27) 1598. Hans Heberle der schreiner, Eva Hans Müller des schloßers nachgelaßene witwe, eingesegnet den 16. Januarÿ Zum Jungen Sant Peter (i 16)

Le menuisier Jean Heberlin rachète de ses frères et sœurs leurs parts de maison

1615 (24. Aprilis), Chancellerie, vol. 414 (Gemein Contract Buch) f° 55
Kauffverschreibung Hanß Häberlin des Schreÿners vber sein Behausung In der Juden gassen
erschienen seind vnser Burger Daniel Häberlin der Schreiner, Isaac N. der Kupfferschmidt als von vns geordneter Vogt weÿland Susannæ Häberlin mit Jacob Otten dem Schloßer ehelich erzeügter Kinder, Daniel Haas vnd Johann Theürer bede auß vnsers Kleinen Rhats mittel verordnete befelchhaber Mathiæ Häberlin des Schreÿners vnd burgers Zu Gutemberg In der Schlesien vnd Abel Häberlins deß Schreÿners vnd Burgers zu Amberg In der Obern Pfaltz, Barbara Häberlin mit beÿstand Friderich Gümpels Ires ehelichen Haußwürts vnd Jetzernanter Friedrich Gumpel als befelch haber Dorotheæ Häberlin Magistri Seuerini Zahnen Pfarrherrs Zu Ernholtzheÿm beÿ Buchsweÿler ehelicher haußfrauwen, Abraham Häberlin, Jonas Unselt der Schreÿner als von vns geordneter Vogt Ursulæ vnd Balthasar Häberlin, vnd Maria Häberlin Carlen Schragen des Schuhmachers eheliche haußfrau, all weÿland vnsers gewesenen Rhatsbewandten Hanß Häberlins seligen eheleÿblicher Sohn vnd Tochter
vnd In gegenwertigkeÿt auch vnsers Burgers Hanß Häberlin des Schreÿners Ihres eheleÿblichen Bruders und Schwager (verkaufft) ein Jedes für seinen eÿlfften theÿl
Zehen eÿlff theÿl ane obernants Hanß Häberlins Ihres Vatters seligen hinterlaßener Behausung In diser vnserer Statt vnden In der Juden Gassen gegen Sanct Valentins Hoff vber einseyt neben Christmann Gessners seligen erben, anderseÿt neben Rudolff Wilhelm Böcklins seligen wittwen behausung hinden auff auch weÿland Hanß Philips Bocklins vnsers gewesenen Stettmeÿsters seligen erben stoßend gelegen, daran der Vberige eÿlffte theyl Ime Hanß Häberlin dem Kaüffer, erblich Zugehörig, Von welcher gantzen Behausung gehen Jährlichs Siben Pfund 10 schilling auff Johannis Baptistæ Jacob Bernegers Notario Schaffners weÿs In hauptgut mit 150 pfund, Item 7 pfund 10 schilling Hanß Jacob Meÿers Treÿern ane der Müntzen alhie In hauptguett 150 pfund, Item abermal Siben Pfund 10 schilling Jarlichs auff Mariæ Verkundung Petro Kamelen dem Schaffner Im Bruderhoff, In hauptguet mit 150 pfund pfenning abzulösen (…) sonst ohnbeschwert ledig eÿgen, vnd ist diser Kauff vber obgemelte beschwerden so auff Johannis Baptistæ verzinßt werden welche der Kauffer auf sich genommen zugangen vnd beschehen für vnd vmb 215 pfund pfenning – Geben auff Montag den 24. Monats Aprilis Anno 1615

Jean Heberlin épouse en 1608 Madeleine, veuve du tisserand Jean Werner
Mariage, cathédrale (luth. p. 212) 1608. Dominica 17. Trinitatis. Hans Heberlin der vnd Magdalena, Hans Werners des wullenwebers n: g: Wittwe (i 110)

Le tisserand Jean Werner épouse en 1605 Madeleine Hein
Mariage, cathédrale (luth. p. 160) 1605 n° 35) Dominica 10 Post Trinitatis Anni 1605. Johannes Werner kir*w weber vnd Magdalen M* Hei(n)en des schneiders n. g. dochter (i 83)

Jean Heberlin et Madeleine Hein hypothèquent la maison au profit de Marguerite Hein, veuve de Michel Ziegel et femme d’Etienne Spalt

1619 (8. tag Maÿ), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 297-v
(Inchoatum. fo. 50.) Erschienen Meÿster Hannß Heberlin der Schreÿner burger alhier Vnnd frauw Magdalen Heÿnin sein Eheliche haußfrauw
Haben in gegensein frauwen Margreden Heÿnin Wÿland herr Michael Ziegels seeligen witwe Jetz Herrn Steffen Spalten burgers alhie Ehegemahl Mit beÿstand deßelben – schuldig sigen 350 guldin
dafür Vnderpfand sein sollen Zweÿ heüsser neben einander mit hoffestetten vnd höfflin mit allen Andern Ihren gebeüwen, begriffen, Wÿthen, Rechten vnd Zugehördten gelegen Inn der Statt Straßburg Inn Judengaß gegen Sant Veltins hoff über Einseit neben Frauwen Barbara Bocklerin Anderseit N N Pfarrherrn Zu Ingenheim stosent hinden vff herren Stettmeÿster Böcklin seeligen witwe vnnd Erben daruon gend 15 guldin gelts ablösig mit 300 guldin Zu 15. batzen herrn N. dienasten Zu Metz seeligen Erben, Mehr 15. guldin gelts ablösig mit 300 gulden bemelter Werung herrn hannß Jacob Meÿgern, dreÿer ane der Münß, Item obermelts 15 guldin gelts Straßburger Werung mit 300 gulden derselben Werung abzulösen herrn Peter Camelen Schaffnern Inn Bruderhoff

Jean Heberlin vend en 1620 le bâtiment avant au menuisier Georges Dœrner. Tous deux hypothèquent leur part de maison au profit du sénateur Joachim Brackenhoffer

1623 (6. Junÿ), Chancellerie, vol. 451 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 117-v
Schuldbekantnuß Joachim Brackenhofers vber 425. lib. alter schuld
Erschienen hannß häberlin vnd Georg Dörner beede Schreiner alhie
bekannten in gegensein h. Joachim Brackenhofers Kleinen rhats v.wanthen, daß sie beede alß er Häberlin 200 pfundt vnd er Dörner 225 pfund pfenning Straßburger
dafür vnderpfandt ihr beeder Schuldbekenneren gemeiner behausung, hoffstat sampt dem höfflin vnd aller Zugehördt alhie In der Jud.gaß 1. seit neben Fr. Barbara Böcklerin see: erb. 2.seit neben Christman Geßners deß schneiders see. Erben, hind. vff H Stett meisters Böcklins see. wittiben Fr. Barbara gebohrne von rust, davon gehen Zuuor Jährlichen 1 ß St. wehrung Zinß vff Frawen tag der v.kündung iù Bruderhoff alhie, in hauptgut mit 300 fl. wehr. So dann 8 lb 15 ß d Zinß Jahrß vff Michaelis weÿl. H Michel Ziegels deß schaffners see. Zu St Steffan nachgelaßener vnd in Letzter Ehe erzeugten Kindern, in hauptgut mit 175. lb d abzulösen, sonst eÿgen

Jean Heberlin loue la maison au cordonnier Charles Schrag (son beau-frère, voir ci-dessous)

1624 (ut spâ [iiij. Decemb.]), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 437-v
(Inchoat. in Proth. fol. 268.) Erschienen Carle Schrag d. schuomach. burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Heberle schreÿners burgers Zu Straßburg bekhant
daß er Ime d. vor & Zweÿ Jahrlang nacheinand. volgend so vff Michaelis nechstuerschien Albereith Angefang. vnd nit für baß deßelb. hanß heberle behausung Inn der Jud. gaß. geleg. entlehnet vnd bestand hette, für vnd vmb ein Jährlich Zinß xxvij lb x ß d

Jean Heberlin vend la maison arrière à son beau-frère Charles Schrag

1625 (xxviij. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 400
(P. fol. 341) Erschienen hannß heberlin der Schreiner burger Zu Straßburg (verkaufft)
Carle Schragen dem Schuemacher einem Schwager So Auch Zugegen
denn hindern stock sampt dem höfflin Vnnd einfart Zu dem selben stock mit Allen Ihren gebeuwen d gelegen Inn d. St. St. Inn der Juden gaßen, gegen Sanct Veltins hoff vber, einseit Christmann Geßners seligen erben Anderseit nebent frawen Barbaræ Von Schauwenburg hinden vff Wÿland hannß Philippß Böcklins Stettmeisters selig. erben, stoßend, davon gent Jährlichen vij lb x ß d. gelts Ablößig mit 150 pfundt pfenning weiland h. Simon Buisselot zu Metz seligen hinderlaßenen erben, Item xv. gl. Wehrung vff Mariæ Verkhündung fallend Ablößig mit iij. C. g. Wehrung herrn Peter Khamell da die Ablößung Ihme Kheüffer zuständig, Sodann Lxxb lb herrn Jährlich Brackenhoffer Sunsten ledig Vnd eÿgen Vnd ist disser Khauff vber obgehärtte beschw.den so der Kheuffer vff sich nimpt, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 132 pfund

Le menuisier Charles Schrag (Schrack) épouse en 1609 Marie, fille du menuisier Jean Heberlin
Mariage, cathédrale (luth. p. 234)
1609. Doîca den 19. Trinitatis, Mehr Carolus Schrack der schumacher, vnd Maria hans Heberlin deß schreiners dochter (i 121)

Charles Schrag hypothèque la maison au profit du prédicateur Frédéric Blanckenburger

1626 (ut spâ. [2. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 180
(Inchoat. in Prot. fol. 95.) Erschienen Carle Schrag d. schuomach. burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein Veltin Jäger schiffmanns burgers Zu Straßburg Als vogt Annæ Mariæ, wÿland h. M. Friderich Blanckenburgers geweßenen freÿ p.digers selig. dochter – schuldig seÿe 50. pfund
zu vnderpfand verlegt hauß vnd hoffstatt, mit allen Ihr. geb. & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Jud. gaß, einseit neben dem Böckelisch. hoff vnd anderseit nebent Cunradt Steiner Vogteÿ gerichtschreÿber, welches hauß zuuor noch verhafftet Ist vmb Lxxv lb Joachim Brackenhoffer, It. vmb 150. lb. Daniel hertz hammer erb. Vndt dann Vmb 150. lb d einem handelßmann Zu Metz
(vide in reg: 1634. fol. 155)
[in margine :] Erschienen Johann Theurer alter treÿer der Statt Stalls und Johann Friderich Theurer der Sÿlberarbeiter, gebrüdere, alß weÿl. Fr. Mariæ auch Weÿl. H Johann Theurers E. E. Großen Rhats Beÿsitzers seel. hinderlaßener Wittibin, ihrer Mutter, der /:Vermög einer den 6. Martÿ A° 1634. in der Cancelleÿ Contract stub der Statt Straßburg vffgerichteter Cessions verschreibung:/ Cessionariæ hierinn gemelter Annæ Mariæ Blanckenburgerin der Creditricis Erben: mit beÿstand Balthasar Häckhels des Kantengießers, vorermelter Annæ Mariæ Blanckenburgerin Ehevogts, haben in gegensein H Johann Ludwig Zeÿßolfs des handelßmanns in nahmen weÿ: H Carl Spielmanns dißer Statt geweßenen Ammeisters, des hierinnbenambsten Burgers, nunmehr seel. hinderlaßene gesamter Erben und Erbens Erben (…) Actum den 20.ten Februarÿ a° 1658.

Reine Debronner, d’Ortenberg, fait un legs au cordonnier Charles Schrag pour le remercier de ses bienfaits
1634 (13. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 666-v
Erschienen Regina Debronnerin von Ortenberg
hatt in gegensein Carle Schragen deß Schuhmachers, burgers Zu St. bekannt,
demnach sie Regina von ihme Schragen vnd seiner haußfrawen nun etlich wochen lang vierlaltige guthaten empfangen, Alß will sie zur danckbarkeit, besagten beed. Ehegemechd. hiemit legiren vnd v.schaff. 20. lb (…)

Charles Schrag et Marie Heberlin vendent la maison arrière au menuisier Jacques Kullin, assisté de son frère Conrad Kulin

1627 (27. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 569-v
(P. fol. 170.) Erschienen Carol Schrag d. schuhmacher burger Zu St. vnd Maria haberlin sein Ehefr.
haben in gegensein Jacob Kullen deß schreiners auch burgers Zu Str. (verkaufft) mit beÿstand seines Brudern hannß Conrad Kullens auch schreiners
Ein hind. hauß sampt dem höfflin hoffstatt, Einfahrt Zum solchen hinderhauß mit allen andern Zugehördt. vßerhalb einer Kammern welche von einem Ers: kleinen Raht mit Georg dörner dem Weisenvater rechthengig & geleg. in der St. St. in d. Juden gassen geg. Sanct Veltins hoff vber, einseit neben Christman Geßners s. erb. And.seit neben Barbaræ Böcklerin gebohrner von Schawenburg hint. vff weÿ: Jr. hanß Philipp Böcklin Alten Stetmeisters s. wittib vnd Erben, dauon gehen Jarß den 1. Maÿ xv. gld. St. w. gelts weÿ. ß Bußelets Zu Metz s. erb. in haupth. mit 300 gld. besagter w. Item 15. gld. gelts Str. w. vff Mariæ V.künd. H Peter Camelen s: Erben in Capital mit 300. fl. besagter Werung abzulösen, So ist diß hauß auch noch hafft vmb 50. lb. d. H. Joachim Brackenhofer daran albereit vff Jüngst v.schienen Michaelis 25. lb. d. verfallen seind (…) Mehr vmb 50. lb. d Veltin Jäger Alß vogt Anna Maria Planckenburgerin (…) sonst Ledig, eÿgen, Vnd ist diser Kauff vber die beschwerden, so der Käuffer vff sich genommen, noch Zugangen für und umb 150 Pfund
Dabeÿ abgeredt, weil in disem ietz verkaufften hauß wie hieuor gemelt ein Kammer mit Georg Dörner vor eim Ers. Kleinen Rhat rechthengig daß wi sÿ die Verkäuffer solche Kammer mit recht erhalten würden, er Käuffer für solche Kammer, waß vnparteÿische Leüth für billichen werth erkennen werd. ihnen den Verkäuffern solches par erstaten vnd bezahlen solle

Fils du menuisier Conrad Kulin, Jacques Kulin épouse en 1627 Anne, fille du laboureur Martin Geckler, native de « Meyerkingen » dans le bailliage d’Aurach en Wurtemberg
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 150-v n° 38)
1627. Jacob Kulin der Schreiner Weiland Conrad Kulin des schreiners und burgers alhie s. hinderlaßener ehelicher sohn, Jungfr. Anna, Weiland Martin Geckler des Bawrsmans Zu Meierking. in Auracher ampt des furstenthumbs Würtenb. s. hinderl. ehelich. tochter (i 164)

Jacques Kulin hypothèque la maison au profit du receveur Etienne Spalt

1633 (30. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 402
Erschienen Jacob Kulling der Schreiner, burger Zu Str.
hatt in gegensein herrn Steffan Spalten, Schaffners, auch burgers alhie – schuldig seÿe XXV. lb
zu vnderpfand verlegt vnd eingesetzt Ein Vorder: vnd hinderhauß, hoffstatt vnd höfflin, mit allen andern ihren gebäwen außerhalb einer Cammern, welche vor einem E. Kleinen Rhat noch mit Georg Dörners geweßenen Weisenvaters see: Erb. rechthändig & alhie in der Judengassen gegen S. Veltins hoff über, einseit neben Christman Geßners s: Erben, and.seit neben weÿ: Barbaræ Böcklerin gebohrner von Schawenburg Erben, hind. vff auch weÿ: Jrn. hannß Philipp Böckhlins Alten Stettmeisters see. Erben stoßend gelegen, so zuuor auch v.hafftet seind vmb 300. gld. w. Simon Buissolets s: zu Metz Erben; Item vmb 300. gld. w. H Peter Camels s: witib, Jt. vmb 25. lb/ d H Joachim Brackenhoffer XV.er, So dann vmb L. lb Anna Maria Plancken burgerin

Anne Erhart veuve Kamel qui a acquis par adjudication les maisons de Jacques Kullin et de Louis Frédéric Heckel rembourse aux héritiers de Thierry Dienast une somme garantie sur ces maisons.

1639 (ut supra [3. Januarÿ]), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 5
Erschienen ut supra [Beniamin de St. Aubin von Metz, alß befelhlhaber H Theophili de Coullon daselbsten alß vogts H. de Ingenheim, Item Dauid Coullez alß Ehevogts Franciscæ Contauz weÿl. Susann Busselot see: nachgelaßener dochter, Item Simon dauiden und Saræ der Busseloten vorbesagter Franciscæ geschwisterd. Alle alß weÿ: Dieterich Dienasten gewesenen Burgers see. Zu St. nachgelaßener Erben (…)]
hatt in gegensein H D. Georg Kamelen innamen seiner Fr. Muter Fr Anna Erhardin bekannt
demnach Er H. D. Camel, in namen gemelt weÿ: Jacob Kullings see: Erb. und Ludwig Friedrich Hecklens behausungen daß Vaßhauß genant alhie vnden an der Judengaßen gelegen mit ordentlichen Ganthrechten an sich gebracht, und aber gemeltd Dienastische Erben vf solche, häußern 150. lb d hauptgut und dauon die Zinß vff den ersten Martÿ, Anno 627 biß dato verfallen und außstendig zuerfordern gehabt (bezahlt)

Le secrétaire Pierre Camel épouse en 1599 Anne, fille de Jacques Erhard
Mariage, cathédrale (luth. p. 49)
1599. Sonntags den 11. Februarÿ. Peter Kamel der schreiber, Anna Jacob Erhardts n: g: tochter, den 19. febr: eingesegnet (i 27)

François Camel, receveur à la cour des Frères (Bruderhoff) vend la maison dite das Fasshaus au maçon Georges Hauber et à sa femme Marie Stoll

1642 (4. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 707
(Prot. fol. 229. & seq.) Erschienen herr Frantz Camel Schaffner im Bruderhoff
hatt in gegensein Georg Haubers deß Maurers und burgers Zu Straßburg, Undt Mariæ Stollin seiner ehelichen haußfrawen mit beÿstand Clauß Feüchters deß Küeffers und burgers alhie ihres Vettern
hauß, hoffstatt vnnd höfflin mit allen andern ihren gebäwen & das Vaßhauß gent. gelegen in der Statt Str. Vnden in der Judengaßen, einseit neben Jr. Christoph von Müllnheim see. Erben anderseit neben Johann Walter dem Mahler zum theil Vnd theils neben Daniel Steiningers deß Schloßers see. Erben hinden vff Jr. Jacob Friderich Böcklin XV.er stoßend – vmb 400 lb

Originaire d’Immenstadt (en Allgäu), le maçon Georges Hauber épouse en 1635 Marie, veuve du maçon Jean Flieher
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 191.)
1635. Dom. Quasimodogeniti 5 April. Georg Hauber von Immenstatt der Maurer Hans Haubers gewesenen metzgers v. burgers Zu Immenstatt eheli[cher Sohn] Maria Hans Flähers gewesenen Maurers nachgelaßene witwe. Cop. 13. April zu J. St. Peter (i 97)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 359) 1635. Doîca Quasimod: 5 Aprilis. Georg Hauber von Immenstatt der maurer, Hans Hauber des metziges daselbsten sohn vnd Maria Hans Flähers des maurers n. witwe, eingesegnet Zum J. S. peter montag 13. Apr: (i 184)

Le maçon Jean Flieger épouse en 1630 Marie, fille du boulanger Martin Stoll
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 111)
1630. Dom. XXV. Trinit. 14. 9.bris. Hanß Flieger Mawrer, hanß Viegers gewesenen Maurers vnd burgers nachgelaßener Sohn, vnnd J Maria Martin Stollen deß schwartzbecken Zur Atzlen in der Steinstraß eheliche Tochter. Cop. 22. 9.bris Zu J. St. Peter (i 57)

Originaire d’Immenstadt en Allgäu, Georges Hauber devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1635, 4° Livre de bourgeoisie p. 147
Georg Hauber Von Immenstatt Auß dem Algeÿ der Maurer Empfangt d. Burgerrecht von seiner haußfrauwen Maria weÿlandt hanß Fleÿers deß Maurers Alhie seellig hind.laßene Wittib Wüll Zu den Maurern Zünfftig sein actum den 14. Maÿ Aô 1635

Accord passé entre le tuteur d’Anne Marie Flieher, fille de Jean Flieher, assisté du beau-père de la fille défunte Georges Hauber, et le maçon Jacques Flieher, oncle de la défunte
1640 (20. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 290-v
Erschienen Clauß Feüchter der Küeffer burger Zu Str. Alß noch ohnentledigter Vogt Annæ Mariæ weÿl. hannß Flüehers gewesenen Maurers see: töchterlins so seither Auch verstorben, mit beÿstand Georg Haubers deß Maurers besagten töchterlins Stieff vaters
hatt in gegensein Jacob Flüehers Auch Maurers mehr erwehnten döchterleins Vaters see. Bruders bekannt
daß Er von demselben vff abschlag der 104. lb 7 ß 6 d die er Jacob nach außweisung der durch Johann Conrad Fuchsen den Notm. und Vogteÿschrbr. vffgerichteten (Vergleich)

Georges Hauber loue au potier Tobie Garing les localités qu’occupait auparavant le potier Jean Conrad Wick

1650 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1020-v
Erschienen Georg Hauber der Maurer
hatt in gegensein Tobiæ Gärrings deß Kachlers mit beÿstand hannß Caspar Ursch. deß Kachlers seines noch ohnentledigten. Vogts
verlüh. habe, in sein Haubers alhie und. in der Judengaß. gelegener Behaußung alles daß ienige so d. vorige Beständ hannß Conrad Wickh d. Kachler lehnungsweiße inngehabt hatt, vff sechs Jahr lang von Mariæ Vekündigung a° 1651. angerechnet umb einen iährlich. Zinnß benantlich 12. lib

Assisté de son tuteur Georges Huber, le potier Jean Jacques Huber (Hauber) vend son tiers de maison à son beau-frère potier Georges Nussbaum

1668 (21. April), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 227-v
(Prot. fol. 16) Erschienen Hannß Jacob Huober der haffner mit assistentz H Georg Huobers deß Maurers und Steinhauers seines noch ohnentledigt. Vogts
in gegensein Georg Nußbaums deß haffners seines Schwagers
seine tertz ahne hauß hoffstatt und höfflin auch allen Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in der Judengaß einseit neben der adelisch. Kippenheimisch. Behaußung anderseit Zum theil neben H Johann Waltern alten großen Rhats Verwanthen, theilß neben hannß Conrad Steinern dem Schuemachern, hind. vff die adeliche Böckhelische Behaußung stoßend gelegen, daß Faßhauß genannt – umb 145 Pfund pfenning

Le maçon Martin Huber et sa femme Jeanne Krauss hypothèquent leur tiers de la maison au profit du conseiller princier Jean Wolffgang Pfeil.

1670 (3. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 654-v
Erschienen Martin Huober der Maurer und Steinhauer und Johanna sein Eheweib und Zwar Sie Johanna mit assistentz Daniel Kraußen deß Büchßenmachers und hannß Müllers deß Fischers ihres resp. eheleiblichen Vatters und Vettern alß deroselben hierzu insonderheit erbettener nechster verwanther
in gegensein deß Edlen und hochgelehrten H Johann Wolffgang Pfeilen V.J.D. Fürstlich Würtenberg. Consiliarÿ – schuldig seÿen 50. lb
Unterpfand sein soll ein tritter theil Ihme für ohnvertheilt gebührend ahne Hauß, hoffstatt, höfflin, hinder häußlin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Juden Gaßen, einseit neben H Henrich Balthasar von Kippenheim dießer statt alter Stättmaÿster und treÿzehnern, anderseit Zum theil neben H. Johann Waltern E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzern und theilß neben hannß Conrad Steinen dem Schloßern, hinden uff den Böckhelischen hoff stoßend gelegen

Fils du maçon du même nom, Georges Nussbaum épouse en 1657 Barbe, fille du maçon Georges Hauber
Mariage, cathédrale (luth. f° 70, n° XXIII) 1657. mehr zum 2. mal Georg Nußbaum d. Kachler alhie Weilandt Georg Nußbaumen des Burgers v. Maurers allhie hinterlassener Ehel. Sohn vnd J. Barbara, Weilandt Georg Hauber des Burgers v. Maurers alhier, hinterlassene Ehel. Tochter. Mont. 4. Maÿ Maur St. Thiergarten (i 71)

Georges Nussbaum se remarie en 1672 avec Elisabeth Ruff, fille du potier Michel Ruff : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten vnd bescheidenen Meister Georg Nußbaum, burger vnd Haffnern alhier Zu Straßburg Wittwern, alß Hochzeiter, an einem, So dann der Ehren vnd Tugendsamen Jungfrawen Elisabetha Ruffin des Weÿland Ehrsamen vnd bescheidenen Michael Ruffen ebenmäßig geweßenen Haffners vnd burgers daselbsten nunmehr seel. nachgelaßenen Ehelichen Tochter alß der Jungfrau Hochzeiterin andern theils – So geschehen vnd Zugangen in des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg dinstags den 3. Septembris Anno 1672. Johann Georg Jager Nots. Cæs. Publ.

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 31, n° 231)
1672. Sonntag den 16. u. 17. Trin. Geörg Nussbaum der burg. v. Kachler allhier. Jfr. Elisabetha weÿl. Michael Ruff deß burg. v. Kachlers hind.lassener eheliche tochter. Eingesegnet Zu St. Thoma Montag den 30. Sept.

Le potier municipal Georges Nussbaum meurt en 1687 en délaissant une fille de son premier mariage. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Juifs dite chapelle Saint-Valentin. La masse propre à la veuve est de 137 livres, celle propre aux héritiers de 392 livres. L’actif de la communauté s’élève à 838 livres, le passif à 512 livres
1687 (23.7.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5824) n° 163 [restitué à partir de *63]
Inventarium undt beschreibung aller d. Jenig. v.ändert und unveränd.ter Haab undt Nahrung, so weÿl. der Ehren und vorgeachte Herr Georg Nußbaum gewes. Statt Kachler u. burg. alhier Zu Straßburg, nach seinem d. 31. Maÿ Jüngsthien tödlich. genommenen hinsched. hinf. Ihme verlaß. welche Verlaß.schafft auf freundliches ansuch. erfordern undt begehren des Ehren: undt Vorgeacht. Herrn Christian Kuhnen Schreiners burgers Zu gesagten Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfr. Mariæ Nußbaumin, des verstorbenen seelig mit d. Ehren: und tugendsahmen frawen Barbara Hauberin in erster Ehe ehelich erzeügter dochter undt ab intestato nachgelaß.er eintzig. Erbin, durch die Ehren: und tugendsahme fraw Elisabetha Rueffin die hinterlaßene wittib, mit beÿstandt des Ehrenhafft. Meister Caspar Steiners, haffners burgers alhie d.selb. geschwornen Vogts (…) welches beschehen in Straßburg Mittwoch d. 23. Jul: aô 1687.

Inn einer inn d. Statt Straßburg inn Jud. gaß. gelegenen inn diese Verlaß.schafft gehörigen behaußung hatt sich befund. wie volgt
Auf der Obersten bühnen, Auf der andern bühnen, im Tuchkämmerlin, auff dem obern gang, In der Kammer B, Vor der Cammer, In der Wohnstuben, Vor der Wohnstuben, Auf dem gang, Im hindern höffel, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer behaußung so theilbahr (T.) Item hauß, hoff, hoffstatt, höfflin, bronnen mit allen d.en gebäwen, begriff. weith. recht. Zugehörd. und gerechtigkeit. gelegen alhie inn d. Statt Straßb. inn d. Jud. gaß und. St. Veltin Capell anjetzo aber (…)
Ergäntzung d. wittib ermanglend. ohnveränderten guths. Auß einer designation d. wittib Zu d.en v.storb. Hn seel. inn d. Ehestandt Zugebrachter nahrung durch weÿl. H. Notm. Joh: Georg Jägern d. 10. 8.br. 1672 auffgerichtet
Norma hujus inventarii. d. wittib ohnverändt. eÿgenthümblich Vermög., Sa. haußraths 13, Sa. Silbers u. geschmeids 6, Sa. guldene ring 10, Baarschafft 1, Pfenningzinß hauptguth 19, Ergäntzungs rest 86, Summa summarum 137 lb
Auff solches volgt d. Erbin ohnverändert eÿg.thümbliche nahrung, Sa. haußraths 48, Sa. Werckzeug Zum haffner handwerck gehörig 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 40, Sa. Guldener Ring 6, Sa. baarschafft 89, Sa. Pfenningzinß hauptguths 50, Ergäntzung 422, Summa summarum 659 lb – Schulden 267, Nach deren Abzug 392 lb
Endlich wirdt nun auch d gemein v.ändt. u. theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 47, Sa. werckzeugs zum haffner handwerck gehörig 11, Sa. frücht 9, Sa. weins u. Lehrer vaß 9, Sa. baarschafft 251, Sa. Pfenningzinß hauptguth. 264, Sa. Eÿgthumbs ane einer behaußung 255, Sa. Schuld 20, Summa summarum 838 lb – Schulden 512, Rest theilbaren Guths 325 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1123 lb
Copia Eheberedung (…) dinstags den 3. Septembris Anno 1672. Johann Georg Jager Nots. Cæs. Publ.
Copia Testamenti (…) Johann Jacob Schatz Notar: publ. jurat.

Compte que rend le tailleur Chrétien Kuhn, tuteur de Marie Nussbaum qui est morte après son père. Barbe Hauber est morte en 1672 en délaissant deux filles
1689, Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5816) n° 231
Rechnung Mein Christian Kuhnen Schneid.rs burgers alhier Zu Straßb. als geordnet undt geschwornen Vogts Jungfrawen Mariæ Nußbaumin, so in Xbri 1688 diese welt gesegnet, weÿl. herrn Georg Nußbaums gewesenen Statt Kachlers undt auch weÿl. frawen Barbaræ Hauberin, beed. Eheleuth burgere alhier Zu Straßburg seelig. nachgelaß.er dochter, Inhaltend waß Ich Vom 5. April 1683. als Ich dieße Vogteÿ auffgeschwohren biß d. 20. febr. a° 1689 Ihrentweg. eingenommen, dahingeg. wied. außgegeben und sonst. Vögtlicher weiß verrichtet und verhandelt habe. Erste und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht Zu geg.wärtig. Rechnung gehörig. Zuwiß. demnach fraw Barbara hauberin, H. Georg Nußbaum d. Statt Kachlers gewesene eheliche haußfraw meiner Vogts docht. mutter seel. d. 4. Aprilis 1672. dieses Zeitliche gesegnet, so ist d. 11. Maÿ ged Jahres do.selb Inventation vorgenommen undt ein Inventarium von 62 foliis auffgerichtet word. Inn welchen Inventario in fine nun d. ein vertrag annectirt daß d. beed. damahlig. döchtern 318 lb 6 ß 1 ¼. d beneben dem dritt. theil einer behaußung inn d. Jud gaß neb. d. Schreiner behausung an d. alt. Zimmerleüthfaß geleg. (…) d. and.e döchterlein Barbara des Vatters todtfall nicht erlebet

Georges Nussbaum cède les deux tiers de la maison à son beau-frère Jean Martin Huber

1674 (2. April), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 189
Georg Nußbawm der Kachler
in gegensein hannß Martin Huebers deß Maurers und Steinhauers mit beÿstand Daniel Kraußen deß Büchsenmachers seines Schwähers, bekannt, daß Er demselben Vff die, am 18.ten Xbris Anno 1673. Von E. hochlöbl. alhiesigen Kaÿserl. delegirten Cammergericht ertheilte Erkanntnus (käufflichen cedirt und übergeben habe)
seine zweÿ dritte theil demselben für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoffstatt, höfflin, und allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der Judengaßen, einseit neben H. Johann Waltnern alten großen Rhats Verwanthen Zum theil, und theils neben Hannß Conrad Steinern dem Schloßer, anderseit neben H. Henrich Balthasar Von Kippenheim dießer Statt alten Stättmeÿstern und dreÿzehenern hinden uff dem Böckhelischen hoff stoßend gelegen, daran die übrige terz Ihme Huobern Zu vor eigenthümlich gehörig – umb 733. fl.

Fils de Georges Huber (Hauber), le tailleur de pierres Martin Huber épouse en 1670 Jeanne, fille de l’arquebusier Daniel Kraus
Mariage, cathédrale (luth. f° 126 n° 15)
1670. Fest. Paschatis. Zum 2. mahl Martin Huber der Steinhauer Maurer Weiland hr Georg Hubers gewesenen Steinhauer Maurer u. Burgers alhie nachgelaß. ehel: Sohn, Jfr. Johanna hr. Daniel Kraußen Buchsenschmidts u. Burgers alhie ehel: T. Montags den 11.ten Aprilis Münster (i 129)

Martin Huber hypothèque la maison au profit du potier municipal Tobie Garing

1674 (2. April), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 191
hannß Martin Huober der Maurer und Steinhauer, mit beÿstand Daniel Kraußen deß Büchßenmachers seines Schwähers
in gegensein Tobiæ Garings deß Statt Kachlers, bekannt, daß Er demselben schuldig seÿe 400. lb, daß Er damit Zween dritte theil ahn nachbeschriebener Behaußung ahn sich erhandtlen und bahr bezahlen könne
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflin, und allen deren Gebäwen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier unden in der Judengaßen, einseit neben H. Johann Waltnern alten großen Rhats Verwanthen Zum theil, Und theils neben Hannß Conrad Steinern dem Schloßer, anderseit neben H. Henrich Balthasar Von Kippenheim dießer Statt alten Stättmeÿstern und dreÿZehenern, hinden uff dem Böckhelischen hoff stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Hammen des Zimmermanns alß Vogts hierinbemelts Debitoris nunmehr seel. nachgelaßeneen töchterlins (…) Act. d. 8. Xbr. 1683.

Le tuteur de l’enfant de feu Martin Huber vend la maison à Anne Marie, veuve du diacre Jean Georges Heyl

1685 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 51-v
H. Hannß Georg Hamm der Zimmermann alß vogt weÿl. Martin Hubers Geweßenen Maurers und Steinhawers Nachgelaßenen Kinds
in gegensein fr: Anna Maria weÿl. H. M: Johann Georg Heÿlen geweßenen Diaconj in der Prediger Kirchen nunmehr Seel. Nachgelaßener fr. wittib mit beÿstand deß Ehrenvest und Wohlgelehrten H. M: Johann Jacob Ansorgs Præc: Classici sup: Gymnasÿ Ihres curatoris
ein behaußung, hoff, hoffstatt mit allen andern Ihren Gebawen, begriffen, Weithen, Rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier in der Judtengaß, einseit neben H. Johann Walters E.E. Großen Raths geweßenen beÿsitzers hinderlaßene Erben, anderseit H. Henrich Balthasar Von Kippenheim dießer statt alten Stattmeÿsters und XIII. hinderlaßenen Erben, hinden uff den böcklischen hoff stoßend gelegen – umb 1100 fl.

Fils du tailleur Valentin Heyl, Jean Georges Heyl alors pasteur à la Robertsau épouse en 1667 Anne Marie Christ, fille du diacre de Saint-Guillaume
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 73 n° 32)
1667. Dncis XVI u. XVII.t Trinit. 22/29 7.br. Herr M. Johannes Georgius Heÿl Pfarrer In d. Ruprechts Aw wld Valentini Heÿlen geweß. Schneiders v. B. allhie nachgel. ehel. Sohn vnd Jgfr. Anna Maria Herrn M. Johann Heinrich Christ. wolverordnet. Helffer eheliche Tocht. cop. 3* Oct (i 54)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 64-v) 1667. Dncâ XVI Trinit. d. 22. Sept. H. M. Johann Georgius Heil Pfarrer in der Ruprechts-Aw weiland Valentini Heilen Schneider v. Burger allhie hinterlassener Ehelicher Sohn v. J. Anna Maria H. M. Johann Henrici Christen, Diaconi Zu St. Wilhelm alhie Eheliche Tochter. Eingesegnet Mittwochs. d. 3. Octobris zu S Wilhelm (i 69)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la nomination de Jean Georges Heyl comme pasteur de la Robertsau
1667, Conseillers et XXI (1 R 150)
(f° 115) Montags den 5.ten Augusti – Pfarrer in Ruprechtsaw Mr. Joh: Georg Heÿl.
Herr Negelin XV. Secretarÿ Zeigt an, daß gestern in der Ruprechtsauw, in beÿsein der Herren Landpfleger des Hn Dr Præsidis und der 4. Kirchen Pfleger die Wahl des Pfarrers vorgenommen worden seÿe, da dann die majora vff Magr. Johann Georg Heÿlen gefallen. Erk. confirmirt.

Notice dans le répertoire de Bopp
2219. Johann Georg Heyl, Mag.
° Straßburg 24.4.1636, S. v. Valentin Heyl, Schneider und Anna Schönauer, x 3.10.1667 Anna Maria Christ, Pfarrerstochter (794, x II. 28.6.1690 Johann Meyer, Bleicher)
imm. in Straßburg am 18.10.1655, Mag. am 1.2.1658, Aufnahme ins Seminar 1665
1665-1666 Pf. in Niederhausbergen und Pfulgriesheim, 1666-1667 in Quatzenheim und Fürdenheim, 1667-1675 Pf. in Ruprechtsau I, 1675-1682 Diak. in Straßburg Münster III – † 4.11.1682 (Julius Reichelt, Progr. fun. 86. Argent. 1682.

Anne Marie Christ se remarie en 1690 avec le blanchisseur Jean Meyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 73) 1690. Domin. IV. et V. post Trinit: proclamati sunt Hr. Johannes Meÿer der bleicher undt beÿ. E.E. grossen rath alhier alter beÿsitzer undt fr. Anna Maria, Weÿl. hrn M. Johann Georg Heÿlen gewesen Diaconi v. helffers beÿ der prediger Kirch. alhier Nachgel. Witwe, Copulati sunt Mittw. d. 28. Junÿ (unterzeichnet) Johan Meÿer Als hoch Zeiter, Anna Maria Krittin als brautt (i 25, procl. Temple-Neuf f° 173, i 174)

Anne Marie Christ meurt en 1696 en délaissant quatre enfants de son premier mariage et un du deuxième. Les experts estiment la maison rue des Juifs à 475 livres. La masse propre au veuf est de 1 526 livres celle propre aux héritiers de 263 livres. L’actif de la communauté s’élève à 269 livres, le passif à 1 012 livres

1696 (30.4.), Not. Lang (Jean Henri, classé sous 25 Not 116) N° 6
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Gütter, so weÿland Anna Maria Meÿerin, Gebohrne Christin, deß Ehrenvest, fürsichtig vnd wohlweißen Herrn Hannß Meÿers, Bleichers und E. E. Großen Raths alten beÿsitzers, burgers Zu Straßburg geweßene Eheliche haußfr. nunmehr seelige, nach ihrem den 17.ten Martÿ Jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Jetzt Verstorbenen Frawen seel. in Zweÿ Ehen ehelich erzeügter Kinder vnd ab intestato nachgelaßener Rechtmäsiger Erben (…) Actum Montags den 30.ten Aprilis Anno & 1696.
Die in Gott ruhende Fraw hat Zu Erben verlaßen, wie Volgt. 1. Fraw Annam Catharinam Gebohrne Heÿlin deß Ehrengeachten Mr Hannß Jacob Schellen Sattlers und burgers alhier eheliche haußfr. welche mit assistentz erstgedachtes Ihres haußwürths wie auch deß Ehrenvest v. rechtsgelehrten herrn Daniel Rohren Notarÿ publ. vnd Burgers alhier Zugegen. 2° Jfraw Annam Mariam, 3° H Johann Jacob, Studiosum vnd 4° Jfr. Mariam Salome die Heÿlen, dieße dreÿ Ledige Geschwüsterd, deren Geschworner Vogt der Ehrenvest, fürsichtig, Weiß vnd hochgelehrte H. Mr Johann Michael Rebhan, E. E. Großen Raths aler Beÿsitzer, dem geschäfft von Anfang biß Zu end beÿgewohnt: Alle Vier der Abgeleibten Fr. seel. mit weÿl. dem wohl Ehrwürdig vnd wohlgelehrten Herrn Johann Georg Heÿlen, geweßenen wohlverordneten Trew Eÿfferigen Diacono in der Prediger Kirch alher nunmehr seel. in Erster Ehe erziehlte Kinder
5° So dann Johann Heinrich Meÿern der verstorbenen frawen seel. in dießer Letztern Ehe erziehltes Söhnlein, deßen Geschworner Vogt der Ehrenvest hochachtbahr vnd weiße H Johann Friderich Eisenmann, Apothecker v. E. E. Kleinen Raths beÿsitzer burger alhier, welcher dem Geschäfft ebenmäßig in person abgewart. Also Alle fünff der abgeleibten Frawen seel. ab intestato nachgelaßene rechtmäsige Erben jedes Zu einem fünfften theil berührend

Copia der Heüraths Verschreibung
In einer alhier Zu Straßburg ane der Judengaß gelegener der Erben für unverändert gehöriger Behaußung befund. worden wie volgt.
Ane Hültzen: und Schreinwerck. In der Cammer A, Im obern Haußöhren, Im obern Stübel, Im Mittlern haußöhren, In der Mittlern Wohnstub, In der Stub Cammer, Im haußöhren, Im undern haußöhren
Auff der Bleich in der Ruprechtsau. Auff der Bühn, In der Obern Stub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Im haußöhren, In der Gesind Cammer,, In der undern Stub, In der Stub Cammer, Im haußöhren, In der Kuchen, Auff dem Stall, Im bauchhauß, Im Keller, Im bütten Keller
(f° 20-v) Eÿgenthumb ane einer Behaußung, Scheür, Ställ vnd Bleich. (W) Item Ein Platz Grunds auff 34.6403 Schuh groß, so nunmehro Zu einer Bleich gemacht, darauff eine behaußung Auch Scheür v. Stallung gebawen, sampt Neün vnd ein halben Acker grunds (…) gelegen in der Ruprechtsaw, beÿ dem undern Waßerzoll gartten (…)
(f° 21) Eÿgenthumb ane Häußern. (E.) Item hauß hoff vnd hoffstatt mit allen anderen dero gebäwen, begriffen, weiten, rechten, zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen in d. St. St. aner der Judengaß, einseith neben Johann Michael Maulen dem Kunsttreher, anderseith neben Juncker (-) Gäling Zu Buchßweiler, hinden auff den Bockischen hoff stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig vnd eigen, vnd durch der Statt Straßb. geschworne Werckhleüth vermög überreichter schrifftlich. Abschatzung taxirt p. 475. lb. Darüber vorhanden ein teütscher perg. Kbr. mit der St. St. anhangendem Canc: Contract Insigel verw: deß. datum den 5.ten febr. 1685. mit N. 1. bezeichnet (hat H. Schell in handen)
(E.) Item Ein viertertheil für vngetheilt von vnd ane Zweÿen häußern, einen vordern vnd einem hindern, ane der Jungfrawen Gaß gelegen (…)
(E.) Item Ein häüßlein von vnd ane Zweÿen heüßlein neben einander under einem Tach in der St. St. vorstatt außerhalb St. Stephans Thor, beim Fischerthor in der so genanten Finsternuß (…)
(E.) Item ein Vierter theil für ungetheilt von vnd ane einem häüßlein daselbst (…)
(E.) Item ein Vierter theil für ungetheilt von vnd ane einem häüßlein auch beÿ dem Fischerthor, allernechst am Wahl (…)
(f° 26) Ergäntzung deß Hn Wittiber ermanglenden unveränderten Gutts. Vermög deß über beeder Gewesener Eheleüth in dieße Ehe gebrachte Nahrung den 15. Jan: A° 1691 durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichteten Inventarÿ
(f° 30-v) Wÿdumb Welchen der H Wittiber von weÿl. Fr. Johanna Meÿerin Gebohrner Kreußin seiner Verstorbenen, Zweÿten haußfrauwen seel. genüeßt, wavon das Eÿgenthumb Frawen Elisabethæ Hauberin, Johann Jacob Pfeiffers des Kremppen vnd burgers alhier Ehefr. als derselben dochter vnd Erbin Verfangen, Innhalt einer den 29. Julÿ A° 1682. Zweÿ dem H. Wittiber vnd vorgedachter Frawen Johannæ Kraußen durch H. Notarium Eliam Wincklern auffgerichteten Heüraths In der Vorstatt (…)
(f° 31) Wÿdumbs Verfangenschaft, So Fraw Anna Catharina Christin Gebohrne Schneiderin weÿl. /S:T:/ H. Mr Johann Heinrich Christen Geweßenen Diaconi senioris der Pfarrkirch Zu St. Wilhelm alhie seel. nachgelaßene Wittib ad dies vitæ genüeßt vnd der Erben unverändert. Vermög der Zwischen erstgedachten beÿden geweßenen Ehegatten am 10. 7.br aô 1682. auffgerichteter Ehe pacten
(f° 32) Wÿdumb Welchen die Abgeleibte Fraw seel. wegen dero mit /S:T:/ H. Mr Johann Georg Heÿlen, Geweßtem Diacono beÿ der Newen oder Prediger Kirch alhier als ihrem Ersten Eheherrn seel. erzeugte Vier Kinder ad dies vitæ Genoßen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß H. Wittibers unveränderte Nahr. Sa. haußraths 109, Sa. Leerer Baß 5, Sa. Schiff und geschirrs 21, Sa. Silbergeschirr vnd geschmeids 42, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Baarschafft 7, Sa. Eigenthums an einer behaußung 500, Sa. beßerung ane lehengüthern 10, Sa. Schulden 250, Sa. Erg. (759, Abgang 72, Rest) 687, Summa summarum 1638 lb – Schulden 112 lb, Nach deren Abzug 1526 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 161, Sa. Bibliothecæ 20, Sa. leeren vaß 2, Sa. Silbergeschirrs v. Geschmeids 95, Sa. Guldener Ring 13, Sa. baarschafft 55, Sa. Eigenthums ane häußern 571, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 114, Sa. Ergäntzung (222, Abz. 149, Remanet) 73, Summa summarum 1107 lb – Schulden 844 lb, Nach deren Abzug 263 lb
Das Theilbahr Gutt, Sa. haußraths 43, Sa. Frucht 46, Sa. Weins 8, Sa. Schiff und geschirrs 2, Sa. Viehe 51, Sa. Stroh vnd Booß 1, Sa. Tung 3, Sa. blumen auf dem Veldt 24, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 1, Sa. Schulden 86, Summa summarum 269 lb – Schulden 1012 lb, die theilbare Passiva übertreffen das theilbare gutt umb 742 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1781 lb
Abschatzung dinstags d. 15.t Maÿ 1696. Auff begehren deß Ehrenvösten vnd Weißen herrn Johannes Meÿer E. E. Großen Raths alter beÿsitzers behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Judengaßen, Ein seitzs Neben Ihro hoch adellich Gest. Junckher Von Gelling, Ander seits Neben herrn Johann Jacob Maull dem Silbertreÿer hinden auff Junckher böckhell von bischen Stoßent, Welche forder Neben vnd hindere Wohnung Zweÿ Keller hoff vnd ein fart auch überigen begriff recht vnd gerechtig Keit Wie solches in der Besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen Vor. Nein hundert vnd Vinffzig Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.

Inventaire dressé en 1702 après la mort de son fils Jean Jacques Heyl, étudiant en théologie, mort en délaissant des héritiers testamentaires dans la maison du sellier Jacques Schell face à la Grue (actuelle rue de la Douane)
1702 (23.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 8) n° 298
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so weÿlandt der Ehren Veste undt wohlgelehrte Herr Johann Jacob Heÿl geweßene S.S. Theol: Stud: auch weÿl. S.T. Herrn M. Johann Geörg Heÿlen geweßenen Diaconj in der newen oder Prediger Kirchen auch burgers allhier ehelicher Sohn, nunmehr seel. nach seinem den 11.ten Januarÿ instehenden 1702.t Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten herrn seel. per Testamentum eingesetzter vnd nach dießem Titulo Inventarÿ beahmßter Erben fleißig inventirt (…) So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 23. Januarÿ A° 1702.
Der Verstorbene Herr seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. die viel Ehren und tugendsame fraw Annam Catharinam Schellin gebohrne Heÿlin herrn Jacob Schellen Sattler vndt burgers alhier eheliche haußfraw, welche auch beneben Ihreù haußwürthderInventation persönlich beÿgewohnt. 2. die Viel Ehren v tugendgezierte Jungfraw Mariam Salomeam Heÿlin, welche gleichfalls begeben geordnet und geschworenen Vogt H Philipp Bernhardt Leichter dem Schuhmacher vnd burgern allhier selbsten in persohn dem geschäfft abgewart, So dann 3. Johann Heinrich Meÿern S. T. herrn Johann Meÿers bleÿers vnd E. E. Großen rhats alten beÿsitzers ehelich erzeugtes Söhnlein, welches bevögtiget mit obgedacht Jacob Schellen, weilen aber derselbe uxorio noîe selbsten interessirt, als ist in deßen Nahmen als geschworner Theilvogt wohl vorermelten H Rathh. Meÿer sein leiblicher vatter hiebeÿ erschienen
Copia Testamenti nuncupativi

In einer allhier ane dem Cran gelegenen mehrermeltem herrn Schellen eÿgenthümblich gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. It. ein häußlein von vnd ane Zweÿen Häußlein neben einander under einem Tach
in der St. St. Vorstatt außerhalb St. Stephans thor beÿm Fischer Thor in der sogenanten Finsternuß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 20, Sa. Bibliothec 20, Sa. Silbers 2, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. Eÿgenthumbs ane i. häußlein 7, Summa summarum 51 lb – Schulden 58, Compensando 6 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft So Fraw Anna Catharina Christin gebohrne Schneiderin weÿland S. T. Herrn Mr Johann Heinrich Christen geweßenen Diaconi senioris der Pfarr Kirch Zu St. Wilhelm allhier seel. nachgelaßene Wittib ad dies vitæ genüßt, das Eÿgenthumb aber Zum theil hiehero gehörig. Vermög der zwischen erst Ehrengedachten geweßenen Ehegatten den 10. 7.bris Anno 1682. auffgerichteter Ehepacten (…)

Les enfants et héritiers du diacre Jean Georges Heyl vendent la maison à Jean Thiébaut Heinrici, pasteur à Saint-Thomas, et à son frère marchand Jean Jacques Heinrici

1697 (5. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 437-v
Jgf. Anna Maria weil. H. M. Johann Georg Haÿlen, gewesenen Diaconi der Neun Kirch zu den Predigern leibliche tochter, H. Johann Jacob Heÿl Phil. Stud. deßen leiblicher sohn, und Jfr. Maria Salome Heÿlin, auch ledige tochter, alle dreÿ mit beÿstand H. M. Johann Michael Rebhans E.E. großen Raths beÿsitzers, ihres curatoris wie auch Johann Jacob Schell der Sattler, alß Ehevogt Fr. Annæ Catharinæ geb. Heÿlin, welche in der Kind bett und deßhalb. nicht persönlich erscheinen könne, So dann H. Johann Friderich Eisenmann, der Apothecker und E:E: kleinen Raths alter beÿsitzer alß Curator Johann Henrich Meÿers
in gegensein Hn M. Johann Theobald Henrici, Pfarrh. zu St. Thomä allhier und H. Johann Jacob Henrici deß handelsmanns seines leiblich. bruders
Eine Behaußung, Hoff, hoffstatt mit allen anderen Ihren gebaüen, begriffen, weithen, rechten, zugehördt. und gerechtigkeiten, allhier in der Judengaß einseit neben Johann Michael Maul den Kunsttreher anderseit neben tit. Jr Philipß Christoph Gaÿling von Altheim, Gräfflich hanauischen Geheimen Rath und Ober Jäger meister, hinten auf den Adelisch. Böckelisch. hoff stoßend gelegen – umb 900 pfund

Les préposés à la Taille demandent à Jean Jacques Heinrici pourquoi il n’est pas inscrit à la Taille. Il déclare que quelques années auparavant le préteur royal a estimé qu’il n’était pas tenu de s’y inscrire perce qu’il était étudiant à l’université et ne tenait pas de ménage indépendant mais est disposé à s’inscrire maintenant qu’il a acheté une maison. Les préposés se satisfont de cette déclaration.
1695, Protocole des Quinze (2 R 99)
(f° 20) Freitags den 11. Februarÿ – Herr Dr. Johann Jacob Heinrici pt° Zünfftig werdens
Obere Stallherren laßen per me referiren, daß Mhghh. Erkantnuß Zufolg, Herr Dr. Johann Jacob Heinrici beschickt und befragt worden seÿe, Warumb er difficultire, sich auff der Statt Stall einzufinden, sich Zünfftig Zumachen, Vnd die Stallgebühr abzustatten ? Welcher jnn antwort beditten Habe, daß er Zwar vor einigen jahren difficultät gemacht hätte, allein Nur deßwegen gewesen ware, Weilen Herr Prætor Regius damahlen dafür gehalten, daß er, als der noch ledig Und Kein eigen Weßen Führet, Under der Universität bleiben Könte, anjetzo aber, da er ein Hauß erkaufft, er gesinnet were, sich Zünfftig Zumachen, Und zu præstiren d. was andere burgere Auch thun. Dießem nach Zu Mghh. stünden, Ob Sie ihn beÿ seiner erklärung laßen Wollen ? Erk. Soll Herr Dr Heinrici beÿ seiner erklärung gelaßen werden.

Jean Jacques Heinrici qui a acquis la part de son frère Jean Thiébaut par cession passée le 29 janvier 1699 vend la maison à Florian Rieden, ancien bailli de Dettwiller, et à sa femme Marie Ursule Rothfuchs.

1702 (22. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 465-v
(1050) Hr. Johann Jacob Henrici handelsmann
in gegensein Hn Florian Rieden U. J. Cti. geweßenen amptmann zu Dettweÿler, u. frn. Mariæ Urßulæ geb. Rothfuchßin
eine behaußung, Hoff, Hoffstatt mit allen anderen ihren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeit allhier in der Judengaß einseit neben Joh: Michel Maul Kunstdreher anderseit neben S. T. Jr. Philipp Christoph Gaÿling v. Altenheim Gräflich Hanauischer geheimen rath u. oberjäger meister, hinten auf den adelichen Böckelinichen Hoff stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig u. eÿgen, maßen ihm, dem verkäufer, die helfte gleich anfangs beÿ dem Kauf gebühret die andere helfte aber ihm v. S. T. Hn.M. Joh: Theobald Heinrici Canonico Cap: Thom: et Pastore zu St Thomæ seinem Hn. bruder u. gemeineren ahn besagtem hauß kraft Cession v. 29. jan. 1699 überlaßen word. seÿe – 1050 pfund

Fils du syndic de Neuburh François Rieden, Florian Rieden achète le droit de bourgeoisie avec sa femme Marie Ursule Rothfuchs, fille du bailli d’Andlau. Les sept enfants suivent la coutume, ils ne deviennt pas bourgeois.
1702, 3° Livre de bourgeoisie p. 1236
Herr Florian Rieden Von Neuburg, Weÿl. H. Francisci Rieden gew: Syndici daselbst hint: sohn, und sein Fr: Maria Ursula, Von Andlaw, weÿl. H. Rothfuchß gew: Amptmans daselbst hint. tochter, erkauffen das Burgerrecht p. 2. Gold fl. und 16. ß so auf dem Pfenningth. erlegt Worden, mit ihren 7. Kindern ist es beÿ ordnung Gelaßen Worden, und Werden beÿ E. E. Zunfft der Gerber dienen. Jur: d. 18.

Florian Rieden est élu préposé aux communaux
1707 Conseillers et XXI (1 R 190) H. Florian Rieding würdt Zu einem Allmend herrn erwehlt. 20.

La tribu des Tanneurs élit un nouveau conseiller après la mort de Florian Rieden
1707, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 22) Donnerstags den 24. Martÿ Anno 1707
Weilen herr Rathherr Lt. Florian Rieder ohnlängst mit todt abgangen, als wurde ane deßelben statt, wie auch von herrn Johann Jacob Rueffen so unpäßlich vnd herrn Johann Adam Alber so abweßend war vorderist Zu Spött Schöffen erwöhlt
Daniel Rohr Nots Zfft. schrbr
Hr. Johannes Dilchinger
Hr. Geörg Friderich Ott
Darauffhien ist Zu einem anderwerthigen Rathherrn per Majora erkoßen worden
Hr. Johann Niclaus Hünel

Florian Rieden meurt le 20 mars 1707 en délaissant sept enfants de sa première femme Marie Eve Geiss qui a délaissé des terres à Soultz en Haute-Alsace. Trois fils sont moines, un quatrième étudiant en théologie, Jean Léonard est bailli à Hatten, Jean Jacques avocat au Conseil souverain d’Alsace, la cadette est célibataire. Les experts estiment la maison à 550 livres. La masse propre à la veuve est de 331 livres, celle propre aux héritiers de 25 livres. L’actif de la communauté s’élève à 290 livres, le passif à 129 livres.

1709 (4.6.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 13) n° 309
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und fahrender, Veränderter undt unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Wohl Edle hochgelehrt vnnd großachtbahre Herr Florian Riedin, geweßter J. U. Ltus Unnd E. E. großen Raths allhier Zu Straßb. wohlverdienter alter Beÿsitzer, nach seinem den 20.tag des Monaths Martÿ deß zurückgelegten 1707.ten Jahres beschehenen seeligen Hinscheiden Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren, deß Verstorbenen Herrn seeligen hinderlaßener Herren Söhn Vnd Jungfr. tochter, alß deßelben ab intestato nächster rechtmäsiger Erben, so ahne hernach Volgendem Blatt benambßet seÿn Inventirt vnnd ersucht durch die Wohl Edle vnnd Viel Tugendreiche Fraw Mariam Ursulam gebohrne Rothfuchsin die dißorths wittib, mit beÿstandt deß wohl Edlen rechtsgelehrten und großachtbaren Herrn Francisci Josephi Jägers, wohlbestellten ampts Verweßers deß Ampts Benfelden, welchen Sie zu dißem Inventations geschäfft, in Vogts statt in specie erbetten (…) Actum in der Königlichen Statt Straßb: dienstags den 4.to Junÿ A° 1709.
Der Verstorbene Herr seel. Hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt 1. /S.T./ Herrn Frantz Anthoni Riedin, welcher sich in die Societæt Jesu begeben vnnd sich dermahlen in Baÿern auffhaltet, 2. /S.T./ Florianum Ignatium Riedin, welchen ebenfalls erstgedachter Societæt gewidmet vnnd gleichfalls in erstberührten beÿerischen provinz sich auffhält, 3. S.T. Herren Josephum Leonhardum Riedin, wohlverordneten Amptschultheißen deß Ampts Hatten, so abweßend, 4. S.T. Herrn Eberhardum Jacobum Riedin welcher sich dem orthen der Herren Capucineren gewidmet, vnnd anjetzo Zu Solaturn in der Schweitz sich auffhaltet, 5. S.T. Herrn Franciscum Dominicum Riedin Theol. Studiosum so anweßendt, 6. S.T. Herrn Johannem Jacobum Riedin U. Jis Ltum Unndt au Conseil souverain zu Colmar Wohlmeritirten Advocatum so auch Zu gegen, 7. die Viel Ehren vnndt Tugendsame Jgfr. Mariam Annam Riedinin welche auch anweßent ist und Weilen Sie maiorennis Weder Vogt noch beÿstandt Verlanget hatt, Alle Sieben deß verstorbenen Herrn seelichen hinderlaßene Eheliche Kindere vnndt ab intestato nächste Erben, Vnndt weilen vorbemelte Herren Erben alhie nicht Verburgert alß ist auß E. E. Kleinen Raths mittel zu dießem Inventations geschäfft abgeordnet worden der Ersam Veste Weiße unnd wohlachtbare herr Johann Geörg Oberdörffer Metzger Vnndt erstwohlgedachtern Raths jetzmahliger wohlverdienter beÿsitzer.
Pro Nota. Weilen sich beÿ gegenwärtiger Inventation kein Inventarium in den Ehestandt gebrachter Nahrung noch sonsten einig documentum waraus die beederseits Unveränderte Nahrungen nach laut der Heüraths Verschreibung hätten ersucht werd. mögen (…)

In einer in der Statt Straßburg ahne der Junden [sic] gaßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen vnnd hernach beschriebenen behausung befund. worden wie volgt
Ahne Höltzen und Schreinwerck. In der C. A, In d. C. B., In der Cammer C, Vor dießen 3. gemachen, In dem hinderen Kleinen Stübel, Vor dießem gemach, Im Haußöhren, In der Wohnstuben, Inn d. Stub Kammer (…)
Liegende Güether im Molßheimer bann (W.). Pro nota. Es berichten die beÿ der Inventation anweßende Erben daß sich verschiedene Reebgüther in dem Bann obersultz gelegen befinden, welche von weÿl. S. T. Fr. Maria Eva Geÿßen Ihrer seel. Mutter herrührig und dero Hn Vatter seelig nich durch einen Expres verschaffen wÿdumbs sondern nur loco educationis Liberorum genoßen
Eigenthumb ahne einer Behaußung (T.) Eine Behaußung, hoff, hoffstatt mit allen anderen Ihren gebäwen begriffen weithen rechten Zugehörten vnnd gerechtigkeiten allhier in der Juden gaß einseit neben Johann Michel Maulen dem Kunst vnndt Silberträher, 2.s. neben /.tit./ Jr. Philipp Christoph Gaÿling von Altenheim, Gräfflich hanawischen geheimen rath unnd ober Jäger Meister hinden auff den Adelichen Böckelischen hoff stoßend gelegen. Davon gehen Jährlichen 25. lb. d Zinnß auff den 21. Novembris Herren Johann Jacob Henericj dem handelsmann allhier so in Capital abzulößen mit 500. lb. s. Sonsten vber obige beschwerthen freÿ leedig vnndt eigen vnnd durch der Statt Straßburg geschworne Herren Werckmeister Vermög Ihrer Zu dem Concept gelüfferten Abschatzung de dato d. 8. Junÿ A° 1709. annoch hiehero æstimirt pro 250. lb. Darüber meldet ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangenden kleineren Secret Innsiegel Verwahrt datirt den 22.ten 9.bris A° 1702. so mit altem Lit. A. notirt vnnd dißmahlen wied. dabeÿ gelaßen worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 40, Sa. lähren Vaßen 8, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 91, Sa. der Guldener Ring Ketten Peerlein vnnd dergleichen geschmeidt 28, Sa. der liegenden Güethern 57, Sa. der Gülth von liegenden güthern 221, Summa summarum 449 lb – Schulden 117, Nach solchem abzug 331 lb
Der Erben unveränderte Vätterliche Nahrung, Sa. haußraths 16, Sa. lähren Vaßen 2, Sa. Silbergeschirrd 11, Sa. Guldinen rings 10, Summa summarum 41 lb – Schulden 16, Nach deren Abzug 25 lb
Das Gemein verändert unndt Theilbare Guth, Sa. haußraths 33, Sa. Wein 7, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 250, Summa summarum 290 lb – Schulden 129, Compensando verbleibt 145 lb
Abschatzung d. 8. Junÿ aô 1709. Weÿlandt herrn florian Reib gewesenen beÿsitzer eines Ehrsamen großen raths seel. hinter laßene fraw Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der statt Straßburg in der Juden gaßen gelegen, einseits neben herrn hanns Michel Maul Silbertreher anderseits neben Jr Gehling, hinden auf Hr Beckel stosendt welche behausung Nebens hinder gebaw und höfflin sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befinden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb, Ein Tausendt und Fünff Hundert gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Acte de sépulture de Florian Reid, sexagénaire
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 41-v)
Hodie die 22. Martÿ Anno 1707 fuit in hac pchli Ecclesia præsentatum corpus dmni floriani Rieden senatoris hujus urbis muniti oîbus Ecc.sæ necessarÿs sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité ætatis suæ anno sexagesimo (i 45)

Marie Ursule Rothfuchs meurt en 1709 après avoir institué pour ses héritiers les trois enfants non prêtres délaissés par son mari. Les frères et sœurs de la défunte ou leurs représentants sont représentés à l’inventaire. L’actif de la succession s’élève à 714 livres, le passif à 276 livres.

1709 (21. 9.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 13) n° 326
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung und güthere, so weÿland die Edle viel Ehren vnnd tugendreiche Fr. Maria Ursula Riedinin gebohrne Rothfuchsin auch Weÿl. deß Wohl Edelvesten hochgelehrten und großachtbahrn Herrn Florian Riedin J. U. Lti auch E. E. großen Raths alten allhier Wohlverdienten alten beÿsitzers seel. hinderlaßene wittib nunmehr auch seelig, nach ihrem den 31.ten 8.bris dießen Zu endt gehendten 1709.ten Jahres aus dießer welt genommenen abschied Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren, die auß Eines Ehrsamen Kleinen Raths urthel In dießem geschäfft beeder herren Deputatorum benantlichen der Edlen Wohl Ehrenvesten Weißen vnnd großachtbahren herrn Johann Friderich Bahlen vornehmen gastgebers Zum Thiergarthen vnndt herrn Johann Spechten der rechten befließenen beeder Vorwohlgedachten Raths Jetzmahliger beÿsitzer inventirt und ersucht durch S: T: herrn Josephum Leonhardum Riedin, wohlverordneten Amptschultheißen deß Ampts Hatten, Ferner S.T. Herrn Johannem Jacobum Riedin U. Jis Ltum Unndt au Conseil souverain zu Collmar Wohlmeritirten Advocatum, So dann S. T. Jungfr. Mariam Annam Elisabetham Riedinin, der Verstorbenen, Grawen Seeligen Stieff Kinder und von Ihro per Testamentum nuncupativum eingesetzte Erben, welche die meiste wißenschafft von deßen Verlaßenschafft haben.
Actum in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem gegensein (…) Ferner S. T. Herrn Johann Niclaus Schwenden deß hochlöbl. Collegÿ der Hh. XIII allhier hochansehnlichen Secretario Eigenhändig unterschrieben, vermög deßen Er Hr Mandatarius für S: T: Frauen Mariæ Richardis gebohrner Rothfuchßin Weÿl. herrn Johann Ullrich Herrenbergers geweßenen Amptschreibers Zu Benvelden hinderlaßener Wittib, weither frawen Mariæ Dorotheæ gebohrner Rothfuchßin alß weÿl. S: T: Herrn Johann Martin Kopffen geweßenen hochmeritirten burgermeistern zu schlettstatt hinderlaßener Wittib, So dann auch weÿl. S: T: Herrn Frantz Theobaldt Rothfuchßen geweßenen hochmeritirten Amptmanns Zu Erstein seel. nachgelaßener Kinder v. herren Erben alß der Verstorbenen Fr. seel. hinderbliebener leiblicher respectivé Schwester und bruders Kinder Consequenter derselben ab intestato nächster Erben Interesse zu Vigiliren in Commissis hatt + Donnerstags den 21. 9.bris Anno 1709.
+ so dann auch /S.T./ herrn Frantz Theobaldt Reÿßen deß Stiffts Jungen S: Peters allhier Wohlbestellten Schaffners welcher so wohl für sich alß auch im Nahmen seiner überigen 5. geschwüsttrigen welche von S: T: Fr. Maria Elisabetha gebohrner Heinrichin auch S: T: Hr Johann Theobald Reißen alten hochverordneten Ammeistern vnd XIII.ern Ehelichen entsprungen vnnd demnach der Verstorbenen Frawen seeligen von Mütterlichen Seiten einbändiger schwester Kinder seind erschienen ist
Die Verstorbene Fr: Seelig Hatt per Testamentum nuncupativum Zu Erben verlaßen wie volgt 1. S: T: Herren Josephum Leonhardum Riedin, deß Ampts Hatten hochfräffl. Hanwißer Herrschafft wohlbestellten Amptschultheißen, so præsens 2. S.T. Herrn Johannem Jacobum Riedin U: J: Ltum vnndt au Conseil souverain de Colmar Wohlmeritirten Advocatum so Zu gegen, 3. S: T: Jungfr. Mariam Annam Elisabetham Riedinin so Majorennis vnnd deßweg. Keinen Vogt hatt, auch noch Zur Zeit keinen beÿstand verlanget, Alle dreÿ Zu gleichen portionen und Stammtheilen Erben

In einer in der Statt Straßburg ane der Junden gaßen gelegenen vnnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen hernach beschriebenen behausung befund. worden
Ahne Höltzen und Schreinwerck. In der Stuben, Im Undern Saal
Eigenthumb ahne einer Behaußung (½ E. ½ denen Riedinischen geschwistrig. od. dißorts Stieffkindern) Eine Behaußung, hoff, hoffstatt mit allen anderen Ihren gebäwen begriffen weithen rechten Zugehörten vnnd gerechtigkeiten allhier in der Judengaß einseith neben Johann Michael Maulen dem Kunst vnndt Silberträher, 2.s. neben /.tit./ Jr. Philipp Christoph Gaÿling von Altenheim, Gräfflich hanawischen geheimen rath unnd ober Jägermeister hinden auff den Adelichen Böckelischen hoff stoßend gelegen. Davon gehen Jährlichen 25. lb. d Zinnß auff den 21. Novembris Herren Johann Jacob Heinericj dem handelßmann allhier so in Capital abzulößen mit 500. lb. s. Sonsten vber obige beschwerth. freÿ leedig und eigen vnnd durch der Statt Straßburg geschwohrne Herren Werckmeisterr Vermög Ihrer schon beÿ Herrn Rieden seel. Verlaßenschaffts Inventation Zu deßelben Concept gelüfferten Abschatzung de dato 8. Junÿ A° & 1709. annoch hie æstimirt so mann acuh dißmahlen dabeÿ lassen wird pro 250. lb. Darüber meldet ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangenden kleineren Secret Innsiegel Verwahrt datirt den 22.ten 9.bris A° 1702. so mit altem Lit. A. notirt und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen worden.
Ane Welcher behaußung die helffte in dieße Verlaßenschafft gehörig so macht 125. lb, denen Riedinischen herren Geschwisterden alß dißorths Stieff Kindern eigenthümlich gehörig Zuständig
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 59, Sa. lähren Vaß 9, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 92, Sa. der Guldener Ring vnnd dergleichen geschmeidt 28, Sa. der Gültten von liegenden güthern 312, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 125, Sa. Schulden 87, Summa summarum 714 lb – Schulden 276, Nach deren Abzug 438 lb
Publicatio Testamenti nuncupativi, Johann Adam Ösinger, Nots: publ:

Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 91)
Hodie die 4. Novembris Anni 1709 fuit a me infra scripto parocho ad Sanctum Stephanum sepulta est in capella Sti Antonii dna Maria Ursula Rodfuxin vidua dni floriani Rieden olim Consiliarii urbis argentinensis due 30 Octobris defuncta annorum sexaginta annorum circiter nata omnibus Ecc.sæ necessariis eclesiæ sacramentis provisa (i 96)

Les Quinze dispensent les héritiers non bourgeois de régler le droit de détraction, eu égard que la somme est peu importante et que le défunt était sénateur ainsi que préposé à la Taille
1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 148) Freÿtags den 21. Junÿ 1709. – Weÿl. H. Rathh. Florian Rieden Erben pt° Abzugs
Iidem [Obere Stallherren] laßen per me proponiren, es hetten 2. vo weÿl. H. Rathh. Florian Rieden, Hinterlaßenen Söhnen sich dießer Tagen beÿ Ihnen angemeldet vndt gebetten daß die von seithen des Stalls an die sambtliche geschwistrige weilen Sie nicht verburgert geforerte 9 lb 16 ß 2 ½ d abzug nachgelaßen werden möchten, denen man aber gleich beditten, daß die Obere Stallherren hierin nicht thun könten, sondern es Mghherren proponiren vndt dero außweißung darüber verer* wolten, Nun seÿe der Erben Sieben, nemb. 6. Söhn und eine tochter, vndt von den Söhnen 3. im geistlichen stand als 2. Jesuiten vndt einer ein Capuciner, der 4.te Lt juris vnd Advocat au Cons. souverain d’Alsace vndt der 5.te Studiosus Theologiæ, vndt weilen dießen abzug ein Geringes antreffe, der verstorbene H. Riede nicht allein EE gr. Rhat, sondern auch dem Stall beseßen undt die Imploranten Königl. Vnderthanen seÿen, alß stünde Zu Mghherren ob Sie denenselben ged. Abzug in gnaden nachlaßen wollen. Erk. weilen es ein geringes antreffen soll ged. d abzug in gnaden nachgelaßen worden.

Le défunt payait ses impôts sur la base de 500 florins, somme à laquelle s’élève l’inventaire. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction. La décision des Quinze les en dispense.
1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 94
(Gerber, F. N. 208) Weÿl. Herrn Florian Riedin geweßenen JVLti und E. E. Großen Rahts alhier alten Beÿsitzers Verlaßenschafft inventirt H. Not. Ösinger.
Concl. fin. Inv. ist fol. 58 – 285. lb 16 ß 11 d, die machen 500. fl. derselbe verstallte hiengegen auch so viel
Extat das Stallgeltt pro 1707 et 1708 à 2 lb 2 ß d, th. 4 lb 4 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung 10 ß 6 d – Summa 4. lb 16 ß 10 d
Abzug. die samtliche Herren Erben alß frembd und ohnverburgert haben von angefallener Vätterl. Erbschafft der 98. lb. 2. ß. 2 ½ d. ane Abzug zu erlegen 9. lb. 16. ß. 2 ½ d
(rub.) dt. 22° Junÿ 1709. 4 lb 15 ß 10 d
der Abzug ist von gnd. Herren den Fünffzehen nachgelaßen worden.

Les héritiers Rieden vendent la maison à Samuel Silberrad, pasteur au Temple-Neuf, pour lequel agit l’étudiant en médecine Samuel Silberrad.

1710 (ut s. [10. Oct.]), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 617-v
(1225) hr Joseph Leonhard Gebhard Ried amptschultheiß zu Hatten, Item hr Franciscus Dominicus Josephus Ried scribent, Item hr Joh: Jacob Michel Ried und J. Ltus und Advocatus au Conseil souverain d’Alsace, so dann Jgfrau Maria Anna Elisabetha Riedin beÿständlich H. Joh: Jacob Heinrich handelsmannß weilen unbevögtigt
in gegensein H. Joh: Samuel Silberrads Med: Candidati nahmens H. M. Samuel Silberrad Pfarrers beÿ der neuen Kirchen allhier
das Riedische hauß hoff hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Judengass, einseit neben Joh: Michel Maul kunstdrehern anderseit neben denen hochadelischen Gaÿlingischen HH. EE. hinten auff den Böckelischen hoff – 1225 pfund

Fils du pasteur de Saint-Pierre-le-Vieux, Samuel Silberrad épouse en 1685 Einbeth Kolb, fille de feu le pasteur de Saint-Pierre-le-Jeune
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 317-v)
1685. Dom. X. post Trint. 2. 7.bris Hr. M. Samuel Silberadt pfarrer Zu Lampertheim hrn Samuel Silberadt pfarrern der Kirch Zuem alt. S. Peter alhier ehl. Sohn, V. Jgf. Einbetha, wÿl. hrn M. Eliæ Kolben geweßenen Pfarrers beÿ dießer Kirchen Zum Jung. S. Peter, Nachgel. ehl. tochter. Cop. Donnerst. 13. 7.bris (i 332)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 311 livres, ceux de la femme à 1 242 livres.
1685 (15. 7.bris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 6) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. Haab, Nahrung vnd Güttere, so der Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrte H. M. Samuel Silberad, der Zeit wohlverdienter Pfarrer Zu Lampertheim, Zu der Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Einbetha gebohrner Kolbin, seiner hertzgeliebten haußfrawen, vnd dahiengegen Sie Fraw Einbetha Kolbin Zu ihme H. M. Samuel Silberad Ihrem vielgeliebten Ehegattin für unverändert in den Ehestand Zugebracht (…) Actum in beÿsein H. Joh: Saltzmanns Jur: Ddi als d. Fr. Pfarrerin noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, Sambstags den 15. 7.bris Anno 1685.

Vnd Zuvorderist deß Herrn Pfarrers unverändert Gutt. In einer alhier Zue Straßburg auff dem alten weinmarckh gelegener hiehero nicht Gehöriger behausung befund. word. wie volgt
In einer alhier Zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegener vnd in dießer nahrung nicht gehöriger behaußung befunden worden wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß H. Pfarrers unveränderte Nahr. Sa. haußraths 51, Sa. Bibliothecæ 37, Sa. Früchten 19, Sa. Wein 8, Sa. Hew 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener Ring 7, Sa. baarschafft 164, Summa summarum 311 lb
Der Fraw Pfarerin unverändert Gutt, Sa. haußraths 154, Sa. Wein v. Lehrer Vaß 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 42, Sa. Guldener Ring 21, Sa. baarschafft 215, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 687, Sa. d. Gülth von liegenden güthern 100, Summa summarum 1242 lb
Wÿdumb Welchen Fr: Agata Ursula Kolbin gebohrne Schönerläckin weÿl. des Wohl Ehrwürdig v. wohlgelehrte herr M. Eliæ Kolben geweßen Pfarherrn Zum jung. St. Peter nunmehr seel. hinterlaßene Wittib, 1000 lb, Waran deß orths der Fraw Pfarrerin vor ein fünfften theil gehörig nemblichen 200 lb

Notice de Bopp dans son répertoire des pasteurs
(Bopp n° 4916) Samuel Silberrad, ° Str. 3 avril 1658 du pasteur Samuel Silberrad et de Susanne Marie Poenius, x Saint-Pierre-le-Jeune 13 septembre 1685 Elisabeth Kolb
imm. à Strasbourg 26 octobre 1671, Mag. 30 janvier 1677, à Giessen 22 septembre 1680
Pasteur à Entzheim (1682-1685) à Lampertheim (1685-1697), diacre à Saint-Guillaume de Str. (1698-1705), pasteur au Temple-Neuf (1705-1718) , † 1 octobre 1718. Eloge funèbre 124

Samuel Silberrad devient tributaire chez les Charpentiers le 15 juillet 1687 et prend le 26 août suivant la place de son père
1687, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 30)
(f° 91-v) Dienstags den 15. Julÿ A° 1687 – Neuzünfftig.
Herr Samuel Silberadt Pfarrer Zue Lamperth. empfangt daß Zunfftrecht und erlegte die gebühr mit 1 lb 13 ß 6 d.
(f° 93-v) Samstags den 26. Augusti A° 1687 – Neuzünfftig.
Herr M. Samuel Silberadt Pfarrer Zu Lamperth. empfangt seines Herrn Vatters seel. Zunfftrecht und erlegte deßwegen 1 lb 13 ß 6 d.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un statuent sur la candidature de Samuel Silberrad au poste de diacre à Saint-Guillaume en 1697
1697, Conseillers et XXI (1 R 180)
Herr M. Samuel Silberrad würd helfer Zu St Wilhelm. 181. 185.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la nomination de Samuel Silberrad comme pasteur au Temple-Neuf
1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
(f° 84-v) Mittwoch den 8.ten Aprilis 1705. – Die Pfarrstell in der Prediger Kirch würd ersetzt – H. Magister Samuel Silberradt würdt Pfarrer in Prediger Kirch. 85.
H. XV. Secretarius Lorentz referirt, es were gesteren Vormittag, nach deme die Zu widerersetzung der durch absterben weÿl. H. M. Illers vacirendt gewesten Pfarrstelle in der neuwen Kirchen in die denomination gebrachte Sechs Herren Ihrer probpredigten rühmlich abgelegt gehabt, die wahl in gegenseÿn der hochansehnlichen Hh. deputirten Hn Stattmeisters Von Weitersheim, Vndt H Ammeister Reißeÿßens, wie auch Hnn Doctoris præsidis Obseruatis obseruandis vorgenommen, vnd in allem 256 stimmen gesamblet worden, vndt Weÿllen H M. Samuel Silberradt 210 stimmen Zugefallen vndt Er also per Maiora zu einem Pfarrer beÿ gedachter neuwen Kirchen erwöhlet wordten, als werdte die Confirmation dieser wahl mghherren bestens recommendirt vndt überlaßen. Erk. würdt dieße wahl Obrigkeitlich Confirmirt.

L’inventaire (non conservé) de Samuel Silberrad est dressé en 1719
1719, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 318
Inventarium über weÿl. Hn. M. Samuelis Silberrads gewes. Pfarrers in der Prediger Kirch seel. Verlassenschafft

Einbeth Kolb, veuve de Samuel Silberrad, loue la maison au greffier de la Chambre des Contrats François Œsinger

1723 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 193
Fr. Einbetha geb. Kolbin weÿl. herrn M. Samuel Silberrads wohlverdienten Pfarrhern der Prediger Kirchen Wittib mit beÿstand H. Dd. Samuel Fausten E.E. Kleinen Raths Procuratoris & Advocati ordinarÿ ihres Curatoris
in gegensein herrn Francisci Ößinger U.J. Licentiati et Cancellariæ Contractuum actuarÿ
entlehnt, eine gantze behausung mit allen gebäuden und zugehörden ahne der Judengaß, einseit neben dem alt Maulischen hauß anjetzo der Rathsamhausischen frauen Wittib zuständig anderseit neben& H. von Buch hinten auff den adel. Böckelischen hoff, gelegen, auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend von Joh. Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund

L’orfèvre Jacques Frédéric Silberrad cède à son frère Samuel, docteur en médecine, la part d’héritage provenant de son père. La cession est résiliée en 1732.
1728 (14.10.), Not. Humbourg (6 E 41, 46)
fut present Le Sr Jacque Frédéric Silberad Garçon orfèvre majeur d’ans demeurant en cette ville, Lequel pour les bons offices et services veritablement fraternels à Luy faits et rendus et La bonne et fraternelle amitié à Luy témoignée depuis sa tendre jeunesse jusqu’à ce jour par Le Sr Samuel Silberad son frère Docteur en medecine Bourgeois de Cette ville et dans l’Esperance d’en voir bonne suite et continuation et pour donner audit Sr son frere des marques sensibles d’une parfaite reconnaissance de tous les bienfaits qu’jl en a reçu et qu’il espere encore en recevoir, a volontairement reconnu et confessé avoir fait Comme jl fait par ces presentes don et donation pure et simple entre vifs et irrevocable
audit Sr Samuel Silberad son frère present et acceptant
de la part et portion echuë audit Jacque Frédéric Silberad donateur en l’heredité et succession de deffunt Samuel Silberad Son pere en quoy sadite Part qui fait une septieme dans le tout puisse consister (…) au contenu de L’inventaire de lad° Succession fait en L’année 1718 (…) L’usufruit et jouissance viagère en appartenant à Dlle Einbeta Kolbin sa mère – (signé) Jacob Friderich Silberrad, JSSilberrad Med. Dr.
[in margine :] Cejourd’hui 28° janvier 1732 (résiliation)

Le juriste Jean Léopold Silberrad cède à son frère Samuel, docteur en médecine, la part d’héritage provenant de son père.
1729, Not. Humbourg (6 E 41, 47)
est comparu Le Sieur Jean Leopold Silberad Praticien fils majeur d’ans demeurant en cette ville, Lequel pour les bons offices et services veritablement fraternels à Luy faits et rendus et La bonne, sincere et fraternelle amitié à Luy témoignée depuis sa tendre jeunesse jusqu’à ce jour par Le Sieur Samuel Silberad son frère Docteur en medecine Bourgeois de Cette ville et dans l’Esperance d’en voir bonne suite et continuation et pour donner audit Sr son frere des marques sensibles d’une entiere et parfaite reconnaissance de tous les Bienfaits qu’jl en a reçu et qu’il espere encore en recevoir, a volontairement reconnu et confessé avoir fait Comme jl fait par ces presentes Don et Donation pure et simple entre vifs et irrevocable
audit Sr Samuel Silberad son frère present et acceptant
de la part et portion echuë audit Sr Jean Leopold Silberad donateur en l’heredité et succession de deffunt Samuel Silberad Son pere en quoy sad° part et portion faisant un septieme dans le tout puisse consister (…) au contenu de L’inventaire de lad° Succession fait en L’année 1719 (…) L’usufruit et jouissance viagère en appartenant à Dlle Einbeta Kolbin sa mère

Einbeth Kolb veuve de Samuel Silberrad meurt en 1740 en délaissant six enfants ou leurs représentants. L’actif s’élève à 1874 livres, le passif à 84 livres
1740 (10.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 54) n° 1205
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿland die hoch Ehren und hoch tugendgezierte frau Einbetha Silberradin geb. Kolbin weÿland des Hoch Ehrwürdig, Großachtbahr und hochgelehrten herrn M. Samuel Silberrads geweßenen treueifferigen Pfarrers und seelsorgers in der Neuen: oder Prediger Kirchen nunmehr seel. nachgelaßener frau wittib nun auch seel. nachgelaßene Frau Wittib nun auch seel. als dieselbe Montags den 3.ten Octobris dießes Zuend Lauffenden 1740.sten jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 10.ten Octobris Anno 1740.
Die in Gott ruhende frau Pfarrerin seelige hat zu Ihren Erben Sis ubique Titi ab intestato verlaßen wie volgt. 1.mo Weÿland herrn Eliæ Silberrads der heÿligen Schrifft geweßenen weitberühmbten Doctoris und Professoris Publici ordinarÿ, Capituli Thomani Canonici Convent; Eccels: Præsidis und Pastori Primarÿ auch Vornehmen burgers allhier nunmehr seeligen ehelich erziehlte und nach todt hinterlaßene acht herren Söhne und Jungfer töchtere nahmentlichen 1.mo Herrn Johann Paul Silberrad, ledigen barbierer gesellen, so auf der Reÿß begriffen, 2.do herrn Silberrad Samuel Silberrad, den Ledigen Knöpffmacher, so gleichfalls auf der Reÿß begriffen, 3.tio Jungfer Susannam Salome Silberradin, 4.to Jungfer Einbetham Silberradin, 5.to Jungfrauen Mariam Elisabetham Silberrad, 6.to Jungfer Kinigundam Silberradin, 7.tio Johannem Silberrad in quinta Classe discipulum und dann 8.vo Mariam Magdalenam Silberrad, dießer Acht geschwornener vogt hr. Johann Jacob Moscherosch der Specirer und burger allhier welcher sich nomine seiner Vogts Persohnen beÿ dem geschäfft eingefunden,
2.do Weÿland herrn Johann Samuel Silberrads, gewesenen hocherfahrenen Medicinæ Doctoris und berühmbten Practici, auch wohlmeritirten dreÿers der Statt Straßburg Stall und vornehmen burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßene Söhn und töchtere, benantlichen 1.mo Jungfer Margaretham Salome Silberradin, 2.da Jungfer Einbetham Silberrad, 3.tio Jungfer Mariam Barbaram Silberradin, 4.to herrn H. Samuel Silberrad, Studiosum in Classe selecta, 5.to Johannem Silberrad, welcher die goldarbeiter Kunst ergreifft, 6.to Philipp Jacobum Silberrad, und dann 7.mo Johann Balthasar Silberrad, deren Sechßen geschworner herr Curator herr Johann Thomas Römer Jurium Practicus und E: E: großer Raths wohlbestellter Advocatus et Procurator ordinarius auch burger allhier, welcher sich beÿ dem geschäfft nomine seiner Curanden eingestelt
3.tio Frau Einbetham Karcherin domaine Silberradin, weÿland herrn Johann David Karchers des geweßenen hochverdientenen ältesten Diaconj und treufleißigen Seelsorgers der Evangelischen Gemeind in der Neuen oder Prediger Kirchen auch Vornehmer burgers allhier hinterlaßener frau Wittib, so mit beÿstand herrn Johann Silberrads, wohlmeritirten Schaffners der Schenckbecher und anderer Stifftung auch wohlverdienten dreÿers der Statt Straßburg Pfenningthurn und Vornehmen burgers allhiern dem geschäfft abwartete,
4.to Herr Johann Leopoldum Silberrad, wohlmeritirt substitutum in dem Mehern Hospital allhier, so Majorennis und ohnbevögtigt, Welcher in selbst eigener Persohn dem geschäfft abwartete
5.to Frau Annam Susannam Dörfferin gebohrne Silberradin weÿland Meister Johann Dörffers des geweßenen Kieffers und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, deren geschwornene Vogt ad lites Herr Abraham Kolb, Nots. publs. und berühmbter Practicus, alldieweilen Er aber selbsten Ehevögtlicher weiße interessirt, dahero hat Sie Zu Ihrem herrn Assistenten erbetten herrn Johann Rudolph Dinckel, Not. publ. und Practicum welcher sich auch mit und beneben seiner Frauen Principalin beÿ dem Geschäfft eingestellt,
So dann 6.to Frau Margaretham Barbaram Kolbin gebohrne Silberradin, Vor ehrengedachten Herrn Abraham Kolben Notarÿ jurati und Practicj Frau Ehegattin welcher mit und beneben Ihrem herrn Eheliebsten sich beÿ dem geschäfft eingefunden, Alßo alle Sechs der Verstorbenenn Frauen Pfarrerin seel. mit eingangs gedachten Ihrem geliebten Eheherrn seel. ehelich erziehlte Hr. Sohn, Frau Töchter und Enckel und ab intestato Zu Sechs gleichlingen portionen und antheiler Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß geegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie volgt
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Sa. haußraths 52, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 129, Sa. goldener Ring 14, Sa. baarschafft 52, Sa. pfenningzinß hauptgüter 1540, Sa. Gülth von liegenden güthern 84, Sa. Schulden 2, Summa summarum 1874 lb – Schulden 84, Nach deren Abzug 1789 lb – Stall Summ 1789 lb
Copia Dispositionis inter Liberos. 1740 (…) auff Freÿtag den 20. Monattag Maÿ, abends zwischen Sieben und Acht Uhren, in der königlichen freÿen Statt Straßburg und einer ane der großen Kirchgaß gelegenen, Von mir unterschriebenen Notario bewohnenden behausung – Johannes Lobstein Notarius juratus

Einbeth Kolb et ses enfants vendent la maison à Joseph Gerber, ancien sénateur, et à sa femme Marie Anne de Bellefond moyennant 1 500 livres

1731 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 384-v
weÿl. H. M. Samuel Silberad gewesenen Pfarrers seel. beÿ der Evangelsichen Gemeind zu denen Predigern hinterlassene wittib Einbetha geb. Kolbin beÿständlich ihres Curatoris H. Lt Samuel Faust E. E. kleinen Raths allhier Procuratoris und Advocati ordinarÿ, Ferner obged. H. Pfarrers Silberad seel: dermahliger ältester Sohn H. Johann Samuel Silberad Med: D. et pract. und dreÿer der Statt Stalls und als mandatarius seiner geschwisterden Frauen Einbethæ geb. Silberadin H. Johann David Karcher, Diaconi Senioris beÿ der Prediger Kirch Eheliebstin, Johann Leopold Silberad ledig mehrjährigen Scribenten, Frauen Margarethæ Barbaræ geb. Silberadin H. Abraham Kolb Notarÿ Publici und Practici allhier Ehefraun, H. Jacob Friedrich Silberad, ledigen mehrjährigen Goldarbeiters, so dann Fr. Anna Susanna geb. Silberadin Johannes Dörffer des Kieffers Ehefrau, weither H. Johann Jacob Moscherosch handelsmann als geschworner Vogt weÿl. S.T. H. Elias SIlberrad gew. S.S. Theologiæ Can: hinterlassenen 9 Kinder H. Elias Philos. Studj., Johann Paul, Samuel, Susanna Salome, Einbetha, Margaretha Elisabetha, Cuniginda, Johannes und Maria Magdalena der Silberrad
in gegensein H. Lt. Joseph Gerber Exsenatoris und Mariæ Annæ geb. von Bellefond
Eine Behausung bestehend in Vorder: Nebens: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten welches hauß allhier ahne der Juden: gaß, einseit neben einer der wohlgeb. Fr: Eleonorae von Rathsamhaußen zum Stein geb. von Venningen der wittib zum theil, theils neben weÿl. Weÿdknecht gewesten schloßers erben anderseit neben Jr. Johann Ludwig von Buch, hinten auff den adelischen Böckelischen hoff, maßen mitverkauffende Silberadische Fr: Wittib mit genehmhaltung ihres Curatoris auff den lebtägigen natural genuß ged. haußes mit welchen ihr selbiges verfangen verzug gethan, der Fr. wittib zu einer tertz sambtlichen alt. Silberradischen 7 Stammerben aber zu zween dritten theilen für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig – um 1500 pfund

Prévôt à Fort-Louis, Joseph Gerber achète en 1714 l’office de procureur des Eaux et Forêts établi à Haguenau puis le rétrocède en 1717.
1717, Not. Bidier Dutil (6 E 41, 20)
Contrat de vente du 19° Avril 1717 – furent present Le Sieur Augustin de Saussure, Con.er procureur du Roy des Eaux et forets de la basse alsace, Lequel a declaré qu’jl auroit Le 12 may 1714 passé contrat de vente dudit office de procureur du Roy des Eaux et forets de la basse alsace
au Sr Joseph Gerber preuost Royal du fort Louis du Rhin
(…) mais au lieu par led. Sieur Gerber de sa faire recevoir aud. office en conséquence desd. prouisions il se seroit contenté de faire L’exercice et les fonctions sur des lettres prouisionnelles que Mre Durand Dussy grand Maitre des Eaux et forets du département d’alsace Luy auroit bien voulu accorder le 29. 9.bre 1714 auant même la passation du Contrat de vente pour en pouvoir fre. L’exercice et Les fonctions (…)

Retrocession du 13 May 1717 – fur pressent Le Sieur Joseph Gerber Preuost Juge Royal du fort Louis du Rhin et Con.er procureur du Roy des Eaux et forets de la basse alsace en la Maitrise particuliere Etablie a Haguenau, demeurant ordinairement au fort Louis du Rhin, Estant de present en cette ville de Strasbourg, Lequel a declaré avoir remis et retrocédé ainsi qu’il remet et Retrocede
au sieur Augustin de Saussure ancien titulaire dudit office de Cons. procureur du Roy des eaux et forets de La basse alsace en la Maitrise particuliere Etablye a Haguenau, de laquelle charge led. Sieur Gerber s’etoit fait pourvoir sur la demission que led. Sr Desaussure en auoit fait En sa faveur

Fils de Georges Gerber, sénateur à Haguenau, le licencié en droit Joseph Gerber devient bourgeois à titre gratuit en décembre 1720 avec sa femme Marie Anne de Bellefond, fille du préteur royal à Fort-Louis François Chantereau de Bellefond. Leurs deux enfants Claude Michel et Madeleine Josèphe suivent la coutume et ne deviennent pas bourgeois.
1720, 4° Livre de bourgeoisie p. 856
Hr. Josephus Gerber J. U. Ltus Von Hagenaw geb. weÿl. H. Georg Gerber des Raths allda gew. beÿsitzers ehel. Sohn Vnd Maria Anna de Bellefond weÿl. h. François Chandereau de Bellefond gew. Prætoris Regii Zu Fort Louis ehel. Tochter, seine Ehefraw, erh. beede d. burger.recht gratis, ihre 2. Kind. Nahmens Claudius Michael Vnd Magdalena Josepha werd. beÿ Ordnung gelaß. w. beÿ E: E: Zunfft der Schmidt dienen, jur. et prom. Eodem [16. Decembr.]

Baptême de leur fils Claude Joseph à Fort-Louis en 1717.
Baptême, Fort-Louis (cath. p. 36)

Hodie die secunda aprilis 1717 (…) baptisatus est Claudius Josephus filius legitimus nobilis domini Josephi Gerbert Consiliarÿ Regÿ et prætoris loci et Mariæ Annæ de Belfond conjugum patrinus fuit prænobilis dominus claudius perdiguier ingénieur en chef modo sali fortalitÿ, matrina Maria Christina Kuntz de Bellefond (signé) Gerber, Perdiguier, Marie Christine contz de Bellefond (i 6)

Baptême de leur fils Jacques Philippe Hermann Joseph à Fort-Louis en 1718.
Baptême, Fort-Louis (cath. p. 36)
Hodie die nona Aprilis 1718 (…) baptisatus est Jacobus Philippus Hermannus Josephus filius legitimus domini Josephi Gerbert Conciliarÿ Regÿ, Regÿque prætoris modo sali fortalitÿ et dominæ Mariæ Annæ de Belfond conjugum patrinus fuit dominus Jacobus du bosc de Boual Notarius Regius ac chirographus ejusdem fortalitÿ, matrina domina Philippa linard (signé) Gerber, Dubost Boual, Philipine linard desportes (i 21)

Joseph Gerber et Marie Anne de Bellefond font donation d’une maison sise à Fort-Louis à leur fils aîné Claude Michel, docteur en médecine
1740 (10.11.), Not. Dinckel (6 E 41, 435)
Vermögen Schein – der hoch Edel Vest Fromb fürsichtig hochgelehrt und hochweiße herr Josephus Gerber J. Cti. des beständigen geheimen Regiments derer herren fünffzehner allhier hochansehnlicher beÿsitzer und beneben ihme die hoch Edle hoch Ehren und hochtugendbegabte Fr. Maria Anna Gerberin geb. De Bellefond, beede eheleuthe und vorhemen burgere allhier, zeigten in gegensein Ihres ehelich miteinander erzeugten ältesten herrn Sohns des hoch Edel Vest und hochgelehrten herrn Claudii Michael Gerbers Medicinæ hocherfahrenen Doctoris (…) zu einem vorhabenden eigenen Etablissement übergeben Einen halben theil für ohnvertheilt von und ane einer behausung in der Statt Fort Louis

Joseph Gerber hypothèque au profit du boulanger Pierre Beaudé et de sa femme Agathe Dalbin sa maison rue des Juifs et sa campagne à la Plaine des Bouchers.

1747 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 621 p. 252
S.T. H. XV. Joseph Gerber
in gegensein Pierre Beaudé des becken in hiesigen Citadelle und Agatha geb. Dalbin – schuldig seÿen 200 louis d’or, 1200 gulden
unterpfand, erstlich eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Judengaß, einseit neben H. Amtmann Chasseur, anderseit neben S.T. H. von Buch, hinten auff S.T. H. von Oberkirch
so dann einen Meÿerhoff bestehend und hauß, hoff, scheur, stallung und 10 ackern gebauenen grunds vor dem Metzger thor, einseit neben dem Allmend, anderseit neben den Reichßhofferischen erben theils Lorentz Reichard dem kieffer, übrigens am Allmend

François Deve épouse Marie Madeleine Gerber en 1748
1748 (17.4.), Not. Humbourg (6 E 41, 79)
Mariage – furent presens le Sr Jean François Déve Intéressé dans les affaires du Roy demeurant en cette ville Fils Majeur d’ans et jouissant de ses droits de feu le Sr François Deve Marchand Bourgeois de de Sarre: Louis et de defunte Damle Nicole Truelle ses Pere et mere, faisant stipulant et agissant pour luy et en son nom d’une part
Et Demle Marie Madeleine Gerber Fille aussi Majeure d’ans du Sr Joseph Gerber assesseur de la Chambre de Mr les Quinze de cette ville et de defunte Dame Marie Anne de Bellefond son Epouse, faisant stipulant et agissant pour elle et en son nom sous l’authorité et du consentement dud. Sieur son Pere pour ce present d’autre part
(signé) Jean François Deue, Marie Madelen Gerber

Jean Pierre Jersé épouse Madeleine Josèphe Gerber en 1751.
1751 (17.8.), Not. Humbourg (6 E 41, 86)
Contrat de mariage – M Jean Pierre Jersé, Procureur au Conseil souverain d’Alsace, fils de feu Antoine Jersé demeurant à Belfort et d’Anne Marie Chardoillet
Dlle Madeleine Joseph Gerber, fille majeure de M Joseph Gerber, assesseur de la Chambre des XV du magistrat de cette ville, et de défunte Anne Marie Chantereau de Bellefond

Joseph Gerber est élu assesseur des XXI et prévôt à la tribu de l’Ancre en 1736, assesseur des Quinze en 1737, administrateur des fondations Saint-Marc et de l’hospice des vérolés en 1739
1735 Conseillers et XXI (1 R 218) H. Rathh. Joseph Gerber schwört auff die ordnungen. 207.
1736 Conseillers et XXI (1 R 219) Zu einem Ein und Zwantziger Wird H. Lt. Joseph Gerber erwöhlt. 61.
H. XXI. Joseph Gerber Wird Zu einem Ober Herrn beÿ E. E. Zunfft der Äncker erwöhlt. 140.
1737 Conseillers et XXI (1 R 220) H. XXI. Joseph Gerber Wird Zu einem Fünffzehner erwöhlt. 368.
1737 XV (2 R 146) 324 Herr XV Joseph Gerber wird introducirt
1739 Conseillers et XXI (1 R 222) H. XV. Joseph Gerber Wird Zu einem Pfleger des Stiffts St. Marx und Blatterhauß erwöhlt. 36.

Marie Anne de Bellefond meurt en 1742 (folio 276 du registre des sépultures d’après les tables de la paroisse Saint-Etienne)
Joseph Gerber meurt le 3 juin 1753 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 1 650 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 340 livres. La somme finale qui comprend en outre les donations aux enfants se monte à 9 293 livres.

1753 (13.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 378) n° 533
Inventarium über Weÿland des hochedelgebohrnen Fromb, Fürsichtig, hochgelehrten und hochweißen herrn Josephi Gerbers, des beständigen geheimen Regiments der herren Fünffzehen in Löblicher Statt Straßburg geweßenen hochansehnlichen Beÿsitzers nunmehr seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1753. – als derselbe Sonntags den 3.ten dießes Monats Junÿ durch einen seeligen Tod aus dießer Welth abgeschieden, nach solch seinem tödtlichen hintritt Zeitlichen hinder verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des in Gott seelig entschlaffenen herrn Fünffzeheners mit auch Weÿland der hoch Edlen, hoch Ehren und hoch tugendbegabten Frauen Anna Maria gebohrner Chanterau de Bellefond seiner Frauen Eheliebstin seeligen ehelich erziehlter Herren Söhne und Frau Tochter (…) so beschehen in Straßburg, auf Freÿtag den 13. Junÿ Anno 1753.
Der Hochseelig Verstorbene Herr Fünffzehener hat zu seinen Erben ab intestato Verlaßen, wie folgt. 1.mo ST. Frau Mariam Magdalenam Jersé, gebohrne Gerberin, S. T. Herrn Jean Pierre Jersé, Procureur au Conseil souverain d’Alsace Frau Eheliebste, welche mit beÿhilff hochgedachten Ihres Eheherrn in Persohn dem geschäfft abwartete, 2.do S. T. Herrn Claudium Michael Gerber, Medicinæ hocherfahrenen Doctorem, E. E. Großen Raths allhier alten wohlansehnlichen beÿsitzer, auch löbl. Statt Pfenningthurns und Stalls alten wohlverdienten dreÿern, welcher in selbst eigener Persohn hiebeÿ erschienen, 3.tio Herrn Bartholomæum Heinricum Gerber, Capitaine unter dem Löbl. Königlich Frantzösischen Hußaren Regiment Ferrary, welcher ebenmäßig in Persohn zugegen ware, So dann 4.to S. T. Herrn Josephum Gerber, Lieutenant unter Löblich gedachtem hußaren Regiment Ferrary, Welcher abwesend, deßen Stelle aber vor Ehren gedachter Herr Capitaine Bartholomeus Henricus Gerber als Mandatarius hiebeÿ vertretten, alßo alle vier des hochadeligen entschlaffenen Herren Fünffzeheners ehelich erziehlte Herren Söhne und Frau Tochter und ab intestato Zu vier gleichen portionen und Stammtheilern verlaßene Rechtmäsige Erben. Wobeÿ ferner im Nahmen der ohnverburgerten Erben auß E: E: Kleinen Raths Mittel (…) deputiret worden, Herr Johann Jacob Degermann des Buchbinders und Ehrengedachten Kleinen Raths jetzigen beÿsitzers, welcher zugleich von anfang biß zu end dem geschäfft beÿgewohnt.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Judengaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung, befunden worde, wie folgt.
Eigenthumb ane häußern und Gärthen. Erstl. eine behaußung, bestehend in Vorder: Nebens: und hinderhauß, hoff und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Judengaß, einseit neben Weÿland herrn Ambtmann Chasseur seel. Erben, Zum theil und Zum theil neben Meister Johann Georg Füegner dem Schloßer, anderseit neben Weÿland Juncker Johann Ludwig von Buch hochadelichen Böckelischen hoff stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 16.ten Junÿ A° 1753. angeschlagen pro 1650. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alhiesiger Cancelelÿ Contract stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 17.ten 7.bris Anno 1731. mit N° 1 signirt.
It. ein Garthen sambt einer darinn stehenden Behaußung außerhalb der Statt Straßburg, Vor dem Metzgertor hinder dem Doctor garthen (…)
It. eine Behaußung, hoff, hoffstatt und Garten, (…) in der Festung Fort Louis am Rhein (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 307, Sa. Wein und Lährer Faß 27, Sa. Silbergeschirr 91, Sa. Pfenningzinß hauptguths 150, Sa. Eigenthums ane häußern und Gärthen 3763, Summa summarum 4340 lb
Hierzu Kombt dasjenige Was die Herren Söhne und Frau Tochter theils beÿ deren Verheurathung und theils in andere weege Zur Ehesteur und sonsten empfangen haben, 4953 lb, Belaufft sich alßo die Völlige (…) Erbschafft in allem in vero pretio auf 9293 lb
Abschatzung Vom 16 Junÿ. 1753. Auff begehren Weÿland S. T. Herrn Fünffzehner gerbers seel. hinterlaßener Erben ist eine Behaußung allhier in der Statt Straßburg, in der Judengaß einseit neben Herrn Von Buch, anderseit neben Herrn Chasseur Erben, und hinten auff Herrn Von Kirchheim stoßend, gelegen, solche behaußung bestehet in einem Vorder und hinter gebäw Worinnen etliche Stuben, Cammern und Kuchen, darüber ist der Tachstuhl so mit breit Zeigeln doppelt belegt hat auch einen gewölbten und geträhmten Keller Wie auch eine Stallung und Hoff, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrenen Werckmeistern, nach Vorhero beschehener Besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden, Vor und umb Dreÿ Tausend und dreÿ hundert Gulden.
Der Zweÿte begriff ist vor dem Metzgerthor gegen dem alten Bollicon über

Les enfants et héritiers Gerber louent la maison à Jeanne Rosalie Brobeque, veuve du prévôt d’Obernai Georges Joseph Horrer

1754 (14.1.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 21
H. Claudius Michael Gerber Med. Dr. und practicus vor sich selbst und als mandatarius seiner geschwister Fr. Maria Magdalena geb. Gerberin H. Jean Pierre Jersaÿ des procuratoris beÿ dem königl. Hohen Rath zu Colmar eheliebstin, H. Bartolomæi Heinrici Gerber capitaine unter dem königl. hussaren Regiment Ferrari und H. Joseph Alberti Gerber lieutenant unter ged. Regiment
in gegensein Fr. Jeanne Rosaly geb. Brobeque weÿl. ST. H. Georg Joseph Horrer gewesten prætori regii zu Ober Ehnheim wittib beÿständlich H. Lt. Philipp Peter Brobeque des secretaire beÿ hochadel. directorio
verlühen, in der Gerberischen alhier ande der Judengaß gelegenen behausung das gantze vorders hauß mit außnahm zweÿer keller, auf der bühn ferner in dem nebens gebäu auf dem ersten stock eine große stub nebst der daran befindlichen kuchen auf deßen zweÿten stock eine kleine stub und kammer ein beschloßenes holtzhauß, den vordern keller und den gemeinschaftlichen gebrauch der bühnen – auff 5 nacheinander folgenden jahren auff instehenden Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund

Joseph Gerber, lieutenant de hussards au régiment de Ferrari, rachète les parts de maison dont il devient seul propriétaire

1754 (28.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 378) Joint au n° 533 du 13 juin 1753
(Inventarium über Weÿland herrn Josephi Gerbers, seeligen Verlaßenschafft)
Cession und überlaßung der Behaußung allhier in Straßburg gelegen
Die in dem Inventario eingetragene behausung, bestehend in Vorder: Nebens: und hinderhauß, hoff und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Judengaß, einseit neben Weÿland herrn Ambtmann Chasseur seel. Erben Zum theil und Zum theil neben Meister Johann Georg Füegner dem Schloßer, anderseit neben Weÿland Juncker Johann Ludwig von Buch hochadelichen Böckelischen hoff stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig und eigen, ist im ohnvertheilten Erb
Herrn Josepho Gerber Lieutenant unter Löblich Königlich Frantzösischen hußaren Regiment Ferrary, dem jüngern Herrn Sohn eigenthümlich käufflichen cedirt und überlaßen, vor und umb 7000 Liures oder 1750. lb
So beschehen in Straßburg den 28. Februarÿ Anno 1754.
(transcrit à laChambre des Contrats, vol. 639 f° 313-v, 27 avril 1765)

Joseph Albert Gerber hypothèque la maison au profit du secrétaire Jacques Hector Gombault

1761 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 63-v
H. Joseph Albert Gerber lieutenant dans le régiment Turpin
in gegensein H. Jacob Hector Gombault des oberschreibers – schuldig seÿe 200 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis in der Judengaß, einseit neben weÿl. H. Ambtmann Chasseurs erben, anderseit neben H. Juncker von Buch, hinten auff den adelischen Böckelischen hoff

Joseph Albert Gerber vend la maison au cordonnier François Antoine Heim moyennant 1 754 livres

1765 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 156-v
Fr. Magdalena Jersé geb. Gerberin als bevollmächtigte ihres bruders H. Albrecht Joseph Gerber des capitaine unter dem Regiment Chamborant
in gegensein Frantz Joseph Heim des schuhmachers
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten and der Judengaß, einseit neben H. Rathh. Mathieu und Georg Fügner der schloßer, anderseit neben H. von Buch, hinten auff H. graff von Waldner – als ein theils ererbt theils von seinen geschwisterden im unvertheilten erb cedirt guth – um 1754 pfund

Natif de Monswiller près de Saverne, François Joseph Heim épouse en 1752 Anne Marie Mallain, fille du cordonnier François Mallain : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire. Il est probable que le mariage ait été célébré dans la paroisse où l’oncle de la mariée, François Klingelfuss, était curé (pour la parenté, voir l’inventaire dressé en 1783). Le contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée est copié à l’inventaire après décès.
1752, Not. Hess (J. Jacques, répert. 6 E 41, 1267-2) n° 195
Contrat de mariage – Joseph Heim, Schuhmachers, u. Jfr. Mariæ Annæ Mallain

Copia der Eheberedung – zwischen dem ehrsahmen Joseph Heim, leedigen Schuhmacher Von Elsaß Zabern, als bräutigamb ane Einem, So dann der ehr: und tugendsamen Jungfrauwen Annæ Mariæ Mallaine, herrn François Mallaine Schuhmachers und burgers allhier eheleiblicher tochter, als hochzeiterin andern theils (…) Geschehen allhier in der Königlichen Statt Straßburg den 27. Novembris anno 1752. Johann Jacob Heß, Notarius juratus

(Kammerer) 2736. François-Guillaume Klingelfus ° 15.02.1720 Strasbourg SPJ de Jean François, cons au magistrat, et Marie Anne Clauer
étud. log 10.11.1736, de Strasbourg (UES 34)
vic. Schirmeck 28.07.1744 B – 21.10.1744 B
vic. Liepvre 30.11.1744 B – 17.06.1745 B (…)
c. Scheibenhard 11.0.1759 B – (08.07.1770)
† 11.06.1781 D. Scheibenhardt parochus emeritus et primiss. in Schleithal

Natif de Monswiller, François Joseph Heim devient bourgeois par sa femme Marie Mallain
1753, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 530
Frantz Joseph Heim von Muntzweÿller der schuhmacher Verheÿrathet ane Maria Mallin, weÿl. Frantz Mallin des b. vnd schuhmachers Ehel. tochter erhaltet das burgerrecht von seiner Ehefr. um den alten burgerschilling, will beÿ E. E. Zunfft der schuhmacher dienen, jur. eodem [26. Maÿ 1753.]

Anne Marie Mallain meurt en 1766 en délaissant pour unique héritier son frère qui meurt un mois après elle sans postérité. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre au veuf est de 9 livres, celle propre aux héritiers de 38 livres. L’actif de la communauté s’élève à 947 livres, le passif à 1 869 livres

1766 (7.4.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1284) n° 430
Inventarium über Weÿland Anna Maria gebohrener Mallaine H. Joseph Heim Schuhemachers auch burgers allhier Zu Straßburg gewesener haußfrauen seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1766. (…) nach Ihrem am 15. Februarÿ jüngsthien genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und wohlvorgeachten auch weysßen Herrn Christian Ludwig Böckler J. U. Lti E: E: großen Raths alten und E: E: kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers, welcher von gedachtem Ehrsahmen Rath unterthänig erbetten und gnädig deputirt werden (…) so nahmens weÿl. François Mallaine geweßenen Schuemachers und Schirms Verwanthen allhier deß Verstorbenen seel. leiblichen bruders, welcher den 12.ten Martÿ jüngst, alßo ohngefähr vier wochen nach seiner Schwester seel. das Zeitliche geseegnet, mithien deroselben ab intestato hinterlaßener Erben, weilen aber derselbe auch keine leibliche sondern collateral Erben verlaßen, welche vermutlich in dem hertzogthum lotringen, maßen deren Vatter seel. auß gedachtem lothringen gebürtig ware, sich aufhalten sollen, so aber noch Zur Zeit unbekant, deren interesse observiert (…) So beschehen in fernerem beÿseÿn Johannæ gebohrner Beillerin offtgemelten François Mallaine hinterlaßene Wittib, welche declarirt, daß sie in ihrer mit dem Verstorbenen Ehemann seel. auffgerichteter Eheberedung, so sie nicht beÿhanden, den lebenslänglichen wÿdembs genuß verschrieben, demnach sie nach des wittibers ableiben, die wÿdems nießen gegenwärtiger Verstorbenener Ehefrauen Verlaßenschafft zu seÿn sich ermaßet, Straßburg den 7. Aprilis 1766.
Copia Auffgerichter Eheberedung – Copia Codicilli

In einer allhier ane der genanten Judengaß gelegene und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehöriger behaußung folgender maßen befunden worden
Eigenthumb einer behausung. (T.) Eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren begriffen, weiten, Zugehörden, recht und gerechtigkeiten allhier an der genanten Judengaß, einseith neben H. Ambtmann Mathieu, anderseit neben H. Ritzhaus Panquier und hinten auff H. Obrist Von Waltner stoßend gelegen, so über darauf stehenden und hienach unter den passivis benambsten Capitalien freÿ, leedig undt eigen. Der Kaufbrief dieses letztern kaufs ist noch nicht außgefertiget. Urkundtet ferner darüber ein ältere Kauffverschreibung aus allhiesiger cancleÿ contract stub gefertigt de dato 10. Octobris 1710. mit der Statt Insigel verwahret. Und ist obgemelte behaußung vermög beÿ dem concept überschickten schrifftl. Abschatzung unterem 7.ten Martÿ jüngst von der Statt Herrn Werckmeistere geschätzt worden für 900 lb.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändert Vermögen, Sa. Hausraths 37, Sa. Silber 7 ß, Sa. goldner Ring 1, Summa summarum 38 lb
Dießemnach Würd auch des Wittibers unverändert Vermögen beschrieben, so allein in folgenden haußrath bestehet 9 lb
Endlichen Würd auch die übrige Verlaßenschafft unter einem titul als theilbar beschrieben, Sa. Haußrath 46, Sa. Silber 12 ß, Sa. Eigenthümliche behaußung 900, Summa summarum 947 lb – Schulden 1869, übertreffen die passiv Schulden die sogenante theilbare activ nahrung benantlichen umb 922 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 874 lb
Copia der Eheberedung (…) Geschehen allhier in der Königlichen Statt Straßburg den 27. Novembris anno 1752. Johann Jacob Heß, Notarius juratus
Abschatzung Vom 7.ten Martz 1766. Auff Begehren H. Joseph hann ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der Juden gaß gelegen Ein seits Neben H. Rietshaub anderseits Neben H Ambtman Mathier und hienden auff H baran Welter Stosent gelegen solche behausung besteht in Ferder und hiender gebeÿ warinnen Ettliche Stuben Kamern Und Kichen dar jber seindt die dach Stiell mit breit Ziglein belegt hat auch ein gewelbten und getrembten Keller Und Hoff. Von uns Unterschribnen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meister nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth Nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Umb Acht Zehen Hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber

Anne Marie Mallain meurt à l’âge de 43 ans dans la paroisse Saint-Etienne. Son corps est inhumé dans la paroisse Saint-Pierre-le-Jeune
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 107)
Anno domini 1766 die vero 16 Februarii obiit sacramentis ecclesiæ munita anna maria Malin 43 annos nata conjux Francisci josephi Heim sutoris et civis hujatis die vero sequenti ejus corpus prius ad ecclesiam parochianem præsentatum deinde a me infra scripto ad eccelsiam parochialem sancti petri junioris intra argentinenam deductum ibique sepultum fuit præsentibus marito supra dicti et Francisco antonio malin defunctæ frater (signé) frantz Joseph heim, Malen (i 108)

François Joseph Heim se remarie en 1766 avec Françoise Hélène Kiessel, fille du coutelier Jean Joseph Kiessel : contrat de mariage, célébration
1766 (6.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 287
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten herrn Frantz Joseph Heim Schuhmachers Wittibe und burgern allhier als dem Hn Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Franciscæ Helenæ Kiesselin, weÿl. Hn Joh. Joseph Kießels geweßenen Lang Meßerschmidts und Burgers allh. seel. nachgelaßener tochter als der Jgfr. hochzeiterin am andern theil sich begehen und Zugetragen
Straßburg (…) auf Mittwoch den 6.ten Augusti A° 1766 [unterzeichnet] Frantz Joseph heim, franciska Kieslerin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 224)
Hodie 26 Augusti anni 1766 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Franciscus Josephus Heim ciuis et sutor viduus defunctæ annæ mariæ malin, commorans in dicta parochie S Stephani, et Francisca Helena Küssler filia Legitima Joannis ludovici Küssler et Magdalenæ pfeifer defunctorum coniugum Et ciuium hujatim (signé) + signum sponsi + signum sponsæ (i 111

François Joseph Heim meurt en 1783 en délaissant pour unique héritière sa veuve. Les experts estiment la maison à 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 791 livres, le passif à 1 207 livres.

1783 (3.5.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) n° 374
Inventarium über Weiland Herrn Frantz Joseph Heim, im Leben gewesenen Schuhmacher Mstrs und Burgers allhier Zu Straßburg nun seeligen Verlaßenschaft aufgerichtet im Jahr 1783 – nach seinem den 30. Mertz jüngst aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen hat, Welche nahrungs Verlaßenschaft dato Zu End stehend auf Ansuchen Fraun Franciscæ Helenæ Heimin geborner Gießelin, der hinterbliebenen wittib als welcher der Defunctus Zufolg hernach copialiter eingetragenen Eheberedung §° 5° in gegenwärtigen Fall, da Er vor Ihro ohne Verlaßung Ehelich erzeugter Kinder verstorben ist, sein samtlich verlasenes Vermögen zu einem wahren Eigenthum zugesagt und verschrieben hat (…) So geschehen in Einer allhier Zu Straßburg ane der Juden Gaß gelegenen in gegenwärtige Verlaßenschaft gehörigen dahero hernach mit mehrerm beschriebener Behausung in Beisein S. T. Herrn Georg Leonhard Langhannß juris utriusque Lti. Eines Ehrsamen Großen Raths alten, und E. E. kleinen Raths allhier dermaligen wohlverdienten Beisitzers der hinterbliebenen Wb. und Erbin hierzu erbettenen herrn Beistands auf Sambstag den 6.ten May Anno 1783.

Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine Behausung, Hof und Hofstatt mit allen Gebäuden, Begriffen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßburg ane der Juden Gaß, 1.seit neben H. Rath. Saltzmann und Georg fügner dem Schloßer 2.seit neben weil. Ihro Königliche Hoheit Prinzesin Christina von Sachßen hochseel. Verlaßenschafft, hinten auf ebendieselbe stoßend, so freÿ leedig und Eigen und durch hiesiger löbl. Stadt geschworenen herren Werckmeistere Zufolg ihres Zum Concept gelieferten unterschriebenen Abschatzungscheins vom 28. Aprilis 1783 æstimirt worden vor 750 lb. Darüber besagt und ist vorhanden ein in Allhies. C.C. Stub gefertigter deutscher pergament. Kaufbrief mit dero aufgedrucktem Insiegel verwahrt de dato 22. February 1766. Ferner 3. ältere in allhies. C. C. Stub auf pergament ausgefertigte und mit dero anhangeden Insiegeln verwahrte Kaufbriefe sub datis der Erstere 10. Octobris 1710, der Zweÿte 22. Novembr. 1702 und der dritte 5. Sept. 1697.
Wittem, so der Verstorbene lebtägig genoßen hat. Zufolg eines Von weiland Fraun Anna Maria Heimin geborner Malain des Defuncti erstern Ehefrau beÿ herrn Not° regio Lacquiante den 28. Decembris 1757 verschloßen hinterlegten und auf ihr Absterben d. 17. Februarÿ 1766 eröfneter Codicills, hat dieselbe ihrem nun auch verstorbenen Ehemann den lebtägigen Genuß ihres nach tod hinterlaßender Vermögens vermacht, welches nunmehro ihrem seithero auch verstorbenen Bruder und einziger Erben François Malain, dem gewesenen Schuhmacher und Schirms Verwanden allhier modo dessen unbekannten Erben und repræsententen auzsuliefern ist und bestehet solches wittems Guth ausweislich des über besagter Fraun heimin Verlaßenschafft durch weil. herrn Not.m Joh. Jacob heß anno 1766 aufgerichteten Inventarii zu 38 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. hausraths 29, Sa. werckzeugs zum Schuhmacher handwerck gehörig 1, Sa. Silbers 13 ß, Sa. goldener Ring 9, Sa. des Eigenthums ane einer behausung 750, Summa summarum 791 lb – Schulden 1207 lb, Compensando 416 lb – Passiv onus loco Stall-summæ 377 lb
Copia der Eheberedung (…) 6. Augusti 1766 Not. Langheinrich
– Abschatzung Vom 28.t apprill 1783. Auff begeren Weÿland Herr joseph Heim seel. dem geweßenen schuhmacher, ist Eine behausung allhir in der statt straßburg in der juden gaß gelegen, Ein seÿts neben herr pfarrer Saltzmann, anderer seÿts und hinten das hotel der printzesin Christin stoßend gelegen, solche behausung bestehet in forder und Hinter gebäu, worinnen Eine schumacher boutique ferner in dreÿ stuben dreÿ Küchen und Etlichen Kammern, darüber seÿn die dachstühl mit breitzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller, Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwohrenen Werckmeister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Tausend fünff Hundert gulden [unterzeichnet] Götz Wmstr., Kaltner W:Mst
[Joints] Extrait des registres des Mariages de la paroisse D’épinal en Lorraine diocese de St diez, l’an 1713 le 13. fevrier entre jean fils feu étienne malin et de claude pernot d’une part et Marguerite fille de Jean claude durand et de madgelaine Bertrand de cette paroisse – Extrait des registres des batemes de la paroisse D’épinal, Magdelaine fille de Jean malin et de Marguerite durand est née le 3. avril 1714
Mr Michel Manrique maitre cordonnier place Cathedrale a Strasbourg a Ecrit le 9. Xbre 1783 a Mr le Curé d’Epinal par sa Lettre il demande si magdelaine Malin Ve. de Joseph roussel maître serrurier a Epinal est vivante, qu’il lui a écriy sans en avoir eû de Nouvelles, il demande en même temps si elle a touché quelque chose de la succession de feu M Le curé de Klingelfouse de la paroisse de chaiber si elle a aussi touché quelque chose de la succession de feu heil cordonnier a Strasbourg (…)
[Arbre, légende] François malin et Elisabeth Klingelfouse sont morts et ont Laissé pour heritiers anne marie malin et george françois malin, anne marie malin est morte sans enfants le 16. fevrier 1766. sa succession est obvenue de droit à george françois malin son frere qui est mort ensuitte Le 12. mars de la même année et a laissé pour héritier paternel magdeleine malin veuve roussel qui existe encore aujourd’hui et qui est sa cousinne germaine
[Arbre] Jean François Klingelfouse (dont) Elisabeth Klingelfouse ép. François malin François Klingelfouse curé de chaiber

La veuve Marie Françoise Kiessel vend la maison au doreur Sébastien Deck et à sa femme Marie Madeleine Ritter moyennant 2 000 livres.

1786 (5.10.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 376
Fr. Maria Francisca Heimin geb. Kießelin weÿl. Frantz Joseph Heim des schuhmachers wittib beÿständlich H. exsenatoris Johann Keßhammer des schreinermeisters
in gegensein Sebastian Deck des vergulders und Mariæ Magdalenæ geb. Ritterin unter assistentz Antoni Ritter des bildhauers ihres bruders und H. Joseph Keßhammer des schreiner meisters
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Judengaß, einseit neben H. Saltzmann dem buchhändler, anderseit neben der Abteÿ Neuenburg zuständigen hotel, hinten auff derselben – um 4000 gulden

Originaire de Colmar, Sébastien Deck épouse en 1774 Marie Madeleine Ritter, fille du sculpteur Jean Philippe Ritter : contrat de mariage, célébration
1774 (9.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 438
Eheberedung – Zwischen Hn Sebastian Deck, dem leedigen Vergulter Von Collmar gebürtig, weÿl. H Joseph Deck geweßenen Sattlers und Burgers allda seel. nachgelaßenen Sohn, beiständlich Hn Frantz Anthoni Ketterers Bildhauers und Burgers allhier, als dem H Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Maria Magdalena Ritterin, weÿl. Hn Joh: Philipp Ritter geweßenen Bildhauers und Burgers allhier seel. nachgel. Tochter, als der Jgfr. hochzeitern, beiständlich Hn Pierre Joseph Noel, Vergulders dero geschwornen Vogts H Johann Käßhammers Schreiners und Exsenatoris wie auch H Frantz Joseph Geiters Bildhauers Ihres respê Hn Großvatters und Stieffvatters am andern theil
So beschehen in Straßb. auf Freÿtag den 9. 7.bris A° 1774 [unterzeichnet] sebastian deck, maria magdalena ritterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 139)
Hodie 26 Septembris anni 1774 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ Conjuncti sunt Sebastianus Deck Colmariensis defunctorum Francisci Josephi Deck Civis et ephipparÿ Colmariæ et Margaritæ Ketterer Conjugum dum viverent ibidem ratione domicilÿ morum annorum parochianus ad S Laurentium hujus urbis (…) et Magdalena Reuter sive Chevalier filia minorennis defuncti Joannis Philippi Reuter sive Chevalier Civis et Sculptoris hujatis et Magdalenæ froidevaux conjugum dum ille vieret (signé) (-) reüter (i 76)

Sébastien Deck obtient une promesse d’admission à la tribu de l’Echasse le 10 septembre, il devient bourgeois le 14. Il est reçu tributaire le 19 décembre 1774.
1774, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 222) Zunfftschein – Donnerstags d. 10. 7.bris erscheint beÿ dem protocoll Sebastian Deck der leedige Von Collmar gebürtig, bittet zu Erlangung des burgerrechts um einen Zunfftschein, Welcher Ihme auch ertheilt Worden.

Sébastien Deck devient bourgeois par sa femme : inscription au livre de bourgeoisie, registre de traitement des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 116
Sebastian Deck der vergulder von Colmar gebürtig erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrau Magdalena weÿl. Johann Philipp Reuters gewesenen bildhauers und burgers allhier hinterl. ehel. tochter umb den alten burger schilling wille dienen beÿ E. E. Zunfft der Steltz Jur. den eod. 14. 9.br 1774.

(VI 286 bis, p. 131) Steltz N° 9, d. 15 Sept 1774.
Sebastian deck der Vergulder geb. Von Colmar weÿl. Frantz Joseph deck gew. b. u. Sattler daselbst ehl. Sohn Verlobt mit Maria Magdalena, weÿl. Joh: Philipp Ritter gew. b. u. bildhauers alhie ehel. tochter
durch die Schein beweißte die ehl. geburt cath. Rel. die gehörige stadt stall caution geleistet u. deßen sponsæ stall in richtigkeit
500 fl. baaren gelds hat er dargezahlt deß. Eÿgenthumb mit Eÿd behärtet auch 100 fl. 5 ß beÿm b. Pr.ol deponirt
Impl. bittet E.G. unterthänig ihn a Sponsa um d. a. b. ß das b. rechts gnädig Zuvertrösten
a Sponsa um d. a. b. ß

1774, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 228) Montag den 19. Decembris 1774. – Catholischer Neuer Leibzünfftig.
Sebastian Deck der Vergulder Von Collmar gebürtig, stehet Vor prod: Cancelleÿ und Stallschein Vom 14. 9.bris 1774. bitt Ihme Vor i. Leibzünfftigen auf und anzunehmen.
Erkand Willfahrt dt .12. fl. vor das Zunfftrecht 3 fl. Zu unterhaltung der Feurspritz 2 fl. vor den Pfenningthurn und 5. ß Vor das findling hauß, jur. eod.

Sébastien Deck et Marie Madeleine Ritter hypothèquent la maison au profit de l’aubergiste Jean Ehlenholtz

1787 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 396
Sebastian Deck der vergulder und Maria Magdalena geb. Ritterin beÿständlich Antoni Ritter des bildhauers ihres bruders und H. Rathh. Johannes Keßhammer des schreiners
in gegensein H. Rathh. Johannes Ehlenholtz des gastgebers – schuldig seÿen 1500 gulden
unterpfand, die ihnen eigenthümlich zuständig ane der Judengaß gelegene behausung, einseit neben H. Genthon, anderseit neben der Abteÿ Neuenburg zuständigen hotel, hinten auff ebendießelbe

Sébastien Deck meurt en délaissant six enfants

1805 (20 thermidor 13), Strasbourg 6 (33), Not. Laquiante n° 3740
Inventaire de la succession de Sébastien Deck, Doreur et Vernisseur décédé il y a a peu près 10 ans – à la requête de Marie Madeleine Ritter dit Chevalier la veuve, mère et tutrice naturelle des enfants mineurs, Marie Josephe Deck majeure, Sébastien Deck cydevant employé à la Poste aux lettres, majeur, Sr Joseph Courtot, Graveur, tuteur subrogé a Auguste Deck, Marie Thérèse Deck, Marie Janne Antoinette Deck et Louis Deck les quatre enfants mineurs
Biens fonds, une maison de devant et de derrière cour appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Juifs n° 13, d’un côté Sr hatterer de l’autre le Sr Nerquin, derrière Mr Blanchot, devant la rue, estimée 8000 fr
meubles 365 fr, immeuble 8000 fr, passif 7919 francs
Enregistrement, acp 97 F° 72-v du 21 ther. 13

Les enfants Deck louent une partie de la maison au chanoine Alexandre César Hager

1825 (20.1.), Strasbourg 3 (72), M° Schreider n° 2310
Bail de 12 années à commencer le 25.12. dernier – 1. Marie Madeleine Ritter dite Chevalier veuve de Sébastien Deck, doreur & vernisseur, 2. Marie Thérèse Deck, majeure célibataire, 3. Joseph Fritsch commissionnaire, et Marie Jeanne Antonette Deck, 4. François Auguste Deck ci devant tailleur d’habits à Paris demeurant présentement à Bischwiller en leur nom et promettant de faire ratifier 1. François Léopold Sébastien Deck, éclusier au canal Monsieur demeurant à Selztheim près Schlestadt, 2. Louis Mathieu Deck, premier conducteur des Ponts et Chaussées à Metz
Alexandre César Hager, chanoine de la cathédrale
1. tout le premier étage du corps de logis de devant et du corps de logis de derrière, d’une maison appartenant aux bailleurs sise à Strasbourg rue des Juifs n° 13, d’un côté le Sr Hatterer, d’autre Mr Champy, devant la rue, derrière la famille Dartein
2. la cave voutée qui se trouve sous le corps de logis de derrière,
3. une chambre à linge sâle et une autre pour un domestique aux manardes du corps de logis de devant – moyennant un loyer annuel de 600 francs
Enregistrement, acp 171 F° 134-v du 27.1.

Les enfants Deck louent una autre partie de la maison au peintre Pierre de Riccassoli

1825 (20.1.), Strasbourg 3 (72), M° Schreider n° 2311
Bail de 9 années à commencer le 25 mars (Pâques) prochain – 1. Marie Madeleine Ritter dite Chevalier veuve de Sébastien Deck, doreur & vernisseur, 2. Marie Thérèse Deck, majeure célibataire, 3. Joseph Fritsch commissionnaire, et Marie Jeanne Antonette Deck, 4. François Auguste Deck ci devant tailleur d’habits à Paris demeurant présentement à Bischwiller en leur nom et promettant de faire ratifier 1. François Léopold Sébastien Deck, éclusier au canal Monsieur demeurant à Seltzheim près Schlestadt, 2. Louis Mathieu Deck, premier conducteur des Ponts et Chaussées à Metz
à Pierre de Riccassoli peintre
1. tout le second étage du corps de logis de devant se composant de trois chambres & d’une cuisine, dans une maison appartenant aux bailleurs sise à Strasbourg rue des Juifs n° 13, d’un côté le Sr Hatterer, d’autre Mr Champy, devant la rue, derrière la famille Dartein
2. une place dans la cave qui se trouve dans le corps de logis de devant – moyennant un loyer annuel de 370 francs
Enregistrement, acp 171 F° 134-v du 27.1.

Les parties résilient le bail ci-dessus

1825 (7.4.), Strasbourg 3 (73), M° Schreider n° 2400
Résiliation – 1. Marie Thérèse Deck, majeure célibataire ; 2. Joseph Fritsch commissionnaire, et Marie Jeanne Antonette Deck en leur nom et promettant de faire ratifier 1. Marie Madeleine Ritter dite Chevalier veuve de Sébastien Deck, doreur et venisseur, 2. François Léopold Sébastien Deck, éclusier au canal Monsieur demeurant à Selztheim près Schlestadt, 3. Louis Mathieu Deck, premier conducteur des Ponts et Chaussées à Metz
du bail au profit de Pierre de Riccassoli peintre par acte du 20 janvier dernier moyennant un loyer annuel de 370 francs
le second étage du corps de logis de devant d’une maison sise rue des Juifs n° 13
Enregistrement, acp 172 F° 161 du 9.4.

Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Marie Madeleine Fichter veuve de Charles Fabien d’Inarre

1826 (18.1.), Strasbourg 7 (72), M° Stoeber n° 8675
Déclaration tenant lieu d’inventaire – Marie Madeleine Fichter veuve de Charles Fabien d’Inarre, licencié ès loix avoué au tribunal de Strasbourg et plus tard avocat près les tribunaux, décédée le 28 juillet 1825 – Contrat de mariage reçu Lacombe notaire le 6 juillet 1792, mort sans enfants, la veuve est héritière universelle
en la demeure des conjoints rue des Juifs n° 13
garde robe 60 fr ; communauté créances 18.574 fr, mobilier 372 fr, total 18.946 fr
Enregistrement, acp 176 F° 140-v du 19.1.

Marie Madeleine Ritter dite Chevalier meurt en délaissant quatre enfants

1829 (24.6.), Strasbourg 7 (79), M° Stoeber n° 11.789 bis
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Ritter dite Chevalier veuve de Sébastien Deck, doreur vernisseur, décédée le 13 courant – à la requête de 1. Sébastien Deck cultivateur à Zelsheim commune de Friesenheim, 2. Auguste Deck, sans profession demeurant à Rietseltz, 3. Marie Thérèse Deck célibataire majeure en son nom et procuratrice générale de Louis Mathias Deck, conducteur des Ponts et chaussées à Metz, 4. Marie Jeanne Antoinette Deck épouse de Joseph Fristch, commissionnaire, seuls et uniques héritiers de leur mère – Testament reçu par le soussigné notaire le 31 août 1818 enregistré le 16 juin 1829
dans sa demeure au rez de chaussée du bâtiment de derrière de sa maison rue des Juifs n° 13
une maison composée de deux corps de logis, cour, aisances et dépendances située à Strasbourg rue des Juifs n° 13, d’un côté le Sr Hatterer, de l’autre M Champy, derrière la famille Dartain, devant la rue – acquise à la Chambre des Contrats le 5 octobre 1786, Inventaire du Sr Deck dressé par M° Laquiante le 20 thermidor 13 par Marie Françoise Kiesel veuve de François Joseph Heil cordonnier, ce dernier l’a acquis de Madeleine Gerber veuve Jersé mandataire de son frère Albert Joseph Gerber, capitaine du régiment de Chamborant, à la Chambre des Contrats le 22 février 1766 – propriété établie par deux contrats passés à la Chambre des Contrats le 5 septembre 1697 et le 22 novembre 1702. Ladite maison occupée savoir le rez de chaussée et le premier étage par M le Chanoine Huger pour 600 fr, l’autre partie de la maison occupée par les cohéritiers estimée 700 fr, ensemble 1300 fr de revenu ou 26.000 fr de capital
Extrait de l’Inventaire Laquiante – garde robe 30 fr, mobilier 70 fr, passif 24.100 fr
Enregistrement, acp 195 F° 85-v du 4.7.

Marie Thérèse Deck rachète les parts de maison de ses frères et sœur

1831 (15.5.), Strasbourg 14 (90), M° Ritleng n° 1800
1. François Joseph Léopold Sébastien Deck, garde conservateur du canal du Rhône au Rhin domicilié & demeurant à Zelsheim commune de Friesenheim canton Benfeld, 2. Augustin François de Sales Deck, frère de la chapelle St Armuth près Wolxheim, 3. Marie Thérèse Deck, majeure célibataire, 4. Marie Jeanne Antoinette Deck, femme de Joseph Fritsch commissionnaire, 5. Louis Mathias Deck, conducteur des Ponts et Chaussées demeurant à Metz, héritiers de Sébastien Deck vernisseur et Marie Madeleine Ritter dite Chevalier
à Marie Thérèse Deck
qu’ils sont copropriétaires par indivis chacun pour un 5° d’une maison composée de deux corps de bâtiment, cour, aisances, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des Juifs n° 13, d’un côté les héritiers Hatterer, de l’autre M Champy, derrière la propriété de M Dartein, devant la rue, que pour sortir de l’indivision, ils cèdent les quatre 5° indivis – acquis de Marie Françoise Kiesel veuve de François Joseph Heim, cordonnier, par acte passé à la Chambre des Contrats le 5 octobre 1786, prix de la totalité 20.000 fr – moyennant 16.000 francs
acp 204 (3 Q 29 919) f° 24 du 17.5.

Inventaire dressé après la mort du chanoine Alexandre César Hager, locataire

1839 (15.1.), Strasbourg 11 (31), M° Keller n° 444
Inventaire de la succession d’Alexandre César Hager, chanoine à la Cathédrale décédé le 21 décembre dernier, dressé à la requête de 1. Bertrand Eugène D’Oullenbourg, capitaine au cinquième régiment de cuirassiers en garnison Lille, en qualité de mari de Jeanne Catherine Hager, 2. Jean Georges Schoull, ancien greffier de la justice de Paix demeurant à Erstein, mandataire de Catherine Louise Jeanne Barthélémy, rentière à Gleissweiller près Landau, 4. Marie Angélique Louise Hager, majeure à Saasbach (Grand Duché de Bade), 8. Charles Lacombe, notaire, représentant les héritiers absents notamment Marie Madeleine Théodore Antoinette Barthémémy, épouse de Jacomin de Malespines demeurant à Deux Ponts (Bavière Rhénane), lesdites pour un quart héritières universelles suivant testament olographe daté le 2 février 1828 déposé 24 décembre dernier – en présence de Jean Jacques Henri Vion, archiprêtre & chanoine de la Cathédrale exécuteur testamentaire
en la maison qui lui servait de demeure rue des Juifs n° 13
Enregistrement, acp 265 f° 60 du 24.1.

Marie Thérèse Deck meurt en 1840 en délaissant pour légataire universel son neveu Aloyse Alexandre Joseph Fritsch

1840 (6 & 7.7.), Strasbourg 11 (33), M° Keller n° 1039
Inventaire de la succession de Marie Thérèse Deck, fille majeure décédée le 29 juin dernier – à la requête de 1. François Joseph Fritsch, propriétaire, tuteur d’Aloyse Alexandre Joseph son fils de 15 ans né de son mariage avec Marie Jeanne Antoinette Deck, neveu de la défunte et légataire universel suivant testament olographe du 4 juin 1839, 2. M° Lacombe, représentant les légataires particuliers Dlle Flavie & Ernestine Deck nièces de cette dernière domiciliées à Metz – en présence de Jean Georges Schoull, ancien greffier de paix à Erstein, subrogé tuteur
dans une maison rue des Juifs n° 12 appartenant à la succession de la défunte
Titres et papiers, par acte reçu M° Ritleng le 15 mai 1831 la Dlle Deck acquis de ses frères et sœurs quatre 5° faisant leurs parts et portions indivises avec l’acquéreuse propriétaire de l’autre cinquième d’une maison à Strasbourg rue des Juifs n° 13
Enregistrement, acp 279 f° 96 du 16.7.

Aloyse Alexandre Joseph Fritsch meurt en 1843. Ses héritiers sont les frères et sœur de Marie Thérèse Deck en vertu de son testament

1843 (31. 8.br), Strasbourg 11 (37), M° Keller n° 2432
Inventaire de la succession du Sr Aloyse Alexandre Joseph Fritsch fils mineur issu du mariage de François Joseph Fritsch et de défunte Marie Jeanne Antoinette Deck
L’an 1843 le mardi 31 octobre, dix heures du matin, à la requête 1° du Sr François Joseph Fritsch, ancien boulanger, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant a. en son nom direct, b. comme étant aux droits du Sr Auguste François de Sales Deck, frère du pèlerinage de Sr Armuth près Wolxheim aux termes de la donation passée devant M° Keller, notaire à Strasbourg en présence de témoins le 14 septembre 1843 transcrit aux hypothèques volume 407 N° 30, 2° du Sr Philippe Vallon, homme de confiance demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de M. Louis Mathias Deck, conducteur des Ponts et Chaussées demeurant à Metz (…), 3° Et du Sr Jérôme Deck, employé à l’écluse du canal près de Friessenheim où il est domicilié, au nom et comme seul représentant de feu Sébastien Deck son père étant issu du mariage de ce dernier avec Modeste de Kerlau (…) il a été procédé à l’inventaire et exacte description de tous les biens, droits & charges dependant 1° de la succession du Sr Aloyse Alexandre Joseph Fritsch fils mineur issu du mariage du Sr Fritsch requerant avec défunte D° Marie Jeanne Antoinette Deck, ledit mineur décédé à Strasbourg le 28 juin dernier et à laquelle succession sony appelés par la loi A. le S. François Joseph Fritsch père du défunt, habile à s’en porter héritier pour moitié, B. M. Louis Mathias Deck, comme oncle pour un quart, C. Le même Sr Fritsch en qualité de donataire du Sr Auguste François de Sales Deck, aussi oncle dudit mineur, pour le derner quart, Lesdits Louis Mathias Deck & Auguste François de Sales Deck excluant le Sr Jerome Deck leur neveu cidevant nommé comme étant les plus proches, aux termes de l’article 753 du Code Civil.
3° du legs universel fait audit mineur Aloyse Alexandre Joseph Fritsch par Dlle Marie Thérèse Deck sa tante, décédée à Strasbourg le 29 juin 1840 aux termes de son testament olographe formalisé par M. le Président du tribunal civil de Strasbourg & déposé en l’étude de M° Keller l’un des notaires soussignés suivant acte du 4 juillet dite année, le tout enregistré. Lequel testament porte enfin la condition suivante  » si toutefois mon neveu viendroit à mourir avant son père, je laisse à son père la jouissance viagère du legs de mon neveu à condition qu’après sa mort l’héritage retombe sur ma famille de ce jour.  »
Etant les Srs Louis Mathias Deck comme frère germain de ladite testatrice habile à se dire et porter héritier de cette dernière quant à la disposition cidessus pour un tiers
Le Sr Auguste François de Sales Deck aussi frère germain de ladite testatrice Dlle Marie Thérèse Deck habile à succéder au susdit legs pour le second tiers
Enfin le Sr Jerome Deck habile à succéder pour le dernier tiers par représentation de Sébastien Deck son père qui était également frère germain de la Dlle Deck susnommée (…) à Strasbourg au domicile mortuaire du mineur Fritsch étant la demeure du père rue des Juifs N° 13

Première opération. Inventaire des biens ayant fait partie de la communauté qui a existé entre le Sr François Joseph Fritsch et défunte Marie Jeanne Antoinette Deck sa femme, ainsi que de la succession de cette dernière. Le Sr Fritsch déclare qu’après le décès de sa dite femme il n’a point été fait d’inventaire et que cette dernière a délaissé pour seul enfant et unique héritier Aloïse Alexandre Joseph Fritsch son fils prédénommé. qu’il s’est marié sous l’empire du Code Civil dans avoir fait un Contrat de mariage, que par conséquent leur association conjugale était régie par la communauté légale
Immeuble. Une grande maison à trois étages avec cour, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Juifs N° 13, tenant d’un côté à la propriété de M. Champy, de l’autre à celle de M. Mathieu, devant ladite rue et derrière tenant à la propriété des veuve et héritiers Dartein. Acquise par feu Dlle Marie Thérèse Deck suivant contrat de licitation passé entre elle et ses frères et sœur devant M° Ritleng et son Collègue notaires à Strasbourg le 15 mai 1831.
acp 315 (3 Q 30 030) f° 71 – Communauté de biens, total des objets mobiliers et créances 3600 – Succession du défunt, activement 1800, passivement 252, reste 1545.
Legs de la Dlle Deck, 1° meubles et objets mobiliers 733, 2° une maison, Passif 21.218

Les héritiers vendent par adjudication la maison à Jean Faber, receveur des contributions directes

1843 (18. Xbr), Strasbourg 11 (37), M° Keller n° 2498
N° 2483. Cahier des charges 9. Xbr. 1843. Ont comparu 1° M. François Joseph Fritsch, ancien boulanger, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant A. en son nom direct, B. comme étant aux droits du Sr Auguste François de Sales Deck, frère du pèlerinage de Sr Armuth près Wolxheim aux termes de la donation passée devant M° Keller le 14 septembre 1843 transcrit aux hypothèques volume 407 N° 30, 2° Le Sr Philippe Vallon, homme de confiance demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de M. Louis Mathias Deck, conducteur des ponts et chaussées demeurant à Metz (…), 3° Et M. Thiebaut Frédéric Pfister agent du canal du canal du Rhône au Rhin demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de spécial du Sr Jérôme Deck, employé à l’écluse du canal du Rhône au Rhin sous N° 78 banlieue de Friessenheim où il demeure (…), Lesquels étant intentiionnés de vendre en la forme d’une adjudication volontaire (…) la maison et dépendances ci après désignée dont ils sont propriétaires par indivis
Cahier des charges. Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison sise à Strasbourg, rue des Juifs N° 13, composée d’un bâtiment de devant, cour, bâtiment de derrière, puits avec pompe, appartenances et dépendances, le tout confronté d’un côté par M. Pierre Champy, de l’autre par M. le commandant Mathieu, donnant par devant sur la rue des Juifs et par derrière sur la propriété de la famille Dartein et en partie sur celle de M. Champy.
Etablissement de la propriété. Cette maison appartient aux Sr Fritsch et Deck comme leur étant dévolue de la manière ci après énoncée. A) D’abord elle appartenait à Dlle Marie Thérèse Deck propriétaire à Strasbourg, décédée en cette ville le 29 juin 1840 et à laquelle elle est échue pour un cinquième en qualité d’héritière de feu le Sr Sébastien Deck, vivant doreur à Strasbourg et Marie Madeleine Ritter dite Chevalier, ses père et mère, Et pour les quatre autres cinquièmes comme en ayant fait l’acquisition de ses frères et sœurs ci après nommés 1° M. François Jacques Léopold Sébastien Deck, vivant garde conservateur du canal du Rhône au Rhin, 2° M. Augustin François de Sales Deck frère de la chapelle St Armuth près Wolxheim, où il demeure, 3. Mad° Marie Jeanne Antoinette Deck, vivante femme du Sr Joseph Fritsch comparant et 4° M. Louis Mathias Deck, conducteur des ponts & chaussées demeurant à Metz, ainsi que le tout résulte d’un contrat passé devant M° Ritleng qui en a la minute et son collègue notaires à Strasbourg le 15 mai 1831 contenant licitation et décompte du prix entre les héritiers, en résultat duquel décompte la Dlle Marie Thérèse Deck ne restait devoir (…) B) Les conjoints Sébastien Deck et Marie Madeleine Ritter père et mère de la Dlle Deck possédaient ladite maison depuis plus de trente ans avant la vente faite à cette dernière. Ils en avaient fait l’acquisition de D° Marie Françoise Kieselin veuve de François Jacques Heim suivant contrat passé à la Chambre des Contrats de Strasbourg le 5 octobre 1786. (…)
C) En vertu de son testament olographe du 4 juin 1839, la Dlle Marie Thérèse Deck a institué pour son héritier universel son neveu Aloïse Alexandre Joseph Fritsch, fils mineur du Sr François Joseph Fritsch et de feu Marie Jeannette Deck susnommée. Cette institution a eu lieu à la charge de divers legs particuliers dont délivrance a été faite aux légataires suivant actes passés devant M° Keller et son collègue les 20 juillet et 10 octobre 1840, 7 janvier et 11 juillet 1842. Et suivant codicile en suite dudit testament et portant la même date, la Dlle Deck a ajouté au legs universel susénoncé qu’en cas de décès du mineur Fritsch avant son père, ce dernier aurait la jouissance viagère du dit legs, à la condition qu’après sa mort l’héritage retourne à la famille de la testatrice. (…) Ledit Fritsch légataire universel a été envoyé en possession de tous les biens dépendant de la succession de la testatrice suivant ordonnance rendue par le Président du tribunal civil de Strasbourg le 24 juillet 1840. (…)
D) Ledit légataire universel Aloïse Alexandre Joseph Fritsch étant décédé à Strasbourg le 28 juin 1843 en âge de minorité et ab intestat, la maison par lui recueillie dans la succession de Dlle Deck sa tante est, en vertu du codicille de cette dernière dont il est ci-dessus parlé, échue a) au Sieur François Jacques Fritsch en usufruit, lequel sera exercé sur le prix de licitation ainsi que ce dernier y consent, b) En nue propriété aux plus proches parens de ladite dlle Deck, lesquels dont 1° le sieur Auguste François de Sales Deck, frère germain de cette dernière, 2° Louis Mathias Deck, aussi frère germain, 3° Et Jérôme Deck neveu de la même testatrice venant par représentation de feu Sébastien Deck son père dont il est seul enfant et unique héritier, ainsi que le tout est à voir par l’inventaire dressé par M° Keller qui en a la minute et son collègue les 31 octobre et 4 novembre 1843 et dans lequel le Sr François Joseph Fritsch a figuré tant en son nom direct que comme donataire des droits successifs du Sr Auguste François de Sales Deck aux termes d’une donation passée devant ledit M° Keller le 14 septembre 1843, préallégué et transcrit aux hypothèques le 7 octobre suivant volume 407 N° 30 à charge de l’inscription d’office faite au volume 395 N° 129.
Etat civil des parties. Les comparans déclarent 1° que le Sr François Joseph Fritsch est toujours veuf de défunte d° Marie Jeanne Antoinette Deck, 2° que le Sr Jérôme Deck est en état de célibat ainsi que le Sr Auguste François de Sales Deck, 3° Enfin que le Sr Louis Mathias Deck est marié en premières noces avec d° Thérèse née Bauche (…)
Charges et conditions. Article 4° Feront partie de l’immeuble et sont compris dans la vente 1° quatre consoles pacées au premier étage, 2° cinq trumeaux, 3° les chantiers se trouvant dans la cave, 4° les objets scellés et incorporés dans l’immeuble
N° 2498, Adjudication 18. Xbre 1843 – Mise à prix 30.000 francs. Plusieurs bougies ayant été successivement allumées, diverses enchères ont été parlées et en dernier lieu M. Jean Faber, receveur particulier des contributions directes demeurant à Strasbourg a enchéri ledit immeuble à la somme de 38.100 francs
acp 317 (3 Q 30 032) f° 55 et acp 318 (3 Q 30 033) f° 9-v

Natif de Bischwiller, Jean Faber épouse en 1819 Dorothée Salomé Hemmet
1819 (25.9.), Strasbourg 14 (63), M° Lex n° 1235
Contrat de mariage – Jean Faber, natif de Bischwiller commis négociant à Strasbourg, fils de feu Jean Faber, chirurgien major du 18° régiment de cavalerie, et de Marie Catherine Bertrand
Dorothée Salomé Hemmet, fille majeure de feu Frédéric Hemmet, coeffeur à Deux Ponts, et de Salomé Klaffzig
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
la future épouse apporte en immeubles 2) dans le tiers par indivis à lui avenu des succession de ses père et mère dans une maison sise en cette ville rue des Juifs n° 29 d’un côté le Sr Kimich, d’autre le Sr Magnier, derrière le Sr Dettling, devant la rue
2. dans le tiers provenant des mêmes successions dans une maison et dépendances sise à Strasbourg Vieux Marché aux Vins n° 66, d’un côté le Sr Schott, d’autre la veuve Catherine Eberlé, devant la rue vis à vis le temple de St Pierre le vieux, derrière le faux rempart
Enregistrement, acp 144 F° 150 du 29.9.

Frédérique Wilhelmine Emelie Faber et Emma Octavie Faber, épouse du pasteur Gustave Eugène Parrot, vendent leurs parts de maison à leur sœur Elodie Henriette Faber, épouse de l’agent de change Eugène Edouard Heydenreich

1864 (1.7.), Strasbourg 15 (112), M° Momy (Hippolyte) n° 9769
Vente du 1° juillet 1864 – Ont comparu I. Madame Elodie Henriette Faber, épouse assistée et autorisée de M. Eugène Edouard Heydenreich, agent de change, demeurant ensemble & domiciliés à Strasbourg, II. et Mademoiselle Frédérique Wilhelmine Emelie Faber, majeure, rentière, demeurant au dit Strasbourg, Agissant tant en son nom personnel qu’au nom et comme mandataire de Madame Emma Octavie Faber, épouse autorisée de M Gustave Eugène Parrot, Ministre du Saint Evangile et pasteur à Champey demeurant ensemble et domiciliés en cette commune (…) Lesdites D° Heydenreich, dlle Emelie Faber & D° Parrot seules héritieres chacune d’elles pour un tiers de 1° M. Jean Faber, en son vivant receveur des contributions directes du deuxième arrondissement de la Ville de Strasbourg où il est décédé le 15 novembre 1856 ainsi qu’il résulte d’un acte de notoriété dressé en minute par M° Momy l’un des notaires soussignés le 9 décembre 1856 et d’un intitulé d’inventaire dressé par le même notaire le 15 janvier suivant, 2° Mad° Dorothée Salomé Heinrich veuve du susdit M. Jean Faber, décédée à Strasbourg le 10 septembre 1862, Lesquelles ont dit qu’elles ont recueilli entr’autres biens dans la succession dudit Faber, prénommé, une maison avec petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg est restée indivise entr’elles après le partage de ladite succession dressé par M° Momy l’un des notaires soussignés le 25 février 1863. Les Dame et Demoiselle comparantes et Mad° Parrot désirant sortir de l’indivision ont licité entre elles l’immeuble sont il s’agit
au profit de Mad. Heydenreich.
les deux tiers indivis leur appartenant dans la maison dont il s’agit sise à Strasbourg rue des Juifs n° 25 autrefois N° 13, composée d’un bâtiment de devant, cour, bâtiment de derrière, puits avec pompe, appartenances et dépendances, le tout confronté d’un côté par M. Weick, de l’autre par M. Bach, donnant par devant sur la rue des Juifs et par derrière sur la propriété de M. de Dartein et en partie sur celle de M. Bach.
Propriété. L’immeuble dont s’agit appartient à Mad. veuve Faber pour lui avoir été abandonné en toute propriété par les héritiers de son mari dans un acte reçu par M° Momy le 11 avril 1852 contenant liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre M. et Mad. Faber de la succession du mari. Cet immeuble dépendait de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre M. et Mad. Faber pour avoir été acquis durant son cours par M. Faber de 1° M. François Jacques Fritsch ancien boulanger à Strasbourg 2° M. Louis Mathias Deck conducteur des ponts et chaussées à Metz, 3° de M. Jérôme Deck employé à l’écluse du canal du Rhône au Rhin à Friessenheim suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Keller notaire à Strasbourg le 18 décembre 1843 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 11 janvier suivant volume 411 N° 59 et inscrit d’office le même jour au valeur 399 N° 307.
II. Il est dit dans le contrat qui vient d’être visé relativement à l’établissement de la propriété que la maison licitée était la propriété des Sr Fritsch et Deck pour leur être dévolue de la manière suivante. a) Cette maison appartenait dans le principe à Dlle Marie Thérèse Deck propriétaire à Strasbourg, décédée en cette ville le 29 juin 1840 et à laquelle elle est échue pour un cinquième en qualité d’héritière de feu le Sr Sébastien Deck vivant doreur à Strasbourg et D° Marie Madeleine Ritter dite Chevalier ses père et mère, et pour les quatre autres cinquièmes comme en ayant fait l’acquisition de ses frères et sœurs ci après nommés 1° M. François Jacques Léopold Sébastien Deck, vivant garde conservateur du canal du Rhône au Rhin, 2° M. Augustin François de Sales Deck frère de la chapelle St Armuth près Wolxheim, 3. Mad° Marie Jeanne Antoinette Deck épouse de Joseph Fritsch déjà nommé et 4° M. Louis Mathias Deck, conducteur des ponts et chaussées demeurant à Metz, ainsi que le tout résulte d’un contrat passé devant M° Ritleng et son collègue notaires à Strasbourg le 15 mai 1831 contenant licitation et décompte du prix entre les héritiers, en résultat duquel décompte la Dlle Marie Thérèse Deck ne restait devoir (…) b) les conjoints Sébastien Deck et Marie Madeleine Ritter père et mère de la susdite Dlle Marie Thérèse Deck possédaient ladite maison depuis plus de trente ans avant la vente faite à cette dernière. Ils en avaient fait l’acquisition de D° Marie Françoise Kieselin veuve de François Jacques Heim suivant contrat passé à la chambre des contrats de Strasbourg le 5 octobre 1786.
c) En vertu de son testament olographe du 4 juin 1839, la Dlle Marie Thérèse Deck a institué pour son héritier universel son neveu Aloïse Alexandre Joseph Fritsch, fils mineur de François Joseph Fritsch et de feu Marie Jeannette Deck prénommée. Cette institution a eu lieu à la charge de divers legs particuliers dont délivrance a été faite aux légataires suivant actes passés devant M° Keller et son collègue notaires à Strasbourg les 20 juillet et 10 octobre 1840, 7 janvier et 11 juillet 1842. Et suivant codicile en suite dudit testament et portant la même date la Dlle Deck a ajouté au legs universel sus énoncé qu’en cas de décès du mineur Fritsch avant son père, ce dernier aurait la jouissance gratuite et viagère du dit legs à condition qu’après sa mort l’héritage retourne à la famille de la testatrice. (…) Ledit Fritsch légataire universel a été envoyé en possession de tous les biens dépendant de la succession de la testatrice suivant ordonnance rendue par le Président du tribunal civil de Strasbourg le 24 juillet 1840.
d) Ledit Fritsch légataire universel étant décédé à Strasbourg le 28 juin 1843 en âge de minorité et ab intestat, la maison recueillie par lui dans la succession de Dlle Deck sa tante est, en vertu du codicille de cette dernière dont il est ci-dessus parlé, échue 1) au Sr François Jacques Fritsch en usufruit 2) et en nue propriété aux Sr Auguste François de Sales Deck, Louis Mathias Deck & Jérôme Deck tous vendeurs au contrat du 8 décembre 1843 préallégué, à l’exception du Sr Auguste François de Sales Deck qui a fait donation de ses droits successifs au dit Sr François Jacques Fritsch suivant acte passé devant M° Keller prénommé le 14 septembre 1843, transcrit aux hypothèques le 7 octobre suivant volume 407 N° 30. – Prix, 28.000 francs (…) Etat civil des venderesses. La même Dlle Faber déclare 1° qu’elle est célibataire et que M et Mde Parrot sont mariés sous le régime de la communauté de biens sans clauses restrictives ni modificatibes aux termes de leur contrat de mariage reçu par M° Momy l’un des notaires soussignés le 15 août 1857.
acp 534 (3 Q 30 249) f° 43-v du 3.7.

Originaire de Wissembourg, Eugène Edouard Heydenreich épouse en 1845 Elodie Henriette Faber
1845 (24.4.), Strasbourg 2 (91), M° Roessel n° 604
Contrat de mariage – ont comparu Mr Eugène Edouard Heydenreich, agent de change, demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de Mr Jean Adolphe Heydenreich, propriétaire & de Dame Christine Wilhelmine née Wachter, son épouse demeurant ensemble à Wissemboirg, stipulant en son nom personnel comme futur époux, d’une part
Et Madlle Elodie Henriette Faber, demeurant à Strasbourg chez ses parens ci après nommés, fille majeure de Mr Jean Faber, percepteur du deuxième arrondissement de Strasbourg & Dame Dorothé Salomé Hemmet son épouse demeurans & domiciliés ensemble en cette ville, stipulant en son nom personnel comme future épouse
acp 335 (3 Q 30 050) f° 21 – régime de communauté de biens réduite aux acquêts
Les apports du futur consistent en 1) sa charge d’agent de change évaluée 26.000, 2) cautionnement de ladite charge 8000, 3) les extances dues pour courtage 2091, 4) argent en caisse 500, 5) créances 3006, total 39.597, passif 13.500, reste 26.097
Las apports de la future consistent 1) en une somme de 300 francs, 2) en une valeur de 12.000 francs que M. et Mde Faber s’engagent à lui livrer en argent comptant le jour de la célébration du mariage, 3° en un trousseau d’une valeur de 4000, total 16.000 francs
Donation réciproque par le prémourant au survivant des futur époux de l’usufruit gratuit et viager avec dispense de fournir caution de tous les biens meubles et immeubles de la succession. Cette donation réductible à l’usufruit de la moitié des dits biens en cas d’existence d’enfants.

Eugène Edouard Heydenreich meurt en 1871 en délaissant deux enfants
1871 (15.7), M° Momy (minutes en déficit)
Notorietäts Akt über das Ableben des zu Straßburg am 13. Mai currentis verstorbenen Agenten Eugen Eduard Heydenreich, welcher als Erben hinterließ 1) Marie Luise Heydenreich, Ehefrau des Doctors der Philosophie Julius Edmond Willm, beide zu Paris und 2) Eduard Albert Heydenreich, Student der Medizin zu Straßburg
acp 596 (3 Q 30 311) f° 107 n° 1105 du 15.7.

Sa veuve Elodie Henriette Faber meurt en 1882
1883 (30.5.), M° Loew
Offenkunde woraus ersichtlich ist, daß Elodie Henriette Faber Wittwe von Eduard Heydenreich zu Straßburg am 27. October 1882 starb & als Erben ihre beide Kinder hinterließ 1) Eduard Albert Heydenreich, Professor in der medizinischen Fakultät zu Nancy, 2) Marie Lucie Heydenreich, Ehefrau von Julius Edmund Willm, Professor in der wissenschaftlichen Fakultät in Lille
acp 741 (3 Q 30 456) f° 19-v n° 2332 du 8.9.

Inventaire dressé après sa mort. La maison est indivise entre les deux héritiers

1883 (29.3.), M° Loew
Erbverzeichnis über dem Nachlass der am 4. Oktober 1882 hieselbst verstorbenen Elodie Henriette Faber Wittwe von Eduard Heydenreich
Erben sind die zwei Kinder Eduard Albert Heydenreich, Professor in Nancy, Marie Lucie Heydenreich, Ehefrau des Professors Julius Edmund Willm in Lille
acp 736 (3 Q 30 451) f° 84 n° 187 du 9.4. Nachlassmasse, Mobilien geachtet zu 2205, Kleider 291
II. Inhabertitel (1-13) 39.186, II. Nenntitel 17.766, III. Grundrenten 11.467
Liegenschaften, Ein Haus in der Judengasse N° 25
Feld und Wiesen in den Bännen Lupstein und Littenheim, verpachtet laut Urkunde Grennell vom 24 November 1849 gegen jährlich 1425 Liter Weizen, Jahresertrag 263, Kapital 5264, verflallene Pachtzinsrate 194, verfallene Mietzinsrate des Wohnhauses 102
Passiva, Berdigungskosten
acp 736 (3 Q 30 451) f° 85 n° 188 du 9.4. – Theilung, 31. April
Massenaufstellung. Mobilien 2205, Kleider 291, Grundrenten 11.468, Liegenschaften 5458, Werthpapiern Inhabertitel 39.186, Nenntitel 17.766, Zusammen 76.375
Ungetheilt soll bleiben das Anwesen Judengasse 28

Les héritiers Heydenreich vendent la maison à la mineure Catherine Henriette Vonseel

1883, M° Loew
24. April – Bedingnisheft auf Grund dessen die nachgenannte Eigenthümer ein hier in der Judengasse N° 25 gelegenes Anwesen, bestehend aus Vorderhaus, hof, hintergebäude und Zugehör zu versteigern gedenken
die Eigenthümer sind 1° Eheleute Eduard Willm, Professor und Maria Lucie Heydenreich i, Lille, 2) Eheleute Eduard Albert Heydenreich, Professor und Marie Therese Augustine Parisot in Nancy
Eigenthumsnachweis. den Genossen aus dem Nachlasse des den 27. October 1882 hier verlebten Mutter Elodie Henriette Faber, Wittwe von Eduard Heydenreich anerfallen
acp 737 (3 Q 30 452) f° 27 n° 475 du 1.5.
N° 476. Versteigerung Loew 30. April – Katharina Henriette Vonseel, minderjährig, ohne Gewerb, Preis 39.700 Mark
ein hier in der Judengasse N° 25 gelegenes Anwesen, bestehend aus Vorderhaus, hof, hintergebäude und Zugehör

Compte que rend Jean Treser de la tutelle des biens appartenant à Catherine Henriette Vonseel
1887 (29.3.), M° Keller
Vormundschafts Rechnung gestellt durch Johann Treser, Eigenthümer, der Catharina Henriette Vonseel, Rentnerin hier
acp 785 (3 Q 30 500) f° 96-v n° 4466 du 30.3.

Henriette Vonseel (qui épousera le marchand Ernest Frédéric Stoll en 1907), alors rentière à Molsheim, vend la maison au comptable Auguste Gross et à sa femme Emma Huber

1893 (4.11.), M° Mossler
Verkauf – Henriette Vonseel, Rentnerin in Molsheim
an Eheleute August Gross, Buchhalter, und Emma Huber hier
eines Anwesend bestehend aus Vorderhaus mit Erdgeschoß & 3 Stockwerken, Hintergebäude, in der Judengasse N° 25 hier Sektion N 1298, 1298 mit 2 Aren Fläche
Erworben laut Versteigerung Loew vom 30. April 1883. Besitz, Genuß & Lasten vom 25. Dezember 1893 ab. Preis 40.000, hievon sind zahlbar al 27. Dezember 18.000 due übrigen 22.000 sind zahlbar an Carl August Barth, Rentner hier, Gläubiger laut Obligation Keller vom 20. May 1893
acp 880 (3 Q 30 595) f° 75-v n° 3677 du 11.11.

Originaire de Schwarzach en Bade, Emma Huber épouse en 1878 le mécanicien Daniel Théodore Aron puis en 1887 le commis négociant Charles Auguste Gross
Mariage, Strasbourg (n° 730)
Strassburg am 17. Dezember 1878. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Mechaniker Daniel Theodor Aron, evangelischer Religion, geboren den 9. November 1855 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Gärtners Michael Aron und der Johanna gebornen Werthmüllerin, Eheleute wohnhaft zu Strassburg
2. die Tabackarbeiterin Emma Huber, evangelischer Religion, geboren den 25. Martz des Jahres 1856 zu Schwarzach (Baden), wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter des verstorbenen Tagners Johann Baptist Huber, zuletzt wohnhaft zu Strassburg und der Luise gebornen Friedmann, wohnhaft zu Straßburg (i 108)

Mariage, Strasbourg (n° 583)
Straßburg am 24. September 1887. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Handlungsgehülfte Carl August Gros, evangelischer Religion, geboren den 9. Mai 1841 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Sohn des verstorbenen Müllers David Gros, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Salome Meeli, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg
2. die gewerblose Emma Huber, evangelischer Religion, geboren den 25. Martz des Jahres 1856 zu Schwarzach (Baden), wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Mechanikers Daniel Theodor Aron, zu Straßburg gestorben den 19. Februar 1883, Tochter des verstorbenen Tagners Johann Baptist Huber, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Luise Friedmann, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg


Maison avant (1620-1639)

Jean Heberlin vend la maison avant au menuisier Georges Dœrner et à sa femme Chrétienne Hein. Les parties établissent des servitudes relatives aux ouvertures vers la cour, notamment au cas où la maison arrière reviendrait à un étranger. Elles se partagent aussi les obligations dont la maison est grevée.

1620 (15 Junÿ), Chancellerie, vol. 440 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 47
Kauffverschreÿbung Georg Dörners des schreÿners vber sein Behausung
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1620 folio 59. Zubefind.) Erschienen Hanß Häberlen der Schreiner vnd Burg. alhie
hatt in gegenwertigkeyt Georg Dörners auch schreÿners alhie vnd Christina Heÿnin seiner ehelichen haußfrawen (verkaufft)
ein vorder Behausung alhie In der Juden gassen einseyt neben NN Pfarrh. Zu Ingenheim and.seyt neben fraw Barbaræ Bocken Behausung hinden auff Ine den Verkauffer stoßend gelegen, von welcher vnd sein des verkauffers behausung welche vor diesem nur eine Behausung gewesen gehend Jarlichs Siben Pfund 10 schilling auff weÿhenachten Hanß Jacob Meyern treyers ane d. Muntz. In hauptgut mit 150. lb, Item 15 guld. Straßburg wehrung Peter Kameln auff (-) In hauptgut mit 308 gl wherung, Item 8 lb 18 ß weÿland Michael Ziegels seligen erben auff Michaelis In hauptgut mit 175 pfund so zu Zeylen erlegt werden muessen, Item 1 lb 10 ß auff den 9. Maÿ Philipp Dienasten selig erben in hauptgut mit 150 lb abzulösen sonst ledig vnd eÿgen, da der kauff der jetzverkaufften Behausung geschehen das zu derselben vordern behausung (noch weythers denen fenstern zu dem hoff gericht hinden ane der vordern behausung stosset vnd der verkeuffer bisher Inngehabt mit diser bescheydenheyt vnd geding) gehörig sein soll der Kammer ane des Obgemelten Pfarrhrs. Behausung so auff des Verkeuffers behausung stoßet außtruckenlich bedingt das die Keuffer so lang er der Verkeuffer In leben vnd desselben behausung In kein andere vnd frembde hand kommen würdt also verpleyben, vnd Ime dem Keüffern ettwas vnd. gemelter kammeren Zubawen od. fürzunemmen nit gestattet werden, sobald aber Jetzangeregter fahl sich begeben vnd die hind. behaußung In ein frembde hand kommen würde, daß als dann Ime dem Keuffern vnder gedacht Kammern von derselben hindern Pfosten ane der hindern behausung der schnur nach vnd. vnd vber sich seiner gelegenheit nach dergestalt Zubawen erlaubt vnd Zugelassen sein, das vnden ane dem eck solchen Bawes ein fahß vnd treyer schuh breÿt platz damit der besitz. des hind.n hauses desto fueglich. zwisch. solches eck vnd dem eÿchenen pfosten darauff des Verkeuffers behausung Zum theÿl stehet, hind.nach* ohnverhind. gehen* vnd handlen mög, vnd Ime dem Keuffern alß dann neben den Jetzigen Zweÿen noch ein stech fenster In die Rigelwand zusetzen, doch das dieselbe vergattert werden, Zugelaßen, mit diesem verneren geding vnd vorbehalt, das er der Verkeuffer nit macht haben soll In seiner hindern Behausung dem Käuffern weder mit Gangen oder andern gebawen, wie hergeg. dem Verkeuffern sein Behausung mit der gleychen od. andn. gebewen, Zuverbawen od. ane gepurenden liecht Zuverhindn. vnd dieweyl obgemeldte bede behausung wie oben gemeldtet samptlichen vnd ohnverscheydenlichen mitt ettlichen Zinsen vnd hauptgutt verhafftet vnd beschwerdt, hetten sich mitt einander dahin verglichen das vnder Jetzangeregten beschwerden die Keuffere die Siben pfund 10 schilling auff weÿhenachten gefallende vnd mit 150. lb Johann Jacob Meyern vnd die acht pfund 15 schilling Zinsen so auff Michaelis Michael Ziegels selig. Kindn. gereycht vnd mit 175 lb abzulösen auff sich nemmen, die überige beschwerden der Verkeuffer auff Ime selbst tragen (…) vnd were obgemelter Kauff vber mehrgenante beschwerden zugangen vnd beschehen für vnd vmb 62 pfund 10 schilling

Educateur à l’orphelinat, Georges Dœrner passe une antichrèse et un bail au profit de Gertrude Zorn de Plobsheim veuve de Hornberg

1628 (8. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 n° 372
Erschienen die woledle, Vilehren vnd tugendreiche fraw Gertrudt von Hornberg, witib gebohrne Zornin von Plopsheim mit beÿstand der Gestrend Woledlen vesten Philipp Ludwig Zornen von Plobsheim ihres Brudern, Jr. hannß Daniel Wormbsers vnd Jr. Wolff Bernharden von Botzh. ihr beeder Vetern vnd v.wanthen An einem,
So dann Georg Dörner burg. Zu St. ietziger Zeit weisenvater, Am Andern theil, Zeigten An, vnd bekanten gegen einander
daß sie beede Parten sich eines Antichriseos vndt Lehenung volgender gestalt mit einander verglichen,
Nemblichen hat sie Fraw Gertrudt sechß Jahr lang die nechsten von schierist künfftig Michaelis an nach einander folgend, von ihme dörner entlehnet (…) Seine behausung mit allen deren gebawen, begriffen vnd Zugehörd. gelegen alhie in d. Judengassen neben Conrad Steiner dem vogteÿ gericht schreiber ein vnd 2. seit neben weÿ: Fr. Barbara Bocklerin see. Erben, hind. vff Jacob Gullen dem schreiner stoßend für vnd vmb einen Jährlichen Zinß benantlichen xxv. lb d

Chrétienne Hein et ses enfants et petits-enfants respectifs Marguerite Kraffberger, Adam Georg et Louis Kraffberger vendent la maison au tonnelier Louis Frédéric Heckel. Les vendeurs s’engagent à rembourser 25 livres si la pièce en litige devant le Petit sénat était soustraite de la maison vendue.

1630 (ut spâ [10. 7.bris]), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 618
(Protocollat. fol. 82.) Erschienen weÿ: Georg Dörners gewesenen Schreiners vnd Burgers see. alhie nachgelaßene witib Christina heinin mit beÿstand Peter Müllers deß schreiners, ihres Vogts, Item Balthasar Kütich der Schreiner, alß vogt Margarethæ Kraffbergerin, Mehr hanß Conrad Kullin der Schreiner alß Vogt Adami, weÿland Adams Georgen deß schreiners see: mit Appoloniæ Kraffbergerin erzeügten sohns, So dann Ludwig Craffberger auch Schreiner vnd burger alhie, für sich selbsten, haben mit beÿstand H hanß Philipp Schatzen vnd H Johann Georg Marbachen, alß hierzu insonderheit vß eines Ers. groß. Rhats mitel, ex officio deputirter herren, (verkaufft)
Ludwig Friderich Heckeln dem Küeffer, auch burg. alhie
Ein Behaußung, vnd hoffstat mit allen s. gelegen alhie vnden in der Judengaßen, neben herrn Johann (-) Pfarrherren Zu Schwindratzheim & neben Fr. Barbara Böckhlerin, hinden vff Jacob Kullin stoßend, welche behausung noch verhafftet ist umb 75. lb. d H Joachim Brackenhofer XXI.er daran vnd necht kommend Weÿhenachten 25. lb nachgehendts aber alle Jar vff ietzbesagte zeit 15. lb (…), Item vmb 162. lb. 10. lb 10. ß d weÿl. Michel Ziegels gewesenen Schaffners s: Zu S. Steffan alhie in letster Ehe erzeugten Kindern, daran Jährlich vff Michaelis 12. lb 10. ß (…), So dann vmb 75. lb. herrn Johann Jacob Meÿern grossen Rhats verwanthen (…) sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vndt were diser Kauff vber vorgesetzte beschwerd., so der Käuffer auff sich genommen, Zugangen und beschehen für und umb 112 pfundt (…)
Dabeÿ abgeredt, weil eine in diser ietzverkauften Behausung befindliche Cammer vor E. E Kleinen Rhat streitig da solche von dieser ietzverkaufften Behausung weggesprochen wurde, daß sie die Verkäuffere darfür dem Käuffer wid.umb XXV. lb d Zuerstaten vnd herauß Zugeben schuldig und verbunden sein sollen.

Fils du maître de la Grue Jean Heckel, Louis Frédéric Heckel épouse en 1629 Marie, fille de Luc Spiess
Proclamation, cathédrale (luth. p. 260)
1629. Dominica 15. Trin: 21. 7.bris. Ludwig Friderich Häckel der küeffer, Hans Häckel des granmeisters n. sohn, vnd J. Maria H. Lucas Spies tochter, eingesegnet zum J. S. P. Zinstag 30. 7.bris (i 135 – pas d’autre acte)

Louis Frédéric Heckel hypothèque la maison au profit du tailleur Georges Notter

1630 (11. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 722
Erschienen Ludwig Friderich Heckel der Küeffer burger Zu St.
hatt in gegensein Georg Noters deß schneiders auch burgers alhie – schuldig seÿ Lxxxxvij. Reichßthaler
zu vnderpfand verlegt Ein behausung mit allen ihren gebäwen gelegen alhie vnd. in der Jud. gaß. neben H Conrad Steiner dem Vogteüÿ gerichtschreiber & neben Fr. Barbara Böcklerin, hind. vff Jacob Kullen den schreiner stoßend welche zuuor noch v.hafftet ist umb 75. lb. H Joachim Brackenhofer XXj.ern Item vmb 175. lb. d weÿl. H Michel Ziegels Schaffners s. zu St. Stephan alhie Kindern, So dan vmb 75. lb. d. H. Johann Jacob Meÿern grossen Rahts Verwanthen

François Camel passe un accord avec Louis Frédéric Heckel et Marie Spiess qui devront quitter la maison vendue à Georges Hauber (voir plus haut mention de la vente judiciaire à Pierre Camel en 1639)

1642 (ut supra [8. Octob.]), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 717
Erschienen herr Frantz Camel, Schaffner im Bruderhoff Und burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Ludwig Friderich Häckels deß Küeffers und Mariæ Spießin seiner ehelichenn haußfr. mit beÿstand Lux Spießen Vngelt Verwanthen ihres Schweher Und Vatters bekannt
demnach Sie beede Eheleuth ihme H Camel für verseßenen hauß Zinnß de Anno 1638. biß vff nechst Verwichen Michaelis gerechnet 35. fl. 8 ß 6 d Vffrecht und redlich schuldig seÿen (…) hiengegen dieselben innerhalb dreÿen wochen die Behaußung Georg Haubern dem Maurer Welcher solche am 4. 8.bris nechsthin erkaufft allerdingß Zuraumen und ihre gelegenheit anderwehrts zusuchen schuldig sein sollen

Louis Frédéric Heckel meurt le 21 août 1654 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison près du Chapelet (rue du Parchemin) appartenant à l’hospice des vérolés. La masse propre à la veuve est de 202 livres, celle propre aux héritiers de 27 livres. L’actif de la communauté s’élève à 64 livres, le passif à 155 livres.

1654 (9. 9.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 22) n° 28
Inventarium und Beschreibung aller Aller Haab vndt Nahrung, so weÿland der Ehrenhaffte Mr Ludwig Friderich Häckel, Küeffer vndt Burger alhie, welcher Montags den 21.ten Augusti Jüngsthin Göttlichen willen nach Zeitlichen todts verblichen, nachs einem aus dießer weldt tödlichen hinscheÿden hinder Ihme verlaßen, welche die Ehrn: vndt tugendsame Fraw Maria Spießin sein hinderplieben wittib mit Hülff vnd beÿstandt deß Ehrenhafften vndt Achtbahren h Abraham Büechels Küeffers vndt Weinhändlers, Burgers alhie Ihres geschwornen vogts, auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß auch Ehrenhafften H Balthasar Häckels, Kanthengießers vnd Burgers alhie, als Ludwig Friderich Häcklins, deß ietzt abgeleibten seel. mit obermeltter seiner hinderpliebenen Wittwen ehelich erzielten vnd ab intestato hinderlaßenen eintzigen Erbens geschwornen vogts (…) So beschehen auff Donnerstag den 9.ten 9.bris A° 1654.

Inn einer alhie in der Statt Straßburg beÿ dem Roßenkrantz gelegener Behaußung, so dem Blather hauß alhie gehörig, die wittib aber lehnungsweiße bewohnt, ist befunden worden, wie volgt
In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstuben, In der Stubcammer, Auff dem Gang, Vor der Stuben, Im Hoff, Im Keller
Werckzeug Wie auch reÿff vnnd gemachte arbeith zum Kieffer handwerckh gehörig
Eigenthumb und beßerung ane einer brennhütten so deß Erben unverändert (…)
Eigenthumb und beßerung ane einer behausung so d. Wittib unverändert, Item der halbe theil ahne hauß vndt hoffestatt in d. Stampffgaß (…)
Der Wittwen unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 26, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Eigenthumbs und beßerung ane einer behausung 65, Sa. Ergäntzung 103, Summa summarum 216 lb – Schulden 13, Nach deren Abzug 202 lb
Deß Erben unverändert Guth anlangend, Sa. haußraths 2, Sa. Eigenthumbs und beßerung ane einer brennhütten 25, Summa summarum 27 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft berührend, Sa. Haußraths 45, Sa. Werckzeugs wie auch Reÿffbandt und gemachte arbeith Zum Küeffer handwerckh gehörig 10, Sa. silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Guldinen Ringleins 12 ß, Summa summarum 64 lb – Schulden 155, Übertreffen also die Schulden die theilbar Nahrung vmb 91 lb



17, rue Sainte-Elisabeth


Rue Sainte-Elisabeth n° 17 – VIII 121 (Blondel), P 1315 puis section 9 parcelle 37 (cadastre)

Auberge à la Nouvelle Ecurie (Zum neuen Stall, 1693) puis à la Voiture de Paris (Zur Pariser Land Kutsche, vers 1770) – Anciens bâtiments démolis en 1994 – Nouveaux bâtiments, 1994 (architecte Hugues Chalumeau)


Vue vers 1942, la maison est celle du milieu, à enseigne peinte entre les étages (AMS, cote 1003 W 3 n° 1592) – Nouveau bâtiment construit en 1994 (juin 2023)

La maison appartient à partir de 1614 au sergent municipal Alexandre Esslinger puis à son gendre Jean Michel Stoltz, aussi sergent. Les Quinze autorisent en 1693 l’ancien aubergiste à l’Ecurie Jean Balthasar Vogel à ouvrir une nouvelle auberge rue Sainte-Elisabeth dans la maison qu’il vient d’acheter. La maison qu’a tenue un vivandier sous l’enseigne de la Montre dorée (zur guldenen Uhr) portera désormais celle de la Nouvelle écurie (zum Neuen Stall). Sise en face du logement du lieutenant de roi, l’auberge de Jean Balthasar Vogel devient une « maison d’ordonnances » qui y causent des dégâts. Originaire de Manosque, le chef de cuisine du nonce papal Pierre Gaudemar achète en 1731 l’auberge qui est exploitée par son frère Melchior. Le bâtiment comprend en 1738 un rez-de-chaussée où se trouvent une échoppe et le poêle des ordonnances, et un étage. Il appartient à la nièce de Pierre Gaudemar, Catherine Gaudemar qui épouse successivement Jean Beauvalet puis Jean Louis Pillon. Jean Louis Pillon substitue vers 1770 l’enseigne à la Nouvelle Ecurie (Zum neuen Stall) par celle de la Voiture de Paris (Zur Pariser Land Kutsche). Il ferme son auberge en 1770 et vend en 1787 la maison au fabricant de chandelles Adam Zanotta qui fait ouvrir en 1787 une porte vers l’impasse. La maison a en 1813 un rez-de-chaussée, un étage et des combles aménagés, un hangar servant de distillerie longe l’impasse lors de la vente par adjudication judiciaire dirigée contre le journalier Léonard Bürckel.



Extrait du Canton VIII, plan Blondel (1765, ADBR cote 1 L plan 5). Le logement du lieutenant de roi est figuré en orange – Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 (Musée des Plans-relief) 1, Plan, élévations

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve en (a-b-c, exposant VI) : deux fenêtres, porte et une fenêtre au rez-de-chaussée, quatre fenêtres à l’étage, toiture à deux niveaux de lucarnes. La porte (b-c) dessert l’appentis représenté en (c-d), dans l’impasse, derrière lequel on voit le pignon. Cet appentis est suivi du bâtiment (d-e). Le deuxième pignon (z-V, a-VI) donne dans une ruelle. La cour (C’’) montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, un édicule (3-4-5) dans l’angle nord-ouest, le bâtiment arrière (5-6-7) puis l’arrière (1-7) du deuxième bâtiment dans l’impasse.
La maison porte d’abord le n° 13 (1784-1857) puis le n° 17.


Cour (C’’) – Plan de la parcelle lors de la reconstruction de l’entrepôt (1908, AMS, dossier 364 W 69)

Aménagement des combles,1933 – Ajout non réalisé, 1965 (AMS, dossier 364 W 69)

Planche de photographies avant démolition (AMS, dossier 364 W 71)

La maison appartient aux tonneliers François Wernert (1815-1846) puis Chrétien Timothée Roser. Le tourneur Guillaume Théophile Leining l’achète en 1859 et y établit l’année suivante un atelier avec une machine à vapeur. Il charge en 1866 l’entrepreneur Digel de démolir le rez-de-chaussée du petit bâtiment donnant dans l’impasse, de le reconstruire à neuf en maçonnerie en le rehaussant d’un étage en pan de bois. Il fait aussi transformer le bâtiment principal : le plan de 1908 montre que la façade sur rue a cinq ouvertures, le bâtiment en appentis a sans doute été annexé au bâtiment principal. Les différents travaux font passer le revenu de l’immeuble de 81 à 176 francs. Son successeur Benjamin Lasch exploite l’Atelier de construction mécanique et fonderie (Maschinenfabrik und Metallgiesserei, 1895). Les menuisiers Xavier Kreutle et Guillaume Waser, locataires, font installer en 1899 des machines dans leur atelier. L’entrepôt détruit par un incendie est reconstruit en 1908. Devenu propriétaire, Xavier Kreutlé fait surélever les combles en 1933. Le dessin montre que la façade a alors une porte et six fenêtres au rez-de-chaussée. Paul Kreutlé fait reconstruire en 1970 l’entrepôt endommagé par un incendie. Le maire accorde en 1992 un permis de démolir suite au projet du cabinet d’architecture Henri Kubler de construire un bâtiment en copropriété. Il accorde en février 1993 un nouveau permis de démolir à la société Socotim qui a déposé en 1992 une demande de permis de démolir pour construire des logements pour étudiants sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau. Le permis de construire est transféré en mai 1994 à la société anonyme Perrin et Compagnie (à Beaucourt, Territoire de Belfort). Les anciens bâtiments sont démolis en mars 1994. Le gros œuvre est achevé en septembre 1994.


Projets de façade (1991, 1992, Henri Kubler, AMS dossier 954 W 216)

Façades sur rue, vers l’impasse, sur cour (1993, architecte Hugues Chalumeau, AMS dossier 1198 W 573)

juillet 2023

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment 1866-1990, démolition, 1991-1994, permis de construire, 1991-1993, nouveau bâtiment, 1992-1997Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1593 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

v Servais Sturm, jardinier, et (1580) Elisabeth Schott – luthériens
1607 v Christophe Blaterspach, fabricant de poudre, et (1587) Anne Hoffmann – luthériens
1614 v Alexandre Esslinger, sergent municipal, et (1603) Esther Hepp, d’abord (1580) femme du cordonnier Georges Veit, (1623) Anne Mechtilde, veuve de Henri Weinschenck de Rastatt, (1631) Eve Roth puis (1633) Susanne Fidel – luthériens
1646 h Jean Martin Armbruster, sergent municipal, et (1646) Susanne Fidel, veuve d’Alexandre Esslinger – luthériens
1672 h Jean Michel Stoltz, sergent, et (1658) Elisabeth Esslinger – luthériens
1693 v Jean Balthasar Vogel, aubergiste, et (1676) Marguerite Wetzel – luthérien converti, luthérienne
1731 v Pierre Gaudemar, chef de cuisine, célibataire († 1738) – catholique
1738 h Jean Beauvalet dit Antoine, chirurgien puis cabaretier, et (1731) Catherine Gaudemar, remariée (1744) avec Jean Louis Pillon – catholiques
1744 h Jean Louis Pillon, cabaretier, et (1744) Catherine Gaudemar veuve de Jean Beauvalet – catholiques
1787 v Adam Zanotta, fabricant de chandelles, et (1769) Marie Barbe Dilille – catholiques
1795 v Léonard Bürckel, domestique puis journalier, et (1779) Catherine Bischoff – catholiques
1814 adj Laurent Schütz, nourrisseur de vaches, et (1809) Christine Gies
1815 v François Wernert, tonnelier, et (1805) Salomé Baumert
1846 v Chrétien Timothée Roser, baquetier, et (1813) Sophie Concorde Bastian puis (1824) Louise Butz
1859 v Guillaume Théophile Leining, tourneur, et (1857) Julie Hœllbeck
1889 v Benjamin dit Charles Lasch, ingénieur, et (v. 1888) Catherine Louise Hagen
1900* v (Charles) Ernest Berndt, facteur d’instruments, et Hilda Caroline Auguste Hederich puis (1897) Antoinette Zopff
1902* v Jean Stiegelmann, clerc de notaire, et (1884) Emma Sophie Schlagdenhaufen
1931* v François Xavier Kreutle, maître menuisier
1952* h Paul Xavier Kreutle, maître menuisier, et copropriétaires

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 450 livres en 1738, 400 livres en 1740, 450 livres en 1769

(1765, Liste Blondel) VIII 121, Jean Louis Pilon
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Pilon, 7 toises, 3 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1315, Werner, François Léger, tonnelier – maison, sol, cour, bâtiment – 2,3 ares

Locations

1727, Jean Herrmann et Marie Elisabeth Vogel (gendre et fille du propriétaire)
1771, Reine Rostaing, veuve du receveur Claude Bernard Eisentraut

Préposés au bâtiment (Bauherren)

Protocole des Quinze

1738, Préposés au bâtiment (VII 1398)
Jean Beauvalet dit Antoine se plaint que sa cave est inondée depuis que le pavé a été rehaussé dans l’impasse et que les immondices qui s’accumulent empêchent l’eau de s’écouler. Il a fait un trou dans son mur pour conduire l’eau dans la ruelle, ce qui lui cause aussi préjudice.

(f° 43-v) Donnerstags den 24. Ejusdem. [Julÿ] seind folgende Augenschein eingenommen worden – Jean Beau Valet dit Antoine
In dem Von H Stephan Gretzingers Erben Verzinßenden Allmendtgäßel an der Elßbether Gaß, auf Ansuchen Jean Beau Valet dit Antoine, welcher sich beklagt, daß das Pflaster in besagtem Gäßel auffgehoben, und allerhand Unrath sich daransetze, daß das Waßer nicht ablauffen Kan, deßwegen an seinen Keller Lauffet, und jhme schaden thut, wie er dann auch in Specie wieder (-) daß er ein Loch in sein Maur gebrochen, das Waßer dardurch von seinem höffel in diesen gäßlein Zuleÿten welches gleichfalls schädlich.

1781, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Les préposés autorisent le maître maçon au nom de Jean Pillon à ravaler et à repeindre la maison

(f° 261) Dienstags den 24. Julii 1781. – Jean Pillon
Mr. Nicker, der Maurer nôe. Jean Pillon, bittet zu erlauben an deßen behausung ane der St Elisabethæ gaß gelegen, ausbeßern und anstreichen Zu laßen, Erkannt, Willfahrt.

1787, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Les préposés autorisent le maître maçon Schneller au nom d’Adam Zanotta à ouvrir une porte vers l’impasse et à réparer la façade

(f° 334) Dienstags den 14. Augusti 1787. – Joh: Adam Zanotta
Idem [Mr Schnäller, der Maurer] nôe. Adam Zanotta, des Liechtermacher, bittet zu erlauben an deßen behausung in der Elisabethæ Gaß gelegen, an der Neben Seite, eine Thür durchbrechen und die facade repariren Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

Description de la maison

  • 1738 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une échoppe, un vestibule, le poêle des ordonnances et une petite cuisine, derrière l’écurie, la cour et le puits, cave sous solives, à l’étage un poêle, chambre, cuisine et vestibule, dépense et greniers, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
  • 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée sur la droite un poêle, le vestibule, sur la gauche le poêle des ordonnances, derrière une petite cour, petite écurie et buanderie, à l’étage un poêle, cuisine, deux chambres, vestibule, au-dessus la toiture et un grenier non dallé où se trouvent trois chambres à cloisons en lattes, vieux comble à pignons en bois, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
  • 1769 (billet d’estimation traduit) L’auberge comprend trois poêles, une cuisine et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, en outre une cour, une écurie et un puits, le tout estimé avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
  • 1813 Description d’après le rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Ste. Elisabeth

nouveau N° / ancien N° : 22 / 13
Burckel
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 356 case 1

Wernert François Léger tonnelier
Roser Chrétien Timothée (subst° pr. 1847)

P 1315, maison, bat. et cour, sol, rue Ste Elisabeth 13
Contenance : 2,30
Revenu total : 82,20 (81 et 1,20)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 725 case 1

Roser Chrétien Timothée
1860. Leining, Guillaume Théophile, tonnelier
1890/91 Lasch, Benjamin genannt Karl, Ingenieur
1900 Berndt, Ernst, Musik Instrumentenmacher und Ehefrau Antonie geb. Zopff
1902 Stiegelmann Johann, Renteinnehmer und Ehefrau Sophie Emma geb. Schlagdenhauffen in Gütergemeinschaft

P 1315, Maison, sol, Rue St Elisabeth 17
Contenance : 2,30
Revenu total : 82,20 (81 et 1,20)
Folio de provenance : (356)
Folio de destination : 725 Aug. de Con (sol, Gb)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1863
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1315, Machine à vapeur
Revenu total : 30
Folio de provenance : C. Nlle
Folio de destination : 725 Aug. de Con
Année d’entrée : 1863
Année de sortie : 1870
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : (infra)

P 1315, Maison
Revenu total : 153,20 (122 et 30 et 1,20)
Folio de provenance : 725 Aug.
Folio de destination : 725 Aug.
Année d’entrée : 1863
Année de sortie : 1870
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus :
1863, Augmentations – Leining Guillaume f° 725, P 1315, Maison, revenu 122, Aug.on de C.on de 1860, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863
Leining Guillaume f° 725, P 1315, Machine à vapeur de 2 Chevaux, revenu 30, C.on N.lle de 1860, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863
1863, Diminutions – Leining Guillaume f° 725, P 1515, Maison, revenu 81, Aug.on de C.on de 1860, supp. en 1863

P 1315, Maison
Revenu total : 117
Folio de provenance : 725 Aug.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1870
Année de sortie : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 2
portes et fenêtres ordinaires : 32
1870, Augmentations – Leining Guillaume f° 725, P 1315, Maison, revenu 117, Aug. de Const., achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
id. f° 725, P 1315, atelier de tourneur et machine à vapeur de 1 ½ Ch., revenu 59, Aug. de Const., achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
1870, Diminutions – Leining Guill° f° 725, P 1315, machine à vapeur de 2 Ch, revenu 30, Aug. de Const., supp. en 1870
id. f° 725, P 1315, Maison, revenu 122, Aug. de Const., supp. en 1870

P 1315, Atelier de tourneur et machine à vapeur de 1 ½ ch.
Revenu, 59, total : 177,20 (117 et 59 et 1,20)
Folio de provenance : 725 Aug.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1870
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 116 case 5

Parcelle, section, n° 9 n° 37 – autrefois P 1315
Canton : St. Elisabethgasse Hs N° 17
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 2,11
Revenu : 1100 – 1700
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1921), compte 1209
Stiegelmann Johann u. Ehefr
Stiegelmann Jean sa veuve
1950 Stiegelmann Jean René, avocat, pour 1/3 et cohéritiers
(3985)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 4400
Kreutle François Xavier maître menuisier à Strasbourg
rayé 1935

(Propriétaire à partir de l’exercice 1935), compte 106
Adam Jean Lucien et son épouse et copr.
1910 Kreutle François Xavier et son épouse
1952 Kreutle Paul Xavier maître menuisier p. ¼ et copropriétaires
(2490)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 284 De Ste Elisabethe13 p. 448

loc. – Deckert, Jacques – Moresse
loc. – Ganzenotti, Lucie, veuve – Miroir
pro. – Zanotta, Adam – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Elisabethgasse (Seite 30)

(Haus Nr.) 17
Strassb. Holzbearbeitungsgesch. v. X. Kreutle. 01
Michler, Schlosser. 1
Bohn, Schneider. 2.
Schneider, Schlosser. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 364 W 69)

17, rue Sainte-Elisabeth (1866-1990)

Le propriétaire Leining charge en mars 1866 l’entrepreneur Digel de démolir le rez-de-chaussée du petit bâtiment donnant dans l’impasse, de le reconstruire à neuf en maçonnerie en le rehaussant d’un étage en pan de bois, puis en août de reconstruire en partie le rez-de-chaussée en maçonnerie et le premier étage en pan de bois. Il demande en juillet de la même année l’autorisation de convertir une fenêtre en porte dans la façade sur rue. Il charge en 1874 l’entrepreneur Th. Bischoff d’ouvrir une porte et de déplacer une croisée. L’entrepreneur Brion est autorisé en 1884 à rehausser le bâtiment (14,30 mètres de long) d’un deuxième étage, les travaux n’ont cependant pas lieu.
Successeur de Guillaume Leining, le tourneur sur fer Benjamin Lasch exploite l’Atelier de construction mécanique et fonderie (Maschinenfabrik und Metallgiesserei, 1895). Ernest Berndt n’est pas autorisé en 1899 à aménager une cuisine au premier étage du bâtiment latéral parce que la construction en saillie rapetisserait la cour qui n’aurait plus les dimensions minimales. Les menuisiers Xavier Kreutle et Guillaume Waser sont autorisés en 1899 à installer des machines dans leur atelier. Le propriétaire Stiegelmann charge en 1908 l’architecte Illinger de reconstruire l’entrepôt détruit par un incendie. Xavier Kreutlé charge en 1933 les architectes Ch. Krebs et fils de surélever les combles qui seront en pans de bois remplis de briques.
Paul Kreutlé autorise en 1965 la S.C.I. Le Gai logis, propriétaire de la maison voisine n° 15 à condamner une fenêtre dans le mur mitoyen en la remplaçant par une lucarne vers la rue. Les travaux n’ont pas lieu. Paul Kreutlé fait reconstruire en partie en 1970 l’entrepôt endommagé par un incendie. L’ancien bâtiment est démoli en août 1970, les travaux terminés en mars 1971.

Sommaire
  • 1866 (mars) – L’entrepreneur Digel demande au nom du propriétaire Leining l’autorisation de démolir le rez-de-chaussée du petit bâtiment donnant dans l’impasse, de le reconstruire à neuf en maçonnerie et le surmonter d’un étage en pan de bois. L’agent voyer note que la nouvelle façade (5,80 mètres) n’atteint pas la hauteur maximale de six mètres – L’architecte de la ville donne son accord.
    1866 (juillet) – Le même demande l’autorisation de convertir une fenêtre en porte dans la façade sur rue – L’agent voyer note que la façade sans avance est dans l’alignement
    1867 (août) – Le même demande l’autorisation de démolir et de reconstruire en partie le rez-de-chaussée en maçonnerie et le premier étage en pan de bois donnant sur l’impasse (sur une longueur de 7,60 mètres). Croquis en marge (rez-de-chaussée 2,80 mètres, étage 2,50, planchers 0,20, total 5,70 mètres)
  • 1874 – L’entrepreneur Th. Bischoff demande l’autorisation d’ouvrir une porte et de déplacer une croisée – Rapport de l’agent voyer
  • 1884 – Le sieur Ostermann (demeurant 5, rue Saint-Louis) demande l’autorisation d’aménager un magasin à charbon – Le maire transmet au commissaire de police les conditions dans lesquelles le pétitionnaire sera autorisé à aménager le magasin dans l’aile gauche et dans le bâtiment arrière
  • 1884 – L’entrepreneur A. Brion (11, rue Sainte-Aurélie) demande au nom du propriétaire Leining l’autorisation de surmonter d’un deuxième étage le bâtiment (14,30 mètres de long) – Le maire demande un dessin et pose des conditions (mur de refend en maçonnerie) – Les travaux n’ont pas lieu, le dossier est provisoirement classé
  • 1884 – Le maire notifie Guillaume Leining, demeurant sur place, de pourvoir la fosse d’aisance d’un tuyau d’aération
  • 1885 – Le maire notifie Guillaume Leining de faire ravaler la façade
    L’entrepreneur Th. Bischoff (2, rue des Lentilles) demande au nom du propriétaire Leining l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, mai 1885
  • 1886 – L’entrepreneur Th. Bischoff demande au nom du propriétaire Leining l’autorisation de faire trois raccords aux canalisations municipales – Autorisation – Dessin – Travaux terminés, novembre
  • 1889 (juin) – Le maire notifie C. Lasch de faire ravaler la façade
  • 1889 (septembre) – Le directeur de l’usine à gaz demande que le propriétaire Lasch soit autorisé à faire une prise pour environ dix becs – Autorisation – Travaux terminés, novembre
  • 1895 – C. B. Lasch, successeur de G. Leining (Maschinenfabrik und Metallgiesserei, Atelier de construction mécanique et fonderie) demande au maire le prix auquel la Ville achèterait le terrain qui lui appartient. Le maire répond que le terrain ne dépasse pas de l’alignement.
  • 1895 – Le maire notifie le tourneur sur fer Benjamin Lasch (Charles Benjamin Lasch) de faire ravaler la façade – Le maire accorde un an de délai – Le propriétaire n’obtempère pas – Le maire transmet l’affaire au ministère public. Le tribunal condamne le propriétaire à une amende de cinq marks.
  • 1899 – L’entrepreneur Mayer (1, rue des Jardins) demande au nom du propriétaire Berndt l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Le crépi et la peinture sont terminés, mai 1899
  • 1899 – Les menuisiers Xavier Kreutle et Guillaume Waser demandent l’autorisation d’installer des machines dans leur atelier – L’inspection du travail communique les conditions auxquelles les machines doivent satisfaire – Le maire accorde l’autorisation – Dessin – Travaux terminés, janvier 1900.
  • 1897 – Le maire notifie le sieur Lasch de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant deux volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappel 1898, le propriétaire est E. Berndt, demeurant 21, quai Saint-Nicolas – Travaux terminés, novembre 1900
  • 1899 – Ernest Berndt demande l’autorisation d’aménager une cuisine au premier étage – La Police du Bâtiment répond que la construction en saillie dans le bâtiment latéral rapetisserait la cour qui n’aurait plus les dimensions minimales – Dessin – Le dossier est classé.
  • 1904 – L’entreprise veuve Greiner et F. Peter demande au nom du propriétaire Schlagdenhauffen l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, juin 1904.
    1902 – Le maire notifie Moïse Hirsch (11, rue de l’Empereur Frédéric, ensuite avenue de la Paix) de faire ravaler la façade – Le propriétaire demande de reporter le ravalement après que les transformations et le raccord aux canalisations aient eu lieu. – Le maire accorde un an de délai – Jacques Hirsch n’obtempère pas – Le maire transmet l’affaire au ministère public.
    1904 – Même courrier au nouveau propriétaire Stiegelmann (1, rue du Bouclier) qui demande un report jusquà ce que le bâtiment arrière aié été transformé et le bâtiment raccordé aux canalisations – Le maire accorde un dernier délai jusqu’en octobre 1904. – Le livre foncier ne donne pas le propriétaire de l’immeuble.
    Le sieur Hirsch demande le même report
    1906 – Le service d’architecture transmet que J. Stiegelmann prévoit d’aménager deux nouveaux cabinets d’aisance au premier étage. – Dessin – Le maire objecte que les murs ne peuvent être en pan de bois – La construction n’a pas lieu, le raccord aux canalisations est fait, décembre 1907
  • 1908 (septembre) – Rapport des pompiers après un feu de cuisine dans l’immeuble Hirsch – L’incendie n’a pas causé de dommages
    1908 (décembre) – Nouveau rapport après un incendie dans les combles du bâtiment arrière à simple rez-de-chaussée – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire contre l’atelier dans le bâtiment avant.
  • 1908 (mars) – L’architecte F. Illinger (14 rue Lamey) demande l’autorisation de reconstruire l’entrepôt détruit par un incendie (propriété Stiegelmann). – Remarques de la Police du Bâtiment
    1908 (avril) L’entreprise L. Greiner et F. Peter déclare que la cour vers l’impasse Sainte-Elisabeth est propriété de la Ville – La Police du Bâtiment demande des plans aux entrepreneurs avant de reconstruire le premier étage et les combles de l’entrepôt – L’architecte Illinger déclare qu’il n’y aura pas de pièce d’habitation et que seulement deux ouvriers travailleront au premier étage
    1908 (mai) – Le propriétaire J. Stiegelmann et l’architecte F. Illinger sont autorisés à reconstruire le premier étage de l’entrepôt dans la propriété, eu égard que l’atelier de menuiserie a été autorisé en 1899, que l’immeuble est raccordé aux canalisations – Dessins – Travaux terminés (juin), il reste encore à poser le plâtre dans l’entrepôt du rez de chaussé et à murer la porte qui mène du premier étage du bâtiment avant dans l’atelier.- Ces derniers travaux sont faits, novembre 1908 mais le réduit à copeaux n’est pas à l’épreuve du feu. La porte est à l’épeuve du feu, octobre 1909.
  • 1909 – Rapport des pompiers après un incendie dans l’atelier (propriété Hirsch, demeurant 3, rue Saint-Fridolin) – Le plâtre du plafond est réparé, mai 1910
  • 1910 – L’association des ouvriers menuisiers fait part des infractions au règlement dans la menuiserie Kreutle – La Police du Bâtiment constate les faits et écrit au propriétaire J. Stiegelmann – Echange de courriers entre les parties – Le menuisier Kreutle demande dispense de faire un nouveau réduit à copeaux, en arguant qu’ils sont éliminés tous les jours ou au moins tous les trois jours – La Police du Bâtiment pourrait acorder une dispense si les copeaux sont éliminés chaque soir. – Dossier classé, novembre 1910
  • Dossier suite à un courrier du commissaire de police – Le menuisier Kreutlé demande une copie de l’autorisation qui lui a été accordée en 1899.
  • 1909 – Le maire notifie Jacques Hirsch, demeurant 3, rue Saint-Fridolin, de faire ravaler la façade – Le nouveau propriétaire Jean Stiegelmann obtient un an de délai
    1912 (août) – Le peintre en bâtiment R. Thau (8, rue du Jeu-de-Paume puis 10, rue du Renard-Prêchant) demande l’autorisation de repeindre la façade – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1912
  • 1913 (janvier) – Rapport des pompiers après un feu de cuisine au premier étage – L’origine de l’incendie est inconnue. Le construction n’a pas souffert – La Police du Bâtiment demande au propriétaire d’isoler les fourneaux par des plaques en métal – Travaux terminés à la cuisinière, le poêle à gaz est supprimé, juin 1913.
    1913 (novembre) – Rapport des pompiers après un incendie dans l’atelier – La Police du Bâtiment demande au menuisier Kreutlé de se conformer aux prescriptions du 8 avril 1910. – Le propriétaire a posé une grille de protection (mai 1914)
  • 1922 – La locataire Dressler se plaint des gravats et de la poussière, le propriétaire Kreutlé (demeurant 25, rue Sainte-Elisabeth) faisant démolir une cheminée – La plaignante quitte la maison
  • 1901, Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Hirsch, rue Saint-Fridolin. Les locataires doivent veiller à ce que les cabinets d’aisance soient propres. Le propriétaire doit faire poser der serrures aux cabinets d’aisance qui se trouvent dans la cour. Travaux terminés, juillet 1902
    1904, Commission contre les logements insalubres. Gérant, Kreutlé – Remarque sur l’écoulement des eaux ménagères
    1905 – Le journalier Antoine Gross se plaint qu’il n’y a pas de fourneau dans son logement
    1905. Propriétaire, Hirsch, gérant, Kreutle. Trois logements doivent être rénovés. Les travaux sont faits dans l‘un d’eux, décembre 1905. Le plaignant quitte le logement en juillet 1906. Le propriétaire promet en mai 1907 de raccorder la maison aux canalisations et de la rénover. Travaux terminés, septembre 1908.
    1911. Propriétaire, Stiegelmann, demeurant 8, rue du Bouclier. Liste de travaux à faire en 6 points – Travaux en partie terminés, 1912 – Le maire prend des mesures coercitives, les travaux n’étant pas faits dans la cage d’escalier ni dans le logement Wagner au premier étage, septembre 1913. Décision correspondante du conseil municipal. Le dossier est transmis au ministère public, janvier 1914. Le propriétaire est condamné à une amende de 20 marks, mai 1914. Les travaux ne sont toujours pas faits, novembre 1914.
    1915. Commission des logements militaires. Travaux à faire en 6 points – Travaux terminés. octobre 1915.
    1916 – Travaux à faire dans le logement Velten – Le logement est vacant, août 1916. – Travaux terminés, octobre 1916
    1921. Propriétaire, Kreutle. La locataire Sophie Wandres (deuxième étage) se plaint de ne pas avoir d’eau courante – Le locataire Dressler (autre étage) se plaint des cabinets d’aisance – La Police du Bâtiment constate que le propriétaire a coupé l’eau dans la maison – L’eau courante est rétablie, novembre 1921. – Le propriétaire coupe à nouveau l’eau que les locatairee doivent aller chercher dans la cour voisine, décembre 1921. L’eau doit être à disposition des locataires au moins deux fois par jour lors du gel.
  • 1933 – Xavier Kreutlé et les architectes Ch. Krebs et fils (24, rue Brûlée) déposent une demande de permis de construire. Les combles seront surélevés en pans de bois remplis de briques de 12 centimètres d’épaisseur. La toiture sera couverte de tuiles plates. – Autorisation d’aménager les combles – Dessin – Travaux terminés, septembre. La Police du Bâtiment constate que les garde-corps sont trop bas – Dossier classé, janvier 1934.
  • 1933 – Le locataire Spach se plaint de l’escalier qui mène au grenier. La Police du Bâtiment constate qu’il manque la balustrade – Travaux terminés, janvier 1934
    1935 – Un locataire anonyme se plaint des décombres et des ordures qui encombrent la cour arrière – Le maire écrit au propriétaire – Travaux terminés, janvier 1936
  • 1936 – Le maire notifie Xavier Kreutlé de faire ravaler la façade – Travaux terminéss, novembre 1937
    Litige relatif aux droits pour des matériaux que l’entreprise Frédéric Schnarr a posés sur la voie publique. Xavier Kreutlé devra régler les droits de voirie.
    Constat d’occupation de la voie publique 9, rue Saint-Louis et rue Sainte-Elisabeth
  • 1963 – Paul Kreutlé est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique (longueur 15,50 mètres). Prolongations jusqu’en septembre
  • 1965 – Paul Kreutlé (entrepreneur en menuiserie) dépose une demande de permis de construire pour agrandir une lucarne – Dessin avant et après transformation
    Paul Kreutlé autorise Pierre Leoger, gérant de la S.C.I. Le Gai logis, (22, quai Rouget de l’Isle) à condamner une fenêtre dans le mur mitoyen en la remplaçant par une lucarne vers la rue. L’architecte A. Kronenberger établit un devis descriptif – La Division VI émet un avis favorable bien qu’elle estime que l’aspect du bâtiment n’en sera pas amélioré – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
    1966 (juin) – Le Ministère de le construction accorde le permis à condition que la fenêtre ait au plus 1,10 sur 1,40 mètre – Autorisation délivrée par le maire – Le propriétaire renonce à transformer la lucarne, janvier 1967
  • 1970 – Paul Kreutlé demande l’autorisation de reconstruire en partie un entrepôt (à l’arrière du bâtiment sur rue) endommagé par un incendie. Plan de situation – Dessins – Le maire accorde une dérogation au règlement municipal des constructions (concernant la distance minimale vers les murs voisins) – Le préfet accorde le permis de construire, juillet 1970 – Autorisation délivrée par le maire – Déclaration d’ouverture de chantier, 30 juillet
    L’ancien bâtiment est démoli, les fondations du nouveau coulées, août 1970. Murs en briques creuses, charpente en bois recouverte d’un toit ondulé, octobre 1970. – Travaux terminés, mars 1971 – Le propriétaire transmet les plans rectifiés
  • 1977 – Paul Kreutlé est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique (longueur 15 mètres). Le ravalement est terminé, décembre 1977
  • 1990 – Francis Goergler (11, rue d’Oslo à Strasbourg) dépose une demande de permis de construire. Propriétaire, Paul Kreutlé (demeurant sur place) – Plan de situation
    Le maire délivre un certificat d’urbanisme

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 364 W 70)

Permis de démolir (1991-1994)

Le cabinet d’architecture Henri Kubler transmet en novembre 1991 une demande de permis de démolir. Le maire accorde le permis de démolir à Francis Gœrgler le 7 mars 1992. La démolition n’a pas eu lieu, mars 1993.

Sommaire
  • 1991 (décembre) – Le président de la Communauté urbaine accuse réception de la demande de démolir déposée par Francis Goergler
    1992 (7 mars) – Le maire accorde le permis de démolir
    1993 (mars) – Le permis est affiché, pas de travaux
    1994 (mars) – Le bâtiment est démoli
  • 1991 (novembre) – Francis Goergler demande l’autorisation d’utiliser le sol – Le cabinet d’architecture Henri Kubler (49, rue Erwin) transmet la demande de permis de démolir (219 mètres carrés) – Le propriétaire Claire Kreutler, demeurant à Lingolsheim, donne mandat à Francis Goergler – Dessins (rez-de-chaussée, étages et combles)

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 364 W 71)

Permis de démolir (1992-1993)

La société Socotim dépose en 1992 une demande de permis de démolir pour construire un nouveau bâtiment sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau. Le maire accorde le permis de démolir le 3 février 1993.

Sommaire
  • 1992 – La société Socotim (17, rue de Lucerne) agissant par son mandataire Kohlmann (18, avenue de la Forêt-Noire) dépose une demande de démolir pour construire un nouveau bâtiment – Copies de photographies
    Dessins de l’architecte Hugues Chalumeau (1, rue Sainte-Odile)
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1993 (3 février) – Le maire accorde le permis de démolir

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 954 W 216)

Permis de construire, retrait (1991-1993)

Le cabinet d’architecture Henri Kubler soumet en mai 1992 le projet de construction d’un bâtiment en copropriété. La Police du Bâtiment note que les places de garage ne sont pas utilisables, les murs voisins à une distance non réglementaire, la hauteur dépasse la hauteur maximale et un avant-corps dépasse de l’alignement.

Sommaire
  • 1991 (novembre) – Francis Goergler demande l’autorisation d’utiliser le sol (cf. dossier 70)
    Le cabinet d’architecture Henri Kubler (49, rue Erwin) transmet la demande de permis de construire (mention annulé), Jeu de dessins, février 1992
    1992 (mai) – Nouvelle demande (mention annulé)
    1992 (mai) – Nouvelle demande. Projet de construction d’un immeuble en copropriété (Résidence Elise)
    La Police du Bâtiment note que les places de garage ne sont pas utilisables, les murs voisins à une distance non réglementaire, la hauteur de 11,40 mètres dépasse la hauteur maximale de 10,50 mètres, un avant-corps dépasse l’alignement de 50 centimètres – Dessins (plans, élévations), novembre 1991
    Nouveau projet signé Henri Kubler, mai 1992, dessins (élévations, plan, coupe)
    Nouveau projet signé Hugues Chalumeau, juin 1992

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 573)

Bâtiment habitation (1992-1997)

La Socotim dépose en novembre 1992 une demande de permis de construire un bâtiment de 21 logements pour étudiants sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau. La Ville de Strasbourg demande à la société propriétaire une inscription au livre foncier garantissant pour vingt ans la location de studios meublés. Le maire accorde à la Socotim en février 1993 le permis de construire qui est transféré le 20 mai 1994 au nom de la société anonyme Perrin et Compagnie (à Beaucourt, Territoire de Belfort). Le gros œuvre est achevé en septembre 1994. Le maire accorde le 30 décembre 1994 un avenant au permis de construire.

Sommaire
  • 1994 (février) – Le maire autorise l’entreprise de construction Eric Riffel et Compagnie (Reipertswiller) à occuper la voie publique
    1994 (septembre) – L’entreprise écrit à la Police du Bâtiment qu’elle n’occupe plus la voie publique
    1992 (novembre) – La Socotim dépose une demande de permis de construire un bâtiment de 21 logements (résidence d’étudiants) sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau – Dessins, janvier et février 1993
    1992 (décembre) – Le bureau d’urbanisme estime que les logements pour étudiants ne présentent pas les garanties suffisantes de location. La Police du Bâtiment note qu’il n’y a pas de locaux communs et que les balcons surplombent la voie publique. – Le bâtiment devra comporter une lampe pour l’éclairage public
    1993 (janvier) – Les notaires associés Jean-Marie Ohnet et Valentin Schott transmettent une restriction au droit de disposer à inscrire au livre foncier une destination de locaux meublés pour une durée de vingt ans. Jean-Marc Kohlmann, agissant pour le compte de la société SOCOTIM, société anonyme dont le siège social se trouve 18, avenue de la Forêt-Noire, a acquis par contrat reçu le 15 septembre 1992 par Alain Raabe l’immeuble sis 17, rue Sainte-Elisabeth. La Ville de Strasbourg a demandé à la société propriétaire une inscription au livre foncier garantissant pour vingt ans la location de studios meublés.
    1993 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve d’aligner les fenêtres de droite avec les portes de garage
    1993 (février) – Le maire accorde le permis de construire un bâtiment de 22 logements pour étudiants
    1993 (novembre) – La société anonyme Perrin et Compagnie (rue du docterur Julg à Beaucourt, Territoire de Belfort) demande le transfert à son nom du permis de construire accordé à la Socotim. Le maire demande un extrait du livre foncier comportant l’inscription d’une restriction au droit de disposer, à savoir la location des logements à des étudiants pendant vingt ans, et la convention passé avec le Centre Régional des Œuvres Universitaires et Scolaires (C.R.O.U.S.). Copie de la convention – Le notaire Alain Raabe atteste que les Etablissements Perrin et Compagnie ont acquis le 15 octobre 1993 l’immeuble de la Société Régionale Immobilière du Centre-est, ayant son siège 30. boulevard de Champagne à Dijon. et que l’acquéreur a repris l’engagement inscrit au livre foncier. – Le maire prend le 20 mai 1994 un arrêté qui transfère le permis de construire à la société Perrin
    1994 – Les travaux sont en cours, mars 1994. La maçonnerie en est au troisième niveau, juin 1994. Le gros œuvre est achevé, septembre 1994, la façade arrière diffère des plans approuvés
    1994 (novembre) – La société Perrin dépose une demande d’avenant au permis de construire sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau – Dessins – Modifications. Les deux places de stationnement ouvertes deviennnent des garages fermés. La façade sur rue comporte un chien assis et un accès au garage du rez-de-chaussée, la façade sur cour a une porte et une fenêtre supplémentaires pour accéder à la cour et éclairer les garages, la baie de l’escalier est divisée en trois fenêtres – L’architecte municipal Charles Fileppi émet un avis favorable – Le maire accorde l’avenant au permis de construire le 30 décembre 1994
    1996 (janvier) – Les travaux sont achevés – Déclaration d’achèvement des travaux, 14 août 1997 – Le maire délivre le certificat de conformité, 16 septembre 1997.

Relevé d’actes

La maison appartient à Servais Sturm qui épouse en 1580 Elisabeth, fille de Nicolas Schott de Sarrebruck

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 254 n° 537)
1580. Dominica 2.da post Epiphaniam Domini, Serüasius Sturm von Brunnenfelt aus der Eiffel der gartenman vnd Elsbeth Schöttin Niclaus Schott von Sarbrück nachgelasne dochter, Seindd Eingesegnet 2.do Februarÿ (i 260)

Servais Sturm achète le droit de bourgeoisie un mois après son mariage
1580, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 342
Servassius sturm vonn Braunmarsfeldt der garttner Hatt das burg. rechtt Kaufftt vnnd will mit denn garthnern vnder wagnern dienen. Acttum denn 12.ten Martz 1580.

Alors pensionnaire à l’hôpital, Servais Sturm et sa femme Elisabeth Schott vendent la maison à Christophe Blaterspach, huissier à la tribu de la Mauresse, et à sa femme Anne Hoffmann

1607 (16. Martÿ), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 84
Erschienen Servasius Sturm der Gartenmann, dißer Zeÿt Verpfrüner Im Spittal vnnd Elisabeth Schöttin sein eheliche hußfr. haben unverscheidenlich für sich verkaufft
Christoph Blaterspach Püttel Zue d. hörren Mörin vnd Annen hoffmänin seiner hußfr.
huß hoffestatt höfflin vnd gärtlin sampt einem brunnen Inn S: Elisabethen gaß gelegen, einseÿt einem Allmend gäßlin gegen hr. Ambrosio Spigeln and.seÿt auch seinem Allmend geßlin gegen hanß Süßen dem Leinenweber vber stoßt hinden vff dem Schawenburg. hoff, für freÿ ledig eÿgen. Vnd beschiht diser Khauff für vnd vmb 450 pfund pfenning Str.

Le fabricant de poudre Christophe Blaterspach épouse en 1587 Anne, fille du barbier Georges Hoffmann, de Waldenburg
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 1-v n° 7)
1587. Den 20. Martÿ sindt ehlich eingesegnet worden, Christoffel Plotterspach ein Puluer Macher: vnnd Anna Hoffmennin weiland Jörg Hoffmans deß Barbirers seligen von Waldenburgk Hinderlaßener tochter (i 4)

Originaire de Bonn, Christophe Blaterspach achète le droit de bourgeoisie deux mois après son mariage
1587, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 470
Christophorus Blaterspacher von Bon ein pulvermacher, mit Beÿstandt Cunradt Hoffman des Scherers, Hat des Burgerrecht Kaufft, vnd will Zur Herrn Mörin dienen. Act. den 27.ten Maÿ Anno & 87.

Christophe Blaterspach passe en 1607 avec Thierry Bertrand, directeur des salines de Dieuze, un contrat de fourniture de sel à l’hôtel du margrave
1607 (17 Februarÿ), Chancellerie, vol. 368-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 82
Bestallung Dietherich Bertrams F. Dht. Sohtpflegers Zu Thouß mit Christoff Blatterspach dem geschwornen Saltzmeßer
erschienen Ist der Edel vnd Gestreng Dietrich Bertram der Frst.Dht. Inn Lottringen Gubernator vnnd Sohtpfleger Zu Thouß, an einem
vnd dem Christoff Blatterspach Burger vnd einer Ersamen Zunfft Zu Mörin alhie bestelter Bittel auch sonsten ein geschworner Saltzmeßer Am andern theil,
vnnd hatt sonderlichen Herr Dietrich Bertram angezeigt vnd Vermeldet, Welcher maßen er gedachtem Christoffen bestelt vnd geordnet, Inn seinem nahem *d seinet wegen allen getrewem *st vnd vleÿßigen vffacht zu haben vff all vnd Jedes Saltz So alhero Inn diße Statt vß Lottrigen Inn den frst Margräffisch. hoff geführet, geliffert abgelad. vnd von* hinnen Zu Schiff oder wagen widerumb verführet wurdt, das es darmit nach* vnnd Innhalt Zwisch. höchstgedacht Ihr Fst dht. vnd Ihr H. Ob dem herrn Margrauen getroffenen sonderbahren Contracts vnd Vergleÿchung, der puncten Ihme Christoff ein Copeÿ Zugestelt werd. (…)
Actum Zinstag den 17. Februarÿ A. 1607. Inn d. Cancelleÿ Zu Straß. Abraham Rederer

Christophe Blaterspach hypothèque sa maison au profit de la tribu de la Mauresse. En marge, quittance remise en 1613 à Anne Hoffmann, veuve du débiteur.

1610 (30. Julÿ), Chancellerie, vol. 388 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 36-v
Schuldbekandtnuß Einer Ersamen Zunfft der Mörin vber 50. lib. Hauptguts
Erschienen Christoff Platerspach einer Ersamen Zunft der Hn Mörin Bittel
Vnd hatt in gegenwertigkheit Herrn Johann Conrad Ziegels vnd Hn Theophili Dachtlers ermelter Zunfft Alten vnd Jungen Zunfftmeisters (…) vnd vorgehende bewilligung vnd vorwißen des Ehrenvesten, fürsichtigen und Weisen herrn Ulrich Mürsels Alten Ammeisters und gedachter Zunfft Oberherrn auch Hn Johann Michel Heüßen des Eltern, Ein und Zwantzigers (…) schuldig worden seÿ 50 Pfund pfenning Straßburger
Zum vnderpfand ernant vnd eingesetzt sein Behausung hoff, hoffstatt gelegen alhie vff St: Elisabethen gaß ist einseit ein Eck gegen der Samblung anderseit und hinden vff den Schauwenburger Hoff stoßend so vber 100 gulden hauptgutt weiland Gervasÿ Sturmen seligen wittib zustendig
[in margine :] Erschienen Martin Schweÿger der Seÿler Alß Vogt Anna hoffmännin w. Christoph Blaterspachs Wittib hatt bekhant, das er einer Ehrsamen Zunfft Zur Möhrin (…) Act. den 6. Maÿ A° 1613.

Les tuteurs des enfants de Christophe Blaterspach obtiennent que le Magistrat intercède en leur faveur auprès du directeur des salines de Dieuze.
1614, Conseillers et XXI (1 R 95)
Christoph Blotterspachers Kinder vogt vmb fürschrifft. 111.
Hoffman und Martin Schweyger alß vögt Christoph Blotterspachers Kind. vbergeben ein supplôn meld. wie er Blotterspacher Zu dem Margg. Saltz verordnet vnd Ime für sein dienst gewisse Mutt Saltz von dem verwalter Zu Thuos Zugesagt und versproch. er Blotterspacher 2 Jar versehen hernach. gestorben, aber nichts empfang. daher sie einen herren ein geschickt vnd erlaubt d. er dem verwalter j Mutt verheren soll so hatt er demselben u einem andern j Mutt verhehrt u also vogt j tertz Inns außstandt verlegt sie nit verwantwortten konnen Bitt an Gubernatorem v hauptmann Zu Thus (-) zuversch.ben d. Iren Vogts Kinder ausserhalb j Mutt der Rest mag gefolgt werden. Erk. Ist willfahrt v. *ss. fol (-)

Autres mentions de Christophe Blaterspach dans les registres du Magistrat
1590 Conseillers et XXI (1 R 67) Gravenstaden brucken Zollerdienst. Adolff Meÿenthaw. 493. Michel Haas der schuemacher. 500. Christoph Blaterspach. 500.
1590, VII 1306 Bauherren – Christoff Pletterspach der gremp und pulvermacher, pulverhütt zwischen den Metziger thoren. 120.
1596, XV (2 R 25) Hanns Roppel, Christoph Bloderspach contra Mathis Werner. 43. 112.

Barbe Blaterspach, femme du tonnelier Jean Georges Bosch, et les mineurs Anne, Ursule et Jean Pierre Blaterspach, vendent la maison au sergent Alexandre Esslinger

1614 (13. Decembris), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 278-v
Erschienen M hannß Georg Bosch der Khüffer Vnd Fr. Barbaren sein eheliche hußfr. Wÿland Christophel Blatterspachs geweßenen Büttels der Morin Zunfftstub selig. dochter für sich, So dann der Ersam M Martin Schweÿtzer alls geschworner vogt Annen, Ursulen v. hanns Petern bemelter Barben geschwüsterden vogtlicher wÿß verkaufft
dem Ehrenhafften Alexander Eßlinger der S S Einspenning.
huß hoffestatt hefflin v gertlin mit all Ihren gebeud geleg. Inn der S S vff S. Elßbethen gaß einsÿt neben einem Almend gesslin andersÿt einem Almend geßlin geg. hanns Sießen lÿnenwebers haußes stoßend hind vff den Schawenburger hoff, davon gend Achthalben guldin gelts Zu xv batzen vff (-) loßig mit 150 guld bemelter werung der Zinß- Zur Herren Mörin doch wann man solch hauptgut begehren würd soll manns Zuerleg. vnd loßig Zuthun schuldig, Sunst für ledig eÿg. der Khauff vber die vder solche beschwerd. Zugangen vmb 585 gulden

Le cavalier Alexandre Esslinger épouse en 1603 Esther, veuve du cordonnier Georges Veit
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 166-v n° 44)
1603. Doîca 4 post Trin. 17. Julÿ. Alexand. Esling. ein reisig knecht Ester, Jerg vitten des schumachers hind.lassene witwe. Eingesegnet Mont. d. 25. Julÿ (i 88)

Ester Hepp, veuve du cordonnier Georges Veit, à présent femme d’Alexandre Esslinger fait dresser l’inventaire de ses apports en présence du tuteur de ses deux enfants Marie et André
1603 (19.7.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 3) n° 32
Inventarium vnd ordentliche beschreibung aller Haab vnd Nahrung So Fr. Ester heppin, weÿland Georg Veit. deß schuhmachers seelig wittwe Jetzund Alexandri Eßlingers versprochene hochzeitterin vmbhaalte* In beÿsein des ehrenvest wohlgelehrten H M. Caspari Heppen Ihres brud. Meister hanß Stahlen schumachers Ihreß v Caspar Floßen Schuhmachers alß geschwornen vogts Marie v Andreß obgedacht Ester Heppin Mit Georg Veit Ihrem erst haußwürth selig erzilt
Actum Zinßtag d. 19.ten Julÿ 1603.
In deß Edlen Vest Jung. Philipß Jacob Sebach hoff gefnd. word. wie volgtt
Sa. haußraths 75, Sa. Silbers 16, Sa. Guldin Ring 16, Sa. Baarschafft 50, Summa summarum j C Lvij lb xiij ß xj d

Le cordonnier Georges Veit épouse en 1580 Esther, fille du barbier Pierre Hepp
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 231 n° 21)
1580. Georg Veit schuhmacher, Esther Peter Heppen des scherers seligen tochter. Ist bey der erzeigung weßen * Adam heus der scherer. Eingesegnet 2. Maÿ (i 124)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment sergent Alexandre Esslinger. Fils de bourgeois, il a servi plusieurs nobles.
1603, Conseillers et XXI (1 R 82)
(f° 72) XIII Martÿ – Alexander Eslinger vmb Einsp. dienst
Alexander Esling. burgers Sohn vbergibt ein supplôn darin er vmb Einspennig. dienst ansuchet vnd bitt Inne für anderen Zubedencken d. er nun 28 Jar bei denen vom Adel gedienet auch ehrlich verhalten d. sie Innen auch noch lang. leiden möchten, wie Zue paßwortten ausweisen vnd sie selbe bekennen wurd. so sie befragt. Erkant Gegen bedacht Ziehen v soll die ubrige aufgesucht vnd bedacht werd. welcher vnder dissen Zufurdern. H Schatz H Kam Zeugens an. Sonst Hhn XIII befohlen.
(f° 376-v) VI Decembr. – Alexander Esling. würdt Einspänniger
Alexander Esling. der Reisigknecht vbergibt supplôn dorin er noch malen vmb den Einsp. dienst ansucht mit vermeldung seines bej etlich Junckern getrewen dienst u. beschehener Vertröstung.
(f° 377) Erk. d. Alexander Eßling nun etliche mal vertröstet auch Jungst in d. wahl gewessen solt er itz aufgemacht vnd er Zum Einspännig. angenohmen sein.
1602 Conseillers et XXI (1 R 81)

Alexandre Esslinger et sa femme font leur testament. Mariés depuis environ sept ans, ils n’ont pas d’enfant. Le mari fait un legs à sa belle-fille Marie Veit.
1610, KS 392, Registranda instrumentorum Publicorum de Annis 1610-1615, Jacobus Kugler f° 58
Cassirt von wegen einer andern lestzen willen d cendn* orts 617. derm vffgericht
Codicill – Zuwissen das vff Donnerstag den xxv tag Octobr. Anno 1610 der wenigern Zal vor mir Notario (…) persönlich erschienen Ist der Ehrenhafft Alexander Eßlinger Einspänniger vnd die Erbar Fr. Ester sein eheliche hauß. wÿland Peter Heppen Balbierers selige dochter Beÿde von dem gnade Gottes (…)
zeigten an das sie sich vor Sieben Jaren vngeuorlich Zusammen ehelichen verheurathet bißher Keine Kinder mit.der* erzielt ob sie fürbas bekhom. würden (…)
Zum dritten legirt er Jungfr. Marien seiner liben Stieff dochter die gemelt Fr. Ester mit Georg Veÿten dem Schumacher Irem ehern haußwürth seligen ehelichen erzielt 50 pfund (…)

Le sergent Alexandre Esslinger se remarie avec Anne Mechtilde, veuve de Henri Weinschenck, bailli de Rastatt
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 132.v n° 5)
1623. Dom. 3. post Epiphan. 1. vice. Alexander Eßlinger der Einspänniger, vnd fraw Anna Mechtild, weÿland Herrn Heinrich Weinschencken, gewesenen Fürstlichen Marggräffischen Obervogts Zu Rastatt seelig. hind.laßene Wittib. Kirchgang Zu S Claus Zinst. post 4. Dom. Epiphan (i 145)

Alexandre Esslinger se remarie en 1631 avec Eve, fille du maçon Thierry Roth, de Gleisweiler près de Landau
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 162-v) n° 22)
1631. 30. Octobris. Alexander Eslinger der Einspänniger alhie vnd Eua weiland dietrich Rothen des maurers vnd burgers Zu Gleÿßweiler bei Landaw hinderl. witwe (i 176)

Originaire de Strasbourg, Alexandre Esslinger achète pour lui et pour sa femme le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne
1632, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 855
Alexander Eßling. Von Straßburg der Einspenning. Khaufft d. Burg.recht für sich vnd sein weÿb Vmb 4 goldt guld. Well Zu der Lucernen Zünfftig sein den 2 Januarÿ Aô 1633.

Alexandre Esslinger épouse en quatrièmes noces Susanne, fille du tonnelier Isaac Fidel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 168 n° 22)
1633. 9. Trinitatis Alexander Eslinger der Einspänniger vnd Jungfraw Susanna weiland Isaac Fiedels des Kieffern vnd Burgers alhie hinderl. tochter (i 22)

L’inventaire après décès d’Alexandre Esslinger est dressé en février 1642. Il délaisse une fille de sa troisième femme Eve et une autre de sa veuve Susanne Fidel. La maison estimée à 250 livres appartient pour deux tiers au défunt et pour un tiers à sa belle-fille Marie Veit. La masse propre à la veuve est de 100 livres, celle propre aux héritiers de 1062 livres. L’actif de la communauté s’élève à 429 livres, le passif à 115 livres.

1642 (19.2.), Not. Oesinger (David, 37 Not 8) n° 3
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Jeder Ligender vnd vahrender Haab nahrung und güettere, So weÿland der Ehrengeacht vnd Vornehme Herr Alexander Eßlinger der Einspenning. und burger alhie Zue Straßburg nach seinem tödlichen vnd selig. abscheid auß dißer welt verlaßen, vnd auf beschehenes fleißiges erfordern, ansuchen und begehren des Ehrengeachten H hans Jacob von Awenheim des Jüngern burgers alhie vnd der Zeit verordneten haupt Khannen auff der Spiegler Zunfft als geschwornen Vogts Evæ des verstorbenen herrn seligen mit Weÿl. Fr. Eua seiner dritten Haußfr. selig. und Elisabethæ mit hernach bemelter Jetziger seiner hinderlaßener wittiben ehelich erzeügter vnd nach todt verlaßener Zweÿer lieber Erben fleißig ersucht, inventirt, durch sie ehren: vnd Tugendsame Fraw Susannam Fÿdlerin die Hinderbliebene traurige Wittib mit beÿstandt des Ehrenvesten und vorgeachten herrn Johann Heinrich Geigers burgers und Stattglasers alhie ihres geordneten Curatoris trewlich geeügt (…) Beschehen In Straßburg Sambstags den 19. Februarÿ Anno 1642.

In Einer Behausung In der Statt Straßburg auff St. Elisabethæ gassen geleg. So in dieße Verlaßenschafft gehörig vnd hernach specificirt würdt, Ist befunden worden wie volgt.
Vff der Obern Büehnen, In d. Cammer A, In d. Cammer B Vff d. Andern Bühnen, In d. Cammer C, In d. Stub Kammer, In d. Wohnstub, In d. Cammer D, Im hauß öhren, Im Undern haußöhren, In d. Undern Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung So Theilbar (3. T. 2. E.) It. i. 2.ter theil ane hauß, hoffstatt, höffl. Vnd Stallung auch allen andern Ihren gebeü. begriffen, Zugehörd. Vnd gerechtigkeit. geleg. alhie in d. Statt Straßburg auff St. Ellisabethen gaß, einseith einem Allmendgäßlein geg. hanß Conrad Wetzels des Metzgers Seelig. Erben, anderseit auch neb. einem Allmendt gäßlein geg. hans Süeßen des Leinenwebers seel: Erb. hind. Auff d. Schawenburgisch. hoff stoßend, So allerdings freÿ, ledig vnd eÿgen haben æstimirt Vnd angeschlag. word. pro 250. lb (E. 166. 13. 4., T. 83. 6. 8)
Darüber sagt Erstlich. ein teutsch. pergamentine brieff mit d. Statt Straßb. Contract Insigell Verwahrt, datirt d. 16. Martÿ & Aô 1607. weist wie diße behaußung an nuhnmehr weÿl. Christoffell Blatersbach, gewesenen bittell Zur Mörin, Käufflichen erwachßen. Dabeÿ ein papÿrener Extractus auß der Statt Straßburg Cancelleÿ Stub A° 1614. darin Zubefind. Welch. maß. der Verstorbenen seelig. obstehende behaußung, von ermeltes Christoff Blaterspachs seel: Erben an sich erkhaufft. Beeder brieff seindt bezeichnet mit Alten Nis 4 Jetzt N° 7.
NB. die Vberig drittetheil ist Mariæ Veilen des abgeleibt. stiefftocht. Zustendig gewesen, welche er ad dies vitæ wÿdumbs weiß Zu nießen gehabt, aber wehrend dißer Ehe von erwehnder seiner Stiefftocht. eigenthümlich ane sich erkhaufft Vnd angeregter Antheil beÿ der Theilung Velaßensch. Zuebefind.
Abzug Inn dießes Inventarium. Erben unverändert, Sa. haußraths 97, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 118, Sa. Guldenen Ringen 24, Sa. Voorschafft 18, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 433, Sa. Eigenthums einer behaußung 166, Sa. Schuld. 150, Summa summarum 1062 lb
Wittib Unverändert Guth, Sa. haußraths 28, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 7, Sa. Guldenen Ring 7, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 15, Sa. Ergäntzung 42, Summa summarum 100 lb
Theilbahr Guth, Sa. haußraths 39, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 49, Sa. Guldenen Rings 2, Sa. baarschafft 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 66, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 83, Sa. Schulden 179, Summa summarum 429 lb – Schulden 115, Nach deren Abzug 303 lb
Summa Finalis 1476 lb

Autres mentions d’Alexandre Esslinger dans les registres du Magistrat
1624 XV (2 R 52) Alexander Esslinger vmb verkaufung pferdt Zaüm. 208.
1637 Conseillers et XXI (1 R 120) Stallmeisters bestallung, Alexander Eßlinger. 46.

Susanne Fidel se remarie en 1646 avec le sergent Jean Martin Armbruster : contrat de mariage, célébration
1646 (13.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 343
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten H Hannß Martin Armbrustern, Einspännigern alhie als Bräuttigam an Einem
vnd dann der Ehr. und Tugendtsamen Frawen Susannä Fidlerin weÿlandt H. Alexander Eßlingers gewesenen Einspännigs vnd burgers amhie Zu Straßburg selig. nachgelaßenen Wittiben, alß hochzeiterin Andern Theils
Actum Freÿtags den 13. Martÿ A° 1646. [unterzeichnet] In nahmen Vnd Von wegen hannß Martin Armbrusters deß breüttigambs So schreibens ohnerfahren, Daniel Strintz Notarius, hannß Georg geÿger Als der fraw hochzeiterin Vogt

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 319-v)
1646. Domin: Miseric. Dom. 12. Apr: Hannß Martin Armbruster Einspännig. alhie, Susanna, Alexander Eßlingers Einspännigers alhie nachgel. wittib. Eingesegnet Dienstags 21. Apr: St Thoman (i 326)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qu’apporte l’épouse en mariage. Les apports du mari s’élèvent à 1 219 livres, ceux de la femme à 822 livres.

1646 (27.7.), Not. Oesinger (David, 37 Not 10) n° 9
Inventarium vndt Beschreibung Aller vnd Jeder Ligender vnd Vahrender Haab, nahrung vnd güettere, So der Ehrengeachte Herr Hanß Martin Armbruster der Einspenning alhie Zu Straßburg, vnd die Tugendtsame Fraw Susanna Fidlerin beede Eheleuth in ihren Ehestandt Zusammen gebracht haben, Welche Zur Verhuetung Künfftiger Spänn vnd vngelegenheit vermög der Zwischen ihnen beiden auffgerichteten Ehebered. (…) So beschehen in gedachter Statt Straßburg Montag den 27. Julÿ Aô 1646.

In Einer Behausung in der Statt Straßburg auff St. Elisabethæ gaßen geleg. So in dieße nahrung Zum theil gehörig vnd hernach specificirt würdt, Ist befunden worden wie volgt.
Vff der Obern Büehnen, In d. Cammer A, In d. Cammer B, Vor dißer Cammer, In der Stub Cammeren, In der Wohnstuben, In der Cammer D
Eÿgenthumb ane einer Behauß. Ein drittertheil ane hauß, hoffstatt, vnd höfflin. Vnd Stallung auch allen andern Ihren gebeüwen, begriffen, Zugehörd. vnd gerechtigkeiten, geleg. alhie in d. Statt Straßb. auff St. Ellisabeth. gaß, einseit neb. einem Allmendgäßlein geg. hanß Conrad Wetzels des Metzgers selig. Erben, anderseit auch neb. einem Allmendt gäßlein geg. hans Süeßen des Leinenwebers seelig. Erben, hind. auff den Schawenburgisch. hoff stoßend, so allerdings freÿ, ledig vnd eig. vnd ist hiehero angeschlag. word. für 83. lb. 6 ß 8 d. Inhalt eines teutsch. Pergamentinen brieffs mit d. Statt Straßb. Contract Insigel verwahret datirt den 16. Martÿ Aô 1607. weist wie diße behaußung an weÿl. Christoph Blatersbach gewesenen bittel Zur Mörin Käufflich. kommen.
Sa. des Mans haußraths 49, Sa. Ringen 1, Sa. baarschafft 105, Summa summarum 156 lb
Sa. der Frawen zugebrachten haußraths 217, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 133, Sa. guldenen Ringen 17, Sa. baarschafft 71, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 81, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 83, Sa. Schulden 218, Summa summarum 822 lb

Jean Martin Armbruster est nommé sergent municipal en même temps que Martin Pastoreck
1645, Conseillers et XXI (1 R 128)
(f° 129) Oben Stallh. Martin Pastoreck. Hanß Martin Armbruster.
die Obere Stallg. laß. per J Stattschreiber bericht. d. sie Mh d. XIII. Zwen Einspänniger Vorgeschlag. als Nemlich Martin Pastoreck vnnd Hanß Martin Armbruster Seÿen Confirmirt & Angnomm. word. Werd. nunmehr d. Juramentum abzulegen hab. Seind Zugelaß. &. p.stito iuramento Wider vmb dimittirt word.

Originaire de Durlach, le sergent Jean Martin Armbruster acquiert le droit de bourgeoisie en novembre 1649.
1649, 3° Livre de bourgeoisie p. 929
Johann Martin Armbruster der Einspeniger von Durlach* empfangt d. burgerrecht für sich allein auß Gnaden Würd Zu den Becken dienen. Jur. den 12. 9.bris 1649.

Eve Esslinger épouse en 1654 le boucher Bernard Wagner
1654 (4.6.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 518
Eheberedung – zwischen dem Ehbaren und bescheidenen Bernhard Wagner dem Ledigen Metzger und burgern alhier Zu Straßb. als Bräuttigam an Einem
So dann der Züchtig. Ehren und Tugendtsamen Jfr. Evæ Weÿland des Ehrengeachten Herrn Alexander Eßlingers gewesenen burgers und Einspännigs seligen Hinderlaßenen Tochter als hochzeiterin Andern Theils
So beschehen in Straßburg den 4. Junÿ A° 1654. [unterzeichnet] Ich Bernhardt Wagner als ho zeidter beken wie ob stedt, hanß Jacob von Augenen Als der Jungfrawen hochzeiterin vogt, Innahmen hanß Martin Armbruster der Jfr. hochzeiterin Stieffvatters

Jean Martin Armbruster meurt en 1664 après avoir institué sa veuve pour légataire universelle. La maison appartient pour un tiers à la communauté et pour deux tiers aux deux filles d’Alexandre Esslinger (ici dites filles de la veuve). La succession sans passif s’élève à 438 livres.

1664 (22. Xbr), Not. Oesinger (David, 37 Not 18) n° 23
Inventarium vnd Beschreibung aller vnd Jeder Haab Nahrung vndt Güethere, Liegender vndt vahrender, So weÿl. der Ehrenhaffte H Hannß Martin Armbruster geweßener Burger vndt Einspenniger allhie seel. nach dem derselbe den 27. Octobris Jüngsthien deß Allerhöchsten Vätterlichen Willen nach dieße Weltt gesegnet, hinder Ihme v.laßen, welches auff beschehenes fleißiges vnd freundliches Ansuchen erfordern vnd begehren deß Ehrengeachten vnd Vornehmen H Hannß Jacob von (Zabern) Augenheim wohlverordnet. büttels beÿ E. E. Zunfft der Spügler als geordnet und geschworenen Vogts der Ehren v. Tugendsamen Fr. Susanna Fidlerin deß Verstorbenen seel. hinderlaßenen Wittiben v. Crafft der Zwischen Ehegemeldten Ehegelächten auffgerichteten Eheberedung rechtmäsigen einig. Erbin, fleißig ersucht, Inventirt (…) So beschehen Donnerstag den 22. Decembris In beÿsein H Bernhardt Wagners deß Metzgers vnd H Hannß Michel Stoltzen deß Einspännigers beeder burgere alhier oberwehnter Fr. Wittiben dochtermänner Anno 1664.

In dem Obern Haußöhren, In der Obern Kuchen, Im vndern Hauß Öhren, Im Keller
Eigenthumb ane Einer Behaußung. It. i. dritterth. ane Hauß Hoffstatt v. Höffl. sampt d. Stallung auch allen andern Ihren gebäwen, begriffen, Zugehörden, recht. v. Gerechtigkeit. geleg. alhie in d. St. St. auff St. Elisabethæ gassen, i.seith neb. i. Allmendt Gäßl. geg. Hanß Conrad Wetzels deß Metzgers seel. Erb., m. 2. seith auch i. eckh an einem Allmendt gäßl. geg. Adam Herwagens deß Gartenmanns allh. seel. Erben, hinden vff d. Schawenburgisch. hoff stoßend Adelich, so allerdings freÿ, Ledig v. eig. v. ist hieh. angeschl. word. pro 83. lb. 6 ß 8 d. Inh. i. teutsch. Perg. brieffs m. d. St. St. Contract anhangd. Insigel v.wahr. deßen datum d. 16. Martÿ Aô 1607. sig. m. alt. Nis 1. 4. & 3 v. darbeÿ gelaß.
NB die übrige 2 dritte theil seindt der Fr. Wittwe beed. döchtern eigenth. Zusammen, welche Sie wie hernach fol. (-) fac. (-) Zusehen ad dies vitæ Wÿdembs weiß Zugenüßen hat.
Wÿdembs Verfangenschaft. (…) Eigenthumb ane Einer Behaußung. It. i. Zweÿt. th. ane Hauß Hoffstatt Höfflin v. Stallung ([biffé] auch allen andern Ihren gebäwen, begriffen, Zugehörden v. Gerechtigkeit. geleg. alhie in der Statt Straßb. auff St. Elisabeth. gaßen, i.seith einem Allmendt gäßl. geg. Hanß Conrad Wetzels deß Metzgers seel. Erb. anders. auch neb. i. eckh an einem Allmendt gäßl. geg. hanß Sießen des Leinenwebers seel. Erben hinden auff den Schawenburgischeb hoff stoßendt), So allerdings freÿ, Ledig Eig. vnd ist dießer Zweithetheil hieh. æstim v. angeschl. word. pro 166. lb. 13 ß 4 d.
Abzug In dißes Inventarium. Sa. Haußraths 103, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 87, Sa. frucht 3, Sa. Guldenen Eing 11, Sa. der Baarschafft 48, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. Eigenthum an einer behaußung 83, Summa summarum, Summa finalis 438 lb

Autres mentions de Jean Martin Armbruster dans les registres du Magistrat
1659 XV (2 R 77) Hanß Martin Armbruster. 27 [abloßung].164.
1664 Conseillers et XXI (1 R 147) Hanß Martin Armbrusters W. 168. [Soldners]

Lors du partage en 1672 (mentionné à l’inventaire ci-dessous), la maison revient à Elisabeth Esslinger qui épouse en 1658 le sergent Jean Michel Stoltz, originaire de Schlichten près de Schorndorf en Wurtemberg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafft u. Vorachtbahren H Johann Michael Stoltzen den Einspännig., weÿland deß Ehrsamen u. bescheid.en Georg Stoltz. geweßenen Schwartzbeckers u. Burg. Zu Schlicht. in dem Hertzogthumb Würtzberg geleg. ehelich. Sohn, als dem Breütigam ane einem ,So dann d. Ehren: u. tug.dtsahlmen Jfr Elisabethæ Eslingin, weÿl. deß Ehrengeachten Hn Alexander Eßling.s auch gewesenen Einspännig.s u burg.s alhie Zu Straßburg seeligen hind.laß.er tocht. als d. Jfr. Hochzeit.in am and.theil. (…) mit gutem consens, wiß willen u. gehelle d. Ehrenvest. Vorgeacht. auch Ehrengeacht. u. bescheiden hanß Fetsch. leinenweb.s sein des Hochzeiters vettern uff deßelben, deßgleich. vff Ihro der Jugfr. Hochzeiterin Seith H. Hanß Martin Armbrusts. Einspännigers Ihres Stieff Vatters H. hanß Jacob Augenens, Büttels beÿ E: E: Zunfft Zum Spiegel Ihres geschwornen Vogts und herrn Christoph Seitzen wurtz Crämers all burger zu ermeltem Straßburg (…) So beschehen undt Zugangen in deß Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßb. Donnerstags den 26. Monatstag Augusti 1658. Johann Georg Redslob, Nots.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 35-v)
1658. Dncâ XVI. Trinit. d. 26. Sept. Johann. Michael Stoltz der Einspänniger, Weÿland Geörg Stoltzen Schwartzbecken Zu Schlichten Württenberg. Herrschafft hinderlaßener Ehelicher Sohn vnd J. Elisabeth weiland Alexander Eßlinger Einspänniger vnd burgers allhie hinderlaßene Eheliche tochter. Copulirt d. 5. Octobris Zu St Thoman (i 39)

Le Grand Sénat dispense en décembre 1658 Jean Michel Stoltz qui fera partie de la tribu des Fribourgeois de régler le droit de bourgeoisie.
1658, 3° Livre de bourgeoisie p. 959
Hannß Michel Stoltz von Schlichten beÿ Schorndorff dem Einspännigern Ist von E. E. Großen Rath das Burgerrecht auß gnaden geschenckt worden, so noch Ledigen Standts, würdt Zu den freÿburgern dienen. Jurav. den 15. Xbris A° 1658.

Elisabeth Esslinger meurt en 1690 en délaissant six enfants. La maison est estimée à son prix de cession lors du partage en 1672 (275 livres). La masse propre au veuf est de 2 079 livres, celle propre aux héritiers de 591 livres. L’actif de la communauté s’élève à 166 livres, le passif à 565 livres

1690 (25.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6371) n° 274
Inventarium undt beschreibung aller undt Jeder verändert undt Unveränderter haab undt Nahrung, So weÿl. die Ehren: und tugendsahme fraw Elisabetha Eßlingerin, deß Ehrengeachten herrn Johann Michel Stoltzen, Einspennigers burgers alhier Zu Straßburg, gewesene eheliche haußfraw, nunmehr seelig, nach Ihrem d. 20. Jan: Vorabgewichenen 1689.ten Jahres tödtlich genommenen hienscheid. hind. Ihro v.laß. welche Verlaß.schafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren: undt tugendsamen frawen Salome, deß Ehrenhafft. Meist. Casimir Appellen Schneid. burgers alhier Zu Straßburg ehelichen haußfrauwen beÿständlich deßelben, ferner d. Ehren: u. tugendsahmen frawen Margarethæ des Ehrenhafft Johann Francken, tabacmachers burgers Zu ged. Straßburg Ehewürthin, so beede Zugegen, undt dann des Ehrenvest. und weiß. herrn Bernhardt Wagners Metzg. und E.E. Kleinen Raths nunmahlig. beÿsitzers, als geordnet: und geschworenen Vogts Jgfr. Susannæ, hanß Philippßen, hanß Georgen undt hans Michaels, aller 6. der verstorb.en frawen seel. mit Vorgemeltem Wittib. ehelich erzeugtes Kind. und ab intestato nachgelaß.er Erb. durch Ihne wittib wie auch Jgfr. Susanna die ohnvheurathete dochter (…) geäugt und gezeigt (…) Welches beschehen in Straßburg Dienstags d. 25. Aprilis Anno 1690.

Inn einer in d. Statt Straßburg inn Elisabethen gaß geleg.en in dieße v.laß.schafft gehörig: hernach beschrieben behaußung hatt sich befund. wie volgt
Eÿg.thumb ane einer behaußung (E.) Item die helffte, daran die überige helffte als theilbar eingetrag. an hauß, hoffstatt undt höfflein mit allen and Ihren gebäwen begriffen, weith. recht. und Zugehörd. geleg. alhie inn d. Statt Straßb. auff St. Elisabeth gaß, eins. ein Allmendt gäßl. and.s. ingleichen hind. auf d. Schawenburg. hoff stoßendt geleg. so freÿ ledig undt eÿgen und hieh. angeschlag. wie solche in aô 1672. beÿ weÿl. Fr. Susannæ Fiedlerin v.laßschaffts Abtheÿlung angenommen word. æstimirt vor 275. lb. d. hieran gebürt d. Erb. als ohnv.ändt die helffte 137. lb 10. ß. Die übrige helffte ist hernach beÿ theilbaren v.laßschafft eingetrag. auf solche behaußung ist wehrend. Ehe gelt aufgenommen word. so h.nach beÿ d. theilbahren Schuld. aus d. v.laßschafft Zu geltend sich findet. Darüber vorhand. ein teutsch Pergament Kauffbrieff, in allhieß. Canc. Contractstub v.fertiget, war ab d. Ins. abgefallen de dato 16. tag Martÿ 1607. mit Nris 4. 7. et 2. notirt
(T.) NB in die theilbare Verlaßenschafft ist die übrige helffte d. behaußung Zusetz. thut 137. lb 10. ß d.
Holtz: und Schreinerwerck. Auff d. bühn, Inn d. wohnstuben. I, d. Stub Cammer,Im haußöhren, In der Cammer A, In der Kuchen, Im Keller
Norma hujus inventarÿ. Copia der Eheberedung, Copia Codicilli
Der Erb. ohnv.ändt eÿg.tumblich Vermögen, Sa. haußraths 41, Sa. Silbers 5, Sa. Eÿg.thumb ane einer Behaußung 137, Ergäntzung auß dem üb. d. v.storb. seel. Zugebrachte Nahrung durch H Joh: Georg Redtslob d. 17. 9.br 1658. auffgerichteten hernach. ab. d. 5 Maÿ 1690. durch Hn Notm Andream Schmidt verfertigtem Inventario
Auß einer Designaôn; darinnen waß Fr. Susanna Fiedlerin, herrn hannß Martin Armbrusters ges. Einspännigers Zu Straßb. hind.laßene wittib d. verstorb. frn. seelig. als Ihrer tochter Zur helffte ane mobilien eÿg.thumblich cedirt u. üb.laß von herrn David Ösing. Noto publ. d. 15. Maÿ a° 1665.
(Sa. Ergäntzung) 407, Summa summarum 591. lb
Nach Solchem und Endtlich wird nun auch d. Gemein, verädert u theilbahr guth beschrib. Sa. haußraths 23, Sa. guld.er ring 6, Sa. Eigthumb ahne einer behaußung 137, Summa summarum 166 – Schulden 565 lb, theilbar Passiv schuldt üb.treffen die theilbare v.laß.schafft um 398 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 193 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen undt Zugangen in deß Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßb. Donnerstags den 26. Monatstag Augusti 1658. Johann Georg Redslob, Nots.
Copia Codicilli – 1689. auff Montag den 10. Januarÿ (…) in einer inn d. Statt Straßburg auff d. Elisabethengaß. gelege.en d. Codicillanterin eigenthümlich gehörigen Von Ihro u. Ihrem haußwürth bewohnend. behaußung d° ob.n als wohnstub mit d. fenst.n auff die Gaß sehend, Vor mir Benedicto Großen, offenbahren geschwornen Notô (…) persönlich erschienen die Tug.dtsahme fraw Elisabetha herrn Johann Michael Stoltzen deß Einspänniger.s u. burg. alhier Eheliche haußfraw, Zwar weg. Zugenstand.er leibs unpäßlichkeit, auf einem beth lieg. sich enthaltend (…)

Les Quinze fournissent aux héritiers de Jean Michel Stoltz des fagots pour pouvoir réparer la maison
1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
(f° 34) Sambstags den 16. Febr. – Hannß Michael Stoltz pt° Wellen
Noîe Hannß Michael Stoltzen, des Einspengers hinderlaßener elenden tochter und sohn Vogten H. Bernhard Wagners ersch. Casimir Abelli pr Saltzmann p.len bitten und.th, Weilen mann ein Und ander geschäfft jm Sterbhauß Vorzunehmen, und Stoltz ein gutes Nach Weÿnachten gestorben, ihnen etwas ane wellen, jnn genaden Zukommen Zulaßen. Erk. 200. Wellen Willfahrt.

Les enfants et héritiers de Jean Michel Stoltz hypothèquent la maison au profit de l’ancien consul Jacques Wencker. En marge, quittance remise en 1695 à Jean Balthasar Vogel

1692 (20. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 807
H. Bernhard Wagner, der Metzger, und E:E: kleinen Raths alter Beÿsitzer, alß Vogt weÿl. Johann Michael Stoltzen, gewesenen Einspännigers sel. nachgelaßenen noch ledigen Vier Kind. Mehr Salome gebohrne Stoltzin Casimir Appelli, deß Schneiders eheliche haußfrau, So dann Margaretha Stoltzin Johannis Francken, des Tabacbereiters eheliche haußfrau
in gegensein Hn Jacob Wenckers, alt. Ammeisters und XIII.ers – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, hauß, höfflein und den hoffstätten auch bronnen mit allen andern deren gebäuen Recht Und zugehördt. allhier an St. Elisabeth. gaß zu beed. seiten neben Allmendgäßlein, so nicht durchgehen, hind. auff d. Adel. Schauenburg. hoff stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Johann Balthasar Vogels, des Würths, als jetzmahligen besitzers hierinn gemelt. an St. Elisabethen gaßen gelegenen behaußung, so anietzo d. würthshauß Zum Stall genannt wird (quittung), den 11. Oct. 1695

Les enfants et héritiers de Jean Michel Stoltz vendent la maison à l’aubergiste Jean Balthasar Vogel et à sa femme Marguerite Wetzel. En marge, quittance remise à Pierre Gaudemar en 1731

1693 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 210
Salome gebohrne Stoltzin, Casimir Apelli, deß Schneiders Eheliche haußfrau, Margaretha Stoltzin, Johannis Francken, deß Tabackbereiters eheliche haußfrau, So dann H. Bernhard Wagner, der Metzger und E:E: kleinen Raths alter beÿsitzer alß Weÿl. hans Michael Stolzen gewesenen Einspännigers sel. nachgelaßene Vier jüngste Kinder, darvon der eine Sohn nahmens hans Philipß, d. ledige tabacbereiter hierbeÿ Zu geg. war
in gegensein Johann Balthasar Vogels, deß würths, und Margarethæ gebohrner Wetzelin
hauß, höfflein, Stallung, bronnen samt dero hoffstätten, und allen übrigen deren Gebäuen, recht, und Zugehördt, allhier an St. Elisabethæ gaß, Zu beed. seit. neben Allmend gäßlein, so nicht durch gehen, hind. auff den Adel. Schauenburgischen hoff stoßend gelegen, welche behaußung umb 150 lb Capital dem waisenhauß allhier, So dann umb 75 lb Capital Hn Jacob Wenckern alt. Ammeister und XIII.er verhafftet – geschehen umb 325 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Hn Pierre Gaudemar chef de Cuisine de Mgr. Passionés archeveque d’Ephese et Nonce du Pape a la Cour de Vienne als Käuffers hier Verpfändeter behaußung (Quittung), den *

Les Quinze autorisent l’ancien aubergiste à l’Ecurie Jean Balthasar Vogel à ouvrir une nouvelle auberge rue Sainte-Elisabeth dans la maison qu’il vient d’acheter des héritiers de Jean Michel Stoltz. Ils accordent à Jean Balthasar Vogel une réduction de la redevance eu égard qu’il a été malade pendant vingt-deux semaines. La maison qu’a tenue un vivandier et a eu pour enseigne la Montre dorée (zur guldenen Uhr) portera désormais celle de la Nouvelle écurie (zum Neuen Stall).

1693, Protocole des Quinze (2 R 97)
(f° 40) Sambstag den 7. Martÿ – Balthasar Vogel pt° Wirtschafft Und Schilds gerechtigkeit
Balthasar Vogel, des geweßen Würth Zum Stall, per Saltzmann, hatt Weÿl. Hannß Michael Stoltzen, gewesenen Einspengers behaußung jnn Elisabethe Gaß an sich erkaufft, Willens ein Neu Würths hauß allda auffzurichren, bitt Und.th. ihme einen Schild, Zum Neuen Stall genandt, Umb ein billiches, jn g. Zukommen Zulaßen, jnn ansehung er eine Zeithero Zimliche Widerwärtig Keit Und Kranckheit außgestanden Und setzts. Erk. Wie vor [Vor Obern Umbgelts Herren gewießen]

(f° 44-v) Freitag den 13. Martÿ – Balthasar Vogel pt° Wirtschafft Und Schilds gerechtigkeit
Obere Umbgelts Herren Lassen er Herrn Schragen referiren, daß der gewesene Würth Zum Stall, nahmens Balthasar Vogel, umb Erlaubnus, eine Würtschafft auff der Elisabetha Gaß gelegenen Stoltzischen behaußung auffzurichten, angesucht habe dann er, als mann ihn Ferners gehört, beÿgesetzt, daß er jnn dem Vorigen hauß alle jahr 96. fl. Zinnß geben müßen, und deßweg. es Verkaufft hätte, er 22 Wochen lang Kranck gewesen were, seine alte Umbgeldt Extantzen so jnn 178. lb biß and. /.welches d. wahrheit gemäß seÿe:/ Völlig bezahlt, Und Vor d. Neue hauß 1100 fl. erlegt hätte, darinnen schohn ein Marquetänd. geweßenn were, Und den schild zur guldenen Uhr geheißen hätte, selbigen aber er Zum Neuen Stall nennen wolte, allein Weilen er beÿ geringem Vermögen, so habe mann deßwegen bedenckens getragen, dahero es auff die 8. ß quartaliter setzen wollen, welches er auch versprochen und beÿ auffnahm des Weins selbiger gleich zu Verumbgeldten sich erbietig gemacht habe, und, weilen es beÿ E. E. Zunfft d. Freÿburger, allwo er schohn Viel jahr Zünfftig, auch richtig seÿen so habe man wie Willfahr des schancks an gedachtem Orth Zu Mghh. stellen wollen.
Herr Prætor Regius sagt, Es werde d. erkauffte hauß vermuthlich eine Winckel Würthshauß geben, jndeme das Elisabetha thor geschloßen und wenig Leuth selbige gebrauchen, allein, Weilen er daßelbig gekaufft, Und ihme anderst nicht wohl Zu helffen, so Folge Er den bedacht. Erk. Bedacht beliebt.

Enfant naturel du compagnon charron Balthasar Vogel de Wissembourg et de Barbe Esslinger, fille du boulanger Melchior Esslinger et de Marie Kesselmeyer, Jean Balthasar Vogel est légitimé par le docteur en droit et comte palatin Jean Rebhan en décembre 1674.
1674 (17.12.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 18, Vol. 2, Notariat Protocolla)
Instrumentum legitimationis Johann Balthasar Vogels des Ledigen Haußknechts von Straßburg gebürtig
Ich Johann Rebhan beÿder Rechten Doctor Comes Palatinus Cæsareus, hochfr. Pfaltz Sponheimischen auch hochgräffl. Hanawischer vnd Leining Dagspurgischer Rathn des Juristen Collegÿ beÿ der löblichen Universität Zu Straßb. senior vndt Professor primarius wie auch Collegiat Stifft St. Thomæ daselbsten Canonicus, vnd Custos Geben hiemit Vndt thue Kundt Jeder männiglichen (…) legitimiren vnd ehelich machen Vndt ahne derselben ihre macul, vndt vermeiligung der Vnehelichen Geburth halben dispensiren, solche Macul, vndt vermeiligung von Ihnen gäntzlichen auffheben, abthun undt vernichten, vndt Sie in die Ehr, vnd Würde des ehelichen Standes setzen Barbar erheben (…) Vrkundt dieses brieffs besigelt der Geben ist in vnserer Statt Wien den 29. Monats tag Augusti Nach Christi Vnsers Lieben Herren Barbar seeligmachers Gnaden Geburth Im 1661 (…) Jahr, Geörg Ulrich Graff Zu Wolckenstein
Dieweilen nuhn dann Johann Balthasar Vogel mir nächst verwichener Tagen mit mehrerem Zuerkennen gegeb, Welcher gestalt auch Er außer der Ehe Von seiner annoch lebender Mutter Barbaræ Esslingerin, Weÿl. Melchior Esslingers gewesenen Weißbeckhens vndt burgers alhie Zu Straßb. sel. mit Maria Keßelmeÿerin beed. Eheleuth erzeigt. dochter alhie ahn diese Weldt gebohren dergestalten daß, alß Er Balthasar Vogel Von Weisenburg damahlen lediger Wagner Geselle Sie seine mutter affectionirt, vndt Sie daher In Hoffnung gestanden, Sie in ehren meinete, vndt ehelichen würde, demselben so sie indulgiert, daß Er Sie Zusammen Willen, Vnd Vnder den fuß bracht dardurch Sie dieses ihres Sohns schwanger worden, vnd in A° 1651. denselben alhie außer Ehe in diese Weldt gebohren, vndt ob Zwar Sie die Mutter Immer verhofft Er Balthasar Vogel, nach deme Er Sie Zu fall gebracht, Sich eines beßeren bedenckhen, Sie ehelichen vnd also beÿde, Sie Vndt diesen ihren Sohn wider in ehren setzen würde, So habe Er Sie doch bößlichen verlaßen, darvon gezogen, vndt Sie Sambt diesem ihrem Sohn ein Elendt vndt in die sein Unglücklichem Standt sitzen laßen, also daß Sie sich seithero Zwar kümmerlichen Jedoch ehrlichen mit diesem ihrem Sohn auß vnd fort bracht doch nach ihrem Vermögen nach dem Er der Christlich Kürchen durch das Sacrament der heÿligen Tauff alhier Im Münster einverleibt worden, Voran Zu Gottesfurcht tugenden, vndt dienstwillig Keit angezogen dardurch Er auch durch Gottes Gnad sich aller Orten Jedermann der Gestalt Zu gunsten recommendirt (…)
In mein Dr Johann Rebhahn Comitis Palatini eügenthümblicher Behaußung, Oben neben herrn Doctorandt Jacob Christoph Maders, Vnden aber vff St. Thome Plan, vff St. Martins bruckh stosendt gelegen In dem hindern mittlern Stockh In der großen Stuben auf das Wasser die Preüsch genandten sehendt, war Donnerstags den 17. Decembris St. v. Zwischen 9. und 11. Uhren Vormittag Im Jahr (…) 1674.

L’aubergiste à l’Ecurie Jean Balthasar Vogel épouse en 1676 Anne Marguerite, fille du sergent municipal Martin Wetzel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 298 n° 39)
1676. Domin. 15 et 16. Trin: Johan Balthasar Vogel der * gastgeber Zum Stal, Balthasaris Vogels deß Wagners und Burger zu Crohn weißenburg Sohn (NB nicht ehelicher Sohn, dan er war außer der ehe gebohren, doch von H. D. Rebhahn legitimirt) vnd Jfr Anna Margaretha, weÿl. Martini Wetzels deß gewesenen einspännigers alhie hinderlaßene eheliche Tochter, Copulirt Zu St Nic. 14. Septembr. (i 318)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 33-v, n° XV) 1676. Dom. 15. post Trinitatis. Johan Zum 2. mahl Johann Balthasar Vogel der (Bier)sieder und Burger, Johann Balthasar Vogell, Burgers und Wagners Zu Weißenburg Sohn, Jfr Anna Margaretha, Weiland Martin Wetzels gewesenen Einspännigers ehel. T. Donnerstags den 14. 7.bris St. Niclaus (i 35)

Jean Balthasar Vogel devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 434
Johann Balthasar Vogel der gastgeber Zum Stall, weÿl. Johann Balthasar Vogels des wagners Zu Crohn weisenburg ehelicher Sohn, empfangt das burgerrecht von Anna Margaretha, weÿl. Martin Wetzels des haußfr. p. 8. gold fl. welche Er auff dem Pfenningthurn erlegt hatt, ist Zuvor ledigen standts gewesen vnd will Zu den freÿburgern dienen. Jur. 4. 8.br. 1676.

Jean Balthasar Vogel se convertit le premier septembre 1686 (sa femme et ses enfants restent luthériens, voir notamment son fils Jean Henri à l’acte de sépulture ci-dessous)
Conversions par les Jésuites (1 AST 305, p. 346) Jean Balthasar Vogel 1686 Septembre 1

Le débitant de vin Jean Mogg a donné asile à deux filles legères. L’affaire implique aussi Balthasar Vogel, aubergiste à la Nouvelle Ecurie, qui n’est pas quant à lui poursuivi.
1697, Protocole des Quinze (2 R 101)
(f° 3) Sambstag den 18. Januarÿ – Johann Mogg pt° Weinschancks
Obere Ungeldts Herren lassen per herrn Schragen referiren, daß als jüngsthin Wegen des Johann Moggen, so umb den Weinschanck angehalten, relation abgestattet worden, meldung geschehen seÿe, Ob hätte er vor diesem Verdächtige Leuth auff gehalten, deßwegen mann nicht ermangelt, sich beÿ dem Rechts protocoll Zuerkündigen, darauff herr Scheffmacher d. Rathschreiber gegenwärtigen Extractum eingelüffert daraus zu ersehen, daß den 19. 8.bris 1693. beÿ E. E. Rath erkandt worden, daß, weilen er und Balthasar Vogel d. Würth Zum Stall, Zweÿen Unzüchtigen personen, als Dorothea Heptingerin und Salome Schötterlin einigen Underschleiff gegeben, der Verjischtschreiber ihnen eine scharffe correction gegeben und inskünfftig sie sich dergl. sachen beÿ hoher straff enthalten sollen, als ern Hr Schrag, dießes gelaßen, habe er dafür gehalten, daß er sich beÿ Hn Mader anzumelden haben werden der sich gleich erbleitig gemacht ihme derwegen schrifftl. bericht Zu überschicken, so geschehen, und gehe selbiger dahin, daß jnn den protocollen Wegen Johann Moggen sich nichts anders Finde, als daß er von einigen Unzüchtigen Weibsbildern damahlen als er Wirth auff dem Armbruster Rhein geweßen, Angegeben worden, als ob er ihnen ein absonder gemach mit wißen darzu gegeben, er aber sich beÿ der Verhör mit hohem betheuren entschuldigt habe, daß er Von Nichts wiße, sondern daß er ihme nur zu Leÿd auffgebürdet werde, Weilen nun die sach Noch Unklar, und der Implorant seithero öffters mit ihme als einem alten Mann und der sich sonsten mit nichts als mit dem schanck Zu ernehren Weiß, commiseration Zu haben, Und ihm inn seinem begehren Zu willfahren gebetten, Auch versichert, daß herr Stettmeister Philipp Conrad Joham, so jnn der Nähe wohnt, ihm sein glück gern gönnte, als stündter Zu Mghh; Ob sie es mit ihm Auff ein jahr lang probiren wollen, Zumahlen er die gebühr vor den schanck Zu bezahlen offerirt, Auch versprochen, Keine inconvenientien jnn seinem Hauß Zu Leiden.
Herr Prætor Regius sagt, Es seÿen Viel rationes, die Wider dießen Implorant militiren, 1) daß ein Neus Würths hauß Auffricht, 2) daselbige abgelegen, und 3) er ein schneider seines handwercks seÿe, 4) er Auff dem Armbrust ein recht liederliches leben geführt habe und dabeÿ 5) r jnn seinem hauß recht meister seÿe, sondern die Fr. die hosen anhabe, allein, Weilen er Von seinem handwerck abgesprungen, den dienst in (f° 4-v) Umgeld quittirt, Und d. hauß mit seinem schaden erkaufft, so vermeine Er, daß ihm d. Würthshauß auffzurichten Zu erlauben seÿn werde, Allein könte durch die Obere Umbgelt H. ihme remonstrirt werden, was darauff stehe, Wann er sich Verdächtig mache, Und wäre was heraus komme, Wie empflindlicher würde abgestrafft werden. Erk. gefolgt.

Balthasar Vogel intente une action contre l’apprêteur de tabac Jean Gaspard Linck qui a ouvert une auberge à la Petite Maison rue Sainte-Elisabeth en lui faisant concurrence. Jean Gaspard Linck ne devra plus servir de vin dans sa maison mais seulement dans la rue.
1697, Protocole des Quinze (2 R 101)
Balthasar Vogel der Stall würth Ca Joh: Caspar Lincken der Tabacmacher
(f° 286-v) Sambstag den 19. 8.bris – Balthasar Vogel Ca Joh: Caspar Lincken
Balthasar Vogel der Stall würth, per Dd Gollen, Klagt, daß Joh: Caspar Linck, der Tabacmacher, welcher anjetzo Zu Haus vor sich vnd andere auff Zweÿen tafflen arbeitet, vnd sich alßo erhlich darauff erbehret, darneben die völlige Würtschafft wieder ordnung schon über jahr vnd tag treibet, bittet ein oder das andere fahren Zulaßen, gn. Zuerkennen. Erkandt, Soll dem gegentheil dazu verkündet weden.

(f° 290-v) Sambstag den 26. 8.bris – Balthasar Vogel Ca Hannß Caspar Lincken
Balthasar Vogel d. würth Zum Stall, per Saltzmann, cit. per sched. hannß Caspar Lincken, den Tabacmacher, und Würth Zum Kleinen hauß, erhohlt recess und petitum vom 19. hujus, berichtet anbeÿ, daß citatus sich erbotten, auff obrigkeitl. erkantnuß den schild hinweg Zuthun, Künast cit. s.* widerspricht Zuforderst allegirtem recess vom 19. huius, und auch dießem Ungrund, daß er oder seine haußfrau jemahlen offerirt, den schild hinweg Zuthun, und weilen er burger und beÿ E. E. Zunfft d. Freÿburger Leibzünfftig auch schohn 10 jahr die würtschafft treibt, da gegner allein erst vor etliche jahren inn sein Nachbarschafft gezogen, als bittet Zu abschneidung weitläuffig Keit deputationem. Factâ relatione ihn von gegners gesuch zu absolviren, ref. expens. S. erhohlt recess vom 19. huius, K. priora. Erk. An Obere Ungelts herren gewiesen.

(f° 305-v) Sambstag den 15. 9.bris – Balthasar Vogel der Stall würth Ca Joh: Caspar Lincken
Obere Umbgeltherren laßen per me referiren, daß Balthasar Vogel, der geweßene Würth Zum Stall, anjetzo auff der Elisabetha gaß jnn einem Andern Würthshauß wohnend, jnn einem gehaltenen Recess gebetten, Hannß Caspar Lincken, den Tabackmacher, dahin anzuhalten, daß er allein mit dem Tabackmachen sich contentiren, und der Würtheÿ sich enthalten solle, In dem 2.ten Recess habe er Vermeldt, daß gegner den schild wegzuthun sich resoluirt habe, Wofern Mghhn es Obrigkeitlich erkenneten, Allein habe Linck es Nicht nur gleich negirt, sondern Auch gebetten, ihn beÿ d. Würthschafft Zu lassen, jnn Ansehung er ein burger, Und beÿ den Freÿburgern Zum theil seÿe, Auch dieselbihe schohn 10 jahr Lang getrieben habe, Warauff die sach Zur Deputation gewiesen worden, und als mann die Parthen gehört, habe Vogel beditten, daß des gegners Frau an Vielen orthen gesagt habe, daß ihr Mann den schild Wegthun wolle, Weilen er mit dem taback Machen des tags Zweÿ Königsthaler Verdienen Könne, er, Gegner, Vor dießem Knechtsweiß geschafft habe, jetzo aber Zu hauß mit Zweÿ tafflen arbeithe, dabeÿ er sich wohl ernehren könte, neben dem er beÿ dem tax des weins nichts bleibte, und ware die Maaß jnn dem Umbgeldhauß à 2 ß 4 d geschätzt worden, er sie umb 3 ß Weggebe, Auch dadurch ihne großen eintrag thue, daß wann er die maaß à 2 ß gibt, er Hingegen sie Umb 20. d. außschencke, nur, daß er die leuth an sich Ziehe, über dießes seÿe er an Zweÿen orthen, als beÿ d. Möhrin und Freÿburger Zunfft Zünfftig, so nicht seÿn solle, Und wann es ihne Angehe, er auch Neben d. Würtheÿ d. grempen Wesen treiben wolte, Es habe aber Linck geantworthet, daß er Zuvor auff d. Elisabetha gaß gewohnt habe, ehe Vogel hingekommen seÿe, Und die 10 jahr über, als er die würtheÿ allda getrieben, d. Umbgeld ehrlich und redlich bezahlt, Auch der schanck ihn viel gekostet habe, und sehen müste, Wie er sich und die seinige ernehren, neben deme sich schreiner, Weber, und Andere Findeten, die Neben ihrem handwerck auch taback machten, er were auch Nicht allein, Neben dem Tabackmachen wein auß schenckte, e. g. N. Schwöbell deßen man sich Zwar wohl errinnert, dennoch aber ihme Lincken, Zugesprochen, daß er gute Nachbarschafft Zu erhalten beßer thäte, wann er eines quittirte, darauffhin er sich erklärt, daß er Künfftighin Keine leüth mehr im hauß setzen, und ihren daselbsten Zu trincken geben, sondern allein wein auff die gaß außschencken wolte, damit gegentheil Zu Friden Zu seÿn bezeugt, dahero mann darführ gehalten, daß es dabeÿ gelaßen, jedoch damit Vogel desto ruhiger seÿn, ihme Licken, 1. od. 2. lb straff, denen Nach Zu Kommen, angesetzt werden Könte, allein stündte die genehmhaltung Zu Mghh. Erk. Beliebt, und 2. lb d straff angesetzt.

1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
Hanß Caspar Linckh pt° Weinschancks auff der Elisabethæ gaßen, 322, 323, 348
Balthasar Vogel der würth zum stall Ca. Hanß Caspar Lincken, 367, 392
(f° 322) Sambstags den 31. Octobr. 1699 – Hanß Caspar Linckh burger pr Gol. bittet unterth. ihme den weinschanck auff der Elisabethæ gaßen gn. Zu erlauben. Erk. an die obere Ungeltsherren Gewießen.

Jean Balthasar Vogel se plaint du comportement et des dégâts qu’occasionnent le personnel militaire, souvent plus de trente personnes qu’il est obligé d’accueillir depuis treize semaines que son auberge est une « maison d’ordonnances ». Les Conseillers et les Vingt-et-Un le renvoient au bureau des logements militaires qui pourra intercéder en sa faveur auprès de Monsieur de La Bastie (le lieutenant de roi qui loge en face)

1706, Conseillers et XXI (1 R 189)
(p. 24) Montags den 8.ten Februarÿ 1706. – Joh: Balthasar Vogels deß Wüths Zum Stall haußfraw vmb dechargirung der von den soldathen in ged. Gasthauß leÿdenden beschwerden. 24.
S. Ersch. Johann Balthasar Vogels des würths Zum Stall allhier haußfrau producirt demüthig Unterthäniges Memoriale undt bitten dahien gehend, daß die Jenige beschwernuß, welche Er seithero dreÿzehen wochen, da mann sein in der Elisabethen gaß gelegene würths hauß Zu einem ordonnance hauß gemacht vndt sich tag vndt nacht in der vntern gaststuben über die 30 Personen mit großem geschreÿ auffhalten, wardurch seine hiebevor gehabte loßung gäntzlich gespert werde, habe leüdten müßen, von Ihme abgenommen, vndt der daher Erlittene schaden ahn dem hauß, offen so Zerrißen worden, vndt übrigen mobilien erstattet werden möchte. Erk. wirdt dieses geschäfft ahn die Hhrn Deputirte Zur Einquartierung gewießen, vmb sich beÿ Mr de La Bastie Vor den Imploranten Zu interponiren, damit Er einiger maßen soulagirt werden möchte.

Jean Balthasar Vogel obtient la levée des scellés apposés sur sa cave alors que ses locataires n’ont pas encore quitté les lieux.
1707, Protocole des Quinze (2 R 111)
(f° 250-v) Sambstags den 26. Novembr. 1707 – S. nôe Joh: Balthasar Vogels des Würths Zum Stall, man hat vorgestern Pplen seinen Keller Secretirt, weilen seine haußleüth noch nicht außgezogen geweß., da Er doch nie gewarnt worden seÿ, alß bittet unterth. weilen selbige, bereits auß dem hauß weg seÿen vndt Er großen schaden erlitten, Ihme den Keller wid. Zu eröffnen. Erk. Wan des Imploranten vorgeben der wahrheit gemäß solle Ihme der Keller wid. geöffnet werden.

Balthasar Vogel est autorisé à loger le palefrenier du marchand italien Cossa pour qu’il puisse surveiller ses chevaux. Il rapporte que la meilleure pièce de son auberge est occupée depui de nombreuses années par les sergents d’ordonnance qui l’empêchent d’avoir de nouveaux clients.

1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(p. 242) Sambstag d. 12. Junÿ 1717 – Balthasar Vogel pt° Haußleuth
Iidem [Obere Ungelt Hrn] per Eundem [Secretarium Kleinclaus] lasen referiren, daß Balthasar Vogel der Stallwürth auff St Elisabethæ Gaß in einem underth. Memoriale berichtet, daß H. Andreæ Cossa des Italienischen Kauffmanns Pferdt in sein, Imploranten, Stall stünd. vnd Er, Cossa, an Ihne begehrt, daß der Stallknecht des nachts beÿ denen Pferd bleiben und Zu dem ende Verlangt, daß er deßen Knecht undt seiner Frawen in seinem Würths hauß eine Cammer lehnen möcht, Zu mahl sie weder Fewr noch rauch halten würd., welches Er ohne Mgh. consens und bewilligung nicht thun wollen, undt deßen erlaubnus gebetten, deme Er beÿ der Deputation alß man Ihne ferner gehört, beÿ gesetzt, daß schon viele Jahr die Sergeant d’ordonnance die beste stub in seinem hauß inne hetten, welche tag und nacht in dem hauß tabac rauchten, hierdurch solches unlustig machte, undt die gäst vertreiben, undt weilen dießer vortrag der wahrheit gemäß, alß hetten die Hh. Depp. davor gehalten, daß dem Implorant jedoch ohne einige præjuditz undt nur biß auff anderwerthige Verordnung in seinem begehren Wilfahrt werden könte, mit der Condition daß weder gemelter Stall Knecht noch seiner Fraw Keinen wein einlegen, auch keine à parte haußhaltung führen solle, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erkandt, beliebt.

Jacques Christophe Pantrion dresse en 1724 l’inventaire (non conservé) après la mort de Jean Balthasar Vogel

1724, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über weÿl. H. Joh: Balthasar Vogelß geweß: Gastgeb: zum Neuen Stall allh: Verl. sambt deren Vergleich und abtheil: auch Verkff. und Erlöß Reg.

L’aubergiste Jean Balthasar Vogel meurt le 18 avril 1724
Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 335)
Anno domini 1724. die 18 Mensis Aprilis Mortuus est joannes Balthasar vogel Caupo ad novum stabulum et a me infra scripto Can. Reg. sepultus est in cœmeterio nostro consueto, præsentibus joanne henrico vogel caupone ad arborem viridium lutherano et Jacobo Bidot commorans in hac parochia (signé) Johann Heinrich Vogell alß Sohn, jaque bidot (i 176)

Marguerite Wetzel, veuve de Jean Balthasar Vogel, loue la maison qui lui appartient ainsi qu’à ses quatre enfants à sa fille Marie Elisabeth, fiancée à Jean David Montfort.

1725 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 293-v
Fr. Margaretha geb. Wetzelin weÿl. Johann Balthaßar Vogel gewesten gastgebers zum Neuen Stall wittib mit beÿstand ihres Vogts Hn. Frantz Heinrich D’autel des Scribenten
ihrer einen tochter Maria Elisabetha Vogelin und dero verlobten ihr künfftigen tochtermanns Johann David Montfort auch gastgebers
die ihr der verlehnerin und ihren vier Kindern für unvertheilt eigenthümlich zuständige zum Neuen Stall genannte Gastbehausung mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, nichts davon als eine Stiegen hoch auff dem erstern stock nächst ahn der Stiegen befindliche Kammer, so die verlehnerin sich lebenslang zu ihrer wohnung behaltet ausgenommen, welche gastbehausung allhier ahn St Elisabetha gaß einseit ist ein eck ahn einem allmend: gäßlein neben dem Schauenburger hof anderseit neben Johann Georg greiner dem tabackbereyther hinten auff gedachten Schauenburger hof – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von Joh. Baptistæ fürwährenden Jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 65 gulden – dahingegen verbunden sein die verlehnerin winters zeith in ihrer Stueben umb der wärme zu genießen zu leÿden

Marguerite Wetzel loue l’auberge à la Nouvelle Ecurie à son gendre Jean Herrmann et à sa fille Marie Elisabeth Vogel

1727 (19.5.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 335-v
Fr. Margaretha geb. Wetzelin weÿl. Johann Balthaßar Vogel gewesten gastgebers zum neuen Stall wittib mit beÿstand ihres Vogts H. Frantz Heinrich D’autel des Scribenten
ihres tochtermanns und tochter Johannes Herrmann des gastgebers und Maria Elisabetha geb. Vogelin
entlehnt, Eine zum neuen Stall genannte allhier auff St Elisabethae gaß einseit ist ein eck ahn einem Allmend: gäßlein neben dem Schauenburger hoff anderseit neben Johann Georg Greiner den tabackbereither hinten auff gedachten Schauenburger hoff gelegene gastherberg mit allen derselben begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten nichts davon als einer, eine stiege hoch nachst beÿ derselben befindlichen in den hoff sehende Cammer, so die verlehnerin sich zu ihrem gebrauch vorbehaltet ausgenommen, auff solange zeith als die verlehnerin im leben verbleiben wird, anfangend von heutigem tag und sich mit der locatricis todt endigend – um einen jährlichen Zinß nemlich 28 fl. in baarem geld, sonsten täglich einen schoppen tranckbaren weins gratis reichen und Sie zu winterszeith in iher Stueb der wärme genießen zu laßen, den jährlich zinß von 550 fl. so sich dermahlen auff 24 fl. 5 ß belaufft, entnehmen und für die entlehnerin Kopff Stallgeldt ohne der wittib zuthun zu erlegen

L’aubergiste Jean Henri Vogel et Marguerite Eberwein hypothèquent le quart de la maison au profit du marchand de verre Jean Jacques Walter

1730 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 295
Johann Heinrich Vogel der Gastgeber und Margaretha geb. Eberweinin mit beÿstand ihrer brüder Abraham Eberwein gastgebers zum schwartzen Ochsßen und Andreas Eberwein des metzgers
in gegensein H. Johann Jacob Walther glaßhändtlers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine vierdten theil für ohnvertheilt ahne einer gastbehausung zum Neuen Stall genannt hoff und hoffstatt wie auch allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne St Elisabethä gaß, einseit ist ein eck ahn einem allmend: gäßlein neben dem Schauenburger hoff anderseit neben Johann Georg Kreiner dem tabackbereither hinten auff den Schauenburger hoff stoßend – die übrige dreÿ quart aber seinen übrigen dreÿ geschwisterden gleichfalls für ohnvertheilt
wobeÿ ferner erschienen des schuldners bruder Balthaßar Vogel der gastgeber (…) verbürgt

Les enfants et héritiers de Jean Balthasar Vogel vendent la maison à Pierre Gaudemar, chef de cuisine au service de monseigneur Passioney, archevêque d’Ephèse et nonce du pape à la cour de Vienne

1731 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 16-v
weÿl. Johann Balthasar Vogel gewesten gastgebers zum neuen stall mit auch weÿl. Margaretha geb. Wetzelin erzeugt und hinterlassenen 4 Kinder Johann Friedrich Vogel der gastgeber allhier, Ferner Johann Baltasar Vogel burger allhier zu Mittelbergheim wohnhaft, Item Elisabetha geb. Vogelin Johannes Herrmann gastgebers allhier Eheweib, So dann Anna Maria geb. Vogelin Jacques Bidaut des Traitteur eheweib
in gegensein H. Pierre Gaudemar Chef de Cuisine de Mgr. Passionej Ertzbischoffen von Epheso und Bäpstlichen Nuntÿ ahm Kaÿßerlichen hoff zu Wien – zufolg erkanntnus H. Räth und XXI
Eine Behausung höfflein hindergebäu Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne St Elisabethen gaß, einseit neben hannß Georg Datten Metzgers erben anderseit neben hannß Georg Greiner dem tabackbereither hinten auff del Schauenburgischen Margaretha Gretzingerin gehörigen hoff stoßend, darzwischen ein Allmend: gäßlein ist – um 288 capital verhafftet, geschehen um 586 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Henri Vogel et ses cohéritiers à vendre l’auberge à la Nouvelle Ecurie au chef de cuisine Pierre Gaudemar, manant, après visite des lieux. La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, grenier à grains d’environ cent mesures et une petite cave.

(p. 453) Montag d. 8.ten Januarÿ [1731] – Joh: Heinrich Vogel und Consorten erhalten Erlaubnuß ein hauß an Pierre Godemar Zu Verkauffen
H. XV. von Stöcken referirte, Waßmaßen Er beneben H. Rht. Dürrenberger in execution MGHh Erkandtnuß Vom 23.ten 10.bris iüngst die ienige Behausung Welche Johann Heinrich Vogel und Consorten an Pierre Godemar Zu verkauffen Willens, in augenschein genommen, und befunden, daß Selbige, die gastherberg Zum Neuen Stall genandt, in der Elisabethen gaß gelegen seÿe, und in etlichen Stuben, Cammern, Küchen, haußehren, einer Fruchtschütt Vor ohngefehr hundert fr. und einen Kleinen Kellerlein bestehe, der Kauffschilling belaufft sich auff dreÿ tausend fünf hundert Liures gleich Zahlbar, und hätte der Käüffer, Welcher, So bald ihme möglich, sich in allhiesiges Burgerrecht Zu begeben gesinnet, sich denen ordnungen in allem unterworffen, H. Rht. Dürrenberger bezoge sich auff die Von dem H. Fünffzehner Wohl abgelegte Relation.
Erkandt, Wird denen Imploranten die gebettene Erlaubnus das hauß quæstionis umb 3500 liures respectiué Zu Verkauffen und Zu kauffen obrigkeitlichen Ertheilt, iedoch mit diesem außdrucklichen anhang und beding, daß der Kauff in allhiesiger Contract Stub in gegenwart Vorbesagter unserer Deputirten Solle verschriben, und der Käüffer sich allen in denen Ordnungen enthaltenen oneribus und Beschwerden durch absonderliche Reuersalen daselbst Zu submittiren angehalten Werde. Deputati ÿdem umb den Bescheid anzuzeigen.
(Copie, cote 94 Z 49)

Melchior Gaudemar, manant et aubergiste, est autorisé à exploiter l’auberge à la Nouvelle Ecurie pendant l’absence de son frère qui en est propriétaire
1731, Protocole des Quinze (2 R 137, minutes)
(Rapiarium f° 32-v) Sambst. den 14. Aprilis
R. noe. Melchior Gaudemar schürmer und Würths allhier pplis hat von seinem bruder d. Würthshauß Zur neuen Stall genannt auff St. Elisabeth gass geleg. entlehnt, b. jhme mit dem Wsch. u. d. bier ein göldten zu hohlen u. Zu verschenck. geb. zu Willfahren. Erk. Ober Umbgeldts Hh.

(f° 33-v) Mont. den 16. Aprilis – Obere Umbgeldts Hh. Auff rec. vom 14. hûs in s. Melchior Gaudemar deß schürmers, so Wschs &
Ille gehört, setzt beÿ er seÿe seiner profession ein schuhmacher, das hauß gehöre seinem bruder, so beÿm H. Nuntio Apostolico in der Schweitz bedienter wäre, nunmehro aber nicht hier und sobaldt er Von Wien, wohin er Verreißen müße, Wider Zurück sein werde, so wolle er burger Werden, und d. hauß selbsten beziehen, jndeme Wolte er, damit d. Würthshauß nicht abgehe, die Würtschafft alda Versehen. H. P[rætor]. R[egius]. habe erk. d. sein bruder es habe kauffen dörffen. H. Dep. ad interim et ad reditum fratris zu Willfahren. Erk. in plenum.

(f° 37) Sambst. den 21. Aprilis – Ober Umbgeldts Hh laßen bescheidt ansag. in s. Melchior Gaudemar, pt° Wein: und bier schancks

Melchior Gaudemar est tenu de payer les droits d’auberge à la tribu des Fribourgeois
1731, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 123-v) Dienstags den 18.ten Dec: 1731 – Neu Zünfftiger
Melchior Gaudemar, der Schirmer allhier, citirt, weilen Er in dem Würths Hauß Zum Stall auff der Elisabethæ gaß gelegen, würtschafft treibet, alß solle Er vermög der Ordnung sich dißorths Zünfftig machen.
Ille producirt Extratum auß Gn. Herren der XV. Memoriale de dato 21. Aprilis: 1731: Krafft deßen ihme biß Zu seines bruders /:alß welcher ermeldte Würthhauß erworben:/ Wiederkunfft Würthschafft zu treiben Erlaubt, vermeinet alßo dißorts sich Zu submittiren nicht schuldig Zuseÿn.
Erkandt weilen weder Citatus noch deßen Bruder Zünfftig, Citatus aber den Schanckh erhalten, alß solle Er Vor die Zunfft gebühr 2. lb 14 ß d erlegen, deßen Bruder aber sofern Er beÿ seiner Wiederkunfft würtschafft treiben will, dißorts Zu erscheinen undt sich Zünfftig Zumachen schuldig seÿe.

Originaire de Manosque en Provence, Melchior Gaudemar épouse en 1708 Salomé Baptiste, de Strasbourg : contrat de mariage, célébration
1708 (29. 7.br), Not. Humbourg (6 E 41, 35)
Mariage – furent presens en personnes Melchior Godemar, fils de feu Jacque Godemar vivant traiteur a Manosque en Prouence et de Françoise Saïne ses pere et mere, Majeur d’aage et native dudit Manosque d’une part
Et Salomé Baptiste fille de feu Jean Baptiste vivant Archer de La Marechaussée d’alsace et d’Elisabeth Landtverline ses Pere et mere, assistée des sieurs Jean David Bausire et de Catherine Scherine femme de Jean Zill faiseur de Tabacq et Manant de cette ville ses meilleurs amys a faute de parens et de Tuteur, Ladite Salomé Baptiste jouissante de ses Droits natiue et demeurante aussy en cette ville d’autre part
Ladite future épouse et ses assistans ont declaré que ses biens et Droits consistent en La Charge d’archer de la marechaussée d’alsace qu’elle a herité de feu son pere et en toutes sortes de meubles pour environ la valeur de 111 Liures
(signé) Melchior Gaudemar, marisalome basti (all.)

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 24)
Die vero 15 mensis Octobris (…) solemniter inthronizati sunt Melchior Godemar ex urbe Manosque in Provincia oriundus sutor, filius Jacobi Godemar et Franciscæ Saine, ex una et Salome Baptiste, Joannis Baptiste et Elisabethæ Landtwährin urbis hujus inquilonorum filia ex altera partibus (i 50)

Testament de Pierre Gaudemar
1737 (16. 7.br), Not. Humbourg (6 E 41, 58)
Testament – Je Pierre Gaudemar chef de cuisine de son Excellence Monseigneur Passioney archeveque de Fez nonce apostolique à la cour impériale de Vienne, étant de present à Strasbourg
Je donne et legue à Jean Pierre Gaudemar et Jean Joseph gaudemar mes deux neveux à chacun la somme de 2000 livres faisant pour les deux 4000 liures à l’auoir et prendre chacun pour sa part sur la maison à moy appartenante propriétairement située à Strasbourg rue St Elisabeth (…)
Plus Je legue a damle Catherine Gaudemar ma niece femme de Jean Bauvalet manancier à Strasbourg La somme de 2000 Liures pour une fois payées et à Catherine Bauvalet leur fille celle de 600 liures (…)
Après Les Legs cydessus payés et preleués quant au surplus des biens que J’auray delaissés j’ay fait, nommé, créé et institué, fais, nomme et institue pour mon héritier seul, unique et universel Led. Sr Jean Bauvalet mon neueu du chef de lad. sa femme, et à son defaut lad. Catherine gaudemar sad. femme et ma susd. niece et legatrice (…)
à Strasbourg le 16° septembre 1737. (signé) pierre gaudemar
(Ouverture du testament) 16° aoust 1738.

Pierre Gaudemar meurt en août 1738 en délaissant pour héritier testamentaire son neveu par alliance Jean Beauvalet qui a épousé Catherine Gaudemar. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 7 839 livres, le passif à 8 646 livres.

1738 (12. 9.bre), E 5782 (A)
Inventaire des biens délaissés par feu le Sieur Pierre Gaudemar, cy deuant Chef de Cuisine de son Excellence Monseigneur Passioney Archeveque de Fez, nonce apostolique à la Cour Imperiale de Vienne, dressé l’An 1738 (…) après sa mort arrivée le 15° Août de l’année courante 1738 (…) le tout couché par écrit par moi presentement secrétaire au petit Senat (…) Mecredi le 12° du mois de novembre 1738. [non signé]
Le deffunt a délaissé par son Testament pour son héritier seul unique et universel Sçavoir Le Sr Jean Beauvalle son Neveu Cabaretier et Manan en Cette ville à ce présent

Maison. Une Maison avec les appartenances et dependances situées dans la Rüe de St Elisabeth, tenante d’un Côté a Jacque Datt, boucher et bourgeois en Cette ville, de L’autre Coté à Jean George Greiner fileur de Tabac, parderriere aboutissante sur une maison appartenante à Damoiselle Marguerithe Gretzinger appellée vulgairement la Cour de Schauenbourg, laquelle maison est frncge et quitte de toute charge estimée par (…) experts ordinaires de Cette ville suivant le billet d’estimation par eux signé joint à la minute du present Inventaire daté du 14° novembre 1738 La somme de 900 florins ou 1800 livres. Laquelle maison appartenoit cy devant aux héritiers de feu le Sr Jean Baptiste Vogel, vivant Cabaretier de Cette ville, desquels le deffunt a acheté ladite Maison Suivant une Lettre d’achât expediée sur parchemin dans la Chambre des Contracts de cette ville et munit du seau d’icelle, dattée du 16° du mois de janvier 1731, au dos de laquelle il est avoir que les 1100 livres dont la dite Maison etoit chargée envers L’hôpital des Orphelins de Cette ville ont été payé le 16° du mois de janvier 1731 avec tous les intérêts qui en etoient echeu. Plus il s’est trouvé une ancienne lettre d’achapt aussi expédiée sur parchemin dans ladite Chambre des Contracts et munie du Seau de la Ville, du 14° du mois de Mars 1693.
Copie du Testament solemnel, le 16° septembre 1737 par devant le Notaire Royal Humbourg (…)
Etat du présent Inventaire, meubles 184, argenterie 613, Bague 7, argent comptant 1500, maison 1800, Total 4105 lb – Total des Dettes passives 622, reste 3482 lb -Total des legs 8000 livres, les legs excedent la masse active de 5417, somme finale 3482 Livres
– Abschatzung dem 14: Nov: 1738. Auff begehren weilandt deß Achtbahren und bescheitenen herrn Peter Gottmar deß geweßenen Kochß seel: hinderlaßenen Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg auff der Elßbetter gaßen gelegen worinnen die ortinantz stuben Vor die soldaten, einseits an ein allmënt gäßlein, anderseits und auch hinden auff die Jungfer Grëtzingerin Stoßent, welche behausung unden auf dem botten ein stuben Lëhtell und hauß Ehren Neben daran die ortinantz stuben und Kuchell hinden daran der Stall höffel und bronnen getrembter Keller, oben dar über ein stuben Cammer Kuchen und hauß Ehren Nebenß Cammer und bienen sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern sich in der besichtigung befundt. und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Neun hundert Gulten. [unterzeichnet] Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne wërck Meistern Johann Peter Pflug Stattlohner und bau Meister, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer Werckmeister im Zimmerhoff

Pierre Gaudemar est inhumé dans l’église Saint-Louis
Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 245)
Anno domini 1738 die 15 Augusti Mortuus est petrus Gaudemar sacramentis Eucharistiæ et extremæ unctionis munitus Et die sequenti sepultus est in Ecclesia nostra præsentibus testibus joanne Bauvalet cive huius civitatis et Francisco L’Anglois cive que mecum subscripsere (i 125)

Service célébré à la mémoire de Pierre Gaudemar
1738 (23.8.), Not. Humbourg (6 E 41, 60)
Cejourd’hui 23° du mois d’Aoust 1838, Nous soussignez Superieur et Chanoines Reguliers de la Congrégation de Nôtre Sauveur établis en la maison de Saint Louis à Strasbourg capitulairement assemblés en la manière ordinaire, ayant eu par nous-mêmes lecture et communication sur une expédition en forme du testament de Feu le Sieur Pierre Gaudemar cy devant chef de cuisine de son Excellence Monseigneur Passioney Archeveque d’Ephese Nonce apostomlique à la cour impériale de Vienne fait le 16° septembre de l’année dernière 1737 et reçu par Humbourg Notaire Royal en cette ville qui en a minute par lequel ledit Feu Sieur Gaudemar a donné et légué à nôtre Eglise Paroissiale de Saint-Louis, dans laquelle il a été enterré le 16° du présent mois d’aoust une somme de 1000 livres tournois tant pour son enterrement et frais funeraires et pour faire dire et célébrer trois services chacun d’une Messe haute et chantée de Requiem et de trois Messes basses a chacun, que pour un anniversaire annuel et perpetuel qui sera dit et célébré pour le repos de son ame et de celles de ses Pere et Meres et plus proches parens et amis (…)

Les Quinze réduisent de trois quarts le droit de détraction que doivent les légataires de Pierre Gaudemar dont les biens resteront à Strasbourg
1739, Protocole des Quinze (2 R 148)
(p. 50) Sambstag d. 31. Jan. 1739 – weÿl. Pierre Gaudemar pt° Abzugs
Moss. nôe weÿl. Pierre Gaudemar gewesener Oberknecht beÿ Monsr. Passionei dem Päpstichen Nuntio dreÿer unverburgerten Legatariorum prod. Underth. Mem. sambt beÿlagen Sub Lit. A et B puncto abzugs. Erk. Ober Stallherren

(p. 60) Sambstag d. 7. Febt. 1739 – weÿl. Pierre Gaudemar Legatarÿ pt° Abzugs
Obere Stall Herren laßen per me proponiren, daß Pierre Gaudemar gewesener Oberknecht beÿ Monsr. Passionei des Pabsts Nuntio in Vorigem Jahr dieses Zeitliche allhier gesegnet, und Jean Bauvallet des Burgers und Stallwirths allhie Ehefrau seiner Schwester Zu Erben eingesetzt, dabeÿ aber auch Pierre Gaudemar und Jean Joseph Gaudemar seinen beeden Nepveux jedem 2000. livres und dann gedachten Bauualets tochter Catharina genant 600. livres Ane Legaten Vermacht, Weilen nun diese Legatarien Frembdt vnd Keine hiesige burger so seÿe denenselben nach ordnung der Abzug beÿ E. E. Kleinen Rath mit 460 livres sammenhafft mit 460 livres angesetztet worden. Worauff Jean Bauvalet obged. alß Vogt dießer beeden Gaudemar und nahmens seines töchterleins, so in das burgerrecht gebrachtes Kind, den 31. Jan. jüngst ein Undertg. Memoriale sambt beÿlagen sub Lit. A. et B. producirt und gebetten, anerwogen gedachter defunctus Keine handlung noch Gewerbs in allhiesiger Statt getrieben, folglichen können hiesigen burger in seiner Nahrung in dem Weeg gestanden, wohl aber ein eigenthümliches hauß allhier in der Elisabethen gaß gelegen gehabt, Wavon er das Real Schirmbgeld jährlich mit 15 lb 14. 8. abgetragen, anbeÿ sothane dreÿ Legatarien hier gebohren, und des Ihrigen gar wohl benöthiget seÿen, Mghh geruhen möchten diese Legatarios Von dem geforderten Abzug ex gratia zu entladen und Zu absolviren,
Auff geschehene Weisung seÿe Vorgestanden ged. Bauualet, welcher beÿgesetzt der älteste Von denen 2. Legatarien seÿe 17. Jahr undt dießen tochterlein 7 Jahr alt, hätten alßo Zu deren aufferziehung noch vieles benöthiget, und seÿen nicht nur hier gebohren, und in der paroisse de St Louis getaufft sondern würden auch nirgend anderswo alß hier deren Establissement mit der Zeit suchen.
Des Hrn Prætoris Regÿ Excellenz habe schon Vor dero Abreiß diese Sach denen hochverordneten Ober Stallherren, umb solche mit allem fauor, maßes es Königl. Underthanen, Zu tractiren, Vermeine man alßo daß dießer Abzug der 460. liv. auff die quart zu moderiren. Es stehe aber Mgh. was sie erkennen wollen. Erk. Bedacht gefolgt.

Les experts estiment la maison à 400 livres dans l’inventaire dressé en 1743 après la mort de Jean Beauvalet.

Catherine Gaudemar se remarie avec Jean Louis Pillon, chef de cuisine originaire de Perry en Champagne : contrat de mariage, célébration

1744 (8.4.), Not. Laquiante (6 E 41, 995)
Mariage du 8 avril 1744 – furent presens en personne le Sieur Jean Louis Pillon chef de Cuisine de Mr le marquis de Wibray brigadier des armées du Roy de present aud. Strasbourg fils majeur de deffunt Antoine Pillon en son vivant m° d’eschole de la Paroisse du Perry en champagne dioceze de Rheims et de Jeanne Guillaume sa femme a present sa Veuve ses pere et mere, stipulant pour luy et du Consentement de cette dernière d’une part
Et Demoiselle Catherine Gaudemar Veuve de deffunt Jean Beauvalet, en son vivant hôte ou pend pour enseigne L’escurie neuve en cette ville, stipulante pour Elle et en son nom D’autre part du Consentement de cette dernière d’une part
Cinquièmement et enfin Lad. future épouse voulant aussi Donner aud. futur espoux des marques de sa tendresse, elle luy a donné (…) La Jouissance de lad. maison ou pend pour enseigne L’escurie qu’elle occupe actuellement et ce pendant qu’il demeurera Veuve seulement
(signé) pillon, Catherine gaudemar dit veuve Beauvallet

L’acte de mariage mentionne que Jean Louis Pillon a séjouné dix ans dans la paroisse Saint-Sulpice de Paris
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 298)
Hodie 13 mensis Aprilis anni 1744, unâ duntaxat proclamatione (…) in hac ecclesia parochiali sancti Ludovici et tribus in ecclesia parochiali sancti sulpitii parisiensis, ratione ultimi per decem annos domicilii (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes Ludovicus Pillon civis coquus, defuncti Antonii pilllon ludimagistri et joannæ Guillaume conjugum in pago peri diœcesis Rhemensis commorantium filius a novem mensibus in hac parochiâ commorantis et Catharina gaudemar vidua joannis Beauvalet civis cauponis in hac parochia (signé) pillon Catherine Gaudmar (i 123)

Jean Louis Pillon devient bourgeois par sa femme
1744, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 167
Jean Louis Pillon der Aubergiste Von Pery en champagne gebürtig erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Catharina, weÿl. Jean Bauviller deß aubergisten wittib um den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger jur. eod. [9.ten Maÿ 1744]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge à la Nouvelle Ecurie, rue Sainte-Elisabeth. Ceux du mari s’élèvent à 589 livres, ceux de la femme à 4 410 livres.

1744 (19. Maÿ), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 54) n° 1836
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Jean Louis Pillon des wirths und Gastgebers zum Neuen Stall und der Ehren: und tugendsahmen Frauen Catharinæ gebohrener Gaudemar, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1744. (…) So beschehen in fernern beÿseÿn auff Seithen der Ehefrauen S. T. Hn Stephan Degeorge Porcellinhändlers und Eines Ehrsahmen Großen Raths alten ietzmahlen aber Eines Ehrsahmen Kleinen Raths wohlansehnlichen beÿsitzers und meister Frantz Nickar des Zimmermanns und burgers alhier, als der Ehefrauen Kinder erster ehe geordneten Vogts, beeder deroselben erbettener beÿständere, Straßburg den 19.ten Maÿ Anno 1744.

In einer allhie Zu Straßburg ane St. Elisabethen gaß gelegenen, zum Neuen Stall genanden, in dieße nahrung gehörigen und hieunten eingetragenen behausung, befunden worden, wie folgt
(f° 13-v) Eigenthumb ane Häußern. (F.) Erstl. eine behaußung, die Gastherberg Zum Neuen Stall genand, sambt höfflein, hinder gebäu, bronnen und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane St. Elisabethengaß, einseit neben Hannß Georg Datten, geweßten Metzgers Erben, anderseit neben Hanß Georg Greiner dem Tabackbereiter, hinden auf dem Schauenburgischen hoff stoßend, darzwischen ein allmend gäßlein ist, worein eine thüer aus dießem hauß gehet, so vor freÿ Ledig eigen dißorths ohnverfänglich außzuwerffen wie solche in dem über der Ehefrauen Kinder Erster Ehe Zuforder habend Vätterlich guth unterm 25.ten Februarÿ 1745. durch mich Notarium gezogenen Summarischen Calculo mit vorbehalt des denen Kindern darauf gebührigen Eigenthums æstimirt worden pro. 900. lb.
Über dieße behaußung welche der Ehefrauen Erster Ehemann nun seel. von weÿl. H. Pierre Gaudemar ehemaligem Chef de Cuisine de Monsgr Passioney Ertzbischoffen von Epheso und bäpstlichem Nuntio am Kaÿserlichen hoff Zu Wien, als deßen per Testamentum instituirter Universal Erb ererbet, ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato 16.ten Januarÿ Anno 1731.
(F.) It. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Tucherstub gaß, einseit neben H Christmann Röderer, dem Rothgerber, anderseit neben Johann Deur Kauff dem Kürßner, hinden auf den Gerbergraben stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und in Vorabgeregtem Summarischen Calculo über der Ehefrauen Kinder Erster Ehe vätterlich guth cum reservatione Proprietatis sine præjudicio außgeworffen vor 500 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insiegel bekräfftiget datirt den 3. Maji Anno 1719.
(f° 14-v) Bericht und Respective Vergleich wegen beederseits in die Ehe gebrachter umb und ane eines Jedem Leib gehöriger Kleÿdung und Weißen gezeugs
(f° 15) Wÿdemb, Welchen die Ehefrau von Weÿland Herrn Jean Baptiste Beauvalet dem geweßenen Gastgeber Zum Neuen Stall und burgern allhier Ihren ersten haußwürth nunmehr seel. biß Zu der Kinder Majorennitæt eigenen Etablissement Zugenießen hat
(f° 15-v) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 42, Sa. goldener Ring 5, Sa. baarschafft 246, Sa. Schuld 286, Summa summarum 583 lb Dazu gelegt die helffte ane denen verherten haussteuren antreffen 6, Des Manns gesambte in die Ehe gebrachte Nahrung 589 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 276, Sa. Frucht 11, Sa. Faß und Weins 233, Sa. Silbers 236, Sa. goldener Ring 17, Sa. baarschafft 536, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2250, Sa. Eigenthumbs ane häußern 1400, Sa. Gülthen von liegenden güthern 776, Sa. Schulden 62, Summa summarum 5798 lb – Schulden 1393, Detrahendo verbleibt 4404 lb, Adde den ihren ane denen verehrten haussteuren ertragend 6, Der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen 4410 lb – Wÿdemb 117 lb
Copie du Contrat de mariage (…) le 8° avril 1744, Laquiante

Jean Louis Pillon demande l’autorisation de débiter du vin. L’affaire est renvoyée aux préposés de l’accise
1744, Protocole des Quinze (2 R 154)
(p. 416) Sambstag d. 13. Junÿ 1744 – Jean Louis Billon pt° Weinsch.
Christ. nôe Jean Louis Billon burgers undt Wirths prod. Underth. Mem. mit beÿlagen 1. et 2. pt° Weinschancks. Erk. Obern Vngelt herren

Le conseil de la tribu des Fribourgeois fait grief à Jean Louis Pillon de n’avoir pas été présent le jour du Serment et lors de la tournée du consul. Il déclare avoir été malade
1746, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 281) Donnerstags den 17.ten Febr. A° 1746. – Jean Louis Pillon, citiret, daß derselbe weder am Schwör: noch Regirenden Herrn Ammeisters Umbfarth tag auff E. E. Zunfft Erschienen. Ille sagt, habe Kranckheit halben nicht erscheinen Können, warauff ist Erkandt, undt Citatus dermahmen absolvirt word.

Supplique de Catherine Gaudemar, femme de Jean Louis Pillon, à l’encontre de Catherine Beauvalet, femme de Martin Vidal, secretaire du baron de Trélans (lieutenant de roi)
1760 (11. 8.bris), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 852)
Gnädig gebietende Herren ! Wann Euer Gnaden durch dero Erkanntnus vom 19. maji hujus anni uns Zu End unterschriebenen aufzutragen geruhet haben, In Sachen Frauen Catharinä Gaudemar, Sieur Louis Pillon des burgers und Gastgebers allhier Ehefrauen, beiständlichen Ihres mariti, Vor Klägerin und Nachbeklagter ane Einem, contra
Frau Catharinam gebohrne Bauvalet, Sieur Martin Vidal Secretaire beÿ Herrn Baron de Trelans Frau Eheliebste, von ihme verbeÿstandet, vor beklagte und Nachklägerin ane dem andern theil
dieser beeden Parthen Con: und Reconvention genau Zu untersuchen und unser schrifftliches gutachten darüber aufzusuchen, So haben wir beÿ Untersuchung derer uns communicirter beederseitiger Actorum gefunden, daß die Parthen über die berechnung weÿl. herrn Pierre Gaudemar, gewesenen Chef de Cuisine beÿ Ihro Excellenz hern Passionet, Ertzbischoff von Fetz wie auch weÿland herrn Jean Baptiste Bauvalet, des gewesenen würths Zum Stall, beeder der Vorbeklagten und nachklager der Vidalischen Ehefrauen gewesenen respê Groß oncle und Vatter seel. Verlaßenschafften nicht übereinstimmend seÿen (…)

Catherine Gaudemar meurt en 1769 en délaissant deux filles de son premier mariage et une du second. La masse propre au veuf est de 546 livres, celle propre aux héritiers de 2 073 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 317 livres, le passif à 1 226 livres.

1769 30.3.), Not. Zimmer (6 E 41, 1412) n° 213
Inventaire Des Biens delaissés par feu Dlle Catherine née Gaudemar en son vivant Epouse du Sieur Jean Pillon, bourgeois cabaretier de cette ville de Strasbourg, dressé en l’année 1769. (…) décédée le 10 du present mois, Lesquels biens à la requête 1° dudit Sieur Pillon, Veuf, 2.do M° Jean Louis Rahm, avocat au Directoire de la Noblesse de la basse Alsace, en qualité de tuteur des Enfans mineurs de la deffunte D° Vidal fille du premier lit, tous cy après dénommés 3° Sr Jean Conrad Scholl, Marguilier de la paroisse Royale de St Louis en lad. Ville, en sa qualité de Mandataire de la Dlle Beauvallet Fille dud. premier Lit aussi denommée cy après et 4° Demlle Marie Madeleine Salomé Pillon assistée du Sr Charles Dupont Cafetier et bourgeois de cette ville, Fille du second lit de lad° Deffunte (…) Fait et passé en presence du Sr François Joseph Seraffond, Licenté ex Loix et assesseur au petit Sénat de cette ville, Deputé à cet effet en vertu d’une sentence dud. Senat du 29° de ce mois, à Strasbourg le 20. Mars 1769.
La Deffunte a delaissé pour ses héritiers ab intestat Sçavoir 1.mo Les enfans de feu Dlle Catherine née Beauvallet, à son decès Epouse du Sr Martin Vidal, vivant Secrétaire de Monsieur le Baron de Trelans, en son vivant Lieutenant du Roy en cette ville, Savoir a) Catherine, b) Elisabeth, c) Madeleine et d) Marie Madeleine les Vidal, auxquels dits 4 Enfans mineurs a été nommé et constitué pour tuteur M° Jean Louis Rahm, avocat au Directoire de la Noblesse de la basse Alsace, qui a été présent à la confection de cet inventaire, 2° Dlle Claudine Pierrette Beauvallet, majeure d’ans présentement à Paris au nom de laquelle est comparu le Sr Jean Conrad Scholl Marguilier de la paroisse Royale de St Louis en cette ville de Strasbourg (…) Cette dernière Fille et la susd° deffunte D° Vidal procréés en premier mariage avec feu le Sr Jean Beauvallet, vivant hote ou pend pour enseigne l’ecurie neuve et Bourgeois en cette dite ville,
3.tio Demlle Marie Madeleine Salomé Pillon, agée de passé 20 annes, Laquelle fut presente sous l’assistance du Sr Charles Dupont Cafetier de lad° ville, fille du second lit de lad° Deffunte procréé avec le susd. Sr Jean Louis Pillon veuf. Tous lesd. Enfans et petits Enfans herittiers ab intestat par portions egales en souche

Remploy des Biens propres du Sr Pillon veuf aliénés pendant le mariage, Suivant l’Inventaire des apports dressé par M° Christophle Michel Hoffmann en son vivant Nre. Juré et public de cette ville le 19 May 1744
Propriété d’une maison (L’usufruit de la maison cy contre a été donné au Sr Pillon veuf en vertu du Contrat de mariage art 5° pendant sa viduité – H.). Sçavoir une maison ou pend pour enseigne l’ecurie neuve, petite Cour, puit, fonds et tres fonds avec toutes ses appartenances et dépendances, sçituée en cette ville de Strasbourg, ruë Ste Elisabethe, d’un côté N. Schwend, Sablonnier, de l’autre N. Weber fabricant de tabac et par derrière sur le Sr Carly, Marchand, franche et quitte de toutes charges et hypothèques, estimés (…) suivant leur Billet d’estimation joint à la presente minute à la somme de 900 florins ou 1800 Livres. Par acte du 16 Janvier 1731 passé à la Chambre des Contrats de cette ville et muni du grand sceau de lad. Chambre, la propriété de lad. maison est constatée. Lad° maison provient de feu le Sr Jean Beauvalet, premier Mari de lad. Deffunte, auquel elle est eschue en qualité d’héritier universel institué par Testament de feu Sr Pierre Gaudemar, en son vivant Chef de cuisine de Monsgr. Passionet Arch-Eveque d’Ephese et Envoyé papal à la Cour de Vienne. Par la mort de l’un desd. trois Enfans du premier lit et les deux transactions passées pardevant M° Humbourg, Notaire Royal en lad° Ville le 20. janvier 1761 et 3. May 1763. quittance du 17. fevrier 1761. ensuite de la 1° transaction, et une autre du 1 avril 1767. passée pardevant M° Gobert et son Confrere Notaires à Paris, lad. maison appartenoit à feuë mad° Dlle Pillon et fait presentement partie de sa succession. Pour mémoire.
Etat sommaire du présent Inventaire. Copie du Contrat de mariage (…). Copie du Codicil mystique en datte du 31° May 1763 déposé au Notaire soussigné le 1° juin de lad° année, ouvert et pubié le 30. mars 1769 (…).
Suit la Description de tous les biens. Et premièrement celle Des Biens propres au Sieur Pillon Veuf, Total des meubles 13, Total de l’argenterie 8, Total de la Bague d’or 9, Remploy (2324, Deduction 9 Reste) 2315, Total général 2346 lib.
S’ensuivent les biens appartenant en propre aux héritiers, Total des meubles 953, Total de l’argenterie 437, Total des bijoux 34, Total de la Propriété d’une maison 1800, Total des rentes en grains 2240, Total des Capitaux 1060, Total général 8292 lib
Enfin suit la description des Biens appartenant à la Communauté, Total de meubles 1189, Total des Vins et tonneaux 122, Total de argenterie 692, Total de l’or 19, Total des Capitaux 3100, total des Dettes actives 144, Total général 5268 lib – Passif 4906, Reste 361 lib
Somme finale et du Stall 7726 lb
Abschatzung Vom 1. april 1769. Auff begehren Joh Luis Billo ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg auff der Elisabedte gaß gelegen Ein seits Neben Meister Schwendt dem sandt Karcher anderseits Neben H Weber dem thuback Fabrikanten und hienden auff H Karrell stosent gelegen solche Gastherberg besteht in dreÿ Stuben eine kiechen und Ettliche Kamern dar jber ist der dach Stuhl mit breitziglein belegt hat auch ein getrembten Käller hoff Stallung und brunen. Von uns Unterschriebnen der Statt Strasburg Geschworne werck Meister nach vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren wert nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Nein hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Huber.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 900 florins (450 livres) sur un total de 3 800 florins
1769, Livres de la Taille (VII 1180), n° 87
Freÿburger N° 2347 – Weÿl. Fr. Catharinæ geb. Gaudemar Jean Louis Pillon des burgers und Gastgebers allhier geweßener ehefrauen Verlaßenschafft inventirt H Not. Zimmer.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 157.b – 7726 lb 10 ß 9 ½ d die [machen] 3800 fl. Verstallte 2900 fl. Zuwenig 900 fl
Wovon nachtrag 8 Jahr in duplo a 2 lb 14 ß – 19 lb 12 ß
und 6 Jahr in simplo 8- 2
Extat Stallgeldt 1769 – 5 lb 14
Geb – 2 ß 6 d
Abhandlung 3 lb 9 ß d (Zusammen) 36 lb 19 ß
der nachtrag auff 15 lb reducirt restiret 24 lb 5 ß
dt. 3.t junÿ 1769.

Jean Louis Pillon veut cesser d’exploiter son auberge à la Voiture de Paris (Zur Pariser Land Kutsche), auparavant à la Nouvelle Ecurie (Zum neuen Stall) en conservant le droit d’auberge qui appartient à ses enfants. Il lui arrive de vendre moins d’une mesure de vin par semaine tout en étant obligé de payer sa consommation privée au prix du vin vendu. Les Quinze accèdent à sa demande à condition qu’il paie le droit d’enseigne.

1770, Protocole des Quinze (2 R 181)
Louis Pillon Würth zum neuen Stall pt° Schildrecht
(p. 589 et Rapiarium) Sambstags den 17. Novembris – Pillon pt° Schildrechts
Idem [Claus Sen.] nôe Sr Louis Pillon des burgers und bis[herigen] Würths Zum neuen Stall, anheute aber Zur [Pariser] Land Kutsche, p.lis will seine Würtschafft auf[geben] doch aber weilen das Würthshaus nicht Ihme so[ndern] seinen Kindern Zuständig ist so ist er nur wi[llens] den schild einzuziehen, bitt demnach berührte [be]hausung gegen erlag der jährlichen gebühr da[s] schild und Würthrecht beÿzubehalten und setzts. Erkand, Obern Umbgeldsherren

(p. 609) Sambstags d. 1. Decembris 1770. – Claus sen: nôe Louis Pillon in actis bitt communicat. Extractus, Erk. Willfahrt.

(p. 624) Sambstags d. 1. Decembris 1770. – Pillon pt° Schildrechts
Obere Umbgeldts Hhn laßen per Hn Secretarium Stædel referiren, es habe Louis Pillon, der bisherige Würth Zum neuen Stall oder Parißer Land Kutsch per recessum unth. gebetten, Weilen er die Würtschafft aufzugeben gesinnet, das hauß aber nicht ihme, sondern seiner Frauen minorennen Kindern erster Ehe gehörig, als wovon sie die nutznießung habe, Ihme gnädig Zu erlauben, gegen entrichtung der quartal gebühr, vor den schild denselben einziehen Zu dörfen.
Beÿ beseßener Deputation habe der Implorant sich weilters erklärt, daß es ihme eines theils beÿ gegenwärtigen umbständen, das des wochs öffters keinen Schoppen Wein Verkauffe, fiel Zu schwehr falle die würtschafft fortzutreiben, indeme er allen Wein, Welchen er in seine haußhalung brauche, nach dem Würths umbgeld verumbgelten müße, wann seine Stiefkinder aber das ihnen auf dem hauß ruhende würths recht verliehen solten, es andern theils der billigkeit Zu Wider Wäre.
Die Hhn. Depp. hätten nach genauer der Sachen untersuchung einsehen müßen, daß weilen es allhier mehr auf den nutzen der minorennen als des Imploranten ankomme, man wohl in etwas von der ordnung abgehen könne, dergestalt jedannoch, daß der Implorant der Zu erhaltende Dispens nicht mißbrauchen Könne, weßwegen Sie der meinung seÿen, daß dem Imploranten wann er seinem oblato gemäß die quartal gebühr vor die Schild gerechtigkeit Zu bezahlen continuiren wird, Zu erlauben seÿe, den schild einzuziehen, ihme aber zu seiner consommation mehr nicht als fünffzehen Ohmen wein gegen erlag des burger umbgelts einzulegen vergönnet und zugelaßen seÿn solle. Erkanndt, Bedacht gefolgt.

Les Quinze dispensent Louis Pillon, ancien aubergiste à la Voiture de Paris, de payer la taxe sur le vin qui lui reste après avoir fermé son auberge
1771, Protocole des Quinze (2 R 182)
(p. 26) Sambstags den 19. Januarii 1771. – H. Secretarius Stædel truge vor, es habe Louis Billon der geweßte Würth zur Pariser Land Kutsche einen Schein von Johannes Krieg dem Weinsticher producirt, krafft deßen ihme nach geendigter Würtschafft ane Verumbgeldtem Wein 18 ohmen 12. Maaß übrig geblieben, bitt ihme mit der Restitution dießes Umbgeldts, so benebst vingtième 30 fl. 5 ß 8 d ausmacht, von der Statt Pfenningthurn zu willfahren. Erkanndt restitutio Willfahrt.

1771 (17.4.), Not. Zimmer (6 E 41, 1416) n° 259
Registre des Meubles et Effets vendus à la requête du Sr Louis Pillon Aubergiste et Bourgeois de cette ville de Strasbourg après les publications ordinaires et accoutumées faites le 17° avril et jour suivant 1771.

Jean Louis Pillon loue une partie de sa maison à Reine Rostaing, veuve du receveur Claude Bernard Eisentraut

1771 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 77-v
H. Johann Ludwig Billon
in gegensein D° Reine geb. Rostaing weÿl. H. Exsenatoris Claude Bernard Eisentraut gewesten schaffners der geistlichkeit wittib mit assistentz S.T. H. XV Carl Franz Antoni Des Lauriers
in lehnung in seiner auff der Elisabethä gaß gelegenen behausung eine wohnung auff dem ersten stock in 5 stub, einbegriffen die kuche mit einem gang in den hoff die aussicht dieser zimmer ist auff die straß außehend, ferner im zweÿten stock dreÿ gemach benebst einen getüch kammer, item die helffte des kellers so zu dem nuß unterschlagen werden muß, so die eine beschloßene holtzkammer im hoff – für 3 nacheinander folgenden jahren auf innstehenden Annunciationis Mariæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 35 pfund

Jean Louis Pillon meurt en 1787 en délaissant une fille dans la maison rue Sainte-Elisabeth dont il a la jouissance. L’actif de la succession s’élève à 119 livres, le passif à 78 livres.

1787 (1.5.), Not. Faller (6 E 41, 975)
Inventarium über Herrn Johannes Ludwig Pillon, des Wittibers, im Leben gewesenen Burgers und ehemaligen Gastgebers dahier Zu Straßburg, nun seel. hinterlasene Vermögenschaft, auffgerichtet Im Jahr 1787 – auf sein den 5. Monaths tag Aprils lauffenden 1787.sten jahrs beschehenes tödliches Vonhinnenscheiden hie Zeitlich hinter sich gelassen (…) durch Sie die Tochter und Erbin selbst sowohl als auch durch Johanna Francisca Laute die Leedige von (-) gebürtig die dienstmagd (gezeigt), So geschehen und fürgenommen worden dahier in der Königlichen Stadt Straßburg in Zu end angeregter behausung auf Dienstag den Ersten Maÿmonaths tag im Jahr 1787.
Benennung der Erbin. Der Verstorbene und Erblaßer seel. hat ab intestato Zur Erbin verlaßen Jungfer Maria Magdalena Salomea Pillon, die großjährige, Sein des Verst. seel. und Erblasers mit längst Weÿl. Frauen Catharina Pillon gebohrner Gaudemar deßen im Leben gewesener Ehefr. seel. ehel. erzeugte und nach todt hinterlaßene eintzige Tochter, unter Verbeiständung S.T. Herrn Johann Nicolaus Wilhelm J.U. Ltus. E. E. Grosen Raths dahier und Mehrerer Höherer Gerichtsstellen procurator und advocatus ordinarius und wohlangesehenen Burgers allhier in Persohn anwesend und der Verlaßenschafts Inventur abwartend

In einer allhier zu Straßburg ane der St. Elisabethæ Gaß gelegenen, durch den Erblaser und Verst. seel. Wÿdums weiß genoßenen und inngehabten und Zu End umständl. angezogener behaußung ist befunden worden, wie folgt
Wÿdum, Welchen der Verstorbene seel. bis an sein Lebens Ende genoßen. Vermög über Weÿl. Fraun Catharina Pillon geb. Gaudemar des dißeithigen Verst. seel. im leben gewesenen Ehefrauen seel. Verlaßenschaft durch Hn. Notarius Zimmer allhier unterm 30.ten Mertz 1769. errichteten Inventariums hat dieselbe Ihme dem Verst. und resp. Ehem. und hinterbl. Wb seel. in Krafft des 5.ten punctens ihrer Zur Zeit ihrer Verehel. mit einander vor dem hiesigen Königl. Not° H. Laquiante errichteter Ehepacta Zu einem Wÿdemb /:jedoch nur so lang derselbe im Wittibenstand verbleibt:/ vermacht
Ihre eigenthümlich ingehabte dahier zu Straßburg an der St. Elisabetha gaß zwischen H. Schuend dem Sandführer u. H Weeber dem taback fabricanten gelegene u. hinten auf H Carly u. Gros die handelsleuthe stoßend und den schild zum Neuen stall führende Gastbehausung samt Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeitn, und ist solche bei ihr der Wÿdumbs Stifterin schon angezogener Verl. Inventur durch die damalige hiesige geschworne Hh. Werckmeistere besag derer Abschatzungs procès verbal æstimirt u. angeschlagen worden für u. um 450 lb. Sodann in Gefolg ermelddter Verst. Frau seel. unterm 31. Maÿ 1763. Veschloßen errichteten und den folgenden tag als den 1. brachmonath bei ermel. H. Not. Zimmer hinterlegt und den 30. Mertz 1769. eröfneten Codicills hat dieselbe nach Inhalt des 5.t und Letsten Articuls ihme dero hinterbl. W u. Ehemann und nunmaligen Verst. seel. Frauen die Lebenslängliche Nutzniesung zugedacht von einer Summ von 2000 lit. oder 500 lb
Series rubricarum hujus Inventarii, Sa. hausraths 38, Sa. Silbers 5, Sa. Pfenning zinsßen haubtguths 50, Sa. Schulden 25, Summa summarum 119 lb – Schulden aus der Verlaßenschafft zu bezahlend 78 lb – des Verst. seel gehabten Wÿdum 747 lb – Beschluß und Stall summa 788 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 500 florins (250 livres) sur un total de 1 500 florins
1787, Livres de la Taille (VII 1181) f° f° 53
Freÿburger N° 1120. – Weÿland Johann Ludwig Pillon, des gewesenen ehemaligen Gastgebers und Burgers alhier Verlaßenschaft inventirt H. Not. Faller
Concl: fin: Invent: ist fol: 15.b, 788 lb 14 ß 5 ? d, die machen 1500 fl. verstalte 1000 fl. also Zuwenig 500 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 1 lb 10 ß d – 12 lb
und Sechs Jahr in simplo à 15 ß – 4 lb 10 ß
Ext: Stallgeld pro 1787 – 2 lb 17 ß
Gebott – 2 ß 4 d
Abhandlung – 1 lb 6 ß 6 d,Summa 20 lb 15 ß 10 d
Auf Bitten ist der Nachtrag auf 15 Jahr in simplo gesetzt worden mit 11. lb 5 ß d, gehet demnach ab 5 lb 5 ß, Restiert 15 lb 10 ß 10 d
d. 12. Nov: 1787

Marie Madeleine Salomé Pillon meurt célibataire en 1795
1795 (21 vend. 4), Strasbourg 3 (10), Not. Ensfelder n° 444 a
Notanda weÿl. Marie Madeleine Salomé Pillon auch weÿl. Jean Louis Pillon gewesenen Aubergisten zu Straßburg mit auch weÿl. Catherine geb. Gaudemar erzeugte leediger tochter Verlassenschafft, décédée le 25 ventose 3
baarschafft, activa passiva [sans addition]
[Les documents suivants se trouvent dans l’encart qui porte les indications précédentes]
[Cahier sans intitulé] meubles meublants, or et argenterie, vente de meubles le 21 vend. 4
Schéma généalogique – Livre de comptes
(Quittances) Barbara Baldner Wittib bescheine hiemit von dem burgern Ludwig Albert und Johann Daniel Ensfelder den Rechts gelehrten als bevollmächtigte der Erben der Verstorbenen burgerin Maria Magdalena Salome Pillon der leedigen den mit vor gedachter Pillon noch schuldigen haus: Zinß für ein Jahr von Weÿnachen 1794 a. st. bis auf eben diesen Zeit punct 1795, 21. vend. 4
Extrait des registre du Juge de paix du troisième arrondissement de la commune de Strasbourg, il est décédé rue Louis N° 7 la Cit. Marie Madeleine Salomé Bilon agée de 46 ans fille de feu Jean Louis Billon & de Catherine Gottmar en delaissant des héritiers absens qui se trouvent a Paris & à Versailles nous nous sommes transportés dans la maison de la défunte pour y apposer nos scellés, le 25 vent. 3
Inventarium über weÿl. herrn Johannes Ludwig Pillon des Weißbeckers ehemaiiger Gastgebers Im Jahr 1782, Not. Faller
Registre de partage Contenant les biens echus a Dlle Marie Madeleine Salomé Pillon fille du second lit par la liquidation et partage des Biens delaissés par feue Dle Catherine née Gaudemar a son Deceds Epouse en secondes noces du Sr Jean Louis Pillon dressé en l’année 1770 par M° Zimmer
(Procuration) notaire résidant à Jonchery sur vesle District de Reims Département de la Marne – Antoine Persin tailleur de pierres demeurant à Jonchery sur Vesle, Antoine Couvent tonnelier demeurant aud lieu veuf de deffunte Marie Nicole Pillon pere et tuteur de ses enfants mineurs Pierre Leroy vigneron demeurant audit lieu et Elizabeth Persin Alexandre Jobin vigneron demeurant a Mont sur Courville et Jeanne Antoinette Persin, tous quatre seuls enfants et héritiers de défunte Nicole Pillon leur mere qui etoit sœur de deffunt le Cit. Jean Louis Pillon, décédé ancien aubergiste à Strasbourg pere de deffunte Marie Madeleine Salome Pillon, les Cit. Jean Baptiste Pillon marchand demeurant à hermonville, Jean Nicolas Laurent tailleur de pierres demeurant a Montigny sur Vesle et Marie Nicole Pillon et Gerome Bergé demeurant a Reims et Louise Charlotte Pillon sa femme, Jean Baptiste, Marie Nicole, Louise Charlotte héritiers de deffunt Antoine Pillon décédé à Pevy leur pere qui etoit frere dudit défunt Jean Louis Pillon décédé a Strasbourg – les Cit. Ponce Petit demeurant a Romain et Marie Louise Pillon sa femme et Marie Barbe Pillon fille majeure demeurant audit lieu de Romain tant en leur nom personnel que se portant fort pour Jean Baptiste Pillon soldat de la Republique Françoise et absent leur frere et beau frère, et encore pour Marie Françoise Pillon fille agée de 20 ans demeurant audit lieu de Romain lesdittes Marie Louise, Marie Barbe, Jean Baptiste, Marie Françoise seuls enfants et héritiers de deffunt Pierre Pillon décédé tailleur d’habits a Romain leur pere qui etait fils dudit Antoine Pillon décédé à Pevy lequel étoit frere du Cit. Jean Baptiste Pillon décédé à Strasbourg, à Jonchery sur vesle le 20 prairial 3
Extraits actes : 1744 le 19 octobre à Montigny (etc.)

Les enfants et héritiers de Catherine Gaudemar vendent la maison au fabricant de chandelles Adam Zanotta et à sa femme Marie Barbe Dilille moyennant 1 250 livres

1787 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 320-v
H. Michael Andreas Steirling procurator vicarius vor und innahmen Dame Anne Catherine und Marie Madeleine Vidal, H. Johann Christian Sebastian Meÿer notarius publicus juratus ac practicus vor und innahmen D° Claudine Pierrette née Bonvalet Sr François Lacomparte dit Rolland eheliebstin, H. Lt. Johann Ludwig Rame advocatus beÿ löbl. Ritter directorio gerichtlich bestellter vogt D° Madeleine Vidal, D° Marie Madeleine Salomé Pillon großjährigen alters unter assistentz H. Johann Nicolaus Wilhelm procuratoris et advocati ordinarii EE. Großen raths
in gegensein H. Adam Zanotta des liechtermachers und Mariæ Barbaræ Dilille beÿständlich H. Fabian Sebastian Dournaÿ und H. Michael Murr
eine in weÿl. Fr. Catharina geb. Gaudemar in letzter ehe auch weÿl. Johann Ludwig Pillon des wirths ehefrau dißortige mutter respective großmutter nachlassenschafft gehörige behausung zur Pariserkutsch geschildet, hoff, bronnen, hoffstatt nebst übrigen zugehörden, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane der St Elisabetha gaß, einseit neben Mr Keller dem glaßer, anderseit neben Mr Ehrenfeucht dem kieffer, hinten auff H. Groß dem handelsmann – woran ihre Dlle Anne Catherine und Marie Madeleine Vidal zweÿ 3. theil und ihre D° Lacomparte ein 3. theil, Dlle Madeleine Pillon ein 9° und D° Pillon der übrige 3.t theil [sic] – um 2500 gulden meistgebotten

Fils de Jacques Zanotta de Kassel dans le diocèse de Mayence et laquais du prince de Hesse, Jean Adam Zanotta épouse en 1769 Marie Barbe Delille, fille du marchand Claude Delille de Wasselonne
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 244)
Hodie Nona maÿ Anni 1769 (…) sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Joannes Adamus Zanotta ex Cassel dioecesis Mogutinensis oriundus, defunctorum ibidem coniugum Jacobi Zanotta et Apolloniæ Jung filius legitimus Sereniss. Principissæ de Hess de Rothenburg pedisequus ab octodecim mensibus in districtu parochiæ nostræ commorans, et Maria Barbara delisle ex Wasslenheim huius diœcesis oriunda, defunctorum ibidem conjugum Claudii Delisle mercatoris quondam et Barbara Brosslerin filia legitima, prius per annum in parochia ad Stum ludovicum hujus Urbis Commorata actu a duabus septimanis in nostra Commorans (signé) adam Zannotta, anna barbara de Lill (i 125)

Jean Adam Zanotta et Marie Barbe Delille font dresser un état de leur fortune pour accéder à la bourgeoisie
1774 (19.3.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 342) n° 1076
Designatio desjenigen Vermögens so Joh: Adam Zanotta Concierge beÿ Ihro durchlaucht H. Landgraffen von Heßen Rheinfels Rothenburg v. fr. Anna Barb. geb. Delisle beede Eheleuth eigenthümlich besitzen, welches der Ursachen alldieweilen dieselbe beÿ Es hoch Edlen Magistrat allhier um gn. Conferirung des allhiesigen burgerrechts unterthänig einzukommen gesinnet sind (…) So geschehen allhier Zu Straßburg v. einer daselbst ane der Juden Gaß gelegenen behaußung auf Sambstag d. 19. Martii 1774.
Sa. Haußraths 346, Sa. Silbers 72, Sa. goldener Ring 22, Sa. der baarschafft 75 – Summa summarum 517 lb oder 1034 fl.

Jean Adam Zanotta et Marie Barbe Delille deviennent bourgeois à l’ancien tarif en mars 1774 : registre des inscriptions et traitement des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 102
Johann Adam Zanetta Concierge beÿ Msgr le Prince de Hess grand Comte beÿ hiesigen dom Stifft, von Cassel, und deßen Ehefrau Maria Barbara geb. Delisle von Waßlenheim gebürtig erhalten beede das burgerrecht, und Zwar ein jedes umb den alten burger schilling, deroselben dreÿ Kinder nahmens Maria Christin, Johann Melchior und Catharina Barbara seind beÿ ordnung gelaßen, wollen dienen beÿ E E Zunfft Zur Mörin, Jur. et Promis. den eod. [23. Mertz 1774]

(VI 286 bis, p. 57) Mörin, N° 37 et 37, d. 23. Mertz 1774.
Johann Adam Zanotta concierge beÿ Iro durchlaucht monseigneur le Prince de Hesse grand comte in der hießigen domm Kirch, des Jacob Zanotta gewes. b. u. handelsmanns Zu Cassel beÿ Maÿntz mit Fr. opollonia geb. Jungin ehel. Sohn, verheurathet an mariam barbaram geb. Delisle weil. Claude Delisle gew. b. u. Krämer Zu vaßlenheim hinterlassene tochter, ihre schein geben an daß sie ehel. gebohr. cath. rel. beÿpflichtet und der sponsus seine statt stall caution geleistet
durch auffgesetzten contract des H. Notarii Lichtenberger wird ihre völlige Vermögenschaft æstimirt so in hausraths mobilien Silber goldringen wie auch baarschafft durch Estimation eines allhiesigen geschwornen Käufflers dem wahren werth nach die summa von 177 lb 2 ß 6 d außmacht, deßen Eigenthum sie mit einer handtrew bekräfftigt auch 150. fl. beÿ b. Prot. deponirt.
Incpt*. beede Eheleuth bitten Ehl unterthänigst von hoher recommendation in d. a. b. ß das b.recht Zuvertrösten, die Kinder aber Maria Christine, Joh: melchior et Catharina Barbara beÿ ordnung Zulaß. Recepti um d. a. b. ß

Les sept enfants et héritiers de Jean Adam Zanotta et de Marie Barbe Delille vendent par enchère la maison à Léonard Bürckel et à sa femme Catherine Bischoff

1795 (5 vend. 4), Strasbourg 7 (33), Not. Stoeber n° 628
erschienen weil. bs. Adam Zanotta gewes. Lichtermachers allhier und auch weiland Fr. Barbara Delille hinterlassenen Kinder und erben benantlich 1. Fr. Barbara Zanotta Pierre Galla Employé dans les armées Ehefrau, 2. Ursula Zanotta die leedige so 21 Jahr alt auf sich hat, 3. Francisca Zanotta die leedige, 4. burger Isaac Kübler goldarbeiter als Vormund Maria Zanotta und Margaretha Zanotta, so dann br Joh: Daniel baÿ homme de loi als Curator des abwesenden ältesten Sohns Christian Zanotta, 7. b. Johannes Zanotta Lichtermachers
bs Leonhard Bürckel allhier und Catharina geb. Bischoff, in Gefolg Urthels vom 27. floreal vorigen Jahrs nach fürgenommenen 7.maligen gerichtlichen Versteigerungen
die in jene Zanottaiche succession gehörige gewesene behaußung samt höfflein hoffstatt bronnen und bauchkeßel mit allen übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen und zugehörden allhier an der Elisabethagaß N° 13, 1.s ist ein Eck an einem nicht durchgängigen Gäßlein gegen Abraham Auerbach tabackfabricanten, 2.s neben Joh: Gottlieb Ehrenfeucher Kiefer hinten auf Philipp Meier Melcker stoßend – um 80.500 livres
Enregistrement, acp 37 du 7 vend. 4

Originaire de Bernardswiller près d’Obernai, Léonard Bürckel épouse en 1779 Marie Catherine Bischoff, native de Vendenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 283) Hodie 31. Maÿ anni 1779 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Leonardus Bürckel oriundus ex Bernardsweiler hujus diœcesis filius legitimus et Majorennis Bernardi Bürckel et Annæ Catharinæ Fritzin defunctorum conjugum per quatuor annos in parochia S. Petri Junioris commorans et Maria Catharina Bischoff oriunda ex Wendenheim hujus diœcesis, filia legitima et minorennis defuncti Jacobi Bischoff et Catharinæ Kelli superstitis ejus viduæ jam er sex menses in parochia nostra commorans (signé) Birckel, + signum sponsæ

Léonard Bürckel originaire d’Obernai et Marie Catherine Bischoff native de Vendenheim demandent l’admission à la manance. La commission constate que l’épouse qui est couturière gagne bien sa vie mais que le mari qui est au service de la comtesse de Lœwenhaupt risque d’être à la charge de la Ville. La demande prend un tour politique, l’assemblée suspend sa décision jusqu’à ce que la chambre de police ait statué sur la manance temporaire.
1786, Conseillers et XXI (1 R 269)
Leonhard Birckel et uxor pt° Aufnahm in den Schirm, ad Dep. 12.
(p. 12) Sambstag den 21. Jänner 1786. Osterrieth nôe Leonhard Birckels von Oberehenheim und Catharina geb. Bischoffin, von Vendenheim gebürtig [überreicht] Memorial samt beil. 1-10. pt° Aufnahm in den Schirm folgendem Innhalts
Gghh. die unterthänige Imploranten halten [-] Zeit allhier auf wo sie in mehrern ver[-] (p. 13) in Diensten gestanden und Inh. laut angebogener Scheinen sub nis 1-6 sehr wohl verhalten haben, implorirender Ehemann welcher dermalen beÿ Fr. Gräfin von Löwenhaupt in Diensten stehet hatte sich vor sechs Jahren mit implorirender Catharina geb. Bischoffin verehelichet und mit derselben ein Kind erzeuget und Zwar noch bei Leben, diese trägt Zu ihrem Unterhalt Ziemlich beÿ, da sie als Näherin in Weißgezeug einen guten Verdienst hat und von Haus* 800 L. an Vermögen besitzet laut Schein sub n° 7.
Bis her ist nicht die mindeste Klage wider sie vor irgend einem Gericht eingeloffen, ohnlängst wurden sie von Löbl. Polizeÿ angehalten pt° Schirms sich in Ordnung Zu begeben, welches sie auch wircklich bewerckstelliget wollten, sie legten alle nöthigen Scheine beÿ Löbl. Schirmgericht vor und bescheinigten ihr Vermögen Zur Genüge, allein sie wurden abgewiesen, mit bedeuten daß sie die hiesige Stadt räumen sollen, insonderheit weil implorirender Ehemann ein Herrenbedienter ist.
Nun ist derselbe nicht gesinnet solcher Stand Zu behalten sondern sich sobald möglich einen andern anständigern zu erwählen, auch sich ins hiesige Burgerrecht aufnehmen Zu laßen, in deßen aber ist er erbietig wegen Aufnahm in den Schirm hinlängliche Bürgschaft in der Person Johannes Kohlmann des b. und Hafners Zu leisten, damit löbl. Stadt in Ansehung der Imploranten und ihres fünfjährigen Kindes völlig außer allem vermuthlichen Schaden gesetzt werden und produciren beede Tauf und Copulations scheine sub nis. 8. 9. 10.
Gelanget demnach an E. G. der unterth. Imploranter gehorsamstes Bitten, Hochdieselben gnädig geruheten sie unter obigem Anbieten und erklären sie in den hiseigen Schirm auf und anzunehmen.
Gnädiger Erhör sich getröstend & unterschrieben Lienardt Birckel, Catharina geb. Bischofin Handzeichen
Facta Lectione bemerckte H Generaladvokat Mogg daß obgleich [die] Imploranten einigermaßen die requisita um ihrer Bitte [-]hret zu werden, vorgewiesen Zu haben scheinen, So stehe ihnen dennoch der bisherigen Ordnung noch dieses im Wege, daß maritus Kein dauerhaft. Gewerb führe, womit er hinlänglich die gewiße Art sein Brod Zu erwerben wahrscheinlich machen Könne, sondern blos von der Willkür seiner Herrschaft abhange und also früh oder spät, wo er außer Stand zu dienen, Gemeiner Stadt Zur Last fallen müße, ferner daß die Imploranten schon beÿ Zweÿen Dicasterien abgewiesen worden, allein da es Zu MHh. stehe auf die vesondere Umbstände nähere Rücksicht zu nehmen, als wolle er derselben Annahme MGhh anheim gestellt haben.
H Prætor Regius stellte vor, daß Zwar die niedere Gerichte sich genau an die Gesetze halten müßen und nicht Vor der Schärfe derselben abgehen können, und also ein Löbl. polizeigericht sowohl als das Schirmgericht ihrer Vorschrift gemäß gehandelt haben, jenes in Anweisung der Imploranten sich wegen Schirm oder Burgerrecht in Ordnung Zu begeben, dieses aber in Abwesung derselben mit ihrem begehren. Es komme jedannoch der obern gesetzgendenen Stelle zu in dem vorkommenden Fällen darauf Zu sehen in wie weit in gegebener Umständen die in terminis generalioribus abgefaßte Gesetze abwendbar, billig dem allgemeiner Wohl angemeßen und dem Sitten und dem Anst[and] nicht Zuwider seÿen. Im gegenwärtiger Fall seÿe es unbezweif[elt,] daß maritus, wann er gleich nicht Schirmer ist, dennoch als bedien[ter] in einem angesehenen Haus in hiesiger Stadt gedultet werde[n kann] und nur wegen Verbrechen aus derselben weggeschafft werden [möge,] da derselbe nun verheurathet, so düncke ihn den guten Si[tten und] der Religion Zuwider, wann man deßen Ehefrau in d[-]digkeit ihn zu erlaßen setzen wollte beederseits schein [-]thend, daß da die bisherigen Grundsätze der weiblich[-] so günstig und derselben in Rücksicht ihrer dienstjahr[-] selbst in das Burgerrecht, so sehr erleichern, diese W[-] einem Bedienten männlichen Geschlechts der, wie hin[-] eine geraume Zeit treu und mit Zufriedenheit sein [-] gedienet hat, Zu gut kommen solle.
In dieser Rücksicht und um den zu befolgende[-] eine nähere Bestimmung zu geben, halte er [-] hochansehnliche deputation die Schirmengesetze [-] (p. 15) Hand nehmen und untersuchen möge auf solch Art diese würckliche oder scheinbare Widersprüche sich am füglichsten mit einander vereinigen laßen.
H. Stättmeister von Gail eröffnete seine Meinung daher, daß sowohl Löbl. Polizeÿ als auch das Schirmgericht in vorliegendem Fall sich nach Mhhn Verordnungen gerichtet haben, wollte man die darinn vorgeschriebene Grundsätze abändern, so stehe es zu MHhn dieses als Gesetzgeber zu thun. Er wolle die Entscheidung gegenwärtiger Sache lediglich überlaßen haben, doch halte er dafür, daß die aufnahme der Schirmer eher zu erschwehren als zu erleichtern seÿen, indem die Erfahrung lehre daß der gröste Theil Löbl. Stadt und ihrer Stiftungen endlich Zur Last falle und dadurch der Nutzen der diese leisten sollen und auf einer geringern Anzahl Könnten, um ein merckliches vermindert werde. Man könne hier unmöglich den Grundsatz annehmen, als würde durch die Leichterung* in den Schirmeraufnahmen die Population befördert, weil eine mehrere Bevölckerung nur als dann vortheilhaft, wann sie mit der Erwerbung art und Mitteln in Verhältniß stehe, und eine Population von Bettlere für den Staat ein wahrer Schaden, indem dadurch die guten Sitten verderben, der Müßiggang genähret und vielen Lastern und Verbrechen Thür und Thore geöffnet werden.
H. Ammeister von Türckheim war der Meÿnung, daß wo man jn den Imploranten die Aufnahme in den Schirm gestatten wollte, dieser Kein anderer als ein Temporalschirm seÿn Könne, indem durch den beÿ dieser Hohen Stelle letzthin confirmirten Bedacht das Principium festgesetzt worden, daß die jenige welche die erforderlichen Eigenschaften in den Schirm nicht haben, deren dienste und Arbeiten aber dennoch nutzlich und nothwendig sind, als Taglöhner in Horblohn, Arbeiter in Fabricken u. a. m. nur allein in den Temporalschirm mögen aufgenommen werden, und man einen Bedienten [wel]lcher alle Augenblicke zu befürchten, habe außer dienst gesetzt [-] werden, nicht mehr begünstigen könne, als die eben gemelte [-]iter, welche doch so Ziemlich ihres sichern Auskommens gewiß [-] Ubrigens seÿe überhaupt genommen die Population allerdings [-]ünstigen, allein die politische Frage bestehe doch eher darin [-]le Population in die großen Hauptstädte concentrirt werden (p. 16) solle, und hiermit sind die neuern Staats Maximen einig, daß die Volcksmenge eher in Kleinern Städten und auf dem Lande zu befördern, nicht aber von daher in die großen Städte zu ziehen* seÿe. Das Gesetz aber welches der Mägdten so allhier eine Zeitlang treu gedienet haben, eine Berechtigung zu Erlangung des Burgerrechts gewähre, können nicht so günstig auf männliche Bedienten ausgedehnet werden, angesehen eine Magd welche Bürgerin wird sich immer an einem Mann verheirate der eine Handtierung treibe und von dem zu vermuthen daß er sein Auskommen haben werde, und also hierdurch meistentheils das was er einmal ist, sein Etablissement, besonder wann er eine frembde Heirathe, gereiche Keiner eingebornen zur Versorgung, und ist folglich Kein Beweggrund vorhanden, derselben so wie eine verdiente Dienstmagd zu behandeln.
Er vermeine daß die bestimmung des Temporalschirms noch nicht genugsam erörtert, gleiche Gesinnungen haben Ein Löbl. Polizeÿgericht bewogen, deswegen einen Bedacht um Ausweisung aufsetzen zu laßen welcher nächste Woche beÿ dieser Stelle übergeben werden solle, und in diesem Betracht glaube er daß diese Sache annoch so lang auszusetzen seÿe, bis gemelter Bedacht wird übergeben worden seÿn, und alsdann, wo man festen unabänderliche Grund[sätz] wird angenommen haben, die Imploranten nach deren [-] zu behandeln.
Diiesem Voto stimmte die Mehrheit beÿ, und W[urde] Erkannt, deß die Entscheidung über der Impl[oranten] Gesuch so lange auszusetzen, biß Löbl . Polizerige[richt -] H Ammeister von Türckheim angekündigten [-] Temporalschirm betreffend wird übergeben und [-] erforderliche wirt statuirt worden Seÿn. Depp. [-] Schott, H. Rathh. Heckher [unterzeichnet] De Neüenstein, Poirot.

La créancière du journalier Léonard Bürckel et de Catherine Bischoff fait vendre la maison par adjudication judiciaire. Le nourrisseur de vaches Laurent Schütz s’en rend propriétaire moyennant 9 000 francs.

1814 (10.7.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 76, n° 35
Cahier des charges. Me Gebhard avoué près le Tribunal de Première Instance déclare que Dlle Marie Sare Eberth fille majeure sans profession comme étant subrogée aux droits et actions de Philippe Abraham Lung orfèvre suivant acte de M° Dinckel en date du 23 pluviose 8, est créancière de Léonard Bürckel journalier et Catherine Bischoff sa femme en vertu de 2 jugements du Tribunal Civil des 1 ventôse et 8 messidor 10 d’une somme principale de 3600 francs
à M° Schwingdenhammer pour 9000 francs, Déclaration d’enchère, 2 juillet pour le compte de Laurent Schütz, laitier
Désignation de l’immeuble. Une maison sise dans la ville de Strasbourg rue Elisabeth n° 13 canton du sud ayant pour enseigne le cheval rouge, d’un côté la maison du Sr Ehrenfeuchter tonnelier, de l’autre la rue, formant cul de sac auquel aboutit la maison de la succession de David Zinsheim, devant la rue, derrière la propriété du Sr Ehrenfeuchter et la succession Zinsheim. Ladite maison est couverte de tuiles et consiste en un rez de chaussée et un étage
Le rez de chaussée est composé d’une porte d’entrée ordinaire, de deux poeles prenant jour sur la rue, une petite chambre, une cuisine et un vestibule ayant issue dans une cour y attenant et en dépendante au dessous est une cave. Le premier étage est composé de trois chambres éclairées sur la rue d’une cuisine et vestibule, sous le toit sont cinq chambres et au dessous des greniers. Cette maison est occupée tant par les parties saisies que par François Gillmann cordonnier et François Reyber cabaretier. Contre la maison du côté du cul de sac est adossé une espèce de hangard fermé dont l’entrée est dans la rue dans lequel est établie une distillerie. Dans la cour ayant une issue sur le cul de sac est un puits la pompe et un bâtiment formant des écuries au dessous desquelles est un grenier à foin – mise à prix 3000 fr, fait élection de domicile en la demeure de M° Gebhard grand rue n° 14 – fait le 24 novembre 1813
adjudication préparatoire du 10 février – le 28 avril attendu que le blocus de la ville n’a pas permis de donner toute la publicité possible (…) remise au 8 juin

Laurent Schütz épouse en 1809 Christine Gies, originaire d’Achenheim : contrat de mariage, célébration
1809 (20.11.), Strasbourg 2 (31), M° Knobloch n° 4389
Contrat de mariage – Laurent Schütz, vacher à Strasbourg, fils de feu Jean Schütz, vacher et de Madeleine Chardon
Christine Gies, fille de Jean Gies, cultivateur à Achenheim et de Marie née Kuntz
Enregistrement, acp 113 F° 131 du 20.11.

Mariage, Strasbourg (n° 444)
L’an 1809 le 18° jour du mois de décembre (…) sont comparus Laurent Etienne Schütz, âgé de 27 ans, laitier né en cette ville le 18 décembre 1782, y domicilié, fils de feu Jean Schütz, laitier, et de feu Madeleine Chardon, décédés en cette ville le premier le 20 mars dernier et la seconde le 6 février de l’année précédente, et Christine Gies, âgé de 21 ans, née à Achenheim, Département du Bas-Rhin le 23 décembre 1787, y domiciliée, fille de Jean Gies, cultivateur audit lieu, et de Marie Anne Kuntz ci présents et consentants (i 27)

Laurent Schütz et Christine Giss vendent la maison au tonnelier François Wernert et à sa femme Salomé Baumert moyennant 9 000 francs

1815 (16.2.), Strasbourg 7 (53), M° Stoeber jeune n° 1203
Laurent Schütz, laitier, et Christine Giss
à François Wernert, tonnelier, et Salomé Baumert
une maison, cour, écurie, pompe, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Elisabeth n° 13, d’un côté Frédéric Ehrenfeuchter, de l’autre une cul de sac, devant la rue, aboutissant sur la maison Zinsheim – acquise à la barre du tribunal civil de première instance dans la masse de Léonard Bürckel, journalier, et Catherine Bischoff le 30 juin 1814 transcrit au bureau des hypothèques volume 76 n° 35 – moyennant 9000 francs
Enreg. F° 82 du 23.2.

Originaire de Rosenwiller, François Wernert épouse en 1805 Salomé Baumert native de Schnersheim
1805 (13 nivose 13), Strasbourg 14 (26), Me Lex n° 4569
Contrat de mariage – François Wernert, garçon tonnelier natif de Rosenveiller arrondissement de Barr, fils majeur de feu Fabien Wernert, tonnelier, et de feu Anne Marie Bentz, de l’avis de Jean Georges Klein concierge de la maison d’arret de cette ville son beau frère
Salomé Baumert native de Schnersheim fille majeure feu Antoine Baumert, cultivateur, et de Catherine Weil

François Wernert meurt en 1843 dans sa maison rue Sainte-Elisabeth

1843 (25.3.), Strasbourg 15 (79), M° Lacombe n° 5227
Inventaire de la succession de François Wernert – Cejourd’hui 25 mars 1843, à une heure de relevée, en la Maison rue Ste Elisabeth N° 13 à Strasbourg. A la requête de 1° Dame Salomé Baumert veuve de François Wernert tonnelier à Strasbourg, ladite dame demeurant en ladite ville, agissant en son nom et personnel 1) à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et feu le Sr Wernert, 2) à raison de ses reprises et droits matrimoniaux, le tout résultant de son contrat de mariage reçu par M° Lex alors notaire à Strasbourg le 13 nivose de l’an XIII, enregistré,
2° Sr François Wernert, tonnelier, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant I. en son nom personnel, II en qualité de mandataire du Sr Louis Wernert son frère, majeur, garçon domicilié et demeurant à Bar le Duc domicilié de droit à Strasbourg (…) 3° Madame Salomé Wernert épouse de M Florent Schwartz serrurier les deux demeurant & domiciliés à Strasbourg, 4° Mad. Marie Madeleine Staubff veuve de feu le Sr Charles Thomas Wernert en son vivant tonnelier, ladite dame demeurant et domiciliée à Strasbourg, agissant en qualité de mère et tutrice légale de Charles Thomas Wernert son enfant mineur issu de son mariage avec feu ledit Sr Charles Thomas Wernert son défunt mari. En la présence de M Joseph Schneider journalier demeurant et domicilié à Strasbourg, subrogé ad hoc dudit mineur Charles Thomas Wernert (…). Lesdits François Wernert, Louis Wernert, la Dame Schwartz et le mineur Charles Thomas Wernert par représentation de son père, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers dans la proportion d’un quart chacun de feu le Sr François Wernert leur père et grand père tonnelier décédé à Strasbourg le 15 octobre 1848

Total du mobilier, 723, garde robe du défunt 90
Immeuble acquis pendant la communauté. Une maison sise à Strasbourg avec cour, écurie, pompe, appartenances et dépendances sise rue Ste Elisabeth n° 13 tenant d’un côté à la propriété du Sr Butz, de l’autre au Sieur Roser, par devant le coin du cul de sac, acquise sur Laurent Schütz, laitier et Christine Giss, sa femme demeurant à Strasbourg par feu le St François Wernert aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Stoeber jeune alors notaire à Strasbourg le 16 février 1815.
Titres et papiers ensemble 4532. Créances actives 440, Passif 7131 francs
acp 346 (3 Q 30 061) f° 60-v

Sa veuve Salomé Baumert meurt en 1846
1846 (8. 7.br), Strasbourg 15 (80), M° Lacombe n° 5395
Inventaire Salomé Baumert veuve de François Wernert en son vivant tonnelier
Cejourd’hui Lundi 7 septembre 1846. A la requête 1° de M. Louis Wernert, boucher demeurant à Bar le Duc, 2° Salomé Wernert épouse du Sr Laurent Schwartz serrurier demeurant ensemble et domiciliés à Strasbourg, ladite dame de son mari ci présent dûment autorisée, 3. le Sr François Wernert, tonnelier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en son nom personnel et encore en qualité de mandataire de Marie Madeleine Staubff veuve de feu le Sr Charles Thomas Wernert en son vivant tonnelier, ladite dame ayant demeuré à Strasbourg, demeurant aujourd’hui et domiciliéé à Marlenheim, ladite dame veuve Wernert ayant agi elle-même comme mère et tutrice légale de Charles Thomas Wernert son enfant mineur issu de son mariage avec feu ledit Sr Charles Thomas Wernert son défunt mari. En la présence de M Joseph Schneider journalier demeurant et domicilié à Strasbourg, subrogé ad hoc dudit mineur Charles Thomas Wernert (…). Étant lesdits Louis Wernert et François Wernert, la Dame Schwartz née Wernert et le maison Charles Thomas Wernert par représentation de son père, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un quart de leur mère et grand-mère Salomé Baumert veuve de François Wernert en son vivant tonnelier, décédée à Strasbourg le 27 août dernier. Et lesdits sieurs François et Louis Wernert et la dame Schwartz légataires par préciput et hors part du quart de la succession de Mad. Wernert leur défunte mère institués par son testament reçu par Me Lacombe le 24 août 1846
(…) trouvés dans la maison sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth N° 13
Total du mobilier 287, argent comptant 1443, passif 398
acp 352 (3 Q 30 067) f° 30

La veuve et les héritiers de François Wernert vendent la maison à Chrétien Timothée Roser pour 9 221 francs

1846 (15.5.), Strasbourg 15 (79), M° Lacombe n° 5285
15 Mai 1846. Cahier des Charges, clauses et conditions dela vente par licitation entre mineur et majeurs d’une maison sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth N° 13
Enonciation du Jugement. Par son jugement entre Salomé Baumert, veuve de François Wernert, tonnelier à Strasbourg, François Wernert, tonnelier, Louis Wernert, garçon boucher et Salomé Wernert femme assistée et autorisée de Florent Schwartz, serrurier, tous demeurant à Strasbourg, demandeurs ayant pour avoué M° Stoeber, Avoué
Et Marie Madeleine Staubff, veuve de Charles Thomas Wernert vivant tonnelier à Strasbourg où elle demeure en qualité de mère et tutrice légale de Charles Thomas Wernert son enfant mineur procréé avec ledit Sr Charles Thomas Wernert, son défunt mari, ayant comparu par M° Ackermann, Avoué (…)
Désignation de l’immeuble mis en vente. Une maison sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 13 avec petite cour et bâtiment de derrière, puits & écurie, tenant d’un côté à la propriété du Sr Butz, de l’autre à celle du Sr Roser, tenant par devant le coin du cul-sal dit Judenhoff.
Etablissement de la propriété. Cet immeuble dépend de la Communauté de biens qui a existé entre Salomé Baumert et François Wernert, tonnelier à Strasbourg, son époux défunt aux termes de leur Contrat de mariage reçu par M° Lex alors notaire à Strasbourg le 13 nivôse an 13 enregistré. Il et la propriété pour une moitié de ladite veuve née Salomé Baumert et pour l’autre moitié des héritiers de feu le Sr Wernert qui sont A. François Wernert, journalier demeurant à Strasbourg, B. Louis Wernert, garçon boucher demeurant à Bar-le-Duc, C. Salomé Wernert femme de Florent Schwartz, serrurier, tous demeurant à Strasbourg, D. Charles Thomas Wernert sous la tutelle légale de Marie Madeleine Staubff, veuve de feu Charles Thomas Wernert en son vivant tonnelier à Strasbourg où ladite veuve demeure, et ayant pour subrogé tuteur Mr Joseph Schneider journalier demeurant et domicilié à Strasbourg, ledit mineur venant à ladite succession par représentation de son père feu Charles Thomas Wernert sus qualifié, ces quatre enfants et seuls héritiers de feu le Sr François Wernert père et grand père. Mr François Wernert a acquis cette maison pendant la susdite communauté sur Laurent Schütz, laitier et Christine Giss, sa femme aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Stoeber jeune alors notaire à Strasbourg le 16 février 1815. (…)
N° 5320. Enchère du 17 Juin 1846. (…) au profit de Madame Salomé Wernert épouse de Florent Schwartz, serrurier, 9221 francs
Déclaration de command par la D° Wernert, qu’elle a ecnhéri pour le compte de Chrétien Timothée Roser, propriétaire
acp 348 (3 Q 30 063) f° 38, cahier des charges – acp 349 (3 Q 30 064) f° 44-v, adjudication et f° 45 déclaration de command

Natif d’Oberbronn, le baquetier Chrétien Timothée Roser épouse en 1813 Sophie Concorde Bastian, originaire de Lampertheim
1813 (12.1.), Strasbourg 10 (33), M° Zimmer n° 499, 5795
Contrat de mariage – Chrétien Timothé Roser, bacquetier à Strasbourg né à Oberbronn le 1 mars 1789 de feu Jean Léonard Roser, pasteur ci devant à Oberbronn en dernier lieu à Kirrweiler où il et décédé le 9 octobre 1802, et de Marie Salomé Frölich domiciliée à Strasbourg
Sophie Concorde Bastian demeurant à Lampertheim où elle est née le 11 août 1788 de feu Jean Bastian, ministre du culte protestant, et de feu Marguerite Elisabeth Ehrmann
Enregistrement, acp 121 f° 90-v du 13.1.

Inventaire des apports dans leur maison au Finckwiller
1813 (12.3.), Strasbourg 10 (21), M° Zimmer n° 502, 5888
Inventaire des apports de Chrétien Thimothée Roser, baquetier et de Sophie Concorde Bastian, assitée de Louis Frédéric Vierling son beau père ministre du culte protestant à Lampertheim, Contrat de mariage passé le 12 janvier dernier
le mari, mobilier 234 fr, or 68 fr, provision de bois 2400 fr, vin vinaigre 104 fr, froment 288 fr
Propriété d’une maison, Savoir une Maison avec petite cour, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quartier dit Finckweiller derrière la mouche n° 34, d’un côté le Sr Lehman commerçant, de l’autre Jean Jacques Siegel, saucissier, derrière la propriété du Sr Lehmann, estimée à 8000 fr – acquise de Marie Dorothée Buck femme Staedel par cate reçu M° Bossenius le 17 janvier 1810
propriété d’un pré 150 fr à Strasbourg, total 11.145 fr – passif 10.099 fr, reste 1145 fr
la femme, mobilier 1389 fr, argenterie 103 fr, numéraire 1739 fr, total 3232 fr, douaire du Sr Vierling ministre
Enregistrement, acp 121 f° 187-v du 15.3.

Chrétien Timothée Roser se remarie en 1824 avec Louise Butz
1824 (23.8.), Strasbourg 10 (34), Me Zimmer n° 659, 9912
Contrat de mariage – Chrétien Timothé Roser, baquetier, veuf sans enfant de Sophie Concorde Bastian décédée le 18 juillet 1823
Louise Butz, fille majeure née le 28 messidor 7 (16 juillet 1799) à Westhoffen, fille de feu Philippe Butz, tonnelier et de Julienne Leibrock
Enregistrement, acp 169 f° 130-v du 24.8. – communauté d’acquets partageable par moitié

Inventaire des apports
1824 (27.10.), Strasbourg 10 (28), Me Zimmer n° 739, 9944
Inventaire des apports de Chrétien Timothée Roser, baquetier, et Louise Butz, suivant contrat de mariage reçu M° Zimmer le 23 août dernier
le futur époux. Maison, une maison avec petite cour, écurie, appartenances & dépendances sise à Strasbourg au quartier dit Finckwiller derrière la mouche n° 34 entre les propriétés des Sr Lehmann commerçant et Jean Jacques Siegel saucissier, derrière propriété du Sr Lehmann, estimée 6000 fr – acquise de Marie Dorothée Buck femme de Staedel, par acte reçu M° Bossenius le 17 janvier 1810
un magasin construit en partie en pierres part en planches et couvert de tuilles sur un terrain dépendant de la maison appartenant aux conjoints Wurm sis au quartier dit Finckwiller n° 22 loué au Sr Roser par bail reçu M° Zimmer le 17 novembre 1820. Lequel magasin le Sr Roser a été autorisé à construire sur ledit terrain loué aux termes dudit bail, estimé 1200 fr
ensemble 15.244 fr, passif 10.744 fr
la femme 4627 fr
Enregistrement, acp 170 f° 77 du 29.10.

Chrétien Timothée Roser meurt en 1859 en délaissant trois filles.

1859 (24. 8.br), Strasbourg 10 (140), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.260
Inventaire de la succession de Mr Chrétien Timothée Roser, en son vivant limonadier ancien baquetier domicilié à Strasbourg où il est décédé le 9 septembre 1859.
L’an 1859 le 24 octobre à neuf heures du matin, à la requête 1) de Mad. Louise Butz, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de M. Chrétien Timothée Roser, en son vivant limonadier ancien baquetier en la même ville, agissant en son propre nom 1. à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié qui a existé entre elle et ledit S Roser son mari défunt, 2. comme créancière de cette communauté à cause des reprises & avantages matrimoniaux, & 3) comme usufruitière de la moitié de la succession de feu son mari, le tout aux termes de son contrat de mariage passé devant M° Zimmer père alors notaire à Strasbourg le 23 août 1824. La D° Roser agissant en outre comme tutrice légale de Dlle Elisa Concorde Roser, née à Strasbourg le 29 juin 1839 & de Dlle Marie Victoire Roser née le 7 octobre 1841 en la dite ville, ses deux enfants mineurs, sans état, demeurant et domiciliés avec elle à Strasbourg et issus de son mariage avec son mari défunt
2) de Mad° Caroline Louise Roser, épouse dûment autorisée de M. Jean Frédéric Schleiffer, fabricant de billards les deux demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg. En présence du dit M Schleiffer, agissant pour assister & autoriser son épouse & comme subrogé tuteur des dites Dlles Roser (…) Lesdites D° Schleiffer et Dlles Roser habiles à se dire et porter héritiers & porter seules et uniques héritières chacune de pour un tiers du dit Sr Roser leur père décédé à Strasbourg le 9 septembre 1859.

Cuisine, Chambre de la servante, Logement du défunt – Sallé de café
Reprises en deniers de feu M. Roser (…) aux termes du même acte ses apports en mariage consistaient encore 2) dans une maison sise à Strasbourg au quartier finckwiller ancien n 34 derrière la mouche (…) 4) Et dans un magasin situé à Strasbourg au quartier finckwiller sur un terrain que le Sr Roser tenait à bail seulement. Ce magasin a été démoli depuis (…)
Masse active de la communauté. Maisons à Strasbourg
3) d’une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue Saint Marc N° 14 (…)
4) d’une maison avec appartenances & dépendances sise en la même ville rue saint Marc N° 16 (…)
5) d’une maison sise en la même ville rue Sainte Elisabeth N° 1 avec cour, jardin & autres appartenances & dépendances tenant d’un côté au petit séminaire de l’autre au Sr Butz tonnelier par devant au cul de sac Sainte Elisabeth & au Sr Werner & par derrière au Sr Ott & consorts. Cet immeuble est évalué sans distraction des charges à raison d’un revenu annuel de 2000 francs à un capital de 40.000 francs
acp 482 (3 Q 30 197) f° 38 du 27. 8.br (succession déclarée le 12 décembre 1859 n° 258) Communauté, mobilier 9139, argent 160 – succession, garde robe 196
acp 483 (3 Q 30 198) f° 36 du 28. 9.br (vacation du 21. 9.bre) Reprises de la veuve 1022, Reprises du défunt 9844
Communauté, mobilier 9139, argent comptant 160
Une maison à Strasbourg rue St Marc N° 4
Une maison à Strasbourg rue St Marc N° 16
Uen maison rue Sainte-Elisabeth N° 1
loyers 1070, créances 6000 – Masse passive 57.475
Succession, garde robe 1966
Renonciation par la veuve à l’usufruit qui lui compète en la succession de feu son mari en vertu de son contrat de mariage reçu Zimmer Nre le 23 août 1824.

Louise Butz meurt en 1861
1861 (6.2.), Strasbourg 10 (143), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.854
Inventaire de la succession de Louise Butz veuve Chrétien Thimothée Roser, vivant limonadier domiciliée à Strasbourg où elle est décédée le 24 janvier 1861.
L’an 1861 le six février à neuf heures du matin, à la requête 1) de Mad. Caroline Louise Roser, épouse dûment autorisée de Mr Jean Frédéric Schleiffer, fabricant de billards, ci présent, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, 2) de Mr Edouard Stromeyer, notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, commis à l’effet de ce qui suit par ordonnance de Mr le Président du tribunal civil de Strasbourg en date du 30 janvier 1861 pour représenter au présent inventaire la Dlle Elisa Concorde Roser, majeure domiciliée à Strasbourg aliénée non interdite, placée à l’asile des aliénés de Stephansfeld (…) 3) de Dlle Marie Victoire Roser, sans état, née le 7 octobre 1841, demeurant et domiciliée à Strasbourg, mineure émancipée (…) assistée de M. David Butz, tonnelier ci présent demeurant et domiciliée à Strasbourg, son curateur (…) lesdites D° Schleiffer et Dlles Roser habiles à se dire et porter seules et uniques héritières chacune pour un tiers de Mad. Louise Butz (…) leur mère – en la maison mortuaire rue Sainte Elisabeth N° 15

le 21 mars. Actif de la communauté. Cave, Cuisine, Chambre de la servante, Logement du défunt – Salle du Café
Il dépend de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre M et Mad° Roser défunte, 3) Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue Saint Marc N° 14 (…)
4) Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue Saint Marc N° 16 (…)
5) Une maison sise en la même ville rue Sainte Elisabeth N° 1, avec cours, jardin & autrea appartenances & dépendances, tenant d’un côté au petit séminaire, de l’autre au Sr Butz tonnelier par devant au cul de sac Sainte Elisabeth & au Sr Werner & par derrière au Sr Ott & consorts. Cet immeuble est évalué sans distraction des charges à raison d’un revenu annuel de 2000 francs à un capital fe 40.000 francs
Les époux Roser ont acquis les immeubles désignés ci-dessus durant leur mariage des personnes ci après nommées, Sacoir 1) L’immeuble rue saint marc N° 14 (…)
acp 495 (3 Q 30 210) f° 84-v du 8.2. (succession déclarée le 16 mars 1861) Il dépend de ladite succession un mobilier estimé à 2906, garde robe 228
acp 497 (3 Q 30 212) f° 13 du 22.3. (vacation du 21 mars) Communauté, rapport de la D° Schleiffer 6000, loyers échus 430
Une maison sise à Strasbourg rue Saint Marc N° 14 estimée 20.000
Une maison rue Saint Marc N° 16 estimée 5000
5) Une maison rue Sainte Elisabeth N° 1 estimée 40.000 – total 74.336
Masse passive, dettes hypothécaires 33.291, reprises de ka veuve 10.295, reprises du mari 9844, total 53.430, reste 20.906
Succession de la défunte, garde robe 228, reprises 10.295, bénéfice de la communauté 10.453, argent comptant 505, créances 2162, caisse d’épargne 560, total 24.251 – Passif 231

Chrétien Thimothée Roser et Louise Butz vendent la maison au tourneur Guillaume Théophile Leining et à sa femme Julie Hœllbeck

1859 (19.3.), Strasbourg 10 (138), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.983
Vente et obligation du 19 mars 1859. Ont comparu M. Chrétien Thimothée Roser, limonadier, et D° Louise Butz, son épouse qu’il autorise dûment aux présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg lesquels ont (vendu)
à M. Guillaume Théophile Leining, tourneur et à D° Julie Hoellbeck, son épouse qu’il autorise, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Une maison sise à Strasbourg, rue Sainte Elisabeth N° 17 autrefois N° 13, avec petite cour et bâtiment de derrière, puits & écurie, tenant d’un côté au Sr Butz, de l’autre à la propriété des vendeurs, formant par devant le coin du cul de sac dit Judenhof. (…) Il est espressément convenu que dans le cas où les acquéreurs feraient faire des constructions à la propriété par eux présentement acquise contre celle des vendeurs y attenant, ces derniers s’engagent à recevoir sur leur propriété l’écoulement des eaux pluviales qui jusqu’ici était dirigé sur la propriété ci-dessus vendue (…)
Les vendeurs sont devenus propriétaires dudit immeuble pour en avoir fait l’acquisition de D° Salomé Baumert, demeurant à Strasbourg, veuve de Mr François Wernert vivant tonnelier en cette ville et des héritiers de ce dernier, nommés 1° Louis Wernert, garçon brasseur demeurant à Bar-le-duc domicilié à Strasbourg, 2° Salomé Wernert, épouse de M. Florent Schwartz, serrurier demeurant en cette dernière ville, 3° Charles Thomas Wernert mineur se trouvant sous la tutelle légale de sa mère D° Marie Madeleine Staubff, demeurant à Strasbourg veuve de M. Charles Thomas Wernert, vivant tonnelier en la même ville, suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Lacombe alors notaire à Strasbourg le 7 juin 1846 et une déclaration de command reçue par le même notaire le même jour, le tout transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 3 juillet de la même année, volume 451 N° 84 et inscrit d’office le même jour volume 449 N° 270. (…) Ledit immeuble dépendait de la communauté de biens qui a existé entre M. François Wernert & sa veuve Salomé Baumert, susnommés, et appartenait pour moitié à ladite veuve Wernert et pour l’autre moitié aux héritiers susnommés dudit M° François Wernert. M. François Wernert a lui-même fait l’acquéreur du même immeuble durant ladite communauté du Sr. Laurent Schütz, laitier à Strasbourg & de Christine Giss, conjoints aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Stoeber jeune alors notaire à Strasbourg le 16 février 1815. (…) Et le Sr Laurent Schültz avait acquis le même immeuble de la masse du Sr Léonard Bürckel, journalier & de D° Catherine Bischoff, conjoints demeurant à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé au greffe du tribunal civil de première instance séant en cette ville le 30 juin 1814, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 18 du même mois, volume 76 N° 35 moyennant le prix de 9000 francs. (…) La présente vente est faite et acceptée moyennant le prix de 9000 francs
acp 477 (3 Q 30 192) f° 20 du 21.3.

Originaire de Tübingen en Wurtemberg, Guillaume Théophile Leining épouse Julie Hœllbeck en 1857
1857 (5.1.), Strasbourg 4 (114), M° Lauth (Auguste Frédéric) n° 7976
Mariage – ont comparu 1. M. Guillaume Frédéric Leining, tourneur demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur & légitime de feu M. Théophile Leining, en son vivant boucher à Tubingen (Wurtemberg) et de dame Régine Schoettli sa veuve demeurant et domiciliée audit Tubingen, stipulant pour lui et en son nom ainsi qu’il le déclare comme futur époux d’une part
2. Mlle. Sophie Julie Hoellbeck, célibataire sans état, fille majeure et légitime de M. Jean Jacques Hoellbeck, fabricant de cartonnage et de Dame Sophie Schmidt, son épouse avec lesquels elle demeure et est domiciliée à Strasbourg, stipulant pour elle et en son nom du consentement de ses père et mère comme future épouse d’autre part
acp 456 (3 Q 30 171) f° 44-v du 6.1. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en une valeur de 1300 francs
Ceux de la future épouse en un mobilier estimé à 1800 francs
Donation par les conjoints Hoellbeck à la future épouse leur fille, ce acceptant, d’une somme de 2000 francs argent comptant
Donation à titre de douaire à la future épouse d’une somme de 500 francs, caduque en cas de précédès sans enfant
Donation réciproque de l’usufruit de toute la succession réductible en cas d’existence d’enfants
Vente par Frédéric Volck, marchand de vins à Strasbourg au futur époux, ce acceptant, de divers objets servant au métier de tourneur consistant en quatre tours et divers outils, le tout estimé à 500 francs pour laquelle somme le Sr Leining gardera en mains, à charge de servir au Sr Volck et à Catherine Théophile Leining sa femme et au survivant d’eux une rente annuelle et viagère de 50 francs

1856, Enregistrement de Strasbourg, ssp 124 (3 Q 31 623) f° 20-v du 16.12.
Le 22 octobre 1856. Consentement par la veuve de feu le Sr Théophile Leining maître boucher à Tübingen (Wurtemberg) au mariage de son fils Guillaume Leining mécanicien à Strasbourg avec Melle Sophie Julie Hoelbeck en la dite ville

Guillaume Théophile Leining et Julie Hœllbeck hypothèquent la maison au profit de l’archiviste Louis Spach

1868 (25.2.), Strasbourg 10 (159), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 489
Obligation. 25 juin 1868 – ont comparu M. Guillaume Théophile Leining, tourneur et D° Julie Hoellbeck, son épouse agissant sous son autorisation, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à M Louis Spach, archiviste du Département du Bas Rhin, demeurant et domicilié ) Strasbourg, la somme de 4000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque. Une maison sise à Strasbourg, rue Sainte Elisabeth N° 17, avec petite cour & bâtiment de derrière, puits, atelier de tourneur, machine à vapeur de la force d’un cheval et autres droits, appartenances et dépendances, tenant d’un côté à la propriété du Sr Butz, de l’autre à celle de M. Schleiffer, formant par devant le coin du cul de sac dit Judenhof, y compris toutes les machines ayant nature immobilière.
Cette maison appartient aux époux Leining pour en avoir fait l’acquisition de M. Chrétien Thimothée Roser, limonadier et D. Louise Butz sa femme, les deux de Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M° Zimmer, alors notaire à Strasbourg, le 19 mars 1859, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 9 avril suivant volume 766 n° 155 et inscrit d’office le même jour volume 734 N° 68. œ Les débiteurs certifient de plus qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté

Guillaume Théophile Leining meurt en septembre 1888 en délaissant des héritiers testamentaires

1888 (27.12.), M° Keller
Erbverzeichnis über dem Nachlass des dahier den 16. September 1888 verstorbenen Eisendrehers Wilhelm Gottlieb Leining, Gatte von Sophie Julie Hoellbeck
Universal Erben sind auf Grund eigenhändigen Testaments vom 6. Mai 1888 hinterlegt laut Act des amt. Notars vom 15. October 1888 I. Catharina Schandt, Wittwe des Metzgers Christoph Leining in Stuttgart, II. Henriette Leining, Ehefrau von Christian Waiblinger, Wärter in Tübingen, III. Wilhelmine Leining, Ehefrau von Heinrich Nothdurft, Beindreher in Tübingen, Verwandschaftsgrade nicht angegeben

acp 810 (3 Q 30 525) f° 75 n° 2740 du 28.12. (vacation du 27.12.)
Laut Ehevertrag vor Notar Lauth dahier vom 5. Januar 1857 bestand zwischen Eheleuten Leining Hoellbeck die auf der Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft und steht der überlebenden Wittwe 1) eine Summ von 400 M in Volleigenthum, der Überrest in lebenslänglicher Nutznießung zu
Gemeinschaft. Mobilien und Handwerksgeschirr 7136
acp 811 (3 Q 30 526) f° 3-v n° 3938 du 11.1. (vacation du 10 janvier 1889) Liegenschaft der Gemeinschaft. Ein Wohnhaus in Strassburg Elisabethengasse N° 17 früher N° 13 mit kleinem Hof und Hintergebäude, Brunnen und Werkstätte
Forderung an Adolphe Heintz , Ackerer und dessen Ehefrau Salome Rapp auf der Hohwarth Bann von Straßburg auf Grund eines Schuldbekenntnises des Notars Schmitz in Strassburg vom 24. August 1885 M. 4240
Werthpapiere auf dem Inhaber lautend 1) 140 Mark jährliche Rente in neun Titel zu 3 pC auf Elsaß Lothringen M 4590, 2) Neun Pfandbriefe der Frankfurter Hypothekenbank M 3564, 3) Zweÿ Schuldverschreibungen der Stadt Konstanz M 1300, 4) Acht Pfandbriefe der Aktiengesellschaft für Boden und Communalkredit in Elsass-Lothringen, 3800 M, 5) Fünf Schuldverschreibung des deutschen Reiches M 1038. 6) Zwei Schuldverschreibungen der königlich preussischen Consolidation Bank M 1043, 7) Eine Schuldverschreibung (dito) 1073, 8) Vier Schuldverschreibungen der königlichen Württembergischen Staatsanleihe M 2122, 9) Zwei Schuldverschreibungen des Großherzoglich Badischen Eisenbahn anleihe M 3159, 10) Guthaben bei der Sparkasse Straßburg 800, 11) Geschäftsausstände 8332 davon sehr zweiffelhafft 978, 2) Zweiffelhaffte Geschäfts Ausstände 6733, 13) Conto Guthaben bei der Firma Strohmeyer & Lauth in Straßburg 6490, 14) baares Geld am Todestage 1485.
der Erblasser bespricht von der Gütergemeinschaft Ersatz 1440
Von dem Nachlass Vermögen hat die Wittwe auf Grund des Schenkung im Ehevertrage die Summ von 400 vorauszunehmen
die überlebende Wittwe nimmt ihre Garderobe zurück und bespricht von der Gemeinschafft Ersatz auf Grund des Ehevertrags a) für Mobilien 1440, b) für baares Geld 1600 zusammen 3040
ferner für den ihr in der Theilung des früheren Notars Weiss dahoer vom 12. Februar 1872 zugetheilten Antrag von 14.850 und für Anträge die während der Ehe anzogen wurden 5244, zusammen 23.135
die Schulden der Gemeinschafft antragen 313, die Schulden des Nachlasses 880
Zeit Aufwand neun Studen, drei Sitzungen

Le testament olographe est déposé en l’étude Keller
1888 (15.10.), M° Keller
Hinterlegung des dahier am 26. September curr. gestorbenen Eisendrehers Wilhelm Gottlieb Leining, wodurch er seiner Ehefrau Ehefrau Julie Hoellbeck die lebenslängliche Nutznießung seines ganzen Nachlasses vermacht, folgende Legate aussetzt
1. dem Georg Kugel 1000 Mark
2. dem Joseph Laugel 500 Mark
Vom übrigen Vermögen sollen erhalten
Wittwe Christoph Leining in Rottenburg 2/5
Henriette Waiblinger geb. Leinig in Tübingen 2/5
Wilhelmine Nothdurft geb. Leinig allda 1/5 unter Vorbehalt der Nutznießung seiner Wittwe
acp 806 (3 Q 30 521) f° 78 n° 2686 du 15.10.

Partage de la succession après la vente de la maison
1889 (25.5.), M° Keller
Theilung Gemeinschafft Wilhelm Gottlieb Leining und Sophie Julie Hoellbeck und des Nachlasses Laining auf Anstehen von
1. Sophie Julie Hoellbeck, Rentnerin in Strassburg Wittwe des Eisendrehers Wilhelm Gottlieb Leining, handelnd eigenen Namens wegen der Errungenschaft gemeinschaft, welche auf Grund Ehevertrag vor dem früheren Notar Lauth in Straßburg vom 5. Januarÿ 1857. zwischen ihr und ihrem gewesenen Ehemann bestanden hat, und als Schencknehmerin einer Summ von 400 Mark und der lebenslänglichen Nutznießung des Nachlasses ihres Ehemanns
2. dem Bevollmächtigten von I. Wittwe Christoph Leining Catharina Schandt in Stuttgart, II. Henriette Leining, Ehefrau von Christian Waiblinger in Tübingen, III. Wilhelmine Leining, Ehefrau von Heinrich Nothdurft in Tübingen Universallegatarinnen des Erblasses Wilhelm Gottlieb Leining, und zwar die beiden ersteren je zu 2/5 und die letztere eu 1/5 auf Grund eines eigenhändigen Testaments vom 6. Mai 1886 hinterlegt in der Amtsstuben des amtirenden Notars dem 15. Oktober 1888. p.Leining ist zu Strassburg am 26 September 1888 gestorben, durch den amtirenden Notar ist am 27. Dezember 1888 ein Inventar errichtet worden

acp 815 (3 Q 30 530) f° 85 n° 807 du 27.5. – Aktiv Masse 1. Mobilien 879
2. Kupfer und Lesseingvorräthe 500
2. Ein Wohnhaus in Strassburg Elisabethengasse N° 17 früher N° 13 mit kleinem Hof und Hintergebäude, Brunnen und Werkstätte, dieses Grundstück und die Maschinen mit Handwerkzeug sind durch Urkunde des amtirenden Notars vom 21. Jenner 1889 verkauft worden, der Erlös für das Haus betrug 17.544, für die Maschinen & 5456, zusammen 23.000
3. Forderung an Adolph Heintz und desen Ehefrau Salome Rapp 4258
4. Werthpapiere auf dem Inhaber lautend 1) 4590 und 67, 2) 3564 und 61, 3) 1300 und 10, 4) 3800 M Werth 2933 und 37, 5) 1038 und 9. 6) 1043 und 17, 7) 1073 und 10, 8) 2122 und 6, 9) 3159 und 9
5. Guthaben bei der Sparkasse Straßburg 800 und 12
6. Geschäftsausstände gute 7362, zweiffelhaffte 673
7. Conto Guthaben bei der Firma Strohmeyer & Lauth in Straßburg 6490
8. baares Geld 1485, Zusammen 67.521
Passivmasse 1. Ersatzforderung der Wittwe 23.135, 2. Ersatzforderung des Nachlasses 1440, 3. Schulden und Kosten 1018, Zusammen 25.594
Bleibt ein Aktivüberschuß von 41.927, davon kommt jedem Ehegatten die Hälfte zu mit 20.963
Nachlass 1. Ersatzforderung 1440, 1. Antheil an der Gemeinschafft 20.963, 3. Kleider 152, Zusammen 22.555
Passivmasse 3167, Bleibt ein Aktivüberschuß von 19.387
Zutheilung (…)

La veuve et les héritiers de Guillaume Théophile Leining vendent la maison à Benjamin dit Charles Lasch, ingénieur à Frankenthal

1889 (21.1.), M° Keller
Verkauf – 1. Sophie Julie Hoellbeck, Rentnerin in Strassburg, Wittwe von Wilhelm Gottlob Leining, 2. Joseph Mengus, Notariats gehülfte in Strassburg handelnd als Bevollmächtigter von a) Wittwe Christoph Leining geb. Catharina Schaudt in Stuttgart, b) Henriette Leining, Ehefrau von Christian Waiblinger in Tübingen, c) Wilhelmine Leining, Ehefrau von Heinrich Nothdurft, Beindreher in Tübingen
an Benjamin genannt Carl Lasch, Ingenieur zur Zeit in Frankenthal
1. das zur Gemeinschafft Leining Hoellbeck gehörenden Hausanwesnes samt allen Zugehörd mit kleinem Hof und Hintergebäude, Brunnen und Werkstätte zu Straßburg Elisabethgasse N° 17
2. die darin von dem verlebten Leining betriebenen Messing und Eisendreherei bestehend in der Kundschaft und in dem zum Betriebe derselben gehörigen Utensilien
Der Kaufpreis beträgt zur Art. 1, 17.544, zur Art. 2, 5465, zusammen 23.000 Mark
Genuß Antritt und Steurübernahm vom 1. März 1889 an. Die Liegenschaft gehört zur Gemeinschafft der Eheleute Leining Hoellbeck auf Grund eines Kaufvertrages des früheren Notars Zimmer in Straßburg vom 19. März 1859.
acp 811 (3 Q 30 526) f° 41 n° 4129 du 24.1.
n° 4130. Vereichnuss der zum Betriebe der Messing und Eisendreherei Leining gehörigen Werckzeuge und Utensilien worunter eine Dampfmaschine mit vier Pferdkräfte mit Transmission, alles geschätzt zu 5465 Mark.

Benjamin dit Charles Lasch, né le 14 septembre 1858, et sa femme Catherine Louise Hagen hypothèquent la maison et une police d’assurance sur la vie au profit du marchand Charles Eugène Peisch

M° Keller 2.4.
Obligation durch Eheleute Benjamin genannt Carl Lasch, Ingenieur und Catharina Luise Hagen, hier
zu Gunsten von Carl Eugen Peisch, Kaufmann hier über ein baares Darlehen von 7000 Mark
acp 885 (3 Q 30 600) f° 54 n° 45 du 3.4.
Es wird das Haus Elisabethgasse N° 17 sowie die nachregistrirte Versicherungspolice verpfändet
n° 46. Lebensversicherungspolice für vorgenannten, am 14. September 1858 gebornen Schuldner Lasch, wonach die Mecklenburgische Lebensversicherungs- und Sparbank in Schwerin dessen Leben gegen eine jährliche Prämie von 214. Mark (…)

Originaire de Rheinbischofsheim en Bade, Benjamin Charles Lasch habite à Mulhouse avant de s’établir à Strasbourg rue Sainte-Elisabeth puis rue du Polygone. Six enfants naissent de sa femme Catherine Louise Hagen, native de Ludwigshafen où le ménage part en 1902
Registre domiciliaire (602 MW 425) 2023-07-27-3048
Lasch, Mechaniker
Benjamin Carl, 14.9.58 Rheinbischofsheim, (Religion) ev.
Mülhausen
1.4.89 Elisabethg. (Lasch)
25.6.99 Poligonstaße 44 (2 Humel*)
29.3.02 Ludwigshafen a. Rh.
Frau 1.4.89 geb. Hagen Katharina Luise, 25*.1.1869 Ludwigshafen
Kinder, Katharina Elisabeth 28.10.89 Strassburg
Auguste Maria Elise, 20.3.91 dt°
Wilhelm, 17.7.82 dt°
Luise Maria Emilie, 10.9.94 dt°
Luise Mathilde Maria 24.12.96 dt°
Erich Karl, 24.4.98 dt°

La maison est inscrite au cadastre sous le nom d’Ernest Berndt à partir de 1900.
Originaire de Rauner-Hammer dans la commune de Landwüst en Saxe et veuf de Hilda Caroline Auguste Hederich, le facteur d’instruments Charles Ernest Berndt se remarie en 1897 avec Antoinette Zopff

Mariage, Strasbourg (n° 1072)
Straßburg am 4. November 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Musikinstrumentenfabrikant Karl Ernst Berndt, Wittwer von Hulda Karoline Auguste Hederich, evangelischer Religion, geboren den 16. Februar des Jahres 1865 zu Rauner Hammer, Gemeinde Landwüst (Sachsen) wohnhaft zu Straßburg, unehelicher anerkannter Sohn des verstorbenen Violinbogenmachers August Wilhelm Berndt und dessen verstorbenen Ehefrau Ernestine Karoline geb. Enders beide zuletzt wohnhaft zu Rauner-Hammer, 2. die gewerblose Antonie Zopff, katholischer Religion, geboren den 3. December des Jahrs 1856 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, uneheliche Tochter der verstorbenen Geschäftsinhaberin Antoinette Zopff, zuletzt wohnhaft zu Straßburg Als Zeugen waren zugegen (…) 2. der Musikinstrumentenmacher Albin Berndt, 21. Jahre alt, wohnhaft zu Karlsruhe (i 6)

La maison est inscrite au cadastre sous le nom de Jean Stiegelmann à partir de 1902.
Originaire de Zehnacker, Jean Stiegelmann épouse en 1884 Emma Sophie Schlagdenhaufen, fille du tailleur Benjamin Schlagdenhaufen

1884 (4.10.), M° Pierron
Ehevertrag zwischen Johann Stiegelmann, Notariatsgehülfe zu Straßburg, Sohn der in Zehnacker verlebten Eheleute Michel Stiegelmann und Catharina Kaufmann
und Emma Sophie Schlagdenhaufen, gewerblos hier, Tochter des Schneiders Benjamin Schlagdenhaufen und Sophie Salome Lehmann
acp 754 (3 Q 30 469) f° 91 n° 2638 du 11.10. Annahme der Errungenschafts-Gemeinschaft
Der Bräutigam bringt ein 1. S. B 307, 8,87 Feld Bann Zehnacker
2. A 65, 8,76 Ar Feld Bann Knörsheim
3. Antheil am vätterlichen Nachlasse laut Inventar Bosch vom 10. November 1883
die Braut bruingt ein, Mobilien 2407
Gegenseitige Schenkung der Brautleute zu Gunsten des Letztlebenden der Nutznießung am Nachlasse der Erstversterbenden



20, rue de la Mésange


Rue de la Mésange n° 20 – III 203 (Blondel), N 609 puis section 62 parcelle 18 (cadastre)

Nouveau bâtiment en 1766, maître d’ouvrage Jean Streitt, fabricant de parapluies, maître maçon Antoine Klotz – surélevé en 1856, Jean Charles Holtzapffel, avocat
Bâtiment arrière, 9, place des Etudiants, rehaussé d’un étage en 1929


Rue de la Mésange, vers l’est – Façade à chaînages, cordon entre les étages – Etages – Fenêtre à linteau surmonté d’une moulure

La maison entre celle dite à la Mésange et une ruelle qui mène au fossé est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de Jean Schmidt et Raoul Lobstein, de Lampertheim. Elle a plusieurs encorbellements de 18 pieds de long. Les ayants-droit de Raoul Lobstein vendent en plusieurs fois (1715-1732) la maison au tailleur Jean Vincent Kolb, originaire de Spire. Les experts estiment à sa mort en 1737 le bâtiment délabré à 550 livres. Les préposés autorisent en 1742 son gendre Jean Pierre Marx à avancer son mur pour qu’il soit dans l’alignement du voisin. Le propriétaire doit refaire en 1753 le pavé de la ruelle qui a été endommagé par un de ses locataires. Originaire de Fribourg en Suisse, le fabricant de parapluies Jean Streitt est autorisé en 1766 à reconstruire sa maison en l’avançant sur le communal, à la fois dans la ruelle et vers le petit Marché aux chevaux (rue de la Mésange) où l’alignement est tiré de la maison d’Isaac Tochtermann jusqu’au terrain au-delà du pont des Etudiants. Le maître maçon Antoine Klotz est autorisé en novembre de la même année à faire un balcon au rez-de-chaussée vers le fossé. Il expose en 1768 les travaux aux préposés aux feux. Jean Streitt loue en 1768 au négociant Jacques Jaussaut un logement dans la maison qu’il vient de bâtir. Les propriétaires suivants sont le cordonnier Jean Daniel Walther (1791), le tailleur André Geissenhoffer (1809) puis le notaire Paul Louis Meyer (1814) qui s’accorde en 1819 avec son voisin François Laurent Chappuy sur les constructions dans la ruelle entre leurs maisons.


Plan-relief de 1727. Au premier plan, façades rue de la Mésange. La maison est la plus basse à droite de la ruelle, au milieu de l’image
Au premier plan, façades le long du fossé des Tanneurs. La maison forme l’angle gauche de la ruelle au milieu de l’image (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 61, élévations, cour A (fossé), cour R (impasse) et S (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) cite un bâtiment à rez-de-chaussée en pierre de taille et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, l’entrée de la ruelle se trouve à droite de (b’), suivie de la maison dont le rez-de-chaussée a trois arcades, chacun des trois étages trois fenêtres, une toiture à un étage mansardé et un niveau de lucarnes. La façade vers le fossé des Tanneurs est la première à gauche des escaliers sur la droite, ses ouvertures correspondent à celle de la façade sur rue. La cour S montre l’arrière (3-4) du bâtiment rue de la Mésange, (1-2) de celui vers le fossé, la façade (2-3) du bâtiment intermédiaire et le mur (4-1) qui sépare la cour de l’impasse, figurée à la cour R. La maison y est représentée en (2-3), bâtiment vers la rue à droite et celui vers le fossé à gauche.
Le plan des Ponts-et-Chaussées (1841, route nationale n° 63) porte que la maison a trois étages en pierre en médiocre état (3 E. P. M.)
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 20.


Plan des Ponts-et-Chaussées (1841, ADBR cote 5 K 123)

D’abord installé à Paris, le facteur d’instruments Jean Daniel Holtzapffel achète la maison en 1827. Sa veuve et ses enfants cédent en 1854 à l’Etat un terrain qui longe la route nationale. Son fils avocat Jean Charles Holtzapffel surélève la façade en 1856 (augmentation de construction qui porte le revenu de 342 à 457 francs et le nombre de fenêtres au troisième étage et au-delà de 15 à 30). Il cède en 1858 à sa voisine Louise Weiler la mitoyenneté du pignon. Le notaire Charles Victor Holtzapffel y a son étude (1862-1885). Sophie Holtzapffel fait faire en 1886 à faire une nouvelle ouverture vers la ruelle surbâtie. La Ville passe en 1892 un accord pour trente ans avec les riverains de l’impasse de la Mésange concernant les frais occasionnés par les portes qui ferment l’impasse, tant vers la rue de la Mésange que vers la place des Etudiants. Charles Nuss achète des héritiers Holtzapffel la maison (exercice 1925). Il fait surélever en 1929 d’un étage la façade place des Etudiants, modifier l’impasse et autorise Marcel Levy (Parapluies Yvel) à transformer le rez-de-chaussée dont les nouvelles ouvertures devront se trouver dans l’axe des baies des étages. La banque Ernest Asch et Compagnie fait aménager en 1937 un guichet pour vendre des billets de loterie dans la ruelle de la Mésange dont l’entrée se trouve désormais place des Etudiants. Les Parapluies Yvel font transformer le magasin en 1963 et cessent leur activité en 1983.


Façade (1929), ancienne porte qui ferme l’impasse vers la rue de la Mésange (1937), plan du magasin vers la place (1929), plan de situation (dossier de la Police du Bâtiment)

Façade place des Etudiants – Sur la gauche, façade le long de l’impasse (juin 2023)

juillet 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Schmidt et Raoul Lobstein, de Lampertheim
1600* v Raoul Lobstein puis ses deux fils Sébastien et Loup, ses deux gendres Nicolas Schwebel et Jean Klein
les héritiers dont
Michel Schwebel, et (1686) Aurélie Klein, de Lampertheim – luthériens
Nicolas Klein, et (1694) Anne Roth puis (1700) Eve Mager, de Lampertheim – luthériens
1715 v Jean Vincent Kolb, tailleur, et (1708) Elisabeth Lentz – luthériens
1741 h Jean Pierre Marx, tailleur, et (1734) Marie Elisabeth Kolb – luthériens
1761 v Jean Streitt, fabricant de parapluies, et (1733) Catherine Barbe Schwartz – catholiques
1791 v Jean Daniel Walther, cordonnier, et (1768) Marie Ursule Luther – luthériens
1809 v André Geissenhoffer, tailleur, et (1801) Anne Marie Legoy – catholiques
1814 v Paul Louis (Jean Joseph) Meyer, notaire, et (1788) Anne Hélène Chouard – catholiques
1827 v Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments, et (v. 1804) Marie Louise Benard
1855 v Jean Charles Holtzapffel, avocat, et (1833) Sophie Holtzapffel
1873 h Eugénie Sophie Holtzapffel, rentière
1923* h Jean Daniel Holtzapffel, ingénieur à Lyon
1925* v Charles Nuss, négociant, et Jeanne Weiser
1936* Ferdinand Ernst, son épouse et cohéritiers

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 550 livres en 1737, 2750 livres en 1781

(1765, Liste Blondel) III 203, Jean Streit éventailliste
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Antoni Streit, 3 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 609, Holtzapfel, Jean Daniel – maison, sol – 1,15 are

Locations

1743, Jean Sinderus, taileur de pierres précieuses
1749, Jean Georges Detterer, chapelier
1751, Guillaume Steiff, tailleur
1752, Jean Streitt, fabricant de parapluies (futur propriétaire)
1768, Jacques Jaussaut, négociant
1773, François Xavier Grenier, perruquier
1777, 1780, Jean Geoffroi Schuhmann, orfèvre
1780, Joseph Antoine Streitt, marchand de parapluies
1812, Jean Daniel Saltzmann, négociant, et Marie Eve Foltzer
1812, (boutique) Jean Heim, tailleur
1816, Jean Baptiste Benoist, capitaine retraité

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 246-v
Jean Schmidt et Raoul Lobstein, tous deux de Lampertheim doivent 13 sols 2 deniers pour leur maison, sise à côté de celle dite à la Mésange, qu’ils louent au menuisier Barthelémy Stehlin, à savoir un encorbellement (18 pieds 9 pouces de long, saillie de 4 pieds), une avance à cet encorbellement (18 pieds de long, saillie de 9 pouces), plus haut un autre encorbellement de même longueur, encore un autre encorbellement (saillie supplémentaire de 2 pieds ½), une porte de cave inclinée avec deux murets verticaux (7 pieds ½ de large, saillie de 5 pieds), devant la porte une marche en pierre (5 pieds de long, 14 pouces de large.

Am Cleinen Roßmarckh beÿ Dem Prediger Prücklin Gegen der großen Kirchgaß über, die Einseitte nach der Schneider Stuben hienab
Hans Schmid vnd Rulmann Lupffstein beede Zu Lampartheim haben neben dem hauß Zur Meÿsen ein behausung darinnen sitzt, Barthel Stehelin der Schreiner so einen Vsstoß hatt xviij schu ix Zoll lang, Vnd iiij schu herausser, Mehr ahne disem Vsstoß ein Staucher auch xviij schu ix Zoll lang, ix Zoll herauß, Darüber noch ein Vsstoß auch Inn d. selben lenge, Vnd für disen Vsstoß noch ii+ schu weiter herauß, Mehr ein Lehenende Kellerthüer mit Zweÿ vftrechten Meürlin vii+ schu breÿt vnd v schu herauß, Mehr Vor der haußthüeren ein steinerin tritt v schu lang, xiiij Zoll breÿt, Bessert für das Niessen, xiiij ß ij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1732, Préposés au bâtiment (VII 1395)
Les préposés autorisent le tailleur Jean Vincent Kolb à agrandir les croisées qui donnent sur le fossé

(f° 46-v) Dienstags den 20. May 1732 – Joh: Vincent Kolb weg. bawens
Johann Vincent Kolb der Schneider, bittet vmb erlaubnus die fenster an Seiner beÿ der Meißen liegenden wohnung auf den Graben hienaus vergrößern Zu laßen. Erk. Willfahrt.

1742, Préposés au bâtiment (VII 1400)
Jean Pierre Marx demande l’autorisation de refaire le mur de l’encorbellement le plus haut et de réduire l’encorbellement de huit pouces. Les préposés n’accordent pas le nouveau mur mais le pétitionnaire pourra avancer son mur pour qu’il soit dans l’alignement du voisin.

(f° 30-v) Eodem die 28. Maÿ, folgende Augenschein eingenommen worden – Johann Peter Marx
An Johann Peter Marxen des schneiders Hauß beÿ der Meÿß an deßen Obern Überhang er eine Neüe Wand einziehen, und den Überhang umb acht Zoll abschneiden will, darumb er umb erlaubnus gebetten.
Erkannt wegen der Neüen Wand abgewießen, so er aber under dem Nachbar Zugleich Herauß Zufahren, und gerad auf Zubauen sich resoluiren wird, solle jhme solches auf sein ferneres ansuchen erlaubt werden.

1753, Préposés au bâtiment (VII 1405)
Les préposés demandent au tuteur des enfants Marx de paver la moitié de le ruelle comme leur voisin Isaac Tochtermann. Le tuteur convient que la ruelle était pavée mais que le chapelier Jean Georges Detterer a détruit le pavé en y posant des pierres pour faire de l’huile. Le tuteur doit réparer le pavé et pourra se retourner contre son locataire.

(f° 104-v) Dienstags den 10.ten Aprilis 1753. – Johann Daniel Senckeißen als Vogt Peter Marxen Kinder
Johann Daniel Senckeißen der schneider als Vogt Peter Marxen Kindern wurde Citirt und jhme angefragt, daß er die helffte des neben seines Vogts Kinderen Hauß befindliche Gäßlein möchte pflästeren Laßen, woran Isaac Tochtermann der Mehlman, wie Supra fol: 102. Zustehe, die andere Helffte neben seinem Hauß auch pflästeren laßen.
Ille gestehet deß dießes gäßlein ehemals Völlig gepflastert gewesen als aber Johann Georg Thäter der Lehnungsweiß in dem Hauß wohnende Hutmacher das Ohlweßen darinn treiben wollen, Hätte er große stein dahin gebracht und da jhme dießes wieder nieder gelegt worden, die Stein wieder hinweggethan, und das pflaster darmit ruinirt.
Erkannt solle der Vogt, und deßen Mit Vogt das gäßel pflästeren laßen, Ihren regress wieder Thäter Vorbehalten.

1766, Préposés au bâtiment (VII 1412)
Le fabricant de parapluies Jean Streitt demande l’alignement à suivre pour reconstruire sa maison et l’autorisation de construire un étage sur la ruelle en mettant une porte au rez-de-chaussée pour pouvoir se rendre au fossé. Les préposés l’autorisent à surbâtir devant sa maison (21 pieds 9 pouces) un terrain de 5 pieds vers la ruelle et 7 pieds vers son voisin Baum tel qu’il est figuré sur le plan et dans la ruelle un terrain de 59 pieds de long sur trois pieds à l’avant et un pied vers le fossé. Il doit payer pour les deux terrains une somme de 68 florins 87 sols 6 deniers. L’alignement est tiré de la maison d’Isaac Tochtermann jusqu’au terrain au-delà du pont des Etudiants que la ville a décidé d’acheter. Les préposés autorisent le 29 novembre Jean Steit et son maître maçon Klotz à faire un balcon au rez-de-chaussée vers le fossé des Tanneurs (24 pieds de long, 3 pieds 3 pouces de large)

(f° 38-v) Dienstags den 19. Aug. 1766. – Johannes Streit
Augenschein eingenommen am roßmarckt beÿ d. Meiß hat Johannes Streitt der Parapluie macher gebetten jhme die flucht anzuweißen nach welcher er sein hauß bawen könne, und jhme zu erlauben das gäßlein darneben so in den Gerbergraben leitet vom ersten Stockwerck an zu überbawen, mit dem oblato auff dem boden eine thür machen Zu laßen umb vermittelst derselben die Communication mit dem graben Zu behalten.
Erkannt, wird jhme vom eck des gäßleins umb 5 schuh. und neben H. Baum seines nachbarn hauß umb 7. sch. wie beÿliegender plan außweißet fornen auff d. Allmend vorzubawen erlaubt, das hauß ist breit 21 sch. 7 zoll und beträgt demnach der quadrat Innhalt von dießem platz 3 Claff. 18 schuhe 7 Zoll, ferner sie jhme vergönnet in dem Gäßlein fornen umb 3 schuh und hinten umb 1. schuh in der länge von 59 schuh herauß zu fahren, welches Platz im quadrat 3 Clff. 10 schuh in sich faßet, für welche beede plätz Zusammen ad 6 Claffter 28. schuh 7. Zoll sich belauffend, er ein für alle mahl à 10 fl. vom quadrat Claffter 68 fl. 7 ß. 6 d. bezalen solle.
Pro nota, die flucht ziehet sich von Isaac Tochetermann des Meelmanns eck auff das eck von H. Lt. Beguin platz jenseitz dem Studentenbrückel, welchen die Statt jüngst zu Kauffen entschloßen hat.

(f° 50) Dienstags den 25. 9.bris 1766 – Johannes Streit
Johannes Streit d. Parapluyemacher läßt durch Mr Klotz seinen Maurer umb erlaubnus betten einen Steinernen Altan 24 sch. lang vnd 3 sch. 3 z. breit au Rez de chaussée an sein hauß hinten auff den Gerbergraben Zu machen. Erkannt, Willfahrt.

1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le fabricant de parapluies Steit obtient que la ville répare à ses frais les dommages causés par le rehaussement du pavé.

(f° 43-v) Dienstag den 25 Septembris 1770 – Streit
(-) Streit der Reegen deckel macher suchet in unterthänigkeit an die durch auffhebung des Pflasters auffgehobene thür Schwöll und Stafflen auff gemeiner Statt Kösten im Vorigen Stand zu stellen
Erkannt, wird die bewerckstelligung dießes begehrens H. Bau Inspector Werner, so auff gemeiner Statt Kösten zu bestreiten, auffgetragen.

(f° 54) Dienstag den 20.sten Novembris 1770 – N. Streit
N: Streit der Reegendeckel macher bittet unterthänig ihme durch das in letzem zeiten auffgehobene pflaster an seinem hauß verursachten schaden zu repariren, Ist Erkannt solle unter obsicht des H. Bau Inspectoris auff Kösten der gemeiner Statt der Implorantischem hauß zugefügte schaden verbeßert werden.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1768. Les préposés autorisent le maître maçon (Antoine) Klotz à faire des travaux dans la maison du fabricant de parapluies Jean Streit, les tuyaux étant à bonne distance de la menuiserie, à savoir mettre un chaudron à lessive au sous-sol, un poêle et une cuisine au rez-de-chaussée du bâtiment arrière, un atelier d’orfèvre dans le bâtiment avant à droite de la porte d’entrée, au premier étage une cheminée à la française dans la chambre vers la rue, au même étage un cabinet vers la ruelle une cheminée à la française et une voûte, au même étage dans le bâtiment arrière une cuisine équipée d’un fourneau et d’une hotte, au deuxième étage de même, au troisième étage du bâtiment avant un poêle vers la rue, à l’arrière une cuisine équipée d’un fourneau et d’une hotte

(p.150) Dienstags d. 16. Februarÿ 1768. – Johann Streit des parasol macher, will in seiner behaußung neben der Maiß, in dem Keller gegen dem Gerber graben einen Bauchkessel mit heerd und Camin schoß setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
In der rez de chaussée im hindern gebäu eine Stube gegen dem Gerbergraben, hinden daran eine Kuchen mit heerd und Camin schoß machen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im Vordern gebäu rechter hand des Eingangs au rez de chaussée ein goldschmidts Werckstatt gegen der straß, hinden daran eine Eße mit Camin schoß versehen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im ersten stock eine Cammer gegen der Straß, worinnen ein frantzösisches Camin mit einem gewölb wohl Versehen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im nemlichen stock ein Cabinet gegen dem allmend gäßlin, worin ein frantzösischs Camin mit einem gewölb wohl versehen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im hindern gebäu im nemlichen stock eine Kuchen mit heerd und Camin schoß, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im Zweÿten stock ist alles dem ersten gleich.
Im dritten stock eine Stube gegen der straß im vordern gebäu, hinden daran eine Kuchen mit heerd und Camin schoß, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Erkanndt, durchaus Willfahrt. Mr Klotz

Description de la maison

  • 1737 (billet d’estimation traduit) le vieux comble délabré est couvert de tuiles creuses, il y a plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, une cave sous solives, le tout en mauvais état, estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 1 100 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la Mésange (f° 20)

nouveau N° / ancien N° : 15 / 8
Meyer
Rez de chaussée en pierre de taille et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 172 case 4

Holtzapfel, Jean Daniel à Strasbourg
Holtzapfel, Jean Charles avocat à Strasbourg (Sub. p. 1857)

N 609, maison, sol, R. de la mésange 8 / R. de la Marseillaise
Contenance : 1,15
Revenu total : 342,60 (342 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 39 / 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 438 puis 690 case 2

Holtzapfel, Jean Charles avocat
1886/87 Holtzapfel, Eugenie Sophie, Rentnerin

N 609, maison, sol, Rue de la mésange 20
Contenance : 1,15
Revenu total : 342,60 (342 et 0,60)
Folio de provenance : (172)
Folio de destination : 438
Année d’entrée :
Année de sortie : 1859
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 39
fenêtres du 3° et au-dessus : 15

N 609, maison
Revenu total : 457,60 (457 et 0,60)
Folio de provenance : 438
Folio de destination :
Année d’entrée : 1859
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 30
1859, Augmentations – Holtzapffel Jn Charles f° 438, N 609, maison, revenu 115, addition de construction, achevée en 1856, imposable en 1859, imposée en 1859

Cadastre allemand, registre 32 p. 442 case 3

Parcelle, section 62, n° 18 – autrefois N 609
Canton : Meisengasse Hs N° 20
Désignation : Hf, Whs, NG
Contenance :
Revenu : 4000 – 6000
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1923, compte 562
Holtzapfel, Eugenie Sophie
gelöscht 1923

(Propriétaire à partir de l’exercice 1923), compte 4493
Holtzapfel, Jean Daniel ingénieur à Lyon
1925 Nuss Charles, négociant et son épouse Jeanne née Weiser en communauté de biens
1936 Ernst Ferdinand son épouse et cohéritiers
(1352)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 3, Rue 71, Partie de la Rue de la Mésange

8. Loc. Me Schumann Geofroid orfevre – Echasses
8. Pr. Md Streit Catherine Barbe, veuve – Echasses
8. Loc. Mr Heim Joseph dessinateur – Privilegié
8. Loc. M Olivier Nicolas, dessinateur – Privilegié
8. Loc. M Apprederis – Privilegié

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 71 de la Mesange p. 115

8
Lo. Schumann Geofroid Orfevre – Echasses
Pr. Streit Catherine Barbe, Veuve – Echasses
Lo. Heim Joseph dessinateur – Privilegié
Lo. Olivier Nicolas, dessinateur – Privilegié
Lo. Apprederis Felix Romain Ignace, Interessé p. le Roy – Privilegié
loc. Koch Jerome, Mecanicien

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Meisengasse (Seite 112)

(Haus Nr.) 20
Weil, Hutgeschäft. 0
Holtzapfel, Rentnerin. E 1
Haass, Rentner. 2
Charpigny, Wwe. Rentn. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 888 W 367)

20 rue de la Mésange (1872-1995) entrée 9, place des Etudiants

Sophie Holtzapffel est autorisée en 1886 à faire une nouvelle ouverture vers la ruelle surbâtie qui appartient à la commune.
Le photographe Hruschka n’est pas autorisé en 1889 à placer une vitrine à l’entrée du passage fermé par une porte. Même refus opposé en 1890 au calligraphe Guillaume Lustnauer. Le libraire Singer fait poser en 1914 une vitrine sur la porte qui ferme la ruelle vers la place des Etudiants.
Marcel Levy (Parapluies Yvel) demande en décembre 1928 au nom du propriétaire Ch. Nuss l’autorisation de faire des transformations et de surbâtir l’entrée de la ruelle entre les n° 20 et 22 en s’engageant à en assurer l’accès par la place des Etudiants. Le maire délivre en mars 1929 l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée, de surélever d’un étage la façade place des Etudiants et de transformer l’impasse. Les nouvelles ouvertures rue de la Mésange devront se trouver dans l’axe des baies des étages, les piliers du côté gauche au-dessous de l’avant-corps des étages. Les travaux sont terminés en juillet 1929.
La banque Ernest Asch et Compagnie (46, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) fait aménager en 1937 une cabine à guichet pour vendre des billets de loterie dans la ruelle de la Mésange sur un terrain qui appartient à la Ville de Strasbourg. La ruelle a son entrée par la place des Etudiants.
Les Parapluies Yvel font transformer le magasin en 1963. Le magasin Yvel cesse son activité en 1983.
1984, enseignes Babybotte et Beverly. 1995 Enseigne L’Île aux chaussures

Sommaire
  • 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé au nom du propriétaire Holtzapffel à faire une prise pour environ 20 becs
  • 1885 – Le maire notifie la veuve Holtzapffel (demeurant Kaiserstrasse, ensuite avenue de la Liberté) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1885
  • 1886 – La demoiselle S. Holtzapffel demande l’autorisation de modifier une croisée et d’en ouvrir une nouvelle vers la ruelle entre sa propriété (n° 20) et celle Ruffernacht (n° 22) – Autorisation de faire une nouvelle ouverture vers la ruelle surbâtie qui appartient à la commune d’après le plan des alignements du 11 mars 1854. – Dessin
  • 1889 – Le photographe Hruschka (demeurant place Broglie n° 4, premier étage) demande l’autorisation de placer une vitrine à l’entrée du passage fermé par une porte ou au moins de la placer dans l’arcade de l’ancien marché rue de la Haute-Montée. La Ville (Illinger) répond que le passage doit rester ouvert puisqu’il donne accès aux maisons n° 20 et 22. Elle demande au directeur de l’octroi les conditions d’après lesquelles l’autorisation peut être accordée à l’ancien marché. Le maire répond que la vitrine ne peut être autorisée que si la porte est conservée. L’autorisation à l’ancien marché peut être accordée jusqu’à ce que le bâtiment soit démoli (dessin du projet de vitrine au petit marché)
  • 1889 – Le maire notifie la veuve Holtzapffel de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1889
  • 1890 – Guillaume Lustnauer (institut de calligraphie Lustnauer, 5, rue Graumann) demande l’autorisation de fixer une vitrine à la porte de bois. Le maire répond que l’autorisation ne peut être accordée parce que la Ville est en pourparlers sur l’usage de la ruelle.
    1894 – La porte en face de la Ville de Paris a été repeinte
  • 1896 – Dossier suite à un courrier du commissaire de police. La demoiselle Holtzapffel demande l’autorisation de repeindre la façade – Travaux terminés, avril 1896.
  • 1895 – Le maire demande à S. Holtzapffel de modifier la porte donnant place des Etudiants. Il accorde un délai – Travaux terminés, mai 1896.
  • 1899 – Le maire constate que le chapelier Théodore a posé un store sans autorisation – Demande – Autorisation
  • 1900 – Le propriétaire Holtzapffel demande l’autorisation de réparer le crépi vers la place des Etudiants – Autorisation accordée alors que les travaux se terminent
  • 1904 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade – Le peintre Daniel Arbogast (12, quai Saint-Nicolas) demande de reporter le ravalement jusqu’à ce que les travaux d’excavation soient terminés rue de la Mésange – Daniel Arbogast demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique, septembre 1904 – Le maire accorde l’autorisation – Travaux terminés, novembre 1904.
  • 1907 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade – Le peintre Daniel Arbogast fait remarquer qu’il a peint la façade à l’huile en 1904. – Le maire dispense de nouveaux travaux, la façade étant propre.
    1909 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade – Daniel Arbogast demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique, septembre 1904 – Le maire accorde l’autorisation – Travaux terminés novembre 1909.
  • 1914 – Le libraire Singer demande l’autorisation de poser une vitrine sur la porte qui ferme la ruelle vers la place des Etudiants. L’autorisation peut être accordée si le propriétaire de la maison voisine donne son accord.
  • 1920 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade. Il accorde un an de délai – L’ingénieur Jean Holtzapffel (demeurant à Lyon, 6, rue Alfred de Musset) demande un délai supplémentaire au nom de Sophie Holtzapffel, âgée de 84 ans et malade
    1921 – Les peintres en bâtiment Sigel Frères (26, rue des Juifs) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire de police transmet la demande au maire – Accord
  • 1924 – L’Imprimerie Strasbourgeoise (15, rue des Juifs) demande l’autorisation de poser une vitrine sur la façade rue de la Mésange – Autorisation
  • 1929 – La société Montailleur demande l’autorisation de poser une enseigne au premier étage rue de la Mésange – Autorisation de poser une enseigne plate – Dessin
    1929 – Transformations au 20, rue de la Mésange pour M. Nuss (4, rue des Grandes Arcades)
  • 1904 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel le raccordement des cabinets d’aisance aux canalisations – Travaux terminés, 1905
    1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1928 (décembre) – Marcel Levy demande au nom de M. Nuss l’autorisation de faire des transformations et de surbâtir l’entrée de la ruelle entre les n° 20 et 22 en s’engageant à en assurer l’accès par la place des Etudiants – La division V note que l’immeuble suit l’alignement de la route nationale numéro 63 et celui de la place des Etudiants, l’impasse appartient à la Ville mais n’est pas portée au plan d’alignement
    1929 (janvier) – La société Parapluies Yvel disjoint les deux demandes pour obtenir plus vite l’autorisation de faire transformer le magasin par la société Guri et Meyer – Le propriétaire Ch. Nuss (chapellerie française et anglaise, 20, rue de la Mésange, 118, Grand rue et rue du Verger à Illkirch) donne son autorisation. – La Commission des Beaux-Arts n’a pas d’objection à faire quant à la façade projetée rue de la Mésange à condition que les ouvertures se trouvent dans l’axe des baies des étages. L’autorisation d’aménager une troisième devanture dans l’impasse sera traitée à part. La façade place des Etudiants sera surélevée d’un étage.
    1929 (février) – Les entrepreneurs P. Guri et E. Meyer (rue des Balayeurs, chantiers 3, rue du Général-Zimmer et 10, chemin du Heyritz) transmettent les calcul statiques pour les piliers des deux magasins, en se fondant sur les prescriptions du ministère prussien du 24 décembre 1919. – Ils devront fournir de nouveaux calculs, les précédents étant faux
    1929 (mars) – Marcel Levy (4, rue des Grandes Arcades) transmet les plans de la façade. Le socle est en granit foncé, l’encadrement en fer forgé, le sol de l’entrée en dalles de marbre, le plafond revêtu de marbre, le vitrage en verre décoratif (imposte) et en verre argenté (devantures)
    1929 – Autorisation de transformer le rez-de-chaussée du 20, rue de la Mésange, de surélever d’un étage la façade place des Etudiants et de transformer l’impasse. Les nouvelles ouvertures rue de la Mésange devront se trouver dans l’axe des baies des étages, les piliers du côté gauche au-dessous de l’avant-corps des étages
    Calculs pour la fabrique de parapluies Yvel. Les travaux consistent à aménager deux magasins au rez-de-chaussée en remplaçant des murs par des piliers en fer et en posant des sous-poutres métalliques
    1929 (avril) – Marcel Levy demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse perpendiculaire à double face (Yvel). Michel et Catherine Hansen, propriétaires du n° 22, demeurant à Drusenheim autorisent Marcel Levy à poser une enseigne lumineuse jusqu’à leur propriété. C. Nuss, propriétaire du n° 20, accorde la même autorisation. – La maire accorde l’autorisation le 30 mai 1929.
    Le gros œuvre est terminé, avril 1929. – L’entrepreneur doit transformer les cloisons du corridor et de la cage d’escalier pour qu’elles correspondent au permis de construire – Les cloisons ont été renforcées, mai 1929 – Travaux terminés, juillet 1929. – Les battants de la porte devront s’ouvrir vers l’extérieur
  • 1929 (mai) – La chemiserie parisienne (Ledermann et Buisson, 3, rue des Grandes Arcades) est autorisée à poser deux inscriptions (Chemiserie Parisienne, entrée 9, place des Etudiants)
  • 1928 – La Police du Bâtiment demande à la Division I de faire appliquer le contrat du 7 mars 1892 relatif à l’entretien de la clôture (le bas de la porte métallique est rouillé). La Division I propose de répartir les frais à parts égales (le quart) entre les trois propriétaires et la Ville. Le maire écrit que le contrat du 7 mars 1892 a été conclu pour trente ans, tacitement reconductibles d’un an. Michel Hansen déclare que la Ville a dénoncé le contrat le 11 août 1926. – Charles Nuss propose que ceux qui garent leurs chariots dans l’impasse (l’hôtel de la Ville de Paris, la librairie de la Mésange) contribuent à son entretien.
    1928 (septembre) – Le maire demande aux différentes parties, c’est-à-dire Ch.Nuss, 20 rue de la Mésange, Hansen-Becker de Drusenheim (pour le n° 22) et la veuve Fernand Wisner (2, quai Koch pour le n° 24) d’honorer le contrat passé le 7 mars 1892.
    Le propriétaire Nuss propose de louer la ruelle pour trente ans en la fermant par une troisième devanture. La Division VI n’a pas d’objection à faire.
    1930 (janvier) – Le dossier est classé sans suite.
  • 1930 – Joseph Podrasky demande l’autorisation de poser une enseigne plate (Englisch Tailor) au 9, place des Etudiants
  • 1929 – A. Scheyen Fils (3, rue de la Course) demande au nom du pâtissier Kern (7, rue d’Andlau) l’autorisation d’établir un petit four au premier étage du 3, place des Etudiants – Dessin (impasse sur la droite) – L’inspecteur du travail n’a pas d’objection à faire – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1929 (mention 3, place des Etudiants et 20, rue de la Mésange), la pâtisserie est en faillite
  • 1929 – Le pâtissier Charles Kern (9, place des Etudiants) demande l’autorisation de poser une enseigne plate (Pâtisserie, Confiserie, Café, Thé) – Autorisation
  • 1931 – Le peintre en bâtiment Albert Kornwachs (16, rue du Faubourg de Pierre) demande l’autorisation de poser des enseignes – Même demande par les parapluies Yvel (enseigne en forme de parapluie) – Autorisation accordée pour une enseigne déjà posée
    1934 – Les parapluies Yvel demandent l’autorisation de poser une enseigne temporaire – Autorisation
  • 1934 – Le maire notifie le propriétaire Ch. Nuss de faire ravaler la façade
  • 1935 – Maurice Levy demande l’autorisation de poser une enseigne temporaire, des tables et un parasol devant la porte et des tables dans l’impasse – Remarques adressées à la Division VI quant à l’occupation de la ruelle qui ne peut être autorisée sans s’exposer à des dissensions. – Le maire autorise l’enseigne temporaire mais interdit pour des raisons de principe l’occupation de la voie publique (trottoir et impasse).
  • 1937 – La Police du Bâtiment constate suite à une plainte que l’accès à la portière de ramonage est difficile. Le maire demande au propriétaire Fernand Ernst (demeurant 4, rue Massenet) de remédier à la situation. – Le maître ramoneur Philippe Vogt (6, rue du Fort) délivre un certificat pour la nouvelle cheminée de Fernand Ernst au 20, rue de la Mésange
  • 1937 – La banque Ernest Asch et Compagnie (46, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) demande l’autorisation d’aménager une cabine à guichet pour vendre des billets de loterie dans la ruelle de la Mésange sur un terrain qui appartient à la Ville de Strasbourg (section 62, parcelle 19) – Le maire accorde un droit d’occupation pour trois ans – Autorisation – Le guichet est en place. La ruelle a son entrée par la place des Etudiants.
    1938 (février) – Les héritiers Nuss, représentés par Fernand Ernst, ainsi que les autres riverains déclarent que les transformations dues au guichet de loterie les dégagent de toute responsabilité en cas d’accident. – La Police du Bâtiment conclut après visite des lieux qu’il n’y a pas lieu de prendre de mesures puisque la ruelle n’est pas accessible au public et que l’autorisation d’aménager le guichet a été accordée sous réserve des droits de tiers.
  • 1934 – Ch. Weymann (atelier de chausseurs Bottiers réunis) demande l’autorisation de poser une petite vitrine au 9, place des Etudiants – Autorisation
  • 1937 – Ledermann et Buisson (chemiserie parisienne) déclarent qu’ils vont enlever les enseignes. Les droits sont dus pour l’année 1938, les enseignes étant toujours en place fin janvier. Elles sont enlevées en février.
  • 1938 – Le locataire Weymann (bureau et atelier au premier étage) se plaint que le plâtre se détache du plafond. La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée – Travaux terminés, avril 1938
  • 1941 – Le propriétaire Ernst (4, Fritsche Closener Strasse) déclare avoir chargé le serrurier Treiber de retirer les inscriptions – L’enseigne perpendiculaire et l’enseigne lumineuse sont retirées.
  • 1941 – Le peintre en bâtiment Fritz Stammler (29, rue Rustbaum à Cronenbourg) demande l’autorisation de peindre la maison. Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, août 1941
  • 1941 – L’architecte Frédéric Gabel (20, Friedrich-Lienhard) demande au nom du chapelier Heinemann et Elvert l’autorisation de poser une enseigne – Dessin aquarellé
  • 1945 – S. Levy demande l’autorisation de remettre l’enseigne Yvel
    1949 – Le magasin Yvel (spécialiste du parapluie) informe la Police du Bâtiment qu’il n’y plus d’inscription sur lambrequin
    1961 – Le magasin Yvel (parapluies, gants, écharpes) informe la Police du Bâtiment qu’il supprime son store
  • 1963 – René Oster (propriétaire, demeurant 11, quai des Bateliers) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1963 – Madame Edgar Levy, raison sociale Parapluies Yvel demande l’autorisation de transformer le magasin (propriétaire, René Oster) – Plan de situation – L’entreprise Giraud (Chambray-lès-Tours) expose les travaux à faire – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées accorde l’autorisation – Autorisation (permis de construire – Travaux terminés, mars 1964
  • 1964 – Le magasin Yvel est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
    Il demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres détachées – Autorisation – L’enseigne est posée, avril 1964
    1964 – René Oster (propriétaire, demeurant 11, quai des Bateliers) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1969 – Le maire demande au propriétaire René Oster de faire ravaler la façade – Robert Werler (Bureau d’étude du bâtiment, route de Mittelhausbergen) informe la Police du Bâtiment que René Oster est mort et que la façade a été ravalée en 1963. – Les différents rappels restent sans suite
    1972 – Le maire écrit à Maurice Oster – Devis de l’entreprise H. Schmid, France (Lingolsheim)
    1972 – L’entreprise général de peinture S.E.E.P.U. (5, route de Hangenbieten à la Montagne-Verte) est autorisée à occuper la voie publique rue de la Mésange et place des Etudiants (septembre et octobre 1972)
  • 1975 – La Police du Bâtiment constate que le magasin de musique S. Wolf (24, rue de la Mésange) a posé sans autorisation deux enseignes temporaires aux 20 et 24, rue de la Mésange – Le directeur général Henri Lazare demande l’autorisation – Autorisation
  • 1980 – L’entreprise JOFA (5, rue de Hangenbieten) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade – Travaux terminés, juillet 1980
  • 1983 – Le maire autorise la maison Yvel à vendre par liquidation du 2 janvier au 29 février
    1983 (décembre) – Edgar Levy (1, rue René Hirschler) déclare que le magasin Yvel cesse son activité et retire l’enseigne lumineuse – L’enseigne est démontée, février 1984
  • 1984 – Jean-Claude Chatemot (21, rue Georges Clemenceau à Montbéliard) demande l’autorisation de poser des enseignes (Babybotte et Beverly)
    1994 – Le maire autorise le Centre de Bon Chaussage (magasin Babybotte) à vendre par liquidation pour cessation d’activité
  • 1995 – La société anonyme Lincoln (33-a rue du Vieux-Marché-aux-Vins) demande que la société Litewka (23, rue Saglio) soit autorisée à poser l’enseigne lumineuse L’Île aux chaussures au 20, rue de la Mésange – Croquis – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation

Autres dossiers

942 W 330, dossier de sécurité (1994-1995)
1308 W 20, modification de la devanture (2001)
1539 W 691, modification de la devanture (2002)
1540 W 154, modification de la devanture (2002)


Relevé d’actes

D’après le Livre des communaux, la maison appartient en 1587 à Jean Schmidt et à Raoul Lobstein (Rulmann Lupffstein), tous deux de Lampertheim
Raoul Lobstein achète en mai 1606 le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu des Gourmets

1606, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 712
Rulmann Lupstein von Lampartheim Kaufft d. B: mit beÿstandt Mathis Teübers deß schneiders Will Zun Weinstichern dienen, Actum vt supra [5. Maÿ Anno & 606]

Raoul Lobstein de Lampertheim et bourgeois de Strasbourg, assisté de son fils Sébastien Lobstein, fait donation de sa part de la maison voisine de celle à la Mésange à ses gendres Nicolas Schwebel et Jean Klein pour les récompenser ainsi que ses filles de leurs loyaux services (Raoul Lobstein est devenu depuis 1587 propriétaire de la part de Jean Schmidt)

1611 (ut spâ [4 tag Decembris]), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 475-v
(P. fol. 388.) Erschienen Rülmann Lupffstein vonn Lamp.th burger Zu Straßburg, mit beÿstand Bastian Lupffstein Zu Lamp.theim seines Sohns
hatt in gegensein Clauß Schwebell vnd hannß Kleinen beder vonn Lamp.th. seiner dochtermännern bekhand, Demnach seine bede döchter Ime Ihrem alten vattern so wol beÿ gesunden tag. Als Inn disser seiner leibs blödigkheit Alle Khindliche lieb vnd treuw mit fleissiger vff wertung erzeÿg. vnnd beweÿsen, Auch verhoffentlich noch ferner vnd vnuertroffenlich continuiren werden, das hierauff ermelter Rulmann Lupffstein d. Vater denselben seine Zwoen dochtern vmb Jetzerhälter gutthatt. wollen, für nemmlich Aber Auch weil er seinen Zwen Söhnen, Zwen Acker höff vmb ein wolfeÿl gelt vor der Zeit vbergeb. vnd zugestellt (…)
der Zweÿthentheil von vnd Ane hauß vnd hoffestatt, mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. vff dem Kleinen Roßmarck beÿ d. Meÿsen, Also vnd dergestalt das nun hinfürther ernante seine beder döchter solche Behausung recht eÿgenthbß weÿß haben, besitz. nutz. vnd nÿß. damit thun vnd laß., nach Ihrem willen vnd wolgefallen, Hingegen Aber zum Zweÿthen theil die xvj gl gelts, so mit iiij C gl. Abzulösen sind, Jährlich dem großen gemeinen Allmusen Zu S Marx Jährlich vnd fürtherhin Zu Verzinßen, Ohne nachgemelts Rulmans Lupffsteins od. Anderer seiner Khind. Zuthun, cost. und schad. Dabeÿ den beden döchtern noch ferner Angedingt word. daß obgedacht Ihr Brud. Bastian die Zeit seines lebens inn obgeschriebener Behausung ein Kasten haben soll, Ouch sein pferdt Inn Stall Zu stellen befugt sein, Weÿther hatt gedachter Rullman Lupffstein Angezeigt Nachdem er vor der Zeit wÿland hannß Lupffstein seinem Sohn selig Zu Lamptheim Ein platz (…)

Loup Lobstein vend à son frère Sébastien Lobstein un quart (part revenant à chaque enfant) du tiers (part étant revenue à leur mère) de la maison au petit Marché au chevaux à côté de la maison à la Mésange

1613 (ut spâ [xxix. tag Januarÿ]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 67
(P. fol. 72.) Erschienen Wolff Lupffstein von Lamperth. (verkaufft)
Bastian Lupffstein zu Lamperth. seinem brud.
Ein Vierdetheil Ime dem Verkäuffer für Ungetheilt Am drittentheil vom hauß hoffestatt vnd Stallung mit Allen Ihren geb. d gelh. In d. St : St ; vff dem Cleinen Roßmarck einsit ein Eckhauß Am gässell, And.sit neb. einer Behaußung Zur Meÿsen genant, hind. vff den graben geg. dem collegio stoßend, dauon gend viij ß v 2 Kappen Bod. zinß Ane eim pfund Im Münster, Mehr xvj gl gelts mit iiij C gl wrg. Abloßig vff Marien Verkhundng fallend, dam hauß Zu S Marx Sunst eÿg. davon ein Vierdetheil Am drittheil Ime den Kheuffer zuuor zuständig vnd die vbrig. thl Ihr. geschwistrig gehörig, Vnd ist disser Khff & vmb xxx lb s Straßburg.

Michel Schwebel, fils d’André, épouse en 1686 Aurélie, fille de l’huilier Jean Klein
Mariage, Lampertheim (luth. f° 3)
1686 d. 23.t Apr. Seind nach Zweÿmahlicher außruffung eingesegnet worden Michel Schwebel der ledige Andres Schwebels burgers allhier ehl. Sohn, Vnd Jungfr Aurelia Hanß Kleinen gewesenen burgers vnd Ohlmans allhier hinterl. ehel. Tochter (i 3)

Jean Klein de Lampertheim vend sa part (un huitième) de la maison à Michel Schwebel et à son frère Nicolas Schwebel

1689 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 99
Hannß Klein Von Lampertheim
in gegensein Michael Schwebels auch von Lampertheim für sich und im Nahmen Clauß Schwebels seines bruders – und Zwar auff die am 19. 8.br: 1686 beÿ H. Rhät und XXI. Obrigkeitlich erhaltener permission
einen Achten Theÿl einer behaußung & mit allen deren Gebäwen allhier beÿ der Meÿßen ohnweit dem Roßmarckt einseit neben weÿl. wendling Ehemanns deß Schneiders Erben, anderseit ist ein Eck ahn einem Allmend gäßlein, hinden auff den Gerber od. Rindshäuter Graben stoßend gelegen, Welche behaußung annoch umb 400 Gulden d. St. Marx verhafftet, so gebe man auch 12. ß 4. d in d. Gürttlerhoff – umb 20 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente (les parties n’étant pas bourgeoises)
1686 Conseillers et XXI (1 R 169)
(p. 194) Montag den 21. Octobris 1686 – Hanß Klein will ein Antheil Eines haußes verkauffen
Erscheint hanß Klein per H. Marb. der ist burger Zu Lampertheim vndt willens ein antheil ahn Einem hauß beÿ der Meÿsen gelegen ahn gegenwärtig. Michel Schwebel und seinem bruder Clausen die den überigen Rest ahn besagtem hauß haben Zu Verkauffen, bitt hierzu obrigk. Vergönstigung.
Erkandt wird die verschreib. wilfahrt, deren beÿ Zu wohnen haben H XXI Brandt, Rathh. Hellenberger

André Roth de Lampertheim vend un huitième de la maison aux mêmes Michel et Nicolas Schwebel

1691 (5. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 841-v
Andres Roth, von Lampertheim
in gegensein Michael Schwebels von Lampertheim für sich und im nahmen Clauß Schwebels seines leiblich. bruders – uff die beÿ Hhn. Räth und XXI. heut dato ertheÿlte permission
einen achten theÿl für ohnvertheilt an einer Behaußung, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier beÿ der Meÿßen, ohnweit dem Roßmarckt, einseit neben weÿl. wendling Ehemanns deß Schneiders Erben, anderseit ist ein Eck an einem Allmendgäßlein, hinten auff den Gerber od. Rindshäuter graben stoßend, gelegen, welche gantze behausung dem Stifft St. Marx umb 400 fl. verhafftet, so gebe man auch davon 12 ß 4 s jährlich in den Gürttler hoff, Kappengeld – zvmahl. dem Käuffern zuvorhin 3/8. gehörig – geschehen umb 25 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente
1691 Conseillers et XXI (1 R 174)
(p. 184) Sambstags den 10. 9.bris 1691 – Hanß Clauß Schwäbel von Lampard. pt° 1/8. an einem häußlein
S. ersch. Hanß Clauß Schwäbel von Lampard. ist willens Von seinem Mittburger Andres Rothen 1/8. theil an einem beÿ der Meißen gelegenen häußlein, darann er auch schon 2/3 habe, umb 50. fl. an sich Zu Kauffen, bittet deßen gdige erlaubnus.
Erk. Zweÿ herren deputirt umb der Verschreibung beÿzuwohnen. Hr. XXI. Goll und Hr. Reinthaler

Catherine Schott, femme de l’ancien prévôt de Berstett Valentin Mœbs, Jean Hild de Lampertheim, Michel Schwebel, Nicolas Schwebel, Jean Lobstein, tous de Lampertheim, et Jean Georges Jung, boucher à Vendenheim, louent la maison au cordonnier Jean Lentz

1692 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 320
Veltin Mebus, der alte Schultheiß von Bärstett, alß Ehevogt Catharinæ gebohrner Schottin hans hild, von Lampertheim, und Michael Schwebel auch von Lampertheim, beede für sich selbst., und Sie alle auch im nahmen Claus Schwebels deß Ohlmanns, von Lamperth. und hans Georg Jung, Metzgers von Vendenheim, auch hans Luxsteins Erb. von Lamperth. vor welche de rato & grato cavirt.
Johannis Lentzen, deß Schuhmachers
entlehnt, In Ihrem gemeinen neben dem hauß Zur Meißen am roßmarck gelegenen behaußung alle deren Gemach und bequemlichkeit, welche Er Lentz bereits 24. jahr in lehnung gehabt und genoßen, auff noch fernerer Neun jahr von Annunc. Mariæ dieß jahrs anzurechnen, umb einen jährlich. Zinß nemblich 7 pfund 10 schilling

L’huilier Nicolas Schwebel et Michel Schwebel de Lampertheim vendent respectivement trois huitièmes et le tiers d’un quart, le tiers d’un quart au tailleur Jean Vincent Kolb. En marge, vente de la part appartenant à Jean Fritsch et Barbe Lobstein de Lampertheim.

1715 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 411-v
(400) Claus Schwebel der ohlmann zu Lambertheim und Michel Schwebel auch von Lambertheim
in gegensein Johann Vincentz Kolb schneiders
er Claus erstlichen dreÿ 8.te theil und ein drittel ahn einem ¼.ten theil, Er Michel aber ein dritel ahn einem 4.ten theil eines haußes hoffstatt Stall mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier auf dem kleinen Rossmarckt, einseit neben der meiß anderseit ist ein allmend gässlein hinten auff den graben stoßend – um 200 pfund verhafftet, so gebe mann auch 2 Cappen dem Gürtler hoff, geschehen um 400 pfund
[in margine :] Andres Fritsch von Lambertheim für sich und nahmens übriger interessenten ahn unten stehenden 8.ten theil hieran bevollmächtiget, Item Barbara geb. Lobsteinin seine haußfr. (verkauffen) hierinnen stehendem Kaüffer ihren achten theil für unvertheilt ahn hierinnen stehendem hauß hoffstatt Stall mit allen begriffen, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten, über solche onera so der käuffer pro rata übernimbt und so geschehen um 42 lb, den 6. Augusti 1715

Jean Vincent Kolb hypothèque les parts qu’il vient d’acheter au profit du marchand Jean Kornmann
1715 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 533-v
Johann Vincentz Kolb schneider
in gegensein H Geörg Philipp Jacobi deß ledigen handelsmann nahmens H. Joh: Kornman handelsmanns – schuldig seÿe 175 pfund
unterpfand, sein antheil ahn einem hauß c. appert:ahm kleinen Roßmarckt, einseit neben der Meiß anderseit ist ein gässel hinten auf den graben

Fils du tailleur Jean Jacques Kolb de Spire, Jean Vincent Kolb s’inscrit à la tribu en octobre 1706.
1706, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 235-v) 18° Octobris 1706 – Johann Vincentz Kolb von Speÿer weÿlandt Hanß Jacob Kolben deß geweßenen Schneiders allda ehelicher Sohn will sich Zur Zeit einschreiben laßen, Erkandt, willfahrt (dt 15 ß)

Jean Vincent Kolb est autorisé en février 1707 à s’incrire pour faire son chef d’œuvre bien qu’il n’ait pas terminé ses années d’épreuve ni présenté ses certificats
(f° 246-v) 3° Februarÿ 1707 – Johann Vincentz Kolb Von Speÿer, bittet ihne Zum Meisterstück einzuschreiben, vnd weil er seine Zeit allhier noch nicht verarbeitet, noch Lehrbrieff oder Gebuhrts brieff Vorzuweißen, alß verspricht er Zuvorderist von unßeren gnädigen herren der XV. ein Dispens bescheid einzubringen und darauff der lehr- und geburts brieff vorzulegen, derohalben Erkannt biß dahin angestellt und de facto quo willfahrt (dt. 3. lb. 10. ß)

Jean Vincent Kolb présente son chef d’œuvre que les examinateurs jugent acceptable. Il devient maître.
(f° 300) d. 26. Martÿ 1708 – Joh: Vincentz Kolb, erscheint unter H Joh: Wilhelm Alberthal seinem Informatori: meister und bittet Ihme seinem vorhabenden Meisterstück, die gewohnliche
No 3, i Trompeter rock, No 5. i Soutane, No. 2 i. Manns Kleÿd vor 2. Kleÿd, No. dito, No. 8. i meßgewand, No. 6. i. Pantaleon
hat den riß passirlich verfertiget, deßwegen zum Mitmeister angenommen worden

Jean Vincent Kolb épouse en mai 1708 Elisabeth Lentz, fille du cordonnier Jean Lentz : contrat de mariage, célébration
1708 (2.5.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 70)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Meister Johann Vincentio Kolben, noch ledig. Schneidern weÿl. H. Johann Jacob Kolben, gewesenen Schneiders vnd Burgers Zu Speÿer nachgelaßenem Sohn, alß hochzeitern mit beÿstand Herrn Johann Bartholomei Kolben handelßmanns vnd burgers alhier Seines bruders eines
Andern theils aber der Ehren: vnd Tugendreichen Jungfrauwen Elisabethæ Lentzin des Ehrsamen Johann Lentz. Schumachers vndt Burgers alhier dochter alß der hochzeiterin mit beÿstand H Heinrich Seÿlers, Rathsbotten ihres Vogts
Straßburg den 2. Maÿ 1708. [unterzeichnet] Johann Vincenz Kolb als hochzeiter, + d. hochzeiter. handtzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 152)
1708. Dominica Jubilate et Cantate proclamati sunt Johann Vincentius Kolb, der ledige Schneider von Speÿr weÿl. H Johann Jacob Kolb, gewesenen Schneiders und Burgers Zu Sêÿr nachgel. ehl. Sohn und Jf. Elisabetha Johann Lentz deß Schuemachers und Burgers allhie Ehl. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 9.ten Maji [unterzeichnet] Johann Vincentz Kolb als Hochzeiter, * Ist das beÿ Zeich. der Hochzeiterin (i 158)

Jean Vincent Kolb devient bourgeois par sa femme le 13 juin 1708.
1708, 4° Livre de bourgeoisie p. 769
Joh: Vincentius Kolb d. schneider V. Speÿer, empfangt d. burgerrecht V. s. Fr. Elisabeth Lentzin p. 2. gold fl. 6 ß Wird beÿ den Schneidern dienen, Jur. d. 13. Dito [Junÿ] 1708.

Jean Vincent Kolb devient tributaire le 27 juin 1708
1706, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 305) 27° Junÿ 1708 – Newzünfftiger
Johann Vincentz Kolb von Speÿer, producirt Cancelleÿ: Pfenningthurn vnd Stall Schein sub dato 13. Junÿ 1708. und bittet umb das Zunfftrecht Erkandt umb die Gebühr (dt. 3 lb 15 ß)

Michel Schwebel de Lampertheim et Aurélie Klein vendent un huitième de la maison au tailleur Jean Vincent Kolb

1718 (9.9.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 457
(67) Michel Schwäbel von Lambertheim und Aurelia geb. Kleinin
in gegensein Johann Vincentz Kolb schneiders
ihren 8.ten theil für unvertheilt ahn einem hauß stall hoffstatt mit allen gebäuden, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten auf de Kl: roßmarckt , einseit neben neben einem hauß zuer Meÿßen genant anderseit ist ein eck ahn einem gässlein hinten auff den Rindshäutergraben, gehen vom gantzen hauß 15 ß kappenzinß – um 400 fl. pro rata übernimmbt und 42 lb

La tribu fait grief à Jean Vincent Kolb de n’avoir pas déclaré un compagnon. Elle ne lui inflige pas d’amende parce qu’il a renvoyé son employé au bout de quinze jours.
Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(f° 383) 1732. Dinstags den 22.ten Apr. – H Vincentz Kolb der Schneider wird vorgestellt daß er einen gesellen in seiner werckstatt habe der beÿ dem H. Zunfftmeister nach ordnung nicht Eingeschrieben word. bittet abstraffung ref. Exp.
Citatus Zugegen, gibt Zur verantwortung daß er selbigen gesellen nur 14. taglang in seiner Werckstatt gehabt, und nach verfließung derselben fortgeschickt habe, bittet absolution vor der Klag. Erk. absolvirt.

Nicolas Klein, fils de Jean, épouse en 1694 Anne, veuve d’André Roth. Ce doit être le même qui se remarie en 1700 avec Eve, fille de Jean Mager de Mundolsheim
Mariage, Lampertheim (luth. p. 21)
1694. Dienstag den 2.t Apr. Seind nach Zweÿmahlicher proclamation copulirt Worden Claus Klein der ledige, Hanß Kleinen gewesenen burgers allhier hinterl. ehel. Sohn vnd Fr. Anna Andres Roth Schultzen Sohns hinterl. Wittib [unterzeichnet] m, als hochzeiter, m, als hochzeiterin (i 14)

Mariage, Lampertheim (luth. p. 43)
1700. Dienstag d. 13. Jul: Seind nach Zweÿmahliger proclamation copulirt v. eingesegnet Word. Claus Klein alh. Burger v. ackerm. mit Jfr. Eva, Hans Magers, burgers v. ackermanns zu Mundolsheim ehl. Tochter Wie solches beneben mir bezeugen [unterzeichnet] m, als hochzeiter, m, als hochzeiterin (i 25)

Eve Mager, veuve de Nicolas Klein de Lampertheim, sa fille Eve Klein femme de Thiébaut Roth, Michel Erhard de Vendenheim et les enfants de son frère Michel Erhard ainsi que d’autres habitants de Lampertheim vendent leur part de maison à Jean Vincent Kolb

1732 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 204
Eva geb. Magerin weÿl. Clauß Klein gewesten Ackersmanns zu Lampertheim hinterlassene wittib beÿständlich ihres tochtermanns Diebold Roth auch Ackersmanns zu gedachten Lampertheim, Ferner erstged. Rothen Ehefrau Eva geb. Kleinin mit beÿstand ihres ehevogts, Item Michael Erhard Metzger zu Vendenheim für sich selbst und als vogt weÿl. Andreas Erhard auch Metzger zu Vendenheim seines bruders dreÿer minderjährigen Kinder Andreas, Michael und Johannes der Erhard, Item Fr. Catharina geb. Bäurlin hannß Michael Schlagdenhauffen Metzgers zu Vendenheim hausfrau, so dann Andreas Fritsch ackersmanns und burgers zu Lampertheim für sich selbst und als mandatarius Anna geb. Mühlin Andreas Roth ackersmanns zu Lampertheim ehefraun, Brigitta geb. Mühlin Andreas Lobstein auch ackersmanns daselbst eheweibs und Catharina geb. Mühlin Andreas Roth am Plan genannt auch ackersmanns daselbst hausfrau
in gegensein Johann Vincenz Kolb des schneiders
von Kleinischen wittib und Eva Rothin einen 8.t theil und einen 3.t theil eines 8.t theils, ferner obged. Erhard deßen Curandis und Schlagdenhauffischer ehefrauen einen 8.t theil und von Andreas Fritsch und deßen principalen 8.t theil alles für ohnvertheilt ahne einer Behausung Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im kleinen Roßmarckt, einseit neben dem hauß zur Maÿß genannt Michael Braun dem Paßmentirer und Calcanten in der Prediger Kirch gehörig, anderseit neben einem in den Rindshäutergraben gehenden allmend gäßlein hinten auff ged. graben – davon gibt man in den gürttler hoff zween Cappen und 8 ß 4 ane bodenzinß – um 83 pfund capital beladen, geschehen um 145 pfund

Jean Vincent Kolb hypothèque la maison au profit du prédicateur Jean André Gnilius

1732 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 220
Johann Vincentz Kolb Schneider
in gegensein S.T. H. Johann Andreas Gnilius S.S. Theol. Prof. Publ. auch Freÿ prediger allhier – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten am Kleinen Roßmarckt, einseit neben dem hauß zur Maÿß genannt Michael Baur dem Paßmentirer und Calcanten in der Prediger Kirch gehörig anderseit neben einem in dem Rindshäutergraben leitenden all: gäßlein hinten auff ged. graben – davon gibt man; in den gürttler hoff zween Cappen und 8 ß 4 ane bodenzinß

Jean Vincent Kolb meurt en 1737 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 550 livres. La masse propre à la veuve est de 390 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 177 livres, le passif à 488 livres.

1737 (1.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 46) n° 1073
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland der Ehren und Vorgeachte Meister Johann Vincentz Kolb, der geweßene Schneider und burger allhier nunmehr seel. als derselbe diestags den 29.ten Januarÿ dieses Lauffenden 1737.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, auf Ansuchen, anfordern und begehren des Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten Herrn M. Johann Daniel Kolben treueifferigen Sontagabend Predigers zum Jungen St Peter und Wohlbestellen Vice Pædagogi in dem Collegio Wilhelmitano und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Elisabethæ Marxin geb. Kolbin mit beÿstand des Ehrengeachten Meister Johann Peter Marxen des Schneiders und burgers allhier Ihres Ehevogts, beede des Verstorbenen seel. mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib erziehlten (Kinder), durch Frau Mariam Elisabetham Kolbin geb. Lentzin die hinterbliebene Wittib mit beÿhilff Herrn Johann Martin Gangolffs des Schneiders und burgers allhier Ihres geschwornen, Curatoris
Eheberedung, der Ehrenhaffte Meister Johann Vincentius Kolb, der ledige Schneider weÿland Meister Johann Jacob Kolben geweßenen Schneiders und burgers zu Speÿr Sohn mit beÿstand Herrn Johann Bartholmei Kolben Handelßmanns und burgers alhier Seines bruders alß Hochzeiter ane einem, So dann die Ehren und tugendsame Jungfraw Elisabetha Lentzin des Ehrsam und bescheidenen Johann Lentzen Schumachers und burgers alhier dochter mit beÿstand Herrn Heinrich Seÿlers rathsbotten ihres Vogts, den – Maÿ 1708, Not. Jacob Christoph Pantrion

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt neben der Meiß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. (E. T.) Eine behaußung, hoffstatt und Stall mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtig Keiten, geleg. allhier auf dem Kleinen Roßmarck eins. neben Mr Johann Michael Baumen, dem Paßmentirer und burgern allh. die Meiß genand, anders. ist ein Allmendgäßlein, hinden auf den Rindshäuter graben stoßend, davon gibt mann jährl. in den Gürthlerhoff 2. Cappen in natura und 8. ß 4. d in geld Zu Zinß, ferner reicht mann davon jährl. auff Annunc: Mariæ 6. lb d. zinß S: T: Hn Johann Andreæ Knilio, S. Stæ Theologiæ Doctorj et Prof. publ. auch Capitulj Thomanj Canonico und burgern allh. alblößig in Capital mit 150 lb, So dann 8. lb 8. ß d. gibt mann davon ferner jährl. auff Annunc: Mariæ dem Stifft St. Marx redimibel in Haubtguth mit 200 lb, Sonsten freÿ ledig und eig. und über dieße beschwährde (…) laut Abschatzungs Zeduls vom 25. Maÿ 1737 angeschlag. pro 161. lb 6 ß. Über Vorherige behaußung melden 3. perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. Ins. verwahret dat. den 17. Maÿ 1715, 9.ten 7.bris 1718 et 2.ten Maÿ 1732.
– Abschatzung d. 25 Meÿ Ano 1737. Auff begeren Weilland dessen Ehren hafften Vnd bescheidner Meister Johan fitzentz Kolb geweßen schneider selliger hinder laßen frau Wittib Und Ehrben ist Ein behaußung all heir in der Statt Strasburg auf dem Rosmarck beig. der Meissen gelegen Ein seith Neben Christoff baum basmendtirer ander seit Neben Isack docher Mann und heinden auff den Reintzheiter graben Stosent Welche behaußung bestet Vnder ein alden schlechen dach stull Meit holl Zigel gedeck Meit Stuben Vnd Kammern Kichen Hauß Ehren, gebelckter Keller, Stallung Salles schlech Und ald ist Wie solches durch der Statt Strasburg geschworen Werck leithe in der besichung befunden Und dem Jetzin Preis Nach an geschlagen Wird Vor Und Vmb Ein taussent Ein hundert gulden [unterzeichnet] betzeichnus durch der Statt Strasburg geschworen Werckleithe, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Abzug gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 20, Sa. Goldenen Rings 16 ß, Sa. Ergäntzung 325 lb, Summa summarum 390 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahres guth, Sa. hausraths 13, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 161, Summa summarum 177 lb – Schulden 488 lb, Übertreffen alßo der Erben ohnverändert und theilabre Passiva deroselben Völlige Vohandene Activ: Massam umb 311 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 390 lb, Warvon aber wegzurechnen der Erben ohnverändert und theilbahres Passiv onus 311 lb – Stall summ 79 lb
Copia der Eheberedung – So geschehen und verhandelt in Straßburg den andern Monats Maÿ Anno 1708, Jacob Christoph Pantrion, notarius

Marie Elisabeth Lentz meurt en 1741. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire ci-dessus. L’actif de la succession s’élève à 182 livres, le passif à 149 livres.

1741 (23.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 55) n° 1241
Inventarium und Beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und güethere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme frau Maria Elisabetha Kolbin gebohrene Lentzin, auch weÿland des Ehren: und Vorgeachten Meister Johann Vincentz Kolben, des geweßenen Schneiders und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, nun auch seelige, als dieselbe Sontags den 17.ten 7.bris dießes Lauffenden 1741.sten Jahrs dieße Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren Herrn Johann Daniel Stoebers Notarÿ publicj und berühmbten Practicj, auch burgers allhier als (…) consituirten Mandatarÿ Herrn M. Johann Daniel Kolben, wohlbestellten Sontags Abend Predigers zum Jungen St Peter und Frauen Mariæ Elisabethæ Marxin, gebohrner Kolbin, beÿständlich Meister Johann Peter Marxen, des Schneiders und burgers allhier, Ihres Ehevogts, beeder der Verstorbenen Frauen seeligen mit vorgemeltem ihrem in Gott ruhenden Haußwürth auch seeligen ehelich erziehlten Herrn Sohn und Frau Tochter und ab intestato Zu Zweÿen gleichlingen portionen und antheilern Verlaßener rechtmäsiger Erben (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 23.ten Octobris Anno 1741.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt beÿ d. Maÿß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung, hoffstatt und Stall, mit allen deren Gebäuen begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Kleinen Roßmarck beÿ d. Meÿß, einseith neben Mr Johann Michael Baumen, dem Paßmentirer und Burgern allhier, anderseith ist ein Allmend Gäßl. hinden auf den Rindshäuter Graben stoßend, davon gibt mann Jährlichen in den Gürthlerhoff Zween Cappen in natura und 8. ß 4. d in Geld Zu Zinß, ferner reicht mann davon Jährl. auf Annunciationis Mariæ 6 pfund pfenning Zinnß weÿl. S: T: Hn Johann Andreä Gnilius S. Stæ Theologiæ Doct. et Prof. publici auch Capitulj Thomanj Canonici und burgers allhier nunmehr seel. hinterl. fr. Wittib und Erben, alblößig in Capital mit 150 lb, So dann 8. lb. 8. ß. d. gibt mann davon ferner Jährl. auff Annunciationis Mariæ dem Stifft St. Marx, redimibel in Hbtguth mit 200 lb. Straßburger Wehrung, sonsten freÿ ledig und eigen und über dieße beschwährde durch (die Werckmeister) in weÿl. Meister Joh: Vincentz Kolben, des gewesenen Schneid.s und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft Inventario in A° 1737 durch mich unterschriebenen Not. auffgerichtet, laut Abschatzungs Zeduls Vom 25. Maÿ 1737 æstimirt pro 161. lb. 6. ß. Über Vorherige behaußung melden 3. perg. Kb. m. d. St. Straßb. anh. Ins. Verw. dat. d. 17.ten Maÿ 1715, 9.ten 7.bris 1718 et 2.ten Maÿ 1732.
Abzug gegenwärtig Verlassenschafft Inventarium gehörig, Sa. hausraths 19, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 161, Summa summarum 182 lb – Schulden 149 lb, Nach solchem abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 32 lb

Le prédicateur Jean Daniel Kolb céde sa part de maison à sa sœur Marie Elisabeth Kolb, femme du tailleur Jean Pierre Marx.

1741 (24. 9.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 55) Joint au n° 1241 du 23.10.1741
(f° 4) Vergleich: und Überlaßung der behaußung – Erschienen S. T. Herr M. Johann Daniel Kolb wohlbestellter Sontags Abend Prediger zum Jungen St Peter
in gegensein seiner Schwester Frauen Mariæ Elisabethæ Marxin geb. Kolbin mit beÿstand Meister Johann Peter Marxen, des Schneiders und burgers allhier Ihres Haußwürths
die zwischen Ihnen beeden Geschwüsterden biß dato annoch ohnvertheilt geweßene Behaußung, Hoffstatt und Stall mit allen deren gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier auf dem Kleinen Roßmarck beÿ der Meÿß einseith neben Meister Johann Michael Baumen dem Paßmentirer und burgern allhier, anderseit ist ein Allmendgäßlein, hinden auf den Rindshäuter graben stoßend, davon gibt mann jährl. in den Gürthlerhoff zween Cappen in natura und 8. ß. 4. d. in Geld Zu Zinß, und ist dieße Cession und übergaab über solche beschwährde (…) geschehen Vor und umb 850 pfund – So geschehen in Straßburg den 24.ten Novembris Anno 1741.

Jean Pierre Marx et Marie Elisabeth Kolb hypothèquent la maison au profit du licencié en droit Philippe Jacques Bechtold

1741 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 577-v
Johann Peter Marx der schneider und Maria Elisabetha geb. Kolbin mit beÿstand ihres nachgeschwistrig kinds Johannes Schmidt des baders und ihres vetters Christian Gottlieb Schultz des schuhmachers maßen dero bruder H. M. Johann Daniel Kolb geschäfften halber hierbeÿ nicht erscheinen können
in gegensein H. Philipp Jacob Bechtold J.U.L. – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt auf dem kleinen Roßmarckt einseit neben Johann Michael Baum dem Paßmentirer, anderseit ist ein eck ane einem Allmend gäßlein, hinten auff den Rindshäutergraben – davon gibt man dem hohen Chor zween cappen in natura und 8 ß 4 d – der Mitschuldnerin theils als ein mütterlichen erb theils als ein von obgemeldten H. M. Kolb ihrem bruder und miterben in unvertheiltem erb cedirtes guth

Jean Pierre Marx s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en novembre 1733
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 746-v) Dienstags den 17.ten Novembris 1733 – lediger Schneider Von Brumatt gebürtig, laßet sich gleichfalls Zur Zeit im Meisterstück Einschreiben

Jean Pierre Marx présente en juin 1734 son chef d’œuvre auquel les examinateurs ne trouvent rien à redire. Il est reçu maître.
(p 462) Montags d. 7. Junÿ 1734. erschienen unter H. Wolffgang Hubmeÿer seinem informatore Johann Peter Marx lediger schneider gesell Von Brumbt gehörig, welcher sich an eine hießige Meisters tochter Verheurathet, bittend ihm Zue seinem vorhabenden Meisterstückh beliebige Rieß auffzuegeben, ist deßwegen dem imploranten mit folgenden stucken Erkannt und willfahrt worden
N° 1 Ein Manns kleÿdt, N° 16. ein Rauchmantel, N° 20. Ein Nonnen kutt
facta relatione der geschwornen Hh. Meisterstückschauern, daß Sie die Hievorstehende Rieß gantz wohl rühmlich und ohne fehler verfertigt gefunden haben, ist derselbe in daß allhiesige Meisterrecht Zue einem Mitmeister auff und angenommen worden.

Fils du cultivateur Nicolas Marx de Brumath, Jean Pierre Marx épouse Marie Elisabeth Kolb en 1734
1733 (31. Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 305
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Peter Marx, ledigen Schneider des Ehrenhafften Niclaus Marxen des Ackersmanns Zu Brumath hochgräfflich hanauischer hannß ehelichem Sohn, als dem bräutigam an eim
so dann der Ehren vnd tugendsahmen Jungfrauen Maria Elisabetha Kolbin, des Ehren und wohl vorgeachten Herrn Johann Vincenz Kolben, des Schneiders und burgers alllhier Zu Straßburg ehelich erzielter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 31.ten Decembris Anno 1733. Hans Peter Marx als hoch Zeiter, E K der Jungfr. hochzeiterin handzug

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 122-v n° VII)
1734. Dominica I et II Trinitat. proclamati sunt Johann Peter Marx, der ledige Schneider, von Brumath, Niclauß Marx, des bedienten beÿ der Hoch Gräfflichen Hanauischen Herrschafft in Brumath ehel. Sohn u. Jgfr. Maria Elisabetha Johann Vincntz Kolb des Schneiders v. burgers alhier ehel. tochter, Copulati sunt Mittw. den 7. Julÿ [unterzeichnet] Hanß Beter Marx als hochzeiter, Mk Ist der Jgfr. Hochzeiterin eigenhändiges Zeichen (i 127)

Jean Pierre Marx devient bourgeois par sa femme le premier septembre 1734.
1734, 4° Livre de bourgeoisie p. 1013
Johann Peter Marx d. schneider Von brumatt geb. erhalt d. b. Von sein: ehefr Elisabetha Johann Vincentz Kolben b. undt schneiders alhier tochter umb d. alt. b. will beÿ E E Zunfft d. schneider dienen Jur. d. 1.ten Sept. 1734.

Jean Pierre Marx devient tributaire le 23 novembre 1734
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 476) Dienstags den 23.ten Novembris 1734 – Johann Peter Marx der schneider Von Brumatt Hochgräffl. Hanauischer Jurisdiction gebürtig Erhalt auff producirten burgerschein d. dato 16.ten Augusti jüngst das Zunfft und stuben recht.

La tribu inflige une amende à Jean Pierre Marx pour n’avoir pas déclaré un compagnon qu’il emploie
Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 117) Mittwoch den 10. Decembris 1737 – H. Andreas Nauert Exsenatoris und Zunfftmeister klagt wider Johann Peter Marx burger und Schneider allhier, daß selbiger seinen gesellen Gottfried Dietz seit dem 3.ten Septemb. j. alß daß letzte gericht gehalten worden nicht habe Einschreiben laßen, bittet abstraffung Nach dem Articul.
Beklagter Zugegen ist geständig den gesell etwann 3. wochenlang ohn einige scheiben in seiner werckstatt gehabt zu haben. H. Friderich Bueßmann der Laden meister beÿ der Laden auffgelebt, und jedes mahl declarirt habe, daß er beÿ dem beklagten in arbeit stehe, ist erkant wird beklagter in 15. ß d straff condemnirt.

Jean Pierre Marx et Marie Elisabeth Kolb hypothèquent la maison au profit de l’enseignant Jean Louis Gœllemann

1742 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 295-v
Johann Peter Marx der schneider und Maria Elisabetha geb. Kolbin mit beÿstand Johannes Schmidt des baders und Christian Gottlieb Schultz des schuhmachers beede ihrer vettern
in gegensein H. Johannes Ludwig Göllemann Informatoris – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis auf dem kleinen Roßmarckt einseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer, anderseit ist ein eck an einem allmend gäßlein, hinten auff den Rindshäutergraben – davon gibt man denen H. Præbendariis des hohen Chors zween cappen in natura und 8 ß – der Mit: schuldnerin als ein mütterlichen erb: theils als ein von ihrem miterben cedirtes guth

Jean Pierre Marx loue une partie de la maison au taileur de pierres précieuses Jean Sinderus

1743 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 108
Johann Peter Marx der schneider
in gegensein H. Johann Sinderus des Edelstein schneiders
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen ane dem Kleinen Roßmarckt einseit ist ein eck an einem Allmend gäßlein, anderseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer gelegenen behausung auf dem zweÿten stock vornen herauß eine stub, stubkammer kuchen auff der ersten vordern bühn zwo kammern so dann einen unterschlagenen keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehendem Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

La tribu propose plusieurs tailleurs pour être tuteur des enfants de Jean Pierre Marx
Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 349-v) Freÿtags den 13.t Novembris 1744
Zu bevögtigung Peter Marxen des Schneiders und burgers allhier Zweÿ minderjähriger Kinder nahmentlich Maria Elisabetha und Maria Salome ist von E.E . Zunfft der Schneider in Ausschuß gebracht worden
Mstr Johann Gottfried Stahl
Mstr Johann Daniel Senckeißen
Mstr Johann Andres Holler

L’inventaire dressé après la mort de Jean Pierre Marx n’est pas conservé. Le tuteur des deux filles du défunt fait vendre des effets mobiliers dans la maison mortuaire au Marché aux Chevaux près de la Mésange.
1745 (28.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) n° 3
Verkauff und Erlöß register inhaltend alles dasjenige was aber weÿl. des Ehren und vorachtbahren Hn Joh: Peter Marxen des geweßenen Schneiders und d. Ehren und tugendsahmen frauen Mariä Elisabethä geb. Kolbin beeder geweßener Eheleuthe nun seeligen verlaßenen und ane zuende stehendem dato verkaufften Mobilien erlößt worden, die deßhalben eingezogene baare Looßung hat d. Ehren und Vorgeachte H Joh: Daniel Senckeißen d. Schneider v. Burger allhier als d. Verstorbenen Eheleuth ehelich erzielhter v. hinderlaßene 2. Kinder Nahmentlich Mariä Elisabethä und Mariä Salome der Marxen geschworner Vogt Zu handen genommen
So beschehen in der beÿ dem Roßmarck beÿ d Meiß Liegenden beeden Verstorbenen Eheleuthen eigenthümlich gehörig geweßenen Sterb behaußung auf Montag d. 28.ten Junÿ A° 1745.

Compte que rend le tuteur Jean Daniel Senckeissen à ses pupilles
1747, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) n° 13
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen Schneiders und burgers allh. Zu Straßburg als geordnet und geschworenen vogts Mariä Elisabethä und Mariä Salome der Marxin, weÿl. H: Joh: Peter Marxen des geweßenen Schneiders und burgers allh. mit auch weÿl. fraun Mariä Elisabethä geb. Kolbin beeder seel. erziehlter 2.r Kinder inhaltend und außweisend alles dasjenige Was Ich von Anfang des 1745.sten Jahrs als da ich Zu dießer Vogteÿ gekommen biß d. 1. 7.bris 1747. erwehnter Meiner Curanden halben eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiß Verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ

Jean Daniel Seckeissen loue au nom de ses pupilles une partie de la maison à Jean Georges Detterer

1749 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 623 n° 361-v)
Johann Daniel Senckeißen der schneider als vogt weÿl. Peter Marx des schneiders zweÿ kinder Salome und Elisabetha der Marxin
in gegensein Johann Georg Dätterer
entlehnt, in einer am kleinen Roßmarckt gelegenen behausung unten auff dem boden ein lädlein auff dem ersten stock hinden eine stub, kammer und kuchen, die oberste buhn und einen kleinen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Johannis Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden

Autre bail au tailleur Guillaume Steiff

1751 (26.10.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 532
Johann Daniel Senckeißen der schneider als vogt weÿl. Peter Marx des schneiders zweÿer kinder Salome und Elisabetha der Marxin
in gegensein Wilhelm Steiff des schneiders
entlehnt, in einer am kleinen Roßmarckt einseit ein eck ane dem in den graben leitenden Stiege, anderseit neben Christoph Baum dem paßmentirer gelegenen behausung, und deren ersten stock vornen aus eine stub, stub kammer, kuchen und haußöhren zwo stiegen hoch hinden aus eine kammer dreÿ stiegen hoch hindenaus eine kammer so dann einen kleinen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff letzt verwichenen Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 44 gulden

Compte qui mentionne les loyers des quatre logements loués au chapelier Jean Georges Detter, au tailleur de pierres précieuses Jean Sinterus puis à la femme Martin, au tailleur Guillaume Steiff et au fabricant de parapluies Jean Streitt

1751, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) f° 98
Schlußrechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg als geweßenen Curatoris Mariä Elisabethä und dermahlen noch ohnentledigten Vogts Mariä Salome der Marxen weÿl. H. Joh: Peter Marx des geweßenen Schneiders und burgers allhier seel. mit auch weÿl. fr. Maria Elisabetha geb. Kolbin ebenmäßig sel. ehelich erziehlter 2.r Kindern Inhaltend alles dasjenige Was Ich vom 15.ten febr. 1751 als beschluß meiner zweÿtern Rechnung biß den 4.ten Xbris hujus Anni noch ferner eingenommen und außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiß Verrichtet und verhandelt habe.

Einnahm gelds beede Curanden ins gemein angehend.
Erstl. empfinge Von Joh: Georg Däther dem huthmacher und burger allhier Von d. mittlern hintern wohnung und lädlein in d. Curanden eigenthümlichen ane dem Kleinen Roßmarckt gelegenen Behaußung den hauß Zinnß Von Joh. Bapt: 1750. biß Annunciationis Mariæ 1751 vor 3 Viertel Jahr verfallen
empfinge ferner theils Von weÿl. Johann Sinterus des gewesenen Steinschneiders seel. Wittib und theils von fr. Martinin der Soldnerin Wittib wegen d. obern vordern wohnung der haußzinnß von Weÿhenachten 1750 biß Michaelis 1751
behändigte mir auch H Wilhelm Steiff der Schneider v burg. allhier ane haußzinnß von seiner inhabenden Mittlern vordern wohnung vor ¾. Jahe von Weÿhenachten 1750
hat auch Johannes Streiter parasolmacher und Schirmer allhier Von d. untern hintern wohnung solcher behausung den haußzins vor gemelte ¾.tel Jahr abgericht

Nouveau compte qui mentionne les mêmes loyers

1751, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 70
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Mariä Elisabethä und Mariä Salome der Marxin, weÿl. Hn: Joh: Peter Marxen des geweßenen Schneiders und burgers allhier seel. mit auch weÿl. fraun Mariä Elisabethä geb. Kolbin ebenmäßig seel. ehel. erziehlter 2.r Kinder inhaltend alles dasjenige Was Ich vom 1. 7.bris 1747. als dem beschluß meiner erstern abgelegten Rechnung biß den 15.ten febr. A° 1751. erwehnter Meiner Curanden halben eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiß Verrichtet und verhandelt habe. Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ

Corpus Meiner Curanden Jährlich ins gemein fallende habender Haußzinnß
Erstl. Joh: Georg Däther der huthmacher und burger allhier gibt Jährlich (…) von der in der Curanden eigenthümlich zuständigen allhier zu Straßburg ane dem Kleinen Roßmarckt beÿ der Meiß gelegenen Behaußung inhabenden Mittlern hintern wohnung und lädlein Zu Zinß 30 lb
It. 16 lb d. Jährlichen haußzinnß reicht dermahlen weÿl. H. Joh. Sinterus gewesenen Edelstein schneiders und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib Von der in solcher behaußung inhabenden obern vordern wohnung
It. 20. lb Jährlichen Haußzinns Zahlt H Wilhelm Steiff der Schneider und burger allhier von der in gemelter behausung inhabenden Mittlern vordern wohnung
It. 16 lb Haußzinns entrichtete H. Johannes Streiter Parasol Macher und Schirmer allhier Von der untern hintern wohnung solcher behausung

Marie Elisabeth Marx femme du boulanger Jacques Weber et Marie Salomé Marx louent la maison au manant fabricant de parapluies Jean Streitt

1752 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 381
Jacob Weber der weißbeck als ehevogt Maria Elisabetha geb. Marxin und Johann Daniel Stuckeisen der schneider als vogt Maria Salome Marxin
in gegensein Johannes Streit des parasol: machers und schirmers
verlühen, in einer ihnen beeden Marxischen schwestern eigenthümlich gehörig ohnfern dem Roßmarckt, einseit ist ein eck ane der in dem graben leitenden steeg, anderseit neben Johann Christoph Baum dem paßmentirer gelegenen behausung, eine auff dem boden hinten auff dem graben aus einer stub, stub kammer, kuchen, neben kammer im haußöhren und einen unterschlagenen keller, samt platz unter der steeg zum holtz – auff 9 nacheinander folgenden jahren von letzt abgewichenen Johannis Baptistæ um einen jährlichen Zinß nemlich 36 gulden

Le tuteur de Marie Salomé Marx hypothèque la moitié de la maison au profit de Jean Daniel Senckeissen

1752 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 501
Johann Daniel Senckeisen der schneider als vogt Maria Salome Marxin
in gegensein Johann Christoph Baum des Paßmentirers, 75 pfund
unterpfand, die unvertheilte helffte ane einer behausung h. und hoffstatt ohnfern dem Roßmarckt, einseit neben der dem creditori gehörigen behausung zur Meÿs genanndt, anderseit ist ein eck ane der in den Rindshäutergraben leitenden steeg, hinten auff gedachten graben

Autre compte qui mentionne les mêmes loyers

1755 (4.12.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 710) f° 189
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen, Schneiders und Burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen vogts Mariä Salome Marxin weÿl. Joh: Peter Marx des geweßenen Schneiders und burgers allhier mit auch weÿl. fraun Maria Elisabetha geb. Kolbin beeder seeligen erziehlten Jüngern tochter, Inhaltend alles dasjenige was ich vom 4. Xbris 1751 als ich den beschluß der damalen abgelegten Schluß rechnung biß den 4. Decembris 1755 erwehnter meiner Curandin halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Dritte Rechnung dießer Vogteÿ

Einnahm Gelds dießer Rechnung
Von Joh: Georg Däther dem huthmacher vor ¼ Jahr auf Joh. Bapt: 1751 von seiner inhabenden mittlern hintern wohnung und Lädlein in der Curandin und Ihrer Schwester gemeinschaftlich. Behaußung
It. frau Martinin die Soldnerin Wittib Zahlt Vor ¼.tel Jahr ane haußzinnß von der obern vordern wohnung
It. H Joh: Wilhelm Steiff der Schneider ane haußzinnß von der vordern Mittlern wohnung
It. Joh: Streiter der Parasol Macher und Schirmer allhier ane haußzins Von seiner inhabenden untern hintern wohnung

Marie Elisabeth Marx, veuve du boulanger Jacques Weber, hypothèque la maison au profit du fabricant de parapluies Jean Streitt

1758 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 292
Fr. Maria Elisabetha geb. Marxin weÿl. Jacob Weber des weißbecks beÿständlich Johann Christostom Holtzapffel des glaßsers
in gegensein Johannes Streit des parapluyemacher – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung mit allen begriffen und rechten ane dem Roßmarckt, einseit neben H. Christoph Baum dem paßmentirer, anderseit neben Isaac Tochtermann dem meelmann, hinten auff den Rindshäutergraben

Marie Elisabeth Marx femme du tailleur Antoine Joseph Annus hypothèque la maison au profit du tailleur Jean Jacques Fromm

1759 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 42
Fr. Maria Elisabetha geb. Marxin Antoni Joseph Annus des schneiders ehefrau
in gegensein Hanß Jacob Fromb des schneiders – 75 pfund [unterzeichnet] +
unterpfand, die unvertheilte hälfte ane einer behausung ane dem Roßmarckt, einseit neben N. Baum dem paßmentierer, anderseit neben N. Tochtermann dem meelmann, hinten auff den Rindshäutergraben

Marie Elisabeth Marx femme du tailleur Antoine Joseph Annus vend la moitié de la maison au fabricant de parapluies Jean Streitt

1761 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 46-v
Fr. Maria Elisabetha geb. Marxin Antoni Joseph Annus des schneiders ehefrau
in gegensein Johannes Streitt des parresolmachers
die unvertheilte hälffte einer behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane dem kleinen Roßmarckt einseit neben H. Johann Christoph Baum dem paßmentirer, anderseit neben deinem Allmend gäßlein, hinten auff den Rindshäutergraben – davon gibt man zweÿ cappen und 6 ß ane dem Großen gürtlerhoff – als ein elterlich ererbtes guth – um 200, 200 lb capitalien beladen, geschehen vor die helffte der capitalien, und 225 pfund

Compte que rend Jean Daniel Senckeissen à sa pupille Marie Salomé Marx
1761, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 718) n° 410
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen, Schneiders und Burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen vogts Mariä Salome Marxin Weÿl. Joh: Peter Marx des geweßenen Schneid.s v. burgers allhier mit auch Weÿl. fraun Maria Elisabetha geb. Kolbin beeder seel. ehelich erziehlten jüngern tochter, Inhaltend alles dasjenige was ich vom 4. Xbris 1755 als ich den beschluß meiner abgelegten Schluß rechnung biß den 1. Xbris 1761 erwehnter meiner Curandin halben eingenommen und hingegen Wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Vierte Rechnung dießer Vogteÿ

Marie Salomé Marx vend la moitié de la maison à Jean Streitt

1762 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 386
H. Johann Daniel Senckeißen der schneider als vogt weÿl. Peter Marx des schneiders jüngste tochter Maria Salome Marx
in gegensein Johannes Streitt des parasollmachers
die unvertheilte helffte ane einer behausung und hoffstatt mit allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten am kleinen Roßmarckt, einseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer anderseit neben einem Allmend gäßel – davon gibt man zweÿ cappen und 6 ß ane bodenzinß dem Großen gürtlerhof – der curandæ als ein elterlich erbguth – um 200, 200, 150 und 75 lb verpfändet, geschehen um 280 pfund

Originaire de Fribourg en Suisse, Jean Streitt épouse en 1733 Catherine Barbe Schwartz, originaire de Fortelbach
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 154) Hodie 16 Mensis Novembris Anni 1733 (…) proclamationibus in Ecclesiâ nostra et totidem in Ecclesia Parochiali ad Stum Petrum Juniorem intra Argentinam publice factis (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Streitt Ill.mi Domini Dni. Comitus de Hohenlau pedissequus friburgo in Helvetia oriundus diœcesis Bas* Et Catharina Barbara Schwartzin ex loco fortelbach dictæ diœcesis oriunda (signé) iohannes streitt, + sponsæ signum (i 156)

Jean Streitt et Catherine Barbe Schwartz hypothèquent la maison au profit du boutonnier Jean Daniel Marbach pour en régler les frais de construction

1767 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 70-v
Johann Streit der parrasolmacher und Catharina Barbara geb. Schwartz mit beÿstand ihres sohns Antoni Streit des windvogtenmachers und ihres tochtermanns Jacob Müller des einspännigers
in gegensein H. Johann Daniel Marbach des knopffmachers, zur erbauung hernach beschriebenen behausung – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis ane dem kleinen Roßmarckt, einseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer, anderseit neben einem Allmendgäßel, hinten auff den Rindshäutergraben

Les mêmes hypothèquent leur maison au profit de l’étudiant en théologie Jean Henri Gnilius pour en régler les frais de construction

1767 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 f° 383
Johann Streitt der Parresol macher und Catharina Barbara geb. Schwartzin mit beÿstand Johann Antoni Schwartz des windvogtenmachers und Johann Müller des einspännigers beede ihren nächsten
in gegensein H. Johann Heinrich Gnilius des cand. Theol. innahmen seiner mutter Fr. Ursula Elisabeth Gniliusin geb. Schmidtin, zur erbauung hernach beschriebenen behausung schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis am kleinen Roßmarckt, einseit neben einem Allmendgäßel, anderseit neben H. Baum dem Paßmentirer, hinten auff den Rindhäutergraben

Jean Streitt et Catherine Barbe Schwartz hypothèquent la maison au profit de l’aubergiste Jean Jacques Schutz

1767 (29.12.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 f° 680-v
Johann Streitt der Parresolmacher und Catharina Barbara geb. Schwartzin mit beÿstand ihres sohns Antoni Streitt des windvogtenmacher und Jacob Müller des einspännigers beede ihren nächsten
in gegensein H. Johann Jacob Schutz des gastgebers schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis am kleinen Roßmarckt, einseit neben einem Almendgäßel, anderseit neben N. Redslob, hinten auff den Rindshäutergraben

Jean Streitt loue au négociant Jacques Jaussaut un logement dans la maison qu’il vient de bâtir

1768 (14.9.), Not. Laquiante (6 E 41, 1028)
Bail de 3 années qui commencent a la St Michel prochaine – Sr Jean Streitt faiseur de Parapluye
au Sr Jacques Jaussaut négociant
un appartement dans la maison qu’il vient de Batir et qu’il possede en cette ville au petit marché aux Chevaux led. appartement composé savoir d’un Poel et de deux chambres sur le devant du premier étage d’un poel de deux chambres et d’une cuisine sur le derrière du premier étage, de deux chambres aux mansarde du troisième étage sur le derrière, D’une chambre sur le devant du troisième étage d’une cave et enfin d’une place pour mettre une corde de bois – moyennant un loyer annuel de 288 livres
[in fine :] résilié, cessera d’avoir son effet à partir de la St Jean prochaine, 29. mars 1770

Joseph Bastien épouse Anne Marie Streitt
1770 (31.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 137)
Mariage – Sr Joseph Bastien commis à la distribution des Bois et lumières aux trouppes de la citadelle de cette ville y demeurant fils majeur d’ans de feu Jean Bastien vigneron à Steige dans le Val de Villé et de défunte Anne Barbe Spies
Demoiselle Anne Marie Streitt fille majeure du Sr Jean Streitt faiseur de parapluyes et de Catherine Barbe née Schwartz
(promettent de se prendre devant l’église catholique)

Jean Streitt loue une partie de la maison au perruquier François Xavier Grenier

1773 (22.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1046) n° 45
Bail de 3 années consécutives qui commenceront a la Notre Dame de mars prochaine – Sr Jean Streitt contrôleur des briques
au Sr François Xavier Grenier maître Perruquier
un appartement et boutique dans la maison qu’il possede en cette ville sur le marché aux chevaux a côté de la Mesange Lequel appartement consiste dans les pièces cy après détailées Scavoir
1. au rez de chaussée une boutique a la gauche de l’entrée, Plus une petite chambre servant d’arrière boutique, Plus une cave séparée de latte sur le devant Pour le bois et le vin,
2. et au premier étage sur la maison de derrière un Poel une chambre ayant vue sur la riviere, Plus une autre chambre et cuisine donnant sur la cour,
3. deux chambres a la mansarde donnant sur la riviere,
4. l’usage commun du puits de la buanderie et des greniers pour la lessive – moyennant un loyer annuel de 164 livres
(enregistré à la Chambre des Contrats le 5 novembre 1775 (vol. 649 f° 2-v)

Joseph Streitt loue une boutique et une partie de la maison à l’orfèvre Jean Geoffroi Schuhmann

1777 (9.7.), Not. Laquiante (6 E 41, 1064) n° 11
Lehnung für 3 nacheinander folgenden jahren so ihren anfang auf nächstkünfftigen Michaeli nehmen – H. Joseph Streitt parapluie macher
in gegensein H. Johann Gottfried Schuhemann des Goldarbeiters
Ein laden mit Einem Neß so hinten daran gelegen, im dritten stock eine stube stub kammer, Kuchen und Küchen und keller im Mansarde zweÿ kammeren, dieses alles gehet auf die fordere Gas heraus, im Ersten Stock Eine Stub, Stub Kammer, ferner eine Kammer und eine Küchen alles auf dem nemlichen Stock, im Manssard zweÿ Kammeren diese Stuck befinden sich alle im hinteren haus, wie auch ein Keller und dann Gerechtigkeit in der bauchküchen und bühnen so viel er entlehner wird benöthiget seÿn, vorerwehnte Verlehnte Stück befinden sich alle in des verlehners auf dem Ros Marckt neben der Mais eigenthümlich besitzenden behausung – um einen jährlichen Zinß nemlich 140 gulden
[in fine :] 28. junÿ 1780, auf 3 fernerer Jahr so auf nachstfolgende Michaelis anfangen

Jean Streitt et Catherine Barbe Schwartz hypothèquent la maison au profit du maître maçon Antoine Klotz pour en régler les frais de construction

1778 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 652 n° 117-v
H. Johann Streit der parapluie macher und Catharina Barbara geb. Schwartzin unter assistentz Jacob Müller des einspännigers ihres tochtermanns und Johann Antoni Streit des parapluie machers ihres leiblichen sohns
in gegensein H. Antoni Klotz des maurer meisters, vor vertigung maurer arbeit und bau materialien so ane hiernach beschriebenen behausung verwendet, 1550 gulden
unterpfand, ermelte behausung samt zugehörden nächst dem Roßmarckt beÿ der Meiß, einseit neben dem Allmend, anderseit der Meiß, hinten auff den Rindshäutergraben

Nouveau bail à l’orfèvre Geoffroi Schuhmann

1780 (13. 9.bris), Not. Laquiante (6 E 41, 1079) n° 14
Lehnung auf 6 nacheinander folgenden jahren so auf verfloßenen Michaeli ihren anfang genommen – Fr. Catharina Barbara Streitt Barbe Schwartzin weÿl. Johannes Streitt parapluye machers wittib verbeÿständlichen H. Johann Antoni Streitt parapluye machers ihres sohns
in gegensein H. Gottfried Schuhmann silberarbeiters
1. Ein laden mit einer hinter daran gelegener Eß,
2. im hintern hauß auf dem Ersten Stock eine stub, stubkammer und kuchen,
3. Eine Mansarde im hinterhauß zwo Kammern,
4. Vornen herauß im dritten stock eine Stub stubkammer und Kuchen,
5. Im vierten stock im mansarde zwo kammern,
6. die beÿde hintere Keller,
7. so dann letztlichen den allgemeinen gebraucht der bauchkuchen und bühnen für die wasche zumachen, dieße samtliche in lehnung gegebene Stück befinden sich alle in der Frau verlehnerun auf dem roßmarck allhier neben der Meis Eigenthümlich besitzenden behausung und zugehorten – um ein jährlichen Zinß 300 lb

Catherine Barbe Schwartz veuve de Jean Streitt loue une partie de la maison à son fils Jean Antoine Streitt, fabricant de parapluies

1780 (13. 9.bris), Not. Laquiante (6 E 41, 1079) n° 13
Lehnung auf 4 nacheinander folgenden jahren so auf künfftigen oster fest ihren anfang nehmen – Fr. Catharina Barbara Streitt Barbe Schwartzin weÿl. Johannes Streitt parapluye machers wittib verbeÿständlichen H. Gottfried Schumann silberarbeiters
H. Johann Antoni Streitt parapluye machern ihrem sohn
in der Fraun verlehnerin zu Straßburg neben der Meiß gelegen zuständigen behausung einen laden nebst einem daran stoßenden kämmerlein – um 1 gulden 5 sch wochentlichen zinß

Jean Antoine Streitt et Christine Korn font dresser un état de leur fortune pour accéder à la bourgeoisie
1781 (20.1.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 898) n° 42
Designation Alles was Hr Johann Anthoni Streitt der Parasolmacher und Frau Christina geb. Kornin beede Eheleuhe und Schirmer allhier Welche beÿ E.m allhiesigem hochlöblichen Magistrat um das burgerrecht in Unterthänigkeit einzukommen Willens sind
hausrath 305 lb, Waaren 114 lb, Silber 52 lb, Golds 25 lb, baarschafft 50 lb, summa summarum 546 lb

Jean Streitt meurt le 4 novembre 1781 en délaissant huit enfants dont trois fils dont le domicile est inconnu. Les experts estiment la maison à 2 750 livres. La masse propre à la veuve est de 314 livres, celle propre aux héritiers de 3 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 847 livres, le passif à 4 218 livres

1781 (12.1.), Not. Lederlin (6 E 41, 902) n° 123
Inventarium über Weiland Herrn Johannes Streitt des geweßenen Parapluymachers und Burgers dahier in Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft errichtet Anno 1781 – nach seinem den 4.ten Novembris des letztabgewichenen 1780.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hinscheiden Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft ane Zu end gemeltem dato auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren des Verstorbenen seeligen mit nach gemeldter seiner hinterlaßener Wittib ehelich erzeugter anweßender Kinder und der abweßenden und in fremder Landen sich befindender Kinder (…) inventirt und ersucht durch Fr. Catharinam Barbaram gebohrner Schwartzin, die hinterbliebene Wittib beÿständlichen Sr Guillaume Raynot de Guidermin des Intéressé dans les affaires du Roy (geäugt und gezeigt) So geschehen allhier in Straßburg auf Freÿtag den 12.ten Jenner im Jahr 1781.
Der abgelebte hat ab intestato Zu seinen Erben verlaßen, als 1. Herrn Johann Anton Streitt, den Parapluyemacher und Burgern dahiern anweßend, 2. Frau Catharinam Barbaram gebohrne Streittin, Herrn Johann Jacob Müllers des Einspännigers und Burgers dahier Ehegattin, so unter assistentz ihres Ehegatten dießer Inventur abgewartet, 3. Amandum Streitt, den Parapluyemachen deßen aufenthalt aber schon in die 22. Jahr lang unbekandt ist, dahero in deßen nahmen persönlichen beÿ dießer Inventur erschien und dessen Interesse beobachtet hat Herr Lt. Johann Joseph Bitschnau, Procurator Vic. und burger allhier (…) geordnet und geschworner Curator, 4. Frau Annam Mariam gebohrnen Streittin Weiland Herrn Joseph Bastian, geweßenen Employé im allhiesiger Holtz magassin und Burgers dahier hinterlaßene Wittib, so unter beÿständlichen H. Joh: Georg Moßeders des Chirurgi und burgers dahier, der Inventur beÿgewohnt hat, 5. Jungfer Mariam Susannam Streittin majorennis und unter beÿstand gedachtem Herrn Moßeder beÿ dießer Inventur anweßend, 6. Frantz Peter Streitt, den drehern, deßen aufenthalt ebenfalls unbekannt ist, 7. Jungfer Mariam Magdalenam Streittin von hier abweßend, So dann 8. Johannes Streitt, den schneider, welcher ebenfalls schon eine geraume Zeit von hier abweßend ist, In welcher dreÿer abweßender Kinder namen Zugegen geweßen ist hievorgedachter Herr Lt. Bitschnau, welcher ihr Interesse beobachtet hat, Alle Acht deß Verstorbenen seelig mit Eingangs gedachter seiner hinderlaßenen Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu gleichen Portionen und Antheilern Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich Zuständigen behaußung folgender maßen sich befunden worden als
Eigenthum ane einer behausung. Nemlichen eine Behausung Höflein und Hofstadt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Kleinen Roßmarckt, einseit Herrn Redslob, dem Seidenhändlern, anderseit neben einem Allmend Gäßlein, hinten auf den Rindshäuter Graben stosend, davon gibt man jährlich dem Gürtlerhof Zweÿ Cappen und 6 ß in Geld auf Johannis Baptistæ sonsten ist dieselbe außer denen darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien freÿ leedig und eigen, und wird dieße Behaußung vermög der mir Notario Von denen Stadtwerckleuthen Zum Concept eingeschickten schrifftlichen Abschatzung dedato 21. Hornung 1781 hier in Auswurf gebracht pro 2750. Über die helfte dießer behaußung besagt i. teutscher pergamentener Kfbrf in allhiesiger C. C. stub gef. u. mit deren aufgedrucktem Insiegel verwahrt datirt 22.ten 9.bris 1762. Über die andere Helfte besagt 1. teutsch. perg. Kfbrf. in der C.C. stub gef. datirt d. 12. feb. 1761. Weiter ist über de ganze Behßg vorhanden 1. teutsch. pergam. Kffbr. in allh. C.C. stub gef. mit deren aufg. Insiegel verwahrt de dato 2. Maÿ 1732.
Ergäntzung der Wittib prætendirlich in die Ehe gebrachten Guts.
Series rubricarum hujus Invÿ. Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig
Der Wittib vermögen, Sa. Silbers 1, Sa. Ergäntzung 312, Summa summarum 314 lb
Der erben Guth, Kleidung, 3
Das theilbare Vermögen betreffend, Sa. Hausraths 50, Sa. Waar und Werkzeug zum Parapluymachen gehörig 13, ß Silbers 17 ß, Sa. behausung 2750, Sa. Activ Schulden 30, Summa summarum 2847 lb – Schulden 4218, compensando 1371 lb
Copia Codicilli – persönlich kommen und erschienen seÿn Frau Catharina Barbara gebohrne Schwartzin Weiland Herrn Johannes Steit geweßenen Parapluymachers undt Burgers dahier in Straßburg seelig hinterlaßene Wittib (…) gesund gehend stehenden Leibes auch guter richtigen Sinnen und Verstandes (…) den 27. Jänner Anno 1785, Johannes Lederlin, Notarius
Cejourd’hui 24 novembre 1788 (…) est comparue en Personne Dme Catherine Barbe Schwartz Veuve de Deffunt le S Jean Streit vivant Fabriquant de Parapluyes en cette ville, saine d’esprit, jugement Memoire et Entendement même de corps (…) lègue et perlegue preciput à Dme Marie Susanne Streit femme du S Jean carache en Service à Paris sa fille, Laquiante

Marie Susanne Streitt épouse en 1786 Jean Carache, originaire de Xanten
1786 (24.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 201) n° 56
Contrat de mariage,communauté partageable par moitié – Sr Jean Garache habitant de cette ville fils du Sr Jean Garache, rentier à Xanten Eveché de Cologne majeur
Dlle Marie Susanne Streitt fille majeure de feu Jean Streitt, bourgeois de à Strasbourg et Catherine Barbe Schwartz ses père et mère (signé) carache

Catherine Barbe Schwartz hypothèque la maison au profit de sa fille Marie Susanne Carrache

1790 (21.12.), Chambre des Contrats, vol. 664 n° 276
Fr. Catharina Barbara geb. Schwartzin weÿl. H. Streit gewesten parapluie machers wittib beÿständlich H. Friedrich David Röeßer des baders
ihrer leiblichen tochter Fr. Maria Susanna Carraschien geb. Streitin – schuldig seÿen 150 gulden [unterzeichnet] Carrachin
unterpfand, anfangs gedachte mit N° 18 bezeichnet ane der Meißengaß gelegene behausung samt zugehörden

Catherine Barbe Schwartz meurt en 1791 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants, dont un fils qui n’a pas donné de nouvelles depuis 32 ans. La maison est portée à son prix de vente. L’actif de la succession s’élève à 9 882 florins, le passif à 7 812 florins.

1791 (26.3.), Not. Lederlin (6 E 41, 910) n° 459
Inventarium über Weiland Frauen Catharina Barbara gebohrner Schwartzin auch Weiland H. Joh. Streit gewesenen Parapluymachers und Burgers dahier in Straßburg geweßener Ehegattin nunmehr seeligen Verlaßenschafft, errichtet anno 1791 – nach ihrem den 7. Merz dieses Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg d. 26.ten Martÿ 1791.
Nominatio hareredum. Die verstorbene seelig hat ab intestato zu ihren wahren Erben verlaßen 1. Weil. H. Johann Antoni Streit des gewesenen burgers und Parapluymachers hinterlassene Tochter dießortige Enckelin beiständ. H. Schuhmann des goldarbeiters dahier, 2. Weil. Fraun Catharinam Barbaram gebohrner Streitin auch Weil. Johann Jacob Müllers gewesener Ehefraun hinterlaßene Kinder und diesortige Enckel in deren Nahmen Daniel Bay der Citoyen alhier als geschworener Curator dieser Inventur beigewont, 3. Armandum Streit, den Parapluymacher deßen aufenthalt in die 32. Jahr lang unbekannt ist dahero H. M. Lt Bitschnau als geordnet und geschworener Curator diesem Geschäfft beigewont, 4. Frau Annam Mariam geb. Streitin H. Joseph Bastian hinterl. Wittib so beiständl. diesem Acte beÿgewohnt, 5. Fr. Mariam Susannam geb. Streitin H. Carrasch verlaßene Ehefrau beist. H. Exsenatoris Kamm

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt in dieße Verlaßenschafft gehörigen behausung sich vorgefunden als
Eigenthum ane einer behausung. Nemlichen eine Behausung Höflein und Hofstatt und bronnen mit allen deren Gebäuden Begriffen Weiten Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem kleinen Roßmarckt Einseit Herr Redslob dem Seidenhändlern, Anderseit neben einem Allmend Gäßlein, hinten auf den Rindshäuter Graben, stosend, davon gibt man jährlich dem Gürtlerhof Zween Capen und 6 ß in Geld auf Johannis Baptistæ sonsten ist dieselbe außer denen darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien freÿ leedig und eigen, und wird diese Behausung wie solche bei allhiesigem District Gericht nach vorhererhaltenem Decreto alienandi Zum Verkauf ausgesetzt und dem Letzt und Meistbietenden Michael Walter dem Schuhmacher alhier adjugirt worden ist, hier in auswurff gebracht pro 9480 fl. Über die Hälfte dieser behausung besagt i. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger C. C. stub gefertigt und mit deren aufgedrucktem Insiegel verwahrt datirt 22.ten 9.bris 1762. Über die andere Hälfte besagt 1. teutscher pergamentener Kfbrf. in der C.C. stub gef. datirt d. 12. feb. 1761. Weiter ist über de ganze Behausung vorhanden 1. teutsch. pergam. Kfbr. in allh. C.C. Stube gef. mit deren aufgetrucktem Insiegel verwahrt de dato 2. Maÿ 1732
Berechnung, activ massa 9882 fl, passiva 7812 fl, verbleiben 2069 fl.
Codicille – Cejourd’huy 30 octobre 1780 (…) fut present Jean Streitt Bourgeois marchand de parapluyes decette ville y demeurant, sain d’esprit Jugement Et Entendement mais malade de corps gissant au lit dans un Cabinet de la Maison qui luy appartient en cette ville près la mesange (…) Fait lu passé Et Interpreté en allemand par Led. Notaire (…) Lacombe notaire Roïal pour M° Laquiante Notaire Royal absent

1791 (12. Xbr.), Not. Stoeber (6 E 41, 1259) n° 886
Endliche Abrechnung so wegen weiland Fraun Catharinä Barbarä gebohrner Schwarzin auch weiland H Johannes Streit gewesenen Parapluie machers und burgers allhier Wittib Verlaßenschafft gepflogen worden

Marie Anne Streit veuve du commis Joseph Bastian meurt en 1796 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs. L’inventaire est dressé rue Thomann dans la maison dite cour de Marbach.
1796 (15 floréal 4), Strasbourg 5 (7), M° Grimmer n° 299
Designatio alles desjenigen Vermögens so weiland Maria Anna geb. Streit weiland des bürgers Joseph Bastian, gewesenen Commis bei der holz und Lichtverwaltung allhier zu Straßburg nachgelaßene Wittib, nach ihrem den 3. dieses Monats floreal beschenenen Absterben hinterlassen hat
Und sind die Erben der Verstorbenen Geschwisterde und Geschwisterde Kinder namentlich, 1. Amandus Streit der parapluymacher so abwesend, 2. Johannes Streit Schneider ebenfalls abwesend, 3. Magdalena Streit in Paris wohnhaft abwesend an br. Jos. Potier verheiratet, 4. Franciscus Streit auch abwesend, In welcher vier Namen deren Curator b. Johann Joseph Bitschnau, homme de loy, zugegen war, 5. Maria Susanna Streit des bürgers Nicolas Nappert chef de bureau bei der Niederrhein’schen departements Verwaltung Ehegattin, 6. weil. Catharina Streit mit auch weiland N. Müllers gewesenen vormaligen Soldners erzeugte und nach tod verlaßenen vier abwesende Kinder nanmentl. 1) Catherine, 2) Madeleine, 3) Theresia, 4) Margaretha, 5) Maria Anna in deren Namen der bürger Johann Daniel Baÿ huissier deren Curator, 7. weiland Anton Streit gew. parapluymacher nachgelaßener abwesender Sohn Anton Streit für welchen deßen geschwornen Vogt bürger Schumann Silberarbeiter
in der Sterbbehausung im sogenannten Marbachhof ane der thomasgaß dahier verzeichnet
Summa der gesamten looßung 347 livres, davon wurden bezahlt 65 livres, Nach deren Abzug 281 livres
Enregistrement acp 40 du 15 floréal 4

Les enfants et héritiers de Jean Streitt et de Catherine Barbe Schwartz vendent la maison au cordonnier Jean Daniel Walther et à sa femme Marie Ursule Luther

1791 (27.8.), Chambre des Contrats, vol. 665 n° 280 enreg. 31.8. F° 34
H. Gottfried Schumann der silberarbeiter als vogt weÿl. Antoni Streit des parapluie machers zweÿen kindern Antoni und Christina, H. Johann Daniel Baÿ der practicus als curator und vogt weil. Catharina Mülllerin geb. Streitin nachgelassener 5 kinder Catharina, Magdalena, Theresia, Margaretha und Maria Anna, H. Johann Jacob Bitschnau der rechtsgelehrte als curator Amandi Streit des abwesenden, ebenderselbe als curator Frantz Peter Streit ebenmäsig abwesend, wieder derselbe als curator Magdalena Streitin und in eben derselben qualität als curator Johannes Streit, item Fr. Maria Anna verwittibte Bastian geb. Streitin ; Fr. Susanna verwittibte Carache geb. Streitin, dieselbe letztere beiständlich obbesagten H. Lt. Bitschnau
H. Johann Daniel Walther des schuhmachers und Maria Ursula geb. Lutherin beiständlich Johann David Güthel des schuhmachers und Johann Friedrich Heckler des schneiders
eine behausung bestehend in vorder und hinderhaus, hoff, hoffstatt und bronnen, ane der Meißengaß gelegen mit N° 8 bezeichnet, einseit ist ein eck ane dem allmend gäßlein, anderseit neben H. Redslob dem seidenhändler, hinten auff den Rindshäutergraben-davon gibt man zweÿ cappen und 6 ß dem ehemaligen grosen Gürtlerhof ane bodenzinß – als ein von ihren eltern respective groseltern weil. Johannes Streit gewesten parapluie machers und Catharina Barbara geb. Schwartzin ererbtes guth – 7050 gulden capital verpfändet, geschehen um und 2430 gulden

Fils du cordonnier Jean Henri Walther, Jean Daniel Walther épouse en 1768 Marie Ursule Luther, fille du cordeur de bois Martin Luther : contrat de mariage, célébration
1768 (20.12.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 586) n° 46
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Meister Johann Daniel Walther, leediger Schuhmacher, weiland Johann Heinrich Walthers, geweßenen ebenmäßigen Schuhmachers und burgers alhier seel. nachgelaßener ehelicher Sohn, beÿständlich J Johann Andreas Vix, Schuhmachers und burgers dahier seines annoch ohnentledigten Vogts, als Hochzeiter ane einemn
So dann die Ehren und Tugendgezierte Jungfrau Maria Ursula Lutherin, weiland Johann Martin Luthers, geweßenen Holtzlegers und burgers dahier seel. nachgelaßene ehelich erzeugte Tochter unter assistentz Jn Johann Jacob Theurkauff, burgers und Föghändlers allhier ihres Oncle und annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeiteron ane dem andern Theil
Actum alhier Zu Straßburg in mein des notarii gewohnlicher Schreibstube, auf Dienstag den 20. Decembris Anno 1768 [unterzeichnet] Johann Daniel Walther als hochzeiter, Maria Ursula Lutherin als Braut

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 194) n° 891)
Im Jahr 1769 Mittwoch den 25. Januarÿ sind nach zweÿmahliger ordentlicher Proclamation und Ausrufung Zu St. Thomæ und Zum alten St. Peter Zu St. Thomæ ehelich copuliret und eingesegnet worden Johann Daniel Walther der ledige Schuhmacher und burger allhier weiland Heinrich Walther geweßenen Schuhmachers und burgers allhier hinderlaßener ehelicher Sohn und Jungfrau Ursula Lutherin weiland Martin Luther, gewesenen Holtzlegers und burgers allhier Hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Walther als hochzeiter, Ursula Lutherin als hochzeiterin (i 196)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Luther au Vieux-Marché-aux-Vins. Les apports du mari s’élèvent à 52 livres, ceux de la femme à 155 livres.
1770 (11.1.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 582) n° 177
Inventarium über des Ehrengeachten Mr Johann Daniel Walter des Schuhmachers, und der Tugendsamen Fr. Mariæ Ursulæ geb. Lutherin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg in die Ehe gebrachte unveränderte Nahrungen, afgerichtet Anno 1770 – in gefolg ihrer vor mir unterschriebenem Notario den 20. Decembris 1768. mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 3° vor freÿ, eigen und unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen alhier in der Königlichen Stadt Straßburg und eine daselbst ane dem Altenweinmarckt gelegenen den Lutherischen Kindern eigenthümlich zugehörigen behaußung, auf Donnerstag den 11. Jenner im Jahr 1770
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Haabseeligkeitenn, Sa. Werckzeugs Zum Schuhmacher Handwerck gehörig 6, Sa. Silbers 16, Summa summarum 22 lb – So dann participirt der Maritus nach außweiß des 5. §° der Eheberedung ane den Haussteuren die helfte, macht 40 lb, des Ehemanns Vermögen 62 lb
Hierauf folget auch die Beschreibung der Ehefrauen in die Ehe gebrachten unveränderten Guths, Sa. Haußraths 45, Sa. Silber und Geschmeids 22, Sa. goldenen Rings 7, Sa. Baarschafft 40, Summa summarum 115 lb – Darzu gelegt die ihro aen hernach beschriebenen Haussteuren gehörige Helffte 40 lb, Der Ehefrauen Guth 155 lb

Fille d’Antoine Streit et de Marie Christine Korn, Marie Christine Streit meurt en délaissant pour héritier son frère Jean Antoine Streit qui n’a pas donné de nouvelles depuis vingt ans. L’inventaire est dressé dans l’ancienne maison Streit à côté de la Mésange.
1795 (3 prairial 3), Strasbourg 7 (7), Not. Stoeber n° 1131
Inventarium über Weiland der bürgerin Maria Christine Streit, weiland des burgers Joh: Anton Streit gewes. parapluie machers mit der bürgerin Maria Christine geb. Korn seiner hinterbliebenen Wittib erzeugte im Monat frimaire jüngst allhier ledig verstorbenen tochter Verlassenschafft, auf Ansuchen des b. Joh: Gottfried Schumann Silberarbeiters als Curator Joh: Anton Streit des parapluie und Windfecher machers so seit etwa 20 Jahr von hier abwesend und dessen aufenthalt gänzlich so wie auch deßen Leben unbewußt, der verstorbenen bruders
in einer an der Meisengaß N° 8 gelegen bürgers Joh: Daniel Walter dem Schumacher eigenthümlich zuständig diesorts zum theil lehnungsweiße bewonenden behaußung
kleidung 233 lb, schulden aus diese verlassenschafft zu bezahlend 190 lb, Nach deren Abzug 43 lb
Enregistrement, acp 36 F° 35 du 3 ther. 3

Marie Ursule Luther meurt en délaissant deux enfants

1807 (27.8.), Strasbourg 3 (31,1), M° Übersaal n° 1025, 3879
Inventaire de la succession de Marie Ursule Luther, épouse de Jean Daniel Walther ci devant cordonnier – à la requête 1. du veuf, 2. Jean Philippe marchand pelletier, 3. Philippine Madeleine épouse de Jean Müsel marchand parfumeur
Contrat de mariage dressé par M° Greis le 20 décembre 1768
dans la maison mortuaire rue de la Mésange n° 8
propres des héritiers, mobilier 97 fr, dettes actives 270 fr, remploi 12.914 fr, total 13.282 fr
Propriété d’un jardin, Sçavoir un petit jardin avec maisonnette située à la Robertsau Canton dit Oberau, d’un côté le cabaret a l’Ange, de l’autre Georges Weber, devant la rue, derrière led. cabaret – grévé d’une rente envers la ville de 50 c, loué au Sr Klughertz jardinier pour 800 fr, cédé à la défunte par ses cohéritier de la succession Theurkauff à la Chambre des Contrats le 14 décembre 1761, total général 14.082 francs
communauté, mobilier 378 fr
Propriété d’une maison, Une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de la Mésange n° 8, d’un côté une ruelle communale, de m’autre une maison dépendante de la succession de Jean Michel Redslob, marchand de soie, derrière le fossé des tanneurs – dont on doit à la fondation de Notre Dame de cette ville rente de 1,20 et deux chapons – propriété constatée par contrat passé à la Chambre des Contrats les 24 septembre 1714, 2 mai 1732, 12 février 1761 et 27 août 1791. Cette maison rapporte Le logement qu’occupe le veuf au rez de chaussée et le premier étage sur le devant 124 fr, Dlle Wappner du premier étage sur le derrière 50 fr, Sr Hurter tapissier du second étage 120 fr, Sr Lichtenberger coutelier du troisième étage 100 fr, Sr Bernard perrquier du 4 étage 96 fr, total 496 fr, en principal 9800 fr
total 10 178 fr, passif 21.504 fr, déficit 11.326 fr
Enregistrement, acp 103 F° 104-v du 28.8.

Vente de meubles après la mort de Jean Daniel Walther
1808 (20.6.), Strasbourg 3 (32), M° Übersaal n° 1079, 4397
Vente de meubles devant une maison rue de la Mésange n° 8, délaissés par Jean Daniel Walther cordonnier décédé le 3 du présent mois – à la requête des deux enfants Jean Philippe Walther marchand pelletier et Philippine Madeleine Walther épouse de Jean Müsel marchand parfumeur, procréés avec Marie Ursule Luther
produit : 369, 346, 264 et 106 fr

Les deux enfants Walther vendent la maison au tailleur André Geissenhoffer et à sa femme Anne Marie Legoy

1809 (28.12.), Strasbourg 11 (7), M° Thurmann n° 542
Jean Philippe Walther marchand pelletier et Anne Marie née Pick, Philippine Madeleine Walther épouse de Jean Müssel marchand parfumeur en qualité seuls enfants uniques héritiers de Jean Daniel Walther et Marie Ursule Luther
à André Geissenhoffer maître tailleur d’habits et Anne Legoy
la maison avenue aux Sr Walther et D° Müssel de la succession de leurs père et mère avec cour aisances droits circonstances et dépendances sise en cette ville rue de la Mesange n° 8, d’un côté le coin d’une ruelle qui aboutit au fossé des tanneurs, de l’autre la maison des veuve et héritiers Redslob, derrière ledit fossé – acquis par les père et mère Walther à la Chambre des Contrats le 27 août 1791, propriété constatée par contrats des 2 mai 1732 et 12 février 1761 – chargée d’une rente foncière payable au gouvernement provenant de la fondation de Notre Dame 1,20 fr – pour 17.777 francs ou 18.000 livres
Enregistrement, acp 113 f° 190-v du 6.1.

Inventaire des apports du négociant Jean Daniel Saltzmann et de Marie Eve Foltzer, dressé en partie dans la maison

1812 (6.6.), Strasbourg 12 (45), M° Wengler n° 6748
Inventaire des apports de Jean Daniel Saltzmann fils, négociant, et Marie Eve Foltzer, suivant contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 14 mai dernier, célébré le 29 mai
dans la maison du Sr Kammerer sise à Strasbourg en face de la douane et la femme dans celle du Sr Geisserhoffer rue de la Mésange n° 8
le mari, meubles, fond de commerce 14 246 fr, total 18 035 fr
la femme, meubles, créances, numéraire 74 fr, total 47 199 fr
Enregistrement, acp 119 f° 188 du 12.6.

André Geissenhoffer loue une boutique au tailleur Jean Heim

1812 (25.8.), Strasbourg 4 (41), M° Stoeber n° 2009
Bail d’une année à commencer à la St Michel 29 septembre prochain – André Geissenhoffer tailleur d’habits
à Jean Heim tailleur natif de Küttolsheim sous la caution de Jean Heim son père cultivateur à Küttolsheim
la boutique et l’arrière boutique qui se trouve au rez de chaussée dans sa maison rue de la Mésange n° 8, d’un côté le coin d’une ruelle qui aboutit au fossé desTanneurs, de l’autre la maison de la veuve et héritiers Redslob – moyennant un loyer annuel de 600 francs
Enregistrement, acp 120 F° 97 du 28.8.
(acte N° 2008 même jour – vente de meubles de métier et 8) l’enseigne au Romain qui est devant la maison des vendeurs rue de la Mésange n° 8 pour 300 fr)

André Geissenhoffer et Anne Legoy vendent la maison au notaire Paul Louis Jean Joseph Meyer et à Anne Hélène Chouard

1814 (5.10.), Strasbourg 12 (57), M° Wengler n° 8458
André Geissenhoffer, tailleur, et Anne Legoy domiciliés en cette ville rue de la Mésange n° 8
à Paul Louis Jean Joseph Meyer, notaire, et Anne Hélène née Chouard
une maison située en cette ville de Strasbourg rue de la Mésange n° 8, consistant en deux bâtiments sur le devant et sur le derrière, petite cour au milieu, pompe avec toutes ses aisances, droits, conditions, appartenances et dépendances – chargée de 1 fr 20 et de deux chapons dont elle fut grevée au profit du Gouvernement selon quittance qui sera produite incessamment, (sont) compris 1. un trumeau en deux glaces dans la chambre au premier étage dans la maison ou bâtiment sur le devant estimé 150 fr, 2. de cinq différents fourneaux de fonte avec leurs tuyaux et pierre existant dans diverses chambres de la maison vendue, estimés 150 francs, d’un côté une ruelle qui aboutit au fossé des Tanneurs, d’autre le nommé Schultz sellier, devant ladite rue, derrière ledit fossé – acquis de Jean Philippe Walther marchand pelletier et d’Anne Marie née Pick suivant contrat reçu M° Thurmann le 28 décembre 1809, lesdits Walther l’ont recueilli à titre d’hérédité des successions de leurs auteurs, ces derniers l’avaient acquis à la Chambre des Contrats le 27 août 1791, autres titres Chambre des Contrats les 12 février 1761 et 2 mai 1732 – moyennant 25.500 francs
Enregistrement, acp 125 f° 166 du 5.10.

Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Baptiste Benoist, capitaine retraité

1816 (30.1.), Strasbourg 11 (21), M° Thurmann n° 3303
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Benoist capitaine retraité Chevalier de la Légion d’Honneur décédé en cette ville le 8 janvier dernier – à la requête de 1. Gertrude Benoist veuve de Louis Methains négociant, 2. Louis Monnet employé dans les fourrages demeurant à Strasbourg, mandataire de Marguerite Antoinette Benoist majeure domiciliée à Paris, 3. Marie Antoinette Laforgue épouse d’Etienne Paysac directeur de l’hôpital militaire demeurant à Colmar, 4. Jean Daniel Weyler, homme de loi, en qualité de substitué dans les pouvoirs conférés à Philippe Jacques Franck négociant par François Dominique Benoist négociant à Lyon, 5. M° Théophile Stoeber, notaire en cette résidence, commis à la représentation 1) de Marie Joséphine Benoist épouse du Sr Ambatick médecin à St Petersbourg, 2) de D° Agnes Benoist épouse du Sr Edlingen demeurant à Dresde en Saxe, 3) Philippine Monuret épouse du Sr Beschwel établi dans le royaume de Saxe
Les D° veuve Methains, Dlle Marguerite Antoinette Benoist, D° Ambatick et Edlingen sœurs du défunt, François Dominique Benoist neveu par représentation de Jean Louis Benoist son père, D° Beschwel nièce du défunt par représentation de Marguerite Benoist épouse de Jean Pierre Monuret propriétaire à Strasbourg et De Paysac petite nièce fille de Charles Martin Laforgue dentiste et Marie Antoinette Monuret celle-ci fille des conjoints Monuret (Procuration, à Lyon hors les portes St Clair, Marguerite Antoinette Benoist propriétaire demeurant à Paris rue basse du rempart n° 18 1° arrondissement)
dans la maison rue de la Mésange n° 8, dans une chambre au second prenant jour sur la rue
mobilier 621 fr, numéraire 86 fr, déclarations actives 6502 fr, passif 897 fr

Paul Louis Jean Joseph Meyer s’accorde avec son voisin François Laurent Chappuy sur les constructions dans la ruelle qui sépare leurs maisons

1819 (22.6., Strasbourg 10 (66), M° Zimmer n° 5225, 8573
Traité – entre Paul Louis Jean Joseph Meyer, ancien notaire
et François Laurent Chappuy, professeur de musique, lesquels pour teminer amiablement toute discussion et contestation entre eux relativement à la surbatisse que le Sr Chappuy entend faire sur la ruelle qui sépare les maisons des contactants sises rue de la Mésange n° 7 et 8, surbatisse permise par décret de la ci devant Chambre des trois de l’ancien magistrat de Strasbourg en date du 12 août 1766 d’un second de cette même chambre du 28 juillet 1767 et arrêté de M le maire de la ville de Strasbourg du 11 août 1813 confirmé par l’autorité supérieure, sont convenus de ce qui suit
1. La surbâtise en question devant joindre la pignon de la maison du Sr Meyer devers ladite rûelle ce mur demeurera mitoyen dès maintenant et pour toujours sur la hauteur de 17 mètres 63 centimètres à partir des fondemens de la cave estimés à deux pieds de profondeur en terre et sur la largeur de 5 mètres 43 centimètres comme aussi toute son épaiseur telle qu’elle se trouve dans lesdites dimensions,
2. Cette partie dudit mur faisant en quarré 95 mètres 73 centimètres a été par les parties évaluée à 1148 francs 66, valeur du sol comprise,
3. en outre et en considération de ce que dessus le Sr Chappuy possédant à lui seul un puits auquel est adapté une pompe dans la ruelle en question s’engage à céder audit Sr Meyer et à tous les autres propriétaires de la maison la moitié dudit puits, sous la condition expresse que le propriétaire de la maison du Sr Meyer ne pourra jamais faire participer à la propriété qu’il acqueroit sur ce puits aucun de ses voisins ni tous autres ni en permettre ou concéder l’usage à qui que ce soit – moyennant 574 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 143 f° 110-v du 23.6.

Paul Louis Jean Joseph Meyer et Anne Hélène Chouard vendent la maison au facteur d’instruments Jean Daniel Holtzapffel

1827 (6.4.), Strasbourg 7 (75), M° Stoeber n° 9766
Paul Louis Jean Joseph Meyer, ancien notaire présentement juge de paix du canton de Molsheim, et Anne Hélène née Chouard
à Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments
une maison à trois étages et mansardes située en ladite ville rue de la Mésange n° 8, consistant en deux corps de logis l’un sur le devant, l’autre sur le derrière, petite cour au milieu avec une pompe, appartenances et dépendances, d’un côté une ruelle qui aboutit au Fossé des Tanneurs, de l’autre M L’Ange, devant la rue, derrière ledit fossé – acquis d’André Geisenhoffer, maître tailleur, et d’Anne Legoy par acte reçu M° Wengler le 5 octobre 1814 transcrit au bureau des hypothèques volume 77 n° 42. Ledit Geisenhoffer l’avait acquise de Jean Philippe Walther, marchand pelletier, et Anne Marie née Pick, par acre reçu M° Thurmann le 28 décembre 1809. Ledit Walther et consorts l’avaient recueilli dans la succession de leurs auteurs qui l’ont, acquis à la Chambre des contrats le 27 août 1791, acquis Chambre des Contrats 12 février 1761 cette propriété assurée par les précédents possesseurs le 2 mai 1732 – moyennant 23.000 francs
Enregistrement, acp 183 F° 74 du 10.4.

Originaire de Strasbourg, Jean Daniel Holtzapffel épouse vers 1804 Marie Louise Benard native de Paris (le mariage a sans doute lieu à Paris)
Registre de population 600 MW 36. Rue de la Mésange 8, f° 349 (i 169)
Holtzapfel, Jn Daniel, 1771, facteur d’instruments, Strasbourg, (auparavant) Pl. d’armes 14, (entré) 8.bre 1827
id. née Bénard, Mie Louise, 1786, Ep. Paris, (à Str. depuis) 1824,
id. Jn Auguste, 1805, Paris
id. Jn Charles, 1810, Paris (marié), voyez d’autre part
(p. 350) Holtzapfel, Jean Charles, 1809, Etud. en droit, M. Paris voyez pag. préc.)
id. née Holtzapfel, Sophie, 1810, Epouse, Strasbourg, (auparavant) rue du Maroquin 25
id. Charles Victor, 1834 23 juillet, Enf. Strasbourg

1837 (31.5.), Strasbourg, M° Ritleng
Consentement par Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments de musique, et Marie Louise Bénard, au mariage de Jean Auguste Holtzapffel, facteur d’instruments à Paris avec Rose Adèle Devening à Paris mineure
Enregistrement, acp 250 F° 43-v du 31.5.

Jean Daniel Holtzapffel meurt le 18 juin 1843
Décès, Strasbourg (n° 1216) Déclaration faite le 19 juin 1843 du décès de Jean Daniel Holtzapffel âgé de 73 ans, né à Strasbourg, ancien facteur d’instruments de musique, Epoux de Marie Louise Benard, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le 18 du mois courant à sept heures du soir dans la maison située N° 8 rue de la Mésange fils de feu Jean Jacques Holtzapffel, tourneur et de feu Marie Madeleine Schlatter. Premier déclarant Jean Charles Holtzapffel, agé de 33 ans, Employé aux hospices fils du défunt, deuxième déclarant Théophile Holtzapffel agé de 66 ans, Tourneur, frère du défunt, [in margine :] hydrothorax (i 81)

Inventaire dressé après son décès. Lors du partage, les immeubles restent indivis.

1843 (24.6.), Strasbourg 14 (116), M° Ritleng n° 13.904
Inventaire et Partage de la succession délaissée par Jean Daniel Holtzapffel
22 Juin 1843. à la requête et en présence 1° de Dame Marie Louise Benard veuve de Mr Jean Daniel Holtzapffel ancien facteur d’instruments de musique domiciliée à Strasbourg, agissant en qualité de Commune en biens avec ledit défunt, 2° du Sr Jean Auguste Holtzapffel, facteur d’instruments de musique domicilié à Paris, 3° du Sr Jean Charles Holtzapffel, licencié en droit, employé aux hospices civils de Strasbourg, domicilié en cette ville, lesdits Sieurs Jean Auguste Holtzapffel & Jean Charles Holtzapffel agissant en qualité de seuls et uniques héritiers de feu mondit S. Jean Daniel Holtzapffel leur père décédé à Strasbourg le 18 juin courant, chacun pour moitié (…) déclarent de plus que le défunt & la veuve requérante étaient mariés sous le régime e la communauté légale à défaut de contrat de mariage
(…) il a été trouvé cinq inscriptions de rente (…) au nom de Jean Victor Holtzapffel troisième fils du défunt né de son mariage avec la veuve requérante le 27 février 1817 & décédé à Strasbourg le 16 avril 1826.
en la demeure du défunt rue de la Mésange n° 8

Immeubles de la Communauté 1° Une Maison à trois étages & mansardes située à Strasbourg rue de la Mésange N° 8 consistant en deux Corps de logis l’un sur le devant, l’autre sur le derrière, petite cour au milieu avec une pompe, appartenances & dépendances d’un côté une ruelle communale aboutissant à l’ancien fossé des tanneurs, de l’autre propriété de Mr Lange par devant la rue par derrière ledit fossé. Titres de propriété. Feu M. Holtzapffel avait acquis ledit Immeuble de Mr Paul Louis Jean Joseph Meyer, ancien notaire à Strasbourg & de D° Anne Hélène née Chouard son épouse, suivant Contrat passé devant M° Stoeber le Jeune & son collègue Notaires en ladite ville le 6 avril 1827, enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 du même mois volume 200 N° 78. (…)
2° Un Bien de Campagne (autrefois l’auberge au pied de Bœuf) se composant de deux corps de Bâtiments, (…) situé à Schiltigheim rue dite Münchsherrengass N° 203
Copie du testament du défunt déposé en l’étude du soussigné notaire Ritleng en vertu d’ordonnance de M. le Président du tribunal civil de Strasbourg en date du 24 juin courant, enregistré à Strasbourg le 26 juin 1843. Je légue à ma sœur Salomé Federhenn née Holtzapffel (…) à mon frère Philippe Louis Holtzapffel (…) à l’école primaire de l’église réformée de Strasbourg (…) à mon petit-fils Charles Victor Holtzapffel né le 23 juillet 1834 (…) aux quatre enfants de Gottlieb Holtzapffel décédé le 18 juin 1839 (…)
Les parties sont convenues de laisser dans l’indivision les immeubles ci-dessus inventoriés
acp 311 (3 Q 30 026) f° 62 – La succession se compose 1° treize inscriptions de rente sur l’Etat montant ensemble à 8100 francs
2° vingt actions sur la Banque de France
Description des titres de propriété. 3° une créance de 6000, 2° plus un mobilier et argent comptant 2152, garde robe du défunt 180
Immeubles de la communauté (supra). Description du testament du défunt
Déclaration par la veuve et héritiers Holtzapffel qu’ils approuvent purement et simplement toutes les dispositions du testament et notamment le legs fait par le défunt au profit e Charles Victor Holtzapffel son petit fils
Partage entre les cohéritiers du montant des rentes s’élevant à la somme annuelle de 6060 francs (…)

Acte de notoriété relatif à son fils Jean Victor Holtzapffel, cité dans l’inventaire ci-dessus
1843 (10.7.), Strasbourg 14 (116), M° Ritleng n° 13.962
Notoriété – que le S. Jean Victor Holtzapffel fils du Sr Jean Daniel Holtzapffel facteur d’instruments & marchand de musique & de D° Marie Louise Benard conjoints domiciliés à Strasbourg est décédé en cette ville le 16 avril 1826 ainsi que cela résulte d’un extrait dûment légalisé de son acte de décès dressé à la mairie de la Ville de Strasbourg ledit jour (…)
qu’après son décès il n’a pas été fait d’inventaire de sa succession & qu’il a délaissé pour ses seuls et uniques héritiers savoir ses père et mère pour la moitié ou chacun pour un quart & mes sieurs Jean Auguste Holtzapffel, facteur d’instruments de musique domicilié à Paris & Jean Charles Holtzapffel licencié en droit, employé aux hospices civils de Strasbourg, domicilié à Strasbourg ses deux frères germains pour l’autre moitié ou chacun aussi pour un quart
(Acte de décès joint) âge de 9 ans 19 jours né à Paris (Seine)
acp 312 (3 Q 30 027) f° 11-v

La veuve et les enfants de Jean Daniel Holtzapffel cédent en 1854 à l’Etat un terrain devant la maison

1854 (31.7.), Maire
Vente par 1) Marie Louise Benard veuve de Jean Daniel Holtzapffel, 2) Charles Holtzapffel avocat à Strasbourg, 3) Jean Auguste Holtzapffel facteur d’instruments de musique à Paris
à l’Etat
de 14,88 mètres de terrain route impériale N° 68 moyennant 14,82 francs
acp 432 (3 Q 30 147) f° 26 du 4.8.

Marie Louise Benard meurt le premier décembre 1855 (sans doute chez son fils à Paris puisqu’on ne trouve son acte de décès ni à Strasbourg ni à Schiltigheim). Lors de la liquidation, la maison revient à son fils avocat Jean Charles Holtzapffel

1855 (15.12.), Strasbourg 10 (130), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 11.314
N° 11.314. 15 décembre 1855. Liquidation et partage de la succession délaissée par Marie Louise Benard veuve de Jean Daniel Holtzapffel, en son vivant facteur d’instruments
ont comparu 1) Mr Jean Charles Holtzapffel, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg, 2° Et Mr Jean Théodore Koerttgé, clerc de notaire demeurant et domicilié en la même ville, agissant comme mandataire de Mr Jean Auguste Holtzapffel, professeur de musique demeurant et domicilié à Paris (…) voulant procéder au partage des biens et valeurs dépendant de la succession de Mad° veuve Holtzapffel, ci près nommée, ont préalablement exposé ce qui suit
Mad° Marie Louise Benard domiciliée à Strasbourg ; veuve de M. Jean Daniel Holtzapffel, en son vivant facteur d’instruments en la même ville, est décédée le premier décembre 1855 en laissant pour seuls et uniques héritiers chacun pour moitié MM Holtzapffel, ses deux enfants sus nommés issus de son mariage avec ledit M Holtzapffel son mari défunt, ainsi que cette qualité est constatée par un acte de notoriété dressé par ledit M° Zimmer, qui en a la minute, & son collègue le 14 décembre 1855. Après le décès de Mad° Holtzapffel il n’a pas été fait d’inventaire de sa succession, les présentes devant en tenir lieu en tant que besoin

Succession de Mad° Holtzapffel 6) de la moitié indivise d’une maison à trois étages & mansardes, située à Strasbourg rue de la mésange N° 8, consistant en deux corps de logis, l’un sur le devant, l’autre sur le derrière, petite cour au milieu avec une pompe, appartenances & dépendances, d’un côté une ruelle aboutissant sur l’ancien fossé des tanneurs, de l’autre propriété de M Lange, par devant ladite rue par derrière au fossé. Cet immeuble est évalué sans distraction des chambres à raison d’un revenu annuel de 2400 francs à un capital de 48.000 francs
7) et la moitié d’un bien de Campagne, autrefois l’auberge au pied de Bœuf, se composant de deux corps de bâtiments, (…) situé à Schiltigheim rue dite Münchherrengass portant autrefois le N° 203 aujourd’hui le N° 246 (…)
Abandonnements à Jean Charles Holtzapffel 1) La maison sus désignée & ses dépendances le tout sis à Strasbourg rue de la mésange N° 8 pour son prix d’estimation de 48.000, 2) Ladite campagne sise à Schiltigheim pour 10.000 francs
acp 445 (3 Q 30 160) f° 100 du 17.Xbr (succession déclarée le 17 décembre 1855) Masse active, 1) mobilier estimé à 1258, 2) argent comptant 705, 3) rentes 4 % 79.787, 4) rentes 4 % 100, 5) rentes 3 % 3057, 6) actions de la banque de France 34.650, 7) argent à la caisse d’épargne 1033, 8) maison rue de la Mésange N° 8, moitié 34.000, 9) campagne à Schiltigheim, moitié 5000, Total 152.472 francs
à quoi les héritiers ajoutent la moitié des mêmes immeubles 29.000, total 181.472
Masse passive 11.000, reste 170.482

N° 11.312. 13 décembre 1855. Notoriété (…) qu’ils ont parfaitement connu Dame Marie Louise Benard domiciliée à Strasbourg veuve de M. Jean Daniel Holtzapffel, en son vivant facteur d’instruments en la même ville, que ladite dame est décédée ab intestat le premier décembre 1855, qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire et qu’elle a laissé pour seuls habiles à se dire et porter héritiers ses deux fils ci après nommés, seuls enfants issus de son mariage avec son défunt époux susnommé savoir
1° Mr Jean Auguste Holtzapffel, professeur de musique demeurant et domicilié à Paris, 2° Mr Jean Charles Holtzapffel, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg
acp 445 (3 Q 30 160) f° 96-v du 15.Xbr

Jean Charles Holtzapffel épouse en 1833 Sophie Holtzapffel
1833 (2.10.), Strasbourg 7 (87), M° Stoeber n° 14.872
Contrat de mariage – M Jean Charles Holtzapffel, étudiant de droit fils de Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments de musique breveté, et Marie Louise Bénard
Sophie Holtzapffel fille de Théophile Holtzapffel, tourneur, et de Jacobée Westermann
Enregistrement, acp 220 F° 130 du 10.10. – communauté réduite aux acquets

Registre de population 600 MW 191. Rue de la Mésange 8, f° 203 (i 48)
Holtzapfel née Bennard, Marie Louise, 1794, Paris (Seine), propriétaire, P. veuve, (à Str. depuis) 9.bre 24, (entrée) 15 8.bre 1827
Holtzapfel, Jn Charles, 1808, Paris (Seine), avocat, P. M.
id. née Holtzapfel, Sophie, 1809, Strasbourg, P. Ep
id. Charles Victor, 23 juillet 1834, Strasbourg, P. fils – Cert. Enrôl. vol. le 22 janvier 1855
id. Sophie 1837, Strasbourg, P. fille
id. Jn Charles, 1843, Strasbourg, P. fils
id. Sophie Marie 1845, Strasbourg, P. fille

Jean Charles Holtzapffel cède à sa voisine Louise Weiler la mitoyenneté du pignon

1858 (14.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 715 (2864) n° 1
Par devant M° Charles Noetinger et son collègue notaire à la résidence de Strasbourg soussignés, a comparu Monsieur Jean Charles Holtzapffel, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg, propriétaire de la maison sise et cette ville rue de la mésange N° 20, anicennement numéro 8, aux termes de l’acte de partage de la succession de ses père et mère dressé par M° Zimmer notaire à Strasbourg, lequel a par les présentes vendu, cédé et abandonné en toute propriété (…)
à Dame Louise Weiler, rentière, demeurant et domiciliée à Strasbourg rue de la mésange n° 22, acquéreuse ci présente et acceptant
La mitoyenneté à partir d’une hauteur de 17 mètres 63 centimètres des fondations de la cave évaluée à 63 centimètres, du pignon de sa maison déjà sus indiquée rue de la mésange n° 20 à côté de la propriété de la dame acquéreuse. Tel que ce pignon est figuré au plan ci contre sans en rien réserver ni excepter mais sans aucuen garantie à raison des réparations qui seraient à y faire – moyennant le prix de 69 francs 60 centimes
Enregistrement f° 58 r° du 22 décembre

Acte de notoriété constatant la mort de Sophie Marie Holtzapffel, fille de Jean Charles Holtzapffel et de Sophie Holtzapffel
1866 (15.9.), Strasbourg 13 (94), M° Flach (Jean Georges) n° 5932
Notoriété – qu’ils ont parfaitement connu madlle Sophie Marie Holtzapffel et savoir qu’elle est décédée à Schiltigheim le 14 août 1866, qu’après son décès il n’a point été fait d’inventaire, qu’elle a laissé pour seuls héritiers savoir
M. Jean Charles Holtzapffel avocat et mad. Sophie Holtzapffel son épouse demeurant ensemble à Strasbourg ses père et mère chacun pour un quart ensemble pour moitié ou 6/12
M. Charles Victor Holtzapffel, notaire à Strasbourg y demeurant son frère, pour 2/12
Madlle Eugénie Sophie Holtzapffel, en jouissance de ses droits demeurant à Strasbourg pour 2/12
M. Jean Charles Holtzapffel, commis libraire demeurant à Strasbourg son frère pour 2/12, total 12/12.
acp 551 (3 Q 30 266) f° 158 du 17.9.

Acte de notoriété constatant la mort du commis libraire Jean Charles Holtzapffel, fils de Jean Charles Holtzapffel et de Sophie Holtzapffel
1870 (29.3.), Strasbourg 7 (133), M° Edouard Stromeyer
Acte de notoriété constatant la qualité des héritiers de Jean Charles Holtzapffel demt. à Strasbourg
(…) avoir parfaitement connu M. Jean Charles Holtzapffel en son vivant commis libraire demeurant à Strasbourg et savoir
Qu’il est décédé à Strasbourg le 8 mars 1870
Qu’après son décès il n ‘a point été fait d’inventaire et
qu’il a laissé pour seuls et uniques héritiers savoir M. Jean Charles Holtzapffel, avocat et Mad. Sophie née Holtzapffel son épouse demeurant ensemble à Strasbourg, ses père et mère, chacun pour un quart soit ensemble pour moitié
M. Charles Victor Holtzapffel, notaire à Strasbourg y demeurant, Madlle Eugénie Sophie Holtzapffel, rentière demeurant à Strasbourg ses frère et sœur germains chacun pour un quart soit ensemble pour l’autre moitié (…)
Le présent acte dressé uniquement en vue du retrait d’une somme déposée à la caisse des retraites pour la vieillese est exempt des droits du timbre et d’enregistrement (art. 11 de la loi du 18 juin 1850).

Lors de la liquidation de succession de Jean Charles Holtzapffel, mort le 18 octobre 1872 en délaissant un fils notaire, Charles Victor Holtzapffel, et une fille rentière, Eugénie Sophie, la maison rue de la Mésange revient à cette dernière

1873 (12.4.), M° Holtzapffel
Liquidation und Theilung Gütergemeinschaft die zwischen Johann Karl Holtzapffel, lebend Advokat und Sophie Holtzapffel seiner Ehefrauen in Straßburg und von dem Nachlass des Hn Holtzapffel den 18. october 1872 gestorben errichtet
1) durch die Wittwe handelnd als Theilnehmerin der halben Gemeinschaft nach Ehevertrag vor Notar Stoeber den 2. October 1833,
2) Karl Victor Holtzapffel, Notar in Straßburg, 3) Eugenie Sophie Holtzapffel, Rentnerin in Straßburg
acp 615 (3 Q 30 330) f° 66 n° 1736 du 16.4. – Gütergemeinschaft. Mobilien 2000, Geld 2500, Pacht Zinse 566, Sparkassen Büchlein 1870, Ausstände 5041,
Ein Haus in Straßburg Brudergasse 40.000, Zusammen 51.798
abzuziehen Rücknahme der Wittwe 14.563, bleibt 37.414
Rücknahme des verstorbenen 80.136, weniger Ersatzleistung 10.000, bleibt 70.136
Nachlass. Rücknahme 37.414, Kleidung 500
Ein Haus Meisengasse N° 20, 62.000
Ein Landgut in Schiltigheim 15.000 (zusammen) 114.914
Passiv Masse 6000, bleibt 108.916
Nutznießung der Wittwe ½, 54.457
Abtretung der Wittwe (…) zur Nutznießung das Haus Brudergasse
H. Holtzapffel Sohn bekommt 1) ½ des Hauses Brudergasse
Eugenie Sophie Holtzapffel bekommt 2) ½ des Hauses Brudergasse
4) das Haus Meisengasse
5) das Gut zu Schiltigheim

1874 (11.3.), Flach (minutes en déficit)
Notorietätsact, bestätigend, daß Johann Carl Holtzapffel, Eigenthümer zu Straßburg, den 18. October 1872 verstorben ist
acp 625 (3 Q 30 340) f° 36 n° 1152 du 11.3.

Sophie Holtzapffel meurt le 16 juillet 1878 à Lostorf dans le canton de Soleure
1878 (21.9.), Strasbourg 10 (186), M° Frédéric Antoine François Pierron n° 2102
(bilingue) Offenkunde – (…) avoir parfaitement connu Madame Sophie née Holtzapffel rentière demeurant à Strasbourg veuve de Monsieur Jean Charles Holtzapffel, qu’elle est décédée à Lostorf (Suisse) le 16 juillet 1878 et qu’elle a laissé pour seuls et uniques héritiers issus de son mariage avec ledit Monsieur Jean-Charles Holtzapffel savoir
Monsieur Charles Victor Holtzapffel notaire demeurant et domicilié à Strasbourg Et Mademoiselle Eugénie Sophie Holtzapffel rentière demeurant et domiciliée en ladite ville
(Extrait de l’acte de décès)
acp 680 (3 Q 30 395) f° 92 du 23.9.

Liquidation de sa succession. La maison rue du Maroquin, provenant des parents de la défunte, revient à sa fille.
1879 (10.3.), M° Pierron
Theilung des Nachlasses von Sophie Holtzapffel Wittwe von Johann Karl Holtzapffel Advokat zu Straßburg gestorben zu Lostorff (Schweiz) den 16. Juli 1878. Auf Anstehen von 1° Carl Viktor Holtzapffel Notar zu Straßburg 2° Eugenie Sophie Holtzapffel, Rentnerin Zu Straßburg handelnd als einige Erben ein Jedes zur Hälfte am Nachlasse ihrer vorgenannten Mutter
acp 687 (3 Q 30 402) f° 99-v n° 985 du 11.3. (Sterbf. Erklärung Bd 125 Bl. 25 d. 11. III
Activmasse I. Amerikanische Staatschuld 120 und 60
II frantzösische Nord-Eisenbahn, 2718
III Anleihe der Stadt Paris 1684
IV frantzösische Statsrente 115.132
V frantzösische Ost-Eisenbahn, 21.637
VI frantzösische Staatsschuld 2553
VII Anleihe der Stadt Strassburg 4000
VIII Bank von Frankreich 37.980
IX Communal und Boden Credit 8000, 3600, 6800, 2640
X Forderungen an Magdalena Holtzapffel Ww Pfitzenmeyer 531, Zins 20
XI Forderungen an Eduard Saenger 1000 Zins 63
XII Forderungen an Andreas Happel 480 und 10
XIII Forderungen an Valentin Rothgenannt Ohlbur 1600 und 14
XIV Forderungen an Jakob Wurtz 4000 und 81
XV Baares Geld 2776
XVI Ein Wohnhaus zu Straßburg Korduangasse N° 24, 12.800 – Total 268.657
Anweisungen, Eugenie Sophie Holtzapffel XI. Wohnhaus Korduangasse

Accord passé pour trente ans entre la Ville, propriétaire de l’impasse de la Mésange, et les propriétaires riverains, Ernest Becker, Ferdinand Wisner et Sophie Holtzapffel, concernant les frais occasionnés par les portes qui ferment l’impasse tant vers la rue de la Mésange que vers la place des Etudiants, et la suppression de l’urinoir.

1892 (7.3.), Maire
5270. Bürgermeisteramt, en 7. März 1892 – Vertrag zwischen der Stadt Strassburg
und 1. den Rentner Ernst Becker hier, 2. dem Zahnarzt Ferdinand Wisner hier, 3. der Rentnerin Sophie Holtzapfel hier
die 3 Letztere als jetzige Eigenthümer des an das sogenannte Meisensackgäßchen angrenzenden Hauses übernehmen von den Kosten I. für das neue Abschlußthor an der Meisengasse,
II. für die Beseitigung des Pissoirs ane dem entgegengesetzten Ende des Gäßchens am Studentenplatz,
ferner III. für die Herstellung der zum Abschluß des frgl. Gäßchens am Studentenplatz erforderlichen Mauer, einem Gesamtbetrag von 500 Mark. Der erforderliche Mehrbetrag der Kosten für die frgl. Arbeiten wird durch die Stadtkasse gedeckt. Zur Anerkennung der Eigenthumsrechte der Stadt an dem frgl. Gäßchen zahlt jeder der 3 genannten eine jährliche Gebühr von 0,50 M. Der Vertrag ist auf dreißig Jahre abgeschlossen.
acp 854 (3 Q 30 569) f° 64 du 12.3.

Sophie Eugénie Holtzapffel meurt à l’âge de 83 ans le 29 juillet 1921

Décès, Strasbourg (n° 1692)
Strasbourg le 29 juillet 1921, a comparu aujourd’hui Madame Marcelle Holtzapffel née Koernen, demeurant à Lyon (Rhône), Rue Alfred de Musset (…) a déclaré que Mademoiselle Sophie Eugénie Holtzapffel, sans profession, âgée de 83 ans 8 mois, de religion protestante demeurant à Strasbourg, 20, rue de la Mésange, née à Strasbourg, fille de Jean Charles Holtzapffel et de Sophie née Holtzapffel, demeurant à Strasbourg, est décédée à Strasbourg 20, rue de la Mésange le 29 juillet de l’année 1921 à trois heures 30 minutes (i 36)



Table alphabétique des propriétaires, I-J


ABCDEFGHKLMNOP-QRSTU-VWZ

Ichart – Jean Jacques, tailleur d’habits, et (1683) Marie Elisabeth Weyel – luthériens, notice
Ihlé – Jean Georges, boulanger, et (1733) Chrétienne Lother – catholiques, (1)
Ihlé – Jean Georges, juriste célibataire († 1799) , (1)
Ihringer – Jean Jacques, tailleur, et (1656) Catherine Scheder puis (1675) Marie Madeleine Buhler – luthériens, (1), (2), (3)
Ilg – Jean, tapissier, et (1745) Catherine Friderich – catholiques, (notice)
Iller – Jean Henri, notaire, et (1712) Marie Barbe Schurer – luthériens, notice
Iller – Martin, pasteur au Temple neuf, et (1675) Marie Madeleine Brackwehr – luthériens, (1)
Illinger – Jean Daniel, menuisier, et (1722) Marie Madeleine Brechtel – luthériens, (1)
Imhoff – Jean Michel, farinier, et (1817) Anne Barbe Dick, (1)
Imlin – Emanuel Frédéric, orfèvre, et (1806) Marie Elisabeth Feyhl, (1)
Imlin – François Daniel, orfèvre, et (1781) Marie Madeleine Albrecht – luthériens, (1)
Imlin – Jean Daniel Frédéric, vétérinaire et professeur d’équitation, et (1837) Sophie Eugénie Broistedt puis (1843) Julie Düringer, (1)
Imlin – Jean Louis, commissaire puis secrétaire, et (1662) Barbe Kips – luthériens, (1)
Imlin – Jean Louis, orfèvre, et (1690) Marie Salomé Harnister – luthériens, (1)
Imlin – Jean Louis, orfèvre, et (1721) Anne Salomé Boch – luthériens, (1), (2)
Imlin – Jean Louis, orfèvre, et (1746) Marie Salomé Ehrmann – luthériens, (1)
Immendœrffer – Jean Pierre, apprêteur de tabac et (1698) Marie Catherine Barth puis (1723) Marie Dorothée Erhard – luthériens, (1)
Immler – Mathias, aubergiste, et (1696) Elisabeth Benner – luthériens, (1)
Immler – Mathias, aubergiste, et Timothée Schmidt – luthériens, (1), (2)
Imprimerie et éditions strasbourgeoises, société anonyme anciennement R. Schultz et Compagnie (Strassburger Druckerei und Verlaganstalt, Aktiengesellschaft, vormals R. Schultz & Compagnie), (1), (2)
Inckel – Jacques, pêcheur, et (1692) Anne Ursule Franck – luthériens, (1)
Inckel – Jean Daniel, vitrier, et (1724) Marie Marthe Marquard, d’abord (1703) femme du vitrier Sebastian Vierling, puis (1733) Marie Madeleine Eckel – luthériens, (1)
Inckel – Jean Georges, pêcheur (bourgeois en 1725), notice
Ingweiler – Michel, marchand, et (v 1615) Marie puis (1637) Ursule Müeg, d’abord (1630) femme du marchand Gaspard Emmerich puis (1646) du marchand Jean Adolphe Kirchhoffer – luthériens, (1), (2)
Ingweiler – Zacharie, marchand de soie, et (1656) Cléophée Huck – luthériens, (1)
Irrmann – Jacques, cordonnier, et Marie Madeleine Werner, puis (1786) à Marie Madeleine Wilhelm – luthériens, (1)
Irrmann – Jean, aubergiste à Pfulgriesheim puis à Niederhausbergen, et (b, 1638 Catherine, veuve d’André Hirt, puis (1639) Chrétienne Ludwig – luthériens, (1)
Irrmann – Nicolas, à Niederhausbergen, et (1680) Eve Riehl – luthériens, (1)
Isaac – Nicolas, sellier, et (1784) Catherine Elisabeth Georger – catholiques, (1)
Isenheim – Jean Daniel, boutonnier d’étain, et (1759) Anne Diemer, veuve du pasteur André Meyer – luthériens, (1)
Isenheim – Jean Daniel, boutonnier d’étain, et (1796) Marie Madeleine Spinlein, (1)
Isenheim – Jean Henri, fondeur d’étain, et (1670) Marie Madeleine Bein – luthériens, (1)
Isenheim – Jean Henri, fondeur d’étain, et (1699) Marie Ursule Schaaff puis (1726) Susanne Salomé Schatz – luthériens, (1), (2)
Isenheim – Jean Henri, fondeur d’étain, et (1733) Susanne Madeleine Edel – luthériens, (1)
Isenheim – Jean Henri, fondeur d’étain, et (1771) Marie Marguerite Heydel – luthériens, (1)
Isenheim – Jean Jacques, fondeur d’étain, et (1703) Sara Schwartz – luthériens, (1)
Isenheim – Jean Jacques, fondeur d’étain, et (1761) Marguerite Madeleine Schwartz – luthériens, (1)
Issler – Conrad Sébastien, maçon et tailleur de pierres, et (1729) Anne Marguerite Unger – luthériens, (1)
Ittel – Jean Schweickhard, mercenaire, et (1581) Marguerite Hoffbauer puis (1608) Chrétienne, auparavant (1573) femme du jardinier Mathias Kling puis (1598) du pêcheur Michel von Hipsheim – luthériens, (1)
Jaccoud – André François, négociant, et Marie Catherine de Fywaz, (1)
Jaccoud – Claude, marchand, et Jeanne Françoise Hugard, (1732) Marie Rabel, d’abord (1725) femme du marchand Antoine Arnaud – catholiques, (1)
Jacob – Charles (Michel), menuisier, et (1893) Marie Fromüller, (1)
Jacob – Samuel, aubergiste († 1796), et Sara Netter, (1)
Jacober – Frédéric, cordonnier, et (1689) Marie Barbe Zahle – luthériens, (1)
Jacobi – Paul Augustin, négociant, et (1788) Claudine Apolline Labeaume, remariée (1804) avec le major François Joseph Gerard, (1)
Jacobi – Pierre, maréchal ferrant de l’artillerie, et (1751) Marie Madeleine Carl – manants, catholiques, (1)
Jacotti – Pierre, aubergiste et (v. 1739) Anne Marie Huet – catholiques, (1)
Jacquemin – Jean Joseph, employé des contributions indirectes, et (1849) Mélanie Ott, (1)
Jacquemin – Nicolas, revendeur, et (1707) Anne Marie Hermes – catholiques, (1)
Jacquenoux – Jean Emanuel, cordonnier, et (1746) Marie Barbe Schott – réformés, (1)
Jacques – Jean Hubert, tailleur, et (1797) Thérèse Antoine puis (1834) Louise Maag, remariée (1842) avec le préposé des douanes Jean Pierre Sauvay, (1)
Jacques – Simon, fripier puis cabaretier, et (v. 1700) Ursule Treimer – catholiques, (1)
Jacques Barth, ceinturier, et (v. 1583) Susanne Kull – luthériens, (1)
Jacquet – Jean Claude, courrier, et (v. 1795 ) Marie Catherine Roch, (1)
Jacquet – Nicolas, rentier à Sélestat, et (v. 1790) Thérèse Gouy, (1)
Jacquot Damersbach – David Mathias, avocat, et (1761) Henriette Marie Sophie Bellecombe – catholiques, (1)
Jacquy – Pierre Louis Alexandre, commis des douanes, et Madeleine Thomas puis (1856) Marie Louise Adélaïde Gouget, (1)
Jæck – Jean, potier, et (1768) Anne Dorothée Jost, veuve de Jean Georges Hæberlin – luthériens, (1)
Jæcklin – Jean Frédéric, brasseur, et (1796) Marie Salomé Helck, (1)
Jæcklin – Jean Frédéric, maçon, et (1762) Marguerite Madeleine Ehrenmann – luthériens, notice
Jæcklin – Jean Frédéric, plâtrier, et (1727) Marie Salomé Steitz – luthériens, notice
Jæger – Constantin, négociant, et (1852) Concorde Emma Ehmann, (1)
Jæger – Georges, notaire, et (1619) Elisabeth Gœtz – luthériens, (1)
Jæger – Jean Charles, vitrier, et (1830) Marguerite Schwartz, (1)
Jæger – Jean Georges, notaire, et (1655) Anne Marie Würtz – luthériens, (1)
Jæger – Jean Martin, pasteur de Scharrachbergheim et Irmstett, et (1705) Anne Marie Merckel – luthériens, (1)
Jæger – Jean, tailleur, et (1577) Anne Schrad – luthériens, (1)
Jæger – Thiébaut, constructeur de bateaux, et (1579) Catherine Meyer puis (1602) Barbe Messerer, auparavant (1577) femme du tailleur Jean von Lampertheim – luthériens, (1)
Jæger – Valentin, batelier, (1618) Catherine Vierling puis (1635) Anne Biber auparavant (1616) femme du farinier Michel Klein – luthériens, (1)
Jægy – François Joseph, boulanger, et (1774) Gertrude Thérèse Huther – catholiques, (1)
Jaggi (Jacqui) – Etienne, revendeur, et (1684) Barbe Rickenbach – réformés, (notice)
Jahreis – Jean Henri, receveur à l’Œuvre Notre Dame, et (1737) Marie Esther Marbach – luthériens, (1)
Jannesson – Joseph (Camille), pharmacien, et (1841) Dorothée Pauline Rœderer, (1)
Janus – Jean, cordonnier puis formier, et (1721) Anne Madeleine Verius – luthériens, (1)
Jaquemin dit la Fontaine – Jean Antoine, cafetier, et (1735) Marie Anne Nicole Lambert, veuve du sergent Abdon Sonners, puis (1737) Marie Anne Prefosse – catholiques, (1)
Jauch – Jean Népomucène, professeur de musique, et (1817) Marie Thérèse Adélaïde Hodel, (1)
Jaussaud – Jacques, négociant, et (1768) Charlotte Beaufort – catholiques, (1)
Jean dit Carolis – (François Frédéric) Jules, marchand de vins, et (1888) Salomé Lehmann, (1)
Jean Richshoffer, marchand, consul, et (1623) Agnès Guichard puis (1634) Susanne Ringler – luthériens
Jeantet – Jean Claude, marchand cartier, et (1759) Elisabeth Odile Pescaire, veuve de Pierre Jean Laborie, marchand cartier – catholiques, (notice)
Jecklé – Jean Georges, boulanger, et (1850) Sophie Caroline Mauss puis (1858) Salomé Becker, (1)
Jehl – (Martin) Adolphe, hôtelier, et (1892) Joséphine Osel – catholiques, (1)
Jehl – Louis, menuisier, et (1777) Catherine Hœltzel – catholiques, (1)
Jenin – voir Schœni
Jenner – Michel, contrôleur des droits de place, et (1830) Marguerite Charpentier, (1)
Jenni – Abraham, apprêteur de tabac et manant, et (v. 1688) Anne Elisabeth Hochstetter veuve de Jean Georges Frech – luthériens, (1)
Jeser – Jean, soldat puis jardinier, et (v. 1625) Marie Heller, remariée à Antoine Zix de Mundolsheim – luthériens, (1)
Joannin – Pierre, chapelier, et (1794) Marguerite Ursule Schwabenhauser, (1)
Jobin – Emeric, huissier, et Ursule Kessler puis (1694) Catherine Elisabeth Berga – catholiques, (1)
Jobin – Ignace, marchand de toiles, et (1829) Madeleine Eschbach, (1)
Jœrges – Jean Pierre, taillandier, et (1732) Anne Catherine Burger, auparavant épouse (1724) du taillandier Jean Georges Bauer – catholique et luthérienne convertie, (1)
Jœrges – Jean Pierre, taillandier, et (1764) Anne Marie Meng – catholiques, (1)
Joham de Mundolsheim – Jean Conrad et (v. 1594) Marthe de Kettenheim – luthériens, (1)
Joham de Mundolsheim – Jean Philippe, et (1595) Marguerite Wormser de Vendenheim – luthériens, (1), (12)
Joham de Mundolsheim – Jean Philippe, préteur, et (1668) Marie Félicité Wurmser de Vendenheim – luthériens, (1)
Joham de Mundolsheim – Philippe Conrad et (1678) Marie Salomé de Schauenbourg – luthériens, (1)
Joham de Mundolsheim – Philippe Conrad et Eve Susanne Streiff de Lauenstein – luthériens, (1), (notice)
Joham de Mundolsheim – Philippe Ferdinand et (1708) Eléonore Sidonie de Fleckenstein – luthériens, (1)
Joham de Mundolsheim – Thiébaut et (v. 1550) Ursule Ingold – luthériens, (1), (2), (3)
Joly – Antoine, cartier, et (1674) Claudine Tournier – catholiques, (notice)
Joly – Claude Antoine, avocat, et (1722) Madeleine Leclerc – catholiques, (1), (2)
Jooss – Philippe de, chancelier de l’évêché, et Anne Catherine de Hornthum veuve de Pierre Louis de Falckenberg – catholiques, (1)
Jordis – Samuel et Daniel, associés de Francfort-sur-le-Main, (1)
Jorim – Jean, tonnelier, et (1585) Marguerite Held – luthériens, (1)
Joss – Jean, aubergiste, et (1710) Marie Salomé Wachenheim – réformé et luthérienne, (1)
Jost – Abraham, tonnelier, et (1788) Anne Marie Guthmann – luthériens, (1)
Jost – Caroline, revendeuse, célibataire (1799-1868) , (1)
Jost – Eugène, journalier puis restaurateur, et (1862) Caroline Lustig, (1)
Jost – Jean André, serrurier, et (1767) Susanne Madeleine Bürckel – luthériens, (1), (2)
Jost – Jean Antoine, marchand de vins, et (1762) Marie Dorothée Teutsch – luthériens, (1), (2)
Jost – Jean Antoine, tonnelier, et (1762) Marie Dorothée Teutsch – luthériens, (1)
Jost – Jean Guillaume, cordonnier, et (1634) Marie Küntzer puis (1644) Marie Wurm remariée (1651) au cordonnier Jean Pflaum – luthériens, (1)
Jost – Jean Michel, sellier, et (1780) Marie Elisabeth Schneegans – luthériens, notice
Jost – Jean Michel, tourneur, et (1784) Marguerite Salomé Kohrmann – luthériens, (1)
Jost – Jean, cordonnier, et (1682) Anne Marie Klingenbach – luthériens, (1)
Jost – Michel, pasteur, et (1632) Anne Marie Rettich – luthériens, (1)
Jud – Jacques, jardinier, et (v. 1595) Aurélie Wirich – luthériens, (1)
Jud – Thiébaut, jardinier aux Charrons, et (1642) Marguerite Voltz – luthériens, (1)
Jud – Thiébaut, jardinier, et (1642) Marguerite Voltz – luthériens, (1)
Jud – Thiébaut, jardinier, et (1672) Marguerite Schæffer puis (1690) Aurélie von Fridolsheim d’abord (1677) femme du jardinier Laurent Hammerer – luthériens, (1)
Juen – François, maçon, et (1816) Marie Françoise Deutscher, (1)
Jullien – Philippe, employé à la manufacture de tabac, et (1832) Marie Thérèse Burckardt (1)
Julliot – Pierre, marchand boutonnier, et (1692) Nicole Lefevre – catholiques, notice
Jund – (Alphonse) Eugène, fabricant de pâtes, et (1873) Julie Berthe Heidt, (1)
Jund – Abraham, boutonnier, et (1736) Marie Catherine Lobstein – luthériens, (1), (2)
Jund – André, tailleur, et (1579) Catherine Hauss – luthériens, (1)
Jund – Anne Marie, célibataire († 1847) , (1)
Jund – Isaac, aubergiste, et (1761) Marie Barbe Schneegans – luthériens, (1)
Jund – Isaac, serrurier, et (1726) Marie Madeleine Kæss puis (1741) Marie Salomé Heydenreich, notice
Jund – Isaac, tenancier du poêle des Gourmets, et (1733) Marie Susanne Kuntz – luthériens, (1)
Jund – Jean Geoffroi, boutonnier, et (1797) Marie Elisabeth Rudolph, (1)
Jund – Jean Henri, boutonnier, et (1731) Marie Elisabeth Wagner – luthériens, (1)
Jund – Jean Jacques, boutonnier, et (1767) Anne Marie Kolb – luthériens, (1)
Jund – Jean Philippe, cordonnier, célibataire († 1784) – luthérien, (1)
Jundt – Isaac, boulanger, et (1684) Barbe Roth, (1691) Susanne Kesselmeyer, et (1704) Marguerite Lobstein – luthériens, notice
Jundt – Jean Jacques, boulanger, et (1647) Anne Marie Krauffthal puis (1667) Salomé Kiehl – luthériens, (1)
Jundt – Jean Jacques, relieur, et (1822) Henriette Amélie Kirstenstein, (1)
Jundt – Théodore, tourneur, et (1830) Frédérique Baldner, (1)
Jung – Antoine, militaire, revendeur de tabac, et (1779) Marie Madeleine Thomann – catholiques, (1)
Jung – Charles Frédéric, marchand de poissons, (1)
Jung – Charles Henri, compagnon maçon (1776) – luthérien, notice
Jung – Damien, aubergiste, et (1610) Odile Hermann puis (1627) Marie Stich – luthériens, (1), (2)
Jung – Daniel, batelier, et (1628) Susanne Rapp, (1639) Barbe Lempfried, puis (1661) Susanne Roth – luthériens, (1)
Jung – François Frédéric, cordonnier, et (1781) Catherine Hélène Becker – catholiques, (1)
Jung – Georges Frédéric, aubergiste, et (1739) Susanne Marie Stempel – luthériens, (notice)
Jung – Georges Jacques, potier, et (1733) Catherine Dorothée Huck puis (1744) Marguerite Salomé Reissner, (1)
Jung – Jean André, relieur, et (1794) Catherine Salomé Stuber, (1)
Jung – Jean Daniel, marchand de poissons, et (1756) Marie Dorothée Hoh – luthériens, (1)
Jung – Jean Frédéric, marchand de poissons, et (1782) Anne Marie Jung – luthériens, (1)
Jung – Jean Jacques, batelier, (1)
Jung – Jean Jacques, marchand de vins, et (1654) Marguerite Müller puis (1667) Aurélie Hirt – luthériens, (1)
Jung – Jean Jacques, pêcheur, et (1686) Anne Marguerite Kayser puis (1704) Anne Marie Waltz – luthériens, (1)
Jung – Jean Mathias, appêteur de tabac et manant, et (1763) Anne Bruder – luthériens, (1)
Jung – Jean Philippe, pasteur, et (1729) Sabine Elisabeth Saltzmann, (1732) Hedwige Strœhlin puis (1744) Catherine Marguerite Wild – luthériens, (1)
Jung – Jean Philippe, tailleur puis aubergiste, et (1691) Marie Salomé Reusch – luthériens, (1), (2)
Jung – Jean Philippe, tailleur, et (1691) Marie Salomé Rauscher – luthériens, (1)
Jung – Jean Thiébaut, marchand de poissons, et (1747) Marie Marguerite Koch – luthériens, (1)
Jung – Jean Thiébaut, pêcheur, et (1662) Marie Franck, puis* (1673) Anne Marie Hess et (1685) Ursule veuve de Jacques Fritz – luthériens, (1)
Jung – Jean Thiébaut, pêcheur, et (1712) Anne Rosine Riehm puis (1739) Anne Marie Ehemann – luthériens, (1)
Jung – Jean Thiébaut, tailleur, et (1694) Susanne Marguerite Büry, (locataires)
Jung – Jean, boulanger, et (1764) Marie Elisabeth Klein, veuve de Jean Michel Metz, puis (1765) Catherine Simon – luthériens, (1)
Jung – Jean, poissonnier, (1812) Marie Salomé Rockenbach, (1)
Jung – Jean, tonnelier, et (1697) Anne Barbe Schuhmann – luthériens, (1)
Jung – Mathias, débitant de tabac domicilié à Lyon, (1)
Jung – Philippe, vernisseur, et (1812) Madeleine Gemberling, (1)
Jung – Sébastien, savonnier, et (1585) Cunégonde Dasypodius – luthériens, (1)
Jungling – Georges Martin, boucher, et (1759) Marie Cléophée Zentler – luthériens, (1)
Jüngling – Jean, boucher, et (1833) Barbe Specht, (1)
Jungmann – François Antoine, jardinier, et (1754) Anne Marie Engeissen – catholiques, (1)
Junius – Balthasar, receveur de Saint-Antoine, et (1589) Susanne Spillmacher, puis (1606) Anne Hœchin, veuve de Thomas Schmidt, prévôt de Renningen – luthériens, (1)
Junth – Joseph, greffier municipal, et (1586) Marie Jacqueline Wunderer, (1594) Véronique Schimpff, veuve du receveur Jean Jacques Zeissolff, puis (1598) Agnès Fuchs – luthériens, (1)
Justet – Pierre, maître d’armes, et (1778) Gertrude Barbier – catholiques, notice



Table alphabétique des propriétaires, D


ABCEFGHI-JKLMNOP-QRSTU-VWZ

Dabeind – Joachim François Pierre, avocat au Conseil souverain d’Alsace, et (1764) Claire Ursule Baud – catholiques, (1)
Dabeind dit Poitevin – Claude, sellier, et (1712) Suzanne Sabattier – catholiques, (1)
Daber – Henri Guillaume, négociant, et (1809) Sara Albertine Ottmann, (1)
Dæhnichen – Michel (Michel Denniger), menuisier, et (1683) Catherine Steegmann – luthériens, (1)
Dahler – Jean Jacques, administrateur de mines († 1665), et Anne Marie Hopffenstœck puis Anne Commerell – luthériens, (1)
Dalheimer – Jacques, tailleur, et Madeleine Helckann – luthériens, (1)
Daller – Philippe Jacques, maître de calligraphie, et (1774) Odile Huther – catholiques, (1)
Dalmar – Emmanuel, revendeur, et (1783) Marie Catherine Hanss – catholiques, (1)
Dalmer – Simon Pierre, remueur de grains, et (1738) Marie Salomé Fessler – catholiques, (1)
Dambach – Christophe, boucher, et (1700) Catherine Obermüller puis (1725) Marie Elisabeth Müller – luthériens, (1)
Dambach – Jacques, cordonnier, et (1866) Emilie Caroline Gross, (1886) Eugénie Scheute puis (1892) Marie Catherine Litt, originaire de Romanswiller, veuve de Jacques Klein, (1)
Dambach – Jean Christophe, boucher, et (1736) Marie Madeleine Müller – luthériens, (1)
Dambach – Jean Daniel, pelletier, et (1666) Salomé Rudolff – luthériens, (1)
Damm – Jean Louis et (1598) Marie Graff – luthériens, (1)
Dangler – Jean, mesureur de bois, et (1681) Anne Marie Kœhl – luthériens, (1)
Dannbach – David, pelletier, et (1697) Madeleine Spangenberg puis (1709) Marie Elisabeth Wagenmann – luthériens, (1)
Dannbach – Jean Jacques, pasteur et (1665) Salomé Nagel puis (1701) Catherine Künast – luthériens, (1)
Dannbach – Philippe Henri, juriste puis imprimeur, et (1818) Marie Schott, (1), (2)
Dannbach – Philippe Jacques, imprimeur, et (1773) Marguerite Salomé Langheinrich – luthériens, (1)
Dannecker – Adolphe, fabricant de pain d’épice, et (1699) Anne Marie Sutter – catholiques, (1)
Dannecker – Adolphe, fabricant de pain d’épice, et (1725) Elisabeth Schiller puis (1748) Catherine Friedrich d’abord (1745) femme de Jean Ilg – catholiques, (notice)
Dannenberger – Jacques, sergent puis maître de rentes (1675), (1)
Dannenberger – Jean Georges, charron, (1682) Aurélie Schell – luthériens, (1)
Dannenberger – Jean Georges, jardinier, journalier, et (1759) Anne Marie Wolff puis (1782) Barbe Pfænder – luthériens, (1)
Dannenberger – Philippe Frédéric, pasteur, et (1810) Sophie Frédérique Rübsammen puis (1826) Marguerite Kornmann, (1)
Danner – François Joseph, homme de loi, et (1779) Louise Elisabeth Lanfrey – catholiques, (1)
Danner – Jean Charles, coiffeur, et (1855) Anne Marie Grepin, (1)
Dannhorn – Benoît Jacques, négociant, et (1765) Susanne Elisabeth Dambach – luthériens, (1)
Dannwolf – Chrétien Frédéric, vitrier, et (1845) Caroline Schuhmann puis (1858) Marie Gantzhorn, (1)
Darm – Jean Balthasar, potier, et (1749) Marguerite Neff veuve du potier Jean Michel Wetzel – luthériens, notice
Dartein – Jean Baptiste, commissaire des fontes de l’artillerie, et (1745) Anne Geneviève Colmont, (1)
Dartein – Jean Félix de, commissaire général des fontes d’artillerie, et Marie Louise Adélaïde Praz – catholiques, (1)
Daschmann – Conrad, aubergiste, et (1795) Ursule Schweinberger, auparavant (1790) Anne Marie Lieb – catholiques, (1)
Dassau – Jean Jacques, aubergiste, et (1767) Marguerite Pschorr puis (1773) Catherine Marguerite Kræuter – luthériens, (1)
Datt – Abraham, boucher, et (1724) Dorothée Hatt – luthériens, (1)
Datt – Jean Jacques, boucher, et (1743) Marie Marguerite Hansmetzger – luthériens, (1)
Datt – Philippe Jacques, boucher, et (1713) Anne Marie Brackwehr – luthériens, (1)
Dattler – Abraham, coutelier puis brasseur, et (1595) Judith Niess, d’abord (1585) femme du coutelier Jean Surlet, (1621) Marie Quackhard puis (1634) Anne Marie Reuter, remariée (1638) avec le barbier Gabriel Braunstein – luthériens, (1)
Daubenberger – Thiébaut, charpentier, et (1839) Madeleine Ingweiler, (1)
Daubin Dumesnil – Jacques Anselme, directeur des vivres de la province d’Alsace, et (1728) Marie Charlotte Denckenhausen – catholiques, (1)
Daubinet – François, cloutier, et (1806) Marie Salomé Eckert, (1)
Daudet – Christophe Louis, receveur, célibataire († 1815), (1)
Daudet – Louis, receveur du grenier à sel, et (1733) Françoise Ursule Catherine Le Couvreur – catholiques, (notice)
Daunac – Jacques, bourguemestre de Wissembourg, et Marie Anne Roberdeau (1)
Dauphin – Abraham, orfèvre, et (1641) Marie Helffenstein – luthériens, (1)
Dauphiné – François Eugène, pâtissier, et (1873) Maria Octavie Ernestine Russin, (1)
Dautel – Chrétien, notaire, et (1694) Anne Marie Leopard – luthériens, notice
Dautel – François Henri, notaire, et (1723) Marie Madeleine Lang puis (1759) Marthe Hansmetzger veuve du tanneur Jean Chrétien Storr – luthériens, notice
Dautel – Jean Louis, avocat, bailli à Schmieheim en Bade, et (1763) Catherine Salomé Baldner – luthériens, (1)
Davelouis – Jacques, inspecteur des vivres à l’armée du Rhin, et Sophie Midon, (1)
Davy de la Pailleterie – Anne François, capitaine de cavalerie, et (1719) Louise de Rathsamhausen à la Pierre, veuve de Joseph Bibereck baron de Reding –catholiques, (1), (2)
Dax – Mathias, tisserand, et (1713) Susanne Wetzlau – catholiques, (1)
de Bock – Ewaldt marchand, et (v. 1690) Elisabeth Holdegger – réformés, (1)
Debenesse – Philippe Louis César Auguste, négociant, et (1810) Henriette Charlotte Louise Debavay, (1), (2)
Debes – Joseph, maçon, et (1858) Anne Marie Grünewald, (1)
Deborde – Melchior, cordonnier, et (1729) Anne Marie Bachel puis (1735) Marie Marthe Colla – catholiques, (1)
Debus, Debes, voir aussi Thebes
Decary – Jacques, pâtissier, et (1726) Marie Barbe Maury – catholiques, (1)
Decheppe – Auguste et (1908) Salomé Adé veuve de François Eugène Burgleckler, (1)
Decimator – Jean, marchand, et (1662) Elisabeth Schæffer veuve de Georges Menges – luthériens, (1), (2)
Decimator – Jean, marchand, et (1692) Salomé Ahlenschlager veuve du marchand Isaac Kummerell, puis (1699) Agnès Bresler – luthériens, (1), (2), (3)
Deck – Marie Thérèse, célibataire, († 1840), (1)
Deck – Sébastien, doreur, et (1774) Marie Madeleine Ritter dite Chevalier – catholiques, (1)
Decker – Frédéric, fripier, et (v. 1562) Catherine puis (1574) Catherine, veuve du remueur de grains Loup Burckhard – luthériens, (1)
Decker – Guillaume Henri, fondeur d’étain, greffier puis consigne, et (1699) Marie Salomé Hertenstein – luthériens, (1)
Decker – Jean Jacques, tourneur et fondeur, et (1851) Dorothée Sophie Rosenfelder, (1)
Decker – Marc, barbier, et (v. 1635) Marie, à la Wantzenau – catholiques, (1)
Decombe – Etienne, commis des vivres, aubergiste, et (v. 1680) Marthe Didier – catholiques, (1)
Decret – Louis, revendeur, et (1704) Anne Barbe Hanselmann, veuve de Mathieu Lambert, (1726) Anne Catherine Kuntz puis (1733) Anne Marie Burbach – catholiques, (1)
Deffner – Jean, marchand, et (1616) Rosine Rœllisch veuve de Michel Meyer – luthériens, (1)
Degeorges – Jean Etienne, marchand, et (1713) Apollonie Bick, veuve de Jean Grat Rava – catholiques, (1)
Degermann – François Louis, relieur, et (1809) Marie Anne Rilliet, (1)
Deibler – Frédéric (Mathias), tisserand puis cafetier, et (1793) Anne Marie Kientzler, (1)
Deimel – Jean Jacques, marchand de chevaux, et (1740) Françoise Richard – catholiques, (1)
Deisser – Louis, tailleur, et (1688) Anne Marie Ruff, (1703) Catherine Schwartz puis (1705) Anne Marie Werner – luthériens, (1)
Delahaye – Henri Jean Baptiste Pierre, employé aux spectacles, et (1776) Marie Angélique Françoise Lamotte Villeneuve, (1)
Delamer (de la Mer) – Gabriel, marchand, et (1647) Elisabeth Lantzenberger puis (1657) Madeleine Sandrart, (1)
Delan – Louis Adolphe, confiseur, et (1851) Barbe Eschmann, (1)
Delapré – Alexandre Thomas, maître de langues, maître de pension, et (1765) Elisabeth Charlotte Monginot – catholiques, (1)
Delay – Jean François, aubergiste, et (1729) Marie Gertrude Lambert puis (1736, Marie Françoise Werner – catholiques, (1)
Delay – Jean François, aubergiste, et (1770) Marie Rosalie Béatrice Roth – catholiques, (1)
Delay dit Petitjean – Jean Gervais, manant, aubergiste, et (1695) Marie Gall – catholiques, (1)
Delord – Charles Frédéric de Lord de Saint-Victor, officier, et (1754) Marie Angéline Nicole de Marclesy – catholiques, (1)
Delord – Frédéric de Lord de Saint-Victor, major de la place, et Josèphe Henriette Agnès de l’Enfant de Coqfontaine puis (1723) Marie Anne Rose Brunck – catholiques, (1)
Delorme – Jean Claude, charron, et (1826) Marie Madeleine Rauscher, (1)
Délu – Lucien Auguste, ingénieur civil des mines à Paris, et Marie Anne Holtzapffel, (1)
Demange – Jean Baptiste, receveur au change à la Monnaie, et (1764) Marie Barbe Burgard – catholiques, (1)
Demuth – Jean Jacques, tonnelier et marchand de vins puis brasseur, et (1708) Anne Elisabeth Schurer puis (1735) Anne Marguerite Gœbel, veuve de Nicolas von der Mühl – luthériens, (1)
Demuth – Philippe Jacques, brasseur, et (1743) Marie Sara Blessig – luthériens, (1)
Denderlé – Abraham, tailleur, et (1630) Anne Marie Schemmerich – luthériens, (1)
Deneux – Pierre, perruquier, et (1713) Anne Marie Lizan – catholiques, (1), (2)
Denis – Joseph, boulanger, et (1804) Barbe Mæhn, (1)
Denizeau – Gaspard, maître d’armes, et Marie Morainville († 1704) – catholiques, (1)
Denné – Charles Chrétien, surveillant au magasin des tabacs, et (1856) Amélie Caroline Günther, (1)
Dennichen – Michel, menuisier, et (1718) Catherine Frœreisen – luthériens, (1)
Denninger – Jean Daniel, cordonnier, et (1810) Marie Madeleine Bilger, (1)
Denoyé – Jacques Antoine, organiste, et (1743) Marie Elisabeth Wurm – catholiques, bourgeois, notice
Denoyé – Pierre Humbert, aubergiste puis rémouleur, et (1715) Marie Anne Weiss – catholiques, manants, notice
Denu – Nicolas, entrepreneur, et (1836) Marie Madeleine Thérèse Hollender, (1)
Département du Bas Rhin, Ecole Normale des Institutrices protestantes, (1)
Département du Bas Rhin, école normale, (1)
Deplaigne – Vincent, revendeur, et (v. 1707) Catherine Pfenninger – converti, catholiques, (1)
Dérosier – Philippe Jacques, marchand de meubles, et (1819) Madeleine Wurm, (1)
Deschler – Michel, marchand épicier, et (1852) Rosalie Laas, (1)
Desormes – Louis Benjamin, marchand de fer, et (1802) Marie Salomé Korn veuve de Jean Hausser, (1), (2)
Desrues – François Alexandre, entrepreneur des fiacres, et (1786) Marie Madeleine Lienhard – catholiques, (1), (2)
Dessler – Jean Nicolas, marchand, et (1681) Salomé Kast, mariée en premières noces (1678) avec le marchand de soie Jean Bernard Leidecker – luthériens, (1)
Dettlingen – Chrétien Léopold baron de, officier, et (1784) Charlotte Henriette Ritzhaub – luthériens, notice
Dettlingen – Jean Gaspard de, et (v. 1680) Euphrosine de Schœnau, (1)
Dettlingen – Jean Régnard de, noble, et (1719) Jeanne Dorothée d’Oberkirch puis (1737) Philippine Eléonore de Glaubitz – luthériens, (1)
Dettweiler – Frédéric Auguste, boulanger, et (1827) Elisabeth Salomé Schwing, (1)
Dettwiller – Catherine, de Stiegel, manante, (1)
Deubel – Jean Michel, tonnelier, (1696) et Anne Marie Ranspach puis (1707) Anne Ursule Franck veuve du pêcheur Jacques Inckel – luthériens, (1)
Deubler – Jean Daniel, cloutier, et (1779) Anne Marie Haffner puis (1795) Marie Madeleine Gerig – luthériens, (1)
Deubler – Jean Georges, sergent de ville, et (1678) Marie Elisabeth Zorn puis (1690) Anne Marguerite Gassner, (1)
Deubler – Jean Thomas, tonnelier, et (1708) Marie Elisabeth Schweinlé – luthériens, (1)
Deucher – Jean, marchand, et (1707) Agnès Bressler, veuve de Jean Decimator – réformé et luthérienne, (1)
Deuchler – Jean Valentin, orfèvre bijoutier, et (1825) Charlotte Elisabeth Guillemette Ponnier, (1)
Deutscher – Joseph, jardinier, et (1814) Thérèse Wæchter, (1)
Deux-Ponts Cleebourg – Adolphe Jean, comte palatin du Rhin de, maréchal au service de Suède, et (1649) Else Béate Brahe puis (1661) Else Elisabeth Brahe – luthériens, (1)
Diaconesses – Etablissement des, (1), (2), (3), (4), (5), (6)
Diebold – Conrad, tailleur, et (1767) Anne Marie Dendel – catholiques, (1)
Diebold – Jacques et (1557) Barbe Leimer, remariée (1578) avec Philipp Mœsinger – luthériens, (1)
Diebold – Jean Frédéric, trompette, et (1684) Eve Elisabeth Hausser – luthériens, (1)
Diebold – Jean Michel, messager puis chandelier, et (1641) Anne Marie Klein – luthériens, (1), (2)
Diebold – Marie Catherine († 1714) – luthérienne, (1)
Diebold – Michel, ancien officier, et (1666) Elisabeth Neher veuve d’Abraham Schiller – luthériens, (1)
Diebold – Nicolas, potier, et (1695) Catherine Alber puis (1697) Dorothée Dumont – catholiques, (1)
Dieffenbach – Gaspard, chaudronnier, et (1638) Marie Dorsch, veuve de Michel Schwartz et de Matthieu Bernhard – luthériens, (1)
Dieffenbecher – André, receveur, et (v. 1565) Anne Stedel – luthériens, (1)
Diehl – Gustave, tanneur, et (1863) Caroline Enslé, (1)
Diehl – Jean Georges, potier, et (1783) Marie Madeleine Heusserer – catholiques, (1), (2)(1)
Dielenscheider – Anne Marguerite, célibataire († 1730) – luthérienne, (1)
Diemant – Louis, propriétaire, et (1840) Anastase Charlotte Ranz, (1)
Diemar – Michel, boulanger, et (1645) Ursule Erle – luthériens, (1), (2)
Diemer – (André) Frédéric, revendeur, et (1816) Barbe Schwing, (1)
Diemer – Abraham, boulanger, et (1762) Marguerite Salomé Boch – luthériens, (1)
Diemer – André Frédéric, revendeur, et (1816) Barbe Schwing, (1)
Diemer – Emmanuel Théodore, tamisier, célibataire († 1872), (1)
Diemer – Frédéric Thiébaut, tamisier, et (1787) Anne Marie von Trienbach – luthériens, (1)
Diemer – Jean Jacques, boulanger, et (1766) Marie Salomé Riebel puis (1767) Marie Salomé Ober et (1793) Catherine Dorothée Freyss, notice
Diemer – Jean Michel, menuisier, et (1829) Catherine Barbe Keller puis (1840) Elisabeth Keller, (1)
Diemer – Jean Michel, potier, et (1735) Marie Madeleine Nagel puis (1737) Anne Marie Gœfft – luthériens, (1)
Diemer – Jean Valentin, tonnelier, et (1714) Anne Catherine Strohl puis (1730) Anne Barbe Winther – luthériens, (1)
Diemer – Jean, aubergiste et marchand de poudre, et (1719) Anne Marie Schwab, d’abord (1713) femme du fabricant de poudre Jean Georges Maurer, puis (1732) Susanne Marie Borst – luthériens, (1)
Diemer – Michel, ancien étudiant († 1731) – luthérien, (1)
Diemer – Michel, boulanger, et (1675) Marguerite Klee – luthériens, (1), (2), (3)
Diemer – Valentin, tonnelier, et (1714) Anne Catherine Strohl puis (1730) Anne Barbe Winter – luthériens, (1)
Dierbach – André, chapelier, et (1657) Barbe Müller, (1676) Anne Salomé Bein, puis (1706) Marie Salomé von Zabern – luthériens, (1)
Dierstein – Barbe, célibataire († 1821), (1)
Dierstein – Jean Frédéric, sellier puis aubergiste, et (1804) Marguerite Madeleine Zisig, (1)
Dierstein – Jean Georges, cafetier, célibataire († 1838), (1), (2)
Dierstein – Jean Pierre, messager, et (1776) Françoise Catherine Dahl – catholiques, (1)
Dierstein – Maurice, menuisier, et (1823) Elisabeth Barbe Lombard, (1)
Diesel – Jean, négociant puis agent d’assurances, et Beatrix Klein, (1)
Dieter – Jean, charretier puis entrepreneur de voirie, et (1672) Marguerite Bœgner, puis (1688) Ursule Trillinger, veuve du tonnelier Marc Fleischel – luthériens, (1)
Dieterich – François Joseph, aubergiste, propriétaire, et (1820) Reine Kuentz puis (v. 1823) Marie Madeleine Roth, (1)
Dieterich – Marie Madeleine (° 1824) et Marie Philomène Dieterich (° 1836) , (1)
Dieterlin – Israël, précepteur au Petit Gymnase, et (1681) Anne Marie Siebenhorn, veuve du pasteur Jean Gaspard Bodemer – luthériens, (1), (2)
Diethmar – Régnard, barbier, et (1582) Marguerite Berr, veuve du barbier Georges Nasshold – luthériens, (1)
Dietrich – Adrien, revendeur, et (v. 1557) Claire, veuve du revendeur Jean Riel, puis (1574) Véronique Dirion – luthériens, (1)
Dietrich – Daniel, licencié et droit puis marchand à Francfort – luthérien, (1)
Dietrich – Dominique, consul, et (1647) Ursule Wencker puis (1667) Marguerite Kugler – luthériens, (1), (2), (3)
Dietrich – Etienne, marchand épicier, et (1828) Marguerite Marie Philippe Eugénie Waghette, notice
Dietrich – Jean (Jean de Dietrich), banquier, et (1745) Anne Dorothée Hermanni – luthériens, (1)
Dietrich – Jean Conrad, cordonnier, et (1740) Marie Dorothée Strohl – luthériens, (1)
Dietrich – Jean Daniel, négociant, célibataire – luthérien, (1)
Dietrich – Jean Georges, ferblantier, et (1784) Marie Dorothée Rœmer – luthériens, (1), (2)
Dietrich – Philippe Frédéric de, jurisconsulte, et (1772) Sybille Louise Ochs – luthériens, (1)
Dietrich – Philippe Jacques, charpentier à Wolfisheim, et (1667) Marthe-Anne, veuve de Jean Jacques Müller – luthériens, (1)
Dietrich – Pierre, tailleur, et (1858) Barbe Jockers, (1)
Dietsch – Chrétien, boucher, et (1645) Anne Marie Henninger – luthériens, (1)
Dietsch – Chrétien, boucher, et (1677) Anne Fritsch, veuve du boucher Georges Kamm – luthériens, (1)
Dietsch – Jean Frédéric, employé puis propriétaire, et (1824) Catherine Louise Blind, (1)
Dietsch – Jean Georges, fabricant de drap, et (1782) Louise Caroline Karth – luthériens, (1), (2)
Dietsch – Jean Georges, fabricant de drap, et (1836) Louise Guillaumette Redslob, (1), (2)
Dietz – André, teinturier, et (1764) Susanne Marguerite Schlæber veuve de Jean Jacques Rœderer, puis (1780) Marie Marguerite Say veuve de Jean Jacques Fix – luthériens, notice
Dietz – Conrad, tonnelier (bourgeois en 1725), notice
Dietz – Henri, brasseur, et (1822) Marguerite Salomé Gœtz puis (1837) Marie Madeleine Schœttel veuve de Philippe Jacques Mathis, (1)
Dietzel – Henri, cordonnier, et (1795) Marguerite Roussemeille veuve de Jean Waltz (1792) – luthériens, (1)
Diffiné – Jean Frédéric, tailleur, et (1781) Marguerite Salomé Klein – luthériens, remariée (1795) avec le marchand Jacques Milhaupt puis (1799) avec le capitaine retiré Joseph Bonne, (1)
Digel – Frédéric Jacques, entrepreneur de construction, et (1850) Caroline Emilie Kammerer, (1)
Dinckel – Conrad, vitrier, et (1606) Susanne Ulrich – luthériens, (1)
Dinckel – Jean Daniel, passementier, et (1695) Anne Marguerite Pastorius puis (1706) Marie Elisabeth Mappus – luthériens, (1)
Dinckel – Jean Frédéric, notaire (1772) – luthérien, notice
Dinckel – Jean Raoul, docteur en médecine, et (1662) Agnès Junth, veuve de Marc Harnister, employé à la Chancellerie – luthériens, (1), (2), (3)
Dinckel – Jean Raoul, notaire, et (1736) Marie Madeleine Braun – luthériens, notice
Dinet de Flammerecourt – Jean François, employé pour le roi, et (1744) Marie Catherine Charlotte Finance – catholiques, notice
Dinsenhoffer – Jean Wolfgang, cloutier, et (1788) Marie Madeleine Pfuhl – catholiques, (1)
Dintdorff – Emanuel, pelletier, et (1614) Marie Sonnicus – luthériens, (1)
Dirr – Antoine, négociant, et (1860) Louise Dirr, (1)
Diss – Jean Daniel, aubergiste, et (1787) Amélie Jund – luthériens, (1)
Dister – Philippe, tourneur, et (1668) Catherine Hegenauer – luthériens, (1)
Dittler – Conrad, aubergiste, et (1614) Marie Wagner – luthériens, (1)
Dittler – Samuel, boulanger, et (1615) Marguerite Meyer, remariée (1623) avec le marchand Denis Schœpff – luthériens, (1)
Dittler – Samuel, marchand épicier, et (1644) Marguerite Herlin – luthériens, (1), (2)
Divoux – David, marchand de bestiaux à Sainte-Marie-aux-Mines, 1694, (1)
Dober – Pierre, compagnon maçon, et (1761) Marie Madeleine Maus – catholiques, notice
Dobler – Simon, tailleur, et (1757) Elisabeth Schenckbecher – catholiques, (1)
Dobner – Joseph, marchand, et (1776) Marie Anne Desfontaines, veuve du marchand Jean Michel Dimier, puis (1809) Marie Thérèse Müller, (1)
Dochtermann – Florentin, pâtissier, et (1631) Susanne Stalp puis (1641) Anne Elisabeth Axt – luthériens, (1)
Dœffner – Gaspard, fournier, et (1694) Madeleine Ohl veuve de Jean Georges Stiegler, puis (1699) Anne Marie Walter – luthériens, (1)
Dœlpe – André, tamisier, et (1662) Anne Marie Eydt – luthériens, (1)
Dœrffer – Charles Auguste, tonnelier, et (1861) Marie Emma Matern, (1)
Dœrffer – Jean Antoine, orfèvre, et (1798) Marguerite Barbe Kœhler, (1)
Dœrffer – Jean Georges, tonnelier, et (1706) Marie Salomé Reiff puis (1715) Marie Elisabeth Rasp – luthériens, (1)
Dœrffer – Jean Georges, tonnelier, et (1725) Sabine Madeleine Kugler, d’abord (1720) femme du tonnelier Abraham Bilger – luthériens, (1)
Dœrffer – Jean Jacques, orfèvre, et (v. 1753) Louise Thècle Sipp – luthériens, (1)
Dœrffer – Jean Michel, tonnelier, et (1763) Catherine Salomé Schwing – luthériens, (1)
Dœrffer – Jean, tonnelier et fabricant d’outils de tonnellerie, et (1666) Marie Madeleine Burckhardt puis (1693) Marie Dorothée Berger veuve de l’aiguilletier Paul Wagner – luthériens, (1)
Dœrffer – Jean, tonnelier et fabricant d’outils de tonnellerie, et (1700) Barbe Voltz – luthériens, (1)
Dœrffer – Philippe Jacques, tonnelier, et (1797) Marguerite Pfister – luthériens, (1)
Dœrner – Georges, menuisier, et (1613) Chrétienne Hein d’abord (1597) femme du notaire Sixte Krafftberger – luthériens, notice
Dœrr – André, maçon, et (1786) Marie )Hæg, d’abord (1766) femme du journalier François Antoine Hansmann – catholiques, manants, (1)
Dœrrer – Georges, parcheminier puis tanneur, et (1819) Caroline Madeleine Brey, (1)
Doffay – Charles, capitaine des portes, et (1720) Marie Elisabeth Daudet – catholiques, (1)
Doirisse – Jean Eugène, négociant, et (1910) Marie Antoinette Yvonne Meyer, (1)
Dollhopff – Georges André, libraire, et (1653) Anne Marie Zetzner puis (1658) Dorothée Ansorg – luthériens, notice
Dollinger – Ferdinand, juge, et (1859) Emilie Barbe Bronner, (1)
Dollinger – Jean Léonard, boucher, et (1764) Susanne Salomé Bürckel – luthériens, (1)
Dollinger – Philippe Ferdinand, juriste, et (1830) Henriette Geissler, (1)
Dollinger – Philippe Jacques, huilier, chiffonnier puis marchand de meubles et (1790) Marie Dorothée Klein – luthériens, (1)
Dorlan – André, vivandier puis aubergiste, et Anne Marie Loh – catholiques, (1)
Dorn – Gaspard, cordonnier, et (1604) Anne Weibler, (1610) Anne Kœbel, veuve du menuisier Jean Zahn, puis (1635) Anne Wiriss, veuve du censier Valentin Æff de Nordheim – luthériens, (1)
Doron – Nicolas, greffier du Tribunal Civil, et (1786) Marie Madeleine Wollbrett – catholiques, (1)
Doroschinsky – Jean Pierre, boulanger, (1)
Dorsch – Jean Chrétien, cordonnier, et (1794) Catherine Odile Bürckel, (1)
Dorsch – Jean Chrétien, relieur, et (1835) Barbe Cécile Guillaumette Geissler, (1)
Dorsch – Laurent, cordonnier, et (1597) Marie Fingerlin puis (1610) Barbe Kleindienst, remariée (1627) avec le mégissier Ulrich Bauer – luthériens, (1)
Dorsner – Antoine Philippe Ambroise, négociant, et (v. 1821) Marie Anne Rosalie Hürstel, (1)
Dorsner – Jean Jacques, receveur, et (1719) Eve Claudine Rivière – catholiques, (1)
Dorsner – Jean Philippe, avocat au Conseil souverain d’Alsace, et (1747) Marie Claire Félicité Reis – catholiques, (1), (2)
Doss – Martin, garçon batelier, et (1649) Anne Marie Barthel – luthériens, (1)
Dossinger – Melchior, tailleur, et (1562) Elisabeth Ruhlmann, (1567) Susanne von Luterburg puis Susanne Koch – luthériens, (1)
Dossmann – Jean, compagnon tailleur de pierres, et (1772) Catherine Graff remariée (1776) avec Nicolas Chouleur – catholiques (manants), (1)
Dournay – François Joseph Forquet dit et (1746) Anne Marguerite Jullot, notice
Dourvaux – Louis, maréchal ferrant, et (1782) Marie Madeleine Adam – catholiques, (1)
Douvier – Lucien, commerçant, et (1897) Joséphine Louise Weibel, (1)
Doyen – Charles Eugène, fabricant de pâtés de foie gras, et (1879) Marie Joséphine Lœwenguth, (1)
Doyen – François (André Nicolas), pâtissier, et (1841) Joséphine Géneviève Chavanne, (1)
Doyen – Nicolas François, pâtissier, et (1793) Anne Marie Wunderlich puis (1811) Catherine Louise Diemant, (1)
Drach – Paul, relieur, et (1666) Susanne Marie Geiger – luthériens, (1)
Dreher – François, vitrier, et (1784) Cunégonde Reibel – catholiques, (1)
Dreher – Jean Jacques, cordier, et (1634) Ursule Hetzel – luthériens, (1)
Dreher – Jean, marchand, et (1664) Marie Dorothée Goll puis (1693) Elisabeth Bœckler – luthériens, (1), (2)
Dreher – Jean, marchand, et (1692) Anne Catherine Frantz – luthériens, (1)
Dreiding – Jean, tisserand, et (1603) Marie Hutzler – luthériens, (1)
Drens – Jacques, tanneur, et (v. 1690) Eve Chrétienne Fischer – luthérien converti, catholiques, (1)
Drenss – Daniel, marchand, et (1799) Caroline Grün, (1)
Dres – Jean, teinturier, et (1821) Marie Madeleine Braunwald veuve de Jean Jacques Hessé puis (1835) Marie Anne Elisabeth Maurer, (1)
Dress – Jean, jardinier, et (1784) Catherine Hummel – luthériens, (1)
Dressler – Jean Georges, charretier, et (1662) Madeleine Weinmüller, puis (1679) Susanne Inckel – luthériens, (1)
Dreutel – Jean Martin, tourneur, et (1671) Anne Marguerite Reisenreuter – luthériens, (1)
Dreyfus – Félix, propriétaire, et Amélie Bamberger, (1)
Dreyfus– Albert, Jean Baptiste Gaudiot et Charles Frédéric Schneegans, commissionnaires de roulage associés, (1)
Drion – Philippe, boucher, et (1869) Marie Louise Wiedmer puis (1882) Emilie Eugénie Wiedmer, (1)
Drœsch – Françoise († 1899) et Gertrude Drœsch († 1914), marchandes épicières, (1)
Drosson – Jean Vincent, aubergiste et Anne Pilleret, puis (1699) Marie Dellé et (1724) Marie Marguerite Henselé – catholiques, (1)
Drouard – François, tailleur, et Elisabeth Rosabal, (1)
Drouin – Marc Antoine, perruquier, et (1745) Marie Ursule Wahr – catholiques, (1)
du Pré de Dortal – Joseph Louis, seigneur de Bürckwald, lieutenant-colonel, et (1707) Marie Cécile Hippolyte Truchsess de Rheinfelden – catholiques, (1), (2)
Duba – François Antoine, emballeur à la douane, et (1801) Marguerite Elisabeth Davance, (1)
Dubesi – Joseph, fruitier, et (1816) Marie Madeleine Lentz, (1)
Dubesi – Michel, marchand de vins, et (1848) Elisabeth Hauss, (1)
Dubesi – Michel, menuisier, et (1848) Elisabeth Hauss, (1)
Dubie – Pierre, passementier, et (1582) Marie Buisson – luthériens, (1)
Dubie – Pierre, passementier, et (1582) Marie Buisson – luthériens, (1)
Duboc – Pierre Gaspard, aubergiste, entrepreneur de fiacres et (1734) Marie Agathe Rudloffin von Rohr, d’abord (1723) femme de Joseph May puis (1730) d’Augustin Rocroix, cabaretiers, puis (1756) Elisabeth Gunder, d’abord (1740) femme de Nicolas Gonnet – catholiques, (1)
Dubocq – Jean Baptiste, employé à la halle commerciale, et (1754) Elisabeth Wilhelm – catholiques, (1)
Dubois – François, revendeur, et (1731) Marie Geneviève Aval puis (1751) Eve Catherine Schüssler – catholiques, (1)
Dubois – Gabriel Geoffroi, marchand de fer puis directeur de la Monnaie, et (1769) Marie Josèphe Rava – catholiques, (1)
Dubois – Jacques Quirin, maître de danse, et (1813) Eve Rosine Thurner, (1)
Dubois – Philippe Louis, maître maçon, et Anne Roos puis (v. 1692) Dorothée Fill – catholiques, (1)
Dubois dit Demoulins – Léonard, traiteur, et (1714) Marie Claudine Le Begue – catholiques, (1)
Ducarne – Guillaume Joseph, maréchal ferrant, et (1753) Marie Louise Coupau – catholiques, (1)
Ducland – Pierre, fondeur à la Monnaie du Roi et (v. 1708) Jeanne Dussart – catholiques, (1)
Duclo – Antoine, cafetier, et (1733) Anne Barbe Kisser – catholiques, (1)
Duclot – Pierre, employé de l’Intendant, et (1723) Anne Marie Memminger veuve de Jean L’Excellent – catholiques, (1)
Duconte – André Siméon, conseiller au Conseil souverain d’Alsace, et (1771) Béatrice Grau – catholiques, (1)
Duconte – Pierre, chirurgien major des Hôpitaux du Roi, et Anne Françoise Willmann – catholiques, (1)
Ducros – Joseph, boulanger, et (1705) Barbe Stadler, veuve du menuisier Jean Thomas Vandique – catholiques, (1)
Dudot – Michel François, orfèvre bijoutier, et (1866) Marie Armide Louise Botiaux, (1)
Dufour – Jean Gratien, vérificateur de la culture des tabacs, et (1856) Marie Julie Bonhomme, (1)
Dugenest – Silvain, cabaretier, et (1824) Marguerite Cimat veuve de Nicolas Jacquet, (1)
Dullenkopff – André, cordonnier, et (1588) Catherine Martin, (1596) Agathe Schwentz d’abord (1590) femme du cordonnier Michel Neff, (1606) Madeleine von Lohe puis (1620) Marie Madeleine Zimmermann d’abord (1602) femme du notaire Nicolas Adam, remariée (1629) avec le préposé à l’accise Joseph Schneurer – luthériens, (1)
Dümmler – Adolphe, capitaine de cavalerie. et (v. 1641) Anne Dorothée Glaser – luthériens, manants, (1)
Dumonchau – Charles Joseph, musicien, et (1774) Marie Anne Rohmer puis Louise Demay – catholiques, (1)
Dumontet – Louis, secrétaire à l’Intendance d’Alsace, et (1691) Marie Béatrice Fries – catholiques, (1)
Dupeyre – Joseph, capitaine d’infanterie, et (1797) Marguerite Klein, (1)
Dupont – Séraphin Hermann Félix, employé à la poste aux lettres, et (1847) Wilhelmine Frédérique Zisig, (1)
Duprat – Louis Daniel Abraham, directeur de l’octroi, et (1795) Catherine Salomé Mannberger, (1)
Dürbach – Jean Daniel, peignier, et (1821) Marie Sophie Hæberlin, (1)
Durban – Michel, jardinier, et (1607) Madeleine Grasmann – luthériens, (1)
Durchdenbach – Jean, potier, et (1649) Sara Ott – luthériens, (1), (2)
Durchdenbach – Laurent, potier, et (1595) Appolonie Kœnig, veuve du potier Jean Mülleberger, puis (1615) Barbe Heusch – luthériens, (1)
Durig – Jean, tourneur, et (1749) Catherine Bornert puis (1776) Françoise Lamerce – catholiques, (1)
Düringer – Conrad, secrétaire, et (1583) Barbe Graff, d’abord (1573) femme du receveur Conrad Bensel – luthériens, (1)
Düringer – Jean Frédéric, ouvrier d’Etat, et (1816) Elisabeth Seckler, (1), (2)
Düringer – Jean, cloutier, et (1782) Anne Marie Meinické – luthériens, (1)
Düringer – Michel, charpentier, et (1576) Ursule Eckard – luthériens, (1)
Düringer – Michel, cultivateur puis aubergiste, et (1888) Christine Eck remariée (1904) avec Charles Paul Schrœder, (1)
Düringer – Philippe Jacques, baquetier, et (1817) Anne Marguerite Habersoth, (1)
Dürninger – Catherine Madeleine– luthérienne, (1)
Dürninger – Jacques, marchand, et (1729) Marie Madeleine Goll – luthériens, (1)
Dürninger – Jean, tonnelier, et (1701) Susanne Schranckenmüller, remariée à Jean Henri Drœscher – luthériens, (1)
Dürr – Daniel Frédéric Auguste, marchand, (1)
Dürr – Gaspard, tonnelier, et (1660) Agnès Hünerer puis (1673) Susanne Füssinger, notice
Dürr – Guillaume, serrurier, et (1820) Henriette Frédérique Spreng, (1)
Dürr – Jacques, notaire, et (1584) Odile Schneider – luthériens, (1)
Dürr – Jean Daniel, ferblantier, et (1845) Sophie Salomé Hurst, (1)
Dürr – Jean Frédéric, boulanger, et (1680) Anne Marie Zesenmacher, veuve de Jean Jacques Zimmer – luthériens, (1)
Dürr – Jean Gaspard, tonnelier, et (1660) Agnès Hünerer puis (1673) Susanne Füssinger – luthériens, (notice)
Dürr – Jean Jacques, cordonnier, et (1702) Marie Madeleine Knœrr – luthériens, (1), (2)
Dürr – Jean Philippe, tonnelier et marchand de vins, et (1800) Marguerite Unselt, (1)
Dürr – Jean Philippe, tonnelier, et Marie Marguerite Unselt puis (1812) Susanne Salomé Grimmeissen, (1), (2)
Dürr – Laurent, aubergiste, et (1586) Barbe Isenmann, veuve de Jean Eger – luthériens, (1)
Dürr – Michel, pêcheur, et (1670) Susanne Berger – luthériens, (1)
Dürr – Valentin, pêcheur et (1688) Ursule Gottschalt – luthériens, (1)
Dürrbach – André, tonnelier, et (1738) Marie Madeleine Engels – luthériens, (1)
Dürrbach – Jean Christophe et (1684) Catherine Hollænder – luthériens, (1)
Dürrbach – Jean Jacques, serrurier, et (1710) Marie Madeleine Kæss – luthériens, notice
Dürrenberger – Jean Georges Daniel, aubergiste, et (1688) Jeanne Françoise Scheibel, (1702) Anne Marie Waldenberger, (1706) Marie Marguerite Kauffmann et (1714) Marie Joiret – catholiques, notice
Dürrmann – André, pasteur, et (1623) Marie Pfau puis (1642) Anne Barbe Dannhauer – luthériens, (1)
Dürrmann – Henri, boutonnier, et (1663) Véronique Frey, puis (1678) Susanne Merckel veuve de Jean Jacques Schnarrenberger – luthériens, (1)
Dürrwanger – Balthasar, boulanger, et (1605) Marguerite Zapff puis (1639) Anne Ott, remariée en 1659 avec Christophe Bleyfuss puis en 1662 avec Tobie Burckhard – luthériens, (1)
Durst – Ulric, aiguilletier, et (1597) Appolonie Frentzel puis (1599) Susanne Hetzel – luthériens, (1)
Dürwanger – Balthasar, fondeur de pichets, et (1635) Anne Seitz, d’abord (1630) femme du fondeur de pichets Sébastien Kohler – luthériens, (1), (1)
Dutel – Joseph Dominique Xavier, employé municipal, et (1805) Marie Marthe Isaac, (1)
Dutilleul – Jean Baptiste, tailleur, et (1706) Marie Anne Muffat – catholiques, (1)
Dutt – Jean Henri, tonnelier, et (1779) Marie Chrétienne Louise Spach puis (1788) Susanne Salomé Hebenstreit, remariée (1795) avec le brasseur François Seckler – luthériens, (1)
Düttler – Jacques, aubergiste à l’Arbre vert, et (1686) Anne Marie Mægerlin – luthériens, (1)
Düttler – Samuel, marchand épicier, et (1644) Marguerite Hærlin – luthériens, (1)
Duwalck de Dampierre – Jean Népomucène, ancien chef d’escadron, (1)



8, rue Saint-Marc


Rue Saint-Marc n° 8 – VIII 161 (Blondel), P 1228 puis section 4 parcelle 47 (cadastre)

Cour Lumbart (Lumbarts hoff), ensuite appelée à l’Ordre teutonique (zum teutschen Herrn) et auberge des Pauvres passants (Elende Herberg)
Jardin du chevreuil (zum Rehgarten, 1758 et suiv.), façade reconstruite vers 1770 (maître d’ouvrage, Jean Frédéric Pfeffinger, boucher)
Couvent du Bon Pasteur (1838) puis école du Bon Pasteur (1871), aujourd’hui collège Lucie Berger – anciens bâtiments démolis en 1966


Façade rue Saint-Marc (on reconnaît le numéro 8), angle de la rue des Greniers (panneau Speichergasse), bâtiments le long de la rue des Greniers (vers 1942, AMS, cotes 1003 W 1599, 1609, 1608)

La cour Lumbart (Lumbarts hoff), ensuite appelée à l’Ordre teutonique (zum teutschen herrn) et auberge des Pauvres passants (Elende Herberg), comprend plusieurs bâtiments entourés d’un mur. D’après la description de 1718, le bâtiment avant est dit à l’Ange (zum Engel) et la petite maison vers l’enclos Saint-Marc au Four (zum Bachoffen). Un partage a lieu après la mort de l’aubergiste Jean Georges Fritsch en 1713 : la partie est (n° 160 à droite ci-dessous) en est détachée, les bâtiments à l’ouest (n° 161 à gauche) sont représentés sans changement sur le plan Blondel (1765).
Le gantier Daniel Schœffel vend en 1588 la cour Lumbart qui comprend douze bâtiments au drapier Balthasar Stœsser. Auguste Frédéric Fettich s’en rend adjudicataire en 1635, elle est louée à plusieurs reprises pendant la minorité de son fils Georges Sigismond Fettich qui la vend en 1697 à l’aubergiste Jean Georges Fritsch. La propriété est partagée à sa mort en 1713. Sa fille Anne Salomé Fritsch vend en 1736 sa part, située à l’ouest, au confiseur Jean Certain qui habite au Marché aux Herbes. La maison est appelée zum Rehgarten (jardin du chevreuil) quand le boucher Jean Frédéric Pfeffinger l’achète en 1758. Les préposés refusent de lui céder un terrain communal à l’angle des rues. Jean Frédéric Pfeffinger ajourne les constructions prévues puisque le plan Blondel représente les mêmes bâtiments qu’en 1727. Il est autorisé à modifier les croisées en 1776 et en 1782. Il doit alors construire à neuf le bâtiment avant dans le style de l’époque : portail caractéristique du XVIII° siècle, fausses clés des linteaux au premier étage reliées par une moulure ondulée.


Plan-relief de 1725 (Musée historique), même endroit représenté sur le Plan Blondel (1765, exemplaire AMS cote 1 PL 675)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : élévations sur rue (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la rue Saint-Marc se trouve entre les repères (s’-t’) : une porte, trois fenêtres et une porte cochère au rez-de-chaussée, six fenêtres à l’étage, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’angle arrondi (t’-v’) n’a pas d’ouverture. Les bâtiments (v’) à (z’) longent l’impasse du Haras.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 8.


Cour D, partie de la cour E
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : plan
Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt). La maison comprend le bâtiment à tourelle et ceux qui donnent sur sa cour.

Le cadastre ne signale pas de transformation après 1843. C’est donc entre les années vingt et quarante que l’étage mansardé est converti en étage ordinaire et que les autres bâtiments le long de l’impasse du Haras (ensuite rue des Greniers) sont surélevés d’un étage. Les héritiers du boucher Jean Georges Freysz passent en 1835 avec leur voisin Jean Daniel Grœtzinger (ensuite n° 10) un accord relatif aux ouvertures dans le mur mitoyen. L’établissement du Bon Pasteur acquiert en 1838 la maison qu’il vend en 1865 à l’établissement des Diaconesses. Les bâtiments auxquels sont ensuite adjointes les maisons voisines (n° 10 à 14) servent d’école de jeunes filles (au Bon Pasteur). L’établissement des Diaconesses charge en 1894 l’architecte Emile Salomon de construire dans le jardin un préau et une salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée.


Terrain que Jean Frédéric Pfeffinger demande d’acquérir (1758,AMS cote VII 1408 f° 34)
Plan et élévation de la salle de gymnastique (dessins d’Emile Salomon, dossier de la Police du Bâtiment)

L’architecte Marcel Strohmenger rédige le 14 avril 1964 un devis descriptif pour remplacer des bâtiments vétustes par un bâtiment neuf à rez-de-chaussée et quatre étages, de sorte que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’établissement des Diaconesses s’engage en juin 1966 à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement rue Saint-Marc (parcelle 55/47, 176 m²) et rue des Greniers (parcelle 56/47, 169 m²). Le maire accorde le 15 avril 1966 le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Saint-Marc. Le préfet accorde en mai 1966 l’autorisation de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers (rez-de-chaussée et deux étages, en maçonnerie et briques, toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates).


Elévations sur rue et sur cour (Marcel Strohmenger, 1966, dossier de la Police du Bâtiment) – Plan sur lequel sont représentés les terrains à céder à la voie publique
Façade rue Saint-Marc (août 2021), rue des Greniers (juin 2023)

juin 2023

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier 1866-1964, dossier 1966-1987Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Daniel Schœffel, gantier, et (1572) Barbe Schramm – luthériens
1588 v Balthasar Stœsser, drapier, et (1584) Barbe Übelhœr – luthériens
1610 v Jean Philippe Scheer et (1603) Anne Kirchhoffer, remariée (1640) avec le pasteur Juste Arcuarius – luthériens
1616* adj Sigismond Flach et (1595) Marie Hochfelder puis (1606) Marguerite Fettich – luthériens
1619 v Jean Jacques Riep, docteur en droit, et (1606) Anne Flach d’abord (1590) femme du docteur en droit Paul Graseck, puis (1611) Jeanne Marie Wolff dite Schœneck – luthériens
1635 adj Auguste Frédéric Fettich et (1624) Marie Flach – luthériens
1648* h Georges Sigismond Fettich et (1663) Anne Barbe Acker puis (1680) Marie Félicité Bittlinger, d’abord (1669) femme du pasteur Mathias Rœsch – luthériens
1697 v Jean Georges Fritsch, aubergiste, et (1667) Barbe Niclaus, (1678) Anne Marie Wolff puis (1688) Ursule Wolff, d’abord (1659) femme du teinturier Georges Frédéric Merckel – luthériens
1713 h Jean Rœsch, tanneur, et (1699) Anne Salomé Fritsch – luthériens
1720 h Laurent Rhein, boucher à Schiltigheim, et (1720) Anne Salomé Fritsch veuve du tanneur Jean Rœsch – luthériens
1736 v Jean Certain, confiseur, et (1719) Anne Marie Cladi puis (1745) Marie Rose Blondel – catholiques
1741 h Jean François Certain, confiseur, et (1741) Marie Salomé Pflug – catholiques
Joseph Certain, conseiller du roi († 1792), catholique
1758 v Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et (1743) Anne Barbe Pfeffinger puis (1752) Marie Marguerite Knoderer – luthériens
1798 v Jean Georges Freysz, boucher, et (1774) Marguerite Simon puis (1786) Marie Marguerite Rœsch, d’abord (1785) femme du boulanger Isaac Schiff – luthériens
1811 h Jean Georges Freysz, boucher, et (1811) Marie Dorothée Hæberlé
1838 v Etablissement du Bon Pasteur
1865 v Etablissement des Diaconesses

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1825 livres en 1715, 1475 livres en 1718, 1540 livres en 1740, 2250 livres en 1752, 1650 livres en 1757

(1765, Liste Blondel) VIII 161, Henri Pfeffinger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Henri Pfeffinger, 28 toises, 4 pieds et 2 pouces
son jardin 14 toises, 1 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1228, Freyss Georges boucher ½, Freyss Jean boucher ½ – maison, sol, cour, bâtiment – 7,8 ares

Locations

1648, Nicolas Hansmetzger, boucher et Jean Speich, de Kork
1651, Sigismond Frédéric Scheid, avocat
1661, Marie, femme du boucher Balthasar Krauss
1664, Jean Ernest Rinck
1670, Jean Kamm et Jean Frédéric Kamm, boucher
1681, Georges Henri Metzger, boucher
1689, Jean Henri Hansmetzger, boucher
1693, Jean Paul Tromer, secrétaire en chef de Saint-Marc
1705, Agnès Kopp (maison dite à l’Ange)
1722, Abraham Esdras, horticulteur
1727, Anne Barbe Schumann veuve de Jean Kieffer
1730, Jean Conrad Kieffer, tonnelier
1734, (cave) Jean Daniel Euler, brasseur
1737, (jardin), Jean David Klugshertz, jardinier
1741, Jean Baptiste Joseph Visterini, sculpteur
1744, Jean Albert Ungerer
1745, Jean Adam Sebastian, vice-messager de la Taille
1746, Joseph Colard, manant, blanchisseur
1760, (jardin) Adam Mattern, jardinier, et Catherine Bierel, manants
1813, Jean Jacques Kammerer, boulanger, et Marie Madeleine Michel
1815, Chrétien Erdmann Laad, charpentier, et Marguerite Salomé Strub

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1751, Préposés au bâtiment (VII 1404)
La grange de la propriété Certain s’appuie par des arcades sur un mur qu’il faut démolir sur le terrain du nouveau haras. Après visite des lieux, les préposés concluent que la Ville se chargera de reconstruire la partie démolie de la grange.

(f° 62-v) Donnerstag den 21. Januarÿ 1751. Reitschul – In dem Zur Reitschul erkaufften Bürckenwaldischen Hoff auff St. Elisabethen Gaß, in welchem eine An weÿl. Jean Certain des geweßenen Zuckerbeckers Scheur stehende Maur sich befindet, welche wegen der Gedeckten Reitbahn, so dahin gebauen werden solle, nothwendiger weiß abgebrochen werden muß, und weilen gedachte Scheur Keine eigene Maur hat, sondern Allein Vermittelst gesprengter Bögen an dieseithige Maur angebauen, und daher Zubesorgen, daß selbige, wann sothane Maur abgebrochen werden wird, möchte einstürtzen, als ist Erkannt, solle solches H. Certain des Verstorbenen Sohn angezeigt werden, damit er seine Vorsorg dargegen nehmen und sich Vor schaden Hüten möge. quod factum.

(f° 89) Donnerstag den 13. Ejusdem [May 1751]. Neue Reitschul. Certain – Augenschein eingenommen in dem sogenannten Schäffolsheimer oder Bürckenwaldischen Hoff auf Elisabethen Gaß wo Sr Jacques Gallay der Maurer und Entrepreneur geweßen, daß er die fundamenten Zur Neüen Reitschul auf einer seithe 5. schuhe tieff gegraben, und nichts als sand angetroffen, dergleichen auch noch beßer Unten sich befindet, also daß Kein Vestes fundament Kan angelegt werden, wofern Man nicht fundament diehlen Unter un den boden Legen und darauf mauren wird. weilen auch wegen grabung der fundamenten die bögen an Certain des Zuckerbeckers scheür, worauf dieselbe ruhet Hinweggebrochen werden müßen, und die Statt solche wieder auffzuführen Haben wird, als Haben Mghh. für nötig erachtet in gegenwahrt H. Certain das Meß Von den Pfeilern nehmen Zulaßen, deren einer 3. schuhe 6. Zoll, der Andere 2. schuhe 3. Zoll, der dritte 3. schuhe 10. Zoll und der Vierte 2. schuhe 3. Zoll breit und ein jeder ein halben stein dick /:und biß unter die Maurlatt 12. schuhe hoh:/ ist, je einer 7. schuhe 3. Zoll Von dem Andern stehend, ferner befindet sich in der Lini dießer Pfeiler eine 9. schuhe 9. Zoll Lang und nur 3. Zoll dicke Maur, welche ebenfalls Hinweggebrochen werden muß. Erkannt, sollen die fundament diehlen und Holtz zu den Rippen Von der Statt fournirt, und was Certain abgebrochen wird Von der Statt wieder auffgemaurt werden.

1758, Préposés au bâtiment (VII 1408)
Le boucher Jean Frédéric Pfeffinger a l’intention de construire un nouveau bâtiment dans sa propriété dite zum Rehgarten. Il souhaite acquérir un terrain communal à l’angle des rues. Le receveur de Saint-Marc qui veut conserver son accès à la boulangerie ne s’y oppose pas si le propriétaire ne pose pas de pierre devant son bâtiment. Le boucher Jacques Klein estime qu’il sera gêné pour entrer dans sa maison sise en face. Les préposés refusent de donner l’autorisation, décision qu’ils confirment trois semaines plus tard.

(f° 34) Sambstags den 26. Augusti 1758. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Joh: Friderich Pfeffinger
An Johann Friderich Pfeffingers des Metzgers Hauß im Rehegarten genannt im Finckweiler, welche ein neu gebäud allda auffzuführen willens, und etwas Allmendt darzu begehrt, worüber aber, weilen es am eck der gaß ist, sowohl H. Lit. Frölich der schaffner Zu St Marx wegen der Zufuhr Zu dießes Stiffts Pfistereÿ, die dardurch gehemmet, als auch Jacob Klein der Metzger, welcher An der einfahrt in seinen Hof gegen über gehindert wird, sich beschwehren doch sagte H schaffner, daß wann Kein eckstein für das Hauß gesetzt werden solle er sich weiter nicht opponiren wolte. Erkant, abgewießen. (Plan)

(f° 37) Dienstags den 5.ten Ejusdem [Septembris] – Joh: Friderich Pfeffinger
Johann Friderich Pfeffinger der Metzger wird nochmahls mit seinem begehren abgewießen. Vid. Supra fol: 34

1776, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le maître maçon Jean Lingenhœl est autorisé à ouvrir plusieurs croisées dans la maison du boucher Jean Frédéric Pfeffiger au Finckwiller.

(f° 46) Dienstags den 16. Aprilis 1776 – Friedrich Pfeffinger Metzger
Idem [H. Johannes Lingenhölin der Maurer] nôe. Friedrich Pfeffinger, des Metzgers bittet zu erlauben an deßen in Finckweiler gelegenen behausung Creutzstöck durch zu brechen. Erkannt, Willfahrt.

1782, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître maçon Walther est autorisé à ouvrir une fenêtre dans la maison du boucher Jean Frédéric Pfeffiger au Finckwiller.

(f° 58-v) Dienstags den 23. Aprilis 1782. – H. Friderich Pfeffinger, Metzger
Mr Walther, der Maurer, nôe Hrn. Friderich Pfeffinger, des Metzgers, bittet zu erlauben an deßen Stallung beÿ St Marx gelegen ein Fenster machen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1707 (billet d’estimation traduit) (avant partage) La maison comprend deux bâtiments accessoires, deux cours, trois puits, une écurie et une grange, le tout estimé à une somme de 3 300 florins
  • 1714 (billet d’estimation traduit), Idem, 3 600 florins
  • 1718 (billet d’estimation traduit) (après partage) La maison comprend deux bâtiments accessoires, une salle, un bâtiment accessoire, trois caves sous solives, une écurie, au fond du jardin deux petites maisons, une remise, un pavillon d’été, deux puits, estimé avec la cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 2 950 florins
  • 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, dépenses, caves sous solives, à l’étage poêle, chambre, une cuisine et un vestibule, le comble a deux greniers dallés, le bâtiment latéral sur la droite comprend une cave sous solives, poêle, chambre, cuisine, vestibule, le comble a un grenier dallé, le bâtiment latéral sur la gauche sert de logement militaire, le toit est vieux et délabré, le bâtiment latéral où se trouve une alcôbe, une petite cuisine et un vestibule, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 3 000 florins
  • 1752 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux bâtiments latéraux et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres, cuisines, une cave voûtée et une cave solivée, écurie pour l’officier, les combles ont une double couverture de tuiles plates, il y a en outre une remise et au-dessus un fenil dont le comble a une simple couverture de tuiles plates, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 4 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Marc

nouveau N° / ancien N° : 13 / 4
Freis
Rez de chaussée et 1° étage bon en maçonnerie

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 349 case 1

Les Dames du Bon Pasteur
Gourichon Anne Marie, Religieuse de la maison du Bon Pasteur, Substitution 1850

P 1228, sol, maison bat. et cour, rue St Marc 4
Contenance : 7,80
Revenu total : 470,58 (450, 16,52, 4,06)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 125 / 100
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1227, jardin
Contenance : 24,30 (total 32,10)
Revenu total : 16,52

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 378 case 1

Gourichon Anne Marie (1867)
1867 Diaconesses (les Dames protestantes)

P 1228, maison, sol, cour, rue St Marc 8
Contenance : 7,80
Revenu total : 470,58 (450, 16,52, 4,06)
Folio de provenance : (349)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 125
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1227, jardin
Contenance : 24,30 (total 32,10)
Revenu total : 16,52

P 1581, sol, Gestütgaesschen
Contenance : 1,11 (total 33,20)
Revenu total : 0,57 (total 471,15)
Folio de provenance : von Wege
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1878
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 205
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 117 case 5

Parcelle, section 9, n° 47 – autrefois P 1227, 1228, 1581
Canton : Speicherstraße Hs Nr 1, Marxgasse Nr 8 / rue des Greniers 1 et rue St Marx 8
Désignation : Hf, 2 Whs
8/08, 343 Marxgasse Nr 8, Turnsaal u. Whs e.n.a.T.
Contenance : 37,81 – 43,17 – 34,36 – 43,17
Revenu : 11.400, 11.450
Remarques : ab 1908 S 101 F 4, S 117 F 50 – Zug. S 117 F 2-4
1937,aug. c. 2

(Propriétaire), compte 61
Evangel. Diakonissenanstalt
1927 Etablissement des Diaconesses
(154) corrigé en (175)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 280 Finckweiler Derrière la Mouche p. 435

4
pr. Pfeffinger, Fred. Caffetier – Bouchers
loc. Griesbach, veuve de Notaire – Tailleurs
loc. Hetzel, Jean George, jardinier
loc. Wicker, Rosine veuve tiss. – Drapiers
loc. Wicker, fils de la pré. tisserand – Drapiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Marxgasse (Seite 109)

(Haus Nr.) 8
Höhere Töchterschule der Diakonissenanstalt.
Affolter, Diakonissin. 0
Affolter, Diakonissin. 0
Baquol, Diakonissin. 0
Bentz, Diakonissin. 0
Egers, Diakonissin. 0
Favre, Diakonissin. 0
Hartmann, Diakonissin. 0
Klein, Diakonissin. 0
Lindinger, Diakonissin. 0
Müller, Diakonissin. 0
Schlochow, Diakonissin. 0
Tribolet, Diakonissin. 0
Vetter, Diakonissin. 0
Berger, Vorsteherin. 1
Eppel, Lehrerin. 1
Dubried, Lehrerin. 1

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2033)

Saint-Marc (rue) N° 8, 10, 14 (1866-1964)

L’entrepreneur Arnold déplace en 1866 deux croisées, ouvre dix nouvelles croisées, une porte et treize soupiraux vers l’impasse du Haras et ravale la façade. L’agent voyer note que la façade en maçonnerie dépasse de l’alignement dans la rue Saint-Marc mais n’a pas d’avance, que la façade dans l’impasse suit l’alignement et n’a pas non plus d’avance. L’entrepreneur Schlagdenhauffen ouvre en 1866 quatre croisées vers l’impasse et en agrandit sept. L’architecte Emile Salomon fait en 1894 les plans de la salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée et un préau à construire dans le jardin de l’école de jeune filles au Bon Pasteur. Les entrepreneurs A. et P. Brion signent les dessins de l’appentis qui n’était pas prévu.

Sommaire
  • 1866 – L’entrepreneur Arnold demande l’autorisation de déplacer deux croisées, d’ouvrir dix nouvelles croisées, une porte et treize soupiraux vers l’impasse du haras et de ravaler la façade – L’agent voyer note que la façade en maçonnerie dépasse de l’alignement dans la rue Saint-Marc mais n’a pas d’avance, que la façade dans l’impasse suit l’alignement et n’a pas non plus d’avance
    1866 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé à faire une prise pour environ dix becs dans l’établissement des Diaconesses
  • 1884 (avril) – L’entrepreneur Schlagdenhauffen (25, rue du Faubourg national) demande l’autorisation d’ouvrir quatre croisées vers l’impasse, dont une au premier étage et trois au deuxième étage – Autorisation – Travaux terminés, mai 1894
    1884 (juin) – Le même demande l’autorisation d’agrandir sept croisées vers l’impasse – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1894
  • 1884 – Le maire demande à l’établissement des Diaconesses (2-4, rue Sainte-Elisabeth) de faire ravaler le bâtiment sis 8, rue Saint-Marc – Travaux terminés, novembre 1884
  • 1894 – L’architecte E. Salomon (demeurant 21, rue du Finckwiller) demande l’autorisation de construire une salle de gymnastique à simple rez-de-chaussée et un préau dans le jardin de l’école de jeunes filles au Bon Pasteur – Autorisation – Plan de situation, plans
    Les murs sont terminés, on commence à poser le toit, juillet 1894. Les plâtriers travaillent. Un appentis a été ajouté sans autorisation
    Autorisation délivrée pour l’appentis, septembre 1894. Dessin des architectes entrepreneurs A. & P. Brion – Tous les travaux sont terminés
  • 1907 – Rapport d’intervention des pompiers, feu de cheminée
  • 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1940 – La Police du Bâtiment constate que le peintre Camille Wagner a fait sans autorisation une enseigne plate

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 290)

8, rue Saint-Marc, collège Lucie Berger (1966-1987)

L’architecte Marcel Strohmenger rédige le 14 avril 1964 un devis descriptif pour remplacer des bâtiments vétustes d’externat par un bâtiment neuf d’internat (rez-de-chaussée et quatre étages). Le nouveau bâtiment sera construit de manière à ce que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’ancien escalier servira à l’internat, le nouveau à l’externat. L’accès se fera entre deux bâtiments et non sous un bâtiment pour pouvoir adjoindre ultérieurement d’autres bâtiments. L’établissement des Diaconesses s’engage en juin 1966 à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement rue Saint-Marc (parcelle 55/47, 176 m²) et rue des Greniers (parcelle 56/47, 169 m²). Le maire accorde le 15 avril 1966 le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Saint-Marc.
Le maire transmet au préfet en avril 1965 la demande de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers (rez-de-chaussée et deux étages, en maçonnerie et briques, toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates). Le préfet accorde en mai 1966 l’autorisation de démolir.

Sommaire
  • Plan de situation, section 9, parcelle 55/47 (176 m²) à céder à la voie publique rue Saint-Marc et 56/47 (169 m²) rue des Greniers
  • 1966 – Le Collège Lucie Berger est autorisé à occuper la voie publique à l’angle de la rue Saint-Marc et de celle des Greniers
    Le président du Conseil d’administration Daniel Hamm demande à être exempté des droit de voirie en arguant que le chantier dépasse de très peu le sol qui était occupé par les anciens bâtiments et que la municipalité n’a versé aucune subvention – Le maire accorde l’exemption à titre exceptionnel.
  • 1965 – La directrice transmet à la Police du Bâtiment le dossier pour le nouveau bâtiment scolaire destiné à en remplacer d’anciens trop vétustes.
  • 1965 (mars) – Demande de permis de construire, parcelle 47 de la section 9, appartenant à l’établissement des Diaconesses, Collège Lucie Berger
    Devis descriptif par l’architecte M. Strohmenger (14 avril 1964) pour remplacer des bâtiments vétustes d’externat par un bâtiment neuf d’internat. Le nouveau bâtiment sera construit de manière à ce que ses niveaux correspondent à ceux du bâtiment auquel il fait suite. L’ancien escalier servira à l’internat, le nouveau à l’externat. L’accès se fera entre deux bâtiments et non sous un bâtiment pour pouvoir adjoindre ultérieurement d’autres bâtiments. Le sous-sol comprend une chaufferie, une grande salle de réunion et deux petites, le rez-de-chaussée quatre salles pour le jardin d’enfants, deux petites salles, une lingerie, un bloc sanitaire, le premier étage des salles d’administration (salle des professeurs, secrétariat, etc.), le deuxième étage quatre salles de classe et un bloc sanitaire, le troisième étage deux dortoirs de douze lits, deux blocs sanitaires, salles de surveillantes, le quatrième étage des logements (notamment celui de la direction). La structure sera en béton, les murs extérieurs en briques de 25 centimètres d’épaisseur, les murs intérieurs en briques de 12 centimètres d’épaisseur. Toiture en ardoises, murs extérieurs revêtus de pierre naturelle.
  • 1965 (juin) – Procès verbal de la Commission auxiliaire de sécurité
  • 1965 (avril) – Rapport de la Division I sur l’alignement légal. Plan de situation, section 9, parcelle 55/47 (176 m²) à céder à la voie publique rue Saint-Marc et 56/47 (169 m²) rue des Greniers. Le nouveau bâtiment ne devra pas dépasser de l’alignement alors qu’il dépasse d’un mètre celui de la rue des Greniers selon le projet.
    1966 (juin) – L’établissement s’engage à céder à la voie publique les terrains qui dépassent de l’alignement
    1965 (octobre) – Le directeur départemental de la construction autorise les travaux sous réserve de respecter les conditions énoncées (prescriptions de la commission de sécurité notamment)
    1966 (15 avril) – Le maire accorde le permis de construire un groupe scolaire sur un terrain le long de la rue Sain-Marc, après que le préfet a autorisé les démolitions le 3 mai 1965 et que la Commission auxiliaire de sécurité a fait son rapport le 26 juin 1965
    1966 (août) – L’architecte Marcel Strohmenger demande de déroger au règlement des constructions pour quatre puits circulaires servant de fondation qui dépassent de 70 centimètres de l’alignement à trois mètres sous le niveau du trottoir. – Le maire accorde la dérogation
  • 1965 (mars) – Demande d’autorisation de démolir les bâtiments sis 8, rue Saint-Marc et 1, rue des Greniers
    Constat. Les immeubles prévus à la démolition sont des anciennes constructions à rez-de-chaussée et 2 étages, en maçonnerie, en briques et toiture à deux versants, couverture simple de tuiles plates. Ces constructions ne menacent pas ruine, or le remplacement des constructions est projeté, création de locaux modernes, plus adaptés à l’usage scolaire. Comme les immeubles de remplacement sont déjà projetés, l’avis favorable à la démolition envisagée peut être donné.
    1965 (avril) – Le maire transmet au préfet la demande de démolition avec avis favorable
    1966 (mai) – Le préfet accorde l’autorisation de démolir
  • 1967 (janvier) – L’établissement des Diaconesses transmet par son directeur A. Mary une demande d’avenant au permis de construire

Autres dossiers
954 W 144 – 8-10 rue Saint-Marc, collège Lucie Berger (volume II, 1991-1994)
802 W 203 – 8-10 rue St Marc et 1 rue des Greniers, collège Lucie-Berger (1973-1980)


Relevé d’actes

Le titre ci-dessous (1588) est l’un des titres mentionnés à l’inventaire dressé en 1679
La maison dite cour Lumbart (Lumbartshoff) appartient au gantier Daniel Schœffel qui épouse en 1572 Barbe fille de Georges Schramm de « Granen »

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 48 n° 115)
1572. Dominica III. Daniel scheffel der handtschuhmacher Barbara Gorg schrammen von Granen dochter 4 Februarÿ (i 50)

Le fabricant de chausses Daniel Schœffel, les enfants de sa sœur Elisabeth femme du fabricant de pâtés Jean Krebs, Daniel et Catherine Schœffel vendent la cour Lumbart à Balthasar Stœsser

1588 (xiij Junÿ), Chancellerie, vol. 256 (Registranda Kügler) f° 306
Erschienen Daniel Schöffell der hosenstricker für sich, Item Caspar Reychart Sporer v. Peter Schnyder hosenstricker alls geschworner Vogt Elizabethen, hansen v. Jacobs geschwüsterden Wÿland hanns Krebßen d pastetenbeck. selig Kinder mit Elizabeth seiner hußfr. bemelt. Daniel Schöffells schwester selig ehelich. erzielet, So dann Barthell Ferck* hosenstricker alls geschworner vogt Daniels v Catharinen geschwüsterden bemelten Daniel schöffells selig Kinder all dreÿ vögtlich. weys Irer Vogtkinder für dieselb. vnd Iren erben (haben) verkhaufft
d. Achtbaren v fürnemm. Herr Balthazar Stosser Ime v. seinen Erben
den lumbhart hoff mit Zwelff heüser Iren hoffstätten hoff Gartten vnd Ställ m all andern Iren gebeuwen alle bey v. einander In der S S Im Finckwÿler beÿ dem platerhuß einseyt ein eck ane der vÿhegaß gegen der platterhuß scheuren hinuber, andersyt herr paulo hochuelder Stattschreyber stossen hinden vff herr Jacob Wolffen, Dauon gnd 24 guld. glts Straßburger vff Johannis Baptiste falld losig mit 600 guld. bemelt werung d. Werck vnser Fr. Münster, Mehr 12 guldin gelts vff bemelt S Johans tag losig mit 300 gld. SW Diebold Kretz* dem gartner, Item 6 schilling 8 pfenning v 6 Kappen hieher Inn hauptgut für xix lb gerechnet dem Thumbherrn hoher stifft Straßburg vnd S Martins tag, So dann 1 pfund 5 schilling vff Martini fallend den herren Vicarien hoherstifft Straßburg In hauptgut für 37 pfund 10 schilling Nechstegende m* seyen einen bodenzinß Erschetzig fürbietig mit geld oder Münß ablösig wie solche die hauptbrieff dvffgerecht vßwÿßd. also hatte der H kheüffer vff sich genommen & Alles recht & der Kauff vber solche beschwerden Zugang für 696 pfund pfenning SW

La maison est vendue en 1610 à Jean Philippe Scheer (voir la référence lors de la vente de 1619) qui épouse en 1603 Anne, fille d’Adolphe Kirchhoffer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 185 n° 522)
1603. Sonntag 13. Novembris. Hanss Philips Scheer v. J Anna h. Adolff Kirchhoffers alhie Nachg. tochter. Eingesegnet 21 Novemb. (i 187)

Jean Philippe Scheer hypothèque au profit de Sébastien Blanck de Strasbourg, demeurant à Haguenau, la cour Lumbart, déjà grevée d’une dette envers les enfants de Sigismond Flach

1613 (ut spâ [xwvij. tag Aprilis]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 233-v
(Inchoat. in Proth. fol. 213.) Erschienen herr hannß Philipß Scher burger zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Sebastian Blanckhen vonn Straßburg wonhafft Zu Hagenauw – schuldig seÿe 300 pfund pfenning Straßburger
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd v.legt, hoff, hauß, hoffestatt vnd garten, sampt Sechs nebentsheüßlin mit Allen Ihren gebeüwen & der Lumbarts hoff genant, Inn der St. St. Im Finckhweÿler beÿ dem Platterhauß gelegen einsit nebenn dem Allmendt seg, Andersit neben herrn Geörg Ringler, hinden Auch vff denselben Geörg Ringler stoßend, dauon gend vier guldin gelts Ablößig mit 100 guldin Straßburger Werung der Cartheußer Alhier, Item Aber vier guldin gelts widerlößig mit j C guldin werung der Samlung Zum Thurn, item xxiiij guldin gelts stendt Inn hauptgutt mit vj C guldin Straßb. werung abzulößen dem werck vnser frauwen Münster, Item xij gudlin gelts widerkheüffig mit iij C guldin werung hannß hammerer dem gartner v. seinen Consorten, So dann seind sie noch verhafftet für ein Schuldt Lvj lb v ß d herrn Sigißmundt Flachen Khindern Zuerlegen Sunst ledig vnnd eÿgenn

Le tuteur d’Anne Kirchhoffer, femme de Jean Philippe Scheer, dépose un capital à la Tour aux deniers
1611 XV (2 R 39) Hanns Philips Scheer. 224. [Kühe kauffs, H. Wolff Grienwaldts stieffsohn]
1620 Bauherren (VII 1335) Sambstag den 8. Aprilis 1620.
(f° 82) Vogteÿ geldt angelegt – Herr Hanns Bastian Zeißolff, als Vogt frawen Annæ Kirchhofferin, Hannß Philipp Scheren haußfrawen Hatt erlegt 50 lb. Haben Ihn darumb Zu kauffen geben 21 lb 10 ß Jherlich vff Annunciationis Mariæ fallend. Zugeschrieben folio 11

Marc Kirchhoffer, frère d’Anne Kirchhoffer, demande l’intercession du Magistrat pour établir que Jean Philippe Scheer a été enterré à Vienne
1625, Conseillers et XXI (1 R 107)
(f° 102) Montag den IX Maÿ. – Hans Philips Scheer ob er noch lebt erkundig.
Marx Kichhoffer vogt seiner schwester Hanß Philips Scheeren hausfrawen vbergibt supplôn dorin er mhn. er Innert wie er hienweg gezog. vnd seithero wenig Zeittung seines verhaltens gehabt ausser dem d. Gorg Bodecker en Jr Adolph Falcken gschrb vnd Zu wissen gemmacht d. er A° 1622 gestorb. u beim Schotten thor auf der Evang. begrabnus begraben worden wan sie aber kgren* ein satten bericht haben möchten Alß bitt er Mhn. wollen Iren Agenten zu Wien Zuschb.en Zuerkundig. ob er al Zell* bey Hn Mollart sich aufgehalten was sein verrichtung gewessen vnd ob er etwas verlaßen. Erk Man soll durch p.tnden an Agenten schbn. vnd begeren lassen. J. Ingoldt.

Anne Kirchhoffer, veuve de Jean Philippe Scheer, se remarie en 1640 avec Juste Arcuarius, pasteur à Lahr : contrat de mariage, proclamation à Saint-Thomas, célébration à Eckbolsheim
1640 (ut supra [2. 8.bris]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 511
(Eheberedung) Erschienen der Ehrwürdig und wohlgelehrte herr M. Justus Arcuarius Pfarrer Zu Lohr alß hochzeiter mit beÿstandt herrn M. Daniel Kecken diaconi Zu S. Niclaus alhie und herrn hannß Marx Mappus handelßmann seines dochtermanns und Schwagers ane einem,
und dann die viel Ehre: und tugendreiche fr. Anna Kirchhofferin weilandt herren hanß Philipß Scheeren burgers Zu Straßb. seeligen hinderlaßene fr. wittib alß hochzeiterin mit beÿstandt H Johann Geörg Salatins Kleinen Raths bewanthen und H Gottfried Stößers Allmendschreibers ihres geschwornen vogts und Schwägere ane andern theill

Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 252-v)
1640. Domin. XVIII Trinit.. 4. Octon. M. Justus Arcuarius Alter Pfarrer Zu Lahr, Fr. Anna weÿl. Johann Philipp Scheeren burgers alhie nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Montag d. 17. Octob. Eckoltzheim (i 259)
Mariage, Eckbolsheim (luth. n° 9) 1640. d. 12. octob. M. Justus Arcuarius Pastor Zu Lahr, Vnd Fr. Anna Kirchhoferin, Johann Philipp Scheer hinterlassene Wittib. (i 120)

La maison revient aux héritiers du créancier Sigismond Flach qui épouse en 1595 Marie, fille du greffier Paul Hochfelder puis en 1606 Marguerite, fille de Georges Fettich

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 39, n° 111)
1595. Dominica 16. Trinitat: 5. Octob. H Sigismundus Flach. Vndt Jungfr. Maria H. Paul hochfelder des Alten Stattschreybers alhie tochter Eingesegnet montag den 3. Novemb. (i 41)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 231-v n° 630)
1606. Sonntag den 13. Julÿ. H. Sigmund Flach vnnd J Margreth H Geörg Fettichs Alhie tocht. Eingesegnet Zinstag 22. Julÿ (i 237)

Malade et alité, Sigismond Flach fait son testament le 14 juin 1615. Il fait un legs à sa femme Marguerite Fettich et à chacun des trois enfants de son deuxième mariage (Jean Georges, Antoine et Frédéric) pour les égaliser avec ses quatre enfants issus de son premier mariage.
1615, Chancellerie, vol. 414 (Gemein Contract Buch) f° 78-v
Codicill vätterliche Dispositio vnd verordnung Sigmund Flachen zwischen seinen Kindern vnd ehelich. haußfr. (Ingross. den 23. Julÿ An. 1616)
vor unserm Cancelleÿ verwandten verordneten Actuario vnd Registratori Laurentio Klussrhat in weÿland vnsers gewesenen Burg.s Sigmund Flachen seligen Behausung alhier dahin er beruffen ist, Jetzernanter Sigmund Flach leybs halben gleychwol seher schwach Kranck vnd abkommen vnd dernhalben In einem Bett ligend aber sonsten darneben guter ohnverletzter gesund. vernunfft (…)
daß er der vielfaltigen ehelich. Trew vnd freundschafft, so seine Jetzige geliebte haußfrau Margaretha Fettichin Ime die Zeyt Ihrer ehelichen beywohnung (…) bewisen vnd erzeÿgt (…)
Am andern, dieweÿlen auß erster Ehe vier Kinder noch In leben, welche nhunmehr Gott lob Zimlich erwachsen vnd auch für sich selbst Ir eygen Großvätter vnd mütteliche Nahrung ererbt vnd in handen, darneben aber Ine biß er sie so weÿt gepracht ein ehrlich vnd ansehnliches gecostet, dahergegen seine treÿ Jüngere Kinder, die er In gegenwertiger seiner andern Ehe mit obgedachter seiner geliebten haußfrawen erzeüget, vnder Ihren Jaren vnd noch ohnerzogen, so were sein lieber wil vnd meinung, das denselben seinen Treÿen Jüng. Kind. und Söhnen mit Nahmen Hanß Georgen, Anthonio vnd Friderichen nach seinem ableÿben auß seiner verlaßenschafft Jedem ein Thausend gulden Zu einem vorauß gelufert vnd erstattet werden solle (…)
auff Mittwoch den 14. tag Monats Junÿ Als man nach Christi vnsers Herren erliches vnd seligmachers gepurt Zalete 1615. Jar

Jacques Schilling dépose 400 livres à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Jean Georges et Antoine, issus du mariage de Sigismond Flach avec sa deuxième femme Marguerite Fettich
1620, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1335)
(f° 77) Sambstag den 1. Aprilis 1620. – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Jacob Schilling XXI als vogt Hanns Georgen vnd Anthoni weÿland Herrn Sigmund Flach mitt frawen Margrethen Fettichin seiner andern haußfrauwen, ehelich erzeügter Söhn, Hatt erlegt 400 lb. d.
Haben Ihnen darumb Zu Kauffen geben 20. lb d Jhärliches Zinß vff Annunciationis Mariæ fallend, Zugeschriben folio 9.

Le curateur de Marguerite Fettich, veuve de Sigismond Flach, dépose 450 livres à la Tour aux deniers
1622, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1337)
(f° 152) Montag den 8. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Doctor July Friderich Procurator ahm kleinen Rhat alß Vogt De. Margareth Fettichin, weÿland Hn Sigmund Flachen Wittib, hat ins Vogteÿgeld angelegt 450 lb. d. Vnnd haben Ihro darumb Zu Kauffen geben 22. lb 10 ß vff Joh. Baptistæ fallend, Ingr. fol. 149.

Jacques Schilling dépose 500 livres à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Jean Georges et Antoine, issus du mariage de Sigismond Flach avec Marguerite Fettich
(f° 161-v) Sambstag den 13. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Jacob Schilling XV. als Vogt Hanns Georgen vndt Anthoni Weÿland Hn Sigmund Flachen mit fr. Margrethen Fettichin seiner ehern haußfr. ehelich erzeügter Söhn, hatt hat ins Vogteÿgeld angelegt 500 lb. d. Vnndt haben Ihnen darumb Zu Kauffen geben 25. lb vff Jacobi jährlich fallend, Ingr. fol. 165.

François Raoul Ingold dépose des capitaux à la Tour aux deniers au nom de ses pupilles Paul, Sigismond et Marie, issus du mariage des défunts Sigismond Flach et Marie Hochfelder
(f° 300-v) Mittwoch den 11. Decemb. 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Frantz Rudolff Ingold Vorbemelt, alß Vogt Pauli Weÿland Hn Sigismundi Flachen mit fr. Maria Hochvelderin beeder Seel. ehelich erzeügten Sohns, haben angelegt 250 h. haben Ihr darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend, Ingr. fol. 281.

(f° 300-v) – Vogteÿ geldt angelegt
Ehrengedachter Frantz Rudolff Ingold, alß Vogt Sigismundi, Weÿland Hn Sigismundi Flachen mit fr. Maria Hochvelderin Seel. erzeügten Sohns, hat ins Vogteÿgeld angelegt 250 h. haben Ihme darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend.

(f° 300-v) – Vogteÿ geldt angelegt
Ehrengedachter Herr Ingold, alß Vogt J. Mariæ gemelter beÿder Ehegemecht Seel. hinderlaßener Tochter, hat ins Vogteÿgeld angelegt 250 h. haben Ihro darumb Zu kauffen geben 12. h. 10. ß vff Catharinæ fallend.

François Raoul Ingold vend au nom de ses pupilles Paul, Sigismond, Marie et Anne Ursule, issus du mariage de Sigismond Flach et de Marie Hochfelder, au docteur en médecine Jean Jacques Riep et à sa femme Jeanne Marie la cour Lumbart (Lumpartshoff), aussi dite à l’Ordre teutonique (zum Teutschenherren) à l’angle de la rue des Bestiaux face à l’hospice des Vérolés, la maison voisine dont le bâtiment avant est appelé l’auberge des pauvres passants (Elende Herberg) et la maison suivante. La vente à Jean Philippe Scheer passée en 1610 a été annulée pour défaut de paiement.

1619 (26 Julÿ), Chancellerie, vol. 434 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 41
Kauffverschreÿbung d Johann Jacob Rÿpen über den Lumberts hoff
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1619 folio 43. Zubefinden.) Erschienen Herr Frantz Rudolph Ingold dreÿ Zehener als geschworner Curator vnd Vogt Paulÿ, Sigismundi, Mariæ vnd Ann Ursulen weÿland Herrn Sigmund Flachen mit Frawen Marien Hochfelderin beede seeligen ehelich erzielter Söhn vnd Tochter (verkaufft)
Hn Johann Jacob Riepen beed. recht. doctoren vnd frauwen Johannam Mariam deßelben ehelig. haußfrauwen
Einen Hoff, Jetzo der Lumbarts hoff Vor Zeiten aber Zu den Teutschen herren gnt. mit dem darzu gehörigen, einem neuwen vordern vnd Zweÿen alten neben heusern Schewr hoffstetten, Gärten vnnd Ställen, sambt allen begriffen, weiten, Zugehörd. recht. vnd gerechtigkeit. aller beÿ und neben einand. alhie In dieser Statt Straßburg Im Finckweiler beim Platerhauß geleg. einseit ein Eck ahne der Viehgaßen gegen gedachtes blaterhauß Scheuwren hienüber anderseit neben weiland Hn Jacob wolffen seeelig. gartens auß ganngk hind. vf gedacht Hn Wolffen genand Schonegkers garten stoßend, davon gehn Jahrs 24 fl. Str. w. vff Joh. Bapt: loosig mit 600 fl. hauptguths s.selbig. w. unser frawen werck alhie, Mehr 12 fl gelts vff blmt. Joîs deß Teufferstagh, Jacob Schewr* dem gartner, In hauptgut loosig mit 300 fl. Sw.
Mehr sind in disen Kauff gehörigk Zweÿ heuser ein vorders vnd ein hinderes, sambt deren hoff vnd garten, vnd allen andern Ihren gerechtigkeÿten, heist das vorders die elend herberg, auch alhie In dieser Statt In gedachtem Vinckweiller vnd. den vischern, einseit neben vorgemeltem Lombartshoff, andersit neben dem hauß Zum Engel gelegen, freÿ ledig vnd eÿgen
Item vnd eine behausung vnd hofestatt, Ställ vnd heußlin, sambt andern Ihren gebeuwen begriffen Zugehörden rechten vnd gerechtigkeiten auch alhie In dieser Statt Im Finckweiler vnder den vischern, Einseit Zum theil neben obgedachter Hn Jacob wolfen genandt Schoenecker seelig. garten, anderseit neben vorgedachter behaußung der alten elend. herberg, hind. abermals Ist mehrbesagter Schoenecker seelig. garten Ziehend, davon gehen Jährlichen vff Martini vier guld. Str: w. wid loosig mit 100 fl. gerüerter Str: w. Zu Zweÿen mahlen, der Carthausen alhier, Mehr 4 gld. goldts vff Joh. Bapt: wid. loosig mit 80 fl. Str. w. Zu Zweÿen malen der Samblung Zum Thurn, welche alle und Jede vorher beschriebene heuser vnd darzu gehörige stuck, ehrengedachter H verkeuffer, In dem vorschienenen 1610.ten Jahr, Inhalt darüber bey der Cancelleÿ beschehener verschreibung, hannß Philips Scheeren Zu kaufen geben, dieselben aber nach. wegen der nicht Zalung vnd vßgeschlagener würcklicher beschwerd. nothwendig mit recht wid. erlangen vnd ahn sich Ziehen müßen, Vnd wehre dieser verkaufft vnnd Kauff aller vnd Jeder dieser zu vorgemeldter stuck, vber abzugk obbeschriebener darauff von alters stehender beschwerden vnd dann noch weiler 500 pfund von gedacht. hannß Philips Scheeren vff geschlagener Zinnß vnd loßen (…) Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 1133 pfund
[in margine :] Erschienen Herr D Johann Jacob Riepp der in diesem Kauffbrieff keüffer vnd hat die Zinß verschreibung vber die auch in diesem Kauff angebene 12 fl. Jährlich gelts vnd 300 fl. cap. alles Str. werung, besagend, mit deß Bischofflichen hoffs Insigel v.wahrt vnd datirt den 26. Maÿ A° 1557. vorgewießen (…) Act. 14. Jan. 625.
[in margine :] Erschienen herr D. Johann Jacob Riepp vnd Fr. Johanna Maria sein Ehegemahlin mit beÿstand H Georg Friderich Wolfen vnd H Georg Friderich Ringlers ihrer negster v.wanten an einem, So dann Augustus Friderich Fettich alß Ehevogt Fr Maria Flächin am andern theil (…) Act. den 9. Maÿ Anno 1628.

Originaire de Stuttgart, Jean Jacques Riep épouse en août 1606 Anne Flach veuve du docteur en droit Paul Graseck et devient bourgeois en juillet 1607.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 232 n° 639)
1606. Sontag den 24. Augusti. Johannes Jacobus Riep d. Rechten doctor vnd Anna doctoris Pauli Grasecks Nachgelaßene wittib, Eingesegnet Dinstag den 9. Septemb: (i 237)

1607, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 886
Johann Jacob Riep von Stuttgarth der Rechten Doctor, Empfahet daß Burger Recht Von Anna Weÿland herrn Pauli Graseckhen der Rechten doctor hinderlaßene wittib, Wüll Zu Steltz Zünfftig sein Actum den 22 Julÿ Aô 1607.

Fille de Sigismond Flach, Anne Flach épouse Paul Graseck en 1590.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 122, n° 411)
1590. 15. Trinit. Paulus Graseck der Rechten Doctor vnd hiesigen Schul professor, vnd Anna h . Sigmund flachen nachgelaßene dochter (i 132)

Jean Jacques Riep se remarie en 1611 avec Jeanne Marie Wolff dite Schœneck
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 309, n° 877)
1611. Sontag den 20. Januarÿ. J. Joannes Jacobus Riepp d. Rechten Doctor vndt Johanna Maria weÿland H. Jacob Wolffen genant Schöneckers Alhier Nachgelaß: tochter. Eingeseg. Zinstag 29. Januarÿ (i 318)

Vente où est cité Jean Jacques Riep, issu du mariage entre Jean Jacques Riep et Anne Flach
1614 (xxvij. Junÿ), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 162
Erschienen der Ehrenvest Fromm herr Sigmund Flach vnd Dauid Essinger alls geschworne ober V wid* vndervogt Wÿland der Erentreych Fr. Annen gebohrner Flächin sein herrn Sigmund Flachen schwester In erster V anderer ehe erzieler seelig Kinder verkaufft mit beÿstand und bewilligung des Ehrenuesten hochgelehrten herrn Johann Jacob Riep der Rechten doctor alls vatter hanns Jacobs, So er mit bemelter Fr. Annen Flächin selig ehelich erzielt
dem auch Ehrenvesten hochgelehrten herrn Philipp Scheÿden der Rechten doctor (verkaufft)

Accord que passe Jean Jacques Riep après la mort de son fils Jean Jacques avec Antoine Graseck, Ursule Graseck femme de Charles Gambs et Odile Graseck femme de Michel Stemmler, demi-frère et demi-sœurs du défunt.
1628 (7. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 433
Erschienen der Ehrenvest hochgelehrtt herr Johann Jacob Riepp, beeder Rechten Doctor, An eim,
So dann herr Anthoni Graseck für sich selbst, herr Carol Gambß alß Ehevogt Fr. Ursulen, herr Johann Michel Stembler alß Ehevogt Fr. Ottilien, aller Grasecken vnd geschwisterden am andern theil,
Zeigten An, Waß maßen sein G. D. Rieppen mit weiland Frawen Anna Flächin erzielter Jünger Sohn, auch hannß Jacob Riepp vnd ihr der Grasecken geschwisterden Muter halben Bruder in anno a 1618. verstorben, vnd dahero so wohl wegen seines, alß seiner geliebten Eltern vnd Großeltern, weiland herrn Sigißmund Flachen vnd Frawen Annæ Schmaltzin, Fr. annæ Leÿmerin, herrn Pauli Grasecken deß altern fünffzeheners vnd beeder abgeleibter gebrüedere Pauli vnd Caroli Grasecken, aller nunmehr seeligen, Zu gewißen Antheilen anheimb gefallene Erbsportionen, Zwischen ihnen allerhand differenten vnd Mißverständ (…)

Jean Jacques Riepp délivre à Nicolas Fürich un complément de paiement, le capital établi par un titre de 1557 ayant été remboursé pendant la dévaluation en 1623.

1629 (ut spâ [19. 7.bris]), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 594
Erschienen herr D. Johann Jacob Riepp an einem,
So dann weÿ: Niclauß Furichs deß Schreibzeügmachers vnd burgers seel. alhie wittiben vnd Erben vögt Peter Robidet der handelsmann, vnd herr M. Georgius Würmblin præceptor Classicus am 2. theil, Zeigten An,
demnach er Herr D. Riepp 300. fl. Capital St. w. so er mit 12. fl. besagter werung von vf vnd abe seiner behausung alhie im Finckhweiler gelegen, der Lumpartshoff genannt, vermög einer vnd. deß Bischofflichen hoffs alhie anhangendem Insigel durch Notar. Cornelius Kegel den 26. Maÿ A°. 1557. vfgerichten v.schreib. v.zinßt, in A° 1623. den 8. Januarÿ in dem damahls hochgangbar gerechnetem gelt obgedachtem Furichen erlegt, Alß heten sie sich mit einander dahin güetlich. v.glichen, daß er H D Riepp ermelter witib vnd erben 150 gld. (…) nachzutragen

La maison revient le 28 décembre 1635 par adjudication judiciaire à Auguste Frédéric Fettich (voir la référence à l’inventaire dressé en 1679).
Fils de Georges Fettich, Auguste Frédéric Fettich épouse en 1624 Marie, fille de Sigismond Flach

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 2-v)
1624. Dominica I. pt. Trinit. den 30. Maÿ. Augustus Friderich Fettig H. Georgÿ Fettigs hind.laßener Sohn vnd Jungfr. Maria H. Sigmund Flachen hinderlaßene tochter. Montag den 7. Junÿ Eingesegnet (i 5)

Baptême en 1635 de leur fils Auguste Frédéric
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 127-v n° 1334.)
1635. Donnerstag d. 18. Junÿ. P. H Augustus Fredericus Fettich, M. fr. Maria, I. Georg Sigmundt. P. h. D. paul Friderich Advocat Im Kleinen Rath,, h Anton flach, Fr. Dorothea, H Augusti Gollen handelßmans witwen (i 184)

Auguste Frédéric Fettich délivre à l’Œuvre Notre Dame un complément de paiement pour un capital garanti sur la cour Lumbart, le capital établi par un titre de 1555 ayant été remboursé pendant la dévaluation par Jean Jacques Riepp.

1636 (ut spâ [11. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 635-v
Erschienen deß Wercks vnser Frawen Münster allhier underschreiber H Johann Rhem An einem,
So dann H Augustus Friderich Fetich burger Zu Str. Am and. theil
Zeigten An, demnach die 600. fl. Capital, so dem besagten werckh vermög einer vnd. deß Bischofflichen hoffs alhie Insigel durch Hilarium Meÿgern den Notm. den 29. Maÿ A° 1555. vffgerichten brieffs Jährlich mit 24. von vff und Ane dem Lumbardts hof alhie im Finckweiler gelegen vff Johannis Baptæ verzinßt, durch H D. Johann Jacob Rieppen alß damalen erstbesagts hoffs Besitzer, in hohen dem Reichßthaler nach Zu 6. fl. gerichteten gelt abgelegt word. daß sie sich, nach maß Alhieiger vber die Nachträg v.faßten instruction güetlichen dahin v.glichen, daß Er Fettich Alß Jetziger possessor obberührten hoffs mehrgedachten werck An gnten ietziger Zeit gang vnd gibigen gelt 300. fl. St. w. nachzutragen, solchen Nachtrag fürohin vff Michaelis mit 15. fl. besagter Wehrung zuuor zinßen schuldig sein

L’inventaire du receveur Philippe Jacques Ebersperger est dressé dans la maison qu’Auguste Frédéric Fettich a acquise par adjudication judiciaire des héritiers de Jean Jacques Riep et de sa femme
1646 (9.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 16) f° 6
Inventarium undt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so H Philipp Jacob Eberspergern, Landtspergischem Schaffner und Frau Annæ Mariæ Tornarium beeden Eheleuthen burgern alher Zu Straßburg zuständig
Inn einer alhie Inn der statt Straßburg beÿ dem Blatherhauß gelegener Behaußung welche H Augustus Friderich Fettichs Burger alhie von H. Johann Jacob Riepen undt seiner hfrau. seel. Erben, ane der Ganth erhaltten, beede Eheleuth aber Lehnungsweiß bewohnen

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Nicolas Hansmetzger, sauf la partie louée à Jean Speich, de Kork.

1648 (16. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 573-v
Erschienen H Anthoni Flach alß Vogt Georg Sigmund Fettichß,
hatt in gegensein Niclauß Hannß Metzgers deß Metzgers
verlühen habe hauß, hoff, Garten mit allen deren Gebäwen nichts davon so hannß Speich von Korckh lehnungß weiß innhatt außgenohmen, alhie im Finckhweiler beÿm Blaterhauß ist einseit ein Eckh anderseit auch neben deß Vogts sohns Behaußung gelegen, vff ein Jahr lang von nechst verwich. Michaelis angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 25. Pfund
(…) und kein Viehe in den Garten gehen Zu laß. dadurch die Bäum Köndten beschädigt werd.

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison à l’avocat Sigismond Frédéric Scheid

1651 (8. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 299-v
Erschienen H Anthoni Flach E.E Kl. Rhats Beÿsitzer alß Vogt Georg Sigmund Fettichß
hatt in gegensein H Sigmund Friedrich Scheid. V.I.D. & Advocati
verlühen habe sein Fettichß Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen und Zugehördten alhie im Finckhweiler gegen dem Blaterhauß hienüber gelegen, vff sechß Jahr lang von nechst verschienenen Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß behausung 27. lib. 10. ß

Le tuteur de Georges Sigismond Fettich loue la maison à Marie, femme du boucher Balthasar Krauss

1661 (24. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 365
Erschienen H Anthoni Flach Alter Groß Rhats Verwanther alß Curator Georg Sigmund Fettichß
in gegensein Mariæ, Balthasar Kraußen, deß Jüngern Metzgers, ehelicher Haußfrawen, mit beÿstand Georg Bronnen deß Weißbeckhen ihres geordneten Vogts
Verlühen habe, seines Vogts sohns alhie im Finckhweiler ohnfern dem Platterhauß, Zwischen dem Verleÿhnern gelegene behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten sambt dem daran gelegenen Garten, uf Zweÿ Jahr lang Von nechst Künfftig Joh. Bapt: angerechnet für und umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 22. lb 10. ß

Georges Sigismond Fettich épouse en 1663 Anne Barbe Acker, fille du docteur en médecine Nicolas Acker et de sa femme Susanne Marie Trausch : contrat de mariage, célébration

1663 (14.9.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 739
Eheberedung Zwischen H Geörg Sigmund Fettich als Brauttigam & vnd Jfr. Annæ Barbaræ Weÿl. H. Nicolaj Ackhers Medicinæ Doctoris dochter als hochzeiterin
zwischen dem Ehrenvesten v. wohlvorgeachten H Geörg Sigmund Fettich burgern alhier des Weÿland Ehrenvesten vnd hochachtbaren H Augusti Friderich Fettichs Vornehmen burgers alhier Zu Straßb. mit der Vil Ehren v. Tugendreich. Frawen Mariæ Fettichin gebornen Flächin ehelich erzeügtem Sohn als Braütigam ab Einemn
So dann der Vil Ehren v. Tugendreichen Jfr. Annæ Barbaræ weÿl. des Wol Edel Vest v hochgelehrten H Nicolai Ackers Weitberümbten Medicinæ Doctoris alhie selig. vnd der vil Eren: v Tugendreichen Fr. Susannæ Mariæ Ackerin geborner Trauschin eheleiblich. Tochter alß hochzeiterin Andern theils
So beschehen in Straßb. Montags den 14. Septembris A° 1663.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 53-v)
1663. Dn. 1. Adventus 29. Novembr. H. Geörg Sigmund Fettich, weiland H. Augusti Friderich Fettich Vnd Burger allhier hinderlaßener Ehelicher Sohn, J. Anna Barbara, Weiland H. Nicolai Aggerii Medic. Doctoris et Practic. allhie hinderlaßene eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 8. Decembris Zum Spiegel (i 58)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Georges Sigismond Fettich à se marier au poêle du Miroir
1663 Conseillers et XXI (1 R 146)
(f° 188) Montags den 16.ten Novembr. 1663. Georg Sigmund Fettich
Georg Sigmund Fettich bitt per Dr. Bi. vmb consens sich mit Jgfr. Anna Barbara weÿl. Dr Nic. Ackers dochter vff der Zunfftstub Zum Spiegel vopuliren zu laßen. Erk. willfahrt vnd soll 3. lb d in das Allmußen geben. Hr XXI. Schütterlin et H Walter.

Mentions de Georges Sigismond Fettich dans les registres du Magistrat
1649 XV (2 R 68) August Friderich Fettichß Sohns Vogt. [drucht, wein] 20. [Zinß] 172. [Zinß] 232.
1650 XV (2 R 69) Georg Sigmund Fettichs Vogt. 235. [Früchten, Wein]
1657 XV (2 R 75) Georg Sigmund Fettich. [wein] 168.
1659 XV (2 R 77) H. Georg Sigmund Fettichs Vogt. 76 [Zinß].
1660 XV (2 R 78) H. Georg Sigmund Fettich. 71 [Wein, 247 id.].
1662 XV (2 R 79) Georg Sigmund Fettichs Vogt. 59 [Wein]. 206 [Frucht und Wein]. 128 [abloßung].
1663 XV (2 R 80) H. Georg Sigmund Fettich. 119 [wein]. 143 [compensation]. 209 [wein]. 213.
Würth Zum Geÿst. 231 [H. Georg Sigmund Fettich]
1664 XV (2 R 81) H. Georg Sigmund Fettich. 112. [wein]
1666 XV (2 R 83) Georg Sigmund Fettich. 106. [zinß]
1674 XV (2 R 90) Georg Sigmund Fettich. 244. [zinß]

Anne Barbe Acker fait dresser l’inventaire de ses apports (2565 livres) dans la maison de ses parents rue Sainte-Barbe
1665 (1.6.), Not. Oesinger (David, 37 Not 18) n° 9
Inventarium und beschreibung aller vnd Jeder Haab und Nahrung, So die Viel Ehren und tugendreiche fraw Anna Barbara Fettichin gebohrne Aggerin dem Ehrenvesten und hochachtbahren H. Geörg Sigmund Fettichen ihrem geliebten Eheherrn in die Ehe Zugebracht (…) So beschehen in Straßburg den 1. Junÿ Anno 1665.
In Einer In derStatt Straßb. In St Barbara Gaßen gelegenen behaus. So Weÿl. deß Wohl Edlen vndt hochgelehrten H Nicolai Aggerÿ Medicinæ Doctoris seel. hinderlaßenen Fr. Wittwe Zuständig Ist befund. worden wie volgt
Abzug In dießes Inventarium. Sa. haußraths 495, Sa. Silbern Geschirr vnd Geschmeidts 238, Sa. Guldenen Ringen und dergleichen Geschmeids 296, Sa. der Baarschafft 984, Sa. Pfenningzinß hauptgüter Hauptguths 550, Summa summarum 2565 lb

Georges Sigismond Fettich loue la maison à Jean Ernest Rinck

1664 (4. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 71
Erschienen H Georg Sigmund Fettich
in gegensein H Johann Ernst Rinckh
verlieh. Eine Behaußung sampt allen deren Gebäwen Garten und Zugehördten alhie im Finckhweÿler beÿm Blaterhauß geleg. und der Lumbarts hoff genannt vff fünff Jahr lang von Joh. Bapt: dießes Jahrs angerechnet umb einen iährlich. Zinnß benantlich p. a° 1665 und 1666 Jedes mahlß 20. lb, so dann p. a° 1667. 68. v. 69 Jedes mahl 21. lib

Georges Sigismond Fettich loue la maison, autrefois appelée cour Lumbart, à Jean Kamm, assesseur au Grand Sénat, et à son fils boucher Jean Frédéric Kamm

1670 (20. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 n° 308-v
Erschienen Georg Sigmund Fettich E.E. Kleinen alter Beÿsitzer
in gegensein H Hannß Kammen E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers und hannß Friderich Kammen deß Metzgers, vatters und sohns
entlehnt, Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, auch Garten, Begriffen und zugehördten alhie im Finckhweÿler beÿm Blaterhauß geleg. und von alters der Lumbarts hoff genannt, treÿ Jahr lang von Mich. dießes Jahrs angerechnet, umb einen iährlich Zinnß benantlich. 21. Pfund pfenning

Georges Sigismond Fettich rembourse au béguinage à la Tour un capital assis sur la maison d’après un titre de 1564.

1671 (2. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 349-v
Erschienen Herr Johann Schmidt alß Schaffner der Samblung Zum Thurn
in gegensein Herrn Georg Sigmundt Fettichs E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers
bekannt, daß derselbe, Ihme herren Schmidten 100. fl. staßb. wehrung erlegt und damit die Jenige 4. fl. besagter wehrung termino Joh. Bapt: Von uff und ab einer im finckhweÿler ohnfern dem blatterhauß und dem Lumpartshoff gelegenen behaußung vermög der durch weÿl. herrn Hÿlarium Meÿern alß deß bischofflichen Hoffs damahlig. geweßenen Contractuum Notarium nunmehr seel. am 28. Januar. a° 1564. uffgreichteter Verschreibung in Zweÿen Posten fallenden Zinnßen widergekaufft, abgelöst

Anne Barbe Acker meurt en 1679 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison principale, dite cour Lumbart (Lumparts hoff) et ensuite à l’Ordre teutonique (Zum teutschen herrn) à la somme de 1 300 livres, deux petites maisons voisines dites auberge des Pauvres passants (die Elende Herberg) à 100 livres et une autre à 50 livres. La succession comprend d’autres maisons rue Sainte-Barbe, rue du Bouclier et à la Krutenau. La masse propre au veuf est de 8 325 livres, celle propre aux héritiers de 3 840 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 357 livres, le passif à 3 342 livres

1679 (10. 9.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 1) n° 10
Inventarium vnd Beschreibung aller vnd jeder Haab, Nahrung vnd Gütter, liegender vnd vahrender, verändert und vnveränderter, so weÿland die Edle Viel Ehren: vnd Tugendreiche Anna Barbara Fettichin, gebohrne Ackerin des Edlen, Wohl Ehrenvesten Weißen vnd hochachtbaren herrn Georg Sigmund Fettichs E. E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers vndt vornehmen burgers allhier geweßene Ehelich geliebt. haußfr. nunmehr seel. nach Ihrem den 3.to Septembris dießes Zu end lauffenden 1679.sten Jahres beschehenen todtlichem Ableiben Zeitlichen verlaßen, welches auf fr. ansuchen, erfordern vnd begehren des wohl Ehrenvesten vnd hochachtbaren herrn Christoph Gambßen, vornehmen Handelßmanns vnd burgers in Straßburg, als geschwornen Tutoris Jungfr. Annæ Ursulæ, Georg Friderichs, Nicolai Daniels vnd Johann Philippßen, aller vier der verstorbenen frawen seel. mit vor wohl Edelernanntem Ihrem hinterpliebenen Herrn Wittibern, ehelich erzeügter Kinder vnd ab intestato hinderlaßener Erben (…) Actum in der H. Reichs St. Str. in noch fernerem gegenwertigkeit der Edlen hochedlen vnd Viel Tugendreichen Fr. Annæ Salome Kniebßin gebohrner Ackerin, Weÿl. des Wohl Edlen Vest vnd hochweÿßen H. Matthiæ Kniebßen des beständig. Regiments der H. XXI. hochansehnlicher beÿsitzers vnd vornehmen handelßmanns allhier hinderlaßener Fr. Wittib, So dann der hoch Ehren vnd Tugendreichen frawen Claræ Annæ Gambßin gebohrne Ackerin Vorwohlgemelts H Gambß. Eheliebsten der Frauen seel. Vielgehrter Fr. Schwester, Montags den 10. Novembris Ao 1679.

Eÿgenthumb Ane Häußern. (W.) Item hauß, hoff, hoffstatt, jetzo der Lumparts hoff, vor zeiten aber Zum teutschen herrn genadt mit den darzu gehörigen einem Vordern vnd Zweÿen alten Nebens häußlein, Ihren hoffstätten, Einem Garten Schewer, Ställen auch annen anderen begriffen, weithen, rechten Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, alle freÿ* vnd*kenen, allhier in der Statt Straßburg im Finkhweiler beÿ dem Blatterhauß gelegen, einseit Ein Eck ane der Viehegaßen, gedachtes Blatterhaußes Scheuren hienüber, anderseit neben H. Joh: Reichßhoffers XV. Außgang vff ged. garten stoßend, so freÿ ledig Eigen vnd ist das größere vmb 1300 lb, die 2 nebens haußlin p. 87 lb 10 ß vnd d. Kleine vord. Eckhäußlein p. 25 lb. d. die werckm. angeschlagen thut Zusammen 1412. lb 10 ß
It. 2. Häußlein Ein vorders v Ein hinders, sampt dero hoff v. gärtlein auch allen ihren gerechtigkeit. heißt das vorder die Elende Herberg in obgedachtem Finckweÿler geleg. vnder den fischern, einseit neben vorgemelte Lumpartshoff, anderseit neben dem hauß Zum Engel, so freÿ ledig vnd Eig. vnd hiehehro angeschlagen 100 lb
It. Eine Behaußung vnd hoffstatt, ställ v. häußlein sampt allen andern Ihren Gebäwen, begriffen, Zugehördt. vnd Gerechtig Keiten, auch allhier in der St. Str. im finckhweÿler vnder den fischern gelegen, einseit Zum theil neben obwohl Edelernandts H. XV. Richßhoffers Garten Ziehend, davon gibt mann Jahrs vff Martino vier Guldin Straßb. wehrung wider Käuffig mit 100 fl. besagter wehrung der Carteußern allhier, sonsten freÿ ledig vnd Eigen vnd hiehero angeschlagen über die daruff stehender beschwerd vmb 50 lb
([biffé] It. Ein alt Klein häußlein, mit Seinen begriffen weithen vnd Gerechtigkeiten allhier in der St. Str. im finckhweiler vnder den fischern geleg. beÿ dem blatter hauß, And. seit neben obgemeltem Lumparths hoff Einseit ane der Viehe gaß geg. des blatterhaußes Scheüren hinüber stoßend, so freÿ ledig v. eig. vnd angeschlagen vmb 25. lb)
Über alle dieße häußer im finckweiler gelegen sagt i teutscher Perg. Ganth Kauffbrieff mit des Stattgerichts Zu Str. anhangendem Innsigell verwahrt geben den 28. tag Xbris A° 1635. Mehr Ein teutscher Pergam. brief über den Lumparthshoff häußer v. Garthen besagend mit der St. Str. Contract Innsigel datirt d. 13. Junÿ aô 1588. mit altem N° 16. jetzt newem Lit. A. notirt, darbeÿ noch 18. vnderschiedlich Per. brief vnd andere brieffliche Documenten mit altem N° A notirt v. dabeÿ gelaß.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (W.) Item hauß, hoff, hoffstatt, mit allen deren ebäuwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden vnd gerechtigkeit in Sr Barbaræ gaßen (…)
(E.) hauß, hoff, vnd hoffstatt, sampt einem hinderhauß ane S. Barbaræ gaßen, Zur Tauben genant (…)
(T.) It. hauß, hoff, hoffstatt
(T). It. hauß, hoffstatt vnd Stall am Roßmarckh in der Schiltsgaß geleg. (…)
(T.) It. hauß hoff hoffstatt in der Vorstatt Krautenau im hammengäßlin
Ergäntzung der Erben Unveränderten Gutts. Innhalt des üer der abgeleibten frauwen Seel. in den Ehestand Zugebrachter Nahrung auffgerichteten Inventarÿ A° 1665. durch herrn David Ösingern seniorem Notarium auffgerichtet
Innhalt des über weÿl. Annæ Ursulæ Greinerin Wittiben Zeit lebens wÿdembs weiß genoßenen Fidei Commiss vnd Eygenth. unveränderte Nahrung durch herrn David Ösingern Notm. sen. in aô 1671. auffgericht. Theilbuch
Abzug in dieses gegenwärtig gehörig, Haußrath 250, Bibliothec 50, Lährer vaß 13,Silbergeschirr 96, Guldene Ring 26, Pfenningzinß hauptgütter 4031, Weinzinß 8, häußer 1962. Liegende gütter 275, Ergäntzung (2113, gehet ab 370n verpleibt) 1743., Summa summarum des H Wittibers unveränderten guths 8456 lb – Schulden 131, Nach deren Abzug 8325 lb
Der Erben unverändert guth, Sa. haußraths 238, Bibliothec 5, Pfeffer 108, Lähre vaß 5, Silber 169., Goldene Kettlin, Ring perlein und dergleichen geschmeid 361. baarschafft 12, Pfenningzinß hauptgüter 639, Ergäntzung (1608, abzug 8, Rest) 1599, Summa summarum 3840 lb
Volgt dann auch endlichen das Gemein Verändert und theilbar Vermögen, Sa. haußraths 184, Sa. Bibliothec 50, Sa. Früchten 87, Sa. Wein vnd lärer vaß 133, Vieh, Schiff v geschitt Zum Ackher baw 42, Silbergeschirr 108, Guldene Rigen 4, Baarschafft 306, Pfenningzinß hauptgüter 125, Eigenthum ane häußern 800, Schulden i das Erb Zugeltend so ein Pfenningthurn Zinnß bestehen 1545, Summa summarum 3357 lb – Schulden 3342 – per Rest übrig 44 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 12.210. lb

Georges Sigismond Fettich se remarie en 1680 avec Marie Félicité, veuve du pasteur de Kehl Mathias Rœsch
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 90 n° 530)
1680. Dom. Reminisc. et oculi d. 7. u. 14. Martÿ H. Geörg Sigismund Fettich, alter beÿsitzer eines Ehrsam. kleinen Raths allhier, fr. Maria Felicitas weÿl. H. M. Mathiæ Röschen gewesenen pfarrers Zu Kaÿl, hind.lassene wittib. Cop. d. 18. Zu St. Thomas

1680 (10. 7.bris), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 1) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller und Jeder haab Nahrung und gütter, liegender und fahrender, so die Edle viel Ehren und tugendreiche Fraw Maria Felicitas gebohrne Büttlingerin zu dem Edlen Wohl Ehren vesten weißen und hochachtbaren herrn Georg Sigmund Fettich E.E. kleinen Raths alten beÿsitzers und vornehmen burgern allhier in den Ehestand Zugebracht und vermög mit einander auffgerichteter Eheberedung für unverändert reservirt und vorbehalten durch sie die Fraw selbsten In gegensein des Edlen Wohl Ehren vesten hochgelehrten und hochachtbaren herrn Johann Heinrich Hertensteins J.U. Ddi und beÿ allhießiger St. Str. Wohlverordneten Fiscalis alß geschwornen vogts Matthiæ Röschen der Frawen in erster Ehe mit Weÿl. H. Mathiæ Röschen geweßenen Pfarrers Zu Kaÿl nunmehro sel. Ehelich erzeugtem Söhnleins angeben, H Johann Peter Müllern einen diießer Statt gewesenen käufflern (…) Actum in vor Wohlgemelyer Statt Straßburg Mittwochs den 10.ten 7.bris A° 1680.

Fils du tanneur Mathias Rœsch de Barr, le pasteur Mathias Rœsch épouse en 1669 Marie Félicité, fille du bailli Ulric Bittlinger
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 5, n° 17)
1669. Herr M. Mathias Rösch Pfarrer Zu Keil H. Mathiæ Röschen Rothgerbers und lederbereiters Zu Barr ehelicher Sohn Jfr. Maria Felicitas weÿland H. Ulrich Bittlingers gewesenen J. U. Licent. v. hoch Gräfflich Leining. dachspurgisch. Amptmanns eheliche tochter. Eingesegnet den 30. Sept. Donnerstag zu St. Thomæ (i 4 proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 195-v n° 134)

Georges Sigismond Fettich fait des dispositions de dernière volonté le 11 décembre 1680. Il lègue à sa femme l’usufruit viager de la maison provenant de la succession Greiner rue Sainte-Barbe
1680 (11.12.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
H Georg Sigmund Fettich Codicill
persönlich kommen und erschienen ist der Edel, Ehrenvest fürsichtig und wohlweiß herr Georg Sigmund Fettich, E E Kleinen Raths alter beÿsitzer und vornehmer burger alhier Zwar sehr krancken vnd schwachen leibs auff einen bett liegend, vnd sehr schwacher Zungen , brachte mit mit heÿßeriger Stimen vor
3. weilen die ältere Tochter vor Ihren dreÿ brüder alß Jüngern geschwistern bereits viel guthaten genoßen (…)
fürs vierdt Verordnet dersembe seinem jüngsten Sohn Niclaus Daniel ebenmäßig Zu einem Prælegat 300 Reichßthaler
Zum Fünfften Seinem Jüngst. Söhnlein Johann Philippßen, welcher noch gar Jung vnd unerzogen (…)
Zum Sechsten vnd Letzten will Er der Herr Codicillator seiner lieben haußfrawen felicitas fettichin Gebohrner Pettligerin ferner im besten Zugedancken zu dem jenigen wÿdemb so Er Ihro In Ihrer ohnlängst mit einander auffgerichteten Eheberedung verordnet hatt annoch ferner zu einem lebtägigen wÿdembssitz wohlbedächt vnd freÿwilliglich verschrieben Seine in St. Barbara Gaß liegenden Ihme in Fr. Dr. Greinerin sel. Erbschafft angefallene sogenandte Greinerische Behaußung dieselbe nach Ihrem Guten belieben in wÿdembßweiß habend Zu genießen (…)
So beschehen in der H. R. fr. St. Straßburg in einer in dem Finckhweiler nahe dem blatterhauß gelegenen Ihme herrn Eigenthümlich zuständig. bewohnend. behausung in der Mittlern stuben auf der seiten, im hoff sehend (…) Sambstags den 11.ten Decembris A° 1680

Georges Sigismond Fettich meurt le 16 décembre 1680
Sépulture, Saint-Thomas (luth. p. 778)
1680. H. Geörg Sigmund Fettich starb seines alters 45 Jahr 6 monat den 15. Xbris int 6 et 7 vesp. wardt begrab. den 18. ejusd. X.bris Zu St. Galli

Le tuteur des enfants de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Georges Henri Metzger

1681 (15. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 512-v
Herr Christoph Gambs der Specerirer alß Vogt Weÿl. herren Georg Sigmundt Fettichs E.E. Kleinen Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Georg Henrich Metzgers des Metzgers, mit beÿstand Friderich Senckheÿßens deß Metzgers
die gantze Fettichische behausung aus maaß und wie herr Fettich solche bewohnt hatt, nichts alß die undere Newe Stuben, undt den Keller under der grünen Stuben außgenohmen, alhier in dem finckhweÿler gelegen, auff 9. Jahr lang Von nechst Verwichen Michael: angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 60. fl.

Le tuteur des enfants de Georges Sigismond Fettich loue la maison au boucher Jean Henri Hansmetzger

1689 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 420
H. Johann Christoph Gambß, der handelßmann, im nahmen Hn Christoph Gambßen deß handelßmanns seines leiblich. Vatters, alß vogts Weÿl. H. Georg Sigmund Fettichs sel. hind.laßener kinder
in gegensein hans Henrich Hans Metzgers, deß Metzgers
verlühen, eine behaußung mit allen deren gebäuen und zugehördt., allhier im Finckweiler, Zwisch. Zweÿen andern dem Verleihen. vogts Kind. auch gehörig. behaußung, hinden auff d. Fettich. Gart. stoßend, in maß. Er Entlehner d.selbe bereits ein Jahr lang beseßen, auff zweÿ jahr lang von Johannis Bapt. diß Jahrs anzurechnen, umb Zehen pfund Jährlich. Zinß

Le tuteur de Nicolas Daniel et Jean Philippe Fettich loue la maison au secrétaire en chef de Saint-Marc Jean Paul Tromer. Le bail est reconduit pour six nouvelles années en 1696.

1693 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 67-v
H. Christoph Gambß, der Haußfeurer alß Vogt H. Niclaus Daniels und Johann Philipß Fettichische jüngern Gebrüder, beeder Handelß diener
H. Johann Paul Tromers, Notar. Publ. und Oberschreibers zu St Marx
verlühen, maßen zwar die Fettichische im Finckweiler einseit geg. der Pfistereÿ zu St Marx über and.seit neb. d. Fettich. Kleinen haüßern gelegen behaußung, hind. auff den Elsenheimischen hoff und gartten stoßend, mit allen Gebaüen, gartten und zugehörung, wie solche H. Paul Flach Oberschreiber deß Mehrern Hospitalß bißhero in gehabt, außgenommen der Scheuren, welch d. Verleiher seinen Vogts söhnen vorbehaltet, auff dreÿ Jahr lang von Annunciat. Mar. dieß Jahrs anzufang. umb einen jährlich. Zinß nemblich 50 pfund
[in margine :] (…) daß Sie die hierinn verschriebene behaußung mit allen deren gehengt. Condition und Clausula auff 6. fernere Jahr continuirt – den 26. Jan. 1696

Marie Félicité Büttlinger meurt en 1714 en délaissant trois héritières testamentaires. L’actif de la succession s’élève à 409 livres, le passif à 101 livres.
1714 (26.4.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 100) n° 909
Inventarium und Beschreibung aller d. jenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. die Edle, Viel Ehren und Tugendbegabte frau Maria Felicitas Fettichin, gebohrne Büttlingerin, weÿl. des wohl Edel vnd hochgelehrten Hn Georg Sigmund Fettichs, gewesenen J.U. Candidati u. E: E: kleinen Raths allhier Zu Straßburg alt. wohlverdienten beÿsitzers nunmehr seel. hinterbliebene fr. wittib, nunmehr auch seel. nach ihr ane den 11.ten dießes Monats Aprilis aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlich v.laßen (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 26.ten Aprilis Anno 1714.
Die abgeleibte fraw seelige hat per Testamentum Zu ihren Erben verlaßen wie volgt. 1. die Hoch Edle und hoch tugendbegabte Frau Margaretham Leÿterspergerin gebohrne Reißeißin, des hoch Edel vest fromm fürsichtig hochweiß und hochgelehrten Hn Philipp Caspar Leÿterspergers des geheimen beständig. Regiments d. Herren XV.en in allhießig. löbl. Statt Straßb. hochansehnlich Assessoris frau Ehegemahlin, welche beÿ dießem Geschäfft in deme d. hochgeehrter H Eheherr Ambts geschaffts halb. dießmahlen nicht beÿwohnen Können, hiebeÿ allein erschienen
2. die Hoch Ehren und Tugendbegabte Frau Einbetham Silberradin geb. Kolbin des hoch Ehrwürdig hochachtbahren und hochgelehrten Hn M. Samuel Silberrads beÿ d. Evangelisch. Gemeinde in allhießig. sogennadten Predig. od. Neuen Kirch. hochverdienten Pfarrherren auch vornehmen burg. allhie frau Eheliebstin, so in dem e d. hochgeehrter hr Eheliebstine eb.maßig wichtiger Ambts geschäffts halben dießer Inventation nicht in Person abwarten Können, hiebeÿ allein geg.wärtig war und dann
3. die Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Mariam Magdalenam Bochin gebohrne Juntin, des wohl Ehrenvest und Großachtbahren H Johann Conrad Bochen, vornehmen handelsmanns u burgs allhier wehrtgeehrten Eheherrn, sich beÿ dießem Geschäfft eingefund. Alßo alle dreÿ d. angeleibt. fr. seel. per Testamentum Zugleich. antheilen instituirte Erb.

In einer allhier Zu Straßburg d. sogenandten barbaragaß gelegenen und von d. Fr. seel. Wÿdembs weiß bwohnenden behausung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obern bühn, In d. obern Stub, In d.selb. Stub Cammer, In der Cammer A, In d. Wohnstub, Im Contor, In d. Wohnstub Cammer, Im haußöhren vor d. wohnstub, In des Knechts Cammer
Publicatio auffgerichteten Testamenti solemnis in Scriptis und Nach Disposition
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 112, Sa. Lähren vaß 12, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. Goldenen Ring 30, Sa. baarschafft 221, Sa. Schuld 6, Summa summarum 409 lb – Schulden 101 lb, Nach solchem abzug 302 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1557 lb
Wÿdemb, welchen die Verstorbene Frau seelige von eingangsgedachtem H Georg Sigmund Fettichen Ihrem gewesenen herrn Eheliebstin und auch selig Zeit lebens Zugenißen gehabt, 1250 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 33, Zweiffelhaffte Schulden 80 lb
Copia Testamenti (…)

Le commis négociant Nicolas Daniel Fettich, demeurant à Morges en Suisse, et le marchand Jean Philippe Fettich vendent au marchand de vins Georges Fritsch la maison appelée anciennement la cour Lumbart, l’Ordre teutonique et l’auberge des Pauvres passants, entourée d’un mur, moyennant 1 900 livres

1697 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 69-v
H. Johann Christoph Gambß der handelsmann alß vermög eines von hernach genanten seinem ppalen eÿgenhändig auß Morsé beÿ Geneve an Fr. Annam Salome geb. Ackerin weil. H. Matthiß Kniebßen XXI. seel. hind. laßene Fr. Wittib, sub dato 26.t Januarÿ jüngst geschriebenen Missivs, constituirter special Mandatarius H. Niclaus Daniel Fettichs, deß handelßdieners zu ged. Morsé sich auffhaltend, welcher majorennis und ohnbevögtiget, So dann H. Johann Philipp Fettich auch ledig. Handelßmann, ingleichem majorennis und ohnbevögtiget
hans Georg Fritschen, deß weinhändlers
Eine behaußung, etwan der Lumportshoff, vor Zeiten aber Zum teutschen Herrn genandt, Ferner die alte Elent Herberg, und alle andere daran und darbeÿ gelegen den Fettichischen bißhero gehörige häußer sambt dero hoffen, hoffstätten, gartten, gebaüen, begriff. Recht. und Zugehördt. wie solches alles rings umb mit einer Maur beschloßen, und geleg. in ged. Finckweiler, Under d. Fischern, ohnweit dem alt. Blaterhauß, oder neuen Schaffneÿ zu St Marx, so einseit ein Eck an der Viehgaß. hind. den Mauren geg. ged. St. Marx Pfistereÿ über, anderseit ists vorn auch ein Eck, weiter hin aber neb. Melchior Sebizio Med. Doctoris et Professoris Ehevögtlich weiß besitzenden Gartten, hind. auff den Freÿherrlich Elßenheimisch. hoff und Gartten, der Schäffoltzheimer hoff genandt, stoßend geleg. von welcher behaußung einen nebens hauß gehen jährlich auff Martini Vier gulden, Straßburger wehrung, wid. lösig mit 100 gulden ged. wehr. der Carthaus allhier – umb 1800 pfund

Fils de l’aubergiste à la Cave profonde Jean Fritsch, Jean Georges Fritsch qui est alors aubergiste à la Cave au Faucon épouse en 1667 Barbe, fille du boucher Georges Niclaus
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 63-v)
1667. G. Paschatos d. 7. Aprilis. Johann Geörg Fritsch, Würth Zum Falckenkeller, Johann Fritschen Würths Zum Tieffen Keller alhie Ehelicher Sohn, v. J. Barbara, weiland Johann Georg Niclaus, der Metzger allhie, nachgelaßene Eheliche Tochter, Copulavit Donnerst. d. 18. Aprilis Zu St. Thomæ (i 68)

Ancien aubergiste à l’Aigle noir, Jean Georges Fritsch se remarie en 1678 avec Anne Marie, fille du marchand de vins Frédéric Wolff de Barr
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 76-v n° 452)
1678. Ostern v. Quasimodogeniti d. 31. Martÿ v. 7. Aprilis. H. Joh: Geörg Fritsch burger vnd gastgeber allhier, Jfr. Anna Johann Friderich Wolff burgers v. Kieffers Zu Barr eheliche tochter. Cop. zu Barr d. 9. Aprilis (i 40)
Mariage, Barr (luth. n° 15) 1678. Zinst. den 9. April. sind nach Zweÿmaliger Außruffung eingesegnet worden Hans Georg Fritsch gewesener Gastgeber Zum Schwartzen Adler v. b. Zu Straßb. vnd Jfr. Anna Wölffin H Friderich Wolffen b. v. Weinhändlers alhie ehl. Tochter (i 129)

Le marchand de vins Jean Georges Fritsch se remarie en 1688 avec Ursule Wolff, fille de l’aubergiste Georges Wolff de Barr et veuve du teinturier Georges Frédéric Merckel
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 3-v n° 11)
Dom. 4. et 5. Epiph. alß den 1. v. 8. febr. 1688. seind Zu St Thomæ proclamirt word. H. Johann Geörg Fritsch burger und weinhändler allhier, undt Fr. Ursula weÿl. Geörg Friderich Merckels gewesenen Burgers und ferbers Zu Barr wittib. die Einsegnung ist geschehen Zu Barr Dienstag den 10. febr. 1688. (i 4)
Mariage, Barr (luth. n° 5) 1688. Eodem tempore [Domin. III et IV Epiphan.] wurden allhier außgeruffen v. Dienstags darauff als den 10. febr. copulirt herr hanß Georg Fritsch, burger b. handelsmann in Straßburg v. Fraw Ursula Wolffin weÿl. herrn Heinrich Fridrich Mercklins gewesenen Gerichtsverwander wie auch schwartz v. schönferbers allhier hinterl. wittib (i 147)

Mariage, Barr (luth. n° 11)
1659. Dominicâ VI. et VII. Trinitatis Wurden Zu Zweÿmahlen proclamirt und dann Montags darauf als den 18. Julÿ eingesegnet Geörg Fridrich Mercklein, der ferber allhier, Weÿlanndt Geörg Friderich Mercklins burger und gastgebers Zu Ofweÿler Hanauischer herrschafft unndt jungfr. Ursula Herr Geörg Wolff des Wurth und gastgebers Zum rindsfus eheliche tochter (i 213)

Ursule Wolff acquiert le droit de bourgeoisie par son mari deux ans plus tard
1690, 4° Livre de bourgeoisie p. 570
Ursula Wolffin Von Barr gebürtig, weÿl. Georg Wolffen geweßenen weißbecken V. burgers daselbst nachgelas. tochter, empfangt das burgerrecht Von Hannß Georg Fritschen dem Weinhändler Ihrem Ehemann p. 2. Gold fl. 16. ß. so sie bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor schon Verheurathet gewest V. wird beÿ E: E: Zunfft der Freÿburger dienen. Prom: d 10. May 1690

Le marchand de vins Jean Georges Fritsch qui est bourgeois depuis vingt-cinq ans s’adresse aux Conseillers et aux Vingt-et-Un pour ne pas régler d’impôts fonciers à la fois à Strasbourg et à Barr sur des biens que sa femme possède à Barr. Le préteur Obrecht déclare qu’il n’y a pas double imposition mais ordonne d’écrire au bailli de Barr pour expliquer l’inégalité entre contribuables. L’assemblée renvoie Jean Georges Fritsch à son jugement quand il réitère sa demande dix mois plus tard.
1692, Conseillers et XXI (1 R 175)
(f° 332) Sambstagß den 13.ten Xbr 1693. – Hannß Georg Fritsch der Weinhändtler pt° auf seine Barrer güther
G. nôe Hannß Georg Fritschen burgern und der Weinhändtlers alhier, prod. memor. mitt beÿl. sub N° 1 et 2, berichtet, Er seÿe beÿ 25. Jahren burger alhier, Habe vor 5 Jahren an Ursulam weil. Joh: Friderich Merckhelß geweßenen burgers und Schwartzfärbers Zu Barr hint. wittib sich verheurathet, Ihr Vermögen auf 3000 fl. darunter mehr nicht alß 4. Ackher Reeben im Barrer Bann begriffen, auf der Statt Stall declarirt, um laut scheins biß dato ordnungs mäßig verstallt, und seÿe Ihme weg. seiner frawen liegender güther im Ampt Barr niemahlen nichts abgefordert worden, vor wenig Monaten Habe man Ihme beÿliegend Forderung sub N 1. Zu geschicktgleich wie Er aber unter diejenige Barrer vnterthanen, welche sonsten mit dergleichen beschwärden belegt Zu werden pflegen, nicht gerechnet werden Kann, sondern verhoff wie andere hiesige burgere so considerable guther in besagtem ampt besitzen, und weder der gemeidte noch der Herrschafft etwas beÿtragen exempt seind, Er auch also gehalten und freÿ gelaßen werden solle damit Ihme nicht doppelt aufgelegt werde, was Er hier in Stallgeld Zahle, darauß unter dem nahmen gewerf noch ein mahl Zahlen müße. Wolle also umb gleichhaltung und resp: billiche exemptio bitten.
Herr prætor Obrecht, wan das gewerf Zu Barr hiesigen Stallgeld gleich gehalten werde, könne implorant nicht doppelt belegt werden. Es scheine, es gehe eine Ungleichheit vor, wie implorant auch deutlichen darauff sich beziehet, umb eÿgentl: nachricht Zuhaben, wie die burger wegen ihrer güther alda angelegt werden, können Hrr Amptmann solches außfürlich berichten und eine Listen schicken, wer, wie und von was güthen die anlaage geschehen, darauff beÿ den V.O. Herren die sach bedacht werden.
Erkandt man solle an Herrn Amptmann schreiben, seinen außführlichen bericht begehren wie es mit anlaagen gehalten werd. und dann die gleichheit Zu wißen, derselbe ein Vollständig estat machen Von allen güthern so hießigen burgere im Ampt haben, wie sie angelegt, und was von Ihren bezahlt werden. H. XV. Brand, H. Daniel Dietrich.

1693 Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 207) Sambstags de, 28. 9.bris 1693 – Johann Georg Fritsch pt° aufflag. zu Barr
G. ersch. Johann Georg Fritsch burger und Weinhändler alhier p.ducirt nochmaliges Underth. Memoriale und b. pt° ihme Zu Barr geford.ten aufflag.
Erk. Soll implorant Zur ruhe gewießen werd. in deme die sach schon einmahl judiciret
H. XXI. Brackenhoffer, H Pfeiffer.

Jean Georges Fritsch hypothèque la maison au profit de l’étudiant en droit Albert Mappus

1701 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 576
Joh: Georg Fritsch der weinhändler
in gegensein Hn Alberti Mappus studiosi juris so unbevögtigt, schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, deß debitoris im finckweiler liegende haüßer, sambt dem garthen und allen übrigen Zugehörden, wie selbige Vom dem debitore erkauft u. in der CContract Stub unterm 11.ten Febr. 1697 umständlich beschrieben seind

Jean Georges Fritsch loue la maison dite à l’Ange à Agnès Kopp

1705 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 611-v
Joh: Georg Fritsch weinhändler
in gegensein S.T. Hn Daniel Andres König banquiers u. XV.ners alß vogts frn. Agnes koppin geb. (-)
entlehnt, ahn seinem hauß allhier beÿ St marx d. häußlein zuem Engel genant auf deß verleihers Hoff stoßend gelegen, nichts darvon außgenommen, auf 9 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1705 – um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund

Jean Georges Fritsch hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Marc Mappus

1709 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 507
Joh: Georg Fritsch weinhändler
H. Marcus Mappus Med: Dris und Practici 500 pf
unterpfand, seine Häußer u. Garten daran c. appert: allhier im finckweiler, einseit aufs allmend anderseit neben dem heffenbachischen Garten hinten auf den Schäffoltzheimer hoff

Jean Georges Fritsch meurt en 1714 en délaissant deux enfants issus de ses deux premiers mariages. Le billet d’estimation établit en 1707 estime la cour Lumbard à 1 650 livres, celui établi en 1714 à 1 825 livres.

1714 (5.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 1) n° 85
Inventarium über Weÿland H. Johann Georg Fritschen geweßenen Weinhändlers und Burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1714.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Gütter, Ligender und vahrender nichts davon außgenommen, so weÿland Hn Johann Georg Fritsch, geweßener Weinhändler und Burger alhier nach seinem den 24. Xbris des nechstabgelegten 1713.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Wie Solche auf freund fleißiges ansuchen erfordern und begehren H. Georg Fritschen des Metzigers und burgers alhier vor sich selbst so dan frauen Annæ Salomeæ gebohrner Fritschin H Johannes Röschen des Rothgerbers und Lederbereiters auch burgers alhier gel. Ehegattin mit beÿstand deßelben, welche beÿde der Verstorbene herr seel. in erster und 2.ter Ehe ehelich erzielte und per Testamentum Zu Kinder und Erben Verlaßen heut dato ordnungsmäßig inventirt – So beschehen in dießer Königlichen freÿen Statt Straßburg den 5. Januarÿ Anni 1714.
Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiller gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig und deßwegen hernach fol: (-) beschriebenen behaußung und sonsten befund.
Schreinwerckh. Auff dem Casten, Im obern Stübel, Im obern Sahl, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Magd oder Nebens Cämmerl. Im Hausöhren, In der Understen stub, Im undern Saal, In der Cammer darneben, In der officier Knechts Kammer (…)
Sa. hausraths 178, Taback 7, Vaß und Wein 622, Guldene Ring 3, Baarschafft 144, Schulden 3263, Eÿgenthum ane Häußern 2200
Passiv Schulden 1645, Nach deren defalcirung bleibt noch übrig 1617
Stall Summ 2692 lb
Eÿgenthum ane Häußern und Gartten. Eine behaußung, etwann der Lumpartisch hoff genant, ferner die Alte elende herberg, und alle andere daran und darbeÿ gelegen, und darzu gehörige Häußer, sambt dero höffen, hoffstätten, Garthen, Gebäuen, begriffen und Zugehörden, wie solches alles ringsumb mit einer Maur beschloßen und gelegen im finckweiller, under den fischern, ohnweit dem alten Bladerhauß, oder neüen Schaffneÿ St. Marx, so i. seit ein Eckh ane der Viehegaß, hinter den Mauren, gegen gedachter St: Marx Pfistereÿ hinüber, 2.s ist Vornen auch in Eckh, weitershin aber neben einem Garten etwann denen Sebitziusischen Erben gehörig, hinten auff den freÿherrlich Elsenheimischen Hoff und Garten oder Schäffoltzheimer hoff genant, so allerdings freÿ ledig und eÿgen Zumahlen die behaußung Von denen geschwornen Hh. Werckmeistern Crafft dero Abschatzung vom 4. Januarÿ 1714. umb 1825. lb d. der Garten aber durch Hn Abraham Heÿdeln den Schätzer Vermög deßen Abschatzung v. 5.ten Januarÿ gemelten Jahres gewürdiget umb 375. lb d machen beede außwürff Zusammen 2200 lb. Darüber besagt ein Pergamentiner Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contractstub anhagendem Insigel Verwahrt und datirt den 11. Februarÿ Anno 1697. mit altem lit A. bezeichnet und dabeÿ gelaßen
[annexé à l’inventaire n° 83] Abschatzung d. 5. Junÿ aô 1707. Auff begehen des Ehrhafften und bescheidenen herren hannß geörg Fritsch Weinhändler ist eine behausung allhier in der statt Straßburg im Finckweÿler beÿm bladter hauß gelegen, einseits neben Niclaus Strobier blumen gärdtner anderseits ein Eck gegen dem bladter hauß übern hinden auff dem Elsenheimiger hoff stosendt Welche behausung Zweÿ Nebens Mittel gebäw zweÿ höfflein, dreÿ brünnen stallung und Scheyr sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschworne Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor undt Um Dreÿ tausendt undt dreÿ hundert gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
[annexé à l’inventaire n° 83] Abschatzung den 4. Januarÿ anô 1714. Weilland des Ehrenhafften vnd bescheidenen H: hannß Görg Fritsch. Weinhändler hinderlaßene Seelig Erben ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg im Finckh Weÿler, beÿ dem bladter hauß gelegen, Ein seids Neben Nicolaus Strobier, blumen gärtner ander Seids Ein Eck, gegen dem blater hauß über, hinden auff dem Elsenheimeger hoff Stosendt, Welche behaußung Zweÿ Nebens vnd Mittel gebeÿ, Zweÿ höfflein, dreÿ brunen, stallung vnd scheüren, sambt aller Ihrer Recht vnd gerechtigkeÿt, wie solichs durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleüth sich in der besichtigung befundten, vnd dem Jetzigem preiß nach angeschlagen Wirdt, Vor undt Umb Dreÿ tausendt undt Sechs hundtert Fünffzig gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs

Fils de l’aubergiste Jean Fritsch et de Marguerite Mornhinweg, le marchand de vins Jean Georges Fritsch meurt à l’âge de 67 ans. Son fils Jean Georges et son gendre Jean Rœsch sont témoins de l’acte.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1712-1741, f° 18 n° 110)
Anno 1713. den 24. decembr. Nachts Zwischen 10. und 11 Uhren ist gestorben Johann Geörg Fritsch der burger und weinhändler alhie seines alters 67 Jahr 3 Monath deßen Eltern waren Johannes Fritsch der burger und würth Zum tieffen Keller alhie und seine Ehefr. Margaretha geb. Mornhinweg, ist darauf den 27. ejusd. auf dem Gottes Acker S. Galli begraben und von mir M Philipp Strohl ein leich Sermon gehalten worden [unterzeichnet] hanß georg fritsch als sohn, Johann Rösch Als tochterman (i 20)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la légataire non bourgeoise doit régler le droit de détraction. Le défunt payait ses contributions sur un pied de 3 400 florins, l’inventaire établit une fortune de 3 100 florins
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 79
(Gerber, F. N° 1259) Weÿl. Fr. Mariæ Felicitas gebohrne Bühttingerin, auch Weÿl. Hn Geörg Sigmund Fettich geweßten J.V.C. und burgers alhier Hinderlaßener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Reinhard Lang.
Concl. fin. Inv. ist fol. 75.b, 1557. lb 17 ß 2. d, die machen 3100 fl., dieselbe verstallte Hingegen 3400 fl.
Extat kein Stallgeltt
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 17 ß 6 d – Summa 1. lb 18 ß 10 ß
Abzug. Anna Catharina Claußin von Schopfheim aus der Marggraffschafft Durlach gebürtig die dienstmagd soll von anverschafftem legat so 21. lb 6 ß auswirfft den Abzug erlegen mit 2. lb
(rub.) Vermög Erkantnus gnäd. Herrn der Fünff Zehen vom 2.° Jan. 1714. ist vorstehender Abzug in gnäd. nachgelaßen word.
dt. obige Summam der 1. lb. 18. ß 10. d sambt 10. lb 4 ß Stallgeltt pro 1714. et 1715. so seithero der abhandlung verfallen d. 28° Septembris 1715.

L’héritière Anne Salomé Fritsch se marie en 1699 avec le tanneur Jean Rœsch& : contrat de mariage, célébration
1699 (7.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 128
Eheberedung Zwischen H Johann Röschen Rothgerber und Lederbereiter burgern allhier als den Hochzeiter, beÿständlich Herrn Geörg Röschen auch Rothgerber vnd Lederbereiters Burgers Zue Straßburg des hochzeiters Vattern v. H Andreæ Dietzen weißgerbers v burgers Zu Barr deßelben vogts ane einem
So dann Jgfr. Annæ Salome, Herrn Johann Geörg Fritschen Weinhändlers und burgers allhier mit Weÿl. Frawen Annæ gebohrner Wolffin seiner haußfrawen seel. ehelich erzeugten dochter, ams der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand erstgedachts Ihres H. Vatters und Herrn Matthæi Lambrechts au Weinhändlers vnd burgers ammhier deroselben geschwornen Vogts andern theils
Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Sambstags den 7. febr. Anno 1699 [unterzeichnet] Johannes Rösch Als Hochzeiter be Kene Wie on stehet, anna Salome fritschin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 70-v n° 381)
Heüt den 4. Martÿ 1699. sindt auff geschehene ordentliche proclamation Copulirt worden Johannes Rösch der ledige Rothgerber undt lederbereiter H Geörg Röschen burgers undt Rothgerbers allhier ehelich. Sohn, undt Jfr. Anna Salome Fritschin, H Johann Geörg Fritschen burgers und Weinhändlers alhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Rösch als hochzeiter, anna Salomea als hochzeiterin (i 73)

Jean Rœsch et Anne Salomé Fritsch hypothèquent la maison au profit de l’étudiant en droit Albert Mappus

1716 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 645
Johann Rösch rothgerber und Anna Salome geb. Fritschin beÿständlich Joh. Georg Fritsch metzgers und Abraham Schott weißgerbers
in gegensein H. Albertus Mappus Jurium Candidati – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, ihr hauß höfflein hoffstatt nebens häußer zum großen hoff gehörig mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten im Finckweiler auch der Garten daran, einseit neben Straub dem Kunstgärtner anderseit neben dem Schäfoltzh: hoff hinten auf ihn Straub vornen aufs allmend

Le tanneur Jean Rœsch meurt en 1718 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Dentelles. La maison appelée cour Lumbart puis auberge des Pauvres passants comprend un bâtiment avant dit à l’Ange (Zum Engel) et une petite maison dite au Four (Zum Bachoffen), le tout entouré d’un mur ; elle est estimée à 1 475 livres et le jardin à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 1 501 livres, celle propre aux héritiers de 3 974 livres. L’actif de la communauté s’élève à 846 livres, le passif à 3 410 livres.

1718 (24.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1425
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte herr Johannes Rösch geweßene Rothgerber, Lederbereiter und burger allhier zu Straßburg nun mehr seel. nach seinem den 19. Martÿ innstehenden 1718.ten Jahrs aus dießer welt genommenen Tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Großen Weißbecken und burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Mariä Salome, Johann Friderichs, Annä Mariæ, Susannæ Mariæ und Johannis der Röschen, aller fünff des abgeleibten seel. mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Fraw Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben fleißig inventirt und ersucht durch die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Annam Salome gebohrne Fritschin die hinderbliebene Wittib beÿständlich des Ehren und Vorgeachten Herrn Andreas Keller Pfisters Zu St. Marx u&é auch burgers allhie Ihres geordneten Curatoris (…) So beschehen allhier in Königl. St. Str. Dienstags den 24. Maÿ Anno 1718.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane der Spitzengaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der öbersten bühn, In der Cammer A, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, Vor dießen Gemachen, In der Wohnstub, In Christian Schotten Wohnstuben, In dem Haußöhren, In der officier Stub, In der Soldaten Küchen, In der Wohn Küchen, Im Keller – Im Hauß im Finckweiler
Ergäntzung der fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens, Innhalt Inventarÿ über deroselben in den Ehestand zu dem Verstorbenen seel. gebrachte Nahrung in A° 1699. durch H Notarium Johann Friderich Redwitz expedirt
Wÿdumbs Verfangenschafft Fraw (-) gebohrne (-) weÿland herrn Friderich Wolff geweßenen Weinhändler und alten heimburgers auch Kirchenpflegers Zu Barr hinderbliebene Wittib und dießoths großmutter
Wÿdumbs Verfangenschafft Geörg Reichenbach der Schwartz und Schönfärber burger Zu Barr geneußt von weÿl. Frawen Margaretha gebohrner Röschin seiner erstern haußfrauwen der abgeleibten schwester seel.
Eÿgenthumb ane Häußern und Lohe Mühl. (W.) Eine behaußung, etwann der Lumpartisch hoff genannt, ferner die alte elende herrberg sampt dem daran gelegen und darzu gehörigen Vorderhauß Zum Engel genannt, und dem Zum Bachoffen genannten häußlein mit dero höffen, hoffstätten, garthen, gebäwen, begriffen und Zugehörden, wie solches alles rings herumb mit einer Maur beschloßen und gelegen im finckweiller, under den fischern, ohnweit dem alten Bladerhauß, oder neüen Schaffneÿ St. Marx, so einseit ein eck ane der Viehegaß, hinter den Mauren, gegen gedachten St: Marx Pfistereÿ hinüber, anderseit ist Vornen auch in eck weitershin aber /:theils neben einer weÿl. georg Fritschen geweßenen Metzger v. burgers allhier der Wittib bruders seel. Kindern Zuständigen behausung so wor Zeiten auch zu dießem hoff gehörig war, theils:/ neben einem Garten etwann denen Sebitziusischen Erben gehörig hinden auff den freÿ herrlich Elsenheimischen Hoff und Garthen oder Schäffoltzheimer hoff genannt, so allerdings freÿ ledig und eÿgen+ Zumahlen die behaußung Von denen allhießig geschwohrnen Werckmeistern crafft dero abschatzung vom 21 Maÿ 1718 umb 1475. lb d. der garthen aber durch Hn Abraham Heÿdel E. E.Großen Raths allhier alten beÿsitzern und geordneten Schätzer beÿ E E Zunfft der Garttner Underwagner gewürdiget Vor 325. lb d. Machen alßo beede außwürff Zusammen 1800 lb. Darüber /:und über Vorberührte Zu dießem hoff gehörig geweßene behaußung:/ besagt ein pergamentiner Kbr. mit der St. Str. anhangenden Innsiegel Verwahrt, datirt den 11. Febr : A° 1697.
(E.) It. Hauß und hoffstatt in der Spitzengaß (…)
(T.) It. Zwen neuntetheil für unvertheilt an einer Lohmühlen von Zween gängen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ Der Fraw Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 100, Sa. Leeren vaß 110, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 76, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 1800, Sa. eÿgenthümblich Liegender Güther 279, Sa. Schuld 75, Summa summarum 2444 lb – Schulden 942, Nach deren Abzug 1501
Der Erben unverändert Guth belangend, Sa. haußraths 84, Sa.Leerer Vaß 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 625, Sa. eÿgenthümblich Liegender Güther 552, Sa. Eÿgenthumbs ane einem hauß 475, Sa. Ergäntzungs rests 2600, Summa summarum 4349 lb – Schulden 375, Verbleiben 3974 lb
Das Theilbahre Guth betreffend, Sa. haußraths 103, Sa. Werckzeugs Zum Rothgerber handwerck gehörig 7, Sa. Wein und Leerer Vaß 317, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. goldenen Ring 2, Sa. Eigenthums ane einer Lohmühl 147, Schulden 248, Summa summarum 846 lb – Schulden 3410 lb die Theilbare Passivva übertreffen das Theilbar Guth 2563 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2887 lb – Verlohrene Schulden der Fraw Wittib unverändert 7, Zweiffelhaffte und Verlohrene Pfenningzinß hauptgütere 94 lb, Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in der Erben unverändert Nahrung 53 lb
Abschatzung d. 21.ten Mäÿ Anno 1718. Weÿlandt, deß Ehrenhafften, vnd bescheÿten H: Johannes Rösch Rothgerber, Seel hinder laßene Frau Wittib vndt Erben ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg in dem Finckhwiller gelegen, Ein seÿth Neben dem Schaffelser hoff, Ander seith Neben H: Strobier garten hinden Auff Vor gedachten Strobier stoßend Welche behaußung, hoffstatt, Zweÿ Nebens gebeÿ, Einen sall, Mehr, Ein Neben gebeÿ dreÿ gebälckte Keller Stall, hinden im garten Zweÿ Nebens häußlein schopf vnd Ein Sumer haüßel, hoff vnd Zweÿ brünen Sampt Aller Ihrer gerechtigkeit, wie solches durch der Statt geschwornen werckhleüthen in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach Angeschlagen Wirt Vor und umb Zweÿ tausent Nein Hundert vnd Fünfftzüg Gulten
der Ander begriff Ist Auch Alhier in der Statt Straßburg inn der spitzen gaßen (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren werckh Leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters

Anne Salomé Fritsch veuve de Jean Rœsch hypothèque la maison au profit de Jean Bechtold, receveur des fondations de la Chartreuse et de Saint-Nicolas-aux-Ondes

1720 (30.11.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 549-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Johann Röschen gewesten Rothgerbers wittib mit beÿstand dero gewesten Vogts andres Kellers Pfisters zu St Marx
in gegensein Hn Johann Bechtolds der Stifftungen Carthauß und St Nicolai in Undis allhier Schaffners – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, der Fr: debitricis eigenthümliche behausung und gartten sambt allen dero gebäuden, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in dem Finckweiler, einseit neben dem Straubischen garthen anderseit neben dem allmend hinten auff den so genannten Schäffoltzheimer: hoff garthen

Anne Salomé Fritsch se remarie en novembre 1720 avec le boucher Laurent Rhein, de Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1720 (5.11.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1001
Eheberedung Zwischen Herrn Lorentz Rheinen, Metzgern und burgern Zu Schiltigheim als dem bräutigamb, beÿständlich herrn hanß Georg Rheinen burgern und Würth Zum Schlößlein Zu Schiltigheim und H. Christian Schotten, Rothgerbern und Burgern allhier Zu Straßburg an einem
So dann Frauen Anna Salome Röschin gebohrner Fritschin, weÿl. H Joh: Röschen geweßenen Rothgerbers und Burgers allhier Zu Straßb. seel. hinterbliebene Wittib als der Fr. Hochzeiterin mit assistentz H Andreæ Kellers, Pfisters Zu Marx deroselben geschwornen Curatoris und H Johann Großen, Weißbecken der Fr. Hochzeiterin in erster Ehe erzeugtuer Kinder Vögten, beeder burgere zu gedachtem Straßburg andern theils
Actum Straßburg Dienstags den 5. Novembr. A° 1720. [unterzeichnet] Lorentz Rhein als hochzeiter, anna Salomea röschin gebohrne fritschin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 172-v n° 989)
Anno 1720. den 4. Novembr. seind nach geschehene ordentliche ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden, Lorentz Rein, der burger und Metzger Zu Schiltigheim und Fr. Anna Salome weil. Johannes Rösch, deß gewesenen burgers und Gerbers alhie, nachgelaßene wittib gebohrne fritschin [unterzeichnet] Lorentz Rhein als Hochzeiter, anna Salomea röschin als hochzeiderin (i 176)

Laurent Rhein et Salomé Fritsch louent le jardin à l’horticulteur Abraham Esdras

1722 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 690
Lorentz Rhein der Metzger zu Schiltigheim und burger daselbst und Salome geb. Fritschin
in gegensein Abraham Esdras des Blumergärttners
Ihr der mitverlehnerin eigenthümlichen allhier im Finckweiler ahn ihrer Behausung einseit neben dem Struvischen anderseit neben dem Schäffholtzheimer gartten gelegenen gartten mit deßen zu bodengewächßen, bäumen, blumen, zwiblen, espaliers und über darinn befindlichen gewächßen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 pfund

Laurent Rhein et Anne Salomé Fritsch louent une partie de la maison à Anne Barbe Schumann veuve de Jean Kieffer

1727 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 464
Fr. Anna Salome geb. Fritschin Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim
in gegensein Fr. Annæ Barbaræ geb. Schuemännin weÿl. Joh: Jung kieffers wittib mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Georg Bürckel des kieffers
In ihrer allhier im Finckweiler einseit neben weÿl. hannß Georg Fristch gewesten metzgers Erben anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ des Stiffts St Marx über gelegenen behausung Einen auff der lincken handt des eingangs gedachtes hauß befindlichen gewölbten Keller sambt 6 Faßen, deren jedes 100 ohmen haltet, wie auch dazu gelegenen Liegerlingen – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von auff Michaelis fürwährenden Jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Laurent Rhein et Anne Salomé Fritsch hypothèquent la maison au profit de Catherine Merckel, veuve du marchand épicier Abraham Büchel

1727 (22.12.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 657
Lorentz Rhein Metzger und burger zu Schiltigheim und Anna Salome geb. Fristchin beÿständlich ihres tochtermanns hannß Jacob von Zabern Schreiners und ihres vettern Christian Schott Rothgerbers
in gegensein Fr. Catharinæ geb. Merckelin weÿl. H. Abraham Büchel Specierers wittib beÿständlich ihres Curatoris S.T. H. Johann Frantz Oeßsinger Jcti. und EE. kleinen Raths referendarÿ – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler gegen dem Stifft zu St Marx über, einseit neben weÿl. Georg Fritschen Erben anderseit ist ein eck ahm allmend hinten auff den Schäffolßheimer hoff – ihro Rheinin eigenthümlich zuständig

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Elisabeth Bechtold

1730 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 367-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein metzgers zu Schiltigheim hinterl. hier verburgerte wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Daniel grießbach des Rothgerbers und Lederbereithers
in gegensein H. Johannes Silberrad Beÿsitzers und Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung als curatoris Jfr. Mariæ Elisabethæ Bechtoldin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: Mittel: und hindergebäu hoff gartten Scheur und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit neben dem Struvischen gartten Nicolaus Struve dem Doctor: gärtter gehörig, anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über hinten auff den sogenannten Schäffoltzheimer hoff

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein loue une partie de la maison au tonnelier Jean Conrad Kieffer

1730 (28.8.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 386
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein metzgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich ihres Vogts H. Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereithers
in gegensein Johann Conrad Kieffer des kieffers
In ihrer eigenthümlichen im Finckweiler einseit neben dem Struvischen gartten Nicolaus Struve dem Doctor: gärtter gehörig, anderseit neben dem allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über, hinten auff den sogenannten Schäffoltzheimer hoff gelegenen Behausung unter der von Titotischen Fr: wittib besitzenden und entlehnten wohnung lincker handt, einen gewölbten Keller sambt 6 ohngefähr 600 ohmen haltenden Faßen und dero liegerlingen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkommend Michaelis fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Jean Spielmann, receveur de Saint-Marc

1731 (1.6.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 241
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers und burgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich Johann Daniel Grießbach Rothgerbers und Curatoris
in gegensein H. Johannes Spielmann Schaffners zu St Marx – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß Scheur Stallung hoff gartten weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit ist ein eck ahm Allmend gegen des Stiffts zu St Marx Pfistereÿ über anderseit neben theils ihres bruders weÿl. hannß Georg Fritsch gewesten Metzgers erben theils Struve dem Doctor: gärttner hinten auff S.T. H Præsident von Klinglin

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit des enfants mineurs du boucher Abraham Kamm

1731 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 101-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene Wittib beÿständlich ihres Curatoris Daniel Grießbach Rothgerbers und Lederbereiters
in gegensein Gerhard Zentler des Metzgers als vogts weÿl. Abraham Kamm gewesten Metzgers hinterlassenen 5 Kinder Abraham, Friedrich, Susanna, Cleophea und Salome der Kammen – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß Scheur Stallung hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit ist ein eck ahm Allmend gegen dem Allmoßen zu St Marx über, anderseit neben weÿl. Johann Georg Fritsch gewesten Metzgers, der Schuldenerin bruders seel. Erben hinten auff S.T. H. Præsidenten von Klinglin
wobeÿ ferner erschienen der debitricis tochtermann hannß Jacob von Zabern Schreiner, verbürgt unterpfand, Einen dritten theil für ohnvertheilt ane einer behausung und hoffstatt cum appertinentis einseit ist ein eck ahm Steingäßel anderseit neben Emanuel Brantz dem versilbert Knopff und Pferdzeugmacher hinten auff H. Not. Adam Clauß dem haagschreiber – ihme zu einem, seinen beeden geschwisterden aber zu denen übrigen zween dritten theilen

Anne Salomé Fritsch ratifie le legs d’une des maisons (celle à l’est) que son père a fait à son fils Jean Georges Fritsch

1733 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 213-v
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Johann Rösch Rothgerbers allhier und nachgehends weÿl. Lorentz Rhein Metzgers zu Schiltigheim wittib beÿständlich ihres Curatoris Johann Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereiters, Ferner dero in erster ehe mit obged. Röschen erzeugte annoch lebende Kinder Maria Salome geb. Röschin Johann Jacob von Zabern des Schreiners Ehefrau, Johann Friedrich Rösch der Rothgerber, Susanna Maria geb. Röschin Johannes Borst des küblers eheweib, weither weÿl. Anna Maria geb. Röschin Johann Adolph Rhein des Metzgers zu Schiltigheim Ehefrauen hinterlassenen einigen Kinds Johann Adolph Rhein geschworner vogt Michael Fleischmann auch Metzgers allda, so dann Johannes Groß der Weißbeck als vogt Johannes Rösch des Rothgerbers Lehrjungen, weither ihr Rheinische wittib in letzter ehe erzeugten einigen Kind Maria Magdalena Rheinin geordneter vogt Johann Michael Rhein adlerwürths zu Schiltigheim alle dieße an einem
und weÿl. Johann Georg Fritsch gewesten Metzger hinterlassenen Kinder Maria Dorothea geb. Fritschin Friedrich Kreuchel des Kieffers Ehegattin beÿständlich ihres hauswürths und hannß Peter Scheppler des Schneiders und erstgedachter Kreuchel als gewalthaber Johann Georg Fritsch des ledigen sich zu Collmar auffhaltenden Blumengärttners am andern theil
demnach ihr Rheinische wittib und dero bruders weÿl. Johann Georg Fristchen vatter seel. weÿl. Johann Georg Fritsch der weinhändler allhier in seinem vor weÿl. Johann Friedrich Redwitz Notario am 18. Aprilis 1710 auffgerichteten Testamento Nuncupativo §° 4° bemeltem einem Sohn Johann Georg Fritsch das Undere hauß im Finckweiler beÿ dem Stifft St Marx einseit neben Nicolaus Struve den Doctor: gärttner anderseit neben der Reinischen wittib hauß hinten auff eben denselben und gedachten Struven gartten stoßend gelegen, samt 6 mit eißen gebundenen Wein Faßen (…) umb 1000 gulden jedoch mit dem anhang prælegirt, daß ihme verbotten sein und er nicht macht haben solle obbenambstes hauß zu verkauffen oder zu versetzen, sondern solches auff seine Kinder und Kindes Kinder immerfort in mangel aber oder auff absterben des letztern Fritschen wieder zurück auff obbenamste Fr. Salome Röschin oder dero Kinder und linie kommen und erwachßen solle
verglichen daß sie Reinische wittib und dero Kinder wie auch enckel (…) verzug thun, mithin mehrerwehnte behausung und capital denen Fritschischen Kindern und dero erben als ein völliges ohnverfangene so* eigenthümlich entschlagen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Jacqueline Bæhr, veuve du secrétaire Geoffroi Samuel Werner

1733 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 248
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Daniel Grießbach des Rothgebers, Ferner dero einer Sohn erster ehe Johann Friedrich Rösch des Rothgerbers
in gegensein Fr. Mariæ Jacobæ geb. Bährin weÿl. Gottfried Samuel Wörner des haagschreibers hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Rudolph Schranckenmüller des vormaligen weißbecken – schuldig seÿen 300 pfund wovon die mutter 200 und der sohn 100 pfund
unterpfand, eine Behausung bestehend in Vorder hinder: und Nebens gebäuden hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben zugehörden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit neben weÿl. Johann Georg Fristch Metzgers erben anderseit ist ein eck am allmend gegen der Pfistereÿ des stiffts zu St Marx hinten theils auff H. von Bürckwaldt theils auff Nicolaus Struve des Doctor: garttners gartten
Einen fünfften ohnvertheilt antheil ahne Einer Behausung und hoffstatt mit zugehörden und rechten ahne der Spitzengaß, einseit neben weÿl. Johann Jacob Hornus Rothgerbers erben anderseit neben Gottlob Nödtel dem haffner hinten auff den Gerbergraben – ihme zu einem und seinen geschwisterden zu vier 5.te theilen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein loue une cave au brasseur Jean Daniel Euler. Le bail est reconduit par Jean Certain en 1737

1734 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 20
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib beÿständlich Johann Daniel Grießbach des Rothgerbers ihres Curatoris
in gegensein Johann Daniel Euler des Bierbrauers
In ihr der verlehnerin eigenthümlich im Finckweiler einseit neben Nicolaus Struve dem Doctor: gärttner anderseit am Allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über gelegene behausung Einen gewölbten lincker hand des eingangs befindlichen hindersten Keller sambt 6 Faßen ; anfangend am heutigen tag, um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund
[in margine :] Jean Certain Marchand Confiseur als dermaliger proprietarius der beschriebenen Behausung, Johann Daniel Euler auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstbevorstehenen Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund, den 9. sept. 1737

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit du consul régent Jean Frédéric Œsinger

1734 (31.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 201
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers zu Schiltigheim hinterlassene wittib beÿständlich ihres Curatoris Daniel Grießbach des Rothgerbers und Lederbereiters und dero eine Sohn erster ehe Johann Friedrich Rösch der Rothgerber
in gegensein S.T. H. Johann Friedrich Oesinger Jcti. und regierenden H. Ammeisters – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, die Rheinische wittib, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinder haus, Scheur, Stallung, hoff, Gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten im Finckweiler einseit ist ein eck am Allmend gegen dem Stifft zu St Marx über anderseit neben weÿl. Johann Georg Fritsch metzgers der Rheinischen wittib bruders seel. erben hinten auff. H. Præsidenten von Klinglin
Er Rosch aber Einen 5.ten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt cum appertinentis ahne de Spitzengaß, einseit neben weÿl. Johann Jacob Hornus des Rothgerbers Erben anderseit neben Gottlob Nödtel dem hafner hinten auff dem Gerbergraben
Item einen 5.ten von Zweÿ 9° theilen ahne einer Lohmühl vor dem weißenthurn beÿ St. Arbogast beÿ der grießbachischen walckmühl gelegen — die übrige hausantheilen aber seinen geschwisterden, die andre lohmühl theiler auch theils eben derselben theils Samuel Hetzel und Consorten zuständig
wobeÿ auch ferner erschienen ged. Rheinische tochter und tochtermann Maria Salome geb. Röschin Johann Jacob von Zabern des schreiners ehefrau mit beÿstand ihres bruders Johann Friedrich Rösch und ihres stiefbruders schwagers Johann Adolph Rhein des Metzger zu Schiltigheim (bürgschafft)
Er von Zabern Einen dritten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt sambt zugehörden ahne St Stephans Plan einseit neben ein eck am Steingäßel anderseit neben Emanuel Brantz versilbert Knopff und Pferdzeugmacher hinten auff H. Not. Adam Clauß den haag schreiber, seine beeden geschwisterden zu zwo tertzen

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein hypothèque la maison au profit de Marie Elisabeth Bechtold

1735 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 27-v
Fr. Anna Salome geb. Fristchin weÿl. Lorentz Rhein des ältern Metzgers und burgers zu Schiltigheim hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres curatoris Daniel Grießbach Rothegrbers und lederbereiters
in gegensein H. Joseph Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung und dreÿers hiesigen Pfenningthurns als vogts Mariæ Elisabethæ Bechtoldin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff, gartten und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler gegen dem Stifft zu St Marx über einseit neben hannß Georg Fritsch dem Blumengärtthner und Friedrich Greichel dem Kieffer ehevögtl. weiß anderseit ist ein eck am Allmend hinten auff den Schäffelsheimer hoff

Anne Salomé Fritsch veuve de Laurent Rhein vend au marchand confiseur (confiturier) Jean Certain la maison comprenant deux bâtiments avant, un grand bâtiment arrière, un jardin et des bâtiments accessoires

1736 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 42
Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein des Metzgers zu Schiltigheim hinterlassenen hier verburgte wittib mit beÿstand ihres curatoris Daniel Grießbach Rothgerbers und Lederbereiters
in gegensein Jean Certain des Confiturier und Anna Maria geb. Cladÿn
Eine Behausung bestehend in zweÿen vorder häußern, einen großen hindergebäu, hoff, zween brunnen und gartten mit deren hoffstätten, scheur, stallung und allen übrigen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten etwann der Lumpartshoff vor zeithen aber zum Teutschen herrn genannt allhier im Finckweiler under den Fischern ohnweit dem alten Blatterhauß oder der neuen schaffneÿ zu St Marx, einseit ist ein eck ahne der Viehgaß, hinder der Mauren gegen ged. Stifft St Marx Pfistereÿ über anderseit neben Johann Georg Fritsch dem Blumengärttner zu Collmar und deßen schwester Maria Dorothea geb. Fr. Friedrich Kreuchel dem kieffer ehefrauen zum theil theils Sebitziußischen modo Nicolaus Struvé dem Doctor gärttner zuständigen hauß und gartten hinten auff S.T. H. Christoph von Klinglin zweÿtem Præsidenten des hohen Raths zu Colmar zugehörigen freÿherrlich Elsenheimischen hoff und gartten der Schäffoltzheimer hoff genannt – als ein von ihrem verstorbenen vatter weÿl. Hannß Georg Fritsch dem weinhändler krafft deßen vor weÿl. H. Not. Redwitz am 18. apr. 1710 auffgerichteten Testamenti Nuncupativi § drittens erhaltenes prælegat. Ist alßo der verkauff und kauff vorsbeschriebener häußer davon das große der Lumpartshoff, das zweÿte gegen St Marx über zum Bachoffen und das dritte zum Engel genannt, des garttens und übrigen zugehörden, mit auch 6 ohngefähr 600 ohmen haltender Faß und deren Liegerling, kuppfernen bauchkeßels – um 3150 pfund

Fils de Pierre Certain demeurant à Huningue, Jean Certain entre en apprentissage chez le marchand épicier Georges Frédéric Mappus
1697 (10.1.), Not. Contz (6 E 41, 30)
(Breuet d’apprentissage) fut present En personne Le S. Georges Frederic Mapus Bourgeois et Marchand Epicier icy aud. Strasbourg, Lequel a reconnu et Confessé
auoir pris En apprentissage Chez luy dans sa maison Jean Certain fils du Sr Pierre Certain demeurant à huningen pour quatre années Cosecutifes, finies et accomplies à Commencer du deux° octobre dernier de L’année passée et à finir au meme jour à La fin du present siecle, quand on comptera 1700 (…) pour le prix d’apprentissage la somme de 300 livres et 30 livres pour Damlle Mappus En Consideration du Blanchissage

Jean Certain entre au service du marchand confiseur Paul Tribert
1708 (11.1.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 16)
Obligé – xi janvier – est comparu deuant moy No° Royal, Jean Certain Jeune garçon Confiseur de profession, Lequel s’est obligé
envers le Sr paul tribert marchand confiseur Bourgeois e Lad. ville present et acceptant de Le seruir bien et fidellemt. pendant un an qui a Commencé au premier du mois de Januier et qui finira a pareille Jour de l’année prochaine en qualité de garçon de Boutique

Fils du bourguemestre Pierre Certain de Huningue, Jean Certain achète le droit de bourgeoisie le 26 mai 1716 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1716, 4° Livre de bourgeoisie p. 822
Jean Certain der Zuckerbeck Von Huningen, Weÿl. Pierre Certain gew: burgermeisters daselbst h. Sohn emp: das burgerrecht gratis, Wird beÿ E E Zunfft Zum Spiegel dienen, Jur: d. 26. Dito [Maÿ] 1716.

Fils du greffier de Huningue Pierre Certain, Jean Certain épouse en 1719 Anne Marie Cladi, fille du graveur Henri Cladi : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest vnd Vorgeachten Herrn Jean Certain Marchand Confiturier und burger allhier Zu Straßburg Weÿland S. T. Herr Pierre Certain burger Martin und Statt schreibers zu Hüningen seligen hinderlaßenem ehelichem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ Cladi, weÿland S. T. Herrn Heinrich Cladi, gewesenen Kupfferdruckers und burgers allhier seeligen hinterbliebener ehelich erziehlter Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin, am andern theil (…) in herrn Gottfried heüpels des Handelsmanns behaußung und deren obersten Eckstuben mit den fenstern auff den Münsterplatz sehend, auff Montag den 5. Junÿ im Jahr als man nach Christi unsers einigen Erlößers heÿlandt und Seeligmachers gnaden und trostreichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1719 (…) expedirt auff Montag den 31. Januarÿ Anno 1729. Johann Daniel Lang Notarius publicus

Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 39-v)
Hodie 26. Mensis Junÿ Anni 1719. (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Certain ab Hiningen oriundus Confiseur suæ p.fessionis ac Civis Huiatis. Et Anna Maria Cladin Argentinensis Defuncti Joannis Heinrici Cladi Civis Huiatis filia legitima (signé) Jean Certain, Anna Maria cladin (i 40)

Jean Certain loue le jardin au jardinier Jean David Klugshertz

1737 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 91
H. Jean Certain der Confisseur
in gegensein Johann David Klugshertz des garttenmanns
entlehnt, in einer dem verlehner eigenthümlich zuständig im Finckweiler einseit ist ein eck am Allmend gegen der Pfistereÿ zu St Marx über anderseit zum theil neben Friedrich Kreichel dem kieffer theils neben dem Sebitziußischen Nicolaus Struwe dem Doctor: gärttlner gehörigen gartten hinten auff den Schäffolsheimer S.T. H. Præsident von Klinglin in der H. von Bürckenwald zuständigen hoff gelegenen behausung, In dem hoff eine stiege hoch Eine Stub, Stubkammer und haußöhren über der stueb die Bühn soweith sich selbige erstrecktet, einen unterschlagenen Keller über der Officiers stueb, eine unterschlagene kleine bühn, ferner einen schweinstall mit einer steinernen kripff die grueb mitten im hoff um beßerung dahin zu legen, den gantzen unter dem steinernen hauß gelegenen Saal umb gewächß dahin zu stellen, den halben undern theil der scheur jedoch daß zu der zeith da der entlehner seine früchten dreschen laßen wieder sich des gantzen underen theils der scheur bedienen möge, so dann den ganzen gartten sambt darin stehende 105 stücken ahne Roßen und Johannes trauben hencken, 42 espaliers von Möllen Pfiersing: äpffeln und Bieren, 52 stücken allerleÿ gattung hohen obstbäumen und einer von der scheur an biß an den Birckenwaldi gartten sich erstreckenden Reebhäldt – auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend von jüngst verfloßnene weÿhnachten um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund
[in fine] die thenn in der Scheur muß beÿ der lehnung durch den entlehner ohnbeschädigt abgetrenen werden (…)

Anne Marie Cladi meurt en 1740 en délaissant deux fils et une fille morte peu de temps après elle. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 9 793 livres, le passif à 2 049 livres.

1740 (18.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 51) n° 1670
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Certain gebohrner Cladiin Sieur Jean Certain, Marchand Confisseur und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauw nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1740. – nach ihrem Dienstags den 8.ten Xbris des zurückgelegten 1739.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen vnd ihr Verlaßenschafft auff gebührendes ansuchen erfordern undt begehren erstgedachten H Johann Certain des hinterbliebenen Wittibers, als welcher Jgfr. Franciscam Certain die nach derer abgeleibten seel: auch verstorbenene dochter in dießer ihrer Mutter Succession repræsentiret und dann H. Johann Baptista Zapffen des glaßers und burgers alhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Frantz Certain, des ledigen Zuckerbeckers dermahlen in der Frembde sich auffhaltend und H Joseph Certain Stud. Redoricæ beeder noch lebender herren Söhne und Von der Verstorbenen sel. Zu Zwen dritten haupttheilen ab intestato Verlaßener rechtmäsigen Erben Inventirt (…) So beschehen Straßburg Donnerstags den 18.ten Februarÿ Anno 1740.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstl. eine behaußung an St Martins platz oder dem sogenannten Garthners Marckt (…)
It. eine Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem hindergebäu, Hoff, bronnen und Garthen, mit deren hoffstätten Scheür Stallung und allen übrigen denselben gebäuden begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten, etwan der Lumpards Hoff Vor Zeithen aber zum teutschen herren genant, alhier im finckweiler ohnweith dem alten bladerhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, 1.seith ein eck an der Vieh gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx pfistereÿ über, j. s neben Maria Dorothea geb. Fritschin Abraham weÿhel des metzgers und b. allh. Ehefr. zum theil theils aber neben Niclauß Struve dem Doctor gärthner Zustendigen hauß und Garten, hinten auf den S. T. H. Christoph Von Klingling 2.ten Præsidenten des hohen Raths Zu Collmar zugehörigen freÿherrlich Elsenheimischen hoff und garthen der Schäffolßheimer Hoff genannt stosend gelegen, so gegen Miethvertrag freÿ leedig eigen und so viel die gebäu betrifft davon das große der Lumpards hoff das zweÿte gegen St. Marx über Zum bachoffen und das 3.te Zum Engel genannt wird, durch Vorenannte Hh. Experts laut erwehnter schrifftlichen abschatzung taxirt pro 1500 lb. das darab gelegene garthen aber so ungefähr 1 ¼ acker groß durch H. Theobald Von Fridolßheim GVW wie auch E. E. Großen raths alten beÿsitzer alß von seithen gnädigen Hh. den XV.en ernanten Schätzer taxirt pro 250. lb daß alßo in allem außzuwerffen 1750. Über solche behaußung gebäu und garthen meldet in teutscher perg. Kffbr. in allh. C.C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. 1736. mit Lit. F. Dabeÿ ferner i. dergl. perg. Kffbr. Vom 11. febr. 1697. mit altem Lit. A. und dermahligem Lit. G. bemerckt.
Eÿgenthumb ane einem Garthen Häußlein. Nembl. ein Garthen so ungefähr ein Acker grund in sich begreifft sambt einem wohnhauß Vornen gegen dem weeg wie auch einem Kleinen auff das waßer gehenden Sommerhäußlein
außerhalb hießiger Statt vor dem fischer thor und Vor dem sogenandten Fort Mutin (…)
Eÿgenthumb ane einem Land Guth in der Ruprechts au gelegen. Nembl. ein landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 597, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau gehörig 16, Sa. Pferd und rind Viehs 18, Sa. Waaren zum Zuckerbeckereÿ gehörig 715, Sa. Weins und faß 51, Sa. Silbers 39, Sa. goldener Ring 13, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 4250, Sa. Eigenthum ane einem garthen 150, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2875, Sa. Eigenthum ane einem Landguth 957, Sa. Schulden 110, Summa summarum 9793 lb – Schulden 2049 lb, Nach deren Abzug 7744 lb
Stallsumm 7047 lb
Copia der Eheberedung (…) expedirt auff Montag den 31. Januarÿ Anno 1729. Johann Daniel Lang Notarius publicus
Abschatzung dem 2: Januarÿ: 1740. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheidenen H: Johann Serting dem Zucker backer ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem fischmarck gelegen (…)
Der 2.t begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg hinder der Mücken gegen st: Marÿx über gelegen, Ein seitß an die frau Kreichelin, anderseitß ein Eck gegen der schafneÿ st: Marÿx hinden auff dem Pürckwaltischen hoff stoßend welche behausung, ein stuben Cammer Kuchen hauß Ehren Nebenß Cammer geträmbten Kellern, oben dar über ein stuben Cammer Kuchen und hauß Ehren dar über daß tach mit 2 besetzten bünen, daß seiten gebeü rechter handt worinen unden ein getrembter Keller, oben darüber ein stuben Cammer Kuchen haußöhren war über daß tach mit einer besetzten bienen, daß seiten gebeu Lincker handt so under einen gewölbten Kellern oben darüber der gantzen Stock Vor die ein loschirung war über daß tach welches alt und baufellig ist daß Neben gebaw worinnen ein stuben Cammer küchell und hauß Ehren worüber daß tach der hoff und bronen sambt aller gerechttig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und umb Dreÿ Tausent Gulten
Der 3.te begrieff (…)
bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und bau Meÿster, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 300 florins (1 150 livres) sur un total de 13 800 florins
1740, Livres de la Taille (VII 1178) f° 427-v
Spiegel F. N. 8082. – Weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Cladiin, H. Jean Certain Marchand Confisseur und burger alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Hoffmann
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 127.b 7744. 2. 6. Gehet ab wegen Zu 3 ½ pro Cento angelegter capitalien, nicht gnossenen activis und beÿtrags der Gemeind in Ruprechtsau 822. 14, restirt 6921. 13. 6., die machen 13.800 fl. Verstallte allein 11.500 fl, Zu wenig 2300. fl
Nachtrag Sechß Jahr in duplo à 6 lb 18 ß – 41 lb 8 ß
Und Vier Jahr in simplo à 3. ln 9 ß – 13 lb 16 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 3 ß
Abhandlung – 8 lb 2 ß 6 d, Summa 63 lb 9 ß 6 d
Von denen Herren dreÿen nachgelaßen 13 lb 16 ß, rest 49 lb 13 ß 6 d
dt. 21. Martÿ 1740.

Jean Certain loue une partie de la maison au sculpteur Jean Baptiste Joseph Visterini

1741 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 150-v
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein H. Jean Baptiste Joseph Visterini des bildhauers (signé) visterinÿ
Entlehnt, In einer in dem Finckweiler gelegen ihme dem verlehner zuständigen behausung folgende wohnung nemlich in dem hinderhauß, eine stub auf dem estern stock, Camin Cammer, zweÿ andere Kammeren samt einer Kuchen, buhn und keller – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nachstinstehende Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Jean Certain dépose son testament
1742, Not. Laquiante (6 E 41, 994)
Du 3 août 1742, Testament – fut present en personne le sieur Jean Certain Marchand Confiseur Bourgeois en Cette ville y demeurant sain d’esprit même Jugement et entendement, mesme de corps (…) a présenté et Exhibé le présent Cahier clos à Lacet bleu et muni de son cachet
Je soussigne Jean Certain marchand Confiseur Bourgeois de Strasbourg y demeurant au marché aux herbes
quatrièmement Je donne et prelegue à Joseph Certain mon fils cadet la somme de 2000 livres tournois (…)
cinquièmement Je nomme fais et institue pour mes successeurs et héritiers Jean François et Joseph mes deux fils d’entre feüe marie cladi ma femme et moi

Jean Certain loue une partie de sa maison à Jean Albert Ungerer

1744 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 68
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Johann Albrecht Ungerer
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen im Finckweiler einseit neben Nicolaus Meÿer dem brüher im schlaghauß, anderseit ist ein eck ane einem Allmend gäßlein gelegenen behausung, im eingang des hoffs rechter hand auff dem ersten stock eine kuche, stub und stubkammer und die darüber befindliche bühn, so dann im hinderhauß einen kleinen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff instehenden Annunciationis Mariæ um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden

Jean Certain se remarie avec Marie Rose Blondel, originaire de Dijon et sœur d’un prébendier de la cathédrale : contrat de mariage, célébration
1745 (25.2.), Not. Humbourg (6 E 41, 73)
Mariage – furent presens Le Sieur Jean Certain marchand Confiseur Bourgeois de cette ville, faisant stipulant et agissant pour lui et en son nom d’une part
Et dem.le Marie Rose Blondel fille majeure d’ans usante et jouissante de Ses droits de feu le Sr Pierre Blondel en son vivant marchand tapissier de la ville de Dijon et defunte damle Claudine Cenzé son Epouse demeurante aussi en cette ville, faisant stipulant et agissant pour elle et en son nom d’autre part
Fait lû et passé et interpreté en allemand audit Straßburg le 25° Fevrier 1745 En presence et de l’assistance de la part du futur époux des Sr Jean Baptiste Zapff son beau frère vitrier Bourgeois et Bernard Fugat Employé pour le roy ey de celle de la future épouse des Sr Pierre Blondel son frere pretre beneficier de la Cathedrale, Claude Henry Grimont ancien garde d’artillerie et François audran ancien greffier de villé (signé) Jean Certain Le Pere, M. R. blondel

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 72)
Hodie 2 Martÿ Anni 1745. sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Dnûs Joannes Certain, Civis ac Mercator hujas, viduus defunctæ Mariæ Annæ Clady Parochianus dicta Eccl. Parochialis Ad. .S Ludovicum intra argentinam et Dna Maria Rosa Blondel oriunda ad Sacntum Joannem urbis Divionensis filia defunctorum Conjugum Petri Blondel ac Cla(udiæ) Sansé, Parochiana supradictæ Ecclesiæ Parochialis ad Stum Laurentium (signé) Jean Certain le Pere, Marie rose blondel, Blondel capallanus (i 38)

Marie Rose Blondel fait dresser l’inventaire de ses apports rue des Echasses dans la maison au Grand Turc où elle habitait avant son mariage
1745 (17.3.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 9) n° 35
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab undt Nahrung, So die Ehren undt tugendsame frau Maria Rosa Certain gebohrne Blondelle, des Ehrenhafft undt wohlachtabren Herren Johann Certain vornehmen burgers undt Zuckerbeckers allhier Eheliche Haußfr. Zu vorwohlgedachtem jhrem Eheherrn für unverändert in den Ehestandt mitgebracht, welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehrender Ehefrauen Zu verhütung künftigen streits und weiß verständtnuß der in ihrer vot H. Notario Hombourg auffgerichteten Eheberedung stipulirten Ergäntzung wegen – so beschehen in der köigl. freÿen Statt Straßburg Mittwochs d. 17.ten Martÿ 1745.
In einer allhier Zu Straßburg in dem Steltzen gäßel gelegenen Zum Großen turcken benannten Behaußung, allwo Eingangs gedachte Frau biß Zu ihrer verheurathung wohnhaft war, ist befunden worden wie folget
haußrath 365, Silber 8, Goldene Ring, baarschafft 113, Summa 508 lb

Marie Rose Blondel devient bourgeoise une semaine après son mariage
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 202
frau Marie rose gebohrne Blondelle Verheurathet an Jean Certain den burger und Zuckerbecken allhier erhaltet das burger recht wegen hoher recommendation gratis, und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum spiegel, promis. eodem [10. Martÿ 1745.]

Jean Certain loue sa maison, sauf les localités qu’occupe Albert Unger au vice-messager de la Taille Jean Adam Sebastian
1745 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 817-v
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Johann Adam Sebastian des unter Stallbotten
entlehnt, Eine ihme dem verlehner eigenthümlich gehörigen im Finckweiler gegen der Pfistereÿ zu St Marx einseit ist ein eck am Allmend anderseit zum theil nebenJohann Nicolaus Meÿer dem brüher im Schlaghauß theils neben Nicolaus Struve dem gärtner des Horti Medici, hinten auff das Bürckenwaldische hauß, mit ausnahm derjenigen wohnung so dermalen Albrecht Unger der metzger inne hat, als welche der verlehner sich vorbehaltet, eine stub stubkammer neben dem großen Saal unten auff dem boden eines kleinen gewölbs mit einer eisernen thür der obern wohnung bestehend in einer großen stub zweÿ Kammeren und kleinen stübel, welche letztere wohnung aber nur in dem fall vorbehalten wird wann der verlehner selbige selbsten besizten und genießen wolte wovon als dann von dem zinß jährlich 36 gulden abgehen sollen – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Weÿhnachten
der in dem vorderhauß wohnende Wascherin ist erlaubt wochentlich zween täg nemlich dienstags und Mittwochs sich der bauch Küche, zu bedienen – um einen jährlichen Zinß nemlich 220 gulden

Jean Certain loue une partie de sa maison au blanchisseur manant Joseph Colard

1746 (4.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 865
H. Jean Certain der zuckerbeck
in gegensein Joseph Colard des schirmers und waschers und Evæ geb. Englerin
verlühen In der dem verlehner eigenthümlich gehörig im Finckweiler gelegenen behausung das gantze kleine hauß am eingang, den gebrauch der bauch küchen vor alle montag, dienstag und Mittwoch jeder wochen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen weÿhnachten 36 gulden (alle 14 täg wasche [mit einem verzeichnus])

Jean Certain fait dresser l’inventaire de ses apports (11 713 livres) dans sa maison au Marché aux herbes
1748 (26.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 50
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Certain, des Zuckerbeckers und Burgers allhier zu Straßburg, zu Frauen Marie Rose Blondel seiner jetzigen Ehegattin vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1748. – welche der ursachen beschrieben worden alldieweilen Er Herr Certain in dem mit gedachter seiner Ehefrauen Vor Hrn Humbourg dem Königl. Notario den 25.ten Februarÿ 1745. auffgerichteten Ehevertrag sein Zugebrachtes Vermögen reservirt und vorbehalten hat (…) Actum Straßburg in beÿsein und persönlicher gegenwart vorgedachter Frauen Certain und Hn Frantz Certains des Zuckerbeckers und burgers hieselbsten sein H. Certains ältesten Sohns, auf Montag den 26.ten Februarÿ Anno 1748.
In einer allhier Zu Straßburg auf dem St. Martinsplatz oder sogenannten Gartners Marck gelegenen in dieße Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Eine Behaußung in Vorder und Hintergebäu ane dem St. Martinsplatz oder sogenannten Gartners Marck (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 198, Sa. Wein und Lehrer Faß 64, Sa. Silbergeschmeids 25, Sa. baarschafft 250, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4175, Sa. Eigenthum an einer behausung 7000, Sa. Schulden nullum, Summa summarum 11.713 lb

Jean Certain meurt en mai 1748 en délaissant deux fils de son premier mariage. La masse propre à la veuve est de 121 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 7 464 livres, le passif à 1 541 livres.
1748 (21.6.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 54
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Ligend und Fahrender, verändert und ohnverändert, nichts savon ausgenommen, so Weÿl. der Ehrenveste Herr Johannes Certain geweßener Zuckerbecker und Burger allhier Zu Straßburg, nach seinem den 19.ten Maÿ dießes instehenden 1748.sten Jahrs beschehenen tödlichen Hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen Hn Certain seel. ab hernach folgendem folio benambster und per Testamentum verlaßener Erben, inventirt und ersucht durch die Ehren und Tugendbegabte Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel die hinterlaßene Wittib und des abgeleibten geweßene Zweÿte Ehefrau mit beÿstand des Ehrengeachten Hn Johannes Dupuis des Schneiders und burgers hieselbsten (…) Actum Straßburg auf Freÿtag den 21.ten Junÿ Anno 1748.
Der Verstorbene Herr Certain hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt 1. Hr Johann Frantz Certain den Handelsmann und burgern allhier, welcher in Persohn dem Inventations geschäft beÿgewohnt, So dann 2. Hn Josephe Certain J. U. Ltum und burgern Hieselbsten, welcher über 25. Jahr alt dahero Majorennis und in Persohn der Inventur abgewartet, Alle beÿde des abgeleibten Hn Certain mit Weÿl. frauen Annæ Mariæ gebohrner Cladÿn seiner geweßenen erstern Ehefrauen ehelich erzeugter Hn Söhne und per Testamentum verlaßene Erben Zu gleichlingen portionen und Antheileren
Copia der Eheberedung, Copia Testamenti Clausi, Copia Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg auf dem St Martins Platz oder sogenannten Garthners Marck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 10) Eigenthumb an einer Behaußung. Eine Behaußung in Vorder undt Hintergebäu bestehend, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem St. Martins Platz oder so genannten Garthners Marck, einseit neben Weÿland Hn Rathherr Dietrichs des gewesenen Handelsmanns allhier hinterlaßene Erben, anderseit neben einer der fabric des Hiesigen Münsters eigenthümlich zuständigen behaußung Hinten auf Hn Jean Hervé Marchand Confiseur stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig und eigen und ist dieße behaußung durch H (die Werckmeistere) vermög einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung vom 19.ten Junÿ 1748. angeschlagen worden vor 2750 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget, ausweißend wie dieße behaußung von Frauen Anna Margaretha Ludin gebohrne Kiefferin erkaufft worden, de dato 11.ten Julÿ 1722. mit Lit. A. bemerckt. Dabeÿ ferner ein frantzösischer Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub errichtet außwießend wie erstgemeldte Frau Anna Margaretha Lundin gebohrene Kirschnerin dieße Behaußung Von Hn Antoine Paudiere mr d’hotel du Roy Stanislas und deßen Ehefrauen aberkaufft dedato 11.ten Septembris 1720. und mit der Stadt Cantzleÿ Contract Insigel vewahrt mit Lit. B. signirt. (…)
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach inhalt des durch Herrn Notarium Adam Claus in anno 1745. auffgerichteten Zugebrachten Nahrungs Inventarÿ
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 3, Sa. baarschafft 12, Sa. Ergäntzung 101, Summa summarum 121 lb
Der Erben unverändert und theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 83, Sa. Wein und Lehren faß 243, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. baarschafft 36, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4175, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 2750, Sa. Schulden 161, Summa summarum 7464 lb – Schulden 1541, Nach solchem abzug 5923 lb
Stall Summ 5958 lb
Copie du Contrat de mariage, Humbourg
Copie du testament – Je soussigné Jean Certain Marchand confiseur Bourgeois de Strasbourg y demeurant au marché aux herbes (…) dans la Maison dudit Sieur Certain sur le Marché aux herbes à Strasbourg dans une chambre au Second étage prenant jour par deux grandes fenêtres sur ledit Marché l’an 1748 le 29° mars, Euth, Notaire

Jean Certains cède à ses deux fils la maison au Finckwiller et le bien de campagne à la Robertsau en conservant la maison au Marché aux Herbes

1748 (22.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 516) n° 49
Transactio Vergleich: und Abtheilung zwischen Herrn Johann Certain dem Zuckerbecken und burger alhier ane einem
und Herrn Frantz Certain wie auch Herrn Lt. Joseph Certain deßelben beeden herren Söhnen am andern theil, und zwar über deroßelben völlig ausgeliefferte Mütterliche Guth und was ihrem Herrn Vatter an Vermögen zuständig, besagend, auffgerichtet Anno 1748.
Zu Wißen seÿe hiemit (…) persönlich kommen und erschienen seÿe, Herr Johannes Certain der Zuckerbecker und burger allhier, der hat mit beÿhülff Herrn Claude Guirot, burgers und hießigen Chirurgi seines hierzu expresse berufenen herrn Assistenten freÿ offentlich angezeiget, was gestalten derselbe auß freÿen willen zu beförderung H. Johann Frantz Certain des allhießigen handelsmanns, wie auch H. Joseph Certain, J.U. Licentiati seine beeden herren Söhne nutzens, und damit dieselne beßer Subsistiren und außkommen mögen, sich entschloßen habe, gedachter seiner beeden herren Söhne Mütterliches Guth, welches derselbe salva Legitima Zeit lebens Zu genießen berechtiget ist, außzulieffern, und alßo auff den davon habenden Genuß zu renunciren Zu dem ende dann Er H. Certain der vatter ahn Einem, und deßen vorgemeldte herren Söhne am andern theil, ratione gedachten Mütterlichen Guths /:nach deme dieselbe Zuvor unter sich nach innhalt des Mütterlichen Kindervertrags vom 16.ten Aprilis 1740. einen überschlag gemacht, und alles in reiffe und genaue überlegung gezogen, auch zu verhütung größerer weitläuffigkeit:/ dahin übereingekommen seÿnd, daß bemeldte Certainische herren Söhne vor ihr völlig Mütterlich guth nichts davon außgenommen, die behaußung sambt Garten und aller Zugehörden gelegen allhier Zu Straßburg in dem Finckweÿler, weiter das in der Ruprechts Au befindliche Landguth, in hauß, Hoff, Scheur, Stallungen, Äckeren, Garthen, sambt allen Zugehörden und Gerechtigkeiten, ohn außnahm, benebst noch einigem haußrath silber und dergleichen geschmeid, so H. Certain der Vatter denen Kindern bereits in einem Kasten verwahrt, dargewießen, worunter einiges bettwerck, so Wohl allhier Zu Straßburg, als auch auff dem Guth in der Ruprechts Au befindlich, mitgebriffen, haben auch erb und eigenthümlichen behalten sollen, Welche behausung, Landguth und Mobilien dann die Certainische herren Söhn von gedachtem ihrem herrn Vatter, nicht nur allein dann ki*sch acceptiret und vor Ihre völlig Zuerforderen habendes Mütterliche Guth angenommen, mithin dero H Vatter davor völlig und gäntzlichen loß und ledig Zahlen, auch deßwegen die geringste forderung, wie die nahmen haben mag, zu thun, weder jetzo noch in das Künfftige nicht berechtiget seÿn Können noch mögen, sondern auch das übrige vorhandene, so gesucht als ungesuchte Vermögen, das unter besonders die behaußung auff dem Gartners Marck allhier gelegen, die völlige dermahlen angelegte Capitalia und überhaupt alles andere Vermögen, nichts außgenommen, begriffen, Ihme H Certain dem H Vatter cediren auch erb und eigenthümlichen überlaßen (…)
So beschehen Straßburg den 22.ten Februarÿ 1748. [unterzeichnet] Jean Certain Le Pere, Jean François Certain, Josephe Certain Lt

Le confiturier Jean François Certain épouse en 1741 Marie Salomé Pflug, fille du chef des travaux Pierre Pflug : contrat de mariage, célébration

1741 (8.2.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 198
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und Wohlachtbaren Herrn Johann Frantz Certain, ledigen Confiturier, des Wohl Ehren und Wohlachtbaren herrn Johann Certain auch Confiturier und Burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Anna Maria Certain gebohrner Cladiin deßen gewester Frauen Eheliebstin nun seel. ehelich erzeugten ältern Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann die Wohl Ehren und mit Vielen Tugenden gezierten Jungfrauen Maria Salome Pflugin, des Wohl Ehrenvest, Großachtbaren und Kunsterfahrenn herrn Johann Peter Pflugen, nunmahligen wohlmeritirten Stattlohners und Burgers allhier mit weÿl. der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Catharina Pflugin gebohrner Dumungin, seines geweßenen Frauen Eheliebstin längst see. ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
auff Mittwoch den 8. Februarÿ Anno 1741. [unterzeichnet] Jean François Certain, Comme Marié, Marie Salome Pflugin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 165)
Hodie 12 die junÿ anni 1741 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus juuenis joannes franciscus Sertin filius joannis Sertin dulciaris et civis et annæ mariæ gladin Conjugum in parochia ad Stum Ludovicum commorans, et pudica ac virtuosa virgo Maria Salome Pflug filia Dni joannis petri Pflug architecti huius urbis et Catharinæ Dimonin p: m: conjugum ex hac parochia (signé) Jean François Certain, Maria Salomea Pflugin (i 173)

François Certain cotise à la tribu des Fribourgeois après que les Quinze l’ont autorisé à vendre des liqueurs
1743, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
Dienstags den 3. Dec. A° 1743 – Schöffen Wahl de 1743
(f° 188-v) Hr François Certain der Zuckerbeckh und burger allhier Erscheinet dato vor denen Hh Schöffen, und berichtet, wie daß Er von Gnäd. H. denen XV. Liqueurs undt dergleichen mit sich führend wie auch burgunder und andere Frantzösisch. weinen en detail Zu verkauffen die Erlaubnus Erhalt. bittet dahero Ihme alß einen Zud. zu recipiren.
Erkand, derselbe wird gegen Erlag der 3. lb 4 ß d alß Zudiener recipirt, dabeÿ aber auch verordnet, daß von Seithen Er. En. Zunfft solches nicht mehr Erlaubt werd. solle.

François Certain hypothèque sa bibliothèque
1749 (21.2.), Not. Laquiante (6 E 41, 998)
Cession du 21 février 1749 – fut present le sieur François Certain Marchand confiseur Bourgeois de cette ville, lequel a cedé et transporté
au Sieur Pierre Batailhe interessé dans les affaires du Roy
La somme de 800 livres due audit Cedant Par le sieur François Maury assesseur de la marechaussés d’alsace par lettre de change du 18 juillet 1748 (…) moyennant pareille somme de 800 livres
hypothèque speciale Sa Bibliotheque Composée des livres Contenus en l’Etat demeuré ci joint
Liste de mes livres

La tribu de la Mauresse inflige une amende à François Certain qui a vendu fruits et légumes sans en détenir le droit
1751, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 12-v) Dienstags den 16.ten Martÿ Anno 1751
H. Johann Conrad Rudolph, der Fastenspeishändler klagt wieder herrn François Certain den handelsmann allhier, deß derselbe ohnlängsten Fastenspeiß Waaren en gros verkaufft, ohnerachtet Es das Recht darzu nicht gehabt noch würcklich habe, bittet abstraffung.
Beklagter Zugegen ist der Anklag geständig, sagt aber, es seÿe per commissionem geschehen und excusirt sich, daß er von dem articul nichts gewußt hätte.
Erkandt, Weilen sich der Herr Beklagte deßfalls Vorher einkündigen sollen, alß seÿe Er in die geordnete Straff der 5 Pfund zu condemniren.

Marie Salomé Pflug fait dresser l’inventaire de ses apports (2 764 livres)

1752 (10.3.), Not. Lang le jeune (Jean Daniel, 26 Not 3) f° 40
Inventarium über der Viel Ehren und tugendgezierten Fraun Mariæ Salome Certain gebohrner Pfluegin des Ehrenvest und Vorgeachten Hn Francisci Certain Handelsmanns und burgers allhier Fr. Eheliebstin zu demselben in die Ehe gebrachter Nahrung auffgerichtet Anno 1752. – welche der Ursachen, allweilen in ihr beeder Ehepersohnen vor Hn Joh: Daniel Langen Seniore den 8.ten Februarÿ 1741. auffgerichteten Eheberedung §° 4.to ausdrücklichen versehen, daß beederseits einander Zubringende Nahrungen vor ohnverändert vorbehalten und was davon wehrender Ehe verkauft vertauscht oder sonsten in anderer Weege alienirt worden (…) wiederumb ergäntzt werden sollen – So beschehen Zu Straßburg in beÿsein und persönlicher Gegenwarth der Ehefrauen Eheh. obgemelt wie auch des wohl Ehrenvest und wohlweisen H Francisci Petri Pflugen E. E. großen Raths jetzigen wohlverdienten Assessoris der Ehefr. H. Bruders und hierzu erbettenen H Assistenten, auff Donnerstag den 10. Martÿ Anno 1752. erschienen
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen von dem Ehe H. und deßen herrn bruders eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefraun in den Ehestand Zugebrachter Nahrung vor und ane sich selbsten, Sa. Haußraths 677, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 123, Sa. gold. Ring, Ketten peerlein und dergl. geschmeid 464, Sa. baarschafft 1500, Summa summarum 2764 lb – Und wan hierzu gelegt wird Ihro der Ehefraun ane hernach beschriebenen Haussteuren vi pactorum dotalium §° 6.to gehörige Helffte, antreffend 91 lb, So belaufft sich offt wohlgedachter frauen Mariæ Salome Certains gebohrner Pfluegin samptlich in die Ehe gebrachtes Vermögen dem billigmäßigen Werth und Anschlag nach auff 2855 lb

Etat de la fortune de François Certain et Salomé Pflug après que le mari a quitté la ville. Les experts estiment la maison 1 740 livres. L’actif du mari s’élève à 8 242 livres, le passif à 28 721 livres. Les biens de la femme s’élèvent à 4 154 livres

1752 (10.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 375) n° 484
Inventarium über Herrn Francisci Certain, des Handelsmanns und Frauen Salome Certain gebohrener Pflugin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzende Activ: und Passiv: Nahrung auffgerichtet Anno 1752. – welche der Ursachen Alldieweilen Er Herr Certain ohnlängstens von hier ausgetretten und deßen habende Nahrung mit Zimlichen Passivis bemaden, und nach dessen austritt Von Seithen E: E: großen Raths allhier Secretiert, anjetzo aber auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sowohl der Ehefrauen mit assistentz S.T. Herrn Frantz Peter Pflug vor Ehrengedachten großen Raths jetzig Wohlansehnlichen beÿsitzers Ihres geliebten Herrn Bruders und geschwornen Herrn Curatoris umb Salvirung Ihres ohnveränderten guths willen, als auch Herrn Philipp Friderich Kuhff des handelsmanns und burgers allhier als derer Herren Creditorum Zufolg einer Vor herrn René J.V. Lt° et Notario Jurato allhier unterm 29.ren Maji jüngst ausgestellten und unterschriebenen Procuration ernannten Assistenten (…) inventirt durch die Frau Salome Certain gebohrne Pflugun die Ehefrau ingleichem Johann Michael Leventz von Wißloch aus der Pfaltz gebürtig, den handelsdiener (geäugt und gezeigt), So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein Sis Tis Johann Friderich Röderers, Goldarbeiters und Herrn Johann Philipp Dorßners JUL beeder E. E. Großen Raths jetzig wohlansehnlicher beÿsitzer, als hierzu in specie abgeordneter herren Deputirten, auf Sambstag den 10.ten Junÿ et sequentibus Anno 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Nahrung eigenthümlich gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 26) Eigenthümliche Antheiler ane Häußern. (F.) Erstl. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Antoniergaß (…)
(F.) It. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung (…)
(M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane dem St Martins Platz oder dem sogenannten garthners Marckt (…)
(f° 28) (M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem Hindergebäu, hoff, bronnen und einem Garthen, mit deren hoffstätten Scheür Stallung und allen übrigen deroselben gebäuden begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler, ohnweith dem alten blaterhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, ist einseith ein Eck an der Viehe gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx Pfistereÿ über, anderseit neben Niclaus Meÿer dem brüher im der allhiesßigen Metzig zum theil und zum theil neben Weÿland herrn Nicolai Struve, gewesenen Doctorgärthners hinterlassener Wittib und Erben, hinten auf den vormahlig Freÿherrlich Elsenheimischen hoff und garthen, der Schäffolßheimer Hoff genannt, so anjetzo die neue Reith Schuhl ist, stosend gelegen, warvon das große gebäu etwa der Lumpards hoff vnd Vor zeithen zum teutschen Herren, das zweÿte gebäu gegen St. Marx über Zum bachoffen und das dritte gebäu Zum Engel genand worden, davon seind die sambtliche gebäu mit deren Zugehörden durch obernannte der Statt Straßburg herren Lohner und geschwornen Werck Meistere inhalt angezogenen Abschatzung Zeduls vom 2.ten Julÿ 1752. æstimirt vor 2250. lb
Der Garthen aber so ohngefähr ein und ein quart acker Groß, ist sambt denen darinn befindlichen Reeben und alten bäumen durch herrn Johann Theobald von Fridolßheim, Garthner Underwagnern und E. E. großen Raths alten beÿsitzern auch geschwornen Schätzern Laut Schrifftlicher Abschatzung vom 1.ten Julÿ 1752. angeschlagen umb 900 lb. Macht beedes und alßo der völlige anschlag dießer behaußung und Garthens Vor freÿ Ledig und eigen 3150 Und daran der hierero gehörige halbe theil 1575.
Die andere helffte ist Vorgedachtem herrn Joseph Certain J.V. Lt° des Ehemanns Herrn Bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über dieße Völlige behaußung gebäu und Garthen meldet in teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. Anno 1736. mit Lit. F. Dabeÿ ferner i. dergl. perg. Kffbr. Vom 11. febr. 1697. mit altem Lit. F. signirt. Dabeÿ ferner ein alter dergleichen pergamenter Kauffbrieff vom 11.ten Februarÿ Annp 1697. mit altem Lit. A et G. bemerckt
(M.) der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einem landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises
in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
(f° 35) Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel, Weÿland Herrn Johann Certain geweßenen Zuckerbeckers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßene Wittib des Ehemanns stieffmutter von gedachtem Ihrem verstorbenen Ehemann, alß deßen eheleiblichem Vatter, solang dieselbe in wittibstand verharren wird, zugenießen hat
(f° 43) Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der heuraths verschreibung
Der Ehefrauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 503, Sa. Lähren Faßen 7, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 92, Sa. antheils ane Häußern 492, Sa. Schuld 100, Erg. Rest 2646, Summa summarum 4154 lb – Zweiffelhaffte vnd verlohrne Schulden 185 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns ohnverändert und theilbahe Nahrung unter einer Masse beschrieben, Sa. haußraths 192, Sa. Schiff und geschirr Zur handlung gehörig 20, Sa. Gewerbswaahren 1864, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau 3, Sa. Kühe 5, Sa. Wein und Lährer Faß 14, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 52, Sa. Eigenthümlicher Antheil ane häusern Gärten und einem Landguth 5202, Sa. Schulden 886, Summa summarum 8242 lb – Schulden 28.721 lb, In Vergleichung 20.478 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 723 lb
Copia der Eheberedung (…) den 8. Februarÿ 1741, Johann Daniel Lang Notarius

1751 XV (2 R 160) Mörin contra François Certain 362
1752 XV (2 R 162) Spiegel contra François Certain, 59, Table-45

Salomé Pflug meurt en 1753. Les biens de son mari lui ont été attribués le 19 décembre 1752 par un contrat d’atermoiement à condition de satisfaire les créanciers hypothécaires. L’actif de la succession s’élève à 7 839 livres, le passif à 8 646 livres. L’estimation des maisons que les experts ont faite en 1752 est annexée à l’inventaire.

1754 (4.9.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 382) n° 595
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin, des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren H. Francisci Certain, des handelsmanns und burgers allhier geweßener Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1754. – als dieselbe Mittwochs den 5. Decembris des Zurückgelegten 1753.sten Jahrs durch einen seeligen Tod von dießer Welt abgefordert worden, nach solch Ihrem seeligen absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft band nach Ihrem tödlichen hintritt nemblich den 8.ten ejusdem Mensis Decembris Anno 1753. Zufolg Ihro Gnaden des damahlig Wohlregierenden Herrn Ammeÿsters Erkandnus ab eodem dato auf requisition des herrn Procuratoris Fisci durch die aus E: E: Großen Raths Mittel darzu abgeordnete Herren Deputirte und den herrn Rathschreiber secretirt heut dato aber ad effectum Inventandi vermög Ehrengedachten großen Raths Erkandnus vom 22.ten Augusti jüngst (…) committirt – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 4.ten Septembris et sequenti Anno 1754.
Bericht Wegen dießer Verlaßenschafft. Weilen die Verstorbene selige nach Ihres Ehemanns beschehenem Außtritt und erfolgtem Concursu mit deßen ohnversicherten Creditoribus den 19.ten Decembris Anno 1752. den hieoben verbotenus inserirten Contract d’attermoyement auffgerichtet, welcher den 23.ten ejusdem beÿ E. E. großen Rath alhier Salvo Jure tertÿ Obrigkeitlichen confirmirt und den 19.ten Januarÿ Anno 1753. beÿ herrn Humbourg Königlichem Notario allhier ad effectum hypothecæ und worzu es sonsten nothig und dienlich seÿn möchte, deponirt worden, worinnen Sie Ihres Ehemanns Massam völlig übernommen und hingegen denen ohnversicherten Creditoribus den dritten theil Ihrer Forderungen zubezahlen sich obligirt selbige auch soviel deren gedachten Contract d’attermoyement mit Ihro eingegangen und unterschrieben haben würcklichen befriediget hat (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Garthners Marckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Zum theil eigenthümlich gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 26) Eigenthümliche Antheiler ane Häußern, Gärthen und einem Landguth. Erstl. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Antoniergaß (…)
It. ein Viertertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Creutzgaß (…)
(M.) It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane dem St Martins Platz oder dem sogenannten garthners Marckt (…)
It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, bestehend in Zweÿen Vorder Häußern einem Hindergebäu, hoff, Zweÿen bronnen und einem Garthen, mit deren hoffstätten, Scheür, Stallung und allen übrigen deroselben gebäuden begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler, ohnweith dem alten blaterhauß oder der neuen Schaffneÿ Zu St Marx, ist einseith ein Eck an der Viehe gaß hinter den Mauren gegen gedachten Stiffts St Marx Pfistereÿ über, anderseit neben Niclaus Meÿer dem brüher im der allhiesßigen Metzig zum theil und zum theil neben Weÿland herrn Nicolai Struve, gewesenen Doctorgärthners hinterlaßener Wittib und Erben, hinten auf den vormahlig Freÿherrlich Elsenheimischen hoff und Garthen, der Schäffolsheimer Hoff genannt, so anjetzo die neue Reith Schuhl ist, stosend, warvon das große gebäu etwa der Lumpards hoff vnd Vor zeithen zum teutschen Herren, das zweÿte gebäu gegen St. Marx hinüber Zum bachoffen und das dritte gebäu Zum Engel genand worden, davon seind die sambtliche gebäu mit deren Zugehörden durch vorallegirtem beeder geweßener Eheleuthe Activ: und Passiv: Nahrungs Inventario de Anno 1752. fol. 267. fac: 2.da durch der Statt Straßburg herren Lohner und geschwornen Werck Meistere inhalt vorangezogenen Abschatzung Zeduls vom 2.ten Julÿ 1752. æstimirt vor 2250. lb
Der Garthen aber so ohngefähr ein und ein quart acker Groß, ist sambt denen darinn befindlichen Reeben und alten bäumen in ermeltem Inventario fol ; 268. fac: 2.da durch herrn Johann Theobald von Fridolßheim, Garthner Underwagnern und E. E. großen Raths alten beÿsitzern auch geschwornen Schätzern Laut Schrifftlicher Abschatzung vom 1.ten Julÿ 1752. angeschlagen umb 900 lb. Macht beedes und alßo der völlige anschlag dießer behaußung und Garthens Vor freÿ Ledig und eigen 3150 Und daran der hierero gehörige halbe theil 1575.
Die andere helffte ist Vorgedachtem herrn Joseph Certain J.V. Lt° und Procureur du Roy de La Monnoye allhier des Wittibers eheleiblichem Herrn Bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über dieße Völlige behaußung gebäu und Garthen soll besagen in teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel Verwahret de dato 19.ten Jan. Anno 1736. mit Lit. F. signirt. Dabeÿ ferner ein alter dergleichen pergamentener Kauffbrieff vom 11. Februarÿ Anno 1697. mit altem Lit. A et G.. bemerckt.
It. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einem Landguth, bestehend in einem wohnhauß des meÿers behaußung Remises
in der Ruprechtsau in der oberau in dem hintern orth (…)
Abschatzung vom 2. Julÿ 1752. Auff begehren Herrn Rathherrn Pflug alß Vogten deß außgetrettenen Frantz Certain geweßenen Hauptmanns und burgers allhier Ehefrauen ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem Gartners Marckt (…)
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg Im Finckweiler, einseits neben Nicolao Meÿer dem brüher in der Großen Metzig, anderseits neben dem Allmend, und hinten auff die newe Reitschuhl stosend gelegen, Welcher begriff bestehet in zweÿen nebens und einem hintergebäw, worinnen etliche Stuben, Kammeren und Kuchen, hat auch einen gewölbten und geträhmten Keller hoff bronnen und Stallung vor den Officier, die tach stühl darüber seind mit breit Ziegeln doppelt belegt, Ferner befindet sich ein Schopff Worüber die Häuwbühn, der tachstuhl darüber ist mit breit Ziegeln einfach belegt, auch von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere nach vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb VierTaußend und Fünff Hundert Gulden
Dritte begriff (…)
[unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Samuel Werner, Werckmeister
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Marie Rose Certain gebohrne Blondel, Weÿland Herrn Johann Certain geweßenen Zuckerbeckers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßene Wittib des Ehemanns stieffmutter von gedachtem Ihrem verstorbenen Ehemann, alß deßen eheleiblichem Vatter, solang dieselbe in wittibstand verharren wird, zugenießen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der heuraths verschreibung
Sa. haußraths 368, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau 2, Sa. Kühe 3, Sa. Lähren Faßen 3, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 67, Sa. Goldener Ring 119, Sa. baarschafft 114, Sa. antheiler ane Häußern, Gärthen und einem Landguth 5624, Sa. Schulden 1596, Summa summarum 7839 lb – Schulden 8646 lb, In Vergleichung 806 lb
Dahingegen hätte die verstorbene seelige ane Ihrem Maritum nunmahlen hinterbliebenen Wittiber für dero ohnverändert in der Eheberedung reservirt Vermögen Zuerfordern gehabt 4154 lb – Zweiffelhaffte vnd verlohrne Schulden 1022 lb
(Etat des loyers – Gravamina)

François Pierre Pflug rend compte de la tutelle des biens appartenant aux trois enfants de François Certain et de Marie Salomé Pflug. Le compte contient une liste des loyers.
1756, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 386) n° 667
Rechnung Mein Frantz Peter Pflug E: E: großen Raths Jetzigen beÿsitzers, als geordnet und geschworenen vogts Johannis, Johann Peters und Mariä Salome der Certain weÿland Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin nunmehr seeligen mit Herrn Francisco Certain dem Handelsmann und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter dreÿer Kinder, inhaltend alles dasjenige, Was Ich Vom 10.ten Decembris Anno 1753. alß da Ich Zu dießer Vogteÿ gekommen biß Johannis Bapt: Anno 1756. besagter in einer Curanden halben Eingenommenen und hiengegen wieder Außgegeben auch sonsten vögtlicher weiße verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ.

Bericht gegenwärtiger Rechnung. Zuwißen seÿe hiemit, daß auf tödliches ableiben Weÿland Frauen Salome Certain gebohrner Pflugin, herrn Francisci Certain, des von hier abweßenden handelsmann und burgers alhier geweßener Ehegattin nunmehr seeligen, So dan 5.ten Decembris Anno 1753. beschehen, deroselben Verlaßenschafft auf requisition des Procuratoris Fisci Von Seithen E: E: Großen Raths den 8.ten ejusdem secretirt und daraufhien Ihren hinterlaßenen ehelich erziehlten dreÿen Kindern außwendig benahmbst (…)
Corpus der dreÿen Curanden ins gemein Jährlich fallen habender häußer und Gärthel Zinnß.
Erstl. 15. lb 12. ß 6 d das ist der Vierte theil Von und ane 72. lb 10. ß Jährlichen Zinnßes solle Sieur Duportail von der seit Weÿhenachten 1754. exclusivé Ihme Verlühenen ane der Anthonier gaß allhier liegenden zwischen denen Pflugischen Vier Stamm Erben annoch ohnvertheilten behausung, so in der Curanden mütterlichem Verlaßenschafft Inventario sub. Lit. A. fol. 110. fac: 2.da abe 840. lb d hiehero Zum Viertentheil angeschlagen pro 235.
It. 12. lb. 10. ß d. das ist der Viertetheil Von und abe 50. lb. d. Jährlichen Zinnßes gibt Weÿland Herrn Johann Thomä Römers E: E: grossen Raths allhier geweßenen Advocati et Procuratoris ordinarii seel. nachgelaßene Fraw Wittib, Von der in Lehenung habenden ane der Creutzgaß allhier Liegenden Zwischen denen Pflugischen Vier Stamm Erben annoch ohnvertheilten behaußung, so Zu dißseitigem Viertentheil besagte Invent° fol. 113. fac: 2.da abe 747 lb. d æstimirt Vor 186. 15. Auf Joh. Bapt: 1756. aber ist dieselbe ausgezogen und stehet nunmehro solche behaußung Lähr, in deme selbige reparirt werden muß (…)
ane St. Martins Platz
it. aus der gemeinschafftlich Certainischen behaußung und Garthen ane dem Finckweÿler allhuer gelegen sollen Jährlichen ane Zinß reichen Anfänglichen Collard 18 lb, Ferners Heller 8 lb, Mehr Unger der Metzger 12 lb, Weiter Hartman 18 lb, Ferner herr Burgard aus einer wohnung, so vormahls Wehrle biß Joh. Bapt: 1753. ingehabt, von solcher Zeit an aber biß Michaelis 1755. Lähr ht gestanden sambt noch einigen Ihme darzu gegebenen gemachen anjetzo 24 lb, So dann der gartenmann vom Garthen 50 lb, Macht in allem 130. lb
It. von dem gemeinschaftlich Certainischen Ruprechtsauer guth (…)

La tribu du Miroir propose des tuteurs aux trois enfants de François Certain qui a quitté la ville
1759 Miroir (XI 278) (f° 55) Dienstags den 20. Martii 1759 – Anderwärtiger Ausschuß Zur Bevögtigung
Zufolg producirten Scheins E löbl. vogteÿ Gerichts vom 12.ten hujus, wegen Anderwärtigen Bevögtigung Jean François Certain des von hier abweßenden handelsmann und burgers dreÿer Kinder, seind als tüchtig Subjecta catholischer religion in den Ausschuß gebracht worden Jean Claude Gaillard, Jean Baptiste Henry, Jean Julien Gounion

Malade, Joseph Certain institue pour ses héritiers testamentaires son frère et sa belle-sœur.

1748 (17 août), Not. Humbourg (6 E 41, 80)
Testament – fut present le Sr Joseph Certain Licentié ès droits, Bourgeois de cette ville, lequel gisant au Lit malade de corps dans un Poële et chambre à cheminée au Second Etage de la maison dependante de la succession de feu le S Jean Certain, Confiseur aussi Bourgeois de cette ville Scise marché aux herbes et prenant Jour sur ledit marché, Sain toutes fois d’Esprit (…)
institue pour son héritier et pour son héritiere par egale moitié led. Jean François Certain son frere et lad° Damle Marie Salomé Pflug sa belle sœur

Joseph Certain cotise à la tribu des Tanneurs. Il résigne son droit en septembre 1754
1751 Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 7-v) Sambstag den 18. Decembris A° 1751 – Hr Joseph Certain, weil. Herrn Johann certain gewesenen burgers und Zuckerbeckers allhier hinterlassener ehelicher Sohn stunde vor und producirte Stallschein de dato 16. Decembris 1751. mit bitte, ihm als einem Zudiener das Zunfftrecht gedeÿen Zu laßen. Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
(Zunfft 1 lb 16 ß 2 d, Spend. 15 ß 10 s, Summa 2 lb 12 ß, Scribæ 2 ß, büttel 1 ß, findl. haus 5 ß, summa 3 lb)

(f° 45-v) den 3.ten Septembris Anno 1754 ist Herr Joseph Certain, J U. Ltis und nunmahliger Conseiller du Roy et son Procureur à la monoye, beÿ dem Protocolli erschienen und hat das Zunfft Recht aufgegeben, wie deßen unterschriebener Schein außweißet.

Joseph Certain meurt célibataire le 28 septembre 1792 sans héritiers connus dans la maison du négociant Robert rue de l’Ail
1793 (17 frimaire 2), Strasbourg 11 (1), Not. Anrich n° 367
Inventaire de la succession de Joseph Certain – L’an 1792 le 13. nov. en exécution d’un decret rendu le 31. oct. dernier par le Tribunal du district de Strasbourg en vertu duquel le Notaire soussigné a été nommé pour dresser Inventaire de la succession de de feu le Citoyen Joseph Certain cy devant employé à la Monnoye de cette ville et de veiller aux interets des héritiers absens et inconnus – iceux meubles et papiers montrés et enseignés par Ursule Lescher de Kertzfeld ménagere du défunt
dans la maison du Citoyen Robert Négociant rue de l’ail N° 8 ou ledit Certain est décédé le 28. sept. aussi dernier, au troisième étage de ladite maison
Meubles meublans, dans le Poel à manger, Chambre a coucher, Cabinet à côté avec une porte vitrée, Chambre, Cuisine, Chambre de la menagere, Total 151 lb, Dettes actives 9025 lb, Total général 9177 – Dettes passives (aux Citoyens les freres Roberts Négociants pour loyer de l’appartement occupé par le défunt depuis le St Jean 1789 Jusqu’à Noël 1790 pour trois ans 6 mois à raison de 144 livres par an, 504 livres) 4407 livres – le 17 frimaire 2
acp 19 f° 125 du 18 frim. 2

Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 22)
Anno domini 1792 die 28 Septembris mortuus est Joseph Certain solutus, olim Procurator Regis in officiæ monetaria argentinensis, filius legitimus Defunctorum Joannis Certain civis hic et negotiatoris et Mariæ Rosæ Blondel, annos circiter 68 natus, et die sequenti (…) sepultus est in Coemeterio ad stum Urbanum (i 64)

Lors du partage, la maison au Finckwiller et le bien de campagne reviennent aux enfants de François Certain et de Salomé Pflug

1757 (2.3.), Not. Humbourg (6 E 41, 97) Partage
M Joseph Certain Conseiller du Roy et son procureur en la Jurisdiction de la Monnoye de Strasbourg en qualité de fils et héritier pour une moitié de feu le Sr Jean Certain Marchand confiseur
Et le Sr Pfloug assesseur au grand sénat de cette ville en qualité de tuteur des enfants mineurs de défunte De Salomé Pfloug décédée épouse du Sr François Certain Marchand Confiseur fils et héritier du défunt pour l’autre moitié, lesd. enfants et héritier représentans lad. défunte D°. leur mere qu’etoit cessionnaire de la Masse des Créanciers du Sr Certain
Lesquelles parties ont dit qu’ayant des immeubles indivis entre eux faisant partie de la succession dudit défunt Joseph Certain Elles auroient été en procès au Grand Sénat de cette ville au sujet du partage desdits immeubles sur lequel différents seroit intervenue sentence audit Grand Sénat les 18. juin 1755 et 10. mars 1756 qui auroit ordonné le partage desdits immeubles pour quoy parvenir leds. parties auoient nommé des experts Jurés qui auroient fait la visite prisée et Estimation desd. immeubles en conséquence Il auroit été reconnu que lesd. immeubles pouvoient se partager ainsi qu’il s’en suit
que le premier lot demeureroit composé de la Maison et Jardin Scitué au finckweiller et dépendances consistant en trois corps de bâtiment Grange Ecurie et Jardin faisant coin d’une part vis à vis la Boulangerie de S Marc Nicolas Meyer Boucher et les Veuve et héritiers de Nicolas Struve Jardinier d’autre par devant sur la rue dite le quartier du Finckweiller et par derrière le Nouveau Manege
Et le bien de Campagne Scituée à la Ruprechtsaw consistant en une maison de Campagne une autre pour le fermier Remises Grange Ecurie et Jardin avec les terres labourables y attenant consistantes en environ de 14 arpens a Eux appartenante en propriété et 12 arpents qu’ils tienent par bail a femme ledit Bien de Campagne scitué au Canton dit in der Oberaw im hintern Ort les héritiers de feu Sr Heiss d’une part David Kiener d’autre part pardevant sur le Communal et parderrière sur lesd. terres labourables et sur Jean Georges Beck avec toutes les voitures bestiaux outils et autres effets servans au labourage appartenante à ladite succession
Et le second lot sera composé de la Maison Située au Marché aux herbes en cette ville consistant en deux corps de logis le S Jean Nicolas Dietrich ancien assesseur au Grand Sénat d’une part la fabrique de la Cathedrale de cette ville d’autre pardevant sur led. Marché aux herbes et par derrière le Sr Jean Gaspar Hervé Marchand épicier Et comme ce dernier lot n’est estimé qu’a la somme de 17.000 livres et que les 2 immeubles du premier lot ont été portés pour la somme de 18.500 livres
Le 1° lot à Pfloug, le 2° lot à Certain

1760 (12.7.), Not. Humbourg (6 E 41, 104)
Transaction entre le Sr Certain et ses neveux – M Joseph Certain Conseiller du Roy et son Procureur en la Jurisdiction de la monnoie de cette ville
et le Sr Jean claude Gaillard Marchand en qualité de tuteur établi par la justice aux enfants mineurs de D° Salomé Pfloug décédée épouse du Sr François Certain Marchand et le Sr André Lichtenberger Secrétare à la chancellerie curateur ad lites établi par justice
(annexé) Déclaration par rapport aux loyers percus par le Sr Certain et par le nommé Pfloug depuis la liquidation du 30 mars 1758 – Recette de M Certain
Loyers percus de la maison et Jardin indivis Scituée au finckwiller, le loyer de Cotard jusqu’à la Notre Dame de mars 1757, cet appartement a reste vuide jusqu’à la St Michel de ladite année auquel terme il a été loué au nommé teubler à raison de 60 li. par année,
le loyer de hartmann,
le loyer de Unger,
les loyers du nommé heller,
les loyers du jardinier,
Maison de campagne scituée à la Roberceau, le canon de ce fermier (…)
Maison scituée au Marché aux herbes, demeurée vuide de locataires jusqu’à Noel 1757 terme auquel le premier étage a été Loué au Sr Gaillard a raison de 200 li par année
(…) Laurent Mühl fermier de la Roberceau doit pour le restant de son Canon

Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent de recevoir à l’orphelinat Marie Salomé Certain, fille de François Certain, âgée de quinze ans
1760, Conseillers et XXI (1 R 243)
Jean François Certain des außgetrettenen Handelsmanns tochter Mariæ Salome Certain Vogt H. Claude Gaillard wird pt° gesuchter auffnahm ged. seiner Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß abgewießen. 239.
(p. 239) Sambstags den 20. Decembris 1760. – Freund nê Jean François Certain des außgetrettenen Handelsmanns Verlaßener tochter Mariæ Salome Vogt Sr Claude Gaillard des handelsmanns, prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. sub litt. a. b. c. et d. pt° gnäd. reception ged. Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß.
H. Syndicus Regius Meldeten es hätten die Hh Pflegere des Waÿßenhaußes wegen der Vorgestandenen Curanda auffnahm deswegen anstand genommen, weilen selbige schon über 15 Jahr alt ist, und auß eben dießer ursach den Implorirenden Vogt an MHhn verwießen, umb hochdenselben seiner Curandæ dürfftigkeit vortragen Zu können, und fernerer Erkant, aus gewärtig Zu seÿn, Nun seÿe beschienen daß dießelbe nicht das geringste in vermögen erhalten, auch keine anverwandte habe, die sie Zu erhalten schuldig oder im stand wären, dero gemüths beschaffenheit noch nicht Zuläßt daß man sie in einen dienst thun könnte, in erwegung solcher umbstände vermeinte er H. Syndicus Regius, daß des Imploranten Curanda vor 6 Monath oder ein Jahr lang in das waÿßenhauß auffgenommen und darinnen verpflegt werden könnte, da inzwischen Imploranten obliegen wird, vor seiner Curandæ ferneren unterhalt oder einigen dienst Zu sorgen.
Nach angehörtem voto des HN Prætoris Regii und auff anspruch des auf dem Obern banck Vorstitzenden H. Stättmleisters Von Bock wurde Erkand, wird implorirender Vogt pt° gesuchter auffnahm seiner Curandæ in allhießiges Waÿßenhauß mit seinem begehren abgewießen. Deppi. H Rathh. Dr Ottmann, H. Rathh. Rondouin.

Le tuteur des trois enfants de François Certain vend par enchère la maison au boucher Jean Frédéric Pfeffinger

1758 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 235-v
H. Rath. Peter Pflug als vogt Frantz Certain des gewesten Zuckerbecken 3 kinder Johann, Peter und Salome der Certain
H. Johann Friedrich Pfeffinger des metzgers, versteigert
eine behausung, hoff, hoffstatt und garten samt allen deren übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zum Rehegarten genannt im Finckweiler einseit ein eck am allmend, anderseit neben Nicolaus Meÿer dem metzger, hinten theils Nicolaus Struwe dem Doctor garter theils die Königl. reithschuhl – als ein elterliches erbguth – um 1800 pfund

Fils du boucher du même nom et de Susanne Dorothée Beck, Jean Frédéric Pfeffinger épouse en 1743 Anne Barbe Pfeffinger, fille d’un autre boucher du nom de Jean Frédéric Pfeffinger : contrat de mariage, célébration
1743 (27.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1030
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und achtbahren Herrn Johann Friderich Pfeffinger, ledigem Metzger weÿland deß Ehrenvesten vndt wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Pfeffinger auch gewesenen Metzgers nun seel. mit der wiel ehren und wohl tugendbegabten fraun Susanna Dorothe gebohrner Beckhin Ehelich erzeugtem vnd nach tod verlaßenem Sohn, alß dem H. bräutigamb ane Einem,
sodann der wohl Ehren und tugendreÿchen Jungfraun Annæ Barbaræ Pfeffingerin des Ehrenvest vnd wohlvorachtbaren Herrn Johann Friderich Pfeffinger, ebenmäßigen Metzgers mit weÿland der Viel Ehren und tugendgezierten frauen Annæ Barbaræ gebohrner Keckin seel. Ehelich erziehlten vnd hinterlaßener Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern Theil
Actum in der Königlichen Statt Straßburg den 27. Martÿ als man Zalte 1743

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 174)
1743. Mittw. den 29. Maji sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H Johann Friderich Pfeffinger lediger Metzger u. burger allhier weÿl. H. Johann Friderich Pfeffinger burgers v. Metzgers allhier nachgelaßene ehel. Sohn v. Jgfr. Anna Barbara H. Friderich Pfeffinger burgers und Metzgers ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Fridrig Pfeffinger als hochzeiter, Anna Barbara Pfeffingerin als hochzeiterin (i 177)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Madeleine et Derrière les murs. Les apports du mari s’élèvent à 1 219 livres, ceux de la femme à 888 livres.
1743 (12. Xbris), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 44) n° 1282 [restitué, page abîmée] (1238)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so herr Johann [Friderich] Pfeffinger der Jüngere und der Viel Ehren und tugendbegabte frauen Anna Barbara gebohrner Pfeffingerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich deren In des Vermög Ihrer auffgerichteten Eheberedung Vor unverändert vorbehalten (…) Actum In der Königlichen Statt Straßburg in fernerer gegewart Frauen Susanna Dorothea gebohrner [-des] Ehemanns Eheleiblichen [-] und Herrn Johannes [-]gers deßelben annoch [ohnentledigten] Vogts, ferner herrn [-] Pfeffinger des ältern [-] der Ehefrauen Vatter und herrn Johann Friderich Kecken biersieders, derselben Curatoris, Donnerstags den 12.ten Decembris 1743.

In einer allhier Zue Straßburg theils ane der Ruthengaß und theils hinter den Mauren gelegenen behaußung sich befunden wie folgt
Series Rubricarum, deß Ehemanns Vermögen, Sa. haußraths 313, Sa. Rindvieh und schwein 200, Sa. Heu, Stroh und beßerung 20, Sa. Silbers 70, Sa. Goldener Ring 11, Sa. Baarschafft 133, Sa. Schulden 364, Summa summarum 1113 lb – Dazu gelegt die helffte ane den hernach beschriebenen haussteuren so macht 106, Solchemnach belaufft sich deß Ehemanns Samptlich in den Ehestand gebrachten unveränderten Vermögens auf 1219 lb
Der Ehefrauen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 318, Sa. Silbers 31, Sa. Goldener Ring 85, Sa. baarschafft 350, Summa summarum 782 lb – Darzu kombt die Ihro ane den hernach beschriebenen haussteuren gebührige helffte mit 106 lb, Der Ehefrauen Vermögen 888 lb

Anne Barbe Pfeffinger fait son testament au Faubourg Blanc dans la maison de sa grand-mère
1749 (5.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 290) n° 253
Codicillus Frauen Annæ Barbaræ Pfeffingerin geb. Pfeffingerin Johann Friedrich Pfeffingers des metzgers
persönlich erschienen seÿe die Ehren und tugendsame Frau Anna Barbara Pfeffingerin, Herrn Johann Friedrich Pfeffingers des metzgers und burgers allhier Zu Straßburg Eheliebstin, Zwar gesunden gehend und stehenden, ber dabeÿ hochschwangeren Leibes
(…) und wann auch wider verhoffen geschähe, daß die frau Codicillantin weder eheliche Kinder noch ihren liebeb Vattern nach tod verlißen, so will dieselbe anerwogen ihr geliebter Ehemann als dann ihre völlige verlaßenschafft Zeit lebens Zugenießen haben
beschehen allhier zu Straßburg und einer daselbst ane der Weißenthurnstraß liegenden Frauen Keckin der Frauen Codicillantin frauen Großmutter Zugehörigen behausung, deren obern von vorbemeldeten beeden Ehepersonen bewohnenden Stocks Stuben mit denen fenstern in die Straß außsehen auff Donnerstag den 13. Novembris Anno 1749

Anne Barbe Pfeffinger meurt en 1749 en délaissant pour héritier son père. La masse propre au veuf est de 2 079 livres, celle propre à l’héritier de 591 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 227 livres, le passif à 2 561 livres
1750 (16.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 252) n° 429
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die viel Ehren: und Tugendbegabte Fr. Anna Barbara geb. Pfeffingerin, des Ehrenvest v. vorachtbaren H. Johann Friderich Pfeffingers des jüngern Metzgers v. burgers allhier Zu Straßb. gewesene Fr. Eheliebstin seel. nach ihrem den 18.ten Xbr des letztabgewichenen 1749.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. ableiben, Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundl. Ansuchen Erfordern v. begehren des Wohl Ehrenvesten v. Wohlborachtbaren H. Johann Friderich Pfeffingers, des ältern ebenmäßigen Metzgers v. burgers allhier, der verstorbenen seel. leibl. lieben Vatters, und deroselben alldieweilen Sie ohne ehelich erzeugte Kinder dießes Zeitliche gesegnet, ab intestato ncah tod verlaßenen Erbens fleißig inventirt (…) So geschehen alhier in der Königl. Stadt Straßburg auf Donnerstag d. 16.ten tag des Monats Aprilis A° 1750.
Copia der Eheberedung
Copia der verstorbenen Fr. seel. errichteten Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraß gelegenen Keckischer Frauen Wittib eigenthümlich gehörigen behaußung folgendermaßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der obern vordern Cammer, In der Knecht Cammer, In der Magd Cammer, In der mittlerin vordern Cammer, In der vordern obern Stub, In deren Kuchen, Im obern haußöhren, In der untern Wohnstub, In deren Kuchen, Im Keller
Ergäntzung des Wittibers manglenden ohnveränderten Guths, Vermög der über beeder Eingangs gemeldeter nun zertrennter Eheleuth einander in die Ehe gebrachte Nahrung durch H Joh: Jacob Ölinger Not. publ. jur. et pract. allh. auffgerichteten Inv. den A° 1743
Wÿdumbs Verfangenschaft welche Fr. Susanna Pfefingerin geb. Fruthin wittib Zeit lebens geneußt (…) dißortige Fr. Großmutter vätterl. seithen
Wÿdumbs Verfangenschaft welche Frau Margaretha Keckin gebohrne Heÿdelin zeit lebens Zu genießen hat, Nehml. vermög der zwischen weÿl. H Michael Kecken dem geweßenen bierbraueren Zum goldenen Hirsch burgern allh. nunmehr seel. (…) der verstorbenenn Groß Eltern
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers Vermögen, Sa. haußraths 78, Sa. Silbergeschmeids 31, Sa. goldene ring, kett v. dgl. geschmeids 76, Sa. baarschafft 22, Sa. Eigenthumb an einem Ar Reben 54, Sa. Ergäntzung (2511, Abgang 416, Rest) 2095, Summa summarum 2357 lb – Schulden 277, Nach deren Abzug 2079 lb
Des Erben guth, Sa. haußraths 85, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. goldenen rings 8 ß, Sa. baarschafft 26, Sa. Ergäntzung (468, Abgang 2,Rest) 466, Summa summarum 591 lb
Die theilbare Nahrung, Sa. haußraths 118, Sa. weins v meeren faßes 33, Sa. Pferds 24, Sa. Viehes 95, Sa. Häuth 101, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. gold. Rings 1, Sa. baarschafft 451, Sa. Schulden 1397, Summa summarum 2227 lb – Schulden 2561, Theilbar Passiv rest 333 lb
Stall Summa 2336 lb
Eigenthum ane Häußern. Erst. die Helffte von und ane einer behaußung hinter St. Niclaus Kirchen

Jean Frédéric Pfeffinger se remarie en 1752 avec Marie Marguerite Knoderer, fille du marchand Jean Charles Knoderer, de Westhoffen : contrat de mariage, célébration
1752 (15.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 294
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvesten und Wohlvorachtbaren H. Joh: Friederich Pfeffingern, dem Wittwern metzgern und b. allhier Zu Str. als dem H. Hochzeitern ane Einem
sodann der viel Ehren und Tugendgezierten Jungfr. Maria Margaretha Knodererin, des Wohl Ehrbarn und Großachtbaren herrn Johann Carl Knoderers, vornehmen handelsmanns und der viel Ehren und tugendreichen Fr. Margarethæ geb. Karcherin beeder Ehepersonen und b. Zu Westhoffen, hochfürstl. Heßen Hanauischer Herrschafft ehel. erzeugter Jgfr. Tochter als der Jungfr. Hochzeiterin am andern theil
Das zwischen inngemeldten hochzeit, nunmahlen aber Eheleuthe Sub Signatura privata errichtete original (…) Von H Notario Dautel dem Jüngern als beÿsitzer seines H Vatters seel. Notariats acten weilen noch Zur Zeit Kein Actus Depositionis darüber gahalten worden noch werden solle (…) Straßburg den 15. Septembris 1783

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 115-v n° 2)
1752. Mittw. den 19. Jan. 1752. seÿnd nach Zweÿmahl Vorhergeschehener Proclamation in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu St Nicolai in den Stand der H Ehe eingesegnet worden H Johann Friderich Pfeffinger, Metzger und burger allhie wittwer und Jungfr. Maria Margaretha Knodererin H Johann Carl Knoderer des Handelsmanns und Gerichtsschöffens Zu Westhoffen eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Pfeffinger als Hochzeiter, Maria Margaretha Knoderin als hochzeitterin (i 118)

Marie Marguerite Knoderer devient bourgeoise deux mois après son mariage
1752, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 485
fr. maria margaretha Knodererin Von westhoffen gebürtig erhalt das burgerrecht von Ihrem Ehemann Johann friederich Pfeffinger dem burger und metzger umb den alten burgerschilling und will dienen beÿ E E Zunfft Zur blum juravit d 13. Martÿ 1752.

Jean Frédéric Pfeffinger loue le jardin et un logement au jardinier Adam Mattern et à sa femme Catherine Bierel, manants

1760 (18.1.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 971) n° 43 (1° série)
persönlich kommen und erschienen der Ehren achtbare herr Johann Friedrich Pfeffinger, Metzger und burger allhie, anzeigend, wie daß er miterschienenen
Adam Matthern dem Gartenmann und Frauen Catharinä gebohrner Bierelin beeden Eheleuthen und Schirmern allhier [unterzeichnet] Aadam Madtern, Fr. Cat. geb. bierlerin Zeichen +
seinen an seiner Wohnbehausung nahe beÿ dem Stifft S Marx liegenden Garten beneben einer Wohnung, bestehend in einer Stub, zweÿen Cammern und einem Gewölb von Martini 1759 biß dahien 1760 vor und um einen jährlichen zinß der 70 gulden
Actum Straßburg d. 18. Januarii Anno 1760.

Jean Frédéric Pfeffinger et Marie Marguerite Knoderer hypothèquennt la maison au profit du capitaine d’infanterie Philippe Jacques Joham de Mundolsheim

1777 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 189
H. Johann Friedrich Pfeffinger der metzger und Maria Margaretha geb. Knodererin unter assistentz Johann Leonhard Rinck des glaßers und Georg Friedrich Walter des maurer meisters
in gegensein weÿl. ST. Johann Reinhard Dietrich freÿherr von Buch subtitutionis verlaßenschaft nahmens deren der freÿwohlgeborne Philipp Jacob Freÿh. Joham von Mundolßheim, hauptmann unter dem löbl. Infanterie regiment royal alsace, als universal erb und auf substitution graviter nutznießer, ferner H. Johann Daniel Ensfelder notarii publici ac practici als gerichtlich bestellten substitutions curatoris – schuldig seÿen 200 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane dem Finckweiler, einseit neben der Reitschuhl, anderseit neben den Meÿerischen erben, hinten auff besagte reith schuhl

Inventaire (non conservé) dressé en 1798 après la mort de Jean Frédéric Pfeffinger en 1798 et de Marie Marguerite Knoderer en 1794

1798 (14 thermidor 6), Strasbourg, Not. Greis (minute en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Pfeffinger décédé le 26 pluviose dernier et de Marie Marguerite Knoderer décédée le 15 germinal 2
Enregistrement, acp 62 F° 107 du 17 ther 6

Acte de décès de Jean Frédéric Pfeffinger
Décès, Strasbourg (n° 489)
Cejourd’hui 27° Pluviôse l’an six de la République française une et indivisible (…) que Jean Frédéric Pfeffinger agé de 76 ans, Boucher, né en cette Commune fils légitime de feu Jean Frédéric Pfeffinger, Boucher et de feüe Susanne Dorothée Beck, veuf de Marguerite Knoderer est mort hier 26 puviôse à huit heures du soir en sa demeure située à la pomme de Pin sur la place d’armes [in margine :] vieillesse (i 125)

Compte que rend Georges Daniel Widt de la tutelle des enfants Pfeffinger
1799 (25 thermidor 7), Strasbourg 9 (anc. cote 6), Not. Dinckel n° 322
Rechnung Inhaltend all das jenige was b. Georg Daniel Widt handelsmann dahier Namens weÿl. b. Johann Friedrich Pfeffinger gewesenen Metzgers dahier hinterlassenen samtlicher Erben (…) mit deßen auch verstorbenen Ehegattin weÿl. b. Maria Margaretha Knoderer hinterlassenen liquiden Vermögens seit besagten 3. frimair jüngst biß den 19. thermidor nachgehends
Einnahm, Erst. den 27. vent. 7 gienge auf b. diefenbach metzger dahier der auf den 27. pluvios vorhin vor ein Jahr verfallene schudlige banckzins ein mit 340
Item zalte b. Milius den 23. ger. 7 den vierteljährigen hauszinns vom Tanzapffen auf d. 1 Mess. 7 verfallen zu voraus 600

Les cinq héritiers Pfeffinger vendent la maison dite zum Rehgarten (au jardin du chevreuil) au boucher Georges Freysz en confirmation d’une adjudication faite le 24 messidor précédent devant le juge de paix du deuxième canton, confirmée le 29 par le tribunal civil

1798 (19 thermidor 6), Strasbourg 4 (14), Not. Greis n° 1466 Altes N° 828
erschienen persönlich 1° die burgerin Maria Salome geborne Pfeffinger, burgers Georg Heinrich Leicht des Metzgers Ehefrau, beiständlich desselben, 2° burgerin Maria Barbara geborne Pfeffinger, weiland burgers Rudolph Friderich Ferber, gewesenen Rechtsgelehrten alhier Wittib, ihrer Rechte selbst geniesend, 3° burger Johann Friderich Pfeffinger, Metzger, 4° burger Georg Daniel Widt der Handelsmann als ernant und beeidigter Vormund weiland der Burgerin Susanna Dorote geb. Pfeffinger mit burger Abraham Leicht dem Metzger, dero hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt hinterlassener vier Kinder, mit Namen Georg Heinrich, Maria Salome, Johann Abraham und Luise Carolina derer Leicht, so dann 5° burgerin Margareta Elisabet geborne Pfeffinger, burgers Abraham Eichborn, des Metzgers Ehefrau, unter dessen Verbeiständung, samtliche fünff weiland burgers Johann Friderich Pfeffinger gewesenen Metzgers und auch weiland burgerin Maria Margareta geb. Knoderer beider gewesener Eheleute und Inwoner alhier ehelich erzielte Kinder und respective der einen verstorbenen Tochter mit vorgenannt dero Wittiber ehelich erzeugte auch vorerwänte vier Kinder als Enkel, allesamt Zu fünff gleichen Theilen verlassene Erben ab intestato und Inwonere hieselbsten, diese haben insgesamt
in beiseÿn burgers Georg Freÿß, des Metzgers und hiesigen Inwohners freÿ und offentlich angezeigt und bekannt (…) auf die durch Gutachten der bei dem Friedensrichter des alhiesigen Zweiten Gerichts bezircks versammelt gewesener Verwandten und Freunde am 12. Ventose jüngst erhaltene Autorisation, so am 19. ejusdem beim Civil Tribunal des departements Niederrhein alhier resideirend homologirt und behörig enregistrier worden, nach vorhergegangenen bei dem Friedensrichter des alhiesigen dritten Gerichts Bezirks vorgenommenen Neunmaligen offentlichen Versteigerungen (…) verkaufft und zu kauffen gegeben (…)
benantlich Eine enen fünff vorerwänten Pfeffingerischen Kinderen und Enkeln als respective Elter- und Großelterlich Erb Zu gleichen Theilen eigenthümlich angefallene, allhier Zu Straßburg ane der Marxgaß gelegene mit N° 4 bezeichnete behaußung, Zum Rehgarten genannt, samt Hoff, Hoffstatt, Bronnen, Stallung und einem etwa Zween Acker grosen Garten, ein seit ein Eck an einem nicht durchgehenden Gässel ander seit neben Burger Niclaus Meÿer, hinten auf die Struverische Erben und die ehemalige Reitschul stosend, so auser der jährlichen Grundsteur der Verkäufern Versicherung nach gegen männiglich frei, ledig eigen (…) vor und umb die bei dem Steig procès verbal am 19. Messidor jüngst gethane und am 24. ejusdem bei vorgehabter Neunten und letzten offentlichen Gerichtlichen Versteigerung, so bei dem Civil Tribunal des departements Niederrhein am 29. gesagten Monats Messidor jüngst confirmirt und am 12. gegenwärtigen Monats Thermodor enregistrirt
Geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst unten am Waffen Platz gelegenen in obgemeldte Pfeffinger(‘sche Verlaßenschafft gehörigen Zum Tannzapfen geschildeten behaußung, den 19. thermidor im 6. Jahr der einen und unzertrennlichen frantzösischen Republick

Originaire de Bischheim, le boucher Jean Georges Freysz achète le droit de bourgeoisie le 29 janvier 1774 : inscription et registre des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 96-v
Johann Georg Freÿß d. ledige Metzger von Bischheim am Saum gebürtig erhalt das burger recht um den Neuen burger schilling, will dienen beÿ EE Zunft Zur Blum, Jur. eod. [29. Januarÿ 1774]

p. 31 (VI 286 bis) Joh: Georg Freÿß der ledige Metzger Zu bischheim am Saum weÿl. Georg Freÿß b. u. ackersmanns daselbst ehel. sohn.
durch vorgelegter schein erweißet er die Ehel. geburt aug. conf. bepflichtet, die gewohnliche stadt stall caution geleistet, u. beÿ E. E. Zunfft der Metzger des Zunft rechts vertrsotet word.
500 fl. baaren geldt hat Er vorgewiß. deß Eigenth. mit Eÿd erhärtet auch 100 fl. 5 ß beym b. Prot deponirt
Impl. bittet E. G. unterthänig ihn um d. N. b. ß das b recht gnadigst zuv. trösten
Receptus um d. B. b. ß

Jean Georges Freysz épouse Marguerite Simon, fille du tanneur Jean Adam Simon de Barr : contrat de mariage, célébration
1774 (11. 9.bris), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) n° 149
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Georg Freiß, der leedige Metzger und burger allhier Zu Straßburg weiland H Johann Georg Freiß, des gewesenen Weis becken zu Bischheim am Saum mit auch weiland Fr. Catharinæ geb. Metzgerin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Margaretha Simonin H. Johann Adam Simon zu Barr mit auch weiland Fr. Catharina geb. Hefftstetterin ehelich erzeugt annoch minderjährige Tochter, als hochzeiterin ane dem andern theil
auff Freÿtag den 11. Novembris Anno 1774 [unterzeichnet] Johann Georg freÿß als hochzeiter, Margaretha Simonin als Junfer hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 81-v)
Im Jahr 1774 Dienstags den 22. Novembris Nachmittags nach vier Uhr sind (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Georg Freÿß der leedige Metzger und burger allhier, weÿland Johann Georg Freÿß gewesenen weißbecken und burgers Zu Bischoffsheim am Saum und auch weÿland Catharinä gebohrner Metzgerin nachgelaßener ehelicher Sohn und Margaretha Simonin von Barr gebürtig, weÿland Johann Adam Simons geweßenen Rothgerbers und burgers Zu Barr und auch weÿland Catharinæ gebohrner Helmstätterin nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] H. Georg freÿß als hochzeiter Margaretha Simonin als hochzeiterin (i 134)

Marguerite Simon devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage : inscription et registre des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 120
Margaretha Simonin von barr gebürtig erhaltet das burgerrecht von ihem Ehemann Johann Georg Freÿß dem Metzger und burger allhier umb den alten Burger schilling will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Blum. Prom. den 10. X.bris 1774.

p. 148 (VI 286 bis) Blum N° 11 d. 17. 9.br 1774.
Jgf. Margaretha Simonin Von Barr geb. weÿl. adam Simon des gew. b. u. Rothgerbers daselbst ehel. Tochter Verlobt an Joh: Georg Freÿß d. Metzger u. b. alhie, die Schein geben an die ehel. geb. aug. conf. deßen Sponsi stall gebühr in richtigkeit
Vermög Zweÿ passirten obligation vor dem ambtschreiber des ambts Barr beweist sie ihr Vermögenschafft so über 300 fl. betrifft deßen wahren u. ohnveränd. Eigenthumb sie mit einer Handtreu bekräfftiget durch 100 fl. 5 ß beÿm b. Prot. deponirt
Impl. bittet E. G. unterthänig sie a Sponso um d. a. b. ß des b rechts zuvertröst.
a sponso um d. a. b. sch

Marguerite Simon meurt en 1785 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue Saint-Marc, sans doute la maison Weiler dans laquelle la défunte a fait son testament. La masse propre à l’héritier est de 2 877 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 520 livres, le passif à 3 428 livres.
1785 (6.12.), Not. Zimmer (6 E 41, 1435) n° 712
Inventarium über Weiland Fraun Margarethä Freÿsin geborner Simonin, Herrn Johann Georg Freÿß des Mezgers und Burgers dahier geweßener Ehegattin Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1785. – nach ihrem den 19.den Augusti Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie zeitlichen verlaßen hat (…) So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg den 6. Decembris Anno 1785.
Die Verstorbene Hat ab intestato Zu ihrem einigen Erben hinterlassen, benantlich Johann Georg Freÿß, so 6 Jahr alt, Ihr der Defunctæ mit dem hinterbliebenen Wittwer ehelich Erzeugten Söhnlein, deßen geordnet und geschworener Vogt ist Johann Friderich Kreuchel der Metzger und burger alhier

In einer alhier ane dem Marx Gäßlein im Finckweiler gelegenen hiehero gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane liegenden Güthern in dem Barrer Bann gelegen
(f° 8) Eigenthum ane einer Metzigbanck (…)
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschaft. Es haben zwar bede Zertrennte Eheleuthe der mit einander errichteten und vorher einverleibten Eheberedung §° 3.° derselben sich also verabredet und verglichen, daß das von beden theilen in die Ehe bringende und während derselben ererbende Vermögen, jedem theil und seiner Erben ein freÿ eigen und unverändert Guth seÿn (…) Wie aber der hinterbliebene Wittiber hiebeÿ anzeigte so wäre über ihr bederseitiges zubehöriges Vermögen kein Inventarium errichtet worden
(f° 7) Ergäntzung des Kinds und Erben abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Extractus aus Johannes Dietz des Zingießers Zu Barr ihr der verstorbenenen Frau Freÿßin geschwornen geordneten Vogts abgelegter, approbirter und unterschriebener Rechnung (…)
(f° 12-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der vor mir Notario und Zeugen den 11. Novembris 1774 zwischen beden nun Zertrennten Eheleuten auffgerichteten Eheberedung
Copia der Verstorbenen vor mir Notario den 15. Augusti 1785. errichteten Codicilli
Des Erben unveränderten Guths, Sa. Kleidung und weisen Gezeugs 44, Sa. Silbers 6, Sa. golener Ring und dergleichen Geschmeids 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 850, Sa. Eigenthumb ahe liegenden Güthern 77, Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzung 2353, Summa summarum 3377 lb – Schuld 500, Nach deren Abzug 2877 lb
Diesemnach wird auch sowol des Wittibers unverändert als theilbar Guth unter einem Titul als in des Wittibers Nahrung gehörig beschrieben, maßen des Kinds und Erben geordneter Vogt auf die theilbare Mass gäntzlich Verzug thut, Sa. haußraths 69, Sa. Brandweins 225, Sa. Silbers 18 ß, Sa. Eigenthums ane einer Metzigbanck 375, Sa. Schulden 850, Summa summarum 1520 lb – Schulden 3428 lb, In Vergleichung 1908 lb
Stall Summ 869 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Freÿtags den 11. Novembris Anno 1774, Zimmer Nots.
Copia Codicilli nuncupativi (…) So geschehen alhier zu Straßburg in einer in dem Finckweiler an dem Marxgäßlein gelegene, Herrn Weiler Zuständigen behausung und dem auf dem zweÿten Stock derselben sich befindlichen Wohnstub mit denen Fenstern an gedachtes Gäßlein aussehend (…) den 18. Augusti Anno 1785, Zimmer, Nots.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 1 700 florins
1786 (20. Martii), Livres de la Taille (VII 1181) f° 26-v
Blum N° 725 – Weÿland Fr: Margarethä gebohrner Simonin, Joh: Georg Freÿß des Metzgers und Burgers alhier gewesener Ehefr: Verlaßenschaft inventirt H. Not. Zimmer. Concl: fin: Inv: ist fol: 84.b, 869 lb 11 ß 7 d die machen 1700 fl. verstallte 1000 fl. also Zuwenig 700 fl.
Wovon Nachtrag, als von in die Ehe gebrachtem Gut, Acht Jahr in duplo à 2 lb 2 ß d – 16 lb 16 ß
und Sechs Jar in simplo à 1 lb 1 ß – 6 lb 6 ß
Ext. Stallgelt pro 1786 – 2 lb 17 ß
Gebott – 2 ß 6 d
Abhandlung – 2 lb 9 ß – Summa 28 lb 10 ß 6 d
Auf fürgebrachte triftige motiven ist ane dem samtlichen Nachtrag die Helfte nachgelaßen worden mit 11 lb – Rest 16 lb 19 ß 6 d
dt. 26. Martii 1786.

Jean Georges Freysz se remarie en 1786 avec Marie Marguerite Rœsch, veuve du boulanger Isaac Schiff : contrat de mariage, célébration
1786 (17.8.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 13
Eheberedung – erschienen der Ehrengeachte Hr Johann Georg Freiß verwittibter Burger und Metzger dahier, als Hochzeiter ane einem
Sodann die Ehren und tugendbegabte Frau Maria Margaretha Schiffin geborne Röschin, weil. H. Isaac Schiff, gewesenen Burgers und Schwartzbecken auch dahier nachgelaßene Frau Wittib, beiständlich H Lorentz Blind, Burgers und Huefschmids auch Mitschöffen auf E. E. Zunfft der Schmidt ihres Vettern, als hochzeiterin am andern Theil
So geschehen (…) Straßburg den 17. Augusti 1786. Johann Georg Freÿß alß hochzeiter, Maria Margaretha schiffin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 130 n° 23)
1786. den 28. Augusti sind nach ordentl. geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicol. ehel. eingesegnett word. H Johann Georg Freÿß der Metzger und Burger allh. weil. Fr. Margaretha gebohrner Simonin nachgelaßener Wittiber, und Fr. Maria Margaretha geborne Röschin weil. Johann Isaac Schiff gewesenen Schwartzbecken u. burgers allh. nachgelaßene Wittib wie solches bezeugen [unterzeichnet] Joh: Georg Freÿß als hochzeitter, Maria Margaretha schiffin als hochzeiterin (i 135, proclamation Temple-Neuf f° 222 i 223)

Fils de boulanger, Isaac Schiff épouse en 1785 Marie Marguerite Rœsch, fille du tanneur Jean Michel Rœsch de Barr : contrat de mariage, célébration
1785 (7.2.), Not. Schaaff (6 E 41, 919)
Eheberedung – erschienen der Ehrsam und bescheidene Hr Isaac Schiff, lediger burger und Beckenmeister dahier zu Straßburg, weil. H. Johann Niclaus Schiff, gewesenen auch Schwartzbecken und burgers hieselst mit längst weil. Catharinä Margarethä gebohrner Kochin ehelich erzeugt nach tod hinterlassener großjähriger Sohn, als hochzeiter ane Einem
So dann die Ehr: und Tugendsameen Jungfrau Maria Margaretha Röschinn weil. H. Johann Michael Rösch, gewesenen Burgers und Rothgerber Zu Barr mit auch weiland Fr. Mariä gebohrner Dietzin ehelich erziehlt nachgelaßene majorenne Tochter, beiständlichen H. Andreas Dietz des auch burgers und Rothgerbers zu ermelten Barr Ihres würcklich alhier sich befindenden annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeitein am andern Theil
Straßburg Montags den 7. Februarÿ Anno 1785 [unterzeichnet] Johann Isaac Schiff als Hochzeiter, Maria Margaretha Röschin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 109 n° 14)
1785. Montag den 18. Aprilis sind nach ordentlich geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Isaac Schiff der ledige becker und burger allhier, weÿland Niclaus Schiff geweßten beckers und burgers allhier mit weÿland Frau Maria Margaretha gebohrner Kochin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Maria Margaretha Röschin weÿland Johann Michael Rösch geweßenen Rothgerbers und burgers in Barr mit Frau Maria gebohrner Dietzin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Isaad Schiff als Hochzeiter, Maria Margaretha Röschin als Hochzeiterin (i 113)

Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Jacques Kammerer

1813 (2.3.), Strasbourg 3 (36), Not. Übersaal n° 1291, 6333
Inventaire de la succession de Jean Jacques Kammerer boulanger, à la requête de Marie Madeleine Michel la veuve et 1. Jean Jacques Kammerer horloger, 2. Jean Michel Kammerer boulanger 32 ans, absent depuis environ 6 ans duquel on n’a aucune connnaissance où il se trouve, en son nom M° Chrétien Geoffroi Bossenius, notaire impérial, 3. Marie Madeleine Kammerer épouse de Jean Frédéric Glock, sacristain de l’Eglise de St Pierre le Vieux de la confession d’Augsbourg, 4. Marie Caroline Kammerer épouse de Léonard Laurent Haertelmeyer boulanger, 6. Dorothée Frédérique Kammerer fille majeure – Contrat de mariage M° Dautel le 6 août 1778
dans une maison sise en cette ville rue St Marc n° 4 appartenant à la veuve du Sr Freÿss
propres de la veuve 2445 fr – propres des enfants, meubles 45 fr
propriété d’une maison apportée en mariage par le défunt, sçavoir une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Veau n° 14, d’un côté la maison de la famille Loewenhaupt, d’autre celle du Sr Keller derrière brasserie à l’enseigne de l’Espérance – évaluée à 400 fr de revenu en capital 8000 fr, cédée au défunt par sa mère à l’art. 7 du Contrat de mariage – Dans l’inventaire des apports, il est dit que la propriété est constatée par acte de la Chambre des subhastations du 28 février 1771
total 8045 fr, passif 696 fr, reste 1176 fr, remploi, les héritiers doivent tenir compte à la succession de 2721 fr
communauté, meubles 207 fr, argenterie 18 fr, dettes actives 2721 fr, total général 2946 fr, passif 4548 fr
Enregistrement, acp 121 F° 169 du 3.3.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marguerite Salomé Strub femme du charpentier Chrétien Erdmann Laad

1815 (18.10.), Strasbourg 8 (12), Not. Roessel n° 2730
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Laad née Strub, décédée le 20 avril dernier – à la requête de Chrétien Erdmann Laad charpentier le veuf père et tuteur légal des quatre enfants procrés avec la défunte nommés Marguerite Salomé âgée de 7 à 8 ans, Georges Chrétien âgé de près de 7 ans, Marie Madeleine passés 5 ans, Frédérique Aldegonde près de 3 ans – en présence de Jacques Ohl ouvrier en tabac subrogé tuteur – mariés en 1806 sans contrat de mariage
dans une maison rue St Marc n° 4 appartenant au Sr Freys boucher
actif 3893 fr, passif 2650 fr
enreg. f° 193 du 19.10.

Lors de la liquidation, la moitié de la maison revient à la veuve, l’autre moitié appartenant à son fils Jean Georges Freysz

1834 (7.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 66), M° Hickel n° 1706
Liquidation et Partage – 1. Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freisz, boucher décédé le 29 juin 1799, 2. Jean Georges Freisz, boucher, 3. Jean Freisz, boucher
Contrat de mariage dressé par M° Schaaff notaire à Strasbourg le 17 août 1886, Partage, inventaire et liquidation s.s.p. le 1 février 1811 déposé au rang des actes de M° Bossenius le 21 février 1811, sont restés indivis 1. une maison sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 de la communauté, 2. un étal de boucher aux Grandes Boucheries n° 41 de la succession de M Freisz
la veuve : la moitié de maison art. 1 de la masse active
lot de Jean Georges Freisz fils la moitié de l’étal de boucher, 800 fr, la moitié de maison
lot de Jean Freisz, boucher, l’autre moitié de l’étal de boucher
Communauté, masse active 1. une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le harras royal et la propriété de M. Ott, évaluée à la somme de 24.000 francs. Acquise par adjudication des héritiers Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et de Susanne Marguerite Knoderer suivant adjudication définitive et déclaration de command devant le juge de Paix du troisième arrondissement de la ville le 24 messidor 6, homologué par jugement du Tribunal Civil le 29 même mois et acte reçu Greiss ;notaire le 19 thermidor 6, confirmée – la quatrième portion de maison de la communauté
Succession, 2. un étal de boucher situé à Strasbourg dans les Grandes Boucheries n° 41 pour 1 600 fr – acquis de Jean Valentin Schneegans, boucher, à la Chambre des Contrats le 22 janvier 1778
passif 4089 fr ; succession de M Freisz ; succession, total 11.596 fr, passif 11.554 fr
Enregistrement, acp 223 F° 147 du 12.3.

Accord entre les héritiers Freysz et leur voisin le boucher Jean Daniel Grœtzinger relatif à des ouvertures dans le mur mitoyen

1835 (24.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), M° Hickel n° 5007
Transaction – Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freysz, boucher, assistée de Jean Freysz son fils boucher ; et Jean Georges Freysz fils boucher
Jean Daniel Groetzinger, boucher, et Dorothée Schär
aux termes d’un partage devant M° Hickel le 7 mars 1834, Mde Freysz et M Freysz sont propriétaires par indivis de la moitié d’une maison avec jardin, autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4, d’un côté celle des conjoints Groetzinger, de l’autre le cul de sac St Marc
Qu’il y a environ 24 ans que la veuve Freysz a permis par pure tolérance à l’ancien propriétaire de la maison contiguë à l’immeuble ci dessus indiqué et situé en ladite ville même rue n° 3 qui appartient aujourd’hui aux conjoints Groetzinger de pratiquer dans le mur mitoyen qui sépare les propriétés des parties deux croisées éclairant le premier étage de l’un des bâtiments ds conjoints Groetzinger et donnant vers le jardin dépendant de la maison n° 4. Que les propriétaires de cette dernière maison pour consever leurs droits au sujet de la tolérance dont il s’agit ont réclamé à plusieurs reprises soit des conjoints Groetzinger soit des précédents propriétaires de la maison n° 3 une reconnaissance écrite constatant les droits des premiers et portant l’engagement formel de la part des propriétaires de ce dernier immeuble de faire disparaitre et murer à leurs frais et à première réquisition les croisées en question sans pouvoir prétendre par la suite à une servitude. Les parties n’ayant pas pu se concilier ont été envoyées devant le juge compétent (…) procès verbal de non conciliation devant le Juge de Paix le 27 janvier dernier. Pour éviter le procès, Lesdits conjoints Groetzinger ont déclaré et reconnu que c’est par pure tolérance de la part de la veuve Freysz que les croisées dont il est question ci dessus ont été pratiquées dans le mur mitoyen qui sépare les propriétés ci dessus désignées.
Enfin les parties déclarent que tout ce que dessus est fait sans préjudice des droits des conjoints Groetzinger au sujet de deux ouvertures qui existent dans ledit mur mitoyen et dont l’une a 59 cm environ (22 pouces) de largeur et l’autre 70 cm (environ 19 pouces) de hauteur et 58 cm (environ 21 pouces et demi) munies d’un treillis de fer dont le mailles auront 1 décimètres (environ 3 pouces 8 lignes) d’ouverture au plus de largeur. Les parties étant convenues à cet égard que les propriétaires de la maison n° 3 pourront conserver ces ouvertures tant et aussi longtemps qu’ils jugeront à propos sauf à les tenir constamment grillées
Enregistrement, acp 230 F° 196-v du 28.3.

Marie Marguerite Rœsch veuve de Jean Georges Freysz vend sa moitié de maison à Anne Gourichon, religieuse de la maison du Bon Pasteur

1838 (27.12.), Strasbourg 2 (82), M° Tinchant n° 899
Marie Marguerite Roesch veuve de Jean Georges Freysz père vivant boucher à Strasbourg
à Anne Gourichon dite en religion Marie de Ste Victoire, religieuse de la maison du Bon Pasteur à Strasbourg, caution François Xavier Mertian, propriétaire à Strasbourg
Objet de la vente, la moitié indivise d’une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances, dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 au Finckwiller, d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le terrain de l’administration du Haras et la propriété du Sr Ott
Propriété, à la venderesse suivant partage et liquidation entre elle et son mari défunt devant M° Hickel le 7 mars 1834, l’autre moitié à Jean Georges Freysz fils – Freysz père est devneu propriétaire par adjudication prononcée au profit du mari par les héritiers Jean Frédéric Pfeffinger, ci devant boucher et Suzanne Marguerite Knoderer, suivant adjudication et déclaration de command par le Juge de Paix du sixième arrondissement de la ville de Strasbourg le 24 messidor 6, homologué par jugement du tribunal de Strasbourg le 29 même mois, par acte reçu M° Greiss le 19 thermidor 6 la vente a été confirmée – enfin Sr Pfeffinger a acquis leit immeuble à la Chambre des Contrats sur les héritiers Certain le 8 août 1758 – moyennant 15.000 francs
Enregistrement, acp 264 F° 89 du 2.1.

Jean Georges Freysz, boucher, et Marie Dorothée Hæberlé vendent l’autre moitié de maison à la même

1838 (28.12.), Strasbourg 2 (82), M° Tinchant n° 901
Licitation – Jean Georges Freysz, boucher, et Marie Dorothée Haeberlé
à Anne Gourichon dite en religion Marie de Ste Victoire, religieuse de la maison du Bon Pasteur à Strasbourg, caution François Xavier Mertian, propriétaire à Strasbourg
Désignation de l’immeuble, la moitié indivise d’une maison avec cour, écurie, jardin et autres appartenances, dépendances sise à Strasbourg rue St Marc n° 4 au Finckwiller, d’un côté Jean Daniel Groetzinger boucher, de l’autre le cul de sac St Marc, derrière le terrain de l’administration du Haras et la propriété du Sr Ott – Origine de la propriété, avenu au vendeur dans le partage des biens ayant appartenu à Jean Georges Freyss père, boucher, et Marguerite Roesch, par M° Hickel me 7 mars 1834, ladite Anne Gourichon est déjà propriétaire de l’autre moitié acquise de la veuve Freysz par acte devant le soussigné notaire le 27 du présent mois – moyennant 23.000 francs
Enregistrement, acp 265 F° du 4.1.

Anne Gourichon a acquis la maison avec les fonds de l’établissement du Bon Pasteur

1857 (14. 7.br), M° Noetinger
Notoriété constatant que 1) l’acquisition faite par Anne Gourichon religieuse du couvent de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur d’Angers sur Jean Georges Freysz, boucher à Strasbourg, d’une maison rue St Marc, par acte Tinchant Nre le 27. Xbr 1838
2) l’acquisition faite par Florence Baudin, supérieure dudit couvent sur Joseph Reussel* propriétaire à la Robertsau de 1 hectare de terre à la Robertsau par acte Noetinger Nre le 14 août 1846
3) l’acquisition faite par la même d’un hectare 23 ares à la Robertsau par acte Noetinger Nre le 11 février 1848
4) l’acquisition faite par la même d’une campagne à la Robertsau Noetinger 17 novembre 1846
5) acquisition campagne à la Robertsau 23. février 1857
que lesdites acquisitions ont été faites des deniers appartenant à l’établissement du dit Bon Pasteur
acp 463 (3 Q 30 178) f° 24-v du 21. 7.br

L’établissement du dit Bon Pasteur vend la maison à l’établissement des Diaconesses

1865 (21.12), M° Noetinger
Le 5 décembre 1865 – Dépôt du cahier des charges en date du 11 9.br 1865 enregistré aujourd’hui et d’un décret impérial autorisant la vente d’une maison rue St Marc N° 8
acp 548 (3 Q 30 263) f° 77-v du 11.12.
Le 21 décembre 1865. Adjudication définitive à la requête de Marie Louise Pigé, supérieure du refuge du Bon Pasteur à la Robertsau, en qualité de mandataire de Virginie Pellerin, supérieure de la Congrégation hospitalière [des Sœurs de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur] dont le siège se trouve à Angers
au profit de Frédéric Edouard Moeder, propriétaire à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue Saint Marc n° 8, moyennant 81.100 francs
Déclaration de command par ledit Sr Moeder, qu’il a enchéri ladite Maison pour le compte de la supérieure de l’Etablissement des Diaconesses. Ladite adjudication ne sera définitive qu’après l’autorisation du Gouvernement
acp 549 (3 Q 30 264) f° 17 du 22.12.

1866 (11.7.), M° Noetinger
Dépôt par le mandataire de Virginie Pellerin, supérieure de la Congrégation hospitalière et enseignante des Sœurs de Notre Dame de la Charité du Bon Pasteur à Angers, et par Frédérique Boeswilwald veuve d’Emanuel Traugott Bein, en qualité de membre du Comité d’administration de l’établissement des Diaconesses protestantes de Strasbourg
de la copie d’un décret impérial en date du 13 juin 1966 autorisant l’acquisition d’une maison rue Saint Marc N° 8 à Strasbourg et adjugé audt établissement suivant acte reçu Noetinger Nre le 21 décembre 1865 au prix de 81.100 francs
acp 555 (3 Q 30 270) f° 55 du 16.7.

Article sur le collège Lucie Berger



3, quai au Sable


Quai au Sable n° 3 – VI 411 (Blondel), O 509 puis section 21 parcelle 51 (cadastre)

Reconstruite en 1744, maître d’ouvrage, Jean Daniel Ehrmann, courtier
Transformée en 1869, Auguste Hoffmann


Maison (la plus haute) juste après sa construction, gravure de Jean Martin Weiss, 1744 (Représentation des fêtes données par la ville de Strasbourg pour la convalescence du Roi, à l’arrivée et pendant le séjour de Sa Majesté en cette ville)
Façade (août 2007), Etages et mascarons (mars 2013), Haut de la porte (avril 2022)

Le receveur Blaise Egen qui vient d’acheter la maison n’est pas autorisé en 1588 à enclore un terrain entre sa maison et la rivière pour en faire un jardin en laissant un passage public. La maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière revient par héritage au consul Charles Egger puis à sa légataire Jacqueline Kermann qui épouse en 1661 le docteur en théologie Isaac Faust. Le menuisier Jean Georges Fritschmann achète la maison en 1687, il loue en 1689 devant sa maison un terrain qu’il convertit en jardin en 1691. Sa veuve est autorisée en 1725 à louer un autre terrain à côté des précédents. Les locations cessent à partir de 1743. Ancien perruquier devenu courtier, Jean Daniel Ehrmann est autorisé en avril 1744 à construire à l’aplomb de son encorbellement (26 pieds de long, 3 pieds deux pouces de large) puis en juin 1744, au lieu de l’autorisation ci-dessus, à enclore un terrain de 5 pieds 2 pouces vers l’est et de 4 pieds 4 pouces vers l’ouest, ce qui est l’indice qu’il reconstruit sa façade. Les agrafes des linteaux au rez-de-chaussée sont ornées de mascarons (voir le Répertoire des mascarons de Brigitte Parent). Les linteaux moulurés aux étages sont arrondis. La valeur du nouveau bâtiment représente le double de l’ancien (1 150 livres en 1729, 2 250 livres en 1753). Ancien ingénieur du roi à l’île de Grenade puis capitaine au régiment d’Alsace, Louis Barbier de Sassigny achète la maison en 1775. Sa veuve épouse en 1788 Louis Kuppelmeyer qui émigre. Meinrad Bruder, aubergiste à Mutzig, achète le bien national en 1793. Une deuxième vente a lieu en 1796 au profit de Jean Joseph Marande et Jean Lorentz, de Benfeld, mais le tribunal civil confirme la cession de Meinrad Bruder à François Louis Rumpler, chanoine honoraire de Varsovie, qui cède la maison à sa nièce lors de son mariage en 1805 avec Théodore Audéoud.


Plan-relief, la maison est la troisième du quai à partir de la gauche (1727, Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 201 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve en (b-c) : porte à droite comme sur la gravure de Weiss puis trois fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à quatre grandes fenêtres puis un étage à plus petites fenêtres, toiture sans lucarne. La cour B montre l’arrière (1-4) du bâtiment sur quai, le bâtiment latéral (1-2), le pignon (2-3) du bâtiment arrière et le mur (3-4) qui sépare la cour de l’impasse Stolz. L’élévation (y-z) représente la partie qui longe l’impasse vers le sud : porte donnant dans la cour B, bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages, toiture à un niveau de lucarnes. Le pignon à droite de (z) donne dans la partie nord de l’impasse.
La maison porte d’abord le n° 6 (1784-1857) puis le n° 3.


Cour B, élévations impasse Stolz, plan préparatoire au plan-relief de 1830

Théodore Audéoud cède la maison à sa fille en 1834 lors de son mariage avec le capitaine Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison. Lors de la vente (1868) à Auguste Hoffmann, originaire de Wissembourg puis domicilié à la Nouvelle-Orléans, les vendeurs signalent le litige qui les opposent à leur voisin à l’est qui est tenu de recevoir les eaux de pluie. Auguste Hoffmann reconstruit en partie les bâtiments en 1869 – c’est sans doute alors que la porte est transférée du côté droit au côté gauche et la façade surélevée d’un étage. Le négociant Auguste Rudi devient en 1886 propriétaire de la maison qui appartient toujours à ses héritiers en 1952. Comme ses voisins, il acquiert en 1869 de la Ville une partie de l’impasse Stolz à l’arrière de l’immeuble.


Terrain acquis dans l’impasse Stolz (dossier de la Police du Bâtiment) – Fond de l’impasse, à droite portail donnant dans la cour – Vues du portail – Partie nord du bâtiment dans l’impasse (octobre 2007)

juin 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Blaise Eggen (Egen), receveur, et (1573) Véronique Schreiner, auparavant femme de Georges von Billigheim et (1569) de Paul Breitlinger, puis (v. 1593) Marguerite Falck – luthériens
1630* h Blaise Eggen, avocat, et (1635) Catherine Gerlach, d’abord (1619) femme du médecin Isaac Habrecht – luthériens
1640* v Charles Eggen, procureur puis consul, et (1636) Susanne Scheid veuve du marchand de bois Louis Metzger (1610) – luthériens
1674 h Isaac Faust, docteur en théologie, et (1661) Marie Jacqueline Kermann (Kernmann) – luthériens
1687 v Jean Georges Fritschmann, menuisier, et (1683) Anne Marie Weber, (1686) Anne Marguerite Feyerlin, (1693) Susanne Bilger – luthériens
1729 h Jean Daniel Ehrmann, perruquier puis courtier de change, et (1716) Marie Madeleine Fritschmann – luthériens
1770 h Jean Frédéric Ehrmann, joaillier et (1747) Catherine Salomé Hummel – luthériens
1775 v (Denis) Louis (Joseph) Barbier de Sassigny, ingénieur du roi à l’île de Grenade puis capitaine, et (1759) Marie Catherine Petit Beaublanc – catholiques
1788 h Louis Kuppelmeyer, officier au régiment d’Alsace puis sous-aide major, et (1788) Marie Catherine Petit Beaublanc veuve de Louis Barbier de Sassigny – catholiques
1796 adj Meinrad Bruder, boucher puis aubergiste à Mutzig, et (1772) Marie Catherine Flecher – catholiques (puis Jean Joseph Marande et Jean Lorentz, de Benfeld en 1796)
1797 v François Louis Rumpler, chanoine (1730-1806)
1805 h Théodore Audéoud, officier supérieur, conseiller de préfecture, et (1805) Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler
1834 h Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, capitaine, et (1834) Anne Marie Françoise Audéoud
1868 v Auguste (Martin) Hoffmann, propriétaire, et (v. 1852) Catherine Müh puis (v. 1871) Caroline Stromeyer
1886 v Auguste Rudi, négociant, et (1858) Marguerite Salomé Wurtz puis (1866) Marguerite Salomé Martzolff
1926- h Anne Caroline Rudi pour 1/3 et copropriétaires

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 575 livres en 1692, 1250 livres en 1720, 1150 livres en 1729, 2250 livres en 1753, 2500 livres en 1769

(1765, Liste Blondel) VI 411, la veuve de Daniel Ehremann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Mr Barbier, 4 toises, 4 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 509, de Montbrison, Alphonse, place au sable 6 – maison, sol – 3,3 ares

Locations

1770, Jean Daniel Braun, marchand
1797, Rumpler, homme de loi
1810, Etienne Thomas Labbé, courrier de l’armée d’Allemagne, et Marie Angélique Gaudry
1819, Lisette Chavanne
1835, Jean Jacques Fischer, juge de paix

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 59
(Terrain correspondant aux maisons n° 3 et 7)
Les créanciers de Jean Ulric Mœrsfelder doivent 1 livre 3 sols pour deux latrines encloses sur la place, la première 4 pieds de large en saillie de 15 pouces, la deuxième devant la porte d’entrée 5 pieds ½ de large en saillie de 6 pieds, item devant la maison un terrain de 26 pieds 8 pouces de long, un encorbellement de même longueur en saillie de 3 pieds, devant la porte une marche en pierre (5 pieds de long, saillie d’un pied), un gradin en pierre (6 pieds de long, 10 pouces de large), deux pots renfermant des vignes, chacun 4 pieds de long et 4 pieds de large – (en marge) les latrines devront être soumises à un cens perpétuel

Hinden beÿ der Badtstuben Zum Roßbaum vnd v. dem Platz beim Mülstein
Hans Ulrich Mörsfelders Creditoren haben hinden vf dem Blatz Zweÿ steinerin Profeÿ so einge Zeünt, das Erst 4 schu breit vnd 15 Zoll herausser, das Ander darneben Vor der Haußthüeren 5 ½ schu breÿt vnd 6 schu herausser Ingezeünt, Item mehr vor dem Hauß die Allmendt 26 schu vndt 8 Zoll lang, oben ein Vsstoß auch so lang vnd 3 schu herausser, vor der Thüeren ein steinerin staffel 5 schu lang vnd i schu herauß, Mehr ein steinerin Bencklin 6 schu lang vnd 10 Zoll breÿt, daruor 2 Rebstöckh Casten ein Jeder 4 schu lang vnd 4 schu breÿt, Soll Allmendt sein vnd Bleÿben, Bessert für das Niessen, j lb iij ß d
[in margine :] Sollen von disem ingezeünten Profeÿ fürhin ein bestendigen Järlichen Zinß geben

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 523-v
Le premier cens correspond aux autorisations que les préposés accordent en 1689 et 1691, le deuxième à l’autorisation de 1691, le troisième à celle de 1725.
Hannß Georg Fritschmann, der Schreiner soll von einem Platz underhalb deß Rooßbadts, diehlen dahin zulegen, so er aber hernach zu einem Gärttlein vor seinem hauß gemachet, Jährlichen vff Jacobi und A° 1690. zum ersten mahl, 15 ß
Protocoll de A° 1689. p. –
[in margine :] V. 452
V. Johann Daniel Ehrenmann 452 – S. 301. 752

(Quittung 1691)
Er soll ferners von 6. schuhen, so ihme Vergönnt worden auff daß wasser hinauß ein gartten häußlein auff Pfähl zusetzen, Jahrs vff Jacobi und A° 1692. vff Jacobi I.mo, 15 ß
Protoc: de A° 1691. p. –
[in margine :] Johann Daniel Ehrenmann

(Quittungen 1691-1725)
Er soll ferner Von einer schuh lang und – sch. breiten Hütt neben obigen Gärtel jahrs 1 lb Vor die erlaubnus dreÿ stöß diehlen Vor jhr Hauß Allda Zulegen, 15 ß und Von einem stoß ohnfern dem Wollhauß 5 ß d, also zusammen jahrs auff Jacobi und A° 1725. I.mo, 2 lb
[in margine :] Johann Daniel Ehrenmann
(Quittungen 1726-1736)
Neuzb fol 354-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 352-v
Les loyers à la charge de Jean Daniel Ehrmann sont supprimés à partir de 1742, les objets imposés ayant disparu. Les folios entre parenthèses ont trait à d’autres loyers dus par Jean Daniel Ehrmann.

alzb. 523-b
Joh: Daniel Ehrenmann soll von einem Platz underhalb des Rooßbadts, diehlen dahin zu legen, so er aber hernach zu einem gärtlein vor seinem Hauß gemacht, Jahrs auf Jacobi, 15 ß
Ferner von 6 schuhen, so Ihme vergönnt worden auf daa waßer hinauß, ein gartten Häußlein auff Pfähl zusetzen, auf Jacobi, 15 ß
Ferner von einer (-) schuh lang und (-) sch. breiten Hütt neben obigen gärtel Jahrs 1 lb. d. vor die Erlaubnus 3 stöß diehlen vor seinem Hauß allda Zulegen, 15 ß. d und von einem stoß ohnfern dem Wollhauß 5 ß d, also zusammen Jahrs auff Jacobi, 2 lb
(Quittungen 1741-1742)
(vid. 545-v, 688, 781)
Ist alles Hinweggebrochen

Préposés au bâtiment (Bauherren)

Nicolas Adolff et son voisin Blaise Egen (propriétaire de l’actuel n° 3) demandent le même jour 14 mars 1588 l’autorisation d’enclore le terrain entre leurs maisons et la risberne et d’en faire un jardin en laissant un passage (à la manière du chemin et des jardins derrière les maisons de la rue des Veaux). Les préposés refusent d’aliéner le communal.

1689, Préposés au bâtiment (VII 1373) f° 53
Les préposés font une enquête générale sur ceux qui posent du bois sur la voie publique. Le menuisier Jean Georges Fritschmann paiera 15 sols

(f° 54) Sambstags den 3. Septemb:
Seind nachstehende Personen beschickt und befragt worden, ob Sie diejenige Allmendt plätz so Sie mit Holtz zu ihrem handwerck beschlagen, Gesinnet seÿen zubehalten oder nicht und ob Sie auff den erstern fall zinnß davon geben wollen oder nicht,
Hannß Thoman Deübler
(55 v) Hanß Georg Fritschmann, der Schreiner soll wegen eines hauffens diehlen, neben dem Wollhauß allda 15 ß d

1691, Préposés au bâtiment (VII 1374)
Les préposés autorisent Jean Georges Fritschmann à convertir le terrain qu’il loue (voir ci-dessus) en jardin et à poser un pavillon (6 pieds carrés) sur des pieux enfoncés dans la ribière, contre paiement de 15 sols supplémentaires, soit au total 1 livre 10 sols

(f° 7-v) Dienstags den 13. dito [Februarÿ] – Hannß Georg Fritschmann
Hannß Georg Fritschmann, der Schreiner, auff dem Gestad am Rooßbadt wohnend, hat damahlen auch gebetten, ihme Zuerlauben, daß er an dem platz vor seinem hauß, so er den 4. Septembris Anno 1689.Von gemeiner Statt entlehnet, und anietzo einen gartten daraus gemacht, ein Gartenhäußein, 6 schuh in das gevierdte, über daß Gestad hinauß in daß Wasser auff Pfähl setzen möchte.
Erkandt, weilen es ohne daß gantz seicht und Kein Schiff dahier gehen Kan, Willfahrt, soll aber auch 15 ß d. und also samptlichen 1. lb 10 ß bodenzinß davon geben.

1725, Préposés au bâtiment (VII 1391)
La veuve de Jean Georges Fritschmann demande le 17 juillet à jouir d’un terrain à côté de son jardin. Les préposés refusent en arguant qu’elle jouit déjà à titre gratuit de quatre terrains. Le transporteur de sable Georges Henri Eckert pourra par contre le louer.
Les préposés autorisent le 5 novembre la veuve à construire à côté de son jardin une cabane dans laquelle elle entrepose des planches, à poser des planches devant la maison et à louer un terrain pour y poser des planches et des pieux, le tout moyennant deux livres

(f° 169-v) Dienstags den 17. Julÿ 1725. – Hannß Georg Fritschmanns Wittib weg. Allmendts
Herr Rathherr Johannes Brew ersucht Mghh. nahmens Seiner Curandin weÿl. Hannß Georg Fritschmanns des gewesenen Schreiners hinterbliebenen Wittib, gantz unterth. daß der jenige Allmendt platz So vor Ihrer ohnfern dem Rosbad gelegenen behaußung vnd neben irem bereits verzinßlichen Gärtlein befindlich, welcher dem vernehmen nach anderwärtlichen solle verlühen werden, Ihro vmb dielen darauff Zu legen gegen der verzinßung möchte überlaßen werden.
Erkant, weilen die Fritschmännische Wittib bereits vor Ihrem Hauß vier Allmend plätz ohne Verzinßung genießt, alß solle Sie davon abgewiesen, Georg Heinrich Eckerten dem Sandführer aber solcher platz, wann Er im Stand sein wird, gegen der verzinßung gelühen werden.

(f° 197-v) Montags den 5. Nov: 1725. – Hanß Georg Fritschmanns des Schreiners Wb. pt° Allmendts
Hanß Georg Fritschmanns, des gewesenen Schreiners hinterbliebene Wittib, Soll von einer (-) schuh lang und (-) schuh breiten hütt, welche neben dem Gärtlein vor Ihrer ohnfern dem Rosbad liegenden behausung sich befindet, vndt worin Sie würcklichen dielen liegen hatt 1 lb d Vor die erlaubnus dreÿ stoß breit dielen vor dieße behaußung Zu legen 15 ß d. So dann von einem Kleinen plätzlein, wo Sie bereits dielen und pfähl liegen hatt, 5 ß d also in allem Jährlichen auff Johannis Baptistæ vnd a° 1725. I.mo 2 lb ane Zinß bezahlte, welches Sie Zu thun übernommen, auch den Zinß davon p. 1725. würcklichen bezahlt.

1744, Préposés au bâtiment (VII 1401)
Les préposés autorisent le 22 avril 1744 le courtier Jean Daniel Ehrmann à construire à l’aplomb de son encorbellement (26 pieds de long, 3 pieds deux pouces de large) contre un loyer de 10 sols que le pétitionnaire rachète aussitôt en versant un capital de 15 livres.
Jean Daniel Ehrmann demande le 8 juin 1744, au lieu de l’autorisation ci-dessus, d’enclore un terrain de 5 pieds 2 pouces vers la maison Bœcklin (n° 4) et de 4 pieds 4 pouces de l’autre côté pour régulariser l’alignement. Il y est autorisè à condition de supprimer les latrines en saillie, les 30 florins restant acquis à la Ville.

(f° 15-v) Mittwochs den 22. Aprilis 1744. seynd folgende Augenschein eingenommen worden – Joh: Daniel Ehrmann
An Johann Daniel Ehrmanns des Macklers Hauß neben Herrn Von Böckel auf dem Sand Platz am Stadten, Unterhalb der Neüen bruck, welcher um erlaubnus gebetten seinen 26. schuhe Lang und 3. schuhe 2. Zoll tieffen Über Hang Zuunterbauen. Erkannt gegen erlag 10 ß Zinß des jahrs Willfahrt.
Ille bittet jhme mit beschwehrung des Haußes zuverschonen, und Lieber ein Leÿdentliches für ein und alle mahl Zubezahlen, anzusetzen.
Ferner Erkannt solle 15 lb, für ein und alle mahl bezahlen, so er acceptirt, dt. den 29. aprilis 1744. 15 lb.

(f° 26) Montags den 8. ejusdem [Junÿ] 1744. seynd folgende Augenschein eingenommen worden – Joh: Daniel Ehrmann
An Johann Daniel Ehrmanns des Macklers Hauß neben Herrn Von Böckel auf dem Sand Platz am Stadten Unterhalb der Neüen bruck, welchem um mehrer regularität und um der flucht willen, erlaubt worden, neben Herrn Von Böckel 5 schuhe 2 Zoll und auf der Obern seithen 4. schuhe 4 Zoll mit seinem Gebäud Gegen dem Allmendt Zufahren, anstatt jhme Vermög Erkantnus Vom 22 aprilis Letzthin nur erlaubt ware, den 3. schuhe 2. Zoll tieffen Überhang Zuunterbauen, mit dem Anhang jedoch, daß er sein noch weiter Hervorstehendes S: V: Secret soweit abschneide, daß es mit der Maur Vom Hauß in eine flucht Komme. Übrigens solle es beÿ denen angesetzt, und bereits bezahlten 30. fl. sein Verbleibens haben.

Description de la maison

  • 1720 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, cuisines, vestibules, un atelier, un petit poêle, un fourneau au milieu du mur, une petite chambre, le bâtiment arrière comprend un poêle, chambre, cuisine, vestibule, cave sous solives, le bâtiment latéral renferme plusieurs chambres, la galerie latérale est dallée, le puits commun, sous la galerie se trouve une petite cuisine, Item devant la maison une cabane en planches, le tout avec la cour, autres appartenances et dépendances estimé à la somme de 2500 florins
  • 1729 (billet d’estimation traduit) 1729 La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, le poêle pour officiers, chambre, vestibule, atelier de menuisier, poêle accessoire avec un founeau et un cendrier, cave sous solives, puits commun, le tout estimé avec la cour, les appartenances et dépendances à la somme de 2300 florins
  • 1793, Procès-verbal de visite
  • 1796,Procès-verbal de visite

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Quai au Sable

nouveau N° / ancien N° : 3 / 6
Oder
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 180 case 2

de Montbrison Alphonse, place au sable N° 6
Bernard de Montbrison, Alphonse (Rectif. pr. 1845)
de Bernard de Montbrison Alphonse, place au sable N° 6

O 509, maison, sol, quai au Sable 6
Contenance : 3,30
Revenu total : 316,72 (315 et 1,72)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 12

Cadastre napoléonien, registre f° 26 f° 59 case 2

de Bernard de Montbrison, Alphonse
1870 Hoffmann, Auguste
1887/88 Rudi, August Eigenthümer

O 509, maison, sol, Quai au Sable 3
Contenance : 3,30
Revenu total : 316,72 (315 et 1,72)
Folio de provenance : (180)
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870 (sol, Gb)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 12
1870 – de Bernard de Montbrison, f° 59, O 509, Maison, revenu 315, démolition, supp. en 1870

O 1185, sol
Contenance : 0,39 (total 3,69)
Revenu total : 1,72
Folio de provenance : von den Wegen
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1871
Année de sortie :

O 509, maison
Revenu total : 851,92 (850 et 1,92)
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1876
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 40
fenêtres du 3° et au-dessus : 22 / 18
1876, Augmentations – Hoffmann Aug. f° 59, O 509, brasserie machine à vapeur maison, revenu 850, Neubau, achevée en 1869, imposable en 1872, imposée en 1876

Cadastre allemand, registre 21 p. 267 case 8

Parcelle, section, 21 n° 51 – autrefois O 509, 1183
Canton : Sandplätzchen N° 3
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 3,47
Revenu : 4600 – 4900
Remarques

(Propriétaire), compte 1021
Rudi August
1926 Rudi Anne Caroline pour 1/3 et copropriétaires
(3471)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 179 du Bain aux Roses p. 322

6
Pr. Kuppelmeyer, Louis, Major de Place – Privilegié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Sandplätzchen (Seite 144)

(Haus Nr.) 3
Meyer, Wwe. 0
Schilde, Pförtner. 0
Rudi, Rentner,E 1
Stuckschmidt, Hpm. 2
Wizinger, Poliz.-Insp. 3.
Lix, Rentn. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 728 W 14)

Quai au Sable n° 3 (1868-1990)

Les propriétaires Hoffmann (n° 3) et Herbulot (n° 4) acquièrent en 1868 une partie de l’impasse Stoltz. Auguste Rudi pose en 1886 dans la ruelle Stoltz une couche de béton sur laquelle la Ville pose des pavés. Les propriétaires font clôturer en 1886 leur terrain dans l’impasse comme le prévoient les cessions de 1869 et 1870. La gouttière qui mène du toit de la maison vers la propriété voisine fuit (1907).
La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Propriétaire des lieux, la pharmacienne Marie Haitaian fait désaffecter en 1957 le logement du premier étage pour y installer un salon de beauté (cabinet d’oxygénothérapie) qui donne dans l’impasse et une cour intérieure.

Sommaire
  • 1868 – Plan joint au rapport de l’ingénieur municipal après que les propriétaires Hoffmann et Herbulot ont demandé à acquérir une partie de l’impasse Stoltz
  • 1869 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé au nom du propriétaire Hoffmann à faire une prise pour environ deux becs
  • 1886 (mai) – L’entrepreneur en bâtiment Bischoff demande l’autorisation de ravaler la façade du n° 3. L’agent voyer Deutscher constate qu’il n’y a pas de plan d’alignement pour le quai au Sable dont les maisons sont alignées, sauf le n° 4, le n° 5 étant une nouvelle construction. L’inspecteur du bâtiment de l’arrondissement renvoie l’affaire à l’agent voyer – Le crépi et la peinture sont terminés, juin 1886.
    1886 (août) – L’entrepreneur Th. Bischoff demande au nom du propriétaire Auguste Rudi l’autorisation de poser des pavés sur une couche de béton dans la ruelle Stoltz, sur environ six mètres – Autorisation (impasse Stoltz N° 2) – La couche de béton est terminée, la Ville va poser le pavé, août 1886.
  • 1886 – Le propriétaire Rudi se plaint d’être incommodé par la suie et les fumées provenant de la propriété Herbulot voisine (n° 4) – L’architecte municipal Nebelung déclare que la cheminée est réglementaire puisqu’elle se trouve à plus de quatre mètres du voisin
  • 1887 – Rapport sur l’impasse Stoltz, bordée par les propriétés Rudi (3, quai au Sable), veuve Herbulot (4, quai au Sable, domiciliée à Nancy, dont le mandataire est Théodore Kœrttgé) et le Grand Séminaire (3, rue des Ecrivains). Le maire rappelle aux différents propriétaires que la cession des terrains en date des 17 décembre 1869, 12 décembre 1869 et 15 avril 1870 prévoit que les terrains cédés doivent être clôturés et couverts de dalles ou de pavés.
    1887 – L’entrepreneur Th. Bischoff (2, rue des Lentilles) demande une visite des lieux qui est faite le 9 mai en présence de l’inspecteur municipal Nebelung. L’entrepreneur demande le 12 mai de confirmer que la bouche d’égout (Rinnenspüler) ne se trouve pas sur la voie publique mais sur le terrain d’Auguste Rudi. Le maire confirme que la bouche se trouve sur le terrain Rudi.
    1887 (juin) – Une grille a été posée
    1887 (septembre) – L’entrepreneur Bischoff fait remarquer, suite à la visite des lieux lors de laquelle il représentait Auguste Rudi, l’entrepreneur Brion madame Herbulot et Florent Moser l’Œuvre Notre Dame, que les eaux de toute la ruelle s’écoulent par un égout privé devant la propriété Herbulot qui en subit les dommages. – Le maire répond que l’égout municipal commence le long de la rue du Bain-aux-roses.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Le propriétaire Rudi demande à en être exempté jusqu’à ce qu’il transforme la façade, octobre 1896. – Le maire prie le propriétaire de se conformer au règlement – Rappels, juillet 1898, mars 1900, avril 1901 – Travaux terminés, juin 1901
  • 1907 – Mme Rudi demande une inspection du pignon. La gouttière du voisin fuit, ce qui provoque l’humidité dans les pièces du premier étage. La visite établit que les eaux proviennent de la maison de la plaignante mais qu’elles s’écoulent par la propriété voisine. Les propriétaires devront s’accorder.
  • 1908 – Le peintre en bâtiment E. Bieth (19, quai des Pêcheurs) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire de police transmet au maire qui accorde l’autorisation – Travaux terminés, mai 1908.
  • 1908 – Mme Rudi se plaint que son pignon est humide. La visite établit que l’humidité provient des cabinets d’aisance de la maison qui ne sont pas raccordés à l’égout municipal – Mme Rudi répond que la nouvelle fosse y est raccordée. Les eaux de l’impasse Stoltz pourraient être la cause de l’humidité. – L’ancienne fosse est sèche, l’humidité a diminué. Le dossier est classé, avril 1909.
  • 1928 – Albert Lepain (installations sanitaires, 9, place du Corbeau) déclare au nom de la famille Rudi à la Police du Bâtiment que les canalisations de l’immeuble 6, rue du Bain-des-Roses provoquent l’inondation dans le voisinage. – Le maire demande au propriétaire Trautmann (demeurant 16, rue du Fossé des Tanneurs) de réparer sa fosse – Travaux terminés
  • Commission contre les logements insalubres – La maison est raccordée aux canalisations, sauf les cabinets d’aisance, 1905
    Commission des logements militaires, 1915. Remarque sur les dalles dans l’impasse Stoltz
  • 1946 – La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Certificat de sinistré remis à Mlle Rudi, à Marguerite Schmacker (colis de sinistré, bombardement du 11 août 1944), à Berthe Rudi (impôt de solidarité), à la veuve Théodore Bostaetter (idem, bombardements des 11 août et 28 septembre 1944), Mme Pera (carte de sinistré)
  • 1952 – L’entrepreneur de construction Fernand Motz (11, rue de Lucerne) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique)
  • 1957 – Le locataire Franké se plaint de son logement – La pharmacienne Marie Haitaian, propriétaire (1, place Saint-Pierre-le-Vieux), déclare que le logement vétuste menace la sécurité de ses occupants et demande de reloger les locataires – Courrier de l’architecte Robert Friedel – La Police du Bâtiment rédige un rapport (logement au rez-de-chaussée de la maison arrière). Elle constate aussi que le logement du premier étage a été converti sans autorisation en salon de beauté
    1957 (décembre) – La Division I communique à la Division V que le préfet a autorisé le 8 juin 1957 de désaffecter le logement du premier étage pour y installer un cabinet d’oxygénothérapie.
    1957 – Marie Haitaian dépose un permis de construire sous la direction des architectes Jean Ott et Robert Friedel (5, rue Herder- Extrait du plan cadastral, Plan du premier étage – Rapport du Service municipal d’hygiène sur le cabinet d’oxygénothérapie donnant dans l’impasse et une cour intérieure. Les vapeurs des saunas sont évacuées dans la cour intérieure. « L’exploitation de Mlle Haitaian aura un caractère purement commercial et ne présente aucune activité médicale. ». – Le Ministère de la reconstruction et du logement émet un avis favorable malgré l’infraction (travaux sans autorisation préalable)
    1957 (8 août) – Le préfet autorise la désaffectation d’une partie du logement, l’autorisation étant personnelle et révocable.
    1958 (21 mai) – Le maire accorde le permis de construire.
    1958 (octobre) – Réception finale, sans observation
    1958 (octobre) – L’entreprise générale d’électricité Willi Sprowalt et Compagnie demande l’autorisation de poser une enseigne (Sauna) – Dessin – Autorisation accordée à Mlle Haitaian
    1959 (mars) – Marie Haitaian demande l’autorisation de poser une plaque pour son établissement (Sauna, oxygénothérapie, esthétique) – Autorisation
    1959 (septembre) – Marie Haitaian est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade
  • 1962 – La société Hermann Frères demande à l’ingénieur géomètre Robert Bissinger une esquisse des étages de l’immeuble que Marie Haitaian souhaite vendre par lots
  • 1962 – Robert Bœhm, président de la Société Pythagore, association culturelle et spiritualiste, envisage d’acquérir le deuxième étage de l’immeuble et y ouvrir un restaurant végétarien
  • 1963 – La Société d’Etudes Techniques du Bâtiment (S.E.T.B.) demande une mise en demeure pour refaire la toiture sans attendre l’autorisation du Fonds National de l’Amélioration de l’Habitat – La Police du Bâtiment délivre le document
  • 1969 – Le maire demande à la Société de Gestion d’Immeubles (SOGESTIM, 8, rue Georges Wodli) de faire ravaler la façade
    1970 – L’entreprise T. Spinella (111, route de Colmar au Neudorf) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est terminé, juillet 1970.
  • 1976 – La kinésitérapeute Monique Bongrand déclare que l’enseigne lumineuse est supprimée depuis plus d’un an – La redevance reste due pour 1976
  • 1977 – L’entreprise Cou-Zi-Fer (164, route de Brumath à Mommenheim) prévoit de poser une couverture en éternit noir. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable. – L’entreprise est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer les gouttières
  • 1990 – La même entreprise demande l’autorisation de poser une couverture en zinc dans l’impasse. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable, les matériaux étant interdits dans le secteur sauvegardé

Autres dossiers
954 W 35, déclaration de travaux (refus), 1994
1198 W 2338, lucarne (1996-1997)
1573 W 579, terrasses balcons (2002-2003
1689 W 1171, réfection de la toiture (2010-2013)


Relevé d’actes

La maison inscrite au nom des créanciers de Jean Ulric Mœrsfelder dans le Livre des communaux (1587) appartient en 1588 au receveur Blaise Egen (voir plus haut, les préposés au bâtiment).
Fils du menuisier Adam Egen, Blaise Egen épouse en 1573 Véronique (Schreiner), veuve de Paul Breitlinger

Mariage, cathédrale (luth. p. 232)
1573. Sonntag den 22. Hornung. Blasius Egen, Adam Egen deß Scherers in Crautenau hinterlasner Sun, Veronica, Paulus Breyttingers nachgelasne Wittwe wohnet Zum Seidenfaden. eingesegnet den 6. Aprilis

Paul Breitlinger, originaire de Schleusingen (en Thuringe), épouse en 1569 Véronique, veuve du tailleur Georges von Bilch
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 72)
1569. auszuruffen Doîca vndecima post Trinitatis. Paulus Breittinger von Schleüßingen ein Student, Veronica, Jergen von Bilch des Schneiders nachgelaßene wittwe. Celebrarunt nuptias die mercuri den 14. Septemb. 69. Dise sind mir angezeigt worden von Mr Hans Krentt* dem Schneider vff dem Roßmarck der wittwe vogt vnd Hanns Luschen vnderkeuffer im Kauffhauß. Die Brautt wont beym guldin thurn (i 74)

Paul Breidinger de Schleusingen devient bourgeois par sa femme Véronique Schreiner, veuve de Georges von Billigheim deux mois et demi après son mariage
1569, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 331
Paulus Breiding. von schleusing. hatt das burkrech Empfang. von veronica schreÿnerin weÿland Jerg von Billigkh. des schneiders sellig. wittwen seiner Ehfrauwen und dient Zu den schneidern Eod. die [1. Decembris A° & 69]

Blaise Egen est candidat au poste de receveur de Saint-Nicolas-aux-Ondes en 1584. Il est nommé juge des tutelles en 1598, marguillier à la cathédrale en 1606
1584 Conseillers et XXI (1 R 59)
S Niclaus in undis Schaffneÿ. Johann Schertzheimer resignirt sein Schaffneÿ Zu S Niclaus in undis. 151. Balthasar Höltzlin der notarius. 170. Blasius Egen. 176.
1598 Conseillers et XXI (1 R 77)
(f° 342-v) XVI Augusti – Vogtey Richter
Ambrosius Gulg, Bles Egen und Jacob Volck haben Vogtey Richter ordnung geschworen
1606 Conseillers et XXI (1 R 85)
(f° 219) Montag den VI Octobris – Münster Kirchenpfleger, Bleß Egen.
1620 Conseillers et XXI (1 R 102) Bles Egen vmb fürschrifft. 347. (pt° Capitals)
1638 Conseillers et XXI (1 R 121) M. Blasius Egen. [Ambtmann von Herrenstein contra ihn] 24. [contra Maior Schmidt] 28.

Blaise Egen se remarie vers 1593 avec Marguerite Falck (les mariages de la cathédrale manquent de 1591 à 1596). Ils font baptiser un fils en février 1593.
Baptême, cathédrale (luth. f° 4 n° 31)
1594. den 28. Hornung. Blasius Egen, Margareth, I. Johannes Petrus (i 6)
Baptême, cathédrale (luth. f° 35-v n° 72) 1595. Auf den heilig pfingsttagk p. Blasius Egen m margretha I Blasius (i 38)

Blaise Egen passe un accord sur les biens dont sa première femme Véronique Schreiner lui a assuré la jouissance viagère
1617 (14. Novembris), Chancellerie, vol. 424 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 64-v
Verzig Georgy Stillkrauten Notarÿ seiner gerechtigkeÿt ane der Versicherung der Verfangenschaft eines Widems so Herr Blaisus Egen zuniessen gegen ander Versicherung
Erschienen Herr Georg Stillkraut Notarius vnd Burger alhie an einem
vnd dann Herr Blasius Egen Rhatsbewandter am andern theyl
vnd in gegenwertigkeyt des hochgelehrten Herrn Sebastian Leÿtersbergs. der Rechten Doctors & Johann Ohwald vnd Augustin Falcken bed. geprüedn. vnd haben zu erkennen geben
Nachdem er Blasius Egen von weÿland Fr. Veronica Schreynerin seiner erstern haußfr. selig. einen widem Zunueß. darfür alle In gemelt. Fraw. selig Inventario begriffene Verlaßenschafft Zu sicherheyt verkunden vnd ane d. eÿgenthümblich. Verfangenschaft In mittels er der Nüesser vier neundte theyl ane sich erkaufft vnd ane den vberig. fünff neundte theyl er Georg Stillkraut auch vier neundte theyl ane sich gepracht d. uberige neündte theÿl Hanß Daniel Steurlin Zu Obereßing. beÿ Landaw deßen vogt Christoff Lorsch. eÿgenthümblich. Zugehörig (…)

Blaise Egen et Marguerite Falck hypothèquent leur maison et un jardin à la Krutenau au profit de l’assesseur au Grand Sénat Georges Lauginger

1619 (xxiij. Aprilis), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 245-v
(Inchoat. in Prot. fol. 158.) Erschienen h. Bläß Egen alt Raths Verwandt vnd Fr. Margreth Falckin sein ehelich haußfr. mit beÿstand & des fürnemmen herrn Augustin Falck. Cantzleÿ Commissarÿ vnd Balthasar Ostermeÿer schreÿners burgers Zu Straßburg obeghs Margred nechst uerwandt.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit des Ehr. herrn Geörg Laugingers Jetzig beÿsitzer des gross. Rath – schuldig sigend 350 pfundt
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, Als erstlich hauß, hoffestatt hofflin vnd hind. hauß, mit Allen ihren geb. glg. Inn d. St. St. beÿ dem wollhauß disseit der Newen bruck. einseit neben h hannß Schütz behaußung, Anderseit neben dem Roßbadt hind. vffs Rosen gässell stoßend dauon gnd. xij lb x ß d geldt albß. mit ij C L lb hanß Jacob Meÿer den hdlßm. Mehr iiij golgl. gls loß lit j C gl gl weÿland doctoris Johannis Ludwig hauwenritters selig Erb. Sunst ledig v eÿg.
Item ein Gartt. mit Allen begriff. vnd Zugehörd. glg. Inn d. Vorstatt strßbg In Crutenaw beÿ d. obersten gedeckt bruck. einseit neben hanß Volperth And.seit Jacob Lempen vorn vff Balthasar widman s. wen vnd hind. vffs Allmend stoßend dauon gnd iij gl gld loßig mit L gl Inn Sant Margret closter Mehr xij ß gld Ins Closter Z d. Reuerin, Mehr seind sie verhafftet vmb ij C lb d Schmÿdt Zunfft

Blaise Egen engage la maison au profit de sa femme pour lui assurer ses reprises.

1619 (8. May), Chancellerie, vol. 434 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 26-v
Versicherung frawen Margarethæ Herrn Blasy Egen haußfrawen Ires ohnveränderten Guts
Erschienen Herr Blaisus Egen alter Rhats bewandt.
hatt in gegenwertigkeyt Frawen Margarethæ Falckin seiner ehelichen haußfrauwen bekant vnd verjehen
Nachdem Jetzernante sein eheliche haußfraw Gegen vnd.schiedlichen Personen seiner Creditoren Ihr ohnveränd. gut mit vorwissen Irer nachst verwandten versetzt (…)
mitversetzt Insond.heÿt aber sein Behausung alhier bey der newen Prucken einseyt neben der behausung Zum Rosenbad gehörig vnd and.seyt neben herrn Hanß Schatz. dreyzehnern hinden auf ermelten H Schatz. stoßend gelegen, davon Zuuor gehend 12 lb 10 ß Ib hauptgut mit 250. lb Hanß Jacob Mogen, Item 100 goldguld. H Hawrenritters selig. wittib vnd erben so Jars In august mit 4 goldgld. verzinßt werd. Item 250 pfund hauptguts H Georg Lahning. burgschafft weÿß so Jerlichs verzinst

Blaise Egen et Marguerite Falck font un codicille réciproque et se lèguent l’usufruit de leurs biens

1619 (8. May), Chancellerie, vol. 434 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 27
Codicill vnd Widems verschreÿbung Herrn Blasÿ Egen vnd Fr. Margarethæ Falckin beder eheleuth
Erschienen herr Blasius Egen der Rhatsbewand. vnd beneben Ime fraw Margaretha Falckin sein eheliche hußfr. hab. zuerkenen geben Nachdem sie ehen eine gute Zeyt beyeinand. In Iren Ehestand frid und freundlich gelebt und nuhnmehro ein Zimlich alter erlebt vnd der bawfellig vnd sterblichkeyt aller menschen vielfaltig betracht (…)

Blaise Egen est élu procureur au Grand Sénat
1628, Conseillers et XXI (1 R 110)
Procurator stell bestellen. M. Blasius Eggen gewöhlt. 65.

Jean Georges Falck, tuteur de Marguerite Falck épouse de Blaise Egen, dépose un capital à la caisse des tutelles
1622, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1337)
(f° 301-v) Mittwoch den 11. Decembr. 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
H Hans Georg Falck, alß Vogt Fr. Margareth Falckin H Blasÿ Eggen haußfrau, hat ins Vogteÿgelt angelegt in 30 ducaten, 165. h, in 8 ½ duplonen 85 h thut 250 h
Haben ihro darumb zu kauffen geben 12 h 10 ß Vff Catharinæ fallend. Ing. fol. 287..

La maison revient d’après les tenants et aboutissants à son fils Blaise Egen, avocat et procureur au Grand Sénat, qui épouse en 1635 Catherine, veuve du médecin Isaac Habrecht.
Mariage, cathédrale (luth. p. 366) 1635. Doîca XX. Trinit. 11 8.bris. H. Blasius Egen, eines grosen Raths Advocat und Procurator H. Blasius Egen, alten grosen raths verwanthen N. S. Vnd fr. Catharina H. Isaac Habrecht der Artzeney D. N. Wittib, eingesegnet Zinst. 20. 8.bris (i 188)

Fils de l’horloger du même nom, Isaac Habrecht épouse en 1619 Catherine, fille de Martin Gerlach
Mariage, Saint-Thomas (luth. folio 417-a n° 1300)
1619. Dominica Misericordiæ. Herr Isac Habrech der Arzneÿ doctor vnd Jungfrau Catharina, Herrn Martin Gerlach alten Rathherrn Eheliche dochter (i 434)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 84) 1619. Dominica Misericord. den 11. Aprilis. H. Isaac Habrecht der Artzneÿ doctor, Isaac Habrechts des Uhrenmachers im Münster sohn, und J. Catharina, H. Martin Gerlachs Alten grosen Rathsverwandten tochter, eingesegnet zu S. Thoman Montag d. 19. Aprilis (i 47)

Le procureur Blaise Egen est candidat au poste de secrétaire des Quinze
1632, Protocole des Quinze (2 R 58)
(f° 133) Donnerst. 21. Junÿ – Carolus Eggen, Fünffzehen schreibers Stell
H. Carlen Eggen Procurator am Nachtrag: vndt Statt:gericht vorgestanden, sagt Præmissis titulis, weÿlen beÿ Mr gn. Herren Memorial Ein Stell Vacirt, die ohnzweiffel wider Zuersetzen Er, seinen hochge Ehrten Vatterland Zu dienen ietz v.bunden wüß, hat Er sich vmb angeregte Stell, weÿlen auch seine Jetz habende Stellen Ihnen darzutreiben, gebührlich anmelden, Sein wohlfahrt Zu M. gn. herren setzen vndt vnderthönig pitten sollen, dafern Er tawlich darzu erfunden w.den mäg, beÿ bestellung derselben seiner vor andern gn. eingedenck. Zusein.
Erkandt, ihme auch wie vorige bescheid w.den laß. Mr.

Autres mentions de Blaise Egen dans les registres du Magistrat
1626 Conseillers et XXI (1 R 108) Vice procurator Stell des großen Raths bestellen M. Blasius Eggen. 182.
1632 XV (2 R 58) M. Bläß Eggen. [Geampter Bader Tax] 77.
Carolus Eggen [Procurator Großen Raths pt° Fünffzehen schreibers Stell]. 133. [Fünffzehenschreibers Stell] 136.
1634 XV (2 R 60) Blasius Egger Ca. Daniel Pulian. 162. 166.
1639 XV (2 R 63) M. Bläß Eggen et cons. (Pfundzoll) 352. 355.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un demandent au procureur Blaise Egen de résigner son poste de procureur à cause de son grand âge
1660, Conseillers et XXI (1 R 143)
(f° 49-v) Mittwoch d. 7. Martÿ – Procurator Egen, sol seinen dienst resigniren.
Laßen ferner anbringen d. Procurator Egen alters halben nicht mehr vorkommen kann, die weilen Er nun Von Gott gesehnet, Alß seÿe beÿ d. Obern Cantzleÿ J. Vor guth angesehen, Werd. Man solte H. XIII.er Egen per Deputatos ersuchen laß. d. Er seinen Bruder disponiren wolte d. Er seines Seinen Dienst beÿ Mh. resigniren thette.
(f° 64) Sambstag d. 24. Martÿ – Procurator Egen resignirt seinen dienst
Bleß Egen Procurator vberreicht per Reißners vndtge Supplication, Resignirt seine stett alters halb. Vnd bitt vth. wollen Ihme quartaliter 10. lb d von seinen außstendig. Zinß Zu seinem vnd.erhalt Zukommen laßen

La maison revient à son fils Charles Eggen, procureur puis consul, qui épouse en 1636 Susanne Scheid veuve du marchand de bois Louis Metzger. Il institue en 1661 pour sa légataire universelle Jacqueline Kermann qui épouse en 1661 le docteur en théologie Isaac Faust.

Isaac Faust et Jacqueline Kernmann vendent la maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière au menuisier Jean Georges Fritschmann

1687 (25.8.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 594-v
(tit.) H. Isaac Faust, SS. Theol. Doctor et Professor alß Ehevogt Frauen Mariæ Jacobe gebohrner Kernmännin
in gegensein hans Georg Fritschmanns deß Schreiners
Zweÿ haüßer, ein vorderes und ein hinderes, mit ihren hoffstätten, höfflein, und stallung, auch allen andern begriffen, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier dießeits der Neuen brucken, beÿm Rooßbad, zum dorffmann genandt, einseit neben weÿl. H. Joh: Jacob Reißners gewes. XXI. sel. hind.laßener wittib, anderseit neben Paul Senger dem Schiffmann & Cons. hinden auff deß Roosengäßlein stoßend gelegen – umb 600 pfund

Fils de batelier, le menuisier Jean Georges Fritschmann épouse en 1680 Anne Marie Weber, fille d’emballeur ; contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Meister Johann Georg Fritschmann dem ledigen schreiner und burger alhier als dem hochzeiter ane Einem, So dann der tugendsamem Jfr Anna Maria weÿl. Paul Webers geweßenen Spanners und burgers alhier selig. nachgelaßener Ehelicher Tochter als der Jfr hochzeiterin andern theils (…) So beschehen Inn Straßburg dinstags den 27. Julÿ Anno Christi 1680. Benedictus Groß Nots. publ. requisitus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 12, n° 30)
1680 Iisdem [9. et 10. Trinit.] Domin. Hans Georg Fritschmann, der ledige Schreiner, Hans Heinrich Fritschmanns deß Burgers und Schiffmanns allhier ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Anna Maria weÿland Pauli Webers deß Burgers und Spanners alhie nachgelaßene Eheliche Tochter. Copul. Zu St Niclaus Donnerst. den 19.ten Augusti (i 13)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 83-v n° XX) 1680. Dom.7. post Trinit. Zum 2. mahl Johann Georg Fritschmann der (-)ner Johann Heinrich Fritschmmans deß Schiffmanns und Burgers alhier ehel: Sohn, Jfr. Anna Maria Weiland Paul Webers gewesenen Spaners u. Burgers alhie nachgelaß. ehel. T. Donnerst. den 19.ten Aug: St. Niclauß. (i 85)

Jean Georges Fritschmann et Anne Marie Weber font leur testament. La femme malade fait un legs à son frère cordonnier Philippe Henri Weber
1681 (20.4.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Testamentum nuncupativum Hannß Georg Fritschmanns Schreiners vnd Fr. Annæ Mariæ Fritschmännin gebohrner Weberin burgere In Straßb. auffgerichtet Mittw. d. 20. Aprilis 1681., In einer Nahe der Newen brucken gelegenen Behaußung
persönlich erschienen sein der Ehrengeachte Mr Hannß Georg Fritschmanns Schreiner v. b. alhier v. die Ehren und tugendsame Fraw Anna Maria Fritschmännin gebohrne Weberin beede Eheleuthe Sie die Fr. Zwar Kracken vnd schwachen leibs auff einem beth liegend d. Mann aber gesund. leibs von Gottes genaden guter verständiger Sinnen, richtiger vernunfft vnd gesprach (…)
Zweitens Will die Ihrem bruder Philipp Heinrich Webern dem Schuhmachern burgern alhier, wafern Sie ohne Kind. versterben würde Zu einem Legat 10 gulden verordnet (…)
Drittens verordnet Sie Catharinæ Salome vorgemeltes ihres bruders Töchterleein (…)
Besch, vnd. verhandelt In der H. R. fr. St. Str. mitt. den 20.ten Aprilis1681

Anne Marie Weber meurt en décembre 1685 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans une maison rue de la Râpe derrière l’auberge à la Ménagerie. La masse propre au veuf est de 9 livres, celle propre à l’héritière de 575 livres. L’actif de la communauté s’élève à 149 livres, le passif à 306 livres

1686 (27.2.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 8) f° 6
Inventarium undt Beschreibung aller v. Jeder Hab, Nahrung vnd Güttere, so weÿl. die Ehren und tugendsame Fraw Anna Maria Fritschmännin gebohrne Weberin, des Ehrengeachten Meister Hannß Georg Fritschmanns, Schreiners v. b. in Str. haußfr. seel: nach Ihrem den 26. Xbris des jüngst Zurückgelegten 1685.gsten Jahrs beschehenen tödlichen hienscheiden aus dießer Welt Zeitlichen v.laßen, welche auf erfordern und begehren des Ehrengeachten H. Philipp Heinrich Webers Schuhmachers v. b. in Str. als geschwornen Vogts Annæ Mariæ der verstorbenenn fr. seel. mit nachbenandtem Ihrem hinderlaßenen Wittiber ehelich erzeugten Töchterleins, inventirt und ersucht (…) Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg Mittw. d. 27. Febr. Anno 1686.

In Einer in der Statt Straßburg, gegen dem Riebeißen, hinder der Herrberg Zum Thiergarten gelegenen In diese Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befund. worden.
Ergäntzung deß Wittibers unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über des Wittibers und der verstorbenen frawen Seel. in die Ehe Zugebrachte Nahrung, durch herrn Benedict Großen Notarium in Anno 1680. auffgerichtet
Abzug. deß Wittibers Vermögen, Sa. haußraths 3, Sa. Werckzeug 5, Sa. Silbers 15 ß, Summa summarum 9 lb
Der Erben unverändert guth, Sa. haußraths 38, Sa. Lähr Vaß 11 ß, Sa. Silbers 8, Sa. Gelts 7, Sa. Baarschafft 210, Sa. Ergäntzung 306, Summa summarum 575 lb
Hierauf volgt d. theilbahre Guth, Sa. haußraths 17, Sa. Werckzeig 21, Sa. früchten 3, Sa. Silber v. baarschafft 17, Sa. Schuld 90, Summa summarum 149 lb – Schulden 19 lb, Theilbare Passiva übertreffen die theilbare Substantz vmb 176 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 405 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Inn Straßburg dinstags den 27. Julÿ Anno Christi 1680. Benedictus Groß Nots. publ. requisitus

Jean Georges Fritschmann se remarie en 1686 avec Anne Marguerite Feyerlin, fille du pasteur de Duntzenheim : contrat de mariage, célébration
1686 (14.8.) Not. Gross (Benoît, 14 not 1)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Hanß Georg Fritschmann, Schreinern mit der Tugendsamen Jfrn Anna Margaretha, weÿl. deß Ehrwürdig und wohlgelehrten herrn Simon Christoph Fewerlins gewesten wohlmeritirtn Pfarrherren Zu Dunsenheim hochgrävl. hanawuscher herrsch. nunmehr seel. nachgelaßener ehelicher tochter, als der Jfrr. hochzeiterin, andern theils
Verhandelt in der Königlichenen Statt Straßb. auf Michael den 14.ten Aug. Anno Christi 1686. [unterzeichnet] Hans jerg fritschman hoch Zeiter beken wie obstet

Mariage, cathédrale (luth. f° 143-v, n° 31)
1686. Dom. 13. post Trin: Zum 2 Mahl hannß Georg Fritschman der Schreiner und Burger alhier, Jfr. Anna Margaretha Weiland H. Simon Christophori Feÿerlins geweßenen Pfarrers zu Duntzenheim Grafflich. Hanau herrschafft nachgelaß: ehel. T. Mittw. den 18. 7.br. N Kirch (i 145)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 35-v n° 19) Domin: XIII et XIV Trinit. Hans Georg Fritschman der Burger vnd Schreiner vnd Jungfr. Anna Margaretha, weÿland Simonis Christophori Feÿerlins geweßenen Pfarrers zu Duntzenheim in der Graffschafft Hanau nachgelaßene eheliche Tochter Copul. in der Predigen Kirchen d. Mittw. 8/18 7.bris (i 37)

Anne Marguerite Feyerlin devient bourgeoise par son mari un mois après son mariage
1686, 4° Livre de bourgeoisie p. 524
Anna Margaretha Feÿerlin von duntzenheim accep. des burgerrechts ab marito Hans Georg Fritschmann dem schreiner p. 2. gold. fl. vnd 16 ß so erlegt. promis 17. 8.br. 1686.

Jean Georges Fritschmann hypothèque la maison au profit de l’Hôpital bourgeois. En marge, quittance donnée à la veuve Susanne Bilger en 1723.

1688 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 33
hans Georg Fritschmann, der Schreiner
in gegensein /:tit:/ Hn Abraham von Fridolßheim XV.ers alß Pflegers, und H. Balthasar Friderich Stößers alß Schaffners deß Mehrern Hospitalß allhier – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, Zweÿ haüßer, nemblich ein vorders und in hinders, mit allen deren Zugehördt. recht. und Gerechtigkeit. allhier dießeits der neun brucken, beÿm Roßbad, Zum dorffmann genandt, einseit neben weÿl. H. Johann Jacob Reußners XXI. sel. Fr. witt. und Erb. anderseit neben Paul Senger dem Schiffmann & Cons. hind. auff den Rosengäßlein stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Hn Johann Breu, Not. Publ. und E.E. großen Raths beÿsitzers als curatoris hier bemeldten debitoris Hanß Georg fritschmann seel. nachgelaßener wittib Fr: Susannæ gebohrner Bilgerin, als jetzmahliger proprietariæ hiegegen hypothecirter behaußung (quittung) den 10. aprilis 1723.

Anne Marguerite Feurlin meurt en 1692 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison place de la Laine (quai au Sable) que les experts estiment à 575 livres. La masse propre au veuf est de 34 livres, celle propre aux héritiers de 282 livres. L’actif de la communauté s’élève à 388 livres, le passif à 660 livres.

1692 (19. 9.bris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 1)
Inventarium vnd Beschreibung, aller haab, nahrung vnd Güetere, so weÿland die Wohl Ehren und tugendreiche fraw Anna Margaretha Fritschmännin, gebohrne Fewrlinin, des Ehren Vorgeacht vnd Wohlachtbahren Herrn Johann Georg Fritschmanns, Schreiners vnd burgers alhier geliebte haußfraw nunmehr seel. nach ihrem Mittwochs den 1.en Octobris Jüngsthin aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafften Meister Johann Daniel Gießbrechts, Schreiners vndt burgers alhier alß geschwohrnen Vogts Johannis Georgÿ, Johannis Heinrici, vnd Annæ Margarethæ, der Verstorbenen frawen seel. mit obernantem ihrem hinterbliebenen Wittwern ehelich erzeugter Kindern vnd ab intestato hinderlaßener nechster Erben, inventirt, durch den hinterbliebenen Wittwer (geäugt und gezeigt) Actum im fernerm Gegenwarth des Ehrengeachten Mr Philipp Heinrich Webers, Schuhmachers vnd burgers alhier, des Wittwers döchterleins erster Ehe verordneten Curatoris, mitwochs den 19.ten 9.bris 1695.

In einer alhie in der Statt Straßburg vff dem Wollplatz ohnfern d. Newenbruck gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft gehörig. behaußung, ist befunden word. wie volgt.
Ane Höltzen: v. Schreinerwerck, In der Soldten Kammer, In der Kammer B, In der Wohnstuben, In der Stub Cammer, Inn der Küchen, Im Hoff
Ergäntzung des Wittibers unveränderten Guths. Vermög eines über Eingangs gemelter beeder Eheleuth inn den Ehestand Zusammengebrachter Nahrung durch weÿl. Hn Benedictum Großen den Notm. seel. in Anno 1687. vergriffenen vnd durch H Johann Peter Kolben Notm. außgefertigten Inventarÿ
Abzug dießes Inventarÿ, Des Wittibers unverändert Vermög. Sa. haußraths 48, Sa. leeren vaß 14 ß, Sa. Werckzeug Zum Schreiner handwerck gehörig 8, Sa. Silber Geschmeids 17, Sa. Guldener Ring 3, Sa. baarschafft 10, Sa. Schulden 79, Sa. Ergäntzung 526. Summa summarum 696. lb – Schuld. 661 lb, Nach solchem abzug 34 lb
Der Erben Unverändert nahrung, Sa. haußraths 74, Sa. lerer Vaß 6 ß, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener Ring 13, Sa. baarschafft 9, Sa. Eigenthum an einer behaußung 10, Sa. Gülten 29, Sa. Schuld 25, Sa. der Ergäntzung 104, Summa summarum 282 lb
Das Theilbar Guth, Sa. haußraths 46, Sa. früchten 12, Sa. Werckzeugs, holtzes vnd dielen Zum Schreiner handwerckh gehörig 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldenen Rings 12 ß, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 275, Sa. Schulden 12, Summa summarum 388 lb – Passiva 660 lb, Übertreffen also die Schulden (…) das Theilbahre Vermögen vmb 271 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 681 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen vnd verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auf Mittwoch den 14. tag deß Monats August Anno 1686, Benedictus Groß, Notarius
(E.) Eigenthumb ane einer Behausung. Item hauß höfflin (…) gelegen zu Buxweiler
(T.) Item ein Vorder: vnd ein hinderhauß mit ihren hoffstätten, höfflein vnd Stallung auch allen andern begriffen, weithen, Rechten, Zugehörd. vndt gerechtigkeiten, geleg. alhier Zu Straßburg ohnfern der Newen Brucken, beim Rooßbad, Zum Dorffmann genandt, einseith neben Jr Jacob Christoph Böcklin von Böcklinsaw, anderseith neben Paul Senger et Consorten, hinden auff das Rooßengäßlein stoßend, So über hernach geschriebener beschwerd.freÿ, ledig vnd eig. vnd durch die geschworne Werckmeistere alhier æstimirt vnd angeschlagen per 575. lb, davon gehet Jährlich dem Mehrern Hospital alhier vff weÿhenachten à 4. pro Cento Zu Zinß 12. lb d. thut in Capital gerechnet 300 lb d, Restirt also annoch wegen obig. behausung auß Zuwerffen 275 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamenten Kauffbrieff mit der Stadt Straßburg anhangendem Kleinerem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret. datirt den 25. 8.bris 1687. mit N° 1 signirt. Dabeÿ noch verschiedene andere alte teutsch vnd lateinische Pergamentene brieff, sampt allerhandt schrifftlichem bericht gebunden, auch mit N° 1 notirt.

Jean Georges Fritschmann se remarie en 1693 avec Susanne Bilger, fille de l’aubergiste à la Carpe Bridée : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1693, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – H Joh: Georg Fritschmanns Schreiners, vnd Jfr Susannæ Bilgerin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 25 n° 2)
1693. Heute Mittwochs den 22. Aprilis st. n. 1693 seind nach Zweÿmahliger ausruffung in der Pfarrkirchen Zu St. Niclaus alhier in Straßburg copulieret worden Hannß Georg Fritschmann, der Schreiner und burger allhier und Jfr. Susanna, weÿl. H Lorentz Bilgerß geweßenen Würths Zum Gertenfisch alhir eheliche Tochter, [unterzeichnet] Hans Jerg fritschman Als hoch Zeiter, Susanna bilgerin Als hochzeiterin (i 26)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Ceux du mari s’élèvent à 73 livres (actif 1 019 livres, passif 945 livres), ceux de la femme à 1 462 livres.

1693 (14.7.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 18) f° 19
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. haab, Nahrung und Güttere, so der Ehrengeachte Meister hannß Georg Fritschmann, der Schreiner vnd die Ehren: undt tugendsahme Fraw Susanna Fritschmännin gebohrne Bilgerin, beede Eheleüth undt Burgere alhier Zu Straßburg einand. für unverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrung der Ursach halben, damit mann sich künfftiger Zeit der Ergäntzung halben darnach Zu reguliren haben möchte (…) Actum in fernerem Beÿsein deß Ehrenhafften Meister Hannß Daniel Gÿßbrechts Schreiners, deß Manns Kinder Zweÿter Ehe geschwornen Vogts und H. Johann Lobsteins Küffers und Weinhändlers, Burgers alhier, alß der Frawen noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, Dienstags den 14.ten Julÿ Anno 1693.

In einer alhier Zu Straßburg beim Wollhauß, neben dem Rooßbaad gelegener vnd in dieße Nahrung Gehöriger Behaußung, Befunden worden wie Volgt
In einer Cammer im hind.hauß
Deß Manns Kinder Erst: vnd Zweÿter Ehe Pfetter: Giettel und geschenckt gelt. Annæ Mariæ dem Döchterlein Erster Ehe gehörig, Johann Georgen dem Söhnlein zweÿter Ehe Zuständig, Johann Heinrichen gebührendt, Annæ Margarethæ Zuständig
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (M.) Item ein Vorder: vnd ein hinderhauß mit ihren hoffstätten, höfflein vnd Stallung, auch allen andern begriffen weiten, Rechten, Zugehörden vndt gerechtigkeiten, Gelegen alhier Zu Straßburg, ohnfern der Newen Brucken, beim Rooßbaad, Zum Dorffmann Genandt, einseith neben Junckher Philipp Christoph Böcklin von Böcklinsaw, anderseith neben Paul Sänger et Consorten, hinden auff das Rooßengäßlein stoßend, davon gehet Jährlich auff weÿhenachten 12. lb d. Zinnß dem Mehrern Hospital alhier, Lößig in hauptgut mit 300 lb d, sonst Ledig eigen, welche behaußung Aber deß Orths nicht Zu æstimiren, sondern im fall solche stehend dießer Ehe verkaufft werden solte, dem Kauffschilling nach Zuergänzen verabschiedet worden. Darüber besagt i. Teutscher perg: Kbr. mit d. St. St. anh. Cancelleÿ Contract Insigel verw. datirt den 25. 8.br. aô 1687. Dabeÿ noch verschiedene andere alte teutsch v. lateinische perg: brieff, sampt allerhand schrifftlichem bericht zusammen gebunden, vnd mit altem N° 1 notirt auch für dießes mahl wid. dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Manns unveränderte Nahrung. Sa. haußraths 270, Sa. werckzeugs, holtz, dielen v gemachter Arbeit Zum Schreiner handwerck gehörig 197, Sa. Frucht 52, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 101, Sa. Guldener Ring 11, Sa. baarschafft 183, Sa. Eÿgenthum an einer behausung o, Sa. der Schuld 221, Summa summarum 1019 lb – Schulden 945, Conferendo 73 lb
Wÿdumb, Welchen der Mann von Weÿl. Frawen Anna Maria Fritschmännin Gebohrner Weberin seiner Ersten haußfr. seelig ad dies vitæ Zugenüeßen hat, vermög des über erstgedachter Frawen Annæ Mariæ Fritschmännin Gebohrner Weberin seel. Verlaßenschafft durch H. Stephanum Cornelium Saltzman den Notarium in aô 1686. auffgerichteten Inventarÿ (…) 636 lb
Volgt auch eine Verzeichnus der Jenigen Nahrung, welche Johann Georg, Johann Heinrichen und Annæ Margarethæ den Fitschmännen, Als deß Manns in Zweÿter Ehe mit weÿl. Frawen Anna Margaretha Feürlinin seel; ehelich erzeugten Kindern eigenthümlich zuständig (…) Eÿgenthumb ane einer Behausung (…) gelegen in dem Stättlein Buchßweiler
Endlichen wird auch der Frawen in die Ehe gebracht unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 251, Sa. Frucht 23, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 63, Sa. Guldener Ring 34, Sa. baarschafft 984, Sa. Schulden 121, Summa summarum 1476 lb – Schulden 14 lb, der Fr. unverändert Vermög. 1462 lb

Compte que rend le menuisier Jean Daniel Gissbrecht de la gestion des biens appartenant à Jean Henri Fritschmann, issu du mariage avec Anne Marguerite Feurlin
1715, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 75) n° 19
Rechnung Mein Johann Daniel Gÿßbrechts des Schreiners und burgers allhier zu Straßburg, inhaltend alles dasjenige was ich wegen Johann Heinrich Fritschmann des ledigen Schreiners, Meister Johann Georg Fritschmanns, des Schreiners und burgers allhier mit Weÿl. frauen Anna Margaretha Fritschmännin gebohrner Feurlinin seiner haußfrauen seeligen erzeugten Sohns, vom 10.ten Novembris Anno 1692. als da ich dieße Vogteÿ hetretten, biß Michaelos den 10.ten Octobris 1718 eingenommen und außgegeben auch sonsten Verrichtet habe. Erste Rechnung dieser Vogteÿ.

Jean Georges Fritschmann meurt en 1720 en délaissant cinq enfants de ses trois mariages. Les experts estiment la maison à 1 250 livres. La masse propre à la veuve est de 1 642 livres, celle propre aux héritiers de 550 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 451 livres, le passif à 1 376 livres. Le défunt a tenu une liste des travaux qu’il a fait faire. Marie Madeleine Fritschmann rachète de ses frères et sœurs leurs parts de maison.

1720 (2. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 48) n° 27
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. der Ehren vorgeachte H. Johann Georg Fritschmann geweßener Schreiner und burger alhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 20.t Aug. Jüngsthin aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) durch die Ehren: und tugendreiche Fraw Susannaù Fritschmännin gebohrne Bilgerin die hinterbliebene wittib mit assistentz deß wohl Ehrenvest fürsichtig u wohlweißen Hn Johann Brewen E. E. Großen Raths alten beÿsitzers u burgers alhier Ihres geschwornen Curatoris (geäugt und gezeigt) – Actum Straßb: d. 2. Septembris Anno 1720.
Der abgeleibte seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1° die Ehren und tugendsame Fr: Annam Mariam Sängerin gebohrne Fritschmännin, Hn Johann Philipp Sängers Wbecken und burgers allhier Eheliche haußfrau mit beÿstand deßelben Ihres Haußwürths, 2° den Ehrengeachten Mr Johann Heinrich Fritschmann, Schreinern u. burgern alhie so Vor sich selbsten dem geschäfft in person beÿgewohnt, 3. die Ehren und tugendsame Fr: Mariam Magdalenam Ehrmännin gebohrne Fritschmännin, Hn Johann Daniel Ehrmann Peruquenmachers u. burgers alhier Ehel. haußfr. mit assistentz deßelben Ihres Ehemanns, 4° die Ehren und tugendsame Fr: Mariam Salome Kopstattin gebohrne Fritschmännin, deß Ehrengeachten Hn Carl Kopstatts Peruquenmachers Von Mannheim Ehel. haußfr. mit assistentz deßelben Ihres Haußwürths, wie auch weilen dieselbe allhier nicht mehr Verburgert deß Ehren Vest u. weißen Hn Johann Peter Gambßen, fischers u. E: E: Kleinen Raths beÿsitzers, als welcher auß wohlgedachtem Raths Mittel hierzu in specie deputirt, 5° die Ehren und tugendreiche Fr: Susannam gebohrne Fritschmännin, deß Ehrengeachten Mr Zachariæ Fritzen, Schreiners und Burgern allhier Ehel. Haußfr: mit beÿstand deßelben Ihres Ehewürths, Alßo alle fünff des Verstorbenen seel. in Erster, Zweÿter und dritter Ehe ehelich erzeugtr Sohn vnd döchter und Zugleichen portionen und antheilern ab intestato nachgelaßene rechtmäsige Erben

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Sandplatz gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden wie Volgt
Höltzen und Schreinwerck. auff der obern Bühn, Im Kleinen Stübel, Im Hindern Stock In der Cammer, In der Cammer A, In deß officiers Stub, In deß Knechts Cammer, In der gesellen Cammer, Im Vordern Haußöhren, In der Magd Cammer, In der Cammer undern Stub, Im Gewölb
Eÿgenthumb an einer Behaußung (E.) Item Ein Vorder: vnd Ein Hinderhauß mit ihren Hoffstätten, Höfflein undt Stallung, auch Allen andern dero begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, Gelegen alhier Zu Straßburg, ohnfern der Newen Brucken, beim Rooßbaad, Zum Dorffmann Genandt, einseith neben Junckher Philipp Christoph Böcklin von Böcklinsaw, anderseith neben Meister Christoph Senckeißen dem Schneid. hinden auff das Rooßengäßlein stoßend, davon gehet Jährlich auff Weÿhenachten 8. lb d. Zinnß dem Mehren Hospital alhier, Lößig in hg. mit 200 lb d, sonst Ledig eig. und ist dieße behaußung durch der Statt Straßburg geschworne werckleuth vermög einer apud conceptum befindlicher Schrifftlicher Abschatzung vom 28. 7.bris 1720. über vorgemelte beschwerdt hiehero angeschlagen umb 1050 lb. Darüber besagt ein Teutscher perg: Kbr. mit d. St. St. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret, datirt den 25. 8.br. Anno 1687. Dabeÿ noch verschiedene andere alte teutsch vnd lateinische pergamentene brieff, sampt allerhand schrifftlichem bericht Zusammen gebunden, vnd mit altem N° 1 notirt auch für dießes mahl wider dabeÿ gelaßen.
Eÿgenthumb an einem Gädlein (T.) Item ein Laden (…)
Wÿdumb, Welchen der Verstorbene biß in sein absterben genoßen. Vermög Inventary über Weÿl. Frawen Annæ Mariæ Fritschmännin Gebohrner Weberin, deß Abgeleibten seel. Ersten haußfr. seel. Verlaßenschafft durch H. Stephanum Cornelium Saltzman den Notarium in aô 1686. auffgericht (…) 200 lb
Ergäntzung des Wittib unveränderten Guths, Innhalt Inventarÿ Zugebrachter Nahrung de Anno 1695.
Norma hujus inventarÿ. Copia der Eheberedung, perge in prot. C. fol. 1213.a – Copia Extractus Auß des Verstorbenen mit seiner hinderlaßenen Wittib den 4.ten Januarÿ Anno 1694. auffgerichteten Testamento reciproco, pge. in Prot: C fol: 1220. – Copia Codicilli, perge in Protoc. C. fol. 1217.b
Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 62, Sa. Leerer Vaß 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 77, Sa. Guldener Ring 18, Sa. baarschafft 31, Sa Schulden 75, Sa. Erg. (1390, abz. 19, Remanet) 1370. Summa summarum 1642 lb
Solchemnach wird auch der Erben unveränderte Nahrung beschieben, Sa. haußraths 79, Sa. Leerer Vaß 1, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 64, Sa. Guldener Ring 13, Sa. baarschafft 12, Sa. Eÿgenthum an einer behaußung 1050, Sa. Gülthen von liegenden güthern 23, Sa. Ergäntzung (857, Abzug 1277, Vbetrifft umb 419), Summa summarum 1245 lb – Schulden 694 lb, der Erben unveränderte Nahrung 550 lb
Endlichen wird auch das Gemein verändert vnd theilbahr Gutt beschrieben, Sa. haußraths 77, Sa. Werckzeugs, holtz, diehlen undg gemachter arbeit Zum Schreiner Handwerck gehörig 204, Sa. Wein v. Lehrer Vaß 30, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 76, Sa. Baarschafft 9, Sa. Gülth von liegenden güttern 29, Sa. Eigenthumb an einem Gädlein 30, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Schulden 493, Summa summarum 1451 lb – Schulden 1376, Detrahendo 74 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2235 lb
– Reparationen In dem Fritschmännischen Hauß, Zum Dorffmann genannt, wehrender Ehe beschehen. Im Vordernstock
Erstlichen in der Untern Wohnstube Ein neue eingefaste decket
Item Zwo Eychene fenster Rahmen, mit zweÿ flügeln und Spiegelgaß
Item im Mittlern stock in der Stuben und in der Cammer dreÿ Creutzstöck, jeder mit 4 flügen und Spiegelgaß
ferner in der Cammer ein Creutzstöck mit 6. flügelen
Item in ermelter Cammer ein eingefaßte thür mit einer Verkleÿdung
Item in der Stuben ein dergleichen Thur mit einem fenster
Item in dießer Stuben ein Eÿßerner Neuer Offen: mit Kohlen, einem außgethanen Steinern gewandt, vnd mit geträhten Méaéßenen fuß darunter
Item einen Neuen fuß boden darinnen
Item im dritten Stockwerck in der Stuben dreÿ Creutz Stöck
Item Ein eingefaßte Thür, mit zweÿen Flügeln oben mit Spiegelglaß
Item einen Neuen fußboden
Item in deß Officiers Stub ein Winckelhacken getäffelt
Item die fenster Vergrößert, und Neue darin gemacht
Item ins Knecht Cammer Ein unterschhlag und am Camin ein eÿßeren Stang von 20. lb. schwer gemacht
Im Fordern Hauß – Item in ermeltem Obernstock, auß der druckereÿ Stub und Cammer gemacht
Item einen gang davon mit geträhten Stollen
Item ein Riegelwandt durch das gantze hauß hienauff neu auffgeführet
Item darauff einen gantzen Neuen tag Stuhl gesetzet
Im Hindernhauß. – Item in der Stuben einen Neuen fuß boden gelegt
Item Ringsherumb die Stub getäffelt
Item das Fenster Vergrößert, und einen neien Creutzstock darinn gesetzt
Item einen Neuen offen mit einem Steinernen gewendt
Item ein Neu eingefaßte Stubthür
Item das haußöhren vergrößgert und einen garter von 15. ladten
Item in ermelelten hauß Öhren und in d. Stub Camme New fenster gemacht
Item daselbsten eine Neue Cammer gemacht mit diehlen
Item in H Heußen keller, einen unterschlag
Item den Canal in S. h. Secret mit Ihr Gnd. Herrn Von Böckel völlig neu auffgebauen mit einem Gewölb
Die Hudt – Item die hudt ist gantz New auffgebauen mit neuen Pfosten, und Stackensteinen, posimenten auß der Steingrub darzuführen laßen
Item die Landvest völlig Umgemacht
Item das Gärthel mit der diehlenwaldn und Pfosten Zum Zweÿtenmahl
Item Unterm Garthenhäußel einen Neuen Rost, mit Eÿchnen Pfählen versehen und getäffelt
Abschatzung: d. 28.t 7.bris Anô 1720. Weÿland deß Ehrenhafften Vnd bescheidenen H hanß görg Fritschman, Seel: hinder Laßenen frau: Witib Vnd Erben ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, beÿ der Neÿen brucken, an dem Sandt blatz gelegen, Ein Seith neben Christoff Zenckeißen schneiter, Ander seith Neben H: Wolffgang Böckell: hinden Auff: H: Ohll Man stoßend Welche behaußung: hoffstatt, Stuben, Kammern, Küchen, haußöhren, werckstatt darneben, Ein stübel, Mitten in der wand, Einen offen, Ein Kemmerlin, Ein hinder gebeÿ Mit Stub Kammer, Küchen, hauß Ehren, gebälckter Keller, Nebens gebeÿ, Mit Kammern, Nebens gang Mit steinern blatten belegt, höffell, vnd Ein gemeiner brunnen, vndt dem gang, Ein Küchell, It: Vor dem hauß, Ein tühlen hütten, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith, wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckhleüthen in der besichtigung befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Nach an geschlagen wirt, Vor, undt umb Zweÿ Tausendt: Fünff Hundert Gulten
der Ander begriff ist Auch Alhier in der Statt Straßburg aù spann bett gelegen (…)
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworenen Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
– Vergleich und Übergaab der Behaußung und Gädlein.
Die in dieße Verlaßenschafft gehörig geweßte Behausung sampt dem dabeÿ liegenden gärthlein und diehlenhütt mit allen deren rechten, begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten, woe solche in dem verfertigten Inv. weitläuffig beschrieben ist Fr. Mariæ Magdalenæ Ehrmännin der einer dochter von Ihren vier Schwesteren und Miterbinnen Käufflichen cedirt und überlaßen auch von Ihro für sich und Ihren Erben angenommen worden pro 1500. lb
Das ane dem Spahnbett gelegenen gädlein aber hat Sie Fr Ehrenmännin auch angenommen und jeder Schwester Vor Ihro tertz wegen bezahl 83 fl. 3 ß 4 d daß also der gantze cession schilling des Gädleins Zusetehen kommen auff 125. lb

Les enfants Fritschmann cèdent la maison à leur mère et belle-mère respective Susanne Bilger.

1722 (24.12.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 725-v
(1730) weÿl. Johann Georg Fritschmann gewesten Schreiners Kinder und Erben nahmentlich Anna Maria hannß Philipp Senger des Weißbecken Ehefrau, Mehr Johann Heinrich Fritschmann der Schreiner, Ferner Maria Magdalena Joh. Daniel Ehrenmann Peruquenmachers Ehefrau, weither ged. Ehrenmann als mandatarius Maria Salome Kopstattin Johann Carl Kopstatt des Peruquenmachers zu Mannheim Ehefrauen, So dann Susanna Johann Zacharias Fritzen des Schreiners allhier Ehefrau
ihrer respective Stieff: und leiblichen Mutter Fr. Susannæ geb. Bilgerin vorged. Johann Georg Fritschmann wittib beÿständlich ihres Curatoris Hn Johann Breuen Not. Publ. und E.E. großen Raths beÿsitzers
Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt sambt allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ohnfern der Neuen bruck beÿ dem Roßbad ahm Sandplatz, einseit neben Jr: Wolff Sigmund Böckel von Böcklinßau anderseit neben der Senckeiserischer wittib und Erben zum theil teils Fr. Kipßin der Wittib theils neben Uhlmann dem Paßmentirer hinten auff ein Allmend: gäßel stoßend gelegen, zum Dorffmann genannt,
So dann Eine ahm waßer auff dem Sandplatz gegen erstbeschriebener behausung über gelegene dielenhütt gärttlein und darinn befindliches garttenhauß cum appertinentÿs, von welcher dielenhütt und gartten hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 10 ß ane bodenzinß zu reichen pflichitg – um 200 pfund verhafftet, geschehen um 1530 pfund

Susanne Bilger meurt en 1729 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 1 150 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 905 livres, le passif à 488 livres

1729 (5.5.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 16) n° 407
Inventarium über Weÿl. Frawen Susannæ geb. Bilgerin auch Weÿl. Hn Johann Georg Fritschmanns geweß. Schreiners u. b. alh. nun beed. seel. nachgelaß. Wittib Verlaßensch. auffgerichtet Anno 1729 – nach Ihren d 11.te, hujus aus dießer welt genommenen tödl. ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Verstorb. Fr. seel. mit ihrem haußwürth auch seel. ehelich erzeugten döchter (…) So gescheh. in Straßb. Mittwoch d. 5.ten Maÿ Anno 1729.
Die abgeleibte Fr. Seel. hat ab intestato Zu Erb. Verlaß. 1. 1° die Ehren und Tugendreiche Fraw Mariam Magdalenam gebohrne Fritschmännin deß Ehren und wohl vorgeacht. H. Joh: Daniel Ehrmanns, Peruquenmachers u. b alhier Ehefraw, welche mit beÿst. deßelb. dem gesch. abgewarttet, 2.do die Ehren u. Tugendsahme Fr. Mariam Salome geb. Fritschmännin, de Ehren Vorgeachten Hn Carl Kopstatts Auch Peruquenmachers u. b. Zu Mannheim Ehel. Haußfr. welche weil Sie alhier ô verburgert, mit assistentz deß Ehrenvest u. weiß. H. Joh: Conrad Simon Peruquenmachers u. E: E: Kl. Raths beÿsitzers, auch b. alh. als aus wohlged. Raths Mittel hierzu in spê depp: Hn Zugege, 3.tio die Ehren und tugendreiche Fr: Susannam geb. Fritschmännin, deß Ehrengeacht: und achtbahren Hn Zachariæ Fritzen, Schreiners u. B. alh. Eheweib, welche mit beÿstand ihres haußürths præsens

In hernach beschriebener behausung ane dem Rooßbad ligend. behaußung befund. word. wie Volgt
Eigenthb an einer Behaußung. Erstl. i. Vorder u. i hinderhauß mit all deß.hoffstetten, hofflein u. Stallung auch all andern deßen begriffen, weith. Recht. Zugehörd. u. gerechtigkeit. geleg. alh. Zu Straßb. ohnfern der Newen Bruck. nahe dem Rooßbaad, Zum Dorffmann genandt, 1.s. neben J. Philipp Christoph Böcklin v. Böcklinsaw, 2.s. neb. Christoph Senckeiß. dem Schneid. hind. auff das Rooß. gäßl. stoß.d, so freÿ ledig und eigen, Vermög i. ad Conc. gel. Von alh. Werckmeistern eigh. subscrib ! d. 23.ten hujus datirter schrifftl. absch. æstim. pro 1150. Darüber sagt ein teutsch. perg: Kbr. in alh. C. C. stb gef. m. deren anh. Ins verw. datirt den 25. 8.br. A° 1687. fener i. gdl. dicto loco gef. u. bes. ins. corrob. perg. br. de dato 24. Xbr 1722 sub Lit. A Wobeÿ noch u.sch. alte teutsche u. lateinische perg. br. s. allerhand schrifftl. bericht Zus. gebund. mit altem N° 1 notirt dabeÿ gel.
It. i. Lad. an der Herberg Zum Spanbeth (…)
Wÿdumb, Welchen Valentin Fißoner* der Würth Zum silbernen Löwel und Schirmer alhier von Weÿl. Fr Johanna geb. Bilgerin seiner haußfr. seel. Zeit lebens Zugenieß.
Wÿdumb, Welchen die Verstorbene Fr. seel dh. ihrem auch seel. haußwürt Zeit Lebens Genoßen
Norma hujus inventarÿ. Sa. haußraths 145, Sa. Wein u. Vaß 18, Sa. Werckzeugs 122, Sa. Silbers 46, Sa. gold. o. 29, Sa. baarschafft 190, Sa Eygthmb an i. behauß. 1150, Sa. Pfzhg. 75, Sa. Activorum 124. Summa summarum 1905 lb – Schulden 488, Nach solchem abzug 1414 lb
Stall summ 1595 lb
– Abschatzung d. 23. May aô 1729. Auff begehren Weÿland der Viel Ehr und Tugendsamen Frau Susanna fritschmännin gebohrne bilgerin seel: hinterlaßene Erben, ist eine behausung allier in der Statt Straßburg beÿ dem Wollhauß gelegen, einseits Neben H von Boeckeln anderseits Neben H Gottfriedt Bußman schneider, hind. auf Heinrich ulman pasmentier stoßend, welche behausung hinder gebäu, Nebens gang Stuben officier Stube, Cammer, Küchen, hauß Ehren, schreiner Werckstatt, Nebens Stübel Mit einem offen, Esch Kasten, gebälckter Keller, höffel und gemeiner brunnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Zweÿ Tausendt und dreÿ hundert gulden
der 2.te begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg am Spanbett (…)
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
– Vergleich und Übergaab der in dieße Verlaß.sch. gehörig. Behauß. und gädlein
Die in dieße Verl. gehörige, an dem rooßbad ligende Sterb behauß. sampt dem dabeÿ ligend. gärttlein u. diehlenhütt mit allen dero rechten, Zugehörd. u. gerechtigkeiten && wie solche in auffgerichtem Inv° weitläuffig beschriben ist Fr. Mariæ Magd. Ehremännin der einen dochter Mit Erbin Von übrigen Mit Erben mit Consens dero Ehe Vögten cedirt und überlaßen worden für freÿ ledig eigen, auß dem bod. und hütten Zinnß als welchen Sie auch Zu Zahlen angenommen, umb 3000 gulden & XV. batzen (…) So geschehen Straßb. d. 22.ten Junÿ 1729.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que l’héritière non bourgeoise, Marie Anne Salomé femme de Charles Kopstatt de Mannheim, doit régler le droit de détraction. La défunte réglait ses contributions sur un pied de 4 000 florins alors que la succession s’élève à 3 200 florins.
1729, Livres de la Taille (VII 1176) f° 297
Zimmerleuth F, N. 4847. – Weÿland Fr. Susannæ gebohrner Bilgerin auch weÿl. H Johann Georg Fritschmann gewesenen Schreiners vnd Burger alhier hinderbliebener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang.
Concl. Fin. Inv: ist Fol. 55. – 1595 lb 16 ß 7 d
die machen 3200 fl. Verstallte hingegen 4000 fl.
Extat das Stallgeltt pro 1729. mit 6 lb
Gebott 2 ß
Abhandlung 1 lb 17 ß 6 s – Summa 7 lb 19 ß 6 d
Abzug. Fr. Maria Salome gebohrne Fritschmännin H. Carl Kopstatt des Peruckenmachers Zu Mannheim Ehel. haußfraw soll Von deren Müttel. Erbe der 361 lb 8 ß 8 d den Abzug erlegen mit 36 lb 2 ß 18 d
dt. 30. Aug. 1729.

Les experts estiment la maison à 2 250 livres dans l’inventaire dressé en 1753 après la mort du courtier Jean Daniel Ehrmann et à 2 500 livres dans l’inventaire dressé en 1769 après la mort de Marie Madeleine Fritschmann.
Le joaillier Jean Frédéric Ehrmann rachète de ses frères et sœurs les parts de la maison

1770 (23.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 728) Joint au n° 743 du 7 oct. 1769
Verkauff und Erlöß auch Abrechnung Register über Weÿl. Frauen Mariä Magdalenæ Ehrmännin geb. Fritschmännin auch Weÿl. des H. Joh: Daniel Ehrmanns geweßenen geschwornen Wechßel Courtier und Vornehmen burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener frau Wittib nun auch seel. Verlassenschafft
(f° 9-v) Cession der auf dem Sandplatz beÿ der Neuen bruck gelegenen Sterbbehaußung
Erschienen vor mit unterschriebenen und Zu Weÿland Frauen Mariä Magdalenæ Ehrmännin geb. Fritschmännin seel. Verlaßenschafft Inventur und Abtheilung in specie requirirtem Notario Frau Susanna Magdalena Emmerichin geb. Ehrmännin Weÿl. Hn Joh: Michael Emmerichs geweßenen Courtier und burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßene frau Wittib, beÿständlich H. Joh: Gottfried Petzels, handels M. und burgers allhier Ihres Tochter Manns, Herr Benedict Philipp Kast, Handelsmann und Burger allhier als Vogt Weÿl. Hn Joh: Daniel Ehrmanns, geweßenen Churpfältzischen Hoff Jubelierers und burgers allhier seel. nachgelaßener 4. Kinder erster Ehe, Herr Joh: Daniel Ehrmann auch Handelsmann und burger allhier, als gedachten Hn Ehrmanns 3. Kinder 2.ter Ehe geschworner H Vogt Frau Maria Salome Emmerichin geb. Imlinin unter assistentz Ihres Ehe Hn Hn Johann Gottfried Emmerich, Handelßmanns und burgers allhier und H Philipp Jacob Imlin Med: Dr. et Pract. als Vogt weÿl. frauen Mariä Salome Imlinin geb. Ehrmännin seel. 3. Jüngern Kindern die haben
in Gegenseÿn Hn. Joh: Friderich Ehrmanns, Churpfältzischen Hoff Jubelierers und Burgers allhier Zu Straßburg, Ihres respê Bruders und Oncle auch doßortigen Mit Erben Ehefrauen frauen Catharina Salome Ehrmännin geb. Hummelin, als von Ihrem Ehemann (…) bevollmächtiget (cedirt überlaßen und abgetretten)
benantlich eine Behaußung bestehend in Vorder und hinterhauß, hoff, hoffstatt und bronnen mit allen deren Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem sogenandten Sandplatz beÿ der Neuen bruck, eins. neben dem hochadelich. Böckelisch modo Berstettischen hauß, anders. neben H. Joh: Daniel Senckeißen dem Schneider hinten Zum theil auf N. Kipß den Paßmentierer, Zum theil auf Ullmännische Erben und Zum theil auf das Flachßgäßel wohin dieße behaußung einen Außgang hat, stoßend gegen männigl. freÿ leedig eigen.- Ist dennoch die Cession und Übergaab solcher behausung Zugangen u& beschehen wie Ihme solche laut E E. Großen Raths Versteigerungs Confirmation vom 9.ten Ap. 1770 adjudicirt worden nemlich per 4500 pfund – Straßburg d. 12. Maÿ 1770.
(enregistré à la Chambre des Contrats, vol. 644, 23 mai 1770

Jean Frédéric Ehrmann s’inscrit pour passer son chef d’œuvre. Il devra attendre que le candidat précédent ait terminé le sien
1747, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 104)
(f° 25-v) Sambstags den 1.ten Julÿ 1747. – Joh: Friderich Ehrmann der leedige Gold Arbeiter Hn Joh: Daniel Ehrmanns geweßenen Wechsel Courtier und Burgers allhier ehel. Sohn stehet Vor und bittet man Wolle Ihme erlauben das Meisterstück Zu Verfertigen. Erkandt Wird Ihme in seinem begehren Willfahret doch mit dießem Anhang daß Er solang Warten muß biß derjenige so würcklich am Meisterstück ist, solches verfertiget haben wirdt. Vor das Kauffgericht 1. lb 5 ß d vnd vor die Auffnahm des Meisterstücks 2. lb d.

Jean Frédéric Ehrmann épouse Catherine Salomé Hummel, fille du fabricant de pâtés Jean Balthasar Hummel : contrat de mariage, célébration
1747 (4.12.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 15
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest Wohlvorgeacht: und Kunsterfahrenen H : Johann Friderich Ehrmann, dem Ledigen Goldarbeiter, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren H. Johann Daniel Ehrmanns der Statt Straßburg geschwornen Wechßel Courtiers und vornehmen Burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehltem Hn Sohn als dem H. Bräutigam ane einem
So dann der Viel Ehren vnd Hoch Tugendgezierten Jgfr. Catharinä Salome Hummelin, des wohl Ehrenvest und Großachtbahren H. Johann Balthasar Hummels Pastetenbecken und ebenmäßig Vornehmen burgers allhier ehelich erziehlter Jgfr tochter als des Jgfr. Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Montag den 4.ten Decembris A° 1747.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 287-v n° 1028)
Anno 1748. Mittw. d. 28. febr. seind nach ordentl. Proclamation ehl. copulirt u. eingesegnet worden H Johann Friderich Ehrmann der led. Goldarbeiter u. burg. allhier Hn Johann Daniel Ehrmanns wolbestelten wechsel Courtier beÿ einem Löbl. Corps des Marchands u. vornehmen burg. allhier ehel. Sohn, und J. Catharina Salome H Johann Balthasar Hummel Pastetenbecks u. vornehme Burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Ehrman als Hochzeittern Catharina Salome Hummelin als Hochzeiterin (i 293)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison des parents de l’épouse place du Temple-Neuf. Les apports du mari s’élèvent à 1 549 livres, ceux de la femme à 1 856 livres.
1748 (5.4.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) f° 19
Inventarium über des Ehrenvest Wohlvorgeacht und Kunsterfahrenen Hn: Joh: Friedrich Ehrmanns Vornehmen Goldarbeiters und der Viel Ehren und tugendreichen frauen Catharinæ Salome Ehrmännin geb. Hummelin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1748 – und sich Vermög der Zwischen Ihnen beeden Eheleuthen Vor mir unterschriebenen Notario auffgerichtetn Heuraths Verschreibung Vor ohnverändert Vorbehalten haben (…) So beschehen in Straßburg in fernerer Gegenwarth der wohl Ehrenvest und Großachtbahren H Joh: Daniel Ehrmann der Statt Straßburg geschwornen Wechsencourtier und Fraun Maria Magdalena Ehrmännin geb. Fritschmännin beeder Eheleuthe des Eheherrn geleibter Eltern wie H. Joh: Balthasar Hummels Pastetenbecks und Frauen Maria Salome geb. Frießin beeder Eheleuthe der Ehefrauen herzgeliebter Eltern aller burgere allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 5.ten Aprilis Anno 1748.

In einer allhier Zu Straßburg ane d. Neuen Kirch gelegener d. Ehefrauen H. Vatter eigenthümlich zuständiger Behaußung befunden worden Wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Hn in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 90, Sa. Werckzeugs Zur Goldarbeiter Profession 72, Sa. Silbers 16, Sa. Golden Geschwmeids 98, Sa. baarschafft 1031, Summa summarum 1369 – Hierzu ist ferner beÿzurechnen der Ihnen gebührende halbe theil ane denen Haussteuren 239, Des Hn völligen in die Ehe gebrachte Vermögen in vero pretio 1549 lb
Dießemnach Werden auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 228, Sa. Silbers 59, Sa. goldener Rinng 258, Sa. baarschafft 1069, Summa summarum 1616 lb – Dazu kombt ferner die Ihre gebührende helffte ane denen Haussteuren 239, Der Frauen in die Ehe gebracht Guth den billichen werth nach 1856 lb

Catherine Salomé Hummel femme du joailler Jean Frédéric Ehrmann loue la maison au marchand Jean Daniel Braun. L’inventaire est dressé dans une maison Grand rue.
1770 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 236-v
Catharina Salome geb. Hummelin H. Johann Friedrich Ehrmann des Churpfältzischen hoff Jubelierers eheliebstin beÿständlich H. Johann Daniel Langheinrich
in gegensein H. Johann Daniel Braun des handelsmanns
verlehnt, eine alhier auf dem Sandplatz gelegene behausung nichts davon ausgenohmen als d. zweÿten und dritten stock im fall der verlehner solchen selbst oder seine kinder selbige bewohnen wollten, da soll als dann vor den haus zinß so viel abgehen als dießen 2. und 3. stock wird verlehnt geweßen seÿn, auf 9 nacheinander folgenden jahren anfengend auf innstehenden Johannis Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 170 pfund

Catherine Salomé Hummel, femme de Jean Frédéric Ehrmann joailler à la cour de l’électeur palatin à Mannheim, meurt en 1783 en délaissant deux enfants. La masse propre au veuf est de 8 902 livres, celle propre aux héritiers de 6 453 livres. L’actif de la communauté s’élève à 8 435 livres, le passif à 15 312 livres

1783 (12.6.), Not. Lung (6 E 41, 1524) f° 63
Inventarium über Weiland der Viel Ehr: und Tugendreichen Fraun Catharinä Salome Ehrmännin gebohrner Hummelin, des Wohl Ehrenvest und Vorgeachten H. Johann Friedrich Ehrmann hiesigen vornehmen Burgers zu Straßburg und ehemaligen Churpfältzichen Hof: Juwelierers zu Mannheim, gewesener Frau Eheliebstin nun seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1783. – nach ihrem den 20.ten Martii dieses laufenden 1783. Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen Verlaßen hat (…) So geschehen alhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 12.ten Junii Anno 1783.
Die Seelig Verstorbene hat ab intetato Zu Erben verlaßen 1. Frau Catharinam Salome Mannbergerin, gebohrner Ehrmännin, H. Johann Daniel Mannberger, des Handelsmanns und Burgers alhier Frau Eheliebste und 2° Herrn Ludwig Friedrich Ehrmann, ebenfalls Handelsmann und Burger hieselbst. Beede der Verstorbenen seel. mit Eingangs erwehntem ihrem hinterbliebenen Hn Wittiber ehelich erzeugte Fr. Tochter und H. Sohn, als ab intestato Zu Zweÿen gleichlingen Antheilern hinderlaßene Erben

In einer alhier Zu Straßburg ane der Langstraß gelegenen dißorts lehnungsweiße bewohnenden behausung befunden worden, wie folgt
Ergäntzung des hinterbliebeneen Hn Wittibers währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung des über beeder gewesener Ehepersonen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch nun weil. H. Not. Daniel Langheinrich A° 1748. auffgerichteten Inventarii
(f° 13) Copia der Eheberedung (…) So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Montag den 4.ten Decembris A° 1747. Johann Daniel Langheinrich, Notarius publicus juratus
(f° 16) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Herrn Wittibers unveränderten Vermögens, Ergäntzung (9052), Schuld 150, Detrahendo verblebt 8902 lb
Diesemnach wird auch der Erben unverändert Guth beschrieben, kleidung 73, Schuld 150, Ergäntzung p. ist pper Rest 6229, Summa summarum 6453 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbare Guth beschrieben, hausraths 155, Sa. Wein und leeren Faß 44, Sa. Silbers u. dergl. Geschm. 48, Sa. goldener Ring 160, Sa. baarschafft 48, Sa. Pfenningzinß hauptgüter (9850) und dem zinß à fünf pro Cento gerechnet in capital ertragen 7880, Sa. Schulden 99, Summa summarum 8435 lb – Schulden 15.312, theilbar passiv onus 6877 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 8509 lb, Stall Summa 8133 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 400 florins (200 livres) sur un total de 16 300 florins
1783, Livres de la Taille (VII 1180) f° 332
Steltz. F. N° 5673 – Weÿl. Fr: Catharinä Salome gebohrner Hummelin, H: Joh: Friderich Ehrmann des ehemaligen Chur Pfältzischen Hof: Juwelirers und Burgers alhier gewesener Ehefrauen Verlaßenschaft inventirt Herr Not. Lung.
Concl. fin. Invent: ist fol. 108.b deductis deducendis 8133. lb 12. ß 10 ½ 2 d die machen 16.300 fl. verstallte 15.900 fl. also Zu wenig 400 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 1 lb. 4. ß d – 9 lb 12 ß
und Sechs Jahr in simplo – 3 lb 12 ß
Ext: Stallgeld pro 1783 – 25 lb 4 d
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 15 lb 16 ß (Summa) 54. lb 6 d
Auf beschehenes Bitten Wurde derNachtrag auf 5 lb d moderirt, gehet demnach ab 8 lb 4 d, Restiret 46 lb 2 d
dt. 13. Augusti 1783.

Les deux enfants se partagent les biens de leur père Jean Frédéric Ehrmann après sa mort en 1801.
1801 (15 nivôse 9), Strasbourg 15 (2), Not. Lung n° 276
Abtheil: und Erörterung Weÿl. bgr Johann Friedrich Ehrmann gesewenen ehemaligen Churpfältzischen hof: Juwelirers zu Mannhein und nachherigen Inwohners allhier zu Straßburg Welche in seinem den 19 Nivose jüngst beschehenen Ableiben auf Ansuchen der bgrin Catharina Salome geb. bgrs Johann Daniel Mannberger Vaters taback: Fabricanten Ehegattin und des bgrs Ludwig Friedrich Ehrmann handelsmanns allhier als des verstorbenen hinterlassenen tochter und Sohns auch einziger Erben
in der Sterbbehausung ane dem Knoblauchgaß N° 1 gelegen
summa völligen vätterlichen Verlassenschafft 4475 lb
der Verstorbene hatte aber auch von seiner anno 1783 verstorbenen Ehegattin weÿl. bgrin Catharina Salome geb. Hummel lebtägig genoßen

Jean Frédéric Ehrmann vend la maison à Denis Louis Joseph Barbier de Sassigny, ancien ingénieur du roi à l’île de Grenade

1775 (3.6.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 252-v
Sr Jean Frédéric Ehrmann cy devant joualier à la cour palatine et bourgeois de la ville de Strasbourg
à M. Denys Louis Joseph Barbier de Sassignies, ancien ingénieur du roy à l’isle de la Grenade de l’Amérique demeurant en cette ville (signé) Barbier de Sassigny
une maison avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville derrière l’éveché près du Pont Neuf sur la place au Sable d’un côté les héritiers de feu M. de Berstett, d’autre le Sr Reibel cafetier, derrière en partie la maison du Sr Kips passementier en partie la maison des héritiers Ullmann et partie la ruelle dite Flachsgaëssel par où cette maison a une fausse porte – hérité en partie de ses parents partie cédé par ses cohéritiers, suivant cession reçue Langheinrich le 21 mai 1770 enregistré à la Chancellerie de la Chambre des Contrats le 23 dudit mois – avec fourneaux du rez de chaussée, du premier étage – moyennant 18.000 livres tournois

Denis Louis Joseph Barbier, ancien officier au régiment d’Alsace, meurt le 28 novembre 1787 en délaissant sa veuve Marie Catherine Petit Beaublanc. Son corps est inhumé dans le cimetière du couvent Sainte-Marguerite
Sépulture, Saint-Laurent (cath. p. 243)
Anno Domino 1787 die 28. Novembris obiit Dnus Ludovicus Josephus Dyonisius Barbié veteranus officialis Miliatris in legionis Alsaticæ, vulgo au Regiment d’Alsace, prius sacramentis pœnitentiæ, sacri viatici, et extremæ unctionis rité munitus, cujus corpus die subsequenti solito exequiarum ritu in Ecclesiam parochialem delatum, persolutis ibi precibus et suffragiis consuetis, me infra scripto parocho funus deducente deatum fuit ad Ecclesiam Monialium ad Sanctam Magdalenam in cujus Cœmeterio sepultum fuit, Maritus Dnæ Mariæ Catharinæ petit beaublanc (i 126))

Marie Catherine Petit Beaublanc, veuve de Louis Barbier de Sassigny demande l’autorisation de se remarier avant la fin de son deuil. La commission rapporte que son mari est mort moins de quatre mois auparavant. Âgée de quarante-cinq ans, originaire des Indes, la pétitionnaire qui n’a jamais eu d’enfant produit un certificat qui atteste qu’elle n’est pas enceinte. Elle est inconstante dans ses déclarations, sans doute à cause du changement de climat. Comme elle n’a pas de parent en Europe, il lui faut trouver une personne qui gère sa fortune. Le contrat de mariage dressé en 1759 montre que les biens qu’elle détient lui sont propres et que feu son mari a fait un riche mariage. Le préteur Wurmser propose de donner l’autorisation moyennant 25 livres. Le consul Zæpfel est partisan de faire patienter la pétitionnaire. L’assesseur des Quinze Guérin propose de demander 50 florins. L’assemblée accorde l’autorisation moyennant 50 livres.
1788, Conseillers et XXI (1 R 271)
Weÿl. Sr Barbier de Sassigny wittib, um dispens in tempore luctus zu heurathen, wird ad deputation verwießen. 122. erhält dispenz. 128
(p. 122) Sambstag den 22. Martius 1788. – Weÿl. H. Ludwig Barbier de Sassigny wittib, um dispens in tempore luctus zu heurathen
Wilhelm nôe Weÿl. H. Ludwig Barbier de Sassigny gewesener officier unter dem hochlöbl. Regiment Elsaß hinterlaßener Wittib, Frauen Catharina geb. Petit Beaublanc Implorantin, prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿlag sub Nis 1. u. 2. pt° dispensationis von der übrigen trauer Zeit.
Nach angehörten Votis der Herren General advocaten, dahin gehend, daß obgleich MGhh. vorgetragen wird, daß die Implorantin niemalen Kein Kinder gehabt, sie wirkl. 45. Jahr alt seÿe, auch laut beÿgebracht attestats des Hn Dr Ostertags nicht im Verdacht stehe schwanger zu seÿn, und sie auch die dringende bedürfnis eine vertraute Person sich Zuzugesellen, welche ihrem Vermögen verstehe, in anregung bringt, so tretten doch auch mehrere Gründe ein, welche Mghh. abhalten mögen, so lauft in ein solche dispens zu willigen, welches denenselb. ohnehin durch die Königl. declaration von 1757. aufs nachdrucklichste verbotten wird, denn ohne selbst denjenig grund noch anzuwenden, daß noch nicht einmal vier Monate verfloßen, und Mhh. aus einer gleicher bewegenden Ursach den 23. febr. ebenfalls die Wittwe Perrin abgewießen, so seÿe auch Zusagen, daß in dem ehecontract welche der verstorbene Sr Barbier mit der anheute implorirend. witwe eingegang. haben mag, und selbst deßen testament mehrere Clausul enthalten mögen die bei einer zu erlaubende Zweÿten Ehe in Consideration Zu Ziehen, weshalben sie denn angetragen, daß dieses gesuch per dominos Deputatos untersucht werden möge, Alß ist vermittelst angestellyer Umfrag solche antrag einmuthig genehmigt worden. Depp. H XXI Engelmann, H. Rathh. Scherer.

(p. 128) Montag den 31. Martius 1788. – Die verwittibte Fr. Barbier de Sassigny erhält dispenz tempore luctus zu heurathen
Die verwittibte Madam Barbier de Sassigny gebohrner Petit ist vorletzten Sonnenabend beÿ E. G. pro Dispens de Anno Luctus eingekommen und hochdleselbe haben geruhet H. Rathh. Scherer nebst mir Zu etwas näherer der Sachen Untersuchung abzuordnen.
G. G. H. Beÿ der den nemlichen Tag beseßenen Deputation haben wir die Frau Implorantin selbst Vernommen.
Auf unser Zusprechen, daß es vielleicht der Wohlanständigkeit und einer gewißen Niedlichkeit gemäß wäre ihre frühzeitiges Gesuch eine geraume Zeit einzuziehen, wann es die dringende noth nicht erfordert, hat dieselbe bald mit Ja, bald mit Nein geantwortet. Aus diesem Können E. G. schon Nun aber der Sache nicht vorzugreifen, so wollen Wie die Ehre haben, E. G. folgende Beobachtungen vorzulegen, welche Zur Entscheidung des Grundes dienen werden.
Erstlich ist die Implorantin eine Wittwe deren Ehemann Vor 4 Monath allhier Verstorben, mithin sie noch nicht die helfte der vorgesetzten Traurzeit ausgehalten. Da nun durch die hiesige Ordnung 10. Monat zu diesem End aus sehr guten und triftigen Ursachen vorgeschrieben sind seines theils in Rücksicht auf gute Sitten und Schicklichkeit andern theils wegen etwa vorhandener Schwangerschaft aus vorhergehender Ehe, so scheint es daß in gegenwärtigen Fall die begehrte Dispensation eher Zu Verweigern als Zu ertheilen wäre.
Allein folgende Bemerkung haben Uns wichtig genug beschienen um das richterliche Urtheil hierin in etwaß zu mildern dann es ist
Zweÿtens, die Fr. Implorantin eine Person welche aus Indien gebürtig hier noch verwandte noch bekannte hat, also daß sie würcklich ohne hülf, ohne Rath und beÿstand sich in Europa befindet, Auch vermuthlich sind ihre Geistes Kräften und insonderheit des Gedächtniß durch Veränderung des Climats so geschwächt worden, daß sie nicht im Stand ist ihrem sehr ansehnlichen Vermögen Vorzustehen, so daß daßelbe den Bedienten preiß gegeben wäre.
Diese dringende Umstände Können wohl den Gegenweggrund der Wohlständigkeit und Schicklichkeit abwiegen, Sonderlich wann E. G. in Betrachtung Ziehen daß für eine solche Person nun schickliche und anständige Heurath das beste und eintzige Mittel seÿe, so wohl ihre Person als ihr Vermögen alsobald in Sicherheit Zu setzen.
Drittens Was die Gefahr betrift, daß Künftiger Zeit durch die Zu ertheilende Dispensation einige Schwierigkeiten oder Processe von seiten des Verstorbenen, Ehemanns Erben erregt werden Können, so haben Wir durch den von der Implorantin auf der Insul Grenade A° 1759 errichteten Ehe Contract vorlegen laßen und befunden, daß obschon der belauf ihres Zugebrachten Vermögen nicht förmlich darinnen ausgedruckt, dannoch dasselbe durch das vorgewiesene Vätterliche Inventarium genugsam constatirt seÿe also daß leicht Zu schließ, ist, daß das gantz Vermögen wie auch die Errungenschaft von ihrem eigenen herkommet, welches desto muthmaßlicher wird, wann man weiters betrachtet, daß H Barbier als ein Officier retiré du Régiment d’Alsace nur sein Glück durch eine reiche heurath Zu verbessern in Indien kann gekommen seÿn.
Solches ist Vor ihm auch wie anerkannt, maßen er durch lezten Willens Disposition seine hinterlaßene Ehefrau Zu universal Erbin eingesetzt, welches Testament durch ein von Ihm erhaltenen Indulto Testandi unterstützt und durch des Consens der præsumptifs Erben welche ansehnliche Legaten erhalten bekräftiget ist.
Endlich Wollen E. G. noch in betrachtung ziehen die Umfruchtbarkeit in welcher die Fr. Implorantin seit 31 Jahr gelebt, ihro jetzt schon erreichtes 45.zig jähriges Alters so beÿ einer Indianerin, sonderlich durch Verwechßlung des Climats, sehr geschwächt, Endlich daß Von H. Ostertag ausgestellte Certificat, welches sie von aller Indicien einiger vorhandener Schwangerschaft loßspricht, so haben E. G. Gründe genung sich Zur Dispensation Zu Veranlaßen, da aus Deputirten aber allzeit eine bedencklichkeit bevorstehet wegen er noch nicht aufs wenigst in die helfte ausgehaltener Traurzeit, als haben Wir die Ehre E. G. hohen Dijudicatur die Willfahrung Zu überlaßen.
Nachdem hirauf H. General Advocat Mogg die Gründe, welche sowol Zu Gunsten der Implorantin als wider dieselbe können angeführt werden, abermalen in kürtz vorgetragen, übrigens die Sachen MGHh. anheim gestelt.
Und beÿ angestelter Umfrag Herr Stettmeister von Wurmser aus Rücksicht auf die Umstände, so Implorantin einiger maßen außer Stand setzen ihr ansehnliches Vermögen Zuverwalten, in Ansehung welcher sie mit einiger Nachsicht verdienet behandelt Zuwerden, Zur Willfahrung des Gesuches jedoch gegen erlage einer Zwischen dem hießigen Findlingshauß und dem Allmosen Zur helfte theibaren Abgabe von 25. lb angetragen.
H. Ammeister Zaepfel aber angemerkt, daß obwohlen Ein Löblicher Magistrat das Vorzügliche Recht besitze, die Zur Zweiten Ehe schreitenden Personen Von der Observanz der Trauerzeit zu dispensiren, hoch derselbe dennoch solche Dispenz nur alsdann ertheilen könne, wenn die Umstände solche erfordern und deren Ertheilung der Wohlständigkeit und die gute Ordnung verletzen, weswegen er die Implorantin noch Zur Zeit und auf Sechs Wochen wolte verwiesen haben.
Und H. XV. Guerin Zur Willfahrung, aber einer Abgab von 50. lib. angetragen.
Als ist per Majora Erk. Seÿe der Implorantin mit gebettener dispenz währender Trauzezeit Zu heurathen Zu willfahren, jedoch gegen Erlage einer abgabe von Fünfftzig Pfund Pfenning, davon die Helfte dem hiesigen Findlinghauß, die andere Helfte aber dem Almosen Zuzuwenden.
[in margine :] Die helffte nebenstehender 50. lb mit 25. pfund. d. empfangen, Straßburg d. 7. April 1788. Wieger
die andere Hälfte mit 25. pfund für E. löbl. Pol. Gericht empfangen Straßb. d. 8.te Aprilis 1788. Kraeutler

Originaire de Belfort, l’officier au régiment d’Alsace Louis Kuppelmeyer épouse en avril 1788 Marie Catherine Petit veuve de Denis Louis Joseph Barbier : contrat de mariage, célébration
1788 (8.3.), Not. Lacombe (6 E 41, 209) f° 16
Contrat de mariage, communauté partageable par moitié – M Louis Kuppelmeyer officier au Régiment d’alsace, fils majeur de M Joseph Kuppelmeyer, capitaine aud. régiment, chevalier de l’ordre royal et militaire de St Louis, et de D° Elisabeth Bayart
Dlle Marie Catherine Petit veuve de Denis Louis Joseph Barbier, vivant ancien ingénieur de la grenade demeurant à Strasbourg

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 80)
Hodie 8. Aprilis anni 1788 (…) sacro matrimonii vinculo Conjuncti fuerunt D.us Ludovicus Kuppelmeÿer oriundus ex Belfort diöcesis Bisuntinæ, 30 annorum circiter annos natus, subcenturio legionis pedestris alsace dictæ filius solutus Dni Joseph Kuppelmeÿer Centurionis in dicta legionis nec non Equitis ordinis Regii ac militaris Sti Ludovici et Dnæ Elisabethæ Baÿert Conjugum in parochia ad supra Dictum Stum Marcum commorantium, et Dna Maria Catharina petit de Beau Blana ex america oriunda 42 circiter annos nata vidua Dni Ludovici Barbier de Sassignÿ quondam officialis bellici supra * nominatæ legionis alsatiæ testes adfuerunt sponsi pater, Dnus Josephus Kuppelmeyer clericus hujus dioecesis philosphæ Studiosus sponsi frater (signé) Loüis Kuppelmeyer, Marie cathrine Petit de scabjlani (i 43)

Nommé sous-aide major de la place, Louis Kuppelmeÿer est dispensé de l’accise.
1788, Protocole des Quinze (2 R 199)
M Louis Kuppelmeÿer pt° Umgelts befreÿung
(p. 340) Sambstag den 6.ten Septembris 1788. Hn XV. Secretarius Zæpffel trägt vor, Es habe ihm M. Louis Kuppelmeÿer das Königl. Brevet zugestellet, wodurch er unter dem 24. Aug. dieses Jahrs Zu einem Sous-Aide-Majpr hiesigen Platzes an die Stelle Hn Malet de Soustras ernennet worden, und begehrt der Umgelts befreÿung zu genießen, welche mit dieser Bedienung verknöpft ist. Facta Lectione ist Erkannt Wird H. Kuppelmeyer in seiner angezeigten Quali(ät die angesprochene befreÿung nach Gewohnheit gestattet und seÿe dieses gehöriger Orten kund zu thun.

Louis Kuppelmeÿer a émigré. L’administration fait dresser un état de ses biens
1792, Rubert secrétaire – acp 11 f° 54-v du 28 Juin 1792
Etat ou inventaire de ce qui appartient a M Kuppelmeyer sous aide major de la place Emigré, du 25 Juin 1792
acp 11 cd 73-4239

Bien national, la maison est vendue aux enchères à Meinrad Bruder de Mutzig

1793, 8 nivôse 2 (28.12.) – Q 1133
Verkauf eines National: Haußes herrührend von dem Emigranten Ludwig Kuppelmeÿer
24 frimaure 1793. Vente de Maison Nationale provenante d’Emigé. Municipalité de Strasbourg, Louis Kuppelmeyer
(…) qu’il alloit être procédé à la Réception de la première Enchète pour la vente de la maison cy après désignée (…)
Une maison appartenant à l’Emigré Louis Kuppelmeyer, située place du Sable N° 6 en cette ville, consistant en maison de devant et derrière, Cave, Cellier, Bucher, Buanderie, Cour, Ecurie et Greniers, vers l’Orient la maison de cidevant Philippe Jacques René Berstett Emigré, vers le couchant François Goucheron, Caffetier, vers le Nord Sébastien Stamm, boucher, et lle Midi la dite place, laquelle a été affermée par l’administration suivant bail qui expire dans six mois à compter dudit jour 13 frimaire courrant, au Citoyen Kolla, vitrier, pour un loyer annuël de 2675 livres et estimée à 20.000 livres
(…) sur lequel article le Citoyen Jean Conrad Schwahn, Chirurgien à l’hôpital (militaire) a fait la Mise de 4000 livres
Adjudication définitive du 8 Nivos. 2. (…) pour le prix de 41.000 livres au Citoyen Meinrad Brouder de Mutzig (enregistré le 24 Nivose An 2)
Procès verbal de l’expertise et de l’estimation du Batiment National ci devant à Kuppelmeyer Emigté faites par le soussigné Commissaire expert nommé pour cet effet par Arrêté du Directoire du Distrcit de Strasbourg en datte du premier d’octobre 1793. seconde année de le République française.
Cette propriété comprend deux maisons séparées par une petite cour, la première marquée du n° 6, layant a façade tournée vers le midi est située sur la place du Sable d’une part vers l’orient à côté d’une maison Nationale ci devant a Philippe Jacques Reinhard Berstett émigré d’autre part vers le couchant à côté defrançois goucheron caffetier et dans la même direction la deuxième maison dont le fond tire au Nord est dans un cul de sac et adossé contre la demeure de Sébastien Stamm boucher dans la rue du Bain de Rose le premier corps de logis a l’apparence d’une maison neuve de bonne construction et d’une façade régulière, l’Entrée est un corridor fermé par une porte à deux battans, on y trouve deux portes l’une conduit dans deux pièces sur le devant la première et la plus grande est une salle à manger ou il y a un beau fourneau de faiance et un plancher en parquet, cette pièce a deux croisées, l’autre n’en a qu’une, la deuxième porte est celle de la cuisine contigue à un garde manger ou office, au bout de ladite entrée ou corridor on monte au premier étage qui contient un beau vestibule en carreaux de dalle, une chambre et sur le devant deux pièces chacune de deux croisées, l’une a un fourneau de faiance, l’autre est une chambre à cheminée, les planchers sont des parquets ordinaires, cet étage avec le rez de chaussée fait un logement, le second étage est distribué comme le premier il est surmonté d’un toit à la mansarde ou il y a aussi un vestibule et trois chambres, cette maison contient aussi une cave mais elle est basse avec un terroir peu enfoncé et ne peut contenir que deux petits tonneaux. Le deuxième bâtiment est vieux mais en bon état par de bonnes réparations qu’on y a faites, dans le bas il y a place pour différents effets, une buanderie et un bucher a côté duquel est l’escalier intérieur de la maison, ensuite il y a un bon cellier et une écurie, elle a deux étages et un grenier divisé en trois parties le premier étage au quel on arrive par une petite gallerie qui longe le premier bâtiment et celui du voisin contient une pièce où il y a une alcove entre la garde robes avec un fourneau de faiance, vient ensuite un emplacement ou vestibule ou il y a des réduits pour différents effets et l’escalier à côté duquel est une chambre en galetas au fond de la maison il y en a une pareille au second étage et dans le vestibule ou est l’escalier intérieur, il y a d’un côté une petite chambre de l’autre une petite cuisine et vers la cour une pièce propre avec une alcove, ces deux maisons sont liées par une construction qui renferme l’escalier principal et en outre au rez de chaussée une petite chambre et entre-sol au dessus duquel il y a un joli cabinet dont l’entrée est dans la gallerie dudit escalier, dans ce cabinet on monte par quelques degrés audit deuxième étage de l’arrière maison, et au dessus du même cabinet se trouve la cuisine pour le logement au second étage du premier bâtiment, la cour est pavée en dalles, d’un côté sont les aisances, de l’autre une pompe et une grande porte contre le fond du cul de sac et ruelle qui donne l’issue dans la rue du bain de rose, l’écurie a aussi une entrée dans le même passage, les murailles latérales appartiennent à ladite propriété, ce que l’on reconnait par plusieurs chapelles construites dans leur épaisseur et ce domicile dont la bonne situation et une des belles vues de la ville en rend le séjour agréable ne paroit pas être sujet à aucune servitude, bien au contraire on tolere une cloture de lattes qui barre ledit cul de sac auprès de la porte de l’écurie, ce qui procure à la maison l’avantage d’une basse cour. Tout l’emplacement forme un quarré long dont les largeurs sont inégales, la plus grande est la base de la façade extérieure et le fond de l’arrière maison et la petite largeur.
La première maison contient 948 piés quarrés de France, la cour 384, l’emplacement de l’escalier 270, l’arrière maison 1260, ensemble 2862 piés quarrés
Ces maisons sont affermées au citoyen Kolla vitrier pour une somme annuelle de 2675 livres mais ensuite de plusieurs informations et renseignements pris sur l’objet en question j’estime qu’elles valent en principal 20.000 livres. J. N. Küchel
acp 20 f° du 24 nivose 2

Fils de boucher, Meinrad Bruder épouse en 1772 Marie Catherine Flecher, tous deux de Mutzig
Mariage, Mutzig (cath. p. 183)
Hodie die 16 mensis Augusti Anno 1772 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti sunt Meinradus Bruder solutus, filius defuncti Sebastiani Bruder civis et lanionis hujatis et Annæ Mariæ Dantzer viduæ nunc die superstitis et Maria Catharina Flecher filia soluta deuncti joannis flecher civis hujatis et Catharinæ Meyer ad hic hic superstitis, ambo commorantes in hac parochua (signé) Meinrath bruder, Catharina flecherin (i 93)

Aubergiste aux Trois Rois (1778-1779) puis au Pied de Bœuf, Meinrad Bruder achète à plusieurs reprises des biens nationaux. Il est emprisonné en l’an X d’après un judiciaire du tribunal de commerce. Il meurt en ventôse XI en délaissant pour héritiers testamentaires les six enfants d’Anne Marie Bruder et de feu le meunier Ignace Oberhausser (inventaire après décès, 24 Messidor XI, Mutzig I n° 174)
Marie Catherine Flecher se remarie à Mutzig en 1807 avec Ignace Brassel et meurt à Mutzig le 13 juillet 1822
7 fuctidor X (Mutzig I, Simonnaire, n° 208) Meinrad Bruder, würcklichen in dem arrest haus dahier zu Straßburg sich befindend (laut) urtheil Straßburger commerce-gerichts vom 23. prairial VI
† Mutzig 28 ventôse XI (19 mars 1803)

La maison de l’émigré Kuppelmeyer est à nouveau vendue. Les acquéreurs sont Jean Joseph Marande et Jean Lorentz, de Benfeld.

1796 (28 messidor 4), Q 2226
Vente. 28 messidor 4 maison place du Sable n° 6 provenant de l’émigré Küppelmeyer et réuni au domaine de la Nation par décret du 8 avril 1792, 21 600 li
(les mêmes) la maison n° 7 provenant de l’émigré Berstett pour 10 800 li
(Jean Joseph Marande & Jean Lorentz de Benfeld)
Du 28 messidor de l’an 4° de la République française une et indivisible, Nous Administrateurs du Département du Bas-Rhin pour et au nom de la République français (…) avons par les présentes, vendu et délaissé dès maintenant et pour toujours aux Citoyens Jean Joseph Marande & Jean Lorentz de Benfeld
Une Maison et Dépendances située à Strasbourg Place du Sable d’un côté Sur la maison de l’émigré Berstett, de l’autre sur cette du citoyen Goucheron, ladte Maison et dépendances provenait de L’Emigré Kuppelmeyer dudit Strasbourg réunie aux Domaines de la Nation par Decret du 8 avril 1792. & Evalués Conformément à L’article VI de la Loy du 24 Ventos d.er (…) pour 21.600 livres
L’an 4 de la République française le 21 Jour du mois de Messidor, Nous Charles Christiani, Ingénieur des Ponts et Chaussées, Expert nommé par délibération de l’Administration du Département du Bas Rhin, en datte du 15 de Ce Mois, et le Citoyen Eleonore Petin, Ingénieur Géographe tous deux demeurant à Strasbourg, ce dernier nommé par les Citoyens Lorentz et Marande de Benfeld par leur soumission d’acquérir sous la date du 14 du même mois à l’effet de procéder à l’estimation en revenu en en Capital sur le pied de 1790 les domaines Nationaux ci après désignés.
Nous sommes en conséquence de la commission a nous donnée par l’administration du Département en date du dit 15 Messidor transporté (…)
Savoir 1° un corps de bâtiment sous n° 6 donnant sur la place du Sable, a droite sur la Maison de l’Emigré Berstett, à gauche sur celle du Cit. Coucheron ayant de face 29 Pieds Sur 36 pieds de Profondeur et 42 pieds de hauteur, y compris la Mansarde le tout solidement Construit en Maçonnerie lad° Mansarde exclue. Le Rez de chaussée de ce Batiment consiste en 4 pièces y compris cuisine, le premier, second et mansarde contienent aussi 4 pièces, y compris Cuisine, le premier, second et Mansarde Contiennent aussi quatre pièces, le tout en bel en bon Etat. Le sélier qui est sous ce Batiment n’est pas praticable Vu qu’à la moindre crue les Eaux y montent.
Le Batiment en aile gauche a 28 pieds de Longueur sur 10 de Profondeur, et est de la même hauteur du Batiment précédent, il contient la Cage de l’Escalier, avec une pièce et entre sol, au dessus du Rez de Chaussée. au premier Etage ainsi qu’au 2° il Contient une Cuisine de laquelle on Entre dans le Batiment du Fond qui a 54 pieds de Longueur sur 20 de largeur, lequel contient au Rez de chaussée une Ecurie, Buanderie et Selier, et dans les deux Etages supérieurs il se trouve 5 pièces y Compris Cuisine, ce Batiment a 25 pieds de hauteur.
La cour a 29 pieds de longueur sur 12 de Large et a une issue sur le Cul de sac qui donne dans la rue aboutissante au pont de Ci devant Eveché présentement la commune. La surface totale de ce domaine y Compris Cour et bâtiment est de 2752 pieds Carrés
Visite faite du domaine national ci dessus détaillé nous nous sommes transportés a Celui qui lui est Contigu et Compris dans la même soumission, il Consiste (…)
Savoir en un Corps de Batiment sous n° 7 donnant sur la place du Sable à droite le magasin au sel à gauche la susdite maison n° 6 il a 36 pieds de façade sur 26 pieds de profondeur et 27 pieds de hauteur la façade du côté de la rue est construite en maçonnerie ainsi que le côté de la cour jusqu’au premier, le reste étant fait en galandure. Tout ce bâtiment est dans le plus mauvais état par vétusté. Il contient au rez de chaussée a côté d’une entrée cochère un petit logement consistant en 3 pièces, idem au premier et second étage.
Le bâtiment en aile droite a de longueur 60 pieds sur 11 de profondeur et 20 pieds de hauteur il est construit en galandure et est en assez bon état, il contient au rez de chaussée écurie et bucher et au premier étage 4 pièces.
Le bâtiment au fond de la cour a 25 pieds sur 16 et même hauteur que le précédent contenant sur toute sa capacité un selier au rez de chaussée et 3 pièces au premier. Le bâtiment attenant a celui ci et tirant vers le principal corps de logis a 25 pieds de longueur sur 11 de largeur et 20 de hauteur et contient au rez de chaussée une buanderie et 2 petites pièces au premier étage 3.
La cour a 810 pieds carrés de surface et la totalité de ce domaine qui a une issue sur le même cul de sac ou impasse est de 3068 pieds carrés
Nous sommes d’avis que la maison susdite n° 6 valoit en 1790 en revenu 1200 livres multiplié 18 fois font en capital 21.600 livres et que la maison et dépendances n° 7 en 1790 en revenu 600 livres multiplié 18 fois font en capital 10.800 livres
(les mêmes) la maison n° 7 provenant de l’émigré Berstett pour 10 800 li
Enregistrement de Strasbourg, acp 41 f° 85-v du 1 ther 4

Jean Joseph Marande et Jean Lorentz cèdent leurs droits au négociant Meyer Dreyfuss

1796 (10 thermidor 4), Strasbourg 1 (11), Not. Lacombe n° 32
Cession Cit. Jean Joseph Marande verifficateur de l’enregistrement et Lorenz negt. demeurant à Benfeld
au Cit. Meyer Dreyfuss negt. de cette ville
Scavoir le bénéfice des deux contrats de vente que l’administration departemantale du bas Rhin leur a passé le 28 messidor dernier
1. a une maison située à Strasbourg place au sable N° 6 d’un côté la maison de l’emigré Berstett d’autre celle du Cit. Goucheron,
2. d’une autre maison et dépendances située a Strasbourg place au Sable N° 7 d’un côté la Maison N° 6 d’autre sur le magasin au Sel, lad. maison provenant de l’emigré Berstett
(Joint) Domaines Nationaux de nouvelle attribution, avoir reçu des Cit. Jean Joseph Marande et Jean Lorentz de Benfeld 21.600 livres. pour l’acquittement du prix d’acquisition d’une maison et dépendances place du sable sous le N° 6 provenant de l’Emigré Kuppelmayer ledit domaine vendu auxd. C. Marande et Lorentz par Contrat passé le 28 messidor par l’administration départementale du Bas Rhin – (autre) pour l’acquittement du prix d’acquisition d’une maison et dépendances place du sable sous le N° 7 provenant de l’émigré Berstett 10.800 francs – 12.000 livres
Enregistrement, acp 41 F° 131-v du 11 ther. 4

Meinrad Bruder loue la maison place au Sable au citoyen Rumpler

1796 (1 Compl. 4), ssp, Enregistrement de Strasbourg, acp 46-49 f° 23 du 16 vent 5
Bail de 3 ans – Meinrad Bruder
au C. Rumpler
une maison place du Sable, pour 154 livres

Meinrad Bruder vend les deux maisons 6 et 7, quai au Sable à l’homme de loi Rumpler (acte confirmé par le tribunal civil, selon la mention de l’acte de 1805 ci-dessous)

1797 (19 ventose 5), ssp, Enregistrement de Strasbourg, acp 54 f° 15-v du 15 fruct. 5
Meinrad Bruder de Moutzig
Rumpler homme de Loix
deux maisons à Strasbourg sur le quai dit Sand platz N° 6 et 7, pour 10.000 francs

1798 (19 ventose 5), ssp, Enregistrement, acp 59 f° 129-v du 12 germinal 6
Faculté de retrait accordé pour le Cit. Rumpler par un Cit. Meinrad Bruder de Mutzig pendant 5 mois 15 jours sur deux maisons que ce dernier a vendu au premier par acte dument enregistré

Le chanoine François Louis Rumpler fait donation de la maison n° 7 à sa petite-nièce Esprit Marie Sophie Louise Philippine Victoire Laquiante
1805 (17 floréal 13), Strasbourg 14 (27), Not. Lex n° 4912
Donation – François Louis Rumpler chanoine de la métropole de Varsovie titulaire de la cid. Eglise collégiale de St Pierre le jeune à Strasbourg
à Esprit Marie Sophie Louise Philippine Victoire Laquiante sa petite niece agée de 15 ans, fille mineure de M François Marie Louis Nicolas Jean Thomas d’Aquin Bruno Laquiante, Notaire public a la résidence de cette ville, et Marie Anne Sophie Magniere
la propriété de la vieille maison qu’il possede audit Strasbourg sur la place du Sable N° 7 cour écurie cave appartenances & dépendances, d’un côté la Maison N° 6 qu’il a récemment donnée à Dlle fortunée Rumpler aussi sa petite niece, de l’autre au magasin a sel derrière (-), devant ladite place, laquelle maison il a acquis de Meinrad Bruder de Muzig par acte sous seing privé. confirmé par jugement du Tribunal Civil, moyennant 3333 francs
(Charges, clauses et conditions), 1. le Donateur se réserve sa vie durante la Jouissance & l’administration viagère de ladite maison, 4. il a été déclaré que ladite Maison a sur celle N° (-) y attenant & celle-ci sur l’autre N° 7 les droits de servitude réciproques suivantes, Savoir le puit est commun entre la Maison n° 5 donnée à la Dlle Fortunée Rumpler & la présente N° 7 & le N° 6 a le droit de passage par la Cour du N° 7 présentement donnée (jouissance à l’age de la majorité)
Enregistrement, acp 96 F° 131 du 27 flo 13

Notice sur François Louis Rumpler dans le répertoire du clergé de Kammerer
(Kammerer n° 4277) François Louis Rumpler ° 17.5.1730 Obernai de Nicolas not. roy. et économe de St Léonard et Jeanne Madeleine Maeder, étud. civ. et can, avec. Cons. Souv. 1751 – tit. clér. 20.5.1757 (6 E 41 97) – vic. Liepvre 18.1.1759-15.8.1759 – can. Haguenau 19.7.1759 (G 5190,322 – 1767) – vers 06.1766 a Paris aumonier ord. de la maison royale a Versailles (id) – can. Str. SPJ. 12.1.1767 (6 E 41 125), en procès avec ce chapitre – can. hono. de Varsovie 1773 – à la Revolution membre du Conseil de la commune de Strasbourg – rachète le Mont-Sainte-Odile et le couvent de Capucins d’Obernai – adh 2.9.1802 Mt St Odile 715-237 – † 17.5.1806 Str. Ec – autobiogr. Sitzmann II 624, frère de 4282)

Inventaire dressé après la mort de François Louis Rumpler
1806 (8.7.), Strasbourg 14 (30), Not. Lex n° 536
Inventaire de la succession de François Louis Rumpler, pretre ancien chanoine de L’Insigne église Collégiale de St Pierre le Jeune de Strasbourg et Chanoine honoraire de Warsovie, décédé en la maison qu’il occupoit Place au Sable N° 6 le 17 mai dernier – à la requête de 1. Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler, épouse du Sr Théodore Audeou, Payeur divisonnaire à Venise, représenté par M Chrétien Louis Kern, Jurisconsulte, héritiere présomptive de son grand oncle du chef de son père Joseph Salomon Rumpler qui étoit fils de Henri Rumpler frère consanguin dudit défunt,
Marie Frédéric Henri Christiani, secrétaire général de la Préfecture du département des Forêts, demeurant à Luxembourg, représenté par Georges Charles Frédéric Ferdinand Popp, magistrat de sureté de Strasbourg, Le Sr Christiani héritier présomptif du défunt du chef de Dame Sibille Christiani née Rumpler qui étoit fille de Henri Rumpler frère consanguin du défunt
2. Sr Jean Jacques Guntz, Pretre Curé de Bernardswiller prés d’Andlau, Dame Marie Elisabeth Guntz femme d’Antoine Sigrist tanneur dudit Andlau, Marie Anne Guntz femme d’Antoine Panot bourgeois dudit Andlau, Jean Nicolas Guntz homme de lettres demeurant audit Andlau, Marie Claire Guntz fille majeure à Andlau, Véronique Kehr veuve d’Ignace Guntz vigneron à Andlau, tutrice naturelle de ses trois enfants mineurs et ledit [sic] Sr Paccot tuteur subrogé, lesdits Guntz représentant D° Anne Elisabeth Rumpler, décédée épouse de M Reiss Bourguemaitre a Oberenheim leur ayeule matrentelle qui étoit sœur consaguine dudit défunt François Henri Rumpler
3. M François Marie Louis Nicolas Jean Thomas d’Aquin Laquiante, notaire impérial, neveu du défunt, Madeleine Sabine Xaviere Laquiante veuve du Sr Joseph Salomon Rumpler, homme de lettres, M Michel Ignace Xavier Laquiante, ancien agent politique du Gouvernement demeurant à Strasbourg, neveu du défunt, représenté par M Chrétien Louis Kern, M. Marie Louis Charles Xavier Laquiante, administrateur du trésor public résidant à Paris, neveu du défunt, représenté par S Kern, D° Emanuel Marie Joseph Henriette Sophie Laquiante, niece du défunt épouse de M Marie Joseph François Adam Gerard, président au tribunal civil séant à Wissembourg, M. Guillaume Antoine Bruno Laquiante, Payeur Général de l’armée d’Italie, neveu du défunt demeurant à Milan, représenté par M Marie Antoine Magnier son beau frère, Directeur des Douanes demeurant à Strasbourg, héritiers du chef de Dame Marie Charlotte Elisabeth Anne Felicité Pierrette Rumpler qui étoit sœur germaine du défunt, épouse de M Jean Thomas d’Aquin Laquiante, Président du Tribunal Civil à Strasbourg
déclaration par le S Pierre Colonel officier de santé et De Marguerite Gittlin son épouse qui avoient soin du ménage du défunt dans ladite maison où ils logeaient avec lui
dans l’antichambre, dans le sallon ou Chappelle, dans la chambre à coucher, dans la chambre a côté de celle a coucher, au garde meubles sur le derrière de la maison, dans la chambre des soldats, dans la cave, bibliotheque, total des meubles 1257 fr, numéraire 3673 fr
Enregistrement, acp 100 F° 61-v du 16.7.

François Louis Rumpler fait donation de la maison sise 6, quai au Sable à sa nièce Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler à son contrat de mariage avec Théodore Audéoud, natif de Genève (biographie sommaire dans le N.D.B.A.

1805 (27 germinal 13), Strasbourg 14 (27), Not. Lex n° 4820
Contrat de mariage – Theodore Audeoud, Rentier natif de Geneve département du Leman, fils majeur de feu M Michel Audeoud, Magistrat de la ville de Geneve et de D° Elisabeth Viguier demeurant à Lyon ses père et mère
Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler, fille mineure de feu Joseph Salomon Rumpler, juge royal des Citadelle et fortifications de Strasbourg et de D° Madeleine Sabine Xaviere Laquiante, assitée de François Louis Rumpler, chanoine de la Metropole de Vasovie, ancien titulaire de l’eglise collegiale de St Pierre le jeune son grand oncle
Louis Rumpler oncle de la future épouse, fait donation entre vifs pure et simple et irrévocable à la future épouse de la maison qu’il possede et occupe présentement en cette ville scise sur la place au Sable n° 6, d’un côté le Sr Brisez Caffetier, de l’autre une maison du Sieur Donateur lui-même, devant ladite place, le Sr Rumpler se réservant seulement la jouissance et le droit d’habitation, (donne) la jouissance du second et troisième logement de ladite maison à titre gratuit mais pour leur propre usage personnel et non autrement, estimée 6666 francs
Etat du trousseau 4357 francs
Enregistrement, acp 96 F° 82 du 29 germ. 13

Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Marie Angélique Gaudry femme d’Etienne Thomas Labbé

1810 (2.1.), Strasbourg 14 (43), Not. Lex n° 3961
Inventaire de la succession de Marie Angélique Gaudry femme d’Etienne Thomas Labbé, courrier de l’armée d’Allemagne demeurant momentanément en cette ville où elle est décédée le 20 décembre dernier – à la requête du veuf, tuteur naturel de Charles âgé de 7 ans, seul et unique héritier de la défunte, en présence de Nicolas Soudé, maréchal ferrant demeurant place des Canoniers n° 20
dans la demeure place du Sable n° 6
Contrat de mariage dont la grosse se trouve à Paris
garde robe 386 fr, communauté 200 fr, numéraire 2976 fr, dettes actives 7000 fr, passif 476 fr
Enregistrement, acp 113 F° 197-v du 12.1.

Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Lisette Chavanne

1819 (22.11.), Strasbourg 14 (63), Not. Lex n° 1365
Inventaire de la succession de Lisette Chavanne, fille majeure célibataire, en service chez M. Audéoud, ancien conseiller de préfecture, décédée le 4 courant – à la requête de 1. Jean David Ramel, employé au château royal, mandataire de 1. Susanne Chaudet veuve Chavanne demeurant à Sury en Suisse, mère et légataire universelle de la défunte, 2. François Chaudet à Bougy-Villars oncle légataire particulier suivant testament reçu par le soussigné notaire le 19 octobre dernier
dans la demeure place du marché au Sable n° 6
mobilier 667 fr, créances 250 fr, numéraire 182 fr, ensemble 1099 fr, passif 356 fr
Enregistrement, acp 145 F° 82-v du 29.11.

Inventaire dressé après la mort d’un locataire, le juge de paix Jean Jacques Fischer

1835 (6.1.), Strasbourg 14 (96), Me Ritleng n° 4577
Inventaire de la succession de Jean Jacques Fischer, ancien juge de Paix décédé le 23 décembre dernier – à la requête de 1. Louis Auguste Fischer, propriétaire à Strasbourg, 2. Jean Frédéric Eyth, négociant, tuteur légal d’Amélie, Marie Emma, Cécile, Ida Eyth, enfants mineurs procéés de son mariage avec Marie Victoire Fischer, héritiers de leur père et ayeul
en la maison du défunt place au Sable n° 6
mobilier 609 fr, passif 617 fr
Enregistrement, acp 229 F° 125-v du 12.1.

Donation à leur fils par Théodore Audéoud et Jeanne Fortunée Rumpler
1846 (11.11.), M° Ritleng
Donation à titre de partage anticipé par Théodore Audéoud, propriétaire à Strasbourg & Jeanne Fortunée Rumpler sa femme
à Louis François Audéoud propriétaire en ladite ville leur fils représenté par son mandataire par acte en forme, présent & acceptant
acp 354 (3 Q 30 069) f° 40 du 11.11. – Cette donation est faite en vue d’égaliser ledit Sr Audéoud avec Marie Françoise Audéoud sa sœur femme d’Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, capitaine de cavalerie demeurant en ladite ville, déjà nantie par son contrat de mariage reçu Rencker notaire en cette ville le 19 août 1834 de sa part dans la succession de ses auteurs par l’abandon qui lui a été fait d’une maison sise à Strasbourg place au sable N° 6, valeur 30.000 francs, 2° créances 42.000, 3° trousseau 10.000 total 82.000
A M. Audéoud il est fait donation I. 1° de 12 ha 4 ares 80 ca terre et pré ban d’Avolsheim en 40 pièces
2° de 40 ha 37 a 87 ca terre à Molsheim en 32 pièces
3° d’une maison de maître à deux étages, deux petits bâtiments, maison de jardinier & jardin avec dépendances au village d’Avolshei, environ 10 ares
4° et d’une maison de fermier avec grange écurie & dépendances au même villaage plus 7 ares de vignes au même ban d. Hubel, tous ces immeubles d’un revenu de 3460, en capital 69.390 francs
II. il a reçu avec les présentes1610 francs employés par lui à acquitter le prix de divers immeubles
III. Il lui est fait abandon d’objets mobiliers estimés à 14.000
IV. de la somme de 2500 francs en argent, Total 87.500, dont mobilier 18.100
Mde de Montbrison a reçu 82.000, soulte 5500 francs
Le donataire entrera en jouissance des immeubles el jour de son mariage

Inventaire dressé après la mort de Théodore Audéoud à Contrexéville le 6 août 1854
1854 (27.11.), Strasbourg 14 (143), Not. Ritleng n° 6795
Inventaire communauté qui a existé entre Théodore Andéoud et Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler
L’an 1854 lundi 27 novembre à neuf heures du matin, à la requête et en présence 1. de Mr Arthur Laquiante, juge au tribunal de première instance séant à Strasbourg, domicilié & demeurant en cette ville, agissant en qualité d’exécuteur testamentaire de feu Mr Théodore Andéoud, en son vivant propriétaire chevalier de Saint-Louis & de la Légion d’honneur demeurant à Strasbourg, aux termes du Testament olographe en date à Strasbourg du 2 juin 1851 (…)
2° de Madame Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler veuve de mondit Sr Audéoud domiciliée et demeurant à Strasbourg en la demeure du défunt rue des Veaux N°20
3° Madame Marie Françoise Audéoud, épouse assistée et autorisée de Mr Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, ancien capitaine de cavalerie, propriétaire demeurant ensemble à Strasbourg, 4° & de Mr Louis François Audéoud, propriétaire domicilié à Strasbourg et demeurant à Avolsheim. Madame de Montbrison et M Louis François Audéoud habiles à se dire et porter héritiers chacun pour moitié de Mr Théodore Audéoud leur père décédé à Contrexéville (Vosges) le 6 août dernier

Contrat de mariage passé par M° Félix Gaspard Lex alors notaire à Strasbourg le 27 germinal an XIII (…) – Testament
Description du mobilier. Chambre à coucher de M. Audéoud, Antichambre, Cabinet à côté de l’antichambre, Chambre à coucher, Au salon, Chambre à coucher de Mad. Audéoud, Cabinet à côté de l’antichambre, Salle à manger, Chambre de la fille, Chambre de la cuisinière, Chambre à côté de la précédente, Palier, Cuisine & Garde manger, Pallier
acp 435 (3 Q 30 150) f° 51 du 2.12. (succession déclarée le 4 janvier 1855) Garde robe du défunt 211
Communauté, mobilier 5877
6 ha 17 a 5 terres ban de Rumersheim
3 ha 22 a 70 ca terres ban de Rosheim
créances 28.973, trois actions du Compte d’eccompte 3000, trois actions de Huttenheim 30.000, dividende des dites actions 6000, une inscription de rentes de 700 ducats du Royaume des deux Siciles, semestre échu 1535, autres créances 997
Rapports des héritiers 40.000, reprises de la veuve 1571, Passif 1500
Suit la liquidation de la communauté et de la succession
Notoriété du 7. Xbre 1854

1854 (18.8.), M° Ritleng
Dépôt du testament olographe de Théodore Audéoud
acp 432 (3 Q 30 147) f° 58 du 19.8.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 118 (3 Q 31 617) f° 16-v du 19.8.1854 ssp du 10.6.1852
Testament – Théodore Audéoud

Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler meurt à Avolsheim le 17 avril 1869. Ses deux enfants se partagent ses biens.
1869 (27.7.), Strasbourg 14 (175), Not. Emile Ritleng jeune n° 18.318
Liquidation et partage des successions de Mr Théodore Audéoud en son vivant propriétaire, chevalier de Saint-Louis & de la Légion d’honneur & de Dame Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler, son épouse, domiciliés, décédés le premier à Contrexéville le 6 août 1854 & Madame Audéoud à son dernier domicile à Avolsheim le 17 avril 1869
Dressés à la requête et en présence 1° de Madame Marie Françoise Audéoud, Epouse assistée de Mr Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, ancien capitaine de cavalerie, propriétaire demeurant ensemble au Château d’Oberkirch près Obernai, 2° de Monsieur Louis François Audéoud, propriétaire domicilié à Strasbourg demeurant à Avolsheim (…) en qualité se seuls et uniques héritiers de Monsieur & Madame Audéoud leur père & mère ainsi que’il résulte de l’inventaire dressé après le décès de M. Audéoud par M° Rutleng père alors notaire à Strasbourg en date au commencement du 27 novembre 1854 et d’un acte de notoriété dressé par le soussigné notaire Ritleng le 27 avril 1869.
Observations préliminaires. Les comparants font observer que leurs père et mère étaient mariés sous le régime de la communauté de biens de conquêts et acquêts aux termes de leur Contrat de mariage passé devant M° Lex notaire à Strasbourg le 27 germinal an XIII. Après le décès de M. Audéoud & selon le vœu de ce dernier Mad. Audéoud a conservé l’administration de toute la masse, en conséquence les deux fortunes paternelle et maternelle vont être ci après liquidées
acp 585 (3 Q 30 300) f° 75 du 3.8. – Communauté, un corps de biens de
6 ha 17 a 05 terres ban de Rumersheim estimé 24.000
un corps de biens de 3 ha 22 a 70 ca terres ban de Rosheim estimé 16.000
une créance 20.000, deux actions du tissage mécanique B. Rhin 6000, 57 actions du chemin de fer de la méditerranée 56.073, 43 actions des chemins de fer autrichiens 36.012, 19 actions du chemin de fer de l’Est 11.305, argent 2180, fermages 300 total 171.871 francs
Abandonnements (…)

1869 (27.5.), Strasbourg 14 (174), Not. Emile Ritleng jeune n° 18.217
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu Madame Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler veuve de Monsieur Théodore Audéoud en son vivant propriétaire, chevalier de Saint-Louis & de la Légion d’honneur demeurant à Strasbourg & savoir
1° qu’’elle est décédée à Avolsheim le 17 avril dernier sans avoir fait de dispositions testamentaires, 2° qu’après son décès il n’a point été dressé d’inventaire de sa succession, 3° qu’elle a laissé pour seuls et uniques héritiers des deux enfants ci après nommés issus de son mariage avec mondit Sr Audéoud, savoir Madame Marie Françoise Audéoud, épouse assistée de Mr Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, ancien capitaine de cavalerie, propriétaire demeurant ensemble à Strasbourg, & Monsieur Louis François Audéoud, propriétaire domicilié & demeurant à Avolsheim chacun pour moitié
acp 578 (3 Q 30 293) f° 195 du 3.6.

Théodore André Audéoud et Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler font donation de leur maison à leur fille Anne Marie Françoise lors de son mariage avec le capitaine Alphonse Henri Philippe Bernard de Montbrison

1834 (19.8.), Strasbourg 1 (70), Me Rencker n° 10.588
Contrat de mariage, régimé de communauté réduite aux acquets – Alphonse Henri Philippe Bernard de Montbrison, capitaine de cavalerie domicilié à Strasbourg, fils de Louis Simon Joseph Bernard de Montbrison, ancien officier du génie Chevalier de la Légion d’Honneur à Strasbourg, et de feu Philippine Frédérique Dorothée Françoise d’Oberkirch
Anne Marie Françoise Audéoud, fille de Théodore André Audéoud, propriétaire ancien officier supérieur et ancien conseiller de préfecture, Chevalier de St Louis et de la Légion d’Honneur, et de Marie Antoinette Jeanne Fortunée Rumpler
apports du futur époux, biens à Breuschwickersheim, Riedheim
M. de Montbrison fait donation à son fils d’un corps de biens à Behlenheim
la future épouse dotée par ses père et mère en avancement d’hoirie mais à charge de rapporter 30.000 francs, 1. une maison avec cour, appartenances et dépendances située à Strasbourg place du Sable n° 6, d’un côté le Sr Schweighaeuser, d’autre le Sr Heywang, devant la place, derrière la rue dite Stoltzgass – propre à Mde Andéoud pour lui avoir été donnée par contrat de mariage le 27 germinal 13 par l’Abbé Rumpler son grand oncle, estimée à 1200 fr de revenu ou 24.000 fr de capital – les père et mère de la future épouse se réservent la jouissance viagère pendant quinze années de la grande cave dépendant de l’immeuble dont s’agit
Enregistrement, acp 226 f° 145 du 23.8.

Anne Marie Françoise Audéoud veuve d’Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison renonce aux avantages assurés par son contrat de mariage et par une donation faite en 1859
1873 (6.11.), M° Ritleng
Verzichtleistung seitens Anna Maria Franziska Audéoud Wittwe Alphons Heinrich Philipp de Bernard de Montbrison zu Oberehenheim, auf die ihr durch ohre, benannten Ehemann gemachten Schenkungen 1) in ihrem vor Notar Rencker in Straßburg d 19. August 1834 errichteten Ehevertrags des Genusses von 50.000 frcs, 2) in einer vor Notar Ritleng Zu Straßburg den 4. März 1859. aufgenommenen Schenkung eines Viertels in Eigenthum & ¼ in Nutznießung der Verlaßenschafft ihres Ehemanns

Anne Marie Françoise Audéoud fait dresser un état de ses biens en présence de ses héritiers, son fils Maurice Anne Théodore de Bernard de Montbrison et un petit-fils issu de sa fille, épouse de Marie Paulin de Romance, demeurant au château de la Basme à Couddes (Loir et Cher)
1873 (5.11.), Strasbourg 14 (180), Not. Emile Ritleng jeune n° 19.966
Inventar der Gütergemeinschaft die zwischen Alphons Heinrich Philipp von Bernard von Montbrison und Anna Maria Francisca Audeoud existirt hat
Im Jahr 1873 am Mittwoch den 5. November um neun Uhr morgens in der Schreibstube des unterzeichneten Notars Herrn Ritleng des Jüngern, Auf Ansuchen und in Gegenwart 1. der Frau Anne Marie Françoise Audéoud, Wittwe des Herrn Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, Cavallerie-Capitän, bei Leben wohnhaft in Oberehenheim, sie wohnhaft in besagter Stadt und handelnd a) wegen der zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann bestandenen und auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft laut ihres durch Hn Rencker damals Notar in Straßburg am 19. August 1834 errichteten Ehevertrags, b) als Schencknehmerin eines Viertels in Eigenthum und eines Viertels in Nutznießung der ganzen Verlaßenschafft ihres Ehemanns laut einer durch H Ritleng Notar in Straßburg am 4. März 1857 aufgenommenen und am 2. Septembris 1873 einregistrirten Schenkung, c) endlich wegen der Rückforderungen die ihr zustehen können
2. des Herrn Maurice Anne Théodore de Bernard de Montbrison, Gutsbesitzer in Sulzbad bei Molsheim wohnhaft, 3. des Hn Charles de Hell, frantzösischer Consul in Frankfurt am Main (Deutschland), handelnd als Bevollmächtigter des Hn Baron Marie Paulin de Romance, Gutsbesitzer auf dem Schloß de la Basme bei Couddes (Loir et Cher) wohnhaft (…) als gesetzlicher Vormund seines noch minderjährigen aus seiner Ehe mit der verstorbenen Frau Marie Fortunée Louise de Bernard de Montbrison entsprossenen Sohns Marie Gaston Henri de Romance handelte,
Herr Maurice Anne Théodore de Bernard de Montbrison und der minderjährige Marie Gaston Henri de Romance, Letzterer durch Repräsentation seiner Mutter Frau de Romance gebohrne de Montbrison einzige und alleinige Erben, jeder für die Hälfte ihres den 15. August 1873 in Oberehenheim verstorbenen Vater und Großvater Herr Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison. Und in Gegenwart des H Anatole de Vivès, Brigad General in Ruhestand versetzt zu Ottrott wohnhaft agirend als gegenvormund des minderjährigen H. de Romance

Eheberedung (…) daß Herr und Frau Audéoud der Wittwe de Montbrison geborner Audeoud eine folgender maßen zusammengesetzte Mitgift von 82.000 Franken bestellt haben, nämlich a) ein in Straßburg Sandplatz Nummer 6 gelegenes Haus mit Hof, Abhängigkeiten und Zugehöigkeiten einerseits auf das Eigenthum des Hn Schweighaeusser andernseits auf das des Hn Heywang vorn auf den Sandplatz und hinten auf die Stoltzgaß stoßende abgeschätzt um 30.000
acp 621 (3 Q 30 336) f° 42-v n° 4887 du 7.11. – Gemeinschaft, Mobilien 7000, 20 actionen Gaz Gesellschafft zu Paris 13.925, 14 actionne Bahn von Paris nach Lyon und Mittellandischen Meers 12.267, Nordling 3276, 84 obligationen der nehmlichen Bahn 15.225, 69 obligationen Lombardische Bahn 17.389, 66 obligations der Bahn von Madrid nach Saragoss 13.018, 97 obligationen der Frantzösischen Ostbahn 26.190, 424 Renten 3 p. c. 8133. 20 obligationen des Frantzösischen Grund Credits 8810, 40 obligationen der Lombardischen Bahn 10.240, 1 action von Hüttenheim 3000, Schuldschein Hoffmann 43.000
4 ha 67. 97 Bann von Friedolsheim
2. 42. 43 Bann von Quatzenheim
66.45. Bann von Fessenheim
15. Ar Bann von Marlenheim
Ersatz Forderung des verstorbenen 184.100, der Wittwe 177.985

Anne Marie Françoise Audéoud meurt à Paris le 4 avril 1885 en délaissant pour seul héritier son fils
1885 (13.4.), M° Ritleng le jeune
Offenkunde bestätigend, daß Anne Marie Françoise Adéond [sic], Wittwe von Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, zu Paris am 4. April 1885 gestorben ist und als einzigen Erben ihren Sohn Maurice Anna Théodore de Montbrison, Inspektor der Feuerversicherungsgesellschafft L’Union wohnhaft in St. Dié hinterlassen habe
acp 760 (3 Q 30 475) f° 80-v du 13.4.

Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison et Anne Marie Françoise Audéoud vendent la maison à Auguste Hoffmann

1868 (17.10.), Strasbourg 14 (173), Not. Emile Ritleng jeune n° 17.741
Vente pour 73.000 francs – ont comparu Monsieur Alphonse Henri Philippe de Bernard de Montbrison, ancien capitaine de Cavalerie, propriétaire & Madame Anne Marie Françoise Audeoud son épouse de lui autorisée domiciliés & demeurant ensemble à Strasbourg, Lesquels ont déclaré vendre
à Monsieur Auguste Hoffmann, propriétaire domicilié et demeurant à Strasbourg ici présent et acceptant
Une maison avec appartenances & dépendances, cour, bâtiments de devant & de derrière, sise à Strasbourg Place aux Sables n° 3 nouveau & N° 6 ancien, d’un côté Mr Harbulot, de l’autre Mr Muller, devant la Place aux Sables, derrière la rue dite Stoltzgass. Dans la vente sont comrpis deux glaces à trumeaux, l’une au premier étage dans la salle à manger & l’autre dans la chambre sue le retour, un buffet en bois de chêne & dessus de marbre au second étage, l’armoire à bouteilles et les chantiers dans la cave & tous les poêles et accessoires se trouvant dans la maison à l’exception de ceux du rez-de-chaussée & de celui se trouvant au premier étage dans la chambre à cheminée.
Déclaration relative à une servitude. Les vendeurs font observer qu’il compète à la maison vendue une servitude active d’égout des toits sur la maison voisine appartenant à Mr Jean Harbulot Ingénieur civil demeurant à Strasbourg. Que dans le courant de l’année 1867, ayant été troublés dans la possession plus qu’annale de cette servitude par Mr Harbulot qui pour pouvoir élever son mur et y adosser de nouvelles constructions, se permit de déplacer le tuyau de descente qui partant du chenau adapté à la toiture passait directement par-dessus le mur latéral de la propriété du Sr Harbulot et descendait le long du mur et d’un petit bâtiment latéral y adossé au moyen duquel cheneau les eaux du bâtiment de devant des vendeurs s’écoulent par la propriété de M. Harbulot. Ils assignèrent ce dernier à comparaître devant le juge de paix du canton sud de la Ville de Strasbourg. Monsieur le Juge de Paix après avoir visité les lieux a rendu le 19 février 1868 le jugement suivant dont le dispositif est ainsi conçu
Attendu qu’il résulte des dires et aveux du défendeur mentionnés au procès verbal de descente et vue des lieux, d’une part, que les demandeurs sont en posession depuis de longues années et notamment depuis une année au moins du droit de faire écouler par un chenau reposant à ciel ouvert sur une terrase appartenant au défendeur les eaux du toit de leur maison sise à Strasbourg place du Sable N° 3 dans l’héritage de ce dernier, d’autre part que c’est dans le courant de l’été 1867 que ledit défendeur a donné une autre direction à ses eaux attendu qu’il ressort des explications du défendeur qu ce n’est qu’après l’introduction de la présente instance qu’il s’est décidé à recevoir de nouveau sur son fonds les eaux qu’il en avait détournés et à rétablir les choses dans l’état où elles se trouvent actuellement mais attendu que cet état de choses est tout à fait provisoire et qu’il ne présente aucune garantie de durée aux demandeurs et les met dans l’impossibilité de surveiller l’exercice de leur droit et qu’en définitif il ne doit son existence qu’à un expédient imaginé par le défendeur pour éviter les conséquences éventuelles de la présente action. Attendu que ces faits constituent un trouble à la possession plus qu’annale les demandeurs tant de leur maison sus indiquée que de leur droit de servitide d’égout des toits attendu en ce qui touchent les dommages intérêts que les demandeurs ne justifient d’aucun dommage appréciable, Attendu que toute partie qui succombe doit être condamnée aux dépens et frais, Par ces motifs statuant par jugement en premier ressort, Donnons acte aux demandeurs de ce qu’ils prennent pour trouble de possession annale les faits ci-dessus mentionnés, en conséquence condamnons le défendeur à rétablir les choses dans leur dernier état dans le délai d’un mois à dater de la signification du présent jugement et faute par le défendeur d’avoir fait exécuter dans le dit délai les travaux nécessaires à cet effet autorisons les demandeurs à les faire exécuter à ses frais au remboursement desquels il pourra être contraint sur la production des mémoires et quittances des ouvriers employés à cet effet, disons qu’il n’y a pas lieu d’allouer des dommages & intérêts, condamnons le défendeur aux dépens etc. ainsi jugé et prononcé
Sur l’appel interjeté par M. Harbulot où est intervenu un jugement au tribunal de première instance de Strasbourg le 31 juillet dernier qui confirme le jugement du 19 février dernier cidessus relaté, ledit jugement rendu sur appel a été signifié a avoué par exploit de l’huissier Nicolas de Strasbourg en date du 6 octobre courant.
Dans cet état de choses Mr & Mme de Montbrison cèdent et transportent à M l’acquéreur tous leurs droits résultant des dits jugements mais sans aucune garantie de leur part tant pour l’exécution du jugement qie pour toute action que M. Habulot pourrait exercer ultérieurement. (…)
Etablissement de la propriété. Madame de Montbrison est propriétaire de l’immeuble vendu pour lui avoir été constitué en dot en avancement d’hoirie par M. Théodore Audeoud ancien officier supérieur de cavalerie ancien conseiller de préfecture, Chevalier de St Louis et de la Légion d’honneur & Dame Marie Antoinette Jeanne Fortuné Rumpler son épouse demeurant à Strasbourg ses père et mère aux termes du Contrat de mariage des vendeurs par devant M° Rencker cidevant notaire à Strasbourg le 19 août 1834. Madame Audeoud était elle-même propriétaire du dit Immeuble en vertu de la donation qui lui en a été faite en vertu de la donation qui lui e été faite par son grand oncle Monsieur le Chanoine François Louis Rumpler de Strasbourg dans le Contrat de mariage de M & dame Audeoud reçu par M° Félix Caspar Lex lors notaire à Strasbourg le 27 Germinal an Treize – Prix 73.000 francs (…) Assurance contre l’incendie (…)
acp 576 (3 Q 30 291) f° 76 du 19.10.

Auguste Hoffmann acquiert un terrain dans l’impasse Stoltz
1869 (17.12.) Maire
le 17 décembre 1869, approuvé le 6 mai 1870
Vente par la Ville de Strasbourg
à Auguste Hoffmann propriétaire à Strasbourg
de 39 mètres 42 terrain impasse Stoltz moyennant 394,20 francs
acp 593 (3 Q 30 308) f° 43 du 11.5.

Natif de Wissembourg, Auguste Hoffmann épouse Catherine Müh dont il a quatre enfants nés à la Nouvelle-Orléans. Il se remarie avec Caroline Stromeyer, native de Deux-Ponts. Il quitte Strasbourg en 1875 pour Wissembourg où il meurt en 1904.
Registre domiciliaire (601 MW 175)
Hoffmann, Rentier
August Hoffmann, 28/4 19, Wissemburg, katholisch
Frau Caroline geb. Stromeyer, 9/7 49, Zweibrücken, katholisch
Kinder, Carl 4/8 53 New Orleans, Celine 16/10 56 New Orleans, Eugen 21/10 58 New Orleans, Virginie 6/5 60 New Orleans
(Wohnungsverhältnis) Sandstaden 3, Eigenth.
17.6.75, Weissenburg

Caroline Stromeyer meurt le 4 septembre 1898
Décès, Wissembourg (n° 111) Weissenburg am 5. September 1898. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Praktiker Arzt Karl Ohleyer, wohnhaft zu Weissenburg, rothes Quartier N° 37, und zeigte an, daß Karolina Hoffmann, geborene Strohmeyer, Ehefrau des Rentners August Martin Hoffmann, 77 Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft zu Weissenburg, rothes Quartier N° 46, geboren zu Zweibrücken, Pflatz, Tochter des verstorbenen Postbeamten Jakob Daniel Strohmeyer, zuletzt wohnhaft zu New-Orleans und dessen verstorbener Ehefrau Katharina Theysen, zuletzt wohnhaft zu Weissenburg, zu Weissenburg am 4. September des Jahres 1898. Nachmittags um neun ein halb Uhr verstorben sei (i 61)

Martin Auguste Hoffmann meurt le 22 octobre 1904.
Décès, Wissembourg (n° 89) Weissenburg am 22. Oktober 1904. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Stadtsekretär Friedrich Karl Klein, wohnhaft in Weissenburg, schwartzes Quartier N° 20, und zeigte an, daß der Rentner Martin August Hoffmann, Wittwer in erster Ehe von Katharina Müh, und Wittwer in zweiter Ehe von Karoline Strohmeyer, 75 Jahre alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Weissenburg, blaues Quartier N° 67, geboren zu Weissenburg, Sohn des verstorbenen Eigenthümers Johann Philipp Hoffmann, zuletzt wohnhaft in Weissenburg und dessen verstorbenen, Ehefrau Margaretha geborenen Friedrich, zuletzt wohnhaft in New-Orléans, zu Weissenburg, am 22. Oktober des Jahres 1904. vormittags um elf ein halb Uhr verstorben sei (i 49)

Caroline Stromeyer hypothèque en son nom et en celui de son mari la maison au profit du propriétaire Louis Edmond Redslob

1878 (28.3.), Strasbourg 14 (185), Not. Emile Ritleng jeune n° 21.505
Schuldbekenntniss, 28. März 1878 – ist erschienen Frau Carolina Stromeyer, Ehegattin des Herrn August Hoffmann, Eigenthümer, beisammen un Weißenburg wohnhaft, handelnd wowohl eigenen Namens als auch im Nahmen und als Bevollmächtigte ihres oben genannten Ehemanns (…) dieselbe bekannt hiermit solidarisch mit ihrem genannten Ehemann schuldig zu sein
I. dem Herrn Ludwig Edmund Redslob, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, eine Hauprsumm von 8000 Mark, II. dem Herrn Georg Haefelé, Rentner in Straßburg wohnhaft, eine Hauptsumme von 8000 Mark, Summa 16.000 Mark
Unterpfand, Ein auf dem Sandplatz N° 3 ehemals N° 6 zu Strassburg gelegenes Wohnhaus mit Zugehörungen und Dependenzien, Hof, Vorder- und Hinter- Gebäude, einsersite Herr Harbulot, andererseits H Müller vornen der Sandplatz, hinten die Stoltzgaße.
Eigenthumsnachweis. Frau Hoffmann erklärt daß ihr Ehemann Eigenthümer ist dieser Liegenschaft, indem er dieselbe von den Eheleuten, de Bernard de Montbrison erkauft hat, auf Grund eines vor dem unterzeichneten Notar Ritleng am 17. Oktober 1868 errichteten einregistrirten Kaufvertrages
(…) Erklärung. Frau Hoffmann erklärt daß die mit ihrem genannten Ehemann in ester Ehe verheurathet ist

Auguste Martin Hoffmann et Caroline Stromeyer, demeurant à Wissembourg, vendent la maison au propriétaire Auguste Rudi

1886 (23.3.), M° Loew
Verkauf – August Martin Hoffmann, Eigenthümer und Caroline Stromeyer in Weissenburg
an August Rudi, Eigenthümer hier
ein Haus mit Erdgeschoß, drei Stockwerken & Mansarden, Vorder und Hintergebäuden zu Straßburg Sandplätzchen N° 3, früher N° 6, nebst 59,42 Qm vom Stoltzengäßchen, erworben letztere 39,42 Qm laut Urkunde reg. hier am 11. Mai 1870 fol. 43 v° c. 4. und den Rest laut Kauf E. Weiss, Ritleng J. vom 17. October 1868.. Genußantritt am 25. März, Lasten vom 1. April 1886. – Kaufpreis 70.400 Mark
acp 775 (3 Q 30 490) f° 57-v n° 60 du 2.4.

Le négociant Auguste Rudi épouse en 1858 Marguerite Salomé Wurtz
1858 (13.11.), M° Noetinger
Contrat de mariage – Auguste Rudi, Négociant à Strasbourg fils de Daniel Rudi, vivant commerçant et de Julie Saenger sa femme à Strasbourg d’une part
et Marguerite Salomé Wurtz, célibataire à la Robertsau fille de Jean Daniel Wurtz, cultivateur et de Marguerite Salomé Martzolff sa femme à la Robertsau d’autre part
acp 473 (3 Q 30 188) f° 84 du 15.11. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en marchandises et créances montant à 24.214
Donation par les conjoints Wurtz à la future épouse leur fille, ce acceptant, en avancement de leur succession 1) d’un mobilier estimé à 618, 2) une somme de 5281 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession, réductinle à moitié en cas d’existence d’enfant, donation qui sera nuelle en cas de convol en secondes noces

Marguerite Salomé Wurtz meurt en 1865 en délaissant trois enfants
1865 (11.7.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Auguste Rudi, marchand de draps, et Marguerite Salomé Wurtz sa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 17 mai 1865
A la requête du veuf comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger Nre le 13 novembre 1858 et comme père et tuteur de des enfants issus du dit mariage nommés 1) Julie Anna Rudi, 2) Charles Auguste Rudi, 3) Marguerite Salomé Rudi
acp 544 (3 Q 30 259) f° 89-v du 18.7. (succession déclarée le 10. 9.bre 1865) Communauté, mobilier 599
(vacation du 22 août) acp 545 (3 Q 30 260) f° 69 du 28.8. – Fonds de commerc 97.656, Mobilier 599, Passif 24.214, reprises de la défunte 5387
Succession, mobilier 612, garde robe 251, héritages de la défunte 21.520

Auguste Rudi se remarie avec Marguerite Salomé Martzolff, fille de jardinier : contrat de mariage, célébration
1866 (28.6.), M° Noetinger
Contrat de mariage – Auguste Rudi, négociant à Strasbourg, veuf de Marguerite Salomé Wurtz d’une part
Marguerite Salomé Martzolff, majeure à Strasbourg d’autre part
acp 555 (3 Q 30 270) f° 21 du 29.6. stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1) en ceux décrits en un inventaire reçu Noetinger Nre le 11 juillet 1865, 2) argent économies depuis son veuvage 19.363, 3) héritiage de sa mère Julie Saenger veuve de Daniel Rudi à Strasbourg 5067
Les apports de la future consistent dans ses droits dans la succession de son père encore indivise, constatée pat inventaire reçu Rencker Nre le 10 août 1846 en diminution de ces droits Mde veuve Martzolff a remis à la future épouse sa fille qui le reconnaît 1) une somme de 3000 francs 2) un mobilier estimé à 776
Donation par le futur à la future de ‘usufruit des deux parts d’enfants et par la future épouse au futur époux de l’usufruit de toute sa succession.
Le survivant aura la jouissance de la moitié des biens ed la communauté

Mariage, Strasbourg (n° 339)
Du 17° jour du mois de juillet 1866 à dix heures du matin. Acte de mariage d’Auguste Rudi, majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 janvier 1828 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, négociant, veuf de Marguerite Salomé Wurtz décédée à Strasbourg le 17 mai 1865, fils de feu Daniel Rudi, tailleur décédé à Strasbourg le 8 janvier 1850 et de feu Julienne Senger décédée à Strasbourg le 29 juin 1865, et de Marguerite Salomé Martzolff, majeure d’ans, née en légitime mariage du 15 décembre 1842 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg sans profession, fille de feu Jean Daniel Martzolff, jardinier décédé à Strasbourg le 28 avril 1846 et de Marguerite Elisabeth Wurtz, sans profession domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (…) il a été passé le 26 juin dernier un contrat de mariage devant M° Victor Noetinger notaire à Strasbourg (i 35)

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Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.