106, Grand rue


Grand rue n° 106 – VII 57 (Blondel), P 754 puis section 6 parcelle 37 (cadastre)

Maître d’ouvrage du bâtiment 6, rue Escarpée, André Stahl, maître maçon (1775)


La maison en juin 2018 – Porte d’entrée (1899)
Bâtiment arrière 6, rue Escarpée (1775, détaché en 1795) – Porte cochère

La maison comprend un bâtiment avant sur la Grand rue et un bâtiment arrière qui s’ouvre dans la rue Escarpée. Elle appartient au début du XVII° siècle au tailleur Jean Wagner puis à ses héritiers. Le farinier Ulric Greiner l’acquiert en 1665 et la lègue à son cousin huilier, aussi nommé Ulric Greiner, Les enfants de sa petite-fille la vendent en 1774 au maître maçon André Stahl qui reconstruit l’année suivante le bâtiment médian et le bâtiment arrière donnant dans la rue Escarpée en transformant sans doute aussi le bâtiment avant (voir les encadrements de fenêtre). Sa veuve vend en 1791 la maison avant au boucher Philippe Jacques Streichenberger en se réservant la maison rue Escarpée qu’elle vend en 1795 au maître de langue Joseph Lemaire. Ce bâtiment arrière est réuni à l’actuel 112, Grand rue en 1814.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 134

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (c) : porte d’entrée au milieu du rez-de-chaussée et une grande fenêtre de chaque côté, quatre fenêtres à chacun des deux étages, trois lucarnes au niveau inférieur des greniers. La cour L représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue et le bâtiment arrière (4-1, ancien bâtiment médian), la remise (3-4) à l’ouest et le mur (2-3) du voisin à l’ouest.
Le bâtiment reconstruit en 1775 rue Escarpée est le deuxième à droite du repère (c) : porte à l’extrémité nord, deux fenêtres et portail à l’extrémité sud. Chacun des deux étages comprend sept fenêtres réunies en groupes de trois et quatre. On constate que les ouvertures au rez-de-chaussée ont été modifiées depuis lors puisqu’il y a aujourd’hui quatre fenêtres au lieu de deux petites.
La maison Grand rue porte d’abord le n° 25 (1784-1857) puis le n° 106.


Cour L – Devanture posée en 1876 (dossier de la Police du Bâtiment)

La veuve du médecin Louis Schæffer agrandit en 1877 la maison dont le revenu passe de 144 à 200 francs, sans doute en réaménageant les étages sous combles. Elle fait poser en 1876 et 1877 de part et d’autre de la porte centrale une devanture que le maître boucher Georges Weil fait transformer en 1899 quand il refait le rez-de-chaussée en agrandissant la cour. Le vestibule de la maison qui se trouvait au milieu de la façade est déplacé à l’extrémité droite pour laisser place au magasin. La devanture est à nouveau transformée en 1925 et la cour entièrement couverte d’un toit vitré l’année suivante. La devanture est refaite en 1953. Le nouvel aménagement du magasin maintient la porte de droite à la demande de l’architecte des Bâtiments de France en 1975.


Plan avant travaux (1898) – Façade et coupe (1899)

Façade en 1925 et en 2006

Vue prise en 1975 (dossiers de la Police du Bâtiment)

juillet 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1618 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Wagner, sellier
1620 (v) h Conrad Dittler, aubergiste, et (1614) Marie Wagner – luthériens
1629 h Etienne Gassner, aubergiste, et (1629) Marie Wagner veuve de Conrad Dittler – luthériens
1634 h Georges Fennier, aubergiste, et (1634) Marie Wagner veuve de Conrad Dittler et d’Etienne Gassner – luthériens
1650 adj Barbe Klug et consorts
1665 v Ulric Greiner, boulanger et farinier, et (1644) Catherine Gasser puis (1675) Marie Egen, veuve du fourbisseur Paul Schwanfelder – luthériens
1697 h Ulric Greiner, boulanger puis huilier, et (1693) Marie Hüffel puis (1698) Madeleine Schweigheusser – luthériens
Anne Catherine Greiner et (1717) Jean Albert Eissenmann, pharmacien – luthériens
1742 h Marie Madeleine Eissenmann, et (1737) Jean Herrmann, pasteur – luthériens
1774 v André Stahl, maître maçon, et (1762) Catherine Barbe Greiner – luthériens
1791 v Philippe Jacques Streichenberger, charcutier, et (1787) Marie Barbe Blessig – luthériens
1799 h Jean Michel Kæssbohrer, boucher, et (1799) Marie Barbe Blessig veuve de Philippe Jacques Streichenberger
Louis Chrétien Gonthier Schæfer, docteur en médecine, et (1826) Sophie Caroline Kæssbohrer
1897 Georges Weil, maître boucher
1918 Alexandre Asch, marchand de cuirs

Maison rue Escarpée n° 6, ensuite réunie à l’actuel 112, Grand rue

1795 v Joseph Lemaire, maître de langues, et (1775) Marie Marguerite Four – catholiques
1815 v Jean Michel Schwartz, brasseur au grenadier (voisin)

Valeur de la maison selon le billet d’estimation : 500 livres en 1770

(1765, Liste Blondel) VII 57, au Sr Herrmann Ministre
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Stahl, 4 toises, 3 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 754, Schaeffer, Louis Chrétien Gauthier, docteur – maison, sol, cour – 1,46 are

Locations

1698, Daniel Maag, imprimeur
1700, Adam Neulinger, huilier
1738, 1747, Jean Christophe Pfaud, huilier
1774, fondeur d’étain Spæth, charcutier Streichenberger, femme du pasteur Moser, musicien Dorn, maître maçon Stahl
1822, Jean Jacques Irrmann, commis aux expéditions, et Marie Madeleine Hoh
1825, David Hoh, boucher,et Barbe Hoenig
1839, Jean Baptiste Pfeiffer, tailleur d’habits, et Jacqueline Schmitt

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le maître maçon demande qu’on lui indique l’alignement à suivre dans la rue Escarpée. L’inspecteur déclare que l’alignement n’a pas changé.

(f° 138) Dienstags den 17. Januarii 1775. – Mr Andreas Stahl, Maurer
Mr. Andreas Stahl, der Maurer bittet um Anzeigung des Allignements seiner in dem Gähgäßel ane der Langenstraas gelegenen behausung. Erkannt, Ist das Allignement dem alten fundament nach durch Herrn Bau: Inspectorem anzuweisen.

Description de la maison

  • 1770 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment médian et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le toit est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, il y a deux cours et un puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 47 / 25
Kaesbohrer
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 145 case 3

Schaeffer Louis Chrétien Gauthier, docteur

P 754, maison & cour, sol, Grand’rue 25
Contenance : 1,46
Revenu total : 144,76 (144 et 0,76)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 488 case 2

Schaeffer Louis Chrétien docteur
1897/98, Weil Georg, Metzgermeister

P 754, maison, sol, Grand’rue 160
Contenance : 1,46
Revenu total : 144,76 (144 et 0,76)
Folio de provenance : (145)
Folio de destination : vergr.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1880
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

P 754, maison
Revenu total : 200,76 (200 et 0,76)
Folio de provenance : vergr.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1880
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42 / 34
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
1880/81, Zugang – Schaeffer Ludwig f° 488, P 754, maison, revenu 200, Vergroesserung, achevée en 1877, imposable en 1880/81, imposée en 1880/81
Abgang – Schaeffer Ludwig f° 488, P 754, maison, revenu 144, Vergrösserung

Cadastre allemand, registre 29 p. 66 case 6

Parcelle, section 6, n° 37 – autrefois P 754
Canton : Langstraße Hs N° 106
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,44
Revenu : 3100 – 3700
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1918), compte 1307
Weil Georg u. Ehefrau geb. Lobstein
1926 Schmitt Jean et son épouse chacun pour moitié
(3665)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1918), compte 4209
Asch Alexander, Lederhändler
(622)

[biffé] (Propriétaire à partir de l’exercice 1945), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche (p. 341)

25
loc. Streichenberger, Phil. Jacq. saucissier – Bouchers
loc. Streichenberger, Marie Salomé, fille – Miroir
loc. Gruber, veuve garde malade – Moresse
loc. Schöttel, Jean Adam – Tailleurs
loc. Döbericht, Aug:, veuve – Tailleurs
loc. Reinhardt, Phil: Jacq: frippier – Moresse
loc. Moser, veuve – Tailleurs

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 232 Rue Escarpée dte. Gaehgaessel (p. 379)

5
Pr. Stahl, André, Mre maçon – Maçons
loc. Schænckbecher, Louis, Ltié – Moresse
loc. Hochbein, Louis, Savetier, invalide
loc. de Thone*, Martin, portier ch. le Pr. de Hohenloe – Privilégié
loc. Spraudler, Jean Simon, Cocher
loc. Chartel, veuve – Manante
loc. Schneider, Elisab. fille couturière
loc. Grua, Susanne

Registres de population

(1795) 9° section, Grand Rue N° 25 (registre 600 MW 9) – légende

Ph: Jq: Streichenberger, 39, Boucher – Strasb.
M. Barbe, id. 30, epouse – id.
Marg: Sal: Bauer, 24, Servante – id.
J. Frédéric Faus, 34, Boucher – id.
Anne Cath: id. 38 Epouse – id.
George Reuter, 16, Pensionnaire – id.
Cunégonde Mosser, 80, Veuve – id.
Sus. id. 50, fille – id.
Christ: Sop: Hebenstreit, 19, Petite fille – id.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 99)

(Haus Nr.) 106
Lorenz, Konfektionär. 02
Loeb, Kaufmann. 1
Loeb, Referendar. 1
Müller, Schreiner. 1
Walter, Näherin. 2
Baldauf, Strssb. Schaffn. 3
Wetzel, Tagner. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 202)

Grand rue 106 (1876-1995)

La veuve Schæffer fait poser en 1876 une devanture de magasin à gauche puis en 1877 à droite de la porte d’entrée. Le maître boucher Georges Weil fait transformer en 1899 la devanture et réaménage le rez-de-chaussée en agrandissant la cour. Le locataire David Levy transforme la devanture en 1925 et Maurice Jahns (Confection Maurice) couvre la cour d’un toit vitré l’année suivante. Le commerçant Jacques Fuks (magasin de confection Régine Couture, 1950-1975) remplace la devanture en 1953. L’enseigne posée en 1958 donne lieu à un différend entre la Police du Bâtiment et l’architecte des Bâtiments de France. Mme Closset réaménage le magasin (enseigne Phildar) en 1975 ; un premier projet qui remplace la porte d’entrée aux appartements est refusé. La boutique Marie Louise (société Fil Tric) pose en 1995 trois stores en corbeille.
Le local commercial est occupé par les coiffeurs Herr puis (1897) Diebold. Le marchand de vêtements pour hommes Edouard Lorenz y transfère en 1899 son magasin du 27, rue de la Haute-Montée.

Sommaire
  • 1876 – L’entrepreneur Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) demande au nom de la veuve Schæffer, propriétaire, l’autorisation de transformer en devanture de magasin trois fenêtres à gauche de la porte d’entrée selon le dessin joint. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement, que la largeur de la rue est fixée à 8 ou 10 mètres et qu’un trottoir longe la maison.
  • 1877 – L’entrepreneur Greiner demande l’autorisation de faire une devanture identique à droite de la porte d’entrée. L’agent voyer fait le même rapport que ci-dessus
  • 1884 – L’agent de police Kieger fait remarquer au nom de la commission contre le choléra que la fosse d’aisance dans la propriété de Caroline Kæsbohrer veuve Schæfer (demeurant 1, place du Dôme) n’est pas voûtée et qu’il s’en dégage de mauvaises odeurs. – Le maire écrit au propriétaire – Travaux terminés, octobre 1884.
  • 1885 – Le directeur de l’usine à gaz demande que l’installateur Bedicam soit autorisé à faire une prise pour environ trois becs au nom du locataire Benschel – Autorisation – Travaux terminés, novembre
  • 1887 (mars) – Le maire notifie le propriétaire Jules Beck de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1887.
  • 1896 – Le maître forgeron Jean Pfister (demeurant 10, rue des Dentelles) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire. La Police du Bâtiment note qu’il n’y en a encore aucune – Autorisation. L’enseigne (à 3,70 mètres de hauteur, en saillie de 85 centimètres) est posée.
  • 1896 – Le locataire Weber déclare que l’eau s’accumule dans le sous-sol. La Police du Bâtiment remarque que les eaux de pluie et les eaux de ménage s’écoulent par une rigole ouverte au rez-de-chaussée. Le propriétaire fait réparer la rigole qui n’est plus étanche. Dossier classé, octobre
  • 1897 – Le coiffeur Diebold a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. L’intéressé déclare que l’enseigne était déjà en place à son entrée. La Police du Bâtiment établit que le coiffeur Herr a occupé le local qui était un magasin de légumes d’octobre 1896 à mars 1897 et qu’il a cédé son fond à Diebold. Le coiffeur Diebold est invité à faire une demande puisque l’enseigne n’a jamais été autorisée – Autorisation
  • 1898 – La Police du Bâtiment fait remarquer que la dame Mœszner (bureau de placement) a transféré sans autorisation une enseigne perpendiculaire du 26 au 106, Grand rue – Demande – Autorisation
  • 1899 – L’entrepreneur Greiner (veuve Greiner et Peter, boulevard de la Tour Blanche) demande l’autorisation d’occuper la voie publique devant la maison – Autorisation – Dossier classé, septembre 1899.
  • 1899 – Le marchand de vêtements pour hommes Edouard Lorenz demande l’autorisation de transférer du 27, rue de la Haute-Montée une enseigne perpendiculaire au commissaire de police qui transmet au maire. – Autorisation – L’enseigne est posée, novembre
  • 1898 (décembre) – Le maître boucher Georges Weil (demeurant 94, Grand rue) demande l’autorisation de transformer la devanture et de réaménager le rez-de-chaussée – Autorisation (provisoire), eu égard à ce que la cour sera agrandie de 1,35 mètres sans cependant atteindre un cinquième de la surface comme l’exigent les nouveaux règlements – Dessin (élévation, coupe, plans du rez-de-chaussée et du premier étage) – Courrier de l’architecte Ch. Stieffel qui déclare que le propriétaire a supprimé une remise, ce qui agrandit la cour – La Police du Bâtiment répond que la cour doit avoir en l’occurrence 30 mètres carrés pour pouvoir organiser les secours en cas de sinistre – Autorisation accordée le 9 février 1899 après que la surface de la cour a été portée à 30,06 m². – Dessins définitifs sur calque
    La devanture est posée en novembre 1899, les travaux sont terminés et les locaux utilisés en février 1900
  • Commission contre les logements insalubres – 1905, Propriétaire, Weill, demeurant 94, Grand rue. Les logements sont bien tenus, les cabinets d’aisance raccordés aux canalisations
    Commission des logements militaires, remarques en trois points – Travaux terminés, octobre 1915
  • 1904 – Edouard Lorenz demande l’autorisation de poser deux lampes électriques – Autorisation – Les lampes sont posées – Edouard Loenz (Herren- und Knaben-Garderobe-Fabrik, Confection de vêtements pour hommes et garçonnets) informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré les lampes
  • 1905 – Le maire notifie Georges Weil de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1905
  • 1911 – Edouard Lorenz demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1913 – Le maire notifie le maître boucher Georges Weil de faire ravaler la façade – Les travaux ont lieu au printemps suivant
  • 1923 – Le marchand de confection Schierer fait ravaler la façade
  • 1923 – Ernest Hampelé (demeurant 6-a quai Kellermann) informe la Police du Bâtiment que la cheminée du bâtiment voisin n° 106 qui appartient à Alexandre Asch (demeurant 5, rue Marbach) n’est pas assez haute et que par conséquent la fumée se répand dans la partie supérieure de sa propriété. Le voisin a en outre recouvert de goudron les parties en bois de son grenier pour éviter que l’humidité n’y pénètre. – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de transformer la cheminée pour qu’elle dépasse de 50 centimètre la toiture des bâtiments voisins.
    Le fumiste Henri Brunck (3, rue des Bateliers) répond que la cheminée, distante de plus de 1,50 mètre des voisins, ne constitue pas de danger – La Police du Bâtiment organise une inspection en présence des différentes parties. Hampelé déclare n’avoir plus de griefs contre son voisin. Le dossier est classé.
  • 1925 – Locataire du magasin, David Levy demande l’autorisation de transformer la devanture sous la direction de l’architecte D. Falk (12, rue Kuhn) – Autorisation – Dessins (élévation, plan), enseigne A. Daub)
    1925 – Les mêmes demandent l’autorisation de couvrir la cour d’un toit vitré – Dessin – La Police du Bâtiment refuse d’accorder l’autorisation contraire au règlement – Les travaux sont néanmoins exécutés – La réception finale a lieu début septembre – La Police du Bâtiment note fin septembre que les travaux sont contraires à la décision du mois de juin précédent
    1926 – Maurice Jahns (Confection Maurice) qui a sous-loué le magasin de David Levy demande que le toit vitré soit temporairement autorisé eu égard à ce qu’il a eu des frais importants – La Police du Bâtiment le renvoie à l’architecte Falk qui demande l’autorisation correspondante – Maurice Jahns déclare que la moitié de la cour était déjà couverte d‘un toit. – Autorisation de couvrir la cour du toit vitré – Dessin
    La réception finale a lieu le 13 octobre 1927
  • 1928 – Courriers internes concernant des banderoles que la Division II a autorisées mais que la Division C / P a ensuite soumises à des restrictions – Le magasin de confection Maurice est autorisé à suspendre provisoirement un drapeau pour annoncer la liquidation de ses marchandises après cession de son fonds
  • 1933 – Le maire notifie Alexandre Asch (3-bis rue Marbach, Commissions, cuirs et peaux) de faire ravaler la façade – Le propriétaire obtient un délai – Travaux terminés, mai 1934
  • 1949 – Rapport de feu de cheminée, dû à un conduit non réglementaire. Les réparations sont terminées.
  • 1950 – Le magasin de confection Régine demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques sans éclairage – Maquette – Autorisation. L’enseigne est posée
    1951 – Le maître peintre A. Lienhardt (10, rue du Tournant à Kœnigshoffen) demande l’autorisation de poser une enseigne (première face Régine Couture, deuxième face Régine Tout pour l’homme) – Autorisation accordée à J. Fuks, vêtements Régine
    1951 – L’entrepreneur Frédéric Andlauer (140, Grand rue) demande l’autorisation de poser deux enseignes en plexiglas éclairées au néon aux magasins de M. Fuks, Pauline au 93, Grand rue et Régine au 106, Grand rue – Autorisation – Les enseignes sont posées.
    1952 – M. Fuks déclare avoir posé au deuxième étage l’ancienne enseigne
  • 1952 – Le locataire du magasin demande l’autorisation de supprimer dans son magasin une cheminée provisoire qui ne sert plus puisqu’une nouvelle cheminée est installée pour le chauffage au gaz. La Police du Bâtiment fait un rapport d’inspection et recommande au locataire de se mettre en relation avec le propriétaire Alexandre Asch (57, rue du Fossé des Tanneurs) – Le locataire exécute les travaux malgré l’interdiction de la Police du Bâtiment
  • 1953 – M. Fuks (magasin Régine Couture, vêtements pour hommes, dames et enfants) demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation
  • 1953 – Le commerçant Jacques Fuks dépose une demande de permis pour transformer la devanture du magasin sous la direction de l’ingénieur René Westermann (20, rue des Pontonniers). La Police du Bâtiment demande que la marquise soit moins grande – Plan de situation, dessins (élévation, devanture)
    1953 – L’entrepreneur Mario Brentel (15, rue des Jardins à Bischheim) demande l’autorisation d’occuper la voie publique
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable mais les enseignes ne devront plus être remises en place – Arrêté portant permis de construire, août 1953 – Les travaux sont terminés, ils ne donnent lieu à aucune objection, septembre 1953
    1953 (décembre) – L’architecte des Bâtiments de France désapprouve l’enseigne peinte sur le pilier gauche de l’entrée et celle posée entre le premier et le deuxième étage – L’enseigne est retirée, juin 1954
  • 1954 – Jacques Fuks demande l’autorisation de poser une enseigne à double face (libellé Régine) au néon – Maquette signée Ott Frères – Autorisation
    1954 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation
    1955, 1956, 1957, idem
  • 1958 – Alexandre Asch autorise le locataire Jacques Fuks à poser une nouvelle enseigne
    Jacques Fuks (Régine Couture) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Croquis
    La manufacture Albert Gerrer (rue des Verriers à Mulhouse) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au néon
    1959 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France écrit au maire que le 106, Grand rue qui se trouve en face du n° 79 protégé au titre des monuments historiques est inscrit à l’inventaire des sites. Il désapprouve la nouvelle enseigne. Le Police du Bâtiment qui a vérifié que le magasin ne figurait pas sur l’état transmis par le service des Monuments historiques estime qu’il n’y a pas lieu de revenir sur l’autorisation.
    Le préfet demande que l’enseigne soit retirée. Le maire répond en sollicitant une liste des sites à jour. Le préfet fournit les références. Le Service des monuments historiques s’engage à ne pas faire d’objection contre l’enseigne qui par ailleurs ne relève pas de la même réglementation que les panneaux publicitaires
    1959 (février) – La manufacture Albert Gerrer demande une nouvelle autorisation comme le propriétaire du magasin souhaite augmenter la saillie de l’enseigne – Le maire refuse la saillie supplémentaire, étant donné que l’enseigne dépasse déjà de 10 centimètres la saillie réglementaire de 80 centimètres sans avoir obtenu d’autorisation
  • 1969 – La maison Régine demande l’autorisation de poser un panneau provisoire pour liquider son stock – Autorisation
  • 1974 – Le maire autorise la maison Régine à vendre par liquidation pour cessation de commerce
    La maison Régine est autorisée à poser une enseigne provisoire
    1975 – Félix Gradowicz informe le maire qu’il n’exploite plus le magasin Régine. Mme Closset (54, route des Romains à Kœnigshoffen) a repris le fonds. L’enseigne en place en avril a été enlevée en mai 1975.
  • 1975 – Mme Closset demande l’autorisation de poser une enseigne Phildar. Dessins (devanture, plan) photographie (magasin Régine) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation (arrêté du maire) – L’enseigne est posée, juin 1975
    1974 – Dossier, transformation du magasin. Plan cadastral de situation. Dessin (la porte d’entrée sur la droite est transformée) – La société Bernard (de Morteau) fournit un devis pour agencer le magasin – Le permis de construire est de la compétence du préfet puisque le bâtiment se trouve dans le secteur sauvegardé. – La Police du Bâtiment émet un avis défavorable en novembre 1974, le rez-de-chaussée devant respecter le style des étages. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable.
    1975 (janvier) – La conférence du permis de construire maintient son avis défavorable une fois le projet modifié. Dessin (la porte d’entrée sur la droite n’est pas transformée). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. La conférence du permis de construire émet un avis favorable le 25 janvier – Le maire sollicite auprès de l’architecte des Bâtiments de France un nouvel avis après que le propriétaire du magasin a présenté de nouveaux dessins – La Direction du travail émet un avis favorable. Le préfet délivre le permis de construire en mars.
    L’ancienne devanture est déposée (avril 1975), la nouvelle est en place (juin)
  • 1977 – L’entrepreneur André Nonnenmacher (route de Strasbourg à Brumath) demande l’autorisation de ravaler la façade. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation d’occuper la voie publique. Le ravalement est terminé, mai 1977.Les encadrements sont peints en grès brillant et non en grès mat comme l’indiquait l’architecte des Bâtiments de France.
  • 1979 – L’entrepreneur André Nonnenmacher demande l’autorisation de poser un échafaudage pour remplacer des tuiles – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Travaux terminés, juillet 1980
    1981 – Même demande – Travaux terminés, mars 1981
  • 1987 – Le notaire Gilles Collet de La Petite Pierre demande des renseignements d’urbanisme sur le 106, Grand rue, canton 6 n° 27 appartenant à Chantal Nonnenmacher
  • 1995 – La société Walter demande au nom de la boutique Marie Louise (société Fil Tric) l’autorisation de poser un store – Dessins (maquette à un store, maquette à trois stores en corbeille) – Photographie de la devanture Phildar – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Arrêté du maire – Les trois stores sont posés, mars 1995

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1671 W 402)

L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable au projet de la réhabilitation présenté par la société civile immobilière Harmoglyn.

Sommaire
  • 2005 – La société civile immobilière Harmoglyn, représentée par Chantal Oberlé demande l’autorisation de réhabiliter le bâtiment : remplacer la couverture, ravaler les façades, remplacer les menuiseries extérieures, réaménager les trois logements (trois pièces) du bâtiment avant et les trois logements du bâtiment arrière (une pièce) – Plan de situation, plans de chaque niveau (ancien et nouvel état), élévation et coupe, par la Société d’Assurance Technique Immobilière (SATIM), 4, rue Silbermann à Strasbourg
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable parce que le projet ne respecte pas les articles correspondants du code de l’urbanisme. Le maire ne donne pas son autorisation à la déclaration de travaux

Relevé d’actes

D’après les aboutissants des propriétés voisines, la maison appartient en 1621 à la veuve Jean Wagner puis en 1635 à Georges Fennier.
Fille du sellier Jean Wagner, Marie Wagner épouse en 1614 Conrad Dittler, fils de l’aubergiste au Glaive

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 107 n° 8)
1614. den 28. Martÿ seind ehelich eingesegnet worden Cunrad Ditler vonn Straßburg weÿlandt Cunradt Ditlers gewesenen Würths Zum Schwerdt alhier nachgelaßener Sohn, Unnd Jungfr. Maria Wagnerin, Weÿland Hans Wagners des Sattlers vnnd Burgers seligen alhie nachgelaßene dochter (i 112)

Veuve, Marie Wagner se remarie en 1629 avec Etienne Gassner le jeune
Mariage, cathédrale (luth. f° 270)
1629. Doîca Exaudi 17. Maÿ. Stephan Gasner der jünger, H. Daniel Gasners sohn, vnd Maria Conrad Dütlers n. witwe, eingesegnet Zinstags 25. maÿ (i 140)

Etienne Gassner le jeune et sa femme Marie hypothèquent la maison au profit du fils de Jean Decker. En marge, quittance remise en 1638 à Georges Fennier, aubergiste au Glaive

1629 (6. octobr.), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 617
Erschienen Steffan Gaßner der jünger burger Zu St. und Maria sein eheliche haußfr. mit beÿstand Heinrich Pleichers deß Kürschners und Lienhard Ditlers deß Weißbecken beeder anstat ihr Mariæ nechster verwanthen hierzu insond.heit erbeten
haben in gegensein hanßen weÿ: hanß Deckers deß hutmachers und burgers s: alhie nachgelaßenen sohns Vogts Paul Deckers vnd Jacob Meÿers des hutmachers – schuldig seÿ. 100 Pfund
dafür Vnd.pfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen s alhie an der obern Straß. neben Niclauß Weber dem Käuffler & neben N. N. hinden vffs gehegäßlin stoßend gelegen
[in margine :] Hanß Deckers ietziger Vogt Andreß Graff gartner Vnderwagner, hatt in gegensein Mariæ weÿl. Steffen Gaßners deß Jüng. s. wittiben und ihres ietzigen Ehevogt H Georg Fenniers Gastgeb. Zum Schwerdt (…) q.tirt den 18. Aprilis Anno 1638.
[in margine :] Erschienen Hannß Decker der Musquetierer und. dem H Maior alß Creditor hatt in gegensein Georg Veniers obgemelt (…) Act. d. 7. Decemb a° 1652

Etienne Gassner le jeune, alors aubergiste à la Ménagerie, et Marie Wagner hypothèquent la maison au profit du boulanger Jean Georges Dambach. En marge, quittance remise en 1638 à Georges Fennier, aubergiste au Glaive

1631 (ut spâ. [9. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 311
Erschienen Stephan Gaßner der Jünger, ietzig. Würth Zum Thiergarten vnd Maria Wagnerin sein eheliche haußfraw mit beÿstand Heinrich Bleichers vnd hanß Heinrich Römers beeder Kürschner alß ihrer hierzu insonderheit erpetener nechsten verwanthen,
haben in gegensein hanß Georg Dambachen deß Weißbecken auch burgers alhie – schuldig seÿen 100. lb St.
dafür Vnderpfandt sein soll Ein Vorder: vnd hinderhauß, sampt deren hoff, hoffstat vnd allen andern gebäwen alhie An der Obern Straßen neben (-) ein: und and.seit (-), hinden auff daß Gehgäßlin stoßend gelegen
[in margine :] Erschienen hanß Georg Dambach der Creditor hatt in gegensein der hierin gemelten Schuldbekennerin, mit beÿstand ihres ietzigen Ehevogts Georg Feniers Würths Zum Schwerdt (q.tirt) Act. den 9. Octobris 1637.

A nouveau veuve, Marie Wagner épouse en 1634 Georges Fennier, originaire de Carinthie (localité citée sous le nom de Tervis ou Zerffes), anciennement au service de la tribu à la Fleur
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 173-v n° 34)
1634. Geörg Vennier von Tervis aus Kärndten gewesener Haus Knecht Zur Blumen, Wolff Venniers hinderlaßener Ehelicher Sohn, und Maria Stephan Gaßners gewesenen Würths Zum Thiergarten hinderlaßene Wittib (i 187)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 347) 1634. Geörg Vennier von Treuis aus Kärndten Haus Knecht Zur Blummen, wolff venniers des Krämers daselbsten n. sohn, und Maria Stephan Gasners wirths Zum thiergarten n. witwe, eingesegnet Zu S. Claus Zinstags 26. aug. (i 178)

Georges Fenninger, aubergiste à la Ménagerie, devient bourgeois par sa femme la veuve d’Etienne Gassner, trois semaines après son mariage
1634, 4° Livre de bourgeoisie p. 142
Georg Fenninger Von Zerffes auß Kernden der würth Zum Tiergarthenn hatt Burgerrecht von seiner frauwen Marien Weÿl. Stephans Gaßners deß geweßenen Würths Zum Türgartt. hind. laßene wittib Will Zu den Freüburg. Zünfftig sein den 18. 7.bris 1634

Selon l’inventaire dressé en 1697 (voir plus bas), la maison a été vendue par enchère judiciaire le 15 janvier 1650. Barbe Klug et consorts qui vendront aussi l’auberge au Glaive en 1672 cèdent au farinier Ulric Greiner la maison grevée d’usufruit au profit de Georges Fennier

1665 (28. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 35-v
(Prot. fol. 3) Erschienen der Ehrenvest und Weÿs herr Mathäus Hellbeckh genannt Behem E. E. Großen Rhats Beÿsitzer alß Vogt frawen Barbaræ Klugin, Wittibin, Ferners Herr Johann Hartmann Wörtz alß Schaffner deß Waÿsenhaußes ahne statt hannß Georg Römers so in besagtes Waÿsenhauß uff: und eingenohmen worden seÿe, Mehr hannß Jacob Schwainle der kübler alß seiner Anzeig nach mündlicher befelchhaber Elisabethæ Kleinin seiner Schwigermutter /:dero Vogt vor wenig. tagen Verschieden seÿe:/, Weiters hannß Henrich Römer der Kürßner für sich selbsten und alß Vogt Paul Römers, Item Herr hannß Philipß Reinbold der Kürßner alß Vogt Ursulæ Veronicæ Raffin, Item hannß Michael Oberhaußer der Schuhmacher alß Ehevogt Veronicæ Knauffin, So dann Hannß Carl Marquart der Schneider alß Ehevogt Annæ Catharinæ Knauffin und alß Curator ad Lites Thomæ Spengels und Zwar obgedachten hannß Henrich Römer, hannß Philipß Reinbold und hannß Carl Marquard, so Viel ihre Minderjährige Vogts persohnen betrifft mit assistentz der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen Herren Johann Peter Schmidts und Herrn Johann Leonhard Fröreisens beÿder alß auß E. E. Großen Rhats mittell ad Contractus Minorum insonderheit Deputirter
in gegensein Ulrich Greiners des Meelmanns
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders: mit ihren höffstätten, höfflin, und allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weith. Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie ahn der Obern straßen einseit neben Daniel Rosten dem Kandten Gießern, anderseit neben herrn hannß Caspar Wolffen alten Großen Rhats Verwanthen, hinden uff daß Gähe Gäßlin stoßend geleg., welche behaußung umb 100. lb weÿl. herrn Jacobi Bærtschen Contractuum Notarÿ nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, Item umb 100 lb Daniel Füeßeln dem Schuhmachers, Item umb 50. lb Georg Veniern dem geweßenen würth Verhafftet, so habe auch ietzt Ernannter Venier /:der gesambten Verkäuffer hiebeÿ erstattetem bericht nach:/ die ietzt Verkauffte Behaußung ad dies vitæ Usufructuarie Zugenieß. welcher usufructus auch Ihme Von den Verkäuffer reservirt und Von dem käuffern gelaß. (übernohmen) – umb 300. lb

Originaire de Hundholz (aujourd’hui Adelberg) en juridiction d’Adelberg près de Schorndorf en Wurtemberg, le boulanger Ulric Greiner épouse en 1644 Catherine, fille du tisserand et teinturier Frédéric Gasser
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 24-v)
1644. Dominica XXII Trinit. 24. 8.bris. Ulrich Greiner der Weißbeck von Hundholtz Adelberger Ampts beÿ Schorndorff, Georg Greiner des Weißbecken daselbsten nachg. Sohn Vnnd Jfr. Catharina Friderich Gassers des sergenwebers V. ferbers nachg. stoßend. Copulavi Montag 2. Decembris J S Peter (i 32)

Ulric Greiner devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1644, 4° Livre de bourgeoisie, p. 223
Ulrich Greiner Von Hundtsholtz der Beckh empfahet d. burgerrecht von seiner haußfr. Catharina, Friderich Gaßner deß Ferbers alhie dochter vmb 8 Gold fl. seind bede ledigen standts geweßen vndt Würdt Er Zu den Beckhen dienen. Jur. den 9. 10.bris 1644.

Ulric Greiner se remarie en 1675 avec Marie, veuve du fourbisseur Paul Schwanfelder
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 254, n° 27)
1675, Eâd. [Dom. III. Trinitatis 20. Junÿ] Dom.câ. Ulrich Greiner der Meehlmann Vndt Burgern allhier Vndt Fr. Maria Hn Paul Schwanfelder deß Schwerdtfegers v. Burgers allhie nachgel. Wittib. Copulavi Eod. die [I. Julÿ] (i 267)

Proclamation, cathédrale (luth. f° 5-v, n° V) 1675. Zum 2 mahl Ulrich Greiner der Meehlman undt Burger alhier, fr. Maria Weiland Hr Paul Schwanfelders gewesenen Schwerdfegers u. Burger nachgelaß. W., Donnerstag den 1.t Julÿ J. St Peter (i 7)

Originaire de Köndringen en margraviat de Bade, juridiction de Hochburg, Marie Egen épouse en 1671 Paul Schwanfelder
Mariage, cathédrale (luth. f° 141, n° 24)
1671. Dom Exaudi. Zum 2. mahl hr. Paul Schwanfelder der Schwerdfeger Burger alhier, Jfr. Maria Weiland Michael Egen gewesenen Landmann Zu Ginderingen in der Oberen Marggsch. und Herrschafft Hochburg. Sonntags den 15.ten Junÿ, Münster (i 143)

Marie Egen devient bourgeoise par son mari
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 387
Maria Egin, Von Kindringen, auß der Obern Marg Graffschafft, empfangt daß burger recht von Paul Schwanfeldern, dem Schwerdtfeger und burgern alhie, umb 8. Gold fl. so beÿ der Cantzleÿ erlegt den 23.ten Maÿ A° 1671.

Marie Egen veuve d’Ulric Greiner meurt en octobre 1701 en délaissant pour héritiers testamentaires le licencié Philippe Louis Künast et sa femme Salomé Saltzmann. L’actif de la succession s’élève à 156 livres, le passif à 27 livres.

1701 (31. 8.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Inventarium und beschreibung allerder Jenigen haab und nahrung, so weÿland die Viel Ehren und tugendsahme fraw Maria gebohrne Ehin, auch weÿland deß Ehrengeachten herrn Ulrich Greiners gewes. meelmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene wittib nun auch seelige, nach Ihrem den 28.ten dießes Monats aus dießem müheseeligen leben genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche vff ansuchen erfordern und begehren deß hoch Ehrenvest Großachtbar und hochgelehrten herrn Philipp Ludwig Künasten J U. Di und Eines Ehrsamen Groß. Raths wohlbestellten Procuratori und Advocati ord. vnd die Edel hoch Ehr: und tugendbegabten frawen Salome gebohrner Saltzmännin, beeden Eheleuth und per testament eingesetzten Erben auff vorhergegangener Ableßung und erklärung deß eÿdts eÿgens und zeÿgens (…) wie auch Meister Friderich Cammüllern den Schneidern sem. Magdalenen deßen Haußfrauw und fraw Anna Maria weÿl. Sebastian Schranckenmüllers gewes. Pastetenbecks und burgers allhier hinderlaßene Wittib geäugt und gezeugt – Actum Straßb. in Gegensein aller Interessenten den 31.ten Octobr. 1701.

In einer in der Statt Straßburg, an d. höllengaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörig. behausung befunden worden
In d. Wohnstuben
Erster Wÿdumb, Wo die verstorbene fraw seel. von weÿland herrn Ulrich Greinern seniore geweßenen Meelmann und burgern allhier Zu Straßburg seel. ad dies vitæ genoßen und nun mehro gefallen – über erstged. H. Greinern seel. Verlaßenschafft vfgerichteten Inventarÿ vom 6. Junÿ aô 1697. hat die seelige fraw nach lauth der Ehepacten §° 5.to Zeit lebens Zu genießen gehabt auch wÿdemns weiß genoßen, so nunmehro deßelben eintzigen Erben Meister Ulrich Greinern dem Weißbecken und burgern heimbgefallen
Zweÿte Wÿdemb, So die seelige fraw von weÿland Herrn Paul Schwangfeldern, dem Geschwornen meßerschmid und burgers allhier, Ihrem erstern Mann seel. ad dies vitæ Genoßen, das eÿgenthumb aber davon nunmehro deßelben Erben Zugefallen. Derselbe ist anfangs in dem im Kleinen Kuppelgäßel allhier gelegenen Schwanfelderischen hauß und dem an der Schindbruck gelegenen Gaden bestanden
Calculus, haußrath 46, Silber 2, Guldenen ring 11, Pfz. haubtgt. 100 (Summa summarum) 156 lb – Passiv schuld 27, Rest 132 lb
Darzu kommen die wÿdemb so nunmehr gefallen, 1. von herrn Ulrich Greinern herrühren 520, 2. von herrn Paul Schwanfeldern 88 – Stall Summ 721. lb
Außlüfferung der Legaten, M. Friedrich Cammüllers haußfrauen, M. Friderich Cammüller

Le farinier Ulric Greiner l’aîné assisté de son cousin le boulanger Ulric Greiner le jeune vendent une maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière à l’huilier Jean Frédéric Cottler en février 1697. Ulric Greiner le jeune, seul héritier d’Ulric Greiner l’aîné annule le contrat selon le vœu du vendeur. Ulric Greiner devient ainsi seul propriétaire de la maison

1697 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 105-v
H. Ulrich Greiner, der ältere Mehlmann mit beÿstand Ulrich Greiners deß jüngern deß weißbecken seines Vettern
Johann Friderich Cottlers, deß Ohlmanns
Zweÿ häußer, nemblich Ein Vorderes und Ein hinderes, mit Ihren hoffstätten, höfflein, und allen andern deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehördt. und gerechtigkeit. allhier an der Obern Straßen einseit neben Johann Peter Reußnern dem Spillendreher anderseit neben Hn David Stamler dem Specereÿhändler, hind. umb die Stamlerische behausung sich herumb Ziehend in d. Gäh gäßlein darin vier auß gänge gehen – umb 1500 pfund
darbeÿ ist insond.heit verglich. daß d. verkaüffer, so lang Er d. leb. hab. wird, die ietz bewohnte Stub, und zwo stub Cammern, Küch, und haußehren, auff den ersten vord. stock, So dann im Mittlern Stock eine Cammer und ein Klein Cämmerlin, wie dem Kleinste Keller Unden vordern Stock, auch platz zum holtz, ohne zinß genüßen solle
[in margine :] Erschienen Ulrich Greiner der jüngere hierin gemeldt, alß einiger Erb des nunmehr verstorbenen Ulrich Greiners deß ältern, an einem, So dann Johann Friderich Cottler der Ohlman, am andern theil, haben angezeigt vnd bekandt, daß gleich etliche tag nach der hievor stehend. verschreibung in dem sich die intention deß Käuffers nicht hat erreich. laß. woll., sie solch. Contract wid. auffgehob. alßo daß d. selbe alß nicht zu geschehen Zu acht sein solle, Seÿen auch die empfangene 500. lb wid. Zurückgegeb. word. darüber quittirend. Act. d. 13.ten Jul. 1697.

Le boulanger Ulric Greiner hypothèque la maison au profit de Georges Pick, brasseur à l’Ours noir, le jour même où il déclare l’annulation de la vente passée en février 1697

1697 (13.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 344
Ulrich Greiner der Weißbeck
in gegensein H. Georg Picken, deß Bier Sieders Zum schwartzen Bähren, schuldig seÿe 350 pfund
unterpfand, Zweÿ haüßer, Nemblich ein vorders und ein hinders, mit Ihren hoffstätten, höfflein und allen anderen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. und Gerechtigkeit, allhier an der obern Straßen, einseit neben Johann Peter Reißner dem Spillendreher, anderseit neben H. David Stammler Specereÿ händler, hind. umb die Stammlerische behaußung sich herumb ziehend in das Gahgäßlein darein Vier außgänge gehen

Originaire de Plüdershausen en duché de Wurtemberg près de Schorndorf, le boulanger Ulric Greiner fils du meunier Georges Greiner, devient bourgeois sous le nom de Ulric Kleiner en octobre 1691. La filiation est aussi donnée aux actes de mariage et de sépulture, voir plus loin
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1082
Ulrich Kleiner, der beck Von Blödershausen in dem Hertzogthumb Würtenberg gelegen gebürtig Weÿland Georg Kleiners geweßenen Müllers daselbst sel. Sohn, erkaufft das burgerrecht Vor p. 6 gold fl. 16 ß. so Er bereits auf dem Pfenningth: erlegt, ist annoch ledigen standes Vnd wird Zu E. E. Zunfft der becker dienen. Jur: d 1. 8.bris 1691.
[in margine :] d. 28. Martÿ seind ihme 4. gold fl. Wider geben worden L. Erkandtnuß E. E. Großen Raths

Ulric Greiner qui demande au Quinze le droit de débiter le vin est renvoyé aux préposés de l’accise.
1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
f° 79-v) Sambstags den 29. Martÿ – Hannß Ulrich Greuner pt° Weinschancks
Hannß Ulrich Greuner, so den Weinschanck Verlangt, per Künast, bitt undt. th. ihme solchen gn. Zu Willfahren, mit erbiethen die gebühr wegen des Schilds gleich andern quartaliter jm Umbgeld abzurichten.
Erk. Vor Obere Umbgeld herren gewießen

Ancien boulanger de l’hôpital, Ulric Greiner, fils du meunier de Plüderhausen en juridiction de Schorndorf, épouse en avril 1693 Marie, fille du boulanger Georges Hüffel
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 35 n° 222)
1693. Festo Paschatis seÿn Zum 1. mahl außgeruffen worden Ulrich Greuner der Weißbeck und geweßener Pfister im Hospithal allhier, weÿl. Georg Greuners, geweßenen Müllers Zu Bletterhaußen im Schorndorffischen Ampt, Fürstl Wirtenbergischer Herrschafft nachgel. S. Jfr. Maria Georg Hüffels Weißbeckens und burgers allhier Eheliche Tochter. Seÿndt copulirt Worden Mittw. den 1. April. [unterzeichnet] Ullrich Greiner alls hochzeiter, Maria Ursul hüffelin alls hoch Zeitern (i 35)

Ulric Greiner obtient des Quinze début mai le droit de vannage et de farinier de son beau père
1693, Protocole des Quinze (2 R 97)
(f° 76-v) Sambstags den 2. Maÿ – Ullrich Greuner pt° Wannenrechts
Ullrich Greuner, d. burger und Weißbeck alhier, per Saltzmann, prod. beede Extractus von E. E. Zunfft der Lucern und Becker, Umb seines Schwährs Wannen Und Meelrecht, bitt dieselbe obrigktl. Zu confirmiren, Erk. Confirmirt.

Marie Ursule Hüffel meurt en août 1697. Le veuf est seul héritier de sa fille. La succession comprend la boulangerie à l’angle de la rue des Cheveux et la maison proche la rue Escarpée. L’actif de la succession s’élève à 1590 livres, le passif à 800 livres.

1697 (3. 8.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 5) n° 1
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender und Farhrender, so weÿl. die Viel Ehren: und tugendsame Fraw Maria Ursula Greinerin gebohrne Hüffelin, des Ehrenhafften Meister Ulrich Greiners des Weißbecken undt burgers alhier Zue Straßburg geweßene eheliche Haußfraw seel. nach Ihrem den 8. Augusti jüngsthien aus dießer mühseeligen Welt genommenen seeligen Ableiben, Zeitlichen hinder ihr verlaßen, Welches alles auf erfordern und begehren gedachten Ulrich Greiners des hinderbliebenen Wittibers, als nach Absterben weÿl. Mariæ Ursulæ der seel. abgeleibten mit Ihme Wittibern ehelichen erzeugten döchterleins, so nach Ihro der Mutter seel. dießes Zeitliches gesegnet hinderlaßenen einigen Erbens – Actum Straßburg den 3. Octobris st. n. Anno 1697.
Copia der Eheberedung

Inn einer inn der Statt Straßburg in d. Lang. straß ane dem Haargäßlein ohnfern d. Gastherberg Zum Rebstock gelegenen undt in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Hültzin undt Schreinwerck. Auff dem Obern bühnel, Inn der Meel Cammer, In der obern Stuben, Im obern Haußöhren, Inn der Kuchen, Inn d. Soldaten Cammer, Im hindern Stübel
Eigenthumb ane behaußungen. Item eine Behaußung, Hoffstatt, Höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier inn Straßburg, inn der Obernstraßen, einseits ists ein Eck, oben am Haargäßlein, ander seits neben Johann Christian Pauli dem Schuhmachern stoßt hinden auff Hannß Heinrich Reffolds des Rothgerbers Wittib. Davon gehen jährlichen 13. ß 4 d in Geltt undt 3. Cappen dem mehren Hospital alhier Zur Bodenzinns sonst über theils Nachgemelter Passiv Schulden, freÿ, leedig und eigen. Und ist dieße Behausung d. 15. aug. 1691. von d. St: St: geschwornen Weckmstr. mit aller obig. beschwerd æstimirt word. umb 425. lb. d. dißmals ab th. 450. lb d, davon abgezog. vorgesetzte beschwerdt so à 5. p. C° Zu Cap. gerechnet macht 28. lb d. Verbleib demnach Von Vorgemelt. Anschlag annoch p. rest übrig 422. lb d
Darüb. besagt i. perg. Kffbr. mit d. St. St. C. C. Ins: verwahrt und. 15. Maÿ A° & 1693. datirt, auß deme Zuerseh. d. d. hind.bliebene Wb in die v.storbene Frau seel. solche über Abzug eines 6.ten theils, welcher d. seel. v.storbenen alß Mütterl. Guth gebührte, von weÿl. Georg Hüffeln d° respê Vatter und Schwähern u. dann Maria Dorothea Hüffelin d. abgeleibten seel: schwester mit beÿstand Mstr: Philipp Fautels des Pastet. becken u. Burgs. alhier jhres geordnet u. geschwornen curatoris, ane sich erhandelt. A tergô dießes brieffs stehet, welchermaß. beede Eheleuthe dem mehrern hospital in Abschlag des Ihme anestatt Pfrund. geltts in Solutum cedirt. Cap. d. 450. lb. d. bezalt haben 200. lb d, d. also demselb. annoch restirt 250. lb. d. Ferner d. obged. Mariæ Dorotheæ hüfflin d. schwester die Ihro schuldig gewesene 200. lb d sampt noch 43. lb 18 ß 9 d welche d. Vatt: seel. Ihro weg. Mütterl. Guts Ergäntz. schuldig word. u. Ihnen beed. Eheleuth. auch abgestattet, und Zu abstoßung deßen von H Paul Flachen, Oberschreib. des mehren Hospitals alhier 150. lb d auffgenommen word. Sodann d. Fr: Brigittæ Bantzin, obig. Georg Hüffels hind.laßener W. in abschlag Ihrer Zu prætendiren habend. 150. lb d bereits 100. lb d bezahlt u. d.selb. also annoch außständig seÿe 50. lb d. Signirt mit Lit: A. Ferner weißt j. perg. Kffb. auch mit d. St: St: Insigel in allhiesig. C. C. stub v.fertiget wie weÿl. Georg hüffel d. seel: Verschiedenen Fr: Vatter und Anna Maria Dolpin beede Eheleuthe nunmehr seel. erwehnte behauß: v. weÿl. H. Georg Wagnern dem Öhlmann u. Maria Wagnerin, Niclaus Carlen des Schuhmachers haußfr: mit Consens ged: Ihres Ehem. erkaufft und wie solche nach u. nach bezahlt wird. Lit. A. It. j. alt perg: Kffbr: mit vorberührtem anhangendem Insigel becräfftiget, sub dato d. 28. Martÿ 1631. von welchem Zuerseh. welch. gestalt. vorberührter Georg Wagner d. Öhlmann solche behaußung von Georg Lochbühler dem Schneid. u. burger alhie u. Susanna Kauffmännin deß. Haußfrauen kaufflich. an sich gebracht, mit alt. N° 1 u. jetzt Lit. A. Signirt.
Weiter j. abgelößter Zinßbr: über 150. fl. so weÿl. Georg Hüffel d. frawen seel. Vatter schon d. 22.t 8.bris 1678. ane Hn Sebast: Schranckenmüller d. Weißbecken bezahlt, dat: d. 22.t 9.bris aô & 1641. mit a. N° 10 jetzt neu: Lit: A. notirt, Mehr ein pap: v:schribung dicto Loco gefertigt, sub dato 3.ten Jan: 1657 üb. abgelöstes 150. fl. besagend, mit altem N° 25. jetzt m. Lit: A. bezeichnet. It. Copia j. teutsch. Kffbr. mit des Bischoffl. hoffs Innsiegel v. Hn Not: Heinrich Meÿern v.fertigt: u. vidimirt, des brieffs datum ist d. 2.t Jan: 1541. mit altem N° 10. jetzt mit n. Lit: A. notirt, So dann noch i. alt abgelöster Zinnßbriefff mit des bisch: hoffs Zu Straßb. Insiegel v.wahrt, sub dato d. 6.ten 8.bris 1678. bezahlt word. mit a. N° 10. jetzt ab. neuem Lit: A. bemerckt.
It: ein Vord. u. hind. hauß mit Ihren hoffstätten, höfflein u. allen übrig. Gebäuwen, begriff. Weith. Zugehörd. u. Gerechtigkeit. geleg. alhier in d. St: St: in d. obern Straß 1.s neben Joh: Pet: Reüßner dem Spillenträh. 2. s. neb. H. Joh: David Stamlern dem specierer hind. auff das Gähgäßlein stoßend, so über theils nachgemelt passiv-Schuld. und 500. lb. d. Wÿdumb, welch. weÿl. H. Ulrich Greiner seel. d. 28.sten Junÿ aô & 1675. fr. Mariæ gebohrner Egin seiner hind.bliebenen W. darauff Verschafft, freÿ ledig u. eig. u. durch die hießige geschwornen Hh. Werckmeistere d. 17.ten Junÿ hujus aî p. 1600. fl. æstimirt word. th. 800. lb. Davon ab abgezog. nächst vorgemelt Wÿdumb, so fr Maria Greinerin gebohrne Egin ad dies vitæ Zu genißen u. Sie auch würcklich. Zu Verstallen schuldig thut 500. lb. Demnach restirt noch, so hier außzuwerffen 300. lb. Über jetzt beschriebenes Vorder: u. hinder hauß besagt i. teutsch. perg. Kffbrieff mit d. St. St: anhang. Contr. Insiegel Verwahrt, de dato d. 28. Jan: 1665. mit a. N° 1 et 18. jetzt aber mit Lit. B. bezeichnet. Dabeÿ ferner i. perg. Ganth Kffbr. mit des Statt gerichts anhangnedem Innsiegel v. wahrt, deßen datum d. 15. Jan: aô 1650. mit a. N° A & 18. u. n. Lit. B. notirt
Norma hujus inventariÿ. der Haußrath thut 108, Vieh 6, Schiff und geschirr 40, Wein und Leere Faß 7, Silber Geschirr und Geschmeidt 18, Guldene Ring 5, Baarschafft 48, Pfenningzinß hauptgüter 589, Eigenthumb ane Häußern 722, Schulden ins Erbe Zugeltend 44, Summa summarum 1590. lb – davon gehen ab, Schulden 800, Nach abzug der passivorum restirt 790. lb, conclusio

Ulric Greiner se remarie avec Madeleine Schweigheusser, fille d’aubergiste
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 82)
1698. Domin: I. et II. post Epithan: proclamati sunt Ulrich greiner der Weißbeck v. burger alhier V. Jfer Magdalena Hrn. Daniel Schweigheüßern deß gastgebers Vndt burgers alhier nachgl. tochter Copulati sunt Mittw. d. 22. Januarÿ [unterzeichnet] Ullrich Greiner alls hochzeiter, Magdalena schweigheüßerin alß hochzeiterin (i 84)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari qui comprennent deux maisons s’élèvent à 1 605 livres, ceux de la femme à 488 livres.

1698 (17.2.), Not. Scherer (Jean Louis, 52 not 1)
Inventarium undt Beschreibung aller undt jeder Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehrenhaffte Meister Ulrich Greiner der Weißbeck Wie auch die Viel Ehren und tugendsame Fraw Maria Magdalena Schweighaüßerin, beede Eheleuth undt burgere alhier einander, crafft auffgerichteter Eheberedung inn jhren ohnlängst angetrettenen Ehestand für ohnverändert Zugebracht haben – Actum in der Königl. Statt Straßburg in beÿweßen Hn Daniel Schweighaüßers der frawen leibl. Vatters, d. 17.ten febr: 1698.

Inn einer hernach beschriebenem dem Ehemann eigenthümlich zugehörigen und inn der obern Straaß ohnfern dem Wirthshauß Zum Reebstöckel gelegenen von beeden Ehegemächten bewohenden becken behaußung sich befunden
Hültzin: undt Schreinwerck. Auff dem Obern bühnel, Vor der Meel Cammer, In der obern Stub., Im obern Haußöhren, Inn der Kuchen, Inn d. Soldaten Cammer, Im hindern Stübel
Eigenthumb ane häußern. (M.) Item eine Becken behaußung, Hoffstatt, Höfflin in der Obern Straaßen, ohnfern dem Wirths hauß Zum reebstöckel (…)
(M.) It: ein Vorder u. hind. hauß mit Ihren hoffstätten, höfflein und allen übrig. begriffen. Weith. Zugehörd. recht. u. Gerechtigkeit. geleg. alhier in d. St: St: in d. ob. Straßen 1.s neb. Joh: Pet: Reüßner dem Spillen träher, die 2. s. neb. H. Joh: David Stamlern dem Specierer, hind. auff das Gähgäßlein stoßend, So theils über hernachgemelte passiv-Schuld. freÿ, ledig und eig. u. durch die Hh. Werckm. aô 1697 æstimirt worden p. 800. lb. Darüber besagt ein perg. teutsch..Kffbrieff mit d. C C stub Insiegel Verwarth, dat: d. 28. Jan: 1665. mit a. N° 1 et 18. u. letztlich mit Lit. B. bezeichnet.
Nota. Auff jetzt geschriebener and. behaus: ist fr. Maria Egin, weÿl. Hn Ulrich Greiners gewes Meelmanns u. burgers alhier seel: hind. laß: Wittib umb 500. lb Wÿdumb wechen Sie ad dies vitæ Zugenießen, von ermeltem Ihrem Ehewirth seel. v.wieß. worden, Nach d° tödl. ableiben aber bleibt das Eigenth: eingangs ermelte, Ehemann, Zum bericht
(des Ehemanns Vermögen) Sa. hausraths 292, Sa. Schiff und geschirrs auch Mehl, frucht u. Gekörns Zum becken hand: und Mehlwerck gehörig 73, Sa. Vieh 6, ß Weins, Leerer Faß und bütten 19, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 37, Sa. Guldener Rings 6, Sa. baarschafft 17, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 632, Sa. Eigenthums ane behaußungen 1222, Sa. Schulden 114, Summa summarum 2422 lb – Schulden 817, Nach deren Abzug 1605 lb – Sa. Zweiffelhafften Schulden 51 lb
(der Ehefrauen Nahrung) Sa. hausraths 260, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener Rings 37, Sa. baarschafft 171, Summa summarum 488 lb
Haussteuren 59 lb
Zuwißen seÿe hiemit und in Crafft dieses (…) persönlich kommen und erschienen istn Catharina gebohrne Böhlerin, Noël Glech des Soldaten under Monsr. Langrene Compagnie du Regt. Baillot eheliche haußfraw, die bekante freÿ offentlichen, welcher maßen Ihro wohl wißend, daß weÿl. Hr. Ulrich Greiner der ältere geweßener Meelmann undt burger alhier dero geliebter Vetter seel. bereits vor 9. oder 10. Jahren N. N. einem Gürttler seinem Vettern auß dem Würtenberger Landt etwas ahne geltt gegeben (…) Mittwochs d. 2. Aprilis A° 1698

Ulric Greiner loue la maison à l’imprimeur Daniel Maag

1698 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 426
Ulrich Greiner, der Weißbeck
in gegensein H Daniel Maag, deß buchtruckers
entlehnt, In seiner an der Obern Straß zwischen David Stammler, den Specereÿhändler und hans Peter Rößner den Spillentreher gelegenen behaußung, hernach folgende gemach, nemblich die vordere Obere Stub, mit den Zweÿ Nebens Cammern, Küch. und haußöhren, auch den obern fruchtkasten, sambt noch einer Cammer, Ferner der hinderen stub, mit samt den zweÿ darzu gehörigen Kämmerlein, Endlich einem absonderlich. Keller, und einem holtzhauß, alles auff dreÿ jahr lang von Michaelis künfftighin diß jahrs anzurechnen, umb einen jährlich zinß nemblich 25 pfund

Ulric Greiner loue la maison à l’huilier Adam Neulinger pour neuf ans

1700 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 444
Ulrich Greiner der weißbeck
in gegensein Adam Neulingers, deß Ohlmanns
entlehnt, Eine hinder behaußung hinden an seiner an der obern straß am Gäh gäßlein gelegenen behaußung sambt allen zu solchem hind. hauß gehörig. gebaüen und begriffen, Ferner im Vorderhauß eine Cammer unden auff die Gaß d. straß gehend, umb sein Öhl zu verwahren, und feil zu hab. Mehr stallung für ein pferd, und platz ein paar wägen mit heü zu leg., der hoff, bronnen, und Einfarth im gäßlein soll beed. theÿlen gemein sein, darbeÿ insond. heit verglichen, daß dem Entlehner erleubt sein solle under dem bemeldt. hind.hauß, Eine Öhltrott auf seinen Cost. mach. zu laß., welcher auch sein verbleiben, und beÿ den abzug ihm mit zu nehmen erlaubt sein solle, Und ist dieser lehnung gescheh. auff Neun jahr lang, von Michaelis diß jahrs anzufang. nahme, und sich enden auff Michaelis 1709 – umb einen jährlich. Zinß nemblich 24 pfund

Ulric Greiner sollicite auprès des Quinze le droit de fabriquer de l’huile en novembre 1707. Il expose dans son mémoire qu’il a cessé d’être boulanger à cause de la maladie de sa femme. Comme il a vendu sa boulangerie et qu’il tient à exercer un métier, il sollicite le droit de fabriquer de l’huile bien qu’aucun huilier n’ait accepté de lui apprendre le métier. Il argue que les boulangers peuvent changer de métier moyennant paiement d’un droit, que les garçons huiliers et les garçons boulangers ont le même statut. Les huiliers répondent que le pétitionnaire n’a pas fait son apprentissage et que c’est un homme qui a les moyens de ne pas exercer de métier. Son locataire Adam Neulinger a bien le droit de fabriquer de l’huile sans qu’on sache si ce droit est attaché à la maison ou à sa personne. Il s’établirait ailleurs s’il quittait la maison du pétitionnaire, ce qui augmenterait le nombre des huileries et ruinerait la profession en son entier. Ulric Greiner cite plusieurs huiliers qui n’ont pas suivi d’apprentissage. Sur proposition du préteur royal, Ulric Greiner bénéficie d’une dispensse moyennant paiement de 10 livres. Les Quinze lui remettent à sa demande une expédition de leur décision en avril 1708.
1707, Protocole des Quinze (2 R 111) et 1708 (2 R 112)
Ulrich Greiner pt° Öhlrechts
(f° 347-v) Sambstags den 19. Novembr. 1707. S. noîe Ulrich Greiners des geweßenen Weißbeckhen prod. unterth. Memoriale vnd bitten wie inhalts pt° Öhlrechts. Erk. an die Obern Vngelts Hhn gewießen

(f° 379-v) Sambstags den 17. Decembr.
G. nôe Ulrich Greiner burgers undt geweßenen Weißbecken prod. Extractum aus E. E. Zunfft Gerichts der Becken Protocollo, crafft deßen Er, wegen suchendes Ohl gerechtigkeit an MGHherren verwießen worden, Referirt sich anbeÿ auff d. jüngst übergenene productum vndt bittet Ihne damit gn. Zu Willfahren. S. Citatus præs. bittet deputationem. Erl. an die Obern Vngelts Hh. gewießen.

(f° 394-v) Freÿtags den 23.ten Decembris 1707. – Ulrich Greiner pt° Öhl: Rechts
Iiden [Obere Vngelts Hh.] per Herrn Friden es habe Ulrich Greiner der geweßene Weißbeck, den 19.t Novembris jüngst seun unterth. Memoriale übergeben H. Sr Fridt lißt daßelbe ab, darin gedn. H.. Greiner, vorgetragen, welcher gestalten Er wegen seiner haußfrawen bekanten blödigkeit, das weißbecken handwerck auffgeben undt dahero sein beckenhauß neben dem haargäßlein verkauffen, vnndt sich in sein ander hauß in der Straß so die Ohl gerechtigkeit habe, retiriren müßen, Wann Ihme aber ohnmöglich falle, ohne handtwerck Zu seÿn, undt sein mittel sich nicht erstrecken, sich ohne gewerb mit weib vndt kindt zu ernehren, dannenhero Er sich entschloßen d. Ohlweßen Zu treiben, vndt sich schon vmb Joh. Bapt: d. umb ein lehr mstr umb geschawt, dem Er aber, weilen die Ohlleüth niemand lehren wollen, bißhero ô haben finden können, Alß wolte Er unterth. gebetten haben, Ihme damit gn. Zu willfahren, in erwegung daß 1° beÿ E E Zunfft der Becker die mutirung der handwercker gegen erlag eines gewißen Stuckgelts in usu, 2° der alhießigen Ohlleuth Knechte ins Gemein beckenknecht seÿen, die vorhin das handwerckh so wenig gelernt als wenig es an andern Orthen vor ein handwerck æstimirt auch niemahlen darauff gewandert werde, dannenhero 3° weniger Kunst bedörffe, wie dann 4° H. Rathh. Jacob Teutsch beÿ .E.E. Zunfft der Freÿburger vndt H. Rath. Johann Schell beÿ E. E. Zunfft der Gartner auch Öhlmänner geweßen seÿen, Worauff MGHheren die sach an E E Zunfft der Becken gewießen, von welcher der Implorant den 17.ten hujus einen Extractum Protocolli vom 14. Ejusd. producirt, daraus Zu ersehen, daß derselbe wider an Mghherren remittirt worden weilen man alda nicht wiße, ob die, in deßen hauß befindliche Öhl Gerechtigkeit personal oder real seÿe.
Alß man hierauff die Parthen darüber angehört habe Greiner sich auff die contenta seines Memorialis und gef. Extractum bezogen. Noîne der Zunfft habe Sebastian Gaß der Zunfft meister gesagt, daß Sie die sach Mghheren überlaßen wolten, im nahmen der Ohlleüth aber, seÿen erscheinen Joh: Georg Decker undt Johann Friderich Kuttler welche berichrtet aß Vermög articul einer 2. jahr lernen undt tag und nacht beÿ dem Mehr meister im hauß seÿn solle, vndt wann Gegner solches thäte, Sie Ihme nichts im weeg Zu legen hette, (2) Er die Ohlleüth ruiniren würde, auff befragen wann Er die 2. Jahr lang gelernt, Ob er Sie auch ruiniren würde? hetten Sie nichts darauff Zu antwortten gewußt, (3) gegner gute mittel habe, vnd aus seinen mittlen leben könte, (4) Er seinen haußmann Adam Newlinger aus dem hauß treiben der ein ander hauß lehnen und dadurch die anzahl der ohlhäußer vergrößern würde. Worauff der Implorant verschiedene præjudicia Vorgelegt daß andere, d. Ohlweßen nicht gelernt, vndt doch daßelbe getrieben haben alß Samuel von Thur, Leonhard Pfäler sen. Hanß Schneider, Dieboldt Nägelin, Lorentz Günther, Hanß Frieß, Michael Steitz, Davidt Beuther, Georg Geüdelin, hannß Martin Dautel, hannß Decker, Georg Wagner, Hanß Baß, H. Jacob Teutsch, H. Rathh. Schell, H. Rathh. Wörner vndt Philipp Waldtman der Peruckenmacher, denen das Ohlreht willfahrt worden, mit fernerem beÿfügen, daß d. Ohlhauß, worein er Ziehen wolle, sein eigen seÿe, Er schon 16. jahr beÿ EE. Zunfft der Becken Zünfftig, dabeneben Alt seÿe, vnd eine blöde fraw habe, Er sich auch beÿ dem Newlinger in die lehr habe einschreiben laßen, derselbe aber aus verstriffen der Meisterschafft ihne nicht annehmen wollen. Dagegen Jene umb manutenentz der articul gebetten stünde denach Zu MHHerren, ob sie obalegirte præjudicia in Consideration Ziehen, vndt dem Imploranten in seinem begehren gegen erlag 10. lb dispensando willfahren wollen.
Herr Prætor Regius hielte davor, daß dem Imploranten gegen erlag der 10. lb dispensando willfahrt werden könte. Erk. Gefolgt.

(f° 71) Sambstags den 17.t Martÿ 1708
G. noîe Ulrich Greiner deß burgers vnd ohlmanns, der bittet unterthänig vmb schrifftliche communication deß In Sach gtra. E E Zunfft der Becker jüngst ergangenen bescheids. Erkannt Willfahrt.

(f° 107-v) Freÿtags den 20. Aprilis 1708. – Ulrich Greiner Ca. die Ohlleüth
Iidem laßen durch H. Friden proponire daß Ulrich Greiner des geweßte Weißbeck vmb schrifftliche communication deßen causa gtra der ohlleuth ergangenen bescheids angehalten, so ihme auch willfahrt worden. H. Frid liß denselben ab. Erk. beliebt.
Bescheidt. Freÿtags den 23.ten Decembris 1707. In Sachen Ulrich Greiner des burgers vndt geweßten Weißbecken, Kläger, ahne Einem, entgegen und wider E. E. Zunfft der Becker in Specie E. E. Meisterschafft der ohlleüth beklagte am andern theil, ist pt° Öhlrechts Erkandt, Wirdt Klägern deßelbigen in seinem eigenthümlichen ohlhauß Zu treiben gegen erlag 10. lb d halb der Statt halb der Zunfft willfahrt.

La tribu des boulangers renvoie Ulric Greiner aux Quinze pour l’affaire précédente
1707, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 34-v) Mittwochs den 14.ten Decembris – Ulrich Greiner, der gewesene Weißbeck, bringt vor, daß bereits Vor einem halben Jahr nach dem Er Wegen seiner Haußfrauen bekanten Leibs blödigkeit, sein beckenwerck quittirt und das Haus Verkaufft, und darauff Zu erlernen sich etliche mahl angemeldet, der es Ihnen aber rund abgeschlagen undt Ihne nicht recipiren Wollen, bittet deßwegen Ihme diß orths Gerichtlichen Dispensationem, fürohien Öhl Zumachen und Zu verkauffen, Wie Verschiedenen andern, doch diß seits Frembden und nicht Zünfftigen gegen Erlag eines Stück geltts, davon die häffte dem Pfenningthurn und die überige hälffte E. E. Zunfft Zugefloßen Von Vnßern Gnädigen Herren XV. hiebevor gnädig gedeÿen umb ebenmäßig Gebühr großgünstig Wiederfahren Zulaßen.
H. Daniel Günther nomine der Ohlleüthe replicirte, Greiner seÿe ein begütherter Mann, undt hätte dießes nicht Von nöthen, Greiner aber repetirt sein petitum und bitten die angeogene præjudicia undt motiven in Consideration Zu Ziehen.
Erkant, Weilen Greiners suchen einig die Dispensation umb Völliges Meister Recht betrifft und dißorths nicht wissend, ob die in des Imploranten Hauß bereits befindliche Ohl gerechtigkeit, so Von Neülingern daselbst auffgerichtet Worden, personal oder real seÿe, Greiner mit seinem Gesuch an Unßere gnädige Herren XV. Zu Verweißen

L’huilier Jean Ulric Greiner loue une partie de sa maison dont la boutique d’huilier à l’huilier Jean Christophe Pfaud

1738 (22.5.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 294,
H. Johann Ulrich Greiner E. E. großen Raths alter beÿsitzer und ohlmann
in gegensein Johann Christoph Pfaudt ledigen mehrjährigen Ohlmanns beÿständlich seines vatters Johann Reinhard Pfaudt des Stattglaßers
entlehnt, In einer ahne der Obern straß einseit neben Fr. Werckmeisterin der wittib anderseit neben Johann Georg Jundt glaßer gelegenen behausung Im vordern stock unten auf dem boden stub, Kuchen, dem Ohlladen, eine daran liegende Kammer, die Ohl kammer in dem hoff unter dem Mittlern gebäu samt dem gantzen Mittlern gebäu, im hoff die trott und ohlmühl wie auch das gantze hinderhauß, den Keller im hinder hauß wie auch die haubühn und Pferdtstall, das holtzhauß im eck ahne der hindern thür und den im vordern keller zu rechter handt ahne der stieg unterschlagenen platz – auff 9 nacheinander kommende jahr um einen jährlichen Zinß nemlich 66 pfund

Ulric Greiner meurt le 17 novembre 1742. La minute de l’inventaire dressé par Abraham Kolb n’est pas conservée

1743, Not. Kolb (Abraham, répert. 65 Not 45) n° 206
Inventarium – Greiner, weÿl. H. Ulrich, geweßenen Ohlmanns und E.E. Großen Raths allhier alten beÿsitzers seel. Verl.

Le pasteur mentionne dans l’acte les parents et les deux épouses successives du défunt. Un des témoins est le mari de sa petite-fille, le pasteur Jean Herrmann de Barr
Sépulture, Saint-Thomas (luth. Past. C, 1741-1771, f° 8 n° 43)
Anno 1742. den 17. Novembr. vormittag ein viertel nach 9. uhr ist gestorben und Mont. den 19. ejusd. zu St. Helenæ begraben worden Herr Ulrich Greiner Öhlhändlern burger u. E. E. Gr. Raths allhier alter beÿsitzer, Seine Eltern waren weÿl. Hr Georg Greiner geweßenen Burger meister und Müller Zu Schorndorff Würtenbergischer Herrschafft und Margaretha gebohrne Kuntzin, ward verheurathet Zum ersten mahl mit Jfr. Maria Ursula Hüffelin, Georg Hülffels geweßenen Weißbecken u. burgers allhier ehel. tochter, Zum andern mahl aber mit Jfr. Maria Magdalena gebohrner Schweigheußerin, weÿl. Hn Daniel Schweigheußer geweßenen Gastgebers Zum Pflug und hernach Zum blauen bauren und burgers allhier ehel. tochtern die er auch alß Wittib hinterlaßen, Seines alters 75. Jahr 10. monath und 6. Tag, die Leichen Sermon hielte zu St. Nicolai H. Johann Georg Schweigheußer Diac. Thom. [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Evangel. Pfarrer in Barr als Enckelmann, Johann Michael Schweigheußers als Schwager (i 9)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de12 700 florins
1743, Livres de la Taille (VII 1179, f° 196-v
Becker F. N° 8779 – Weÿl. Ulrich Greiner Ohlmann und Ex Senatoris Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 211.b, 6564 lb 15 ß 7 d, gehet ab der Hausraht so dißorts der Verstallung befreÿet 189. 18. 10, restirt 6374. 16. 9
die machen 12.700 fl. Verstallte 12.600 fl, Zu wenig 100 fl.
Nachtrag auff acht Jahr in duplo à 6 ß, 2 lb 8 ß
und auff Sechs Jahr in simplo à 3 ß, 18 ß
Extat kein Stallgl.
Gebott, 2 ß
Abhandlung 7 lb 7 ß 6 s, Summa 10 lb 18 ß 6 d
dt. 2° Martÿ 1743.

Marie Madeleine Schweigheusser meurt à l’âge de 70 ans le 19 octobre 1746
Sépulture, Saint-Thomas (luth. Past. C, 1741-1771, f° 38 n° 221)
Anno1746. Mittwoch den 19. octobr. Abends umb 6 uhr ist gestorben und Freÿt. den 21. ejusd. zu St. Helenæ begraben worden fr. Maria Magdalena Greinerin, gebohrne Schweigheußerin, ihres alters 70. Jahr 9. Monath, 13 tag, Ihre eltern waren weÿl. Herr Daniel Schweigheußer geweßener Gastgeber und burger allhier und Fr. Anna Catharina gebohrne Güntzerin seine Haußfrn Sie ward verheurathet mit weÿl. Hrn Ulrich Greiner gewesenen Öhlhändlern u. burgern allhier wie auch E. E. Gr. Raths alten beÿsitzer, die Leichen Sermon hielte zu St. Thomæ M. Johann Georg Schweigheußer Diac. Thom. [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Evangel. Pfarrer in Barr als Enckelmann, Johann Michael Schweigheußers als Bruder (i 40)

La maison revient à leur petite-fille Marie Madeleine Eissenmann, épouse du pasteur Jean Herrmann.
Leur fille Anne Catherine Greiner épouse en 1717 le pharmacien Jean Albert Eissenmann : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehren Vest und Kunsterfahren Herrn Johann Albrecht Eißenmann Leedigen apotheckher, weÿland deß wohl Ehren Vest Großachtbahr, fürsichtig und Großachtbahr. Johann Friderich Eißenmann auch geweßenen Vornehmen Apothecker und E. E. Kleinen Raths allhier Zu Straßburg alten beÿsitzers, burgers daselbsten, mit auch weÿland der Edlen, Viel Ehr: und tugendbegabten frawen Catharina Margaretha gebohrner Sebitziußin seeligen, erzeugtem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren: und tugendgezierten Jungfrawen Anna Catharina Greunerin, deß Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Ulrich Greuner Ohlmann und burgers Zu gedachtem Straßburg mit der Viel Ehr: und tugendreichen frawen Maria Magdalena gebohrner Schweickhäußerin Ehelich erzeugten Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen und Verhandelt in Löblicher Statt Straßburg, auff Mittwoch den 15. Septembris im Jahr, als man nach Christi unßers Einigen heÿlandts undt Seeligmachers geburth Zahlte 1717. [unterzeichnet] Johann Albrecht Eisenmann als brautigamb, Anna Catharina Greinerin Als hochzeiterin – Daniel Roth, Nots. Jur: Publ. Requisit.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 34, XVII)
1717. dominica XX & XXI post Trinitatis proclamati sunt Herr Johann Albrecht Eisenmann Wohlverordneter Apotecker und burgere Allhier Weÿl. H. Johann Friderich Eisenmanns burgers Apoteckers auch E. E. Kleinen Raths Wohlmeritirten beÿsitzers Hinterlaßener ehel. Sohn und Jfr. Anna Catharina herrn Ulrich Greiners burgers und Ohlmanns allhie ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. den 20. 8.bris [unterzeichnet] Johann Albrecht Eißenmann als hochzeiter, Anna Catharina Greinerin als hochzeiterin (i 38)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1 112 livres, ceux de la femme à 1 916 livres. Le mari est propriétaire pour moitié de la pharmacie Scheid, sise rue des Hallebardes
1718 (31.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1430
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so der Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrene herr Johann Albrecht Eißenmann Apothecker und die Viel Ehren und tugendreiche fraw Anna Catharina gebohrne Greunerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 31.ten Maÿ Anno 1718. in fernerem gegenseÿn h. Tit. H. Philipp Caspar Leiterspergers deß beständigen Regiments der Herren XV. hochansehnlichen beÿsitzer, vornehmen burgers allhier, des Eheherrn annoch ohnentledigten Herrn Curatoris.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Strasen gelegenen der Ehefrauwen Eltern Eÿgenthümblich gehörigen behaußung sich volgender massen befunden.
Eÿgenthumb ane einem Gärtlein (M.) It. j. gärthel Vor dem Fischerthor unterhalb dem Neßelsteg (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in die Ehe gerachtes Guth betr. Sa. haußraths 81, Sa. Wein und Leerer Vaß 20, Sa. Silbers 32, Sa. Goldener Ring 58, Sa. baarschafft 53, Sa. Pfenningzinß hauptgüter haupt Güther 149, Sa. Eÿgenthumbs ane I Gärthlein o, Sa. Eigenthumbs ane I. Apothecker behaußung 4750, Sa. Eÿgenthumbs ane Gültt und liegende güthern o, Summa summarum 5144 lb – Schulden 4031, Nach deren Abzug 1112 lb
der Frauen Nahrung concernirend, Sa. haußraths 180, Sa. Silers 58, Sa. Goldener Ring 134, Sa. baarschafft 1543, Summa summarum 1916 lb
Wÿdumbs Verfangenschaften. Benantlichen der Edle, wohl Ehrenvest, hochachtbahre und Kunstberühmte herr Johann Heinrich Copp vornehme Apothecker und burger allhier Zu Straßburg von weÿl. der Edlen viel Ehren und tugendbegabten frauen Catharina Margaretha Cappin gebohrne Sebitziußin seiner geweßenen Fr. Eheliebstinin alß dißorts Eheherrn frau Mutter (…)
Item S. T. Herr Heinrich Nicolaj hocherfahrener Medic: Doctor und berühmter Practicus ist gleichfalls von weÿl. S. T. Frauen (-) gebohrner Kiehlin seiner erstern Fr. Eheliebstin als des dißortigen Eheherrn fr. Großmutter Schwester (…)
So dann hat auch S. T. Fr. Judith Sebitziußin gebohrne Deckerin des Eheherrn werthgeehrte Fr. Stieff Großmutter crafft der mit seinem in gott ruhenden H. Großvatter als Ihrem geweßenen Ehegatten auffgerichteten heuraths verschreibung §° 2.do (…)
(M.) Eigenthumb ane einer Apothecker behausung und dem darzu gehörig. Corpori der Apothecker Wahren, sambt denen Vasis auch Schiff und geschirr Zur Apotheck gehörig (…)
Specificatio, dessen so noch nicht meinem Inventario Zugebrachter Ehe einverleibt ist. Erstl. die helffte der sogenandten Scheidischen Apothecker behaußung in der Spießgaß (…)

Anne Catherine Greiner meurt en 1727 en délaissant trois filles. La masse propre aux héritiers s’élève à 2 071 livres. L’actif du veuf et de la communauté est de 3 064 livres, le passif de 4 136 livres.
1727 (12.8.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 7) n° 142
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung undt Güttere so weÿl. die Viel Ehren und tugendbegabte fraw Anna Catharina gebohrne Greinerin deß Wohl Ehrenvest undt Kunst Erfahrenen herrn Johann Albrecht Eißenmanns vornehmen Apotheckers und burgers allhier Zu Straßburg geweste Eheliebste nach ihrem den 21. Aprilis dieses lauffenden 1727.ten Jahrs genommenen Tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf Ansuchen und begehren herrn Ulrich Greüners ohlmans undt burgers allhier der verstorbenen seel. leiblich. Vatters alß geschwornen vogts derselben mit ermeltem ihrem hinterbliebenen herrn Wittibern Ehelich erzielter und hinderlaßener dreÿer Kindter und ab intestato Erben, Nahmentlich. Mariæ Magdalenæ, Mariæ Salome undt Catharinæ Dorotheæ Eißenmännin, inventirt – So beschehen Straßburg in fernerem beÿsein fr. Mariæ Magdalenæ Greinerin gebohrner Schweighäußerin der Kindter und Erben Großmutter, So dann Mariæ Elisabethæ Geißelin gebohrne Eisenmännin des H. Wittibers fr. Schwester auff dinstag den 12. aug. a° 1727.

Hültzen und (Schreinwerck). In der gesellen Cammer, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der großen Stub, In deß Herren Stub, Vor dießer Stub, Im Hauß öhren, In der Küchen
(f° 14-b) Eigenthumb ane Einer gemeinschafftlichen Apothecker Behaußung, so deß H: Wittibers unverändert. Die helffte ane der sogenannten Scheidischen apothecker behaußung (…)
Ergäntzung der Kinder und Erben Ermanglenden ohnveränderten Gueths. Vermög deß über hievorberührter beeder geweßter Ehegatten durch nunmehr weÿl. H. Notm. Daniel Rohren sel. in A° 1718. auffgerichteten, erst letstthin aber verfertigten undt von H. Not° Joh: Philipp Lichtenberg d. 4. Junÿ 1727. vidimirten undt zu Endt unterschriebenen Zugebrachten Nahrungs Inventarÿ
Norma hujus inventarii. Copia der Eheberedung
Der Kindter undt Erben ohnverändertes Vermögen. Inn Einer allhier in der Statt Straßb. in der Spießgaß undt hernach fol: (-) beschriebener Apothecker behaußung, vulgo die Spieß apotheck genannt: befunden worden alß volgt, Sa. haußraths 180, Sa. Silber undt geschmeids 32, Sa. goldenen Ringen 45, Sa. Schulden 150, Sa. Ergäntzung 1665, Summa summarum 2071 lb
Wirdt auch, weilen die KK. Vogt auf das theilbahre renuncirt deß H. Wittibers undt die Theilbahre Nahrung unter Einer massa beschreiben, Sa. haußraths 95, Sa.Wein u. leeren faß 15, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. baarschafft 60, Sa. Eigenthums ane vorher beschriebener apothecker behaußung 1750, Sa. deß zu vorberührten apothecker behaußung gehörig. Corporis 771, Sa. der Vasorum auch Schiff und geschirrs 61, Sa. der Schulden 250, Summa summarum 3064 lb – Schulden 4136 lb, (passiv onus) 1072 lb
Verstallungs Summa 998 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg, auff Mittwoch den 15. Septembris 1717

Jean Albert Eissenmann meurt en 1730 en délaissant deux filles. L’inventaire de sa succession consiste à revoir celui de sa femme
1730 (13.5.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 7) n° 143
Revisions Inventarium über Weÿl. deß wohl Ehrenvest und Kunst Erfahrnen herrn Johann Albrecht Eißenmanns geweßenen vornehmen Apotheckers und burgers alhier Zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1730. – nach seinem den 22. Aprilis dieses Lauffenden 1730.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf erfordern und begehren deß Ehrenvest und Vorgeachten Hn Ulrich Greüners Ohlmans undt burgers allhier deß ab resp. Schwäher vatters, alß geschwornen Vogts Mariæ Magdalenæ undt Mariæ Salome Eißenmännin, sein deß Jetzt Verstorbenen seel. mit auch weÿl. der Viel Ehren und tugendreichen fr. Anna Catharina Eißenmännin gebohrner Greünerin ehelich erzielter undt annoch Verlaßenter zweÿer Kindter und ab intestato hinterlassene Erben, auß dem über erstgemelter Fr. Anna Catharina Eißenmännin gebohrner Greünerin alß deß jetz abgeleibten geweßener Eheliebsten seel. Verlaßenschaffts Inventario Vom 12. aug: 1727. allein revidirt – Actum Straßburg undt Sambstag den 13.ten maÿ Anno 1730.

Inn Einer allhier in der Statt Straßb. in der Spießgaß gelegener undt hernach bemerckter Apothecker behaußung, vulgo die Spieß apotheck genannt: befunden worden alß volgt,
Krafft Eingangs gedachten Inventarÿ über der Frawen seel. Verlaßenschafft Auffgerichtet thut der Kindter undt Erben ohnveränderter haußrath fol. 41.a dem Stall Tax nach 180. lb, Sa. Abgangs 15, im Rest 165 lb
Silber undt geschmeids 60, Sa. Schulden 150, Sa. Ergäntzung 1698, Summa summarum 2106 lb
Des Verstorbenenn haußraths 15, Sa.Wein u. leeren faß 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Goldene Ring 140, Sa. Eigenthums ane vorher beschriebener apothecker behaußung 1750, das Corpus der zue hiehero bemerckter apothecker behaußung gehörig. 771, Vasa 61, Schulden 310, Summa summarum 3222 lb – Schulden 5699 lb – Endlicher Schulden Nachstandt 369 lb

Marie Madeleine Eissenmann épouse en 1737 Jean Herrmann, pasteur veuf de Barr : contrat de mariage, célébration
1737 (7.11.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 125
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn M. Johann Hermann Treu Eiffrigen Evangelischen Pfarrherrn zu Barr Straßburger herrschafft, Wittiber und burgern zu Straßburg hochzeitern an Einem
So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfr. Mariæ Magdalenæ Eißenmännin weÿl. des Ehren Vest, Wohlvorgeachten undt Kunst Erfahrnen Herrn Johann Albrecht Eißenmanns gewesten vornehmen Apotheckers auch burgers allhier mit auch weÿl. Fr. Annæ Catharinæ gebohrner Grünerin seel. Ehelich erzielter undt nach Todt verlaßener Ehelicher Tochter der Jfr. Hochzeiterin andern Theills
So beschehen undt Zugegangen in der Königlichen Statt Straßburg auff Donnerstag den 7. Monats tag Novembris anno 1737.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 147)
1737. dominica XXII. et XXIII. Trinit.. proclamati sunt Herr M. Johannes Herrmann treueifferiger Pfarrer beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu Barr v. burger allhier V. Jgfr. Maria Magdalena weÿl. herrn Johann Albrecht Eisen Mann, Gewesenen Apoteckers v. burgers allhier nachgelaßene ehel. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 27 Novembr. [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Pfarrer in Barr als bräutigam, Maria Magdalena Eißenmännin als braut, Johannes Fridericus Kobert pfarrer in Auenheim als Schwager, Ulrich greiner gros Vatter (i 151)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison d’Ulric Greiner, grand-père de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 1 522 livres, ceux de la femme qui comprend une part de la pharmacie paternelle à 1 522 livres.
1738 (9.1.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 11) n° 257
Inventarium über die Jenige Nahrungen so der wohl Ehrwürdig undt wohl gelehrten herrn M. Johannes Herrmann dermahlen trew Eifferiger Evangelischer Pfarrer in Barr Straßb. herrsch. undt die viel Ehren undt tugendt Reichen fr. Maria Magdalena gebohrne Eißenmännin, beede Eheleuthe undt burgere dahier Zu Straßburg Einandter für unverändert in den Ehestandt gebracht, auffgerichtet aô 1738. – theils Zu Barr den 15. dito auffgenommen, theils aber nach seiner vorigen Eheliebstin fr. (-) gebohrner (-) seel. Zugebrachten Nahrung Inventario durch H. Notaroium Joh: Brucken den 4. et 30. Mertz 1737. auffgerichtet undt Verfertiget d. 20.ten ejusdem allhier revidirt
So beschehen Straßburg in fernerem beÿsein herrn Johann Ulrich Greiners des ohlmanns undt E: E: Großen Raths alten beÿsitzers undt deßen Ehegattin alß der fr Pfarrerin geliebter Mütterl; Groß Elternn wie auch H. Johannes Becken deß buchhändlers und deßen Eheliebstin dahier auff Seith. deß herrn Pfarrers

Inn Einer allhier Zue Straßburg in der langen Straß gegen der gastherberg Zum grünen Dragoner über gelegener H. Rathh. Greiner dem Hn Großvatter Eigenthümlich zuständiger Behaußung hat sich befunden alß volgt
Eigenthumb ane Einer Apothecher behaußung undt darzu gehörigem Corpori so der fr. Pfarrerin ohnverändert. den halben theill von der helffte vor ohnvertheilt der sogenannten Scheidischen Vulgo aber die Spieß Apothecker behaußung und übrigen darzu gehörigen Corpori in der Spießgaß (…)
Norma hujus inventarii,. Des Eheherrn zue gebrachter haußraths 431, Sa. Bibliothec 190, Sa. Wein faß undt bitten 386, Sa. Silber undt Geschmeids 174, Sa. goldener Ringen 28, Sa. der baarschafft 510, Summa summarum 1722 lb – Schuld 200, Nach deren Abzug 1522 lb
Demnach Wirdt auch der Fr. Pfarrerin Zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 133, Sa. Silber undt Geschmeids 56, Sa. golden Ringen 173, Sa. baarschafft 260, Sa. Einer Apothecker behaußung 897, Summa summarum 1522 lb
Haussteuren 116 lb, Waran nach auffgerichteter Eheberedung Jeedem die helffte gebührig macht 58 lb
Wÿdemb Alß den herrn Pfarrers Zugebrachter nahrung, ane herrn Philipp Jacob Lang Pfarrherrn Zu Eckendorfff heßen hanaw lichtenbergischer jurisdiction

Jean Herrmann loue au nom de sa femme Marie Madeleine Eissenmann une partie de la maison à l’huilier Jean Christophe Pfaud

1747 (12.1.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 16-v
H. M. Johann Herrmann der Pfarrer zu Barr uxorio nomine Fr. Maria Magdalena geb. Eißenmännin
in gegensein Johann Christoph Pfaud des ohlmanns
verlühen, in einer alhier ane der Obern Straß einseit neben Fr. Werckmeisterin der wittib, anderseit neben Johann Georg Jund dem glaßer gelegenen ohlbehausung, im vorderhauß unten auff dem boden alles was so von der gaß an biß an das mit steinernen blatten belegten höffel befindet, das Ohlkämmerlein in dem höffel, den Pferdstall, heubühn und kuhstall statt des holtzhaußes das ohlhauß samt dem darinnen sich befindlichen kellerlein, das wellen bühnlein vom stall ab biß über die s.v. mistgrub, die hintere bühnen im hintersten gebäu des haußes zwo kammern, eine wo dermalen der knecht schlafft und die neben der soldaten kammer, die kammer wo man auff dem mittleren gänge hinein gehet samt der bühn darüber, das s.v. Schweinstall neben dem thor einen dritten theil des geträmten kellers, die wohnung vor die hintersten hausleuthe, welche der entlehner an ehrlichen leuthe zu verlehnen befugt ist, In der mittleren wohnung der [sic] vorderhaußes was auff diese im boden ist biß an die stiegen samt dem aschkasten auf dem obersten boden, die zweÿ obersten bühnen im vorderhauß, das holtzhauß im hoff neben dem s.v. mist Kasten und einen dritten theil des geträmten kellers, so dann wird der entlehner vergönnet die mit latten zugemachte kammer neben der bühn steeg auff der untersten vordersten bühn zu genießen solang biß einmal die oberste vordere wohnung auch verlehnt oder selbst gebaucht würde – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Johannis Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 156 gulden

Femme du premier diacre du Temple Neuf, Marie Madeleine Eissenmann meurt en 1770 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans le presbytère du Temple-Neuf. Les experts estiment la maison Grand rue 500 livres. L’actif de la succession qui comprend une part de la pharmacie paternelle s’élève à 4 670 livres, le passif à 3 722 livres.

1770 (5.11.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 554) n° 207
Inventarium über Weÿland der hoch-Edlen: Viel-Ehren: und tugendbegabten Fr. Mariæ Magdalenæ Herrmännin geb. Eißenmännin, S.T. H. M. Johannes Herrmann treueiffrigen Diaconi Sen: beÿ der Prediger gemeinde und angesehenen burgers allh. Zu Straßburg geweßene Fr. Eheliebste, nunmehr seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet in anno 1770 – nach ihrem den 15. Junÿ lauffenden 1770.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat, Welche Nahrungs Verlaßenschafft heut dato zu end stehend; auff ansuchen erstgedachten herrn Wittibers (…) beneben Jgfr. Catharinæ Bauerin der Haußhälterin – So geschehen allh. Zu Straßb. auf Montag den 5.ten Novembris & seq. Anno 1770.
Die Verstorbene Frau Pfarrerin seelige hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1° S.T. Herrn Johannes Herrmann, Med. Doct. & Prof: publ. extraord. Wie auch angesehener b. allhr. Zu Straßb. 2° Herrn Gottfried Herrmann, Apothecker und auch burger allh: 3° Herrn Johann Friedrich Herrmann J.V. Ltum welche dreÿ Majorennis, und diesem Geschäfft persönlich abwarteten
4° herrn Ludwig Herrmann, ledigen Handels Mann so letzt verfloßenen 17. Junÿ 21 Jahr alt war, 5° Jgfr Mariam Magdalenam Herrmännin, welche 19 Jahr alt, 6° Johann Daniel so 16 ½ Jahr alt Und 7° Margaretham Salome, welche seit dem 23.ten Junÿ letzthin 11 Jahr alt ist. Über diese vorher beschriebene 7. Erben hat die Defuncta auch noch ein töchterlein nahmens Cleophe Elisabetha hinterlaßen, welches seither auch verstorben und von dem H. Wbr. als Vater geerbt worden ist, dieweilen derselbe aber zufolg hernach befindlichen Vergleichs auf dieße Erbschafft renuncirt solche denen Übrigen Kindern ebenfalls abgetretten, so wird solches hier nur Zur Nachricht angemerckt. Und ist in Vorbenannter der 4 jüngern annoch minorennen Kkr. nahmen, welche mit ihrem Ältern H. Bruder H. Doct. Herrmann bevögtigt wind, weilen derselbe beÿ diser Succession selbsten interessirt ist, anbeÿ erschienen herr Joh: Friderich Teutsch der Post: Meister und b: allh: (…) ihr interesse bestens besorgt hat, Alle Sieben der Fr. Pfarrerin seel. mit aingangs benanntem ihem hinterbliebenen H. Wber ehelich erzielte Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheilern nachgelaßene Erben.
Vergleich wegen gegenwärtiger Erb: und Verlaßenschafft (…)

In einer allhier Zu Straßburg beÿ der Neuen Kirch gelegenen von dem Herrn Wittiber bewohnenden Pfarr-Behausung befunden orden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. Erstl: eine Vorder: und hinter-behausung mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßb: in der langen Straaß, oberhalb der Schiltz-gaß, 1. s. neben Joh. Georg Jund dem glaßer, modo deßen Erben und Nachkommen, 2. s. neben N. Häßler hinten zum theil auf Mr de Hautewald und zum theil auf das bier-hauß zum Grenadierer stoßend, so freÿ, leedig und Eigen, und Zufolg einer beÿ diesem Concept befindlichen Abschatzung vom 9. Nov. 1770 durch (die Werckmeistere) abgeschätzt und angeschlagen worden pro 500. lb. Dieße behausung hat die Defuncta von ihrem Groß-Vater H. Rathh. Greiner seel. ererbt. Und ist hierüber besagend Vorhanden 1. teutscher pergam. Kauf-brieff mit allhiesiger C. C. Stub anhandendem Innsiegel Verwahrt datirt den 28.ten Januarÿ 1665.
Item die helffte für ohnvertheilt ane der apothecker-behausung, die Spieß oder Sonnen-Apotheck genannt (…)
Corpus der zu hievor beschriebener Apothecker: behaußung gehöriger Materialien, Apothecker Waaren, Compositorum & Simplicium wie auch Schiff und geschirrs
– Abschatzung vom 9.ten 9. bris 1770, Auff begehren S. T. H. Pfarrer Herrman ist eine behausung allhier In der Statt Strasburg in der Spiesgaß gelegen (…)
Der Zweÿte begriff ist Auch alhir in der Statt Strasburg in der Langen Straß gelegen Ein Seites neben dem H Jundt dem glaser ander seites neben H. Heßler und hienden auff eine behausung Löbl. Statt geherig, solche behausung besteht in Ferder Mitler und hiender gebeÿ warinnen Ettliche Stuben Kammern und Kichen dar jber seindt die Dach Stühl mit breitzieglein belegt hat auch ein Gewelbten Keller zweÿ häiff und einen brunnen. Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister nach Vorher geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren wert nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und umb Ein Thausent Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Hueber
Wÿdem, So die verstorbene seel. aus weÿl. S.T. H. Doct: & Prof: Georg Heinrich Eißenmann ihres H. Oncle seel. Verlaßenschafft lebtägig zu genießen hatte, nunmehr aber ihrer dermahlen annoch lebenden 4. jüngen Kkn als instutuirt und resp° Substituirten Erben anheil fällig ist. Es hat nemlich vorbenannter H. Dr Eißenmann seel. in den den 9. Aug. 1768. auffgerichteten beÿ H. Not° Joh: Jacob Grießbach deponirt befindl. Testament geordnet (…)
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung Copia Codicilli
Sa. hausraths 427 lb, Sa. der Bibliothec 50 lb, Sa. Weins und lehrer Faß 54 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeidt 200 lb, Sa. goldener Ringe 46 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 375 lb, Sa. des Eigenthums ane Häußern 1350 lb, Sa. des Apothecker Corporis 888 lb, Sa. der Schulden 1278 lb, Summa summarum 4670 lb – Passivorum 3722 lb, Nach deren Abzug 948 lb
Hierzu Kommen des Zween älteren verheuratheten Herrn Söhne erhaltene Ehesteuren 1490 lb – Stall summa 5974 lb
Eheberedung (…) den 7. Novembris 1737, Abraham Kolb Nots.

Registre de partage non conservé.
1772, Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, Répertoire 449.3) n° 228
Abths: Concept und respe. Erlöß-Register über weÿl. H. M Joh. Herrmann gew. Diaconi beÿ der Prediger Gemeind und deßen seel. Fr. Eheliebste fr. Maria Magdalena geb. Eißenmännin

Le marchand Louis Herrmann hypothèque sa part d’immeubles au profit de ses frères et sœurs

1773 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 52
H. Ludwig Herrmann der handelsmann beÿständlich seines curatoris ad actum H. Gottfried Herrmann des apotheckers
in gegensein S.T. H. Professoris Johann Herrmann alß geordneter vogt weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ Herrmannin geb. Eißenmännin hinterlassenen 4 jüngeren kinder – schuldig seÿe 2400 gulden
unterpfand, 1.mo den ihme eigenthümlich zuständigen 7.ten theil ane der helffte der annoch unvertheilten Spieß apotheck ane der Spießgaß, eins. theils neben H. Hirn dem handelsmann theils neben dem Ulmergraben, anders. ist ein Eck ane dem schneidergraben, hinten auf H. Maison den schneider – von der gantzen behausung gibt mann löbl: Stadt Pfenning Thurn auff Georgÿ 16 s allmend zinß
item ein 7. theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane der Langen straß, einseit neben N. Haßler dem perruquenmacher, anders. neben N. Jund dem glaßer, hinten theils auf H. d’Hauteval theils auf die bierbehausung zum Granadier
H. Johann Friedrich Herrmann, vor H. Debitorem seinen bruder, alß bürg

La maison figure à l’inventaire des apports du marchand droguiste Georges Jérôme Kob et de Marie Madeleine Herrmann. Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 62 livres, ceux de la femme à 3 033 livres.

1773 (30.10.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 555) n° 244
Inventarium über des Wohl-Edlen: und großachtbahren Herrn Georg Hieronimus Kob, Material-handels-Manns und der Viel-Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Herrmännin, beeder Ehe-Persohnen und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnveränderte in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1773 – und sich in dem den 1. Februarÿ laufenden 1773.sten Jahrs vor unterschriebenen Notario errichteten Ehe Contract für unverändert vorbehalten haben
So beschehen in fernerm beÿseÿn S° T° herrn Doctoris et Professoris Johannes Herrmann, der Ehefrauen leibl. herrn bruders und geschwornenn Vogts als hierzu erbettenen beistands, Straßburg auf Sambstag den 30. Octobris Anno 1773

In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegen dem Eheherrn Zur Hälfte gehörigen und hernach beschriebenen behausung befuden worden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. (F.) Erstl. Ein Siebender theil für ohnvertheilt von und ane Einer Vorder: und hinter: behaußung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßb. in der Langen Straaß oberhalb der großen Schiltzgaß, 1. s. neben Joh. Georg Jund des glaßers Erben 2. s. neben N Häßlern hinten z. th. auf Mr de Hautewald u. z. thl. af. das bierhaus zum Grenadier: stoßend, so freÿ, leedig u. Eigen und hieher ohn præjudicirlich æstimirt pro 2500 lb, thut zu dißortiger Ehefr. deren participîrendem Siebenden theil 357 lb, Welchen Antheil dieselbe von ihrer fr. Mutter weÿl. fr: Pfr: Mariæ Magdalena Herrmännin geb. Eißenmännin seel. ererbt, und sind die übrige 6/7.te theil ihren Sechß Geschwüsteren und Mit-Erben eigenthüml. zuständig. Hierüber ist vorhanden i. teutsch. pergam. Kfbrief in der St. Straßb. anh. C. C. Inns. Verwahrt, de dato 28.ten Januarÿ 1665, welchen hr: Prof. Joh: Herrmann der ältere bruder in gemeinschaftl. Verwahrung hat.
(F.) Item Ein 14.der theil für ohnvertheilt von und ane der Apothecker-behausung, die Spieß oder Sonnen Apotheck genannt (…)
(M.) Erstl. die helfte für unabgetheilt von und ane Einer behausung, hoff, Gemeinschafft des bronnens und Hoffstatt mit allen deroselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allh. Zu Straßb. ane der Fladergaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Eherrn zugebrachtes Guths, hausrath 2 lb, Silber 23 lb, baarschafft 36 lb, behausung 4000 lb, summa summarum 4062 lb, schulden 4000 lb, Nach deren abzug 62 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn zugebrachten Guths, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 23, Sa. der baarschaft 36, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 4000, Summa summarum 4062 lb – Schulden 4000 lb, Nach deren Abzug 62 lb
Dießemnach wied auch der Ehefrauen für unverändert in die Ehe zugebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 385 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 54 lb, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 121 lb, Sa. baarschafft 32 lb, Sa. des Eigenthums ane häußern 1247 lb, Sa. Schulden 1577 lb, Summa summarum 3417 lb – Schulden 384 lb, Nach deren abzug 3033 lb – haussteuren 167 lb

Le compte que rend le docteur en médecine Jean Herrmann de la tutelle des biens qui appartiennent à ses frères et sœurs comprend un état des loyers. La maison Grand rue est louée au fondeur d’étain Spæth, au charcutier Streichenberger, à la femme du pasteur Moser, au musicien Dorn et au maître maçon Stahl.

1774 (ult: Maÿ), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 576) n° 71
Rechnung Mein Johannes Herrmann Med: Doct: & Prof: allh. auch burgers allh: zu Straßb: als geordnet u. geschworenen Vogts Meiner 4. jüngern Geschwüsterde, Nahmentlichen herrn Ludwig Herrmann des leedigen handels-Manns und burgers hieselbsten, frauen Mariæ Magdalenæ Kobin geb. Herrmännin, herrn Georg Hieronÿmus Kob ebenfalls handels-Manns und burgers dahier Ehefrauen, wie auch Johann Daniel und Margarethæ Salome derer Herrmänner, aller Vier weÿl. Hn M. Joh: Herrmann geweßenen Diaconi senioris beÿ hiesiger Prediger-Gemeiner mit auch weÿl. fr: Mariæ Magdalenæ geb. Eißenmännin ehelich erziehl und nach tod hinterlaßener jüngerer Kinder, Innhaltend was ich ihrentwegen seit dem 3.ten Augisti 1772 als dem Tag der angetrettenen Verwaltung bis Ultimo Maÿ 1774 sowohl eingenommen und außgegeben, als sonsten verhandelt habe. Erstere Rechnung dießer Vogteÿ.

Bericht. das Vermögen meines hierüber benahmbßter 4. jüngern Geschwüster, so mir als Vogt Zur Verwaltung anvertrauet wurde bestehet, theils in der ihnen Von ihrem Groß-Oncle weÿl. Hn Doct. & Prof Georg Heinrich Eißenmann per Testamentum angefallene Erbschaft und theils in ihrem Elterlichen Erbguth
Corpus Jährl. fallen habender Hauß Zinnße so unter allen Sieben hermännischen Erben annoch gemeinschaftlich
die helfte ane der Zur Sonnen-Apotheck genannten ane der Spießgaß gelegenen behaußung, samt darzu gehörigen Apothecker-Corpore und übrigen Schiff und geschirr
(…)
Behaußung ane der Mittlerlang-straaß gelegen
Erstere Wohnung, hievon Zahlt Mr Späth der Zinngießer allhier jährlichen 35
Von Zweÿter Wohnung, Zahlt Mr Streichenberger der Wurstmacher alhier jährlichen 13, Von dritter Wohnung, Frau Pfar: Moserin jährlichen 20
Von Vierter Wohnung, hr. Dorn der Musicus jährlich ebenfalls 20
Und Von fünffter Wohnung, H Stahl der Maurer-Meister jährl. 18

Nouvel état des loyers après la vente au locataire Stahl

(N° 76) Rechnung Mein Johannes Herrmann Med: Doct: & Prof: allh. auch burgers allh: zu Straßb: als gewesenen und Zum theil annoch ohnentledigten Vogts meiner 4. jüngern Geschwüsterde, Nahmentlichen H. Ludwig Herrmann, leedigen handels-Manns, Fr. Mariæ Magdalenæ Kobin geb. Herrmännin, des Verstorbenen Johann Daniel Herrmanns und dann Jungfrauen Margarethæ Salome Herrmännin, Innhaltend was ich ihrentwegen seit dem letztern Maÿ 1774 als dem beschluß meiner erstern Rechnung bis 1. febr: 1776 ferner eingenommen und außgegeben, auch sonsten verhandelt habe. Zweÿte und für H. Ludwig, Fr. Kobin und Joh: Daniel die letztere Rechnung.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. (…) und deßen auch mei jüngere bruder Daniel, den 4.ten 9.bris 1774. mit tod abgegangen
Einnahm so unter allen Sieben Erben annoch gemeinschaftlich. Ane Hauß Zinnß
Erstl. thut der Zinß von der behaußung ane der Spießgaß und darzu gehörigen Apothecker-Corpore (…)
Von der den 10.ten Sept: 1774. verkaufften Behaußung ane der lang Straaß entrichteten Mr Späth der Zinngießer allhier von ersterer Wohnung (…)
It. Mr Streichenberger der Wurstmacher Von Zweÿter Wohnung (…)
It. Frau Pfarrer Moserin Von dritter Wohnung (…)
It. hr. Dorn der Musicus Von Vierter Wohnung (…)
It. Mr. Stahl der Maurer Und Von fünffter Wohnung (…) Und von Joh. Bapt: 1774. bis Zur Zeit da er das hauß gekauft u. 900. lb d auf abschlag des Kauffschillings bezahlt habe

Les héritiers Herrmann vendent la maison par enchère 2 250 livres au maçon André Stahl. L’acquéreur consent à la location au profit de Gustave Samuel Brenner

1774 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 365-v
S. T.H. Johann Herrmann, medicinæ doctor und professor historiæ naturalis tam proprio quam tutorio nomine Fr. Maria Magdalena Kobin geb. Herrmännin, H. Georg Hieronimus Kob des materalisten Ehegattin, Johann Daniel und Margaretha Salome derer Herrmann seinen geschwistrigen, H. Gottfried Herrmann der apothecker vor sich und innahmen H. Johann Friedrich Herrmann J. U. licentiati und H. Ludwig Herrmann des materalisten
in gegensein H. Andreas Stahl des maurers, als letzt und meistbietenden
eine behausung bestehend in vorder, mittel gebäud und hinterhaus, zweÿ höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der mittlerern Langen straß oberhalb der Schildsgaß, einseit neben weÿl. Johann Georg Jund dem glaßer, anderseit neben N. Häßler dem perruquenmacher, hinten zum theil H. d’Hauteval zum theil auff die zum Grenadirer geschildete bierbehausung
[f° 367] declarirt der käuffer d. H. Stahl, H. Gustav Samuel Brenner eine wohnung in erst erkaufften behausung so letzterer so lang es ihme gefallet zu benutzen und zu bewohnen (…) bestehet im gantzen ersten stock des vorderen gebäudes und haltet in sich eine stub kammer nebst einer nebens kammer, kuchen und haußehren den großen gewölbten vorderen keller, mehr einen von den oberen großen kammer welche er H. Brenner außleßen wird, so dann platz zum holtz im hoff, um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden – um 4500 gulden

André Stahl et Catherine Barbe Greiner hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Gustave Samuel Brenner

1775 (24.2.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 73-v
H. Andreas Stahl der maurermeister und Maria Barbara geb. Greinerin unter assistentz H. Jacob Greiner des schneider meisters ihres leiblichen vatters und Mr Jacob Greiner des ebenmäßigen schneiders ihres leiblichen bruders
in gegensein H. Gustav Samuel Brenner des goldarbeiters – schuldig seÿen 1700 gulden
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder, mittel gebäuden und hinter haus mit denen übrigen begriffen ane der mittleren Langen straß oberhalb der Schildsgaß, einseit neben weÿl. Johann Georg Jund des glaßers erben, anderseit neben N. Häßler dem perruquenmacher, hinten zum theil auff H. d’Hauteval zum theil auff dem zum Grenadirer geschildete bierbehausung – als ein von den Hermänischen geschwistigen und Erben unterm 10. Septembris jüngsthin erkaufftes haus – diese 1700 gulden zum bau der ane dem mittler und hinterhaus angefangene arbeit, da er der debitor eine vollständige behausung auff solchem platz mit einem gewölbten keller ansetzen im begriff stehet

André Stahl et Catherine Barbe Greiner hypothèquent la maison au profit du brasseur Jean Chrétien Pick

1776 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 217
H. Andreas Stahl der maurer meister und Fr. Catharina Barbara geb. Greinerin unter assistentz H. Johann Jacob Greiner des schneider meisters ihres leiblichen vatters und Michael Greiner ebenmäßigen schneiders ihres bruders
in gegensein H. Johann Christian Pick des bierbrauers – schuldig seÿen 800 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Mittleren langen straß oberhalb der Schildsgaß, einseit neben weÿl. Johann Georg Jund des glaßers erben, anderseit neben N. Häßler dem perruquenmacher, hinten auff zum theil H. Hauteval theils die zum grenadier geschildete bierbehausung

André Stahl et Catherine Barbe Greiner vendent la maison avant au boucher Philippe Jacques Streichenberger et à sa femme Marie Barbe Blessig en se réservant la maison arrière qui donne dans la rue Escarpée

1791 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 665 n° 141
H. Andreas Stahl der maurer meister und Catharina Barbara geb. Greinerin beiständlich H. Johann Michael Greiner des schneider meisters und Johann Jacob Stahl des maurer meisters ihres sohns
in gegensein H. Philipp Jacob Streichenberger des metzgers und Mariæ Barbaræ Bleßigin unter assistentz H. Johann Lorentz Bleßig Sacro Sancto theologiæ doctoris et professoris ihres bruders und H. Johann Mathias Pommer des baliers auf dem hiesigen Maurhoff
eine behausung, hof, bronnen und hoffstatt mit allen derselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der mittleren langen straß, einseit neben H. Jund dem glaser, anderseit neben H. Heßler dem peruckenmacher, hinten auff den käuffer zum theil und theils H. Lauth den bierbrauer – um 4100 gulden
enreg. 22.6. F° 35

Fils de charcutier, le charcutier Philippe Jacques Streichenberger épouse en 1787 Marie Barbe Blessig, fille d’un marchand de poissons : contrat de mariage, célébration
1786 (6.12.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 152
Eheberedung – persönlich erschienen Philipp Jacob Streichenberger, lediger Bratwürstmacher, Weiland Johann Jacob Streichenbergers gewesenen Bratwürstmachers und Burgers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn, beÿständlich Herrn Johannes Breßlers des Seidenhändlers und Burgers alhier als Bräutigam an einem,
So dann Jungfer Maria Barbara Blessigin, Weiland Johann Lorentz Bleßigs, gewesenen Fischkäufers und burgers alhier hinterlaßene eheliche Tochter unter assistentz S. T. H. Lt. Johann Siegfried Breu Hochadelichen Schaffners wie auch E. E. Grosen Raths alten beÿsitzers und burgers alhier ihres geordneten Herrn Vogts und S. T. Herrn Johann Lorentz Blessigs Professoris beÿ hiesiger Universitæt und Amtspredigers beÿ der neuen oder Prediger Kirch alhier ihres Herrn Bruders als Braut – Actum alhier Zu Straßburg Mittwochs den 6. Decembris Anno 186. [unterzeichnet] Philipp Jacob Streichenberger, Maria barbar bleßigin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 230, n° 2)
Im Jahr Christi 1787. Montags den 15. Jänner Abends um Vier Uhr sind nach Vorhergeschehenen Proclamationen Dominica Prima et secunda post Epiphanias in unserer Kirche öffentlich copulirt und Ehelich eingesegnet worden Philipp Jacob Streichenberger lediger bratwürstmacher und burger alhier, weÿland Johann Jacob Streichenbergers gewesenen bratwürstmachers und burgers alhier mit weÿl. Fraun Maria Salome eine gebohrne Volkin nachgelaßener ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Maria Barbara Blessigin weÿland Johann Lorentz Blessigs geweßenen Fischhändlers und burgers alhier mit weÿland Fraun Maria Susanna ein gebohrne Siegwaldin nachgelaßener ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Streichenberger als bräutigam, Maria Barbara Bleßigin als braut (i 231)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 871 livres, ceux de la femme à 196 livres
1787 (12.2.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 888) n° 344
Inventarium über Philipp Jacob Streichenbergers, des Bratwurstmachers und Fraun Mariæ Barbaræ gebohrner Blessigin, beÿde Eheleuthe und Bürgere alhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1787 – in ihrem vor mir unterschriebenem Notario den 6. Decembris 1786. mit einander errichteten Ehe Contract §° 3° stipulirt haben, daß einem jeden von ihnen sein in die Ehe bringenes Vermögen vor eigen und ohnverändert Vorbehalten seÿn solle
Geschehen alhier Zu Straßburg in einer an der mittlern langen Straß gelegenen hiehero nicht gehörigen behausung, in fernerem beÿseÿn Herrn Johann Siegfried Neru Hochadelichen Schaffners wie auch E. E. Grosen Raths alten beÿsitzers und burgers alhier der Ehefraun Herrn Vogts und dißorts Beÿstands, Montags den 12. Februarii Anno 1787
Series Rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 133 lb, Sa. Silbers 15 lb, Sa. baarschafft 618 lb, Sa. Lichter Unschlitt und därm 54 lb, Summa summarum 821 lb – haussteuren 50 lb, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen 871 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 63 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. der goldenen Ring 17 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 108 lb, Summa summarum 193 lb – Schulden 47 lb, Nach solchem Abzug 146 lb, haussteuren 50 lb, der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth 196 lb

Marie Barbe Blessig se remarie en 1799 avec Jean Michel Kæssbohrer, boucher originaire de Schiltigheim
1799 (3 prairial 7), Strasbourg 7 (28), Me Stoeber n° 753 (262)
Eheberedung – erschienen br. Joh. Michael Kässbohrer, lediger Metzger, so großjährigen Alters, weiland bs Jacob Kässbohrer gewesenen Metzgers aus Schiltigheim mit auch weil. Frn Eva geb. Debus erzeugter Sohn als hochzeiter
und brin Maria Barbara Blessig, weil. bs Phil. Jacob Streichenbergers gewes. Metzgers alhier Wittib, beiständl. ihres geliebten bruders br. Joh: Lorentz Bleßig Religion lehrer beÿ der Protestanischen Gemeinde der Prediger Kirch als Braut – Straßburg den 9. Prairial Sieben [unterzeichnet] Johann Michael Käßbohrer hochzeiter, Maria Barbara Streichenbergerin als braut
Enregistrement de Strasbourg, acp 68 F° 138 du 19 prai. 7

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à l’épouse Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 9 428 francs, ceux de la femme à 7 491 francs
1799 (24 therm. 7), Strasbourg 7 (11), Me Stoeber n° 1477
Inventarium über bürgers Johann Michael Käßbohrer Mezgers und burgerin Mariæ Barbaræ geb. Bleßig beede Ehegatten in ihrem den 30. prairial lezthin angetrettenen Ehestand zugebrachte Nahrungen (vermög der) vor mir den 9 prairial lezthin passirten Eheberedung
in einer an der langenstraß N° 25 gelegen und in die Ehefraun Mass gehörigen behausung
Eigenthum an einer behausung, so die Ehefrau in die Ehe gebracht, Nemblichen eine behaußung höflein hoffstatt und Gumpbronnen mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten deren Gebäuden, begriffen, und zugehörden gelegen alhier zu Straßburg an der mittlern langstraß N° 25, einseit neben b. Johann Georg Jund Glaser, 2. s neben henßler Peruquenmacher hinten auff Lemaire Sprachmeister, hier unpræjudicirlich geachet wird vor 10 000 fr, Worüber dermalen sich nichts schiftlich gewiesen
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns vermögen hausrath 352 fr, silbers 76 fr, baarschafft 9000 fr, feldstück & Summa summarum 9428 fr
der Ehefraun vermögen, hausrath 1946 fr, silbers 145 fr, behaußung 10 000 fr, Summa summarum 12 091 fr – Schulden 4600 fr, Nach deren Abzug 7491 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 69 F° 118 du 3 fruct. 7

Inventaire après décès d’un locataire, Jean Jacques Irrmann
1822 (12.6.), Strasbourg 4 (52), Me Hatt n° 415
Inventaire de la succession de Jean Jacques Irrmann, commis aux expéditions du directoire du consistoire général décédé le 12 avril dernier – à la requête de Marie Madeleine née Hoh, commune en biens suivant contrat de mariage dressé par Stoeber le 17 mai 1814, mère et tutrice légale de Jacques Edouard âgé de 6 ans 10 mois – en présence de Jean Michel Kaesbohrer boucher, grand oncle du mineur subrogé tuteur
dans une maison en cette ville grand rue n° 25
meubles 137 fr, garde robe 106 fr, reprises 3333 fr, total 3577 fr – passif propre 600 fr
communauté mobilier 143 fr, dettes actives 3090 fr, total 3233 fr – passif 4238 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 158 F° 11 du 15.6.

Jean Michel Kæssbohrer meurt en 1825 en délaissant une fille
1825 (28.12.), Strasbourg 9 (anc. cote 50), Me Hickel n° 2028
Inventaire de la succession de Jean Michel Kässbohrer, boucher, décédé le 5 décembre dernier – à la requête de 1. Marie Barbe Blessig la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Me Stoeber le 9 prairial 7, 2. Sophie Caroline Kässbohrer, majeure seule et unique héritière de son père

en la demeure grand rue n° 25 appartenant à la De Kässbohrer
mobilier 5041 fr, numéraire 5128 fr, dettes dues par la veuve 4600 fr, créances 52 280 fr, total 67.050 fr, propre garde robe 203, terres à Schiltigheim
Titres et papiers. Par contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats le 21 juin 1791 Philippe Jacques Streichenberger et son épouse actuelle la veuve Kässbohrer ont acquis d’André Stahl, maçon, et de Catherine Barbe Greiner une maison sise en cette ville grand rue n° 25 qui par testament reçu Me Greiss le 16 germinal 6 est avenue à la De Kässbohrer & a été par elle apporté en son second mariage, pour 4100 florins ou 8200 livres tournois
Enregistrement de Strasbourg, acp 176 F° 78-v du 3.1.
vacation du 9.1. (acp 176 F° 126-v du 14.1.

Sophie Caroline Kæssbohrer épouse en 1826 Louis Chrétien Gonthier Schæfer

1826 (12.1.), Strasbourg 9 (anc. cote 50), Me Hickel n° 2042
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Louis Chrétien Gonthier Schaefer, docteur en médecine, fils majeur d’Adolphe Michel Schaefer et de Jeanne Christine Wilhelmine Kneif décédés
Sophie Caroline Kässbohrer, fille majeure de feu Jean Michel Kässbohrer, boucher, et de Marie Barbe Blessig
Enregistrement de Strasbourg, acp 176 F° 126 du 14.1.

Inventaire après décès d’un locataire, le boucher David Hoh
1825 (5.8.), Strasbourg 4 (61), Me Hatt n° 2439
Inventaire de la succession de David Hoh, boucher, décédé le 21 avril dernier – à la requête de Barbe Hoenig la veuve mère et tutrice légale de David Gustave âgé de 4 ans et Frédéric Charles âgé de 1 an – en présence de Michel Fleischmann, boucher, subrogé tuteur des enfants mineurs
dans une maison grand rue n° 25
garde robe 102 fr, mobilier communauté 444 fr – passif 1100 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 174 F° 93 du 11.8.

Inventaire après décès d’un locataire,, le tailleur d’habits Jean Baptiste Pfeiffer
1839 (24.9.), Strasbourg 14 (108), Me Ritleng n° 9481
Inventaire dans une maison grand rue n° 25 où est décédé le 31 mai dernier Jean Baptiste Pfeiffer, tailleur d’habits – à la requête de Jacobée Schmitt la veuve, 2. Madeleine Louise Pfeiffer épouse de Nicolas Louveaux, employé à l’administration des douanes, 3. Marie Guillaume François Rencker, notaire à la résidence de Strasbourg pour représenter Jean Baptiste Pfeiffer, marchand tailleur à Paris, tous enfants et héritiers du défunt leur père – Contrat de mariage reçu Meyer le 11 décembre 1800
dans une maison grand rue n° 25
Enregistrement de Strasbourg, acp 271 F° 69 du 28.9.


Maison 6, rue Escarpée (1794-1812)

Catherine Barbe Greiner veuve d’André Stahl hypothèque sa maison rue Escarpée au profit du négociant Jean Daniel Richshoffer

1794 (2 floréal 2), Chambre des Contrats, vol. 671 n° 1563
cit. Catherine Barbe Greiner veuve de cit. Jean André Stahl maçon assitée de cit. Jean Haeckel et cit. Johann Stahl maçon son fils (devoir)
à cit. Jean Daniel Richshoffer négociant, 3400 livres
hypothèque, une maison rue dite Gaehgaesslein marquée du N° 5, d’un côté le cit. Jund vitrier, d’autre le cit. Lauth brasseur
enreg. 6 floréal

Catherine Barbe Greiner vend la maison rue Escarpée au maître de langues Joseph Lemaire et à sa femme Marie Marguerite Four

1795 (8 floréal 3), Strasbourg 1 (8), Not. Lacombe n° 8
Catherine Barbe Greiner veuve d’André Stahl maçon et Jacob Stahl maçon son fils
au Cit. Joseph Lemaire Maître de langues a Strasbourg et Marie Madeleine four
La maison qui appartient aux vendeurs en cette ville rue dite Gaehgessel N° 5 aboutissant a droite a la Brasserie du Cit. Lauth, a gauche a la maison du vitrier Jund et du Cit. Streichenberger, derrière lad. brasserie et pardevant lad. rue avec Cour écurie buanderie avec chauderon, appartenances et dépendances – se soumettant les vendeurs a Blanchir les 8 appartements de la maison d’icy la St Jean prochaine
[in margine :] 6 mess. an 3 – Jointes, obligations Stahl pour 30.000 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 33 f° 18 du 11 flor. 3

Originaire de Neubois dans la val de Villé, le maître de langue et de calcul Joseph Lemaire qui habite Strasbourg depuis trois ans épouse Marie Madeleine Four originaire de Dieffenbach au val de Villé : contrat de mariage, célébration
1775 (28.4.), Not. Laquiante (6 E 41, 1055) n° 59
Contrat de mariage partageable par moitié – Sr Joseph Lemaire Mre de langue demeurant à Strasbourg, fils majeur de Joseph Lemaire laboureur au Comte ban Baillage de Chatenois et de deffunte Catherine Marger
Dlle Marie Madeleine Four fille mineure de Jean Baptiste Four, Cabaretier de Dieffenbach, et Thérèse Zaepffel de l’avis de M François Antoine Zaepffel Greffier des terres de la noblesse son cousin communauté
(Joint) Verzeichnis der liegende güther so Maria Magdalena Four von ihren eltern zur Ehesteur bekommen (zu Scherwiller)

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 39)
1775. Hodie 15 Maÿ Anni 1775 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Josephus Lemaire ex Krith prope Neükirch oriundus defunctorum Conjugum Josephi Lemaire in vivis civis ibidem et Catharinæ Marcot filius Legitimus, Linguarum et artis arithmetica insctructor, a triennio ultimo ratione domicilÿ Parochianus noster et Maria Magdalena Four ex Dieffenbach oriunda, Joannis Baptistæ Four et Theresiæ Zæpffel conjugum et Civium ibidem filia Legitima ratione juris et Facti in Dieffenbach Parochiana, ambo soluti et diœcesis argentinensis (signé) Joseph Lemaire, Marie Madeleine Four (i 23)

Joseph Lemaire et Marie Madeleine Four vendent la maison à leur voisin Jean Michel Schwartz, brasseur au grenadier

1812 (26.8.), Strasbourg 10 (55), Not. Zimmer n° 3496, 5596
Joseph Lemaire maître de langue et Marie Madeleine Four
à Jean Michel Schwartz brasseur au grenadier
une maison avec cour, puits, buanderie avec chaudron, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue dite Gaehgaessel n° 5, à droite la brasserie de l’acquéreur, a gauche de la maison des Sr Schaefer cordonnier et Kaesbohrer, devant la rue, derrière ladite brasserie – acquis de Catherine Barbe Greiner veuve d’André Stahl maçon et Jacques Stahl son fils maçon par acte passé devant Me Lacombe le 8 floréal 3 – moyennant 14.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 95 du 27.8.

Joseph Lemaire meurt en 1816 en délaissant six enfants, Marie Madeleine Four en 1827 en délaissant cinq enfants
1827 (17.8.), Strasbourg 15 (42), Me Lacombe n° 7904
Liquidation et partage – I. Marie Georges Ignace Lemaire, secrétaire de la mairie de Bischwiller, II. Marie Madeleine Claire Lemaire, majeure, III. Marie Thérèse Sophie Lemaire, majeure, IV. Auguste Heusch, légiste à Strasbourg mandataire de Caroline Emilie Victoire Lemaire, majeure à Paris (François Joseph Marcelin Lemaire, négociant à Paris et Marie Thérèse Louise Lemaire épouse de Jean Marie Palluy ancien magistrat demeurant à Paris ayant renoncé aux succession par déclaration au Greffe de Strasbourg le 21 juin 1827), de la succession tant de Joseph Lemaire, professeur de langues leur père décédé le 4 mai 1816 en laissant ses six enfants dénommés ci dessus et Xavier Lemaire décédé sans postérité le 2 mai 1826 que Marie Salomé Four décédée le 12 avril dernier, déclaration tenant lieu d’inventaire
enfants
meubles 4026 fr, du 3440 fr, totalité de la masse 7466 fr
il existe deux maisons à Strasbourg l’une située dans la rue des Sœurs n° 5, d’un côté le Sr Jung, d’autre la De Lattignant successeur de Didier, donnant dans la rue de la Croix n° 7, acquise suivant acte reçu Stoeber le 1 messidor 3, estimée 12.000 francs
l’autre située dans la rue du Tonnelet Rouge n° 6, d’un côté le Sr Kant, d’autre le Sr Exel – acquise par acte reçu Lacombe le 9 floréal 3, estimée 6000 fr
total de l’actif 25.466 fr, passif 6913 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 185 F° 46 du 22.8.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.