5, rue de l’Hôpital militaire


Rue de l’Hôpital militaire n° 5 – O 867 puis section 33 parcelle 30 (cadastre)

Détachée en 1715 de la maison voisine au Grand Cerf à laquelle elle est à nouveau rattachée de 1733 à 1782 et de 1830 à 1852
Maître d’ouvrage, Charles Widmer, marchand de volaille, 1862


La maison en mars 2013 (n° 5 à 1) et en novembre 2012

Les bâtiments arrière de l’auberge au Grand Cerf en sont détachés en 1715 quand le boucher Jean Koch s’en rend propriétaire. Ils correspondent aux deux bâtiments l’un derrière l’autre en bas de l’îlot représenté sur le plan-relief de 1727. Le propriétaire du Grand Cerf les rachète après la mort de Jean Koch en 1733. La partie arrière du Grand Cerf qui est à nouveau détachée de 1782 à 1830 appartient à l’éleveur de vaches Jean Georges Keller puis au cordonnier Jean Huss. Le voisin Michel Rudloff la rachète en 1830. La Ville achète en 1842 la partie avant du terrain.



Elévations préparatoires au plan-relief de 1830 – Plan, îlot 240 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à simple rez-de-chaussée en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, deux bâtiments donnent sur la rue à droite du repère (o). La cour F montre des mêmes appentis (2-3 et 4-1) et la remise (3-4) qui s’ouvre entre eux au fond de la courette. La cour G représente l’arrière (1-2) de la remise, du côté sud de la cour une autre remise (2-3) et au fond de la cour la maison (3-4) dont l’arrière donne dans la cour D.
La maison porte d’abord le n° 26 du quartier des Souabes (1784-1857) ensuite le n° 1 puis 5 de la rue de l’Hôpital militaire.


Cours F, G et D

Le marchand de volaille Charles Widmer achète en 1852 la maison détruite par un incendie le 6 janvier 1862. Il la reconstruit la même année, le revenu passe de 81 à 163 francs. Son gendre Philippe Drion fait construire en 1889 un bâtiment arrière à un étage, un bâtiment latéral à droite de la cour et transformer le bâtiment principal. Le propriétaire Henri Husser ajoute en 1969 un troisième étage. Les garages prévus dans la cour (1990 puis 1994) ne sont pas réalisés faute de respecter la proportion minimale d’espaces verts.


Bâtiment arrière construit en 1889 – Vue en 1959 avant l’ajout du troisième étage (dossier de la Police du Bâtiment)

juillet 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1715 à 1952 (voir auparavant la maison voisine au Grand Cerf). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1715 v Jean Koch, boucher, et (1708) Anne Marie Meyer puis (1713) Marguerite Kuhlmann – luthériens
1733 v Jean Jacques Lutz, voisin
1782 v Jean Jacques Grün, aubergiste, et (1770) Catherine Etienne Reinbold – luthériens
1782 v Jean Georges Keller, éleveur de vaches, et (1769) Madeleine Griesser – catholiques
1788 h Jean Michel Hœffling, maçon, et (1788) Madeleine Griesser veuve de Jean Georges Keller puis (1802) Marie Salomé Lechler, veuve de l’éleveur de vaches Michel Peter – catholiques
1802* h Jean Georges Keller, éleveur de vaches, et (1803) Marie Chrétienne Sprecher, copropriétaire avec sa sœur célibataire Marie Elisabeth Keller
1820 adj Jean Huss, cordonnier, et (1791) Marie Thérèse Klein
1830 v Michel Rudloff, voisin
1852 v (Noël Dominique) Charles Widmer, marchand de volaille, et (1849) Marie Louise Rebold
1890* h Philippe Drion, boucher, et (1869) Marie Louise Wiedmer puis (1882) Emilie Eugénie Wiedmer
1901* v Frédéric Charles Schaaff et sa femme née Ammel
1907* v Charles Schultz

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1732, 400 livres en 1733

(1765, Liste Blondel) voir la maison voisine
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 867, Rudolph, Michel, quartier des Souabes 26 – maison, sol – 8,1 ares / Klotz /nc non imposable 1844/

Locations

1811, Frédéric Feldmüller, cordier
1811, 1816, Jean Matthias Huss, éleveur de vaches

Description de la maison

  • 1722 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment accessoire, plusieurs poêles, chambres, chambre à soldat, cuisines et vestibule, cave solivée, écurie des logements militaires au-dessus de laquelle se trouve un fenil, échoppe, estimée avec la cour, le puits et autres appartenances à la somme de 1200 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) Un vieux bâtiment qui comprend plusieurs poêles, cuisines, vestibules, chambres, chambre à soldats, écurie, remise, portail, échoppe, porcherie, cave solivée estimé avec la cour, le puits et autres appartenances à la somme de 800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue de l’hôpital militaire et quartier des Souabes

nouveau N° / ancien N° : 11 / 26
Keller
Rez de chaussée mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 263 case 4

Rudolpf quartier des souabes N° 26
Rudolpf les héritiers
Wiedmer Charles Noel Dominique, Md. de volailles Quartier des Souabes 26 (subst. pr. 1854)

O 866, maison, sol, quartier des souabes N° 26
Contenance : 4,30
Revenu total : 83,24 (81 et 2,24)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1016 case 2

Wiedmer Charles Noel Dominique, Marchand de volailles
1890/91 Drion Philipp Metzger d. Fr. Emilie Eugenie Wiedmer
1901 Schaaf Friderich Karl, Rentner

O 866, maison, sol, Rue de l’hôpital militaire 1
Contenance : 4,30
Revenu total : 83,24 (81 et 2,24)
Folio de provenance : (263)
Folio de destination : 1016. Constr. partiellement terminée en juillet 1862
Année d’entrée :
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 21
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 866, maison
Revenu total : 81,24 (79 et 2,24)
Folio de provenance : 1016. Constr. partiellement terminée
Folio de destination : 1016, augm. de C.on de 1862
Année d’entrée : 1863
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 48 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus :
1863, Augmentations – Wiedmer Charles f° 1016, O 866, Maison, revenu 79, Portion restante de la maison incendiée le 8 janvier 62, achevée en 1862, imposable en 1863, imposée en 1863
Diminutions – Wiedmer Charles f° 1016, O 866, Maison, revenu 81, Incendie partiel du 8 janvier 62, supp. en 1863

O 866, maison
Revenu total : 165,24 (163 et 2,24)
Folio de provenance : 1016, aug. de c.on
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1865
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 48 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus :
1865, Augmentations – Wiedmer Ch. Noël f° 1016, O 866, Maison, revenu 163, Aug.on de C.on, achevée en 1862, imposable en 1865, imposée en 1865
Diminutions – Wiedmer Ch. Noël f° 1016, O 866, Maison, revenu 79, Aug.on de C.on, supp. en 1865

Cadastre allemand, registre 30, p. 413 case 10

Parcelle, section 33, n° 30 – autrefois O 866
Canton : Militärlazarethstrasse Hs. Nr 5
Désignation : Hf, Whs u. r. m. u. T
Hf, Whs u. NG
(Skizze Whs. r. m. u. T (Keller)
Contenance : 3,47 – 3, 32
Revenu : 1800 – 2800
Remarques : 1920. Zug. S. 414 F 1 [1920, augmentation, p. 418 case 5]
1921 Ab. S. 418 F. 5 [1921, diminution, p. 418 case 5]
(838 – 879), Keller – comptes (en 1920) 1133 [voir 70, rue de Zurich]

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1907), compte 1038
Schaaff Fried. Karl u. Ehefr. geb. Ammel
gelöscht 1910

(Propriétaire à partir de l’exercice 1907), compte 1478
Schultz Kart u. Ehefr
(3772)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 346 Quartier des Suabes, p. 488

26
pr. Hoefling, Michel – Moresse
loc. Keller, George fils du précédent
loc. Gaykes, Jean Jacques – Batelier
loc. Lambacher, Caspar, garçon orfèvre
loc. Ehres Adam – Manant
Richard, Antoine, invalide
Oswald Georges, invalide
Strifler, Ignace aussi invalide

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Militärlazarettstrasse (Seite 166)

(Haus Nr.) 5
Maurer, Pensionär. 0
Schwörer, Tagner. 0
Zimmermann, Tagner. 0
Weber, Ober-Telegr.-Ass. 1
Kromer, Rentnerin. 2
Schreiber, Schreiner. 3
Beh, Ofensetzer, H 0
Burkhart, Wäscherin. H 0
Kapp, Tagner, H 0
Heng, Schlosser. H 1
Manias, Tagnerin, H 1
Nörgem, Schreiner. H 1
Hoffmann, Tagnerin H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 260 W 141)

Début du dossier Hôpital militaire n° 1 dont la maison portait le numéro

Le propriétaire Wiedmer charge le maître maçon Henninger de reconstruire sa maison

Sommaire
  • 1862 – Le maître maçon Henninger demande au nom du sieur Wittmer l’autorisation de reconstruire la maison sise 1, rue de l’Hôpital militaire et d’occuper la voie publique sur une profondeur de 4,50 mètres – Accord rédigé par l’agent voyer, « le projet de reconstruction indiqué par un dessin joint à l’appui se compose d’un rez de chaussée, premier et deuxième étage en maçonnerie ».

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 260 W 147)

Le propriétaire Wittmer reconstruit en 1862 le bâtiment avant. Le boucher Drion charge l’entrepreneur Th. Wagner de construire en 1889 un bâtiment arrière à un étage, un bâtiment latéral à droite de la cour et de transformer le bâtiment principal. La Commission contre les logements insalubres constate en 1900 que les trois bâtiments sont bien entretenus.
Le propriétaire Henri Husser transforme en 1969 le bâtiment pour aménager un logement au troisième étage. Georgette Husser souhaite en 1990 et en 1994 construire douze emplacements de garage dans la cour, l’autorisation est refusée à deux reprises parce que la proportion minimale d’espaces verts n’est pas respectée.

Sommaire
  • 1889 – L’entrepreneur Th. Wagner (14 rue de la Fontaire, actuellement rue Adolphe Seyboth) demande au nom du boucher Drion l’autorisation de construire un nouveau bâtiment dans la cour du 5 rue de l’Hôpital militaire – Autorisation de construire un bâtiment à un étage, un bâtiment latéral à droite de la cour et de transformer le bâtiment principal. L’inspecteur des travaux note qu’il y a une corniche saillante de 12 centimètres à la façade sur rue. – Plans sur calque – Travaux terminés, août 1889
  • 1895 – L’entreprise Strassburger Baugesellschaft, anciennement J. et E. Klein, demande au nom du boucher Drion l’autorisation d’établir une fosse d’aisances et des latrines – Autorisation – Travaux terminés, avril 1895. – Plan, élévation, coupe
  • 1900 – Le peintre et tapissier Xavier Marbach demande l’autorisation de poser une enseigne – L’enseigne est déjà posée à 2,80 mètres du sol, la Police du Bâtiment demande de la rehausser à 3 mètres. – Autorisation – Travaux terminés, août 1900
  • 1922 – Emile Glaser demande l’autorisation de poser une enseigne (Poudre de savon et savon, Emile Glaser) puis retire sa demande parce qu’il n’exploite pas un magasin mais qu’il est colporteur
  • 1900 – Commission contre les logements insalubres. Propriétaire Schaaf, domicilié rue Brûlée.  » La propriété comprend trois bâtiments, bon entretien général. 6 cabinets d’aisance, 14 familles « . Observations, travaux à faire dans le bâtiment avant, le bâtiment du milieu, le bâtiment arrière
    1915 – Commission des logements militaires. Propriétaire, Schultz domicilié au n° 7. Observations
    1919 – Un locataire du rez-de-chaussée se plaint que son appartement est humide. La Police du Bâtiment estime qu’elle n’a pas à intervenir
  • 1941 – Un locataire se plaint que la pluie et le vent entrent dans son appartement. La Police du Bâtiment qui visite l’appartement mansardé constate que la plainte est fondée et écrit au propriétaire (Schultz, Illringstrasse 9). Les travaux sont en partie exécutés, le plaignant a quitté les lieux avant que tous soient réalisés.
  • 1952 – Les pompiers retirent une souche de cheminée qui menace de tomber sur la voie publique – La Police du Bâtiment écrit au gérant de l’immeuble, Georges Riegel domicilié 21 rue de la Nuée-Bleue. – L’entrepreneur Ernest Jockers (36 rue des Petites-fermes à Kœnigshoffen) est chargé des travaux – Avril 1953, certificat du ramoneur Emile Schleifer (6 rue de l’Epine)
  • 1970 – L’entreprise Schœttell (7 place Saint-Florent à Cronenbourg) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1969 – Henri Husser (pâtisser, 8 rue Robert Kieffer à Bischheim) demande l’autorisation de transformer un logement au troisième étage – Photographies – Description et estimation des travaux (J. Schwartz, 9 route du Neuhof à Illkirch) – Plan de situation, élévations, plans, coupe – Permis de construire – Travaux terminés, août 1970
  • 1976 – Rapport établi suite à une plainte d’un locataire du deuxième étage. Des traces d’humidité proviennent de fuites à l’étage supérieur. Propriétaire, Georgette Husser domiciliée 70 rue de Zurich. Courriers au propriétaire, réponse. La Police du Bâtiment a épuisé ses moyens d’action.
  • 1981 – Maurice Salmon demande l’autorisation de poser une pancarte (Relieur d’art).- Autorisation
  • 1990 – Georgette Husser (domiciliée 70 rue de Zurich) demande l’autorisation de construire 12 emplacements de garage. Architecte, Archi-Look, von der Marck, Ossola, Schilles, 10 rue du Maréchal-Foch à Ostwald – Extrait du plan cadastral – Plans – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – Avis défavorable de la Direction départementale de l’équipement – L’ancien hangar est encore en place, février 1991
  • 1993 – Rapport. Une cheminée de maison arrière s’est en partie écroulée, à la limite du bâtiment accessible par le 17 rue du Jeu-de-Paume – Extrait colorié du plan cadastral. Le propriétaire a déposé pour ce bâtiment un permis de construire refusé – La cheminée dangereuse a été démolie, janvier 1993
  • 1995 – André Schilles fait au nom du propriétaire des propositions pour construire les garages refusés – Plans coloriés des n° 5, 7 rue de l’Hôpital militaire et 70 rue de Zurich – Le projet est refusé parce que la proportion de 20 % d’espaces verts n’est pas respectée

Relevé d’actes

Jacques Louis Herrmann et Ursule Eisenmann cèdent la maison à l’arrière de leur auberge au boucher Jean Koch et à sa femme Marguerite Kuhlmann moyennant 800 livres

1715 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 588 n° 25 bb
(800) Jacob Ludwig Herrmann würt zuem großen hirtz und Maria Ursula geb. Eißenmännin
in gegensein Joh: Koch metzgers und Marg: geb. Kuhlmännin
d. hintere hauß ahn ihrem gasthauß zuem hirtzen sambt einem kleinen angehenckten gebäu, Item die scheur in der größe und Gerechtigkeit wie Sie anjetzo stehet sambt einem außenstehendem Stall hoffstätten und höfflein auch Gärtlein, einseit neben dem Verk: anderseit theils ist ein eck theils neben dem Voltzischen Garten vornen gegen dem Spithal hinten auf H. Rathh. Kauffmann – um 300 pf. Fr Ambergerin verhafftet, geschehen um 500 pfund

Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit de Daniel Ernest Braun

1715 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 588 n° 26-v
immediate supra stehende käuffer und zwar die Frau beÿständlich Joh: Georg flöß des leinenwebers und Jacob Böckel rothgerbers
in gegensein H. Daniel Ernst Braun Exs: – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ut ibi immediate supra in ihrem hinteren hauß usq. ad ambergerin
ferner ihr metzig banck allhier unter der kleinen metzig, einseit neben Joh: Georg Datt anderseit neben Joh: Georg Hahn

Fils du boucher Matthias Koch, Jean Koch épouse en 1708 Anne Marie Meyer, fille de Jean Meyer meunier à la Robertsau
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 113, n° 10)
Mittwochs den 13. Junÿ 1708 seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen zu St. Niclauß in Straßburg copulirt undt eingesegnet worden Johannes Koch der ledige Metzger und burger allhier, H. Matthias Kochen deß Metzgers und burgers alhier ehelicher Sohn, undt Jfr. Anna Maria Meÿerin weÿland H Hannß Meÿers gewesenen Müllers und Obermeisters in der Ruprechtsau nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Koch Alß Hoch Zeider, Maria Meÿerin als hochzeiterin, hannß Daniel Hahn alß vogtt (i 117)

Anne Marie Meyer meurt en 1712 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison rue Sainte-Elisabeth. La masse propre au veuf est de 534 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 66 livres, le passif à 474 livres
1712 (10. 9.bris), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 7) n° 304
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung und Güethere, so Weÿl. die tugendsame Fr. Anna Maria Kochin gebohrne Meÿerin H. Johannes Kochen deß Metzgers und burgers alhier Ehefr. seel. nach Ihrem auff donnerstag den 21.t Julÿ dieses Lauffenden 1712.sten genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren H. Erhard Meÿern Müllern Zu Eckboltzheim und burger zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Annæ Mariæ und Mariæ Salome gebohrner Kochen der fr. seel. mit ihrem hinderbliebenen Wittiber Ehelich erzeugte Kinder undt ab intestato nachgelaßener Erben, wovon aber das letztere Nahmens Maria Salome bißhero wieder Verstorben und Von dem Wittiber und Vattern ererbt worden, inventirt – Act. in der Königlich. freÿen St. St. auff donnerstag den 10. 9.bris Anno 1712.

Bericht ane Statt eingetragenen passiv: widemb. Demnach sich allererst und zwar nach geschloßenen Inventarii hervorgethan, daß eingangs gedachte Erben von deren mutter seel. passive ererbt, weÿl. Hn Andres Schwing geweßenen Knöpffmachers und burgers alhier seel. hinderlaßene Wittib Nahmens fr. Annæ Mariæ gebohrner frölichin ane 500. fl. widemb vor einen dritten theil ane einem fünfften Stammthein Jährlich (…)
Inn einer alhier in der St: St: in der Elsbethen gaß gelegenen behaußung ist befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane einem Metzgerbanckh (…)
Ergäntz. der Erben Unveränderten Guths, Vermög durch mich Vor und nachgemelten adhibirten Notarium in A° 1710. gefertigten Inventarÿ
Wÿdembs, So fr. Anna Maria Schwingin gebohrne Frölichin weÿl. hn Andres Schwingen geweßt. Knöpffmachers und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib, biß vf dero seel. ableben zu genießen
Norma hujus inventarÿ, Copia der heüraths Verschreib.
Copia Codicilli reciproci
der Erben Unveränderte haußrath, 42, Sa. silbers 1, Sa. guldenen rings 8, Sa. Eigenthums Veldacker 75, Sa. beßerung auff den lehen acker 15, Sa. der Schuld 25, Sa. guts Ergäntzung 378, Summa summarum 546 lb – Sa. Schulden 12, Nach deren Abzug 534 lb
des Wittibers unverändert und die theilbare Nahr. under einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 32, Sa. ane Einem Metzgerbanck 5, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 26, Summa summarum 66 lb – Sa. Schulden 474, die theilbar passiva übertreffen des Wittibers unverändert und die theilbare Nahr. 408. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 267 lb

Jean Koch se remarie à Barr avec Marguerite Kuhlmann, fille de l’apprêteur de chapeaux Matthias Kuhlmann : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Zwischen beeden Ehepersohnen Zur Zeith Ihrer Verheürathung mit einander auffgerichteten Eheberedung – Zwischen dem bescheidenen Johannes Kochen Metzgern und burgern allhier dem hochzeiter ane einem, So dann der tugendsamen Jungfrawen Margaretha gebohrner Kuhlmännin, herrn Matis Kuhlmann huthstaffierers und burgers Au Barr eheleiblichen tochter der hochzeiterin am andern theil, (darbeÿ) der Ehrenhafften und bescheidenen herrn Mathis Kochen Metzger und burgers allhier des Hochzeitern Vatters, auff der Jungfraw hochzeiterin seithen herrn Reinhard Böckels burgers zu Barr dero stieffbruders – So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den 4. Septembris Anno 1713. Johann Peter Kolb Nots. Juratus ac requisitus

Mariage, Barr (luth., n° 14)
1713. Dom. 14. et 15. Trinitatis sind offentlich proclamirt v. d. 26. 7.bris copulirt worden mstr. Johannes Koch b. v. Metzger Zu Straßburg v. Jfr. Margaretha H. Mathis Kullmanns b. v. hutstaffierers, wie auch alten Gerichts beÿsitzers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Koch alß Hoch Zeider, margreda Kuhlmännin Alls hoch zeiterin (i 235)

Jean Koch et Marguerite Kuhlmann font dresser un état de leur actif et de leur passif. La maison est portée à son prix d’achat, c’est-à-dire 800 livres. La masse propre à la femme s’élève à 615 livres. L’actif la communauté est de 379 livres, le passif de 1 143 livres.

1716 (17.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 38) n° 1308
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und bescheiden Johannes Koch Metzger und die Ehren und tugendsahme fraw Margaretha gebohrne Kuhlmännin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, derzeit Active besitzen und hiengegen wieder passivé zu bezahlen haben – So beschehen allhier in der königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem Gegenseÿn herrn Andrea Zschiederich Leinenweber und burgers allhier der Ehefrawen geschwornenn Curatoris, Und dann herrn Erhard Meÿer Müllers Zu Eckboltzheim des Ehemanns Kinds erster Ehe geordneten Vogts dienstags den 17. Martÿ A° 1716.

In einer allhier ohnfern dem frantzöischen Spithal im Schwaben ländel gelegenen und in dieße Nahrung eÿgenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Cammer A, In der Wohnstub, Im hauß öhren, In der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane einer Mahlmühl (F.), It. ein Vierter theil samt Stallung V. Schopff wie auch einem Neben häußel V. einem garthen über dem alten bach zu Barr (…) in St. Ulrichs thahl (…)
Ergäntzung, Vermög Inventarÿ über deroselben in dieße Ehe gebrachte Nahrung in Anno 1714. durch herrn Notm. Johann Peter Kolben auffgerichtet
Eÿgenthumb ane einer behaußung und Metzgerbanck (T.) It. das hindere hauß ane der Gastherberg Zum großen Hirtzen genannt samt einem Kleinen angehenckhten gebäw Scheur, und einem außenstehendem Stall hoffstätten, bronnen, höfflein V. gärthlein auch allen übrigen gebäwen begriffen, weithen, zugehördten, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Crautenaw, 1.seith neben Jacob Ludwig Herrmann dem würth zum großen Hirtzen, 2.seith theils ist ein eck theils neben dem Voltzischen Garten Vornen gegen dem frantzöischen Spitahl hinden auff herrn Andream Kauffmann E.E. großen Raths alten beÿsitzern Vornehmen burgern allhier stoßend, davon gehen Jährlichen 1* à 4 pro C° gerechneten Zinnß weÿl. H Stephan amberger gewesenen ohlmann V. burgers allhier seel. hinderlaßener wittib und Erben, so quartaliter bezahlt werd. lößig mit 300. lb, Ferner H. Daniel Ernst Braunen Vornehmen Goldarbeither V. E.E. großen Raths alten hochmeritirten beÿsitzern, burgern allhier so auch quartaliter bezahlt werd. wiederkauffig in haupt Guth mit 200. lb. So dann 8 lb. a Zinnß H Jacob Ludwig Herrmann Würth zum Großen hirtz und burger allhier ebenfalls quartaliter verzinnlich ablößig in Cap. mit 200. lb, sonsten gegen männiglich freÿ leedig und eÿgen und würd solche behaußung wie dieselbe den 15. Januarÿ A° 1715. Von mehrgemeltem Jacob Ludwig Herrmann dem hirtzen würth erkaufft worden anhero æstimirt pro 800. lb. Davon abgezogen, Vorher befindliche und darauff hafftende Passiv Capitalia welche sammenthafft ertragen 700. lb So Verbleibt allhier annoch außzuwerffen im rest benand. 100. Darüber besagt ein perg. Kbr. m. der St. Str. anhang. C.C. Stuben Insiegel Verwahrt datirt den 15 Monathstag Januarÿ A° 1715.
T. It. ein Lehnungsweißebanck under der Kleinen Metzig (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der frawen Nahrung betr. Sa. Hausraths 56, Sa. Silbers 12 ß Sa. Goldener Ring 6, Sa. Eÿgenthumbs ane i. Mahlmühl 60, Sa. Activ Schuld 452, Sa. Ergäntzung 50, Summa summarum 626 lb – Schulden Perse, Nach deren Abzug 615 lb
Das Theilbahr Guth, Sa. hausraths 60, Sa. Schiff und geschirr Zum Veldbaw gehörig 3, Sa. Frucht 4, Sa. Viehe 18, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Rings 1, Sa. baarschafft 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung V. Metzgerbancks 190, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 80, Sa. beßerung ane lehengüthern 7, Sa. Activ Schulden 8, Summa summarum 379 lb – Schulden 1143 lb – Compensatione ergibt sich, daß die theilbar Passiva die Vorhandene theilbare Activ Nahrung übersteigen umb 763 lb
Copia der Zwischen beeden Ehepersohnen Zur Zeith Ihrer Verheürathung mit einander auffgerichteten Eheberedung (…) auff Montag den 4. Septembris Anno 1713. Johann Peter Kolb Nots. Juratus ac requisitus

Jean Koch meurt en 1731 en délaissant pour héritiers ses frères et sœur. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre à la veuve est de 682 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 435 livres, le passif à 861 livres

1732 (17.5.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 13) n° 301
Inventarium undt beschreibung aller Haab undt Nahrung so weÿl. der Ehrengeachte H. Johannes Koch der geweste Metzger und burger allhier nach seinem den 25. decembris des abgelegten 1731. Jahrs genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, welches Verlassenschafft in beÿsein des Ehrenvest und wohlweisen herrn Luca Schaaffen deß ältern Schreibers und E.E. Kl. Raths Jetztmahliger beÿsitzers alß auß Ehrengedachten Kl. Raths Mittlen im Nahmen der unverburgerten Erben zu dießer Verlassenschafft Inventation deputirten herrenß – durch die Viel Ehren und tugendsame Fraw Margaretha Kochin gebohrne Kuhlmännin beÿständlich H Jacob Böckels deß Rothgerbers und lederbereiters ihres geschwornen Vogts auch burgern allhier zu Straßburg – Actum Straßburg auff Sambstags den 17.ten Maÿ A° 1732.
Denominatio hæredum, der abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Johann Georg Koch Metzer und burger zu Heÿdelberg am Schloßberg, so hier ohnverburgert, 2. Fraw Anna Maria Strohlin gebohrner Kochin, Daniel Strohlen des forst aufsehers Zu Brumath und burgers allhier Ehefrau, 3. Matthias Koch, Notarius publ. jur: und burgers allhier

In einer allhier Zu Straßb. gegen dem frantzösischen Spitthall über gelegener und hernach beschriebener behaußung hat Sich befunden wie Volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung so theilbahr. Eine behaußung das hinder hauß ane der Gastherberg Zum Großen hirtzen genand allhier zu Straßb. in dem so genannten Schwoben landlein gegen dem Frantzösischen Spitthall über gelegen 1.s Joh: Jacob Jacob Lutzen dem gastgeber anderseiths N. Allinger dem blumen gärtner hinden auff Weÿl. H. Dr Kolben seel. Wittib und Erben stoßend welche behaußung mit allen Zugehördten, Rechten und gerechtigkeiten durch der Statt Straßb. geschwornen Werckh leuthe den 29.ten febr. letzthien für freÿ ledig u. Eigen æstimirt und angeschl. umb 1200. fl. thuen 600. lb, davon gehen ab 8. lb Zinnß zu 4 pro C° gerechneten so Mann Jahrs auff den 15.te Januarÿ H Rathh. Braunen abzuführen macht in ablößigen Capital 200. lb, Nach solchem abgang ist ane dem anschlag annoch in außwurff zubringen 400. lb. Über sothane behaußung sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff auß allhießigen Cancelleÿ Contractstub anhangendem Innsiegell de dato 15.ten Januarÿ 1715.
– Abschatzung d 29. February 1732. Auf begehren Weÿl. des Ehrenhafften und bescheidenen Johannes Koch gewesenen Metzgers seel. hinderlaßene frau Wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg im schwoben ländlein gegen dem frantzösisch Spittahl gelegen einseits Neben hannß Jacob butz gastgeber, anderseit Neben dem Alinger blumen gärtner, hinden auf die fraw Dr Kolbin stosend, welche behausung Nebens gebäw, Stuben, Cammern Soldaten Cammer Kuchen hauß Ehren, gebälckhtes Kellerlein, stall, Einquartierungs stall, Worüber Ein hewboden, hoff, Vorhöffel, gädlein und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb, Ein Tausend Und zweÿ Hundert Gulden. Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Eigenthumb ane Einer Mahlmühl so der Wittib unverändert. It. ein Vierter theil sambt Stallung und schopff wie auch einem Neben häußlein und einem Garten über dem alten bach zu Barr (…) in St. Ulrichs thal (…)
Ergäntzung, durch H. Notm. Rohren seel. in anno 1716. auffgerichteten und verfertigt. falliment Inventarÿ
Norma. Der Wittib Unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 4, Sa. Silbers 9 ß, Eigm. ane Einer Mahl Mühl 60, Ergäntzung (578, abzug 11, Rest) 567, Summa summarum 682 lb
Demnach würdt auch der Erben Unverändert undt die theilbahre nahrung unter Einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 28, Sa. Silbers 9 ß, Sa. beßerung lehengrundts 6, Eigm. ane Einer behaußung 400, Summa summarum 435 lb – Sa. passivorum 861 lb – Ubertreffen also der Erben Unverändert undt theilbahre passiua derselben unverändert undt theilbahre activ Nahrung deren werth nach umb 425. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 682 lb – Stall Summ 244 lb

Les héritiers Koch vendent la maison pour 650 livres à leur voisin Jean Jacques Lutz qui réunit ainsi la propriété divisée en 1715.

1733 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 n° 221-v
weÿl. Johannes Koch des Metzgers hinterlassenen wittib Fr. Margaretha geb. Kuhlmännin beÿständlich ihres Curatoris Jacob Böckel des Rothgerbers und ged. Kochen hinterlassenen bruder und hæres ab intestato zu einem dritten stammtheil H. Mathias Koch Notarius Publicus für sich selbst und als negotiorum gestor seiner geschwisterden Johann Georg Koch des metzgers und burgers zu Heÿdelberg und Anna Maria geb. Kochin Daniel Strohl des Forstauffsehers zu Brumath hochgräfl. Hanauischer herrschafft und burgers allier ehefrauen
in gegensein Johann Jacques Lutz des gastgebers zum großen hirschen
Eine Behausung bestehend in vorder und hinterhauß hoff scheur Stallung gärttlein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau und dem so genannten Schwabenländlein gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben der käuffern Gastbehausung zu großen hirsch anderseit neben Christian Allinger dem blumengärtthners gartten hinten auff weÿl. H. Johann Daniel Kolb gew. Med. D. et Pract. wittib und erben – als ein beÿ lebzeithen verstorbenen Kochen währender deßen ehe erkaufft, mithin theilbares guth deßen beneficial erben zu zwo tertzen und der hinterbliebenen wittib zu einem dritten theil – um 200 pfund verhafftet, geschehen um 450 pfund

La propriété est à nouveau partagée par les héritiers de Jean Jacques Lutz. Sa fille Marie Dorothée femme du pêcheur Jean Memminger et le tuteur de la fille de Philippe Jacques Lutz vendent une maison, grange, écurie et un petit bâtiment attenant à l’aubergiste Jean Jacques Grün.

1782 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 142
Fr. Maria Dorothea geb. Lutzin Johann Memminger des fischers ehefrau, Ludwig Wilhelm der gastgeber als geordneter und geschworener vogt weÿl. Philipp Jacob Lutz des gastgebers hinterbliebenen einigen tochter nahmens Margaretha
in gegensein H. Johann Jacob Grün des jüngern gastgebers, als letzt und meistbietenden
die ihnen verkäuffer als ein von weÿl. Maria Dorothea Grünin geb. Kleinin ihrer mutter respectiven großmutter seel. erblich angefallen auch unvertheilt gebliebene behausung, hoff, hoffstatt, scheur, stallung, bronnen nebst einem kleinen angehenckten gebäu mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau im Schwaben ländel gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben dem garten der gastbehaußung zum Großen hirsch anderseit neben Johann Georg Erhard dem gartenmann, hinten auff H. XXI v. Ichtratzheim zum theil zum theil H. Rathh. Debiez – um 1700 gulden

Fils de l’ancien aubergiste au Grand Cerf devenu aubergiste au Petit Cerf Jean Jacques Grün et d’Anne Marie Stamm, Jean Jacques Grün, aubergiste à la Pomme d’or, épouse en 1770 Catherine Etienne Reinbold, fille du maître maçon Jean Henri Reinbold : contrat de mariage, célébration
1770 (23.5.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 562
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrengeachten herrn Johann Jacob Grün dem ledigen Gastgebern Zum goldenen Apffel, herrn Johann Jacob Grün des ebenmäßigen Gastgebers Zum kleinen Hirzen und Fr. Annä Mariä gebohrner Stammin beeder ehepersohnen und burgere allhier zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Hochzeiter ane Einem,
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Catharinä Elisabethä Reinboldin, weÿland herrn Johann Henrich Reinbolds geweßenen Maurers und Steinmetzen E.E. kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und burgers allhier mit Frauen Margaretha Dorothea gebohrner Roggenbachin seiner hinterbliebenen Wittib so nunmehr an herrn Georg Christoph Freÿßingern den ebenmäßigen Maurer und Steinhauer auch burgern allhier vereheligt ist, ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfer hochzeiterin am andern theilAne dem Siebenden, hat der hr. hochzeiter seine Jungfer braut
Gast behausung zum goldenen Apffel genannd (…)
So geschehen allhier zu Straßburg auf Mittwoch den 23. Maÿ Anno 1770 [unterzeichnet] Johann Jacob Grün als hochzeiter, Catharina Elisabetha Reinboldin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 102-v, n° 13)
1770 Sonntag den 10. brachmonath sind (…) ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Grün der jüngere lediger Gastgeber und burger alhier, herrn Johann Jacob Grün, des ältern Gastgebers und burgers alhier mit deßen Ehefrauen Frau Anna Maria gebohrner Stammin ehelicher Sohn, und Jungfer Catharina Elisabetha Reinboldin, weÿland herrn Johann Heinrich Reinbold, geweßenen Maurer Meisters und steinmetzen, auch eines Ehrsamen kleinen Raths geweßten alten beÿsitzers und burgers alhier mit Frauen Margaretha Dorothea gebohrner Roggenbachin, hinterlaßener ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Grün als Hochzeiter, Catharina Elisabeth Reinboldin als Hochzeiterin (i 106)

Jean Jacques Grün revend la même jour la maison à l’éleveur de vaches Jean Georges Keller et à sa femme Madeleine Griesser

1782 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 656 n° 143
H. Johann Jacob Grün der jüngere gastgeber
in gegensein Hannß Georg Keller des melckers und Magdalena geb. Grießerin unter assistentz Georg Ehret des gärtners und Lorentz Schneider des employé underm frantzösischen hospital
eine behausung, hoff, bronnen und hoffstatt, scheur, stallung, nebst einem kleinen angehenckten gebäu mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau im Schwaben ländel gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben dem garten der gastbehaußung zum Großen hirsch anderseit neben Johann Georg Erhard dem gartenmann hinten auff ST. H. XXI baron von Ichtratzheim zum theil zum theil H. Rathh. Debiez – 1700 gulden

Originaire de Dossenheim (Fessenheim) dans le Kochersberg, Jean Georges Keller épouse en 1769 Madeleine Griesser originaire d’Avenheim.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 68-v)
Hodie 23 Octobris anni 1769 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes georgius Keller doliarius ex dosenheim hujus diœcesis oriundus, filius Joannis georgii Keller incolæ hujatis et defunctæ annæ Bestin in vivis conjugum et Magdalena grieserin in avenheim etiam hujus diœcesis nata, filia defunctorum andreæ grieser operarii diurnii quondam in dicto loco et Barbaræ deningerin conjugum, ambo in hac parochia commorantes (signé) Johan Georg Keller, + signum sponsæ (i 73)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports au quartier Saint-Nicolas dans l’auberge à la Tour d’or. Ceux du mari s’élèvent à 146 livres, ceux de la femme à 2 livres.
1770 (25.6.), Not. Herrenberger (16 Not 2) n° 151
Inventarium über die Jenige Haab Und Nahrungen, So der Ehrbahre Johann Georg Keller Kieffer gebürtig von Feßenheim, Und Frau Magdalena gebohrne Grießin Von Avenheim gebürtig deßen Ehefrau beede allhier wohnhafte einander in den Ehestand zugebracht, aufgerichtet in Straßburg den 25. Januarÿ 1770. – Und Jeden der Ehegathen, obwohlen Keine Eheberedung auff dero beschehenen Ehe Verlobnus tag auffgerichtet worden, was sie einander in den Ehestand Zugebracht, als ein Vorbehalten Unverändert Guth gehörig ist
In einer allhier Zu Straßburg in dem Quartier St. Nicolas gelegener neben dem gasthauß zum goldenen thurn Antonj Fahrner dem Wurth und burgeren allhier gehörigen behaußung, befunden worden wie folget
dem Ehemann gehörig 146 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen 2 lb

Marie Madeleine Griesser se remarie en 1788 avec le maçon Jean Michel Hœffling, originaire de Colmar : contrat de mariage, célébration
1788 (8.4.), Not. Wengler (6 E 41, 1531) n° 114
Eheberedung – Johann Michael Höffling ledig großjähriger steinhauer und maurer von Colmar gebürtig Johann Michael des maurers und weil. Anna Maria Müllerin sohn
Maria Magdalena geb. Griesserin weil. Johann Georg Keller des melckers wittib

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 108-v)
Anno Domini 1787 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Michael Höffling Colmariensis lacti merctor annos natus 38 filius legitimus Joannis Michaelis Höffling et defunctæ Annæ Mariæ Müller, et Maria Magdalena Krieser vidua defuncti Joannis Georgii Keller annos nata circiter 42 ambo parochiani nostri (signé) Johann Michael Heffling, + signum sponsæ (i 113)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 243 livres, ceux de la femme à 1 302 livres.

1789 (30.3.), Not. Wengler (6 E 41, 1531) n° 165
Inventarium über Johann Michael höffling des Melkers und Fraun Mariä Magdalenä gebohrner Grießerin, beede Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg einander als unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen – einander in ihrem am 15. April des 1788.sten Jahrs angetrettenen Ehestand gegenseitig als unverändert zugebracht haben (…) um den 1.sten Artikel ihrer mit einander vor mir dem Notario am 8.ten April gedachten 1788.sten Jahrs errichteten heiraths-Abrede eine Genüge zu leisten

So geschehen alhier zu Straßburg in einer am Schwabenländlein nächst dem französischen Spital gelegenen, der diesortigen Ehefrauen Zum dritten teil eigenthümlich zugehörigen und hieunten beschriebenen behaußung, auf Montag den 30.sten des Maÿmonats im Jahr 1789.
(F.) Eigentümlicher Anteil ane einer behausung, Nämlich ein dritter theil für unvertheilt von und ane einer Behausung, hof, Hofstatt, Bronnen, Scheur und Stallung, auch einem kleinen hinten angehängtem Gebaude und Gärtlein, nebst allen daran übrigen Zugehörden und Gerechtigkeit gelegen alhier Zu Straßburg im Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospital über, einseit neben dem Holtzplatz, so zur Gastbehausung zum großen Hirsch gehörig, anderseit zum theil neben H. Raÿger und zum theil neben H. Exsenatore Debiez und hinten auf N. Erhard den Gartner stosend so auser den darauf haftenden hernach passive eingetragen befindlichen Capital frei, ledig, eigen und dermalen ohnverfänglich und mit Vorbehalt des Eigentums in berechnung gebracht wird, Zu 600 R, Vorbeschriebene völlige behausung hat die disortige Ehefrau in erster Ehe mit weiland Johann Georg Keller, dem gewesenen hiesig verburgerten Melker erkauft, woran dieselbe dann den vorhergedachten dritten theil participiret, die übrige Zwo terzen aber sind denen beeden Kindern solcher Ehe als zu ihren übrigen Vätterlichen Gut gehörig, Zuständig. Und besagt über dieselbe eine in alhiesiger Kanzley- contract Stub den 2. Aprilis 1782. vorgegangene auf Pergament ausgefertigte und mit derselben aufgedrucktem kleinen Insiegel versehene Kaufverschreibung deren angehängt ein auch alda errichteter Vergleich vom 5. Novembris 1783.
(Series rubricarum hujus Inventarÿ) Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. des Silbers 33, Sa. der baarschafft 209, Summa summarum 243 fl.
Der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. hausraths 264, Sa. Rindviehes und Pferd 617, Sa. Silbers 4, Sa. goldenen Rings 2, Sa. baarschafft 396, Sa. Anteils an einer behaußung 600, Summa summarum 1883 fl. – Passiv-Schulden 581. fl. Nach deren Abzug 1302. fl.

Marie Madeleine Griesser meurt en l’an IX en délaissant deux enfants issus de son premier mariage. La masse propre au veuf est de 686 francs, celle des héritiers de 1 344 francs. L’actif de la communauté s’élève à 3 458 francs, le passif à 1 184 francs.

1801 (1 ther. 9), Strasbourg 4 (32), Not. Roessel, n° 515
Inventarium und beschreibung all derjenige haab Nahrung und Güther so weÿl. burgerin Maria Magdalena Grießer bürgers Johann Michael Höffling des Melckers zu Straßburg, nach ihrem den 3. ventose laufenden 9.t jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt
die verstorbene hat ab intestato zu erben verlaßen ihre in erster Ehe mit weÿl. Joh. Georg Keller melcker erzeugten Kinder als burger Johann Georg Keller den ledigen majorennen Melcker und bürgerin Maria Elisabetha Keller auch leedigen und großjährigen Standts, dieser beeder Erben geordneter und geschworener Vogt ist br. Johann Jacob Mühl melcker

im Sterbhaus ane dem Schwabenländel gegen dem frantzösischen hospital über mit N° 26 bezeichnet
Eigenthümlicher antheil ane einer behausung so denen Erben unverändert, E. Nämlich ein dritter theil vor unvertheilt von und ane einer behausung hoff hoffstatt bronnen Scheur und Stallung auch einem kleinen hinden angehängten Gebäude und Gärtlein nebst all deren übrigen zugehörden und gerechtigkeiten mit N° 26 bezeichnet in sogenannten Schwabenländel gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben dem holtzplatz so zur Gastbehausung zum grosen hirsch gehörig anderseit zum theil neben b. Erhard dem Kunstgärtner und zum theil cit. Jacques Vochoir dem ledigen und hinten wieder auf ihr b. Erhard, ausgeworffen pro 1200 fr, diese völlige und gantze behausung hat die verstorbene Mutter in erster Ehe mit weÿl. Johann Georg Keller dem Melcker erkauft, woran dieselbe dann den vorhergedacht dritten theil participirt, die übrige zwo tertzen an solchem haus aber sind denen beeden Kindern solcher ehe als zu ihrem übrige vätterlichen guth zugehörig zuständig, besagt Kaufbrieff 2. apr. 1782 auch Vergleich de 5. nov. 1783
Inventarium illatorum Not. Wengler den 30. mart. 1789
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers ohnveränderten Vermögens, activ schulden 200 fr, Ergäntzung 486 fr, Summa 686 fr
der Erben ohnverändert maß, hausrath 409 fr, behausung 1200 fr, Ergäntzungs rest 698 fr, Summa summarum 2307 fr – abzuziehen 963 fr, deducendo restiren 1344 fr
die theilbare mass, hausrath 658 fr, activ schulden 2800 fr, Summa summarum 3458 fr – abzuziehen 1184 fr, Deducendo verbleiben 2273 fr
Enregistrement, acp 79 F° 51 du 5 ther. 9

Décès, Strasbourg (n° 692)
Du 4. jour du mois de Ventose L’an neuf de la République française, Acte de décès de Marie Madeleine Grieser décédée hier trois ventose à 10 heures du soir, agée de 54 ans, native d’Offenheim, Département du Bas Rhin, demeurant en cette ville au quartier des Suabes N° 26, fille légitime de feu André Griesser, cultivateur et de feue Madeleine Schmidt, épouse de Michel Hoeffling laitier. Sur la déclaration à moi faite par ledit Michel Hoefling agé de 54 ans (…) (i 177)

Michel Hœffling se remarie en 1802 avec Marie Salomé Lechler, native de Lichtenberg et veuve de l’éleveur de vaches Michel Peter
1802 (1 prai. 10), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber
(Eheberedung) burger Michael Höfling, Wittiber, Melker und Inwoner alhier, als hochzeiter an einem,
so dann burgerin Maria Salome gebohrne Lechler, weiland burgers Michael Peter gewesenen Melkers alhier hinterbliebene Wittib, beiständlich burgers Johann Michael Gommer, Practici und Inwoners alhier, als hochzeiterin andern theils – Straßburg den 1. Prairial 10 [unterzeichnet] Johann Michal höffling, + Maria Salome Peter der Hochzeiterin handzeichen
Enregistrement, acp 84 F° 125 du 11 prai. 10

Mariage, Strasbourg (n° 398)
Du 5° jour du mois de Prairial l’an dix de la République française. Acte de mariage de Jean Michel Höffling, âgé de 52 ans, laitier, domicilié en cette ville depuis 32 ans, né à Colmar, Département au aut-Rhin le 19 avril 1750, fils légitime de feu Jean Michel Höffling, maçon audit lieu et de feuë Anne Marie Müller, veuf de Marie Madeleine Griesser morte en cette ville le 2 ventôse de l’an IX, Et de Marie Salomé Lechler, âgée de 39 ans, domiciliée eb cette ville depuis 13 ans, née à Lichtenberg, Département du Bas Rhin le 18 mars 1763, fille légitime de feu Jean Lechler, invalide et de feuë Anne Marie Schilling, veuve de Michel Peter laitier mort en cette ville le 20 brumaire de l’an IX (signé) Mihal höfling, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 207)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Marais Vert
1802 (6 prai. 10), Strasbourg 7 (16), Not. Stoeber n° 1755, 3299
Inventarium über bürgers Michael Höffling Melkers und burgerin Maria Salome Lechler einander in ihrem stand zugebrachte nahrungen, in der vor mir Notario den 1. dieses Monats Prairial errichten Eheberedung
in dem zu Straßburg in dem grünen bruch N° (-) gelegen und zum theil lehnungsweiße bewohnenden behausung
hausrath (non add.), baarschafft M 1600 fr, baarschafft F. 192 fr, Küh und Geschirr zur Melckereÿ zugehörig F 1224 fr, schulden aus des Ehefraun Nahrung 624
Enregistremen, acp 84 F° 130-v du 14 prai 10

Michel Hœffling meurt en 1808 en délaissant des héritiers collatéraux.
1808 (2.4.), Strasbourg 4 (36), Not. Stoeber n° 561
Inventaire de la succession de Michel Hoeffling laitier décédé le 8 mars dernier – à la requête de Marie Salomé Lechler la veuve, commune en bien en vertu du contrat de mariage passé devant Me Stoeber père le 1 prairial 10, Jean Guillaume Rautenstrauch juge de paix du premier arrondissement fondé de procuration de Michel Meyer cultivateur à Colmar, père et tuteur naturel de Michel Meyer procréé avec Barbe Höffling son épouse sœur germaine du défunt, 2. Ursule Hoeffling épouse de François Joseph Bader maître tisserand à Colmar, 3. Françoise Hoeffling femme de Michel Ziegler journalier à Strasbourg sœur germaine du défunt (procuration, (enfants) de feu Michel Höfling métayer à Strasbourg)
dans la maison ci après désignée au marais verd n° 34 qu’il habitait
propres de la veuve : meubles 213 fr, remplacement Inventaire des apports Me Stoeber 6 flo 10 1024 fr
propres du défunt, garde robe 105 fr, reprises 1600 fr, total 1705 fr
communauté, meubles meublants 41 fr, argenterie 22 fr, bestiaux 1274 fr, numéraire mémoire
Titres et papiers, 3) Me Knobloch 15 nivose 11 vente par Michel Goetz aubergiste au Sr et De Hoeffling d’une maison avec cour écurie appartenances et dépendances sise en cette ville au marais verd près des écuries militaires n° 34, d’un côté le Sr Frantz cabaretier d’autre Michel Hoh jardinier aboutissant sur la maison dud. Sr Goetz qui faisait partie de cette maison devant le communal – occupée par la veuve estimée 1000 fr
total de la masse 2337 fr, passif 2571 fr, reste 233 francs

La maison appartient pour moitié à Jean Georges Keller qui épouse en 1803 Marie Chrétienne Sprecher, originaire d’Ingwiller

1803 (30 flor. 11), Strasbourg 3 (39), Not. Übersaal n° 442
(Eheberedung) der bürger Johann Georg Keller, lediger Melker alhier wohnhaft, des weiland burgers Johann Georg Keller, auch gewesenen Melkers dahier mit auch weiland Maria Magdalena Grieß ehelich erzeugt und nachgelaßener großjähriger Sohn, als hochzeiter an einem
Und Jungfrau Maria Christina Sprecher, des burgers Johann Michael Sprecher zu Ingwiller wohnhaft, mit Odilia Francisca gebohrner Menner ehelich erzeugte Tochter, beiständlich ihres Vaters, als braut – den 30. Floréal in dem eilften Jar des einen: und unzertrennlichen Franken: Republik [unterzeichnet] Joh: Georg keller, + der braut handzeichen
Enregistrement, acp 87 F° 189 du 30 flo. 11

Marie Chrétienne Sprecher meurt en 1806 en délaissant deux enfants. L’inventaire fait état de la moitié de maison propre au veuf.

1806 (30.7.), Strasbourg 3 (30-1), Not. Übersaal –
956, 3347
Inventaire de la succession de Marie Christine Sprecher femme de Jean Georges Keller vacher décédée le 1 février dernier – à la requête du veuf tuteur naturel de Marie Madeleine 2 ans 3 mois et Jean Georges 1 an, 2. Jean Michel Sprecher praticien demeurant à Ingweiler canton de Bouxviller grand père et subrogé tuteur des enfants mineurs
Moitié indivise dans une maison (veuf) Savoir la moitié pour indivis dans une maison avec cour puits grange écurie petit jardin appartenances et dépendances située a Strasbourg vis à vis de l’hopital militaire quartier des Souabes n° 26, d’un côté l’auberge au grand cerf d’autre en partie le Cit. Erhard jardinier en partie Jacques Vochois jardinier, derrière led. Erhard – cette moitié évaluée à 2000 fr, La propriété de cette maison dont l’autre moitié appartient a la sœur du veuf Marie Elisabeth Keller fille majeure est avenue des père et mère Jean Georges Keller vacher et Marie Madeleine Grieser suivant contrat d’achat passé à la cidevant Chambre des Contrats le 2 avril 1782
propres du veuf : meubles 338 fr, vaches cheval harnois 842 fr, maison &&, total général 3247 fr, don matutinal 200 fr, reste 3047 fr
propres des enfants, habits 120 fr, dettes actives &&, total 320 fr
communauté : meubles vaches 237 fr, dettes passives 1765 fr, reste 1528 fr
Contrat de mariage souss. 30 floreal 11
Enregistrement, acp 100 F° 87 du 31.7.

Georges Keller loue une partie de la maison au cordier Frédéric Feldmüller

1811 (16.6.), Strasbourg 7 (48), Not. Stoeber n° 852, 10 442
Bail pour 6 années qui commencent depuis le 24 juin dernier – Georges Keller laitier
à Frédéric Feldmüller Cordier (signé) Veldmüller
dans la maison du bailleur sise près du quai des Suabes N° 26 un Logement et habitation consistant au Second étage dans un poele Chambre Cuisine Grenier et Cave – pour 120 francs
Enregistrement, acp 117 F° 105 du 29.6.

Georges Keller loue une partie de la maison au laitier (éleveur de vaches) Jean Matthias Huss

1811 (12.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 32 n° 1045, ssp du 11. avril dr
Bail pour 6 années par J. Ge. Keller de Strasbourg
à Jean Mathis Hus
Logement dans une maison quartier des Suabes N° 26 pour 240 francs

Autre bail entre les mêmes

1812 (20.1.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 33 n° 2467 ssp du 21 octobre 1811
Bail pour 6 années par Jean Georges Keller de Strasbg.
à Jean Mathis Husz Laitier audit lieu
d’une partie de la maison sise à Strasbg. quartier des Souabes N° 26 avec petit jardin Grenier et écuries pour un loyer annuel de 360 francs

Nouveau bail entre les mêmes

1816 (4.3.), Strasbourg 2 (41), Not. Knobloch n° 7347
Bail pour 18 ans à partir des fêtes de Noël de l’année courante – de Jean Georges Keller laitier
à Jean Mathias Huss laitier
la maison avec toutes ses dépendances sise à Strasbourg quartier dit des Suabes marquée du n° 86 en face de l’hôpital militaire, d’un côté le Sr Ehrhardt jardinier d’autre le Sr Ehrhardt, Le bailleur accepte ce bail pour l’exploiter et occuper par lui même la boutique au rez de chaussée a gauche en entrant par la porte et son logement actuel au premier étage au dessus du poele que le preneur occupe en ce moment, hors ce logement et cette boutique la totalité de ladite maison sera comprise dans ce bail, le bailleur observe cependant que le Sr Frédéric Feldmuller a droit de rester dans ce logement qu’il occupe dans ce moment jusqu’à la St Jean 1817
Enreg. F° 169 du 5.3.

La maison qui appartient pour moitié à Marie Elisabeth Keller, célibataire, et à son frère Jean Georges Keller est vendue après avoir été saisie sur ce dernier. Le voiturier Jean Huss s’en rend acquéreur pour 5 500 francs

1820 (27.7.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 132, n° 5
Jugement rendu au Tribunal Civil par devant M Marchal juge au Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par voie de licitation de l’immeuble réellement saisi sur Jean Georges Keller, marcard – Cahier des Charges Me Schneegans avoué de Dlle Marie Marguerite Fournier majeure, qu’elle est créancière de Jean Georges Keller, marcard d’une somme principale de 790 fr, par obligation passée devant Me Ubersaal le 2 juin 1815, elle a fait saisir la moitié par indivis de l’immeuble ci après désigné
à Me Klauhold, avoué
Déclaration de command du 8 juillet pour Jean Husz, voiturier, la maison sise en cette ville vis à vis l’hôpital
Désignation de l’immeuble, maison avec cour, écurie, petit jardin, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, d’un côté Jean Deninger d’autre Georges Ehrhard – attendu que la maison appartient par indivis audit Georges Keller et Marie Elisabeth Keller fille majeure sa sœur la poursuivante a d’abord dû demander le partage ou la licitation dudit immeuble conformément à l’article 2205 du Code civil et attendu que la non partageabilité a été reconnue, estimé par le Sr Stotz et Arnold maçon et Madler charpentier experts nommés par rapport du 6 avril 1820 entériné le 8 mai à 5500 francs – le 8 mai 1820
adjudication préparatoire du 22 juin – Adjudication définitive du 6 juillet, pour 5550 francs

Fils de cordonnier, Jean Huss épouse en 1791 Marie Thérèse Klein, fille du vigneron Joseph Klein d’Albé dans la val de Villé
1791 (5.4.), Not. Übersaal (6 E 41, 661) n° 126
(Eheberedung) erschienen Johannes Huß, der ledige Schuemacher, Matthias Huß des ebenmäßigen Schuhmachers alhier, mit Frau Catharinæ gebohrner Buchmännin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter an einem,
Und Jungfrau Maria Theresia Kleinin, weiland Joseph Klein, des gewesenen Reebmanns zu Erlenbach im Weilerthal, mit Barbara gebohrner Dielensägerin ehelich erzeugte tochter, beiständlich H Johann Mathäus Fritz des Schneidermeisters alhier, als hochzeiterin
auf dienstag den 5. Aprill Abends, im jahr 1791 [unterzeichnet] Johannes hus, + der hochzeiterin handzeichen

Le cordonnier Jean Huss meurt en 1830 en délaissant trois enfants

1830 (30.4.), Strasbourg 2 (69), Me Weigel, n° 6711
Inventaire de la succession de Jean Mathias Husz, cordonnier décédé le 25 novembre 1829, à la requête de I. Marie Thérèse Klein la veuve, II. à la requête de 1. Jean Philippe Husz, voiturier, 2. Philippe Alexandre Husz, sergent au 6° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille représenté par Jean Philippe Husz, 3. Marie Thérèse Husz épouse de Sébastien Ockly, perruquier, les enfants
immeubles, une maison située à Strasbourg près de l’hôpital militaire n° 26, d’un côté le Sr Rudolph d’autre le jardin de la veuve Ehrhardt devant la rue derrière le Sr Perrin, acquis à la barre du Tribunal Civil le 6 juillet 1820 sur expropriation forcée contre Jean Georges Keller, marchand, et Marie Elisabeth Keller majeure, transcrit au bureau des hypothèques vol. 132 n° 5 – habité par les conjoints Husz, vendue par adjudication volontaire à Michel Rudolph Me Weigel le 16 mars 1830 transcrit au bureau des hypothèques vol. 233 n° 108, estimée 7625 fr
garde robe 33 fr, mobilier 110 fr – passif 7156 fr – total de l’actif 7735 fr
Contrat de mariage Me Ubersaal le 5 avril 1791, Testament Me Weigel le 2 avril 1829
Enregistrement, acp 199 F° 95-v du 10.5.

Thérèse Klein veuve de Jean Huss et ses enfants vendent la maison au marchand de bois Michel Rudloff, propriétaire de la maison voisine (au Grand Cerf)

1830 (16.3.), Strasbourg 2 (69), Me Weigel n° 6419, Adjudication définitive ; préparatoire 28.1. n° 6345 et 4.3. n° 6391 ; Cahier des Charges 14.1. n° 6312
I. Thérèse Klein veuve de Jean Husz, voiturier, II. 1. Philippe Alexandre Husz, sergent au 6è régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille, 2. Jean Frédéric Husz, voiturier, 3. Marie Thérèse Husz épouse de Sébastien Ockly, perruquier, héritiers de leur père décédé le 25 nov. 1829
à Michel Rudolph, marchand de bois demeurant à Strasbourg rue & près de l’Hôpital Militaire n° —
Désignation de l’immeuble, une maison située à Strasbourg près l’hôpital militaire n° 26, d’un côté le Sr Rudolphe d’autre le jardin de la veuve Erhardt derrière le Sr Perrin devant la rue – de la communauté les titres de propriété se trouvent dans les mains des créanciers – mise à prix 5000 fr
(sur l’adjudication définitive) acquis à la barre du Tribunal Civil par expropriation forcée poursuivie contre Jean Georges Keller, marchand, & licitation sur Marie Elisabeth Keller majeure – moyennant 7825 fr
Enregistrement, acp 198 F° 163 du 22.3.

La maison est décrite à l’inventaire de Catherine Kling en 1837, à celui de Michel Rudloff en 1848 et dans un rapport d’experts dressé en 1840.
Les enfants et héritiers de Jean Rudloff vendent la maison au marchand de volaille Noël Dominique Charles Wiedmer et à Marie Louise Rebold moyennant 9 050 francs

1852 (22 8.br), Strasbourg 10 (123), Not. Zimmer n° 9754
L’an 1852 le 22 octobre Ont comparu 1. Mad. Marie Catherine Rudolph, demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Antoine Klotz, en son vivant ébéniste en la même ville, 2. Mad. Marie Louise Rudolph, épouse de Mr Jean Chrétien Wolff , brasseur, à ce présent pour autoriser son épouse à l’effet de ce qui suit, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, 3° ledit Mr Wolff, agissant encore comme mandataire de général & spécial à l’effet des présentes de D° Marie Thérèse Rudolph & de Victor Ruppert, brasseur conjoints demeurant et domiciliés ensemble à Saint Etienne (Loire) aux termes de leur procuration (…), 4. M. Valérie-François-Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim, agissant a) comme tuteur datif de Louise-Joséphine Rudolph née le 22 avril 1833, Sophie Eugénie Rudolph née le 25 avril 1835, les deux demeurant à Strasbourg enfants mineures issus du mariage en premières noces du Sr Michel Rudolph fils, vivant batelier à Strasbourgn avec D° Marguerite Mühlberger sa femme défunte (…) b) comme mandataire de Dlle Marguerite-Catherine Rudolph dite en religion Sœur Hildeberte, religieuse demeurant à Obernai (…), c) comme mandataire général & spécial du Sr. Jean Marie Petit, marchand de bois, et de D° Marie Thérèse Rudolph son épouse demeurant et domiciliés ensemble audit Saint-Etienne (…), 5° Mlle Sophie Gel, majeure sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, 6° D° Joséphine Veith, épouse du Sr Christophe Bomans, aubergiste, ci présent & autorisant son épouse à l’effet de ce qui suit, les deux demeurant et domiciliés hors la porte d’Austerlitz banlieue de Strasbourg, agissant la D° Bomans comme mère et tutrice légale & son mari comme cotuteur de Michel Eugène Rudolph, mineur sans état demeurant avec sa mère & né à Strasbourg le 21 juillet 1830 du mariage en premières noces de la D° Bomans avec feu ledit Sr Michel Rudolph fils (…), le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg a suivant jugement rendu le 24 septembre 1852 homologué les délibérations de famille et ordonné que devant M° Zimmer soussigné à ce commis il serait procédé à la vente par licitation dudit immeuble
Désignation de l’immeuble à vendre et mise à prix. Une maison avec cour, appartenances & dépendances sise à Strasbourg quai des fleurs N° 26, tenant d’un côté à Mad° Klotz, de l’autre au jardin de la veuve Ehrhardt par derrière à M. Perrin & pardevant audit quai. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 6000 francs fixée par ledit jugement !
Etablissement de la propriété. Ladite maison dépendait de la communauté de biens qui a existé entre feu Mr Michel Rudolph père, en son vivant marchand de bois & propriétaire & D° Catherine Kling conjoints demeurant en leur vivant à Strasbourg, lesquels ont laissé pour seuls héritiers les dites Dames Klotz, Wolff & Ruppert leurs enfants pour un cinquième, la D° Petit, les Delles Marguerite Catherine Rudolph, religieuse, Louise Joséphine Rudolph, Sophie Rudolph & le mineur Michel Eugène Rudolph leurs petits-enfants ensemble pour un 5° ou chacun pour 1/25 par représentation de leur père le Sr Michel Rudolph fils sus nommé, les quatre premiers étant issus du mariage en premières noces avec ladite De Rudolph née Mühlberger & le dernier étant issu de son mariage en secondes noces avec ladite Dame Bomans, et la Dlle Gel pour le dernier cinquième comme venant par représentation de sa mère De Sophie Rudolph décédée épouse du Sr Michel Gel, en son nom épicier à Strasbourg, cette D° Gel & le Sr Michel Rudolph fils enfants desdits conjoints Michel Rudolph père et mère ainsi que toutes ces qualités se trouvent établies dans deux inventaire des successions des époux Rudolph père et mère dressés par M° Zimmer soussigné les 21 novembre 1837 & 29 juillet 1848 & dans un acte de liquidation et partage des valeurs mobilières de ces successions dressé par le même notaire le 10 février 1849.
Ledit Immeuble qui appartient encore indivisément dans la susdite proportion aux enfants & petits-enfants des conjoints Rudolph père et mère a été acquis par ces derniers de 1) D° Thérèse Klein demeurant à Strasbourg veuve du Sr Jean Husz père en son vivant voiturier en la même ville, 2) Jean Philippe Husz fils, voiturier en la même ville, 3) Philippe Alexandre Husz, alors sergent au 6° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille, domicilié à Strasbourg, 4) et de D° Marie Thérèse Husz, épouse de Sébastien Ockly, perruquier, les deux demeurant à Strasbourg, pour le prix de 7625 francs aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel alors notaire en la même ville le 16 mars 1830 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 dudit mois de mars Vol. 233 N° 100 & inscrit d’office le même jour Vol. 204 n° 391. (…) Le Sr Jean Husz & sa femme née Klein père et mère des autres vendeurs susdommés avaient eux-mêmes acquis ledit Immeuble à la barre du tribunal civil de Strasbourg sur expropriation forcée poursuivie contre Jean Georges Keller, marchand à Strasbourg et licitation entre ce dernier & Dlle Marie Elisabeth Keller, majeure sans état, demeurant en ladite ville ainsi que cela résulte d’un jugement d’adjudication rendu par ledit tribunal civil le 10 juillet 1827 & d’une déclaration de command du huit du même mois. – Charges, clauses et conditions (…) Fait et passé à Strasbourg
Et l’An 1852 le Samedi 18 décembre (…) mise à prix fr. 6000. Plusieurs bougies ayant été allumées, diverses mises furent faites dont la dernière par Mr Jacques Weyher, entrepreneur demeurant et domicilié à Strasbourg qui en a porté le prix à la somme de 9050 francs (…) A l’instant M. Weyher a déclaré se réserver faculté de nommer un command dans les 24 heures de l’adjudication
L’an 1852 le 18 décembre, déclaration de command (…) a déclaré que la maison sise à Strasbourg quai des fleurs numéro 26 proprement dit quartier des Souabes (…) appartient au Sr Noël Dominique Charles Wiedmer, marchand de volaille, et à Dame Marie Louise Rebold conjoints demeurant et domiciliés à Strasbourg
acp 414 (3 Q 30 129) f° 30 du 26 8.br (cahier des charges) – acp 415 (3 Q 30 130) f° 89-v du 20 Xbr (Procès verbal d’adjudication) – f° 90 du 20 Xbr, (déclaration de command)

Fils du marchand de volaille Joseph Widmer, Noël Dominique Charles Widmer épouse en 1849 Marie Louise Rebold, fille de tailleur de pierres
Mariage, Strasbourg (n° 407)
Du 30° jour du mois d’octobre 1849 à dix heures du matin, Acte de mariage de Noël Dominique Charles Widmer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 mai 1828 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Marchand de volaille, fils de Joseph Widmer, marchand de volaille, et de Marie Rosine Gruner, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, Marie Louise Rebold, majeure d’ans née en légitime mariage le 5 février 1828 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Bernard Rebold, tailleur de pierres décédé en cette ville le 4 juin 1832 et de Catherine Düringer, domiciliée en cette ville ci présente et consentante (…) Et ausitôt lesdits époux ont déclaré reconnaître er légitimer Charles Gustave Adolphe Widmer né en cette ville le premier janvier 1849 inscrit le lendamin sur les registres de l’état civil de cette ville (signé) Widmer, Marie Louise Rebold (i 46)

Registre de population 600 MW 344. (i 115)
Wittmer, Charles, Strasbourg 28, h.m., Md. de volaille, Catholique, Français (à Strasbourg depuis sa naissance)
id. née Rebold, Louise, d° 28, f. m., sa femme, d°, d°, d°
id. Charles, d° 49, g, s fils
id. Louise, d° 51, f. s fille
id. Edouard, d° 54, g, s fils
id. Sophie, d° 55, f, s fille
Dieringer, Catherine, d° 02, f.
Wittmer, Albertine Wilhelmine, d° le 11. Xbre 1858, f.
Rue des Souabes 26 / Rue de l’hôpital militaire 1

La maison revient ensuite à Emilie Eugénie Wiedmer et à son mari boucher Philippe Drion.
Natif de Niederbronn, Philippe Drion épouse en 1869 Marie Louise Wiedmer puis en 1882 sa sœur Emilie Eugénie Wiedemer

Mariage, Strasbourg (n° 681)
Du 9° jour de novembre 1869. Acte de mariage de Philippe Drion, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 octobre 1842 à Niederbronn (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, boucher, fils de feu Philippe Drion, boucher, décédé à Strasbourg le 16 juin 1857 et de Sara Rosenstiel, sans profession domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante, et Marie Louise Widmer, mineure d’ans, née en légitime mariage le 31 mai 1851 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de Noël Dominique Charles Widmer, marchand de volaille, et de Marie Louise Rebold, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage, (signé) Ph. Drion, L. Widmer (i 6)

Mariage, Strasbourg (n° 150)
Strassburg den 23. März 1882. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzger Philipp Drion, evangelischer Religion, geboren den 24 October des Jahres 1842 zu Niederbronn (Unter Elsass) wohnhaft zu Straßburg, Wittwer von Marie Luise Widmer, gestorben zu Strassburg den 7. August verflossenen Jahrs, ehelicher Sohn des verstorbenen Metzgers Philipp Drion zuletzt wohnhaft Zu Strassburg und der Sara Rosenstiel, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg, 2. die Eugenie Emilie Widmer, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 21. Novembris des Jahres 1860 zu Strassburgn wohnhaft zu Strassburg, Tochter des Geflügelhänlders Noel Dominick Carl Widner und dessen Ehefrau Maria Luise Rebold, beide wohnhaft zu Straßburg (i 24)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.