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- Faisan (rue du) – Fasanengasse
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- n° 4, maison au Faisan (zum Fasanen) – reconstruite en 1774 pour François Xavier Poirot (maître maçon Jean Jacques Fessler), rez-de-chaussée et premier étage transformés en 1908 pour Eugène Sorg (architectes Jules Berninger et Gustave Krafft)
- n° 8, maison au Bâton d’or (zum goldenen Stab) – maître d’ouvrage, Jacques Ignace Chevallier (1854)
- partie du 28, rue des Juifs, rattachée en 1748 à la maison voisine 12, rue du Faisan, puis au 28, rue des Juifs
- Farine (ruelle de la) – Mehlgässlein
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- n° 3, démolie en 1906, sol réuni à la voie publique
- Faubourg de Pierre (rue du) – Steinstrass
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- n° 4 (ancien), démolie en 1854
- n° 7
- n° 26, maître d’ouvrage, Marguerite Kern veuve du serrurier Michel Burglecker (1874)
- n° 28, maître d’ouvrage, Jules Emile Friedolsheim, cafetier, (1871-1872)
- n° 37, maître d’ouvrage Jean Daniel Frédéric Imlin, vétérinaire (vers 1853), démolie en 1970)
- n° 43, maître d’ouvrage, Eugène Mühl, ancien notaire (1874-1875) ou 10, rue des Cigognes
- n° 43 (ancien n° 45)
- n° 45, maître d’ouvrage, Gustave Adolphe Zwicker (vers 1872)
- n° 46, maître d’ouvrage, Jean Richert (1871)
- n° 55, maître d’ouvrage Charles Daniel Braunwald (1872), ou 7, rue du Chevreuil
- n° 59 (ancien) (actuellement sol de la rue du Chevreuil)
- n° 63, maître d’ouvrage Victor Cartié (1877)
- n° 65, à la Licorne depuis 1695, maître d’ouvrage, Auguste Beck (1875)
- Faubourg de Saverne (rue du) – Cronenburger Strasse
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- n° 15, maître d’ouvrage, Samuel Rubin, commerçant – David Falk, architecte
- n° 16, maître d’ouvrage, veuve Louis Kieffer, vers 1873)
- n° 32, maître d’ouvrage, Jean Rœderer brasseur (vers 1694, démolie)
- n° 37 (ancien n° 16), démolie en 1853
- n° 39, maître d’ouvrage, Jacques Müller (1898)
- n° 40, construite en 1883
- Faubourg National (rue du) – Weissenthurn Strass
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- Feu (rue du) – Feuergass
- Fil (rue du) – Pfundzollergass
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- Finkmatt (quai) – Reiffgass, voir aussi rue des Cerceaux
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- n° 5, nouveau bâtiment en 1848, maître d’ouvrage Jean Clément Meyer, puis en 1874, Othon Back
- n° 6
- Finkwiller (quai) – jenseit St. Thomæ Brucken
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- n° 3, maître d’ouvrage Georges Schmitt (1872)
- n° 5, zum Freudenberg, maître d’ouvrage Philippe Jacques Bœris, serrurier (1751))
- n° 10, maître d’ouvrage, Jean Baptiste Cuny (1857) (1857)
- n° 12, maison au Petit Cheval noir (zum schwartzen Rösslin), au Cheval noir (zum schwartzen Rappen)
- Finkwiller (rue du) – im Finckweiler
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- n° 2 (ancien n° 44), écuries de la Ville, magasin de tabac en feuilles (1841), détruit en 1944
- n° 2 (ancien n° 45)
- n° 2 (ancien n° 43)
- n° 2 (ancien n°42)
- n° 4, maison Saum (1767) démolie en 1935, terrain nu
- n° 6, démolie en 1971, terrain nu
- n° 7, actuellement place Henry Dunant
- n° 10, partie est, maître d’ouvrage Charles Schott, brasseur, 1871
- n° 43 et 2 rue du Bain-Finkwiller
- Foin (place du) – bey den Grossen Capucinern
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- n° 2, maître d’ouvrage Pierre Wallinger (1808)
- n° 3, maître d’ouvrage Arnaut Lagardelle (1738), démolie en 1972
- Fonderie (rue de la) – Gieshausgässel, Clarengässel
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- n° 6 (maison Arbogast, 1893)
- Fort (rue du) – Burggass
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- n° 8, maître d’ouvrage, Jacques Ebel, limonadier (1852)
- n° 11, ancien n° 9, maître d’ouvrage Jean Louis Osterrieth, charpentier (1802), détruite en 1870 – III 250 (Blondel) N 522 (cadastre)
- n° 13, auberge A la Renommée de France (1681-1717), détruite en 1870
- n° 15, auberge A la Renommée de France (1720-1725), détruite en 1870
- n° 18, maître d’ouvrage Charles Rothé, cordonnier (1812), détruite en 1870
- n° 28, détruite en 1870
- Fossé des Tailleurs (rue du) – Schneidergraben
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- n° 3 (ancien 5), reconstruite par Melchior Hartung, orfèvre, (1602), oriel par Martin Reinold, marchand (1609), auberge à la Toison d’or (1743 et suivantes)
- n° 2 (ancien), réunie en 1812 au 3, rue Mercière
- Fossé des Tanneurs (rue du) – Gerbergraben
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- n° 5 et 2, rue du Coin Brûlé, maître d’ouvrage, Daniel Schnell (1843)
- n° 6, maître d’ouvrage, Emile Ephraïm Weil (1880) détruite en 1944
- n° 18, maître d’ouvrage, Jean Georges Leiss, menuisier (vers 1771)
- n° 21 et 16, rue du Coin Brûlé, nouveau bâtiment (1936) par le restaurateur Aloïse Schmitt, architecte Antoine Unser
- n° 23 et 18, rue du Coin Brûlé, démolie en 136, voir ensuite n° 21
- n° 28
- n° 33 et 26, rue du Coin Brûlé
- n° 37 bis et 4, rue des Drapiers
- n° 41-43, 10 et 12 rue des Drapiers, maître d’ouvrage, Charles Eugène Seyder, graveur (1881)
- n° 50 ou 6, rue des Cheveux
- n° 57 ou 32, rue des Drapiers
- n° 63 ou 3, Petite rue des Dentelles
- Fossé des Tanneurs (place du) – Gerbergraben Platz
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- n° 8, ensuite 17, rue du Vingt-deux novembre (voir le suivant)
- n° 9, ensuite 17, rue du Vingt-deux novembre
- Fossé des Treize (rue du) – Wassersuppgasse
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- n° 7, maître d’ouvrage, Frédéric Weber, 1872
- n° 9, maître d’ouvrage, Louis Bollenbach, 1872
- n° 11, maître d’ouvrage, Emile Huber, architecte Charles Stieffel (1908) – Bâtiment actuel (2004), architectes Blanc, Briot, Cunci, Gomez
- n° 30, maître d’ouvrage, Habitations populaires, 1894
- Foulon (rue du) – Stampffgass, voir aussi rue Hannong
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- n° 1, démoli en 1910, nouveau bâtiment 3, rue Hannong
- n° 3, démoli en 1910, nouveau bâtiment 3, rue Hannong
- n° 5, démoli en 1910, nouveau bâtiment 3, rue Hannong
- n° 9, démoli vers 1909, nouveau bâtiment 5, rue Hannong
- n° 11, démoli vers 1909, nouveau bâtiment 5, rue Hannong
- Francs-Bourgeois (rue des) – Freiburgergass
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- n° 2 (ancien) démolie lors de la Grande Percée (1915)
- n° 9 ancienne maison démolie en 1968
- n° 11 ancienne maison démolie en 1968
- n° 13 ancienne maison démolie en 1968
- n° 15 ancienne maison démolie en 1968
- n° 19 maître d’ouvrage, Jean Jacques Haffner (1777, bâtiment septentrional)
- Frédéric Piton (rue) – Brennergäßel
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- n° 10, nouvelle maison n° 6, maître d’ouvrage, société immobilière C.A.R.P. (1933)
- Frères (rue des) – Bruderhoffgasse
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- n° 3
- n° 24
- n° 25 Maison dite au Paon (zum Pfauen)
- n° 31
- n° 37 de 1700 à 1752
- n° 39, maître d’ouvrage, Jean Charles Holtzapffel, avocat (1848) – Bâtiment arrière détruit en 1944
- Fritz (rue) – Spiessgasse
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- n° 2 ou 57, rue de Zurich
- Général Zimmer (rue du) – bey den rothen Häussern
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- Glacières (rue des) – bey den Eisgruben
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- n° 4
- n° 6 (jusqu’en 1746) au Soleil d’Or puis au Roi de Pologne
- Glaive (ruelle du) – Schwerdgässlein
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- Grand rue – Langstrass
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- n° 4, au Lion rouge
- n° 13, maître d’ouvrage, Georges Heitz (1825), démolie en 1912
- n° 15, au Tonneau vert (zum grünen Fass), démolie en 1912
- n° 16, 1750, Jean Jacques Hess, notaire (maître d’ouvrage), Jean Léonard Vidua (maître d’œuvre)
- n° 25, rez-de-chaussée mi XVIII° siècle, démolie en 1911
- n° 46
- n° 54 (angle oriental de la rue de l’Aimant), démoli en 1899, voir ensuite n° 56
- n° 56 au Renard (zum Fuchs), nouveau bâtiment de la Caisse d’Epargne (1899, démoli en 1973), de la S.C.I. Les Meuniers (1974)
- n° 58, maître d’ouvrage Jean Herrmann Klein, vers 1755
- n° 79, maître d’ouvrage Jean Michel Starck, 1764 (dite maison Ferrier)
- n° 80, nouvelle façade par le boulanger Jean Daniel Lipp, maître maçon Jean Lingenhœlin (1768)
- n° 81, maître d’ouvrage, Jean Henri Fanck, 1772
- n° 82, maître d’ouvrage, veuve du marchand de fruits et légumes Zacharie Krafft (1756)
- n° 86, maître d’ouvrage François Paul Acker, 1751 (détruite)
- n° 91, bâtiment rue du Savon, 1878, maître d’ouvrage, Jean Emile Stahl, doreur
- n° 96, maître d’ouvrage, Jean Gautier Koch, taillandier (1769-1770)
- n° 98, maître d’ouvrage, Jean Jung, boulanger (1769)
- n° 100, Brasserie à l’Ours noir (zum schwartzen Behren), maître d’ouvrage, Jean Georges Pick, 1764
- n° 106, et rue Escarpée n° 5, maître d’ouvrage André Stahl, 1775
- n° 107, maître d’ouvrage Auguste Rhein, 1867
- n° 110, zum Dornwellen (au Fagot d’épines), maître d’ouvrage sans doute Jean Daniel Rhein, sachetier, vers 1770
- n° 113
- n° 119, façade (1776) par Philippe Jacques Lefevre – balcon (1792) par Jacques Louis Lefevre – troisième étage (années 1830) par Jean Jacques Müller
- n° 121, au Couperet (zum Haumesser)
- n° 125, maître d’ouvrage François Berrat, 1788, démolie en 1915 lors de la Grande Percée
- n° 126, maître d’ouvrage Jean Baptiste Choisy, sellier (1765-1766)
- n° 127, maître d’ouvrage Nicolas Huin, maître maçon, André Müller (1776), démolie 1934 (ensuite 24, rue Gutenberg)
- Grande Boucherie (place de la) – Gegen der Großen Metzig über
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- n° 2, À la botte dorée (zum guldin Stüffel, 1604)
- n° 3, étages refaits par le farinier Martin Hermann, 1668
- Grandes Arcades (rue des) – an den Gewerbslauben, an den Erbslauben
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- n° 4, reconstruite entre 1813 et 1818, maître d’ouvrage Jacques Schlagdenhauffen, charpentier
- n° 15, maison Braun (vers 1754), détruite en 1944, remplacée par un bâtiment neuf
- n° 29, maison Ehrmann (1747 et 1768), détruite en 1932, remplacée par un bâtiment neuf
- n° 33, nouvelle façade, maître maçon Michel Hatzung (1748), nouveau bâtiment n° 33-37 (1897-1899) maître d’ouvrage société Gœhrs et Compagnie, architectes Jules Berninger et Gustave Krafft
- n° 41, auberge à l’Epée Royale (1693-1713), démolie en 1898
- n° 41 bis, démoli en 1898
- n° 43, maître d’ouvrage Jean Bernard Würmel, 1770-1772, démoli en 1898
- n° 51
- n° 91, maison Bader (1784, détruite en 1944), reconstruite
- Grange (Grande rue de la) – Grosse Stadelgass
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- n° 6, démolie en 1912
- n° 10, démolie en 1913
- n° 16, enseigne à l’Etoile d’Or (zum goldenen Stern, 1905), gémolie en 1912 lors de la Grande Percée
- n° 19, ensuite 41 rue du Vingt-deux-novembre
- n° 20, troisième étage, maître d’ouvrage Martin Arlen, 1848 – démolie en 1912
- n° 26, maison Bruder (1768), démolie en 1912
- n° 43, rue du Vingt-deux novembre, en 1748
- Grange (Petite rue de la) – Kleine Stadelgass
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- n° 5, de 1737 à 1767
- n° 16, maître d’ouvrage, Jean Voltzenlogel, cloutier, vers 1782, démolie, 1955
- n° 18, démolie, 1955
- Graumann (rue) – Graumannsgass
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- n° 3, maison Baldner, 1876
- Greniers (rue des) – voir rue Saint-Marc
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- Günther (impasse) – Günthergässlein
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- Gustave-Doré (rue) – détachée de la rue de l’Argile
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- n° 7, démolie en 1960*
- n° 11, aussi 9, rue du Vingt-deux-novembre
- Gutenberg (place) – Krautmarckt, Martinsplatz
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- n° 3 (ancien n° 60), nouveau bâtiment par Louis Immortel Ehmann (vers 1833) – agrandi par Théodore Riegger (1879) – détruit en 1944
- n° 5
- Gutenberg (rue) – (niedere) lange Strass
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- n° 3, maison Ehrmann (1747), détruite en 1944, reconstruite
- n° 6, maison Strœhlin (1763), détruite en 1944, reconstruite
- n° 7, maître d’ouvrage, Jean Henri Othon Seib, 1865
- n° 8 (Grand rue n° 145), détruite en 1944, reconstruite
- n° 10, maison Ruffier (1751), détruite en 1944, reconstruite
- n° 24, voir 127, Grand rue
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