Maisons à l’architecture caractéristique du XVIII° siècle


La liste suivante répertorie les maisons à l’architecture caractéristique du XVIII° siècle : maison entière, façade ou élément isolé (porte, portail, balcon courant). Les bâtiments sont répartis en hôtel (ensemble de bâtiments autour d’une cour), maison (bâtiment entièrement reconstruit) ou façade (souvent à l’avant d’un bâtiment ancien). Pour figurer dans la liste au titre d’une façade, le bâtiment doit comporter au moins deux des éléments suivants (les éléments caractéristiques en gras sont illustrés par le bâtiment photographié).

Vieux Marché aux Poissons 1 (août 2012)
Rue de la Douane n° 19 (Vieux-Marché-aux-Poissons n° 1),
maison du marchand de vins luthérien Jean Michel Greiner (1766,
restaurée après les bombardements de 1944, voir notice)

  • chaînages intermédiaires et chaîne d’angle arrondie, à refends,
  • bandeaux et cordons moulurés, entre les étages,
  • linteaux
    aux étages inférieurs : à angles arrondis, couronnés de petites corniches, à mascarons ou cartouches,
    au troisième étage : en segment d’arc, à fausse clé plate,
  • appuis de fenêtre, galbés aux deux premiers étages, droits au troisième,
  • toit à versants brisés (double pente), à la Mansard,
  • arcades marchandes au rez-de-chaussée (atteignent le sol, alors que les arcades boutiquières sont coupées vers le bas chez les artisans),
  • rez-de-chaussée parementé de grès à refends.

A défaut d’un millésime gravé, la date indiquée est
soit celle d’un document (datation directe) : autorisation donnée par les Directeurs fonciers (Bauherren), obligation contractée pour régler le prix des travaux, contestation portée devant le conseil des maçons,
soit celle qui résulte d’éléments donnés par plusieurs documents (datation indirecte), voir aussi l’exposé sur les dates de construction. La datation indirecte consiste par exemple à comparer à différentes époques le prix auquel les experts de la Ville évaluent une maison lors d’un inventaire après décès. La maison au 11 de la rue de l’Epine est évaluée par les experts 2 500 livres strasbourgeoises en 1713, 4 250 en 1725, 4 000 en 1732 et 4 250 en 1749. On peut donc conclure qu’il y a eu des transformations importantes entre 1713 et 1725 puisque sa valeur a considérablement augmenté entre ces deux dates pour rester stable par la suite. Comme on y signale des travaux en 1720, il est raisonnable de situer les transformations en 1720, ce qui n’exclut pas que des modifications aient eu lieu par la suite. Le tableau indique donc la date de 1720, assortie d’un astérisque (voir en fin de liste la légende des différents signes diacritiques).

Les encadrements de fenêtre à crossettes ne faisaient pas partie des critères retenus. Il est prévu de mettre à jour la liste en y portant les bâtiments où ils apparaissent.

Voir aussi le texte de la conférence d’avril 2014.

Liste des bâtiments

Classée par ordre alphabétique des noms de rue, elle mentionne le maître d’ouvrage (propriétaire de la maison) et sa religion, le numéro de la parcelle sur le plan Blondel de 1765 et le type de construction (façade, maison, hôtel, portail, balcon courant). Compte tenu des critères retenus, la liste des bâtiments qui subsistent devrait être close. Celle des bâtiments détruits, en italiques teintés de jaune, reste par contre ouverte.
Ne figurent pas dans la liste les maisons qui ne comportent que des fenêtres XVIII° (comme au 79, rue des Grandes Arcades ou au 2, rue de la Lanterne), celles dont la datation n’est pas certaine ou dont les caractéristiques ont pour l’instant été jugées insuffisantes.

  1. Académie n° 4, 1771, orphelinat, X 104, maison
  2. Ail n° 17, 1730 (?), Jean Hammerer, marchand, et Marie Salomé Kück, (luthériens), VII 302, portail (muré dans la cour)
  3. Ail n° 19, 1740 (*), Anne Marie Kuhff veuve de Jean Christophe Faber, marchand, (luthériens), VII 326, portail
  4. Arbre-Vert n° 6 (Tonneliers n° 29), 1768 (*), Joseph Antoine Mainoni, marchand, et Marie Thérèse Brentano Cimaroli, (catholiques), VII 311, porte
  5. Arc-en-Ciel n° 2, 1730 (?), Jean Georges Denner, greffier, et Marie Eve Haan, (catholiques), VI 20, portail
  6. Arc-en-Ciel n° 4, 1757-1782, Joseph Graff, remueur de grains, et (1754) Marie Madeleine Meyer – Augustin Jean Baptiste Richard Praz, avocat, et Angélique Caron, (catholiques), VI 5, façade (notice)
  7. Arc-en-Ciel n° 6, 1763-1783 (v), Joseph Wilhelm, tonnelier, et Marie Thérèse Gillot, (catholiques), VI 4, façade, mascarons
  8. Arc-en-Ciel n° 9, (?), Daniel Raimbaut Friderici, commissaire de la Chancellerie, et Marie Marguerite Greuhm, (luthériens), VI 29, mascaron, balconnet (notice)
  9. Arc-en-Ciel n° 15, 1741, Jean Georges Horrer, conseiller du Roi, et Anne Elisabeth Goll, (catholiques), VI 31, maison, mascarons (notice)
  10. Austerlitz n° 2, 1742, Jean Michel Demuth, marchand de vins, et Marie Madeleine Hatt, (luthériens), IX 71, balcon courant
  11. Austerlitz n° 6, 1741, Jean Jacques Kammerer, cordier, et Anne Marguerite Saum, (luthériens), IX 73, rez-de-chaussée, balcon courant (notice)
  12. Austerlitz n° 13, 1774 (*), Michel Thomas, boulanger, et Catherine Salomé Braun, (luthériens), IX 92, porte, fenêtres
  13. Austerlitz n° 15, 1760 (?), Jacques Saum, marchand de vins, célibataire (luthérien), IX 91, porte, fenêtres (notice)
  14. Bain-aux-Plantes n° 36, 1756, Jean Conrad Rauch, fabricant de coton, et Elisabeth Apfler, (catholiques), manants, VII 265, façade (notice)
  15. Bateliers n° 9 (quai des), 1772, tribu des Bateliers, IX 125, façade, mascarons (notice)
  16. Bateliers n° 17 (quai des), 1761, Jean Georges Keck, boulanger, et Marguerite Rhein, (luthériens), IX 145, rez de chaussée, balcon
  17. Bateliers n° 20 (quai des), 1767, Jean Frédéric Jost, boulanger, et Marguerite Salomé Brandhoffer, (luthériens), IX 175, façade, étages
  18. Bateliers n° 24 (quai des), 1742, Jean Jacques Rhein, serrurier, et Marie Salomé Wahl, (luthériens), IX 180, étages (notice)
  19. Bateliers n° 30 (quai des), 1769 (?), Elisabeth Husson, marchande de modes (catholiques), IX 196 (a), chaînage
  20. Bateliers n° 34 (quai des), 1748, Théophile Gentsché, chaudronnier, et Marie Salomé Bameyer, (luthériens), IX 214, façade (notice)
  21. Bateliers n° 40 (quai des), 1752, Jean Jacques Ulrich, batelier, et Marie Madeleine Martin, (luthériens), IX 225, façade (notice)
  22. Bouchers n° [2 bis], ancien n° 54, 1762, Jean Schreibeissen, brasseur, et Anne Barbe Fischer, (luthériens), IX 22, façade – les trois travées centrales actuellement rue des Cheveux n° 4 – autres éléments, voir quai Kleber (notice)
  23. Bouchers n° 4, 1748, Jean Saum, marchand de vins, et Anne Elisabeth Demuth, (luthériens), IX 26, façade, mascarons
  24. Bouchers n° 5, 1760 (?), Philippe Jacques Hummel, marchand, et Marie Elisabeth Demuth, (luthériens), IX 69, façade
  25. Bouchers n° 6, 1768, Philippe Jacques Kammerer, cordier, et Anne Marie Rœderer, (luthériens), IX 27, façade
  26. Bouchers n° 8, 1768, Jean Frédéric Bœswillwald, boulanger, et Marie Marguerite Fischer, (luthériens), IX 28, façade
  27. Bouchers n° 19, (?), tribu des Bouchers, IX 59, façade, démolie lors de la Grande Percée
  28. Bouchers n° 33, façade XVIII° siècle ajoutée vers 1830 (notice)
  29. Bouclier n° 3, 1752, Georges Henri Behr, médecin, et Anne Marie Schætzel, (luthériens), VII 47, façade, mascarons (notice)
  30. Bouclier n° 5, (?), Jean Adam Reul, arquebusier, et Marie Madeleine Kast, propriétaires à partir de 1762, (luthériens), VII 48, façade (notice)
  31. Bouclier n° 10, mi XVIII°, Jean Daniel Helmstetter, farinier, et Anne Madeleine Strohl, (luthériens), VII 42, façade (notice)
  32. Broglie n° 10, 1768, Jean Philippe Beyckert, docteur et professeur en théologie à l’Université, et Susanne Madeleine Frœreisen, (luthériens), III 300, façade (notice)
  33. Broglie n° 12, 1744, Mathias Ambroise Mogg, juriste, et Susanne Marguerite Courtz, Jean Daniel Cappaun, juriste, et Marguerite Salomé Courtz (indivision), (luthériens), III 302, façade, mascarons (notice)
  34. Broglie n° 23 (Mésange n° 30), 1771, Jean Michel Knœrr, marchand de vins, et Sara Mann, (luthériens), III 209, façades, détruite en 1870 (notice)
  35. Brûlée n° 1, 1750, Jean de Türckheim, banquier, et Marguerite Salomé Fettich, (luthériens), V 2, hôtel, détruit en 1870 (notice)
  36. Brûlée n° 2, 1747, abbaye de Marmoutier, V 49, hôtel
  37. Brûlée n° 6, 1739-1748 (v), Philippe Chrétien Winter, receveur, et Marie Marthe Wilhelm, (luthériens), V 47, portail (notice)
  38. Brûlée n° 8, 1772, Jean Jacques Altorff, cocher de louage, et Marie Salomé Bury, (réformés), V 46, maison
  39. Brûlée n° 9, 1730-1738, Jean Régnard comte de Hanau (luthérien), V 6, hôtel – mascarons
  40. Brûlée n° 13, 1754, François Marie Gayot, subdélégué de l’Intendance, et Marie Anne Baron, (catholiques), V 8, hôtel – mascaron
  41. Brûlée n° 19, 1733-1735, François Joseph de Klinglin, préteur royal, et Françoise Deshons, (catholiques), V 10, hôtel – mascarons (notice)
  42. Cathédrale n° 9, voir rue Mercière n° 14
  43. Cathédrale n° 19 (place de la), 1766, André Haifflé, fripier, et Marie Anne Bloch, (catholiques), VI 161, façade, mascarons, détruite en 1944 (notice)
  44. Cathédrale n° 20 (place de la), 1766, Jean Chrétien Schulterer, serrurier, et Marie Catherine Lung, (luthériens), VI 162, façade, détruite en 1944 (notice)
  45. Cathédrale n° 21 (place de la), 1766 (vers), Jean Heiligenstein, charpentier, et Marie Elisabeth Hetzel, (luthériens), VI 162, façade, détruite en 1944
  46. Cathédrale n° 22 (place de la), 1767, Jean Philippe Kræhmer, orfèvre, et Sophie Salomé Rüger, (luthériens), VI 164, façade (crépie)
  47. Cathédrale n° 23 (place de la), 1772 (v), Jean Pierre Blæss, cordonnier, et Marie Madeleine Hürler, (catholiques), VI 165, façade
  48. Cathédrale n° 24 [a] (place de la), 1773, Jean Feder, tailleur d’habits, et Anne Ursule Dangely, (catholiques), VI 166, façade
  49. Cathédrale n° 24 [b] (place de la), 1772, Jean Michel Sultzer, serrurier, et Marie Madeleine Drouel, (catholiques), VI 167, façade
  50. Cathédrale n° 25 [a] (place de la), 1766, François Saus, chaudronnier, et Gertrude von Zabern, (catholiques), VI 168, façade, mascarons
  51. Cathédrale n° 25 [b] (place de la), 1809 (**), Jean Charles Weisé, chaudronnier, et Gertrude von Zabern veuve Saus, (catholiques), VI 169, façade, mascarons
  52. Cathédrale n° 28 (place de la), 1776, Jean Frédéric Kuntz, négociant, et Marguerite Esther Schwab, (luthériens), VI 160, 159, façade en partie crépie
  53. Cathédrale n° 31 (place de la), 1777, François Moris, négociant, et Marie Catherine Cravotti, (catholiques), VI 175, maison
  54. Chaîne n° 3, 1769, Jean Laurent Gœtz, maître maçon, et Marie Sophie Conrad, (luthériens), VII 5, façade, mascarons, (notice)
  55. Chandelles n° 6, 1773, Jean Kieffer, vitrier, et Marie Madeleine Janus, (luthériens), IV 409, façade, détruite en 1919 (notice)
  56. Chandelles n° 18, 1760 ( ?), Jean Jacques Stegmann, serrurier, et Anne Marie Müller (luthérien converti, catholique), IV 402, façade, démolie en 1907 (notice)
  57. Chapon n° 8, 1770, Jean Michel Stoll, aubergiste, et Anne Marie Kugler, (catholiques), VI 340, maison
  58. Charpentiers n° 4, 1749, François Charles Bock de Blæsheim et Françoise Wilhelmine Wurmser de Vendenheim, (luthériens), V 44, étages
  59. Charpentiers n° 16, 1764, Elisabeth Neviant veuve d’Antoine Anselme Peyronelle, (catholiques), V 39, maison
  60. Charpentiers n° 17, 1763, Chrétien Frédéric Dagobert comte de Waldner de Freudstein, luthérien*, V 82, hôtel
  61. Charpentiers n° 18, 1762, Jean Philippe Wittmann, employé à la Halle, et Anne Marie Fuchs, (luthériens), V 38, maison (notice)
  62. Château n° 1 (place du), 1758, collège des Jésuites, VI 339, maison
  63. Château n° 2 (place du), 1732 sqq., palais épiscopal, VI 338, hôtel, mascarons
  64. Chaudron n° 9, v. 1780, Jean Frédéric Ensfelder, boulanger, et Catherine Salomé Schall (luthériens), V 166, façade (notice)
  65. Cheveux n° 4, voir rue des Bouchers n° [2 bis]
  66. Coq n° 6, 1742 (v), Jean Zacharie Meyé, maître maçon, et Anne Marie von Molsheim, (luthériens), VII 150, maison (notice)
  67. Corbeau n° 8, (1775), Jacques Frédéric von Zabern, vitrier, et Marie Salomé Vogt, (luthériens), IX 233, façade, détruite en 1944 (notice)
  68. Cordonniers n° 5, (?), Martin Gauthier, aubergiste, et Alexis Mathieu (propriétaires de 1724 à 1747), (catholiques), VII 25, portail marqué A la Ville de Haguenau (notice)
  69. Couples n° 9, 1760, Jean Hammerer, marchand, célibataire (luthérien), IX 108, hôtel, mascarons
  70. Dôme n° 7, 1744, Jacques Gallay, maître maçon, et Marie Catherine Berga, (catholiques), V 21, façade, mascarons (notice)
  71. Dôme n° 8, 1786 et suiv., François Charles Joseph de Hohenlohe Waldenbourg Schillingsfürth, chanoine (catholiques), V 126, hôtel (notice)
  72. Dôme n° 12, 1751, Jean Georges Langhans, avocat et ammestre, et Hélène Cunégonde Kien, (catholiques), V 98, façade, mascarons
  73. Dôme n° 14, 1739, Jean Christophe Schrader, marchand, et Agnès Bessière, (catholiques), V 97, façade, mascarons
  74. Dôme n° 17, 1752, Claude Joseph Sarez, marchand, et Marie Anne Richarmé, (catholiques), V 56, façade, mascarons (notice)
  75. Dôme n° 18, 1750, Balthasar Frédéric Spach, orfèvre, et Sophie Dorothée Schaaff, (luthériens), V 93, façade, mascarons
  76. Douane n° 19, 1766, Jean Michel Greiner, marchand de vins, et Marie Barbe Hummel, (luthériens), VII 408, façade en partie sur la rue de l’Etal (n° 1 et n° 3, deux travées construites en 1780 – aujourd’hui rue du Vieux-Marché-aux-Poissons n° 1), mascarons (notice)
  77. Dragon n° 6, 1772-1781 (entre), Jean Jacques Hitschler, courtier, et Marie Salomé Pfeffinger, (luthériens), VIII 67, façade
  78. Drapiers n° 14, Fossé des Tanneurs n° 45, 1769, Jean Philippe Meyer, cordonnier, et Salomé Heidel, (luthériens), IV 186, façades, appuis
  79. Drapiers n° 16, 1769, Jean Laurent Ziegel, tonnelier, et Anne Marie Schmidt, (luthériens), IV 185, façades, appuis
  80. Echasses n° 6, 1746, Antoine Finot, aubergiste, et Marie Anne Bartel, (catholiques), V 50, porte (notice)
  81. Echasses n° 8, 1758, Pierre Labelly, revendeur, et Marie Catherine Olinet, (catholiques), V 60, façade (notice)
  82. Ecrevisse n° 21, 1768, Jean Jacques Bressel, tailleur de pierres, et (1752) Anne Marie Ripp, (catholiques), III 296, façade, démolie en 1971 (notice)
  83. Ecrivains n° 4, 1772, Jean Frédéric Charles Rœderer, teinturier, et Marie Madeleine Rœderer, (luthériens), VI 384, portail (notice)
  84. Ecrivains n° 8, 1749, abbaye d’Andlau, VI 341, hôtel
  85. Ecurie n° 4, 1769 (*), Georges Frédéric Weishaar, marchand de vins, et Marie Madeleine Bleyfuss, (luthériens), VII 342, façade, mascarons
  86. Ecurie n° 8, 1781, Jean Jacques Ulmer, marchand, et Marie Madeleine Winter, (luthériens), VII 344, façade
  87. Ecurie n° 9 (Ail n° 26), 1770, Philippe Jacques Kamm, marchand, et Anne Dorothée Verius, (luthériens), VII 347 a, façade, mascarons
  88. Ecurie n° 12 (Ail n° 28), 1747, Jean Daniel Stamm, marchand de vins, et Marie Madeleine Jung, (luthériens), VII 346, maison
  89. Eglise n° 4, (?), chapitre de Saint-Pierre-le-Jeune, III 172, façade
  90. Epine n° 1, 1773, Jean Frédéric Stamm, marchand de vins, et Marie Sara Werner, (luthériens), VII 301, façades (notice)
  91. Epine n° 4, 1769 (vers), Christophe Würtz, aubergiste, et Susanne Marie Treuttel, (luthériens), VII 328, façade, mascarons
  92. Epine n° 9, 1737, Jean Schubart, marchand, et Marie Barbe Kayser, (luthériens), VII 296, maison
  93. Epine n° 10, 1768 (**), Joseph Müeg, veuf, tonnelier ; Jean Læmmermann, tonnelier, et Marie Madeleine Müeg, copropriétaires, (luthériens), VII 318, façade
  94. Epine n° 11, 1720 (*), Jean Frédéric Bemberg, marchand, et Anne Marguerite Miville, (luthériens), VII 295, maison (notice)
  95. Ernest-Munch n° 12, 1769, Jean Conrad Grœtzinger, boucher, et Anne Marguerite Fuchs, (luthériens), X 350, façade (maison)
  96. Etal n° 3, 1770, Benjamin Waltz, négociant, et Rosine Langhans, (luthériens), VII 409, façade, détruite en 1944 (notice)
  97. Faisan n° 2, 1734, Jean Nicolas Zæpffel, marchand de vins, maître de la Grue, veuf d’Anne Marie Saxer, (catholiques), VI 59, porte et façade
  98. Faubourg de Pierre n° 5, 1778, Georges Frédéric Weishaar, marchand de vins, et Marie Madeleine Bleyfuss, (luthériens), II 149, façade, mascarons
  99. Faubourg de Pierre n° 11, 1778, Abraham Fischer, brasseur au Coq blanc, célibataire (luthérien), II 152, chaînage, appuis galbés aux fenêtres
  100. Faubourg de Pierre n° 39, 1778, Georges Henri Steinbach, boucher, et Anne Marie Fleischmann, (luthériens), II 110, façade
  101. Faubourg de Saverne n° 3, 1771, Jean Frédéric Claussmann, aubergiste, et Marie Marguerite Mosseder, (luthériens), I 2, façade, mascarons
  102. Faubourg National n° 8, 1771, Jean Frédéric Pfeffinger, brasseur, et Anne Catherine Lauth, (luthériens), I 168, façade, mascarons
  103. Finkwiller (quai) n° 5, 1751, Philippe Jacques Bœris, serrurier, et Susanne Baufinck, (luthériens), VIII 147, portail, façade (notice)
  104. Finkwiller (quai) n° 8, (?), Georges Guillaume Fleischmann, conseiller de Hesse-Darmstadt, célibataire, propriétaire de 1744 à 1776, ou Christophe Guillaume Koch, professeur et bibliothécaire, célibataire, propriétaire de 1776 à 1813, (luthériens), VIII 144, portail
  105. Finkwiller n° 4, 1767, Jean Daniel Saum, marchand, et Marie Barbe Demuth, (luthériens), VIII 172, façade, démolie en 1935 (notice)
  106. Finkwiller (rue) n° 51, Bain-Finckwiller n° 16, 1767, Jean Michel Sarger, greffier, et Catherine Elisabeth Lambrecht, (catholiques), VIII 208, façades
  107. Foin n° 3 (Place du), 1738, Arnaut Lagardelle, maître maçon, et Marie Catherine Reine Marchand (catholiques), démolie en 1972 (notice)
  108. Fossé des Tanneurs n° 14, 1766, Antoine Henri Meyer, serrurier, et Catherine Barbe May, (luthériens), IV 149, façade, mascarons
  109. Fossé des Tanneurs n° 18, 1771 (*), Jean Georges Leiss, menuisier, et Marie Madeleine Tretzel, (catholiques), IV 147, façade (notice)
  110. Francs-Bourgeois n° 19, 1777 (v.), Jean Jacques Haffner, sergent de la ville, et Marie Salomé Kampmann, (luthériens), IV 318, bandeaux, appuis (notice)
  111. Frères n° 1, 1771, Jean François Leroux, imprimeur, et Marie Louise Perdrix Servo, (catholiques), VI 104, maison
  112. Frères n° 2, 1769, Grand Séminaire, VI 339, maison
  113. Frères n° 27, 1760, Joseph Chrétien François de Hohenlohe Waldenbourg Bartenstein, chanoine (catholique), VI 91, hôtel
  114. Grand rue n° 16, 1750, Jean Jacques Hess, notaire, et Anne Catherine Risch (catholiques), VII 184, maître d’œuvre Jean Léonard Vidua (notice)
  115. Grand rue n° 35, 1749-1780 (*), Michel Hatzung, maître maçon, et Marie Salomé Hügel, (luthériens), IV 19, étages : clés aux fenêtres, chaînage
  116. Grand rue n° 25, troisième quart du siècle, peut-être 1771, Daniel Théophile Ziegenhagen, chirurgien, et (1751) Marie Marguerite Schwartz, (luthériens), IV 14, rez-de-chaussée, démolie en 1911 (notice)
  117. Grand rue n° 39, 1791, Michel Scheer, tonnelier, et Marie Salomé Scheer, (luthériens), IV 22-21, façades (maison)
  118. Grand rue n° 58, 1755 (?), Jean Herrmann Klein, greffier, et Sidonie Elisabeth Haffner, (catholiques), VII 131, étages (sauf rez-de-chaussée), mascarons (notice)
  119. Grand rue n° 59, 1766, Jean Georges Dürr, tonnelier, et Anne Marie Schætzel, (luthériens), IV 54, façade, mascarons
  120. Grand rue n° 62, 1771 (*), Emanuel Vogt, aubergiste, et Marguerite Salomé Claussmann, (luthériens), VII 129, étages, chambranles, bandeaux, appuis de fenêtres (étages)
  121. Grand rue n° 63, 1776, Jean Daniel Albert, relieur, et Dorothée Barbe Schœpff, (luthériens), IV 56, étages
  122. Grand rue n° 65, 1776, Antoine Voinson, boulanger, et Marie Barbe Blehm, (catholiques), IV 57, façade, angle
  123. Grand rue n° 79, 1764, Jean Michel Starck, maître maçon, et Susanne Marguerite Russ, (luthériens), IV 218, façade (notice)
  124. Grand rue n° 80, 1768, Jean Daniel Lipp, boulanger, et Marguerite Vix, (luthériens), IV 105, façade (notice)
  125. Grand rue n° 81, 1772, Jean Henri Fanck, potier, veuf de Susanne Lobstein, remarié en 1773 à Sabine Federreuter, (luthériens), IV 219, façade (rez-de-chaussée, fenêtres, clé de cintre) (notice)
  126. Grand rue n° 82, 1756 (*), Dorothée Buchs veuve de Zacharie Krafft, revendeur, (luthériens), VII 104, étages, chambranles, bandeaux, appuis de fenêtres (étages) (notice)
  127. Grand rue n° 86, 1751, François Paul Acker, potier municipal, et Anne Marie Frick, (catholiques), VII 102, façade, démolie en (1962) (notice)
  128. Grand rue n° 96, 1769, Jean Gautier Koch, taillandier, et Marie Salomé Weiss, (luthériens), VII 80, façade, mascarons (notice)
  129. Grand rue n° 98, 1769, Jean Jung, boulanger, et Catherine Simon, (luthériens), VII 79, façade, mascarons (notice)
  130. Grand rue n° 100, 1764, Jean Georges Pick, brasseur, et Marie Salomé Weyel, (luthériens), VII 78, façade (notice)
  131. Grand rue n° 103, 1722, Jean Kornmann, marchand, et Marie Elisabeth Leo, (luthériens), IV 279, façade
  132. Grand rue n° 109, 1755, Jean Georges Fulgraff, perruquier, et Marie Françoise Diebold, (catholiques), IV 282, étages, encadrements et appuis de fenêtres, bandeaux
  133. Grand rue n° 110, (sans date), Jean Daniel Rhein, gaînier, et Marie Salomé Stoltz, propriétaires de 1765 à 1800, (luthériens), VII 55, chaînes d’angle, cordons, appuis de fenêtre (notice)
  134. Grand rue n° 118, 1736, Jean Jacques Oberlin, sellier, et Marie Salomé Gross, (luthériens), VII 41, balcon courant
  135. Grand rue n° 119, 1776, Philippe Jacques Lefevre, marchand de tabac, et Marie Marguerite Müller, (catholiques), IV 298, façade (étages) (notice)
  136. Grand rue n° 124, 1744, Hôpital bourgeois, VII 39, façades
  137. Grand rue n° 126, 1765, Jean Baptiste Choisy, sellier, et Marie Salomé Rothenbach, (catholiques), VII 19, façade, mascarons (notice)
  138. Grand rue n° 127 (aujourd’hui 24, rue Gutenberg) 1776, Nicolas Huin, cafetier, et Marie Josèphe Scholl, (catholiques), IV 311, arcades, appuis de fenêtre, démolie en 1934 (notice)
  139. Grandes Arcades n° 10, 1771-1772, tribu des Pelletiers, IV 360, façades
  140. Grandes Arcades n° 15, 1754 ( ?), Jean Braun, banquier, et Catherine Salomé Bemberg, (luthériens), V 226, façade, détruite en 1944 (notice)
  141. Grandes Arcades n° 29, 1747, 1768, Jean Daniel Ehrmann, courtier de change, et Marie Madeleine Fritschmann, (luthériens), V 142, façade, détruite en 1932, même maître d’ouvrage qu’au 3 rue Gutenberg et 3 quai au Sable (notice)
  142. Grandes Arcades n° 31, 1748, Jean Jacques Meyer, brasseur, et Marie Salomé Pick, (luthériens), V 143, façade, démolie en 1932
  143. Grandes Arcades n° 45, 1770-71, Jean Bernard Würmel, marchand, et Anne Marguerite Thomann (luthériens), V 170, façade, démolie en 1898 (notice)
  144. Grandes Arcades n° 52, 1745 (*), Samuel Becke, pelletier, et Anne Marguerite Franck, (luthériens), IV 331, façade
  145. Grandes Arcades n° 91, 1784, Wolffgang Auguste Bader, marchand, et Marguerite Salomé Roederer, (luthériens), V 202, façade, détruite en 1944 (notice)
  146. Grange (Grande rue de la) n° 26, 1768, Georges Frédéric Bruder, parcheminier, et (1749) Anne Marie Beck, (luthériens), IV 253, façade (notice)
  147. Grange (Petite rue de la) n° 16, v. 1782, Jean Voltzenlogel, cloutier, et (1782) Eve Kalwinger (catholiques), IV 419, rez-de-chaussée et premier étage (notice), démolie en 1955
  148. Gutenberg n° 3, 1747, Jean Daniel Ehrmann, courtier de change, et Marie Madeleine Fritschmann, (luthériens), VII 431, façade, balcon, détruite en 1944, même maître d’ouvrage qu’au 29 Grandes Arcades et 3 quai au Sable (notice)
  149. Gutenberg n° 5, 1782, tribu du Miroir, VII 420, maison
  150. Gutenberg n° 6, 1763, Jean Frédéric Strœhlin, pharmacien, et Marie Madeleine Krieg, (luthériens), IV 328, façade, mascarons, détruite en 1944 (notice)
  151. Gutenberg n° 10, 1751, Jean Baptiste Ruffier dit Deschamps, marchand, et Marie Barbe Oswald, (catholiques), IV 325, façade, mascarons, détruite en 1944 (notice)
  152. Gutenberg n° 16, 1731 (*), Jean Frédéric Rœderer, orfèvre, et Marie Ursule Frœreissen, (luthériens), IV 316, porte, mascaron
  153. Gutenberg n° 18, 1740, François Longho, marchand, et Marie Elisabeth Brentano Somenza, (catholiques), IV 315, façade, mascarons
  154. Hallebardes n° 6, 1765, Georges Michel Hering, marchand, et Marguerite Elisabeth Stædel, (luthériens), VI 183, façade, frise, détruite en 1944 (notice)
  155. Hallebardes n° 7, 1753, Marguerite Barbe Strœhlin veuve de Jean Daniel Bæhr, orfèvre, (luthériens), V 206, façade, mascarons
  156. Hallebardes n° 8, 1765, Jean Baldner, marchand, et Marie Catherine Soder, (luthériens), VI 182, façade, mascarons
  157. Hallebardes n° 16, 1751, Jean Jacques Braun, orfèvre, et Anne Catherine André, (luthériens), VI 178, façade, mascarons
  158. Hallebardes n° 19, 1785, Benoît Philippe Kast, marchand, et Susanne Foltz (luthérien et réformée), V 111, façade (arcades, bandeaux)
  159. Hallebardes n° 20, 1748, Joseph Lassia, marchand de nouveautés, et Nicolas Dany, (catholiques), VI 176, façades, détruite en 1944 (notice)
  160. Hannong n° 18, 1771, Jean Mantelatz, tapissier, et Marie Eve Jenni, (catholiques), manants, IV 104, façade (notice)
  161. Haute-Montée n° 9, 1766, Vincent Marie Tounquet, orfèvre, et Marie Geneviève Potel, (catholiques), III 149, façade (étages), démolie en 2011, éléments remis en place (notice)
  162. Haute-Montée n° 23, 1768, Jean Daniel Kolb, greffier, et Marie Charlotte Pin, (catholiques), III 156, façade, démolie en 1903, (notice)
  163. Henry-Dunand n° 7 (rue), 1745**, Jean Laurent Blessig, marchand de poissons, et Susanne Sigwald, (luthériens), VIII 197, porte
  164. Homme de fer n° 2, 1768, Philippe Jacques Faudel, sellier, et Anne Marie Hüttner, (luthériens), IV 457, maison, mascarons (notice)
  165. Hôpital n° 3 (place de l’), 1759, abbaye d’Ettenheimmünster, VIII 44, façade, mascaron
  166. Jean-Jaurès n° 59 (avenue), 1749, François Joseph de Klinglin, préteur royal, et (1715) Marie Françoise Deshons, (catholiques), maison de plaisance (notice)
  167. Jeu-des-Enfants n° 24, 1769, Jean Jacques Klein, chiffonnier, revendeur de fruits et légumes et Marie Madeleine Zæpffel, (luthériens), IV 80, façade, démolie en 1968 (notice)
  168. Jeu-des-Enfants n° 52, (?), François Antoine Hold, avocat, et Anne Marie Jeanne Billerey, propriétaires à partir de 1737, (catholiques), IV 161, façade
  169. Jeu-des-Enfants n° 60, 1781, Jean Eusèbe Hessland, menuisier, et Anne Salomé Schultz, (luthériens), IV 157, encadrements de fenêtres, bandeaux, détruite en 1944 (notice)
  170. Jeu-des-Enfants n° 64, 1776, Jean Georges Faudel, sellier, et Catherine Knoderer, (luthériens), IV 155, façades, démolie en 1958 (notice)
  171. Juifs n° 2, 2-a, 1748 (*), Claude François Hautier, chirurgien, et Madeleine Charrot, (catholiques), VI 101, étages
  172. Juifs n° 11, 1731, Gérard Geofroi Becker, fourbisseur, et Susanne Marguerite Dieterlin, (luthériens), V 32, façade
  173. Juifs n° 26, années 1780, Jean Jacques François Théodose Barbier de Tinan, commissaire des guerres, et Marie Françoise Xavière Noblat (catholiques), VI 79, façades (notice)
  174. Juifs n° 27, 1767, Charlotte Clément femme de Claude Rend de Purgerot de Wardener, capitaine, (catholiques), V 64, façade, mascarons (notice)
  175. Juifs n° 28, 1740 (?) et 1766, héritiers de Jean Romain Willemann, avocat, et Marie Anne Françoise Breuer, (catholiques), VI 51-50, façade (en partie)
  176. Juifs n° 36, 1751, Joseph Massol, architecte, et Marie Louise Relly, (catholiques), VI 42, façade, mascaron, (notice)
  177. Kastner n° 1 (allée), 1750-1754 (?), note, (notice)
  178. Kleber n° 9, 1758, Philippe Nagel, aubergiste, et Marie Marguerite Saum, (luthériens), IV 372, façade, mascaron, démolie en 1912 (Grande percée), (notice)
  179. Kleber n° 27, 1779, Jean Philippe Fibich, orfèvre, et Catherine Sebisch, (luthériens), IV 450, rez-de-chaussée, chaînages, démolie en 1957, (notice)
  180. Kleber n° 30, 1748, Jean Louis Imlin, orfèvre, et Anne Salomé Boch, (luthériens), IV 462, façade
  181. Kleber n° 31 (place), 1766, Aubette, IV 459, maison
  182. Kleber n° 6 (quai), voir [2-bis] rue des Bouchers, façade, mascarons
  183. Krutenau n° 30, 1760, Jean Michel Klein, boucher, et, Jean Valentin Schneegans, boucher, mari de sa petite-fille Marguerite Salomé Klein, (luthériens), X 335, façade, détruite en 1944 (notice)
  184. Lanterne n° 2, (?), Geoffroi Wittenberg, menuisier, et Anne Marthe Fischer (propriétaires de 1757 à 1790), (luthériens), IV 320, fenêtres côté rue de la Lanterne
  185. Lanterne n° 4, 1744, Pierre Jaccoti, aubergiste, et Anne Marie Huet, (catholiques) (notice), IV 319, portail
  186. Lentilles n° 7 et 7 bis, (?), Philippe Jacques Bischoff, marchand de bois, et Marie Salomé Reiff, (luthériens), VIII 180, portail, façade
  187. Marais Kageneck n° 9 [b], 1768 (**), I 119 (notice), façade provenant du n° 10, rue du Maroquin
  188. Marché aux cochons de lait n° 10, 1762 (v), Joseph Philibert Perrot, marchand, et Marie Catherine Rey, (catholiques), VI 325, façade, mascarons
  189. Marché aux cochons de lait n° 4, 1781, Catherine Barbe Isenheim veuve du serrurier Jean Gretzinger, (luthériens), VI 397, rez-de-chaussée
  190. Marché aux cochons de lait n° 9, 1769, Joseph Mennet, marchand, et Marie Catherine Roundouin, (catholiques), VI 326, façade
  191. Marché aux poissons n° 4 (place du), 1756, Simon Zollickoffer, marchand, et Marie Dorothée Obermüller puis Marguerite Engelhard, (luthériens), VI 336, façade (bâtiment sur l’Ill), mascarons (notice)
  192. Maroquin n° 10, 1768, Jean Huck, cordonnier, et Catherine Salomé Lix (luthériens), VI 310, façade (notice), déplacée en 1865 au n° 9, rue du Marais-Kageneck
  193. Maroquin n° 21, 1759, Jean Egelus, cordonnier, et Marie Madeleine Werner, (luthériens), VI 287, façade (notice)
  194. Maroquin n° 23, 1759, Jean Georges Werner, cordonnier, et Marie Salomé Westermann, (luthériens), VI 288, façade
  195. Mercière n° 14 (Cathédrale n° 9), 1778, Valentin Humbert, cafetier, et Marie Elisabeth Pfeffinger, (luthériens), VI 296, maison, mascarons (notice)
  196. Mercière n° 8, 1764, Charles Daigue, marchand, et Marie Ester Bachelier, (catholiques), VI 263, balcon, étages
  197. Mésange n° 2 et 4, 1749, Antoine Ducré, boucher, et Anne Catherine Eckert, Jean Léonard Kien, greffier, et Marie Anne Varnhagen, (catholiques), III 351, maison
  198. Mésange n° 16, 1770, Jean Michel Merckel, orfèvre, et Anne Marie Jahn, (luthériens), III 200, façade
  199. Mésange n° 18 [a], 1767, Laurent Brucker, tonnelier, et Anne Marguerite Vix, (luthériens), III 201, façade
  200. Mésange n° 18 [b], 1768, Jean Michel Redslob, passementier, et Marie Salomé Baum, (luthériens), III 202, façade, mascarons, façade (notice)
  201. Mésange n° 20, 1766, Jean Streitt, fabricant de parapluies, et Elisabeth Schwartz, (catholiques), III 203, façade
  202. Nuée Bleue n° 5, chapitre Saint-Pierre-le-Jeune, III 251, façade
  203. Nuée Bleue n° 7, 1760 (après), Jean Henri Büchel, courtier, et Marie Elisabeth Boch (propriétaires à partir de 1760), (luthériens), III 227, façade
  204. Nuée Bleue n° 11, 1729 et suiv., Léonor Marie du Maine, comte du Bourg, gouverneur de la Province (catholique), III 252, hôtel, ailes latérales
  205. Nuée Bleue n° 22, 1767, Arbogast Nicolas Kohler, vitrier, et Anne Marie Wey, (catholiques), III 185, façade (notice)
  206. Nuée Bleue n° 24 (rue de la), 1753, Thiébaut Roser, boulanger, et Eve Elisabeth Bœschett, (luthériens), III 184, façades (notice)
  207. Nuée Bleue n° 25 (rue de la), 1732-1733, Marie Anne de Klinglin veuve d’Antoine d’Andlau, lieutenant colonel, (catholiques), III 259, hôtel (notice)
  208. Or n° 16, 1771, Georges Christophe Freisinger, maître maçon, et Marguerite Dorothée Rockenbach, (luthériens), VIII 18, façade
  209. Or n° 18, 1746, Jean Henri Reinbold, maître maçon, et Marguerite Dorothée Rockenbach, (luthériens), VIII 20, façade (notice)
  210. Or n° 21, 1769, Jean Paul Grucker, maréchal ferrant, et Anne Ursule Wild, (luthériens), IX 2, façade
  211. Orfèvres n° 3, 1773, Jean Frédéric Senckeissen, orfèvre, et Marie Elisabeth Maul, (luthériens), V 160, façade
  212. Orfèvres n° 10-12, 1746, Jean Henri Cladi, confiseur, et Marie Elisabeth Acker, (catholiques), V 218, maison
  213. Orfèvres n° 11, 1781, Jean Koch, revendeur, et Catherine Barbe Bimler, (luthériens), V 121, façade
  214. Orfèvres n° 14, (date indéterminée), V 217, porte (fronton) (notice)
  215. Orfèvres n° 17, 1739 (**), Jean Jacques Lung, orfèvre, et Marie Madeleine Emmerich, (luthériens), V 125, façade
  216. Orfèvres n° 26, 1765 (v, **), Joachim Frédéric Kirstenstein, orfèvre, et Marie Salomé Witter, (luthériens), V 213, façade
  217. Parchemin n° 3 (Brûlée n° 16), 1725-1728, Grand chapitre de la Cathédrale (Grand doyenné), V 66, hôtel
  218. Pucelles n° 1-3, 1730-1750 (v), François Nicolas Gelb, receveur, et Marie Eve Schneringer, (catholiques), VI 74, 75, maison, balcon courant
  219. Râpe n° 12, 1747, Jacques Louis Willame, marchand de cuirs, et Thérèse Le Roy, (catholiques), VI 401, maison, balcon courant
  220. Récollets n° 1, 1767, Louis Denis baron de Gallahan, conseiller du margrave de Bade, et Marie Anne baronne de Lehrbach, (catholiques), V 19, maison (notice)
  221. Renard Prêchant n° 3, vers 1754, Jean Nicolas Claus, marchand, et (1750) Julienne Salomé Kiessel (catholiques), X 247, maison, démolie en 1974 (notice)
  222. Sable n° 2 (quai au), 1756 (**), Jean Daniel Senckeissen, tailleur d’habits, et Marie Dorothée Gillich, (luthériens), VI 410, façade (même d’ouvrage qu’au 17 rue Sainte-Barbe) (notice)
  223. Sable n° 3 (quai au), 1744, Jean Daniel Ehrmann, courtier de change, et Marie Madeleine Fritschmann, (luthériens), VI 411, façade, mascarons (même d’ouvrage qu’au 29 Grandes Arcades et 3 rue Gutenberg) (notice)
  224. Sainte-Barbe n° 17, 1775, Jean Daniel Senckeissen, tailleur d’habits, et Marguerite Etter, (luthériens), IV 308, façade (même d’ouvrage qu’au 3 quai au Sable)
  225. Sainte-Barbe n° 19, 1763, Jean Frédéric Lobstein, notaire, et Catherine Salomé Büchel, (luthériens), IV 309, porte (notice)
  226. Sainte-Elisabeth n° 1, 1751-1753, Académie aux chevaux, haras, VIII 112, bâtiments
  227. Sainte-Elisabeth n° 4, 1747 (*), Daniel Ewald, banquier, et Anne Marie Ritter, (réformés), VIII 101, portail
  228. Sainte-Elisabeth n° 8, 1787, hôtel prétoral entre cour et jardin, inachevé, VIII 104 (notice)
  229. Sainte-Hélène n° 23, 1764, Antoine Ruffier, marchand, et Marie Barbe Zæpffel (catholiques), IV 235, façade, démolie vers 1913 (notice)
  230. Sainte-Hélène n° 29, vers 1762, Jean Philippe Geissler, relieur, et Marie Salomé Preussing (luthériens), IV 238, chaînes d’angle, encadrements de fenêtres, bandeaux, démolie en 1970 (notice)
  231. Saint-Etienne n° 7 (place), 1753 et 1773, Georges Michel Müller, maître maçon, et Marie Françoise Schisler puis Catherine Meltzheim, (catholiques), VI 66, VI 73, façade, mascarons (notice)
  232. Saint-Etienne n° 8 (place) et Pucelles n° 2, 1763 (avant), François Nicolas Gelb, receveur, et Marie Eve Schneringer, (catholiques), VI 25, maison
  233. Saint-Louis n° 6 (place), 1769, Jean Christophe Dillemann, marchand, et Marie Anne Lamare, (catholiques), VIII 138-139, façade
  234. Saint-Louis n° 8 (place), 1746, Michel Thomas, menuisier, et Marie Madeleine Bentz (luthériens) – travée de gauche 1760, Claude Bernard Eisentraut, receveur, et Reine Rostaing, (catholiques), VIII 137, façade (notice)
  235. Saint-Louis n° 10 (place), 1760, Jacques Isaïe Bourgeois, tapissier, et Marie Andrée Donnay, (catholiques), VIII 136, façade, démolie en 1968 (notice)
  236. Saint-Marc n° 8 (rue), vers 1770, Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, Marie Marguerite Knoderer, (luthériens), VIII 161, façade, démolie en 1966 (notice)
  237. Saint-Marc n° 9, 1776, Jean Jacques Dieterlin, marchand, et Catherine Barbe Biehler, (luthériens), VIII 225, façade
  238. Saint-Marc n° 15, 1770, Jean Jacques Memminger, marchand de tabac, et Rosine Karcher, (catholiques), VIII 222, façade
  239. Saint-Nicolas n° 7 (quai), 1759, Philippe Jacques Franck, banquier, et Catherine Elisabeth Boch, (luthériens), VIII 28, façade, mascaron
  240. Saint-Nicolas n° 8 (quai), 1737, Jean Thierry Fahlmer, marchand, et Marie Salomé Kayser, (luthériens), VIII 27, maison – façade, mascarons (notice)
  241. Saint-Nicolas n° 19 (quai), 1770 (?), Jean Michel Striedbeck, courtier, et Marie Salomé Schætzel, (luthériens), IX 13, façade, mascarons
  242. Saint-Thomas n° 1 (quai), 1772, chapitre Saint-Thomas, VII 269, maison
  243. Saint-Thomas n° 2 (quai), 1751, Jean Rodolphe de Bayer, conseiller du duc de Deux-Ponts, et Marie Salomé Sommer, (luthériens), VII 364, maison
  244. Saint-Thomas n° 3 (quai), 1737, Jean Sigismond Weitz, marchand, et Marie Madeleine Ferber, (luthériens), VII 363, façade
  245. Saltzmann n° 7, 1743, François Charles Lafermiere, aubergiste et Marie Marguerite Petit, (catholiques), VII 37, portail
  246. Sanglier n° 4 et 6, 1752, Jean Baptiste Gourmand, chandelier, et Thérèse Forgue, (catholiques), V 155, façade
  247. Sept-Hommes n° 2, 1760 (v), Jean Jacques Reussner, tailleur, et Anne Marie Westermann (luthériens), IV 390, façade, démolie en 1912 (notice)
  248. Sept-Hommes n° 13, 1770, Jean Durig, tourneur, et Catherine Bornert, (catholiques), IV 380, façade, démolie en 1938 (notice)
  249. Serruriers n° 8, 1775 (v), Georges Daniel Trawitz, fabricant de tabac, et Anne Barbe Heim, (luthériens), VII 273, étages
  250. Serruriers n° 10, 1775, Georges Girsching, maître d’hôtel, et Marie Cleophée Claussmann, (luthériens), VII 274, façade
  251. Serruriers n° 16, 1773-1776, François Georges Burghard, aubergiste, et Catherine Marguerite Rabailliaty, (catholiques), VII 292, chaînages, en particulier à l’angle, encadrements de fenêtre, démolie en 1930 (notice)
  252. Serruriers n° 20, 1747, Pierre Richard, marchand, et Marie Agathe Baud, (catholiques), VII 294, façade, mascaron (notice)
  253. Serruriers n° 29, 1758, tribu du Miroir, VII 421, façade, mascarons (notice)
  254. Serruriers n° 31, 1749, Antoine Janin, marchand, et Marie Violant, (catholiques), VII 435, façade, mascarons
  255. Sœurs n° 10, vers 1784, François Marc Spohrer, maître maçon, et Marie Catherine Schwartz, (catholiques), VI 353, façade (notice)
  256. Temple-Neuf n° 11 (place du), 1781, Othon Erdmann, tourneur, et Marie Barbe Seiler (catholiques), V 149, façade, mascarons
  257. Temple-Neuf n° 12 (place du), 1771, Philippe Jacques Diehl, tailleur d’habits, et Anne Marguerite Sengenwald, (luthériens), V 150, façade, mascarons
  258. Temple-Neuf n° 13 (place du), 1772, Isaac Haffner, sergent de Ville, et Susanne Barbe Kratz, (luthériens), V 151, façade
  259. Tiroir (impasse du), 1763-1773 (*), Jean Martin Schuster, caissier de la vente étrangère, et Elisabeth Meyer, (catholiques), V 95, portail
  260. Tonneliers n° 7, 1774, Jean Michel Redslob, passementier, et Marie Salomé Baum, (luthériens), VII 332, étages (rez-de-chaussée, 1761)
  261. Tonneliers n° 16, 1770, Jean Jacques Scær, cordonnier, et Catherine Michel, (luthériens), VII 399, façade (notice)
  262. Tonneliers n° 18, 1779, Jean Philippe Osterried, cafetier, et Catherine Frédérique Vogt, (luthériens), VII 398, porte (rue du Pied-de-Bœuf), façade
  263. Tonneliers n° 21, 1776 (*), Jean Henri Fessler, commissionnaire de navigation, et Anne Louise Reich, (catholiques), VII 320, façade
  264. Tonneliers n° 25, 1780, Antoine Grasselli, marchand, et Marie Catherine Dangelo, (catholiques), VII 314-315, façade
  265. Tonneliers n° 27, 1780, Susanne Marguerite Schlegel, veuve de Jean Jacques Stamm, marchand de vins, (luthériens), VII 312-313, façade
  266. Tripiers n° 6, 1765, Georges Adolphe Mann, pâtissier, et Catherine Eve Rechberger, (luthériens), maître maçon Jean Laurent Gœtz, VII 393, façade, détruite en 1944 (notice)
  267. Veaux n° 3, 1753, Prudent Baron de Fregval, conseiller du roi, et Françoise de Regemorte, (catholiques), VI 344, façade (notice)
  268. Veaux n° 5, 1770, François Baron d’Autigny, préteur royal, et Adélaïde Flore de Parseval (catholiques), VI 345, façade, détruite en 1944 (notice)
  269. Veaux n° 4, (?) François Guillaume Ignace de Reinach-Werth, et Marie Anne Joséphine Ursule de Ferrette-Carspach (catholiques), VI 382, portail à arrière-voussure, escaliers (notice)
  270. Veaux n° 6, 1740 (après), François Lanfrey, négociant, et Marie Elisabeth Bittane, (catholiques), VI 381, façade (notice)
  271. Veaux n° 7, 1770, Marie Marguerite Fritsch, veuve de Jean Léonard Faber, secrétaire de la Noblesse immédiate de Basse-Alsace, (luthériens), VI 356, façade, démolie en 1966 (notice)
  272. Veaux n° 8, modifié 1768 (ou suiv.), Jean Georges Baur, serrurier, et Marguerite Salomé Formier, (luthériens), VI 380, façade, mascaron (notice)
  273. Veaux n° 9, 1774, fondation Kurtzlieb Hartlieb, VI 357, portail
  274. Veaux n° 17, (? 1736), Jean Bastasius Rieth, maréchal ferrant, et Marie Barbe Schweigheusser, (catholiques), VI 132, façade porte d’entrée, fenêtre centrale au 1° étage (appui, linteau) (notice)
  275. Veaux n° 20, 1762, Frédéric Jacques Gayling d’Altheim et Augusté Eléonore de Dœben, (luthériens), VI 371, réfection (notice)
  276. Vieil-Hôpital n° 4, 1743-1764 (?), Jean Paul Thalwitzer, brossier, et Marie Barbe Megel, (luthériens), VI 391, façade (notice)
  277. Vieil-Hôpital n° 37, Joseph Bonnard, boutonnier, et Anne Marie Hammer (propriétaires de 1745 à 1805), (catholiques), VI 259, rez-de-chaussée
  278. Vieil-Hôpital n° 41, 1768 (*), François Rouge, marchand, et Marie Thérèse Challard, (catholiques), VI 261, porte et arcade
  279. Vieux Marché aux grains n° 1, 1760, Ville de Strasbourg, maison de la Taille, IV 357, maison
  280. Vieux Marché aux Grains n° 12, 1768, Jean Pierre Hebeissen, musicien et marchand de futaine, et Marie Madeleine Kleinschroth, (luthériens), IV 345, façade, détruite en 1944 (notice)
  281. Vieux Marché aux grains n° 14, 1735, Jean Daniel Diebold, marchand, et Catherine Salomé André, (luthériens), IV 344, rez-de-chaussée, balcon (étages détruits en 1944)
  282. Vieux Marché aux grains n° 24, 1760 (?), Jean Philippe Martin, boutonnier, et Anne Marie Wallburg, (catholiques), IV 337, façade (étages) (notice)
  283. Vieux Marché aux poissons n° 3 (anciennement 5, rue de l’Etal), 1754, Jean Philippe Friess, cordier, et Anne Marie Korn (luthériens), façades (notice), voir aussi 3, rue de l’Etal (notice)
  284. Vieux Marché aux poissons n° 6, 1731, Frédéric Wolff, banquier, et Marie Salomé Kolb, (luthériens), VI 238, balcon courant
  285. Vieux Marché aux poissons n° 14, 1767 (*), Jean Michel Barthel, fripier, et Anne Marguerite Roos, (luthériens), VI 234, façade, mascarons (notice)
  286. Vieux Marché aux poissons n° 20, 1768 (*), Jean Pierre Maino, marchand, et Catherine Venino, (catholiques), VI 231, étages
  287. Vieux Marché aux poissons n° 21, 1739, Claude Tourni, marchand, et Marie Françoise Dangelo, (catholiques), VII 382, façade, mascarons (notice)
  288. Vieux Marché aux poissons n° 22, 1769, Jean Ehrmann, marchand, et Marie Catherine Gambs, (luthériens), VI 230, façade, mascarons
  289. Vieux Marché aux poissons n° 23, 1745, Jean André Himly, horloger, et Marie Madeleine Hammerer (réformé et luthérienne), VII 385, façade (notice)
  290. Vieux Marché aux poissons n° 29, 1731 (*), Jean Georges Fleck, marchand, et Susanne Ræuber, (luthériens), VII 373, étages
  291. Vieux Marché aux poissons n° 32, 1765, Jean Bleyfus, gainier, et Anne Marie Jost, (luthériens), VI 226, étages (notice)
  292. Vieux Marché aux poissons n° 31, 1746 (v), Jean Daniel Hitschler, marchand, et Anne Catherine Vogt, (luthériens), VII 372, façade
  293. Vieux Marché aux poissons n° 33, 1736 et v. 1750-1760, Jacques Louis Willame, marchand de cuirs, et Thérèse Le Roy puis les héritiers, (catholiques), VII 371, façade à pans de bois, mascarons
  294. Vieux Marché aux poissons n° 34, 1765, Jean Michel Schauer, pelletier, et Susanne Mæhn, (luthériens), VI 225, étages
  295. Vieux Marché aux vins n° 8, entre 1758 et 1785, Jean Philippe Meybaum, horloger, et Marie Ursule Jost, (luthériens), VI 35, façade
  296. Vieux Marché aux vins n° 10, 1774, Jean Jacques Steinbach, aubergiste, et Marie Madeleine Pfæhler, (luthériens), III 23, façade
  297. Vieux Marché aux vins n° 27, 1751, abbaye de Neuwiller, III 68, hôtel, démoli début XX° siècle, reste le bâtiment arrière (quai de Paris) qui donnait sur le canal

Signes diacritiques

Les dates sans signe particulier représentent une construction au moins partielle d’après les documents,

(*) signale des transformations qui sont l’indice d’une construction,
(**) signale une datation à partir d’un élément du bâtiment (date, monogramme),
(v) signale une construction certaine autour de la date indiquée ou entre les dates indiquées,
(?) placé après une date signale une hypothèse quand les documents n’indiquent pas de datation précise mais permettent de proposer une date approximative.
Il y a un point d’interrogation sans date quand les documents ne permettent pas de proposer une date. La mention du maître d’ouvrage dans la colonne suivante est une hypothèse implicite quant à une date de construction probable.

Note
1, allée Kastner (Robertsau). Une quittance de 1754 indique que Jean de Turckheim a payé le maître maçon Jacques Gallay des travaux qu’il a faits tant en ville qu’à la campagne. S’il n’est pas douteux que le bien de campagne en question se trouve à la Robertsau, rien n’est dit sur la nature des travaux. La datation reste donc une hypothèse.

Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.