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- Sable (quai au) – Sandplatz
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- n° 2, maître d’ouvrage Jean Daniel Senckeissen, tailleur (1756)
- n° 3, reconstruite en 1744, maître d’ouvrage, Jean Daniel Ehrmann, courtier, transformée en 1869, Auguste Hoffmann
- Saint-Etienne (place) – Stephansplan
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- n° 3, étages reconstruits en 1891, maître d’ouvrage André Birry, boulanger
- n° 7,(VI 73) maître d’ouvrage, Georges Michel Müller, maçon (1773)
- n° 7, (VI 66) maître d’ouvrage, Georges Michel Müller, maçon (1753)
- n° 9
- n° 16
- Saint-Guillaume (rue) – Wilhelmergass
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- n° 1, maison à l’Epée (zum Schwert)
- n° 13, démolie en 1969
- n° 15, maison Meyer (1761), démolie en 1971
- n° 17, détruite en 1944, non reconstruit
- Saint-Louis (rue et place) – bey der Kohlscheuren
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- n° 3, boulangerie, deuxième étage sans doute ajouté vers 1820
- n° 8, maîtres d’ouvrage, Nicolas Thomas (1746, ancienne maison zur Cappellen) et Claude Bernard Eisentraut (1760)
- n° 10, maison zum Vogel (à l’Oiseau), maître d’ouvrage, Jacques Isaïe Bourgeois, tapissier (1760), démolie en 1968 – nouveau bâtiment 1969, architectes Curt Muller et Gérard Sacquin
- n° 14, façade (1771) maître d’ouvrage Philippe Gall, serrurier – démolie en 1968
- n° 20, transformée pour l’entrepreneur de fiacres Pierre Gaspard Duboc vers 1750
- Saint-Marc (rue) – im Finckweiler bey Sanct Marx
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- n° 6, réunie à l’enclos Saint-Marc en 1892
- n° 8, Lumbarts hoff (Cour Lumbart), zum Rehgarten, maître d’ouvrage, Jean Frédéric Pfeffinger vers 1770, démolie eb 1966
- n° 12, millésime 1687, démolie en 1905
- n° 17
- n° 19, démolie en 1904
- n° 21, millésime 1574, auberge à la Mouche, démolie en 1904
- Saint-Nicolas (impasse) – Hinter Sanct Niclaus
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- n° 3, troisième étage sans doute ajouté vers 1760, démolie, 1935.
- Saint-Nicolas (rue) – Hinter Sanct Niclaus
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- Saint-Nicolas (quai) – Niclausstaden
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- n° 2, maison dite zum Schwerber (1600)
- n° 3, maison dite zum Schwencken (1600), surélevée d’un étage en 1860
- n° 8, maître d’ouvrage, Thierry Fahlmer (1737, dite maison Müllenheim)
- n° 13, oriel établi en 1670 par Ulric Koch
- n° 18, Maison zum Nesselbach, maître d’ouvrage, Etienne Dietrich (1849)
- Saint-Pierre-le-Vieux (place) – autrefois Vieux-Marché-aux-Vins
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- n° 3, maison Hæberlé (vers 1815), aussi 3, quai Desaix
- n° 6, maison Freund (1865), réunie à la voie publique en 1885
- Saint-Thomas (place) – Thomas Plan
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- Saint-Thomas (quai) – am Rheineckel
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- n° 4, maison Bernhard (1737)
- Sainte-Barbe (rue) – Barbaragass
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- n° 3, démoli en 1912
- n° 7, détruit en 1944, reconstruit
- n° 10, porte d’entrée, vers 1730. maison démolie fin 1969
- n° 13, nouveau bâtiment (1958)
- n° 19, porte millésimée 1763
- Sainte-Catherine (rue) – beÿ Sanct Catharinen bruck
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- n° 3, maison Dietz (1780)
- Sainte-Elisabeth (rue) – Elisabethengass
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- n° 1, maison dite Schæffolsheimer Hoff (1658-1751) – Ecole d’équitation construite par Jacques Gallay (1751-1752) – Haras (1756), entrepreneur Georges Michel Müller
- n° 2, détruite en 1873 puis reconstruite
- n° 3, maître d’ouvrage, établissement des Diaconesses – architecte, Émile Salomon (1896)
- n° 5, propriété du Corps des Pensions (1637-1816)
- n° 7
- n° 8, entre 1836 et 1844, maître d’ouvrage Charles Lamey, négociant
- n° 9, réunie à l’établissement des Diaconesses en 1894
- n° 12, Hôtel de Suède (1671-1699), logement du lieutenant de roi (1699-1785), hôtel du préteur royal commencé en 1786, bâtiment sur rue, Jean Daniel Mannberguer (1807)
- n° 12-14, venelle Sainte-Elisabeth, supprimée en 1784
- n° 15, nouveau bâtiment le Gai Logis, architecte Alfred Kronenberger, 1965
- n° 17, auberge à la Nouvelle Ecurie puis à la Voiture de Paris – nouveau bâtiment, architecte Hugues Chalumeau, 1994
- n° 16, au Grand Christophe (Zum großen Christoph)
- n° 19 (ancien n° 18), démolie en 1966, nouveau bâtiment le Gai Logis, architecte Alfred Kronenberger, 1965
- n° 21 (ancien n° 19), auberge du Bœuf noir (1817, 1834), démolie en 1966, nouveau bâtiment, architecte Alfred Kronenberger, 1966
- n° 21 (ancien n° 20), réunie à l’ancien n° 19 en 1820
- n° 23, démolie en 1975, non reconstruite
- Sainte-Hélène (rue) – Hellengass
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- n° 9, maison à l’Oie (zur Gans)
- n° 10, reconstruite en 1783 par le menuisier Jean Henri Buggelé, maître maçon Michel Gruber, rez-de-chaussée transformé en 1986 par Pierre Hill, architecte Hugues Chalumeau
- n° 11
- n° 15, maison Kopp (crossettes)
- n° 16, maison Wetzel de Marsilien, ensuite partie des Petits Capucins puis de la synagogue
- n° 19, maître d’ouvrage Jean Jacques Martin (1854), démolie vers 1913
- n° 25, maison Arnold (1832, démolie en 1970)
- n° 29 vers 1762, maître d’ouvrage, Jean Philippe Geissler, relieur – démolie en 1970
- Sainte-Madeleine (rue) – Uttengass
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- n° 8, bâtiment arrière reconstruit en 1772 par le tonnelier Jean Michel Dœrffer
- n° 10, reconstruit en 1737 par le fabricant de chandelles Jean Chapuis,
- n° 18, reconstruit en 1868 par le serrurier Antoine Schott
- n° 20, reconstruit en 1572 par Jean Dickel
- Salpêtrière (rue) – bey denen Salpeterhütten
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- n° 19, atelier de peignier remplacé par une maison en 1708 – démolie en 1849 pour agrandir la caserne des canonniers
- Salzmann (rue) – Saltzmannsgasse, Rossgasse
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- Sanglier (rue du) – Hauergass
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- Schiltigheim (rue de) – Schiltigheimergass, Schildsgass
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- n° 4, démolie
- n° 6, démolie en 1971
- n° 8, maître d’ouvrage, Antoine Reichard, compagnon maçon, 1746 – démolie en 1971
- n° 12, réaménagée vers 1737, maître d’ouvrage, veuve Laurent Münch – démolie en 1971
- n° 14, démolie en 1971
- Sébastopol (rue de) – beym Geistbrückel, pour les anciennes maisons, voir Esprit (Grand rue de l’)
- Sept-Hommes (rue des) – Sieben Manns Gass
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- n° 2, maître d’ouvrage Jean Jacques Reussner, (vers 1760), démolie en 1912
- n° 6, refaite par le cordonnier Jean Georges Karch (1748), surélevée en 1866, démolie en 1913
- n° 8, agrandie par Ursule Stehlé, 1867 – démolie en 1913 (Grande Percée)
- n° 12, aAuberge aux Deux clés (1914), démolie en 1919 (Grande Percée)
- n° 13, maître d’ouvrage Jean Durig (1770), démolie en 1936
- Serruriers (rue des) – Schlossergass
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- n° 16, maître d’ouvrage, François Georges Burgard (1773-1775), démolie en 1936
- n° 20, maître d’ouvrage, Pierre Richard (1747), maître maçon Gaspard Théodore Raballiati
- n° 23, maître d’ouvrage, Charles Frédéric Œsinger (1843) – démolie, terrain réuni à la voie publique (1935)
- n° 25, maître d’ouvrage, Jean Nicolas Pasquay (1787), démolie
- n° 27, maître d’ouvrage, Jérémie Evard Silberrad (vers 1778)
- n° 29, poêle du Miroir (1757), maître d’œuvre Jean Louis Müller
- Sœurs (rue des) – Pfaffengasse (XVI-XVIII° s.)
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- n° 10, maître d’ouvrage, François Marc Spohrer (vers 1785)
- n° 13, maître d’ouvrage, André Sitter, négociant – architecte, Auguste Müller (1900)
- n° 14, maître d’ouvrage, Antoine Wernlé (vers 1792)
- Soupe-à-l’Eau (rue de la) – Wassersuppgasse
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- n° 30, maître d’ouvrage, Adam Karch, 1786, démolie vers 1840 – Ensuite 9, rue du Fossé des Treize
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