Georges Schwartz, notaire, et (1604) Catherine Brand – luthériens


Georges Schwartz naît à Leonberg fils du sculpteur Jérémie Schwartz. Assisté de son cousin, le notaire Georges Schwartz devient bourgeois le 19 mai 1603 en s’inscrivant à la tribu des Gourmets. Il est reçu rédacteur d’inventaires le 28 février 1604 après avoir passé l’examen habituel. Il épouse en 1604 Catherine Brand, fille de drapier. Georges Schwartz est nommé procureur au tribunal municipal le 28 novembre 1615 ; sa démission est acceptée en 1622.
Jean Georges Meyer demande le 16 juin 1632 aux Conseillers et aux Vingt-et-Un à être dépositaire des actes de Georges Schwartz.

Maisons en propriété
1608, place des Cordeliers (IV 251, ensuite 16, place Kleber)
1614-1615, quai Saint-Nicolas (VIII 7, actuel n° 13

Enfants

  • Anne Marie épouse (1636) Josias Riehl, juriste
  • Jean Adam, secrétaire, épouse (1640) Marie Elisabeth Bischoff

Assisté de son cousin menuisier, le notaire Georges Schwartz de Leonberg devient bourgeois le 19 mai 1603 en s’inscrivant à la tribu des Gourmets

1603, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 666
Georg Schwartz vonn Lehenberg der Notarius Kaufft mit beÿstand N. schwartzen deß schreiners seines vettern das Burg: Will Zun Weinsticheren dienen Vnnd Kein Narung angeben. Act. vt supra [19. Maÿ]

Après une première demandé déposée le 26 novembre 1603, le notaire Georges Schwartz est reçu rédacteur d’inventaires le 28 février 1604 après avoir passé l’examen habituel.

Né à Leonberg du sculpteur Jérémie Schwartz, le notaire Georges Schwartz épouse en 1604 Catherine Brand, fille de drapier : contrat de mariage, célébration

1604 (26. Feb.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56), Protocole f° 59-v
Eheberedung – Zwüschen dem Ehrenvesten und wolhelerten Herrn Georg Schwartzen dem Notario von Leuwenberg Jeremie schwartzen bildthauwers vnd burgers daselbsten ehelich. Sohn, Als dem Braütigam Ane einem
So dann die Ehren und tugendreichen Jungfrauen Catharinen Brandin, Weÿlandt deß Ehrenvesten Vnd fürnehmen herrn Johann Branden thuchmans vnd burgers Zu Straßburg seeligen hinderlaßenen dochter Alß der hochzeiterin Am Andern theÿl
(…) herr Johann Kahlschmidt d. Jungfrauen hochzeiterin stieffvatter Ihro seiner stiefftchter vnd dasigen hochzeiterin gleichergestalten 200 gulden (…) Zugeben verwilligt
Beschehen vnd verhandelt In deß Heÿligen Reichß freÿen Statt Straßburg Sontagß den 26. Februarÿ In dem Jahr deß Herren Alß man Zalte 1604.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 171)
1604. Doîca Paschalis. 8. April. Georgius schwartz von Leonberg im Württ.berg. land keÿserlich. Notarius. J. Catharina H. Johann Brand. selig. hind.lassene tochter. Eingesegnet Zinst. d. 17. April. (i 90)

Jean Frédéric Gulden et Georges Schwartz sont nommés procureurs au tribunal municipal le 28 novembre 1615

1615, Conseillers et XXI (1 R 96)
(f° 322) Sambstag den XVIII Novembris – Stattgerichts procuratur bestellt
Item wegen Procuratur Standt am Stattgericht Seind nach gehaltenerfrag ob Jemandt gebetten underschiedlich erkant Hannß Friderich Gulden und Georg Schwartz, iurarunt

Georges Schwartz qui a acquis l’auberge au Lion d’Or demande que le droit d’auberge soit conservé s’il souhaitait à l’avenir la faire exploiter. Les Quinze le renvoient aux préposés à l’accise

1616, Protocole des Quinze (2 R 44, 2 R 45)
(f° 244) Sambstag den 7. Decembris – Georg Schwartz. Würtschafft od. Gastherberg Zum Güldenen Löwen
Georg Schwartz der Notarius vnd Procurator am Stattgericht erscheint, Vnd Vbergibt selber ein Unterthänige Supplication, so abgeleßen worden, darinnen bittet er, mein hren wollen Ihn des Schildts an der Herberg Zum guldenen Leuwen, welche er vor Zweÿen Jaren käufflichen an sich genohmen, vnd nunmehr selber Zubewohnen begehre, auß eingefürten Ursachen allso vnd dergestalt gnedig erlassen, das wann vber kurtz oder lang ein annembliche vnd taugliche Persohn angeregtes hauß zur Würtschaff wider begehren sollte, derselbig (.doch abermahl mit meinen herren vorwissen vnd erlaubnus.) Wider außgehenckt werden mög. Erkant, Man solls bedencken Ist den Ungelt herren bevohlen. Mr.

1617, Protocole des Quinze (2 R 45)
(f° 88) Sambstag den 12. Aprilis – Georg Schwartz. Würtschafft od. Gastherberg Zum Güldenen Löwen
Georg Schwartz der Notarius vnd Procurator am Stattgericht erscheint, Zeigt ahn d. er verschienen Jahrs ein unterthänige supplication überreicht, in welcher er vmb abnemmung des Schilts Zum Güldenen Löwen gebetten, bitt vmb befürderung des bescheids. der Recess auß dem fernigen memorial fol. 244. ist abgelesen worden. Erkant, die Ungelt herren sollens befürdern. B. Mr.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un acceptent le 21 octobre 1622 sa démission de sa fonction de procureur au tribunal.

Georges Schwartz présente sa démission de sa fonction de procureur au tribunal le 27 octobre 1621. Le conseil ajourne la demande qu’il présente à nouveau le 21 octobre 1622. L’enquête montre qu’il existe un différend entre le secrétaire et les procureurs. Les Conseillers et les Vingt-et-Un acceptent la démission.

1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
(f° 264) Sambstag den XXVII Octobris – Georg Schwartz sagt sein procuratur am Stattgericht auf.
Georg Schwartz resignirt sein Stattgerichts procuratur bedanckt sich d. befürderung.
Ego er$ d. ein Inq.sition vorgenohmen da sich allerhand $ die p.curatores $ wend ab sich nun disser Zeitlich will der auß wicklen, kommen uil lauffen *ehr bey mherren ob * sein begeren d. erlassung Zubedacht ziehen will. Erk. Man solls gegen Ime Zu bedacht Ziehen. H. Baur H. Mussel.

1622 Conseillers et XXI (1 R 104)
(f° 405) Zu Montagig Sessioni gehort disses (Montag den XXI. Octobris) – Görg Schwartz vmb erlassung diensts.
Georg Schwartz erscheint und er* mherren wie er vor dissem seines Procuratori standts am Stattgericht erlassung gebetten, so aber Zubedacht gezog. und Ime dan beschwerlich do mit Zubeladen Zupleiben. Alß bitt er vmb erledigung bemelter Procuratur, würdt angezeugt d. dorumb nit wollen erlassen werd. und ein Inq.sition wegen streits zwisch. dem Schreiber am Stattgericht und den Procuratorib. abhanden gewesen wie aber dann kan er wol erlassen werd. und er vil auß d Statt Zeicht.
Erk. Man soll Ine seines diensts erlassen. H. Ringler, H. Sibenhorn.

Jean Georges Meyer demande le 16 juin 1632 aux Conseillers et aux Vingt-et-Un à être dépositaire des actes de Georges Schwartz.

Georges Schwartz laisse pour héritiers sa fille Anne Marie femme de Josias Riehl et son fils Jean Adam.

1636 Chambre des Contrats, vol. 475 734-v
weÿl. H Georg Schwartzen deß Notÿ see. nachgelaßene Erben mit namen herr Lt: Josias Riehl, Alß Eheuogt Fr. Annæ Mariæ Schwartzin und H Hanß Adam Schwartz ihr Annæ Mariæ Brud.

Le juriste Josias Riehl épouse en 1636 Anne Marie Schwartz

Mariage, cathédrale (luth. p. 374)
1636. H. Josias Rihel J. V. Candidatus, v. J. Anna Maria H. Geörg Schwartz des Notarÿ e. tochter, eingesegnet Zinstag 3. Maÿ (i 192)

Autres références dans les registres des Quinze et chez les Conseillers et les Vingt-et-Un

1612 Conseillers et XXI (1 R 91-92) Georg Schwartz contra Sibnergericht. 73. 76.
1613 Conseillers et XXI (1 R 93) Georg Schwartz vmb entschlagung gelts in d. Müntz wegen Jr. Surgers. 233.
1615 Conseillers et XXI (1 R 96) Georg Schwartz wegen bürgschafft gegen Frawenhauß die derschische schuld betreffent [vmb fürschrifft]. 3.
1616 Conseillers et XXI (1 R 97) Georg Schwartz vmb Frawenhauß wegen Jr Surgers Zu Zalen vom Pflatzgelt. 78.
1621 Conseillers et XXI (1 R 103) Georg Schwartz contra Hans Caspar Köner [Statt gerichts schreiber]. 313.
1624 Conseillers et XXI (1 R 106) Georg Schwartz beschwert sich ab dem Stattgericht daß er in pt° Zinßes des bösen gelts zu Keinem bescheid Kommen Kan. 275.
1625 XV (2 R 53) Geörg Schwartz [Zunfftmeister einer Ersamen Gesellschafft der Weinsticher]. 91.
1627 XV (2 R 55) Hanß Jörg Atzenhoffer contra Jörg Schwartz [Stattgerichts procuratorem]. 39.
1628 XV (2 R 56) Geörg Schwartz (Erasmi vnd Peter Knörers Falliment). 265.
1629 Conseillers et XXI (1 R 111) Geörg Schwartz contra Hanß Heinrich Stößern. 130.



59, rue de Zurich (X 170)


Rue de Zurich n° 59 – X 170 (Blondel), O 902 puis section section 34 parcelle 3 (cadastre)

Partie droite de l’actuel 59, rue de Zurich (partie gauche)
Brasserie aux Trois Lis (1746) puis au Télégraphe (1801)


Le bâtiment est le troisième à partir de la gauche (septembre 2016) – le troisième à partir de la droite (mai 2014)

Propriété des bouchers Jérémie Fritsch puis Jean Kamm l’aîné au début du XVII° siècle, la maison appartient ensuite aux bateliers Martin Heinrich qui devient en 1620 péager au Canal des Fleurs puis Jacques Stephan qui la vend en 1634 aux pêcheurs venus de Wittenweier en Bade, Jean Riebel l’aîné et Jean Riebel le jeune, en se réservant des bâtiments au sud. Elle sera transmise par héritage jusqu’en 1754. Le pêcheur Frédéric Weiss devient en 1665 ouvrier garde-bois. Le tonnelier Jean Georges Bürckel qui construit un bâtiment arrière passe en 1715 un accord au sujet du mur commun avec sa voisine (au sud). Il s’agit sans doute du nouveau bâtiment arrière que mentionne l’inventaire dressé en 1734. D’après l’estimation de 1743. il y a un rez-de-chaussée, un étage et des chambres sous combles. Le tonnelier Jean Jacques Bürckel acquiert une maison (B ci-dessous) dans la ruelle des Roses et établit en 1746 l’auberge aux Trois Lis qu’achète en 1755 Marie Sara Blessig, femme du brasseur absent Philippe Jacques Demuth. Elle fait exploiter la brasserie par Jean Henri Peter puis la vend au brasseur Jacques Strohl alors qu’elle est établie avec son mari à Saint-Petersbourg. Jacques Strohl achète successivement la maison voisine au nord et une maisonnette ruelle des Roses.

Première maison dans la ruelle des Roses, à l’arrière de l’actuel n° 61
Il s’agit sans doute du bâtiment que se réserve Jacques Stephan quand il vend la maison ci-dessus en 1634. Elle revient pas adjudication judiciaire à l’administrateur de la Tour aux deniers Georges Basile Geiger qui en transmet la propriété à son gendre Jean Raimbaud Friderici. Charpentier tyrolien, le manant Georges Kessler l’achète en 1704. Ses petits-enfants la vendent en 1752. Elle est ensuite propriété de Jean Henri Peter qui exploite la brasserie aux Trois Lis puis en 1776 de Chrétien Strohl qui la réunit à sa brasserie.

Deuxième maison dans la ruelle des Roses, à l’arrière de l’actuel n° 61
Jean Ernest Theurer la détache de son jardin situé à l’arrière en la vendant en 1746 à Jean Jacques Bürckel.
Jean Chrétien Strohl acquiert en outre en 1778 de la veuve Gori un bâtiment construit sur son terrain.
L’histoire ultérieure des bâtiments est relatée à la notice qui traite de l’ancienne parcelle X 169, partie gauche de l’actuel n° 59, rue de Zurich.


Le quai aux Chevaux d’après le plan-relief de 1725 (© Musée historique). La maion est la troisième à droite du pont au Brochet (au milieu de l’image). La ruelle des Roses s’ouvre sous le bâtiment suivant.
235 Elévations c'-g'
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 235 (© Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) décrit le bâtiment de droite (rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (f) : rez-de-chaussée et deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour N’ montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, la remise (1-4) à l’est, le bâtiment (2-3), à l’ouest et celui (3-4) au fond de la cour.
La cour M’ représente l’arrière (15-16 et pignons adjacents) du bâtiment au fond de la cour N’, l’arrière (12-14) du premier bâtiment dans la ruelle des Roses et l‘arrière (10-12) du deuxième bâtiment dans la même ruelle. Les bâtiments (6 à 9) se trouvent au nord-ouest de la cour.
La cour O’ est la ruelle des Roses qui donne sur le quai par un passage voûté. La maison (A) est la deuxième à droite du repère (2), la maison (B) se trouve à gauche du repère (3). Toutes deux ont un rez-de-chaussée et deux étages.


Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 235 : plan entre l’angle de la rue de l’Abreuvoir en haut à gauche et la ruelle de la Hallebarde (actuelle rue Fritz) en bas à droite – Cour M’, N’ et O’

mai 2021

Sommaire
Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1775 (réunion à la voisine). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jérémie Fritsch, boucher, et (1586) Marguerite Fischer – luthériens
1608 v Jean Kamm, boucher, et Catherine Kress, (1587) Susanne Suter, veuve du barbier Jacques Kessler puis (1609) Marguerite Marie Adolph, veuve du marchand Sebastian Ulrich – luthériens
1612 v Martin Heinrich, batelier, et (1608) Susanne Stahl – luthériens
1634 v Jacques Stephan, batelier, et (1613) Marie Hertrich – luthériens
1634 v Jean Riebel l’aîné, pêcheur († v. 1636), et Eve – luthériens
Jean Riebel le jeune, pêcheur, et Marie Schalck puis (1633) Catherine Herr, veuve de Jean Küntzel, prévôt de Wittenweier – luthériens
1641 h (copropriétaires avec les suivants) Jean Lutz, de Wittenweier, et (v. 1625) Eve Riebel – luthériens
1669 h Frédéric Weiss, pêcheur, ouvrier garde-bois, et (1645) Eve Marie Riebel – luthériens
1710 h Philippe Barthel, et (1680) Susanne Weiss puis (1711) Elisabeth Feigler, veuve de Jacques Holtzinger – luthériens
1714* h Jean Georges Bürckel, tonnelier, et (1707) Marie Salomé Barthel puis (1716) Anne Barbe Jung – luthériens
1736* h Jean Jacques Bürckel, tonnelier et brasseur, et (1743) Marguerite Salomé Christianus – luthériens
1754 adj Catherine Marguerite Beyerbach, épouse (1710) du receveur Jean Silberrad – luthériens
1755 v Philippe Jacques Demuth, brasseur, et (1743) Marie Sara Blessig – luthériens
1772 v Jean Chrétien Strohl, marchand de vins, et (1746) Catherine Braun – luthériens

Maison (A) donnant dans la ruelle des roses, à l’arrière de l’actuel n° 61

Jacques Stephan (supra)
1652* adj Georges Basile Geiger, triumvir de la Tour aux deniers, et (1645) Elisabeth Schmidt puis (1668) Barbe Erhard veuve de Jean Charles Wesener et de Jean Jacques Wieger – luthériens
1684* h Jean Raimbaud Friderici, consul, et (1684) Marie Marguerite Geiger, d’abord (1662) femme du juriste et professeur d’éloquence Jean Joachim Bockenhoffer, puis (1693) Susanne Richshoffer – luthériens
1704 v Georges Kessler, charpentier, et (v. 1675) Barbe Kœrner – catholiques, manants
(héritiers) Jean Litzge, charpentier, et (1697) Gertrude Kessler – catholiques
Henri Kessler, charpentier, et (1706) Catherine Schultz – catholiques
1714 h Charles Ringard, soldat puis manœuvre, et (1714) Barbe Kœrner veuve de Georges Kessler – catholiques
1752 v Jean Louis Kneischick, brocanteur, et (1731) Anne Barbe Scheuer, remariée (1760) avec le brocanteur Jean Chrétien Baur – catholiques
1762 v Jean Henri Peter, brasseur, et (1730) Catherine Marguerite Blessig – luthériens
1776 adj Jean Chrétien Strohl (supra)

Maison (B) donnant dans la ruelle des roses, à l’arrière de la précédente

1731 v Jean Ernest Theurer, secrétaire de l’hôpital, et (1712) Judith Reine Sachs
1746 v Jean Jacques Bürckel (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1710, 500 livres en 1734 et en 1743

(1765, Liste Blondel) X 170, Marie Sara Démuthine
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Strohl, 8 toises, 0 pied et 4 pouces (avec la voisine)

Locations

1754, Philippe Jacques Demuth, brasseur (futur propriétaire)
1760, Jean Henri Peter, brasseur (propriétaire de la maison A)
(maison A)1662 Jacques Steuss, boucher, et Anne Catherine Kuder

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 510-v

[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]
Melchior Murrlin der Garttner hatt an seinem Hauß vornen gegen dem Giessen über dem Thor ein Wettertach, xxvij schu lang, j schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß iiij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le maître maçon Jean Linckenhœle est autorisé au nom du brasseur Chrétien Strohl à repeindre sa brasserie aux Trois Lis

(f° 81-v) Dienstags den 21. Julii 1772 – Joh. Linckenhöle nôe. Christian Strohl Jun:
Johannes Linckenhöle, der Maurer Meister nôe. Christian Strohl, des Jüngern bierbrauers, bittet zu erlauben deßen bierhaus zu den 3. Lilien beÿ der Hechten Bruck anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, chambre à soldat, bâtiment latéral où se trouvent un petit poêle et une chambre, au rez-de-chaussée une petite cave solivée, bâtiment arrière à demi-toit comprenant une chambre et une cave solivée, le tout estimé avec le puits, appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins
  • 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une cuisine et un vestibule, une petite dépense, une buanderie, une cour, un puits, une cave solivée, à l’étage de nouveau un poêle, chambre, petite cuisine, vestibule, un petit poêle et une dépense, une chambre à vinaigre, passage sous le toit, trois anciennes chambres dont une sert de chambre à soldats, vieux comble, toit couvert en partie de tuiles creuses, deux pignons en bois, un grenier non dallé, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au boucher Jérémie Fritsch. Originaire de Haguenau, il épouse en 1586 Marguerite, fille du batelier Thomas Fischer et devient bourgeois quelques semaines plus tard.

Mariage, cathédrale (luth. p. 124)
1586. Dnica XXII post Trinitatis 30. Octobris. Jeremias Fritsch von Hagenaw der Metzger vnd Margaretha Thoman Fischer des Schifmans tochter eingesegnet Montags den 7.ten Novembris (i 64)

1586, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 572
Jheremias Fritsch Von Hagenauw, ein Metzger, Hat das Burgrecht empfangen, von Margretha, Thomæ Vischers des Schiffmans Tochter, seÿner Ehelichen Haußfrauwen vnd will Zu der Blumen dienen, Act. den 10.t Decembris Anno 86.

Jérémie Fritsch et Marguerite Fischer hypothèquent la maison au profit de Jean Rapp de Sundheim près de Kehl

1606 (9 Augusti), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 215-v
(Inchoat. fo: 266.) Erschienen Jeremias Fritsch der Metziger Vnnd Frauw Margred Vischerin sein eheliche haußfrau
haben in gegensein Hans Rappen von Sunthenheim – schuldig sigen 150 pfund
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt, höfflin mit allen andern Iren gebeuw, gelegen In der Vorstatt Straßburg Inn Crutenaw beÿ der Vndersten gedeckten Brucken j einseit Andreas Schnellen Schiff Zimmermann anderseit Adam Thomman Schiffer stoßend hinden vff denselben verhafftet für 100 guldin Martin Andres Schiffmann

Jérémie Fritsch et Marguerite Fischer vendent la maison au boucher Jean Kamm l’aîné, assesseur au Grand Sénat moyennant 285 livres

1608 (xiij tag Junÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 299-v
(Inchoat. in Proth. fol: 250) Erschienen Jeremias Fritsch der Metziger burger Zu Straßburg vnd Margred Fischerin sein Eheliche haußfrauw haben (verkaufft)
herrn Hanß Khammen dem Eltern beÿsitzern des großen Raths Alhie
Hauß houetsatt, höfflin, Mit allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn d. Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ d. Understen gedeckten Brucken, einseit nebent Andres Schnellen dem Zoller Vff der Rheinbrucken, Andersit neben Adam Thoman Schiffer* Hinden Vff obgedachts Schnellen gartten, stost, für freÿ ledig vnd Eÿgen, Vnnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 285 pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Jeremias Fritsch haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Gabriel Khammen Inn Nammen seines Vatters (…) Actum ii Julÿ Anno xvj C Acht

Assesseur au Petit Sénat, le boucher Jean Kamm et sa femme Susanne Suther font leur testament. Le mari institue pour héritiers ses enfants Jean, Catherine femme de Joachim Frantz, Jacques Philippe, Dorothée et Laurent, issus de sa première femme Catherine Kress et Gabriel de son deuxième mariage avec Susanne Sutter. La femme institue pour héritiers sa petite-fille, issue de Susanne Kessler et de Nicolas Frantz, et son fils Gabriel Kamm
1596 (9. 7.bris), Not. Strintz (Daniel, 58 not 60) N° 352
9. 7.bris 1596. Testamentum nuncupativum (Prothocollirt vnd verfertigt den 31. Martÿ 1609) persönlich erschienen seindt herr Hans Kamm, Metzger vnd dieser Zeit Cleinen Rhats bewandter alhier Zu Straßburg vnd Fr. Susanna Sutherin sein Jetzige geliepte haußfrauen, wie wol dieselb großen leib schwanger gende, vnd wenig ziel Zu Küfftiger glickseliglich hoffender frölichen geburth, mehr vor Ire habende, doch beede Jetzgedachten Ehegemechte gendes standes gesundes wafferndesn Leibs, guter verstendlicher sinne vnd vernunfft
dieweil nihn letstlichen die Insatzung vnd benennung der Erben Institutio hæredum zu latein gt. das fürneimbste und wesentlich hauptstück eines Jeden testaments, (…) so ernennt Instituirt vnd setzt Er Hanß Kamm der testator zu seinen Rechten wahren gewißen vnd vngezweiffelte testaments Erben so ohne das sind* seine söne döchter vnd also ab intestato wahr Erben seindt, Namblichen hannßen, Catharinam Jetz h: Joachim Frantzen oberschreibers Ime Spital alhie Ehefrauwen, Jacob Philips, Dorotheen vnd Lorentzen Kammen von wÿland Catharine Kresin seiner ehrenn haußfrauwen selig ehelich erzielt, deßgleichen Gabriel Kammen In Jetzigen anderer v letzter Ehe ehelichen erzeugt samp denen Posthumis (…)
Sie fraw Susanna Sutherin die testirerein aber benent vnd Instituire Zu Ihren testament erben gleichfalls obernanntem Gabriel Kammer Irem Jüngsten mit mehr ernanntem Ihrem lieben haußwirth ehelichen erbornen sohns vnd all Ire posthumis, darzu auch Jre Ecklelin Susannam Niclaus Frantzen des Metzgers mit weÿland Susanna Ketzlerin seiner haußfrauen selig ehelichen erzeugtet töchterlin

Jean Kamm épouse en 1587 Susanne Suter, veuve du barbier Jacques Kessler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 1, n° 5)
1587. den 27. februarÿ sind eingesegnet worden hans Kamm der Metzig. vnn Susanna Suterin weÿland Jacob Keßler des Scherers selig. hinderlaßene widwe (i 3)
Mariage, cathédrale (luth. p. 127) 1587. Dominica Sexagesima. 19. Februarÿ. Hanß Kamm der Metzger, vnd Susanna Jacob Keßler des Schärers nachg. wittib. Eingesegnet Montags den 27. Februarÿ (i 67)

Assesseur au Grand Sénat, Jean Kamm l’aîné épouse en 1609 Marguerite Marie Adolph, veuve du marchand Sebastian Ulrich
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 79-v, n° 7)
1609. den 8. Maÿ seind ehelich eingesegnet worden Herr Hannß Kamm der Ellter vnd des großen Rhatts Beÿsitzer allhie, Vnndt Fraw Margaretha Maria Adolphin, Weÿland Herrn Sebastiani Ulrichs gewesenen Burgers vnndt handelsmanns alhie seligen nachgelaßene wittwe (i 89)

L’assesseur au Grand Sénat Jean Kamm l’aîné vend la maison au batelier Martin Heinrich moyennant 300 livres

1612 (ut spâ [x tag Novembris]), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 485-v
(Inchoat. in Proth. fol: 488.) Erschienen herr hannß Kahm der elter beÿsitzer des groß. Raths Alhie (verkaufft)
Martin Heinrich dem Schiffmann burger Zu Straßburg
hauß hoffestatt höfflin vnd Stall mit Allen Iren gebeüwen & geleg. Inn der vorstatt Straßburg Inn Crutenouw Zwüsch. den Zween gedeckten Brucken einsit neben Andres Schnell dem Zoller vff der Reinbrucken Andersit neben Adam Thomann dem schiffmann stost hinden vff ermelten Andres Schnellen Zum theil vnd Zum theil vf Urban Beÿers des schiffmanns selig. erbenn für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 300 pfund pfenning Straßburger
[in margine :] Erschienen herr hannß Khamm hatt in gegensein Martin Heinrich des Kheüffers (…) Actum den vj Maÿ 1613.

Fils du batelier Jean Heinrich, Martin Heinrich épouse en 1608 Susanne Stahl, fille du pêcheur Jean David Stahl : contrat de mariage, célébration
1608 (23. Junÿ), Not. Strintz (Daniel, Prothocollum, 1597-1605, 58 Not 53)
Eheberedung Zwüschen Martin Heinrich dem Schiffman vnd Jungfrawen Susannen Stahlin beeden verprochenen Ehepersonen vffgericht
Zwüschen dem Ersamen Martin Heinrich dem schiffman vnnd burgern Zu Straßburg Ane einem,
So dann der Zuchtigenn vnd tugendsamen Jungfrauwen Susannen Stahlin des Ehrenhafften Hannß David Stahlen, vischers vnd burgers Zu Straßburg eheleiblichen dochter Am Andern theÿl
durch Vnderhandlung der Ehrenhafften fürnehmen, Ersamen vnd bescheidenen Bernhard Neefen, Jacob Heinrich, Paulus Hören schiffleüth vnd H Eucharij schüblers deß Notari vff seiner deß hochzeiterers, So dann vff der Jungfrauwen hochzeiterin seÿten Diebold Stahlen vnd Martin Andreßen Ihres vatters vnd schwagers, Aller burger Zu Straßburg
Beschehen vnd verhandelt In deß heiligen reichß freÿen Statt Straßburg Donnerstags denn 23. Junÿ In dem Jar deß Herrn Alß man Zalte 1608
(minute signée, 58 Not 54)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 73 n° 28)
1608. Dominica VII Trinit. 10. Julÿ. Martin Heinrich der Schiffknecht Hanß Heinrichen des Schifmans seligen nachgelaßener Sohn, J. Susanna, Thiebolt Staalen de fischers tochter. Eingesegnet Montag 18. Julÿ hora 10. p. M. (i 75)

Le maître des Quinze rapporte que Martin Heinrich a embarqué 40 quartauts de pois en provenance du Sundgau en n’en déclarant que 24 à l’accise. Une enquête est ouverte sur l’éventuelle fraude. Comme il y aura davantage de pois de la même provenance, il faudra décider s’ils seront autorisés à quitter la ville qui pourrait en manquer.
1612, Protocole des Quinze (2 R 40)
(f° 241-v) Freÿtag den 30. Octobris. – Martin Heinrich. Erbsen. Zollentführen
der H. Fünffzehen meister Zeigt auch ahn Martin Heinrich der Schiffman hab 40. fiertell erbsten beÿm Kauffhauß eingelad. die führe er hienweg, Aber der Ungelter wüßten nur von 24 fiertel so angeben worden, Also mann Inen bevohlen, der 16. fiertell halben besser nachfrag Zuhaben. Solche erbßen kommen auß dem Suntgauw vnd sollen noch mehr hero gepracht werd. Seÿ ein gutt gemüeß, vnd derenwegen die frag, weÿl sie hierumb nicht gerathen ob mann sie alle müeß passiren lassen oder Zum theil hie behalten könne, damit nicht hernach beÿ vnns mangell erscheine. Erkant die Ungeltherren sollen im Ungeldt bevehlen, fleißig nachzuforschen ob mit deßen Erbßen betrug fürgangen vnnd könn man etwann, wann mann inn mehrerer anzahl beÿeinander, wid. davon reden.

Martin Heinrich est élu péager au Canal des Fleurs le 4 décembre. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’autorisent quelques jours plus tard à quitter la Ville pour régler ses affaires notamment à Worms, à Mayence et à Oppenheim où il a des marchandises pour plusieurs centaines de livres en lui demandant cependant de ne pas continuer son commerce.
1620, Conseillers et XXI (1 R 102)
Martin Heinrich, Zoller im Blumengiessen. 339. vmb erlaubnus etlich Reisen. 343.
(f° 339) Montag den IV Decemb. – Zoller dienst im Blumengiessen bestelt
Wegen Zollers im Blumengiessen In d. Amptbuchlin vberlasen vmbgefragt ob Jemandt gebetten, u hernach erkannt Martin Heinrich.

(f° 343) Sambstag den IX Decemb. – Martin Heinrich Zoller im Blumengiessen vmb erlaubnus etlich Reysen
Martin Heinrich der New angenommene Zoller ubergibt supplôn beenckt sich der befurderung. Er konne aber nit leugen d. er etlich hundert gulden an wahren angewandt, die Zu Wormbs Meyntz Oppenheim und andern orten lig. derentwegen er etlich Reisen thun müse, dan sein nahrung vast dorin bestehe, derwegen sein bitten mherren wollen Ime dazu willen* geben will er ein Man stellen dar den Zoll soll einnehmen. Erk. Man soll Ihme 3 Reisen erlauben aber Zeit biß Faßnacht setzen mit der Anzeug der Kauffmanschafft Künfftig enthalten. H Kugler, H Danenmeyer.

Martin Heinrich demande à être dispensé de l’accise et de la taxe sur le jardin que détenait son prédécesseur mais pas lui.
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
(f° 293-v) Mittwoch den XXI. Novemb. – Martin Heinrich Zoller am Blumengießen vmb Nachlaß Ungelts und wegen Garttens
Martin Heinrich der Zoller am Blumengießen ubergibt supplôn beclagt sich d. er den garten nit hab den sein vorfahr gehabt, und * haltet, * d. er d groß ungelt geben muß, d. der vorfahr doch befreyet geweßen, do er dich keine soviel vorschanckt alß er in die haushaltung bericht, Bat vmb den garten v befreyung des vngelts. beschieht bericht d. dar vorig den garten umbbruch und ein Almendt Zinß von Almend Hh darauf geschlagen, wurd bi=uch mitbringt.

Les Quinze s’adressent à la veuve après avoir constaté que son mari faisant commerce de grains avec un chaudronnier de Durlach en les faisant entrer en ville sans payer de droits
1625, Protocole des Quinze (2 R 53)
Martin Heinrich seÿ untrew geweßen. 196.
(f° 196-v) Donnerst. 25. Augusti – Martin Heinrich Zoller am Blumengießen
wurde gedacht Martin Heinrich der letzt verstorbene Zoller am Blumengießen, hab mit dem Kupferschmidt von durlach gemeinschafft mit früchten getriben, dahero vil frucht ohnverzollt paßiren laßen. E. Waß fürzunemmen. Erkandt, Ober Ungeltherren, sollen nach der wittib senden vndt deßwegen examiniren

Martin Heinrich meurt en délaissant deux filles. La veuve est remariée avec Martin Klein
1624 Chancellerie, vol. 452 f° 395 [in margine :] Erschienen Andreß Heinrich Als vogt Martin Heinrichs see. Kinder vnd Martin Klein Als Ehevogt Susannam Stahlin bekannte in gegensein Clauß Geÿers (…) Act. den 25.t Januarÿ Anno 1635.
1625 Chambre des Contrats, vol. 455 f° 508-v hatt in gegensein Andreß Heinrich schiffmanns burgers Zu Straßburg Als Vogt weÿland Martin Heinrichs selig. Khind. – schuldig seÿe ij C. L. lb
1626 Chambre des Contrats, vol. 459 f° 668-v hatt in gegensein Andreß Heinrichen deß Schiffmanns alß Vogts weÿ: seines Brud. Martin Heinrich gewesenen Zollers im Blumengüeßen see. Zweÿen töchterlin – schuldig seÿ. 150. Pfund

Susanne veuve de Martin Heinrich dispose en 1651 des 700 florins que lui doit son gendre Gabriel Waldeck sur le prix de sa maison rue Sainte-Madeleine
1651 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 788
Erschienen Susanna weÿl. H Martin Henrichß deß Schiffmanns und Zollers am Blumengieß. alhie nunmehr seel. nachgelaßener wittib, gesund ahne leib und Gemüth, die verordnete, daß Sie vff ihres dochtermanns H Gabriel Waldeckhß deß Goltarbeiters Behaußung in der Vtengaßen 700. fl. angelegt hatt und nach ihrem Ableiben der dochter Mariæ H Daniel Bergers deß Weinhändlers ehelich haußfr. od. wann sie den Mütterlich. Fall nicht erlebet deroselben Kindern die helffte daran erblich heimfallen wirt (…)

Martin Heinrich vend la maison au batelier Jacques Stephan moyennant 450 livres

1620 (xxv. Aprilis), Chancellerie, vol. 439 f° 235-v
(Inchoat. in Prot. fol. 250.) Erschienen Martin Heinrich der schiffmann burger Zu Straßburg (verkaufft)
Jacob Steffan dem schiffmann burger Zu Straßburg So Auch Zugegen Ihme Vestiglichen Kauffte
hauß hoffstatt höfflin vnd schopff mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Inn Crutenouw beÿ der nidersten gedeckten brucken, einseit neben Marien Wÿland Adam Thoman seligen witwen anderseit neben Jost Zipff dem Kuttler hinden vff Christoff Guckenmuß würth Zum gärttenfisch stoßend freÿ ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Kauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 450 pfund Straßburg

Jacques Stephan hypothèque la maison au profit de Valentin Jæger

1629 (5. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 561-v
Erschienen Jacob Steffan d. Schiffman
hatt in gegensein Veltin Jägers – schuldig seÿ 100. lb
und.pfand hauß vnd hoffstatt alhie in Crautenaw beÿ der nidersten gedeckhten Brucken neben Maria Adam Thoman s: witib & neben Jost Zipfen deß eltern see. witib hind. vff Christoff Kuecumuß welche Zuuor v.hafftet vmb 350. fl. Martin Heinrichs see. witib

Jacques Stephan vend la maison moitié à Jean Riebel l’aîné et moitié à Jean Riebel le jeune moyennant 450 livres. Le vendeur reste propriétaire d’un terrain au sud. Les vendeurs s’engagent à conserver un chenal sous la remise.

1634 (20. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 33
(Protocollat. fol. 5.) Erschienen Jacob Steffan d. Schiffmann burg. Zu St.
hatt in gegensein hanß Rübels deß Eltern, vnd hanß Rüebels deß Jüngern, vaters und Sohns, beed. fischern burgern Alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, höfflin vnd ein schopff, mit allen and.en ihren gebäwen & alhie in Krautenaw beÿ der vnd.n Brucken, neben N. N. gartenmann & zum theil dem v.keüffer selbsten, vnd zum theil neben Adolff Weber dem schiffmann, hind. zum theil vff Christoff Kuckumueß Würths Zum Gaul garten vnd Zum theil vff Paul hoschen den schiffmann stoßend, so zuuor noch verhafftet ist vmb 50. lb d. Martin heinrichs s: witib Wiewol nun solch. hauß auch verpfändet vmb 25. lb d erstbesagter wittiben, Item vmb 175. Christoff hessen dem hagknecht, vnd dann vmb 100. lb Veltin Jäger, So hat doch der V.keüffer dise dreÿ letst gemelte posten vff ihme behalten – per 450. lb
Darbeÿ Auch abgeredt, daß die Käuffere einen Naach vnderm Schopff gegen deß Verkäuffers seiten, wie derselb albereit ist, Zuhalten schuldig sein sollen

Le pêcheur Jean Riebel l’aîné est marié à Eve, sa veuve en 1637. Ses enfants sont Jean Riebel le jeune et Eve, femme de Jean Lutz, pêcheur à Wittenweier en Bade
1634 Chambre des Contrats, vol. 473 f° 103-v
Erschienen hanß Rüebel der Alt, fischer Burger Zu Str.
[in margine :] Erschienen Hanß Rüebel der Jünger alß deß Verkäuffers s. Sohn für sich und innamen seiner Schwester Evæ hanß Lutzen deß Fischers Zu Wittenweÿher, ehelichen haußfrawen, So dann Christoph Heß der Hagknecht alß Vogt daß verkäuffers s. wittiben Evä, hab. in gegensein deß Käuffers (…) Act. den 14. febr. 1637.

Les Quinze dispensent Eve Riebel, domiciliée à Wittenweier (avec son mari Jean Lutz, voir ci-dessous l’accession à la bourgeoisie) de régler le droit de détraction après la mort de Jean Riebel (l’aîné)
1637, Protocole des Quinze (2 R 62)
(f° 187) Sambst. den 2. 7.bris – Hanß Riebels Abzugsfreÿ Erbschafft
Hanß Riebels des Fischers Tochter Eva, Jetzo zu Wittenweÿer wohnhaft, welche vf Ihres Vatters seel. Verlaßenschafft beÿ E. E. Kleinen Rath immittirt wegen Abzugs aber herein genießen. Erkandt, Ist als Undthann, meiner Herren deß Abzugsfreÿ gelaßen

Originaire de Wittenweier, Jean Riebel achète le droit de bourgeoisie le 13 février 1623
1623, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 815
Hannß Riebel Von Wÿttenweÿher d. Vischer Khaufft d. Burgerrecht p. 20 goldgulden vnd will Zu den Visch. dienen Actum deb 13. Februarÿ 1623.

Jean Riebel et sa femme Marie font baptiser Eve Marie en 1624
Baptême, Saint-Guillaume (luth. p. 257 n° 94)
1624. Dominica XX. post 10. Octobris. P. Hans Rübell fischer, M. Maria, I. Eva Maria. Comp. Lorentz Cham metzger, Maria David Gisbrechts, fischers uxor, & Maria, Claus Rosers des Jüngern fischers Tochter (i 140)

Jean Riebel le jeune se remarie en 1633 avec Catherine, veuve de Jean Küntzel, prévôt de Wittenweier
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 46 n° 47)
1633. Dom. 1 & 2 Adv. Hanß Riebel d. Jung. fisch. v. burg. alhie, v. Catharina, wlld. hanß Küntzels gewesenen Schultheiß. zu wittenweih. hind.laßen witwe. cop. Mont. d. 9. Xbris

Jean Riebel meurt en délaissant deux enfants (Eve Marie et Jean) issus de sa première femme Marie Schalck et sa veuve Catherine Herr. L’inventaire est dressé dans la maison près des ponts couverts d’aval. La succession comprend deux autres maisons à la Krutenau. La masse propre à la veuve est de 139 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 922 livres, le passif à 372 livres

1638 (29.1.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 7) n° 2
Inventarium undt beschreibung aller Haab vndt nahrung, so weÿl. der Ehrsame hannß Riebel vischer vnd burger alhie Zue Straßburg, nunmehr seel. nach seinem aus dießer welt tödlichen hinscheiden hind. ihme v.laßen welche durch die erbahre vndt tugendsame fraw Catharin Herrin sein hinderlaßene witt. mit hülff vnd beÿstandt deß Ehrenhafften Hanß Caspar Schmutzen auch vischers, burgers alhie Zue Straßburg ihres geschwornen vogts, vf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften Dieboldt Jungen ebenmäßig vischers burgers alhie, alß Evæ Mariæ vndt Johannißen, deß ietz verstorbenen seel. mitt auch weÿl. Mariæ Schalckin seiner vorig. hfren. seel. in erster ehe ehelich erziehlter Kind. vnd ab intestato hind.laßene nechster erben geschwornen Vogts geeügt vndt gezeügt, (…) So beschehen vff Montag den 29. Januarÿ Anno 1638.

Inn hernach geschriebener Zum halbentheill in dieße Erbschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt.
Auff dem obern Kasten, inn der Obern stubkammer, Inn d. Obern stub. Inn der Kuch., Im haußöhren
Eigenthumb ahne heüßern, (Th.) Item hauß hoffstatt vnd höffl. mit allen andern ihren gebeuwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in der vorstatt Straßb. in de Crautenaw, beÿ der Vndersten gezeckten Prueck. in einem nicht durchgehenden geßl. 1.s. neben H Martin Andreßen dem Geweßenen haagmeister alhie (…)
(th.) Item hauß hoffstatt vndt hoff. mit allen derselben gebewen, Weithen, Zugehörden vndt gerechtigkeiten gelegen in mehrermelter vorstatt Crautenaw im trenck gäßl. (…)
(th.) Item der halbe theil ahne einer Behaußung, daran der vberige halbe theil Weÿl. hannß Rübels deß Eltern, des ietz verstorbenen Vatters seel. hinderlaßenen Wittib vnd Erben Zuständig, mit allen derselben Zugehörd, vndt gerechtigkeiten geleg. in offtgedachter vorstatt Crautenaiw ahne der vndern gedeckten Brucken, j.s. lb hannß Ehrsamb den Gartner, 2.seith neb. hannß Adolph Webern dem Schiffmann, hind. vff herrn hannß Balthaßar Schießen des hutstaffierers garten, theils aber auch vff Paul hoschen den Schiffmann alhie stoßend, so gantz freÿ ledig vnndt eigen hiehero æstimirt für 175. lb Vber dise Behaußung sagt j. t. Perg. Kauffbrieff mit offtgedachter St. St. Cont: anhangendem Insigel verwahrt de dato 20. Jan: Anno 1634. mit Altem N° 3 et Newem N° 4 quotirt. Liegende Güether (im dorff Wittenweÿher gelegen)
Wÿdembs Verfangenschaft. Item es hatt Eva, weÿlandt Hannß Riebels deß Elttern auch Vischers Vndt Burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßene wittib deß ietz verstorbenen seel. Mutter v.mög auffgerichteten Codicills die ane d. hieuor fo. 61. beschriebenen behausung 2. dritte theil am halben theil ad dies vitæ Zugenießen, daran nach deselben absterben In dieße Theilbare Verlaßenschafft der halbe theil od. ane solcher halben behaußung ein dritter theil gehörig thutt dem Anschlag nach 58. lb
Der Wittib unverändert Guth, Sa. Haußraths 4, Sa. Liegender güter 22, Summa summarum 26 lb
Summa alles der Erben unveränderten guths, Ist vndt bestehet allein ahn hieuor geschriebener Behaußung, vndt thut dem Anschlag nach Nemblich 175. lib.
Das Gemein verändert vnndt Theilbare guth belangend, Sa. haußraths 48, Sa. früchten 28, Sa. Lehrer vaß 1, Sa. deß Zum vischer handwerckh gehörigen Schiff und geschirrs 20, Sa. Silbers 4, Sa. Bahrschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 328, Sa. Liegenden güter 79, Sa. haüßer 393, Sa. Schulden 9, Summa summarum 922 lb – Schulden 372 lb, Nach deren Abzug 640 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1072 lb
Wÿdem so der ietz verstorbene seeligen biß in sein Absterben genoßen, Item es hatt der ietz verstorbenen seeliger seiner vorigen haußfr. Mariæ Schalckin seeligen gantz verlaßenschafft, Inhaltt deß den 23. 9.bris A° 1633 Ihme vnd seiner Kinder geschwornen vogt auffgerichteten Vertrags dergestalten zu genießen gehabt (…)
Vergleichung d. Heüßer. Die behaußung Im Trenckhessel hatt die wittib Zugenieß. v. v.pleibt d. Eigenthum den Erben für unverändert
die behaußung beÿ der vndn gedeckten brucken in dem nicht durchgehennd. geßlein Ist angeschlagen vmb 200 ln
die andere halbe behaußung ist zwar vmb 250. ln bahrgeltt erkaufft, aber ietzig. Zeitt höher nicht angeschlagen dann auch vmb 200 lb
Theil Register

Eve, veuve de Jean Riebel (l’aîné) fait donation du quart qui lui appartient à la maison à sa fille Eve, femme du pêcheur Jean Lutz.

1641 (11. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 587-v
(Mütterlich. Prælegat) Erschienen Eva Weÿl. hannß Rüebelß deß Fischers sel. wittib, Zwar hoh. alters, iedoch richtig. guter sinn und verstandts, hatt vß wohlbedachtem muth, alß sie sprach,
prælegirt ihrer eheleiblich. dochter Evæ hannß Lutzen deß Fischers und burgers alhie ehelich. haußfrawen,
einen Vierten theil ahne hauß, hoffstatt mit allen & alhie beÿ der gedeckht. bruckh. ohnfern vom Gaul, neben hannß Ehrsambß deß garten Manns Nachkomm. ein: und and.seit (-) Blawel dem schiffmann, hind. vff Jacob Stephan den schiffmann stoßend gelegen, Vnd dann ein außbereitt bett mit aller Zugehördt, so beständig in der Wohnstuben steht, auch einen vierten theil ane dem gartt. Zu wittenweÿhr

Le pêcheur Jean Lutz de Wittenweier, sa femme et leurs trois enfants André, Jean et Eve acquièrent le droit de bourgeoisie le 14 septembre 1637 (quand l’inventaire est dressé après la mort de Jean Riebel l’aîné, voir ci-dessus l’extrait du registre des Quinze)
1637, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 874
Hannß Lutz der Fischer von wittweÿer Erkaufft daß burgerrecht für sich sein haußfr. vnd dreÿ Kinder mit nahmen Andres, Johannes vnd Eua haben noch kein eigen guth vmb den Alten burger Schilling p. 8. gold fl. vnd ist beÿ den Fischern Zünfftig Jur. den 14. 7.bris 1637

Eve Marie Riebel devient seule héritiere de son père Jean Riebel le jeune après la mort de son frère Jean

1642 (13. Martÿ), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 10) n° 30
Theil Registerlin Inhalttendt Waß Evæ Mariæ Riebelin, weÿlandt hannß Riebels deß Jüngern, geweßenen Vischers burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßenem döchterlin, in weÿl. Johann Riebells seines brüderlins seel. verlaßenschafft Abtheilung erblichen Zugefallen, 1640.
Zuwißen, daß vff tödtliches ableiben Weÿlandt Johann Riebels auch weÿl. Hannß Riebels deß Jüngersn geweßenen Vischers, burgers alhier Zue Straßburg vndt frn Mariæ Schalckin beeder Eheleuthe hinderlaßenen söhnleins, aller seel. vff hieunden gemeltes datum, die Ehren: vndt tugendsame fraw Eua, weÿland deß Ehrenhafften Hannß Riebells deß Elttern auch geweßenen vischers burgers alhie seel. hinderlaßene Wittib mit hülff vnd beÿstadts Christoph Heßen, deß Haagknechts burgers alhie ihres geschwornen vogts, ane einem
So dann die auch Ehrenhaffte Dieboldt Jung, gleicher gestaldt visch. burger alhie als Evæ Mariæ Riebelinin obgedachts deß ietz abgeleibten Söhnlins döchterlins geschwornen Vogt, als deßelben ab intestato hinderlaßene nechste Erben (…) so geschehen vff Freÿtag den 13. Martÿ A° 1640.
Beede heüßer, sowohl daß in dem nicht durchgehend. Geßel als auch die halbe Behaußung beÿ d. vndern gedeckten brucken seidt, weilen dießelb nicht wohl füeglich Zuvertheilen noch Zur Zeit für vngetheilt außgesetzt, dergestalt d. der darauß gefallende Zinß Jedes mahls pro rato gebührlich v.theilt vnd Evæ Mariæ antheil durch ihren vogt ordentlich. v.rechnet werden solle.

Jean Lutz de Wittenweier et sa femme Eve hypothèquent trois quarts de la maison au profit de Jean Jacques Scholl, assesseur au Grand Sénat

1651 (19. Decembr.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 896-v
Erschienen Hannß Lutz Von Wittenweÿher und Eva sein eheliche Haußfr.
hatt in gegensein H Hannß Jacob Schotten E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 50 Pfund
Underpfand sein sollen treÿ Vierte theil ahne einer Behaußung mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw beÿ der gedeckhten Brucken einseit neben Hannß Sturmen dem Schneider anderseit neben H Conrad Meÿern Stifft Schaffnern Zue St. Steffan hienden auff Vorgemelten Schaffnern stoßend gelegen, daran der übrige Vierte theil Friderich Weÿsen dem Fischern und burgers alhie gehört

Les trois enfants Lutz vendent leur part, soit un peu moins de la moitié de la maison, à l’ouvrier garde-bois Frédéric Weiss dont les enfants sont propriétaires du surplus

1669 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 551
Erschienen Andres, hannß, und Eva, die Lutzische Geschwisterde von Witenweÿher
in gegensein Friderich Weißen deß haag Knechts
ihren Antheil, so nicht gar völlig die helffte ist, ahn hauß hoffstatt höfflin, Schopff und allen deren Gebäuen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten in vorstatt Krautenaw beÿ der undern Bruckh, einseit neben Chilian Haslern dem stattschiffer, anderseit neben hannß Jacob Feuchter dem Küeffern, hind, vff H Michael Haanen den handelßmann stoßend gelegen, daran daß übrige deß Käuffers Kindern gehörig seÿe – umb 165. fl.

Fils du pêcheur Henri Weiss, le pêcheur Frédéric Weiss épouse en 1645 Eve Marie Riebel, fille de Jean Riebel le jeune
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 5, n° 17)
1645. Dominica Trinitatis 2 & 3. Friderich Weiß der fischer, Heinrich Weiß des fischers und burg. alhie Ehl. Sohn, Vnd Jungfr. Eva Maria, Hans Ruebel des Jung. des fischers, hindl. Ehl. Tochter. Copul. Mont. d. 21. Junÿ Wilh : horâ X.

Frédéric Weiss ci-dessus est ouvrier garde-bois d’après les aboutissants de la maison voisine
anderseit neben Friderich Weißen dem Hagknecht gelegen, 1676, Chambre des Contrats, vol. 545 f° 450-v, maison X 169

Les Quinze nomment Frédéric Weiss ouvrier garde-bois sur proposition des Préposés au bâtiment le 23 décembre 1665.
1665, Protocole des Quinze (2 R 82)
(f° 250-v) 1665. Sambstags den 23. 10.bris – Friedrich Weiß ist Hagknecht worden
Nach deme Obern Bauw Herren wegen vacirender Hagknecht stell Friedrich Weisen, Hans Adam Seÿfert, Melchior und Caspar Meningern In außschutz bracht vnd derentwegen ordentlich Vmbfrag gehalten worden, Ist der erste Friderich weis per majora Zue kommen.

Frédéric Weiss remplace Jean Michel Philips, licencié. Frédéric Weiss se plaint en février 1666 que la veuve de son prédécesseur ne libère pas le logement de fonction en faisant remarquer que Jean Michel Philips a vendu certains éléments qu’il a démontés
1665, Préposés au bâtiment (VII 1359)
Friderich Weiß der Newe hagknecht – hannß Michael Phillipß der erlaßene Hagknecht
(f° 126) 1665. Sambstags den 23. Xbris – Friderich Weiß
Jr Stettùstr. Bernoldt bereichet d. Friderich Weiß ahn statt hannß Michael Philipßen so abgeschafft Zu einem Hagknecht von den Herren fünffzehen angenommen word. seÿe.

(f° 143-v) 1666. Sambstags den 10. Febr. – Friderich Weiß der Newe hagknecht, Clagt d. hannß Michael Phillipß der erlaßene Hagknecht d. losament, darin er alß ein hagknecht gewohnet in deme sehr ruinire d. er eines vnd d. andere so nagelvest abbreche, auch die stützen vnd ander holtz an der rebhelden, so er doch in der Statt wehrten gehawen, außreÿße vnd verkauffe, auch nicht vor ostern d. Losament q.ttiren stoll*e. Erk. soll Ihme ferner außreißens vnd v.kauffes verbott gethan, vnd befohlen werd. d. losament fürerlich zu q.ttiren.

Frédéric Weiss prête serment le 13 janvier 1666
1666, Protocole des Quinze (2 R 83)
(f° 5-v), Sambstag den 13. Januarÿ – Friedrich Weiß der Newe Haagknecht, wird auch das Juramentum Zu præstiren dato vorgestelt.

Les Préposés au bâtiment donnent congé à Frédéric Weiss âgé de 74 ans qui demande une gratification aux Conseillers et aux Vingt-et-Un
1689, Conseillers et XXI (1 R 172)
Hannß Georg Hänßel und Friderich Weiß vmb gnaden gelt
(p. 49) den 21.ten Februarÿ – It. nôe Hannß Georg Hänßel vor sich und Friderich Weißen, geweßener hagknechten, prod. mem. und melden, der letztere habe 24 Jahr über Jener aber 26. solche dienste versehen, seÿe der Erste 66 Jahr und mit Einem schlagfluß getroffen word. dieser gehe in 74.ten Jahr und können nicht mehr fortkommen, deßelben Sie von denen oberen bauherren beurlaubet worden, Sie mögen aber albers halben ihr stücklein brodts nicht mehr vor sich bringen, sondern seÿen gemüßiget Mhh. herren umb hülffreiche hand anzuflehen, und Selbige Zu bitten Eine gnaden steur Ihnen Zukhommen Zulassen.
Erkant, ahne die Obere bauherren gewießen umb die merita causæ beeder Imploranten Zu examiniren und nach dürfftigkeit gegen denen selben Zu verfahren. H. XV. von Fridelsheimb, Rathh. Trahner.

Fille de Frédéric Weiss, Eve Marie Weiss épouse de Mathias Bolentz demande à être exemptée du droit de détraction en arguant qu’ 1) elle est redevenue bourgeoise après avoir perdu son droit de bourgeoisie par mariage, 2) que son mari apprêteur de tabac gagne mal sa vie, 3) qu’elle est chargée de cinq enfants. Les Quinze accordent l’exemption

1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
(f° 92) Mittwoch den 25. Aprilis – Matthiß Bolentzen Frau pt° Abzugs
Obere Stallherren laßen per me referiren, daß Eva Maria Weißin, Matthiß Bolentzen, des tabac bereiters hausfrau, jnn einem und.th. Memorial berichtet, Wie daß Nach absterben ihres Vatters Friderich Weißen geweßenen Haag Knechts, sie, als sie Noch im schirm gestanden, etwas weniger Von ihme geerbet habe, und davor ihr 3. lb 11 ß abzug abgefordert werde, mit bitt, weilen sie ihr durch die mit ihrem ehemann gethane heurath verlohrnes burgerrecht Wider gratis erhalten, sie ebenfalls Zu begnadigen, und damit in integrum Zu restituiren, einfolgig sie dießes abzugs Zu befreÿen, jnn ansehung die Erbschafft gering, und der Verdienst ihres Manns beÿm tabac machen schlecht seÿe, Auch d. L. Gott sie bereits mit Fünff Kindern gesegnet habe, Von welchen petito mann geredt, Und dafür gehalten, daß weilen Nicht Nur die allegirte rationes erheblich sondern auch die summ gering seÿe, Auch die gethane erbschafft hier bleibe, Und die Imploranten, Lauth gegenwärtigen Schirms auß d. Cancelleÿ und H. Rentmeisters Würcklich Wied. inn burgerrecht stehe, ihr inn ihrem begehren willfahrt werde könte, allein sie genehmhaltung Zu Mghh. stündte. Erk. beliebt.

La maison revient à Susanne Weiss, fille de Frédéric Weisss, qui épouse en 1680 le tonnelier Philippe Barthel.
Les experts estiment la maison à la somme de 225 livres lors de l’inventaire dressé en 1710 après la mort de Susanne Weiss, somme reprise en 1715 à la mort de Philippe Barthel.
Leur fille et unique héritière Marie Salomé Barthel épouse en 1707 le tonnelier Jean Georges Bürckel, fils de l’aubergiste à l’Aigle Noir Ambroise Bürckel

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 132-v, n° 35)
1707. Mittwoch den 19. Octobris, seind nach ordentlicher zweimahligen außruffung ehelich copulirt worden, Hanns görg Birckel, der ledige Kiefer, H. Ambrosi Birckels deß Würths zum schwartzen Adler, und fr: Margreth Würtzin Ehelicher Sohn, Und Jungfrau Maria Salome H. Philipps Barthels des küeffers und burgers, mit seiner Ehefrauen Susanna geb: Weissin erzeügte Eheliche tochter, Johann Georg Bürckel alls hoch Zeÿter, Maria Salome bartelin als hochzeitrin (i 138)

Jean Georges Bürckel fait dresser dans une maison derrière Saint-Nicolas l’inventaire de ses apports, soit 216 livres
1708 (20. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 31) n° 25
Inventarium über diejenige Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte Meister Hannß Georg Bürckel, Küffer und Burger, Zu Straßburg, zu der Ehren: und tugendsamen Frawen Maria Salome, Gebohrner Barthelin seiner Geliebten haußfrawen, für unverändert in den Ehestand Zugebracht, auffgerichtet Anno 1708. – Welche Nahrung der Ursach halben, damit man sich künfftiger Zeit der in Ihr beeder Eheleuth auffgerichteten Eheberedung verglichenen Ergäntzung wegen darnach Zu reguliren haben möchte (…) Actum in fernerer præsentz H. Ambrosÿ Bürckels, Gastgebers Zum schwartzen Adler, deß Ehemanns v. herrn Philipp Barthels Küffers, der Ehefr. Gebleibten Vatters, Donnerstags den 20. 7.br. A° 1708.
In einer alhier Zu Straßburg Hinder S. Claus Pfarr Kirch Gelegener in dieß Nahrung nicht gehöriger Behaußung Befunden worden wie volgt
Norma hujus inventarÿ, Sa. Haußraths 85, Sa. Werckzeugs Zum Küeffer handwerck gehörig 25, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 216 lb

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit de Susanne Kob née Kast

1714 (11.9.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 643
Joh: Georg Bürckel kiefer und Maria Salome geb. Bartlerin beÿständlich H. Joh: Gerhardt von Stöck und H. Joh: Michel Schenck in ermanglung verwandten
in gegensein fraun Susannæ Kobin wittib geb. Kastin beÿständlich Joh: Seubel Chirurgi weilen unbevögtigt – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: ahn der hechtenbruck einseit neben Joh: Jacob haßler anderseit neben Joh: Jacob Riebel hinten auf H. Consulent Steinheil stoßend, so mit lebtägigem wÿdem deß debitoris vater verhaftet

Marie Salomé Barthel fait dresser l’inventaire de ses apports (431 livres) dans la maison qui appartient à son beau-père derrière Saint-Nicolas.
1708 (19. 7.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 12) n° 288
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güettere, so die Ehren und tugendsamme fraw Maria Salomea gebohrne Barthelin deß Ehrsammen und bescheidenen Meister Johann Geörg Bürckels, Kieffers und burgers alhier zu Straßburg eheliche haußfr. Zu erstgedachtem Ihrem Ehewürth in den Ehestand zugebracht und sich Vermög Ihrer mit demselben auffgerichteten Eheberedung für eigenthümlich und ohnverändert vorbehalten hatt (…) Actum in der Königl. Statt Straßburg in fernerem beÿsein obgedachten der Ehefrauen haußwürths auch H Ambrosÿ Bürckels deß Würths Zum Schwartzen Adler alhie seines geliebten Vatters, So dann H. Philipp Barthels Kieffers und Fr. Susannæ gebohrner Weißin der Ehefrauwen geliebten Eltern, Mittwochs den 19. 7.bris Ano 1708.
In einer alhier in der Statt Straßb. hinder der Kirchen St. Niclaus gelegenen Herrn Ambrosio Bürckeln deß Ehemanns Vattern eigenthümlich zuständigen von beed. Eheleuthen bewohnend. behaußung befund. Word. Wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 196, Sa. Eßigs vnd Vaß 24, Sa. des Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. der Guldenen Ringen 12, Sa. der Baarschafft 172, Summa summarum 411 lb – Darzu ist Zu legen die helffte der hernach beschriebenen Haussteuren 20 lb. Ist allso der Ehefrauen Jetzmahlige Nahrung 431 lb

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit du fabricant de pâtés Jean Philippe Wolff

1715 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 318
Joh: Georg Bürckel Kiefer und Maria Salome geb. Bartlerin beÿständlich H. Benedict Villars und H. Friedrich Wolfgang Eberhardt
in gegensein Joh: Philipp Wolff pastenbeckers – 300 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier ahn der hechtenbruck, einseit neben Joh. Jacob Haßler anderseit neben Joh: Jacob Riebel hinten auff den Steinheilischen Garten

Jean Georges Bürckel passe un accord avec sa voisine (au sud) Marthe Greiner veuve du batelier Jean Jacques Hassler au sujet du mur commun du bâtiment arrière que Jean Georges Bürckel construit

1715 (12. Aug.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 43)
Zuwißen, daß Zwischen Mstr Johann Geörg Bürckeln dem Kieffer und burgern allhier Ehe Vögtlich Weiß ane Einem
So dann frawen Mathanæ gebohrner Greinerin, weÿl. Johann Jacob Haßlers gewesenen Schiffmannn und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib beÿständlich Herrn Johann Georg Buschen Schneiders v. burgers allhier Ihrer dreÿ noch Ledigen Kinder Vogten, So dann auch Ihr fr. Haßlerin verheuratheten Kindern am andern theil hernach volgenden Vergleich güthlichen eingegangen und getroffen worden
Nemblichen, weilen beede Parthen zwischen Ihren beed. häußern am Gaulstaden geleg. eine gemeinschaffte Maur haben und Zwar ane dem orth wo gedachten Mstr Bürckel seinen Keller und Hinder Hauß Würcklichen auf führen Begriffen, so hatt sich gedachter Mstr. bürckel dahien güethlichen erkläret gedachte gemeinschaftliche Maur in dem sie gantz faul und ohntauglich ist so hoch alß sie Zuvorhien war nemblich ein stockhoch in seinen eigenen Kosten allen /:ab zubrechen und wieder new:/ auffbawen Zu laßen und Ihro Haßlern einen Weeg Wieder die helffte eigenthümlichen Zulaßen /:wie nicht weniger Ihro oben Wieder eine newe Maur bett* auch in seinem Costen Zuleg:/ Waß aber Er Mstr: Bürckel auff seiner seithen auff so bemelter gemeinen Mauren höher fahren Wird, daß soll auch Ihme Bürckeln und seinen Nachkommend allein eigenthümlich Zustehen. Er ist auch Mstr. Bürckel annebst deß güthigen erbiethens, Wann es nöthig seÿn Wieder Ihr fraw Haßler bauch Küchen Kammin höher Zuführen, alß es anjetzo stehet, daß Er es in seinem Kosten erhöhen Laßen wolle.
Uber dißes so haben beede Parthen noch weither eine gemeinschaftliche Maur eines stocks hoch Zwischen Mstr Bürckels Buchkuchen vnd Badstübel /:welches Mstr Bürckel auch new auffbawen und einen Kammin darauff setzen will:/ dero weg. anjetzo Es Mstr Bürckel die gemeinschaffliche Maur so weith in seinem Costen zu erhöhen versprochen biß Er den fall deß Waßers Haben Kahn damit Er den fall deß Waßers Von beeder seiths dachtrauffen durch einen steinern Noch Welchen Er auff seinen Kosten Legen und auch immerhien erhalten aber alle Zeit gemein bleiben solle, in Ihr Fr: Haaßlerin bereits habend. steuren nach Leÿden und also daß Waßer* durch ihren Nach den außlauff auff die gaß haben möge, Welchen Vorstehenden Vergleich beeder seits parthen güetlichen getroffen auch Wol und stäth Zuhalten gegen ein ander gelobt nun Versprochen, maßen davon Zweÿ gleich lautenden Exemplaria gefertigt allerseits vnderscheiben und jedem theil eines davon überlieffert (…)
Geschehen in der Königl. Statt Straßb. Montags den 12. Aug. Anno 1715.

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Pflaum née Quadt

1715 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 649-v
Joh: Georg Bürckel kiefer und Maria Salome geb. Bartelerin beÿständlich H Joh: Friedrich Bahl und H Joh: Linder
in gegensein Annæ Mariæ Pflaumin wittib geb. Quadin beÿständlich H. Joh: Daniel Pflaum Studiosi Theologiæ ihres sohns weilen ohnbevögtigt, – schuldig seÿen 250 pfund
ihr hauß c. appert: in der Krautenau ahm Gaulstaden, einseit neben Joh: Jacob Riebel anderseit neben Martha haßlerin hinten auf H Steinheil

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Lobstein le jeune

1715 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 822-v
Joh: Georg Bürckel kiefer
in gegensein Joh: Friedrich Lobstein jun: – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: allhier ahn der hechten bruck, einseit neben Joh: Jacob Riebel anderseit neben der Haßlerischer wittib hinten auf den Steinheilischen Garten
[in margine :] des schulbekennenden verstorbenen Joh: Georg Bürckel gew. kiefers wittib anna Barbara geb. Jungin beiständlich ihres Curatoris Johann Daniel Stamm (…) den 6. Maÿ 1734

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de Catherine Marguerite Wilwisheim

1716 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 302
Johann Georg Bürckel kiefer
in gegensein Cath: Marg: geb. Wilvißheimin beÿständlich Joh: Mathæus Hebenstreith handelsmanns ihres mariti – schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: in der Krautenau, einseit neben Joh. Jacob Riebel anderseit neben haßlerin wittib hinten auff den Steinheilischen Garten

Jean Georges Bürckel dresse le compte de ce que lui doit la succession de son beau père Philippe Barthel après la mort de sa femme
1717 (7. 8.bris), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 24) n° 626
Rechnung Innhaltend Was ich Johann Georg Bürckel Kieffer und burger allhier alß Erb Weÿl. Mariæ Salomeæ gebohrner Barthelin meiner Verstorbenen Ehefrauen ahne Weÿl. Mstr Philipp Barthel geweßenen Kieffers und burgers allhier meines verstorbenen Schwieger Vatters Verlassenschafft zu erfordern und hien gegen von solcher theils empfangen habe theils aber darein zu bezahlen schuldig bin den 7.ten octobris 1717.
Erstlichen Vermög einer Summarischer Ersuchung mit Lit. A. bemerckt über meiner Ehefrawen seel. Mütterliches Guth Folio 3.b gebührte meiner Verstorbenen haußfr. für Mütterlich Guth mit zu rechnung de Mütterlichen Ehesteür und der am Gaulstaden gelegenen Unveränderten Mütterlichen behausung in Summa 858 lb
Item Nach außweiß meiner berechnung sub lit. C. über weÿl. Mstr Philipp Barthels meines Schwiger Vatters Verlaßenschafft besagend fol: 4. gebührt mir von dem beÿm Capuciner Closter allhier und dem am Blumengießen allhier gelegenen und Verkaufften beeden theilbaren Häußlein für meiner haußfr. seel. daran Zuständig geweßene eine tertz deductis deducendis 48 lb (…)

Jean Georges Bürckel se remarie en 1716 avec Anne Barbe Jung, fille du tonnelier Jean Jung : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration.
Copia der Eheberedung, zwischen dem Ehrengachten und Achtbahren Herrn Johann Georg Burckeln, Kieffern Weinhändlern wittiber und burger allhier, als hochzeiter an einem, So dann der Ehren und tugendbegabten Jungfraun Annæ Barbaræ gebohrner Jungin herrn Johannes Jungen, Kieffern und weinhändlers allhier mit der Ehren und Tugendbsammen Fraun Anna Barbara gebohrner Schuhmännin ehelich erzeugten tochter als der Jgfr. hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen vnd verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg (…) Dienstags den 12. Maÿ Anno 1716, Johann Adam Ößinger (…) collationirt Johann Jacob Ölinger Nots.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 153-v, n° 888)
Anno 1716 den 27 Maji seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch zu St Thomas ehelich eingesegnet wordn Johann Georg Bürckel der Kieffer und burger alhier und Jungfr. Anna Barbara, Johannes Jung deß Kieffers und burgers alhier ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Georg Bürckel Alls hochzeiter, Anna Barbara Jungin Alls hochzeiterin (i 153)

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de la mineure Catherine Hirth

1725 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 416-v
Johann Georg Bürckel der Kieffer
in gegensein Johann Peter Pfeiffer auch Kieffers als vogts Catharinæ Hürtin, Hannß Georg Hürt des Fuhrmanns mit weÿl. Marthæ geb. Jungin erezeugten einigen Kindts
demnach der hürtischen curandæ mütterliches guth Krafft des ahm 11. Septembris 1709 auffgerichteten Kinder vertrag sich auff 68 pfund belauffet
hypothecirt, Eine Behausung hof hinderhauß und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten ahm Gaulstaden, einseit neben Johann Jacob Rübel dem Schuemacher anderseit neben der Haßlerischen wittib und erben hinten auff H. Consulent Steinheil gartten stoßend ohnfern der hechtenbruck

Jean Georges Bürckel hypothèque deux maisons au profit de Marie Cléophée Klein veuve du boucher Frédéric Egner

1726 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 346
Johann Georg Bürckel Kieffer
in gegensein Fr: Mariæ Cleophé geb. Kleinin weÿl. Friedrich Egner des Metzgers wittib mit beÿstand ihres bruders und Vogts H. Johann Michael Klein Metzgers und Kirchen pflegers zu St Willhelm – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß hoff und hoffstatt cum appertinentÿs in der Vorstatt ahne Krauttenau ahm Gaulstaden ohnfern der Hechtenbruck einseit neben Hannß Jacob Riebel dem Schuemacher anderseit neben weÿl. hannß Jacob Haßler des Schiffmanns wittib und Erben hinten auff H. Consulent Steinheil gartten
Ferner Einen dritten theil für ohnvertheilt ahne der Gastherberg zum schwartzen adtler allhier in der Langen straß, einseit neben der Kuglerischen Erben anderseit neben Johann Jacob Haußer dem tabackhändler hinten auff H. XV. Ellwert, mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten, die übrige zwo tertzen aber des Würthshaußes zum Adlter des schuldners bruders Andreas Bürckel dem würth zugehörig

Jean Georges Bürckel meurt en 1737 dans la maison quai des Chevaux en délaissant trois enfants issus de sa veuve. La masse propre à la veuve est de 573 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 658 livres, le passif à 1966 livres.

1734 (14.5.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 8) n° 122
Inventarium über Weÿl. H. Johann Georg Bürckels geweßenen weinhändl: Kieffers Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1734 – nach seinem den Dienstags den 2.ten des Monats Martÿ gegenwärtigen 1737.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geschehenes geziemendes Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl der hernacher genanten frau wittib alß auch des Ehrenachtbahren Herrn Johann Jacob Röschen deß Küffers undt burgers allhier Zu Straßb. alß geordnet und geschworenen Vogten Johann Jacob, so 14, Annæ Barbaræ welche 12 undt dann Mariæ Magdalenæ so 8. Jahr alt, aller 3. Bürckel deß selig verstorbenen mit hernach bemelter hinderblieben Fr. wittib ehelich erzeugter Kinder undt nach Tode ab intestato verlaßene rechtmäsige Erben (…), durch Frau Annam Barbaram Bürckelin gebohrner Jungin, der hinterbliebenen fr. Wittib mit assistenz deß auch Ehrengeachten Herrn Johann David Stammen, deß Kieffers Weinhändlers und burgers hieselbsten deroßelben geordnet und geschworenen Curatoris – So beschehen undt angefangen allhier in der Königlichen Statt Straßburg Montags den 22. deß Monats Martÿ et seqq. Anno Domini 1734.
Bericht Wegen Gegenwärtiger Verlaßenschafft. Zuwißen undt Kundt seÿe Hiermit daß nachdeme gegenwärtige Verlaßenschafft tam active quam passive Völlig inventirt gewesen und darauffhin über solche Verlaßenschafft ein Summarischer Calculus Gezogen und denen Interessenten communicirt, So hat die Fraw wittib (…) vernehmen laßen, welcher gestalten Sie ahne dem Theilbahren Zu participiren, nicht Gesonnen, sondern daruff tam active quam passive renunciren und solche denen Erben überlaßen wolle (…) Actum Straßburg den 6. Aprilis 1734.

In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Gaulstaden beÿ der Höchtenbruck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig: dahero hi unten beschriebener Behausung alß volget, befunden
Ane Höltzen undt Schreinerwerckh. Auff der ohneins öberten Bühn, Inn der Soldaten Cammer, In der Kammer A, In der Kammer B, In dem neuen Stübel im Hoff, In dem Haußöhren in d. hoff, In der underen oder Wohnstuben, In dem undern Hauß Ehren
Ergäntzung der Frau Wittib in den Ehestandt gebracht aber darinnen abgegangenen ohnveränderten Vermögen.Nach Inhhalt deß über der Fr. wittib in Ehestand gebrachtes Vermögen vor mir dem vor: und hernach benandten Notario den 16. aug. 1729 auffgerichtet
(f° 14-v) Eÿgenthumb ane einer behausung und Garthen der Erben Ohnverändert. Item ein Hauß Hoff, Hoffstatt und Höfflein sambt einem Neu erbauten Hinder Häußlein /:und übrig. deßen zugehörden, weithen, rechten und Gerechtigkeiten:/ so gelegen allhier in der Statt Straßburg vorstatt Krauthenau am Gaulstaaden ohnfern der sogenanndten Höchtenbruckhen I. seith neben Johann Jacob Göppel dem Schiffmann 2. seith neben Johannes Hausser auch Schiffmann, hinden zum theil auf das sogenandte Rooßen gäßlein, Zum theil auch weÿl. H. N.N. Theurers gewesenen Mittel Schreibers in allhiesigem Mehrern Hospithal allhier seel. hinterlaßene Wittib und Erben stoßend, Welche behaußung auff denen hieunden à fol. 97.a biß ad fol. 100.a inclus. passive eingetragennen Capitalien gegen Männiglichen freÿ ledig und eÿgen Zumahlen vermög der durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere (…) beschehener Abschatzung undt deß derhalben außgestellten den 29. Martÿ 1734. datirt und Zu mein Notarÿ Concept gelüfferten Scheins æstimirt und angeschlagen worden,ist für und umb 1000 gulden so allhier außzuwerffen mit 500 lb. Hierüber besagt und ist vorhanden ein teutscher Pergam: Kauffbrieff auß allhiesiger Contract Stuben gefertiget und mit deroselben aufgetrucktem Insiegel verwahrt so datirt den 20. Jan: 1634. welches mit altem Lit C: wie auch N° 2 et 4 anjetzo aber neuem Lit. A marquirt word. Sonsten hat sich hiehero nichts schrifftliches befunden.
(f° 15) Item ein Garten Häusel so gelegen vor dem Weißenthurnthor hinder St. Gallen (…)
– Abschatzung dem 29: Martÿ 1734. Auff begehren weilandt deß achtbahren und bescheitenen Meister Johann Jörg Pirckell deß geweßenen Küffers seel. hinder Laßenen frau wittib und Erben ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg ober halb der hëchten brucken am Gaull Statten gelegen, ein seits Neben hanß Jakob Gëpell schiffmann ander seits Neben Johannes Hußer schiffmann, hinden auff daß roßen gäßlein Stoßent, welche behaußung Stuben, Cammern Kuchen hauß Ehren soldaten Cammer, nebenhauß worinen ein stübell und Cammer, auff dem botten kleiner getrëmbter Keller, hinder häußlein wor under ein getrëmbter Keller oben darauff ein Cammer und halben tach hoff und bronnen sambt aller gerechtig Keidt, wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werckleute sich in der besichtigung befunden und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent Gulden
Der 2.te begriff ist auch alhier in der Statt Straßburg Vor dem Weißen thurn in dem Galla brüchell gelegen ein seits Neben Abraham Heitell dem Gartner, ander seits Neben hanß Wurtz und Zum theill auff H. allmendt stoßent, welches in einen Kleinen barëckell bestehet, so mit Abraham Heitell gemeinschafftlich ist, sambt aller gerechtig Keidt, wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wercklleute sich in der besichtigung befunden und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb, die helffte darvon Eilff Gulden, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer. Werckmeister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug wërck Meister des Mauer hoffs
Norma hujus inventarii. Der Fr. Wittib in Ehestand gebracht und annoch in Natura befunden, Sa. hausraths 4, Sa. Silbers 8, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schulden 25, , ergäntzung (vide f° 8-b 532 lb et 10-b nach abzug bleibt zu ergäntzen), 530, Summa summarum 573 lb,
Dießemnach wird sowohl der Erben ohnverändert alß auch die Theilbare Nahrung /:weilen die Fr. Wit. hievornen gemelt auff die Letztere tam active quam passive renuncirte hievornen aber Ihr Ohnverändert Gut sich resoluirt:/ unter inem Titul der E. ohnv. und Theilbar inventirt beschrieben, Sa. hausraths 102, Sa. Werckzeug Reÿff und bandt zum Kieffer handwerck gehörig 16, Sa. deß verarbeiteten Thabakhß 18, Sa. Silber geschirrs 12, Sa. deß Eÿgenthumbs ahne einer behausung 505, Sa. der beßerung ahne einem Gartten und etliche Ackhern 4, Summa summarum 658 lb – Schulden 1966 lb, Compensando 1307 lb – Mehr schulden alß Nahrung dem Stall tax nach 734 lb
Copia der Vor weÿl. H. Johann Adam Ößinger auffgerichteten Ehepacten, Nota Weilen solche Eheberedung doppelt Nembl. von H. Not. Mader unterm 2. mart. 1729 und dann I.r von H. Not. Joh. Jacob Oelinger unterm 12. aug. dictj Annj Exped: und die Letztere beÿm Concept gelaßen word. deßhalben sur solche hiehero Copialiter zu inseriren vor unnötig Erachtet worden
Copia der Eheberedung (…) Dienstags den 12. Maÿ Anno 1716, Johann Adam Ößinger (…) collationirt Johann Jacob Ölinger Nots.

Veuve, Anne Barbe Jung se remarie en 1737 avec le batelier Jean Hausser. Les experts estiment la maison à la somme de 500 livres lors de l’inventaire dressé en 1743 après la mort d’Anne Barbe Jung veuve de Jean Georges Bürckel.

La maison revient au fils Jean Jacques Bürckel qui fait son apprentissage de tonnelier chez Jean Georges Rœsch de 1734 à 1737

1734, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 338) Dienstags den 26.t 8.bris 1734 – Mstr Joh: Jacob Rösch d. Kieffer nimbt Zum Lehrjungen an Joh: Jacob Birckel weÿl. Joh: Georg Birckels gewesenen burgers und kieffers allhier Ehl. sohn, umb solchen das Kieffer handwerck 3 jahr lang zu lehren geg. 50 fl. Lehrgelt worvon die eine helffte gleich die ander aber Zu end der Lehrzeit Zu bezahlen, die Lehrzeit gehet an auff d. 25. 8.bris 1734. und endiget sich auff solche Zeit 1737. der jung leidet alle unkösten und deßen bürg seÿnd Joh: Fried. Grießbach und H Frantz Joseph werner, dt. 12. ß b. et prot. 2 ß 6 d

(f° 379) Dienstags den 26. Novembris 1737 – Mstr Jacob Rösch der Kieffer stellet vor Joh: Jacob Bürckel weÿl. Hanß Georg Bürckel geweßenen burgers und Kieffer meisters allhier Ehel. sohn, meldet daß schon d. 25.ten 8.bris seine Lehrzeit verfloßen auch beede wohl mit einand. Zufinden, bittet außthuung. Erkandt willfahrt dt. 15. ß p. prot. 2 ß 6 d p. Sig. 2 ß d

Jean Jacques Bürckel s’inscrit au chef d’œuvre qu’il présente en septembre 1743. Il est reçu maître mais doit régler une amende parce que le tonneau a des défauts et qu’il a occupé l’atelier plus longtemps que le temps imparti.
(f° 446-v) Dienstags d. 6. aug. 1743 – Joh: Jacob Birckel der Ledige Kieffer würdt zum mstr stück eingeschrieben, Zahlte werckstatt Zinß 3 ln pro protoc. 3 ß

(f° 449) Dienstags d. 15. 8.bris 1743 – Joh: Jacob Bürckel bittet ihme Zuerlauben, weilen Er sein holtz würcklich auff dem platz hat, und die werckstatt nicht Lähr, die tag aber immer kürtzer und das wetter kälter wird, sein meister stück auff dem tantzplatz Zummachen. Erkandt, wurde un deßen begehren willfahrt.

(f° 450-v) Mittwochs d. 27. 9.br 1743 ist Joh: Jacob Birckels des Ledigen Kieffers meisterstück Zum letzten mahl besichtiget und von den herrn Schauern referirt worden, daß in der erste schau sich verschiedene bickel und täschen befundten auch der bauch riß sehr ungleich waren, in der 2.ten schau ware ein eck umb 8 Zoll Zu kurtz und der hinterboden umb ¼ Zoll Zu wenig gesenckt, in der 3.ten schau waren die Haubtreiff so über angelegt, daß dieselbe herab Zumachen und andere daran Zu legen. Erkandt worden, jedoch wurde es durch Special Gnad des h. Obmanns ihne freÿgestellt solchen daran zu laßen wegen solchen, fehlern wurdte Ihme 2 lb d straff angesetzt, Er aber vor ein meister Erkandt.

(f° 453) Dienstags d. 17. Xbris 1743 – mstr. Joh: Jacob Birckel erlegt vor 2. neue faß 1 lb
Ille weilen est 10 tag über die Zeit am meisterstück gearbeitet werckstatt Zinnß 15 lb

Jean Jacques Bürckel épouse Marguerite Salomé Christianus, file de chaudronnier : contrat de mariage par lequel le futur époux donne à sa future épouse la jouissance viagère de sa maison, célébration

1743 (22. 9.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 142
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten H Johann Jacob Birckel, leedigen Kieffer, weÿland H Johann Georg Birckel des geweßenen Kieffers und burgers allhier, mit auch weÿland Frauen Anna Barbara gebohrner Jungin nun beeder seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem H Hochzeiter ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendsahmen Jgfr. Margarethä Salome Christianiin weÿl. H Christoph Christiani des geweßenen Kupferschmidts und burgers allhier, mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Susanna Maria gebohrner Schatzin seiner hinterbliebenen Frau wittib ehelich erziehlten ältern Jgfr. tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil

Endlichen und Zum Siebenden thut der H Hochzeiter hiermit wißend und wohnbedächtlichen seine allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane dem Gaustaaden nechst der Hechtenbruck, einseit neben weÿland Johann Hußers des geweßenen Schiffmanns Erben, anderseit neben Jacob Göppels auch geweßenen Schiffers Erben, hinten auf den Theurischen garthen stoßend gelegene Behaußung mit allen dero gebäuen begriffen Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten so annoch in circa umb 900 fl. verhafftet, sonsten aber freÿ, ledig eigen und Ihme Hochzeiter alß ererbt Mütterlich guth zuständig, seiner geehrten Jgfr. brauth zu einem lebtägigen wÿdemb verschrieben
So beschehen, Straßburg Freÿtags de, 22. Novembris Anno 1743 [unterzeichnet] Johann Jacob Bürckel Als hochzeiter, Margretha Salome Christianusin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 46-v, n° 240)
1743. Mitwoch den 4. Decembr. seind nach Zweÿmaliger ordentlicher proclamation und ausruffung in der Neuen Kirch und Zu St Thomæ Zu St Thoma copulirt und eigesegnet worden Johann Jacob Bürckel lediger kieffer, weÿl. Johann Jacob Bürckel geweßenen Kiefers und burgers allhie hinterlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Margaretha Salome Christianussin weÿl. Christoph Christianus geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob bürckel als honzeitter, Margretha Salome Christianusin als Hochzeitterin (i 48)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 359 livres, ceux de la femme à 348 livres. Le titre d’acquisition de la maison est celui de son entrée dans la famille en 1634.

1743 (30.12.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1134) n° 212
Inventarium über des Ehrengeachten Mr Johann Jacob Birckel, Kieffers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Margarethä Salome Birckelin gebohrner Christianiin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743.einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der Ursachen alldieweilen in ihrer vor mir Notario den 22. Novembris instehenden 1743.gsten Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° IV.to expresse enthalten daß einem jeeden sein in die ehe bringendes Vermögen Vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen on fernerem beÿseÿn Frauen Susannä Mariä Christianiin gebohrner Schachin weÿl. H. Christoph Christianen deß geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier seel. hinderbliebener Wb.

In einer allhier Zu Straßburg dero vorstatt Krautenaui ane dem Gaulstaaden ohnfern der hechtenbruck gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen Behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nembl. eine Behaußung, Höfflein und Hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane dem gaulstaaden ohnfern der Hechtenbruck über, 1.s. neben weÿland Johann Huser des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier hinterlaßenen Erben, 2.s. neben Jacob Göppels auch geweßten Schiffmanns Erben hinten Zum theil auf das sogenannde Rooßen gäßel und Zum theil auf weÿland H. Johann Ernst Theurers des geweßenen Mittelschreibers in dem allhießigen mehrern Hospithal seel. hinterbliebene W. und Erben stoßend gelegen, so annoch H. Matthiä Koch Noto: publ. in Capital Jahrs auff Ostern à 4 p. Cto Verzinnßlich umb 150. lb. und dann vorgedachten Johann Hußers seel. Erben in Hauptguth Jahres am 6.ten Maÿ und A° 1744 Zum ersten mahl à 4 p Cto verzinnßlich umb 333. lb d Verpfändet sonsten aber gegen männiglich freÿ ledig eigen. Solche behaußung hat der Ehemann beÿ Vergleich und abtheilung weÿl. Frauen Annä Barbarä Hußerin gebohrner Jungin letztmahl weÿland H Johann Hußers geweßenen Schiffmanns und b. allh. Zu Straßb.seel. nachgelaßener wb. seiner eheleiblichen Mutter in ohnvertheiltem Erb Käufflichen angeonommen, sonsten besagt über die behaußung i teutscher perg. Kauffbr. in allh. C. C. Stub gefertiget mit dero anh. Innsigel Verw. datirt den 20. Januarÿ Anno 1634. mit alt. Lit. E u. N° 2 notirt so aber anjetzi ô in Vorschein gekommen
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns ohnverändert guth, Sa. haußraths 55, Sa. holtz und werckzeugs zum Kieffer handwerck gehörig 17, Sa. Wein Brandenwein und Faß 117, Sa. Silbers 35, Sa. der baarschafft 134, Eigenthums ane j. behaußung (-), Lehengrund so zwischen dem Ehemann und seinen beeden geschwisterden gemeinschaftlich (-), Summa summarum 359 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 93, Sa. Silbers 33, Sa. goldener Ring 27, Sa. der Baarschafft 94, Summa summarum 348 lb
Haussteuren 125 lb, daran gebühret jeedem Ehegatt die helffte mit 62 lb

Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière au profit de Jean Thomas Frœloch, receveur à Saint-Marc

1745 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 125
Johann Jacob Bürckel der kieffer und Margaretha Salome geb. Christianußin so über 25 jahr alt zu seÿn versicherte mit beÿstand ihres vettern und annoch ohnentledigten vogts H. Johann Daniel Fettich senioris handelsmanns und Philipp Ehrmann des perruckenmachers auch ihres vettern
in gegensein des Stiffts St Marx Schaffner H. Lt Johann Thomas Frölich – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben Jacob Göppel schiffmanns, anderseit neben Johann Haußer dem schiffmann, hinten auff die Theurerische wittib – dem Ehemann als ein vätterliches erbguth

La tribu des Boulangers inflige une amende au tonnelier Jean Jacques Bürckel pour avoir vendu du pain à un voisin
1745, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 58-v) Mittwochs den 31.t Martÿ 1745 – Jacob Bürckell der Kieffer beÿ der hechtenbruckh dahier ist angeklagt daß Er brodt wider articul über die gaß verkaufft habe deßen beklagter nicht in abredt, sagt Er habe nicht gewust daß Er verbotten ist, Erkandt soll nebst 5 ß unkösten in 2 lb 10 ß Straff Condemnirt seÿn.

Jean Jacques Bürckel et son épouse Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Silberrad, tant en son nom qu’en celui de receveur de la fondation Schenckbecher

1746 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 298-v
Johann Jacob Bürckel der kieffer und dermalige biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand Philipp Ehrmann des Perruckenmachers und Balthasar Emanuel Bilet des Unter: Schirmbotten beede ihrer vettern
in gegensein H. Johannes Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen und anderer Stifftungen auch alten dreÿers des pfenningthurns vor sich selbst und als Schaffner der Stifftung Kurtzlieb genannt Hartlieb – schuldig seÿen 500 und 750 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt benebst der bierbrau gerechtigkeit in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben anderseit neben weÿl. Johann Haußers des schiffmanns erben hinten auff den schuldner selbst und die Theurerische wittib – ihme Bürckel als ein elterliches erbguth
eine behausung, höfflein und hoffstatt beÿ vorbeschriebenem hauß, einseit neben dem selben anderseit neben dem rooßengäßlein hinten auff vorgemelte Theurerische wittib – als ein am 14. hujus erkaufftes guth

Jean Jacques Bürckel et son épouse Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Sachs, docteur en médecine et chanoine à Saint-Thomas

1746 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 229-v
Johann Jacob Bürckel der kieffer und Margaretha Salome geb. Christianußin so über 25 jahr alt zu seÿn versichert mit beÿstand Philipp Ehrmanns des Peruquenmachers und Balthasar Emanuel Bilet unterschirmbotten beede ihrer vettern
in gegensein H. Johann Jacob Sachs Med. Doctoris et Professoris et Capituli Thomani Canonici – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinterhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johann Haußers des schffmanns erben, hinten auff die Theurerische wittib – als ein elterliches erbguth

Jean Jacques Bürckel porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose au corps des tonneliers. Le registre lacunaire doit aussi avoir porté permission de tenir la brasserie aux Trois Lis (voir l’acte suivant)
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
(p. 231.) Sambstags d. 26. Martÿ – Idem [Christmann] nôe. Joh: Jacob Bürckel, des burgers und Kieffers allhier Ca. E. E. Meisterschafft der biersieder, prod. unterth. Memoriale und bitten, mit beÿl. Sub Nis 1. 2. und will ad proximam dazu vekünden laßen.

Jean Jacques Bürckel s’inscrit à la tribu des Fribourgeois après que les Quinze l’ont autorisé à tenir la brasserie aux Trois Lis
1746 (19.7.), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 291-v) 3.te Gericht de 1746. Dienstags den 19.ten Julji A° 1746. – Johann Jacob Bürckhel, der heutige biersieder am Gaull Staaden Zu denen 3.n Lilien genandt, so von Gn. Herren denen XV. den Bier: Schanck erhalten, citirt, solle sich Krafft habenden Articuls dießorths als Zudiener Zünfftig machen. Ille præsens, bittet receptionem.
Hierauff ist Erkandt worden, daß derselbe gegen Erlag der 2. ln 4 s und 4 ß d Stuben gelt pro hoc anno amß Zudiener Zu recipiren, ded. et jur. auff den Ihme abgelesenen Articuls die biersieder betreffend.

Le brasseur Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Catherine Salomé Andres veuve du marchand Jean Daniel Diebold

1746 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 627-v
Johann Jacob Bürckel der biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand H. Johann Jacob Schatz des Gymnasiarchæ ihres oncle und Philipp Ehrmann Practici ihres vettern
in gegensein Fr. Catharinæ Salome geb. Andreßin weÿl. H. Johann Daniel Diebold des handelsmanns wittib mit beÿstand H. Johann Daniel Städel des banquier – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, die zu denen dreÿ Lilien genannte bierbehausung samt allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johannes Haußer des schiffmanns erben, hinten auff die Theurerische wittib

Le brasseur Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Raoul Stœsser, receveur à l’Hôpital

1749 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 18
Johann Jacob Birckel der biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand Philipp Ehrmann des perruckenmachers ihres vettern und ihres bruders Jacob Chistianus des kupfferschmidts – wobeÿ erschienen der schuldner respective schwiger und mutter Fr. Susanna Salome geb. Schatzin weÿl. Christoph Christianus des kupfferschmidts wittib mit beÿstand ihres schwagers Johann Philipp Chrristianus des knopffmachers, verbürgt
in gegensein des mehrern hospitals schaffners H. Lt. Johann Rudolph Stößer – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, die zu denen dreÿ Lilien genannte bierbehausung samt deroselben zugehör und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johannes Haußer des schiffmanns erben hinten auff die Theurerische wittib

Le conseil de tribu fait grief à Jean Jacques Bürckel qu’il a livré du vin à son beau frère. Jean Georges Bürckel déclare que le charretier a déclaré par erreur que le vin était pour son beau frère.
1752, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 31) Dienstags d. 12. Decembris 1752 – Mstr Joh: Jacob Bürckel wurde beklagt, daß er seinem Schwager Wein in den Keller gethan.
Ille sagte, daß es sein wein ware, welcher aber durch den Fuhrmann unbedachtsahmer weis an dem Zoll für seinem Schwager angegeben word. welches Er mit handtreu erhärtet. Woraufhien derselbe ref: tamen expensis absolvirt word.

Jean Jacques Bürckel expose infructueusement aux enchères la brasserie aux Trois Lis

1753 (20.12.), Not. Dinckel (6 E 41, 435)
Hausversteigerung – Auf Ansuchen und begehren Hn. Johann Jacob Bürckels dem bierbrauer zu denen dreÿen Lilien
deßen eigenthümlichen bierbehausung bestehend in vorder: mittel: und hinter: auch nebensgebäu sambt zweÿen höffen hoffstatt und bronnen auch allen mit allen übrigen deren zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane der Vorstatt Krautenau am gaulstaden, einseit neben weÿl. Johann Hußers des schiffmanns seel. erben, anderseit neben neben weÿl. Philipp Jacob göppels des schiffmanns erben, hinten auff weÿl. herrn Johann Ernst Theurers gew. mittelschreiber in allhiesigen mehrern hospithal fr. wittib garthen, sambt der bier gerechtigkeit und allem zum bierbrauer profession gehörigen schiff und geschirr
in der Kieffer zunfft stueb – gebotten, Niemand

La maison est attribuée par enchère judiciaire le 15 juin 1754 à Catherine Marguerite Beyerbach veuve de Jean Silberrad (créancier d’après le titre de 1746 ci-dessus relaté).

Fils du notaire Jean Silberrad, de Heilbronn, Jean Silberrad épouse en 1710 Catherine Barbe Beyerbach
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth.)
1710. d. 17. sept. sind ehel. eingesegnet word. Herr Johann Silberradt der adeliche Schaffner herrn Johannes Silberrads Notarÿ Publici Undt Stattgerichts Actuarÿ Zu Hellbrunn Ehelicher sohn, Und Jungfr. Catharina Margaretha Weiland Hn Johann Görg Beierbachs gewesenen Königl. dähnischen commissarÿ am Obern Rhein nachgelaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Silberrad als hochzeiter, Catharina Margaretha beÿerbachin hochzeiterin

Catherine Marguerite Beyerbach la revend l’année suivante à Sara Blessig, femme du brasseur Philippe Jacques Demuth

1755 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 103
SS. TT. H. Johann Jacob Sachs Med. Doc. et Prof. alhier und Catharina Margaretha geb. Beÿerbachin weÿl. H. Johann Silberrad gewesten Schaffners der Schenckbecherischen und anderen Stifftungen wittwe beÿständlich ihres tochtermanns H. Heinrich Casimir Meinel des adelischen Schaffners
in gegensein Fr. Mariæ Saræ geb. Bleßigin Philipp Jacob Demuth des biersieders Ehefrau, beÿständlich ihres bruders H Johann Heinrich Bleßig des ledigen gastgebers
eine bierbehausung, zweÿ höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, rechten und gerechtigkeiten auch allen zu dem bierbrauen gehörigen schiff und geschirr, welches der käuffer zufolg d. 20. Julÿ jüngst getroffenen lehnung eingehändigt worden alhier ane der vorstatt Krautenau am Gaulstaden, anderseit neben den Göbelischen erben, anderseit neben weÿl. Johann Haußers erben, hinten auff Fr Theurerin garten – als ein den 15. Junÿ verwichenen jahrs ane der ganth ersteigten guth – um 2750 pfund
erschien der käufferin mutter Fr. Sara Bleßigin geb. Graßerin beÿständlich ihres ermelten sohns (die haben sich unverscheidenlich) um 2500 pfund verbürgt

Philippe Jacques Demuth s’incrit au chef d’œuvre qu’il présente en novembre 1742. Les examinateurs relèvent quelques défauts secondaires et nomment le candidat maître. Il devient tributaire en septembre 1743.
1742, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 404) Montags d. 6. aug. 1742 – Philipp Jacob Demuth der Kieffer wurdte auf Ansuchen H. Joh: Jacob Demuths seines vatters Zum Meisterstück eingeschrieben, dt 30 ßd et pro protoc. 2 ß 6 d.

(f° 437) Montags d. 19. 9.bris 1742 ist Philipp Jacob Demuths des ledigen Kieffers mstrstück besichtigt undt von den herrn Schauern referirt worden, daß in der ersten schau sich bückel und däschen befundten, waren aber in d. Zweÿten Verbeßert in der 3.ten schau ware das faß ein wenig unfleißig abgesäubert, also daß Sich noch däschen Zu bauch. befundten, weilen nun solche fehler von keiner sondern Consequentz, so wurdte das faß vor ein meisterstück Erkandt, und auch von H obmann also Confirmirt.

(f° 448-v) Dienstags den 10. 7.bris 1743 – Mstr Philipp Jacob Demuth der biersieder Erhaltet auff producirten Stallschein vom 9. 7.bris das Zunfftrecht, undt Zahlt als eines Zünfftigen Sohn 1. lb 1 ß d pro feüreÿmer 10 ß pro prot. 5 ß.

Les Quinze autorisent Philippe Jacques Demuth à ouvrir une nouvelle brasserie
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
(p. 106) Sambstag d. 9. Martÿ 1743. – Freund nôe Philipp Jacob Demuth des ledigen Burgers und Kieffers allhier beÿständlich seines ohnentledigten Vogts Joh: Saum, weinhändlers prod. Underth. Memoriale umb gn. Erlaubnus ein Newes bierschanck auffzurichten. Erkandt, Soll E. E. Mschft. der Biersieder hierzu Verkündt werd.

Fils du tonnelier et marchand de vins Jean Jacques Demuth, Philippe Jacques Demuth épouse en 1743 Marie Sara Blessig, fille de l’aubergiste à la Hache Jean Blessig : contrat de mariage, célébration
1743 (27. Martÿ), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 352)
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbaren Herrn Philipp Jacob Demuth, ledigem Bierbrauer, Küffer und Weinhändler, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Jacob Demuths, Kieffers, Weinhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg, mit weÿland der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Anna Elisabetha gebohrner Schuhrerin ehelich erzeugtem Sohn als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Sara Bleßigin des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Johann Blessig, Gastgeberen und burgers allhier, mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Sara, gebohrner Graßerin ehelich erziehlter Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 27. Martÿ Anno 1743. [unterzeichnet] Philipp Jacob Demuth als Hochzeiter, Maria Sara Bleßigin als hochzeiterin – bezeugt Johann Friderich& Llichtenberger, Notarius publicus juratus et requisitus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 59, n° 4)
1743. Mittwoch den 24. April. seind nach Zweÿmal geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Niclaus in den Ehestand eingesegnet word. Philipp Jacob demuth der ledige Kiefer, Weinhändler und Burger allhier, H. Johann Jacob demuths deß Kiefers Weinhändlers u. Burgers allhier ehl. Sohn u.Jgfr. Maria Sara H. Johann Bleßigs deß Gastgebers u. Burgers allhie ehl. Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob demuth als hochzeiter, Maria Sara Bleßigin als hochzeitrin (i 61)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge à la Hache. Ceux du mari s’élèvent à 480 livres, ceux de la femme à 1 382 livres.
1743 (24.Xbris), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 313) n° 312
Inventarium über des Wohl Ehren: und Wohlachtbaren Hn Philipp Jacob Demuths, Kieffers und Bierbrauers, wie auch der Viel Ehr: und Tugendreichen Fr. Mariä Sarä Demuthin gebohrner Bleßigin beeder Ehe Persohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1743 (…) welche der Ursachen halben, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander den 27. Martÿ Jüngsthien auffgerichteter Eheberedung §° 4.to ausdruckl. Versehen, daß einem Jeeden derselben und dero Erben seine in die Ehe bringende und wehrender Ehe ererbende Nahrung ein freÿ eigen ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben (…) So beschehen in der Königl. Statt Straßburg, in fernerer Gegenwart des Ehrenvesten und Wohlvorgeachten H. Johann Bleßigs Gastgebers Zur Äxt und burgers allhier der Ehefr. eheleibl. hr. Vatters und hierzu in specie erbettenen Assistenten auff Dienstag den 24. Decembris Anno 1743.

In einer allhier Zu Straßburg gegen dem Kauffhauß über gelegenen der Ehefrauen H. Vatters eigenthümlich zuständigen, Zur Äxt genandten Gast behaußung folgendergestalt befunden worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 112, Sa. lähren Faßes 20, Sa. Silbers 11, Sa. baarschafft 166, Summa summarum 311 lb (Deme beÿzufügen die haussteuren, dem Ehemann gebührige Helffte 168 lb, Des Ehemanns völlig in den Ehestand gebrachtes eigenthümbl. Vermögen 480 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in die Ehe gebracht Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 672, Sa. Silbers 70, Sa. Goldener Ring 74, Sa. baarschafft 396, Summa summarum 1213 lb – daferne nun hierzugerechnet wird die haussteuren 168 lb, Der Ehefrauen sambtliche in die Ehe gebrachte Nahrung 1382 lb

Marie Sara Blessig fait dresser un inventaire après que son mari a quitté la Ville. Les biens comprennent la brasserie à l’Agneau d’Or rue de l’Abreuvoir. La masse propre à la femme s’élève à 1 500 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 5 513 livres, le passif de 9 858 livres.
1751 (16.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 79
Inventarium über Philipp Jacob Demuths des von hier sich absentirten biersieders und frauen Mariä Sarä Demuthin gebohrner Bleßigin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzender Activ:und passiv Nahrung, auffgerichtet Anno 1751. (…) auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obgedachter der Ehefrauen so um salvirung ihres ohnveränderten Guths beÿ Em En Kleinen Rath um das Beneficium cessionis unterthänig einzukommen willens ersucht und inventirt durch obgedachte frau Mariam Saram Demuthin die Ehefrau mit beÿstand S. T . Hn Johann Carl Ficke Notarÿ publici jurati und berühmbten practici Ihres geordnet und geschworenen Curatoris ad Lites, wie auch Johann Heinrich Peter den leedigen Bierknecht Vom Mummenheim (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 16.ten Julÿ et Seq. A° 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Trenck Gaß gelegener und in in dieße Nahrung gehörigen behaußung befunden Worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer auf der Bühn, In der Schwartz Getüch Cammer, In der hintern Cammer Lit. B, In der Kindts Stub, In der Wohnstub, In der Stub darneben, In er Kuchen, In dem Untern Haußehren
(f° 15) Ergäntzung der Ehefraun abgegangenen unveränderte, Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder Eheleuthe einander für ohnverändert on den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in A° 1743. durch H Johann Friderich Lichtenberger Notarium publicum et practicum auffgerichtet
(f° 18) Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung das Bierhauß Zum goldenen Lamm genandt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frauen unverändert Vermögen, Sa. haußraths 327, Sa. Silbers 34, Sa. Goldener Ring 83, Sa. Schuld 128, Erg. Resr 1336. Summa summarum 1876 lb – Schulden 373 lb, Nach solchem abzug 1500 lb
Dießemnach wird nun auch des Manns unverändert und theilbare Nahrung unter einem titul beschrieben, Sa. haußraths 128, Sa. Biers und Lähren faß 247, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck auch schiff und geschirr Zum bierschanck 19, Sa. Pferds 4, Sa. hopff und Maltzes 9, Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring 7, Sa. der baarschafft 58, Sa. Eigenthums ane einer Bier behaußung 5000, Summa summarum 5513 lb – Schulden 9858 lb, Compensando 4345 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrne Schulden 91 lb

Marie Sara Blessig fait vendre des effets mobiliers
1754, Not. Fické (Répertoire 6 E 41, 664-6) n° 40
Fr. Mariæ Saræ Demuthin geb. Bleßigin Inv: über das in dem 3. Lilien angetrettene Schif und geschirr

Les Quinze autorisent Marie Sara Blessig à exploiter la brasserie aux Trois Lis près du pont au Brochet à condition qu’elle règle les dettes de son mari

1754, Protocole des Quinze (2 R 164)
(p. 356) Sambstags den 17. Augusti 1754. – Idem [Pastorius] nôe frau Mariæ Saræ gebohrner Bleßigin Philipp Jacob Demuth des ausgetrettenen biersieders Ehefrau Ca. E E Meisterschafft der biersieder obermeister prod. unt. memor. und bitten samt beÿlag Sub litt A handelt und bitt innhalts. Christmann nôe E E Meisterschafft setzt gegentheiliges begehren zu mherren facta prælectione ist Erkandt, daß der Implorantin gegen erlag der unkosten und ihrem gethane oblato E E meisterlad das Jenige was ir ehemann etwa annoch schuldig seÿn möchte nachzutragen, mit dem bierschanck auff der Von ihr entlehnten ane der Krautenau allhier ohnfern der hechten bruck zu denen dreÿen Lilien genannten bier behaußung Zu willfahren seÿe.

Marie Sara Blessig loue la brasserie aux Trois Lis au brasseur Jean Henri Peter

1760 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 190-v
Fr. Sara Demuthin geb. Bleßigin beÿständlich ihres curatoris ad lites H. Not. Johann Carl Ficke
in gegensein Johann Heinrich Peter des biersieders
verlühen, die bier behausung mit allen deren begriffen zu den dreÿ lilien genannt am Gaulstaden nebst verschiedenen mobilien – auff 12 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden 1. Julÿ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 130 pfund

Nouvelle vente d’effets mobiliers. L’acquéreur est le brasseur Jean Henri Peter, locataire de la brasserie aux Trois Lis
1760 (21.7.), Not. Fické (6 E 41, 756) n° 145
Verkauf und Erlöß auch respe. Überlaßungs Register derjenigen Effecten, so Frau Maria Sara Demuthin gebohrne Bleßigin, Herrn Philipp Jacob Demuth, des dermaligen Weinhändlers in Petersburg und burgers dahier zu Straßburg fraun Eheliebstin (…) Zum theil herrn Johann Heinrich Peter den Biersieder käuflichen entschlagen, theils aber demselben Zum Bierhauß der 3. Lilien mit in Lehnung übergeben hat, auffgericht in Anno 1760.

Les Quinze autorisent Jean Henri Peter à exploiter la brasserie aux Trois Lis

1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
(p. 302. Sambstags d. 2. Augusti – Idem [Froereisen] nôe Joh: Heinrich Peter des Burgers und Biersieders prod. Extractum E.E. Meisterschafft der biersieder dedato i. hujus bitt unterth. dem Imploranten den bierschanck in denen dreÿ Lielien Zu Zuerkennen, facta prælectione ist Erkandt, nach Ordnung Willfahrt.

Le mandataire de Marie Sara Demuth, femme du marchand de vins Philippe Jacques Demuth établi à Saint-Petersbourg, vend la brasserie au marchand de vins Jean Chrétien Strohl et à sa femme Catherine Braun moyennant 4 000 livres

1772 (4.4.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 200
nahmens Fr. Mariæ Saræ Demuthin geb. Bleßingin H. Philipp Jacob Demuth des weinhändlers zu St. Petersburg eheliebstin dero schwiegersohn H. Johann Klein der metzger
in gegensein H. Johann Christian Strohl des weinhändlers auch kieffers und Mariæ Catharinæ Braunin mit assistentz H. Johann Jacob Kopp des nadlers und H. Johann Michael Braun des seidenhändlers ihres bruders und schwäger
die zu den dreÿ lilien geschildete bierbehausung samt brauhaus, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben Jacob Wolff dem schiffmann, anderseit neben Philipp Reich dem schiffbauer, hinten auff der Gorÿischen verlassenen Ehefrau garten, und den zum bier brauen gehörigen schiff und geschirr, bestehend in einem kupffern brau kößel, den kühlschiff, einen maltzfege, ein weich bütt einer hopffen bütt mit außnahm desjenigen platz des weÿl. H. Johann Heinrich Peter gewesenen bierbrauer als entlehner obbeschriebener behausung aus seinen eigenen mittlen erkaufft mit dem oben gedachten hoff vereiniget deßen größe und naturhafft aber durch das ehemalige fundament immer kantbar ist, ane dem Gaulstaden gegen der Hechtenbruck hinüber – als ein vermög kauffcontract de dato 20. mart. 1755 von weÿl. H. Dr. Sachs und Silberradischen Fr. wittib erkauffte behausung – um 2500 und 2500 guld. verhafftet, geschehen um 3000 gulden

Chrétien Strohl s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en mars 1741. Il le présente en juillet 1744. Les examinateurs n’ont aucune remarque à faire et reçoivent le candidat maître
1741, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 421) Dienstags d. 7. Martÿ 1741 – Mstr Joh: Georg Strohl der Kieffer Laßt Christian Strohlen seinen sohn zum meisterstück einschreiben und erlegte werckstatt Zinß pro protoc. 2 ß 6 d

(f° 460-v) Mittwochs d. 22. Julÿ 1744. ist Christian Strohlen des Ledigen Kieffers mstrstück Zum letzen mahl besichtiget nur von den hh. Schaueren referirt worden, daß sich in der Ersten schau etliche außfügen befunden, so aber in der 2. schau verbeßert waren, wid die 3.te ware gar nichts einzuwenden, weßhalben derselbe vor ein mstr. Erkandt undt von H. obmann auch confirmirt wurde.

Chrétien Strohl devient tributaire le 15 juillet 1745
(f° 472) Donnerstags d. 15. Julÿ 1745 – Mstr Joh: Christian Strohl der Kieffer erhalt vermög scheins von d. statt stall das Zunfftrecht und Zahlt als eines Zünfftigen sohn 1 lb 1 ß pro protic. 5. ß & feureÿmer 10 ß d.

Fils du tonnelier Jean Georges Strohl, Chrétien Strohl épouse en 1746 Marie Catherine Braun, fille du passementier Martin Braun : contrat de mariage, célébration
1746 (25. 9.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1125
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenhafften vnd bescheidenen Herrn Christian Strohl, leediger Kieffer, deß Ehrenachtbaren H. Joh: Geörg Strohl auch Kiefers vnd burgers allhier Zu Straßburg mit weÿland fraun Annæ Mariæ gebohrner Meyerin Ehelich erzeugt vnd nach tod verlaßenem Sohn, als hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehren und Tugendreichen Jungfrau Mariæ Catharinæ Braunin deß Ehren vnd Vorachtbahren H. Martin Braun Paßmentirer vnd Seidenhändlers auch burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendbegabten fraun Mariæ Barbaræ gebohrner Kammerreuterin Ehelich erziehlter dochter alß der Jgfr. hochzeiterin andern theils
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg (…) Freÿtags den 25.ten Novembris A° 1746 [unterzeichnet] Christian Strohl als hochzeiter, Maria Catharina Braunin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 84-v n° 5)
1747. Eod. die [Mittw. den 15. Febr.] wurden gleichfalls nach Zweÿmahl Vorher geschehener Proclamation, in den Stand der H. Ehe eingesegnet Johann Christian Strohl, der ledige Kiefer, Weinhändler und burger allhier H Johann Georg Strohl des Kiefers Weinhändlers und burgers allhier ehel. Sohn, und Jungfrau Maria Catharina Braunin H Johann Martin Braun des Posamentirers und burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Joh: Christian Strohl als hochzeiter, Maria Catharina Braunin Als Hochzeiterin (i 87, procl. Saint-Thomas f° 62 n° 338, i 63)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue de l’Eglise. Ceux du mari s’élèvent à 1 056 livres, ceux de la femme à 863 livres.
1747 (6.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 51) n° 1372
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehrengeachte vnd Bescheidene Meister Christian Strohl, Kiefer vnd die Ehren vnd tugendsahme frau Anna Catharina gebohrne Braunin beede Eheleuthe vnd Burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht vnd sich deren Jeedes Vermög Ihres mit einander auffgerichteten Eheberedung Vor unverändert Vorbehalten (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer gegenwarth H Joh: Geörg Strohl Kiefers des Ehemanns Vatter, ferner H Joh: Friderich Käß J.u.Lri und Controlleur beÿ E. Löbl. Ehrsamb gericht der Ehefraun annoch ohnentledigten Vogts, H Joh: Martin Braun Paßmentirers deroselben Eheleib. Vatter vnd Fr. Maria Barbara Kammin deroselben Groß Mutter, Mittwochß d. 6. Aprilis 1747.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß gelegenen und lehnungsweiß bewohnenden behaußung sich befunden als volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 64, Sa. werckzeugs Zum Kiefer handwerck gehörig, so des Ehemanns unverändert 37, Sa. Brandenwein und Eßig 696, Sa. Silbers und dergleichen geschmeids 24, Sa. der baarschafft 95, Summa summarum 918 lb – Adde die an denen haussteuren Ihme gebührige helffte so macht 138 lb Des Ehemanns Vermögen 1056 l
Der Ehefraun Nahrung, Sa. haußrath 103, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 56, Sa. Goldenen Ring 32, Sa. der baarschafft 533, Summa summarum 725 lb – Darzu gelegt Ihre helffte ane denen gleich hierauf bschriebenen haussteuren 138, der Ehefraun Nahrung 863 lb

Le maître de tribu fait grief à Jean Chrétien Strohl de vendre du bois à tonneaux au-dessus du prix courant et de le revendre. Il est condamné à une amende mais autorisé à écouler la marchandise achetée suivant les contrats qu’il a passés.
Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 266) Dienstags den 18.ten Julÿ 1769 – Klag
Hr Rathh. Breßle als Zunfftmeister Klagt Contra Johann Christian Strohl den Kieffer, daß beklagter taugenholtz auf Mehrschatz gekaufft, und solches wieder Verkauffte, Bittet ihme dem Articul Gemäß abzustraffen, und in die Unkosten Zu Condemniren.
Beklagter Zugegen sagt, der Articul seÿe ihme unbekannt gewesen, über daß handeltten Andere auch sogar ein Meeelmann damit, undt hätte er einen Vorrath welchen ernicht so leicht Looß werden Könnte, bittet absolutionem, Refusis Expensis.
Erkannt, seÿe Beklagter in die Straff des Articuls Von 5 Pfund Pfenning und in die Unkosten Zu Condemniren anbeÿ aber ihme Zuerlauben seinen Vorrath und daßjenige Was er veraccordirt hat Zuverkauffen.

La femme de Chrétien Strohl demande aux Quinze d’être exemptée de payer une amende.
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
(p. 417) Sambstags den 22. Augusti 1772. – Rang nôe Maria Catharina Strohlin, Johann Christian Strohl des burgers und Kiefers Ehefrau producirt unth. Memoriale samt bitten und anerbieten puncto gnädiger erlaßung der Straf. Erkandt Wird die angesetzte straf von 50. auf 30. lib. moderirt.

Chrétien Strohl meurt en 1793 en délaissant huit enfants. L’inventaire est dressé dans une maison au Faubourg de Pierre. La masse propre à la veuve est de 15 182 livres tournois, la masse propre aux héritiers de 10 677 livres tournois. L’actif de la communauté s’élève à 55 734 livres, le passif à 42 848 livres tournois,
1793 (3.6.à, Strasbourg 3 (1), Not. Schweighaeuser n° 517
Inventarium über Weiland des burgers Johann Christian Strohl, des ältern im Leben gewesenen Weinhändlers alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1793. – nach seinem den 8. Februarÿ laufenden 1793.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat. Welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu End stehend auf Ansuchen Fraun Anna Catharina geb. Braunin der hinterbliebenen Wittib hierzu mit dem Burger Johann Philipp Helk hiesigem bierbrauer verbeistandet (…) So geschehen in einer alhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Steinstraß gelegenen mit N° 89 bezeichneten in diese Verlaßenschaft gehörigen daher hernach mit mehrerù beschriebenen Behaußung auf Montag den dritten Junii 1793 zweiten Jahr der frantzösischen Republik.
Der Verstorbene Burger Strohl hat in seinem hernach copialiter einverleibten Testament Zu Erben eingezetzt, Seine mit der Eingangs benannten wittib ehelich erzeugte Acht Kinder namentlich 1. den Burger Johann Christian Strohl hiesigen Biersieder, 2. den Burger Johann Friderich Strohl, den Kiefer so seit ungefehr eilf Jahe abwesend auf Reisen sich befindlich, 3. der Burger Johann Georg Strohl, Kiefer und Gastgeber alhier, diese dreÿ nur allein in legitimam. In den überrest der Verlaßenschafft ber zu gleichen theilen 4. Frau Maria Catharina geb. Strohlin des Bürgers und Metzgers allhier Joh: Andreas Klipfels Ehefrau, 5. Frau Susanna Barbara geb. Strohlin, des Burgers und Hoffconditors in Pirmasens Frantz Alexander Victor Otto Ehegattin, 6. den Bürger Johann Philipp Strohl, den Rothgerber dermalen Zu Thiel in Gelderland säßhaft, 7. Frau Maria Magdalena gebohrne Strohl des Lieutenants in Hessen Darmstätdischen Kriegs: diensten Gottlieb Wilhelm Keim Eheliebste in Pirmasens wohnhaft und 8. den hiesigen ledigen Burger und Kiefer Johann Diebold Strohl

Haußrath, Aufm ersten Stock im Hausöhren, Soldaten Kammer, Auf der hintern Bühn, In der Hintern Stub, In der Vordern Stub, In des Sohns Kammer, In der Kuche
Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine behaußung bestehend in Vorder, Mittel und Hinter Gebäuen ane der Vorstadt Steinstraß (…)
Item sieben und einem dach stehende kleinen Häußlein vorlängst Zum goldenen faß geschildet, und Von Alters her der Engelmann Hof genant ane der Vorstast Steinstraß (…)
(f° 11) Ergäntzung der Wittib manglenden unveränderten Guths, Nach Ausweis Invent. Illat. d. A° 1747. durch weil. Not. Joh: Jacob Oelinger
Copia der Eheberedung (…) Straßburg, freitags den 25. Novembris Anni 1746. [unterzeichnet] Johann Jacob Oelinger Notarius juratus
Copia Testamenti clausi (…) So Geschehen Straßburg auf Donnerstag den 17. des Montahs Julii im Jahr der Gnaden 1783 – Actus Depositionis, Schweigheuser
(f° 24) Summarische Berechnung über gegenwärtige Erb: und Verlaßenschaft. Der Wittib unverändert guth, Sa. hßraths 120, Sa. Silbers 19, Sa. goldenen Ring 61, Sa. der Schuld 300, Sa. der Ergäntzung 14.670, Summa summarum 15.182 livres
Diesemnach wird auch der Erben unverändert väterl guth beschrieben Sa. Wiesen gezeugs 98, Sa. Ergäntzung 10.879, Summa summarum 10.977 livres – Schulden 300 ; Detrahendo bleibt 10.677. livres
Endlichen folgt auch die Beschreibung des gemein verändert und theilbaren Guts, Sa. haußraths 627, Sa. Brandweins Essig und leerer Vaß 12.269, Sa. Taugenholtzes Reif und Band 5109, Sa. Schiff und geschirrs zum Kiefer handwerck gehörig 451, Sa. Silbers 86, Sa. baarschafft 1414, Sa. häusern 32.000, Sa. Schulden 3774, Summa summarum 55.734 livres – Schulden 42.848 livres, Nach deren Abzug 12.866. livres

La veuve met en vente des effets mobiliers.
1797 (2 floreal 4), Strasbourg 3 (2), Not. Schweighaeuser n° 553
Verkauf Register, den 2. floreal 4. Auf Ansuchen der bürgerin Anna Catharina Strolin geb. Braunin weÿl. des burgers Johann Christian Strohl sen: im Leben geweßenen Weinhändlers hinterbliebenen Wittib sind vor ihrer an der Vorstatt Steinstraß gelegenen mit N° 89 bezeichneten behaußung hernach beschriebene Effecten Versteigt
summa looßung 155 lb
enregistré 3 floréal 4

Marie Catherine Braun meurt en 1802 en délaissant six enfants ou leurs représentants.

1802 (20 prairial 10), Strasbourg 3 (24), Not. Übersaal n° 740, 1405
Inventarium über weÿl. Frau Maria Catharina Strohl geb. Braun auch weÿl. brs Johann Christian Strohl des ältern gewesenen Kiefers Wittib Verlaßenschafft nach ihrem den 18. floreal X erfolgten absterben
die verstorbene hat mit dem wittiber bürger Johann Christian Strohl ältern erzeugt und ab intestato zu ihren Erben hinterlassen 1. des weÿl. brs Johann Christian Strohl jüngern bierbrauers mit Frau Maria Barbara geb. Pick beÿde Kinder a) Fr. Margaretham Salome geb. Strohl des b.rs Nicolas Gardien Capitaine au deuxième Régiment d’Artillerie à cheval Ehegattin, b) den br Johann Georg Strohl ledigen großjährigen bierbrauer, 2. den br Johann Georg Strohl Kiefer, 3. Fr. Mariam Catharinam geb. Strohl des b.rs Claude Gachée Wagners Ehegattin, 4. Frau Susannam Barbaram geb. Strohl herrn Frantz Alexander Victor Otto pensionirten hof: Conditoris zu Darmstadt Ehegattin, 5. den br Johann Philipp Strohl Wirth, 6. Fr. Mariam Magdalenam geb. Strohl des im ersten bataillon des fürtslich: hessen; darmstättischen Regiments Erbprintz stehenden hauptmanns herrn Gottlieb Wilhelm Keim Ehegattin

in einer an der Steinstrase gelegen in diese Verlaßenschafft gelegenen behausung N° 89 – hausrath 133 und 25 fr [sans suite]
n° 2753 du 29. ventose 13 – Répartition et décompte sur le Prix de vente de la maison avec cour écurie jardin appartenances et dépendances située a Strasbourg au Fauxbourg de pierres N° 89 d’un côté le C. Barthelemi Gross Charpentier d’autre le Sr Jean Pierre Clause patissier par derrière sur la rue de la Soupe à l’eau et ayant une issue faisant partie de la succession de feu le C. Jean Chrétien Strohl tonnelier et de feue Marie Catherine Braun, en vertu d’un procès verbal d’enchère définitive reçu M° Bremsinger le 22 floreal 12 au Sr François Antoine Wiedemann pour 9000 francs [Joint extrait Bremsinger]
[Joint] 9. jährige lehnung vom 26. junÿ 1776, vor dem Juden tor unten an der bruck Lincker hand der Landstraß unten am Contades
[Joint] Testament, Johann Christian Strohl Weinhändler den 17. julÿ 1783 enregistré Strasbourg le 1. junÿ 1793 Actus depositionis Not. Schweigäußer 17. julÿ 1783
[Joint] Designation dererjenigen hausräthlichen Mobilien und anderer Effecten welche in Johann Christian Strohl des jüngern abwesenden ehemaligen Bierbrauers falliments: Massam gehörig den 10. Aprilis 1780 Not. Übersaal
[Joint] Summarische berechnung 27. Januarÿ 1780
[Joint] Liasses de quittances XVIII, actes Chambre des Contrats année 1785 f° 210-b et 361a
[Joint] Aus des Friedens gerichts des Ersten Gerichts bezircks der Gemeinde Straßburg Audienz Memorial – Am dritten Jahr des fränckiscen und unzertheilbaren Freÿstaats den 9. thermidor, erschiene die bürgerin Maria Catharina Strohl wittib Klägerin Contra bürger Graß beklagten, Klägerein beÿständlich ihres sohns concludirt beklagten anzuhalten nach aussag Experten den ihro verursachten Schaden an ihrem hauß in der Streinstraß N° 89 gelegen zu bezalen und ernennt bürger Stahl Maurer als ihren Expert
beklagter durch Matias Laugel Glaser seinen bevollmächtigten erscheinend sagt er habe keinen Schaden verursacht und ernenne bürger burger Maurer für seinen Expert (…)
Abschrift der Expertise, Aufs Jahr 1795 heute dato den 12. thermidor im dritten Jahr (…) in die behausung der besagten bürgerin Strohlin Wittib um allda 1. den Schaden abzuschätzen eines halb dächleins warunter mit s:v: Ein Schwienstall auf welches ohngefehr beÿ grosen Wind ein oder zwei ziegel von des burgers Graß seiner dachung konnten herabgestürtzt seÿn und wie wir nach genauer Untersuchung gefunden, daß der Schaden aus 18 breit ziegel bestehe ebenfalls aber auch auf den dach des Wohnhauses der bürgerin Strohlin welcher Schaden aber sich auf die summ von 3 breit ziegel belauft jedoch ist bürger Graß gesinnt diese sogleich zu ersetzen
2. beschwehret sich bürgerin Strohl daß das Gäßlein so das Waßer beÿ den häusern gemeinschafftlich aufnimmt, öfters verstöckt durch verschiedenen Unrath der darein geworfen wird zu sehen so daß dem Waßer der Lauf versperrt wird, so haben unterschriebene Experten für nöthig erachtet, weil bürger Groß seine fenster Lichter vergremset, damt nichts könne in gemeldtes Gäßlein geworfen werden, bürgerin Strohlin möchte die vier Lichter so in dieses Gäßlein gehen, ebenfalls so vergremsen laßen, um allen Streitigkeien vorzukommen,
3. weilen bürgerin Strohl sich beschwehrt daß der Wasserfall des dachs des bürgers Groß dem Gebel des hauses Schaden zufüget, so haben Wir Experten nach genugsamen Untersuchung eingesehen, daß dieser Schaden hauptsächlich daher kommt, weilen des Wasser des dachs des Wohnhauses der bürger Strohl auf das dach des bürgers Groß seines hauses fällt und also an den Gebel Spritzen muß, demnach haben wir erachtet um diesen fernerern Klagen vorzukommen es möchten beide Parteÿen und jede für sich auf die gantze länge ihrer dachungen einen Nach machen lassen, der als dann das Waßer ohne daß dem einen oder dem andern Schaden zufügen könne aufnehmen wurde,
4. begehrt bürgerin Strohl daß b. Groß die diehlen, wandpfösten, so die scheidung ihres gartens macht, acurat senkel recht setzen laßen möchte, weilen diese reparation auf die gantze länge gemeinschaftlich wird so sind sie beÿde gehalten selbige vorzunehmen (unterschrieben)
Und heute den 16. thermidor drites Jahr der republick (…) die zerbrochene ziegel der Klägerin zu ersetzen Verordnet daß beklagter die zerbrochen gefundene ziegel ersetzen und gantze an deren Stelle stecken laßen solle, sofort sind beede angehalten ihre Lichter in das Schlupfgäßlein so zu vergremsen daß kein Unflath mehr hingeworfen werden kann, eine jeede partei an ihre dächer einen Nach zu machen gemeinschafftlich die dielen scheidwand pfösten grad stellen und die kösten zur helfte zu bezalen, Krafft Juge de paix
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 141 du 21 pr 10


Maison (a) donnant dans la ruelle des Roses

La maison doit faire partie de celles que mentionne l’acte suivant par lequel le batelier Jacques Stephan hypothèque deux maisons au profit de Georges Basile Geyer (Geiger).

1649 (4. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 481
Erschienen Jacob Stephan der Schiffmann
hatt in gegensein H Georg Basilÿ Geÿers – schuldig seÿen 100 Pf
dafür in specie Vnderpfand sein sollen Zweÿ häußer geg. einander in der Krautenaw und. halb der herberg Zum Gaul, im Rosengäßlin gelegen, hatt eines Peter Baldnern und hannß Sturmen, daß and. hauß ([biffé] hannß Scheren Eck) den Fischen und hannß Sturmen Zu Nachbauren, so Zuvor verhafftet seind umb 100 lib Agens Schollin

La maison doit ensuite revenir par enchère au créancier Georges Basile Geyer
Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Anne Catherine Kuder femme du boucher Jacques Steuss dans la maison qui appartient à Georges Basile Geyer dans la ruelle des Roses

1662 (15.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 17) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller undt Jeder Haab Und Nahrung, So Weÿl. die Ehren und tugendsahme Anna Catharina Kuoderin deß Erbaren vndt bescheidenen Jacob Steußen burgers und Metzgers Alhie Zu Straßb. haußfrau Seel.
In Einer in der Statt Straßburg in der Crautenaw In dem Roßen gäßlin Vndt H Basilio Geigen Eigenthümlich zuständigen behaußung Ist gefunden Worden wie volgt

La maison revient ensuite à son gendre Jean Raimbaud Friderici qui épouse en 1684 Marie Marguerite, veuve du juriste et professeur d’éloquence Jean Joachim Bockenhoffer

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 124-v, n° 28) 1684. Dom. X post Trin. Zum 2 mahl Hr Johann Reinbold Friderici des Weiland Wohl Ehrn Vest Fromm Fürsichtig u. Wohlweisen Hn Johann Philipp Friderici des bestand. Regiments der Hn XV. gewesenen Beisitzers nachgelaßener ehel. S. Fr. Maria Margaretha Weiland hr Johann Hr Johann Joachim Bockenhofers UJD u.. prof. Eloquentiæ und gewesenen * beÿ dem Collegiat Stifft St Thomas nachgel. W. Donnerst. den 17.t Aug. Zun Predigern (i 126)

Fils du libraire du même nom, Jean Joachim Bockenhoffer épouse en 1662 Marie Marguerite, fille de l’assesseur au Grand Sénat Georges Basile Geyer.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f°100, n° 12) 1682. Zum 2. mahl hr. Johann Joachim Bockenhofer U.J. Drnd. u. Prof. Eloq. Weiland hr. Johann Joachim Bockenhofers geweßenen Buchhändlers u. Burgers ehel. S. Jfr. Maria Margaretha des Weiß Wohl Edlen Fürsichtigen u. Wohl Weisen hr. Georg Basilÿ Geigers des geheimen beständigen Regiments der Hhrn XIII. Beisitzers nachgelaß. ehel. T. Donnerst. den 16.t April. Zun Predigern (i 101)

Jean Raimbaud Friderici se remarie en 1693 avec Susanne Richshoffer, fille de l’ancien consul Daniel Richshoffer
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39, n° 31) 1693. Dom: VII post Trinit. seÿnd Zum I mahl außgeruffen worden der Wohl Edel Fromm Fürsichtig und Wohlweÿse Herr Johann Reinbold Frideridi, deß beständigen Regiments der Herren XV. beÿsitzer, Jfr. Susanna, deß auch hoch Edel Gestreng, Fürsichtigen und hochweÿsen H Daniel Reichshoffers Alten Ammeisters Ehel. T. Seÿnd copulirt Worden deh 15. Julii [unterzeichnet] Johann Reinbold Frideridi alß hochzeiter, Susanna Richshofferin alß Hochzeiterin (i 39)

L’ancien consul et administrateur de l’université Jean Raimbaud Friderici vend en 1704 la maisonnette au charpentier Georges Kessler et à sa femme Barbe Kœrner moyennant 109 livres

1704 (22.4., Chambre des Contrats, vol. 577 f° 210
(109) S.T. Hr. Joh: Reinbold Friderici alter A.ster u. Scholarcha
in gegensein Georg Kesslers zimmermanns u. Barb: geb. Körnerin
ein kleines Hauß Hoffstatt sambt der gemeinschafft deß Höffleins wie es biß dato geweßen u. allen übrigen dero gebäuen begriffen weithen zugehörden rechten u. Gerechtigkeit allhier im Roßengäßlein ahm Gaulstaden einseit neben Hn. Lti Steinheils Garten anderseit neben Hannß Jacob Bartel kiefers hinten auf (-) Haßlern schiffmann stoßend gelegen – um 109 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Georges Kessler à acheter du consul Friderici une maison près du pont au Brochet moyennant 218 florins

1704, Conseillers et XXI (1 R 187)
(p. 126) Montags den 21.ten Aprilis 1704. – Georg Keßler der Schirmer vmb permission eine ahne der hechtenbruck gelegene kleine behaußung Zukauffen
G. Ersch Geörg Keßler Schirmer alhier der ist willens Von S. T. Hn . Ammeister Friderici eine kleine behaußung ahn der Hechtenbruckh gelegen vmb 218. fl. Zu erkauffen bittet Unterthänigst Vmb Obrigkeitliche permission.
Erk. würdt Zwar mit gebettener Erlaubnus Willfahrt, es solle die Verschreibung aber in gegenseÿn H. XV.er Lempen vndt H. Rathh. Randtenraths in allhiesiger Contract Stuben sub Clausilis assuetis Vorgenommen, Vndt denen Procuratoribus angezeugt werd. ins Künfftigen dergleichen permissiones nahmens des Verkäufers Zu suchen.

Les actes suivants établissent que Georges Kessler est originaire de la juridiction de Landeck en Tyrol et Barbe Kœrner de Villingen en Forêt-Noire. Leur premier enfant qui naît à Strasbourg est porté dans les registres en 1681.
Baptême, Saint-Laurent (cath. f° 9) (-) Maÿ 1682. Sebastianus. Parentes Görg Keßler, Barbara Kirnerin, auß dem Landteckher gericht Tyrolis. Patr. Sebastian Scherber von breÿsach, Matr. Barbara Stentzin vo* boßwill in d. Schweitz (i 7)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 66) 16. 7.bris 84. Thomas, Georgius Keßler Tyrolensis et vnda Kürnerin Von Fillingen am Schwartzwaldt, Patr. Georgius Mutschler Argent: et Maria Elisabetha Kißl[er]in nomine Mariæ (-) Müllerin aus Tiroll (i 40)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 231) 1687. Januarius. 23. fuit baptizatus Henricus Georgÿ Kessler Commiranti in hac civitate Et Barbaræ Kirnerin ex philingen, Ex sacro fonte suscepit Henricus Moser solodoranus, Anna Margaretha Hugin Marchionatus todirsÿ* (i 123)

Georges Kessler et Barbe Kœrner, assistés de leur fis Henri Kœssler et de leur gendre Jean Litgy, hypothèquent la maison au profit de l’avocat Jean Adam Goll

1710 (ut supra [31.7.]), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 39
Joh: Georg Kessler zimmermann und Barb: geb. Körnerin beÿständlich Heinrich Kosslers zimmermann deß. sohns u. Joh: Lißt zimmermann deß tochtermanns
in gegensein H. Joh: Adam Goll U.J. Ddi auch Advocati u. Procuratoris beÿ E.E. G. R.,
unterpfand, ihr hauß cum appert: allhi im Roßen gässlein, einseit neben H. Lt. Streicher anderseit neben (-) hinten auf hn H. Steinheil stoßend

Georges Kessler et Barbe Kœrner font un codicille par lequel il se lèguent mutuellement la jouissance viagère de leurs biens
1712 (22. 9.br), Not. Goldtbach (6 E 41, 231)
Codicill – persönlich kommen und erschienen Hannß Geörg Kößler, der Zimmermann und beneben Ihme fraw Barbara Kößlerin gebohrne Körnerin, Beede Eheleuthe und hintersassen alhie zu Straßburg, so viel der man betrifft, krancken und schwachen Leibes auf einem bette Ligend, die fr. aber gesund stehend und gehenden Leibs, doch aber von der gnade Gottes guetther richtiger Sinnen Vernunfft Verstandt vnd gesprächs
(dem letztlebenden das völlige usumfructum)
Welches alles beschehen und zugangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in der daselbst ohnfern d. hechtenbruck in dem Rooßengäßel gegenene en und beeden Codicillirende Ehepersonen Zuständigem häußlein und dero stübleiin mit den fenstern in das gäßel und höflein aussehend (…) auff Dienstags abends Zwischen 5. v. 6. uhren d. 22. 9.bris A° 1712
[unterzeichnet] x, +

Jean Henri [sic] Kessler mari de Barbe Kœrner meurt sexagénaire en novembre 1712. Les témoins sont Henri Kessler et Jean Litzg
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 139-v)
Hodie 24 die Novembris Anni 1712 fuit a me infra scripto sepultus Joannes Henricus Kessler Sexaginta et ultra annos natus pridie defunctus circa horam decimam matutinam conjux legitimus Barbaræ Kürnerin provisus Ecclesiæ sacramentis. Testes aderant Henricus Kessler et Joannes Litzg incolæ argentinenses (i 146)

Originaire de Sankt-Marx (Laas) dans le comté du Tyrol et le diocèse de Brixen, Jean Litzge épouse en 1697 Gertrude Kessler
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 81.)
Eodem die 29. Aprilis A° p.fato 1697. Joannes filius Michaelis Litzge defuncti et Mariæ Jenin Coniugum ex loco d. ad Sm Marcum in Tyrolensi Comitatu, Brixiensis Diœcesis, hic autem iam plures annos commoratus ex una parte, et Gertrudes, filia Georgÿ Kessler fabri lignarÿ et Barbaræ Kürnerin Conjugum hic habitantium Parochianorum nostrum ex alterâ parte, in veros ac legitimos Conjuges in facie Sanctæ Matris Ecclesiæ desponsati sunt (signé) Johanneß Litzg, signum sponsæ + (i 44)

Henri Kessler épouse en 1706 Catherine Schultz
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 88)
Die Tertia mensis Maÿ anni 1706 (…) in facie Eâ nuptias celebrarunt solemniter Henricus Kessler et Catharina Schiltzin ambo argentinenses, + signum sponsi + signum sponsæ (i 90)

La veuve Barbe Kirner se remarie en 1714 avec l’ancien soldat Charles Ringard, originaire d’Essuiles dans le diocèse de Beauvais.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 135) Hodie die 28. Maÿ Anno 1714 (…) sacro matrimonÿ vinculo fuerunt copulati Carolus Ringard oriundus es Essuiles diœceseos Bellovacensis miles cohortis de Kiensin* in legione Tormentoriorum et Barbara Kirnerin vidua Joannis Georgÿ Kessler (i 137)

Charles Ringard et Barbe Kirner hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Adam Œsinger

1723 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 515
Charles Rayngard der handlanger und Barbara geb. Kiernerin beÿständlich H. Eberhard und Neufviant beeder EE. kleinen Raths beÿsitzers [unterzeichnet] + +
in gegensein H. Johann Adam Ößinger Notarÿ Publici – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, der correæ debendi Behausung, gemeinschafft des höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier ahm Gaulstaden im Roßengäßlein, einseit neben H. Consulent Steinheil anderseit neben hannß Georg Bürckel dem kieffer hinten auff weÿl. Hannß Jacob Haßler des Schiffmanns hinterlassene wittib

La maison revient en partie au batelier Jean Georges Kessler, fils de Jean Henri Kessler, qui épouse en 1752 Dorothée Sibylle Pfanzelt, fille de maçon, puis en 1755 Anne Marguerite Schiller, fille d’apprêteur de tabac.

Mariage, Saint-Laurent (cath. p.. 270)
Hodie 26 junii anni 1752 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes georgius Kæssler filius legitimus defuncti Joannis Henrici Kæssler dum viveret civis ac fabri lignarii hujatis et annæ Catharinæ Schultz viduæ ejus superstitis civis ac nauclerus proessione suâ et Dorothea Sibilla Pfalntzelt filia legitima volgangi pfandtzeldt tutelarii ac murarii hujatis et annæ rosinä ellrieder viduæ ejus superstitis ambo parochiani hujus parochiæ (signé) Johann görg Kößler, Dorothea sibila Panzeltin (i 138)

Mariage, Saint-Laurent (cath.)
Hodie 22 Septembris Anni 1755 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Joannes Georgius Kessler civis et nauta hujas, viduus Annæ Dorotheæ Pfanzelltin in parochia Sti Stephani hujus urbis Commorans, et Anna Margaritha Schiller argentinensis, Joannis Michaelis Schiller olim vivis et tabaci concinnatoris hujatis et salomeæ Meyerin conjugum defunctorum filia legitima parochiana nostra (signé) Johann görg Kößler, margaretha schöllerin (i 178)

Le mandataire de Jean Georges Kessler et de son frère Chrétien Kessler vend la maison au fabricant de pipes Jean Louis Kneischick et à sa femme Anne Barbe Scheuer

1752 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 276
Johann Georg Zinck der zimmermeister als vogt Johann Georg Keßler des Zimmer gesellen und als mandatarius deßen bruders Christian Keßler des schiffknechts
in gegensein Johann Ludwig Kneischick des tabac: pfeiffmachers und Annæ Barbaræ geb. Scheÿerin – versteigerung
ein häußlein, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten in dem Roosen gäßlein am Gaulstaden einseit neben der Theurerischen wittib, anderseit neben Jacob Göppel dem schiffmann, hinten auff weÿl. H. Johann Georg Birckel des kieffers erben – als ein vätterliches erbguth – um 105 pfund

La veuve de Jean Louis Kneischick se remarie en 1760 avec le brocanteur Jean Chrétien Baur.
Anne Barbe Scheyer femme de Jean Chrétien Baur vend la maison au brasseur Jean Henri Peter

1762 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 238-v
Fr. Anna Barbara geb. Scheÿrin Johann Christian Baur des gimpelkauffers ehefrau
in gegensein Johann Heinrich Peter des bierbrauers
eine behausung, höfflein samt allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten am Gaulstaden im Roßengäßlein, einseit neben der bier behausung zur dreÿ lilien anderseit neben Johann Philipp Reich dem schiffbauer, hinten wieder auf die bier behausung – als ein theils erkaufftes theils ererbtes guth – um 112 pfund

Fils du boucher Jean Jacques Peter de Mommenheim, le brasseur Jean Henri Peter épouse en 1730 Catherine Marguerite Blessig, fille de l’aubergiste à la Hache Jean Blessig : contrat de mariage, célébration
1760 (23.6.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 65
Eheberedung – zwischen dem Ehren wohl vorgeachten Herrn Johann Heinrich Peter, dem leedigen Biersieder, Weÿland Hn Johann Jacob Peter, des gewesenen Metzgers und burgers Zu Mommenheim Ritterständischer Jurisdiction ehelich erzeugt hinterlaßenem Sohn eines,
und am andern Theil der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Catharinæ Margarethæ Bleßigin, weÿl. des Wohl Ehren und Großachtbaren herrn Johannes Bleßig des gewesenen Gastgebers Zur Äxt und b. dahier zu Straßburg seel. ehelich erziellt nach tod hinterlaßener Tochter
So beschehen dahier zu Straßburg (…) auf Montag den 23. Junÿ 1760.
[unterzeichnet] Johann Heinrich Peter als hochzeiter, Catharina Margaretha Bloßigin alß hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 160-v, n° 21)
1760. Mittwoch d. 16. Jul. wurde nach Zweÿmahliger außruffung in der Evangelischer Pfarrkirche Zu S. Nicolai ehelich eingesegnet Johann Heinrich Peter, Lediger bierbrauer v. burger allhier H Johann Jacob Peters gew. Metzgers v. Gerichts Verwantdten in Mommenheim Ritterschafftlicher Jurisdiction hinerl. Ehel. Sohn, V. Jfr. Catharina Margaretha Plesigin weÿl. H. Johannes Bleßigs, gew. Gastgebers und burgers allhier Hinterl. Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Henrich Peter Alß Hochzeiter, Catharina Margaretha bleßigin hochzeiterin (i 163, procl. Saint-Pierre-le-Jeune i 225)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la brasserie aux Trois Lis dont ils sont locataires. Ceux du mari s’élèvent à 260 livres, ceux de la femme à 1 087 livres.

1760 (19.8.), Not. Fické (6 E 41, 756) n° 146
Inventarium über des Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Heinrich Peter, des biersieders und der Ehren: und Tugendsamen Frauen Catharinæ Margarethæ gebohrner Bleßigin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander vor unverändert einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1760. – in ihrem den 16.ten Julÿ dießs Jahrs angefangenen Ehestand einander zu und eingebracht haben (…) So beschehen in Straßburg in fernerer Gegenwart Hn Johannes Bleßig des Würths und Gastgebers Zum Falckenkeller auch b. alhier der Ehefr. hierzu erbettenen beÿsitzers den 19.ten Augusti 1760.
In einer alhier Zu Straßburg in der Krautenau ohnfern der hechtenbruch gelegenen diesorts Lehnungsweiße bewohnenden bier behaußung Zu den dreÿ Lilien hat sich befunden als
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Haußraths 31, Sa. Holtzes und Werckzeugs Zum Kiefer wesen gehörig 51, Sa. Weins, bier und leerer Faß 112, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 25, Sa. Baarschafft 39, Summa summarum 260 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Haabschafft beschrieben, Sa. haußraths 241, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 75, Sa. goldener Ring 33, Sa. Baarschafft 38, Sa. Schulden 698, Summa summarum 1087 lb
Haussteuren70, Macht deren jeden Ehegatten Zur helffte 35 lb.

Le notaire Charles Fické dresse en 1764 l’inventaire, non conservé, après la mort de Jean Henri Peter. L’inventaire des biens de Jean Chrétien Strohl et Marie Barbe Pick, dressé en 1778, mentionne que la maison a été vendue par adjudication judiciaire le 14 août 1776.

1764, Not. Fické (Répertoire 6 E 41, 664-6) n° 257
weil. H: Johann Heinrich Peter d. gew: biersieders zu den 3. Lilien u. b. alh: seel. Verl. Inv:


Maison (b) donnant dans la ruelle des Roses

Le mandataire des créanciers de Georges Albert Steinheil vend une maison et un jardin au secrétaire de l’hôpital Jean Ernest Theurer

1731 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 74
H. Lt. Johann Wilhelm Chasseur Ritterschafftlicher Ambtmann und Syndicus weÿl. H. Georg Allbrecht Steinheil gewesten Jcti. und Consulenten beÿ dem Löbl. Ritter Diectorio des Undern Elsaßes Creditorum
in gegensein H. Johann Ernst Theurer Mittelschreibers beÿ allhiesigen Mehrern hospital
Eine Behausung garttenhauß kleines Sommerhäußleinn höfflein hoffstatt und gegenüber liegendes holtzhäußlein Baum: und Kuchen: gartten mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau hinder dem zum Gaul genannten hauß oben beÿ dem eingang des haußes und garttens auff das Hechtengäßlein sehend, einseit neben weÿl. H. Johann Friedrich Lobstein handelsmanns Erben, dem Runckelisch: und Ohlischen gartten neben dem sogenannten Spießischen hoff, unten weÿl. hannß Brack Fuhrmanns wittib und Erben – um 800 pfund

Fils du receveur à l’Œuvre Notre Dame Jean Frédéric Theurer, le secrétaire de l’hôpital Jean Ernest Theurer épouse en 1712 Judith Reine Sachs, fille du pharmacien Jean Conrad Sachs
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 130 n° 3)
Mitwoch den 6. Aprilis 1712. seind nach zweÿmahliger Außruffung in der Pfarrkirch Zu St. Nicol. alier in Straßburg Ehelich copulirt Vnd eingesegnet worden H. Johann Ernst Theurerr, der Mittel Schreiber im Mehren Hospithal alhier weÿl. H. Johann Fridrich Schaffners im Frawen Hauß Vnd burgers alhier, Ehelicher Sohn, Vndt Jungfr Judith Regina Sachßin, H Johann Conradt Sachßen des Apotheckers vndt burgers alhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Ernst Theürer als hochzeiter, Juditha Regina Sachßin als hochzeiterin (i 134)

Judith Reine Sachs détache de sa propriété une maison donnant dans la ruelle des Roses pour la vendre au tonnelier Jean Jacques Bürckel moyennant 250 livres

1746 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 277
Fr. Judith Regina geb. Sachsin weÿl. H. Johann Ernst Theurer des Mittelschreibers beÿ dem Mehrern hospital wittib mit beÿstand ihres bruders H. Johann Friedrich Sachs des Apotheckers
in gegensein Johann Jacob Birckel des kieffers
eine behausung, höfflein, bauchküchen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden im rooßengäßlein einseit neben einem Allmendgäßlein, anderseit neben der verkäuferin selbst, hinten auff ihren garten – theils als ein am 15. feb. 1731 erkaufft theils in guths liefferung angewießenes guth – um 250 pfund


Bâtiment (c)

Femme abandonnée du maraîcher Jean Jacques Gori, Marie Diehl céde un bâtiment construit au-dessus d’une cave qui appartient à l’acheteur Jean Chrétien Strohl

1778 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 176-v
Fr. Maria geb. Diehlin Johann Jacob Gorÿ des von hier längst abweßenden gartenmanns verlassene ehefrau unter assistentz H. Joseph Leonhard Haaß des Zimmermeisters
in gegensein H. Johann Christian Strohl des bierbrauers
das über einem Keller in des H. Käuffers eigenthümlichen hoff /:seiner am Gaulstaden zu den dreÿ Lilien geschildete bierbehausung:/ stehende gebäude mit allen deßen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten wovon der fundus und mithin der keller deßelben dem H. käuffer vorhin schon eigen war – 120 gulden



22, rue des Chandelles


Rue des Chandelles n° 22 – IV 400 (Blondel), N 918 puis section 60 parcelle 30 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Tobie Burckhard, tonnelier, 1676
Démolie par la Ville (service d’assainissement), 1907, terrain réuni à la voie publique


Façade (arcades au rez-de-chaussée, encadrements sculptés aux fenêtres des deux premiers étages) et pignon (service des Monuments historiques, © DRAC Grand-Est, cotes ICO-482-B-036 10, 11 et 12)

Gabriel Mutschlar acquiert en 1607 la maison par adjudication judiciaire. Elle appartient au notaire Jean Ulric Klotter (1622-1645) puis au tonnelier Michel Hermann Utz (1652) avant de revenir au receveur Jean André Mergilet, créancier d’après un titre de 1573. Le tonnelier Tobie Burckhart l’achète en 1673 et la reconstruit d’après le millésime 1676 et le monogramme T. R. (sans doute à corriger en T. B.) dont Adolphe Seyboth fait mention dans son ouvrage. Il acquiert une maison voisine avec laquelle il ouvre en 1680 une porte de communication qu’il referme quelques années plus tard. La veuve de Tobie Burckhart vend en 1713 la maison à son beau frère brasseur Jean Thierry Schlehenacker qui la loue au futur propriétaire, le tonnelier Jean Georges Dœrffer. Le rez-de-chaussée sert en 1754 d’atelier de tonnelier et les trois étages d’habitation, les deux étages inférieurs comprenant chacun un poêle, la cave est en partie voûtée en partie solivée. Les propriétaires suivants sont aussi tonneliers, Jean Jacques Ruff (1729-1763) puis Jean Jacques Kayser qui fait aménager en 1763 un poêle au troisième étage. Il vend en 1773 une partie de sa cour à son voisin au sud (ensuite n° 24). Les préposés l’autorisent la même année à modifier le rez-de-chaussée à condition de supprimer toute avance.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à gauche du repère (e) ; trois ouvertures en arcade au rez-de-chaussée dont celle du milieu sert de porte, trois étages à trois fenêtres et autant de plus petites fenêtres dans le pignon. La cour E montre la face sud (3-4) du bâtiment, un bâtiment en forme de remise (2-3) à l’ouest, les deux autres côtés appartenant à des voisins.
La maison porte d’abord le n° 3 (1784-1857) puis le n° 22.


Cour E
Elévations des n° 26, 24 et 22, rue des Chandelles (vers 1906, AMS cote 316 MW 589)

Les héritiers Kayser vendent en 1809 la maison au tonnelier David Rosentiehl qui en transmet la propriété à son fils du même nom. Elle revient en 1895 à Mathilde Rosenstiehl qui habite avec son mari au Neudorf et la loue au tonnelier Hænel. La ville l’achète en 1903 puis la fait démolir en 1907 malgré l’avis du conservateur des monuments historiques : «  le n° 22 est une des anciennes maisons les plus intéressantes de la ville. C’est une maison de tonnelier construite en 1676, ornée des emblèmes et des blasons des tonneliers, qui comporte de riches sculptures sur bois et un haut toit en bâtière ; elle abrite aujourd’hui encore un tonnelier. »


Plan des n° 22 à 26 (AMS cote 316 MW 590)

mai 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1607 à 1906 (démolition). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1607 adj Gabriel Mutschler, tailleur et commissaire priseur, et (1586) Ursule Schaumann – luthériens
1620* v Jean Klein, boucher, et Anne Wolff – luthériens
1622 v Jean Ulric Klotter, notaire, et (v. 1609) Susanne Vischer puis (1627) Sophie Baltz – luthériens
1651 adj Daniel Steinbock, boulanger puis aubergiste, et (1607) Barbe Nartz, veuve du boulanger Jacques Dittler, (1621) Catherine Lentz, veuve de l’aubergiste Gaspard Floss puis (1634) Claire Barbe Brüst, veuve du pasteur Simon Rother – luthériens
1652 v Michel Herrmann Utz, tonnelier, et (1635) Salomé Lentz puis (1649) Ursule Schneider – luthériens
1670* adj Jean André Mergilet, receveur, et (1659) Salome Birtsch, d’abord (1625) femme du docteur en médecine Nicolas Philippe Scheid, puis (1663) Madeleine Schmidt – luthériens
1673 v Tobie Burckhart, tonnelier, et (1663) Susanne Ichinger, d’abord (1650) femme du boulanger Vincent Limberger, puis (1691) Marie Catherine Milius – luthériens
1713 v Jean Thierry Schlehenacker, brasseur, et (1682) Marie Madeleine Schmidt, (1694) Marie Barbe Vogt puis (1704) Marie Dorothée Milius, d’abord (1692) femme du notaire Jean Daniel Scherer – luthériens
1722 v Jean Georges Dœrffer, tonnelier, et (1706) Marie Salomé Reiff puis (1715) Marie Elisabeth Rasp – luthériens
1729 v Jean Jacques Ruff, tonnelier et marchand de vins, et (1709) Dorothée Strohl – luthériens
1763 v Jean Jacques Kayser, tonnelier, et (1753) Marie Salomé Meyer puis (1758) Marie Salomé Brod – luthériens
1806 h Jean Greff, bottier, et (1793) Catherine Dorothée Kayser
1809 v Jean Daniel Rosenstiehl, baquetier, et (1806) Marie Eve Vogler
1850* h Daniel Rosenstiehl, baquetier, et (1836) Sophie Wilhelmine Hepp
1895 h Edouard Kirrmann, ferblantier, et (1868) Mathilde Rosenstiehl
1903 v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation :1 150 livres en 1720
Valeur vénale : 1 250 livres en 1713, 1 000 livres en 1722, 1 250 livres en 1729, 1 150 livres en 1763

(1765, Liste Blondel) IV 400, Jean Jacques Keiser
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Kaÿser, 4 toises, 3 pieds et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 918, Rosenstiel, Jean Daniel, cuvetier / Rosenstiehl – maison, sol – 1,05 are

Locations

1607, Gaspard Kehrer, fabricant de pâtés
1705, Anne Marie Olter femme abandonnée du fourbisseur Jean David Kuntz
1715, Jean Georges Dœrffer, tonnelier (ensuite propriétaire)
1759, Georges Frédéric Strohl, tonnelier
1793, Jean Martin Ulrich, cordonnier

Livres des communaux

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 147
Tobie Burckhart doit 10 sols pour deux ouvertures qui font communiquer ses deux maisons, l’une sise rue des Chandelles et l’autre dans la rue du poêle des compagnons boulangers (ensuite rue de la Demi-Lune). Le cens devient caduc quand les ouvertures sont murées (1685)

Tobias Burkard, der Kieffer, soll von 2. durchbrüchen inn seiner behaußung inn der Hellen liecht: oder Becken Knechtstubgassen, vff Michaelis & 1686. I.mo, 10 ß
Protoc: 1685. p. 82.
hat es zugemaurt

Adolphe Seyboth

Adolphe Seyboth rapporte que l’insigne des tonneliers et les initiales T. R. (sans doute à corriger en T. B.) se trouvent sur l’arcade d’une fenêtre. En outre des tonneliers en train de cercler un fût et le millésime 1676

(édition en allemand, p. 76) auf der Thüre sculptirtes Küferschild und T. R. auf einem Fensterbogen. Sculptur, arbeitende Küfer und Datum 1676
(édition en français, p. 408) groupe sculpté représentant des tonneliers en train de cercler un fût, surmonté de la date 1676.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1680, Préposés au bâtiment (VII 1368)
Les préposés font grief à Tobie Burckhard d’avoir établi sans autorisation une communication entre sa maison rue des Chandelles et une autre qu’il vient d’acheter, voisine de celle du docteur Acker. Il déclare que le muret endommagé laissait passer l’eau qui inondait la cave, qu’il a fait réparer les dalles sous le muret qu’il n’a pu reconstruite faute de matériaux. Les préposés entendent le maître maçon Stebler qui déclare avoir mis en garde le propriétaire. Tobie Burckhard a fait lui-même les travaux sans pouvoir trouver les matériaux pour reconstruire le mur. Il se déclare prêt à payer un cens pour l’ouverture. Les préposés le lui accordent s’il paie les frais et une somme de 15 livres. Les droits reportés au Livre des loyers communaux sont établis par les Préposés au bâtiment en 1686 (f° 81)

(f° 18-v) Dienstags den 2. Martÿ 1680. – Tobias Burckardt. Durchbruch
Tobias Burckardt der Küeffer Würdt Vorgestellt, daß er ohne erlaubnuß oder augenschein einen durchbruch auß seiner behaußung inn der hellen liechter gaßen inn eine anderer neben H. Dr Ackers seel. behaußung, so er erkaufft, machen laßen. Ille wendet vor, daß Kleine Mäurlein seÿen gantz baufällig gewesen, und die blatten darunder schadhafft, alßo daß das Waßer durch daß gewölb in den Keller getrungen, und nothwendig habe mueßen reparirt werden, welches ohne hinweg Raumung deß restirenden eingefallenen Mäurleins nicht habe geschehen Können, nachgehendts seÿ ihme wegen bekandten mangels der materialien nicht müglich geweßen, solches Wider auffzubawen, seÿe aber erbiethig dafern es Wider ordnung, solches Wider machen Zulaßen.
Erkandt soll Zuvorderist augenschein eingenommen, und Hannß Heinrich Stäbler der Maurer darüber gehört werden, Waß es Vor eine becouraffenheit darmit gehabt.

(f° 19-v) Mittwochs den 10. Martÿ – Tobias Burckhardt. Durchbruch
Augenschein eingenommen in Tobiæ Burckhardts deß Küeffers behaußung in der Hellen liechtgaßen und befunden daß er ein mäurlein 12. schuh lang und 6. schuh hoch, hinden gebrochen und also auß 2. häuser eines gemacht, Wie Wohl es Zuvor auch ein hauß geweßen.

Tobias Burckhardt. Hanß Heinrich Stäbler – Wurde Hanß Heinrich Stäbler der Maurer wegen solchen durchbruchs befragt, Wie es darmit hergegangen, Welcher außgesagt, daß er Burckarden gewarnet, er solle solches mäurlein ohne vorwissen der Oberbauherren nicht hinweg thun, er selbsten wolle keine handt anlegen, Weilen es wider ihre Articul, darauff er geanttworttet, so wolle er Burckardt Sie selbsten hinweg brechen, Wie er dann auch nachgehendts gethan. Als nun Burckardt darüber Zuredt gestellt Worden, hat er sich damit Zuentschuldihen Vermeinet, daß er Willens geweßen solches mäurlein wider auffzuführen, Wie er auch nach Zuthun gesinnet, seÿe aber bißher auß bekandten mangel der materialien daran verhindert Worden, Wann mann ihme aber solchen durchbruch umb ein billiches gestatten wolle, seÿe er erbietig einen Zinß dauon Zugeben. Erkandt, Weil mann darfür gehalten daß solches vorgeben allein eine außflucht und wann mann es nicht anderstwoher erfahren er solches mäurlein schwerlich von sich selbst wider auffgeführet haben Würde, solle er deßwegen 15. lb d beßern und wafern er dießen durchbruch Zubehalten begehren umb einen großen augenschein anhalten begehren uff gesuchte genad ist er beÿ 12. lb d gelaßen worden.

1773, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Jean Henri Walter est autorisé au nom du tonnelier Kayser à modifier le rez-de-chaussée à condition de supprimer toute avance.

(f° 213-v) Dienstags den 8. Junii 1773 – N. Kaÿser, Kiefer
Mr Johann Heinrich Walther, nôe. N. Kaÿser, des Kiefers, bittet zu erlauben deßen in der Heiligen Lichtergaß gelegenen behausung die Rez de Chaussée zu verändern. Erkannt, mit dem ausdrucklichen Anhang willfahrt, wann das haus von dem fundament grad aufgeführet und alles vorstehende abgeschnitten werden wird.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

La veuve du maître maçon Schneider rapporte que le tonnelier Jean Jacques Kayser a l’intention d’établir un poêle au troisième étage vers la rue et à l’arrière une cuisine comportant un fourneau et une hotte.

(p. 22) Montags den 28. Novembris 1763 – Joh: Jacob Kaÿßer
Johann Jacob Kaÿßer der Burger und Kiefer allhier will in seiner Behaußung in der heiligen Lichter gaß im 3.ten stock eine stub gegen der gaß bauen, hinden daran eine Kuche mit heerd und Camin schooß, das Rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt – Mr Schneiders Wittib

Description de la maison

  • 1754 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un atelier de tonnelier, au premier étage un poêle, alcôve, dépense, cuisine et vestibule, au deuxième étage un poêle, alcôve, cuisine et plusieurs dépenses , au troisième étage trois chambres, le comble a une double couverture de tuiles plates, la cave est partie voûtée partie solivée, le tout avec petite cour, autres appartenances et dépendances estimé à la somme de 1200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la Chandelle

nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Kayser
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 262 case 3

Rosenstiehl, Jean Daniel à Strasbourg

21 f° 262-3

N 918, maison, sol, R. des Chandelles 3
Contenance : 1,05
Revenu total : 108,55 (108 et 0,55)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 6

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1012 case 2

Rosenstiehl, Jean Daniel
1896/97 Kirrmann, David, *ring 22
1904 Strassburg die Gemeinde
(ancien f° 760)

N 918, maison, sol, Rue des Chandelles 22
Contenance : 1,05
Revenu total : 108,55 (108 et 0,55)
Folio de provenance : (262)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 6

Cadastre allemand, registre 32 p. 388 case 5

Parcelle, section 60, n° 30 – autrefois N 918
Canton : Heiligenlichtergasse Hs Nr 22
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,06
Revenu : 1000
Remarques : VI 10 – B/H/ II 1907.87

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 110 Rue de la Chandelle p. 186

3
Pr. Kayser, J. Jacques, tonnelier – Tonneliers
loc. Wurm, Claude, menuisier – Charpentiers
loc. Hummler, Conrade, Tailleur – Tailleurs
loc. Müller, Anne M. fille couturiere – Echasses
loc. St Jean, Michel, blanchisseur – Manant
loc. Bartisser, Catherine, fille de bourg.
loc. Gauckler, Zacharie, garç. maçon – Maçons
loc. Bader, Ursule, fille maj. declne*
[ajouts] loc. Gayneau, Vincent, M° Sellier
loc. Bellango, Dyonise, Peruquier
loc. Michel, Jean, blanchisseur
loc. Matthée, Anne Marie, Ravodeuse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Heiligenlichtergasse (Seite 58)

(Haus Nr.) 22
Hänel, Küfermeister. 01
Gräber, Zuschneider. 2
Pfister, Monteur. 2
Albert, Schreiner. 3
Biedermann, Maurer. 3
Eckert, Tagnerin. 3

Annuaire de 1906, p. 59 (i 317)

22
Hänel, Küfermeister. 01
Gräber, Zuschneider. 2
Albert, Schreiner. 3
Biedermann, Maurer. 3
Eckert, Tagnerin. 3

Annuaire 1907, p. 78 (i 327)
n° 12, 14, 16, 18, 20, 22, 24, 26, Stadt Strassburg E, unbewohnt
Annuaire 1908, p. 75 (i 330)
non mentionnées


Relevé d’actes

Gabriel Mutschler acquiert la maison par adjudication judiciaire (voir l’acte suivant). Tailleur, il épouse en 1586 Ursule, fille de Bernard Schaumann.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 43-v n° 166)
1586. Eodem die [20. Trinitatis] Gabriel Mutschler, der schneider vnd Ursula Bernhard Schawmans nachgelaßene dochter, eingesegnet den 25. Octobr. (i 48)

Le commissaire priseur Gabriel Mutschler loue la maison qui lui a été attribuée par adjudication judiciaire au fabricant de pâtés Gaspard Kehrer.

1607 (Ersten Maÿ), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 127-v
(Inchoat. fo: 146.) Erschienen Caspar Kerrer Bastetenbeck burger alhie
hatt in gegensein Gabriel Mutschler geschwornen Kheuffler freÿ guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen
das er Ime vnd seinen erben dritthalben Jar lang die nechsten nach einander volgendt vnd vff Sannt Jergen tag nechst verschÿnenen angefangen vonn gedachtem Gabriel Mutschler desselben rechtmeßiger wÿß Zu erkhant vnd ergante huß v hoffestatt mit all and. Iren gebeud gelegen In der S S hinden der Zunfftstub Zur lutzernen Inn heÿligen liechtergaß einsyt neb. Claus hornecker kurschner andersyt Simon Ringer dem khüffer stoßend hind. vff Philipps Keller Schindelspalter vnd Zum theil herr Philipß Wiluißheim burger Zu hagenaw nach der S S bruch v gewonheÿt Sonsten für vnd vmb ein Jerlich Zinß 16 pfund pfenning SW

Le boucher Jean Klein le moyen et sa femme Anne Wolff vendent la maison au notaire Jean Ulric Klotter et à sa femme Susanne Vischer

1622 (5. Februarÿ), Chancellerie, vol. 446 f° 40-v
(P. fol. 33.) Erschienen Hannß Klein der Mittler Metziger Vnd burger Zu Straßburg Und Anna Wölffin sein Eheliche haußfrauw (verkaufft)
Hn Hannß Ulrich Clottern dem Notario burgern Zu Straßburg Und Susannæ Vischerin seiner Ehelichen haußwürthin
Ein Behaußung, hoffstatt, Undt Höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. hinder der Zunfft Stuben Zur Luzernen Inn der heÿligen Liechts gaßen, Einseit nebent (-) dem Kürschner, and. s nebent Michel (-) den Küeffer, hinden Zum theil Vff hannß Sÿbenhorn dem Müllern Undt zum theil Vff Herrn Nicolaum Agerium der Artzeneÿ Doctore Davon gend 15. fl. geld St: w: ablößig mit 300 fl. ermelter Wehrung Vff Simonis et Judä Frawen Künigund Trauschin, Hr. Dr. Johann Bartholome Bergners Zu Speir haußfrauen Mehr 10. fl. wehrungs geldt widerlößig mit 200. fl. bemelt wehrung vff den 1. Maÿ Hn Melchior Greiners gewesenen Stattschreibers Zu hagenauw seligen Erben, Sunst ledig und Eigen, wie man sagt Vnd Ist diß. Khauff vber obgehertte beschwerd. so die Kheüffere vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb iij C Lxxv L Vnßerer Straßburgischen Wehrung

Originaire de Schafhouse, le secrétaire Jean Ulric Klotter acquiert le droit de bourgeoisie le 4 août 1607 en s’inscrivant à la tribu des Gourmets.
1607, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 728
Hans Ulrich Klodter der Schreiber von Schaffhaußen khaufft d. Burgerrecht mit Beÿstandt Eberhardt Berren des Notarÿ wüll Zu den weinstichern Zünfftig sein vnd 500 fl. verstallen. Actum den 4 Augusti Aô 1607.

Acte où sont cités Jean Ulric Klotter et sa belle-mère Susanne veuve de Pierre Vischer. Le premier enfant de Jean Ulric Klotter et de Susanne Vischer baptisé à Strasbourg est porté dans les registres en 1614 (cathédrale i 29).
1611 Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 352
bemeltem herrn Johann Vlrich Cloten vnd Frauwen Susannen seiner lieben geschwyg* wÿland Peter Vischer seligen witwe (verkaufft)

Jean Ulric Klotter sollicite les actes de feu le notaire Beer
1611 XV (2 R 39) Hanns Ulrich Klotter. 292. (leuth setze)
1612, Conseillers et XXI (1 R 91-92) Johann Ulrich Glotter. 105. [umb Beeren Notariat geschäfft]

Le secrétaire à l’accise Thierry Planck donne sa démission après quinze ans de service en promettant de s’acquitter de ses fonctions jusqu’à ce qu’un nouveau secrétaire soit nommé. Trente-six candidats sollicitent le poste vacant. Les préposés en sélectionnent six parmi eux et transmettent une liste ordonnée de quatre candidats aux Conseillers et aux Vingt-et-Un.
1619 Conseillers et XXI (1 R 101)
Ungeltschreiber dienst bestellen. 51. Urbanus Rosenberg. 57. Friderich Beinheim. 66. Adam Feinman, Hans Ulrich Klotter. 72.
(f° 51) Sambstag den XXVII Febr. – Ungeltschreiber dienst bestellen.
Dietherich Planck Ungeltschrbr. bedanckt das nun 15 Jar getragen diensts, will verhoffen er hab den seinig dobey gethan d. mherren zu frid. sein werd. resignire solchen dienst anderer seiner geschefft halben Zuverlassen erbeit sich doch so lang biß ein taugliche person dozu erwahlt wirdt, denselben Zuversehn. Erk. Ist erlassen Jedoch d. er so lang biß ein anderer gerodnet den dienst versehe. H. Mueg H Kniebs.

1620, Protocole des Quinze (2 R 48)
(f° 57) Mittwoch den III. Martÿ – Urbanus Rosenberg d. Jung bitt vmb Ungeltschreibereÿ. Erk. Soll sich geschrieben geben.

(f° 66-v) Mittwoch den XIII. Martÿ – Sambstag den CIII Martÿ – Frd. Beinheim bitt vmb Ungeltschreiber dienst p. supplic.. Erk. Soll sich geschrieben geben.

(f° 72-v) Adam Feinmann so vor dissem ane Cronenburger thor geordnet vnd Zu Doroltzheim die Zehenten eingesamblet
Hannß Ulrich Klotter Notarius so gemeiner Statt in etlidh fallen gedienet
bitten bede vmb den Ungeltschreiber dienst. Erk. Sollen sich geschrieben geben.

(f° 33-v) ß den 19. Februarÿ – Ungeld Schreibereÿ anstatt Dieterich Blancken, Elias Obrecht, Carol Kügler, Hans Erhard Herllin, Adam Feinman, Hans Ulrich Klotter, Hannß Friderich Beinheim
Vmb die Ungeld Schreibereÿ haben sich 36. Personen geschrieben geben, die seind auß dem Ämbterbüchlin alle abgelesen worden, Herr Schach, Herr Müeg, Herr Riehel Zeigen ahn, daß sie sich Verglichen nachfolgende 6. Personen, benantlich Eliam Obrecht, Carlen Kügler, Hans Erhard Herlin, Adam Feinman, Hans Ulrich Klotterer vnd Johann Friderich Beinheim alß Welche sie Zu diesem dienst die tauglichste erachten, Meinen Herren Vorzuschlagen, Vnd stellend Zu denselben, Ob Ihnen belieben wolte, das solche nechstkünfftig Vor Herrn Rhät Vnd XXI gebracht, oder einen engern Außschütz Zumach.
Erkant, Elias Oberecht soll für den ersten, Hannß Ulrich Klotterer für den andern. hannß Erhard Härlin für den dritten Vnd Adam Feinman für den Vierten in Außschutz gebracht Vnd biß künfftigen Montag beÿ Herren Rhät Vnd XXI. referirt Werden.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Ulric Klotter qui prête serment le 21 février 1620.
1620, Conseillers et XXI (1 R 102)
Ungelt schreiber Hans Ulrich Klotter. 34. 38.
(f° 34-v) Montag den XXI. Febr. – H, XV. laßen d. Ämpterbüchlin wegen schreiber im Ungelt ablesen & also umbgefragt ob Jemandt gebetten. Ist Erkant, j Hanß Ulrich Klotter.
(f° 38) Hanß Ulrich Clotter hatt Ungelt schreiber ordnung geschworen

Les Quinze reprochent à Jean Ulric Klotter sa négligence et le relèvent de ses fonctions de secrétaire à l’accise.
1625, Protocole des Quinze (2 R 53)
Ulrich Klotter. 79. 82. 216. 223. [Ungellt schreiber fahrläßigkeit]
(f° 82) (…) Mittw. 13. Aprilis – (…) weil Ulrich Klotter der Schreiber im ungellt alß fauler Peter beneben Haaßen der ein einfaltiger Mann abzuschaffen (…)
(f° 217) Sambstags den 24. 7.bris – (…) Clotter der vorherige Ungelltschreiber (…)

Jean Ulric Klotter hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock

1626 (ut spâ. [23. 9.bris]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 715
Erschienen Hr Hannß Ulrich Klotterer d. Notÿ burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Daniel Steinbocks auch burgers Zu str. – schuldig sein 50. lb.
Vnderpfand hauß, hoffstatt Vnd höfflin, gelegen in der heiligen Liechtergaß einseit Jonas N dem Kürßner, and.seit neben Michel Herman Vtz. dem Küeffer, hind. vf. hr. d. Aggern stoßend, dauon gehen 15. fl. geldts ablösig mit 300. fl. Straßburg Werung fr. Künigund. Trauschin

Jean Ulric Klotter hypothèque la maison au profit du marchand de vins Jean Deffner

1627 (ut spâ. [20. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 395
Erschienen h. hannß Vlrich Kloter Nots. burger Zu St.
hatt in gegensein Johann deffners deß weinhändlers auch burgers alhie – schuldig sein 62 pfund
vnderpfand hauß, hoffstat vnd höfflin mit allen and.en & alhie hinder der Zunfftstuben Zur Lucernen Inn der Heiligen Liechtgaßen, neben Niclauß Otter dem Kürschner, j. vnd 2. seit neben Michel Hörman dem Küeffer, hind. Zum theil vff hannß Sÿbenhorn den Müller vnd zum theil vff H. D. Niclaus Ackern, vnd ist d. hauß Zuuor hafft vmb 300. fl. Fr. Künigundt Trauschin, So dann vmb 200. fl. H. D. Bitsch alß Ehevogt Melchior Greiners gewesenen Statschreibers s. Zu Hagenaw dochter

Jean Ulric Klotter se remarie en 1627 avec Sophie, fille de Jacques Baltz
Mariage, cathédrale (luth. p. 236)
1627 H. Hans Ulrich Clotter der Notarius, Vnd J. Sophia H Jacob Baltz tochter, eingesegnet Montag 30. Julÿ (i 124)

Jean Ulric Klotter meurt en délaissant deux filles de son premier mariage, sa femme Sophie Baltz des héritiers collatéraux. La masse propre au mari est de 78 livres, celle propre à la femme de 78 livres. L’actif de la communauté est de 302 livres, le passif de 543 livres. Le titre de propriété de la maison n’est pas trouvé mais le livre de comptes du défunt fait mention de l’achat en 1622.

1633 (14.12.), Not. Oesinger (David, 37 Not 3) n° 1
Inventarium undt Beschreibung Aller vnd Jeder ligender vnd Vahrender haab, Nahrung und güetere, So weÿlandt dem Ehrenvesten Vorgeachten und Wohlgelehrten Herrn Johann Ulrich Clotern Notario Publico der Königlichen Cron Schweden Residentz hoffs alhie Zue Straßburg Schaffnern, und Burgern daselbesten, wie auch Weÿlandt der Ehren und Tugendsamen Frawen Sophiæ Baltzin beeden Ehegemächten eigenthümlichen Zuständig und Sie nach Ihrem auß dießem betrübtenn Jammerthal tödlichem abscheidt verlaßen, auch vff erfordern der Ehrenuesten, Hoch: und wohlgelehrten Vorgedachten vnd Vornehmen Herrn Simon Hardtwegs Notarÿ Publici und burgers alhie als geschwornenn Vogts Jungfrauen Annæ Rosinæ vnd Jacobe beeder obbemelten Verstorbenen Herren Cloterers seelig. mit auch weÿlandt der Ehren: und Tugendsamen Frawen Susanna Fischin seiner ersten haußfrawen ehelich erzeügter und nach Todt hinderlaßener Töchter, alß ab intestato aber anderer gestalt nicht als cum beneficio Inventarÿ angegebener Erben,
Item Heinrich Baumgarters Burgers und Schaffners alhie mß verordttneten Curatoris Caroli, Hannß Friderichs und Annæ Margarethæ auch weÿland des Ehrenuesten vnd vorgeachten Herrn Caroli Baltzen geweßenen Burgers und Schaffners alhie mit auch weÿlandt der Ehren; vnd Tugendreichen Frawen Margareth Baumgarterin seiner ersten haußfrauwen seligen ehelich erzielter dreÿer Kindern Herrn Rheinhardt Merckhelbach des Handelßmanns auch burgers alda als geschwornen Vogts Hannß Jacob besagts Herrn Caroli Baltz mit weÿland der auch Ehren und Tugendreichen Susanna Jungin seiner mitlern haußfrawen seligen erzeügten Söhnlins, Item H hannß Jacob Seüppels burgers und Goldtarbeiters alß geschwornen Vogts Hannß Andreaßen mehrgemelts Herrn Caroli Baltzen selig. mit der Ehren: vnd Tugendreichen Frawen Anna Sibilla von Botzheim seiner letsteren haußfrauwen ehelich erzeilten Söhnlins aller fünff geschwisterdten und oberwehnter Fr. Sophiæ Baltzein selig. Bruders Kind. als Zu einem Stammtheil,
Item H Achioris Baltzen fürstlicher Marggräfflich Badenischen Kuchen meisters Zue Dorlach, derselben Bruders deßwegen nechsthernach benambster H Hannß Ludwig Baltz Zugegen gewesen, Zum andern Stammtheil
Mehr erstberüerter Herr Hannß Ludwig Baltz für sein Person, der abgeleibten frawen seligen Bruders und Zum dritten Stammtheil,
Ferners erstgedachter Herr Baltz alß gerodneten Curatoris Annæ Sibillæ vnd Susannæ wÿland H Michaelis Pistorÿ Notarÿ Publici und gewesenen burgers alhie vndt Frawen Künigundt Baltzin beed. ehegemecht seelig. nachgelaßener vnd Vilberüerter frawen Sophiæ seligen Zweÿen Schwester Khinder Zum Vierdten Stammtheil,
So dann H Friderich Ettings, für sich vnd Innahmen hannß Caspar Ettlings seines bruders alß anestatt weÿland Frawen Annæ Mariæ Baltzin Herrn Dietrich Etlingers des Schaffners alhie seligen gewesenen haußfrawen vnd offtgemelter Frawen Sophiæ Baltzin selig. Schwester seligen Zum Fünfften Stammtheil ab intestato rechtsmäßiger aber auch anderst nicht als cum beneficio Inventarÿ angegebenen Erben fleißig ersucht – Geschehen Inn Straßburg Sambstags den 14. Decembris A° 1633.

In Einer Behaußung gelegen in der Statt Straßburg In der Heÿlig. Liecht. gaß, Einseit neben Niclauß Ottern dem Kürschner, Anderseit neben Michael Herman dem Küeffer geleg. So In diße Verlaßenschafft gehörig vnd hernach specificirt würdt Ist befunden word. wie volgt
Ahne Haußrhat. Vff der Obern Binn, Vff der Andrern Binn, Vff der dritten Binn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Stub Cammern, Im undern Thell, Im Haußohren, In der Stub, Im Conthor, In der Küchen, Unden im haußöhren, In Einer Cammern, Vnden In dem Haußöhren In Einem schwartzen Raißtrog
Eigenthum Einer Behaußung So Theilbar. It. eine Behaußung vnd hoffstatt mit allen andern Ihren gebewen, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeitten alhie In der Statt Straßburg In der Heÿlig. Liechtgaß mit einer seith neben Mr Michel Herrmann Vtz dem Küeffer vnd andern seith Niclaus Otter dem Kürßner geleg. stoßendt hinden vff J. Nicolaum Agerium Medicinæ D. den Eltern. Davon gehendt Zuvor 15 fl goldts Straßburg wer. H. D. Niclaus Philipps Scheid. Ehevögtlicher weiß Jahrs vff Simonis & Judæ Apostolorum ablösig mit 300 fl. ermelter wer. It. 10 fl. berüerter wer: Jährlich. Zünßes vff Annunciationis Mariæ H. Melchior Greiner geweßenen Stattschreibers Zu Hagenaw selig. Erben wid. kheüffig mit 200 fl. gedachter wehr. Ferners Ist diße Behaußung auch verhafftet vmb 50 lb. Herrn Daniel Steinbockhen vnd dann H Johann Däffners selig. Erben vmb 50 lb. Vnd ist diße behaußung über Jetzgehörte beschwerd. hiehero gewürdiget vndt angeschlagen worden für vnd vmb 100 lb. Darüber Ist beÿ vorhabend. Inventation Khein brieff befunden worden. Es soll aber vermög des H. selig eigener handschrifft vff Montag nach Liechtmeß den 4. Februarÿ A° 1622 der Kauff bescheh. sein In dem Schuldbüchlin In 4° Ingeschriben pergamen gebund. de A° 1622 fol. 1.
Summarum der Erben Erster Ehe Zuständigen Haußraths 78, Sa. Silbergeschirrs 10 ß, Summa summarum 78 lb
Summarum haußraths, So der Frawen Erben unverändert 21, Silbergeschirrs 8, Sa. Gulden Ring 4, Summa summarum c lb
Summarum Anschlags theilbaren haußraths 40, Früchten 5, Weins 4, Guldenen Ring 4, behaußung 100, Schuldt 147, Summa summarum 302 lb – Schulden 543 lb, die Schulden übertreffen dei Theilbare Verlaßenschafft vmb 240 lb
Verkhauff vndt Looß register (…) Sowohl In der Hellen Liecht gaßen gelegenen Behaußung alß auch auff der Becken Zunfftstuben alhier (…) Beschehen und angefangen Sambstags den 4. Januarÿ des 1634.ten Jahrs

Les héritiers du boulanger Isaac Gütel cèdent au sénateur Daniel Steinbock le capital de 300 florins – portés dans les actes ci-dessus au nom du Cunégonde Trausch puis de (son gendre) Philippe Nicolas Scheid. Le titre hypothécaire a été établi le 25 novembre 1573 sous le sceau épiscopal sur une maison autrefois propriété du tonnelier André Raoul von Hammelburg et actuellement des héritiers de Jean Ulric Klotter

1645 (7. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 149-v
Erschienen Weÿ: Isaac Güetels geweßenen Schwartzbecken Vnd burgers Zu Straßburg see: nachgelaßene cum beneficio Inventarÿ Erben, benantlichen Martha Güetelin, Weÿl. Paul Bertrams see: Wittib, mit beÿstandt Georg Burgers deß Schwartzbecken ihres geordneten Vogts, Mehr Salome Güetelin, ernannts Georg Burgers eheliche haußfr. mit beÿstandt deßelben ihres Ehevogts, Ferner Catharina Güetelin, hannß herren schneiders deß Schuhmachers eheliche haußfr. mit auch beÿstandt erst gemeldten ihres haußwürths, So dann H. Niclauß Reb der Notarius, alß Befelchhaber herrn M. Johannis Georgÿ Christiani Pfarrers Zu Dorlißheim, alß Ehevogts Fr. Catharinæ Güetelin, weÿl. Georg Güetels deß Schwartzbecken seel. dochter, crafft Vorgelegten Gewalts, heut dato mit seiner hand selbsten gefertigt,
haben in gegensein H Daniel Steinbocken, Alten Großen Rhats v.wanthen alhie, schuldig (…)
deßen Zu gewißer Versicherung haben Sie beede Eheleuth Zum rechten wissenhafften Und.pfandt eingesetzt Und v.legt 300. fl. Straßb. wehr. so etwan Andreß Rudolff von Hammelburg der Küeffer, anietzo aber H Hannß Ulrich Klotterers deß Notarÿ seel. Erben, Vff und abe einer Behaußung, hoffstatt, höfflein Vnd Stallung auch allen and. deren gebäwen alhie hinder der Lucern in d. heiligen liechtgaßen, neben Michel Hermanutz dem küeffer & einer Behaußung den Armen Sond.siech. Zur Rothen Kirchen gehörig, hind. Vff Weÿl. H. Theodosÿ Riehlen see: Erben stoßend geleg. Jährlich vff Simonis & Judæ mit 15. fl. gerürter wehr. Zu Verintereßiren Verbund., Inhalt einer Vnder deß Bischoffl. hoffs Zu Straßburg anhangendem Insigel den 25. 9.bris Anno 1573. Vffgerichteter Pergamentiner v.schreibung

Daniel Steinbock (auquel la maison doit avoir été attribuée par enchère judiciaire) vend la maison au tonnelier Michel Hermann Utz et à sa femme Ursule

1652 (21. X.br), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 724-v
(Prot. fol. 125.) Erschienen H Daniel Steinbockh EE groß. Rhats alter Beÿsitzer
hatt in gegensein Michael Hermann Utzen deß küeffers und Ursulæ seines haußfrau
hauß hoffstatt höfflin, mit allen deren Gebäwen & alhie in der heÿlig. liecht. Gaß, einseit neben einer Behaußung der Roth. Kirch. gehörig, anderseit neben H Dr. Johann Wolffgang Pfeilen, hind. vff H Dr. Nicolaum Agerium stoßend gelegen, so verhafftet ist umb 300. fl. wehr. H dr. Nicolao Philippo Scheid.n Vnd dann umb 200. fl. wehr. H dr. Melchior Greinern & cons. – umb 37. lb

Fils du tonnelier Michel Herrmann, Michel Herrmann épouse en 1635 Salomé, fille du cordonnier Gaspard Lentz. Il porte ensuite le nom de Hermann Utz (p. ex. Michael Hermannutz der Küeffer und Burg. Zu Straßburg, Und Salome Lentzin, 1646, Chambre des Contrats, vol. 497 f° 279-v)
Mariage, cathédrale (luth. p. 364)
1635. Domca XII. Trin. 16. Aug. Michael Herrman der Küeffer, Michael Hermann deß Küeffers N. Sohn, vnd J. Salome Caspar Lentzen des schumachers E. Tochter, eingesegnet Mont. 29. aug. (i 187)

Michel Herrmann Utz se remarie en 1649 avec Ursule, fille du tailleur Balthasar Schneider
Mariage, cathédrale (luth. f° 523)
1649. Dom. 16. Trinit. Michael Hermann Vetz der Kieffer Vnd Burger allhier, J. Ursula, Balthasar Schneiders, deß geweßenen Schneiders Vnd Burgers allhier Nachgelaßene eheliche dochter, Im Münster, Mont. den (-), i 271.

La même maison revient (par adjudication judiciaire) au receveur Jean André Mergilet dont la femme Salomé Birtsch, veuve de Nicolas Philippe Scheid, détenait le capital de 300 florins assis sur la maison. Jean André Mergilet vend la maison au tonnelier Tobie Burckhart le jeune. Le titre obligataire de 1573 est à nouveau mentionné.

1673 (28.Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 373
herr Johann Andres Mergilet Schaffner deß Closters zu den Rewern alhier, wie auch E.E. Sÿbener Gerichts Actuarÿ
in gegensein Tobiæ Burckhards deß Jüngern Kieffers
Hauß, hoffstatt höfflin und Stall mit allen deren Gebäwen begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier hinder der Zunntstub Zur Lucern in der so genannten heÿligen Liechtgaß einseit neben Einer behaußung der Rothen Kirch eÿgenthümblich gehörig, anderseit neben herren Johann Wolffgang Pfeilen U.I.D. hinden uff weÿl. herren Nicolai Aggers Med. Doct. nunmehr seel. nachgelaßene Wittib und Erben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen Vermög einer teutschen Pergamentinen sub dato 25. Novembr. Anno 1573. außgefertigter und mit deß bischofflichen Hoffs anhangenden Insigel Verwahrter Zinnß Verschreibung termino Simonis et Judæ Apostolorum 15. fl. Straßburger wehrung widerlößig mit 300. fl. erwehnter wehrung denen Haußarmen beÿ allhiesigem Münster – umb 75. fl.

Fils du tonnelier Tobie Burckhart, Tobie Burckhart épouse en 1663 Susanne Ichinger, fille du pelletier Georges Ichinger et veuve du boulanger Vincent Limberger qu’elle avait épousé en 1650.
Mariage, cathédrale (luth. f° 526)
1650. Dom. Sexagesima. Vincentz Limberger der Weißbeck Vnd burger allhier J. Susanna, Geörg Ichinger deß Kürschners Vnd burgers allhier eheliche Tochter. Im Münster, Montag (i 274)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 130, n° 9)
1663. Mont. 23. Februarÿ. Tobias Burckhardt ledi. Küffern Tobiæ Burckhardt, Burgers und Küffers allhie ehel. Sohn, Vndt Susanna Weÿl. Vincentz Lÿmburger Burgers Vnd Weißbecken allhie nachgelaßene Wittib. Eingesegnet J. St. Peter Eodem die (i 142)

Tobie Burckhart hypothèque la maison et une distillerie au profit des enfants du sénateur Antoine Flach.

1676 (14. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 47
Tobias Burckhardt der Kieffer
in gegensein herrn Anthoni Flachen Alten Großen Rhats Verwanthens und ietzmahligen beamptens im Vmbgelt alß Vogts weÿl. Herrn Anthoni Flachen wohlgedachten Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßenen Zweÿer Kinder benantlichen -, schuldig seÿe 100 Pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt, Höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen und Zugehördten alhier hinder der Zunnftstub Zur Lucern in der so genannten heÿligen Liechtgaßen, einseit neben Einer behaußung der Rothen Kirch Zuständig, anderseit neben herren Johann Wolffgang Pfailen U.I.D. hinden uff weÿl. herrn Nicolai Aggers Med. Doct. nunmehr seel. nachgelaßene wittib und Erben stoßend gelegen
Item Eine Brennhütt mit 3. Keßlen und dem daran gelegenen Gärtlein alhier Vor dem Schießrhaÿner Thor beÿm Beckhenwäldlein, einseit ist ein Eckh Vornen han der Bruckhen, anderseit neben Ulrich Haasen dem Küeffer, hinden uffs waßer stoßend gelegen, davon gehend iährlichen j. lb 6. d bodenzinß der Statt Straßburg

Tobie Burckhart et sa femme Susanne hypothèquent la maison et la distillerie au profit de Balthasar Frédéric Saltzmann, pasteur à la cathédrale.

1676 (1. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 399-v
Tobias Burckhard der Kieffer und Susanna beÿde Eheleuth, und Sie Susanna insonderheit mit beÿstand Hannß Georg Kagers deß Hohlträhers und Johann Langen deß Nadlers beeder alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein deß Hocht Ehrwürdig- hochgelehrten herrn Balthasar Friderich Saltzmanns SS Theol. Licent. und Pfarrers deß Münsters – schuldig seÿen 200. lb straßburger, Ihnen Zu dem Ende bahr gebühenen Gelts daß Sie damit nach beschriebene behaußung so sehr bawfällig seÿe repariren Können
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein und Stall mit allen deren Gebäwen, begriffen, weither, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier Hinder der Zunfft stub Zur Lucern in der sogenannten heÿligen Liechter Gaß einseit neben einer behaußung der rothen Kirch eÿgenthümblich gehörig, anderseit neben herrn Johann Wolffgang Pfeilen U.I. D. hinder uff weÿl. Herrn Nicolai Agerÿ Med. Doct. nunmehr seel. nachgelaßene Wittib und Erben stoßend gelegen
Item eine Brennhütt mit dreÿen Keßlen und der Gerechtigkeit uff dem dabeÿ gelegenen Gärtlein und aller Zugehördt Vor dem Schießraÿhner Thor beÿm Beckhen wäldlein, einseit ist ein Eckh vornen ahn der Bruckhen, anderseit neben Ulrich Haaßen dem Kieffern hinden uff daß waßer stoßend gelegen, davon gehet iährlichen 1 lb 6 ß bodenzinß gemeiner Statt

Tobie Burckhart et sa femme Susanne hypothèquent la maison et celle qui lui est contiguë dans la rue voisine au profit du maître de poste Jean Balthasar Kraut

1680 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 253
Tobias Burckhardt der Kieffer und Susana sein Eheweib und Zwar Sie Susanna insonderheit mit beÿstand hannß Georg Kagers deß Trähers und Johann Langen deß Nadlers alß deroselben hierzu erbettenen nechster Verwanther
in gegensein deß Ehren Vest- fürsichtig und Weÿsen herrn Johann Balthasar Krauten deß Postmaÿsters und E.E. großen Rhats beÿsitzers – schuldig seÿen 250. lb
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein und Stall mit allen deren Gebäwen, begriffen, und zugehördten alhier hinder der Zunfft Stub Zur Lucern in der sogenannten heÿligen Liecht Gaß, einseit neben einer behaußung der rothen Kirch zuständig, anderseit neben Elia Trenner dem Schuhmacher, hinden auff die Fettichische Kinder stoßend gelegen,
Item hauß, hoffstatt, höfflein, mit allen deren gebäwen begriffen und zugehördten, in gedachter Liechtgaß einseit neben Niclaus Winter dem Schneider, anderseit neben obgemelter Fettichischen Kindern, hinden zum theil uff die schuldbekennende Eheleuthe selbsten, und theils uff obbesagten Trenner stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein dieterich Störckel alß Nunmahlig. proprietarÿ hierinn bemeldten in d. Heÿligen liechter gaß liegend. Haußes (quittung) act. d. 21.t augusti 1714.

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1681 (14.7.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 328-v
Tobias Burckhardt der kieffer
in gegensein deß Edel, Fromb undt wohlweißen herrn Johann Balthasar Krauten deß beständigen Regiments der Herren Fünff Zehen – schuldig seÿen 150 lb
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein, stallung mit aller deren gebäwen und zugehördten alhier hinder der Zunfft stub zur Lucern in der sogenannten heÿligen Liechtergaß, einseit neben eine behausung der Rothen Kirch Zuständig, anderseit neben Eliä Trenner dem Schuhmacher, hinden uff die Fettichische Kinder stoßend gelegen,
Item Hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebaüwen, begriffen, undt zugehördten, in ged. Liechtergaß, einseit neben Niclaus Winther dem Schneider, anderseit neben obgemelten Fettichischen Kinder, hinden Zum theÿl uff obgemelte behausung und theÿls uff obbesagten Trenner stoßend gelegen
[in margine :] Susanna, hierin bemeldt Debitoris eheweib mit beÿstand hannß Georg Kagers des Trähers undt Johann Langen deß Nadlers beede Ihrer Vetters (ratificirt), Act. d. 20.t Jan. 1684

Calcul sommaire de la succession de Susanne Ichinger et biens dont le veuf a la jouissance, parmi lesquels la maison rue des Chandelles

1691, Not. Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 6) n° 228
Summarische Ersuch und respective Eÿgenthumb und Wÿdumbs berechnung, Weÿl. Frauen Susannæ gebohrner Ichingerin Meister Tobiæ Burckhardt des Kieffers und burgers allhier zu Straßburg gewesener lieben haußfrauen seel. Verlaßenschafft, Nach anleitung Inventarÿ unterm ii febr. Anno 1691, durch mich den unterschriebenen Notarium über Solche Verlaßenschafft auffgerichtet.
der haußrath und Vahrende haab à fol. 15.a biß fol. 29.b ist angeschlagen dem Stalltax nach per 67. lb, Welche sambt der ordinari und extraordinari besserung dem wittiber (…)
Eÿgenthumb ahne Hausern fol. 40. 41. et 42. die in heÿligen liechtengaß gelegene wohn behaußung fol: 40 und 41. beschrieben ist über die darauf stehende beschwerd von 300 pf. Straßburger wehrung den hausarmen beÿ der Münster Jetzo beÿ der Prediger Kirch alhier gehörig, sonsten für freÿ ledig undt Eÿgen dem wittiber cedirt und überlaßen Zumalen Von Ihme also acceptirt undt angenommen worden pro 600. lb

Tobie Burckhard se remarie en 1691 avec Marie Catherine, fille de Jean Christophe Milius, greffier du bailliage de Lahr en Bade.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 34-v)
1691. Eodem [d. 3. octobris] Tobias Burckhard Kieffer und Burger alhie Und Jungfrau Maria Catharina Herrn Johann Christoph Milius fürstlichen Baden durlachischen Amptschreibers Zu Lahr eheliche Tochter [unterzeichnet] Tobias Burckhardt hoch Zeiter, Maria Catharina Mÿliusin hochzeiterin (i 36)

Marie Catherine Milius devient bourgeoise en septembre 1691 par son fiancé.
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1079
Maria Catharina Miliußin Von Lahr, H. Joh: Christoph Milius, des Ambtschreibers daselbst Ehl: tochter empfangt das burgerrecht Von Tobias burckhardt, dem burger und Küffer allhier, ihrem jetzmahligen Verlobten gratis, ist noch ledigen standes Vnd wird Zu E.E. Zunfft der Küeffer dienen. Prom: d 12. 7.br: 1691.

Tobie Burckhard et Marie Catherine Milius hypothèquent la maison au profit de l’Orphelinat.

1699 (29.6.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 349
Tobias Burckard der Küffer und Maria Catharina geb. Myliußin und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Samuel Grünau, deß Handelßmanns, und H. Johann Welper deß Jüngern, deß Scribenten, Ihres respect. Vettren Und Schwagers [unterzeichnet] Tobias Burckhardt, Maria Catharina burckhartin
in gegensein Herrn Johann Friderich Sachßen, deß Schaffners im waisenhauß – dem Waisenhauß schuldig seÿen 5 pfund, Ferner hat Er Burckard für seine Person angezeigt, daß Er dem waisenhauß auß guten willen und bleser Freÿgebenheit per donationem inter vivos verehrt habe 25 pfund
unterpfand, Erstlich Seine Wohnbehaußung, höffein, sambt dero hoffstätten und allen deren gebaüen, Recht. Und Zugehördten allhier in der Heÿlig. Liechtengaß, einseit neben eier behaußung dem Corporis der Pensionen gehörig and.seit neb. Elias trenner den Schuhmacher zum theil und zum theil neb. hernach bemelter behausung, hinden auff H, Andreas Greuhm, d. jüngern Apotkheckern stoßend geleg., welche behaußung umb 150 Capital, 210 lb, 150 lb, 50 lb (verhafftet)
So dann Eine behaußung und höfflein In St. Barbaræ Gaß, einseit neben Marx Schätzel dem Spengler, and. seit neben obged. H. Greuhm hinden auff vorbemeldte behaußung stoßend geleg.

Inventaire après décès d’une locataire, Anne Marie Olter femme abandonnée du fourbisseur Jean David Kuntz qu’elle a épousé en 1692.

1705 (23.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 13) n° 487 (488)
Inventarium über und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegend und Vahrender, keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren: vnd tugendreiche Fraw Anna Margaretha Kuntzin gebohrne Olterin, deß Ehrengeachten herrn Johann David Kuntzen, Schwertfeger vnd bedientens im Umbgeld, auch Burgers allhier zu Straßburg, welcher ohnlängstens von hier außgetretten, geweßene haußfraw nunmehr seel. nach ihrem den 12. Febr deß allererst Zurückgelegten 1704.ten Jahrs aus dießer welt genommenen Tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenvesten, Kunstreichen und wohlvorgeacht, Herrn Johann Theobald Olters berühmten Silberarbeiters vnd burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Diebolds der abgeleibten fraw Seel. mit vorgemeltem Ihrem hinderbliebenen und derzeit von hier entwichenen Wittibern Ehelich erzeugten Söhnleins vnd ab intestato nachgelaßenen eintzigen Erbens, welch aber nomine principalis solche hæreditæt anderer gestalten nicht als cum Beneficio Legis et Inventarÿ anzutreten sich expresse resolvirt, fleißig inventirt, vnd ersucht durch Ihne herrn vohten wie auch Dorothea Bäurerin von Pfortzheim gebürtig die dienstmagd, welcfe biß dato die haußhaltung geführt (…) So beschehen in ferneren gegensein deß Ehren: vnd wohlvorgeacht, herrn Friderich Kuntzen Kübler und burgers allhier Zu Straßburg deß Wittibers Vatters brudern, Freÿtags den 23.ten Januarÿ 1705.

In einer allhier zu Straßburg ane der heÿligen Liechtergaß gelegenen und Tobia Burckhard, dem Kieffern Eigenthümlich zuständigen behaußung, ist befunden worden
In der Wohnstuben, In der Stub Cammer In der Kuchen
(f° 5) Eÿgenthumb ane einem Goldschmids Laden (E.) Item Ein Goldschmids Laden, auff dem Prediger Kirchhoff (…)
Ergäntzung des Erbens abgegangenen unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, durch weÿl. Herrn Johann Schübler, geweßenen Notm. publ/ seel. in Anno 163 auffgerichtet
(f° 12) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Erbens unverändert Guth betr. Sa. Haußraths 42, Sa. Silbers 2, Sa. Guldener Ring 11, Sa. Pfenningzinß hauptguths 39, Sa. Eigenthumbs ane i. Goldschmids lad. 100, Sa. der Ergäntzung 139, Sa. Activ Schulden 25, Summa summarum 359 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. Haußraths 32, Sa. der Wahren 4, Summa summarum 37 lb – Schulden 236 ln ; In Compensatione,passiv onus 198 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 161 lb
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann David Kuntzen, Meßerschmidten deß Wohl Ehren Vest und Großachtbarn Herrn Johann Ludwig Kuntzen auch Meßerschmidts und E. E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers allhier Zu Straßburg mit der Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Anna Margaretha gebohrner Benderin deßen Eheliebstin ehelich erzeugtem Sohn, alß dem Bräutigam ane einem, So dann der Viel Ehr und tugendreichen Jungfrauen Annæ Margarethæ gebohrner Oltterin, Weÿland deß Wohl Ehrenvest und Kunstreichen Herrn Johann Theobald Oltters geweßenen Silberarbeiters und burgers allhier Seel. mit auch Weÿland der Viel Ehr und tugendreichen Frawen Anna Magdalena gebohrner Geringin Seliger ehelich erzeugter dochter alß der Jungfraw hochzeiterin andern theils (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichenen Freÿen Statt Straßburg Mittwochs den fünfften Novembris Neuen Calenders Anno 1692 Johann Philipp Schübler Notarius publicus juratus
N° 488, Verkauff und Looß Registerlein

Tobie Burckhard hypothèque la maison au profit du brasseur Jean Thierry Schlehenacker

1711 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 556-v
Tobias Burckardt Kiefer
in gegensein H. Dietrich Schlehenackers bierwürts zuem Störckel – schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert. allhier in der Heÿligen lichtengass, einseit neben einem hauß nach St Marx gehörig anderseit neben einem hauß zuer rothen Kirch gehörig hinten auff H. Andres Greuhm

Marie Catherine Milius veuve de Tobie Burckhard vend la maison au brasseur Jean Thierry Schlehenacker (son beau frère)

1713 (16.5.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 301-v
(1250) Maria Cath: geb. Miliußin weÿl. Tobiae Burckards kiefers wittib beÿständlich H. Joh: Wolpert Not: publ: ihres vogts
in gegensein Dietrich Schlehenackers bierwürts zum Störckel
hauß höfflein hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der heiligen liechter gass, einseit neben einer behaußung dem Stifft St Marx gehörig anderseit neben einer behaußung dem Corpori der pensionen zuständig hinten auff H. Andres Greuhmen – (um 150, 150, 250 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 600 pfund)

Madeleine Schneider, fille du fabricant de bonnets Paul Schneider de Heidelberg demande l’intercession de la Ville après que le fils de bourgeois Jean Thierry Schlehenacker lui a promis le mariage.
1680, Conseillers et XXI (1 R 163)
Magdalena Schneider Ca. Dietrich Schlehenacker. 378.
(p. 378) Sambst. den 8. Januarÿ 1681. – Lect. Schreiben Von der Statt Heidelberg an Mghh. vom 28. Xbris 1680. recommendirt Magdalenam, Paul Schneiders, des Kappenmachers daselbst eheliche Tochter, deren Dietrich Schlehenacker, der alhiesige Burgers Sohn, Küeffer Handwercks die Ehe Versprochen haben solle, mit bitt deroselben Zu schleünigem Rechten Verholffen Zu sein, Erk. An E. E. Raht gewiesen.

Fils du marchand épicier Louis Schlehenacker, Jean Thierry Schlehenacker épouse en 1682 Marie Madeleine Schmidt, fille du chef de chantier des Maçons
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 300)
682 Domin. V. post Trinit: 28 Junÿ, H. Dietrich schlenacker d. Biersieder allhier weÿl. hrn. Ludwig Schlönnackers deß Specereÿ händlers allhier ehl. Sohn, V. Jgfr. Maria Magdalena hrn. Andreæ Schmids deß Werckmeisters auff dem Maurhoff V. burger allhier ehl. tochter. Copul. Donnerstag 9. Julÿ (i 314)

Procl. mariage, Saint-Thomas (luth. p. 102, n° 601)
1682 d. 28 Junÿ 5 Julÿ. 5 et 6. Trin., H. Dietrich Schloenacker der ledige Biersied. allhie weÿl. H. Ludwig Schlönnacker burgers undt specirers allhier hint.laßenen ehelich. Sohn, Jgfr. Maria Magdalena H. Andreæ Schmids deß Werckmeisters uff dem Maurhoff eheliche tochter. Copul. zu Jung. St. Peter den 9. Julÿ (i 53)

Native de Colmar, Marie Madeleine Schmidt devient bourgeoise par son mari quelques mois après son mariage
1682, 4° Livre de bourgeoisie p. 493
Maria Magdalena Schmidin von Collmar, H. Dietrich Schlehenackers des biersieders Zum Störckel haußfr. empfangt das burger recht von ihrem Ehemann pro 8. gold fl. weclches Sie beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zuvor ledigen standts gewesen, promis. 29. Xbr. 1682.

Jean Thierry Schlehenacker se remarie en 1694 avec Marie Barbe Vogt, fille du marchand de bois Jean Thiébaut Vogt
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 52-v)
1694. Domin. VII et VIII. post Trinitat: proclmati sunt Hr Johann dietrich schlönacker der bierbrauer vndt burger alhier Vndt Jfr. Maria Barbara Hrn Dieboldt Vogt deß holtzhändlers undt burgers alhier ehl. tochter copulati sunt Mittw. d. 4. Augusti [unterzeichnet] dietrich Schlennacker alß hochzeiter, Maria Barbara Vögtin alß hoh Zeigterin (i 55, procl. Saint-Thomas i. 45)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Thierry Schlehenacker à se remarier pendant son deuil
1694 Conseillers et XXI (1 R 177)
Dietrich Schlenacker pct° temporis luctus. 104.
(p. 104) Sambstags den 24. Julÿ 1694. – S. ersch. Dietrich Schlenacker, biersieder Zum Störckell, producirt seiner frawen seel. documentum mortis vom 24. Februarÿ jüngst, und weilen derselbe wie bekand ein schwehre haußhaltung hatt, und er sich deßwegen mit Jfr. Anna Barbara, deß Diebolds Vogten Tochter Verlobt, auch eine Kleine Zeith Zu einem halben jahr annoch übrig, alß b. hierunter gdg. zu dispensirern.
Erk. gratis willfahrt.H. XV. Richshoffer, H. Lemp.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports près de la place des Cordeliers dans la brasserie au Cigogneau qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1 206 livres, ceux de la femme à 435 livres.
1694 (30. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 20) n° 31
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. Haab, Nahrung vnd Güttere, so der Ehren Veste H. Dietrich Schleenacker, Biersieder Zum Störckel und die Viel Ehren: und Tugendreiche Fraw Maria Barbara Schleenackerin, gebohrne Vogtin, beede Eheleüth vnd burgere alhier Zu Straßburg, einander für onverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrungen der ursach halben, damit mann sich künfftiger Zeit der Ergäntzung wegen desto baß darnach Zu reguliren haben möchte (…) Actum In beÿsein /s:t:/ herrn Dieboldt Vogten deß ältern holtzhändlers und Fr. Mariæ Barbaræ Vogtin beeer Eheleuth alß der frawen Geliebter Eltern wie auch H. Johann Philipp Brandhoffers biersieders deß herrn Kinder Erster Ehe Geschwornen Vogts, aller burgere alhier, Donnerstags den 30. Septembris Anno 1694.

In dem Bierhauß Zum Störckel genant u. in dieße Nahrung gehörig befunden worden wie volgt. Auff der Bühn, Auff der Undern bühn, In der Cammer A, Im obern hinder Stübl. In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießer Cammer, Im Stüber auff dem überhang, Im Stub Cämmerlein, Im Haußöhren
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item die Bier behaußung Zum Störckel genant vnd.halb der Groß. Erbslaub. (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns unveränderte Nahrung Betreffend, Sa. haußraths 688, Sa. Werckzeugs auff Schiff und geschirrs Zum Küeffer handwerckh und biersieden Gehörig 122., Sa. Frucht v. maltz. 335. Sa. Bier, Brandenweins v. Leerer Vaß 551, Sa. Pferds sampt Schiff und geschirrs 39, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 105, Sa. Guldenen Ring 23, Sa. baarschafft 290, Eigenthum ane einer behaußung (o), Sa. Pfenningzinß hauptgüter 15, Sa. Schulden 136, Summa summarum 2309 lb – Schulden 1102 lb, Nach Abzug deren 1206 lb
Der Frawen unverändert Vermög. Sa. haußraths 144, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. Guldener Ring 25, Sa. baarschafft 256, Summa summarum 435 lb
Haussteuren 61 lb

Marie Barbe Vogt meurt en 1704 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la brasserie au Cigogneau. La masse propre au veuf est de 2 777 livres, celle des héritiers de 367 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 197 livres, le passif à 1 964 livres.
1704 (10.4.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 7) n° 150
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güethere, liegender vndt fahrender, Veränderter vndt Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. die Viel Ehren und tugendbegabte fraw Maria Barbara Schlehenackerin gebohrne Vogtin deß wohl Ehrenhafften Herrn Dieterich Schlehenackers Bierbrauers vndt burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfraw nach ihrem d. 11. Januarÿ dießes lauffenden 1704. Jahrs beschehener seeligen hinscheiden, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, deß Wohl Ehren Vesten gechtsgelehrten vndt Großachtbahren H. Johann Heinrich Langen deß ältern Notarÿ publici vndt berühmbten Practici alß geschwornenn Tutoris Johannis vnd Mariæ Barbaræ der Schlehenackere, der Verstorbenen frawen seel. mit vorbemeldem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder vndt ab intestato nacheglaßener rechtsmäßiger Erben (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer Gegenwärtigkeit der Viel Ehren vndt Tugendreichen frawen Maria Barbara Vogtin gebohrner Borstin weÿl. deß Ehrenvesten hrn Diebold Vogts geweßenen Holtzhändlers vndt Burgers alhier seel. hinterlassener Wittib der Verstorbenenn seel. geliebten Mutter, Donnerstag d. 10. Aprilis Anno 1704.

In einer in der Statt Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegenen dem Wittiber Zuständigen und hernach beschriebenen Zum Störckel genannten bierbrawer behaußung befunden Worden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, Vor dießer Cammern, In der Soldaten Cammer, In d. Cammer B, Vor dießer Cammer, Im obern Vordern Stübl. In der Stub Kammer Im obern vordern haußöhren,, In der hindern Stuben, In der hindern Stub Kammer, Im der Gast Stub, In der Kuchen (vide hernach)
Ergäntzung deß Wittibers abgegangenen Unveränderten Guths, durch herrn Johann Heinrich Langen Seniorem Notarium Publ. in Anno 1694. auffgerichtet
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstlichen eine Bierbehaußung Zum Störckel genant
ohnfern dem Baarfüßer platz (…)
(T.) Item eine Gastherberg Zum Salmen genannt, sambt hoff, hoffstatt vndt überigen dero begriffen, Weithen, rechten, Zugehördten vndt Gerechtigkeiten gelegen alhie in d. Statt Straßburg ane dem Kornmarckh, einseith neben tobias Stephan dem Sattler, anderseith neben hrn Bartholomeo Erasmo Albrecht dem Kupffersch. hinden auff die heilige Liechtengaß stoßendt, davon gehen Jährlichen auff den 22.ten 9.bris 12. lb 10 ß d Zinnß herrn Francisco Reißeißen, Contractuum Actuario widerlößig mit 250. lb d. Ferner 12. lb 10 ß d Zinnß Verfallet Jähr. termino Joh. Bapt: ablößig mit 250. lb d. So dann 7. lb 10 ß Zinß Jahrs auch auff Joh. Bapt: Peter Burÿ des geweßenen Salmenwürths Kindern ablößig mit 150. lb d. Sonsten freÿ ledig undt eigen undt über Vorherbeschriebene beschwerhrten durch die herren Werckmeistern angeschlagen 1450. lb d. Darüber ist Vorhand. ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhagendem Cantzleÿ Contract Insigel Verwahret sub dato 1.ten Julÿ 1700. Ferner ein teutscher pergamentener Ganthbrieff mit erstvorerwehntem Contract Insigell gehengt de dato 9. 7.bris aô 1699. beede mit N° 9 signirt
(T.) Item ein Kleine Baraque gleich inwendig ahne dem Steinstraßer thor neben der Wachtstuben (…)
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des Wittibers unverändertes Guth, Sa. haußraths 166, Sa. Werckzeugs, Schiff und geschirrs Zum Kieffer und biersieden handwerck gehörig 40., Sa. der Lähren Vaß 44, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 39, Sa. Guldenen Ring 11, Sa. baarschafft 19, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1396, Sa. Ergäntzung (1494, gehet ab 239, Rest) 1257, Summa summarum 2965 lb – Schuld 187 lb, Nach Abzug solcher 2777 lb
Der Kinder und Erben Mütterliche unveränderte Nahrung. Sa. haußraths 49, Sa. Silber Geschmeids 3, Sa. Guldener Ring 8, Sa. der Ergäntzung 306, Summa summarum 367 lb
Das gemein Verändert und Theilbare Gueth, Sa. haußraths 81, Sa. Pferds, Holtz, Reÿff und bandt auch Schiff und geschirr Zum biersieden handwercks gehörig 51, Sa. der Frucht, Maltz und Hopffen 40, Sa. der Wein, Bier und Lähren Vaß 420, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 38, Sa. Goldener Ring 6, Sa. der baarschafft 232, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 724, Sa. Eigenthums ane Häußern 1465, Sa. der Schulden 136, Summa summarum 3197 lb – Schulden 1964 lb, Compensando verbleibt 1222 lb
Verstallungs und Beschluß summa Inventarÿ 4704 lb
Wÿdumb so der Wittiber genießet. Es Hatt weÿland Fraw Maria Magdalena gebohrne Schmidtin, deß dißorths Wittibers erstere Haußfrau selig crafft eines Vor Weÿland H. Joh: Christoph Stöffel Notario publico den 16. Xbris Anno 1682. auffgerichteten Codicill, Ihme Ihro samptliche Verlaßenschafft Zum lebtägigen Wÿdumb verschafft
Abschatzung den 4. Martÿ aô 1704. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen herrn Dieterich Schlenacker biersieder Zum Störckel ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg beÿ dem baarfüßer Platz Zum überhang (…)
Die ander behausung auch alhie in der Statt Straßburg beÿ dem Korn Marckt gelegen das Wirtshauß Zum Salmen einseit neben herrn Tobias Stephan Sattler, anderseits neben herrn Bartholome Asimus Albrecht Kupferschmidt hinden auff heÿlige liechtergaß stosendt Welche behausung hatt Nebens hinder gebäu und bronne sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befinden undt jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Vier tausendt undt zweÿ hundert Gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Jean Thierry Schlehenacker se remarie en 1704 avec Marie Dorothée Milius, fille du greffier au bailliage de Lahr et veuve du notaire Jean Daniel Scherer avec lequel elle s’est mariée en 1692.

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 21-v, n° 19)
1692. Vff heut Mittwoch den 5. 9.bris 1692. seind nach Zweÿmahlig. Außruffung Zu S Aurelien eingesegnet worden Joh: Daniel Scherer wohlverordneter Schaffner des Blatterhaußes v. Burgers alhier b Jungfr. Maria Dorothea, H. Joh: Christoph Milÿ amptschreibers Zu Lahr eheliche dochter. [unterzeichnet] Johann Daniel Scherer als Hochzeiter, Maria Dorothea Mÿliusin als Hochzeiterin (i 23)

Contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenthafft und Vorachtbahren Herrn Dietherich Schlehenacker bierbrauer Zum Störckel burger allhie Zu Straßburg alß dem bräutigamb ahne Einem, So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Dorotheæ Schehrerin gebohrne Miliußin, weÿland deß Wohl Ehren Vesten und Wohlvorgeachten Herrn Johann Daniel Schehrers geweßenen Schaffners daß allhießigen blatterhaußes seeligen hinterlaßener Frauen Wittib alß der hochzeiterin am anderntheil -Beschehen und verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg Freÿtags den 19. tag deß Monaths Septembris im Jahr den herrn aß mab Zahlte 1704. [unterzeichnet] Christian Gallus alß Schwager, H. Philipp Brandhoffer, Johann Heinrich Lang Senr Nots. deß herrn hochzeiters Kinder 2.ter Ehe geschworner Vogt, Johann Friderich Mylius der Hochzeiterin Bruder, Johann Welper der jünger der Frau hochzeiterin Vogt und Schwager

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 98-v)
1704. Heut dato den 8. 8.bris haben sich Christlich copuliren v. Ehelich Einseegnen lassen Hr Dietherich Schleenacker der burger v. biersieder alhier vndt Fr. Maria Dorothea Scherrin gebohrne Mÿliusin Weÿland H Daniel Scherers geweßenen Schaffners des Allhiesigen Blater haußes Nachgelaßene Wittwe, [unterzeichnet] dietrich Schlennacker alß hochzeiter, Maria Dorothea schlehenackerin als hochzeiterin (i 106)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 2 772 livres sans la maison, ceux de la femme à 531 livres.
1705 (25.3.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 7) n° 169
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung undt Güethere, Liegender Undt fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Wohl ehrenthaffte und vorachtbare Herr Dietrich Schlehenacker, bierbrauer und die Viel Ehren und tugendbegabte Fraw Maria Dorothea Schehererin gebohrne Miliußin, beede Eheleuthe und Burgere alhier zu Straßburg einander in ihren mit einander angetrettenen Ehestand zugebracht haben, und sich deren jedes Vermög Ihrer Zwischen Ihnen auffgerichteten Heüraths beredung für unverändert Vorbehalten hatt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem beÿseÿn der Wohl Ehrenvesten Kunst berühmbten Rechts erfahrnen groß und Wohl Vorachtbaren Herrn, Herrn Christian Gallus, Chirurgi deß Ehemanns geliebten Schwagers, ferner H. Johann Philipp Brandhoffers Bierbrauers, seiner jüngern tochter erster Ehe geschwornen Vogts, weiter herrn Johann Heinrich Langen Senioris Notarÿ publici und berühmbten practici seiner beed. Kinder mittlerer Ehe geschwornenn Tutoris, auff sein deß Ehemanns, So dann Herrn Johann Welpers deß jüngern der Schreibereÿ erfahrenen der Ehefrauwen geliebten Schwagers und noch ohnentledigtenen Vogts, auff Ihrer seithen erbettenen beÿstandts, Mittwoch den 25.ten Martÿ Anno 1705.

In einer in der Statt Straßburg ahne dem Baarfüßer platz gelegenen Zum Störckel genannten in deß Ehemanns Nahrung eigenthümlich gehörigen bier behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. (M.) Erstlichen eine Bierbehaußung Zum Störckel genant ohnfern dem Baarfüßer platz (…)
(M.) Item eine Gastherberg Zum Salmen genannt, sambt hoff, hoffstatt vndt überigen dero gebäwen, begriffen, Weithen, rechten, Zugehördten vndt Gerechtigkeiten gelegen alhie in der Statt Straßburg ahne dem Kornmarckh, einseith neben Tobias Stephan dem Sattler, anderseith neben hrn Bartholomeo Erasmo Albrecht dem Kupfferschmidt, hinden auff die heilige Liechtengaß stoßendt, davon gehen Jährlichen auf den 22.t 9.bris 12. lb 10 ß d. Zinnß herrn Francisco Reißeißen, Contractuum Actuario widerlößig mit 250. lb d. Ferner 12. lb 10 ß d Zinnß Verfallet Jährlichen termino Johannis Baptistæ ablößig mit 250. lb d. So dann 7. lb 10 ß Zinß Jahrs auch auff Johannis Baptistæ Peter Burÿ deßgeweßenen Salmenwürths Kindern ablößig mit 150. lb d. Sonsten freÿ ledig undt eigen vndt gleich wie die vorhergehende ohnaußgeworffen gelaßen. Darüber ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhagendem Cantzleÿ Contract Insigell Verwahrt sub dato 1.ten Julÿ A° 1700. Ferner ein teutscher pergamentener Ganthbrieff mit erstvorerwehntem Contract Insigell behengt de dato 9. Septembris Anno 1699. beede mit N° 9 notirt
(M.) Item eine Kleine Baraque gleich inwedig ahne dem Steinstraßer Thor neben der Wachtstuben
Wÿdumb so der Ehemann von seiner erstern Haußfrawen seelig genießt. Es Hatt weÿland Fraw Maria Magdalena gebohrne Schmidtin, deß dißorths Ehemanns erstere Haußfraw selig vermög eines Vor Weÿland H. Joh: Christoph Stöffel Notario publico den 16. Xbris Anno 1682. auffgerichteten Codicill, Ihme Ihro samptliche Verlaßenschafft Zum lebtägigen Wÿdumb verordnet
Wÿdumb so der Ehemann von seinen beeden Kinder Zweÿter Ehe genießget hatt. Vermög deß Zwischen dem Ehemann und Weÿland Fr. Maria Barbara gebohrnee Vogtin seiner Verstorbenen Zweÿten Ehefrawen seeligen durch Weÿl. H Johann Philipp Schüblern Notarium publicul seeligen den 12. Octobris Anno 1697. auffgerichteten Codicilli Reciproci §° Zum andern
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in dieße Ehe gebrachtes Guth, Sa. haußraths 444, Sa. Frucht und Meels 27. Sa. deß Biers, Vaß, Hopffen 784, Sa. des Weins und Lähren Vaß auch Schiff und geschirr Zum Kieffer handwerck gehörig 593, Sa. Pferds sampt deßen geschirrs wie auch Häw 59, Sa. Silber geschirrs und Geschmeids 123, Sa. Guldenen Ring 45, Sa. der baarschafft 401, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 643, Sa. Eigenthumbs ane Häußern ust verglichener maßen nichts außzuwerffen, Sa. Schulden 249, Summa summarum 3373 lb – Schulden 1388 lb, Nach Abzug deren 1984 lb, Dazu seindt Zulegen die jenige Wÿdumb so der Elisabeth geneißt 187 und 600 lb, des Ehemanns gantze substantz 2772 lb
Der Ehefrawen in dieße Ehe gebrachtes Vermögen. Sa. haußraths 216, Sa. Silber geschirrs und Geschmeids 41, Sa. Guldener Ring 60, Sa. baarschafft 213, Summa summarum 531 lb

Jean Thierry Schlehenacker meurt en 1720 en délaissant deux enfants de son premier mariage, deux du deuxième et deux du troisième. L’inventaire est dressé dans la brasserie au Cigogneau. Les experts estiment la maison rue des Chandelles à 1 150 livres. La masse propre à la veuve est de 587 livres, celle des héritiers de 6 554 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 380 livres et le passif à 7 255 livres.

1720 (8. 8.br), Not. Mader (6 E 41, 675) n° 356
Inventarium über Weÿl. deß Ehrenvesten und Wohlvorgeachten Herrn Dietrich Schlehenackers geweßenen biersieders und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1720. – nach seinem den 11. Septembris deß Zu end lauffenden 1720.ten Jahrs beschehenen tödlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft dan auf freundliches ansuchen erfordern und Begehren der ane hernach folgendem folio in specie benambßten Erben inventirt und ersucht, durch die Viel Ehr: und Tugendsahme Frau Mariam Dorotheam Schlehenackerin gebohrne Mÿliusin die hinterbliebene betrübte fraw Wittib mit beÿstand deß Wohl Edel Vest, Wohlgelehrt, und Großachtbahren herrn Johann Ernst Schwerdten, J. U. Lti und Juris Practici, deroselben geschwornen Curatoris – So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Dienstag den 8. 8.bris A° 1720.
Der in Gott ruhende Herr seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Frau Mariam Magdalenam gebohrne Schlehenackerin, Johann Michael Fröhlich deß Gastgebers und burgers allhier Ehefrau, weilen aber derselbe Von hier entwichen, alß ist beneben deroselben in Persohn Zugegen geweßen der Ehrengeachte Herr Johann Rudolph Schranckenmüller dero geordnet: und geschworne Vogt, 2. Frau Annam Margaretham Allheiligin gebohrne Schlehenackerin, Herrn Johann Adam Allheilig des Jüngern Pastetenbeckhers und burgers allhier Ehefrau welche mit assistentz obged. Ihres Ehewürths dießem Geschäfft persönlich abgewartet, dieße beede Töchtere des Verstorbenen Herrn seel. mit weÿland der Tugendbegabten Frawen Maria Magdalena gebohrne Schmidtin seiner einer haußfrauen in Erster Ehe erzeugt
3 & 4. Johannem und Jgfr. Mariam Barbaram Schlehenackerin, deß abgeleibten herrn mit auch Weÿland der tugendsamen Frauen Maria Barbara gebohrner Vögelin seiner Ehefrauwen in Zweÿter Ehe erzeugten Sohn und Tochter, welche mit assistentz deß Edeln Wohl Ehrenvest und rechtsgelehrt und Großachtbahren Hn Joh: Heinrich Langen Senioris Notarÿ Publici auch E. E. Kleinen Raths allhier alten Wohlverdienten beÿsitzers dießem Gesch. beÿgewohnet
5.& 6. Jgfr Mariam Salome und Dietrich Schlehenacker des Verstorbenen hern sel. mit eingangs gedachter Fraw Wittib in letzter und dritter Ehe erzeugten Sohn und Jgfr. Tochter, weilen aber dieselbe annoch minorennes alß ist beneben denselben zugegen geweßen der Edel Wohl Ehrenveste und großachtbahren F Friderich Boch handelßmann und burger allhier dero geordnet geschwohrne Vogt

In Einer in der Statt Straßburg beÿm Überhang gegen dem Würtshaus Zum Weinstockh gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörign Behaußung befunden worden, wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Ersten bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Vor dießem Gemach, Auff der Trückeneÿ, In der Wohnlstub, On der Stub Cammer Im Hauß Öhren Vor der Wohnstub, Im hindern Stub Cämmerl. Im obern Kleinen stübel, Vor dießem Gemach, Auff der Maltz bühn, In der Gaststuben, Im Hoff Im Andern hauß, In der Eßig Kammer, In der untern Küchen
Eigenthum ane Haüßer, (E.) It ; eine Bier behaußung Zum Störckel genandt Zusambt deren hoffstatt und höfflin
in der Statt Straßburg ohnfern dem Baarfüßer platz gegen dem Rubenloch, einseit neben herrn Johann Georg Kraußen dem Handelßmann allhier, anderseit neben Weÿl. Johann Georg Oberlin deß Weißbecken seel. hinterlaßenen Erben hinden auff den Prediger Kirchhoff (…)
(T.) It. eine Behaußung Höfflin Hoffstatt mit allen deren Gebäwen Begriffen weithen, rechten Zugehördten undt gerechtigkeiten in der Heÿligen Liechtengaß, eins. neben einer behaußung em Stifft St Marx gehörig anders. neben einer behaußung dem Corpori Pensionum Zuständig hinden auf herrn Andream Greumen den Apothecker stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 150. lb Capital Jungfr. Catharinä Dorotheä Schererin seel. Modo dero Fr. Mutter, Verhafftet sonsten gegen männiglich freÿ ledig und Eÿgen undt hiehero angeschlagen pro 1150 lb. d, davon seind abzuziehen obige beschwerden so thun 150. lb. Über abzug obiger beschwerden wird ane dem anschlag solcher behaußung annoch übrig Verbleiben 1000 lb. Hierüber ist Vorhanden ein Teutscher perg. Kbr. in allhieß. CCst gef. und mi dero anhanged. Inns. vw. datirt den 16. Maÿ 1713. mit N° 2 notirt. Dabeÿ noch ein alter daselbst gefertigter Kbr. datirt d. 28. Jun. 1673. mit altem Lit. A jetzt Newen N° 2 bezeichnet.
(E.) It ; ein Kleine Baraque gleich inwendig ane deù Steinstraßer thor (…)
Ergäntzung der Fraw Wittib unverändert Guths. Vermög Inventarÿ über alles dasjenige was beeder Eingangs ermelte nun Zetrtennte Eheleuth einander in den Ehestand Zugebracht, durch H. Johann Adam Ösingern Notm. pub. in Anno 1705. gefertiget hat mann der Fr. Wittib wegen Ihres wehrender Ehe abgegangen unveränderten guths Zu Ergäntzen
Wÿdembs Verfangenschaft Welchen der Verstorbene seel. Von Weÿl. Frawen Maria Magdalena gebohrne Schmidtin seiner Erstern Haußfrauen ad dies vitæ Zugenießen gehabt – Crafft eines vor Weÿl. H. Johann Christoph Stöffel Not° publ. den 16 Xbris Anno 1682 auffgerichteten Codicilli (…)
It. 1/6. theil Vor unvertheilt Von undt ane der bier behaußung Zum Störkcel genandt (…)
Wÿdembs Verfangenschaft Welchen der Verstorbene seel. Von Weÿl. Fr. Maria Barbara gebohrner Vogtin seiner Mittlern Haußfrauwen Zeit lebens Zugenießen gehabt
Abzug über gegenwärtige Verlaßenschafft. Der Fr. Wittib unverändert Guth, Sa. Haußraths 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 49, Sa. Goldener Ring 24, Sa. der Baarschafft 22, Sa. der Schulden in des Erbe Zugeltend 187, Sa. der Ergäntzung (296, Abzug 1, Rest) 295, Summa summarum 587 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. Haußraths 185, Sa. Lären Vaß 24, Sa. Schiff und geschirrs 16, Sa. Silbergeschirr 56, Sa. Goldene Kett und Ringen 29, Sa. der baarschafft 9, Sa. Eigenthum ane Heusern 1975, Sa. der Ergäntzung (6807, Abzug 789, Rest) 6057, Summa summarum 8355 lb – Schulden 1800 lb, Nach deren Abzug 6554 lb
Das Theilbahre Guth, Sa. Haußraths 117, Sa. Wein und Lähren Vaß und bier 412, Sa. Schiff und Geschirr 44, Sa. Silbers 17, Sa. der Baarschafft darunder 405 lb billets de Banque 696, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 800, Sa. Eigenthumb ane Heüßern 100, Sa. der Schulden 290, Summa summarum 3380 lb – Schulden 7255, solchemnach werden die Theilbare Passiva das Theilbar Guth übersteigen umb 3875 lb
Endlicher Verstallungs Summa 5358 lb
Copa der Eheberedung (…) den 19. tag deß Monaths Septembris im Jahr den herrn aß mab Zahlte 1704

Les enfants de Thierry Schlehenacker cèdent leurs parts à leur sœur Anne Marguerite et à son mari fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig

1722 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 209-v
Erschienen weÿl. Hn. Dietrich Schlehenackers gewesten Bierbrauers nachgelaßene Kinder erster zweÿer und dritter Ehe nahmentlich Fr. Maria Magdalena geb. Schlehenackerin Johann Michael Frölich des ausgetrettenen gastgebers Ehefrau beÿständlich Johann Rudolph Schranckenmüllers des weißbecken, Ferner Johann Schlehenacker Gastgeber und burger allhier, mehr Fr. Maria Barbara geb. Schlehenackerin Johann Jacob Meÿers des Biersieders Ehefrau beÿständlich deßelben, So dann H. Joh. Friedrich Boch handelsmanns allhier als geschworner Vogt Jfr. Maria Salome und Dietrichs der Schlehenacker
in gegensein Fr. Annæ Margarethæ Allheÿligin geb. Schlehenackerin Johann Adam Allheÿlig des Jüngern Pastetenbecks Ehefrauen beÿständlich deßelben
demnach sich unter andern ihres vatters seel. theilbaren mütterlichen Verlaßenschafft Krafft darüber Anno 1720 gefertigten Inventarÿ fol. 207 b et seqq. Eine Behausung höfflein und hoffstatt allhier in der heiligen Liechten gaß einseit neben einer der Stifftung St Marx allhier gehörigen behausung, anderseit neben einem dem Corpori Pensionum allhier zuständigen hauß hinten auff Hrn. Andreas Greuhmen E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer und Apothecker stoßend gelegen under Sie gesambte Erbs: Interessenten selbige bißanhero in ohnvertheilten und gemeinschafftlichen Erb unter sich beseßen und genutzet, ihrer schwester (übertretten) – um 483 lb und 616 lb

Anne Marguerite Schlehenacker femme de Jean Adam Allheilig vend la maison au tonnelier Jean Georges Dœrffer et à sa femme Marie Elisabeth Rasp moyennant 1 100 livres

1722 (4.4.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 230
(1100) Fr. Anna Marg geb. Schlehenackerin Johann Adam Allheÿlig Pastetenbecks ehefrau
in gegensein Johann Georg Dörffer des kieffers und Maria Elisabetha geb. Raspin
Eine der Verkäuferin von denen Schlehenackerischen Erben ihren Miterben unter dem 28. Martÿ jünsgt in ohnvertheiltem erb käufflich überlaßene und allhier verschriebene Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier in der heiligen Liechten: gaß, einseit neben einer der Stifftung St Marx allhier gehörigen behausung, anderseit neben einem dem Corpori Pensionum allhier zuständigen hauß hinten auff Hrn. Andreas Greuhm Apothecker und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer – um 1100 ausmachende beschwährden überdaß aber nichts weiters zu zahlen

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du préteur François Guillaume de Macau.

1722 (4.4.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 231
Johann Georg Dörffer der kieffer und Maria Elisabetha geb. Raspin beÿständlich Johann Rasp hauptkandten beÿ E.E. Zunfft der Schuhmacher ihres Vatters und Isaac Rasp glaßers ihres bruders
in gegensein S.T. Hn Frantz Wilhelm von Maccau Stättmeisters und dreÿzehners – schuldig seÿen 500 pfund zu erkauff und bezahlung hieunten beschriebener behausung
unterpfand, Eine Behausung hoff und hoffstatt allhier in der heiligen Liechten: gaß einseit neben einer der Stifftung St Marx allhier zuständigen behausung anderseit neben einem dem Corpori Pensionum gehörigen hauß hinten auff Hrn. Andreas Greuhm E.E. kleinen Raths alten beÿsitzer und Apothecker

Fils de tonnelier, Jean Georges Dœrffer s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en juillet 1706.
1705, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 369-v) Dienstags den 21. Julÿ Anno 1705 – Johann Georg Dörffer Lediger Kieffer weÿl. Mstr Johann Dörffers geweßenen Kieffers und Füegblochmachers alhie seel. nachgelaßener ehelicher Sohn, Laßt sich Zu Verfertigung deß Kieffer Meisterstücks einschreiben und Zahlte Zugleich Werckstatten Zinnß 1. lb 10. ß d, Zunfftschreiber und Bittel 2 ß 6 d.

Les examinateurs relèvent quelques défauts secondaires au travail que présente Jean Georges Dœrffer et le reçoivent maître
(f° 414-v) Montags den 14. Junÿ Anno 1706. Ließ Johann Georg Dörffer der Kieffer weÿl. herrn Johann Dörffers deß ältern Kiefers und Füegblochmachers burgers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn sein verfertigtes Kieffer Meisterstück Zum dritten mahl schawen und referirten die dreÿ herrn Schawern, Vnd Zwar Von der Ersten Schaw, daß das Vaß hätte fleißiger gestreifft und außgerichtet sollen seÿn, Weches Er aber in der Zweÿten Schaw Verbeßerte, in welcher Zweÿten Schaw sich dann befunden daß die Gargel wohl etwas breiter undt dieffer hätte seÿn sollen, in der dritten Schaw aber fanden sich ahne den böden etliche hohlfugen, sonsten seÿe das Vaß in seiner guten form, wohl abgesäübert und ordentlich abgebunden, und weilen die daran befundene fehler nicht hauptsächlich, alß Erkandten Sie solch Stück für passirlich, auf welche weiß E dann durch Herrn XV. König alß nunmahligen Obman confirmirt und Ihme in seinen Meisterstandt allerseits gratulirt worden.

Le conseil des Tonneliers fait grief au maître de Jean Georges Dœrffer d’être entré dans l’atelier réservé au candidat. Il répond qu’il a dû ranger des cercles mais n’a en aucune manière aidé le candidat.
(f° 414-v) Dienstags den 15. Junÿ Anno 1706 – Meister Johann Jacob Fräntzen wurde vorgehalten daß in der Zeit, alß Johann Georg Dörffer ahne seinem Meisterstück gemacht, Er über den Gatter hienein gegangen, Welches wider ordnung. Ille respondirt, habe dem bittel reÿff abgekaufft, derowegen Er hienein gegangen, Sie zubesehen seÿe nicht in die Werckstatt Zu dem Meisterstückmacher gegangen, noch Viel weniger demselben etwas gezeigt. Erkandt weilen Er eigenthätig ohngefragt hienein gegangen, die ordnung aber wohl gewußt, daß Er 1 lb. d straff beßern solle, Warüber Er sich opponirte.

Jean Georges Dœrffer rapporte qu’on lui a volé des attaches d’argent, de l’argent et un cache-col. Il soupçonne un garçon tonnelier qui a quitté la ville.
(f° 418-v) Dienstags den 13. Julÿ Anno 1706 – Meister Johann Georg Dörffer der Kieffer stehet Vor und berichtet, daß Ihme ohnlängsten ein paar silberne schnallen auß seinen S.V. Schuhen und auch auß seinem Kästel 6. 30 Sols und Zweÿ halßtücher hinweg gekommen nun seÿe der Knecht, nahmens Caspar N. beÿ Ihme in der Cammer gelegen, Wußte fast nicht ob Er nicht auff Ihne, weilen Er ohne abrichtung deß Scheidt pfennings hienweg gegangen einen argwohn haben solte.

Le conseil des Tonneliers fait grief à Ambroise Korn d’être entré dans l’atelier réservé au candidat et lui inflige une amende, d’abord réduite puis ramenée à la somme initiale après refus de payer.
(f° 428) Dienstag den 5. Octobris Anno 1706 – Meister Ambrosio Kornen Wurde Vorgehalten daß alß Johann Georg Dörffer das Meisterstück Gemacht, Er in den hoff Zu dem Vaß gegangen, so Wieder Articul. Ille replicirt es habe Ihne die Mststückmacher darzu selbsten animirt. Erk: solle den Articul mit 1. lb 10. ß d beßern, auff gesuchte Gnad Verbleibe es beÿ 8 ß 3 d, Welches Er aber nicht geben Wollen, derowegen er wieder beÿ dem Völligen articul Verbleibet.

Jean Georges Dœrffer devient tributaire le 3 mai 1707
Tonneliers (XI 393)
(f° 3) Dienstags den 3.ten Maÿ 1707 – Meister Johann Geörg Dörffer erhielte auff sein ansuchen Vnd Vorgelegten Burger Schein Von der Statt Stall dedato 11. Aprilis 1707. das Zunfftrecht alß eines Zünfftig. Sohn mit 10 ß 6 d und für die Zu denen feürs Eÿmeren Geordnete 10 ß d So dann für Zunfft schreiber und bittel 2. ß 6. d.

Jean Georges Dœrffer épouse en 1706 Marie Salomé Reiff, fille du marchand de bois Clément Reiff : contrat de mariage, célébration
1706 (26. Xbris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 39) n° 163
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften achtbaren und bescheidenen Meister Johann Georg Dörffers, Kieffern und füegblochmachern, weÿl. Herrn Johann Dörffers auch geweßenen Kieffers, füegblochmachern und Weinhändlers, auch burgers alhier, mit Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Burckhardtin ehelich erzeugttem und nachgelaßenem Sohn, alß dem Bräutigamb ane Einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendsamen Jungfr. Maria Salome gebohrner Reÿffin, Herrn Clementz Reÿffenn, Holtzhändlers und burgers alhier mit S. T. Maria Salome geborher Pfählerin ehelich erzeügte Tochter alß der Jfr. hochzeiterin am Andern theil
Geschehen und Verhandelt in der Königl. Statt Straßburg in persönlicher gegenwärtigkeit der Ehren Vesten, Wohl Vorachtbaren Ehrenhafften Ehesamen und bescheidenen Herrn Herrn Johann Ludwig Küchels, Kieffers sein des hochzeiters geschwornen Vogts und herrn Johann Dörffers auch Kieffers des hochzeiterters Leiblichen bruders, auff ein deß hochzeiterrs So dann auff der Jfr. Hochzeiterin seithen Ihrer Vorberührten geliebten Eltern (…) Sontags den 26. Xbris Anno 1706. [unterzeichnet] Johann Georg Dörffer Als Hochzeiter, Maria Salme Reiffen alß hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 143-v)
1706. Dominica XL et Reminiscere proclamati sunt Johann Georg Dörffer der ledige Kieffer allhier weÿl. Johann Dörffer gewesenen Kieffers und Burgers allhier nachgel. Ehl. Sohn, und Jungfr. Maria Salome H. Clemenns Reiff deß holtzhändlers und Burgers allhier Ehl. Tochter. Copulati sunt d. 23. Martÿ [unterzeichnet] Johann Georg Dörffer Als hochzeiter, Maria Salme ruffen allß hochzeiten (i 150)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Fossé des Tanneurs qui appartient au tanneur Bouchard. Ceux du mari s’élèvent à 322 livres, ceux de la femme à 453 livres.
1707 (9.4.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 10) n° 239
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güettere, keinerleÿ da Von außgenommen, so der Ehrenhaffte achtbare und bescheidene Meister Johann Georg Dörffer Kieffer Vnd die Viel Ehren Vnd tugendsamme Frau Maria Salomea gebohrne Reiffin beeder Eheleuthe Vnd burgere allhier Zu Straßburg in ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht Vnd sich deren Jedes Krafft Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung Vor Unverändert Vorbehalten hat
Actum in der Königl. Statt Straßburg in fernerm beÿsein deß Ehrenvesten Vnd Wohlachtbahren Herrn Clementz Reÿff holtzhändlers Vnd der Viel Ehren vnd tugendbegabten Frauen Mariæ Salomeæ gebohrner Pfählerin der Ehefrauen gebleibten Eltern Auff seith. der Ehefr, so dann der Viel Ehr Vnd tugendsammen frauen Annæ Mariæ Schwingin gebohrne Dörfferin deß Ehemanns Schwester auff seiner seith. Sambstags d. 9. Aprilis 1707.

In einer alhier in der Statt Straßburg ahne dem Gerber Graben gelegene Von beeden Eheleuthen Löhnungs weiß bewohnenden, Vndt H. Bouchards deß Gerbers seel. Erben eÿgenth. Zuständigen Eckhbehaußung befunden worden wie volgt
Wÿdumbs Verfangenschaft davon dem Ehe Mann Hien Künfftig Ein fünffter Theil Eigenthümlichen anheim fallet. Es hatt Fr: Dorothea Wädelin gebohrne Bergerin H Johann Martin Wädels deß tabackbereithers und burgers alhier Ehefrauw, Von H Johann Dörfer dem Eltern geweßenen Kieffer und fugblochmacher und deß Ehemanns Vatter seelig Zeit Lebens Wÿdumbs Weiß Zugenieß. benantlich. 400 lb.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Vermögen. Sa. Haußraths 108, Sa. Werckzeugs Holtz Reÿff und band Zum Kieffer handwerck gehörig 77, Sa. Weins 61, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 19, Sa. der baarschafft 17, Summa summarum 285 lb – Darzu gelegt die Ihme gebührende Zween drittetheil ahne denen haussteuren 37 lb, Des Ehemanns samptl. in den Ehestand gebrachtes Vermögen, 322 lb
Der Ehefrauen in dieße Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 249, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 23, Sa. Goldenen Ring 29, Sa. der Baarschafft 132, Summa summarum 434 lb – Darzu ist Zulegen die Ihro gehörige dritte theil ahne denen haussteuren 18, Der Ehefr. samptl. Eigenthümbl. Nahrung 453 lb

Marie Salomé Reiff meurt en 1714 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé rue des Chandelles dans la maison du brasseur Jean Thierry Schlehenacker. La masse propre au veuf est de 237 livres, celle des héritiers de 411 livres. L’actif de la communauté s’élève à 121 livres, le passif à 508 livres.
1714 (25.4.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 19) n° 489
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, Verändert und unveränderte, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Ehren: und tugendsahme fr. Maria Salomea gebohrne Reÿffin, deß Ehrsamen und bescheidenen Mstr: Johann Georg Dörffers, Kieffers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau, nach ihrem den 3. Martÿ dießes lauffenden 1714.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern undt Begehren deß Ehren: und Vorgeachten herrn Johann Leonhardt Reÿffen, biersieders Zum Weißen Schwaanen allhier als geordnet und geschworenen Vogtsen Joh: Georgen und Mariä Barbarä der Dörfferer, Beeder der seelig Verstorbenenn fr. mit Vorbesagten Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kindere und ab intestato hinderlaßener nächster Erben, Inventirt und ersucht (…) Actum in der Königl. Statt Straßburg in fernerem Gegenseÿn des Ehrenhafften und Achtbaren herrn Clementz Reÿffen, holtzhändlers und burgers Zu gedachtem Straßburg der Verstorbenen Fr. seel. leibl. Vatters, den 25.ten April: 1714

In einer in der Statt Strb: ane der Heiligen Liechtergaß gelegenen Herrn Dietrich Schlehenacker, dem Biersieder Zum Störckel eigenthümlich gehörigen, und Von dem hinterbliebenen Wittiber Lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden, wie folgt
Höltzen und Schreinwerck. In des Knechts Cammer, In er Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Soldaten Cammer, In der Kuchen
Ergäntzung deß Wittibers abgegangenen unveränderten Vermögens. Vermög Inventarÿ über deß Wittibers und der Verstorbenen, seel. einander in den Ehestandt Zugebrachten Nahrung dh. mich eingangs unterschriebenenen Notarium in Anno 1707. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Wittibers Unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 16, Sa. Werckzeugs holtz reÿff und band zum Kieffer handwerck gehörig 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. der Ergäntzung 247, Summa summarum 287 lb – Schulden 50 lb, Nach solchem abzug 237 lb
Der Kinder und Erben Unverändert Mütterl. Nahrung, Sa. Haußraths 78, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. Goldenen Ring 10, Sa. Schulden 50, Sa. unveränderten mütterl.guths 260, Summa summarum 411
Das Gemein Verändert und Theilbar guth, Sa. haußrath 24, Sa. Werckzeugs holtz reÿff und band zum Kieffer handwerck gehörig 36, Sa. der Wein und lährer faß 22, Sa. der baarschafft 38, Summa summarum 121 lb – Schulden 508, Compensando Weißet sich daß die Theilbare passiva die theilbare Activ Nahrung dem Stalltax nach übertreffen umb 387 lb
Verstallungs Summa Inventarÿ 181 lb

Jean Georges Dœrffer se remarie avec Marie Elisabeth Rasp, fille du cordonnier Jean Rasp : contrat de mariage, célébration
1715, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung zwischen Joh: Georg Dörffer Kieffers undt Jgfr Mariæ Elisab: Raspin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 57)
1715. d. 20. Nov. sind Ehelich eingesegnet Word. Johann Georg dörffer der verwittibte Burger und Kieffer auch Blochriechter allhier vndt Jungfr. Elisabetha herrn Johann Raspen des Burgers vnd Schumachers allhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Dörffer, Maria Elisabeth Raspen als hochzeiter (i 59)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 198 livres, ceux de la femme à 401 livres.
1715 (21.Xbris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 21) n° 552
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung undt Güthere, So der Ehrenhaffte undt Achtbahre Herr Johann Georg Dörffer der Kieffer, undt die Ehren undt die Ehren und tugendsahme fraw Maria Elisabeth gebohrne Raspin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht, und nach anzeig ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für unverändert Vorbehalten hat (…) So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg in beÿseÿn undt Persönlicher Gegenwarth Herrn Johann Raspen Schuhmachers undt beÿ E. E. Zunfft der Schuemacher hauptkandtens der Ehefrawen leiblichen Vaters, So dann auch der Ehren und tugendbegabten Fr. Mariæ Salomeæ gebohrneer Mosederin Herrn Johann Leonhard Reÿffen bierbrawers Zum Weißen Schwanen allhier Ehefrawen alß deß Ehemanns geliebten Geschweig. Sambstag den 21.ten Decembris Anno 1715.

In einer in der Statt Straßburg ahne der Hellen lichter gaß gelegenen Von beeden Eheleuthen lehnungsweiß bewohnenden und Herrn Dietrich Schlehen Acker eigenthümlich zuständigen behaußung befunden word. wie folgt
In einer in der Statt Strb: ane der Heiligen Liechtergaß gelegenen Herrn Dietrich Schlehenacker, dem Biersieder Zum Störckel eigenthümlich gehörigen, und Von dem hinterbliebenen Wittiber Lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden, wie folgt
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 206, Sa. Werckzeugs, holtz, Reiff und band wie auch gemachter Arbeit Zum Kieffer herrschafft gehörig 192, Sa. Wein und Lährer faß 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 17, Sa. der Schulden 5, Summa summarum 442 lb – Schulden 272, Compensando verbleibt 170 lb. Dazu ist Zu legen die Ihme gebührige helffte ahne denen haussteuren 27, Des Ehemanns samptliches eigenthümliches Vermögen 198 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebrachte samptliche Eigenthümliche Nahrung, Sa. haußraths 205, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. Goldener Ring 10, Sa. der baarschafft 132, Summa summarum 373 lb – Hierzu ist zu legen die Ihro gebührige helffte ahne den haussteuren 27 lb. Der Ehefrauen samptliche Eigenthümliche Nahrung 401 lb

Compte que rend le brasseur Jean Léonard Reiff de la gestion des biens qui appartiennent au fils issu du premier mariage de Jean Georges Dœrffer
1724 (15.9.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 33) Joint au n° 892-b du 25.9.br 1725
Rechnung Weÿland Johann Leonhard Reÿffen geweßenen Bierbrauers zum Weißen Schwanen und burgers allhier zu Straßburg alß geweßenen geschwornen Tutoris Johann Georg Dörffers, Weÿland Frauen Mariæ Salomeæ Dörfferin gebohrner Reiffin mir Herrn Johann Georg Dörffern Kieffern und burgern allhier erzeugten und hinterlaßenen Söhnleins in sich begreiffent, was gedachter Tutor seelige erwehnten Vogts Kindts halben Von dem 14. Mai Anno 1722 biß den (-) Anno 1724 Eingenommen und außgegeben auch sonsten in ein und ander Weiß Verrichtet und Verhandelt hat – Erste und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ

Jean Georges Dœrffer et Marie Elisabeth Rasp vendent la maison à Jean Jacques Ruff et à Anne Dorothée Strohl moyennant 1 250 livres.

1729 (24.12.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 573
Johann Georg Dörffer der Kieffer und Maria Elisabetha geb. Raspin
in gegensein Johann Jacob Rueff des kieffers und Annæ Dorotheæ geb. Strohlin
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der heiligen Liechter gaß, einseit neben einer der Stifftung u Allmoßen zu St Marx gehörigen behausung anderseit neben einem dem hießigen Corporis Pensionum zuständigen hauß hinten auff H. Rathh. Andreas Greuhm den Apothecker – um 500 lb verhafftet, geschehen um 750 pfund

Les experts estiment la maison à 600 livres lors de l’inventaire dressé en 1754 après la mort de Jean Jacques Ruff.
Les héritiers Ruff louent la maison au tonnelier Georges Frédéric Strohl

1759 (13.9.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 302-v
Johann Philipp Fügner der glaßer innamen seiner Ehefrau Fr. Mariæ Salome geb. Ruffin, Johann Jacob Blind der weißbeck auch innamen seiner Ehefrau Mariæ Margarethæ Ruffin, H. Johann Jacob Hartmann der employé dans les affaires du roy auch ux. noe. Mariæ Magdalenæ geb. Ruffin
in gegensein Georg Friedrich Strohl des kieffers
entlehnt, ihre ane der Heÿligen lichter gaß neben N. Nußbaum dem lackirer gelegene behausung samt denen in dem keller sich befindlichen Faßen nichts davon außgenommen, als eine auf dem dritten stock vornen auf die gaß aussehende cammer ausgenommen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 57 pfund

Les héritiers Ruff hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du chaudronnier Jean Michel Schwartz

1760 (3.11.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 318-v
Johann Jacob Blind der weißgerber und Maria Margaretha geb. Ruffin mit beÿstand Johann Philipp Fügner des stadtglaßers und H. Johann Jacob Hartmann des employé
in gegensein H. Johann Baldner der handelsmann als vogt weÿl. Johann Michael Schwartz des kupfferschmidts zweÿ kinder Maria Magdalena und Susanna Maria der Schwartz – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, einen dritten theil für ohnverteilt ane einer behausung cum appertinentis ane der heÿligen Lichertergaß, einseit neben einer dem Stifft St Marx gehörigen behausung, anderseit neben einer behausung dem Corpori Pensonum zugehörig, hinten auff Jacob Schmidt den kübler

Les héritiers Ruff vendent la maison au tonnelier Jean Jacques Kayser moyennant 1 150 livres
1763 (7.11.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 563-v
Fr. Maria Elisabetha geb. Ruffin Johann Philipp Fügner des glaßers Ehefrau, Fr. Maria Margaretha geb. Ruffin Johann Jacob Blind des weißgerbers Ehefrau, Fr. Maria Magdalena geb. Ruffin H. Johann Jacob Hartmann des employé dans les fourages
in gegensein Johann Jacob Kaÿßer des kieffers
eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der Heiligen liechtergaß, einseit neben eine behausung dem Stifft St Marx, anderseit neben einer dem Corpori pensionum gehörige behausung, hinten auff N. Schmidt den kübler – als ein elterlich erbguth – 1150 pfund

Natif de Mittelbergheim, Jean Jacques Kayser présente son certificat d’apprentissage dressé à Andlau le 18 juin 1746 et demande à s’inscrire aux années d’épreuve.
1751, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 12) Dienstags d. 3. Augusti 1751 – Joh: Jacob Kaÿßer der Ledige von mittelbergheim gebürtige Kieffer prod. Lehrbrieff de dato antlau den 18.ten Junÿ 1746. undt bittet jhne Zu den muthjahren einzuschreiben. Erkanft wie gebetten, dt. pro prot. 5. ß d.

Jean Jacques Kayser demande à faire son chef d’œuvre. Le conseil refuse parce qu’il a fait ses années d’épreuve chez trois et non deux maîtres. Il devra refaire ses années d’épreuve.
1753, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 40-v) Dienstags d. 14. Augusti 1753 – Johann Jacob Kaÿßer der leedige Von Mittelbergheim gebürtige Kieffer Knecht stehe vor und bittet ihne Zum Meisterstück einzuschreiben.
Erkannt, weilen derselbe erst den 3. Augusti 1751. in die Muthjahr eigeschrieben worden also dieselbe annoch nicht und zwar so viel er daran verarbeitet beÿ dreÿ und nicht Zweÿen Meistern Zugebracht, Er keines Weegs Zu dem Meisterstück eingeschrieben werden konnte sondern in dem Er wieder articul gehandelt, seine Muthjahr de novo zu verarbeithen anzufangen schuldig seÿe.

Jean Jacques Kayser porte l’affaire devant les Quinze. Jean Jacques Kayser expose qu’il a terminé son apprentissage depuis sept ans et exercé depuis lors son métier chez des maîtres, qu’il est né fils de maître dans la juridiction de Strasbourg et qu’il est fiancé avec la fille d’un maître devenu blanchisseur. Les représentants de la tribu déclarent que le règlement ne leur permettait pas de rendre une autre décision et s’en remettent aux Quinze. La commission est d’avis d’accorder la dispense moyennant paiement des frais et d’un droit de dispense. Les Quinze adoptent la proposition. Ils délivrent le premier septembre une expédition de leur décision.
1753, Protocole des Quinze (2 R 163)
Joh: Jacob Keÿßer contra E. E. Zunfft der Kieffer
(Rapiarium p. 142) Donnerstags d. 18. Augusti – Lect. Memot : In sachen Keÿßer Ca. Kieffer. Implorant, præsens, erhohlt contenta Memor: et petiti. H. Rathh. Hammerer als Zunfftmeister, auch Zugegen, sagt er habe wieder des Imploranten begehren weiters nichts einzuwenden, sondern wider des Imploranten begehren allein Von Mherren willkuhr dependirt. Wolle er daßelbe hochdenenselben überlaßen haben. Dni Deppi. gegen ersetzung der unkosten und erlag 3. ln pro dispensat. willfahrt.

(p. 437) Sambstags d. 1. Septembris – Ober Handwercks Hn laßen per me referiren, es habe Joh: Jacob Keÿßer, der ledige Kieffer von Mittelbergheim d. 18. augusti jüngst. C. E. E. Zunfft der Kieffer allhie Hn Zunfftmeister, ein unterthäniges Memoriale sambt beÿl. sub N° 1 übergeben, und darinn exponirt, was maßen Er beÿ Imploratischem Zunfftgericht umb einschreibung Zu dem Meisterstück eingekommen, von dar aber mit seinem begehren ab: und die Muthjahr de novo wiederumb anzufangen verwießen worden,
wan nun aber der Implorant bereits über Sieben Jahr aus der Lehr und seither als Knecht auff dem handwerck gearbeitet, 2.do Ein in der herrschafft Barr wohnenden Meisters Sohn seÿe, 3.tio mit Joh: Michael Meÿer des allhießigen Kieffer meisters und nunmahligen bleichers tochter Versprochen, als ergehe an Mghh. des Imploranten gehorsamstes bitten, Sie gnädig geruhen wollten Zu erkennen, daß E. E. Meisterschafft der Kieffer den Imploranten dispensando so viel als nöthig Zu dem Meisterstück einschreiben Zu laßen schuldig und gehalten seÿe.
Nôe Imploratischer Meisterschafft habe man umb deppn. gebetten, auff geschehene Weißung habe der Implorant sich auff den Innhalt seines memorialis bezogen, H. Rathh. Joh: Georg Hammerer, als Zunfftmeister, præsens, habe declarirt, wie daß Er nôe quo agit wieder des Imploranten begehren weiters nichts einzuwenden habe, man habe in erster instantz, weilen der artickel nicht dispensirt, nicht anderst sprechen, sondern die decision dießer sach Zu Mghh. willkuhr stellen wollen
Auff seithen derer Hn deputirten habe man befunden, daß der heutige Casus deßwegen Zur dispensation geneigt, theils weilen der Implorant bereits 2. Jahr vermuthet, theils weilen Er einer ehmahligen Kieffer meisters tochter Zu heurathen gesinnet, weßwegen dieselbe dafür gehalten, daß der Implorant gegen ersetzung der Uncosten und erlag 3. lb d pro dispensatione 2/3 gemeiner Statt und 1/3 Imploratischer Zunfft heimfällig, dispensando Zu dem meisterstück zu admittiren seÿe, die genehmhaltung zu Mghh. dijudicatus stellend. Erkanndt, bedacht gefolgt.

(p. 447) Sambstags d. 1. Septembris – Ego referire, daß communication nachfolgender bescheid von denen Parthen begehrt, und in forma sequenti von mir auffgesetzt worden.
Bescheid – Sambstags d. 1. Septembris. In Sachen Joh: Jacob Keÿßer, des ledigen Kieffers von Mittelbergheim, Imploranten, an einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Kieffer allhie Hn Zunfftmeister, Imploraten, am andern theil, auff producirtes unterthäniges Memoriale sambt beÿl. sub N° 1 juncto petito, wir geruheten Zu erkennen, daß E. E. Meisterschafft der Kieffer dem Imploranten dispensando so viel als nöthig Zu dem Meisterstück einschreiben Zu laßen schuldig und gehalten seÿe, des Imploratischen H. Zunfftmeisters beÿ erkanndter und beseßener deputation gethane declaration, vermög welcher er des Imploranten petitum Zu unßerer Erkanndtnuß gesetzet, auch all übrig derer Parthen angehörtes Vor: und anbringen, ist derer Hh. deputirten abgelegten relation nach Erkandt, daß der Implorant gegen ersetzung der uncosten und erlag 3. lb d pro dispensatione 2/3 gemeiner Statt und 1/3 Imploratischer Zunfft heimfällig, dispensando Zu dem meisterstück zu admittiren seÿe.

Jean Jacques Kayser présente son chef d’œuvre le 25 septembre 1753. Les examinateurs rapportent qu’il n’a pas fait les corrections qu’ils ont demandées. Il lui est interdit sous peine d’amende de vendre le tonneau.
1753, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 426) Dienstags den 25.ten 7.bris 1753 ist Johann Jacob Kaÿßers obgedacht verfertigtes meisterstück Zum Letzten mahl besichtiget und von der H. Schawern referirt worden daß die Eck daug, so ihme herauß Zumachen befohlen worden, und er Herauß zu machen versprochen annoch im Faß seÿen und wegen welchem und übrigen fehlern in der Statt herum führen auch solches, ohne daß Er ein andere daug darein gemacht beÿ 10. lb d Straff nicht verkauffen solle, vermög unterschrifft Unterschriben Hammerer Johann Jacob Stamm, Johann Heinrich Löchner

Jean Jacques Kayser règle les droits de dispense et d’atelier
(f° 41-v) Dienstags d. 20. Novembris 1753 – Johann Jacob Kaÿßer, Von Mittelbergh. producirt Schein von Gnäd. Hh. den XV. den 1. Septembris 1753. dadirt, vermög weßen Er zum Meisterstück Zu admittiren seÿe, jedoch daß derselbe pro Dispensatione 3. lb d. beßerung erlegen solle, worvon der Zunfft 1. lb. die übrige 3. lb aber gemeiner Statt Zu verrechnen.
Ille Zahlt sogleich Werckstatten Zinnß 3. lb.

Jean Jacques Kayser devient tributaire le 29 janvier 1754.
1754, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 49-v) Dienstags d. 29. Januarÿ 1754 – N. Leibz. – Mstr. Joh: Jacob Kaÿßer der Leed. Kiefer Von Mittelbergh. stehet vor, bittend ihne Zum Leibzünfftigen anzunehmen auf prod. Stallschein de dato 1753. Erkannt Willfahrt
(pro prot. 5 ß, pro feur Eimer 10 ß , pro Findl.2 ß 1 ½) dt 3 lb 5 ß

Jean Jacques Kayser épouse Marie Salomé Meyer, fille du blanchisseur Jean Michel Meyer : contrat de mariage, célébration
1753 (28. 7.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 78) n° 1280-b
Eheberedung – zwischen dem Ehrbaren vnd bescheidenen Meister Johann Jacob Kaÿßer Von Mittelbergheim H Johann Jacob Käÿßer auch Kiefers und burgers Zu ermeltem Mittelbergheim mit Frauen Agnes gebohrner Böcklerin Ehelich Erzeugtem Sohn als hochzeiteri ane einem
So dann der Viel Ehren vnd tugendsamen Jungfrauen Mariæ Salome Meÿerin herrn Johann Michael Meÿer des bleichers mit der wohl Ehren vnd tugendreichen fraun Mariæ Margarethæ gebohrner hoff
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg den 28. Septembris Anno 1753 [unterzeichnet] Johann Jacob Käÿßer Als hochzeiter, Maria Salomea Meÿrin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 189-v n° 28)
Aô 1753 d. 21. Novembr. Seind in der Kirche Zu S Wilhelm nach deme Sie daselbst an dem XXI.sten und XXXII.sten Sonntag nach Trinitatis, und also Zu Zweyen unterschiedenen mahlen ausgerufen worden, ehelig copulirt und eingesegnet word. Johann Jacob Keyser, Lediger Kieffer und Burger allhier Joh: Jacob Keysers, Kieffers und burgers Zu Mittelbergheim und Agnes Böckelin ehel. Sohn und Jungfrau Maria Salome H. Johann Michael Meyers Bleivhers und Burger alhier und Mariæ Margarethæ Hoffsäßin Ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Käÿßer als Hochzeiter, Maria Salome Meyein alß hocht Zeiten (i 194)

Jean Jacques Kayser devient bourgeois par sa femme le 29 décembre 1753
1753, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 549
Johann Jacob Kaÿßer der Kieffer von mittelbergheim gebürthig, verheurathet ane Mariam Salome Johann Michael Meÿers des burgers und bleichers in der Ruprechtsau erhaltet das burgerrecht ab uxore um den alten burger schilling und will dienen beÿ .E E. Zunfft der Kieffer Jur. d. 29. Xbris 1753.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qu’ils louent rue des Poules. Ceux du mari s’élèvent à 108 livres sans la maison, ceux de la femme à 408 livres.
1754 (23.2.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 63) n° 1546
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, nichts davon ausgenommen, so der Ehrsam: und bescheidene herr Johann Jacob Kaÿßer, Kieffer von Mittelbergh. und die Ehren und tugendsahme frau Maria Salome gebohrne Meÿerin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihren jüngst angetrettenen Ehestand zugebracht, und sich deren Jeedes, Vermög dero mit einander auffgerichteten Eheberedung Vor ohnverändert vorbehalten (…) Actum Straßburg in fernerem gegenseÿn fr. Agnes Kaÿßerin, gebohrner Böcklerin, des Ehemanns Eheleiblichen Mutter von Mittelbergheim, ferner H. Johann Michael Meÿer, bleichers, der Ehefr. Vatter, Sambstags d. 23.ten Februarÿ 1754.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Hennengaß gelegenen und Lehnungs weiß bewohnend. behaußung befund. word. wie folgt.
Series rubricarum. Des Ehemanns Nahrung, Sa. Werckzeugs Zum Kiefer handwerck gehörig 2, Sa. Wein vnd Leeren Vaß 71, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthum ane liegenden güthern o, Summa summarum 76 lb – Addle die ane denen haussteuren Ihme gebührige helffte der 32 lb, Des Ehemanns Nahrung 108 lb
Der Ehefraun Vermögen, Sa. haußraths 128, Sa. Silbers 9, Sa. Goldener Ring 30, Sa. baarschafft 169, Summa summarum 375 lb – Darzu gelegt dero helffte ane denen haussteuren 32. lb, Der Ehefraun Vermögen 408 lb

Marie Salomé Meyer meurt en 1758 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue Neuve au quai des Pêcheurs. La masse propre au veuf est de 46 livres, celle des héritiers de 404 livres. L’actif de la communauté s’élève à 117 livres, le passif à 471 livres.
1758 (11.9.), Not. Griesbach (6 E 41, 1315)
Inventarium über Weÿl. der tugendsahmen Frauen Mariæ Salome Kaÿßerin gebohrner Meÿerin H. Johann Jacob Kaÿser, des Kieffers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. gewesener ehelicher haußfrauen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1758 – nach ihrem an 22. Aprilis dieses lauffenden 1758. Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen hintritthie zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft heut dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H Johannes Krieg des Weinhändlers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Michael Kaÿsers der Verstorbenen seelig mit Eingangs gedachten Johann Jacob Kaÿser ihrem gewesenen Ehemann und nunmahlih hinterlaßenen Wittiber ehelich erziehlten Söhnleins und ab intestato verlaßenen universal Erbens (…) So beschehen in der königlichen Statt Straßburg auff Montag den 11. Septembris Anno 1758.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem fischerstaden ane der Neu Gaß gelegenen behaußung folgender maßen befunden
Copia der Eheberedung (…) So Beschehen in der Königlichen Statt Straßburg den 28. Sept. 1753.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Wittibers ohnverändertes Vermögen. Sa. haußraths 3, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer Handwerck gehörig 7 ß, Sa. Faßes 6, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 33, Ergäntzungs Rest 76, Summa summarum 121 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 46 lb
Diesemnach Wird auch des Erben ohnverändert Vermögen beschrieben. Sa. haußraths 92, Sa. Silbers 15, Sa. Goldener Rings 15, Sa. Baarschafft 13, Sa. Schulden 75, Ergäntzungs Rest 192, Summa summarum 404 lb
Endlich kommet auch das gemein und theilbar Guth beschreibung. Sa. haußraths 13, Sa. Werckzeugs zum kieffer handwerck gehörig 14, Sa. Faß und Weins 90, Sa. Silbber geschirr und Geschmeids 5 ß, Summa summarum 117 lb – Schulden 471, Theilbares passiv onus 353 lb – Stall summ 97 lb
Ergäntzung des Wittibers wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Vermögen. Vermög Inventary über beeden geweßener Eheleuthen in die Ehe Zugebrachter Nahrung, von H. Johann Jacob Oelinger Not. publ. et practici allhier d. 20. febr. 1754. aufgerichtet.

Jean Jacques Kayser se remarie en 1758 avec Marie Salomé Brod, fille du tanneur Christophe Brod de Barr : contrat de mariage, célébration à Barr
1758 (21. Nov.), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Eheberedung – persönlich erschienen seÿen der Ehrengeachte Herr Johann Jacob Kaÿßer, der Kieffer, Wittiber und burger allhier Zu Straßburg als Hochzeiter ane Einem,
So dann ddie viel Ehr: und tugendgezierte Jungfrau Maria Salome Brodin, Hn Christoff Brod des ältern, Rothgerbers und burgers Zu Barr, mit Weÿl. Frauen Annæ Mariæ Mathißih seiner geweßenen Ersten Ehefrauen sel. ehelich erzielte tochter als Hochzeiterin andern theils
auf Dienstag den 21. Novembris A° 1758 [unterzeichnet] Johann Jacob Käÿßer als hochzeiter, maria Salome Brodin als hochzeuterin

Mariage, Barr (luth. n° 1)
1759. Dienstag d. 23. Jan. seind nach gewohnl. Proclamation ehel. copulirt u. eingesegnet worden H. Joh: Jacob Kaÿßer, als Witwer, burger u. Kieffer zu Straßburg, u. Jgfr. Maria Salome Brodin H. Christoph Brod Sen. burgers u. Rothgerbers auch Alten gerichts Verwandten allhier mit Weÿl. Anna Maria Matthißin ehel. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Kaÿßer Hochzeiter, Maria Salome Brodin als Hochzeiterin (i 273, proclamation Saint-Guillaume i 224)

Jean Jacques Kayser et Marie Salomé Brod hypothèquent la maison au profit du tailleur Jean Jacques Reysser

1764 (28.4.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 271-v
Johann Jacob Kaÿßer der kieffer und Maria Salome geb. Brodin mit beÿstand H. Gottfried Bronner des dratziehers und Andreas Windesheim des strumpffwebers
in gegensein Johann Jacob Reÿßer des schneiders – 250 pfund
verlegt, eine behausung cum appertinentis ane der heiligen Lichtergaß, einseit neben einer dem Stifft St Marx gehörigen behausung, anderseit neben einer dem Corporis pensionum gehörigen behausung, hinten auff N. Schmidt den kübler

Jean Jacques Kayser et Marie Salomé Brod vendent à leur voisin au sud Jean Théophile Holl une cour de huit pieds sur cinq en s’engageant à établir un puits à pompe commun dans leur cave. Les acquéreurs ne sont pas autorisés à surbâtir la cour vendue. Les vendeurs devont murer à leurs frais la porte qui donnait dans la cour vendue.

1773 (14.8.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 317-v
Mr. Johann Jacob Kaÿßer der kieffer und Maria Salome geb. Brodin
in gegensein Mr Johann Gottlieb Holl der schmid
einer behausung ane dem Lichtergaß, einseit neben dem käuffer, anderseit neben einer dem Corporis Pensionum zuständigen behausung, hinten auf Johann Schmidt den kübler gehöriges höfflein ungefehr 8 schuh lang und 5 schuh breit wie solches mit erst beschriebener behausung von Ruffischen geschwistern unterem 7. Novembris 1763 erkaufft, einseit neben dem käuffer, anderseit neben dem verkäuffer, vornen dieselbe und hinten auff besagten Schmidt den kübler höfflein stoßend, zwischen erst verkaufften höfflein nun und besagten Schmidt höfflein ist eine diehlenwandt welche beede höfflein separirt, ob aber diese diehlen wand gemeinschafftlich oder nicht, haben die verkäuffer eigentlich nicht bestimmen können, so viel aber versichert daß seit der zeit sie das eigenthum des verkauften höffleins beseßen diese diehlen wand weder unterhalten weder helffen unterhalten dießem nach ist der käuffer und verkäuffer deßelben ungeachtet – um 150 gulden verhafftet, geschehen um 204 gulden
verpflichten sich 1. einen gompbronnen in ihrem keller außzugraben und mit zweÿen rohren davon der einte zu ihrem nutzen auff ihre seit das andere dagegen zu nutzen des käuffers im verkauften hoff gerichtet und mit einem schwengel versehen seÿn soll auff ihren kösten ohne zu thun des käuffers außführen und verfertigen zu lassen, dieser gompbronnen aber zu allen zeiten nebst dem tränckstein gemeinschfftlich unterhalten werden solle,
2. verabschiedet worden daß der käuffer dieses erkaufften höfflein in nichts anderst verwenden werden solle auch keinen bau wodurch denen verkauffer das tages licht benommen würde dahin zu setzen befugt seÿn solle,
3. sollen die verkäuffer gehalten seÿn auff ihren eigenen kösten die thür so sie in sothanen höfflein gehabt zumauren zu lassen auch besorgen seÿn daß kein unrath weder von den ihrigen noch jemanden anderst durch ihre fenster in diesem hoff geschüttet noch geworffen werde wosonsten der käuffer sich jener rechts mittel wie solche augenschein sachen statt haben zu gebrauchen

Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Martin Ulrich, cordonnier

1793 (7 floreal 2), Strasbourg 3 (15), Not. Übersaal n° 392
Inventarium über des weÿl. bürgers Johann Martin Urban gewesenen Schuhmachers Verlaßenschafft, angefangen den 2 Floreal 2, nach seinem den 24. Windmonat jüngst erfolgten Absterben hinterlassen hat, auf Ansuchen der Wittib Christina geb. Zipp beiständlich des burgers Christian Neumann Schuhmachers in gegenwart des burgers Joh: Caspar Urban
der Verstorbene habe zu seinen Collateral erben hinterlassen nachbemanamste vollbändige brüder 1. den bürger Simon Urban von Baldenheim so majorennis und sich bei der Armeen der Republick befindet deßen Curator ist br Joh: Caspar Urban nach gemeldet, 2. den burger Jakob Urban Schneider zu Saßenheim wohnhaft, 3. den br. Johann Caspar Urban Leinenweber zu Baldenheim, 4. den b Johann Urban tagner zu Balenheim, 5. den bürger Lorenz Urban Leinenweber zu Baldenheim, der beede letztern Mandatarius ist vorgedachter br. Joh: Caspar Urban

in einer an der Lichtgaß gelegenen dem b. Kaÿser Kiefer zuständigen behaußung N° 3, den 2 blumenmonat 2
der Wittib unverändert Vermoegen, hausrath 268 li, activ schulden 300 li, Ergäntzung Nach Maßgab Extractus aus des weÿl. bürgers Johann Philipp Ludwig gewenen hauptmans Verlaßenschafft Abtheil und ausweisungs Concepti durch Not. Schweighäuser im Jahr 1790 aufgerichtet 186 li, summa summarum 754 li
der Erben unverändert Gut, hausrath, werckzeug (8) und silbers (40), 145 li, Morgengaab 300 li, übertreffen um 54 li
Theilbare Massa, hausrath 104 li, passiv schulden 366 li, In Vergleichung 262 li,
Abschrift der Eheberedung, vor dem weÿl. br Schaaff den 6. Januarÿ 1792 aufgerichtet haben, der bürger Johann Martin Urban der Schuhmacher weÿl. des burgers Peter Urban gewesenen Ackersmanns zu baldenheim mit auch weÿl. der bürgerin Maria Magdalena geb. Weberin (sohn) So dann Jungfrau Christine Zippin Andreas burgers und ackersmanns zu Kehl über Rhein mit frau Barbara geb. Zierin (tochter)
acp 22 f° 163 du 7 flo 2

Déclaration dressée après la mort de Jean Jacques Kayser par ses quatre enfants

1806 (23.7.), Strasbourg 5 (23), Not. F. Grimmer n° 4045
Déclaration par 1. Jean Jacques Kayser tonnelier, 2. Marie Salomé Kayser femme d’Elie Conrad Voltz distillateur d’eau de vie, 3. Jean Daniel Kayser tourneur, 4. Catherine Dorothée Kayser épouse de Jean Greff maître Bottier du deuxième régiment d’artillerie a cheval demeurant à Valence département de la Drome, que feu leur père Jean Jacques Kayser tonnelier étant décédé le 18 juin dernier n’ayant délaissé que quelques vieux habillements et au plus 50 fr
ayant délaissé deux tiers par indivis d’une maison et dépendances en cette ville rue des chandelles n° 3, d’un côté une maison appartenante a la fondation du Corps des pensions, d’autre Geofroi Schütz, derrière contre N Collin, acquis par le défunt pendant son mariage avec Marie Salomé Brod par acte passé à la Chambre des Contrats le 7 novembre 1763
que lors du deces de leur dite mère arrivé il y a 12 ans un tiers de cette maison est échue aux comparants, total fixé à 3200 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 74-v du 23.7.

Les enfants Kayser cèdent leurs parts de maison à leur sœur Catherine Dorothée, femme du bottier Jean Greff

1806 (23.7.), Strasbourg 5 (23), Not. F. Grimmer n° 4046
Jean Jacques Kayser tonnelier, Marie Salomé Kayser femme d’Elie Conrad Voltz distillateur d’eau de vie, Jean Daniel Kayser tourneur
à Jean Greff maître Bottier du deuxième régiment d’artillerie a cheval demeurant à Valence département de la Drome et Catherine Dorothée Kayser
trois quarts d’une d’une maison et dépendances en cette ville rue des chandelles n° 3, d’un côté Geofroi Schütz d’autre une maison appartenante a la fondation du Corps des pensions derrière la propriété du Sr Collin loueur de carroses – de la succession de leurs père et mère – moyennant 2400 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 75 du 23.7.

Natif de Tenteling près de Forbach, le canonier Jean Greff épouse en 1793 Catherine Dorothée Kayser
Cejourd’hui 10 frimaire de l’an second de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Greff, Canonier de la 7° compagnie de l’artillerie volante âgé de 37 ans, en dépôt en cette ville depuis un an, natif de Tentling département de la Moselle, fils légitime de Nicolas Greff maître d’ecole audit lieu et de feüe Françoise Klock, de l’autre part Catherine Dorothée Kayser, agée de 23 ans, née et domiciliée en cette ville fille légitime de Jean Jacques Kaÿser tonnelier et de Marie Salomé Brod (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 6 octobre 1756 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 13 octobre 1770 (i 84)

Jean Greff et Dorothée Kayser vendent la maison au baquetier Daniel Rosenstiehl et à sa femme Eve Vogler moyennant 6 300 livres tournois

1809 (29.11.), Strasbourg 12 (28), Not. Wengler n° 4447
Jean Friedel marchand de vin demeurant rue des tonneliers n° 21 en qualité de fondé de pouvoir de Jean Greff bottier et de Dorothée Keyser domiciliés à Valence
à Daniel Rosenstiehl baquetier et Eve Vogel
une maison a rez de chaussée et deux étages avec tres fonds toutes ses autres appartenances, droits et dépendances et fontaine commune sise à Strasbourg rue des chandelles n° 3, d’un côté les veuve et héritiers de feu Geofroi Schütz d’autre une maison dépendant de la fondation du Corps de pension, derrière la veuve Collin – (les acquéreurs déclarent en avoir) parfaite connaissance d’autant plus qu’ils l’habitent en partie encore en ce moment – acquis trois quarts de Jean Jacques Keyser et de Marie Salomé Keyser femme Voltz et Jean Daniel Keyser ses frères et sœurs et beau frère et belles sœur par acte reçu Me Grimmer le 23 juillet 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 29 n° 112 et le quart restant la femme covenderesse l’a hérité de ses père et mère – moyennant 6222 fr faisant 6300 livres
Enregistrement, acp 113 f° 143-v du 1.12.

Originaire de Schiltigheim, Jean Daniel Rosenstiehl épouse en 1806 Marie Eve Vogler, fille de baquetier
1806 (16.9.), Strasbourg 12 (11), Not. Wengler n° 2096
Contrat de mariage – Jean Daniel Rosenstiehl baquetier natif de Schiltigheim fils majeur de feu Jean Jacques Rosenstiehl, cultivateur, et de défunte Catherine Müller
Marie Eve Vogler fille de Gaspard Vogler, baquetier, et de feue Susanne Marie Borst
(Joint) dem hochzeiter sein vermögen 2926 und feld 900 fr
Enregistrement, acp 100 f° 172 du 20.9.

La maison revient à leur fils Daniel Rosenstiehl qui épouse en 1836 Sophie Wilhelmine Hepp, fille de tanneur : contrat de mariage, célébration

1836 (15.9.), Strasbourg, Me F. Grimmer
Contrat de mariage – Daniel Rosenstiehl, cuvetier
Sophie Wilhelmine Hepp, mineure, fille de Jean Geoffroi Hepp, tanneur, et de feu Marie Salomé Pfaff
communauté réduite aux acquets
Enregistrement, acp 243 F° 96 du 20.9.

Mariage, Strasbourg (n° 371)
Du 8° jour du mois d’octobre 1836 à une heure de relevée, Acte de mariage de Daniel Rosenstiehl, majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 janvier 1811, domicilié à Strasbourg, Baquetier, fils de Daniel Rosenstiehl, Baquetier, et d’Eve Vogler conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et de Sophie Wilhelmine Hepp, mineure d’ans, née en légitime mariage le 21 octobre 1826 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Georges Geoffroi Hepp, tanneur domicilié en cette ville ci présent et consentant et de feu Marie Salomé Pfaff décédée en cette ville le 20 octobre 1834 (signé) Daniel Rosenstiehl, Sophie Hepp (i 22)

Registre de population 600 MW 195 (1846 sqq), p. 465, Rue desChandelles N° 3
Rosenstiehl, Jn. Daniel, 1772, Schiltigheim, baquetier, P m, (à Strasbourg depuis) 9 février 1801, décédé 29 février
id. née Vogler, Marie Eve, 1783, Strasbourg, P Ep.
Rosenstiehl, Daniel, 1811, Strasbourg, baquetier; P m,
id. née Hepp, Sophie Wilhelmine, 1816, id. , P Ep.
id. Daniel Auguste, 1839, id.
id. Mathilde, 1841, id.
id. Ch. Emile, 1842, id.
id. Eugène Albert, 27 Janv. 1853, id., décédé 4 février 1853
id. Henri Théophile, 24 fevr. 1847, id.
id. Gustave Adolphe, 16 May 1848, id. décédé 6 février 1851
id. Guillaume Edouard, 18 Mai 1851, id.

Lors de la liquidation dressée en 1895 (voir l’acte suivant), la maison revient à Mathilde Rosenstiehl qui a épousé en 1868 le ferblantier Edouard Kirrmann

1868 (26.9.), Strasbourg 13 (96), Not. Flach (Jean Georges) n° 6746
Contrat de mariage – Ont comparu 1. Mr Jacques Edouard Kirrmann, ferblantier demeurant à Strasbourg, fils majeur de Mr Jacques Kirrmann, débitant de vins & De Sophie Heinrich vivants conjoints à Strasbourg futur époux stipulant en son nom personnel d’une part
2. Melle Mathilde Rosenstiehl, majeure d’ans, sans état demeurant à Strasbourg, fille légitime de Mr Daniel Rosenstiehl, baquetier et de Mad. Sophie Wilhelmine Hepp son épouse demeurant à Strasbourg future épouse stipulant en son nom personnel avec l’agrément et sous l’assistance de ses père et mère
acp 576 (3 Q 30 291) f° 30 du 2.10. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent 1) argent et créances 22.000
2) Une Maison grande rue N° 68 à Strasbourg
Donation par lds conjoints Rosenstihel à la future épouse leur fille ce acceptant 1) d’un trousseau estimé à 2500, 2) argenterie 4000 (total) 6500 fr
Donation réciproque par les futur époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession réductible en cas d’existence d’enfants

Edouard Kirrmann signe une promesse de vendre la maison à la Ville moyennant 31 000 marks

1903, Rue des Chandelles 22 (96 MW 97)
Acten betreffend Heiligenlichtergasse N° 22. Sanierungsfonds
Abtheilung III.b, Litt. F. Tit. I..No. 10.l. Angelegt Juni 1903. Abgeschlossen 1907.

Verhandelt zu Strassburg i/E am 27. April des Jahrs 1903 auf dem Bürgermeisteramte, Amtszimmer des unterzeichneten beigeordneten Dr. Schwander
Vor dem Genannten als Urkundsperson sind erschienen 1. Eduard Kirrmann, Rentner wohnhaft Neudorf Lazarethstraße 45, handelnd in eigenem Namen dem Beurkundenden durch den Wohnungsinspektor Spillmann bekannt gemacht,
2) Beigeordneter Dominicus, wohnhaft zu Strassburg handeld als gesetzlicher Vertreter der Gemeinde Straßburg i/E. dem Beurkundenden persönlich bekannt,
Herr Eduard Kirrmann erklärt. Ich bin Eigentümer des Hauses Heiligenlichtergasse 22 zu Straßburg, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, Speicher und Hof einseits Konrad Fecker, anderseits Eduard Böhler, hinten die israelitische Schule auf Grund Vertrags von Notar Keller aus dem Jahre 1895. mit den Brüdern meiner Frau. Hypotheken oder sonstige Belastungen sind nicht vorhanden.
Ich erkläre mich hiermit bereit mein vorbenanntes hauß nebst allem Zubehör der Gemeinde Straßburg für den Preis von 31.000 Mark zu verkaufen. Der Preis soll am ersten Juli 1903 nach beigebrachter Hypothekenfreiheit ausbezahlt werden. Mit diesem Tage tritt die Stadt in Besitz und Eigenthum des Grundstücks. Ich verpflichte mich diese Verkaufsofferte bis zum 1. Juli 1903 aufreht zuerhalten.
[in fine :] I. Frau Kirrmann Mathilde geb. Rosenstiel erhielt d. Grundstück durch Teilung v. Dr. Keller v. 2. 4. 1895. Ehevertrag existirt Errungenschaft Gemeinschaft Auszug folft (v. 26/9 1868)

La vente a lieu par acte administratif moyennant 30 000 marks. La venderesse Mathilde Rosenstiehl habite avec son mari au Neudorf. La Ville acquiert la maison pour élargir la rue

24. Juni 1903. (Reg. N° 756. Lagerbuch Bl. 145 N° 15
Kauf Vor demn unterzeichneten Emil Bosch, Beigeordneten, der Stadt Straßburg dortselbst wohnhaft, als Urkundsperson ist an dessen Amtszimmer zu Straßburg am 24. Jui 1904
zwischen der Gemeinde Straßburg vertreten durch den gegenwärtigen der Personlichkeit bekannten Beigeordneten Dr Rudolf Schwander wohnhaft Zu Straßburg handelnd auf Grund des im Auszuge beigehefteten Gemeinderathsbeschlusses vom 18. Mai 1903 einerseits
und der zu Straßburg Neudorf Lazarethstraße 45 wohnhaften Frau Eduard Kirrmann gebornen Mathilde Rosenstiehl, welche von Ihren Ehemann *tzt ist, die Eheleute Kirrmann beide anwesend sind dem Beurkundenden durch Dr Schwander * anderseits
ist nachstehender Kaufvertrag geschlossen worden.
Die Eheleute Kirrmann verkaufen hiermit zu vollem Eigentum unter Gesamthaftung gegen Störungen, Hypotheken, Nießbrauch und sonstige Rechte an die dies annehmende Stadt Strassburg zum Zwecke der Erbreiterung der Heiligenlichergasse das nachbezeichnete Anwesen.
Bezeichnung. Das Anwesen zu Strassburg, Heiligenlichtergasse 22, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, Speicher & Hof, begrentz einerseits von dem Anwesen Konrad Fecker, anderseits dem Anwesen Eduard Böhler vorn besagter Gasse hinten der israelitischen Schule.
Dieses Anwesen ist im Kadaster folgender massen eingetragen, Flur N Nr 918, Fläche 105. qm. Wohnhaus & Hof, Nutzungswert 1000 M. Auf dem beigefügten Plan der städtischen Bauamte ist daselbe rot angelegt. Das Anwesen soll in jetzigem Zustand, Umfang und Begrenzung mit Ausschluß jeder Haftung für Beschaffenheit und Flächenmess, jedoch ausschließlich sämtlichen den Eheleuten Kirrmann gehörigen Zubehört übergehen.
Eigentumsnachweis. Ehefrau Mathilde Kirrmann geb. Rosenstiehl, welche mit ihrem Ehegatten Eduard Kirrmann in Errungenschaft Gemeinschaft lebt laut Ehevertrag vom 26. 9. 68. vor Notar Flach zu Straßburg hat das Anwesen von ihren Eltern dem Kübler Daniel Rosenstiehl & dessen Ehefrau Sofie Wilhelmine Hepp, beide wohnhaft Zu Straßburg durch Teilung vor Notar Keller vom 2. 4. 1895. erhalten.
Bedingungen. 1) Mit dem 1. Juli 1903. tritt die Käuferin in Besitz und Genuß des Anwesens (…). Kaufpreis. Dieser Kauf beschieht um den Preis von 30.000 M.

La Ville proroge le tonnelier Hænel dans ses fonctions de locataire principal. Le feuillet porte le montant des cinq loyers à toucher

Str. 7/7 03. III.b 1268
Brm. Im Hause Heiligenlichtergasse N° 22. war bisher der Küfermeister Hanel mit der Aufsicht betraut & dürfte ihm diseelbe auch weiterhin zu belassern sein
1. An Herrn Hänel
2. Pfister
3. Graeber
4. Biedermann
5. Staedel
Nachdem das haus Heiligenlichtergasse N° 22. mit den 1. Juli de. J. in den Besitz der Stadt übergangen ist, bin ich bereit Ihnen die bisher vom Ihnen inngehabte Wohnung /:ad 1:/ im I. St. sowie die Räumlichkeiten im Erdgeschoß /:ad 2 & 3:/ im II St. /:ad 4 & 5:/ im III St. zu dem bisherigen Preise von /:ad 1:/ 125 M /:ad 2:/ 32 M /:ad 3:/ 48 M, /:ad 4:/ 25 M, /:ad 5:/ 44 M viertelj. gegen vierteljährliche Kündung zu überlassen (…)



6, rue des Veaux


Rue des Veaux n° 6 – VI 381 (Blondel), O 537 puis section 21, parcelle 39 (cadastre)

Maison Uttenheim – Auberge à la Rose d’or (zur goldenen Rosen, 1689) puis (1698) teinturerie à la Rose bleue (zur blauen Rosen)
Façade rue des Veaux, années 1740, maître d’ouvrage François Lanfrey, marchand (voir texte)
Façade vers la rivière, 1847-1850, maître d’ouvrage Charles Frédéric Perrin, architecte



Façade rue des Veaux – Façade du bâtiment vers la rivière (2010, Florent Fritsch, © Région Grand Est – Inventaire général)

Fief épiscopal détenu par la famille d’Uttenheim, la maison est la dernière à s’ouvrir sur le quai appelé Derrière la Meule (hinter dem Müelstein uff dem Platz) sur une longueur de vingt-sept pieds d’après le Livre des communaux de 1587. Les préposés aux affaires foncières (Bauherren) louent en 1617 le terrain jusqu’à la rivière aux propriétaires des maisons, soit un jardinet de 19 pieds de long et 15 pieds de large aux héritiers de Jacques d’Uttenheim. Guillaume d’Uttenheim passe en 1635 un accord avec son voisin pasteur Pierre Bimler, propriétaire de la maison dite au Bœuf Noir (actuel n° 8), sur les jours qui s’ouvrent sur sa propriété. Bernard Guillaume d’Uttenheim demande à plusieurs reprises une réduction sur le droit de manance parce qu’il habite rarement à Strasbourg depuis qu’il s’est établi près de Kogenheim (1636). Bernard Frédéric d’Uttenheim est autorisé en 1673 à poser trois piliers sur le communal derrière sa maison pour éviter que l’encorbellement ne s’écroule. La maison revient au Grand Chapitre de la Cathédrale qui la loue en 1689 à l’aubergiste Philippe Ziegel. Les Quinze lui accordent le 25 juin le droit de tenir l’enseigne à la Rose d’or dans la maison qui comprend une écurie pour trente chevaux. Le Grand Chapitre vend en 1695 la maison au teinturier André Pichau qui la fait démolir et reconstruire. Il refait aussi le pavillon qui surplombe en partie la rivière sur des piliers pour lesquels il acquitte une nouvelle rente communale. La teinturerie porte le nom de la Rose bleue (zur blauen Rosen) qu’elle gardera tout au long du siècle. Les propriétaires suivants sont des marchands, d’abord Nicolas Hammerer, les marchands savoyards Georges Muffat (1725) et Claude Jaccoud (1738) puis le Dauphinois François Lanfrey (1740). François Lanfrey reconstruit en 1748 en pierre la risberme (mur de soutènement vers la rivière) en suivant l’alignement des propriétés voisines. La façade sur rue qui avait alors deux étages (voir ci-dessous les dessins de 1830) est sans doute contemporaine : chaînages, bandeaux entre les étages, corniche moulurée sous la toiture. Le rez-de-chaussée a trois ouvertures appareillées en pierre de taille, celle du milieu donne passage dans la cour. François Lanfrey cède en 1754 à son fils Claude Henri Lanfrey la fabrique de tabac à l’enseigne de la Rose bleue qu’il exploite dans la maison. François Lanfrey acquiert en janvier 1770 de son voisin Jean Georges Baur (actuel n° 8) la partie arrière de la maison dite à la Vache noire. Il établit aussitôt une communication avec le bâtiment qu’il vient d’acheter et fait aménager la même année par le maître maçon et sénateur Georges Michel Müller le bâtiment vers la rivière.
Le marchand Louis Praz charge en 1780 le maître maçon Jacques Ferdinand Hertelmeyer de rehausser légèrement le mur de son jardin dans la ruelle qui mène à la rivière.


Plan-relief de 1727 (Musée historique) La façade sur la rivière est la deuxième à partir de la droite – La maison vue de l’est, partie droite du bâtiment d’angle, en bas de l’image (Jonathan Michalon – Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 202 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (d) : une fenêtre de part et d’autre de la porte, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveau de lucarnes. La cour K représente l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment ouest (1-2), le côté est (3-6) de la cour et la face nord (1-6) du bâtiment vers l’Ill dont la face sud à rez-de-chaussée et deux étages est figurée sur le dessin de la cour D. La cour L représente une partie (1-6) du bâtiment arrière. Le pignon de ce bâtiment se trouve à l’extrémité gauche du premier dessin. Les différents bâtiments sont décrits avec précision à la vente de 1823. Le bâtiment sur rue construit en maçonnerie a une cave sous solives, le premier étage comprend trois chambres et le deuxième étage trois chambres et une cuisine, la mansarde comprend quatre chambres. Le bâtiment à l’ouest a un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en galendure, la toiture à la mansarde comprend trois chambres et un grenier. Le petit bâtiment à l’est renferme des bûchers et des latrines au rez-de-chaussée et une galerie à l’étage. Le bâtiment vers l’Ill est en partie en maçonnerie (rez-de-chaussée et pignons), en partie en galendure (façades du premier et deuxième étage) ; le rez-de-chaussée contient une salle, deux chambres, un bûcher, des latrines et deux escaliers, les deux étages chacun sept chambres, une cuisine et deux escaliers. Le jardin en terrasse est muni d’un revêtement (risberme) en pierre de taille.
La maison porte d’abord le n° 26 (1784-1857) puis le n° 6.


Cours K et L

Cour D (terrasse) en 1830 – Mise à jour de 1861. Le nouveau bâtiment est celui de droite.

Plan de l’îlot. Le sol forme une équerre (cours K et D) depuis que le bâtiment arrière du voisin y a été réuni (1770)
Cour, côté nord et côté sud (2010, Florent Fritsch, © Région Grand Est – Inventaire général)

L’architecte puis professeur de dessin Charles Frédéric Perrin achète la maison en 1849. Il termine des travaux commencés en 1847, suivis en 1850 d’une reconstruction et d’un agrandissement. Les différents bâtiments sont haussés d’un étage, le bâtiment vers la rivière refait. Le revenu total de la parcelle passe de 504 francs en 1847 à 700 francs en 1850, le nombre de fenêtres à partir du troisième étage de 6 à 28.
Le propriétaire fait aménager en 1936 un appartement vers la ruelle de l’Abreuvoir en faisant percer trois fenêtres dans le pignon et aménager des lucarnes dans la toiture. D’autres lucarnes sont ensuite transformées sans que le dossier de la Police du Bâtiment en garde trace. Propriétaire depuis janvier 1968, Lucien Vorschirm fait aménager trois studios dans les combles et installer un ascenseur en 1969 dans une avance du bâtiment arrière. Il fait démolir en 1973 la gloriette dans le jardin.
Le local commercial est occupé par une librairie (1898), un atelier de réparation (1919, 1921), un débit de tabac (1953-1971) puis un restaurant.


Façade vers la rivière en 1936 puis en 1969 : la porte a été déplacée, les lucarnes modifiées (dossier de la Police du Bâtiment)
Cour (nord-est, mai 2017)

Escalier XVIII° siècle du bâtiment sur rue et du bâtiment sud – Vierge dans le passage sous le bâtiment rue des Veaux (2010, Florent Fritsch, © Région Grand Est – Inventaire général)

mai 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1603 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques d’Uttenheim de Ramstein et Madeleine de Müllenheim († 1587) – luthériens
h Guillaume d’Uttenheim de Ramstein († v. 1609) et Marie Bock d’Erstein – luthériens
1620* h Bernard Guillaume d’Uttenheim de Ramstein et (v. 1617) Marie Elisabeth de Degenfeld – luthériens
1648* h Bernard Frédéric d’Uttenheim de Ramstein et (1673) Marie Claire de Rathsamhausen à la Pierre – luthériens
v. 1680 Grand Chapitre de la Cathédrale
1695 v André Pichau, teinturier, et (1687) Marie Cléophée Hammerer d’abord (1674) femme du teinturier Elie Kræmer – luthériens
1714 v Nicolas Hammerer, marchand, et (1676) Dorothée Rœderer – luthériens
1725 v Georges Muffat, marchand, et (1704) Catherine Rabel – catholiques
1734 h Claude François Allié, docteur en médecine, et (1737) Catherine Rabel veuve de Georges Muffat, remariée (1751) avec Michel Hanrard – catholiques
1738 v Claude Jaccoud, marchand, et Jeanne Françoise Hugard, (1732) Marie Rabel, d’abord (1725) femme du marchand Antoine Arnaud – catholiques
1740 v François Lanfrey, négociant, et (1719) Catherine Capitaine et (1729) Marie Elisabeth Bittane – catholiques
1781 h Louis Joseph Praz, négociant, et (1765) Marie Catherine Jaccoud – catholiques
1804 h Marie Louis Montlaur, officier, et (1793) Marie Louise Adélaïde Praz, d’abord (1783) femme de Jean Félix de Dartein, commissaire général des fontes d’artillerie – catholiques
1823 v Antoine Philippe Ambroise Dorsner, négociant, et (v. 1821) Marie Anne Rosalie Hürstel
Claude Joseph Lidoine, officier puis propriétaire, et (1814) Marie Thérèse Elisabeth Müller (copropriétaires)
1826 v Claude Joseph Lidoine, officier puis propriétaire, et (1814) Marie Thérèse Elisabeth Müller
1849 v Charles Frédéric Perrin, architecte, professeur de dessin, et (1850) Sophie Adélaïde Schneegans
1927* h Albert Rodolphe Kœnig et Mathilde Perrin

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 2350 livres en 1718, 1750 livres en 1735, 3000 livres en 1776
Valeur vénale, 365 livres en 1695, 2540 livres en 1714, 3000 livres en 1725, 3940 livres en 1740, 5800 livres en 1781.

(1765, Liste Blondel) VI 381, Sr Lenfrey
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Mde Lanfrey, 4 toises, 1 pied et – pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 537, Ledoine, Claude Joseph, rue du Fort – maison, sol, 6,95 ares

Locations

1689, Philippe Ziegel
1697, Jean Jacques Frantz, aubergiste au Cerf
1698, Georges Werdemann, teinturier
1721, Georges Muffat, marchand (ensuite propriétaire)
1742, Jacques Boutefoy

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 76-v

Hinter dem Müelstein uff Dem Platz
vide Allmendb: 1466. fol: 63
Juncker Jacob von Uttenheim seligen Erben et Consorten haben hinden beÿ dem Müelstein aller hinderst vf dem Blaz vor Irrem Hauß die Allmendt 27 schu lang, darüber ein Vßstoß 3 ½ schu herauß. Darund. ein Ingezeünt Profeÿ 6 schu 9 Zoll lang, und 2 schu herausser Ingezeünt, Daruor ein Gärtlin 19 schu lang gegen dem Wasser Vndt 15 schu breÿt, Item ein Mistcasten 9 ½ schu lang und 7 ½ schu breÿt. Soll p, Beßert für die Nüeßung, ii lb iiii ß d
[in margine :] Möchte ein Bestendiger Zinß fürohin vff dise Inzeun[u]ng deß Profeÿs geschlagen werden

Sur la place derrière la Meule
voir Livre des Communaux de 1466, folio 63
À l’extrémité de la place derrière la Meule, les héritiers du noble Jacques d’Uttenheim et consorts ont devant leur maison un communal long de 27 pieds, une avance en saillie de 3 pieds ½. Au-dessous des latrines clôturées longues de 6 pieds 9 pouces en saillie de 2 pieds. Par-devant un jardin long de 19 pieds vers la rivière et large de 15 pieds, de même une fosse à fumier longue de 9 pieds ½ et large de 2 pieds ½. Doivent pour la jouissance 2 livres 4 sols
[in margine :] Une rente foncière perpétuelle pourrait être établie pour la clôture de ces latrines

1617, Livre des loyers communaux VII 1446 (Zinßbuch D) f° 195-v
La décision prise par les Préposés au bâtiment est portée dans le Livre des loyers communaux en 1617. La rente existe toujours en 1627, les riverains s’étant engagés à entretenir le quai.

Item ij ß d sollen geben Jr Jacob Von Utenh. seligen erben von einem Ingezeünten Almendgärtle 19 sch lang 15 sch breit hinder Ihrem hoff gegen gegen der breüsch Zu gelegen, davon Im Almendb: 1587. fo. 76. 77. vff Georgÿ falend soll doch daß vberhang vnd Profeÿ der Almend Herren vorbehalten sein aô 1617. zum ersten.
(rub.) Bleibt gleich folg.d. * Allmend H vndergang. Weilen die anwohner * weg. erhaltung deß gestadts; d. 8. Martÿ 1627.
Neü 357

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 357
Même loyer, au nom des héritiers du gentilhomme Philippe Jacques d’Uttenheim

Junckherr Philipp Jacob Von Uttenheims Erben, Sollen gemeiner Statt, Vom gärtlein in der Kalbsgaß, vf die breüsch stoßendt, Jahrs vf Georgÿ 2 ß d
Alt. d. f. 194
New fol. 299

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 299-v
Les contribuables suivants sont le Grand chapitre, André Pichau au nom duquel Jean Joachim Kob, Nicolas Hammerer, Georges Muffat, Claude Jaccoud puis François Lanfrey. La dernière quittance au nom d’Uttenheim est enregistrée en 1675.

Jr. Philipp Jacob von Utenheims Erben, Sollen vom Gärtlein in der Kalbsgaß vf die Preüsch stoßend, vff Georgÿ, 2 ß
St. Zinßb. p. 357
ietzt Thumb: Capitul alhie
Jetzt H. Andreas Pichau der Seidenfärber bezalt H. Joh: Joachim Kob
Jetzt Herr Niclaus Hammerer (Wb.)
jetzt Hrn George Muffat
jetzt Sr Claude Jaccoud
jetzt François Lanfrey

den 15. Oct. 1674 entricht Jr Utenheim – 4 lb und seindt 1. lb. 16 ß. nachgelaßen worden, also biß 1674. inclusive bezalt
den 8. Julÿ 1675 zalt er p 1675, 2 ß
den 21. 9.bris 1696 Zahlt H. Pichaw p. 1676 biß 1695 beedes inclusive 2 lb

Ferner von einem Gartenhäußel auf die Preusch 7 Schuh lang und 7 Schuh breit, Jahrs Vf Nicolai, vndt anno 1696. I.mo L. Prot. de a° 1695. fol: 80, 2 ß 6 d
Weiter Von einer Pritsch an obged. Gärtlein, Jahrs vf Nicolai und a° 1696. I.mo l. Pro: ut ante, 1 ß
1696-1741, dont
1702 Zalt p. 1702 p. Werthemann
1705 Zalt p. 1704 p. Hn Joh: Joachim Koben
Neuzb. fol 346-b

en outre pour un pavillon vers la Bruche, lequel a 7 pieds de long et 7 pieds de large, 2 schellings 6 deniers chaque année à la Saint-Nicolas et pour la première fois en 1696 d’après le registre de 1695 folio 80
En outre pour une plate-forme (peut-être un lavoir), 1 sol chaque année à la Saint-Nicolas et pour la première fois en 1696 d’après le registre comme ci-dessus

1697, Livre des loyers communaux, VII 1459 (Temporalzinsbuch)
Le revendeur Georges Muffat doit en 1727 15 sols pour un étal rue des Veaux devant la Rose bleue

1727 – George Meuffat, der Krämer, Soll von einem platz Zum Stand vor der blauen Roß in der Kalbs Gaß Jährlich auff Joh: Bæ. Zum Voraus, 15 ß

1741, Livre des loyers communaux VII 1471 (1741-1802) f° 346-b
Les loyers sont portés au nom de François Lanfrey puis de Joseph Louis Praz. Un nouveau loyer s’ajoute en 1749 pour la risberme vers la rivière

alzb. 299-b
François Lanfrey, soll vom gärtlein in der Kalbsgaß auf die Preüsch stoßend auf Georgÿ, id est 23. April, 2 ß
Ferner von einem Gartenhäußel auf die Preusch 7. schuh lang und 7. schuh breit, Jahrs auf Nicolai, id est 6. Dec., 2 ß 6 d
Ferner von einer Pritsch an obged. gärtlein, Jahrs auf Nicolai, id est 6. Dec. (16. frimaire), 1 ß
[in margine :] vid. 225-b

(Quittungen 1741-1748)
Derselbe solle ferner für die erlaubnus mit seiner Landvest weiter gegen der breusch Vorzufahren, jahrs auf Nicolai, und Laut Prot. de A° 1748. fol : 48.b. A° 1749. I.mo, id est 6. Dec.

1749-an 10
C. 192
modo (veuve de) H. Joseph Louis Praz
[in margine :] Rue des Veaux 26 ancien

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 347
Le loyer que doit Jean Henri Fritschmann pour sa nouvelle risberme en 1749 passe à François Lanfrey (voir l’achat du bâtiment arrière)

alzb. 720-b

Fritschmann solle ferner für die erlaubnus mit seiner Neü aufführenden Steinern Landfest Oben 7 ½ schuhe und unten 6. schuhe 7. Zoll beßer Hinauß in die Preusch Zufahren jahrs auf Mathæi und Laut Prot. de 1749. fol. 106. A° 1750. I.mo (id est 21. Sept – 1 Brumaire), 5 ß
(Quittungen 1749-1751, 1 lb 5 ß
1751-an 10, 5 ß
C 192

modo François Lanfrey
jetzt (veuve de) H. Joseph Louis Praz

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1617, Préposés au bâtiment (VII 1332)
Les préposés établissent un loyer sur l’ancien communal que les propriétaires des maisons donnant sur la place derrière la Meule ont converti en jardin

(f° 61) Zinstag den ersten Aprilis
Allmend Platz hinderm müehlstein – Weil auch vffm Augenschein befund. word. das dieselbe gaß Zwischen denselben heusern und Zwischen den selbst gemachten gärtelin Ein Almend gaß Ist, Wie In dem Allmendbuch 1466. fol: 63: So dan In dem Allmendbuch 1587. fol. 66 & 67 ([corrigé en] 76 & 77) Zubefünden und billich. ein Zinß vff solche gärtelin geschlag. werden sein solte. Als Ist dißmals dauon geredt,
Jr. Jacob Von Vtenheim s: Erben – Vnd erstlich von Jr. Jacoben von Vttenheim seligen erben hoff geredt, Die haben vff der Almend hinden gegen der Preüsch ein gärtlin Ingezeunt 19 schuh lang, vnd 15 sch brait, dauon Im Almendb: 1587 fo 76 bericht Zufünd. Dauon soll hinfüro all Jar vff Georgentag Zwen schilling Zinß geben werden, vnd soll Almend sein und bleiben. Soll auch der Vsstoß, das Profeÿ: vnd der Mÿstcasten, den Almend Hrn. vorbehalten sein, Künfftig Zuersuchen

Communal derrière la Meule – La visite des lieux a montré que cette rue entre les maisons et entre les jardinets qui y ont été établis est une rue communale comme l’indiquent le Livre des communaux de 1466 au folio 63 puis le Livre des communaux de 1587 aux folios 66 et 67 ([corrigé en] 76 et 77). La délibération a conclu qu’il faudrait établir un modeste loyer sur ces jardinets.
Héritiers de Jacques d’Uttenheim – Premièrement, la cour des héritiers du noble Jacques d’Uttenheim qui ont clôturé sur le communal à l’arrière vers la Bruche un jardinet de 19 pieds de long et 15 pieds de large, comme le mentionne le Livre des communaux de 1587 folio 76, devra désormais à ce titre un loyer de deux sols à la Saint-Georges, est communal et doit le rester. Les préposés aux communaux se réservent le droit d’établir une taxe sur l’encorbellement, les latrines et la fosse à fumier
.

1635, Préposés au bâtiment (VII 1346)
Le gentilhomme Guillaume d’Uttenheim passe en 1635 un accord avec son voisin pasteur Pierre Bimler, propriétaire de la maison dite au Bœuf Noir. Pierre Bimler a haussé sa galerie en y pratiquant d’étroites fenêtres qui ont aussitôt été murées. Le gentilhomme se plaint que ses voisins peuvent voir chez lui par d’autres grandes fenêtres. La commission qui se rend sur place constate qu’il y a plusieurs ouvertures aveugles dans le mur commun, que d’anciennes fenêtres assez grandes se trouvent dans le mur pour éclairer la galerie, depuis plus de cinquante ans d’après les allégations du pasteur Bimler. La commission est d’avis de murer les deux tiers des grandes fenêtres en conservant un tiers pour l’éclairage. Le receveur du gentilhomme se déclare prêt à transiger. Le pasteur s’engage pour lui et ses successeurs à ne jamais rouvrir les fenêtres étroites, à murer les deux tiers des grandes fenêtres et à supprimer le volet du troisième tiers en le remplaçant par du verre dormant. Ses voisins Uttenheim devront s’engager à ne pas occulter la lumière de ces jours.

(f° 5-v) Donnerstag den 12.ten Februarÿ a° 1635. seind folgendt Augenschein Zinstags den 3.t deß Ingenommen vnd anietzo außgemacht worden. – Uttenheim contra Pimpler wegen fenster In gemeiner Maur (v. Bescheid Forma sub N° 2)

In Jr. Bernhardt Wilhelm Von Uttenheimß hauß in Kalbßgaß Neben dem Schwartzen ochsen Clagt g. M. Peter Bimpffer Pfarrer vber Rhein als eigenthumbs Inhabern deß Schwartzen ochsen der hab Seinen Gang In gemelttem hauß höher geführt Jher uberbawen vnd were Schlitz fenster Inn die erhöchte Maur geordnet, dieselbe aber mit ½ stein widerumb vermacht, dar durch Es sich, da sie widerumb vffgebroch. werd. solte beschwerd befind. An Allermeisten aber, vber daß vorderst große fenster Zwen Alt. Allein So vff 3. schuh allerseits In die Vierung hatt, dardurch ihme Allenthalben hien, In Sein hauß vnd hof gesehen werden könne, vnd de facto, durch sein Pimplerß liederliche haußleuth geschehe. Bitt Zuerkennen, daß daßelbig solle Zugemacht werd. Stelts Zu MHerren,
hatt sich befunden 1° daß eß Beederseits von vnden ahn biß oben auß Blindtfenster hatt, So lang die Maur v. demnach dieselbe gemein, 2° daß daß vnder groß fenster der Alten Maur ein Alt thun: vnd vielleicht (weil M Pimpler der Zuegeh. solches selbst bekant, kein anderen Alß Persönlichen beweißtumb hatt) von 50 Jahre hero, wie er ferner fürgibt, ein Alte vergünstigung Ist, ohne welche gleichwohl sein gang auch bey helleren Mittag Aller finster were, 3° daß solch groß fenster gar hoch stehe, vnd ohne stul oder anderen behelff, nicht leicht hienüber Zuesehen
Ist erinnert wann die Part. beederseits dahien Zu disponiren weren, könt. 2/3 von der höhe dises beschwerlich fensters Zugemacht, der Schalter Zu zwen theil hinweggethan, vnd nur 1/3 von der höhe Zu genug samen Einfallenden leucht offen gelaßen werden. Der Juncker hatt sich den 11.t diß durch Seinen Schaffner hanß henrich Schmid willig erclärt, vnd Pimpler anheut in pleno vff bescheh. Zusprech. daß eß Zu besserer nachbarschafft gereicht, dasonst der Jr. solche fenster, wie er wohl kann v darff gar verbawen, annoch auch accomodirt, mit fernerer anzeug daß der Werckheuth vff der hutt, ohne daß schon einen schuh hoch Zu Zumach. Bescheidt ertheilt.
Daruff Erkanth, M Pimpler für sich seine Erben vnd Nachkommen oder Künfftige Inhabere deß haußes Zum schwartzen ochsen In Kalbßgaß, Sollen nicht allein schuldig sein, die Jn die erhöhte Maur deß gangs gemachte v. wider vermaurte Schlitzfenster Zu zulaßen v: nimmermehr Zueröffnen, Sondern auch Er Pimpler Zweÿ dritteil von dem bisher gehabte Großen fenster Jn der Alt. Maur, mit einem halbenstein Zumachen, daß Schälterlin In dem vberig. dritten theil auch abschaffen, daßelbig Mit einem Vesten glaß ersetz. Solcher Zweÿ dritte theil auch bestendig Zue der vberige drittheil aber offenbleiben, Vnd Jr. Uttenheim deßen Adeliche Erben vnd nachkommen oder Inhabere deß Uttenheimischen hoffes, nicht macht haben, denselben Zu verbawen oder Ihme In andere weg, vber kurtz oder lang Immermehr daß Einfallende vberige liecht Zubenehmen.
Soll J v Utenh. 12 ß augenschein gelt.
[in margine :] haben Bede theil Extract deß Bescheids gebetten v. empfangen d. 23. feb. 1635.

1673, Préposés au bâtiment (VII 1363)
Les préposés autorisent Bernard Frédéric d’Uttenheim à poser trois piliers sur le communal derrière sa maison pour soutenir l’encorbellement en mauvais état et éviter qu’il ne s’écroule. Il devra s’accorder avec les Trois de la Tour aux Deniers sur le loyer à régler

(f° 23) Sambstag den 22. febr. – Jr Uttenheim, Außstoß, Uberhang, Allmend zinnß
Augenschein eingenommen vff begehren Jr. Bernhard Friderich von Uttenheim welcher genöthiget, und deßwegen erlaubnus begehret, daß er sein Hauß in der Kalbßgassen hinden gegen das Wasser, umb so weit der Außstoß oder Vberhang gegen dem allmend gehet, aber in dem getrohme oder gebalcke gantz faul, und dahero Zubesorgen d. es ein falliment geben möchte, mit einem dannbaum underfahren, und solchen vff 3. Pfosten vff das Allmend setzen möge. Weilen sich nun befunden, d. d. getröhme an dem Außstoß oder Vberhang gantz faul und mehrer theils ohntragbar, und ad interim anders nicht alß vff begehrte Weiße Zuhelff. alß ist Ihme in seinem begehren willfahrt doch d. er hiengegen den Platz darauff die pfosten gesezet sambt dem gärtlein daran für Allmend erkennen, und wegen vßstendiger Zinnße sich mit dem Pfthrn. v.gleichen solle.

1674, Préposés au bâtiment (VII 1363)
Bernard Frédéric d’Uttenheim obtient une réduction de l’arriéré qu’il doit pour sa maison

(f° 201-v) Donnerstag den 15. dito [Octobr] – Jr. Bernh. Frid. von Utenheim bodenzinß
Jr. Philips Jacob von Utenheims Erben Sollen vom Gärtlein der Behauß. in der Kalbs Gaß Allmend zinß lauth Zinßb. p. 299. biß Georgÿ 1674. inclus. Jahrs à 2. ß in Summa 5. lb. 16 ß bitet Jr. Bernh. Friderich von Utenheim per H. Johann Varrenbühlern umb Nachlaß, Erk. seind 1 lb. 16. ß nachgelaß. und restirte 4. lb baahr entricht worden.

1695, Préposés au bâtiment (VII 1376)
Le teinturier André Pichau demande l’autorisation de démolir et de reconstruire l’avance vers la rivière. La commission constate que chaque maison en amont de la Vache noire a un pavillon au fond du jardin vers la rivière. Le requérant demande l’autorisation de refaire la pavillon (7 pieds de long et 7 pieds de large) sur des piliers. Les préposés autorisent André Pichau à établir son pavillon moyennant une rente foncière d’un sol par an.

(f° 42-v) Freÿtags den 3. Junÿ 1695. – Herr Andreas Pichaw
Augenschein eingenommen in Herrn Andreæ Pichaw, des Seidenferbers behausung in der Kalbß gaßen, oberhalb der schwartzen Kuhe gelegen, darinnen sich ein Überhang auff der seithen des Flußes sich befindet, welcher bawfällig, den Er abzubrechen und wider new auffzubawen gesinnet ist und deßwegen umb erlaubnus angesucht. Erk: Willfahrt.

(f° 78) Montags den 21. 9.bris 1695 – Herr Johann Winter und Herr Andreas Pichaw wegen erbawung Garten häußlein
Augenschein eingenommen in Herrn Johann Winters, des Oberschreibers beÿ dem Stifft Unser Fr. Werckh alhie, undt Herrn Andreæ Pichaws des Seidenferbers, Hinter Ihren in der Kalbsgaßen oberhalb des haußes Zur schwartzen Kuhen gelegenen Häusern sich befindlichen Allmend: Gärttlein, daran ein jeder ein Gartenhäußlein auff die Preüsch 7. schuhe lang und 7. schuhe breit auff Pfeiler setzen Zulaßen gesinnet, und deßwegen umb gn. erlaubnus angesucht, Erk. Willfahrt und soll der Zinß hernächstens regulirt werden.

(f° 80-v) Montags den 28. Ejusdem [9.bris 1695] – Herr Johann Winter und Herr Andreas Pichaw
Wegen Herrn Johann Winters und Herrn Andreæ Pichaw erlaubter Gartenhäußlein ist Erk. Soll jeder jährlich auff Nicolai und A° 1696. I.mo 2 ß 6. d und Herr Pichaw wegen einer pritschen jahrs 1 ß d. bodenzinß geben.

1734, Préposés au bâtiment (VII 1396)
Le marchand Georges Muffat demande l’autorisation de refaire à neuf la risberme en l’avançant vers la rivière comme l’ont fait ses voisins le consul Gissing et le sieur Hauser. Son voisin Jean Henri Fritschmann demande des explications sur les projets de Georges Muffat.

(f° 31) Donnerstags den 29. Aprilis 1734. seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden. Sr George Muffat
An Herrn Sr George Muffat des Kauffmanns Hauß in der Kalbsgaß, welcher umb erlaubnus gebetten mit der Landvest an seinem gärtel hinden auf die breüsch, welche Ohne dem schadhafft, und neü muß Gemacht werden, weiter auf das Waßer Hinauß zufahren, Gleich Herrn Amst. Gisin, und Herrn Hauser, Oben daran Vor etlichen Jahren gegönnet worden, Erkannt solle das Meß genommen und sambt einem Rißel Zu des Pfenningthurns Protocoll gelieffert werden.

(f° 37) Dienstags den 18. Maÿ 1734, Johann Heinrich Fritschmann weg. Hn. George Muffat – Johann Heinrich Fritschmann, der Schreiner, wurde citirt und demselben zu wißen gethan, daß Herr George Muffat der Handelsmann, willens ist, hinter an Seiner in der Kalbsgaßen liegenden wohnung, mit Seiner an dem Gärtlein befindlichen Land Vest, weiter auf die breusch hienaus zufahren, Verlangte also zu wißen, ob Er etwas wegen einer dabeÿ befindlichen maur an Seiner darneben liegenden wohnung ein zu wenden habe ? Citatus præsens, entschuldigte sich, daß Er nicht gewußt, warum Er citirt worden, wolte aber Herrn Muffat vorhaben examiniren, und als dann das nöthige communiciren. Erkannt, Solle deßwegen ein Augenschein eingenommen werden.

1748, Préposés au bâtiment (VII 1403)
Les préposés indiquent à François Lanfrey et au baron de Reinach l’alignement suivant lequel ils peuvent construire une nouvelle risberme en pierre (36 pieds de long pour chacun) ; François Lanfrey est autorisé à anticiper sur cet alignement de cinq pieds en amont. François Lanfrey demande le 20 août d’inclure dans l’alignement la clôture en lattes qui se trouve devant les pavillons pour que les propriétaires en aval puissent suivre cet alignement pour reconstruire leur risberme en pierre.

(f° 48-v) Freÿtags den 26 Ejusdem [Julÿ] – H. B. Von Reinach, François Lanfrey
An Herrn Baron Von Reinach, und Hn François Lanfrey des Handelsmanns Landfesten, Hinder jhren Häußern an der Kalbsgaß, welche Sie Von steinen Neü machen Laßen wollen, und nun erlaubnus gebetten, mit denselben beßer in die Breüsch Zufahren, es wurde deßhalben eine schnur Von Haußers Landfest neben Herrn Von Reinach, an H. Plarren gartenhäußel Unten daran gezogen, nach welcher Herr Baron Reinach mit seiner Landfest, welche 36 schu lang, Oben 5. schuhe 3. Zoll, Unten 5. schuhe, Lanfrey aber mit seiner auch 36. schuhe langen Landfest, Oben neben Herrn Von Reinach 5. schuhe und Unten (-) gegen der breüsch Vorfahren Könten, die Gartenhäußlein aber in dem Meß, wie Sie dermahlen seÿ



4, rue de la Massue


Rue de la Massue n° 4 – X 261 (Blondel), O 828 puis section 33, parcelle 57 (cadastre)

Maison dite Stœrenhoff (cour Stœr) – Démolie (années 1970)


Façade principale vers l’est (AMS, Lucien Blumer cote 8 Z 1685)
Façade rue du Jeu-de-Paume (deuxième bâtiment, cote 8 Z 1679, vers 1930)
Façade rue de la Massue (AMS cote 1003 W 3, n° 1404, vers 1942)

Le Stœrenhoff (cour Stör) comprend les bâtiments qui donnent sur la placette et le grand jardin à l’arrière (n° 260 sur le plan Blondel) qui en est détaché en 1707. D’après le Livre des loyers communaux de 1587, la maison a notamment un encorbellement de 52 pieds, un auvent de 16 pieds en haut du pignon et un pilier maçonné à l’angle ; d’autres piliers longent le jardin. La propriété appartient au marchand Pierre Frick jusqu’en 1603 puis aux pelletiers Matthieu Hellbeck dit Bœhm père et fils qui n’y habitent pas. On y trouve au milieu du XVII° siècle un bâtiment servant de teinturerie. Le jardin est loué à des maraîchers. La maison revient en 1692 au brasseur aux Trois Rois (rue des Bestiaux, aujourd’hui rue d’Austerlitz) Jean Georges Nagel puis en 1707 au bourreau Jean Georges Franck qui la revend aussitôt en conservant le jardin. Le pelletier Jean Georges Merg doit y avoir ajouté une nouvelle maison composée de deux bâtiments, citée parmi les différents logements que loue en 1720 le tuteur de ses enfants. Le Stœrenhoff appartient ensuite (1729-1744) à l’ancien chapelier François Waltz, devenu aubergiste au Jardin du Prévôt hors la porte des Juifs. Le tisserand Philippe Jacques Kayser auquel elle appartient pendant toute la deuxième moitié du siècle habite rue des Cerceaux (à l’emplacement de l’actuel quai Finckmatt). Le tisserand Chrétien Kayser est autorisé à agrandir une croisée en 1789 à condition de ne pas toucher à l’encorbellement.


Plan-relief de 1725 (Musée historique) – Le Stœrenhoff est formé des bâtiments en U et du bâtiment plus haut sur la droite, à l’arrière de la placette à gauche de l’image

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 215 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est se trouve entre les repères (v-x-y) : deux fenêtres, porte cochère puis deux autres fenêtres dans la troisième partie à pignon, le premier étage comprend autant de fenêtres que d’ouvertures au rez-de-chaussée. La façade vers la rue du Jeu-de-Paume comprend les deux bâtiments à gauche du repère (v) : une porte et deux fenêtres puis une fenêtre dans le bâtiment à pignon, au premier étage trois puis une fenêtre et un deuxième étage dans le pignon. La façade rue de la Massue comprend les deux bâtiments entre (z) et (a’), le premier à trois fenêtres au rez-de-chaussée et à l’étage, le deuxième deux fenêtres au rez-de-chaussée et à chacun des deux étages. La cour P représente entre (3-4) l’arrière de la façade est, entre (4-1) l’arrière de la façade rue du Jeu-de-Paume, entre (2-3) l’arrière de la façade rue de la Massue et entre (1-2) le côté ouest de la cour. Deux édicules en appentis s’adossent aux murs est et ouest.
La maison porte d’abord le n° 60, Quartier des Souabes (1784-1857) puis le n° 4, rue de la Massue.


Plan de l’îlot – Cour P
Sur la droite, façade est. Au premier plan le 12, rue du Jeu-de-Paume (Lucien Blumer, AMS, cote 8 Z 2018, vers 1930)

Frédéric Michel Braun ajoute en 1864 un deuxième étage et fait modifier certaines fenêtres au rez-de-chaussée. Les différences entre les élévations de 1830 et les photographies montrent que l’étage est ajouté au bâtiment à l’angle de la rue de la Massue. Le revenu passe de 127 à 181 francs, le cadastre signale aussi une fenêtre au troisième étage. Le rez-de-chaussée est alors en maçonnerie et l’étage en pans de bois. Lors du ravalement de 1877, l’agent voyer note que le bâtiment dépasse de l’alignement de tous les côtés mais qu’il n’a pas d’encorbellement.


Dessins joints à l’autorisation accordée en 1908 (dossier de la Police du Bâtiment)
Emplacement de la maison après sa démolition. A l’extrême droite, le garage Grisanti installé dans les locaux de la « Cité artisanale » (photographie du Service de l’architecture, cote 1005 W 6)
Vue en novembre 2013

avril 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1604 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Pierre Frick, marchand, et (1562) Appolonie Schilling, remariée (1604) avec Paul Graseck – luthériens
1603 v Samson Strintz, fripier, et (1577) Elisabeth Wissensteiger puis (1610) Barbe Gerlach, d’abord (1601) femme du vitrier Séverin Weissenburger – luthériens
1603 h Isaac Bisantzer, chaussetier, et (1607) Catherine Strintz – luthériens
1607 v Jean Henri Rottmann, pasteur, et (1589) Elisabeth Lichtensteger, remariée (1618) avec Anastase Reit
1614 v Georges Treutlinger, tailleur, et (1602) Salomé Rothmann – luthériens
1621 v Matthieu Hellbeck dit Bœhm, pelletier, et (1609) Eve Dullenkopff, (1616) Anne Marie von Thour, (1624) Salomé Merckel puis (1652) Marie Madeleine Reit – luthériens
1660* h Matthieu Hellbeck dit Bœhm, pelletier, et (1646) Marthe Brecht – luthériens
1692 v Jean Georges Nagel, brasseur, et (1672) Anne Catherine Liefferer puis (1688) Marguerite Metzger – luthériens
1698 h Jean Adam Nagel, brasseur, et (1700) Marie Madeleine Bleicher – luthériens
1707 v Jean Georges Franck, bourreau, et (1692) Anne Catherine Günther d’abord (1680) femme du bourreau Jean Melchior Grossholtz, (1712) Anne Marie Ostertag puis (v. 1719) Catherine Susanne Grossholtz– luthériens
1707 v Michel Gack, maçon, et (1693) Anne Ursule Graff – luthériens
1708 v Jean Georges Merg, pelletier, et (1699) Eve Eigenoss – luthériens
1729 v François Waltz, chapelier puis aubergiste, et (1712) Anne Marie Kirchenbauer puis (1743) Chrétienne Bolchert, veuve du messager Martin Volmar – luthériens
1744 v Philippe Jacques Kayser, tisserand, et (1725) Marie Salomé Vix puis (1735) Anne Marie Geyler – luthériens
puis indivise entre Chrétien Kayser, tisserand, et (1765) Anne Marguerite Mentzer
Anne Marie Kaiser et (1761) Jean Geyer, boucher
Marie Salomé Kaiser et (1771) Philippe Daniel Friess, tourneur
1795 h Jean Georges Hoffherr, boucher, et (1787) Anne Marie Geiger
1808 v Laurent Rudloff, matelassier, et (1795) Madeleine Back
1812 v (Chrétien) Michel Braun, voiturier, (1811) Marie Catherine Latscha
1853 h Frédéric Michel Braun, gendarme, et (1843) Mathilde Holtz
1884* v Charles (Charles Adolphe) Zimmermann, menuisier, et (1873) Charlotte Louise Conschafsky, d’abord (1858) femme de Michel Alphonse Haegelé, serrurier
1904 Charles Müller, receveur des postes
1948* h René Wurtz, ingénieur géomètre, et son épouse née Muller

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1692 (avec le jardin)
900 livres en 1744, 450 livres en 1758

(1765, Liste Blondel) X 261, au nommé Keyser
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Geÿer, 25 toises, 4 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 828, Braun, Michel – maison, sol – 3,1 ares

Locations

1645, Daniel Bitot
1645, Christophe Hœhenfelder, jardinier
1651, Jacques Erhard, jardinier
1652, Michel von Lampertheim, jardinier
1658, André Hœhenfelder, jardinier
1692, Jean Conrad Henninger, marchand
1711, Emanuel Hellbeck, pelletier, puis Jean Ziffer, journalier
1811, Ferdinand Altmeyer, maître charpentier, et Eve Strobel

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 487
La maison qui appartient au marchand Pierre Frick en 1603 doit être la même que celle à son nom dans le Livre des communaux.
Pierre Frick l’aîné doit 1 livre 15 sols pour un cabinet d’aisance maçonné posé sur deux corbeaux en pierre (3 pieds de large, en saillie de 11 pouces), item à l’arrière de la maison un encorbellement (52 pieds de long, en saillie de 2 pieds ½), un pilier maçonné posé sur le sol (3 pieds de large, en saillie de 3 pieds) à l’angle inférieur, deux porcheries contiguës (en tout 15 pieds ½ de long, en saillie de 5 pieds ½), une autre porcherie (4 pieds de long, 4 pieds de large), de l’autre côté un auvent en haut du pignon (16 pieds de long, en saillie de 2 pieds)

Daselbsten umb das Eckh wider hinumb in Krauttenaw hinein.
Peter Frickh der Altt hatt dahinden ein Hauß In einem Winckhel ein außgemaurt Profeÿ vff Zweÿen steinerin Kepffern iij schu breÿt xxj Zoll herauß, Mehr hinden an disem Hauß auch ein Vsstoß Lij schu lang, ii+ schu herauß, Vndt hatt daselbs am Eckh vnden am Hauß ein von grundt vfgemaurten Streb Pfeÿler iij schu breit iij schu herauß, mehr auch vnden an dem Hauß Zwen Schweinstall neben einander beede Zusammen xv+ schu lang, v+ schu breit, vndt dann aber ein Schweinstall daselbs so iiij schu lang iiij schu breÿtt, Mehr vff der Andern seÿten dises Hauses ein Wettertach oben am Gebell xvj schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, j lb. xv ß d.

En outre contre cette maison un cabinet d’aisance maçonné depuis le sol (3 pieds de large, en saillie de 1 pied ½) pour lequel il doit 4 sols
Er hatt auch an disem Hauß vnden ein von grundt auff gemaurt Profeÿ iij schu breit i+ schu herauß, bessert für das Nüessen, iiij ß d.

Il a en outre posé sur le communal, devant et derrière la maison, du fumier, des pierres et un petit tas de planches pour lesquels il doit 3 sols
Und hatt sonst daselbs hinden vnd vor disem Hauß das Allmendt mitt Mist, steinen vndt einem Heüfflin borten Verschlagen, bessert iij ß d.

Ledit Pierre Frick a aussi posé du fumier sur le communal devant son jardin pour lequel il doit 2 sols
(f° 487-v) Der Gedacht Peter Frickh hatt auch vor seinem Gartten, daselbst das Allmendt mit mist belegt, bessert für den Mist, ij ß d.

Il a aussi posé à l’extérieur du mur de ce jardin cinq piliers maçonnés (2 pieds de haut, 2 pieds de large, en saillie d’un pied) pour lesquels il doit 5 sols
Und hatt außwendig an der Mauren desselben Gartten fünff von grundt auff gemaurte Pfeÿler, Jeder Zween schu hoch ij schu breit, vndt j schu herauß vff dem Allmendt stehen bessert für das Nüessen, v ß d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le charpentier Krieg demande au nom du tisserand Chrétien Kayser l’autorisation d’agrandir en hauteur et en largeur une croisée à sa maison sise 60, Quartier des Souabes. Il y est autorisé à condition de ne pas toucher à l’encorbellement.

(f° 288-v) Dienstags den 16. Junii 1789. – Christian Kaÿßer pt° Kreutzstock
Mstr Krieg der Zimmermann nahmens Christian Kaÿßers des leinenwebers bittet gehörsamst um erlaubnus an deßen beÿ dem Schwabenländel in dem Kolbengäßel gelegenen mit N° 60 bezeichneten Haus einen Kreutzstock höher und breiter machen Zu dörfen. Erkannt, willfahrt, jedoch daß derselbe den überhang nicht berühre.

Description de la maison

  • 1738 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée poêles, chambres, cuisines, vestibule, cave solivée en mauvais état, à l’étage de nouveau un poêle, chambres, cuisine, vestibule, comble en très mauvais état où se trouvent la chambre à soldats, le toit est couvert moitié de tuiles plates moitié de tuiles creuses, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins
  • 1758 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert moitié de tuiles plates moitié de tuiles creuses, la cave est solivée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 450 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue de la Massue

nouveau N° / ancien N° : 4 / 60
Braun
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, 27 f° 260 case 3

Braun Michel rue du jeu de paume N° 60
Braun Michel et Frédéric Michel rue du jeu de Peaume N° 60 (Sub.on pr. 1854)

O 828, maison, sol, R. du jeu de paume 60
Contenance : 3,10
Revenu total : 127,61 (126 et 1,61)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 52 / 42
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1036 case 2

Braun Michel et Frédéric
1878 Braun Friedrich Michael We. Mathilde Holtz
1884 Zimmermann Karl, Sebastian und dessen Ehefrau Luise Conschafsky

O 828, maison, sol, Rue de la Massue 4
Contenance : 3,10
Revenu total : 127,61 (126 et 1,61)
Folio de provenance : (260)
Folio de destination : 1036, aug. de C.on de 1865
Année d’entrée :
Année de sortie : 1868
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 52
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 828, maison
Revenu total : 181,61 (180 et 1,61)
Folio de provenance : 1036 Augm. de C.on de 1865
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1868
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 72 / 58
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1
1868, Augmentations – Braun Michel et Frédéric f° 1036, O 828, Maison, revenu 180, Aug.on de Const.on, achevée en 1865, imposable en 1868, imposée en 1868
Diminutions – Braun Michel et Frédéric f° 1036, O 828, Maison, revenu 126, Aug.on de Const.on de 1865, supp. en 1868

Cadastre allemand, registre 30 p. 416 case 7

Parcelle, section 33, n° 57 – autrefois O 827, 828
Canton : Ballhausgasse Hs. Nr. 11 u. Kolbengasse Nr 4
Désignation : Hf, 4 Whs, Wsl. u. N.G.
Contenance : 4,82
Revenu : 2360 – 2900
Remarques :

(Propriétaire), compte 1378
Zimmermann Karl Ww.
1906 Müller Karl u. Ehefr.
1948 Wurtz René, ingénieur géomètre, son épouse née Muller
(4436)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 341 Rue du Jeu de Paume

60
loc. Schultz, André, Manant
loc. Krieger, Michel, Manant
loc. Turck, Nicolas, Manant
loc. Turck François, Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kolbengasse (Seite 82)

(Haus Nr.) 4.
Lemaire, Schreiner. 0
Stoltz, Schlosser. 0
Heiwang, Büglerin. 1
Seebacher, Bildhauer. 1
Dümerling, Schlosser. 2
Heng, Tagner. 2
Bernhard, Tagner. H 0
Schüle, Schreiner. H 0
Zimmermann, Wwe. H 0
Müller, Postbote. H 1
Seebacher, Bildhauer. H 1
Finkbeiner, Schuhmachermeister. H 2
Krummeich, Steinh. H2
Führer, Packer. H 3
Heng, Tagner. H 3
Streckhardt, Schuhm. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 1480)

Le propriétaire Braun charge en 1864 l’entrepreneur Ruh de construire un deuxième étage et de modifier des fenêtres au rez-de-chaussée. L’agent voyer rapporte que le rez-de-chaussée est en maçonnerie et l’étage en pans de bois. Lors du ravalement de 1877, l’agent voyer note que le bâtiment dépasse de l’alignement de tous les côtés. Charles Müller fait percer en 1908 une nouvelle fenêtre dans une cuisine au rez-de-chaussée (bâtiment arrière du 11, rue du Jeu-de-Paume).
Une enseigne lumineuse est posée en 1963 pour le compte de Navaro et de la Brasserie de l’Espérance à Schiltigheim. Le garagiste Grisanti pose une plaque sur le bâtiment municipal en 1967.

Sommaire
  • 1864 – L’entrepreneur Ruh demande au nom du propriétaire Braun l’autorisation de construire un deuxième étage et de modifier des fenêtres au rez-de-chaussée – Rapport de l’agent voyer, la façade existante de cette maison se compose d’un rez-de-chaussée en maçonnerie et d’un 1° étage en pans de bois, le tout en bon état
  • 1877 – L’entrepreneur G. M. Friederich (7 rue des Bateliers) demande au nom de la veuve Braun l’autorisation de ravaler les façades – Rapport de l’agent voyer, dieses Eigenthum steht auf allen Seiten auswärts dem Alignement, aber hat keinen Ueberhang und das Erdgeschoß ist in Maurwerk.
  • 1883 – Suite à une plainte, la Police du Bâtiment constate que la fosse d’aisances (propriétaire, Zimmermann) ne correspond pas à la réglementation
  • 1890 – La Police du Bâtiment notifie Charles Zimmermann (domicilié sur place) de faire ravaler les façades – Le propriétaire répond qu’il a fait faire les travaux en 1884, soit moins de dix ans auparavant et obtient un délai d’un an
    1891 – L’entrepreneur A. Metzger (3 rue du Brochet) demande l’autorisation de ravaler les façades – Autorisation – Travaux terminés, juin 1891
  • 1895 – 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique.
    – Mars 1897, 4 volets ont été modifiés, 3 autres ne le sont pas encore – 1898, la Police du Bâtiment envoie une notification au propriétaire – Travaux terminés, juin 1899
  • 1898 – La Police du Bâtiment notifie Charles Zimmermann (domicilié sur place) de faire ravaler les façades – Dossier classé, mai 1899 (voir le 11 rue du Jeu de Paume)
  • 1904 – La Police du Bâtiment notifie Louise Zimmermann (domiciliée sur place) de faire ravaler les façades – La propriétaire objecte que le dernier ravalement a eu lieu 5 ans auparavant et demande un délai
    1905 – Le receveur des postes Charles Müller a acquis la maison l’année précédente et l’a fait en partie ravaler. La Police du Bâtiment accorde un délai d’un an pour les travaux qui restent à exécuter.
    1906 – Le peintre en bâtiment Erwin Notz (11 rue du Jeu de Paume) demande au nom du propriétaire l’autorisation de ravaler les façades – Travaux terminés, juillet 1906
  • 1908 – Charles Müller, propriétaire des maisons 11 rue du Jeu de Paume et 4 rue de la Massue, demande l’autorisation de percer une nouvelle fenêtre dans une cuisine au rez-de-chaussée pour pouvoir installer le nouvel évier lors du raccordement aux canalisations – Croquis – Accord, bien que le bâtiment dépasse de l’alignement – Autorisation de percer une fenêtre au rez-de-chaussée du mur à la maison 4 rue de la Massue – Travaux terminés, novembre 1908 – Plan (les travaux ont lieu dans le bâtiment arrière du 11, rue du Jeu-de-Paume)
  • 1958 – Le service municipal des eaux informe René Wurtz (31 rue Geiler) que la consommation d’eau a beaucoup augmenté et conseille de vérifier qu’il n’y a pas de fuite
    1959 – Le propriétaire a réparé la conduite abîmée et demande un certificat pour obtenir une subvention – La Police du Bâtiment délivre l’attestation
  • 1963 – A. Hartz (Eur Etal, 23 rue Jules Rathgeber au Neudorf) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Ancre Export Beer) pour le compte de M. Navaro et de la Brasserie de l’Espérance à Schiltigheim – L’enseigne est posée
  • 1965 – Rapport du Service des incendies : la cheminée s’est écroulée en endommageant la toiture – Dossier classé
  • 1966 – Le Garage Grisanti (17 rue du Jeu de Paume) demande l’autorisation de poser des panneaux sur son bâtiment et une flèche de signalisation au 4 rue de la Massue
    1967 – Lettre du Maire au Garage Grisanti concernant la redevance pour les plaques apposées sur les immeubles municipaux 17 rue du Jeu de Paume et 4 rue de la Massue – Nouvelle redevance pour une plaque Simca
  • 1967 – La Brasserie de l’Espérance a démonté l’enseigne lumineuse

Relevé d’actes

La maison appartient au marchand Pierre Frick l’aîné (voir aussi le Livre des communaux). Originaire de Rotenfels, Pierre Frick épouse en 1562 Appolonie, fille de Samuel Schilling de Spire

Mariage, cathédrale (luth. p. 98)
1562. Peter Frick von Rotenfels, Apolonia, Samuel Schillings von Speir dochter. Eingesegnet Montag den 13. [Julÿ] ab Angelico (i 52)

Originaire de Rotenfels, le marchand de voiles Pierre Frick achète le droit de bourgeoisie six mois après son mariage
1562, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 48
Petter Frick von Rottenfels der Schleÿer Kremmer hatt das burg. recht kaufft und dient Zum Spiegel Actum Donnerstag den xxiiij.t Decembris A° Lxij

Devenue veuve, Apollonie se remarie en 1604 avec Paul Graseck
Mariage, cathédrale (luth. p. 143)
1604. Dominica 16. post Trinit d. 23. Septembris Hr Paulus Graßeck der Hrn 15. vnd Apoloniam peter Fricken des handelsmanns n : g : wiwte (i 74)

Pierre Frick et Appolonie Schilling vendent à Samson Strintz et à sa femme Elisabeth moyennant 700 livres la maison dite Stœrenhoff, sise à la Krutenau à la Mare aux Canards (Entenletz) derrière l’Orphelinat à la Petite noue (Kleines Auel).

1603 (7. Maÿ), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 169-v
(P. fol. 127.) Erschienen Peter Frick handelßmann burg. Zu Straßburg. Vnd Appolonia Schillingin sein eheliche Haußfrau, Haben (verkaufft)
Samson Strintz burg. Zu St. Vnd Elizabeth sein ehewürthin
[biffé] Hoff, Hauß, Hoffestatt Vnd gartten, mit Allen Iren gebeüwen & genant der Stöhrenhoff geleg. alhie In der Voorstatt Straßburg In Krutenouw an der Entenletz, Hinder dem Weÿsenhauß vff dem kleinen Ouwell Zu bedersit neben der Allmendt stost hinden der garten einsit vff Linhardt N: dem Spillenträg. zum theil vnd Zum theil vff N. N. den Quardi Knecht, vnd Anderend vff Hans Bartens Erben stoßend, dauon gond zehen pfund d. gelts ablösig mit zweÿ hund. lb d den Khöuffern, Sunst für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also s. Vnd Ist der Khauff zugang & vmb 500 pfund d. St.
Ein Hoff, mit seinen Heüßern, Hoffstetten, Brunnen vnd gartten, Auch Allen Andn. Iren gebeüwen & genant der Störenhoff, gelegen alhie In vnserer Voorstatt Inn Crutenouw An der Entenletz, hinder dem Weÿsenhauß, vffm Cleinen Ouwell, Einsit nebent der Allmend, vnd Andersit etwann auch dem Almendt, Jetz Hans Barten s. erben garten dauon er allmendt gelt zinset, Vnd stost der garten hinden Zum theil vff Lienhardt Meÿer den Spillenträiger, vnd Zum theil vff Mathÿs Ludle den Quardi Knecht, Vornen gleicher weis vffs allmendt für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also s. & Der Khauff zugang. vmb 700 pfund d. Straßburg.

Le fripier Samson Strintz épouse en 1577 Elisabeth Wissensteiger, originaire de Bach près de Riedlingen
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 119-v n° 16)
1577. de, 6. Augusti sind Ehelich eingesegnet word. Sampson Strüntz der Altgewender, vnd Elisabeth Wisensteigerin, Veit Wisensteigers selig. von Bach beÿ Riedlingen tochter (i 135)
Proclamation, cathédrale (luth. p 280) 1577. Sonntag den 28. Julÿ Sambson Strintz altgewender, Elizabeth, Veit Wisensteiger von Bach bei Riedlingen hinder. dochter. werden zu S Claus Zu Kirche gehn (i 143)

Elisabeth Wissensteiger meurt en 1610 en délaissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Cordiers. La masse propre au veuf est de 48 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 6 129 livres, le passif à 133 livres
1610 (5. Febr.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 5) f° 174
Inventarium über Weÿlandt der Ehren: und tugendsamen frauwen Elisabethe Wÿssensteigerin herren Sambson Strintzenn haußfrauen seeligen Verlaßenschafft Darbeÿ Auch die Abtheÿlung Angeregter Verlaßenschafft Zubefinden den 5. Februarÿ 1610.
Inventarium Aller hab v. Nahrung so Weÿland dieErbar fraw Elisabeth Wÿssensteigerin, deß Ehrenhafften Sambson Strintzen burgers Zu Straßburg geweßene eheliche haußfr. seeligen nach Ihrem tödtlichen hinscheÿden hind. Ihro Verlaßen, So vff erfordern vnd begehren der ehrenvest fürnnehmen u wolgelerten herrn Christoffel Brenners*, vnd Urbani Rosenberg.s deß Notarü, beed. beÿsitzer der herren deß cleinen raths v Inn nahmen Barbaræ Wÿssensteigerin, der abgestorbenen schwester beÿ Reüttlingen wohnhaft (.So aber wie der bericht beschehenn seither der frauwen seeligen Abscheidt Zeitl. todts verfahren, d. Also Irgend Ire* noch nun Ihrer hind.laßener Kinder, deßgelich. vonn wegenn Clauß Walckher deß sattlers burgers Zu Straßburg der abgestorbenen schwester sohn so aber Jetzmals nicht beÿ d. handt sind, außgetrettenn, beed. nebenn andern hernach gesetzten Persohnen Ihro der frawen seeligenn Instituirter testaments erben, ferner herrn Jonas Wissensteigers deß Notarÿ, Weÿland Simon Wissensteigers deß schneiders burgers Zu Straßburg der abgestorbenen brud. selig. sohn, Peter hannen schneiders, Philipß Weinschancken alß ehevogts Susannen hänin, So dan Matthiß Lederlin schneiders als ehevogts Barbaræ strintzin, Weÿland Christinen Wÿssensteigerin der abgestorbenen schwester seelig. Inn erster ehe mit weÿlandt Wilhelm hanen dem dem led.bereittersn d. In Anderer ehe mitt *tobias strintzen dem altgewand. erzeugter Kinder, Aller Ihro der Verstorbenen frauwen seelig In Ihrem vffgerichten testament Ir Preop* Instituirte erben (…) Actum d. Angefangen Montags den 5. Februarÿ 1610.

Inn einer hernachbemeltene vff den fronhoff Am seiler gesslin gelegener behausung befunden worden wie volgt
Erstlichen Ane haußrath. Vff der obersten Büenen, Vff d. Andern Büenen, In d. Cammer A, Im kämmerlin B. In der Cammer C, Vor diese Cammer, In d. Cammer D, In d. Cammer E, Im Cämmerlin F, Vor dießer Cammer, In der obern Vord. stuben, Im haußöhren vor d. obern stuben, In d. Cammer G, In d. vnd. stuben, Inn der vndern küchlin, Vnd. im haußöhrn, Im Keller
In einer in dier Erbschafft gehörig. behausung geleg. Inn d. Vttengaßen befund. worden wie volgt. Auff den dritten bod., Im obern stüblin, In d. großen stubl. In d. stub Cammer, In d. obern Kuch. In d. vndern stublin, In d. Vnd. stub Cammer, Im Keller
In der behausung zu Barr
Eigenthum Ane häusern. Item ein hauß, hoff, hoffstatt vnd stall ane dem fronhoff einseit ein eckh ane dem dem Seÿler gäßell (…)
Item ein hauß, hoff, hoffstatt stall vnd gartten In d. Uttengaß (…)
Abzug In dießen Inventarium gehörig. Erstlich des Wittwers unverändert Gutt, Sa. haußraths 17, Sa. Silbers 23, Sa. guld. Ring 12 ß, Sa. Baarschafft 7, Summa summarum 48 lb
Theilbar Gutt, Sa. haußraths 318, Sa. Weins vnd Lehrer vaß 26, Sa. silbers 97, Sa. guld. Ring 20, Sa. Baarschafft 468, Sa. pfenningzinß hauptgüter 2357, Sa. pfenningzinß hauptgüter hauptguts so mit gültten Verzinset 157, Sa. Ligend güetter 150, Sa. Eig.thumb ane Heüßern 1202, Sa. Schuld. Ins Erb 1329, Summa summarum 6129 lb – Schulden 133 lb, Nach deren Abzug 5985 lb – Conclusio finalis 6037 lb
Legata

Samson Strintz se remarie en 1610 avec Barbe Gerlach, fille du boulanger Jacques Gerlach, qui a épousé en premières noces le vitrier Séverin Weissenburger en 1601 : contrat de mariage, célébration
Mariage, cathédrale (luth. p. 92)
1601. Dominica 10 post Trinitatis. Seuerinus Weisenburger der Stat glaser vnd Barbara Jacob Gerlach deß Becken n. g. dochter (i 49)

Mariage, cathédrale (luth. p. 244)
1610. Dominica exaudi. Samson Strintz der alt gewander vnd Barbara Sepherini Weisenburgers des glasers n. g. witwe (i 126)

1610 (20. Martÿ), Not. Strintz (Daniel, 58 not 52, Prothocollum, n° 39) f° 130
Eheberedung Zwüschen Sambson Strintzen vnd frawen Barbara Gerlachin beeden Versprochenen Ehepersonen vffgericht.
Zwüschen dem Ehrenhafften und fürnehmen Sambson Strintzen burg. Zu Straßburg Ane einem,
So dann der Ehren vnnd tugendsamen frauwen Barbara Gerlachin, wÿland deß Auch Ehrenhafften Seuerini Weissenburgers Stattglasers vnnd burgers Zu Straßburg seeligen witwen Ane Andern theÿl
dabeÿ Inn Persönlicher gegenwärtigkheyt wissen, willen vnd Consenß der Ehrenvesten fürnehmen weißen wolgelehrten Achtbaren vnnd Ersamen herrn Urbani Rosenbergß Notarÿ, Bernhard Schmidenn Cleinen Rathsbewanten, Jacoby Wissensteÿgers Notarÿ, vff seiner deß hochzeiters, So dann vff der frauwen hochzeÿtterin seÿttenn herr Georg Bochen Ihres stieffuatters vnd vogts, Martin Gerlach Altten grossen Raths bewandten, Hilarÿ Meÿers Contractuum Notarÿ, Andreæ Vischers vnnd Theodosÿ Riheln Ihres Vettern vnd schwäger, Aller burger Zu Straßburg
Beschehen vnd Veerhandelt In deß heÿligen Reichß freÿen Statt Straßburg Zinßtags d. 20. Martÿ Inn dem Jar deß herrn Als man Zalte 1610.
Minute signée, Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54)

La vente ci-dessous renvoie au registre des expéditions du contrat ci-dessus, passé en 1603. Les propriétaires sont le chaussetier Isaac Bisantzer et sa femme Catherine Strintz.

Le chaussetier Isaac Bisantzer épouse en 1607 Catherine Strintz, fille du tailleur Henri Strintz.
Mariage, cathédrale (luth. p. 187)
1607. Dominica 3. post Epiphanias. Isaac Bisandser der hosenstricker und Catharina Heinrich Strintzen des schneiders n. g. dochter (i 98)

Isaac Bisantzer et sa femme Catherine Strintz vendent la maison en 1607 à l’ancien pasteur de Sainte-Aurélie Jean Henri Rottmann et à sa femme Elisabeth Lichtensteger

1607 (xxiij tag Julÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 331
(P. fol. 286.) Erschienen Isaac Bisantzer der Hoßenstricker burger Zu Straßburg vnd Catharina Strintzin sein Eheliche Haußfraw haben (verkaufft)
dem Ehrwürdig. vnd wohlgelerthen Herrn Johann Heinrich Rottman Alt Pfarrern Zu Sant Aurelien alhie Vnnd Elißabethen Lichtenstegerin seiner Ehegemahl
Ein Hoff mit seinen heüßern, Hoffestetten Brunnen Vnnd gartten, mit allen Ihren & genant der Stöhren hoff gelegen Alhie Inn Vnserer Vorstatt Inn Crutenouw Ane der Entenlächen Hinder dem weÿßen Hauß, Vff dem Kleinen Ouwell, einsit nebent der Allmendt Vnnd Andersit auch nebent der Allmendt etwan, Jetz Hannß Bartten seligen Erben Gartten, dauon sie Allmendt gelt Zinßen, Vnd stoßt der gartten hinden Zum theil vff Lienhard Meÿger dem Spillen träger Vnnd Zum theil vff Mathÿß Lidler der Quardi Knecht, Vornenher gleicher weÿß vffs Allmend für freÿ ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 1625 guldin
(vide in Proth. 1603 fol: 127)

Pasteur à Sainte-Aurélie, Jean Henri Rottmann épouse en 1589 Elisabeth, fille de l’ancien consul Michel Lichtensteger
Mariage, cathédrale (luth. p0 166)
1589. Johann Heinrich Rottmann Pfarrer Zu S Aurelia vnd Elisabeth herrn Michael Liechtensteiger Alt ammeisters tochter (i 86)

Elisabeth Lichtensteger se remarie en 1618 avec Anastase Reit
Mariage, cathédrale (luth. p. 26)
1618. Dominica 60 den 12 Februarÿ. H Anastasius Reüt und fraw Elisabeth H. M. Johannis Henrici Rothmann gewesenen pfarrer zu S Aurelien nachgelaßene witwe, eingesegnet zu Schilckheim Zinstag den 21. Februarÿ (i 18)

Elisabeth Liechtensteiger veuve de Jean Henri Rottmann, Ursule Rottmann femme du diacre Jean Thomas et Jean Henri Rottmann, organiste à Bouxwiller, vendent la maison au tailleur Georges Treutlinger (Treuchlinger) et à sa femme Salomé Rottmann.

1614 (xviij. Augusti), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 408-v
(Inchoat. in Proth. fol. 355.) Erschienen Fr. Elisabeth Liechtensteÿgerin wÿland h. Johann Heinrich Rottmanns geweßenn pfarrers Zu S. Aurelien s. witwe mit bstd. h. Heinrich Koppen xv.ers & Ihres geschwornen Vogts, Item M. Johannes Thomæ diaconus Zu S. Clauß Als ehevogt Ursulæ Rottmännin & So h. Roberth Königßman d. handelsmann burg. Zu Straßburg Als Vogt h hanß Heinrich Rottmanns Organisten Zu Buchßweÿler (haben verkaufft)
Geörg Treüthlinger dem schneÿd. Vnd salomeen Rottmännin seiner ehelich. haußfr. Ihrem Vettern vnd Basen,
Einen hoff, genannt d. Stöhrenhoff mit seinen häusern hoffestetten, Gartt. vnd Brunnen, Ouch Allen Ihren geb. d gelg. Inn d. Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw hind. den weÿß. hauß, Ane d. Endten lach vff dem Kleinen Ouwell, einsit neben d. Allmend And.sit n. hanß Bartt. selig. erben, hind. Zum theil vff Lienhardt Meÿer d. Spillendräher vnd zum theil vff Mathÿß Ludle den Quardi Knecht, vornen gleich wÿß vffs Allmend, welcher hoff Zuuor noch verhafftet vmb iij C lb Samson Strintz selig erb. daran Bitz Michaelis nechstkhfftg j C lb vnd daran nachgendts Alle Jahr vff Sanct Michells tag L lb sampt dem zinß Zuerleg. schuldig, Sunst für ledig eÿgen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 425 pfund
(vide in Reg: 1607. fol. 331.)
(vide in H. Hÿlarÿ Meÿers registrand. de A° 1621. fol. 574. fac. 2. v. fol. seq.)

Salomé Rottmann veuve de Georges Treutlinger vend la maison au pelletier Matthieu Hellbeck et à sa femme Anne Marie von Thour

1621 (ut spâ [xj. octobris]), Chancellerie, vol. 443 f° 574-v
(P. fol. 397.) Erschienen Salome Rothmännin, wÿland Geörg Treüthlingers des schneÿders burgers Zu Straßburg selig witwe, mit bstd & h. Johann Böhlers burgers Zu Straßburg Ihres geschwornen vogts für such selbst vnd All Ihren erb., So dann h. Geörg Schwartz Not. burg. Zu Straßburg Als ein Vollmachtig Anwaldt wÿland vorgenants Geörg Treüthlingers selig ab intestato nechst erb. craffts des gemelts Inn der Cantzleÿ den 13. Septembris Angeb. Jüngst
Mathiæ Helbeck den kirschner beÿde Zu Straßburg und Annæ Mariæ von Thur seiner ehelich. haußfr.
Einen hoff genannt d. Stöhren hoff mit sein heusern, hoffstatt, gartt. vnd Brunnen, Auch Allen Andern Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. Inn Crutenauw, hind. dem Weÿsen hauß, Ane der Endtenläch, vff dem Kleinen Ouwell, einseit neben d. Allmend, Anderseit neben hanß Barth s. erb. hind. Zum theil vff Leinhard Meÿer d. Spillenträh. vnd Zum theil d. Mathÿß Ludle den Quardi Knecht vornen gleich wÿß vffs Allmend, Welcher hoff Zuuor noch Verhafftet Ist vmb iij C lb d wÿland h. Heinrich Rohmanns selig witwen vnd erben, Sunst ledig eigen, Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd so die Kheüffere vff sich nemmen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 750 pfund
[in margine :] Erschienen der H. Käuffer An eim, So dann weÿ: Georg Treühtlingers vnd Salome Rothmännin beeder Eheleuth see: Erben, mit namen hanß hag der Kornmesser alß Ehevogt Magdalenæ Treühtlingerin, in namen gemelt vnd von wegen seiner haußfr. Miterb. Mehr hannß Heinrich Stürtzel d. Küeffer, alß vogt Salome vnd Ursulæ weÿ: hanß Lauterers deß küeffers mit Mariæ Rothmännin s: ehelich erzeugter dochter Item Hanß Jacob Huck der Küffer alß vogt Annæ Elisabethæ, Vorgenannter Mariæ s: mit Conrad Metzg. den Küeffer erziehlten döchterleins, mit beÿstand ersternanten Metzgers Zum 2. theil Zeigten An, demnach An dißem Kauffschilling den 15. Jan. vnd 15. Julÿ 1622. 250. lb in damahligem schlechten geld (…) Act. 3 10. Martÿ 1635.
[in margine :] Erschienen H. Johann Dietrerich alß Vogt, Fr. Ursulæ, Weÿland Heinrich Rothmans seel. Tochter, auch weÿl. H M. Johann Thomæ gewesenen Diaconi Zu St. Niclauß alhie Wittiben mit beÿstand H. Clemens Prechten ietzigen Diaconi daselbsten alß vogts Johannis Ihr Fr. Ursulæ Enckels hatt in gegensein deß Keüffers angezeigt daß ermelter Ursulæ, An hienebens stehend. 300. lb daß halbe, vnd daß überige halbe theil Ambrosÿ Kellers Enckel, nach absterben obgemelts Heinrich Rothmanns seel: wittiben, die solche 300. lb ad dies vitæ usufructuarie zu nißen gehabt eigenthümlich gebürenn – Actum den 3. Aprilis 1630.

Fils de Matthieu Hellbeck l’aîné, le pelletier Matthieu Hellbeck épouse en 1609 Eve (Euphrosine) Dullenkopff, fille du cordonnier André Dullenkopff
Mariage, cathédrale (luth. p. 228.)
1609. Dominica 5 Trinitatis. Mattheus Helbeck der Jünger vnd Ephrosina Andreas Dulenkopff des schuhmachers dochter (i 118)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 218-v n° 52) 1609. Dominica 5 post Trinit. 16. Julÿ. Matthes Hellbeck d. Kürsner, Matthes Hellbeck des Eltern Sohn, Barbara Andres Düllenkopffs des schuhmachers Tochter. Eingesegnet im Münster Mont. . 24. Julÿ (i 114)

(Devenu veuf) Matthieu Hellbeck le jeune se marie en 1616 avec Anne Marie, fille de l’orfèvre Samuel von Thour
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 272-v, n° 4)
1616. Dominica I post Epiphan. 3. Jan. Matthes Helbeck d. Jung. ein kürschner, Anna Maria, Samuel von duhr des goldarbeiters hind. lassene Tochter Eingesegnet Zinst. d. 16. Ianuarÿ (i 141)

Matthieu Hellbeck a en 1622 un fils André issu d’Anne Marie (Saint-Pierre-le-Jeune, i 186), puis en 1625 une fille Salomé issue de sa femme Salomé (i 65). Il s’agit de Salomé Merckel, fille de Jean Erard Merckel. Le mariage est inscrit sous le nom de Marcel Hellbeck
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 40 n° 96) 1624. Marcellus hellbeck der Kurßner vndt handelsmann, J. Salome, Herrn Hans Erhardt Merckels Gräflich Leininigischen daxburgischen Schaffners Tochter. Eingesegnet Zinst. 16. 9.br. (i 22)
Acte passé par Matthieu Hellbeck dit Bœhm et sa femme Salomé Merckel
1642 (18. Martÿ) Chambre des Contrats, vol. 488 f° 243-v, Erschienen Herr Mathiß Hellbeckh genannt Behem alter groß. Rhats Verwanther und Fraw Salome Merckhlin sein eheliche haußfrau

Matthieu Hellbeck dit Bœhm retire sa caution envers son beau-père Jean Erard Mercklin
1644, Bauherren (VII 1349)
H. Matthis Hellbeck genant Böhm wegen Hanns Erhard Merckhlins seines Schwehers 50
(f° 10-v) Montags den 25. Martÿ – Vf der Pfaltz haben Oberbauherren erkandt, daß Herr Mattheuß Hellbeck genannt Böhm, E. E. Gr. Raths Beÿsitzers der bürgschafft um welcher Er biß dato wegen Hanns Erhard Mercklinß seines Schwehers, gestand. vnd weil vnsere Herren Ihme seiner verwaltung erlaßen, selber nunmehr Zuentschlag. begehrt, nach dem vnsere herren ahn gedachten Mercklin nichts mehr Zuerfordern entschlagen vnd freÿ sein soll.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un renvoient Jean Erard Merckel au juge municipal dans l’affaire qui l’oppose à Matthieu Hellbeck
1628, Conseillers et XXI (1 R 110)
(f° 229) 27.ten Octobris – Hanß Erhard Merckhell, contra Matthiß Hellbeckh. p. Trom. p.duc. Implorantionem Nobilis officÿ jud. mitt beÿlag I. bitt wie darin. Erkandt, weilen d. gegentheil vmb dieße Schrifft khein wißenschafft, Soll ihme ad px. auch darzugeben, vnd interim dem Statt Richter mitt dem Proceß inzuhalt bevohlen worden. H. Storckh, H. Silberadt.

Matthieu Hellbeck dit Bœhm, fils du sénateur Matthieu Hellbeck dit Bœhm, hypothèque 75 livres qui lui reviennent de la succession de sa mère sur la maison dite Stœrenhoff au profit de l’ancien sénateur Daniel Steinbock

1645 (21. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 187-v
Erschienen Mathiß Helbeck gent. Böhm der Kürßner, Herrn Mathiß Helbecken gent. Böhm Alten Großen Rhats Verwanthen alhie ehelicher Sohn, mit beÿstand Samuel Von Thour deß Ohlmanns burgers Zu Straßburg seines noch ohnentledigt. Vogts
hatt in gegensein H Daniel Steinbocken, Alt. groß. Rhats v.wanthen – schuldig seÿe 100. lb
in specie Und.pfand sein sollen, die 100. lb hauptg. Vff dem alhies. Pfenningthurn (…)
So dann 75. lb Vff seiner Behaußung vnd Gartten, gent. Stören hoff alhie in Crautenaw beim Ballenhauß & gelegen, welche beede Posten ihme Debitorum Von obernanntem seinem Vattern Vff abschlag Mütterlich. Guths Vnder andern Vbergeben Vnd angewießen word., darüber H Johann Peter Gündel d. Nots. ein ordentliche lüfferungs spectification ehist Verfertig. soll

Le sénateur Matthieu Hellbeck dit Bœhm loue à Daniel Bitot une partie du Stœrenhoff avec son jardin, hormis le petit bâtiment servant de teinturerie.

1645 (15. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 511
Erschienen H Mathiß Hellbeckh genannt Behem E.E. groß. Rhats alter Beÿsitzer
hatt in gegensein H Daniel Bitots Burgers Zu Straßburg seines vettern
verlühen habe, den gantzen Stockh gegen dem Garten und Zusambt dem gart. /:nichts davon alß daß Färbhäußel außgenohmen:/ alhie in der Krautenaw ins Störenhoff genannt gelegen, vff fünff Jahr lang, von nechstkünfftig. Weÿhenacht. angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 20. Pfund pfenning

Daniel Bitot loue les localités ci-dessus au jardinier Christophe Hœhenfelder

1645 (ut s.pa [15. Sept.]), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 512-v
Erschienen Herr Daniel Bittot Burger Zu Str.
hatt in gegensein Christoph hehenfeld.s deß Gartenmanns alhie
verlühen, den Gantzen Stock gegen dem Gartten, Vnd Zusampt dem Gartten Saal im hauß, Vnd ein Stücklein grundts im Gartten so breit als daß ferbhauß, Von dem ferbhauß biß an die Garten thut, Zusambt der Rebhäld an der Mauren, außgeschloß., alhie in der Krautenaw, ins Stören hoff gent. geleg. Vff fünff Jahr lang von nechstkünfftig. Weÿhenachten angerechnet, Vmb einen Jährlichen Zinnß benantlich 16 lib Str.

Le sénateur Matthieu Hellbeck dit Bœhm hypothèque les deux tiers de la maison dont le derniers tiers appartient à son fils au profit des trois enfants mineurs du fondeur en pots André Weber

1648 (1. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 490-v
Erschienen H. Mathæus Hellbeckh genannt Behem E.E. großen Rhats Beÿsitzer
hatt in gegensein Hannß Jacob Dietrichß deß Kürschners alhie alß Vogts weÿl. Andreß Webers deß Kantengießers seel. nachgelaßener treÿer Kinder – schuldig seÿen 50. lib.
dafür in specie Vnderpfand sein sollen Zween tritte theil daran der übrige tritte theil sein H. Behmen eheleiblich. Sohn Zuständig ahne hauß, hoff hoffstatt sampt einen Garten der Stören hoff genannt alhier in der Krautenaw einseit neben Hannß Königß deß Metzgers seel. Erben anderseit wie auch hinden vffs allmend stoßend gelegen, so zu Vor Verhafftet vmb 150. lib weÿl. Daniel Hanen deß Goltschmidts seel. Erben Vnd dann Vmb 150. lb hannß Henrich Rottmanns dem Beckh.

Le sénateur Matthieu Hellbeck dit Bœhm loue une partie de la maison et du jardin au jardinier Jacques Erhard

1651 (13. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 771-v
Erschienen H Mathäus Hellbeckh genannt Behen E.E. groß. Rhats Beÿsitzer,
hatt in gegensein Jacob Erhardts deß Gartenmanns
verlühen haben i. Stub, 2. Kammern, hauß Ehren, Kuch., Keller im Gart. Bühn, und Garten am hauß, iedoch en Blumenplatz vorbehalt. und außgenohmen, ins Stören hoff, genannt, in der Krautenaw geg. H Ammaÿster Johann Wenckhers Papÿrhauß hienüber geleg., vff Neun Jahr lang von nechst verschienenen Mich: angerechnet, um einen iährlich. Zinß benantlich. 13. lib.
so dann die Bäum, Rebheld. und Artische welche vermög darüber gefertigte und dem Entlehner Zugestellter specification abgezählt seind, anch geendeter lehnung widerumb in solchem numero und stand wie sie ietzo empfangt, zu lüffern

Le sénateur Matthieu Hellbeck se remarie en 1652 avec Marie Madeleine Reit, fille du chef de la tuilerie du Rhin Auguste Reit.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 55-v, n° 64)
1652. Eadem Dominica [Dominica XV. Trinit.] Herrn Matheus Hellbeck E. E. Großen Raths Wol verordneter beÿsitzer, vnd Jungfr. Maria Magdalena H. Augusti Raiten gewesenen Lohners vff den Rheinziegeloffen, hinderlaßene eheliche tochter. Sint Copulirt word. Mont. en 4. Octobris Zum JS Peter (i 67)

Le sénateur Matthieu Hellbeck dit Bœhm loue le jardin au jardinier Michel von Lampertheim

1652 (12 9.br), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 632
Erschienen H Mathäus Hellbeckh genannt Behem E.E. groß. Rhats Beÿsitzer
in gegensein Michaelß von Lampertheim deß Gartenmanns
verlühen habe seinen Garten mit Keller Bronnen, und allen Zugehördten alhie gegen dem Papeÿr hauß hienüber ans Stören hoff gelegen, Vff fünff Jahr lang von iezt Martini angerechnet, um einen jährlich. Zinnß benantlich. siben Pfund pfenning
(…) nach geendeter Lehnung wider wohl gebawen, iedoch den Grund wie Er ihne empfang. hatt, ahne Gartenwahr lähr, aber die Rebhäld. vffgerichtete sampt vier bierbäumen, vier Möllelinbäumen, einem Maulbeerbaum, Zwen Pfirsichbäum, treÿen Kirschbäumen, Zwen haselnußstöckh. Zwölff Rosenstöckh treÿerleÿ Gattung, holländische, leib farbe und rothe Eßigrosen, einem Jacobs Apffelbaum, einem Johanns Träubel häldel, Zweÿ. Kräußelbeerenheckh., und Zweÿen schlüßel Zu beed. thüren deß Gartens, Zu lüffern
Es solle auch wed. daß Ferbhäußlin den Garten, noch auch der Gart. daß Ferbhäußlin *len, sonst. alles ohnaußgedingte nah gemeiner lehnungß Recht Statt Brauch und Gewohnheit

Marguerite, femme du boulanger Jean Michel Leichinger, vend au marchand Matthieu Hellbeck le jeune un capital garanti sur la maison dite Stœrenhoff

1656 (18. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 192-v
Erschienen Margaretha, hannß Michael Laÿchingers deß Münsterbeckhen eheliche haußfrau mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein H. Mathäi Hellbeckhß deß iüngern handelßmanns
150 lib. Ihro, derselben Anzeig nach gebührend ahne 300 lib vff Einem hoff, der Stören hof genannt, mit seinen häußern, hoffstätten, Garten, Bronnen, Zugehörd. Recht. und Gerechtigkeiten, in der Vorstatt in Krautenaw hinder dem Waÿsenhauß gelegen, und anietzo H Mathæo Hellbeckhen genannt Behen dem ältern EE großen Rhats Beÿsitzers, sein deß Käuffers Vattern, Zustehend hafftenden Capitals – umb 112 lb

Accord entre Matthieu Hellbeck le jeune et son père sur les intérêts à verser sur le capital qu’il vient d’acheter de Marguerite Leichinger

1656 (18. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 193
Erschienen H Mathäus Hellbeckhß d. iüng. handelßmann
in gegensein H. Mathäi Hellbeckhß genannt Behen deß ältern, EE groß. Rhats Beÿsitzers, seines Vattern, sich erkärt,
daß Er, von dem vff sein deß Vatters Behaußung in der Vorstatt Krautenaw hinder dem Waÿsenhauß gelegen und der Stören hoff genannt, hafftend. und heut dato von Margaretha, hannß Michael Laÿchingers deß Münsterbeckhen ehelich. haußfrau erkaufften Capital der 150 lib, alß lang Er der Vatter dißes natürlich. lebens noch genieß. wirt, mehr nicht dann iährlich 5. lb 12 ß 6 d Zu Zinnß begehre, Jedoch mit dem satten Anhang und Erläuterung, daß seine nach deß. Vatters künfftigem seeligen Ableiben solches Capital widerumb ieden Jahrs mit 7 lib 10 ß verzinnßt werd. solle

Matthieu Hellbeck le jeune loue au nom de son père le jardin au jardinier André Hœhenfelder

1658 (2. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 80-v
Erschienen H Mathæus Helbeckh der Jünger im Nahmen, H. Mathæus Helbeckhs genannt Böhem deß ältern, alten Großen Rhats Verwanthens eines eheleiblichen Vatters
in gegensein andreß Höhenfelders deß Gartenmanns
verlühen habe, Einen Garten in der Krautenaw gegen dem Papÿrhauß hienüber gelegen und Zu einem hoff der Stören hoff genannt, gehörig seÿe, uff Neun Jahr lang von bevorstehend Mariæ Verkündung angerechnet, für und umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 4 Pfund

Inventaire de l’actif et du passif du sénateur Matthieu Hellbeck dit Bœhm. L’acte rennvoie à un autre inventaire au lieu de décrire les immeubles. L’actif s’élève à 1 272 livres, le passif à 2 227 livres

1659 (29.1.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 2) n° 21 (153)
Inventarium undt Beschreibung Aller Haab vnd Nahrung, so der Ehren vest, fürsichtig vnd weiß, Herr Mathÿß Hollbeck genand Böhm EE. Großen Raths Alter Beÿsitzer, ietziger Zeit Active et Passive hatt und besitzt, welche Nahrung auff E. E. kleinen Raths ergangener Erkantnus, dieweilen der Ehrenvest herr Johann Jacob Seüpel Goldtschmidt und burger allhier, in Nahmen frawen Mariæ Magdalenæ Reÿtin sein herrn Böhmen haußde. alß Curator beÿ wohlgedachtem Kleinen Rath cessionem gesucht, vnd erhalten, Inventirt (…) Actum in fernerer gegenwärtigkeit der Ehren vesten fürsichtigen vnd weißen auch hochgelehrten H. Johann Ulrich Meÿers J. V. Doctorandi vndt H. Jonæ Andres von Feßenheim beed. E.E . Kleinen Raths beÿsitzer vnd von wohlhedahctem Rath Zue solchem geschäfft deputirter herren, Ferner H Mathæi Höllbecken des Jüngern, Weiter Philippi Bochen, So dann ob Ehrengedachts Johann Jacob Seüpels der fr. geschwornen Vogts, den 29.ten Januarÿ anno 1659.

Auff der Obern Bühn, In der Cammer C, In der Cammer D. Inn der Küchen, Inn der Wohnstuben, Auff der Obern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Auff der Trückeneÿ, In der Cammer C, In der Cammer F, Im hindern Stübl. vor dießem Stüblein, Inn der Wohnstuben, Im Obern haußöhren, Im vndern Haußöhren, Im Gartten häußlin
Eigenthumb ane heusern. die In berührten Inventario fol. 46. specificirt ane dem Parfüßer Platz gelegen 240 lb
Item d. in gdachtem Inventario fo. 47. bis fo. 48. specificirte vnd in Kruttenawu gelegenen beh. sit neben die daruff stehenden beschwerden sammelthafft 300, thut des herrn theyl 260
Abzug Inn dießen Inventarium Sa. haußraths 184, Sa.Leerer vaß 1, Sa.Viehs 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 39n Sa. Eÿgenen Liegende güther 177, Sa. Erblehnungs guet 270, Sa. Eigenthumb ane heußern 440, Sa. Schulden 149, Summa summarum 1272 – Schulden 2227 lb, Schulden zu bezalen übertreffen der Nahrung umb 954 lb

La maison revient à son fils Matthieu Hellbeck dit Bœhm qui épouse en 1646 Marthe, fille du diacre Clément Brecht
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 30-v)
1646. Eadem [Dominica XVIII Trinitatis 27. 7.bris] Mattæus Hellbeck der Kirschner V. Handelßmann Hr Matthei Hellbeck des Kirschners v. handelßmanns alhie wie auch E. E. grossen Raths beisitzers Ehelicher Sohn, vnd Fr. Martha hr. M. Clemenis¨Prachten Diaconi Zu St Nicolaus nachgel. tochter. Copulirt 6. Octobris JS Peter (i 40)

Marthe Brecht meurt en 1692 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison au Vieux-Marché-aux-Grains. Les experts estiment le Stœrenhoff à 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 7 402 livres, le passif à 5 305 livres.

1692 (14.7.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 18) n° 23
Inventarium und Beschreibung aller der jenigen haab, Nahrung und Gütter, liegender vnd fahrend., so weÿland die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Martha Hellbeckin genand Böhmin, gebohrne Brechtin, des weÿland wohl Ehren Vesten, wohlweißen vnd Großachtbaren Herrn Matthæi Hellbecks genand Böhmen, vornehmen handelßmanns und E. E. Großen Raths allhier geweßten Alten Beÿsitzers, nunmehr seeligen, hinderlaßebbe fraw Wittib, auch seelige, nach Ihrem den 2.ten Junÿ dießes 1692.gsten Jahrs, beschehenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen (…) Actum und angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Montags den 14. Julÿ A° 1682.
Die in Gott ruhende Fraw seel. Hatt per Testamentum Zu Erben verlaßen, wie volgt. 1. die viell Ehren und Tugendreiche fraw Martha Edelin, gebohrne Hellbeckin genand Böhmin, des wohl Ehren vesten Kunsterfahren und Großachtbaren Herrn Johann Peter Edels, Stuck v. glocken Gießers burgers in Straßburg, eheliche haußfraw, welche mit beÿstand erstgemelten Ihres Eheliebsten, dießen geschäfft abgewartet, 2. den Ehrenvesten und Großachtbaren Herrn Matthæum Hellbecken genand Böhmen, Wildt: vnd Rhauwahrhändlern, burgern in Straßburg, So persönlich erschienen, 3. den Ehrenvesten vnd Großachtbaren Herrn Johann Reinhard Hellbecken genand Böhmen, Knöpffmachern vnd Seÿdenhändlern burgern Inn Straßburg, der gleichermaßen Selbsten Zugegen war, 4. Weÿland der Viel: Ehren: und Tugendreichen Frauwen Susannæ Mariæ Emmerichin gebohrner Hellbeckin genand Böhmin, nun seel. mit dem Ehrenvesten und Großachtbaren Herrn Johann Caspar Emmerichen den Weinhändlern und burgers allhier ehelich erzeugte und nachgelaßene Zween Söhn und Zwo Töchter, nahmentlich Johann Casparn, Johann Michaeln, Jgfr. Susannam Mariam und Mariam Martham der verstorbenen seel. frawen vier nachgelaßene Liebe Enckeln deren geschworner Vogt vorwohl gemeldter herr Johann Peter Edel, weilen aber derselbe beÿ dießem Inventations: vnd Separtions-Geschäfft Selbsten Ehevögtlicher weiße interessirt, alß ist, alß ein geschwornenr vnd erbettener Theilvogt in nahmen gememter Enckel hiebeÿ erschienen, der Edel, Wohl Ehrenvest, weiß vnd hochachtbare Herr Andreas Kauffmann, E. E. Kleinen Raths alter beÿsitzer, wie auch alter wohlverdienter dreÿer der Statt Straßburg Stalls, 5. den Ehrenvesten Vnd Großachtbaren Herrn Clemens Hellbeck genand Böhmen, Ledigen Handelßmann, wellcher annoch in der Frembde sich auffhällt und Zwar Vermög Testamenti allein in Legitimam, deßen geschworner Vogt, vorgedachter Hr Matthæus Hellbeck genand Böhm sein ältister bruder, weilen aber derselbe für sich selbsten hierbeÿ interessirt, alß ist, beÿ dießem Geschäfft erschienen, der Edel, wohl Ehrenvest, weiß, hochachtbar vnd wohlgelehrte Herr M. Johann Michael Rebhan, E. E. Kleinen Raths jetzmahliger Wohlverdienter beÿsitzer alß geschworner vnd hier Zu erbettener Theil Vogt, So dann 6. die Viel Ehren: und Tugendreiche Fraw Mariam Dorotheam Henningerin gebohrne Hellbeckin genand Böhmin, des Ehrenvesten vnd Großachtbaren herrn Johann Conrad Henningers, handelßmanns vnd burgers in Straßburg eheliche haußfraw, welche auch beÿständlich Ihren Eheliebsten dießem geschäfft abgewartet hatt, Alle Sechs Zu Ungleichen portionen vndt Stammtheilen.

In einer in der Statt Straßburg, ane dem Korn Marck gelegenen, Inn dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung ist befunden worden wie volgt
In der Gesellen Cammer, Auf dem hindern bühnlein, Auff deù Gängel, Auff dem fruckt Kasten, In der Cammer In der Cammer B, In der obern Stuben, In der Stub Cammer, Im Contor, In der Kuchen, Auff dem vndern Gang, Im Vndern haußöhren, Im hoff, Im Keller – Im Garten in der Crautenaw
Eigenthumb ane Häußern. Erstlichen Hauß, hoffstatt, höfflin, hinderhauß und Bronnen, mit allen andern deren Gebawen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehördten vnd Gerechtigkeiten, auch der Jenigen Mauer so ane dem hinderhauß stehet gegen dem Kornmarck (…)
Item ein Hoff genand der Stöhren Hoff, mit seinen häußern, hoffstatt, Garthen und Bronnen, auch allen andern deß. Gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehördten vnd Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßb. in der Crautenaw hinder dem Weÿßenhauß ane der Enden Lött, vf dem Kleinen Awel in dem so genand. Schwabenländlein eins. neben dem Allmend, 2. s. neben Hannß Kleinen dem Metzger hinden vff H. Johann Christ. Artopoeum Prof. publ. vornen auch aufs Allmend stoßend, so freÿ, ledig undt Eigen, vndt ist dießer hoff, samptlich angeschlag. vndt durch die geschwornene werckhleüth geschätzt worden vmb 750. lb Hierüber sagt ein Papÿr Extractum allh. C. C. gef. datirt d. 12. 8.br. aô 1621. weiter ein papÿr Extract in dem C.C. gef. dat. d. 23. Decembris aô 1658. Mehr 1. Papÿr. Extract in allh. C.C. dat. 24. Maÿ aô 1660, Und dann ist allerhand schrifftlicher bericht und sich über abgelößte beschwerden besag. darbeÿ gebund. Zu befind. alles mit altem N° 4 d. 14 jetzt newen N° 10
Item Hauß, Hoffstatt und Höfflin in der Statt Straßburg Vorstatt in Crautenau in dem höllgäßlin (…)
Norma helbeckisch. inventarÿ den 30. Julÿ 1692. 1. haußrats 265, 2. Lährer vaß 20, 3. Silber 168, 4. Gold 62, 5 ? baarschafft 196, 6. Capitalien 3989, 7. häuser 2227, 8. activi 471, Summa summarum 7402 lb – Passiva 5305, Nach abzug 2096 lb – Summa finalis Inventarÿ 7324 lb
Copia Testamenti – 1692 (…) auff Freÿtag den 25. Tag deß Monaths Aprilis Neüen Calenders abendts Zwischen acht und Neün Uhren, beÿ Zweÿen hellbrennenden liechtern, in der Königlichen freÿen Statt Straßburg und einer daselbst Vor dem Kornmarckh gelegener, der frawen Testirerin Zuständigen vndt Von Ihro bewohnter behaußung dero obertsten Vorder stub mit den fentern auf die gaß außsehend, Vor mir (…) persönlich erschienen ist die Viel Ehr und Tugendreiche Fraw Martha Hellbeckin gebohrner prechtin, Weÿl. des Ehrenvest, fürsichtig undt wohlweißen herrn Matthæi hellebcken genant Böhm, gewesenen Wild: undt Rauhwahrhändlers, E. E. Großen Raths alten beÿsitzers undt burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinderlaßene Fraw Wittib, wiewohlen hohen alters, undt daheri etwas blöden Jedoch aber von der gnaden Gottes deß allerhöchstens annoch auffrehcten, gehend und stehenden leibs auch guter Verständiger Sinnen undt Vernunfft (…) Johann Heinrich Lang, sen; Notarius

Les héritiers Hellbeck vendent la maison moyennant 1 000 livres à Jean Georges Nagel, brasseur aux Trois Rois (rue des Bestiaux, aujourd’hui rue d’Austerlitz)

1692 (21. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 676-v
H. Johann Peter Edel der Stuck und Glockengießer alß Ehevogt fr. Marthæ geb. Höllbeckin, Matthes Hellbeck der föchhändler und H. Johann Reinhard höllbeck der Knöpffmacher beeder für sich selbsten, ferner H. Johann Conrad Henninger der handelßmann alß Ehevogt fr. Mariæ Dorotheæ Höllbeckin, So dann Er obged. H. Edel auch alß Vogt weÿl. Fr. Susannæ Mariæ geb. Hellbeckin, mit H. Joh: Caspar Emmerich dem Weinhändler erziehlter und hinderl. 4. Kinder, mit beÿstand Hn Andreæ Kauffmanns alten dreÿer des Stalls und als theil Vogt, alle weÿl. Hn Matthei Hellbecks genandt Böhm gewesenen handelßmanns und ex Sen. seel. hinderl. Erben respect. Erbens Erben [unterzeichnet] Mattheus Hölbeck genand Böhm, Johann Reinhard Hölbeck genant böhm
in gegensein H. Hanns Georg Nagels des biersieders zum dreÿen Königen
einen Hoff, genandt der Stöhren hoff, mit seinen häußern, hoffstätten, Gartten und bronnen, auch allen andern Gebäuen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Krautenau hinder dem Waÿsenhauß an der Endten löch uff dem Kleinen Awel, einseit neben dem Allmend anderseit neben hanns Kleinen dem Mezger, hinden auff eine behaußung dem Stifft St. Margarethä und Agneßen gehörig, vornen auch auffs allmend stoßend gelegen – geschehen umb 1000 pfund

L’acquéreur loue le même jour la maison au marchand Jean Conrad Henninger

1692 (21. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 677-v
H. Johann Georg Nagel, der biersieder zum dreÿen Königen
H. Johann Conrad Henninger des Handelßmanns
entlehnt, den jenigen an der von denen höllbeckischen Erben heüt dato erkaufften und in der CContract stub verschriebenen behaußung gelegenen Gartten sambt dem darinnen befindlichen Sommerhauß und Keller auch allen deren in ged. Sommerhauß befindl. mobilien, darüber eine ordentl. specification auffgerichtet, auff fünff Jahr lang von Simonis et Judæ diß Jahrs angehend, umb einen Jährl. zinß nemblichen 17 pfund

Fils du tonnelier municipal Samuel Nagel, Jean Georges Nagel épouse en 1672 Anne Catherine, fille du brasseur Bernard Liefferer après avoir passé le 10 septembre un contrat de mariage devant le notaire Jérémie Ursinus (voir l’inventaire ci-dessous)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 18)
1672 – Domin. 15 et 16. Tr. i et altera vice, Hannß Görg Nagel der Ledige Kieffer und Biersieder, Herrn Hanß Samuelis Nagels deß Statt: Kieffers und Bürgers alhier ehelicher sohn, und Jungfr. Anna Catharina, Bernhardi Lifferer deß Biersieder alhie Zur guldenen Ketten eheliche Tochter. Copul. ad. D. Nic: 26. Sept: (i 308)

Anne Catherine Liefferer meurt en 1685 en délaissant deux enfants. La masse propre au veuf est de 1 239 livres, celle des héritiers de 881 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 091 livres, le passif à 2 270 livres.
1686 (27.5.), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 5) N° 16
Inventarium vnd Beschreibung Aller Haab vnd Nahrung, Keinerleÿ außgenommen, so weÿland die Ehren und tugendt reiche fraw Anna Catharina Nagellin gebohrne Lefferin deß Ehrengeacht vnd Achtbahren H Hannß Georg Nagels, biersieders Zu den dreÿ Königen, burgers Zu Straßburg haußfraw seel. nach ihrem Sambstags den 20. 8.bris deß nechst verwichenen 1685. Jahrs Göttlichen willen nach aus dießem zergänglichen Leben welt genommenen tödlichen ableiben hinden ihro verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafft vnd achtbahren H Andreæ Böhmen, Kupfferschmidts vnd burgers alhie alß Hannß Adam vnd Annæ Catharinæ beeder geschwüsterd der ietz abgeleibten frawen seel. mit ihrem hinterpliebenen wittwer ehelich erzeugter Kinder vnd ab intestato nachgelaßener Erben Geschwornen Vogts ersucht (…) So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den 27.ten Maÿ Anno 1686.
Die Eheberedung ist den 10. 7.bris 1672 vor H. Jeremia Ursino Notario seel. auffgerichtet, von mit Johann Christoph Stöffeln aber den 29.ten 8.bris Anno 1685. ausgefertigt worden
daß von beeden Eheleuthen auffgerichtete Codicillus Reciprocus ist den 19. 8.bris A° 1685. vor mir Johann Christoph Stöffeln verschrieben vnd in A° 1686. ausgefertigt worden Zubefinden

In einer alhier inn der Statt Straßburg inn der Viehegaß gelegener Zun den dreÿen Königen genandter bier behaußung, so auch inn dieße verlaßenschafft gehörig, vnd hernach beschrieben ist befunden worden, wie volgt
Ane hültzen vnd Schreinerwerck. Auff dem obern Casten, Im Obern hindern Stübell, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Vor dießen Gemachen, Vff der Malß bühnen, Auff dem Gängel Inn der Soldaten Cammer, Inn der Mittlern Stuben, Inn der Mittlern Stub Cammer, Im Kleinen Stübell, Inn der Mittlern Kuchen, Im mittlern haußöhren, Inn der gaststuben, Im hoff, In der undern Kuchen, Inn der werckstatt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item ein bierhauß hoff vnd hoffstatt sampt allen andern dero rechten, Zugehörden, begriffen, weithen vnd Gerechtigkeiten gelegen alhie inn d. Statt Straßburg inn der Viehegaßen (…)
Ergäntzung deß Wittwers unveränderten Guths. Auß dem über deßn Wittwers vnd seiner verstorbenen haußfrau seelig durch H Christoph Schüblern den Notarium in Anno 1675. auffgerichtetem Inventario
Auß dem Theilbuch waß der wittwer von weÿland H Samuel Nageln Statt Küeffern und auch weÿl. frawen Maria Negellin gebohrner Gaßnerin seinen Lieben Eltern beeden seel. in Anno 1673. et 1675. ererbt durch mehrgemelten H. Christoph Schüblern den Notarium auffgerichtet
Des H Wittwers unverändert Nahrung, Sa. haußraths 47, Sa. werckzeugs Zum Küeffer handwerckh gehörig 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 34, Sa. Guldinen Rings 1, Sa. liegenden guths 4, Sa. der Schuld 66, Sa. Guths Ergäntzung 1183, Summa summarum1339 lb – Schuldt 100, Nach solchem abzug 1239 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. haußraths 56, Sa. Silbergeschmeids 12, Sa. Guldiner Ring 6, Sa. Schuld 100, Sa. unveränderten Guths Ergäntzung 707, Summa summarum 881 lb
Die Theilbar verlaßenschafft, Sa. haußraths 72, Sa. holtzen Reiff vndt Band wie auch werckzeug Schiff und geschirr Zum Küeffer und biersieder handwerck gehörig 47, Sa. Gersten, Malß und Hopffen wie auch Wein, Bier, Essig und vaß 329, Sa. Viehs 10, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 200, Sa. Eigenthums ane einer Bier behausung sampt dem Kupffern, Braw Kessel 400, Sa. Schulden 30, Summa summarum 1091 lb – Schulden 2270, Theilbar passiva übertreffen solch Gueths vmb 1178 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 943 lb
Wÿdembs Verfangenschaft So Herr Gerhard Leffer biersieder Zur Ketten burger Zu Straßburg von weÿland frawen Catharina Lefferin gebohrner Ruprechtin seiner ersten haußfrawen seeligen ad dies vitæ wÿdembs weiß Zugenießen daran daß Eigenthumb der frawen seel. hinderlaßenen Erben vor einen siebenden theil gehörig

Jean Georges Nagel se remarie en 1688 avec Marguerite, fille du marchand de bois Jean Georges Metzger
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 11)
den 8. Decembris A. 1688 seind von mir unterschriebenen Copulirt Worden, h. Johan Georg Nagel biersieder und Burger alhier und Jungfr. Margaretha, Hern Johann Georg Metzgers Holtzhändlers und eines Ehrsamen großen Raths alten beÿsitzers hinterlassene eheliche Tochter. [unterzeichnet] Hanß Georg Nagel als Hochzeiter, Margaretha Metzgerin alß hochzeiterin, Andreas Brackenhoffer als Schwager (i 12)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. n° 22), 1688 Domin. 1. et 2. Advent. H. Hanß Georg Nagel der Burger und Biersieder Zu den 3. königen alhier und Jungfr. Margaretha, weÿland H. Johann Georg Metzgers E.E. großen Raths alten Beÿsitzers und Holtzhändlers alhir nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Zum Alten St. Peter d. Mittwoch 8. 10.br. (i 44)

Jean Georges Nagel et Marguerite Metzger font dresser un état de leurs biens. La maison au Quartier des Souabes est estimée à 550 livres. L’actif s’élève à 3 700 livres, le passif à 1 894 livres.

1698 (18. 7.br), Not. Winckler (Elie, 61 Not 18) n° 23
Inventarium deß Jenigen Vermögens So Herr Johann Georg Nageln dem biersieder und frawen Margarethæ Nagelin gebohrner Metzgerin beeden Eheleuthen und burgern Zu Straßburg eigenthümblich Zuständig (…) Actum Straßburg den 18. Septembris Anno 1698.
Sa. haußraths 126 lb, Gutsch, Schiff und geschirr 11, Pferd 16, Werckzeugn faß und holtz 55, Wein 16, Silber geschirr und Geschmeids 95, Guldene Ring 28, baarschafft 1510, Activ Schulden 1108, Pfenningthurn Capital 151
Eigenthumb einer behausung, Item eine behaußung und garten in d. Statt Straßburg Crautenaw im Schwabenländel beÿ dem Ballhauß ane Heinrich Jancki dem Gardie stosend und einseit ein Eck ander. aber neben Johann Klein geleg. den 23. 7.bris 1698. durch d. Statt Strasb. geschwornen Werckmeistere æstimirt 550 lb
Summarum 3700 lb – Schulden 1894, Rest 1894 lb

Vente d’effets mobiliers
1698 (24. 7.br), Not. Winckler (Elie, 61 Not 18) n° 24
Verkauff und Erlöß Register Über Herrn Johann Georg Nagels, biersieders und burgers Zu Straßburg in Erster Ehe mit weÿland Frawen Annæ Catharinæ gebohrner Lefferin erzeugter Zweÿer Kinder Verkaufften großvätterlichen haußraht, auffgerichtet in Anno 1698.
(…) Ehelich erzeugter Zweÿer Kinder so wol Erbs ; als prælegats weiße angefallenen haußräthlichen mobilien Erlößt

Le brasseur Jean Georges Nagel et sa femme Marguerite Metzger vendent le Stœrenhoff à leur fils et beau-fils respectif le tonnelier et brasseur Jean Adam Nagel : acte annulé suivi d’un autre trois semaines plus tard

1698 (s.d. [4/9.8.bre]), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 647-v
H. Johann Georg Nagel, der Biersieder
in gegensein Johann Adam Nagels, deß ledig. Küffers und Biersieders seines Leiblich. Sohns, mit beÿstand H. Friderich Richard Mockels E.E. großen Raths alten Beÿsitzers seines noch ohnentledigt. Vogts
Einen hoff, genandt der Störenhoff, mit seinen haüßern, hoffstätten, Gartten und bronnen, auch allen andern deren Gebaüen, Zugehördt. Recht. und gerechtigkeit. allhier in der Vorstatt Krautenau, hinder dem waisenhauß, an den Endenlach, an dem Kleinen aüel, einseit neben dem Allmend and. seit neb. hans Kleinen, dem Metzger, hind. auff einer behaußung dem Stifft St. Margarethæ und Agneßen gehörig, vornen auch auffs allmend stoßend gelegen, Ferner [acte interrompu]

1698 (22. 8.bre), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 672
H. Johann Georg Nagel, der Biersieder und Margaretha geb. Metzgerin
in gegensein Johann Adam Nagels, deß ledigen Küffers und Biersieders, Ihres resp. Leiblichen Und Stieff sohns, mit beÿstand H. Friderich Reichard Mockels E.E. Großen Raths alten beÿsitzers, seines noch ohnentledigten Vogts
Einen hoff genandt der Störenhoff, mit seinen haüßern, hoffstätten, Gartten, und bronnen, auch allen andern deren Gebaüen, Zugehördten, Recht. und gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Krautenau, hinder dem Waisenhauß, an den Endenloch, an dem Kleinen aüel, einseit neben dem Allmend and. seit neb. hans Kleinen dem Metzger, hinden auff einer behaußung dem Stifft St. Margarethæ und Agneßen gehörig, vornen auch auffs allmend stoßend gelegen, Ferner hat Sie Nagelische haußfr. ihrem Stieff sohn cedirt Erstlich 127 pfund Capital (Mehr 13 pfund Capital, So dann 56 pfund), umb 950 pfund

Jean Adam Nagel termine son apprentissage chez le tonnelier municipal Samuel Nagel en juin 1695.
1695, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 17) Dienstags den 28. Junÿ Anno 1695 – Johann Adam Nagel, welcher beÿ H. Samuel Nagel dem Stadt Küeffer des Küeffer handwerckh gelernt, stehet beneben ged. Seinem Lehrherrn und Seinem Vattern, Hannß Georg Negele dem Biersied. zu den 3. König. Vor und bittet, weilen Seine Lehrzeit auf den 6.ten Junÿ dieses 1695. Jahres verfloßen, Ihn ledig Zu sprechen. Enkannt weilen Sein Lehr Herrr und Er mit einander Zu fried. solle Er deß wegen ledig gesprochen seÿn, auch auf begehren Ihme ein lehrbrieff mitgetheilet werd.

Jean Adam Nagel est reçu tributaire en décembre 1699
(f° 160-v) Dienstags den 2. Xbris Anno 1699 – Herr Johann Adam Nagel, der Ledige Weinhändler Von hier gebürtig, producirte burger Schein, Von den Hh. dreÿern der Statt Stall, seÿe willens Zu dießer Ehrsamen Zunfft Zu dienen, bittet Ihn gegen der gewöhnlichen gebühr Zu recipiren, Erkandt, Willfahrt, erlegt für die gebühr und weg die Zu dem feur geordneten 2 lb 1 ß 8 d

Jean Adam Nagel épouse en 1700 Marie Madeleine Bleicher, fille du pelletier Jean Jacques Bleicher : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest vnd Achtbahren Hrrn Johann Adam Nagel, Ledigem Weinhändler Von Straßburg, des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Georg Nagels, hiebevor geweßenen Biersieders Zu Straßburg, anjetzo Weinhändlers Zu Wormbs Ehelichem Sohn als hochzeitern an einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfr. Maria Magdalena Bleicherin des ehrenvest Fürsichtig und Wohlweiß. H. Johann Jacob Bleichers vornehmen Rhauwaarenhändlers und E. E. groß. rhats beÿsitzers burgers alh. Zu Straßburg eheleiblicher dochter als der hochzeiterin am andern theil (…) Beschehen in der Königlichen Statt Straßburg Mittwochs ipsa Fabiani et Sebastiani den 20. Januarÿ /:St: N:/ In dem Jahr als mann nach der Geburth Jesu Christi Zalte 1700 [unterzeichnet] H Adam Nagel als hochzeiter

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 95)
1700. Domin: Septuag: et Sexag. proclamati sunt hr. Johann Adam Nagel der Weinhändler alhier, hrn Johann Georg Nagel geweßen bierbrauers V. burgers alhie anietzo aber in der Statt Wormbß sich aufhaltend ehl. Sohn vnd Jfr. Maria Magdalena Hrn. Johann Jacob Bleicher deß handelsmanns V. beÿ E.E. grossen rath aljie ietzmahlig. beÿsitzers auch beÿ dießer Kirch Zum Jung. S. Peter Wohl Verdienten Kirchen pflegers ehl. tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 17 Febr. [unterzeichnet] Johan Adam Nagel als hochzeiter, Maria Magdalena bleicherin alß hoch Zeiterin, Samuel Nagel als des H. Hochzeiters Vatters bruder, Johann Jacob Bleicher alß Vatter (i 97) [in margine :] + d. 29. 9.br 1755

Jean Adam Nagel meurt en 1734 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison au Vieux-Marché-aux-Grains. La masse propre à la veuve est de 387 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 484 livres, le passif à 2 160 livres
1734 (6. Maÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 292
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, Schulden und Gegenschulden überall nichts ausgenommen, so weÿl. der Ehren: und Vorachtbahr Herr Johann Adam Nagels geweßener Weinhändler und burger alhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 25. Martÿ dießes laufend. jahrs aus dießer zeit und welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft dato Zu end stehend auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Verstorbenen seel. ab intestato Verlaßener Erben und Kindere hernach benembsten nachhdeme die hinterbl. wittib frau Maria Magdalena Nagelin gebohrne Bleicherin, mit assistentz und beÿstand H. Johann Sebastian Weilanden des haupt Kanten auf E. E. Zunfft der Kieffer und unds alhier ihres geschwornenn Vogts (…) Actum Straßburg den 6. Maÿ Anno 1734.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu seinen Erben Verlaßen 1. Frau mar: Magdal: Schademännin gebohrne Nagelin, H. Philipp Heinrich Schademans des geweß. Specierers und Burg. alhier Ehefrauen, 2. Jgf. Mar: Eliab: Nagelin, so majorennis und dahero ohnbevögtigt dannenhero ihro sowohl als auch vorherbenambster ihro Verheuratheten fr. Schwester als welch ebenfalls ohnbevögtigt, S. T. H: Paul Friderich Zintzerling, Chirurgus und burger alh. beÿ dießem Geschäfft assistiret, 3. Jungfr. Cath: Barb: Nagelin, so ebenfalls ohnbevögtigt, mit beÿstand S. T. H. Johann Conrad Lutzen Pfarrers Zu Bischweÿler und burgers alhier ihres bräutigambs, Und dann 4. Jungfr. Mar: Dorotheam Nagelin, so bevögtiget mit H. Johann Caspar Dicken deß Kürßners und burgers alhier, Alle 4. des Verstorbenen seel. mit der hinterbliebenen fr. wittib ehelich erzeugte Kindern und Zu 4. gleiche stamtheilen Verlaßene Erben.
Bericht wegen dießer Verlaß. Demnach gleich anfangs dießer Inventur fr. Mar: Madg: Negelin die hinterbl. Wb. bercihtet, daß schwärlich ein theilbares Guth vorhanden seÿn und ausfallen wird, sie auch deßweg. mit Consens und Genehmhaltung H. Johann Sebastian Weißen ihres Curatoris auf solche gäntzl. renuncirt und verzug gethan (…)

In einer alhier Zu Straßburg am Kornmarck ane der Großen Gewerbslaub gelegen und hiehero eigenthümlich gehörigen behaußung sich befund. hat
Ane Höltzen und Schreinwerckh. Auff der obern.Bühn, Auf der Untern Bühn, In der Cammer A, Auf der andern Bühn, Auf der Bühn unter obiger, Im Obern Haußöhren
(p. 16) Eigenthumb ane einer Behaußung (W.) Ein Vorder vndt hinter behaußung vnter der großen gewerbslauben (…)
(f° 23) Ergäntzung der Fr. Wittib werhender Ehe abgegang: ohnv. guthß. Vermög des über deroselben auch ihres verstorb. Ehemanns Johann Adam Nagels seel. einander in die Ehe Zugebrachte Nahrung in Anno 1700 durch nunmehro weÿl. H Joh: Heinrich Langen geweß. Not: seel. Verfertigter und expedirt. Invent.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändertes Vermögen, Hausraths und fahrender haab 34, Faß und bütten 2, Silber geschirr und Geschmeid 8, Golderer Ring 43, baarschafft 7, Eigenthums an i. behauß. 2150, Activi 75, Summarum 2327 lb – Summa Passivi 1934, Nach deren Abzug 387 lb
Der Erben ohnverändert und die theilbare Verlaßenschafft, Sa. hausraths 102, Wein Leeren faß u. Kieffer Werckzeug 78, Silber geschirr und Geschmeids 19, Goldener Ring 19, Baarschafft 22, Meliorations Cösten 250, Eigenth. an i. baumstück15, Activorum 1977, Summarum 2484 lb – Passivorum 2160, Restirt 323 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 711 lb
Eheberedung (…) Beschehen den 20. Januarÿ 1700 [unterzeichnet] H Adam Nagel als hochzeiter

Vente d’effets mobiliers
1734 (30.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 37) n° 299 (1877)
Verkauff und Erlöß Register über diejenige Haußräthliche Effecten und andere mobilien welche weÿland hr. Johann Adam Nagel gewesener weinhändler und Burger alhier nach tod Verlaßen, so deßen hinterlaßenen Kindere und Erben, mit Consens dero Vögte, alle im Verlaßenschaffts Inventario benambste heut dao (…) vor dem Sterbhauß offentlich Verkauffen und durch mich den notarium auf notiren laßen, Act. Straßburg den 30. Junÿ Anno 1734.

Marie Madeleine Bleicher meurt en 1755 en délaissant quatre enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison de Jean Ulric Schafflütel rue du Coin Brûlé. L’actif de la succession s’élève à 1 856 livres, le passif à 672 livres.
1756 (26.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1168) n° 990
Inventarium über Weiland der viel Ehren und Tugendsamen Frauen Mariä Magdalenä Nagelin gebohrener Bleicherin, längst weiland des Ehren und wohlvorachtbaren H. Johann Adam Nagel, geweßenen Weinhändlers und b. allhier Zu Straßburg seelig hinterbliebenen Fraun Wb. seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1756. – nach Ihrem Freÿtags den 28. Novembris des jüngst abgewichenen 1755. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen erfordern und begehren, deroselben mit besagtem ihrem den 25. Martii A° 1734. im Herrn seelig verstorbenen Frauen Töchter hinterlaßener Kinder geordnet und geschworener Hh. Theil Vögte, deroselben per Testamentum verlaßener Erben (…) So Beschehen Straßburg Montags den 26.t Januarii 1756.
Die Entseelte seelig hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen Frau Mariam Magdalenam Schattenmännin gebohrne Nagelin, Herrn Johann Heinrich Schattenmanns, des gew. Handelsmanns und brs. allhier seelig hinterbliebene ohnbevögtigte Frau Wittib, unter assistentz hierbeÿ anwesende mit Herrn Johann Ulrich Schafflitzel, des Safian Fabricirers und brs. allhier,
Zweitens Frau Mariam Elisabetham Schatzin, gebohrne Nagelin, H. Johann Friderich Schatz des Zinngießers und burgers allhier Frau Ehegattin beÿständlich desselben diesem geschäfft beÿwohnende
Drittens weiland Frauen Catharinä Barbarä gebohrne Nagelin in zwoen Ehen erzeugte Kinder, als diesortige Enckel als 1° Jungfrau Catharinam Barbaram Lutzin, die dieselbe in erster Ehe mit weiland S. T. Herrn Johann Conrad Lutz, dem gew. treuiferigen Pfarrherren der Evangelischen Gemeinde Zu Bischweÿler und burgern alhier seelig erzeuget hat, deren geordnet und geschworenen Vogt ist Herr Johann Friderich Scholl, der Sattler und burger allhier, welcher in solcher Qualitæt dießem geschäfft beÿwohnte, 2° Johann Friderich Fischer und 3° Catharinam Elisabetham Fischerin, welche beede sie die verstorbene Frau Tochter in Zweit und letzter Ehe mit Johann Wilhelm Fischer dem Gastgeber und burger allhier ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt, Und ist das Söhnlein mit Herrn Johann Friderich Schatz dem Zinngießer und burgern allhier vorgemelt bevögtigt, und weilen dieser hiebeÿ ehevögtlicher weiß selbst interessirt, als ist zu deßen Theilvogt obrigkeitlich constituirt und beÿ dießem Geschäfft erschienen Herr Johannes Becke der Kübler und burger allhier, das Töchterlein aber ist in das allhießig Evangelisch lutherische Waisenhaus gnädig aufgenommen, worden dannenhero deßen Erbs portion solchem löblichem Stifft anfällig, und ist daher der Evangelische waisenvatter Hr Frantz Ludwig Ettern als mündlich bevollmächtigter von des Stifts wohlbesorgtem Herr Schaffner beÿ diesem geschäfft erschienen. Und hat die abgeleibte seelig solche von der letzt verstorbenen Fischerischen Ehefrauen seelig ihro entsproßene 3 Enckel nur in Legitimam das ist in die Tertz des dritten vierten Stammtheils zu Erben verlaßen
Viertens, weiland Frauen Mariä Dorotheä Schollin gebohrne Nagelin, mit Herrn Johann Friderich Scholl dem Sattler und br. allhier auch vorgedacht dero hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugte fünff Kinder benantlich 1. Johann Daniel, 2. Mariam Dorotheam 3. Mariam Salome, 4. Mariam Magdalenam und 5. Johann Friderich, Indem nun dießer Schollischer Kinder als dieseitiger Enckel ordinari vogt mehrgemelter herr Johann Friderich Schatz ehevögtlicher weiße hierbeÿ interessirt als ist Herr Johann Michael Kräutler, der Stadt dreher und Br. allhier als obrigkeitlich confirmirter Theil vogt beÿ dießem geschäfft gegenwärtig gewesen, Alle der in Gott ruhenden Frauen seelig mit dem Eingangs gemeltem Ehemann seelig ehelich erzeugte theils noch lebende Frauen Töchter und der beeden verstorbenenen (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Brent-ein-end gelegenen vorgemeltem H. Schaflitzel zuständigen von der Entseelten seelig zum theil lehnungsweiße bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ, Sa. haußraths 48, Sa. Silbers 2, Sa. goldengeschmeids 8 ß, Sa. baarschafft 5, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüter 1800, Summa summarum 1856 lb – Schulden 672 lb, Nach deren Abzug 1183 lb – Stall summ 1536 lb
Copia Dispositionis inter liberos. – Maria Magdalena Nagelin gebohrne Blaicherin (…) von verleihung Göttlicher Gnaden, aufrechten, gesund, gehend und stehenden Leibs, auch beÿ perfecten richtigen Sinnen, Vernunfft und Verstand (…) Donnerstag den 5. Octobris Anno 1747, Johann Daniel Stöber Notarius
Copia Testamenti nuncupativi (…) auf Mittwoch den 18. Julÿ nachmittag zwischen zweÿ, dreÿ und vier uhren Anno 1753 (…) Johann Rudolph Dinckel Notarius publicus

Jean Adam Nagel vend la maison au bourreau Jean Georges Franck

1707 (21.10.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 655
(1000) Joh. Adam Nagel
in gegensein Joh. Georg Franck nachrichters
den so genanten Stören Hoff mit seinen Häußeren Hoffstätten Garten u. brunnen auch allen anderern deren gebäuen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten allhier in der Krautenau hinter dem weÿßenhauß ahn dem Entenlach ahn dem kleinen aüel, einseit neben dem allmend anderseit neben Hanß Kleinen dem metzger hinten auf eine behaußung dem Stifft St. Marg: gehörig vornen aufs allmend stoßend – umb 1000 pfund

Jean Georges Franck revend quinze jours plus tard la maison à Anne Ursule Gack (Anne Ursule Graff, veuve du maçon Michel Gack) en conservant le jardin. Une clause stipule que l’acquéreuse devra faire murer les quatre portes qui donnent dans le jardin et qu’elle n’est pas autorisée à empêcher la lumière de parvenir au jardin réservé.

1707 (4.11.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 641
(475) Joh. Georg Franck nachrichter
in gegensein Annæ Urßulæ Gackin wittib beÿständlich Johann Georg Hammers schneiders ihres vogts
den so genanten Störren hoff mit seinen Häußeren Hoffstätten u. brunnen auch allen anderen begriffen & nichts alß den Garthen außgenommen allhier in der Kratenau [sic] hinter dem waÿßenhauß ahn dem entenlach ahn dem Kleinen auel gelegen – wobeÿ verglichen daß die vier thüren in dem Garten zugemauret werd. sollen auch soll der käufferin der tag und lufft nicht verbauet werd. – 475 pfund

Anne Ursule Gack vend quelques mois plus tard la maison au pelletier Jean Georges Merg et à sa femme Eve Eigenoss

1708 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 108
(750) Anna Ursula Gackin wittib beÿständlich Joh: Georg Hammers schneiders ihres vogts
in gegensein Joh: Georg Merg Kürßners u. Evæ geb. Eigenossin
den so genannten Störren hoff mit seine Häußern hoffstätten u. brunnen auch allen anderen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten wie Sie solche in A° 1707 den 4. Novembris erkaufft – um 225 pfund verhafftet, geschehen um 525 pfund

Fils de pelletier, Jean Georges Merg épouse en 1699 Eve, fille du cultivateur Nicolas Eigenoss, de Weisweil près d’Emmendingen en Bade ; contrat de mariage, célébration
1699 (28.6.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 182
Eheberedung – Zwischen dem Ehrbahren Johann Georg Mergen, Ledigem Kürßner, weÿl. M. Johann Georg Mergen geweßenen Kürschners vnd burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinderlaßenem Ehelichem Sohn, alls hochzeiter, an einem
So dann der Ehren vnd Tugendsamen Jungfrawen Eva Eÿgnußin, weÿl. deß Ehrengeachten Niclauß Eÿgnuß, Geweßenen Baursmanns Zu Weißweil seel. nachgelaßener Ehelichen dochter, Andern theils
in beÿsein vnd Consens der Ehrengeachten vnd wohlachtbahren herrn Johann Georg Teürkauffs, Kürschners auff sein deß Bräutigambs, so dann auf Ihr der Jfr. hochzeiterin seithen H Emanuel Wehners des Jüngern haußfeurers Ihres vettern, beede Burgere alhier
Actum Straßburg, Sonntags den 28.ten Junÿ St: N: Anno 1699. [unterzeichnet] Johann Georg Merg als hoch Zeiter, eva eÿgnußin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 91-v)
1699. Domin I. et II. post Trinit. proclamati sunt. Johann Georg Merg, der Kürschner alhie, weÿl. Joh: Georg Merg, gewesenen Kürschners v. burgers allhie nachgel. ehel. Sohn, v. Jfg. Eva weÿl. Niclaus Eydtgenoß, geweßenen Meÿers v. burgers zu Weußweyl. Margr. durlachischer herrschafft, nachgel. tochter, copulati sunt Mittw. d. 1. Julÿ [unterzeichnet] Johann Georg Merg als hochzeiter, euaechnoßin als hozeitrin (i 94, procl. Saint-Thomas f° 72 n° 392 i 75)

Le pelletier Emanuel Hellbeck loue au journalier Jean Ziffer les pièces qu’il occupe au Stœrenhoff

1711 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 404-v
hr. Emanuel Höllbeck Kürßner
in gegensein Joh. Ziffers Tagl: [unterzeichnet] +
die gemach im stören hoff die Er biß dato bewohnt hat, sambt der ½ des Kellers welchen Er auf seinen cösten unterschlagen lassen sollen, auff 5 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt. 1711 – um einen jährlichen Zinß nemlich 8 lb

Le tuteur des enfants de Jean Georges Merg hypothèque la maison au profit du fabricant de courroies Jean Daniel Schwemmle

1712 (12.4.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 286-v
hannß Georg Theurkauff der Kürschner als vogt Johann Georg Mergen gewesenen Kürchners seelige Kinder
in gegensein Johann Daniel Schwemmle des riemenschneiders – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behaußung der Stöhren hoff genandt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden und Gerechtigkeiten in der Krautenau hinter dem Waÿsenhauß ahn dem Entenloch ahn dem Kleinen auel

Le tuteur des enfants de Jean Georges Merg hypothèque la maison au profit du tonnelier Jean Georges Schlegel

1716 (4.1.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 2-v
Joh: Georg Theur kauf Kürßner alß vogt weÿl. Joh: Georg Merchen KK, Item Daniel Kuntz kübler ad hunc actum geordnet
in gegensein Joh: Georg Schlegel sen: Küblers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, der Curanden hauß allhier in der Krautenau der Störenhoff genant gegen dem ballhauß über

Le pelletier Jean Georges Theurkauff rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent aux enfants de Jean Georges Merg, en particulier des loyers encaissés. Les différents locataires du Stœrenhoff sont le tisserand Michel Leichinger pour le logement en bas à droite, Adam Drexler puis le charretier Jean Gaspard Roos pour le logement en haut à droite, le charpentier Paul Rondouin puis un sergent artilleur pour le deuxième logement en bas à droite, la veuve Etienne Müller pour le logement du milieu, Pierre Brancour puis Jean Hertz et Mathias Streicher pour leur logement, Laurent Lombris puis Michel Roos pour le bâtiment avant de la nouvelle maison, le cordonnier Pierre Lœs puis Jean Jacques Tritel pour le bâtiment arrière de la nouvelle maison, le chanvrier Nicolas Weber pour le logement sur la gauche, Georges David Zimmermann puis Michel Roos pour son logement, le jardinier Jean Adam Heintz pour une cave

1720, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 6) n° 205 (189)
Rechnung Mein Geörg Teürkauffs Kürschners vnd burgers allhier Zu Straßburg alß geordnet vnd geschwohrnen Vogts, Hannß Geörgen, Hannß Daniels, Mariæ Barbaræ und Mariæ Evæ der Mergen, weÿl. Meister Johann Geörg Mergen deß Kürschners, mit auch weÿl. fr. Eva gebohrener Eÿdgenoßin beeder seelig. Ehelichen erzeugt und hinterlaßener Vier Kinder, Inhaltend und außweißend alles das Jenige, was ich von Weÿhnacht. 1718, biß eod. term. 1720. alßo in zweÿen Jahren ernannter meiner Curanden wegen ferner Eingenommen, außgegeben und sonst vögticher weiße in ein und andere weeg Verhandelt und verrichtet habe – Dritte Rechnung dießer Vogteÿ.

Corpus ane Haußzinnßen so die Curanden nunmehro ins gemein fallen hab. Daßelbe Ertrug nach besag meiner abgelegten 2. Rechnung nur 82 lb 10 ß, Nunmehro aber belauffen sich dieselbe in allem auff 87 lb
Auf folgend. Persohn. Erstl. 15. lb d Zinß reicht Frantz Treller der Nagelschmid und burger allhier von der behaußung aù Leimengäßel (…)
It. 8. lb d Jährlichen hauß Zinß gibt H Michel Leichinger der Leinenweber Von seiner Innhabenden Untern wohnung auf der rechten seiten des Eingangs im Störenhoff
It. 8 lb 10 ß Jährlichen Zinß gab Hannß Caspar Rooß der Kärchelzieher, vordieß. Adam Drexler Vnd Zwahr seit Mich. 1720. 7 lb 10 ß Von der Obern wohnung vf der rechten seith deß Störenhoffs in der Crautenau (…)
It. 13. ß d haußzinß reichte Paul Rondouin der frantzösische Zimmermann modo und seith Mich. 1720. Ein Sergeant Von der Artillerie 9 lb (…) von der Innhabenden Untern Zweÿter wohnung in der rechten seite des Störenhoffs
It. 9. lb Jährlichen gibt Stephan Müllers Wittib von der Mittlern wohnung daselbst
It 6 lb d Jährlich haußzinnß Johannes Hertz Zuvor hannß Peter Brancourt anjetzo aber vnd seit Weÿhenachten 1719. Mathiß Streicher der (-) von seiner wohnung allda
It. 8. lb d gab Lorentz Lombris modo Michel Rooß Von dem Vordern Gebäu des Neuen Stocks
It. 8. lb 10 ß Jährlich haußzinß vnd Zwahr von Annunciationis Mariæ an biß Mich. 1719. incl. gab Peter Löß der Schumacher modo aber und seith Annunciationis Mariæ 1720. hannß Jacob Tritel der (-) von dem hintern gebäu des Neuen stocks
It. 7 lb Vor und Anestatt 6 lb 10 ß aber nur seit Annunc. Mariæ 1720 gibt Niclaus Weber deß hänffers W. Von Ihren inhabend. Gemachen un der Lincken seit. des Störenhoffs
It. 6. lb d Jährlich haußzinß reichte Geörg David Zimmermann Nunmehro vnd seith Joh. Bapt: 1720. Michel Rooß 6 lb 10 ß von seiner appartement daselbst
It 1 lb 10 ß Jährlich Zinß reichte Hannß Adam Heintz der Gartenmann Von einem Keller seith Weÿhenachten 1720. aber zahlt Er 3 ln

Fils des précédents, Jean Georges Merg a appris le métier de tailleur mais ses infirmités ne lui permettent pas de gagner sa vie. Les Conseillers et les Vingt-et-Un approuvent son admission à l’orphelinat.
1722, Conseillers et XXI (1 R 205)
Johann Georg Merg halt an umb Auffnahm in das Wäÿßenhauß. 217.
(p. 217) Sambstag d. 11. Julÿ – Lt. Mosseder, Nomine Johann Georg Mergen des schneiders, Weÿland Johann Georg Mergen geweßenen burgers und Kürschners allhier hinterlaßenen Sohns mit beÿstand seines Vogts Johann Georg Deürkauffs auch hiesigen burgers und Kürschners, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten mit beÿlagen Sub Num. 1. 2. 3. und 4. umb gnädige Reception in das Wäÿßenhauß, handelt innhalts. ist Erk. Wird das Petitum an die Herren Pflegere des Wäÿßenhauß ad examinandum Ob die Von dem Imploranten Vorgeschützte Blöd: und Engigkeit also beschaffen seÿe, daß er deßwegen durch sein erlerntes handwerck den nöthigen unterhalt Zu Verdienen sich außer stand befindet, Verwißen und im fall nach reiffer der sachen untersuchung sich befinden solte, daß deme also, Wohlgedachten Herrn Pflegern die hand geöffnet selbigen sambt seinem in dem Sub Num. 3. producirten Extract enthaltenen Vermögen anzunehmen.
Deputati H. XV. Merckel und H. Rathh. Saltzmann

Nouveau compte de tutelle que rend Jean Georges Theurkauff
1723, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 7) n° 244
Rechnung Mein Johann Georg Teurkauffs Kürschners und burgers allhier zu Straßburg alß geordnet und geschworenen Vogts, Hannß Georgen, Hannß Daniels, Mariæ Barbaræ und Mariæ Evæ der Mergen, weÿlandt Meister Johann Georg Mergen des Kürschners mit auch weÿl. fr. Evæ gebohrner Eÿdgenossin beeder sel. Ehelich erzeugter vnd hinterlassener Vier Kinder, inhaltend vnd außweisendt alles dasjenige was ich von Weÿhnacht. 1720 biß eod. termino 1722 Inhrentweg. ferner Eingenommen und außgegeben habe – Vierdte Rechnung dießer Vogteÿ
Kurtzer bericht. Demnach seith meiner letzten nemblichen dritten abbgelegter Rechnung dieser Vogteÿ halben im geringstem Kein veränderung, der Corpore betreffend, Vorgegangen /:alß deß etwann ein und andre losamenter in der Curanden behausung einige Zeitlang leer gestand. vnd etwa Zu von einander haußleuth der Zinß geschwächte d vermehrt worden,:/ v dieselbe alle noch in Statu quo seind

Les enfants Meng vendent la maison au chapelier François Waltz et à sa femme Anne Marie Kirchenbaur
1729 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 147-v
weÿl. Johann Georg Merg gewesten Kürßners mit auch weÿl. Eva geb. Eidgenoßin hinterlaßenen zweÿ jüngste Kinder Maria Barbara und Maria Eva die Mergin, mit beÿstand ihres Vogts Johann Georg Theurkauff des Kürschners und ihres Curatoris ad lites Johann Friedrich Meÿer des gürttlers, weither im Nahmen und ahne statt des in allhießigen weÿßenhauß sich befindenden Sohns Johann Georg Merg ged. waÿßenhaußes H. Pflegers H. XV. Johannes Sainctlo und H. Johannes Heupel Schaffner allda
in gegensein Frantz Walz des huetmachers und Annæ Mariæ geb. Kirchenbaurin
den so genannten Stören hoff bestehend in Vorder: Nebens gebäud hoff Bronen und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau ohnfern dem Ballhauß in dem sogenannten Schwabenländel, ein und anderseit sind eck ahm Allmend, vornen das Allmend hinten auff theils Christian Ahlinger den Kust: und Blumengärttner theils auff Johannes Klein des Metzgers Stallung – um 330 pfund

Ancien chapelier devenu aubergiste, François Waltz hypothèque plusieurs immeubles dont le Stœrenhoff au profit de Marguerite Reisseissen, veuve du consul Philippe Gaspard Leitersperger

1738 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 479-v
Frantz Waltz ehemaliger huetmacher jetzt gastgeber
in gegensein S.T. H. Fünffzehners Johannes Leitersperger J.V.Lti als mandatarÿ seiner Fr. Mutter S.T. Fr. Margarethæ geb. Reißeißin weÿl. S.T. H. Ammeisters Philipp Caspar Leitersperger hinterlassenen ohnbevögtigten Fr. Wittib und seiner Fr. schwester, S.T. Fr. Mariæ Salome geb. Leiterspergerin weÿl. S.T. H. Johann Philipp Leitersperger J.V.Lti und Fünffzehners hinterbliebenen ohnbevögtigten Wittib – schuldig seÿen 750 und 750 pfund, zu bezalung des kauffschillings heutigen tags erkaufft hierunter beschriebener behausung
unterpfand, erstlich Eine heutigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß vollkommen bezahlten behausung, Tantzplatz, garttenhäußlein, stallung, hoff, dreÿ gärtten deren einer jenseith des waßers die beede übrige aber am hauß liegen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten vor dem Juden thor zwischen denen waßern, des Schultheißen gartten genannt, einseit neben weÿl. H. Rathh. Daniel Ernst Braunen see. erben anderseit ist ein eck gegen der zur Spithalmühl leitenden Bruck hinten auff einen waßergraben gelegen, davon gibt man in 2 mahlen hiesiger Stadt Pfenning Thurn 11 schilling ane bodenzinß
ferner zwo tertzen an dem so genannten Stören hoff bestehend in Vorder, Nebens gebäu, hoff, Bronnen und hoffstatt mit allen deren zugehörden in der Vorstatt ahne Krauttenau ohnfern dem Ballhauß in dem so genannten Schwaben ländel, einseit und anderseit ist ein Eck am Allmend vornen auff das allmend hinten theils Christian Ahlinger Blumengärtters ehefrau gartten
weither zween dritte theil für ohnabgetheilt ahne einer Behausung und höffl cum appertinentis im Thoman loch einseit neben H. XXI. Johann Valentin Beÿerle an einem Allmend gäßlein so nicht durchgehet hinten auff ged. H. XXI.er Beÿerle ; letzt beschriebene beede häußer (…) als währendem seinem ehestand am 7. Septembris 1714 und am 17. martü 1729 erkaufft mithin theilbare güther ihme zu zwo tertzen und seinen in erster ehe mit weÿl. Anna Maria geb. Kirchenbauerin erzeugte 4 kindern zum dritten theil

Les experts estiment la maison à la somme de 900 livres à l’inventaire dressé en 1738 après la mort d’Anne Marie Kirchenbauer. La même somme est reprise en 1744 dans l’inventaire dressé en 1738 après la mort de François Waltz. Les héritiers vendent les immeubles par adjudication la même année devant notaire. La vente définitive est enregistrée à la Chambre des Contrats (ci-dessous).

Les enfants de François Waltz vendent la maison au tisserand Philippe Jacques Kayser et à sa femme Anne Marie Geyler

1744 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 346-v
weÿl. Frantz Waltz des gastgebers erben Frantz Sigmund Waltz lediger gastgeber, mehr Lorentz Freyß burger von Schiltigheim und schirmer alhier auch Müller zu Auenheim als Ehevogt und mandatarius Fr. Maria Catharina geb. Waltzin und dero vogt ad actum Johann Daniel von Hipßen der huthmacher so dann Jfr. Maria Dorothea Waltzin mit beÿstand ihres vogts Conrad Fischbach des hoßenstrickers
in gegensein Philipp Jacob Kaÿßer des leinenwebers und Annæ Mariæ geb. Geÿlerin – laut erkanntnus vom 13. hujus obrigkeitlich confirmirten versteigerung
den so genandten Störenhoff bestehend in vorder und nebens gebäu, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau ohnfern dem ballhauß in dem so genannten Schwabenländel, ein und anderseit ist ein eck am Allmend, vornen auch das Allmend, hinten theils auf H. Johannes Klein Exsen. und metzer stallung theils Christian Alinger den blumengärtner – als ein elterliches erbguth – um 200, 220 und 100 pfund verhafftet, beschehen um 330 pfund
94 Z 81 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkanndtnuß E. E. Großen Raths der Statt Straßburg Vom 13.ten Junii 1744 Ist die weÿl. Frantz Waltzen geweßenen Gastgebers hinterlaßenen Erben Zuständige, allhier in der Vorstatt Krauthenau in dem so genandten schwabenländel gelegene behaußung der Stöhrenhoff genanndt, sambt allen Zugehördten Philipp Jacob Kaÿßer burger und Leinenweber allhier alß letzt und meist biethendem umb 1700 fl. mit übergah aller unkosten obrigkeitich adjudicirt, anbeÿ Verordnet worden, daß der Kauff und Verkauff in acht Tagen in der Contact Stub solle verschrieben Werden, publicatum d. 15.ten ejusdem mensis et anni, Kien Rathschr.
Das enrhaltene decret. alienandu Vom 6.te, Maii jüngst.

Fils du tisserand Jean Philippe Kayser, Philippe Jacques Kayser épouse en 1725 Marie Salomé Vix, fille du remueur de grains Nicolas Vix : contrat de mariage, célébration
1725 (23. oct.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 85
Eheberedung – Zwisch. dem Ehrsamen Philipp Jacob Keÿßer den ledig. leinen web. Johann Philipp Keÿßers auch leinen Webers v burg. alhie ehelich erzeugten Sohn alß hochz. ane einem
andern theilß aber Jfr. Maria Salome Vixin, des Ehrsahmen Claus Vixen, Kornwerffers v. burg: alhier ehelich erzeugte dochter alß hochzeiterin andern theilß
Actum straßb. d. 29.ten 8.bris 1725. [unterzeichnet] Philippus Jackobtus Keÿser alls hoch Zeiter, Maria saleme Vixin Als höchzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 255-v, n° 15)
1725. Mittwochs d. 28. 9.bris seind nach 2.maliger ausrufung Dominica XXV. & XXVI. Trin. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehlich eingesegnet worden Philipp Jacob Keÿser, der Ledige Leinenweber Philipp Keÿsers deß Leinenwebers v. burgers . Anna Maria Lehrhardtin ehelicher Sohn. v. Jfr. Maria Salome Niclaus Vixen deß Kornwerffers v. burgers v. Anna Cathar. Kuntzin eheliche Tochter [unterzeichnet] Philippus Jackus Keÿser Hochzeiter, Maria salme Vix hoch Zeiterin (i 263)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du peignier Tobie Schiffer rue des Cerceaux. Ceux du mari s’élèvent à 45 livres, ceux de la femme à 89 livres.
1731 (12.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 4) n° 176 (1548)
Inventarium und Beschreibung aller derjenig. Haab und Nahrung, so Mstr. Philipp Jacob Kaÿßer der Lwbr. vnd die tugendsahme Frau Maria Salome Vixin, beeder Eheleuthe vnd burgere alhier Zu Straßburg, einander in den Ehestand Zugebracht haben, so auß der Ursach sich dießelbe in der mit einander auffgerichtet. Eheberedung ein unverändert Guth vorbehalten (…) Actum Straßburg in præsentia Johannes Cuntz des Gartenmanns v. b. alhie der Ehefrau beÿstands vnd nechst anverwanthens v. fr. Anna Cath. Vixin derslebn leibl. mutter, d. 12.ten Aprilis 1730.
Inn einer alhier Zu Straßburg auff der Reiffgaß geleg. Tobiä Schiffer d. Streehlmachern modo (Krämer vnd burger) alhier eigenth. gehörig. behausung sich befunden, vnd hievorgethan hat als folgt.
Werckzeug, Schiff und geschirr Zum Leinenweber handw. gehörig.
Series rubricarum. Des Ehemanns Vermögen, S. haußraths 23, Silvers 1, Werckzeug 18, baarsch. 3. Summarum 46 lb
d. Ehefr. ohnverändert, Sa. Haußraths 55, Silber 2, Goldene Ring 6, Baarschafft 25, Summarum 89 lb

Testament réciproque dressé dans la maison rue des Cerceaux alors que la femme enceinte est malade
1732 (12. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 256
Testamentumm reciprocum – Persönlich erschienen seindt Phillipp Jacob Keÿßer leinen weber und Maria Salome geb. Vixin beede eheleuth vnd burg: alhier er der eheherr aufrecht gesund gehendt v. stehend. die fraw aber alß eine Kind betterin Zu bette liegend schwach vndt Krancken leibs
Actum in einer alhier Zu Straßburg in der Reiffgaß gelegenen von beden codicillirenden Eheleuth lehnungß weiße bewohnend. behauß: in dero wohnstuben mit den fenstern auff den graben außsehend (…) Mittwochß d. 12. 9.bris 1732. [unterzeichnet] Maria salmen Käÿser, Philipp Jacob Keÿser

Marie Salomé Vix meurt en 1735 en délaissant deux enfants encore vivants lors de l’inventaire, un troisième étant mort après sa mère. La masse propre au veuf présente un déficit de 24 livres, celle des héritiers s’élève à 85 livres. L’actif de la communauté s’élève à 165 livres, le passif à 91 livres.
1735 (23.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 38) n° 343 (1920)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, Schulden und Gegenschulden überall nichts davon ausgenommen, so weÿl. die Ehren und tugendsame Frau Maria Salome Kaÿßerin gebohrene Vixin, des Ehrenhafften und bescheidenen Meisters Philipp Jacob Kaÿßers, des Leinenwebers und burgers alhier gewesene eheliche haußfrau nunmehro seel. nach ihrem den 20. Februarÿ jüngst aus dießer Zeit und welt genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen, Welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu end stehend, auf freundl. Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehrsamen und bescheidenen Johann Daniel Vixen, des Kornwerffers und burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts der Zweÿ noch lebenden mit dem hinterbl. wittiber ehel. erzeugter Kinder nahmens Christian und Johann Daniel, so dann sein des wittibers selbsten vor und im Nahmen des nach der Mutter verstorbenen Söhnleins Philipp Jacob genannt, alle 3. Zu gleichen Stammtheilen seel. Erben ersucht und inventirt nach deme mehr gementer Wittiber wie auch Anna Maria Wachtlerin, deßen dienstmmagd (…) abgelegte handtreu angegeben, geäugt und gezeigt (…) Actum Straßburg Montag den 23. Maÿ A° 1735.
Copia der Eheberedung Vide mein Notarÿ Extens. prot. N° 2
Copia Codicillo reciproci, vide ermeltes protocolli

In einer alhier Zu Straßburg ane der Steinstraß auf der Reÿfgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen Behaußung sich befunden hat
Hierauf nun folget die Inventaion und beschreibung eingangs ged. Verl. und vor sich selbsten
Des hinterbliebenen Wittibers unverändert Vermögen, Sa. Werckzeugs zum Leinenweber Handwerck gehörig 6, Sa. des Silbers 12 ß, Sa. der Ergäntzung 5, Summa summarum 12 lb – Schulden 37, Des Wittibers passiv onus 24 lb
Dießemnach so wird auch der Erben unverändert mütterl. Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 19, Sa.Silbers 15 ß, Sa. Gold. Ring 2, Sa. Schulden 37, Sa. der Ergäntzung 25, Summa summarum 85 lb
Endl. wird auch die theilbare Verlt. specificirt, Sa. haußraths 21, Sa. Garn und Werckzeug Zum Leinenweber Handwerck gehörig 143, Sa. Silbers 1, Summa summarum 165 lb – Schulden 91, Nach deren Abzug 74 l lb

Philippe Jacques Kayser se remarie avec Anne Marie Geyler, fille du cloutier Jean Georges Geyler : contrat de mariage, célébration
1735 (10.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 373
Eheberedung – zwischen dem ehrsahmen vnd bescheidenen Meister Meister Philipp Jacob Keÿßer, dem Leinenweber burger vnd wittiber alhier alß hochzeithern ane einem
So dann der ehr vndt tugendsahmen Jfr. Anna Maria Geÿlerin, H. Joh: Georg Geÿlers deß Nagelschmidts vndt burg: alhie ehelich erzeugten dochter alß hochzeitherin anern theils
mit unterhandel vndt Vermittlung auf seithen deß hochzeiters Johann Daniel Vixen deß Kornwerffers vndt Joh: Jacob Fuchßen deß Leinenwebers beeder burgere alhier seiner Schwäger auf der Jfr. hochzeiterin seithen aber Ihres Vatters vornen benambßt so dann H David Riehlen des Schumachers vndt auch burgers alhier
Actum Straßburg d. 10. Augusti Anno 1735. [unterzeichnet] Philipp Jacob Kaÿser Als hochzeit. Anna Maria Geÿlerin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 131, n° XXXII)
1735. Dominica XVI et XVII Trinitat. proclamati sunt Phillipp Jacob Käÿßer, der Leinen Weber v. burger alhier v. Jgfr. Anna Maria, Johann Georg Geÿler deß Nagelschmidts und burgers alhier ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. dn 5. Octob. [unterzeichnet] Philipp Jacob Keÿser als Hochzeiter, Anna Maria Geÿlerin als hochzeiderin (i 135)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Cerceaux. Ceux du mari s’élèvent à 728 livres, ceux de la femme à 197 livres.
1735 (14. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 39) n° 375
Inventarium und Beschreibung allerderjenigen Haab und Nahrung, Schulden und Gegenschulden nichts außgenommen, so der Ehrenhaffte und bescheidene Mr Philipp Jacob Kaÿßer der Leinenweber und die Ehren und Tugendsahme Frau Maria Anna Kaÿßerin gebohrene Geÿlerin beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht haben, So aus Ursache Sie beede Ehepersohnen in ihrer Vor mit Notario (-) dieses lauffenden 1735. Jahres auffgerichteten Eheberedung (…) Actum Straßburg Montags den 14. Novembris Anno 1735.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung befunden
Waaren und Werckzeug Zum Leinenweber handwerck gehörig
Series rubricarum, Sa. haußraths 205 Sa. Werckzeugs 218, Sa.Silbers 16, Sa. baarschafft 79, Sa. activorum 267, Summa summarum 728 lb – Schulden
Dieseùnach wird dann auch der Ehefr. in die Ehe Zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 135, Sa. Silbers 13, Sa. Goldener o 11, Sa. der baarschafft 36, Summa summarum 197 lb

Anne Marie Geyler meurt en 1758 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Cerceaux. Les experts estiment le Stœrenhoff à 450 livres. La masse propre au veuf est de 478 livres, celle des héritiers de 305 livres. L’actif de la communauté s’élève à 642 livres, le passif à 1 201 livres.

1758 (28.8.), Not. Haering (6 E 41, 1356) n° 77
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsamen Frau Annä Mariä gebohrner Geÿlerin des Ehren und bescheinenen Meister Philipp Jacob Kaÿßer Lwbrs. u. Bs. alh. Zu Straßburg gew. ehel. haußfr. Verlt. auffgerichtet Anno 1758. – nach ihrem Samstags den 16. Aprilis instehenden 1758.sten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödl. Hintritt hie Zeitlich verlaßen (…) So beschehen Straßburg Montags den 28.ten Aug. 1758.
Die Verstorbene seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen Ihre mit Eingangs ged. dero hinterbl. Wr. ehelich erzeugte dreÿ KKr Zu gleichen antheilen benand.. 1. Philipp Jacob so 22 Jahr alt und dieser Inventation beÿwohnt, 2. Jgfr. Annam Mariam, welche 19 Jahr erlebet, und hiebeÿ ebenfalls gegenwärtig ist, So dann 3. Mariam Salome, die 8 ½ Jahr auf sich hat, diese dreÿ Kaÿßere sind bevögtigt mit dem Ehrsam und bescheidenen Mr Johann Heinrich Vogel Schuemacher und b. alh. welcher in der Qualität ihres geschwornen Vormunds dieser Inventur abwartet.

In einer allhier Zu Straßburg an der Reÿffgaß gelegene, dießorts Lehnungs weiße bewohnenden behsg. befunden worden wie folgt
Eigenthum an einer Behausung. Nemlich der so genanndte Stöhren hoff, bestehend in Vorder u. nebens gebäud, hoff, bronnen u. hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen, weiten, Zugehörden u. Rechten alh. in d. Vorstatt Krautenau ohnfern dem Ballhauß in dem sogenannen schwabenländlein ein u. anders. ist ein Eck am Allmend vornen auch auf d. allmend hinten theils auf H. Johannes Klein Exsenatoris u. Metzgs. Stallung theils auf H. Seiler den ballwürth, stoßend gelegen, so über hernadh eingetr. passiv Capital frey ledig u. eigen u. dh.(die Werckmeistere) Zufolg derer Zu mein Not° concept gel. schrifftl. Abschatzung vom 11. hujus angesch. word. pro 900 fl. od. 450 lb. Darüber bes: teutscher Kaufbr. aus alhießig C.C. Stb. u. dero anhangend. größern Insiegel dat. den 23. Junii 1744.
Ergäntzung des Wittibers abegangenen eigen Vorbehaltenen Guths, Inhalt des über beeder geweßener Eheleuthe einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen dh. H. Notm. Johannes Brackenhoffer den 11. 9.bris 1735. auffgerichteten Invÿ.
Copia der Eheberedung zwischen beeden,nun durch den Zeitl. Tod getrennten Eheleuthen den 10. Aug. 1735 Vot H Not° Johannes Brackenhoffer auffgerichtet
Folgt nun die Beschreibung der Verlt. Vor und an sich selbst. Des Ws. ohnverändert und vorbehaltenen Vermögens, Sa. Silbers 2, Sa. Erg. (832, Abzug 126, bleiben) 706 lb, Summa summarum 708 lb – Schulden 230 lb, Nach deren Abzug 478 lb
Dießemnach wird auch der KK und Erben anerstorbenen ohnverändert und Vorbehaltenes Guth beschrieben, Sa. Silbers 2 lb, Sa. gold: ring 2, Sa. baarschafft 1 lb, Sa. Schulden 115 lb, Erg. (185 ;abzug 1, verbleiben,184 lb, Summa summarum 305 lb
Endl. wird auch das gemeinschafftl: und theilbare Guth beschrieben, Sa. hausraths 50, Sa. Waaren und werckzeugs Zum Leinenweber Hdw: gehörig 141, Sa. Silbers 8 ß, Sa. Eigenthums an einer behaußung 450 lb, Summa summarum 642 lb – Schulden 1201 lb, Passiv onus 558 lb – Stall summ 339 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen in d. Königl. Stadt Straßburg d. 10. Aug. A° De : als man Zalte 1735. Johannes Brackenhoffer
– Abschatzung Vom 11.ten Augusti 1758, Auff begehren N: Kaißer des Leinen Webers ist Eine Behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Schwaben Ländel Gelegen, Ein seÿts ein Eck auff den Allmend Machent, Ander seÿts Ebenfals auff den Allment stoßent, und hinden auf Herrn Seiller stoßend, solche behaußung bestehet in Etlichen Stuben Kammern und Küchen, dar Über ist der dachstuhl mit Hohl und Breitt Zieglen belegt, Hatt auch Ein Getrembten Keller, Hoff und Brunnen. Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern, Nach Vorhero beschehener Besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen worden, Vor und umb Neun Hundert Gulden [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Werner, Huber
(Deposita) des Weißbeckers Sohns erster Ehe Joh: Daniel gehöriges Geschenck geld, des Wittibers Kinder zweÿter Ehe Pfetter Göttel und andere Gschenck, Philipp Jacob, Anna Maria, Maria Salome

Philippe Jacques Kayser meurt en 1762 en délaissant deux enfants de son premier mariage et deux du second. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Cerceaux. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 592 livres, le passif à 510 livres.

1762 (18.5), Not. Haering (6 E 41, 1360) n° 173
Inventarium über Weÿland des Ehrsam u. Bescheidenen Mr Philipp Jacob Kaÿßers, im Leben geweßenen Leinenw. und b. alh. Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßensch. aufger. Anno 1762. – Mr Philipp Jacob Kaißer (…) nach seinem Freitags den 30.ten Aprilis instehenden 1762.sten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hinscheiden, hie Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßburg Dienstags den 18.ten May A° 1762.
Den abgeleibten H. ohne Testament zu erben sind fähig, Seine in Zwoen Ehen ehel. erzeugte Kinder benantl. 1. H. Joh: Christian Kaiser Leinenw. Mr, alh. hiebey anweßend, 2. Joh: Daniel Kaiser, so majorennis, der zeit aber abweßend u. deßen Auffenthalt schon bei 9 Jahren unbekanndt, In welches Namen hr: Joh: Daniel Vix, Kornwerffer u. hiesiger Br. sein noch ohnentledigter geschw. Vogt, bei dieser Inv: Zugegen war u. seines Curandi Nuzen hiebey bestend besorgt hat, Diese beede söhne hat der abgel. seelig mit längst weil. fr: Maria Salome geb. Vixin, seiner I.ten Ehefr: sel. ehl. erzielt
3. Fr. Anna Maria geb. Kaiserin, H. Johann Geigers Metzg. u. b. alh. Ehef. unter deßelben Vollwerth diesem Gesch. personl. abwartend, so dann 4.to Jfr: Maria Salome die 12 Jahr erlebet und mit Mr Joh. Heinrich Vogel Schuhemacher u. b. alh. ordn. mäßig bevögtiget ist, welcher auch in besagter Qualität dieser Inv. von Anfang biß Zu End beigewohnt, u/ dieses Kinds Nutzen besorgt hat. Diese beede letztere Tr: seind von dem Verst: seel. in letzter Ehe mit Fr. Anna Maria geb. Geilerin ehel. erzeugt. Alle Vier Zu gleichen Stammth.

In einer alh. Zu Straßb. an der Reiffgaß gelegenen dießorts Lehnungsweiße bewohnend. behßg. bef. word. w. folgt.
Eigenthum ane einer Behßg. Neml. der so genandte Stöhrenhoff, bestehend in vorder u. nebens gebäud, Hoff, Bronnen u. Hoffstatt mit allen übrig. deroselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden u. Rechten, alh. in d. Vorstatt Krautenau, ohnfern dem ballhauß in dem sogenandten Schwabenländlein ein u. 2. s ist i. eck am Allmend, vornen auch auf d. Allmend hinten thl. auf H. Johannes Klein Exsen: u. Metzgers Stallung thl. auf H. Seiler den ballwürth stoßend gelegen, so über hernach eingetrag. passiv Cap. frei, leedig u. eigen u. durch (die Werckmeistere) Zufolg deren zu weil. fr: Anna Maria geb. Geilerin des Verst. 2.ter Ehefr: seel. Verl. Inv: Concept gel. Absch. vom 11.ten Aug. 1758 angeschlagen worden pro 900 fl. dabei es auch auf Erlaubn. wolverordn. H. dreÿ Löbl. Statt Stalls verb. hier 450 lb. Darüber bes. i. perg. Kfbr. a. alh. C.C. Stb. m. d° anhang. Ins. Verw. d. d. 23. Junÿ 1744. Ferner ältere daher gef. Kfbr. d. d.s 17. Mart. 1729, 7. febr. 1708 u. 22. 8.bris 1698.
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ, Sa. hausraths 53 lb, Sa. Werckzeug u. Waar zum Lwbr. Hdw. gehörig 75 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. gold. ring 2 lb, Sa. baarschafft 1 lb, Sa. Eigenthum an einer behaußung 450 lb, Sa. schuld 5 lb, Summa summarum 592 lb – Schulden 510 lb, Nach deren Abzug 81 lb – Stall summ 321 lb

Comptes de tutelle successifs que rend le cordonnier Jean Henri Vogel.
1771 (23.1.), Not. Haering (6 E 41, 1382)
(92) Rechnung Mein Johann Heinrich Vogel, Schuhemachers und hießigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrau Mariä Salome Kaÿßerin, welche mit Philipp Daniel Frieß hohldreher Meister und hießigem burger Verlobt ist, inhaltend was Ich seit Annunciationis Mariæ 1768 als dem Schluß meiner Zweÿten dießer Vogts tochter halben abgelegten Rechnung biß den 23. Jenner 1771 ihrentwegen ferner eingenommen und außgegeben habe – Dritte und zugleich letzte Rechnung dießer Vogteÿ

(93) Rechnung Mein Johann Heinrich Vogel, Schuhemachers und hießigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts weiland Frau Annä Mariä Kaÿßerin geb. Geÿlerin und auch weiland Mr Philipp Jacob Kaÿsers gew. Lwbrs. u. Bs alh. beeder seel. erzeugte und anch tod Verlaßener jüngern töchterleins Mariä Salome Kaÿßerin, inhaltend was Ich seit Anno 1758 als der Übernahm gegenwärtiger Vogteÿ biß Annunciationis Mariæ 1765. ged. Curandæ halben eingenommen und außgegeben auch sonsten gehandelt habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ.

(94) Rechnung Mein Johann Heinrich Vogel, Schuhemachers und hießigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrau Mariä Salome Kaÿßerin, weiland Mr Philipp Jacob Kaÿsers gew. Lwbrs. mit längst weil. fr: Anna Maria geb. Geÿlerin beeder seel. ehelich erzeugt und nach tod Verlaßener Jüngern Tochter, inhaltend was Ich seit Annunc. Mariæ 1765 als dem Schluß meiner am 9. Maÿ ged. Jahrs Vor. E. Löbl. Vogteÿ Gericht abgehandelten ersten Rechnung biß Annunc. Mariæ 1768 ihrentwegen ferner gehandelt, eingenommen und außgegeben habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ

1767, Not. Haering (6 E 41, 1382)
(97) Rechnung Mein Johann Daniel Vix Kornwerffers und hiesigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel Kaÿßer deßen aufenthalt seit eilff Jahren unbekandt, Inhaltend alles dasjenige was Ich seit dem 30. Aprilis 1762 als dem tag seines Vaters seel. weiland Mr Philipp Jacob Kaÿßers geweßenen Leinenwebers absterben biß Joh. Bapt: 1764 seinethalben eingenommen und außgegeben habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

Bericht anstatt des Corporis jährlich fallender Haußzinß und davor zu bestreitender Widerzinß. Wie aus dem Sub Lit. A. anliegenden Summarischen Calculo über des Curandi außwendig gedachten Vaters seel. Verlaßenschafft durch Notm. Häring Verfertiget, zu ersehen, so gebühret diesem Curando ein Vierter theil Vor unvertheilt von und an dem sogenannten Stören Hoff, bestehend in Vorder und Nebens gebäud Hoff, bronnen und Hoffstatt, mit allen übrigen deroselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten, alhier in der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Ballhauß in dem sogenannten Schwabenländlein gelegen (…)

(94) Rechnung Mein Johann Daniel Vix Kornwerffers und hiesigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel Kaÿßers, deßen aufenthalt seit Vierzehn Jahren unbekandt, inhaltend was Ich seit Johannis Baptistæ 1764. als dem Schluß meiner ersten Rechnung biß Michaelis 1767 seinethalben ferner eingenommen und außgegeben habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.

Bericht gegenwärtiger Rechnung. Meines Curandi elterliches Vermögen ist eben daßelbe und das nemliche, wie es in meiner den 24.ten Julÿ 1764. Vor E: Löbl. Vogteÿ Gericht abgehandelten ersten Rechnung angezeigt ist benantlich
1° der Vierte theil an dem sogenannten Stören Hoff, alhier Zu Straßburg in der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Ballhauß an dem sogenannten Schwabenländel gelegen so außer 220. lb d Löbl. Stifft Waÿßenhauß darauf schuldigen Capital sonsten gegen männiglich freÿ leedig eigen, Welchen Articul des Curandi Bruder und Schwager Wechßels weise Verwalten und mir meines Pfleg befohlenen Antheil von den Zinßen über Abzug der Herren beschwerden Capital Zinßes und baukösten überhaupt verrechnen.

(95) Rechnung Mein Johann Daniel Vix Kornwerffers und hiesigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel Kaÿßers deßen aufenthalt seit 17. Jahren unbekannt, Inhaltend was Ich seit Michaelis 1767 biß um solche Zeit 1770 seinethalben ferner eingenommen und außgegeben habe – Dritte Rechnung dießer Vogteÿ

(96) Rechnung Mein Johann Daniel Vix Kornwerffers und hiesigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel Kaÿßers deßen aufenthalt seit zwantzig Jahren unbekandt, Inhaltend alles dasjenige was Ich seit Michaelis 1770 seinethalben ferner eingenommen und außgegeben habe – Vierte Rechnung dießer Vogteÿ

La part de Jean Daniel Kayser, tisserand disparu depuis vingt ans sans donner de ses nouvelles, est attribuée à son frère et à ses deux sœurs.

1774 (16.7.), Not. Haering (6 E 41, 1374) n° 506
Vergleich und Abteÿlung Johann Daniel Kaÿßers, des Verschollenen Leinenwebers Vermögenschafft aufgerichtet Anno 1774 – weßen auffenthalt seit Zwantzig Jahren unbekanndt, weiland H. Philipp Jacob Kaÿßers geweßenen Lwbrs. und burgers allhier zu Straßburg und längst weiland Frau Mariä Salome geb. Vixin, beeder seel. erzeugten Sohns, verschollenen Lwbrs. Vermögenschafft, welche in zwischen durch seiner Mutter bruder herrn Johann Daniel Vix Kornwerffer und hießigen burger Vögtlicher weiße Verwaltet wurde, Zu Anfang lauffenden Jahrs Zufolg E. E. Kleinen Raths alhier Erkanndnus, so beÿ E. E. Löbl. Vogteÿ Gericht niedergeleget ist, seinen Vollbändigen Bruder und beeden halb Schwesteren als deßelben præsumptiv Erben, benandlich herrn Johann Christian Kaÿßer Lwbr. Meister, Frau Anna Maria Geÿerin geb. Kaÿßerin herrn Johannes Geÿers Metzgers Ehefrau und frau Mariä Salome Frießin geb. Kaÿßerin herrn Philipp Daniel Frieß drehers Ehefrau, samtl. bürgeren alhier, Von Ihnen außgebürgt worden daß daraufhin dieselbe und zwar Kaÿßerische mit frau Anna Maria geb. Geilerin seelig erzeugte töchter Von ihren Ehevogten hierzu ermächtiget
Es bestehet aber solche Vermögenschaft Nach Anleitung der darüber durch herrn Johann Daniel Vix den 29. 9.bris 1773. Vor E: Löbl. Vogteÿ Gericht abgehandeluten Vierten Vogteÿ Rechnung in folgendem als (…)
Pfenningzinß hauptgüter 435 lb
Antheil an einer behaußung. An dem sogenannten Störenhoff in der Vorstatt Krautenau ohnfern dem ballhauß an dem sogenannten Schwaben Ländel gelegen gehört on dieße Massam ein Vierter theil hier, pro Memoria
Paten geschenck 15 ß, Summa summarum 435 lb

Anne Marie Kaiser épouse en 1761 le boucher Jean Geyer : contrat de mariage, célébration
1761 (4.2.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1225) n° 687
Eheberedung zwischen dem Ehrenachtbaren Mr Johann Geiger, dem ledigen Metzger, Mr Johann Geigers des Metzgers und burgers dahier in erster Ehe mit weÿl. Fr. Maria Ursula geb. Michelin seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem hochzeiter unter assistentz solcher seines Vaters wie auch Hn Joh: Georg Wehrlen des Musici und Bs. dahier seines Schwagers ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Annæ Mariæ Kaißerin Mr Philipp Jakob Kaÿßers, Webers und Burgers mit Weÿl. Fr. Anna Maria geb. Geÿlerin seel. ehelich erzeugter tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin beÿständlich dießes Ihres eheleibl. Vaters ane dem andern theil gepflogen
So beschehen allhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarck gelegenen mit Notario Zuständigen behaußung zum Tröscher genannt, Mittwochß den 4. Februarÿ A° 1761 [unterzeichnet] Johannes geiger alß hochzeiter, Anna Maria Kayserin als hoch Züterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 222-v, n° 6)
1761. Dom. Jubil. et Cant. pcl. d. 22. Aprilis copulari Johann Geyer, lediger Metzger u. b. h. l. Johannes Geyer, Metzger u. b. h. l. ehel. sohn, u. Jgfr. Anna Maria Philipp Jacob Kaiser Leinenweber u. b. h. l. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes geiger Alß hochzeiter, Anna Maria Kayserin als hozieterin (i 227)

Jean Geyer meurt en 1779 en délaissant quatre enfants. Le tiers du Stœrenhoff figure à l’inventaire comme bien propre de la veuve. La masse propre à la veuve est de 560 livres. La masse propre aux héritiers présente un déficit de 88 livres. L’actif de la communauté s’élève à 704 livres, le passif à 1 447 livres.

1779 (19.7.), Not. Stoeber (6 E 41, 1239) n° 148
Inventarium über Weiland des Ehrengechten Meister Johannes Geÿer, gewesenen Metzgers und Burgers alhier Verlaßenschaftn auffgerichtet Anno 1779. – nach seinem Montags den 12. Aprilis letzthin aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt verlaßen, Welche Succession auf gebürendes Ansuchen, Erfordern und Begehren der Ehren und Tugendbegabten Fr. Annæ Mariæ Geÿerin, geborener Kaiserin, der hinterbliebenen Wittib, unter Assistentz M. Joh. Christian Kaiser, des Leinenwebers Barbar Burgers alhie, ihres eheleiblichen Bruders, der Sie an Vogtsstatt hierzu angesprochen, wie auch Mr Johann Heckmann, des Fastenspeishändlers u. B. alh. als geordnet: und geschworenen Vogts des Abgeleibten mit ihro der Wittib erzeugten vier Kinder und ab intestato verlaßener Erben, benanndtlich, Jungfer Annæ Mariæ, die den 14. Aug. 1762. Margarethæ Salome die den 25. Aug. 1766, Mariæ Magdalenæ die den 14. Mart. 1769. und Mariæ Dorotheæ so den 13. hornung 1772. zur welt gekommen
So geschehen Straßburg Montags den 19. Julii 1779.

In einer alhier Zu Straßburg an der hanen Gaß gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen Behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum an einer Behausung und einem Metzigbanck. (T.) Näml. 1. Behausung, höflein v. hoffstatt m. allen deren Gebäuden, Begriffen, Zugehörden, Rechten u. Gerechtigkeiten alh. Zu Straßburg an der hanen Gaß (…)
(T.) Neml. 1 Metzigbanck gelegen allhier Zu Straßburg unter der kleinen Metzig (…)
Antheil an einer Behausung. (W.) Neml. der dritte theil vor ohnvertheilt von und ahne einer behausung bestehend in Vorder: und Nebens gebäud, hof, bronnen und hoffstatt, der Störenhof genannt, mit allen übrigen deroselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten allhier in der Vorstadt Krautenau ohnfern dem Ballhauß in dem sogenannten Schwabenländlein ein: und anderseit ist ein Eck am Allmend, vornen auch auf das Allmend und hinten theils auf H. Johannes Klein Exsenatoris u. Metzgers Stallung theils auf H. Seiler den ballwirth stoßend gelegen, so uber hienach eingetragenes passiv Capital u. den Vingt. ledig eigen und durch die Hh. Werckmeister in dem über der Wb. Vaters weil. Mr. Philipp Jacob Kaÿser leinenweber b. b. allhier Verl. den 18. May 1762. errichteten Inventario taxirt worden, wobeÿ manns in ansehung selbige behausung seithero noch baufälliger worden zu Ersparung der Kösten hat bewenden laßen pro 450 lb. Macht der Wb. angehörige dritte theil 150. lb
An solche behausung hat die Ehefr. Wb. auf absterben ihres erstenberegten Vaters den vierten theil und beÿ abtheilung ihres verschollenen bruders Joh. Michael Kaysers Vermögenschafft einen zwölften theil, mithin sammenthafft jenen dritten theil ererbt. Die übrige zwo tertzen participiren eingangs erwehnter H. Johann Christian Kaÿser der halbbändige bruder u. Frau Maria Salome Frießin geb. Kaÿserin Mr Philipp Daniel Frieß des Drähers u. brs. allhier Ehefrau, die vollbändige Schwester. Über die völlige behausung bes. i. teutsch. perg. Kfbrf aux allh. CC Stb. m. dero anhgd. großen Insigel verwahrt dd. 23. Junÿ 1744. Und 3 ältere dahier gefertigte Kaufbrief de datis 17. Martÿ 1729, 7. Februarÿ 1708 u. 22. 8.bris 1698.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnverändert Guts..Erstl. Zufolg in dem Bericht allegirten väterl. Verl. Inventarii
Bericht gegenwärtigen Inventarii. Sobald die handtreu abgenommen und die vorher copeilich enthaltene Eheberedung abgelesen war, befragte ich Nots. sogleich die hinterbliebene Wb. um die Documenten woraus Zu ersehen wäre, worinnen sowohl der Wb. als der Erben unverändert Vermögen bestände, Worauf dieselbe declarirte daß beederseitiges zusammen gebrachte Vermögen Zu inventiren unterlaßen worden seÿe (…) hingegen könnte in Ansehung ihr der Wb. Illatorum aus dem über ihres Vaters weil.Mr Philipp Jacob Kaÿser gew. Leinenwebers u. brs. alhier Verl. durch auch weil. H. Not. Johann Richard Häring den 18. Maÿ 1762. errichteten Inv° f: 7.a erweißlich gemacht werden wauf welche art Sie wegen ihres zu erfordern gehabten mütterlich Guts von dero Vater ausgewiesen worden (…)
Norma Hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. hausraths 23, Sa. silbern Geschmeids 2, Sa. Goldenen Rings u Geschmeids 2, Sa. antheils i.behausung 150, schulden activ schuld 137, Ergäntzungs rest 317, Summa summarum 633 lb – Schulden 73, Nach dero abzug 560 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Gut verzeichnet, Sa. hausraths 22, Sa. Silbers 1, Sa. Erg. 25, Summa summarum 49 lb – Schuld 137, Passiv onus 88 lb
Endlich wird auch das gemein, verändert und theilbare Gut specificirt, Sa. hausraths 34, Sa. Rindvieh 42, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthums an I. Behs. u. Metzig banck 625, Summa summarum 704 lb – Schulden 1447, Passiv onus 742 lb
Beschluß summa, Mehr Schulden dann Guth 270 lb
Copia der Eheberedung (…) 4. Februarÿ 1761, Johann Daniel Stöber, Notarius

Anne Marie Kayser meurt en 1787 en délaissant quatre filles. La succession comprend une maison rue du Coq et le tiers du Stœrenhoff. L’actif de la succession s’élève à 894 livres, le passif à 402 livres.

1787 (25.5.), Not. Faller (6 E 41, 975)
Inventarium über Weiland Fraun Anna Maria Geÿerin geb. Kaÿserin, längst Weiland Johannes Geÿer, geweßenen Metzgers und Burgers alhier im Leben gewester Ehefraun nunmehr sel. Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1787 – nach ihrem den 25.ten Aprilis dieses laufenden 1787.sten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hientritt verlaßen hat. Welche Verlaßenschafft auf ansuchen des disortigen Kinds vogt H. Johann Heckmann des fastenspeishändlers und burgers allhier (…) Zuvor aber von Johann Georg Hoffherrr den leedigen Metzger Knechts und denen hiernach benamsten vier hinterlassenen Kindern handtreu ane Eÿdstatt abgenommen heäugt und gezeigt (…) So geschehen allhier zu Straßburg, in einer daselbst in der Hahnengaß gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörige behausung (…) auf Freÿtag den 25.sten Maÿ 1787.
Die Verstorbene sel. hat mit eingangs gedachtem ihrem verstorbenen Ehemann ab intestato ihre Kinder zu ihren Erben hinterlassen und Zwar Zu vier gleichen Portionen und Antheilen als 1.mo Jgfr. Anna Maria, welche ungefehr 24 ½ Jahr alt und dieser Inventur Zugegen 2.do Margaretha Salome, welche in das 22.ste Jahr gehet und auch diesem Inventations geschäft beigewohnet hat, 3.tio Maria Magdalena, welche 18 Jahr alt und auch bei dieser Inventation Zugegen war So dann 4.to Maria Dorothea welche 15 Jahr alt und bei dieser Inventur abgewartet
Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Da nach Ableben weil. Johannes Geÿger des burger und Metzgers alhier als der Kinder und Erben Vaters sich mehr Passiv als activ Vermögen befunden und dahzro der Kinder vogt durch die vor H. Not. Stöber den 16. aug. 1779 geschehene Erklärung auf die Erbschaft Verzug gethan (…)

Eigenthum ane Behausungen und einem Metzig banck. Erstl. der dritte theil fur unvertheilt von und ane einer behausung bestehand in Vorder und Nebens gebäude, Hoff, bronnen und Hofstatt, der Störenhof genannt, mit allen übrigen derselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten, alhier in der Vorstadt Krautenau unweit dem ballhaus in dem sogenannten Schwabenländlein gelegen, ein und anderseit ein Eck am Allmend, Vornen auch auf das Allmend, hinten theils auf weil. H Johann Klein Exsenatoris und Metzgers Erben Stallung, theils H. Seiler dem Ballwirt stosend, so über hernach eingetragenes Passiv Capital und den Vingtieme ledig eigen und durch die H. Werckmeister in dem über Mstr Philipp Jacob Kaÿser gewesenen Leinenwebers und burgers alhier Verlaßenschafft d. 18. May 1762. von H. Notario Joh: Daniel Stöber errichteteten Inventario taxirt worden, wobei man in Verfertigung des beu Ableben des Verstorbenen Ehemann weil. Joh: Geÿer den 19. Julii 1779 errichteten Inventur bewenden laßen und in Ansehung selbige behaußung seither noch baufälliger worden, Zu Erspahrung der Kösten abermahls bewenden läßt pro 450 lb. Macht den hieher gehörige dritte theil 150 lb. Die übrige 2 tertzen Participiren H. Joh. Friedrich Kaiser, der halbbändige bruder der Verstorbenen und Frau Maria Salome Friesin gebohrne Kaiserin, Mstr Philipp Daniel Fries des drehers und burgers alhier Ehefrau, der vollbändigen Schwester der Verstorbenen. Über die völlige behausung besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff aus alhiesiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget de dato 23. Junii 1744, so dann 3 ältere daselbst gefertigte Kaufbriefe, der erste datirt d. 22. octob. 1698, d. 2.te 7. febr. 1708, u. d. 3.te 17. Mart. 1729. Welche gedachter H. Kaiser als älterer Bruder in händten hat.
So dann eine Behausung Höflein und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg ane der Hahnengaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Hierauf folgt die Beschreibung Eingangs gedachter verlaßenschafft uter einem Titul an und Vor sich selbsten, Sa. Hausraths 111, Sa. Silbers 4, Sa. Golds 3, Sa. Eigenthums an behauß. und einer Metzig bancks 775t, Summa summarum 894 lb – Schulden aus dem erb 402 lb – Stall Summa 492 lb

La cohéritière Marie Madeleine Geiger épouse en 1793 le mégissier Jean Michel Hammann, natif d’Oberhausbergen
1793 (13. Juni), Strasbourg 3 (11), Not. Ensfelder n° 170
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿn der Bürger Johann Michael Hammann, lediger Weisgerber alhier des Bürgers Johann Michael Hammann, Gastgebers Zu Oberhaußbergen mit Weÿl. Anna Margaretha gebohrner Tromer ehelich erzeugter großjähriger und seiner Rechten genißender Sohn alß Bräutigam und
die bürgerin Maria Magdalena Geiger Weiland des Bürgers Johannes Geiger gewesenen hiesigen Metzgers mit auch weiland Anna Maria gebohrner Kaiser ehelich erzielte Tochter
So geschehen (…) auf Donnerstag den 13. Juni 1793 im 2. Jahr des Fräckischen Freÿstaats [unterzeichnet] Johann Michael Hammann alß hochzeiter, Marie Anne Magdalena Geigerin alß braut
acp 16 f° 123 du 14.6. – il n’y a pas de désignation d’apports. Les futurs se donnent en survivance sans enfant une somme de 800 livres en propriété à prendre sur les biens du prémourant. Le futur en don matutinal à la future épouse de 200 livres
Est comparu le futur époux qui a déclaré que son Revenu n’excède pas 600 livres par an

La maison figure à l’inventaire des apports du mégissier Jean Michel Hammann et de Marie Madeleine Geiger comme bien propre de la femme.

1793 (31.7.), Strasbourg 3 (7), Not. Ensfelder n° 381
Inventarium über Des bürgers Johann Michael Hammann Weißgerbers und Maria Magdalena gebohrener Geiger, beeder Eheleute Zu Straßburg einander Zugebracht Vermögenschaften, auffgerichtet im Jahr 1793. – in Ihren den 2.ten gegenwärtigen Monats angetrettenen Ehestand, einander Zu und eingebracht haben Welche beederseiths Vermögenschaft /:angesehen die Ehegatten in der vor mir Notario unterm 13.den Junÿ jüngst errichteten und tags darauf enregistrirten Heurats Abrede §° 2.do die Versehung gethan, daß solche ein unverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben solle:/ (…) So geschehen Zu Straßburg mit Zuziehung des Bürgers Johann Georg Hofherr Metzgers der dißortigen Ehefraun Schwagers und beistands den 31. Julÿ Anno 1793 im 2.ten Jahr der Francken Republick.

Eigenthum ane Behaußungen und einem Metzigbanck belangend,
der Vierte theil von und ane einer Behausung in der haanen Gaß alhier N° 12
der Vierte theil von und ane einem Metzigbanck unter der kleinen Metzig gegen dem hohen steeg über N° 124
der 12. theil ane dem sogenannten Stöhren hoff Hauß und Zugehörden im Schwabenländlein alhier
Welches hier nur berichtsweiß gemeldet wird, ohnpræjudicirlich angeschlagen vor 500 livres
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Manns vor ohnverändert reservirtes Vermögen, Sa. hausraths 87, Sa. Silbers 55, Sa. der baarschafft 1670, Summa summarum 1812 – Dazu gelegt deßen Hälfte ane den haussteuren mit 89, Des Manns guth 1902 livres
Dießemnach wird auch der Frauen Vermoegen verzeichnet, Sa. hausraths 421, Sa. Silbers 6, Sa. Gold. Rings 16, Sa. Capitals 438, Sa. gedachter Hauß und Metzigbanck 500, Summa summarum 1381 lb – Dazu gelegt die übrige Halbscheid der Haussteuren mit 89 lb, Der Fraun Vermögen 1471 livres
acp 17, enregistré 8.8.

Héritier pour un tiers de la maison, Chrétien Kayser épouse en 1765 Anne Marguerite Mentzer, fille de pelletier.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 208-v)
1755. Dom. VII et VI.ages. proclam. et Mittw. d. 5. feb. copulirt sunt Christian Kaÿser lediger Leinenweber Meister u. b. h. l. Hn Philipp Jacob Kaÿser Lwm. u. b. h. l. ehel. sohn, u. Jgfr. Anna Margaretha, weÿl. Hn Johannes Mentzer gew. Kürschners u. b. h. l. ehel. tochter, [unterzeichnet] Johann Christian Keÿser als hochzeiter, Anna Margretha Mentzerin hoch zeiterin (i 213)

Le tiers de la maison figure à l’inventaire dressé après la mort du tisserand Chrétien Kayser

1794 (12 messidor 2), Not. Stoeber, acp 25 f° 87 du 22 ther. 2
Inventaire de la succession de Chrétien Kaiser tisserand à Strasbourg décédé le 4 messidor dernier à la requête d Philippe Jacques, Marguerite Salomé, Marie Madeleine, Jacques Benjamin et Frédéric Kaiser enfants du défunt
la masse active mobiliere montant a 7247 livres
il dépend de la succession une maison à Strasbourg rue Soupe à l’eau n° 14 estimée 3000 livres
un tiers d’une maison à la Krutenau n° 60, 2000 livres

Marguerite Mentzer meurt quelques mois plus tard. L’inventaire de ses biens est une révision du précédent.
1795 (21 fruct. 3), Strasbourg 7 (6), Not. Stoeber n° 1103
Revision statt Inventarii über Weiland Fraun Margarethä Kaÿserin geborner Menzerin, auch weiland brs. Christian Kaÿser gewesenen Leinenwebers allhier wittib, so den 22. Pluviose jüngst mit tod abgegangen Verlaßenschafft, aufgerichtet d. 3 germinam ins 3. Jahr der Republick
Die abgeleibte hat zu ihren rechtsmäßigen Erben verlaßen 1. br. Philipp Jacob Kaÿßer, der hiesige Weber, 2. br Margaretha Salome Kaÿßer, brs Philipp Albrecht Marzolff des Webers allhier Ehefrau, 3. br. Mariam Magdalenam Kaÿßer br. Daniel Wezel Küblers allhier Ehefrau, unter deßen authorisation Zugegen, 4. Jacob Kaÿßer, led. becken so 22 Jahr alt und dermalen zur Vertheidigung des Vaterlands unter dem dritten Bataillon des Niederrheins, 5. Benjamin Kaÿßer, so 19 Jahr alt und 6. Friderich Kaÿßer so 15 Jahr alt, diese dreÿ leztere Kinder sind (…) statt des nunmehro in Zabern sich aufhaltenden brs Philipp Daniel Frieß drehers ihres Vormaligen Vogts, mit vorbes. Daniel Wezel ihrem Schwager bevögtigt worden, weil aber derselbe hierbeÿ ehevögtlicherweise selbsten Zu Erben gehet so wurde solchen Kinder annoch Zum theil Vormund ernannt br. Johann Georg Hofherr der Mezger allhier, welcher in solcher qualitæt diesem Geschäfft abgewartet hat
wurde dermalen die Inventur und Revision gegenwärtiger Verlaßenschafft fürgenommen und da erst für einigen Monaten nemlich den 4. Thermidor jüngst über die Vätterliche Verlaßenschafft ein förmlich Inventarium ist errichtet den 22. Thermidor lezthin enregistrirt worden, so hat man für unnöthig erachtet, alle und jede haußräthl. Mobilien, die sich dermalen meistens wieder Vorgefunden wieder neuerdingen zu beschreiben sondern es wurde nur die Revision fürgenommen

So geschehen in einer allhier Zu Straßburg an der Waßersuppgaß N° 14 gelegener und in diese Verl. gehörigen behausung den 3. Germinal im 3 Jahr der Republick
Eigenthum an häußern. Neml. Eine behaußung und höflein mit allen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden auch Hoffstatt alhier in der Vorstadt Steinstraß hinter den Mauren auf der Waßersuppgaß N° 14 .1.s neben der nation, 2.s neben weil. Joh: Michael Osterrieth gewes. Zimmermanns Erben, hinten auf eben denselben ziehend, so leedig eigen, taxirt pro 3000. Welche behaußung samt Zugehörde den abgeleibten vermög der vor weil. Not. Joh: Richard Häring d. 29. Augst. 1765. passirten Erbs Cession auf Absterben seines Oncle weil. bs. Joh: Theobald Kaÿser gew. leinenwebers erblich zugekommen. Darüber annoch ferner besagen verschiedene ältere in hies. C. Stub passirte Kauffbrief vom 2. Maÿ 1735, 11. Martii 1720, 17. Septembr. 1776 und 9. April. 1675.
Eine behausung und hoffstadt mit deren Begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten gelegen in der Vorstadt Steinstraß auf der Waßersuppfaß N° 5, 1.s neben Kimm Gimpler, 2.s neben Colmarer Maurer Gesell, hinten auf Meÿer den holzhändler ziehend. Worüber nichts schriftliches vorhanden und ist diese behausung der Wittib auf Absteben Weil. Joh: Menzer gew. Küschners alhier ihres Vaters A. 1755 erblich zugekommen.
Schiff und geschirr wie auch Waar Zur Weber Profession gehörig
Berechnung dieses Inventarii. So machte der in eingangs angeregten Vätterlichen Verlaßenschafft Inventario beschriebene hausrath und Silber so sich beÿ gegenwärtiger Revision vorgefunden 1527, hat sich ferner an hausrath und Silber befunden 273, Sa. Schiff und geschirr wie aurch Waar zur Weber Profession gehörig 2529, Sa. früchten 500, Sa. baarschafft 11.927, Summa 16.657 – den 21. fruct. 3
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 26-v du 28 fruct. 3

Les héritiers de Philippe Jacques Kayser cèdent la maison au boucher Jean Georges Hoffherr et à sa femme Anne Marie Geiger, cohéritière pour un douzième

1795 (27 nivose 3), Strasbourg 7 (32), Not. Stoeber n° 380
1. weiland brs. Johann Christian Kaÿser gewesenen Webers allhier hinterlassene Kinder br. Philipp Jacob Kaÿser Weber, fr. Margaretha Salome Kaÿserin brs Philipp Albrecht Marzolff Webers allhier Ehefrau, fr. Maria Magdalena Kaÿser br. Daniel Wezel Kiblers Ehefrau u. br Philipp Daniel Frieß dräher als Vogt Jacob Kaÿser, Benjamin Kaÿser u. Friderich Kaÿser der minderjährigen,
2. weil. Anna Maria geb. Kaÿser mit auch Johs. Geiger gew. Mezger allhier erzeugte Kinder a) Maria Salome Geiger der led. so großjährigen alters, b) br. Johann Michael Hammann Weisgerber nahmens seiner Ehefrau Maria Magdalena geb. Geigerin und Maria Dorothea die ledige so großjährigen alters so dann fr. Maria Salome Kaÿserin obbesagten Philipp Daniel Frieß Ehefrau
an br. Johann Georg Hoffer dem Metzger und Anna Maria geb. Geigerin [unterzeichnet] Johann Gerg Hoffherr
Ihr der Cedenten bisher participirten eilff 12. theil für unvertheilt an einer behausung in Vorder u. Nebensgebäuden, hof, bronnen u. Hoffstatt bestehend mit allen dero Gebäuden, begriffen und zugehörden der Störenhof genannt in der Vorstadt Krautenau ohnfern dem ballhauß N° 60, einseit neben dem allmend anderseit auch neben dem allmend, hinten theils auf Carl Schneganz Mezgers wittib theils auf Lind zimmermann ziehend, ihnen Verkäufern Von weiland Philipp Jacob Kaÿser gew. leinenweber ihrem Vater und Großvater A° 1762 erblich zugefalllen, woran die übernehmerin Anna Maria Hofherin selbsten den 12. theil participiret – um 9200 Livres (8433)
n° 340, Adjudication du 18 Brumaire 3, à la requête des héritiers de Philippe Jacques Kaysser tisserand de cette commune, a été procédé à la Vente et Enchère publique d’une maison consistant en plusieurs corps de logis cour, puit au fauxbourg de la Krautenau près de l’auberge du jeu de paume N° 60, le communal de l’un et l’autre côté abboutissant sur les héritiers de Charles Schneegans – criée pour la somme de 7000 livres – mise par Jean Georges Hofherr, 9200 livres
le 28 brumaire 3, personne n’est comparu
le 8 frimaire 3, personne n’est comparu
Enregistrement, acp 30 F° 163 du 7 plu 3

Jean Georges Hoffherr et Marie Geiger vendent la maison au matelassier Laurent Rudloff et à sa femme Madeleine Brack

1808 (8.11.), Strasbourg 14 (39), Not. Lex n° 2975
Jean Georges Hoffherr boucher et Marie née Geyer
à Laurent Rudloff matelassier et Madeleine Brack
une maison cours bâtiments Puit et autres dépendances scise en cette ville au quartier dit Krautenau n° 60 appellé Störenhoff, d’un côté et d’autre communal devant aussi communal derrière Sr Klotz – pour 6000 francs
Enregistrement, acp 108 F° 99 du 14.11.

Originaire de Zellenberg près de Colmar, l’infirmier Laurent Rudloff épouse en 1795 Marie Madeleine Bader, fille naturelle d’un batelier de Worms
Mariage, Strasbourg (n° 395)
Cejourd’hui 16° Germinal l’an III de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Laurent Rudolf, agé de 27 ans, infirmier à l’hôpital militaire sedentaire en cette commune depuis 16 mois, natif de Zellenberg, Département du haut Rhin, fils d’André Rudolf, vigneron audit lieu, et de Barbe née Rudolf, de l’autre part Marie Madeleine Bader agée de 19 ans née et domiciliée en cette commune, fille mineure né hors le mariage de feu Chrétien Bader, Battelier natif de Worms, et de Madeleine Manière, autorisée par ladite Madeleine manière (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 15 août 1767 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 20 décembre 1775 (signé) Lorentz Rudolff, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 52)

Laurent Rudloff et Madeleine Brack exposent la maison aux enchères

1810 (30.1.), Strasbourg 14 (43), Not. Lex n° 4019
Première adjudication – Laurent Rudloff pensionnaire retiré et Madeleine Brack
une maison, cour, bâtiment, puits et autres aisances et dépendances sise en cette ville au quartier dit Krautenau n° 60 appelé Störenhoff rue du jeu de Paume, d’un côté et d’autre le communal, devant aussi le communal, derrière le Sr Klotz – à charge d’acquitter à Jean Georges Hoffherr boucher et Marie Geiger au contenu du contrat de vente dresé par le soussigé notaire le 8 novembre 1808 – mise à prix 13.000 fr, personne ne s’est présenté
le 10 février, n° 4043 mis en vente 12.000 fr, personne ne s’est présenté
le 21 février n° 4078, sans mise
le 26 février n° 4106, mise par Jean Georges Hoffherr 11.100 fr somme que les vendeurs ont estimée non suffisante – Retrait

Laurent Rudloff quitte en 1815 le 50 Quartier des Souabes pour habiter au Quartier Saint-Nicolas.
Registre de population 600 MW 94 (1808 sqq) Quartier Nicolas N° 40 (f° 373.a, i 77)
Rudolph, Laurent, 44, Prop.re, Zellenberg (à Strasbourg depuis) 1793, (auparavant) Qtr. Souab. 60, E. (entré) 2 Janv. 1815.
id. née Bart (Bacq), Strasbourg
id. Laurent 14
id. Frédéric 11
id. Franc. 9
id. Jean 6
id. Madel. 8
id. Margt. 7
id. Elisab. 5

Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Eve Strobel femme du maître charpentier Ferdinand Altmeyer

1811 (11.7.), Strasbourg 5 (33), Not. F. Grimmer n° 7075
Déclaration tenant lieu d’inventaire d’Eve Strobel épouse de Ferdinand Altmeyer, maître charpentier, décédé le 24 novembre dernier laissant six enfants
Dénomination des héritiers 1. Laurent Altmeyer absent prisonnier de guerre en Angleterre, 2. François Altmeyer charpentier majeur, 3. Jean Altmeyer fusilier au 40° régiment d’infanterie de ligne présentement en Espagne, 4. Ferdinand Altmeyer charpentier, 5. Marie Elisabeth née le 25 mai 1790, 6. Louis né le 27 avril 1792, en présence du tuteur subrogé Nicolas Ducret fondeur – pas de contrat de mariage, ni lui ni son épouse n’ont apporté la moindre chose
meubles 366 fr, passif 130 fr, reste 235 fr
dans la maison quartier des Suabes n° 60
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 124 du 12.7.

Laurent Rudloff meurt en 1814 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison au Quartier Saint-Nicolas
1819 (1.6.), Strasbourg 14 (62), Not. Lex n° 914
Inventaire de la succession de Laurent Rudloff, matelassier décédé le 20 août dernier et de Madeleine Pack décédée le 24 février 1814 – à la requête de Philippe Frédéric Gustave Hickel, notaire, curateur de Laurent Rudloff majeur absent sans nouvelles seul et unique héritier de ses père et mère par suite de la renonciation qui a été faite par ses frères et sœurs mineurs par leur tuteur au greffe du Tribunal Civil le (-) décembre 1818 et le 18 mai présent, le mari décédé à l’hospice civil
(Jugement du tribunal [joint], elle avait fait saisir sur deux de leurs enfants en qualité de seuls uniques héritiers l’administration des hospices de Strasbourg tutrice des 5 autres ayant renoncé à la succession suivant déclaration du (-) décembre denier (…) depuis le tuteur de l’un des saisis Jean Frédéric Rudloff encore mineur a renoncé à la succession de de sorte que l’ainé Laurent Rudloff majeur (est seul propriétaire) 19 mai 1819)
en la maison quartier St Nicolas n° 40
meubles dans la première chambre à droite au premier étage, dans la chambre du locataire Kuntz 89 fr, dettes actives 569 fr ; passif 16 901 fr
immeuble, une maison avec bâtiments latéraux & de derrière, cour, appartenances et dépendances sise en cette ville quartier St Nicolas n° 40, d’un côté la maison du Sr Kreischer boudinier n° 39, de l’autre celle de Jacques Würtz jardinier n° 41, acquise de Jean Philippe Jacques Wagenseil, ancien garde des fortifications, par acte reçu Me Thurmann le 8 juin 1812, ledit Wagenseil l’avait acquis de François Louis Wilhelm marchand de tabacs suivant acte reçu Me Übersaal le 27 thermidor 9 (non estimée)
Enregistrement, acp 143 F° 87-v du 10.6.

Laurent Rudloff et Madeleine Back vendent la maison au voiturier Chrétien Michel Braun moyennant 16 000 francs

1812 (21.4.), Strasbourg 2 (35), Not. Knobloch n° 5569
Laurent Rudloff matelassier et Madeleine née Beck
à Chrétien Michel Braun voiturier
une maison avec cour, appartenances et dépendances sise en cette ville quartier dit à la Crautenau marquée du n° 60, d’un côté le communal, devant le communal, derrière le Sr Klotz – acquis par acte reçu Me Lex le 8 novembre 1808 – moyennant 16.000 francs
Enregistrement, acp 119 F° 124-v du 27.4.

Le voiturier Chrétien Michel Braun, épouse en 1811 Marie Catherine Latscha, fille d’un éleveur de vaches
Mariage, Strasbourg (n° 169)
Acte de mariage célébré le 22 mai 1811. Chrétien Michel Braun, majeur d’ans, né le 9 novembre 1781 à Strasbourg, y domicilié, voiturier, fils de feu Michel Braun, voiturier, décédé en cette ville le 3 Pluviôse an X et de feu Marie Schmitt décédée en cette ville le 30 avril 1789, et Marie Catherine Latscha, majeure d’ans, née le 12 février 1782 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Latscha, vacher décédé en cette ville le 20 Floréal an V et de feu Anne Marie Schitter décédée ne cette ville le 16 octobre 1809 (signé) Christian Michael Brun, Maria Catharina Latscha (i 14)

Chrétien Michel Braun légue l’usufruit viager de ses biens à sa femme
1846, M° Lacombe
4 septembre 1846 – Donation entre vifs par Chrétien Michel Braun, conducteur de bois à Strasbourg et Marie Catherine Latscha sa femme ce acceptant, de l’usufruit viager et gratuit de la moitié de tous leurs biens Maurices & immeubles qu’il délaissera à son décès
(décès du 24 7.bre 1846)
acp 355 (3 Q 30 070) f° 90 du 21.12.1846

Marie Catherine Latscha consent au mariage de son fils menuisier François Ferdinand Braun à Lunéville
1849 (21.9.), M° Lacombe
Consentement par Marie Catherine Latscha veuve de Chrétien Michel Braun vivant voiturier à Strasbourg au mariage de son fils François Ferdinand Braun menuisier à Lunéville avec Marie Cuny du dit lieu
acp 387 (3 Q 30 102) f° 38 du 21.9.

Ferdinand François Braun vend sa part, soit le cinquième de la maison, à son frère gendarme Frédéric Michel Braun

1853 (4.2.), Strasbourg 15 (89), Not. Momy (Hippolyte) n° 381
Vente du 4 février 1853 – A comparu Monsieur Ferdinand François Braun, serrurier demeurant à Lunéville (déclare vendre)
à Monsieur Frédéric Michel Braun, son frère, Maréchal des logis à la Compagnie de Gendarmerie du bas-Rhin, en résidence à Lauterbourg où il demeure
Le cinquième appartenant au Sr Ferdinand François Braun indivisément avec ses cohéritiers dans les successions paternelle & maternelle d’une Propriété batie, sise à Strasbourg au quartier dit des Souabes & qui se composé de deux maisons réunies portant les N° 59 & 60 avec deux cour contigues, hangard, appartenances & dépendances pardevant la rue dite des Souabes, parderrière les héritiers Schnegans, d’un côté la rue du jeu de paume, de l’autre la rue de la massue. Le cinquième indivis dudit immeuble est transmet à M Frédéric Michel Braun dans l’état où le tout se trouve en ce moment- moyennant la simme de 1800 francs
Au moyen de la présente vente, M. Frédéric Michel Braun se trouve aujourd’hui propriétaire de deux cinquièmes indivis de l’immeuble dont un cinquième lui appartenant déjà pour l’avoir recueilli dans les successions de ses père et mère, M. Chrétien Michel Braun & Dame Marie Catherine Latscha en son vivant conjointss à Strasbourg.
acp 416 (3 Q 30 131) f° 138 du 5.2.

Acte de notoriété qui fait état de la mort de Chrétien Michel Braun en 1846, Marie Catherine Latscha en 1852 et de trois de leurs fils
1874 (4.8.), M° Loew
Offenkundigkeiths Urkunde, enthaltend die Data des Absterbens und Angabe der resp. Erben von Christian Michael Braun und dessen Frau Maria Catharina Latscha am 22. September 1846 resp. 22. August 1852. sowie der Kinder Jakob Felix Braun, Ferdinand Braun am 31. März 1858, Joseph Alexander Braun am 19. September 1872 Friedrich M*ren Braun am 19. Oktober 1873 sowie die Identität zwischen Michael Braun und Christian Michael Braun fesstellend
acp 629 (3 Q 30 344) f° 77-v du 7.8. n° 3053

Frédéric Michel Braun est ainsi seul propriétaire de la maison. Gendarme à Wissembourg, Chrétien Michel Braun y épouse en 1843 Mathilde Holtz

Mariage, Wissembourg (n° 1)
Le 31° jour du mois de janvier l’an 1843 à dix heures du matin, Acte de mariage de Frédéric Michel Braun, Gendarme Domicilié à Wissembourg, âgé de 31 ans, né à Strasbourg le 12 octobre 1811 fils légitime majeur de Chrétien Michel Braun, âgé de 72 ans, charcutier domicilié à Strasbourg et de Marie Catherine Latscha, âgée de 59 ans, domiciliés à Strasbourg et de Mathilde Holtz, sans profession, domiciliée à Wissembourg, âgée de 23 ans, née à Wissembourg le 30 septembre 1819 fille légitime majeure de Jean Jacques Holtz âgé de 65 ans, propriétaire domicilié à Wissembourg ci présent et consentant et d’Elisabeth Friederich âgée de 60 ans, sans profession domiciliée à Wissembourg ci présente et consentante (i 3)

1842 (11.11.), M° Noetinger
Consentement par Chrétien Michel Braun charetier et Marie Catherine Latscha conjoints à Strasbourg à Frédéric Michel Braun leur fils gendarme à Wissembourg avec Mathilde Holtz du dit lieu
acp 304 (3 Q 30 019) f° 29 du 12.11.

La maison appartient ensuite au menuisier Charles (Charles Adolphe) Zimmermann qui épouse en 1873 Charlotte Louise Conschafsky, veuve du serrurier Michel Alphonse Haegelé avec lequel elle s’est mariée en 1858

1873, Mariage, Strasbourg (n° 134)
Du 6° jour d’avril l’an 1858 à onze heures du matin. Acte de mariage de Michel Alphonse Haegelé, majeur d’ans, né en légitime mariage le 26 février 1827 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Serrurier, fils de feu Michel Haegelé, boucher décédé à Strasbourg le 21 juin 1835 et de feu Dorothée Courtois, décédée à Strasbourg le 21 avril 1831, et de Charlotte Louise Conschafsky, majeure d’ans née en légitime mariage le 7 décembre 1832 à Oberhoffen (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, servante, fille de feu Ernest Emanuel Conschafsky, menuisier décédé à Oberhoffen le 10 décembre 1849 et de feu Elisabeth Schoenleber, décédée à Oberhoffen le premier décembre 1843, (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage (signé) A Hegelé, L. Conschafskÿ (i 17)

Mariage, Strasbourg (n° 926)
Den 27. December 1873, um zehn Uhr des Morgens, Heiraths-Urkunde von Carl Adolph Zimmermann, geboren zu Strassburg den 27. August 1837, Schreiner, wohnhaft zu Straßburg ehelicher volljähriger Sohn von weiland Andreas Zimmermann, Schreiner zu Straßburg gestorben den 20. März 1854 und von Caroline Baumert, ohne Gewerb, zu Strassburg wohnhaft hier in gegensein und einwilligend,
und von Charlotte Louise Conschafsky, Wittwe von Michael Alphons Haegele, Schloßer zu Straßburg gestorben den 16. Januar 1871, geboren zu Oberhoffen (Unter Elsass) den 7. December 1835 Tochter von weiland Ernst Emanuel Conschafsky, Schreiner gestorben zu Oberhoffen den 10. December 1849 und von weiland Elisabeth Schoenleber, daselbst gestorben den 1. December 1743 (signé) Zimmermann Haegele (i 73)



6, rue du Parchemin (ancien n° 8)


Rue du Parchemin n° 6 – VI 14 (Blondel), O 363 puis section 25 parcelle 68, nouveau bâtiment 106/69 (cadastre)

Partie qui correspond à l’ancien n° 8 – Démolie en 1903
Maîtres d’ouvrage du nouveau bâtiment, Albert Wieger et Georges Graff (1903)


Vue en août 2017
Angle de la rue du Parchemin et de la rue des Pucelles vers 1900. L’ancienne maison se devine à l’arrière-plan (publié dans Strasbourg, Passé et présent sous le même angle)

Inscrite en 1587 au nom du tailleur de pierres Georges Hacker dans le Livre des communaux, la maison a un encorbellement de vingt-quatre pieds de long et trois pieds de large. Elle a en outre un petit bâtiment arrière. Elle appartient ensuite au facteur d’instruments Mathias Gech originaire de Füssen en Allgäu puis au batelier Georges Elbel, déjà propriétaire de la maison voisine. Le fabricant de chandelles Michel Rettich l’acquiert en 1625 et en transmet la propriété à son gendre graveur sur cuivre Pierre Aubri. Comme il meurt sans postérité, l’immeuble revient à son demi-frère relieur Jean Tscherning qui en fait une maison de rapport. Originaire d’Elgg en Suisse, le cordonnier Jean Othon Vogel l’achète en 1705. Il est autorisé l’année suivante à agrandir les trois fenêtres de son encorbellement ; au lieu de 3 pieds 4 pouces de haut et 3 pieds et demi de large, elles auront quatre pieds de haut et 4 pieds et demi de large. Il répare en 1719 son encorbellement en remplaçant le pan de bois endommagé au premier et au deuxième étage. Le tonnelier Jean Hügel achète la maison en 1751. A sa mort en 1775, la maison a quatre poêles, quatre cuisines et quatre chambres, la cave est solivée. Elle revient en 1788 au cordonnier Martin Stoll qui n’est pas autorisé en 1791 à remplacer le pilier de son encorbellement. Les propriétaires suivants sont des boulangers, Jean Zimmermann (1802-1809) puis Daniel Kayser (1809-1821)



Plan-relief de 1725. La maison est au milieu de l’alignement, la première au toit plus bas à partir de la droite (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 78 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en pan de bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la troisième à gauche du repère (b) : deux portes séparées par une fenêtre au rez-de-chaussée, trois fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour D montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4) à l’est de la cour, la remise (1-2) à l’ouest et le bâtiment arrière (4-1), les trois derniers à un seul étage.
La maison porte d’abord le n° 24 (1784-1857) puis le n° 8.


Cour D

Le cordonnier Jean Chrétien Dorsch achète la maison en 1821. Son fils relieur la vend en 1868 au serrurier Frédéric Meinzer qui l’agrandit en 1869 en y ajoutant un troisième étage ; le revenu passe alors de 81 à 140 francs. La Ville achète les bâtiments de l’alignement en 1900 pour élargir la rue. Propriétaires des terrains, les entrepreneurs Albert Wieger et Georges Graff y construisent les maisons actuelles en 1904.

avril 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1599 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Gaspard Kuhn
1599 v Mathias Gech, facteur d’instruments, et (v.1596) Walburge Megler – luthériens
1608 v Josse Müller, mercenaire, et (1606) Marie Eberlin – luthériens
1608 v Georges Elbel, batelier, et (1594) Elisabeth Hack – luthériens
1612 h Georges Roth, cordonnier, et (1612) Elisabeth Hack, veuve de Georges Elbel – luthériens
1625 v Michel Rettich, chandelier, et (v. 1605) Chrétienne Conrad – luthériens
puis indivise entre Anne Marie Rettich, et (1632) Michel Jost, pasteur – luthériens
Marthe Rettich, et (1636) Pierre Aubri, graveur sur cuivre – luthériens
1675 h Pierre Aubri, graveur sur cuivre, et (1636) Marthe Rettich – luthériens
1692 h Jean Tscherning, relieur, et (1654) Anne Marie Mock puis (1694) Catherine Salomé Schwartz – luthériens
1705 v Jean Othon Vogel, cordonnier, et (v. 1695) Anne Marie Düringer puis (1715) Catherine Grohberger, remariée (1731) avec David Schnell, péager, puis (1739) avec Philippe Ramsperger, cordonnier – luthériens
1748 v Gabriel Meyer, batelier, et (1723) Marie Salomé Braun puis (1739) Marie Salomé Grohberger d’abord (1730) femme du pêcheur Jean Artzner – luthériens
1751 v Jean Hügel, tonnelier, et (1745) Anne Marie Meyer – luthériens
1783 h Martin Stoll, cordonnier, et (1776) Catherine Salomé Roos – luthériens
1800 v André Frédéric Gross, boucher, et (1795) Susanne Barbe Rapp puis (1804) Elisabeth Ober
1802 v Jean Zimmermann, boulanger puis cabaretier, et (1797) Marie Salomé Jost
1809 v Daniel Kayser, boulanger, et (1788) Marie Salomé Lauffenburger puis (1808) Anne Marie Schmitt d’abord (1796) femme du boucher Jean Baltzinger – luthériens
1821 v Jean Chrétien Dorsch, cordonnier, et (1794) Catherine Odile Bürckel
1852 h Jean Chrétien Dorsch, relieur, et (1835) Barbe Cécile Guillaumette Geissler
1868 v Frédéric Meinzer, serrurier, et (1844) Salomé Rosenstiel
puis indivise entre Emile (Charles Emile) Meinzer, restaurateur puis serrurier, et (1874) Frédérique Louise Lina Oschmann puis (1887) Sophie Emilie Kiefer
Caroline Emilie Meinzer et (1874) Prosper Etienne Cromer, restaurateur, puis (1889) Alfred Henri Raoul Abel, horloger
1900 v Ville de Strasbourg
1902* v Albert Wieger, Georges Graff

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1705, 350 livres en 1714 et en 1730, 650 livres en 1748, 400 livres en 1778, 450 livres en 1783.

(1765, Liste Blondel) VI 14, Jean Hügel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Hügel Wittib, 3 toises, 5 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 363, Dorsch, Jean Chrétien, rue du Parchemin 24 – maison, sol – 1,2 are

Locations

1619, Louis Decker, potier
1755, Jean Mahlfurth, cordonnier
1757, Philippe Herth, dégraisseur
1800, Jacques Lang, cordonnier, et Eve Stoll

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 102-v
La maison appartient au tailleur de pierres Georges Hacker qui paie 4 sols pour un encorbellement de 24 pieds de long et 3 pieds de large

[am Rosencrantz]
Georg Hacker des steinmetzen Wittib hatt vor Irem hauß, Oben ein Vsstoß 26 schu lang vnd 3 schu herauß, Soll p, Bessert für das Niessen iiij ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1706, Préposés au bâtiment (VII 1382) f° 47
Les préposés autorisent Jean Othon Vogel, propriétaire d’une maison rue des Juifs près de la brasserie au Chapelet, à agrandir les trois fenêtres au-dessus de son encorbellement. Au lieu de 3 pieds 4 pouces de haut et 3 pieds et demi de large, elles auront quatre pieds de haut et 4 pieds et demi de large

(f° 47) Dienstags den 4. Maÿ 1706 – Johann Ottmann Vogel vmb vergrößerung seiner fenster in dem Überhang
Johann Ottmann Vogel, der Schuhmacher, ersucht MGhh. underthänig, Ihme gnd. Zuerlauben, daß Er die in seiner in der Judengaßen ohnfern des Bierhaußes Zum Rosen Crantz gelegenen behausung in dem Überhang befindliche dreÿ fenstern umb etwas Vergrößern laßen möchte, der Statt Werckmeister referiren, daß die Fenster anietzo 3. schuhe undt 4. Zoll Hoch und 3 ½ schuhe breit wären und Vogel solche vier schuhe hoch und Vier und einen Halben schuhe breit machen laßen wolte. Erk. Würdt dem Imploranten in seinem begehren auff seine gefahr Willfahrt.

1719, Préposés au bâtiment (VII 1388), f° 162
Les préposés autorisent Jean Othon Vogel à remplacer le pan de bois endommagé de son encorbellement au premier et au deuxième étage

(f° 162) Joh: Ottmann Vogel pt° bawens
Johann Ottmann Vogel ist willens an seiner beÿ dem Rosen Krantz liegenden behaußung die in dem ersten Stockh befindliche Riegelwand zu ändern auch in dem andern Stockh Seines überhangs ein neu außladung machen Zulaßen. Erk. Soll ein augenschein eingenommen werden.

(f° 175-v) Dienstags den 25. Ejuds. [Apr. 1719] – Joh: Ottmann Vogel pt° bawens
Johann Ottmann Vogel, der Schuhmacher, will gleichfalls die obere Vorwand im überhang an deßen beÿ dem Rosen Krantz liegenden behaußung, welche Zimlich schadhafft ist, ändern und new machen laßen. Erk. bedacht.

(f° 178) Dienstags den 2. Maÿ 1719. – Joh: Ottmann Vogel pt° bawens
Johann Jacob Kiel der Zimmermann, nomine Johann Ottmann Vogel, welcher die obere Vorwand im überhang an Seiner beÿ dem Rosen Krantz liegenden behaußung, so sehr schadhafft, ändern und new machen laßen will, bittet Mghh. vmb deßen erlaubnus. Erk. Willfahrt.

1791, Préposés au bâtiment (VII 1424)
Le charpentier Jean Ferdinand Altmeyer demande au nom du cordonnier Martin Stoll l’autorisation de remplacer le pilier à l’angle de son encorbellement puisqu’il n’a pas les moyens de rebâtir sa façade. Les préposés refusent en le renvoyant au règlement.

(f° 89-v) Sambstags den 16. Julii 1791 – Martin Stoll, Schumacher
Johann Ferdinand Altmeÿer der Zimmermann, nomine Martin Stoll, des Schumachers, bittet zu erlauben an deßen Behausung bei dem Rosen Krantz gelegen N° 24. einen neuen Eck Pfosten an den Überhang ein zu ziehen, indem Er das Vermögen nicht hat eine neue facade aufzuführen. Nach Anhörung des Prokurators der Gemeinde wurde Erkannt, Seÿe der Implorant noch Zur Zeit an die Ordnung zu Verweisen.

Description de la maison

  • 1725 (billet d’estimation traduit) 1704 La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral et une cour, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 550 florins
  • 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, cuisines, vestibules, petite cave sous solives, petite cour, puits à pompe, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
  • 1775 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, quatre cuisines et quatre chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, estimée avec la cour, le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 820 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton Est – Rue du Parchemin (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 46 / 24
Kayser
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 129 case 4

Dorsch, Jean Chrétien, R. du parchemin N° 24
Dorsch, Jean Chrétien, relieur, rue du parchemin N° 24, Subst° pour 1854

O 363, maison, sol, R. du parchemin 24
Contenance : 1,20
Revenu total : 81,62 (81 et 0,62)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 140 case 2

Dorsch, Jean Chrétien, relieur
1870 Meinzer, Frédéric
1901 Strassburg die Gemeinde

O 363, maison, sol, Rue du parchemin 8
Contenance : 1,20
Revenu total : 81,62 (81 et 0,62)
Folio de provenance : (129)
Folio de destination : aug. 140
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870 (sol 1876)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 363, maison
Revenu total : 70,62 (70 et 0,62)
Folio de provenance : augm. 140
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1870
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus :
1870, Augmentations – Meinzer Frédéric f° 140, O 363, Maison, revenu 70, démolition partielle, achevée en 1870, imposable en 1870, imposée en 1870
Diminutions – Dorsch Jean f° 140, O 363, Maison, revenu 81, Démolition partielle, supp. en 1870

O 363, maison
Revenu total : 142,62 (142 et 0,62)
Folio de provenance : 140
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1876
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27
fenêtres du 3° et au-dessus : 4
1876, Augmentations – Meinzer Friderich f° 140, O 363, maison, revenu 142, Vergroesserung, achevée en 1869, imposable en 1872, imposée en 1876
Diminutions – Meinzer Friderich f° 140, O 363, maison, revenu 70, Vergroesserung

Cadastre allemand, registre 30 p. 331 case 5

Parcelle, section 25, n° 68 – autrefois O 365
Canton : Pargamentergassse Hs N° 8 (1/04)
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,25
Revenu : 1100
Remarques : 1903 Abbruch
ab 1904 Seite 334

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

Cadastre allemand, registre 30 p. 334 case 10

Parcelle, section 25, n° 106/69 – autrefois O 363.p O 364.p
Canton : Pargemantergasse N° 6 / rue du Parchemin
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 1,26
Revenu : 3400 / 3100
Remarques : Neubau 1905

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1916), compte 1419
Wieger Albert et son épouse et Graff Georges et son ép.
clos 1925

(Propriétaire à partir de l’exercice 1916), compte 4174
Graff Georg Bauunternehmer und Ehefrau Elisabeth geb. Dubesi die Erben
1929 Heini Georges Albert rentier et son épouse
1942 Heini Georg Albert Witwe
(1873)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, (147) Rue des Parcheminiers, au bas de celle des Juifs

24
Porp. Stoll, Martin, Cordonnier – Cordonniers
Loc. Filckenshoffer, François Antoine, Imprimeur – ni B. ni M.
Loc. Goppert, Michel, Potier – maçons
Loc. Gallhiser, Louis, Imprimeur – Echasses

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue des Parcheminiers au bas de celle des Juifs

24
Prop. Stoll, Martin, Cordonnier – Cordonniers
Loc. Filckenshoffer, François Antoine, Imprimeur – ni B. ni M.
Loc. Goppert, Michel, Potier – maçons
Loc. Gallhiser, Louis, Imprimeur – Echasses

Annuaire de 1905

Nouveau bâtiment

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 795 W 105)

Dossier du nouveau numéro 8 qui commence par les pièces concernant l’ancien numéro 8

La maison appartient en 1893 à E. Meintzer et A. Abel qui la font ravaler. La Ville devenue propriétaire de la maison pour la faire démolir annule la notification de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique.

Sommaire
  • 1893 – Le maire notifie Emile Maintzer de faire ravaler la façade du 8, rue du Parchemin – E. Meintzer et A. Abel demandent de reporter les travaux d’un an – Les étages ont été lavés, le rez-de-chaussée repeint à l’huile, avril 1894
  • 1895 – Le service d’hygiène constate que la plaque qui recouvre la fosse d’aisances est mal ajustée, ce qui ne permet pas de se servir des cabinets d’aisance sans danger – Le maire écrit au propriétaire – Le propriétaire répond que la fosse est commune et que le couvercle se trouve sur la propriété voisine de la veuve Rauch (n° 10) – Travaux terminés, décembre 1895
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence un volet au rez-de-chaussée et un soupirail – Rappel en 1898, annulé parce que la ville a acheté la maison pour la démolir.
  • 1897 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Vogelgesang l’autorisation de faire une prise pour environ 5 becs – Autorisation – Travaux terminés, avril 1898

Relevé d’actes

Gaspard Cun, fils de Gaspard Cun, vend en 1599 au facteur d’instruments Mathias Gech et à sa femme Walburge la maison comprenant un petit bâtiment arrière, sise rue du Parchemin près de Saint-André. L’acte est cité au XVIII° siècle parmi les titres de propriété alors qu’il n’est pas question des ventes suivantes.

1599 (vts. [8. tag Octobris]), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Meyger) f° 255
Erschienen Caspar Cun wÿland Caspar Cunen burgern alhier selig. Sohn Mit beÿstand herrn hans Cunen seines geschwornen vogts, verkaufft
Mathÿs Gech luthenmachers vnd Walpurg seiner ehelich. hußfr. Ime
huß hoffestatt hefflin v hinderheuslin m. all Ir gebeud geleg. Inn der SS bey S Andres Inn Pergament Gaß einsyt neb. Georg Fenten* des verkeuffers schwager and.sit neb. Georg N. dem schiffman stosst hind. vff H hannß Conrad Gretzingern, Dauon gonth Ein guldin gelts vff (-) losig mit 25 guld. SW dem Closter Zu S Margred V Agneßen Mehr v ß viij d bodenzinß den herren Vicarien hoher stifft S vß Sunst für ledig eÿg. den Khauff vber dieß beschwerd. für 440 guld.

Originaire de Füssen en Allgäu, le facteur d’instruments Mathieu Gech achète le droit de bourgeoisie le 3 octobre 1594 en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers. Il épouse ensuite Walburge Megler. Leur fille Anne Marie est baptisée à la cathédrale en 1599 (les mariages de la cathédrale manquent de 1591 à 1596)
1594, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 586
Matheus Gech von Fießenn auß dem Algeÿ der Lauttenmacher kaufft mit beÿstandt Heinrich Heusch. daß burgerrecht, will Zun Zimmerleutth. dienen. Actum vf supra [3.ten Octob. 94]

Baptême, cathédrale (luth. f° 30)
1599. Dominica 1. Adventus den 2. Octobris. Mattheus Gech lautenmacher M. Walpurg I. Anna Maria, patrinis H Jacob Widt, Sophia hans Gottinngers fraw, Salome hans Lonnder* dochter (i 32)

Mathias Gech et Walburge Megler vendent la maison au mercenaire Josse Müller, bourgeois

1608 (3. tag Maÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 218-v
(Inchoatum in Proth. fol: 188.) Erschienen Mathÿß Gech der Lauthenmacher burger Zu Straßburg, Vnnd Walpurg Meglerin sein Ehelichen Hausfrauw haben (verkaufft)
Jost Müller dem Soldner burger zu Straßburg
Hauß, Hoffestatt, höfflin sampt dem Niderheüßlin mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der Statt Straßburg beÿ Sant Andressen Inn der Parmenter Gassen, einseit Peter Müller dem Küeffer, Anderseit nebent Geörg Elble dem Schiffmann, hinden vff Conradt Cretzinger stoßend, davon gendt 10 schilling pfenning Ablößig mit 10 Pfund pfenning dem Closter Zu Sant Margreden Zu Straßburg, So dann 6 schilling vnd 8 Pfenning bodenzinß den herren Deputaten Im Gürtlerhoff Sunst Ledig vnd Eÿgen Vnd Alles Recht & Also das, Vnd Ist disser Khauff Über vorbestimpte beschwerden Zugangen vnnd beschehen für vnd vmb 287 Pfund vnd 10 schilling pfenning Straßburger

L’acquéreur doit être le messager Josse Müller qui épouse en 1606 Marie Eberlin, fille du tailleur Gaspard Eberlin.
Mariage, cathédrale (luth. p. 174, n° 37)
1606. Dominica exaudi. Jost müller der einspenniger und Maria Caspar Eberlin des schneiders Zu hagenauw* tochter (i 91)

Josse Müller revend quelques mois plus tard la maison au batelier Georges Elbel et à sa femme Elisabeth Hack, propriétaires de la maison voisine (à l’ouest)

1608 (vt spâ [21. tag Octobris]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 454-v
(Inchoat. in Proth. fol: 357. postea pthm. fol: 462) Erschienen Jost Müller der Soldner burger Zu Straßburg Hatt (verkaufft)
Geörg Elbel dem Schiffmann burger Zu Straßburg vnnd Elizabeth Häckin seiner Ehelichen haußwürthin So bede Zugeg.
Hauß, Hoffestatt, Höfflin sampt dem hinderheüßlin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg beÿ Sant Andreßen Inn d. Parmenter Gaßen einseit nebent Peter Müller dem Küeffer Andersit nebent Inen den Khoüffern selbst, hinden vff Cunradt Kretzingern stoßend, dauon gend Sechs schilling vnd 8 Pfenning Bodenzinß den Herren Deputaten Im Gürttler Hoff, So dann 10 schilling pfenning gelts ablößig mit 10 pfund pfenning Vff Mariæ Verkündigung fallend dem Closter Zu Sant Magreden Zu St: Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 300 pfund pfenning Straßburg.

Originaire de « Fridburg », le garçon batelier Georges Elbel acquiert en novembre 1594 le droit de bourgeoisie par sa femme Elisabeth, fille du tailleur de pierres Georges Hacker, en s’inscrivant à la tribu de l’Ancre. Leur fils Georges naît fin 1595 (les mariages de la cathédrale manquent de 1591 à 1596)
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 719
Jörg Elbell von Fridtburg der Schiffknecht empfangt daß burgerrecht von Elisabethenn Wf. Jörgh Hackhers deß Steinmetzen s. dochter Vnndt will Zum Enckher dienen, Actum denn 119. Novemb: 94.

Baptême, cathédrale (luth. f° 48-v, n° 68)
1595. Dominica I. Adventus. P. Jerg Elbel schiffmann, M. Elisabetha, I. Jorg Hans. Compatres Mathias Kreutziger Notarius, Bernhard Weh der Schiffmann, Thristens Andres schötterlins fraw (i 51)

Originaire de Lohr sur le Main en Franconie, le cordonnier Georges Roth épouse en 1612 Elisabeth, veuve de Georges Elbel.
Mariage, cathédrale (luth. p. 279, n° 25)
1612. Reminiscere. Georg Rott der schumacher von Lohr in franckenlandt vnd Elisabetha Jerg Elber des schiffmanns n :g : witwe

Il devient bourgeois quelques jours après son mariage
1612, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 948
Georg Roht d. Schumach. von Lohr Im Landt Zu franck, Empfahet d. Burg.recht von Elisabetha weÿlandt Georg Eberlins deß Schiffmanns hind.laßener wittib, wüll zu den Schumach. dienen. Actum den 4.. Aprilis Aô 1612.

Georges Roth et sa femme Elisabeth louent une partie de la maison au potier Louis Decker

1619 (ut spâ [xj. Junÿ]), Chancellerie, vol. 436 f° 315
(Inchoat. in Prot. fol. 203.) Erschienen Ludwig Decker der Kachler burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Geörg Roth. des schumachers burgers Zu Straßburg vnd Elisabeth seiner ehelichen haußfr. offentlich verÿehen
das er Ihme & von & vier Jahrlang bestendig nach einander volgend so vff Michaelis Jetznechst künfftig Allererst Angehen sollen vnd nit fürbaß Inn derselben beden Ehegemechden behaußung Inn der statt Straßburg beÿ Sanct Andreßenn gelegen, das vndergemach sampt dessen Stub und Kammer entlehner hatt, für vnd vmb einen Jehrlichen Zinß Zehen pfund pfenning Straßburg Zubezahlen

Georges Roth et Elisabeth Hack vendent en 1625 la maison au chandelier Michel Rettich et à sa femme Chrétienne Conrad

1625 (ut spâ. [2. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 257-v
(Inchoat. in Prot. fol. 263 – Protocollat. fol. 560) Erschienen Geörg Roth der schuemach. burg. zu Straßburg vnd Elisabeth Hackin sein eheliche haußfr. haben (verkaufft)
Michell Rettich dem liechtermach. burger Zu Straßburg vnd Christinæ Cunradtin seiner ehelich. haußwürthin
hauß, hoffstatt, höffell vnd schöpfflin, mit Allen ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. vnd. beÿ Sant Andreß, Inn d. pergamenter gaß einseit neben Peter Aubrÿ dem Kupfferstech. anderseit neben Geörg N. d. Statt Kübler, hind. vff Cunrad Kretzingers erb. stoßend, dauon gnd v gô gld Abloß. mit C gl. Werung vff die vffech* phests* Ins Weÿßen hauß vnd dann xij ß d Bod. Zinß Inn deßelbig. hauß, Sunst led. eÿg. Vnd Ist disser Khauff vber obgehärtte beschwd. Zug. v. besch. für vnd vmb vj C Lxxxij lb
Vber solchs bekhenn. die Kheuffer weg. gethanen Khauffs vnu: schuldt. die gantz Khauffsumm, vnd Ist deßhalb. verwisen Ahne die stieffkind. von wÿland Geörg Elbell den schiffman (…) [in margine :] vide in Regist. 1637. fol : 194.

Le premier enfant de Michel Rettich et de Chrétienne (Conrad) naît en mars 1606
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 270-v, n° 38)
1606. Donnerst. d. 6. Martÿ. P. Michel Rettich, M. Christina, I. Anna, Comp. Lucas Spies d Weber, Margaretha, Michel Botzen fraw, Ursula, Jerg Lung* des Weißbeck. fraw (i 141)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un notifient Michel Rettich de réclamations provenant du Magistrat de Nuremberg
1626, Conseillers et XXI (1 R 108)
Michel Rettig contra Alexander Doßen. 88.
Michael Rettich contra Georg Zollner. 193.
(f° 88) Mittwoch den III Maÿ – Nurnbergisch schrb. abgehort antworten auf ein intercession für Michel Rettig C. Georg Dosen wegen seines Sohns Alexander vberschicken sein dosen bericht, wollen * nit sehen wie sie den vatter Zu weitterer bezalung dan er schon gethan treiben konnen, wie auß den angeschlossenen bericht Zusehen. Erk. Man soll dem Rettig Zustellen.

(f° 193-v) Sambstag den XIV Octobris – Nurnbergisch schrb. abgelesen darin sie antworten auf fürschrifft für Michel Rettich C. Georg Zolner ordinary botten uberschick. seinen bericht und meldet d. sie Ine dawid. nit treiben Konnen. Erk. Man soll Rettich Zustelen, J Schoner

Michel Rettich et sa femme Chrétienne hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Paul Œlinger. L’aubergiste au Lion d’Or Jean Huber se porte garant.

1627 (17. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 437
Erschienen Michel Rettich vnd Christina sein ehefr.
haben in gegensein H Paul Ölingers deß goldschmidts auch burgers alhie, schuldig seÿen 100. lb.
Vnderpfandt Ein hauß vnderhalb dem Hennenberger hoff, einseit neben Peter N. dem Kupffertruckern 2. seit neben Georg N. dem Statt kübler hind. vff weÿ: hanß Conrad Gretzingers s. witib vnd erb. etwan stoßend gelegen, vnd ist Zuuor v.hafft. vmb 980. fl. Georg helmelns s: kindern, vnd dann vmb 100. fl. dem Weisenhauß, sonst eÿg, Zu noch mehrer & ist auch erschienen Hannß Hueber Würth Zum Guldin Löwen der hat sich für sich für & Zu rechtem Bürg. Mit: und und selbst schuldner selbst Zahler darfür gesetzt

Michel Rettich et sa femme Chrétienne hypothèquent la maison au profit de leur gendre Michel Joch, pasteur à Boofzheim

1634 (21. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 298-v
Erschienen Michel Rettich der Liechtermacher, vnd Christina sein eheliche haußfr.
haben in gegensein herrn M. Michel Jochen, Pfarrer zu Bofftzheim, ihres dochtermanns, auch Burgers alhie – schuldig seÿen LXV. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit llen And.en ihren gebäwen alhie in der Pergamentgaß beÿ S. Andressen, einseit neben Peter Aubri gewesenen Kupferstechers wittib, anderseit neben herrn Johann Thoman Obrechten jurisconsulto, hind. vf weÿl. Conrad Gretzingers see. Erben stoßend gelegen, so zuuor verhafftet vmb 100. fl. werung dem Waisenhauß alhie, It. vmb 490. lb Jörg Elbels deß Schiffmanns Kindern, so gehen auch Järlich dauon 12. ß d bod. Zinß besagtem weißenhauß
(vide cess. vom 2. Maÿ dißes Jars)

Accord sur le paiement du prix convenu lors de la vente passée en 1625, revenant pour moitié à Daniel Elbel et pour moitié à Catherine Elbel femme de Georges Hoffmann, pasteur à Eberstadt en Hesse
1637 (24. Feb., Chambre des Contrats, vol. 477 f° 194
Erschienen Michel Retich d. Liechtermach. burger alhie und Christina sein eheliche haußfr. An einem, So dann Elisabethen Hackin mit weÿ: Georg Elbel dem Schiffman see: erzeügter dochter Catharinæ Ehevogt H Georg Hoffman Pfarrer Zu Eberstat Landgräffischer heß. darmbstatischer jurisdiction, mit beÿstand Georg Rohten deß schuhmachers alhie, seines Stieffschwehers Am and. theil, Zeigten An,
damnach Er Retich beÿ seiner von erstbesagten Rohten und deß. haußfr. obgedachten Hackin den 2. Julÿ A° 1625. erkaufften behaußung auch und. and. beschwerd 490. lb so sein H Pfarrers hauß frawen und dero Brud. Daniel Elbel Jedem daran der halbe theil Zustehet, vber sich daran alle Jahr vff weÿhenachten 50 lb sampt dem Zinß Zuerlegen, genommen, welche 490. lb. Zwar ob. und mehr ermelte Elisabetha Hackin ad dies vitæ widembsweiß Zugenüeß. hat, Vnd aber Er H. Pfarrer anietzo, wed. d. fast nie erhörten Kriegs belästig: und Lands v.derbung mit weib vnd Kindern in höchste leibs bedörffigkeit gesetzt word. dahero Er beÿ E. E. groß. Raht alhie den 22. diß ein Vnd.thenige Supplication, ihme von seiner haußfr. halbentheil der Verfangenschaft An obigen 490. lb d 122. lb 10 ß d. Zuentschlag. und verfolgen zulaßen übergeben (verglichen)

Chrétienne, femme de Michel Rettich, assistée de ses deux gendres Michel Joch et Pierre Aubri, hypothèque la maison au profit du capitaine Jean Régnard Haas

1638 (17. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 479 f° 309
Erschienen Christina, Michel Rettichen deß Liechtermachers undt burgers Zue Straßburg eheliche Haußfraw, mit beÿstand deß Ehrwürdigen wohlgelehrten herrn M. Michael Jochen Pfarrers Zue Illkirch und Peter Aubri, Kupfferstechers ihrer dochtermännern, alß beeder hier zu insonderheit erpetener nechster verwanthen
hat in gegenwärtigkeit herrn Johann Reinhardt Hasen, Capitains burgers alhie – schuldig seÿen 50 Pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß, hoffstat, höfflin undt Schöpfflin mit allen andern ihren gebäwen und Zugehörden gelegen in der statt Straßburg, vnden beÿ Sanct Andreßen, in der Pergamenter gaßen, einseit neben obgemelten Peter aubri anderseit neben herren Johann Thomæ Obrechten see: Erben hinden vff Cunrad Erentzingers Erben stoßend, So Zuuor verhafftet vmb 100. fl. Str. w. dem Waÿsenhauß, Item vmb 490. fl. a 15. bz. Georg Elbels deß Schiffmanns see. Erben rest am Kauffschilling So dann gehen auch Jährlich dauon zwölff schilling pfenning Bodenzinß vorgedachten Weisenhauß

Copropriétaire pour moitié, Anne Marie Rettich épouse en 1632 Michel Joch, pasteur à Boofzheim
Mariage, cathédrale (luth. f° 307)
1632. doîca 50. 12. Februar: H. M. Michael Joch, pfarrer Zu boffzheim und J Anna Michel Rettich des grempen tochter eingesegnet Zinstag 21. februar: (i 158)

Leur fils Jean Joch est pasteur à Wangen. Il est nommé diacre à Saint-Nicolas en 1678.
1671 Conseillers et XXI (1 R 154)
Johann Joch pfarrer zu Wangen. 179.
(f°179) Montags d. 24. Junÿ aô 1671 – M. Johann Joch Pfarrer zu Wangen bitt [-] seinem Antecessor herren M. Heinrici [-] für Jetz vndt ins künfftig fren[-] befreÿen. Erk. Willfahrt.
1675 Conseillers et XXI (1 R 158) H. M. Johann Jochen. 233. [Nomination zur helffet auffstellung Zum Jung. St Peter]
1678 Conseillers et XXI (1 R 161)
Diaconats Stell Ersetzung Zu St Niclauß. 17. H. Joch. 52.
H. M. Johann Joch wirdt diaconus Zu St Niclaus. 52.

Copropriétaire de l’autre moitié, Marthe Rettich épouse en 1636 le graveur sur cuivre Pierre Aubri

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 220-v)
1636. Dom. VII. Trinit. 31. Julÿ. Peter Aubri d. Kupfferstecher, Peter Aubri weÿland deß Kupfferstechers v. burgers alhier nachgelaßener Sohn, v. Marthan Michael Rettich deß burgers v. liechtermachers tochter. Cop. 8. Aug. Zu J. St. Peter (i 112)

Pierre Aubri porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose au corps des relieurs. L’affaire se termine par accord entre les parties.
1664, Protocole des Quinze (2 R 81)
Peter Aubrÿ Ca Buechbinder
(f° 73-v) Sambst. den 4. Junÿ – Peter Aubrÿ Kupfferstecher und burger allhier Ca. hießige buchbind. E per Reiß. underth. Suppl. und Pitten, wlers nôe Christoph Schertzen und Ubriger Meisterschafft pitt und erhalt Copeÿ et Zeit der Ordn.

(f° 78-v) Sambst. den 11. Junÿ – Buchbinder Ca. Aubrÿ
Buchbinder per R. Ca. Peter Aubrÿ, prod. Gegen bericht mit beÿlaag Sub Lit. A. Dr. b[itt]. cop[ia]: vnd ZdO [Zeit der Ordnung] erh.

(f° 135) Sambstag den 17.t 7.br – Buchbinder Ca. Aubrÿ
Buechbinder per W. c. Peter Aubry bitt Erklärung Vom 11. Junÿ Dr Bitsch Cit. noch ad prox. erh.

(f° 144) Sambst. den 1.ten 8.bris – Peter Aubry per Dr. B. contra Buchbinder prod: Schlußschrifft. W. pro Citat. cop : undt ZdO erh.

(f° 168) Sambst. den 19.ten 9.bris – Buchbinder Ca. Peter Aubry
Buchbinder per Wild Ca. Peter Aubry prod. Vndts. Schlußbericht, Dr. Bitsch nom. citati pittet copia vnd ZdO erhalt.

(f° 176) Sambst. den 10. 10.bris – Peter Aubrÿ Ca. Buechbinder
Peter Aubrÿ per Dr. Bitschen Ca. Buechbinder Meisterschafft repetirt generalia vnd beschleüßt. Wild nom: d. buechbinder wid. holt alles dienliche beschleißt gleichfals. Erkant würdt die Sach für beschloßen angenommen, Vnd bedenckens H. XV Brackenhouer vnd Herr XV. Mülb

Jean Joch, pasteur à Oberhausbergen, et Pierre Aubri hypothèquent un capital provenant de la grand-mère du premier au profit du receveur Jean Gaspard Erhard. Le capital est garanti sur la maison d’après un partage reçu par le notaire Gaspard Medler.

1666 (1. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 145
Erschienen Herr M Johann Joch Pfarrer Zu Oberhaußbergen mit beÿstand herrn Peter Aubrÿ deß Kupfferstechers seines noch ohnentledigten Curatoris
in gegensein Herrn Johann Caspar Erhardts Schulschaffners für sein eÿgene Person – schuldig seÿe 50. Pfund pfenning
Unterpfand sein sollen, die Jenige 50. lb. Capital so Ihme dem Debitori, Von weÿl. Christina Conradin seiner Großmutter seel. Vermög der am 2. Martÿ A° 1638. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter Verschreibung legirten und hernach uff daß, in der Pergamentiner Gaß Zwischen Johann Scherningß des buchführers und der Mollingerischen Behaußung, gelegenes Hauß, nach besag deß durch weÿl. H. Caspar Medlern den Notarium den 6. Junÿ A° 1649. für Fr. Anna Rettichin deß Debitoris Mutter seel. ußgefertigten Theil Registerleins fol. 5. Verwißen worden ist, item alles übrige, so Ihme dem Schuldnern Jure dominÿ ahn oballegirter behaußung gebühret

Jean Joch, pasteur à Wangen, cède ledit capital au receveur Jean Gaspard Erhard

1671 (ult. mart.), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 303-v
Erschienen H Mr Joh: Joch Pfarrherr Zu Wangen
in gegensein H Johann Caspar Erhardts Schulschaffners für sein Person
daß Er demselben, ahne statt der, aus der am j. Martÿ a) 1666. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter obligation schuldig. 50. lb Capital, vffrecht redlich und ohnwiderrufflich cedirt und übergeben habe die Jenige 50. lb welche Weÿl. Christina Conradin sein H. M. Jochen Großmutter seel. vermög der am 2. Martz a° 1638. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteten Verschreibung ihme legirt habe, und hernach vff die in der Pergamenter Gaßen Zwischen Johann Scherningß und denen Mollingerischen gelegene Behaußung, nach besag deß durch weÿl. H Caspar Medlern Not. seel. den 6. Junÿ A° 1649. für weÿl. Anna Rettichin sein H M. Joch. Muter seel. ausgefertigten theil Registerlin fol. 5. verwiß . word. sein H Erhardts special Unterpfand ist, Alßo d. d. h. Cessionarius mit solchem in solutum cedirten Capital seines Gefallens Zu thun und Zu ligen befugt

Le messager Jean Pierre Joch et sa femme Jeanne hypothèquent au profit du syndic Jean Jacques Frid un quart de la maison dont les trois autres quarts appartiennent au pasteur Jean Joch et à Pierre Aubri

1672 (19. 7.br:), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 483-v
Hannß Peter Joch der Cancelleÿ bott und Johanna sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿse herren Jonæ Andreßen Von Veßenheim und herren Abraham Gollen, beede alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt ihrer nechster Verwanther hierzu Deputirter – schuldig deÿen 25. lb
dem Edel- Vesten- hochgelehrten herren Johann Jacob Fridten Jcto. et Reipubl. Patriæ Syndico et Consiliario
Unterpfand, Ein Vierter theil dem Debitori für ohnvertheilt gebühren, ahne Hauß, hoffstatt höfflin und allen übrigen deren Gebäwen begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der Pergamentiner Gaßen ohnfern deß bierhaußes Zum Rosen Crantz einseit neben Johann Schering dem buchbinder, anderseit neben denen Mollingerischen Erben, hinden uff den Rhatsamhaußischen hoff stoßend gelegen, daran die übrige dreÿ Vierte theil herren Peter Aubrÿ dem Kupfferstecher und herren M. Johann Jochen Pfarrern Zu Wangen eÿgenthümblich Zuständig

Le graveur sur cuivre Pierre Aubri hypothèque la maison entière au profit des enfants mineurs du fournier Laurent Schmidt

1677 (16. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 533-v
Erschienen H. Peter Abrÿ der Kupfferstecher
in gegensein Diebold Hummels deß Weißbeck. alß Vogts Lorentz Schmidts deß haußfeurers nunmehr seel. nachgelaßener kinder – schuldig seÿe 50. lb
in specie unterpfand sein solle, hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier beÿ dem Bierhauß Zum Rosenkrantz, einseit neben Johann Gerning dem buchkrämer, anderseit neben herrn Ursino U. I. Ddo und Stallschreibern ehevögtlidner weiße gelegen, welche behaußung annoch vmb 100 fl. dem Waÿsenhauß alhier, Item umb Herrn Andres Fischern Fünffzehnern, so dann umb 100 fl. Herrn Johann Caspar Erhardt alten Schulschaffnern verhafftet

Pierre Aubri hypothèque la maison au profit de Jean Georges Nürnberger, chef de la Monnaie à Nuremberg, et de sa femme Dorothée Marie. La femme du débiteur se porte garante.

1682 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 155
Erschienen Herr Peter Aubrÿ der Kupfferstecher
hatt in gegensein deß Ehrenvest- hochgelehrten Herrn Christian Breuningß U.I. Ddi und E.E. Großen Rhats Advocati et Procuratoris alß herrn Georg Nürnbergers deß Müntzmeÿsters und frawen Dorotheæ Mariæ, beÿder Eheleuth in deß heÿligen Reichß Statt Nürnberg wohnhaft (…) hierzu constituirten befehlhabers – demnach Er Aubrÿ in weÿl. herrn Christoph Enders Buchführers für außgeborgte wahren und bücher so über die Jenige 27. fl. 21. Cr. so herr Georg Andres Dollhopff der buchführer Zu bezahlen habe
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen begriffen rechten und Zugehördten alhier in der pergamenter Gaß ohnfern deß bierhaußes Zum Rosenkrantz, einseit neben H. Johann Vrsino U.I. Ddo und Stall schreibers, anderseit neben herrn Hannß Jacob Haubenstrickher E.E. Großen Rhats beÿsitzer gelegen, welche behaußung noch umb 100. fl. Andres Fischers XV. nachgelaßener Wittib, Item umb 100. fl. H. Hanß Jacob Erhardten alten Schulschaffnern jährlichen 6. fl. Zinß dem Waÿßn hauß
Und deßen Zu noch mehrern Versicherung so ist auch persönlich erschienen fraw Martha deß Debitoris Eheweib mit beÿstand des Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Johann Daniel Braunen und herrn leonhardt Baldners beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter, die hatt sich für obige schuld und biß dieselbe Völlig bezahlt sein wird, ohnverscheidentlich verbürgt

Pierre Aubri hypothèque la maison au profit de Jean Daniel Braun assesseur au Grand Sénat

1682 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 195-v
Herr Peter Aubrÿ der Kupfferstecher
in gegensein deß Ehrenvest- fürsichtig undt weÿsen Herrn Johann Daniel Braunen E.E. großen Rhats beÿsitzers – demnach Er Aubrÿ Herrn Frantz Cardon dem handelßmann Zue Augspurg in Gehaltener Abrechnung, bekanntlich 97 fl. für außgeborgte wahren schuldig und Er Herr Braun dafür bürg worden (…)
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen begriffen rechten und Zugehördten alhier in der Pergamentinen Gaß ohnfern deß Bierhaußes Zum Rosenkrantz, einseit neben H. Johann Vrsino U.I. Ddo und Stall schreibers, anderseit neben herrn Hannß Jacob Haubenstrickher obwohlgedachten Rhats beÿsitzern gelegen
Und deßen Zu noch mehrern Versicherung so ist auch persönlich erschienen fraw Martha deß Debitoris Erkannt Willfahrt mit beÿstand des Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Abraham Büchels und herrn Lienhardt Baldners, beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter, die hatt sich für obige schuld und biß dieselbe Völlig bezahlt sein wird, ohnverscheidentlich verbürgt

Donataire de sa femme Marthe, Pierre Aubri passe un accord avec Jean Joch (son neveu) au sujet de la donation

1684 (16. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 399
Herr Peter Aubrÿ der Kupfferstecher, mit beÿstand H. Johann Scherningß deß buchhändlers an einem,
So dann Herr M. Johann Joch Diaconus der Pfarr Kirch zu St Niclaus am andern, und beÿde theil mit assistentz Herren Daniel Lienhardts und Herren Mathæi Schmidts alß aus E.E. Großen Rhats mittel, bereits in vorigem Jahr hier Zu insonderheit Zu beÿder Parten güttlichen Vergleichung deputierter
Demnach beÿde theil in einiger differenz, betreffend die ienige Donatio und legata, so weÿl. fraw Martha Aubrÿ eingangß gemeldt Herren Aubrÿ haußfrau, nunmehr seel. in dero uffgerichteten und per Mortem confirmirten Testamento Verordnet gestandten, alß hetten sich beÿde Parten durch ehrengedachter Herren Rhats deputirter Vermittlung und darauff den 28. Junÿ Vorigen Jahrs erfolgter Obrigkeitlicher Ratification deß Vorhien getroffenen und beÿ wohlgedachtem Rhat den 23. ejusd. producirten Vergleichs dahier mit einander ein für alle mahl Verglichen
(…) Fünfftens, bleibt es beÿ der in der Pergamentiner gaß ohnfern deß Rosengrantzes gelegener und in gemeinschafft mit einander habender behaußung durchauß

Les Conseillers et les Vingt-et-Un exemptent Pierre Aubri du logement militaire à cause de son grand âge

1685, Conseillers et XXI (1 R 168)
(p. 38) Sambstags den 10.ten Martÿ 1685 – Peter Aubri umb liberation der Einlogirung.
G. nôie Peter Aubry, des Kupferstechers, Weilen er ein alt[er] und über 80 jahr erlebter Mann ist, Und Nicht mehr, als wal[-] seiner, und seiner Magd underhalt nöthig, übrig hatt ihme a[-] zweÿ soldaten inquartiert werden und selbige nicht aco[-] Kann, als bitt Unterth. Umb Liberation der Einlogirung [Erkant] An die Herren Deputirte der Einquartierung. Herr XXI. Mockel, Herr Gilig

Pierre Aubri a institué légataires Anne Elisabeth Schmidt pour un tiers, Jean, Jean Pierre et Jean Jacques Zesenmacher (ses neveux, fils d’Anne Marie Aubri et de Georges Zesenmacher) pour un quart et pour le dernier quart Jean Tscherning (son demi-frère). Jean Tscherning devient seul propriétaire de la maison après avoir réglé les capitaux dont elle était grevée.

1692 (29. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 817-v
Jgfr. Anna Elisabeth Schmidtin so majorennis mit beÿstand H. Lorentz Hammen deß Weißbecken und E:E: kleinen Raths beÿsitzer Ihres Vogts
Hn Johannis Tschernings, deß buchhändlers
angezeigt und bekandt demnach auß weÿl. Hn Peter Aubry gewesenen Kupfferstechers sel. Verlaßenschafft unden beschriebene behaußung Ihro Annæ Elisabethæ Zu einem dritten, Ihme Tscherning Zu einem dritten, und Johann, Johann Peter und Johann Jacob Zeßenmachern dreÿen Brüdern zum übrig. dritten theil erblich zugefallen, Er Tscherning aber die darauff gestandene Capitalien bezahlt und ferner zu bezahlen allein übernomm. So habe Sie Anna Elisabetha bereits vor ohngefähr einem jahr in beÿsein E.E Kleinen Raths damahls ernannten HHn Deputirt. sich mit Ihme Tscherning Ihrer portion halben dahin verglich. daß Sie Ihme Ihre portion daran guthwillig überlaßen und eÿgenthümlich cedirt maßen Sie demselb. hiermit nochmahl übergeb. hab. wolle – erlegt 7 pfund 10 schilling Und ist dieß die behaußung darvon oben meldung geschieht, Nemblich hauß, höfflein, sambt allen übrig. deßen Gebäuen, Recht und Zugehörd. allhier in der Pergamenter Gaß, Oberhalb deß bierhauß Zum Rosen Crantz, geg. über einseit neben hans Jacob Schäffen, dem Kübler and. seit neben hans Georg Leÿbold, dem Kirßner hind. auff Hn Jean Loyson Schultheiß zu Wingerßheim

Le relieur Jean Tscherning épouse en 1654 Anne Marie Mock, fille du tailleur Jean Sébastien Mock : contrat de mariage passé à la Chambre des Contrats, célébration
1654 (14. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 594
(Eheberedung) Erschienen Johann Scherning der Buchbind. und Burg. Zue Straßburg amß hannß an einem,
So dann Jungfr. Anna Maria, hannß Bastian Mockh deß Schneiders und Burgers alhier, eheliche dochter, alß hochzeiterin mit beÿstand erstermelts ihres Vatters am andern theil

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 70)
1654 Dominica XXVI Trinitatis. Johann Tscherning der Buchbinder, Herr Johann Tschernings gewesenen burgers vndt buchhändlers alhier hinderlaßener Ehelich. Sohn, Vnd Jungfr. Anna Maria Johann Sebastian Mockhen des Schneiders Undt Burgers alhie eheliche Tochter. Copulabantur Mont. d. 27.t 9.bris Zum JS Peter (i 81)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 566, n° 13) 1654. Eodem [Sonnt. 26. Trin: 19. 9.br]. Johann Tscherning der buchbinder, weiland Joh: Tscherning des burgers vnndt buchhändlers alhier hinderlaßenen Ehelichen Sohn Unndt J. Anna Maria, Sebastian Mockhen des burgers vnndt schneiders alhie Eheliche dochter. Mont. 27. 9.br J. St. Peter, weinsticher stub (i 315)

Le notaire Etienne Corneille Saltzmann dresse en 1693 l’inventaire des biens d’Anne Marie Mock (voir l’inventaire de 1705). Jean Tscherning se remarie en 1694 avec Catherine Salomé Schwartz, fille du secrétaire au bureau de la manance Jean Adam Schwartz : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenvesten und wohlachtbaren Herrn Johann Tscherning buchhändlern und burgern allhier Zue Straßburg, alß dem herrn hochzeiter ane Einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrawen Catharinæ Salome gebohrner Schwartzin Weÿl. des auch wohlachtbahren und wohlvorgeachten herrn Johann Adam Schwartzen geweßenen wohlbestellten Schirmgerichts Actuarÿ allhier hinderlaßener ehelichen dochter der Jungfrauw hochzeiterin ane dem andern theil (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Sonntag den Ersten Monaths tag Augustei newen Calender Im Jahr deß herren alß man Zalte 1694, [unterzeichnet] Joh: Tscherning Sen; alß hochzeiter bekenne wie obsteht, Catharina Salome gebohrne Schwartzin als hochzeiterin bekenne wie obsteht

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 47-v, n° 289)
Eodem [Dom. XIII post Trinit.] seÿnd Zum II mahl außgeruffen worden h. Johann Tscherning der ältere buchbinder und burger Jfr. Catharina Salome, weÿl. hr. Johann Adam Schwartzen geweß. Secretarii beÿ allhsiger Statt Pfenningthurn nachgel. ehl. tochter, Seÿndr gleichfalls copulirt word. den 15. Septembr. [unterzeichnet] Johann Tscherning alß hochzeitter, Catharina Salome schwartzin (i 48)

Jean Tscherning meurt en 1704 dans sa maison place Saint-Thomas en délaissant six fils et une fille. Les experts estiment la maison rue du Parchemin à 225 livres. La masse propre à la veuve est de 539 livres, celle des héritiers de 937 livres. L’actif de la communauté s’élève à 899 livres et le passif à 421 livres.

1704 (21.8.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 12) n° 476 (abtheilung n° 484)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, Liegender: vnd Vahrender Keinerleÿ außgenommen, so weÿland der Ehrenvest: und Wohlvorgeachte Herr Johann Tscherning der ältere geweßene buchhändler und buchbinder auch burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 20.ten Septembris instehenden Zu end lauffenden 1704.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten herr, seel. hinderlaßener Kinder und per Testamentum instituirter Erben, deren geschwornen herrn Vogts auch E.E. Kleinen Rhats hierzu deputirten herrns, alle nach dießem titulo Inventarÿ ordentlich benahmsten fleißig inventirt und ersucht durch die viel Ehren und tugendsahme fraw Catharinam Salomeam gebohrne Schwartzin die hinterbliebene fr. Wittib, mit beÿstand des Wohl Edel, Vest und hochgelehrten herrn Johann Philipp Hecker J. U. Ddi und derzeit wohlverordneten Actuarÿ allhießigen Accises auch vornehmen burgers Zu Straßburg als ihres geordnet und geschworenen H. Curatoris – so beschehen alhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg dienstags den 21. Octobris Anno 1704.
Der Verstorbene Herr seelig hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Tscherning Jun: buchhändler und buchbinder auch burgern allhier Zu Straßburg, welcher auch der Inventation von anfang biß Zu end persönlich beÿgewohnt, 2. den auch Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Peter Tscherning gleichfalls buchhändler und buchbinder auch burgern allhie, so ebenfalls in persohn Zugegen geweßen. 3. den Ehrenhafften Andreß Tscherning gleichfalls buchbindern, welcher sich aber derzeiten außerhalb Königlich frantzöißen diensten enthält, in deßen wie auch seines hernachbenanten bruders Emanuels Nahmens, als welche beede allhier ohnverburgert, der Wohl Edel, Vest fürsichtig und wohl weiße herr Philipp Caspar Leitersperger, vornehmer burger und E.E. großen rhats alte: anjetzo aber E.E. Kleinen rhats alhier ane Constofflers statt höchstmeritirte Assessor als auß wohlermelten Rhats Mittel darzu in specie deputirter herr beÿ dem geschäfft erschienen, 4. den Ehrenachtbahren Johann Carl Tscherning, burgern und bedienten beÿ allhießigem Allmosen welcher ebenmäßig præsens war, 5. den Ehrengeachten Emanuel Tscherning buchbindern und Schirms Verwanthen allhier, so auch selbsten beneben deßen ob Edelerwehntem herrn Deputato der Inventation abgewartet, 6. den Ehrbahr und bescheidenen Johann Adam Tscherning leedigen buchbinder Gesellen so dermahlen sich in der fremdte vf der wanderschafft befindet, in deßen Nahmen als schrifftlich von Ihm constituirter Anwaldt der Wohl ehrenveste und Wohlvorgeachte herr Johannes Welper Jun. der Schreibereÿ befließene und burger allhier sich beÿ gegenwärtiger Inventur angemeltet undt derselben beÿgewohnt, So dann 7. die Ehren und tugendsahme Jungfrau Annam Mariam Tscherningin, welche dann ebenfalls beneben den wohl Ehrenvesten fürsichtig und Weißen herrn Johann Georg Stecher burgers und E. E. Großen rhats allhier alten wohlverdienten beÿsitzern, als Ihrem geordnet und geschworener herrn Vogt, biß Zu des Geschäffts endignung persönlich Zugegen geweßen. Also all Sieben des in Gott ruhenden herrn mit weÿl. der Ehren und Tugendsahmen frawen Annæ Mariæ gebohrner Mockin nunmehr seel. in erster Ehe erzeigte Kinder und Zugleichen theilen Erben
Copia der Eheberedung – Extractus Auß dem von dem abgelebten herrn und seiner Erstern Haußfrawen Annæ Mariæ gebohrner Mockin deel. den 19. Martÿ Anno 1693. auffgerichteten verschloßenen Testamento – Extractus Auß vorgemelyer beeden geweßenen Ehepersohnen auffgerichteten Nachdisposition vom 10.ten Maÿ Anno 1693. – Copia des von sem seel. Herrn Tscherning selbsthändig geschriebenen Testamentz Zeduls pder letstgestiffteter Nachdisposition – Publicatio Testamenti Clausi

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomas plahn gelegenen, vnd in dieße verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung, volgender maßen befunden worden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, In der obern Stuben, In der obern Stubkammer, Im obern haußöhren, In der Wohn Stub, In der Wohn Stub Cammer, Il Mittlern haußöhren, In der Undern Stuben, In der vndern Kuchen, Im Keller
(f° 15) Eÿgenthumb ane Haüßern. (E.) Ertlcihen hauß vnd hoffstatt ane St. Thomans plahn (…)
(E.) It. hauß höfflin sambt allen vbrigen deßen gebawen rechten v. zugehörden allhier in der Pergamentergaß oberhalb des bierhaußes Zum Roßen Krantz gegenüber, einseith neben hans Jacob Schöffen dem Kübler, anderseith neben weÿl. Mstr hannß Georg Leÿboldt des Kürßners seel. Erben gelegen, hinden auff Jean Loyson den Schulthesen Zu Wingersh. stoßendt, davon gehen Jährlichen 2. lb d auff Assumptionis Christi dem Allhießigen Weÿßenhauß, widerlößig in Cap. mit 50. lb d. It. 12. ß d. bodenzinß gemeltem Weÿßenhauß Jährlichen dicto termino in Cap. ohnvergreifflich gerechnet lößig mit 12. lb. Undt ist soche behaußung vermög obangeregter Abschatzung allhießig. geschwornener Werckmeistere vber vorstehende beschwerde angeschlagen worden per 213.. Darüber vorhanden ein perg. Vergleich vnd respectivé cession in allhießiger C. C. stuben gefertiget, deren datum den 29. 10.br. 1692. mit wohlgemelter C. C. stuben anhangendem größern Insigel verwahrt, mit altem N° 3 signirt und darbeÿ gelaßen.
(f° 16) Ergäntzung der Fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögen. Vermög Inventarÿ über Ihr der Fr. Wittib in den Ehestand Zugebrachte Nahrung in A° 1694. durch herrn Johann Peter Kolben Notm. publ. auffgerichtet
Ergäntzung der Erben abgegangenen unveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über weÿl. frawen Annæ Mariæ Tscherningin gebohrner Mockin des abgeleibten herrn seel. erstern haußfrauwen Verlaßenschafft in Anno 1694 durch herrn Stephan Cornelium Saltzmann Notm. publ. et Academ. auffgerichtet
(f° 27) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib nahrung betr. Sa. Haußraths 32, Sa. Silbers 10, Sa. Guldener Ring 26, Sa. Pfenningzinß hauptgüttern 240, Sa. Eÿgenthumbs ane einem gülttguth 75, Sa. Ergäntzung 155, Summa summarum 539 lb
Der Erben Vermögen belangendt, Sa. Haußraths 135, Sa. Leerer Vaß 15, Sa. Silbers 4, Sa. Guldener Ring 13., Sa. Eÿgenthumbs ane Heußern 713, Sa. Activ Schulden 109, Sa. Ergäntzungs rests 122. Summa summarum 1114 lb – Schulden 177, Nach deren Abzug 937 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 42, Sa. Frucht 40, Sa. Wein und Leerer Vaß 94, Sa. Kupfferstuck 646, Sa. Silbers 8, Sa. baarschafft 66, Summa summarum 899 lb – Schulden 421, Nach deren Abzug 477 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1729 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Sonntag den Ersten Monaths tag Augustei newen Calender Im Jahr deß herren alß man Zalte 1694
Copia Testamenti (…) Straßburg den 27. Octobris Anno 1696. Johannes Tscherning der ältere bekenne wie obstehet
Abschatzung den 30. 8.bris aô 1704. Weÿland des Ehrhafften und bescheidenen Herrn Johann Scherning gewesenen buchbinders seel. hinder laßene Fr. Wittib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg auff dem thomas blohn gelegen (…)
Die andere behausung auch alhier in der Statt Straßburg in der Rosen Krantzgaßen gelegen einseits neben Anna Ursula Leopoldin anderseits neben Andreas huck holtzleger hinden auff den herren Schultzen Von Wingersheim stosend, welche behausung hoff hinder gebäudlein und Nebens gang sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen, Werckhleuthe sich in die besichtigung befunden undt Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Fünff Hundert und Fünffzig gulden. bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Les héritiers Tscherning vendent la maison au cordonnier Jean Othon Vogel moyennant 450 livres

1705 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 109-v
(450) Johann Tscherning buchbinder, J: Peter Tscherning auch buchbinder, Johann Carl Tscherning allmoßen knecht, ferner S.T. Hr Philipp Caspar Leitersperger XXI.ger nahmens Emanuel Tscherning buchbinders u. andres Tschernings gleicher profession, Item hr. Joh: Welper Ju: scribent nahmens Adam Tschernings deß ledigen buchbinders u. dann hr Joh: Georg Stecher E.E. Großen Raths alter beÿsitzer alß vogt Anna Maria Tscherningin
in gegensein Joh: Ottmann Vogels schuemachers
Hauß u. höfflein sambt allen übrigen deren gebaüen, begriffen, rechten u. zugehörden allhier in der Pergamenter gass oberhalb deß bierhauß zuem roßen Crantz gg. über, einseit neben Joh: Jacob Schäffer küblers anderseit neben Hanß Georg Leÿbold Kürßnern hinten auf Jean Loyson Schultheiß zu Wingersheim stoßend gelegen, von welcher behausung gehen jährlichen 12 ß d bodenzinß dem Waÿßenhauß (um 50 pfund und 400 pfund capitalien verhafftet) welche der Käufer kraft eines von Hn Daniel Rohren Not: publ: beÿ der Tscherningischen verlaßenschaffts inventation gebrauchet worden

Originaire d’Elgg dans le canton de Zurich, le cordonnier Jean Othon Vogel (Jean Omer Vogel, le prénom étant écrit soit Ottmann soit Ottmar mais la signature est Ottmann) devient bourgeois avec sa femme Anne Marie, fille de l’officier Jean Jacques Düringer le 11 septembre 1698. Leur enfant suit la coutume et ne devient pas bourgeois avec ses parents
1698, 3° Livre de bourgeoisie p. 1212
Hanns Ottmar Vogler Von Elg, Zürcher gebieths, der schuemacher erkaufft das burgerrecht p. 2. gold fl. 16 ß so bereits auf den Pfenningthurn erlegt worden, Anna Maria Hannß Jacob Düringers gew. constablers tochter seiner haußfrauen aber empfangt es durchaus gratis mit ihrem Kind ist es beÿ ordnung Gelaßen worden vnd werden beÿ E. E. Zunfft der schumacher dienen. Jur: d. 11. 7.bris 1698.

Anne Marie Düringer meurt en 1715 en délaissant un fils qui meurt peu de temps après elle, de sorte que le veuf est seul héritier. Les experts estiment la maison 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 118 livres.

1715 (24.4.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 21) n° 526
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und güther, liegender undt fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. die Ehren: undt tugendsahme Fraw Anna Maria Vogelin gebohrne Düringerin deß Ehrenhafften undt Bescheidenen Meister Johann Ottmar Vogels Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche Haußfrau nach ihrem den 17. febr: gegenwärtigen 1715.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hieintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern undt begehren obgedachten ihres hinterbliebenen Wittibers Weilen Weÿl. Johannes Vogel deroselben mit ihme Wittibern ehelich erzeugter hinderlaßener Sohn und gewesener einiger Erb den 21.ten febr. Vorberührten Jahrs dießes Zeitliche auch geseegnet und demnach deßelben Mütterlich Verlaßenschafft auff Ihne per modum successionis erblichen gekommen, inventirt undt ersucht (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 24.ten Aprilis Anno 1715.

In einer in der Statt Straßburg ahne der Pergamenter gaßen gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden Worden, Wie folget
Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Wohnstub, In der Cammer B, Im haußöhren, In der Soldaten Cammer, In der Kuchen
Eigenthum ahne Einer Behaußung. Hauß, Hoffstatt Vnd höfflein samt allen übrigen gebäwen begriffen weithen rechten Zugehördten Vnd gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Strßb. ahne der Pergamenter gaßen, 1.s neben Weÿl. Joh: Georg Leybold des gewesenen Kürschners hinderlaßenen Eckheln, 2.s. neben Joh: Jac: Rothen dem Schreiner und hinden auff Weÿl. herrn Johann Loyson de geweß. Schultheißen Zu Wingersheim hinderlaßene Wittib stoßend, davon gehen dem Stifft Waÿßenhauß auff den Auff fahrts Tag Jährlichen 3. lb 4 ß Zinß So in Capital abzulößen mit 64. lb, Item 6 lb 5 ß d Zinnß gibt mann Jährl. auff faßnacht Fr. Catharinä Salomeä Tscherningin so in Capital ablößig mit 125 lb. Undt dann 3 lb 15 ß d Zinß Jahr sauff den 21. febr : Herrn Joh. Philipp Heckern E. E. Großen Raths Verwanthen so in hauptguth abzustatten mit 75. lb. Summa der beschwehrden macht 264. lb. Sonsten freÿ ledig und eigen und über obige beschwehrden annoch durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister Vermög ihrer Zu dem Concept gelüfferten Schrifftlichen Abschatzung sub dato 25.t Aprilis Anno 1715. annoch æstimirt pro 86. lb. Darüber ist vorhanden 1. teutscher pergam. Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertigt und mit dero anh. Kleinen secret Insiegel verwahrt, datirt den 7. febr : 1705.
Series rubricarum, Sa. Haußraths 24, Sa. werckzeugs und leder Zum schuemacher handwerck gehörig 4, Sa. Lährer faß und bütten 3, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung 86, Summa summarum 118 lb – Verstallung und Beschluß summa hujus Inventarÿ 118 lb

Anne Marie Düringer meurt à l’âge de 55 ans. Son beau-frère Jean Pierre Bickelhaub signe l’acte
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1715, f° 238-v, n° 14)
1715. Mont. d. 18. febr. frühe Morgens Zwischen 4 u. 5. Uhr starb u. wurde Mittw. darauff beÿ gehaltener Leich Pr. auf dem Gottesacker S Helenen begraben fr. Anna Maria Vogelin, gebohrne Thüringerin, Mr. Joh: Ottmar Vogels, deß burgers v. schuhmachers gewesene ehl. haußfr. Ihres alters 55. Jahr [unterzeichnet] Johann ottman vogel als witwer, Johann Peter bickelhaub alß schwager (i 244)

Son fils Jean Vogel meurt cinq jours plus tard à l’âge de 19 ans d’une maladie qui n’a duré qu’un jour. Est témoin de l’acte son cousin Christophe Charles Düringer
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1715, f° 238-v, n° 15)
1715. Sambst. d. 23. febr. frühe morgens umb 1. Uhr ist Johannes Vogel nach einer außgestandenen Nur einen tagen kranckheit seiner Mutter Vorstehender Anna Maria Vogelin georherner Thüringerin, durch einen seelig. tod Nachgefolgt, Wurde (Mont.) darauf Zu S Helenen beÿ gehaltener Leich Pr ehrlich begraben, seines alters 19 Jahr weniger 7 tag, [unterzeichnet] Johann ottman vogel schumajcer alß vater, Christoph Carrl dirringer als fetter (i 244)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que l’héritier non bourgeois doit régler le droit de détraction. La somme déclarée au fisc (400 florins) est supérieure à celle constatée lors de l’inventaire (200 florins)
1715, Livres de la Taille (VII 1175) f° 126
(Schuhmacher, F. N° 1501) Weÿl. Frauen Annæ Mariæ gebohrner Dürningerin Hannß Ottmar Vogels des Schuhmachers und burgers alhier geweßener Ehel. Hausfraueb Verlaßenschafft inventirt H. Not. Ösinger.
Concl. fin. Inv. ist fol. 19.b, 188. lb, 18 ß 7 ½ d
die machen 200. fl, derselbe verstallte hiengegen 400. fl.
Extat das Stallgeltt pro 1714. mit 1 lb 19 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung 5 ß 6 d – Summa 2. lb. 6 ß 10 d
Abzug. Johannes Vogel der ohnverburgerte Sohn, soll von seinem Mütterl. Erbe der 45. lb. den Abzug entrichten mit 4. lb 10 ß 4 d
Machen Vorstehende beede Summen zusammen 6. lb 17 ß 2 d
dt. 18° Maÿ 1715.

Jean Othon Vogel se remarie en 1715 avec Catherine Grohberger, fille de tisserand : contrat de mariage par lequel le mari lègue la jouissance viagère de sa maison à la future épouse, célébration

1715 (2 Junÿ), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 40) n° 418
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Ottmann Vogeln, Wittibern und Schuhmachern Burgern allhier Zu Straßburg, alß dem Bräutigamb ane Einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrawen Catharinæ gebohrner Grobergerin, deß Wohl Ehrsammen und Vorachtbaren herrn Johann Grohbergers Leinenwebers und Barchethändlers mit Weÿl. der ehren und tugendbegabten frawwen Barbara gebohrner Kraußin ehelich erzeugten in erster Ehe tochter, alß der hochzeiterin am andern theil
Zum fünfften Verordnet der hochzeiter wan Er vor seiner hochzeiterin mit tod abgeh. thäte, deroselben zu einem lebtägig. doch aber alßd. wied. fällig wÿdumb seine alhier ane der Pergamenter gaß ohnweit dem bierhauß Zum roßen Krantz gelegene wohnbehauß. sampt undt sonders mit dem anhang daß sie schuldig seÿn solle, solche die Zeith über in gutem baw undt ehre zu erhalten
Beschehen und verhandelt seÿnd dieße dinge in der Königl. Statt Straßb.. (…) Sontags den 2.ten Junÿ Anno 1715. [unterzeichnet] Jan otman vogel als hochzeiter, Catharina Grobergerin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 19-v, n° XI)
1715. dominica I et II post Trinitatis proclamati sunt Johann Ottmann Vogler der Schuhmacher und Burger allhier und Jfr. Catharina H Johannes Groberger deß Leinenwebers und burgers allhier ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. 3.t Julÿ [unterzeichnet] Johann otman vogel als hochzeiter, Catharina Grobergerin Als hoch Zeiterin (i 24)

Jean Othon Vogel meurt en 1730 en délaissant pour héritière sa veuve après avoir fait divers legs à ses frères et sœurs demeurant à Elgg et à Albisrieden près de Zurich. Les experts estiment la maison 350 livres. La masse propre à la veuve est de 199 livres, la masse propre aux héritiers de 68 livres. L’actif de la communauté s’élève à 514 livres, le passif à 72 livres.

1730 (31.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 4) n° 181 (1553)
Inventarium und Beschreibung aller derjenig. Haab und Nahr., so Weÿl. der Ehrs. und bescheid. Mstr. Johann Ottmann Vogel geweß. Schuhmacher v. burger alhier nunmehro seel. nach seinem d. 9. Martÿ lauffenden 1730. Jahrs aus dießer Zeit und welt genommenen tödl. ableiben hier Zeitl. Verlaßen, Welche Nahrungs Verl. dato zu end stehen auf freundl. Ansuchen Erfordern undt Begehren der Tugends. fr. Catharinä Vögelin geb. Grohbergerin der hinterbl. Wb. sowohl vor sich alß auch ihrer künfftighin nach todt Verl. Erben, alß welche der abgel. hr. Vermög seines auffger. hernach inserirt. Test. nuncup. Zu gleich auf ad æquales partes zu seinen Erben denominirt instituirt und eingesetztet hat, ersucht v. Invent. nach deme sie die ged. Wb. mit assistentz H Joh: Philipp Gerhardts ihres constituirten vogts in solches alles (vorgewiesen) – Actum Straßburg d. 31. Maÿ 1730.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßenkrantz gelegenen und in dieße Verl. gehörigen Behaußung Hat sich befunden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck In der Cammer A, In der untern Wohnstubn In der Stub Cammer, Auf der Hintern Bühn
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Eine Behaußung Hoff, Hoffstatt sampt allen übrig. gebeüen, begriffen, weithen, Rechten Zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßb. ane der Pergamenter gaß, ohnfern dem Roßen Krantz 1. s. neb. H. Joh: Peter Pflug Werckmeister des Maurhoffs, 2.s. neben hanß Jacob Rothe dem Schreiner, hinten auf N.N. so freÿ Leedig und eig. und durch die geschwornen Hh. Werckmeister Zufolg eines beÿ mein des Not. befindtl. Scheins de dato 29. martÿ 1730. æstimirt und angeschlagen Vor und Vmb. 350. lb. Darüber bes. 1. teutscher perg. Kbf. in alhieß. C C Stub gefert. und mit dero anhangend. Innsiegel Verwahrt datirt 7. febr. 1705. Ferner noch Zweÿ andere respect. Kauf, Cessions v. Vergleichs Brieff auß ges. C. C. Stub gef. denen der eine datirt d. 29. dec. 1692. derandere aber d. 8. Octobr. 1599.
Ergäntzung der Wittib währender ehe abgegang. ohnveränderten guths. Inventarÿ über ireo dero Verstorb: Ehemann eel. Zugebrachte Nahrung in Anno 1719. d. 7. Aug. durch nunmehro weÿl. H Joh: Adam Ösinger gew. Not. und Burg. alhie auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 12, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 106, Sa. Ergäntzung 72, Summa summarum 199 lb
Der Erben Unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 16, Sa. Weins und Leerer Faß 2, Sa. Werckzeugs 1, Sa. des haußes 350, Sa. Ergäntzung (22, abzug 264, verbleiben sie annoch schuldig 241) Summa summarum 370 lb – Schulden 281, Nach solchem abzug 88 lb
Das Unverändert und Theilbahre Guth, Sa. Haußraths 31, Sa. Weins 28, Sa. Waahren 1, Sa. Silbers 3, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 193, Sa. Activorum 256, Summa summarum 514 lb – Schulden 72, Nach solchem abzug 441 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 770 lb
Ergäntzung wegen des von des Verstorbene Nahr. wehrender Ehe abgegang: ohnv. Guths, Lauth Invent. über weÿl. Fr. Annæ Mariæ Vogelin gebohrner Düriningerin deß Verstorb. erstern haußfr. sel. Verlaßenschafft in Anno 1715. durch weÿl. H. Joh: Adam Ösinger Not. seel. auffgerichtet
Copia der Eheberedung, vide beÿlag sub dato 2 Junÿ 1715. (…)
Copia testamenti vide beylag de dato 1 Sept 1719. (…) in einer alhier in der Königl. Statt Straßburg ane der Pergamenter Gaß gelegenen, dem testirer eigenthümlich zuständigen und bewohnenden behaußung dei untern Wohnstuben mit Zweÿen fenstern auf bemelte Gaß und mit dreÿen in den Hoff außsehend, (…) persönlich kommen und erschienen ist der Ehrsahme und bescheidene Mstr Johann Ottmann Vogel Schuhmacher v. burg. alhier Zu Straßburg Zwar Krancken Leibes auff einem bette Liegend (…) Auch dem dritten (…) so setzt der testirer wann er ohne hinterlaßung Ehelich erziehlte Leibes Erben, Vor siener Ehefrauen mit Todt abgehen würde, weilen er sonsten Keine Noth Erben hat, über Abzug hernach Verschaffter Legaten zu seinem wahren, rechten und ohngezweiffelten Erben ein, (…) seine geliebte Ehefrau
Vierdtens Legirt Er seinen Vier Geschwistrichen nahmentlich Elisabethæ, Johann Wörners des Schneiders und Burgers Zu Illick Ehefrau, Ferner Annä Mariä, Martin Geßmanns burgers zu Albißrithen v. Maurers daselbsten haußwürthin, weither Annä Christian Mantels Schuhmachers v. burg. in Illick Ehefrauen und dann Johann Jacob Vogeln dem Schneider und burg. zu mehrgesagtem Illick Viertzig Gulden
Abschatzung d. 29. Marty Aô 1730. Auff begehren Weÿl. des Ehrenvesten und Vorachtbahren H Johann Ottman Fogel gewesenen Schumachers seel: hinterlaßene fraw Wittib ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg beÿ dem Bierhauß Zum Rosen Krantz. gelegen, einseits Neben herrn Johann Peter Plug Werck Meister des Maurhoffs, anderseits Neben hannß Jacob Roth Schreiner, hinden auf ein hauß der frau (‘-) Zugehörig, stosend, welche behausung hinder gebäulein, Stuben Cammern, Soldaten Cammer, Küchen, hauß Ehren, gebälcktes Kellerl. höffel und gumpff bronne sampt aller gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßb. geschwornene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen Wird Vor und Umb Sieben Hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 500 florins et que les légataires non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1730, Livres de la Taille (VII 1177) f° 26-v
(Schuhmacher F, N° 5190) Weÿl. Hannß Ottmar Vogel geweßenen Schuhmachers und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Brackenhoffer
Concl. Fin. Inv. ist fol . 68-b, 770 lb 1 d, die machen 1500 fl. Verstallte nur 1400 fl alßo Zu wenig 100 fl.
Nachtrag 6. Jahr in duplo à 6 ß -1 lb 16 ß
Und 4 Jahr in simplo à 3 ß macht – 12 ß
Ext. Stallgeltt pro 1730 – 3 lb 9 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 17 ß 6 d, Sulla 6 lb 16 ß 6 d
Auf Bitten haben die Herren dreÿ nachgelaßen 1 lb 4 ß, Rest 5 lb 12 ß 6 d
Abzug. des Verstorbenen ohnverburgerte Geschwüsterde haben Von 20. lb d Finito usufructu anfallendem legat den abzug Zu erlegen mit 2 lb
dt. 16. Aug. 1730.

La veuve fait un testament en octobre 1730.
1730 (19. 8.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) f° 208
Testament – Persönlich erschienen ist die Ehr und Tugendsame fraw Catharina Vogelin gebohrne Grohbergerin weÿl. des Ehrsahmen und bescheidenen mstr. Johann Ottlann Vogels Schuemachers vnd burgers alhier seel. nach tod. verlaßene Wittib, auffrecht gehend vndt stehend. leibs (…)
Actum d. 19. octobr. 1730. [unterzeichnet] Catharina Vogelin

La veuve Catherine Groberger se remarie en 1731 avec David Schnell, péager à la Porte Blanche : contrat de mariage, célébration
1731 (23. 8.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 236
Eheberedung – zwischen den Wohl Ehren vesten v. großachtbahren H. David Schneller Zollern am weißen thurn vnd burg. alhier alß wittibern vndt hochzeithern ane einem
so dann der Ehr v: tugendsahmen fr. Catharina Vogelin gebohrner Grohbergerin weÿl. H Otten Vogelß geweß: schumach: v. burg. alhier hinterlaßenen wittib alß hochzeitern andern theilß
Actum Straßb. d. 23. octobr. 1731. [unterzeichnet] david Schnell alß hohzeiter, Catharina vogelin als hochzeiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 141-v, n° 32)
1731. Domin. XXVII. Trinit. et I. Advent. seind außgeruffen vndt Mittwochs darauff als den 5. 10.bris Ehelich eingesegnet worden H Davidt Schneller Burger Vndt Zoller an weißenthurn allhier und Frau Catharina Grobergerin weÿl. Johann Ottman Vogels geweßenen Burgers vndt Schuhmachers allhier Nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] David Schneller als Hochzeitern Catharina hoch Zeiderin (i 144, proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune f° 110)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un permettent à David Schnell de se remarier pendant son deuil à titre gracieux.
1731 Conseillers et XXI (1 R 214)
David Schneller der Zoller erhalt Dispensation in der Zeit der Trauer. 290.
(p. 290) Sambstag d. 3. 9.bris 1731. Römer Nomine David Scheller des hiesigen burgers und Zollers am Weißen Thurn, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten sambt beÿlag sub Lit. A. pro gratiosa Dispensatione temporis luctus, handelt innhalts, Ist Erkandt, Wird dem Imploranten in ansehung der in dem producirten Memoriali enthaltenen trifftigen bewegnussen, sich wiederumb anderwertig Zu verheurathen Obligkeitlich Erlaubt, und ihme die dazu nöthige Dispensation gratis Wegen seiner gemeiner Statt Straßburg geleisteten diensten ertheilt.
Dep. H. Rht.. Cristman und H. Städel.

La femme fait dresser l’inventaire de ses apports dans la maison de fonction qu’elle occupe avec son mari. La maison rue du Parchemin dont elle a la jouissance figure à l’inventaire. Ses biens s’élèvent à 1 414 livres.

1731 (19. Xbris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 6) n° 238 (1610)
Inventarium und beschreibung aller derjenig. Haab vndt Nahrung, so die Tugendsahme fr: Cath: Schnellin gebohrene Grohbergerin, zu H. David Schnellen burg. v. Zollern am Weißenthurn allhier in die Ehe gebracht (…) in erwegung Sie sich in der mit ihrem marito getroffenen Eheberedung ein ohnverändert guth v: die erg. deren abgehend. stück reservirt vnd vorbehalt. (…) Straßb. d. 19. Xbris 1731.
In dem Zollhauß alhier Zu Straßburg am weisenthurn gelegenen behaußung befunden
Eigenthumb ane einer Behauß. Eine Behauß. hoff, hoffstatt samt allen übrigen gebeüen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen alh. in der Statt Straßburg ane der Pergamenter gaß, ohnfern dem roßen Crantz 1. s. neb. H. Johann Peter Pflug werckmeister des Maurhoffs, anderseit neben Joh: Jacob Roth dem Schreiner, hinten auf N.N. so freÿ leedig und eigen. und beÿ weÿl. H. ottmann Vogels, ihres erstern Ehemanns Verl. Inventation durch die Werckmeister æstimirt und angeschlagen pro 350. Die darüber besagende Documenta sind in ged. Verl. Inventario allegiret, dahin man sich Kurtze halben beziehet
Sa. des haußraths 211, Sa. des Weins und leerer faßen 52, Sa. der Silb: gesch: u. geschm. 43, Sa. der Gold. Ringen 51, Sa. der baarschafft 309, Sa. Eigenthumbs an i. beh. 350, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Activorum 96, Summa summarum 1414

David Schneller meurt en 1734 en délaissant trois enfants de son premier mariage avec Marie Elisabeth Baudenmann. La maison dont la veuve a la jouissance viagère figure à l’inventaire. La masse propre à la veuve est de 1 072 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 851 livres, le passif à 608 livres.

1734 (16.2.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 14) n° 308
Inventarium über Weÿl. Herrn David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1734. – nach seinem den 6. dieses Monats genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft, so gleich nach deßen todt von E.E. Kl. Rath allhier secretirt dato aber reserirt, Zugleich auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und Tugendsamen Frauen Catharinæ gebohrner Grohbergerin, der hinterbliebenen Frau wittib beÿständlich H. Philipp Gerhard, Leinenwebers und burgers allhier, Ihres goerdneten Vogts, Ferner herrn Lt Johann Thomæ Frölichs, nunmahligen Wohlverdienten Schaffners Zu St. Marx und burgers allhier Ihres erbettenen Hrn beÿstandts (…) So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 16. Februarÿ Anno 1734.
Denominatio hæredum. 1. Hr Andreas Schneller, Chirurgius und burger allhier so persönlich beÿgewohnt. 2. Frau Sabina Magdalena Schläberin gebohrne Schnellerin, hrn Johann Philipp Schläbers des Müllers auff der achträdermühl und burgers allhier Ehegattin, so beÿständlich Ihres Eheherrn Zugegen war, dieße vorgemelte beede Erben haben Herrn Johann Lobstein, berühmten Notarium publicum und Practicum allhier Zu Ihrem beÿstand erbetten, dahero derselbe auch diesem Geschäfft von anfang biß Zu end abgewart, 3. hr Johann Jacob Schneller auch chirurgius und burger allhier, beÿständlich hn Johann Daniel Bruder Lederhändlers und burgers allhier seines Schwagers præsens gewest, alle dreÿ des verstorbenen seel. mit weÿl. Frauen Maria Elisabetha gebohrner Baudenmännin seiner erstern Ehegattin seel. ehelich erzeugte Kind Zu Erben verlaßene Zweÿ Söhe und Tochter

Eigenthum ane einer Behaußung. (W.) Nemlichen i. Behaußung, hoff, hoffstatt samt allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Pergamenter Gaß, ohnfern dem Roßen Crantz 1. s. neben H. Johann Peter Pflug werckmeister des Maurhoffs, 2.s. neben Johann Jacob Roth dem Schreiner, hinten auf (-) stoßend, so freÿ leedig und eigen, und solches hauß in dem in Anno 1730. über weÿl. Joh: Ottmann Vogel gewesenen Schuhmachers und burgers allhier der Wittib vorigen Ehemanns seel. verlaßenschafft. Die darüber besagende Documenta seind in weÿl. Johann Ottmann Vogels Ihres ersten Ehemannseel. Verlaßenschafft Inventario allegirt zu befinden
Ergäntzung der Wittib angegangenen unveränderten Vermögens, Vermög Inventarÿ über Ihre deren Verstorbenen Ehemann seel. zugebrachte Nahrung den 19. Sept. A° 1731. durch Herrn Johann Brackenhoffer Notarium auffgerichtet ist der wittib also abgegangen Zuergäntzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 63, Sa. leerer faß 2, Sa. der Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. goldener Ring 97, Sa. Sa. Eigenthumbs ane i. behaußung 300, Sa. Ergäntzung rests 230, Summa summarum 1072 lb
Dießemnach wird die übrige Verlaßenschafft weilen die Wittib auf die theilbare Nahrung tam active quam passive gegen der Ihro vor den abstand accordirten Summ überlaßen, mithin der Erben Ihr unverändert vätterlich Guth in einer Massa zufleußt, unter dem Titul alß denen Erben gehörig beschrieben, Sa. haußraths 178, Sa. Wein und Leerer Faß 83, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 80, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 493, Sa. Activ schulden 11, Summa summarum 851 lb – Schulden auß der Erben Nahrung zu bezahlend 608 lb, Nach deren Abzug 242 lb
Stall Summ 1352 lb – Zweiffelhaffte Schulden in der Erben Nahrung zugeltend 16 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum Straßburg den 23. Octobris Anni domini 1731, Johannes Brackenhoffer, Notarius juratus

La veuve fait deux testaments successifs après la mort de son deuxième mari
1735 (20.1.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 334
Testament – Persönlich erschienen ist die Ehr und Tugendsame frau Catharina Schnellein gebohrne Grohbergerin weÿl. Herrn David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier hinterlaßene wittib auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs
Donnerstagß d. 20. Monats tag Januarÿ Anno 1735 [unterzeichnet] Catharina Schnellerin

1736 (29. 8.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 440
Testament – Persönlich erschienen ist die Ehr und Tugendsame frau Catharina Schnellein gebohrne Grohbergerin weÿl. Herrn David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier hinterlaßene wittib auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs
Montagß d. 29 Octobris Anno 1736 [unterzeichnet] Catharina Schnellerin

Catherine Grohberger épouse en troisièmes noces le cordonnier Philippe Ramsperger : contrat de mariage, célébration
1739 (23. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 20
Eheberedung Zwischen dem Wohl Ehrenvesten fürsichtig und weißen H. Philipp Ramsperger, Schuhmacher und E. E. kleinen Raths allhier alten Wohlverdienten beÿsitzer, Wittiber und burger allhier Zu Straßburg alß hochzeiter, ane Einem
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten frauen Catharinæ gebohrner Grohbergerin letztmahlen Hn David Schnellers des gewesenen Zollers ane dem weißenthurn und burgers allhier seel. hinderlaßener Fr. Wittib beÿständlich H Philipp Geerhard Leinenwebers und burgers allhier ihres geschwornenn Hn Curatorio als der Fr. hochzeiterin ane dem adern theil, gepflogen
So beschehen Straßburg Mittwoch den 23. Septembris A 1739. [unterzeichnet] Philipp Ramsperger als Hochzeiter, Catharina Schnellerin als hogzeidterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 185-v n° 699)
1739. Mittw. den 7.ten Oct. seind nach ordentl. außruffung Ehel. copul. u. eingesegnet worden H. Philipp Ramsperger, schuhmacher, wie auch E. E. Kl. Raths alter beÿsitzer u. wittwer allhier u. Fr. Catharina geb. Grobergerin weÿl. H. David Schnellers geweßenen Zollers am weißen thurn u. b. allhier hinterl. wittib. [unterzeichnet] Philipp Rumsperger als hochzeiter, Catharina Schnellerin als hochzeitterin (i 189)

Codicille de Catherine Grohberger
1740 (21.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 579.b
Nachdisposition – die ehren: undt tugendbegabte Frau Catharina Ramspergerin gebohrne Grohbergerin H. Philipp Ramspergers des Schuhmachers und E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzers Eheliebstin (…) gesunden gehend und stehenden Leibß, auch guten richtigen verstandts
[unterzeichnet] Catharina Ramspergerin

Catherine Grohberger meurt en 1747 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison du veuf face aux Petites Boucheries. Les experts estiment la maison dont la défunte avait la jouissance viagère 650 livres. La masse propre au veuf est de 666 livres, celle des héritiers de 342 livres.

1747 (21.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1141) n° 505
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Catharinä Ramspergerin gebohrner Grohbergerin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren H. Philipp Ramspergers, Schuhmachers undt E: E: kleinen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1747. – nach ihrem Sambstags den 10. Junÿ instehenden 1747.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßburg Mittwochß den 21. Junÿ et Seqq. Anno 1747.
Die Verstorbene seel. hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie folgt. Erstlichen weÿland Mstr: Johann Philipp Grohberger geweßenen Leinenwebers und burgers allhier seel. nach todt Verlaßene dreÿ Kinder benantlichen 1.mo Frau Mariam Salome Meÿerin gebohrner Grohbergerin Gabriel Meÿer des Schiffmanns und burgers allhier Ehefrau, 2.do Mstr Johann Philipp Grohberger den Leinenweber und burger Zu Lahr im Preißgau, 3.tio Jgfr. Mariam Elisabetham Grohbergerin des bereits 25. Jahr auf sich haben solle und ohnbevögtigtet ist, solche dreÿ in den ersten dritten Stammtheil
Zweÿtens nunmehro auch weÿland Frauen Mariä Ursulä Wÿhriin gebohrner Grohbergerin mit David Wÿhri den Marck Knecht und burgern allhier ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlten Zweÿ etwa noch lebende Kinder und Verstorbenen Sohns Verlaßene Kind als 1.mo Frau Mariam Salome Meÿerin gebohrne Wÿhtiin Tobiä Meÿers des Schreiners und burgers allhier eheliche Haußfrau, 2.do weÿland Johann Jacob Wÿhri des geweßenen Musicanten und burgers allhier hinterlaßenes Söhnlein Johann Jacob Wÿhri genand, dessen geordnet und geschworenen Vogts ist Mstr Johann Friderich Butz der Schneider und burger allhier, 3. tio Johann Friderich Wÿhti welcher Vor ohngefähr 18 Jahren auf seinem erlernten Schuhmacher Handwerck von hier auf die Wanderschafft begeben, Von welchen man aber seithero nichts erfahren, ob Er annoch am Leben seÿe oder nicht, in Zwischen aber hat in deßen Nahmen sein noch ohnentledigter Vogt Mstr Johann Martin Weber der Schuhmacher und Meelwäger ane dem Weißenthurn auch burgers allhier dießem geschäfft beÿgewohnet, dieße dreÿ respe. Schwester Kinder und Schwester Enckel in den Zweÿten dritten Stammtheil
Drittens nun auch weÿland Mstr David Grohberger des gewesenen Schuhmachers und burgers allhier in Zwoen Ehen erzeugte dreÿ Kinder benantlichen 1.mo Mstr Johannes Grohberger, der Schreiner und burger Zu Wachenheim in der Pfaltz, 2.do Mstr Johann Daniel Grohberger den Schuemacher und burgern in einem dorff so eine halbe stund von erstgemeltem Wachenheim in der Pfaltz gelegen ist, Welche beede Verstorbenen bruder Vorgemelter David Grohberger in erster Ehe erzeuget hat, So dann 3.tio deßen in letzter Ehe mit Frauen Catharina gebohrner Kleinin seiner hinterbliebenen Wb. dermahlen Jacob Baur des Faßziehers und burgers allhier Ehefrauen ehelich erziehlter Mägdlein Nahmens Rosinam Catharinam Grohbergerin so bevögtigt mit Joh: Albrecht Conradi dem hießigen Brieffträger und burgern allhier, Solche dreÿ in den letzten dritten Stammtheil instituirte Erben

In einer allhier Zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über gelegenen den H. Wittiber Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obern Bühn, In der Soldaten Cammern In der Schuhknecht Cammer, In der Haußleuthen Cammer, In der untern Stub, In der Küchen, In der Wohn stub, Auff dem Gang, In der untern gang Cammer, Im untern haußöhren, Im Hoff
(f° 16) Eigenthumb ane Häußern. (Zwischen dem H. Wittiber und einen beeden Kindern erster Ehe gemeinschaftlich) Nembl. eine Behausung, Hoffstatt und Höfflein mit allen deren gebäuden, begriffen, beÿ der Kleinen Metzig (…)
(E.) Nembl. eine Behaußung, hinter gebäu, Höffein und Hoffstatt in der Regenbogen oder Anthonier gaß (…)
(der Verstorbenen seel Wÿdem von erster Ehe) Nembl. eine Behaußung Hoffstatt und höfflin sambt allen übrigen gebäuden begriffen weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Pergamenter gaß ohnfern dem rooßen Crantz, 1.s neben den Löwischen Erben, 2.s neben weÿl. Mstr Balthaßar Auffderbruck des geweßenen Schuhmachers W. hinten auf H. Rathh. Joh: Marx Martin Irßlinger stoßend gelegen so gegen männiglichen freÿ leedig eigen und durch den H. Lohner und die Hh. Werckmeister taxirt pro 650. Darüber besagt 1. teutsch perg. Kfbr. in allh. C.C. stub gefertiget mit dero anhangendem Ins. Verw. datirt de 7. Februarÿ 1705. Ferner noch Zween andern resp. Kauff Cession und Vergleich brieff ais gedachter C. C. Stub gefertiget deren der eine datirt den 29. Decembris 1692. der anderer aber den 8. 8.bris A° 1599.
(f° 17) Eigenthumb ane Metzig Bäncken ane der kleinen Metzig dermahlen mit N° 9 bezeichnet (…)
(f° 18) Wÿdemb Welchen der H. Wittiber aus erster Ehe von weÿland frauen Maria Ursula Ramspergerin gebohrner Wagnerin seiner geweßenen erstern Ehefrauen seel. lebtägig genißen berechtiget ist. Nemblichen den dritten theil ot ohnvertheilt Von und ane der behausung ane der Kleinen Metzig über (…)
Wÿdemb, Welchen der H. Wittiber Von Weÿland Frauen Anna Salome gebohrner Waldeckin seiner geweßten Zweÿten Ehefrauen seel. die tag seines lebens Zu genießen hat. In Craff eines den 5. 8.bris 1746. zwischen demselben und deroselben zufolg des in Einem hohen königlichen Rath Zu Collmar ertheilten arrêt ab intestato Erben und respe. Erbinnen Erben vor mir Notario gepflogenen Vergleichs
Ergäntzung derer Erben ermanglenden ohnveränderten guths, Nach anleÿtung des über beeder geweßene Eheleuthe einander in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich Notm. den 6. 9.bris 1739. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 23) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des H. Ws. eigenthümlich guth, Sa. haußraths 139, Sa. Werckzeugs leder und gemachten Arbeith Zum Schuhmacher handwerck gehörig 30, Sa. Weins und faß 140, Sa. Silbers 61, Sa. goldener ring 12, Sa. der baarschafft 19, Sa. Pfenningzinß hauptgüter und deren hauptgüther 165, Sa. Eigenthums ane 1. behaußung 500, Sa. Eigenthums ane Metzig bäncken 329, Sa. der activ schulden 557. Summa summarum 1959 ln – Schulden 1289 lb, Nach deren Abzug 666 lb
Dießemnach wird auch derer Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 139, Sa. lährer faß 3, Sa. Silbers 24, Sa. goldener ring 31, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Erg. 279., Summa summarum 878 lb – Schulden 536 lb, Nach deren Abzug 342 lb
Stall Summ 3551 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßburg Mittwoch den 23. Septembris 1739, Johann Daniel Stöber Notarius
Copia Testamenti nuncupativi – 1736 (…) auf Montag den 29. Octobris Morgens zwischen Neun und Zehen Uhr Vor mir (Notario) persönlich kommen und erschienen ist die Viel Ehr und tugendbegabte Frau Catharina Schnellerin gebohrne Grohbergerin weÿland H. David Schnellers geweßenen Zollers am Weißenthurn und burgers allhier hinterlaßene W. auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs (…) Johannes Brackenhoffer Notarius juratus
Copia Nachdisposition. 1740 (…) Dienstag den 21. Junÿ morgens zwischen Neun und Zehen Uhren die Ehr und tugendsame Frau Catharina Ramspergerin gebohrne Grohbergerin H. Philipp Ramspergers des Schuhmachers und E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzers Eheliebstin auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leibs (…) Johannes Brackenhoffer Notarius juratus

Les héritiers de Catherine Grohberger cèdent au batelier Gabriel Meyer et à sa femme Marie Salomé Grohberger leur cohéritière la maison rue de l’Arc-en-Ciel et celle rue du Parchemin.

1748 (9.3.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 245-v
Fr. Maria Elisabetha Grohbergerin mit beÿstand H. Not. Johann Brackenhoffer, mehr Fr. Maria Salome geb. Wihriin Tobias Meÿer des schreiners Ehefrau, mehr Johann Friedrich Butz der schneider als vogt Johann Jacob Wihri, ferner Johann Martin Weber der schuhmacher und meelwäger als vogt Johann Friedrich Wihri des schuhmachers, mehr Johann Albrecht Conradi der brieff träger als vogt Rosinä Catharina Grohbergerin, so dann H. Johann Georg Wild E. E. großen Raths und E. E. kleinen raths dermahliger beÿsitzer als gerichtlich constituirter negotiorum gestor Johann Philipp Grohberger des leinenwebers zu Lahr, Johann Grohberger des schreiners und burgers zu Wachenheim in der Pfaltz und Johann Daniel Grohberger des schuhmachers daselbst
in gegensein Gabriel Meÿer des schiffmanns und Mariæ Salome geb. Grohbergerin, – versteigerung, als letzt und meistbietenden
erstlich 8 neuedte theil ane einer behausung, hinder gebäuden, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, Zugehörden und rechten ane der Anthonier oder Regenbogen gaß gegen der Anthonier kirch über, einseit neben weÿl. H. Johann Peter Pflug gewesenen Stadt Lohners Erben anderseit neben Valentin Pfister dem leinenweber hinten auff H. Johann Marx, Martin Irßlinger E. E. großen Raths alten beÿsitzer
so dann 8 neuedte theil ane einer behausung, höfflein und hoffstatt samt dero zugehör und rechten ane der Pergamener: gaß ohnfern dem roosencrantz einseit neben den adelischen Löwischen erben anderseit neben Balthasar Auff der bruck des schuhmachers wittib, hinten auff vorgedachten H. Rathh. Irßlinger – als ein von weÿl. Fr. Catharina Ramspergerin geb. Grohbergerin ererbt guth, der übrige 9.te theil an beeden häußer aber gehört der käufferin – umb 671 pfund

Compte rendu d’adjudication délivré par le Sénat avec ordre de passer contrat à la Chambre des Contrats
94 Z 3 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkandtnuß E. E. Großen Rhats der Statt Straßburg vom 20. januarii 1748. Ist die weÿl. Fr. Catharinæ Ramspergerin gebohrene Grohbergerin hinterlaßenen Erben Zuständige, allhier ane der Pergamenter gaß gelegene Behaußung sambt allen Ihren Zugehörden Frau Mariæ Salome gebohrner Grohbergerin, Gabriel Meÿers des burgers und schiffmanns ehefrauen beÿst. Thobias Meÿers des burgers und schreiners alß plus offerenti umb 1710. fl. mit übernahmb aller unkosten obrigkeithlich adjudicirt, anbeÿ Verordnet worden, daß der Kauff und Verkauff in Acht Tagen in der Contract stub solle Verschrieben werden. publ. d. 31.ten ejusdem mensis et anni [unterzeichnet] Kien Rathschrein.
decret. alienandi ertheilt d. 9.t Septembris 1747)

Fils de batelier, Gabriel Meÿer épouse en 1723 Marie Salomé Braun, fille du boulanger Jean Christophe Braun : contrat de mariage, célébration
1723 (22.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 74) n° 247
Eheberedung Zwischen dem Ehrsahmen und bescheidenen Mstr Gabriel Meÿer, weÿl. H. Gabriel Meÿers geweßenen Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg seel. Ehelich nachgelaßenem Sohn beÿständlich H, Friderich Gloren Schuemachers auff seiten des Hochzeiters an Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariæ Salome Braunin, weÿl. H Christoph Braunen geweßenen Weißbecken und burgers allhier seel. ehelich nachgelaßener tochter, mit assistentz H Friderich Braunen auch weißbecken Ihres geordneten undt geschwornenn vogts, So dann H Anne Marie Braunen haußfeurers Ihres bruders vf seiten derselben andern theils
Act. Straßb. Monntags den 22. Martÿ 1723. [unterzeichnet] CM des hochzeiters gemachter handzeichen, X der hochzeiterin hdz., Johann friderich klohr

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 237-v, n° 7)
Mittwochs d. 19. Maj. 1723. seind nach 2 maliger außruffung Dom. Exaudi et Pentecost in der Kirch zu S Wilhelm ehelich eingesegnet worden Gabriel Meÿer der ledige Schifknecht v. b. Weiland Gabriel Meÿers Schiffmanns v. b. v. Annæ Ursulæ Riemin ehl. Son v. Jfr. Maria Salome Weiland Christoph Braunen weißbecken v. burgers v. Catharina Wehnerin eheliche dochter [unterzeichnet] GM deß hochzeiterers handzeichen, B Handzeichen der hochzeiterin (i 245)

Salomé Grohberger épouse en 1730 le pêcheur Jean Artzner : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée mais copié à l’Inventaire de succession, célébration
1730, Not. Goll (Jean Elie, répertoire 65 Not 42) n° 9
Johann Artzner, Fischer, und Salome Grohbergerin
Copia der Heuraths Verschreibung – zwischen dem Ehrs: und bescheidenen Johann Artznern, Fischer und burgern allhier, weÿl. Johann Georg Artzners, geweßenen Fischers und burgers allhier hinterlaßenem ehelichem Sohn, alß Bräuttigamb ahne einem, und der Ehrsamen Salome Grobergerin, weÿl. Joh: Phil: Grobergers, gewesenen leinenwebers und burgers allhier hinterlaßener ehelichen tochter, alß brauth andern theils – So geschehen Straßburg Donnerstags den 9. Novembris 1730. Johann Elias Goll

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 217-v, n° 1236)
Anno 1730. den 22 Nov. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Artzner der Ledige fischer Weÿland Johann Georg Artzner deß burgers und fischers alhie hinderlaßener ehelicher Sohn und Salome weÿland Johann Philipp Groberger deß gewesenen burgers und leinenwebers alhie hinderlaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Ziechen des Hochzeiters, Zeichen der Hochzeiterin (i 222)

Testament par lequel Jean Artzner institue pour héritière sa mère pour la part légitime et sa veuve pour le reste de sa succession
1736 (10.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 411
Testament – Persönlich erschienen der Ehrenhaffte und bescheidene Johannes Artzner, Fischkäuffern, und die tugendsahme frau Maria Salome gebohrne Grohbergerin beede Eheleuth und burgere alhier Zu Straßburg von der Gnade Gottes auffrecht, gesunden gehend und stehenden Leiber
Dritten, weilen die Institutio hæredum oder Einsetz und benennung der Erben eines Jed. in rechten beständigen testaments fürnembstes fundament und grundveste ist (…) so will Er auf solchen fall zu seinen wahren und ungezweiffelt Erben hiemit instituirt haben Fr. Margaretham Artznerin gebohrne Edelin weÿl. hannß Georg Artzners gewesenen fischhandlers und burg. alh. nachgel. wittib seine leibl. Mutter jedoch nur in legitimam oder pflichttheil, in den überrest aber, oder da ged. seine Mutter auf seinen tod nicht in Leben seÿn würde, in sene völlige verlaßenschafft alldiejeniger welche seine Ehefrau Maria Salome gebohrne Grohnergerin die mit testirerein auch Zu ihren Erben dereinsten Verlaßen wird
Sie die Ehefrau (…) Fr. Maria Salome Pfahlerin gebohrne heckenauerin, weÿl. Johann Michel Pfahlers gewes. Leinenweber u. burg. alh. nach tod verl. wittib jedeoch ebenfalls nur in die Legitimam oder pflichttheil, in den überrest aber ihrer Verlaßenschafft aber alle diejenige, welche obbesagter ihr Ehemann auch zu seinen Erben verlaßen wird
Sambstags den 10. Martÿ A° 1736 [unterzeichnet] IA ; +

Salomé Grohberger fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 150 livres
1738 ( 6.6.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 14) n° 199
Inventarium über die Jenige Haabe undt Nahrung so frau Salome Artznerin, gebohrene Grohbergerin des Ehrs. Joh: Artzners, fischers vndt burgers allhier Ehefr. zu gedachtem Ihrem Ehemann vor Ohnv: in den Ehestand gebracht, Auffgerichtet Anno 1738. – in Ihrem coram Not. Joh: Eliæ Gollen unterm 9. des Monats Nov. 1730. auffgerichteten Ehe Pacten §° 3.tio vor ohnverändert sich Reserviret und vorbehalten hat (…) So beschehen allhier in der Koeniglichen Freÿ Statt Straßb. Freÿtags den 6. des Monats Junÿ A° 1738.
In einer allhier Zu Straßb. ahne dem Schiffleut-Stad. gelegenen in denen Badenisch.* Erbs Interessenten eÿgenthümblichen Zuständig. Behaußung, alß volget befundet
Norma hujus inventarii, Sa. Hausraths 49 lb, Sa. Silbers 18 lb, Sa. Goldenen Ringe 8 lb, Sa. Baarschafft 75 lb, Summa summarum 150 lb

Jean Artzner meurt sans postérité en 1738. L’inventaire est dressé dans la maison Lux quai des bateliers. La masse propre à la veuve est de 118 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 85 livres, le passif à 199 livres
1738 (7.8.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 14) n° 205
Inventarium über Weÿl. Mr Johannes Artzners, geweßenen Fischers undt burgers zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet Anno 1738. – nach Seinem dienstags den 29.ten rückgelegten Monats Julii 1738. fortlauffenden 1738. Jahrs genommenen tödlichen hintritt, hinter Ihme zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf geschehenes ansuchen, Erfordern undt Begehren, sowohlen der dißorths Erben alß auch der Wittib, beeder hernacher gemeldet, ahne hieunten gesetzten Dato Ordnungs mäßig invenirt, vorgenommen und ersuchet, durch die viel Ehr und tugend begabte Frau Mariam Salome Artznerin gebohrne Grohbergerin, die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt deß Ehrengeachten H Joh: Heinrich Burckhard des Schneidern undt burgers Zu Straßburg (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßb. Donnerstags den 7.t des Monats Aug. A° Dni 1738.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato In Ermanglung Descenenten zu Erben Verlaßen Nahmentlichen die viel Ehr undt tugendsame Fr. Maria Marg: Artznerin gebohrne Ötelin weÿl. Mr Joh: Georg Artzners, geweßenen fischers undt burgers allhier zu Straßburg nachgelaßene wittib, alß des abgeleibten eheleiblichen seel. eheleibliche Mutter, welche mit beÿstandt deß Ehrs. Mr Joh. fried: Ötels des Kammachers und burgers alhier Zu Straßburg, Ihres eheleiblichen bruders und geschwornenn vogten

In einer ahne dem Schiff leut staaden Gelegenen denen Luxischen erbs Interessenten eÿgenthümlichen zuständigen behaußung befunden hat, wie volget
Ane Höltzen und Schreinwerck, In dem Cämmerlin, Auff dem Altan, In der Stub Cammer, In der Wohn Stuben, In der Kuchen
Schiff und geschirr Zum Fischer Handwerck gehörig
Ergäntzung des Wittib abgegangenen ohnv. Vermögens, Nach Anleitung deß über der Wittib zu dem den verst. seel. vor ohnv. in den Ehest. gebrachten Vermögen vor unterschri. Not. unterm 6. Junÿ 1738 auffgerichteten Inv:
Norma hujus inventarÿ. Copia der Eheberedung coram Not Joh: Elie Gollen auffgerichteter Heuraths verschreibung. Der Wittib ohnv, Vermögen, Sa. Hausrath 10 lb, Sa. Silbers 6 lb, Sa. Gold. Rings 1 lb, Sa. Schuldt 20 lb, Ergäntzung 80 lb, Summa summarum 118 lb
Dießemnach wird die überige samtliche Verl. wegen dem obhandenen Schulden last unter einem Titul alß der Erbin ohnv: und T: inventiret, Sa. hausraths 59 lb, Sa. Schiff und gesch. zum fischer handwerck 7 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. Schulden 14 lb, Summa summarum 85 lb – Schulden 199 lb, der Erben ohv. Passiva übersteig. dero Activ Nahrung dem Stall tax nach 114 lb – Conclusio finalis und Stall: Summ 4 lb
Copia der Heuraths Verschreibung (…) So geschehen Straßburg Donnerstags den 9. Novembris 1730. Johann Elias Goll

Gabriel Meyer se remarie avec Marie Salomé Grohberger veuve du marchand de poissons Jean Artzner : contrat de mariage, célébration
1739 (3.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 12
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Gabriel Meÿer, dem Schiffmann, wittiber und burgern allhier Zu Straßburg, als dem bräutigamb, ane einem, So dann der Ehren: und tugendsamen Frauen Maria Salome Artznerin, gebohrner Grohbergerin, weÿland des Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Artzners, des geweßenen Fischkäuffers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlassener Wittib als der Frauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in beÿsein Johann Jacob Meÿers, des Schiffknechrs, des hochzeiters eheleiblichen bruders, auf sein des Bräutigambs, So dann auf ihr der frauen hochzeiterin Seithen Johann Caspar Endries ehemaligen Becken, beeder burgere allhier, als von beeden theilen hierzu insonderheit erbettener beÿständer, auf Sambstag den 3. Januarÿ Anno 1739. [unterzeichnet] CM des bräutigambs handzeichen, MSA der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 87, n° 5)
aô 1739. den 4. Februarÿ Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dominica septuagesima et sexagesima in der Kirch Zu S Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Gabriel Meÿer der Schiffmann wittwer und burger allhier und Fr. Maria Salome, Weÿl. Johann Artzners deß Fischkäuffers und burgers allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] GM, des Hochzeiters Zeichen, + der Hochzeiterin eichen (i 89)

Salomé Grohbergerin fait son testament en 1757
1757 (6.2.), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Testament – auff Donnerstag den 6. Monats tag Februarÿ Vormittag zwischen Neun und Zehn Uhren in einer allhier Zu Straßburg ane der Goldschmidtgaß gelegenen H. Cladi dem Zuckerbeck und burger allhier eigenthümlich zuständigen, Von mir Notario lehnungsweiße besitzenden behaußung auf dem Zweÿten stock befindlichen mit denen fenstern auf den Neuen Marck aussehenden Schreibstuben, Vor mir (…) Persönlich erschienen die Tugendsamen Frau Maria Salome Grohbergerin H. Gabriel Meyer des Schiffmanns und burgers allhier fraw Eheliebstin, aufrecht, gesund gehend und stehenden Leibs (…) – [unterzeichnet] +

Gabriel Meyer meurt en 1771 en délaissant deux enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans sa maison à la Krutenau près du pont Sante-Catherine. La masse propre à la veuve est de 313 livres, celle des héritiers de 779 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 079 livres et le passif à 1 705 livres.
1771 (21.10.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 415) n° 1244
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Gabriel Meÿer, des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1771 – ndahdeme derselbe Freÿtags den 11. dießes Monats Octobris dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem seeligen absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Mariä Salome Meÿerin gebohrner Grohbergerin der hinterbliebenen Wittib, mit assistentz des Wohl Edlen Großachtbahr und Rechtsgelehrten herrn Johann Daniel Saltzmann Notarÿ jurati publici und berühmten Practci Ihres erbettenen herrn beÿstands, wie auch des selig verstorbenen in erster Ehe ehelich erzielhter Tochter und Enckel als deßelben per Testamentum nachgelaßener Erben auch respectivé deren Ehevogts und geschwornenr Vögte (…) ingleichem Friderich Daniel Mauderer den Schiffer und Frau Mariam Salome gebohrner Grohbergerin, beede Eheleuth und burgere allhier der Wittib nahe anverwanthe, Welche in der Sterb behaußung wohnen (…) So geschehen in Straßburg auf Montag den 21.. Octobris et sequentibus Anno 1781.
Der seelig verstorbene hat Zu seinen Erben per Testamentum verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Margaretham Salome Schneiderin gebohrner Meÿerin Hern Johann Adam Schneider, des Schuemachers und burgers allhier Ehegattin, Welche mit beÿhilff gedachten Ihres Ehevogts in Persohn dem geschäfft abwartete, dieße allein In die Legitimam oder den dritten theil eines Zweÿten Stammtheils, In die übrige Zween dritte theil solchen Zweÿten Stammtheils aber deroselben ehelich erziehlte nach tod hinterlaßende Kinder, deren anjetzo mit besagtem Ihrem Ehemann ehelich erziehlt Fünff im Leben, mit Nahmen 1° Jungfer Mariam Salome, 2° Jungfer Annam Mariam, 3° Johann Daniel, 4° Johann Friderich und 5° Johannem die Schneider, denen zu einem Vogt sich freÿwillig dargestelt Herr Johann Georg Wagner, der Schumacher und burger allhier (…)
So dann 2.do weÿland Herrn Gabriel Meÿers, des Jüngern geweßenen Schiff: und Steurmann auch burgers allhier nunmehr seeligen hinterlassene, mit Frauen Maria Salome gebohrner von Zabern, seiner hinterbliebenen dermahlen ane Herrn Simon Häß den auch Schiff: und Steurmann und burgern allhier verheuratheten Wittib ehelich erziete noch Lebende dreÿ Kinder, Nahmenlich 1° Jungfer Mariam Salome, 2° Jungfer Mariam Elisabetham, 3° Jungfer Margaretham Sophiam die Meÿerin, diese In den Völligen Zweÿten und Letztern Stammtheil, deren geschwornenn Vogt ist vorgedachter Herr Johann Adam Schneidern der Schumacher und burger allhier, weilen aber derselbe hiebeÿ uxorio nomine selbsten interessirt, als hat sich ane deßen statt Zu einem Theilvogt freÿwillig dargestelt Herr Johann Riebel der geschwornene Holtzleger und burger allhier (…). Also alle der Abgelebten seeligen in Erster Ehe mit Weÿland Frauen Maria Salome gebohrner Braunin seeligen ehelich erziehlte Tochter und Enckel und per Testamentum nachgelaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Catharinen bruck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach eingetragenen behaußung befuden worden wie folgt.
(f° 9) Eigenthum ane einer Behausung (T.) Nemblichen eine behaußung ane der Vorstatt Krautenau ane der Catharinen bruck (…)
(f° 12-v) Ergäntzung der Wittib angegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, durch mich Notarium in Anno 1742. auffgerichtetet
(f° 16-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli – Copia Testamentum nuncupativi
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Schulden 25, Erg. Rest 283, Summa summarum 313 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung und Weißengezeugs 17, Erg. Rest 888, Summa summarum 906 lb- Schulden 127 lb, Detrahendo verbleiben 779 lb
Endlichen Wird nun auch das Gemein verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. haußraths 178, Sa. Schiff und geschirr Zur Schiffarth gehörig 190, Sa. Brennholtzes und Wellen 223, Sa. Ein und Lährer Faß 134, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 37, Sa. Goldeer Ring und geschmeids 23, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 375n Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 900, Sa. Schulden 16, Summa summarum 2079 lb – Schulden 1705, Nach solchem abzug 373 lb
Gantze Verlaßenschafft und Conclusio finalis Inventarÿ 1568 lb – Stall Summ 1508 lb
Wÿdemb Welchen der Abgelebte seeliger von seiner verstorbenen tochter erster Ehe Weÿland Jungfrauen Mariä Barbarä Meÿerin seeligen Mütterlichen Guth ererbt und biß an seinn seeliges Ende genoßen, Inhalt einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen Ersuchung de dato 7. Novembris Anno 1771.
Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe zugelten, so theilbar 302 lb

Gabriel Meyer et Marie Salomé Grohberger vendent la maison au tonnelier Jean Hügel et à sa femme Anne Marie Meyer moyennant 975 livres

1751 (11.10.), Chambre des Contrats, vol. 625 n° 500
Gabriel Meÿer der schiffmann und Maria Salomé geb. Grohbergerin
in gegensein Johann Hügel des küblers und Annæ Mariæ geb. Meÿerin mit beÿstand Johann Georg Bader des haupt kandten beÿ E. E. Zunfft der becker und Johann Caspar Otterbein des haffners beede ihrer vettern
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ohnfern dem Roosen: crantz, einseit neben den adelischen Löwischen erben, anderseit neben Balthasar auff der Bruck des schuhmachers wittib, Abraham Fr. Rischin geb. Irßlingerin – als ein theils am 9 Mertz 1748 erkaufft theils ererbtes guth – um 175 pfund, 175 pfund und 150 pfund verhafftet, geschehen um 475 pfund

Fils de tonnelier, Jean Hügel entre en apprentissage en 1729 chez Jean Jacques Deubler. Il passe en 1730 chez Philippe Jacques Haichel chez qui il le termine en 1732
1729, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 230-v) Dienstags den 3.ten Maÿ 1729 – Mstr Hannß Jacob Deübler Sen: der Kübler unndt burger allhier nimbt vermög scheins vom 4.ten april 1729 Zum Lehrjungen an Johannes Hügel weÿl. Joh: Hügels deß geweßenen burgers und Kieffers hinterbliebenen Ehelichen Sohn, umb ihme von gesetztem 4.ten april an auff dreÿ nacheinander folgende Jahr daß Kübler handtwerckh Zu Lehren, vor Lehr Geldt ist Verglichen 40 Guldten und der frawen dreÿ Gulden pro discretione, de helffte soll gleich, der Rest aber nach geendigter Lehrzeit erlegt werden, deß Jungen bürgen seÿndt Geörg Samuel Mosseder der Kieffer unndt H Johann Joachim Fischer der biersieder,welche gelobt wie gebührlich D. p. inscriptione 10 ß et pro Zunfftschreiber et Büttel 2 ß 6 d

(f° 255) Dienstags den 14.t Martÿ 1730 – Mstr Philipp Jacob Haichel der Kübler stehet vor mit Johann Hügel, den beÿ mstr Joh: Jacob Deübler Sen. geweßenen Lehrjungen, mit vermeldten, daß er selbigen das handwerck vollendts außlehren wolle, die Lehrzeit aber soll von dato biß d. 4.ten Aprilis 1732. gerechnet und vermög scheins der Obern handwerckh herren auff besagten 4 lb Aprilis geendiget worden, vor das Lehrgelt ist accordirt worden 33 gulten und der frauen pro discretione 3 fl.worvon die helffte gleich die andere helfte aber beÿ geendigter Lehrzeit Zu Zahlen deßen bürgen seÿnd Joh: Friderich Barbenes der Kupfferschmidt und H Joh: Joachim Fischer dt. 2 ß 6 d pro inscriptione.

(f° 300) Dienstags den 17. Junÿ 1732 – Mstr Philipp Jacob Haickel der Kübler stellet vor Johann Hügel seinen ad contiuandum gehabten Lehrjungen bitt außthuung. Erkandt soll Looßseÿen, dt. 10 ß und Zum protocoll 2 ß d

Jean Hügel s’inscrit en août 1743 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente en septembre. Les examinateurs relèvent quelques défauts mais sont satisfaits du candidat qui devient maître
(f° 447) Dienstags d. 6. aug. 1743 – Johannes Hügel der ledige Kübler, bittet ihme so baldt der platz Lähr seÿn wirdt das meisterstück Zu machen. Erkandt wann Johannes Lobstein fertig, solle ihme solches erlaubt seÿn, gabe anbeÿ fernern werckstatt Zinnß 30 ß d et pro protoc. 2 ß 6 d. zum meisterstück

(f° 448-v) Freÿtags d. 13. 7.bris 1743 – ist Johann Hügels des ledigen Küblers verertigtes mstrstück besichtiget und von den Hh Schauern referirt worden, das die bütt durch die handthaben Löcher Zu lang, auch unten über Eck sich em schnitzer rucks* Zu lang befände, item hätte 3 kleine einfugen daselbsten auch wären im boden ein einfügel sonsten ware Sie Sauber außgearbeithet, wid. den Eÿmer undt Gölt wäre nichts einzuwenden, weßhalben Er vor ein mstr Erkandt und auch von H. obmann Confirmirt worden.

Fils de Jean Hügel et de Marie Salomé Fischer, Jean Hügel épouse en 1745 Anne Marie Meyer, fille du cordonnier Nicolas Meyer et de Marguerite Rasp : contrat de mariage, célébration
1745 (6.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 225
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Hügel, leedigem Kübler, weÿland des Ehrengeachten Meister Johann Hügels, geweßten burgers und Küffers allhier seel. mit der tugendsamen Fr. Maria Salome gebohrner Fischerin deßen hinderlaßener Wittib ehelich erziehltem Sohn als dem hochzeiter ane einem
So dann weÿl. des Ehrengeachten Meister Niclauß Meÿers gewesenen Schuemachers und burgers allhier mit auch weÿland der tugendsamen frauen Margaretha gebohrner Raspin beeder längst seel. ehelich erzeugter tochter, Nahmens Anna Maria Meÿerin, als der hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen (…) auff Donnerstags den 6. Maji 1745 [unterzeichnet] Johannes Hügel als hochzeiter, + der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 177)
1745. die eodem [Mittw. 23. Jun.] wurd. nach 2.mahl. ordent. proclamation beÿ uns, Zu Mundolsh. copulirt Johannes Hügel, lediger Kübler u. b. h. l. weÿl. Joh: Hügel gew.Kiefern u. b. h. l. nachgel. sohn u. Anna Maria weÿl. Niclaus Meÿer gew. schuhm. u. b. h. l. nachgelaßene tochter (i 18, Mundolsheim, registre en déficit1

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Charpentiers qui appartient à la mère du mari. Ceux du mari s’élèvent à 151 livres, ceux de la femme à 291 livres.
1746 (26.7.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 86) n° 733
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Hügels, Küblers wie auch der Ehren und tugendsamen fr. Annä Mariä gebohrner Meÿerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier einander in die Ehe Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1745. – und in Ihrer den 6. Maÿ disese lauffend 1745. Jahrs Vor mir Notario mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 4.to sich vor ohnverändert vorbehalten haben, (…) So beschehen Zu Straßburg in beÿseÿn und Persönl. gegenwarth des Ehren und vorgeachten Mr Johann Caspar Otterbein, haffner und burgers allhier der Ehefr. hierzu erbettenen beÿstandts auf Montag den 26.ten Julÿ Anno 1745.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß des Ehemanns ehel. Mutter wie derselbe hiebeÿ anzeigte Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Ehemanns Zugebrachte Mittel, Sa. Silbers 19, Sa. Capitalien 107, Summa summarum 127 lb – Wann nun hierzu gerechnet werden die ane denen haussteuren Ihme gebührige Zwen dritte theil ertragen 24 lb, So belauffet sich sein des Ehemanns Völlige in die Ehe gebrachte Nahrung auff 151 lb
Dießem nach wird auch der Ehefrau in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 101, Sa. Silbers 20, Sa. Goldenen Ring 14, Sa. der baarschafft 29, Sa. Capitalien 113, Summa summarum 279 lb – Deme beÿzufügen die ane den haussteuren gebührige tertz anlangend 12 lb, Welchem nach der Ehefrauen gesamtes in die Ehe gebrachtes Guth, auff 291 lb

Jean Hügel loue une partie de la maison au cordonnier Jean Mahlfurth

1755 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 76
Johannes Hügel der kübler
in gegensein Johann Malfort des schuhmachers [unterzeichnet] Mahlfurdt
entlehnt, in seiner ane der Pergementergaß unten am Roßencrantz gelegenen behausung, unten auf dem boden ein lädel, darunter einen unterschlagegen keller, auf dem 1. stock eine stub und stubkammer nebst zweÿ anderen kammer – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Annunciationis Mariæ anfangend um einen jährlichen Zinß nemlich 18 pfund

Jean Hügel hypothèque la maison au profit du cordonnier Jean Egelus

1756 (30.4.), Chambre des Contrats, vol. 630 f° 111
Johannes Hügel der kübler
in gegensein Johannes Egulus des schuhmachers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Pergamenergaß, einseit neben den adelischen Löwischen erben, anderseit neben der Bruckerischen wittib, hinten auff Fr Rischin

Jean Hügel loue une partie de la maison au dégraisseur Philippe Herth

1757 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 200
Johannes Hügel der kübler
in gegensein Philipp Härth des seidenwaschers
entlehnt, in seiner ane dem Roßencrantz gelegenen behausung den gantzen zweÿten stock, ein unterschlagenes kellerlein nebst dem darüber befindlichen bühn und den gemeinschafftlichen gebrauch der übrigen bühnen – auff 6 nacheinander folgenden jahren, von bevorstehenden Michaelis anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Jean Hügel hypothèque la maison au profit du cordonnier Jean Mahlfurth

1767 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 n° 427
Johann Hügel der kübler
in gegensein Johann Mahlfert des schmumachers – schuldig seÿen 150 pfund [unterzeichnet] Mahlfürdt
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Pergamenergaß ohnfern dem Roßen crantz, einseit neben adelische von Joham, anderseit neben Philipp Hart dem seidenstrumpfmacher, hinten auff die Le Richeischen erben

Jean Hügel est cité à comparaître au conseil des Fribourgeois pour avoir transmis un certificat d’hébergement non-conforme. Il déclare ne pas l’avoir écrit ni logé les personnes citéés mais que l’étudiant Joseph Lebrun a faussement écrit son nom. Le conseil renvoie l’affaire à la chambre de police.

1770, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 399-v) Dienstags den 25. mensis Septembris in Anno 1770 – Johannes Hügel der Kübler in der Judengaß allhier wohnhaft, citiert ex officio daß derselbe 2: Weibs Persohnen von Westhoffen den 6. Maÿ 1770 logiret, aber in dem Ihro Gnadem dem Regirendden Herrn Ammeister derselben überschickten Nacht Zedul das datum undt Jahr Zahl Maßer herr Roth der Statt fourrier solches darauff notiret außgelaßen hat.
Citatus præsens, Sagt Er hatte den Nachtzedul weder geschrieben, noch die Persohnen quæstionis vber Nacht behalten, sondern Joseph Lebrune, der Studiosus hätte solchen Nacht Zedul fälschlich auff seinen Nahmen geschrieben die Leuth aber waren beÿ Einem in seinem Hauß wohnendtem Maurer Gesellen Nahmens Joseph Ernst über Nacht geweßen.
Hierauff Erkandt worden, Seÿe diese Sache ahne Ein Löblich Policeÿ Gericht Zu verweißen.

Jean Hügel meurt en 1775 en délaissant pour héritière testamentaire Catherine Vogel femme du chirurgien Georges Philippe Clausing qui renonce à la succession. Les experts estiment la maison 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 421 livres, le passif à 1 165 livres.

1775 (9.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 419) n° 1312
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Hügels des geweßenen Küblers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1775 – nach deme derselbe Freÿtags den 13. Januarÿÿ dießes lauffenden 1775 Jahres dieses zeitliche mit dem Ewigen verwechselt nach solch seinem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Annä Mariä Hügelin gebohrner Meÿerin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehren und wohlvorachtbahren Herrn Johann Jacob Roß des Schuhmachers und burgers allhier Ihres hierzu erbettennen beÿstands wie auch der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Catharina Clausingin gebohrner Vogelin des Ehrenvest und Kunsterfahrnen herrn Georg Philipp Clausing des Chirurgi und Burgers allhier Frauen Eheliebstin des seelig verstorbenen per Testamentum instituirter Beneficial Erbin, mit assistentz gedachten Ihres Eheherrn (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 9. Februarÿ Anno 1775

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem Roßen Crantz gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Neml. 1. Behaußung höffl. u. hoffstatt samt bronnen mit alle übrigen deroselben Gebäuen begriffen Weithen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane der Pergamenter gaß ohnfern der Roßen Crantz 1.s neben Mstr Joseph Fremicourt dem Schreiner 2. s. neben N Herr dem Seidenwascher hinten auf H. Joh: Kaspar Löw den bierbrauer Zum Roßencrantz stoßend so vor freÿ ledig und eigen dh. (die Werckmeistere) vermög überschickter schrifftlcih. Abschatzung vom 8. febr: 1775. angeschlagen pro 400. Darüber besagt 1. teutsch. perg. Kfbr. in allhieß. C. C. Stub gefertigt Mit dero anhang. Insiegel corroborirt de dato 11. 8.bris 1751.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuth einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrung durch weÿland Herrn Notarium Johann Daniel Lang seeligen in Anno 1745. auffgerichtet
Bericht und Respectivé Vergleich wegen dießer Verlaßenschafft. Zuwißen seÿe hiemit, nach deme gegenwärtige Verlaßenschafft völlig inventirt gewesen und aus dem darüber gezogenen Calculo sich hervorgethan, daß des Verstorbenen seeligen gesampte ohnverändert und theilbare Activ Massa von denen Zu bezahlen habenden Passiv Schulden mit Einbegriff der Wittib Zuerfordern habender Ergäntzung dem Stalltax nach übertroffen werde umb 743. lb, dergestalten, daß, wann gleich auf die vorhandene sehr wenige Mobilien die Beßerung auf dem höchsten Werth beÿgesetzt und die behaußung durch vornehmende Versteigerung auf den höchsten Preiß gebracht werden solte, jedannoch Keine Erbschafft ausfallen würde, als hat des Defuncti per Testamentum instituirte Erbin (…) sich erkläret, daß Sie dieße Erbschafft gäntzlichen abandoniren und darauff tam active quam passive renunciren und verzug thun (…) So beschehen in Straßburg den 9. Februarÿ Anno 1775.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung. Copia Testamenti nuncupativi
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 12, Erg. Rest 242. Summa summarum 255
Dießemnach Wird nun auch der Erbin ohnverändert und theilbar Nahrung unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 21, Sa. Werckzeugs Zum Kübler handwerck gehörig 7 ß, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 400, Summa summarum 421 lb – Schulden 1165 lb, In Vergleichung, passiv onus 743 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 255 lb – Mehr Schulden als Nahrung dem Stall tax nach 488 lb
Abschatzung Vom 8 febÿ 1775. Auff begehren Weil. Johannes Higell des gewesenen Kiblers hinder Lasener Frau witib und erben ist Eine behausung alhie in der Statt Straßburg in der Juden gas gelegen Ein seits Neben Joseph Frimegur dem Schneider ander seits Neben H Hartt dem Seidenwescher und hienden auff Joh Kaspar löb dem biersieder Stosend Gelegen Solche behausung besteht in Vier Stuben Vier Kichen und Vier Kammern der jber ist der dach Stuhl mit breitzilein belegt hat auch ein getrembter Keller Kleinen hoff und brunen. Von uns unterschriebene der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister nach vorhero geschehen besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Acht Hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Hueber

La veuve Anne Marguerite Meyer meurt en 1788 après avoir institué pour héritière Catherine Salomé Roos femme du cordonnier Martin Stoll. Les experts estiment la maison 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 874 livres, le passif à 424 livres.

1788 (27. 8.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 664
Inventarium über Weiland Fraun Annä Margarethä Hügelin, gebohrner Meÿerin auch weÿl. Meister Johannes Hügel, des gewesenen Kublers u. brs. allhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1788 – nach ihrem d. 9.t 8.br jüngst aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt verlaßen hat, Welche Succession auf gebührendes Ansuchen u. begehren Frau Catharinä Salome Stollin, gebohrner Roßin Mr Martin Stoll des Schumachers u. brs. allhier jetzmaliger Ehefrau als zufolg Testamenti Nuncupativi instituirter und verlaßener Universal Erbin, inventirt und ersucht worden (…) declarirte dieselbe daß die Verstorbene bei ihr schon seit verschiednen Jahren her in Kost und Verpflegung gewesen und nichts an Mobilien hinterlaßen habe, auch seÿe dero Kleidung so alt und gering den armen ausgetheilt (…) So geschehen Straßburg Montags den 27. Octobris Anno 1778.
Copia des von der Abgeleibten vor weil. H. Notario Johann Friedrich Lobstein gestiffteten Testaments

Eigenthum an einer behausung. Neml. I. Behausung, Höflein u. Hoffstatt samt einem brunnen mit allen dero Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten u. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg an der Pergamener Gaß ohnfern dem Rosen Crantz 1.s. neben H. Harr dem Seidenwäscher, 2.s. neben Mr Joseph fremicourt dem Schneider hinten auf weil. H. Johann Caspar Löw gew. bierbrauers Zum Rosencranz Wb. u. Erben Ziehend, so über hernach folgende Passiv Capitalien u. die gewohnliche beschwerden ledig u. eigen. Es wurde aber diese behh. s. Zugehörd durch (die Werckmeistere) ausweislich deren Zu diesem Concept übergebener Abschatzung vom 30. 8.br 1788 taxirt pro 450. Hierüber besagt i. deutsch. perg. Kbr. in allhies. C. C. Stb. gefertigten sub dato 11. Octobris. A° 1751
Sa. Eigenthums ane einer behausung 450 lb – Sa. Schulden aus der Verlaßenschafft zu bezahlend 874 lb, Mehr schulden dan Guth 424 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (450 livres) sur un total de 900 florins
1788 (11. Junii), Livres de la Taille (VII 1181), f° 63-v
Ancker N° 1173 – Weÿland Fr. Mariä Salome gebohrner Grohbergerin weiland Gabriel Meÿer, des gewesenen Schifmans und burgers alhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschaft inventirt Hr Not. Saltzman.
Concl. fin: Invent; ist fol 29. dem wahren werth nach 21. lb 18 ß 3 d, darzugelegt der lebtägig geweßene Wÿdem fol. 41. anlangen 464 lb 13 ß 6 1/6 d macht Zusammen 486 lb 11 ß 6 1/6 d dieß thun 900 fl. verstallte 200 fl. also Zuwenig 700 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 2 lb 2 ß – 16 lb 16 ß
Und Sechs Jahr in simplo à 1 lb 1 ß d – 6 lb 6 ß
Ext: Stallgelt pro 1786. 1787. et 1788. à 6 ß – 18 ß
Gebott – 3 ß 10 d
Abhandlung – 16 ß, Summa 24 lb 19 ß 10 d
Besag Erkandtnus derer Hoch: und Wohlverordneten Herren Obern Stall Herren vom 14. Aprilis 1788. ist der samtliche Nachtrag auf 7 lb 10 ß d moderirt worden, gehet dahero ab 15 lb 12 ß. Restiret 9 lb 7 ß 10 d
dt. 11. Junii 1788.

Les Quinze autorisent Martin Stoll à présenter son chef d’œuvre avant la fin de l’année malgré le règlement
1775, Protocole des Quinze (2 R 186)
(p. 563) Sambstag den 18.ten Novembris 1775. – Idem [Wilhelm] nôe Martin Stoll des schuhknechts Von Hördt C. E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister prod. unterth. Memoriale und Bitten samt beÿl. N° 1 umb gnädiger Zulaßung noch dieses jahr das Meisterstück Zu verfertigen. Claus der Zunfftmstr gegenwärtig setzt gegentheilig petitum Zu Ew: Gn: bitt aber refusionem expensarum.
Erkandt, Wird der Implorant dispensando von der ordnung gegen ersetzung der uncosten und Erlag Ein pfund Zehen schilling Implorarischer Zunft allein heimbfällig annoch gegenwärtigem jahr Zu Verfertigung des Meisterstücks gelaßen.

Originaire de Hœrdt, le cordonnier Martin Stoll épouse en 1776 Catherine Salomé Roos, fille du cordonnier Jean Jacques Roos : contrat de mariage, célébration
1775 (25.9.), Not. Schatz (6 E 41, 1302) n° 21
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Martin Stoll, leediger Schuhmacher Von Hördt gebürtig Martin Stoll, des Burgers und Ackersmanns daselbst mit weil. Frauen Anna Maria gebohrner Briefin ehelich erzeugter Sohn, beyständl. Hn Joh: Daniel Gebhard des Schuhmacher Meisters und Burgers dahier, als Hochzeiter ane einem
Sodann die Ehr und Tugendreiche Jgfr. Catharina Salome Rooßin Hn Joh: Jacob Rooßen des Schuhmacher Meisters und bs. hieselbsten mit weÿl. Fr. Margaretha gebohrner Meÿerin ehelich erziehlte Tochter unter assistentz erstged. ihres Leibl. Vaters, als Hochzeiterin, ane dem danern Theil
So geschehen Straßburg auf Montag den 25. Septembris Anno 1775 [unterzeichnet] Martin Stoll Als Hochzeiter, Catharina Sallomea Roosin als braut

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 15, n° 29)
Im Jare 1776, Dienstag den 30. Januarÿ sind nach vorhergegangener zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausruffung Zu St. Thomas und Zum Jungen S Peter in der Stiffts Kirche Zu St. Thomæ auf erlaubnus der Herren Ober Kirchenpflegers ehelich copulirt und eingesegnet worden Martin Stoll, der ledige Schuhmacher, Martin Stoll des Ackersmanns und burgers Zu Hört ehelicher Sohn und Jungfrau Catharina Salome Rosin Johann Jacob Ros des Schuhmachers und burgers allhier eheliche Tochter,[unterzeichnet] Martin Stoll alls Hochzeiter, Carina Salome Roosin alls hohzeiterin (i 18)

Martin Stoll devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage. Le registre d’inscription le dit originaire de Wœrth mais le registre de traitement des demandes porte bien Hœrdt
1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 145
Martin Stoll der Schuhmacher von wörth gebürtig, erhalt das Burger Recht von seiner Ehefrauen Catharina Salome Joh: Jacob Rooß des Schuhmachers und burgers allhier ehel. Tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E =. E. Zunfft der Schumacher Jur. den 3.ten febr. 1776.

(VI 286 bis, p. 305) schuhmacher. N° 7. de, 24.ten januar. 1776.
Martin stoll der Ledige schuhmacher Meister Von Hördt, Martin stoll gewesenen schneiders daselbst ehelicher sohn Verlobt an jfr. Cath. Salome joh. jacob Rooß des Hiesigen burgers und schuhmachers eheliche tochter.
Dieser Producirrt Nöthiger schein, aus welchen essen eheliche geburth augs. Conf. beÿpflichtend ersichtig, wie auch das bede Verlobte auf Löbl. statt stall Vermög der ordnung gehöriger Præstanda Præstirt, und der Sponsus des Zunfft rechts beÿ E. E. Zunfft der schuhmacher Vertröstet seÿe.
3500 fl. baarschafft Hat implor. als ein Zu dem burger recht bekräfftiget, auch 100 fl. Zu bestreitung des Burger schillings ad Prot. Deponirt, Euen gnaden unterthänigst bitten demselben gerührten ihnen a Sponâ um den alten burger schilling in das burger recht gnädigst Zu Recipiren.
Receptus a Sponsa um den A. B. schilling

Déclaration par laquelle le tailleur de Pierre Gaspard Flasshoff renonce à sa qualité d’héritier universel de Catherine Salomé Roos

1789 (26. 8.bris), Not. Stoeber (6 E 41, 1257) n° 729
Declaratio über Weiland Fraun Catharinæ Salome Stollin gebohrner Roosin, Meister Martin Stoll, des Schumachers und Brs. allhier gewesener Ehefrau Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1789. – den 3.t Septembris diesen Jahres mit tod abgegangen, und in ihrem vor mir Not° und sieben Zeugen Notario den 15. Augst 1789. gestiffteten testament §° 7.mo Meister Peter Caspar Flaßhoff, den Schneider und b. allhier zum Universal Erb instituirt hat, daß an Zu End gemeltem tag erst besagter Meister Peter Caspar Flaßhoff vor mir unterschriebenem Notario persönlich erschienen, welcher in Gegenseÿn des hinterbliebenen Wbers freiwillig anzeigte, daß er nach reifer Untersuchung und mit vorbedacht auf das ihme Von der Verstorbenen Zugedachte Erbrecht Zu gunsten des Wbers ein für alle mal Verzicht thue (…) Straßburg Montags den 26. Octobris 1789.
Auslieferung der Legaten. Jungfer Sophiam Dorotheam Wilhelm, Frau. Maria Magdalena Gäcklerin geborener Großin, Abraham Gäckers des burgers und Meßerschmidts zu Bischweiler Ehefrau, Catharina Salome Flaßhoffin, Fr. Evä Stollin der ledigen Diebold Stoll des ackersmanns zu hört Tochter

Martin Stoll meurt en 1799 en délaissant des héritiers collatéraux. L’actif de la succession s’élève à 6 176 francs, le passif à 2 427 francs.

1800 (28 germ. 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Not. Dinckel n° 684
Inventarium über weÿl. des bürgers Martin Stoll gewesten Schumachers Verlaßenschafft den 18 frimair jüngst verstorben, auf ansuchen 1. weÿl. Jacob Stoll Martins Sohns des defuncti vollbändigen bruders hinterlassenen 7 Kinder mit Nahmen a) Martin Stoll großjährigen alters und dermalen sich in der Republick Kriegs diensten befindend, b) Maria Stoll auch großjährigen alters und ledigen Standtes, c) Anna Maria Stoll ebenfalls großjährigen alters und ledigen Standes, d) Diebold Stoll gleicherweise mehrjährigen alters und in der Republik Kriegs diensten stehend, e) Rosina Stoll 20. jährigen alters, f) Eva Catharina Stoll ungefehr 16 jährigen alters und g) Anna Maria Stoll 13 Jahr alt,
2. weÿl. Catharina Stoll des diesortigen Erblaßers halbschwester mit Diebold Stoll Jacobs Sohn gleich erzeugte und nachgelaßene 7 Kinder a) Maria Stoll Jacob Grell Ehefrau, b) Catharina Stoll Martin Stoll Diebold Sohns Ehefrau, c) Eva Stoll großjährigen alters und ledigen Standes, d) Anna Stoll ebenfalls mehrjährigen alters und leedigen standes, e) Rosina Stoll gleichweise großjährigen alters und ledigen Standes, f) Eva Catharina Stoll 21.jährigen alters und g) Salome Stoll so 14 Jahr alt,
3. weÿl. Anna Stoll des Defuncti einbändiger Schwester mit Georg Arlen dem Schuemacher erzeugte und nachgelaßene 4 Kinder a) Anna Arlen Georg däfler des jungen ehefrau, b) Georg Arlen beck, c) Maria Arlen großjährigen alters und ledigen Standes, d) Eva Catharina Arlen 19 Jahr alt,
4. Maria Stoll weÿl. Jacob Ottmann des ackersmanns hinterlassenen wittib des Verstorbenen halb-Schwester
5. Diebold Stoll des Erblassers halbbruder so als simpel durch den burger Johannes Brand des ackersmanns desselben Curator

in einer an der Pergamentergaß gelegen mit N° 24 bezeichneten behausung
Eigenthum an einer behausung. Nemlich eine behausung höfflein Gumpbronnen und hoffstatt samt allen den mit allen deren übrigen Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg an der Pergamenter gaß N° 24 einseit neben Joseph Fremicour des Schneiders wittib und Erben anderseit neben dem bu. Heid jäger und hinten auff den bu. Lenz ackersmann – an hauszinnns jährlich erträgt die Wohnung so der verstorbene auf dem ersten stock bewohnt 70 fr, Jene so Joh. Baptist Galliser auf dem zweÿten stock inne hat 72 fr, die welche Johannes Rigaut gartner auf dem boden vornen heraus besteht 72 fr, Und die welche Michael Koppert der Kachler auch auf dem boden im hoff geniest 48 fr zusammen 262 fr., amcht in capital 5240 fr, Diese behausung reichet von weÿl. Anna Margaretha geb. Meyer auch weÿl. Johannes Hügel gewesenen küblers hinterlaßener Wittwe, des Erblaßers verstorbenen Ehefrau tante, von deren sie es laut des durch Notarium Stöber alhier über sotane Verlaßenschafft errichteten Inventarii vom 27. oct. 1788 ererbet, sie die Stollische Ehefrau selbst aber hat zwar durch ihr vor ermelten Notario am 15. Octobris 1789 gestiftetes Testament den bürger Caspar Flaßhoff Schneider dahier zu ihrem Erben eingesetzet, allein da dieser vermög einer am 4. oct. 1789 passirten deklaration auf sotane Erb und Verlaßenschafft förmlich Verzicht geleistet und solche dem damaligen Wittwer und diesorgem Defuncto tam active quam passive überlassen, Übriges besagen auf dieser behaußung zweÿ in der allhiesigen C. C. Stube auffgerichteten Kaufverschreibungen de datis 9. Martÿ 1748 und 11. Octobris 1751
mobiliar mass 936 fr, behausung 5240 fr, summa activa 6176 fr, passiva 2427 fr, Nach deren hinwegrechnung 3748 fr
(vente de meubles n 509, 7 niv. 8)
Enregistrement de Strasbourg, acp 73 F° 114 du 28 ger. 8

Les héritiers vendent la maison au boucher André Frédéric Gross moyennant 3 825 francs

1800 (8 floreal 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Not. Dinckel n° 705
Maria Stoll und Anna Maria Stoll beede ledigen Stands und großjährigen alters, ferner hans Schultz der jung dieser teils als ernannter Curator und teils als vogt Martin, Diebold, Rosina, Eva Catharina und Anna Maria Stoll, alle weÿl. Jacob Stoll Martins Sohns ackersmanns hinterlassenen Kinder, mehr Maria Stoll Jacob Grell Ehefrau, Catharina Stoll Martin Stoll Diebold Sohns Eheweib, Eva, Anna und Rosina Stoll diese dreÿ ledigen Standes und großjährigen alters, wie auch Martin Faullimmel ackersmann als vogt Eva Catharina und Salome der Stoll nächsvorhergemelt 7 aber als weÿl. Catharina Stoll mit Diebold Stoll Jacobs Sohn eheleich erzeugte zurückgelassene Kinder, weiter Anna Arlen Georg Däfler des jungen Ehefrau, Georg Arlen der beck, Maria und Eva Catharina Arlen diese vier als weÿl. Anna Stoll mit Georg Arlen dem Schumacher erzeugte und nachgelaßene Kinder, wovon letztere minderjährigen alters, noch ferner Maria Stoll weÿl. Jacob Ottmann des ackersmanns hinterlassene wittib, so dann Johannes Brand gleichmäßig ackersmanns, letztere in der Eigenschaft als Curator Diebold Stoll so halb simpel, sämtliche aber von Hörd als weÿl. Martin Schott gewesten Schumacher zu Straßburg ihres respective bruder und oheims zu 5 Stammtheilen ohntestirt hinterlassenen Erben
an burger Andreas Friedrich Groß Metzgers
auf vorangegagenen bei dem Friedensrichter des hiesigen 4.t Gerichtsbezirks vorgewesene verschiedene öffentliche Versteigerungen und des daraufhin unterm 11. germinal jüngst beÿ dem Civil Tribunal des Niederrheinischen departement bestatigten Adjudication Procès verbal
eine behausung höfflein Gumpbronnen und hoffstatt samt allen den mit allen deren übrigen zugehörden, weithen, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg an der Pergamenter gaß N° 24, einseit neben Joseph Fremicour des Schneiders wittib und Erben, anderseit neben dem bu. heid jäger und hinten auff den bu. Lenz ackersmann – als ein aus gemelten Martin Stoll Verlaßenschafft erblich anerwachsenes Eigenthumb zuständig – um 3825 franken
Enregistrement, acp 73 F° 155 du 12 flo 8

Inventaire des apports de locataires, le cordonnier Jacques Lang et sa femme Eve Stoll

1800 (11 mess. 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Not. Dinckel n° 793
Inventarium über bürgers Jacob Lang Schumacher und Fraun Eva gebohrner Stoll gegenseitiges Einbringen, die Ehefrau beiständlich des burgers Joh. Bapt. Gallißer buchdruckers – in ihrem am 20. floreal miteinander angetrettenen Ehestand eingebachten Vermögens, vor mir Notario den 11. floreal gemelten Jahrs errichteten Eheberedung
in einer an der Pergamenter gaß gelegen dem bürger Andreas Friedrich Groß Metzger hieselbst gehörig und disorts zum teil lehnungsweiße bewohnenden mit N° 24 bezeichnten behausung
des Manns einbringen, silber 52 fr
der Frau einbringen, hausrath, silber, baarschafft (1400 fr), summa 2320 fr
Enregistrement, acp 74 F° 106 du 13 mess 8

André Frédéric Gross qui habite rue de la Fontaine vend la maison pour 4 000 francs au boulanger Jean Zimmermann et à sa femme Marie Salomé Jost demeurant rue du Foulon

1802 (6 vend. 11), Strasbourg 13 (15), Not. Bremsinger n° 753
burger Andreas Friedrich Gross Wurstmacher an der Pickergaß N° 8
an burger Johannes Zimmermann beck im Stampfgäßlein N° 1 wohnhaft und burgerin Maria Salome geb. Jost
eine behausung höfflein gumpbronnen und hoffstatt samt allen deren mit allen deren übrigen gebäuden, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg an der Pergementergaß ohnfern dem Rosencrantz mit N° 24 bezeichnet einseit neben br. Moll Gastgeber vormals weÿl. Joseph fremicour gewesenen Schneiders Wittib und Erben, anderseit neben br. Nißle dem Gastgeber vormals br. Heid jäger und hinten auff burger Lentz ackersmann – als ein aus Martin Stoll verlassenschafft ersteigtes Guth eigenthümlich zuständig in gefolg Kaufcontrat vor weÿl. Notario Dinckel den 8. floreal 8.t jahr – um 4000 Francken
Enregistrement, acp 85 F° 155-v du 15 vend. 11

Originaire d’Echterdingen en Wurtemberg, Jean Zimmermann épouse en 1797 Marie Salomé Jost, fille du serrurier Jean André Jost
Mariage, Strasbourg (n° 480)
Cejourd’hui 4° Messidor l’an V de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Zimmermann âgé de 25 ans, boulanger, domicilié en cette ville depuis 6 ans, natif d’Echterdingen dans le duché de Wirtemberg, fils de Georges Sébastien Zimmermann, tisserand au sit lieu et de feu Anne Barbe Renz, de l’autre part Marie Salomée Jost, âgée de 24 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de feu Jean André Jost, serrurier, et de Susanne Madeleine Birckler (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 26 octobre 1771 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 24 may 1773 (signé) Johannes Zimmermann, Maria Salome Jostin (i 46)

Le cabaretier Jean Zimmermann meurt en 1833 en délaissant trois enfants
1833 (4.6.), Strasbourg 4 (77), Me Hatt n° 7412
Inventaire de la succession de Jean Zimmermann, cabaretier décédé le 29 mai dernier, en la maison mortuaire place de l’Homme de Fer n° 71 – à la requête de 1. la veuve Salomé Jost, mère et tutrice légale de Jean son fils mineur, 2. Daniel Zimmermann, tonnelier, 3. Marie Salomé Zimmermann femme de Charles Théodore Strohl, débitant de vin, 4. Caroline Zimmermann, célibataire, en présence du Sr Strohl subrogé tuteur – mariés le 4 messidor 5 sans contrat de mariage
meubles 721 fr, comptant 107 fr, dépot 1000 fr, passif 3443 fr, mobilier se trouvant dans une cave rue des Hallebardes 1423 fr, total général mobilier 2144 fr, total de l’actif 3251 fr
Enregistrement, acp 218 F° 31 du 11.6.

Jean Zimmermann et Marie Salomé Jost vendent la maison au boulanger Daniel Kayser et à sa femme Anne Marie Schmitt de Barr moyennant 4 000 francs

1809 (16.10.), Strasbourg 13 (30), Not. Bremsinger n° 4856
Jean Zimmermann boulanger et Marie Salomé née Jost domiciliés rue du Soleil n° 21 précédemment rue foulon n°1
à Daniel Kayser boulanger et Anne Marie née Schmitt domiciliée à Barr rue dite am Veyelthor sous n° 36
la propriété d’une une maison, petite cour, puits avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue des Parcheminiers près de la brasserie au Chapelet sous n° 24, d’un côté le Sr Moll cordeur de bois précédemment la veuve et héritier Joseph Frémicour tailleur d’habits, d’autre le Sr Nisslé cabaretier précédemment Sr Heid chasseur, derrière le Sr Lentz cultivateur – acquis du Sr André Frédéric Gross, chaircuitier, pat contrat passé devant le soussigné notaire le 6 vendemiaire 11 et Dinckel le 8 floreal 8 – y compris cinq fourneaux- moyennant 4000 francs
Enregistrement, acp 113 F° 94 du 17.10.

Fils de boulanger, Daniel Kayser natif de Barr épouse en 1788 Marie Salomé Lauffenburger, fille d’un cultivateur d’Obenheim.
Mariage, Obenheim (luth. p. 147)
1788. Dienstags den 13. des Maÿ: Monaths wurden mit Einwilligung der beiderseitigen Eltern nach Zweÿmaliger Proclamation ehelich eingesegnet Daniel Kayser drr ledige becker von Barr seines Alters 21 Jahr, Daniel Kayser des burgers und beckenmeisters in Barr ehelich erzeugter Sohn, und Maria Salome Lauffenburgerin, weÿl. Mstr Leonhard Lauffenburger des burgers und ackersman alhier ehelich erzeugte ledige Tochter ihres alters 25 Jahr [unterzeichnet] Daniel Kaÿser als Hochzeiter, Maria Salome Lauffenburgerin als hochzeiterin (i 78)

Il se remarie en 1808 avec Anne Marie Schmitt, native de Gertwiller et veuve du boucher Jean Baltzinger
Mariage, Barr (n° 18)
L’an 1808 le 19° jour du mois de juillet (…) sont comparus Daniel Kayser, âgé de 48 ans, né et domicilié en cette ville de Barr, fils majeur de feu Daniel Kayser, en son vivant boulanger audit Barr, y décédé le 27 frimaire de l’an XIII ainsi qu’il est constaté par l’acte de décès, et d’Anne Marie Rehberger et veuf de feüe Marie Salomé Lauffenbourger décédée audit Barr le 28 thermidor de l’an XIII ainsi qu’il est constaté par l’acte de décès,, boulanger et ci présent du consentement de sa mère, Et Anne Marie Schmidt âgée de 36 ans, née et domiciliée à Gertweiler, Département susdit fille majeure de feus Jean George Schmidt en son vivant Meunier audit Gertwiller et de Catherine Dietsch y décédés (…) veuve respective de feu Jean Baltzinger en son vivant boucher audit lieu y décédé le 14 septembre 1807 (signé) Daniel Kaÿser, Anna Maria schmidt (i 10)
(Décès, Barr, n° 85, An XIII, Marie Salomé Lauffenburgern âgée de 40 ans et quatre mois née à Obenheim)

Le boucher Jean Baltzinger épouse en 1796 Anne Marie Schmitt, fille de meunier, tous deux de Gertwiller.
Mariage, Gertwiller (f° 2-v)
Heute den 6. Pluviose im IV. jahr der Francken Republique nachmittag um zweÿ uhr erschien (…) um eine Heurath zu schließen zwischen dem Ledigen Bürger Johannes Baltzinger Metziger von hier seines alters 28 jahr, deß Weÿhland Christmann Baltzingers geweßenen Burgers und rebmans von hier hinterlaßener ehelich erzeugter Sohn, welchen er mit Frau Chatharina einer gebohrnen Siegel gezeuget, hat, und Jungfrau Anna Maria schmidtin des gegenwärthigen Johann Georg schmidts, burger und geweßenen ober Müller Von hier eheliche ledige tochter, Welche er mit frau Chatarina eine gebohrner Dietschin im leben geweßener eheliche haußfrau ehelich mit ihr erzeuget hat, ihres alters 24 jahr [unterzeichnet] Johannes Baltzinger als Hoh Zeitter, Anna Maria schmidt als Hoch Zeitterin (i 33)

Daniel Kayser est trouvé noyé à Greffern près de Rastatt. Il délaisse quatre enfants de son premier mariage et deux du deuxième

1817 (3.12.), Strasbourg 12 (69), Not. Wengler n° 10.556
Inventaire de la succession de Daniel Kayser boulanger décédé le 12 juin dernier – à la requête de 1. Anne Marie Schmitt veuve en secondes noces de Daniel Kayser ci devant boulanger à Barr, ensuite marchand farinier à Strasbourg, trouvé noyé à Greffern outre Rhin, mère et tutrice légale de Daniel âgé de 9 ans et Julie âgée de 2 ans
2. Marguerite Salomé Kayser épouse de Michel Grad boulanger, 3. Catherine Kayser majeure, le susdit Sr Grad tuteur de Philippine âgée de 20 ans 6 mois et Caroline Kayser âgée de 16 ans 6 mois, en présence de Jean Jacques Dietz le second chamoiseur à Barr et Didier Halbin instituteur à Strasbourg subrogé tuteur des deux enfants du premier lit – Contrat de mariage devant Me Rieffel à Barr le 16 février 1808

immeuble, une maison à deux étages, cour et puit avec ses aisances, appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue des Parcheminiers n° 24, d’un côté le Sr Moll cordeur de bois, d’autre l’enfant Nesslé, devant la rue, derrière le Sr Lentz cultivateur – acquis de Jean Zimmermann, boulanger, et de Marie Salomé Jost par acte reçu Bremsinger le 16 octobre 1809, estimée 4000 francs
dans une maison rue des Parcheminiers n° 24 – propres, meubles créances 936 fr, immeubles à Barr 500 fr, ensemble 1436 fr Il est observé que les quatre enfants du premier lit, par liquidation de la succession de Marie Salomé Lauffenburger leur mère première femme du défunt dressé par Me Rieffel à Barr le 15 juillet 1811 ont à prétendre 5884 francs
communauté meubles 1547 fr
ensemble actif 5547 fr, passif 13 504 fr (remploi de le veuve 7019 fr, 4 enfants du premier lit 5884 fr, dettes 600 fr)
Enregistrement, acp 136 f° 176 du 6.12.

Marguerite Salomé Kayser, Catherine Kayser et Philippine Kayser acquièrent les parts de maison par adjudication à la barre du tribunal civil le 5 mars 1821 et déclaration de command du 17 mars (acte non transcrit). Elles revendent la maison entière trois mois plus tard au cordonnier Jean Chrétien Dorsch et à sa femme Catherine Odile Bürckel moyennant 3 800 francs

1821 (5.6.), Strasbourg 12 (82), Me Wengler n° 12.285
Michel Grad, boulanger, et Marguerite Salomé Kayser, Catherine Kayser, majeure, Philippine Kayser, majeure
à Jean Chrétien Dorsch, cordonnier, et Catherine Odile Bürckel
une maison à deux étages cour et puits avec ses autres appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue des Parcheminiers n° 24, d’un côté la maison du Sr Moll cordeur de bois, d’autre les enfants de feu le Sr Nessté, devant la rue, derrière le Sr Lentz. Elle se compose d’un rez de chaussée ayant boutique et une chambre, d’un premier étage ayant cinq chambres et une cuisine et d’un second étage renfermant également cinq chambres avec une cuisine y compris le lit de soldat et cinq fourneaux de fonte – acquis à la barre du Tribunal civil dans la vente par licitation sur Anne Marie Schmitt veuve de Daniel Kayser, boulanger, belle mère des vendeurs, Caroline Kayser leur sœur et les vendeurs eux mêmes avec Daniel Kayser et Julie Kayser, frères et sœurs consanguins, suivant adjudication définitive dressée le 15 mars 1821 et déclaration de command le17 mars. Recueilli dans la succession de Daniel Kayser leur époux et père respectif suivant Inventaire dressé par Me Wengler le 3 décembre 1817 – Daniel Kayser l’a acquis pendant la communauté d’Anne Marie Schmitt femme de Jean Zimmermann boulanger et de Salomé Jost suivant acte reçu Bremsinger le 16 octobre 1809. Ledit Jean Zimmermann l’a acquis d’André Frédéric Gross, charcutier, par acte reçu Bremsinger le 6 vendemiaire 11 – moyennant 3800 francs
Enregistrement, acp 152 F° 179-v du 6.6.

Originaire d’Oggersheim en Palatinat près de Ludwigshafen, Jean Chrétien Dorsch épouse en 1794 Catherine Odile Bürckel, native d’Obernai
Mariage, Strasbourg (f° 44-v, n° 1005)
Cejourd’hui le 21 Prairial l’an second de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Chrétien Dorsch, cordonnier, âgé de 29 ans, domicilié en cette commune depuis six ans, natif d’Ogersheim en Palatinat, fils légitime de feu Jean Georges Dorsch, cordonnier et de Barbe Ostermann, de l’autre part Catherine Odile Bürckel, agée de 28 ans, domiciliée en cette commune depuis 7 ans, native d’Oberehenheim Département du Bas-Rhin, fille légitime de François Ignace Bürckel, vigneron et d’Anne Marie Lengelin (…) 1° de l’acte de notoriété dressé par Marchand juge de Paix du second arrondissement de cette commune en date du 13 du courant, constatant que le futur a atteint l’âge requis pour contracter mariage, 2° de l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 15 décembre 1775 (vieux style) (signé) Johann kristian dorsch, Catharina ottilia bürckel (i 48)

Testament de Jean Chrétien Dorsch, mort en 1851 en délaissant deux enfants
1851 Enregistrement de Strasbourg, ssp 111 (3 Q 31 610) f° 77 du 7.11.
ssp du 24 mai 1849. Testament dont la teneur suit. Par mon présent testament je révoque le précédent. Ma dernière et unique volonté est et doit être que personne n’ait à élever des prétentions sur ma succession à l’encontre de mes deux enfants. Le fils et la fille devront seuls la partager par parts égales. Je signe de ma propre main, signé Chrétien Dorsch
[in margine :] M° Lacombe, notaire – décès du 28 octobre 1851. à Strasbourg rue du parchemin n° 24)

Registre de population 600 MW 62, Rue du Parchemin N° 24 (p. 157) i 160
Dorsch, Jn Chrétien, 1761, Md de ferraille, Oggersheim, (à Strasbourg depuis) 1780, (auparavant) V. M. Vins 49, Entré 9.br 1831
id née Bürckel, Cath: Odile 1764, épouse, Obernai
id Cath: Elisabeth, 1799 f. m., Strasbourg
id Jn Chrétien, 1799, Strasbourg

Registre de population 600 MW 209, Rue du Parchemin N° 24 (p. 133) i 44
Dorsch, Jean Chrétien, 1761, Oggersheim, Bavière Rh., Propriétaire, (à Strasbourg depuis) 1780, (auparavant) V. M. aux Vins 49, Entré 19 9.br 1831, décédé 28 8.bre 1851
(p. 135) Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur, (auparavant) rue de l’Ail n° 10, entr 25 mars 1852
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg ép.

Catherine Elisabeth Dorsch femme de Jean Nicolas Noël cède par licitation sa part à son frère relieur Jean Chrétien Dorsch et à Barbe Cécile Guillaumette Geissler sa femme

1852 (22.6.), M° Burtz
22 juin 1852 – Cahier des charges, clauses et conditions pour parvenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue du Parchemin n° 24 dressé à la requête de Jean Chrétien Dorsch fils, relieur à Strasbourg
22 juin 1852 – Adjudication définitive – à la requête de 1) Jean Chrétien Dorsch fils, relieur à Strasbourg, et Barbe Cécile Guillaumette Geissler, sa femme à Strasbourg, 2) Jean Nicolas Noël, ancien Militaire et Catherine Elisabeth Dorsch sa femme à Strasbourg
au profit du Sr Dorsch fils colicitant pour moitié, moyennant 10.050 francs, soit la moitié 5025 francs
rue du Parchemin n° 24 – Origine, héritage de Jean Chrétien Dorsch père des vendeurs
acp 411 (3 Q 30 126) f° 22 du 28.6. (cahier des charges), f° 20 du 28.6. (adjudication définitive)

Jean Chrétien Dorsch épouse en 1835 Barbe Cécile Guillaumette Geissler, fille de relieur
Mariage, Strasbourg (n° 230)
Du 29° jour du mois de juin 1835. Acte de mariage de Jean Chrétien Dorsch, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 Messidor en X à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Relieur, fils de Chrétien Dorsch, Cordonnier, et de Catherine Odile Birckel, domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et de Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler, majeure, née en légitime mariage le 9 prairial an VI à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de feu Ernest Frédéric Geisler, Relieur, décédé en cette ville le 10 juin 1817 et de feu Catherine Marguerite Bierlin décédée en cette ville le 24 thermidor an XIII (signé) Jean Chrétien Dorsch, Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler (i 37)

Domiciles successifs de Jean Chrétien Dorsch
Registre de population
600 MW 50, Grand rue n° 150 (p. 100.b) i 127
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur M, (auparavant) rue du parchemin 24, E. juillet 1835. dél. Pl. St. Thomas 1
id. née Geissler, Wilhelmine Barbe Cécile Charlotte, 1799, Strasbourg, Ep.

Registre de population 600 MW 163, Place St. Thomas n° 1 (p. 46) i 29
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur marié, (auparavant) grand’rue 150, entré 1. 8.bre 38 sorti St Jn 1844, Pl. St. Thomas n° 10
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg, épouse.

Registre de population 600 MW 163, Place St. Thomas n° 10 (p. 71) i 47
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, relieur marié, (auparavant) Pl. St. Thomas n° 1, entré Juin 1844, sorti 30 mai 1851, rue de l’Ail 10
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg, Ep.

Registre de population 600 MW 234, Rue de l’Ail N° 10 (p. 178) i 87
Dorsch, Jean Chrétien, 1802, Strasbourg, mr relieur et portier, M., (auparavant) Pl. St. Thomas n° 10, entré 30 mai 1851, sortie 25 mars 1852 r. parchemin 24
id. née Geissler, Barbe Cécile Wilhelm, 1799, Strasbourg, Ep.

Jean Chrétien Dorsch et Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler hypothèquent la maison au profit du tonnelier Jacques Kayser, à la Robertsau

1864 (17. 9.bre), Strasbourg 3 (106), Not. Weiss (Emile) n° 964
Obligation – Ont comparu M. Jean Chrétien Dorsch, fils relieur et Dame Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler son épouse autorisée à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels déclarent devoir
A M. Jacques Kayser, tonnelier, domicilié à la Robertsau, banlieue de Strasbourg, la somme de 2400 francs
Affectation hypothécaire. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, d’un côté la veuve Hipp, de l’autre la veuve Schaub, devant la rue, derrière M. Boyé.
Etablissement de propriété. Les conjoints Dorsch déclarent être devenus propriétaires de la maison affectée de la manière suivante, savoir. Ledit Sr Dorsch et D° Catherine Elisabeth Dorsch épouse du Sr Jean Nicolas Noël, ancien militaire à Strasbourg, l’ont recueillie dans la succession et comme seuls et uniques héritiers de leurs père et mère Jean Chrétien Dorsch, ancien cordonnier, et D° Catherine Odile Bürckel conjoints à Strasbourg où ils sont décédés. Lesdits Sr Dorsch et ladite Dme Noël ont sous la date du 22 juin 1852 fait procéder à une licitation amiable de ladite maison par M° Burtz, lors notaire à Strasbourg, en suite de laquelle le codébiteur susnommé en est devenu seul et unique propriétaire. Les dits défunts en avaient fait l’acquisition sur le Sr Michel Grad, boulanger, et De Marguerite Salomé Kayser, sa femme, Dlle Catherine Kayser et Dlle Philippine Kayser, demeurant à Strasbourg, par contrat passé devant M° Wengler lors notaire à Strasbourg le 5 juin 1821 moyennant 3800 francs (…)
Les conjoints Grad et les Dlles Kayser étaient propriétaires de la maison vendue au moyen de l’adjudication qui en avait été faite à leur profit à la barre du tribunal civil de Strasbourg suivant un procès verbal d’adjudication définitive dressé le 15 mars 1821 et une déclaration de command faite au greffe le surlendemain. Cette adjudication a eu lieu en conséquence de la vente par licitation à laquelle il a été procédé judiciairement entre D° Anne Marie Schmidt veuve de feu le Sr Daniel Kayser, boulanger à Strasbourg ayant agi tant en son nom personnel que comme tutrice de Daniel Kayser et Julie Kyaser, ses deux enfants mineurs, 2° les trois adjudicataires susnommés, 3° et Dlle Caroline Kayser mineure sous la tutelle du Sr Grad. La maison dépendait de la communauté qui avait existé entre ladite D° veuve Kayser et son mari défunt, lequel avait laissé pour ses seuls et uniques héritiers ses enfants colicitants ci-dessus nommés ainsi que cela résulte de l’inventaire de sa succession dressé par M° Wengler le 3 décembre 1817. Les conjoints Kayser l’avaient acquise du Sieur Jean Zimmermann boulanger et Dame Marie Salomé Jost, conjoints à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Bremsinger lors notaire à Strasbourg le 16 octobre 1809. Elle avait été vendue par le S. André Frédéric Gross, charcutier à Strasbourg, suivant un contrat reçu aussi par M° Bremsinger le 6 vendémaire an XI et un autre contrat passé devant M° Dinckel, notaire à Strasbourg le 8 floréal an VIII
Situation hypothécaire – Etat civil des vendeurs. Déclarent en outre les époux Dorsch (…) qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable

Jean Chrétien Dorsch et Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler vendent la maison au serrurier Frédéric Meinzer et à Salomé Rosenstiel moyennant 16 000 francs

1868 (22.12.), Strasbourg 3 (111), Not. Weiss (Emile) n° 2522
Vente du 22 Xbre 1868 – Ont comparu M. Jean Chrétien Dorsch, fils, relieur, et D° Barbe Cécile Charlotte Guillemette Geisler son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg (vendent)
à M. Frédéric Meinzer, serrurier, & Dame Salomé Rosenstiel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Objet de la vente. Ville de Strasbourg. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, d’un côté la veuve Hipp, de l’autre la veuve Schaub, devant la rue, derrière M. Boyé.
Origine de propriété. Les conjoints Dorsch déclarent être devenus propriétaires de la maison vendue ès présentes de la manière suivante, savoir. M. Dorsch comparant et D° Catherine Elisabeth Dorsch, sa sœur, épouse du Sr Jean Nicolas Noël, ancien militaire à Strasbourg, l’ont recueillie dans la succession de Jean Chrétien Dorsch, ancien cordonnier, et D° Catherine Odile Bürckel conjoints à Strasbourg où ils sont décédés, leurs père et mère dont ils étaient seuls et uniques héritiers ainsi que ledit M. Dorsch le déclare. Lesdits Sr Dorsch et ladite Dme Noël ont sous la date du 22 juin 1852 fait procéder à une licitation amiable de ladite maison par M° Burtz, lors notaire à Strasbourg, en suite de laquelle M. Dorsch comparant en est devenu seul et unique propriétaire. Lesdits défunts conjoints Dorsch en avaient fait l’acquisition sur le Sr Michel Grad, boulanger, et De Marguerite Salomé Kayser, sa femme, Dlle Catherine Kayser et Dlle Philippine Kayser, tous de Strasbourg, par contrat passé devant M° Wengler lors notaire à Strasbourg le 5 juin 1821 moyennant 3800 francs (…)
Les conjoints Grad et les Dlles Kayser étaient propriétaires de la maison vendue au moyen de l’adjudication qui en avait été faite à leur profit à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 15 mars 1821 et d’une déclaration de command faite au greffe dudit tribunal le surlendemain. Cette adjudication a eu lieu en conséquence de la vente par licitation à laquelle il a été procédé judiciairement entre D° Anne Marie Schmidt veuve de feu le Sr Daniel Kayser, boulanger à Strasbourg ayant agi tant en son nom personnel que comme tutrice de Daniel Kayser et Julie Kyaser ses deux enfants mineurs, les trois adjudicataires susnommés et Dlle Caroline Kayser sous la tutelle du Sr Grad. La maison dépendait de la communauté qui avait existé entre ladite Dame veuve Kayser et son mari défunt lequel avait laissé pour ses seuls et uniques héritiers ses enfants colicitants ci-dessus nommés ainsi que cela résulte de l’inventaire de sa succession dressé par M° Wengler le 3 décembre 1817. Les conjoints Kayser l’avaient acquise du Sr Jean Zimmermann boulanger et D° Marie Salomé Jost, conjoints à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Bremsinger lors notaire à Strasbourg le 16 octobre 1809. Elle avait été vendue à ces derniers par le Sr André Frédéric Gross, charcutier à Strasbourg suivant vente passée devant ledit M° Bremsinger le 6 vendémaire an XI et un autre contrat passé devant M° Dinckel notaire à Strasbourg le 8 floréal an VIII. – Prix 16.000 francs
Etat civil des vendeurs. Les vendeurs déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable à cette union.
acp 579 (3 Q 30 294) f° 71-v du 29.12.

Fils de maçon, Frédéric Meinzer épouse en 1844 Salomé Rosenstiel, fille d’un cultivateur de Schiltigheim
Mariage, Strasbourg (n° 64)
Du 13° jour du mois de février 1844. Acte de mariage de Georges Frédéric Meinzer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 3 novembre 1822 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, serrurier, fils de feu Georges Frédéric Meinzer, Maçon décédé en cette ville le 17 septembre 1839 et de feu Marie Dorothée Komig décédée en cette ville le 3 février 1843, et de Salomé Rosenstiel majeure d’ans, née en légitime mariage le 3 juin 1819 à Schiltigheim, domiciliée à Schiltigheim, fille de feu Laurent Rosenstiel, cultivateur décédé à Schiltigheim le 19 mai 1823 et de Salomé Riehl domiciliée à Schiltigheim ci présente et consentante (signé) G F Meinzer. S Rosentiehl (i33)

Frédéric Meinzer et Salomé Rosenstiel hypothèquent la maison au profit du marchand de farine Jacques Schwebel

1868 (29.12.), Strasbourg 3 (111), Not. Weiss (Emile)
Mutation d’hypothèque – Ont comparu I. M. Jacques Schwebel, marchand de farine, demeurant et domicilié à Strasbourg d’une part
II. Et M. Georges Frédéric Meinzer, serrurier, & Dame Salomé Rosenstiel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg d’autre part
Lesques ont dit et arrêté ce qui suit. Aux termes d’une obligation passée devant M° Grimmer lors notaire à Strasbourg le 2 août 1862 contenant quittance subrogatoire, M & Mme Meinzer se sont reconnus débiteurs de M. Schwebel d’une somme de 2373 francs (…)
hypothèquent, Ville de Strasbourg. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, d’un côté la veuve Hipp, de l’autre le Sr Schilder, devant la rue, derrière succession de M. Boyé.
Origine de propriété. M. & Mme Meinzer déclarent qu’ils sont devenus propriétaires de l’immeuble pour l’avoir acquis de M. Jean Chrétien Dorsch, fils, relieur, & Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler son épouse demeurant à Strasbourg aux termes d’une vente passée devant M° Weiss soussigné le 22 de ce mois pour la somme de 16.000 francs dont 6000 francs se trouvent quittancés dans le contrat (…)
Cession d’indemnité d’assurance (…) Etat civil des débiteurs. M. & Mme Meinzer déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable à cette union.

Frédéric Meinzer et Salomé Rosenstiel hypothèquent la maison au profit du rentier Louis Clément Harley

1869 (29 7.bre), Strasbourg 3 (112), Not. Emile Weiss n° 2876
Obligation – Ont comparu M. Frédéric Meinzer, serrurier et Dame Salomé Rosenstiel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg (déclarent devoir)
A M. Louis Clément Harley, rentier demeurant et domicilié à Strasbourg présent et acceptant, la somme principale de 6000 francs
Affectation hypothécaire, Ville de Strasbourg. Une maison à deux étages, cour, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Parchemin N° 8, autrefois N° 24, entre la veuve Hipp et la veuve Schaub, devant la rue, derrière M. Boyé.
Origine de propriété. M. et Mme Meinzer déclarent qu’ils sont devenus propriétaires dudit l’immeuble pour l’avoir acquis de M. Jean Chrétien Dorsch, fils, relieur et Barbe Cécile Charlotte Guillaumette Geisler son épouse de Strasbourg, aux termes d’une vente passée devant M° Weiss soussigné le 22 décembre dernier, transcrit au bureau des hypothèques le 6 janvier suivant vol. 1186 N° 58. Quant à l’origine de propriété antérieure, elle se trouve amplement décrite en ladite vente à laquelle les parties déclarent s’en référer
Cession d’indemnité d’assurance (…) Etat civil des débiteurs. Les emprunteurs déclarent sous les peines de droit (…) et qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté en biens légale à défaut de contrat de mariage préalable à leur union.

Frédéric Meinzer met en garantie sa maison pour obtenir la libération de son fils Emile prisonnier de guerre à Rastatt

1870 (7.12.), Strasbourg 3 (113), Not. Emile Weiss n° 3242
Déclaration du 7 décembre 1870. A comparu M. Frédéric Meinzer, serrurier demeurant et domicilié à Strasbourg, propriétaire d’une maison renfermant attelier de serrurier, sise en cette ville rue du parhemin N° 8
Lequel déclare avoir un fils prisonnier de guerre à Rastatt, faisant partie de la garde mobile de Strasbourg. Que son fils se nomme Emile Meinzer, interné à Rastatt, bastion XII, quatrième bataillon cinquième compagnie, Qu’il voudrait avoir son fils chez lui à Strasbourg pour soigner ses affaires aux termes de la loi édictée par S. M. le Roi de Prusse, M. Meinzer comparant met en garantie sa fortune immobilière que son fils une fois rentré chez lui ne reprendra plus de service militaire pendant la présente campagne contre la Prusse
Dont acte en brevet, sur modèle présenté & rendu
acp 590 (3 Q 30 305) f° 198 du 9.12.

La maison est ensuite indivise entre les deux enfants Meinzer. Emile (Charles Emile) Meinzer épouse en 1874 Frédérique Louise Lina Oschmann native de Bischwiller dont il divorce deux ans plus tard puis en 1887 Sophie Emilie Kiefer

Mariage, Brumath (n° 39)
Den 10. Septembrer 1874. Heirathsurkunde von Meinzer, Karl-Emil, geboren zu Schiltigheim den 18. Juli 1847, Gastwirth wohnhaft zu Straßburg, großjähriger Sohn von Meinzer, Friedrich Georg, 52 Jahr, Schlossermeister, wohnhaft zu Straßburg hier anwesend und einwilligend, und von dessen Ehefrau Rosenstiel Salome, 54 Jahr, wohnhaft zu Straßburg, hier anwesend und einwilligend, und von Oschmann, Frederike-Luise-Lina, geboren zu Bischweiler den 28. Mai 1846, Beruf keine, wohnhaft zu Brumath, großjährige Tochter von Oschmann, Friedrich, alt 58 Jahr, Verwalter, wohnhaft zu Brumath, hier anwesend und einwilligend, und von dessen Ehefrau Wahl Magdalena alt 54 Jahr, beruf keine, wohnhaft zu Brumath, hier anwesend und einwilligend
[in margine :] die Ehe zwischen Friederile Louise Lina Oschùann und Carl Emil Meinzer, Schlosser, ist am 19 August 1876 vor dem Standesbeamten der Stadt Straßburg aufgelöst worden (i 21)

Divorce, Strasbourg (n° 466)
Strassburg am 19. August 1776 Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Ehescheidung die Friederike Louise Lina Oschmann,, evangelischer Religion, geboren zu Bischweiler (Unter-Elsass) wohnhaft zu Straßburg, Ehefrau von Carl Emil Meinzer, 29 Jahr alt, Schlosser wohnhaft zu Straßburg, welche mir erklärte, daß sie die zwischen ihr und ihrem Ehemann Carl Emil Meinzer unterm 10. September 1874 zu Brumath (Unter-Elsass) abgeschlossenen Ehe auflösen lassen wolle. Dieselbe behändigte mir eine contradictorisch vom kaiserlichen Landgericht zu Strassburg erlassenes Urtheil vom 29. März dieses Jahrs, welches sie ermächtigt, die Scheidung aussprechen zu lassen. Nach Einsicht des mir behändigten Urtheils ausfertigung, so wie der Zustellungsurkude, wonach das Urtheil dem Carl Emil Meinzer am 25. Aprilis dieses Jahrs zugestellt wurde(…) i 105

Mariage, Strasbourg (n° 607)
Straßburg am 8. October 1887. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schlosser Carl Emil Meinzer, evangelischer Religion, geboren den 18. Juli des Jahres 1847 zu Schiltigheim (Unter Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, geschiedener Ehemann von Friederike Luise Lina Oschmann zu Straßburg geschieden den 19. August 1876, ehelicher Sohn des verstorbenen, Schlossers Friedrich Emil Meinzer, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Salome Rosenstiel, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg 2. die gewerblose Sophie Emilie Kiefer, evangelischer Religion, geboren den 1. juli des Jahrs 1859 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg eheliche Tochter des verstorbenen Eigenthümers Johann Gottlieb Kiefer, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, und der Marie Sophie Kopf, ohne Berug, wohnhaft zu Straßburg (i 65)

Caroline Emilie Meinzer épouse en 1874 le restaurateur Prosper Etienne Cromer qui meurt en 1876 puis en 1889 l’horloger Alfred Henri Raoul Abel

Mariage, Strasbourg (n° 153)
Den 12. März 1874, Heiraths-Urkunde von Prosper Stephan Cromer, geboren zu Maursmünster (Unter-Elsass) den 16. Mai 1847, Restaurateur, wohnhaft zu Strassburg volljähriger ehelicher Sohn von Jacob Cromer, Tischler und von Caroline Schuster, Eheleuhe zu Maursmünster wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend und von Caroline Emilie Meinzer, geboren zu Schiltigheim (Unter-Elsaß), den 3. März des Jahres 1849 ohne Gewerb, wohnhaft zu Straßburg, volljährige eheliche Tochter von Friedrich Emil Meinzer, Schlosser und von Salome Rosenstiel, Eheleuthe zu Straßburg wohnhaft, hier gegenwärtig und einwilligend (i 6)

Mariage, Strasbourg (n° 284)
Straßburg am 7. Mai 1889. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Uhrmacher Alfred Heinrich Rudolf Abel, evangelischer Religion, geboren den 14. Maerz des Jahres 1848 zu Straßburg, zu Molsheim (Unter Elsass) wohnhaft, Wittwer von Pauline Müller, gestorben zu Molsheim den 28. Februar 1888, Sohn der verstorbenen Eheleute Constantin Abel, Uhrmacher, und Marie Octavie Blaedel der Vater wohnhaft zuletzt zu Fulda (Preussen) und die Mutter zu Molsheim, 2. die gewerblose Caroline Emile Meinzer, evangelischer Religion, geboren den 3. Maertz des Jahres 1849 zu Schiltigheim (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Restaurateurs Prosper Stephan Cromer, gestorben zu Straßburg den 3. October 1876, eheliche Tochter des verstorbenen, Schlossers Friedrich Emil Meinzer, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und der Salome Rosenstiel, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg (i 19)



2, rue des Francs-Bourgeois (ancien)


Rue des Francs-Bourgeois n° 2 – IV 303 (Blondel), N 857 puis section 60 parcelle 98 (cadastre)

Démolie lors de la Grande Percée (1915)


Façade à l’angle de la rue des Fribourgeois (AMS cote 1 Fi 24, n° 10)
Façade rue de la Demi-Lune au premier plan (AMS, cote 1 Fi 23, n° 16)
Cour des n° 2 et 4 rue des Fribourgeois (AMS, cote 118 MW 69)

La maison sans encorbellement est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom de Jean Schnürer. Le menuisier Jean Buchmüller l’acquiert en 1589. Il la reconstruit et vend en 1613 la maison arrière en même temps qu’il passe un accord avec ses créanciers. Elle appartient successivement au farinier Georges Stiegler, au fabricant de chausses Marcel Schreiber puis (1667) au musicien et secrétaire à l’Université Jean Georges Windenius qui en transmet la propriété à son gendre menuisier Paul Würtz. En 1740 la maison a trois étages et un bâtiment arrière à un étage dont le rez-de-chaussée sert d’atelier. Le tailleur Jean Frédéric Butz l’acquiert en 1764 et la réunit avec la maison voisine rue de la Demi-Lune qu’il a héritée de son père en 1757. Les deux maisons sont chacune décrites dans les actes jusqu’en 1809 quand le boucher Jean Georges Hoffherr l’achète.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 150 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (c) : sur la gauche, pignon vers la rue des Fribourgeois à deux portes d’entrée et trois fenêtres à chaque étage, sur la droite vers la rue de la Demi-Lune quatre travées irrégulièrement réparties, au rez-de-chaussée trois fenêtres et une porte et quatre fenêtres à chacun des trois étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour J représente l’arrière (1-2) de la façade rue de la Demi-Lune, (2-3) de la façade rue des Fribourgeois, le bâtiment (3-4-5) à l’angle sud-est, le mur sud (5-6) et la clôture (6-1) avec la cour voisine.
La maison porte d’abord le n° 3 (1784-1857) puis le n° 2 de la rue des Fribourgeois.


Plan – Cour J (plan-relief)


Elévations rue des Fribourgeois. La maison est celle sur la droite
Plan correspondant. Légende à droite (
Wirtschaftslokal, Küche, Schreinerwerckst. – Salle d’auberge, cuisine, atelier de menuisier (AMS, cote 907 W 161)

La maison appartient au ferblantier Pierre Engel puis au coiffeur Auguste Heuson. Le brasseur Alfred Mühleisen l’achète en 1890 et y établit une auberge exploitée par Hœnen puis par le nouveau propriétaire Florent Stengel (enseigne à la Bonne Fontaine, zur Guten Quelle). La Ville achète la maison en 1908, l’enseigne est reprise par L. Kœbel. Le cadastre indique qu’elle est démolie en 1915.
L’enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée relève divers aménagements intérieurs (galerie, escalier, portes).


Rue des Francs-Bourgeois, aspect actuel. La maison formait l’angle au premier plan (septembre 2013)

avril 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1604 à 1915 (démolition). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Buchmüller, menuisier, et (1588) Barbe Kornlen puis (1597) Elisabeth Geldreich, veuve de Laurent Muschet d’Obernai – luthériens
1625* adj Luc Thoman, marchand, et (1620) Anne Catherine Cappeller – luthériens
1634 v Georges Stiegler, farinier, et (1622) Marguerite Ipper, remariée (1637) avec le tailleur Jacques Grisel – luthériens
1653 v Marcel Schreiber, chaussetier, et (1633) Susanne Mathis puis (1634) Rosine Linck veuve du chaussetier Erard Weichard – luthériens
1667 v Jean Georges Windenius, musicien et secrétaire à l’Université, et (1660) Barbe Holler – luthériens
1709 h Paul Würtz, menuisier, et (1701) Marie Salomé Windenius – luthériens
1745 h Jean Daniel Würtz, orfèvre, célibataire († 1761) – luthérien
1752 adj Jean Baldner, orfèvre, célibataire († 1764) – luthérien
1764 v Jean Frédéric Butz, tailleur, et (1743) Catherine Barbe Blind – luthériens
1800* h Jean Georges Baldner, tonnelier, et (1765) Marie Barbe Butz – luthériens
Jean Michel Greiff, menuisier, et (1776) Anne Marie Butz – luthériens
1809 v Jean Georges Hoffherr, boucher, et (1787) Anne Marie Geiger – luthériens
1841 v Pierre Engel, ferblantier, et (1836) Salomé Madeleine Reiber
1853 v Jean Philippe Bischoff, perruquier, et (1801) Marie Dorothée Reissé (usufruitier)
(Michel) Auguste Heuson, coiffeur, et (1842) Elisabeth Sophie Bischoff puis (1860) Marie Steib, veuve de Jean Georges Vögelin, instituteur à Colmar
1891* v (Jean Georges) Alfred Mühleisen, brasseur à Schiltigheim, et (1892) Sophie Münch
1905* v Florent Stengel, aubergiste, et (1896) Catherine Meyer
1908 v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 300 livres en 1688, 750 livres en 1745, 450 livres en 1783

(1765, Liste Blondel) IV 303, Jean Fréderic Butz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Frid: Butz, 11 toises, 2 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 857, Hoffherr, Jean Georges, veuve – maison, sol – 1,7 are / Engel Pierre

Locations

1727, Jean Georges Kieffer, maçon
1739, Jean Schætzel, marchand de vins
1782, François Buffet, marchand, et Anne Marie Müller
1786, François Joseph Rohr, laveur, et Marie Agathe Riff

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 151
Jean Schnürer qui est propriétaire de la maison d’angle à côté du poêle des Fribourgeois règle 1 sol 8 deniers pour une plate-forme en pierre (8 pieds ½ de long en saillie de 15 pouces) et un chenal en bois

Freÿburger Gaß die Eine Seitten
Hanß Schnüerer hatt dar gegenüber an dem Andern Eckh neben der Freÿburger Zunfft, ein besetzten Tritt ix= schuh lang, vnd xv Zoll herauß, sampt einem hülzenen Naach, Bessert für d. Niessen, j ß viiij d
[in margine :] Caspar Mock der Müntzmeister hatt ÿetzund des Schnüerers Hauß

Description de la maison

  • 1745 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, cuisine, vestibule, cave voûtée, au premier étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule, au deuxième étage aussi un poêle, chambre, cuisine et vestibule, au troisième étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule et chambre à soldats, le comble est ancien, le pignon est partie en bois partie en pierre, le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un creuset, à l’étage un petit poêle, le demi-toit renferme un grenier dallé, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1784 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, quatre cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, la cour commune, autres appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
  • 1841 (procès verbal d’expertise) Elle se compose 1° d’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune, 2° d’une petite cour, 3° d’une maison de derrière et bâtiment latéral servant de cage d’escalier et galerie pour communiquer à la maison de derrière, 4° une pompe mitoyenne, la maison principale est batie sur cave voûtée, un rez de chaussée et trois étages en maçonnerie et grenier, couverture en tuiles à doubles rangées. Le bâtiment au fond de la cour est composé d’un rez de chaussée distribué en latrines, buanderie et trois étages en galandure et greniers et couverture en tuiles à double rangée.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Fribourgeois

nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Hofherr
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 246 case 1

Engel Pierre à Strasbourg
(1855) Bischoff, Philippe rue de la Demi lune 1 rue des fribourgeois 3

N 857, maison, sol, R. de la demi-lune 1
Contenance : 1,70
Revenu total : 216,88 (216 et 0,88)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 38 / 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1008 case 1

Bischoff, Philippe
1862 Heuson, Michel Auguste, coiffeur
1891/92 Mühleisen Johann Georg Alfred, Brauer in Schiltigheim
1905 Stengel Florentz Wirt u. Ehefr. Katharina geb. Meyer in Gtg.
(ancien f° 756)

N 857, maison, sol, rue des Fribourgeois 2
Contenance : 1,70
Revenu total : 216,88 (216 et 0,88)
Folio de provenance : (246)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 38 / 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11

Cadastre allemand, registre 32 p. 402 case 2

Parcelle, section 60, n° 98 – autrefois N 857
Canton : Freiburger Gasse Hs. N° 2 (665/15, 1291)
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,57
Revenu : 1700 – 2800
Remarques : 1915 Abbruch – 1927 porté p. 387 c. 3

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 106 Des Fribourgeois f° 196

3
pr. Krieg, Veuve, Nég.te – Miroir
loc. Hollwein, Cordier – Echasses
loc. Kraemer, Boutonnier – Miroir
loc. Mexel, Jean, Cordonnier – Cordonniers
loc. Dieterlin, Marie Dorothée

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Freiburgergasse (Seite 40)

(Haus Nr.) 2
Stengel, Wirt, Zur guten Quelle. 01
Fürnstein, Stellenverm. 1.
Kern, Eisenbahnarbeiter. 2
Saas, Ausläufer. 3
Koller, Metzger. 4
Müller, Sackhändler. H 1
Langenfeld, Tagner. H 2
Hornecklin Ausläufer. H 3

Annuaires

1893, Hœnen, Wirt
1908, (Stengel, Fl. Oberhausbergerstrasse 107, E) – Koebel L. Wirt zur Guten Quelle
1909, (Stadtverwaltung, E) – Koebel L. Wirt zur Guten Quelle

Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999)

(84)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen. [Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907
Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention de conservation, à savoir : (+) à enlever immédiatement, (*) à conserver dès que possible, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à enlever immédiatement]

Haus : Freiburgergasse N° 2 [Maison, 2. rue des Fribourgeois]

a) Geschichtliches : Zum Bremisser 1404. Zum Bremmis 1427. Der Duchscherer Trinkstube 1441 ; Hans Schnurer 1587. Caspar Mock, Müntzmeister 1590.

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 5. Dachstuhl [Comble] – Guter Dachstuhl (liegender Stuhl, aufnehmen !) [comble en bon état, à photographier]


Croquis à la rubrique des Remarques

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 5. Galerie auf dem Hofe – Gallerie mit Ballustern aus Bretten geschnitten [Galerie sur cour – galerie à balustres en lattes sculptées]
  • 8. Treppengeländer – vergl. Bem. A [Balustrades d’escalier – voir remarque A]
  • 9. Fenstergitter – Höltzernes Gitter zwei Steingewänder [Zeichnung] [Grilles de fenêtre – grille en bois, deux jambages en pierre]
  • 15. Wandschränke – 1. Wandschrank ; mit*blech u. Zwei Bändern einfach [Placards – un placard (recouvert) de tôle, à deux entretoises, simple]
  • 25. Türbeschläge – 1. Schlüsselblech (* Forte) [Ferrures de porte] Serrure de porte

Bemerkungen :

A. Treppenbrüstung Antrittspfosten einfach (Zeichnung) Aus dem Brett geschnitten
B. 2 Füllungs thür mit ge*em Rahmen erhaltenswert (II Sock)
C. 2 Giebelfenster gemaurt
D. Spülstein in der Küchen mit Abtropff fläche f
[Remarques – A. Balustrade d’escalier, départ de rampe simple. Sculpté dans la latte]
B. Deux portes à panneaux, cadre à conserver
C. Deux fenêtres murées dans le pignon
D. Evier à égouttoir dans la cuisine


Relevé d’actes

D’après l’acte ci-dessous dressé en 1613, Gaspard Mock vend en 1589 la maison au menuisier Jean Buchmüller
Jean Buchmüller épouse en 1588 Barbe, fille de Jean Kornlen de Gertwiller

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 79-v n° 238)
1588. Eodem die [Domin. Invocavit] Hannß Buchmüller, der schreiner vnd Barbara Hans Kornlen des bäcken von Gertweiler nachgelaßene dochter, eingesegnet den 10. Martÿ (i 88)

Originaire de Markgröningen près de Ludwigsburg, Jean Buchmüller est devenu bourgeois l’année précédente
1587, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 470
Hans Buchmüller Von Marckgrüningen ein Schreÿner mit Beÿstandt philips Blasÿ des Ungelters hat das Burgerrecht Kaufft vnd will Zu den Zimmerleütthen dienen Act. den 24.t Maÿ Anô 87

Jean Buchmüller se remarie en 1597 avec Elisabeth (Geldreich), veuve de Laurent Muschet d’Obernai
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 111 n° 56)
1597. Hans Buchmüller der schreiner vnd Elizabeth Lorentz Muschets von Obernehen hinterlaßene wittwe. Eingesegnet Montag den 31 Octobris Außgangen in Anthoni Hertzogs behausung (i 59)

Jean Buchmüller et sa femme Elisabeth hypothèquent au profit du menuisier Jean Oberhauser la maison qu’il a achetée du chef de la Monnaie Gaspard Mock

1603 (Andern tag Aprilis), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 113-v
(Inchoat. in proth. fol: 87.) Erschienen Hannß Buchmüller der Schreÿner Burger Zu Straßburg Vnd Elizabeth sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt Vnd In gegenwertigkheit des Erbarn Hannß Oberhausers Schreÿners burgers Zu St. – schuldig sigent 40 Pfund
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt hofflin vnd hinder hauß Mit Allen Iren gebeuwen & geleg. Inn der St. Straßburg, Inn der Freÿburg. gaß, gegen dem Müntzhoff vber,einseit nebent Hannß Schwindell der Küeffern Vnd And.sit ein Eckhauß, hinden vff Ulrich Bertschen den Notarium, Vnd Zum theil vff die Freÿburg. Zunfft stoßend, Davon gend xiiij guldin gelts, Ablösig mit iij C guldin sant Marx Closter alhier, mehr sind sie noch hafft vnd Vnderpfandt für sein schuld 340 guldin Zu Zielen sampt dem Interess Zubezalend Caspar Moocken dem Müntzmeister, Vmb den sie erkaufft

Autre hypothèque entre les mêmes

1604 (xvj tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 70-v
(P. fol. 82.) Erschienen Hannß Buchmüller der schreiner burger Zu Straßburg, vnnd Elizabeth sein eheliche haußfrauw, haben sich vnver: für sich & verschriben
Geg. hannß Oberhauser dem schreiner burger Zu Straßburg demselben Zu Zinsen ij lb x ß d gelts Ablösig mit L lb Straßburg
Vonn Vff v Abe Hauß, hoffestatt, höfflin vnd hind.hauß mit Allen Ihren gebäu & geleg. Inn der Statt Straßburg, Inn der freÿburg. gaß, gegen dem Müntzhoff über, einsit neben hannß Schwindell dem küffer, vnnd andersit ein Eckhauß hind. vff Ulrich Bertsch. dem Notarien vnnd Zum theil vff due Freÿburger Zunfft stoßend, Davon gond xiiij guldin gelts Ablösig mit iij C guld. Sant Marx Closter Alhie, Vnd dann seind sie noch hafft vnd vnd.pfandt für ein schuld 340 guldin zu Zÿlen Zu erleg. Caspar Moocken dem Müntzmeister, Vmb dem sie erkhaufft, Als man sagt,
(vide cassat. recessum in Reg: 1603. fol: 113)

Jean Buchmüller et Elisabeth Geldreich vendent la maison arrière au tourneur Martin Heus et à sa femme Odile Stœsser. Le puits et les latrines resteront communes entre les deux parties

1613 (24. Julÿ), Chancellerie, vol. 400 (Imbreviaturæ Contractuum 1612. 1613) f° 60
Khauffverschreÿbung Martin Heüsen des Trehgers vber sein Behausung In Sanct Barbaræ gassen gelegen
(Extendiert wie In dem Contractbuch de Anno 1613. Zubefinden folio 90.) Erschienen Hannß Buchmiller der Schreiner Burger alhie Vnd Elisabethen Geltreichin sein eheliche haußfrauw (verkaufft)
Martin Heüsen dem Träger Burgern alhie vnd Othilia Stöserin* seiner ehelich. haußfr.
eine hinder behaußung beÿ St. Barblen gaß gelegen, einseit neben h. Abraham Röderers Cantzleÿ Verwanten wittib, die Ander neben Ihme Verkeüffer hinden vff die freÿburger stub stoßend, Dauon gehet dem Stifft zu St Marx alhie Von beden heüsern ablösig mit 300 fl. Mehr 679. fl. 7 ß 10 d hauptgutt vnd seithero verfallene Zinß herrn Caspar Mocken Müntzmeistern Vermög einer Verzeichnus so der Verkäuffer fürgelegt schuldig Vnd dann hanß Oberhaußern dem Schreiner v fl. ablösig mit 100 fl. den guld. Zu 15 batz. gerechnet, sonst ledig vnd eigen, Vnd ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 600 gulden zu 15 bz.
(vide Nachtrag in Anno 1625. fol. 346. fa. 2.)
[in margine :] Erschienen Renat Grauistet dochtermann Peter Miler burger alhie hatt in gegenwerttigkeit obermelter Wittwen (…) Mittwoch den 11. octob. anno 1620
(Scheda) Erschienen Johann Daulphin burger alhie innamen H Reinhard Grauiseten, hatt in gegenwerttigkheit Otilia Martin heüßen deß Trehers see: wittiben mit beÿstand Michel Hörmanns deß Küeffers ihres ietzigen Eheuogts (…) 125 lb (…) von hannß Buchmüller dem Schreiner den 24. Julÿ 1613. Vmög der in alhieiger Cantzleÿ vffgerichten v.schreibung erkaufft, noch am kauffschilling rest schuldig qtirt den 23. Augusti Anno 1622.
Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch) Ein hindere Behausung derselben Hoffstatt mit allen deren gebawen, begriff weÿthen Zugehörd, Recht vnd gerechtigkeÿt einem Gang dridthalben schuh breidt zu einem gemeinen Bronnen vnd einem heymlichen gemach oder Propheÿ, welcher gang neben dem gemelten Bronnen samt einer gemeinen Thülen wandt von der Verkäuffern vordern Behausung abgesondert, vnd sowol dieselb als gedachter Bronnen vnd Propheÿ von beden em Verkeuffern vnd den Keuffern In gemeinen costen erhalten, der Bronnen so offt von nodten geschopfft, das heÿmlich gemach gesaubert durch verkäuffern Behausung außgetragen vnd mehrs* desto wehniger Jeder theyl den halben costen leÿden, obgedachter Gang durch die Käuffer hoher nit dann eines Stocks hoch gebawen werden Vnd die Mauren so Jedem Hoff auff Abraham Roderers seligen Behausung stosset, Ihnen verkäuffern eÿgenthümblichen verpleÿben, vnd der Keuffer auch alles wasser so von dem dachtrauff herab falt vnd von mehrgedachten Bronnen fleüßt durch Ire erkauffte behaußung außzuleÿdten vnd demselben seinen gepürlichen außfluß Zugestatten schuldig sein sollen, In diser vnserer Statt Straßburg beÿ Sant Barbaræ Gaßen vnd dem Müntz Hoff einseÿt (…)

Jean Buchmüller et sa femme Elisabeth Geltreich passent avec René Graviset un accord sur leurs dettes. Ils ont acquis en 1587 de Gaspard Mock une maison qu’ils ont partagée et reconstruite. La cherté des temps ne leur permettant pas de régler leurs dettes, Gaspard Mock a été mis en possession judiciaire de la maison sur laquelle Elisabeth Geldreich a droit à 300 florins d’après son contrat de mariage et René Graviset à 385 florins.

1613 (10 Augusti), Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch) f° 83
Vertrag Zwischen Reinhard Grauiset vnd Hans Buchmüller dem Schreiner vnd desselben ehelicher Haußfrawen
erschienen seind vnser Rhatsbewandter Hannß Nessel vnd Conrad Stor vnd beneben Ihnen vnser Burg. Reinhard Grauiset der Jubilier an einem,
vnd Hans Buchmüller der Schreÿner vnd Elisabeths Geltreychin sein eheliche haußfrauw bede ehegemechd am anden theil
Nachdem Jetzernante bede ehegemecht In dem verschinen 1589. Jar ein behausung In diser vnserer Statt Straßburg bey dem Müntzhof so ein eckhauß geg. ermeltem Müntzhof gelegen von Caspar Mocken dem Müntzmeÿster erkaufft dieselb seydhero in Zweÿ heuser abgetheylt vnd erbawen dardurch se sind* In diser biß anhero gewereter theüren Zeÿt, da sie die Jährliche Zinß nit abrichten könen, also verstreckt vnd dahin endtlich gehalten, das ermelter Caspar Mogk von wegen seiner ausstendiger vnd auffgeschwollener Zinß angeregte Jar bede Häuser ane die Gant gepracht vnd erhalten, das dieselben Ime eingeraumpt werden sollen, dar durch sie die bede eheleuth nit allein alle Ir besserung sondern auch die Elisabetha Ihre 300 gulden, so Ir vermög Ihrer gehaltenen Eheberedung für ohnverändert gehörig, wie auch obernanter Herr Grauiset gleichergestalt auff ohgefahr 314 gulden (…)

La maison revient par enchère judiciaire au marchand Luc Thoman qui achète le droit de bourgeoisie en 1619 puis épouse en 1620 Anne Catherine Cappeller, fille du bourguemestre André Cappeller, de Worms.

1619, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 800
Lucas Thoman Von colmar der handelßmann, Khaufft d. Burgerrecht mit beÿstandt h Heinrich Koppen deß dreÿ Zeheners Alhie vnd will Zu den freÿbuergern dienen den 24.t Januarÿ 1620.

Mariage, cathédrale (luth. p. 104)
1620. Dominica Trinitat: d. 11. Junÿ. Lucas Thomas der Handelsmann H. Jörg Thomas des Handelsmanns Zu Colmar, sohn, und J. Anna Cätherin H. Andres Capeller bürgermeisters Zu Wurms n. tochter, eingesegnet Zinstag den 20. Junÿ (i 57)

Nicolas Günter de Haguenau se plaint de la garance que lui a procurée Luc Thoman
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
Niclaus Günther contra Lucas Thoman. 139.
(f° 139-v) Donnerstag den XXI. Junÿ – Hagenawisch schreiben abgelesen darin sie melden wie Lucas Thomas mit Ihrem burg. Nicolao Günther weg. Röthe ein Contract getroffen, demselben aber kein gemug gethan doher er Günthern angreiff. für Null Zuerkennen d dann billich d er Lucas in loco *schein d die sach richtig mache alß begeren sie d. er 5 July styl non vor Innen * erscheine & Ires burgers begeren selb d durch ein Anwaldt anhoren woll.

Luc Thoman, receveur demeurant dans la maison de Hanau, et sa femme Anne Catherine Cappeller vendent la maison au farinier Georges Stiegler

1634 (ut spâ [18. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 542-v
(Protocollat. fol. 94.) Erschienen Lucas Thoman Schaffner im Hanawischen hoff alhie, vnd Anna Catharina Kappelerin sein ehefr.
haben in gegensein Georg Stiglers deß Meelmanns auch burgers alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, höfflin vnd einen gemeinen Bronnen mit allen and.en ihren gebäwen & Alhie in der Freÿburger gassen neben Jonas Trenner dem schuhmacher & Niclauß Mausen dem Schneider, hind. vff die freÿburger Zunfftstuben stoßend gelegen, davon gehen Jährlich vff (-) 6 fl. 7 ß 6 d gelts dem Stifft S. Marx alhie in hauptgut mit 150. fl. dauon stehen fünff Jar Zinß auß thun 33. fl. 7 ß 6 d So dann ist solch hauß auch noch verhafftet vmb 278. lb d hauptg. und davon Zinß von Anno 1630. biß dato 68. lb 15. ß d H Eberhardt Zetzners Kindern, daran Alle Jahr auf Annunciationis Mariæ 100. lb sampt dem Zinß Zuerlegen, sonst ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschw., so der Käuffer vff sich genommen, gescheh. per 253 fl.

Originaire de Dinckelsbühl en Franconie, le boulanger Georges Stiegler épouse en 1622 Marguerite Ipper, fille du boulanger Martin Ipper (nommé Martin Sper à l’acte de mariage)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 128 n° 6)
1622. den 11. Februarÿ sind ehelich eingesegnet worden Jörg Stiegler, von dinckelspiel, der weißbeck Jörg Stieglers des weißbecken vnnd burgers daselbst Sohn, vnnd Jungfrauw Margreth, weiland Martin Sper, gewesenen Weißbecken vnd burg. alhie, seligen, nachgelaßene dochter (i 138)

Georges Stiegler devient bourgeois par sa femme Marguerite Ippert trois jours après son mariage
1622, 4° Livre de bourgeoisie p. 43
Georg Stügler Von Dinckhelspüel der Mehlmann, empfangt d. Burg.recht Von Margaretha, Weÿl. Martin Ipperten deß Weißbeckhen see: Alhie hind.laßene ehelich. dochter, vnd Will Zu den Beck. dienen, Actum den 14. Februarÿ Aô 1622

Les fariniers, les amidonniers et les fabricants de pâtés achètent le grain en trop grande quantité au marché, ce qui le renchérit. Georges Stiegler est le seul à être nommément cité pour ces abus.
1625, Protocole des Quinze (2 R 53)
Meelleüth, Amblungmacher, Pastetenbecken mißbauchen den Kornmarck. Geörg Stiegel. 193.
(f° 193) Donnerstag den 15.ten Augusti. – H. XV. Meister bericht, die geschworne beede schawer clagen, daß die Meelleüth, Amblungmacher, Pastetenbecken vff den Kornmarck theuwrung verursachen, In dem sie ein fallen, den besten vndt schönsten weitzen außstechen, auch ein mehrers von früchten dann Ihnen die Ordtnung Zugibt, vndt an statt daß sie nur 4 frtl. kaufen sollen, wohl 12 erpracticiren & ob nit die Zahl der Meelleüth Zuringern ein Schreiber vffm Kornmarck Zubestellen vndt die v.brecher abzustraffen.
Erkandt, Ober Ungeltherrn sollen die Brodtschawer ferner fernemmen vndt daß die so wider Ordtnung gehandellt nambhafft gemacht werden & Ober Ungellt Herren v.richtens Allso baldt, referiren brodschawer halten nit darfür, daß es sich mit der schreibereÿ vf dem Korn Marckh werde thun laßen, seÿ der Meelleüt Ordtnung Zwar steig aufgesetzt, werde mit darauf gehalten, schlagen, Zum Mittel für daß Meelleüth, Amblungmacher, Pastetenbecker, von dem Marck ab: vndt auff die Casten Zuweÿsen, Geörg Stiegele hab enormiter gehandellt, dahero Abzustraffen, weiß vndt Schwartzbecken solten deß Meelwercks müeßig stehen, & ob nit Alle Meelleüth Zubesenden, in handtrew aufzunemmen, ob sie nit wider Ordtnung gehandellt gleich mit den wührten procedirt worden.
Erkandt soll durch Ober Ungelth. bedacht werden, als sich mit der handtrew practiciren laßen wöll, oder wie die abstrafung vorzunemmen, deßgleichen welcher gestalt daß verfürwortten vff dem Marck Zuv.hüeten.

Le farinier est mis à l’amende pour avoir enfreint le règlement du marché au grain
1626, Protocole des Quinze (2 R 54)
Geörg Stiegele. 288. der Meelman
(f° 288. Donnerstag den 24. Novembris Seind volgende Straffen durch Mich vf den Pfenningthurn gelüffert worden
Geörg Stiegele der Meelman, hatt wid. Kornmarckts ordtnung gehandellt, Zur straff erlegt 3. lb, davon vß befelch der Ober vngellth.dem Anbringer 110 ß ver Ehrt word. rest 2. lb 10 ß

Marguerite Ipper se remarie en 1637 avec le tailleur Jacques Grisel.

Le farinier Jean Georges Metzger vend au nom de son beau frère mineur Abraham Stiegler la maison au chaussetier Marcel Schreiber

1653 (18. maÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 277-v
(Protocoll. fol. 61.) Erschienen hannß Georg Metzger der Meelmann alß Vogt Abraham Stiglers seines Schwagers mit beÿstand H Johann Wolffgang Heßlers und H Johann Peter Schmidts beeder alß auß EE groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
hatt in gegensein Martzolff Schreibers deß hosenstrickhers
hauß, hoffstatt, höfflin, Bronnen, hinderhäußlin, mit allen übrig. Gebäwen & alhie in der Freÿburg. Gaß, ist ein Eckh geg. dem Müntzhoff, einseit neb. hannß Saußenthalern dem Kürßnern, anderseit neben Jonæ Trennern dem Schuhmachern, hind. vff die Freÿburger Zunfftstub stoßend gelegen, davon gehend iahrs 3 lib 7 ß 6 d vff Michaelis lößig mit 75 lib. dem groß. gemeinen Allmosen Zu St Marx, sonst für freÿ ledig vnd eig. Und were dißer Verkauff und Kauff über die erstgemeldte Beschwärdt, daran d. Käuffer gewißen word. ist, welche derselbe auch übernohmen (…) geschehen umb 255 lib
[in margine :] Erschienen hierinngemelter Abraham Stigler, mit beÿstand H Johann Georg Lang, Notarÿ, seines Schwähers, hatt in gegensein deß Käuffers bekhannt (…) quittirend Verspr. Act. 11. maÿ a° 657.

(Héritier de son oncle Marcel Schreiber), Pierre Schreiber de Hœnheim et sa femme Barbe vendent la maison à Jean Georges Windenius, musicien et secrétaire à l’Université

1667 (13. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 540-v
(Prot. fol. 36. fac. 2. – 375 lib) Erschienen Peter Schreiber von Höhnheim und Barbara sein Erkannt Willfahrt, beÿde mit beÿstand hannß Niclaus Schreibers deß hosenstrickhers ihres eheleiblich. Sohns
in gegensein H M. Johannis Georgÿ Windenÿ Musici und Scribæ Gÿmnasÿ – ihme H Mr Windemio, verkaufft
hauß, hoffstatt, höfflin, Bronnen, hinderhäußlin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, weith. Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in der Freÿburg. Gaßen, ein Eckh geg. dem Müntzhoff hienüber Zwischen hannß Saußenthalern dem Kürßner, hind. vff die Zunfftstub zum Freÿburg. stoßend geleg., welche Behaußung umb 75. lib. Capital und 23. lib 14 ß 6 d. davon biß vff instehend Mich: verfallene Zinnße dem groß. gemeinen Allmosen Zu St. Marx, Und umb 75. lib Capital und 9. lib. 7 ß 6. d davon biß vff gemelt Mich. gerechnete Zinnße und Marzahl H Johann Daniel Würtz Treÿern der Statt Pfenningthurn verhafftet (übernohmen) – umb 191. lib.

Enseignant et secrétaire à l’Université, Jean Georges Windenius et sa fiancée Barbe Holler, originaire de Sarrebruck, achètent le droit de bourgeoisie en avril 1660
1659, 3° Livre de bourgeoisie p. 962
Hn Johann Georg Wintenio Præceptor vnd Schreiber beim Gÿmnasio alhie ist auß Sond.bahrer oberkeitlich gnad. sampt seiner verlobten Jungf. Barbaram Hohlerin von Sarbrücken d. burgerrecht darein sie angenommen word. seind, freÿ geschenckt, vnd wollen Zu E. E. Zunfft d. Steltzen dienen, Jurav. 20. Aprilis 1660.

Fils du pasteur de Langen-Kandel dans la seigneurie de Guttenberg (près de Germersheim en Palatinat), Jean Georges Windenius épouse en mai 1660 Barbe, fille du pasteur de Bouquenom (Sarre-Union) Jean Josse Holler.
Mariage, cathédrale (luth. f° 116, n° 20)
1660. Misericord: Dni den 6. Maji. Zum 2 mahl Hr M. Johann Georg Windenius Præceptor Musices und Schreiber bei hiesigem Gymnasio, Weiland Hr. Johann Jacob Windenÿ gewesenen Pfarrers Zu Langen: Candel in der graveschafft Gutenberg hinterlaßener ehel. Sohn, Jfr. Barbara, Hr Johann Jost Höllers Pfarrers Zu Sar- Bockenheim ehel. Tochter. Dienstags den 15. Maji. Spiegel. Münster. Hhstub (i 117)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 40-v) 1660. Dncâ Misericordiæ den 5. Maji. H. M. Johann Georg Windenius Præceptor Musices vnd Scriba alhiesigen Gymnas. J. Barbara H Johann Jodoci Höllers Pfarrers Zu Sarr- Bockenheim Eheliche Tochter. Copulirt d. 15. Maji in dem Münster (i 44)

Jean Georges Windenius renonce à sa place au collège des wilhelmites et demande un subside pour pouvoir s’établir jusqu’à ce qu’il ait trouvé un meilleur emploi. Il reçoit des avantages en nature (bois, fagots et grains) et le logement dans la maison qui appartient au béguinage du Tiers Ordre à charge de l’entretenir.
1660, Conseillers et XXI (1 R 143)
Mr. Johann Georg Windenius. 45. 61.
(f° 45) Montag d. 5. Martÿ – Mr. Johan Georg Windenius p. subsidio
Mr. Johan Georg Windenius vberreicht per Wild. Vndgr. supplication resignirt sein beneficium Wilhelmitanum, Bericht d. Er sein eigene Haußhaltung anzufangen vorhabenß, Bitt Mh. Vm ein Subsidium Damitt Er sein außkomm. haben möge, biß Er Zu einer beßerer g.dition gelangen thut. Erk. Soll bedacht werden.

(f° 61-v) Montag d. 19 Martÿ – Mr. Windenio Würdt ein Jährliches subsidium geschopfft
(3) daß Mr. Windenius mit einer vndg. supplication beÿ Mh. einkommen, vnd Ihn er Zuerkennen geben, d. Er sein eigen Haußweß. anzufangen Vorhabenß, vnd dießes darum damitt Er seine erlebte Muhter Welche keine mittel vnd alterß halb. nicht mehr vortkommen kan, Zu sich nemmen möge, mit bitt Mh Wolten Ihme mitt einem Jährlich. Subsidio Vnder die Arm greiffen, damitt Er sein außkommen desto beßer hab. mochte Habe Vacationes gehabt, man Habe Ihnen aber Der musique halben nicht erlaßen wollen, Werde Ihme Dadurch anderß gegeben seines vleiß beÿ d. Jugend vnd desto mehr scheinen Zulaßen Seÿe Vor guth angesehen word. man sol sein begehren in g.sideration Zihen Vnd Ihme ahne holtz 4 Fuder Vnd dan 300 Einwidiger Wellen durch den Haag meister Vnd das 6 frt. früchten halb vnd halb Von der Schuel Jahrlich lüffern laß. Vnd weÿlen man sich errinnert daß die Samlung Zur tritten regul ohne daß lehr stehet, Alß seÿ vor guth angesehen word. man soll Ihme dieselbige einraumen, die H Pfleger aber so vber selbige gefäll gesetzet die v.ordnug thun daß d. hauß auß d. selbigen mittlen mag reparirt werd.. Erk. Gevolgt worden.

Jean Georges Windenius demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un un nouveau logement puisque la maison du Tiers Ordre rue Sainte-Hélène va être vendue. L’assemblée le renvoie au receveur des béguinages.

1663, Conseillers et XXI (1 R 146)
Joh: Georg Windenius umb ein hauß. 9.
(f° 9) Mittwoch den 21. Jan. – Joh: Georg Windenius umb ein hauß.
M. Joh: Georg Windenius supplicirt, weil ihm vor 3 jahren biß zu anderwerthlicher beförderung eine freÿe behausung in der höllen gaß gelegen vnd Zur samblung Zur dritten regul gehörig bewilligt word. nuhn aver dieselbige u. den H Pflegern verkaufft werden Mghh. ihn mit einer andern begnadigen wollen.
Erk. an die H. Scholachen gewiesen, die von dem Schaffner der Samblungen vernehmen werd. ob kein andere bequemlichkeit für ihn zu finden. H. Ansorg, H Voltz.

Jean Georges Windenius demande un complément aux subsides dont il bénéficie déjà en attendant de nouvelles fonctions plus rémunératrices. Il reçoit de nouveaux avantages en nature pour le récompenser de la musique dont il s’occupe.
1665, Conseillers et XXI (1 R 148)
Mag. Joh: Georg Windenius. 126. 137. 140.
(f° 126-v) Sambstags den 19.ten Augusti – Mag. Joh: Georg Windenius.
Mag. Joh: Georg Windenius überr p. Wilden underth. Supplicat. danckt für die Ihme vor 5. Jahren beschehene addition, vnd bitt noch etwas dazu Zu legen, biß daß Er einen andern vnd beßern dienst bekombt. Erk. An die Mhh gewießen. Herr XV. Frantz et Herr Schach.

(f° 137-v) Montags den 4. Sept. – Joh: Georg Windenius
(5) Es hette Magro. Johann Georg Windenius Zu erkennen gegeben, wie gar Er mit der Ihme geschöppfften bestallung beÿ ietztmahls Zugenommener haußhaltung nicht bestehen könne, vnd deßwegen vmb addition gebetten, Nun seÿ Seine Persohn wohl recommendiirt, were auch kein Zweiffel wann Er wegtrachten solte, d. Er nicht balds condition bekäme, allein wirdte dadurch die Music einen Zimblichen stoß laßen, deßwegen Sie dafür gehalten dieweilen gleichwohlen die bestallung so gering daß Er dabeÿ nicht bestehen kann, mann werde etwas, wann mann Ihme anderes anhalten will, beÿ der sachen thun müßen vnd hetten deswegen von Ihm vernommen laßen, wamit Ihme am besten gedient sein möchte, da Er es dann vff etwas vorigs ane gelts, holtz vnd wein gestellt hatt, Sie hetten deßwegen vermeint, weilen Er bereits 6. vrtl. früchten, 300. wellen, 4. fuder holtz vnd eine freÿe wohnung hatt, so könte mann Ihm ietz und annoch 300. wellen, 2 fuder holtz, ½ fuder wein vnd 6. lb d ane gelt, vnd Zwar dieses letztere von S Marx addiren, doch wolten Sie alles Zu Mghh. stellen. Erk. gefolgt.

(f° 140-v) Montags den 11. Septembris 1665 – Magister Johann Georg Windenius übergibt eine Underthänige dancksagung, für die Ihme gn. Zuerkante addition. Auff sich.

Nouvelle demande de subsides (le registre est abîmé)
1671, Conseillers et XXI (1 R 154)
Johann Georg Windenius. 153.
(f° 153) Sambstag d. 3. Junÿ – M. Johann Georg Windenius der [-] bitt vmb erlaßung des trengelds Gleich [wie den] Schuhldienern Geschehe, weilen Er von schlechten [-] vnd Gar geringe besoldung hette, Auch dato [-] anderwertig promouirt werden können. [-] vmb solcher Consideration willen Wilfahrt. H. XXI. Schmidt vndt H. Von Veßenheim.

Son fils Jean Georges Windenius, pasteur à Wintersbourg près de Phalsbourg, épouse en 1687 Anne Marie Tornarius, fille du pelletier Jean Joachim Tornarius : contrat de mariage, célébration
1687 (7. Apr.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 83
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen dem Ehrwürdig vnd wohlgelehrten H. H Johann Georg Windenio der Zeit wohlbestellten Pfarrherrn Zu Wintersburg Fürstt. Veldentzischer herrsch. deß Ehrenvest vnd wohlgelehrten H. M. Joh: Georg Windenÿ beÿ alhiesigem Gÿmnasio wohlbestellten Scribæ v. Musici burgers zu Straßburg Ehelichem Sohn als hochzeiter an einem
Vndt der Ehren und Tugendgezierten Jungfr. Annæ Mariæ, weÿl. Mr Hannß Joachim Tornarÿ Geweßenen Kürschners vnd burgers alhie Zu Straßb. nachgelaßener Eheleibl. dochter als hochzeiterin andern theils
Actum Straßb. Mo&&s den 7. Apr. St: N: A° 1687. [unterzeichnet] Johannes Georgius Winenius Pastor. Winterb. als Hochzeitter, M Joh: Georgius Windenius als deß Hochzeiters Vatter – Georg Friderici als Stiesvater

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 126, n° 742)
1687. Dom. Trinit. et I. Trin. 25. Maÿ und 1. Junÿ. H. Johann Geörg Windenius, Pfarrer zu Wintersburg hochgr. Pfaltz vendentzisch herrschafft, H. M. Johann Geörg Windenÿ, Musici et Scribæ Infer. Gymnas. ehelich. Sohn, Jfr. Anna Maria weÿl. Johann Joachim Tornarÿ burgers und Kürsners eheliche Tochter. Cop. mittwoch den 4. Junÿ (i 65)

Anne Marie Tornarius fait dresser l’inventaire de ses apports
1687 (7.6.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 9)
[Inventarium über alles dasjenige so Frau Anna Maria gebohrne Tornariusin] zu dem Ehrwürdig Undt Wohlg[-] herrn Johann Georg Windenio der Zeit Wohlbestellten [Pfa]rrherrn Zu Winterspurg hochfrst. Pfaltz Veldentz. HerrschIhrem geliebten haußwürt vor ohnverändert in die Ehe gebracht (…) Actum Sambstag d. 7. Junÿ 1687
In einer allhier zu Straßburg hinter der Kürschner Stub in der sogenannten heiligen Liechtergaß gelegener Behaußung befund. worden wie volgt
Sa. Haußraths, Sa. Silber geschirr und Geschmeids, Sa. Goldene Ring, Sa. Baarschafft, Summa summarum (-)

Le mandataire de Jean Georges Windenius, souffrant, et Barbe Holler hypothèquent la maison au profit de Jean Schmidt, receveur de la fondation Saint-Marc. En marge, quittance accordée au menuisier Paul Würtz en 1712.

1688 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 268-v
H. Johann Philipp Sachs, de Pastetenbeck und E:E: kleinen Raths alter beÿsitzer und Abraham Jundt der weißbeck alß (…) constituirte Mandatarÿ Hn M. Johann Georg Windenÿ, Informator. Musicæ Infer. Gymnas. allhier, welcher unpäßlichkeit halb. nicht außgehen kan, So dann fr. Barbara gebohrne Hollerin, Erstged. H. Windenÿ eheliche haußfrau und Zwar dieselbe mit beÿstand vorged. H. Sachß. und Jund
in gegensein H: Johann Schmids Schaffners Zu St. Marx – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine behaußung, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäwen recht. und zugehördt allhier in der freÿburger Gaß, einseit neben der Rothenkirch behaußung, anderseit ist ein Eck an der barblengaß gelegen
[in margine] (…) in gegensein Paul Würtzen Schreiners als ietzigen proprietarÿ hierinn gemeldten Haußes (quittung) den 23. Junÿ 1712.

Enseignant de musique à l’Université, Jean Georges Windenius meurt en 1688 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 394 livres, le passif à 41 livres.

1688 (23.8.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 12) n° 702-a
Inventarium vnd Beschreibung Aller der Jenig. Haab, Nahrung vnd Güethern, ligenden v. vahrenden, Keinerleÿ außgenommen, so weÿl. der Ehrenueste vnd wohlgelehrte Herr Johann Geörg Windenius beÿ alhiesigem Straßb. Gÿmnasio wohl meritirte Præceptor Musices, beÿ seinem den 25.ten Maÿ hus. Anni, beschehenem seeligen Absterben Zeitlich. verlaßen, wo auff erfordern vnd begehren sein deß verstorbenen seel. mit hernach benamßten seiner Fr. Wittib ehelich gezeugten hinderlaßener Herren Söhn v. döcht. alß ab intestato Erben inventirt, durch die viel rhen v. tugendreiche Fraw Barbaram Höllerin, die hinderplibene wittib (…) Actum inn fernern gegenwarth deß Ehrenuesten v. Kunstreich. H. Johann Friderich Mägerlin, burgers Barbierers vnndt Wundartzten allhier Vorhergecacht. Fraw wittiben geordneten Herrn Curatoris, vff Montag den 23.ten Augusti A° 1688.
Der verstorbene seeliger hat ab intestato Zu Erben Verlaß. 1. H; Joh: Geörg Windenius ;, vertribene Pfarrer von Wintersperg, hochfrst. Veldentzischer Herrschafft, burger alhier, so Zwar abwesend inn deß. nahmen ab . Fr. Anna Maria Tornariusin seine haußfr. Zugegen gewesen, 2. Jungfr. Annam Barbaram, So mit H. Ma : Joh: Christoph Schäff, inferioris Gÿmnasÿ Scriba & Collegÿ Marciani Pædagogo ehelich versproch. 3. H. Joh: Jacob Windenium, Philosophiæ Studiosum, 4. Jfr. Mariam Salome, Welch. beed. Letztern geschwüsterd Zum vogt verordnet d. Ehrenveste v. vorgeachte Herr Christian Gebhard, Seckhler v. burg. alhie, so d. Inventation v. Anfang biß Zum ende beÿgewohnet

So in einer alhie Zu Straßburg ane Freÿburger gaßen gelegenen vnd in diße Verlaßenschafft behörigen behausung befunden worden wir folgtt.
Ane Haußrath, vff d. obern Bühn, Inn d. Cammer A, Inn d. wohnstuben, Inn d. Stub Cammer, vor d. wohnstub, In d. Kuch., Inn d. vnd. stuben, Inn d. vnd. Kuchen, Im vnd. haußöhrin, Im Keller
Eÿgenthumb ane Einer behaußung. Nemblich. Hauß hoffstatt höfflin bronnen, hind. höußel, mit allen seinen gebäwen begriff. recht. v. Zugehörd. alhie in d. freÿburg. gaß. geleg. ist j: s. ein eck geg. dem müntzhoff hinüb. 2.s. neben j. behaußung d. roth. Kirch. behörig, hind. vff die Zunfftstub Zum freÿburg. stoßend, dauon gefaller d. 15. April: v. Aô 1689. Zum ersten mahl 3. lb d à 4. p. ct° gerechnet. Zinß dem Almosen Zu S. Marx, lösig mit 75. lb. d vnd ist üb. diße beschwärdt æstimirt 225. lb. Darüb. sagt j. perg. Kauffbrieff inn alhieigen Cancelleÿ Contract stb. gefertigt mit anhangendem Contract Insigel datirt d. 13. 7.br. 1667. dabeÿ noch 2. alte Perg : Kauff v. j. ganthbrieff Zubefind.
Abzug. Sa. haußraths 49, Frücht 3, lähre Vaß 16 ß, Bibliotheca 3, Silb. 3, guldine Ring 4, baarschafft 35, hauß 225, Activum 68, Summa summarum 394 lb – die summa d. Passivorum ist 41, Conferendo pleibt ane d. Massa übrig 352 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 352 lb

Barbe Holler veuve de Jean Georges Windenius hypothèque sa part de maison au profit du même Jean Schmidt. Quittance identique en marge.

1690 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 94
Fr. Barbara gebohrne Hollerin, weÿl. H. M. Johann Georg Wintenÿ gewesenen Musici beÿ allhiesig. Gymnasi hind.laßene Wittib, mit beÿstand H. Johann Friderich Megerlin deß barbierers und wundartzts, Ihres Vogts
in gegensein H. Johann Schmiden, Schaffners deß großen allmosens zu St Marx nahmen deßelb. – schuldig seÿe 25 pfund
unterpfand, Ihr der Schuldnerin dritter theÿl an einer behaußung hoffstatt höfflein, Bronnen, hind. haüßlein mit allen deren Gebäuen, begriffen, eecht. und zugehördt. allhier in d. Freÿburg. gaß, so einsert ein Eck geg. dem Müntzhoff hinüber, anderseit neben einer behaußung Zur Roth. Kirchen gehörig, hind. auff die Freÿburg. stub zum theÿl, und zum theÿl auff Eliam Horneck den Kirschner stoßend geleg.
[in margine :] (…) in gegensein Paul Würtzen des Schreiners als ietzigen proprietarÿ hierun bemelten Haußes (quittung) den 23. Junÿ 1712

Barbe Holler hypothèque son tiers de maison au profit de la fondation Saint-Marc

1691 (19.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 356
Erschien Fr. Barbara, gebohrne Hollerin, weÿl. H. M. Johann Georg Windenÿ gewesenen Musici et Scribæ Inferior. Gymnasÿ hind. laßene wittib, mit beÿstand Hn Johann Friderich Mägerlin deß barbierers Ihres, und Hn Christian Gebhard deß Säckers Ihrer Kind. Vogts
hat in gegensein Hn Johann Paul Tromers Notar. Publ. alß Und.schreibers deß großen Gemeinen Allmosens zu St. Marx im nahmen ged. Stiffts – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, Ein dritter theÿl für ohnvertheilt ane hauß und hoffstatt allhier an d. Freÿburg. gaß, so ein seit ein Eck an d. Barblen gaß, geg. dem Müntzhoff über, and.seit neben einer behaußung der Roth. Kirch gehörig, bewohnt Paul Hartschmid, der Haffenmacher, hind. auff hans Jacob Bruder den Lederhändler Zum theil und Zum theil auff Elias Horneck den Kirßner, stoßend geleg. welche behaußung Zuvorhin umb 75 lb d Capital obged. Allmosen verhafftet
[in margine :] Erschienen /:tit:/ Herr Johann Jacob Richshoffer XV.ner als Pfleger, vnd H Johann Spielmann als Schaffner hierinn ged. Allmosens Zu St Marx, habenin gegensein Paul Würtz, Schreiners, als ietzigen proprietarÿ hierinn ged. Haußes (…) Act. d. 23. Junÿ 1712.

Barbe Holler hypothèque son tiers de maison au profit du pasteur Martin Iller pour pouvoir doter sa fille Marie Salomé

1701 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 264
Fr. Barbara geb. Hollerin Weÿl. Hn M. Johann Georg Windenÿ geweßenen Præceptoris Musices nun seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn Johann Friderich Mägerlin des Barbierers und Wundartzts und E:E: kleinen Raths beÿsitzers Ihres Curatoris
in gegensein Hn Johann Gärttners Schul Meisters beÿ der Neuen Kirchen allhier im Nahmen /tit/ Hn M. Martini Illers Pfarrherrn ged. Neüen Kirchen – schuldig seÿe 50 pfund, daß Sie damit Jfr. Maria Salome Windernußin Ihre leibliche Tochter welche Verlobt hat aussteuren und wegen Ihrer Vätterlichenen Legitimæ hat außweisen können
unterpfand, Ein dritter Und ane zweÿ dritten der Vierdte theil oder waß Ihro gebühren mag an Hauß Hoffstatt, Höfflein, Bronnen, Hinderhaüßlein mit alllen Gebaüen, begriffen, Rechten Und Zugehördten allhier ane der freÿburgergaß einseit ist ein Eck gegen dem Müntzhoff, anderseit neben einer behausung der rothen Kirchen allhier gehörig hind. vff die Zunfft stub zum Freÿburger stoßend gelegen

Le notaire Schatz a dressé l’inventaire (non conservé) après la mort de Barbe Holler. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 700 florins et que Jean Georges Windenius, pasteur à Ostheim, doit régler un droit de détraction.

1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 74-v
(Steltz, F., N. 159) Weÿl. Frauen Barbaræ auch Weÿl. Hn. Johann Geörg Windenÿ geweßenen Præceptoris Musices und Burgers alhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Schatz.
Concl. fin. Inv. ist fol. 37, 415. lb 7 ß 4 d, die machen 800 fl. dieselbe verstallte Hingegen allein 700 fl. also 100 fl. Zu wenig.
Wavon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs jahr in duplo macht à 6 ß d – 1 lb 16 ß
Und auff vier jahr in simplo trifft à 3 ß d, – 12 ß
So thun die Gebott – 1 ß 4 d
Und dann die Abhandlung – 10 ß 6 d
Extat d. Stallgeltt pro 1709. – 1 lb 1 ß , Summa 4. lb 10 d
Abzug. Herr Johann Geörg Windenius Pfarrherr zu Ostheim in der Rothenburgischer Landtwehr, hat alß dißorts frembd und ohnverburgert von angefallenen 51. lb. 15. ß. 2. d. Vätter: und Mütterlichem Erbe ane Abzug zu entrichten, benantlichen, 5. lb. 3. ß. 6. d
dt. omnia d. 2° Martÿ 1709.

La maison revient à sa fille Marie Salomé Windenius qui épouse en 1701 le menuisier Paul Würtz : contrat de mariage, célébration

1701 (23.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5941)
Heuraths Verschreibung – Zwisch. dem Ehrenhafft. Meister Paul Würtzen, Ledigen Schreinern, weÿl. des Ehrengeacht. H. Paul Würtzen, auch gewesenen Schreiners burg. alhie Zu Straßburg seelig. nachgelaßenen ehelich erzeugten Sohn, als hochzeitern an einem
So dann d. Viel Ehren: undt tug.dtsame Jungfrauen Mariæ Salomeæ Windeniußin, Weÿland des wohl Ehren Vest. wohlgelehrten Herrn M. Johann Georg Windeniußen, gewesenen Musici, auch Scribæ Inferioris Gymnasÿ et Pædagogi Stipendÿ Alumnorum Sancti Marci, ebenmäßig. burg.s alhier Zu Straßburg seeligen hind.bliben. eheleiblich. tochter, d. Jungfrauen hochzeiterin, and. theils
Bescheh. undt verhandelt in dieß. Königlich. Statt Straßburg, Sambstags d. 23. Aprilis nach Christi Jesu Unsers Einig. Erlösers heÿlandts und Seeligmachers frewdenreicher geburt 1701
1 AH 5893, Protocollum tertium f° 191-v

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 120 n° 583)
Mittw. d. 8. Jul. wurd. nach ordentlicher außruff. copulirt Paulus Würtz, d. led. schreiner v. B. allhier, weil. Hn. Pauli Würtzen geweß. schreiners v. B. allhier nachgelaß. ehl. sohn, v. J. Maria Salome, weil. Hn. M. Joh. Georg Windenÿ, geweßenen Scribæ & Musici im unterm Gymnasio v. Pædagogi Marciani nachgelaß. ehl. tochter [unterzeichnet] Paulus Würtz Alß Hoch Zeiter, Maria Salome windeniußin als hochzeiterin, Johann Heinrich Küeffer* alß Stieffvatter, Christian Gebhard Alß Vogdt (i 119)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 83 n° 449) Nach geschehener außruffung auch Zu S. Thomas ist den 6 Julÿ 1701 in der Neüen Kirch copulirt word. Paulus Würtz der ledige schreiner weÿl. H. Paulus Würtzen gewesenen burgers und schreiners allhier nachgelaßener ehelicher Sohn, mit Jfrt. Maria Salome, weÿl. Herren M. Johann Georg Windeniusen, gewesenen Scribæ undt Musici in inferiori Gymnasio, auch pædagogi beÿ dem Collegio Zu S Marx nachgelaßene ehelich. tochter (i 85)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 118 livres, ceux de la femme à 261 livres.
1701 (23.7.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6022) n° 618
Inventarium und Beschreibung aller d. Jenig. Haab undt Nahrung, so dem Ehrengeachten Paul Würtzen, Schreinern und d. Viel Ehren und tugendsahmen frawen Mariæ Salome Windeniußin, beed. Eheleuth. burg. alhier Zu Straßburg eÿgenthümblich gehörig, so umb d. ursach beschrieb. wirdt, weilen in d. Zwisch. beed. ged. Ehepersohnen mit einand. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich. v.sehen, d. eines jed. in die Ehe gebrachte Vermög. einen jed. undt seinen Erb. ein freÿ eÿgen ohnverändertt undt vorbehalt. guth seÿe (…) welches beschehen in Straßb. inn beÿsein d. Ehren: undt vorgeachten herrn hannß Heinrich Kaüffers, Schreiners, des Ehemanns Stieffvatters undt Hn Christian Gebhardts Säcklers d. Ehefrauen noch ohnentledigten. vogts Sambstags d. 23. Julÿ anno 1701.
des Ehemanns Vermögen anlangend, Sa. haußraths 46, Werckzeug Zum Schreiner handwerck gehörig 19, Silber 2, baarschafft 80, Summa summarum 118 lb
der Ehefr. Nahrung anlangend, Sa. haußraths 147, Silbe und geschmeid 15, guldene ring 23, baarschafft 75, Summa summarum 261 lb

Jean Paul Würtz loue une partie de la maison au maçon Jean Georges Kieffer

1727 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 558-v
Johann Paul Würtz Schreiner
in gegensein Johann Georg Kieffer des Maurers
entlehnt, In seiner allhier ahne der Freÿburger gaß, einseit ist ein eck ahn St Barbara gaß anderseit neben einem dem Mehrern hospithal allhier gehörigen hauß hinten auff Butz den Schneider gelegenen behausung, Einen theil eines gewölbten Kellers sambt 4 ohngefähr 200 ohmen zusammen haltenden Faßen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Michaelis umb einen jährlich Keller: und Faßzinnß von einem Batzen jedem Ohmen für 200 ohmen – um einen jährlichen Zinß nemlich 13 gulden 3 schilling 4 pf.

Le boutonnier Antoine Meyer se plaint du coffre que lui fait Jean Paul Würtz. Le conseil renvoie l’affaire comme les parties ne comparaissent pas.
1737, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 235) Dienstags den 19.ten Martÿ 1737 – Anthoni Meÿer der Knöpffmacher Contra Paulus Würtz den Schreiner, so abwesend Klagt, daß er ihme einen Kasten gemacht aber nicht auf die Art, wie er Ihme denselben anbefohlen, und weilen er ihme denselben Zu theur geben will, bitt Abschatzung.
Erkannt, weilen die Partheÿ nicht præsenz so seÿe dis Sach Zu verschieben.

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius louent une partie de la maison au marchand de vins Jean Schætzel

1739 (11.6.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 284
Paul Würtz der Schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin beÿständlich ihres tochtermanns Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers
in gegensein H. Johann Schätzel des weinhändlers
entlehnt, In ihr Würtzischen Ehefrau eigenthümlich zuständigen behaußung unten ahne der Freÿburger gaß, einseit ist ein Eck an St Barbara gaß, anderseit neben einer dem hiesigen hospitals gelegenen behausung, den vordern auff die gaß stehenden gewölbten Keller, ein klein unterschlagenen plätzlein so die verlehnerin sich zu ihtem gebracuh vorbehalten ausgenommen, beneben denen anjetzo darinn befindlichen Liegerlingen – auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend auff nächstkommenden Johann Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 7 pfund

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit d’Anne Dorothée Bær, femme du pasteur Philippe Jacques Leonhard

1742 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 201
Paulus Wurtz der schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin mit beÿstand H. Balthasar Sattlers des handelsmanns u. H. Balthasar Hummels des pastetenbecks beede ihrer vettern
in gegensein Fr. Annæ Dorotheæ geb. Bärin, H. M. Philipp Jacob Leonhard Pfarrers zum alten St Peter – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, eine behausung, höffein und hoffstatt cum appertinentis in der Freÿburger gaß gegen der königl. Müntz über, einseit neben einem dem Mehrern Hospital gehörigen hauß
anderseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, hinten theils auff der Freÿburger Zunfft stub theils das wirthshauß zum Falcken – als ein elterliches erbguth

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit du tailleur Jean Georges Stoltz

1743 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 42
Paulus Würtz der schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin mit beÿstand ihres sohs Johann Daniel Würtz des goldarbeiters und Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers ihres tochtermanns
in gegensein Johann Georg Stoltz des schneiders – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis in der Freÿburger gaß, einseit neben einer dem Mehrern Hospital gehörigen behausung, anderseit neben ist ein Eck, hinten auff E.E. Zunfft der Freÿburger theils das Wirths hauß zum goldenen Falcken – als ein elterliches erbguth

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit du juriste Samuel Silberrad, substitut aux affaires criminelles

1743 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 74
Paulus Würtz der schreiner und Maria Salome geb. Windeniußin mit beÿstand ihres sohns Johann Daniel Würtz des goldarbeiters und Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers ihres tochtermanns
H. Samuel Silberrad J.U.L. und Substituti beÿ dem verjicht protocoll – Contract stub 200 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburger gaß, einseit neben einer dem Mehrern Hospital gehörigen behausung, anderseit ist ein Eck, hinten theils auff E.E. Zunfft der Freÿburger theils das Wirths hauß zum goldenen Falcken – als ein elterliches erbguth

Jean Paul Würtz et Marie Salomé Windenius hypothèquent la maison au profit du marchand de poisson Jean Jung

1743 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 170
Paulus Würtz der schreiner und Margaretha Salome geb. Windeniußin mit beÿstand ihrer sohne Johann Daniel Würtz des goldarbeiters und ihres tochtermanns Johann Nicolaus Wagenmann des kieffers
in gegensein Johannes Jung des fischhändlers- schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburgergaß, einseit neben einem dem mehrern hospital gehörigen hauß, anderseit ein Eck, hinten theils E.E. Zunfft der Freÿburger theils auff das wirthhauß zum goldenen Falcken – als ein elterliches erbguth

Marie Salomé Windenius meurt en 1745 en délaissant trois enfants. Les experts estiment à la somme de 750 livres la maison préléguée au fils orfèvre Jean Daniel Würtz. La masse propre au veuf est de 126 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 004 livres, le passif à 755 livres

1745 (17.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 364) n° 184
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Mariä Salome Würtzin gebohrener Windeniußin des Ehren und Vorgeachten Herrn Paul Würtz des Schreiners und Burgers allhier Zu Straßburg geweßener Haußfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1745 – als derselbe Donnerstags den 26.ten Februarÿ dießes lauffenden 1745.sten Jahrs dises Zeitlichen mit dem Ewigen Verwechstelt, nach solch tödlichen hientritt Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 17.en Martÿ A° 1745.
Die abgeleibte seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie folg, 1° Frau Catharinam Salome Wagenmännin geb. Wurtzin Hn Johann Nicolai Wagenmanns des Kieffers und burgers allher eheliche haußfrau, Welche mit und beneben gedachtem Ihrem Ehevogt in Persohn beÿ dem geschäfft erschienen, 2.do Herrn Daniel Würtz, Ledigen Goldarbeiter, so Majorennis und ohnbevögtigt, dahero Er in selbst eigener Persohn mit Assistentz des hoch Edel Vest und hochgelehrten herrn Johann Andream Schaaff J. U. Lti und E: E: großen Raths wohlbestelten Procuratori Vicarii seines erbettenen herrn beÿstands dem geschäfft abwartete, So dann 3.tio Frau Mariam Margaretham Weÿrichin geb. Würtzin weÿl. Hn Johann Jacob Weÿrich, gewesenen Musicant und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib welche mit beÿhilff Hn Johann Daniel Marbachs des Knöpffmachers Seidenhändlers burgers allhier Ihres geschwornen Vogts dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, Also alle dreÿ der seelig Verstorbenen mit Eingangs gedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlt H. Sohn und Frau Töchtere, als deroslben ab intestato Verlaßene Rechtmäßige Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Freÿburgergaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden, Wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (E. Hn Daniel Würtz dem Sohn prælegirt umb 1200 lb) Eine behaußung, höfflein und hoffstatt sambt hindergebäu und gemeinschafft eines bronnens mit allen übrigen deroselben gebeüden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Freÿburger gaß einseit ist ein Eck ane St. Barbaræ gaßen, anderseit neben einer behaußung dem teutschen mehren Hospithal allhier gehörig, hinden Zum theil auf Johann Friderich Butz den Schneider theils auf die gastherberg Zum goldenen Falcken und theils auff E: E: Zunfft der Freÿburger stoßend, so vor freÿ ledig und eigen durch (die Werckmeistere) lauth überschickten Schrifftlicher Abschatzung Vom 2. Martÿ 1745. angeschlagen pro 750.. Darüber ist vorhanden ein alt. teutsch pergam. Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertiget und mit dero anh. Insiegel bekräfftiget de dato 18. Maÿ 1653. Dabeÿ ferner ein auch allda gefertigter und mit ermeltem Insigel corroborirter teutscher pergamenten Kauffbrieff, de dato 13. 7.bris 1667.
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten guths Vermög Inventarÿ über Beeder geweßener Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, in Anno 1701. durch weÿl. herrn Notarium Johann Kitschen nun seel. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli – Copia Nach disposition
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 12, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750, Sa. Schuld 75, Erg. übertrifft der abgang, Summa summarum 839 lb – Schulden 713 lb, Detrahendo Verbleibt 126 lb
Dießemnach Wird nun auch sowohl des wittibers ohnverändert als theilbare Nahrung /:in ansehung die Erben auf das theilbare guth tam active quam passive gäntzlichen renunciren und solches dem Wittiber allein überlaßen:/ unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 36, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 6, Sa. Silber 15 ß, Sa. goldnen Rings 1, Sa. baarschafft 250, Sa. Schulden 709, Summa summarum 1004 lb – Schulden 755, Nach deren Abzug 248 lb
Gantz Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 1075 lb
Legat und Respectivé Fidei Commis Welches der hinterbliebene Wittiber von Weÿl. Frauen Anna Margaretha Steinin gebohrner Würtzin, auch Weÿl. Lorentz Steinen geweßenen Einspännigers und burgers allhier see. nachgelaßener Wittib als seine eheleiblichen Schwester ebenmäßig seel. ererbt seinen Kindern aber eigenthümlich Verfangen
Abschatzung dem. 2: Martÿ: 1740. Auff begehren deß bescheitenen Meister Pauluß wiertz deß schreinerß ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, in der freÿ burger Stub gaßen gelegen, einseitß ein Eck, in die barbra gaßen, anderseitß Neben einen spitall hauß hinten auff Martin Johann frittrich butz dem schneiter stoßend welche behausung unden einen Stuben Kuchen Hauß Ehren gewölbten Keller, oben ihm Ersten Stock ein Stuben Cammer Kuche hauß Ehren ihm 2.ten Stock eben falß ein Stuben Cammer Kuchen Hauß Ehren ihm 3.ten stock ein Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren soldaten Cammer, ein alter tach stull ein höltzrer und steinere gëbell sambt dem hinter gebeü so unden ein kleine Eß, oben ein Stübell darüber ein halbeß tach mit ein besetzten bienen daß höffell, sambt allen gerëchtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Vmb Ein Tausent und Vünff hundert Gulten bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Copia der Eheberedung (…)
Copia Codicilli – 1743 (…) auff Freÿtag den 15. des Monaths Februarii Nach Mittag Zwischen dreÿ und Vier Uhr in einer allhier Zu Straßburg ane dem Hauer: und Kößelgäßel gelegenen Von mir Notario bewohnenden behausung dero mittlern Stuben mit denen fenstern in gedachte beede Gäßlein sehend, (…) persönlich erschienen seÿe die Viel Ehren und tugendsame Frau Maria Salome Würtzin gebohrne Windeniusin des Ehren und Vorgeachten hern Paul Würtzen des Schreiners und burgers allhier Ehefrau, durch die Gnaden Gottes auffrecht gesund gehend und stehenden Leiber auch guter richtiger Sinnen und Vernunfft (…) Mathias Koch Nots.

Les préposés de la Taille font figurer la succession de Paul Würtz et de sa femme dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 100 florins (550 livres) sur un total de 2 100 florins. Les préposés réduisent l’arriéré à régler parce que l’excédent est dû au prix de la maison attribuée au fils.
1745, Livres de la Taille (VII 1179) f° 337-v
Zimmerleüth F., N 9399 – Weÿl. Paul Würtz geweßenen Schreiners und Fr. Mariæ Salome gebohrner Windeniußin Beeder Eheleuthe und Burgere alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Dinckel.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 137. 1075 lb 6 ß 7 d, die machen 2100 fl. Verstalte 1000 fl. Zu wenig 1100 fl
Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 3 lb 6 ß – 19 lb 16 ß
Und Vier Jahr in simplo à 1 lb 13 ß – 6 lb 12 ß
Ext. Stallgeltt 1745 – 2 lb 17 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung 2 l 7 ß 6 d, Summa 31 lb 14 ß 6 d
Weilen der Nachtrag von der höher dem Sohn prælegirten behaußung herrühret alß haben die Obere Stall Herren denselben moderirt auff die helffte gehet ab 13 lb 4 ß, Rest 18 lb 10 ß 6 d
dt. 15 Maÿ 1745.

(f° 335), 10. May – Weÿl. Paul Wurtz des schreiners Erben der angesetzte Nachtrag weilen derselbe Von der höher prælegirten alß æstimirten behaußung herrühret auf die helffte moderirt

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit du notaire Mathias Koch

1745 (31.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 944
H. Johann Daniel Wurtz der ledige goldarbeiter
in gegensein H. Mathias Koch not. publici und Practici theils zu bezalung seiner schwester elterlichen guths theils zu seinem vorhabenden etablissement – schuldig seÿen 220 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäud, höfflein bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburgergaß, einseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff der Freÿburger Zunfft – als ein elterliches prælegat

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit du notaire Jean Raoul Dinckel

1746 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 453-v
H. Daniel Würtz der goldarbeiter
hatt in gegensein H. Johann Rudolph Dinckel Notarii Publici und Practici – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäuden, höfflein, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburgergaß, ist einseit ein eck ane der St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff der
Freÿburger zunfft

Jean Daniel Würtz apprend le métier d’orfèvre de 1727 à 1732 chez Jean Frédéric Seupel.
1727, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 380) Donnerstag den 3. Julÿ Anno 1727 – Herr Johann Friderich Seupel der goldarbeiter alhier nimbt zum Lehrjungen an Daniel Würtzen, Paulus würtzen des Schreiners und burgers alhier ehelichen Sohn, mit beÿstand deßelben die goldarbeiter Kunst von verwichenen Johannis tag biß auff gemelte Zeit 1732. in Fünff Jahren getreulich Zulehren gegen Erlag 100 thaler die erste helffte gleichen die andere helffte aber in Mitler der lehrzeit nebst einem Kasten von Schreiner arbeit zum silber Zur Discretion der Frau lehr meisterin, alles mehrern Inhalts ober handwercks herren Schein de 2. Julÿ 1727.

(p. 593) Montag den 23. Junÿ Anno 1732 – Johann Friderich Seupel der goldarbeiter erscheint und præsentirt seinen außgelehrten lehr Knaben Daniel Würtzen Von hier und berichtet daß seine fünff Jährige lehrzut biß morgenden St: Johannis tag verfloßen, alß bittet Er um gerictliche looßsprächung.
Erkannt, weillen die Parthen mit einander zu frieden alß seÿe ihnen in ihren begehren willfahrt gegen Erlag der gebühr

Jean Daniel Würtz s’inscrit en juin 1746 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente en septembre. Les examinateurs le reçoivent maître malgré plusieurs défauts qu’ils ne font pas corriger au candidat qui a une faible constitution et des capacités réduites.
1746, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 104)
(f° 5) Donnerstags den 16. Junÿ A° 1746 – Johann Daniel Würtz der Leedige Gold Arbeiter Gesell weÿl. Paul Würtzen geweßenen Schreiners und Burgers allhier ehel. Sohn stehet vor und bitt man wolle Ihme erlauben das Meisterstück Zuverfertigen.
Erkand, wird demselben in seinem begehren Wllfahrt und hat solches beÿ H. Hohleißen Zu machen, dt. vor das Kauff Gericht 1 lb 5 ß d und Vor die Auffnahm des Meisterstücks 2. lb d

(f° 8-v) Donnerstag den 15.ten 7.bris Anno 1746 – Joh: Daniel Würtz der Leedige Gold Arbeiter weÿl. Meister Paul Würtzen des geweßenen Schreiners und Burgers allhier seel. nachgelaßener Sohn stehet vor und præsentirt sein dem 16. Junÿ 1746. aufgenommene Meisterstück, bittet solche Zu examiniren und Zu besichtigen und Ihn nachgehends Vor einen Meister auf und anzunehmen,
Die dreÿ Geschworne Herren Gold: und Silber Schauere referiren, daß ohnerachtet Verschiedenes an solchen Vorgewießenen Stucken auszusetzen und zu corrigien Wäre, so wolten Sie deß Wegen des Meisterstückers üblen und blöden Leibes Constitution und daher niemahl gehabten guthen Gelegenheit etwas Zuerlernen solch Stuck Vor passable erkennen mithin E: E: Gericht Gebetten haben Ihne Vor einem Meister auf und anzunehmen/
Worein E: E: Gericht Verwilligt und Weilen Er Handtreu ane Eÿdestätt abgelegt daß Er solche Stuck mit eigener Hand Verfertiget habe, dahero wurde
Erkand, daß Er Vor ein Meister auf und anzunehmen seÿe, dt Vor des Kauffgericht 1 lb 5 ß d pro Discretione 3. lb und Vor den Gold und Silber handel 8. lb d

1752, Registres annuels de la Taille (VII 1245) f° 280-v
Würtz Daniel Jun. Pauli Sohn, Ins. 16. 7.br 1746 – 2 lb 5 ß
dt. 15. Jan. 10 ß
1762, Registres annuels de la Taille (VII 1255) f° 195
Würtz Joh: Daniel Jun. Ins. 16. 7.br 1746 – 7 lb 1 ß
dt. 21. Julÿ

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Samuel Schwanfelder

1747 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 462
H. Daniel Würtz der goldarbeiter
in gegensein H. Samuel Fingado des courtier als mandatarius H. Samuel Schwanfelder des silberarbeiters – 150 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäu, höfflein, bronnen und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburger gaß, einseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff die freÿburger Zunfft

Jean Daniel Würtz hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Saltzmann, veuve du marchand Jean Chrétien Mentzel

1750 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 492
H. Daniel Wurtz der goldarbeiter
in gegensein H. M. Johann Jacob Dieterlin des organisten, als gewalthabers Fr. Mariæ Salome geb. Saltzmännin weÿl. H. Johann Christian Mentzel des handelsmanns wittib – schuldig seÿe 16 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäu, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der Freÿburger Gaß, einseit ist ein Eck ane St Barbara gaß, anderseit neben Johann Georg Schauer dem kornwerffer, hinten auff der Freÿburger zunfft

Jean Daniel Würtz est admis pensionnaire à l’hôpital
1754, Conseillers et XXI (1 R 237)
Johan Daniel Würtz wird ad dies vitæ in den Spithal recipirt. 85.
(p. 85) Montag den 11 Februarÿ 1754 – Freund nôe Johan Daniel Würtz des ledigen burgers und goldarbeiters producirt unterth.es Memoriale und bitten mit beÿl. sub Lit. A biß E inclusivé pt° auffnahm in des spithal. Erkandt wird der Implorant ane die Hochansehnliche Hhen pflegere des mehren Hospithals umb allda auffgenommen und lebtägig verpflegt Zu werden, Verwießen.
Depp. Rathh. Kleinclaus, H. Rathh. Ströhlin.

Jean Daniel Würtz meurt à l’hôpital le 9 mars 1761 à l’âge de 51 ans
Sépulture, Hôpital (luth. p. 481)
1761. Mondtags d. 9. Mertz Morgends ein Viertzel vor 6. uhr starb in del allhiesigen Teutschen Hospital an mancherleÿ blödigkeiten Daniel Würtz, ehedem Gold Arbeiter und burger allhier, weÿl. Mstr. Paul Würtzen gewesenen Schneiders und burgers allhier und weÿl. Fraun Mariä Salome geborner Windeniusin hinterlaßener ehelicher Sohn, noch ledigen Stands und letzlich seit den XI. horn. 1754. gewesener Hospitals Armen Pfründer, seines Alters 51 Jahr 4. wochen und 3. Tag. Bekam keine Leichen begängniß (i 246)

La maison revient le 17 juin 1752 à Jean Baldner par adjudication judiciaire (voir la vente de 1767). Jean Baldner entre en apprentissage chez son père en 1717

1717, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 67) Donnerstag den 3. Junÿ Anno 1717 – H Carl Baldner der Goldarbeiter stellet vor seinen leiblichen Sohn Johann Baldner ihne die profession von dato in 4 Jahren gratis zu lehren

Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent Jean Balder pensionnaire à l’hôpital
1764, Conseillers et XXI (1 R 247)
(p. 240) Sambstags den 11. Augusti 1764 – Johannes Baldner der ledige burger und goldarbeiter wird in den spithal lebtägig recipirt
Johann Georg Kuch geweßt. burgers und drähers wittib Anna Catharina geb. Rappin wird in den spithal lebtägig recipirt. 240.
Froereisen nê Joh. Baldner des ledigen burgers und goldarbeithers prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. sub N° 1 biß 4 inclusivé pt° gnäd. aufnahm in den Hospithal.
Nachdeme H. Syndicus Regius auf die gebettene Wilfahrung angetragen. Wurde auf hohen anspruch Ihro Excellentz des H. Prætoris Regii von Gayot und des auf dem obern banck nach H. Stättmeister von Berstett /:hochwelcher als Pfleger ged. Spithals die decision Mhhen anheim gestellt:/ vorsitzenden H. Ammiester Fausten vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, werden beede Imploranten puncto gebettener auffnahm in den mehren Hospithal an die daselbstige Hochansehnl. Hh. Pflegere umb gegen einbringung ihres sowohl gegenwärtig als etwa in zukunfr überkommenden Vermögen daselbst auffgenommen und lebtägig verpflegt Zu werden verwiesen.
Depp. H. Rathh. Vaudin, H. Rathh. Stammwird in den spithal lebtägig recipirt.

Fils de l’orfèvre Charles Baldner et de sa femme Marie Elisabeth Bein, Jean Baldner meurt le 15 septembre 1764 à l’hôpital où il est entré le 11 août précédent.
Sépulture, Hôpital civil (luth.) f° 98)
Im Jahr 1764. Sambstags den 15. Herbstmonats Nachmittags ein Viertel Vor dreÿ uhr starb in dem allhiesigen Teutschen Hospital Herr Johannes Baldner, ein lediger Goldarbeiter von hier gebürtig, weÿland Herrn Carl Baldners auch gewesenen Goldarbeiters und burgers allhier und weÿland Fraun Mariä Elisabeth gebohrner Beinin hinterlassener ehelicher Sohn, seit den 11. Augstmonats dieses laufenden Jahrs gewesener Hispitals Armen Pfründer, seines alters 62 Jahr weniger Zwo wochen und Zwen Tag, und Wurde derselbe Sonntags darauf als den 16. Herbst Monats nach einer Abendt um fünf uhr im Hospital gehaltenen Leichen Predigt auf dem Gottesacker S: Helenen beÿ einer ehrlichen begleitung Zur Erden bestattet [unterzeichnet] Christoph Treiger als verwander, Johann Friderich Butz als Zeug (i 101)

Jean Baldner vend au tailleur Jean Frédéric Butz la maison qu’il a achetée le 17 juin 1752 par enchère judiciaire

1764 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 380
Johannes Baldner der goldarbeiter
in gegensein Johann Friedrich Butz des schneiders
eine behausung bestehend in vorder und hinterhauß, hoff und hoffstatt mit allen deren begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Freÿburgergaß, einseit neben Johann Georg Schauer dem hauptkanten zur Luzern, anderseit ist ein Eck, hinten auff N. Kügel den wirth – als ein den 17. Junÿ 1752 ane der ganth erkauftes guth – der Verkäufer hat sich auch in verkaufter behausung vor seine persohn lebtägig eine cammer zinßfrei zu bewohnen vorbehalten nebst 5 sch. monatlich – um 175 lb, 390 lb, 200 lb, 50 lb und 225 lb verhafftet, ferner nichts heraus zu geben

Jean Frédéric Butz fait son apprentissage chez son père du même nom de 1731 à 1733.
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 339) Donnerstags den 28.ten Ejusdem [Junÿ] 1731 – Johann Friderich Butz burger und schneider alhier nimbt in die Lehr an Johann Friderich Butzen seinen sohn (dt 5 ß)

(p. 442) Dienstags den 17.ten Novembris 1733 – Johann Friderich Butz burger und schneider alhier loß ab seinen sohn auch Johann Friderich Butzen auß der lehr außthun (dt 5 ß)

Jean Frédéric Butz inscrit son fils au chef d’œuvre
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 159) Donnerstags d. 9.t Aprilis 1739 – Johann Friderich Butz, des Johann Friderich Butzen burgers vnd schneider meisters allhier Ehelicher sohn laßet sich Zum Meisterstück Einschreiben.

Il prépare son travail chez Jean Michel Rick. Les examinateurs le reçoivent maître
(p. 267) Dienstags den 30. Januarÿ 1742 – Erschienen unter seinem Informatore herrn Johann Michael Ricken, Johann Friderich Butz der leedige Schneider, Mstr Meisterstück Johann Friderich Butzen des Schneiders und burgers allhier ehel. Sohn, bittet Ihne Zu seinem vorhabenden Meisterstück aus II Viertel breitem drap d’elboeuf zu einem Completten Manns Kleÿd Mittelmäßiger status beneben denen beliebigen Rißen auff Zugeben, solchemnach Imploranten mit 3 ¾. staben tuch und folgenden Rißen willfahrt worden,
N° 12 Ein langer Priester Rock, N° 15 Ein Thurnhüter Rock
Facta relatione derer geschworne herren meisterstück Schauern daß der Implorant sein meisterstück rühmlich verfertiget, alß ist derselbe Zu einem Mitmstr. auff und angenommen worden.

Jean Frédéric Butz devient tributaire chez les Tailleurs le 23 octobre 1742
(p 285) Dienstags den 23.t Octobris 1742 – Johann Friderich Butz Jun. d. Schneider und burger allhier, Joh: Friderich Butzen senioris des Schneiders und burgers allhie ehel. Sohn erhaltet auff prod. Stallschein v. (-) 1742 d. Zunfft und Stubenrecht. (dt. 12 s)

Jean Frédéric Butz épouse en 1743 Catherine Barbe Blind, fille de mégissier : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1743, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 1036
Eheberedung – Johann Friderich Butz des jüngern Schneiders
und Jungfrauen Catharinä Barbarä Blindin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 188-v n° 4)
1743. Mittwoch den 6. Martÿ sind nach zweÿlahlige Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden Joh: Friderich Butz der Ledige Schneider und burger allhie, Joh: Friderich Butzen auch Schneiders und burgers alhie ehel. Sohn und Jfr. Catharina Barbara weÿl. Joh: Georg Blinden gewesenen burgers und weißgerbers allhie hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Butz Als hochzeitter, Catharin barbara blindin als hochzeitrin (i 191, procl. Saint-Thomas n° 222 i 45)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue Sainte-Barbe dans la maison qui appartient au père du mari (voisine de la maison à l’angle de la rue des Fribourgeois). Ceux du mari s’élèvent à 29 livres, ceux de la femme à 154 livres.
1743 (21.10.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 53) n° 1810
Inventarium über des Ehrengeachten H. Johann Friedrich Butz des Jüngern Schneiders, und der Ehren und tugendsahmen frauen Catharinæ Barbaræ Butzin gebohrne Blindin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand für ohnverändert Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743. – in ihren ohnlängsten mit Gott agetrettenen Ehestand würcklich zusammen gebracht, und Kraff dero mit einander auffgerichteten Eheberedung mit einander auffgerichteten Eheberedung sich und ihre Erben alß ein ohnverändert und vorbehalten Guth, mithin die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs derselben expresse conditionirt reservirt und bedungen (…) So geschehen in fernern beÿseÿn Hn Johann Friderich Butzen des ältern Schneiders und frauen Susannæ Butzin gebohrner Strohlin, des Ehemanns respectibé leiblichen Vatters und Stieffmutter, So beschehen Straßburg den 21.ten Octobris Anno 1743.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Barbaræ Gaß gelegenen des Ehemanns leiblichen Vatter eigenthümlich zuständigen behaußung, befunden worden als volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns eingebrachte Nahrung, Sa. haußraths 10, Sa. Silbers 13, Sa. baarschafft 5, Summa summarum 29
Dießemnach Wird auch der Ehefrauen Zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 60, Sa. Silbers 12, Sa. Goldener Ringe 6, Sa. baarschafft 75, Summa summarum 154 lb
Somma vorher specificirter Haussteuren 57 lb ; daran gebührt vermög der Eheberedung paragrapho Sexto jedem Ehegatt die helffte mit 23 lb

Jean Frédéric Butz et Catherine Barbe Blind hypothèquent la maison au profit d’Eve Barbe Bœhm née Bechtold

1765 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 127
Johann Friedrich Butz der schneider und Catharina Barbara geb. Blindin mit beÿstand ihres bruders Georg Friedrich und Philipp Jacob der Blind
in gegensein Fr. Evæ Barbaræ Böhmin geb. Bechtoldin beÿständlich H. Not. Johann Rudolph Dinckel, schuldig seÿen 250 pfund und Jfer Mariæ Magdalenæ Hubmeÿerin, 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane St Barbarä gaß, einseit neben Johann Friedrich Küchel dem gastgeber, anderseit neben den debitoribus, hinten auff E. E. Zunfft der Freÿburger

Jean Frédéric Butz et Catherine Barbe Blind hypothèquent la maison au profit de Jérémie Evrard Silberrad, receveur de la Haute-Ecole, pour pouvoir régler les frais de construction de leur autre maison rue Sainte-Elisabeth

1767 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 f° 483-v
Johann Friedrich Butz der schneider und Catharina Barbara geb. Blindin mit beÿstand Friedrich Butz des weißgerbers und Johann Peter Schneider des schneiders beede ihren nächsten
in gegensein H. Rath. Jeremias Eberhard Silberrad des Schaffners der hohen Schul, zur erbauung einer hernach beschriebenen ane St. Elisabethä gaß gelegenen behausung, schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane St. Elisabethä gaß, einseit neben N. Sinder dem kieffer, anderseit neben (-) Hahnin geb. (-), hinten auff N. Buck dem schreiner
ferner zweÿ neben einander liegenden häußer cum appertinentis in der Freiburgergaß, anderseit neben N. L’Enfant dem schloßer, anderseit ist ein Ack ane der kleinen St. Barbarägaß, hinten auff E.E. Zunfft der Freÿburger

Inventaire dressé après la mort du locataire François Buffet, marchand

1782 (27.6.), Not. Roederer (6 E 41, 914) n° 40
Inventarium über Weil. H. Frantz Buffet, gew. burg. und Handelsmanns alhier zu Straßburg Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1782 – auf sein Samstags den 25. Nov. 1780 geschehene Absterben activé und passivé hinterlassen, Welche Verl. auf Ansuchen Fr. Annä Mariä Buffet geb. Müllerin der Wb. beisd. Mr. Martin Zittvogel des hies. burg. und Schumachers (…) So Geschehen alhier in der Königl. freien Stadt Straßburg und einer daselbst ane der Freiburgestub Gaß gelelegen Mr. Butz dem burg. und Schneider dahier eigenthümlich Zuständigen und diesorts Aum theil Lehnung weiß bewonenden Eck: und Sterbbehausung, Sambstags den 27.ten Julii Anno 1782.
Der verstorbene hat ab intestato Zu Beneficial Erben verlassen wie folgt. 1° H Joh. Frantz Buffet, Cancell. Secret. et Procurator bei allhies. Löbl. Magistrat und burg. alhier, so diesem Geschäfft persönlich beigewonet, 2° H. Joseph Buffet, Handelsm. in Augspurg, 3° Jgfr. Mariam Catharinam Buffet, die ledige daselbst, 4° H. Niclaus Buffet den Hdlsm. in ged. Augspurg, diese vier des verstorb. in erster Ehe mit längst weil. Fr. Maria Cathar. geb. (-) ehelich erzeugt hinterlassene großjährige Kinder, und ist Namens derer drei letzterer in Augspurg wohnhaffter (…) abgeordnet worden H. Lt. Fabian Sebastian Dournay, E. E. Kl. Raths dermaliger wolverdienter beisitzer,
5° Catharina Buffet, so15 Jahr alt, und 6. Anna Maria Buffet, so 13 Jahr alt, Welche beede der entseelte in letzter Ehe mit Eingangs gemelter Wb. ehelich erzieht, denen ordinarie Vogt Obrigkeitlich ernannt und beidigt worden H. Frantz Joseph Graff, der hies. burger und Knopffmacher.

Sa. Hausraths 60, Sa. Schulden and der Verl. zu bezahlend 14 lb, Nach welchem Abzug 45 lb – Stall summ 30 lb
Bericht gegenwärtiger Verlaßenschafft. Es hat der verstorbene sich bereits in Anno 1767 wegen gehabten Schulden last gemüßiget gesehen, dessen damalige Nahrung durch weil. H. Not. Joh: Daniel Langheinrich am 24. Sept. Ordnungmäßig inventiren und das darüber auf 45. fol. verfertigte Inventarium auch bei E. E. Kl. Rath producirren zu lassen, alwo auch die nunmalige Wb. vermög contradictorisch ergangener Erkantnus vom 28. Sept. 1768. so eod. publicirt mit dem gesuchten benef. cessionis willfahrt und zugelaßen ihro auch ferner laut anderwärtigen daselbst ergangenen bescheids vom nemlichen tag die gesamte damals vorhandene geweßte Activ Massa in solutum ihrer Forderungen entschlagen worden, mit dem Anhang jedoch, daß dieselbe noch prælevirerten Inventur und Gerichtscösten die etwa ausständige Stadt Stall: Capitations und Vingtieme Gebüren Zu Zalen solle schuldig und gehalten seÿn (…)
Schulden aus des verstorbenen Nahrung zu bezalend 250 lb – Zweiffelhaffte und verlorene schulden 1529 lb

Catherine Blind meurt en 1783 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison rue des Fribourgeois à 450 livres et celle rue de la Demi-Lune que le mari a héritée de son père à 350 livres. La masse propre au veuf est de 664 livres, celle des héritiers de 809 livres. L’actif de la communauté s’élève à 812 livres, le passif à 5 192 livres.

1783 (27. 9.br), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) n° 390
Inventarium über Weÿland Fraun Catharinæ Barbara Butzin gebohrner Blindin, H. Joh: Friedrich Butz des Schneidermeisters und burgers allh. Zu Straßburg im leben geweßener Ehefrau Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1783 – nach ihrem den 9.ten diesed zu End benannten Monats u. Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat. (…) So herrschafft in Einer allhier zu Straßburg ane der Barbarä gaß gelegenen in gegenwärtige Verlaßenschaft gehörigen dahero hernach mit mehrerm beschriebener behausung auf Donnerstag den 27.ten 9.bris 1783.
Benennung der Erben. Die Verstorbene Fr. Butzin hat ab intestato in Zween gleiche theile Zu Erben hinterlaßen mit Eingangs benanntem dermaligem Wittiber ehelich erzeugte Zwo Töchtere, Nahmentlichen 1° Frau Susanna Barbara Baldnerin geborene Butzin, Hn. Joh. Georg Baldner, des küblers u. bs. allh. Ehefrau und 2° Frau Anna Maria Greiffin geb. Butzin, Hn. Joh: Michael Greiff, Schreiner Mstrs. u. auch bs. allh. Ehefrau, Beide mit und beneben ihrem Ehemänneren und unter deren Autorisation gegenwärtigem Erbschafts: geschäfft persohnl. beiwohnend.

Ergäntzung des Wittibers manglenden Ohnverändert Guths, Nach ausweisung des über beider nun Zetrennter Ehe Persohnen einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, durch weil. Hn Not. Joh: Michael Hofman A° 1742 auffgerichteten Inventarii
Eigenthum ane Häußeren. (W.) Erstlichen eine Behausung, Hof, Hoffstatt u. Hinterhäußlein mit allen deren Gebäuen, Begrifen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhie zu Straßburg ane der St Elisabethengas (…)
(W.) Item eine Behausung und hofstatt samt der gemeinschaft eines Bronnens mit allen übrigen derselben Gebäuen, Begrifen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allh: Zu Straßburg ane der St. Barbara gas, 1. seit dem Gasthaus zum halben Mond, dermalen Joh: Georg Lobstein dem Gastgeber Zuständig, 2. seit einer in disortige theilbare Mass gehörigen Behausung und hinten auf eben dieselbe stosend, so freÿ, ledig, Eigen und ebenfalls durch hiesiger Stadt geschworene Hh. Werckmeistere laut ihres oben allegirten Abschatzung Scheins æstimirt vor 350 lb. Darüber besagt i. deutscher pergamentener Kaufbrief in allh. C. C. Stub ausgefertigt u. mit dero anhangend Innsiegel Verwahrt d. d. 16. Martii 1724. Ferner i. ältere dergleichen Kaufbrief vom 12.ten Junii 1705. u. hat der Wittiber sothane Behausung A° 1757 von seinem Vater seel. geerbt.
(T.) Nemlichen eine Behausung, bestehend in Vorder und Hinter hauß, Hof und Hofstatt mit allen derselben gebäuen, Begrifen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh: Zu Straßburg ane der Freÿburger gas, 1. seit neben Mstr Hebdich dem Schloßer Zum theil und Zum theil neben der Freÿburger stub, 2. seit ist Ein Eck an der Barbara gaß hinten theils auf des Wittibers unveränderte hievornen beschriebene behausung theils aber auf das Gasthauß zum halben Mond stosend, so außer denen darauf haftenden Passiv: Capitalien freÿ, ledig, Eigen und durch hiesiger löblicher Stadt geschworene Herren Werckmeistere Zufolg ihrer Zum Concept gelieferten schriftlichen Abschatzung d.d. 9. January 1784. æstimirt pro 450 lb Hierüber ist vorhanden i. Præliminar: Kauf verschreibung sub signaturis privatis vom 9. Junii 1764. woraufhin sothane behausung den 8.ten Julii Mensis et anni in allhies. C. C. Stub Ordnungs: mäßig verschrieben aber kein Kaufbrief darüber ausgefertigt worden ist.
Ergäntzung Not. Joh: Michael hofmann A° 1743 aufgerichtetn Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung. Copia Codicilli
Des Wittibers unverändert guth. Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 14 ß, Sa. Baarschafft 12 ß, Sa. Eigenthums ane häusern 858 lb, Sa. Ergäntzung (passive 53 lb), Summa summarum 859 lb- Schulden 195 lb, Nach abzug deren 664 lb
Solchemnach wird auch der Töchtere u. und Erben anerstorben unverändert Mütterl. guth beschrieben, Sa. Hausraths 27 lb, Sa. Silber Geschmeids 1 lb, Sa. Goldener Ring 2 lb, Sa. der Baarschafft 2 lb, Sa. Schulden 50 lb, Sa. Ergäntzung 725 lb, Summa summarum 809 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert u. theilbahr Guth beschrieben, Sa. Hausraths 45 lb, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 7 lb, Sa. Eigenthums an I bhausung 450 lb, Sa. Schulden 310 lb, Summa summarum 812 lb – Schulden 5192 lb, Compensando 4379 lb
theilb. Passiv-onus loco Stall: summa 2906 lb
Copia der Eheberedung, im Jahr 1743. den 28. Jan. zwischen dem Ehrengeachten H. Joh: Friderich Butzen, dem jüngern, leedigen Schneidern, des auch Ehrengeachten H. Joh: Friderich Butzen des ältern ebenmäßigen Schneiders u. bs. allh. Zu Straßburg eheleibl. Sohn, Mit beÿstand deßelben als Hochzeitern ane Einem, So dann der Ehren: u. tugendsahmen Jgfr. Catharina Barbara Blindin, weil. Hn Joh: Georg Blinden gewesenen weisgerbers u. b. allh. seel. hinterlaßener ehel. Tochter als Hochzeiterin, beist. H, Joh: Peter Ränus des Stadtwafenschmidts u. bs. allh. andern Theils – Christoph Michael Hoffmann, Notarius juratus
Copia Codicilli, in einer ane der Barbarä gaß gelegenen von der Fr. Codicillantin bewohnenden behausung, den 1. julÿ 1783, T. Schweighäuser
– Abschatzung vom 9.t jenner 1784. Auff begeren herr johann friderich Butz dem schneider Meister ist Eine behausung alhir in der statt straßburg in der Barbara gaß gelegen, Ein seÿts neben der gastbehausung Zum Halben Mond anderer seÿts neben sich selbsten und Hinden auf E.E. Zunft zur freÿburger stoßend gelegen, solche behausung bestehet in dreÿ stuben dreÿ Kuchen und Etlichen Kammern, darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller, gemeinschafftlichen hoff und brunnen, Vor und umb Sieben Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist auch alhir in der statt stradburg in der freÿburger stub gas gelegen, Ein Seÿts Ein Eck auf die Barbara gaß, anderer seÿts neben Meister Hebdig dem schloßer und hinten auf E. E. Zunft Zur freÿburger stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Vier stuben Vier Kuchen und Etlichen Kammern darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller gemeinschaftlichen Hoff und brunnen, Vor und umb Neün Hundert gulden
Der dritte begriff ist auch alhir in der statt strasburg auf der Elisapeter gas gelegen, Ein seÿts neben Herr Simmler anderer seÿts neben Weÿland frau Hannin, und Hinten auf das spithal Höffell stoßend gelegen solche behausung bestehet in forder und hinter gebäu worinnen Eine Küblers werckstatt, ferner in sechs stuben sechs Küchen und Etlichen Kammern, darüber seÿn die dachstühl mit breitzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt Straßburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorher geschehen besichtigung mit allen irer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth nach æstimirt und angeschlagen Vor und um Ein Tausend Ein Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner W:Mst, Götz Wmstr.

Inventaire dressé après la mort de Marie Agathe Riff femme du laveur François Joseph Rohr. La masse propre aux héritiers s’élève à 267 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 148 livres, le passif de 124 livres.

1786 (9. Sept.), Not. Wengler (6 E 41, 1530) n° 41
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Agatä Rohrin gebohrner Riffin, Frantz Joseph Rohr des Leinenzeugwaschers und burgers alhiee zu Straßburg gewesener Ehefrauen Verlaßenschaftn auffgerichtet anno 1786. – nach ihrem den 22. März dieses laufenden 1786.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableben hie zeitlichen zurückgelaßen hat. Welche Nachlaßenschaft auf gebührendes ansuchen genannten des hinterbliebenen Wittibers sowol als auch H. Anton Dickel des hiesig Verburgerten Fastenspeishändlers als geordnet und geschwornen Vogts Mariä Theresiæ, so den 4.ten Augst im Jahr 1782 geboren, der Defunctæ mit genanntem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugten wittibers und ab intestato hinterlaßener einiger beneficial Erbin
So geschehen alhier Zu Straßburg in einer am Eck der Freiburger: und Halbenmondgaß gelegenen Meister Butz dem Schneidermeister eigenthümlich Zugehörigen behausung, auf Sambstag den 9.ten Septembris im Jahr 1786.

Vorbericht. Ungeachtet beede diesortige nun durch den Zeitl. Tod abgesonderte Eheleute, in dem dritten Paragrapho der vorher abschriftl. einverleibt befindl. Ehepacten ihr einander gegenseitig zubringendes und wärender Ehe ererbendes Vermögen als unverändert, auch ein Ergäntz: und Widererstattung des davon etwa Abgehenden stipulirt, so haben sie doch des Wittwers hieben getaner Deklaration die desfalls nötig gewesene Eheinventur unterlaßen (…)
Anteil ane einer Behaußung (E.) Nämlich zween dritte teile von und an einer abgeteilten behausung Zu Colmar im Überzwerch wassergäßlein gelegen (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Anschrift der Eheberedung vor Herrn Notario Joh: Andreas Becker am 23. Jenner 1781. mit einander gestifftet
Der Erben unverändert, Sa. haußraths 29, Sa. Golds 8 ß, Sa. der Schulden 87, Sa. des eigenthümlichen nteils ane einer behaußung 300, Summa summarum 417 lb – Schulden150, Nach deren Abzug 267 lb
Dießemnach wird auch die übrige Verlaßenschaft, Kraft obigen Vorberichs unter dem Titel als in des Wittwers Massam gehörig verzeichnet, Sa. haußraths 16, Sa. Silbers 4, Sa. Activ Schulden 127, Summa summarum 148 lb – Schulden 124 lb, Detrahendo restirt 24 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 291 lb
Abschrift der Eheberedung (…)

La maison revient pour moitié à Marie Barbe Butz qui épouse en 1765 Jean Georges Baldner

Fils du pêcheur Martin Baldner, Jean Georges Baldner fait son apprentissage chrez le tonnelier Daniel Baldner de 1754 à 1757.
1754, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 51) Mittwochs den 27.ten Martÿ 1754 – Mstr Daniel Baldner der Kübler nimbt Zum Lehrjungen an Joh: Georg Baldner, Joh: Martin Baldners burgers und Fischers allhier Ehel. Sohn umb selbigen 3 jahr lang das Kübler Handwerck zu lehren nembl. vom 1. Februarÿ 1754. biß dahin 1757 Vor Lehrgelt ist accordirt 50 fl. und 6 fl. pro discretione für die meisterin wor von die Helffte gleich die andere Helffte an mittler Lehrzeit Zu bezahlen der jung Leidet alle unkösten dt 30 fl. pro inscript. 5 ß pro prot. 1 ß p. Flindling deßen bürgen seÿnd des Vatters und H. Schlögel.

(f° 89) Dienstags d. 8. Februarÿ 1757 – Mstr Daniel Baldner der Kübler stellet vor Hannß Georg Baldner, Joh: Martin Baldners Burger und Fischers alhier ehel. Sohn meldet daß deßen Lehrzeit d. 1.ten hujus verstrichen auch beede wohl mit einander Zufrieden und bittet außthuung
Erkant, willfahrt, dt. pro delis. wie obiger 1 lb 10 ß, pro Lehrbr. 1 lb 10 ß, pro Sig. 2 ß, pro prot. 5 ß, pro findl. 2 ß

Jean Georges Baldner s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en février 1762
(f° 144) Dienstags den 9. Februarÿ 1762 – Johann Georg Baldner, der ledige Kübler von hier bittet ihn Zum meisterstück einzuschreiben. Erk. Willfahrt
dt. Werckstätter Zinß 3 lb, protoc. 3 ß, findling 9 d

Jean Georges Baldner devient tributaire chez les Tonneliers le 5 novembre 1764
(f° 202) Dienstags den 5. Novembris 1764 – N. Leibzünfftiger
Meister Johann Georg Baldner der Kübler Evangelisch Religion, bittet ihne als einen neuen Leibzünfftigen Anzunehmen.
Erkannt Willfahrt, Zahlt pro receptione 2 lb 5 ß, feur Eÿmer 10 ß, Prot. 3 ß, findl. 9 d

Jean Georges Baldner épouse Susanne Barbe Butz en 1765 : contrat de mariage, célébration
1765 (31.5.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 969) n° 125
Eheberedung – Persönlich kommen und erschienen der Ehrenachtbare H. Joh: Georg Baldner, der leedige Kübler Meister H Johann Martin Baldners, des Fischers und unds allhier ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich erwehnten seines Vatters als hochzeiter ane Einem,
So dann die Ehren und tugendsame Jfr. Susanna Barbara Butzin, H. Johann Friderich Butz des Schneiders und burgers allhier ehelich erziehlte Tochter mit assistentz gemeldten Ihren H Vatters und H. Georg Friderich Blind, des Weißgrbers und burgers allhier Ihres Oncle als Hochzeiterin andern theils
Actulm Straßburg den 31.ten Maÿ Anno 1764. [unterzeichnet] Johann Georg Baldner als hochzeiter, Susanna Barbara Butzin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 142-v n° 790)
Anno 1765 mitwoch den 18. Septembris seint nach zweÿmaliger ordentlicher proclamation und Außruffung zu St. Thomæ und zum alten St Peter, zu St Thomæ copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Baldner Lediger Kübler Johann Martin Baldner Fischers und burgers allhier ehelicher Sohn, und Jungfrau Susanna Barbara Butzin Hrn Johann Friderich Butz Schneiders und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Georg Baldner als Hochzeider, Susanna Barbara Butzin als hochzeiterin (i 145)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Saint-Louis. Ceux du mari s’élèvent à 131 livres, ceux de la femme à 260 livres.
1766 (1.10.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 965) n° 208
Inventarium über des Ehrsam: und Bescheidenen Meister Johann Georg Baldners, des Küblers und der Ehren: und tugendsamen Fr. Susannä Barbarä gebohrner Butzin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1766 – Vermög der Vor mir Notario den 31. Maÿ 1765. errichteten Eheberedung §° 3.tio Vor ohnverändert einander in den Ehestand zugebracht
So beschehen allhier Zu Straßburg auff Mittwoch den Ersten Octobris Anno 1766. In præsentia H, Johann Friderich Butz des Schneiders und Burgers allhier, der Ehefrauen eheleiblichen Vatters und hierzu erbettenen Assistenten

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern St Louis gelegen und Von beeden Eingangs geadachten Eheleuhen Zum theil Lehnungs weiß bewohnenden Behausung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns ohnveränderte Nahrung. Sa. Schiff und Geschirrs wie auch Holz und Reiff zur Kübler Profession gehörig 75 lb, Sa. Silbers 7 lb, Summa summarum 82 lb – Und wann annoch darzugelegt wird waß demselben Vermög der Eheberedung §° 4.to ane denen haussteuren Zur helffte gehörig, antreffend 49 lb, So wird des Ehemanns völliges ohnverändertes Vermögen in allem belauffen auff 131 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen ohnverändertes Guth beschrieben. Sa. hausraths 77 lb, Sa. Silbers 18 lb, Sa. Goldener Ring 6 lb, Sa. Baarschafft 109 lb – Summa summarum 211 lb – Und Wann annoch darzugelegt wird waß derselben denen gleich hernach specificirten haussteuren Krafft der Eheberedung §° 4.to Zur helffte zuständig, anlangend 49 lb, So wird sich der Ehefrauen gesambtes ohnveränderten Vermögen in allem belauffe auff 260 lb

Le passementier François Ehrenfried Doldé et sa femme Catherine Barbe Baldner (fille de Jean Georges Baldner) font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison

1802 (26 germ. 10), Strasbourg 4 (32), Not. Roessel n° 642
Inventarium und beschreibung all derjenige haab Nahrung und güthern so bürger Frantz Ehrenfried Doldé der Paßmentirer und bürgerin Catharina Barbara Baldner in ihrem den 16. germinal an 9 miteinader angetrettenen Ehestand zugebracht haben – vor mir Notario den 16. frimaire an 9 errichtete Eheberedung
in einer ane der freiburger Gaß stehende diesorts wonbehausung N° 3
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehemanns eingebrachte gut 118 fr
der Ehefrauen eingebrachte vermögen, mobilien 735 fr, baarschafft 2000 fr, summa summarum 2735 fr
Enregistrement, acp 84 F° 47-v du 27 ger. 10

Liquidation de la succession de Susanne Barbe Butz qui délaisse trois enfants
1809 (15.11.), Strasbourg 3 (33 / 1), Not. Übersaal n° 1150, 5114
Liquidation de la succession de Susanne Barbe Baldner née Butz décédée veuve de Jean Georges Baldner – à la requête de Jean Frédéric Baldner menuisier, Louis Baldner baquetier et Catherine Barbe Baldner épouse de François Ehrenfried Doldé boutonnier en soie leur mère décédée le 7 octobre courant
vente des meubles 1683 fr, numéraire trouvé dans la maison rue du vent n° 7, 203 fr
cession de la maison à Louis Baldner et Marguerite Salomé née Roessel le 13 octobre courant 91 fr, créances 2300 fr, total 4278 fr, passif 977 fr, reste 3301 fr
succession immobilière que la défunte a délaissé, la moitié dans une maison située en cette ville rue du vent n° 7 laquelle a été vendue avec l’autre moitié qui appartient aux enfants du chef de leur père à Louis Baldner par contrat susallégué

Susanne Barbe Butz veuve de Jean Georges Baldner vend sa moitié des deux maisons contiguës à sa sœur Anne Marie Butz veuve du menuisier Jean Michel Greiff

1809 (12.6.), Strasbourg 10 (50), Not. Zimmer n° 2697, 4044
Susanne Barbe Butz veuve de Jean Georges Baldner baquetier
à Anne Marie Butz sa soeur veuve de Jean Michel Greiff menuisier
Premièrement, la moitié par indivis dans une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la demi lune n° 1 entre Sr Scheyen Netter et la maison ci après désignée, derrière ci devant tribu des Francs bourgeois
Plus la moitié par indivis dans une Maison avec avec petite cour, communauté de puits avec la maison précédente scise à Strasbourg sise rue des francs bourgeois n° 3, d’un côté la maison du Sr Albrecht cordonnier, d’autre faisant le coin de la rue de la Demi lune, derrière la maison précédente – échues dans la succession de Jean Frédéric Butz son père tailleur – 4000 francs
Enregistrement, acp 112 f° 36 du 13.6.

Anne Marie Butz épouse en 1776 le menuisier Jean Michel Greiff, fils du menuisier Jean Henri Greif
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 16, n° 31) Im Jahr 1776, Montag den 4. Martÿ seind nach vorher gegangener zweÿmaliger ordentlicher Proclamation Zu St. Thomæ und Zum alten st. Peter in der Stifts Kirche Zu St. Thomæ auf Erlaubnus des Herrn Ober Kirchenpflegers, ehelich copulirt und eingesegnet worden Johann Michael Greiff, der ledige Schreiner und burger allhier, weiland Johann Heinrich greiff gewesenen Schreiners und burgers allhier hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Anna Maria Butzin Johann Friderich Butz, des Schneiders und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Michael Greiff als hochzeiter, Anna Maria Butzin Als Hochzeiterin (i 19, procl. Saint-Pierre-le-Vieux f° 21)

Jean Michel Greiff et sa femme font dresser l’inventaire des apports dans une maison rue Sainte-Barbe face aux Petits Capucins. Ceux du mari s’élèvent à 146 livres, ceux de la femme à 283 livres.
1789 (2.2.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 872) n° 423
Inventarium über H. Johann Michael Greiff, des Schreiner Meisters, wie auch der Ehr: und tugendsamen Fraun Annæ Mariæ gebohrner Butzin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaften aufgerichtet in Anno 1789 – in ihren vor einigen Jahren angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu: und eingebracht haben (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beiseÿn H. Johann Friderich Butz des Schneider: Meisters und Burgers alhier, der Ehefrau leiblichen Vaters und beistands, in einer an der Barbara gaß gegen dem kleinen Capuciner Kloster über gelegenen behausung auf Sambstag den 7.ten Februarÿ Anno 1789.

Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 64, Sa. Silbers und dergleichen Geschmids 33, Sa. der baarschafft 10, Summa summarum 108 lb – Wird nun darzu gelegt die ihm gebührige Helfte ane denen haussteuren anlangend 38 lb, So kommet des Ehemanns völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft Zustehen auf 146 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 97, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 10, Sa. der goldenen Ring 29, Sa. der baarschafft 107, Summa summarum 244 lb – Wird auch darzu gelegt die ihro gleichfalls gebührige helfte ane denen Haussteuren 38 lb, So belaufet sich der Ehefraun völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft in allem auf 283 lb

Les enfants de Jean Georges Baldner et de Susanne Barbe Butz vendent en qualité d’héritiers de leur tante Anne Marie Butz la maison au boucher Jean Georges Hoffherr et à sa femme Marie Geiger

1809 (16.11.), Strasbourg 3 (56), Not. Übersaal n° 2475, 5117
Jean Frédéric Baldner menuisier, Louis Baldner baquetier et Catherine Barbe Baldner épouse de François Ehrenfried Doldé, boutonnier en soie, en qualité d’héritiers collatéraux ab intestat d’Anne Marie Butz veuve de Jean Michel Greiff leur tante, comme représentant Susanne Barbe Butz veuve de Jean Georges Baldner baquetier leur mère et sœur de la veuve Greiff
à Jean Georges Hoffherr boucher demeurant grand rue n° 97 et Marie née Geiger
les deux maisons échues aux vendeurs de la succession de la veuve Greiff leur tante situées à Strasbourg l’une rue de la demi lune n° 1 ayant cour, pompe, appartenances & dépendances, d’un côté la maison ci après désignée, de l’autre celle du Sr Scheyen Netter aubergiste, derrière ci la devant tribu des Fribourgeois
l’autre sise rue des fribourgeois n° 3 avec petite cour, communauté de puits avec la maison ci dessus désignée, appartenances et dépendances, d’un côté formant le coin de ces deux rues, de l’autre la maison du Sr Albrecht cordonnier, derrière la maison sise rue de la demi lune n° 1 – la moitié avenue de la succession de Jean Frédéric Butz son père, tailleur d’habits et l’autre moitié cédée à la De Baldner née Butz par acte reçu Me Zimmer le 12 juin de la présente année – moyennant 9876 francs représentant 10.000 livres tournois
Enregistrement, acp 113 F° 128-v du 18.11.

La maison est décrite dans l’inventaire dressé après la mort de Jean Georges Hoffherr en 1824. Les immeubles sont vendus par licitation en 1841. Pierre Engel acquiert les bâtiments rue des Fribourgeois.

Fils naturel du graveur Pierre Engel et de Louise Specht, le ferblantier Pierre Engel épouse en 1836 Salomé Madeleine Reiber, fille de cordier
Mariage, Strasbourg (n° 463)
Du 17° jour du mois de décembre l’an 1836. Acte de mariage de Pierre Engel Majeur d’ans, né hors le mariage le 20 frimaire an XII à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, ferblantier, fils reconnu de Pierre Engel, graveur, domicilié en cette ville et de Louise Specht, domiciliée en cette ville ci présente et consentante, et de Salomé Madeleine Reiber, Majeure d’ans, née ne légitime mariage le 15 nivôse an IX à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Georges Henri Reiber, Cordier domicilié en cette ville et de Salomé Madeleine Roessler domiciliée en cette ville (signé) Pierre Engel, Salome Magdalena Reiber (i 25)

1836 (7.4.), Strasbourg, Me Stoeber
Consentement – Pierre Engel, graveur en bois, au mariage de Pierre Engel son fils ferblantier à Strasbourg avec telle personne il jugera lui convenir
Enregistrement, acp 239 F° 86 du 9.4.

1836 (3.12.), Strasbourg, Me Stoeber
Consentement – Henri Reiber, chanvrier, et Madeleine Salomé Roessel au mariage de Madeleine Salomé Reiber, leur fille avec Pierre Engel, ferblantier
Enregistrement, acp 245 F° 79 du 5.12.

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber hypothèquent les maisons qu’ils viennent d’acheter pour en régler le prix.

1845 (5.2.), Strasbourg 7 (101), Me Boersch n° 5221
Obligation – Ont comparu le sieur Pierre Engel, ferblantier, et Dame Madeleine Salomé Reiber, sa femme, de lui dûment autorisée demeurant ensemble et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont, par les présentes, reconnu devoir
au sieur Guillaume Beck, employé à l’Académie, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue du Marooquin N° 22, créancier ci présent & acceptant, la somme principale de 4000 francs (…) pour partie du prix d’adjudication d’une maison ci après désignée suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Grimmer notaire à Strasbourg le 15 mars 1841, enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 avril suivant volume 368 n° 59 & inscrit d’office le même jour volume 344 Numéro 39
hypothèquent, Une Maison sise à Strasbourg, à l’angle de la rue des fribourgeois N° 3 et rue de la demi-lune N° 1, tenant d’un côté à la maison du Sieur Fischer, de l’autre à celle du Sieur Albrecht et donnant par derrière sur la cidevant Tribu des Fribourgeois. Elle se compose 1° d’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des Fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune
2° D’une petite cour et d’une maison de derrière et bâtiment latéral servant de cage d’escalier et galerie pour communiquer à la maison de derrière
& 3° d’une pompe mitoyenne
Les conjoints Engel déclarent qu’ils sont propriétaires de l’immeuble hypothéqué pour l’avoir acquis des sieurs 1° Charles Louis Kolb, tonnelier, 2° Frédéric Théodore Kolb, compagnon brasseur, 3° Dame Louise Kolb épouse du sieur Louis Lindauer, aubergiste, tous demeurant à Strasbourg, 4° de Martin Scheer, ouvrier brasseur demeurant à Pont d’Arianne, 5° de Frédéric Scheer ferblantier demeurant à Alger, 6° de Martin Scheer aubergiste, 7° Georges Edouard Kolb, 8° Caroline Concorde Kolb & 9° Sophie Emélie Kolb ces trois derniers enfants mineurs délaissés par Charles Théodore Kolb, Marchand de vins, & Sophie Louise Hoffherr vivant conjoints à Strasbourg tous demeurant à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication sus relaté dressé par M° Grimmer notaire à Strasbourg

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber hypothèquent la maison au profit de Guillaume Beck

1848 (25.3.), Strasbourg 7 (105), Not. Reiss n° 1387
Obligation – Ont comparu le sieur Pierre Engel, ferblantier & Dame Madeleine Salomé Reiber sa femme de lui dûment autorisée à l’effet des présentes, domiciliés & demeurant ensemble à Strasbourg rue des fribourgeois N° 3, lesquels ont par les présentes reconnu devoir
à Mr Guillaume Beck, Employé à l’Académie de Strasbourg, demeurant & domicilié en cette ville rue du Marooquin N° 22, ci présent & acceptant, la somme principale de 1000 francs (…)
hypothèque, Une Maison sise à Strasbourg à l’angle de la rue des Fribourgeois N° 3 & rue de la demi-lune N° 1, tenant d’un côté à la maison du Sr Fischer de l’autre à celle du Sr Albrecht & donnant par derrière sur la cidevant tribu des fribourgeois.
Elle se compose 1° D’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune
2° D’une petite cour & d’une maison de derrière & bâtiment latéral servant de cage d’escalier & galerie pour communiquer à la maison de derrière
& 3° d’une pompe mitoyenne
Les conjoints Engel déclarent qu’ils sont devenus propriétaires de l’immeuble hypothéqué pour l’avoir acquis des sieurs 1° Charles Louis Kolb, tonnelier, 2° Frédéric Théodore Kolb, compagnon brasseur, 3° D° Louise Kolb épouse du sieur Louis Lindauer, aubergiste, tous demeurant à Strasbourg, 4° de Martin Scheer, ouvrier brasseur demeurant à Pont d’Arianne, 5° de Frédéric Scheer ferblantier demeurant à Alger, 6° de Martin Scheer aubergiste, 7° Georges Edouard Kolb, 8° Caroline Concorde Kolb & 9° Sophie Emélie Kolb ces trois derniers enfants mineurs délaissés par Charles Théodore Kolb, Marchand de vins, & Sophie Louise Hoffherr vivant conjoints à Strasbourg tous demeurant à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Frédéric Grimmer le 15 mars 1841, enregistré & transcrit au bureau de la conservation des hypothèques de Strasbourg le 8 avril suivant volume 368 Numéro 52 & inscrit d’office le même jour volume 344 Numéro 39
Etat civil des débiteurs. Les époux Engel déclarent qu’ils sont mariés en premières noces & sous le régime de la communauté

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber hypothèquent les maisons au profit de Sophie Keck veuve du cordier Frédéric Henri Reiber

1850 (6.3.), Strasbourg 2 (96), Not. Roessel n° 3256
Obligation – Ont comparu le sieur Pierre Engel, ancien ferblantier, dans le moment propriétaire, et D° Madeleine Salomé Reiber, son épouse qu’il autorisé à l’effet de ce qui suit, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont par les présentes reconnu devoir
à Madame Sophie Keck veuve de Mr Frédéric Henri Reiber en son vivant cordier à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée à ce présent et acceptant, la somme de 6000 francs
hypothèquent spécialement, 1° Une Maison avec toutes ses appartenances et dépendances, sise à Strasbourg Rue des fribourgeois N° 3 et Rue de la demi-lune N° 1, tenant d’un côté à Mr. Levi, de l’autre à la propriété du maître tailleur des pontonniers et donnant par derrière sur la cidevant Tribu des Fribourgeois, elle se compose 1° d’une maison principale donnant d’un côté dans la rue des Fribourgeois, de l’autre côté dans celle de la demi lune, 2° d’une petite cour, 3° d’une maison de derrière et bâtiment latéral servant de cage d’escalier et galerie pour communiquer à la maison de derrière, 4° d’une pompe mitoyenne. La maison principale est bâtie sur cave voûtée, un rez de chaussée et trois étages en maçonnerie et greniers. La bâtiment au fond de la cour est composé d’un rez de chaussée et de trois étages et de greniers.
M. et Mad. Engel ont acquis ledit immeuble du Sr Charles Louis Kolb, tonnelier, Frédéric Théodore Kolb, compagnon brasseur, Sophie Louise Kolb épouse du Sr Louis Lindauer, aubergiste, de Martin Scheer, ouvrier brasseur demeurant à Pont d’Ariance, de Frédéric Scheer ferblantier demeurant à Alger (Afrique), Charles Frédéric Scheer enfant mineur issu du mariage du Sr Martin Scheer, aubergiste, et de Marie Salomé Hoffer sa femme, du Sr Georges Edouard Kolb et de Caroline Concorde Kolb, de Sophie Emélie Kolb suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Frédéric Grimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 15 mars 1841, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 avril suivant volume 368 n° 52 & inscrit d’office le même jour volume 344 n° 39. Le prix de cette adjudication était de 12.050 francs (…)
Et le quart par indivis
1° D’une maison avec puits et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, Faubourg national N° 29 (…)
2° d’une maison avec pompe, cave voûtée appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue de la Nuée bleue N° 14 (…)

Pierre Engel et Salomé Madeleine Reiber vendent la maison au perruquier Jean Philippe Bischoff pour l’usufruit et à son gendre coiffeur Auguste Heuson et Elisabeth Sophie Bischoff pour la nue propriété

1853 (29.6.), Strasbourg 4 (110), Not. Lauth n° 6038
Vente – Ont comparu M. Pierre Engel, ferblantier, et dame Madeleine Salomé Reiber, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont (vendu)
1. à M. Jean Philippe Bischoff, perruquier, demeurant et domicilié en la même ville, à ce présent et acceptant, comme acquéreur de l’usufruit viager et gratuit sa vie durant, de la maison ciaprès désignée,
2. Et à M. Auguste Heuson, coeffeur, et à dame Elisabeth Sophie Bischoff son épouse, demeurant et domiciliés en la dite ville, aussi à ce présens et acceptant, la femme du mari autorisée, comme acquéreurs solidaires de la nue propriété de la maison dont s’agit, à laquelle nue propriété se réunira l’usufruit au jour du décès de M. Bischoff
Une maison sise à Strasbourg, à l’angle de la rue des fribourgeois où elle porte le N° 3 et de la rue de la demi lune où elle porte le N° 1, composée d’une maison de devant, de bâtimens latéraux et de derrière, avec cour, pompe mitoyenne, droits aisances, appartenances et dépendances, le tout tenant d’un côté au sieur Albrecht de l’autre au sieur Véron & par derrière sur la cidevant Tribu des Fribourgeois. Cette maison est vendue dans l’état où elle se trouve (…) avec huit poêles en fayence et cinq en fonte, avec tuyaux et pierres et une chaudière à lessive (…)
Etablissement de la propriété. Déclarent les vendeurs qu’ils sont devneus propriétaires de cet immeuble au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite des héritiers du sieur Jean Georges Hoffherr, boucher, et de dame Anne Marie Geyer, décédés conjoints à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Georges Louis Frédéric Grimmer notaire à Strasbourg le 15 mars 1841, enregistré, et en vertu d’un jugement qui a ordonné la vente, rendu par la tribunal civil de Strasbourg le 28 décembre 1840 enregistré. Une expédition dudit procès verbal d’adjudication transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 avril 1841 volume 368 n° 50 & inscrite d’office le même jour volume 344 n° 39 p$^s^reté du prix d’adjudication qui était de 12.050 francs (…)
Les époux Hoffherr avaient été propriétaires dudit immeuble pour l’avoir acquis des héritiers de dame Anne Marie Butz, décédée veuve de Jean Michel Greiff en son vivant menuisier à Strasbourg aux termes d’un contrat reçu par M° Ubersaal, alors notaire à Strasbourg le 16 novembre 1809, enregistré. La dame veuve Greiff était propriétaire du dit immeuble pour en avoir hérité la moitié dans la succession de son père M. Jean Frédéric Butz décédé tailleur d’habits à Strasbourg et pour avoir acquis l’autre moitié de sa sœur dame Suzanne Barbe Butz veuve du sieur Jean Georges Baldner en son vivant baquetier à Strasbourg, suivant contrat passé devant M° Zimmer alors notaire à Strasbourg le 12 juin 1809, enregistré, la dame Baldner avait aussi hérité cette moitié dans la succession de son père le sieur Butz – Prix, 17.000 francs
Etat civil des vendeurs. Et finalement déclarent les vendeurs être mariés en premières noces, sous le régime de la communauté
acp 420 (3 Q 30 135) f° 81 du 1.7.

Le coiffeur Auguste Heuson épouse en 1842 Elisabeth Sophie Bischoff
1842 (22.3.), Strasbourg 4 (95), Me Hatt n° 13.711
Contrat de mariage – Ont comparu Monsieur Michel Auguste Heuson, coeffeur, fils majeur et légitime du S’ Chrétien Heuson, cordonnier, et Dame Caroline Dock son épouse ci présens tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, stipulant comme futur époux d’une part
Et Demoiselle Elisabeth Sophie Bischoff, fille majeure et légitime de Monsieur Philippe Bischoff, coeffeur et de feue Dame Marie Elisabeth Reisé ses père et mère demeurant et domiciliés à Strasbourg stipulant comme future épouse d’autre part
acp 296 (3 Q 30 011) f° 47 du 26.3.- communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié
Les apports de la future épouse consistent en une somme de 1600 francs, en objets mobiliers détaillés au contrat estimés 727
Donation par le futur à la future en cas de survie d’un douaire de 600 francs sur le plus clair de la succession
Donation mutuelle entre les futurs de l’usufruit viager de la fortune du prémourant

Sophie Elisabeth Bischoff meurt en octobre 1858 en délaissant quatre enfants.

1858 (18.11.), Strasbourg 4 (117), Not. Lauth n° 8809
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Michel Auguste Heuson et Sophie Elisabeth Bischoff
L’an 1858, le Jeudi 18. Novembre à trois heures de relevée, à la requête de M. Michel Auguste Heuson, coiffeur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant dans les qualités suivantes. 1. à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Sophie Elisabeth Bischoff, son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hatt prédécesseur immédiate de M° Lauth l’un des notaires soussignés le 22 mars 1842 et dont une expédition sera ci après inventoriée, 2. comme donataire en usufruit pendant sa vie, sans être tenu de donner caution ni de faire remploi, de la moitié de tous ses biens meubles et immeubles sans aucune exception, dépendant de la succession de sadite défunte épouse, aux termes de leur susdit contrat de mariage, 3. comme tuteur légal de Caroline Sophie Elise Heuson, née le 2 juin 1844, Frédérique Sophie Heuson née le 23 avril 1846, Charlotte Mathilde Heuson née le 15 janvier 1848 & Charles Auguste Heuson né le 3 décembre 1849, ses quatre enfants mineurs issus de son mariage avec sadite défunte épouse, 4. Et comme ayant la jouissance légale des biens de ses enfants mineurs jusqu’à ce qu’ils soient émancipés ou qu’ils aient atteint leur 18° année aux termes de la loi et aux charges de droit, les dits quatre mineurs Heuson frères et sœurs germains habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un quart de feu Madame Heuson leur mère. Et en présence de M. Jean Jacques Martin, coiffeur demeurant et domicilié à Strasbourg, en sa qualité d subrogé tuteur desdits quatre mineurs Heuson (…)
le tout trouvé dans un magasin sis à Strasbourg sous les petites arcades et dans une autre maison sise en la même ville rue des fribourgeois N° 2 où Mad. Heuson est décédée le 15 octobre dernier
[in margine :] Voir l’inventaire rectificatif dressé par M° Lauth le 18 novembre 1860.

(vacation du 8 décembre, n° 8831) Titres et papiers. Acquisition d’une maison. Cote deuxième. Une pièce qui est l’expédition dun contrat reçu par M° Lauth le 29 juin 1853 contenant vente par M. Pierre Engel, ferblantier, et Dame Madeleine Salomé Reiber, conjoints à Strasbourg, à M. Bischofff susnommé d’autre part, acquéreur de l’usufruit viager et au veuf requérant et à la défunte acquéreurs ensemble de la propriété, d’une maison avec dépendances sise à Strasbourg à l’angle de la rue des Fribourgeoiss où elle porte le numéro 3 et de la rue de la demi lune où elle porte le numéro 1 pour le prix de 17.000 francs (…) Cette expédition porte en marge la mention qu’elle a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 juillet 1853 volume 568 numéro 44 et inscrite d’office le même jour volume 588 n° 184. Le veuf déclare que M. Bischoff, l’usufruitier est toujours en vie et jouit de la maison.
acp 473 (3 Q 30 188) f° 97-v du 19.11. (succession déclarée le 6 janvier 1859) Communauté, mobilier et marchandises 1494 – succession, garde robe 101
acp 474 (3 Q 30 189) f° 57-v du 11. X.br (vacation du 8. décembre) Communauté, mobilier 460
La nue propriété d’une maison sise à Strasbourg rue des Fribourgeois

L’usufruit s’éteint en 1859 à la mort de Jean Philippe Bischoff (inventaire). Auguste Heuson devient propriétaire à part entière.

Auguste Heuson se remarie en 1860 avec Marie Steib, originaire de Bischwihr près de Colmar et veuve de Jean Georges Vœgelin, instituteur à Colmar
1860 (27.6.), Strasbourg 4 (118), Not. Lauth n° 9443
Contrat de mariage – Ont comparu M. Michel Auguste Heuson, coiffeur, demeurant et domicilié à Strasbourg, veuf avec enfants de Dame Sophie Elisabeth Bischoff son épouse défunte en premières noces, et fils majeur et légitime de M. Chrétien Heuson, cordonnier, et de Dame Caroline Dolck, décédés conjoints à Strasbourg stipulant pour lui et en son nom comme futur époux
Et Dame Marie Steib, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve sans enfant du Sr Jean Georges Vögelin, vivant instituteur à Colmar, et fille majeure et légitime de M. Georges Steib, laboureur et de Dame Marie Suzanne Rusterholtz, décédés conjoints à Bischwihr, canton d’Andolsheim, stipulant pour elle et en son nom comme future épouse
acp 489 (3 Q 30 204) f° 65 du 28.6. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent dans ceux constatés par inventaire reçu Lauth le 18 novembre 1858.
Les apports de la future épouse consistent en un mobilier estimé 917 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit des biens de la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfants

Auguste Heuson et Marie Steib hypothèquent la maison au profit de Marie Françoise Eschbach, veuve du ferblantier Philippe Antoine Riebel

1861 (8.5.), Strasbourg 4 (119), Not. Lauth
Obligation du 8 Mai 1861 – Ont comparu M. Michel Auguste Heuson, coiffeur, & dame Marie Steib, son épouse, de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, M. Heuson agissant tant en son nom que comme père et tuteur légal de Caroline Sophie Elisa Heuson, Frédérique Sophie Heuson, Charlotte Mathilde Heuson et Charles Auguste Heuson, ses quatre enfants mineurs issus de son mariage avec dame Sophie Elisabeth Bischoff son épouse défunte en premières noces (…) a reconnu devoir
à Dame Marie Françoise Eschbach, veuve de M. Philippe Antoine Riebel, en son vivant ferblantier à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée, ci présente et acceptant, la somme principale de 1800 francs
hypothèquent spécialement une maison sise à Strasbourg à l’angle de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 2 (ancien n° 3) et de la rue de la demi lune où elle porte le N° 8 (ancien n° 1) composée d’une maison de devant, de bâtiments latéraux et de derrière, avec cour, pompe mitoyenne, droits, aisances, appartenances et dépendancess, le tout tenant d’un côté au Sr Albrecht, de l’autre côté au Sr Véron et par derrière sur la ci devant tribune des fribourgeois et inscrit à la matrice cadastrale section N n° 857 avec une superficie d’un are 70 centiares
Déclare M. Heuson qu’il a fait l’acquisition de cet immeuble conjointement avec son épouse défunte en premières noces de M. Pierre Engel, ferblantier et de Dame Madeleine Salomé Reiber, son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth l’un des notaires soussignés, le 29 juin 1853, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 juillet 1853 volume 568 n° 44 et inscrit d’office le même jour volume 588 numéro 184 pour sûreté de solde du prix de vente qui est encore dû, que cette acquisition a eu lieu conjointement avec avec M. Jean Philippe Bischoff, perruquier demeurant et domicilié à Strasbourg mais pour l’usufruit seulement, mais que cet usufruit s’est éteint par le décès de M. Bischoff arrivé à Strasbourg le 7 mars 1859 et que l’immeuble appartient aujourd’hui pour moitié indivise à M. Heuson et pour l’autre moitié indivise aux quatre mineurs Heuson ainsi queil est constaté par un inventaire dressé après le décès de Mad. Heuson née Bischoff par M. Lauth le 18 novembre 1858 enregistré. Quant à la propriété antérieure de cet immeuble elle se trouve établie dans le contrat de vente ci-dessus relaté. Déclarent encore les époux Heuson qu’il employeront la somme présentement empruntée au paiement de diverses sommes qu’ils doivent conjointement avec avec les quatre mineurs

Marie Steib meurt en 1867 en délaissant une fille issue du veuf.

1867 (20.9.), Strasbourg 4 (126), Not. Auguste Weiss n° 246
Inventaire de la succession de Dame Marie Steib, veuve sans enfant de M. Jean Georges Voegelin vivant instituteur à Colmar et décédée épouse de M. Michel Auguste Heuson, coeffeur, à Strasbourg, ladite Dame décédée en cette ville le 24 juin 1867.
L’an 1867 le Vendredi 20 septembre à trois heures de relevée, à la requête de M. Michel Auguste Heuson, coeffeur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre lui et Dame Marie Steib, son épouse, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Lauth, prédécesseur immédiat de M° Weiss, l’un des notaires soussignés, le 27 juin 1860 et dont une expédition sera ci après analysée, 2° comme donataire en usufruit pendant sa vie, sans être tenu de donner caution ni de faire remploi, de la moitié de tous les biens meubles et immeubles, sans aucune exception, dépendant de la succession de sadite défunte épouse, aux termes de son contrat de mariage ci-dessus énoncé, 3° comme père et tuteur légal de de Gustave Adolphe Heuson, né le 2 juin 1861, son enfant mineur issu de son mariage avec sa dite défunte épouse, demeurant avec lui, 4° et comme ayant la jouissance légale des biens de son enfant mineur jusqu’à ce qu’il soit émancipé ou qu’il ait atteint sa 18° année et aux charges de droit, ledit mineur Heuson habile à se dire et porter seul et unique héritier de Mad. Heuson née Steib sa mère. Et en présence de M. Jean Jacques Martin, coiffeur, demeurant et domicilié à Strasbourg, en qualité de subrogé tuteur dudit mineur (…)
le tout trouvé dans une maison sise à Strasbourg rue des fribourgeois n° 2 où Madame Heuson est décédée le 24 juin dernier.
Et au moment de commencer l’opération, le veuf requérant a déclaré qu’il avait été marié en premières noces avec Dame Sophie Elisabeth Bischoff, décédée à Strasbourg le 15 octobre 1858, que l’inventaire de ka succession de sa première femme a été dressé par le susdit M° Lauth le 18 novembre et 8 décembre suivant, que la majeure partie des meubles et effets mobiliers dépendant de la communauté de biens qui avait existé entre lui et sadite première femme et inventoriés dans le susdit inventaire existent encore aujourd’hui en nature
garde robe de la défunte 77 francs
acp 566 (3 Q 30 281) f° 60 du 21.9. (succession déclarée le 13 Xbr 1867 n° 272) Mobilier de la première communauté 864, mobilier de la deuxième communauté 757, mobilier de la succession 364
acp 567 (3 Q 30 282) f° 65-v du 11.11. (vacation du 6 novembre) Désignation des titres

Lors de la liquidation, la maison reste indivise

1873 (12.7.), Strasbourg 4 (137), Not. Charles Lauterbach, n° 688
Liquidation et partage de la communauté qui a existé entre Michel Auguste Heuson, coiffeur, et Sophie Elisabeth Bischoff
Ont comparu A. Mr Michel Auguste Heuson, coiffeur, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant dans les qualités suivantes a) à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui et dame Sophie Elisabeth Bischoff, son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hatt, prédécesseur médiat de M° Lauterbach, notaire soussigné, le 22 mars 1842, b) comme donataire en usufruit pendant sa vie sans être tenu de donner caution, de la moitié de tous les biens meubles et immeubles, sans exception, dépendant de la succession de sadite épouse, aux termes dudit contrat de mariage,
B. 1. Mlle Caroline Sophie Elise Heuson, sans état, 2. Melle Frédérique Sophie Heuson, sans état, 3. Melle Charlotte Mathilde Heuson, aussi sans état, 4. Et M. Charles Auguste Heuson, coiffeur, les quatre majeurs, demeurant et domiciliés à Strasbourg, les quatre enfants Heuson, frères et sœurs germains, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de feu dame Sophie Elisabeth Bischoff prédénnommée, décédée à Strasbourg le 15 octobre 1858

Observation préliminaires. Décès de Mad. Heuson. inventaire
Décès de M. Bischoff, Partage et liquidation – M. Philippe Bischoff, grand père des enfants Heuson prédénommés, est décédé à Strasbourg le 7 mars 1859 (…)
Communauté des époux Heuson. Masse active. Cette masse comprend 1. les meubles 1494, 2° argent comptant 30
3. Une maison avec droits, aisances et dépendances, sise à Strasbourg à l’angle de la rue des fribourgeois où elle porte le numéro 2 et de la rue de la demi lune où elle porte le numéro 8, que les époux Heuson ont acquise de M. Pierre Engel, ferblantier, et de dame Madeleine Salomé Reiber, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente reçu pat ledit M° Lauth le 29 juin 1853 et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 juillet suivant volume 568 numéro 44 et inscrit d’office le même jour volume 588 n° 184, pour sûreté de la somme de 7000 francs restée due sur le prix de vente. Cette maison, au termes du contrat d’acquisition, était grevée de l’usufruit viager et gratuit au profit dudit défunt M. Philippe Bischoff, mais cet usufruit s’est éteint par le décès de ce dernier. Cette maison est estimée à la somme de 24.000 francs
Total de la masse active 25.924 francs. (…) Total de la masse passive 15.435. Balance 10.088
Succession, Mase active 7873, masse passive 80. Balance 7792 francs
acp 619 (3 Q 30 334) f° 10-v du 22.7.

La maison est inscrite à partir de 1891 au nom du brasseur Jean Georges Alfred Mühleisen de Schiltigheim. Fils du marchand Georges Mühleisen de Strasbourg, il épouse en 1892 Sophie Münch, fille d’un journalier de Lingolsheim. Après avoir suivi les cours de l’école supérieure de commerce de Stuttgart, il voyage dans différents pays pour acquérir des connaissances en brasserie. Il fonde le journal protestataire Echo dont la parution est suspendue par le gouvernement en 1884. Il est député au parlement de 1884 à 1890 (voir l’article en allemand sur Wikipédia)

Mariage, Schiltigheim (n° 11)
Schiltigheim am 12. März 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Brauereibesitzer Georg Jakob Alfred Mühleisen, evangelischer Religion, geboren den 19. August des Jahres 1856 zu Strassburg, wohnhaft zu Schiltigheim, Sohn der Eheleute Kaufmann Georg Mühleisen und Friederika Amalie geborener Weltz, verstorben und Zuletzt wohnhaft zu Strassburg,
die Gewerblowe Sophie genannt Johanna Münch, katholischer Religion, geboren den 2. Februar des Jahres 1867 zu Lingolsheim Kreis Erstein, wohnhaft zu Schiltigheim, Tochter der Eheleute Tagner Michael Münch und Katharina geborener Brankratz, letztere zu Lingolsheim verstorben, ersterer wohnhaft zu Lingolsheim (i 12)

Inscrit comme propriétaire au cadastre à partir de 1905, Florent Stengel originaire de Hohengœft épouse en 1896 la servante Catherine Meyer, originaire de Gougenheim.

Mariage, Strasbourg (n° 519)
Straßburg am 13. Juni 1896. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Fuhrmann Florentz Stengel, katholischer Religion, geboren den 28. Oktober des Jahres 1865 zu Hohengoeft (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Ackerers Michael Stengel und dessen Ehefrau Maria geborene Eckert, beide wohnhaft zu Hohengoeft,
die Dienstmagd Katharina Meyer, katholischer Religion, geboren den 13. April des Jahres 1873 zu Gugenheim (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Maurers Anton Meyer und dessen Ehefrau Anna Maria geborene Koebel beide wohnhaft zu Gugenheim
(† 12 avril 1935 n° 1012)



59, rue de Zurich (X 169)


Rue de Zurich n° 59 – X 169 (Blondel), O 902 puis section section 34 parcelle 3 (cadastre)

Partie gauche de l’actuel 59, rue de Zurich
Brasserie aux Trois Lis (1772, établie en 1746 dans la maison voisine) puis au Télégraphe (1801)
Nouveau bâtiment 1857-1860, maître d’ouvrage Daniel Schmutz, brasseur


Le n° 57 au premier plan puis les deux bâtiments qui forment le n° 59 (auberge au Télégraphe) (novembre 2017)
La façade en avril 2014 – Détail de la porte d’entrée (septembre 2016)

D’après le Livre des communaux de 1587, le constructeur de bateaux André Schnell règle un loyer pour un étal en bois posé sur trois piles maçonnées. Un chenal en bois dans la venelle conduit en outre l’eau de pluie sur le communal. Le boucher Josse Zipff acquiert en 1617 la maison où il demande en vain en 1619 le droit d’ouvrir un débit de vin pour gagner sa vie parce qu’il souffre de goutte. La maison appartient au jardinier Jean Ersam (1632-1645) puis à l’officier de garnison Bernard Hoffmann qui occupe de 1665 à 1674 à l’arrière de sa maison un terrain communal où il a construit une porcherie et une remise. Le meunier Jacques Lauffenburger achète la maison en 1689 et en transmet la propriété au batelier Jean Jacques Hassler, son gendre par alliance. Sa veuve passe en 1715 un accord avec son voisin au sud qui reconstruit des bâtiments pour fixer la propriété du mur commun. Voir l’aspect en 1727. La maison appartient ensuite au savonnier André Reiner qui fait faillite puis aux bateliers Jean Husser, Jacques Wolff et Charles Guillaume von Zabern. Propriétaire depuis 1772 de la maison voisine (brasserie aux Trois Lis), Jean Chrétien Strohl acquiert la maison en 1775. Les Quinze l’autorisent à ouvrir des portes de communication entre les deux bâtiments. Il agrandit encore la propriété en acquérant en 1776 une cour et une écurie et en 1778 un bâtiment édifié sur une cave. Après diverses transactions suite à un inventaire de faillite, la propriété des deux bâtiments qui forment la brasserie revient à sa femme Marie Barbe Pick. Jean Chrétien Strohl fait divers travaux les années suivantes (agrandir la porte et une croisée, surélever une remise). Il demande que la ville abatte un noyer qui intercepte la lumière. La brasserie comprend en 1779 une salle, cinq poêles, trois cuisines, un atelier de brassage et cinq caves dont une voûtée.
La brasserie prend l’enseigne Au Télégraphe sous la Révolution. Elle comprend en 1810 deux maisons de devant bâties en pierres dont l’une à rez-de-chaussée, un étage et mansardes à trois croisées de front, l’autre à rez-de-chaussée et deux étages à quatre croisées de front.

235 Elévations c'-g'
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 235 (© Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à droite du repère (f) après la venelle close : fenêtre puis porte cochère, trois fenêtres à l’étage et une dans le pignon. La cour M’ représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4-5) à un étage à droite de la cour et le bâtiment (5-6) au fond de la cour. Les autres bâtiments dépendent du bâtiment voisin (ancien n° 170 sur le plan Blondel)
La maison porte d’abord le n° 143 (1784-1857) puis le n° 7 du quai aux Chevaux. Une fois le canal comblé, elle porte le n° 59 de la rue de Zurich.


Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 235 : plan entre l’angle de la rue de l’Abreuvoir en haut à gauche et la ruelle de la Hallebarde (actuelle rue Fritz) en bas à droite – Cour M’

Les héritiers Strohl vendent la maison au brasseur Georges Guillaume Graff en 1811. Elle revient à leur fille qui a épousé le marchand de poissons Jean Schmutz puis en 1849 à leur fils brasseur Daniel Schmutz qui y fait des travaux. Il fait démolir et reconstruire une partie des bâtiments en 1857 et fait des agrandissements en 1860. Le revenu initial de 180 francs passe alors à 238 francs, les ouvertures ordinaires de 23 à 97, on trouve à partir de 1860 dix-sept ouvertures au troisième étage ou au-delà. Il en résulte que la façade du bâtiment de gauche, d’un style qui rappelle celui du siècle précédent, date de cette époque (1857-1860). Daniel Schmutz meurt célibataire en 1862. La maison revient à sa sœur, femme du tapissier Charles Ferdinand Vierschrodt, qui fait faire de nouvelles constructions en 1891 (signalées dans le cadastre mais pas dans le dossier de la Police du Bâtiment).


Plan des bâtiments, la rue de Zurich étant à gauche – Façade des bâtiments arrière

Alignements de 1937 – Photographie de 1941 (1934, dossier de la Police du Bâtiment)

Le peintre Charles Werner fait diverses transformations dans les bâtiments et aménage son atelier au fond de la cour en 1905. La veuve Werner fait transformer le rez-de-chaussée du bâtiment sur rue en 1934 après s’être engagée à acheter le terrain entre le bâtiment et l’alignement légal.


Ancienne et nouvelle façade (1934, dossier de la Police du Bâtiment)

avril 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1604 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

André Schnell, constructeur de bateaux, et (1570) Marguerite Hoffmann – luthériens
1617 v Christophe Guckenmus, aubergiste, et (1594) Odile Gœpp, d’abord (1588) femme de l’aubergiste Thiébaut Reiger, puis (1620) Dorothée Scholl – luthériens
1617 v Josse Zipff, boucher, et (1599) Walburge Christ. – luthériens
1632 v Jean Ersam, jardinier, et (1614) Anne Eisenmann, remariée (1637) avec Léonard Klugshertz, jardinier – luthériens
1645* adj Conrad Meyer, receveur du chapitre Saint-Etienne, et (1614) Salomé Meyer – luthériens
1653 v Bernard Hoffmann, exempt, et (1625) Anne Knœrr, veuve du potier Jean Dold – luthériens
1660* h Jean Jacques Feuchter, tonnelier, et (1649) et Marthe Hoffmann – luthériens
1689 v Jacques Lauffenburger, meunier, et (1688) Barbe Grassmann d’abord (1673) femme de Jean Guillaume Greiner, meunier – luthériens
1700 h Jean Jacques Hassler, batelier, et (1689) Marthe Greiner – luthériens
1726 h Jean Jacques Hummel, batelier, et (1714) Marguerite Hassler – luthériens
1726 v André Reiner, tailleur puis savonnier, et (1718) Eve Mentzer – luthériens
1731 adj Couvent des Pénitentes
1731 v Jean Huser, batelier, et (1726) Susanne Wurth, (1735) Marie Barbe von Zabern puis (1737) Anne Barbe Jung, d’abord (1716) femme de Jean Georges Bürckel – luthériens
1737 h Jean Frédéric Rosser, boutonnier, et (1752) Anne Marie Husser – luthériens (cohéritiers pour moitié)
1761 v Jacques Wolff, batelier, et (1749) Marie Elisabeth Anstett – luthériens
1772 v Charles Guillaume von Zabern, batelier, et (1771) Marie Salomé Kern
1775 v Jean Chrétien Strohl, brasseur, et (1772) Marie Barbe Pick – luthériens
Marie Barbe Pick seule propriétaire en 1780
1811 v Georges Guillaume Graff, brasseur, et (1787) Anne Roth puis (1814) Marie Barbe Blind, veuve du serrurier David Ulrich et du chapelier Adam Knab
1827 h Jean Schmutz, pêcheur, et (1802) Marie Madeleine Keller puis (1810) Marie Madeleine Graff
1849 h Daniel Schmutz, brasseur, célibataire († 1862)
1863 h Charles Ferdinand Vierschrodt, tapissier, et (1857) Frédérique Caroline Schmutz
1899* Charles Werner, peintre
1944* h Charles Camille Müller et sa femme née Werner
1951* h Brasserie du Pêcheur société anonyme

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 340 livres en 1737
Les différents bâtiments de la brasserie sont estimés à 4 000 livres en 1778

(1765, Liste Blondel) X 169, Jacques Wolff
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Strohl, 8 toises, 0 pied et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 902, Schmutz, Jean, brasseur quai des Chevaux 143 – maison, sol – 5,4 ares

Locations

1752, Jacques Bieckert, employé au bois
1801, Henri Chrétien Lœll et Anne Barbe Zürn

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 510-v
Le constructeur de bateaux André Schnell règle 1 sol 6 deniers pour un étal en bois posé sur trois piles maçonnées (8 pieds de long en saillie de 15 pouces). Il a en outre dans la venelle entre sa maison et celle de Melchior Dacher un chenal en bois qui mène sur le communal d’après un constat fait le 19 mars 1597.

[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]
Andres Schnell der Schiff Zimmermann hatt Vnden Vor seinem Hauß ein hülzenen banckh vff dreÿen gemaurten Pfeÿlerlin xiiij schu lang, xv Zoll herauß, bessert für das Nüessen, j ß vj d

Er hatt auch Inn dem Allmendtschlupff zwischen Melchior Dachern vnd Ime ein langen hülzenen Naach schregs ane seinem Gebell herab vnz vff die Allmendt herfür gericht, so aller erst beim Augenschein den 19.ten Martÿ Anno 97. funden worden.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 798-v
Bernard Hoffmann règle de 1665 à 1674 un loyer pour occuper un terrain communal derrière sa maison. Le loyer est supprimé quand il démolit la porcherie qui y était construite

Bernhardt Hoffmann soll von einem Allmend hinden an deßen hauß bei der alt gedeckten brucken in Crutenaw Jahrs vf Michaelis vnd 1665 I° vermög protoc. d. 1664. fol. 133., 2 ß
Extat 64
New fol. 530.

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 530-v

Bernhard Hoffmann, Soll vom Allmend hinden an deßen Hauß beÿ der altgedeckhten Brucken in Crautenaw vff Michaelis, 2 ß
St. Zinnßb. p. 798
den 21. aprilis 1673. erlegt hannß Jacob Feüchter 6 ß und ist der post in abgang zubringen weilen der schweinstall abgebroch. laut Protoc. d 1674. p. 133

Préposés au bâtiment (Bauherren), Protocole des Quinze

1664, Préposés au bâtiment (VII 1358)
Michel Haan rapporte que son voisin Bernard Hoffmann a construit près du jardin Spiess une porcherie et une remise sur un terrain dont il règle un loyer à la Ville. Les préposés constatent que le terrain communal le long du mur a trois pieds et demi de large et une longueur de 31 pieds alors qu’il avait autrefois 73 pieds.
Les préposés concluent que Bernard Hoffmann occupe indûment le terrain et qu’il devra démolir les bâtiments qu’il y a construits. Il devra recueillir les eaux qui s’écoulent du toit de son voisin et régler un cens annuel de deux sols s’il souhaitait tout de même occuper le terrain usurpé.

(f° 129) Montags den 16. Maÿ Anno 1664 – Haan Ca. Hoffmann, Allmend
Augenschein eingenommen vff begehren H. Michael Haanen Contra Bernhard Hoffmann, welcher geklagt, d. d. Allmend gesslin In den genanten Spießischen garten bei der gedeckten Brucken in Crautenaw, davon vermög Zinßbuchs fol. 190. 6 ß d Zinnß dem Zinßmesister bezahlt werd. müßen, von beklagtem Hoffmann, mit einem Schweinstall vnd schopff verbawen worden, so Ihme beschwerlich, vnd an vorhabenden Baw deß dachtrauffs halben hinderlich, Weilen nun dabey bericht beschehen d. gedachtes Allmendgesslein, biß Zum Eingang in den Spießischen garten mit einem Maurlein versehen geweßen, Zumahlen sich auch in dem augenschein d. fundament ermelten Maurleins 3 ½ schue breit vnd 31. schu lang, von sein hoffmanns hauß biß an den Spiesischen garten gerechnet, in dem nachgraben befund. also d. besagtes Allmend geßlein von dem eingang biß Zu ende 73. schu lang Vnd 3 ½ schue breit gewesen sein muß, so aber vor vielen Jahren de facto dem Allmend entzogen worden, Alß ist Erkand, wie hernach Zusehen.

(f° 133) Mittwochs den 1. Julÿ Anno 1664 – Haan Ca. Hoffmann, Allmend Zinß
In sachen Michael Haanen C. Bernhard Hoffmann ist vf eingenommenen augenschein, vorlesung vorgelegter Kauffbrieff vnd besichtigung Pfthrns Zinßbuchs D. fol. 208. auch allen anderen vorbringen nach Erkandt, daß Bernhard Hoffmanns antecessorn vnd besitzern deßen haußes gar nicht gebührt hatt, d. Allmend Maurlin alß lang deßen höfflin ist biß an Clegers erkaufften garten abzubrechen vnd darauf Zubawen, sondern daran vnrecht gethan vnd dahero schuldig sein solle, den Schweinstall vnd Schopff abzubrechen, hingegen Clegern den tachtrauff in ermeltes allmendgeßlein, welches mit steinen Zu bemarcken Zugestatten, Auch Zum fall Er, vmb dadurch sein höfflein Zuerweitern sich, wie wohl ohne hindernus daß bemelten Haanischen tachtrauffs oder auffsetzung einigen gebäws, dißes Allmend Platzes bedienen wolte, Ihme solches gegen erlag 2 ß Jährlichen allmend gelts Zugelaßen sein solle, Mit dem fernern anhang, weilen sich in dem augenschein befunden d. d. Allmend geßlin nur 3 ½ schu breit vnd biß in 73. schue lang, also dem in dem Zinßbuch fol. 208. beschrieben vergleich sich Zumahl keine anzeig herfür thun wollen, d. etwas von der breite Zu ein oder anderen hauß eingezaunet word. seÿe, alß ist mit vmbfrag beleibt, d. die beschreibung deß allmend geßleins nach Jetzmahls befundener bewandnus geschrieben* werden solle.

1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Les préposés autorisent Jean Chrétien Strohl à agrandir sa porte d’entrée

(f° 253) Dienstags den 26. Septembris 1775 – Christian Strohl Biesieder
Christian Strohl, der Biesieder bittet Zu erlauben die Hausthür an seiner beÿ der Hechtenbruck gelegenen Behaußung zu erweitern. Erkannt, Willfahrt.

1776, Protocole des Quinze (2 R 187)
Les Quinze autorisent Jean Chrétien Strohl à percer deux portes de communication entre les deux maisons contiguës qui lui appartiennent.

(p. 210) Sambstags den 20. Aprilis 1776. Osterrieth nôe Christian Strohls des burgers und biersieders zu denen 3. Lilien, dieser hat aus unwißenheit durch gedachtes sein bierhauß in sein daran stoßendes hauß eine thür brechen laßen, weilen er nun durch seinen Maurermstr. in deßen abweßenheit solches geschehen, berichtet worden, daß Er Gn. Erlaubnus deßfals erfordert werde, als bitt præviâ condonatione des fehlers umb augenschein, sofort solches durchbruch gnädig Zugestatten und setzt.
Erkanndt, præviâ condonatione des fehlers mit gebettenem Augenschein an die Obern Bau Hh. willfahrt.

(p. 560) Sambstags den 7.ten Decembris 1776 – Idem [Obere Bau Hh.] laßen per Eundem [Secretarium] referiren es hätten dieselbe den beÿ Meister Strohl dem biersieder beÿ dem frantzösischen Hospithal verordneten augenschein puncto durchbruchs eingenommen und befunden, daß derselbe Zweÿ thüren in das neben seiner Behaußung befindliche hauß einbrechen wollen da dieses nun nicht wider MGHh ordnung auch niemand præjudicirlich ist als hätten hochgedachte H. Deputirte der meinung seÿn wollen, daß Imploranten mit gebettenen durchbrüchen gegen erlag 3. lb. d semel pro semper zu willfahren seÿe. Erkannt Willfahrt.

1776, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Les préposés autorisent Jean Chrétien Strohl à agrandir une croisée

(f° 59) Dienstags den 30. Aprilis 1776. – Hr. Christian Strohl Bierbrauer
Mr. Joh. Schröter, der Maurer, nôe. Herrn Christian Strohl, des Bierbrauers, bittet zu erlauben an deßen Behausung am Gaulstaden den Creutzstöck zu erhöhen. Erkannt, Willfahrt.

1785, Protocole des Quinze (2 R 195)
Les préposés autorisent Jean Chrétien Strohl à exploiter la brasserie aux Trois Lis

(f° 358) Sambstag den 26.sten Novembris 1785) – Idem [Claus] nomine Johann Christian Strohl des burgers und bierbrauer allhier dieser bitt E. G. unterthänig ihme mit dem bierschanck Zu den dreÿ lilien Gnädig Zu willfahren. Osterrieth setzt. Erkandt nah ordnung willfahrt.

1786, Préposés au bâtiment (VII 1422) f° 54
Les préposés autorisent le charpentier Fritz au nom du brasseur Chrétien Strohl à construire un étage supplémentaire sur la remise le long de la ruelle aux Roses.

(f° 54) Dienstags den 25. Aprilis 1786 – Christian Strohl Bierbrauer
Mr Fritz, der Zimmermann, nôe. Christian Strohl, des Bierbrauers, bittet zu erlauben deßen Schopf im Rosengäßel am Gaulstaden einen Stock erhöhen zu laßen. Erkannt Willfahrt

1788, Préposés au bâtiment (VII 1423) f° 139-v
Les préposés autorisent le maçon Schrœder à ravaler la façade de l’auberge aux Trois Lis qui appartient au brasseur Chrétien Strohl

(f° 139-v) Dienstags den 2. Septembris 1788. – Joh: Christian Strohl, Bierbrauer
Mr. Schrötter, der Maurer, nôe. Johann Christian Strohl, des Bierbrauers, bittet zu erlauben deßen Behaußung am Gaulstaden gelegen Zu den drei Lilien geschildet, wo der Merdel abgefallen *der ausbessern Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Jean Chrétien Strohl demande que la Ville fasse abattre un noyer qui se trouve devant sa maison et lui porte préjudice. Les préposés constatent qu’il y a deux grands arbres, un tilleul et un noyer ; le noyer notamment intercepte la lumière et l’empêche de parvenir à l’auberge.

(f° 152-v) Dienstags den 23. Septembris 1788 – Joh: Christian Strohl, Bierbrauer
Johann Christian Strohl, der Bierbrauer Zu den drei Lilien am Gaulstaden præsentirt unterthäniges Memoriale und bitten den vor seiner Behausung stehend sehr grosen Nußbaum, wodurch nicht nur seine Behausung Schaden sondern auch seine Nahrung Noth leidet, weg zu erkennen. Erkannt, Augenschein.

(f° 172) Dienstags den 4. Novembris 1788 – Joh: Christian Strohl, Bierbrauer, Nußbaum am Gaulstaden
Am Gaulstaden, da Johann Christian Strohl, der Bierbrauer gebetten, die vor seiner dasigen Zu den drei Lilien geschildeten Behausung befindliche Bäum wegräumen Zu laßen weilen solche seiner Behausung nachtheilig sowol wegen dem Licht als der Feuchtigkeit, da sich dann befunden, daß ein groser Linden baum und ein groser Nußbaum vor solcher behausung stehen, durch welch letztern besonders der Behausung Licht und Luft entgehet, Zugleich wurde auch wahrgenommen, daß langs dem Gaul Staden sich Bäum befinden. L. S von Oberkirch, Stätt meister.

Description de la maison

  • 1779 (billet d’estimation traduit) 1779 La brasserie comprend une salle, cinq poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, en outre un atelier de brassage où se trouvent un chaudron et un torréfacteur à malt, le comble est couvert de tuiles plates, il y a quatre caves solivées et une cave voûtée, deux cours et deux greniers, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 9000 florins
  • 1810 Description

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Chevaux

nouveau N° / ancien N° : 99 / 143
veuve Strohl
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages bons en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 312 case 3

Schmutz, Jean, brasseur quai des chevaux N° 143

O 902, maison, sol, quai des chevaux 143
Contenance : 5,40
Revenu total : 182,81 (180 et 2,81)
Folio de provenance :
Folio de destination : 132
Année d’entrée :
Année de sortie :1858
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1

O 902, maison
Revenu total : 112,81 (110 et 2,81)
Folio de provenance : 312 Rec.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1858
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 48 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus :
Augmentations 1858 – Schmutz Jean f° 312, O 902, maison, revenu 70, démolition partielle, supprimée en 1858
Diminutions – Schmutz Jean f° 312, O 902, maison, revenu 70, démolition partielle, supprimée en 1858

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1118 case 1

Schmutz, Jean, brasseur 1864
1864 Vierschrodt, Charles Ferdinand, tapissier
1900 Werner Karl

O 902, maison, sol, Quai des chevaux 7
Contenance : 5,40
Revenu total : 112,81 (110 et 2,81)
Folio de provenance : (312)
Folio de destination : 1118, Reconstr. partielle de 1857
Année d’entrée :
Année de sortie : 1860
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 48
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 902, maison
Revenu total : 220,81 (218 et 2,81)
Folio de provenance : 1118, Reconstr. partielle de 1857
Folio de destination : 1118, augm. de C.
Année d’entrée : 1860
Année de sortie : 1863
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 78 / 58
fenêtres du 3° et au-dessus : 12
Augmentations 1860 – Schmutz Jean brasseur f° 1118, O 902, Maison, revenu 218, Reconstruction partielle, achevée en 1857, imposable en 1860, imposée en 1860
Diminutions – Schmutz Jean brasseur f° 1118, O 902, Maison, revenu 110, Reconstruction partielle de 1857 (voir ci contre), rayée en 1860

O 902, maison, brasserie
Revenu total : 381,81 (maison 258, brasserie 121 et 2,81)
Folio de provenance : 1118, Reconstr. partielle de 1857
Folio de destination : Umbau
Année d’entrée : 1863
Année de sortie : 94/95
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : maison 116 / 63, brasserie 8 / 7
fenêtres du 3° et au-dessus : maison 30 / 24
Augmentations 1863 – Schmutz Jean f° 1118, O 902, Maison, revenu 238, Aug.on de C.on de 1860 et distinction de la maison et de la brasserie, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863
Diminutions – Schmutz Jean f° 1118, O 902, Brasserie, revenu 121, (supra)

O 902, maison, Züricherstrasse 59
Revenu total : 469,81 (467 et 2,81)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 94/95
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : maison 97 / 78
fenêtres du 3° et au-dessus : maison 17 / 14
Augmentations 1894 – Vierschrodt Karl Ferdinand, Brauer f° 1118 O 902, Maison, Reinertrag 467, Neubau, vollendet 1891, steuerbar 1894, besteuert 1894/95
Diminutions – Vierschrodt Karl Ferdinand, Brauer f° 1118 O 902, Maison, Reinertrag 258, Neubau, Zeit 1891, siehe Zugang

Cadastre allemand, registre 30 p. 481 case 3

Parcelle, section 34, n° 3 – autrefois O 902
Canton : Züricherstraße Nr. 59 / rue de Zurich-22 / 07
Désignation : Hf, 4 Whs u. N.G.
Contenance : 5,66
Revenu : 5900 / 4375
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1951), compte 1336
Werner Karl Ehefr. 1/3 und Werner Karl und Ehefr. 2/3
1905 Werner Carl Ehefr.
1935 Werner Charles la veuve
1944 Müller Karl Kamillus Wittwe geb. Werner
clos 1951

(Propriétaire à partir de l’exercice 1951), compte 77
Bierbrauerei zum Fischer A. G. Schiltigheim
1927 Brasserie du Pêcheur J. Ehrhard
1931 Brasserie du Pêcheur société anonyme
(91) corrigé en (115)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, (353) Spißen Gaß biß N° 143 Gaul Staden

143
Pr. Strohl, Christian, bierbrauer, burger – Kieffer
Brandt, Peter, Vescher, schirmer – manant
Altbroni, Ciprian, Gipsgießer, burger – Stelz
Mallise, Franß, Wittib, burger – Möhrin

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton X, Rue 351, Quai des Chevaux, Quartier de la Krautenau p. 549

143
pr. Strohl, Chrétien, Brasseur – Tonneliers
loc. Brandt, Pierre, Blanchisseur – Manant
loc. Altbroni, Ciprien, fait des figures de platre – Echasses
loc. Mallise, Veuve – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Züricherstrasse (Seite 204)

(Haus Nr.)

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 702 W 213)

Rue de Zurich n° 59 (I, 1889-1897)

Les entrepreneurs Klein raccordent en 1891 les bâtiments aux canalisations. La brasserie Fischer (Schiltigheim) fait faire une ouverture pour descendre les tonneaux dans la cave de l’auberge au Télégraphe en 1901. Propriétaire des lieux, le peintre Charles Werner fait diverses transformations dans les bâtiments et aménage son atelier au fond de la cour. La veuve Werner fait transformer le rez-de-chaussée du bâtiment sur rue en 1934 après s’être engagée à acheter le terrain entre le bâtiment et l’alignement légal.
La brasserie au Télégraphe qui comprend deux salles est exploitée par Marie Pflumio (1908), Jules Weygandt (1912), Charles Nigris (1920), Emile Meinzer (1925), E. Zehnter, Charles Braun (1947), Virginie Grohens (1958) puis Marie-Jeanne Lisch (1971).

Sommaire
  • 1889 – Le maire notifie la veuve Charles Vierschrodt née Schmutz de faire ravaler la façade du 59, rue de Zurich – Le propriétaire objecte que la façade a été repeinte à l’huile en 1883 – Le maire constate que la façade est en bon état, juillet 1889.
  • 1890 – Le maître tapissier E. Haas demande au nom de la Brasserie Wagner de Mutzig l’autorisation de poser deux enseignes perpendiculaires. – Les deux enseignes sont posées, mars 1891.
  • 1891 – L’entrepreneur J. et E. Klein (4, rue Fritz) demande l’autorisation de faire un raccord aux canalisations – Dessin Autorisation
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence à trois fenêtres. – Travaux terminés, octobre 1897.
  • 1895 (mars) – Le service des incendies relate qu’un feu de cheminée s’est déclaré le 4 mars 1895 dans la propriété de la veuve Vierschrodt. – Il n’y a pas eu de dégâts, la cheminée a été ramonée.
  • 1899 – Le maître maçon A. Metzger (3, rue du Brochet) demande au nom du propriétaire Werner l’autorisation de ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1899
  • 1901 – Le brasseur J. Ehrhard (brasserie Fischer à Schiltigheim) demande l’autorisation de faire une ouverture pour descendre les tonneaux dans la cave à l’auberge au Télégraphe – Autorisation – Dessin – Travaux terminés, août 1901
  • 1905 – E. Schmitt, propriétaire de l’immeuble sis 4, rue Fritz, informe la Police du Bâtiment que Werner, propriétaire du 59, rue de Zurich, aménage des logements dans un bâtiment qui servait seulement d’entrepôt le long de la ruelle des Chevaux – La Police du Bâtiment estime que l’information n’est pas pertinente puisque les logements existent depuis longtemps dans le bâtiment et qu’il n’y a pas de nouvelle ouverture. – Les voisins règlent le différend à l’amiable.
  • 1906 – Le tapissier décorateur E. Haas (12, rue de Zurich, anciennement 59, rue de Zurich) demande que ses enseignes soient rayées du rôle.
  • 1905 – Les entrepreneurs Th. et Ed. Wagner (rue des Livres) demandent au nom du propriétaire Ch. Werner l’autorisation de transformer le bâtiment et d’y établir des lieux d’aisances. Dessins (plan, élévations, coupes), l’atelier du peintre se trouve au nord-est au fond de la cour
    La cuisine et les lieux d’aisances au premier étage sont terminés, de même que le mur de 26 centimètres d’épaisseur vers la cour au rez-de-chaussée (novembre 1905). Les travaux se poursuivent dans l’aile droite. Les toilettes sont terminées (janvier 1906). Les peintres travaillent (mars 1906)
    La réception finale ne peut avoir lieu en mars parce que les fourneaux ne sont pas encore posés. Il y a en outre un logement non prévu au-dessus de l’atelier du peintre (deuxième étage). Le maire fait part à l’entrepreneur des défauts auxquels remédier.
    1906 (mai) – Les entrepreneurs demandent l’autorisation d’aménager un logement au deuxième étage au-dessus de l’atelier. La Police du Bâtiment objecte que ni la hauteur du logement ni l’escalier qui y mène ne sont réglementaires. – Le peintre C. Werner déclare que le logement n’est pas nouveau, qu’il dépend de celui du bâtiment avant et qu’il a seulement fait remplacer le plancher. La Police du Bâtiment maintient ses objections.
    1906 (juillet) – Le peintre Werner (59, rue de Zurich) et les entrepreneurs Th. et Ed. Wagner sont autorisés à établir des toilettes au deuxième étage. – Dessin – Travaux terminés, le logement est habité, octobre
    1906 (octobre) – Le permis d’occupation ne peut pas être délivré parce que les cheminées et les plafonds ne sont pas tous plâtrés.
    1907 (janvier) – Tous les travaux sont terminés, le permis est délivré
  • 1907 – Le peintre Albert Metzger demande l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, mai 1907
    Le même est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1908 – La veuve Schmitt née Meyer, propriétaire d’un immeuble voisin, déclare que le peintre Charles Werner, propriétaire de l’auberge au Télégraphe, a fait aménager des logements dans un ancien entrepôt. Elle demande que les fenêtres soient pourvues de grillage au premier étage et de barreaux au deuxième.
    La Police du Bâtiment se rend sur place. La distance entre les deux propriétés (55 centimètres) remonte à plus de trente ans. L’ouverture au deuxième étage se trouve à 1,45 mètre de la propriétaire voisine. La Police du Bâtiment ne voit pas de motif d’intervenir et renvoie la plaignante aux juridictions civiles.
  • 1908 – Dossier ouvert après un courrier de la Division I. Marie Pflumio demande l’autorisation d’exploiter l’auberge dans deux salles (2,70 et 3,06 mètres de haut) pourvues de toilettes. L’autorisation peut être accordée bien que les locaux ne satisfassent pas aux prescriptions du 24 mars 1890 (hauteur minimale des salles 3,50 mètres).
  • 1909 – Le peintre C. Werner demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (Ch. Werner, peinture, vitres) – Autorisation
  • 1912 – Un incendie s’est déclaré dans l’atelier Werner. Le bâtiment n’en a pas souffert.
  • 1912 – Jules Weygandt demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons – Rapport comparable à celui de 1908
  • Commission des logements militaires. Rapport en 5 points
    Anne Rausser et Christine Rausser qui hébergeaient des enfants d’après une ancienne liste n’habitent plus dans la maison.
  • 1920 – Charles Nigris demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons au Télégraphe – Rapport comparable à celui de 1908
  • 1925 – Emile Meinzer (hôtel du Raisin à Haguenau) demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons – Rapport comparable à celui de 1908
  • 1933 – La locataire Kempf (premier étage) est incommodée par des fumées. La Police du Bâtiment constate qu’un clapet empêche parfois la fumée de passer. L’entrepreneur de fumisterie Henri Brunck (3, rue des Bateliers) remet la cheminée en état.
    1933 – Le locataire Lucien Seithenacker se plaint que son logement est humide. La Police du Bâtiment ne constate rien, le locataire souhaite obtenir un logement municipal
  • 1934 – La Police du Bâtiment constate que Jacques Boch a suspendu sans autorisation une antenne de T.S.F. entre les 59 et 34, rue de Zurich – Demande croquis – Accord
  • 1933 – Le maire notifie le peintre Charles Werner de faire ravaler la façade – Travaux terminés, août 1934.
  • 1934 – La veuve Werner dépose une demande de permis de construire. Le bâtiment se trouve entre 1,50 et 2,00 mètres en arrière de l’alignement légal. La propriétaire devrait acquérir 26 mètres carrés de la Ville. Elle s’y engage mais n’y élèvera aucune construction dans un délai prévisible. – Plan d’alignement – Façades (ancien et nouvel état)
    La veuve Werner charge l’entreprise Ehstand et Bass (2, allée Zæpffel à la Robertsau) de transformer le rez-de-chaussée en façade
    Les travaux sont commencés, juillet 1934. Le gros œuvre est terminé, août 1934. Les travaux sont terminés, le certificat de réception finale délivré, septembre 1934
  • 1935 – Le tapissier décorateur Othon Rahms (demeurant 17, rue des Bateliers) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
  • 1934 – La Police du Bâtiment constate qu’Eugénie Nuss (brasserie au Télégraphe) a fait poser sans autorisation une antenne de T.S.F. entre les numéros 59 et 36.
  • 1941 – C. Kuhn (agencement de magasins, 8-10, rue Neuve à Schiltigheim) demande au nom de la brasserie Fischer l’autorisation de poser l’inscription Fischer Bier, Gasthaus zum Telegraf Fischer Bier (Bière du Pêcheur, Restaurant au Télégraphe) – Photographie, maquette
  • 1947 – L’ancien cabaretier E. Zehnter informe la Police du Bâtiment qu’il cesse son activité
    1947 – Charles Braun (demeurant 19, quai des Bateliers) demande l’autorisation de continuer à exploiter le restaurant au Télégraphe – Rapport comparable à celui de 1908. Travaux à faire
  • 1948 – La Nouvelle Entreprise de Constructions économiques informe la Police du Bâtiment qu’elle supprime son enseigne – L’enseigne est retirée janvier 1949
  • 1957 – La Police du Bâtiment constate que la Brasserie du Pêcheur (Schiltigheim) a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Autorisation de poser une enseigne lumineuse double
  • 1958 – Virginie Grohens demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons au Télégraphe – Le débit comprend une salle de restaurant (52 m²), une petite salle (36 m²), une cuisine et des toilettes. La Police du Bâtiment ne voit pas d’objection – Le préfet autorise Virginie Grohens à exploiter le débit de boissons.
  • 1961 – Virginie Grohens demande l’autorisation de poser une bâche sur la terrasse pendant la foire de juillet
  • 1963 – La société Saint-Raphaël (8, rue du Parc-Royal, Paris III) demande l’autorisation de poser une enseigne murale – Autorisation
  • 1964 – Rapport d’incendie, feu de cuisine dû à une accumulation de suie
  • 1965 – Le préfet modifie son arrêté par lequel Virginie Grohens, divorcée Gœringer, a été autorisée en 1959 à exploiter le débit de boissons, après son remariage en 1960 avec Emile Schachery
  • 1969 – La brasserie du Pêcheur est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1971 – Marie-Jeanne Lisch née Schamberger demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons au Télégraphe – Le débit comprend une salle de restaurant (60 m²), une petite salle (45 m²), une cuisine et des toilettes. La Police du Bâtiment ne voit pas d’objection – Le préfet autorise Marie-Jeanne Lisch (demeurant 11, rue Peirotes) à exploiter le débit de boissons au Télégraphe
  • 1973 – Locataire d’un petit bâtiment arrière, Elise Voigt craint que les planchers ne soient pas stables. La Police du Bâtiment estime qu’il n’y a aucun danger.
  • 1977 – La société Publi’Est demande l’autorisation de remplacer les enseignes Pêcheur et Fischer, le propriétaire restant la Brasserie du Pêcheur. – Photographie – Autorisation
  • 1985 – Le notaire Francis Hofmann (Wasselonne) demande des renseignements d’urbanisme (section 34, parcelles 3 et 61 / 49)
    1985 – Les notaires associés Geny et Jacques Garnier (rue de la Nuée-Bleue à Strasbourg) demandent des renseignements d’urbanisme – Plan cadastral de situation

Relevé d’actes

La maison est inscrite en 1587 au nom du constructeur de bateaux André Schnell au Livre des communaux.
Fils du péager André Schnell, André Schnell épouse en 1570 Marguerite, fille du tisserand Conrad Hoffmann

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 80, n° XII)
1570. Eb. aus Zuruffen Dncâ prima post Trinitatis. Andreas Schnell Schiff zimmermann Andresen Schellen des Zolners nachgelaßener Sohn, Margaretha Conrat Hoffmans des webers nachgelaßene tochter, M Balthasar Lowen des würts und weißbecken Zum wolff Stiefftochter. Celebrarunt nuptias die martis ante Joannis die 20 Junÿ apd. Lucernam (i 84)

André Schnell hypothèque la maison au profit du juriste Jacques Trausch. En marge, quittance accordée à l’aubergiste Christophe Guckenmus en 1616

1604 (vt spâ [xxiij tag Martÿ), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 129-v
(Inchoatum in Proth. fol: 127.) Erschienen Andreß Schnell burger Zu Straßburg
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit des Ehrenvest. Herrn Jacob Trausch. der Recht. Licentiaten Alhie – schuldig sige 100 pfund pfenning Straßburger
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hoff hauß hoffestatt vnd Gartt. mit Allen Ihren gebeu geleg. In d. vorstatt Straßburg Inn Crautenauw bey der vnd.en gedecktt. Brucken, einseit neben Melchior dachert dem gartner, And.seit neben Jörg N. dem Metziger, hind. vff Martin Härlins gartten stoßend, dauon gnd iij lb d gelts Ablösig mit Lxxx goldguld. der Ruwern Closter, Item v lb d gelts Abloßig mit j C lb d hannß Ludwig Schnell, Mehr ij lb x ß d gelts Lösig mit L lb d der Zunfft zum Enckern
[in margine :] Erschienen h: Daniel Reißhoff. burger Zu Straßburg Inn nammen herrn Ambrosy Trauschen hatt in gegensein hannß Jacob Kauffman, des leinenwebers Als vogt Andres Schnellers seligen erben, deßgleichen In gegenwartigkeit herrn Christoff Guckenmaß gasthalters Zum Gerttenfisch Als Jetzigem besitzer dißes vnderpfands (…) Actum vij Martÿ Anno 1616

Le péager au pont du Rhin André Schnell hypothèque la maison au profit de Bernard Neff, aubergiste à la Fleur

1608 (29. Februarÿ), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 77-v
(Inchoat. fo: 85.) Erschienen h. Andreas Schnell Zoller ane d. Rheÿnbrucken alhie
hatt in gegensein H Bernhard Nefen Gasthalters Zur Blumen – Schuldig Zu sein 255 guldin Zu 5 batzen für Schiff und geschirr den 21. Martÿ 1603. Schuldig worden Vnd er Vonn Hannß Gruecken seines dochtermans wegen Zuleÿden Über sich genommen
dafür Vnderpfand sein soll hauß, hoffestatt höfflin Und Garten mit deren gebeüwen & gelegen Inn Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw die einseÿt N. B. dem gartner and.sit Georg (-) den Metziger stoßend hinden vff hannß meister Herlins garten,davon gond 3 pfund pfenning gelts ablösig mit 60 pfund pfenning den Closterfrawen Zu den Reweren, Item ij Lit x lb loßig mit 50 pfund pfenning der Zunfftstuben Zum Encker, Mehr 8 pfund pfenning ablösig mit 100 pfund pfenning Jacob Trauschen d. Rechten Licentiat

Sara Schnell veuve du pasteur Christophe Martin à Asswiller passe un accord avec le péager André Schnell au sujet de 60 florins garantis sur la maison

1609 (vt spâ [18. Febru::]), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 95-v
(Inchoat. fo: 87.) Erschienen Fraw Sara Schnellin H. Christoffori Martini, Pfarrers Zu Aßweiler hinderlaßene wittwe, mit beÿstandt des Ehrwürdigen herrn Nicolai Flori, Pfarrers Zu Schiltigkheim, Ihres bißher geschwornen Vogts, vnd Christoffel Martinus burg. Zu Schiltigkheim Ihres Sohns, an Eim
So dann herr And.s Schnellen, Zollers An der Reinprucken alhie Am andern theil
Haben beide Parthen durch vnd.handlung der Ehrenhafften H Johanns Jacobs Kuglers vnd herr Augustin Trensen des Jüngern, beder des großen Rhats beÿsitzere (…) das kein Partheÿ gegen der Andern gantz vnd gar kein Ansprach oder forderung haben, So d. allerdings hiemit v.glichen sein soll, Vßgenommen die 3 fl. gelts, welche bemelter her And. Schnell v.zinßt ablößig mit 60 guldin St. wer. die bemelte Fr. Sara wÿdemsweiß zu nießen hat Von Vff Vnd Abe Hauß, hoffstatt vnd gärttlin, mit deren gebewen geleg. hind. d. St. St. In Crutenaw bei der vnd.sten gedeckten brucken, einsit neben Gabriel Kamen dem metzig. Andersit ein Eck, stost hinden vf beck hansen der den gartner, Dauon gendt 3 lb d ablößig mit 60 lb dem Closter Zu Ruwerin, Item 5 fl gelts ablosig mit 100 fl. der Zunfft Zum Encker, Item Zehen gld. gelts lösig mit 200 fl. H Jacob Truschenn, Item herrn Bernhardt Neffen seind sie noch v.hafft für 150 fl. Zu 15. batz. Zu bezahlen Sunst eÿgen

Les Préposés au bâtiment ordonnent à André Schnell de quitter la pièce dont il jouit au corps de garde pour laisser la place aux soldats. André Schnell présente des objections
1610, Préposés au bâtiment (VII 1325)
Andres Schnellen Zoller vff der Rheinbruck. 167.
(f° 167-v) Andres Schnellen Zoller vff der Rheinbruck Ist bevohlen seine Camer neben der Wachtstub vß zu raumen, damit die soldaten desto mehr platz haben mögen. Antwortet, Man hab 30 soldaten dauß, were mit 10 genuglich vber einand. nachts wie die scheuler, tags thun sie nichts wed. balg. doch will er sich mit dem spöter vergmeich.

Autres références dans les registres des Quinze
1611, Protocole des Quinze (2 R 39) Andres Schnell [ordinarius Zoller vff der Rheinbrucken]. 49. 57. 61.
1612, Protocole des Quinze (2 R 40) Andres Schnell. 159. 162. [Zoller vff der Rheinbruck]

Ursule Schnell veuve du constructeur de bateaux Jean Gerhard et les enfants issus de Susanne Schnell et du batelier Simon Jean Krieck vendent la maison à Christophe Guckenmus, aubergiste à la Carpe bridée.

1617 (ut spâ [xx. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 38-v
(Inchoat. in Proth. fol: 73.) Erschienen Ursula Schnellin, wÿland hannß Gerhardt des schiff zimmermanns selig witwe mit beÿstand & hannß Jacob Khauffmann des leinen Webers burgers Zu Straßburg Ihres vetters* disse für sich selbst, So dann Simon Krieck der schiffmann burg. Zu Straßburg Als vogt andreß, Ursula vnd Simon hannß Krieck des schiffmanns von wÿland Susanna Schnellin (.als sie lepte.) erziehlte Khinder, vogtlich wÿß (verkaufft)
h. Christoff Guckumuß gasthalters Zum gerten fisch burgern Zu Straßburg So Auch Zugeg.
hauß, hoff, hoffestatt vnd Gärttell, mit Allen And. Ihren geb. & geleg. Inn d. Voorstatt Straßburg inn Crutenauw, beÿ d. Vndern gedeckt. Bruck. einseit n. Melchior Dachert dem gartner* And. seit neben Martin Heinrich schiffmann hind. vff Lorentz Volperth dem Altpostreÿtt. vnd vff des Kheüffers Gartten, Dauon gnd iij lb Albößig mit Lxxx goldtgl. alhier mehr nit als für 60. lb hptgutt iht. vff Mathiæ Apostolj fallend dem closter zu den Reuwern, Mehr ij lb x ß hld Loß. mit L lb vff Adolphi der Zunfft Zu dem Enckern Sunst ledig vnd eÿg. Vnd Aller Recht & alß & Vnd Ist dißer Khauff Zugang. vnd bescheh. vber diße beschwerd für vnd vmb ij C xxx lb
(vide infra fol: 175)

Fils de l’aubergiste Jacques Guckenmus de Steinbach en Bavière, Christophe Guckenmus épouse en novembre 1594 Odile, veuve de Thiébaut Reiger, aubergiste à la Vierge
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 106, n° 45)
1594. Christoffel guckenmuß Jacob guckenmuß des wirths Zu Steinbach in beirenn Son vnd Ottilia Dieboldt Reig des wirts selig. Zur Jungfrawen nachgelaßene witwe Confirmatiôe facta 4. Nouemb. (i 112)

Originaire de Steinbach, l’aubergiste à la Vierge Christophe Guckenmus achète le droit de bourgeoisie en novembre 1594
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 720
Christoff Guckemuoß Vonn Steinbach Jetziger würdt zur Junckfrauwen, empfangt daß burgerrecht vonn Othilienn W Thieboldt Regern deß gewesenen würts Zun doselbstenn s. hinder Laßenerwittwen vnndt will Zun Freÿburgn. dienen Actum denn 21.ten Novemb. 94.

Fils du tonnelier Blaise Reiger d’Ernolsheim, Thiébaut Reiger épouse en 1588 Odile Gœpp, fille de Mathias Gœppe de « Klermed »
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 6-v, n° 26)
1588. den 9. Septemb. sind Ehelich eingesegnet worden Theobald Reiger, Blesy Reigen des Kieffers Sohn von Ernoltzheim und Jungf. Otilia Göppe Matthias Goppe Schumachers tochter von Klermeds* (i 9)

L’aubergiste à la Vierge Thiébaut Reiger achète le droit de bourgeoisie un mois après son mariage
1588, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p.
Dieboldt Reÿer von Ernoltzheim der Würt Zur Junckgrawen mit Beÿstandt Carle Spielmans des würths Zur Lungen Hat das Burgerrecht erkauft vnd will Zum Freÿburger dienen Act. den 3.ten Octobris Ano 88.

Christophe Guckenmus se remarie en 1620 avec Dorothée, fille du sénateur Frédéric Scholl
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 123-v, n° 20)
1620. den 4. Decembris sind ehelich eingesegnet worden Herr Christoph Guggenmoß, geweßener Gastgeber Zum Gertenfisch, alhie, vnnd Jungfrau Dorothea Schollin, herr Friderich Schollen deß Großen Rhats beÿsitzers, alhie eheliche dochter (i 134)

Christophe Guckenmus vend quelques mois plus tard la maison au boucher Josse Zipff et à sa femme Walburge Christ.

1617 (ut spâ [vij. Aprilis]), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 175
(Inchoat. in Proth. fol: 172. – postea pthlm fol. 578.) Erschien herr Christoph Guckumuß gasthalter Zum Gärttenfisch burger Zu Straßburg (verkaufft)
Jost Zipffen dem Metziger burgern Zu Straßburg vnd Walpurg Christen seiner ehelichen haußfrauwen
hoff, hauß, hoffestatt vnd Gärttels mit Allen Ihren gebeuwen gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ der vndern gedeckten brucken so ein eckhauß Ane einem schlupff einseit neben Melchior Dachert dem garttner, anderseit neben Martin Heinrich dem schiffmann vnd hinden vff des Verkäuffers gartten stoßend, dauon gnd iij lb d gelts ablößig mit Lxxx goldgulden Alhier mehr nit Als für 60 lb hauptgutt angeschlagen vff Mathiæ Apostoli fallend dem Closter Zu den Reuern, Mehr ij lb x ß d geltd widerkeuffig mit L lb d vff Adolphi der Zunfft Zu den Enckern, So dann j lb x ß d gelts Inn haupgutt mit xxx lb d Abzulößen vff (-) Saræ Schellin wÿland Christoff Martini geweßenen Pfarrers Zu Ahßweÿler seeligen Witwen sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Kauff vber Jetz bestimpte beschwerden so die Keüffere vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 190 pfund

Originaire de Lauterbach en juridiction de Fulda, Josse Zipff épouse en 1599 Walburge, fille du boucher à l’échaudoir Fabien Christ
Mariage, cathédrale (luth. f° 60) 1599. Sonntag den 19. Iulii den 8. Trinit. Jost Zipff der metziger von Lotterbach im stifft fulda, Walpurg fabian christ des Breuers im Brühaus dochter (i 33)

Josse Zipff devient bourgeois trois mois après son mariage
1599, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 777
Jost Zipff, v. Lauterbach d. Metzger empfangt d. Burg: von Waltpurg, Fabian Christen des metzgers dochter, hatt sein v.mögen vff 100 fl. angeben, vnd will Zun Metzgern diehnen. Act. den 31. Octon : 99

Valburge Christ demande au nom de son mari goutteux Josse Zipff le droit d’ouvrir une auberge dans la maison qu’ils viennent d’acheter à la Krutenau près du pont au Brochet. Les préposés refusent, ils estiment qu’il y a déjà trop de débitants de vin qui ne règlent pas l’accise et qu’il faudrait réduire le nombre de débits plutôt que de l’augmenter.
1619, Protocole des Quinze (2 R 47)
(f° 102-v) Sambstag den 5. Junÿ – Waldpurg Christin Jost Zipffen haußfraw vmb Weinschanck in Crautenaw
Waldpurg Christin, Jost Zipffen des Metzigers haußfraw erscheint, Vnd laßt p. Lt. Bittlingern Vortragen, Waß massen Ir haußwürth nun inn die Vier Jahr, mit dem Podagram allso behafftet, das er nicht mit seinem erlernten Metziger handwerck sich nicht ernehren könne. Wann sie dann mit fünff Kinderen gesegnet, vnd Iro ohnkrancken Mann, ohn verdienst, ferner außzuspringen, aber sehr gute gelegenheit, in einer erkaufften behaußung beÿ den gedeckten brucken in Crautenaw den Weinschanck anzurichten, vnd damit sich vnnd die Irigen Zuerhalten, auch die mittel, das Ungelt Zuversichern. So were Ir demüetige bitt, Ihrem haußwürth vnd Iro gnedig Zubewilligen, das sie den Weinschanck an bemelten ort anfangen vnd fort treüben möge.
Erkant, dieweÿl mein Herren vnd gemeine Statt von den Weinschencken vmb vil betragen werden, in dem sie das Ungeld nicht getrewlich abrichten, vnd allso wohl besser were, das man noch ettliche abschaffen könte, dann newe annehmen, So soll man Supplicantin Ir begehren ableinen.

Autres références dans les registres des Quinze. Josse Zipff avait déjà demandé à exploiter le débit de vins à la Couronne
1616, Protocole des Quinze (2 R 44) Jost Zipff. 251. [umb weinschanck Zur Cronen]
1617, Protocole des Quinze (2 R 45) Jost Zipff. 41. [umb weinschanck Zur Cronen]
1634, Protocole des Quinze (2 R 60) Jost Zipff. 164. [Vieh lebendig verkauffen]

Walburge veuve de Josse Zipff meurt en délaissant six enfants. L’inventaire de ses biens est dressé en 1632 dans sa maison près de l’auberge au Cheval à la Krutenau. L’actif de la succession s’élève à 183 livres, le passif à 77 livres.

1632 (19.4.), Not. Oesinger (David, 37 Not 2) n° 12
Inventarium und Beschreibung Aller und Jeder ligender vnd vahrender haab, Nahrung und Güettere, So weÿlandt die Ehren und Viel Tugendsamen Fraw Walpurg, auch weÿlandt Mr Jost Zipffen des Metzgers selig hinderlaßene witwe nach Ihren Tödtlichen hienscheid. verlaßen, vnd vff erfordern, ansuch. vnd begehren der Erbaren vnd bescheidenen Jost Zipffen des Metzgers der verstorbenen eltisten Sohns, vnd Geörg Salomon des Metzgers und burgers alhie alß geschwornen vogts Jacobs, Salome, hans, heinrichs vndt Susannæ aller vier geschwisterden und obgedachter verstorbenen frawen selig mit erwehnten Jost Zipffen selig ehelich erzeügter Khinder, vnd gesambter ab intestato fünff hinderlaßener Erben (…) Actum Donnerstags den 19. Aprilis A° 1632.
Inn Einer Behaußung Alhie In dißer Statt Straßburg In der Vorstatt In Crauttenaw beÿ der herrberg Zum Gaul gelegen, So in dieße Erbschafft gehörig und hernach specificirt würdt Ist befund. word. wie volgt

In Einer Behaußung Alhie In der Statt Straßburg In der Vorstatt In Cruttenaw beÿ der herrberg Zum Gaul gelegen, So In diße Erbschafft gehörig, vnd hernach specificirt würdt, Ist befund. word. wie volgt.
In der Cammer A, Vor dießer Cammer, Vnden im haußöhren, In der Vndern Stuben, Im Keller
Eÿgenthum Ahne Einer Behaußung. Item hauß, hoff, hoffstatt sambt i. höfflin vnd Gartlin gelegen in der Statt Straßburg oben der deckten bruckh in Krauttenaw Einseit neben H Johann Balthasar Spießen des huetstaffirer, Andersit Jacob Steffan den Schiffman, hinden vff H Christoph Cucumus den Gaulwürth, Darvon geht 3 lb d Jährlich Zinß dem Closter Zun den Rewern Jahrs vff Matthiæ Apostoli fallendt abloßig mit 80 goldtgld. hieh. mehr nit als mit 60 lb d capital angeschlagen, Mehr 2 lb 10 ß d gelts wid.käuffih mit 50. lb d vff Adolphi der Zunfft Zur Enckhern Vndt ist diße Behaußung vber die darauff stehende beschwerdten angeschlagen worden für vndt vmb 140. lb. Darüber besagt ein Pergamin Kauffbrieff außweißend wie Christoph Cucumus Gasthalter Zum Gertenfisch Jost Zipffen den Eltern vnd Wallpurg Christin beeden Ehegemecht seelig, obbeschriebene behaußung Zukauffen geben deßen dato den 7.tag Aprilis A° 1617.
Sa. Haußraths 37, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 140, schulden 6, Summa summarum 183 – Schulden 77 lb, Nach deren Abzug 106 lb

Les héritiers vendent la maison au jardinier Jean Ersam le 27 août 1632 (le registre des minutes manque pour cette année, voir la référence à l’acte de 1647 ci-dessous).
Jean Ersam hypothèque au profit d’Anne Hirt, femme du jardinier Georges Reuter, la maison grevée de plusieurs hypothèques, notamment 550 florins pour restant de prix de la maison achetée du boucher Josse Zipff

1633 (ut spâ [9. Decembris]), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 546
Erschienen hanß Ersams, gartner in Crautenaw
hatt in gegensein Annæ Hürtin Georg Reüters deß gartenmanns alhie ehelicher haußfrawen bekannt – schuldig seÿ 40 pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen andern ihren gebäwen & alhie in Crautenaw beÿ dem Webersteeg neben Jacob Steffan dem Schiffmann neben hanß Balthasar Spießen, hind. vf Christoph Kuckumuß den Würth Zum Gaul stoßend gelegen, so zuuor v.hafftet vmb 120. fl. dem Closter Zun Räwern, J. vmb 100. fl. der Zunfft stuben Zum Encker, So dann vmb 550. fl. Rest Am Kauffschilling Jost Zipfen deß Metzigers see. Erben

Fils du journalier Daniel Ersam, Jean Ersam épouse en 1614 Anne Eisenmann, originaire de Münster près de Cannstadt en Wurtemberg
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 3, n° 2)
1614. Dominca I. Epiph. 9. Janu: Hanß Ersam der gartteman, Daniel Ersams des taglöners sohn, Anna, Hanß Eisemans weiland burgers Zu Münster canstedter ampts Im Wirteberg. land nachgelaßene tochter. Eingesegnet Montag den 17 Jan. Hora 10 (i 5)

Le jardinier Jean Ersam hypothèque la maison et un jardin devant la Porte Neuve au profit de Jonas Lutz, ancien chef de pont.

1636 (ut spâ [2. febr:]), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 97-v
Erschienen hanß Ersam der gartenmann alhie
hatt in gegensein Jonæ Lutzen alß Bruckmeisters alhie – schuldig seÿ L. lb
dafür Vnderpfand sein soll Ein gart Vorm Newen thor im Kälbelsbronnen, neben hanß Erhardt und hanß Keller beed. gartenmänner & Georg Botzenhard. vnd. gegen dem Rhein Zu, vfs Granwördtlin, ob. vfs Allmend, so noch v.hafftet umb 75. lb d. St., It. vmb 50. fl. Clauß Roser dem fischer, Mehr vmb 100. fl. Andreß Heinrichen, So dann vmb 325. fl. hanß Voltzen Spital gartenman sonst eÿgen
So dann hauß und hoffstat alhie in Crautenaw beÿ der Alten gedeckhten Prucken neben hanß Balthasar Spieß & Jacob Rüebel dem fischer, hind. vff Christoff Kuckemuß stoßend gelegen, So zuuor v.hafftet vmb 100. fl. d. Zunfft zum Encker, It umb 120. fl. dem Closter Zun Räwern, Mehr umb 230. fl. Jost Zipfen dem Metzger rest am Kauffschilling

Le jardinier Jean Ersam hypothèque la maison au profit du batelier André Heinrich. En marge, quittance remise en 1639 à Léonard Klugshertz avec lequel la veuve s’est remariée

1637 (6. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 225
Erschienen Hannß Ersam der Gartenmann burger alhie
hatt in gegensein Andreß Heinrichen deß Schiffmanns auch burgers Zu Str. – schuldig seÿe XXX. lb Str.
dafür Vnderpfand sein soll hauß und Hoffstatt mit allen Andern ihren gebäwen & alhie in Crautenaw beÿ der Vnderst gedeckt gewesenen Brucken, neben hanß Balthasar Spießen & hanß Rüebel den Fischer, hinden vff besagten Spiessen, So zuuor v.hafft vmb 100. fl. E. E. Zunfft Zum Encker, Item vmb 120. fl. dem Closter Zun Räwern, So dann vmb 90 lb Jost Zipffen dem Metzger
[in margine :] Erschienen Andres Heinrich der Creditor, hatt in gegensein deß Debitoris see. Nachkommen und deßen witib Jetzig. Eheuogt Lienhard Klugshertz. Gartenmanns (…) Act. den 30. Aprilis Anno 1639.

Anne, veuve de Jean Ersam, se remarie en 1637 avec Léonard Klugshertz, jardinier originaire de Gerstheim : contrat de mariage, célébration
1637 (ut supra [18. Novemb:]), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 850-v
(Eheberedung) Erschienen Lienhard Klugshertz gartner von Gerstheim anietzo in Crautenaw, alß hochzeiter, mit beÿstand Friderich Räuchlen deß schuhmachers, auch burgers alhie An einem,
So dann anna weÿ. Hanß Ersam deß gartenmans see. witib, Alß hochzeiterin, mit beÿstand hanß Ersams auch gartenmanns ihres sohns, und Lorentz Scherers Auch gartenmanns ihrer Jüng. Kindern vogts, Am 2. theil

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 110)
1637. Dominica XXIV Leonhardt Klugshertz der Garttner weÿland Jacob Klugshertz burgers zu Gersten nachgelaßener ehelicher Sohn, vnd Anna, weÿl. Hannß Ersambs deß Gartenmanns vndt Burgers Alhier nachgelaßene eheliche witib, Cop. Zinstags zue St. Wilhelm (i 299)

Léonard Klugshertz devient bourgeois en décembre 1637
1637, 4° Livre de bourgeoisie p. 171
Lienhardt Klugshertz der Baurßmann Von Gersten Empfangt daß Burgerrecht Von Seiner Haußfrawen Anna weÿl. Hannß Ehrsambs deß gartners alhie wittib vmb 8 gold. fl. wirt Zu gartnern in Crautenaw dienen Jur den 14 Xbris 1637.

Accord passé par Anne Isenmann, veuve de Jean Ersam et femme de Léonard Klugshertz et le tuteur de ses deux enfants issus de son premier mariage
1639 (28. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 95
Erschienen Anna Isenmännin, Weÿl. Hannß Ersambs deß gewesenen Gartenmanns burgers Zu Str. hinderlaßene witib mit beÿstand ihres ietzigen Eheuogts Lienhard Klugshertz. auch gartenmanns alhie, So dann Lorentz Scherer der Gartenmann alß geordneter Vogt sein Ersambs see. zweÿer Kind.
haben in gegenwärtigkeit hanß Voltzen auch gartenmanns und burgers Zu St.
Demnach Er Voltz gedachtem hanß Ersamben den Ersten Februarÿ Anno 636 (vide in Regist. 1636. fol: 92) laut der ebenmäßig in der Contractstuben vffgerichteten Verschreibung, Zwar Einen garten vff Anderthalb Acker groß vorm Newenthor im Kälbelsbronnen einseit neben hannß Erharden vndt hanß Keller beeden Gartenmännern, and.seit neben Georg Botzenharden gelegen vber die darauff angegebene beschwerden für und vmb 425. fl. à 15. bz. Verkaufft, An welchem Kauffschilling Er Ersamb auch albereit 150. fl. abgericht und bezahlt, dieweilen aber desselben hinderlaßenen wittib und Kind. die vberige Zihl Zuhalten vnd gesetzter maßen abzurichten mehr alß beschwerlich insonderheit aber beÿ ietziger betrüebten Zeit fallen wölle, daß Sie Ersambische witib und deren Kind. Vögt, vmb ihres bessern nutz. & willen an stat deß noch restirenden Kauffschillings der 275 fl. ermelten Voltzen solchen garten wiederumb, mit sambt den angegebenen beschwerden, vffrecht & in solutum und Ane bezahlung cedirt und Vnuerscheidenlich Vbergeben
(…) an den erlegten 150. fl. nach abzug der 60. fl. so ihme weil der Garten in mercklichen Abgang gerathen nachgelaßen werden

Le receveur Conrad Meyer acquiert la maison sans doute par adjudication judiciaire
Conrad Meyer acquiert un verger et une grange où se trouve un pressoir des enfants du marchand Georges Schmidt : premier contrat en juin 1642, remplacé par un nouveau en septembre suivant

1642 (8. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 477
([biffé] Prot. fol. 152 – Anderwerts und von newen, vff beeder Parten begehren, verschrieben word. d. 16. Septembris a° 1642.) Erschienen H Johann Stroheckher d. handelßmann alß Vogt Weÿl. Georg Schmidts deß handelßmanns sel: hind.laßener treÿer Kinder und Erben mit nahmen, hannß Georg, Maria, und hannß Michaelß (…) verkaufft &
H Conrad Meÿern Stiffts Schaffnern Zu St. Stephan so Zugeg.
Einen baum Garten sampt einer Scheuren und trott darinn alhie in der Krautenaw neben weÿl. H Hannß Balthasar Spieß. seel. Erben zum theil, theilß aber neben hannß Schweitzers deß Gartners Scheuren, ein und anderseit neben Weÿl. Christoph Guckhenmueß. deß Würthß Zum Gaul nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, theilß, zum theil Paul Hoschen deß Schiffmanns Nachkommen, Lienhard Klugßhertzen Gartenmann und weÿl. H Martin Andreß. groß. Rhats Verwanthen seel. Erben, oben vff besagter Guckhenmußische Erb. holtzschopff, und. vff ein Allmend gäßlin stoßend gelegen, – umb 212 Pfund

1642 (16. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 677-v
(Prot. fol. 222) Erschienen H Johann Stroheckher der handelßmann alß Vogt Weÿl. hannß Georg Schmidts deß handelßmanns mit Weÿl. Agatha Spießin ehelich erziehlter und hinderlaßener treÿer Kinder und Erben mit nahmen hannß Georg, Maria und hannß Michaelß, mit beÿstand Elisabetha Spießin ihr der Vogts Kind. Muter Schwester und Philippß Damian Hatten deß huetstaffierers ihres Ehevogts
hatt in gegensein H Conradts Meÿers Stiffts Schaffnern der Apteÿ St : Stephan (…) vff den 6. Junÿ nechsthien von E. E. groß. Rhat erhalt. Decretum alienandi eines vffrechten & am 8. eusdm. hernach albereit verkauft
Einen Baum Garten, sampt einer Scheuren und Trott darinn alhie in der Krautenaw, neben weÿl. hannß Balthasar Spieß. seel. Erben zum theil, theilß aber neben hannß Schweitzers deß Gartners Scheuren, ein: und anderseit neben weÿl. Christoph Guckhenmuß deß Gaul Würthß seel. Erben Zum theil, theilß hannß Scheren deß Schiffmanns sel. Wittib und Erben, theilß Lienhard Klugßhertzen dem Gartenmann, Zum theil aber neben weÿl. H. Martin Andreß. groß. Rhats Verwanthen sel. Erben Scheur, oben vff besagter Guckenmußisch. Erben holtz Schopff und. vff ein allmendgäßlein, stoßend gelegen, so gantz freÿ ledig und eigen, und dabeÿ resp. am 1. augusti iüngsthin Zwischen Ihro Elisabetha Spießin und dem Käuffern in gegenwart H Rudolph Würtz. und H Johann Wolff Heßlern beed. alß vß E. E. Kleinen Rhats mittel hierzu insonderheit erbettener Herr, wie auch H Pauli Friderici ehrenged. Rhats Referendarÿ und Actuarÿ und heut dato verglich. word., daß Er der Käuffer die thür und durchgang in und auß dem obgeschriebenen Gart. durch Ihro Elisabethæ Behaußung gehendt, vff seinen Costen Zu mauren und nimmermehro vffbrechen, also vff solche Gelegenheit verzug thun, hiengegen aber Sie Spießin ihren Gang oder Truckeneÿ der seit deß Gartens, in der verkauffend. Vogts Kind. Cost. zumauren gantz und gar ohne einig. vorbehaltend fenster od. liecht, und gleicher gestalt nimmer öffnen, noch einig. fenster darein machen solle, maß. sie dann vff solche ihre Gerechtigkeit, iedoch geg. hiebeÿ würcklich beschehener erstattung 3. lib. Verzug gethan, und beede Part. solches Zu thun gelobt haben, doch möge Sie, daß ienige fenster so under erstberührtem Gang von alters und bißhero geweß. und 1. Schuh 9. Zoll in die Vierung breit hoch ist, Nicht wenig. die fünff Keller fenster deren iedes etliche 2. schuh 7. Zoll, etliche aber 3 schuh 8. Zoll ist, behalt. selbige aber vergettern und in keinen Weg Vergrößern, aller ehrbahrlich trewlich und ohne alle gefährde – geschehen umb 212. Pfund

Conrad Meyer s’accorde sur les droits du verger ci-dessus que Christophe Guckenmus a vendu en 1636 à Jean Balthasar Spiess et qui est revenu à ses petits-enfants.

1645 (18. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 461-v
Erschienen Weÿl. H Christoph Guckhenmuß. geweßenen Würthß Zum Gaul und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel: nachgelaßene Erben mit nahmen H hannß Carl Baur der Goldarbeiter alß Ehevogt Frawen Margarethæ Guckhenmußin, wie auch hannß Jacob Scholl der Metzger alß Ober: und H. M. Johann Wagner der Notarius alß Vnder Vogt Johannis Dorotheæ und Salomeen, der Guckhenmußisch. Geschwisterdt.
haben in gegensein H Conrad Meÿers Stifft Schaffners Zu St. Stephan und Burgers alhie bekannt
dEmnach eingangß gemelder H Guckhenmuß, vermög der auch in der Cancelleÿ Contractstuben am 30. Xbris a° 1636. vffgerichteten Kauffverschreibung, nunmehr auch weÿl. H Hannß Balthasar Spießen dem huetstaffierern seel. Einen Baum Garten sampt dem Schopff in der Krautenaw einseit neben Ihme Spieß. selbsten und theilß neb. hannß Schweitzers deß Gartners Scheuren, anderseit neben Zum theil neben dem Verkäuffern selbst. vff Ein hundert schuh lang, Zum theil neb. Paul hoschen dem Schiffmann, hannß Ehrsam dem Gartenmann und hannß Kelterer, dem Biersiedern Zur Sonnen, oben vff deß Verkäuffers Holtzschoff, und. vff ein Allmend gäßlin stoßend gelegen, für gantz freÿ ledig und eig. verkaufft und zu Kauffen gegeben,
Folgendts H Johann Stroheckher der handelßmann alß geschworner Vogt weÿl. Agathæ Spießin mit auch Weÿl. H hannß Georg Schmid. dem handelßmann und Burgern Zu Straßburg beede nunmehr seel: ehelich erziehlter treÿer Kind. sein hannß Balthasar Spieß. Enckhel und Erben, in crafft der in berührter Contractstuben am 16. Sept: a° 1642. verfaßter Kauffverschreibung, eingangß benambstem H Meÿer, solchen Garten, gleich. gestalt, für gantz freÿ ledig und eig. Zwar verkaufft und Zu kauffen gegeben, Und sich aber befunden, daß solch. Garten, theilß Zu der Herberg Zum Gaul, Zum theil Zu andern benachbahrten alß hannß Ehrsambß etwann ietzo Lienhardts Klugshertzen hauß, und weÿl. H Meister Andreß deß Hagemeisters Scheür gehörig geweßen. und mit und beneben demselben dem Barfüßer Closter, der Zunfft Zum Enckher,dem Stifft St. Marx, dem Closter Zum Rewern, der Fabric deß Münsters, dem Closter Zu St. Margreth und der rothen Kirch. alhie noch verhafftet, dannenhero alle treÿ Parten mit einand. mit einand. der Wehrhafft halben für EE Kleinen Rhats Widerwertigkeit gerathen und daßelbst. der gestalt entschieden word. seÿen,
daß der Spießischen Enckhel Vogt Ihme H Meÿer, seinen erkauften Garten von denen geclagten Beschwärdten freÿ mach. und ledig gewähren, sie die Guckhenmußische Erben aber die bemeldte vogts Kind. deßweg. releviren, schadloß halten und besagt. H. Meÿern annehmlich versichern sollen, alles mehrern Inhalts der Zinßt. d. 17. Xbr. a° 1644 daselbst ergangener Vrthel. Alß wolten sie der Guckhenmußischen Vier geschwisterdt eingangß genanndte Ehe:und Vögte: für bemeldte ihre Ehe: und Vogts Persohnen auch alle dero Erben und Nachkommen, Ihne H Conradt Meÿer, und alle seine Erb. und Nachkommen, geg. obgedacht Zunfft und Stiffter auch sonst iedermänniglich. wer der auch sein möge, so ahne besagten Garten vor der Zeit ehe derselbe ahne hannß Balthasar Spieß. verkaufft word. ist, einige Vnderpfandts: od. andere Ansprach gehabt, oder von solcher Zeit hero noch haben köndte od. möchte, und den Garten od. daß. Innhaber über kurtz od. lang anfecht. und besprech. Würden, Zu vertretten Zu entheben, schadloß Zu halten und also freÿer ohnasprühiger eigenthümlich Innhab: Besitz: und Genißung obbeschriebenen für gantz freü ledig und eigen verkaufft Gartens beständig zu gewehren,
auch deßweg. Zur Versicherung in specie hÿpothecirt haben, die Behaußung Zum Gaul gelegen in der Vordtatt Krautenaw Zwisch. denen Zweÿen gedeckhten Bruckh. sampt Zweÿen Nebens häußern einseit neben dem Eckh hauß Zum Brettstellen Eckh genant so hannß Adam d. Schiff zimmermann bewohnt, anderseit neben einer Allmendgaß so nicht durchgehet hind. vff obgemeldt. Meÿerisch. Gart. th. Und gehet von der behaußung Zum Gaul iährlich vff d. 3. Junÿ j: lib. lößig mit 20. lib. in Weÿl. H Nicolai Herbelÿ seel. Verlassenschafft, Item 2. lib. 10. ß vff Invocavit lößig mit 50. lib. dem Barfüßer Closter, It. 2. lib 10. ß vff Michaelis lößig mit 50. lib E.E. Zunfft der Enckher, It. 7. ß 8 d erschätzigs ewigß geldt vff Joh. Bapt: und Weÿhenachten der rothen Kirch., Item 13. ß 4 d vff Visitationis Mariæ Allmendgeldt vom Außstoß und Gang der Statt Straßburg, Vnd dann 10. ß vff Urbani und 7 ß 10 s vff Martini samptlich mit 17. lib 17 ß 6 d lößig dem Stifft St. Marx, So ist solche Behaußung auch noch verhafftet umb 300. H. Daniel Steinbockhen alt. groß. Rhats Verwanthen sonst ledig und eig.,
Mehr eine Behaußung mit allen deren Gebäwen in mehrbemeldter Krautenaw, neb.dem obbeschriebenen beÿd. Häußern ein: und anderseit neb. einer allmend gaß, hind. vff Weÿl. hannß Balthasar Spieß. seel: Erben stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Catharinæ 3. lib. 18 ß 9 d lößig mit 78. lib. 15 ß Nachtrag Weÿl. H Johann Ludwigß von der Straß. geweßenen oberschreibers deß Pfenningthurns nunmehr seel Wittib und Erben

Les héritiers de Josse Zipff vendent à Conrad Meyer leurs droits sur la maison cédée à Jean Ersam le 27 août 1632.

1647 (1. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 295-v
Erschienen Jost Zipff der Metzger, mit beÿstand Johann Philipß Weißen deß Scribenten, und Susanns Zipffin Sebastian Erhardts deß Metzgers eheliche haußfraw, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts und Michael Fuchßen deß Metzgers ihres noch ohnentledigtenen Vogts
haben in gegensein H Conrad Meÿers Stifft Schaffners Zu St Stephan bekannt
Wiewohlen von Weÿl. Jost Zipffen deß ältern geweßenen Metzgers seel. Erben nunmehr auch weÿl. hannß Ehrsam d. Gartenmann, vermög der am 27. Augusti a° 1632. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter Verschreibung, hauß, hoffstatt, höfflin, Gärtlin, mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw, nicht weit vom Würths hauß Zum Gaul, damahlß neben Jacob Stephan dem Schiffmann, ietzo hannß Lutzen dem Fischer, ein und anderseit damahlß neben hannß Balthasar Spießen dem huetstaffierer, ietzo weÿl. Georg Schmidts Kindern, sein Spießen Enckheln, hind. damahlß vff Christoph Gueckumuß. deß Würthß Zum Gaul, ietzo sein H Meÿers Garten, stoßend geleg. über 80. golt fl. dem Closter Zun Rewern, und 50. lib. der Zunfft zum Enckher alß drauff hafftende und durch Ihro Ehrsam übernohmene Capital Beschwärten – umb 215. lib erkaufft

Conrad Meyer vend la maison à Anne, femme de l’exempt Bernard Hoffmann. Il conserve le jardin à l’arrière mais se réserve le droit de puiser l’eau au puits des vendeurs. Une clôture sera érigée à frais communs. Les acquéreurs devront recueillir sur leur terrain les eaux provenant du chenal du pavillon réservé au vendeur.

1653 (15. april.), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 209
(Protocoll. fol. 35) Erschienen H Conrad Meÿer alter Stifftschaffner der Abteÿ St. Stephan alhier mit beÿstand deß Ehrenvest- Fürsichtig- hochweÿsen H Joachim Brackhenhoffers dißer Statt alten Ammaÿsters
hatt in gegensein Annæ, Bernhard Hoffmanns deß Gefreÿten alhie ehelicher haußfrauen, Burgerin Zu Straßburg, mit beÿstand erstermeldts ihres Ehe: wie auch hannß Strauben deß laisten schneiders ihres geschwornen Vogts
hauß, hoff, hoffstatt, Bronnen, Keller mit allen deren Gebäwen und Begriffen, alhie in der Krautenaw beÿ der herberg Zum Gaul, einseit Zum theil neben weÿl. Georg Schmid. deß handelßmanns seel. Erben, theilß neben Christoph Bleÿfußen deß Saÿlers Scheur, anderseit neben hannß Lutzen dem Fischers & cons. hind. vff des Verkäuffers Garten, stoßend gelegen, welche Behaußung verhafftet ist umb 80. Gold fl. so bißhero iährlich vff Mathiæ Apostol. mit 3. lib. verzinnßt word. seind, dem Clostern Zun Rewern, Mehr umb 50. lib. der Enckher Zunfft (übernohmen) – umb 165. lib
Dabeÿ insonderheit bedingt word: ist. Erstlich daß dem verkäuffer alß lang Er lebt, und den Garten hind. dißem hauß gelegen, behalt, den durchgang Zu der Käufferin bronnen nachbahrlich gegönnet, so bald Er aber entwed. diß. Garten anderwerts begeben, od. aber Zwar den Gart. behalt. aber diße welt gesegnen würde, alß dann dißer Vergönnung ihr Endschafft erraÿcht haben, und deß Verkäuffers Nachkomm., od. Erben, die auß dem Gart. in den hoff gerichtete thur hienweg Zu thun und den ort Zu verschließen schuldig sein solle, Fürs Ander so soll die dielenwand damit die ietzt verkauffte Behaußung, und deß Verkäuffers Gart. underschied. seind., in deß Verkäuffers und der Käufferin, auch dem beÿderseits Nachkommen gemeinen Costen für und für erhalten. Trittens soll die Käufferin und alle ihr Nachkommen für und für den tachtrauff von deß Verkäuffers Sommerhauß so fern deßelb. dach über den hoff hängt in der Käufferin hoff, wie Er bißhero gefallen ist, nunmehr alß eine Gerechtigkeit deß Verkäuffers Sommerhaußes und eine dienstbarkeit der Käufferin Behaußung Zu leid. verbund. sei,

Marthe, fille du soldat Bernard Hoffmann et de sa femme Anne (Knœrr), naît en 1626.
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 15, n° 52)
1626. 30. Martÿ. Bernhard Hoffman Soldat, Anna, K. Martha, hanß Jacob Reühart Leütenanth, J. Anna d. würthin Schwester Zum Schwarzen Adler, Martha hanß Breÿen haußbecken fr. ‘i 10)

L’acte ci-dessous de 1638 établit qu’Anne Knœrr femme de Bernard Hoffmann est veuve de Jean Dold. Il s’ensuit que le mariage suivant (Léonard Hoff) est celui de Bernard Hoffmann
Fils du journalier Jean Hoff de Morhange en Lorraine, Léonard Hoff épouse en 1625 Anne, veuve du potier Jean Dold.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 174)
1625. Dominica v. post Trinit. Lienhart Hoff d. Soldat Vnd. den Judenthor Hanß hoff deß tagners Zue Merchingen im Westrich nachgelaßener Sohn, Anna hannß Dolden deß Kachlers alhie nachgelaßene Wittib, 25. Julÿ (i 178)

1638 Chambre des Contrats, vol. 480 f° 366-v
Anna Knörerin weÿ: Hanß Dolden deß Zeÿgers vffm Schießrheim und burgers alhie hinderbliebener wittiben, an ietzo Bernhardt Hoffmanns deß reformirten Wachtmeisters vnderm H. Obristen Leutenant Kugler ehefr. so Zugegen, mit beÿstandt ietzgemelten ihres Eheuogts

Jean Martin naît en 1616, fils du potier Jean Dold et de sa femme Anne
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 238-v)
1616. 30. Maÿ. Hans Dolde der Kachler, Anna – Hans Martin, Hanß Wilhelm Schmitz*, H Hannß Rienn der Nestler, f. Anna Maria Jacobe, H. Doctor Johann Kröpffers fraw (i 123)

Jean Deling épouse en 1613 Anne Knœrr de Sélestat
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 132-v n° 15)
1613. 11. Maÿ. Ist Hans Deling vnd Anna Knörrin von Schletstat aus befelch des Regirend. H. Ameisters eingesegnet worden (i 135)

Fils de l’exempt Bernard Hoffmann et de sa femme Anne Knœrr, le fuselier Jean Jacques Hoffmann épouse en 1658 Marie Madeleine Huber
1658 (23. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 75-v
(Prot. fol. 99. – Eheberedung) Erschienen hannß Jacob Hoffmann der Spillenträher und Burger Zu Straßburg, alß Hochzeiter, alß Hochzeiter, mit beÿstand Bernhardt Hoffmanns deß Gefreÿten alhier, Undt Annæ Knörrin seiner Eltern, wie auch Hannß Jacob feüchters deß Küeffers und Burgers Zu Straßburg, an einem,
Sodann Jungfraw Maria Magdalena, weÿl. David Hubers geweßenen Schreiners Und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter, alß Hochzeiterin mit beÿstand Heinrich Kraußen deß Schreiners ihres Vogts, wie auch Hannß Georg Mockh deß Leinenwebers und Eliæ Nägelins deß Außschröpffers /:alle Burgere zu Straßburg:/ am andern theil

Bernard Hoffmann demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un d’annuler sa relégation. Il est renvoyé au Sénat.
1661, Conseillers et XXI (1 R 144)
(f° 220-v) Montag d. 23. Decembris – Bernhard Hoffman Vm perdon
Bernhard Hoffman vberreicht per Wilden vndge. supplication, Bericht daß vor anderthalben Jahren auß gewißen Ursach. Wie Mh. bekandt Er relegirt Word. dieweylen nun der hertzog Mazarini Vor Ihnen gebetten Alß hette Er Von d. H. Deputirte die Vertröstung einer Vollkommenen perdon erhalt. Bitt Mh. wollen Ihnen d.selben Würcklich. genuß empfinden laßen. Erk. Ist an E. E. Rath gewiß. worden.

Fille du capitaine Bernard Hoffmann, Marthe Hoffmann épouse en 1649 le tonnelier Jean Jacques Feuchter : contrat de mariage lors duquel le père de la mariée promet de régler le droit de bourgeoisie de sa fille, célébration
1649 (17. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 36
(Prot. fol. 249. – Eheberedung) Erschienen hannß Jacob Feuchter der Küeffer und Burg. Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand hannß Georg Feüchters deß Küeffers seines Vatters und hannß Niclauß Feüchters deß Küeffers seines Vettern, beed. Burger alhie, an einem,
So dann Jungf. Martha Bernhard Hoffmanns deß Gefreÿt. under H Capitain leutenant alhie eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand erstermeldts ihres Vatters, wie auch hannß Straulen deß Laÿstenschneiders und Burgers alhier am andern theil
Trittens hatt der hochzeiterin Vatter versproch. seine dochter die hochzeiterin (…) deroselben daß Burgerrecht Zu kauffen, welche Cost vff deß Burgerrecht vff gehend ihr der dochter freÿ geschenckht

Mariage, cathédrale (luth. f° 519-v)
1649. Domin. Quasimodo geniti. Hanß Jacob Feüchter der Küeffer, Hanß Geörg Feüchter deß Küeffers Vnd Burgers allhier ehelicher Sohn, J. Martha Bernhard Hoffmann deß Gefreÿten allhier eheliche tochter. Im Münster Mont. den (i 268)

Jean Jacques Fichter et sa femme Marthe hypothèquent la maison au profit de la veuve du pasteur de Heiligenstein Georges Hœfflich

1674 (20. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 512
hannß Jacob Fichter der Küeffer und Martha sein Eheweib, und Zwar Sie Martha mit beÿstand der Ehrenvest Fürsichtig Und Weÿsen H. Johann Baptistä Fechers und H. Abraham Büchels beeder alß aus E.E. Großen Rhats Mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit Deputirtert
in gegensein H. hannß Jacob Bleÿchers deß Föchhändlers alß Vogts Frawen Dorotheæ Weÿl. H. M. Georg Höfflichs geweßenen Pfarrers Zu Heÿligenstein nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin – schuldig seÿe 50. fl.
Unterpfand, hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier in Vorstatt Krautenaw ohnfern dem Gaul einseit neben H. Michael Haanen dem handelsmann Zum theil Und theils neben Hannß Carl Spießen dem Ammaÿster Knecht anderseit neben Friderich Weÿsen dem Haagknecht et Cons. hinden uff ged. Haanen stoßend gelegen

Le fuselier Jean Jacques Hoffmann hypothèque au nom de ses pupilles, enfants de Jean Jacques Feuchter et de Marthe Hoffmann, la maison au profit de Jean Hermann Wœrtz receveur de l’Orphelinat. En marge, quittance accordée en 1731 au batelier Jean Hauser.

1676 (11. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 450-v
hannß Jacob Hoffmann der Spillenträher alß Vogt hannß Jacob Feuchters deß Kieffers mit weÿl. Martha Hoffmännin deßen geweßenen und abgeleibten eheweib nunmehr seel. nachgelaßener Kinder mit beÿstand erstgedachts ihres eheleiblichen Vatters
in gegensein Servatÿ Kleinen deß waÿsenvatters im nahmen herrn Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß Waÿßenhaußes – schuldig seÿen 50. pfund
Unterpfand, hauß, hoff, hoffstatt, bronnen, Keller mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten, in der Vorstatt in der Krautenau beÿ der Herberg Zum Gaul einseit Zum theil neben Michael Hahnen dem handelßmann und theils neben hannß Carl spießen dem Ammaÿster knecht, anderseit neben Friderich Weißen dem Hagknecht gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Johannes Haußer hießigen Schiffmanns, welcher hier verpfändeter behaußung ahne hießiger Ganth erkaufft hat (quittung), Act. den 14. augusti 1731. [unterzeichnet] HH, hanß haußers Zeichen

Jean Jacques Feuchter hypothèque un sixième de la maison au profit du relieur Jean Jacques Meyer

1676 (8. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 551
hannß Jacob Feüchter der Kieffer
in gegensein hannß Jacob Meÿers deß buchbinders – schuldig seÿe 25. lb
unterpfand, der Siebende theÿl dem debitori für ohnvertheilt gebührend ahn einer behausung, höfflein mit allen deren gebäwen undt zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Gaul einseit neben neben Michael Haanen dem handelßmann Zum theil undt theÿls neben Hannß Carl spießen dem Ammaÿster Knecht anderseit neben Friderich Wÿßen dem haagknecht et consorten, hinden uff gedachten hanen stoßend gelegen, welche behaußung Zuvor noch umb 803. golt fl. dem Closter Zur Rewerin und umb 50 lb dem Weÿßenhauß Verhafftet

Les enfants et héritiers de Jean Jacques Feuchter et de Marthe Hoffmann vendent la maison au meunier Jacques Lauffenburger

1689 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 382-v
Hannß Jacob Feuchter der ledige Schuhmacher, Hannß Georg Feuchter der Seÿler und Isaac Feuchter der Gefreÿte Zu Lindaw, alle dreÿ für sich selbst, Weiter Hannß Carl Böhm der kieffer alß Vogt Weÿl. Hannß Jacob Feuchters geweßenen kieffers Seel. Hinderlaßener Zwo döchter Ledigen stands, So dann H. Sebastian Röderer und H. Hannß Georg Ehrlen E.E. Großen Rhats beÿsitzer ahne statt Abraham Feuchters deß verstorbenen Schirmbs Verwanthen allhier Seel. hinderlaßener Zweÿ Kind. so ohnbevögtigt, alle alß Weÿl. Marthæ Hoffmännin obgedachts hannß Jacob Feuchters deß Altern geweßenen Haußfr. Seel. Hind.laßener Kind. und Erben
in gegensein Jacob Lauffenburgers deß Müllers
Eine behaußung /:Hoffstatt, Hoff, bronnen:/ in der Vorstatt Crautenau ahne der hechtenbruck einseit neben Hannß Carl Spieß Ammeÿster Knecht, anderseit neben Philipp Bartel dem Kieffer, hinden auff H. Hannß Michael Hahnen den Handelßmann stoßend gelegen, Welche behaußung annoch umb 80 Gold Gulden dem Closter zu den Reuerinnen, weiter umb 50 pfund dem Weÿßenhauß, So dann Annæ Margarethæ Feuchterin der Jüngsten dochter umb 7 lb Zehen Schilling prælegat verhafftet – geschehen umb 152 Pfund
[in margine :] Martha, und Anna Margaretha Feuchterin, beede majorennes mit beÿstand Hannß Carl Böhm, des Kieffers Ihres Vogts (quittung), den 16. 9.bris 1691

Fils du prévôt de Sundhouse près de Sélestat, Jacques Lauffenburger se marie en 1688 avec Barbe Grassmann qui a épousé en premières noces en 1673 Jean Guillaume Greiner, meunier à la Gantzau.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 242, n° 48)
1673. Eâden Dnica [Dom. XIX. Trinit.] Hanß Wilhelm Greiner der Müller auff der Ganßaw Vndt burgern allhie, Vndt Jfr. Barbara, Hannß Friderich Graßmann, deß Seÿlers Vndt Burgers allhier, ehl. Tochter. Copulavi Donnerst. 16. 8.br (i 254)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 6-v)
1688. domin. IV et V. post Epiphan. seindt proclamiret v. auß geruffen word. Jacob Lauffenburger der Müller, gebürtig Von Sundthaußen ritterständischer herrschafft, Weÿl. Hrn Martin Lauffenburgers, geweßenen Schultheißen in ermelten Sundthaußen Nachgel. ehl. Sohn, vndt Barbara weÿl. Johann willhelm greiners geweßenen Müllers auf der ganßaw vnd burgers alhier nachgel. Wittwe. copulati sunt Mittw. d. 11. Februarÿ [unterzeichnet] Jacob Lauffenburger Miller Als Hochzeÿder, x dis ist das Zeichen Barbaræ alß hochzeiterin (i 8)

Jacques Lauffenburger devient bourgeois en février 1688.
1688, 4° Livre de bourgeoisie p. 538
Jacob Lauffen burger von Sunthaußen, der Müller empfangt das burgerrecht ab uxore Barbara Grabmännin p. 2. gold fl. und 16 ß so beÿ d. Cantzleÿ erlegt, ist ledig. standts gewesen. Lucern, Jur. 3. feb.

Extraits des registres de la tribu de la Lanterne concernant Jacques Lauffenburger qui est meunier à Plobsheim en 1717.
1694, Protocole de la Lanterne. Meuniers (XI 214) 1694-1761
(f° 2-v) Dienstags den 3. Xbris 1694 – Jacob Lauffenburger ist wegen Hans Philipp Lauthen à 10 ß d gerügt worden.

(f° 4) Sonntags den 24 Aprilis 1695. – Jacob Lauffenburger kombt Nomine seines Stieff Sohns ein, bittet selbigen einen Mühlartzten paßieren zu lassen, weil er beÿ seim Vatter seel. zwar gelernt, aber neirgends eingeschrieben worden. Erkand, weil es wieder Articul alß Soll sein Stieff Sohn Hans Jacob Greiner beÿ E. E. Zünfftigen Meister auff dreÿ Jahr lang einschreiben laßen und selbige außhalten, alß dann und nicht aeher soll Er paßirt werd.

(f° 15) Montags den 20. Februarÿ 1696 – Jacob Lauffenburger klagt contra Hans Spicher das Er Ihne vor 1 ½ Jahren gemahlen und Ihne noch etwas schuldig, beklagter ist d. sach geständig aber sagt es seÿe ihm viel verwahrloßet worden sein treiber hätte sein Theil daran, Erkand Hanß Spicher soll klägern Zahlen und sich im übrigen an sein mit genoßen ersuchen.

(f° 129-v) 1717. Freÿtags den 28.ten octobr. – Hans Jacob Lauffenburger, Müller Zu Plobßh. klagt Ca. Hans Anthoni Krueg seinen Mühlartzten von Würtzburg (…)

Meunier à Wibolsheim et à Plobsheim, Jacques Lauffenburger vend la maison au batelier Jean Jacques Hassler

1700 (7.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 613
Jacob Lauffenburger der Müller zu Wibolßheim Und Plobßheim burger allhier
in gegensein Hans Jacob Haßlers, des Schiffmanns
Eine Behaußung, Hoffstatt, Hoff, Bronnen mit allen deren gebaüen, begriffen, Weithen, Rechten Und Zugehördten allhier in der Vorstatt Crautenau ahne der Hechtenbruck, einseit neben Hn Johann Carl Spieß dem Ammeister Knecht, anderseit neben Philipp Barthel dem Kieffer, hind. auff hn Johann Friderich Lobstein, den Seidenhändler stoßend gelegen, Welche Behaußung annoch Umb 80 Goldgulden dem Closter zu den Reuerinnen allhier, So dann umb 500 lb Capital (…) verhafftet, geschehen umb 535 pfund

Jean Jacques Hassler hypothèque le même jour la maison au profit du batelier Jean Kren

1700 (7. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 614
Hans Jacob Haßler, der Schiffmann
in gegensein Johann Krenen deß Holtz Schiffmanns, schuldig seÿe 100 pfund, Zu Erkauffung hernach beschriebenen haußes baar gelühen [unterzeichnet] H K
unterpfand, Eine Behaußung, perge aus immediate Vorstehend Kauffverschreibung

Fils du batelier Kilien Hassler, Jean Jacques Hassler épouse en 1689 Marthe Greiner, fille de feu le meunier Jean Guillaume Greiner et Barbe Grassmann (remariée à Jean Jacques Lauffenburger) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten und bescheidenen Hannß Jacob Haßlern, Holtz Schiffmann und burgern allhier in Straßburg Weiland deß Ehrenvest, Herrn Kilian Haßlers, gewesenen Herren Schiffmanns und burgers allhier nunmehr seligen hinderlaßenem ehelichem Sohne, alß dem Bräutigamb an Einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Martha Greinerin Weiland des & Ehrengeachten Herrn Wilhelm Greiners geweßenen Müllers auff der Ganßauw und burgers allhier hinderlaßenen ehelich erziehlten Tochter alß der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil – So beschehen und Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 24. Octobris im Jahr des Herrn, alß mann Zahlte 1689. Stephan Cornelius Saltzmann, Notarius publicus et Universitatus Argent. juratus

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 19, n° 34)
1689. Auff heute Mittw. d. 9. Nov. seind nach 2 maliger proclamation copulirt worden Hanß Jacob Haßler, d. ledige Holtz: Schiffmann, Wld. Chilian Haßlers deß Herren Lastführers vnd B. alhr nachgelaßener ehel. Sohn, Vndt Jgfr. Martha Wld. Hannß Michael Greiners deß gewesenen Müllers auff d. Gansau und Burg. alhie und Susanna geborner Oelingerin nachgelaßene eheliche Tochter deß Hochzeiters Mutter hat geheißen Anna Maria Sturmin [unterzeichnet] Hanß Jacob Haßler alß der hochzeiter, m diß Zeichen hatt die J. Hochzeiterin hiehergesetzt (i 19)

Jean Jacques Hassler hypothèque la maison au profit de la fondation Dimmler

1707 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 143
Joh: Jacob Haßler schiffmann
in gegensein H. M. Joh: Herrmanns Diaconi beÿ St Willhelm nahmens gesambter Herren administratorum der Dimmlersichen Legaten in fernerm beÿßeÿn H. Christoph Schöllen Schaffners daßelbst -schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier in der Krautenau ahn der Hechten bruck, einseit neben Philipp Bartel Kiefern anderseit neben Joh: Carl Spieß hinten auff Friedrich Lobstein

Jean Jacques Hassler meurt en 1709 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison. La masse propre à la veuve est de 139 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 141 livres, le passif à 352 livres

1709 (5. 8.bris), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 4) n° 281 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Weÿl. deß Ehren und Wohl bescheidenen Hn Jacob Haaßlers gewesenen Herrn v. Holtz schiffmanns auch burgers alhier Inn Straßburg seel. verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1709 – Nach deme derselbe d. 23.ten Junÿ dießes lauffenden Jahrs Göttl. willen nach dieße welt gesegnet, hinder Ihme verlaßen, welche auff beschenes fleißiges erfordern v. begehren deß Ehren v. wohl bescheidenen Hn Joh: Georg Buschen burger v. Schneidern in ged. Straßb. alß geschwohr: Vogts Annæ Margarethæ, Mariæ Martan, Mariæ Salomeæ, Mariæ Barbaræ und Johann Philipp der Haaßlern deß Manns seel. hinderl. töchter v. Sohn, alß rechtsmäßigene ab intestato Fünff Erben fleißig ersucht, Inventirtn durch die Ehr: V: tugendsame Fraw Martan Haaßlerin gebohrne Greinerin, mit beÿstand deß auch Ehrengeachten v. bescheiden. Hn Johann Bremen auch Hh. v. Holtz Schiffmanns auch burgers Inn berührtem Straßburg Ihres geordnet v. beeÿdigten Hn Vogts – So beschehen alhier Inn Straßburg Sambstags den 5. 8.bris 1709.

Inn Einer Inn der Statt Straßburg Inn der Vorstatt Crauttenauw am Gaulen Stad. gelegenen, vnndt Inn dieße Verlaßenschafft Eigenthümlich zuständig gelegener behaußung sich befunden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obern mittlern bühn, Inn dem Mittlern hauß öhren, Inn der Wohn stub, Inn Stub Kammer, Soldaten Cammer
Eigenthumb ahne Einer behaußung So T. (T.) Item hauß, hoff: hoffstatt bronen mit allen deren Gebäuen begriffen Weithen Rechten v. Zugehördten alhier Inn der Vorstatt Crauttenauw ahne der hechten bruck 1. seith neben weÿl. Hn Joh: Carol Spießen seel. Erben, 2. seith neben Philipp Barthel dem Kieffer hinden auff H. Consulent Steinheÿl stoßendt gelegen, welche behaußung umb 80. Goldt Gulden verhafftet dem Closter Zu reuern, alhier Inn Straßburg, Item dem allhiesigen waißenhauß Jährlich 2. lb 10. ß Zinß thut in Cap: 50. lb. ferner umb 50. lb d Cap: dem Stifft S. Stephan so jährl. auch mit 2 lb 10 ß d Jährl Zinßen verzinßet wirdn sonsten freÿ ledig vndt Eugen vnndt sut solche behaußung nach abzug der darauff hafftend: capitalien durch der Statt geschworne werckleuth nach außweiß Scheins, æstimirt und angeschlagen vor 25. lb
Darüber sagt i: teutscher Pergament: Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel verwahrt sub dato den 7. 7.bris 1700. so alhier mit N° 1 sig. und dabeÿ gelaßen undt der wittib Inn verwahrschafft gelaßen, Item ein d.gleichen brieff dedirt den 8. Julÿ 1686. so alhier mit N° 2 sig. vnd darbeÿ gelaßen so die wittib gleicher maßen in verwahrung hatt.
Norma Inv. Copia d. Ehebered. Copia Cod. recipr.
(der Wittib Nahrung) Sa. Silbers 1, Sa. gl. rieng. 3, Sa. activorum 135, Summa summarum 139 lb
auff solches Volgt nun auch d. Erben ohnv. u. theilb. N. Sa. haußraths 58, Sa. Schiff und geschirr Zum Schiffarth 24, Sa. S. v. gesch. 9 ß, Sa. d. baarschafft 10, Sa. eÿg. ane i. beh. 25, Sa. activ. s. 23. Summa summarum 141 lb – Passiva 352 lb. Übertreffen also solchemnach d. erben ohnv. u. T. passiva ihrer Activ Nahr. umb 210 lb
Copia der Eheberedung (…) Montags den 24. Octobris 1689. Stephan Cornelius Saltzmann, Notarius publicus et Universitatus Argent. juratus

Marthe Greiner veuve de Jean Jacques Hassler et son voisin au sud le tonnelier Jean Georges Bürckel qui fait de nouvelles constructions s’accordent au sujet du mur commun entre leurs deux maisons

1715, Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 43)
Zuwißen, daß Zwischen Mstr Johann Geörg Bürckeln dem Kieffer und burgern allhier Ehe Vögtlich Weiß ane Einem
So dann frawen Mathanæ gebohrner Greinerin, weÿl. Johann Jacob Haßlers gewesenen Schiffmannn und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib beÿständlich Herrn Johann Georg Buschen Schneiders v. burgers allhier Ihrer dreÿ noch Ledigen Kinder Vogten, So dann auch Ihr fr. Haßlerin verheuratheten Kindern am andern theil hernach volgenden Vergleich güthlichen eingegangen und getroffen worden
Nemblichen, weilen beede Parthen zwischen Ihren beed. häußern am Gaulstaden geleg. eine gemeinschaffte Maur haben und Zwar ane dem orth wo gedachten Mstr Bürckel seinen Keller und Hinder Hauß Würcklichen auf führen Begriffen, so hatt sich gedachter Mstr. bürckel dahien güethlichen erkläret gedachte gemeinschaftliche Maur in dem sie gantz faul und ohntauglich ist so hoch alß sie Zuvorhien war nemblich ein stockhoch in seinem eigenen Kosten allen /:ab zubrechen und wieder new:/ auffbawen Zu laßen und Ihro Haßlern einen Weeg Wieder die helffte eigenthümlichen Zulaßen /:wie nicht weniger Ihro oben Wieder eine newe Maur batt* auch in seinem Costen Zuleg:/ Waß aber Er Mstr: Bürckel auff seiner seithen auff so bemelter gemeinen Mauren höher fahren Wird, daß soll auch Ihme Bürckeln und seinen Nachkommend allein eigenthümlich Zustehen. Er ist auch Mstr. Bürckel annebst deß güthigen erbiethens, Wann es nöthig seÿn Wieder Ihr fraw Haßler bauch Küchen Kammin höher Zuführen, alß es anjetzo stehet, daß Er es in seinem Kosten erhöhen Laßen wolle.
Uber dißes so haben beede Parthen noch weither eine gemeinschaftliche Maur eines stocks hoch Zwischen Mstr Bürckels Buchkuchen vnd Badstübel /:welches Mstr Bürckel auch new auffbawen und einen Kammin darauff setzen will:/ dero weg. anjetzo Es Mstr Bürckel die gemeinen ehaffliche* Maur so weith in seinem Costen zu erhöhen versprochen biß Er den fall deß Waßers Haben Kahn damit Er den fall deß Waßers Von beeder seiths dachtrauffen durch einen steuren Noch
Welchen Er auff seinen Kosten Legen und auch immerhien erhalten aber alle Zeit gemein bleiben sollen, in Ihr Fr: Haaßlerin bereits habend. steuren nach Leÿden und also daß erleß* durch ihren Nach den außlauffen die gaß haben mögen Welchen Vorstehenden Vergleich beeder seits parthen güetlichen getroffen auch Wol und stäth Zuhalten gegen ein ander gelobt nun Versprochen, maßen davon Zweÿ gleich lautenden Exemplaria gefertigt allerseits vnderscheiben und jedem theil eines davon überlieffert (…)
Geschehen in der Königl. Statt Straßb. Montags den 12. Aug. Anno 1715.

Enregistrée comme revendeuse à la Mauresse, Marthe Greiner obtient des Tonneliers le droit de servir de l’eau-de-vie
1721, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 484-v) Dienstag den 25. Novembris Anno 1721 – Fraw Martha gebohrne Greinerin Weÿl. Joh. Jacob Haßlers deß holtz schiffmanns und burgers allhier hinterlaßene Wittib stehet Vor und prod. schein Von E: E: Zunfft der Möhrinn sub dato 20.tn dito Vermög deßen Sie das Völlige Krempenrecht erhalten mit geld wegen deß Branden weinschancks gedeÿen Zu laßen. Erkandt willfahrt Zahlt vor das Zunfftrecht 2 lb 10 ß 6 d und pro Zunfftschreiber et büttel 2 ß 6 d

La veuve et les enfants mineurs de Jean Jacques Hassler vendent les quatre cinquièmes de la maison à leur cohéritière Marguerite Hassler, femme du garçon batelier Jean Jacques Hummel

1726 (23.9.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 483
weÿl. Hannß Jacob Haßler gewesten Herren Schiffmanns mit deßen hinterbliebenen wittib Fr. Martha geb. Greinerin erzeugt jüngere Kinder nahmens Martha, Johannes Hügel des Schiffknechts haußfrau, Mehr Jfr. Maria Barbara Haßlerin mit beÿstand ihres vogts Johann Georg Busch Schneiders so dann eben derselbe als Vogt Johann Philipp Haßler ledigen schuhmachers
in gegensein ihrer ältesten schwester und Miterbin ahn vätterlicher Verlaßenschafft Fr: Margarethæ Haßlerin Johann Jacob Hummel auch schiffknechts hausfrau
vier fünffte theil für ohnvertheilt ahne zwo tertzen einer behausung hoff Bronnens und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahn der Vorstatt Krauttenau ahm gaulstaden gegen der hechtenbruck, einseit neben Brunnerischen wittib anderseit neben Hannß Georg Bürckel dem Kieffer hinten auff H. Consulent Steinheils gartten – jedem der Haßlerischen verkauffenden 4 Kinder zu zweÿ 15. der käufferin auch zu zweÿ 15. und dero Mutter zu fünff 15 theilen eigenthümlich zuständig – um& 200 pfund verhafftet, zu 8. 15.theil übernommen, geschehen um und 160 pfund

Fils du batelier Jean Jacques Hummel, Jean Jacques Hummel épouse en 1714 Marguerite Hassler : contrat de mariage, célébration
1714 (11.6.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 13)
Eheberedung – Zwischen dem Ehren vnndt wohl bescheidenen Johann Jacob Humlen dem Jüngern, ledigen Schiffm: deß auch Ehren vnd Wohl bescheidenen Hn Johann Jacob Hummel deß ältern auh Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg ehel. Sohn, alß dem herrn hochzeiter ane Einem
So dann der Ehr; vnd tugendt begabten Jgfr. Margaretham Haßlerin, deß Weÿl. Ehrengeachten und wohl bescheidenen Herrn Johann Jacob Haßlers geweßenen herren schiffmanns, v: burgers alhier Inn besagtem Straßburg eheleibl. Jgfr. tochter alß der Jgfr. hochzeiterin Andern Theils
Actum Straßburg aiff Montags den 11. Junÿ Anno 1714 [unterzeichnet] hanß iacob humel als hoch Zeider, Anna Margareththa haßlerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 173, n° 15)
1714. Mittwochs den 4. Julÿ 1714 seind nach geschehener 2 maliger außruffung Domin. 4. et 5.ta Trin. in d. Kirch Zu S Wilhelm ehelich eingesegnet worden Joh: Jacob Hummel der ledige Schiffknecht vnd burgern Joh: Jac. Hummels auch schiffm. v. burgers v. Elisabetha Steinerin ehelicher Sohn: Jfgr. Margaretha Weiland Joh: Jacob Haßlers deß Herrn Schiffmanns v. burgers v. Martha Greinerin nachgelaßene eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Jacob humel als hoch Zeuter, Anna Margaretha hoßlerin als hohzeterin (i 180)

Marguerite Hassler meurt en 1729 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé à la Krutenau dans une maison proche du pont au Brochet et de l’auberge au Grand Cerf. La masse propre au veuf est de 21 livres, celle des héritiers de 36 livres. L’actif de la communauté s’élève à 36 livres
1730 (11.2.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 10) n° 232
Inventarium undt Beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. die Tugendsame fr. Margaretha Hummelin gebohne Haßlerin, Joh: Jacob Hummells des Schiffmanns undt burgers allhier Zu Straßb. geweste Ehefrau nach ihrem den 19.en hujus [sic] des abgelegten 1729. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen, welche auf Ansuchen Joh: Philipp Haßlers deß Schuhmachers und burgers allhier der abgelegten mit erstermeltem ihren hinterbliebenen wittiber Ehelich erzielter undt hinterlaßener 4. Kindten undt ab intestato Erben vogt Nahment. Johann Jacob, Susanna Margaretha, Friderich undt Elisabethæ Hummelin inventirt (…) Actum Straßburg auff Sambstag den 11. febr. 1730.

Inn Einer allhier Zue Straßburg in der Cruatenaw ohnfern der hechtenbruck beÿm groß. hirsch gelegener behaußung hat Sich befund. alß volgt
Norma hujus inventarÿ. Bericht. Zuewißen, demnach gleich anfangs dieser Inventation der Wittiber auff befragen berichtet, daß Er undt seine Eingangs ermelte verstorbenene Ehefr. seel. beÿ antritt ihrer Ehe ihre beederseits Zugebrachte Nahrungen nicht Inventiren Laßen, dannenhero mann derentwegen anjetzo keine Ergäntzung ersuchen können, Sondern sowohl dem wittiber als auch denen Kindern undt Erben ihre Noch vorhandene Natural Posten alß unverändert, vndt vor denen haußteruen Jedem die helffte zue das übrige aber alß Ein gemein theilbahr gueth beschrieben.
Des Wittibers noch vorhandene Natural Posten, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 2 Sa. baarschafft 1, Summa summarum 8 lb – Passiv Schulden 30, Übertreffen also die passiva deßen unverändert activ Nahrung dem Stall Tax nach umb 21 lb
Wirdt auch der Kindter undt Erben unverändertes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 6 ß, Sa. goldenen Rings 16, Sa. Schulden 30, Summa summarum 36 lb
Endlichen volgt auch das gemein theilbare guth, Sa. haußraths 4, Sa. baarschafft 27, Sa. Schuld 4, Summa summarum 36 lb
Verstallungs summ 53 lb – Haussteur posten 4 lb

La veuve Hassler et sa fille aînée Marguerite femme de Jean Jacques Hummel vendent la maison au savonnier André Reiner et à sa femme Eve Mentzer moyennant 585 livres

1726 (23.9.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 484-v
Fr: Margaretha geb. Greinerin weÿl. Hannß Jacob Haßler, herrenschiffmanns mit beÿstand ihres vogts Johannes Brehm herren Schifflanns, so dann ged. wittib älteste tochter Fr. Margaretha geb. Haßlerin, Johann Jacob Hummel auch Schiffknechts Ehefrau
in gegensein Andreas Rheiner des Saiffensieders und Evæ geb. Mentzerin
Eine Behausung hoff Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahn der Vorstatt Krauttenau ahm gaulstaden gegen der hechtenbruck, einseit neben der Brunnerischen wittib anderseit neben Hannß Georg Bürckel dem Kieffer hinten auff H. Consulent Steinheils gartten – ihre Haßlerischer Wittib zu einer, der Hummelischen Eehefrauen aber zu zwo tertzen für ohnvertheilt – um 344 pfund ausmachende capitalien verhafftet geschehen um 240 pfund

Originaire du canton de Zurich (ou de Salez au canton de Saint-Gall) le tailleur André Reiner épouse en 1718 à Schiltigheim Eve Mentzer, fille du cultivateur Martin Mentzer
Mariage, Schiltigheim (luth. p. 383 n° VI)
A° 1718. den 8. Novbrs. seind auff ertheilte Erlaubnus S. T. Herrn Zentgraffen J.V.L. ex Commissione gnädig gebietender Herrn Landtpfleger in abweßenheit Herrn Amptmanns sub dato 29. Octbrs und zweÿmahl ordentlichen Außruffung ehl. copulirt und eingesegnet worden, Andreas Rÿner der ledige Schneider von Saletz auß dem Zürcher gebieth, Weil. Hannß Rÿners, geweßenen Handelsmanns allda, nachgelaßener ehl. Sohn Vnd Jungfrau Eva Mentzerin weÿl. Martin Mentzers geweßenen Burgers vnd Ackersmannn allh. nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Andres riner hochzeiter, + Ist der Hochzeiterin Zeich. (i 195)

Le savonnier André Reiner originaire du canton de Zurich et Eve Mentzer de Schiltigheim deviennent bourgeois en juin 1726, soit trois mois avant d’acquérir le maison
1726, 3° Livre de bourgeoisie p. 1357
Andreas Reiner d. seiffensieder auß dem Zircher gebiet geb. und sein ehefr. Eva Mentzerin Von schiltigheim erhalt. das br. umb die tertz d. neuen b. wollen beÿ EE Zunfft d: Möhrin dienen. Jur. et prom; d. 26. Junÿ 1726.

Le revendeur André Reiner obtient de la tribu des Tonneliers le droit de servir de l’eau-de-vie
1726, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 124) Dienstag den 5. Novembris Anno 1726 – Andreas Reiner der Kremp erhielte auff producirten Schein von der Möhrin Zunfft vom 21.ten Octobris Jüngsthien alß ein Kremp Wegen des brandenwein schancks das Zunfftrecht, und Zahlte Zur gebühr 2. lb 10 ß 6 d. und pro Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d.

Le couvent des Pénitentes acquiert le 23 juillet 1731 (voir l’inventaire ci-dessous, 1737) la maison par adjudication judiciaire d’après une obligation de 1523. Le receveur la vend au batelier Jean Huser trois semaines plus tard.

1731 (14.8.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 337-v
des Stiffts und Closters zu St Maria Magdalena zu denen Reuerinnen genannt H. Schaffner H. Frantz Antoni Kellermann
in gegensein Johann Haußer schiffmanns
welcher ahne allhießiger ganth eine allhier in der vorstatt Krauttenau beÿm gelben Eck gegen der hechten bruck über ahm gaulstaden, einseit neben der Bronnerischen wittib anderseit neben Johann Georg Bürckel hinten auff den Steinheilischen modo Johann Friedrich Theurer dem Mittelschreiber des Mehrern hospitals zugehörigen gartten stoßend gelegene behausung, ahn sich erkaufft hat, demnach gedachtes Stifft lauth zinß kauffbrieffs de anno 1523 auff erwehntem hauß 80 goldgulden ahne capital stehen gehabt hat und selbige à 1 lb 1 ß der goldgulden gerechnet mit 84 lb courrent zahlbar sind (…) bezalt

Jean Huser et sa femme Susanne Wurth hypothèquent le même jour la maison au profit du batelier Jean Brehm

1731 (14.8.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 338-v
Johannes Haußer der schiffmann und Susanna geb. Wurthin mit beÿstand ihres bruders Johannes Wurth holtzschiffmanns und Hannß Jacob Göppel auch schiffmanns ihres schwagers
in gegensein Johannes Brehm des herrn schiffmanns – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff, gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der vorstatt Krauttenau beÿm gelben Eck gegen der hechten bruck über am gaulstaden, einseit neben der Bronnerischen wittib anderseit neben Johann Georg Bürckel dem kieffer hinten auff Johann Friedrich Theurer dem Mittelschreiber in dem Mehrern hospitals der Steinleilischen gartten genannt – als ein ahn allhiesiger ganth erkaufftes guth

Originaire d’Altenheim (en Bade), Jean Huser épouse en 1726 Susanne Wurth, fille du batelier André Wurth : contrat de mariage, célébration
1726 (3. Xbr), Not. Rith (6 E 41, 945)
Eheberedung – zwischen dem ehrsamb undt bescheidtenen Johannes Hußer dem Ledtigen schiffknecht Von Altenh. gebürttig über rhein des auch weÿl. Johanneß Hußers gewesten schiffmanns daselbst ehelich erziehltem sohn als hochzeiter ahn Einem beÿständlich H. Johannes Brehmen des holtz schiffmanns allhier,
so dann der ehren undt tugendreich. Jungfrawen Susanna Württin, Weÿl. Andreæ Württen gewesten schiffmanns allhier ehelich erzilter tochter, alß hochzeiterin andtern theils, beÿständlich Johannes Wurtten des holtz schiffmanns allhier ihres bruders undt geordneten Vogts
Straßburg den 3.ten Xbris 1726 [unterzeichnet] HH, susana Wurthin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 9, n° 8)
Eodem die 4. Junÿ 1727 seind nach gleicher außrufung in der Kirch Zu St Wilhelm ehlich eingesegnet worden Johann Haußer der ledige Schiffknecht, Joh: Haußers Schiffmanns Zu Altenheim v. Ursula Bremen ehelich nachgelaßener Sohn v. Susanna Weiland Andreas Wurthen Schiffmanns v. burgers v. Salome Voglerin eheliche dochter [unterzeichnet] HH ist d. handzeichen Johann Haußers Hochzeiters, Susana Wurthin hochzeiterin (i 10)

Originaire d’Altenheim, Jean Huser devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1727, 4° Livre de bourgeoisie p. 938
Johannes Haußer d: schiffknecht Von altenheim geb. erhalt d: b. von seiner ehefr. Susanna Wurthin weÿl. Andreæ Wurthen Hint: dochter umb die tertz d. alten b: will beÿ EE Zunfft Zum äncker dienen Jur. d 18.ten Aug. 1727

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison près du Puits aux Fous
1728 (14.1.),Not. Rith (6 E 41, 947)
Inventarium vndt beschreibung aller der Jenigen Haab nahrung undt güttere, wie auch schuldten undt gegen schuldten nichts davon außgenohmen reseruirt noch Vorbehalten so der ehrsamb undt bescheidtene Johannes Hußer der schiff Knecht undt Susanna Wurthin beedte Verburgerte eheleuth allhier einandter für Unverändert in den Ehestandt zugebracht (…) Actum Straßburg d. 14.ten Januarÿ 1728.
in einer allhier beÿm Narren bronnen gelegener und in lehnungsweißes weÿß besitzender behausung befundten wordten

Jean Huser fait appel auprès des Quinze d’une décision prise par la tribu de l’Ancre. La suite de l’affaire se trouve dans une partie perdue du registre.
1729, Protocole des Quinze (2 R 135)
(f° 125) Sambstag d. 9. Aprilis 1729 – Gug nôe Johann Hußers des Schiff Knechts ist Zugegen Susanna deßen Ehefrau C. E.E. Zunft der Encker, prod. widrig. Zunfft bescheid wavon Ppal an Mgh. appelirt, wil diße Appellation gnädig verzeichnen, undt Zeit Zur Verkündigung biß nach denen Ferÿs gn. Zu Zulaßen. Erk. Verzeichnet, und soll ad i.am post Verkündt werd.

Susanne Wurth meurt, l’inventaire de ses biens non conservé est dressé par le notaire Hoffmann

1735, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11)
1369
Inventarium über weÿland Frauen Susannæ Hußerin gebohrner Wurthin seel. Verlassenschafft

Jean Huser se remarie en juin 1735 avec Marie Barbe, fille du batelier André von Zabern : contrat de mariage, célébration
1735 (30.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 76) n° 830
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Johannes Hußer dem Schiffmann und burger alhier als breütigam anne einem
So dann der Ehren und Tugendsahmen Mariæ Barbaræ gebohrner von Zabern, Meister Andreas von Zabern des Schiffbäuers und burgers alhier ehelichen tochter alß hochzeiterin am andern theÿl
So beschehen Straßburg den 30. Maÿ Anno 1735. [unterzeichnet] HH des hochzeiters Handzeichen, mariabarra uon Zabra hochzeiterin

Mariage, Illkirch (luth.)
1735, d. 27. junÿ sind auf Erlaubnus Prætoris Regÿ Hoch adel. Obrigkeit alhier nach dem solche ordnungs mäßig in Strasb. Zu St. Wilhelm zuvor ausgeruff. ehl. copulirt und eingesegnet word. H. Joh: Haußer d. burg. und schiffmann in Strasb. jetzig. Zeit wittiber u. Maria Barbara andreæ von Zabern des schiffbäuers und burg. in srrasb. ehel. tochter. [unterzeichnet] HH sig. des hochzeiters, maria barra uon Zaber hoch Zeiterin (i 119, proclamation Saint-Guillaume 29 juin 1735 f° 51 n° 12 i 53)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Ses apports sauf la maison s’élèvent à 1004 livres, ceux de la femme à 199 livres.

1736 (3.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 45) n° 1444
Inventarium über des Ehrengeachten Johann Hußers, des Schiffmanns und d. Ehren u. tugs. frauen Mariæ Barbaræ Hußerin gebohrener von Zabern, beeder Eheleuthen und burgern alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1736. – Krafft deren mit einander auffgerichteten Eheberedung ihnen und ihren Erben alß ein unverändert und vorbehalten Guth (…) So beschehen in beÿsein Mstr. Andreæ V. Zabern, des Schiffbäuers und burgers alhier der Ehefrauen Leibl. Vatter Straßburg den 3.ten Jan: 1736.

In einer allhier Zu Straßb. ane dem Gaulstaaden nahe der hechten bruck gelegenen u. dem Ehemann eigenthümblich Zuständiger behaußung befunden worden wie volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (M.) Nembl. eine behaußung. hoffstatt, hoff und bronnen mit allen dero Gebäuen, begriffenn weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkheithen allhier Zu Straßburg, in der Vorstatt Crautenau an dem Gaulstaden gegen der Hechten bruck, i.s. neben H. Georg Bürckel deß Kieffers hinderl. W. 2.s. neben weÿl. N. Bronners des Kachlers Erben, hinten auff gleichfalls weÿl. Hn Ernst Theurers geweßenen Schreibers in allhiesigem Hospithal hinterl. W. und Erben stoßend gelegen, wovon mann jährl. in dem Monath Junio 9. lb. Zinß H. Johann Brehmer dem herren schiffmann Zu geben pflichtig und in Capital abzulösen mit 1200. lb sonsten aber gegen männiglichen freÿ ledig eigen und dermahlen anzuschlagen vor ohnnötig ermeßen worden. Darüber vorhanden i. teutscher pergamentener in allhießiger C. C Stub gefertigter und mit dero anhangendem Insiegel Verwahrter brieff de dato 23. 7.bris A° 1726 mit altel N° 1 notirt. Ferner ein teutscher perg: Gant Kauffbr. mit E. E. Kl. Raths alhier anhangendem Insiegel verwahret datirt den 23. Julÿ A° 1731. mit N° 2 signirt.
(f° 11) Schiff und geschirr Zum Schiff fahren gehörig
Abzug gegenwärtig Inventaÿ, Des Ehemanns ohnverändert Guth, Sa. hausraths 308, Sa. Schiff und geschirr zur Schifffahrt gehörig 177, Sa. Weins 52, Sa. Silbers 24, Sa. baarschafft 974, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 138, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung Nihil, Sa. der Schulden 20, Summa summarum 1694 lb – Schulden 700 lb – Nach deren Abzug 994, Adde die Haussteuren 10, Des Ehemanns ohnverändertes Vermögen 1004 lb
Dießemnach wird auch der Frauen in die Ehegebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 157, Sa. Silbers 17, Sa. Goldener Ring 10, Sa. baarschafft 8, Summa summarum 194 lb – Adde die haussteuren 5. Der Ehefrau ohnverändert guth 199 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter und deren hauptgüther des Manns und Kindern erster Ehe zuständig 31 lb, Zweiffelhaffte Schulden 7 lb

Marie Barbe von Zabern meurt des suites de ses couches et de fièvre miliaire le 20 août 1736 à l’âge de 33 ans. L’inventaire dressé après sa mort n’est connu que par le répertoire du notaire
1736, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1507
Invent: über weÿl. frauen Mariæ Barbaræ Hußerin geb. von Zabern H. Johann Hußers des Schiffmanns und burgers alhier gewester Ehefrau Verl.

Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg. 1730-1762 f° 64, n° 52)
aô 1736. den 26. Augusti. Sontags um die mitternacht starb in der Kindbett und an dem frießel Maria Barbara Johann Haußers des Schiffmanns und burgers allhier Ehefrau, ihres alters 33 jahr weniger 3 wochen und 2 tag und wurde dieselbe am dienstag darauff auff dem Gottesacker S Urbani ehrl. begraben [unterzeichnet] HH Johann Haußers des Wittwers Zeichen, AZ Andreß von Zabern der Verstorbenen Vatters Zeichen (i 69)

Jean Huser se remarie en janvier 1737 avec Anne Barbe Jung, veuve de Jean Georges Bürckel qu’elle a épousé en 1716 : contrat de mariage, célébration
1737 (23.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 76) n° 887
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten H. Johann Haußer Schiffmann und burgern alhier als bräutigam ane eim
So dann der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annæ Barbaræ Bürckelin gebohrner Jungin weÿl. Meister Johann Georg Bürckel geweßenen Kieffers und burgers alhier seel. nachgelaßener wittib alß hochzeitterin am andern theÿl
So beschehen Straßburg den 23. Januarÿ Anno 1737. [unterzeichnet] HH des hochzeitters handzeichen, Anna Barbara bürckelin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 68-v, n° 2)
Ao. 1737, den 13. februarÿ Seind (…) ehelich copulirt und eingesegnet worden, Johannes Haußer der Schiffmann Wittwer und burger allhier und Anna Barbara Weÿl. Johann Georg Birckels geweßenen Kieffers und burgers allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] HH des hochzeiters gewohnliches Zeichen, Anna Barbara bürckrin als höchzeitterin, Johann Martin Von Zabern alß Schwager (i 71, proclamation Saint-Thomas f° 14-v n° 68 i 16)

Jean Huser et Anne Barbe Jung font dresser l’inventaire de leurs apports. La maison du mari y est décrite de même que la voisine au sud qui appartient à l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 1210 livres, l’actif de la femme s’élève à 511 livres, le passif à 1109 livres

1737 (11.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 47) n° 1534
Inventarium über des Ehren: und Vorachtbahren herrn Johann Hußer, des Schiffmanns und der Ehren und tugendsahmen frauen Annä Barbara Hußerin gebohrner Jungin beeder Eheleuthe undt burgere allhier einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet A° 1737 – einander in ihrer ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht und sich deren jeedes Crafft der mit einander errichteten Eheberedung ihnen und ihren Erben Vor ohnverändert Vorbehalten (…) So beschehen in persöhnlocher gegenwärtigkeit herrn Johannes Bochen, Schiffmanns und burgers allhier des Ehemanns seines erbettenen beÿstands undt Hern Johann Daniel Stammen, Kieffers und weinhändlers allhier der Ehefrauen Schwagers und noch ohnentledigten Vogts auf seithen deroselben, Straßburg Montags den 11.ten Martÿ a° 1737

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gaulstaaden ohnfern der hechtenbruck gelegenen und dem Ehemann eÿgenthümblich Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung, so der Mann in die Ehe gebracht. Eine behaußung
Eÿgenthumb ane einer behaußung, so der Mann in die Ehe gebracht. (M.) Eine behaußung. Hoffstatt Hoff u. bronnen m. allen dero Recht und Gerechtigkheithen allhier Zu Straßburg der Vorstatt Krauthenau an dem Gaulstaden ohnfern der Hechten bruckh, i.seith neben hieunden eingetragenen der Ehefr. Zuständigen behaußung, anderseit neben weÿl. N. Bronners des Kachlers Erben, hinten auff gleichfalls weÿl. Hn Ernst Theurers geweßenen Schreibers in allhiesigem Hospithal hinterlaßenen wittib und Erben stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig eigen, wird dieße behaußung noch Zur Zeit ohnageschlagen und in natura reservirt dahero alhier auß Zu werffen o. Darüber vorhanden ein teutscher Pergam: in allhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertigter und mit dero anhangendem Insiegel Verwahrter brieff dedato 23. Septembris Anno 1726 Sub N° 1. Ferner ein teutscher Pergam: Gant Kauffbrieff mit E. E. Kleinen raths alhier anhangendem Insiegel verwahret datirt den 23. Julÿ Anno 1731. mit N° 2.
Eÿgenthumb einer behaußung (F.) Nembl. hauß, hoff, hoffstatt und höfflein zu Straßb. dero Vorstatt Crautenau ane dem gaulstaden (…) 6420
Abzug gegenwärtig Inventarium, Des Ehemanns ohnverändert Guth, Sa. hausraths 257, Sa. Schiff und geschirr zur Schifffahrt gehörig 140, Sa. Frucht 4, Sa. Weins und Lährer Vaß 11, Holtzwellen per se 15, Sa. Silbers 31, Sa. baarschafft 723, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 75, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung Nihil, Sa. der Schulden 653, Summa summarum 1910 lb – Schulden 700 lb – Nach deren Abzug 1210 lb
der Ehefrauen in den Ehestand gebrachtes Guth, Sa. haußraths 307, Sa. Werckzeug zum Kieffer handwerck gehörig 24, Sa. Weins brandenweins und Eßig auch vaß 65, Sa. Silbers 60, Sa. Goldener Ring 26, Sa. baarschafft 26, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung Nihil, Sa. beßerung ane lehengüthern Nihil, Summa summarum 511 lb – Schulden 1109 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so der Ehemann in die Ehe gebracht 23 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so des Ehemanns seinen Kindern j. Ehe gehörig 21 lb, Zweiffelhaffte Schulden 7 lb

Jean Huser meurt quelques mois plus tard en délaissant deux enfants de son premier mariage et un posthume. L’inventaire décrit les mêmes immeubles que quelques mois auparavant. La masse propre à la veuve est de 306 livres, celle propre aux héritiers de 1 227 livres. L’actif de la communauté s’élève à 668 livres, le passif à 1 198 livres.

1737 (22.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 48) n° 1565
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Hußers geweßenen Schiffmanns und burgers alhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet A° 1737. – nach seinem Freÿtags den 19.ten Julÿ instehenden 1737.sten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Herrn Johann Martin von Zabern, Schiff Zimmermanns und burgers allhier, des abgeleibten seel. in erster Ehe mit auch weÿl. Frauen Susannæ gebohrner Wurthin, ehelich erziehlter zweÿer Kinder nahmens Johannis und Annæ Mariæ geordnet und geschworenen Vogts, So dann Herrn Johann Brehmen, Schiffmanns und burgers allhier, als Verordneten Tutoris des von dem Verstorbenen seel. Verlaßenen: Von der hinterbliebenen Wittib annoch unter dem hertzen tragenden Posthumi aller des abgeleibten seel. ab intestato Verlaßener rechtsmäßiger Erben, inventirt undt ersucht durch die Ehren und tugendsahme Frau Annam Barbaram Hußerin gebohrne Jungin beÿständlichen Hn Johann Daniel Stammen Kieffers, weinhändlers und burgers allhier ihres Schwagers und geschwornen Curatoris (…) So beschehen Straßburg donnerstags den 22.ten Augusti et seqq. A° 1737

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Crautenau ane dem Gaul Staaden beÿ der hechtenbruck gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb ane Häußern. (E.) Nemblichen eine behaußung, hoffstatt Hoff und bronnen, mit allen deren weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkheithen allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Crautenau ane dem Gaul Staaden gegen der Hechten bruckh i.seith neben vorher der Wittib vor ohnverändert Zugeschribenen behaußung 2.seith neben weÿl. N. Bronners des Kachlers Erben hinten auff gleich falls weÿl. Hn XV. Theurers geweßenen schreibers in allhiesigem hospithal hinterlaßenen wittib und Erben stoßend gelegen so gegen männiglich freÿ ledig eigen und beÿ Weÿl. Frauen Susannä Hüßerin gebohrner Wurthin des abgeleibten seel. geweßer Erstern Ehefrauen Verlaßenschafft Inventation durch die allhießige herren Werckmeister, Vermög Abschatzungs Zeduls vom 19.ten Februarÿ Anno 1735. taxirt worden, wobeÿ mann es auch dermahlen Zu erspahrung der uncosten angesehen seithero darin nichts gebawen worden bewendet läßet pro 350. lb. Darüber vorhanden ein teutscher pergamenter in allhießiger C C Stub gefertigter und mit dero anhangendem Insiegel Verwahrter Kauffbrieff dedato 23. 7.bris Anno 1726. mit altem N° 1 notirt. Ferner I. teutsch: pergament gant Kauffbrieff m. E. E. Kleinen raths alhier anhangendem Insiegel verwahret datirt d. 23. Julÿ Anno 1731. mit N° 2 marquirt
(W.) Nemblichen i. hauß, hoff, hoffstatt und höfflein zu Straßb. dero Vorstatt Crautenau ane dem gaulstaden (…)
Ergäntzung, Inhalt (…) durch mich Notarium Christoph Michael Hoffmann in A° 1737 auffgerichteten Inventarÿ
Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig, Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. hausraths 68, Sa. Werckzeug zum Kieffer handwerck gehörig 15, Sa. der Vaß 11, Sa. Silbers 26, Sa. Goldener Ring 7, Baarschafft per se 2, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 500, Sa. beßerung ane lehengüthern 1, Sa. Schulden 50, Erg. -124, Abzug 263, übertreffen umb 139), Summa summarum 682 lb – Schulden 989 lb, In Vergleichung 306 lb
derer Erben ohnverändert Guth, Sa. hausraths 108, Sa. Schiff und geschirr zur Schiff fahrt gehörig 51, Vaß per se 1, Sa. Silbers 11, Sa. baarschafft 57, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 350, Sa. der Schulden 157, Erg. 1189, Summa summarum 1977 lb – Schulden 750 lb – Nach deren Abzug 1227 lb
das gemein Verändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 11, Sa. frucht und Meels 10, Holtzwellen per se 48, Weins per se 20, Sa. baarschafft 376, Sa. Schulden 201, Summa summarum 668 lb – Schulden 1198 lb – In Compensatione, Theilbar passiv onus 529 lb – Stallsumm 1090 lb
Copia der Eheberedung (…) den 23. Januarÿ Anno 1737, Christoph Michael Hoffmann Notarius

Héritière de son enfant posthume, Anne Barbe Jung cède son tiers aux enfants du premier lit de feu son mari

1742 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 371
Fr. Anna Barbara geb. Jungin weÿl. Johann Haußers des schiffmanns wittib mit beÿstand ihres vogts H. Johann Daniel Stamm des kieffers weinhändlers
in gegensein ihres verstorbenen Ehemanns zweÿer kinder erster Ehe Johann und Anna Maria der Haußer geschwornen vogt Johann Martin von Zabern schiffbäuers
ein dritter theil vor unvertheilt ane einer behausung, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der vorstatt Krautenau am Gaulstaden gegen der Hechten: bruck, einseit neben dem verkäuferin selbst, anderseit neben N. Schröder Maurer, hinten auff Theurerischen wittib und erben – als ein mit besagtem ihrem ehemann seel. erzielten und nach demselben verstorben einigen Kind ererbt, der überrest aber kauffenden curandi ein ein vätterlichen erbguth – um 180 pfund

Compte que rend le batelier Jean Daniel Wurth de la gestion des biens qui appartiennent aux deux mineurs Husser. La maison est louée à l’employé au bois Jacques Bieckert

1752 (2.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 375) n° 483
Rechnung Mein Johann Daniel Wurthen, Schiffmanns und Burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen vogts Johannis, Ledigen Paßmentirers und Frauen Annä Mariä, so sich ohnlängst ane herrn Johann Friderich Roßer, den Versilbert Pferdzeug: und Knöpffmachern Verheurathet, der Hußer Weÿland herrn Johann Hußers geweßenen Schiffmanns und burgers allhier, mit auch weÿland Frauen Susanna gebohrener Wurthin, seiner erstern Ehefrauen, beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugter zweÿer Kinder, außweißend alles das jenige, was Ich Vom 31.ten Julÿ Anno 1749. als dem beschluß meiner abgelegten Ersten Rechnung biß den 2.ten Junÿ Anno 1752. ermelter meiner Curanden halben ferner Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.
Corpus Beeden Vogts Persohnen ins gemein Jährlich Zugewarten habenden hauß Zinnßes. Dießes ist nach in dem nemblichen Stand, Wie in meiner abgelegten Ersten Vogteÿ Rechnung fol: 26. fac. I.ma et 2.da eingetragen als nemlichen. Aus der beeden Curanden eigenthümlicher ane der Vorstatt Krautenau gegen der Hechtenbruck ane dem Gaulstaden Liegender behaußung reicht Jacob Bieckert der Haagknecht und burger allhier, alle Jahr Zu Zinnß 24.

La maison revient pour moitié à Anne Marie Husser qui épouse en 1752 le boutonnier Jean Frédéric Rosser, fils du serrurier Jules Rosser : contrat de mariage, célébration

1752 (1.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 201
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Friderich Roßer, dem Ledigen Versilbert Pferdzeug: und Knöpffmacher, Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Julÿ Roßers des geweßenen Schloßers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlassenem mit der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Maria Salome gebohrne Grießbachin ehelich erzeugtem Sohn
So dann der Viel Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Anna Maria Hußerin Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Hußers des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier mit auch weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Susanna gebohrner Wurthin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehler tochter
[unterzeichnet] Johann Friderich Roser als Hochzeiter, Anna Maria Huserin als hochzeiterin, Johann Daniel wurth als Vogt

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 179, n° 6)
ao. 1752. d. I.t Martÿ, Seind (…) ehelig copulirt und eingesegnet worden, Johann Friedrich Roßer lediger Zinn Versilberter Knöpf: und Pferdzeugmacher u. burger allhier weÿl. Mr. Julius Roßers geweßenen Schloßers u. burgers allhie, u. Mariæ Salome Grießbachin ehl. Sohn, Jungfrau Anna Maria Weÿl. Johann Haußers geweßten Schiffmanns u. burgers allhie u. Susannæ Wurthin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Roser Als Hochzeiter, Anna Maria Huserin als hochzerin (i 18)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qu’ils louent rue Sainte-Hélène. Les apports du mari s’élèvent à 45 livres, ceux de la femme à 375 livres sans compter la moitié de maison qui figure à l’inventaire.

1752 (26.8.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 376) n° 494
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Friderich Roßers, Versilbert Pferdzeug und Knöpffmachers und der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Annä Mariä Roßerin gebohrner Hußerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungenn aufgerichtet Anno 1752 – Welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten Heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein der Ehren und Wohlvorachtbarn Herrn Johann Veit Hengel, des Schneiders und burgers allhier des Ehemanns Schwagers und Herrn Johann Daniel Wurth, des Schiffmanns und burgers allhier der Ehefrauen geschwornen Vogts, auf Sambstag den 26.ten Augusti Anno 1752.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Höllengaß gelegenen in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer behaußung (F.) Der halbetheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, hoffn hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben herrn Johann Jacob Bürckel dem bierbrauer, anderseit neben herrn Schröder, dem Maurer und Steinhauer, hinden auf Weÿland herrn Johann Ernst Theurers geweßenen Mittel Schreibers in allhießigem teutschen Mehrern hospithal längst seeligen hinterlaßener Frau wittib garthen stoßend, so gegen Männiglich freÿ, Ledig eigen und dißorts mit beeder seithigem belieben ohne anschlag gelaßen. Und ist der übrige halbe theil Johann Hußer, dem ledigen Paßmentirer, der Ehefrauen leiblichen bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig
Antheil ane Liegende güthern, hernach beschriebene Liegende güther seind zwischen der Ehefrauen und Ihrem eheleiblichen Bruder Johann Hußer dem Ledigen Paßmentirer annoch gemeinschafftlich und ohnvertheilt, Acker Im Altenheimer bann
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. Werckzeugs und Wahr zum Versilbert Pferdzeug und Knöpffmachers gehörig 142, Sa. Silbers 7, Summa summarum 149 lb – Schulden 125 lb, Detrahendo verbleibt 24, Hierzu ist Zu rechnen, der Ihme gebührige halbetheil ane denen verehrten haussteuren 20, Des Ehemanns gesamte in die Ehe gebrachte Nahrung in vero pretio 45 lb
Dießemnach Wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschreiben, Sa. hausraths 67, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ring 17, Sa. baarschafft 65, Sa. pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. antheils ane einer behaußung Nihil, Sa. antheils ane Liegenden Güethern Nihil, Sa. Schulden 50, Summa summarum 354 lb – Dazu kombt die Ihro zuständige heffte ane denen haussteuren 20, Der Ehefrauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen ohne den antheil Haußes und liegenden gütheren 375 lb – Beschluß summa 420 lb

Jean Frédéric Rosser et Marie Husser hypothèquent la moitié de la maison au profit du sénateur Jean Frédéric Teutsch

1757 (24.1.), Chambre des Contrats, vol. 631 n° 17-v
Johann Friedrich Roßer der versilbert Zinn knopff macher und Maria geb. Hußerin mit beÿstand ihres vogts ad actum Jacob von Zabern des Zinnknopffmachers mit fernern beÿstand Johann Jacob Birckel des kieffers und Johann Jacob Gebbel des schiffmanns
in gegensein H. Rathh. Johann Friedrich Teutsch – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, die helfte einer behausung cum appertinentis am Gaulstaden, einseit neben N. Schröder dem maurer, anderseit neben Fr. Demuthin geb. Bleßigin, hinten auff die Theurerischen erben

Le passementier Jean Husser hypothèque la moitié de la maison au profit du passementier Georges Abraham Endlich

1759 (4.1.), Chambre des Contrats, vol. 633 n° 3
Johann Häußler der paßmentirer
in gegensein H. Georg Abraham Endlich auch pasßmentirer – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, die unvertheilte helffte ane einer behausung cum appertinentis ane dem Gaulstaden, einseit neben Fr. Maria Sara Demuthin geb. Bleßigin, anderseit neben N. Schröder dem maurer meister, hinten auff den Steinheÿlischen garten

Jean Husser et sa sœur Anne Marie femme du boutonnier Jean Frédéric Rosser vendent la maison au batelier Jacques Wolff

1761 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 104
Johannes Haußer der paßmentirer und deßen schwester Anna Maria geb. Haußerin H. Johann Friedrich Roßer des zinnknopffmachers
in gegensein Jacob Wolff des schiffmanns [unterzeichnet] +
eine behausung, hoff, hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Gaulstaden, einseit neben Fr. Demuthin geb. Bleßigin, anderseit neben N. Schröder dem maurer hinten auff Johann Jacob Gori den gartenmann – als ein von ihren eltern ererbtes guth – um 250 lb verhafftet, geschehen um 350 pfund

Fils du garçon batelier Jacques Wolff, Jacques Wolff épouse en 1749 Marie Elisabeth Anstett, fille de l’apprêteur de tabac Sébastien Anstett : contrat de mariage, célébration
1749 (19.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 873
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Jacob Wolff, dem Schiffknecht, des Ehrsamen Jacob Wolff auch Schiffknechts und Schirmers alhier ehelichem Sohn alß hochzeither ane einem,
So dann Jfr. Maria Elisabetha Anstättin, weÿl. Sebastian Anstättin, weÿl. Sebastian Anstättß deß geweßenen tabac bereiters vnd b. alhier ehelich erzeugten hinterlaß: dochter als hochzeitherin andern theils
Straßburg den 19. Maÿ 1749. [unterzeichnet] + des hochzeithers handzichen, m&a Elisabetha Anstättin als hotzein

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 161-v, n° 10)
Aô 1749. Mittwoch d. XI. Junÿ seind nach vorgenommener Zweymaliger proclamation Festo Trinitatis et dom. post Trinitatis in der Kirch Zu S Wilhelm ehelich copulirt und eingesegnet worden Jacob Wolff, lediger Schiff Knecht u. Burger alhier Jacob Wolf. fen Tagners v Schirmers alhie u. weÿl. Christinæ Wilhelmin ehl. Sohn, Jungfrau Maria Elisabetha, Weÿl. Sebastian anstet gewesten Taback bereiters u. burgers allhie u. Margaretha Salome Münchin ehl. Tochter, [unterzeichnet] + ist das handzeichen Jacob Wolffen des hochzeiters, Maria Elisabetha Anstettin als hochzeiterin (i 165)

Jacques Wolff natif de la Robertsau devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1749, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 390
Jacob Wolff der Schiff Knecht auß der Ruprechtsaw gebürtig erhaltet das burgerrecht von seiner Ehefr. Mar: Elisab: weÿl. Sebast: Anstätt burgers und tabackmachers ehel. tochter vmb den alten burger Schilling, vnd will Zu E E. Zunfft Zum Encker dienen [28 Aug. 1749]

Jacques Wolff et Marie Elisabeth Anstett hypothèquent la maison au profit de Marie Marguerite Lœw née Lobstein

1769 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 493
Jacob Wolf der schifmann und Maria Elisabetha geb. Anstettin mit beÿstand Johann David Güthel des schuhmachers und Johann Michael Münch auch schuhmacher beede ihren nächsten
in gegensein Fr. Maria Margaretha Löwin geb. Lobsteinin – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis ane der Vorstadt Krautenau beÿ der Höchten bruck, einseit neben H. Schröder dem maurer meister, anderseit neben d. Bierhaus zu dem dreÿen Lilien, hinten auff N. Gorÿ den gartenmann

Jacques Wolff et Marie Elisabeth Anstett font dresser un état de leurs biens, le mari étant absent pour ses affaires. La maison est portée pour une somme de 300 livres. La masse s’élève à 815 livres

1771 (16. Xbris), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 582) n° 232
Designatio Dererjenigen Vermögens so Jacob Wolff, der Schiffer und Fr. Maria Elisabetha geb. Anstättin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, so dermalen eigenthümlich besitzen auff deroselben Requisition
Sa. Haußraths 172, Ane Schiffen wie auch Schiff und geschirr Zur Schifferei gehörig (1 Nachen zu sechß und I Nachen zu vier Personen 300) 600, Ane silber 35
Eigenthum ane einer Behausung. Neml. Eine am Gaulstaden alhier Zu Straßburg gelegene behausung, einseit neben dem bierhauß zu denen dreien Lilien, anderseit neben N. Müller dem Seiler, hinten auff Georg Martin des Gartenmanns Ehefr. Verl. stoßend, so ohnpræjudicirlich hiehero æstimirt worden per 1600 fl. Es hette aber ane Capitalien darauf versichert seÿn 1000 fl. Solchemnach sind annoch hier in Auswurf zu bringen 600
Summa summarum 1630 fl.
Daß nun, deme also seÿe und solches vorher beschriebene ihnen denen Wolfischen Eheleuten wahrhafftig eigenthümlich zuständig, hat die diesortige Ehefr. in Abwesenheit ihres Mariti als welcher Geschäfften halben von hier verreißen mußte:/ mich Notarium vermittelst abgelegter Handtreu versichert. Actum Straßburg Montags den 16. Xbris 1771. in obengemelter behaußung

Le batelier Jacques Wolff fait appel devant les Quinze d’une amende que la tribu lui a infligée pour transport ilicite de blé
1771, Protocole des Quinze (2 R 182)
(p. 218) Sambstags den 6.ten Aprilis 1771 – Osterrieth nôe Jacob Wolff des schiffers C. E. E. Zunfft der Encker H. Zunfftmr prod. wiedrigen Gerichts bescheid vom 2. hujus wovon principalis hiemit un unterth. appellirt haben will, bitt appellationis verzeichnus Erkandt, Verzeichnet.

(p. 226) Sambstags den 13.te Aprilis 1771 – Osterrieth nôe Jacob Wolff des hesigen burgers schiffers in actis Ca. Eundem prod. unth. appellaôn und respective Implorations schrifft junctis petitis und bitt Deputationem. Claus Sen: bitt similiter. Deput. Erkandt, Deputatio.

(p. 259) Sambstags den 20. Aprilis 1771 – Iidem laßen per me referiren, es hane Johann Jacob Wolff der hießige burger und handwercksgenoß E E. Zunfft der Encker Ca dero H. Zunfftmeister den 6. hujus einen Wiedrigen Gerichts bescheid Ehrengedachter Zunfft der Encker de dato 2. hujus vorgelegt, Krafft derselbe weilen Er als handwercks genoß Zu Verschiedenen mahlen früchten Zu führen wieder ordnung Verdungen, dem artickel mit Zehen pfund Zu beßern condemnirt, sodann weilen Er sich eines frembden Steurmans hiebeÿ bediener an MGHh. Zur ahndung verwiesen worden
Nach eingelegter appellation, gebetten und erhaltener Verzeichnus habe derselbe den 13. ejusdem seine appellaôn und respective Implorants schrifft übergeben junctis petitis MGhh. geruheten, Zu erkennen und auszusprechen, daß in erster Instantz übel gesprochen, und wohl appellirt worden, einfolglich die Sententia à quâ ihres Völligen Inhalts zu cassiren und Zu annulliren und anderwertig aus Zusprechen, daß appellant von der Wider ihn angestellten anklag gäntzlich zu entladen, und los Zusprechen seÿe refusis expensis. Implorandi aber, ihme Zu erlauben fernerhin früchten Zu Berg in Verding Zuführen.
Auf geschehene Weisung habe der appellant seinen fehler Zwar freÿ müthig eingestanden, sich aber damit Zu entschuldigen Vermeinet, daß Er Von dem Vorigen H. Oberherrn erlaubnus erhalten, mit seiner schiffen aus der Stadt Zu fahren und da Er schon öffters früchten Vor seine Rechnung geführet seÿe er in der meinung gestanden, daß ine nichts hierwieder eingewendet worden, Er auch dergleichen umb den lohn führen dörfe. Was den fehler wegen dem frembden Steurmann betreffe, seÿe solches wider seinen willen geschehen, Es habe seine Ehefrau auch solches beÿ Gerichtlichem Verstand bekannet, und habe Er verhoffet deßfalls umb so minder strafwürdig Zu seÿn, als er sich sonst jederzeit der ordnung gemäß aufgeführet, auch von dergelichen fahrten in das Künfftige sich Zu hüten aufrichtig verpreche.
(…)

Jacques Wolff et Marie Elisabeth Anstett vendent la maison au batelier Charles Guillaume von Zabern moyennant 650 livres

1772 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 330-v
Jacob Wolff der schiffer und Maria Elisabetha geb. Anstattin
in gegensein Carl Wilhelm von Zabern des schiffers
eine behausung, hoff, schopff, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehör ane dem Gaulstaden, einseit neben der bierbehausung zu dem Dreÿ lilien, anderseit neben N. Müller dem seiler, hinten auff
N. Gori dem gartenmann – alß ein währender ehe erkauffte behausung – um 400 und 250 pfund verhafftet, geschehen um beede capital summen

Fils du batelier Jean Daniel von Zabern, Charles Guillaume von Zabern épouse en 1771 Marie Salomé Kern, fille du batelier Jean Jacques Kern : contrat de mariage, célébration
1771 (20.6.), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) n° 100
Eheberedung – der Ehren und vorgeachte Herr Carl Wilhelm von Zabern, der ledige Schiffmann und burger alhier Zu Straßburg, weil. H. Johann Daniel von Zabern des ältern geweßenen Schiffmanns und Burgers dahier mit auch weil. Frauen Catharia gebohrner Diemerin ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeitern ane Einem
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte Jungfrau Maria Salome Kernin, H Johann Jacob Kern auch Schiffmanns und burgers alhier mit Frauen Maria Salome gebohrner Ulrichin, ehelich erzeugte Tochter als Hochzeiterin ane dem andern Theil
auf Donnerstag den 20. Junii Anno 1771 [unterzeichnet] Carl Wilhelm von Zabern als Hochzeittern Maria Salome Kernin als hochzerin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 141-v, n° 31)
In dem Jahr 1771 den 17. und 24. Novembris auf dem 25. und 26. Sonntag nach Trinitatis wurden allhier in der Kirche Zu St. Wilhelm nach Ordnung ausgerufen, und Montag den 25. ejusdem in derselbiger ehelich eingesegnet Carl Wilhelm Von Zabern der ledige Schiffer und burger allhier, weiland Herrn Johann Daniel Von Zabern, gewesenen Schiffmanns und Burgers allhier und auch weiland fraun Catharina gebohrner Diemerin hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Maria Salome Herrn Johann Jacob Kern, Schiffmanns und burgers allhier mit frauen Maria Salome Gebohrner Ulrichin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Carl Wilhelm Von Zabern als Hochzeiter, Maria Salome Kernin als Hochzeiterin (i 151)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que Charles Guillaume von Zabern a acquise après le mariage. Les apports du mari s’élèvent à 1 583 livres, ceux de la femme à 411 livres.

1772 (25.7.), Not. Zimmer (6 E 41, 1417) n° 289
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Herrn Carl Wilhelm von Zabern, Schiffmanns und der Viel-Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ Salome geborner Kernin, beeder Ehegatten und burgere alhier Zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet im Jahr 1772 – in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich nach dem Inhalt der vor mir dem unterschriebenem Notario den 200 Junÿ Anno 1771. mit einander aufgerichteten Eheberedung §° 3° für ohnverändert vorbehalten haben (…) So geschehen alhier Zu Strasburg in Gegenwart H Johann Jacob Kern, des Schiffmanns und burgers hieselbst der Ehefraun leiblichen Vaters und beÿstands auf Sambstag den 25. Julii im Jahr 1772.
In einer alhier zu Straßburg ane der Hechtenbruck gelegenen Von dem Ehemann wehrender Ehe erkauften behausung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Vermögen. Sa. Hausraths 141, Sa. Schiff und geschirrs Zur Schiffereÿ gehörig 73, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 78, Sa. gulener Ring 30, Sa. baarschafft 419, Sa. Schulden 795, Summa summarum 1538 lb – denen beÿzurechnen die ihme in Kraft der Eheberedung zuständige Helfte ane denen haussteuren 44, Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen 1583 lb
Diesemnach werden auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Mittel beschrieben, Sa. Haußraths 126, Sa. Silbers 29, Sa. goldener Ring 32, Sa. baarschafft 177, Summa summarum 366 lb – Darzugelegt die Ihro ane denen haussteuren Zukommende übrige helffte 44, Der Ehefraun in den Ehestand gebrachtes Gut 411 lb

Charles Guillaume von Zabern meurt en 1792 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans sa maison quai des Bateliers.
1794 (2 nivose 3), Strasbourg 3 (16), Not. Übersaal n° 425
Inventarium über Weiland des bürgers Carl Wilhelm Zabern gewesenen Schiffmanns Verlaßenschafft – nach seinem den 7. Decembris 1792 erfolgten absterben hinterlaßen hat, auf Ansuchen der hinterbliebenen Wittib Frau Maria Salome geb. Kernin, beiständlich des bürgers und Schiffmanns Joh: Daniel Busch ihres Schwagers und des bürgers Johann Heinrich Zabern Wasserbestätters dahier als Vogts des Verstorbenen mit seiner Wittib erzeuht und hinterlassenen einigen töchterleins als Universal Erbin Namens Cleophe Salome Zabern so geb. den 25. augenschein 1787

in einer ane dem Schiffleutstaden gelegenen behausung N° 8, auf den 1. julÿ 1793
(f° 5) Eigenthum an einer behausung so in die theilbare Massam gehoerig, Nämlich eine behausung und Hoffstatt mit allen derselben zugehörden und Rechten mit N° 7 bezeichnet gelegen an dem Schiffleutstaden einseit neben dem bürger und Schiffmann Joh: Jakob Zabern Davids Sohn, anderseit neben dem Schwerdgäßlein hinten auf des weiland bürgers Theobald Ulrich gewesenen Schifmanns Erben stoßend, wovon man jährlich ehemals dem Pfenningthurn jetzt der hiesigen Gemeine einen Livre an bodenzinß zu entrichten hat, zufolg Kauffbrieffs aus der Contract stube vom 7. Augusti 1783 von dem burger Simon Zollickoffer dem ältern Handelsmann allhier erkauft haben nämlich vor 5000 livres
der Erbin unverändert, hausrath 1005 lb, Silbers 102 lb, goldene Ringe 13 lb, baarschafft 30 lb, ergäntzung 5778 lb, Summa 6930 lb – Abzuziehen 5955 lb, Nach deren Abzug 974 lb
die theilbahre Massa, hausrath 624 lb, silbers 53 lb, Schiff und geschirr zur Schiffahrt 1508 lb, behausung 5000 lb, Summa summarum 7186 lb – Schulden 12.841 lb, In Vergleichung 5655 lb
Copia der Eheberedung (…) den 20. junÿ 1771, Zimmer Vater Not.
Enregistrement de Strasbourg, acp 30 F° 45 du 4 niv. 3

Charles Guillaume von Zabern vend la maison au brasseur Jean Chrétien Strohl, propriétaire de la maison voisine au sud, moyennant 950 livres

1775 (12.9.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 389-v
Carl Wilhelm von Zabern der schiffmann
in gegensein H. Johann Christian Strohl des bierbrauers
eine behausung, hoff, schopff, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Gaulstaden, einseit neben dem käuffer, anderseit neben N. Müller dem seiler, hinten auff N. Gorÿ dem gartenmann – alß ein von Wolffischen eheleuthen unterem 27. junÿ 1772 eigenthümlich zuständig – um 400 und 250 lb verhafftet, geschehen um 300 pfund oder 600 gulden

Jean Chrétien Strohl demande au nom de son fils du même nom l’autorisation de présenter son chef d’œuvre
1766, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 220-v) Dienstags den 16. Decembris 1766 – Meister Johann Christian Strohl der Kieffer allhier stehet vor und bittet Johann Christian Strohl seinen Sohn Zum Kieffer Meister stück einzuschreiben. Erkannt Willfahrt.
Zahlt pro Werckstatten Zinnß 1 lb 10 ß, Prot. 3 ß

Le maître de la tribu fait grief à Jean Chrétien Strohl de travailler chez Jean Jacques Schell sans être enregistré. Il déclare avoir fabriqué ses outils.
1771, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
Dienstags den 5. Maÿ 1771 (f° 304-v) Herr Zunfftmeister erinnert daß Georg Christian Groß der Leedige Kübler Meister, beÿ Meister Johann Jacob Schell schon eine geraume Zeit arbeite, da er Keinen Knecht: noch Ganther Schilling Abreichte, so wiße Er nicht in welcher qualitæt er alda stehe.
Citati Groß und Schell Declariren daß er bißhero nichts als Geschirr vor sich selbsten Verfertiget hat, submittire sich aber sobaldt er Groß Arbeit, es seÿe gleich beÿ Mstr. Schell oder beÿ einem andern bekommen Kan, so wolle er solche Gesellenweiß Verrichten, und sich in die Ordnung begeben.
Zahlt pro prot. 3. ß

Jean Chrétien Strohl devient tributaire chez les Tonneliers le 5 mai 1771
1771, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 304) Dienstags den 5. Maÿ 1771 – Mstr. Johann Christian Strohl Evangelischer Religion der Junge Kieffer producirt Stall Schein Vom 18.ten Aprilis jüngst, bittet ihm als einen neuen Leibzünfftigen auf und anzunehmen.
Erkannt Willfahrt. Zahlt pro Receptione 1 lb 1 ß, feur eÿmer 10 ß, Prot. 3 ß, findl. 4 s

Les Quinze dispensent Jean Chrétien Strohl des années d’épreuves pour qu’il puisse devenir maître brasseur
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
Johann Christian Strohl der ledige Kieffer
(p. 222) Sambstags den 2. Maÿ 1772 – Osterrieth nôe Johann Christian Strohl des ledigen Kieffer meisters und burgers alhier Ca. E. E. Meisterschafft der biersieder Obermr. producirt unterth. Memoriale juncto petito samt beÿl Lit. A et B puncto admissione Zum Meister Recht und bitt wie darinnen.
Claus nôe gegenwärtigen Obermrs, dieser setzt gegentheiliges petitum, jedoch ohne nachtheil der artickel puncto der muthjahr lediglich Zu Eur. Gn. bitt aber refusionem expensarum. Erkandt, Wird der Implorant gegen ersetzung der Uncosten und Erlag dreÿ pfund pfenning pro dispensatione halb löbl. Stadt, halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, jedoch ohne nachtheil der artickel puncto der Muthjahr, Zu dem Meisterrecht der Biersieder auf und angenommen.

(p. 314) Sambstags den 6. Junii 1772 – Osterrieth nôe Johann Christian Strohl des ledigen biersieders Ca. E. E. Meisterschafft der biersieder Obermr. bitt ihme mit dem benöthigten bierschanck auf das Bierhauß Zu den 3. Lilien gnädig Zu Willfahren. Claus nôe des Ober meisters setzt Zu Ew. Gn. bitt aber refusionem expensarum. Erkandt, Wird dem Imploranten mit gebettenem bierschanck nach ordnung jedoch gegen ersetzung der uncosten willfahrt.

Fils de marchand de vins, Jean Chrétien Strohl épouse en mai 1772 Marie Barbe Pick, fille du brasseur Jean Georges Pick : contrat de mariage, célébration. Le père du marié fait donation à son fils de la brasserie aux Trois Lis qu’il vient d’acheter à la Krutenau sur le quai aux Chevaux.
1772 (7.5.), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) n° 110
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Christian Strohl, der leedige bierbrauer, H. Johann Christian Strohln, des Weinhändlers und burgers dahier mit Fr. Maria Catharina gebohrener Braunin ehelich erzeugter Sohn, als bräutigam ane einem
Und Jungfrau Maria Barbara Pickin, H. Johann Georg Pick des Bierbrauers und E. E. grosen Raths dermaligen wohlverdienten beÿsitzers, mit Maria Salome gebohrener Weiglerin ehelich erzeugte tochter, als braut ane dem andern theil
7.mo Verbinden sich Herr Johann Christian Strohl und Frau Maria Catharina gebohrene Braunin, ihrem Sohn dem H. Bräutigam als eine Ehesteur mit in die Ehe geben 500 Gulden hiesig courrent und zwar theils baar und theils in Fasen Wie auch Schiff und geschirr, so dann wollen Sie Strohlsche Eheleuthe Sie die Ehefrau von ihrem Ehemann hierzu authorisirt, ihme dem H. Bräutigam ferner zu einer Ehesteur verschrieben und in solche weiße eigenthümlich abgetretten und übergeben haben, die denselben zuständigen bierbrau: behausung Zu den dreÿ Lilien genannt, samt Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, beneben dem zum bierbrauen gehörigen Schiff und Geschirr, bestehend in einem Kupfernen brau Kessel, einem Kühlschiff, einer Maltz Feg, dreÿen verschiedenen bütten, zwölff tännenen tischen und zwölff dergleichen bäncken, wie solches alles durch Sie Strohlische Eheleuthe von Fr. Maria Sara Demuthin gebohrner Blesigin, H Philipp Jacob Demuth, des Weinhändlers zu St Petersburg Eheliebstin, erkauft worden und aus der von H. Notario Ficke den 24. Martÿ jüngst errichteten Interims verschreibung mit mehrerm ersichtlich ist, welche bierbrau behausung gelegen alhier zu Straßburg ane dem Gaulstaden ohnfern der Hechtenbruck, einseit neben N. Wolff dem Schiffmann, anderseit neben N Reich, dem Schiffbäuer und hinten auf N. Gori Garten stoßend, so über 7000 Gulden darauf hafftendr Capitaliel freÿ leedig und eigen
auf Donnerstag den 7. Maÿ Anno 1772. [unterzeichnet] Johann Christian Strohl als Hochzeiter, Maria Barbara Pickin hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 131-v, n° 17)
Im Jahr 1772 seind den 6. Sonntag nach ostern und auß dem Pfingst Sonntag proclamirt und folgenden Zehenden Junii copulirt worden H Johann Christian Strohl biersüter und burger allhie, Hrn Johann Christian Strohl Kiefers und burgers allhie und Fr. Mariä Catharinä gebohrner Braunin ehelicher Sohn und Jgfr. Maria Barbara Hn Johann Georg Bick E. E. großen Raths würcklichen beÿsitzers Wohlverdienten Fabric-Pflegers und biersüters dahier und Fr. Mariä Salome gebohrner Weÿelin eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Christian Strohl als brautigam, Maria Barbara Pickin als hochzeiterin (i 135)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la brasserie que les parents du marié ont donnée à leur fils au contrat de mariage. Les apports du mari s’élèvent à 484 livres non comptée la brasserie, ceux de la femme à 767 livres.
1772 (1.10.), Not. Zimmer (6 E 41, 1417) n° 293
Inventarium über Hern Johann Christian Strohl, des Bierbrauers und Frauen Mariæ Barbaræ Strohlin, gebohrner Pickin, beeder Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1772 – der Ursach halben inventirt wurden, dieweilen dieselbe in ihrer den 7.ten Maji jüngst Vor mir dem unterschriebenen Notario aufgerichteten Eheberedung und deren dritten Articul ein unverändert Gut stipulirt haben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in beÿseÿn Herrn Johann Georg Pick, des bierbrauers und Es En Grosen Raths dermaligen Wohlverdienten beÿsitzers als der Ehefrauen leiblichen H. Vaters und beÿstands, auf Donnerstag den ersten Octobris Anno 1772.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Gaul Staden in der Vorstadt Crautenau gelegenen zu den dreÿ Lilien genandten dem disortigen Ehemann eigenthümlich zuständigen und hernach beschriebenen Bier behausung isy befunden worden als folget.
Eigenthum ane einer Behausung (M. Ehesteur) Nemlich eine Bier Behausung, Brau: haus, Höflein und Hofstatt zu den dreÿ Lilien genandt, samt allen übrigen derselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten auch dem dabeÿ befindlichen Zum bierbrauen gehörigen Schiff und Geschirr, bestehend in einem kupfernen Brau Kessel, einem Kühl: Sschiff, einer Maltzfeg, dreÿen verschiednenen Bütten, Zwölff tannenen tischen und Zwölff dergleichen bäncken, welche behausung gelegen allhier zu Straßburg ane dem Gaul: Staden ohnfern der Hechtenbruck, einseit neben N. Wolf dem Schiffmann, anderseit neben N. Reich dem Schiffbäuer und hinten theils auf den N. Gorÿ Garten stosend, so auser 8500 fl. darauf haftenden und hernach passive eingetragener Capitalien, freÿ ledig und eigen, und hier beneben vorhergemeltem Schiff und geschirr ohnpræjudicirlich angeschlagen pro 4500 lb. Vorher beschriebene Bier: Behausung samt Zugehörd ist dem disortigen Ehemann von H. Johann Christian Strohl, dem Weinhändler und burger alhier und Frauen Maria Catharina gebohrner Braunin seinen Eltern, in der Eheberedung §° 7.mo um die Summ von 8500 fl. als eine Ehesteur verschrieben und in solche Weise eigenthümlich abgetreten worden.
Sonsten lauten über bemelte Bier: Behausung und derselben Zugehörden zween teutsche pergamentener in allhiesiger C. C. Stub gefertigte Kaufbrieff de datis 20. Martii 1755 und 4. Aprilis 1772. wovon der ältere mit derselben anhangend. und der letztere mit dero aufgetruckt Insiegel bekräftiget.
(f° 8) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachten Vermögens. Sa. haußraths. 57. Sa. leeren Faßes 23, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 38, Sa. baarschafft 264, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 4250. Summa summarum 4633 lb – Denen beÿzurechnen die ihme in Kraft der Eheberedung zuständigen helfte ane denen haussteuren 100 lb, des Ehemanns völliges in den Ehestand gebrachtes Vermögen 4734 lb – Schulden 4250 lb, Nach deren Abzug 484 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in die ehe gebrachtes Gut beschrieben, Sa. haußraths 201, Sa. Silbers und und dergleichen Geschmeids 43, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 37, Sa. baarschafft 385, Summa summarum 666 lb – Und wan diesen beÿgelegt die der Ehefrauen gebührige übrige helffte ane denen Haussteuren 100 lb, So bestehet der Ehefrauen gesamtes in den Ehestand gebrachtes Gut 767 lb

Jean Chrétien Strohl et Marie Barbe Pick qui ont trois enfants font dresser un état de leurs biens pour que la femme puisse solliciter le bénéfice de cession. La brasserie aux Trois Lis est estimée à 4 000 livres, elle comprend la brasserie que le père à donnée à son fils en mariage et la maison voisine que le mari a acquise en 1775. Le mari a agrandi la propriété en acquérant en 1776 une cour et une écurie et en 1778 un bâtiment édifié sur une cave. La masse propre à la femme s’élève à 884 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 4 616 livres, le passif de 6 266 livres.

1778 (16.12.), Not. Übersaal (6 E 41, 653) n° 7
Inventarium über Meister Johann Christian Strohl, des Bierbrauers und Fraun Mariä Barbarä geborner Pickin, beeder Eheleute und burger alhier zu Straßburg dermahlen besitzende Vermögenschaft und hingegen aus des Ehemanns Massa zu bezalen habende Schulden, auffgerichtet im Jahr 1778 – solches alles wurde auf ihr der Ehefraun freündliches Ansuchen, beiständlich des Wol Ehrenvest und Großachtbaren Herrn Johann Georg Pick, bierbrauers und Es. En. Grosen Raths alten wolverdienten Beisitzer deroselben leiblichen Hn. Vaters, der Ursach halben, alldieweilen Sie zu Rettung ihres in die Ehe gebrachten und in der aufgerichteten Heuraths abrede vor unverändert vorbehaltenen Guts und der Ihro in eben solcher heuraths Abrede verschriebenen Morgebgaab, bei Em En Kleinen Rath um das Beneficium Cessionis unterthänig einzukommen gemüsiget (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in der in der Vorstadt Krautenau ane dem Gaulstaden gelegenen zu denen drei Lilien genanten in des Ehemanns Massam gehörigen und hernach beschriebener behausung auf Mittwoch den 16. Decembris Anno 1778.

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Der diesortigen drei Kinder Paten: und andere Geschencke. Johann Christian Strohl gehörig, Margarethæ Barbaræ zuständig, Joh: Georg besitzet
Ergäntzung der Ehefraun währender Ehe abgegangenen und in der hieoben einverleibten Eheberedung als unverändert vorbehantenen Guts. Nach Masgab Inventarii über beeder Ehegattin in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen durch H. Notm Joh: Friderich Zimmer dahier den 1.sten Octobris A° 1772. aufgerichtet
(f° 9) Eigenthum ane einer Behausung. (M.) Nämlich eine Bierbehausung, brauhaus, hof, bronnen und hoffstatt, bronnen zu den drei Lilien genannt samt allen übrigen derselben gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten und insonderheit der Schild gerechtigkeit auch dem dabei befindlichen zum bierbrauen gehörigen Schiff und Geschirr bestehend in einem kupfernen Brau-kessel, einem kühlschiff und einer malzfeg, welche behausung gelegen allhier zu Straßburg in der Vorstatt Krautenau an dem Gaulstaden ohnfern der Hechtenbruck einseit neben N. Müller dem Seiler, anderseit neben Philipp Reich dem Schiffbauer und hinten theils auf den Mariä Goriin geborener Dielin, Johann Jacob Gori des abwesend. Gartenmanns verlaßene Ehefrau Zuständigen Garten und zum theil auf das Rosengäßlein stosend, so auser denen darauf haftenden und hernach passive eingetragenen sechs Capitalien frei ledig und eigen und hier ohnpræjudicirlich in Auswurf gebracht word. pro 8000 fl. oder 4000 lb
Diese behausung ist ehemals in zweien häusern bestanden, so durch den Ehemann währender Ehe zusammen gezogen worden. Und die ursprünglich oder eigentliche Bierbehausung wurde dem Ehemann von H Joh. Christian Strohl, dem Weinhändler u. burg. alhie u. Fr. Maria Catharina geb. Braunin seinen Eltern, in der hieroben einverleibten Eheberedung §° 7.mo um die Summ von 8500 fl. als eine Ehesteur verschrieben und in solche Weise eigenthümlich abgetreten. Sonsten lauten über diese letztere 2. teutsche pergam. in allhies. C. C. Stub gefertigte Kaufbrieff de datis 20. Martii 1755 u. 4. Aprilis 1772. wovon der ältere mit derselben anhangend. und der letztere m. dero aufgetruckt Insig. bekräftiget.
die behausung, hof, Schopf, bronnen und hoffstatt aber, so der Eheman zu bemelter bierbehausung gezogen, hat derselbe dauernder Ehe von Carl Wilhelm von Zabern dem Schiffmann u. burg. alh. käuflich an sich gebracht, über welchen Kauf aber der Ehemann disorts keinen Titre vorgelegt.
Wie aber erstgedacher Zabern die quæstionirte Behausung von Jakob Wolff, dem Schiffmann und deßen Ehefrau Maria Elisabetha geborener Anstettin erkaufet, belehret der durch den Ehemann vorgewiesene teutsch pergam. in allhies.C. C. Stb. ausgefert. und mit ders. aufgedruckt. grös. Insig. versehene Kaufbrief d. d. 27. Junii 1772.
Ferner ist zu obiger Bierbehausung gezogen worden, Ein Hofplatz, darinn ein Schopf u. 4. bäumen gestanden, so der Ehemann aus der falliments Massa Cathæ. Margaræ. geborener Blessigin, weil. Joh. Heinrich Peter des gewes. hiesig. burgerl, Bierbrauers hinderlaßener Wb. d. 14. Aug. 1776 auf der Ganth ane sich gesteigert, wie hierüber der Von H. Beguin Es En Kl. Raths Actuario gefertigt und unterschriebenene d. 14. Aug. 1776. datirte u. mit der Löbl. Kanzlei aufgetrucktem gewöhnl. Insigel bestärckte teutsch perg. Ganth Kauffbrieff Mas gibt.
So dann hat der Ehemann von Maria Goriin geb. Dielin, Joh. Jacob Gori, des abwesenden Gartenmanns Verlaßener Ehefraun acquirirt die Superficiem oder das über einem Keller in dem hof mehrberührter Bierbehausung stehende Gebäude, wovon der fundus mithin der Keller vorhin schon dem Ehemann eigenthümlich gehörig war, u. dieses nach dem Inhalt I. teutsch perg. Kfbrfs in alhies. C. C. Stb. gefertiget, worauf derselb. gröserb Insigel gedrucket, datirt d. 23. Maji 1778. C.C. Stub 23. maÿ 1778.
(f° 11-v) Werckzeug Zum Kiefer-Handwerck gehörig
(f° 12) Copia der Eheberedung (…) den 7. maÿ 1772, Zimmer Notarius
(f° 15-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Ehefraun eigenthümlich in der Eheberedung als unverändert stipulirten Guts, Sa. Haussteuren 10, Sa. Hausraths 191, Sa. Silbers 37, Sa. goldenen ring 32, Sa. Baarschaft 8, Sa. Schulden 150, Ergäntzungs rest 464, Summa summarum 884 lb
Diesemnach wird auch des Ehemanns unverändert und die theilbare Nahrung unter einer Massa als demselben gehörig beschrieben, Sa. Hausraths 268, Sa. Werckzeugs Zum Kiefer-Handwerck gehörig 18, Sa. leerer Fäßer 206, Sa. des biers 49, Sa. der Früchten 23, Sa. Silbers 37, Sa. der baarschaft 13, ß des Eigenthums an der bierbehausung 4000, Summa summarum 4616 lb – Schulden 6266 lb, In Vergleichung, des Ehemanns Passiv onus 1650. lb
– Abschatzung von 18.ten jenner 1779, auf begeren H. Rathherr Bick als beystand frauen strohlin gebohrene Bickin ist eine bierbehausung zu den Dreÿ Lielien genannt am gaul staden beÿ der Hechten bruck gelegen, ein seÿts neben Meister Rub dem seyler, anderer seÿts neben Meister Reuch dem schiffbeyer und hinten auf Meister gori den gartenmann stosend gelegen solche bierbehausung bestehet in Einer bierstube, ferner in fünff stuben, treÿ kuchen und Etliche kammern, ferner befindet sich das brauhaus worinnen Ein bierkessel, maltzder mit Eisen belegt worunter Eine * mit Einem gewölb versehen, darüber seÿn die dachstühl mit breidziegel belegt hat auch vier getremter und Ein gewölbten Keller zweÿ Hoff und zwei brünen. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und um Neun tausend gulden [unterzeichnet] Hueber, Götz Wmst ; Kaltner Wkmst

La brasserie revient à Marie Barbe Pick suite à plusieurs actes. Le Grand Sénat attribue la masse de Jean Chrétien Strohl à sa femme le 23 août 1779, à charge de satisfaire les créanciers. Par l’acte ci-dessous en date du 28 décembre 1779, Marie Barbe Pick cède ses droits à son beau-père Jean Chrétien Strohl qui les vend le 8 avril 1780 à Jean Georges Pick, père de Barbe Pick. Enfin ce dernier institue sa fille légataire de la brasserie par son testament du 30 novembre 1780.

1779 (28.12.), Not. Laquiante (6 E 41, 1073) n° 33
Transaction – Jean Georges Pick marchand brasseur et Marie Salomé Weÿel tant pour eux en en leur propre nom qu’en celuy de De Marie Barbe femme séparée quant aux biens du Sr Jean Chrétien Strohl marchand brasseur d’une part et
Sr Jean Chrétien Strohl fils ainsi que le Sr Jean Chrétien Strohl père Marchand de vin et Marie Catherine Braun
Lesquelles parties desirant terminer a l’amiable les discussions qui se sont elevées entre led. Sr Strohl fils et sa femme ainsy qu’entre leurs parens respectifs nottament le proces Lié au Conseil par appel de la sentence rendue au grand sénat dudit Strasbourg le 23. aout dernier
1. cédé au Sr Strohl père et sa femme
la maison et brasserie ayant pour enseigne les armes de france située au Quay dit Gaulstatten prés du pont du Brochet qui avoit été donné en mariage aud. Strohl fils ensemble les augmentations ultérieures et nottament que led. Sr Strohl fils y a fait par trois différentes acquisitions des Sr Guillaume von Zabern, de la veuve Petre et de la veuve Gorÿ, rapport d’experts du 29 juillet précédent
2. le Strohl père promet d’acquitter les dettes portées dans l’inventaire de séparation

Le marchand de vins Jean Chrétien Strohl expose la brasserie aux enchères. Isaac Tochtermann offre une somme de 11 900 florins, soit 5 950 livres

1780 (13 u. 27.1.80), Not. Schweighæuser (6 E 41, 574) n° 107
Steigerungs-Procès verbaux Auf Ansuchen Herrn Johann Christian Strohl des Weinhändlers Über das Bierhauß zu denen dreÿen Lilien dressirt d. d. 13.. Januarÿ & 27. huj. 1780.
1.ter Proces verbal. Auf Ansuchen und beschehenen Veranstaltung Herrn Johann Christian Strohl des Weinhändlers und Kiefers, wie auch fraun Maria Catharina geb. Braunin, beeder Ehe : Persohnen und Burgere allhier Zu Straßburg, solle zu einer freÿwilligen ofentlichen Versteigerung der hernach beschriebenen ihnen zufolg einer Vor H. Not° regio Laquiante den 28. X.bris abgewichenen 1779.ten Jahrs verschriebenen Transaction und respe. Cession eigenthümlich zuständigen Bierbehausung und Zugehörden, in beiseÿn und mit zuziehung unterschriebenen hierzu requirirten Notarii und herrn Joh: Heinrich Lederlin des Inventir-Käuflers, nach Vorherbeschehener publication gehöriger maßen geschritten worden.
Und bestehet sothane Behaußung in Einem alhier zu Straßburg am Gaulstaden gelegenen zu denen dreÿen Lilien geschildeten Bierhauß samt Rechten und Gerechtigkeiten, mit Inbegriff dererjenigen Gebäuen und Begriffen so von herrn von Zabern, der Verwittibten frau Peter und fraun Gorj darzu gekaufft und gezogen wurden, 1.s. neben H. Ruff dem Seÿler, 2.s. neben H. Philipp Reich dem Schiffbauer hinten zum theil auf besagte frau Gorj und zum theil auf ein Allmend-Gäßel stoßend so frau Würthin um 2500 fl. H. Rathh. Pettmeßer uxorio nomine um 2500 fl, H Theobald Vogt dem holtzhändler um 2000 fl. Frau Ehrmännin um 800 fl. Frau Köbin Erbschafft um 500 fl. Und fraun Strohlen geb. Pickin um 1200 fl. Zusammen in Capital um 9500 fl. verpfändet, sonsten aber gegen männiglich freÿ leedig und Eigen, als weßwegen die gehörige Währschaffts-Liestung von seiten deren Versteigerer Zugesagt und zugleich der kupferne Bier-Keßel, eine Gär eine Mast: und eine Gersten-Bütt, des Kühl-Schiff und Ein Gär-Känntel samt allen den so Nied: Nagel-Vest und eingemaurt ist, nichts savon als das in der Bierstub im Schanck befindliche Känsterlein ausgenommen, mit-versteigt und überlaßen wird (…) angegebotten und ausgeruffen worden vor 11.000 fl. Weilen niemand einiges gebott gethan und also ieße Versteigerung fructloß abgeloffen (…)
den 27. Januarÿ, Andreas Stahl der Maurer-Meister 11.760 fl.
den 15. Februarÿ, Johann Jacob Fäßler der Maurer-Meister 11.900 fl.
im Nahmen Isaac Tochtermann um die nachgebottene summ von 11.900 gulden

L’enchère ci-dessus est annulée

1780 (1.4.), Not. Laquiante (6 E 41, 1075) n° 1
Résiliation d’un procès verbal d’enchere – Auf ansuchen Herrn Johann Christian Strohl des Kieffers und Weinhändler wie auch Fraun Maria Catharina geb. Braunin, da die erstere Versteigerung in ermanglung eines gebott frucht-looß abgegangen, vor das zweÿte mahl zur offenlichen Versteigerung ausgesetzt
die allhier zu Straßburg am Gaulstaden gelegene zu denen dreÿen Lilien geschildete bier-behausung samt Rechten und gerechtigkeit mit innbegriff dererjenigen Gebäuden und gebriffen so von herrn vonzabern der fraun Peter und fraun Gori darzugekaufft und gezogen wurde, einseit neben H. Ruff dem Seÿler anderseit neben H. Philipp Reich dem Schiff-bäuer hinten auff zum theil besagte Frau Gori und theils auf ein allmend-gäßel – um 9500 fl. capital verpfändet, ausgerufen vor 11.700 fl.
H. Andreas Stahl der Maurer-Meister, um 11.760 fl, d. 27. Januarÿ 1780,. Schweighäuser Not. und nachgebott 11.900 fl. Isaac Tochtermann

Le brasseur Jean Chrétien Strohl intente une action contre sa femme devant les Conseillers et les Vingt-et-Un. Les folios correspondants du registre manquent
1780 Conseillers et XXI (1 R 263, Table) Joh: Christian Strohl der biersieder Ca. uxorem Mar. Barb. Strohlin geb. Pickin. 465.

Le marchand de vins Jean Chrétien Strohl et Marie Catherine Braun cèdent leurs droit sur la brasserie au brasseur Jean Georges Pick moyennant 5 950 livres.

1780 (8.4.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 163-v
H. Johann Christian Strohl der kieffer weinhändler und Maria Catharina geb. Braunin
in gegensein H. exsenatoris Johann Georg Pick des bierbrauers
die zu denen dreÿ Lilien geschildete bierbehausung, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäu, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau ane dem Gaulstaden ohnfern der hechtenbruck, miteinbegriffen des bierkeßels, die dreÿ bierbutten im brauhaus, das hopffen buttel, ein gähr kändel, die maltz feeg, die samtliche öffen im haus, der bauchkeßel beide soldaten betten die alte steur im hoff das kühlschiff – um 11.900 gulden

La maison figure à l’inventaire dressé en 1781 après la mort du brasseur Jean Georges Pick qui a institué sa fille légataire de la brasserie aux Trois Lis.

L’état des biens de Jean Chrétien Strohl et de Marie Barbe Pick est revu après que la Chambre matrimoniale a prononcé la séparation de corps et de biens le 14 novembre 1780. Jean Chrétien Strohl intente au Conseil souverain d’Alsace une action pour annuler la séparation. L’inventaire énumère les différents actes qui ont mis Marie Barbe Pick en possession de la brasserie.

1785 (25.7.), Not. Übersaal (6 E 41, 656) n° 123
Revisio und respective inventarium über Fraun Mariä Barbarä Strohlin geborener Pickin, H. Johann Christian Strohl, des Bierbrauers und burgers alhier Zu Straßburg Ehegattin, welche von demselben zufolg bescheids Es. Löbl. Ehe Gerichts vom 14. Novembr. 1780 zu Tisch und zu Bett geschieden worden, auch bisher separirt gelebt, dermalen besitzendes eigenthümliches Vermögen und dagegen daraus Zu bezahlen habende Schulden auffgerichtet den 25.Julii im Jahr 1785. – Solches alles wurde auf ihr Frau Strohlin Ansuchen unter verbeÿstandung S.T. H. Joh. Georg Albert, J.U. Lti. wolverdienten Advocati Es. Löbl. Ritter Directorii Præsidials des Frei: unmittelbaren Adels in dem untern Elsaß, dieser Löbl. Stadt Notarii publici jurati und berühmten Practici, aus der Ursachen weil dieselbe in Gefolg des bei dem hohen Königl. Rath Zu Colmar d. 7. hujus ergangenen und Ihro durch den alhiesigen Königl. huissier Tisserant auf Ansuchen des Ehemanns den 13. ejusdem significirten Arrêt par Defaut, sonderlich aber in Betrachtung des durch Acte und Relief d’appel ihr zugethanen Anerbietens und in Hofnung der weiblichen Erfüllung desselben, wieder mit Ihme zu wohnen und zu leben, mithin Ihne in ihre Wohn behaußung aufzunehmen sich entschliesen will (…) So geschehen alhier zu Straßburg in der in der Vorstadt Krautenau an dem Gaulstaden gelegen zu denen drei lilien genannten, der Ehefrau als unverändertes gehörigen und hernach eingetragenen Bier: Behausung in Gegenwart des Ehemanns auf Montag den 25. Julii Anno 1785.

(f° 6) Widums-Verfangenschaft, die diesortige Ehefrau betreffend. Zufolg der summarischen Ersuch: und Berechnung weiland des wol Ehrenvest und Grosachtbaren herrn Johann Georg Pick des ältern, gewesenen Kiefer meisters und Bierbrauers, auch Eies Ehrsamen Grosen Raths alten wohlverdienten Beisitzers und treubesorgten Kirchenpflegers der Evangelischen Gemein Zum alten St. Peter alhier, der Frau Strohlin Herrn Vaters seelig Verlaßenschafft, so durch herrn Notarium Johann Daniel Stöber den 22. Augusti 1782. auffgerichtet
(f° 7) Series rubricarum hujus Inventarii. Hierauf folgt nun die Beschreibung des von Frau Strohlin besitzenden eigenthümlichen unveränderten Vermögens an und vor sich selbst. Sa. hausraths 494, Sa. Bier, Maltzes und hopfens 377, Sa. leerer Fäßer 50, Sa. Werkzeugs wie auh Schiff und geschirrs zum Kieffer handwerck und bierbrauer gehörig 21, Sa. des Brandenweins 5, Sa. des brennholtzes 25, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 38, Sa. goldener Ringe und Geschmeids 35, Sa. Baarschafft 45, Sa. Eigenthums ane einer bier behausung 5950, Sa. Schulden 46, Summa summarum 7091 lb – Schulden welche aus der Frau Strohlin unverändertem Vermögen zu bezahlen 55, Sa. vorhererzählter Schulden, welche aus der Frau Strohlin unverändertem Vermögen Zu bezalen macht 5783, Nach deren Abzug 1307
der kinder pfetter göttel und geschenck geld Margaretha Barbara, Johann Georg
(f° 10) Eigenthum ane einer Bier: Behausung. Nämlich eine Bier: Behausung, brauhaus, Hof, bronnen und Hofstatt, zu den drei Lilien genannt, samt allen übrigen derselben Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und insonderheit der Schild: Gerechtigkeiten, auch dem dabei befindlichen zum Bierbrauen gehörigen Schiff und Geschirr, bestehend in einem kupfernen Brau: kessel, einem Kühlschiff, einer Malzfeg und dreÿ Bierbütten im Brauhaus, welche Behausung gelegen alhier Zu Straßburg in der Vorstadt Krautenau, an dem Gaulstaden, nahe bei der Hechten: bruck, einseit neben Mr N. Schäfer dem Schuhmacher, anderseit neben Mr Johann Philipp Reich, dem Schiffbäuer, hinten theils auf den Mariä Goriin geborener Dielin, Joh. Jakob Gori, des abwesenden Gartenmanns verlassener Ehefrau zuständigen Garten und Zum theil auf das Roßen: Gäßlein stosend, so auser debeb darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien hernach passivé eingetragenen Capitalien frei, ledig, eigen und hier ohnpræjudicirlich mit Vorbehalt des Eigentums, so wie solche durch weil. H. Exsenatorem Johann Georg Pick, der Ehefraun H. Vater seel. vermög der hernach allegirten Kauverschreibung vom 8. April 1780 von des disortigen Ehemanns Eltern erkaufet worden, in Auswurf gebracht mit 11.900 fl, oder 5950 lb.
Diese Bierbehausung ist ehemals in zweÿen Häusern bestanden, welche aber zusammen gezogen worden. Die ursprüngliche oder eigentliche Bierbehausung wurde dem Ehemann von Hn Johann Christian Strohl, dem Weinhändler u. Frau Maria Catharina geborener Braunin seinen Eltern in der vor H. Not.° Joh: Friderich Zimmer den 7. Mai 1772. auffgerichteten Eheberedung. §° 7° um die Summe von 8500 fl. als eine Ehesteur verschrieben und in solche Weiße eigenthümlich abgetreten. Sonsten lauten über diese letztere 2. teutsche perg. in allhies. C. C. Stube gefertigte kaufbriefe, de datis 20. Mart: 1755. u. 4. April:1772. weiler der ältere mit deroselben anhagendem und der letztere mit dero aufgetrucktem Insiegel bekräftiget.
Die Behausung, Hof, Schopf, Bronnen u. Hofstatt aber, so zu bemelter Bier behausung gezogen, ist von Carl Wilhelm von Zabern, dem Schiffmann u. Burg. alh. erkaufet worden, worüber sich nichts schriftliches hervorgethan. Wie aber erstgedacher Zabern solche von Jakob Wolff, dem Schiffmann u. deßen Ehefrau Maria Elisabetha geborener Anstettin erkaufet, belehret I. teutscher perg. in alhies. C. C. Stube ausgefertigter und mit deroselb. aufgedrucktem grösern Insiegel Kaufbrief, de Dato 27. Junii 1772. Ferner ist zu der Bierbehausung gezogen worden, Ein Hofplatz, darinn ein Schopf und 4 Bäume gestanden, aus der Falliments Massa Cath° Marg° geborener Blessigin, weil. Joh. Heinrich Peter, des gewes. hiesig. burgerl. bierbrauers hinterl. Wb. d. 14. Aug. 1776. auf der Ganth ersteigert worden, wie hierüber der Von H. Beguin Es. En. Kn. Raths ehemaligem Actuario gefertigt und unterschrieben d. 14. Aug. 1776 datirte und mit der Löbl. Kanzlei aufgetrucktem gewöhnlichen Insiegel bestarckte teutsche perg. Ganth Kaufbrief Mas gibt.
It. wurde von Maria Goriin geb. Dielin, Joh. Jakob Gori, des abwesenden Gartenmanns Verlaßener Ehefrau acquirirt, die Superficies, oder das über einem Keller in dem hof mehrberührter Bierbehausung stehende Gebäude, wovon der Fundus mithin der Keller vorhin schon Zu der Behausung gehörig war, und dieses nach dem Inhalt I. teitsch. perg, Kaufbriefs in alhies. C. C. Stube gefertiget, worauf deroselben gröseres Insieg. gedrucket, datirt d. 23. Maji 1778.
Vorbeschriebene sämtliche Immobilien sind Fraun. Strohlin der diesortigen Ehegattin nach dem Inhalt des bei Em. En. Grosen Rath den 23. Augusti 1779 ergangenen Bescheids mit und beneben ihres Ehemanns damals besessener gesamter Activ: Massa gegen Übernahme der ihro vorgehenden Passiv: Schulden eigenthümlich entschlagen, nachher aber wieder ausweislich der vor H. Not. Laquiante, dem alhiesigen Königl. Notario den 28. Decembr. 1779. passirten Transaction des Ehemanns Eltern eigenthümlich abgetreten worden. Den 8. April. 1780 aber haben sein des Ehemanns Eltern Hr Johann Christian Strohl und Frau Maria Catharina geborene Braunin, nach besag der in alhiesiger C. C. Stube auffgerichteten Kaufverschreibung die Bierbehausung samt Zugehörden, der Ehefrau, H. Vater weil. Hn Joh. Georg Pick, dem gewesenen Bierbrauer u. E.E. Grosen Raths alten wohlverdientem Beisitzer seel. vor die hieoben ausgworfene 5950 lb. d. oder oder 11.900 fl. käuflich abgetreten und überlassen, welcher letzteren dann solche in seiner vor H. Not° Joh. Daniel Stöber und 2. Zeugen d. 30. 9.bris 1780. gestifteten Nach verordnung §° 2° seiner tochter Frauen Strohlin mit Einbegriff des Bier-kessels, der 3. Bierbütten, des hopfen Büttleins, Is Gährkänntels, Ir. Malzfeg, sämtflicher Oefen im Haus, des Bauch: Kessels, beeder Soldaten: better, der alten Steine im Hof und des Kühlschiffs, um derjenigen Passiv: Capitalia prælegirt hat, welche Er Vermög vorherallegirter Kauffverschreibung vom 8. April: 1780. übernommen und in folgenden Posten bestanden sind als (…) ausmachen 6314 lb (…) Vorher allegirte Documenta beweisen also, daß diese Bier behausung, obschon solche von dem diesortigen Ehemann Zum theil in die Ehe gebracht, und Zum theil durch die während der Ehe gemachte Acquisitiones erweitert worden, dermalen der Ehefrau allein eigenthümlich und Vor unverändert zuständig.

Marie Barbe Pick veuve de Jean Chrétien Strohl loue la brasserie au Télégraphe au brasseur Henri Chrétien Lœll et à sa femme Anne Barbe Zürn

1801 (11 fruct. 9), Strasbourg 3 (46), Not. Übersaal n° 766, 1021
bürgerin Maria Barbara geb. Pick des weÿl. brs Johann Christian Strohl bierbrauers Wittib beiständlich des brs Nicolas Gardien Capitaine au deuxième Régiment d’artillerie à cheval ihres tochtermanns als Verlehnerin an einem
und der br. Christian Lill bierbrauer dahier und Anna Barbara geb. Zirn
in der Ihren eigenthümlich zuständigen bierbehausung zum Telegraph genannt mit N° 143 bezeichnet allhier in der Vorstadt Krautenau an dem Gaulstaden gelegen, die bierstube den ersten und zweÿten stock, die soldaten Kammer, die schwartze Getüch Kammer, zween Keller, einen Maltz Keller in dem Eingang lincker hand ein kleines Stüblein, das völlige neue Gebäude jedoch mit Ausnahme des obersten bühnleins, den Keller darunter zween Ställe, die bühnen rechter hand hinten im hof samt dem zum bierbrauer gehörigenen Schiff und Geschirr und denen Fäße – um 1296 Francken
Enregistrement, acp 80 F° 47 du 13 fruct. 9

Héritiers de leur mère, le brasseur Georges Strohl et Salomé Strohl femme du capitaine Nicolas Gardien exposent la maison aux enchères

1810 (22.12.), Strasbourg 6 (38), Not. Meyer n° 325
Cahier des charges – Georges Strohl brasseur, Salomé née Strohl épouse de Nicolas Gardien capitaine commandant la troisième compagnie du 17° régiment du Corps impérial d’artillerie à pied se trouvant présentement a l’armée en Hanovre, présent ledit Georges Strohl son beau frère
Désignation des immeubles. une brasserie ayant pour enseigne le télégraphe sise en cette ville quai des chevaux n° 143 vis à vis le pont du brochet, d’un côté Geoffroi Lori menuisier d’autre le Sr Schaeffer cordonnier, par devant ledit quai, par derrière les jardins du Sr Martin, composée de deux maisons de devant baties en pierres dont l’une a rez de chaussée, un étage et mansardes ayant trois croisées de front, l’autre a rez de chaussée et deux étages ayant quatre croisées de front donnant sur ledit quai, deux maisons de derrière, deux cours, deux puits, cinq caves dont l’une est voutée, écurie et hangard pour loger le bois, appartenances et dépendances – Etat des ustensiles (…) échus dans la succession de Barbe Strohl née Pick leur mère
le 27 décembre sans mise – le 3 janvier 1811, criéé à 36.000 fr, Jacques Spohrer maçon pour 36.200 fr
le 10 janvier, Jacques Stotz architecte pour 36.300 fr
le 19 janvier personne n’a surenchéri – le 12 février personne n’a surenchéri

Les mêmes vendent la maison au brasseur Georges Guillaume Graff et à sa femme Anne Roth

1811 (13.6.), Strasbourg 7 (40), Not. Stoeber, n° 3188, 10.421
furent présens le sieur Georges Strohl, brasseur en cette ville, et D° Marguerite Salomé née Strohl épouse du Sr Nicolas Gardien, Capitaine commadant la troisième Compagnie au 7° régiment du corps impérial d’artillerie à pied, membre de la Légion d’Honneur (lesquels vendent)
au Sieur Georges Guillaume Graff, brasseur à Strasbourg et D° Anne Roth sa femme de lui autorisée
Une maison portant l’enseigne du télégraphe consistant en deux corps de logis attenant l’un a l’autre, avec une maison de derrière, cour, puits, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg près du pont du brochet quai des Chevaux vulgairement dit Gaulstaden, marquée du n° 143. Laquelle maison franche et quitte de toutes dettes et charges à l’exception de celles portées ci après, d’après la déclaration des vendeurs leur est échue dans les succession de feus leurs père et mère Jean Chrétien Strohl, vivant brasseur et de D° Marie Barbe Pick sa femme. Les anciens titres existants sur cette maison sont les suivans, savoir un contrat de vente passé à la cidevant chambre des contrats le 20 mars 1755, un contrat de vente passé devant ladite chambre le 4 avril 1772, un autre y passé le 27 juin 1772, un contrat passé à cette chambre le 12 septembre 1775, un Contrat de vente passé à la cidevant chambre des subhastations 14 août 1776, un contrat passé à la cidevant chambre des contrats le 23 mai 1778 et un autre y passé le 8 avril 1780. Cette maison étant bornée d’un côté par une ruelle communale de l’aurte par la maison du Sr Geoffroi Lorÿ, menuisier et aboutissant sur le jardin du sieur Martin a le droit d’écoulement de l’eau dans une ruelle communale a côté de la maison de devant et dans une autre ruelle communale du côté de la maison de derrière. (…) Sont aussi compris dans la présente vente tous les outils et ustensiles servant a l’état de brasseur détaillés dans un état remis aux partie lors de la passation du bail passé entre les comparants devant M° Übersaal, Notaire à Strasbourg le 28 février 1807 à l’exception des articles et objets suivants, huit cercles de fer, un chaudron à lessive en cuivre rouge, une charrette à quatre roues avec deux échelles pour y serrer des tonneaux, un chaudron de cuivre rouge vulgairement dit Schwenck kessel, une balance avec des plateaux de cuivre jaune, deux vieilles charrettes, un lit de soldat complet, lesquels objets les vendeurs se réservent de reprendre en propriété. La présente vente et cession est faite et a eu lieu pour et moyennant la prix et somme de 28.000 francs (…)
Enfin les conjoints Graff cedent à la Dame Gardien ce acceptant à titre de bail à loyer dans la maison de devant de l’immeuble ci dessus vendu a côté de la ruelle au premier étage deux appartemens et une cuisine, au poële au dessus et la cave au dessous de cette maison pour quatre années consécutives qui dateront de la St Jean prochaine (…) moyennant un loyer annuel de 144 francs
Enregistrement, acp 117 f° 95-v du 22.6.

Originaire de Langen près de Darmstadt, Georges Guillaume Graff et Anne Roth native de Barr font dresser un état de leur fortune pour demander le droit de manance
1787 (2.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1264) n° 164
Designatio desjenigen Vermögens so Georg Wilhelm Graf, der ledige tagner von Langenheim hanau darmstadtischer herschaft dermalen besizet u. auf deßen Ansuchen in Ansehung der beÿ Gnädiger Obrigkeit in den Schirm aufgenommen werden vorhabens
silber, baarschaft 86 lb, summa 111 lb
Designatio desjenigen Vermögens so Anna Rothin weÿl. Joh: Jakob Roth des gew. Weisgerbers und bs zu Barr hinterlassene tochter dermalen besitzet, in ansehung dieselbe sich mit Georg Wilhelm Graf dem tagner zu vereheligen versprochen und beÿ Gnädiger Obrigkeit in den Schirm aufgenommen werden vorhabens
hausrath 12 lb, silbers 4 lb, baarschaft 85 lb, summa 155 lb

Fils de Sébastien Graff aubergiste à Langen, le brasseur Georges Guillaume Graff épouse Anne Roth, fille du mégissier Jean Jacques Roth de Barr
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 3-v)
Im Jahr 1787 Dominica Rogate und Exaudi den 13. und 20. Maji sind in der Evangelischen Kirch Zu den Predigern und Zu St Wilhelm offentlich proclamirt und Mittwoch den 23. ejusdem morgens nach der bettstund in der Kirche Zu St; Wilhelm ehelich eingesegnet worden, Georg Wilhelm Graf, lediger bierbrauer gebürtig von Langen in dem darmstättischen Sebastian Graf des gastgebers und burgers daselbst mit Frau Helena Catharina gebohrner Kaulin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Anna Rothin, weiland Johann Jacob Roth des gewesenen weisgerbers und burgers in Barr mit Frau Anna Maria gebohrner Adamin ehelich erzeugte tochter, [unterzeichnet] Georg Willhelm Graff als Hochzeiter, Anna Rothin als Hochzeiterin (i 5)

Anne Roth meurt en 1814 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans la brasserie au Télégraphe.

1814 (11.7.), Strasbourg 4 (44), Not. Stoeber aîné n° 2909
Inventaire de la succession Anne Roth, femme de Georges Guillaume Graff, brasseur, décédée le 15 janvier dernier – à la requête du veuf se portant fort Georges Guillaume Graff, pontonnier son fils absent, et tuteur de Frédérique 17 ans
Daniel Frédéric Graff, brasseur, Marie Madeleine Graff femme de Jean Schmutz pêcheur, Salomé Graff femme de Pierre Graff brasseur, tous cinq héritiers de leur mère – en présence de Chrétien Asal tisserand subrogé tuteur

dans une maison quai des Chevaux n° 143
garde robe 273 fr, linge à Frédérique Graff 304 fr, reprises 623 fr
Communauté, meubles au grenier, dans la chambre de la servante, dans une chambre au second étage, dans la chambre des soldats, au premier étage au rhez de chaussée, dans la cuisine, dans la chambre où l’on débite la bierre 1675 fr, tonneaux dans la première cave, dans la deuxième cave, dans la brasserie 1994 fr ; total de la masse 23.973 fr
une maison portant l’enseigne du Télégraphe consistant en deux corps de logis attenant l’un a l’autre avec une maison de derrière, cour, puits, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg près du pont du brochet au quai des Chevaux n° 143 – acquis par acte reçu Stoeber le 13 juin 1811, transcrit au bureau des hypothèques volume 61 n° 46, estimée 20.000 fr
reprises de la défunte 623 fr, passif 30 339 fr, déficit 6863 fr
Enregistrement, acp 125 F° 7-v du 15.7.

Georges Guillaume Graff se remarie en 1814 avec Marie Barbe Blind, native de Barr, successivement veuve du serrurier David Ulrich et du chapelier Adam Knab : contrat de mariage, célébration
1814 (22.9.), Strasbourg 4 (45), Not. Stoeber aîné n° 3006
Contrat de mariage – Georges Guillaume Graff brasseur
Marie Madeleine Blind veuve d’Adam Knab chapelier
sous le régime de la communauté avec réserve d’apports
Enregistrement de Strasbourg, acp 125 F° 131-v du 24.9.

Mariage, Strasbourg (n° 330)
Acte de mariage célébré le 3 novembre 1814. George Guillaume Graf, majeur d’ans, né en légitime mariage le 12 avril 1757 à Lang, Grand duché de Darmstadt, domicilié à Strasbourg, brasseur, veuf d’Anne Roth, décédée en cette ville le 15 janvier dernier, fils de feu Sébastien Graf, aubergiste à Lang, et de feu Hélène Kaul, Marie Madeleine Blind, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 avril 1764 à Barr (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg veuve en secondes noces de Jean Adam Knab chapelier, décédé en cette ville le 18 décembre dernier, fille de feu Jean Léonard Blind, pelletier à Barr, et de feu Anne Marie Eckart (signé) Georg Willhelm Gtaff, Maria Magdalena Blind (i 3)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la brasserie qui appartient au mari

1815 (20.10.), Strasbourg 9 (anc. cote 20), Not. Bossenius n° 649
Inventaire des apports de Georges Guillaume Graff, brasseur, et Marie Madeleine née Blindt – contrat de mariage dressé par Daniel Ehrenfried. Stoeber le 22 janvier 1814
dans la demeure des conjoints Graff faubourg de la Krautenau quai des chevaux n° 143
la femme, meubles, argenterie 39 fr, numéraire 921 fr, total 2344 fr
Enreg. manquant F° 200 du 25.10.

Georges Guillaume Graff et ses enfants cèdent leurs parts à leur fille et sœur respective Marie Madeleine Graff femme du pêcheur Jean Schmutz

1827 (6.6.), Strasbourg 4 (65), Me Hatt n° 3476
Dépôt d’un acte sous seing privé du 22 février 1827 enreg. 22 mai f° 112 – Georges Guillaume Graff père ci devant brasseur et Marie Madeleine née Blind, Georges Guillaume Graff, brasseur, et Marie Marguerite née Walter et Daniel Frédéric Graff, aussi brasseur, et Marie Roser, Frédérique Graff épouse de Théophile Fischer, pilote tant en son nom et qu’en celui de Salomé Graff épouse de Pierre Graff, brasseur Limoges (procuration Salomé Graff épouse de Pierre Graff contremaitre chez M Deschamps brasseur de bière à Limoges)
à leur enfant et sœur Marie Madeleine Graff femme de Jean Schmutz pêcheur
neuf 10° par indivis dans une maison brasserie avec appartenances, aisances & dépendances portant pour enseigne le Télégraphe, consistant en deux corps de logis attenant l’un à l’autre avec maison de derrière, cour et puits, le tout situé à Strasbourg près du Pont au brochet au quai des Chevaux n° 143, d’un côté le Sr Lory, d’autre les héritiers de la veuve Schaeffer, derrière le jardin Gory, dont le dernier 6° appartient déjà à la femme Schmutz. Sont compris les meubles et objets mobiliers – ladite maison appartenait pour moitié au S Graff père l’autre moitié aux enfants par représentation de leur mère Anne Roth suivant inventaire reçu Stoeber le 11 juillet1814 – acquis par acte dressé par le même notaire le 13 juin 1811 – moyennant 26.925 fr la totalité

Marie Madeleine Graff épouse en 1810 le marchand poissonnier Jean Schmutz : contrat de mariage, célébration
1810 (17.8.), Strasbourg 4 (38), Not. Stoeber n° 1103
Contrat de mariage – Jean Schmutz, marchand poissonnier, veuf de Marie Madeleine Keller
Marie Madeleine Graff, fille mineure fille de Georges Guillaume Graff, brasseur, et d’Anne née Roth
en la demeure des parens de la future épouse quai des chevaux n° 143
Enregistrement, acp 115 F° 83 du 20.8.

Mariage, Strasbourg (n° 427)
L’an 1810 le 19° jour du mois de septembre (…) sont comparus Jean Schmutz âgé de 33 ans, pêcheur, né en cette ville le 8 juin 1777, y domicilié, fils de feu Jean Pierre Schmutz, pêcheur et de feu Marguerite Salomé Loewenmann, veuf de Marie Madeleine Keller, décédée en cette ville le 13 avril dernier, Et Marie Madeleine Graff, âgée de 18 ans, née en cette ville le 10 décembre 1791, y domiciliée, fille de Jean Guillaume Graff, Brasseur, et d’Anne Roth, ci présents et consentants (signé) Johann schmutz, Marie Madeleine Graff (i 16)

Fils de pêcheur, Jean Schmutz épouse en 1802 Marie Madeleine Keller originaire de Wœrth
Mariage, Strasbourg (n° 439)
Du 9° jour du mois de Messidor l’an X de la République française. Acte de mariage de Jean Schmutz, âgé de 25 ans, pêcheur, né en cette ville le 8 juin 1777, y domicilié fils légitime de Jean Pierre Schmutz, pêcheur, et de Marguerite Salomé Loewenmann, Et de Marie Madeleine Keller âgée de 26 ans, domiciliée en cette ville depuis quatre ans, née à Woerth, Département du Bas-rhin le 10 mai 1776, fille légitime de Jean Louis Keller, vigneron audit lieu et de feüe Catherine Barbe Pfeifer (signé) Johannes schmutz, Magdalena Keller (i 227)

Marie Madeleine Keller meurt en 1810 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Renard prêchant
1810 (26.6.), Strasbourg 15 (11), Not. Lacombe n° 1494
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Keller, décédée le 13 avril dernier – à la requête de Jean Schmutz, marchand poissonnier, le veuf tuteur naturel de Jean Louis âgé de 3 mois issu de son mariage avec la défunte – en présence de Jean Jacques Leiser cabaretier subrogé tuteur
dans la maison mortuaire rue du renard prechant aux canards n° 2
meubles, garde robe 2193 fr, créances 4128 fr
mariés sans contrat de mariage, par testament reçu Me Lacombe le 1 mars 1806 la défunte a légué au mari 1000 fr
total de l’actif 6321 fr
Enregistrement, acp 115 F° 11 du 27.6.

Décès, Strasbourg (n° 620)
L’an 1810 le 13° jour du mois d’avril (…) sont comparus Pierre Schmutz, âgé de 36 ans, pêcheur (…) que Marie Madeleine Keller, âgée de 33 ans, née à Woerth (Bas Rhin) fille légitime de Jean Louis Keller, cultivateur et de feue Catherine Barbe Pfeifer épouse de Jean Schmutz, pêcheur, est décédée aujourd’hui à trois heurs du matin en la maison située rue du renard prêchant N° 2 [in margine :] suite de couches (i 67)

Jean Schmutz et Marie Madeleine Graff font dresser l’inventaire de leurs apports au 2, rue du Renard prêchant
1810 (29.10.), Strasbourg 4 (38), Not. Stoeber n° 1161
Inventaire des apports Jean Schmutz poissonnier et Marie Madeleine Graff, suivant contrat de mariage dressé par le notaire soussigné le 17 août 1810
dans la maison sise rue du renard prechant aux canards n° 2
le mary, meubles 869 fr, argenterie 90 fr, bateaux ustensiles 886 fr, créances 3600 fr, numéraire 3200 fr, total 9473 fr – passif 2160 fr, reste 7313 fr
la femme, meubles 999 fr, bijoux 1070 fr, numéraire 600 fr, total 2670 fr
Enregistrement, acp 115 F° 178-v du 8.11.

Marie Madeleine Graff meurt en 1847 en délaissant sept enfants

1847 (10.2.), Strasbourg 8 (70), Not. Zeyssolff n° 3459
Inventaire de la succession de feue D° Marie Madeleine Graff, vivante épouse du Sieur Jean Schmutz, brasseur à Strasbourg où elle est décédée le 15 octobre 1846.
L’an 1847, Mercredi le 10 février à neuf heures du matin en la maison mortuaire. A la requête & en présence de 1° sieur Jean Schmutz, brasseur, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui & De Marie Madeleine Graff son épouse défunte & en raison des avantages de survie qu’elle lui a assurés en vertu de leur contrat de mariage ci après analysé, qu’en qualité de père et tuteur légal de 1° Jacques Schmutz âgé de 20 ans, 2° Caroline Schmutz âgée de 17 ans, 3° Charles Schmutz , âgé de 16 ans, ses enfants mineurs issus de son légitime mariage avec sa dite épouse
2° Le sieur Frédéric Schmutz, éclusier, 3° Dlle Madeleine Schmutz, majeure, 4° sieur Jean Schmutz, pêcheur, 5° sieur Daniel Schmutz brasseur, tous demeurant & domiciliés à Strasbourg. Et en présence du sieur Charles Graff, brasseur, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des trois mineurs (…) habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un 7° de feu la De Schmutz (…) décédée le 15 octobre dernier en sa demeure à Strasbourg quai aux Chevaux N° 143 où se fait le présent inventaire

Expédition du contrat de mariage reçu par M° Ehrenfried Stoeber fils lors Notaire à Strasbourg le 17 août 1810 (…) Expédition de l’inventaire d’apports dressé par ledit M° Stoeber le 29 octobre 1810 (…)
Titres et papiers, III. L’expédition de l’Inventaire de la succession de feue Marie Madeleine Keller vivante épouse en premières noces du sieur Schmutz le veuf, dressé par M° Lacombe lors notaire à Strasbourg le 23 juin 1810 (…)
IV. La grosse d’un acte dressé par M° Eckert notaire à Woerth le 15 septembre 1824 contenant Liquidation et partage de la succession de feu le sieur Philippe Louis Keller vivant journalier à Woerth (…) ledit mineur Jean Louis Schmutz précité fils du défunt a été habile à se dire et porter héritier pour un 7° (…)
V. Et la grosse d’un acte passé devant M° Hatt lors notaire à Strasbourg le 6 juin 1827 enregistré contenant dépôt d’une vente sous signature privée daté de Strasbourg du 22 février 1827 enregistrée, faite par 1° Georges Guillaume Graff père, cidevant brasseur, & Marie Madeleine Blind son épouse, 2° Georges Guillaume Graff fils brasseur & Marie Marguerite Walter son épouse, 3° Daniel Frédéric Graff, brasseur & Marie Roset son épouse, 4° Frédérique Graff épouse de Théophile Fischer pilote, tant en leur noms personnels qu’en celui de D° Salomé Graff épouse de Pierre Graff, brasseur à Limoges, au profit de Marie Madeleine Graff, la défunte épouse de Mr Jean Schmutz, des neuf 10° par indivis avec l’acquéreuse propriétaire du dernier 10°, d’une maison brasserie avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg, au quai aux chevaux N° 143 près du pont aux brochets portant pour enseigne le Télégraphe consistant en deux corps de logis, attenant l’un à l’autre avec maison de derrière, cour & puits, tenant d’un côté à la propriété du sieur Lory, de l’autre à celle des héritiers de la veuve Schaeffer, par derrière sur le jardin Gory, Dans la vente ont été compris les objets ci après décrits, servant à l’exploitation de la brasserie savoir (…) Cette vente a été faite en outre moyennant le prix de 26.925 francs
Immeuble de la succession. La maison brasserie portant pour enseigne le Télégraphe sise à Strasbourg, au quai aux chevaux N° 143 prédécrite avec tous les outils & ustensiles & tonneaux servant à l’exploitation de la brasserie tels que le tout est prédésigné près du pont aux brochets consistant en deux corps de logis, attenant l’un à l’autre avec maison de derrière, cour & puits, tenant d’un côté à la propriété du sieur Lory, de l’autre à celle des héritiers de la veuve Schaeff
acp 357 (3 Q 30 072) f° 86 du 11.2. – Communauté. Objets mobiliers 3340, argent comptant 2600, total 5940 francs – garde robe 147
acp 359 (3 Q 30 074) f° 5-v du 19.5. – Indemnité due par la défunte ou sa succession à la communauté 13.477, créances de la communauté 410 – Passif 2700
Récompense due par la communauté aux héritiers 1740, Remploi à exercer par le veuf contre la communauté 7901
Immeuble de la succession, quai aux chevaux N° 143, Passif de la succession 12.925

Lors de la liquidation, la brasserie au Télégraphe est attribuée à Daniel Schmutz au prix d’estimation de 35 000 francs

1849 (29.1.), Strasbourg 8 (71), Not. Zeyssolff n° 4175
Liquidation & Partage des successions de feus M Jean Schmutz, brasseur, & De Marie Madeleine Graff, vivants conjoints à Strasbourg y décédés le mari le 20 avril 1848 & la femme le 15 octobre 1846.
Ont comparu I. Le sieur Daniel Schmutz, brasseur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de tuteur de 1° Dlle Frédérique Caroline Schmutz âgée de 19 ans 7 mois, 2° et de Frédéric Charles Schmutz, âgé de 18 ans ses deux frère et sœur mineurs (…)
II. Le sieur Daniel Frédéric Schmutz, éclusier au Canal du Rhin, demeurant & domicilié hors la porte d’Austerlitz banlieue de Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de mandataire du sieur Jean Jacques Schmutz, garçon menuisier soldat au service de France, domicilié à Strasbourg (…), III° Dlle Madeleine Schmutz, majeure, IV° sieur Jean Schmutz, pêcheur, V° Et le sieur Charles Graff, brasseur, ces trois derniers demeurant et domiciliés à Strasbourg, le sieur Graff agissant en qualité de subrogé tuteur desdits mineurs (…)
Lesquels comparans désirant procéder à la liquidation et au partage des successions de leurs dits père et mère ont prié les notaires soussignés de s’occuper de ces opérations

Observations préliminaires. I. Contrat de mariage et inventaire d’apports des époux Schmutz. Le contrat de mariage des époux Schmutz fut reçu par M° Ehrenfried Stoeber fils lors notaire à Strasbourg le 17 août 1810, enregistré & contenant en substance, établissement d’une communauté d’acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages & garde robe, donation mutuelle par les futurs au prémourant en faveur du survivant de l’usufruit viager avec dispense de fournir caution de la succession du prédécédé, usufruit réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
L’inventaire constatant les apports en mariage des époux Schmutz fut dressé par M° Stoeber susnommé le 29 octobre 1810 (…)
II. Origine et acquisition de la maison brasserie portant pour enseigne le Télégraphe, sise à Strasbourg quai aux chevaux N° 143 près du pont aux brochets consistant en deux corps de logis, attenant l’un à l’autre avec maison de derrière, cour & puits, tenant d’un côté à la propriété du sieur Fullhardt de l’autre à celle de M. Nesberschnée, pardevant au quai aux chevaux et par derrière le jardin Fritz, dépendant de la succession de Mde Schmutz.
Feus le sieur George Guillaume Graff brasseur et De Anne Roth conjoints à Strasbourg ont fait l’acquisition dudit immeuble de 1° sieur George Strohl brasseur, 2° dame Marguerite Salomé Strohl épouse du sieur Nicolas Gardien capitaine d’artillerie demeurant à Strasbourg, en vertu d’un contrat passé devant M° Stoeber père lors notaire en ladite ville le 13 juin 1811 enregistré. Ce contrat porte que les vendeurs en avaient hérité de leur père & mère sieur Jean Chrétien Strohl, brasseur, & D° Marie Pick vivants conjoints en la même ville.
Par suite du décès de la femme Graff née Roth, sa part équivalent à la moitié à la propriété de la maison susdécrite est revenue à ses cinq enfants ses seuls et uniques héritiers ci après nommés, à chacun pour un 10° savoir 1° sieur Georges Guillaume Graff fils brasseur, 2° sieur Daniel Frédéric Graff, brasseur, 3° De Frédérique Graff épouse du sieur Théophile Fischer pilote, 4° D° Marie Madeleine Graff épouse du sieur Jean Schmutz, pêcheur tous demeurant à Strasbourg, 5° D° Salomé Graff épouse du sieur Pierre Graff, brasseur à Limoges, ainsi que ces qualités sont constatées par l’inventaire qui de la succession de la femme Graff née Roth fut dressé par M° Stoeber susnommé le 11 juillet 1814 enregistré. La femme de Schmutz née Graff, mère des parties comparantes, devenue propriétaire par suite du décès de sa mère d’un 10° dudit immeuble fit l’acquisition des neuf 10° restans de son père & de ses frères et sœurs en vertu dun contrat sous signature privée daté de Strasbourg du 22 février 1827 enregistré en ladite ville le 22 mai suivant & déposé pour minute en l’étude de M° Stoeber lors notaire en ladite ville suivant acte de dépôt en dressé le 6 juin même année enregistré. Cet immeuble fut alors grevé des dettes suivantes (…)
IV° Succession de Jean Louis Schmutz, seul enfant issu du mariage du sieur Schmutz avec Marie Madeleine Keller son épouse en premières noces. Il décéda durant le second mariage du Sr Schmutz en délaissant pour seuls et uniques héritiers , 1° pour un quart son père, 2° pour les trois quarts restans ses frères et sœurs consanguins a) le sieur Daniel Frédéric Schmutz, b) Clle Madeleine Schmutz, les deux comparans & le St Guillaume Schmutz chacun pour un quart (…)
V. Succession de Guillaume Schmutz, enfant du second lit
acp 379 (3 Q 30 094) f° 33 du 2.2. (succession déclarée le 2 février 1849 n° 48)
La succession de Jean Louis Schmutz s’est élèvée à 2352 francs, celle de Guillaume Schmutz à 588 francs
La succession de Mme Schmutz née Graff a été inventoriée par M° Zeyssolff le 10 février et le 16 mars 1848 mais comme le veuf a gardé entre ses mains toutes les valeurs qui en dépendaient et que la distinction n’en est pas possible, elles se confondent en une seule masse avec celles qui proviennent de la succession du Sr Schmutz de sorte que cette masse se compose ainsi qu’il suit 1) mobilier 3640, 2) numéraire 1650, 3) créances 490, total 5780 francs
4° Une maison brasserie portant l’enseigne du Télégraphe à Strasbourg quai aux chevaux n° 143 provenant de la succession de la femme Schmutz estimée 35.000 francs, total 40.780
Passif 14.067, Reste à partager 26.713 francs
Daniel Schmutz reçoit la brasserie au Télégraphe

Les ayants droit de Philippe Jacques Bernhard passent un titre nouvel avec Daniel Schmutz

1849 (18.6.), Strasbourg 7 (105), Not. Reiss n° 1931
Titre nouvel – Ont comparu 1° Le Sieur Daniel Schmutz, célibataire, majeur, brasseur demeurant et domicilié à Strasbourg à la Krutenau quai des chevaux près du pont du Brochet n° 143
2° Dame Marie Madeleine Hackenschmidt, veuve du sieur Philippe Jacques Bernhard, en son vivant tisserand à Strasbourg elle y demeurant et domiciliée quai des bateliers N° 8, ladite Dame veuve Bernhard agissant ès présentes comme ayant été commune en biens avec son défunt époux et comme usufruitière de l’universalité de sa succession, aux termes de son testament olographe en date de Strasbourg du premier octobre 1837 (…), 3° et le sieur Daniel Bernhard, tisserand demeurant et domicilié en ladite ville, rue des Bouchers n° 13, agissant tant en son nom personnel que pour et au nom de ses autre frères et sœurs savoir (a) Frédéric Bernhard aussi tisserand de toile d’emballage demeurant et domicilié à Strasbourg rue de la Krutenau N° 133. (b) Charles Bernhard, militaire en retraite à la Martinique (possessions françaises des Petites antilles aux Indes occdentales), (c) Sophie Bernhard épouse du Sieur André Kieffer, Marchand de bois demeurant et domicilié rue de la Krutenau à Strasbourg, (d) Caroline Bernhard, épouse du sieur Jacques Weyer architecte demeurant et domicilié en ladite Ville près du pont Ste Catherine N° (-), (e) Et enfin Julie Bernhard épouse du sieur Auguste Kieffer Econome de l’hôpital civil de Strasbourg y demeurant, Lesdits Daniel, Frédéric, Charles, Sophie, Caroline et Julie Bernhard tous en qualité de seuls et uniques héritiers de leur père le sieur Jean Daniel Bernhard vivant tisserand à Strasbourg y décédé le 4 avril 1846, ainsi que ces qualités sont établies à l’intitulé de l’inventaire qui fut dressé sur sa succession par M° Lacombe notaire à Strasbourg le 12 mai 1840. Mondit sieur Jean Daniel Bernhard était lui-même seul et unique héritier de son frère ledit sieur Philippe Jacques Bernhard ainsi qu’il résulte de l’intutulé de l’inventaire de la succession de ce dernier dressé par ledit notaire Boersch le 24 juin 1839, tous deux d’autre part
Lesquels pour arriver au titre nouvel objet des présentes ont dit et exposé ce qui suit.
Par acte passé devant M° Frédéric Schreider alors notaire à Strasbourg et son collègue le 12 octobre 1827 enregistre i inscrit au bureau de la conservation des hypothèques de Strasbourg le 2 juin 1840 volume 328 n° 48 (…) Mr Louis Antoine Guillaume Moutier cidevant conseiller auditeur à la cour d’appel (cidevant royale) de Colmar, actuellement juge au tribunal civil séant à Strasbourg, y demeurant, a cédé et transporté au Sieur Philippe Jacques Bernhard susnommé un capital de 4000 francs qui était alors dû par Dame Marie Madeleine Graff épouse du sieur Jean Schmutz, pêcheur vivant conjoints domiciliés à Strasbourg, père et mère de M. le comparant en qualité de détenteur d’une Maison brasserie avec tous ses droits, appartenances & dépendances portant pour enseigne le Télégraphe sise à Strasbourg à la Krutenau quai des chevaux près du pont du brochet N° 143. consistant en deux corps de logis, attenant l’un à l’autre avec maison de derrière, cour et puits, tenant d’un côté à la propriété du sieur Füllhardt, boulanger, de l’autre à celle de Mr Nesberschnée, par devant le quai aux chevaux & parderrière le jardin de M. Fritz. Laquelle maison Madame Schmutz a acquis suivant contrat de vente sous signature privée daté de Strasbourg le 22 février 1827 enregistré à Strasbourg le 22 mai suivant folio 12 recto (…) déposé en l’Etude de M° Hatt alors notaire à Strasbourg qui en a dressé acte et un collègue le 6 juin 1827.
Ladite somme de 4000 francs reposant par privilège sur ladite Maison-brasserie sus désignées (…) Ledit capital était primitivement dû par Dame Marie Barbe Pick, veuve du Sr Jean Chrétien Strohl, brasseur demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé à la cidevant Chambre des contrats de Strasbourg en date du 8 avril 1780 et ensuite par le Sr Georges Guillaume Graff brasseur et Dame Anne Roth conjoints domiciliés à Strasbourg père et mère de la Dame Schmutz née Graff susnommée suivant contrat de vente et délégation passé devant M° Stoeber père vivant notaire à Strasbourg le 13 juin 1811. M. Moutier est devenu propriétaire dudit Capital de 4000 francs comme l’ayant hérité dans la succession de feue sa mère Dame Marie Antoinette née Weinborn veuve de M. Guillaume Louis Jean Moutier aide de camp du Général Montchoisi en Italie, de laquelle Dame Mr Moutier était habiles à se dire seul et unique enfant et héritier. La Dame Moutier est elle-même devenue propriétaire du même Capital aux termes d’un acte de Cession reçu M° Zimmer père alors notaire à Strasbourg le 4 mai 1807. Dans cet état de choses, la Dame veuve Bernhard et le sieur Daniel Bernhard pour interrompre la prescription ont requis le sieur Daniel Schmutz en sa qualité de détenteur actuel de la maison susdésignée de leur passer un titre nouvel dudit capital

Daniel Schmutz hypothèque la brasserie et des constructions qu’il fait édifier au ban de Schiltigheim au profit d’Ursule Hortense Delorme veuve du baron Maximilien Joseph de Schauenburg et de Sophie Haussmann veuve d’Albert Bürck

1859 (10. Xbre), Strasbourg 9 (118), Not. Becker n° 8471
10 décembre 1859. Obligation – A comparu Daniel Schmutz, brasseur demeurant audit Strasbourg, lequel a par les présentes reconnu devoir bien et légitimement
1) A Madame Ursule Hortense Delorme veuve de M. le baron Maximilien Joseph de Schauenburg, en son vivant maréchal de camp, commandeur de la légion d’honneur et chevalier de différents autres ordres, ladite dame demeurant à Strasbourg, à ce présente et acceptant la somme principale de 6000 francs
2) Et à Mad. Sophie Haussmann veuve de Mr Albert Bürck en son vivant aubergiste ausdit Strasbourg où elle demeure, à ce présente et acceptant une pareille somme principale de 6000 francs
Hypothèque, les immeubles ci après désignés, savoir 1. Une maison brasserie portant pour enseigne le Télégraphe, sise à Strasbourg quai aux chevaux N° 7 précédemment N° 143, près du pont aux brochets. consistante en deux corps de logis, attenant l’un à l’autre, avec maison de derrière, cour et puits, tenant d’un côté à la propriété de M. Jean Jacques Fullhart de l’autre à celle de M. Nesberschnée, pardevant au quai des chevaux et par derrière au jardin Fritz.
2. Et un emplacement d’une contenance superficielle d’environ 21 ares 4 centiares y compris les caves, puits, hangard et autres bâtisses actuellement en construction ou qui y seront construites par la suite, le tout situé dans au ban de Schiltigheim canton dit Schlittweg et faisant partie des N° 672, 673, 674, 675 et 676 de la section C.bis (…)
3. Enfin tous les outils & ustensiles servant à l’exploitation dela brasserie et qui font partie des deux propriétés susdésignées comme étant immeubles par destination, notamment les chaudières, rafraîchissoirs, cuves, tonneaux, tables, bancs et autres objets semblables et de nature quelconque ayant la même destination.
Origine de la propriété. Au sujet de l’origine de la propriété desdits immeubles M Schmutz a fait les déclarations suivantes. L’immeuble formant l’article premier a été attribué au débiteur par un acte dressé par M° Zeyssolf notaire à Strasbourg le 29 janvier 1849 contenant liquidation et partage des successions de M. Jean Schmutz brasseur et Dame Madeleine Graff son épouse demeurant en leur vivant à Strasbourg, ses père et mère. Ce partage a été fait sans observer les formalités judiciaires quoique deux mineurs, la Dlle Caroline Schmutz et le sieur Frédéric Charles Schmutz, y fussesnt intéressés, mais ces mineurs, arrivés depuis à leur majorité, ont ratifiié de fait ledit acte ainsi que M. Schmutz s’oblige à en justifier. L’attribution dont s’agit a eu lieu à charge par l’abandonnataire de payer (…)
Feu Madame Schmutz était devenue propriétaire de l’immeuble en question de la manière suivante. un 10° lui en est échu dans la succession de sa mère Mad. Anne Roth épouse de M. Georges Guillaume Graff, brasseur demeurant à Strasbourg, dont elle était héritière pour un 5° ainsi qu’il est constaté par l’inventaire après le décès de ladite dame, dressé par M° Stoeber notaire à Strasbourg le 11 juillet 1814. Elle est devenue propriétaire des neuf 10° restants au moyen de la vente qui lui en a été faite par ses frères et sœurs et par son père, propriétaires de ce surplus, par acte sous seing privé en date du 22 février 1827, portant la mention enregistré à Strasbourg le 22 mai 1827 (…) dont un des originaux a été déposé pour minute à M° Hatt notaire à Strasbourg le 6 juin de la même année suivant acte dressé par ce notaire ledit jour 6 juin même année enregistré (…)
Enfin les époux Graff-Roth étaient devenus propriétaires de l’immeuble sont il s’agit pour l’avoir acquis de M. George Strohl brasseur demeurant à Strasbourg et de Mad. Marguerite Salomé Strohl demeurant en la même ville, épouse de M. Nicolas Gardien capitaine d’artillerie suivant contrat passé devant M° Stoeber notaire çà Strasbourg le 13 juin 1811 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 juin du même mois volume 61 numéro 46 avec inscription d’office. (…)
Pour ce qui concerne l’article deux des immeubles affectés ci-dessus (…) suivant contrat de vente passé devant ledit M° Becker le 4 octobre dernier (…)
Etat-civil du débiteur et situation hypothécaire. Le débiteur déclare sous les peines de la loi qu’il a dit bien connaître, 1) qu’il n’est point marié et ne l’a jamais été (…)

Daniel Schmutz meurt célibataire le 15 septembre 1862. Lors du partage, la brasserie au Télégraphe revient à Frédérique Caroline Schmutz, femme du tapissier Charles Ferdinand Vierschrodt, au prix d’estimation de 55 000 francs

1863 (14.1.), Strasbourg 10 (148), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.940
Liquidation et partage de la succession délaissée par Daniel Schmutz, brasseur à Strasbourg
Ont comparu 1° M. Daniel Frédéric Schmutz, éclusier au Canal du Rhin demeurant et domicilié hors la porte d’Austerlitz banlieue de Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’au nom et comme mandataire de M. Jean Jacques Schmutz, ouvrier menuisier soldat au service de France, domicilié à Strasbourg (…), 2° Dlle Madeleine Schmutz, en jouissance de ses droits demeurant et domiciliée à Strasbourg, 3° M. Jean Schmutz pêcheur demeurant et domicilié en la même ville, 4° De Frédérique Caroline Schmutz épouse autorisée de M. Charles Ferdinand Vierschrodt, tapissier ci présent demeurant ensemble et domiciliés en la même ville, 5° M. Frédéric Charles Schmutz, confiseur demeurant et domicilié à Strasbourg, les quatre derniers comparants agissant en leurs noms personnels. Lesquels comparants ès noms qu’ils agissent ont déclaré que M. Daniel Schmutz, brasseur, non marié est décédé à Strasbourg en sa demeure le 15 septembre 1862 laissant pour seuls héritiers habiles à lui succéder chacun pour un 6° ses frères et sœurs germains Mr Daniel Frédéric Schmutz, Madlle Madeleine Schmutz, M. Jean Schmutz, M. Jean Jacques Schmutz la D° Vierschrodt et M. Frédéric Charles Schmutz tous susnommés.
Que désirant sortir de l’indivision qui reste entre eux relativement à cette succession, les comparants ont requis M° Zimmer notaire soussigné de procéder sur leurs déclarations et indications à la liquidation et au partage des biens meubles et immeubles délaissés par le défunt

Immeubles. IV. Maison brasserie. Une maison brasserie portant pour enseigne le Télégraphe, sise à Strasbourg quai aux chevaux N° 7 précédemment N° 143, près du pont aux brochets. Cette maison consiste en deux corps de logis, attenant l’un à l’autre avec maison de derrière, cour et puits, tenant d’un côté à la propriété de M. Jean Jacques Fullhardt de l’autre à M. Nesberschnée, pardevant au quai des chevaux et par derrière au jardin Fritz.
Font partie de cet immeuble les chaudières, le rafraîchissoir et tous les objets quelconques à demeure fixe et servant à la brasserie, les poeles murés et non murés se trouvant dans la maison avec leurs tuyaux et pierres. Le tout estimé par les parties à la somme de 55.000 francs
Etablissement de la propriété. Le défunt est devenu propriétaire du dit immeuble pour lui avoir été attribué par l’acte de liquidation et partage des successions de ses père et mère M. Jean Schmutz, brasseur, et Dame Marie Madeleine Graff conjoints décédés à Strasbourg, cet acte dressé par M° Zeyssolff alors notaire en cette ville le 29 janvier 1849. (…) Quant à l’établissement de la propriété antérieure de ladite maison brasserie il se trouve amplement consigné dans l’acte de Liquidation et partage précité auquel les parties déclarent se référer à cet égard.
V. Cave dans la banlieuee de Schiltigheim. Une cave à bière avec hangard, puits, autres constructions, appartenances et dépendances le tout d’une contenance superficielle de 21 ares 4 centiares situé dans la banlieue de Schiltigheim canton dit Schlittweg et faisant partie des N° 672, 673, 674, 675 et 676 (…) Cet immeuble est estimé par les parties à 25.000 francs
Fixation des droits des héritiers, décomptes et abandonnements.
V. La dame Vierschrodt née Schmutz, 4° La maison brasserie portant pour enseigne la télégraphe sise à Strasbourg quai aux chevaux N° 7, telle qu’elle se trouve désignée sous la rubrique VI de la masse active de la succession au prix d’estimation de 55.000 francs
5° La cave à bière avec hangard, puits, appartenances et dépendances située dans la banlieue de Schiltigheim lieu dit Schlittweg telle qu’elle se trouve désignée sous la rubrique VII de la même masse au prix d’estimation de 25.000 francs
acp 518 (3 Q 30 233) f° 9-v du 17.1. (succession déclarée le 12 mars 1863) Succession. Masse active. 1) mobilier 2994, 2) mobilier 195, 3) mobilier 690, 4) garde robe 19, 5) provisions, tonneaux et objets de brasserie 9611, 6) créance Contet 489, 7) créance Fischer 628, 8) créance Jaminet 711, 9) autre 303, 10) extances 120, total mobilier 15.762
Immeubles, maison 55.000, cave 25.000, total 95.762
Masse passive 37.109, reste 58.651 francs

Fils de drapier, le tapissier Charles Ferdinand Vierschrodt épouse en 1857 Frédérique Caroline Schmutz
1857 (3.8.), Strasbourg 10 (134), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.143
Contrat de mariage du 3 avril 1857 – Ont comparu M. Charles Ferdinand Vierschrodt, ouvrier tapissier demeurant et domicilié à Strasbourg, fils, né le premier avril 1828 en ladite vlle, du légitime mariage du Sr Ferdinand Vierschrodt,drapier, & D° Anne Marie Werck, conjoints demeurant et domiciliés à Strasbourg futur époux d’une part
Et Dlle Frédérique Caroline Schmutz, sans état, en jouissance de ses droits, fille née en ladite Ville le 16 juin1829 du légitime mariage du Sr Jean Schmutz, brasseur, & de D° Marie Madeleine Graff vivants conjoints à Strasbourg
acp 462 (3 Q 30 177) f° 23 du 4.8. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Le survivant aura en outre l’usufruit de la moitié des biens de la communauté
Le futur époux ne stipule aucun apport
Les apports de la future épouse consistent 1) mobilier estimé 1573, 2) créances 6215, 3) 74 francs de rentes 4 ½
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession, réductible à moitié en cas d’enfants issus du futur mariage

Charles Ferdinand Vierschrodt meurt en 1866 en délaissant trois enfants.

1866 (14.6.), Strasbourg 10 (156), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.645
Inventaire 1° de la communauté de biens qui a existé entre Charles Ferdinand Vierschrodt, brasseur à Strasbourg & Dame Frédérique Caroline Schmutz, sa veuve survivante, 2° de la succession de M. Vierschrodt qui est décédé en cette ville le 16 mars 1866
L’an 1866 le jeudi 14 juin à neuf heures du matin, à la requête de Dame Frédérique Caroline Schmutz, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Charles Frédéric Vierschrodt, en son vivant brasseur en cette ville agissant I. en son nom personnel a) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts & partageable par moitié qui a existé entre elle et son défunt mari, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer, notaire ci-après nommé, le 3 août 1857, b) à cause des reprises en derniers qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés pendant le mariage et des reprises en nature des biens pour encore existants, c) à cause des avantages matrimoniaux résultant à son profit du même contrat, d) & comme usufruitière légale des biens de ses enfants mineurs ci après nommés jusqu’à leur 18° année ou leur émanipation
II. au nom et comme tutrice légale de 1° Frédérique Caroline Vierschrodt née le 25 mai 1858, 2° Sophie Henriette Vierschrodt, née le 20 juin 1861, 3° Madeleine Sophie Vierschrodt, née le 9 octobre 1865, ses enfants mineurs issus de son mariage avec sondit mari défunt dont ils sont habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un tiers. En présence de M. Gustave Henri Eyrich, pelletier, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des trois mineurs
(…) décédé en sa demeure quai aux chevaux n° 7 le 16 mars 1866.

Immeubles propres. 1° Une maison-brasserie portant pour enseigne le Télégraphe, sise à Strasbourg quai aux chevaux N° 7 autrefois N° 143 près du Pont aux brochets
2° Une cave à bière avec hangard, puits autres constructions appartenances & dépendances le tout d’une contenance superficielle de 21 ares 4 ca situé dans la banlieue de Schiltigheim canton dit Schlittweg & faisant partie des N° 672, 673, 674, 675 & 676 de la section C.bis
Les deux immeubles ont été abandonnés à Mad. veuve Vierschrodt par l’acte de liquidation & partage de la succession de M. Daniel Schmutz, son père, en date du 14 janvier 1853 sus relaté aux termes duquel la veuve a été chargée de payer la passif indiqué ci après sous l’article 2 lettres a à g inclusivement
Balance. Actif de la communauté 25.492, passif 8719, reste 16.775
acp 555 (3 Q 30 270) f° 10 du 23.6. (succession déclarée le 25 juin 1866)
Communauté, mobilier estimé 9052, mobilier à Schiltigheim 5354, indemnité due par la veuve 10.483, argent 400 – Passif 8716 francs
garde robe 208



6, rue de la Lie


Rue de la Lie n° 6 – VII 305 (Blondel), P 1097 puis section 13 parcelle 58 (cadastre)

Démolie, 1934

1725, Epine 9-Lie 8
Plan-relief de 1725 (© Musée historique) – A l’avant la rue de l’Epine, à l’arrière la rue de la Lie. Le futur numéro 6 est le bâtiment de gauche en U
Rue de la Lie, vers 1930. Le n° 6 est au premier plan à droite (AMS, cote1 Fi 27 n° 31 et coll. part.)

Le receveur Jean Edmond Reisseissen doit un cens à la Ville pour une cheminée sur le communal (1587, Livre des communaux). Ses héritiers vendent la maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière en 1608 à l’orfèvre Louis Grünwald qui la lègue à diverses fondations. Elle est louée à partir de 1675 aux marchands Jean Philippe et Jean Georges Mengès, frères du propriétaire. Le marchand Jean Joachim Haubenstricker en est propriétaire de 1703 à sa mort. Il passe en 1704 avec son voisin au sud (bains de la Lie) une convention d’après laquelle il est autorisé à conserver deux fenêtres grillagées qu’il a ouvertes vers la propriété de son voisin. La description de 1742 correspond au plan-relief : bâtiment avant, deux ailes qui le relient au bâtiment arrière dont le rez-de-chaussée sert d’entrepôt de marchandises. L’enquête de 1907 date le bâtiment du XVII° siècle, la galerie dans la cour des XVII°-XVIII° siècles. L’avocat Jean Gaspard Holtzapffel qui l’achète en 1768 y loue des logements et des entrepôts.

168 Elévations n-r-(s)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 168 et cour K (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (r) : porte suivie d’une porte cochère puis deux fenêtres, trois fenêtres au premier étage, toiture à un niveau de lucarnes. La cour K montre l’arrière (1-4) du bâtiment sur rue, le côté nord (1-2, remise puis bâtiment), le bâtiment (2-3) au fond de la cour puis le côté sud (3-4) à deux niveaux de galeries.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 6.


Rez-de-chaussée et étage des différents bâtiments
Elévation et coupe du bâtiment arrière (1917, dossier de la Police du Bâtiment)

Théodore Holtzapffel vend en 1847 les bâtiments au menuisier Jean Louis Stangel qui y fait l’année suivante des transformations qui en portent le revenu de 72 à 100 francs et le nombre de fenêtres de 13 à 40 ; les plans de 1917 montrent que les bâtiments arrière ne sont plus les mêmes qu’en 1830. Son héritier testamentaire Joseph Sambstag vend à la Ville la propriété qui se trouve sur le tracé de la Grande Percée. La Ville loue différents ateliers. Elle remet le bâtiment arrière en état en 1916 après un incendie. La maison est habitée jusqu’en 1933.

mars 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1604 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Edmond Reisseissen, receveur de la Chartreuse, et (1567) Catherine Meyer – luthériens
1608 v Louis Grünwald, orfèvre, et (1589) Ursule Zeyssolff – luthériens
1629 h fondation Saint-Marc, Orphelinat, collège Saint-Guillaume et tribu à l’Echasse
1665 v Jean Decimator, marchand, et (1662) Elisabeth Schæffer veuve de Menges Georges – luthériens
1675 h Jean Decimator, marchand, et (1692) Salomé Ahlenschlager veuve du marchand Isaac Kummerell, puis (1699) Agnès Bresler, remariée (1707) à Jean Deucher – luthériens
1709 v Jean Joachim Haubenstricker, marchand de vins, et (1703) Marguerite Reichelt – luthériens
1768 v Jean Gaspard Holtzapffel, avocat, et (1762) Marguerite Barbe Papelier, remariée (1795) avec le banquier Thomas Wachter – luthériens
1800* h Jean Frédéric Holtzapffel, marchand, et (1793) Chrétienne Cléophée Walther
1830 h Théodore Holtzapffel, négociant, et (1823) Hélène Eléonore Jacobée Thomassin puis (1843) Caroline Henriette Elisabeth Serard
1847 v Jean Louis Stangel, menuisier, célibataire († 1861)
1861 h Joseph Sambstag, tisserand puis comptable, et (1859) Marie Anne Sitter
1907* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1678, 1 500 livres en 1742 et en 1788

(1765, Liste Blondel) VII 305, la veuve du Sr Haubenstreit
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Holtzapffel, 6 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1097, Holtzapfel, (Egide Théodore) fils négociant – magasin, sol – 3,15 ares

Locations

1679, Jean Georges Menges
1691, Jean Philippe Menges, marchand, célibataire († 1691)
1704, Isaac Braconnier, bailli de Bouscheid et Kourtzerode
1714, Jacqueline Roth, fille de l’ancien chef au chantier des Maçons Jean Adam Roth
1811, François Barenne Faurés, négociant en vins à Mas d’Agenois

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 222
La maison appartient à Jean Edmond Reisseissen qui doit 1 sol pour une cheminée de 3 pieds ½ de long et 9 pouces en saillie

Trußengaß Anderseit gegen der Schloßergaß wider hienauff
Johann Egmund Reißeisen der Zeitt Schaffner der Cartheuser alhier, hatt ein hauß vff diser seÿtten Im Trusengaëßlin daran ein Vßgestossen Kemmat, so iii+ schu lang, Vnd ix Zoll herauß, Bessert &, j ß d.

Description de la maison

  • 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, chambre, cuisine, petit cabinet pour officier, vestibule, cave voûtée, puits dans la cour, au premier étage poêle, chambre, cuisine vestibule, sous le vieux comble deux chambres, greniers dallés. A droite et à gauche un passage, à l’arrière sur la gauche un poêle, le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un entrepôt de marchandises, une cave voûtée, à l’étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule, sous le vieux comble deux chambres, le toit est couvert pour moitié de tuiles creuses, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 3 000 florins
  • 1788 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, deux cuisines, chambres, entrepôts et écuries, le comble est couvert de tuiles plates, les deux caves sont voûtées, le tout estimé avec la cour, le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 3000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue de la Lie

nouveau N° / ancien N° : 7 / 4
Holtzapfel
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 386 case 3

Holtzapfel Egide Théodore fis du négociant
Stangel Jean Louis, menuisier rue du bœuf N° 5 (subst. p. 1849)

P 1097, maison, sol, Rue de la Lie 4
Contenance : 3,15
Revenu total : 73,64 (72 et 1,64)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolition
Année d’entrée :
Année de sortie : 1851
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 13 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus :
1851. Augmentations – Stangel, Jean Louis f° 386, P 1097, Maison, revenu 100, augment. terminée 1848, imposable 1851, imposée 1851
Diminutions – Stangel, Jean Louis f° 386, P 1097, Maison, revenu 72, agrand. démoli 1851

P 1097, maison, Rue de la Lie 4
Contenance : 3,15
Revenu total : 101,64 (100 et 1,64)
Folio de provenance : N.C.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1851
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 40 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 368 case 2

Stangel Jean Louis, menuisier
1876 Samstag Joseph zu Boersch bei Rosheim

P 1097, maison, sol, Rue de la Lie 6
Contenance : 3,15
Revenu total : 101,64 (100 et 1,64)
Folio de provenance : (386)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 40
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 152 case 4

Parcelle, section 13, n° 58 – autrefois P 1097 / 1916
Canton : Drusengasse N° 6
Désignation : Hf, Whs u. Wst
Contenance : 3,53
Revenu : 1400 – 1700
Remarques : 1936 d. c. 6

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 1033
Sambstag Joseph
gelöscht 1908

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 242 Rue de la Lie (p. 393)

Loc. Schoettel, Michel, relieur – Echasses
Loc. Strub, J. Georges, cocher ch. M. Pape. – Pelletier

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Drusengasse (Seite 28)

(Haus Nr.) 6
Heinrich, Stuhl- u. Sesselschreinerei. 0
Samstag, Buchhalter. E 1
Schwarz, Fuhrmann. 2
Holzapfel, Wwe. H 1
Heisserer, Diener, H 2

Les annuaires montrent que les locataires sont moins nombreux en 1933 qu’en 1932. La rue est inhabitée l’année suivante.

Annuaire d’adresses 1932, p. 179 (i 100)
Rue de la Lie, 6, Ville de Strasbourg
Denny Ch. journ.
Heinrich J.-B., fabt de chaises
Holzapfel Vve
Meister Jacq. journ.
Schwartz, Vve.

Annuaire d’adresses 1933, p. 180 (i 103)
Rue de la Lie, 6, Ville de Strasbourg
Heinrich J.-B., fabt de chaises
Meister Jacq. journ.
Schwartz, Vve.

Annuaire d’adresses 1934, p. 215 (i 134)
Rue de la Lie (inhabitée)

Grille d’enquête (113 MW 999), n° 98

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Drusengasse 6 [Maison :] 6, rue de la Lie

a) Geschichtliches : In Verbindung mit Schlossergasse N° 14 [Historique, voir 14, rue des Serruriers]

b) Zeitbestimmung : 17. Jh. später verbaut [Epoque, XVII° siècle, remaniée ensuite]

I. Das Äussere [Extérieur]

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 1. Grundrissanlage, Zwei Flügelbauten, durch Holztreppe des 18. Jh. mit einander verbunden
    [Disposition générale] deux ailes reliées par un escalier en bois, XVIII° siècle
  • 5. Galerie auf dem Hofe, Holzgalerie mit Kopfträger an den Ständern, Forme des 17. u. 18. Jh.
    [Galerie sur cour] Galerie en bois dont le haut des montants comportent des supports dans le style des XVII° et XVIII° siècles
  • 7. Treppenhaus, Eichenholztreppe mit Barock-Docken, Podesttreppe
    [Cage d’escalier] cage d’escalier en chêne à balustres baroques, escalier à paliers
  • 8. Treppengeländer, Teilweise einfache Bretter-Docken, barock
    [Balustrades d’escalier] Simples balustres en planches à certains endroits
  • 25. Türbeschläge, Tür im II. Sbg. Türdrucker Form des 17. Jh mit ein ornamentistem Blech *

    [Ferrures de porte] Porte dans le deuxième bâtiment latéral ( ?), style XVII° siècle

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 230 MW 133)

Rue de la Lie 6 (1883-1920)

L’architecte municipal Nebelung fait en 1884 des propositions pour que les eaux usées s’écoulent vers la rue au lieu de s’accumuler dans la cour de la propriété Sambstag. Le fabricant de sacs Guillaume Rosenfelder installe en 1916 un moteur dans son atelier. La Ville, propriétaire des lieux, remet le bâtiment arrière en état en 1916 après un incendie (le premier étage sert d’atelier, le rez-de-chaussée et le deuxième étage d’entrepôt).
Mme Halter est autorisée en 1920 à continuer d’exploiter son commerce de bois et charbons.

Sommaire
  • 1883 (13 novembre) – L’agent de police Weller rapporte que la fosse d’aisance est recouverte non d’une plaque en pierre mais d’une trappe sur laquelle passent les locataires pour arriver à leur logement. Le propriétaire de la maison est Joseph Samstag, habitant à « Berst » près de Rosheim. Le commissaire de police transmet au maire.
    (17 Novembre) – L’architecte municipal Nebelung note que la fosse est recouverte d’une plaque métallique
  • 1884 – L’agent de police Habel rapporte qu’on pose un nouveau pavé dans la cour du n° 6, propriété Sambstag
    L’architecte municipal Nebelung fait des propositions pour que les eaux usées s’écoulent vers la rue au lieu de s’accumuler dans la cour.
  • 1888 – Le comptable Joseph Sambstag demande un délai pour ravaler la façade. L’agent municipal note que la maison a une valeur de 30.111 marks et produit un revenu locatif de 1300 marks. – Travaux terminés, octobre 1888.
  • 1983 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Rapp et fils l’autorisation de faire une prise pour environ 30 becs – Autorisation
  • 1895 – Le maire notifie le sieur Streisser de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence deux volets et une porte de cave. – Rappel, 1898 – Les volets sont réglementaires mais pas la porte de cave, mai 1899 – La porte de cave est modifiée, octobre 1900.
  • 1902 – Le maire notifie Joseph Samstag (demeurant 6, rue du Faubourg de Pierre) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1902
  • 1905 – Le cordonnier Pie Neff demande l’autorisation de poser une petite enseigne perpendiculaire. Elle se trouve à 3,30 mètres de haut et fait une saillie de 45 centimètres – Le maire répond que la saillie ne devra pas dépasser 25 centimètres. – Pie Neff remplace l’enseigne perpendiculaire par une enseigne plate au-dessus de la porte.
  • Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Samstag, demeurant sur place. – 1905, remarques en 3 points – 1907, remarques en 5 points
    Commission des logements militaires. Remarques en 27 points. Le maire fait remarquer que certains travaux sont superflus dans des bâtiments voués à la démolition
  • 1908 – Le maire notifie les services municipaux de faire ravaler la façade
  • 1916 – Guillaume Rosenfelder (vente de sacs) demande à la Police du Bâtiment si comme le prétend la police une autorisation est nécessaire pour installer un petit moteur électrique sans transmission (croquis) – La Police du Bâtiment transmet à l’inspection du travail qui demande copie de l’autorisation municipale – Autorisation. Plan de la parcelle – L’installation est réglementaire, décembre 1916.
  • 1916 – Un incendie a endommagé l’atelier de menuiserie Maurer dans le bâtiment arrière. Comme l’immeuble appartient à la Ville et devra être démoli, la Police du Bâtiment propose de démolir immédiatement le bâtiment endommagé.
    Le rez-de-chaussée et le deuxième étage servent d’entrepôt, seul le premier d’atelier. La Division V-a propose de remettre les lieux en état. – Les transformations sont terminées, janvier 1917 – Dessins (plan du rez-de-chaussée et de l’étage, élévation, coupes, plan de situation)
  • 1919 – La Police du Bâtiment constate que Guillaume Rosenfelder a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire non réglementaire. Rosenfelder argue que le haut de l’enseigne touche le réverbère et qu’aucune voiture chargée ne viendra la heurter. L’enseigne perpendiculaire est remplacée par une enseigne plate.
  • 1920 – Mme Halter demande l’autorisation de continuer à exploiter son commerce de bois et charbons – Le commissaire de police prend un arrêté qui autorise Mme Halter à entreposer 1500 kg de bois et 1500 kg de charbon dans l’immeuble sis 6, rue de la Lie.

Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom d’Edmond Reisseissen.
Edmond Reisseissen épouse en 1567 Catherine Meyer, fille du receveur de la Chartreuse Conrad Meyer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 288, n° 1039)
1567. Dominca quarta. Johann Egmund Reisseisen, Jungfraw Catharina Meierin Conrad* Meier des Cartheusser Schaffners dochter. Sind Zu Kirchen gangen Zinstag nach weihenachten (i 297)

Receveur de la Chartreuse, Edmond Reisseissen et sa femme Catherine Meyer font leur testament alors que le mari est malade. Ils instituent pour héritiers leurs cinq fils vivants et leur petit-fils issu de Jean Jacques Reisseissen.
1604 (28. Julÿ), Not. Strintz (Daniel, 58 not 59) N° 75
Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 61, I) fol. 22
Testamentum nuncupativum Herrn Johann Egmundt Reÿß Isins Schaffners In der Carthauß vnnd Frauwen Catharinen Meÿgerin beeder Ehegemächt
1604 (…) vff Sambstag d. 28. Julÿ Zwüsch. sechß vnd siben Vhren nachmittags (…) persönlich erschÿnen seindt die Ehrengeachte vnd fürnehme Herr Johann Egmundt Reichß Isinn Cartheüser schaffners vnd die Ehren vnd Tugendreiche Fraw Catharina Meÿerin beed. Ehegemächdt vnd burgere Zu Straßburg, Er herr Johann Egmundt Rÿß Isinn leibs Kranckheit halbenn In einem nacht** Angethan vff einem seßell sitzendt sie frau Catharina Aber gesundes gendeß vnd stendeß leibß beede gutter bestendiger sinnen vnd vernunfft (…)
Zum dritten Demnach nuhn die beeden Testirenden ehegemächt nuhn eine lange Zeÿtt, Nemblich über die dreisig siben Jar mitt einander In ehelichem stande gelebet, einander Allen ehelichen willen trew vnd liebe bewissen wie auch In vfferziehung Ihrer Kinder vÿl mühe vnd arbeÿt Außgestanden (…)
Zum Vierdten Zeÿgtten sie testirerer Ane Nach deme sie nach göttlich schickung Inn werendem Ehestand vom lieben Gott mitt Kindern versehen und begabt word. daran dann noch fünff vnd vier Enckell Inn leben, daraund. aber Zween söhne mitt nahmen Hannß Carle vnd hannß Reinhard verheurathet Auch Jeder ein Heürath gutt empfangen (…)
Zum Fünfften, dieweÿl die einsatzung vnd benennung der erben einß Jedenn Testaments fundtament vnd weßentlich haupthstück Ist auch ihne dieselbig kein Testament bestandt. habenn Kan, So ernennen Setzenn vnd bestimmen mehrgenante testirer Zu Iren vngezweiffeltten vnd rechten testaments erben Ihre liebe Söhn vnd Enckel Mitt Nahmen Hannß Conrad, Hannß Carle, Hannß Reinhard, Johannes, Hanß Ernst, Ihre söhnen vnd dann Phillipß Jacoben Ihren enckell Ihreß Sohns weÿlandt Doctoris Johannis Jacobi Reiß Isins selig. nachgelaßenen sohn, In alle Ihre Verlaßenschafft so sie nach geendetem usufructù vnd verglichenen

Héritiers d’Edmond Reisseissen et de Catherine Meyer, Jean Reisseissen, Jean Ernest Reisseissen demeurant à Ulm et le fils issu de Jean Jacques Reisseissen et de Jacqueline Mußinger remariée à François Graseck, vendent à l’orfèvre Louis Grünwald et à sa femme Ursule Zeyssolff la maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière moyennant 750 livres

1608 (15. octob.), Chancellerie, vol. 377 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 68
Khauffverschreibung h Ludwig Grünwalden vber ein Behausung In Trusengassen
(Extendiert in lib. Contract huius Anni fol. 93.)
Erschienen Johann Rÿßeÿßen vnd Frantz Graseckh beide für sich selbs, deßgleÿchen d. Johann Näff deß Kleinen Rhats Schreiner alß vogt Hans Ernst Reÿßeÿsen Jetzmals Zu Ulm, vnd dann herr Joseph Junth Stattschreiber alß vogt Philip Jacob w. h. Johann Jacob Reÿßeÿsens Fr Jacoben Müßingerin obberürts Frantz Graseck. Jetzig. haußfr. erzeilt. Sohns, alls erben weiland herr Egimondt Reÿßeÿsen des Charthausen Schaffners und Fr. Catharin Meÿerin beid. Irer eltter
haben in gegenwertigkheit Hannß Ludwig Grünwald. des Goldschmidts (verkaufft) ihme vnd Fr. Ursule Zeÿßolffin seiner ehelich. haußfr. mit beÿstand herrn Wolff Grünwaldt XV.ers seines brud.s und hrn Philipp Krench* der Ellend. Herberg Schaffner sein Schwager
Ein vorder vnd hinder Behausung vnd hoff mit Iren hoffstätt auch all andern gebewen begriffen weit Recht vnd gerechtigkeit geleg. alhie Im Drusen gaß, nah einer gemeinen badstub. d. Trusenbad gnt. die ein vnd anderseit neb. Claus Thoman dem Weinhändler, hind. vff Geörg Krackhern den Beck. Zum pfawen vnd Zum theil Bernhard Brand. stoßend so frey ledig vnd eig. (…) der Khauff gesch. vnd Zugang für vnd vmb 750. lb. d.
Chancellerie, vol. 374 (Gemein Contract Buch) f° 93

Louis Grünwald épouse en 1589 Ursule Zeyssolff, fille du receveur de Sainte-Marguerite Christophe Zeyssolff
Mariage, cathédrale (luth. f° 153-v)
1589. Ludwig Grünwald, vnd Ursula Christoph Zeißolphs des Schaffners Zu S Margreth tochter (…) eingesegnet Zinstags den 14. Januarÿ (i 80)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un attribuent à Louis Grünwald, assesseur des XXI, les fonctions qu’occupait l’ancien consul Frédéric Held qui en a été déchu
1620, Conseillers et XXI (1 R 102)
H Ludwig Grienwaldt XXI, Friderich Heldt seiner Ehren entsetzt. 346.
(f° 346) Mittwoch den XIII Decemb. – Reg. H. Amr. meldt d. mhrn sich Zuerinnern auf was ursachen H Friderich Heldten alten Amr. von einem Ers. Rhatt befohlen seine Ehern Ämpter zu resigniren, der er aber bisher verzogen u nit thun wollen. Also hab ein Ers. Rhatt gestern d. geschefft wid. für handtgewohnt und erkant d. er ipso facto seiner ehren sitz soll entsetzt werden auch ein decret sub sigillo gestern durch Hausen dem Rhattbott. zugeschickt. Und dan die ordnung vermög d. man in 3 tag einen andern kiesen soll damit wil morgen deßweg. mhern mnste* bekummert werden hab er heut verrichten wollen u hatt d. $ff die ordnung d. wahl abzulosen u umbgefragt ob Jemandt gebetten od. angesprochen.
Erk. H Ludwig Grienwaldt der auch die ordnung geschworen hatt.

Louis Grünwald est nommé administrateur du béguinage dit d’Offenbourg
1606 XV (2 R 34) Ludwig Grünwwalt. 118.
1632 Conseillers et XXI (1 R 114) Ludwig Grienwaldt würdt Pfleger d. Samlung Zum Offenburg. 86.
1633 XV (2 R 59) H. Ludwig Grünwald XXI.er. 318. 330. [schöffen geschäfft]

Héritiers testamentaires par fidéicommis de Louis Grünwald et d’Ursule Zeyssolff, la fondation Saint-Marc, l’Orphelinat, le collège Saint-Guillaume et la tribu à l’Echasse délivrent à Jean Adolphe Grünwald le legs des défunts d’après leur testament reçu par le notaire Georges Jæger le 30 juillet 1629.

1645 (27. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 54-v
Erschienen Herr Georg Rehm, herr Johann Valentin Storck Vnd H Achior Baltz alß Schaffnere der Stiffter Zur S. Marx, deß Waisenhaußes Und Zu S. Wilhelm, so dann Herr Jacob Baur XXI.er innahmen E.E. Zunfft Zur Steltzen, alle Vier, alß von weÿl. Herrn Ludwig Grüenwalden XXI.ers Vnd Fr. Ursula Zeißolffin, beede ehegemächdten see: per fidei commissum substituirte Testaments Erben
haben in gegensein H Johann Adolph Grüenwalden Burgers Zu Straßburg, bekannt, demnach Vorermeldts beede Eheleuth ihme herrn hannß Adolph Grüenwalden ihrem Vettern, in ihrem, durch herrn Georg Jägern den Notarium, am 30. Julÿ Anno 1629. vffgerichteten Testamento nuncupativo reciproco Vnder andern legatis auch 100. fl. a 15. batzen legirt vnd v.schafft
in solutum Vnd ahne bezahlung cedirt Vnnd Vbergeben, benantlichen 100. fl. a 15. bz. Von Vnd ahne 740. fl. mehrern Summen, so Er herr Grüenwaldt der legatarius selbsten vff seiner behaußung Zum rothen löwen gent. alhie am Fischmarckt, neben hannß Balthasar Spießen huetstaffierers see. Erben, anderseit Sebaldt Nähers see. Erben, hind. vff den Vlmer graben stoßend geleg. Vermög Pergamentinen mit der Statt str. Contract Insigel becräftigt, durch H Jacobum Küglern den Notm. am 29. Aprilis Anno 1587. Vffgerichteten Brieffs schuldig, Und Jährlich. Vff Medardi mit 5 p. c° Zuverinteressiren Verbund.

Les héritiers testamentaires vendent la maison au marchand Jean Decimator moyennant 400 livres

1665 (7. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 623-v
Erschienen Herr Josias Städel der Buchführer im nahmen Herrn Ober: und Rhat Herren Schöffen und Gerichts E.E. Zunfft Zur Steltzen, Mehr herr Georg Rhem alß Schaffner deß Großen Gemeinen allmosens zue St Marx, Ferners Herr Johann Hartmann Wörtz alß Schaffner deß Waÿsenhaußes, So dann herr Johann Jacob Schütterle alß Schaffner deß Collegÿ Wilhelmitani
in gegensein herrn Johann Decimatoris deß handelßmanns
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit deren hoff, hoffstätten und allen übrigen ihren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhie im Trusen Gäßlein, einseit neben dem Truosen bad, anderseit neben H Lorentz Ahlenschlagern und H. Johann Bernharden beeden Gewerbßgemeinern, hinden uff die Schwartzbeckhen behaußung zum Pfawen genannt zum theil, und theils uff H. Paulum Ansorgen U.I. Ddum stoßend gelegen, welche Behaußung Von weÿl. herrn Ludwig Grünwaldten ein und Zwantzigern nunmehr seel. ahn obgedachte Zunfft und Stiffter per Vltiman Voluntatem eÿgenthümblich gelangt – geschehen umb 400 Pfund

Les experts estiment la maison à 600 livres lors de l’inventaire dressé en 1675 après la mort de Jean Decimator.

Compte que rend le marchand Isaac Kummerell, tuteur de Jean Decimator. Son demi-frère Jean Georges Menges est locataire de la maison rue de la Lie

1679, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 1) n° 4
Rechnung Mein Isaac Kummerells, Handelßmanns undt Burgers zu Straßburg, alß Johannis Decimatoris, Weÿl. Herrn Johann Decimators, auch geweßenen handelßmanns mit Frawen Elisabetha gebohrner Schäfferin, beeden Eheleuthn und burgere alhier zu Straßburg nunmehr seel. ehelich erziehlten und hinderlaßenen Sohns, geordnet und geschworenen Vogts, über alles das jenige, was Ich vom 27.ten Octobris des 1675.sten Jahrs, alß da Ich dieße Vogteÿ auffgeschwohren, biß den 31. Xbris 1679.sten Jahrs, wegen deßelben eingenommen hergegen wider außgegeben und sonsten in andere wege vögtlicher weiß verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ

Bericht gegenwärtiger Rechnung. Zuwißen seÿe hiemit, demnach Herr Johannes Decimator meines vogts Sohns vatter seel. den 6.ten Octobris Anno 1675. Frau Elisabetha Decimatorin gebohrne Schäfferin desselben geliebte Mutter seel. aber den 14.ten ejusdem Mensis et anni undt also 8. tag hernach auch Zeitlichen todes verblichen, daß darauffhin alß zuvorhero den 27.te, 8.bris gedacht Jahrs ich Zu dißer Vogteÿ gezog. word. und die formalia præstirt gehabt, vorgedacht meines Vogts Sohns Eltern seel. Verlaßenschafft in beÿsein darzu gehöriger Personen den 9. 9.br et seqq. diebus obgemelten 1675.sten Jahr ordentlichen inventirt auch darüber durch herrn Christoph Schüblern Notarium und E. E. Großen Rhats alten beÿsitzern Zweÿ gliechlautende Inventaria verfertiget (…)
Nachdeme aber Jfr. Elisabetha Mengeßin, meines Vogts sohns Mutterhalb. rechte Schwester den 20.ten Martÿ 1676. gleichfalls mit todt abgienge und Zu ihrem ab intestato Erben die Zween rechte brüder und meinen Curandum verließe, wurde den 4. Aprilis selbigen Jahrs dero Verlaßenschafft Inventation verrichtet durch mehr ehrenernadten Herrn Rathherrn Schüblern deßwegen ein Inventarium gebührend außgefertigt (…)
Außweißung d. Söhn Erster Ehe ererbten vätterlich Guths betreffend. Nach Inhalt meines Curandi special Theilbuch fol. 5. fac I.ma hat herrn Johann Philippo und Georgio Menges meines Vogts Sohns Mutter seel. beede Söhne in Erster Ehe mit weÿl. Herrn Georgio Mengus geweßenen vätterlich guth (…)
Corpus Meines Curandi Jährlich fallend. hauß und Kellerzinßes.
Erstich so gibt Herr Johann Philipp Menges, meines vogts Sohns halb brud von deßen ane dem Trueßengäßlein alhier gelegenen vorder vnd hinderhauß Jährlich auff weÿhenachten Anno 1679. Zum ersten mahl Zu Zinß 50 Rthl. thun 37 lb
Item so reicht derselbe ferner von dem under dem vordern hauß gelegen und vorhin ane H. Abraham hannß metzger Gastgeber Zur Blumen alhie hievor fol: (-) fac. (-) gezeigt maß. v.lühen Keller sampt darinn befindlich. vaßen Jahrs auff Martini und A° 1680 ersten mahls pro interesse 12 lb

Le marchand Jean Philippe Menges, l’un des deux fils issus du premier mariage d’Elisabeth Schæfer qui a épousé en secondes noces Jean Decimator, meurt dans la maison en 1691. L’actif de la succession s’élève à 8724 livres, le passif à 13.950 livres.

1691 (24. 8.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 29) n° 288
Inventarium und beschreibung aller d.jenig. Haab Nahrung u. Güth.e, so Weÿl. d. Wohl Ehren und Vorgeachte H Johann Philipp Menges, geweßener ledig. handelsmann u. burg. alhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 24.teg tag des Monaths 7.bris dießes lauffenden 1691. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlich. hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern u. begehren des Ehrenvest und Vorgeachte H. Georg Menges des ledig. Handelsmanns seines Vatter u. Mutterhalb eheleiblichen brud. mit beÿstand des Wohl Ehrenvest u: Vorgeachten H. Alberti Leÿdeckers auch handelsmanns u. burgs. alhie seines noch ohnentledigtenn Curatoris und dann des Ehren Vst und Vorgeachten H Johann Decimatoris des abgeleibten H. seel. halb. brud. mit assistentz des Wohl Ehren Vest und rechtsgelehrten H. Andreæ Schmidt Notarÿ Jurati Publici auch burg. alhier Zu Straßb. desselben geschwornenn Vogts, beed. des Verstorbenen H. seel. ab intestato hind.laßener H. Erben (…) Actum Straßb. d. 24. 8.bris 1691. – Protestatio

In einer in d. Statt Straßburg ane der Trueß. gaß gelegenen Herrn Johann Decimatori dem einen Mit Erben zuständig. behausung sich befunden worden wie volg
Ane Hültzen und Schreinwerckh. Auff dem Vordern Stock. Auff der obern bühnen. In der Wohnstuben. In der Stub Cammer, In d. Kuchen, Im Haußöhren, In der Cammer A, Im hindern hauß öhren, In der Stuben im hind. Stockh, In d Cammer B.
Hauß: und Güetter Zinß (…) Zu Weißenburg von dreÿen häußern (…) welche von weÿl. herrn Johann Decimatoirs geweßenen Handelßmanns und b. allhier des verstorbenen Herrn Stieff Vatters seel. herrühren
Abzug in hievor befindliches Inventarium, Sa. haußraths 152, Sa. Gewerbs Wahren 2175, Sa. Schiff und geschirr Zum Gewerdb gehörig 24, Sa. Gutsch 16, Sa. Schiff und geschirr Zum Fuhrwerck und Reutten gehörig 5, Sa. Früchten 2870, Sa. weins und lährer vaß 952, Sa. Pferds 35, Sa. haws 9. Sa. Silber geschirr und Geschmeids 41, Sa. Guldener Ring 11, Sa. baarschafft 1536, Sa. Pfenningzinß hauptguths 325, Sa. hauß; und Guether Zinß 80, Sa. Schuld 489, Summa summarum 8724 lb – Schulden 13.950 lb, Onus Passivorum 5225. lb
Sa. d. ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden 2377 lb

Jean Decimator vend la maison à Jean Joachim Haubenstricker moyennant 1050 livres

1703 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 156-v
(1050) Hr. Joh: Decimator handelsmann
in gegensein Hn. Joh: Joachim Haubenstricker
Zweÿ Häußer ein vorders u. ein hinters mit deren Hoff, Hoffstätten u. allen übrigen ihren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden u. gerechtigkeit auch seÿen in solchem Kauff begriffen zwölff stück Vaß im vordern Keller, doch daß der hr. käufer Hn. Dri. Joh: Saltzmann Medico welcher solchen Keller u. Vaß in lehnung hat sothane lehnung welche sich im Augusto 1704 endiget außhalten solle, alles allhier im Trußen gäßlein einseit neben dem Trußenbad, anderseit neben dem Hn. verk. hinten auf die Schwartzbecken behaußung zuem Pfauen genant zum theil u. theils auf Hn. Ddum Joh: Martin Dautel stoßend gelegen – umb 1050 pfund

Fils de l’aubergiste au Saumon aussi nommé Jean Joachim Haubenstricker, le marchand de vins Jean Joachim Haubenstricker épouse en 1703 Marguerite Reichelt, fille du professeur d’université et chanoine de Saint-Thomas Jules Reichelt : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvesten und Großachtbahren Herrn Johann Joachim Haubenstricker, ledigen Weinhändler und burgern allhier zu Straßburg, weÿland des Ehrenvesten und Wohlvorgeachten Herrn Johann Joachim Haubenstrickers geweßenn Gastgebern Zum Salmen und burgers allhier nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem, So dann der Edlen, Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Margarethæ deß Hoch Edel, Vest, Hochgelehrten und hochachtbahren herrn Julÿ Reichelts Weltberühmten Mathem: Professoris Publici beÿ allhießiger Löblichen Universität und des Collegiat Stiffts Zu St. Thome höchstmeritirten Præpositi auch Vornehmen Burgers Zu ermeldtem Straßburg Eheliblichen dochter, als der Jungfrau hochzeiterin am andern theil (…) Beschehen und Verhandelt in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, Montags den Ersten Octobris in dem Jahr als man nach unsers Erlösers und allein Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zalte 1703

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 93-v, n° 514)
den 17. Octob. 1703 sind, nach ordentlicher außruffung Zur christlichen Ehe eingesegnet worden H. Johann Joachim Haubenstricker, der ledige Weinhändler undt burger allhier, weÿl. H. Johann Joachim Haubenstrickers, gewesenen burgers undt gastgebers nachgelaßener ehelichen Sohn, undt Jfr. Maria Margaretha Salv. Tit. H. Julÿ Reichelts profess. mathematûm undt Capit. Thom. præpositi eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Joachim Haubenstricker Alß hochzeiter, Maria Margaretha Reicheltin als hochzeitterin (i 96)

Jean Joachim Haubenstricker hypothèque la maison au profit de l’ancien consul François Reisseissen

1703 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 181
Hr Joh: Joachim Haubenstricker
in gegensein S.T. Hn Francisci Reißeißen alten A.sters. XIII.ners u. Scholarchæ – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behaußung cum appertinentiis allhier im Trußen gäßlein einseit neben dem Trußenbad anderseit neben Hn Joh: Decimator handelsmann hinten auf d. beckenhauß zum pfaun stoßend gelegen

Inventaire des biens qu’Isaac Braconnier, bailli de Bouscheid et Kourtzerode, mort à Vieux-Brisach, a délaissés dans la maison

1704 (23. 7.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 5)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Effecten und Mobilien so weÿland Herr Isaac Braconnier geweßener hoch Adelicher Landtspergischer Chattellain dießer Zeit aber Ambtmann der Herrschafft Bourgée und Kurtzenroth beÿ Pfaltzburg, allhier nach Straßburg in herrn Joachim Haubenstrickers deß handelßmanns und burgers zu Straßburg behaußung in der Trußengaß gelegen geflehet gehabt, aber durch vor acht tagen Zu alt breÿsach allwo er residirte beschehenen tödtlichen hintritt Zeitlichen hinterlaßen (…) auf Requisition und befehl S. T. Herrn H. Elbers hochverdienten ambtmanns der Hannß dachsburg hochgräffl. leininigischer herrschafft, weil deß v.storbenen Güter unter seiner Jurisdiction bitz damit denen Kind. kein vortheil * (…) Geschehen in beysein hochernannten herrn Ambtmanns und herrn Johann Jacob Limburgers in Straßburg d. 23. Sept. 1704.
Summaria hujus Inventarÿ, 1. haußraths 96, 2. Silberg. 7, 3. baarschafft 79, 4. guld. Ring 5, summa 187. lbv

Le marchand Jean Joachim Haubenstricker passe avec son voisin le baigneur Ernest Wahl une convention d’après laquelle il est autorisé à conserver les deux fenêtres grillagées qu’il a ouvertes vers la propriété de son voisin.

1704 (7. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 491
Hr Joh: Joachim Haubenstricker handelsmann einßen
u. andern theil Ernst Daniel Wahl Drußenbader
daß Sie sich folgender maßen verglichen hätten u. würcklichen vergleichen, Nemlichen demnach sein Hn Haubenstricker hinter Hauß in sein wahlen Hauß hineingebauen, alß verwillige Er wahl daß diejenige fenster so in zwoen Cammeren von seithen sein Hn. Haubenstrickers gemacht u. vergittert worden, in solchem stand vergünstigungs weiße verbleiben sollen

Inventaire dressé après la mort de la locataire Jacqueline Roth, fille de l’ancien chef au chantier des Maçons Jean Adam Roth. Elle délaisse pour héritière testamentaire Anne Marie Roth, femme du tanneur Jean Georges Ruger. L’actif de la succession s’élève à 269 livres, le passif à 78 livres.

1714 (17.5.), Not. Brieff (Jean Philippe, 6 Not 4) n° 87
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung und Güthere, nichts davon außgenommen, so weÿlandt die viel Ehren: und tugendgezierte Jungfr. Jacobea Rothin, weÿl. Hanß Adam Rothen geweßenen burgers und werckmeisters auff allhießigem Maurhoff auch E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers hinterlaßene dochter, nach Ihrem am 23.ten Aprilis jüngsthien genommenen tödlichen hinscheid. hinter Ihro verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der viel Ehren und tugendbegabten Frawen Anna Maria geb. Rothin, Meister hannß Georg Rugers burgers und Gerbers Zu Straßburg ehelichen haußfrauwen als der hernach per Testamentum institutten Erbin (…) So geweßt in fernerem beÿsein herrn Johann Jacob Seitzen burgers und weißgerbers alhie als erbettenen beÿstands liaison Kiehl des leedigen Hutmachers, Straßb. f. 17. Maÿ 1714.
Der haußrath welcher sich in einer alhier in der Statt Str. sich befunden in der Trußengaß gelegenen und Herrn Johann Joachim Haubenstricker eigenthümlich zuständigen behaußung
Abzug Vorstehenden Inventarÿ, Sa. haußraths 43, Silber 5, Goldene Ring 4, baarschafft 40, Pfenningzinß hauptgüter 175, Schulden 1, Summa 269 lb – Schulden 78, Rest 190 lb – Legaten 109, Solche der Verlaßenschafft deducirt so hatte die instutuirte Erben annoch empfangen 82 lb

Marie Marguerite Reichelt fait dresser l’inventaire de ses apports (soit 1 021 livres) dans la maison rue de la Lie

1718 (19. 9.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 44) n° 1457
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so die Viel Ehren und Tugendreiche Frau Maria Margaretha Haubenstrickerin gebohrne Reicheltin, Zu dem Ehrenvest und großachtbahren Herrn Johann Joachim Haubenstricker Vornehmen Weinhändler und E. löbl. Policeÿgerichts Wohlverdienten Assessori auch alten dreÿern des Umbgeldhaußes und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem hertzgeliebten Eheherrn in den mit Ihme Anno (-) angetrettenen Ehestand, craff auffgerichteter Eheberedung für unverändert Zugebracht (…) So beschehen allhier in d. Königl. Statt Straßburg auff Sambstag den 19.ten 9.bris A° 1718
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Drueßengäßlein gelegenen dem Eheherrn eigenthümlich zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 84 ;Sa. Silbers 62, Sa. Golds 272, Sa. d. baarsch. 534. Sa. des Pfgzß. 35, Summa summarum 989 lb – Wann nun auch deroselben haussteuren Antheil 32 lb, So ist der Ehefr: gantz Substanz ane Nahrung gegenwärtig Inv. benandlcihen 1021. lb

Préposé à l’accise, Jean Joachim Haubenstricker et Marie Marguerite Reichelt hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du marchand Jean Saltzmann

1730 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 604 n° 287
H. Johann joachim Haubenstricker dreÿer allhiesigen Umbgeldts und Fr. Maria Margaretha geb. Reicheltin mit beÿstand ihrer geschwistrig kinder H. Georg Friedrich Lemp E.E. großen Raths beÿsitzers und Apotheckers und H. Johannes Lemp ledigen handelsmann
in gegensein H. Johann Daniel Braun banquier und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers als geschwornen vogts weÿl. H. Johannes Saltzmann handelsmanns und Exsenatoris hinterlassenen 7 jüngere Kinder – schuldig seÿen 963 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß Nebensgebäuden hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im drußengäßel, einseit neben dem drußen: baad Friedrich Nöstling dem Baader et uxori zugehörig anderseit neben H. Philipp Jacob hueber dem handelsmann hinten zum theil weÿl. H. Rathh. Johann Leonhard Kueff handelsmanns Erben behausung zum Pfauen genannt theils auf die Schwartzbecken behausung zum Pfauen weÿl. hannß Philipp Schwartz gewesten haußfeurers wittib und Erben

Nouvelle hypothèque entre les mêmea parties

1731 (9.7.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 297-v
H. Johann Joachim Haubenstricker dreÿer allhiesigen Umbgeldts und Fr. Maria Margaretha geb. Reicheltin mit beÿstand ihres geschwistrig Kinder H. Georg Friedrich Lemp Exsenatoris dreÿers hiesigen Stadt Pfenning Thurn und Apotheckers und H. Johann Lemp ledigen handelsmann
in gegensein H. Johann Daniel Braun E. E. Großen Raths beÿsitzers und Banquier als geschwornen Vogts weÿl. H. Johannes Saltzmann gewesten Exsenatoris und handelsmanns hinterlaßenen 6 jüngerer Kinder – schuldig seÿen 967 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß Nebens: gebäuden hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im drußen: gäßlein, einseit neben Friedrich Nöstling dem Bader und deßen Ehefrau zugehörigen Baadbehausung das drußenbaad gennannt anderseit neben H. Philipp Jacob Hueber dem handelsmann hinten zum theil weÿl. H. Rathh. Johann Leonhard Kueffen Erben behausung zum Pfau genannt theils auff die Schwartzbecken behausung zum Pfauen, davon weÿl. hannß Philipp Schwartz gewesten haußfeurers wittib und Erben proprietarÿ sind

Les Quinze autorisent Jean Joachim Haubenstricker à héberger des marchands pendant la foire de la Saint-Jean
1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
(p. 194) Sambstag den 12. Junÿ 1734 – Moss. noe H. Joh. Joachim Haubenstricker wegen 1. oder 2 Frembd. handelspersohnen die etwas wein mit sich bringen bitt ut modo. Erk. ut ante [in nechstkommende Meßzeit Cost und Losament halten Zu dörffen. Erk. nach ordnung willfahrt]

Les Quinze nomment Jean Joachim Haubenstricker adjoint à l’accise
1734 XV (2 R 142)
Johann Joachim Haubenstricker wird Vicarius im Umbgeld 10-11. 407

Jean Joachim Haubenstricker meurt en 1742 en délaissant pour héritiers ses semi-sœurs ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 5 136 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 4 548 livres, le passif à 6 634 livres

1742 (2.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 56) n° 1284
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland der Wohl Ehrenvest, Großachtbahr und wohlweiße Hr Johann Joachim Haubenstricker E. E. Großen Raths alter wohlverdienter Assessor, wohlmeritirter dreÿer in allhießigem Umbgeld, auch Burger allhier Zu Straßburg, nun mehr seeliger, als derselbe Dienstags den 12.ten Junÿ dießes lauffenden 1742.sten Jahrs dießer Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welth genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, des abgeleibten Hn Rathherrn seel. hinterlaßener halbbändiger Geschwüster Kinder und ab intestato verlaßener Beneficial Erben, auch dero geschwornen Hn Vogts und Hn Deputati (…) ersucht und inventirt, durch die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Margaretham Haubenstrickerin geb. Reicheltin, die hinterbliebene Frau Wittib, beÿständlich des Wohl Ehrenvest Großachtbahr und Rechtsgelehrten Hn Joh: Rudolph Dinckels Not. jurati und berühmbten Practici, auch burgers allh. (…) geäugt und gezeigt – So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 2.ten Octobris et seq. A° 1742.
Der Abgeleibte Hr Rathherr seeliger hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. Weÿl. Frauen Susannä Salome Krautin gebr. Carolin, mit auch weÿl. Hn Johann Krauten dem geweßenen handelsmann und burgern in Leipzig beeder seel. nachgelaßene 2. Hh. Söhne und I.e Frau tochter benantlichen 1. herrn Johann Balthasar, den Leedigen Goldarbeiter in Haag in Holland wohnhaft, 2. Friderich Leopold, den Leedigen Hauß Knecht, So dann 3. Frau Mariam Salome Tröschlerin geb. Krautin Mr Anthoni Tröschler des wullenwebers und burgers in Hagenau ehel. haußfrau
Weÿland Frauen Catharinä Rödererin geb. Carolin mit auch weÿl. Hn Joh: Georg Röderer, Pfarrern Zu Sultzfelden beeder seeligen ehelich erziehlte 6. Kinder, nahmentlichen 4. Jungfer Catharinam Margaretham, 5. Jungfer Christinam, 6. h. Friderich Jacob, Leediger Haußknecht, 7. Georg Ludwig, 8. Bernhard und dann 9. Eleonoram Carolinam die Röderer in deren Nahmen Joh: Jacob Röderer der Schuhmacher und burger allhier dero geschworner Vogt dem Geschäfft beÿgewohnt, In dießer 9. ohnverburgerten Erben nahmen ist laut Extractum E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg Memorialis vom 27. 7.bris 1742. H. Gottfried Plarr E. E. großen Raths alter: und Vorehren gedachten Kleinen Raths jetzigen wohlmeritirter Assessor als Zu dießem Geschäfft in specie abgeordneter Hr Deputatus erschienen
Weÿland Frauen Annä Elisabethä Müllerin gebohrne Carolin, mit auch weÿl. Hn Joh: Adam Müller dem Handelsmann und burger allhier beeder seeligen ehelich erziehlter Hr Sohn und Frau Tochter mit Nahmen 10. Frau Annaù Elisabetham Blatzerin geb. Müllerin, H, Paul Blatzers des Handelßmanns und Burgers allhier frau Eheliebstin, welche mit beÿstand deßelben beÿ dem Geschäfft erschienen und dann 11. H. Joh: Adam Müller d. handelsmann und burger allhier, welcher ohnpäßlichkeit halben nicht erscheinen können, dahero Vor ehrengedachter Gottfried Plarr E. E. Großen Raths alter und E. E. Kl. Raths Jetzig. wohlverdienter Assessor in seinem Nahmen des Inventation beÿgewohnt.
Weÿl. Frauen Mariä Dorotheä Schaumännin geb. Carolin seel. mit Hn Joh: Heinrich Schaumann dem Goldarbeiter und Burger allhier ehel. erziehle 4. Jgfr. Töchter benantlichen 12. Jgfr. Mariam Kunigundam, 13. Jgfr. Catharinam Helenam, 14. Jgfr Mariam Magdalenam und dann 15. Jgfr. Mariam Salome die Schaumännin, welche alle 4. Majorennes und ohnbevögtigt, dannoch aber mit beÿstand Vorgedachten Ihres Hn Vatters beÿ dem Geschäfft Zugegen waren, Allso alle 15. des Verstorbenen seel. hinterlaßener ab intestato Zu 15. gleichling. Antheilern Verlaßene Erben
Dießemnach Wird nun auch der Erben ohnverändert und theilbare Nahrung /:weilen Vermuthlich die hinterbliebene frau Wittib auf das theilbar Guth renunciren und solches deen Erben mit consens Ihres Hn Beÿstandts tam active quam passive allein überlaßen wird:/ unter einem Titul beschrieben.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem drußengäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörige behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf der obern hintern Bühn, In d. Cammer N° 39, In d. Cammer N° 40, Vor dießer Cammer, In d. Hinter stub, In d. Stub in nebensgebäu, In d. Obern Vordern Stub, In der Stub Cammer, Auf d. obern Vordern bühn, In d. Magazin, In d. Officiers Stüben, In d. Kuchen, Im Speiß Cämmerlin, In d. Wohnsrub
(f° 8) Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine Behaußung bestehend in Vorder und Hinter Gebäu mit deren Hoff, Hoffstatt und allen übrigen Ihren Gebäuen, Begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg am trußengäßel 1.s neben Hn Georg Friderich Nestlin dem trußenbader, 2.s neben Hn Philipp Jacob Huber dem Handelsmann hinten Zum theil auf die schwartzbecken [be]haußung Zum Pfauen genandt und Zum theil auf H. Peter Kornmann den Leedigen Bancquier stoßend gelegen, so gegen männiglichen freÿ, leedig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 19.ten Septembris A° 1742. angeschlagen pro 1500. Darüber Vorhanden 3. teutsche pergamentene Kb. in allh. C. C. stub gefertiget und mit dero anh. Insiegel verwahrt d. d. 15.ten Octobris 1608., 7.ten Xbris 1665. et 31.ten Martÿ A° 1703.
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach besag designationis über der Frau Wittib von weÿland S.T. Herrn Julio Reichert der Mathematischen wißenschafften geweßenen Professori publico et Capituli Thomani Canonico und Vornehmen Burgern allhier, Ihrem geliebten herrn Vatter nunmehr seeligen erhaltene Erbschafft durch weÿland Hn Not. Daniel Rohren seel. in Anno 1717. Vergriffen
(f° 25) Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Haußraths 121, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 121, Sa. goldener Ring, Ketten, Peerlen und dergleichen geschmeids 287, Sa. der Baarschafft 39, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 410, Sa. Gülth von liegenden güthern 45, Sa. Schuld 125, Erg. Rest 3986, Summa summarum 5136 lb
Der Erben ohnverändert und Theilbahr Guth, Sa. haußraths 442, Sa. Lähren Vaß 168, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 202, Sa. goldener Ring 127, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 963, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1500, Sa. Schulden 1143, Summa summarum 4548 lb – Schulden 6634 lb, In Vergleichung 2086 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ in vero pretio 5201 lb – Stall Suimm 2561 lb
Abschatzung dem: 19. Sept: 1742. Auff begehren Weillandt deß Wohll Achtbahren und bescheiten H Johann Joachim hauben stricker E: E: große rathß geweßener alter beÿ sitzer, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, in dem trußen geslin gelegen ein seitß Neben Philip Jackob huber dem handteß Mann, ander seitß an daß trußen bath, hinden auff dem Pfauen so an Jetzo Herrn XV: Cornman zu gehorich Stoßent welche behausung eingangß, ein Stuben Cammer Kuchen, Nebenß Stübell Vor dem officier hauß Ehren gewölbter Keller und hoff der bronen, oben darüber ein Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren, undter dem Tach. 2. Cammern besetzte bienen und alter tach stull, ihm hoff rëchter undt Lincker handt der gang hinder dar an Lincker seitß ein Stuben daß hinderhauß so unden ein wahren Mackasin, gewölbter Keller, oben dar über ein Stuben Cammer Küchen Hauß Ehren, oben under dem tach 2: camren ein alter tach stull daß tach die helffte mit hollziglen belegt, sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befundten in Jetzogen Preÿß nachangeschlagen würdt Vor und Umb Dreÿ Tausendt Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
(Copia Codicilli) 1706 (…) Sonntags den 11. Februarÿ Nachmittag Zwischen 4 und 5 Uhren in einer allhier zu Straßburg ane dem sogenanten Trußengäßlein gelegenen hernach gemeltem Herrn Codicillatori eÿgenthümblich Zuständigen Wohnbehaußung, dero Oberen Stuben Vordern Stocks, mit den Fenstern in einem hoff außsehendt (…) persönlich kommen und erschienen seindt der Wohl Ehrenvest undt Großachtbahre Herr Johann Joachim Haubenstricker, vornehmer Weinhändler und beneben Ihme die Edle, Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria Margaretha gebohrne Reicheltin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, Von der Gnade des Grundgütigen Gottes gesunder Gehend und stehender leiber (…) Daniel Rohr
Copia der Eheberedung (…) Beschehen und Verhandelt in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, Montags den Ersten Octobris in dem Jahr als man nach unsers Erlösers und allein Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zalte 1703

Les héritiers cèdent leur part de succession à la veuve

Zuwißen seÿe Hiemit demnach dem Lieben Gott hat gefallen wollen, weÿland den Wohl Ehrenvest Großachtbahr und wohlweißen Herr Johann Joachim Haubenstricker, E: E: Großen Raths geweßenen alten wohlverdienten Beÿsitzern und wohlmeritirten dreÿern in des allhießigen Umbgelds, auch Burgern allhier Zu Straßburg den 12.ten Junÿ dießen Zu end Lauffenden 1742.sten jahrs aus dießer Zeitlichkeit in die Ewigkeit Zu beruffen und abzufordern, so ist darauffhien den 2.ten et 3.ten Octobris ejusdem Anni deßen Verlaßenschafft in beÿsein der dazu gehörigen Persohnen ordnungsmäßig inventirt auch ein Inventarium darüber à 241. fol: expedirt und außgefertiget worden, nach deme nun solches auf der Statt Stall abgehandelt geweßen, so haben des Verstorbenen herrn seeligen sich allhier in Straßburg befindliche Beneficial Erben, alle gleich nach dem Eingang des Inventarÿ benambstet, mit Zuziehung der respectivé hierin Ehe: und Vögte, auch Hern Beÿstandts und S: T: Herrn Gottfried Plarren E. E. großen Raths alten: auch E: E: Kleinen Raths jetzig wohlverdienten Beÿsitzers als aus ehrengedachtem Kleinen Rath wegen der frembden ohnverburgerten Herren Deputati Vorgedachtes Verlaßenschafft Inventarium durch alle Rubricen ordentlich und genau examinirt, weilen sich nun augenscheinlich hervorgethan, daß der Beneficial Erben ohnverändert und theilbahre Nahrung nicht sufficient ist, dero ohnveränderte undt theilbahre Passiva Zubezahlen und abzutilgen der ursachen halben, Sie die Beneficial Erben auff die Erbschafft gäntzlich Verzug gethan, einvolgig selbige der Frau Wittib tam active quam passive eigenthümlichen cedirt und überlaßen, welche auch solche mit genehmhaltung Ihrer Herren Beÿständere dergestalten angenommen Zuhaben bekantlich war (…)
so hat Frau Maria Margaretha Haubenstrickerin gebohrne Reicheltin die Hinterbliebenee Frau Wittib sich Liebreich undt freundlich gegen denen Beneficial Erben Zuerhaltung guter Harmonie und einigkeit ercläret und obligirt daß denenselben auß Ihrer eigenthümlichen Nahrung und Mittlen aber allererst nach Ihrem seeligen Ableiben ins Gemein 350 Gulden franco freÿ und ohne Abzug einiger Uncösten abgeführt und bezahlt werden solle, Thut jedem 15.en theil 23 gulden 3 Schilling und 4 pfenning
So Beschehen in Straßburg auff Montag den 29.ten Octobris Anno 1742.

Marie Marguerite Reichelt meurt en 1752 en laissant pour héritières ses deux sœurs ou leurs représentants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 3 098 livres, le passif à 1 905 livres.

1752 (3.5.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 375) n° 478
Inventarium über Weÿland der Wohl Edlen: und Tugendbegabten Frauen Mariä Margarethä Haubenstrickerin gebohrener Reicheltin, auch weÿland des Wohl Edlen: Großachtbahren und Wohl Weißen Herrn Johann Joachim Haubenstrickers, E: E: großen Raths geweßenen wohlverdienten beÿsitzers und Letztmahligen dreÿers des allhießigen Umbgelds auch Vornehmen Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener Frau Wittib nunmehr ebenmäßig seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1752. – als dieselbe Sonntags den 9.ten Aprilis dieses lauffenden 1752.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) So beschehen Straßburg auf Mittwoch den 3. Maji Anno 1752.
Die seelig verstorbene Frau Rathherrin hat Zu Ihren Erben per testamentum Verlaßen wie volgt. 1.mo Weÿland Frawen Susannä Müllerin gebohrner Reicheltin, mit auch weÿland herrn Johann Ernst Müllers dem geweßenen Gastgebers in Liechtenau hoch fürstl: Heßen Hanau Lichtenbergischer Herrschafft beeder nunmehr seeligen ehelich erziehlte hinterlassene respectivé Kinder und Enckel mit Nahmen 1.mo Weÿland Frauen Susannä Margarethä Schuhlmeisterin gebohrner Müllerin nunmehr seeligen hinterlaßene mit Herrn Christian Gottfried Schuhlmeistern dem Ambts Schultheissen zu gedachtem Liechtenau ehelich erziehlte Zweÿ Kinder, Nahmentlich 1.mo Frau Susannm Margaretham Beÿin gebohrne Schuhlmeisterin, Herrn Johann Sigmund Beÿ des Schreiners und burgers allhier Ehegattin Welche mit assistentz gedachten Ihres Ehevogts Persönlich hiebeÿ erschienen und 2.do Herrn Johann Gottfried Schuhlmeister S Stæ Theologiæ candidatum welcher ebenmäßig in Persohn dem geschäfft abwartete, All dieweilen aber derselbe hier ohnverburgert, als ist in seinem und hernach gemelter ohnverburgerter Erben Nahmen aus E. E. Kleinen Raths Mittel Krafft Extracus Memorialis vom 29.ten Aprilis jüngst hiezu in specie deputirt worden herr Johann Daniel Bauch des handelsmann und Ehrengedachten Kleinen Raths jetzig wohlverdienter beÿsitzer welcher ebenmäßig in Persohn hiebeÿ zugegen Ware
2.do Frau Mariam Elisabetham Rüegerin gebohrne Müllerin, Herrn Johann Georg Rüegers des Rothgerbers und burgera allhier Ehegattin, welche mit beÿhilff dießes Ihres Ehevogts sich in Persohn beÿ dem geschäfft eingefunden
3.tio Jungfrau Annam Barbaram Müllerin, welche sowohl mit beÿhilff vor Ehrengedachten herrn Deputati weilen Sie allhier ohnverburgert, als auch mit fernerer Zuziehung herrn Georg Friderich Nestlin, des Drußbaders und burgers allhier Ihres erbettenen beÿstands præsens waren und dann
4. to Herrn Johann Ernst Müller den Spithal Schaffner in Buchßweiler hochfürstl. Heßen Hanau Lichtenbergischer Jurisdiction, Welcher abweßend und in seinem Nahmen nicht allein mehr Ehrenerwähnter Herr Deputatus Sondern auch obenbesagter Herr Johann Gottfried Schuhlmeister Candidatus Theologiæ von Liechtenau, als von Ihrer (…) Procuration bestelter Mandatarius dem geschäfft abgewartet. Dieße alle zu Vier portionen in den Ersten 2.ten Stammtheil
So dann .do Frau Mariam Magdalenam Buckin gebohrner Reicheltin weÿl. Herrn Johann Heinrich Buck, geweßenen buchhändler und burgers allhier seeligen nachgelaßene Wittib welche mit beÿhilff Herrn Johann Daniel Gräthels Vornehmen handelßmann und burger allhier Ihr geliebten herrn Tochtermann und hierzu erbettenen beÿstands in Persohn Zugegen ware, dieße in dem Zweÿten Stammtheil, Alßo alle der in Gott seelig entschlaffenen Frauen Rathherrin noch Lebend eheleibliche Frau Schwester und einer verstorbenen Schwester hinterlaßene Kinder und Enckel und per Testamentum Zu Zweÿen gleichen Stammtheilen Verlaßene Rechtmäs&ige Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem drußengäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörige und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung, bestehend in Vorder und Hinter gebäu, mit deren hoff, hoffstatt und allen übrigen Ihren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg am trußengäßlin einseit neben Herrn Georg Friderich Nestlin, dem trußenbader, anderseit neben Herrn Philipp Jacob Hubers, des Handelsmanns Ehefrauen, hinten Zum theil auf die Schwartzbecken behaußung Zum Pfauen genandt und Zum theil auf Herrn Peter Kornmann den Bancquier stoßend, so Vor freÿ, leedig eigen und durchin dem über Weÿland herrn Johann Joachim Haubenstrickers, E: E: großen Raths geweßenen alten wohlverdienten Assessoris und dreÿers in allhießigem Umbgelt, der abgeleibten Frauen seel. geliebten Eheherrn auch seel. Verlaßenschafft durch herrn Johann Lobstein Notarius publicum in anno 1742. auffgerichteten Inventario fol: 213. fac 2.da durch der Statt Straßburg herrn Lohner und Werckmeister angeschlagen auch dermahlen mit der wohlverordneten Herrn dreÿere Löbl. Statt Stalls geg. ertheiltem Consens dabeÿ gelaßen pro 1500. lb. Darüber Vorhanden dreÿ teutsche pergamentene Kauffbrieff, in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangenden Insiegeln verwahret de datis 15.ten Octobris Anno 1608, 7.ten Decembris Anno 1665. et 31.ten Martÿ A° 1703. Zum theil mit altem Nis 36. 49. et 10. alle aber mit jetzigem N° 7 notirt
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia Testamenti nuncupativi – Copia nachdisposition
Sa. Haußraths 421, Sa. Lehrer Faß 154, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 229, Sa. goldener Ring, Ketten, Peerlen und dergleichen geschmeids 376, Sa. der Baarschafft 52, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 266, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1500, Sa. Gülth von liegenden güthern 87, Sa. Schulden 10, Summa summarum 3098 lb – Schulden 1905 lb, Detrahendo Verbleibt 1193 – Stall Summ 801 lb
Copia die Edle Wohl Ehren und Tugendbegabte Frau Maria Margaretha Haubenstrickerin gebohrene Reicheltin, weÿland des Edlen, Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Joachim Haubenstrickers, E: E: großen Raths geweßenen wohlverdienten beÿsitzers und dreÿers des allhießigen Umbgelds nunmehr seeligen hinterlassene Frau Wittib mich (…) in ihr eigenthümliche ane dem Truesengäßlein allhier Liegende behaußung beruffen und Kommen laßen, allwo Ich dieselbe in der Undern Wohnstub mit denen Fenstern in den hoff außsehend Zwar Krancken und schwachen Leibes auf einem Bette Liegend (…) in Straßburg auf Dienstag den 11. Augusti Vormittag Zwischen 9. 10. und 11. Uhren Anno 1750, Johann Rudolph Dincel Notarius publicus requisitus

Les héritiers vendent la maison à Jean Gaspard Holtzapffel, avocat au Directoire de la noblesse de Basse-Alsace moyennant 2 000 livres

1768 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 642 n° 242
Fr. Margaretha Magdalena geb. Buckin weÿl. H. Johann Daniel Gräthel gewesten handelsmanns wittib beÿständlich H. Heinrich Wilhelm Wunscholdt des handelsmann ; Fr. Maria Elisabeth geb. Müllerin weyland Johann Georg Rieger gewesten rothgerbers wittib beÿständlich Johann Georg Wein des langmeßerschmdts, J. Johann Michel Fettich der courtier als mandataruis H. Johann Ernst Müller des Spithalschaffners zu Buchßweil er und Johann Daniel Beÿ der schreiner als vogt Johann Sigmund Beÿ des schreiners l fünff kinder erster ehe und als mandatarius H. Johann Gottfried Schulmeister des pfarrers zu Freÿstätt
in gegensein H. Lt. Johann Caspar Holtzapffel advocati ordinarÿ eines löbl. Ritter directorÿ im Unter Elsaß
ein behausung, hoff und hoff [sic] mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Trußengäßlein einseit neben Georg Friedrich Nestlin dem bader, anderseit neben H. Johann Theobald Saltzmann dem handelsmann, hinten auf H. Kornmanns erben zum theil und zum theil auf die zum Pfauen genanndte becken behausung – als ein von weÿl. Maria Magdalena geb. Haubenstrickerin geb. Reicheltin ererbtes guth – um 2000 pfund

Jean Gaspard Holtzapffel sollicite le 10 novembre 1753 un poste à la Chancellerie. Il devient procureur adjoint le 18 mai 1754.
1753, Obere Cancelley Herren, 1749-1758 (4 R 36)
H Lt Joh: Caspar Holtzapfel wird pt° Access Zur Geduld verwießen 211. erhält solchen, nechst der Vice Procuratur 240. schwört 244.
(p. 211) Sambstag d. 10. Nov. 1753 – H. Lt Holtzapfel, so umb den Access bittet, wird Zur Geduld verwesen
Lect. Memoriale Hn Lt Joh: Caspar Holtzapfel, worinn derselbe umb den access beÿ Löbl. Cantzleÿ bittet.
Erkandt, wird der H Implorant, weilen die Anzahl derer Accessisten Ziemlich groß, noch Zur Zeit Zur geduld verwießen, mit angehängter Vertröstung daß man seiner beÿ nächster Gelegenheit im besten eingedenck seÿn werde.

(p. 240) Sambstag d. 18.ten Maÿ 1754. – H. Lt. Joh: Caspar Holtzapfel erhält den Access u. die Vice-Procuratur
Auff das von H. Lt Johann Caspar Holtzapfel zu mehreren mahlen eingegebene unterth Memorialei ist demselben der Access auff die Cantzleÿ, und Zugleicher Zeit die Stelle eines Pocuratoris vicarii Zugedacht worden.

(p. 244) Sambstag d. 1. Junÿ 1754. – H. Lt. Holtzapfel der accessist u. Proc. Vic. schwört
H. Lt* ; Holtzapffel der letzthin angenommene Accessist und Procurator Vicarius schwört auf die Ordnung.

Native de Bouxwiller, Elisabeth Kocher affirme que c’est par calomnie que certains prétendent que Jean Gaspard Holtzapffel serait le père de l’enfant dont elle est enceinte.
1755 (8. Oct.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 971) n° 6
Persönlich kommen und erschienen Elisabetha Kocherin, die leedige Von Buchßweiler gebürtig, beÿständlich Daniel Röderers des Schuemachers und burgers allhier, anzeigende wie daß Sie in Erfahrung gebracht, als wollte hiebeÿ mit erschienenen Tit. H. Lt Johann Caspar Holtzapffel in Ansehung als hätte er Ihre habende dermahlige Schwangerschafft causiret, des falschen Außsprengens halben Sie Comparentin richerlich belangen laßen, dieweilen aber erwehnte Außsprengung im Grund falsch, maßen besagter H: Lt Holtzapffel sie niemahlen weder in ein noch andern weeg berühret, noch viel wenier einige Beförderung Zu Ihrer Schwangerschafft gethan (…)

Fils du tourneur en argent François Christophe Holtzapffel, Jean Gaspard Holtzapffel épouse en 1762 Marguerite Barbe Papelier, fille du marchand Jean David Papelier : contrat de mariage, célébration à domicile
1762 (20.9), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 374
Eheberedung – entzwischen Herrn Johann Caspar Holtzapfel, J. V. Lt° beÿ denen hoch Löbl. Freÿ Ohnmittelbahren Nider Elseßisch: und Ortenauischen Ritterschafften hochverdientem Advocato Ordinario und burgern allhier zu Straßburg, Weÿland des Wohl Ehrenvest, Großachtbahr undt Kunsterfahrenen Herrn Frantz Christoph Holtzapffels, gewesenen Kunst: und Silberdrähers auch burgers allhier mit auch Weÿland der Wohl Edlen und tugendbegabten Frauen Maria Juliana gebohrner Kuhnin, beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem herrn Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Wohl Edlen und Tugendbegabten Jungfrauen Margaretha Barbara Papelierin, weÿland des Wohl Edlen und Großachtbahren Herrn Johann David Papelier, geweßenen Vornehmen Handelsmanns und burgers allhier, mit auch Weÿland der Wohl Edlen und Tugendbegabten Frauen Susanna Maria gebohrner Fritschin, beeder nunmehr seeligen ehelich erziehlter Jungfer Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen in Straßburg auf Montag den 20.Tag des Monats Septembris im Jahr nach Christi geburth gezahlt 1762. [unterzeichnet] Johann Caspar Holtzapffel Lt. als Hochzeiter, Margaretha Barbara Papelierin als Hochzeiterin
[in margine :] Abschrift gefertigt p. Holtzapffel in Abbeville 20/10.08

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 111-v, n° 723)
Anno 1762. montag den 19. Sept. seind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und Ausruffung in der Neuen Kirch und Zu St. Thomas auff erhaltener Erlaubnuß vom Reg. Herrn Ammeister Zu Hauß copulirt und eingesegnet worden, Herr Johann Caspar Holtzapffel J. U. Ltus und Avocatus ordin. beÿ hochlöbl. Untern Elsass und Ortenauischer Ritter-Directorio, weil. Hrn Frantz Christoph Holtzapffel gewesenen Kunst und Silberdrähers, wie auch burgers allhir hinterlassener ehel. Sohn, und Jungfr. Margaretha Barbara Papelierin weil. hen Johann David Papelier gewesenen handelsmann und burgers allhier hinterlaßene ehel. tochter, [unterzeichnet] Johann Caspar Holtzapffel als Hochzeiter, Margaretha Barbara Papelierin als Hochzeiterin (i 114)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue de l’Homme de Pierre (partie est de la rue de l’Ail). Les apports du mari s’élèvent à 2 839 livres, ceux de la femme à 3 423 livres.
1762 (23.12.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 401) n° 969
Inventarium über des hoch Edel Vest und hochgelehrten Herrn Johann Caspar Holtzapffels, J. V. Lti beÿ denen hochlöbl. Freÿ Ohnmittelbahren Nider Elseßisch und Ortenauischen Ritterschafften hochverdienter Advocati Ordinarÿ und der hoch Edlen und tugendbegabten frauen Margaretha Barbara Holtzapffelin gebohrener Papelierin beeder Ehepersohnen und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1762. – welche der Ursachen alldieweilen in Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung expresse enthalten, daß eines Jedem in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Wohl Edlen und Großachtbahren H. Johann Martin Papelier, des handelsmann, und Burgers allhier der Ehefrauen vielgeliebten H Bruder und hierzu erbettenen H. beÿstands auf Donnerstag den 23. Decembris Anno 1762.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinern Manns gaß gelegenen in dieße Zugebrachten Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 392, Sa. Bibliothec 155, Sa. Wein und Lährer Faß 756, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 173, Sa. Goldin geschmeids 36, Sa. baarschafft 183, Sa. Gülth von liegenden güthern Nihil, Sa. Schulden 851, Summa summarum 2547 lb – Darzu ist zurechnen der Ihme gebührige halbe theil ane denen verherten haussteuren 292, Des Ehemanns völligen in die Ehe gebracht guth 2839 lb
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben. Sa. haußraths 319, Sa. Silbergeschmeids 47, Sa. Goldener Ring, Peerlen und dergleichen Geschmeids 488, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1650, Sa. Schulden 625, Summa summarum 3130 lb – Hierzu Kombt die Ihro gebührige helffte ane denen verehrten haussteuren 292 lb, der Ehefrauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 3423 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Nahrung zugelten so der Eheherr in die Ehe gebracht 90 lb

Jean Gaspard Holtzapffel meurt en 1788 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Puits. Les experts estiment la maison 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 8 968 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 278 livres, le passif à 5 513 livres

1788 (10.12.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 639) n° 300
Inventarium über Weiland S.T. Herrn Johann Caspar Holtzapffel, gewesenen Hochfürstlich Marggraf Baadischen Raths, Amtmanns zu Nonnenweÿer, und Eines hochlöblichen Ritter Directorii des Freÿonhmittelbaren Adels im Untern Elsaß wie auch des Ortenau Advocati ordinarii und burgers zu Straßburg nunmehro seeligen Verlaßenschaft, aufgerichtet im Jahr 1788. – nach seinem den 21. jüngst verfloßenen Monaths Septembris aus dießer welt genommenen Tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Vermögens Nachlaßenschaft auf Ansuchen und Begehren owohl der hinterbliebenen Frau Wittib Fraun Margaretha Barbara gebohrner Papelier mit Herrn Johann Martin Papelier Handelsmann und Burgern dahier ihrem Herrn Bruder verbeiständet, gleich Anfangs wohlgedächtlich declarirtend, das Sie mit ausdrucklichem Vorbehalt Jren unveränderten Vermögens und Was Ihro die Eheberedung gönnet, auf dißorthige theilbare Nahrung tam active quam passive Verzug thue, also keinen Antheil daran verlange, als auch auf Requisitio des Herrn Defuncti mit erstbesagter frau Wittib ehelich erzeugter Zwen Herren Söhne und ab intestato hinterlaßener Erben, nahmentlich Herrn Johann Friederich Holtzapffel, Jur: Studiosi mit und beneben Herrn Johann Egidius Uhlenhuth Handelsmann und Burgern dahier seinem den 4. diesen Monaths Gerichtlich ernant und in pflichten genommenen Herrn Vogt anwesend (…) So geschehen alhier Zu Straßburg auf Mittwoch den 10. Christmonath im Jahr nach Christi Geburt 1788.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Brunn Gäßel gelegenen dieseits Zum theil in Lehnung habenden behaußung ist befunden worden.
Eigenthum ane einer Behaußung, so der Beneficial Erben unverändert und theilbar. Nemlich eine Behausung, Hof, Hoffstatt, Brunnen, Stall undt Remise mit allen übrigen Gebäuden, Begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Trußen Gäßlein N° 4. einseit neben dem Truß Baad, anderseit neben H.. Not° Johann Daniel Saltzmann hinten auff Herrn Holenfeld und Emßer die Handelsgemeiner und Zum theil auf die Zum Pfau genante Becken behausung so freÿ leedig und eigen. Diese Behausung ist durch hiesig. Löbl. Stadt Herren architecte und die Hh. Werckmeistere Kraft dero Zu diesem Inventarii Concept gelieferter Abschatzung scheins ded: 22. Dec. 1788. dem jetzigen wahren Werth nach angeschlagen worden vor 3000 fl. oder 1500. lb. Darüber besagt ein in hiesig. Löbl. Cantzleÿ Contractsb. den 29. Martÿ 1768. errichtete papirene Kauffverschreibung belehrend wie Herr Defunctus solches hauß eigenthümlich an sich gebracht. Ferner dreÿ allda ausgefertigte pergamentene mit Löbl. Stadt anhangenden Insieglen versehene Kauf briefe dedatis 15. Oct. 1608. 7.ten Dec; 1665. und 31. Martÿ 1703.
Eigenthum ane einem Garten, Hauß, Garten u. Matt (W.) Ein garten, Hauß, Hoffstatt, Hof, Schopf, Stallung und Brunnen mit deßen überigen Begriffen außerhalb hiesiger Stadt vor dem Hopital Thor jenseith des Wickhäußel (…)
Abschatzung Von 22. Decembre 1788. Auf begehren Weÿland Herr Rath und Abtmann Johann Caspar Holtzapffel Seel. ist Eine Behausung alhier in der statt straßburg im trußen gäßell gelegen, Ein seÿts neben Herr Notarius Saltzmann anderer seÿts neben dem Trusenbad, und Hinten auf dem pfau beck stoßend gelegen solche behausung bestehet in Etlichen stuben Zweÿ Kuchen Kammeren Magasinen und stallung, darüber seÿn die dahstühl mit breidzigel belegt, hat auch Zweÿ gewölbte Keller Hoff und brunen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschworenen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Dreÿ Tausend gulden [unterzeichnet] Boudhoes architecten Kaltner WMStr. Klotz WMstr.
Ergäntzung der Frau Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung des über beeder nun zertrennten Ehegatten einander vor ohnverändert Zugebrachte Nahrungen unterm 23.ten Dec: 1762. durch weiland H. Not° Johann Rudolph Dinckel auffgerichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Fraun Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 261, Sa. Fäßer 29, Sa. der Bibliothec 50, Sa.Silbers und dergl. Geschmeids 96, Sa. goldener Ringen und geschmeids 326, Sa. Eigenthums ane einem Gartenhauß, Garten und Matt 516, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 2785, Sa. Schulden 650, Sa. der Ergäntzung p. r. 5253, Summa summarum 8968 lb
Diesemnach wird auch der Beneficial Erben unverändert und die theilbare Nahrung unter einander verzeichnet, Sa. haußraths 303, Sa. Wein und Fäßer 261, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 122, Sa. Golds 4, Sa. Bücher Vorraths 50, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1500, Sa. Activ Schulden 36, Summa summarum 2278 lb – Schulden 5513, Passiv onus 3035 lb – Stall Summ 7780 lb
Copia der Eheberedung (…)
Summarische Berechnung

Marguerite Barbe Papelier se remarie en 1795 avec le banquier Thomas Wachter
1795 (5 therm. 3), Strasbourg 4 (10), Not. Greis n° 76, Altes N° 377
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Thomas Wachter Banquier und Wittwer allhier, an einem Theil,
So dann die Bürgerin Margaretha Barbara, geborne Papelier, weiland des Bürgers Johann Caspar Holtzapfel, gewesenen Rechtsgelehrten allhier hinterbliebene Wittib beiständlich ihres Sohns des Bürgers Johann Friderich Holzapfel, handelsmanns allhiern an dem andern Theil
Viertens, verschreibt der Bräutigam seiner Braut, im Fall er vor ihe mit Tod abgehen würde, Zu einem lebenlänglichen Wittums genuß die ihne eigenthümlich zuständige allhier Zu Straßburg am Niclaus staden gelegene Behausung samt Zugehörden und allen den darinn sowohl in den Zimmern als auch in der Küche und Keller sich befindlichen Mobiliien und Haußgeräth, soviel ihro der Braut zu ihrem Gebrauch und Vergnügen auständig seÿn wird, welches alles dieselbe die Tage ihres Lebens in ruhigem und ohngekräncktem wittum nutzen und genießen
Geschehen allhier Zu Straßburg den 5. Thermidor im dritten Jahr der Frantzösischen Einen und unzetrtrennlichen Republik [unterzeichnet] Thomas Wachter, Margaretha Barbara Papelier
Enregistrement, acp 36 F° 70 du 11 ther. 3, revenu industriel 2000

La maison revient au marchand Jean Frédéric Holtzapffel qui épouse en 1793 Chrétienne Cléophée Walther, fille du marchand Jean Walther

1793 (29.6.), Strasbourg 4 (10), Not. Greis n° 319 Altes 327
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Johann Friderich Holtzapfel, leediger Handelsmann und Inwohner allhier weiland des burgers Johann Caspar Holtzapfels, gewesenen Rechtsgelehrten und Inwohners allhier mit der Bürgerin Margaretha Barbara gebohrner Papelier ehelich erzeugter Sohn, so majorennis, und seine Rechten genießt an einem theil
so dann die Bürgerin Christina Cleophe Walther des Bürgers Johann Walthersn handelsmanns und Inwohners allhier, mit der Bürgerin Christina Cleophe gebohrner Schatz ehelich erzeugte Tochter, unter authorisation gedachten ihres Vaters an dem andern theil
Geschehen allhier zu Straßburg den 29. Junÿ im Jahr 1793 [unterzeichnet] Johann Friederich Holtzapfel, Christina Cleophe Walterin
Enregistrement, acp 17 f° 110-v du 3.8. – Il n’y a pas désignation d’apports. Les futurs se donnent au survivant savoir le futur à la future si elle survit la jouissance d’une somme de 30.000 livres et la future au futur si c’est lui qui survit la jouissance d’une somme de 12.000 livres, plus le futur fait don matutinal à la future de 6000 livres
Est comparu le futur qui a déclaré que son revenu n’excède pas 2000 livres

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 48 320 livres, ceux de la femme à 3 423 livres.
1799 (16 frimaire 8), Strasbourg 3 (22), Not. Übersaal n° 620, 257
Inventarium über des bürgers Johann Friedrich Holzapfel handelsmanns und der bürgerin Christina Cleophe geb. Walter für unverändert in den Ehestand zugebrachtes Vermögen, in ihrem vor weÿl. Not. Johann Friedrich Greis den 29. julÿ 1793 aufgerichteten Ehe Contract
des Ehemanns vermögen, hausrath 2038 fr, silber und gold 1281 fr, Commercium 45.000 fr, summa summarum 48,320 fr
der Ehegattin in die Ehe gebrachtes Gut, hausrath 2876 fr, Silber, goldene Ringe und Geschmuck 2003 fr, baarschafft 12.000 fr, summa summarum 16.879 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 70 f° 142 du 16 frim. 8

Jean Frédéric Holtzapffel loue les magasins au négociant en vins François Barenne Faurés, de Mas d’Agenois (Lot-et-Garonne)

1811 (3.10.), Strasbourg 8 (2), Not. Roessel n° 368
Bail de 3 ans à commencer aujourd’hui – Jean Frédéric Holtzapffel négociant
à François Barenne Faurés, négociant en vins demeurant à Mas d’Agénois, departement du Lot et Garonne, accompagné du Sr Louis Cappaun et Frédéric Wüst négociant
les magasins au rez de chaussée et la cave de la maison sise en cette ville rue de la Lie n° 4, moyennant un loyer annuel de 100 francs
Enregistrement, acp 118 F° 32 du 4.10.

Jean Frédéric Holtzapffel meurt en 1829 en délaissant pour unique héritier son fils Théodore Holtzapffel auquel reviennent les maisons rue du Puits et rue de la Lie

1830 (10.4.), Strasbourg 1 (58), Me Rencker n° 7395
Liquidation et partage – à la requête de- Christine Cléophée Walter veuve de Jean Frédéric Holtzapffel, négociant, décédé le 26 décembre dernier, Théodore Holtzapffel fils, négociant, seul et unique héritier – la veuve commune en beins suivant contrat de mariage reçu Greis 29 juillet 1793, inventaire des apports reçu Ubersaal le16 frimaire 8, testament olographe du 4 octobre 1823 déposé au rang des minutes de Me Lacombe le 31 décembre suivant
à la veuve, la moitié de des immeubles en usufruit, une maison rue du Puits n° 5 et de la Lie n° 11 pour 30.000 fr
le fils 1. la maison rue de la Lie n° 4 pour 6000 fr
2. de la maison avec cour, écurie, bâtiment en dépendant située à Strasbourg rue du Puits n° 5, d’un côté Jean Scheittel négociant, d’autre le Sr Linder avocat, derrière M Scheittel et la veuve Scharrach
et de la maison rue de la Lie n° 11 d’un côté le Sr Eberlin boulanger, d’autre la veuve Scharrach estimée 30 000 fr
3. une maison sise à Strasbourg rue de la Lie n° 4 servant de magasin, d’un côté le Sr Kimmerlin relieur, d’autre Anselme Exel, derrière les Sr Marchal et Simon les Sr Dietsch et Lefebvre, estimée 6000 li,
totalité de la masse active 629.867 fr, passif 52.244 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 199 f° 23-v du 14.4.

La maison figure parmi les biens propres du mari dans l’inventaire dressé en 1841 après la mort de sa femme Hélène Eléonore Jacobée Thomassin.
Egide Théodore Holtzapffel et Caroline Sérard vendent la maison en 1847 au menuisier Jean Louis Stangel pour la nue-propriété et à sa sœur Catherine Elisabeth Stangel pour l’usufruit moyennant 12 000 francs

1847 (17 9.br), Strasbourg 1 (102), Not. Rencker n° 19.729
Vente pour 12.000, 17 9.b 1847 – Sont comparus Monsieur Egide Théodore Holtzapffel, acnien Négociant & propriétaire et Dame Caroline Sérard, son Epouse, de lui dument autorisée, domiciliés ensemble à Strasbourg (ont vendu)
au Sr Jean Louis Stangel, menuisier, & à Delle Catherine Elisabeth Stangel, sa sœur, célibataire rentière, demeurant les deux à Strasbourg acquéreurs solidaires
un immeuble sis à Strasbourg Rue de la Lie N° 4, consistant en différents bâtimens appropriés à l’usage de Magasin & dont deux sont élevés sur caves voûtées, Cours, pompe, appartenances & dépendances le tout tenant d’un côté à M Anselme Exel de l’autre à M. Kimmerlé pardevant la rue de la Lie par derrière en partie la maison du boulanger qui forme le fond de l’impasse du Paon & en partie Bucherer de la Rue de l’Epine
M. Holtzapffel est devenu propriétaire de cet immeuble par suite de l’attribution qui lui en a été faite dans le partage de la succession de feu M. Jean Frédéric Holtzapffel, on père en son vivant Négociant à Strasbourg dressé par M° Rencker l’un des notaires soussignés le 10 avril 1830. (…) La présente vente est faite moyennant le Prix de 12.000 francs
acp 367 (3 Q 30 082) f° 5

Catherine Elisabeth Stangel meurt célibataire à l’âge de 74 ans le 12 juin 1860
Décès, Strasbourg (n° 1059)
Acte de décès. Le 12 juin 1860 (…) Jean Louis Stangel, âgé de 69 ans, menuisier, frère de la défunte domicilié à Strasbourg (…) ont déclaré que Catherine Elisabeth Stangel âgée de 74 ans, née à Strasbourg, non mariée, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Louis Adam Stangel, menuisier et de feu Anne Marie Elisabeth Beidemann est décédée le 12 juin 1860 à 11 heures du matin en la maison rue de la lie 6 [in margine :] apoplexie (i 66)

Le menuisier Jean Louis Stangel meurt célibataire à l’âge de 70 ans le 9 septembre 1861
Décès, Strasbourg (n° 2126)
Acte de décès. Le 9 septembre 1861 (…) ont déclaré que Louis Jean Stangel, âgé de 70 ans né à Strasbourg, ancien menuisier, non marié, domicilié à Strasbourg, fils de feu Louis Adam Stangel, menuisier et de feu Anne Marie Elisabeth Beydemann est décédé le 9 septembre 1861 à 10 heures du matin en la maison rue de la lie 6 [in margine :] maladie du foie (i 13)

Jean Louis Stangel a institué pour ses légataires sa domestique Marie Bur et Joseph Sambstag, cultivateur à Bœrsch

1861 (17.10.), M° Keller
Inventaire de la succession de Jean Louis Stangel, propriétaire à Strasbourg décédé le 9 septembre 1861, dressé à la requête de 1) Marie Bur, domestique à Strasbourg, 2) Joseph Sambstag, cultivateur à Boersch, légataires universels du défunt suivant son testament mystique en date du premier mars 1860.
acp 503 (3 Q 30 218) f° 42-v du 23.10. (succession déclarée le 4 mars 1862)
Il dépend de la dite succession, mobilier estimé 495, garde robe 59
acp 508 (3 Q 30 223) f° 21 du 4.3.1862 (vacation du 3 mars)
une maison à Strasbourg rue de la Lie n° 6
argent 60, créances 12.215

Testament par lequel le défunt institue Marie Bur légataire en usufruit et son fils Joseph Samstag en nue-propriété
1862, Enregistrement de Strasbourg, ssp 134 (3 Q 31 633)
f° 14 du 16.9.
1 mars 1860, Testament – Jean Louis Stangel, propriétaire à Strasbourg
1° Je lègue à titre de legs particuliers une somme de 1000 francs à l’institution des petites sœurs des pauvres établies à Strasbourg
2° Je lègue au petit séminaire de St Etienne à Strasbourg une somme de 6000 francs à charge par ledit établissement ou par ceux qui pourront leur succéder à perpétuité 125 messes anniversaires qui devront être célébrées par MM les professeurs du dit séminaire et payées à 1 fr 50 la messe pour le repos de l’âme du testateur et de celles de ses père et mère et de ses frères et sœurs
3° Je lègue à Charles Pauly concierge à Strasbourg une somme de 2000 francs
5° Je lègue à Laurent Hor journalier à Strasbourg une somme de 6000 francs et en cas de prédécès dudit légataire cette somme devra revenir à Charles Pauly prédénommé en sus du legs déjà fait à ce dernier
6° Je lègue à Catherine Christine Hor à Strasbourg fille dudit Laurent Hor 13.000 francs
Tous les legs qui précèdent devront être acquittés dans l’année de mon décès, sans intérêts, mais aussi sans frais ni déductions quelconques (…)
7° J’institue pour mes seuls héritiers et légataires à titre universel Marie Bur ma domestique à Strasbourg pour l’usufruit et Joseph Samstag son fils à Boersch, pour la nue propriété (…)
8° Je révoque tout testament antérieur
9° Enfin je veux que la maison dépendant de ma succession soit vendue pour que mes héritiers institués puissent faire face au paiement des legs et autres charges, l’excédent du prix s’il y a lieu sera placé par l’usufruitière comme elle le jugera convenable sans que le propriétaire puisse porter le moindre empêchement à la jouissance
Fait à Strasbourg le premier mars 1860, écrit par M° Keller notaire
ssp du premier mars 1860. Codicille. – Prévoyant le cas où Marie Bur ma domestique décéderait avant moi j’institue pour mon unique héritiere et seule légataire universelle tant en propriété qu’en usufruit Catherine Christine Hor susnommée, laquelle devra recueillir la totalité des biens que je délaisserai à charge par elle de remettre à Joseph Samstag une somme de 10.000 francs (…)

Extraits des registres de population. Marie Buhr est née le 25 mars 1798 à « Zuzenhoffen » en Bade
600 MW 234 1846 sqq, f° 456 et 457 (i 221, 222) – Rue de la Lie 4
Stangel, Jean Louis, 1791, Strasbourg, propriétaire, menuisier, (auparavant) A. R., (entré) 1848
Stangel, Catherine, 1785 Strasbourg, idem
Stangel née Schmitt, Suzanne, 1792, Strasbourg, belle sœur servante, idem, (sortie) 27 mars 53, Dn St Nicolas 14
Buhr Marie Anne, 25 mars 1798, Zuzenhoffen, Baden, Ste. Stangel, (à Str) depuis 4 août 47, carte n° 1968, (entrée) 28 fev. 55

600 MW 353 1850 sqq (i 49) – Rue de la Lie 4 / 6
Stangel, Jean Louis, 1791, g. menuisier, catholique, français (à Str) depuis sa nais. – décédé
Stangel, Catherine Elisabeth, 1786, f. sa soeur, catholique, français (à Str) depuis sa nais. – décédée le 12 juin 1860
Bur Marie, 1799, f. servante, catholique, française, (à Str) depuis 1847

Les légataires universels consentent aux legs particuliers
1861 (16.10.), M° Keller
Consentement par 1) Marie Bur, domestique à Strasbourg
2) Joseph Sambstag, cultivateur à Strasbourg, agissant la Dlle Bur légataire pour l’usufruit et le Sr Sambstag pour la nue propriété de la succession délaissée par Jean Louis Stangel, vivant propriétaire à Strasbourg aux termes de son testament mystique du premier mars 1861 à la délivrance du legs de 1000 francs fait à l’institution des petites sœurs et de celui de 6000 francs faite au petit Séminaire par ledit testateur
acp 503 (3 Q 30 218) f° 42 du 23.10.

1863 (24.3.), M° Keller
Notoriété constatant qie Jean Louis Stangel, propriétaire à Strasbourg est décédé le 9 septembre 1861, que par son testament il a légué aux petits sœurs une somme de 1000 francs et au petit séminaire 6000 francs
acp 520 (3 Q 30 235) f° 46 du 25.3.

La maison revient au tisserand Joseph Louis Sambstag, né de parents inconnus, qui épouse en 1859 Marie Anne Sitter. D’après le testament ci-dessus, sa mère serait Marie Anne Buhr.

Mariage, Bœrsch (n° 12)
Le 21 novembre 1859 à trois heures du soir. Acte de mariage célébré publiquement en la maison commune de Joseph Louis Sambstag, célibataire, âgé de 29 ans, né à Urmatt (Bas-Rhin) le 15 octobre 1830, tisserand, domicilié à Bœrsch, fils naturel de père inconnu et de mère inconnue, et de Marie Anne Sitter, célibataire, âge de 25 ans, née à Bœrsch le 22 décembre 1833, domiciliée à Bœrsch, fille légitime majeure de feu Pierre Sitter, vigneron vivant domicilié à Bœrsch où il est décédé le 21 avril 1852 et d’Odile Zimmermann âgée de 69 ans domiciliée à Bœrsch ci présente et consentante (signé) Samstag, Sitter (i 8)

Naissance, Urmatt (f° 9)
L’an 1830 le 16 du mois d’octobre (…) est comparu le sieur Jean Philippe Rumpler aubergiste domicilié à Urmatt, lequel nous a déclaré que le 16 dudit mois d’octobre à cinq heures trois quarts du matin étant seul il a trouvé sur le petit banc de repos placé devant sa maison aboutissant sur la route départementale de Schirmeck un enfant tel qu’il nous le présente enveloppé avec des linges, après avoir visité l’enfant nous avons trouvé qu’il était du sexe masculin et qu’il paraissait âgé de dix heures approximativement et qu’on n’y a pas trouvé ni écrit ni autre marque, de suite avons inscrit l’enfant sous les nom et prénoms de Joseph Louis Samstag et avons ordonné qu’il soit remis ainsi que les objets trouvés sur lui au sieur Pierre Mathieu cordonnier à Urmatt pour le soigner

Joseph Sambstag loue la maison à la veuve Seitenather

1875, Enregistrement de Strasbourg, ssp 163 (3 Q 31 662)
f° 35-v du 8.3. n° 554
Privat Akt vom 24 Juni 1874 – Verpachtung auf ein Jahr durch Joseph Samstag in Börsch
an Wittwe Seitenather in Straßburg
eines in der Drusengasse N° 6 in Straßburg gelegenen Wohnhauses vom 24. Juni 1874 für 2189 frcs



Jean Philippe Cuntzmann, secrétaire, et (1644) Susanne Salomé Neff puis (1646) Elisabeth Crusius – luthériens


Fils du receveur Jean Cuntzmann, Jean Philippe Cuntzmann est nommé secrétaire des communaux le 3 février 1644. Il épouse en 1644 Susanne Salomé Neff. Les Conseillers et les Vingt-et-Un le nomment secrétaire de la manance et secrétaire des mutations le 20 avril 1646.
Jean Philippe Cuntzmann se remarie en août 1646 avec Elisabeth Crusius, fille du professeur d’université Paul Crusius. Eu égard à ses qualités, il devient secrétaire à la Tour aux deniers en 1649 par permutation avec Jean Adam Schwartz, souvent malade et absent. Il est élu échevin à la tribu des Tonneliers en 1653. Il quitte son poste pendant cinq semaines en 1656 sans en aviser ses supérieurs ; l’un des Trois de la Tour aux deniers le soupçonne de malversations. Il revient à Strasbourg, présente ses excuses par écrit. Les Quinze le lavent de tout soupçon le 24 décembre suivant.
Le Grand Sénat fait dresser en 1667 l’inventaire de ses biens alors qu’il est emprisonné pour avoir détourné les fonds publics. Il meurt peu après. Le bureau de la Taille constate que le défunt a réglé des impôts d’après une somme supérieure de 1 500 florins à celle constatée lors de l’inventaire.
Elisabeth Crusius se remarie en 1668 avec Georges Christophe Allgeyer, pasteur et chanoine à Saint-Thomas, puis en 1672 avec Jean Pierre Schmidt, assesseur des Conseillers et Vingt-et-Un.

Maison en propriété
1665, à la montée dite Kuppenlinder (IV 457, actuel n° 2, place de l’Homme de fer)

Enfants

Dressé en 1672, l’état des biens qui appartiennent à Elisabeth Crusius établit qu’elle a eu quatre enfants de Jean Philippe Cuntzmann : ses deux filles ainsi que les défunts Jean Philippe Cuntzmann, juriste, et Elisabeth Cuntzmann.

  • Anne épouse (1673) le marchand Jean Bex
  • Catherine épouse (1675) Jean Bœckler, docteur en médecine et comte palatin
  • Elisabeth († 1668)
  • Jean Philippe, juriste († avant 1672)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un élisent Jean Philippe Cuntzmann au poste de secrétaire des communaux le 3 février 1644.

1644, Conseillers et XXI (1 R 127)
Allmendt schreibereÿ ersetzt. Johan Philipp Cuntzman. 13.
(f° 13) Sambstag d. 3. Februar: – die Allmendt H. bericht. d. die auß d. Jenigen persohnen so sich Vmb die Allmendschreibereÿ geschriben geb. haben einen außschuß gemacht, Laßen dieselbige wie auch die Vberige per me ableß. Stellen die wahl Zu Lh. Erk. Electus Johan Philipp Kuentzmann.
H Johann Bölen Johann Philip Kuentzman Vnnd Jacob Pfliger der Steinmetz schwören auff die Allmendt Ordnung.

Fils du receveur Jean Cuntzmann, Jean Philippe Cuntzmann épouse en 1644 Susanne Salomé Neff

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 24)
1644. Dominica XXII. Tri: 17. 9.bris. Hr Johann Philip Kuntzmann der Allmendschreiber, Johann Kuntzmann deß schaffners vnndt burger allhier nachg. Sohn, v. Jfr. Susanna Salome, Johann Philipp Neffen deß burgers allhie Eheliche Tochter. Copulirt Mont. 25. J S Peter (i 31).
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 298) 1644. Domin. XXII. Trinit: 17. Novemb. Johann Philipp Cuntzmann, Almentschreiber, Johann Cuntzmanns Schaffners alhie nachgel. Sohn, Jungfr. Susanna Salome, Johann Philipp Nefen burgers alhie Eheliche Tochter. Eingesegnet Montag 25. Novemb. Jung. St. Peter. (i 304)

Les Quinze constatent que le consul Jean Jacques Meyer a nommé de son propre chef Jean Philippe Cuntzmann au poste de secrétaire de la manance. Ils suspendent la nomination qui devra avoir lieu dans les règles. Il est prorogé dans ses fonctions le 27 décembre et le consul rappelé à l’ordre.

1645, Protocole des Quinze (2 R 66)
Schirmbgerichts schreÿbereÿ. Johan Philipp Kuntzmann. 201. 203. H. Johan Jacob Kipß. 203 (bis).
(f° 201) Mittw. den 24. Xbris. – H. Johann Jacob Meÿer Ammeister wegen Schirmbgerichts schreÿbereÿ. H Johan Philipp Cuntzmann
Zum andern habe Er [H. Johann Jacob Meÿer] diesen tagen auch fest eÿgenes gewalts, Johann Philipp Cuntzmann Zu Einem Vicario Zu deß Schirmbs gerichts Schreibereÿ geordnet, Zwar deßwegen die Obere Cantzleÿ herren Zusammen kommen laßen es aber Ihnen alß Eine außgemachte Sach proponirt, weil aber dieße bestellung Mghh. vndt In dieße Stub gehört, & was Zuthun. Erkandt soll Zu vorderst in beeder puncten H. Ammeister Meÿern per H. XV. Mr. gebührende remonstration gethan, vnd daß Er sich Künfftig dergleich. enthalt. solle angezeigt, auch H. Cuntzmann noch Zu Zeit Von deß Schirmbgerichts geschäfften gelaßen, Und hiernechst von beeden Herrn Schirmbrichtern In dießer Stuben Zu diesem vicariat ein oder d. andere Subjectum vorgeschlag. werden, In dem Ersten punct aber beeden Herren Pflegeren In anliegen Widerumb für Herrn Räth vnd 21. Zubring. Ihne benohmen sein.
[in margine :] Mont. d. 29. dito word. H Amr. Meÿern p H. XV. Mr. bescheid angezeigt.

(f° 203) Sambst. den 27. Xbris – Schirmbgerichts schreÿbereÿ. H Johan Philipp Cuntzmann. H. Johan Jacob Kipß.
Schirmbgerichts herren reassumiren, waß supra fol. 201. wegen Interims Schreÿbereÿ daselbst Vorkommen, vnd weil man gleichwohl mit der Persohn nit sondern allein in modo gefehlt, alß Stellen Sie ob H. Cuntzmann nach fürters daselbsten, vices agiren solle.
Erkandt Quoadsic vnd soll aber neben J. Am: Meÿern auch H. Johan Jacob Kipß alß der der H. Ammeister Zu dießer Wider ordnung geloffnenen bestellung sehr instigirt, remonstation gethan. Erl. Ist eodem für. H. XV. Mr

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Philippe Cuntzmann secrétaire de la manance et secrétaire des mutations le 20 avril 1646.

1646, Conseillers et XXI (1 R 129)
Johan Philipp Kuntzmann. 34. 35.
(f° 34) Montags den 20. Aprilis – Johan Philipp Kuntzmann wurd Zu einem Schirmsgerichts schreiber und Pfundzoller angenommen
(f° 35) Sambstag den 25. Aprilis Johan Philipp Kuntzmann der Schirmsgerichts schreiber Und Pfund zoller schwört die ordnung

Jean Philippe Cuntzmann se remarie en août 1646 avec Elisabeth Crusius, fille du professeur d’université Paul Crusius.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 320)
1646. Domin: XIV Trinit. 30. Aug. H. Johann Philipp Cuntzmann, Pfundt Zoller Vndt schirmgerichsschreiber, Jungfrau Elisabetha, h. M. Pauli Crusÿ beÿ hiesig. Universität Professoris Poëseos nachgel. Tochter. Eingesegnet dinstag 8. Septembr: St: Thoman (i 327)

Secrétaire à la Tour aux deniers, Jean Adam Schwartz est souvent malade et absent. Les affaires prennent du retard. Les Préposés au bâtiment proposent de le nommer receveur de l’hôpital des vérolés ou de lui verser une pension. Les Conseillers et les Vingt-et-Un n’agréent pas la première proposition, la deuxième grèverait le trésor déjà en difficulté. Les Quinze proposent une permutation comme cela s’est déjà fait. Jean Philippe Cuntzmann autrefois secrétaire des communaux et actuellement secrétaire de la manance et des mutations serait nommé secrétaire à la Tour aux deniers d’autant qu’il a les qualités requises. Jean Adam Schwartz deviendrait secrétaire des mutations, tâche qu’il peut accomplir à domicile. Les Quinze approuvent la proposition qu’ils vont transmettre aux Conseillers et aux Vingt-et-Un

1649, Protocole des Quinze (2 R 68)
(f° 229) Freÿtag den 23. 9.bris – Johann Adam Schwartz. – Pfenningth. Underschreiber stell – H. Johann Philipp Cuntzmann.
Die Verordnete Ober Bawherren laßen durch Mich referiren, es Seÿe Mgh. bekandt, welcher gestalt es nun Eine geraume Zeit mit der beeden officianten vff dem Pfenningthurn sonderlich deß vnderschreibers Johann Adam Schwartzen Verrichtungen dahero gangen, In dem nemlichen derselbe nit nur Keine genugsambe qualiteten, Zu selben Verrichtungen hat, sondern auch Leiden mit solchen leibs Zuständten vnd gebrechlichkeiten behafftet, daß Er fast die wenigste Zeit seinem officio abwartten thut, [f° 229-v] also daß der Pfenningthurn öffters leer stehet, vnd dannenhero /:besonders wann auch d. Oberschreib. anderer Verrichtungen halben nit beÿ d. stell:/ die fürfallende Geschäfft daselbsten, nicht allein in merckliches stecken vnd große confusion ie länger ie mehr gebracht, sondern auch die Burgerschafft vnd Partheÿen, in dem Sie daselbst nicht allein Keine oder gar wenig Zinß empfangen, auch in abschreibung dem Stall Zettel vndt anderen expeditionen nit gefürdert, Zu nicht geringen klägen vnndt læmentationen bewogen weirden. Vnd ob man Zuvor hiebevor In dieser Stuben daß abstehen gehabt, Ihne Schwartzen Zu dem Schaffneÿ in Blatterhauß Zu promoviren und nachgehend seine stell mit Einer tauglichen Persohn Zuersetzen, od. aber auch Ihme etwa Ein Gnaden gelt Zubestimmen, So habe doch das Erste beÿ Herren Räth vnd 21. nicht angehen, daß andere aber, beÿ so [f° 230] Kundbaren deß gemeinen Säckels dürfftigkeit nicht vnbillich bedencklich fallen wollen, Nun seÿe gleichwohl Zu vorkommung noch fernerer confusion die höchst nottwendigkeit dißfalls Zu remediren, dieweil dann die Obere bawherren sich deß præjudicÿ mit H. Johann Falcken seel. de A° 1624. in deme derselbe von dießer Stuben vnd Fünffzehen schreiber Stell In die Contractstub transferirt worden, erinnert Vnd sich nunmehr Zu Einer dergleichen Mutation vnd v.wechßelung zugelangen, bequeme gelegenheit præsentirt, In dem Johann Philipp Cuntzmann d. geweßene Allmend ietzo aber Schirmgerichts schreiber vnd Pfund Zoller /:welchen wie bekandt nicht allein gute qualiteten sondern auch sich in seinen bißherigen diensten trew vnd sehr fleißig erwießen hat, Zu mehrgedachter Underschreiber stell befürdert hingegen H. Schwartz Zu dem Schirmgericht vnd Pfund zoller dienst Versetzt werden köndte, Also vermeinten Sie vff belieben Mghh.[f° 230-v] Es solte dießer tausch In allenwege Vnd besonders auch darumb vorgenohmen Werden, weilen verhoffentlich Cuntzmann Künfftig Zu den Pfenningthurns geschäfften nicht allein seinen fleiß für sich selbsten continuiren, sondern auch damit den Oberschreiber vmb etwaß mehr darzu antreiben, Schwartz hingegen rühigerer tag haben, seiner gesundheit mehr pflegen können seine geschäfft vnd vornemblich wegen pfundzolls Zu hauß mit weniger mühe v.richten vnd gleichwohlen ratione salarÿ nicht viel geringerer condition sein würdte, gestalten es dann die vßgetruckte meinung hette, daß Cuntzmann beÿ Schwartz, vnndt dieser beÿ Jenem bißherigen bestallungen gelaßen werden solte, dadurch nun würde Zukeinen sichtiglichen ane beeden orthen rath geschäfft der gemeine seckel vmb nicht weiters beschwerdt vnd damit allerseits Partheÿen Ein contentement gegeben werd. [f° 231] Jedoch stellen Sie alles Zu Mghh. darauf die Obere bawherren gehört die sich zur relation allerdings bekandt.
Erkandt, würdt der Oberen Bawherren bedencken durchauß placidirt, soll morgen für herren Räth und 21. gebracht und interim in geheimb gehalten werden daß den 24 dito für Herren Räth und 21. gebracht vndt allerdings placidirt.
[in margine :] Sambt. den 8. Xbris hatt H. Cuntzmann beÿ H. Räth u. 21. vf sein bestallung das Jurament abgelegt.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la permutation. Jean Philippe Cuntzmann prête serment le 8 décembre 1649.

1649, Conseillers et XXI (1 R 132)
(f° 179-v) Sambstag d. 24. Novembr. – Johann Adam Schwartz Würdt Schirmgericht schreiber. Kuntzmann Würdt Underschreiber auff dem Pfenningthurn
Mh. die XV.er laßen per H. Frantz Carol referiren, d. sie nun eine Zeit hero Wahrgenommen d. die geschefft auff dem Pfenningthurn sehr in d. stecken gerath. vnnd daß Insonderheit darund. Weylne h Johann Adam Schwartz der Underschreiber öffters lagerhafft, Vnnd Zimliche Zeit sich nicht einfinden noch vortkommen kann, Seÿe Zwar In Vorschlag kommen ob Ihme nich Ein gd. geld wie etwann In d.gleichen fällen üblich Ihme konte geschopfft werd. also Er dißer stell erlaß. werd. Mann hatt gleichwohl In dem nachdenck. nicht finden können d. der seckel beÿ Jetzmahligen schlechten Zustand deß gemeinen Weßen Extraordinarie Zubeschweren. Seÿe deßweg. In Bedencken kommen es möchte sich mitt seiner persohn Ein außtausch practiciren laß. Ex[em]plo. H. Falck welcher A° 24. Inn die Contract stub ist transferirt worden.
Auß der XV. stuben Vnnd demnach dißer Vorschlag Ist Vor guth befunden Word. so ist man auff deß H. Kuntzmans persohn kommen, der hatt nun Zu vernemmung der Verrichtung. sich Willig erwißen, Seÿe Darvor gehalt. word. H. Schwartz werde desto mehr Ursach haben sich content zu find. Weilen under den bestallungen ein geringe differentz, vnnd seine Zukünffige Verrichtungen auff Wenig. bericht. Seÿe beÿ seinen H. bereitß Ein außgemachte sach Werde ad notitiam Mg bloß Vorgebung.

(f° 183-v) Sambstag d. 8. Decembr: – H. Cuntzmann
H. Cuntzmann schwert auff die Pfenningthurns schreibereÿ ordnung

Les Préposés au bâtiment enregistrent la nomination de Jean Philippe Cuntzmann au poste d’adjoint à la Tour aux deniers

1649, Préposés au bâtiment (VII 1351)
(f° 36-v) Montags den 17. Xbris. – H Johann Philipp Cuntzmann Adjunctus deß Pfenningthurns.
Oberbauherren ließen durch H. Frantz Christoph Carlen proponiren, daß, nachdem herr Schwartz, biß dahero geweßener adjunctus deß Pfenningthurns, vieler vnpäßlichkeit wegen den Sitz immer zu häuffenden Pfenningthurns geschefften genungsam abzuwarten, sich Zu sehr beschwert gefunden, deaßwegen Ihme die Schirmgericht schreÿbereÿ vnd Pfundzollers stell, alß welche etwas rühiger, anbefohlenn vnd hergegen der bißhero gewesene Schirmgerichts schreÿber und Pfundtzoller H. Johann Philipp Cuntzmann so ahn berüerter adjuncten stell verordnet worden, Sie Ihnen Herrn Cuntzmann hiemit zu solcher verrichtung præsentirt, vnd seiner bestallung welche Ihme vorgeleßen worden, gemeß Zu leben errinnert Auch nächst einlieffrung der Pfenningthurns schüssel, Zu solchem werck bestermaßen gratuirt haben wollen.

Jean Philippe Cuntzmann reçoit une gratification en nature (3 setiers de sel)

1650, Protocole des Quinze (2 R 69)
Saltz pro Pfenningthurns Schreiber H. Johan Philipp Cuntzmann. 109.
(f° 109-v) Sambst. den 11. Maÿ – H. Johan Philipp Cuntzmann Underschreiber deß Pfenningthurns ist durch die Obere Sattzherren 3. Sester Saltz à 4 ß den Sester verwilligt vnd deßwegen Schein ane H. Theophilum Gollen ertheilt worden.

1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
H. Johann Philipp Cuntzmann. 65.
(f° 65) Sambstag den 3. Aprilis – H. Johann Philipp Cuntzmann vnderschrbr. deß Pfenningthurns ist auch Widerumb für diß Jahr ein Schein Zu 3. Sester Saltz à 4 ß d. Str. in den ordinari Saltz verwalther ertheilt worden.

1653, Protocole des Quinze (2 R 71)
H. Johann Philipp Cuntzmann. 54.
(f° 54-v) Mittwoch den 23. martÿ – H. Johann Philipp Cuntzmann dem Underschrbr. vfm Pfenningthurn ist auß v.willigung der Obern Saltzherren für 3. Sester Saltz à 4 ß d. Str. Schein ertheilt worden.

Jean Philippe Cuntzmann est élu échevin à la tribu des Tonneliers en remplacement de Michel Kob.

1653, Conseillers et XXI (1 R 136)
(f° 187) Mittwoch d. 21. Decemb. – Beÿ E. E. Zunfft der Kieffer Ist ahne statt Michael Goben Johann Philipp Kuntzman Zu einem Scheffen erwehlet worden.

Les Préposés au bâtiment rapportent aux Quinze que Jean Philippe Cuntzmann a quitté la ville sans en aviser ses supérieurs cinq semaines et demi auparavant. Antoine Flach, l’un des Trois de la Tour aux deniers, soupçonne Jean Philippe Cuntzmann de malversations depuis la mort de Heus. Bien qu’il n’en ait pas la preuve, la fuite semble étayer les soupçons. Quand Jean Philippe Cuntzmann est revenu à Strasbourg quelques jours auparavant, les Préposés au bâtiment l’ont prié de rester chez lui. Il a présenté par écrit des excuses et justifie son départ par la mélancolie. Il constate qu’il a des ennemis qui le calomnient. L’affaire sera transmise au Sénat. Les Préposés au bâtiment et les Trois de la Tour aux deniers ajoutent qu’ils ont toute confiance en Jean Philippe Cuntzmann, qu’ils ont toujours constaté son assiduité et son honnêteté. Les Quinze lavent le 24 décembre Jean Philippe Cuntzmann de tout soupçon.

1655, Protocole des Quinze (2 R 73)
H. Joh: Philipp Cuntzmann. H. Anthoni Flach dreÿer deß Pfenningth. 202. 210.
(f° 202-v) Freÿtag den 14. Xbris – Obere Bawherren Laßen per H. Frantzen referiren, Es seÿe Mgh. bekhant, welcher gestalt Johann Philipp Cuntzmann dem Underschreiber deß Pfenningthurns sich vor ungefehr Sechsthalb Wochen ohne vorwißen einiges menschen, besonders seiner Vorgesetzten Von hier wegbegeben, auß ursach Wie man nachgehend vernehmen, daß H. Anthoni Flach der Eine dreÿer deß Pfenningthurns, seithero Herren Heüß seel. todt Ein und den andern Verdacht vf ihne gehabt, daß Er mit dem gelt vfm d.th. nicht allerdings trew gewesen, Vnd Wiewohlen nun Er H. Flach anfangs gegen ihnen den Obern bawherren, alß Ein vf dem d.th. gehört word. sich vernehmen laßen, daß Er Zwar nicht sagen könne daß Cuntzmann würcklichen etwaß von gelt entwendet, sond.n ihne allein geduncket es mit ihme nit recht dahero gehe, So hette iedoch sein Cuntzmans flucht vnd außtretten die sach sehr verdächtig gemachet, Die weil mann aber darinn Kein recht fundament gehabt, alß seÿe solche nicht allein mit dem Regirenden Herren Ammeister sondern auch der beeden Herren Advocaten communicirt, v. vff deroguth finden biß dahero suspendirt word. Nun habe sich Cuntzmann nechst verschienen dienstag Wider alhie eingestellt vnd biß dato vff ihr d. Obern Bawheren befelch Zu Hauß enthalten, darauff gestern am morgen seine Schrifftliche entschuldigung vndt gantz verlauff der Sach ihnen insonderheit Welche auch Zu diesem mahl von wortt zu wortt abgeleßen word. Wann Er sich dann darinn vff sein guth gewießen beziehen thut, keiner [f° 203-v] Einigen Untrew geständig Ist, der fuß Zuhalten, ja leibguth vndt bluth auf Zusetzen gedencket, die Ursach aber dieses so unbesonnenen außtritts, einigen miltz vnd melancholischen affectû, vnd einer eingebildeter Forcht, in seiner unschuld vnverhört übereÿlet Zuwerd. allein Zuschreibet, Hingegen Herr Flach sich allererst gestern abend, beÿ dem Scheidte* vnd ein trunck, nicht allein gegentheils Obern Bawherren, sondern auch etlich Steltz vnd Ammeistern sehr Voreÿlendt vnd weitaußsehend dieße vernohmen laßen, daß Cuntzman Wie Ein anderer etc. von hie außgewichen, sehr wohl daß Er viel patronen hette die Ihne supportiren, hingegen Ihne verunglimpffen wolten. vndt da die Sach nit mit manier außgemacht würde, Er ane Jüngst tag über, Die Obrigkeit raach schreÿen wolte, vnd. waß dergleich. beschwerliche reden, welche auch Sie Obere bawherren in etwaß v.dacht setzen mehr geweßen [f° 204] Vnd also solchem allem noch Sie die Herren Deputirte befinden, daß daß geschäfft nun gleichsamb vff Einen bruch /:welcher gleich wohl Flachen Zubeweißen obliegt:/ hinauß lauffen will, alß hetten Sie sich derentwegen mit Einand. vnderspracht, vnd vff belieben Mghh. darfür gehalten Es were solches für Einen Ehrsamen Rath Zu remittiren vnd Zwar dergestalten Zubeweiß. daß dem regirend. Herrn Ammeister sein Cuntzmanns schrifftliche entschuldigung Zugestelt, vnd die sach zu fürderlicher außmachung, besonders auch darumb recommendirt werde, weilen Er Cuntzmann nicht allein von Ihnen Obern Bawherren, sondern auch den übrigen dreÿern deß Pfenningth. vnd dem Obersch. Ein sehr gutes Zeügnuß, wurd vermuthlich auch beÿ Mghh den XV. ins gesambt haben würdt, daß biß dahero von Ihnen einige untrew beÿ ihme nicht, sondern wird aller fleiß vnd redlichkeit In seinen befohlenen ambts Verrichtungen verspürt vnndt [f° 204-v] wargenommen word. Obere bawherren bekennen sich Zum relation vnd stellens. nach deme beÿ d. vmbfrag von allen Mghh. Cuntzmann ein gutes Zeügnuß als ihnen anderst nicht wißend, gegeben word. Ist Erkandt, daß d. Obern Bawherren allerdings placidirt sein sollen beede XV. Mr. haben darauf beÿ H. Am. v.richtet.

(f° 210-v) Montag den 24. Xbris – H. Anthoni Flach und Cuntzmann die dreÿer und Schreiber des Pfenningth. betr.
Obere Bawherren Laßen per H. Frantzen referiren, demnach die Sach wegen H. Flach vnd H. Cuntzmanns /vid. supra fol: 202 / beÿ E. E. Großen Raths vnd Zwar dergestalt außgemacht, daß Zuvorderist die injuriosa ex officio vffgehoben, vnd dann Ein Jeder beÿ seiner stell gelaßen solches ihnen auch bereits durch des Raths Deputirte angezeigt undt dabeÿ worin Ein Jeder gefehlet remonstirt, inn dem übrigen aber es auch beÿ wohlgedachtem Rath dahin gestelt word. daß die biß anhero beÿ dem Pfenningth. etwa wider ordnung vnd herkommen eingewißene mißbrauch, durch authoritet vnd verfuegung d. Obern bawherren ab: vnd alles wid. in gute ordnung geslett werd. solte, also hetten Sie sich deßwegen mit einander vnd.spracht, auch verschiedenen punctlin verglichen, welche Sie so wohl den dreÿeren auch schreibern, dießen morgen vff gedachtem Pfenningthurn, freündlich vnd guter meinung Vorzuhalten, sich resolvirt, damit Künfftig hin alles in guter ordnung dahero gehe, hetten es Jedoch Zuvor auch Mghh. notificiren wollen. Erkandt seÿe nöttig vnd wohlgethan, v. würcklich deßweg. den Obern bawherren befelch Vndt gewol. v. laß.
(vide diße special pünctlin in d. d.thurns laden – Vide etam bedacht sextern N° 33 fol. 93)

Le Grand Sénat fait dresser l’inventaire des biens appartenant à Jean Philippe Cuntzmann, secrétaire adjoint à la Tour aux deniers emprisonné pour avoir détourné les fonds publics, et à sa femme Elisabeth Crusius. La masse propre à la veuve s’élève à 1 330 livres, celle des héritiers à 2 607 livres. L’actif de la communauté est de 3 369 livres, le passif de 601 livres.

1667 (18.3.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 20) n° 9
Inventarium vndt beschreibung Aller Haab vnd Nahrung, so Johann Philipp Cuntzmann geweßener Underschreiber des Pfenningthurns Welcher dießer Zeit Inn vnßerer Gnädigen herrn Verhafftung, Wie auch die Ehren: und tugendtsahme Fr. Elisabetha Cuntzmännin gebohrne Grusiusin beede Ehegemächt vndt Burgere alhie, bitz dato gehabt undt beseßen, Welche Nahrung /:dieweilen besagter Cuntzmann Inn seinem vffgetragenen officio dem gemeinen seckhel vndt des Pfenningthurns habenden intraten nuhn weil viel Jahr abgetragen vndt vntrew erfunden, vndt solches furti Willen vff E. E. großen Raths ertheilten Erkandtnus nach beeden Ehegemächt mit einander vffgerichteten Eheberedung In Gegenwart der Ehrenvesten fürsichtig vndt Weißen Herrn Johann Walters, herrn Johann Gumbrechts, beeder Großen Raths bewanthen, so dann des Ehrenvesten Herrn Johann Reinhardt Maders Wohlbestellten Ver Jichtschreibers, alle dreÿ Von Wohlbesagtem Rath Zu dießer Inventation Insonderheit deputirter Herren inventirt, durch die Viel ehren: vndt tugendsame Fr. Elisabetham Grusiusin mit beÿstandt des Edlen vnd hochgelehrten Herrn Georg Obrechts J. V. Dd Eines Ehrsamen Kleinen Raths Wohlbestellten Procuratoris vndt Advocaten sein Johann Philipp Cuntzmanns Kinder /:vmb der Hernach fol. stehenden Wÿdembs Verfangenschaft Willen:/ geschwornen Vogts, Wie auch des Ehrenvesten fürsichtig Vndt Weißen Herrn Jeremiæ Ursini Notarÿ publici vndt alten Kleinen Raths bewanthen, Beeder Ehegemächt Schwagern /:vff die von vorbesagten Herrn Johann Reinhardt Madern Auß Befelch E. E. großen Raths vorgehaltens erinnering vndt Vermahnung auch darbeÿ angetrawter confiscation nicht allein des Verschwigenen sondern aller Ihrer Überigen Hab vndt Nahrung (…) Angefangen den 18.te, Martÿ Anno 1667.
(wider angefangen Mittwochs den 10. 11. et 12. Apr. 1667. Joh: Philipp, 2. Catharina, 3. Elisabetha)

Inn einer Zu Straßburg vff dem Parfüßerplatz gegen dem blohen bauren über gelegenen undt un dieße Nahrung gehörigen behaußung ist befunden Worden Wie volgt.
Ahne Haußrath. Auff den obersten Bühnen. Auff den dritten Bühnen, Auff der hindern Andern Bühnen, Inn der Stub Cammer, Auff dem Gang, Inn d. Magd Cammer, In der Wohnstuben, Inn der Küchen, Inn dem Mittleren haußöhren
(f° 25) Eÿgenthumb ane Heüßern (T.) It. haus hoff hoffstatt mit allen deren gebewen begriffen, weiten Zugehörden rechten vndt gerechtigkeiten Ist ein Eckh Ann den Parfüßer platz, einseit neben herrn Joh: Friderich Beza M. D. And.seit neben des Parfüßer Closters einfart: hinden Zum theill vff gemelts Closters Gartten vnd Zum theil vff hernach geschr. Beh. stoßend (…)
(T.) Item hauß hoffstatt sampt Allen seinen rechten Zugehördten vndt gerechtigkeiten gelegen In Str. Ane dem so genannten Kupenlinden steeg, einseit neben dem Rindshäuter graben anderseit neben den einfart des parfüßer Closters, vornen vff d. allmendt v hinden vff gedacht Parfüßer Closters Gartten stoßend, so frey ledig vndt eÿgen, æstimirt pro 250 lb. Inhalt eines pergam: Khauffbrieffs mit der Statt Straßburg Pfthurns Insigell verwahret datirt den 25.ten Julÿ 1665. darbeÿ j. papyr Consens Aus des pfthurns Memoriale fô 87 fa. b datirt 7.ten 7.bris 1665. den wetterdach betreffendt mitt N 26. Notirt
(B.) Item ein Behausung, hoffstatt vndt höfflein sampt einen Bronnen vndter der Kleinen Erbs Lauben (…)
Wÿdembs Verfangenschaft so H. Abraham Werner von Weÿl. Fr. Catharina Cuntzmännin seiner haußfr. des verstorbenen seel. schwester ad dies vitæ Zugenießen. Vermög Inventarÿ über weÿl. obgedachter Fr. Catharinæ Cuntzmännin sein H Abraham Werners hußfr. sel. Verlaßenschafft durch H. Johann Thoman Tromern Not in A° 1665. vffgericht (…) Ane welcher Summa des verstorbenen seel. hinderlaßenen Kindern vndt Erben vor den halben theÿl Zu eÿgen gehörig, der Vberige halbe theÿl aber ist weÿl. Fr. Dorotheæ Cuntzmännin mit H. Jeremiæ Ursino Notario Publ. ehelich erzeugten H. Söhnen vndt dochter Zu eÿgen gehörig
Abzug In dißes Inventarium. Der Frauw wittib unverändert Gutt, Sa. Haußraths 84, Sa. Silber geschirr und geschmeids 25, Sa. Guldinen Kettlein 9, Sa. der baarschafft 48, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 660, Sa.der Ergäntzung (732,geht a 226, Pleibt noch) 502, Summa summarum 1330 lb
Der Erben unverändert Gutt, Sa. haußraths 36, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. Guldinen Rings vnd geschmeids 17, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 544, Sa. Ergäntzung (2122, gebt ab 81, Pleibt) 2041, Summa summarum 2652 lb – Schulden 45 lb Pleibt 2607.
Theilbar Guet, Sa. haußraths 381, Sa. Früchten 169, Sa. wein vndt waß 186, Sa. bibliothec und Lauten 63, Sa. Silber geschirr und geschmeids 186, Sa. Guldinen Rings vnd geschmeids 140, Sa. der baarschafft 211, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 509, Sa. der Heüßer 1500, Sa. Schulden 20, Summa summarum 3369 lb – Schulden 601 lb, Nach deren Abzug 2607 lb
Ferner haben die Kinder vndt Erben von weÿl. Frauwen Susannæ Salomeen Näffin dero vatters erstern haußfrauen seelig per Testamentum ererbt, so der vatter bitz In sein ableiben genoßen (…) in Anno 1645 verlaßen
Ergäntzung der Fr. Wittib unveränderten Guttsn Vemög Inventarÿ über der Fr. Wittib Inn den Ehestand Zugebrachten Nahrung, von Hn Jeremia Ursino Notario den 24. vndt 25. Maÿ 1647. vffgerichet
Ergäntzung der Jenigen posten welche in weÿl. Fr. Susannæ Salomeæ Neffin wÿdembs Verfangenschaft gehörig. Vermög Inventarÿ über weÿl. Fr. Susannæ Salomeæ Nefin Johann Philipp Cuntzmanns ersten haußfr. seelig. Verlaßenschafft durch herrn Christoph Kornstock Notarium in Anno 1644 vffgericht
Ergäntzung welche mann Inn Weÿl. Martha Reichin Auch weÿl. Johann Braunen gewesenen Apotheckers ersten Haußfr. seel. wÿdembs Verfangenschaft so der Verstorbene seel de A° 1658. nach sein Johann Breunen todlich. hientritt genoßen

Les Conseillers et les Vingt-et-Un chargent les Quinze de suivre l’inventaire dressé après la mort de Jean Philippe Cuntzmann. L’affaire n’a pas de suite puisque le défunt a réglé des impôts d’après une somme supérieure de 1 500 florins à celle que constate l’inventaire.

1667, Protocole des Quinze (2 R 84)
Cuntzmannisch Inventarum. 55. 80. 82.
(f° 55-v) Sambst. den 6. Aprilis – Wegen Cuntzmannischen Inventarÿ referirt Herr Negelin, faß selbiges geschäfft von Herrn Räth vnd XXI. In diße Stuben verwißen worden, legte es deßwegen vor. Erkandt, Ist den Oberen Stallherren zu recommendiren, welche das geschäfft zu genauer examination dem H. Stallschreiber Zu Vnd.geben.

(f° 82-v) Freÿtag den 24. Maÿ – Obere Stall herren laßen per H. Negelin referiren daß Sie das Cuntzmannisch Inventarum vnd des H. Stallschreibers beÿgelegten bericht durchgangen, vnd befunden, Nach deme die Nahrung Jetzmahls vff einen and. Fues bestehet, vnd 1500. fl. Zu Viel Verstalt worden, daß consequenter nichts weiter dabeÿ Zusuchen. Alß ist Erkandt, habe dabeÿ sein Verpleibens.

Acte par lequel sont réglés les legs que Susanne Salomé Neff a faits à la fondation Saint-Marc, à l’orphelinat et au collège Saint-Guillaume et dont Jean Philippe Cuntzmann avait la jouissance viagère.

1667 (24. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 702-v
Erschienen Jeremias Vrsinus Notarius und alter Kleinen Rhats Verwanther alß Vogt weÿl. Johann Philipß Kuontzmanns sel: hinderlaßener Kind. und weÿl. Susannæ Salomeen Nefin seel. instituirter Erben, mit beÿstand H Georg Obrechts V.I.D. E.E. Kleinen Rhats Advocati & Procuratoris alß Curatoris Fr. Elisabethä Krusiußin ihrer eheleiblich. Muter
in gegensein H Johann Georg Rhemen alß Oberschreibers deß großen gemeinen allmosens Zu St Marx, H Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß waÿsenhaußes, und H Johann Jacob Schötterlins alß Schaffners deß Collegÿ Wilhelmitani
bekannt, dEmnach vorernannte Fr. Susanna Salome Nefin, in ihrem Testamento § Ferner und fürs Vierte & erstermelter treÿer Allmosen, Jedem treÿ hundert Guld. legirt, Vnd ihme Kuontzmann den lebtägig. Vsufructum solcher legaten Zwaar verschafft, derselbe Vsufructus aber, durch sein Kuontzmanns Tod, sich geendet hette, so wolte ihr dere Kuontzmannisch. Kind. alß der Testatricis Erben Vogt, ihren dren treÿen Allmosen Zu Außweißung bedeuteter legaten, beneben 221 lib 5. ß d bahr gelüfferten Gelts, vffrecht redlich ohnwiderrufflich in solutum cedirt (…) 150. fl. straßb. wehr. od. 78. lib 15. ß d so Thoman Glückh der Schuhmach. vermög eines latinisch. pergamentinen mit deß Bischoffl. hoffs anhangendem Contract Insigel sub dato 9. Calend. Augusti a° 1542. durch H Wolffgang Ruch alß deßelben hoff damahlig. Contractuum Not. nunmehr seel. außgefertigten Recognition: und dadurch gezogenen Kauffbrieffs, von der darinn beschriebenen alhier ahne der obern Straßen gelegener Behaußung iährlich. vff weÿhenachten mit 6. fl. wehr. Zu Verzinnßen schuldig seÿen, (…)
[in margine :] (…) in gegensein Catharinæ, weÿl. hannß Georg Hellingers deß Schuhmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin mit beÿstand hannß Georg Stadlers deß Schuhmachers ihres Vogts, bekannt, demnach Sie Hellingerin die ahne der Obern straßen gegen dem Saÿffen Gäßlein hinüber gelegener behaußung eÿgenthümblich besitze und dannen hero (die 78. lb) abzuführen Verbunden seÿe (quittung) Act. 1. Aug. 16*


Enfants

Anne Cuntzmann épouse en 1673 le marchand Jean Bex, fils du marchand Pierre Bex

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 38, n° 263) 1673. Dom. 10 et 11 Trin. den 3 v. 11. Augusti. G. Johann Bex der ledige handelsmann H Peter Bexen des handelsmanns vndt E. E. Groß. Raths alt. Beÿsitzers ehelich. Sohn. Jfr. Anna weÿl. Joh: Philip Cuntzmanns hinderlaßene eheliche tochter. S. Thomæ den 14. Aug. (i 21)

Catherine Cuntzmann épouse en 1675 Jean Bœckler, docteur en médecine et comte palatin, fils de Jean Henri Bœckler, professeur d’histoire, chanoine à Saint-Thomas et comte palatin.

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 52, n° 331) 1675. Dom. 6. vnd 7. Trin. 11 vnd 18 Julÿ. H. Johannes Boeckler Med. D. practicus v. Comes palatinus Cæs. weÿl. H. Johann Heinrich Boecklers gewesenen Kaÿserlich vnd Chur Maÿntzisch. Raths, Comitis palatin. Cæs. beÿ löbl. universität allhier pfess. Hist. v. deß Collegiat stiffts Zu St. Thomæ Canonici et Senioris, hind.lassen. ehelich. Sohn, Jfr. Catharina weÿl. Johann Philipp Kuntzmanns hinderlaßene eheliche tochter. St. Thom. Cop. den 22. Julÿ (i 28)

Elisabeth Cuntzmann meurt le 22 mai 1668

Sépulture, Saint-Thomas (luth. f° 680-v) 1668. Majus. d. 22. Sont. Elisabetha Johann Philipp Cuntzmans filia Sep. d. 24. Zu S Urban (i 231)

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