L-N – Répertoire des rues


Lanterne (rue de la) – Laternengass
  • n° 4, portail sans doute dû à Pierre Jacotti, aubergiste à la Place de Victoire, 1744
Lentilles (rue des) – Linserfelsergass
  • n° 6, auberge au Pélican (1692-1702), démolie en 1973
  • n° 10
Lie (rue de la) – Drusengässel
Marais Kageneck (rue du) – Kageneckerbruch
  • n° 1 (ancien), détruite en 1871, terrain réuni à la voie publique
  • n° 9, deux nouveaux bâtiments construits par Jacques Schaub (1865, 1866), façade XVIII° provenant du 10, rue du Maroquin
  • n° 13, démolie en 2008
  • n° 21, voir 43, rue Kageneck
Marais Vertdas Grüne Bruch
Marais Vert (rue du)Grünbruchstrasse
  • n° 31 , maison Werner, 1883
  • n° 45 , maison Fuchs (1872), démolie en 1978
Marché (rue du) – im Rosengarten, im Rosengässlein, élargie en rue de la Gare (1854)
  • n° 7, maître d’ouvrage, Jean Daniel Gerner (1856) – façade refaite en 1948 (architecte A. Fritz)
Marché aux Cerises (place du) – Kirschenmarck, voir place du Château
Marché aux Poissons (place du) – Holtzmarckt, Krautmarckt, Neuer Fischmarckt
  • n° 4, maison Zollickoffer (1756, partie vers l’Ill)
Marché Gayot verbrannter Hof, Geflügel Marckt
Maréchal-Juin (rue du) – bey der Sonnen
  • n° 7, maître d’ouvrage, Simon Bouchotte, employé pour le roi (1775) – maître d’œuvre, Jacques Frédéric Hertelmeyer
Maroquin (rue du) – Kurbengass
  • n° 4 (ancien), oriel ajouté en 1604 par le marchand Ambroise Trausch – Démolie en 1856
  • n° 5, démolie en 1856
  • n° 6 (ancien), surélevée au milieu du XVIII° siècle par le cordonnier Geoffroi Schmid – démolie en 1856
  • n° 7 (ancien), démolie en 1856
  • n° 10, maître d’ouvrage Jean Huck, cordonnier (1768), démolie en 1864
  • n° 13
  • n° 18, sur le Gradin (auff der Gräth) puis au Gradin – Façade en saillie, 1789, maître d’ouvrage Jean Geoffroi Herrenschneider – Démolie en 1860 pour réunir le sol à la voie publique
  • n° 21, maître d’ouvrage, Jean Egulus, cordonnier (1759)
Massue (rue de la) – Kolbengässlein
  • n° 1, démolie en 1963
  • n° 3, démolie en 1963
  • n° 4, maison dite Stœrenhoff (cour Stœr), démolie (années 1970)
  • n° 5, démolie en 1978
Mercière (rue) – Krämergass
  • n° 3, maître d’ouvrage, Rodolphe Weiss, confiseur (1812)
  • n° 7, maître d’ouvrage (façade), Nathanael Maurer, 1812
Mésange (rue de la) – kleiner Rossmarckt, Meisengass
  • n° 13 ancien n° 17, au Pigeon blanc (zur weißen Tauben), maître d’ouvrage, Jean Bertenier, 1740 et suiv.
  • n° 18 (b), maison à la Mésange (zur Meis), maître d’ouvrage, Jean Michel Retzloff (1768)
  • n° 20, maître d’ouvrage Jean Streitt, fabricant de parapluies, maître maçon Antoine Klotz (1766)
Miroir (rue du) – Spiegelgässel
  • n° 2, détruite par les bombardements de 1944
Modeste Schickelé (rue) – Brunngässel
  • n° 5, détruite par les bombardements de 1944
Moulins (rue des) – auff dem Plönel, Mühlenplan
Moulin Zorn (place du) – bei der Zornen Mühl
  • n° 1, démolie en 1892
Munch (rue) ou rue Ernest-Munch – anciennement rue de la Krutenau
  • n° 6, façade refaite par le batelier Jean Jacques von Zabern (1748), démolie en 1976
  • n° 8
  • n° 22, maître d’ouvrage Jean Wissinger, vitrier, 1606 puis Charles Auguste Eberlen, restaurateur, 1877
Noyer (rue du)Nussbaumgässel, voir aussi rue de l’Ours
Nuée Bleue (rue de la) – Blauwolckengass

Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.